La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 09/11/19
"La pauvre Julie fut traitée avec une fureur qui n'a pas d'exemple, fouettée, nue et écartelée avec des verges, puis avec des martinets, dont chaque cinglement faisait jaillir le sang dans la chambre. La mère fut à son tour placée sur le bord du canapé, les cuisses dans le plus grand écartement possible, et cinglée dans l'intérieur du vagin." Histoire de Juliette ou les prospérités du vice (marquis de Sade 1797) Emblématique des cuisantes corrections d'enfance, le martinet éveille désormais des instincts de soumission, délicieux instants de jouissance partagée, prélude à d'autres tourments ou de simples ébats amoureux. Instrument traditionnel de correction né et utilisé autrefois en France et plus généralement en Europe, l'usage du martinet pour fesser un enfant est cependant tombé en désuétude, assimilé désormais à de la maltraitance. Le faisceau de lanières qui le compose, échauffe le corps tout entier: le dos, les bras, les fesses, les seins, même les parties génitales (vulve, pénis). Plus d'un tiers de la population francophone, en quête de cinglantes séances de soumission pratiquerait la flagellation. Le tabou persistant, au moment d’avouer ces fantaisies érotiques, rares sont les langues qui se délient aisément. Paradoxalement, elle figure toujours au titre des "troubles paraphiliques" dans la très sérieuse étude médicale américaine, la DSM5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), comme diagnostiqués chez "des individus éprouvant une excitation sexuelle en réponse à une douleur extrême, à l'humiliation, à la servitude ou à la torture". En réalité, les nombreux adeptes peuvent se rassurer sur l'état de leur équilibre psychique car les critères de diagnostic, exigent que la personne éprouve une détresse, telle que la honte, la culpabilité ou l’anxiété liée à un fantasme sexuel, à des pulsions ou à des expériences sexuelles. Autant dire les choses clairement, les formes les plus légères de SM pratiquées entre adultes consentants, ne sont pas classées parmi les troubles étudiés. Le manuel exploité par l'armée de terre des Etats Unis fait en outre l'objet de vives critiques. Goûtons alors sans rougir (ou presque), aux délices épicés d’une séance de martinet bien administrée, en conservant à l'esprit, toutefois que le S/M est avant tout une jouissance mentale, un plaisir cérébral. Comme un jeu sexuel, un scénario érotique préalablement choisi, et consenti entre adultes consentants, mieux encore, consentants et enthousiastes. Exploration impétueuse d'émotions sensorielles inédites et saisissantes, la flagellation est l’occasion d’affirmer symboliquement les rôles au sein d'une relation S/M entre une soumise et son Maître, combinée à l'érotisme mental des jeux de pouvoir sexuel, elle apporte à leurs ébats une saveur nouvelle. Pratiquée de manière sûre, saine, consensuelle et ludique, la flagellation revigore une relation engourdie par la routine. Le martinet est un petit fouet, constitué d'un manche en bois d'environ vingt-cinq centimètres, équipé de lanières, au nombre, d'une dizaine en général, en cuir. Le martinet est similaire au chat à neuf queues, instrument à neuf lanières ou cordes longues, utilisé autrefois, par les forces armées, les institutions pénitentiaires dans l'empire britannique, et au knout de l'Empire russe. Au Moyen Age, jusqu'au XVIIème siècle, la peine de mort était prononcée et appliquée avec une extrême rigueur. Il fallut attendre le règne de Louis XIV pour qu’un certain officier supérieur nommé Martinet adoucisse les peines, léguant son nom au célèbre accessoire, instrument de nos plaisirs. C'est en effet un lieutenant-colonel, Jean Martinet qui, indigné des cruautés dont il avait été souvent témoin, eut la philanthropique idée de faire remplacer le fouet par de petites lanières fixées à un manche, plus inoffensives pour la peau, tout en imposant toutefois d' interminables exercices aux troupes, exigeant d'elles un respect absolu du règlement. Le nouvel instrument prit le nom de son inventeur, qu’il porte toujours aujourd’hui. Officier contemporain du célèbre Charles de Folard (1669-1752), l'officier supérieur Martinet, commandant sous l’armée de Louis XIV, mérite toute sa place à côté du stratège écrivain, par les changements révolutionnaires qu’il introduisit dans les manœuvres de l’armée, en modernisant le recrutement (suppression des mercenaires). Il est cependant fort probable que, sans quelques lignes de Voltaire, il serait à ce jour un illustre inconnu. L'armée du Roi Soleil ne comportait pas à l'époque d’inspecteurs d’infanterie et de cavalerie mais deux officiers de valeur, le chevalier de Fourille pour la cavalerie, et le colonel Martinet, pour l'infanterie. Précurseur également de la baïonnette, Il se distingua lors du fameux passage du Rhin chanté par Boileau. Ses inventions furent précieuses et décisives pour le monarque français lors de la partition de la Hollande. Utilisé jusque dans les années 1980, l'objet tant redouté des enfants, les tribunaux le considère désormais, au même titre que la fessée comme un instrument prohibé, de pratique répréhensible, punie par les tribunaux. La mégère Madame Mac'Miche l'infligeant sur le bon petit diable, Charles, de la moraliste Comtesse de Ségur, fait désormais partie des images d’Épinal. Tout comme la légende enfantine du Père Fouettard, dans le Nord de la France, et en Alsace (appelé Hans Trapp). Dans le sadomasochisme, on échappe toujours au plaisir, que pour être repris par le plaisir. Le martinet est un instrument de précision frappant de ses lanières la partie du corps décidée. Pour la Dominatrice, ou le Dominateur, il est primordial de prendre conscience de l'impact sur la peau. D'utilisation plus aisée que le fouet, indispensable est également d'apprendre à en contrôler le mouvement. Les lanières sont le plus souvent en cuir, en nylon, en tissus, en peau de daim ou de chamois, ou en crinière de cheval. La liste étant loin d'être exhaustive. Lors d'une séance de flagellation, il est conseillé de commencer par glisser doucement les lanières sur la peau. C'est l'indispensable période d'échauffement. Ensuite, les coups doivent être espacés et entrecoupés de caresses à l’endroit fouetté, en demeurant toujours attentive (if) aux réactions du partenaire soumis aux délices. L’injonction d’arrêter par l'emploi d'un safeword (verbal ou gestuel) mettant immédiatement fin à la séance. La personne soumise, ayant librement consentie, emportée par l'excitation de la séance, ou par le désir de satisfaire la ou le Dominatrice (eur), peut perdre elle-même le sens de ses limites. La dominatrice ou le dominateur, constatant que le seuil de tolérance est alors atteint, doit mettre un terme aussitôt à la flagellation, évitant blessures physiques ou mentales parfois irrémédiables. Rappelons que le safeword en amont est essentiel. Un simple code, visuel ou sonore permet de mettre fin aussitôt à la séance. les marques définitives ne sont acceptables que dans un processus ritualisé mûrement réfléchi, et consenti. Un onguent ou une crème analgésique font disparaître plus rapidement les traces, et calment la douleur. Sauf désir contraire de la soumise souhaitant les conserver comme marques fières d'appartenance. Quel qu'en soit le mode, rappelons avec force que frapper un corps humain n'est jamais anodin. La flagellation doit être considérée comme dangereuse. Il est indispensable, pour la soumise, ou le soumis, ayant librement consenti, de s'assurer de la technicité de la Dominatrice ou du Dominateur évitant ainsi désillusions ou blessures. Elle ou lui doit s'assurer que les lanières sont très fermement fixées à l'extrémité du manche. Pour la même énergie, plus la surface de la peau flagellée est concentrée, plus le dommage potentiel causé est important. Les lanières fines cinglent, alors que les lanières larges provoquent une sensation sourde. Concernant les techniques basiques de flagellation, quatre se distinguent généralement: - Le mouvement du poignet peut induire des coups par des lanières à plat. - Il peut provoquer un mouvement de balayage simple ou elliptique. - Il peut également entraîner des figures de rotation (attention aux risques d'enroulement). - Enfin conduire par un mouvement puissant, les lanières à frapper de manière sourde au même endroit. Le plaisir partagé tient tout autant de la ritualisation de la séance, de la mise à nu de la soumise, et de la posture choisie. La flagellation est un acte symbolique fort dans la soumission, comme l'union mystique de deux désirs par un instrument. Si l'expertise de la Maîtresse ou du Maître est requise, l'attention des deux partenaires l'est tout autant. "Une seule abominable douleur la transperça, la jeta hurlante et raidie dans ses liens, elle ne sut jamais qui avait enfoncé dans la chair de ses fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix avait compté jusqu’à cinq, ni sur le geste de qui ils avaient été retirés." (Histoire d'O) Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/11/19
"Il la cravacha à toute volée. Il n’attendit pas qu’elle se tût, et recommença quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé qu’elle criait encore, et que ses larmes coulaient dans sa bouche ouverte." Histoire d'O La flagellation, pratique prisée dans l'art du jouir, n’est pas seulement un adjuvant régulier des combinaisons sexuelles que la pornographie se plaît à inventorier. Elle est en réalité un moyen de mettre en mouvement, dans une relation S/M, la combinaison des vigueurs masochiste et sadique des partenaires en les unissant par un instrument. La ritualisation de la posture, la recherche de la douleur et de la cruauté font de la flagellation une discipline désormais autonome dans le BDSM. Les partenaires recherchant des sensations cinglantes et précises en raffolent. Elle fait partie intégrante de certains jeux érotiques, dits BDSM ou SM. Elle accompagne ou non, d’autres pratiques, bondage, soumissions diverses. Une personne flagellée devient beaucoup plus docile, et ouverte à d’autres expériences. Une femme qui aime dominer ressent une profonde excitation à la pratiquer. Là où d'aucuns recherchent la douleur, d'autres jouissent simplement du fait de subir et d'accepter l'humiliation. Certains optent uniquement pour des séances de flagellation, sans autre pratique érotique, d'autres considèrent fouet ou martinet comme un prélude (ou un intermède) à leurs divers jeux SM. Encore faut-il non seulement en posséder la technique, l'esprit, mais aussi en connaître les nuances et les dangers. Au début du XXème siècle, les adeptes de la fessée se sont pris de passion pour ces instruments faisant advenir la douleur et la cruauté dans la soumission. On parle alors de flagellomanie, de flagellophilie, de masochisme ou d’algolagnie (amour de la douleur). La présence du fouet, ou du martinet dans l’ordre des pratiques sexuelles n’a cependant rien d’une nouveauté. Leopold von Sacher-Masoch, auteur de "La Vénus à la fourrure" (1870) est loin d’être l’initiateur de la théorie. Cette doctrine de la jouissance dans la douleur a de tout temps existé, ayant des adeptes et des défenseurs. Parfois la douleur infligée ou subie est purement morale, c’est l’abnégation de soi-même envers l’être aimé. Mais le plus souvent cette abnégation va jusqu’à solliciter l'affliction de souffrances physiques. Cette forme d’érotisme n’est pas purement passive, elle est aussi active, car celle ou celui qui inflige la souffrance éprouve autant de jouissance que celle ou celui qui la subit. L’histoire ancienne et les mythologies abondent en exemples semblables. Bacchus et les Ménades, Hercule et Omphale, Circé et les compagnons d’Ulysse, Attis et Cybèle. Les sacrifices à Moloch et à Baal, Thomyris la reine des Massagètes, Sémiramis fouettant les princes captifs devenus ses amants. Samson et Dalila, Salomon et ses nombreuses courtisanes réduites à le flageller pour exciter sa virilité. Phéroras, le frère d’Hérode, se faisait attacher et frapper par ses esclaves femelles. Le culte de Cybèle à qui Athènes, Sparte, Corinthe, Rome même, sur le mont Palatin, ont érigé des temples. Lors de ces orgies, le premier des devoirs était de se martyriser en honneur de la Déesse. Jetés dans une sorte d’extase par le recours à des danses frénétiques et autres stimulants, les fidèles s’emparaient de son glaive pour s'automutiler, au plus fort de leur délire. Les prêtresses de Milet s’armaient du fouet pour attiser le feu de volupté brûlant en elles. Les mêmes coutumes se retrouvent aux fêtes d’Isis, dont Hérode nous a laissé une peinture si frappante. À Rome, les fêtes des Lupercales semblables aux Bacchanales et aux Saturnales étaient l’occasion d'épouvantables orgies. Les prêtres, brandissant leurs fouets, hurlant et criant de joie, parcouraient les rues de la ville. Les femmes se précipitaient nues à leur rencontre, présentant leurs reins et leur seins, les invitant par leurs cris, à les flageller jusqu'au sang. Tacite, Suétone, Martial et Juvénal, révélant les secrets intimes des Néron et des Caligula ont fourni des détails égrillards et obscènes sur le raffinement de leurs débauches. Le christianisme, pour établir son influence, dut avoir recours à l’antique usage du fouet, non plus pour éveiller des désirs érotiques, mais au contraire pour maintenir l’homme dans la voie du devoir. Les cloîtres employèrent le fouet, pour mater les novices se révoltant contre les règles de leur ordre. Des congrégations se fondèrent imposant à leurs membres l’obligation d’une flagellation réciproque en vue de dompter les élans de leur chair. De même que le Christ avait été attaché à la colonne et frappé de verges avant d'être crucifié. Elles cessèrent avec le temps d’avoir un caractère disciplinaire et prirent la forme d’une obligation purement religieuse. Comme une expiation éminemment enviable des souffrances imméritées infligées à l’adorable corps du Maître. Tels les Flagellants et les Purificants, les Dominicains, pour les ordres masculins, et les Franciscaines et les Clarisses pour les ordres féminins. En littérature, Brantôme, Boccace, Pogge, l’Arétin, Restif de la Bretonne, citent fréquemment des cas de flagellation. Quant au trop fameux Marquis de Sade, par nous étudié, son nom évoque le synonyme même de la pratique. La belle princesse Lubomirski faisait mettre à mort ses amants, après leur avoir fait subir les plus cruels tourments. Ils étaient empalés sur des pieux et fouettés jusqu'au sang, lorsque ces malheureux la laissaient insatisfaite. Pour autant, l'Histoire est trompeuse. Ce n’est pas du fait d’être ancienne ou anciennement admise parmi les manières d’user du sexe que la flagellation tire son implantation dans l’ordre des plaisirs. C’est tout le contraire, elle devient jouissance en s’arrachant à ces usages anciens. La volonté ramifiée de tout savoir sur le sexe, en ne laissant plus de place à l'imaginaire corporel, de traquer les perversions, d’en suivre obstinément les usages disparates et de susciter partout l’aveu des écarts, a eu pour effet de la faire proliférer, en lieu et place de la pudibonderie ou de l’interdit. Dans les sexualités disparates et les plaisirs spécifiques, la passion du fouet a pris sa place. Lieu d’une triple convergence, faisant d’elle à la fois une pratique S/M et une forme particulière du jouir. Dans le champ des perversions, forgeant la catégorie de masochisme, ou jouissance née de la douleur reçue, dans la littérature érotique, avec Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Pierre Mac Orlan, enfin, dans la volonté des adeptes revendiquant sans fard la puissance extatique de la pratique, dans la la ritualisation des postures de soumission. Nue et debout, seins et ventre offerts, bras levés sur la pointe des pieds, ou en position de crucifixion, chevilles et poignets entravés sur une Croix de Saint André, la soumise ravalée à un état d’infériorité, comme une proie. La femme ou l'homme se soumet, celui ou celle qui fouette et qui bat se tient au-dessus, le geste ample, dans l’attitude féroce et cruelle de celui qui domine. Ce que disent ces scènes, c’est l’institution d’une sexualité qui joue de la domination en outrant ce qu’elle est. Toutefois, la recherche du plaisir entre partenaires consentants, responsables et conscients, lors d'une séance, ne doit pas occulter la sécurité. La dominatrice ou le dominateur devrait tester le matériel sur lui/elle-même avant de flageller son/sa partenaire. De même, elle ou lui vérifie le matériel avant chaque utilisation. En général, plus le matériau est léger, plus la pratique est sans danger, plus la séance peut se prolonger et plus la sensation est douce. Le visage, la tête, le cou, les doigts et doigts de pieds, la peau en cours de cicatrisation ne doivent jamais être flagellés, pour des raisons évidentes de sécurité. Les paumes et le dos de la main, sur les jointures quelles qu'elles soient, sur la surface entre le bassin et le bas des côtes (présence d'organes internes) peuvent l'être avec une extrême prudence et extrême légèreté. Les seins, bras, avant bras, intérieur des bras, intérieur des cuisses, zones génitales (vulve, pénis) avec légèreté. Un impact sourd (par opposition à un impact cinglant) sur des seins est à éviter. Les fesses, le haut du dos de part et d'autres de la colonne, les cuisses, le bas des épaules constituées d'os épais protégés par des muscles et une couche de graisse avec énergie, voire très énergiquement. En frappant très fort des ecchymoses peuvent apparaître, la peau peut se déchirer entraînant des infections. Enfin, la position du corps flagellé conditionne celle de la peau et des muscles. Lorsque le partenaire est penché en avant, les muscles tendus ne sont plus aussi épais et offrent donc une protection moindre. De la même façon, si la peau est tendue elle va réagir de façon plus forte que si elle était relâchée. Flageller quelqu'un qui se tient debout sans maintien risque de le/la faire chuter. A l'inverse, la ou le flagellée (é) défaillante (t) maintenu debout par des liens, se retrouvera en suspension partielle. Placer la (le) soumise (e) en position de se voir flageller lui apportera en général plus de jouissance. Des marques peuvent apparaître tout de suite, ne pas apparaître du tout ou apparaître après un jour ou deux. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme dangereux. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. "O, je vais te mettre un bâillon, parce que je voudrais te fouetter jusqu’au sang, lui dit-il. Me le permets-tu ? Je suis à vous" dit O." Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 04/11/19
"O était heureuse que René la fit fouetter parce que sa soumission passionnée donnerait à son amant la preuve de son appartenance, mais aussi parce que la douleur et la honte du fouet, lui semblaient le rachat de sa faute." (Histoire d'O) Anne Cécile Desclos alias Pauline Réage. Un soupçon de plaisir dissimulé a toujours pesé sur la flagellation. Une lecture historique dénote une constante évolution, au cours des millénaires et des civilisations, de l'attrait pour sa puissance symbolique et sa beauté brutale. Á la ritualisation du supplice, pratiquée à l'origine, par une caste aristocratique grecque, célébrant la pureté des sensations excessives, s'est jointe une volonté de transgresser des mœurs sexuels, l'imposant par sa force érotisante, comme une véritable discipline incontournable, autonome et idoine, dans la rhétorique du désir. Dans la Grèce antique, la vérité et le sexe étaient liés par la transmission d'une connaissance d'un corps à l'autre. Le sexe servant, avant tout d'initiation pédagogique et d'apprentissage à des enseignements sophistiqués et précieux. Le degré de complexité du savoir dépendait de la sagesse et de l'appartenance souvent à l'élite. Certaines relations étaient axées sur le rapport élève/enseignant, d'autres comme à Thèbes sur la survie. L'étude des comportements sexuels, dans l'Antiquité, s'est trop concentrée sur la comparaison avec notre vision moderne. Les historiens ne se sont pas suffisamment penchés sur la richesse du discours de ces éléments constitutifs. La flagellation se rattachait plus globalement à un art de vivre, ne se résumant pas à une simple pratique érotique. Plutarque a écrit de nombreux récits lyriques sur les compétitions sportives de fouet spartiates. "Les garçons de Sparte ont été fouettés pendant toute la journée à l'autel d'Artémis Orthia, souvent jusqu'à la mort, et ils l'ont courageusement enduré, joyeux et fier, se disputant la suprématie sur l'un d'entre eux, Il pouvait supporter d'être battu plus longtemps et plus souvent, et celui qui était victorieux avait une réputation particulière." Andromède, fille du roi Céphée et de la reine Cassiopée de Jopée fut la première femme à entrer en servitude. Enchaînée nue à un rocher, ce fut Persée qui la sauva. Euripide décrit Aphrodite ordonnant à Thésée de supplicier son fils Hippolyte. Les auteurs grecs et romains comme, Theopompus de Chios et Platon, qualifiaient les Étrusques d'immoraux. Dans les cités d'Étrurie, les femmes esclaves, lubriquement extravagantes, attendaient les hommes, pour subir, en place publique, nues et enchaînées, le supplice du fouet, avant d'être possédées. Tite-Live légitimait la prostitution et le viol de Lucrèce, idéalisant la fidèle et vertueuse romaine. Le mari avait des rapports sexuels avec sa femme et des courtisanes libérées, avant de se livrer à des scènes orgiaques de débauche, avec de jeunes garçons, éphèbes et lisses qu'il sodomisait. Les Romains l'utilisaient comme châtiment corporel, comme sanction pour punir des actes criminels, à l'aide d'un fouet, le flagrum, à l'encontre de suppliciés avant de les crucifier. La fonction sexuelle de la flagellation apparaît donc en filigrane tout au long de l'histoire, dès le Kâma-Sûtra. Elle constitue un phénomène sexuel, clairement assouvi et assumé depuis le 17éme siècle. Au début du XIXème siècle, Sade fit de la flagellation son châtiment de prédilection, lors de scènes de tortures d'une extrême sauvagerie, mêlant cruauté et fantasmes sexuels, décrites dans "Justine", l'une de ses œuvres les plus célèbres. Frédéric II de Prusse fouettait avec vigueur de sa propre main les femmes de la cour, pendant que Marcel Proust fervent adepte, lui même, décrivait dans "À la recherche du temps perdu", un baron de Charlus, inverti cultivé et aux goûts raffinés, allègrement rougi. Chez les femmes de pouvoir, jetant hélas leur dévolu sur des sujets non-consentants, après Messaline et Cléopâtre, Marie de Médicis (Pierre de Brantôme l’évoque) fut une grande manieuse de fouet, de même que Catherine de Russie. L'Angleterre, avec le déclin de l'Eglise catholique au XVIIème siècle, laïcisa la pratique dans les maisons closes alors très populaires. Le Roi Georges VI appréciait tout particulièrement la chaise fessée en prêtant son siège aux délicieux tourments. De nombreuses conférences étaient consacrées sur l'utilité et l'agrément de la verge par de ferventes Ladies appartenant à la meilleure société de Londres, désirant s'instruire dans l'art de la flagellation, mais surtout s'adonner à ce piquant et aimable passe-temps, avec de jeunes filles susceptibles de correction. Détaillant avec d'infinies précautions, les postures idéales promptes à déclencher la jouissance, lors de fustigations, avec une inclinaison naturelle, pour la position gomorrhéenne. La victime mise à nu, les pieds et les poignets liées, les yeux bandés, était meurtrie jusqu'au sang par une longue et fine verge. Les lanières d'un martinet se promenaient des épaules aux chevilles, cinglant les endroits intimes et sensibles, en s'arrangeant pour lacérer la chair sans la déchirer. Les contorsions voluptueuses sous l'ardente meurtrissure exacerbaient le plaisir de la fouetteuse la conduisant à un état extatique. On employait indifféremment le fouet, la canne, la cravache ou le fouet, exceptionnellement la main réservée à la seule fessée. Le mot fouet, du XIIIème siècle, vient du latin "fagus", le hêtre, et signifie verge de hêtre. Le fléau, instrument pour battre le blé, signifie également châtiment adressé par Dieu. La flagellation inclut l'idée d'instrument, de mouvement, et d'action. On peut donc flageller son partenaire avec toutes sortes d'instruments: fouet, verge, bâton, badine, canne, bambou, ceinture, ceinturon, lanière, courroie, martinet, chat à neuf queues, cravache, baguette, nerf de bœuf, chambrière, orties, chardons, épines, herbes, raquettes, câble électrique, paddles, battes, etc. La liste n'est jamais exhaustive laissant libre cours à l'imagination. Le Fouet est constitué d'un manche de cuir tressé muni d'une ou de plusieurs lanières de cuir, de longueur différente selon les usages. Ses usages sont liés à sa composition. La longueur de la lanière permet de frapper le corps avec une redoutable précision en le meurtrissant. Mais manié avec prudence et dextérité, il peut lui apporter de chaudes voluptés, après une attention persévérante et soutenue. Dans les relations BDSM, la flagellation par le fouet, véritable rite initiatique, constitue un symbole fort de domination pour celui qui soumet. Elle est presque toujours pratiquée de façon légère, de manière à ne pas blesser gravement la personne qui reçoit les coups. Son maniement spectaculaire exige une très grande technicité, et une indispensable modération. Un fouet mal utilisé, ou en mauvais état, peut très rapidement cisailler la peau. Un entraînement préalable sur un objet inanimé est vivement conseillé. En claquant le fouet, le bout de la lanière émet un bruit caractéristique en dépassant le mur du son, le claquement. Il est craint car il procure une intense douleur et peut laisser des traces durables. L'objet provoque à sa simple vue, chez la (e) soumise (s), excitation, émotion avant même le début de la séance. Promené sur les parties sensibles ou génitales, il provoque un sentiment d'abandon total de la part de la soumise et d'adoration à la Maîtresse ou au Maître. La soumise n'est plus que corps et volonté abandonnés dans la soumission à l'être aimé. C'est un instrument de précision exigeant beaucoup d'espace car le porteur du fouet doit se tenir loin de l'esclave pour le frapper. La personne fouettée est nue et attachée sur un cheval d'arçon ou le plus souvent sur une croix de Saint André. Les yeux bandés, elle ignore l'emplacement de l'impact suivant, de la caresse cinglante et mordante. L'ambiance faisant partie intégrante de la séance, surtout lors de la préparation et la mise à nu. Les coups de fouet placés et répétés peuvent conduire à l'orgasme. La flagellation par le fouet exige expérience et entraînement pour des personnes consentantes, conscientes et responsables. Des conseils d'utilisation, de prévention, de mise en garde et de sécurité lors de son utilisation, seront étudiés lors d'un prochain article. Le martinet s'apparente au fouet d'une longueur plus courte, doté de multiples lanières, en général en cuir. Les sensations qu'il produit varient en fonction de la matière dont elles sont constituées, chameau, soie, nylon, de leurs nombres, de leurs dimensions et de l'usage qu'en fait le fesseur. La flagellation peut-être légère ou énergique selon les endroits caressés, mais doit toujours être précédée d'un échauffement. Appliquée avec vigueur sur une zone érogène de la soumise, la douleur dissipée peut faire place à une fulgurante jouissance. Elle s'adresse également à des partenaires consentants, conscients et responsables. La canne anglaise semble être l'instrument qui fascine le plus dans les séances de flagellation. Généralement en rotin et plus rarement en bambou, elle mesure entre un mètre et un mètre-vingt de longueur, pour des diamètres variables. Réminiscence d'un passé punitif, très utilisée dans l'Angleterre Victorienne du XIXème siècle, elle représentait l'autorité professorale ou directoriale. Facile à se procurer et discrète, entre les mains d'un fesseur expérimenté, elle devient un redoutable instrument de correction. Les vibrations enregistrées dans les organes sexuels, lorsque la canne s'abat sur la partie inférieure des fesses, peut de la douleur au plaisir, conduire à l'orgasme. La cravache plus ou moins longue, plus ou moins épaisse, de couleurs différentes, peut être décorée. Elle possède des formes variées de poignée et de claquettes. Elles est constituée soit de cuir soit d'un matériau synthétique. Sa flexibilité la rapproche de la canne, mais possède une boucle de cuir à l'extrémité du manche. Le dominateur peut choisir de n'utiliser que cette partie de l'instrument, ou de se servir du manche également. L'instrument est d'une redoutable efficacité sur les cuisses ou les fessiers nus. Rien n’est comparable à la cravache quand elle est bien utilisée. Il est indispensable de commencer doucement par échauffer les fesses afin de créer une sensation de brûlure profonde et sensuelle. Notons qu'Il ne faut jamais utiliser la cravache et le fouet au cours de la même session de soumission. Les coups de la cravache (ou du fouet) peuvent devenir de plus en plus forts, seuls alors les supplications de la soumise, son orgasme ou bien entendu le mot d'arrêt (verbal ou corporel) peuvent arrêter la séance. La chaleur progressive envahissant les fesses offertes de la femme soumise se transforme peu à peu en ondes bienfaisantes. Elle peut atteindre rapidement l'orgasme, voire plusieurs orgasmes consécutifs lorsqu'elle est prise immédiatement après. La flagellation peut devenir un acte d'amour puissant, les deux partenaires n'étant pas séparés mais reliés par l'instrument. Le savoir-faire et la sensibilité sont bien entendu indispensables, mais l'attention portée à l'autre l'est tout autant. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme dangereux. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. Les techniques, les parties du corps à fouetter, à ne jamais fouetter, ainsi que des conseils de mise en garde et de sécurité, à respecter pour un plaisir partagé, au cours de chaque séance seront étudiés dans le prochain article. "René, bouleversé, regarda longuement le corps mince où d'épaisses balafres violettes faisaient comme des cordes en travers des épaules, du dos, du ventre, et des seins, et parfois s'entrecroisaient. De place en place un peu de sang perlait." Anne Cécile Desclos alias Pauline Réage. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir
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Par : le 02/11/19
"On ne vous bandera les yeux que pour vous maltraiter, pour vous fouetter. À ce propos, s’il convient que vous vous accoutumiez à recevoir le fouet, comme tant que vous serez ici vous le recevrez chaque jour, ce n’est pas tant pour notre plaisir que pour votre instruction » Histoire d'O Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. Les antiques raffolaient déjà du fouet. Lors de cérémonies rituelles, ils l'utilisaient pour invoquer les divinités afin de rendre les femmes fertiles. Dans la Rome Antique, le culte de Junon, protectrice des femmes, leur commandait le fouet, afin de lutter contre la stérilité. Lors de la fête des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III , dernier Roi valoisien (1574 à 1589) , grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait à se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre , l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Selon Freud, le masochisme, est une perversion sexuelle suivant laquelle la satisfaction est liée à la souffrance, ou à l'humiliation subie par le sujet soumis. L'envie de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Désir de faire souffrir la (e) soumise (s) ou l'esclave sexuelle (el), ou le sentiment opposé, recherche de la douleur par la (e) flagellée (é) . L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de l'enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation D/S entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quel qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Plus clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte ,les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de Saint-André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation ,de douleur, et d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Elle procure un plaisir à la fois corporel et mental, pour la (e) sadique ou dominatrice (eur),comme pour la (e) masochiste, ou soumise (e). Les sensations de morsures, brûlures, et de douleurs précèdent toujours plaisir et jouissance. La flagellée, par soumission et par volonté de se surpasser, atteint progressivement un état relatif de confort. Son corps mobilisé secrétant des analgésiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche l'orgasme. Le secret de l'alchimie résidant dans l'expérience du Maître, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur, s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique: Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant sa ritualisation. Citons "La Voluptueuse Souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902),ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, dit Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons, avec force, que toute stimulation du corps par la flagellation, doit être librement consentie par des partenaires majeurs et de préférence expérimentés lors d'une séance de soumission avec toujours le recours possible d'un safeword . "Je porte les stigmates de la réalité de mon amour. J'aime contempler dans un miroir les traces que m'ont laissées les épreuves endurées lors des séances de soumission à l'être aimé. Je détaille les éraflures, et les stries qui zèbrent ma peau nacrée, et je revis les intenses moments d'abnégation. "Le lien" Vanessa Duriès. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 29/10/19
"Si vous l'attachez quelquefois,si vous la fouettez un peu,et qu'elle y prenne plaisir,non,Ce qu'il faut,c'est dépasser le moment où elle prendra plaisir,pour obtenir les larmes." O,est libre et indépendante.Mais elle est subitement conduite par son amant dans le château de Roissy, où les femmes connaissent la souffrance car elles sont fouettées, surtout la nuit. Les mains liées dans le dos,nue et les yeux bandés,elle pénètre dans la demeure, guidée par deux jeunes filles, aux robes d'un autre temps, retroussées sur leur ventre et leurs reins nus. Les sévices subis seront chaque jour renouvelés. O sera offerte et prise,fouettée et murée dans le silence. Débute alors l'apprentissage de l'esclavage.Par amour pour René, O ira très loin dans la négation de soi. Elle abdiquera toute volonté et perdra définitivement sa liberté. En recouvrant d'un savant voile l'identité réelle d'O, l'auteur entretient le mystère,dans un court récit de quatre parties. Le déroulement, en crescendo musical, évoque un rêve, un fantasme éveillé, de son apprentissage jusqu'à son élévation. Sous une narration anonyme,la description détaillée d'un vêtement, aide le lecteur à lui prêter une perception. "À mesure qu'on serrait, les seins remontaient, s'appuyaient par dessous leur gousset, et offraient davantage leur pointe. En même temps la taille s'étranglait, ce qui faisait saillir le ventre et cambrer profondément les reins. L'étrange est que cette armature était très confortable, et jusqu'à un certain point reposante. On s'y tenait bien droite, mais elle rendait sensible, sans qu'on sût très bien pourquoi, à moins que ce ne fût par contraste, la liberté ou plutôt la disponibilité de ce qu'elle ne comprimait pas." Il plonge alors avec une richesse sensorielle inouïe, dans l’ambiance de ce château,aux rites particuliers. L’interdiction de croiser les jambes,de serrer les genoux,ou de fermer les lèvres, en signes d'offrande perpétuelle. "Votre bouche,votre ventre,et vos reins nous sont ouverts." Les longues jupes en faille noire sont bouffantes,les robes en satin, les corselets serrés et les mules vernies à hauts talons. Dans le boudoir,la cheminée est grande,les poufs en fourrure,la porte en fer forgé et le dallage est noir. Le bain est donné à O avec un soin extrême, la pointe et l’aréole de ses seins sont rosies. La taille est étranglée dans un corset durement baleiné, son anneau anal est élargi. Les hanches et les seins partageant alors avec l'anus et l'aine,un cercle parfait,le O. Viennent alors les instruments de sévices décrits avec une fascinante précision. "Un fouet de cordes assez fines, qui se terminaient par plusieurs nœuds et étaient toutes raides comme si on les avait trempées dans l’eau." "Un fouet de cuir fait de six lanières terminées par un nœud." Devenant des parures faisant dire à O,que son amie "serait plus belle avec un collier et des bracelets de cuir." Ou encore "que les coups et les fers allaient bien à Yvonne". Sans omettre les postures d’attachement aux poteaux, aux crochets des murs à l’aide d’anneaux, de chaînettes, les cliquetis. "Elle était exposée de telle manière que la seule chose d'elle qui fût visible était le creux de son ventre et de ses reins violemment écartelés,Anne-Marie lui caressa l'intérieur des cuisses.C'est l'endroit où la peau est la plus douce,dit-elle, il ne faudra pas l’abîmer,Va doucement Colette." "Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre,O gémit,Colette passait de la droite à la gauche,s'arrêtait, reprenait,O se débattait de tout son pouvoir,elle crut que les sangles la déchireraient,Elle ne voulait pas supplier, elle ne voulait pas demander grâce. Mais Anne-Marie entendait l'amener à merci,Plus vite,dit-elle à Colette,et plus fort." Les marques de violence s'impriment sur le corps avec une acuité terrifiante. Les sensations des cordes sur la peau à l’intérieur des cuisses, des balafres,et boursouflures de la peau. les "marques fraîches" de cravache sur les reins, "de belles zébrures longues et profondes". Ces marques sont autant de preuves d’amour tangibles aux yeux d'O. Comme sont des métaphores évocatrices et inattendues : "La bouche à demi-bâillonnée par la chair durcie", "le bâillon de chair qui l’étouffait", "son ventre entrebâillé". L'écriture évocatrice et charnelle fait partager le goût inattendu d'O pour le supplice dans la flagellation. Au-delà de sa dimension sulfureuse,Histoire d’O est avant tout une réflexion sur l’amour et la passion, sous un angle philosophique. Finalement en s’offrant, en s’abandonnant totalement à l’autre, elle démontre comment elle se délivre d’elle-même. Le cheminement psychologique d’O se réalise peu à peu. D'abord interloquée et troublée,elle succombe à la douceur de l’avilissement. Etre enchaînée, fouettée puis marquée aux fers sont des actes rituels exprimant en réalité un désir de libération. Dans cet espoir d'être reconnues,voix et conscience d'O percent le roman,en le dominant du début à la fin Sir Stephen,le Maître d'O,en paroles ou en gestes,ne la domine qu'en illusion. O,objet, ou orifice, appartient à un autre Monde,un monde mêlant inspiration ésotérique et talent littéraire. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/10/19
La sodomie pratique sexuelle qui vise à pénétrer l'anus de son ou de sa partenaire ? La sodomie aujourd'hui, la base d'un rapport sexuel En ce 21ème siècle, il existe toujours une grande différenciation de pensées et de lois selon les pays du monde, la "sodo" pouvant ainsi être perçu comme un rapport sexuel banal ou, à l'inverse, pouvant être prohibée.. À l'inverse du vagin et de la vulve, le rectum et l'anus ne sont pas naturellement disposés à l'exercice du rapport sexuel et ce, en raison d'une lubrification naturelle inexistante. Or, l'anus est une zone du corps humain qui peut être amené à donner une sensation de plaisir très intense et une excitation sans précédent à la personne se voyant être stimulée. Autrement dit, l'anus est une zone réellement érogène. Le plaisir que peut apporter la pratique de la sodomie ou de l'"enculage" est donc surtout démultiplié lorsqu'il s'agit bien évidemment du partenaire dit passif. Le lubrifiant anal pour un confort optimal En ce sens, le fait de réaliser des allers-retours peut conduire la femme jusqu'à l'orgasme tandis que chez l'homme, ce serait plutôt la stimulation de la prostate qui le ferait monter au septième ciel. Pour des raisons de commodité, une préalable lubrification anale est conseillée afin d'éviter tout risque de lésion voire toute sensation désagréable lors du début de la pénétration. Cette lubrification peut être réalisée par le biais de plusieurs moyens comme la salive, un lubrifiant dit artificiel ou encore et tout simplement un préservatif lubrifié. une pénétration "à sec" n'est autre chose qu'une pénétration qui se veut être réalisée sans aucune lubrification préalable (même si elle est douloureuse, c’est la preuve de la soumission). Si la pénétration anale peut être relativement douloureuse pour un très grand nombre de personnes,. C'est ainsi que bon nombre d'individus pratiquant le sexe anal réalisent des exercices qui permettent un assouplissement de la zone anale en vue de se dilater au mieux. Un exercice quotidien est donc bien évidemment recommandé pour les personnes qui sont amenées à pratiquer la pénétration anale régulièrement. La sodomie et son succès dans le monde de l'escorting Autre point à présent, la côte de popularité de la sodomie en France. Afin de globaliser la chose, il est tout bonnement à savoir que le sexe anal est entrée dans les moeurs en ce 21ème siècle et qu'une grande quantité de personnes, du moins celles interrogées à ce sujet en 2007, auraient déjà pratiqué une fois la pénétration anale, c'est-à-dire environ 40% des femmes pour 50% des hommes. La plupart des call-girls parisiennes n'hésitant pas à souligner le fait qu'elle pratiquent la sodomie ou l'anale par des termes spécifiques . Aussi, il existe un univers où la pratique de la sodomie est monnaie courante, univers qui se voit être présenté au travers d'un acronyme. Lequel ? Le BDSM. En effet, dans le milieu du bondage, de la discipline, de la domination, de la soumission et du sadomasochisme, il n'est pas rare qu'un homme ou une femme se voit être pénétré, et plus particulièrement analement parlant, par un dominateur ou une dominatrice. De plus, c'est au moyen de plusieurs procédés que les sodomies peuvent être réalisées. Par exemple, s'il s'agit d'une dominatrice qui ne soit pas transsexuelle, cette dernière peut être amenée à utiliser un gode-ceinture ou un strapon, Les variantes sont tellement nombreuses qu'il est donc souhaitable de laisser libre cours à l'imagination de tout un chacun. Eh oui, que ce soit pour enculer une escort girl mais aussi pour se faire enculer par une dominatrice. Il est de plus en plus de libertins masochistes qui cherchent une escort gode ceinture ou "enculeuse". Cela leur permet de se sentir femme le temps d'un jeu de rôles et pour le plaisir de tout un chacun.
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Par : le 24/10/19
Ou je devrais peut-être mieux dire: «Qu’est-ce qui pousse un homme à permettre et même à encourager une Femme à enfermer sa virilité dans un dispositif expressément conçu pour la rendre inutile jusqu'à ce qu’il soit enlevé ?». Eh bien pour moi… la clé est dans la fin de cette phrase ... "jusqu'à ce qu’il soit enlevé ». La chasteté en elle-même n'est pas si intéressante. Évidemment, les dispositifs (les ceintures et les cages) exercent sur moi une certaine fascination mais tant que je pouvais les mettre et les enlever à volonté, ils ne sont rien de plus que des jouets coûteux. Si on m’enlève cette capacité, alors là, le jeu change du tout au tout… Toutes les dispositifs que j’ai eu portés et que je porte encore sont réels, entièrement fonctionnels et aussi sécurisés que possible. Dans tous les cas, le seul moyen pour en sortir est d’avoir la clé ou de le détruire. Ce n'est pas quelque chose que je ferais à la légère, sachant non seulement le prix payé pour le faire fabriquer à mes mesures, mais aussi le prix à payer vis-à-vis de ma Dame ! Je n’ai jamais, jamais eu une clef de réserve. Le jeu d’être verrouillé en en serai complètement faussé... Si j'avais une clef, j’aurais toujours le contrôle et ma Dame ne l’accepterait simplement pas. Donc toutes les clefs doivent et sont en sa possession. Cela implique pour moi de placer ma confiance totale en ma Dame qui va les gérer... Je sais qu’Elle peut, selon Son Désir, me rendre très très facilement la vie très très difficile. Ce genre de confiance nécessite une relation 24/7. La chasteté n'est pas vraiment quelque chose qui se prête à des sessions occasionnelles. Elle fonctionne que dans le cadre d'un mode de vie bdsm. Le moment où la clé est tournée dans la serrure et que je n'ai plus aucun moyen facile de sortir du dispositif est le début de l'aventure. Un frisson me parcourt suivit d’un long moment de panique ; même après plus de 20 ans de pratique… Qu'ai-je fait ? Pourquoi ? Mais c'est trop tard, bien trop tard. Il est trop tard parce que ma Dame qui m’a verrouillé à une volonté d'acier. Elle est totalement imperméable aux appels à la pitié... et croyez-moi sur parole, après plusieurs semaines de chasteté, je sais supplier, plaider ma cause et ramper pour en sortir ! C'est ça la chasteté. Ce n'est pas qu’une question de sexe. Il ne s'agit pas que de déni de sexe. Tout est question de contrôle. J’ai remis le contrôle absolu, non seulement de mes organes les plus intimes, mais de mon esprit, de mon corps et de mon âme. Je sais que je finirai par en sortir, mais sans jamais savoir quand, ni comment, ni pourquoi. Ne sachant jamais si ce qu’il m’attend est un orgasme réel, ruiné ou refusé. Ne sachant jamais si je vais baisé ou être baisé... C’est ça la chasteté. Rien d'autre que je connais ne donne un tel niveau de contrôle à ma Dame sur moi. En étant verrouillé 24/7, je ne suis jamais libre de son contrôle. Le dispositif est toujours là, qu’Elle soit là ou absente. Il fait toujours preuve de la même volonté d’acier, que je le veuille ou non. La question du choix est « Choisir d'abandonner le contrôle, ne jamais savoir quand il sera relâché, pour combien de temps et à quelles conditions ! » C’est ça de la chasteté. Ce n'est pas facile. C'est très frustrant, parfois inconfortable, parfois douloureux, parfois embarrassant, humiliant, dégradant mais toujours toujours très présent. Il n'y a pas de temps libre, pas de pause, pas de mot de passe qui va l'arrêter. C'est un échange d'énergie complet et total dans sa forme la plus basique et brute. Certes, ce n'est pas pour tous les hommes et les Dames qui maîtrisent à la perfection ce niveau de contrôle ne sont pas légion, même si Elles n’ont pas besoin d’être en mode « Dominatrice » 24/7. Le dispositif se charge parfaitement de la suppléance ; je l'appelle d'ailleurs ma Petite Dame. Leur motivation ne répond non plus pas à une règle unique ! Chacune a son vécu et ses envies. lulu
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Par : le 22/10/19
"Il n'y a que deux conduites avec la vie:ou on la rêve ou on l'accomplit ". René Char.Poésies (1907-1988) En littérature, il existe des chemins hasardeux,et reconnaissons,qu'il faut une certaine audace, pour tenter d'examiner avec circonspection et objectivité,sans attiser la polémique, l'influence du Marquis de Sade, dans l'univers du BDSM,au début du XXI ème siècle. En effet,la réflexion ne doit pas se contenter,de légitimer sans recul,les excès cruels de l'homme et la perversité de sa pensée,ou de les rejeter en bloc,mais de les comparer,d'une part à l'idéologie classique fondée sur la liberté et le respect de l'individu,et d'autre part,à la réalité des pratiques contemporaines du BDSM,fondées fondamentalement sur le principe de base du libre consentement. Ces réserves émises,Il apparaît cependant illusoire d’aborder l'univers du BDSM,en occultant totalement l'oeuvre et la personnalité du Marquis de Sade. Tant,la mémoire de l'écrivain,libertin,pervers,cruel, amoral mais auteur fécond,libre penseur,précurseur et talentueux,semble dominer de son aura,ce monde étrange et fascinant. Les adeptes du sadomasochisme,en grande majorité,ont fait de lui,dans leur mode de vie et leurs pratiques,leur figure tutélaire. Sa création littéraire et de fait,l'homme,représentant pour eux,bon gré mal gré,la quintessence même de leur philosophie et de leurs jeux sexuels. De même et plus largement,son nom,associé à celui de Léopold Von Sacher-Masoch,écrivain et historien autrichien,est à l'origine du terme sadomasochisme. Mais si,de son patronyme,fut issu au XIX ème siècle,le néologisme sadisme,considéré en psychiatrie,comme une perversion, gardons en mémoire,cependant,que l'auteur de "La philosophie dans le boudoir" en ignorait l'existence même. Il n’a jamais connu ce mot, mais a théorisé avec talent, sur les passions,les goûts cruels, les plaisirs de la torture,se contentant d'employer,dans ses récits,le mot "pervers". Car, c'est le psychiatre allemand,Richard von Krafft-Ebing qui,dans une approche psychanalytique et clinicienne, l'inventa. Conduisant à entretenir, depuis des controverses passionnelles interminables, incarnant un Sade nouveau,véhiculant tous les fantasmes et légendes,et bien souvent engendrant, un personnage,totalement différent de l'original. Représenter Sade,positivement ou négativement, par un concept scientifique,de surcroît,à l'acception, totalement galvaudée de nos jours,conduit fatalement à caricaturer sa pensée en la dénaturant. La question de l'influence mémorielle de la pensée sadienne sur l'univers du BDSM moderne nécessite de rappeler quelques notions. Mode de vie,ou philosophie,c'est à la base,une orientation sexuelle, réalisée entre adultes consentants, comportant des pratiques de discipline, de domination et de soumission et/ou de sadomasochisme n'engendrant,en théorie, aucun préjudice physique ou moral pour les pratiquants. La relation D/S,basée sur la confiance et un respect mutuel,peut se réaliser à long ou à court terme,de façon personnelle ou anonyme,dans lesquels, les partenaires peuvent s'explorer émotionnellement à l'infini. Une relation D/S peut être sexuelle ou non, intime ou anonyme, contractuelle,par écrit ou non. Le safeword (mot de passe) permettant de mettre fin à la séance,quand la personne soumise se sent en danger ou souhaite simplement y mettre fin,peut s'avérer utile voire indispensable selon l'intensité de la séance. Loin d'être exhaustive, la liste des pratiques se résume ainsi: le bondage,l'enfermement,la flagellation,l'utilisation de pinces,de ventouses ou de roulettes,la pose d'aiguilles,de glaçons ou de cire,la dilatation et fisting,l'urtication,l'urolagnie,la scatologie et les lavements. La D/S peut enfin inclure la servitude domestique qui peut devenir sexuelle,la chasteté forcée,et atteindre le stade de la déshumanisation,où le ou la soumise est considéré(ée) comme un animal ou objet. Le fétichisme peut se définir,comme une fixation monopathique,d'adoration et de recherche, d'une satisfaction sexuelle sur une partie définie du corps ou d'un comportement. Tous les fétichistes ne sont pas soumis et tous les soumis ne sont pas fétichistes. Peuvent être également cités,le facesitting,le BBW,le dog training,le poney girl et le travestissement (cross-dressing). Aucune de ces pratiques n'implique obligatoirement en principe, le passage à l'acte sexuel. Cependant, il arrive très souvent de voir ces activités dénaturées,et représentées, comme de simples composants sexuels à fort caractère érotique. Conservons surtout à l'esprit que le BDSM est un choix personnel,émanant d'une volonté autonome,et revêtant des formes différentes selon les individus. L'univers existe pour deux protagonistes,le concepteur,dominant ou dominante et celui ou celle,le soumis ou la soumise qui l'accepte librement. En résumé, il y a autant de versions de BDSM,que de pratiquants. La diversité fait sa richesse. La part d'héritage de Sade dans le monde du BDSM contemporain,au delà de tout débat passionnel,de mysticisme ou de denigration,de légende dorée ou noire, pose la question de la possibilité de reproduire ou non, son univers réel couplé d'une imagination allégorique, sur la pratique moderne du sadomasochisme. Compte tenu de la cruauté qualifiée de ses actes,historiquement établie,et de l'absence patente de consentement de ses victimes, la réponse est clairement non. Écrivain libertin talentueux,ou fieffé scélérat débauché,le Marquis de Sade brille,dans sa tentative désespérée, de mettre à bas,en tant qu'esprit libre et vagabond,un ordre social et religieux,en déclin à la fin du XVIII ème siècle. Son œuvre, inspirée d'une conscience matérialiste de l'infini,déshumanisant les corps,explore les abîmes sombres de l'âme. "L’imagination est l’unique berceau des voluptés, elle seule les crée, les dirige;il n’y a plus qu’un physique grossier,imbécile, dans tout ce qu’elle n’inspire ou n’embellit pas". Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 18/10/19
Photo : Source Internet "Détends-toi" murmura-t-elle dans mon oreille alors qu'elle déboutonnait lentement ma chemise. Ses mains me donnaient l'impression de brûler ; des flammes de feu glissaient à l'intérieur du tissu et commençaient à explorer ma chair nue en dessous. Je frissonnais légèrement alors que ses doigts frôlaient légèrement mes mamelons durs puis ils firent glisser lentement ma chemise qui tomba au sol. Des frémissements passèrent dans mon dos, tirant un halètement de mes lèvres et un rire de elle. « Chhhhhut ... je n'ai même pas encore commencé avec toi" Le lourd collier de cuir qu'elle avait attaché autour de mon cou m’était étranger et bizarre mais excitant. Sa langue pénétra rapidement dans ma bouche, forçant son passage à l'intérieur avant que j'aie une chance de résister. Je commençais à l’embrasser, mais Elle rompit le baiser et me frappa le visage. "Tu ne devras JAMAIS plus prendre l’initiative avec moi, Jamais ! et ne l'oublies pas », dit-elle d'un ton cassant qui me surprit. Quelques secondes plus tard, j'étais poussé contre la table à manger. Une table en chêne très solide qui pouvait facilement supporter mon poids et plus encore. C’était clair qu’elle savait exactement ce qu’elle faisait. Elle attacha adroitement une corde à mon collier puis la passant de l’autre côté de la table, elle me força à me pencher et poser mon torse sur la plateau. De nulle part, Elle sorti quatre bracelets en cuir et commença à les boucler étroitement autour de mes poignets et de mes bras au-dessus de mes coudes. Surpris par sa vitesse, je ne pouvais dans ma surprise que regarder mes poignets être tirés et attachés aux coins opposés de la table et mes coudes tirés sur les côtés, immobilisant complètement le haut de mon corps. J’allais ouvrir la bouche pour lui demander ce qu'elle allait faire, mais, soudain, elle fut remplie de caoutchouc au goût fétide. Une lanière fut serrée autour de ma tête et, à ma grande surprise, le bâillon commença à s'étendre, remplissant ma bouche et me faisant complètement taire. J'étais vraiment impuissant pour la première fois... Je sentis ses mains qui cherchaient la boucle de ma ceinture, l’ouvrant et puis descendant mon pantalon, me laissant complètement nu. Je sentis que des bracelets supplémentaires étaient bouclés autour de mes chevilles et de mes cuisses au dessus du genou. Mes jambes furent alors écartées. Je pouvais sentir courir ses doigts alors qu’elle travaillait, attachant mes chevilles aux pieds de la table puis écartant mes cuisses aussi loin que possible avant de les attacher aussi. Je ne pouvais plus bouger du tout. J’étais complètement nu, impuissant et bâillonné - totalement à la merci de ma Dame. «Maintenant, tu vas avoir un choix à faire. Tu t’imaginais très fort dans nos jeux SM de chambre à coucher. Je parie que tu pensais que j'étais juste une gentille maitresse avec qui tu joues au soumis pour avoir du sexe. Tu vois, je t’observe depuis des semaines, je sais ce dont tu as besoin. Encore mieux que ce que tu penses toi-même. Maintenant, la question est : as-tu le courage de l'accepter ? Je vais aller me préparer. Quand je reviendrai, je te donnerai ce choix : Soit tu demandes à être libéré, auquel cas je te détacherai - cependant, demain tu partiras et tu ne me reverras jamais. Ou soit tu me demanderas de continuer et tu te soumettras à ce que tu sais être ton désir le plus profond - ton contrôle par une femme puissante. Le choix est à toi. Sur ce, elle attacha un bandeau sur mes yeux et je l'entendis sortir de la pièce. Je n'avais aucune idée de combien de temps elle me ferait attendre. Mon esprit était survolté. Oui, j'avais eu des fantasmes de soumission ces dernières années. Comment diable le savait-elle? J’en avais jamais parlé à personne. J’avais 23 ans, cela faisait quelques mois que nous étions ensemble et pour être honnête, j’en étais amoureux fou. Je m’étais toujours refusé de me poser la question de ce que se serait d'être totalement sous le joug d'une femme aimante vraiment dominante... Je sentis le bâillon être enlevé, brisant mes réflexions. Je ne l'avais pas entendue revenir. Elle m'avait encore un fois pris complètement par surprise. J'étais loin d'être prêt, pourtant elle était là, demandant : "Eh bien, quel est ton choix ? Tu as 10 secondes pour me répondre.» J'ai avalé, bégayé et encore bégayé puis finalement j’ai pu prononcer les mots qui allaient changer ma vie. « S’il te plait, fais de moi ton soumis » . A peine les mots avaient-ils quitté ma bouche que le bâillon était replacé et complètement gonflé, me faisant taire à nouveau. Quelques secondes plus tard, je sentis une langue de glace couler sur mon cul. J’essayais de résister en vain, mais je ne pouvais pas. Son doigt était à l'intérieur de moi quelques secondes plus tard, touchant des endroits dont je n'avais aucune idée qu’ils existaient quelques secondes auparavant. Je ne pouvais rien faire, elle avait pris un contrôle total et complet. Je pouvais sentir son doigt bouger, doucement palper, chercher quelque chose. Puis tout à coup, elle pressa doucement et mon monde changea. Des sensations que je ne peux pas décrire m'ont traversé alors qu'elle commençait à masser lentement et doucement ce que je sais maintenant être ma prostate. Expertement Elle m'a travaillé, construisant un besoin puis me relâchant, chaque vague me donnant une sensation pas déplaisante, mais pas excitante pour autant. Pendant tout ce temps, elle chuchotait, me disant de ne pas m'inquiéter, de me détendre et que ça fonctionnait. Je sentais réellement que je commençais à me détendre et à me soumettre à cette pénétration. Elle a dû le remarquer parce que un doigt de plus s’ajouta, puis trois et je commençais à accepter cette prise de pouvoir, essayant de ne pas me crisper. Enfin ils étaient partis. J'ai essayé de me tourner, de me tortiller, mais c'était inutile. Mes liens étaient solides. Si solide qu'il n'y avait rien que je puisse faire pour m’échapper. C’est alors que je sentis ses mains sur mes hanches. Quelque part dans mon esprit, je savais ce qui allait arriver, mais j'essayais de l'ignorer, de le repousser ... jusqu'à ce que je ressente une pression lente et implacable. J'étais dégoulinant de lubrifiant et déjà bien ouvert, il n'y eu presque pas de résistance alors qu'elle glissait le gode au fond de moi. "Bien ... maintenant ... vas-y, n'essaie pas de te battre, tu ne peux pas et tu ne te feras que du mal si tu essaies » D'une manière experte, elle commença à prendre ma virginité anale. Chaque coup pressait le gode contre ma prostate déjà très sensible. J'étais perdu dans cette sensation. Mon esprit tournant à plein régime, essayant d’accepter cette pénétration. Pendant ce temps, elle a lentement, expertement, profondément baisé mon cul. Je ne sentis pas que mon sperme commençait à fuir. Ce n'était pas un orgasme, plus un écoulement lent pompé à chaque poussée. Aucun plaisir ne venait de mon cul. Mon pénis était quand même dur, mais négligé. Elle me vida comme jamais auparavant, me baisant jusqu'à ce qu'il ne reste plus une goutte de sperme dans mon corps. Et grâce au bandeau, je n'en savais rien! C'est alors qu'elle s'est retirée me laissant vide, ouvert et excité comme jamais. «Je vais te détacher. Tu ne retireras pas ton bandeau. Tu auras 120 secondes à partir du moment où tes mains seront libres de te faire jouir ... si tu ne le fais pas, tu passeras le prochain mois dans ta nouvelle ceinture de chasteté et moi seule aurait la clé. » Je sentis mes liens se desserrer puis sa voix. « Debout et commences ». Je me suis levé et j'ai attrapé ma pénis, essayant frénétiquement de provoquer une érection. Ce ne fut pas difficile. J’étais tellement excité que je réussis en quelques secondes, mais cela n’alla pas plus loin. J’essayais encore et encore, mais je n’arrivais pas à l’orgasme. C'était impossible. Rien de ce que je faisais ne m’approchait de cet orgasme insaisissable. "Time is up". Mes mains furent rapidement tirées derrière mon dos et cadenassées ensemble alors qu'elle riait.   « Tu n'avais aucune chance. Mais tu as maintenant un mois pour récupérer je crois ». Je sentis l'acier froid de la ceinture se refermer autour de mes hanches. Puis elle me choqua en appliquant de la glace sur ma pénis encore bien dur. En quelques secondes, je devins flasque et la seconde suivante mon pénis fut enfermé dans le tube en métal à l’intérieur de la ceinture. Enfin, elle enleva mes contraintes, mon bâillon et libéra mes yeux bandés. Je pus voir avec étonnement la flaque de sperme pour la toute première fois. "C'était toi. Tu as eu des gouttes et des fuites tout dès que j’ai commencé à t’attacher. J'adore le massage de la prostate. Ça rend les hommes si impuissants, si humiliés. Maintenant, nettoie moi ce gâchis et habille-toi. Nous allons sortir dîner pour fêter cet événement. Et n’oublies pas le mois prochain... J'ai la seule clé ! " Ce fut pendant ce diner qu’elle me parla de ses fantasmes, de ce qu’elle imaginait pour nous. Alors que je l’écoutais avec amour, ajoutant ici où là mes propres idées, mon sexe passa la soirée à lutter en vain contre l’acier qui le contrôlait.
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Par : le 17/10/19
Pour mon article 50, par plaisir d'écrire, et pour rire, une petite étude sur les pratiques sexuelles cachées dans Tintin. Ce qui saute aux yeux, mais c'est pareil dans Asterix, peu ou pas de femmes et toujours caricaturées de façons grotesques. Normal, il faut en rire. Dans Tintin, Aussi bien la Castafiore que la femme d'Alcazar, sont des dominatrices. La Bianca est plus subtile que la mégère qui fait faire la vaisselle au général. Le professeur Tournesol est un soumis, une cage de chasteté lui irait fort bien. La Bianca peut tout faire avec lui. Avec Haddock c'est une relation dominant dominant mais elle a toujours le dessus au final. Le capitaine se débat mais la Bianca est plus dominante car plus élégante. Le capitaine Haddock et mademoiselle Tintin. Je vois bien ce dernier en travelo ou gay femelle avec un capitaine gay dominant. il est en couple gay avec le capitaine et tintin c'est la femme dans ce couple. Chang a tout d'une petite sissy, copine de mademoiselle Tintin. Abdallah a le feu au fesse et aimerait se faire mettre comme mademoiselle tintin par le capitaine Haddock. Les deux Dupond, sont gays, style cuir moustache , chaines, canes, menottes. Nestor le valet est assexué. Il bande plus ou peu. Il se paluche seul et obéis en tout et pour tout à son capitaine. Voilà, Tintin c'est des histoires gays. Rires On pourrait penser que Tintin, Astérix, Luky lucke et leurs sexualités soit un sujet ou une question qu'il ne faut pas se poser. Pourtant tout le monde ou presque a ri avec ces albums. Et derrière se cache (en mode subliminal?) des descriptifs de sexualités d'hommes célibataires. C'est amusant d'imaginer....
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Par : le 16/10/19
"Revenir là où je n’ai jamais été En rapporter ce que j’ai déjà vu Aux prises avec l’ignorance .. Le temps d’arracher les yeux à l’inconnue Toujours plus fière" René CHAR, "L’illusion imitée", "Le tombeau des secrets" (1930). Quand en prison, Sade acheva sa vie,naquit un écrivain,qui en ébranlant un ordre social, sur le déclin,explora une version répulsive et pervertie, d'une sexualité classique aux rôles amoureux normativement établis. Son Monde,peuplé d'allégories, et de représentations fantasmées,dépassa notre imagination par une plume superbe, en surpassant conceptuellement la puissance du mal. L'analyse de son oeuvre,ne consiste toutefois pas,à valoriser sans recul sa pensée,mais de la comparer, avec circonscription,dans le contexte libertin de l'époque, à une idéologie en théorie fondée sur la morale, afin de permettre au lecteur de se forger un jugement objectif. L'oeuvre sadienne est une mise en scène construite,mentalement et physiquement autour d'une perversion lascive mais brutale,avec des récits parfois encastrés les uns dans les autres, dans un perpétuel et cadencé balancement, entre l'imaginaire et le monde réel. "L’Histoire de Juliette", par exemple, est le récit d’un personnage se situant à la fin de La "Nouvelle Justine", représentant une histoire plus longue encore que celle dans laquelle elle est incluse. Pour aborder l'oeuvre de l'écrivain,soulignons en préambule, avec force que la notion de sadisme,néologisme inventé par le psychiatre allemand,Richard von Krafft-Ebing, à la fin du XIX ème siècle,résulte d'une approche psychanalytique, s'inscrivant dans une démarche clinicienne,obéissant de façon plus globale,à une idéologie germanique en quête d'ordre. En effaçant l'homme et l'écrivain par un concept scientifique,on contribue,à dénaturer de façon caricaturale, la pensée même de Sade,parvenant à une acception du terme totalement galvaudée. En talentueux psychologue des passions, Sade perça les tréfonds et les élans les plus secrets et inavouables de l'homme dans ses bassesses et sa perversion, sans épargner le lecteur mais ignora la notion qui n'existait pas. Le terme pervers apparaît dans les écrits de Sade,le mot sadisme jamais. Les opinions portées de nos jours, sur Sade, soient-elles laudatives ou réprobatrices sont majoritairement inaptes à fournir une lecture cohérente, fidèle à l’oeuvre de Sade. Prétendre que "Sade jouissait sexuellement de la torture et qu'il écrivait la pornographie d’horreur pour justifier la torture et le meurtre" est une malhonnêteté intellectuelle, doublée d'une contre-vérité. L'oeuvre sadienne prouve qu’il fut capable de portraiturer littérairement la cruauté, même l’infinitude de la cruauté. Mais cette capacité, toute seule, ne doit préjuger en rien, de la vie réelle de son auteur pourtant non exempte de déviances. Personne ne songe jamais, à interpréter la vie de Sade au travers de personnages comme Justine (la vertu torturée) pleins de bonté ou Zamé, le roi de Tamoë,mais en revanche,on lui accorde volontiers les traits de caractère des bourreaux des "Cent vingt journées de Sodome". Sade su décrire, avec autant de talent,la cruauté bestiale et l’obscénité,que les plus hauts degrés de l’amour, la bonté et la vertu. La cruauté de ses écrits, se rapportant à la morale et à l’imagination,insista sur l'inadéquation de l'ordre social, représenté par la frêle,candide,et inadaptée Justine,avec l'univers pervers personnalisé par la cruelle, impitoyable et cynique Juliette. Sade n’établit jamais une classification scientifique des dérives sexuelles mais décrivit le dépassement de la nature par une débordante créativité permissive. La difficulté morale traditionnelle résulte du non-respect de l’autre. L’étude du corps dans l'écriture sadienne se fonde,elle sur une jouissance bannissant totalement le respect d’autrui. La sexualité fantasmée ne connaissant aucun obstacle,ni moral ni corporel,la sexualité dans l'asservissement de l'auteur de "La Philosophie dans le Boudoir" l'est encore moins. La plume de Sade,est rapide et haletante,laissant peu de répit au lecteur abasourdi par la succession,en un rythme effréné d'horreurs,de tortures et de sévices. Son écriture lui permet tous les excès et tous les écarts. On allonge les supplices,on disloque les corps, on multiplie les soumissions jusqu'à l'agonie,en surpassant l’endurance des victimes et la performance des bourreaux. Le style a souvent été boudé, même par ceux qui reconnaissaient son génie et sa valeur transgressive. On a beaucoup glosé sur les répétitions dans ses écrits. En réalité,par ce procédé,l'auteur repoussa les limites de la narration,dans son travail de destruction de ses victimes. Sade décrit l’insupportable pour le louer dans une rhétorique de répulsion et de provocation. Définissant largement la religion comme une aberration, il lui répond avec la force contenue dans ses récits par des scènes d'avilissements d'une bestialité blasphématoire et d'un esprit satanique sans borne. "Il n'y a point de Dieu, il n'y en eut jamais. Cet être chimérique n'exista que dans la tête des fous ; aucun être raisonnable ne pourra ni le définir, ni l'admettre ; et il n'y a qu'un sot qui puisse adopter une idée si prodigieusement contraire à la raison ". (extrait de Justine). Le libertin détenant un pouvoir inaliénable, physique et mental sur sa victime,le matérialisme philosophique de l'auteur est dans les écrits,sa meilleure arme,la seule,capable de mettre à bas l'illusion religieuse. La sodomie (crime passible de la peine de mort à l'époque),est alors omniprésente,tandis que la pratique du coït conventionnel (seul autorisé à l’époque de Sade), devient iconoclaste et très anecdotique. L’homosexualité est également très présente, en particulier dans "Juliette". "Ô mon Dieu,ne suis-je donc née que pour vivre au milieu du crime et de l’infamie,et serait-ce pour exercer ma patience que votre équité me condamne à de si cruelles épreuves". On connaît les épreuves que doivent affronter Justine et Juliette, orphelines et ruinées à l'âge de quatorze ans. Justine, naïve, au caractère sombre et romantique, Juliette, cynique,cruelle et sans pitié. Repoussée, emprisonnée, calomniée, violée, punie dès qu’elle est vertueuse,c’est l'âme pure, qu'elle affronte tous les supplices,non résiliente, mais tout au contraire endurante. Sade,plus soumis que dominateur,au sujet de la sodomie, de la fustigation ou de la coprophilie ? "Je suis heureux, moi, ma chère depuis que je me livre à tous les crimes de sang-froid .. Qui sait s’endurcir aux maux d’autrui devient inaccessible aux siens propres ..". Preuve en est, de la richesse de la personnalité de cet écrivain talentueux,aux multiples facettes,mais tellement attachant. Dans son essai "Idée sur les romans", Sade écrit "qu'ils servent à peindre les hommes hypocrites et pervers tels qu’ils sont. Le pinceau du roman saisit l’homme de l’intérieur et la connaissance la plus essentielle qu’il exige est bien certainement celle de son cœur". Aimer Sade, c'est le lire "littéralement et dans tous les sens" ,comme l'écrivait Arthur Rimbaud. prédisant avec Guillaume Apollinaire,que cet homme,tel un phare éclairant la nuit, dominerait le XX ème siècle. Hommage lui soit rendu,tant encore de nos jours,son talent littéraire et sa radicalité demeurent immense et indépassable. "On endurcit difficilement un bon cœur, il résiste aux raisonnements d'une mauvaise tête, et ses jouissances le consolent des faux brillants du bel-esprit". "Justine ou les Malheurs de la vertu" (1791). Bonne lecture à toutes et à tous, Méridienne d'un soir. N.B: la liste complète des œuvres du Marquis de Sade sera incluse dans le prochain article.
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Par : le 14/10/19
La chambre de lulu n'avait pas de fenêtre. C'était une petite pièce au sous-sol aux murs nus et au sol froid et dur. Maintenant, lulu était réveillé depuis un moment, bien qu'il ne puisse jamais être certain depuis combien de temps cela avait été vraiment. La seule lumière émanait du petit espace sous la porte. Aux yeux de lulu, elle était brillante, presque aveuglante. Cela le rendait presque certain qu'il faisait déjà jour. Il déplaça un peu son poids, essayant de soulager la raideur de ses muscles, et sa chaîne trembla. Elle était lourde et faite d'acier. Elle était attachée au collier de lulu ainsi qu'au mur de la pièce. Alors qu'il se déplaçait, un de ses pieds glissa du petit tas de paille, et un frisson parcourut son corps quand il toucha la pierre froide. Rapidement, il rétracta son pied nu. ??Comme d'habitude, lulu était presque entièrement nu dans ses petits quartiers. Sa queue, bien sûr, était dans sa cage. Il l'avait porté pendant au moins un bon mois et lulu ne pouvait pas oublier qu’elle était là. Elle était minuscule et métallique, et de l'avis de lulu, un peu trop serrée. Les quelques espaces vides de la petite cage qui enserrait sa virilité permettait à la peau de respirer et ils rendaient un nettoyage rudimentaire possible. À ce moment, cependant, lulu était totalement incapable de le faire lui-même, car les bracelets de ses deux poignets étaient cadenassés ensemble dans son dos. Sa Dame avait eu la bonté le soir d’avant de ne pas les relier à l’anneau entourant ses couilles. Ce n’était pas dans son habitude car Elle préférait que ses bras soit fermement maintenus en place derrière son dos. Aussi agile que lulu l'était, il était alors seulement capable de les soulever de quelques centimètres. Quant à ses doigts, ils étaient engourdis. Il ne pouvait pas en trémousser un seul. Il ne pouvait que admirer sa Dame. A quel point elle était douée pour trouver cet endroit où la circulation n'était pas coupée mais où ses bras étaient plus ou moins parfaitement maintenu immobiles. ??lulu avait regardé fixement la brèche sous la porte depuis si longtemps que même quand il fermait les yeux, il pouvait encore voir cette ligne et une urgence commençait à monter en lui. C'est donc avec une certaine agitation qu'il commença à s'asseoir laborieusement dès qu'il entendit des pas se rapprocher indubitablement de sa cellule. ??La clé a été tournée, et la porte s'est ouverte. lulu cligna des yeux, essayant de s'adapter à la brusque luminosité. Au moment même où ses yeux avaient réussi à se concentrer sur la vue de sa Dame, lulu pouvait sentir une vive douleur venant de la cage de son pénis et il tressaillit. Peu importait qu'elle paraisse s'être juste réveillée. Elle ne portait pas de maquillage et ses cheveux étaient en bataille. Elle était en culotte et portait une chemise plusieurs tailles trop grandes pour Elle. Ses pieds étaient protégés du froid par une paire de pantoufles de lapin rose moelleux. ??«Oh, esclave », dit-elle, étouffant un bâillement. « Bien dormi ? » ??lulu grimaça. ??«oui Madame », dit-il. ??Sa Dame se pencha et lulu aperçut le galbe d’un sein par le décolleté baillant de la chemise. ??« Tu vois » dit-elle. « Je te l'avais dit, tu n'as pas besoin du matelas ».??lulu gémit encore à cause de la douleur venant de son pénis passionné et de sa lutte désespérée contre l’acier inflexible de sa cage. ??« Oups, » Sa Dame sourit d'un air d'excuse. « Serais-tu excité ? » ??Elle tapota d’un doigt sur la cage de métal et gloussa, voyant lulu essayant de lutter contre la douleur. ??« Oui, Madame, » dit lulu quand il eu retrouvé un peu de contrôle. La frustration sexuelle était à son paroxysme et le consumait.??Sa Dame essaya de couvrir sa bouche avec sa main, un faible effort pour cacher son amusement. ??«Désolé, » dit-elle, l'air légèrement plus sérieux. « Prêt pour la journée ? » ??« Oui Madame, » dit lulu, et il sentit sa Dame libérer son collier de la lourde chaîne. ??«Va te soulager», dit-elle, en le regardant se relever. ??La cage du pénis et le cadenas de ses poignets resteraient donc en place ! Lulu s'étira aussi bien qu'il le put. ??«Vas-y,» dit sa Dame avec impatience, et lui gifla fortement les fesses, le faisant sursauter avec surprise. Il marcha jusqu’aux petites toilettes qui lui servaient de salle de bain. Son urine prit du temps à passer la compression de sa cage. Il sentait l’impatience de sa Dame grandir derrière lui. Dès qu’il eu fini, il sentit qu’Elle ajoutait une chaine à l’arrière de son collier. « Remonte tes poignets dans ton dos » dit-elle. lulu fit du mieux qu’il put. Il entendit le clic d’un cadenas et il sentit que ses bracelets étaient cadenassés à la chaine de son collier, laissant ses bras hauts dans son dos. Distrait par cette constatation, il ne vit pas qu’Elle avait profité d’ajouter une courte chaine entre les bracelets de ses chevilles.??« Allez, Hop » Ajouta-t-elle. Il trottina à travers un petit couloir, puis remonta lentement, gainé par sa chaine, un long escalier tournant qui menait de la cave au rez de la maison. L'odeur dominante de café frais flottait venant de la cuisine où il se dirigeait. Elle fut bientôt rejointe par l'agréable arôme de gaufres ou de crêpes. lulu continua sa marche avec impatience. ??Il fut accueilli dans la cuisine par une table, qui a semblé avoir été amoureusement réglée pour deux avec beaucoup de soin. lulu se retourna à demi et ne fut nullement surpris de voir un regard de cruauté sur le visage de sa Dame. Elle le rattrapa, sourit de travers, puis fit un geste significatif vers l'une des chaises. ??lulu s'approcha et commença à utiliser tant bien que mal son pied enchaîné pour ramener la chaise pour sa Dame. Quand elle fut satisfaite de la position de la chaise, Elle s'assit lentement et soupira de contentement. Deux tasses se tenaient sur le table chargée, mais une seule fumait. Elle la prit et bu une petite gorgée. ? Partie 2 «Vous allez me faire faire quelque chose de terriblement humiliant avant de pouvoir vous rejoindre à table, n'est-ce pas Madame. » dit-il résigné. Sa Dame mit une main sur son cœur comme blessée par la simple suggestion. «Qu'est-ce qui te fait dire une chose pareille? », a-t-Elle demandé dramatiquement, mais Elle a dû rire à mi-chemin. «Hmm», dit-Elle, apparemment profondément plongée dans ses pensées. «Que dirais-tu d'abord de te remettre à genoux? »??lulu le fit. Ce n'était pas une entreprise sans aucun défi, pas avec ses bras attachés haut dans le dos et les chevilles enchainées. lulu pouvait sentir les muscles de ses cuisses protester, et il s'attendait presque à une crampe. ??"Bien joué," dit sa Dame quand il eut terminé sa tâche. «Tu devrais me remercier de m’occuper si bien de toi, tu sais. »??lulu rougit. ??« Oui ma Dame. Merci, ma Dame. » ??Sa Dame sourit brillamment. Puis Elle posa une main sur son ventre comme si elle était en transe. lulu vit son regard errer. ??«Ceci est ton objectif», dit-Elle. « Mais ce n'est pas par là que tu vas commencer. » lulu ne comprit pas. Mais de quoi parle-t-Elle ? C’est pas bon, pas bon du tout. ??Délibérément, doucement, sa Dame croisa les jambes, puis se tortilla les orteils. ??«Vas-y, esclave», dit-elle avec un ton de voix amusé. ??À genoux, lulu se rapprocha. La propre odeur de sa Dame remplaça rapidement celle du petit-déjeuner alléchant. lulu pouvait dire qu’Elle ne s'était pas douchée, mais heureusement Elle n'avait pas fait d'exercice non plus. Bien qu’elles puissent être brutales sur ses sens non préparés, lulu était devenu capable de profiter des différentes odeurs de sa Dame au cours de leur relation et il respirait maintenant l'arôme de son pied non lavé volontairement et avec empressement avant d'y appuyer ses lèvres. ??Heureusement, il sentit sa Dame se tortiller sous son touché, tandis que ses doux baisers chatouillaient son pied sensible. Il passa le bout de sa langue le long des orteils salés, et sa Dame ne put réprimer un rire. ??«Sympa», dit-Elle d'un air approbateur. «On y va, tu peux en sucer un, c'est tout ». ??Elle plaça son gros orteil entre les lèvres de lulu, et il commença à le caresser docilement. ??lulu ouvrit le bouche toute grande, quand il sentit la pression augmenter et que sa Dame insérait dans sa bouche autant de son pied que possible. lulu dut utiliser les muscles de son cou pour tenir en place et permettre à sa Dame d’entrer jusque dans sa gorge. Ce n'est que quand il eu un réflexe de vomissement et qu’il ne pouvait plus respirer que sa Dame se laissa aller, lui permettant de cracher et de chercher de l'air. ??«Excellent travail», dit-Elle en essayant doucement son pied sur la joue de lulu. « Je pense que tu peux monter un peu maintenant. » ??lulu retint son souffle et se rapprocha encore. Sa Dame gardait ses longues jambes rasées la plupart du temps, mais ce n’était pas le cas aujourd'hui. Il sentit un léger soupçon de gingembre sur ses lèvres plissées. Etrange. Il avait toujours admiré les jambes de sa Dame, toniques et blanches, et incroyablement lisses. Il aimait se blottir contre elles en les embrassant et en les léchant centimètre par centimètre en remontant lentement vers les genoux. ??Le sang de lulu se précipitait impitoyablement vers son pénis. Mais pourquoi n’arrivait-il à la conclusion décevante qu'il n'y avait nulle part où aller ! Son membre pulsait et se battait de toutes ses forces ! Sa frustration atteint son maximum, mais la cage était rigide et encore rigide. Une sensation de brûlure commença à éclipser tous les autres stimuli. Elle avait encore gagner, implacable et infatigable à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Il revint à la réalité. Elle n’avait pas remarqué son temps d’absence. Sa main était maintenant sur sa tête, ébouriffant ses cheveux presque tendrement mais en 1ère position pour le réprimander pour n'importe quel comportement indécent qu’il pourrait avoir. Conscient de tout cela, lulu savait que ses yeux continuaient de fixer le beau sexe couvert de sa Dame. Mais il restait caché par une belle paire de cuisses. ??lulu s'était maintenant frayé un chemin jusqu'aux genoux. Il se perdit un instant dans ce qui l'attendait et posa son menton sur eux. ??« Hey! » dit-Elle en lui tirant les cheveux. «Serais-tu paresseux ? » ??« Désolé, Madame. » ??Il était assez difficile d'aller plus loin maintenant, et lulu traînait le long de ses jambes, essayant de se rapprocher. Il vit l'amusement dans les yeux de sa Dame alors qu'elle le regardait, souffrant et tendant son cou, sans bras pour le soutenir et toujours sur ses genoux pour essayer de s'approcher du sexe tant convoité. lulu essaya de sautiller pour se rapprocher encore et s'appuyer sur les jambes magnifiques de sa Dame, mais il savait bien sûr que seule sa Dame pouvait mettre fin à ses efforts désespérés. ??Il commençait à s’essouffler quand Elle passa de nouveau ses doigts dans ses cheveux. ??« Mais c’est bon esclave ça !», dit-Elle en frottant le lobe de l’oreille de lulu entre l'index et le pouce, provoquant une agréable sensation de picotement. ??Elle attrapa l'arrière de sa tête et alors qu'elle décroisait ses jambes, elle le rapprocha de force, s'arrêtant juste avant la destination finale. lulu pouvait maintenant confortablement reposer sa tête sur le siège mais était maintenu en place par ses cuisses. ??Il était complètement hypnotisé par la vue. Son corps tremblait de façon incontrôlable. La douleur de son excitation et sa frustration se combattaient sans merci dans sa tête. lulu se tortillait sous le tourbillon de sensations qui menaçaient de surcharger son esprit affaibli par plus d’un mois de chasteté. L’excitation de sa Dame avait commencé à s'infiltrer au travers de la petite culotte bleu clair. ??« Aww, cher esclave », rigola sa Dame en regardant ce mâle en plein conflic. « Continues, essayes de l'atteindre ! » ??Rassemblant toute sa volonté, lulu sortit sa langue et la poussa de toutes ses forces. Une nouvelle odeur commença à l'envelopper. lulu gémit de frustration, sentant sa virilité impuissante palpiter de douleur. Il raidit tous les muscles de ses bras contre ses fers. Le bout de sa langue se posa sur le tissu pendant une seconde seulement. Le goût amer qu’il y trouva fit descendre un frisson dans toute sa colonne vertébrale. ??Il ne fallut qu'une seconde à sa Dame pour le saisir à nouveau par les cheveux. Elle le fit glisser en avant sur son siège et appuya son nez contre sa culotte mouillée. ??«Si tu veux aller y arriver, tu vas devoir l’enlever, » dit-elle, sa main l’agrippant toujours douloureusement. ??lulu hocha la tête contre le tissu mince, qui le séparait du sexe juteux. Il saisit la culotte avec ses dents et commença doucement à tirer. ??Généreusement, sa Dame souleva juste assez son derrière pour que l'effort de lulu ne soit pas entièrement vain, et peu à peu il put voir les fruits de ses efforts. Après un certain temps et après avoir été aidé par sa Dame sadique, Il grogna triomphalement quand le vêtement tomba. ??Sa Dame le repoussa fortement avec ses pieds mais lulu n'avait d'yeux que pour le trésor qu'il venait de déterrer. Le regard admiratif et ardent qu'il accordait au sexe de sa Dame lui révélait des lèvres déjà dégoulinantes. ??Les gémissements de lulu s'intensifièrent, et comme une larme, une minuscule perle d’excitation coula du bout de cage sur le sol. ? « s’il vous plaît, Madame ». ??lulu supplia encore en regardant les yeux de sa Dame, mais ses espoirs furent démolis par une subtile remarque. ??«Pauvre mâle», dit sa Dame joyeusement. « Je t’ai dit et redis de ne pas me demander ce genre de choses avant que tu n’aies fini tes devoirs, pauvre idiot. Maintenant tu ferais mieux d'aller de l'avant pendant que je pense à une nouvelle punition et que je l’ajoute à la liste déjà bien longue. »? - Partie 3 ? Se secouant, lulu se pencha encore une fois et poussa près du pubis de sa Dame avec son nez. Son odeur était encore plus voluptueuse. Il s'y enfonça, cherchant la chaleur et le réconfort. Il passa sa langue sur la longueur du sexe, goûta les fluides précieux et fut heureux d'entendre un gémissement doux et gracieux venant d'en haut. Il écarta les lèvres sans effort. Le flot de sa Dame devenait de plus en plus fort alors qu'il avalait son offrande, explorant chaque crevasse avec des compétences qui avaient été bien rodées, un muscle qui avait été bien entraîné. ??La douleur se propageait à partir de son pénis et de ses testicules maintenant. Ses jambes ne furent plus que spasmes à cause des crampes. Le soulagement ne lui venait que des brefs et doux gémissements que lui procurait le plaisir de sa Dame. Chaque contraction et halètement étaient une pommade pour le corps battu et enchaîné de lulu. C'était la seule chose qui comptait, la seule chose qui pouvait avoir de l'importance. Il pouvait continuer, il devait continuer à cause d’Elle parce que tout ce qu'il faisait apportait le bonheur dans la glorieuse existence de la Beauté Angélique qu'il avait juré de servir. ??«Ne t'arrête pas», dit-Elle d’un ton apaisant. ??« Mmpf! » ??Les doigts de sa Dame, lulu pouvait les sentir de chaque côté du clitoris divin, et il passait sa langue entre eux. Sa Dame était haletante maintenant, son bassin allait et venait de façon rythmée, ses gémissements devenaient de plus en plus forts. Avec la perspective du succès, la concentration de lulu sur sa tâche était totale et bloquait toute sa douleur. ??« Oui, là ! Fais le ! Fais le maintenant ! Fais-moi jouir ! » ??Il accéléra, son visage enfoui dans ce sexe parfait, sa langue presque au bord de la crampe. ??« J’ai dit maintenant ! » ??« Mmpf ! » ??La joie et l'épuisement saturaient les sens de lulu, repoussant tout le reste, les gémissements de sa Dame, le liquide clair jaillissant violemment du sexe frémissant, et même la douleur qui revenait au galop. ??Sa Dame reprenait son souffle maintenant. Elle tapota la tête de lulu d'un air approbateur. ??«Très bien, esclave, dit-elle en lui pinçant sa joue ». ??Pendant une seconde, elle sembla réfléchir, puis, comme si elle avait commis un acte de générosité sans limites, elle fit signe à lulu. ??« Prends ton siège derrière toi, » dit-elle. « Assieds-toi devant moi. » ??Les jambes de lulu tremblaient. Il se leva lentement et prudemment. ??Sa Dame leva un doigt. ??« Que dis-tu ? » demanda-t-elle. ??« Merci, Madame » ??lulu se tourna et vit son siège. Un gros gode y était fixé. Nous y voilà, pensa-t-il. « Tu peux le lubrifier avant avec ta bouche », dit-Elle. « Ce sera ta récompense ». ?lulu le fit et s'assit grimaçant en face de sa Dame. Elle lui versa une tasse de café, puis la posa par terre juste devant lui. ??«Je pense que tu t’en es vraiment bien tiré, » dit Elle. « J’aurais pu être un peu plus indulgente avec toi la semaine qui vient et te récompenser aujourd’hui, mais ta demande a tout gâché. ? ?« oui, Madame » répondit lulu alors qu'il luttait pour ne pas se pencher et essayer de prendre une gorgée de café. ??Sa Dame se leva et pris un bâillon-pénis sur la commode. Elle plaça une main sur son épaule et de l’autre, Elle tapota le bout du bâillon sur son pénis recouvert d’acier.??« Peut-être, » dit-elle en souriant chaleureusement « le week-end prochain ». ??lulu répondit « Peut-être, oui Madame ». Elle approcha le bâillon de sa bouche. Résigné, il ouvrit la bouche. Elle l’attacha bien serré et le cadenassa. Elle plaça une main sur son épaule. La douleur contenue et la frustration le submergèrent. Son esprit chavira et il se mit à sangloter tentant de se raccrocher au seul fait qu’il avait pu donner du plaisir à sa Dame.? Elle le lâcha et continua vers la porte de la cuisine. « As-tu pu tout filmer, ma chérie ? ». L’amie de sa Dame se tenait dans l’encadrement, portable en main. lulu ne l’avait pas vu ni entendu arriver. ??Le couple se tenait par la taille, le regardant pendant quelques secondes, puis elles s'embrassèrent. Ce fut long. lulu comprit qu’il était tombé dans un piège. Il se sentit trahi, rejeté.? « Veux-tu des crêpes, ma chérie ? » demanda sa Dame et avec cela disparu à la cuisine sans un regard pour l’esclave. L’amie de sa Dame se tourna et s’approcha de lui. Elle se pencha et le fixa d’un air mauvais. Elle souffla entre ses dents. « Un jour, elle se lassera et je mettrais la main sur toi…».?     https://www.bdsm.fr/blog/4931/La-bo%C3%AEte-infernale---Petite-histoire-%C3%A0-ma-soumise-(6)/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/5790/Histoire-uro-scat-v%C3%A9cus/
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Par : le 13/10/19
Où trouver la clé du Boudoir de Sade pour tenter d'approcher l'auteur dans sa création littéraire ? De fait, l'homme ne s'est jamais raconté. Dans l'ensemble de ses écrits,aucune trace autobiographique, dans l'œuvre libertaire, hostile à toute censure,de réputation fâcheuse, à la plume sauvage,souvent d'une grande beauté,mais en continuel combat, dans la description littérale de scènes bestiales et de tortures d'une rare cruauté. Sa mémoire est souvent noyée dans un bain de soufre,noircie par les scandales et les clichés associés à son nom. Né,le 2 Juin 1740, sous le règne de Louis XV,et mort, le 2 Décembre 1814,à quelques mois de l’éphémère avènement de Louis XVIII,juste avant l'épopée des Cents jours napoléoniens,il traversa une période tourmentée de l'Histoire de France,aux régimes politiques multiples,de la Monarchie à la Révolution Française,puis de l'Empire à La Restauration,en passant par la première République. C'est sur ce décor de profonde mutation sociale,au siècle des Lumières, scène digne du talent de l'écrivain philosophe mais également dramaturge, qu'il planta librement le désordre de son existence, faisant de lui « le plus obscur des hommes célèbres ou le plus célèbre des hommes obscurs ». Errance d'un homme qui, tout au long de sa vie, rechercha,dans les outrances de ses débauches,au mépris du tumulte provoqué par son écriture,et de sa mise au ban par un ordre social dont il refusait les croyances et les codes,la part sombre de sa vérité. L'écrivain athée ne voyant dans l'amour que la passion bestiale assouvie dans les plus affreuses tortures infligées à ses victimes,a longtemps été sacrifié par un ordre moral pudibond et bien pensant. C'est seulement à la fin de sa vie,que pris de mélancolie,il confia un sincère repentir. En littérature, il existe des liaisons dangereuses,et il faut admettre,qu'il faut une certaine audace, pour approcher avec circonspection,l'oeuvre de Sade,guidée seulement par la seule volonté de la partager sans porter de jugement. Car de son nom est né le sadisme où se mêlent cruauté et luxure,comme une façon particulière de n'accéder à l'orgasme qu'en infligeant à son partenaire une douleur extrême pour s'octroyer une satisfaction fondée sur la souffrance de l'autre considéré comme un objet. Consistant à défier la religion et la loi, en tirant plaisir d’une autre forme constitutive de l’accès au plaisir sexuel,en jouissant d'idéaux en négatifs, en allant même parfois jusqu'au meurtre comme crime le plus spectaculaire. En s'en prenant à des sujets faibles ou fragiles, valorisés dans l'imaginaire collectif, au lieu de leur accorder le respect qui leur est dû, le sadique atteint le summum de sa jouissance;il s’agit là d’un véritable défi en enfreignant la loi morale la plus sacrée,la religion surtout dans le cas de Sade. À la mort du Régent, les rênes de la France furent confiées au cardinal de Fleury, qui domina la vie politique pendant une quinzaine d’années (1726-1740), en rétablissant une certaine stabilité sociale et économique du pays. Malgré ses initiatives, la cour de France resta célèbre à l’étranger pour ses pratiques de débauche. Cette attitude libertine fut encouragée par le roi Louis?XV lui-même. Après sa consécration (1723) et son mariage de raison avec la princesse polonaise,Marie Leszczynska (1725), Louis?XV mena une vie particulièrement dissolue dès les premières années de son règne. Fort du modèle offert par son illustre prédécesseur, Louis?XV parvint à créer un sérail royal,en alternant la fréquentation de ses amantes officielles avec des rendez-vous galants plus occasionnels. La Marquise de Pompadour, favorite du monarque,secondée par Level, le premier valet de chambre, se chargeait de l'organisation des plaisirs du Roi en gérant la maison du Parc-aux-cerfs où le souverain rencontrait de très jeunes filles, provenant de la bourgeoisie ou du peuple,sélectionnées, par le seul critère de leur exceptionnelle beauté juvénile. ?Il s’agissait d’un véritable harem,où le monarque voluptueux,se livrait à des scènes de débauche et de luxure fort coûteuses,symbole du despotisme monarchiste et de ses dépenses folles. Il arriva même au Roi,alors âgé de vingt quatre ans,à la stupéfaction de la cour,pourtant dépravée,et malgré l'opposition courroucée du Cardinal de Fleury,son éminence grise, de refuser la confession et la communion. C'est dire,que Sade,en 1769 quand éclata l'affaire Rose Keller qui fut flagellée,sodomisée,incisée par un couteau,enduite de cire brûlante et forcée à blasphémer, ne faisait que reproduire, certes de façon exacerbée, le comportement de son souverain. Sade,adepte de la scatologie,et même de pulsions criminelles mais jamais assouvies (fait historiquement prouvé) ne fit qu'irriter davantage, de façon hypocrite,l'ordre social,en descendant de la sphère élevée où sa naissance et son rang,l'avaient placé. Louis XVI (1774-1792) monarque très pieux et pudibond,qui souhaitait plus de contenance, tenta par son modèle vertueux et irréprochable, de fidélité conjugale,de moraliser la cour au dessus de laquelle, flottait un parfum capiteux de débauche et de subversion. Mais à cause de sa faible personnalité,celui-ci fut incapable d'imposer la pudicité,ni à ses sujets,nobles et ministres,ni même à sa propre famille. Les cas les plus frappants sont le Comte d'Artois (futur Charles X),le Prince de Condé et surtout le Duc de Chartres devenu,en 1785, Duc d'Orléans. Le clivage entre amour conjugal et sexualité alimenta un autre clivage,social et culturel celui-là, entre l’aristocratie et la bourgeoisie, cette dernière ne partageant pas du tout la même vision. Il se produisit au contraire,un nouvel élan de libertinage parisien, dans les dernières années de l’Ancien Régime.  Dans « Les liaisons dangereuses » (1782), Choderlos de Laclos sublime en Valmont le prototype du libertin, séducteur cynique qui se moque de l’amour-passion et en joue. En Provence, la noblesse, fragilisée par la récession économique, se voit déclasser au profit d'une bourgeoisie naissante d'armateurs et de négociants. Sade et Mirabeau en sont les plus criants exemples. Les terres de La Coste pour le premier,et de Beaumont pour le second voient leurs fermages se dévaluer fortement et pour conserver leur rang, les deux écrivains libertaires sont contraints de s'endetter lourdement. Place alors à la contestation. Les positions de Sade face à la religion,et celles de Mirabeau face à l'arbitraire de la monarchie peuvent se comprendre comme autant de manifestations visant à transformer leur déchéance en déstabilisation de l'ordre régnant. De façon consciente ou non, ils élaborent une pensée qui a pour finalité la destruction des principes de l'Ancien Régime. Pour ces deux nobles,le boudoir est le lieu où les pulsions sexuelles miment les situations résultant d'un état conflictuel avec le pouvoir déclinant. Les rôles amoureux sont distribués en fonction d'une inégalité politique clairement perceptible: (maître/esclave,oppresseur/opprimé,bourreau/victime) les comportements exprimés sous la forme du sadisme ou du masochisme ne sont que les reconductions dans le secret de l'alcôve d'une sexualité inquiète. Ainsi, le sadique peut éprouver le plaisir dans la chute,dans l'humiliation de sa victime ; le masochiste éprouve lui une douleur dans l'acceptation de sa déchéance,et de sa soumission. Le Directoire,le Consulat puis l'Empire connurent au moins au début un regain d'activité économique dont profita une nouvelle élite, celle de la noblesse d'Empire, et une classe industrielle de riches manufacturiers. Au sortir de la Terreur,Sade donna à « Justine » une nouvelle édition,encore plus osée et violente,lui faisant connaître des ennuis qui inspira à Restif de La Bretonne une « Anti-Justine » laquelle dépassa Sade dans le genre. Sade a-t-il écrit « Zoloé et ses deux acolytes », un pamphlet érotique mettant en scène Bonaparte (Orsec) et Joséphine (Zoloé) ? On le prétendit à l'époque mais en réalité,il convient d'en attribuer la paternité à un dénommé Rosset qui écrivit notamment, « Les plaisirs de la citoyenne Bonaparte ». L'Empereur Napoléon Ier éprouva pour le Marquis de Sade jusqu'à la mort de ce dernier à l'asile de Charenton, le 2 Décembre 1814,une hostilité violente,refusant toutes les demandes de mise en liberté émanant de sa famille. «  La véritable liberté consiste à ne craindre ni les hommes, ni les Dieux » Marquis de Sade Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir
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Par : le 23/09/19
(Réédition du 23/09/2019 -> 31/03/2024 - 927 Vues) . Quelques bons conseils, le BDSM n'étant pas qu'une question de pratiques et d'accessoires, il y a de nombreuses jouissances à vivre et encore plus d'excitation à prendre en ces lieux en lisant ces quelques lignes. Mais d'abord, posons nous la question de savoir si vous êtes bien ici chez vous, et surtout dans la bonne catégorie de profil ! : -> Vous vous sentez l'âme d'une Soumise, vous souhaitez satisfaire vos pulsions les plus intimes ou simplement vous épancher et vous exprimer dans votre désir de libido.. -> Vous n'avez qu'une seule hâte ; Vous livrez et vous abandonner dans la bestialité, la perversité et le dirigisme... que cela soit sur un coup de dé, ou que votre présentation soit des plus soignées. Vous souhaitez toujours avoir des membres attentifs à vos attentes et prêt à vous contenter. -> Votre désir secret serait de vivre une relation durable avec un(e) Dominant/Domina teintée de vanille ou d'extrême ? Trois mots d'ordre ; Travail, discipline, et bon sens. Et tout s'avère possible ! Conseils&Recommandations pour vous, nouvelle venue : 01 - Ceux/Celles qui vous suggèrent que le monde est petit et que la sécurité est primordiale, en vantant dans le même temps leurs paroisses dans un but commercial, de rabattage, de féminisme mal avisé, ou ma foi d'une justification de leurs expériences... sont nombreux sur les sites communautaires liés à la sexualité. Au delà de les ignorer, rappelez-vous pourquoi vous êtes venue dans ce dernier bastion ; Le besoin d'assouvir dans le plaisir et le bien être. Vous aviez un cerveau fonctionnel à vous protéger, bien avant d'arriver sur ce site non ? Pour le reste : https://www.bdsm.fr/conditions/ ou encore https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32239 02 - Soyez "contributrices" ; Avoir de la visibilité, c'est bien... Contribuez dans votre passion BDSM, c'est mieux ! Poster sur le mur général vous permettra d'échanger plus facilement avec les membres. Vous pourrez vous présenter et commenter sur ce que vous avez dans les tripes ou dans le cœur. Cependant, n'oubliez pas d'apporter ce qu'il y a de meilleur en vous, en prenant une part active sur le site ; Écrivez des articles, dévoilez votre vision personnelle à travers des photos et vidéos plus intimistes, ou tout simplement créez, animez ou participez à des événements autour du BDSM. 03 - Vous n'arrivez pas ou ne comprenez pas comment attirer des Dominants/Dominas et Maîtres/Maîtresses dignes de ce nom, et les seules approches que vous avez obtenues ont été décevantes ? Prenez systématiquement en compte qu'ils n'en soient pas moins des hommes et des femmes derrière leurs écrans, et concentrez-vous à savoir ce qu'ils/elles les attirent, et ne rejoignez jamais les cercles de frustré(e)s avides d'utiliser votre fragilité pour une amertume qui n'est pas la votre. Autant les Femmes Soumises sont très prisées, autant les Hommes/Femmes Dominants/Dominas sachant ce qu'ils font le sont encore plus. Alors démarquez-vous dans votre Soumission et faite preuve de créativité et de patience. Bon séjour sur le site !   *Trait d'humour caché dans le titre de cet article. Article non officiel, avec du bon sens, et donc indispensable comme un bon coup de martinet.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.  
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Par : le 25/08/19
Il était largement midi lorsqu?elle se manifesta. J?en étais à mon cinquième café et la migraine ne battait toujours pas en retraite. J?avais eu le temps se sortir prendre le journal et d?acheter des croissants. J?étais donc plongé dans ma lecture des nouvelles du monde lorsqu?elle apparut dans l?escalier, pieds nus et vêtue de mon peignoir, son sac à la main. Ce n?était plus l?animal humilié de la veille. Au contraire, il émanait d?elle un air de fraîcheur inattendu, après une telle nuit. Coiffée et légèrement maquillée, un timide sourire aux lèvres, elle semblait aussi légère qu?une brise. Je me levais pour l?inviter à me rejoindre à table. Elle ne fit que grignoter, le regard perdu, au-delà de la véranda, sur la végétation du jardin qui frémissait dans l?air tiède d?un dimanche de printemps. Nous avions sans doute besoin aussi bien l?un que l?autre, de ce calme. Lorsqu?elle en fut à picorer du bout des ongles les miettes de croissant tombées sur la nappe, je compris qu?elle avait quelque chose à me dire. - Désirez-vous un autre café ? Elle grimaça puis, après un long soupir, elle se saisit de son sac à main et en extirpa divers objets qu?elle plaqua sur la table, juste sous mon nez. Il y avait là un fin collier de métal brossé muni d?un anneau, un plug de petite taille et l?alliance qu?elle portait la veille à l?annulaire. Mon étonnement lui tira un sourire ironique. - Il reste une chose que je ne peux retirer seule. Il faudra m?emmener chez un pierceur. Le reste est remplacer selon vos désirs. En prononçant ces derniers mots, elle baissa les yeux et les conserva ainsi presque tout le temps de la conversation. J?étais stupéfié. Passent encore les mots étranges qu?elle avait prononcé la veille après que son mari l?ait scandaleusement perdue au poker, ils pouvaient être mis sur le compte du dégoût ou d?une légitime révolte. Mon intention avait toujours été de la raccompagner chez elle une fois l?affront digéré et de la remettre au mari auquel elle « appartenait », selon ses propres termes. Je ne pouvais donc m?attendre à une telle entrée en matière. Pris au dépourvu, j?examinai ses offrandes – si le terme est adéquat – en feignant le plus grand intérêt. Le collier était fait d?aluminium, ce qui en expliquait la légèreté et la solidité. Il se fermait par l?arrière à l?aide de minuscules mollettes chiffrées. Au vue d?oeil, son diamètre correspondait exactement à celui du cou de ma pensionnaire. Le plug, en acier chromé, était de petite taille et avait la forme d?un cône allongé. Sa face externe était assortie d?une jolie pierre translucide aux reflets irisés. Une opale, sans doute. Quand à l?alliance, elle était d?acier, assez large, avec gravés en lettres dorées à l' intérieur : « esclave de », puis, en vis à vis « Mtr A ». Je voulus interroger Sarah à la fois sur ces objets et sur la raison pour laquelle elle me les montrait, mais les mots me manquaient. Ce fut elle qui, les yeux toujours baissés, me tira d?embarras. - C?est mon précédent maître qui me m?a imposé ces bijoux. Je ne peux plus les conserver depuis qu?il m?a perdue. C?est à vous de choisir ce que je dois dorénavant porter, si vous m?acceptez. La réserve finale me fit tiquer. C?était la première fois qu?elle ouvrait une autre issue à notre improbable relation. Je pouvais refuser et la laisser partir. - Mais dites-moi, de quoi parliez-vous lorsque vous avez évoqué la nécessité d?un pierceur ? - S?il vous plaît, tutoyez-moi. Je ne suis pas votre égale. - En ce cas, dis-moi pourquoi tu as besoin d?un pierceur ? Se détournant vers moi, elle avança légèrement le bassin et, tout en écartant ses cuisses, elle écarta les pans du peignoir afin de découvrir son entrejambe. La fente parfaitement épilée, prenait naissance haut sur son mont de Vénus. Sa vulve avait des lèvres charnues, au dessin parfait. Il en émergeait, à peine visibles, les pétales froissés et sensiblement plus sombres de ses petites lèvres. Mais ce qui attirait en premier le regard était l?anneau d?acier d?un diamètre et d?une épaisseur imposants qui traversait ses grandes lèvres, juste en dessous du clitoris. - Il est soudé, je ne peux pas l?enlever, expliqua Sarah. Il est impossible de décrire le trouble qui m?envahit. Le souffle me manqua. Elle dut percevoir la fêlure dans ma voix mais elle devina plus sûrement l?érection entre mes jambes, ou, du moins, le souci que j?avais de la dissimuler. - Aimeriez-vous que je fasse quelque-chose pour vous, monsieur ? J?étais à deux doigts de la basculer sur la table et de violemment la forcer. Une pulsion brutale me montait du ventre, un désir de la profaner, un instinct archaïque de domination. Mais en la pénétrant, j'aurais satisfait à son projet plutôt qu?au mien, qui était, d?abord, de rester libre et ensuite, si les choses se présentaient favorablement, de lui imposer ma loi plutôt que de subir ses stratégies. Si j?avais lu quelques romans au sujet de la domination et ressenti à leur lecture une intérêt inhabituel, si je les avais dévoré en dépit de leur trop fréquente fadeur littéraire, mon absence d?expérience était évidente. L?envie de dresser une femme m?était venue, à ces lectures, plus que d?autres tentations, mais sans que jamais les circonstances m?offrent de la concrétiser. Outrées, mes amantes successives avaient chaque fois refusé d?être seulement fessées et l?une d?elles avait rompu sur le champ en me traitant de pervers. J?avais donc relégué ces jeux à l?imaginaire et j?avoue m?être masturbé plus d?une fois en compagnie de semblables rêveries. Sarah était adorablement belle et elle s?offrait avec un mélange de candeur et de malignité désarmant. Dressée ? Elle l?était déjà. Mais c?était à moi de la prendre, pas à elle de se donner. Tandis que je recouvrais mes esprits, je surpris Sarah, toujours cuisses ouvertes, qui glissait le doigt sur la fente avec une langueur calculée, écartant à peine ses lèvres pour enfin s?attarder insensiblement sur le bouton de son clitoris. La poésie décrit exactement ce que sont les choses : Piste fraîche sentier sous la pluie sur de la rosée Allée des sueurs avenue des sèves jardin des humeurs Festival de larmes gala de salives assemblée de mousses Grappe d?éventails avalanche de plumes vivier de poulpes et de pulpes Alors que je détachai brusquement les yeux de son entrejambe, je surpris le regard de défi qu?elle me lançait tout en suçant ses doigts luisants de cyprine. Elle soutint le duel. Furieux, je la giflais. Elle ouvrit grand la bouche, ses beaux yeux verts se brouillèrent tandis que sa main, incrédule, caressait la trace rouge sur sa joue.
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Par : le 20/08/19
Il tord ma peau, il me broie le dos, il me mort, me cisaille et m’entrouvre. C'est toujours comme ça... Je me rappelle discuter avec lui quelques mois avant, me couper avec un couteau et lui dire que le sang m'a toujours beaucoup excitée. C'est là qu'il m'a dit qu'il était un vampire. Il me tire par les jambes et me ramène à lui, me mort de plus en plus fort, j'ai envie de l'arrêter, ou plutôt non, ou plutôt si, ou plutôt non... J'en parle rarement mais mon premier amour m'entaillait les chairs au rasoir en me cognant contre le calorifère. Je n'ai jamais trop su comment on en étais arrivé là. Je me sentais vraiment très perdue dans ces moments là. Il m'entaille l'aine avec ses doigts, il me prend avec sa bouche comme pour me déchiqueter, il me dit qu'il a trouvé mon clitoris,nos corps sont atypique alors on s'adapte... J'ai toujours adoré le goût du sang, petite je m'entaillais les doigts et je les léchais avec avidité. J'avais aussi un.e ami.e imaginaire Charlie, iel m'attachait dans mes rêves à des troncs d'arbre avec de large tige de ronce jusqu'à m'entendre hurler. Je cherche à m'échapper mais c'est qu'un subterfuge entre nous. Je veux juste que le loup m'attrape et me tire à faire brûler ma peau sur le parquet. J'ai toujours rêvé d'un bonne relation s/m où on est toute nue face à sa douleur. J'adore les relations de domination mais quelque fois j'y vois un refuge facile. Quand je suis avec lui je n'ai pas de "maître", pas plus de "monsieur", encore moins de "seigneur" ou de "roi" peut être juste un "saigneur" et je dois faire avec... Ma peau marque de mile couleurs : jaune, rouge, bleu, violet, orange. Mes jambes sont un champ de bataille, je me tâte de demander d'arrêter. Pourtant ce n'est pas ce qui sort de ma bouche comme si Charlie était encore là pour parler à ma place : encore, Encore, ENCORE... Je me souviens aussi que mon premier amour m'a un jour enfermée entre ses cuisses. Ce jour là, j'ai vraiment cru que j'allais mourir étouffée. Quand elle a relâché la pression, je me suis écroulée au sol et elle a ri. Regard tétanisé, je suis collée au parquet, incapable de bouger, mon corps encore soumis aux spasmes de ce qu'il m'a fait.Il sourit, se lève et soulève ma tête qui retombe d'un geste. Il sourit...
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Par : le 18/08/19
Je porte à votre attention ce point de vue d’une femme dominante concernant la présence d’espèces sonnantes et trébuchantes au sein d’une relation, que cette dernière soit très courte ou durable. Le sujet ne laisse jamais indifférent. Je demande donc d’éviter les rappels à la loi, les propos de radins ou commentaires désobligeants, bref, les opinions décalées de ceux qui n’ont jamais rencontré ces Dames qui utilisent l’offrande. Par ailleurs, la demande d’offrande n’empêche pas de venir avec un bouquet de fleurs. Une dominatrice est avant tout une femme. ‘’ L’offrande enrichit davantage le donneur que le receveur. Le nombre volontairement et extrêmement réduit de mes soumis (le pluriel s’imposant malgré tout puisque cet effectif dépasse la simple unité) ne saurait me constituer une rente. J’engage dans mon action tout ce qui fait de moi une femme, une vraie femme, ma sensibilité, mon goût et ma curiosité pour l’autre, pour l’homme en particulier dont la fragilité, le cheminement fantasmatique si peu compris et pourtant tellement critiqué par beaucoup de femmes est d’une richesse que je découvre jour après jour. La culture aidant, notre vie et notre état de femme se définit de façon conséquente au travers du prisme du regard masculin. Je représente « La Femme » telle que l’ « Homme » la rêve et la désire. Aussi, à défaut d’être une vraie divinité, j’en acquiers, à quelques yeux, la stature. Consciente de l’honneur qui m’est ainsi fait, j’en accepte la fonction.  Faire une offrande à la femme que l’on aime, à celle que l’on vénère pour ce qu’elle est ou représente, n’est pas un cadeau et n’est pas non plus un investissement. La spéculation n’est pas de mise, on ne donne pas pour recevoir mais par amour, par reconnaissance !   Votre Maîtresse n’est pas mendiante et n’attend pas de vous des subsides. Votre offrande marque votre attachement, votre considération pour elle. L'éventuelle appréciation que vous pourriez porter sur cette “prise de bénéfice” ne serait que l'expression des limites de votre soumission et ferait rédhibitoirement barrière à toute relation. L’abandon complet, sans jugement est, seul garant de la qualité de votre investissement total dans votre démarche d’adoration.    Si les offrandes sont quelquefois et de façon touchante, très spontanées, il m’a paru indispensable d’en ritualiser aussi le moment. La sacralisation de ce geste encourageant la transcendance, le soumis devra s’acquitter de cette nécessité lors de nos rencontres en respectant un protocole très précis. Préparez votre offrande, non pour satisfaire une exigence marchande qui vous amènerait à offrir un peu de votre superflu et aurait ainsi la résonance un peu sordide de l’affectation mais pour matérialiser la profondeur de votre reconnaissance. La mesure de ce gage de votre investissement ne sera ni jugée ni calculée par votre Maîtresse, elle mérite et n’accepte que le sacrifice, garant de votre soumission. Peu importe le montant, un sacrifice coûte, doit coûter, c’est la seule notion qui le définit et lui donne sa valeur. L’offrande conséquente du riche n’a pas le mérite de celle, plus modeste, du pauvre si elle ne coûte pas ou peu ! N’attendez rien en retour, ce que votre Maîtresse vous offre représente moins que ce que vous saurez y trouver vous-même.   La mesquinerie est si facile à camoufler qu’elle a des chances de ne jamais vous être reprochée. Il appartient à vous seul de donner un prix à votre conscience et lui offrir le statut de l’élégance ! ‘’ Une dominatrice dite vénale.
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Par : le 16/08/19
Voici une vision de la domination féminine sur l'homme, ce que représente pour cette femme dominante, le soumis idéal. Cette lettre date d'au moins une dizaine d'années, la rédactrice semble avoir disparu du net... "Les soumis me demandent souvent comment j'imagine le soumis idéal. Le soumis idéal existe-t-il vraiment ? Chaque femme le voit différemment, car nous sommes toutes différentes. Le soumis qui se rapprocherait de cet idéal serait l'homme qui saurait répondre à ce que j’attends de lui. Je suis exigeante sur le choix d'un soumis. Comment je le vois ? C'est un vrai soumis. Pas un fantasmeur. Un homme soumis dans sa tête d'abord, prêt à se donner corps et âme. Prêt à l'abandon total, prêt à renoncer à ses fantasmes et à ses préférences pour se convertir aux miennes. Etre soumis c'est d'abord un état d'esprit. Il doit surtout respecter la femme que je suis avant de me regarder comme une maîtresse. Celui qui viendrait à moi parce que je suis dominatrice et pas pour moi-même ne fera pas un bon soumis à mes yeux. Il doit m'aimer. Il doit aimer la femme que je suis. Le soumis doit aussi être humble et le rester. Etre humble c'est ne pas s'imaginer qu'il est le centre du monde ni le centre de ma vie. Il est là, il existe. Il existe pour moi et il est là parce que je le tolère. Il doit savoir que c'est moi qui domine, il doit être fier d'être choisi par moi mais rester humble. Je préfère qu'il ne montre pas que je le domine. Il fait comme s’il l’ignorait. Par respect pour la femme que je suis. Il obéit aux règles, aux ordres que je donne, en silence, immédiatement , sans faire le moindre écart. Mais ça doit paraître un comportement normal. Le bon soumis doit comprendre que je le domine pour mon plaisir et que mon plaisir est suprême. Ca veut dire que son plaisir à lui n'a le droit d'arriver que si je le décide, quand je veux ou je veux et comme je veux. Le plaisir du soumis appartient à la femme que je suis et dont il est le serviteur. Le soumis est un serviteur. Un bon serviteur. Un qui ne rechigne pas à la tâche. Un qui ne discute jamais les ordres. Un qui prend soin d'écouter quand je lui parle, qui enregistre ce que j'attends de lui, puis le fait. Sans délai, sans contester, sans essayer de discuter. Et le fait bien. Un soumis oublie ses petites affaires, ses soucis personnels, sa fatigue, ses opinions. Tout ça il le laisse au vestiaire avant d'entrer dans mon domaine. Mon domaine devient la cour dans laquelle il va devoir me servir. Il doit m'aimer comme un sujet aime sa reine. Pas comme un serf, mais comme un chevalier, avec la noblesse d'âme dont il est capable. Je deviens son seul centre d'intérêt. Il n'existe plus qu'à travers moi, ma vie est le miroir de la sienne. En tant que femme j'entends rester libre. Totalement libre. Le soumis doit s'en souvenir en tout. Je dis bien en tout. Il doit par contre savoir que lui n’est pas libre. Son espace de liberté s'arrête là ou je fixe les frontières. Et ces frontières ne sont pas figées. Je les fais se resserrer au fur et a mesure qu'il fait des progrès. Peu à peu son champ d'initiative se restreint parce que mon besoin de domination augmente. J'attends d'un soumis qu'il m'appartienne. Il devient ma propriété avec tous les droits que cela implique. Le soumis n'a pas d'autre vie privée que celle que je tolère. Il ne doit jamais me mentir, ne rien me cacher, tout me dire. Il n'a envers moi aucune pudeur, aucune intimité. Il n'y a pas de sujet tabou sur lequel il pourrait garder de secret. Le soumis idéal n'est pas qu'un serviteur. C'est avant tout un homme qui s'engage à servir la femme que je suis, en toute chose. Homme, j’attends aussi qu'il soit utile sexuellement. Ce n'est pas un but en soi. Mais pour moi ça fait partie de la relation. Évidemment en tant que soumis il n'est pas un amant ordinaire. Il doit accepter de tenir ce rôle seulement quand j en ai envie. J'aime faire l'amour. J'aime qu'on me fasse l'amour. Et bien. Alors le soumis doit être un homme viril, endurant, performant sexuellement. Pour ceux qui feraient semblant de ne pas comprendre je précise : Un soumis doit me satisfaire. Il doit me désirer, être capable de bander dès que j’attends ça de lui. Ses érections doivent durer aussi longtemps que je l'exige. Si je lui demande de me faire l'amour, il ne doit jamais jouir avant moi et ne pourra jouir que si je lui permets, quand je lui dirai, pas avant. C'est moi qui contrôle son plaisir et le soumis me doit le mien, aussi souvent que je l'exige, quand j'en ai envie. C'est le soumis qui me fait l'amour mais c'est moi qui le guide. En tout je choisis. Un soumis performant sexuellement c'est un homme capable de rebander très vite et qui est habile aussi avec sa bouche et sa langue. Etre une femme libre c'est n’avoir aucune contrainte. Un soumis doit accepter que je vois des amants, des liaisons ou des aventures comme ça me chante. Mon corps m'appartient et je suis libre de l'offrir à qui je veux quand je veux. J'aime que mon soumis soit jaloux. Je trouve ça normal de sa part et c'est même flatteur pour moi. Mais un bon soumis est jaloux en silence. Il garde sa jalousie pour lui sans jamais la montrer. J'aime retrouver mon soumis au retour de chez mon amant et lui dire que j'ai fait l'amour avec cet homme. Et je veux qu'il soit content pour moi si je lui dis que j'ai bien joui avec cet amant. J'ai remarqué qu'un soumis devenait dans ces circonstances bien plus performant que d'ordinaire et c'est bien pour moi s'il est excité. J'aime que mon soumis se sente humilié, j'aime humilier mon soumis je trouve ça très excitant. Je n'ai pas besoin d'un soumis seulement capable de se soumettre par jeu. Ce genre d'homme je le trouve ailleurs quand j'en ai envie. Pour qu'un soumis me convienne il faut qu'il soit à ma disposition pour tout ce que j’attends de lui, même si ça lui plaît moins ou pas du tout. Oui c'est vrai, la soumission telle que je la préfère est exigeante, et peu d'hommes sont capables je crois de s'y plier. Celui qui en est capable saura vivre heureux en étant soumis, débarrassé de son égoïsme et se consacrant tout entier à moi, à la femme que je suis, et en échange je serai sa maîtresse." Madame Fital
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Par : le 16/07/19
Une nouvelle punition, le figging. j'étais possédé par une dominatrice, Un soir, alors qu'elle voulait jouer avec mon cul, celui-ci se rétracta, refusant tout ustensile. Impossible de m'enculer! Dès lors, elle eut la connaissance d'une pratique anale, destiné à punir tout cul n'acceptant pas sa bite: le figging. Le lendemain, elle m'attacha sur le ventre au lit, un coussin sous mon ventre pour relever mon anus. Elle me banda les yeux et la punition débuta: -Je t'ai réservé une surprise petite pute! -Ah oui, laquelle Maîtresse? -Et bien tu te souviens, la dernière fois ton fion n'avait pas accepté mon gode ceinture! -Oui Maîtresse, et donc? -Et donc ce soir tu vas avoir le feu au cul! Elle m'enfonça alors dans l'anus, ce qui, et je l'appris plus tard, était un "doigt" de gingembre, taillé sous la forme d'un plug. Je ressentis d'abord une sensation froide dans mon anus, puis une chaleur d'abord excitante, puis insoutenable. Mais pour autant, je ressentais, et comme jamais, une envie de me faire sodomiser par ma Maîtresse. -Alors cela de plaît!? Tu as le cul en feu comme ça! Une vrai salope! oui Maîtresse, pitié Maîtresse. -Tu veux que je l'enlève? Je m'amuse bien pourtant moi! -Pitié Maîtresse. Je serais prêt à tout, enculez moi toute la nuit si vous le voulez, faites moi boire mon sperme. -Alors tout d'un coup tu veux te faire enculer! Tu veux boire ton foutre! Et bien je vais exécuter ta demande. -Pitié Maîtresse. . Mon cul était toujours en feu, et mon envie de sodomie et de boire mon foutre étaient encore présente. Elle commença alors ma sodomie; tout en ayant placé mon bol de sperme, que je devais boire pendant qu'elle me défonçait. -Tu préfères ma bite et ton sperme au gingembre hein!? , oui Maîtresse. -C'est bon tout ça hein!? Décris moi bien ce que tu ressens! -Oui Maîtresse. Votre bite me défonce le cul, elle me dilate comme une chienne. Et mon sperme est un délice, il est bien visqueux et salé. -Tu es une vraie salope! Elle continua ainsi à m'enculer jusqu'à ce que mon bol soit vide. Cette expérience fut excitante, et je n'ai jamais autant eu envie de me faire prendre de toute ma vie.
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Par : le 24/06/19
L'homme aux couilles bleues Il était une fois, dans un lieu de perdition, que forcément la morale réprouve (alors moi imaginez donc)... Dame Hydréane et moi dans vaste et chaud jacuzzi, nous nous embrassions voluptueusement. Alentours, un couple faisait de même puis se rapprochait doucement, certainement portés par l'onde induline. Ce qui devait arriver, arriva, un instant d'inattention et me voici bécotant une fort douce et jolie blonde qui embrassait merveilleusement. Ma soumise n'était pas en reste gratifiant son nouveau compère en CDD de quelques caresses dont elle avait le secret. Emerveillé celui se plongea dans le piège habituel tendu par ma Douce, ses insondables yeux noisettes. Ebloui, il pensa à voix haute : « elle a de vrais yeux de coquine ...! ». Lâchant une seconde la langue de ma voisine, j'ajoutai : « tu vois ma Douce, quand on est bien élevé, on ne dit pas salope, mais coquine ! ». Fard de ma belle Hydréane que je vis à peine, hapé à nouveau par des lèvres voraces. Un peu plus tard, ma soumise s'adonnait à nouveau à des pratiques aussi lubriques que libidineuses, ce qui n'était pas sans me gêner, mais bon, je prenais sur moi comme souvent. Entre son tempérament exhibitionniste et son âme délicieusement décadente, j'étais vernis. Bref, celle-ci faisait une démonstration convaincante de ses capacités buccales à son Maître. Par son talent autant que sa plastique irréprochable attirés, quelques voyeurs des 2 sexes observaient attentivement la divine scène. La Belle, vorace, autant que par son ouvrage accaparée ne s'en souciait guère.  Aussi lorsque l'un d'eux, plus aventurier que les autres osa s'approcher de plus près, s'adonnant ce faisant à un plaisir onanique, la soumise ne s'en troubla pas. Redoublant même étrangement d'ardeur à la tâche ... Le mâle (pour l'instant heureux) s'activait de plus belle. Le Maître satisfait de sa soumise, se mis en demeure de la besogner sérieusement. Celle-ci ne s'en plaignit nullement, entamant comme à son habitude ses jolies vocalises, faisant passer comparativement la voix de La Callas pour celle de Jane Birkin (généralement quittant Paris je retrouvais la pleine mesure de l'ouïe aux alentours d'Auxerre). Notre voyeur impénitent, se rapprochait doucement du petit volcan cette fois proche de l'éruption… Dans un esprit confraternel autant que de Noël, le Maître intima à sa Douce l'ordre d'aider le quidam à se soulager en caressant les bourses de celui qui, dans un premier temps, vis cela comme une bénédiction; d'évidence la belle ne se fit point prier, obéissant à ce type d'ordre avec une bonne volonté qui ne cessait de m'émerveiller. Innocemment (on non?), la soumise se saisit des testicules du malheureux (cette fois …) les broyant gentiment dans sa petite main étrangement musclée pour l'occasion. J'entends encore ces mots «aaaahhhhh, doucement !!!» . Ce qui ne manqua pas de déclencher un début de fou rire du Maître autant que de la soumise. Quelle perverse! Le handicap de ce dernier était pour autant bien supérieur, suivant le sage adage qu'il est plus difficile de tendre le bras que d'écarter les cuisses (NDLR : philosophie paternelle). Avez-vous déjà tenté de maintenir une érection dans ces conditions ? (Les Dominas équipées de god-ceinture n'ont pas le droit de jouer). Dans un effort quasi surhumain, reprenant son sérieux, le Maître y parvint pourtant et se remis avec autant de volonté que l'application à la tâche, déclenchant assurément l'admiration de tous (voir l'envie pour certains…), enfin au moins de sa Belle. Celle-ci avait par ailleurs adoucit sa caresse, ce qui entraîna un effet immédiat sur son fan, momentanément entre 2 eaux. Libéré, le pauvre se retira en se tenant néanmoins étrangement les bourses… J'aurais parié qu'elles étaient bleues dans la pénombre du lieu ...
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Par : le 17/05/19
J'avais trouvé mon rythme de croisière dans ma vie de couple avec Jean Michel. J'étais comblée, je me croyais heureuse. Certes ma sexualité de dominatrice avec mon époux était bien spéciale, je n'avais aucun rapport sexuel avec lui, mais cela nous allait très bien à tous les deux, pourvu que je le domine de façon impitoyable. J'aime voir ses poils se hérisser et sa peau frémir lorsque je m'approche à pas de louve avec mes redoutables badines à la main. Je ne manquais pas d'imagination pour lui trouver des scenarii qui lui procurent des feux d'artifices de plaisirs au fond de ses reins, sans jamais me servir de mon gros clito. Je suis une femme hybride lesbienne et pas gay du tout. Je sais que mon époux a envie que je le prenne, mais non, c'est niet, il y a les gods pour cela. Un cul de mec ne me fait pas gonfler le clito même si Jean Michel a un très joli cul à force d'être bien fessé et donc bien irrigué. Mais voilà, le destin est étrange et l'amour une chose incompréhensible. J'étais allé voir mon époux dans son étude de notaire. Il discutait avec un fort charmant couple en prenant un verre avec eux dans son bureau. Mon époux aime traiter ses affaires ainsi, , de façon détendue. C'est toujours plus facile de faire passer ensuite ses notes d'honoraires bien salées. Soumis au lit mais redoutable au boulot. Un contraste qui me plait beaucoup. Ce couple était étonnant, comme mal assorti. L'homme semblait coincé, étriqué, maniéré. Comment pouvait-il avoir une femme aussi belle? L'argent sans doute. C'est un banquier d'affaires, un gestionnaire de fonds, un parfait crétin pour moi. C'est lorsque sa femme s'est approchée que le magnétisme animal s'est déclenché. Une chose électrique, comme une onde de plaisir entre nous deux. Nous nous sommes frôlées et j'ai senti les vibrations dans mon ventre; elle est devenue rouge. -Tu te sens pas bien, Otavie, a dit son banquier de mari. -Oui, oui, tout va, ce doit être ce bon whisky qui me chauffe les joues. Il est si bon que j'en reprendrai bien. Elle disait cela pour masquer son trouble. Je me fis un plaisir de la servir et je plongeais mes yeux dans les seins. Là j'ai su de suite qu' Octavie était ma femelle, que j'allais la troncher et qu'elle était déjà mon esclave. Jean Michel n'osait pas me regarder, c'est interdit pour lui, mais je sentais qu'il avait compris. Le banquier était encore plus nul que prévu. Il jouait l'important avec ses chiffres, ses "affaires". Je l'ai regardé avec un sourire carnassier. Il a vite baissé les yeux. une petite carpette. Le soir même je le faisais cocu. Je ne pensais pas tomber amoureuse un jour. je pensais me suffire à moi même avec les deux sexes en moi, hé bien non, Octavie se jeta complètement à mes pieds et ce fut le nirvana. J'ai vite adoré lui faire lâcher les grandes eaux en trifouillant sa chatte avec mon gros clito. Elle non plus ne pensait pas pouvoir jouir comme cela. Elle ne lâchait plus prise, non, elle s'abandonnait complètement, comme seules peuvent le faire les femmes folles d'amour.        
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Par : le 17/05/19
Le week end, avec mon époux, le notaire Jean Michel, nous aimons aller sur les champs de courses pour passer du bon temps avec des gens du même monde que nous. J'adore jouer à la pimprenelle, hyper féminine, maquillée comme il faut, couverte de bijoux étincelants. Mon époux est fier de me montrer et je prend plaisir à onduler de la croupe sous des robes légères. Mais pas touche. je montre bien mon alliance pour que l'on me foute la paix. Je viens pour jouer et le pire c'est que je gagne. j'ai une sorte d'instinct pour trouver les bons tocards, ceux qui rapportent et cela m'amuse beaucoup. Pour jouer à l'aise, sans mon mari à coté, j'ai trouvé un moyen de lui procurer de délicieux weekend comme il aime. Je me suis entendue avec deux filles lesbiennes, des filles des écuries, avec des grosses mamelles et qui sentent bien le cheval. Je les paye très confortablement pour qu'elles s’occupent de mon époux pendant quelques heures. Je lui ai fait confectionner tout un équipement en beau cuir. Elles le mettent nu, et l’arnachent comme un bon poulain à dégrossir. Je lui enfile son god à crinière dans les fesses et je l’accroche solidement à son harnais pour qu'il ne puisse plus sortir. Je suis certaine que Jean Michel va jouir à répétition avec ce massage forcé de la prostate. Les deux lesbiennes commencent son dressage, des tours de manège au fouet. Elles s'amusent beaucoup à faire siffler les cordes sur ses fesses déjà bien rouges. Je regarde un peu puis je m'en vais. en prenant bien soin d'onduler ma croupe devant mon époux. -Faites lui bien mal, dis-je aux deux lesbiennes. c'est un poulain un peu rétif cette semaine. Elles rigolent et et enfilent des bottes de cuir, une casquette. C'est tout un rituel. Mon époux est très riche et je veux ce qu'il y a de mieux pour lui. Je vérifie tous les détails. Je sais comment le faire bien jouir. Il henni un peu pour me dire qu'il est heureux. Je prend bien soin de fermer la porte de cette petite écurie. Je sais que bientôt il va hurler, alors autant bien ménager son intimité avec ses deux lesbiennes impitoyables. Ce jour là j'ai bien gagné dans la troisième avec Crazy Jhon, un tocard famélique qui semblait pleurer la misère . J'avais deviné de suite que c'était un redoutable compétiteur. Quand je gagne, j'ai mon gros clito qui durci, cela me fait toujours rire.
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Par : le 17/05/19
Toute la magie de cette chose étrange que sont les mots et l'écriture. Il est possible de faire de façon instantanée d'incroyables voyages. Juste associer des mots et notre cerveau fait le reste, il "rentre" dans les fictions générées. C'est amusant. Vous trouverez le début de cette histoire dans "mes articles". Je continue avec ce "je" qui est un autre, une autre dans cette histoire ci. Après avoir rossé ce con de prof de judo et en avoir fait mon toutou dévoué, j'ai persévéré dans l'étude des arts martiaux. Pour assumer librement le fait d'être une femme dans un corps hybride, mi femme, mi homme, je devais savoir me défendre. C'est dans le quartier chinois que j'ai rencontré Maitre Liu. Au début, il ne voulait pas de moi. Il est difficile de trouver plus macho et raciste qu'un chinois...cool, je blague, c'est une fiction. La famille de Maitre liu tenait un restaurant, j'ai du y bosser comme serveuse, en tenue sexy à la chinoise, ce qui faisait sourire Maitre Liu. Et puis un jour j'ai du rosser son fils, le gérant du restau. Ce crétin avait envoyé sa main dans mon entrejambe pour savoir si j'étais une fille ou un garçon. Je l'ai expédié d'un coup dans un kO si profond qu'il a du finir aux urgences. Maitre Liu a caressé sa moustache et fait ....hummm. Dès le lendemain, j'abandonnais le service en salle et rejoignait son temple secret dédié aux arts marttiaux occultes chinois. Ah si la police savait se qui se cachait dans certains entrepôts textiles. L’entrainement devint impitoyable, des trucs de fous. Pourtant je devins vite une experte. Mes doigts fins et durs savaient frapper les points vitaux, de façon plus rapide et précise que ne peut le faire un homme. Pour maitre Liu, il n'y avait que le combat de rue qui comptait, qui montrait vraiment la valeur. alors le soir, je me faisais le plus sexy possible, mini moulante au raz, mes petits seins naturels bien en avant et zou, la virée des boites à bastons. J'étais embauchée comme videuse de salle et j'adorais. apprendre le respect à ces cons de mâles en rut. Je passais entre les tables ou sur la piste de danse et gare aux malotrus qui ne savaient pas apprécier une femme sans envoyer ou les mains ou des propos salaces. Mes baffes faisaient si mal qu'elles dissuadaient de suite toute envie de riposte. Cela me faisait rire. A force ils s'étaient tous passé le mot. On m'appelait la hérissonne. Personne ne savait si j'étais fille ou garçon. Je ne couchais pas. C'est pas que j'aimais pas le sexe, non, mais je préférais me donner du plaisir seule, surtout depuis que je connaissais bien des circuits d'énergie et autres centres nerveux et la façon de les masser pour les utiliser. Et puis Maitre Liu est mort. J'étais jeune, jolie, pour ceux qui aiment les femmes androgynes, un peu plate mais bien musclée. J'avais du succès. Je me suis cherché un époux bien riche pour être entretenue. Je suis tombée sur Jean Michel, un bon notaire de province, rondouillard et soumis à souhait. Il cherchait une dominatrice, il a été servi. Sa nuit de noce, il l'a passée nu au pied du lit, avec un collier d'acier et une cage de chasteté. Tout les soirs, lorsqu'il rentrait du boulot, il avait droit à sa séance de domination. Après quelques bonnes raclées, il était bien, tout heureux de me servir en bonne sissy bien dévouée. Je ne manquais pas une occasion de le rabaisser et de l'humilier et il m'adorait pour cela. Il était passé du statut d'époux à celui de simple objet, comme le bon esclave qu'il était. Quant à moi, je ne cherche ni amant , ni amante. J'ai fini par sombrer dans la pure mystique et ne plus m’intéresser qu'au Royaume des Cieux. J'ai compris qu'avoir les deux sexe en soi est la vraie plénitude, le vrai calme, la vraie liberté. Je vis tout le temps en apparence femme, mais mon pénis est beau et fort entre mes jambes. Une blague des dieux. Parfois je recueille mon sperme dans une cuillère en or et je la donne à lécher à jean Michel. Rien ne peut lui faire plus plaisir, surtout qu'après il a droit au fouet arabe, celui pour dresser les mules.
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Par : le 29/04/19
(Réédition du 29/04/2019 -> 24/03/2024 - 3575 Vues) . Quoi de plus extrême de vivre une relation avec une Masochiste "Brat".   Un plaisir intense à porter de main, pour un bien être inatteignable.   Si ces simples mots peuvent paraitre réducteur et fataliste, la réalité n'en est pas moins déconcertante. Loin de résumer la complexité de leurs existences, il ne peut être que profitable d'en savoir plus à leurs sujets dans un patchwork sombre, dur, où l'Amour n'est pas une finalité en soi.   A quoi reconnait-on une "Brat" ? -----------------------------------------   Imaginez-vous la représentation d'une sirène au visage innocent, sur un radeau au prise du tumulte des vagues... Une sirène pouvant subjuguer l'homme et lui faire oublier le sens même de la réalité et la parodie même de cette situation. Avec une intime conviction de pouvoir secourir cette âme égarée, alors que son plus grand souhait est de vous faire sombrer dans son abime, représentant à ses yeux la noirceur de son âme.   Chez elle tout n'est que provocation à ne pas attirer l’œil sur ce qu'elle est réellement. Elle est très reconnaissable de son physique et de ses traits de comportements.   Une beauté bordé d'innocence donc, qui ne fait que faire contraste à l'image de leur nez souvent cassé. La "Brat" se veut malicieuse, mais ne dépassera jamais le stade de l'adolescence. Un fort désir de combattre, mais pas d'évoluer. Affichant souvent un tempérament engagé et militant, ne sachant quand l'ouvrir comme la fermer, la patience est souvent éprouvée en sa présence. Aspirant à vouloir atteindre des hauts buts personnels et professionnels, avec comme fer de lance un sens de la responsabilité aigu. Il n'en est pas moins d'une incapacité à comprendre le sens même de ce mot : "responsabilité", puisque qu'il faut avoir des valeurs à "aimer" pour en prendre véritablement conscience. Oscillant sur les fautes avouées à moitié pardonnées, et pouvoir vivre et se déculpabiliser de ses propres actes dans l'enfantillage, l'hystérie, ou l'inconscience.     Par quoi une "Brat" est elle attirée ? -------------------------------------------   Attirée par des êtres complets, leurs visions, et la couleur qu'exprime l'amour de la joie de vivre, plus que la véritable beauté d'âme qu'elle ne savent reconnaitre. Elle se veut "faire valoir" ou "potiche" à coté de cette être qui brille à ses yeux, ne sachant comment réagir sur le fait qu'il y ai une quelconque attirance envers elle, avec comme seule retenue la peur d'être rejeté par celui-ci. Elle ne veut que voir et ressentir un avenir dans les yeux de l'autre et avoir l'excitation sur le fait de pouvoir y plonger. Elle a des affinités prononcées avec les animaux, mais rarement avec les enfants, capable de les trahir dans leurs mensonges éhontés et de les pousser dans leurs retranchements.   La femme "Brat" alterne entre trois profils d'hommes :   - Le Dominant représentant l'autorité, une direction personnelle à atteindre sa propre sérénité, et la porte à se regarder en face. - Le Sadique représentant le désir à se complaire, et à profiter de la vie dans l'insouciance, et la porte dans la valorisation dans le plaisir qu'elle donne. - L'homme enfant impulsif représentant le complice, l'incomplet, le pulsionnel, le sensible, et l'a porte à l'accompagner dans le plaisir de se sentir utile.     Que fait fuir une "Brat" ? -------------------------------   Se sachant à jamais "vilain petit canard", le seul ressenti à les appréhender et les comprendre leurs font prendre la fuite, comme leur donner de l'amour qu'elle ne mérite en rien et qui est tout au plus pour elle un ressenti gênant. Une fuite où elle sème des petits cailloux d'embuches et de déception, propice à être dans un terrain à provoquer, pour mieux justifier leurs ruptures.     L'excitation compulsive d'une "Brat" ---------------------------------------------   Faire souffrir ou souffrir, une cruauté, voir un harcèlement nécessaire à son excitation à devenir bourreau à la place du bourreau, et vouloir être arrêtée. Contraindre l'autre à la perte de la maîtrise de soi, par milles facéties, milles provocations, et n'ayant que de moments d'apaisement qu'à se faire utiliser, torturer, humilier, ou se faire corriger pour cela.   Car après tout, l'heureux élu... ne serait ce pas la personne capable de recadrer le bourreau que l'on n'a jamais su contredire, s'affranchir, ou se détourner ? Une légitimité à savoir et pouvoir encaisser, autant de mots et de coups qui ne font que nous traverser, nos émotions devenues inatteignables ou jeter à la poubelle.   Une aptitude qui nous a permis de nous projeter dans une survie permanente, et de ne pas plonger dans une irrémédiable auto-destruction, à vouloir recoller un amour de soi qui n'existe plus.   La Masochiste "Brat" ne vise pas le "bonheur" à proprement dit, car elle aura toujours l'impression de pouvoir se sortir de toutes les situations, au lieu de les prendre à bras le corps, pleurer sur son sort ou éprouver sa vulnérabilité à se rendre véritablement femme.     En conclusion ? --------------------   Il est difficile d’appréhender une Masochiste "Brat", de pouvoir avoir la capacité d'Aimer l'invivable, une boule de souffrance à l'état pure... tant elle peut nous marquer dans sa présence, et d'autant plus dans lson absence.   Je ne peux qu'évoquer le personnage fictif, mais haut en couleur de Kara Thrace (Série Battlestar Galactica 2004) marquée par la méchanceté et la manipulation apparente de sa mère et de la légèreté, de l'absence, et la passion "autre" de son père pour sa fille. L'essence même de la création des Femmes dit "Brat" : L'Absence de l'amour maternelle, nécessaire à la régularisation des émotions et de l'amour de soi.   https://www.youtube.com/watch?v=Y0ZRxghpp4I   (Battlestar Galactica S02E02 Starbuck and Helo - "Metamorphosis One")     A titre personnel, je regarde souvent cette scène lorsque je suis confronté à des Masochistes "Brat". Qu'accepter qu'Aimer ce qui ne veux/peux pas l'être sera toujours éprouvant en soi.   Qu'Aimer une Femme Masochiste "Brat" n'est pas un non sens, c'est un devoir de mémoire envers un être fauché par la vie, impossible à aimer en retour.   Une destinée "funeste" à sombrer dans l'une de leurs perpétuelles batailles existentielles. Portée par les 4 vents de l'amertume, de la frustration, de la colère, et de la mélancolie...   Avec la Liberté comme seule compagnon de route, aussi légère qu'inconsistante, aussi dangereuse que salvatrice. Cette liberté qui n'aura jamais de destination.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 29/04/19
Avril 2019 En ce début de soirée de mercredi, tu me prends totalement au dépourvu en me demandant ce dont j’ai envie, exclues quelques choses que tu conserves pour demain. Chanceux, j’ai quelques minutes de réflexion. Il faudra bien ça. Cela parait facile comme ça, on aurait presque envie de tout, tout le temps. Méninges en mode concentration pour essayer de ne pas te décevoir. Je finis par dégager quatre pistes qui vont te servir de trame pour tisser ta toile sadique du soir. Je monte à l’étage avec un peu d’avance pour préparer le matériel de prise de vue. On devient de plus en plus « modernes ». Une toile d’inspiration aquatique est indispensable pour protéger le parquet de ce qui va suivre. En effet, une de mes propositions avait un rapport avec les bougies. Une fois parée et la musique d’ambiance lancée, tu me fais enfiler la cagoule que tu noues gentiment sur ma nuque, puis je remets en place le collier par-dessus. Placé au centre de la pièce, tu rajoutes les moufles en cuir (une première). Elles sont confortables mais j’ai vite l’impression que je vais être empoté avec. Pour l’instant, tu fixes mes deux poignets à l’anneau du collier avec deux mousquetons, paumes des mains collées. J’essaie d’imaginer quelle peut être mon apparence pendant que tu te prépares pour la suite. J’hésite entre deux images totalement opposées : un pieux pénitent en prière ou une otarie claquant des nageoires en attendant son ballon. Le bruit caractéristique du briquet et l’odeur de brûlé me ramène à la réalité. Ainsi offert, tu commences bien évidemment par ta cible favorite. Ma queue est rapidement parée d’une pellicule noire. A en croire mes premières réactions, j’aurais presque perdu l’habitude. Tu libères mes poignets du collier pour les fixer ensembles devant moi. Je dois alors m’agenouiller tant bien que mal pour finir à quatre pattes comme tu me l’as demandé. A cet instant, je repense à mon apparence : pattes de nounours, ou bien bon toutou à sa Maitresse à qui il ne manquerait plus qu’une laisse pour sa promenade. Encore une fois, les premières gouttes chaudes me ramènent à la réalité. Tu ne sembles épargner aucune zone. Si les épaules sont les moins réactives, les fesses le sont à l’extrême, sans parler de cette sensation d’écoulement brûlant le long de ma colonne vertébrale. Je me tortille en tous sens, tantôt cambrant les reins, tantôt faisant le dos rond alors que cela ne changera rien à ma situation. Une courte pause signale un changement de bougie donc de couleur. Quand mon dos est suffisamment ciré à ton goût, tu me fais alors mettre sur le dos pour terminer avec la dernière face. Le même cérémonial recommence à une différence près. Dans cette position, je ne peux plus gigoter autant. J’essaie désespérément de rentre le ventre mais là encore, c’est bien inutile. Et la « vigueur » de mon baromètre trahit mon plaisir. Il faut dire qu’il reçoit régulièrement sa ration. Pas le temps de refroidir que je sens déjà la caresse de lanières. C’est qu’il va falloir faire le ménage maintenant. A la relative douceur, je reconnais le petit martinet de poche. Quelques gouttes de cire séchée volètent déjà. Malgré sa taille, et aussi à cause de ma réactivité extrême, je gigote tant que je peux dès que tu l’approches de mon sexe. Ce qui t’incite à y rester encore plus. On ne refait pas une sadique comme toi. Après ce nettoyage de surface, tu passes au martinet marron pour une deuxième passe plus efficace… Visiblement tu insistes toujours sur la même zone. On se demande pourquoi. Mais on n’a rien inventé de mieux que l’extrémité d’une cravache pour nettoyer cette zone aussi sensible. D’autant plus que ta manière de la manier lui donne un effet taillant qui me surprend à chaque fois. Elle est tout aussi efficace pour libérer en bonne partie les têtons de leur gangue noire. Finie la position couchée. Tu me fais relever. Le poignet droit se retrouve à la chaine qui pend à ma droite. Quant à l’autre, il retrouve sa place au niveau du collier. J’ai l’impression de faire une parodie BDSM du signe de la foudre, made in Usain Bolt. J’essaie de réprimer un fou rire que tu remarques néanmoins sans pour autant savoir ce qui est en train de me traverser l’esprit. Ainsi « installé », tu poursuis le décirage de ma poitrine et de mon pubis avec cette fois un des martinets noirs. Il ne te faut que quelques poignées de secondes pour en venir à bout. Désormais, c’est le tour de mon dos qui me donne l’impression d’avoir reçu bien plus de cire que les fois précédentes. Ces lanières noires sont diablement efficaces, je sens les pastilles se décoller et voler à chaque impact. Il va y en avoir partout dans la pièce (corvée de balayage en perspective !). Je ne me rends compte que bien plus tard que tu as fini par te saisir des martinets jumeaux. Ce n’est que quand je ressens un double contact sur les hanches que je devine enfin que tu es passée à la vitesse supérieure. Tu termines avec le lourd flogger que je sens particulièrement passer sur mes épaules. Heureusement qu’il fait chaud dans la pièce sinon je pourrais prendre mal avec tous ces courants d’air ? Pour les finitions, tu te saisis de la longue spatule métallique que tu manies bien délicatement pour racler les pastilles récalcitrantes. Tu m’as habitué à bien pire avec elle. Deux allers-retours de la main transforment une douce fessée en époussetage. Tu n’aurais pas pu ranger ta mordante extension sans la claquer trois ou quatre fois sur mes fesses rebondies. La suite abuse une nouvelle fois mes sens pourtant concentrés grâce à la présence de la cagoule. J’aurais juré que tu avais dégainé une spatule en bois. Mais il n’en est rien. C’est simplement la petite sœur de la précédente, dernière venue dans ta panoplie. Elle a un effet complètement différent et particulièrement marquant. Comme quoi il faut souvent se méfier de la taille. L’interlude griffes m’offre un agréable moment de douceur, si, si, je suis comme ça, avant que la main noire ne vienne finir d’attendrir mes chairs déjà bien chauffées. Même l’intérieur et l’arrière de mes cuisses y sont sensibles. Le moment semble venu d’intégrer une autre de mes suggestions. Même si tes cannes sont si mordantes de par leur nature même, je ne résiste pas à l’idée de les affronter une nouvelle fois. Je sais que mes fesses vont en garder le souvenir pendant de bonnes minutes ensuite mais ce n’est pas grave. La sensation est si spéciale. Tu commences par la plus grosse, à l’effet plus lourd avant de passer à la plus fine beaucoup plus vicieuse. Inutile d’insister longtemps pour faire un maximum d’effet. Rapidement, je me rends compte que tu as décidé de manier les deux à la fois, la petite devant, la grosse derrière. Je comprends vite qu’il ne sert à rien de me tortiller, de me pencher dans un sens ou dans l’autre : immédiatement, tu me rappelles à l’ordre d’un coup sec. Je me remets immédiatement en position avant de bouger à nouveau. Visiblement cette nouvelle façon de pratiquer semble te plaire. Je me sens comme la tranche de jambon dans le sandwich : impossible d’échapper à la morsure ! Une dernière série de cravache bien placée me plie en deux avant un dernier dépoussiérage de poitrine au martinet. Me voilà bien bien chaud ! Je te sens passer dans mon dos puis manier quelque chose de métallique sans parvenir à deviner quoi. Mais au premier contact, je reconnais ces nouvelles griffes métalliques que je viens de t’offrir. Elles apportent un effet bien différent des vraies, beaucoup plus concentré, en gros plus griffant. Mais le plus bluffant se produit quand tu joues avec mon sexe : j’ai littéralement la sensation que tu m’électrises. Tu t’amuses même à essayer de me les planter dans les fesses. Je ne suis pourtant pas un fakir ! Néanmoins, je valide à 200% cette nouveauté ! Tu décides de conclure ce chapitre par quelques « flatteries » avec la tapette cœur, que je reconnais bien cette fois. J’ai dû retenir la leçon depuis dimanche. Quant aux dernières morsures, je crois deviner un chat à neuf queues mais je serais bien en peine de confirmer. Cette fois tu me libères de ma chaîne. Retour sur le sol pour la dernière partie de la soirée. Tranquillement couché sur le dos, j’attends mon sort. Seuls quelques petits bruits partiellement masqués par la musique me laissent imaginer que tu es en train de préparer la suite. Je sens que tu me passes deux anneaux d’électrostimulation autour de la queue. Quand tu me demandes ce que je ressens, je réponds que j’ai l’impression qu’il ne se passe rien. Tu n’as pas l’air d’accord vu comment ma queue s’agite. C’est sûrement parce que je m’attendais à une sensation similaire à celle des patches. Avec ces anneaux, le ressenti est beaucoup plus lointain mais apparemment suffisamment efficace pour m’agiter à l’insu de mon plein gré. Tu m’abandonnes à mon sort pour préparer l’étape suivante. Mon esprit devait quelque peu vagabonder : je t’ai juste supposée dans la salle de bains voisine mais tu es aussi redescendue au rez-de-chaussée. Assise près de moi, je reconnais bien vite ce que tu me réserves. Je dois avouer que j’y ai pris sacrément goût après une certaine appréhension initiale. Une fois le passage ouvert, cela rentre tranquillement mais doucement. Tu t’amuses à faire quelques va-et-vient qui me provoquent une série de gémissements de contentement. Je dois commencer à partir car je ne me rends même pas compte que tu retires la sonde un instant avant de la remettre. Cette modeste tige métallique est diaboliquement efficace. Tu reprends tout en manipulant ma queue puis mes couilles. Je ne résiste pas longtemps : les couinements se rapprochent et surtout j’ai l’impression que tu me « satellises » complètement. Mon corps est traversé de tremblements de plaisir. Il me faut de longues minutes avant de reprendre mon souffle et atterrir à nouveau. Quelle soirée ! Une expérimentée Dominatrice doublée d’une bonne cuisinière est le meilleur moyen de transformer quelques pistes en une excellente soirée de plaisirs. Avant de nous séparer pour quelques semaines à peine, tu me gratifies d’une dernière nuit plaisante. Comme cela t’arrive régulièrement, tu procèdes à quelques adaptations de dernière minute. Tu optes finalement pour un mélange de cordes et de chaînes. Mais le chariot reste au centre de ton idée. Une fois équipé de ma cagoule et de mon collier, tu commences par me parer d’une chaîne a priori assez légère qui court depuis l’anneau du dit collier jusque dans ma nuque en passant entre mes cuisses. Je sens ensuite que tu passes du temps à mêler une corde à cette trame métallique. Arrivée au niveau du pubis, tu en profites pour faire quelques boucles histoire de bien tendre les liens. A partir de ce moment-là, je me surprends à garder la même excitation jusqu’au bout. On dirait que ta création nocturne m’a fait un effet certain ;-). Satisfaite de ma parure, tu m’invites à m’asseoir sur le chariot que tu as délicatement équipé d’un coussin pour le bien-être de mes petites fesses, un peu sollicitées ces derniers jours. Bien calé sur le montant vertical. Jambe droite repliée vers le buste. Jambe gauche repliée à plat sous l’autre. Tu peux désormais commencer à me nouer à la structure métallique de la base avec une esthétique certaine tout en laissant mon intimité bien visible et offerte. Mon poignet droit se retrouve noué non loin de mon genou dans la foulée. Après m’avoir demandé de placer mon bras gauche sur le haut de la cagoule, tu solidarises mon poignet avec la poignée du chariot. Mes mouvements sont devenus très limités. Mais pour être certaine que je ne vais tomber, tu termines par quelques boucles autour de mon torse. Je suis désormais totalement immobilisé. Seules mes extrémités, quelles qu’elles soient peuvent encore bouger. Pas longtemps pour la plus intime. Je comprends enfin ce que tu voulais faire avec la coquille d’œuf que tu as trouvé ce matin. J’imaginais un truc en rapport avec Caliméro. Je faisais complètement fausse route. Tu viens la déposer sur maqueue tendue : interdit de bouger. Puis tu réussis à la faire tenir au bout, un peu comme un capuchon. Ton imagination, et surtout ta capacité de détournement, sont toujours aussi puissantes. Tu réagis quasi immédiatement à ma remarque concernant ma main droite que je trouve un peu vide. S’y succèdent une bougie puis un petit martinet. Après m’avoir dénoué des plus grosses cordes, tu songes soudainement à une autre présentation. Une chance, je n’ai pas eu le temps de bouger, confortablement posé sur mon coussin. Tu me fais mettre en position crapaud, les jambes aussi écartées que possible et les bras placés à l’intérieur des cuisses. Ainsi positionné, tu procèdes à un nouveau nouage qui vient solidariser cuisse, cheville et poignet. Le résultat est visuellement très sympa aussi : j’y apparais totalement livré à mon encordeuse. Mais il est temps de me libérer totalement et pour toi de souffler un peu après tous ces efforts. Après la pause, nous terminons par une séance au fouet que tu souhaitais filmer. Toujours aussi protectrice, tu commences par me réchauffer le corps avec tes martinets, un puis deux à la fois, juste de quoi monter en température sans en faire trop. Puis tu te lances dans une démonstration en images de toutes les manières d’enlacer ton nounours avec cette « tige » de cuir. Cela claque un peu partout que ce soit devant ou derrière, en enroulé ou en direct. Malgré le côté relativement mordant du fouet, c’est chaque fois un moment que je déguste. Ainsi se conclut un délicieux séjour, comme il avait commencé : avec des lanières.
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Par : le 29/04/19
J'avais beau avoir perdu, j'avais le sentiment d'avoir gagné. Lorsqu'il revint dans cette pièce ou il m'avait laissé seule et sanglée, il tenait un martinet. Il s'approcha de moi, toujours ce sourire narquois accroché au visage. Il était habillé et tenait son martinet, j'étais nue et attachée, je ne pouvais pas me défendre mais la folie de mon esprit m'incita à parler, à le défier une fois encore "Tu crois que tu me fais peur?". Il écouta ma question avec amusement et me sourit, "Non, je ne pense pas te faire peur. Sauf que tu ne connais pas mes limites." et a ses mots je frémis. On avait déjà évoqué ce sujet ensemble, je ne connaissais pas ses limites mais cela venait du fait qu'il ne connaissait pas ses limites non plus. Il ne les avait pas encore atteintes, il avait pourtant été loin mais je lui faisais confiance. J'étais prête a trouver ses limites avec lui et j'étais prête a trouver les miennes par la même occasion, cependant étais-je prête a les découvrir aujourd'hui? Pendant que je vagabondais dans mes pensées réfléchissant a ses mots, lui, promenait le martinet sur mon corps puis d''un coup sec il me ramena à lui "Reste avec moi". Sous le coup et sous la surprise, j'acquiesçais sagement, ce qui le fit sourire. Les lanières étaient douces lorsqu'elles se baladait sur mon corps mais cinglantes lorsqu'elles rencontraient ma chaire. A chaque rencontre mon corps se cambrait, à chaque rencontre les marques sur mes poignets et mes chevilles devenaient plus profondes a mesure ou je tirais sur mes liens. Mes seins étaient douloureux, mes cuisses étaient zébrées, mon ventre marquées, coup après coup je voyais ma chaire rougir, devenir brulante et sensible, j'avais mal et pourtant a chaque coup un gémissement m'échappait, je mourrais d'envie. Je voulais le sentir en moi et il l'avait bien compris. Il posa le martinet et s'approcha, il baissa quelque peu son pantalon et s'allongea au dessus de moi, se positionnant juste au dessus de mon envie. "C'est ça que tu veux?" Je le regardais, je ne voulais pas répondre. D'une part je ne voulais pas me soumettre en admettant qu'il avait raison et d'autre part je ne voulais pas qu'il entende mon souffle saccadé. Je restais impassible essayant de masquer mon impitoyable envie. Tandis que je faisais tous les efforts du monde pour me contrôler, lui, de son bout, titillait mon bouton, et faisant tomber mes barrières il me penetra d'un coup de rein, sans prémisse, violemment. Il avait anéanti tous mes efforts pour lui résister, il m'avait fait crier, une fois encore il avait gagné et il me reposa la question "C'est ça que tu veux?", cette fois j'acquiesçais mais toujours sans prononcer un mot. Il continua ses coups de reins, toujours violemment mais la douleur faisait désormais partie intégrante de mon plaisir et je me sentais monter, prête a exploser. Cependant lui aussi le sentait mais avant que je m'abandonne au plaisir il arrêta et se retira. Toujours sur moi il approcha sa bouche de mon oreille et prononça seulement deux mots qui me firent me déchainer "Frustrant non?". D'un coup je me mis à tirer sur mes bras, sur mes jambes, bougeant pour le faire descendre de mon corps, de se corps dont il avait prit la possession. Chaque mouvement mordait ma chaire, ces impitoyables lanières ne me laissaient aucunes chances et lui, ne bougeait pas d'un centimètre malgré tous mes efforts se contentant de me regardait amusé et en s'approchant pour m'embrasser il me dit "Tes efforts ne servent à rien, tu es a moi". Ces mots me firent frémir de plaisir mais je n'étais toujours pas disposée à le laissait faire. Ainsi lorsqu'il posa ses lèvres sur les miennes je le mordis. Il jura et quand il se redressa je le vis s'essuyer les lèvres il me regarda et revint susurrer à mon oreille, sauf que cette fois sa voix n'était plus douce et taquine, elle était devenu rude et rauque tout comme ses paroles "Recommence ça, juste une fois et je t'encule.". Il n'était plus narquois, il n'était plus amusé, je savais qu'il ne parlait pas d'un rapport doux comme nous l'avions eu la veille, je savais que s'il mettait sa menace a exécution cela serait pour me pénétrer comme il l'avait fait quelques instants plus tôt, sans le moindre préambule, violemment et sans doute douloureusement. Je le voyais dans ses yeux, il n'était plus l'amoureux avec qui je m'amusais, il était devenu le dominant qui n'aurait plus aucune pitié.
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Par : le 29/04/19
Quelques façons d'humilier votre soumis avec son sperme Voici quelques idées pour entretenir la soumission à la domination féminine. 1. Mettez le à l’envers, les épaules par terre, et masturbez le en visant son visage, faites lui ouvrir la bouche pour avaler son sperme. 2. Faites le éjaculer sur votre gode-ceinture et utilisez son sperme comme lubrifiant pour l’enculer. 3. Faites la même chose mais cette fois faites lui lécher votre gode pour l’enfoncer dans sa bouche jusqu’à ce qu’il soit bien propre. 4. Faites le éjaculer plusieurs fois dans un préservatif. Placez ensuite ce préservatif sur votre gode ceinture. Faites un petit trou dans le préservatif pour éjaculer sur son visage, dans sa bouche ou dans son cul. 5. Faites le éjaculer sur vos fesses et votre trou du cul, puis placez vous au dessus de son visage pour lui faire nettoyer avec sa langue. 6. Masturbez le avec vos pieds ou vos bottes, quand il a éjaculé faites lui lécher.
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Par : le 14/04/19
Je m’ennuie et je suis sur un site de rencontre pour passer le temps. Soudain je reçois un message qui attire mon attention. - Salut, tu veux t’amuser ? Curieux mais suspicieux je visite son profil. Des photos d’une domina superbe en petites tenues qui n’est visiblement pas là pour une relation sérieuse. Un peu excité je réponds dans le vague pour évaluer le sérieux. - Ca dépend de ce que tu appelle s’amuser ?... - Je suis une Trans seul dans ma chambre je m’ennuie et j’ai envie de sexe. - Tu veux te faire prendre ou … ? demandais-je - On fera ce que tu veux Waouh, c’est direct et ça m’excite. J’ai toujours fantasmé sur la bite mais j’ai de l’appréhension avec un homme. Une Trans c’est un de mes fantasmes ultimes. J’hésite un peu avant de répondre et je me lance finalement. - Je n’ai jamais eu l’occasion de rencontrer un Trans et… j’ai envie d’essayer de nouvelle chose... Sa réponse est on ne peut plus claire. - Haha je vois, on va bien s’amuser je pense... Voici l’adresse. Je me prépare rapidement et je pars tout excité. Et j’arrive à l'adresse indiquée. Je bande comme un dingue en cherchant son appartement . Je frappe à la porte et la…. Elle m’ouvre la porte en petite tenue, bas résille noir, corset noir et string noir. Elle me fait entrer. J’ai à peine le temps de dire quoique ce soit qu’elle commence à m’embrasser fougueusement en me caressant à travers mon pantalon. - Déshabille toi je veux voir ce qu’il y a la dessous. Son ton autoritaire contraste avec le léger sourire en coin. Je m’exécute sans dire un mot et me retrouve donc nu au milieu de cette chambre, ma bite dressé devant cette Trans. - Bien… Pas mal... Je pensais que ça serait petit mais non. Puis elle s’approche et commence à nouveau à m’embrasser. Elle me branle plutôt fort cette fois et me plaque contre le mur. Je commence à gémir un peu. Elle se colle à moi et je sens sa queue frotter contre ma cuisse. Je commence à la toucher fébrilement puis un peu plus énergiquement. A ce moment elle s’arrête et me regarde dans les yeux. - Met toi à genoux Voyant mon hésitation elle appuie sur mes épaules et me fait descendre, je ne réagis pas et me laisse faire. Je me retrouve alors dos au mur, face à ce string gonflé quand elle ajoute : - Maintenant fait ce pourquoi tu es là Je fais descendre son string est découvre une belle bite de très bonne taille. Avec hésitation je la saisie et commence à branler cette queue. Elle m’arrête. Je suis surpris puis elle me dit : - Non je ne crois pas que tu aies compris. Pourquoi est tu la ? - Pour avoir du sexe avec vous Elle me dit avec un ton beaucoup plus sévère. - Ce n’est pas ce que tu m’as dit. POURQUOI ES-TU-LA ?? - Pour… me faire baiser... pour être soumis… Je comprends que la deuxième phrase est de trop lorsque qu’elle affiche un large sourire sur son visage et répond d’un air moqueur : - Moi qui pensais avoir à faire a un petit curieux en fait c’est une petite salope qui est à mes pieds. Tu veux être soumis ? Alors tu vas commencer par t’occuper de ma queue ma salope. J’acquiesce d’un geste de la tête pour dire oui et en baissant les yeux en signe de soumission. J’ouvre la bouche et d’un geste du bassin elle pousse en avant me forçant à engloutir la queue qui se trouve devant ma bouche. Je suce et lèche, puis je la sens grossir, se durcir et là c’est l’extase. Ce membre dur et chaud dans ma bouche me donne envie de pomper de plus en plus vite. Je m’applique à sucer, à lécher et à branler cette bite sous les insultes de ma nouvelle maitresse qui fait ce qu’elle veut de moi. Les « grosse pute, t’aime ça sucer ma bite hein ? T’étais qu’une petite chienne en manque et maintenant tu vas plus t’en passer. » Me stimule et me font bander comme jamais. Je me lâche petit à petit, je pompe goulument cette queue et je me surprends à dire des choses comme « j’aime votre bite maitresse » ou encore « baiser moi la bouche je suis une pute ». Autant dire qu’elle ne se fait pas prier et qu'elle enfonce sa bite dans ma bouche, ma tête coincée entre le mur et la bite qui tape au fond de ma gorge à chaque fois. Apres avoir était accroupis pendant une dizaine de minutes elle m’ordonne de m’allonger sur le dos, jambe écartées. - Maintenant je vais m’amuser avec mon nouveau jouet me dit-elle. Elle me surprend alors quand elle commence à me sucer. Apres quelques secondes je suis complètement dur et je sens ses doigts à l’entrée de mon cul, elle ajoute alors : - Tu ne pensais quand même pas que je faisais ça juste par plaisir ? Et m’enfonce directement un doigt… puis deux… puis trois… Je n’en peux plus, je me fais doigter le cul et sucer en même temps. Je pousse des gémissements qui en disent long sur mon état et mes envies. Elle me bourre le cul avec ses doigts, je couine de plus en plus et mon cul est complétement ouvert quand elle s’arrête, s’approche de moi et me dit dans l’oreille : - Maintenant je vais te baiser. Je vais te défoncer comme une pute et tu sais pourquoi ? Parce que j’ai tout de suite su quand je t’ai vue que t’étais une vraie salope qui voulais se faire prendre par une queue. Alors maintenant mes toi à quatre pattes et supplies moi - S’il vous plait maitresse prenez moi le cul Je sens sa bite toucher ma rondelle, pousser un peu puis elle arrête et ajoute. - Tu ne croyais quand même pas que ça suffisait ? Je suis sûr qu’une traînée comme toi peux faire beaucoup mieux. - Pitié maitresse, enculez moi. Je suis une vraie petite pédale qui a envie de se faire défoncer par une grosse bite. Défoncez moi le cul je suis votre jouet. Je la sens alors pousser un grand coup en avant. Sa bite rentre complétement et m’arrache un petit cri de surprise et de douleur . Ca y est, je me fais enfin baiser. Elle commence son va et vient dans mon cul et je la remercie lorsqu’elle m’insulte de tous les noms. - Merci maitresse de me dépuceler le cul, baisez moi plus fort Sous mon excitation elle fait de qu’elle veut de moi. Elle me démonte le cul de plus en plus vite, de plus en plus profond. Elle s’amuse à me fesser. Je suis devenue ce à quoi j’aspirai depuis longtemps. Je suis devenu une petite pute, une suceuse de bite, une chienne… Elle change de position et me fait m’allonger sur le dos. - J’ai envie de voir ta gueule de chienne quand je te baise. Elle me démonte ainsi le cul pendant plusieurs minutes en me branlant. Elle s’amuse à me cracher de la salive au visage et me met des claques en m’insultant de catin, de pute, de chienne. Elle me défonce toujours à un rythme soutenu. Elle m’a mis le cul en l’air pour me baiser à nouveau pendant que je me branlais, la bite au-dessus de mon visage. J’ai joui dans ma bouche. Elle m' a dit maintenant avales salope.        
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Par : le 14/04/19
Aussi loin que je me souvienne, c’est-à-dire il y’a 10 ans la domination s’est révèle à moi comme quelque chose d’essentiel Avec le temps j’ai rassembler les morceaux du puzzle compliquer qui me constituer disons cerebralement. Pourquoi mes relations vanilles ne marchait pas ? Par ce que rien ne me retenait chez l’autre, par ce que chacun avait ses secrets sa vie bien distincte et ce pseudo couple constituait seulement un espace à combler et pourtant je me sentais tellement vide. Puis vint le bdsm d’abord vécu comme quelque chose d’interdit, d’inavouable, j’avais 19 ans et n’avait qu’une idée très vague. Puis il y’a eu cette jeune fille sur qui je prenais le contrôle chaque jour un peu plus, tout me venait de façon quasi naturelle, j’avais l’impression que les mots, les gestes avait été enfouies quelques parts et qu’ils ressurgissaient comme si je l’avais déjà vécu dans une autre vie dans d’autre temps Petit à petit le bdsm venait combler cet espace et m’aider à mieux comprendre qui j’étais et ou je devais aller. En cherchant à analyser pourquoi et qu’est-ce que j’avais besoin dans le bdsm je comprenais que le mot appartenance était l’essence même de ce dont j’avais besoin contrairement à un couple vanille ou l’on cherche à enchainer l’autre a sa propre vie finalement le bdsm me permettait à travers l’appartenance à m’enchainer a l’autre je comprenais que la chaine avait deux bouts et que l’un et l’autre s’enchainer mutuellement « si tu tombes, je tombe » Vivant ma vie avec passion, je comprenais que derrière une relation bdsm se cachait un sentiment unique l’amour inconditionnelle c’est ce que je cherchais depuis le début. Et je comprenais également que le vanille était parfois dote d’un amour conditionnel qu’il fallait donner sans recevoir parfois et inversement. Alors j’ai cherché, j’ai vécu se sentiment parfois de façon trop éphémère, on tombe mais on se relevé car il est notre but L’outil internet permet de nous rassembler, de pouvoir partager nos visions nos points de vue et c’est libérateur, mais dans cette quête c’est parfois compliquer car cet outil se cache derrière un écran l’être humain peut alors jouer de ça et peut être trompeur. Les mots sont parfois mal utilisés ou manque totalement de sincérité par ce qu’on s’essaye à son pouvoir de séduction l’écran nous cache il ne nous révèle pas tel que nous sommes vraiment. Malgré ça on se retrouve parfois derrière des profils qui comme soi, sont vraiment eux même car ils ont compris qu’être dominant ou soumis n’est pas un choix mais que c’est de notre nature profonde que le blanc et le noir sont indissociable. On attend seulement cet autre qui vous complètera cet autre avec qui votre âme échangera, ça peut être la, ou au détour d’une rue mais c’est ce qui nous rend vivant
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Par : le 29/03/19
Jusque-là, tout s'était passé à merveille... "Bien, fini les politesses !" Le ton venait de changer, le regard si charmeur et enjôleur s'était fait tout-à-coup dur et autoritaire... Elle venait de prendre conscience que l'autre face de la personnalité de cet homme venait de s'exprimer, ce côté sombre et exigeant, ferme et volontaire. L'espace d'un instant, elle hésita, et, comme lorsque l'on est tout près de mourir et que le film de sa vie défile à toute vitesse, se remémora en un flash ce qui l'avait conduite là. Oh, certes, il ne lui avait rien caché ! Ils avaient parlé de tout : domination et soumission, humiliation, douleur et sado-masochisme, obéissance et discipline, animalisation, objetisation et forniphilie, exhibition, bondage, shibari et kinbaku, sodomie et fist vaginal ou anal, plaisir forcé, jeux de rôle, trio, libertinage et gang-bang, protocoles et rituels, cérébralité, pouvoir et possession, abandon et perte de contrôle, esclavagisme, chasteté et restriction, isolation sensorielle et emprisonnement... Aucun sujet n'avait été tabou. Chacun s'était livré, avait mis son âme à nu, avait exprimé ses envies, ses désirs, ses fantasmes, mais aussi ses limites, ses peurs, ses réticences, ses blocages physiques ou psychiques, ses contraintes professionnelles, sociales et familiales, ses convictions politiques et philosophiques... Après de longues heures de discussion sur ce forum, ils s'étaient reconnus comme les deux pôles d'un même aimant, irrésistiblement attirés et insécables, et avaient décidés de se retrouver en réel : elle n'était pas là par hasard ! Mais, soudainement, tout cela devenait si concret, si réel, si palpable, si tangible, si présent et imminent. Un frisson la parcourut... Ils s'étaient retrouvés dans un charmant restaurant du quartier piétonnier, où ils avaient partagé un agréable moment autour d'un millefeuille de pommes granny, endives et mozarella en entrée pour tous les deux, de brochettes de gambas aux mangues pour elle et d'un carpaccio d'agneau aux herbes et parmesan pour lui, suivis respectivement d'un pana cotta à l'eau de rose et d'un tiramisu au moka, le tout arrosé d'un verre chacun d'un excellent vin de terroir local... Ils avaient encore longuement échangé, sur leur vie passée, sur leurs centres d'intérêts communs, avec passion, mais sans jamais aborder ce qui les faisait se rencontrer ce soir-là... Ils savouraient juste l'instant présent, le plaisir de la rencontre, l’enivrement de la découverte avec leurs cinq sens... Et puis, naturellement, il lui avait proposé de l'emmener chez lui. Elle avait accepté sans aucune réserve, elle attendait de toutes façons ce moment depuis trop longtemps ! La maison était chaleureuse et accueillante, avec des meubles et objets décoratifs en matière naturelle et noble : bois, cuir, verre, fer forgé, pierre... La maison était bien chauffée, mais il avait allumé un feu de cheminée qui faisait danser les ombres sur les murs de chaux blanche. Il étaient assis sur deux hauts tabouret, de part et d'autre d'un petit bar rectiligne qu'éclairait une ampoule à la lumière faible mais chaude, et avaient poursuivi leur discussion avec entrain, ponctuée de sourires entendus et empreinte d'une grande connivence d'esprit. Et, tout-à-coup, sans prévenir, sans détour, sans signe annonciateur, cette phrase. "Bien, fini les politesses !" Il venait de répéter cette phrase, en la regardant avec intensité, au fond des yeux. Elle n'avait pas baissé les yeux, et n'avait pas prononcé un mot, mais un rapide battement de paupière avait signifié "Oui, je suis prête, je suis d'accord pour tout, je me livre à toi." Ils étaient alors restés immobiles quelques secondes, les yeux dans les yeux. Elle y avait lu sa détermination, et sa bienveillance aussi. Il y avait lu sa reddition, et sa confiance aussi. Alors, il avait ajouté, de cette même voix chaude et sensuelle mais aussi sûre et impérieuse : "Debout, mets toi nue, entièrement, et lentement, devant moi." Elle s'est alors levée, doucement, avec grâce et légèreté, mais un peu intimidée et angoissée, ne sachant exactement par où commencer, ni où se positionner dans cette vaste pièce. Son regard la rassure, et d'un mouvement de tête il lui indique de se positionner sur le chaud tapis près de la table basse, face à lui. Des émotions contradictoires s'emparent d'elles sans qu'elle puisse rien y faire. Elle a le trac : va-t-elle lui plaire encore, une fois nue ? Saura-t-elle attiser son envie d'elle ? Simultanément, une sourde appréhension, légère mais bien présente l'envahit doucement : que va-t-il lui faire subir ? Enfin, et surtout, elle sent une vague de désir monter en elle, telle une irrépressible marée de vive eaux en période de syzygie. Elle se tient maintenant debout, face à lui, et, lentement, elle dégrafe sa robe, et la laisse glisser à terre le long de son corps. Pendant tout ce temps, il n'a pas bougé, il n'a rien dit. Il l'observe, la détaille. Elle sent ses yeux posés sur elle tels ceux d'un rapace repérant sa proie du haut des cieux. Puis elle dégrafe son soutien-gorge, qui rejoint la robe à ses pieds. Elle le regarde alors d'un air de défi. Elle voit le reflet des flammes de l'âtre briller dans ses prunelles, et comprend que la flamme du feu est en lui aussi, qu’Éros est à l’œuvre. Elle se sent désirable, et désirée. Alors elle se retourne, lui tournant le dos, se saisit de sa petite culotte avec ses deux mains de part et d'autre de ses hanches, et la fait descendre aussi lentement qu'elle le peut vers le sol, passant les collines de ses deux globes fessiers, les tubulures musclées de ses cuisses, les arrondis de ses genoux, les courbes fuselées de ses mollets, la cambrure de ses pieds enserrés dans ces chaussures à talons hauts et lacets de cuir qu'elle avait choisi pour cette occasion. Alors, elle se tourne vers lui, offrant à son regard sa nudité intégrale. Enfin, presque ! D'un regard il lui fait comprendre qu'il faut aller jusqu'au bout, et enlever aussi ses chaussures, aussi belles et sensuelles soient-elles... "C'était bien la peine de m'habiller avec des habits si lascifs et sexy pour lui plaire !", ne peut-elle s'empêcher de penser à cet instant. Mais elle s’exécute, et en équilibre instable, sans point d'appui, défait les boucles des lanières de ses chaussures, qui vont rejoindre ses autres atours à terre... Puis elle se redresse, face à lui, un peu gauche, ne sachant bien comment se tenir... Alors il dit "Tiens toi debout, bien droite, le dos cambré, tes deux bras croisés dans le dos, tes deux jambes écartées, et sur la pointe des pieds." Elle est surprise, un peu étonnée, elle ne s'attendait pas à cela. Elle se sent un peu humiliée, asservie, traitée comme une esclave aux ordres. Elle ne peut s'empêcher de penser à ses convictions féministes et philosophiques, à Gloria Steinem et son ouvrage "Outrageous acts and everyday rebellion" comme à Étienne de la Boétie et son "Discours de la servitude volontaire". Mais après tout, elle est bien là pour cela, et sa servitude est voulue et assumée, non ? Et puis, surtout, à ces paroles, elle ressent immédiatement un feu intérieur l'envahir, et un frisson de désir la parcourir telle une décharge électrique violente. Elle se sait incapable de résister, de dire non, de refuser l'ordre qui vient de lui être intimé. Aussi se met-elle en position. Il s'approche d'elle, silencieusement, la dévorant d'un regard perçant et lubrique. Il tourne autour d'elle. Elle se sent sans défense, offerte, impudique, obscène. Elle sent son souffle derrière elle, lorsqu'il s'avance à la toucher, effleure sa chevelure, puis murmure à son oreille : "Tu es désormais à moi, comme je suis à toi. Tu vas devenir l'objet de mon plaisir, et je vais devenir l'instrument du tien. Je vais commencer par t'inspecter, dans tous les détails les plus intimes de ton corps. Puis j'en ferai frémir chacune de ses parties, dans la douceur et dans la douleur, dans les caresses et les coups cinglants de la cravache ou du fouet, sous les baisers ou les gouttes brûlantes de la cire de bougie, dans l'emprise des cordes et des chaînes ! Ton corps et ton esprit vont connaître le plaisir, l'orgasme, l'abandon, la souffrance, la beauté, les gémissements, les cris, les râles, les larmes de joie et de rage emmêlées ! Es-tu prête ?" Elle n'hésite pas un instant, et répond d'un même murmure "Oui, je le suis. Je suis à toi. Fais de moi ce qu'il te plaira."
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Par : le 29/03/19
Cet après midi nous devions juste prendre un verre chez Maitre Héphaïstos , avec Pourprea et mon Maître par manque de temps. J’arrive, j’accroche mon manteau puis je gravis lentement l’escalier vers le salon de jeux , suivie de ma nouvelle sœur de supplices, le pas massif des dresseurs sur nos traces. Mais un verre avec deux Maîtres et deux soumises ne peut pas être anodin. Je me place par terre dès mon arrivée, à genoux au pied de Maitre Héphaïstos et Maitre Hypérion. Je suis de suite rappelée à l’ordre par le propriétaire des lieux qui me dit de me déshabiller. J’obéis immédiatement et reprends ma place de soumise, assise sur mes talons. Maître Héphaïstos me somme de préparer un café et de servir les invités, je m’empresse de satisfaire cette directive. Quand subitement il décide d’utiliser tout de même le peu de temps que nous avons. On ne sait jamais ce qui va se passer lorsqu’on est entouré de dominateurs. Il ouvre sa malle et en sort deux curieuses espèces de manchettes en cuir noir, ornées de boucle métallique, m’enjoint de lui tendre la cheville et attache ces chevillères, il me demande de le suivre, j’ai du mal à marcher, l’accessoire est rigide. Pourprea n’est pas en reste, elle est menée dans le même couloir, à côté de moi ,mise à quatre pattes pour recevoir sa punition. Je viens de comprendre lorsque je voie la poulie, je vais être suspendue. J’avale ma salive, nouvelle expérience, je suis très excitée. Maître Héphaïstos me montre le sol, je m’allonge sur le dos, il attache mes chevilles à une boucle et la corde se tend, je suis pendue tête vers le plancher, mes mains dans le dos. Me laissant là Maître Héphaïstos rejoint Maître Hypérion auprès de Pourprea qui va recevoir son blâme. Tête en bas, j’observe la scène, et je vois l’instrument, pauvre petite, tu vas morfler. Le premier coup tombe, sec et les autres s’enchainent ,je crois qu’elle pleure, ses gémissements se font sourds. Maître Héphaïstos revient vers moi et me fait osciller, juste le poids de mon corps. Etrange sensation, je suis comme plongée sous les eaux, les sons deviennent étouffés, je suis totalement à la merci, mon sang afflue, je me sens à la fois légère flottant à quelques centimètres et pesante, tout le poids de mon corps gorgé de sang. Des fourmis envahissent mes pieds. Pourprea toujours à l’envers de ma position ne bouge plus, j’imagine la couleur de ses fesses. Elle est redressée, dans les deux sens du terme. La poulie actionnée, je retrouve le sol et ma circulation se refait, j’ai les pieds glacés. De dos, je vois maintenant les jolies marques sur le cul de Pourprea, bien marbrée. Retour au petit salon . Mon Maître tapote ses genoux ,il a envie de me donner une fessée. Je m’incline crâne vers ses chaussures et le chapelet de gifles fuse sur mon arrière train, une délicieuse fournaise bouillonne sous la poigne de Maître Hypérion. Mon excitation est à son comble. Il me remet debout et me pousse vers Maître Hephaistos qui, à son tour tapote ses cuisses avec un œil tout à fait impudique. Une nouvelle salve s’abat ,ma peau bat comme un cœur. Mon second fesseur enfouit ses doigts entre mes cuisses et savoure avec plaisir la liquéfaction de mon sexe , achevé de plaisir, je voudrais que ce moment ne s’arrête pas, ballotée d’un Maître à l’autre, objet de plaisir pour la satisfaction de mes censeurs. Une très belle manière d’occuper une fin de semaine par une journée froide , je rentre réchauffée et vidée, merveilleuse sensation plénifiante. Merci Maîtres.
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Par : le 18/03/19
La voici. Première soirée de soumise. Mon Dom m’a demandé de porter pour l’occasion une petite robe noire sexy mais plutôt habillée, au décolleté carré généreux, croisée dans le dos, des escarpins noirs simples et un soutien gorge en dentelle noir, des bas noirs. Des perles blanches aux oreilles et un bracelet fin au poignet. Je me sens féminine, je devrais être à l’aise dans cette robe que j’adore, mais je suis terriblement stressée. Je ne sais pas ce qui va se passer. Mon Dom m’a expliqué le strict minimum. Un dîner de Dominants, des soumis et soumises devant assurer le service et le plaisir de ces Dames et Messieurs, la possibilité d’être prêtée à un autre Dominant. Je suis excitée, nerveuse, heureuse… Nous sommes en pleine campagne. Mon Dom me caresse la joue et me souris tendrement. Il me chuchote à l’oreille : « Fais-moi confiance, je sais que tu seras parfaite ». Je devrais être rassurée par ces doux mots mais je n’arrive pas à me raisonner, j’ai peur de commettre un faux pas, de décevoir mon Dom, de ne pas réussir à me laisser aller, de ne pas po... Je suis interrompue par une grosse tape sur mes fesses, et par le bruit de la sonnette. Sourire, souffler, me tenir droite, sourire, respirer… Nous sommes accueillis par une femme élégante et un homme plutôt trapu. Un échange cordial, des sourires francs et conviviaux. Je respire un peu. J’ai à peine le temps d’apercevoir la tablée au fond de la pièce, de ressentir la chaleur d’un feu de cheminée et de parcourir des yeux cette grande pièce rustique. Déjà la main ferme mais douce de l’homme me tire vers une autre pièce. Je tourne la tête et je vois le sourire bienveillant de mon Dom qui me couve du regard s'éloigner peu à peu. Nous nous rapprochons d’une pièce qui sent terriblement bon et d’où fusent des rires. Trois autres personnes sont déjà là, un autre homme et deux femmes, qui me saluent à mon entrée dans ce qui s’avère être une belle cuisine en bois brut. « Voici Jen » Je me retourne vers mon hôte, surprise d’entendre mon nom prononcé. Il m’adresse un clin d’œil « J’ai bien travaillé ». Chacun se présente et explique de qui il est le soumis. Je reconnais quelques noms. L’ambiance se détend peu à peu. Enfin, JE me détends peu à peu car mes voisins semblent parfaitement à l’aise. Arrive une dernière soumise. Pour elle aussi il s’agit de son premier repas, je suis soulagée de ne pas être la seule novice ce soir. Minou nous distribue les tâches. J’ai beaucoup ri lorsqu’il a annoncé son petit nom qui ne colle pas vraiment à son gabarit. Je suis pour l’heure assignée au portage d’un plateau garni de petits fours apéritifs. Je félicite mon hôte pour son travail titanesque. Il m’avoue non sans humour que sa Maîtresse l’a assisté dans son travail. Je suis alors presque (presque hein) détendue. Les 5 petits serviteurs que nous sommes se dirigent vers la pièce principale. 2 femmes et 3 hommes sont assis sur des fauteuils qui paraissent moelleux et accueillants. Je passe tout sourire vers chacun, heureuse de la légèreté ambiante. J’essaie malgré tout de ne pas trop me relâcher, de rester la plus élégante possible dans mes déplacements. Nous sommes autorisés à nous asseoir aux pieds de nos Dom respectifs au milieu de l’apéritif. Cette position ne m’est pas très familière mais je la trouve ce soir plutôt naturelle. Puis nos charmants Dom s’installent autour de l’imposante table pour la suite du repas. Nous sommes invités avec forces fessées à nous presser de déguerpir et d’activer les fourneaux. Nous avons en réalité peu de travail qui nous attend car nos hôtes du jour ont réellement bien fait les choses. Chacun est chargé d’apporter une assiette et je me retrouve à servir une charmante Maîtresse. Sublime. En chemisier léger. Une jupe que je devine. Je croise le regard de mon Dom à qui mon sourire n’a pas échappé. Il pose son menton sur sa main et m’observe, amusé, un peu échauffé sans doute aussi. Au fur et à mesure de la soirée, les conversations virent et s’aiguisent. Côté salle à manger, et côté cuisine. On échange des anecdotes, des éclats de rires, des regards entendus. Est-ce le vin, la situation, les gens qui m’entourent , mais je me sens quelque peu excitée. Et je glousse. Bon dieu je glousse. Plus de vin pour moi ! Nous entendons « Le dessert ! » L’une des soumises se lève. Sans plateau. D’accord. C’est elle le dessert. Je frissonne. Elle avait l’air si sereine. Je l’envie, je l’admire… et je suis curieuse, tiens un peu jalouse peut-être aussi de savoir ce que mon Dom goûterait de cette belle. Minou l’accompagne. Nous observons discrètement la scène en passant la tête par l’ouverture de la porte. Minou est en train de la déshabiller et de l’asseoir sur la table basse, les Dom assis autour d’elle dans les fauteuils. Elle est en lingerie, la peau éclairée par la lumière douce de la cheminée. Le spectacle est à couper le souffle. Certains la touchent, on la pince, on la fait se mettre à 4 pattes, on la fesse, on la caresse. Mon Dom compris. Comme c’est excitant. Je ne vois pas son visage à elle mais je l’imagine très bien, je devine ses soupirs. Nous admirons le spectacle sans en perdre une miette. Minou revient nous chercher et nous demande de nous rasseoir aux pieds de nos Doms. L’air est chargé d’intensité. Mon Dom me passe un collier et une laisse. Certains quittent la partie salon, sans doute pour se diriger vers des chambres à l’étage. Restent nous deux, un Dom, notre hôte Domina et une soumise. Mon Maître se lève et tire sur ma laisse pour me faire avancer à 4 pattes. Il m’emmène vers l’autre Dom, lâche ma laisse, se baisse vers moi et me dit « Travaille bien ma belle ». Pas besoin de dessin pour comprendre ce qu’il attend de moi. Je suis tellement excitée que j’en oublie mes spectateurs du jour. Ou peut-être même que ces spectateurs participent à mon excitation (sûrement en fait). Mais là je suis déjà ailleurs, trop pour m’attarder à ces pensées. Je croise le regard gourmand de l’homme devant lequel je suis désormais agenouillée. Je lui adresse mon plus beau sourire de salope. Je déboutonne son pantalon sans le quitter des yeux. Je sens le regard de mon Dom sur moi, la présence des autres autour. J’ai envie de faire jouir cet homme sous ma langue, j’ai envie d’exciter mon Dom et de le satisfaire. Je veux qu’il soit fier de sa suceuse salope. Encore plus devant ce petit public, une nouveauté pour moi. Je veux mériter aussi dans mes actions tout ce qu’il m’offrira. Qu’y aura-t-il d’autres d’ailleurs ? Pour l’heure, tais-toi et suce.
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Par : le 05/03/19
* Voir sur mon blog l'article du Lundi 18 février Nous n'avons passé qu'une journée de sexe ensemble jusqu'à présent et je ne l'ai rencontré ni dans le milieu libertin ni dans le milieu bdsm. Mais il a réussi à me faire couler en préliminaire alors que je ne coule généralement qu'après pénétration et orgasme, et encore, quand le sourcier est doué ! (rire) Au deuxième round de la journée, je lui ai demandé de me pincer les tétons en l'informant du fait que je n'ai aucune sensation à la caresse ou au léchage, seule la douleur m'excite. Il a commencé alors doucement et avec mes encouragements, il a accentué la pression afin de m'arracher des petits cris de douleurs, enfin de plaisir... Et enfin au troisième round en levrette, il m'a gratifiée de magistrales fessées, comme je les aime, avec la main pleine. J'ai hâte de lui montrer petit à petit ma boîte à malice avec mes jouets divers et variés, en espérant ne pas le faire fuir et lui donner le goût de la correction et de la domination.
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Par : le 25/02/19
Nous montons l’escalier principal, je dois ressembler à une enfant, les yeux pétillants ayant hâte de découvrir sa surprise. J’ai ce sourire d’envie qui s’affiche en grand sur mon visage. J’ai chaud aussi. Les deux verres de vin bu à table quasiment cul sec, pour nous remonter le moral avec Louna après les gesticulations violentes et les éclats de voix, me chauffent les joues. Arrivés en haut, Max m’invite à tourner de suite à droite. Des personnes que je ne prends pas le temps de regarder se tiennent de chaque côté d’un petit renfoncement. Max pousse alors la porte de cette vaste chambre explorée plus tôt dans la soirée avec Shape. Elle est plongée dans le noir, ou plutôt dans une pénombre violette, à cause de grands néons fluo disposés aux quatre coins de la pièce qui donnent à nos dents le sourire émaille diamant et à nos yeux un air de vieux chien diabétique à la cataracte avancée. Il referme rapidement la porte derrière nous, après avoir dit aux personnes restées dehors « quelques secondes de patience ». A cet instant je ressens une petite touche d’angoisse, là au creux de mon ventre. Passagère, je sais que Shape ne me laisserait pas, là où je ne souhaite pas être. Respire Lilo, fais lui confiance. « Max, Shape, connait le jeu des fantômes ? Vous lui avez expliqué ? Ou vous lui direz ? » « Oui, oui ne t’inquiètes pas. Tu aimes jouer ? et ce soir tu vas pouvoir mener la danse ! » Je respire encore. Le lit immense est à ma gauche. Une armoire recouverte d’un miroir orné de jolies moulures se tient fièrement à droite. A côté il y a un mannequin de couture sur pieds. Un fauteuil joliment habillé fait face au lit. J’entends de suite, des rires et des secrets qui se partagent à voix basses derrière un paravent de tissus brodés dans le fond de cette grande chambre. Max me propose de me mettre plus à l’aise, et de retirer ma robe. Je commence donc à me déshabiller sans sourciller. Se tenant dans mon dos, il m’aide à y défaire le nœud. Je suis légèrement troublée mais également touchée par cette attention. Il me tend son bras afin que j’y dépose la robe. Lorsqu’il découvre mon tutu, je comprends qu’il me faut aussi le lui remettre. Encouragée par son sourire et ses yeux charmeurs, je me déchausse également. Me voici en sous-vêtements et bas, prête à participer à un jeu dont je ne connais toujours pas les règles. Voyant que je ne m’oppose pas à l’idée de me dévêtir, Max m’explique que je ne serais pas nue à la vue des hommes puisque recouverte d’un drap blanc, et que je serais bien plus à mon aise sans ma culotte et mon soutient gorge, mais que j’étais libre de le faire maintenant ou plus tard, ou pas. Trop de choix s’offrent à moi. Je ne réponds rien et ne bouge plus. Il invite alors les voix de derrière le paravent à finir de me préparer. Trois petits fantômes arrivent. Ce sont des femmes. Je suis rapidement recouverte d’un grand drap blanc, il y a des trous pour mes yeux et un pour ma bouche. Max fixe au niveau de mon regard un masque rose qui permet de maintenir les trous aux bons endroits. Puis il me rassure en me disant que je suis aussi très jolie en petit fantôme et me place face au miroir de l’armoire. Nous sommes quatre formes blanches fluorescentes. Je souris, j’adore cette image dans ce décor. Nous sommes les spectres magiques qui hantent ce château ! « Voilà ce qui va se passer, je vais faire entrer un homme Soumis ou Dominant choisi par mes soins dans la chambre des petits fantômes et vous aurez dix minutes pour faire ce que vous voulez de lui, Absolument tout. Il aura pour consigne de se laisser faire et de ne rien dire. » Mes trois autres complices sont emballées. Moi, sur l’instant, j’arrête bien vite mes gesticulations et mon début de balai fantomatique en me rapprochant de mes trois nouvelles amies. Le fantôme n’en mène plus large du tout. Et pourtant dans ma tête, des envies commencent à embouteiller le portillon. Personne ne me verra, je serais et ferais ce que je veux et cet homme volontaire sera le complice obligé de mes jeux. OUIIIiiiii, mais ouiiiiiiii, J’applaudi presque hystérique, au moment où Max quitte la pièce. Nous entrons doucement dans notre rôle et voletons sur le parquet, les immenses draps blancs se distinguent fortement dans l’environnement très sombre et perçu comme plus inquiétant de la chambre. Je recommence à danser, comme j’aime toujours à le faire. Je suis une petite fille à qui l’on vient d’offrir une superbe robe à paillette qui tourne ! Je fais l’oiseau avec mes bras, tente de découvrir mes jambes de façon sexy en face du miroir. Je trouve ces formes et leurs contrastes appuyés très jolies. Sous le tissu, je boue déjà et ma respiration et l’humidité qu’elle transporte me pique un peu les yeux. C’est à cet instant que Max réapparait dans la pièce avec notre première victime consentante. Mes trois amies se précipitent à sa rencontre tandis que je l’observe. Il est de taille plutôt petite, n’est pas souriant et semble comme gêné. Son regard est peu expressif, alors que les filles sont à caresser son corps au travers de ses habits de soirée. Je comprends à ce moment-là, que le trou pour la bouche ne serre pas uniquement à respirer. L’un des petits fantômes s’agenouille aux pieds de ce timide et s’empresse de défaire la fermeture éclair et la ceinture de son pantalon. Dans un premier temps, mes pieds sont comme vissés au sol, je n’arrive pas à me décoincer. Elles sont deux agenouillées à présent. J’ai fait un pas ou deux ou trois peut être. Je veux voir maintenant. Elles le font s’asseoir sur le lit. Lui frotte le ventre à six mains. Je suis toute proche. Il a l’air si mal à l’aise. Il m’est presque gênant de me tenir debout et de voir son visage. Je n’arrive pas à savoir s’il a une érection, alors qu’elles s’entraident à remettre en phase les bouches et orifices des tissus. Max au moment de ressortir, nous incite à nous amuser d’avantage car il ne reste plus que quelques minutes. Je m’encourage, -Allez Lilo, lance-toi, c’est le premier pas qui compte ! Je fais alors l’effort de m’agenouiller et de me frotter à sa jambe. A quatre patte, j’attrape ses lacets avec ma bouche et défais sa première chaussure, puis sa seconde et les envois loin de lui. Je fais de même avec ses chaussettes. J’ai envie qu’il me caresse la tête, les fesses aussi que je m’amuse à gigoter. J’ai besoin d’être encouragée pour toucher sa peau. Mais rien ne vient. Alors toujours à quatre pattes, je fais le tour du lit et m’allonge dans son dos afin de reprendre ma place de spectatrice. Un des petits fantômes vient me rejoindre, passe sa main sous mon drap et touche l’une de mes cuisses, je suis surprise, je me laisse faire pourtant. Et comme pour remercier ce geste, je pose ma bouche délicatement sur la sienne, c’est amusant. Je reçois une caresse sur mes fesses et un « merci c’est très agréable ». C’est le premier baiser que je donne à une femme. Max revient accompagné d’une dame brune qu’il installe sur le fauteuil faisant face au lit. Elle regarde plus qu’attentivement la scène qui s’offre à elle, le visage pointu, la bouche tout aussi serrée que sa jupe droite en simili cuir. Etrangement je sens l’homme timide plus détendu. L’un des fantômes incite la femme à se transformer également en spectre blanc, je les aide à fixer le masque. Ce nouveau complice se mélange alors aux autres l’espace d’un instant, mais me rejoint très vite à l’autre bout du lit en me disant « cela ne m’excite pas du tout ! » Max entre à nouveau « les dix minutes sont écoulées ! Monsieur, Madame, après vous…Petits fantômes, tenez-vous prêt, un autre candidat arrive ». « Bah, zut, je ne pensais pas rester pour un second round moi » et en même temps l’étincelle curiosité clignote en mode feux de Bengale. J’ai envie de voir qui s’invitera à présent chez nous. Je déguise le mannequin de bois et de velours, afin de rajouter une touche mystérieuse. Un des fantômes sera immobile et n’en perdra pas une miette ! Han…, il me vient une idée, celle que Shape pourrait lui aussi à son tour passer la porte de la chambre et se laisser aller aux plaisirs prodigués avidement par d’autres sous mes directives implicites. Il me reconnaitrait rapidement, malgré ce drap, c’est certain. C’est étrange, je suis jalouse, possessive, ses yeux ne doivent être que pour moi, ses intentions aussi, mais là, dans ce décorum, et grâce au jeu, je suis excitée en projetant une scène dans ma tête sur écran géant. Moi à ses genoux le suçant de manière appliquée et amoureuse et lui touché et explorant le corps d’autres… Oh … ou alors, non…il entre et assis sur le fauteuil regarde les fantômes lubriques animer d’autres désirs en plus des siens qui resteraient secrets. Il noterait les sévices et corrections qu’il s’appliquerait à me faire subir ensuite, à moi, sa vilaine soumise incapable de rester sage. Je souris. Je veux jouer encore… Il entre. Brun, la cinquantaine, un peu plus grand que moi, de corpulence moyenne, le visage sombre. Mes amies s’animent autour de lui, je m’avance à mon tour et trouve rapidement ma place face à lui légèrement décalée sur sa droite, ma jambe gauche bloquée par un fantôme déjà afféré à le masturber. J’aime sa main. Je la caresse doucement, remonte le long de sa chemise, son épaule, et dessine sa bouche avec mon index. C’est osé, mais il a pour consigne de se laisser faire, et moi j’ai tous les pouvoirs, alors… Il me fixe. Je ne décrocherais pas la première ! Il touche ma poitrine au travers du drap, la malaxe avec ses deux mains. Nos regards ne se lâchent pas. Puis il fait remonter le tissu et tire fortement sur mon soutient gorge pour faire sortir mes tétons déjà saillants. Il les ferre, et se met à les pincer. - Je ne lâcherais rien Monsieur. Mes yeux le lui disent, et je sais qu’il a compris, car déjà son emprise se fait plus forte. Encore un peu plus mordante à mesure que je soutiens plus intensément son regard. Je suis à présent obligée d’entrouvrir la bouche, afin de gérer cette douleur qui me trempe l’entre jambe. Ne sachant plus rester droite, je commence à frotter mes cuisses l’une contre l’autre. Je ressens une pointe honteuse, mais surtout du plaisir qui remonte depuis mon nombril, vacille en passant par la pointe de mes tétons suppliciés et termine à présent en soupir, là, tout contre mon palais. Lui transpire, son visage perle. J’aime ce qu’il me fait, j’aime cette façon qu’il a de me tester, j’aime le provoquer, me bousculer. Je gémis un peu, jusqu’au moment où, plus fort que moi, je lâche un cri et quitte ses yeux pour baisser les miens. Son souffle est devenu râle. Il lâche alors mes seins, dépose un baiser sur mon front puis je me retire. Je reprends ma place à l’autre bout du lit et récupère doucement une respiration plus calme. En retirant mon soutient gorge, et réajustant mon habit de lumière, je réalise avoir pris du plaisir uniquement grâce à mes tétons. Là encore, une première ! La personne suivante est plus joviale, il lui tarde de toutes nous toucher. Son corps est dur, son ventre rond. Il est debout au milieu de la chambre. Il m’est facile, de me faire féline à quatre pattes et de caresser, mes flancs, mes fesses, mes cuisses et une fois debout, d’écraser ma poitrine emplie de désir tout frais contre lui. Excité, il veut m’embrasser, mais ne trouve pas l’accès à ce qu’il désire, l’ouverture pour ma bouche ayant perdue sa place et se trouvant à présent sur le haut de mon crane. Aucun intérêt ! N’en pouvant plus, il soulève le drap et me retrouve en dessous. Je suis démasquée, à découvert. Il me voit, moi, mon visage qu’il caresse brutalement. Petit malaise, bien vite oublié. Je veux tout, satisfaire ma curiosité surtout, savoir de quoi je suis capable aussi. Je ressens comme une frénésie, un désir irrépressible, une faim de plaisir. Je sais à cet instant, que je ne contrôle plus rien, ou du moins, que je m’autorise à ne plus rien contrôler. Advienne que pourra Lilo, joue, joue, joue ... Je me sens puissante, forte, en pleine confiance. Il me saisit la nuque et prend ma bouche avec sa langue en l’enfonçant aussi durement qu’elle est raide et presque rêche. Je n’aime pas son contact, mais je l’accepte car son désir est fort. Il passe rapidement sur mes seins et se dirige bien vite dans ma culotte, ses doigts raides s’agitent et glissent sur ma mouille. C’est alors que deux fantômes nous rejoignent sous le chapiteau. Ses doigts quittent mon sexe et se perdent ailleurs. Je suis presque soulagée. Je laisse ces trois, puis quatre corps qui s’agitent et commencent à émettre des couinements. Je m’allonge sur le lit écartant mes bras et mes jambes pour récupérer un peu de fraicheur. Je retrouve alors ma bobine à question : - Qu’est-ce que je viens de faire ? Que va dire et penser Shape ? Vais-je être capable de tout lui raconter ? Sait-il ce qui se passe ici ? Max le tient informé ? Ces hommes lui font un rapport en sortant ? Ou est-il, Pourquoi ne vient-il pas ? Quelles seraient les limites à ne pas dépasser selon lui ? … « Petits fantômes, c’est le dernier candidat, il faut tout donner, je vous envoie le plus beau ! » Je me redresse rapidement. « C’est Shape ? » « Ah non, effectivement, ses Dames en avaient fait la demande, mais il a décliné l’invitation. » Je suis dépitée, n’ai plus envie de jouer. Je replace pourtant le masque et réajuste ma culotte en boudant. Est-il possible que tout est été discuté, prévu, avant ?... Mais non Lilo, ne soit pas bête, nous ne nous sommes pas quitté de la soirée ! . Il est là, une carrure de garde du corps, un athlète, avec des muscles qui doivent soulever de la fonte. Il est métisse, une petite quarantaine. Je n’ai jamais touché en corps comme celui-ci. Mes yeux se rallument à la vitesse de l’éclair. Je veux qu’il ne regarde que moi. Alors je me mets debout sur le lit et commence à bouger. Je fais le spectacle. Au départ timidement, puis je me mets à danser plus sensuellement, à faire voler ce blanc, plus haut, plus fort, je ris même un peu. Ses yeux sont sur moi maintenant. Je descends du lit et vais le retrouver en prenant tout mon temps. Arrivée derrière lui, mes mains passent dans son dos, et, sans comprendre ce qui me prend, comme énervée, je le mords, assez fort. Mes dents au niveau des omoplates, puis de ses reins, lorsque son pantalon tombe à ses genoux. Je le mords aussi sur ses biceps et lui pince les pectoraux. Je me trouve alors projeter sur le dos dans le lit. Et son corps écrase aussitôt le mien. Je ne vois plus rien. Le drap est appliqué sur mon visage et me colle. Son sexe dur, pressé sur ma hanche. Je ne proteste pas. Ne bouge aucunement lorsqu’Il retire mes bas et fait descendre ma culotte. Il n’est plus seul à me toucher, je le sais. Le drap se replie à mesure que mon corps se découvre à la vue de tous. J’ai un peu peur. D’abord des caresses sur l’intérieur de mes cuisses, un pli de plus, et c’est mon ventre que l’on touche, un pli encore, c’est au tour de ma poitrine d’être étreinte délicatement, un dernier pli. Le drap est toujours plus épais sur mon visage. Inquiète, je tente de décoller mes épaules du lit. Alors, une de mes nouvelles amies découvre ma bouche et m’embrasse affectueusement. Mes genoux sont écartés et je sens le souffle chaud de sa bouche à lui, se rapprocher, là à cet endroit. Sa langue me lèche, s’enfonce en moi, ses lèvres me sucent. Je ne sais plus réfléchir, je suis heureuse et soulagée lorsqu’il me pénètre de deux doigts fortement, je veux ça oui plus fort encore. Je perds la notion du temps, du bien du mal. Quatre personnes sont là et s’occupent de me donner du plaisir, à moi Lilo qui souvent hésite à aller au bout de celui-ci. Je ne tiens plus, je ne sais plus où je suis, ce qui se passe. J’entends que l'on m’encourage alors que j’hurle à ne pas reconnaitre ma propre voix. Mon corps se tord, s’étire, se cambre, se disloque. Oh non, je n’ai plus de craintes, je veux donner, leur donner et prendre aussi. Je jouis comme il est rare de jouir. Je jouis à en déchirer une solide pellicule qui encombrait mon corps de tant d’interdits. Je jouis de me retrouver moi, je jouis de les rencontrer eux. Je jouis de bonheur, je jouis à en chialer de toute l’affection que l’on me donne si généreusement. Je jouis pour ce partage d’amour simple, primaire, presque animal et pourtant tellement poétique. « Merci, merci, merci » Je le crie si fort lorsque ma nuque révulse et que mon crane pénètre le matelas. Les formes blanches me remercient à leur tour, l’une d’entre elles reste contre moi et me caresse le visage qu’elle vient finir de découvrir. Je respire fort, comme pour la première fois un air nouveau emplissant mes poumons avides de retrouver leur souffle . J’ouvre les yeux et lui souris lorsqu’ elle me dit « c’était si beau, quelle chance, quel cadeau ». Max est là au pied du lit et nous annonce que le spectacle commence à côté. Qu’il est temps de nous changer. « Et bien Lilo, ça a été crescendo, je me trompe ? Allez vite rejoindre votre Maitre, il vous attend impatient. A tout à l’heure ». Je peine à retrouver mes sous-vêtements dans le noir. De l'autre coté du lit, l’homme musclé fini de se rhabiller puis m’apporte mes bas et découvre alors mon visage. IL me prend dans ses bras, m’embrasse. Le gout de ce moment magique est accroché à sa peau. Je suis comme mélangée. Alors que je suis calme et sereine, j'éprouve une sorte de gêne, de petit malaise et aussi une grande reconnaissance envers cet homme . Il me remercie de lui avoir fait confiance, et prononce ce mot que je peine aujourd'hui à écrire hors contexte : "sublime". Il entoure mes joues de ses deux mains, me caresse la nuque et essuie mes yeux. Nous restons un moment debout l’un contre l’autre. Un instant je voudrais lui donner plus. Mais le jeu est terminé et je retrouve mes limites, le cadre n'est plus le même. « Au plaisir de nous revoir… » Je rejoins Shape en jupon et soutient gorge, je ne veux pas m’encombrer de d’avantage. Il est non loin de la chambre à regarder le spectacle qui se donne sur l’étage du dessous. Une magnifique femme, aux écailles de Dragon tatouées sur plus de la moitié de son corps se contorsionne autour d’une barre et crache du feu. J’ai besoin de me blottir contre lui, fort, de retrouver son gout, son odeur, qu'il me serre, m'écrase, qu’il m’embrasse et reprenne possession de moi entièrement. Plus personne n'existe autour de nous. Les sons se trouvent amortis contre cette bulle qu'il me faut urgemment reconstituer. « C’était bien ? » « Oh oui Shape, j’ai adoré et ai pu prendre tant de plaisir. C'était si étrange et tellement bon. J'aurais voulu que tu sois là. Tu veux que je te raconte tout ? Max t'a expliqué en quoi consistait le jeu ? Merci de m'avoir autorisé cela » « C’est bien alors, je suis content. Oui, je veux que tu me dises, si tu en as envie » « Shape, S’il te plait corrige moi fort avec la badine, donne moi la fessée sur le lit ou je me suis donnée, j’ai besoin de nous retrouver… » FIN
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Par : le 24/02/19
La soirée bat son plein. Nous discutons à bâtons rompus à propos de nos visions sur la domination, confortablement installés dans de larges fauteuils ou sur un canapé pour certains. Les 2 soumises présentes sont quant à elles assises en tailleur ou à genoux sur des coussins au sol. La musique en fond sonore donne une jolie ambiance à cette soirée. Un bon vin, de la charcuterie, quelques amuse-gueules, des fruits ainsi qu’un beau plateau de fromage terminent ce joli tableau d’un apéro détendu et animé. Les esprits s’échauffent, plus cette fois sur nos différences à dominer, mais bien plutôt autour de ce qui nous rapproche. Les rires sonores résonnent. Les clins d’œil entendus s’échangent ici et là. Deux des Dom présents se lèvent pour sortir fumer, et l’un d’eux que je connais bien me tend la laisse de sa petite chienne. « Prends soin d’elle veux-tu pendant mon absence.  -Es-tu sûr de ce que tu me proposes ? » Son large sourire me fait dire que oui. Je tire sur la laisse pour rapprocher cette petite chienne. Jusqu’alors je ne m’étais pas vraiment attardée à l’observer. D’une part le début de soirée ne s’y prêtait pas. D’autre part elle avait certainement reçu la consigne de se faire oublier parce qu’on avait à peine entendu le son de sa voix. Je suppose en effet que ce n’est ni la timidité ni l'ignorance qui la font taire. Ni l’un ni l’autre ne semble la caractériser. Je détaille maintenant ouvertement cette chienne qui se trouve à mes pieds. D’où je suis je savoure la vue sur son décolleté plongeant mis en valeur par un haut à dentelle qui la couvre jusqu’au cou. Très belle suggestion. Je me penche pour observer sa croupe, ses longs cheveux redressés en queue de cheval haute. Elle ne bouge pas mais me regarde en souriant. « Tu n’as rien mangé. Tu n’as pas faim ? -Madame, mon Maître ne m’a pas autorisée à manger. -Ton Maître est un tortionnaire ! dis-je d’un ton amusé. Remédions à ça . » J’attrape un petit morceau de pain et je l’approche de sa bouche. Elle s’avance, délicate, et l’attrape du bout des dents. Elle soupire et je crois qu’elle avait réellement faim. «  Ferme les yeux. » Elle me donne un regard indescriptible et s’exécute. Elle se tient immédiatement beaucoup plus droite. J’attrape cette fois-ci un petit rouleau de jambon. « Ouvre la bouche ma belle. » Je le lui glisse en douceur. Elle garde les yeux fermés . D’une main douce mais ferme, je lui caresse la joue et je prends son menton. Je lui fais goûter tour à tour les différents choses salées de la table. Mes doigts s’aventurent chaque fois un peu plus dans sa bouche, s’attardent sur ses lèvres. Désormais elle me lèche les doigts, les gardant plus que de raison entre ses lèvres. Je ne participe plus du tout à la conversation, complètement absorbée par ce moment, par elle. Elle a toujours les yeux fermés mais je devine son regard plus lourd. Je veux le voir. Je glisse une main dans sa queue de cheval et je tiens fermement ses cheveux. « Ouvre les yeux. Regarde moi. » Elle ouvre les yeux et ce que j’y lis est magique. Cela me rassure, je ne suis pas là seule à ressentir cette boule de chaleur au creux de mes reins. Je n’en doutais pas vraiment, mais ne la connaissant pas, j’aurais pu me tromper sur ce que j’ai interprété de ses gestes et réactions. Je lui tends désormais mon verre de vin et elle ouvre à nouveau la bouche, m’offrant ses lèvres, sa langue humide. Je laisse couler un filet de vin. J’observe, je savoure. Je suis de mon doigt un sillon que le vin a tracé, sur son menton, son cou. J’imagine où le liquide aurait coulé si elle avait été nue. Mon esprit se perd et serpente entre ses seins dressés, sur les plis de son ventre, vers son sexe chaud. Elle a suspendu sa respiration. J’ignore si je respire encore. Plus rien ne bouge autour de nous. Je détourne la tête et je m’aperçois que les conversations ont cessé, que tous les yeux sont sur nous. J’ai l’impression que nul ne voulait arrêter cette magie. Peut-être étaient-ils d’ailleurs un peu émoustillés par ce spectacle un peu naïf et pourtant si intense. Et je le vois lui, son Maître, qui est resté debout contre le chambranle de la porte, sourire aux lèvres, sirotant son verre de vin. Quelque chose me dit que lui n’a rien voulu rater de ce moment et qu’il s’est régalé à nous observer. Je devrais relâcher ses cheveux, je devrais cesser ce jeu, je devrais reprendre une contenance, relancer la conversation. Et après tout non. Je ne dois rien du tout. Personne ne semble gêné par notre petit jeu et j’ai en plus l’accord tacite de son Dom pour continuer. Et surtout je n’ai aucune envie d’arrêter. Je veux encore sentir sa langue s’enrouler autour de mes doigts, je veux encore la dévorer des yeux, la nourrir en bonne petite chienne, errer dans notre sphère éphémère, savourer ce moment simple et les milliers de sensations qui l’accompagnent. Pendant mes quelques secondes d’errements, elle n'a cessé de me regarder, je n'ai pas enlevé ma main de ses cheveux, sans doute un moyen de rester connectées. Je me rapproche d'elle et murmure à son oreille: «Continuons ma belle.» Elle me soupire un oui qui termine de me faire chavirer. Je lui souris et caresse tendrement sa joue du bout de mes doigts. Elle recherche le contact plein de ma paume. Je continue de la nourrir tout en me nourrissant moi de ses gestes, de ses réactions, et je prends un plaisir de plus en plus grand à ce petit jeu. Je me surprends moi-même à ressentir tout à coup autant de désir pour elle. A ce moment-là, je ne vois plus la chienne, ni même la soumise. Je ne vois plus qu'une femme généreusement offerte, une femme sublime dont les soupirs m'envoûtent. Et je deviens obsédée par cette vision du vin qui ruisselle sur sa peau. Ces gouttes qui glissent le long de sa peau douce. Je ne résiste plus. Je fonds sur son cou en resserrant ma main autour de ses cheveux et je goûte le vin à même sa peau. Goulûment. A pleine bouche. Je la sens se tendre immédiatement et surtout, j'entends un râle discret mais sonore. A ce moment précis, je prends sur moi pour ne pas l'embrasser sauvagement, ne pas la déshabiller là, sur le champ et assouvir mon obsession. Ce jeu devient un supplice, pour elle comme pour moi, je le sens, je le ressens. Le sourire complice que nous nous adressons pourrait le crier pour nous aux convives qui nous entourent. Nous restons ainsi, à nous sourire, à nous fixer, à respirer le désir de l'autre, à tenter de cadrer notre propre désir. La main légère qu'elle a posé sur mon genou devient une brûlure quasi insoutenable. Le temps semble figé alors que nos corps et nos esprits bouillonnent et menacent d'exploser. Je prends sa main et y pose un baiser simple. Je me relève en la laissant là à regrets et je me dirige vers son Dom. Il me scrute avec amusement, mais je sais que cette scène l'excite beaucoup et que son esprit échafaude mille et un scénarios torrides. Il sait très bien ce que je viens lui demander. Je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche qu'il s'adresse déjà à moi : « Oui tu peux. Elle en meurt d'envie autant que toi et je ne veux pas lui refuser cela. A charge de revanche Jen ! » Je le prends dans mes bras, lui dépose un merci à l'oreille et un baiser sur la joue. J'aurai le temps de réfléchir une autre fois à la revanche qu'il ne manquera pas de me concocter. Je m'arrête et je la contemple un instant. Elle si belle, toujours à genou au milieu des autres, le haut du dos parfaitement droit, le menton fièrement relevé. Elle m'attend en position de soumise. Je marche en sa direction mais mon esprit court à sa rencontre. Arrivée vers elle, je saisis sa laisse et l'entraîne derrière moi à l'extérieur de la pièce. Elle marche de façon élégante, juchée sur ses escarpins, docile. Un effleurement de main en passant à son Dom. Elle m'imite. Si elle en doutait encore, elle sait désormais que nous avons son plein accord. Je referme la porte derrière nous et la pousse un peu en avant. Je l'attrape par les hanches et me colle à son dos. Elle soupire de plus belle. « Encore un peu de patience ma douce. » Cette phrase est autant pour moi que pour elle en réalité. Je fais un détour dans la cuisine, j'attrape une bouteille et un verre à vin que je lui confie. Ce simple contact de nos doigts qui se frôlent m'électrise. Je reprends ma route, sa laisse à la main, vers l'escalier imposant de la maison.
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Par : le 11/02/19
L'endroit est juste magique, à seulement trois quarts d'heure de la maison. Un château caché au fond d'un immense parc arboré animé d'éclairages mettant en scène les plus beaux spécimens d'arbres venus de multiples continents. Le Bâtiment est imposant, cossu, richement décoré. Mélange d'ancien, de noble et de plus moderne, mais avec un goût qui ne peut laisser indifférent. On me presse pour les présentations d'usages, j'embrasse avec enthousiasme Maître Georges toujours si gentil avec nous. C'est son anniversaire, et c'est ce que l'on appelle une célébration en grande pompe. Je m’imprègne des lieux, je respire cette atmosphère particulière et m'invente des histoires du passé. Il y à de la pierre taillée que je touche, l'escalier est majestueux. En montant, je m'applique a tenir ma robe de chaque côté, je suis une princesse. Les marches sont si larges que deux couples peuvent se croiser. Des balustrades en fer forgées permettent de s'appuyer dessus et d'admirer les étages du dessous et tout ce petit monde qui fourmille, discute, se croise ou se toise aussi parfois. Je suis au spectacle, au balcon de l'opéra... allez stop Lilo, ne t'éparpille pas, reviens là, ici, dans l'instant, accrochée solidement au bras de Shape. Qu'il est beau, tout classe, en noir et bleu foncé sa badine à la main. Le thème de la soirée pour fêter ce non anniversaire sur deux jours et ce avec plus de 150 invités est "Alice au Pays des Malices". Je porte pour être raccord à mon Maître, une robe bleue foncée avec un bandeau de satin noir style année 50, en dessous un tutu noir, une paire de bas, des petites chaussures à talons et pour faire référence au chat d'Alice j'ai des oreilles sur le crâne et un masque qui me donne un air "bête", ou mystérieux, c'est selon. J'ai déjà dis bonjour à beaucoup de monde avec mon plus beau sourire, celui que je suis seule à savoir qu'il ne veux rien dire . J'admire ....encore ...aux plafonds des dorures et de lourds lustres, sur les sols des tapis immenses fourmillants de détails colorés. Les meubles sont beaux, les lits démesurés et les fauteuils en cuir invitent à tous les essayer .Je veux voir partout. Dans certaines pièces je pourrais y loger le rez de chaussez de notre chez nous, et il y à ces portes épaisses lourdes et tellement bien travaillées, je serais capable de m'y frotter. Quelques jours avant, Shape avait reçu l'invitation et m'avait demandé de répondre à un questionnaire, sur des jeux auxquels je souhaiterai éventuellement participer. Il n'avait fait aucun commentaire sur mes réponses. Il me fallait attribuer une note allant de zéro à 10. Il y avait celui de la table de black Jack : avec la mise en jeu de son soumis ou soumise pour 10 minutes aux mains du ou de la gagnante. Celui des Renardes en détresses : soumises attachées devant sortir d'une pièce en moins de 15 minutes sous peine de punition en cas d'échec. Les petits fantômes lubriques : dans une pièce plongée dans le noir, pendant 10 minutes, laisser parler les sens des mains souhaitant faire connaissance. Le défilé des soumis'(es) : défiler devant un jury après avoir été préparé (es) sur le thème de la soirée. Les œuvres d'arts :à différents moments de la soirée, être meuble ou objet de décoration utile ou non, ou simplement oeuvre d'art exposée à la vue de tous sous vitrine. Et je ne me souviens plus des autres, sûrement qu'ils m'attiraient bien moins. Je me rappelle avoir été super emballée et dans un premier temps avoir attribué la note de 9 pour le jeu de carte. Je rêvais de l’atmosphère moite et tendue dans de vieux films mafieux, les gros cigares les chapeaux qui cachent stratégiquement les regards, l'éclairage peu généreux, le tapis vert, et ce sentiment d'être misée, jouée, réclamée et utilisée tel un lot remporté. Les renardes 8. J'imaginais des tas de filles attachées à des meubles ou radiateurs, avec ce sentiment de panique car à la clef les coups à vivre. Je me suis même vu dans la situation d'avoir réussi à me détacher, et comme dans Fort Boyard, à quelques secondes de la fermeture de la grille et de pouvoir m'échapper, le deal d'aider une ou deux complices me suppliant de les sauver. Les fantômes pour leurs mystères ont obtenus 7. J'étais à devoir traverser une pièce les yeux bandés et subir différents attouchements, coups ou humiliations. Les objets ou œuvres 5, moi contre un mur, poitrine à l"air, contrainte, tenant un plateau immobile plusieurs longues minutes sans rien pouvoir faire ou dire, trop difficile. Le défilé obtint la note de 4, trop de temps à passer à se préparer en plus du stresse d’être à la hauteur et tellement de choses potentielles à louper de la soirée, sans compter le jugement et l’attribution de notes telles des bêtes à concourir, j'aime pas. Et puis je me suis ravisée, croyant voir au 9 attribué une légère tension sur le visage de Shape. "Euh, non, non attend, je change, je mets 7 au black Jack et 9 aux fantômes, c'est mystérieux et ça me fiche déjà la trouille d'avoir les yeux bandés et si c'est dans le noir on risque de bien rigoler" . Cela fait plus d'une heure que nous sommes arrivés, nous retrouvons en nous promenant, nos amis et les têtes connues et rassurantes. Nous rejoignons Louna à la table du Black Jack lorsque la salle des jeux ouvre. Elle veut remporter au moins un des lots proposés et souhaite participer au même titre que les Maîtres et Dominas présents. Après tout, il n'était pas précisé que les soumises étaient exclues du jeu, et que notre place était uniquement celle d'être misée!!! Je suis à fond. Nous allons gagner !! Elle me demande conseil pour miser. Nous sommes sur excitées toutes deux. Elle joue les jetons et moi je compte. Louna à les seins à l'air et un serre taille. Elle donne envie à un photographe d'immortaliser l'instant. Moi j'ai les fesses en l'air à quatre pattes mes genoux enfoncés dans l'assise d'un canapé en cuir noir Chesterfield, mon ventre reposant sur l'accoudoir. Shape m'observe, il s'amuse à remonter mon jupon et à caresser mes fesses à l’abri des regards, pendant que je croise les doigts sur les mises un peu folles de Louna. Elle peut remporter une femme brune bien faite de sa personne, qui se tient debout à côté de son Maître. Le lot est décrit à voix haute. J'adore! Elle porte un bandeau et entend tout des conversations qui vont bons trains autour de la table de jeu. Je sens son envie et ses angoisses et, sadique, j'en rajoute en mettant plus d'ambiance, en riant plus fort en rajoutant au suspens et en jouant des mots. Je sais aussi qu'en faisant cela je participe à faire monter son désir. La peur étant un détonateur de plaisir encore plus fort.. Alors, je reçois à intervalle régulier, les premières claques de mon Maître sur mon cul qui en réclame déjà tellement plus. Je sais déjà, que je ne serais pas des plus sage à cette soirée !!! Louna remporte la Dame aux yeux bandés et elle est invitée, un peu gênée, pour le coup, à disposer de son lot dans une autre pièce. Elle me lance "Merde, je sais pas ce que je vais en faire moi !" J'explose de rire : "Bien fait. Improvise. Tu seras trouver. Ou mets son Maître à contribution, et là Pafff tu auras gagné sur tous les tableaux ! " A cet instant avant que je ne puisse baisser mon jupon, une sensation plus cuisante, c'est abattue sur ma fesse gauche. Je me relève et regarde Shape d'un air plus que renfrogné. Alors que nous sortons de la pièce et que nous croisons le lot suivant, un encordeur est aux manœuvres avec la protégée de Maître Balthazar. Shape me fait asseoir sur une chaise et me demande de me calmer un peu et de regarder. Ma poitrine serrée dépasse de ma robe. Il me surplombe, et je sais qu'il regarde ses deux monts que je tente alors, encore davantage de mettre en évidence. En face de moi, des cordes, un portique en bambou et une jeune soumise concentrée et détendue profitant de l'instant. Respiration dosée, yeux semblants comme ailleurs. Je peux observer aussi le dos de Maître Balthazar qui veille et regarde attentivement ce corps qui s'abandonne aux laçages trop méthodiques et sans aucune poésie à mon goût. Je m'ennuie un peu. Shape le sait, mais les cordes l’intéressent, d'autant plus que nous venons de traverser un passage pénible tous deux lors d'une séance de bondage à la maison. Un moment de panique mal géré de part et d'autre. Le corps de la soumise s'envole et son Maître peut alors vérifier si elle apprécie. 15 minutes pour moi sans action. Cela commence à être long. Shape me sourit, et me caresse alors les seins, il les sort d'avantage du décolleté " Ne bouge pas, regarde" alors la badine vient percuter gentiment et amoureusement ma poitrine qui gonfle à mesure et prend de la couleur. Je ne bouge pas, je regarde et moi aussi, à mon tour, je contrôle et respire. Nous sommes sur le balcon, là ou le passage se fait . Mais personne ne voit cet instant complice. Et que c'est bon. A ma droite, plus loin, une soumise se fait punir. Elle est nue agenouillée sur un fauteuil les mains en l'air contre une fresque au mur, son rosebud bien en place. Son Maître crie et gesticule. Il fait le show. Ma poitrine s'allume, elle me brûle littéralement, lorsque j'apprends le pourquoi de ces immenses coups sur son postérieur : " Chienne, la prochaine fois, lorsque je te demanderais de te caresser, qu'il y ai du monde ou pas, le feras tu? " ..... Et moi, je pourrais le faire ça ?? .... "Aie Aie Aoutch Shape !" Mes yeux sont mouillés, je verse une larme sans un bruit. Les caresses apaisantes finissent par calmer la morsure de cette badine métronome. Mon décolleté me fait penser aux culs rouges de certains babouins, c'est pas trop la classe, mais je souris et j'apprécie. A gauche deux Domina magnifiques préparent leurs soumis tenus en laisse à recevoir le fouet. Elles vont en jouer à quatre mains et sortent leurs instruments avant de s’entraîner face à face. Eux attendent, ils sont habillés de cuir, leurs torses sont restés en parti nu ainsi que leurs fesses et sexes encagés. Ils n'ont d'yeux que pour leur Maîtresse. Jusqu'à ce que Maître C fasse exploser ses fouets non loin de nous. C'est un passionné de cet instrument, ses créations sont des bijoux que je n'ose toucher qu'avec les yeux. De véritables œuvres d'art. Le bruit est plus que percutant et me fait sursauter à chaque fois.Je me demande à quel point, il ne fait pas exprès d'en faire la démonstration à cinq mètres à peine de mon visage. Shape s'est d’ailleurs légèrement déplacé et me bouche un peu la vue. Ce mûr du son est si éclatant, qu'il va nous rendre sourd. Un des soumis est alors placé dans un carcan en fer forgé extrêmement bien travaillé et riche de détails. C'est Maître C qui l'a également conçu. Il administre ensuite quelques coups de fouet longs, certains forts appuyés, avant que ce ne soit au tour des Dames. La séance s'arrête très vite lorsque la Maîtresse du soumis se rend compte que sur l'un des coups administrés par Maître C, une blessure laisse perler le sang de son protégé. Elle ne semble pas contente du tout. " Oh Ca va, c'est un bonhomme, il est pas en sucre ! " C'est tout ce que j'entendrais car Shape me demande de le suivre pour aller dîner. Je me lève et tout en marchant, je peux apprécier la vision de cette belle Domina au corps vinyle et à la longue queue de cheval blonde ,agenouillée aux pieds de son soumis en train de le panser de la façon la plus délicate qui soit. Cela me touche. A table nous discutons avec un couple très sympa et je retrouve Louna et Maître Balthazar. Louna me dit que pour finir la soumise était Switch et qu'au bout de quelques coups administrés sur son postérieur, elle à failli s'en manger une. Alors elle les a bien vite laissé jouer entre eux. Une bagarre manque d'éclater sérieusement derrière nous. C'est une scène animale ou les femelles s'en mêlent pour défendre leurs mâles La bêtise sur dosée en testostérone atteint ceux qui se disent grands et forts, pour peu qu'une histoire de couleur ou de frisure de cheveux s'en mêle !!! . Que c'est dommage, moi qui nous imagine tous égaux dans ce monde qui tend à faire oublier presque totalement nos complexes individuels créés et nourris par une société faite pour l'élite, les biens pensants, le pognon, le blanc, le fin etc etc .... Je suis mal à l'aise, je tremble un peu. Je crois que j'ai envie de partir. Shape et d'autres tentent de calmer les énervés et de faire redescendre les tensions. C'est à cet instant que Max m'invite à participer, après validation de Shape à l'instant "des petits fantômes ".... Shape lui précise "je vous la confie", il m'embrasse et me dit qu'il sort fumer une cigarette. Me voilà toute seule au bras de Max. Je le trouve très attirant, il à l'âme bienveillante et fort joueuse. Je suis à la fois emballée, heureuse et anxieuse. Il le sent et me prend alors la main pour me la serrer plus fort. Impossible de feindre le calme, alors je commence à lui poser dix questions à la seconde. Il me répond uniquement," suis moi, je vais tout t'expliquer"....
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Par : le 31/01/19
Ce récit est extrait du Blog de Mlle EMILIE. " J'écris pour témoigner sur ma condition d'homme soumis, afin d'expliquer ici mon réel bonheur à servir et aimer une femme en choisissant délibérément la soumission. Beaucoup d'hommes en effet ne comprennent pas, ou ne veulent pas comprendre mon attitude et ma dévotion envers la Femme que j'ai choisi d'aimer. Et je dis bien choisi, car ce n'est ni par contrainte ni par faiblesse que j'ai décidé d'obéir à celle qui est devenue ma Maîtresse, mais simplement par amour et par passion. Et en m'abandonnant à elle, c'est le bonheur que j'ai découvert. La soumission n'est pas une prison, ou alors avec la porte grand ouverte car aujourd'hui, rien ne m'empêche de partir. Mais quand on a découvert le bonheur, le plaisir et la sérénité, on n'a plus envie de le quitter. C'est aussi simple que ça. L'abandon de soi n'est pas un sacrifice,mais un acte d'amour. Quel autre plaisir aussi fort peut-il y avoir que de rendre une femme heureuse ? Car ce que j'ai découvert dans l'évolution de notre relation domination soumission, c'est qu'en donnant beaucoup à ma Maîtresse, je recevais dix fois plus d'amour qu'avant. Ma Maîtresse ne m'aime que davantage devant mon amour pour elle. Et depuis que je la sers et lui obéit, elle est beaucoup plus attentionnée à mon égard, plus câline, plus amoureuse. Notre relation s'est trouvée enrichie. Alors aujourd'hui, pour rien au monde je ne voudrais quitter ma douce vie d'homme soumis, pour retrouver la vie de couple monotone de monsieur et madame tout le monde qui finit souvent par une séparation après tant de déboire et de chamailleries. Que de temps perdu inutilement, et quel dommage de passer à côté du bonheur qui souvent nous tend les bras. Bien sûr, j'imagine que certains hommes en me lisant doivent être sceptiques, et se demandent comment on peut trouver le bonheur en étant un esclave. C'est justement que je ne suis pas un esclave, comme beaucoup de gens ont tendance à penser quand on parle de domination. En effet, beaucoup de gens parlent sans savoir, et dès que l'on prononce le mot soumission, beaucoup y perçoivent immédiatement le côté dégradant et vulgaire. Alors qu'il n'en est absolument rien. La relation de Maîtresse soumis n'est pas une relation de force ni un abus de pouvoir, c'est en fait un échange, ou chacun occupe sa place qu'il a librement choisie. C'est une relation d'amour qui ne peut évoluer que dans le respect mutuel, et quand on a compris ça, on peut enfin entrevoir le bonheur qui se propose à nous. Aujourd'hui, je suis un homme parfaitement épanoui, et cela grâce à la Maîtresse merveilleuse qui saura me guider. Chaque jour je vais travailler, je peux voir mes amis et ma famille aussi souvent que je le veux, je peux faire du sport et sortir pour me détendre comme c'est le cas pour beaucoup d'entre vous. La seule chose qui change avec tous les autres couples, C'est que la femme domine. Et je dois dire aussi qu'aujourd'hui, j'y trouve beaucoup d'avantage. Beaucoup plus que dans une vie dite " normale ", où l'homme doit sans cesse prouver et décider. Mais bien sûr on ne devient pas soumis en quelques jours. C'est un long cheminement, une progression lente avec beaucoup d'amour et de complicité. Il faut d'abord aimer la Femme avant de vénérer sa Maîtresse et que celle-ci aime d'abord son homme avant de dominer son soumis. Sans respect mutuel, sans amour et sans complicité, cette relation n'a aucune chance d'aboutir. Il n'était nullement question de domination. On s'est aimés comme n'importe quelle couple, partageant amour, plaisir, et complicité. Cela a commencé lentement. D'abord par notre vie sexuelle. Ma femme n'avait rien de la femme qui s'allonge sur le dos et qui attend que l'homme lui donne du plaisir, alors tout naturellement, dès les premiers instants elle prit les initiatives. Si cela m'a un peu perturbé la première fois, je dois dire que je me suis habitué très vite. Car c'était très plaisant pour moi. Je n'avais rien du macho de base qui se sent obligé de jouer les hommes virils en montrant sa puissance. Toutes les autres femmes que j'avais connues avant ma femme étaient plutôt du genre à attendre, à me laisser toutes les initiatives. Et je dois avouer que si cela ne me déplaisait pas, je n'éprouvais pas pour autant une grande satisfaction à diriger. Et pour tout dire, je trouvais à l'époque que faire l'amour n'avait rien de bien transcendant. Cela me plaisait, mais sans plus. Alors quelle différence avec une Maîtresse femme ! Le fait de faire l'amour avec une Femme active qui assumait pleinement ses désirs fut une révélation pour moi. En la laissant prendre les initiatives, elle me fit découvrir tout le bonheur à faire l'amour. Elle jouait avec mon excitation, faisant monter mon plaisir, avant de le freiner pour mieux le laisser rejaillir. Et quelle force dans la jouissance quand vous ne la contrôlez plus. Quel plaisir de se laisser bercer, caresser, cajoler. Je découvris grâce à elle ce que voulait dire faire l'amour. Les Femme sont une vraie connaissance et une vraie sensibilité à l'érotisme, à la sensualité, à l'amour. Et je découvris en même temps le plaisir qu'il y avait, non pas à obéir, mais à se laisser guider. Car comme je lui laissais les initiatives pour mon plus grand plaisir, elle m'indiquait ce qu'elle aimait elle. Je me laissais faire, et comme elle me donnait tellement de plaisir, c'est avec bonheur que je répondais à ses demandes. Je crois qu'inconsciemment, c'est là que j'ai pris conscience du plaisir à donner, à offrir, à me laisser guider. Plus de questions à se poser, plus de réponses à trouver, plus de pression. Je n'avais plus besoin de réfléchir sur comment rendre ma Femme heureuse. Elle m'indiquait où était son bonheur, et moi je me soumettais volontiers, et lui offrais ses désirs pour la rendre heureuse.Quel plaisir et quel confort de s'abandonner à ses désirs. Je n'avais jamais éprouvé un tel sentiment d'importance, de bonheur et de liberté. Pour le reste, tout a été lent et progressif. Mais néanmoins, le plaisir de me laisser guider, d'être soumis à ma reine se fit encore plus présent et plus évident. Je me sentais bien, et j'avais envie de la rendre encore plus heureuse, d'être un homme protecteur et attentionné. Je voulais veiller sur elle, sur son bonheur. Alors naturellement, comme elle rentrait tard du travail, je me mis à préparer le repas, à mettre la table et la servir. Ses yeux étaient brillants chaque soir, et je savais que cela la rendait heureuse de trouver le dîner prêt à son retour à la maison. Et il était naturel pour moi qu'elle se détende après une dure journée de travail. Un dimanche, alors que je débarrassais la table, je surpris ma femme en train de commencer la vaisselle. Sur le moment, je fus surpris. Et cette image me déplut. Je me suis alors approché de ma femme, je l'ai enserré amoureusement,et gentiment, je lui ai retiré ses mains du bac à vaisselle. Tendrement je lui ai alors glissé à l'oreille qu'elle n'avait pas à faire ça, que j'étais là et qu'elle devait plutôt se détendre et profiter de son dimanche. Son sourire était radieux et j'étais heureux de pouvoir lui offrir tant de bonheur. A partir de ce jour, je me mis naturellement à m'occuper de la maison. Ma femme ne me dominait pas encore comme elle le ferait aujourd'hui, mais il devenait évident pour moi que je m'occupe des tâches ménagères. J'admirais ma femme, qui n'était pas encore ma Maîtresse mais que je commençais à voir comme telle. Et naturellement, cela devenait inconcevable pour moi que ma femme, travaillant dur la semaine, fragile, tendre et amoureuse, fasse ces choses-là pendant son temps libre. Je voulais la décharger de tous ces petits soucis du quotidien. Je voulais qu'elle se détende, qu'elle soit heureuse. Les jeux de domination soumission se sont développés comme une suite logique. Cela a commencé en douceur. J'avais toujours eu un petit faible pour les pieds des Femmes. J'étais en quelque sorte sans vraiment le savoir un fétichiste des pieds. Et un jour naturellement, alors que ma femme rentrait du travail, épuisée après de long moment de marche, je me proposais du lui retirer ses chaussures et lui faire un petit massage des pieds pour la détendre. Et comme elle appréciait beaucoup, je recommençais ainsi chaque jour pour son plaisir. Et une fois, sans vraiment m'en rendre compte, je lui fis un petit bisou sur le pied. Elle a souri immédiatement, me disant que c'était très agréable d'avoir son homme à ses pieds, et de se les faire embrasser. Ce qui était un simple petit jeu, est devenu par la suite un rituel auquel je prenais moi aussi beaucoup de plaisir. Alors chaque soir, c'était devenu un moment incontournable. Quand ma femme rentrait du travail, elle s'asseyait dans le canapé, et je venais tout naturellement la déchausser, et les petits bisous du départ sont devenus de gros bisous, et une véritable vénération pour ses pieds. Je prenais chaque soir un grand plaisir, et je dois avouer qu'avec l'habitude, c'était devenu un rituel dont aucun de nous deux ne voulait se passer. Comme je l'ai dit plus haut, tout se fait dans le respect mutuel et dans la complicité. Car sinon rien ne pourrait se passer. Et si tout est concentré en quelques lignes, je rappelle qu'il faut du temps, et que cette relation ne se développe qu'avec la patience et au fil des mois. Mais bien sûr, ici je suis obligé de regrouper les événements. Bien plus tard, alors que ce petit rituel durait depuis plusieurs mois,ma femme est un jour rentrée avec de jolies et longues bottes en cuir noir. Je l'ai d'abord félicitée sur leur beauté. Je la trouvais plus belle encore. Plus femme. Mais lorsqu'elle s'est trouvée assise et que je m'apprêtais à lui retirer, elle m'arrêta avec un sourire. Elle s'est juste contentée de me dire "embrasse les avant, fais-moi plaisir ". Je ne fus pas vraiment surpris de cette demande, et comme dans un rêve, sans vraiment chercher à comprendre, je me suis penché et avec amour j'ai embrassé ses bottes. Elle m'a demandé ensuite de me mettre nu pour le faire. Ce qui m'a gêné à ce moment-là, ce n'était pas vraiment d'être nu, mais plutôt de lui montrer ma belle érection. Car cela m'excitait énormément. Je ne pouvais donc plus lui cacher davantage mon trouble à être à ses pieds et lui embrasser ses bottes. Je dois avouer qu'à cet instant, ma crainte était plutôt de la décevoir. Mais devant son énorme sourire, je fus immédiatement rassuré. A partir de ce moment-là, chaque jour je me mettais nu pour la recevoir, et c'est avec un immense plaisir que je lui embrassais ses chaussures avant de lui retirer. Ma femme n'ordonnait pas, ne me forçait pas. Elle me guidait juste dans le plaisir de ces jeux. Elle m'éduquait avec subtilité et tendresse, pour me faire progresser à ma vitesse, vers un jeu où nous prenions beaucoup de plaisir. Et c'est avec une grande joie que j'accueillais à chaque fois ses nouvelles idées. C'est le collier qui est arrivé ensuite. Ma femme savait me présenter les choses, en utilisant les allusions bien placées. Et un jour, alors que je lui embrassais ses escarpins, je l'entendis me dire que je serais certainement plus beau avec un collier, et que cela devrait m'aller très bien. Pendant quelques jours, je me demandais ce qu'un collier pourrait apporter de plus. Comme d'habitude, ma femme ne m'imposait rien. Elle se contentait de me suggérer les choses, et elle me laissait le temps d'y réfléchir, d'y penser librement. Et lentement dans ma tête, a germé la notion de symbole fort. Un symbole d'appartenance dans la complicité, dans l'amour. Une sorte d'alliance qui montre à la personne aimée à quel point on l'aime. Je me suis rendu compte du merveilleux cadeau que je pouvais lui faire. Et c'est donc moi, un samedi après-midi, qui ai formulé la demande pour aller acheter un collier. Nous l'avons donc choisi ensemble. Et le soir même, j'éprouvais une grande fierté à le porter pour elle. Ma femme était ravie. Ce fut, je dois le dire un grand moment qui restera gravé dans nos mémoires. Et sans m'en rendre compte, je me suis aperçu que je ne le quittais plus. C'est ma femme qui me le fit remarquer. Un peu surpris, et ayant peur de la décevoir, je lui demandais alors si cela lui déplaisait. Elle me répondit avec un grand sourire qu'au contraire, cela lui plaisait beaucoup, et qu'elle était heureuse que je lui montre mon bonheur en portant ce collier. Quelques semaines plus tard, c'est la laisse qui vint pimenter nos jeux. Je découvris alors le plaisir de la promenade avec ma femme. Depuis quelques temps déjà, elle s'amusait à me faire marcher à quatre pattes, me disant qu'elle me trouvait très beau et que c'était très excitant à voir. Alors dès qu'il y avait quelque chose à aller chercher, j'y allais à quatre pattes pour faire plaisir à ma femme. La laisse est donc venue naturellement. Si le collier est un symbole d'amour et d'appartenance que j'aimais porter, la laisse représente un autre symbole. Celui qui nous relie ensemble physiquement. Quand ma femme me tenait en laisse, c'est son amour qu'elle tenait fort près d'elle pour que personne ne lui prenne. Et je me sentais fort, important, aimé et respecté. Les choses ont évolué petit à petit, comme une progression normale, sans jamais que je ne sois forcé ni contraint. Mais ce qui était acquis devait le rester. Et c'est comme ça que la notion de punition est arrivée. Elle aussi, naturellement. Quand ma femme me trouvait un peu mou ou peu enthousiasme, elle avait trouvé la solution de m'envoyer au coin pour me motiver. Et en revenant,je me sentais encore plus soumis, ce qui l'a rendait heureuse. Je dois même avouer, que non seulement ces punitions me faisaient beaucoup de bien, mais aussi que parfois je les provoquais pour vérifier son amour. Puis, nos jeux ont évolué et vont donc beaucoup plus loin. Ma femme a su m'éduquer pour faire de moi un parfait soumis à son plaisir. J'ai progressé, pour mon bien et pour notre bonheur, et à chaque fois, ses nouvelles idées me transportent de plaisir car je sens vraiment ma femme heureuse et épanouie. Alors comme je le disais plus haut, qu'y a-t-il de mieux dans la vie que de rendre sa Femme heureuse ? Dans la relation femme et soumis, le jeu est important, et je dois dire que ma femme aimait particulièrement jouer avec moi. Bien sûr, certains hommes en me lisant peuvent être surpris à la lecture de certains actes ou certaines positions que je suis amené à faire pour notre plaisir. Mais il faut replacer les actes dans leurs contextes, car en les lisant comme ça, à froid, on peut les trouver ridicules. Mais quand on est soumis, et que notre femme nous domine avec amour, tout cela se fait naturellement. Par exemple, ma femme aimait particulièrement me promener à quatre pattes. Et un jour, pour pimenter le jeu, elle a posé devant moi un bol d'eau fraîche. Dans le contexte, j'ai trouvé cela tellement naturel que j'ai bu l'eau en lapant sans me poser de questions. Ma femme était fière de moi, et la récompense fut grande et intense pour moi. Et logiquement, après quelques semaines où je prenais l'habitude de boire dans mon bol, ma femme me fit manger à ses pieds, dans une gamelle. Je dois avouer que la première fois, je fus assez hésitant et elle dut m'encourager pour prendre mon repas complet à ses pieds. Mais aujourd'hui, c'est un véritable plaisir. Et comme je ne le sais jamais à l'avance, à chaque fois que je vois ma gamelle sortie dans la cuisine, je suis toujours très impatient et très excité à l'idée de manger à ses pieds après une bonne promenade. La sodomie est aussi arrivée comme une logique. Ma femme m'avait déjà suggéré son envie de me faire l'amour ainsi. Alors, pour lui faire plaisir, je lui ai offert moi-même à un Noël un gode ceinture. Elle fut très heureuse de son cadeau. Depuis, elle prend un plaisir immense à me faire l'amour. Elle m'a sodomisé toujours avec douceur, écoutant avec passion mes gémissements que je lui offrais par la pénétration. Au début, comme tous les hommes qui pratiquent la sodomie, j'avais quelques craintes. Mais bien vite, grâce à la tendresse, la patience et le savoir-faire de ma femme, mes peurs ont vite disparues pour laisser place à un plaisir commun. Notre vie sexuelle se trouva vraiment enrichie et très excitante à vivre. J'ai pris du plaisir comme jamais auparavant une femme ne m'en a donné. Ma femme ma fait toujours découvrir de nouveaux jeux, dans l'amour et le respect mutuel, ce qui est la base de notre relation. A travers ce témoignage, je voulais simplement, non pas faire l'apologie de la soumission, mais essayer d'éclairer certains et certaines d'entre vous sur le bonheur qu'il peut y avoir à se laisser dominer. Je voulais juste essayer d'expliquer que c'est avant tout une relation d'amour. Je me suis décidé à écrire mon histoire, parce que beaucoup trop de gens confondent les jeux de soumission dans le couple, avec le SM, ou la domination par intérêt, par perversion ou par dépendance. Dans une relation telle que la nôtre, il n'y a que de l'amour, de la complicité et un grand respect. Aujourd'hui, je suis un homme malheureux. Je ne suis ni un esclave, ni une machine qui obéit et qui n'a pas le droit à la parole. Trop de gens ont tendant à faire l'amalgame entre être soumis, et être une espèce de bête de foire qu'on enchaîne à la cave. Je voulais juste remettre les choses à leur place et montrer que la soumission peut être un merveilleux rêve éveillé. A l'heure où je termine d'écrire ce témoignage ma femme est décédée. Depuis 20 ans. "
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Par : le 21/01/19
Janvier 2019 Après une pause forcée l’an dernier, nous avons repris nos bonnes habitudes pour passer ensemble les derniers jours de l’année, et entamer 2019 côte à côte. Nous songions depuis quelques temps déjà à fêter nos dix ans de domination-soumission. Après quelques délais qui ont néanmoins permis à l’idée de maturer, le jour est venu. De mémoire, nous n’avons probablement jamais eu autant de préparatifs mais il faut reconnaitre que cela en valait la chandelle. Oui je sais, c’est limite un peu trop facile. Tu me fais étendre sur le flanc devant un miroir. Auparavant tu as paré ma fesse droite d’un joli smack et d’un dix au centre d’un cœur. J’aime beaucoup le symbole. Désormais, il faut que je bouge le moins possible. J’essaie même de moduler ma respiration au mieux. Pendant ce temps, tu commences à déposer des bougies, un autre cœur devant moi au sol, mais surtout dix perchées en équilibre instable sur la crête de mon flanc. Au son de ta voix, je comprends que le résultat est réussi, à la hauteur de tes attentes et de ton imagination. Nous passons ensuite à une série de clichés en duo où je suis humblement agenouillé à tes côtés. J’aime aussi ces moments-là, un genre de calme avant la tempête. Mais un sympathique et agréable calme tout de même. Il ne faudrait pas oublier de souhaiter nos vœux. Tu sais que j’adore te servir d’ardoise pour toutes sortes de mots. Alors ce soir, tu ne saurais t’en priver : quelques mots traditionnels sur mon torse ainsi qu’un petit ruban rouge et une clochette au bout de mon sexe. Et gare si elle tombe ! Si tu me débarrasses de la cagoule, je retrouve rapidement le tapis gracieusement agrémenté d’un coussin pour poser ma tête. Installé sur le dos, tu me forces à replier les jambes pour pouvoir nouer ensembles chevilles et poignets avec mes propres cravates. Tu viens de leur trouver une nouvelle vie. Visiblement, elles ont l’air plutôt efficace. Ce n’est pas le cas des anneaux d’électrostimulation. Nous avons dû louper quelque chose étant donné que les patches fonctionnement bien. Ce n’est que partie remise, une fois que nous aurons compris. Au départ, ils devaient simplement te servir de test. C’était mal te connaître. Ils sont bien en place. Aujourd’hui tu m’imposes l’effet aiguilles. Toujours aussi sensitif vu comme je commence à me tortiller. Mais ce n’est encore rien. Quand je t’entends farfouiller, je me demande bien ce que tu vas brancher. C’est de tout autre chose qu’il s’agit. La sonde qui m’avait bêtement inquiété reprend du service. Après un très léger picotement initial, très vite dissipé, je retrouve cette sensation si surprenante. Je pensais que tu avais coupé les impulsions électriques. Bizarrement, je ne les ressens que quand tu changes les réglages. Comme si mon esprit était totalement focalisé sur la sonde. Car c’est une chose étonnante, déroutante mais au final l’extase. Elle finit par rentrer comme dans du beurre. Si tu tournais la tête trop longtemps, elle pourrait presque disparaitre. Mais la sensation la plus incontrôlable, et à la fois la plus excitante, est cette impression que je suis en train de me vider sans fin d’un chaud liquide … Et pourtant rien ne coule sur mon ventre. Cette fois, je gigote de plaisir, du moins dans la limite des mouvements qui me sont possibles. Tu t’amuses aussi à jouer avec les billes de la tige à travers mes chairs. Quel divin moment ! J’y deviendrais presque accro. Et à voir ton petit sourire, j’ai l’impression que toi aussi. Quelle diabolique invention que tu as vite prise en main. Toutes les bonnes choses ayant une fin, tu me retires patches et sonde mais je reste toujours tel un crapaud sur mon tapis. Je comprends que la position cuisses écartées soit tentante. Surtout pour t’amuser avec une grosse bougie dont tu prends un malin plaisir à faire couler la cire un peu partout sur mon sexe. Quand tu estimes qu’il y en a suffisamment, tu passes à l’étape suivante. Je finis par voir passer une cravache au-dessus de moi. Après le cirage manuel, tu as donc opté pour le décirage cravachier. Autant te dire que je sens par où ça passe. D’ailleurs mon coussin se refait la malle une nouvelle fois. Et je sens voler des miettes de cire tout autour de moi. Par contre, je crois rêver quand tu me demandes, un peu plus tard, de me mettre sur le côté. C’est mal barré toujours contraint que je suis par les cravates. Mais si, c’est bien ce que tu veux ! Et quand Maitresse veux …. Non sans difficulté, je me roule lamentablement sur le flanc gauche en quasi position fœtale. Je crois reconnaitre le large « baiser » d’une raquette, sûrement celle que tu viens d’acheter. Neuve mais particulièrement efficace. J’ai rapidement le fessier sensibilisé. Ce n’est qu’un début car commence alors un festival de martinets. Tu t’en donnes à cœur joie avec le quarante brins désormais à la bonne longueur. Je sens claquer les lanières du bas des fesses au ras du cou. Il est nettement plus efficace ainsi. D’ailleurs j’ai l’impression que je me recroqueville de plus en plus sous la pluie de cuir. Je ne risque pas de prendre froid de ce côté-là : je sens une douce chaleur se dégager de mon postérieur. Le moment est venu de me libérer de mes liens. Ils auraient gêné pour la suite. Direction le lit avec la cagoule. Je n’ai aucun doute sur ce qui m’attend. Tu m’as montré précédemment ton tout dernier jouet, un fouet court que tu trouves mordant. Je sens voler sa lanière un peu partout. Tantôt elle s’enroule devant moi, tantôt elle vient me mordre au creux du dos. Je m’interroge sur ta manière de faire pour m’attraper le pied dans le même mouvement. Les chairs sont vivifiées. Un peu plus tard, j’ai l’impression que deux lanières se sont enroulées autour de moi, une de chaque côté, mais je pense rêver. Sauf que non ! Quand tu me demandes si j’ai distingué les trois fouets différents, ce que je n’ai pas réussi à faire, tu m’expliques tout ça. Et tu en profites pour recommencer une série avec chacun d’eux. Je crois que j’aurais encore besoin de leçons. Les enseignements ne rentrent pas bien. En revanche, je reconnais bien la morsure nette de la petite canne qui vient peu après alors que tu m’as demandé de m’accouder sur le lit. Le thermostat de mon postérieur monte encore d’un cran. Je me trompe peut-être mais j’ai le souvenir que tu l’utilises plus longuement que les fois précédentes. Il faut dire qu’elle mord très vite. Par contre, impossible de distinguer ce qui vient après. Peut être une bande de cuir ? Tu me confirmeras que c’était simplement la grosse canne. Mes capteurs devaient commencer à fatiguer… Tu me demandes de rester dans cette position. Je t’entends préparer quelque chose derrière moi. J’ai une petite idée vu ce que tu m’avais dit et la position qui est la mienne à ce moment-là. Mon hypothèse se confirme quand tu me demandes de reculer pour me rapprocher du bord du lit. Sans trop de préliminaires tu m’enduis de lubrifiant et tu présentes ton nouveau gode ceinture. Il rentre assez bien. Et surtout il procure de bien meilleures sensations que le précédent. Rapidement tu commences à me pistonner. Tu m’agrippes aux hanches et tu ondules en moi. Je crois qu’à ce moment-là mes gémissements témoignent du moment de félicité et de bonheur que tu es en train de me procurer. En même temps, je sens que je m’aplatis petit à petit, probablement pour en profiter encore plus. J’en avais longtemps rêvé, je ne l’espérais plus et là, quelle apothéose ! On doit certes pouvoir encore mieux faire mais nous avons désormais de bonnes bases. Quel pied ! Et tu finis même en me griffant les fesses tout en t’immisçant en moi…. Après t’être retirée, tu conclus par quelques griffes sur mon dos, toujours autant génératrices de frissons le long de mon échine. Je n’ai toujours pas bougé de position. Je reste ainsi de longues minutes, toujours cagoulé, à tel point que tu penses que je suis en train de m’endormir. Non, j’étais juste en train d’atterrir… Suite à une bonne pause, bien méritée, je t’expose mon envie de faire des photos de toi équipée de ton gode-ceinture. J’imaginais ça pour une prochaine fois vu que je n’avais aucune idée de la tenue qui pouvait être appropriée, sauf que tu me proposes d’y retourner. C’est ainsi que je m’éclate comme un petit fou jusqu’à une heure avancée de la nuit, les idées de poses venant au fur et à mesure. C’est peut être basique, mais c’est quelque chose que j’avais envie de faire, alors merci d’avoir joué le jeu.
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Par : le 13/01/19
En ce dimanche après-midi, nous sommes invités à une séance d’initiation chez ce nouveau dominateur que nous avons rencontré récemment. Arrivés dans son donjon, il traîne une lourde caisse qui attise ma convoitise. Et il ouvre sa boîte de Pandore : je risque un œil et aperçoit plusieurs colliers et bracelets en fer. Le métal luit froidement et déjà ma peau frémit à l’idée de porter ces bijoux. Première surprise, le collier est lourd, glacial évidemment, il pèse sur ma nuque et j’entends le cliquetis du mécanisme se refermer sous mon menton. Puis Maître Pascal me demande de tendre mes bras et me pose les tout aussi lourdes menottes. Je suis fascinée par la brillance de ses objets, je n’en ai jamais vu de pareils. Il me demande de poser un pied sur le divan et menotte mes chevilles, reliées par une chaîne, je ne peux me déplacer qu’à pas très mesurés. Il place maintenant une ceinture de fer autour de ma taille et la cadenasse, sous le regard de mon Maître, je le sens très observateur. Hypérion s’approche de moi, pose un baiser de propriétaire sur mes lèvres et recouvre mes yeux d’un bandeau. Mon souffle ralentit. Je n’ai pas senti le coup arriver, presque une caresse. Cravache. Le cuir effleure mes bras, glisse sur mon dos et s’abat sur le rebondi de mes fesses. Je pince mes lèvres. Pas bouger Salomé. Deux doigts viennent agacer mon téton, le tordre, ma respiration devient plus courte. Les yeux bandés je ne sais qui effleure mon épiderme. Je ne sais quelle main tient telle badine ou tel fouet. Cette sensation d’inconnu me plonge dans un abîme de volupté. J’entends mes deux dresseurs comparer les jouets étalés devant eux, ils choisissent soigneusement, je ne suis déjà plus vraiment dans cette pièce, suspendue aux sensations, délice, douleur, je ne sais plus, mais j’en veux encore. Et plusieurs lanières lèchent ma peau , pas de répit le fouet claque et m’arrache un cri. La douleur, cuisante brûle ma cuisse, comme une épine, elle reste là, s’attarde, s’enfonce, pénètre … Maître Pascal me guide vers une de ses créations, il me place dos contre une barre. Mes bras sont tirés en arrière attachés et la corde se tend, je suis arc-boutée ,le métal des menottes mord ma peau, je laisse échapper un gémissement sourd. Mais une autre surprise m’attend : notre hôte dévisse un écrou et fait coulisser une pièce qu’il remonte entre mes cuisses, je touche à peine le sol, les pointes de mes pieds effleurent le plancher, ma vulve repose sur cette traverse. J’aimerais pouvoir adapter ma position, ma chair se coince et cela devient rapidement insupportable, l’air a du mal à arriver dans ma poitrine. Je ne sais pas combien de secondes il me reste avant de perdre connaissance. On me fait descendre,je reprends mes esprits. Maître Pascal disparaît dans une autre pièce avec Hypérion et ils reviennent poussant un étrange attirail. Sa dernière invention ,que je vais avoir l’honneur d’étrenner la première. Mon œil est immédiatement intrigué par un gode, en fer, de belle taille, dressé à l’horizontale comme une lance. Je suis mise en position, à plat ventre sur une planche montée sur roues. Le génial artisan de cet engin diabolique replie mes jambes et pousse mes chevilles dans des anneaux en acier. Je réalise que les deux autorités qui m’entourent me demandent de m’insérer dans cet appendice que j’appréhende. Comment ?! Je vais devoir …m’empaler ? Cela me semble impossible. Je suis toujours entravée, je me contorsionne comme je peux, repousse le sol avec mes mains et je sens le levier pénétrer ma chair, sous l’approbation de mes dompteurs. Mes bras sont maintenant tirés en arrière, je comprends qu’ils vont aussi être immobilisés ,enfilés dans les arceaux que j’ai aperçu tout à l’heure. Ils sont mes croupiers, je ne suis plus que la boule qu’ils jouent, jettent et font rouler dans une course folle sur la roulette lancée à vive allure. Et ils redoublent d’imagination : Maître Pascal fixe un deuxième gode puis il me fait doucement et fermement coulisser vers l’arrière pour présenter mon orifice anal vers l’instrument. Oh…My… God !!!! Mes deux douces cavités, humides, quel délicieux supplice ! Je suis stupéfaite par la maîtrise des ordonnateurs, alors que je suis dans un état d’excitation torride. Et ils font ainsi tourner cette planche ,m’exposant ,tour à tour côté face puis pile à chaque œil dominateur. Mais voilà qu’ils décident de changer de jeu. Je m’extirpe , mes chairs s’étaient resserrées autour de cette redoutable arme qui a pris la température de mon corps, j’ai presque du mal à m’arracher. Viens… me dit le Maître du donjon et nous montons encore un étage dans sa tour. Là-haut, au centre de la pièce m’attend un chevalet, il m’ enjoint de me mettre à quatre pattes ,coudes au sol, attache ma taille au support, incline ma gorge vers un étau. J’entends les pas d’ Hypérion dans l’ escalier et je sens son sourire approbateur lorsqu’ il découvre ma posture . Ma croupe est offerte à ses mains, à ses moindres désirs , à ses rêves pervers…. Je me délecte dans le miel de ce suave instant, sensualité féroce. Son compagnon de jeux fixe mes poignets à la barre au sol. Livrée……
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Par : le 26/12/18
un petit lexique des surprenantes rencontres virtuelles faites ici ou là ! cela fait deux ans que je me suis lancée dans cette drôle de recherche, de vivre une relation bdsm suivie avec un partenaire bienveillant, conscient de ses droits et de ses devoirs et pour lequel je serai prête à me livrer corps et âme . j'ai rencontré pas mal de personnes, virtuellement et réellement . beaucoup de ces échanges furent enrichissants, mais beaucoup d'autres furent juste con-sternants ! heureusement, il existe des gens biens, des doms aussi ;-) mais de ces échanges avec ces autres, je voulais en parler, histoire de repartir dans cette recherche la tête un peu plus légère. cet écrit est juste le fruit de mon expérience, elle ne vaut que pour moi, elle est aussi liée à ma sensibilité et ma recherche. par avance je m'excuse si j'offusque quiconque ici dominant ou soumise. si d'autres souhaitent compléter cet écrit, ma foi, j'en serai ravie - le graveleux en général, ce spécimen commence l'échange par un verbiage du genre "droit au but" exemple : tu suces, tu avales, tu aimes te faire enculer .... (désolée, j'ai corrigé les fotes d'aurtografes !) réaction épidermique (voir épidémique !) en ce qui me concerne, je leur renvoie leurs questions en ajoutant que j'adore fister le cul de mon dom avant une bonne séance, histoire de se mettre en condition résultat : ils s'en vont, YES !!!!! - les sûrs (quoique "sur") d'eux (deux) au commencement : je suis maître bidule, je pratique depuis 15 ans, je recherche ma prochaine soumise , elle doit être un mouton de Panurge et en plus fermer sa gueule, merci (ah non, le merci, y peuvent pas le dire, ils sont trop haut perchés pour s'abaisser à de telles banalités d'usage réaction : je suis désolée ô grand maître tout puissant, mais je ne pratique pas tel truc (pourtant, j'en pratique pas mal, mais bon !) s'ensuit le "je suis un maitre, je sais ce qui est bon pour toi et je sais ce que je veux, dans la relation , blablabla, c'est moi qui décide et toi tu ouvres juste la bouche pour me sucer ! re réaction : ah ben non, je ne souhaite pas être une esclave et suis très attachée à mon libre arbitre et à ma liberté d'expression, en plus j'ai un léger côté brat, donc ton truc, j'en veux pas ! résultat : il s'en va , en m'expliquant que je loupe l'affaire du siècle et que je n'ai rien compris au bdsm ( ben voyons ) - les protocolaires, variante des sûrs d'eux un préambule plutôt courtois, voire un chouïa rigide, mais agréable de prime abord ils expliquent assez rapidement qu'il faut faire ceci ou cela, comme ceci et comme cela, que le vous est obligatoire, que le sérieux est de rigueur, qu'aucun manquement à la règle ne sera toléré, blablabla .... moi de lui répondre en toute honnêteté que je suis plutôt de nature joyeuse spontanée et passionnée , que j'ai du mal avec le protocole et que je risque de ne pas m'y plier et d'enfreindre trop souvent les règles, ne sont elles pas progressives et adaptables ? ah mais non mademoiselle, le protocole ne souffre aucun aménagement, c'est la toute puissance du sacro saint protocole et rien d'autre résultat : c'est moi qui m'en vais ! merci au plaisir ! - les justes trop flingués dans leur life là tout se passe bien, en général, un échange agréable, un premier rendez vous basique avec un être intelligent (nom d'une pipe, ça fait du bien) où l'on parle de tout et du bdsm réponse j'en viens à accepter le premier vrai rendez vous et découvre alors que la situation est en effet très compliquée, un ex souminatrice encore très présente , un déprimé profond, voir viscérale, attachant mais too much pour moi (même si j'ai un côté soeur thérésa, si si au fond à droite ! ), un dark gothique ultra, archi torturé et torturant .... résultat : ça se finit en queue de poisson parce que trop compliqué ! - les affamés ils arrivent tout fraîchement inscrits sur le site et lancent quinze demandes d'amis , ils sont chaud bouillants, là tout de suite, maintenant puis disparaissent comme ils sont venus ! chouette, vous dites vous, eh ben, non, rien n'y fera de ceux là, on ne s'en défait pas, par la porte ou par la fenêtre, ils reviennent ! tout y passe, les grandes déclarations, les promesses, les propositions financières ... cycliques ils repassent vous harceler régulièrement, ça les prend comme ça, ils ne vous lâchent pas ma réponse : refusant de tchatter, je garde les mails , au moins, ça me permet de retrouver le fil des conversations (merci le site pour ça , c'est trop bien pour se rafraichir la mémoire !) et de renvoyer à mon correspondant sa chaleur précédente - les hommes mariés pour ceux là, j'ai une tendresse particulière comprenons nous bien, qu'ils soient mariés, je m'en fous, ça n'est pas moi que ça regarde, c'est eux, mais qu'ils le dissimulent m'agace. ils vous racontent assez facilement que le bdsm est un relation basée sur la confiance, qu'il est bon de se livrer à minima à l'autre, blablabla .... et comme je suis un peu psychorigide du côté de l'honnêteté, ça m'agace. résultat : ne pouvant me libérer que les weekends c'est assez vite vu, ça ne cadre pas bien avec leur vie maritale merci de m'avoir lue jusqu'au bout et toujours aux plaisirs kty
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Par : le 14/12/18
Quel bonheur pour un soumis de se sentir à la merci de sa Dominatrice pour arriver au summum de son plaisir, et c'est tellement beau et bon d'arriver à cet instant. Le lâcher prise est présent à ce moment Là. Quelques réflexions sur le lâcher prise : - Lâcher-prise, ce n'est pas couper les liens mais prendre conscience que l'on ne peut contrôler autrui. - Lâcher prise , ce n'est pas être passif, mais au contraire , tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement . - Lâcher prise , ce n'est pas blâmer ou vouloir changer autrui, mais donner le meilleur de soi-même. - Lâcher prise , ce n'est pas assister , mais encourager. - Lâcher prise , ce n'est pas juger mais accorder à autrui le droit d'être humain. - Lâcher prise , ce n'est pas s'occuper de tout ce qui arrive , mais laisser les autres gérer leur propre destin. - Lâcher prise, ce n'est pas materner les autres mais leur permettre d'affronter la réalité. - Lâcher prise, ce n'est pas rejeter , mais au contraire accepter. - Lâcher prise , ce n'est pas critiquer ou corriger autrui, mais s'efforcer de devenir ce que l'on rêve de devenir. - Lâcher prise , ce n'est pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l'avenir. Avec le lâcher prise, on accepte de ne pas contrôler les événements de la vie. On fait place à la souplesse et à l'acceptation. On se concentre sur sa sagesse intérieure et on se laisse agir. On accepte le lâcher prise sur ce qui nous arrive. Ce n'est pas si grave si tout ne se règle pas maintenant , à notre convenance. On accepte l'idée que la vie nous réserve toujours ce qu'il y a de mieux pour nous. Si on lâche prise avec son corps , on peut lâcher prise avec son esprit. On se trouve dans un état de relaxation adéquate pour être au top de nos performances. Lady Gabrielle
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Par : le 14/12/18
Merci à ces profils amis d'ici avec lesquels j'ai partagé de belles et souvent profondes conversations, dont l'humour et la bonne humeur n'étaient cependant pas exclues ! C'est incontestablement pour eux que je reste, eux que je n'ai peut-être pas eu le plaisir de croiser dans la vie réelle mais dont le cheminement m'intéresse et que je ne souhaite pas perdre de vue. De nouvelles connaissances de cette qualité sont toujours possibles, je ne ferme aucune porte, mais je ne me fais plus guère d'illusions quant à la possibilité pour moi de trouver ici ou ailleurs celle qui pourtant existe forcément quelque part. Je n'attends plus rien. J'ai été pourtant actif et persévérant, j'ai continué encore et encore à tenter le pari de séduire avec probité, pensant naïvement que cela finirait par payer. Trop idéaliste ? Non, je crois que c'est l'inverse : trop réellement concret, trop concerné avant tout à mettre en pratique plutôt qu'à chanter de faux espoirs. J'exècre l'hypocrisie des belles paroles et les vendeurs de rêves : un vrai rêveur enchante le réel par des actes et ses paroles sont indexées sur des faits probants, pas sur des promesses fumeuses ni des postures de coq fièrement dressé sur son ego de plumes hypnotiques. Le charisme ? Je n'en ai aucun ! Je ne mise pas sur la représentation égocentrique qu'une société me reconnaitrait, fût-elle underground et éliste comme celle du BDSM. Le charisme je le laisse au grandes gueules qui savent par leur agitation d'apparât subjuguer les encore moins épais qu'eux. Tant mieux s'ils se trouvent et nombreux ! Est-ce à dire que je n'ai point d'ego ? Bien sûr que si ! Mais je ne l'étale pas comme une confiture visqueuse pour attirer des mouches… Les papillons m'intéressent plus, même encore sous leur forme larvaire : je sais voir le diamant avant qu'il ne soit taillé pour laisser pénétrer la lumière. Spirituel ? Assurément ! Mais ne venez pas vous frotter si le mot n'est qu'un leurre de votre intelligence. Le mental m'est un outil précieux, je prétends bel et bien le maitriser, mais j'ai la sagesse de savoir que ce n'est pas lui qui supporte mon esprit. Je suis libre, humblement comme il se doit, discrètement, terriblement ! Oui, car être libre s'accompagne d'une solitude qu'il est bien plus facile de fuir que d'affronter. Je ne prétends pas être le seul de ce bois-là, mais il faut pour nous débusquer être soi-même un peu mieux qu'un dormeur inconscient. J'ai millle failles, faiblesses et défauts, ce sont mes meilleures armes pour me fondre dans la masse. Ni vu ni connu, c'est ainsi qu'on observe le mieux car il vaut mieux voir qu'être vu ! Vous ne comprenez pas ? Je n'expliquerai pas. La domination ? Quelle prétention ! Qui peut prétendre se dominer en toute circonstance avant de prétendre dominer l'autre ? La soumission ? Finalement une bien plus véridique voie de compréhension de sa nature humaine. Alors, quoi ?? Je suis dominant, c'est à dire soumis au service de la vie. Et si mon rôle m'amène à accompagner l'autre dans cette voie, ce n'est peut-être que pour y progresser aussi, par le partage sublime d'une complémentarité où nul ne domine mais les deux s'élèvent. Ne laissons pas les mots nous enfermer, ils ne sont là que pour libérer de l'indicible, transmettre une énergie, vivante, mouvante, évolutive. Je ne suis pas dominant : rien ne me définit. Ce n'est qu'un point de repère, un nuage de fumée blanche pour qui cherche à s'orienter. Je m'interdis de me vanter, mais cela ne doit pas m'interdire de parler. Je connais ce que risquer veut dire. Pour tout gagner il faut être prêt à tout perdre. Pour me trouver, il a bien fallu me perdre. J'ai survécu, maintenant je vis. Je suis en mesure de le prouver, combien font de même ? Combien prétendent connaître le chemin sans reconnaître qu'ils ne naviguent qu'à vue ? Il n'y a pas de chemin. Il n'y a que le présent et ce qu'on en fait. Le présent : l'offrande et le cadeau. Je continuerai de m'offrir, je continuerai de recevoir les présents. C'est tout, il n'y a pas à demander plus. Et celles et ceux qui l'entendent ainsi le partagent avec moi. Aux autres, que le passé déborde des ses échos, je souhaite de rencontrer la vacuité qui libère. Aux autres, que l'avenir obsède de projections complexes, je souhaite de dépasser les souffrances qu'ils appellent sans conscience. « Il n'y a que la spiritualité » m'a-t-elle dit avant de lancer des mots dont elle ne maitrisait pas la première lettre du premier mot. « C'est lourd comme dialogue » a-t-elle conclu sans avoir même commencé d'y participer. Oui, c'est lourd : lourd comme une pierre autour du cou quand on prétend s'envoler plus déplumée qu'une poulette du KFC ! Elle ne me lira malheureusement pas, et me lirait-elle qu'elle ne se reconnaitrait même pas, mais je l'en remercie : grâce à son involontaire participation, elle me permet de me libérer de tout ce que je chercherais encore. Résolûment, je continuerai de trouver personne à qui parler pendant que tous les Polyphèmes aveuglés continueront de lancer leurs rochers à l'amer ! Merci.
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Par : le 10/12/18
Petite histoire du Sado-Masochisme > Avis aux lecteurs : le présent billet parle du point de vue de son auteur et sur les notions modernes, c'est à dire récente, depuis l'apparaition de l'analyse des comportements humains comme "science", c'est à dire au milieu du XIXè siècle, nu besoin de me faire un procès de mauvaises intentions, je sais comme beaucoup que les rapports érotiques de pouvoir ne sont pas contemporains et récents. :-) ————— C'est Krafft-Ebing dans Psychopathia Sexualis qui créer les deux néologismes : Sadisme, en référence à Sade et Masochsime en référence à l'auteur de La Vénus à la fourrure. L'association est faite par Freud, c'est en 1909 qu'apparait la première fois l'association des deux termes pour souligner la proximité _pathologique_ des personnes affectées par cette “perversion”. Il est bon de rappeler que Freud définit la perversion comme : Tout acte sexuel n'ayant pas pour destination la reproduction de l'espèce humaine. Pour Freud, tout ce qui diffère d'un pénis dans un vagin à des fins de procréation est une attitude pervertissant la destination de la sexualité. La publication par Krafft-Ebing de Psychopathia Sexualis est initialement destinée à servir d'ouvrage de référence aux médecins et aux services judiciaires, le succès populaire de l'ouvrage est d'autant plus surprenant qu'il est rédigé comme un manuel clinique avec nombre de description difficile à cerner pour un non initié. C'est Gilles Deleuze, en 1967, qui met en évidence la dichotomie entre sadisme et masochisme, analyse fondatrice de ce que seront les réflexions sur le sadomasochisme après cette publication de Deleuze. Aussi étrange que cela puisse paraître à certains caciques du (bd)sm à la gauloise, ces concepts sont récents à l'échelle de l'humanité. Méconnaitre les enjeux dans la littérature de Sade ou de Sacher-Masoch est une faute impardonnable pour qui se revendique comme représentant d'une communauté. Pour rappel, ce n'est que depuis l'apparition du contrôle du processus de procréation que les femmes peuvent disposer pour la première fois dans l'histoire de l'humanité d'une réelle maîtrise de leurs corps. Rappelons ici que c'est avec la création du planning familial au tout début du XXè siècle par Margaret Sanger (USA) que naissent les revendications à une libre parole des femmes, au droit à la contraception et au droit de disposer de son corps pour soi-même. Il faudra attendre le début des années 1950 pour voir apparaitre la première “pilule contraceptive”, elle sera disponible en France après une longue lutte en 1967 année qui voit la création du Mouvement Français pour le Planning familial. Si des attitudes libertines peuvent se constater dans la littérature aussi loin que puisse remonter l'histoire de la littérature érotique, les textes mettent essentiellement en avant la vigueur et la domination du mâle sur la femme. Les notions de consentement et de jouissance, ainsi que les notions de désir de la femme sont rares et souvent prétexte à légitimer les instincts primaires des acteurs mâles en situation d'abus (difficile de parler SSC dans ces cas ^^). C'est typiquement le processus décrit par Sade dans les psychologies de ses personnages féminins qui légitime les affres dont elles sont victimes. Qu'est-ce qui caractérise le sadomasochisme moderne ? La différence qui fonde la dépsychiatrisation (2013) du sadomasochisme repose sur un postulat, celui de la libre action, de celui qui agit sous la contrainte. Le consentement est la clé de l'accès aux pouvoirs du désir. Pouvoir exprimer son désir, pouvoir exprimer son refus. Ces concepts dans les relations femmes/hommes sont récents et sont loin d'être la norme dans tous les pays, seuls les pays occidentaux ont, à ce jour, une législation permettant de remettre en cause l'appréciation d'une relation consentie ou non (notions de viol, agressions sexuelles …). Le droit pour les femmes de disposer de leurs corps reste à ce jour une difficile entreprise, tant les pressions sociales autour de la maternité, que les droits d'accès à une contraception gratuite n'est pas encore acquis dans la majorité des pays occidentaux. Il me semble difficile d'affirmer, en 2018, que le sadomasochisme est une pratique ancienne, que cette pratique puisse remonter au paléolithique, comme pourrait le laisser supposer un prévaricateur mythomane. Celui-ci faisant appel aux sciences sociales et à celles du comportement pour analyser le passé, en précisant bien qu'il faut se garder des écrits. Diantre ! Ce niveau de bêtise dépasse l'entendement. Maxence Lascombe (c)11.2018
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Par : le 10/12/18
Sans avoir retrouvé un lexique ici sur tous les termes possibles et imaginables en BDSM, et en étant parfois perdue sur certains de ces termes, je reprends un lexique trouvé sur Fet-Life, plutôt bien documenté : s'il est déjà publié ailleurs, vous m'excuserez de ne pas avoir assez cherché et j'effacerai celui-ci Allez, c'est parti ! Case Gender Male (M) - une personne ayant l'identité et les caractéristiques d'une homme ; Female (F) - une personne ayant l'identité et les caractéristiques d'un femme ; CrossDresser/Transvestite (CD/TV) - une personne qui aime s'habiller et se comporter dans le style et les manières généralement associés au sexe opposé ; Trans - une personne dont le sens de l'identité personnelle et du sexe ne correspondent pas au sexe biologique assigné à la naissance. ** Male to Female - homme vers femme (MtF) ; ** Female to Male = femme vers homme (FtM) ; Transgender (TG), terme vaste qui englobe toutes les personnes qui sortent du cadre traditionnel du genre qui leur a été assigné ; Gender Fluid (GF) - une personne qui fluctue entre plus d'un genre, ou entre avoir un genre et ne pas avoir un ; Genderqueer (GQ), une personne dont l'identité de genre ne correspond pas au binaire mâle-femelle. ; Intersex (IS) - une personne née avec une anatomie reproductive ou sexuelle qui ne semble pas correspondre aux définitions typiques de femmes ou d'hommes. ; Butch (B) - une personne généralement identifiée comme une femme mais dont les rôles sociaux et relationnels sont perçus par beaucoup comme masculins, ayant souvent une orientation lesbienne, gay ou "étrange" ; Femme (FEM) - une personne qui a une apparence ou d'autres caractéristiques traditionnellement considérées comme féminines, et qui ont souvent une orientation lesbienne, gay ou "étrange" ; Not Applicable = pas applicable. Sources : Mais qu'est ce que ça veut dire? - cherche traduction Anglais/français - Kinktionary Case Sexual Orientation Straight = hétérosexuel. Heteroflexible = personne qui s'identifie comme hétérosexuelle, mais qui peut parfois trouver le même sexe attrayant. Bisexual = bisexuel. Homoflexible = personne qui s'identifie comme homosexuelle, mais qui peut parfois trouver le sexe différent attrayant. Gay = gay. Lesbian = lesbienne. Queer = queer. Pansexual = pansexuel, a des activités sexuelles ou érotiques sans distinction de genre, sexe et/ou orientation. Fluctuating/Evolving = fluctuant/en évolution. Asexual = asexué. Unsure = incertain. Not Applicable = pas applicable. Case Role Dominant = Dominant (Dom), qui exerce un contrôle sur une personne soumise dans une dynamique D/s. Domme = Dominante/Domina (Domme), qui exerce un contrôle sur une personne soumise dans une dynamique D/s - terme habituellement féminin. Switch = Switch (Switch), qui peut se sentir Dominante/sadique ou soumis/masochiste en fonction de son partenaire, du contexte ou de son humeur, etc. submissive = soumis(e) (sub), qui donne le contrôle à un(e) Dominant(e) dans une dynamique D/s. Master = Maître (Master), qui exerce le contrôle en tant que propriétaire d'un esclave dans une dynamique M/s. Mistress = Maîtresse (Mistress), qui exerce le contrôle en tant que propriétaire d'un esclave dans une dynamique M/s - terme habituellement féminin. slave = esclave (slave), qui donne le contrôle quasi-totale à son Maître/Maîtresse/Propriétaire. kajira = kajira (kajira), esclave féminine dans la culture Goréenne ; kajirus = kajirus (kajirus), esclave masculin dans la culture Goréenne ; Top = littéralement celui du Dessus (Top), qui exerce le contrôle pendant une session. Bottom = littéralement celui du dessous (Bottom), qui donne le contrôle pendant une session. Sadist = sadique (Sadist), qui aime infliger de la douleur et/ou de l'humiliation (émotionnellement et/ou physiquement) sur une autre personne. Masochist = masochiste (Masochist), qui aime recevoir de la douleur et/ou de l'humiliation (émotionnellement et/ou physiquement) d'une autre personne. Sadomasochist = sadomasochiste (Sadomasochist), qui aime à la fois recevoir et infliger (émotionnellement et/ou physiquement) de la douleur et/ou de l'humiliation. Kinkster = kinkster (Kinkster), qui a des préférences sexuelles ou un comportement sexuel inhabituels pour la société. Fetichist = fétichiste (Fetishist), qui est excité par un fétiche spécifique. Swinger = Échangiste ( Swinger ), qui n'est pas monogame et peut avoir des relations sexuelles avec d'autres personnes que les relations officielles. Hedonist = hédoniste (Hedonist), qui considère que la recherche du plaisir est la quête primaire de la vie. Exhibitionist = Exhibitionniste (Exhibitionist ), qui aime s'exposer ou s'afficher de manière publique ou semi-publique. Voyeur = Voyeur (Voyeur), qui aime regarder les autres, le plus souvent dans un contexte sexuel, sans s'impliquer envers eux. Sensualist = Sensualiste (Sensualist), qui considère la recherche du plaisir via les sensations physiques comme un de ses objectifs principaux dans la vie. Princess = Princesse (Princess), qui réclame un soin particulier en terme de compliments, d'attention et de précautions. Slut = littéralement une femme avec une morale d'homme (Slut), qui se donne la liberté de s'adonner à des relations sexuelles avec qui elle veut, comme elle le veut. ( complément) Doll = Poupée (Doll), qui aime être une poupée, mentalement et physiquement. sissy = sissy (sissy), qui se livre à un mélange de féminisation et d'humiliation afin d'atteindre un état émotionnel ou mental différent - généralement un homme soumis. Rigger = Attacheur (Rigger), qui pratique l'art du bondage ; la plupart du temps avec de la corde. Rope Top = littéralement celui "du dessus" avec les cordes (Rope Top), qui pratique le bondage sur un Rope Bottom. Rope Bottom = littéralement celui "du dessous" avec les cordes (Rope Bottom), qui pratique le bondage avec un Rope Top. Rope Bunny = littéralement lapin de corde (Rope Bunny), qui sert de modèle de démonstration avec des cordes, comme le Shibari. Spanko = terme racourci pour "spankophilie" : adepte de la fessée (Spanko), qui aime la fessée sans préjugé du rôle. Spanker = fesseur (Spanker), qui donne des fessées aux autres. Spankee = fessé(e) (Spankee), qui aime recevoir des fessées. Furry = adepte de personnage anthropomorphique (Furry) , qui s'identifie fortement à un animal particulier ou une créature anthropomorphe particulière. Leather Man = littéralement Homme de cuir (Leather Man), qui exerce le contrôle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather - terme habituellement masculin. Leather Woman = littéralement Femme de cuir (Leather Woman), qui exerce le contrôle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather - terme habituellement féminin. Leather Daddy = littéralement Papa de cuir (Leather Daddy), qui exerce une figure paternelle pour un(e) garçon/fille, , terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather Top = littéralement celui du dessus (Leather Top), qui exerce le contrôle pendant une session, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather bottom = littéralement celui du dessous (Leather bottom), qui donne le contrôle pendant une session, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather boy = littéralement garçon de cuir (Leather boy), qui est un homme soumis cherchant une figure paternelle/maternelle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather girl = littéralement fille de cuir (Leather girl), qui est une femme soumies cherchant une figure paternelle/maternelle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Leather Boi = littéralement garçon de cuir (Leather Boi), qui est un soumis cherchant une figure paternelle/maternelle, terme utilisé dans la communauté cuir/Leather. Boi désignant une personne de sexe biologique féminin qui adopte un comportement de jeune homme. Bootblack = littéralement Cireur de chaussures (Bootblack), qui considère dans le cirage de bottes comme appartenant au cadre du jeu. Primal = Primale (Primal), qui définit 1/ ceux qui veulent rompre avec les traditions en créant leur propre mode de vie sans règles pré-établies ou protocoles pré-définis. 2/ ceux qui se réfèrent à une sorte d'instinct primaire/primitif très animal. Predator Primal = littéralement Prédateur Primal (Predator Primal), qui cherche à chasser et à dominer sa proie. Primal Prey = littéralement Proie Primale ( Primal Prey), qui cherche à être chassé et se soumettre à un prédateur. Bull = littéralement Taureau (Bull ), qui a des relations sexuelles avec le partenaire "infidèle" dans un cocufiage dynamique. cuckold = cocu (cuckold), qui a un partenaire à long terme "infidèle" - terme habituellement masculin. cuckquean = cocue (cuckquean), qui a un partenaire à long terme "infidèle" - terme habituellement féminin. Ageplayer = Adepte des jeux de régression (Ageplayer), aime qu'une différence d'âge soit incarné par l'un ou les deux partenaires. Daddy = Papa (Daddy), qui incarne la figure paternelle dans la relation - souvent mais pas toujours un Dominant. Mommy = Maman (Mommy), qui incarne la figure maternelle dans la relation - souvent mais pas toujours une Dominante. Big = littéralement Grand (Big), qui a un rôle de soutien dans une dynamique de jeux de régression/ageplay - souvent avec un little. Middle = littéralement Milieu (Middle), qui s'inscrit dans la dynamique Big/little mais qui se sent plus grand qu'un little - souvent mais pas toujours un soumis. little = littéralement petit (little), qui agit et se comporte comme un enfant- souvent mais pas toujours un soumis. brat = soumise insoumise/sale gosse (brat), qui est insolent, répond, et est désobéissant - souvent mais pas toujours un soumis. babygirl = bébé fille (babygirl), qui s'identifie ou joue le rôle d'une petite fille - souvent mais pas toujours un soumis. babyboy = bébé garçon (babyboy), qui s'identifie ou joue le rôle d'un petit garçon - souvent mais pas toujours un soumis. pet = animal (pet), qui aime le petplay (jeu d'identification à un animal familier) - souvent comme bottom ou soumis(e). kitten = chaton (kitten), qui s'identifie à un chaton ou un chat dans le petplay - souvent comme bottom ou soumis(e). pup = chiot (pup), qui s'identifie à un chiot ou un chien dans le petplay - souvent comme bottom ou soumis(e). pony = poney (pony), qui s'identifie à un poney ou un cheval dans le petplay - souvent comme bottom ou soumis(e). Evolving = En évolution (Evolving), qui est actuellement en évolution. Exploring = En exploration (Exploring), qui voyage librement dans le monde de la perversion/kink. Vanilla = Vanille (Vanilla), qui n'a pas de kinks ou de fétiches identifiés. Undecided = Indécis (Undecided), qui n'a pas encore identifié un rôle particulier. Not Applicable = pas applicable (Not Applicable), qui ne souhaite pas spécifier de rôle particulier. Source {en} : Describing Our Roles case How Active Are You I Live it 24/7 = je le vis en 24/7 (tous les jours, tout le temps). I Live The Lifestyle When I Can = je vis le style de vie quand je le peux. Just In Bedroom = seulement dans la chambre à coucher. Once In A While To Spice Things Up = une fois de temps en temps pour pimenter les choses. Curious And Want To Try = curieux et veut essayer. Just Curious Rgith Now = seulement curieux. Case Relationships Single = seul, célibataire ; Dating = voit/fréquente quelqu'un(e) ; Friends With Benefits = ami avec intimité sexuelle ; Play Partners = partenaires de jeux ; In A Relationship = en relation ; Lover = amoureux ; In A Open Relationship = en relation ouverte ; Engaged = fiancé ; Married = marié ; Widow = veuve ; Widower = veuf ; Monogamous = monogame ; Polyamorous = polyamoureux (Quand aimer ne se conjugue pas qu'au singulier) ; In A Poly Group = appartient à un groupe polyamoureux ; In A Leather Family = appartient à une "Leather Family" ; In A Pack = appartient à une "meute" ; In A Rope Family = appartient à une "famille de cordes" ; Member Of A House = membre d'une Maison ; It's Complicated = c'est compliqué. Case D/s Relationships Dominant = Dominant ; Sadist = sadique ; Sadomasochist = sadomasochiste ; Master = Maître ; Mistress = Maîtresse ; Owner = Propriétaire ; Master And Owner = Maître et Propriétaire ; Mistress And Owner = Maîtresse et Propriétaire ; Top = littéralement celui du Dessus ; Daddy = papa ; Mommy = maman ; Brother = frère ; Sister = soeur ; Being Served = est servi ; Considering = considérant ; Protecting = protégeant ; Mentoring = mentor ; Teaching = enseignant ; Training = formateur ; Switches = switch ; submissive = soumise ; masochist = masochiste ; bottom = littéralement celui du dessous ; owned and collared = appartenant avec collier ; owned = appartenant ; property = propriété ; collared = portant le collier ; slave = esclave ; kajira = kajira (cf ci-dessus) ; kajirus = kajirus (cf ci-dessus) ; in service = au service ; under protection = sous la protection ; under consideration = sous la considération ; pet = animal ; toy = jouet ; girl = fille ; boy = garçon ; babygirl = bébé fille ; babyboy = bébé garçon ; brat = soumise insoumise/sale gosse ; Keyholder = porteur de la clé ; in chastity = sous chasteté ; being mentored = sous mentorat ; student = étudiant ; trainee = stagiaire ; unowned = sans propriétaire ; unpartnered = sans partenaire ; It's Complicated = c'est compliqué ; Presently Inactive = actuellement inactif ; Not Applicable = pas applicable.   Liens complémentaires et sources :   {fr} Mode d'emploi francophone pour FetLife {fr} Faq francophone FetLife - Les questions les plus courantes {en} Roles, Orientations and Genders Defined.
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Par : le 30/11/18
Ma vie se constitue de cycle plus ou moins long, plus ou moins riche, plus ou moins épanouissant, plus ou moins heureux, plus ou moins triste... Mais chaque cycle m'a appris ! En contrepartie de l'expérience vécue, j'ai toujours appris une leçon...Oui, j'ai de la chance : je suis d'une race peu commune entre le pokémon et un super saïyan, je suis en constante évolution :D Je vais donc vous raconter un bout de ma petite vie : fin janvier 2014, je traverse un cycle vraiment très bas : - professionnellement : mon contrat n'est pas renouvelé alors que j'ai déménagé dans une ville que je n'aime pas exprès pour ce job X_X - psychologiquement : c'est juste un pur chaos après un amaigrissent de 70kgs j'ai perdu la moitié de moi-même et je me sentais perdue... - sentimentalement : je suis dans un break BDSM depuis plusieurs mois parce que je tombe régulièrement sur des pseudo dominant qui font semblant de s'investir... Les derniers m'avaient usé et j'ai voulu découvrir un temps la vie sentimentale vanille que je ne connaissais pas... Du coup face à ce bilan de ma vie à l'époque, un très bon pote Bosk me motive à venir chez lui sur Bruxelles, en plus le week end prochain ya la Fetish Project de février, je ne peux pas refuser !! Bon à l'époque mon seul argument à une telle proposition c'était : "Désolé mais trop de pervers au mètre carré, je vais prendre un joker !" Bosk étant un très bon commercial, j'ai fini par accepter le voyage sur Bruxelles. J'ai besoin d'être en présence d'un ami proche et surtout j'ai besoin de pouvoir parler de tout ce que je ressens... Durant la soirée à la Fetish Project, j'ai eu l'impression de rentrer enfin chez moi après une errance dès plus horrible ! Je comprenais les codes, les blagues, les gens ! Je suis restée un moment à observer tout ce joli monde rire, jouer, papoter... C'était vraiment un sentiment agréable que d'être là et faire partie de cette communauté. Je n'ai pas seulement observé, j'ai joué aussi avec des gens que je ne connaissais pas 2 minutes avant !!! Cela ne m'était jamais arrivé, cela n'était même pas concevable pour moi avant cette soirée !!! J'y ai rencontré des gens qui m'ont beaucoup touché et je voulais garder contact avec eux, ils m'ont parlé de fetlife et je ne connaissais pas du tout ce site... Plus tard, je me suis inscrite sur ce site et j'ai eu envie de m'enfuir tellement ça avait l'air compliqué et chiant !!! Mais je suis tombée sur un magnifique tuto ( j'en profite pour remercier très fort @humeur-joueuse ) qui m'a permis de comprendre le site et de l'explorer. Je suis tombée sur un fil de discussion pour une rencontre sur montpellier qui datait de 6 mois. Alors j'ai demandé si c'était encore d'actualité, j'ai proposé une date, puis une fois la majorité d'accord j'ai cherché un lieu, quelqu'un du groupe qui m'avait contacté en mp pour me proposer son aide m'a proposé le lieu et le premier munch était né ! [https://fetlife.com/groups/19301/group_posts/5154655][Le fil de discussion du 1er munch] Je suis évidemment arrivé en retard ! Nous étions 15 à cette première rencontre, c'était magique, je me souviens que j'avais si peur d'être toute seule que 15 c'était incroyable ! A la fin de ce 1er munch, quelqu'un m'a demandé : "C'est quand la prochaine ?" Voilà comment je me suis retrouvée à organiser des munchs sans faire exprès. Puis un ami m'a recommandé à un club pour faire des soirée BDSM sur montpellier dans un club libertin, j'y ai fais une soirée par mois d'octobre 2016 à juin 2017 puis je me suis fais aidé par Maitre PI pour la saison d'octobre 2017 à juin 2018. En parallèle, j'ai fais la connaissance du gérant d'un autre club libertin sur frontignan où j'ai pu y faire mes munchs 1 fois par mois de janvier 2017 à juin 2018. Il se trouve que fur et à mesure que le temps passait, j'ai fini par faire 3 soirées BDSM par mois en general sur 3 week end différents, j'ai commencé à ressentir des obligations alors qu'au départ je ne suis qu'une simple bénévole... Je me suis sentie obligée et je n'ai pas aimé se sentiment ! En plus de tout cela, j'ai ouvert ma propre entreprise en janvier 2018, j'ai commencé à faire passer ma vie personnelle enfin professionnelle et ça n'a pas plu au club libertin montpellierain dommage mais bon je n'étais pas une employée, je ne suis qu'une petite bénévole j'ai préféré lâché l'affaire ! J'ai cherché des remplaçants. J'ai proposé à une douzaine de personne et personne n'a été intéressé (tu m'étonnes !!!)... Cet été, j'ai pris beaucoup de recul en partie dû à beaucoup de travail et en partie dû à des événements survenue dans ma vie personnelle. J'ai pris la décision de refaire des vrai munch en lieu neutre. Je peux avoir des projets ponctuels sur différents clubs mais je ne souhaite plus être dans un club de manière régulière. Car je ne souhaite plus être affilié à un club en particulier n'étant pas une employée, je n'ai strictement aucune influence sur la manière de diriger des lieux et ne le souhaite pas non plus. Je veux rappeler aux gens que : * je suis bénévole, je n'ai jamais touché un seul €uro, * je n'ai aucune action nulle part, * j'organise des événements bdsm par simple envie égoïste... Je tiens à rappeler aussi que libre à tous d'organiser leurs propres événements que ce soit à Montpellier ou ailleurs, que ce soit en club ou en lieu neutre ! Je n'ai aucune autorité et je ne souhaite aucune responsabilité... J'ai choisi un lieu neutre pour permettre aux participants de pouvoir bénéficier de toutes les garanties d'être libre d'aller et de venir. L'endroit doit être facile d'accès et permettre de laisser aux participants le choix de leurs anonymats. Ce lieu se doit d'être neutre et ne doit pas être isolé et/ou clos pour permettre aux participants d'être à l'aise. C'est mon choix personnel qui ne concerne que moi ! Je suis uniquement responsable de mes actions pas de celles des autres... Merci de m'avoir lu et j'espère vous croiser quelque part ;)
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Par : le 27/11/18
BDSM & LE protocole —————— Avertissement au lecteur :   Ici il est question d'un BDSM Gaulois, depuis la France avec des yeux de Français. Il va de soi que les origines et les variables de ce qui suit peuvent avoir eu lieu dans d'autres situations sur d'autres continents, je me contente ici de relater des faits qui se sont produits en France.   ——————   Mythe ou légende pour certain, sacré ou fondateur pour d'autres, le (bd)sm est souvent présenté comme étant accompagné ou précédé d'un protocole.   Attachons-nous au sens du mot. Protocole : Recueil de règles à observer en matière d'étiquette, dans les relations officielles. Simple, efficace, ne souffre pas d'interprétation. Voilà pour le fondamental, le protocole est un document ou les règles à observer en termes de comportements sociaux dans un groupe social ou dans certaines situations officielles.   Ils sont nombreux à l'avoir cherché, a l'avoir documenté, critiqué, expliqué, démonté, interprété, et pourtant, aucun d'eux n'est en mesure de le sourcer, de le livrer dans sa forme initiale, personne n'est capable aujourd'hui de donner une source, étayer un semblant d'argumentaires reposant sur les écrits originaux.   C'est difficile de pouvoir parler de la bête du Gévaudan, alors que personne ne l'a possédé personne ne l'a jamais ausculté, autopsié. Les descriptions foisonnent, les témoignages sont multiples, variés, si variés qu'ils en définissent chacun une bête protéiforme, monstrueuse, gigantesque et particulièrement cruelle. Aucune certitude, des soupçons, des débats qui durent depuis 1764, dans les faits : rien pour attester de la réalité d'une bête. Rien.   Le protocole (bd)sm est une magnifique bête, terrifiante, stricte, qui conditionne les individus, leurs démarches, leurs rang dans la caste des Maîtres·se, des Seigneurs, des Dom', des serviteurs, des soumis·es, des esclaves ... Quoi que nous fassions, nos rites, nos désirs, nos gestes sont régis par des écritures, de saintes Écritures, de bibliques codifications.   Ainsi, une soumise(1) se doit d'observer douze positions de soumission, elle doit connaitre de la pointe d'un téton orgueilleux à la courbe ciselée d'un creusement de reins, cette gamme qui manifeste combien elle est docile et disciplinée.   Sauf que ... dans la vraie vie, l'histoire est différente.   Les douze positions sont issues d'une série de photographies produites aux environs des années 1995/1997, elle-même inspirée des écrits de John Norman, photos diffusées via Internet (sur les news groupe Alt.), repris dans l'espace français par un couple particulièrement en vue à la fin des années 1990, Mastermind et salomé. Couple qui proposait des écrits relatifs à ce rituel sur leur site web, puis dans le livre parus en 2002 aux Éditions Blanche "soumise", par salomé. Dans cet ouvrage aux accents de témoignage, salomé relate son expérience et mets en forme sa soumission auprès de Jean-Pierre, son Maître. La légende est posée, écrite, c'est gravé ???? Voilà comment naissent des légendes, du protocole, de l'Étiquette. L'exemple des douze positions proposées par salomé démontre à la fois le processus et démontre également comment ces témoignages deviennent une règle explicite pour une population, alors que salomé et Jean-Pierre aiment ritualiser leurs relations, ces positions de dévotions ont un sens particulier pour eux. Ils n'imaginaient pas que les aficionados du sadomasochisme français allaient massivement adopter la chose comme un devoir nécessaire. Salomé s'est ouvert de cette déconvenue très tôt après la sortie de son livre.   Cette histoire permet d'éclairer la problématique que soulève le "protocole", comme s'il existait une pierre représentative d'un édifice dont il y aurait eu des traces historiques, une cité perdue, mythique, dont tout un pan d'une population se réfère, comme une religion.   Une réalité prosaïque et précédée d'éternelles mystifications. La publication fondatrice en francophonie pour ce qui est du "rituel" (bd)sm, c'est un ouvrage commis à l'aube de l'an 2000, par un certain Maître BoB, sous le doux titre «Les amis de Germinicus», qui ouvre le bal d'une branche nouvelle et particulièrement règlementée, du (bd)sm, le sacro-saint protocole.   L'ouvrage s'ouvre sur un préface de Maîtresse Piétra de Foubrasse, elle nous invite «par certains côtés, vous permettra de mieux connaître "Les Amis de Germanicus" et leurs activités, mais peut-être pas de mieux les comprendre.» ... Nous avons le manuel, et peut-être pas l'équipement intellectuel pour comprendre les arcanes de ces aminches du fouet et de la fessée. C'est ardu, comme concept.   Dans son avant-propos, Bob de Germanicus nous offres ses médailles, «adoubé et armé Maître en 1994 puis élevé au rang de Connétable au printemps de l’an de grâce 2001 par le Vénérable de Reims (France).» et n'en déplaise aux couche-tôt, il est d'obédience Latine. Notez l'obédience, elle va vous servir plus tard.   Dans cette veine orgueillifère, l'auteur nos mets clairement en garde contre les «faux Maîtres, les faux soumis et surtout les fausses soumises» qui sont si nombreux, on ne sait pas bien s'il décrie déjà Montréal ou il vient de s'établir ou s'il égraine ici une des nombreuses banalités. Ce qui est admirable dans son avant-propos, c'est qu'il pose clairement les jalons de ses inspirations, de ses sources, comme-ci le profane ne pouvait détecter dans le choix des mots ses influences. Notons que les Admirables (avec une majuscule) sont des soumises... qui peuvent prétendre, si elles y arrivent, à prononcer un serment d'allégeance, car "sacrée" soumise Latine. Notre Bob s'éponge le front et nous indique qu'il est également le précepteur de trois Maîtres adoubés par le Connétable Maître Bob de Germanicus, d’obédience Latine. (t'arrives toujours à suivre ?° Et là, le gars à pas encore tout déballé, hein, t'es qu'à la page 3 du bouquin ;-)   Notons quelques clichés, ils ne manquent pas, mais doivent venir à ta connaissance d'ignorant (parce que t'es un ignorant, forcément, puisque tu t'informes sur LE protocole). —livré texto, dans son jus : «Je ne souhaite pas être lu par les rustres, les imposteurs ou ceux qui considèrent l’art de la Domination comme une pantomime ou un carnaval. La Domination est un art, c’est un art majeur.» / «Je n’ai rien à vendre, tout est offert. Je ne souhaite être ni aimé, ni admiré, ni détesté. Je n’espère convaincre personne. Je ne recherche ni considération ni reconnaissance en dehors de notre communauté, bien que ce livre soit orienté vers le grand public des non-initiés. Je me contente de parler, à vous de décider d’écouter ou de partir.»(sic)   Pour déboucher sur une citation de Sade, «Je ne m’adresse qu’à des gens qui sont capables de me comprendre, ceux-là me liront sans danger ». On se demande qui ne la voyait pas viendre.   Dans la foulée naissent quelques mythes qui ont prospéré dans l'univers (bd)sm francophone à la vitesse d'une blennorragie dans une bordel militaire de campagne. A commencer par les fameuses (fumeuses?) obédiences, elle naissent en France, ici, en 2000, page 7 de la Bible-SM, on retrouve ici l'école Latine, et le dénie d'être d'autres obédiences, à savoir anglo-saxonne, extrême-orientale ou gothique. Voilà, c'est pesé-emballé ... y'en as un peu plus, je vous le laisse ? S'ensuivent quelques péroraisons futiles, des enfoncements de portes déjà largement ouvertes, un laïus dont les clichés rivalisent les uns avec les autres, faisant monter l'odeur de soufre pour pas cher. Comme dit mon vieux pote Benichou, ça Klaxon déjà !   La nécessité de parler d'une élite «"Les Amis de Germanicus" se revendique de la haute aristocratie de cette communauté et entendent défendre les valeurs premières», voilà c'est fait.   La nécessité d'évacuer la problématique sectaire : «Vu de l'extérieur, les cercles latins, très discrets et fermés, presque secrets, donnent une fausse impression de secte.», Done !   L'impérieuse obligation de démentir être à l'origine d'une bible : «Ce livre veut être le contraire d'un livre de recettes ou d’un guide pratique. Il n'existe ni standard ni méthode universelle pour l'élaboration d'une mise en scène.», Ronald Hubbard t'a qu'à bien te t'nir !   En réalité, ce livre est construit —gauchement— comme un manuel de Maçonnerie, avec les écueils d'une culture profane, d'un manquement évident de connaissance du sérail. Il donne le change, car celle ou celui qui est en quête d'un rituel, d'un protocole est généralement en demande de solution dirigée et encadrée, non pas qu'il soit faible ou incapable, mais il est légitime pour un individu d'aller prospecter dans les manuels.   Dès lors que vous intégrez ces notions, il est parfaitement audible de prendre le livre de Maître BoB comme source légitime d'inspiration (Latine ! hein déconnez pas !! ), sous réserve que les individus qui y ont recours et en popularise la pratique n'en fassent pas un dogme qui serait au coeur des véritables pratiques, excommuniant de fait les autres praticiens de la gaudriole claquante. Voyez-vous le côté sectaire du bidule ? Avant de toucher la doxa, il est important de retrouver dans les fondamentaux du sadomasochisme (le terme bdsm est d'usage récent) il faut noter qu'une révolution de la perception de ces pratiques à eu lieu en 1967, en dehors de savoir que cette année-là, je vois le jouer, le philosophe Gilles Deleuze casse les repaires psychiatriques et des perversions en proposant une lecture nouvelle des fantasmes, essentiellement dans sa présentation de la Venus à la fourrure, de Sacher-Masoch, en quelques mots, Deleuze pose les fondements d'une compréhension holistique des rapports sadomasochistes et mets en évident la dichotomie entre les deux faces de ce qu'il était commun de considérer comme une même pièce. Dès lors, la réflexion sur l'aspect fantasmagorique et idéalisé des rapports sadomasochistes peut prendre une nouvelle direction, cependant il faudra attendre 2013 pour voir dépsychiatrisé les rapports érotiques de pouvoir, dont le SM et plus largement le (bd)sm s'inspire.   Le besoin de trouver des justifications dans leurs pratiques peut désormais faire son chemin, puisque les dogmes sociaux autour de la dinguerie de ces pratiques sont en train, peu à peu, de s'estomper. Ce n'est pas un hasard si à la fois Deleuze peut produite une telle analyse et qu'il soit possible de constater des évolutions de mœurs significatives, quelques barrières sont tombées au niveau littéraire, avec deux pavés qui font date, l'ouvrage d'Emmanuel Arsan en 1959 et quelques années plus tôt, c'est 1954 que Pauline Réage produit Histoire d'Ô, sans le moindre doute, pour la mythologie du (bd)sm, c'est l'ouvrage fondateur, de par sa modernité. Les références sont nombreuses, les portes sont ouvertes, Barbarella peut se diffuser, Gwendoline s'exprimer, que cela soit Kubrik dans Eyes wide Shut ou Adrian Lyne dans 9 semaines 1/2, ils font tous référence plus ou moins explicitement aux cérémonies décrites par Réages. Ces deux ouvrages et les films qui en ont été tirés fondent la première excursion en profondeur d'une sexualité féminine libérée des affres d'une jouissance dépendante du mâle. Ces deux textes disent sans le moindre doute que la femme est autonome quant aux choix de ses plaisirs, de ses amants, de ses dévotions amoureuses. La pilule arrivera bien plus tard, le droit à l'IVG encore plus tard, mais la folle aventure de la liberté des femmes dans l'univers de l'autonomie sexuelle est devenue imparable.   L'émancipation et l'autonomie amoureuse, corollaire du besoin de régler, régir, scénariser ses relations de pouvoir ?   Toute la difficulté est de sortir de la doxa, du communément admis, pour laisse aux amateurs d'amours alternatives, aux pratiquants de sexualités atypiques, aux adeptes de relations sadomasochistes, de Domination/soumission, et de toutes ses variables. Il est nécessaire de comprendre que cette doxa repose sur une mythologie moderne, qui puise pour l'essentiel son inspiration d'un ouvrage fondateur, Histoire d'Ô. Histoire d'Ô est un ouvrage majeur dans l'univers de l'érotisme moderne pour une raison qui, malheureusement, n'est que trop rarement discutée, le fait que cette ouvrage, revendiquer comme une longue lettre d'amour à son amant, Jean Paulhan par Anne Cécile Desclos (alias Dominique Aury alias Pauline Réage), qui revendique cette dépendance amoureuse, cette dévotion charnelle, cette apologie de l'abus comme un désir profondément assumé et recherché, pour qu'elle puisse être démonstrative de son amour, de sa puissance. Ô, mise à toutes les épreuves, Ô qui puisse démontrer son attachement, son amour à son "Maître". C'est la force et l'enjeu majeur de l'ouvrage, qui frappe définitivement la littérature érotique par son entrée fracassante dans la puissance de l'amour au féminin.   Dernièrement dans "Outrage", Maryssa Rachel remet l'église au milieu du village, comme Vanessa Duriès le fit en 1993, par ces témoignages poignants et puissants, qui donnent le vertige par ces amours sans limites, car il est bien question ici, de femmes amoureuses, de femmes engagées, de femmes libres de choisir leurs chaines, de femmes incommensurablement audacieuses. Ces femmes terrifient les hommes, ces femmes, parce que maîtresses de leurs plaisirs, savent se donner. La trouille au ventre, les hommes doivent apprendre à apprivoiser celles que jadis, l'ont pouvait nommer sorcières.   Toutes ces bases, ces images d'Épinal, ces épreuves ou ces tourments ne peuvent se fonder que sur des écritures, sur une bible. Voilà le postulat, la femme soumise ne saurait être entendue comme telle, la femme amoureuse à en crever, saillie par un chien ou piercée des seins et du sexe, ou cherchant le bonheur d'être cloîtrée dans 3 mètres carrés, tout cela n'est supportable que s'il existe un dogme, une parole sainte, une justification.   C'est l'utilité du "protocole", que celui de dédouaner, d'accompagner le manque de responsabilité, celui de proposer un bréviaire des séances à réaliser, des méthodes pour mieux dresser son esclave (y parait qu'un d'eux a réussi à en vendre 2.500 exemplaires, attendons la réponse du fisc au berger ???? puisque les agents de Bercy revendiquer enquêter via Facebook ????), voilà comment la peur, la trouille, l'effroi du désir, du plaisir, de la maîtrise féminine de la jouissance multiple et sans fin, on conduit quelques mâles à avoir le besoin de formaliser leurs pouvoirs et étayer le mythe du "sur-mâle", le dominant alpha, le Maître de l'esclave.   C'est aussi une utilité positive, car cela donne du sens à des actes, des objets, le collier "de chienne", la bague d'Ô, les seins piercés, les scènes aux décorum XIXè, le langage de l'amour courtois, le culte de la bienséance hautaine, les effets religieux, le sentiment d'appartenir à un groupe, une communauté secrète, de franchir les espaces délimités par les rapports sociaux de la vie professionnelle, familiale ... Autant de vertu pour croire qu'il puisse y avoir "un protocole".   Le protocole, au risque de vous décevoir, n'est pas un ouvrage, il n'existe pas. Plus exactement, toi lecteur, quelque soit ton genre, ton rang, ta classe, tes origines, tu as la capacité à l'écrire ce "protocole", et si tu te sens à ton aise de croiser des gens qui ont un rite en particulier, que tu t'y reconnais, garde à l'esprit qu'ils agissent, eux aussi, avec une structure qui n'existe pas, pas avant eux.   Certains aiment à faire courir le bruit qu'il existe "un manifeste" (le manifeste des dix, embarquant selon les versions, le couple Mastermind et salomé dans cette boucle ...), c'est essentiellement dans un petit territoire que les Gaulois n'ont jamais concédé aux Latins (romains ?) que cet écrit circule, faisant croire, là encore à un texte sacré, dont il n'y aurait que peu de copies. Son auteur revendiqué étant aujourd'hui décédé, il est encore plus facile (et misérable) pour ceux qui en sont les pseudo-gardiens, de s'en revendiquer. Là encore, accepter que c'est le fruit d'une écriture isolée et adoptée par un petit cercle n'est en rien une vilaine pensée, ce qui pourrait rendre le document dangereux, n'est pas qu'il existe, mais de ce qu'en font certains pour légitimer leurs abus, leurs manques de respect vis-à-vis des profanes.   Si tu sais être libre, détaché des codes, alors tu sauras mieux que quiconque observer le "protocole", celui que tu auras librement choisi, tu pourras t'y retrouver et le vivre avec zèle, personne ne saurait t'en tenir rigueur. De grâce, ni crois pas que ta religion vaut mieux que celle de ton voisin, ne dit pas que tu es dans le vrai et que les autres sont des ignorants, ne développe pas la haine comme principe de base que certains ont mis en place au sein de leurs associations, pour chasser les nuisibles, comme ils disent, parce que les nuisibles, c'est comme les cons, on l'est toujours d'un autre.   Oui, d'accord, mais l'Étiquette dans tout ça ?   Et bien, il me semble que vous savez vous conduire en société, ou si ce n'est pas le cas, vous devriez le savoir. L'Étiquette ce n'est rien d'autre que quelques règles de bienséance qui vont régir vos rapport au sein d'un groupe, que vous entriez en germanicusserie, que vous fréquentiez un Munch parisien ou lorrain, que vous passiez une soirée entre amis de bonne compagnie, que vous alliez à une soirée délurée ou les fétichistes se mèlent aux mélangistes, il y auras toujours des constantes, des bases de comportement qui sont attendu de vous, de tous. • Est-il nécessaire et obligatoire de se vouvoyer ? — non, ce n'est qu'une convention, respectable, que des personnes décident librement d'appliquer entre eux. • Y a-t-il des exercices qui prouvent que je suis un véritable Maître digne de ce nom (VMDDCN, label oh combien méritoire) — Non il n'existe pas de diplôme, pas plus qu'il existe de formation, pas plus qu'il y à la nécessité d'avoir un mentor, un guide. • J'aime alterner les rôles, c'est mal ? — comme tous les clichés posés plus avant dans ce texte c'est une fadaise de base, malheureusement. Quiconque est heureux et vit ses relations avec un sentiment d'épanouissement n'a pas à devoir rendre de compte. • Je suis une femme, je suis forcément soumise. — Non, pas plus que vous avez l'obligation d'être une dominante, une Domina, ni d'être alternatif, ni d'entrer dans l'univers SM... vous pouvez avoir des envies fétichistes sans avoir le moindre rapport de pouvoir. • Qui connaît LA vérité ? — Personne.   Il existe de nombreux blogs ou s'expriment des personnes avec des expériences singulières, ils expriment généralement une méfiance à l'égard des personnes trop a cheval sur le protocole et insistent sur la nécessité de comprendre que c'est avant tout un repaire de circonstance et de bienséance dans des espaces parfaitement identifiés. Je ne ferais pas ici la liste exhaustive de ces sites, ils sont nombreux, et ils participent avec talent à donner un sens critique aux personnes qui découvrent l'univers sadomasochiste, le (bd)sm. Et si je ne suis pas toujours en accord avec leurs nuances, leurs pratiques ou leurs définitions, ces personnes ont pour elles le mérite de la sincérité et de l'altruisme, valeurs précieuses s'il en est.   Quelques liens ou le partage d'expériences prévaut sur l'ego : (en français) http://auroraweblog.karmaos.com http://bdsm101.fr/ https://www.bdsminfo.org/accueil.php https://lesybariteblog.wordpress.com/ http://www.paris-m.org   CULtureS, pour penser. Les 400 culs http://sexes.blogs.liberation.fr paris derrière https://www.parisderriere.fr/qui-suis-je-sur-quelle-etagere/ Pour réfléchir : http://www.leschahuteuses.fr   Lectures : évitez les sophismes.   Dictionnaire des fantasmes et des perversions https://www.amazon.fr/DICTIONNAIRE-FANTASMES-PERVERSIONS-Brenda-Love/dp/2846281432/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1542710622&sr=1-1&keywords=dictionnaire+des+fantasmes+et+perversions   ENCYCLOPEDIE DU SADOMASOCHISME http://www.lamusardine.com/P7782-l-encyclopedie-du-sm.html   LA SALOPE ÉTHIQUE (traduction) http://www.tabou-editions.com/guides/44-la-salope-ethique-a-paraitre-en-avril-9782915635768.html   Note à Béné : Psssit' ... je te rappelle que c'est un billet, un état de mes interprétations et de mes connaissances, d'un regard à la fois critique et construit sur la bdsm-sphère française. Cela n'a rien d'un essai, d'un cour magistral, souviens t'en avant de me prendre pour un geyser de savoir.   ————————————————————   1 Bien comprendre le sens des maux : Soumise : forcément, une femme-cis hétéro qui sera progressivement bisexualisée si elle ne l'est pas à l'origine, puis mutée avec un brio qui n'a d'égale que son Maître en une Domina cruelle, féroce et talentueuse.
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Par : le 24/10/18
**Ce texte date de plusieurs années, et j'ai depuis vécu de belles et moins belles expériences mais son propos initial reste tout a fait valable** Pour comprendre certains de mes raisonnements, de mes désirs et de mes espoirs (en BDSM mais pas seulement.) Il faut absolument savoir une chose à mon sujet. Je suis mort... Je suis né en 1985, prématuré de deux mois, et comme si cela ne suffisait pas à rendre mon destin incertain, le corps médical en charge de ma mère et moi a multiplié les maladresses et les mauvais choix et c'est dans un silence macabre que je vins au monde. Le médecin qui se chargea de ma réanimation eut besoin de 8 minutes pour y parvenir, mais un si grand laps de temps sans oxygène n'est pas sans conséquence pour les organes internes. Mon cerveau notamment en a souffert mais j'ai eu de la chance dans mon malheur car seule la partie responsable de la motricité a été "détruite". Le constat médical était simple, j'étais condamné à vivre paralysé dans un lit ou un fauteuil, et si un jour je devais par miracle marcher ce serait avec des cannes. Tout cela a cause du "syndrome de Little" Grâce à mes parents qui ont toujours cherché les meilleurs soins pour moi, l’arrivée de nouvelles méthodes de rééducation et une somme de travail énorme, j'ai finalement pu faire mes premiers pas sans le moindre support extérieur à 6 ans. Mais c'est bien chacun de mes muscles que j'ai dû apprendre à contrôler, ceux de mes jambes en passant par mes mains jusqu’à mon visage. Aujourd'hui je suis autonome et je marche sans aide, même si je boite un peu à cause de mes raideurs musculaires. Toutefois cette saloperie de syndrome de Little s'assure de ne pas se faire oublier de différentes façons... -Raideurs musculaires et spasticités -Une fatigabilité physique plus forte que la moyenne -Une plus grande difficulté à faire plusieurs taches à la fois due à l'absence totale d'automatismes musculaires. -Des douleurs "musculaires" perpétuelles de nature neurologique. (comme les douleurs fantômes en somme même si ce n'est pas tout à fait la même chose) - Une dysorthographie que j'essaie de contenir au mieux et qui me pousse à limiter mes écrits (au passage je m'excuse si malgré moi je vous écorche les rétines...) - Une perte auditive de 30% dans les aigus. Voilà vous avez toutes les cartes en mains, et la vous me dites "Ouai mais c'est quoi l'rapport avec le BDSM ?!" Justement j'y arrive, un peu de patience bon sang ! ^^ La première fois que j'ai commencé à me poser des questions sur le monde du BDSM j'avais 21 ans. J'avais à l'époque pas mal d'aprioris et de clichés en tète a ce sujet, comme beaucoup au début, mais je voulais pouvoir dire si on me posait des questions à ce sujet, "Je sais" et non plus "je crois". J'ai donc commencé à fouiller sur le web et à lire tout ce que je pouvais trouver sur le sujet. Je passais des heures à discuter avec des gens sur le web sur des tchats dédiés à ce sujet. Je m'y suis fait quelques contacts réguliers et même quelques amis. Et alors que c’était moi qui posais les questions non-stop, un jour une Domina me demanda "et toi alors tu es plutôt Dominant, Soumis, Switch ?" Je n'ai pas eu le temps de répondre que deux autres personnes avec qui je m'entendais bien se sont mises à parier sur mon orientation. Amusé je les lisais en train de débattre a coup "d'il est trop comme-ci, pas assez comme ça ect..." J'ai finalement dit que je n'avais aucune certitude à ce moment mais que je me sentais quand même Dom... Ce qui n'a pas surpris 2 personnes sur 3 ^^ Comme pour me mettre au défi, mon amie Domina s'est mise en tète d'essayer de faire de moi sont soumis virtuel. Elle n'a jamais réussi. Puis un jour j'ai rencontré une soumise qui au fil des discussions devint Ma soumise virtuelle. Et là ce fut le déclic, le panard, le pied, un truc de fou et pourtant ce n’était "que" du virtuel ce qui nous limitaient énormément au niveau des pratiques et du contrôle que je pouvais avoir sur elle. Mais malgré ça, je savais depuis ce moment-là que j'avais vu juste sur mon orientation, et je n'avais qu'une envie, aller plus loin, le vivre pleinement, le vivre vraiment. J'avais sur elle le contrôle que je n'ai pas sur mon propre corps, elle me permettait d’extérioriser mes douleurs, de les partager, de les soulager en subissant mon sadisme. Elle devenait l'expression pure de ma volonté. Notre relation virtuelle prit fin comme nous l'avions convenus quand elle reprit ses études. Me voici donc ici aujourd'hui dans le but de revivre un jour ce sentiment de plénitude qui sera peut-être bien plus fort en réel, de vivre de nouvelles expériences, rencontrer des gens et pourquoi pas la ou les soumise/s qui à travers le don de leur être, deviendront le prolongement de ma pensé et de mon corps pour nôtre plus grand bonheur commun. T.B
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Par : le 15/10/18
A peine déposé par son allien rousse, Doug reprend son stop. La première voiture qui passe s'arrête. Un bolide allemand qui se traîne sur ces routes US ou même les escargots sont plus rapides. A l'intérieur, une bourge, petites lunettes, lèvres serrées. Un beau tailleur Chanel. Doug hésite. -Allons montez! Une qui sait ce qu'elle veut et qui n'aime pas perdre de temps. Doug s'exécute poliment. Le bolide allemand fait crisser les pneus et se calme vite. Toute cette réserve de force mécanique bridée, cela laisse Doug songeur. Il regarde le paysage. La jupe de sa conductrice s'est un peu relevée. Il voit ses genoux, ses jambes superbes. Elle le regarde à travers ses lunettes. Diable qu'elle est belle. Doug fait comme de rien, il admire les grandes plaines, songeur. Lorsqu'il se retourne, quelques kilomètres plus loin, la jupe est encore plus relevée, on voit les cuisses de sa sublime conductrice. Doug croit qu'il va devenir fou. Il pensait que sa camionneuse alien l'avait vidé pour des mois, et non, tout faux, voilà qu'il recommence à bander dur. La conductrice écarte carrément les jambes. Doug est hypnotisé par sa petite culotte de soie. Il ne peut résister, il envoie sa main et commence à masser. L'autre referme ses cuisses d'un coup, bloque sa main sous sa jupe. Il est comme un animal prit au piège par quelque astucieux prédateur. La conductrice stoppe sur la bande d'arrêt d'urgence et écrase ses petites lèvres serrées contre les siennes. Elle cherche sa langue pour un chaud baiser. Doug n'en peut déjà plus. il arrache la petite culotte de sa bourge et la penètre le plus sauvagement possible. Elle le griffe, le mord, et puis explose dans une série d'orgasmes en cascades. une demi heure après, Doug regarde de nouveau le paysage et sa conductrice a rabattu sa jupe très sage et bien fermé son tailleur chanel. Doug remarque qu'elle avait une alliance au doigt. Il ne pose aucune question. Encore une de ces femmes mariées qui après avoir castrés les époux se cherchent des aventures sexuelles sans lendemain pour combler le vide. Une façon implacable de dominer. Doug se demande s'il existe de telles femmes dans la secte de son père? Il est déposé en silence à une nouvelle bifurcation. -Las Végas, c'est par là, lui dit sa conductrice d'un ton froid. La bourge mariée, dominante dans son couple, a repris son rôle. Il ne s'est rien passé. Cela fait sourire Doug qui reprend son petit sac à dos et tend à nouveau le pouce. Déjà le bolide allemand est loin. Oui, tout cela n'a pas existé.
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Par : le 15/10/18
Nous partons en balade en forêt avec ma Magicienne des cordes .. Son sac semble bien lourd  Nous nous arretons auprès d'un chêne magestueux , les branches semblent nous attendent .. Elle sort ses cordes une a une presque comme quelque chose de précieux .. Elle a pris mes mains et la corde c’est enroulée autour , j’ai fermé les yeux ..  les cordes passe et repasse sur mon corps .. Elle chantonne doucement ..  s’arrete pour  admirer son travail , me demande comment je me sens ,,  La corde passe sur une branche .. Je me sens doucement me soulevez du sol , je décolle ..  Me voilà la tête en bas , je me déconnecte , elle me balance , prends des photos ,  Et puis d’un coup le lâcher prise , les larmes coulent sur mon visage ..  c’est fou cette sensation d’etre ailleurs .. Je suis terriblement bien .. Elle me serre dans ses bras en chantonnant , je reviens à la réalité ..  les cordes quittent mon corps , je pourrais dire que c'est un vide d'un coup .. Ma  Magicienne s’agenouille près de moi ..me parle doucement me câline .. les larmes sèchent ..  Nous discutons de mon lâcher prise .. de mes sensations .. je ne saurais expliquer le pourquoi de se lacher prise , une impression d'être ailleur .. Merci Thutale ma Magicienne de bel envol dans les cordes , c'est toujours un moment particulier avec toi .. Oui je suis une Domina qui aime sentir les cordes sur elle .. Lady H 
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Par : le 08/10/18
Nous sommes dans la lointaine antiquité grecque, chez les doriens, voilà presque trois mille ans en arrière dans le temps. Lycurgue, fils du roi de Sparte, ne voulut pas régner de suite, mais partit dans le vaste monde pour découvrir les autres peuples, les autres lois, les autres formes de pensées et créations humaines, les autres façons de faire la guerre. C'est aux Indes dit on, au contact des florissantes civilations du Gange et de L'indus qu'il apprit le plus. De retour à Sparte, il règna d'une façon restée célèbre pour l'éternité avec des lois comme il ne s'en était jamais vue sur terre. Interessons nous ici au coté bdsm amusant de ces rêhtres (lois spartiates). Tout d'abord, il existe les dominants et les dominés de deux types, les soumis et les esclaves. Les dominants peu nombreux sont égaux entre eux, par contre, ils dominent comme bon leur semble les soumis et les esclaves sur leurs terres. Les spartiates sont comme des aristocrates dans un cercle très fermé, très exigeants envers eux même, méprisant luxe et richesses et impitoyables envers soumis et esclaves. Ils pratiquent même la chasse humaine, par plaisir, sur leurs terres, histoire de bien terroriser, mais sans tuer, cela n'est pas productif, faire peur, oui. Ils baisent peu et c'est très codifié. Leurs femmes sont très belles, toutes des gymnastes au minou étroit. Sauf que la loi interdit de trop les sauter. Rires. Les spartaites doivent garder leurs forces pour le combat. Les spartiates pratiquent le fouet. Interdiction de se plaindre. Cela permet d'apprendre à supporter la douleur et cela renforce les muscles. L'arrivée de sang dans les parties fouettées renforce les tissus mieux irrigués de la sorte. C'est toujours pratiqué en Chine par les moines de Shaolin. Ce qui fait rire chez les spartiates, c'est que ce sont des dominants impitoyables qui en plus pratiquent la domination sur eux même. C'est comme si une dominatrice passait sa journée à fouetter et punir ses soumis et qui pour elle même se ferait les mêmes choses. Sincèrement Sparte, c'était pas bien rigolo. Avoir des femmes superbes et ne pas pouvoir les sauter comme on veut, c'est désespérant. Se faire mal soi même entre dominants avant d'aller dominer les autres, c'est incompréhensible. On se demande où Lycurgue était allé chercher tout cela. Comme l'avait deviné Thucidide, il ne reste rien de Sparte, sauf des légendes et récits. Et ils ont finalement perdu la guerre de Troie. Non seulement ils ont perdu la belle Hélène, mais ils sont tombés sous les coups de Rome, la ville fondée par les Troyens. Après tout, si le mari d'Helène ne la baisait pas assez à cause de lois bizarres, peut on reprocher à la plus belle femme de Grèce, d'avoir voulu fuir ce monde froid, pour les bras de Paris qui lui, ne se privait pas de sexe. A Troie au moins, les femmes étaient très bien honorées et bien remplies de sperme chaud. Là au moins, on savait se régaler de viandes roties et de bons vins, on savait rire et aimer. Les privations c'était pour après la mort. La devise de Troie est la même que celle de Rome: "Carpe Diem". Réjouis toi de l'instant présent.
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Par : le 08/10/18
Marius est entré dans la police tout jeune, juste après le service militaire. Dès le début, il a voulu profiter de sa jeunesse et voyager. Il a été volontaire pour tous les pays lointains. D'abord c'était mieux payé et puis avec le prestige de l'uniforme, il se tapait un nombre incroyable de meufs de toutes les couleurs. Pire qu'un collectionneur, un malade qui usait et abusait de sa situation. Et en bon dissimimulateur, il était bien noté. Il fit l'école des sous off et sorti parmi les premiers. Il demanda l'Afrique. Il aimait les "négresses", il adorait leurs plastiques parfois sublimes. Et il recommença a perforer des minous de façon compulsive. Le "perfo" c'était son surnom. Marius monta encore en grade et devint officier. Là il prit goût à un autre plaisir, dominer et faire régner la terreur dans ses brigades. Là, il n'avait plus personne au dessus. L'officier avec plus de galons était plus loin et pourvu que les brigades ou régnait Marius le perfo fassent leurs chiffres, ils ne venaient pas voir ce qui se passait vraiment, sauf en de rares occasions et sans chercher trop loin. Dans les administrations on ferme facilement les yeux. Pas de bruits, pas de vagues. C'est opaque. Rien ne doit sortir de "l'interne". Et Marius le pervers sévissait. Il adorait les jeunettes qui venaient en premières affectations ou en stage. Il se les faisait toutes. Il savait exercer la pression psychologique, il savait faire peur. Et les jeunettes baissaient la culotte et offraient leurs culs. C'est comme cela qu'il rencontra Lise, celle qui devint son épouse. Une jeunette vierge au cul somptueux, une qui su le faire attendre, une qui su négocier la redition de sa chatte. Marius marié se calma un peu. Lise savait le satisfaire. Mais au premier mome, il péta de nouveau un cable et se remit en chasse. Il s'apperçut qu'il aimait cocufier. Baiser la femme d'un mec et ensuite ne pas s'en cacher, affronter le mec. De l'adrénaline. Et ces cons de mecs qui se laissaient faire, qui laissaient leurs femmes se faire troncher par cet officier malade. Ah la lacheté. Et cela excitait Marius de plus en plus. IL cocufiait plus costaud que lui, il cocufiait plus puissant. De toute façon c'était facile. Les femmes mariées ouvrent facilement les cuisses quand leur couple bat de l'aile. Et Marius en bon pervers savait y faire. Tout cela finit par arriver aux oreilles de Lise qui décida de se venger. Elle ne prit pas un amant, mais une amante, son avocate, une dominatrice lesbienne, une castratrice qui ne supportait pas les pervers comme Marius. Elle prépara le divorce de lise de façon à ruiner le plus possible son époux. Elle le fit suivre, n'eut aucun mal à accumuler des preuves, des témoignages, un dossier béton. Marius sentait bien le danger, tous les pervers ont un sixième sens. Mais il cherchait un amant, il pensait lui même etre cocu. Le rival était une rivale, et il avait du mal à l'imaginer. Lise préferer une femme, lise une brouteuse de minous. Marius comme tous les crétins de machos pensait que seule sa bite pouvait donner des orgasmes à son épouse. Un matin, il fut réveillé par les girophares des voitures de police. Il pensait que c'était une urgence, qu'on venait le chercher, lui, l'irrenplaçable chef de service. On lui passa les menottes aux poignets. Une dizaine de femmes avaient porté plainte, sans compter celles qui viendraient après le faire aussi, une fois le voile de la peur disparu. Marius se fit enculer sans réserve derrière les barreaux. Un cul de flic, une aubaine pour tous ceux qui croupissaient derrière les murs des prisons. L'avocate de Lise veilla à ce qu'il soit mis dans les cellules les plus hards, avec les pires psychos. Au procès, Marius était méconnaissable. La terreur des jupons avait une peur bleue de l'avocate de Lise. Il n'osait pas la regarder en face. Elle jubilait. Elle savait combien la chatte anale de Marius était devenue un boulevard large et acceuillant. Julie obtint tout ce qu'elle demandait. Elle se mit en couple avec son avocate. De Marius, elle n'eut plus jamais de nouvelles.
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Par : le 08/10/18
Nico, c'est nicole, mais elle déteste ce nom de gonzesse, c'est simple, depuis toute petite, elle déteste tout ce qui est féminin. Elle a toujours voulu s'habiller comme un garçon, jouer comme un garçon, se battre comme un garçon. Elle est taillée pour. Toute jeune, elle a voulu faire du rugby. Comme il n'y avait pas d'équipe de filles et comme elle était coupée en brosse, elle a joué avec les garçons. Et elle s'est vite révelée excellente. Sauf que, lorsque ses mamelles ont poussé, les garçons ne voulaient plus d'elle. Pour être formée, elle était formée. Un gros cul et de gros nichons. Heureusement il y avait dans son sud ouest un club féminin, pas trop loin. Cela lui a plus de suite. C'était même mieux qu'avec les garçons, plus amusant. Elle est devenue championne du coin. Une vraie panzer sur un stade, capable de tout défoncer devant. Son surnom "le sanglier". Humm, c'est vrai, elle schlingue un peu comme les phacochères en rut après un bon match. Raison de plus pour filer sous la douche et la troisieme mi-temps. Elle s'est rendue compte qu'elle était 100% lesbienne dominatrice. Le sanglier des stades devenait le sanglier sous la douche, toujours à renifler des chattes à les labourer et à se les troncher profond. Nico opta pour le gode sans ceinture, un gros gode. Comme c'était la chapionne et la plus costaude, elle se les tapait toutes. Elle se tapait même l'entraineur, une petite bite sur pattes, un homme fluet et timide, mais très bon technicien. Nico lui avait foutu la honte de sa vie lorsqu'elle l'avait sodomisé devant toute l'équipe. Les filles s'étaient moquées de sa petite bite. Il était rouge, couvert de honte et ce con avait joui, bramé comme les filles. depuis, il s'appèle "la pie". Il a tendance à jacasser quand il jouit en se faisant mettre profond par nico, qui de fait montre à tout le monde que c'est elle qui commande. Finalement nico a repéré la plus jolie des supportrices, une petite blonde hyper sexy, une pom pom girl très provoc sur les stades. Mais en dehors, une petite bourge bien rangée, bien comme il faut. Nico s'est mise en couple avec. Nico se comporte en macho et sa pom pom girl file droit. Elle adore lui donner la féssée, bien la rougir avant de lui enfoncer son groin de sanglier entre ses petites fentes intimes. Et l'autre qui hurle de plaisir à chaque fois. Nico, avec ses 90 kg, ses épaules de déménageur, sa tronche patibulaire, son nez cassé, n'a rien des canons de beauté des magazine. On aurait pu croire qu'elle finisse seule, aigrie, moche pour la vie. Au contraire c'est elle qui se tape les femmes qu'elle veut. Aucune qui ne résiste à son groin. La sanglier des stades est aussi celle qui se tronche le plus de chattes. Et au besoin, elle encule aussi les mecs qui sont pas contents. Les soumis, sont trop nombreux, c'est pas du sport, elle les ignore. Non, ses extras c'est les bons gros machos de supporters adverses avec zéros neurones et bien du muscle.une fois bien enculés par son god, elle fait des selfies. Plus aucun n'ose se moquer d'elle après.
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Par : le 03/10/18
Ah que de fantasmes sur ces amazones...les choses sont plus simples...à force de guerres, il y avait bien moins d'hommes que de femmes, à force de guerres, les femmes durent faire toutes les taches des hommes, à force de guerres, elles durent combattre aussi. Ainsi naquirent les Amazones, les farouches guerrières des vastes plaines, les dompteuses de chevaux. Moins aptes que les hommes aux terribles chocs frontaux entre guerriers lourdement armés, elles optèrent pour l'arc et le cheval et si besoin les glaives courts pour finir le travail. Elles devinrent redoutables, tournoyant autour des phalanges et décrochant des flèches souvent mortelles car fort précises. Dans le fond, Gengis Khan n'inventa rien, il ne fit que reprendre les techniques de combat des amazones pour se tailler un immense empire. Mais les amazones n'avaient pas soif de conquêtes, elles voulaient juste défendre leurs vastes plaines à chevaux. Et dans ces temps reculés, les meilleurs guerriers devenaient Rois et dans ce cas Penthésilée devint Reine. Une femme superbe et racée. De long cheveux noirs, des jambes musclées. Pas de seins coupés pour mieux tirer à l'arc, non, juste un haut protecteur en cuir épais. Toutes des athlètes et des gymnastes, souvent lesbiennes, les hommes, juste de temps en temps, pour procréer, mais sans plus. Des brouteuses de minous avant tout. La guerre de Troie durait depuis des années. Un conflit très dur, ou les grecs voulaient exterminer les troyens. Allez savoir pourquoi? Ce conflit dure toujours de nos jours, ne vous y trompez pas. L'illustre Jules César dira devant le sénat romain: "je suis un Troyen de noble origine". Il n'avait pas dit romain, non, mais bel et bien Troyen, les fondateurs de Rome après la destruction de Troie par les grecs. Et comme toujours dans ces guerres sans fin, les alliés sont obligés d'intervenir, de combattre pour leur camp. Penthésilée n'eut pas le choix, elle dut partir combattre à Troie. Face aux terribles achéens aux longues chevelures, aux spartiates qui ne reculaient jamais, aux infatiguables myrmidons, les charges de cavalerie de Penthésilée, les flèches acérées des arcs des amazones n'eurent pas les résultats escomptés. Les grecs savaient former des lignes compactes et se protéger derrière leurs lourds boucliers. Achille tua Hector sous les remparts de Troie. Achille tua Penthésilée. La légende raconte qu'il en tomba amoureux alors qu'elle agonisait. N'en croyez rien. Achille tua Penthésilée sans aucun état d'âme, sans le moindre remord, la moindre pensée pour elle. Les légendes vous savez....Achille tua Penthésilée comme il tua Hector et tant d'autres, en tueur. A chacun son boulot, les tueurs tuent, les prêtes prient, et les conteurs racontent des légendes. Ainsi va le monde. "les lions ne pactisent pas avec les agneaux". Paroles d'Achille avant d'achever Hector. Cela me fait rire, on peut parodier Achille. "les lions ne sont pas des brouteurs de gazon". Et donc l'amour entre Achille et Penthésilée, peu probable. Encore une de mes versions de l'histoire en écrivant de façon automatique, histoire de "voir". Et cette question: "un dominant ne pactise pas avec un soumis ou une soumise" ?
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Par : le 02/10/18
Partie 1 PREPARATIFS C’est la veille de cette nuit-là ! Mon Maitre Shape l’a décidé, nous irons ! Et j’en crève d’envie, j’en trépigne d’impatience. Pourtant comme à mon habitude, je me laisse bercer entre envie, désirs, curiosité absolue, peurs et doutes. Depuis une semaine, une boule au ventre grandie et pèse à mesure que les jours de la semaine s’égrènent. Ce weekend occupe mon esprit quoi que je fasse et habite mes nuits, beaucoup plus agitées. Tout se bouscule en dedans, les émotions s’agitent me procurant diverses sensations plus ou moins agréables à vivre. Je suis dans l’attente. Derniers préparatifs ... Les essayages ont lieu sous ses yeux, ses mains qui ajustent celle qu’il me faudra être pour lui. Le thème de cette soirée « La rentrée des Soumises » Un dress code est donné, et je dois me munir également d’une feuille blanche et d’un crayon bleu ou noir, afin de répondre à des questions de culture générale. Ce qui m’a valu de petites révisions … Je me transforme donc en une écolière d’apparence sage, avec une jupe écossaise rouge, une jolie chemise blanche, une veste en jean, un béret en feutrine noir et les bottines de la même couleur. En dessous, il me veut sexy. Des bas noirs sont tenus par un corset jarretière en dentelle qui nous a valu moultes questions, ajustements, rires, agacements et démêlages en cascade. Mais Ouff, il me va ! C’est la première fois que j’en porte un. Je me trouve presque jolie, je souris à tous les miroirs que je rencontre. Je m’amuse et joue à me promener dans la maison et à passer le balai ainsi vêtue, en repensant à certaine photos et images regardées, envieuse, ici et là sur la toile. Partie 2 LE JOUR J Je suis détendue, tout est callé. Shape a réservé une nuit sur le domaine ou nous nous rendons. Je pourrais donc prendre le temps de m’imprégner des lieux, d’avoir notre espace à nous (j’avoue avoir pensé au repli au cas où) . En prime, le lendemain, ballade en amoureux et découverte d’une côte Bretonne que je ne connais pas ! La route est interminable, il pleut sans discontinuer, le brouillard et le vent sont de mèches également. Ce qui pourrait me chagriner habituellement, voir me contrarier, m’adoucie et amène une certaine pesanteur qui semble me faire prendre le bon rythme. Je suis calme, en confiance et heureuse. Même mes mots, mes phrases sont dites sans précipitation. Je m’en fais la remarque et me répète à intervalle régulier, de ressentir, de profiter de l’instant. Nous échangeons encore une dernière fois dans la voiture, sur nos attentes, nos envies, les limites fixées, les codes que seuls nous comprendrons. En chemin nous nous sommes arrêté dans une boutique qui vend des accessoires,des vêtements, de la lingerie érotique et instruments SM . J'ai repéré un martinet à longues, lourdes et nombreuses lanières de cuir, absolument parfait pour réveiller et chauffer ma peau, mais Shape ne fait l'achat que d'une nouvelle cravache, le manche de la dernière ne lui plaisant pas. L'odeur de Patchouli gluant un tantinet trop vanillé de la boutique me rend presque nauséeuse et cela m'empêche de m'emballer pour un quelconque article. Je constate que Shape semble connu des lieux lorsque l'hôtesse lui fait remarquer que cela fait un moment qu'elle ne l'a pas vu et qu'ils engagent tous deux la conversation sur leur dernière entrevue au marcher aux plantes non loin de là. Elle se rend compte de ce que je pourrais mal interpréter et se rattrape en explications supplémentaires. Je ne lui dis pas, mais elle n'a pas besoin de le faire, je ne lui en veux pas, Shape m'expliquera. Alors je me contente de lui dire timidement "non mais pas de soucis".Elle est gentille, à une petite cinquantaine très fine voir maigre, habillée en femme fatale avec la coupe carrée stricte noir corbeau. Cela me fait penser que je m'étonne toujours du contraste qu'occasionne la dégaine de certains visiteurs qui passent la porte de ces boutiques. Moi, qui, il y a encore trois ans, pensait que cela était réservé à une certaine élite où aux Vicelards tordus. Je n'y suis tout de même pas encore bien à mon aise, ces endroits ne m'émoustillent pas le moins du monde, trop de déballage, et mon imaginaire se trouve comme bloqué. Il est 20h00 lorsque nous arrivons. Nous sommes en avance et comme prévu, Maitre Balthazar nous attend et nous conduit à notre chambre afin de nous changer. Il fait noir dehors et je n’ai pas pu admirer les extérieurs qui semblent magnifiques. Dans la demeure, je n’ai à aucun moment détourné les yeux de Shape et de Maitre Balthazar. Je veux tout entendre, tout comprendre. Je reste concentrée. Je vis l’instant et ne veux plus imaginer. J’ai entendu des voix et des rires dans une grande salle derrière la cuisine. J’ai frôlé des rideaux lourds dans un couloir qui mène à un escalier moquetté qui assourdi chacun de mes bruits de pas. Je suis comme en apnée, je m’en rends compte lorsque Shape ferme la porte de notre chambre et qu’il repart chercher nos affaires laissées dans la voiture. J’inspire alors à plein poumon, je frissonne. Les odeurs sont agréables et douces. Tout semble comme feutré. Je regarde les tableaux et les breloques accrochées ou déposées. La décoration ne me plaît pas vraiment, mais je me sens à mon aise. La note colorée de notre chambre est le rouge. Un rouge puissant et massif. C’est un signe ! c’est ce que je me dis en souriant. Une fois changée, je lui demande de faire des photos, je prends des poses debout sur le lit. Je joue, je rigole et j’adore ça. Il est si décontracté, à l’aise, je te trouve beau dans ses vetements sombres. Je suis en totale confiance, ou inconsciente, au choix, mais ça me va !!! alors simplement je profite. La boule au ventre est un lointain souvenir lorsque Maitre Balthazar frappe à notre porte et me surprend à faire l’andouille sautillant sur le lit. A cet instant ça y est, je le sais, je suis dans mon rôle, je prends une place qui me convient. Shape vient de me passer mon collier de Soumise autour du cou et tel un bolide, me voilà dans les starting block . Je contrôle encore le démarrage. Mais je sens les chevaux qui me poussent. « L’autre moi » prend place et n’en peut plus d’attendre d’être toute entière. Nous descendons dans cette grande salle. L’immense cheminée réchauffe la pièce. Il y a du monde. Les Maitres et Domina se tiennent debout et les soumis(es) souvent à genoux ou assis. Je ne me sens pas faire cela. Ce n’est pas dans nos codes et habitudes. Je reste donc droite comme un I aux côtés de Shape qui arbore un regard fier. J’admire tout, je n’ai pas assez de deux yeux, je n’ai pas assez de mes narines et de mes doigts pour gouter et savourer ce moment. Il nous est demandé de faire connaissance et de nous présenter. Chaque Dom le fait accompagné de sa moitié. Je dois visiblement me taire. Ici, ce n’est pas à moi de parler. Que c’est difficile pour moi ! Ma langue accepte de rester coincée entre mes dents. J’ai cette sensation de sourire bêtement et de ne pas savoir ou mettre mes bras et comment démêler mes jambes. Je m’appuie maladroitement sur une épaisse table en chêne massif. Je comprends qu’ il est au final plus facile d’être à genoux par terre!!! Shape serein et très calme nous présente succinctement tous deux, en précisant que c’est une réelle première pour nous. C’était parfait. Un verre est servi et les conversations commencent à remplir doucement la pièce. Je suis heureuse de reconnaitre une soumise, Luna que j’avais rencontré lors d’un Munch et after. Elle est aussi libertine et tellement nature, elle me fait rire. Et Dragon29 est là aussi. Un Maitre d’expérience qui nous connait Shape et moi puisque mon ancien Maitre nous avait introduit dans cette communauté du Triskèle dont Dragon était président. Le punch n’est pas assez fort à mon gout, je veux du pure du dur et pourtant j’ai déjà chaud. Après quelques échanges, je remarque que je suis la plus couverte. Certains jeux se mettent en place notamment sur cette grande table qui m’avait servie de soutien. Des culs sont déjà tendus et réclament. Ce que j’avais envisagé est donc, sous mes yeux, en train de se réaliser. Ce sont les soumis qui sont mis à contribution les premiers, ils semblent pouvoir détendre activement l’atmosphère. Les fessées fusent mais restent modestes. Les coups de cravaches ou de martinets sont timides. Je le sais, je le sens en moi, je veux voir du « spectacle ». Et le déguster comme un cadeau, comme quelque chose de beau. Le voir comme un précieux moment de « vie à part », de « parenthèse autorisée » et de partage. Non, Mieux, je veux avoir le courage de faire partie du tableau, qui s’agite et prend vie devant moi, de faire partie de ce spectacle ! je lève ma tète vers Shape, il était fixé sur moi. Il a compris, je le sais, je n'ai pas besoin de faire l'effort de lui dire. Je n’ai qu’à attendre, lui aussi en a envie. Je suis heureuse, et la patience sera mon amie. Les corps sont beaux. Ils ondulent, invitent, vibrent et vivent l’instant. Je crois que personne ne regarde comme moi; comme pour la première fois. J’ai peur de gêner parfois. Je souris beaucoup trop à mon gout, car il me manque de pouvoir dire tant de mots !! Une Domina répond à mon sourire en donnant la fessée à son soumis. Je fredonne tout en la fixant au travers de son masque, la musique qui passe à ce moment précis. Elle commence à battre le rythme sur les fesses rosies et appuie d’avantage les coups avec la cravaches. Je continue à chanter. Elle en fait autant, jusqu’à ce qu’un coup plus fort atteint le postérieur rouge du soumis et qu’il se met à crier. Cela me fait éclater de rire. Le soumis me dira merci peu sympathiquement plus tard dans la soirée. Je m’en ficherais un peu, mais afin de ne pas détonner, je m’excuserai du mieux que je peux, de mon attitude de petite peste que je ne me connaissais pas jusqu’ici. Maitre Balthazar nous invite Shape et moi à nous rendre dans la pièce bleue. Il y fait bleu oui, et des instruments et mobiliers sont installés autour d’un immense salon qui lui, se trouve en contrebas. Des tapis partout. Une croix magnifique en bois et cuir et d’autres meubles que je reconnais, mais dont je ne connais pas les noms. Je m’imagine attachée, mon corps nu et touché …mais nous sommes appelés. C’est le moment du test de culture générale. Shape me laisse m’installer autour de la grande table. Une soubrette Homme est non loin de moi. Deux autres soumis Hommes Femmes ou inversent me demandent si j’ai de quoi écrire. Leur voix les trahit, alors que j’ai envié peu de temps avant leur corps magnifique , sans avoir regarder si une chose, voir deux ou trois gigotaient au milieu. Ce qui m’étonne, c’est que je trouve tout normal et que je suis bien ici, à ma place, dans ce monde qui reflète les couleurs de ma vie intérieure et des valeurs qui me sont chères. Luna est à mes côtés. Comme dans un vrai examen les copies nous sont remises faces cachées. Et nous sommes surveillés. Luna et moi plaisantons et remplissons le rôle des élèves dissipés. Les questions ne sont pas simples du tout. Et entre les dates des grands évènements, les guerres, les problèmes de médecines et les départements, je me perds un peu. Ma concentration n’est pas au rendez-vous sur cette partie de soirée, et mes camarades de classe sont peu joueurs. J’essaye en vain de tricher. A deux reprises, on me demande de me taire et de travailler. C’est plus fort que moi. Je veux jouer à provoquer, histoire de voir. Et Luna me suit sur ce coup là. C’est alors que la Domina au masque nous dit à toutes deux, qu’après avoir rendue nos copies nous serons châtiées. Bizarre, Je crois être heureuse d’avoir comme gagné un bon point. La Domina n’est pas dupe et nous le dit d’ailleurs, que ce sera pour notre plaisir. Je me retourne vers Shape, qui me lance depuis le canapé, « C’est ce que tu voulais ?! Non ?! ». Je me retourne boudeuse et entoure ma dernière réponse, puis brandis ma feuille en criant « J’ai fini !! ». Luna me fait remarquer que je suis la dernière, et qu'il ne serre à rien de me venter. Nous rions comme deux gamines. Un Maitre sur ma gauche, me précise que la domina au masque, à la main lourde et semble inquiet pour moi. Un léger doute me prend, un genre de petit fourmillement envahit mes mains et tombe sur mes pommettes. je suis pourtant impatiente de recevoir ce qui nous a été promis. Luna me prend pour alibi et explique à la Domina que je suis novice et qu’il faudra adapter. « Si seulement elle savait !!!! ». Mais après tout un petit tour de chauffe tranquilou n’est pas de refus. Sa jupe est déjà remontée et ses fesses crient « je n’ai pas été gentille ! ». Je m’installe de la même façon, retroussant ma jupe, écrasant ma poitrine sur cette table et posant mon visage en direction de celui de ma copine de classe. Je sais que tous derrière peuvent voir mes jambes, mes fesses, et je m’étonne encore une fois, de n’avoir aucun souci avec cette nouveauté. Luna reçoit son due, le bruit est enrobant et je sais d’avance que ce seront alors des mains caressantes pour moi, et donc assurément frustrantes. Mais que je suis heureuse de cette première fessée donnée par des mains de femme. Je suis surexcitée !! Il me semble à cette instant, que je n’ai plus aucun tabou ni retenue. Je veux tout, j’ai envie de tout ce qui pourra s’offrir à moi en sachant que Shape est garant de Nos limites. Cette fessée est bien trop courte à mon gout. Je m’en veux de ne pas avoir dansé sur cette table la macaréna ou une autre connerie du genre. Shape et moi voyageons d’une pièce à l’autre. J’envie certain corps sublimes, mes yeux repassent leurs contours à coup de crayon de lumière. Mes mains accompagnent les mouvements. Je vois de l'amour, des câlins de la tendresse partout...Lui parle technique. Il est 23Hoo c’est l’heure ! Les corrections sont faites. Les notes établies. Nous nous rendons dans la pièce bleue. Il est demandé aux soumis(es) de s’asseoir dans la partie en contrebas, les Dom nous surplombant. Nous serons appelés un par un et devrons nous mettre à genoux afin de recevoir notre diplôme. Une punition sera donnée par la main de notre Maitre en cas de note inférieure à la moyenne. Je reçois mon diplôme après avoir manqué atterrir en mode vol plané aux pieds de Maitre Balthazar, ayant pris mon talon dans un tapis et un pouf au sol. J’ai un peu honte, j’aurais voulu m’appliquer et m’agenouiller avec classe comme j’ai appris à le faire. Mais, visiblement, je garde le mystère et cache mon jeu involontairement jusqu’au bout. En tous cas, c’est ce que je me dis pour me consoler. Shape ne semble pas m’en vouloir, il me sourit et hoche la tête en me félicitant pour mon diplôme de « bonne soumise ». Je me précipite à ma place et lui tends fière de moi. Seul deux n’ont pas été appelés. Un jeune soumis d’à peine 20 ans et une magnifique soumise au corps percé et tatoué. C’est elle qui ouvre le bal des punitions. Elle doit se placer sur la croix, bras et jambes écartées, et ne plus bouger. Son maitre lui explique qu’elle devra compter les coups à haute voix, et qu’en soustrayant le nombre de coups reçus de 20, elle saura sa note et pourra alors chercher son diplôme. Son Maitre prend un bâton lourd et long, une sorte de badine épaisse d’un diamètre de3 centimètres environ. Elle est entièrement nue. Lui, lui parle doucement à l’oreille. Je suis trop loin pour entendre, mais je ressens l’attention et l’affection qu’il lui porte. Le premier coup est donné suivi du « 1 » qu’elle donne dans un éclat de voix. Le silence envahit la pièce. Ça va faire très mal ! Une marque violette est déjà en place à la naissance des cuisses de la soumise. Je sais d’avance qu’au second coup à cet endroit, elle n’aura pas d’autres choix que de s’écrouler. Aux coups suivants, la jolie soumise se met à pleurer de plus en plus fort, son Maitre la soutien par des mots, des caresses, mais exécute impitoyablement la sentence. Certaines soumises ferment les yeux comme pour ne plus entendre, d’autres détournent le regard de cette scène, des mâchoires se crispent. L’atmosphère est devenue tendue, pesante, poisseuse, et je souhaite de tout cœur pour elle que sa note approche de la moyenne. Au treizième et dernier coup, elle s’effondre. Ses fesses, sont très marqués et la douleur ressentie doit être d’une extrême violence. Son Maitre la prend dans ses bras assez maladroitement, comme gêné par le regard des autres et lui demande « alors, qu’elle est ta note ? », elle répond "7, ma note est 7 Maitre" et le remercie. A cet instant, je ne sais pas quoi penser de cette scène et de ma complicité dans cette histoire subit. J’aurais voulu comme prendre sa place à un moment pour la soulager ou avoir la réponse au département 87. Mais moi aussi comme les autres je suis restée là, stoïque. Je laisse ces images en digestions. Je ne suis pas choquée. Je ne sais pas, c’est tout… et Luna la console déjà en me précisant « c’est dur la pauvre, elle n’est pas maso du tout ! ». Moi j’ai un léger doute à voir les tas de tatouages et de piercing placés là où ça ne doit pas faire du bien en plus du branding à la signature de son Maitre. Un peu plus tard, je la retrouverais épanouie à rouler sa cigarette et celle de son Maitre puis à vivre un moment de dressage merveilleux. C’est ensuite au tour du jeune soumis qui recevra le même nombre de coups avec une badine plus fine de la main de sa Domina très appliquée avec des gestes plus souples et plus chorégraphiés, esthétiques. A la suite de quoi, Shape est parti chercher le résultat de mon écrit. J’ai obtenu 12 sur 20. La pièce s’est vidée. Il me demande de me placer sur la croix et de compter les 8 coups me séparant de 20. Je ne rechigne pas. La badine est cinglante et libératrice. J’en avais besoin. Il est heureux des premières marques qu’il vient de m’administrer. Je l embrasse goulûment. La soirée reprendra son cours ensuite et se remplira de jeux SM plus marqués dans toutes les pièces. Des chaines suspendues au plafond seront aux premières loges pour admirer les corps offerts aux jonglages de martinets, aux coups maitrisés des fouets de toutes tailles. Je resterais admirative d’un homme maso qui venant de se faire écraser les testicules sur le sol pendant plusieurs minutes par sa Maitresse, se suspendra aux chaines et recevra sur l’ensemble de son corps, des coups d’une force et d’une voracité à peine imaginable pendant plus d’une demie heure. Sa Maitresse et lui sont en parfaite osmose. Ils se donnent autant l’un que l’autre. Ils sont animaux, bestiales et émettent des cris et sons à peine identifiables. Elles se déchaine, les coups pleuvent. J’ai l’impression qu’il n’arrive pas à lâcher, et qu’il ne sera jamais rassasié. Elle est comme à bout de souffle et finit par sortir une lame énorme et commence à lui entailler le dos doucement. Shape et moi nous détournons de cette scène, et retournons dans la pièce bleue. Il m’installe sur une sorte de cheval d’arçon et nous savourons tous deux ce moment de complicité et de marquage amoureux. Le fouet court qu’il a en main est un délice et je ressens chacune des marques qu’il me laisse à la surface de la peau comme un cadeau que je veux pouvoir garder sur moi le plus précieusement du monde. Nous sommes si bien là, tous deux ! Il s’applique comme jamais et je me nourris de ces moments comme toujours. Je suis si détendue, que cela pourrait durer des heures. Après ce moment complice, et autour d’un verre et de nos discussions, je lui soumets l’idée de s'essayer aux fouets et techniques de Dragon et de pouvoir apprendre et se perfectionner. Il en fait la demande, je les vois parler un peu plus loin. Dragon vient me chercher peu de temps après, et me fait déshabiller entièrement. Je m’exécute sous le regard de mon Maitre. Dragon me fait remarquer, à la vue des marques rouges sur ma croupe mes fesses et les cuisses, que je n’ai pas été si sage qu’il n’y parait. Je suis sur la croix et m’installe en suivant les consignes qu' il me donne. Je veux rendre fière mon Maitre et lui montrer comme je sais être une bonne soumise obéissante. Mes mains sont accrochées aux chaines qu’elles trouvent à taton. Mon front est posé contre le rond de cuir. Dragon s’essaye à de premiers instruments et comprend assez vite qu’il lui faut passer à d’autres « jouets ». Il me remercie de ma tenue et m’encourage à vivre pleinement ce moment. Il me dit l'apprécier également à chaque fois qu’il revient vers moi pour s’assurer que je vais bien. Je suis en totale confiance. Ses coups de fouets sont un supplice délicieux. Il me demande à intervalle régulier de me tourner d’un côté et de l’autre en faisant attention de lui laisser admirer mon visage. J’ai cette sensation d’être seule au monde avec lui et mon Maitre. Certains coups sont plus appuyés, incisifs. Il souhaite atteindre des zones de mon corps plus délicates. Il s’étonne que je ne bouge pas, ne pleure pas, qu’aucun son ne sorte de ma bouche. Seules mes lèvres s’entrouvrent par moment comme pour aspirer d’avantage de plaisir. Ma peau est chaude, je bouillonne littéralement, et suis ailleurs depuis déjà un long moment. Ce sera à lui et à Shape de savoir quand il faut arrêter, car moi je suis incapable de le dire car incapable de savoir quand il faudra stopper. J'ai trop peur qu'il m'en manque un peu, un bout de cet instant et que le regret me gagne, que je m'en veuille ensuite. Je suis si bien, à ma juste place, je me sens vivante et belle. L’adrénaline et toute cette excitation en moi, en plus du manque de sommeil cumulé fait que je voyage. Ma résistance physique est grande, je me fais confiance, elle ne faiblira pas. Je ne ressens pas la douleur, je m’en délecte, m’en réjouis. Douleur, même ce nom ne lui va plus ! Il faut que je lui en trouve un autre dans ces instants-là. Je l’offre, je la partage, la donne à apprécier, à la voir autrement, belle, heureuse, joyeuse, vivante, vibrante de bonheur et de vie... Je tremble, mes bras ne tiennent plus bien dans les chaines, ma tête tourne un peu. Je sens des mains posées et une voix qui me dira. On arrête là. Je me mettrais alors au sol en dévotion aux pieds de ceux qui m’auront aimés soumise cette nuit-là. Je suis sereine, souriante, d’un sourire qui veut enfin dire quelque chose et qui n’a pas besoin de se justifier en mot. Le reste de cette nuit fut douce, belle tendre et juste. Merci mon Maitre Shape pour ce weekend Notre parenthèse de VIE à deux . Je t'aime
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Par : le 02/10/18
Laya est une des épouses de mamoud le fou, le caïd, celui qui règne sur les tours crasseuses les lieux sombres où la république a abdiqué, où la police ne met plus les pieds. La loi c'est mamoud et mamoud est fou. Un regard de travers c'est l'assurance d'un coup de cuter. Toutes les femmes de la "zone" sont propriété de mamoud, qui peut comme tous les seigneurs de guerre, les pires brutes des temps obscurs exercer son droit de "jouissance" sur toutes les personnes et tous les biens. Mais il n'est pas tranquille, les rivaux et mêmes quelques rivales ne manquent pas pour vouloir prendre sa place et accrocher ses couilles en haut de la stration service cramée depuis longtemps. Alors mamoud est plus que paranoïaque, il préfère toujours attaquer d'abord. Plus il est craint et plus il règne sans partage. C'est pareil pour le male dominant dans les meutes de loups. Laya s'est faite enculer par mamoud, un jour comme cela, en pleine rue, contre un des rares arbres qui restent dans ces décombres de ville calcinée. Elle n'avait d'autre choix que de dire oui. Mamoud l'avait repéré depuis longtemps. Il attendait qu'elle soit à point pour la déguster d'un coup. Les préliminaires et mamoud le fou....Laya aima cela, allez savoir pourquoi, la jouissance ne se commande pas. Mamoud le senti et la prit pour épouse...une de plus. Cela fait longtemps qu'il ne comptait plus. Mais Laya, il aimait, elle savait serrer les fesses, elle savait aspirer sa grosse bite. Un véritable aspirateur, une trayeuse hitech que ce cul somptueux de Laya. Cela devint une drogue pour mamoud le fou. Il fallait qu'il se fasse pomper la verge tous les jours. Et Laya n'avait pas de concurente. C'est ainsi, il y a les femmes qui savent baiser, qui savent bien baiser, puis il y a les exceptions, les bombes, puis les super exceptions, les bombes H du sexe, celles qui savent griller les neurones et les lobes nerveux des males en phases orgasmiques. Mamoud le fou devint psychodépendant. Le drogueur, le caiid dealer devint un camé au cul de laya. S'il n'avait pas sa dose, il devenait comme un tyrex en cage. Laya se rendit compte de son pouvoir. Elle tenait son mamoud par les couilles. Restait plus qu'a serrer bien fort. Elle prépara son coup minutieusement. mamoud aux neurones grilles ne vit rien venir. Un fin couteau japonais, plus tranchant qu'un rasoir, l'émascula d'un coup. Il ne sentit rien, sauf le sang gicler sur ses cuisses. un voile glissa devant ses yeux. Il tomba raide et vidé. Laya fit empailler le sexe de mamoud et l'installa sur son bureau. Ce fut elle la caid, elle qui regnait sans partage sur la zone, la banlieue délaissée. Ce fut comme si le soleil était revenu. Les sourrires sur les lèvres à nouveau. Les filles n'avaient plus peur de sortir dans la rue. les trottoirs, les squares, les halls d'immeubles redevirent de vrais lieux de vie, joyeux, agréables. Drogues, prostitution, rackets, vols avaient disparus. Laya faisait la loi et elle était plus crainte que mamoud avec sa fausse douceur. Laya n'en restait pas moins une bombe sexuelle, la super bombe. Aucune rivale. Mais déjà dans l'ombre un nouveau mamoud se léchait les babines....les jours de Laya étaient comptés. Elle le savait. Ainsi va le monde et la vie. Il existe toujours un prédateur aux aguets, pret à bondir....
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Par : le 28/09/18
Cela fait maintenant 13 ans révolus que je suis le soumis consentant de Lady gabrielle. Depuis le jour où Elle m'a proposé d'être son serviteur docile, notre relation a bien évidemment évoluée. Les trois années durant lesquelles nous ne vivions pas ensemble ont été une période de pure Domination/soumission . Puis , nous nous sommes installés ensemble et par la force du changement qui a constitué un chamboulement dans nos existences , nous avons mis notre BDSM de côté. Il nous fallait nous adapter à notre vie commune. Le côté « vanille » avait prit le dessus. Ce n'est que deux années plus tard , que nous avons renoué avec ce mode de vie qui fait parti de nous , de nos individualités, de nos « MOI » profonds. Attention, je ne parle pas d'égo. Nous avons bien vécu ces années entre « vanille » et BDSM. Il nous est ,cependant,impossible de négliger nos familles respectives. La famille , les amis procurent obligatoirement une très certaine et inévitable perturbation dans le déroulement de notre relation BDSM. Sept ans après notre rencontre Lady gabrielle a exigé que l'on se marie pour sceller définitivement par la loi mon appartenance. Il va sans dire qu'un mariage peut s'interrompre par un divorce mais c'est beaucoup moins aisé qu'une rupture entre compagnons. Avec notre mariage et la vie commune , notre côté BDSM était devenu une sorte de consensus un peu mou. Dans ce mode de vie aussi , le BDSM, la routine peut s'installer . C'est ce qui nous est arrivé. La rencontre d'une jeune femme soumise nous a obligé à nous remmettre en question. Au cours d'une soirée dédicace organisée par cette amie, nous avons rencontré l'auteure de livres traitant du BDSM. Cette auteure , authentique soumise masochiste, décrit parfaitement la relation D/S qu'elle entretient avec son Maître. Une relation de plénitude, de compréhension , d'envies respectives, de complèmentarité et peut être d'amour. Au cours de nombre de leur conversation, cette soumise emploie souvent le mot « abnégation ». Son Maître quelque peu agacé par cette demande plus ou moins latente décide d'approfondir ce sujet et amène cette jeune femme à réfléchir sur ce mot. Pour ce faire , il lui impose un retrait du monde, un huis-clos, de pur BDSM dans lequel elle va subir un dressage d'une rigeur extrême , dans l'obligation d'obéissance mais pas forcément dans la douleur des punitions reçues pour parvenir à cet état de soumission aveugle désiré par son Maître. Douleurs bien présentes pour marquer l'esprit de cette soumise et cependant sans brutalité. C'est à la lecture d'un de ces récits et à la suite d'évenements survenus dans notre couple que Lady Gabrielle a organisé un huis-clos entre nous, à l'image de celui décrit dans ce livre. Notre BDSM était devenu trop fluide, trop facile , trop indulgent , trop ludique , trop prévisible. Lady Gabrielle a décidé de revenir à un BDSM plus stricte , moins tolérant, moins consenti. Au cours de ce huis-clos qui s'est déroulé en l'espace d'un week end et qui sera suivi par d'autres moments plus ou moins longs, Elle a redéfini ce qu'Elle attendait de moi, de son soumis. En tout premier lieu, que je réfléchisse sur ma soumission envers Elle. Elle désire que je définisse , que j'appréhende en conscience ma façon de me soumettre à son autorité. Je dois reconnaître que cette dérive de notre BDSM est en grande partie de ma responsabilité . Mon caractère exubéant, atrabilaire, ironique, facétieux, meneur de jeux avait fait de moi un soumis moins attentif à ce que souhaite Lady Gabrielle. Tout en étant entièrement dévoué à Ma Maîtresse , je discutais nombre de ses ordres. Je ne me comportais plus comme le soumis que j'étais au début de notre relation. Moi qui rêvais dès ma pré adolescence d'enfermement, d'attente enchaîné, d'assujetissement , de servitude, d'esclavage, je n'obéissais plus aussi promptement à Ma Maîtresse. Je discutais ses ordres, négociais mes punitions. Je ne faisais plus abstraction de mon environnement . Je laissais nos proches , par leurs avis et paroles intempestives, influencer et appauvrir ma capacité de soumission. Je me détournais de ma fonction première , celle d'obéir à Ma Maîtresse et de la considérer comme mon seul point d'horizon. Au cours de ce we de huis-clos , nous avons loué une chambre d'hôtel dans laquelle Lady Gabrielle nous a enfermé . Elle a posé les règles auxquelles je ne devais déroger sous aucun pretexte. Et là, loin de notre maison, il m'a été plus simple d'échaper durant ces deux jours à notre quotidien qui me ramène , nous ramène, inévitablement trop rapidement à nos petites habitudes, même après une séance poussée de SM. Lady Gabrielle m'a fait reprendre conscience que je suis le soumis qu'elle a choisi voici 13 ans , et que j'ai accepté d'être. Elle m'a fait reprendre conscience que je suis un homme vraiment soumis dans mon esprit et que je ne dois pas me laisser entraîner par des interventions extérieures à notre couple sur d'autres voies que celles de l'obéissance que je lui dois. Il m'a été facilité par l'éloignement de nos habitudes vanille, d'appréhender et comprendre les causes de mon état présent vis à vis de ma soumission que je lui dois et que je m'étais engagé à Lui montrer sans faiblir . C'est sous la douleur de la badine que j'ai reçu plusieurs fois au cours de ce WE que Lady Gabrielle a marqué voir gravé dans mon esprit , ce rappel de ma soumission. L'une des règles qui a régenté ce WE était que je ne devais rien réclamé. J'ai observé toutes les règles établies par Lady Gabrielle . Cela m'a été difficile mais Lady Gabrielle sous des dehors réservés sait très bien se montrer fine psychologue en m'accordant sans que je m'y attende , puisque je pensais ne pas y avoir droit , ce qui est l'ADN de mon masochisme , ce sans quoi rien ne pourrait exister , le pincement extrême de mes tétons. Durant tout ce WE de réorientation, de recadrage , j'eu a subir plusieurs fois la badine, très fortement. Non pas avec brutalité intentionnellement exagérée mais quand même avec une grande force de coups auxquels je n'étais pas habitué. Lady Gabrielle , par cette fermeté voulait me ramener quelques années en arrière. Elle voulait me faire quitter ma zone de confort, et sans doute, la sienne aussi. Zone où nous nous complaisions depuis quelques temps. Par ce procédé de grande fermeté, Elle voulait que nous revenions à des séances SM difficiles. Des séances qui nous laissent pantelant, fatigués mais à la fin de celles-ci , pour ma part , fier d'avoir tenu sans avoir demandé grâce et fier des marques sur mon corps bien présentes , encore, deux jours après. Il y a un proverbe turc qui dit : «  Un jardinier est prêt à subir la torture de mille épines pour l'amour d'une rose ». Je suis ce genre de jardinier et je suis aussi un soumis prêt à subir la torture de mille aiguilles , posées sur ma peau par Lady Gabrielle. Il n'y en eu pas mille mais une cinquantaine seulement dont une qui me transperça l'un de mes tétons à sa base. L'autre téton n'eut pas à subir ce supplice , le stock d'aiguilles étant épuisé. Mais cela n'est que partie remise . Lady Gabrielle m'a promit d'apposer 4 de ces aiguilles à la base de chaque téton . Depuis je fantasme sur cette pratique. Il m'est beaucoup plus facile de subir un supplice énoncé à l'avance car j'ai le temps de me préparer psychologiquement. Préparation qui représente une attente délicieuse mélée d'appréhension. Cependant tout ce que j'ai subi ce we ne m'a pas été annoncé. Ma Maîtresse veut que je sois capable à terme , de subir sans aucune préparation tous suplices qu'Elle juge bon pour moi . Quand Lady Gabrielle m'a ordonné de prendre la position « à 4 pattes «  sur le lit, j'avais les yeux bandés. Je pensais subir une autre flagellation « poussée ». Mon soulagement fut marqué par un soupir que je n'avais pas le droit d 'émettre. Je payais imédiatement cette dérogation à l'une des règles par une paire de gifles . Je dois avouer que je supporte assez mal ces gifles survenant à la suite d'une faute. C'est d'ailleurs un objectif fixé par ma Maîtresse : pouvoir recevoir des gifles à tous moments en cas de faute sans émettre la moindre plainte . Lady Gabrielle plaça entre mes jambes une fuck machine munie de son plus gros god; dont je devais subir les assauts. Les premières minutes de cet assaut furent très douces , Maîtresse avait réglé la vitesse au minimum de sa puissance mais c'était sans prendre en compte ses intentions. Je passais les vingt minutes suivantes dans un supplice allant crescendo . Lady Gabrielle avait progressivement réglé la machine sur sa puissance maxinum.J'eu beau la supplier de mettre fin à cette sodomie mécanique . Elle ne m'accorda à aucun moment son indulgence. Elle a tout juste consentit à rajouté du lubrifiant sur le god intrusif. Les 30 minutes de ce traitement me laissèrent jambes coupées et intérieur secoué de spasmes qui eurent du mal à disparaître Dans Sa grande mansuétude , Lady Gabrielle me laissa me reposer avant de reprendre son fouet que j'ai dénomé dès sa première utilisation « la peau de vache » tout simplement parce que son cuir est en peau de vache et qu'il fait un mal de chien. Lady Gabrielle aime utiliser ce cuir sur le mien avec la méthode de «  l'enroulé «  Elle se positionne assise , la main tenant « la peau de vache «  en dessus de sa tête et d'un mouvement de balancier du poignet , la lanière vient s'enrouler autour de mon torse. C'est une sensation extraordinaire. Il arrive que le fouet vienne frapper trop bas sur mon sexe ou trop haut l'un de mes tétons , ce qui m'arrache des cris de véritable douleur . A la fin de cette flagellation qui nous laisse épuisés . Lady Gabrielle ma annoncé que nous allions dîner dans un restaurant japonnais. Je pensais que mon WE de réorientation prenait fin … j'avais oublié la promesse d'une surprise qu'Elle m'avait faite. Après quelques minutes de repos et une douche qui nous ragaillardie, nous nous rendîmes dans ce restaurant. Nous terminions les délicieux sushis qui avaient constitué l'entrée de notre repas quand je demandais la permission d'aller chercher des légumes sur le buffet. Maîtresse me l'accorda mais avant Elle m'ordonna d'aller aux toilettes. Je lui dis que je n'avais pas besoin d'aller aux toilettes. Elle m'ordonna d'y aller, d'enlever la cage que je portais depuis une semaine , de me masturber, d'éjaculer le plus vite possible et de ramener à notre table , mon éjaculat dans un petit pot . C'est un euphémisme que de dire que la température du restaurant a soudainement et fortement augmenté. J'imagine que beaucoup de soumis ont lu dans des récits BDSM puis fanstasmés sur ce scénario de domination pur et dur. Tout comme moi d'ailleurs. Mais , moi, j'ai eu la chance de recevoir réellement cet ordre et j'ai eu le plaisir de l'exécuter. C'est au bout de 15 minutes que je revenais à notre table , tentant de dissimuler plus ou moins adroitement le fruit de ma production . Lady Gabrielle avait , durant mon absence crapuleuse, été cherché deux assiettes de légumes. Elle s'empressa de verser le contenu du petit pot dans celle qui m'était destinée. Elle mélangea le tout et m'ordonna de manger sans émettre le moindre signe de dégoût. J'ai vraiment vécu cette situation dont j'ai lu la description dans maints récits sur internet ou dans des livres. Ce que je n'ai jamais lu nulle part c'est ce que Lady gabrielle m'infligea à notre retour dans notre chambre d'hôtel. Alors que je m'apprêtais à me déshabiller après lui avoir préparé un café , Elle m'ordonna non pas de me déshabiller mais au contraire de mettre des vêtements supplémentaires. Lady avait décidé de me faire passer la nuit dehors. Dans le petit parc arboré entourant l'hôtel , il y avait un petit bosquet touffu. Elle me fit enlasser le tronc d'un des arbres au centre de ce bosquet , me menotta les poignets . Je ne pouvais absolument plus désenlacer ce tronc. Elle me mit un baîllon avec une boule volumineuse qui ne me permettait que des bruits de gorge affaiblis . En me quittant, Elle me dit qu'Elle me laissait ainsi pour une vingtaine de minutes ou plus , peut être une heure ou deux et que je devais mettre à profit ce temps pour penser à notre nouvelle relation BDSM et prendre conscience qu'elle ne serait plus aussi consensuelle qu'avant, qu'un tournant avait été pris. J'étais vraiment convaincu de ce changement quand , trois heures plus tard Lady Gabrielle vint me libérer. Elle ne s'était jamais montrée aussi ferme et déterminée. Quand, Elle me libéra , j'étais transi de froid. J'avais les jambes engourdies . De retour dans notre chambre, j'eu la permission de prendre une douche chaude qui calma le frisson dont mon corps était pris. Je passais le reste de la nuit chaudement emmitouflé dans les couvertures. Maintenant, nous sommes rentrés chez nous et je vois bien dans l'attitude de Ma Maîtresse que rien ne sera plus jamais comme avant. Ce WE de réorientation nous a ramené quelques années en arrière . Nous nous sommes souvenu de la cérémonie durant laquelle Lady Gabrielle m'avait marqué au fer . Je lui avais fais serment d'allégeance en prononçant un texte que je ne retranscrirai pas ici , ce texte nous est personnel . Ce souvenir est bien ancré dans notre mémoire mais au fil du temps ce serment avait perdu de son intensité . Je suis très heureux qu'il soit revenu au premier rang de mes préoccupations . Je remercie Lady Gabrielle de l'y avoir remit , de m'avoir fait prendre conscience que les mots de ce serment n'étaient pas vides de sens pour Elle . Elle m'a rappelé la sincérité de mes mots , MA sincérité quand je les prononçais . Merci Lady Gabrielle Votre mari soumis, berny
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Par : le 27/09/18
(Réédition du 27/09/2018 -> 24/03/2024 - 510 Vues) . Il est facile de se laisser aller à la naïveté, grisé par la vitesse, au prix de ne plus adhérer aux lois de la physique. Ne plus prendre le temps d'apprécier sa personnalité, sa carrure et le plaisir d'être en accord avec soi même. Se forger par la connaissance de son environnement, l'optimisation de ses compétences, et la conscience d'évoluer à son rythme. Bien au delà de la compétition, passer à la vitesse supérieure, notre style de conduite nous portant toujours vers le haut. Etre Dominant ; Toujours plus vite. Etre Maître ; Toujours plus haut.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises/ -> Un Maître, Des Soumises. https://www.bdsm.fr/blog/4500/L'Amour-%22Brat%22-;-L'Amour-fendu-en-deux/ -> L'Amour "Brat", L'Amour fendu en deux.
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Par : le 20/09/18
Pilou porte un écriteau sur son front, comme le personnage d'Edgard Poe, lui c'est pas "pas de chance" qui est ecrit, mais "con pour la vie". Et comme toujours, n'est pas vraiment con qui veut. En fait Pilou vit dans son monde, il rêve les yeux ouverts et s'emmerveille de tout. Il a beau vivre dans la pire zone glauque de Belleville, l'humour du promoteur pour désigner cradeville, un rien peut le faire sourrire, une herbe sur un trottoir, sa voisinne qui lui montre sa chatte tous les matins depuis son balcon. Elle prend bien soin de lui montrer son gros cul sans culotte sous sa robe de chambre poisseuse, mais Pilou passe et sourit. Il ne monte pas lui faire gouter de son bâton, il laisse cela aux gros matous crados du quartier qui dès le matin empestent le rouge et le tabac rance. Jasmine est maoureuse de son Pilou, Pilou. Mais c'est à peine si ce dernier la remarque. Pourtant diable si elle est canon cette Jasmine, l'étudiante, la tronche du quartier. Tout le monde voudrait se taper Jasmine ...sauf Pilou, celui qu'elle aime depuis qu'elle est haute comme trois pommes un sou. Jasmine sait y faire avec les hommes. Son père est pauvre et elle se paie des études de droit pour être avocate. Des pontes paient tout et plus encore. En échange elle leur fouette le cul jusqu'au sang à ces "notables" de Belleville. Plus elle les maltraite et plus ils en redemandent. Elle a son appart, ses bottes de cuir, sa décapotable anglaise, et le fisc et les keufs du coin un peu vert de jalousie. Mais elle est intouchable. Ses protecteurs sont riches et cruels, discrets comme des serpents aux dents de crocrodiles. Sauf que ce sont des petites crapettes sous son fouet. Et son Pilou qui l'ignore. Elle a beau essayer de le harponner partout. Pilou ne remarque jamais ses yeux de feux remplis de lave volcanique, ses longues jambes fusellées et gainées de soie, ses seins en obus qui pointent comme des missiles de croisière sur les boulevards. Peut on imaginer femme plus belle que Jasmine, la beurette de Belleville, future terreur des barreaux, impitoyable reine des nuits perverses de Paris, la grande? Et ce crétin de Pilou qui ne sait même pas la voir avec son sourrire d'ange du paradis des bienheureux, des simples, des coeurs purs, qui ne voient pas le mal, qui sont en extase et en félicité de tous les instants. -Ah combien j'aimerai que mon Pilou me regarde, se lamente Jasmine la sublime. Combien j'aimerai qu'il m'aime. Lui seul est digne de m'aimer de venir ceuillir les divines félicités entre mes cuisses. Je méprise les autres hommes, ils sont noirs. Mon pilou est comme neige. Allons qu'une fée me vienne en aide. Qu'un sort lui soit lancé. Qu'il devienne l'esclave de mon amour. Ainsi se lamentait Jasmine, la Reine des nuits torrides de Paris, amoureuse du pire crétin de Belleville, si beau pour elle en son coeur. L'impitoyable dominatrice....esclave de son amour.
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Par : le 04/09/18
Roberta est une anglaise pure souche, rousse à lunettes, grande et athlétique, avec un sex appeal animal inexpliquable. Pour un homme, voir Roberta c'est entrer en erection. C'est comme cela. Là ou cette superbe rousse à lunettes, à yeux verts bleus dorés passe, les bites se dressent. Impossible de résister, mais pas touche, c'est la femelle, la soumise du chef du clan des "Redbastards", les pires brutes de Manchester. Et le chef de clan doit etre un viking croisé avec un visigoth, un vandale et un hun. bref que du lourd dans ses gènes pour terroriser son quartier, les keufs, et toutes les autres bandes. Les "Redbastards" se sont fait virer de tous les stades, trop hooligans, trop porté sur la baston. Leur sport c'est la baston, pas taper dans un ballon. Le chef de clan, bastardofbastards, c'est ainsi qu'il aime s'appeler, celui qui nique Roberta, et montre les dents quand on la reluque un peu trop, le chef du clan donc, le dominant de dominant, ne manque pas d'idées. Il a crée des paris clandestins mais....ouvert à tous, des paris internationnaux, montés avec d'autres clans comme eux, dans d'autres villes du vaste monde. Ils profitent de rencontres sportives entre villes ou nations pour s'inviter et monter des combats de streetboxing, des combats ou pas grand chose est interdit, à part manger son adversaire peut être. Bastardofbastards n'a eu aucun mal à monter son réseau et à se faire un fric fou. Il a préféré quitter les fumées noires de Manchester et s'installer avec son clan à Chypre où on lui fout une paix royale. Roberta revient de la plage avec son monokini timbre poste et ses lourds seins en obus, tétons pointés. Diable qu'elle est belle. Son compagnon, croisement de toutes les races barbares de la terre ne peut résister en la voyant. Son pal se dresse. Roberta, sa soumise baisse les yeux. Il la saisit par les cheveux , la retourne et l'embroche d'un coup par le cul. Roberta à l'habitude de ce manche de pioche dans ses reins. Elle s'active et Bastardofbastards explose dans un cri de crocrodile géant coupant en deux un zébu dans une rivière. -Demain nous partons pour Moscou. Veille à ce que tout soit prêt. Roberta, en plus de se faire mettre, ést la secretaire idéale. Une bosseuse avec ses lunettes so sexy. Et tout est prêt. A l'aeroport, vasily l'attend, dans le froid russe, une chapka sur la tête. Ce con bande déjà en voyant les longues jambes musclées de roberta. Il pense se la faire ce soir. C'est un des deals. Le clan vainqueur se tape la femme du chef du clan adverse. Bastardofbastards ne jette même pas un regard à la sublime eurasienne des russes qui sert de contrepartie. Roberta lui suffit, il offrira en pature la pouf des ruskoffs à ses hommes et femmes qui lui bouferont le cul et la chatte tout cru. il est sûr de gagner. Les combats se déroulent dans la rue, dans une sombre banlieu de Moscou, où la police ne met plus les pieds et ou il faudrait utiliser la bombe H pour rétablir l'ordre par le néant. Mais comme tous les notables russes se défoulent en regardant ces combats illégaux et en parianteux même, ce n'était pas pret d'arriver. Deux combats males, deux combats femelles, le tout en direct sur internet et des prises de paris dans un paradis fiscal. Cela pouvait charkler. Le premier combat oppose la montagne de l'Oural au monster of London, un espèce de pachyderme sorti des égoux. Les russes menèrent vite un zéro. La montagne de l'oural était hors concours, un croisement entre une baleine du pôle nord et un mamouth de Sibérie. Le deuxième combat tourna à l'avantage des anglais. Egalité. Arriva les combats des femmes. Les anglaises ne firent qu'une bouchée des femmelettes russes dopées aux hormones males. Bastardofbastards avait gagné une fois de plus. Il se troncha Roberta et offrit l'eurasienne du clan adverse aux hommes et femmes de son clan. Les petites histoires bdsm, avec colliers, chaines, liens et fouets ce n'est rien à coté de ce que cette eurasienne superbe du subir ce soir là, en plus en direct sur internet, histoire de réjouir les parieurs. Après bière et vodka coulèrent à flots. Roberta avait passé un sage tailleur de secretaire à lunettes. Vasily en bavait. Il grommelait: "la prochaine fois, la prochaine fois". Le monstre de Londres voulu se taper une dernière fois le cul de l'eurasienne. Il était temps de prendre l'avion pour Chypre. Sur son siège Roberta se laissa aller. Elle croisa les jambes et se fit jouir sans se toucher, juste en serrant ses cuisses.
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Par : le 30/08/18
Je suis assise à califourchon, mes jambes de chaque côté de son torse. Un animal plus si fougueux que ça entre mes cuisses, immobilisé, encordé, impassible, curieux de ce qui va advenir. Mais qui n'en bande pas moins. Je le sens pointer entre mes fesses, dans mon dos. Mais pour l'heure j'observe ma proie dans les yeux, j'essaie de deviner l'excitation, ou pour le moins, l'intérêt. Je n'arrive pas à savoir s'il me regarde d'un air goguenard, ironique, de défi. Ou si, l'instant d'après, il a fermé les yeux pour mieux s'abandonner. Je caresse les épaules et je lèche la joue, je mords le menton, j'empoigne sa peau, je vrille les tétons entre mes doigts, je guette un halètement, un gémissement. En cet instant précis, je le domine, je l'emprisonne, je le surplombe, je me frotte sur son corps houleux. Il est mon jouet. Je l'enduis de ma cyprine. Marquage olfactif, animal. Domination primale. Je me déchaîne alors sur lui. Je griffe et je plante mes dents dans la chair offerte. J'enserre sa queue dans ma paume pour la sentir palpiter, pouls contre pouls. Je saisis cette barre droite, dure, pour la faire gonfler davantage. Une cordelette autour, nouée, serrée. Le gland rougit de plus belle, cramoisi, violacé. Cela va exploser en jets crémeux. Mais pas maintenant, pas tout de suite, plus tard. Pour l'heure, je l'encapuchonne et je le chevauche, lentement, je le cale bien au fond de mon ventre. Vissée à lui, je plonge mes doigts dans la bouteille noire. J'encre son visage, ses pectoraux, ses bras. J'en fais de même sur moi, avant de me coller, joue contre joue, poitrine contre poitrine, mélangeant nos signes, nos traces dans un cérémonial symbolique. Je m'empale plus vite sur lui, toujours plaquée contre lui. L'accélération me coupe la respiration, le plaisir monte. Je me réveille en sueur, l'entrejambe humide, le cœur battant. Comme souvent d'un rêve érotique... Dédicace spéciale à celui qui se reconnaîtra ;)
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Par : le 24/08/18
Ceci est le jeu du portrait québécois. Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ; 2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour Oriane" ; 3) le publier dans la section "articles" ; 4) me le faire savoir. 1) j'ai un franc parlé qui choque depuis mes 5 ans du coup vive les bras de fer familiaux 2)J'étais le chevalier servant de ma mère du coup je n'avais pas le temps de penser à moi 3)je me suis fait botter le cul à l'âge de 8 ans et j'y ai pris plaisir au point que c'est devenu un jeu entre mon bourreau et moi, du coup il à été mon coup de coeur... les amours de jeunesses...sourire 4)Je me prenait des coups et des insultes à la place de ma mère... là par contre je ne prenait pas de plaisir 5) J'étais privée de loisirs et les punitions était mon quotidien parfois je ne savait même pas pourquoi j'etais punie du coup je m'en foutais 6) Dés mes 8 ans j'ai été accroc à la lecture, lire des livres était une drogue, ils me permettaient de me sentire libre 7) C'est mon père qui m'as appris à me sortire des pires situations auxquelles j'ai été confrontées et j'en suis fière 8) je n'étais pas une romantique contrairement à la majorité j'étais loin du ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants, je voyais plus l'amour comme un outils de manipulation qui asservit les plus faibles, les crédules, les naifs, les romantiques 9)Mon premier petit ami m'as quittée parce que j'étais vierge, ça ne m'as pas déboussolée plus que ça 10) Mon 2eme plan à trois dus à ma bissexualité et mon jemenfoutisme était avec un couple bdsm une domina et un soumis, j'avais 17 ans. Je n'étais pas choquée juste curieuse 11) Par la suite j'ai pris un sexfriend qui était dominateiur sauf que je ne le savait pas. Il avait la réputation d'être un salop mais je l'ai trouvé adorable. Il est le premier à m'avoir appris à dépasser mes limites pour son plaisir... et pour le mien 12) c'est un grand nounours de plus de 40 ans aux griffes acérées qui m'as initiée aux griffures, je l'ai provoquée et il m'as fait mes premières griffures brûlantes, j'en étais folle et d'ailleurs nous sommes restés amis... c'est ainsi que je me suis rendue compte que j'aimais vraiment ce genre de choses et que c'était naturel pour moi 13) il m'as fallut du temps pour accepter mon corps du coup j'ai fais des photos dénudées sur un forum pour lesbiennes et bi fan de manga et surtout de yuri 14) Les photos ont tellement bien marchée qu'une canadienne est venue en France pour qu'on soit ensemble... 15) Cette relation n'a pas marchée car Tara était trop douce et gentille pour moi. Même si l'appréciait il me manquait une certaine force et je la bouffait à petit feu. 16)J'ai toujours eu une attirance très prononcée pour les hommes plus âgés que moi. J'avais plus en communs avec eux qu'avec les garçons de mon âge dont j'avais l'impression d'être la mère 17) Je suis maladroite parfois et il m'arrive de blesser les gens sans le vouloir que ce soit par mes gestes ou par mes mots 18)j'ai l'habitude de tout controler dans ma vie y compris ma famille, mes amis mais pas mon Maitre... sourire, ce qui fait que je suis tombée sous son charme 19) J'ai fais de mon attirance pour mon Maitre un jeu qui a duré 2 ans et pendant ce temps il n'a eu de cesse de me surprendre ce qui n'est pas une mince affaire 20) Je fais tourner en bourrique mon entourage avec mon honnêteté et mes penchants qu'ils ont du mal à comprendre 21) Je refuse de me cacher ou de faire semblant d'être quelqu'un que je ne suis pas. 22) La relation que j'ai avec mon Maitre est récente ça fait 3 mois que nous sommes ensemble ce qui fait peu 23)J'ai l'impression que mon Owenn et moi on se connait depuis toujours et juste un regard peu me faire frissonner ou sourire selon son regard 24) J'ai été plusieurs fois soumise mais je n'ai jamais reussie à me donner de façon aussi entière qu'avec Owenn car j'ai du mal à faire confiance. 25) Je m'ennuis facilement et je ne suis pas de tout repos 26) le shibari est un art qui me fascine, on m'en a fait trop peu à mon goût et j'espère avec le temps que ça arrive plus souvent car ça me mets en trance je me sens plus sereine 27) Je suis une voyeuse 28)j'adore être exhiber du moment que je ne suis pas à coté de chez moi... pas envie qu'on m'embête 29) Je suis une femme très fière, et je prends plaisir à ce qu'on sache que j'appartiens à Owenn tout comme je suis fière d'être soumise 30) J'aime les défis que mon adoré me donne régulièrement 31) j'aime les pervers autoritaire...Owenn ;) 32) La brutalité et les contraintes m'excite 33) je suis sensible à un tout...Les bruits, le goût, l'odeur, la vue, le toucher, je jouis de cette ensemble plus d'un état d'esprit 34) J'ai du mal à me canaliser au quotidien il n'y a que quand je suis soumise que je suis vraiment à l'aise, je n'ai pas à me soucier de comment je suis sensé réagire, ce que je suis sensé dire ou faire 35) J'aime les mots crus et dans l'intimité ça echauffe ma tête et mon corps 36) Je ne me juge pas intéressante et ce jeu n'est pas facile pour moi 37) Je suis maman 38) Je ne vouvoie pas mon Maitre et je le regarde dans les yeux car pour nous c'est important... Les règles habituelles ne nous correspondent pas et nous créons nos propres codes 39)Mon Maître à voulut me relire et valider avant que je l'envois... sourire
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Par : le 06/08/18
(Réédition du 06/08/2018 -> 24/03/2024 - 1237 Vues) . Aussi jouissif que dégageant beaucoup d'énergie à entretenir, les "Cum-Slave" oscillent entre la débauche et le masochisme. Qu'est ce qu'une/un "Cum-Slave" ? Une/Un "Cum-Slave" est une personne aimant se donner corps, fluide, et âme à plusieurs partenaires, qu'importe le contexte, que les participants soient inconnu ou non. Une mise à disposition pour devenir le parfait support à recevoir fleuve de souillures dans une indécence et une "générosité" totale à satisfaire la pluralité masculine. Comment devient une/un "Cum-Slave" ? Comme beaucoup de pratiques BDSM, la recherche d'intensité dans le plaisir est du à un passé marquant, le plus souvent d'avoir ressenti, vu, exécuté un acte de plaisir où ses propres pulsions ont pris l'avantage sur sa propre maturité pour les comprendre et les maitriser. Ce qui amène à vouloir reproduire ces excitations et actes, sans volonté à vouloir en prendre conscience (aspect candide à se déflorer dans l'extrême) et entrevoir les répercussions (Plaisir tabou). Bref, une autre mentalité que la femme se portant sur le côté "vanille" du BDSM, voulant se faire éjaculer sur les seins, le ventre et les fesses dans un désir d'appartenance envers son mâle du moment. Quel est l'alimentation d'une/un "Cum-Slave" ? L'idée d'être offerte, devenir un buffet ou chaque partie de son corps est propice à être utilisé sans aucune limite. Un désir d'abondance à servir et à "traire" le jus des hommes à sa source. Une reconnaissance d'avoir bien servi, à avoir pu satisfaire sans concession, et se réduire à cette simple expression "l'outil ultime pour accéder à la jouissance" (Et non à être une femme objet). Amour et "Cum-Slave" ? Les débauchées insatiables et les masochistes dit "brat" sont les femmes les plus difficiles à aimer de par leurs pulsions dévoreuses d'énergie. Passant de la femme enfant à la femme entêtée/Rebelle, à aller où bon lui semble en exprimant leur malice de pouvoir leur être dépendant. L'amour qu'en à lui, appelle à la stabilité, ce qui détruit une bonne partie de leurs plaisirs. Une métaphore à appréhender : Il faut considérer que leur plaisir est devenu leurs gouvernails dans leurs vies, et plutôt que d'en prendre la barre, c'est à Un Maître expérimenté de faire en sorte que les éléments que l'on invoquent et provoquent, poussent leurs embarcations dans une direction qui nous soient confortable. Les Femmes débauchées et Masos sont toujours en mouvement, donc n’espérez pas le calme après la tempête. Comment aimer et se faire aimer d'une "Cum-Slave" ? Lui faire ressentir quel se révèle un bon "outil" aussi bien pour son plaisir que son bien être. Etre un bon logisticien ; Avoir su créer/maintenir un cercle et avoir des contacts pour pouvoir veiller à l'alimentation de sa/son "Cum-Slave". Et lorsque l'on parle logistique, c'est avoir un œil sur l'hygiène de vie, les disponibilités, la diversité, et les plaisirs de ses contacts pour qu'ils soient des valeurs sûr à satisfaire les besoins de sa/son "Cum-Slave". Une effervescence à savoir ce que l'on fait, pourquoi on l'a donne, et ce que l'on en retire. Un savoir-faire indispensable qui vous préservera également de la concurrence des autres Dominants puisque vous passerez Maître en la matière. (Ce qui sous entends également que vouloir éduquer/dresser/baiser par tous les trous à en perdre haleine/Proposer à un de ses amis de participer/Trouver une autre Soumise pour enjoliver sa relation... seront inadaptés, et propice à une fuite en avant de sa/son "Cum-Slave") En définitif, ce qu'il faut prendre en considération pour avoir une relation suivie et durable avec une/un "Cum-Slave", c'est de lui faire atteindre ce qu'elle désire en un claquement de doigt : Le votre. Et que vous avez besoin de son amour pour lui procurer ce bien être et contrer cette demi culpabilité à qu'elle fasse plaisir au premier venu. C'est à ce prix que les forces en présence vous seront favorable, et que vous veillerez à sa sécurité, tout à ce qu'elle vous reste totalement dévouée. Comment Acquérir et Rompre avec une/un "Cum-Slave" ? Sachant qu'"Un mec lambda" faisant éprouver son plaisir à lui gicler dessus, à beaucoup plus de pouvoir qu'un Maître à vouloir la recadrer à ses fins personnels, les relations avec les "Cum-Slave" peuvent se révéler aussi bien intense que très courte. Vous ne vous accaparez pas une "Cum-Slave", vous êtes sur son chemin. Les queues sur pattes étant légion, pourquoi aurait elle besoin de vous plus qu'un autre ? Son intérêt ira vers Le Maître expérimenté mentionnant ses expériences sur ce sujet, et non pas ce qu'il voudrait faire d'elle. Son appétit est tel que les frustrations sont également des plus pénibles, et elle/il sait pertinemment lorsqu'il est temps de prendre sa dose, et si la personne où elle place son dévolu est un bon parti à court/moyen/long/terme. Seul votre travail à la satisfaire pourra faire la différence, pas la faire évoluer par un égocentrisme et un idéalisme mal placé. Des concessions peuvent être faite lorsque vous lui aurez prouver votre savoir-faire, et si la rupture est inévitable, vous n'en aurez que plus de fierté à ne pas avoir succombé à être un de ses multiples partenaires lambda. Un respect mutuel mettra en évidence votre personnalité à faire les choses proprement, un digestif qui vous permettra de mieux faire le deuil à votre relation. En conclusion ; Explorer la mentalité "Cum-Slave" se révèle très riche, mais indispensable pour l'épanouissement de ce "couple" BDSM. Les récompenses sont à la portée de votre investissement, et de votre travail. Si vos pulsions se complètent à la livrer dans la débauche, et qu'elle vous aime pour cela, n'allez pas contre nature (Si je puis dire :b) Vous saurez lui mettre un collier au cou seulement après avoir rassasié complètement son appétit, se réconfortant et savourant vos bras vils et protecteurs.   Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5742/La-chevauch%C3%A9e-fantastique/ -> La chevauchée fantastique. https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle/ -> Les joies de l'exhibition virtuelle. https://www.bdsm.fr/blog/2669/Ma-premi%C3%A8re-correction/ -> Ma première correction.
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Par : le 29/07/18
Depuis près de cinq ans, je rencontre périodiquement une Maîtresse pour des séances de domination. Cela a commencé suite à une annonce proposant des séances de soumission. J’arrive dans un appartement, une blonde à l’air sévère m’ouvre puis me fait étendre sur son lit. Je lui demande de me goder pour me faire jouir, ce qu’elle accepte. Devant la facilité avec laquelle elle m’a pénétré et le plaisir que cela m’a procuré, elle me fait miroiter la possibilité de me faire subir d'autres séances de soumission. Au cours de ces séances, elle m’a fait subir une multitude de soumissions, godage avec gode ceinture, léchage de son anus, enculade par un soumis lui-même sodomisé par elle, fellation de soumis, travestissement, domination et sodomie devant une autre Maîtresse, recruter un soumis pour elle et le sucer sur son ordre, sodomie par un soumis, léchage d’un gode. Une complicité s’est installée entre nous au fil du temps et ce sont des relations Maîtresse-soumis, elle m’introduit toujours un gros gode ceinture dans le cul pour commencer. et je jouis en hurlant en me branlant.
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Par : le 02/07/18
Des jours, des heures à échanger et c’est ainsi qu’une envie de plus en plus présente s’installe. L’envie de rencontrer l’autre dans son être tout entier et pas seulement à travers des mots … des photos … Mais la peur, le doute, la distance … autant d’éléments qui freinent … nous freinent . Puis un jour, au détour d’un échange et d’un heureux hasard mêlant rendez-vous annulé et autres joyeuses libertés. Il propose … une rencontre de dernière minute. Pas le temps de s’y préparer, juste aller au plus important, la tenue, le maquillage … Ne pas vraiment le connaitre mais déjà avoir envie de lui plaire. L’heure tourne et c’est le moment. Il me propose de le rencontrer sur le vieux port de pêcheur qui n’a qu’un seul bar. Difficile de se louper. Je laisse ma voiture au parking et commence à me diriger vers le lieu de rendez-vous. Rester zen, ne pas montrer son appréhension, à ce moment toute mon attention est dirigée vers le point d’arrivée. Tellement que mon cœur sort de ma poitrine quand je sens une main serrée mon bras et ressens la présence d’un corps derrière mois. « Ne bouges pas ». Je m’exécute incertaine et fébrile. « Très jolie robe ». Je suis aux aguets. J’ai envie de courir mais cette voix est tellement douce, comme ensorcelante. Je me laisse prendre au jeu. Il sort de sa poche un bandeau et me demande si je l’accepte. Je n’arrive pas à répondre et fais un simple hochement de tête comme signe d’acquiescement. Une fois le bandeau posé et vérifié, il me prend la main. Je le sens vigilant et consciencieux dans sa guidance. Ca voix devient de plus en plus chaude et tendre. Puis nous nous arrêtons, il me guide pour enjamber ce qui me semble être un obstacle puis de l’autre côté, une drôle de sensation m’envahit. Mon équilibre est modifié. Je comprends que je me trouve sur un bateau. Je cherche à analyser le peu de donner que j’ai. Si je ressens le mouvement de l’eau c’est qu’il n’est pas très grand donc si je me déplace de trop je risque d’être au bord. Se calmer et ne pas bouger. A peine mes idées fusent dans ma tête, que je sens sa main sur mon poigner. « Ne te tracasse pas autant, tu risques rien ». Un soupir de soulagement sort de ma poitrine. C’est étrange la manière dont il me rassure. Il m’installe dans un confortable fauteuil. « Ne touche pas au bandeau, je te l’enlèverai. Encore un peu de patience ». Je le sens aller / venir … Je suis un peu désorientée, quand je le sens à nouveau derrière moi. Ses mains se posent sur mes épaules. Et il commence à retirer doucement le bandeau. « N’ouvre pas encore les yeux » dit-il en retournant s’asseoir. C’est alors que je le découvre dans une tenue décontractée et un sourire immense qui illumine son visage. Je reste silencieuse et un peu timide face à lui et mes yeux commencent à parcourir le lieu où nous nous trouvons. Un petit bateau, très loin des yachts mais très chaleureux et aménager pour l’occasion. Une décoration sobre mais ponctuée de douce attention. Nous sommes à quai et très proche des badauds. Je vois qu’il s’est souvenu que j’apprécie le côté invisible des choses, même et surtout, quand c’est sous le nez des gens. Je reviens peu à peu à moi, à mon état « normal » et on commence à discuter, de la journée, de comment on se sent … De tout et de rien. Parfois, il revient dans son côté dominant en ponctuant d’une note d’humour. Comme pour me signifier qu’il est pas loin et peut surgir à tous instants, j’en frissonne. L’air est doux et souffle parfois sur mes épaules. Agréable sensation dont je me délecte en quittant pour quelques secondes mon hôte qui me regarde d’un air amusé. Nous commençons à trinquer et déguster quelques mets toujours dans la simplicité, en échangeant des regards complice et parfois lourd de sens. Nous sommes rassurés car l’alchimie de derrière nos écrans est toujours présente. La soirée est déjà bien avancée et d’un coup, il me tend la main. Je la regarde d’un air surpris comme si je ne comprenais pas ce qu’il voulait. Pourquoi me tendre la main ?? Mon côté blonde qui arrive au galop … Son regard se fait plus sombre face à mon manque de réaction. En le croisant, je ressens comme un électrochoc et m’en saisie immédiatement. Nous nous déplaçons à l’avant du bateau et il me place devant lui pour venir doucement resserrer ses bras autour de moi. Nous restons là immobiles pendant quelques instants à contempler l’eau et l’horizon. Puis il approche ses lèvres de mon oreille « comment te sens-tu ? », « Très bien Monsieur ». Une de ses mains commence à explorer mon corps mais de manière délicate et pleine de pudeur comme pour poser ses premiers pas de possession sur moi. Il est en marche. Involontairement et de manière incontrôlé, mon corps donne des signes de faiblesses face à ses caresses. J’essaie de me ressaisir, de ne pas lui montrer à quel point je suis déjà sienne mais ma défaite est cuisante. Mon égo part boudé dans un coin et je deviens de plus en plus pantin entre ses mains. Je sens se dessiner un sourire sur ses lèvres. Oh non, ne pas penser à ses lèvres … Victorieux de cette première bataille, il range ses mains autour de moi et me serre contre lui. Puis me prend la main pour me guider vers la table. Il relance la discussion d’une manière si aisée que je suis un peu désarçonnée. Puis d’un coup, il se fait sérieux. « Retire ta culotte ». Je rougis et regarde partout autour de moi. La soirée est assez avancée pour qu’il reste moins de monde mais toujours un peu. Je m’exécute doucement et avec le plus de discrétion possible en ressentant la gêne qui s’empare de moi. « Je préfère ainsi » Mon dieu, moi qui avait oublié tout se protocole me voila servis. Il se rapproche de moi et me signifie clairement la présence de l’autre … L’autre c’est celui qui veut s’emparer de moi, me posséder, que je lui appartienne dans tous les sens de tu terme. Sentant une peur soudaine dans mon regard, il m’invite à me lover contre lui. Il le sait, il me fait céder … petit bout par petit bout. Je suis là, à sa merci et complètement déculottée sous les yeux de tous. Ma tête bouillonne et m’ordonne de fuir mais je me sens tellement bien dans ses bras. Soudain il me prend par le menton et vient déposer un baiser sur mes lèvres. « Tu es à moi ». L’écho de ces mots me parcourt le corps. Comme si ils s’imprimaient en moi. « Mais il est temps de rentrer. Je vais te raccompagner à ta voiture ». Il joue encore avec moi … Mais je cède au plaisir d’être encore en suspension, de ne pas encore être totalement sienne et de m’endormir avec le sourire béat des premiers rendez-vous qui vous laissent rêveuse en pensant au prochain. M
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Par : le 19/06/18
Le lendemain matin, et à condition qu'il ne fut pas trop tôt, j'adorais aller vous rejoindre dans votre lit, me glisser sous les draps comme ça l'air de rien. Vous sentiez alors que je vous caressais délicatement.. Oh ! ...je savais que vous m'aviez entendu et que vous faisiez mine de dormir encore. Alors je plongeais sous les draps et d'une langue délicate je descendais le long de votre poitrail pour finir au saint des saints !! Bien souvent elle réagissait avant que je ne l'eue atteinte !! Ce qui me ravissait...alors je m'appliquais du mieux que je pouvais. C'est alors que vos mains rejoignait ma tête, et que votre respiration se faisait lente et plus profonde comme si vous vouliez retenir en vous toutes ces émotions que vous ressentiez. S'en suivait un petit déjeuner où votre soumise vous appelez Hervé et où le voile n'avait pas sa place. Une fois la douche prise c'était une toute autre histoire ! La météo déterminait comme bien souvent la suite que nous donnerions à cette journée ! Il pleuvait ? Nous restions chez vous et j'étais totalement à votre disposition... Il faisait beau ? Nous nous baladions ou nous restions sur votre terrasse et là encore votre soumise était votre objet de plaisir ! Notre histoire se forgeait ainsi mois après mois et le socle de notre relation devenait de plus en plus solide. Ce que je pouvais vivre avec vous était unique. Vous étiez et êtes toujours un subtil mélange délicieux d'attention, de douceur mais aussi d'autorité et de charisme. Je me souviens que lorsque je goutais à ce genre de relation pour la première fois, j'avais rencontré un homme qui lui aussi dégageait cette particularité. J'avais beaucoup aimé ce trait de caractère. Ce qui me plu d'emblée chez vous. Avec vous, je me rendais compte que j'étais en train de redécouvrir ou plutôt de découvrir les plaisirs que mon propre corps pouvait m'offrir. Je vous faisais don de mon corps et vous en extirpiez votre plaisir tout en transcendant le mien. A chaque innovation vous étiez là à guetter la moindre désapprobation le moindre désagrément que je pouvais exprimer...c'était important pour vous comme pour moi. De cela il fallait absolument que nous le partagions. Votre plaisir ne pouvait passer que par l'expression du mien. J'étais votre soumise et paradoxalement je détenais les clefs de votre ou plutôt de notre plaisir. Vous aviez semble t'il une idée assez précise de ce que vous vouliez... J'avais admis la fessée, vos claques sur mon corps que vous pratiquiez couramment, et ce pilier qui était devenu maintenant un compagnon...un de mes 3 ou 4 accessoires. J'aimais m'y retrouver vous offrant mes fesses ou mes mamelles que vous honoriez à votre convenance. En guise de prélude, vous m'offriez un de vos baisers profonds tandis que votre sexe ne pouvait s'empêcher d'essayer de s'insinuer en moi. S'en suivait l'expression d'un plaisir crescendo. Et puis il y eu cette première fois où vous avez voulu expérimenté le fouet. Pour cela vous avez voulu marquer l'évènement et aviez misé sur un bel endroit ....neutre ! Vous aviez réservé un gite de charme à 200 kms de Paris : - Dis moi... tu es disponible le week end prochain n'est-ce-pas ? Aviez-vous lancé comme ça l'air de rien alors que nous dissertions sur les conditions de la femme, si mes souvenirs sont exacts ! -J'aimerais t'emmener à la campagne... vois si tu peux prendre ton lundi...d'accord ? - oui bien sur maitre...où m’emmenez-vous my dear master ? vous me direz ce qu'il faut que j’amène... ? - tu le sauras ...mais plus tard... pour le moment demande ta journée ! Evidemment, vous avez voulu entretenir le mystère et sur la destination et sur ce qui m'attendait. Je dois dire que vous aviez réussi votre coup. Mon imaginaire fonctionna à plein régime durant toute la semaine précédent ce week end...Impossible de vous arracher le moindre détail ! Le mercredi de la fameuse semaine vous avez consenti à me donner ces quelques consigne vestimentaire : - tu prendras une tenue habillée, tes accessoires évidemment. 1 jupe et un jean si tu veux, une et une seule petite culotte. Il est évident que lorsque je te récupérerais samedi matin à 10h tu seras en jupe sans dessous ! ! Vous prononciez ces derniers mots sur un ton presque narquois avec j’imagine des yeux plein de malice. Je soupçonne même qu'à ce moment précis vous vous imaginiez la scène où je découvrirais la véritable raison de ce déplacement. Comme toujours nous en avions discuté et je savais que vous y viendriez un jour sans pour autant en connaitre le moment exact. Tout autant curieux par nature que moi vous aviez choisi ce bout de province où il y fait bon vivre et qui de surcroit regorge de trésors historique et culturel ! Il était évident que nous ne resterions pas enfermés tout le séjour !! Par chance, la météo avait annoncé du beau temps à peu prés partout. Je dormis la veille de ce grand jour, d'un sommeil agité pour finalement me lever sur le coup de 7h ! Petit déjeuner et toilette soignée...il me fallait être imberbe, parfumée et maquillée légèrement. Mon sac était prêt et c'est fébrilement que je vous attendais. 9h55 le téléphone sonna : - dans 5 mn je suis en bas de chez toi, j'espère que tu y seras également! Nous partirons immédiatement... - humm ... mon maitre arrive vous avais je répondu sur un ton suave et légèrement moqueur ... Humm .. oui je serais là fidele au rendez vous !! Poursuivais-je ! - oui ..oui. c'est ça...fait ta maligne...en attendant je serais là dans 3 mn.. et tu as intérêt à y être !! - humm...je n'sais pas ...à y réfléchir je crois que je ne viendrais pas ..!! A près tout je ne sais même pas où vous m'emmenez, disais je en souriant,...et si vous aviez l'intention de .. je n' sais pas moi...euh... abusez de moi ou me trucider... vous avez pensé à ça ?? Vous saviez que je plaisantais... Et tout en vous parlant je m'étais rapproché du trottoir et y fut bien avant votre arrivée! Vous m'avez souri tout en me saluant d'un simple baiser sur mes lèvres ! Sitôt le sac embarqué nous prenions l'autoroute du sud...direction...l'inconnu ! Assise sur mes fesses, les jambes entrouvertes et la jupe légèrement remontée sur les genoux nous dissertions comme à votre habitude sur nos petites tracasseries du moment. La destination finale devait rester un mystère jusqu'au bout ! Il commençait â faire faim et vous avez cédé aux demandes incessantes de votre soumise.. Déjeuner correct dans l'auberge du coin et enfin découverte du lieu de villégiature... Une magnifique maison d'hôte au bout d'une allée bordée de tilleuls. Cela vous ressemble bien... vous aimez tellement les belles choses !! Le propriétaire nous attendait sur le seuil et nous fit visiter les lieux : 2 chambres à l'étage, une superbe salle de bain.. Au rez de chaussée une belle terrasse donnait sur un jardin fleuri et un petit cours d'eau ..au salon deux grand canapés trônaient en son milieu. Il vous en confire les clefs et disparu. La porte refermée notre séjour pouvait débuter. Nos diverses activités nous avait tenu éloignés l'un de l'autre depuis plus de 3 semaines ...et l'appel des sens commençait à réclamer son dû ! - eh bien soumise ! ...on a déjà oubliée les bonnes habitudes...même ici tu les respecteras ... Allez...commence par me saluer ..! - bien sur maitre... avec plaisir ! un sourire illumina mon visage...je m'agenouilla et commença à déboutonner son pantalon afin de le saluer comme il le voulait ! Encore une fois je remerciais mon maitre pour ce week end en cette belle demeure. - Va enfiler ta tenue et rejoints moi ici ..tu as 10mn. Pas le temps de flemmarder .. Et 9 mn plus tard je fus devant lui. - remonte ce voile .... approche toi ...écarte les jambes ! Vos invectives n'avaient alors qu'un but ..faire monter, comme s'il en était besoin, ce désir de vous qui déjà me brulait intérieurement ! En l'espace d'une fraction de seconde votre main était sur mon sexe et contrôlait la netteté de l'endroit ! Constatant mon etat d'excitation flagrant : - eh bien soumise .. c'est bon de te savoir ainsi ! Ce à quoi je repondis : - merci maitre ... vous savez que j'ai toujours envie de vous ...ce n'est pas un scoop !! Vos yeux délicieusement pervers et un grand sourire eclairait votre visage ...puis : - tourne toi..penche toi et écarte tes fesses ! Là encore un doigt ferme s'aventura et fit quelques aller retour !! - bien soumise ..tu es comme j'aime...mouillée et prête !! maintenant assis toi là et offre toi .. que je vois bien tes trous ... salope !!! Je remerciais mon maitre pour son inspection et m'asseya juste devant lui ! - cet apres midi, commença t'il, nous irons faire du tourisme et avant de rentrer nous irons peut être visiter une cave ... Ca te va ? - vous savez que j'aime ça, en plus je ne connais pas la région ...tout va bien donc ....le temps de prendre mon appareil photo et je suis à vous .euh...jupe ou je peux mettre mon jean ? - mets ton djean si tu veux ! Je t'attends ...tu as ...allez on va dire 15 mn ! -20 ? tentais je de négocier en souriant .. - non 15 .. Allez depeche toi - bien maitre ..à tout de suite ..je m'eclipsa et m'habilla ! Nous partimes pour une belle ballade : ... le joli château de l'Islette logé au coeur d' un écrin de verdure ... puis nous nous dirigions vers la cave que vous vouliez visiter également ! durant le trajet votre main alla souvent flâner ....allant et venant du genou à l'entrecuisse. Ma main quand à elle, avait pour consigne de se tenir sur votre sexe. Votre desir etait toujours là. Ses soubresauts m'indiquait son desir de s'affranchir de toutes les barrieres qui le tenait encore enfermé! Soudain ce petit chemin là à gauche, où vous vous etes soudain engouffré : - tient ma belle ..vas y suce moi ..maintenant que tu m'as bien excite . ..allez salope ..allez vas y .. tu le sais que tu es une salope ..hein !!! oui comme ça bien au fond ..oh oui hummm que c'est bon et quelques instants plus tard nous étions à l'extérieur du véhicule - tourne toi et baisse ton djean petite pute ...écarte tes fesses .. !! Connaissant mon maitre depuis maintenant plus de 2 ans je savais ce qu'il aimait entendre dans ces moments là : - oh oui maitre enculez moi ... enculez votre salope ! - penche toi alors et ecarte bien tes fesses ..salope !! Et puis tandis qu'allongeais sur le capot de la voiture je vous offrais mes fesses : - merci maitre !! et je sentais son membre dur me pénétrer doucement d'abord puis plus vigoureusement Juste avant de jouir je devais me retourner et recevoir votre précieuse semence que j'eue soin d'étaler sur mon visage pour mieux vous affirmer ma soumission et donc votre domination. Ce fut un moment tellement intense que ce plaisir m'avait une fois de plus transperce le corps - merci maitre vous remerciais je encore Puis nous repartimes en direction de la cave que vous vouliez visiter. Je remarquais ce petit sourire persistant. Votre regard me racontait combien vous etiez fier et content d'avoir marqué votre territoire ! Durant toute cette visite vous n'avez pas arrêter de me sourire, heureux de savoir que je portais sur mon visage votre marque d'appartenance..j'en fus fière et honorée..vous me faisiez quelques clins d'oeil entendu !! Je vois repondais par mon sourire ! Sur le chemin qui nous menait sur le lieu de notre séjour vous m'avez dis d'un ton ferme mais cependant bienveillant : - en arrivant tu monteras te changer bien sûr ! et je veux que tu mettes, ta nuisette noire avec tes belles mamelles à l'exterieure,..tu sais celle que j'aime bien et ton string noire! - bien maitre ..repondis je sans plus me soucier de ce qu'il adviendrait plus tard .. Sitôt arrivée, je montais me changer et réapparu dans la tenue exigée ! - bien. .assis toi là ..allez ...offre toi à ton maitre .. soumise ..!.puis quelques instants plus tard, alors que vous me tendiez un verre .. - je voudrais expérimenter une nouvelle chose avec toi .. Je te sens prête pour cela .. Es tu d'accord pour essayer quelque chose de nouveau ? - euh ...oui maitre, l'air tout de même un peu inquiète - tu sais que nous discutons beaucoup de ton éducation et que je ne ferais rien contre ta volonté ou du moins rien que l'on est pas discuté !! -oui maitre acquiesçais je .. ça je le sais et vous avez toute ma confiance maitre - bien ... j'aimerais donc tester le fouet ! .nous en avons parlé et tu n'etais pas contre me semble t'il !...nous dinerons avant ..puis tu te prépareras ..tu mettras un voile recouvrant pour ton dos ! Tu t'installeras face au canapé ..tu commenceras par te caresser puis je te fouetterais ..tu es d'accord ? - oui maitre ..bien sur ..je sais que vous vouliez cela depuis un bon moment ..merci maitre ! Je vous repondais d'un ton pas tres assuré , cette annonce m'avait immédiatement remplie d'inquiétude ! On sonna à la porte. Mon maitre alla ouvrir apres m'avoir demandé de m'en tenir à l'ecart. Notre diner arrivait .. Un beau chandelier ...une bouteille de ce que mon maitre venait d'acquérir pour arroser notre repas.. Je fus légèrement tendue et angoissée connaissant la suite que vois alliez donner à cette soirée ! Puis vint le grand moment ! Comme à son habitude mon maitre commença a m'embrasser amoureusement puis m'invita à prendre place en me désignant le canapé ! - va ma belle .. ! Ne t'inquiete pas je serais doux ...tu me connais et tu sais que je ne suis pas une brute ! - oui oui je sais ça ...maitre mais vous savez en meme temps que je ne suis pas mazo non plus !! - aaaahh mais qui te parle de ça ...enfin ! tu me connais quand meme !! bon assez parlé ....je ne fouetterais que tes fesses .. ! Face contre le dossier du canapé .. mes mains étaient mointes et mon coeur battait à tout rompre ! J'attendais la première morsure de la lanière... au lieu de cela je sentis une main chaude caresser mon fessier. J'avais commencé à me masturber et cette main inattendue m'avait détendue ..sans me prévenir mon maitre m'assena le premier coup ! J'etais saisi ..j'avais ressenti une vive morsure ! Je me concentrais sur mes caresses ..puis vint le second ..d'une meme intensité et toujours aussi mordant ..mon maitre vint me voir et passa sa main sur mon dos et sur mes fesses suppliciées : .. Ça va soumise ? Es tu contente que ton maitre te fouette ? - euh ..c'est à dire cher maitre que je ne dirais pas que je suis contente, vous avais je alors repondu sur un ton malicieux et éprouvée .. Euh ...disons plutôt que je suis contente que mon maitre me fasse connaitre une nouvelle chose ! Mais vous n'avez fait que me caresser ..là cher maitre ...trouvais je alors intelligent de rajouter... Je le reconnais cela etait quelque peu inconsideré -ah bon ? m'avez vous repondu affichant un sourire jusqu'aux oreilles ...ah bon ..es tu sûr de cela soumise ? -euh ...non pas du tout ! Mais il etait trop tard et vous avez enchainé les troisiemes et quatrieme coups à la file. Ils furent plus marqués mais sans etre non plus trop appuyés ! Fiere et forte je ne laissais entendre qu'un simple cri dû à la surprise de l'enchainement de ces deux derniers coups ! Je redoublais d'intensite dans mes caresses pour me laisser envahir par un orgasme intense pendant que vous m'asseniez un cinquieme et dernier coup Il me fallu tout de meme quelques minutes pour me remette de mes emotions ....et je me retourna. Je devais alors constater que vous ne portiez plus votre pantalon et que de surcroit votre queue affichait fièrement son contentement ! J'eue grand plaisir alors à la prendre en bouche l'avalant goulument pour en extirpez tout votre plaisir. Il ne me fallut que quelques secondes à peine..vos mains réconfortantes caressaient mon fessier apaisant ainsi les morsures du fouet ! Vous etiez heureux et moi plus encore Je su qu'il me faudrait désormais compter avec ce nouvel accessoire! Pour marquer ce baptême vous avez débouché cette bouteille de champagne que vous teniez jusqu'alors cachée ! Nous finissions la soiree sur le canapé à discuter moi caler contre vous ! Je fus extraordinairement bien comme à chaque fois que nous connaissions un moment si fort. Puis chacun regagna une chambre et je m'endormis d'un sommeil de plomb. Le lendemain vous fûtes levé plus tot que moi et m'avez fait la surprise d'un café au lit. C'était la première fois que vous vous adonniez à cet exercice. Exercice réussi ! (vous recommencez quand vous voulez cher maitre!) Café...une petite fleur dans un soliflore et un baiser sur chacune de mes mamelles ..un vrai réveil romantique !! vous m'avez gâté .très cher maitre! S'en suivait un petit déjeuner sur la terrasse au soleil puis la douche et je reprenais mon rôle de soumise. Votre sollicitude m'avait beaucoup touchée ce matin là et c'est ainsi que je pus prendre le soleil revetue de la nuisette et du plug inséré entre mes fesses ...vous pouviez contempler ainsi à loisir les marques laissées par votre oeuvre ! La matinée se déroula ainsi tranquillement ! L'après midi nous faisions une expo sur des artistes peintre contemporains ! Beau bâtiment et belle expo ..jupe sans dessous et decolleté furent de sortie.. Nous poursuivions par la visite du cloitre de la Psalette et sa cathédrale attenante. ! J'aime ces endroits là ..ils dégagent de la sereinité et force l'humilité face à l'oeuvre accomplie par la main de l'homme ! Je vous faisais remarquer que cela n'était guère décent ... moi en jupe sans dessous me promener dans un endroit aussi pieux !! Vous m'avez répondu par un sourire . Je vous ai senti à cet instant très amoureux ..vous me teniez par l'épaule .. des petits bisous venaient se poser sur mes lèvres ... . Plus tard vous m'avouerez que cela vous avez bien excité et j'aime vous voir ainsi ! Le soir vous m'avez demandé de revêtir ma tenue habillée toujours sans dessous ! En effet nous sortions ! Vos activités professionnelles vous avez amenées par ici et vous aviez gardé quelques contacts. Vous aviez choisi de m'emmener chez l'un d'eux ! Ce petit manoir qui se dessinait au bout d'une belle allée allait nous accueillir pour cette soirée .. je sentais qu'elle serait particulière ....une impression ...rien qu'une simple impression..! Un majordome vint nous ouvrir la porte puis un peu plus tard vos amis nous accueillaient enfin ! Un couple la cinquantaine ..à peine grisonnant ..elle .. feminine distinguée sans en faire trop, lui elegant et de surcroit bel homme !! tres sympatique, pensais je !!. Durant cette prise de connaissance je sentais les regards sur moi ...me scrutant .. me déshabillant presque !! Cela me mettait mal à l'aise .. j'avais un tres mauvais pressentiment .plus les minutes passaient plus mon impression du départ se confirmait. Une ambiance assez spéciale s'installait .. J'avoue que je ne comprenais pas et n'avais qu'une envie ... partir loin de là avec quelques explications !! Une chose me tenait ...vous êtes pas homme à dévoiler votre intimité et j'étais donc sûre que vous n'aviez pas revelé ce qui nous unissait.. Me voyant désemparée et tendue vous vous êtes adressé discrètement à votre ami et vous m'avez prise a part : - ma belle, avez vous commencé par me dire, t'ais je deja decu ? - non maitre, non bien sur .. mais là je ne comprends pas pourquoi vos amis me dévisagent ainsi ..j'ai un truc qui ne va pas ? Je dépareille dans le paysage ? La il faut que vous me disiez parce que je n'aime pas ça du tout !! - oui c'est vrai tu as raison j'aurais dû t'en parler et te prie de m'en excuser ..voilà .. Marc était une relation de travail au départ..nous avons sympathisé et nos conversations nous ont poussé parfois a nous raconter intimement c'est comme ça que je sais que sa femme Isabelle a parfois des aventures avec des femmes. Je me suis dis que cela te plairait peut être ... en plus c'est une belle femme ... tu en as toujours envie .. n'est ce pas ? - j'en dis que vous auriez pu effectivement m'en parler ..là j'ai l'impression d'être une bête curieuse et ce n'est pas tres agréable Hervé ! D'autant que vous avez dû le dire à votre ami .. qui lui en a parlé à sa femme !! En fait je suis la seule idiote à ne pas être au courant !! Vraiment là je vous en remercie !! moi qui pensait finir ce week end en apothéose .. - encore une fois excuse moi ma belle. !! - et donc qu'est il censé se passer ce soir ?? je vais passer à la casserole ?? - mais non ...bien sur que non ...nous faisons juste connaissance ...voir si toi et elle ça pourrait coller ... ! - ah oui ? Et puis apres ?? Vous avez deja tout planifié si je comprends bien .. Vous avez peut être déjà la date et l'heure de fixer ??Ais je mon mot à dire ? - ah mais oui et j'y compte bien !! tu sais que rien ne se fait si tu n'es pas d'accord. ..je ne t'ai jamais rien imposé ! - bien maitre ..retournons voir vos amis ..ils vont s'inquiéter et nous en reparleront ailleurs quand nous serons seuls !! Sur le principe je suis tjs d'accord ..sur la méthode employée ...non ! Repondis je sur un ton emporté mais discret. - bien... merci ma soumise ..tu as raison retournons voir nos amis ! De retour vous m'avez tendu une coupe de champagne vous m'avez souri et nous avons poursuivi la soirée ! Vous sentant coupable de ce contretemps vous vous êtes montré plus que prévenant A table je fus à vos coté et je dû m'assoir comme à l'accoutumé sur mes fesses .. laissant votre main vagabondee sur mes cuisses et parfois jusque mon entrecuisses ..vous savez que cela m'excites ..je vous laissais faire ...je ne voulais pas gacher votre plaisir !! nous discuterions de cette soiree plus tard !! Pour l'instant je ne voulais pas rendre vos retrouvailles désagréable !! Je me montrais donc agreable souriante et disponible. Je pense que vous avez su apprécier cela ! Il se faisait tard et nous prenions congés de vos amis ! Sur le trajet vous m'avez demandé si gentiment de vous caresser que je n'eu pas la force de vous le refuser ..je m'exécutais et sans que vous n'ayez eu besoin de le demander je me penchais vers votre sexe le suçant sur toute sa longueur. Votre main soudain me maintint la tête alors que votre sexe était au fond de ma gorge ...je sentis votre chaude semence m'envahir la bouche tandis que vous poussiez un râle de satisfaction ! J'avalais toute votre substance, je nettoyais du mieux que je pouvais votre membre et me relevais! Ce soir là nous dormions ensemble et vous me faisiez l'amour. J'aime ces instants .. si rare et si précieux. Ils me dévoilent alors une autre facette de votre être : le mâle dominant fendant l'armure. Vous vous faites alors si doux. Votre regard pétillant, vos gestes tendre et votre attention constante me raconte ce que vous ne me révélez pas autrement. Oh oui ! je les connais ces sentiments ...ils sont la pierre angulaire de notre histoire sans laquelle rien de tout cela n'existerait ! Merci maitre pour tout cela ! Lundi ..jour de retour sur Paris ..pas très envie de rentrer mais il le fallait bien. Nous n'avions pas reparler de la soirée de la veille .."laissons les choses s'apaiser" avez vous dit ..et j'étais assez d'accord avec cela.. Il nous fallu faire nos sa sacs et partir pour midi après avoir restitué les clefs ! J'avais adoré ce week end provincial...et j'en espérais bien d'autre !
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Par : le 15/06/18
Je suis une partisane de la Suprématie Féminine, et j’aime utiliser mon savoir élaboré du dressage des esclaves afin d’aider d'autres femmes à apprendre comment transformer un mâle en un véritable Esclave. Totalement dévoués et vraiment très obéissants. Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles : la bisexualité forcée. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des bites est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine et de mentalité machiste Doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre. J’ai d'abord entrainé mes soumis à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture et après leur pénétrer l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de mes lopettes. C'est aussi un mâle soumis, mais il peut être actif avec d'autres mâles soumis, Il est grand, musclé, bien monté. Il n’est pas véritablement homo, mais bi et vraiment très cochon. Pour préparer mon Esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très humiliante et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d'impuissance. Je lui ordonne de se mettre debout devant mon soumis. Il est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Il se déshabille et présente son sexe à mon soumis. Je le prends en main et oblige mon esclave à le sucer et à lui lécher les couilles, puis sur mon ordre il le met entièrement dans sa bouche. et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle puis je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Il reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon soumis trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. Ce type d’entrainement est très utile en faire une vraie salope mâle lui dilater sa chatte anale, et obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon esclave.
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Par : le 10/06/18
C'est mon truc. Tout est dans le titre. C'est ainsi. Lorsque j'ai enfilé ma première jupe, j'ai senti des picotements dans les doigts, l'envie de tenir un fouet, et j'ai beaucoup aimé cette sensation. Je me suis senti femme, une gynarchiste impitoyable. Ma mère voulait une fille. Elle a eu un garçon, mais ce besoin de féminité est resté profondément ancré en moi, comme pour beaucoup de travestis occasionnels. Mon premier orgasme a été celui d'une femme. Au judo, avec un beau jeune homme, fort séduisant, mon professeur, fier de sa ceinture noire. Nous étions seuls dans le dojo. Je n'étais que ceinture blanche et parfaite débutante, ce crétin a eu provisoirement le dessus. Il m'a projettée au sol, m'a immobilisée et a glissé sa jambe entre les miennes et a appuyé sur mon bas ventre. J'ai joui très fort, pas en éjaculant comme un homme, non, comme une femme au clito très très sensible. Des orgasmes à répétition. Il se frottait lorsqu'il a vu qu'il me faisait jouir très fort. Mal lui en a pris, car je l'ai retourné, j'ai défait sa ceinture, j'ai baissé son pantalon blanc et il a reçu une fessée monumentale. Il avait les fesses si rouges qu'il s'est mis à pleurer de plaisir. Je me suis servi de sa ceinture pour lui attacher les mains dans le dos. Fessé sur mes genoux, ce crétin m'a jouit dessus. J'avais sa semence sur mes jambes. Je l'ai obligé à me lécher. Il était aux anges, tout tremblant, tout en excuses. Sous la douche, je lui ai redonné une sévère correction et j'ai eu un nouvel orgasme, différent du premier, totalement cérébral cette fois. C'était si jouissif de voir les jolies petites fesses bien rouges et bien musclées de celui qui était censé être mon professeur de judo. j'aurais pu le sodomiser, mais j'ai préféré en rester à cette jouissance de femme. C'était le pied. J'étais une vrai fille à l'intérieur et j'adorais cela. Le beau jeune homme aux fesses bien rebondies avait envie de se faire prendre. Rien, je ne lui ai même pas donné mon gros clito à sucer. J'ai voulu le Frustrer, histoire d'en faire un chien docile. Il me regardait avec des yeux grand ouverts, comme en adoration. il a reçu une bonne baffe et il a couiné. Depuis, c'est ainsi, chaque fois que je passe une jupe, je me sens dominatrice impitoyable jusqu'au bout des ongles. J'adore attacher, et infliger de très sévères correction. Implorer ma pitié ne sert à rien. Avec une jupe, je deviens terrifiante. Je veux voir des fesses bien rouges et des larmes, celles du plaisir de mes soumises et soumis, en proie à l'extase. Travesti et dominatrice, c'est vraiment le pied.
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Par : le 30/05/18
J'ai parfois beaucoup de mal à revenir à la "vie normale" après une soirée ou un we de pratiques BDSM Ce que j'entends par vie normale, c'est la vie quotidienne, avec des activités professionnelles, des relations "normales", les gestes de la vie de tous les jours . Sortir le chien et la poubelle, en balancer dans le container vert et essuyer les pattes de l'autre en rentrant En espérant ne pas s'être planté dans la suite logique des évènements Donc, ne plus faire la vaisselle nu-e sous le tablier bleu et blanc (fort seyant d'ailleurs...sourire), ne plus graisser les fouets après le déjeuner, de plus claquer de fesses qui n'attendent que cela, et ne plus parler librement du dernier clito vibrant sous les doigts ! Entre autres sujets de conversation, bien sûr ! Pas simple, de revenir dans sa peau de Madame Tout le Monde, avec ses tracas et ses joies et de trouver cela, de nouveau, normal ! Parce que, moi, j'aime bien vivre l'intensité des retrouvailles,de nouvelles rencontres, des échanges passionnés sur la domination, la soumission, et tout ce qui tourne autour Les "pourquoi ", les "comment" les "waouhhh", les " oh non, ça, c'est trop pour moi" .... Et surtout cette pleine et entière liberté de parler de nos désirs, de nos fantasmes, de ces jardins secrets, de toutes les raisons qui nous conduisent à vivre différemment notre sexualité notamment sans honte ni gêne Ou avec gêne d'ailleurs lorsque les soumis-ses avouent leurs préférences et leurs difficultés en aimant tels actes ou telles approches : ça, j'adore !!! (sourire) Pas simple de ne pas réagir en entendant ses collègues de travail évoquer un tatouage par ex, "mal placé" ou un piercing de mamelon qui les font dire : "mais, y faut être vraiment cintrés pour se faire abimer comme ça !!! Cintrés et vicieux ! " Je me suis déjà laissée aller à commenter un geste ou une attitude "banale" en jouant sur une situation : un technicien par exemple, se mettant à genoux pour démonter une roue de fauteuil roulant, et qui, croyant impressionner tout le monde, me dit : "ne vous habituez pas à ce que je le fasse à chaque fois " "Et pourtant, cette position vous convient parfaitement" ai-je répondu en souriant Donc, pas simple de reprendre sa "place" lambda dans la vie, sans tout voir via le prisme BDSM : en tous cas, pour moi, ce n'est pas toujours simple Et vous, comment vivez-vous ces moments de retour sur terre ? Vous avez des astuces, des trucs facilitants ? Vous avez vécu des situations ambigues parfois ?
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Par : le 22/05/18
Nous sommes un couple "normal", sans posture liée à un statut dans le quotidien. L'un comme l'autre peut être à l'initiative de moments d'intimité, sexuels ou tendres, selon nos désirs - pas de décalage. Quelques gestes ou usages ont été instaurés dans ce quotidien, mais ils ne sont que des clins d’œil, des jeux, des friandises sans implication ni commune mesure avec ce qui se passe dans l'intimité. Le premier décalage évident apparaît après le déclenchement par l'un ou l'autre d'intimité. Elle me domine ou pas, non pas par convention mutuelle, mais parce qu'elle le peut, quand elle le veut. Dans les faits, ce que j'initie, tendresse ou sexe, reste tel quel (vanille) ou je me retrouve dominé ; ce qu’elle initie est de la tendresse ou de la domination. Sa domination est sexuelle, sa sexualité est dominante, dans le sens où ces deux désirs sont liés, indissociables, se nourrissent l'un l'autre, se comblent l'un l'autre (plaisir). Ma sexualité est sous contrôle, dominée. Mon désir sexuel se retrouve lié à sa domination, il est exacerbé par sa domination, utilisé par sa domination, comblé ou pas dans sa domination. Mon plaisir sous sa domination et mon plaisir sexuel sont par contre très dissociés et ne sont jamais comblés au même moment (ou frustrés). Ces différences entraînent le deuxième décalage, le plus difficile, celui de l'après. certains appellent cela la descente mais je le ressens personnellement comme une remontée, quand elle ne me domine plus, ne me subjugue plus, ne me piétine plus, ne me soumet plus, ne m'enfonce plus (sub c'est en bas :)). Il y a l'après immédiat, ses désirs comblés face à mon éventuelle frustration sexuelle et mon plaisir de soumission jamais rassasié (pas de phase réfractaire). Cette frustration fait encore partie de sa domination et j'ai "appris" à l'apprécier... Et il y a l'après après. C'est de plus en plus compliqué avec le temps (7 ans) et la profondeur toujours plus grande de ma descente, de remonter complètement. Frustration, contrôle et emprise entraînent un état de désir sexuel ou de soumission quasi permanent, alors que ma compagne est légitimement "repue". Je me sens en attente, en demande, avec ce paradoxe dérangeant d'avoir envie d'imposer ma soumission, c'est à dire de faire ce qui me semble le plus artificiel dans les témoignages que je lis - deux individus se reconnaissant leur statut de soum et dom, et se mettant d'accord et respectant les désirs et besoins de chacun. Ce n'est pas ma conception de la domination mais dans ces moments là, j'aurais presque envie de brandir ma liste de courses et la charte des droits du soumis. Bref je me foutrais des baffes! Avec le temps, ces moments difficiles sont donc de plus en plus forts. Parallèlement mon engagement progresse également, et me permet de résister tant bien que mal... avec comme conséquence de voir mon "appartenance" déborder hors du cadre intime et envahir mon esprit constamment. Troisième décalage ou emprise?
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Par : le 07/05/18
Article de lulu : https://www.bdsm.fr/profile-12051/ Reproduit avec son autorisation Ou je devrais peut-être mieux dire: «Qu’est-ce qui pousse un homme, à permettre et même à encourager une Femme à enfermer sa virilité dans un dispositif expressément conçu pour la rendre inutile jusqu'à ce qu’il soit enlevé ?». Eh bien pour moi… la clé est dans la fin de cette phrase ... "jusqu'à ce qu’il soit enlevé ». La chasteté en elle-même n'est pas si intéressante. Évidemment, les dispositifs (les ceintures et les cages) exercent sur moi une certaine fascination mais tant que je pouvais les mettre et les enlever à volonté, ils ne sont rien de plus que des jouets coûteux. Si on m’enlève cette capacité, alors là, le jeu change du tout au tout… Toutes les dispositifs que j’ai eu portés et que je porte encore sont réels, entièrement fonctionnels et aussi sécurisés que possible. Dans tous les cas, le seul moyen pour en sortir est d’avoir la clé ou de le détruire. Ce n'est pas quelque chose que je ferais à la légère, sachant non seulement le prix payé pour le faire fabriquer à mes mesures, mais aussi le prix à payer vis-à-vis de ma Dame ! Je n’ai jamais, jamais eu une clef de réserve. Le jeu d’être verrouillé en en serai complètement faussé... Si j'avais une clef, j’aurais toujours le contrôle et ma Dame ne l’accepterait simplement pas. Donc toutes les clefs doivent et sont en sa possession. Cela implique pour moi de placer ma confiance totale en ma Dame qui va les gérer... Je sais qu’Elle peut, selon Son Désir, me rendre très très facilement la vie très très difficile. Ce genre de confiance nécessite une relation 24/7. La chasteté n'est pas vraiment quelque chose qui se prête à des sessions occasionnelles. Elle fonctionne que dans le cadre d'un mode de vie bdsm. Le moment où la clé est tournée dans la serrure et que je n'ai plus aucun moyen facile de sortir du dispositif est le début de l'aventure. Un frisson me parcourt suivit d’un long moment de panique ; même après plus de 20 ans de pratique… Qu'ai-je fait ? Pourquoi ? Mais c'est trop tard, bien trop tard. Il est trop tard parce que ma Dame qui m’a verrouillé à une volonté d'acier. Elle est totalement imperméable aux appels à la pitié... et croyez-moi sur parole, après plusieurs semaines de chasteté, je sais supplier, plaider ma cause et ramper pour en sortir ! C'est ça la chasteté. Ce n'est pas qu’une question de sexe. Il ne s'agit pas que de déni de sexe. Tout est question de contrôle. J’ai remis le contrôle absolu, non seulement de mes organes les plus intimes, mais de mon esprit, de mon corps et de mon âme. Je sais que je finirai par en sortir, mais sans jamais savoir quand, ni comment, ni pourquoi. Ne sachant jamais si ce qu’il m’attend est un orgasme réel, ruiné ou refusé. Ne sachant jamais si je vais baisé ou être baisé... C’est ça la chasteté. Rien d'autre que je connais ne donne un tel niveau de contrôle à ma Dame sur moi. En étant verrouillé 24/7, je ne suis jamais libre de son contrôle. Le dispositif est toujours là, qu’Elle soit là ou absente. Il fait toujours preuve de la même volonté d’acier, que je le veuille ou non. La question du choix est « Choisir d'abandonner le contrôle, ne jamais savoir quand il sera relâché, pour combien de temps et à quelles conditions ! » C’est ça la chasteté. Ce n'est pas facile. C'est très frustrant, parfois inconfortable, parfois douloureux, parfois embarrassant et toujours toujours très présent. Il n'y a pas de temps libre, pas de pause, pas de mot de passe qui va l'arrêter. C'est un échange d'énergie complet et total dans sa forme la plus basique et brute. Certes, ce n'est pas pour tous les hommes et les Dames qui maîtrisent à la perfection ce niveau de contrôle ne sont pas légion, même si Elles n’ont pas besoin d’être en mode « Dominatrice » 24/7. Le dispositif se charge parfaitement de la suppléance. Leur motivation ne répond non plus pas à une règle unique ! Chacune a son vécu et ses envies.
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Par : le 16/04/18
Le collectif @Pandemonium est une petite équipe de passionnés qui "sévit" dans le Vaucluse, fait notable tant ce département est "sinistré" ^^ Ils en étaient hier soir à leur treizième soirée, un vendredi 13, à Monteux. Inauguration d'un nouveau site, hébergé par une boîte libertine, aménagée pour l'occasion. L'endroit est entièrement de plain pied, ce qui change des salles plus intimistes de Bédarrides, dispersées sur plusieurs étages. Evidemment, un avantage certain pour l'équipe qui installe avant chaque soirée le mobilier et le matériel dédié : croix de St André, "balançoire" (swing), tables de jeu ou de massage, cachot, latexarium et son vaccum bed... Hier c'est @ENZOlatAix qui organisait la visite guidée, préambule à la soirée. Vestiaire, bar, je retrouve des amis, des connaissances, je découvre de nouvelles personnes. Plus voyeuse que joueuse, observatrice de scènes qui s'offrent à mon regard. Un couple organisateur entame le bal, démarre les supplices, elle à la porte d'un genre de cage chromée, ouverte, une barre en son centre, baignée de lumière rouge. La mise en scène est douce, sensuelle. Il lève sa jupe et commence les flagellations au martinet et au fouet. Dans la foulée, un autre couple se joint. Elle est nue, attachée à la croix de St André pour une séance d'électro-stimulation qui fait discussion au sein de notre petite groupe d'amis. Envie ? Phobie ? La lumière blanche, irisée, qui frôle le corps et le visage est hypnotique. Le son l'est tout autant, ce grésillement électrique incessant me vrille agréablement et odieusemement les oreilles. Ambivalence. L'intensité monte et la femme gémit. Le premier couple laisse la place à un autre avec d'autres flagellations au martinet, à la cane, d'autres divers instruments, genre de paddles... De l'autre côté, dans le latexarium, essais du vaccum bed, tandis que l'espace privé voisin résonne des coups de boutoir du baiseur de la soirée. La première femme à essayer au moment où j'y suis, panique, ne parvient pas sans doute à réguler sa respiration. La seconde a un instant de flottement, mais elle reste dans le sac, entièrement, sans en sortir la tête, en gardant le tube de respiration dans sa bouche. Elle finit par se calmer, à force de caresses apaisantes. La musique aide, la partie de baise à côté sans doute moins, mais elle a du faire abstraction sous ce voile épais de latex. Enzo commence alors l'aspiration. L'air se vide dans le sac, le latex s'imprime comme une seconde peau sur le corps entier, le visage invisible, impassible. Tout va bien, tout est sous contrôle. Elle est détendue, respire doucement. Trois personnes sur le matelas caressent son corps, c'est très beau, tactile, lenteur, langueur... Le latex décuple les sensations, m'explique-t-on. L'homme sort un vibrateur et commence à l'activer sur son corps, puis concentre les vibrations sur son entrejambe. le corps bouge à peine emprisonné dans la matière mais on sent la tension provoquée par le plaisir. La contrainte est ultime tout comme les privations sensorielles, les sensations tactiles sont d'autant plus amplifiées. Plus tard, on m'expliquera que les vibrations ne se contentent pas de rester sur le sexe mais qu'elles se propagent le long du latex dans tout le corps. Cela donne envie d'essayer... Retour dans le premier espace, beaucoup de jeux là encore, les couples se succèdent, domina-soumis, dominant-soumise, encordeur, jeux d'impact, d'autorité, de cire... Pour l'anniversaire d'un soumis, à défaut de souffler ses bougies, nous sommes conviés à les faire couler sur son corps nu. De nombreuses femmes, dominantes et soumises, jouent le jeu. Il règne ici un excellent esprit, serein, au jeu ou au voyeurisme, à l'échange, au plaisir... Mon plus joli moment reste une femme entièrement vêtue de latex, en combinaison, grande, longue, joliment galbée, encordée à la "cage" métallique, caressée et jouissant sous les vibrations d'un Wand. Tellement belle dans son abandon et sa jouissance, son corps habillé de latex dans lequel joue et flamboie la lumière rouge. Prochaine soirée en juin. Peut-être l'occasion de tester le vaccum bed (ou pas), après avoir déjà testé les masques à gaz afin d'habituer ma respiration... Pour en savoir plus et suivre l'annonce des soirées etévénements : https://www.bdsm.fr/https-www-soireepandemonium-fr/
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Par : le 16/04/18
Ce qui m'a inspirée, c'est une maison de Meudon, construite en 1910, qui a conservé son décor d'époque. Elle est dotée d'un escalier qui m'intéressait. Cela faisait très longtemps que j'imaginais des hommes tous masqués, dans la même tenue, étagés sur les marches, en train de se masturber sur une femme. Pour moi, il fallait que cela soit très hiératique et beau. Cet hiver, j'avais, avec une amie, sélectionné des candidats que nous avions recrutés par Minitel. Puis ils ont été convoqués le jour prévu dans ce cadre qu'ils ne connaissaient pas. Je leur en avais dit le moins possible, comme aux autres. A chaque fois, chacun des participants ­- cette fois, il y en avait seize ­- en sait le strict minimum. La scène centrale était donc ceci : des hommes sur des marches, portant tous un loup avec une voilette qui leur masquait la bouche, torse nu, pantalon noir, debout contre la rampe à barreaux d'un escalier en spirale, formant un demi-cercle face au vide, au-dessus d'un sol dallé où j'avais placé en vis-à-vis un autre demi-cercle de dominatrices habillées en robe du soir. J'avais ménagé entre les femmes et les hommes masqués un espace libre où j'avais disposé de jolis coussins orientaux pour les deux jeunes soumises sur lesquelles les hommes devaient éjaculer d'en haut. Ces jeunes femmes, je les avais conçues comme étant de jeunes vierges qui devaient être fécondées. Donc elles étaient en blanc, dans des dessous 1900, en batiste et dentelle. Lorsque je les ai introduites, un pianiste ­ amateur de SM, évidemment ­ jouait. Je tenais les jeunes filles par des rubans de satin blanc qui étaient liés à leurs poignets et je les ai couchées sur les coussins. Après quoi, à un signal précis, en l'occurrence un accord plaqué au piano, tout d'un coup on a entendu une cantatrice ­ elle aussi adepte du SM ­ attaquer les premières phrases de "La Mort de Didon" de Purcell. Elle est descendue lentement, du haut de l'escalier, magnifique dans une longue robe de velours rouge, en chantant. Ce qui était très beau, évidemment, c'était ce contraste, cette quasi-inadéquation entre des hommes qui se masturbent et cette musique du XVIIème siècle, cette alliance du sperme et du sacré. C'est de la création bizarre, mais c'est de la création. Et qui n'est curieusement pas tellement à la mode. Aujourd'hui, on est plutôt du côté du cru, du direct, de l'improvisé. On ne va pas vers cette médiation, cette théâtralisation. - (Jeanne de Berg, épouse de l’écrivain Alain Robbe-Grillet, elle-même écrivaine et auteure, entre autres, de "Cérémonies de femmes", qui avait l'habitude avec son époux de mettre en scène des créations sadomasochistes qui prenaient ainsi la forme d’œuvres d’art éphémères telles que celle décrite ci-dessus - extrait d'une interview publié dans Les Inrockuptibles le 22/07/1998 - texte complet de l'interview ici : https://www.lesinrocks.com/1998/07/22/musique/concerts/jeanne-de-berg-jupe-brulee-11230848/)
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Par : le 19/03/18
Je me suis souvent interrogé sur la relation entre attrait physique D'une personne et désir de domination. Je ne serai pas hypocrite. Si il n'y a pas une attirance, une sensualité , dominer pour dominer, quel intérêt? Mais c'est réciproque et je trouve cela juste. A s'offrir sans retenue, une soumise à bien le droit de choisir son tourmenteur ! A contrario, une femme trop belle, nous pouvons en hésiter à en abuser de traces marquées ou sanctionner cette inénarrable beauté de délicieux coups de fouet. L'homme Dominant cherche toujours sa Barbarella de cuir si moulant vêtue, alors qu' une femme nue sous un simple manteau avec un joli collier et les yeux baissés, mon Dieu, quel pied !
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Par : le 11/03/18
Voici un texte que j'ai écrit il y a quelques temps déjà, mais que je souhaiterais corriger, modifier, parce que je suis sûre qu'il y a des petites choses qui ne vont pas. A force, je suis incapable à l'heure actuelle d'en voir les erreurs, ni les fautes d'orthographe. Alors n'hésitez pas, si vous passez par ici, à me faire part de vos remarques en commentaires. Je verrais si oui ou non elles permettent d'améliorer ce texte sans le dénaturer. Voici donc : >>> L'Escalier Les talons de la belle claquaient sur les pavés encore mouillés de cette matinée. La pluie avait cessé depuis peu. Le soleil réapparaissait derrière les nuages, et sa clarté illuminait les façades des immeubles à colombages. Elle avançait d'un pas lent, ses cheveux longs et roux, libres de toutes attaches, flottant au vent, et serrant contre sa poitrine le manteau noir, coupé trois-quart, dont elle était vêtue.  Plus elle marchait, plus elle angoissait. Si elle était dans cet étroit passage, c'est parce que Son Maître le lui avait ordonné. Il lui avait fixé un rendez-vous en lieu inconnu, avec l'un de ses amis, tout aussi inconnu pour la jeune soumise. Lorsqu'elle vit l'escalier au fond de la ruelle, qui donnait sur une porte en sous-sol, elle sut que c'était là le lieu de rendez-vous. D'un pas qu'elle voulut calme, elle descendit les marches une à une, essayant de ne penser qu'au bonheur de servir Son Maître, y compris en cet endroit, y compris avec cet autre homme. Au bas de l'escalier, elle remarqua que la lourde porte d'acier avait été entrouverte, conformément aux instructions qu'elle avait reçues. Comme convenu, elle entra, et referma la porte derrière elle. D'un coup, il fit beaucoup plus sombre. Et beaucoup plus frais. Grâce à la torche suspendue sur le mur à gauche d'elle, la pénombre n'était pas totale. Alors elle défit son manteau, qu'elle posa sur un petit banc laissé à cette attention. La jeune femme n'était vêtue... que d'un collier aux multiples anneaux, auquel pendait une courte laisse, dont la poignée de cuir noir tombait au niveau de son intimité, joliment dépourvue de pilosité. Entre le contact de l'acier sur sa peau, et la fraîcheur de l'endroit, son corps était parcouru de frissons. Pour se donner une meilleure contenance, elle recoiffa ses cheveux de ses mains, les aérant et les plaçant dans son dos, afin que nulle mèche ne vienne cacher ses seins, où ses petits tétons s'exhibaient indécemment. Puis elle s'agenouilla, se pencha en avant pour se mettre à quatre pattes, jambes légèrement relevées en arrière afin de ne pas abîmer ses escarpins. Elle ferma les yeux, entrouvrit la bouche, y placa la poignée de la laisse et attendit... Après quelques longues minutes, des bruits de pas se firent entendre. Quelqu'un approchait. L'homme. La femelle avait toujours les yeux fermés. Il était arrivé à son niveau, elle sentait le parfum boisé de celui à qui elle appartiendrait durant ce moment voulu par Son Seigneur et Maître, son Propriétaire. Elle sentit des mains puissantes poser sur ses yeux un bandeau noir, serré fermement. Elle ne verrait plus rien, devrait se laisser guider maintenant. Il fit passer sur son dos les longues lanières carrées d'un martinet, prenant tout son temps, pour caresser ainsi l'espace compris entre sa nuque et le creux des reins, s'attardant parfois sur une parcelle de peau. Soudain... la morsure du cuir, cinglante, entre ses cuisses, sur sa chatte. Et le mouvement brusque de la laisse qu'on tire en avant... La chienne avança, gardant tête baissée. Ce lieu, qui devait avoir servi d'entrepôt ou d'autre chose, n'était pas adaptée à la promenade d'une femelle, ses mains, ses genoux, étaient meurtris par les graviers et les irrégularités du sol. Mais elle savait ne pas devoir faire attendre cet homme, ami de Son Maître, et veilla à suivre son rythme. Ils passèrent un long corridor, étroit, sombre, car les seules torches présentes étaient celle se trouvant à l'entrée, et l'autre, dans la salle vaste et sphérique, où ils se dirigeaient. Bien que le couloir soit étroit, l'homme gratifia la femelle d'un nouveau coup de martinet, dont les lanières s'abattirent sur son cul. Il se pencha vers elle et vérifia par lui-même l'effet de sa présence, de ses coups, sur la chatte humide de la chienne à ses pieds. Satisfait, il enfonça ses doigts mouillés dans la bouche toujours entrouverte de la belle et elle les lécha avec application, avant qu'ils ne continuent leur chemin. L'homme guida la chienne au centre de la pièce, jusqu'à un matelas posé à même le sol. La chienne monta sur l'épais matelas, et exhiba à ce Maître d'un moment ses orifices lubrifiés de sa mouille, et les traces du martinet. L'homme claqua le cul de la femelle offerte ainsi à ses désirs, quels qu'ils soient. Il claqua, doucement tout d'abord, puis de plus en plus fort, jusqu'à ce que le cul rosisse, puis rougisse, que les halètements se fassent geignements. Une dernière claque, retentissante, un cri de la chienne, Puis le silence. Une pression sur sa tête, l'ordre était donné de rester agenouillée, silencieuse, respecteuse, dans une position d'attente. Elle l'entendit se diriger vers un ailleurs inconnu. Mais déjà il revenait. Il était presque aussi discret qu'un chat, mais des outils d'acier semblaient s'entrechoquaient. Sûrement devait-il avoir apporté une sacoche, contenant divers matériels. L'homme sortit effectivement de sa sacoche un écareur tout en acier, et le posa dans la bouche de la femelle, Elle avait l'impression qu'elle allait se décrocher la mâchoire, et eut une pensée pour Son Maître, qui la bâillonnait souvent... mais cet écarteur, c'était nouveau pour elle. Ensuite, il sortit des cordes, et savamment, bondagea la chienne... mamelles emprisonnées, corde passant entre ses grandes lèvres plus qu'humides... L'homme amena la femelle jusqu'à une croix en T, postée derrière le lit, l'installa sans ménagement : bras et poignets liés sur le montant horizontal, jambes passées de chaque côté du montant vertical, et liées elles-aussi. Après qu'il lui ai mis un bandeau sur les yeux, l'homme s'empara de son martinet, et commença à flageller la femelle, sur la chatte, le ventre, les mamelles... de plus en plus fort, toujours. Que la peau de la chienne soit rouge, comme la passion, le désir... voilà quel était l'objectif de l'homme. Et il s'en donna à cœur joie. Elle versa quelques larmes, cela ne l'arrêtait pas et même l'excitait. Aussi il continua un long moment avant de changer d'instrument. La femelle était épuisée, trempée... sa mouille dégoulinait le long de ses jambes, elle sentait les pulsations dans son corps, comme un appel aux plaisirs... elle en voulait plus, elle se voulait toute emplie de l'homme, elle s'imaginait toute emplie de Son Maître, bien loin de cet endroit, Son Maître, qui lui avait fait l'immense honneur de sa confiance en l'envoyant s'offrir à celui-ci... elle devait être fière d'avoir ses envies lubriques, de se sentir femelle et chienne, objet d'un inconnu. Soudainement, ses voeux furent exaucés en partie... un épais sextoy venait de lui être fourré dans la chatte. Il avait glissé à l'intérieur facilement. Des vibrations furent déclenchées, et le plaisir de la femelle fut décuplé, tandis que la cravache s'abattait sur sa chatte, violemment. Entre douleurs et plaisirs la femelle sombrait, disparaissait... partie dans une dimension faite de plaisirs, uniquement... au-delà de toutes douleurs... l'homme se plaqua contre elle. tiraillant ses tétons, les vrillant, les pinçant, et même les mordillant. Il prenait les mamelles à pleine bouche, les marquait de l'empreinte de ses dents, alors que la salive de la femelle glissait sur son corps... elle le sentait excité, son membre était raide et gros à travers le tissu de son pantalon... Et brusquement... il détacha les liens de la croix. Elle tomba dans les bras de l'homme, qui la renversa, ventre sur le lit... Il ouvrit son pantalon et vint se positionner au-dessus de la femelle, qu'il prit ainsi, enserrant le cou de celle-ci d'un bras. Elle avait toujours l'écarteur, le collier, la laisse, couverts de salive... elle était trempée, mouillée, marquée... salie, excitante. Il la baisa rudement, violemment, profondément, doigtant le petit orifice entre ses fesses, le dilatant... pour s'y engouffrer vigoureusement, en une unique poussée. Les couilles de Son Dominant claquaient sur son cul, sur son con, et la femelle n'en pouvait plus, elle ne devait pas jouir, même si elle le désirait. Le faire c'était ne pas respecter les ordres de Son Maître, c'était lui faire honte... Elle se fit défoncer avec rage, et elle adorait ça, elle, la chienne lubrique, esclave des plaisirs.  Avant qu'il ne jouisse, l'homme s'arrêta, et tira sur la laisse de la chienne. Celle-ci se remit à genoux, face à lui... elle était si belle avec cette bouche grande ouverte, inondée de salive... elle l'accueillerait jusqu'au fond... et c'est ce qu'il fit, il s'enfonça, dépassant la luette. Il était tout entier dans sa bouche, ses couilles au bord des lèvres. Il n'allait plus tenir très longtemps, aussi, c'est au moment où il allait lui gicler sa semence au fond de la gorge, tout au fond, bien profond, qu'il lui enleva le bandeau... La chienne n'en crut pas ses yeux... elle eut d'abord un peu de mal à y voir, vue la pénombre... mais rapidement, quand la semence sacrée coula en elle, épaisse, elle Le reconnut... Son Maître, Son Seigneur... Son Propriétaire. Pas un inconnu, mais Lui, le Seul, l'Unique. Les dernières larmes qu'elle versa étaient des larmes de joie, d'avoir su avoir confiance en Lui, pour s'offrir ainsi. Fin
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Par : le 11/03/18
Je n'ai pas apporté mes cordes, je sais qu'il en possède quelques-unes et j'étais déjà bien chargée pour cette virée amicale et kinky. Elles sont un peu trop grosses, un peu trop longues à mon goût mais cela ne m'empêchera pas d'encorder comme je l'entends. J'enserre ses poignets posés sur sa poitrine, ses bras, elle se laisse faire. Je la regarde avec un petit sourire et je passe la corde entre ses lèvres. Elle ne s'y attendait pas. Elle me regarde interloquée. Un éclair troublé passe dans son regard qui me colle des frissons. Le bâillon fait son effet, des deux côtés de la corde... Je couche la poupée sur le dos et je lie fermement chacune de ses jambes repliées, fixées à deux anneaux au-dessus du lit. Je m'assieds entre ses cuisses. Je la regarde, je ne dis rien, je ne fais rien. Je me penche juste et j'appuie mon pubis contre son sexe, comme si je la plaquais un peu plus, l'écartelais davantage. Je la dévisage, elle aussi. La proie et la prédatrice. Tout se joue dans cet échange-là, ce contact oculaire. C'est comme un miroir inversé, l'étrange abyme d'un puits d'émotions qui se mêlent, brouillent les images, floutent le décor. Il est là, derrière moi, je le sais mais c'est comme si nous étions seules en cet instant, accrochées l'une à l'autre par le regard. Je pose ma main sur son sexe, j'agrippe les poils, les tire comme je l'ai fait de sa chevelure, elle couine de façon plus aigue. J'ouvre son sexe, je contourne de mes doigts les chairs offertes, je déplisse et je commence à toucher, découvrir, branler. Ses yeux supplient, elle gémit à travers les cordes. Je mène cette danse du plaisir en l'entraînant sur les pentes de l'orgasme avant de stopper mes atouchements, juste au bord du gouffre. Trop tôt, pas encore, pas tout de suite. Mon plaisir est de la voir se tordre, sonder dans ses yeux l'interrogation, la supplique, l'abandon, le défi. Je lis la force et la fragilité, je vois la femme et l'enfant, je devine l'appétence et une curiosité insatiables. Petit animal que le plaisir affole, petite chose avide... Lorsque ses pupilles disparaissent dans un halo blanc ou, à l'inverse, lorsqu'elles s'agrandissent, exorbitées, je relâche ma pression sur son clitoris. Je laisse le flot se calmer, le frisson s'adoucir sous la peau, avant de l'effleurer à nouveau, juste un peu, puis d'agacer et de frotter encore, en l'emmenant au point de non retour, où je stoppe une fois de plus mes caresses. C'est un jeu que j'aime, les montagnes russes dans son corps, l'excitation renouvelée, le plaisir qui monte et qui descend, l'impatience contenue, la frustration... Les mots s'oublient. Mots superflus dans une atmosphère taiseuse et moite, hormis ses râles et miaulements de plaisir. Seules des bribes juste murmurées fusent de temps en temps « pas encore » ou, plus tard, « lèche-moi ». J'ôte alors une partie de la corde et que je la bâillonne de mon sexe à la place. Ses yeux deviennent plus flous, se teintent de vice, de cette tentation de me contrôler à son tour, de se dire que même contrainte, c'est elle qui tient mon orgasme entre ses lèvres. Cette expression fugace que j'ai décelée m'amuse et m'émoustille tout à la fois. Puis le jeu se modifie. Il est toujours là et s'impatiente, demande si elle a enfin le droit de jouir, son apanage tacite, son rôle de mâle dominant. Je lui cède la place entre les cuisses de la jeune fille qui plante ses yeux dans celui qui s'apprête à la posséder pleinement. Il prend son temps puis la baise plus fort, sans retenue. Sa bouche est libre de toute entrave, elle gémit. Je saisis ses cheveux, caresse son visage, me rapproche. Ses yeux vont et viennent, roulent entre lui et moi. Il a disparu entre ses cuisses pour la faire jouir, enfin, et ses hurlements vrombissent puis claquent dans la nuit. Petite fille apaisée que je libère de ses cordes... Pour l'illustration, c'est chez Abyme https://www.bdsm.fr/photo/437054/dom-lullaby-nina/userid_14770/
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Par : le 09/03/18
Je suis toujours surpris qu'une femme s'abandonne à mes désirs. C'est pour garder cet émerveillement devant cette offrande que je me suis arrêté pendant des années. Car dominer C'est aussi savoir donner à sa soumise, de son temps, être créatif, empathique, l'amener à aller au delà de ses limites en respectant ses intimes frontières. C'est aussi se connaître et savoir que dominer n'est pas que hurler des incantations. Et le sourire d'une soumise épanouie...
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Par : le 04/03/18
Lettre très connue dans la sphère SM, elle a été la première à exprimer un ras-le-bol à l'égard de ceux qui se présentent comme soumis. C'était il y a quelques années... " Vous êtes ici des centaines. Nous sommes de rares Maîtresses. Vous cherchez une dominatrice, vous pleurez de ne pas en trouver. Nous cherchons des soumis, nous déplorons de voir enfin une candidature sortir du lot. Vous perdez votre temps à nous faire perdre le nôtre. Il est temps de vous expliquer simplement que la dominatrice de vos rêves a des aspirations que vous n'avez pas perçues. Petit jeu de questions, réponses : Que faire de mes envies, des fantasmes si je veux les vivre ? Vos fantasmes, vos envies, vos pulsions, que vous étalez copieusement ici dans vos annonces, et dans vos messages sont bien éloignés de ce qu'une Domina attend. Et nous les connaissons par cœur. Bien souvent, nous percevons votre excitation à les écrire, percevez donc notre exaspération à les lire. Une relation avec une dominatrice sous-entend de vivre un jour des moments où elle jouera avec vous. Mais cette relation ne se résume pas à cela. Une Maîtresse cherche avant tout une relation complète, où votre esprit saura la toucher. Elle n'a que faire de l'étalage de vos envies. Seules les siennes comptent. Si vous ne souhaitez que vivre vos fantasmes, optez pour une séance. Suis-je facilement disponible ? Une dominatrice n'a que faire de votre emploi du temps. Seul le sien compte. Donc peu d'intérêt à entretenir une relation avec un courant d'air, ou un homme en couple par ailleurs. Une Maîtresse vous accorde du temps et de l'énergie. Une relation où l'un donne plus que l'autre ne peut lui convenir. Si vous êtes marié, optez pour des séances. Contre offrande, chacun y trouve son compte. Suis-je fiable ? Les « fantasmeurs » discréditent les réels soumis. Quand vous prenez rdv ou proposez votre candidature, posez-vous préalablement la question « vais-je avoir le courage d'y aller ? ». Tant de temps perdu, d'énergie déployée pour ceux qui n'assument pas. Autant les consacrer à ceux qui assument. Ayez la courtoisie de vous décommander, c'est le moins pire. Pourquoi encore et toujours des photos ? Passage obligé. Des centaines de sollicitations, nous choisissons celui qui a une chance de nous plaire. Pas de temps à perdre. Cela est plus simple également pour vous, pas de déplacement inutile. Ne vous faites pas prier et adressez des photos de votre visage et en pied. Votre anatomie détaillée ou vos exhibitions de soumis en situation ont peu de chance de nous séduire ! Nous connaissons, vous n'apportez rien de nouveau… là encore vous vous excitez tout seul. Pourquoi n'ai-je aucune réponse ? Parce que vos messages sont souvent insipides. Parfois très cérébrales, les dominatrices ont peu de chance d'être attirée par un « bonjour , comment allez vous… ». Faites fonctionner vos neurones, et cherchez à nous intéresser. Oubliez de faire étalage de vos attentes. Si on vous les demande, il sera temps d'en parler. N'oubliez pas que vous vous présentez en soumis, seuls les désirs de la Maîtresse ont de l'importance. Que cherche une Maîtresse ? Voilà la question essentielle. Il est temps de vous la poser. Lisez son annonce et déjà vous saisirez. Cela vous paraît évident, cela ne semble pas évident pour tous. Vous comprendrez que vos attentes sont bien éloignées des siennes. Alors pensez en réel soumis, et mettez vos envies de côtés. Une domina est aussi une femme. Ne l'oubliez pas. Et l'amour ? Bien souvent, sous-jacente, toute annonce est une perche tendue à une belle histoire. Une relation D/s est forte, chacun donne plus encore que dans une relation classique. L'amour lui donne une réelle dimension. Ne fermez pas cette porte. Une rencontre « internet » n'est qu'un moyen. Dès lors les choses se construisent. Il faut du temps, partager des expériences et des moments ensemble, pas uniquement dans l'intimité. Vivre, sortir, oublier le virtuel. Cela nous permettra, je l'espère, de ne plus perdre notre temps." Maitresse_Ines, sur sensationsm
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Par : le 04/03/18
Humour et Dérision .. La copine d'Huguette .. Encouragé par mes deux premiers succès , ne voulant pas gâcher des dons évidents , je me remis à l'ouvrage . J'appelai Huguette pour la revoir , toujours sous le charme . Elle n'était plus libre me confia-t-elle , avait déménagé , n'étais plus intéressée par le BDSM , et n'avait rien ressenti – de quelconque façon à ses dires – lors de notre rencontre . Si je n'avais su lire entre les lignes j'aurais naïvement pensé qu'elle m'évitait ou avait été déçue . Ma grande expérience de la psychologie féminine me fit heureusement deviner , que , probablement par peur de tomber follement amoureuse , elle préférait une vaine fuite . Je dis vaine , car évidemment , je ne voyais pas comment son esprit eût pu se détacher de moi . Pas plus que son corps qui devait m'appeler chaque nuit . Gentleman , je n'insistai pas , la laissant toute à la pudeur de ses sentiments . Juste avant de me raccrocher au nez ( assurément pour cause de forfait dépassé – tiens au fait c'est moi qui l'appelais … ) elle me donna le numéro d'une amie qui disait-elle pourrait être intéressée , elle ( je cite ) . Ah ces femmes , quels bijoux … Elle avait été si enthousiasmée qu'elle n'avait pu s'empêcher d'en parler à sa copine . Bon Prince je décidai de l'appeler . Evidemment cette dernière fut emballée et me donna rencart le jour même . Lorsque j'entrai dans le café , je la reconnu immédiatement . Sa paire de Rangers , son pantalon treilli très en vogue chez les femmes à cette époque me plurent immédiatement ; je devinai vite qu'il s'agissait de masquer maladroitement sa fragilité , sa féminité … Et ce ne sont pas ses cheveux hirsutes et son maquillage outrancier qui allaient me faire changer d'avis . Pas plus que ses 15 bons centimètres de plus que moi , ni ses épaules de déménageur . Je mis sur le compte du tabac ( elle écrasa son cigare dans le cendrier à mon arrivée en me dévisageant … ) sa voix grave . _ Bonjour Madame , je … _ 'sied toi ! Quelle économie de mot , et quelle concision ; j'en était admiratif ! Je saisis au vol cette invitation et pris place face à elle . _ alors c'est toi qui voulait dominer Huguette ? Force était de constater que ma réputation m'avait précédé ; je conçu une certaine gène ( humilité quand tu nous tiens ) devant ce compliment déguisé . Toujours cette subtilité du langage féminin … _ moi aussi j'aime la fessée ... lâcha-t-elle en même temps qu'un rot qui fit se retourner même les plus habitués des lieux . Elle reposa sa bière en s'essuyant sensuellement les lèvres d'un revers de la main . _ ...mais je préfère la cravache , mon pêché mignon ! J'étais sous le charme , nos goûts correspondaient à merveille . Savait-elle qu'elle était déjà perdue corps et âme ? Son regard et un signe du menton m'indiquèrent la porte des toilettes où elle avait visiblement l'intention de me suivre ; évidemment l'endroit n'était pas aussi romantique que j'aurais pu le souhaiter , mais son envie , son impatience eurent raison de ma pseudo réticence . En outre elle venait de me confier qu'elle avait tout ce qu'il fallait avec elle , dans son sac . Vraiment bien organisée cette charmante jeune femme , avoisinant les 60 , 65 ans . Elle avait certainement tout prévu la coquine . J'en étais à bénir ma bonne fortune lorsque j'entendis la voix de ma belle à travers la porte : _ j'espère que t'a remis du PQ Pierrot , sinon je m'essuie sur les murs ! Les rires gras de l'assemblée me transportaient ; elle savait y faire pour donner le change , et mine de crayon , me rejoindre . La porte s'ouvrit ; elle était encore plus grande que je ne croyais . A peine entrée elle ouvrit sans un mot la porte des WC femme et me poussa dedans . Impatience quand tu nous tiens … De son sac elle sortit une magnifique cravache noire , un modèle assez court , avec un large embout en cuir .  _ Baisse ton pantalon ! J'en étais gêné ! Voulait-elle passer à une gâterie tout de suite ? C'eut été gâcher , je ne l'avais même pas encore fessée . Je fus rassuré quand elle me fit appuyer au mur , pantalon sur les talons ; dans cette pause noble j'entendis ( et surtout sentis ! ) le sifflement de la cravache s'abattre sur mon arrière train ! Elle voulait vraisemblablement vérifier son bon fonctionnement avant de me la tendre . Visiblement dans le doute , elle vérifia une bonne trentaine de fois l'outil sur la partie la plus charnue de mon individu . Etrangement , dansant d'un pied sur l'autre , j'avais de moins en moins envie de la dominer . J'espérais qu'elle ne m'en voudrait pas trop . Je sentais à son souffle court qu'elle fatiguait ; cela m'arrangeait un peu à vrai dire … Quand elle eu fini , elle claqua la porte et sorti , me laissant le soin , me précisa-t-elle de régler ses «4 bières descendues en t'attendant plus la tournée générale» qu'elle allait mettre sur mon compte . Je remontai sans hâte et avec une infinie délicatesse mon pantalon dont il me sembla soudainement que la matière était proche du gant de crin .  Décidément ma carrière de dominateur se poursuivait aussi fort qu'elle avait démarré ; j'en concevais une légitime fièreté , bien décidé à ne pas m'arrêter en si bon chemin . Quand tout vous sourit dans la vie , quelle extase ... Sir S
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Par : le 19/02/18
. L'état fantasmatique prend le pas sur le descriptif, Linsoumise, je viole ton âme et ton corps s’essore à genoux, lovée, agrippée encore à lustrer mes pieds comme une chienne.. Tu trépanes mes repères.. ma folie pulsionnelle te parle en ces mots sombres: . Ma perte sublime, l'abandon de mon contrôle aux perversions sombres abyssales, sales et humiliantes: sadiques.. là où ta dignité ne réside qu'en l'absence du "Toi". Livrant ta carcasse désincarnée à ma nature profonde crépusculaire, sauvage, avilissante et habitée . L'usage même de paroles devient l'expression de dégoût, t'avilissant. Te retranchant au delà de ce que le seul sens non isolable pourra transmettre à tes oreilles. Sons perçus étouffés par tes tourments, tes maux, ton épuisement, MA possession. Asile psychologique certain, te réfugiant dans ton subspace bienveillant, salvateur, laissant libre le désinvestissement corporel que j'entreprendrai, méthodiquement sur toi. Devenant un corps mou duquel j'extrairai à coups de griffes le reflet cinglant des morsures du fouet de mes envies, m'exprimant sur ton corps et ton âme. Te soustraire ... te laisser quelques secondes de conscience, peut être d'éveil, marquer au fer rouge ce que tu es devenue entre mes mains. Hum ... images et émotions: langage subliminal. Marquage de l'inconscient, ton cerveau reptilien dans le panier de mon emprise, ondulations hypnotiques aux fréquences Dominantes.. Tu seras loin. Enfermée dedans. Ressentir paradoxalement à/a peine les assauts démoniaques, extrêmes et avilissants qu'un statut d'esclave t'aurait simplement épargné. Gardant possession psychologique d'une situation physique dont tu serais pourtant coupée. Laisse tomber , va, abandonne... Comprends bien, qu'Il me sera alors jouissif autant de te voir résister pour te contraindre un peu plus, que de te ramener en pleine conscience pour te révéler à toi-même ce statut de déchet sexuel: MON déchet sexuel. Perspective Jetable?... je salive d'anticipation.. Replongeant ensuite dans ta boîte crânienne, Subspace, salvateur/trice, me laissant pleinement exprimer en et sur toi, mes allégories passionnantes et expressives. Déversoir de ma folie sexuelle démente, réceptacle de mes fluides corporels avilissants et marquants. Perspective durable? Trace indélébile de l'incroyable et démesurée emprise que ma Domination exprime sur Toi : MON Objet sexuel. Tu ne seras ni la pire des salopes rêvées, Ni cette femelle fantasmatique à prendre comme une chienne, horizon salace; Ni même Esclave, statut seXuel permettant toutes les disponibilités... non, non, non, non , non...mon expression réside là où la dignité même de la personne est touchée; Là où la dilatation n'a plus de fin qu'en l'expression du vide, cercle sans objet, ni d'objets même à t'enfiler laissant béant tes orifices. Là où même les réflexes naturels de fermeture n'opéreront plus. Tu ruissèleras de liquides mélangés, ton souffle presque inconscient, catatonique, faisant mentir le cadavre sexuel gisant sans dignité que j'aurai créé, besogné, vidé de sa vie. Prisonnière de ton corps comateux, le déséquilibre manichéen basculera dans une monochromie sombre où tu ramperas à mes pieds pour obtenir le pardon du simple fait que j'en arrête avec ton corps et ton âme, forme de peur de l'abandon.... tu l'auras compris qu'ici, réside mon expression. En la perte temporaire et entière de ta résistance... quel paradoxe sans injonction, processus circulaire dans lequel l'énergie de la réponse est fournie par ta réaction et non pas par l'élément déclencheur... perversions, sublimes de tortures psychologiques par le vecteur de ton corps ... Alors... Me suppliant encore de te souiller de toutes les manières de mes perversions et mon sadisme mêlés, graal unique de mes quêtes fantasmatiques, de crainte que j'en ai fini avec Toi.. supplier... me supplier de te prendre sans limite, en tout cas m'abandonner les tiennes... concept si éloigné de ton orgueil... de ta fierté. Insoumise? Ainsi je t'exposerai aux hyènes impropres, essentiellement libidineuses, s'exprimant, de leur seule turgescence, assoifées de viande pas encore assez morte. Charognes. elles te baiseront aux limites de l'évanouissement jusqu'à ce qu'elles s'épuisent elles-mêmes, vidées autant que de leur pauvreté fantasmatique m'inspirant tant de dégoût ! Je les bannirai d'incompétence à t'user de baise, les humiliant pour ma satisfaction narcissique et par condescendance perverse. . Prête de ce préliminaire sexuel, essuyant tes larmes d'abandon, j'exercerai alors ma Domination sur Toi. . Mon déchet, déshumanisée, état subconscient , cloîtrée au fond de toi même, je saurai encore te ramener à la conscience pour te montrer ce que tu es. Pour moi... Objet.... mon objet, par delà tes limites: mon objet dans mes limites. Tes trous devront rester béants d'avoir servis et prêts à servir, et resservir .. sans quoi je n'aurai de cesse que de les éprouver jusqu'à ce que mon sperme entre ou sorte par simple gravité de tes bouche, vagin et anus suivant la position dans laquelle je te baiserai encore. Et encore. Et encore sans aucune attache, limite, résistance molle, pantin fantasmatique, receveur unique pour des heures indélébiles dans chacune de nos mémoires... de notre chair. Tes ultimes étincelles résistantes d'insoumission articuleront mes perversions à te faire lâcher ton contrôle par ma Domination systémique. Jeu des derniers soubresauts d'orgueil abattus par l'implacable détermination à te faire lâcher prise. Menottes, bracelets, Cordes, scotchs et strapps t'immobiliseront pour subir. Baillons, écharpes, scotchs, cordes ceintures étoufferont tes lamentations. Ceintures, martinet, canne, cravache, fouets et autres caresses éveilleront ta colère pour mon plus grand plaisir. Mais c'est Ton état passif et abandonné, qui transcendera enfin l'état dans lequel je cherche à exprimer ma jouissance. Tu ne pourras alors recevoir mon offrande en calice, qu'aux signes de ton abandon. Alors surement alors, performant de ma Domination sur la carcasse épuisée de ton corps, me redressant de toute ma taille pour jauger mon empire. Haletant et triomphant, dans un geste narcissique je te pisserais dessus ou plutôt dans un de mes trous béants ... afin de marquer d'avantage mon territoire, mon emprise, ma démesure. Souillant encore un peu plus mon Objet seXuel, t'entraînant sur les pentes obscures de ma volonté de te dépersonnaliser, te déshumaniser, pour t'imprimer sur le disque, alors formaté de ta conscience, les premières marques de ton appartenance définitive. Tu m'appartiendras à vie, quoi qu'il en soit, et j'opérerai sur ta volonté perdue pour un instant, l'étendue saline de ta dépendance envers moi, dans une forme de résignation absolue, indiscutable.. Assemblée à mes pieds, genoux cédant, prostrée à cette place qui est la tienne, mes mots anciens reviendront à Ta mémoire comme un soleil de T/ta nuit: "Prépares ton enveloppe insoumise, Tu n'as pas perdu ces heures à attendre. Patience, répends toi dans ton silence, oublie ces jours vides, enracinée que tu étais, à espérer t'évader à mes côtés, ivre de dépenses d'énergies, de maux torturés, attachés à mes pensées tourmentées.... Que feras-tu, après tel abandon? Le souffle court, jetée dans la masse, dans le mouvement, agissant jusqu'aux extrêmes Insoumise, ton doigt pointé se tordra suppliant, scrutant en moi la moindre faiblesse. Ici, tout le corps se donne. Cherchant à épuiser ses possibles. Ma main s'ouvre et se ferme, puissante étreinte au support de ta tête rebelle. Fou de Vie, et d'envies, îvre d'idées abissales, mon demon animal te ploiera par le col, jusqu'à ce que tu aies compris. Brassant et déchirant tes chairs, te voulant saisie, te soufflant ma divine amertume. M'abandonnant ton corps, et par toi, ainsi devenant celui que je veux être. Mon corps instrument de l'esprit, Cependant auteur de toutes tes idées. Alors, Soumise alors, tu saisiras de tes bras meurtris mes jambes dressées. Plongeant ta tête aimante, tu m'aimeras tel ton soleil. Tout s'éclairant alors pour moi Je serai celui par lequel Tu te soumets..." Dominée. . Parloire. .
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Par : le 02/02/18
:point_right:POURQUOI CE PROJET ? La communauté BDSM.FR met à disposition un espace d’expression gratuit et ne dispose d’aucun budget publicitaire pour se faire connaître. Les membres de la communauté la découvrent : - par le bouche à oreille - par les moteurs de recherche (Google, Bing …) Les menues recettes (Sexshop, webcam, …) servent à financer les infrastructures (deux serveurs haute capacité) et les licences des applications (et ponctuellement des developpements spécifiques) qui servent à faire tourner le site. Les organisateurs de BDSM.FR ne s’étaient pour le moment que peu intéressés aux vidéos. Il y a quelques mois, le projet de vidéothèque a été lancé avec l'aide de membres du site qui ont accepté de participer : le résultat est ici : http://www.photos-videos.com — Le projet de vidéothèque gratuite à deux objectifs : - Proposer un catalogue de vidéos gratuites pour tous (cela existe déjà) qui bénéficient d’une vraie description et d’un vrai classement par pratiques BDSM (plus rare !) - Faire de ces vidéos et surtout leur description un moyen toucher des utilisateurs sur Google pour faire découvrir la communauté à de nouveaux utilisateurs. Google favorise les sites proposant du contenu rédactionnel original ! — En donnant de votre temps, en devenant ainsi bienfaiteurs de la communauté, vous allez donc participer à l’élaboration d’un catalogue unique accessible à tous et vous allez surtout permettre à d’autres membres de découvrir à terme la communauté BDSM.FR :point_right: D’OÙ PROVIENNENT LES VIDÉOS ? Les vidéos viennent des sites de vidéos gratuits ou payants qui nous ont donné l’autorisation de les réexploiter. Ces sites donnent les autorisations, eux-même pour se faire connaître. Il se peut de temps à autres qu’en appuyant sur « Play » de la vidéo, un autre site s’ouvre. C’est la contrepartie de la mise à disposition gratuite de la vidéo par son éditeur original. Cette apparition est aléatoire et heureusement marginale. :point_right: COMMENT DECRIRE UNE VIDEO EFFICACEMENT ? Le traitement d’une vidéo repose sur trois « chapitres « distincts : - Le titre, - Le descriptif, - Les caractéristiques de classement sous forme de cases à cocher. # Proposition de méthode : - On lance la vidéo - On rédige le descriptif au fur à mesure que la video avance (contexte, physique et rôles des protagonistes puis récits des pratiques et accessoires) - Quand la vidéo est finie, on rédige le titre qui résume au mieux les actions qui dominent dans le scénarisation - Puis enfin on coche les pratiques/accessoires dans les catégories à cocher (qui nous font parfois nous rappeler qu’on a oublié une action avec un accessoire dans le récit) pour le classement par pratique. S’ils manquent des catégories dans la liste, ce n’est pas très grave. Vous pouvez signaler ce qui vous semble manquer dans le groupe ou par e-mail. Ce n’est qu’une proposition de méthode, chacun(e) joue comme il/elle aime;-). Le plus important sont le descriptif et le titre. * Titre de la vidéo Distillez autant que possible les mots clés importants dans le titre. Exemples de bons titres : « Humiliation et bondage pour cette soumise blonde» « Soumis possédé par une Domina en corset avec un gode ceinture », « Domina qui torture son soumis à la cire puis l’exhibe », « Homme soumis attaché à une chaise et humilié en public » Exemples de mauvais titres : « humiliation » « Soumise qui en bave » « Il mange grave » « Film de soumises » --- * Description : La bonne description permet au lecteur de savoir : - Qui sont les protagonistes : « Une maîtresse brune à gros seins avec un corset en cuir et un gode ceinture » « Un jeune soumis asiatique avec une cage de chasteté et une femme noire qui doit être sa Domina » « Une directrice sevère mature et un employé soumis en bleu de travail » - Le lieu « dans un donjon équipé de nombreux accessoires SM (Fouet, cravache, badine et chaine) » « la nuit dans la forêt dans une clairière éclairée par les phares de la voiture » « dans un club SM où sont déjà de nombreuses Maîtres, Dominas, Soumis et soumises » - La description de ce qui se passe dans la vidéo, les pratiques proposées et les accessoires utilisés. # Exemple : « Dans une demeure chic et cossue ressemblant à un manoir un Maître d’une cinquantaine d’années, habillés tout en cuir, va commencer par déshabiller sa soumise, une jeune femme rousse de 20/25 ans sans ménagement. Sa jupe et son corsage sont a moitié déchirés. Il demande à la jeune femme docile de se mettre à genoux puis de marcher à 4 pattes dans la salle à manger où se déroule la séance de soumission/domination. Le Dom fait s’arrêter la jeune femme devant la croix de Saint-André. On lit l’appréhension sur son visage. Il va l’attacher à l’aide des menottes sur la croix, puis lui mettre des pinces à seins, et des pinces à linge sur la chatte. Elle donne l’impression d’avoir peur. Il saisit ensuite une cravache et va lui fouetter les seins en insistant sur les pinces. La soumise a très chaud. Le maître va la détacher pour la faire se retourner. Il saisit un fouet et commence à la fouetter. Une autre femme entre dans la pièce et observe la scène. Elle se caresse à travers ses vêtements en observant la scène en voyeuse. Elle va se saisir d’un vibromasseur posé sur la table et commencer à se caresser avec, en l’humidifiant avec sa bouche régulièrement. La soumise attachée crie elle de plus en plus fort, et son dom alterne les caresses et les coups de canne anglaise. L’homme décide de lui mettre un bâillon boule pour la faire taire, puis une cagoule en cuir et un collier de chienne. Il va ensuite lui accrocher une laisse et la détacher de la croix pour aller la promener dans la maison, et la faire manger dans une écuelle. Il finira par abuser d’elle en la baisant puis en la sodomisant en levrette à même le sol. Les trois protagonistes finiront par jouir quasi simultanément. Le dominateur attachera la soumise avec une chaîne à un anneau fixé au mur, et quittera la pièce avec la femme voyeuse dont on découvre les hauts talons. » # Catégories Les catégories sont des cases à cocher. Vous pouvez en cocher autant que la scène de la vidéo le justifie. Par exemple, sur une vidéo avec 4 protagonistes : Domina, soumis, Maître, Soumise, il faut idéalement cocher les 4 cases correspondantes dans « Roles/Orientations ». Si en plus la Domina coquine avec la soumise, vous pouvez cocher bisexuelle (soit déjà 5 cases!). Il en va de même pour « Accessoires », « Pratiques », « Physique ». Il n’y a aucune obligation d’être exhaustif. Par exemple, l’accessoire « culotte » est surtout à cocher si la culotte est instrumentalisée (pour en faire un bailon par exemple). S’il y a une culotte « qui ne fait que passer » dans la vidéo, ce n’est pas la peine de cocher ;) ). Notez bien : Le plus important est d’expliciter les choses dans le titre et le descriptif. Les cases à cocher de catégories servent juste pour la navigation des utilisateurs d’une vidéo à l’autre (thème). # Signer ou pas sa rédaction ? Si vous cochez cette case, la description de cette vidéo sera signée de votre pseudonyme et un lien sera fait vers votre profil sur le site BDSM.FR. C'est un bon moyen de se faire connaître ;). Notez que la mention précisera que vous êtes rédacteurs de la description (pour ne pas qu'on croit que c'est vous dans la vidéo ;) ). *** PUBLICATION DE LA VIDEO ET DE VOTRE DESCRIPTIF Les vidéos que vous commentez ne sont pas accessibles directement sur le site. Elles sont validées au fil du temps (pour ne pas qu’il y ait trop de vidéos qui soit publié sur un temps court). Vous recevez un mail d’information quand votre participation sera publiée en ligne. Participer à ce projet, c’est faire preuve d’une véritable et très appréciée implication. Le site mémorise le nombre de mots que vous faites l’effort d’écrire lors de vos rédactions. L’objectif est de proposer des « avantages » pour les bienfaiteurs et bienfaitrices qui donnent de leur temps. Premier avantage d'ores et déjà en place, les beinfaiteurs sont mis a l'honneur sur le site lors d'affichage aléatoire (comme on le fait pour faire connaitre les "Groupes"). Les vidéos que vous avez traité (et qui ne correspondent pas forcément à vos pratiques) ne sont pas mentionnés. On indique juste que vous êtes membres bienfaiteurs. :point_right: QUE FAIRE SI LA VIDEO QU'ON ME DEMANDE DE COMMENTER EST DEFAILLANTE ? Il se peut que la vidéo ne se lance pas du tout (vidéo listée mais qui a disparue entre temps). Il se peut qu’une vidéo qui n’a rien à voir avec du BDSM (ce n’est pas deux tapes sur la fesse gauche qui transforme une vidéo X en vidéo BDSM;) ). Dans ces deux cas, vous avez un bouton, en haut de la page de saisie, pour signaler que la vidéo est défaillante. :point_right: QUAND EST-CE QUE JE COMMENCE ? Maintenant ? :) Connectez-vous à http://videos.bdsm.fr puis identifiez-vous avec votre adresse e-mail de votre compte BDSM. Et c'est parti ! :point_right: UN DERNIER MOT ... ... MERCI DE VOTRE PARTICIPATION A LA CAUSE ! :)
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Par : le 02/02/18
Vous savez que mon truc à moi c'est de raconter des histoires à ma façon . Imagées . Toutes réelles et inventées à partir de faits vécus à différents moments de mon existence . Celle que je m'en vais vous conter maintenant je l'ai vécue ce matin même . Je la regarde , elle est blottie dans mes bras . Elle est belle dans cet écrin de chaire tendre . Je la contemple avec cette fascination , dont seuls sont capables , ceux qui ont rencontré Dieu . Objet de mes désirs , de mes caresses , de mes plaisirs les plus doux . Je suis tombé sous sa domination . Qu'y puis je ? Qui suis je pour lui résister ? Je suis son esclave . La douceur de ses lèvres gourmandes ! ! ! hummm . . . Ces lèvres ourlées de cette toison soyeuse et douce que mes doigts effleure avec délectation . Ma main s'attarde interminablement sur son ventre . Elle remonte vers sa gorge , s'y oublie , s'y perd , s'y retrouve ivre de volupté . Elle revient sur les lèvres . Elle joue avec la bouche avide . Cette gueule tant aimée qui attrape mon doigt qui le rejette , qui le reprend pour le mordiller et ne plus le lâcher . Bientôt du plus profond de sa poitrine s'échappe la douce mélopée si chère à mes oreilles . Ses yeux s'ouvrent , se referment , m'admirent . Ils semblent dire . . . ils me disent
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Par : le 01/01/18
Cet article datant de mai 2014 est extrait du site jedominemonmari.com, site vivant et très complet.   http://jedominemonmari.com/   " Bonjour,   J’ai initialement rédigé cet article pour le journal Goddess Today de Slave Selection. Il est maintenant publié ici, « à la maison » ^^. logoJDMM3Je souhaitais m’exprimer sur un sujet qui me tient à cœur : comment, pour un candidat à la soumission dans le cadre « domestique », convaincre sa femme d’en venir à dominer ? Car c’est un constat : la femme peut être naturellement dominante ou autoritaire, mais c’est souvent du compagnon, et de ses fantasmes, que vient l’idée de vivre dans ce style de vie. Et il arrive qu’il ait du mal à susciter les premières approches …. Toi qui est dans ce cas, je vais directement m’adresser à toi !   Pour commencer, il y a un certain nombre de choses que tu dois considérer tout à fait sérieusement, sans quoi tu resteras à quai.   1. Tu fantasmes sur la domination féminine, mais peut être pas ta femme. Cela créé à priori un fossé. Tu devras donc t’appliquer à le combler, et surtout pas à le creuser. C’est à toi de faire le « job » dans un premier temps. Ce que je veux dire, c’est que tu ne devras jamais lui présenter des aspects ou des visions qui soient trop proches de ce que tu imagines dans une idée trop « aboutie ». Un exemple ? Pour des femmes qui n’en ont jamais entendu parler, une cage de chasteté peut apparaître comme un truc insensé, un objet de torture. Or ta femme t’aime et ne veut à priori pas te torturer ou te nuire. Il faudra donc le présenter comme un jeu dont tu as entendu parler, qui pimente la vie sexuelle, par exemple. Tout en sachant que cela évoluera ensuite. Si tu lui expliques que dans certains couples, l’homme doit la porter en permanence, elle va se révolter, tu creuseras le fossé.   2. Tu ne dois pas demander, ni encore moins exiger, mais offrir. Pour être plus exact, tu dois t’offrir. Il faut absolument (j’insiste!) que tu mettes de coté tous les scénarios, les désirs, les fantasmes que tu as imaginé tout seul ! Il va falloir construire à deux, pierre par pierre. La laisser poser la sienne, et mettre à chaque fois la tienne à coté. Combien de fois est ce que j’observe des candidats soumis qui s’expriment (et qui s’adressent à leur femme) sous la forme d’exigences : je veux que tu me demandes de lécher tes bottes, il faut que tu me punisses, tu dois ceci, tu dois cela …. Non ! Tu n’es pas là pour décider de tes punitions ! Il va falloir avant tout t’offrir, c’est à dire guetter ce dont ta femme a envie, aimerait, n’aime pas, et agir en fonction avec abnégation et respect. Ne sois pas un souminateur !   3. Il faut être patient et progressif. Elle le sera à son tour, car c’est une femme et elle sait. Mais dans la période pendant laquelle c’est toi qui va susciter, il va falloir y aller doucement. Oublie les dispositifs définitifs, les règles drastiques, etc … Tout doit être tenté, mis à l’essai, recommencé… Il faut lui laisser le temps de prendre l’habitude, d’apprécier, de ne plus pouvoir s’en passer… Mais il faut se caler sur son timing, et pas sur le tien !   Si tu arrives à bien respecter ces règles, et à faire venir ta femme sur la balançoire à bascule, elle fera certainement le pas vers l’autre coté, et te fera basculer définitivement, comme nous l’avons fait avec nos maris.   Alors comment s’y prendre ?   Il n’y a pas de recette magique, chaque contexte est différent. Il m’arrive d’en analyser précisément, pour certains qui me l’on demandé, mais ici, je dois me contenter de glisser des idées un peu en vrac. Chacun y puisera ce qui conviendra à sa femme. (Pas à toi, hein ? A ta femme!).   Lui rendre service. C’est tout bête, mais tu peux augmenter ton attention. Elle est fatiguée en rentrant ? Tu la déchausses et tu lui masses les pieds. Elle passe l’aspirateur ? Au lieu de fuir dans une autre pièce comme d’habitude, tu lui retires des mains gentiment en lui disant que c’est à toi de le faire. Tu t’apprêtes à regarder ton match à la télé ? Tu lui demandes si ça ne la dérange pas, et si elle veut regarder autre chose.   Je ne vais pas plus loin. Le point commun : tu proposes, elle dispose. L’idée est que tu dois de toi même offrir tes services, là où tu ne le faisais pas, et commencer à le faire régulièrement.   C’est cette régularité qui va lui plaire, au point que si un jour tu ne le fais pas, elle va trouver cela anormal, et le réclamer. Et réclamer, c’est le tout début d’ordonner …   Lui dire explicitement que tu t’inscris dans un lien de soumission. Alors attention : pas trop tôt, et surtout pas avec la mauvaise forme (mon point 2 plus haut). Évite le « tu dois me dominer car les femmes sont supérieures, et me donner des ordres, et si je n’obéis pas, me punir très sévèrement ! » Ne met pas la pression sur elle mais au contraire offre toi. Exemple « Je me rends compte que dans notre couple, tu es plus apte que moi à diriger, je voudrais donc me mettre sous ton autorité. Du coup, avant de décider ou choisir quoi que ce soit, je te demanderai ton avis et ton accord, et je m’y rangerai ». Voilà une formule irrésistible ! Elle n’a qu’à attendre et décider. Et si tu décides un jour tout seul, il y a des chances qu’elle vienne te rappeler tes paroles.   Tu peux donc lui en parler, mais évite tous les clichés SM, cuir, fouet, etc … Présente lui un style de vie « cosy », « à la maison » qui ne soit pas affiché mais qui soit réel. Le reste suivra si la réussite est là.   Adopte des habitudes verbales respectueuses. J’ai écrit un article sur le « oui ma chérie » qui peut s’appliquer à notre propos. Ne dis plus « oui » (et encore moins « ouais »), ni « merci », ni « qu’est ce qu’on mange » …. mais « oui ma chérie », « merci ma chérie », et « ma chérie, qu’as tu prévu pour le repas, est ce que je peux t’aider ? »   Plus de petits mots isolés, sans une formule d’accompagnement, ou une proposition de service. Il existe toutes sortes de théories sur le lien entre notre vision des actions et le verbal qui s’y rapporte. En t’imposant une forme verbale, tu te « glisses » sous sa supériorité affichée de façon adroite, et là encore, tu lui donnes des habitudes qui vont devenir des exigences.   Et au lit ?   Si ce n’est pas déjà le cas, propose lui de venir « au dessus ». Trouve des avantages pour elle. Elle est au dessus ? Glisse ton corps vers le bas pour lui faire goûter ta langue. Ton offrande sera appréciée, et la position est clairement dominante : la femme au dessus de l’homme qui offre sans contrepartie. Fixe toi une règle simple : quel que soit le moyen, ne jouis jamais avant qu’elle ait joui au moins une fois. Tu peux annoncer la règle comme un jeu. Achète et sort des trucs pour l’anus, le sien ou le tien, peu importe, c’est pour apprendre à les manier. Boules de geisha, plugs, etc … il y en a qui sont très beaux, tu dois les privilégier, nous sommes sensibles au look.   Tout cela servira ensuite. Mais surtout sur toi !   Et la cage de chasteté ?   Grand débat ! Je pense pour ma part qu’il faut vite mettre cet ustensile en action, il est important. Mais pas mal de femmes sont au début méfiantes, réservées.   Tu as 2 axes de présentation à ta disposition : un simple jeu sexuel, qui permet de se retenir 2 ou 3 jours, de devenir fou d’elle et de préparer la prochaine fête au lit.   Ou bien un outil pour arrêter de te masturber. Tu en profites pour faire l’aveu, pour dire que finalement tu en souffres comme d’une sorte de drogue, et que c’est un moyen efficace pour progresser.   Ensuite, c’est une autre histoire, les périodes plus longues, le transfert de la clé vers elle, etc … Vaste sujet ! Mais aujourd’hui, je m’intéresse au tout début, comment faire entrer les outils de demain dans la vie quotidienne.   Car il faut être très progressif. Si tu achètes une cage, si tu la mets direct (et je t’assure que sans période de réglage tu vas souffrir!), si tu lui donnes la clé en lui disant qu’elle doit te garder 2 semaines puis te menacer de plus, c’est mort ! Tu la fait rentrer dans un inconnu trop décalé et inquiétant pour elle. A moins qu’elle ne soit vraiment pas faite pour ça (sache le, ça peut arriver!), une entrée en matière diplomate, adroite, douce, dans le sens de l’offre et pas de la demande, va amener ta femme à prendre progressivement la main sur toi. Ensuite, c’est elle qui ira à son train, calmement ou en accélérant, avec ou sans lectures ou coach, et tu devras suivre…   Ah oui j’oubliais : si la perspective de vivre à terme sous la domination QUOTIDIENNE de ta femme ne te convient pas, surtout, ne commence pas ! Les hommes fantasment et jouent. Les femmes construisent et organisent. Cet article datant de mai 2014 est extrait du site jedominemonmari.com, site vivant et très complet. http://jedominemonmari.com/ " Bonjour, J’ai initialement rédigé cet article pour le journal Goddess Today de Slave Selection. Il est maintenant publié ici, « à la maison » ^^. logoJDMM3Je souhaitais m’exprimer sur un sujet qui me tient à cœur : comment, pour un candidat à la soumission dans le cadre « domestique », convaincre sa femme d’en venir à dominer ? Car c’est un constat : la femme peut être naturellement dominante ou autoritaire, mais c’est souvent du compagnon, et de ses fantasmes, que vient l’idée de vivre dans ce style de vie. Et il arrive qu’il ait du mal à susciter les premières approches …. Toi qui est dans ce cas, je vais directement m’adresser à toi ! Pour commencer, il y a un certain nombre de choses que tu dois considérer tout à fait sérieusement, sans quoi tu resteras à quai. 1. Tu fantasmes sur la domination féminine, mais peut être pas ta femme. Cela créé à priori un fossé. Tu devras donc t’appliquer à le combler, et surtout pas à le creuser. C’est à toi de faire le « job » dans un premier temps. Ce que je veux dire, c’est que tu ne devras jamais lui présenter des aspects ou des visions qui soient trop proches de ce que tu imagines dans une idée trop « aboutie ». Un exemple ? Pour des femmes qui n’en ont jamais entendu parler, une cage de chasteté peut apparaître comme un truc insensé, un objet de torture. Or ta femme t’aime et ne veut à priori pas te torturer ou te nuire. Il faudra donc le présenter comme un jeu dont tu as entendu parler, qui pimente la vie sexuelle, par exemple. Tout en sachant que cela évoluera ensuite. Si tu lui expliques que dans certains couples, l’homme doit la porter en permanence, elle va se révolter, tu creuseras le fossé. 2. Tu ne dois pas demander, ni encore moins exiger, mais offrir. Pour être plus exact, tu dois t’offrir. Il faut absolument (j’insiste!) que tu mettes de coté tous les scénarios, les désirs, les fantasmes que tu as imaginé tout seul ! Il va falloir construire à deux, pierre par pierre. La laisser poser la sienne, et mettre à chaque fois la tienne à coté. Combien de fois est ce que j’observe des candidats soumis qui s’expriment (et qui s’adressent à leur femme) sous la forme d’exigences : je veux que tu me demandes de lécher tes bottes, il faut que tu me punisses, tu dois ceci, tu dois cela …. Non ! Tu n’es pas là pour décider de tes punitions ! Il va falloir avant tout t’offrir, c’est à dire guetter ce dont ta femme a envie, aimerait, n’aime pas, et agir en fonction avec abnégation et respect. Ne sois pas un souminateur ! 3. Il faut être patient et progressif. Elle le sera à son tour, car c’est une femme et elle sait. Mais dans la période pendant laquelle c’est toi qui va susciter, il va falloir y aller doucement. Oublie les dispositifs définitifs, les règles drastiques, etc … Tout doit être tenté, mis à l’essai, recommencé… Il faut lui laisser le temps de prendre l’habitude, d’apprécier, de ne plus pouvoir s’en passer… Mais il faut se caler sur son timing, et pas sur le tien ! Si tu arrives à bien respecter ces règles, et à faire venir ta femme sur la balançoire à bascule, elle fera certainement le pas vers l’autre coté, et te fera basculer définitivement, comme nous l’avons fait avec nos maris. Alors comment s’y prendre ? Il n’y a pas de recette magique, chaque contexte est différent. Il m’arrive d’en analyser précisément, pour certains qui me l’on demandé, mais ici, je dois me contenter de glisser des idées un peu en vrac. Chacun y puisera ce qui conviendra à sa femme. (Pas à toi, hein ? A ta femme!). Lui rendre service. C’est tout bête, mais tu peux augmenter ton attention. Elle est fatiguée en rentrant ? Tu la déchausses et tu lui masses les pieds. Elle passe l’aspirateur ? Au lieu de fuir dans une autre pièce comme d’habitude, tu lui retires des mains gentiment en lui disant que c’est à toi de le faire. Tu t’apprêtes à regarder ton match à la télé ? Tu lui demandes si ça ne la dérange pas, et si elle veut regarder autre chose. Je ne vais pas plus loin. Le point commun : tu proposes, elle dispose. L’idée est que tu dois de toi même offrir tes services, là où tu ne le faisais pas, et commencer à le faire régulièrement. C’est cette régularité qui va lui plaire, au point que si un jour tu ne le fais pas, elle va trouver cela anormal, et le réclamer. Et réclamer, c’est le tout début d’ordonner … Lui dire explicitement que tu t’inscris dans un lien de soumission. Alors attention : pas trop tôt, et surtout pas avec la mauvaise forme (mon point 2 plus haut). Évite le « tu dois me dominer car les femmes sont supérieures, et me donner des ordres, et si je n’obéis pas, me punir très sévèrement ! » Ne met pas la pression sur elle mais au contraire offre toi. Exemple « Je me rends compte que dans notre couple, tu es plus apte que moi à diriger, je voudrais donc me mettre sous ton autorité. Du coup, avant de décider ou choisir quoi que ce soit, je te demanderai ton avis et ton accord, et je m’y rangerai ». Voilà une formule irrésistible ! Elle n’a qu’à attendre et décider. Et si tu décides un jour tout seul, il y a des chances qu’elle vienne te rappeler tes paroles. Tu peux donc lui en parler, mais évite tous les clichés SM, cuir, fouet, etc … Présente lui un style de vie « cosy », « à la maison » qui ne soit pas affiché mais qui soit réel. Le reste suivra si la réussite est là. Adopte des habitudes verbales respectueuses. J’ai écrit un article sur le « oui ma chérie » qui peut s’appliquer à notre propos. Ne dis plus « oui » (et encore moins « ouais »), ni « merci », ni « qu’est ce qu’on mange » …. mais « oui ma chérie », « merci ma chérie », et « ma chérie, qu’as tu prévu pour le repas, est ce que je peux t’aider ? » Plus de petits mots isolés, sans une formule d’accompagnement, ou une proposition de service. Il existe toutes sortes de théories sur le lien entre notre vision des actions et le verbal qui s’y rapporte. En t’imposant une forme verbale, tu te « glisses » sous sa supériorité affichée de façon adroite, et là encore, tu lui donnes des habitudes qui vont devenir des exigences. Et au lit ? Si ce n’est pas déjà le cas, propose lui de venir « au dessus ». Trouve des avantages pour elle. Elle est au dessus ? Glisse ton corps vers le bas pour lui faire goûter ta langue. Ton offrande sera appréciée, et la position est clairement dominante : la femme au dessus de l’homme qui offre sans contrepartie. Fixe toi une règle simple : quel que soit le moyen, ne jouis jamais avant qu’elle ait joui au moins une fois. Tu peux annoncer la règle comme un jeu. Achète et sort des trucs pour l’anus, le sien ou le tien, peu importe, c’est pour apprendre à les manier. Boules de geisha, plugs, etc … il y en a qui sont très beaux, tu dois les privilégier, nous sommes sensibles au look. Tout cela servira ensuite. Mais surtout sur toi ! Et la cage de chasteté ? Grand débat ! Je pense pour ma part qu’il faut vite mettre cet ustensile en action, il est important. Mais pas mal de femmes sont au début méfiantes, réservées. Tu as 2 axes de présentation à ta disposition : un simple jeu sexuel, qui permet de se retenir 2 ou 3 jours, de devenir fou d’elle et de préparer la prochaine fête au lit. Ou bien un outil pour arrêter de te masturber. Tu en profites pour faire l’aveu, pour dire que finalement tu en souffres comme d’une sorte de drogue, et que c’est un moyen efficace pour progresser. Ensuite, c’est une autre histoire, les périodes plus longues, le transfert de la clé vers elle, etc … Vaste sujet ! Mais aujourd’hui, je m’intéresse au tout début, comment faire entrer les outils de demain dans la vie quotidienne. Car il faut être très progressif. Si tu achètes une cage, si tu la mets direct (et je t’assure que sans période de réglage tu vas souffrir!), si tu lui donnes la clé en lui disant qu’elle doit te garder 2 semaines puis te menacer de plus, c’est mort ! Tu la fait rentrer dans un inconnu trop décalé et inquiétant pour elle. A moins qu’elle ne soit vraiment pas faite pour ça (sache le, ça peut arriver!), une entrée en matière diplomate, adroite, douce, dans le sens de l’offre et pas de la demande, va amener ta femme à prendre progressivement la main sur toi. Ensuite, c’est elle qui ira à son train, calmement ou en accélérant, avec ou sans lectures ou coach, et tu devras suivre… Ah oui j’oubliais : si la perspective de vivre à terme sous la domination QUOTIDIENNE de ta femme ne te convient pas, surtout, ne commence pas ! Les hommes fantasment et jouent. Les femmes construisent et organisent.        
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Par : le 22/12/17
Un vendredi haut en couleurs et en découvertes ! 4 couples pour le Déjeuners Coquin et que l’ambiance fut belle et chaude, un quatuor s’était donné rendez-vous pour jouer en toute tranquillité et nos deux autres couples ont vite sympathisé le sling s’en souvient encore… Punkette et ses deux soumises nous ont ravis les yeux et les oreilles durant les Goûters, une dizaine de couple habitués ou découvrant le club se sont vite mis à l’aise de par l’ambiance conviviale et chaleureuse. Des premières fois, des découvertes… Melle I. très belle TV s’est régalée de l’ambiance retrouvée du Club. Des gémissements et des claquements ont retentis tout l’après-midi. Misungui nous a offert une belle séance de Shibari, DirtyVonp s’est occupé de Ryouko et des femmes seules présentes; toutes désireuses de goûter à la domination ferme des trop rares hommes présents. Messieurs ne soyez pas timides ! La sélection est certes pointue mais nous recevons toujours avec plaisir les hommes de talents. Et le prochain vendredi promet encore de belles énergies et un maximum de luxure…
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Par : le 22/12/17
2 couples novices nous ont fait le plaisir de choisir le Kinky Club pour leur première sortie. Olivia, notre travestie préférée s’est jointe à eux pour entamer les festivités. Dès 15h, les joueurs se pressent à la porte, au total, 7 couples, 8 femmes seules et autant d’hommes se sont retrouvés pour partager un nouvel après-midi de jeux où les femmes étaient à l’honneur, dominantes expertes ou simplement joueuses. Maitresse Alizée et Maitresse Pun se sont occupées d’H. pour son plus grand plaisir. La 1ere soumise de Mlle Calamity avait une correction de retard à rattraper, fessée, martinet et badine ont précédés un moment d’isolement dans la petite prison. Nos complices Mlle M et Mr R jouaient avec Olivia et l’un des couples novices dont Madame D confessait une envie de s’initier à la domination. Ne perdons pas de temps ! Rdv dans la salle de jeux à l’étage pour une co-séance. Mlle Calamity jouait de la badine sur sa deuxième soumise , attachée sur la croix de St André et avait prêté son autre soumise à Mlle M et Mme D sous le regard des nos voyeurs habituels toujours ravis d’assister au délicieux spectacle d’un corps ondulant sous les impacts. Mr DirtyVonP attachait une amie dans la salle tandis que nos barmaids s’affairaient à préparer leurs cocktails et sortir le champagne, Mr O et Mme D voulant fêter cette première sortie. Attachée, tête en bas, seulement vêtue de ses chaussures, J goûtait les morsures du single tail et de la queue de Dragon. Un couple Suisse nous a offert de magnifiques et bruyants orgasmes alors que Dirty Von P, toujours soucieux de bien recevoir, fouettait une autre amie de passage. Mlle M a organisé ensuite un superbe tableau : dans l’alcôve câline, Olivia officiait comme matelas et bouche accueillante pour H, qui lui-même, offrait son plus intime repli au poing de Mlle M. Ensuite, bonne joueuse, elle a tenu à célébrer l’anniversaire de son complice, agenouillée au centre du salon Baroque, vêtue de son porte jarretelles et ses bas, une bougie fixée sur son dos. Il est certain que des détails nous échappent mais voici un agréable résumé du vendredi 15 décembre au Kinky Club !
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Par : le 22/12/17
Première visite à Cris et Chuchotements, un vendredi midi de septembre. Le dress code m’avait été imposé, précis et succinct : chaussures fines à talons, bas noirs, soutien-gorge en dentelle dévoilant et présentant mes tétons et mes seins, collier de soumise et bandeau noir sur les yeux. J’avais préparé ma tenue avec attention, excitation et y avais ajouté, pour faire « plus habillé » une fine tresse noire en cuir à mettre autour de la taille. J’avais tenté de négocier de porter une culotte de dentelle, du moins au début le temps de me plonger dans l’atmosphère, mais j’avais été remise à ma place. Mon sexe devait être visible et disponible dès l’arrivée. Sitôt la porte étroite franchie, mon mari D. me presse de me parer. Le lieu est sombre et exigu, nous nous glissons dans les toilettes. Je me dénude intégralement, enfile bas, chaussures et soutien-gorge. D. glisse le collier à mon cou, et y attache la laisse, puis noue le bandeau autour de ma tête. Je suis prête. D. me guide, me tenant en laisse vers l’escalier menant à une première salle en sous-sol. La jeune femme de la réception, plutôt amusée par la situation, se propose de m’aider à ne pas trébucher. Je suis très tendue, mélange de peur et d’excitation ; les escaliers, les yeux bandés, l’odeur un peu âpre d’un sous-sol en pierres, la quasi nudité, ce qui m’attendait dans ce club inconnu… Ayant malgré tout envie de jouer et toute en confiance avec D., j’ai hâte de découvrir la suite des événements… Le temps s’arrête. Arrivée sur la «terre ferme» de la salle en sous-sol, D. me conduit jusqu’à un canapé, sur lequel il me prie de m’asseoir, jambes écartées. Le tissus rugueux n’est pas très agréable au toucher. La douceur des baisers de mon mari, la chaleur de ses caresses sur mon corps et le vin blanc sur mes lèvres et mon palais me permettent de me détendre. Je ne sais pas combien d’hommes et de femmes étaient dans la pièce… Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le canapé, la tête en contrebas pour marquer ma cambrure et faire saillir mes fesses. Il joue avec les lanières de son martinet en cuir, chatouillant ma peau jusqu’à me faire frissonner. Je n’ai pourtant pas froid. Peu de temps après, je reconnais la voix de Mlle M., qui salue D. et le félicite, me semble-t-il, pour la soumission et la beauté de sa soumise, précisant qu’elle reviendra une fois parée. Je comprends à ce moment là que D. ne sera pas mon Maître aujourd’hui, ce serait Mlle M.. Aimant le contact des femmes, leur sensualité, la douceur de leurs lèvres, je m’en réjouis immédiatement. Une Domina, quelle belle première expérience! J’avais imaginé que Mr R. serait lui aussi présent. Ne l’entendant pas, je suppose maintenant qu’il viendra dans un deuxième temps ou qu’il n’a pas pu se libérer. L’attente commence, me permettant de complètement déconnecter, de me concentrer et de m’imprégner du lieu, de ses bruits et de ses odeurs. A son retour, Mlle M. caresse mon corps, me flatte, exprime ce que je ne vois pas et que je projette dans chacun de mes fantasmes, le spectacle que nous allons donner, et moi en particulier. Il me semble qu’elle me caresse avec un martinet différent de celui de D. , plus bruyant (et donc plus effrayant), aux lamelles plus larges, plus plates, plus froides qui me font penser à des ailes de chauve-souris. Elle joue avec l’instrument avant de fouetter mes cuisses, mes fesses et mes reins, de façon crescendo. D. qui me donne ses doigts à mordiller et à sucer sent au fur et à mesure que les coups se font plus forts. Mes dents le mordillent puis le mordent franchement. Mlle M. me félicite et me récompense en m’embrassant avec gourmandise et douceur. Un encouragement pour la suite. Je suis invitée à me relever (ce que j’avais osé faire précédemment sans autorisation, ce que Mlle M. ne manqua pas de me rappeler) pour être accompagnée jusqu’à une sorte de podium sur lequel je suis montée. Mlle M. lève ma main droite pour l’accrocher à une menotte dans laquelle se trouve une poignée. Pareil pour la main gauche. Je me retrouve les mains liées, le corps exposé, chaque parcelle de peau offerte aux regards et aux coups de ma dominatrice. Elle me fait écarter les jambes pour mieux découvrir et exposer mon corps et mon sexe. Sentant ma tension et mon appréhension, M. me caresse avec un vibromasseur. Sensation immédiate de chaleur, d’excitation, d’envie d’aller plus loin en me cambrant et en exposant un peu plus mes fesses. Je reçois des coups de badine, sur mes cuisses, mes fesses, mon dos, sur mon ventre, sur mes seins que je sens durcir et gonfler immédiatement. Toute mon attention est focalisée sur ces quelques cm2 de peau, sentant la chaleur de mes tétons après chaque coup de bâton. J’entends Mlle M. reprendre le martinet, en jouer avant de m’appliquer des coups plus marqués que sur le canapé. A la fois concentrée sur mon ressenti et en contrôle (crispation) de mon corps, j’attends anxieuse le crescendo des coups. Mlle M. me susurre à l’oreille qu’elle va passer la main à un expert, un Maître… Je comprends à ce moment là que Mr R. est présent. Depuis quand ? La présence et les mots de D. me portent. Je le sais fier de moi, excité par mon exhibition, sans limite cette fois-ci. Mr R. prend la main. Les coups de martinet pleuvent … Crispée, tendue, j’ai du mal à ressentir du plaisir. Pour autant, je suis très fière d’être là, de ne pas flancher et de respecter les règles du jeu. Je n’ai jamais été frappée de façon si violente. Et imaginer l’effet que je fais à D. et aux autres spectateurs (combien sont -ils ? des hommes ? des femmes ? que font-ils ? ) me permet de dépasser la douleur ressentie. Mr R. se rapproche de moi pour la première fois. Je suis immédiatement séduite par les traits de son parfum raffiné et puissant, mélange d’effluves rappelant la terre, le cuir et la forêt. Peut-être l’Habit Rouge de Guerlain ? Ses mains chaudes caressent mon ventre, sa voix sensuelle se veut rassurante, le tutoiement créé une immédiate proximité. La « découverte » sensorielle de Mr R. me comble et me rassure. Ses conseils sont très précieux : "détends-toi", "lâche prise", une invitation à vivre le moment présent. On me pivote sur le podium (pour un jeu de lumière différent ? Une exposition de mon corps sous un autre angle ?), je relâche toute la pression que j’avais gardée au niveau des poignées auxquelles mes mains s’agrippaient et je laisse mon corps se détendre pour mieux profiter des coups de martinet. La morsure, large et à chaque fois amplifiée, la chaleur immédiatement dégagée par ma peau en réaction et le bien être que cela procure avant le renouvellement d’une morsure plus marquée. Un homme en couple qui observe la scène commente l’appel à la fessée de mes fesses blanches. Je suis flattée… A la fin de chaque crescendo, les mots réconfortants de Mr R., la caresse de ses larges mains sur les parties de mon corps violentées et la douceur des gestes de Mlle M. concomitants aux coups m’amènent de l’excitation ; Mlle M. s’agenouille pour me lécher, Mlle M. m’embrasse, mon mari que je sens très proche caresse mes bras et m’encourage. Progressivement, je lâche prise dans se maelström d’impression sensorielles qui assaillent chaque infirme partie de mon corps, coups de martinet, fessées… On me détache, j’ai la tête qui tourne. On me conduit vers un meuble sur lequel on m’attache, poignets, chevilles, ventre. J’ai l’impression d’être la femme de Vitruve! C’est une roue. Mon dos est en contact avec une partie froide, métallique qui me fait tressaillir. Assez rapidement, je pers le sens du haut et du bas en m’offrant aux regards, aux coups de martinet et aux fessées. Mr. R. alterne les coups avec des caresses qui réchauffent mes reins pour mieux recommencer. La tête en bas, j’ai l’impression que les attaches sur mes chevilles vont glisser sans pouvoir me retenir. Je me plains. Le jeu s’arrête. On me libère. On me soutient et on me guide vers un meuble en cuir, me semble-t-il, sur lequel on m’allonge à plat ventre. Il y a un espace où placer mon visage pour une posture sans tension. Mes jambes sont joliment écartées, attachées par des cordes sur des sortes de jambières. Mlle M. m’embrasse voluptueusement, Mr R. alterne les coups de martinet, les fessées et les paroles d’encouragement et de réassurance. Mes fesses se tendent, mon sexe s’ouvre encore un peu plus, se présente pour être mieux pénétré. Un godemiché y est enfoncé. C’est douloureux. Je crie. Immédiatement, l’objet est retiré et je sens très rapidement ensuite la chaleur d’une tige que je connais bien, celle de mon mari ce qui m'excite terriblement. Mr. R. porte des belles fessées sur le haut de mes cuisses qui en demandent encore pendant que mon mari porte ses assauts vaillants et rythmés. Je deviens chienne à l’envie, lâchant prise et n’écoutant que mon plaisir renforcé par l’exhibition que j’offre aux spectateurs dont j’entends la respiration haletante. Mr R. m’ôte mon bandeau. Le jeu, pour cette fois-ci est terminé. Nous retournons, Mlle M., Mr R, D. et moi sur le canapé où j'avais été présentée à Mlle M. au début de la séance. Je fais connaissance de Mr R. et de Mlle M. autour d'une planche de charcuterie et de fromage, accompagnée de vin rouge. Je suis encore en lévitation. Il me faudra très longtemps pour revenir vraiment sur terre en ce vendredi après-midi spécial. A lire également : Quand Madame domine Soumettre un homme  
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Par : le 19/11/17
Je VOUS livre , ici , les perversions mentales de Lady Gabrielle , qui , sommes toutes , ne sont pas aussi perverses que l'on pourrait le penser mais quand même très cérébrales. Personnellement ,je n'ai jamais manipulé ma Maîtresse pour obtenir des faveurs . Il m'est bien arrivé , comme beaucoup de soumis , de demander des choses que je n'ai pas souvent obtenu , d'ailleurs . Mais je l'ai toujours fais en direct , sans utiliser de subterfuge. En revanche , Lady Gabrielle , a fait preuve d'une certaine habileté mentale . Dans son cas le mot perversion est un peu fort . C'est l'histoire que je m'en vais vous conter maintenant . Au début de notre relation , nous ne vivions pas ensemble , pire , nous étions séparés par 150 km de plaines et de montagnes , heureusement pas infranchissables puisque traversées par une autoroute des plus pratique que je n'hésitais pas à emprunter maintes et maintes fois . Et puis nous n'étions pas dramatiquement éloignés comme dans les contes romantiques et moralisateurs des temps passés. Nous nous sommes beaucoup servi de nos téléphones portables . Vous voyez , nous n'étions pas dans un conte de Perrault. Mais c'était et c'est encore une très belle histoire . Je disais donc que nous étions reliés par téléphone. En effet, Lady Gabrielle avait exigé dès les premiers jours de ma soumission envers ELLE , un SMS journalier . Pour moi , cela n'avait pas constitué une contrainte mais au contraire une joie et une preuve supplémentaire de ma soumission à Maîtresse . Pour la petite histoire , sachez que j'ai changé 3 fois de forfait téléphonique entre août et décembre 2005. Avec le numéro deMaîtresse illimité la nuit ainsi que les SMS illimités 24/24 . Sinon j' aurai considérablement contribué à enrichir les actionnaires d'ORANGE . Tout ça pour dire que ,au début , notre relation était essentiellement téléphonique et seulement épisodiquement physique. Un jour enfin une nuit , au cours d'une de nos conversation , Maîtresse m'a suggéré la chose suivante : ELLE me demandait ce que je pensais de me prosterner devant ELLE à chacune de nos retrouvailles . Il faut savoir , avant toutes choses , que les suggestions de Maîtresse Gabrielle , émises sur un ton doux et souriant sont tout ce que vous voulez ,mais certainement pas des suggestions ! ! ! Ce sont des ordres impératifs et péremptoires que soumis berny serait très mal venu de transgresser. Ma réaction première fut un silence interminable que l'on pourrait comparer à celui des cimetières s'il n'était pas déjà éternel . Ma surprise passée , la réflexion et mon esprit, au pouvoir hautement analytique , ayant fait leur travail, je voyais cette suggestion tout à fait réalisable . Sauf que . . . Sauf que je ne connaissais pas encore très bien Maîtresse Gabrielle . Moi je pensais que je devrais me prosterner devant ELLE discrètement , dans des endroits retirés , dans des coins sombres de portes cochères . . . Que nenni : je devais accomplir cet acte de soumission en public ! ! ! Et si possible , large , le public . Notre rencontre suivant cette suggestion péremptoire et impérative eut lieu deux jours plus tard , à la gare de la Part -Dieu à Lyon , Maîtresse Gabrielle étant venu en train , dans le grand hall , un samedi à 11heures . Ce matin là ,une foule de valises à roulettes tentaient de retenir des voyageurs en perdition , semblant leur dire > ou Oui enfin bon . . . Moi j'avais une suggestion à accomplir devant Maîtresse Gabrielle . Inutile de dire que durant les deux jours précédents, l'anxiété était monté en puissance dans mon esprit de soumis . Oserai je me prosterner , aurai je assez d'abnégation , aurai je le courage ? Samedi matin , 11heures , octobre 2005. Il faisait beau ce matin là . Forcément je retrouvais ma Maîtresse . Hall de la Part-Dieu à Lyon . Je suis planté au milieu , je domine la foule par ma taille , par mon épanouissement , par la force qu'ELLE me communique , parce que je suis à ELLE . Voyageurs qui courrez , arrêtez de courir ! ! ! Cherchez LA avec moi ! vous verrez SA beauté . Tout à coup ,une lumière . Ma tête se vide . ELLE apparaît en haut de l'escalier . ELLE est venue . Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété , à chaque fois . Parce que la peur qu'ELLE ne vienne pas fait partie de mon anxiété . Mais ELLE est là . Les pas -perdus de la gare ne la regarde même pas . ? . ? . ? Sacrilège . Pourtant ELLE est belle dans son tailleur façon Chanel , son chemisier blanc à col ouvert , ses escarpins noirs , avec ses cheveux blancs et courts , son visage rondinet , son petit nez à la retroussette , ses yeux toujours souriants , ses lèvres fines et sévères . ELLE est là , radieuse . Et moi , dire que je suis heureux ne serait qu'un doux euphémisme . Mon esprit est envahi de . . . mon esprit ? quel esprit? Mon cerveau est en ébullition . . . mon cerveau ? quel cerveau ? Ma tête . . .oui ma tête ! mais elle est vide ma tête et elle n'a qu'une chose en . . . tête : L'IMAGE DE MAÎTRESSE GABRIELLE descendant les escaliers du hall de la gare de la Part -Dieu par ce beau samedi d'octobre 2005 . Et toi berny . . . hou hou berny ferme la bouche , et ne reste pas planté là comme un benêt va prendre sa valise . Je monte quelques marches , à sa rencontre . Que dis je des marches : je gravis une montagne et comme je rejoins Maîtresse tout disparaît autour de moi . , le hall est une vallée noyée dans le brouillard. Il n'y a plus que la montagne , Lady Gabrielle , le brouillard à nos pieds et le soleil . A ce moment là je me suis mis à genoux , je me suis prosterné , j'ai embrassé SES pieds tour à tour . Enfin paraît il . Car ce n'est que plus tard , bien plus tard que Maîtresse m'a affirmé que je l'avais fait . J'avais été à la hauteur . . . de ses pieds en l'occurrence . C'était la première fois que je me prosternais en public pour Maîtresse , et comme toutes """ les premières fois """ ce fut une charge émotionnelle extraordinaire . Je ne l'avais jamais fais avant pour personne . Et bien sur , depuis , je ne l'ai plus jamais fais pour quelqu'un d'autre sauf sur SON ordre . Ce WE fut effectivement un beau WE plein de BDSM , CHACUNE et chacun de son côté préféré du fouet . La fin de ces deux jours arriva très vite , trop vite . Je raccompagnais Maîtresse à la gare le dimanche soir . Nous allions nous quitter . Je n'avais pas de tristesse . Je savais que nous nous reverrions . Et puis un fil nous reliait ::: le téléphone . . . sans fil . Je montais dans le wagon sans compartiment avec un couloir central , je déposais la valise de Maîtresse dans le filet . ELLE me tendait la main pour que je l'embrasse , ce que je fis , et sans qu''ELLE me l'ai demandé je me prosternais à nouveau et embrassais ses pieds . Maîtresse fut surprise mais , sommes toute , très contente . Et imaginez la surprise des voyageurs et la promiscuité du lieu . Depuis ce jour ; j'ai accompli cet acte de soumission dans maints endroits comme la terrasse de plusieurs restaurants , dans divers magasin , galerie marchande etc . . . Et toujours avec un immense plaisir décuplé par le fait que j'ai la possibilité de laisser entrevoir ma soumitude aux profanes . Oui je sais ça devient compliqué . En un mot ce n'est pas une humiliation c'est une joie pour moi . Voilà l'histoire de ce que j'appelle l'habileté mentale de Lady Gabrielle . J'espère qu'elle vous a plu . Je m'en vais vous conter la perversion mentale qui a traversé le cerveau hautement dominateur de Maîtresse Gabrielle hier à 16 H 37 . Elle est très semblable à celle que je vous ai contée dans cette rubrique ( la première ) . Allez c'est parti . En ce moment le calme est plat sur la mer du BDSM entre Maîtresse et moi . Je suppose que cela arrive dans tous les couples . Et comme nous sommes nombreux à le dire nous ne vivons pas BDSM 24/24 . Donc hier , nous faisions nos courses dans un supermarché du Pays de Gex , quand à 16 H 37 précisément il nous vînt l'envie de boire du café . Pour accomplir cet acte salvateur nous nous rendîmes dans un bar à café sis au centre de la galerie marchande du supermarché sus-cité . je déposais nos achats nécessaires ,utiles et même les superflus ( ceux qui font le plus plaisir ) au pied du guéridon .(et si tu n'es pas guai ou guay ou gué part ) Je tirais la chaise afin que Maîtresse puisse y prendre place aisément puis je commandais les boisson caféinées . Nous devisions calmement , amoureusement , enthousiasmement ( je vous laisse trouver tous les mots en ement que vous voudrez ) sur un projet qui n'a rien à voir avec le BDSM . Quand , tout à coup et soudainement Maîtresse Gabrielle , qui peut être agacée par mon verbiage de bavard , me """suggéra """ de me mettre à genoux ! Là ! Tout de suite ! Je peux vous dire que ma température passa en une nanoseconde , de 36,9 degrés Celsius à 391 degrés Farenheit Imaginez le trouble qui était le mien à ce moment là . Nous ne sommes pas sur le mode BDSM, nous parlons d'un sujet qui nous fait rêver , et cet ordre qui tombe abruptement . Je dois dire que Maîtresse Gabrielle a le secret de ce genre de revirement psychologique . J'oserais ,même dire qu'ELLE est redoutable dans cette pratique . Bon mais que croyez vous que je fis ? Que je refusai ? Que nenni ! ! ! je n'ai pas intérêt . Je demandais seulement quelques instants de préparation psychologie ( aussi ) . Hé oui je ne suis pas ""SUPERSOUMIS"" je vous l'ai déjà dis . Donc je m'exécutais après un silence intersidéral de plusieurs siècles . Alors évidement ,je me suis concentré sur le visage de ma Maîtresse , incapable de regarder ailleurs , je devais être rouge ou blanc ou peut être bien vert enfin je n'en sais rien ;. Toujours est il que je n'en menait pas large malgré la largeur de mes 107, 500 kg . Quand à Maîtresse Gabrielle , tranquille , souriante , sereine , calme , détendue , heureuse en quelque sorte , ELLE regardais alentour . ELLE m'a dit par la suite que les têtes et les regards masculins , féminins et les autres ont tous convergé , en un instant vers nous . Et ELLE m'avoua , si tant est qu'une Maîtresse puisse avouer quelque chose , avoir eu cette pensée pour les femmes et pour les hommes > Et là . . ."" pour un instant , pour un instant seulement "" je me suis senti dans la peau de """ SUPERSOUMIS """ Merci Lady Gabrielle , merci de me faire vivre des moments d'une telle intensité . Je dois dire que l' "" après immédiat"" puis le souvenir de cet acte me remplissent de fierté , de bonheur , de joie . Fierté d'avoir osé pour la FEMME que j'aime , je dis bien pour la FEMME même si la Maîtresse fait partie intégrante de cette FEMME . En un mot j'aime la FEMME qu'est Lady Gabrielle . ( je crois que c'est plus simple exprimé ainsi ) Alors vous allez dire que ça ressemble à mon premier post sur cette rubrique ( je vous avais prévenu ) et vous avez raison mais la situation était différente . Voilà , j'espère que vous aurez aimé cette petite histoire . Berny
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Par : le 19/11/17
Tu sais que de toi je dispose en Maitre de passion A tout instant tu es objet sous mes mains t'étreignant Soumise ou esclave, tu es chose a ma disposition J'ordonne et tu obéis sans regards vers ton dominant A genoux sous le fouet cinglant tes reins tu hurles Sur la roue des suppliciés, écartelée tu deviens larmes Mon vouloir est devant tes pensées seul coutume Rien tu n'es dans ce moment ou je fustige mes armes Femme, tu es la victime consentante de mes envies De mes vicissitudes a la déviance émanant du marquis Tu es ma Justine ou bien nouvelle proie du maudit Tes yeux sont inondés de la flétrissure des maux acquis Rien tu ne peux croire liberté, le servage est permanence Chaines misent sur ton âme, entraves sur ta peau délectable Emprisonnées à mes désirs tu deviens asservi en amante A ce Maitre que tu vénères par son dieu tendu au réceptacle Dominée par ma volonté, tu es devenue sujet de ma créance Rien ne t'est autorisé, tout devient obligation que je te donne L'intimité est devenue chose inutile, tu es ma chose d'aisance Le pacte ratifié par ton sang mélangé au mien te l'ordonne.
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Par : le 15/11/17
C’était peut-être la chose la plus idiote à faire, se donner à un pote de l’université. Nous avons un rapport simple, amical, sans mystère. L’accueil, chez lui à Lyon avait été des plus normaux. Sans mise en scène, gentil, habituel à croire qu’on allait jamais oser. Une double bise fugace comme seul contact. L’appartement au rez de chaussée laissait entendre les bruits de la rue. Il se divisait en trois parties. Un salon de dalles blanches, assez froid, un petit coin d’eau fermé entre quatre murs et un mezzanine qui recouvrait tout, plus chaleureuse, avec des objets personnels. Rien d'un donjon travaillé. A cause de la moquette qu’il y avait, et peut-être par effet de la hauteur, il y avait sur ce perchoir une chaleur plus tendre, comme dans une chambre d’enfant. La visite ne dura même pas une minute et il m’invita tout de suite à m’asseoir dans son petit salon. Il disposa sur la table quatre verres dont il remplit le fond de crème fruitées différentes et termina par un vin blanc. Je goûtais les quatre et pris celui à la pêche. On discuta un peu, puis il y eu un silence. Je ne sais pas ce que c’était pour lui, mais je commençais à ressentir une première gène. Il recommença à me parler simplement des choses de la vie courante ; puis il y eu un second silence. Il me souriait gentiment mais je ne sais pas pourquoi je baissais les yeux. Alors il m’a demandé ce que j’avais amené. Ce fut comme une délivrance et je comprenais que ce petit discours, qui devait nous réhabituer l’un à l’autre était aussi pour lui un moyen de faire monter une pression en moi. Il a repoussé sur le côté de la table les verres et les bouteilles et m’a regardé ouvrir mon sac avec attention. J’ai posé les menottes sur la table, puis le bâillon à boule, un pénis en plastique et puis j’ai hésité. C’était très étrange de me dévoiler de cette façon devant un ami. Le lui dis simplement « jai aussi ça » en posant le crochet anal sur la table. Il regarda cette brève panoplie avec sérieux, puis, en me regardant dans les yeux, il me dit « maintenant tu vas me dire vous. Tu vas m’obéir et m’appeler Maitre. » C’était un contraste fort avec l’homme que je connaissais mais son sérieux me mis en confiance. Je lui répondit « oui maître » pour la première fois. Il alla baisser les stores et tandis que la pénombre envahissait tout, il alluma plusieurs bougies très épaisses qu’il monta en haut. L’espace, simple et presque enfantin s’était changé en un monde mystérieux. Il me demanda de retirer mes vêtements avant de venir le rejoindre avec mes outils. Je m’exécutait et ne gardait que mes bas, mon soutiens-gorge et ma culotte noire. Je les avais choisis pour l’occasion. Il me regarda monter vers lui dans l’escalier et me fit signe d’aller sur une large couette bleue qui faisait un tapis épais et qui devait au fil de notre jeu se froisser et ajouter une sensualité visuelle simple et magnifique dans la lumière instable des bougies. Je me mis à genoux au milieu et il passa derrière moi. Il me bâillonna, en serrant plus que je n’aurais pensé. Il caressa ma peau, me baisa dans le dos et passa un cordon autour de mon cou qu’il en roula comme une écharpe et la fit pendre. Puis les menottes dans le dos. Avec douceur, il me pris contre lui pour me coucher sur l’épaule, la joue et les genoux, les fesses vers le plafond. Je sentais son regard sur moi. Ses doigt qui effleuraient les dentelles de mes derniers vêtements. Puis quelque chose, son pouce sûrement, qui passait sous l’élastique de ma culotte. « Cambre toi » me demanda-t-il et je le fis. La culotte glissa avec son pouce et découvrit cette partie de mon corps. Sa main se posa sur mon sexe, comme une coquille pour le protéger. Il m’étudiait, caressait pour sentir mon excitation et cette main, à dire vrai, m’excita plus encore. Je sentis ses doigt sur ma vulve, et bientôt leur glissement facile montrait que je commençais à juter de désir. Il le senti puisqu’il ne s’y attarda pas. Sa main remonta vers mon anus, le caressa en l’imprégnant de la liqueur qu"il avait sur les doigts. Il pressa un milieu, sans jamais entrer en moi. Il fit le tour, se mit face à moi et me demanda si j’avais un regret. Je secouais la tête. Il dit « non maître » ; je répétais sa phrase sans pouvoir la dire à cause du baillon. Alors il posa sa bouche sur la boule. Contact indirect qui me donna une irrésistible envie de lui. Sa bouche, ses mains, quelque chose de vrai, un contact. Mais il repassa sur le côté et glissant sa main le long de mon dos, comme à son animal. Il prêtait une attention très particulière à mon anus. Il imprégnait ses doigts du jus de ma vulve pour le préparer, l’ouvrir doucement. Il commença à m’expliquer ses gestes, à me dire de cogner le sol « quand » j’aurais trop mal avec mon front. Je sentis un doigt entrer en moi, tailler une place pour le crochet que je sentis bientôt entrer à la place du doigt, mais beaucoup plus profondément ce qui me provoqua d’abord une gène, pénible à cause du froid du métal, puis plus douce. Il attrapa la corde autour de mon cou et la passa en symétrie sous mes bras, dans le dos, les croisant et me tissant un bustier. Il passa ensuite les ficelles derrière le baillon, m’ordonna de me cambrer plus et rattacha les deux bouts au crochet. Je ne pouvais plus bouger que des jambes et déjà je ressentais une envie de gémir de plaisir. J’avais aussi cette envie de lui, ce désir simple de la sexualité la plus innocente. Simplement sentir son sexe glisser en moi. Je me souviens de ce désir intense car j’ai cherché dans le noir, pendant une bonne minute, à deviner s’il était en érection sous ses vêtements. Je commençais à me tortiller, à onduler du bassin en soupirant, pour l’inviter à cet endroit. Il y eut un claquement qui me provoqua une douleur très vive et une surprise. Il avait fouetté mes fesses avec une cravache, fort, me provoquant un sursaut qui tira sur le crochet. « ‘Ne bouge pas » disait il. Je serrai des poings de douleur, mais à peine commençais-je à m’en remettre, je commençais à désirer qu’il me frappe encore. Il recommença deux fois et je me sentis jouir à la dernière. Il remonta ma culotte par-dessus le crochet et il y eut un répit pendant lequel il vint s’asseoir par terre devant moi. Sur la table en verre à côté il avait enroulé plusieurs choses dans une serviette. Il tira un opinel et commença, devant moi, à sculpter un morceau de gingembre. Il avait été attentif à ce qu’on s’était dit par messagerie. Il demandait, en taillant une large pointe, si je me sentais bien. Je répondit « oui maître » sans pouvoir parler vraiment. Alors il se rapproche de moi, repoussa le bâillon sur mon cou, et tandis que je me couchais sur le côté je posais la tête sur ses cuisses. Il tailla longtemps le gingembre, temps pendant lequel il me demanda d’exprimer mes désirs. Je lui dit que j’avais envie de son sexe, de le contempler nu dans cette lumière étrange. Que je voulais lui donner du plaisir moi aussi. Je ne sais pas si j’aurais du lui confier cela. Il n’a rien répondu, mais tandis que je cherchais de la joue à tâter son érection il eut un mouvement de recul. Il me remit en position, comme sa construction, remis le bâillon et passa derrière moi. Il baissa la culotte, retira le crochet et tirant progressivement sur le cordage, enfonça le bâillon dans ma bouche. Quand il fut complètement retiré, je sentis les ficelles se desserrer. Après quelques secondes je sentis les liens se resserrer encore et le fer chaud pénétrer mon vagin. Sa main rejoua brièvement avec mon sexe pour son jus, et le sentis le gingembre entrer à la place du crochet dans mon anus préparé. Je sentis une brûlure, elle vint rapidement et s’intensifia jusqu’à être insupportable. Je cognait le sol de ma tête en serrant les poings mais il sentit que je ne voulais pas arrêter. Il joua à le retirer, le faire rentrer à nouveau. La douleur, continue, me faisait m’habituer à elle alors qu’elle semblait s’intensifier. C’est à ce moment qu’il baisa vraiment mon corps et que je sentis qu’il se passait une chose pour lui. Ses lèvres, posées sur mon dos, sur mes fesses, mes mains menottées et ses mains me caressant, témoignaient d’une forme d’amour pur pour moi, telle qu’il m’avait rendue, totalement soumise dans une douleur délicieuse. Il me coucha sur le dos et le crochet me fit mal. Il retira ses habits pour n’être plus qu’en boxer. Il ^recommença à baiser mon corps. Sur le ventre cette fois, puis le sexe, et se coucha contre moi en me serrant à lui. Je me suis senti profondément heureuse à ce moment. La brûlure du désir, celle du gingembre, celle peut-être aussi d’une forme d’amour respectueux me prenait complètement. Il retira le bâillon à nouveau. Je voulu baiser sa bouche mais elle était trop loin. Nous sommes restés comme cela longtemps. Puis il a défait le cordage, retiré le crochet, retiré le gingembre et les menottes en dernier. Je suis restée couchée dans ce plaisir, près de lui et en l’appelant Maître, je lui ai demandé s’il ressentait du désir pour moi et s’il voulait me prendre. Il affirma, mais semblait avoir quelques réticences. Je crois que c'était une suprise pour lui que je le veuille de cette façon. Il adapta. Je le suppliais, baisant ses genoux et ses pieds. Il me demanda alors de me déshabiller complètement et il m’observa nue avant de retirer son dernier vêtement. Je pris son sexe dans ma main, il était dur. J’ai demandé « puis-je Maître ?» et il a hoché de la tête. La domination continuait, mais le rapport était devenu celui de la tendresse. J’ai joui très rapidement quand je l’ai reçu en moi, c’était finalement ce que j’attendais depuis des semaines. Il s’est alors mis sur le dos, allongé sur cette couette qui faisait comme les vagues d’un océan, et j’ai retiré le préservatif et pris son sexe dans ma bouche. J’en ai avalé la crème chaude. J’étais un peu confuse quand il m’a raccompagné dans la rue. Le rapport intime avait été merveilleux. Mais peut-être n’avais-je pas su choisir entre l’absolu tendresse et la douleur gradissante. J’ai embrassé ce maître dans le cou. Je ne savais plus comment lui parler. Tu ? Vous ? La seule chose certaine est que je n’oublierai jamais ce dimanche. Merci Delyb, maître adoré. Mille fois merci.
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Par : le 15/11/17
"Tu porteras un serre-taille et un shorty. C’est parfait pour ce que j’ai en tête". Comme toujours, Madame a donné sa consigne pour ma tenue. Inutile de poser la moindre question, je sais que je n’aurai aucune explication. Bien Madame est la seule réponse possible -et admise. Le moment venu, je me prépare avec soin, longue douche brûlante, maquillage un peu plus appuyé qu’en journée mais, c’est l’usage, pas de rouge à lèvres. Madame n’ayant pas précisé la couleur du serre-taille, j’en mets trois dans un sac. Je choisis aussi plusieurs shortys, j’ajoute deux paires de bas identiques et des bottines pointues à fin talon. En attendant, j’enfile une petite robe noire près du corps et des bottes montantes. Un chèche, un fin blouson en cuir ajusté, je suis prête. A l’heure prévue, je passe chercher Madame. Son sac -*le* sac- est particulièrement lourd, cette fois. Il nous reste un peu de route à faire, moment pendant lequel s’installe une ambiance joyeuse. Je n’oublie jamais que la femme assise à côté de moi est une Domina sévère et exigeante, qu’elle a mon profond respect et que je lui appartiens, mais nos conversations en voiture ne sont pas très codifiées. Nous nous connaissons bien et j’ai le privilège, dans l’intimité, d’avoir une grande liberté de ton. La brat en moi fait surface, je plaisante, le tête-à-tête est léger. Madame est détendue, elle plaisante aussi, son rire est cristallin. Je trouve cette connexion parfaite. Nous y sommes. Je prends ma place derrière Madame pour entrer. Soixante-dix personnes sont là, le cadre a été aménagé pour jouer dans toutes les pièces. Rapidement, nous allons nous changer. Madame désigne pour moi un serre-taille rouge et noir et un shorty en dentelle noire qui m’arrive à mi fesses. La tenue qu’elle a choisie pour elle-même me laisse sans voix. Son corset en cuir met ses épaules et son décolleté follement en valeur, sa jupe ample en voile laisse entrevoir juste ce qu’il faut de ses courbes, ses jambes sont impeccablement gainées dans des bottes à talons hauts. Je la trouve magnifique. Le temps de déposer nos affaires au cellier transformé en vestiaire et je rejoins Madame. Elle croise amis et connaissances. Je suis le mouvement, à ses côtés mais toujours en retrait. Madame discute ici et là, embrasse des Dominants, salue des soumis. Je reconnais du monde et je découvre avec plaisir des personnes croisées uniquement en virtuel jusqu'à présent. Nous plaisantons un moment avec deux soumises de nos "dîners de filles" lyonnais, qui accompagnent leur Maître. L’ambiance générale est agréable et respectueuse. Dans cette maison aménagée en donjon, la température monte doucement. Les soumis des deux sexes prennent leurs consignes pour le dîner de leurs Dominants. Madame s’installe dans un canapé. Je propose d’aller lui chercher une assiette au buffet. Inutile de demander ce qui lui ferait plaisir, je connais ses goûts. A mon retour, un regard bienveillant, un léger sourire : "Merci Lily, tu peux aller te servir". Je souris aussi, merci Madame. Comme d’habitude y compris lorsque nous sommes seules, je m’assois à ses pieds, position naturelle, évidente. Madame veille toujours à ce que j’ai suffisamment de place. Tandis qu’elle discute avec ses voisins, sa main se pose sur ma tête et joue avec mes cheveux. Un de ses gestes ordinaires de propriétaire. Le dîner s'achève. Les soumis débarrassent et font circuler les cafés, puis les invités se répartissent dans toutes les pièces de la maison, aux lumières tamisées. Très vite, les premières frappes des martinets se font entendre, des mains claquent sur des peaux nues, des fouets se mettent à siffler. Des gémissements leur font écho. Je surprends quelques regards qui m’amusent. Il est vrai que Madame passe rarement inaperçue, avec sa peau sombre et douce aux reflets satinés, son profil délicat et son autorité naturelle. Sa main glisse dans mon dos. La caresse devient griffure. Ses ongles, manucurés mais naturels ce soir, s’enfoncent dans ma peau. J’ai un hoquet de surprise. La pression s’accentue, elle s’étend à mes épaules et à ma nuque. La main de Madame se fait douce à nouveau et caresse mes seins nus, soulignés par mon serre-taille. Puis elle griffe encore, de plus en plus lentement mais aussi de plus en plus profondément, tandis qu’elle empoigne mes cheveux dans un ordre silencieux de ne pas bouger. La douleur naissante fait monter le plaisir, je m’entends gémir doucement à ses pieds. Madame laboure ma peau. Elle pince mes tétons, pince encore, de plus en plus fort. Son autre main se referme sur ma gorge. Elle serre, dans ce geste de Domination dont je raffole. Je ferme les yeux et je respire son parfum. Son souffle s’accélère dans mon cou. Madame fait une pause, désigne le sac et se lève. "Suis-moi". Nous passons dans la pièce voisine. Un banc. J’y dépose le sac et j’attends. Le bruit de la fermeture éclair me fait frissonner, comme à chaque fois. "Penche-toi. Tes mains sur le banc". J’entends un petit rire, puis deux claques s’abattent sur mes fesses. Suivent deux autres, plus fortes. Encore deux, intenses. Les deux dernières sont magistrales. Ça fait mal mais j’aime. Quelques personnes passent discrètement dans la pièce. Moi, je ne vois rien à part ma Domina. Madame plonge la main dans le sac et je comprends que cette petite fessée n’avait pour but que de sensibiliser ma peau, de la préparer pour la suite. Du coin de l’œil, j’aperçois ce qui m’attend. Je grimace et je me crispe. Non, pas lui. J’expire bruyamment. "Tu sais pourquoi". Oui Madame. "Je n’ai toujours pas mon dû". Mes comptes-rendus. Je suis horriblement en retard dans leur rédaction. La punition, je l’ai sous le nez : un paddle de cuir rouge garni de têtes de métal. Ce terrible paddle. Mieux vaut le chat, mieux vaut le fouet que le paddle. Je le déteste et je le dis. Madame s’esclaffe. "Mais lui, il t’aime beaucoup. C’est ton ami. En position". Résignée, je m'exécute. En rythme, le paddle vient rougir mes fesses. J’essaie de retenir mes gémissements. La punition s'achève enfin et je sens la caresse d’une main douce et fraîche. Je bredouille merci Madame. "Ce n’est pas moi que tu dois remercier. Dis merci à ton ami". Je ne réponds pas. Son corps se plaque derrière le mien, sa voix chuchote à mon oreille, sadique et autoritaire. "Lily. Dis merci à ton ami". Je murmure, merci mon ami. Madame me retourne, me tient dans ses bras et me fait un sourire éclatant. Mon regard se verrouille au sien, je me détends. Comment ne pas sourire en retour ? Mes fesses cuisent mais je sais que la douleur s’estompera rapidement. Du moins jusqu’à ce que je m’assoie. Avec soulagement, je vois Madame remettre le maudit paddle dans son sac. J’entends tinter. Des chaînes. Madame m’a enchaînée pour la première fois il y a quelques mois, bousculant mes certitudes, effaçant des années de crainte. Sans doute n’avais-je jamais été suffisamment en confiance pour repousser cette limite. J’ai eu mal. Mais j’ai aussi été dévorée par un plaisir cérébral autant que physique. Chaque fois que Madame sort ses chaînes, les sensations sont différentes, mais toujours intenses. Ce soir, je trouve les chaînes particulièrement froides. Je frissonne tandis qu’elles s’enroulent autour de moi, un peu à la manière d’un karada, et passent entre mes jambes, compressant déjà mon sexe. Madame me fait légèrement pencher en avant puis sur les côtés pour donner du jeu et accrocher les mousquetons. Dès que je me redresse, les chaînes se tendent et je sens les maillons appuyer sur mes flancs, mes clavicules, dans la zone du sacrum et du coccyx. Me tenir droite -point sur lequel Madame ne transige pas- va rapidement devenir douloureux, je le sais. Des bracelets de cuir rouge se referment sur mes poignets et sont reliés par des mousquetons à la chaîne qui passe autour de mon bassin. Je ne vais plus pouvoir faire grand-chose de mes bras. Madame recule et me détaille, comme elle le fait souvent. Les yeux plissés, elle semble satisfaite et prend quelques photos. Du monde continue à passer, on admire et on complimente respectueusement. Madame apprécie et remercie. Puis elle finit d'accentuer la tension en reliant deux maillons au-dessus de mon plexus par l'attache d’une laisse. Un coup sec sur la laisse et je suis à quelques centimètres, partiellement entravée, de cette femme à qui j’appartiens. Je pose ma tête dans son cou, je respire son odeur, j’embrasse sa peau. Madame me parle doucement à l’oreille. Je sens poindre une douleur sourde, surtout sur mes épaules, accompagnée d’une chaleur diffuse qui monte dans mon sexe pourtant écrasé. Madame s’assoit sur le banc et m'enjoint de m’allonger sur le dos à ses côtés, ma tête sur ses genoux. Je repose sur les chaînes et mes fesses sont loin d'avoir récupéré de ma punition. Une main ferme mes yeux et j'entends le bruit d'un briquet. L'heure de la cire. Mais je n’imaginais pas que les premières gouttes allaient être pour mon front. C'est une bougie de massage, je sens une délicate odeur d’agrumes. La cire tombe et coule, sensation surprenante mais pas franchement douloureuse. Madame l’étale et masse mon visage. Je me sens glisser dans un bien-être à forte connotation érotique, les chaines scient mon corps, mes fesses font mal mais mon intimité palpite franchement. Comme pour me rappeler à l’ordre, Madame me griffe à nouveau, les bras, la gorge, les seins. J’entends son plaisir, qui décuple le mien. Elle malmène, elle tire, elle tord mes tétons et je gémis de douleur autant que d’excitation. J’ai toujours les yeux fermés. Alors je sens couler une autre cire, cuisante cette fois. Des filets brûlants se répandent sur le haut de mon corps. Mes seins griffés et mes tétons, pincés à vif, sont peu à peu recouverts. Je peine à retenir mes cris, Madame exulte. J’ai l’impression que les maillons des chaînes sont incrustés dans mes os et que ma peau va bouillir. Le parfum de Madame me transporte, je suis trempée de désir. Écartant les chaînes, Madame glisse enfin une main dans mon shorty... #BMOM
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Par : le 25/10/17
*** POURQUOI CE PROJET ? La communauté BDSM.FR met à disposition un espace d’expression gratuit et ne dispose d’aucun budget publicitaire pour se faire connaître. Les membres de la communauté la découvrent : - par le bouche à oreille - par les moteurs de recherche (Google, Bing …) Les menues recettes (Sexshop, webcam, …) servent à financer les infrastructures (deux serveurs haute capacité) et les licences des applications (et ponctuellement des developpements spécifiques) qui servent à faire tourner le site. Les organisateurs de BDSM.FR ne s’étaient pour le moment que peu intéressée aux vidéos. — Le projet de vidéothèque gratuite à deux objectifs : - Proposer un catalogue de vidéos gratuites pour tous (cela existe déjà) qui bénéficient d’une vraie description et d’un vrai classement par pratiques BDSM (plus rare !) - Faire de ces vidéos et surtout leur description un moyen toucher des utilisateurs sur Google pour faire découvrir la communauté à de nouveaux utilisateurs. Google favorise les sites proposant du contenu rédactionnel original ! — En donnant de votre temps, en devenant ainsi bienfaiteurs de la communauté, vous allez donc participer à l’élaboration d’un catalogue unique accessible à tous et vous allez surtout permettre à d’autres membres de découvrir à terme la communauté BDSM.FR *** D’OÙ PROVIENNENT LES VIDÉOS ? Les vidéos viennent des sites de vidéos gratuits ou payants qui nous ont donné l’autorisation de les réexploiter. Ces sites donnent les autorisations, eux-même pour se faire connaître. Il se peut de temps à autres qu’en appuyant sur « Play » de la vidéo, un autre site s’ouvre. C’est la contrepartie de la mise à disposition gratuite de la vidéo par son éditeur original. Cette apparition est aléatoire et heureusement marginale. *** COMMENT DECRIRE UNE VIDEO EFFICACEMENT ? Le traitement d’une vidéo repose sur trois « chapitres « distincts : - Le titre, - Le descriptif, - Les caractéristiques de classement sous forme de cases à cocher. # Proposition de méthode  : - On lance la vidéo - On rédige le descriptif au fur à mesure que la video avance (contexte, physique et rôles des protagonistes puis récits des pratiques et accessoires) - Quand la vidéo est finie, on rédige le titre qui résume au mieux les actions qui dominent dans le scénarisation - Puis enfin on coche les pratiques/accessoires dans les catégories à cocher (qui nous font parfois nous rappeler qu’on a oublié une action avec un accessoire dans le récit) pour le classement par pratique. S’ils manquent des catégories dans la liste, ce n’est pas très grave. Vous pouvez signaler ce qui vous semble manquer dans le groupe ou par e-mail. Ce n’est qu’une proposition de méthode, chacun(e) joue comme il/elle aime;-). Le plus important sont le descriptif et le titre. * Titre de la vidéo Distillez autant que possible les mots clés importants dans le titre. Exemples de bons titres : « Humiliation et bondage pour cette soumise blonde» « Soumis possédé par une Domina en corset avec un gode ceinture », « Domina qui torture son soumis à la cire puis l’exhibe », « Homme soumis attaché à une chaise et humilié en public » Exemples de mauvais titres : « humiliation » « Soumise qui en bave » « Il mange grave » « Film de soumises » --- * Description : La bonne description permet au lecteur de savoir : - Qui sont les protagonistes : « Une maîtresse brune à gros seins avec un corset en cuir et un gode ceinture » « Un jeune soumis asiatique avec une cage de chasteté et une femme noire qui doit être sa Domina » « Une directrice sevère mature et un employé soumis en bleu de travail » - Le lieu «  dans un donjon équipé de nombreux accessoires SM (Fouet, cravache, badine et chaine) » «  la nuit dans la forêt dans une clairière éclairée par les phares de la voiture » «  dans un club SM où sont déjà de nombreuses Maîtres, Dominas, Soumis et soumises » - La description de ce qui se passe dans la vidéo, les pratiques proposées et les accessoires utilisés. # Exemple : « Dans une demeure chic et cossue ressemblant à un manoir un Maître d’une cinquantaine d’années, habillés tout en cuir, va commencer par déshabiller sa soumise, une jeune femme rousse de 20/25 ans sans ménagement. Sa jupe et son corsage sont a moitié déchirés. Il demande à la jeune femme docile de se mettre à genoux puis de marcher à 4 pattes dans la salle à manger où se déroule la séance de soumission/domination. Le Dom fait s’arrêter la jeune femme devant la croix de Saint-André. On lit l’appréhension sur son visage. Il va l’attacher à l’aide des menottes sur la croix, puis lui mettre des pinces à seins, et des pinces à linge sur la chatte. Elle donne l’impression d’avoir peur. Il saisit ensuite une cravache et va lui fouetter les seins en insistant sur les pinces. La soumise a très chaud. Le maître va la détacher pour la faire se retourner. Il saisit un fouet et commence à la fouetter. Une autre femme entre dans la pièce et observe la scène. Elle se caresse à travers ses vêtements en observant la scène en voyeuse. Elle va se saisir d’un vibromasseur posé sur la table et commencer à se caresser avec, en l’humidifiant avec sa bouche régulièrement. La soumise attachée crie elle de plus en plus fort, et son dom alterne les caresses et les coups de canne anglaise. L’homme décide de lui mettre un bâillon boule pour la faire taire, puis une cagoule en cuir et un collier de chienne. Il va ensuite lui accrocher une laisse et la détacher de la croix pour aller la promener dans la maison, et la faire manger dans une écuelle. Il finira par abuser d’elle en la baisant puis en la sodomisant en levrette à même le sol. Les trois protagonistes finiront par jouir quasi simultanément. Le dominateur attachera la soumise avec une chaîne à un anneau fixé au mur, et quittera la pièce avec la femme voyeuse dont on découvre les hauts talons. » # Catégories Les catégories sont des cases à cocher. Vous pouvez en cocher autant que la scène de la vidéo le justifie. Par exemple, sur une vidéo avec 4 protagonistes : Domina, soumis, Maître, Soumise, il faut idéalement cocher les 4 cases correspondantes dans « Roles/Orientations ». Si en plus la Domina coquine avec la soumise, vous pouvez cocher bisexuelle (soit déjà 5 cases!). Il en va de même pour « Accessoires », « Pratiques », « Physique ». Il n’y a aucune obligation d’être exhaustif. Par exemple, l’accessoire « culotte » est surtout à cocher si la culotte est instrumentalisée (pour en faire un bailon par exemple). S’il y a une culotte « qui ne fait que passer » dans la vidéo, ce n’est pas la peine de cocher ;) ). Notez bien : Le plus important est d’expliciter les choses dans le titre et le descriptif. Les cases à cocher de catégories servent juste pour la navigation des utilisateurs d’une vidéo à l’autre (thème). # Signer ou pas sa rédaction ? Si vous cochez cette case, la description de cette vidéo sera signée de votre pseudonyme et un lien sera fait vers votre profil sur le site BDSM.FR. C'est un bon moyen de se faire connaître ;). Notez que la mention précisera que vous êtes rédacteurs de la description (pour ne pas qu'on croit que c'est vous dans la vidéo ;) ). *** PUBLICATION DE LA VIDEO ET DE VOTRE DESCRIPTIF Les vidéos que vous commentez ne sont pas accessibles directement sur le site. Elles sont validées au fil du temps (pour ne pas qu’il y ait trop de vidéos qui soit publié sur un temps court). Vous recevez un mail d’information quand votre participation sera publiée en ligne. Participer à ce projet, c’est faire preuve d’une véritable et très appréciée implication. Le site mémorise le nombre de mots que vous faites l’effort d’écrire lors de vos rédactions. L’objectif est de proposer des « avantages » pour les bienfaiteurs et bienfaitrices qui donnent de leur temps. Premier avantage d'ores et déjà en place, les beinfaiteurs sont mis a l'honneur sur le site lors d'affichage aléatoire (comme on le fait pour faire connaitre les "Groupes"). Les vidéos que vous avez traité (et qui ne correspondent pas forcément à vos pratiques) ne sont pas mentionnés. On indique juste que vous êtes membres bienfaiteurs. *** QUE FAIRE SI LA VIDEO QU'ON ME DEMANDE DE COMMENTER EST DEFAILLANTE ? Il se peut que la vidéo ne se lance pas du tout (vidéo listée mais qui a disparue entre temps). Il se peut qu’une vidéo qui n’a rien à voir avec du BDSM (ce n’est pas deux tapes sur la fesse gauche qui transforme une vidéo X en vidéo BDSM;) ). Dans ces deux cas, vous avez un bouton, en haut de la page de saisie, pour signaler que la vidéo est défaillante. *** QUAND EST-CE QUE JE COMMENCE ? Maintenant ? :) Pour participer, c'est ici : http://videos.bdsm.fr Pour vous identifier, tapez l'adresse e-mail de votre compte BDSM.FR ! *** DES QUESTIONS ? N'hésitez pas à les poser en public dans le groupe du projet : https://www.bdsm.fr/groups/406/ *** UN DERNIER MOT ... ... MERCI DE VOTRE PARTICIPATION A LA CAUSE ! :)
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Par : le 28/09/17
Au bout de plusieur minutes elle sort ma queue de son sex degoulinant. Elle se releve me fait un sourire plein de tendresse et me dit: -” Allez belle bite à genou les mains sur les cuisses.” Promptement et sans mot dire je m'exécute. c’est bien me dit elle, avant d essuyer ses doigts plein de cyprine sur mon visage. -”Ne bouge pas attend moi la.” Je la voie nue remuant ses jolies fesses en allant chercher quelque chose dans la boite restée sur la table de la terrasse. Elle revient devant moi avec un drôle d’object dans les mains. C’est une sorte de gode avec a l'autre extrémité une courbe qui forme un crochet au design se voulant ergonomique. Je comprend son utilité quand je la voie s inserrer dans la chate la partie crochettée. La voila comme pourvue d'une bite en plastique bleue qui semble ne faire qu'un avec son corps. Elle s'avance d’un pas et je me retrouve avec la bouche a quelque centimètres du gland de sa 'queue'. De deux doigts elle relève mon mentons pour que nos regard se croise et me dit un sourire au lèvres. ” Allez belle bite . tu sais ce qu'il te reste a faire. L'ultime soumission, tu m'en a déjà parlé c'est le moment de la vivre. Soumets toi.” Mon regard quitte le sien pour se poser sur son sex. Je la regarde de nouveau avant de commencer à lui lécher le gode timidement. Un peu gêné et troublé par la situation que je suis en train de vivre. “Allez ne sois pas timide me dit elle pour m’encourager. Suce moi! “ Je me détend doucement et me met à la sucer plus goulûment. Sa main passe dans mes cheveux. Je ferme alors les yeux et me laisse complètement aller à mes pulsions. Je la suce goulument sans aucune retenue. Je prend ma queue en main toujours tendue par l'excitation et commence a me masturber. elle me dit. - “ Non pose tes mains sur mes chevilles. Allez, concentre toi et suce moi. Voilà c’est bien. Tu es une bonne salope.” Je te conseil de bien bavé dessu. Elle va finir dans ton cul. Je vais te depuceller allonge toi sur le dos.” Je m'exécute. Je sent qu'elle va me prendre mon coeur commence à battre à la chamade. - “ Allez, tu sais ce qu'il te reste à faire. lève tes jambes”. J'attrape alors les jambes sous mes genoux. Lève les cuisses. Mon cœur bat la chamade. Mon sexe est tendu d'excitation malgré la peur qui m'envahit. Je la vois prendre en main sa virilité. La poser sur mon anus.Me regardant dans les yeux elle me sourit tendrement et commence à exercer une pression. Ca queue commence doucement à s'enfoncer en moi. Toujours en me regardant elle rigole et dit -” Alors belle bite presque prêt à te faire dépuceler.” Elle éclate de rire en s'enfonçant doucement dans mon cul. Je la sens s’enfoncer en moi, la sensation est étrange. N'est pas désagréable, quand elle commence à ressortir pour finir son premier va et vient j'ai un peu mal et ne peut retenir un petit cri. Elle se moque de nouveau de moi. - “ Tu cuines ma salope.” Elle met deux doigts dans ma bouche entrouverte. ‘ “ allez, suce belle bitte j'ai vu tout à l'heure que tu aimais ça.” déclare-t-elle. Totalement sous sous son emprise j'obéis sans poser de question. Me voilà par une belle après-midi de juin en train de me faire sodomiser par Sophie sur la terrasse de la maison. Elle commence à me sodomiser. Ses premiers va et vient lent et précautionneux commence à laisser place à une étreinte plus fougueuse. Entre plaisir et douleur je ne peux m'empêcher de gémir, de pousser des petits cris. Entre tendresse Et bestialité tantôt sophie me caresse passe une main dans mes cheveux tantôt me gifle et m’insulte. Elle s'enfonce maintenant de toute la longueur du gode en moi je sens son sexe humide sur mon bas-ventre, nos regards se croisent à nouveau. Son visage est transpirant,son souffle rapide. tout en continuant de me pilonne et elle me sourit. Je lui rends son sourire sans mot dire elle saisit mon sexe bandé et commences à me branler. Je n'en peux plus, je me laisse complètement aller sans aucune retenue. Je gémis en fermant les yeux. Elle continue de m’enculer,avec dans ca main ma queue. Sentant que je ne vais bientôt plus pouvoir me retenir, elle me dit. - ” Tu peux venir belle bite, dis-moi quand ça vient.” Au bord de l'explosion je lui crie. - “ Je vais jouir Sophie!! ça vient! “ Presque instantanément une décharge de plaisir parcourt tout mon corps. jusqu'à mon sexe. Un grand jet de foutre sort dans une giclée, se répandant sur mon ventre jusqu'à mes pectoraux. Elle aussi excitée par la situation et par la partie du gode insérée en elle est sur le point de jouir. Elle continue de m’enculer fougueusement en gémissant. Une de ses mains essuies le foutre sur mon torse et me barbouille mon visage. Ce dernier acte l’amene au paroxysme de l'excitation ses jambes se mette à trembler. Je sent le gode vibrer en nous. Elle jouit dans un long cri en s'effondrant sur mon torse une nouvelle foi. Sa respiration est bruyante rapide, la sueur et les fluides de nos deux corps se mélange. Je lui caresse doucement le dos tandis que nous retrouvons peu à peu notre calme et nos esprit. Nous restons ainsi quelques minutes avant qu'elle se relève debout elle me lance les mains sur les hanches. -” Alors belle bite, ca y est tu es ma petite puputte ?” Son visage exprime la joie, et je lui rend son expression. Nous sommes maintenant sans aucune retenue en toute complicité. Toujours harnachée de son gode ceinture, Elle part vers la table de la terrasse et sa boîte aux merveilles en me lançant cette petite phrase. - “ Allez une dernière humiliation pour aujourd'hui. Met toi face à la baie vitrée à genoux, jambes ouverte, le buste contre le sol et ton cul bien haut! “ Sans poser de question je m'exécute. Elle revient avec quelques choses dans les mains, mais vu ma position je ne vois pas bien ce que c’est. Elle passe derrière moi, pose une main sur mes fesses et je sent qu elle introduit de nouveau quelque chose dans mon cul. Je ne peux m'empêcher de gemir. “calme toi belle bite, c’est bientôt fini. “ Me lance t elle. elle pose son pied sur ma tête. et lance une phrase c’est un petit pas pour l homme mais un bon début pour ta soumission. J’entend alors le bruit caractéristique de l'appareil photo de mon portable. Ensuite son pied s'enlève de ma tête. Elle ressort l’object de mon cul et me montre la photo. On la voie le pied sur ma tête toujours harnachée de son gode ceinture, dans une pose de conquérant espagnol. Moi le cul en bombe la tête sous son pied vaincu, avec un “gode drapeau “ dans le cul sur le quel on peut lire : soumis de princesse sophie. Après cette dernière épreuve, le reste de la journée est plus calme. Bien sur je continue de la servir et nous continuons notre petit jeu dans les rires et la bonne humeur, mais il n y a plus d'événement marquant qui viennent ponctuer notre journée. A la fin du repas du soir, quand toutes la maison est en ordre, Sophie me dit de la rejoindre dans la salle de bain. Bien que ce soit un ordre ca voix est douce et n’a aucunement un ton autoritaire. Quand j'entre dans la salle de bain elle me regarde nue et souriante.L’eau chaude de la douche coule déjà. Son sourire bienveillant s'accentue, et elle me tend la main pour que je la rejoigne. Je la saisi. Elle me conduit sous la douche, fait couler du gel douche dans ses mains et le fait mousser dans mes cheveux quel masse avec douceur. Elle colle son buste à mon dos,et commence à me savonner le corp tendrement. Elle me lave doucement. Me remercie pour la journée passée, me dit qu'elle s'est beaucoup amusée. Quand elle arrive a mes fesses et qu'elle lave mon anus.Elle me demande si je n aie pas trop mal. Je lui répond un peu mais ca va. C'est plus une gêne. Elle me remercie encore me dit que c'était super de jouer les dominas aujourhdui. Elle fini de me laveret m'essuie. Quand elle juge que je suis propre,elle me gratifie d un bisous sur la joue,me prend par la main et me dit: “vient dormir avec moi, et profite en car demain tu seras mon chien et tu passeras la nuit dans ton panier . Elle me lance alors un clin d'oeil.
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Par : le 26/09/17
Sur la route qui me conduit à son domicile, je suis étonnamment serein. Certainement parce que j’ai déjà eu un premier contact téléphonique très rassurant. J’ai senti Miss G bienveillante et à mon écoute. Bref, je suis calme mais je me pose principalement une question. Comment vais-je l’aborder ? Je suis totalement dans l’inconnu. Mis à part le traditionnel vouvoiement qui me semble naturel, je ne sais pas trop comment me présenter à Elle. - Dois-je me comporter immédiatement comme un soumis et si oui, comment ? - Dois-je l’appeler Miss G, Lady G, Maîtresse, Madame - Dois-je lui baiser la main ou ne rien faire tout simplement. Je ne vais tout de même pas lui claquer la bise ou lui serrer la main J’arrive devant son domicile, je ne pense plus à rien. La sérénité fait place à la fébrilité. J’entre et Elle est là derrière la porte. Ma fébrilité est palpable, je n’ose la regarder. Instinctivement et après un simple bonjour, je décide d’être franc. Je lui avoue que je suis plutôt stressé et intimidé en espérant inconsciemment qu’Elle prenne rapidement les rennes et me montre la voie à suivre. Une nouvelle fois, Elle se montre très rassurante et m’énonce le déroulement de la séance. Il est temps de préparer la séance, nous nous retrouvons dans l’anti-chambre de son donjon. Elle me laisse ici, le rituel veut que je me déshabille complètement pendant qu’Elle prépare le donjon. En cet instant, je n’ai même pas pensé « Mais qu’est ce que tu fous là ? Prends tes jambes à ton cou, c’est de la folie », je m’exécute simplement. Une fois nu, je me présente à la porte du donjon et je frappe à la porte. D’un ton impérial, Elle me dit « Tu attends », je ne bouge pas. Peu de temps après, Elle me dit calmement « Tu peux entrer ». J’entre dans le donjon, c’est une petite pièce avec un grand fauteuil où trône Miss G dont les jambes sont croisées. Elle porte une belle robe courte, noire et très près du corps. Je remarque un peu plus tard des tatouages sur ses jambes qui m’émoustillent. Miss G est ravissante ! Captivé par Miss G, je me rends compte à l’heure actuelle que je n’ai pas fait attention à grand chose dans la pièce à part une petite bougie devant ses pieds et une petite fourrure au sol. Elle m’invite à m’installer sur la fourrure et sans réfléchir, je me place à genoux. Je baisse ensuite naturellement les yeux. J’ai toutefois une vue imprenable sur ses pieds chaussés de talons aiguilles et sur le début de ses jambes. Afin de nous connaître un peu mieux, nous nous posons mutuellement des questions à commencer par « Pourquoi j’ai fait appel à Elle ? ». D’une voix tremblante mais sincère, je lui avoue que son annonce était très bien écrite, sensuelle et loin d’être prétentieuse, que sur les photos Elle semble très ravissante et élégante. Elle m’a tout de suite plu. Miss G me raconte également quelques uns de ses traitements et j’ai du mal à masquer mon intérêt. Une fois qu’on se connaît mieux, on passe à l’action. Sur ses recommandations, j’accepte de me laisser guider au son de la voix de Miss G. À sa demande, je me place face à une croix de Saint-André et Elle commence à m’attacher les poignées. Intérieurement, je suis un peu réticent à me faire attacher lors d’une première séance. M’ayant mis à l’aise depuis le début, je me laisse tout de même faire. Vient ensuite le bandeau sur les yeux. Je suis complètement à sa merci et dans l’inconnu. Je suis maintenant attentif au moindre son, au moindre effleurement. Je sens beaucoup de caresses, de baisers et de mordillements. Un martinet vient me chatouiller l’intérieur de mes cuisses pour m’inciter à écarter les jambes suivi de quelques légers coups de martinet. Je sens ensuite de petits picotements chauds sur mon dos avec une sensation de liquide qui coule. Je comprends rapidement que j’ai eu droit à la caresse de la cire chaude :) Un peu fébrile et sur le coup de la surprise, je sursaute au moindre effleurement du martinet et de la cire, je commence à monter en pression. Miss G me libère une main afin que je puisse commencer à me masturber. La sensation est très jouissive. Commençant à être très chaud, Miss G me propose un massage prostatique. Calmement, Elle m’informe qu’elle peut s’arrêter à tout moment si je ne me sens pas à l’aise, j’apprécie énormément sa bienveillance dans sa voix et je décide de me laisser faire. Entre le massage prostatique, le massage de mes testicules et de mon sexe, je ne sais plus où je me trouve, je suis au bord de l’explosion. Miss G décide alors de calmer le jeu et de finir le massage prostatique au sol. C’est intense et extrêmement jouissif, il est de plus en plus dur de me retenir. La libération vient enfin avec l’accord de Ma Maîtresse ! Nous passons ensuite à une séance de massage afin de me détendre. Je me couche sur le dos, Miss G me masse le torse et effectue par la même occasion de légère pressions sur mon cou comme si Elle souhaitait m’étrangler. Elle se couche ensuite sur moi, il me semble que sa poitrine est sur mon visage, inutile de vous dire comment je suis à ce moment :) Elle se place ensuite derrière moi et place ma nuque sur ces cuisses, Elle commence un massage de mon visage et finit par me pincer le nez et bloquer ma respiration. En cet instant, je lui fais assez confiance pour la laisser faire. Sur sa demande, je passe ensuite sur le ventre en calant mon visage au niveau de ces cuisses. Je suis encore une fois aux anges. Miss G se couche une nouvelle fois sur moi tout en me massant et me parlant avec des paroles très bienveillantes. Même si je suis de nature crispé et toujours aveuglé par le bandeau, je trouve cela très agréable. Nous approchons de la fin du jeu, nous terminons avec une séance de relaxation pour revenir petit à petit à la réalité. La séance finie, j’ai l’immense honneur de passer un moment privilégié avec Miss G afin de revenir sur mon ressenti. Il est vrai qu’on ne sait pas trop quoi penser quand c’est la première fois, je suis tout de même déboussolé depuis quelques minutes. C’est très rassurant de savoir qu’on peut parler avec notre Maîtresse. J’apprends aussi que ces moments ne sont pas donnés à tout le monde, j’en suis d’autant plus fier :) J’ai longtemps hésité à sauter le pas. Ce soir, je ne regrette pas d’avoir sauté le pas et de l’avoir fait avec Miss G. Ce que je retiens de cette séance, c’est beaucoup de sensualité, de bienveillance, de chaleur, de domination avec une Maîtresse RASSURANTE. Je pense qu’Elle m’a plutôt bien cerné :) La domination est restée soft pour une entrée en matière, elle sera peut-être plus forte la prochaine fois. Une chose est sûre, c’est Elle qui décidera. En venant à sa rencontre, je souhaite que les désirs et plaisirs de Miss G passent toujours en premier.
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Par : le 05/09/17
............. Après quelques verres et discutions, notre hôte apparut et annonçait la suite.... Enfin, j'allais découvrir ce qui m'attendait.... Muriel à mon bras, je suivais la foule. Non loin, j’aperçus Serge et Claire qui discutaient sur le chemin nous conduisant à une grande Salle.... La salle était assez vaste, pas grand meuble, ni décoration ne montrant guère l'utilité première de ce lieu...en dehors des jeux.... Au milieu de la pièce se trouvait une table juste assez large pour qu'une personne puisse s'y allonger et pas très longue non plus.... Elle était entouré de ces sièges de prière....donc l'assise était basse avec un petit coussin pour les genoux...et le dossier montant assez haut pour y poser les coudes.... Je souriais à la vue de ces derniers, me disant que les Saintes prières n'auraient certainement pas la même Sainte dévotion... Il y avait une de ses chaises à la tête de la table et deux autres de chaque cotés.... Le reste de la salle comportait différents fauteuils qui entouraient cette Sainte Table... Et la pièce était éclairée par de très grandes bougies disséminées ça et là...donnant une atmosphère très intimiste et de quiétudes fortes agréables... Certaines personnes prirent directement la direction des fauteuils et s'y posant, faisant face à la Sainte attraction... Je remarquais, ce qui m'amusa beaucoup, que seul les dominants prirent par dans les fauteuils...et les « possédés » restaient soit debout bien à la droite de leurs « Mains », soit directement entre leurs jambes.... Muriel m'indiqua le chemin directement vers la table.... Et je senti la pression monter, et cette gène d'être en spectacle devant d'autres personnes... enfin surtout autant...même si ce n'était pas la première fois...mais j'avoue que je n'ai jamais trop apprécié ce genre de situation avec autant de monde.... Une petite pancarte avec le numéro « 3 » se trouvait sur l'un des dossiers de chaises... Muriel s'agenouilla dans une élégance féminine remarquable...prenant soin de sa robe...relevant légèrement celle-ci, tout en descendant...et me laissait pleine vue sur le dessin de cette vallée fort « attire l'œil »... Elle m'invita ensuite à me mettre de l'autre coté de la chaise...vérifiant que la distance me séparant d'elle était suffisante pour œuvrer à son aise... D'autres personnes prirent part autour de la table de supplice...certains accompagnés comme moi...d'autres seuls... Quelques instant après, notre suppliciée arriva, toujours accompagnée de son bourreau encagoulé la trainant par sa chaine ... Le brou-ha des conversations se tue...et tout le mode n'avait d'yeux que pour cette suppliciée guidée vers sa destinée... Les personnes non accompagnées, au tour de la table, laissèrent libre place à ce convois, pour que la belle torturée puisse s'y installer... Elle était nue, son dos toujours bien marqué de sa « mésaventure » précédente... Son bourreau finit de l'installer en lui écartant ses jambes et ses bras, qu'il prit soin d'attacher aux pieds de la table.... Le Maître de cérémonie entra...Le silence fut total... .... A ces mots, les hommes seuls ouvrirent leurs pantalons...et commencèrent cette danse des Sens de leurs Saint Graal... Je me trouvais à la hauteur des Seins de la suppliciée. En fasse de moi, un homme très décontracté, buvait sa coupe de champagne pendant que sa compagne s'attardait de sa bouche à dresser cet étendard... Je sentis les mains de Muriel déboutonner délicatement mon Pantalon, et plongea sa main pour en tirer sa convoitise... Sa main était un peu froide au contact de ma peau. Mais très vite, je sentis cette « Fierté » être entourée d'une douce chaleur des plus agréable.... Sa bouche était un véritable délice ... Muriel s'activait savamment dans un doux mélange de va et vient de sa main et des jeux de langue... Tournant, cherchant le moindre recoin qui me serait sensible agréablement....en ce Graal dressé pour l'honoré de ses gestes des plus fort et surtout délicieux.... Mon esprit ne s'occupait plus des gens qui nous entouraient, ni même de la raison pour laquelle tout cela était fait...en fait je ne voyais même plus ce qui se produisait tout autour de moi, d'elle... Je me laissais simplement prendre à ce tourment des Sens... Je ne fus pas le premier à répandre cette sève de supplice... mais je ne me rendis compte que de ce fait...que lorsque je sentis l'instant fatidique...pointer Muriel sentit ce moment de Moi.... Elle retira sa bouche... Et en continuant à jouer de sa main, dirigea mon corps pour faire face à la suppliciée... Cela ne fit qu'augmenter mon plaisir... Étrangement alors que le changement de chaleur aurait put engendrer l'inverse....tout comme le fait d'être perturber du déplacement.... Elle s'activa encore plus rapidement dans ses gestes...mélange de relâche et serrage de ce précieux Graal en sa main... Je commençais à trembler...le plaisir était là...ne faisant qu'augmenter... Je voyais alors les autres hommes, certains ayant déjà sévis, d'autres étant, tout comme moi sur le point de livrer leur sentences.... Je me souviens avant de livrer ma propre sentence, que mon regard regarda furtivement tout autour... Je voyais juste quelques personnes souriantes, d'autres discutant.... Mais la délicatesse, la dextérité et surtout le plaisir d'exploser ne me permirent pas d'observer plus avant.... L'explosion me fit presque tressaillir, je me retins au dossier de la chaise....Le Jet, dans des soubresauts, se répandit, par à-coup sur le corps de cette belle suppliciée, déjà bien « marquée » d'autres sentences.... Malgré le plaisir qui me fut bien présent, je remarquai que la belle torturée, en fait, ne bougeait quasiment pas....aucun son ne sortait de sa bouche....elle subissait tout simplement... Mais seulement, lorsque la chaleur de cette Mâle liqueur venait toucher une partie de son corps...elle frissonnait et se contractait par la brusque présence de chaleur....Mais rien de plus.... Je me sentais totalement me vider....et quand, de mon « Don » de supplice il fut finit...Muriel, tout en me souriant, me fit me retourner vers elle....Et de sa bouche termina son œuvre jusqu'à la dernière petite goutte....Nettoyant ainsi cet arme de torture dont elle était l'usagée.... Elle se releva. Me déposa un tendre baiser sur la joue.... Murmura-t-elle à mon oreille.... J'en souriais.... Comment ne pas en être satisfait...Elle avait l'art et la manière de jouer de cette instrument.... Elle reboutonna mon pantalon....Pendant que le dernier finissait encore son œuvre.... Puis tout le monde applaudi de ce dernier livrant... La suppliciée, que je puis alors vraiment détailler, était totalement recouverte de cette liqueur de Mâles....de la tête presque aux pieds.... Étrange vision de salissure...étrange composante de ce liquide assez visqueux sur le corps joliment nue et fait.... Le bourreau détacha la torturée.... qui une fois fait....s'agenouilla devant notre hôte Tête basse, bras tendus vers lui... Dégoulinante et nue.... Bien que j'y pris plaisir, grâce à Muriel, de cette scène étrange....je ne compris vraiment pas l'intérêt d'un tel acte....le plaisir même que cette « torturée » pouvait y trouver....n'est-il que de satisfaire les désirs et vils sévisse de son Possédant... Mais de cette expérience, j'en garde le fait qu'il ne m'est franchement pas d'intérêt.... Que je le fasse seul sur le corps de celle qui me fait l'honneur d'être pour moi ...oui....et je trouve cela très plaisant...Mais là que cette personne en soit totalement recouverte....et par d'autres......je ne m'y ferai vraiment jamais....
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Par : le 02/09/17
La douleur est un thème qui me tient à coeur . La douleur et le marquage au fer rouge. Je suis une personne travaillant dans le milieu médical. Je suis également une Dominatrice d'où le paradoxe entre l'idée de calmer la douleur professionnellement et de l'infliger pour le plaisir. (le mien et celui de la personne que je domine). Dans tous les cas, je ressent un immense plaisir. Comme soignante, j'éprouve une grande satisfaction de voir les patients qui me sont confiés, éprouver du soulagement à la suite des soins que je leur prodigue. Il en est de même quand je domine mon soumis, quand je lui administre « les douleurs qu'il aime ». Douleur : sensation pénible, désagréable ressentie dans une partie du corps : sens premier. Pour moi soignante , une seule et unique définition : Une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à un dommage tissulaire présent ou potentiel, ou décrite en termes d'un tel dommage. J'exerce ainsi ma profession dans le respect de la vie et de la personne humaine. Je respecte la dignité et l'intimité du patient et de sa famille. Ce qui implique que je dois reconnaître la personne et sa souffrance dans le respect de la vie. Il y a aussi bien d'autres définitions de la douleur , moi j'en rajouterai une : sensation agréable et transcendante ressentie par certains êtres humains dans différentes parties du corps. Cette sensibilité que l'on ressent permet d'éprouver du plaisir. C'est la douleur en tant qu'objet de plaisir. Celui ou celle qui subit la douleur a besoin de l'exprimer par des cris, des pleurs, des gémissements ou mêmes des rires. Cela constitue une décharge émotionnelle qui soulage le corps humain. C'est une nécessité d'exprimer l'émotion créée par la douleur . Le fait de pleurer crier ou autre , calme et apaise. Cela permet l'intégration de la douleur par le corps et la rend supportable . Dans le cas des masochistes comme le sont la plupart des soumis, y compris le mien , la douleur est souhaitée admise, intégrée à leur mental, recherchée. Elle leur est indispensable. ATTENTION dans la limite de leur douleur et de leur préférence en cette matière. Mais toutes les Dominatrices de qualité savent cela. Cependant, nous les Dominantes savons toutes que les limites de nos soumis sont faites pour être dépassées; et nous les dépassons allègrement avec le consentement de nos soumis. Il suffit pour obtenir ce consentement de leur laisser le choix « FRANCHIR CETTE FRONTIERE OU PAS ? ». Dans la majorité des cas , ce consentement nous est acquis, sinon au moment même ,du moins quelques temps plus tard. Car les soumis ont à coeur d'offrir ce « DON DE SOI » à leur Dominatrice . Ils ne subissent pas uniquement de manière égoïste. Le Marquage au fer rouge de mon soumis berny nous a demandé des mois de préparation psychologique. A l'origine , je voulais qu'il porte un tatouage mais cela ne nous convenait pas vraiment . Berny souhaitait quelque chose de plus définitif . Il pensait déjà au fer rouge tout en le redoutant. L'idée m'a séduite et franchement , MESDAMES, quel cadeau de la part de l'homme qui vous aime . J'ai rapidement accepté. Il a fallut faire fabriquer le fer et organiser la cérémonie. Cela a demandé du temps et de la persévérance. Le jour du marquage arriva , néanmoins lors de cette fête, berny a bougé au moment du contact du fer et gémit. Je n'avais pas appuyé ni gardé le contact avec la chair de berny suffisamment longtemps. Ma marque s'est estompé en quelques mois. Lors de la cérémonie du renouvellement de son serment d'allégeance, le 12 JUIN 2010, chez Maître FARELL, je ne voulais pas qu'il bouge, ni qu'il crie ou gémisse. Je voulais qu'il soit fort , de cette force intérieure que les hommes savent éprouver et offrir quand ils sont amoureux. Je voulais que cette douleur que je lui infligeais soit sienne, soit nôtre, qu'elle soit son amie , de par l'amour que nous éprouvons l'un pour l'autre. Je voulais que MA marque soit indélébile. J'ai donc appuyé et prolongé le contact du fer rouge sur la peau de berny. Il a fallut 4 semaines de soins avant de laisser la brûlure à l'air libre. A chaque changement de pansement , berny me demandait de lui appliquer de l'alcool. (son côté maso) .Sa manière à lui de prolonger cet instant. Durant le jours qui ont suivi, nous avons beaucoup parlé. Berny a analysé ce qui l'avait fait, pour me donner satisfaction . Il a fait appel à sa force mentale , d'auto persuasion, d'auto hypnose. Il s'est aidé de son stress qui a accéléré les battements cardiaques et de sa respiration, en profitant pour forcer le rythme de celle ci. Chacun sait que la respiration joue un rôle primordial dans le contrôle des émotions et des réactions physiques. La présence du public, était influant aussi. Il ne voulait pas faillir . Je terminerai en remerciant mon soumis pour l'offrande de son corps et de son âme. White Lady . Je viens apporter mon témoignage sur le marquage au fer qui ne vaut que par ma vérité et ma réalité . En aucun cas je ne prétends que cela est LA vérité universelle . Ce n'est qu'une histoire vécue entre Maîtresse Gabrielle et moi . Mais quelle HISTOIRE . . . Il est certain que chaque couple D/s vivra cette aventure différemment . Tout d'abord nous sommes , Maîtresse et moi des êtres humains , ce qui régit notre union (libre en l'occurrence pour l'instant) c'est l'amour . Ensuite nous sommes Dominatrice et soumis . Nous vivons comme tous les couples amoureux , des moments extraordinaires , d'autres qui le sont moins .Comme tout le monde . Quand je dis (union libre ) Ce n'est pas exact , je me sens lié à Maîtresse , par l'amour mais aussi par quelque chose de plus , qui n'appartient qu'à nous autres , les gens du BDSM . Quelque chose que les profanes ne comprennent pas . Les Dominatrices exigent plus de l'homme qu'ELLES aiment , les soumis donnent plus à CELLE qu'ils aiment . Cocteau disait "" Il n'y a pas d'amour ,il n'y a que des preuves d'amour """ . Je ne suis pas d'accord avec ça : il y a les deux . Quand on aime quelqu'un on veut le lui prouver . C'est ce que j'ai voulu faire en même temps que faire mentir la désillusion contenue dans cette citation . Un jour Lady m'a posé la question : < Que serais tu prêt à faire pour me prouver ta soumission > Je n'ai pas répondu , je ne savais pas . Nous étions au début de notre relation . ELLE m'a laissé du temps pour Lui apporter ma réponse . ELLE souhaitait me faire tatouer , cela ne nous semblait pas assez fort . Bientôt , l'idée du marquage au fer s'imposa dans mon esprit . En effet , quelle preuve d'amour est plus forte ? plus symbolique ? plus significative ? Quand j'ai proposé cela à Maîtresse , ELLE fut horrifiée , puis séduite . Mais cela ne s'est pas fait en un jour . Il a fallut des mois de préparation psychologique .Moi aussi j'étais horrifié par le marquage au fer . La première fois où j'ai vu cette pratique remonte à mon enfance . C'était dans une bande dessinée "" Barbe rousse "" ( souvenez vous Pilote , Astérix ,) Eric son fils était marqué au fer avant de partir aux galères . Puis Jean Gabin alias Jean Valjean dans ""Les Misérables"" qui se brule lui même . Il y eut d'autres scènes de films ou de passages de livres qui m'ont marqué .J'étais fasciné . Voilà l'origine de ma proposition à ma Maîtresse . Le cheminement mental a été long pour y arriver . Ma motivation première était "" le don de soi "" à une Personne bien précise . S'est ajouté à cela d'autres sentiments et évènements : amour , envie de vivre ce que je suis , séparation , ne plus perdre de temps , être vrai , accorder mes prétentions avec mes actes , aller au bout de mes choix . . . La douleur n'a pas été si terrible que ce que l'on peut penser . Entre le moment où Ma Lady avait décidé de me marquer et le jour de la cérémonie , il s'est écoulé environ une année . Nous avons beaucoup parlé de cet acte . J'étais donc particulièrement bien préparé psychologiquement . Cela n'empêche pas ,cependant , l'appréhension , notamment durant les dernières heures avant l'instant crucial . J'ai été marqué deux fois , la première fois j'avais bougé , en raison de la peur , du stress , du manque d'assurance de Maîtresse peut être ( ça ne doit pas être évident de tenir le fer rouge et de l'appliquer sur un être vivant ). La deuxième fois ,chez Maître Farrell nous étions mieux préparés . Maîtresse m'avait demandé de ne pas bouger ni crier ni gémir . Inutile de dire que j'ai dû faire appel à toute ma volonté pour lui donner satisfaction . Grâce à la volonté et à la détermination on peut TOUT . La douleur que l'on ressent alors n'est pas la même que celle ressenti lors d'une brûlure involontaire . Et je sais de quoi il est question : je me suis brûlé très souvent au cours de ma carrière professionnelle ( chef de cuisine ) Là , elle est admise , souhaitée , offerte !!! La différence est fondamentale . Pour moi, la douleur : "La douleur est pour moi, un moteur. J'en recherche certaines comme j'en redoute d'autres. celles ressenties en périodes BDSM sont évidemment mes préférées. Cependant toutes les parties de mon corps ne réagissent pas de la même manière face à la douleur qu'on leur inflige. Mon sexe et mes côtés supportent difficilement les coups cinglants, alors que les pincements et broyages leurs conviennent parfaitement. Je pense que chaque être humain est différent face à la douleur ainsi que le seuil de douleur est différent pour chacun. certains ont une résistance physique considérable alors que d'autres sont très douillets. Entre ces deux extrêmes , il y a certainement toute une échelle de valeur. Les masochistes ont des préférences dans les pratiques SM dont ils ne sont pas responsables. Certains préfèrent les coups d'objets frappants, d'autres les pincements, d'autres les piqûres etc... Outre les douleurs volontaires en BDSM, il y a celles qui sont provoquées par le hasard des accidents de la vie. Il est évident que les traumatismes imortants ne sont pas ma recherche, tels que fractures, entorses, plaies. Cependant après un tel évènement quand les soins appropriés ont été prodigués, mon esprit se libère de tout stress et la douleur devient exquise. Quand les calmants commencent à agir, le bien être envahit mon corps , alors je le regrette presque. Il m'arrive souvent de pratiquer un exercice mental afin de canaliser la douleur dans l'attente de soins et de médicaments. J'essaie de l'apprivoiser par la manière de respirer, je me décontracte et j'isole la partie en souffrance du reste de mon corps, de séparer mon esprit de mon enveloppe corporelle. L'auto suggestion est très efficace. Je me demande toujours ce que ferait une autre personne dans une telle situation. La réponse est invariablement positive, elle résisterait. Donc , moi, je ne peux faire moins, et je me pose une question fondamentale : suis je ou non Masochiste ? Alors, j'essaie de tranformer la douleur incapacitante en douleur plaisir. A partir de là, je rejoints mon état de masochiste et mon cerveau se met à fabriquer les endorphines qui vont aider mon corps à supporter la douleur. Il y a un autre aspect de la relation à la douleur. Dans une période de souffrance, mon esprit me dicte l'attitude à avoir. Les connections de mon cerveau se mettent en action pour me dire que j'ai mal. C'est que j'existe, que je suis vivant , que j'ai un combat à mener. C'est dans l'adversité, la douleur , les échecs que je me sens le plus vivant, car mon nstinct m'oblige à réagir, à faire en sorte d'améliorer la situation. Je crois que cela s'appelle "l'instinct de survie". Nous avons tous des méthodes personnelles pour apprivoiser la douleur. Pour ma part, j'en ai une qui consiste à penser à quelqu'un ou à quelque chose d'agréable. Là encore, le plaisir créé par les souvenirs va m'aider à atténuer les effets insupportables de la douleur. Les pensées érotiques ainsi que les fantasmes qui provoquent chez moi le désir sexuel et qui m'invitent à me masturber, et au final l'orgasme sont des moyens très éfficaces contre la douleur. Je crois que tout être humain voire même tout animal a ses propres auto défenses. Car vivre pour MOI signifie obligatoirement souffrir et chaque être vivant se prémunie comme il le peut contre la souffrance. La présence du public m'a également beaucoup aidé , je ne voulais pas faillir devant l'assistance . Je m'en étais refusé le droit . Je terminerai en remerciant Ma Lady , cette marque est la sienne , la mienne . c'est pour ELLE que j'ai subi cette douleur , par ELLE je suis fier de cet acte . berny
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Par : le 25/08/17
Ce texte est publié sous forme d'article avec l'aimable autorisation de sa rédactrice, Hamadryade.     "Parfois on me pose cette question, mais bien souvent, je croise des Dominatrices qui finissent par baisser les bras, par ne plus y croire, totalement désabusées et déçues par tout ce à quoi elles sont confrontées au quotidien.   Alors me concernant la réponse est simple, j'ai cru être Domina, mais le constat était sans appel, ça n'a jamais été le cas. Être autoritaire et indépendante dans le "civil" ne suffira jamais à faire d'une femme une dominatrice. Correction d'itinéraire en cours de route et aucune marche arrière envisagée ou envisageable. Sujet clos.   En revanche pour les Top-ines et les autres, pour ces FEMMES réellement dominantes et qui désespèrent de trouver le compagnon de vie qui saura se soumettre à leurs désirs à ELLES .... j'ai souvent de la peine et donc j'a eu l'envie de leurs prêter main forte et de leurs apporter tout mon soutien.   Du coup, suite à un post de Madame-L sur le mur général (https://www.bdsm.fr/murgeneral/wall/comment-id_17664/) et aussi à une question sincère d'un switch demandant où le bas blessait, je me suis amusée à tirer quelques fiches de soumis au hasard et à faire un petit (vraiment petit je vous le promets) florilège de tout ce à quoi ces femmes sont confrontées et qui finit par leur donner envie de rendre leurs cravaches.   Je n'ai trouvé aucune fiche n'exigeant pas, aucune fiche respectant les femmes auxquelles ces descriptions sont destinées. Parfois des profils totalement fermés ça oui, et alors ne vous étonnez pas de n'intéresser personne, mais pas une seule fois un profil qui sorte de l'ordinaire, qui donne envie d'en savoir + sur celui qui l'a rédigé. Bon je n'y ai passé que 15/20 minutes au max, et donc ma sélection n'est ni complète ni même objective, mais elles se rapprochent malheureusement énormément de cette triste réalité.   Alors voilà messieurs, pourquoi finalement vous ne trouvez jamais Domina à vos fantasmes. Vous ne vous concentrez que sur vous-même, oubliant systématiquement qu'avant d'être inscrite sur un site tel que celui-ci sous l'étiquette domina, celle que vous recherchez EST D'ABORD UNE FEMME. Avec des goûts, des envies, des attentes, des espoirs, des fantasmes de FEMME. Leur domination, ce n'est que la cerise sur le gâteau, que ce petit truc en plus qui pourrait transformer la relation que vous pourriez établir (avec beaucoup plus d'humilité pitié) avec l'une d'entre elles, en quelque chose de merveilleux pour vous 2.   Mais tant que vous ne fantasmerez que sur de la Dominatrix de papier glacé ou de pixel, alors vous aurez la garantie de devoir faire face à déceptions sur déceptions. Oubliez les récits fantasmés qui pullulent sur le net, les bandes dessinées érotiques, les images mises en scène, les livres gynarchiques etc. Oubliez tout ce fatras qui vous encombre les neurones et regardez avant tout en chaque Domina la FEMME. Tentez de la découvrir, de la séduire, de la faire vibrer émotionnellement, ne lui parlez pas de vos envies et autres exigences, apprenez à découvrir ses attentes à elle et je vous en supplie restez humble et oubliez toute l'obséquiosité dont vous croyez obligé de remplir les messages que vous lui envoyez. C'est insupportable. Stop les "divine Maîtresse", les "Oh ma Reine" et autres fadaises. Vous ne les connaissez pas et il n'y a qu'une minuscule chance qu'elles puissent devenir un jour VOTRE Maîtresse. La politesse ce n'est pas du léchage de pompe et du passage de la brosse à reluire, la politesse vous l'avez apprise enfant, c'est bête comme chou et ça change vraiment la donne.   Voici donc un petit florilège des passages que j'ai pu trouver sur vos profils et qui vous garantissent un échec en 2 secondes chrono :   La recherche tout zazimut, peu importe le flacon tant qu'il est sûr d'avoir l'ivresse   "La Maîtresse d'une vie ! ...ou une Maîtresse d'un moment... ou éventuellement une soumise..." / "relation bdsm, soumission avec femme, homme, couple" / "femme couple homme trans"   la recherche ultra ciblée (il sait ce qu'il veut mais qu'a-t-il a offrir en retour ???) dit aussi le soumis liste de courses "Recherche réel suivi : contraintes, humiliation, punitions corporelles" / "A la recherche d'une dominatrice maniant douceur et sévérité qui saura prendre en compte mes divers goûts..." / "Fétichisme cuir et naturisme souhaité." / "attache, enfermement, stage, obéissance, contrainte, services divers.. soirée privée, multi couples... chasteté et travestissement "léger" possible / "Soumis soft ! jeux humiliation !!! Fessés, gifles, uro" /. Je souhaite rencontrer des femmes black, dominatrice, vêtue d'un uniforme. Des femmes très sévères impitoyables ne cèdent pas aux soumis, pour réaliser des jeux de rôle, basés sur la domination féminine. Des spectatrices pour humiliation, seront les bienvenues."   la recherche dont tu sais que tu vas te coltiner tout le boulot et que tu n'as pas intérêt à relâcher une fois la bride sinon ça serra la preuve que tu n'es pas une vraie domina "soumis a éduquer par une femme autoritaire" / "une maîtresse qui me prenne en main qui me dresse" / "je cherche une maîtresse qui pourra éduquer le jeune novice que je suis."   la recherche qui te garantit que ta jouissance et la queue de ton gars, bah tu peux oublier tout de suite. T'es Domina merde, tu n'as pas le droit d'aimer te prendre un coup de bite, c'est indigne de ton rang. " Je ne recherche pas de relation sexuelle (à proprement parler) mais une utilisation forcée et quotidienne au gré de la Volonté de la Maitresse." / "passif soumis je suis aux désirs et offre mon corps de soumis aux jeux de mes maitres".   la recherche qui te fait dire que le gars ne veut surtout pas devoir aller pointer à l'usine, toi tu fais bouillir la marmite, lui il attend que tu rentres pour le fourrer avant que tu ne fourres la dinde parce que "oh mais Maîtresse vous faites tellement mieux à manger que moi" "Mariage gynarchique" / "très soumis, gynarchiste, âme d'esclave"   la recherche MOI JE (souvent chez les jeunots, ils viennent de quitter maman et z'ont peur tout seul le soir) "Je recherche une domination de préférence suivi afin d'accroître mon expérience et découvrir de nouveaux plaisirs." / "je cherche une maîtresse qui pourra éduquer le jeune novice que je suis."   la recherche ethnologique "Je suis a la recherche d'une Damme voulant bien me dresser et faire de moi son sujet d'expérience..."   la recherche cadrée dans le temps (Madame l'officielle part en vacances avec les enfants chez belle-maman, alors c'est maintenant ou tout de suite putain !!!) "A disposition cet été pour être placé en soumission domestique et sexuelle" Et tout ça n'est qu'un extrait minuscule de ce que l'on peut lire sur vos profils messieurs .... je suis certaine que les Dominantes de ce site ont du beaucoup plus lourd en stock.   D'ailleurs Mesdames si vous souhaitez partager tout ce qui vous insupporte (sans citer de pseudo, merci) ce post vous est offert. Et vu la masse de soumis en recherche de collier, même si seulement 2% d'entre eux évoluent un peu après cette lecture, ça fera déjà du monde ;) Ajout de Team BDSM : A lire également : https://www.bdsm.fr/annonces-dominatrices/
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Par : le 11/08/17
. . Ce matin-là, un œil curieux pouvait remarquer deux femmes chargées traverser, sous l'ombre bienvenue des arbres dans l'allée, le parc du Peyrou. Il les verrait passer près de l'Arc de Triomphe, murmurant peut-être déjà des insanités complices. Il les verrait glisser sur les pavés du vieux Montpellier et progresser à petit pas dans la descente vers la cathédrale Saint Pierre. Le soleil cogne déjà impitoyablement, l'air est moite et promettrait presque un orage d'été, qui ne viendra pas...?S'il n'est pas allé à leur rencontre, c'est qu'il se prépare à subir les assauts sodomites de la domina. Mais il est prêt à leur arrivée. Toutes deux retrouvent avec bien-être le domaine hétéroclite de l'homme qui leur sourit, torse-nu, dans l'entrebaillement de la porte. Rien n'a vraiment changé depuis un an. Les instruments de musique modernes et anciens, d'ici ou d'ailleurs n'ont pas quitté leur place. Ni les livres et les objets d'art.?Cela sent plus l'encens que le stupre, mais mon œil avise d'emblée une autre collection : des godemichés tous plus gros les uns que les autres. Les voir étalés ainsi à la vue dans un effet compact et dense nous laisse rêveuses. ?Elle a apporté ses fouets et son vibrateur, ainsi que deux ou trois autres jouets. J'ai mes cordes, ma boîte d'aquarelle, un livre érotique. Nous avons projeté, les uns les autres, certains scénarios mais il faut nous réapprivoiser tous les trois, ensemble.?Sonne l'Angelus. Grouillent les estomacs. Les premiers plaisirs sont de chère : bonne charcuterie, bons fromages, bon pain, bon vin augurent des agapes de chair à venir. Une belle façon d'entamer cette journée. Nous la finirons de même...?Il nous raconte, il nous enchante, en musique et en narrations. Nous sommes suspendues toutes deux à ses lèvres. Je la masse aussi, l'huile d'amande douce glisse sur ses épaules et son dos, sa nuque, comme glisse la voix mâle et suave entre nos oreilles. Préliminaires...??Passé l'instant de partage artistique et gastronomique, de sensualité douce, nous parlons de nos envies. J'évoque un jeu d'été, une sodomie filmée, et diverses autres fantaisies. On ne déflore pas tout. On laisse l'appétit grandir, le désir s'installer, palpable entre les murs ou sous la poutre où sont fixées des chaînes. À ces chaînes pendent deux anneaux. C'est son jeu à lui, son choix. Il m'enfile les anneaux aux bras puis scelle un carcan enserrant poignets et cou. Me voilà captive, maintenue à la poutre, oscillante-battante entre quatre mains curieuses et avides. L'une claque sur mes fesses, main d'homme longue, large, un battoir sur ma peau qui chauffe, tandis qu'une main féminine apporte son lot de plaisirs, doigtage et caresses pour contrebalancer la rudesse de la fessée. Lui pose des aspire-tétons sur mes seins. Ma bouche hésite entre les gémissements plaintifs et les cris de jouissance. La badine remplace la main de l'homme, impitoyable, sèche, vive, mordante. Elle laissera son empreinte en hématomes violacés. Lui se place contre mon dos. Sa queue raide prend mon cul sans ménagement. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais bientôt le plaisir poind son nez inévitable, envahissant. Elle pose un vibrateur sur mon sexe brûlant, le plaisir grandit, prend son envol. L'orgasme, le premier, violent. Lâcher prise, pleurs. Je ne porte pas de baîllon pour bloquer mes bruits de voix, je me sens baver, en longs filaments. Jusque sur son visage, qu'elle essuie, hallucinée. Puis elle essuie ma bouche suintante. Il s'est retiré. Un leurre. Il y revient plus tard, après m'avoir doigtée avec fougue. Il m'encule à nouveau énergiquement et elle me stimule. Combien ai-je eu d'orgasmes ? Trois, quatre ? ?Il me détache enfin et je retombe tout molle, inerte et repue sur le lit. Anéantie, ailleurs et ici pourtant, le corps démis, dégoncé, abandonné entre les bras de l'amant et sous le regard bienveillant de la domina. Instant de calme, de tendresse pour tous les trois. Nous sommes en sueur, lui surtout, d'avoir tant donné de sa personne.??La suite s'enchaîne sur des plaisirs buccaux en tout genre, avec beaucoup de sensualité. Et sur un godage en règle de celui qui goûte tant le plaisir anal. Doigté, godé, puis fisté par elle, très concentrée, les yeux agrandis par le désir, une lueur de gourmandise tellement palpable dans son regard. Il est à quatre pattes, offert et gémissant. J'écris le début d'un texte érotique sur son dos mais il transpire tellement que les lettres se brouillent dans la foulée. Je lis puis il doit prendre le relais tout en étant fisté, ardemment. Je me délecte des mots et de la vue. Il y est question de cunnilingus, entre autres. Je me place devant lui, ma vulve face à son visage. Comme il est troublant de le voir me lécher et se faire fister, et la voir, elle, son visage empreint d'une jouissance toute cérébrale. Délices de voyeuses démultipliés, agrandis par les sensations tactiles, les sons, les claquements de langue et les gémissements. Les cunnilingus se suivront sur l'une ou l'autre au cours de la journée, des jeux d'exhibition et voyeurisme, des jeux uro, c'est un festival de chair et de peau, de regards et de mots, de cris et de feulements. Voir une femme jouir est si beau, regarder un homme lui apporter cette jouissance est si voluptueux. Je ne m'en lasse pas...??Puis, elle s'empare de ses trois serpents qui s'apprêtent à siffler sur nos peaux enlacées. Fouetteuse émérite, son geste est sûr, net et en même temps sensuel, quand parfois j'ose un regard vers elle. C'est une danse. Lui et moi serrés l'un contre l'autre d'un côté, tournant devant elle. Ses serpents et elle, qui tournoient avant de s'abattre. Cela claque, cela single. Stoïque face à la douleur, lui ne bronche pas, quand je pousse des cris aigus et formule des protestations. Mais aïeuuuu ! J'assume ce côté chochotte annoncé bien avant le début de la journée. Revendiqué même. Il m'agace, cet impassible au sourire tranquille ! Sa maîtrise est parfaite et mes bavardages stériles contrastent de façon ridicule avec sa zénitude. Il m'entoure de ses bras protecteurs et sourit. La séance ne dure pas très longtemps, juste une découverte de ses talents. Merci Lady Spencer. Et merci Abyme pour nous avoir accueillies chez toi pour cette journée mémorable. L'atterrissage a été long après une telle intensité. _________________________________ . Je ferme les yeux et je me laisse remonter le temps : mercredi dernier, une journée chaude, très chaude .... Un problème de voiture et Lullaby vient me récupérer : elle dort chez moi, ce qui nous offre cette complicité perverse de prévoir nos jeux : pourrons-nous tous les réaliser ? Pas certaine, mais aucune importance : nous partons le lendemain chez Abyme, à deux pour jouer avec lui, sur lui et en lui : en nous aussi bien sûr Je redis à Lullaby que je ne suis toujours pas bi mais mon voyeurisme est tel que j'apprécierai toutes scènes érotico-porno-orgasmo- et plus si affinités .... Je veux voir, sentir, ressentir, je suis excitée mais je masque sans trop savoir pourquoi : mes désirs se font intenses, je me caresse sur le canapé alors que Lulla dort au 1er : je tais ma jouissance Chez Abyme, la chaleur est lourde, il ferme les fenêtres pour éviter que les cris de plaisirs ne glissent vers la cathédrale : il aura raison . Fin de matinée : nous arrivons déjà trempées par la chaleur mais Abyme nous rafraichit rapidement : il est fatigué de ses jeux de la veille, avec une femme rencontrée peu avant, son accueil s'en ressent . Sans doute n'est-il pas simple non plus de naviguer entre une switch, Lullaby, et une domina, moi : qui veut quoi dans tout ça ? Et toi, Abyme : tes désirs te portent vers quoi et vers qui ? Lullaby joue à le provoquer : hmmm, est-ce bien prudent ? Mes désirs sont clairs : je veux revivre "une fontaine" et je veux le cul d'Abyme : je veux le baiser et le fister : j'adore ! Lulla laisse couler une petite phrase : "oui, je vais prendre ton cul aussi, Abyme" ..... Déjeuner de belles et bonnes choses ouvrant nos appétits, je goûte un Gigondas délicieux, moi qui ne bois pas .... Lullaby explique qu'elle a un gage ou plutôt, un "devoir" à remplir pour son parisien dominateur : avant la fin de l'été, elle devra comptabiliser 12 sodomies avec 12 hommes différents (tiens : une question ce soir : et aucune avec une femme ?), tout cela photographié ou filmé : je sens Abyme intéressé .... Tenue maintenant appropriée et nous montons dans la chambre : Lulla sait qu'elle va être sodomisée, je ressens son excitation mais elle ne s'attend pas à être prise aussi vite et fort : elle aime les préparatifs, les caresses... Abyme en a décidé autrement Au-dessus du lit, une poutre où sont fixées des attaches : Abyme ordonne à Lulla de prendre place sous les attaches : il la bloque, place un carcan, je l'aide et cette situation est loin de me laisser indifférente entre les cuisses Ses ordres tombent, secs, impétueux : il sait qu'un autre de mes désirs étaient de le voir DOMINER une femme : il va me donner satisfaction, oh combien ! En quelques instants, Lulla est bloquée, offerte, sa chatte et son cul à disposition, cette image est très troublante Je ne saisis pas son émotion à ce moment mais je vois son expression lorsque Abyme écarte ses fesses, vivement Il branle sa queue déjà raide et se frotte sur ce cul tremblant : d'un seul coup de reins, il la pénètre et elle crie sous l'assaut : elle geint, et demande déjà plus de douceur : "je ne suis pas comme tes amies aussi facilement enculables " .... Abyme redouble de vigueur et baise ce cul à grands coups de bassin : ce cul ouvert et dilaté qui fait couiner Lullaby de ce plaisir douloureux qui monte dans ses reins Il sort son dard pour le rentrer de nouveau, sans délicatesse, enculant plus fort encore le cul palpitant : il la lime, la baise, la viole presque, exige qu'elle dise aimer cela, et de sa voix entrecoupée de sanglots de plaisir, elle murmure aimer être prise ainsi Je vois Abyme en Maître absolu de cette baise échevelée, sa queue dure amenant Lullaby à cette jouissance si puissante qu'elle en pleure, en bave comme sa chatte bave : je ne résiste pas au plaisir de la visiter, sa chatte, je la pénètre de deux doigts et je caresse le membre mâle contre la paroi tendue : je suis excitée, terriblement et en même temps, étonnée de vivre cela Mon regard en sera témoin lorsque nous regarderons la vidéo plus tard : un étonnement de tant de plaisirs partagés sur ce cul sodomisé violemment Abyme ne cesse ses va-et-vient, il redouble de force : elle jouit sous ses coups de butoir, lui se retient bien-sûr ... Il reprendra son cul plus tard dans la journée, pour la faire gémir et hurler de plaisir, je branlerai sa chatte de nouveau, en pénétrant en même temps son cul : mes doigts pinceront la fine paroi, je masturberai aussi son clitoris, dur et sensible Elle s'effondrera, tremblante, les bras marqués par les attaches, les cuisses pleines de mouille et de sueur, les cheveux collés sur son visage, les lèvres rouges de désir et de plaisir : ce plaisir brutal qu'elle a tant aimé ! Lorsqu’il la détache, elle s'effondre sur les draps trempés : tout se mélange : les liquides d'orgasmes, la sueur, les larmes, les bouches aussi . Elle est secouée de spasmes et ses larmes donnent à son visage ce teint rosé la rendant belle en sa jouissance : Abyme lui dit ces mots là, la câline, la protège, la serre dans ses bras Elle retient ma main qu'elle garde dans la sienne et murmure un "merci" pour cette complicité Elle dira même en me regardant tendrement : "toi qui te dis non bi ...." et éclate de rire .... La chaleur est presque insupportable, nos trois corps suent de plus en plus mais nous ne sommes pas rassasiés d'expériences et de sensations Plus tard, Abyme, de nouveau dur, raide, avide de nous donner encore du plaisir, avide de m'offrir son cul également, rebaisera la chatte de Lullaby : une complicité charnelle entre eux qui les attire, les aimante dans ce se besoin de donner et de prendre . Je sens ce besoin de fusion entre leur corps, je me mets en retrait mais je continue à jouer les voyeuses excitées : mon sexe est tendu, ouvert et plein de mouille chaude Cette sensation de se sentir ouverte est prodigieuse : un appel à la queue véritable, ou aux doigts, ou un gode, qu'importe ... Il ouvre ses lèvres et branle son clitoris, délicatement puis par des mouvements circulaires rapides : elle crie encore, se tord sous ses doigts qui la pénètrent puis ressortent : il la veut encore, il le sent car elle veut aussi sa bite en elle Son ventre de femelle l'appelle, il la retourne sur le ventre et la sodomise de nouveau : elle le reçoit sans protester mais couine sans cesse. Il veut la voir jouir encore et encore, moi je le veux aussi : je n'interviens pas entre eux mais avec eux, je glisse mes doigts dans chaque orifice à ma portée En Lulla, je plonge 2 doigts dans son sexe et je la harponne de mes doigts recourbés dans sa chatte : ses cris de plaisir me font couler et excitent Abyme : il est dos à moi, je le veux à 4 pattes, j'appuie sur son dos pour qu'il m'offre généreusement son cul tendu Mes doigts l'ouvrent et le dilatent : quel accueil dans ce cul ! C'est mou, c'est chaud et trempé : il mouille du cul, cette salope ! Il se contracte sur mes doigts, j'en glisse un 4ème puis le pouce : je me sens attirée dans cette antre, je veux le fister, je veux le posséder, je veux lui remplir le ventre , alors je force et je rentre en lui , je prends enfin son cul Mon poing baise son cul, sans ménagement, je sais combien il aime sentir son cul baisé ainsi alors, je ne me retiens plus, ma main va et vient dans ce ventre affolé ... Je veux me sentir prisonnière de son cul, que je pense ne plus jamais pouvoir en ressortir ...... Je mets encore et encore du lubrifiant m'autorisant tous les mouvements au fond de lui : je veux le faire jouir ainsi mais je le sens crispé et pas en phase avec mon envie Je sors de ce cul que j'aime tant pour le reprendre plus tard Les mains d'Abyme trouvent nos chattes et les masturbent , sa queue reprend sa place contre le vagin et tape le fond pour la replonger en jouissance: les cris de Lulla reprennent , elle ne peut plus se contrôler, elle jouit encore : pas forcément d'orgasme mais de plaisir orgasmique qui ne s'arrète plus .... Une des plus belles images qui restera longtemps gravée en moi, sera de voir et d'entendre Abyme se lover contre Lulla et la câjoler  pour la faire redescendre doucement, avec des mots tendres, il la calme, la rassure, l'aime à sa manière.... Plus tard en soirée, d'autres désirs nouent encore nos tripes : la pratique uro et la flagellation Abyme installe tout le matériel au rdc : draps, couvertures... Questions techniques rapidement résolues : nous installons, nous nous préparons à vivre d'autres sensations, d'autres plaisirs Abyme a un désir puissant : que nous urinions en lui et ce désir fait écho en moi : j'aime terriblement les jeux d'urolagnie : je les trouve indécents et j'aime ça ! Lullaby observe attentivement, n'ayant pas encore pratiqué : son regard brille tant elle veut offrir ce plaisir là à Abyme Elle me suit dans mes envies également L'installation demande quelques précisions : Abyme a besoin d'une excitation particulière : une caresse lui procurant cette érection est de lécher Lulla, assise les cuisses écartées J'adore entendre Lulla gémir sous la langue d’Abyme : il l'aspire, il la mord, il écarte ses grandes lèvres, il tète son clitoris et la fait couler : le plaisir monte entre les reins de Lullaby, elle feule, elle couine, elle crie de nouveau ... Abyme me demande d'ouvrir son cul d'homme excité : je place le speculum, délicatement, je l'installe au fond de son cul et j'ouvre. Je le dilate doucement mais implacablement : de le voir ainsi ouvert fait mouiller mon sexe, mon jus d'excitation coule sur mes cuisses Abyme s'allonge sur le dos et remonte son bassin pour nous offrir son orifice béant : nous venons à tour de rôle Lulla et moi tenter de vider notre vessie mais pour nous, ce n'est pas simple : se lâcher ainsi, ouvrir les vannes demande une capacité que nous ne trouvons pas : ce sera pour la prochaine fois : quel dommage ! Mais je veux redevenir fontaine et lui seul peut me procurer ce plaisir Je m'allonge sur le dos, les cuisses largement écartées, je me sens enfin juste Femelle au bord de son prochain orgasme : je veux vivre de nouveau cette fontaine : Abyme se place face à moi, Lulla de côté et les doigts d’Abyme me pénètrent Tout va vite, trop vite... je ne comprends toujours pas, je me contracte, une crainte de me laisser trop aller ..... Il me branle tellement fort que mon liquide sort et trempe son bras : je suis là et très loin à la fois, je me sens trembler, je suis prise par un orgasme très bref mais tellement puissant ! J'expliquerai le lendemain à Abyme pourquoi je n'ai pas tout lâché : cette jouissance est tellement nouvelle pour moi que je cherche encore à maîtriser et à garder le contrôle : il l'a ressenti au bout des doigts : la prochaine fois, Abyme, la prochaine fois, je lâcherai vraiment .... Je reste allongée pour récupérer : suis-je Dominatrice à cet instant ? Oui, non, peu importe, je suis une femme pleine de désirs encore, pétrie de jouissance, je me moque de savoir si je suis dans une case comme je l'ai déjà lu ou entendu et ce qui va suivre m'excitera au plus haut point Filo se place au-dessus de moi, embrasse Lulla, la doigte, puis il plonge sa queue dans ma bouche : je le suce et j'aime ça Il se retire de ma bouche pour un autre jeu : il sait naturellement que j'aime ce qu'il va faire : il vise ma bouche et pisse dedans, par jets chauds et forts Je le goûte, j'avale un peu, en laisse couler sur moi et j'adore cette sensation Mais ce que je vais aimer plus encore, c'est cette urine chaude dont Filo remplit ma fente : il gicle en moi de longs jets ....j'adore ! Il pisse au fond de mon ventre, il me remplit , il me marque de ses phéromones urinaires ....et j'ai failli en jouir ! Et ça, Abyme ne le savait pas jusqu'à lire mes mots ce soir J'imagine combien de femmes dominatrices réagiraient violemment en lisant ce récit : quoi ? de quelle espèce de domina, LS fait partie ??? Je n'en sais fichtre rien et je m'en fiche : je veux clôturer ce récit en remerciant Lullaby et Abyme pour la liberté de plaisirs vécus ensemble, pour ces éclats de rire, et pour cette perverse complicité d'homme et de femmes Merci pour ces tremblements au plus profond de mon ventre en vous regardant tous les deux Merci pour nos fous-rires avec Lulla Merci pour cette fontaine si bien cachée au fond de moi : libère moi encore Abyme ..... _________________________________________________ Pour rappel, quelques images de la séance sodo en carcan : https://www.bdsm.fr/photo/394184/lullaby-seance/userid_14770
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Par : le 01/08/17
L'année dernière, j'avais répondu sur le forum au sein d'un post où se disait un peu n'importe quoi sur le libertinage, par des gens qui apparemment ne savaient pas de quoi ils parlaient. Notamment les détenteurs du “vrai“ BDSM qui, je n'ai toujours pas compris pourquoi, méprisent les libertins. Comme mon intervention s'est perdue depuis longtemps dans les méandres du forum et que j'avais archivé mon commentaire, je le publie aujourd'hui en article, à toute fin utile. Comme le BDSM, le libertinage est très large et se décline librement, comme on le sent. Mais il faut arrêter de confondre libertinage et échangisme. Et même libertinage et pluralité. L’échangisme fait partie du libertinage, contrairement à ce que prétendent certains échangistes qui ne voient que par les œillères du couple et concluent que ce sont eux qui sont au centre et détenteurs du “vrai“ libertinage (encore un point commun avec le BDSM, tiens). Le libertinage se définit d’abord par sa racine étymologique : liberté. Donc pas question de jalousie, d’exclusivité et de règles, sinon celles de base comme le respect et l’hygiène. Contrairement aux rencontres classiques (en vrai ou par le web, genre Meetic) ou adultères, les rencontres libertines se basent sur la liberté de jeux sexuels assumés, pris comme loisir, sans engagement ni cachotteries :- entre deux personnes d’abord, c’est la base, - ou trois (trio), - ou plus (partouze, bien que ce mot soit désormais trop connoté négativement), - ou entre un couple et une personne (trio), - ou entre deux ou plusieurs couples (échangisme ou mélangisme ou côte-à-côtisme), - ou même entre un membre de couple et une ou plusieurs personnes devant l’autre membre (candaulisme), - ou entre une femme et plusieurs hommes (pluralité, nommée aussi gangbang), - ou encore entre un mix de couples et de célibataires. Le libertinage ne se pratique pas qu’en clubs ou lieux dédiés et payants, selon un cliché, mais aussi chez soi ou ailleurs. Un type qui voit plusieurs maîtresses en trompant sa femme n’est en général pas considéré comme un libertin, bien que dans les faits, il puisse l’être aux yeux de ceux qui ignorent sa vraie situation; Mais en général les libertins sont des gens libres, ouverts, disponibles et respectueux, pour qui une relation de couple exclusive est ennuyeuse et insuffisante à réaliser un épanouissement ou une réalisation de fantasmes liés à la diversité et à la liberté. Ce sont donc des personnes célibataires, disponibles et ouvertes, ou bien des couples. Pour les couples, certains sont des couples déjà constitués de façon classique qui se mettent un jour au libertinage (en général échangisme, mais ça peut être trio ou candaulisme, etc). Parmi eux, certains font l’essai et arrêtent lorsqu’ils s’aperçoivent qu’ils ne sont pas faits pour ça (jalousie en général, références culturelles trop empreintes d’exclusivité). Certains sont motivés surtout par la volonté d’un des deux, et l’autre suit pour lui faire plaisir, mais sans plus d’enthousiasme, et c’est bien dommage de voir ce genre de couples. Les autres sont des associations de deux personnes déjà libertines à la base, et ceux-là arrivent mieux en général à gérer la situation, forcément. Au sein de l’univers du libertinage, il y a ceux, comme moi, qui pratiquent également le BDSM, mais en général en se concentrant sur les jeux sexuels affiliés, pas pour une relation unique et exclusive incluant la D/S cérébrale. Mais il existe des exceptions, ou plutôt des associations, comme par exemple le cas d’un maître offrant sa soumise à des libertins de façon ponctuelle, ou une domina qui s’«offre» devant son soumis en un candaulisme forcé. Au départ, le libertinage était gratuit et libre, mais comme pour le naturisme ou le BDSM ou tout ce qui devient (hélas) à la mode, il est devenu une logique commerciale exploitée juteusement par des clubs, boîtes, saunas, sites internet payants, etc… C’est pourquoi ceux qui y viennent depuis une ou deux générations croient qu’il ne se conjugue qu’avec un paiement, en général des clubs. Le Las Vegas incontournable de l’exploitation commerciale du libertinage (et même du BDSM ou du pseudo-naturisme) est dans ma région le Cap d’Agde, qui pour beaucoup constitue une référence. Personnellement je n’y mets pas les pieds car je ne cautionne pas cet esprit. En conclusion, je dirai que le libertinage est ouvert à tous, et que c’est peut-être la raison pour laquelle il est devenu à la mode, et de plus en plus, et que c’est cela qui est en train de le discréditer, comme le BDSM finalement.
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Par : le 19/07/17
Je m'en vais vous conter une aventure vécue avec Maîtresse Gabrielle . Maîtresse Gabrielle m'a prit comme soumis en juillet 2005 ,en septembre de cette même année , ELLE voulu tester ma volonté de le rester , ELLE voulu tester mon état de soumis. ELLE me convoqua donc pour un tête à tête quelque peu spécial, tout en m'indiquant la marche à suivre . Je devais louer une chambre dans un hôtel situé dans sa région à une date et une heure précise . J'arrivais longtemps à l'avance , je ne voulais pas manqué ce rendez vous avec mon avenir . Mon avenir avec Maîtresse Gabrielle . Je prenais la chambre et la préparais avec attention : bouquet de rose dans un vase , rafraichissements dans la glace , objets de coercition étalés sur le lit . Ordre m'avait été donné d'être nu , de porter mon harnais ,un collier , des pinces aux seins , d'avoir le sexe rasé et d'être pluggé. Je devais L'attendre à genoux , un bandeau sur les yeux , des boules Quiès dans les oreilles . La porte de la chambre ne devait être que poussée , surtout pas fermée . Pour ce faire ,je l'avais calée avec un petit morceaux de carton . Je vous laisse imaginer l'état de stress que cela a créé chez moi . Maîtresse m'avait indiqué une fourchette d'heure pour signifié le moment de son arrivée . Imprécision volontaire destinée à augmenter mon anxiété . Le but recherché fut atteint et même largement dépassé . J'étais prêt longtemps avant la première limite de temps et bien sûr ELLE arriva longtemps après la dernière limite annoncée . Je ne sais pas quelle fut la durée de mon attente mais elle dépassa les 3600 secondes car quand je suis dans ce genre de situation , je les compte avec une méthode qui m'est personnelle . Depuis le matin de ce jour de grâce mon angoisse montait " crescendo" dans ma tête . Par instant l'envie de fuir me prenait . N'oubliez pas que je n'avais rencontré Maîtresse qu'une fois et depuis nous n'avions communiqué que par SMS , mail ou téléphone . Une peur panique s'empara de moi : j'eu peur qu'ELLE ne vienne pas , j'eu peur qu'ELLE vienne , peur de ne pas être à la hauteur de ses attentes , de ne pas supporter son joug de ne pas supporter la douleur qu'ELLE ne manquerai pas de m'infliger . En un mot je pensais à tout et à son contraire . J'eu peur aussi qu'un profane n'entre dans la chambre , la porte n'étant pas fermée . Peut être est ce arrivé ,je ne sais pas . J'étais donc dans un état second quand soudain la sensation d'une présence m'envahit . Mon rythme cardiaque augmenta aussitôt . Des mains douces me palpaient la tête vérifiant la présence des boule Quiès ainsi que de tout ce que Maîtresse Gabrielle m'avait ordonné de porter. Celle ci me furent retirées , je pouvais de nouveau entendre , notamment les ordres . A ce moment là commença une longue soirée de domination coercitive ,à proprement parlé , car la domination générale avait commencée bien avant le premier coup de fouet . Ce soir là je fus fouetté , pincé , attaché , étiré , pénétré , scarifié même etc . . . Ce n'est que tard dans la nuit que Maîtresse pensa à prendre un peu de repos . Le reste de la nuit fut beaucoup plus tendre mais n'appartient qu' à Maîtresse Gabrielle . C'est au petit matin que Maîtresse me quittait . J'avais ordre de lui envoyer le compte rendu de cette première nuit de domination , par e.mail . Inutile de dire que j'étais heureux ,que dis- je heureux : transporté . Je venais de vivre à 54 ans , les fantasmes qui avaient hanté tant de mes nuits . Depuis nous avons vécu bien d'autres aventures avec un égal bonheur . Je suis heureux d'être à ses pieds , à ses genoux , sous son fouet . ELLE est la petite fille qui tire les cheveux de son baigneur, qu'ELLE frappe , qu'ELLE jette , qu'ELLE prend , qu'ELLE rejette , qu'ELLE reprend . Je suis le baigneur parfois meurtri moralement souvent physiquement mais tellement heureux . Depuis ce jour de grâce entre tous , je suis sur un petit nuage . Maintenant le quotidien de la vie s'est installé , les habitudes sont bien présentes , mais la magie du début opère toujours . Croyez moi ,je mesure , tous les jours , la chance et le bonheur que j'ai de partager la vie de Maîtresse Gabrielle . MA COMPAGNE Cette aventure peut paraître banale mais elle fut pour moi , l'une des plus intense " émotionnellement " de ma vie . Depuis que nous vivons ensemble Maîtresse Gabrielle m'envoie souvent ses ordres par SMS ce qui a le don de me mettre dans dans des états ... des états ... Je dis que cette histoire peut paraître banale , car quand je conte une aventure que j'ai vécue , il m'arrive , invariablement à l'esprit , un doute . En effet ,j'ai l'impression que mon histoire n'a pas d'intérêt ou qu'elle n'en a que pour moi , ou alors que je suis bien présomptueux de raconter une partie intime de ma vie . Enfin c'est assez compliqué à expliqué . berny
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Par : le 19/07/17
Tragédie . . . grecque bien sur . Ulysse vivait seul depuis ce funeste jour de décembre 200 . . . . Sa femme était morte d'une longue maladie . Quel euphémisme idiot pour ne pas prononcer le mot cancer . Que l'on meurt d'un cancer ou d'une autre maladie , le résultat est le même . On est mort ! Non? Prévenez moi si ce n'est pas le cas . Je ne voudrais pas mourir complètement idiot . Sa femme bien aimée . Cinquante ans de vie commune heureuse . Ils s'était connus en 1960 . A la sortie d'un bal de conscrits . Hélène de son petit nom , s'était rendue au bal accompagnée de sa cadette mais elles ne faisaient pas le poids face aux trois malfaisants imbibés de mauvais vin blanc . Leur cerveau d'abrutis leur commandait de ne pas rentrer bredouille . Leur """ rustrerie agraire """leur intimait l'ordre de vider leur c. . . Ces deux jeunes filles feraient l'affaire . C'était compter sans Ulysse qui rentrait tranquille du bal , lui aussi . Il cheminait , serein , son petit bonhomme , l' étui avec son accordéon bien calé sur le dos . Il était accordéoniste dans un petit orchestre de campagne . Il écumait les petits bals du samedi soir dans les villages environnants avec trois copains . Les quatre amis n'avaient pas leur pareille pour faire danser vos grand parents sur les tangos , paso doble et autre valse musette de l'époque . Dans mon cas , ce sont mes parents qu'ils faisaient danser . Ulysse allait son petit bonhomme de chemin , pensant au pot au feu de sa mère qu'il dégusterait le lendemain en famille . Qu'il dégusterait tout à l'heure plutôt , la nuit était bien avancée. Quand soudain et tout par un coup il entendit les cris de celle qui allait devenir sa femme . Deux des trois malfaisants molestaient Hélène alors que le troisième retenait sa petite soeur . Ulysse avait des mains larges comme des batoires de lavandière , forcies dans le maniement du rabot et du marteau . Il était menuisier ébéniste quand il n'était pas accordéoniste . Il fabriquait moult armoires bressanes sous les ordres de son patron qui était aussi son père. Il accourut sur les lieux du viol en préparation . Le vaurien qui eu le fâcheux hasard de se trouver en première position sous la vindicte de notre tragédien reçut un coup de pied au cul si formidable que pendant quelques instants on eu pu croire qu'il s'envolait tant il se mit à battre des bras pour tenter de garder un semblant d'équilibre . Le deuxième reçut une telle claque sur la joue gauche assénée par le batoire droit d'Ulysse qu'il dût porter une minerve durant les deux mois suivants . Le troisième larron jugea précipitamment qu'il était urgent de ne pas demander son reste . Il s'enfuit avec un empressement que n'aurait pas déjugé les turfistes du dimanche s'il avait été un cheval . Il faut vous dire que Ulysse est un gars bâti comme les armoires bressanes qu 'il fabrique . Vous ne connaissez pas les armoires bressanes ? Vous avez déjà entendu parler des armoires normandes ? Les bressanes n'ont rien à leur envier . C'est ainsi que nos trois imbibés rentrèrent chez eux """ le cerveau en déroute et la bitte sous le bras """ Jacques Brel . les trois vauriens avaient déchiré la robe d'Hélène laissant apercevoir par les déchirures des choses tout à fait agréables à contempler , Ulysse en parfait gentleman , sans connaître ce mot , lui passa sa canadienne. Enfin . . . tout ça pour vous dire que au midi de ce jour Hélène dégustait le pot au feu de la maman de notre Ulysse et que un an , quatre mois et six jours plus tard ils étaient mariés . Vous dire que ces deux là n'eurent jamais d'engueulade dans leur couple serait faux mais ils filèrent un amour que beaucoup de couples pourraient leur envier . Ils eurent des hauts et des bas comme tout le monde . Il faut vous dire que Hélène était née pourvue du nombre de connexions neuronales souhaité et même un peu plus . C'est bien pour ça que quand Hélène remplaça la mère d'Ulysse à la tête de l'entreprise celle ci se développa considérablement . Mais je ne suis pas là pour vous parler de leur situation économique . Notre patronne s'était rendu compte que son grand escogriffe lui mangeait dans la main . Et qu'il aimait ça . Elle aussi . Mais cet homme était un homme colérique et Hélène une femme à qui on ne la faisait pas. Elle ne supporta pas la première colère de son atrabilaire ( vous n'avez toujours pas consulté vos dictionnaires ? je ne peux plus rien pour vous !!!!!! ) """"" Tu te calmes tout de suite ou je te donne des coups de trique """ La réponse du grand fusa sans détour . """ Et bien donnes les , ces coups de trique """ Hélène ne se fit pas prier . """ D'accord alors baisse ton pantalon """ . Ce qu'il fit par défit . Il reçut les vingt premiers coups de trique de son existence . Qui furent suivis par bien d'autres au cours de leur vie . En attendant ,ils s'étaient révélés à eux même . Les mots Dominatrice , masochiste , soumis étaient peu usités à l'époque mais c'est bien ce qu'ils étaient . les sex shops n'existaient pas . Un certain général et une certaine Yvonne ne l'auraient pas permis . Toujours est il qu'ils avaient découvert une facette encore inconnue de leur personnalité . Hélène était bien une Dominatrice et Ulysse un soumis . Les mauvaises langues disaient , dans leur dos , que c'étaient Hélène qui portait la culotte , chez eux . Les langues étaient mauvaises mais elles avaient raison . Pour leur plus grand plaisir de toute façon . Voici la suite des aventures d'Ulysse et Hélène non pas surgis d'une quelconque guerre mais de notre belle province de Bresse ou le poulet est roi . Surtout pour nos portes monnaie . Durant toutes ces années , ils ne furent pas rares , les moments où Ulysse vit sa femme débarquer dans son atelier , à peine vêtue d'une blouse largement déboutonnée sur ses jambes et sans rien dessous . Elle lui intimait l'ordre de se mettre en position . Il se dévêtait rapidement et se penchait sur son étau en bois . Hélène lui pinçait les seins dans celui ci et les fesses cambrées il recevait un nombre considérable de coups de badine généreusement distribués . Il y avait beau temps que le nombre 20 avait été dépassé . Leurs petits jeux les mettaient dans un état d'excitation tel qu' Hélène se retrouvait invariablement assise sur l'établi au milieu des copeaux de bois . Je vous laisse deviner la suite . Tant et si bien que naquirent trois garçons de cette heureuse union . Rassurez vous aucun ne fut prénommé Télémaque . Une fille naquit en dernier . A six ans , on pressentait chez elle , le même caractère que celui de sa mère , elle menait ses trois grands frères à la baguette . Ulysse repensait à ses 50 années de pure plaisir , sans beaucoup de bas . Il savait qu'il n'aurait pas pu être plus heureux . Ainsi c'était ça la rançon du bonheur avec Hélène ? Un chagrin incommensurable dans le veuvage . Bon Dieu : tu sais bien que le doux , le timide , le soumis se retrouve en enfer à la mort du sévère. Souvant durant son veuvage , il revînt dans son atelier . Il revivait les séances de domination . Hélène était la seule femme qui savait et aimait le faire bondir jusqu'au 27 ème ciel sans passer par le 7 ème . En lui pinçant les seins . Combien d'après midi avait il passé , nu, attaché à son établi , les fesses rougies sous la badine ou les orties cueillies dans le fond du jardin . Combien de fois avait elle joué avec son corps suspendu au palan , ses pieds touchant à peine le sol . Il revivait ces moments délicieux en pleurant sachant que jamais plus il ne connaîtrait un tel bonheur . Jamais plus il ne reverrait Hélène , la seule femme qu'il avait jamais aimée , qu'il avait TANT AIMEE . La femme qui était le sujet et le verbe et dont il était le complément . Les enfants d'Ulysse et sa famille le voyaient décliner tous les jours un peu plus . Il tombait progressivement en dépression . Le goût de la vie le quittait plus surement que l'inéluctabilité du temps qui passe . Une nuit , alors qu'il cherchait le sommeil et appelait avec une ferveur qu'il ne se connaissait pas , la mort qui le délivrerait de cet enfer , couché dans ce lit trop grand et trop vide il senti une douleur envahir sa poitrine , intense . . . . Cette douleur augmentait en un crescendo insupportable tandis qu'une lumière blanche éclairait sa chambre . Une ombre floue apparut dans le halo éblouissant , marchant vers lui . La forme se précisait . Une femme , nue , belle , les seins lourds de quatre maternités mais qui avaient gardé toute leur douceur et leur majestuosité , un sexe aux lèvres tellement douces , tellement soyeuses , onctueuses : un corps de Déesse grecque . Une sensualité tellement généreuse . Le visage d'Hélène lui apparut . Elle tenait une corde dans ses mains qu' elle nouât autour du buste d'Ulysse qui souriait , la douleur se changea en une impression oppressante . Enfin sa femme rejouait avec son corps , comme avant . Enfin il avait retrouvé sa bien aimée . Il était à nouveau heureux .Il riait presque quand soudain , dans un éclair éblouissant , Hélène et Ulysse furent projetés hors de la chambre et disparurent à jamais . C'est ainsi que , quand on découvrit son corps le lendemain , son visage était emprunt d'un sourire absolument radieux . Oui effectivement le mot tragédie ne convient pas . Il est vrai que la fin est un "" happy end "" malgré la mort . En écrivant j'ai décidé de donner le prénom de mon père (véridique ) à mon héros et je n'ai pas osé appeler mon héroïne "" Pénélope "" Alors je lui ai donné le prénom d'Hélène pour rester dans la mythologie grecque . C'est à ce moment que j'ai pensé au mot """ tragédie""" car il y a la mort dans ce récit . berny
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Par : le 19/07/17
Depuis que j'organise pour des soumises consentantes des évènements comme gangbang, exhib, humiliation publique, etc, j'ai remarqué que seulement 50% viennent parmi les hommes retenus, avec qui le RDV est pris, et qui avaient pourtant l'air réglo motivés et fiables. C'est presque devenu une règle générale : je veux organiser un gangbang avec 5 hommes ? J'en prévois 10 ! Lors de l'annonce et de la sélection, il sont pourtant tous à fond, très motivés, morts de faim même, ils me harcèlent sans relâche, j'en sélectionne, en leur donnant bien des règles et consignes, et surtout en insistant sur la ponctualité, sur le fait qu'on compte sur eux, mais non rien n'y fait. Il y a aussi les rigolos, ceux qui, de derrière leur écran, se prennent pour des étalons redoutables ou des adonis incontournables, ou des maîtres potentiels très respectables, etc. Mais une fois qu'on les rencontre évidemment ils ne font pas le quart du poids annoncé... Bref, recruter pour du sexe sur un site spécialisé, comme chacun sait, ce n'est pas si facile, surtout lorsqu'on cherche des gens fiables. Trouver une femme pour un homme, c'est le plus dur, car il doit y avoir une proportion disons de 100 hommes seuls pour 1 femme seule : les hommes sont comme des spermatozoïdes convoitant tous le même ovule, ou des mouches sur un morceau de viande. Côté homo ou bi, très dur aussi pour un homme passif de trouver un homme actif, car la plupart sont passifs. Mais lorsque je me suis inscrit en tant que "couple" sur le même site, pour organiser ce genre d'évènements pour ma soumise, je me suis aperçu qu'il suffit d'"offrir" sa soumise pour déclencher une ruée d'hommes s'improvisant dominateurs ou puissants étalons. Je n'ai donc jamais eu de mal à recruter. En revanche le jour du RDV, la moitié sont là, et les autres, pfft, plus de nouvelles soudain... Fantasmeurs ? Petits joueurs ? Hésitants et flippant au dernier moment ? Ou très irrespectueux de la parole donnée ? Peut-être un peu de tout ça. Cette semaine j'organise pour Silva un gangbang original, dont elle m'a elle-même suggéré et même réclamé la teneur. Il se déroulera ce weekend, et j'ai déjà largement recruté le double de mecs nécessaires (pour en avoir donc le nombre requis). J'ai donc indiqué sur l'annonce que le recrutement était terminé et qu'il était inutile de me solliciter à présent. Et c'est là que ça devient marrant (et pénible à la fois) : j'ai encore plus de demandes et sollicitations qu'avant l'arrêt du recrutement. Les mecs ne lisent pas, ou bien ils essayent quand même, en croyant faire une demande exceptionnelle, d'exception, de mise en réserve en cas de désistement, etc... Au début, je réponds à tout le monde, poliment, patiemment ; puis de moins en moins, en insistant sur le fait que si c'est précisé sur l'annonce, en capitales en plus, c'est que c'est vrai ; puis peu à peu je perds patience et suis moins amical face à ce flot insistant voire harcelant. Il y a ceux qui, malgré le fait que ce soit un profil couple, s'adressent à la femme directement, genre "slt la miss, tes trop belle, libre se soir" Il y a aussi ceux qui repèrent les couples dom/soumise et proposent tout simplement d'emprunter celle-ci et se substituer à son dom, d'emblée, sans avoir vérifié la recherche du couple en question. Et évidemment, avec un pseudo comme je l'ai choisi (Soumiseaoffrir), c'est l'avalanche de sollicitations parfois d'anthologie. Voici la dernière en date, juste pour le fun : __________________________________ D'abord voici l'annonce : VIOL TOURNANTE SIMULÉ : Samedi 15/07 19h, centre Montpellier, ma complice va se faire violer fermement par un groupe de mecs dominants (entre 6 et 10), et compte se défendre comme en réel. Donc les pieds tendres, les masseurs de shakras tantriques, les délicats, les soft, les “doux et respectueux“, SVP ne me faites pas perdre mon temps. Je précise que c’est un fantasme maso qu’elle désire et a imaginé (voir la vidéo où elle l’explique). Je sélectionne donc quelques hommes très fermes, voire brutes, qui sauront relever le défi en jouant sur l'équilibre entre respect et violence. Cet évènement ne sera pas réitéré, il n'aura lieu qu'une fois, comme une expérience, un défi ponctuel. __________________________________ Voici ensuite le tchat avec un type qui sur son profil s'annonce comme un grand dominateur organisateur : ? Bonjour, tout d'abord comprenez bien que je ne veux pas vous manquer de respect, vous déranger ou manquer de respect à la dignité de la femme. J'ai pu constater que le scénario viol simulé était un fantasme pour certaines femmes, le viole et bien sûr un des pires crimes odieux, j'organise cependant depuis quelque temps des scénarios de ce type "viol simulé", pour celle-ci le désirant vraiment, dans la sécurité et le respect bien entendu, mais surtout avec beaucoup d'excitation et cérébralité. J'ai pensé que peut être cela pourrait vous intéresser qu'en pensez-vous ? ? Bonjour, je ne vois pas en quoi ça pourrait nous intéresser, puisque j'organise déjà la même chose pour ma soumise, et pas à perpette (nous sommes sur Montpellier et toi sur Avignon), et le plan se déroulera d'ailleurs ce samedi. Je ne comprends pas ta requête, à moins que tu n'aies carrément pas lu notre fiche ni regardé la vidéo qui explique le plan. ? : Le scénario est à définir ensemble dans les grandes lignes, bien sur , il y aura une part d'inconnue ou pas pour votre plus grand plaisir. Le scénario peut se dérouler de plusieurs manières et dans plusieurs lieux différents. En extérieur je vous surprends dans votre voiture dans un coin tranquille, ou dans les bois marchant, ou entrain d'uriner d'arrière un bosquet. Possible aussi chez moi, ou chez vous, vous pouvez faire semblant de dormir et vous réveillez pendant la pénétration ou pas et être consentante ou pas, faire semblant d'être drogué ou soûle, je peux aussi vous surprendre sous la douche, aux toilettes, ou simplement dans votre salon/ chambre et vous forcez à avoir un rapport, voici quelque possibilité. Quelle idée vous plairez, on peut aller plus loin, plus hard ou plus soft plus cool. ? : heu, on dirait que tu n'as pas lu ma réponse précédente… Tu ne devrais pas étaler tout ton baratin avant d'avoir eu une réponse au premier message, car là on dirait que tu t'emballes, à énumérer tous tes fantasmes ? : bref, bonne continuation, et à l'avenir tiens compte de ce que les gens marquent avant de les brancher : vous pouvez disposer je vous bloque faux Maitre ? : non mais tu t’es relu? … mais LOL quoi ! je te bloque d’abord ! -------------------------------------------------------
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Par : le 05/07/17
Je suis venue à contre coeur, il n'y a pas de lien, pas de bulle cela me semble insipide... Il veut tester, pour apprendre... "souffrance" Il va voir... pas d'anal soit... dommage moi j'aurais aimé..  un neophyte... un cul vierge bien sûr, il se pense dominant... je le percois soumis...  Juste le torse nu pour commencer... martinet... mouvement du poignet... je commence en douceur...avant de donner plus de force à mes coups... je dois reconnaitre que ça me fait du bien... je me focalise sur son dos... j'oublie le reste. Il reste stoïque appuyé au mur... Et moi j'ai envie de plus, mon ordre claque...il se met nu... il bande... ça m'amuse... quelques coups sur ses cuisses avant que je m'approche pour caler mon genou sur ses couilles... il suffirait de peu pour que je porte un coup... moment d'hesitation où je frotte mon genou... je percois sa respiration... Juste un petit coup...et il se plie en deux... Hmm, ca tombe bien, je lui demande de rester a 4 pattes... Paddle pour commencer... ses fesses blanches ne vont pas le rester longtemps... J'adore caresser la peau encore chaude après mes coups.  Faire glisser un doigt entre ses fesses, le tourmenter...  appuyer sur son périné, zone sensible.
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Par : le 03/07/17
Accepter ses erreurs est la chose la plus difficile pour un Maître. C’est se rendre compte que l’on a pas été parfait, ou que l’on ait pu être dépassé par une situation, personnelle, ou SM… Mais accepter ses erreurs, c’est aussi progresser, évoluer. Si un jour vous souhaitez connaître le sérieux d’un Maître, demandez lui si il a déjà commis des erreurs… Si il vous répond non, fuyez! Tout le monde fait des erreurs, petites ou grandes… Si il vous dit oui, alors vous pouvez tendre l’oreille, écouter, et peut-être vous laisser aller à la soumission… Apprendre de ses erreurs c’est aussi accepter, que parfois, aussi grand maître que l’on puisse être, on ne puisse tout gérer. Je vous rappelle que le maître peut être amené à gérer une multitude de vies… Il faut alors accepter de reconnaitre ses faiblesses, et accepter, aussi dominant que l’on soit, de se poser, de se reposer auprès de sa soumise… La soumise est la personne en qui on peut accorder le plus sa confiance, elle nous connaît, comme personne. Elle connait ce qui peut faire de nous un bon maître, mais aussi nos parts d’ombres, qui font aussi de nous un Maître, parfois fragile… Accepter de se confier à sa soumise c’est aussi lui montrer la preuve de l’intensité, mutuelle de cette relation. Le BdSm n’est pas que le fouet, mais une relation intense, indéfinissable, et parfois incompréhensible, qui unit 2 personnes. Il est à mon sens, une relation unique, qui ne connait que peu d’égal… Alors soyez strict, sévère, mais juste et surtout humain…c’est la quintessence du BdSm que vous tenez entre vos mains…
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Par : le 27/06/17
Feeling Respect Attirance Nous Confiance Osmose Instants Sincérité Quand deux personnes se rencontrent et que leurs regards se croisent.... Quand certaines attirances sont des évidences et que le feeling est là, en face à face. Quand le respect, la confiance, la sincérité est présente, le bonheur est à portée de soi. J'ai été heureuse de Vous appartenir, d'être Votre soumise. Votre respect, Votre regard posé sur moi m'a permis d'aller loin, de me dépasser, de grandir, de m'épanouir. Mon caractère entier ne vous a pas déplu, tout comme le fait que je sois taquine. Aie la badine. En ce qui Vous concerne, j'ai pu vous dire, vous préférez la sincérité aux non-dits qui ne nous leurrons pas se découvrent tôt ou tard. Les mots, ils sont toujours trop forts ou pas assez et pourtant, il faut bien les utiliser. Ils sont aussi doux qu'ils peuvent être acides et pourtant parfois se sont eux qui décident. Mais, ne laissons pas les mots nous diriger trop rapidement, se serait réagir avec trop d'empressement. Pour ces moments intenses que nous avons passé et ceux rares qui nous ont permis de nous retrouver depuis la fin de relation. Je n'ai pas de mots. Ils ne seraient pas assez ou trop. Il est des mots Que j'ai enseveli au fond de moi Il est des mots si difficiles A prononcer Qu'un jour, je suis arrivée à les exprimer. Lorsque la confiance est présente. Que la personne est sincère. Alors je vous ai dis tout bas. Ces mots gardés pour moi. Que les autres n'entendent pas. Je vous a... Tout a commencé quand nos regards se sont croisés. Vous avez 'touché' mon âme, et mon corps a chaviré. Un ressenti au fur et à mesure et puis la réalité. C'est à ce moment précis que notre histoire est née. Notre complicité, notre relation grandit de jour en jour. J'aime être dominée par Vous encore et toujours. Avec Vous, je m'épanouis, c'est merveilleux. Quand je plonge mon regard dans vos yeux. Des sentiments partagés se sont créés. Il faut les conserver et ne jamais les briser. Chaque instant passé avec Vous me permet de m'envoler. Dans la confiance absolue de Vous, en ce monde salé/sucré. La flamme de mes yeux s'est allumée. Le jour où l'on s'est rencontré. Aujourd'hui, le destin nous appartient. A nous deux de savourer ce chemin. Ma soumission envers Vous est acquise Votre domination, respect m'ont conquise. Ma détermination à Vous obéir, Vous servir est constante. Me montrer digne de Vous en tous lieux et ou circonstances. Que Vos/mes paroles du début soient la sincérité en la continuité. Vous me dites que l'on s'est bien 'trouvé', j'avoue que c'est réalité. Il y a 7 ans et 3 mois que nous avons fait connaissance. Pensez à Vous, est pour moi, source de joie Obéir à Vous est un véritable bonheur Unir nos corps et jouir est merveilleux Respect de Vous Mon Maître aimé Vous et vos attentions, moi et mon abandon Ouragan de désirs, mon corps ressent pour Vous Une belle rencontre et corrélation nous avons Suis irrésistiblement attirée vers Vous Mon coeur est pour Vous aimer au-delà de l'éternité Oublier mes peurs du début, Vous avez su m'apprivoiser Nourrissons nous de ce lien qui nous fait vibrer A vos cotés, je me sens jolie, j'ai pu me dévoiler Me soumettre à Vous, Mon Maître est ma vérité Osant braver certaines peurs, je me suis dépassée Un Maître, Vous, le seul, l'unique de mes pensées Rare, précieux dans mon coeur vous êtes et resterez Cet homme est à jamais dans l'écrin de mon coeur Son respect m'a touché comme Personne avant Lui. Un homme marié, comme je suis ; nous avons été sincère sur nos vies de famille. Jamais, il n'a été question entre nous de divorce pour être ensemble. La vie a fait, qu'à l'heure de votre retraite (il y a trois ans passé), notre histoire a pris fin. J'en connaissais l'issue un an et demi avant la date inéluctable. En acceptant d'être votre soumise, aucune promesse n'avait été faite. Simplement être sincère, respectueuse de vos consignes et vie de famille. Depuis vous, j'ai eu un second Maître dont vous avez partagé une rencontre pour le passage de témoin. La relation a peu duré, cet homme libre avait en fait toujours dans son coeur son ex soumise. En trois ans, quatre rencontres j'ai faites, c'est peu... Aucun feeling avec ces Personnes en réel. Aucun ne m'attire, ne me plaît ; pareil de l'autre coté, je pourrais écrire. Celui qui me plaisait a préféré une autre, il a dû prendre une décision et faire un choix qu'il a regretté par la suite, c'est la vie. Malgré le manque de Vous/odeur de peau, l'absence, le silence quelque fois, je préfère être seule que mal accompagnée. Puis, les rares fois ou nous avons pu nous revoir, c'est comme si nous nous étions quittés la veille. L'émotion est toujours présente. Kocham cie Le 25 juin 2017 Cet article regroupe certains paragraphes que j'ai écrit lors de notre relation Maître/soumise.
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Par : le 26/06/17
Ma quête du Double Mâle-éfique... Le dominant guide sa Soumise c'est bien connu... Mais certaines vous diront "oui mais pas queue!" Pas queue quoi? Bah pas queue ça... Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi guider... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise... Car la vraie histoire se fait à deux... L'un révèle l'autre... L'un élève l'autre ... L'un éveille l'autre... Mais qui est l'un et qui est l'autre ? L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui s'élève grâce à Lui? Mais qui a le Pouvoir? Assurément le Dom! Voyons! Mais certaines vous diront "Mais pas queue!" Pas queue quoi? Bah pas queue ça encore une fois... Car la soumise peut souminer... La soumise peut aussi dominer... Mais oui Monsieur ! Ne vous en déplaise... Car le vrai Pouvoir du sexe s'exerce à deux... L'un excite l'autre ... L'un frustre l'autre... L'un tient l'autre ... Mais qui est l'un et qui est l'autre ? L'un ne doit il être que Lui le Dom? et l'autre la soumise-élève qui sex-prime grâce à Lui? Non... car si la Soumise connaît son pouvoir sexuel, cela ne l'empêche pas de se soumettre à son Dominant... lui même soumis à la tentation sexuelle dont se joue la soumise... Pas folle la guêpe ... Ils sont bien deux soumis! Et ... #LeDomEstUnSoumisCommeUnAutre !! Ce que cherche Dominant lui est propre... Mais chienne à son pied il aimerait... Soumise Sa-lope à lui, Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement féminine... Ce que MOI soumise je cherche est clair: je cherche le Double Mâle-efique... Bannir les freins d'une éducation judéo-chrétienne! typiquement masculine... Et c'est mon Pouvoir et mon jeu, Ma soumission et mes "vas-y", mes "tu peux" et mes "libère-toi" qui le déchaîneront! Pourquoi lui et pourquoi ça? Car il est l'exact contraire de son double... et parce qu'il est son contraire alors il me mérite. Alors je pars en quête... je chasse... je teste... j'appâte... je ferre...j'attise.... Linsoumise en mode Lionne: tapis à l'agachon (terme sudiste je m'adapte à la faune locale...), j'observe mon espace de jeu et les mâles qui s'y présentent. Choisir le bon endroit d'observation... toujours près du point d'eau... je les regarde faire pendant que JE ferre... Il y a là les romantiques, il y a là les goujats, un peu plus loin les morts-de-faim, les beaux parleurs sortent leurs belles phrases. Il y a ceux qui veulent m'apprendre la levrette et me faire des cunni pendant des heures... méprisables. Là je suis en mode snipper. Moi je sais ce que je veux et surtout ce que je cherche... Je cherche le metasex...pas de la baise! Ça c'est facile et quand je veux. Pas besoin de me donner la peine de chercher... j'ai mes 06 de secours en cas de besoin. Non. Je cherche autre chose... bien plus subtil, bien plus profond, bien plus cérébral... Mais surtout, je cherche un Dom qui s'ignore... car mon plaisir est aussi là. Oui lui aussi doit se libérer et ce n'est pas forcément simple... Le plaisir réservé aux dom? Alors je suis Dom sans l'ombre d'un doute... Éveiller. Conscientiser. Ouvrir les champs des possibles. Viser ses carcans et les exploser en vol. L'observer baisser ses barrières, l'observer grandir et devenir le Dom que moi je vois...et que je veux faire éclore... Dom mais en n'employant pas les mêmes chemins ni les mêmes armes... Car je cherche celui qui pourrait me soumettre... à terme. Et pour qui je ressentirai l'envie de... En dehors d'un physique sportif et musclé inévitable pour moi, il me faut un intérieur riche: riche en fantasmes, riche en potentiel sadique, riche en coeur, riche en émotions... Mais aussi, sentir un orage contenu, opprimé, fait de tellement de défauts qui font les qualités d'un Dominant... du Dominant que je veux. Oui que je VEUX. Car personne ne peut entraver ma volonté. Insoumise au fond? Ou soumise sur ce que je laisse à cet autre... et plus il est Dom et plus je lui laisse... Celui que j'ai choisi ...Est protecteur, romantique, émotionnel, généreux, ouvert, réfléchis, tolérant, attentif... amoureux. Mais j'ai senti autre chose... au premier regard. Et c'est cette dichotomie qui me passionne... cette Division en deux champs opposés nettement en lui : Dichotomie entre la raison et la passion, Entre son Moi et son Ça, Entre ce qu'il est et.. ce qu'il est. Entre ce que l'on sait de lui et ce que je sais de lui. Il est protecteur et a appris à me maltraiter, Il est romantique mais peut aimer le sordide, il est émotionnel et dévore nos émotions, Il est gentleman mais bestialement possédé, il est généreux et généreusement égoïste, Il est doux mais tellement violent, il est ouvert et sait me mener en m'écoutant, il est respectueux mais m'irrespecte avec amour, Il est réfléchis et intellectualise tout avant de fondre férocement sur moi, il est tolérant mais s'impose intransigeant, il est attentif toujours... Il est amoureux de moi et de Sa soumise, mon double femell-éfique... L'Ô-rage que je cherche est en lui... et savoir aller le chercher est un art... Pas trop vite, pas trop doucement mais aussi art instinctif... Il m'aime alors viol-emment, nul besoin de consentement, il m'aime alors intolérablement, nulle tolérance à prêter, il m'aime alors bestialement, nulle femelle autre que moi, prétentieusement, nulle générosité à ce moment là, égoïstement, nul plaisir autre que le sien, impunément... tous les droits sur moi... Et on a alors la rage au coeur et les tripes à vif. Machistador de mes désirs, ce double Mâle-éfique me tsunamise, me transperce, me pénètre, me tétanise, me terrasse, pour mieux me chérir le calme revenu... Il s'est pris au jeu, il a pris la main, et quand Dom prend... il EST Dom. Je ne me suis pas trompée... Il se révèle peu à peu, il se libère de tant de choses depuis que je le connais. Lui me prend au jeu, il ne s'est pas trompé non plus en changeant de vie... Je me révèle aussi peu à peu grâce à lui, je me libère lentement de mes carcans à moi... Il a progressivement bouger ses limites ... et maintenant il a encore beaucoup à faire ...avec les miennes.. il a progressivement modifié ses angles de vues ... et veut m'emmener dans ses distorsions digressives à l'infini ... Mais il a ma confiance et mon Amour pour qu'à nous deux nous trouvions le chemin de N/notre BDSM... Aventure Clair-obscur pour deux êtres de sang mêlé... Atypique? Piquez-moi! Étonnant? Étonnez-moi! Vicieux? Viciez-moi! Surpris? j'en suis heureuse... Je vous aime mon Dhom, vous et votre Double Mâle-éfique...
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Par : le 23/06/17
-Jusque là Madame tout me semble cohérent et consensuel. -En effet Flynn rien ne te sera fait si tu ne le veux pas, je souhaites te corrompre mais pas sans ton autorisation. Maintenant veux tu connaitre la liste des pratiques que j'affectionne? -Avec plaisir et anxiété Madame mais je le souhaite. J'ai une question, puis je? -Bien sûr. -Tout ceci est très factuel mais dans la réalité y a t-il de la place à l'amour? -Assurément! Il n'est pas rare Flynn que les protagonistes d'une relation BDsM tombent amoureux. Les sentiments ne sont pas proscrits! Ils se mettent en place ou ne se mettent pas cela est affaire de Cupidon. A la base, il y a l'attirance de l'inconnu, l'exploration de contrées encore vierges puis une attraction cérébrale qui peut entraîner des sensations puissantes. Donc l'amour peut surgir... -Cela me rassure Madame, car pendant un moment je me demandais où l'humain intervenait... -Mais tout ceci est très humain, de tout temps à jamais il existe des dominés et des dominants. Le BDsM n'est qu'un moyen de mettre en lumière nos côtés obscures de ce fait la clarté de nos existences enfin se dévoile. "Liste des pratiques: -Sodomie masculine: plugs, doigts, godes, gode ceinture, sex toys, anulingus. -Bondage: bondage tape, spankies, menottes, liens, autres... -Fessée: mains, cravache, martinet, fouet, autres... -Contraintes: anneau pénien, liens, entraves, cires, bâillon, bandeau, autres... -Asphyxie érotique: face sitting La pratique la plus estimée de Smooth est le câlin tendre d'après empirisme... (Rayez les mentions inutiles pouvant être utilisées ultérieurement suivant évolution) La Maitresse pourra donc utiliser les pratiques non rayées à son bon vouloir en veillant à ce l'inconfort de son soumis n'aille pas au delà de ses limites personnelles. Pour se faire, elle ordonne que le mot "presque" soit prononcé par son soumis lorsqu'il sentira qu'il n'est pas à la lisière de sa possibilité mais assez près pour ne plus pouvoir endurer la douleur/plaisir ressentie. Ainsi la Maitresse pourra arrêter sa pratique, se renseigner sur l'état de son homme et prendre la décision de poursuivre ou d'arrêter complétement l'action entreprise. Il existe un mot de résolution pour mettre fin à ce contrat et donc à la relation. Il pourra être émis par le soumis lorsqu'il ne voudra plus que la relation perdure et y mettre un terme définitif, ce mot est "oméga". Lors de son affirmation Smooth n'exercera plus son emprise et se verra dans l'impossibilité de poursuivre la relation. De mon plein gré et mû par le désir de servir Smooth, de lui prouver ma dévotion et d'exprimer ma confiance en elle. Moi -----Flynn---- je lui offre ma soumission à compter de ce jour le --28-- du mois ---mars-- de l'année --2015-- et se terminant au gré de nos envies respectives. En retour Smooth accepte la soumission de ------Flynn----- à compter de ce jour où elle s'engage à respecter le desiderata de cet homme lui témoignant la confiance nécessaire pour la réalisation de cette liaison. Signatures: ------Flynn------, Smooth." Eva range alors le contrat puisqu'il a été discuté, expliqué et accepté en toute connaissance de cause. C'est alors que Flynn remarque qu'une lueur différente brille dans ses pupilles dorées, il se sent alors estimé peut être adoré allez donc savoir ce qui peut se tramer sous cette crinière brune. Ce dont il est sûr c'est que jamais encore il n'avait rencontré une femme si déterminée, certaine de ce qu'elle désire vivre et cela lui parait alors comme une évidence, c'est ce genre d'alter ego qui lui a fait défaut, conscient depuis longtemps que ce ne peut être que dans une relation asymétrique qu'il pourra se réaliser. L'aider à devenir plus fort dans sa position de mâle à dominance professionnelle enfin il aller pouvoir lâcher prise, s'oxygéner. -Viens là mon tout beau! Flynn sort alors de ses réflexions personnelles se lève, en contournant le bureau se place face à elle et attend. -Mets toi à genou! -Oui Maitresse. Alors qu'il est là encore un peu abasourdi par la lecture de ce contrat il se sent excité comme jamais car il ne sait pas ce qu'Eva lui réserve et cela l'apaise aussi par la même occasion. Alors en un geste tendre, elle prend sa tête à deux mains et l'embrasse langoureusement à bouche que veux tu. Puis place sa tête sur sa cuisse. Enfin elle va pouvoir profiter des cheveux soyeux de Flynn, mettre sa main dans ses reflets roux, se délecter de son abandon. Alors ils restent là dans le silence de la tour d'ivoire, dans cette position de réelle soumission, lui à ses pieds, près à agir à sa guise. -Je suis lucide Flynn que tout ceci est nouveau pour toi, je n'ai rien contre ton noviciat mais je peux t'assurer que j'irais progressivement. Je souhaite que tu te révèles, que tu explores le plaisir différent qui allie douleur et jouissance. Je te veux dans un bien être absolu et discordant. -Je vous en suis reconnaissant! -Alors maintenant allonges toi! Une fois effectué, Eva se positionne au dessus de ses yeux, debout les pieds encadrant son visage. -Regardes! Comme tu peux le constater je ne porte jamais de culotte... Flynn saoul de désir pour elle ne peut s'empêcher de poser ses mains sur les chevilles d'Eva espérant pouvoir la toucher comme il en rêve depuis lui semble t-il une éternité. Il a envie de sentir le grain de sa peau sous la sienne, besoin de découvrir les moindres recoins secrets de cette sublime femme. A ce geste, Eva lui donne un coup de talons de son escarpin. -T'ai je dis de me toucher? Je t'ai dis de regarder! Les effluves de son parfum mêlé à celles de ses odeurs corporelles font basculer Flynn qui sent que sa queue lui fait mal tant elle est dure! Sans oublier qu'il sent que son pénis perle et qu'il ressent en cet instant une excitation encore jamais éprouvée. -Ne bouge pas! Eva se rend alors dans l'armoire encastrée de son bureau. Des bruits inconnus se font jour dans l'audition de Flynn, froissement de papier, bruit métallique il n'est pas très sûr de ce qu'il entend. Elle revient, se place de nouveau au dessus de sa tête, elle a retiré son tailleur. Il peut ainsi constater qu'elle porte des bas, et un soutien gorge bustier noir. C'est alors qu'elle entreprend de se mettre à genou pour placer son sexe juste au dessus de la bouche charnue de Flynn. Lui n'en peux plus, il sent sa queue se contracter de désir, cette queue qui supplie maintenant que d'être soulagée. Alors qu'Eva est quasi assise au dessus de lui mais dans le sens où elle peut à loisir sortir sa queue pour s'en occuper, elle la délivre. Sortie du pantalon est gorgée de cet appétit dévorant cette queue sent tout de même que son heure n'est pas arrivée, Flynn sent alors les mains expertes enserrer sa protubérance ainsi que ses testicules, comme un lien se resserrant sur son intimité. Mais alors que les mains d'Eva se positionnent sur sa poitrine il ressent encore cette pression et comprendre alors que quelque chose s'enroule sur son pénis et ses testicules péniens! Etrange sensation jamais perçue encore... A ce moment d'intensité, elle lui dit: "Sors ta langue!" puis commence alors la danse de son clitoris sur sa langue, il s'en délecte, se réjouit même de pouvoir sentir qu'il donne ainsi du plaisir à Eva. Oh, comme il veut la satisfaire! Eva place l'entrée de son vagin sur l'appendice nasale de Flynn et ainsi alterne clitoris et vagin sur le visage de ce Flynn qui ne sait plus où il se trouve, qui se retrouve propulser loin très loin de la réalité. Elle joue avec ses tétons aussi, elle les serrent, les pincent, les étirent sans cesser sa danse érotique. Puis il commence à masturber Flynn surprit de ne pas ressentir l'éjaculation poindre alors que son excitation est à son paroxysme, il semble que le lien posé sur sa queue et ses couilles jouent un rôle retardant mais du coup c'est douloureux et plaisant. Comment peut on ressentir les deux en même temps? Eva se tord de plaisir en un gémissement sourd, elle s'immobilise. Flynn ressent alors le manque d'oxygène... Elle se relève légèrement lui permettant de reprendre son souffle. Un petit bruit sec... Il sent alors qu'elle lui pose un préservatif sur sa verge qui implore maintenant à être libérée. Cependant Eva bouge, gravite le long du corps de Flynn: "Tu ne bouges pas! Tu ne me touches pas! Restes ainsi!". Il obtempère pourtant il aimerait tant la toucher... Elle s'empale à ce moment précis sur sa queue, l'engouffrant complètement en elle. Ils ne font plus qu'un... Flynn est au bord du gouffre, il a envie d'éjaculer mais rien ne se produit. Eva quant à elle monte, redescend son vagin sur cette queue à l'agonie. Puis elle fond, elle jouit, elle s'éparpille en mille morceaux autour de Flynn, ses jambes sont prises de tremblements, elle ne touche plus terre, elle vient d'atteindre le point culminant de sa jouissance. Elle reste ainsi immobile sur la verge gonflée de désir. Elle en sort, défait le lien enserrant et masturbe Flynn qui explose en un volcan de jets chauds lui extorquant un râle de satisfaction qu'Eva emprisonne de sa main pour que ce cri de délivrance ne reste qu'entre eux deux.
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Par : le 23/06/17
Eva est à son bureau ce lundi matin comme le veut sa rigueur professionnelle. Son week end fût cocooning malgré que son esprit ne faisait que penser à cet homme, ce Flynn cet inconnu dont elle a joui sur la bouche! Quelle perverse elle fait? Mais elle s'en fout, peu importe ce que chacun pourra penser d'elle... Sonnerie du téléphone -Mathilde? -Oui Madame, excusez moi de vous déranger mais il y a un homme ici qui souhaite s'entretenir avec vous. -Un homme? Qui est ce? Je n'attend personne ce matin. -Un certain Monsieur Bourbon. -Bourbon ça ne me dit rien... J'arrive dites lui de patienter s'il vous plait. Monsieur Bourbon... Eva essaie de se rappeler si ce nom lui rappelle quelque chose mais non rien. Elle se regarde à la dérobée dans le miroir du bureau voir si son chignon est en place, réajuste son tailleur et sort. Alors que son pas est assuré dans le couloir menant à l'entrée de son directoire, elle entre-aperçoit avec le contre jour de la baie vitrée, la silhouette d'un homme robuste des reflets roux se parsèment dans sa chevelure brune... C'est lui! C'est Flynn! Alors elle se fige lorsque leurs regards se jouxtent l'un à l'autre, les secondes paraissent s'étirer, elle n'en crois pas ses yeux! Quel toupet que de venir sur mon lieu de travail! Il ne perd rien pour attendre... Eva se ressaisit elle sait que des dizaines de paires d'yeux sont posés sur elle en cet instant. -Monsieur Bourbon je présume! Eva dit ça sur un ton ferme et sa main qui se repli sur celle de Flynn n'en ai pas moins plus coriace. -Madame Altones dit Flynn dans un souffle. -Vous désiriez vous entretenir avec moi?! Suivez moi s'il vous plait. Eva tourna les talons, a mi chemin du couloir elle se retourna et dit à Flynn: "Alors toi!". A ces mots il eu un sourire crispé, elle comprit qu'il est gêné... hé bien tant mieux! Je ne vais pas lui faciliter la tâche! Elle ouvre la porte de son desk, fait entrer Flynn, entre à son tour, ferme la porte et sans le regarder ni lui parler elle tourne les manivelles de ses vasistas pour plus d'intimité. -Non mais pour qui te prends tu?! Ses mots cinglants volèrent dans la pièce comme une rafale de coups de cravache qu'elle regrettait d'ailleurs de ne pas tenir dans sa main. -Heu... Madame, je me permet de vous rappeler que vendredi soir notre proximité m'a fait envisager que... Mais vous êtes parie si vite... -Quoi? Crois tu que sous prétexte d'un cunilingus cela fait de moi une sorte de possession? As tu à ce point le QI d'un panais pour le croire? -Madame je ne prétend à rien! Juste que j'aimerais... -... Que ça recommence? -Oui en effet! Vous m'avez... -Dis le avec simplicité s'il te plaît! Pas de fioritures. -Je suis tourneboulé par ce qui s'est passé vendredi. Je ne fais que penser à vous... Je suis comme... Ensorcelé! -As tu eu la clairvoyance de ce que cela entraine si jamais je fais de toi mon soumis?! Es tu conscient que tu vas perdre ta liberté? -MA liberté?! Je vous l'offre! A ces mots Flynn se mit à genou, tête baissée. Eva prit tout à loisir de savourer cet instant. Elle fixe alors ces reflets roux dans ses cheveux courts elle n'a envie que d'une chose y passer sa main. Mais bien sûr sa raison n'écoute pas son coeur alors elle reprit de plus belle. -Que ce soit clair Flynn, je ne peux aller plus loin avec toi sans lire mon contrat d'appartenance. Que nous déterminions les termes ensemble pour que tu sois assurer que je ne te ferais rien que tu ne désires. -Votre contrat? dit il tout en la regardant dans les yeux. -Oui j'en possède un qui est de mon crû. Alors relèves toi s'il te plaît et assis toi. Sans attendre avec un empressement mal dissimulé, il exécute l'ordre qu'Eva vient de lui donner. Quant à elle, elle s'assoit en face de lui, son bureau pour seul barrière entre eux. Elle décroche son téléphone, appuie sur une touche... -Mathilde, que l'on ne me dérange sous aucun prétexte! Annuler mes rendez vous pour la journée s'il vous plaît. -Bien Madame. Une fois raccroché, elle ouvre un des tiroirs de son secrétaire en tire un dossier puis en sort des papiers, elle prend son Mont Blanc en main prête à écrire. -Avant de commencer la lecture de mon contrat d'appartenance, veux tu bien me servir un café je te prie et si tu en veux un sers toi. Flynn alors se lève pour se rendre jusqu'à la console murale où trône fièrement une cafetière dont le noir nectar est encore fumant. -Vous prenez du sucre Madame? -Oui un, merci Flynn. Il versa le liquide chaud dans deux tasses et s'emploie à le préparer à leur convenance. Il revient pose une tasse près d'Eva et se rassoit. -Es tu prêt? -Oui je le suis Madame. "Le contrat de Smooth n' a aucune valeur juridique, il n'a que valeur morale dans le consentement mutuel des deux parties suivantes: -----Flynn----- le soumis et Smooth la Dominante. Ce contrat a pour but que le soumis explore sa sensualité et ses limites sans danger, en toute confiance conscient que sa Maitresse exercera son emprise en veillant aux besoins et au bien être de l'homme qui lui offre sa soumission. La Maitresse souhaite que son soumis s'exprime librement, qu'il conserve son intégrité d'homme tout en faisant preuve de respect envers celle qui l'accepte. Elle espère qu'il sera en mesure de se livrer corps et âme, sans aucun manque, pour que leur relation puisse s'exprimer en épanouissement. La Maitresse veut que son soumis lui donne ses limites ainsi elle pourra louvoyer dans ce cadre et peut être qu'avec le temps elles évolueront pour être repoussées. A savoir, la Maitresse a aussi ses limites: pas d'urologie, de scatologie, de jeux d'aiguilles ou d'électro stimulation. Elle désire aussi que son soumis lui livre ce qu'il aime sexuellement car la Maitresse préfère et de loin récompenser plutôt que punir... Evidemment il y aura punitions si elle n'est pas satisfaite des attentions de son soumis. Tout ceci ne visant qu'à perfectionner leur mode de fonctionnement mutuel. Pendant les périodes allouées au soumis, la Maitresse pourra l'utiliser comme bon lui semble pour son plaisir."
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Par : le 15/06/17
Ont se fait toujours une idée de la réalité ne considérant pas qu'en vérité elle est déformée. On attend le superhéros, son héroïne celui/celle qui nous donnera vie. On se dit qu'une fois attrapé(e) on va le/la mettre en cage, une bonne fois pour toute et qui plus est, pour l’Éternité. Voilà la seul réalité... La vérité à reconsidérer. Le quotidien des ménages Français, leurs cinq à sept pas franchement désopilant. Les trois coup vite fait inscrit sur le semainier, le frigo qui s'ouvre et se ferme et le troisième samedi du mois où l'ont sait qu'il va falloir être au Top... Parce que la quinzaine est déjà dépenser, c'est à la maison dans un recoin de son monde, que s'apprête à vivre l'extase d'un moment toujours bien trop court, l'orgasme que Madame à demandée. Expressément, accessoirement, rudement, tendrement aussi au début bien entendu. Et il faut se faire à cette idée !! Bander sur ordonnance, à la commande. Celui qui sait qu'après tant d'années Madame sera toujours aussi séduisante, il sait également que, seul, dans son froque, Mister SuperHéros n'est pas toujours du même avis bien qu'il se languit d'avoir au lit son Héroïne. Sentir si là journée c'est bien passer puis finir par quand même le demandé pour ne pas qu'elle hurle son manque d'attention. Se rapprocher pour qu'elle puisse, à son tour, sentir la domination, toutes les situation qui auraient pu nous faire flancher. Mister SuperHéros à demi-molle sais bien faire savoir lui aussi lorsqu'il y a de l'inattention. Un manque de considération, la réalité des faits, la seul vérité. Madame ne se soumet pas, nous lui soumettons les idées du débat. Elle décide de la vérité à observée et dans la réalité nous mettons à contribution ce qu'elle aura décider et que nous aurions valider, expressément, accessoirement mais surtout tendrement au début, bien entendu. Poussez-vous je fais le ménage devant ma porte, je passe un coup de balai, il n'est pas midi mais ça ne saurait tarder. Autant de proverbe que ce que le vent emporte le temps. Tant de principe de vie, autant en philosophie. Madame attend mais est-ce qu'elle sait seulement qu'en moi sommeil un superHéros. Parfois laid, tantôt beau, sur du papier glacé ont voient tout le temps le reflet d'une fausse réalité, en photo et, mis en scène, c'est parfait j’achète. Le prix à payer de la dur réalité des faits. Tantôt bon ou plutôt mauvais en moyenne c'est trois minutes que cela me prend pour vider... mes valises. Je m'attache vite, je déteint rapidement. Je râle souvent, éternel insatisfait, perfectionniste et persévérant. Madame devra se rendre compte du temps que j'ai à lui offrir c'est un cadeau, un présent. Un patient, impatient. Et puisque ma notoriété laisse à désirée est-ce qu'elle saura dominé la situation ???!! Plus aucun doute... Elle attend aussi quelque part, là où se perd se tas d'années. Un refrain, j'avoue, l'une d'entre elle me l'as soufflée. Maître Lasky FanPage : https://www.bdsm.fr/ma-238tre-lasky/
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Par : le 07/06/17
D’une très chère Amie, se posant des questions d’Etre ... à mon propre sentiment actuel… Je partage ses réflexions, ses mots et Maux… Pourquoi les gens vont-ils trop vite ? Un homme, un Dominant, un Mec, un Gentleman, un chevalier prenait le temps le temps avant... Il courtisait, charmait de ces mots et biens d'autres choses encore... Il ne montrait pas son Graal dès les premiers instants... Il n'énumérait pas ses prouesses et savoir-faire techniques dans tout domaine.... Il rassurait, Il protégeait... Avant d'avoir les faveurs de la Belle et l'emmener dans sa couche... Même les Rois les durs et rudes quand ils aspiraient Femme, même une courtisane... Ils devaient montrer Pattes blanches Seules les gueuses, pauvres et femme de petites vertus avait ce comportement...Et encore... Et La Femme, Dame, Damoiselle et courtisane... Séduisait tout autant, ou éconduisait le prétendant sans pour autant montrer leurs beaux présents de la Nature ainsi que leurs antres béantes et dégoulinantes ... Elle titillait, elle suggérait, elle charmait par leurs apparats et belles tenues et Tenues fasse aux prétendants Aujourd'hui tout est acquis... D'un Dominant, il est forcément Maître...et fait obéir de son propre statu autoproclamé D'une Soumise, elle obéit forcément car il est...et fait tout pour satisfaire l'autre au détriment d'elle-même.... (Cela s'applique aussi aux Domina et Soumis) Mais où est donc passé ces "fondamentaux" de rapports... Ces Pas de respects qui font d'une relation se construit avec Passion...Pour être vécue avec déraisons... Ces premiers instants, où la séduction est si croustillante... Cette élégance qui fait naître, à mesure du temps l'envie d'Etre, l'un pour l'autre... L'un offrant alors la Protection, l'autre offrant le Don de soi Pour que cette vie à Deux, ou plus, soit si Respectueuse, si prenante, si Luxuriante, si Décadente... Mais si somptueuse et enivrante.... Tout fout le camp....Revenons aux Fondamentaux...Non ?
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Par : le 04/06/17
Pourquoi ressentons nous le besoin de nous soumettre, ou bien même de dominer ? L’un comme l’autre sont des situations courantes depuis l’enfance, rappelez-vous votre maitresse d’école, rappelez-vous vos instituteur, rappelez-vous la direction. La hiérarchie est au cœur même de notre raison d’exister, l’Homme et je parle bien de l’Homme avec un grand H, car que ce soit l’homme ou la femme les deux ont besoin de dirigé et d’être dirigé. Pour ma part, je suis le maitre et le chien à la fois, je vais vous raconter l’histoire de ma rencontre avec ma maitresse (si je puis l’appeler ainsi). Depuis que je suis en âge, c’est-à-dire assez jeune enfaite quand on y pense, je ressens cette étrange attraction pour le coté sado maso de la sexualité, faire l’amour c’est bien, mais jouer à ce jeux c’est mieux ! J’ai rapidement remarqué que le coté de ma personnalité que je voulais exploiter étais celui du soumis. Je m’inscris sur plusieurs sites de rencontre mais étant mineur à l’époque il me fut impossible de trouver un maitre ou une maitresse en qui je pouvais avoir confiance (effectivement n’étant pas fou je n’allais pas me lancer dans une aventure dangereuse avec un malade mental, je préférais rester sur mes gardes dans mes contacts). Après ça j’ai eu une petite amie, mais cette dernière n’appréciais guère ce genre de relation qu’elle trouvait mal seine (comme le pense la plupart des gens, alors qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’une plus large ouverture d’esprit). La rupture fut dure pour moi et pour oublier je me laissais aller à diverses aventures quand je trouvai enfin une fille avec les même penchants sexuel que moi, hélas elle voulait également être soumise ! Mince je n’avais pas de chance … Je fus donc contraint à endosser la peau du maitre (je tiens là à vous faire remarquer toute l’importance du verbe contraindre dans ma phrase, en effet quand on y pense j’ai été soumis à cette fille puisque c’est elle qui m’a forcé à devenir le dominant, les apparences sont parfois trompeuses !) et je dois bien l’avouer j’ai pris un malin plaisir à m’occuper de cette petite dévergondé. Dès notre première séance elle s’est avérée ouverte à tous les niveaux, je lui ai forcé de venir avec une robe très serré qui plus est sans sous vêtement, et comme elle pratiquait l’équitation je lui avais demandé de rapporter ca cravache afin que je m’occupe d’elle comme une jument qu’il fallait dresser. Elle sonna a m’a porte, je l’embrassai et mis une main sous sa robe pour vérifier qu’elle avait bien respecté mes consignes, je fus agréablement surpris de voir qu’elle ne portait pas de dessous et que de plus elle mouillait comme une vulgaire chienne, puis nous montâmes à l’étage. C’est alors que je m’assis et que je la fis se placer sur mes genoux, elle portait une petite robe très serré verte à peine penché la robe courte laissais apparaitre son petit con bien mouillé et son cul tout séré qui n’avais encore jamais été violé. Je lui remontais alors la robe au-dessus de la ceinture et lui mis une belle fessé, je ne savais pas encore trop comment m’y prendre mais je la vis prendre du plaisir donc j’en ai conclu que la méthode était adéquate. Je lui remis de suite une fessé encore plus forte, celle-ci laissa une belle trace rouge sur sa petite fesse toute blanche, « Je n’ai rien entendu ! » lui dis-je, et une troisième puis une quatrième tombèrent, je lui maltraitais les cuisses et le fessier, ne lui laissant jamais le temps de parler, même mes mains commençait à me démanger, un parfais mélange entre le sadisme et la jouissance. J’étais tout excité et ça se voyais vue comme je bandais. Elle était au bord des larmes et mouillai au point que ça coulais le long de sa jambe, je récupérai ce liquide et lui fit lécher une partie puis garda la seconde pour moi : « Hum c’est du bon jus de salope ça ! » lui dis-je, elle baissa encore plus la tête et me répondit d’une voix fluette : « Pitié maitre … ». Parfais on était arrivé à ce moment où le jeu se mettais en place tout seul, elle m’appartenait et je pouvais faire d’elle tout ce que je voulais. Je glissai alors un doigt dans sa chatte toute humide et je l’entendis pousser un petit cri, je me mis ensuite à agiter mon doigt à l’intérieur puis a en glisser un deuxième, elle se tortillais et régulièrement je récupérais un petit peu de sa mouille et la faisais glisser le long de ses fesses afin de lubrifier son petit trou. Je forçai alors l’entré de son anus qui fut légèrement raide au départ je dois l’admettre et lui dit : « Ne t’inquiète pas esclave, je prépare juste le terrain », pendant qu’elle poussait des cris de jouissance, je continuais de lui lubrifier l’anus naturellement. Sans prévenir je me levai et la jetais sur le lit, d’abord elle se mit sur le dos, mais je lui lançai un regard sévère : « Qu’il y a-t-il monsieur ? » me demanda-t-elle. Je lui pris le bras et la retourna violement, « Une chienne, doit être prise comme il se doit, alors prépare toi à te faire enculer ma petite catin ! » et je pénétrai a l’intérieur de son petit cul tout séré mais l’ayant bien lubrifié ça rentrais comme … hum … papa dans maman (sans mauvais jeu de mot). Puis je l’a pilonnais pendant un long moment elle criait et hurlait comme une chienne : « Oh ouiiiiii, je ne suis qu’une salope, hannnnnn une vulgaire putain hummmm oh ouiiii », et c’était le cas. Mais vint le moment fatidique où je ne pouvais plus me contrôler, je sortis alors de son cul, j’enlevai la capote et lui dis : « Viens finir le travail esclave ». Elle se retourna tremblante, les larmes aux yeux d’avoir trop crié, et elle se jeta sur ma queue pour la lécher avec tant de ferveur que je ne la reconnaissais pas le temps de quelque minute elle s’était transformé en putain, ce moment étais tous simplement magique, lorsque le jeu deviens si réel que l’on arrive plus à le distinguer de la réalité (ce dont j’ai fait les frais pendant mon éducation avec ma maitresse, mais cette histoire viendra plus tard). Enfin ne pouvant plus me retenir, je répondis mon sperme dans sa bouche et la fit boire jusqu’à la dernière goute. Voici ma première expérience dans le domaine de la domination. La prochaine fois je vous raconterais la rencontre avec ma maitresse.
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Par : le 31/05/17
(Photo du Net) (En refaisant mes écrits, je recroise un vieux texte....Il y a presque 10 ans...Comme quoi les mots et Maux reviennent étrangement) Dans cette passion si forte ou le rôle de tout à chacun est définit bien souvent par des critères très spécifiques, il y en a un qui parfois m’échappe…et pourtant si présent Celui de la personne Dominante, souvent associé à celui de la froideur parfois sans cœur…. On lit si souvent la détresse des personnes s’abandonnant, rarement celles de ceux qui guident… Hors, je pense, et aujourd’hui cela est mon cas, que très souvent ces maux sont aussi les nôtres. Ce Don si précieux qui nous est fait et qui parfois nous échappe, ne nous laisse pas sans émois. La douleur de perdre celui ou celle qui nous a fait cette précieuse offrande est, je pense, aussi ressentit comme la pire. Le cœur perdu, blessé, douleur, sur lesquels peut-être avons-nous du mal à décrire, sont bien là. L’engagement dans nos actes et dans notre amour est parfois tel, par la démesure des sens que nous déployons pour garder ce Don si précieux, que lorsque l’autre reprend son offrande nous en souffrons avec la même démesure que cet engagement. Je risque de choquer certains en disant ses mots, mais oui, je le dis haut et fort… Le départ de l’autre est certainement plus fortement ressentis par nous, et parfois nous amène à renoncer ce qui fait de nous l’essence de notre passion. Pour ma part, je ressens aujourd’hui cette douleur, profonde, brulante, marqué à jamais par cette défaite. Certes il n’en demeure pas moins les passions vécues, présentes en notre mémoire mais il nous faut, il me faut du temps pour panser ses blessures…pour regoûter peut-être à nouveau à ce fruit passionnelle et passionnant…
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Par : le 23/05/17
Bonjour, j’espère que vous allez bien, souvenons nous ! il y a plus d'un an maintenant une fessée m'était promise par Lady H et Myrina. Une fessée à quatre mains. Une fessée virtuelle tout d'abord . Le genre de promesse que l'on ne croit pas vraiment possible réellement. Et puis, contre toute attente ! Un jour, Je roule vers les monts du lyonnais, concentré sur la route, surtout ne pas perdre son permis, respirer, ne pas penser à ce qui m'attend et surtout, surtout ! Ne pas fantasmer. Je roule. Arrivé sur le lieu de rencontre, avec pour cadeau en guise de fleur, une dizaine d'orties (tellement puissantes que ma main est ankylosée). je vois uniquement des visages connus souriant . Derrière moi un couple de belges que je connais pas, chemine dans le désert agricole français ! Ils arrivent. On discute, on essaie de ne pas bourrer le frigo à coups de pieds, le pauvre est déjà trop plein, on se rabat sur le deuxième. Les Mojitos se fabriquent de main de Maître secondé par Daybe, la bratt de sa Reine s'active à placer une sorte d'apéro dînatoire, un jeune sauvage donne la main de ci de la. Et nos Dominas essayent de laisser faire et de profiter du service. Chacun prend ses marques quand nos belges arrivent. Après cinq harassantes heures de route. Ils sont trop fort ces belges. Mais ils ont quand même un drôle d'accent. On se re-bise, ce sont là les deux seules personnes que je ne connais pas invités pour l'occasion de cette fessée. Jacques et Angie. AH mais oui quelqu'un nous enduit d'erreur ils ne sont pas belges mais Suisses. Bon, je ne dirais pas qui ! On discute, on se pose, j'en oublie un moment le pourquoi de la réunion. Quand elle me regarde droit dans les yeux. tu as installé le tréteau ? Demande Myrina le tréteau ? Répète-je bêtement . Le tréteau ! Ah non ! je vais le chercher. un petit coup de transpiration me taquine, tandis que nous installons une chambre dédiée aux jeux. Un tréteau solide, des bambous, un énorme sac à malice, un carcan. Et des orties trônant dans un gros bocal. Elles arrivent ensemble dans la pièce, son regard étonné m'accroche. - tu n'es pas encore déshabillé ? - ….. ! surtout se taire et s'exécuter. Pour la première fois, complètement nu devant Lady H, qui de nous est le plus intimidé ? Nous nous sourions. Myrina me guide au tréteau. Installé par dessus le tréteau, mes fesses se tendent, je ne vois rien qu'une fenêtre aux volets fermés, mais mes oreilles se dressent à l'énoncé de leur programme. Et puis finalement la douceur des caresses s'installe. Un duo de mains se promène sur mon dos, fesses et cuisses. La première claque me fait sursauter, deuxième, troisi... ah non ! Faux départ elles rigolent comme des enfants, me donnent ordre de compter des séries de dix, enchaînent les « faux départs », je me trompe dans les comptes, on recommence, maintenant on compte en canon, elles ne claquent plus à l'unisson. Je me trompe, on recommence.... et ça chauffe, mais ça chauffe. Le temps n'existe plus. Le compte et les claquements du fol amusement de ces dames emplissent la pièce, emplissent le temps. J'entends des voix derrière moi, ça commente, et ça rit. Je ne vois rien, je ressens seulement ma peau s'amincir à chaque claques. Ça finira par se déchirer j'en suis persuadé. Comment peuvent-elles ne pas avoir mal aux mains ? Comment ? Mon cul me brûle, un instant de calme s'installe. Quand soudain je hurle, les orties remontent le long de mes jambes. C'est horrible ! Et on reprend la fessée tant que je suis « chaud » elles sont inventives et poétiques, elles trouvent sympa de finir les comptes par un « petit tambourin » et hop un petit tambourin par ci, par là etc ! Entrée en matière magique et douloureuse, un chariot de joie se déverse sur l'assistance. Nous y sommes ! Bienvenue à vous tous à « la fessée à quatre mains » imaginée et mis en scène par les célèbres Lady H et Myrina pour satisfaire l'insatiable apôtre /heyoka. Bienvenue et merci ! Je n'ai pas dormi plus de trois heures, comme un ange repu. Gavé de douleurs, d'attentions. À sept heures j'enfile un legging et pars marcher, mes fesses endolories se contractent à chaque pas, il pleut et l'air froid pose sa pommade sur mon corps. A mon retour Lady H me propose un café à l'eau. Délicieux ceci dit ! Et nous chuchotons nos vies, nos envies dans la maisonnée endormie. Nos réflexions à voix basse sont soudain entrecoupées par les ébats d'un couple. Témoins chuchoteurs d'une intimité si belle que nous l'admirons. Le matin n'en finit plus, tour à tour on déjeune, puis on mange, ou certains déjeunent après avoir mangé, bref la colonie s’éveille tout au long d'une joie communicative. Angie infatigable, continue inlassablement de nous servir une merveilleuse charcuterie et son fromage, entrecoupé de shibari tout doux en corde de fibres de coco, gloups !!!!! Je n'ai pas pu tout suivre de ce qui s'est passé durant ces moments, mais le jeu est partout, vivant dans les yeux de chacun, des pointes carnassières apparaissent aux prunelles de tous ces Doms présents. Des claquements, des soupirs, des cris, des chuchotements ponctuent les discussions plus communes dans le salon. Elle me regarde, je frémis. Son doigt se lève et me montre la salle de jeu. Mon esprit aussi rapide que l'ours sortant d'hibernation, comprend sans peine que mon tour revient. Je prie pour mes fesses douloureuses. Je monte. J’attends, - mais tu es encore habillé ? Allez dépêche-toi ! Me dit-elle en arrivant. - …... s'ensuit un instant d'intimité en rythme, elle tape avec des bambous... c'est avec le feu au cul que l'heure du grand repas arrive. Chacun se met à la tâche et à tour de rôle on envahit les salles de bain. Le but étant de coller au thème de la soirée « portez de la dentelle ». Quand nous nous trouvons réunis autour d'une table dressée de belle façon, nous sommes tous terriblement beaux et s'ensuit une séance photo digne de Cannes. Le service assuré par les soumises et les soumis ligotés de manière astucieuse est ponctué de punitions suivant les règles établis au début du repas. Mais globalement nos chers Doms restent sur leur faim. Les soum's sont presque trop performants. Gniark, gniark ! Après un jour et demi d'amusement et d'échauffement, cette soirée prend une allure d'apothéose, je connais bien cette sensation où la douleur s'ajoutant aux précédentes me dépose dans un état de grâce. Je m'assoie avec délectation dans la souffrance, plaisir égoïste, purement égoïste, pas de sexe, juste une lancinante envie de monter un cran encore plus haut. La douleur me pénètre doucement ; ma douleur est votre sexe qui s'enfonce en moi elle me vrille le ventre, me donne des sueurs, me rend animal, mon cerveau se perd entre mes cuisses et mes reins tordu par le mal que vous m'infligez..... Jusqu'au moment..... où nous retournons à la fessée à quatre mains ! Et oui plus d'un an que l'on attend tout de même. - non mais ce n'est pas vrai tu n'est toujours pas déshabillé !!!! -........... Tréteau ! Côpain...... Au bout d'un temps, mes fesses n'en pouvant plus, vos caresses pour m'apaiser trouvent l'intérieur de mes cuisses, ma réaction vous étonne, vous revenez.... je me dérobe ! - mais tu es chatouilleux ???? - ….. - Lady il est chatouilleux là ! - Ici Myrina ? - OUIIIIII !! je hurle de rire, c'est insupportable, elles me massacrent de chatouilles je n'ai plus de souffle je crois que j'arrive au bout de vie, comme disent les djeun's. Elles sont aux anges. Je m'écroule épuisé, vidé. A nos cotés les couples jouent. Le martinet de Jacques s'envole, chante et mord Angie. Alter aide Daybe à gravir leur sommet. Je m'agenouille épuisé, Lily prend place au tréteau, et j'admire. Lady pose sa main sur mon cou, je me mets à quatre pattes elle s'assoit sur mon dos. La soirée est magnifique ! En ce qui me concerne cette nuit, se finira par un encasement des plus délicieux, dont un jour, peut-être, je romancerais l'histoire. Les attentions de ce week-end se sont nichées dans mille détails, des détails absolument drôles comme le caquelon gratiné de blettes. La marmelade de blettes au petit déjeuner. J'ose aussi exprimer le regret de ne pas avoir vu L que j'embrasse bien fort, Mais je garde mon uniforme de majorette uniquement pour une prochaine fois. Mais surtout !!!!!!! MERCI A VOUS TOUS....
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Par : le 05/05/17
Publier avec l'accord de Sir S Humour et dérision........ Chapitre 6 : comment j'ai séduit Hydréane Il y a longtemps, bien longtemps, tout au fond d'une lointaine galaxie … Ma réputation (pour le moins non usurpée) de dominant hors paires (non aucune faute d'orthographe…) avait depuis longtemps dépassé les frontières de mes terrains de chasse habituels. Ne pouvant être partout et faisant bien malgré moi de nombreuses déçues, j'entrepris de m'inscrire sur un forum. Le lecteur verra là mon coté sadique; saturé de demandes je débarque en un lieu où elle ne pourront qu'être plus nombreuses encore, tant je ne parviens jamais à passer inaperçu. Soyons clair, je n'allais pas là-bas pour échanger (que pouvais-je bien apprendre moi qui pourrais plutôt donner de cours?), m'enrichir des expériences des autres (forcément plates à coté des miennes et qui de toute façon ne m'intéressent en rien) ou je ne sais qu'elle ânerie d'intello oisif. Non je débarquais là avec une seule intention: niquer. Evidemment ma finesse d'esprit m'interdisait de l'annoncer tout de go; je devais donc un temps faire profil bas (certainement le plus dur moment de ma carrière de dominant). A la pêche on aurait dit amorcer. Après quelques de mois de public relation (mon anglais est aussi parfait que le reste), le poids grandissant de mes corones (et oui admiratif lecteur, l'espagnol non plus n'a plus de secrets pour moi, mais ça mon amie et complice A ......le savait déjà m'indiquait chaque jour davantage qu'il était temps de passer à l'action. Je postai donc non pas une annonce comme tout pauvre dominant en manque de soumise, mais un test visant à me donner un large choix dans les innombrables proies qui ne manqueraient pas de m'écrire. Il faut avouer que ma boite à MP était restée aussi désespérément qu'incompréhensiblement vide jusqu'alors; j'avais -comme toujours- l'explication: elles étaient intimidées, forcément. On ne le serait à moins. Cette peur de ne pas être à ma hauteur que j'ai si souvent rencontrée au cours de ma carrière. C'est idiot d'ailleurs comme réaction: évidemment qu'elles ne seraient pas à mon niveau, mais n'ayant pas le choix, je dois bien passer outre pour trouver une soumise. Logique. Ce qui ne signifie pas manque d'exigence. Juste que je prendrai la meilleure dans les prétendantes à ce statut plus qu'honorifique. Le test du fraisier vit donc le jour (malheureusement non récupéré sur un autre forum NDLR). Un succès phénoménal. Habituel pour moi certes, mais toujours agréable. Une véritable hécatombe. En le relisant, je me disais qu'incroyablement, je parvenais encore à me surprendre, tant c'était génial. A tel point que les autres «maîtres» (je mets volontairement ce terme entre guillemets tant il me paraît évident d'être le seul à mériter ce titre) devaient forcément en prendre ombrage. Je compatissais. Malgré des centaines de propositions, je ne parvenais toujours pas à trouver rangers à mon pied. Un jour errant sur le tchat où j'avais déjà fait tant de ravages, une certaine Hydréane attira mon attention. Je pense qu'elle était consciente de cet honneur. Bientôt elle en prendrait assurément encore plus la mesure. Rapidement elle tomba follement éprise de moi; comment ne pas la comprendre? Je finis par me dire qu'après tout, elle avait certaines capacités (de jolies jambes entre autres, un cul prometteur, et des lèvres entre lesquelles j'imaginais déjà introduire une partie passablement développée de mon anatomie, des nichons à croquer...). Je devrais pouvoir, après des années de travail intensif, l'amener à ma cheville. Un record sans doute. Banco , elle deviendrait donc ma soumise. . Evidemment, elle ne devait pas tout savoir de moi; une aura de mystère se devait de continuer à entourer son futur Maître. Je masquai donc quelques points essentiels de ma vie. Aucune photo de mes charentaises. Elle ignorerait à tout jamais que le matin je déjeunais d'un petit chocolat chaud avec des biscottes. Que l'après-midi un thé blanc à la framboise était mon ordinaire. Que chaque soir un tilleul menthe (la verveine orange étant trop violente pour mon sommeil) accompagnait mon passage dans mon fauteuil en velours devant la télé. Mon assiduité chaque soir devant question pour un champion et des chiffres et des lettres resterait également secret; tout comme le fait que j'étais devenu très fort au scrabble. Je ne voulais pas trop l'impressionner dès le départ (cela à déjà provoqué la fuite d'autres, craignant sans doute de ne pas se révéler à la hauteur d'un tel Maître absolu) . La Belle tomba donc dans mes filets. Pour mon grand bonheur et son plus grand malheur. Mais la pitié comme le remord m'étant des sentiments totalement inconnus, cet état de fait dura longtemps , longtemps ... Sir S Lady H
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Par : le 24/03/17
Voici un texte rédigé par une dominatrice et recueilli sur le Net. Petit manuel à l'usage des soumis en recherche Devant la pauvreté des demandes qui depuis des années affluent dans ma boite mail, via les forums et les tchats fréquentés, il semble que peu de soumis, même sérieux, sachent se présenter, se faire valoir et surtout éveiller un intérêt auprès des Dames qu'ils tentent de séduire. Voyons donc une demande "type" : "Bonjour, je suis un homme soumis de tel âge expérimenté, je mesure tel cm et pèse tel kg, je suis de tel endroit et me déplace." Messieurs réfléchissez donc 3 sec, à force d'envoyer de telles annonces, avez vous reçu beaucoup de réponses ? Je gage que non. ET vous vous plaignez après cela de ne pas trouver, mais bon dieu qu'est ce qui dans cette annonce donne ENVIE de vous répondre ? Alors au lieu de vous plaindre et de poster tous azimuts apprenez à réfléchir. Certes, nous dirions que vous êtes d'une autre planète, qu'il vous est difficile de laisser ressortir votre part féminine et de réfléchir avec ce côté de cerveau que vous n'avez pas, dans ce cas, faites donc jouer votre côté analytique et structuré masculin et dite vous ceci :-) Lorsque vous cherchez un emploi, envoyez vous une lettre de motivation qui dira : " bonjour, je suis un employé expérimenté, je mesure tel cm et pèse tel kg, je suis de tel endroit je me déplace. et j'aimerais travailler chez vous " Ou encore, comme dit une de mes amies, lorsque vous vous êtes faits vos amis, les avez vous rencontrés en leur envoyant une annonce qui disait : "bonjour, je suis du coin, je suis un super pote et j'aimerais devenir votre amis ? " - Sachez d'abord ce que vous voulez et le temps comme l'investissement que vous voulez y donner. En d'autres termes mettez vos limites, vos désirs et votre disponibilité au clair et tenez-vous-y. Si vous ne pouvez et voulez être disponible que 1x par mois ne répondez pas à celle qui cherche une relation complice et en partage. Si vous n'avez rien d'un maso, ne répondez pas à celle qui adore pratiquer les aiguilles et le whip australien. Si vous aimez vous déguiser en soubrette, ne répondez pas à celle qui désire un mâle très masculin. - Prenez ensuite le temps de découvrir : Ce que la dame montre d'elle même (je ne parle pas de son physique !), de ce qu'elle recherche et ce qu'elle désire. Et ne vous adressez qu'à celles qui semblent avoir la même vision que vous. Arrêter de vous proposer à toutes les autres. Quand vous cherchez un emploi vous ne répondez pas à toutes les annonces, vous vous dites " ah celle là est faite pour moi, j'y réponds " et vous vous donnez les moyens d'y répondre pour que l'employeur y trouve de l'intérêt. - Sachez susciter de l'intérêt : Faite de votre annonce quelque chose d'original, de complet dans le descriptif de vos attentes et vos désirs ainsi que l'implication que vous voulez y mettre et soyez sincère. Pas la peine de cacher que vous êtes marié si c'est le cas, dite si vous pouvez recevoir ou vous déplacer et soyez honnête. Tout se sait et cacher quoi que ce soit vous fera encore dire que vous avez vécu l'échec. - Séduisez ! : Lorsque vous avez découvert une Dame qui semble vous convenir, qui vous plaît et que vous aimeriez rencontrer. Ne lui lancez pas vos " bonjour, je suis soumis machin du coin, puis-je vous intéresser ? ". Intéressez vous à elle, à sa recherche, à ses désirs, ses envies. Arrêtez votre côté mâle technique, agissez comme lorsque vous désirez séduire une future compagne, car c'est ce qu'elle sera : une compagne bdsm, à quelque niveau que ce soit. Il est complètement ridicule d'arriver de nulle part et de dire à toutes les Dames " bonjour, vous m'avez séduit, je suis à vos pieds déesse ". Pourtant beaucoup d'entre vous utilisent encore ce manège débile ! - Soyez honnête : Inutile de cacher votre âge ou ce qui vous paraît être un défaut physique (taille, poids etc), beaucoup le font, mais que se passe t'il au moment de la rencontre ? Inutile aussi de cacher votre alliance, votre disponibilité limitée, votre distance ou toute autre chose qui se découvre très vite. Inutile aussi de vous voiler la face et de vous faire passer pour ce que vous n'êtes pas, cela se découvre aussi très rapidement surtout depuis que le net existe et que les gens du milieu finissent par bien se connaître à de très longues distances. Soyez donc vous même ! - Offrez vous : Par définition, un soumis est un homme qui se donne. Donnez vous les moyens de l'être ou oubliez votre recherche elle sera toujours infructueuse. - Évitez de jouer au racoleur : Style " bonjour madame, vous connaîtriez une domina dans ma région ? ". Je n'ai jamais connu de Domina agence de placement. Seule votre réputation future pourra vous faire bénéficier de ce traitement - Évitez aussi de nous prendre pour des idiotes : Le style " bonjour sublime/divine/splendide/magnifique Maîtresse/Déesse " a toujours cours mais fait rarement tomber la Dame dans le panneau. Arrêtez de nous prendre pour des imbéciles :o) - Réfléchissez toujours à cette phrase clef : Qu'est ce qui va faire que Dame X aura envie de mieux vous connaître, qu'est ce qui vous rendra séduisant à ses yeux ? (oubliez votre physique flamboyant, je parle là de vos actions). - En résumé : Soyez sincère dans votre démarche. Structurez là, ciblez la, dites toujours clairement ce que vous cherchez, sans faux semblant ni mensonge et recherchez celle qui a les mêmes visons que vous. Ensuite intéressez vous à la dame, séduisez là et donnez lui envie de vous rencontrer. Je connais un soumis très demandé, lequel depuis toutes ses années n'a jamais manqué d'expériences, quelles que soit toutes les expériences qu'il a eu envie de vivre. Jamais il n'a cherché en vain, demandez vous donc pourquoi ? ? ?
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Par : le 14/03/17
La voiture se gare devant les marches du Grand Palais, Eva en descend tout en prenant précaution de ne pas prendre son talon aiguille dans le bas de sa robe longue. Linda a fait des miracles... Elle connait bien les goûts de Madame Altones mais là elle s'est surpassée! Elle a choisi un modèle de robe japonisant comme espéré. Avec un col Mao, des boutons brandebourg sur un côté, boutonnant jusqu'en bas, une pochette en satin, une paire d'escarpins, une baguette à cheveux ornée d'un mini lampion finissant par un gland de fils et une bague énorme en onyx. Toute de noir vêtu, Eva se sent sûre d'elle par les dessous qu'elle porte. Un corset, un porte jarretelles avec des bas couture lui donne cette sensation d'être toute puissante. En gravissant les quelques marches menant au hall art déco, elle se surprend à espérer que peut être ce soir son chemin croisera celui de l'homme qu'elle attend. Eva vérifie que la baguette enfilée dans son chignon est bien en place puis s'engouffre dans la file des personnes invitées et répertoriées par Monsieur Yan Tsong. Elle claironna son nom au réceptionniste, tout en scrutant l'assemblée. C'est alors qu'elle croise le regard d'un homme, Eva sait lire la convoitise dans les yeux, mais là ce qu'elle y découvre ce serai presque comme de l'admiration. Déroutant se dit elle, je n'ai pas l'impression de connaître cet individu. Elle n'eut pas le temps d'y réfléchir car au même instant son ami Richard la héla avec des sifflements admirateurs... Elle ne pouvait supporter ce genre de comportement que de la part de son ami, un autre homme se serai vu habillé pour l'hiver d'un costume trois pièces! -Hé bien ma "chéwie" tu es resplendissante! -Richard s'il te plait, ne nous fais pas remarquer de la sorte! Je déteste ça! -As tu bien entendu les décibels de la musique soit disant de fond?! Il est vrai qu'à bien y penser elle seule a dû entendre le sifflement de son ami mais étant très réservée, elle restait persuadée que peut être "d'autres" l'avait entendu! Oh et puis zut! Peu importe, après tout à qui devait elle des comptes?! Personne... Richard lui expliqua que Yan Tsong était ravi de la savoir présente, qu'il ne manquerai pas de venir la saluer en personne dès que possible. Une coupe de champagne et quelques petits fours plus tard alors qu'elle se perdait dans des conversations futiles avec des pseudos connaissances. Elle reconnu l'homme qui avait piqué sa curiosité à son arrivée. Une connaissance s'approche d'Eva accompagnée du fameux inconnu... -Eva tu es superbe! lui dit Gabriel, le directeur d'une entreprise avec laquelle elle sous traitée régulièrement. Laisses moi te présenter Flynn... Flynn est un ami mais aussi un journaliste. D'ailleurs c'est ainsi que nous nous sommes rencontrés. Flynn couvrait l'évènement sportif où j'étais invité pour remettre un prix. N'est ce pas? -En effet, Gabriel, en effet... Flynn avait prononcé ses mots sans prêter aucune autre attention à Eva, il ne la regardait pas, il la dévorait! - Hem! Un gratte papiers?! S'enquit elle avec dédain car même si cet homme transpire la sensualité, le charme de l'intelligence il est hors de questions qu'il se délecte ainsi de ses courbes féminines sans en faire quelques frais. Tout a un prix... -Madame, au XXIéme siècle un "gratte clavier" me semble bien plus approprié! -Peu importe l'outil! Il n'en reste pas moins que peut être votre talent n'est dû qu'à des relents de rumeurs colportés par ceux qui n'ont que du venin à répandre! A ces mots leur petit groupe se mut dans un silence assourdissant puisque la remarque cinglante siffla dans l'air tel un coup de fouet bien senti. Nul n'eut le temps de répliquer quoique ce soit car Monsieur Yan Tsong s'empressa de kidnapper le bras d'Eva qui disparue dans la foule en un éclair des vapeurs épicées de son parfum. Elle se dit que l'intervention divine de son hôte lui permis de plonger tête baissée dans le monde des affaires. Mais il n'en reste pas moins qu'au plus profond d'elle même, ce Flynn ne la laisse pas de marbre. Elle se retrouve seule, perdue dans ses pensées où des images salaces envahissent son esprit. Elle imagine Flynn, nu, à ses pieds... Rien de bien étonnant à cela, cet homme est trait pour trait son idéal masculin. Grand, brun, les épaules larges, pas une gravure de magazine mais un charme ravageur dû au sourire qui illumine tout son visage lorsque sa mine se réjouit... -Eva, voudriez vous une coupe de champagne? A ces mots, elle se retourne pour tomber nez à nez avec une coupe scintillante de bulles dorées que Flynn tient à hauteur de ses yeux. -Volontiers! Mais n'utilisez pas mon prénom pour m'interpeller s'il vous plait. Eva prend la coupe, la porte à sa bouche tout en dévisageant ce Flynn tout intimidé pour le coup. -Comment dois je vous appeler? -Madame sera suffisant! -Bien Madame... Vous ai je à ce point courroucé pour que je ne puisse pas vous dire votre prénom? Eva ferme les yeux, elle respire le parfum musqué de Flynn, ses narines s'en dilatent au même moment que son humidité commence à palpiter. Elle ouvre les yeux, scrute les traits de cet homme qui éveille en elle des sensations endormies et lui dit en un souffle: -Flynn... seriez vous entrain de me draguer? Surpris par cet aplomb, il baisse les yeux, elle s'en délecte. -Je pense qu'il serai malvenu de le nier! Dès que je vous ai vu, j'ai ressenti un "je ne sais quoi" de différent en vous. Dans votre allure hautaine, vous dégagez une assurance rare chez la gent féminine même les femmes de pouvoir ne peuvent tenir la comparaison avec votre aisance. Prenant le temps de la réflexion, Eva ne sait si elle doit l'envoyer sur les roses ou répondre honnêtement sur ses penchants particuliers... -Laissez de côté vos mots enjôleurs cher Flynn, ils fonctionnent sûrement sur le commun des femmes mais je ne joue pas dans cette catégorie. Je ne doute pas que les flatteries ont un pouvoir séducteur pour certaines mais pour ma part il n'y a qu'un seul comportement capable de capter mon attention et d'attiser mes intentions. -Et puis je en connaitre le secret? -Vous le pouvez mais ensuite je devrais vous faire signer ... -Me faire signer? Je signe tout ce que vous voulez! Les yeux fermés! -Bandés serait plus juste, lui rétorque Eva dans un murmure inaudible. Elle se hisse sur la pointe des pieds, de sa main attrape sa joue pour qu'il s'incline de côté et accéder à son oreille. Alors elle lui susurre: Ta docilité! -Ma docilité?! Je ne vois pas ce que vous sous entendez par là. -Veux tu le savoir Flynn? -Bien sûr... J'aimerais tant vous connaître mieux. -Alors suis-moi! Dans le vacarme et les corps des danseurs qui se tortillent, Eva se fraye un chemin jusqu'à la rotonde de la Reine. Arrivée à la porte, elle s'assure que personne ne va les voir y pénétrer. Evidemment elle croise à ce moment là, le regard brûlant de Flynn. Elle ouvre la porte, le fait entrer et referme derrière elle. Les voilà seuls, il n'y a que les sons assourdis de la musique qui comblent l'espace. Eva lâche la poignée de la porte, plante ses yeux dans ceux de Flynn et lui dit: -Mets toi nu! -Là comme ça?! Mais quelqu'un peut arriver... -J'ai demandé de la docilité! En es tu capable? A ces mots Flynn s'exécute et retire ses vêtements. Eva est bluffée par son courage, sa témérité et se dit que même si il ne le sait pas, il pourrait bien être un soumis qui s'ignore. Une fois nu comme un ver, elle retire de son chignon la baguette alors ses longs cheveux noirs se dessinent en cascade sur ses épaules. Tout en pointant la baguette vers Flynn tel un doigt menaçant, elle lui dit: -Mets toi à genoux! -C'est bien tu es docile... Regarde moi! Ne crois pas que cette parenthèse va te permettre de me posséder... C'est moi qui possède les hommes, pour les initiés je suis une Dominatrice. Je ne souhaite pas rentrer dans une case, je me plais à dire que je suis une femme "à dominance atypique"! La question est Flynn: veux tu à ce point me connaître pour t'en remettre complètement à mon desiderata? Il ne répond rien, Eva pense qu'il va mal réagir, se rhabiller et filer. Mais non, il reste muet mais prostré dans la position qu'elle lui a intimé de prendre. Les minutes s'écoulent avec une lenteur exaspérante... -Veux tu bien me répondre?! -Oui je le souhaite... Je veux savoir qui vous êtes. -Cela ne va pas être possible en une fin de soirée mais je vais t'en donner un avant goût... Eva avait déjà laisse ouvert un pan de sa robe jusqu'au niveau du genou mais ses mains commencent à défaire le reste pour dévoiler le jarretelle et les bas. Elle remarque que le souffle de Flynn vient de se faire court. -Aimes tu ce que tu vois Flynn? -Oui Madame. -Bien tu as retenu comme j'apprécie que l'on s'adresse à moi... Je te préviens je ne vais pas te toucher! Par contre, rapproches toi de moi en restant à genoux et vient renifler ma chatte. Flynn opère ce périple et se place au niveau du Mont de Vénus d'Eva, il constate qu'elle ne porte pas de culotte aussitôt son pénis durcit de plus belle. -Alors?! Je t'ai demandé de me renifler!... Ce que tu sens te plait?! -Oh oui Madame! Vous sentez divinement bon. -As tu envie de la lécher pour avoir le goût de mon odeur? -Oh Madame... J'en serais comblé! -Ne bouge pas! Elle entreprend alors de poser son pied sur l'épaule de Flynn et ainsi exposer son sexe pour qu'il y accède plus facilement. Le talon de son escarpin encadre parfaitement son épaule, ce qui offre à Eva une assisse solide. -Lèches! A cet instant Flynn commence à titiller son bouton de rose, d'abord avec un peu de timidité puis en de grandes lampées frénétiques mues par un désir dévorant. Eva explose alors en mille morceaux! Elle jouit sur les lèvres charnues du journaliste. -Arrêtes! De suite! Il obéi sur le champ, pendant qu'elle savoure son orgasme dans la rotonde de la Reine, sûrement pas le premier à être assouvit ici. Elle reprend sa position initiale, regarde Flynn dégoulinant de sa jouissance, l'embrasse goulûment et s'en va. Laissant cet homme chaviré par ce qu'il venait de se passer.
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Par : le 09/03/17
Comme à son habitude, en cette fin de semaine, elle n'utilise pas son chauffeur pour se rendre à son travail. Elle choisit de déambuler sur le boulevard circulaire du quartier de la Défense. Croiser des gens qui errent, où se traînent tous ses destins pour qu'elle puisse enfin être seulement elle. Consciente de sa position sociale, responsable du sort de milliers d'âmes qui survivent sous sa coupe. Elle n'en reste pas moins une femme avec ses états d'esprits, ses défauts et ses qualités. Ce qu'elle apprécie le plus dans ce pèlerinage c'est d'entendre claquer ses talons sur l'asphalte. Voir son tailleur se mouvoir dans les vitres glaces au rythme de ses hanches. Elle est une femme que l'on remarque, qui a de la prestance, elle est grande, "pulpeusement" ronde mais ce qui fait tout c'est son regard... Ses yeux sont dorés, son regard n'a pas besoin de discours, ils parlent et gèlent le sang de celui qui en fait les frais! Elle passe la double porte de verre, remarque que le garde n'est pas à son poste. Commence alors la ronde des "Bonjour Madame" des têtes qui se penchent légèrement vers l'avant en pressant le pas. Intérieurement, elle jubile! La nouvelle demoiselle de l'accueil est derrière son guichet, elle est entrain de papoter avec devinez qui? Le garde de la porte d'entrée... -Cher Monsieur Merson comment allez vous? L'homme en uniforme se retourne précipitamment tout en baissant les yeux... -Bien merci Madame Altones et vous même? -Je vais bien je vous remercie de vous en inquiétez! Mais j'aurais pu vous le dire il y a déjà au moins cinq minutes si vous aviez été à votre poste dès mon arrivée... -Je vous prie de bien vouloir m'excu... -Vous n'auriez pas à me présenter des excuses si... Alors ne m'en présentez pas lorsque vous pourriez vous en dispenser si vous n'aviez pas été en faute! Sur ce le garde encore secoué presse le pas pour regagner son poste. Elle est de celles qui pensent que s'excuser n'a pas de valeur lorsque cela aurait pu être éviter. Il suffit à bon nombre d'anticiper, de se poser les bonnes questions lors d'actions qui pourraient nuire à autrui. Son regard se porte sur la demoiselle qui s'est paré d'un rouge aux joues très révélateur... -Mademoiselle, je comprends aisément que votre charme puisse faire tourner la tête de Monsieur Merson. En dehors des heures de bureau vos vies privées ne me regardent pas mais ici je souhaite que chacun accomplisse la tâche qui lui est dû. A l'avenir je vous pris de ne pas avoir peur de dire à Monsieur Merson que tous deux avez un travail à assumer. Puis affirmez vous devant les hommes! Conseil d'amie... La jeune femme ne su que répondre et resta bouche bée devant ce ton ferme mais empli de bienveillance à son égard. Sans s'attarder Eva se dirige vers les ascenseurs, là, seule, dans la mâchoire d'acier qui la hisse dans sa tour d'ivoire, elle se perd dans le tourbillon de ses pensées. Son planning est chargé, sa secrétaire va sûrement lui annoncer à son arrivée que de nouveaux rendez vous ont été glissé à des horaires insupportables. Mais ce qui la rassure c'est que ce soir elle va pouvoir se prélasser. Dommage qu'elle n'ait pas un homme sous sa coupe actuellement pour palier à ses besoins... Car si elle a bien un défaut c'est celui de ne pas savoir lâcher prise. Elle en est incapable, depuis toute jeune la vie l'a forcé à tout maîtriser, à commencer par elle. Rien d'étonnant à ce que dans ses relations intimes cela soit pareil. Elle est une Dominatrice comme la nomme les initiés. Peu importe ce qu'elle est, elle est avant tout une femme hors normes, qui assume son plaisir différent en soumettant un homme. Pas pour qu'il devienne un homme à tout faire! Elle ne le supporterai pas mais un homme présent, une épaule sur laquelle se reposer et assez confiant pour lui remettre les clefs de sens envies perverses. Au delà de l'aspect sexuel divergent, elle souhaite un compagnon de vie mais sans la routine des vies vanille. Elle veut une coupe chocolat/vanille pour parfumer son existence d'effluves d'humidités palpitantes. Les portes s'ouvrent et la sort de sa rêverie surtout lorsqu'elle aperçoit sa secrétaire pincer les commissures de sa bouche. Eva comprend que les nouvelles ne vont pas la satisfaire... -Madame Altones, Richard a téléphoné... Je cite: "Si nous ne voulons pas que le marché avec Tokyo nous échappe, tu dois te rendre ce soir au dîner de bienfaisance de Monsieur Yan Tsong qui sera donné au Grand Palais, j'y serais pour vingt heures. Notre générosité sera récompensée!" -Quoi?! Ah non pas ce soir! Appelez Richard, passez le moi dans mon bureau! Merci Mathilde... Eva pose son sac, son attaché-case sur le fauteuil face à son bureau, regarde par la baie vitrée le manège des gens pressés de la Défense. A la première sonnerie de son téléphone, elle se précipite pour décrocher. -Richard Madame, ne quittez pas! -Allo ma grande comment vas tu? -J'irais bien mieux si ce soir je n'allais pas à ce dîner de bienfaisance... -Allons allons, tu sais bien que mes charmes ne sont pas à ta hauteur! Si nous voulons décrocher ce contrat tu vas devoir te parer de tes plus beaux atours! -Oh Richard... Je suis fatiguée! Usée de devoir continuellement oeuvrer pour le bien de la société... -Usée?! Tu ne peux pas l'être ma douce... Pas du haut de tes trente neuf ans! Puis une fois ce contrat décroché tu pourras t'éclipser si tu le souhaites. Aller zou! En piste! -Je serais là vers vingt heures trente... -Bisous à ce soir! Je suis ravi que tu viennes cela fait un bon petit moment que nous ne nous sommes pas vus! -Bisous Richard... Décidément Eva ne peut rien refuser à son ami Richard, il a toujours les mots pour la faire céder. Non pas ses mots, simplement leur amitié ancestrale qui la fait plier devant cet homme, ce confident de toujours, celui qui sait tout! Il n'y a jamais eu d'ambiguïté entre eux, puisque Richard aime les hommes et ne voit en Eva que la petite soeur qu'il n'a jamais eu la chance d'avoir. Eva décroche son téléphone, appuie sur une touche. -Mathilde, pouvez vous s'il vous plait appelez Linda, lui dire de me faire parvenir une tenue de soirée, je la veux noire et aussi une paire de talons aiguilles noir aussi... Qu'elle pense que c'est pour un dîner de bienfaisance, du japonisant fera bien l'affaire... Pour les accessoires je lui fais confiance mais pas outrageux s'il vous plait. -Bien sûr Madame. Autre chose? -Non ce sera tout Mathilde pour le moment. Merci. Une fois raccrocher Eva retire ses escarpins car elle sait que cette journée va être éreintante.
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Par : le 08/03/17
J'aurais aimé être l'auteur de ce texte, tant les 7 piliers de la Dominance me parlent. Je n'en suis donc que le traducteur, en toute humilité... - Un dominant est un souverain, mais jamais un tyran. Mais gouverner exige la compréhension, et la compréhension exige de l'humilité. - Un dominant est fier, mais jamais arrogant. Mais la fierté exige la dignité et la dignité exige de l'humilité. - Un dominant inspire le respect, mais jamais la peur. Mais le respect exige la sérénité, et la sérénité exige de l'humilité. - Un dominant emploie la force, mais jamais la violence. Mais la force exige la connaissance, et la connaissance exige de l'humilité. - Un dominant analyse, mais jamais ne juge. Mais l'analyse exige le discernement, et le discernement exige de l'humilité. - Un dominant reçoit, mais ne prend jamais. Mais recevoir requiert de savoir donner, et le don exige de l'humilité. - Un dominant complète, mais ne tente jamais de changer. Mais pour compléter, il faut être capable de voir ce qui est là, non ce qui manque, et cela exige avant tout de l'humilité. J. Mikael Togneri Source : http://www.idahobdsm.com/articles/7pillars.html
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Par : le 27/02/17
Into BDSM Une évolution psychologique Episode 1 : Jade J'avais 25 ans la première fois qu'une femme a touché mon pénis pour me faire jouir. C'était une masseuse chinoise d'un quartier animé de Tokyo, Roppongi. Cette femme était venue à moi dans la rue pour me proposer, à la base, un simple massage qui fut finalement très érotique et se boucla par un "happy ending". Mais ce qui devait être très banal pour elle, était loin de l'être pour moi. En effet, elle venait, sans le savoir, d'ouvrir la boîte de Pandore, déverouillant ainsi un énorme blocage que j'avais vis à vis du sexe et des femmes. Suite à cette expérience, j'avais pris plus de confiance en moi et avait décidé d'explorer pleinement ma sexualité, sans aucune limite et sans aucun taboo. J'avais été jusqu'à présent un nerd associal névrosé, ingénieur en informatique célibataire, qui n'avait jamais eu de copine et encore moins d'expériences sexuelles, pas même un baiser. Dans une telle situation, j'aurais pu commencer soft, mais pourtant, je n'avais qu'une seule envie, c'était de m'attaquer directement au monde du BDSM ! J'étais fasciné par le bondage depuis tout petit. Je m'amusais seul et en secret à m'attacher car cela me stimulait sexuellement à seulement 5-6 ans. A l'adolescence, je devins fétichiste des combinaisons moulantes féminines, particulièrement celles en latex et en cuir. Mais je n'en resterait qu'aux fantasmes véhiculés par les pornos, pendant des années. Quand je suis rentré dans le monde professionnel, j'ai commencé à avoir des pulsions masochistes, incluant des jeux de douleurs dans mes pratiques solitaires. Le besoin de vénérer les pieds d'une dominatrice devint de plus en plus grand. Mais développer des fantasmes de plus en plus élaborés sans jamais pouvoir les réaliser, devint de plus en plus frustrant. C'est pourquoi je me suis naturellement tourné vers internet afin de trouver de vraies Maîtresses avec qui pratiquer concrètement. Mais ceci aller être plus difficile que ce que je pensais, car l'argent était partout. Je me refusais de payer pour une prestation dont j'ignorais l'issu. Mais suite à mon expérience japonaise, je finis par me convaincre qu'en payant, j'allais pouvoir accéder à ce monde plus facilement, au moins pour me faire une première expérience. J'ai donc décidé de commencer simplement en scrutant les diverses annonces qui pullulent le net et d'envoyer des mails à toutes les Dominatrices qui attiraient mon attention. Aucune réponse, malgré de nombreuses tentatives, ne venaient à moi. C'est à ce moment là que j'ai du changer de stratégie et me suis mis à téléphoner directement. Je me souviens encore de la longue hésitation qui a précédé mon premier appel, je tenais fébrilement le téléphone en ayant peur de tomber sur un canular ou ne pas savoir quoi dire. J'étais déjà très timide et encore plus au téléphone, donc dans ce cas de figure, mon corps tremblait. Mais il y avait une part d'excitation non négligeable en moi qui fit pencher la balance. J'avais trouvé une annonce d'une certaine Jade et tentais ma chance avec elle. Je saisi le numéro, la tonalité s'enclencha, un moment d'intense suspense pour moi, mon coeur battait très fort..."Allo ?". Elle avait répondu ! Il allait falloir assumer jusqu'au bout à présent, pas question de se dégonfler : "Bonjour...vous êtes bien Jade ? - Oui ! C'est pour massage ? répondit elle avec un fort accent étranger. - Heu...non...j'aimerais savoir comment se passait une séance de domination avec vous ? - No massage ? Domination ? 150€ ! - Heu...OK... répondis je perplexe devant la somme élevée inattendue. - Vous rappeler avant séance et moi vous dire quoi faire ! Quand vous vouloir ? - Samedi, c'est possible ? - Si ! Samedi possible ! Mais vous appeler avant venir pour confirmer ! Moi donner adresse à ce moment ! Quelle heure ? - Disons 13h, est ce possible ? - Si 13h possible, mais vous appeler avant pour être sûr ! - C'est d'accord, merci beaucoup madame. Puis je vous demander d'où vous vient votre accent ? - De Bolivia ! - Oh la Bolivie ! Gracias ! Passez une bonne soirée madame et à samedi ! - Gracias ! Buenas noches !" Une escort girl bolivienne qui s'improvisait Dominatrice, voilà la sensation que j'avais suite à cet appel. Je n'avais en plus aucune garantie d'avoir une séance au vu de sa façon de procéder. Je n'avais aucune adresse et n'étais pas sûr de savoir ce qui m'attendait et surtout je restais abasourdi par le prix de 150€. J'étais néophyte à ce moment là et étais loin de me douter que ce tarif n'était en fait pas si élevé. Le samedi arriva, j'étais impatient. Le matin, je téléphonais à Jade pour confirmer notre rendez vous. Elle me demanda d'aller à une place en ville et de la rappeler à ce moment là. Je n'avais donc toujours pas d'adresse. Une fois en ville, je la rappelle : "Oui, c'est encore moi, je suis en ville, où dois je aller à présent ? - Vous aller dans petite rue à côté de fontaine ! - OK, j'y vais ! - Vous vouloir massage n'est ce pas ? - Non non...Domination...dis je doucement de peur d'être entendu en pleine rue. - OK ! Vous arriver ? - Je suis dans la rue oui ! Que dois je faire à présent ? - Vous marcher jusqu'à porte en bois ! - Très bien je la vois, je suis devant ! Je dois sonner ? - No ! Vous prendre la porte en face et ouvrir puis monter escalier, moi attendre vous ! - Merci, à tout de suite !" Ce jeu de piste bien mystérieux lui avait permis de m'épier par la fenêtre de son appartement et de décider si elle allait me recevoir ou non. Si elle avait eu un doute, j'imagine qu'elle aurait coupé la communication. Je commençais à me demander s'il était très malin de continuer, javais l'impression d'être mené en bateau. Je montais néanmoins l'escalier et vis une porte ouverte. Jade était là en peignoir. Une autre femme occupait l'appartement, mais elle ne me prêtait aucune attention. Jade m'accompagna dans une chambre surchauffée avec un lit double en son centre, le rideau de la fenêtre tiré et avec une atmosphère très érotique. Elle enleva son peignoir et révéla un très beau corps dans une tenue sexy rouge. Pas de cuir ou de latex contrairement à ce que la photo de son annonce montrait. Une première déception m'envahit et une seconde quand elle se mis à parler : "Toi donner 150€ maintenant ! - Heu...vraiment ? Mais...enfin...nous n'avons encore rien fait... - Toi pas discuter ! Toi donner argent ! - Heu...oui madame...pardon madame..." Je lui donne l'argent et ensuite elle m'ordonne de me mettre nu. Je m'exécute et elle me demande ensuite de me mettre face au mur en position de croix, les jambes écartées et les bras en V. Elle commença à me tripoter les tétons et les testicules et me fouetta au martinet. J'étais très ému de passer enfin à l'acte et cela, malgré ce début étrange. Mais disons que tout cela faisait partie de la séance. Elle me mit ensuite des menottes et me demanda de m'agenouiller afin de lui lécher les cuisses. Elle poussait de faux cris de jouissance, ce qui me gêna. Puis nous sommes passés sur le lit où elle m'ordonna de me mettre à quatre pattes. Elle sortie des godes ceintures de différentes tailles et me sodomisa avec, du plus petit au plus grand. C'était la première fois que je me faisais prendre et j'étais partagé entre l'excitation et une envie de déféquer ! J'étais toujours menotté et elle me redemanda si je voulais un massage. Ayant déjà testé le massage érotique au Japon, j'ai donc refusé, préférant me concentrer sur la domination. Mais je comprenais de plus en plus que la domination n'était pas son activité principale. Sans avoir la moindre expérience réelle avant ce jour, je constatais malgré tout que cette femme était une opportuniste s'adaptant à une clientèle et profitant d'une vague de mode du BDSM. Il n'y avait aucune conviction dans sa façon de dominer et j'en fus définitivement convaincu lorsqu'elle me demanda de m'allonger sur le dos, qu'elle se positionna sur moi, ses fesses au niveau de mon visage, en continuant à pousser ses cris simulés et en me masturbant pendant que je lui léchais l'arrière train. Ceci faisait suite à mon refus du "massage" et faisait office de conclusion de la séance après seulement une vingtaine de minutes...assez scandaleux vu le prix. Son but était de me faire jouir le plus vite possible afin que je m'en aille aussi vite. Mais cela n'allait pas se passer comme cela ! Elle me fit effectivement jouir mais je refusais d'en rester là ! Elle se mit à me fouetter mais je ne ressentais pas de douleur car elle n'y allait pas assez fort. Elle frappa de plus en plus et de plus en plus fort jusqu'à en suer puis s'arrêta me demandant si j'étais satisfait. La réponse était non et puisqu'elle me laissait choisir la prochaine pratique, je choisis de lui lécher les pieds, ce qui fut plaisant mais une fois de plus très court et expédié sans conviction par cette dame. On en était arrivé à un mode où je choisisais mon plat sur un menu et elle s'exécutait, je me demandais donc qui était en train de dominer l'autre. Elle mit fin à la seance, par lassitude après une grosse demi heure au totale ce qui ne m'avait bien entendu pas comblé. J'étais néanmoins très heureux de cette expérience qui m'avait malgré tout permis de tenter mes premières expériences SM partagées, mais aussi de découvrir un monde corrompu par l'argent et l'opportunisme et plein de charlatans. J'allais donc devenir plus méfiant et sélectif grâce à cette charmante Bolivienne, que je ne manquais pas de remercier courtoisement avant de quitter les lieux. En rentrant chez moi, je fus envahit par de multiples pensées et émotions comme la satisfaction d'avoir assouvi une part de mes fantasmes, mais aussi la sensation de m'être débarassé d'un gros poids et que je n'aurai pas besoin de séances de domination avant longtemps. Pourtant, une énorme surprise m'attendait une fois chez moi, puisque j'eus le bonheur de constater qu'une des Dominas à qui j'avais écrit, m'avait répondu ! Elle me disait qu'elle était prête à me recevoir et me donna son numéro de téléphone en précisant qu'il fallait que je la contacte vite avant qu'elle ne change d'avis. J'adorais le ton autoritaire qu'elle mettait dans son message et mon désir augmenta très vite, oubliant ainsi la pensée que j'avais eu quelques heures plus tôt. L'aventure ne faisait que commencer ! A suivre...
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Par : le 16/02/17
Encore une fois... Je regarde ce spectacle saisissant où ton corps se crispe et ta bouche souvre dans ce râle, Instant sublime d'une effervescence emotionnelle, Tes yeux vides, fixes tournés sur ta jouissance. Meme masqués, je les vois figés, Paroxysme de cette longue et lente ascension D'un plaisir solitaire ... mais tellement partagé. Tu me livres alors ouverte pleine et a moi Entre douleur et liberation cet intense emotion exultante Qui te fais tellement briller a mes yeux.. Plus tôt alors, Je t'ai prise, Insoumise, en te regardant droit dans les yeux. Ton regard se fait plus accueillant, mais ta façade ne me trompe plus. Je sais que tu me cracherais a la gueule plutot que t'agenouiller sous ma demande. La douceur ne fais que t'agacer d'avantage, t'expliquer où est ta place a mes pieds te fait doucement ricaner.. Face a face, toujours en attente de mon caprice, tu attends. Je ne te demande plus de te mettre a genoux Le temps s'etire trop et tu joues les vieilles douleurs Ma main saisit, large et puissante, et puis te plie a ta place, pliée fermement. Pas de place pour ta résistance, à mon injonction physique Mon mot devient: a ta place! Et l'amour soujacent ne laisse place au doute. par reflexe, tes genoux cedent, et tes jambes s'ecartent deja assise sur tes talons tu te cambres, sexuelle.. Tes seins gonflés et provocants sous ton décolleté plongeant. Tu places tes mains sur tes cuisses et ta tete reste fiere et dans l'attente . comme j'aime te voir ainsi ma petite pute Je tourne autour de toi et t'observe.. Les secondes tombent lourdement sur ta conscience.. "Tu vas devoir suffisement mouiller pour que je te baise, Et tu sembles bien partie pour recevoir mes doigts plus que ma queue Tu vas japer comme une chienne pour repartir la queue entre les jambes Je veux voir la pire saloppe qui est en toi.. Alors, rompu d'avoir baisé mon trou, Je te laisserai a ton jouet, si tu aura ete suffisement chienne, et tu me regaleras d'un de tes orgasmes si fantasmatique." Je posais les règles... tu saurais a quoi t'en tenir. Je lis ton attente, ton envie d'en découdre Approchant mon visage a quelques cm de toi J'articule : "ouvre ta bouche et sort cette langue" Toute ton insoumission se cristalise dans ton regard, ta façon de déglutir puis d'ouvrir la bouche et de tirer lentement ta langue "Je t'emmerde, aurait été plus judicieux !" Tu donnes le ton, petite pute! Impulsant le rythme de ma reponse a ta demande "Je vais te plier femelle, et tu vas mouiller pour t'en sortir!" Une Sorte de rage sourde et sans eclats, me prends les trippes, nos caracteres dominants s'affrontent, dans un combat immobile Puissant jeu de pouvoir, tu ne te soumettras jamais de ta propre volonté! Ma main saisissant ta gorge et mes yeux fambloyants La force de ma poigne et l'impossibilité d'en echapper Laissent glisser un hoquet de surprise Tu as le don de faire sortir ce monstre en moi! Ton visage rouge et te veines gonflées, tes mains crispent mon bras Et lascerent de leurs griffes pour t'echapper veinement L'air t'amplissant de nouveau, la tete te tourne et tu vascilles légèrement.. La main sur ton cou, je te redresse et scrute ton regard .. Il en faudra beaucoup aujourd'hui pour que tu merites ton jouet! Tes yeux s'etirent, et un sourrire esquisse le coin de ta bouche.. La femelle alpha ne plie pas comme ça... Une gifle ferme mais douce vient marquer ta joue, et ton regard commence a craindre la suivante.. Ton arrogance fait basculer ma part complète. Face a moi, non plus ma Soum, ma pute, mon amour? Face a moi ma chienne qui veut Dominer.. alors... une seule chose ne peut qu'exister: Ma Domination Seul objectif : ton corps reduit sous le mien exultant et ma gorge rugissante! La tempete emotionnelle bat son plein entre nous, Tu as fait sortir ce monstre Alpha, et tu jubiles d'envie D'etre laminée comme cette fameuse coquille de noix Traversant seule les 50emes rugissants! Les minutes sont longues et intenses. Ta gorge subit sans menagement mes assauts.. Tu devras mouiller en abondance pour recevoir ma queue dans cette brutale penetration. Ton bassin ondule d'envies, mes mains t'attrapent Et te placent au grès de mes caprices, que tu suis, non docile, mais forcée Contrainte... contrainte encore et encore A faire entrer ton putain de caractère dans cette minuscule boite Rhhhhhhaaaaa je rage de te baiser ma chienne Te retournant vivement, sans ménagement mais en t'accompagnant, Quelques gestes prompts et péremptoires t'imposent la bonne possition Alors, d'un coup, et d'un seul profond, je te penetre avec violence.. Et baise ma chienne, déchainé de défi et de fureur dominante Mes mains t'agrippent, t'etranglent avec force Tu es devenu mon jouet, mon pantin a jouissance. Soumise de force, et par plaisir d'etre dominée, Je ressent alors tes barrieres ceder, Alors... Mon calice reçoit mon intense et bestial orgasme, Rugissant vainqueur j'exulte mon rhale Petrissant ton corps et mordant mon territoire.. "Tu es a Moi tu m'entends?" Tous les deux haletants, je replie doucement mes bras pour epouser ton corps , Cape humaine, tu disparais sous mon amour qui appaise tes maux Je susurre a ton oreille toute mon admiration pour ton abandon Et je berce ta conscience, pourqu'elle retrouve sa place Tu es loin.. si loin.. ma Soum.. Tu as si bien cédé ta place pour que j'exprime mes pulsions.. Caressant ton corps, je te prepare, pour ton moment de grâce Encore une fois.. je vais regarder l'emotion pure animer ta carapace Les spasmes de ton bassin vont animer mon envie Tu vas degager tes phéromones et je vais figer cet instant intemporel J'aime ce que tu me fais vivre ma Soum Parloire
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Par : le 13/02/17
Ceci est le jeu du portrait québécois. Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné ; 2) me dédicacer le titre de la manière suivante "x choses sur moi pour luc" ; 3) le publier dans la section "articles" ; 4) me le faire savoir. 1. Je suis du sexe masculin, sans intention d’en changer, et hétéro, avec une seule rencontre, d’ailleurs assez plaisante, avec un homme. 2. A ce jour, j’ai eu un nombre de partenaires sexuels, hors fessée, à peine dans la moyenne française. 3. Je pratique le sport. 4. La fessée est un fantasme qui remonte à l’enfance. 5. J’ai été fessé une douzaine de fois, toujours par des hommes. 6. Je suis persuadé que la présidence de Trump va être un test des institutions américaines. 7. Les fessées trop douces m’ont franchement ennuyé; celles qui m’ont plu m’ont fait mal et laissé des marques pour quelques jours. 8. J’ai toujours été du côté du soumis, mais n’exclue pas d’essayer la domination. 9. Ma très heureuse relation actuelle m’empêche d’être fessé, ne pouvant exhiber des marques. 10. Je suis allé un peu au Québec. 11. Je vois plus les fautes d’orthographe des autres que les miennes. 12. Les photos de fesses d’un beau rouge uniforme me plaisent beaucoup. 13. Je n’ai rencontré que des fesseurs, sinon compétents, du moins fiables et respectueux, ce qui est le plus important, et leur en suis reconnaissant. 14. Je ne révélerai pas ici grand chose sur moi et, entre autres, pas que je trouve la pose de pinces à linges sur mes tétons très douloureuse, mais excitante. 15. La fessée, consentie et entre adultes, peut être une pratique très sensuelle. 16. Les hommes aussi peuvent avoir de belles fesses. 17. Le seul homme que j’ai “connu” m’a sucé dans sa voiture; j’avais malheureusement éjaculé trop vite. Il aurait bien voulu me revoir, mais pour des raisons oubliées, cela n’eût pas lieu. 18. Je suis très famille. 19. Ma consommation d’alcool est très modérée, je déteste la tabagie et n’ai jamais essayé aucune autre drogue que le chocolat. 20. J’aime me photographier nu. 21. Mes fesseurs sont restés habillés. 22. Les détails m’importent. 23. Quand je tenais un blog, j’avais rédigé un lexique de la fessée. 24. Une fessée commence par un échauffement progressif à la main, à la rigueur avec une tawse en cuir, d’une vingtaine de minutes. 25. Le racisme m’est incompréhensible. 26. Si j'éjacule, la fessée se termine; je prends donc mes précautions. 27. Le centralisme (jacobinisme) français m’exaspère. 28. L’humour est indispensable. 29. Le consentement est à la base de toute pratique sexuelle. 30. J’ai beaucoup travaillé. 31. Je rêve de recevoir à nouveau la fessée (flagellation) par un homme ou une femme qui saurait fixer mes limites et les faire progresser. 32. La musique est une nécessité. 33. J’entretiens une relation très amicale avec le martinet et très inamicale avec le tape-tapis, et ce pour la simple raison que je ne suis pas un tapis. 34. Tout comme une phrase se termine par un point, une fessée doit se terminer par une série de coups plus forts. 35. Je ne veux recevoir la fessée que nu, pour le sentiment d’être sans défense; la recevoir partiellement déshabillé me donnerait le sentiment d’être puni. 36. J’ai vécu dans plusieurs pays. 37. La guerre me fait horreur. 38. Mon dernier, et plus fréquent, fesseur, m’a trouvé endurant; il lui a manqué de savoir me faire accepter, entre autres par des caresses sur les fesses, plus que un ou deux coups de fouet. 39. Je suis très fesso-centrique. 40. Pour le reste, demandez-moi; je répondrai peut-être.
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Par : le 09/02/17
En effet, lors de la rencontre Sud Ouest du 6 juin chez notre amie Souphie, il a été évoqué la domination en tongs et en espadrilles... Tongs pour M, espadrilles pour S! Comme je constate qu'à ce jour rien n'a été produit en ce sens, j'ai décidé de les encourager en écrivant un post sur la domination en chausson! Hé oui, le mythe de la WonderDomina va s'écrouler sous peu! Et ce n’est pas plus mal à MON humble avis... Combien de fois ai je lu les "vraies" les "meilleures" dominatrices! Fadaise! Si l'on commence à dissocier le statu de Domina et celui de la femme qu'elle est avant tout, n'est on pas dans l'instrumentalisation des Maîtresses?! N'est ce pas stigmatiser, stéréotyper une tendance sexuelle? Encore un coup veut on cataloguer? Stériliser les femmes différentes? N'y a t'il pas encore une forme de sexisme dans le fait de devoir, pour exister, être affubler d'une tenue spéciale? Le stéréotype de la "vraie" domina: un corset, des bas, des cuissardes bref la femme sexy par excellence! A MON humble avis, ce n'est pas la tenue qui fait la Maîtresse! Combien y en a t'il qui se baptisent ainsi parce qu'elles ont fait du shopping?! Ridiculuuuuuuuuuus! Je pense que la domination est un état d'esprit, une personnalité... d'où le fait que les différentes manières de procéder viennent avant tout des envies, des fondements de notre individualité... Donc je n'ai pas peur de dire qu'il m'est déjà arrivé de dominer en étant en chaussons! Et cela n'a rien changé à MON autorité! Cela l'a même assise encore plus! Evidemment comme souvent l'on s'attend à une tenue particulière associée directement à l'imminence d'une séance, du coup la surprise est de mise... J'en garde d'excellents souvenirs d'ailleurs... Donc si jamais vous veniez lors d'une rencontre dans le Sud Ouest ne soyez pas étonnés de croiser sous la table des chaussons, des tongs et des espadrilles! Vous douterez sûrement de la légitimité des Dominants en présence. Mais vous changerez sûrement d'avis lorsque vous verrez les sourires carnassiers, les regards lubriques, les échanges enflammés sans oublier le matériel posé à proximité prêt à claquer dans les airs... Quelle douce musique que celle du fouet, du martinet et de la cravache...
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Par : le 06/02/17
Ici j'ai reuni toutes mes petites reflexions nocturne (la plus part du temps) parsemées de ci de là a travers mon mur. trop courte pour en faire un article, trop longue pour les laisser se perdre sur la longueur du mur biensure il y a tjrs a lire au travers de mon murs. ==================================================== Ne craint pas ce frisson qui te parcours le corps, ce n'est que mon âme qui peu a peu s'empare de la tienne. Ne craint pas ces mots qui te frappe l'esprit, ce ne sont que mes murmures qui t’assaillent de sentiments. Ne craint pas cette douleur qui se repends dans ton cœur, ce n'est que le poison de mon amour qui le fait rebattre. Ne craint pas cette dépendance qui ne demande qu'a t'enlacer, ce n'est que les traits de mon corps qui te manques. Ne craint rien...je suis ta plénitude.... ==================================================== Tartines de mots et de pensées sans queue ni tete, mais non sans sens...à mon sens. il y a des soirs plus difficile que des journées des mots qui résonnent au fin fond de l'esprit qui s’étouffent dans les méandres des souvenirs un écho...du silence des mots...de l'âme un manque, de pas être, un vide, de ne plus être. il manques des données à l’équation 1, 2, 3, 4. 4-1=2 la soustraction ajoute il une plus value ? regarder la porte, cette porte, et n'y voir que de l'inconnu A(b)imé l'un n'engendre t il pas l'autre ? et le placard alors ? on tire sur la ficelle on allume l'ampoule en son centre et on y trouve plus qu'un livre, le chrome et le coton ne sont plus une evidence, mais de chapitre en chapitre, la lecture devient poussiereuse. On ze road, le cuir doux s'en mêle et affole mon imagination Être chasseur ou bien la proie...poison sucré, le chasseur devient la proie, la proie de sa propre chasse la raison n'est jamais notre allié. une tornade a traversée la realité en soufflant un vent de "hurry you can" Ces mots qui ne sont plus, mais leurs bruit nous font veiller toujours aussi tard, et surtout....surtout... nous font écrire de la merde .... A vos yeux....seulement. [u] ==================================================== - Tu entends ce silence ? - Non, je ne connais pas le silence. - Pourquoi ? - parceque j'entends mon sang couler dans mes veines. - Alors c'est quoi, ton silence ? - Ton absence. - Mais je ne suis jamais parti loin de toi. - Pour ca que je le connais pas non plus. [u] ==================================================== La lumiere s'est effacée au fil de mes pas sur le bitume...l'air s'est rafraichi...je suis prise soudain d'un frisson qui spasme mon corps, je crois qu'il etait temps que ma ballade se termine, je tipotte mes clés devant la porte, a croire qu'il y en a 50...alors qu'elles ne sont que 3... Je rentre a reculons ? ou je retarde ce que tu sais deja ?...surement un peu des deux oui. le bruit des clés qui se tourn ds la serrure, le grincement de la porte, ma main qui allume l'interrupteur... c'est fou comme on peut etre reglé comme des machines parfois... ce silence de mort que je deteste tant....soupir et enleve mes chaussures, que je prendrais pas la peine de ranger...comme d'hab... je traverse la cuisine et interchange les lumieres...le salon ne m'as jamais paru aussi grand.........naaan faut pas deconner...bon, jamais aussi vide...ouai c'est mieux le canapé est fade et le fauteuil sans saveur... j'allume mon pc et le temps qui charge je me serre un verre, ma playlist se met en route, et cette chanson me percute la tete plus qu'a son habitude If there ever was a reason To bring you all this way Now’s the time for chance Don’t you let it slip away Ooh, you’ll get over All your yesterdays And I will be here For all the things you need to say Ooh my dear Let me help you to believe ’Cause it’s over No more tears in your eyes ’Cause it’s over And I’m by your side Yes, it’s over Put your fears all away ’Cause it’s over Tonight we are one Though I’ll never know the feelings You’ve held so long inside Let me be the “someone” To help you leave it all behind Ooh, I know you’re needing A reason to believe Just open your heart And we’ll find a new dream Ooh my dear Let me show you I believe There’s so much more to discover... je ne dirais pas que j'aimerai qu'on me disent ses mots non... tt simplement parceque j'ai deja eu la chance de les entendre et surtout de vivre ses mots, sans maquillage et sans fard... mais ce canapé est tjrs aussi fade, et ce fauteuil tjrs sans saveur... la musique continue, et le temps defile ...sans moi...je suis loin... loin dans ma tète, mille et une pensée...mille et un souvenirs... mais une seule envie...une présence. [u] ==================================================== Aux soupirs de mes désirs, se dessinent les lignes de mes envies, entre le murmure de mes pensées et les hurlements de mes sens, mon corps qui se marque de ton nom se fait tendre, quand le mien se donne à l'espoir qu'il grave ton Âme. [u] ==================================================== Rhoooo bah c'est pas tres tres gentils d'effacer ma reponse a votre Add a peine 2 minutes apres l'avoir posté...Moi qui prend jamais la peine de repondre, j'y avais mis tant de devotion....je suis decue....Happy je cite votre add : "bonjour, Je suis maître francois, J'ai vus que tu cherche un maître,je fais de la domination sans objet bdsm,et je favorise la domination avec des ordre et du respect que par des fessées ,et des petites claques, contact moi" 1- Avant d'etre une Soumise, je suis un Femme, et avant d'etre une Femme, pour vous, je suis une inconnue...perso j'ai beau connaitre ma boulangere depuis des années je ne me permet tjrs pas de la tutoyer...question de politesse...bien avant d'etre une "regle BDSM" V/t. 2- "je fais de la domination sans objet bdsm,et je favorise la domination avec des ordre et du respect que par des fessées ,et des petites claques" [i] 3- Votre profil : "Dominateur depuis peut, 23 ans" [i] 4- Mon profil : Statut de situation sentimentale: Engag(éWinke Ce que je cherche : "N'esperez rien de Moi, car je n'attends absolument rien de Vous." [i] 5- Ce vous cherchez : "Prends conscience de ta condition de soumise, d'être inférieure, d'entité de bas étage." [i] "La première chose à faire c'est avant tout de te prosterne 3 fois ensuite m'adresser une Candidature de toi digne d'une esclave prêt à obéir ." [i] "Attention je saurai effectuer le tri alors ne t'avise pas à jouer ." [i] [u] ==================================================== je te pique pour que tu me mordes j't'engueule pour que tu me pourrisses j't'emmerde pour que tu m'encules refuses toute mes envies que je te supplie repousse moi que je te colle au basque dis moi que tu me deteste que je t'aime encore plus rhaaaa tu m'enerves !!!!!! barre toi, reviens, je t'aime je te hais [u] ==================================================== je suis prête. je baisserais pas les armes ! prépares tes munitions parce que je vais pas raté j'ai pas besoin de toi, mais j'ai envie de toi je cache mon jeu, mais je t'aime tu sais quoi ? prend le dans le bon sens mais tu es le "pire" truc qui me soit tombé dessus tu as foutu un de ces bordel en moi j'ai du tout remettre en question voir les choses sous un autre angle il a bien fallu admettre que... même si ca n'a jamais été un jeu tu as gagné. beaucoup et différents hommes ont tentés sans parvenir a garder le cap et toi..putain !!... avec toi,je fonce dans le mur en klaxonnant joyeusement approche toi plus pres on a des comptes à régler regarde moi bien, ce que tu as devant toi, tu en est responsable. maintenant va falloir que tu assumes " ta bête". je suis prête. j'ai lâché mes armes... alors maintenant tu dis quoi ? cherche pas d'excuses, surtout pas ! dis moi...je sais pas n'importe quoi mais reste pas planté là a m’écouter et me regarder pester contre mon amour pour toi arrête de sourire c'est pas drôle !! tu as fini ? ...ouai. bien. approche. ...Je T'aime Louve. [u] ==================================================== cet état dans lequel il me plonge, lorsque le cuir se referme sur mon cou, c moment où, je ne ressens plus le poids de mon corps, le poids de mon âme, seulement celui du collier il absorbe tt mon etre, je ne ressens plus l'apesanteur, comme un saut ds le vide en tte sérénité, parceque je ne toucherai jamais le sol, portée par sa main me retenant de tt mal, de tte blessure. Totale confiance, securité maximale, je ne vois plus rien...d'autre que lui, je n'entends plus rien...d'autre que sa voix, ne ressens plus rien...d'autre que ses mains, marionette...mon corps m'a quitté, n'obeissant a plus rien d'autre...que Lui Ce moment ou je lui donne tout pouvoir sur moi, ce moment où, je depose ma vie entre ses mains, ce moment où, je fais de lui un grand Homme, où il fait de moi une Femme libre... [u] ==================================================== [i] C'est dommage....je me suis battue tant d'année contre eux, puis un jour j'ai rencontré la paix, j'ai claqué la porte à Solitarisme et Mal-être s'est fait la malle effrayé par tt ce chamboulement. J’étais presque rentrée dans les rangs, couché pas trop tard, levé pas trop, meme si quelques nuits blanche persistait encore...j'avais trouvé le gout de remettre de l'ordre dans ma vie, je me sentais plus forte que jamais...j'etais bien. Et puis comme un dealer qui vient récupérer ses toxicos, Solitarisme est revenu frapper a ma porte, me vantant ses "bienfait" me disant que j'aurais toujours besoin de lui...que c’était de toute facon en moi. Je lui ai souris tout en refermant la porte, le laissant sur le palier. Mais il a laissé une parti de lui en partant delicatement enveloppé dans une carresse de mal etre ...petit a petit il a repris sa place, agissant comme un cancer, bouffant une par une les cellules saine. les nuits se refont longue, les journées courte, couché a pas d'heure, levé a pas d'heure, errer jusqu'a pas d'heure, pas l'envie, plus d'envie...sans oublier le mutisme. il n'y a que ma force qui mene la bataille avec moi, ce desir de ne plus vouloir cette "mort"....mais la guerre est loin d'etre gagné. [...]Ça faisait des mois que je pensais plus à toi, j'étais guérie, j'avais bonne mine, j'arrive pas à croire qu'on ait remis le couvert, Y'a des choses dans la vie qu'y tiennent du mystère, Tu sais pourtant tu me fais du mal [...] [u] ==================================================== La phrase du jour signé mon grand fils (17 ans) suite a une discussion sur les petit(e)s ami(e)s "Il va falloir expliquer que ma mere est ...prononcée." [u] ==================================================== Tu m'as trouvé, un jour, le sourire perdue, les yeux dans le vague et l'ame en peine, assise là, en bas d'un escalier regardant une porte, celle d'un nouvel ailleurs... Tu m'a tendue ta main, me persuadant malgré mon septicisme, que derriere cette porte que je regardais de travers, se trouvait bien plus de bonnes choses que je ne le pensais. De discours en discours, ma main s'est posée dans la tienne et je t'ai suivi sur ce chemin, avec un seul objectif, me montrer le loquet et me donner la force d'ouvrir cette porte. Pas a pas, nous avons gravi ces marches, Ensembles, nous avons grandi, Ensemble, nous avons appris, Ensemble, nous nous sommes donné, l'un a l'autre, nous avons donner, l'un a l'autre, tu m'as fait voir des choses que je ne connaissais pas, je t'ai montré des choses que tu ignorais, marche apres apres marche, nous avons fait la fierté de l'autre. Mais tt chemin a une fin nous avons regarder derriere nous vu cette ascension nous avons regarder devant nous et la porte etait la a portée de main a portée de ma main tu avais atteint ton but. Il te fallait me lacher la main il me faut te montrer la force que tu m'as inculqué ton chemin s'arrete là, le mien continue avec ton regard dans l'ombre de ma lumiere continuer a te rendre fier de moi, et de ton "travail" sur moi Te montrer, a present, ce que tu as fait de moi ... Lacher la main n'est jamais chose simple oh non ca ne l'est pas Mais la porte est là... D/s. [u] ==================================================== J'ai les fesses qui chauffent qd mes pensees s'envahissent de Toi. Ma peau me brule sous l'absence de la chaleur de tes mots qui temperent mes desirs Mes poignets de tordent et se cassent sans le maintiens de tes mains Je manques de Toi...mon dealer...injecte moi ma came...injecte moi de Toi, ma came. Emmene moi me perdre dans cette etat second, fais moi plonger dans cette ocean de bien etre...Je manques de Toi...Mon Dealer.... [u] ==================================================== il y a un gouffre entre fantasmer et le vivre, pour certain(e), ca depasse l'entendement, c'est tellement destabilisant, qu'on prefere rester dans sa petite vie bien rangée, parcequ'on ne sait pas gerer tt ce chamboulement en soi... on ne comprend pas, mais finalement cherche t on vraiment a comprendre ou rester dans sa ligne de confort est il plus simple ? est ce du courage de decidé de Vivre, ou de la connerie de ne plus vouloir se contenter de survivre ? finalement la definition de l'un et de l'autre ne sont pas si eloigné, peut etre est ce juste une question de paix avec soit meme. Il semble plus facile de regretter la vie qu'on aurait voulu avoir que d'assumer la vie qu'on veut. [u] ==================================================== J'ai eu des paroles sans voix, des silences qui ont hurlé, mais jamais pour rien dire. J'ai essayé de creuser dans le marbre, de graver dans le sable...et J'ai saigné toutes les larmes de mon corps, j'ai plus rien à dire...mais encore tout à écrire. [u] ==================================================== Ce soir Monsieur, vous serez mon objet. Ce soir Monsieur, je vous interdirez de poser Vos mains sur moi, vous reprendrai à chacun fois que votre bassin cherchera à dominer, mordrai vos levres quand elles tenteront de répondre aux miennes. Ce soir, Monsieur, je prendrai mon temps. Le temps d être égoiste, le temps de ressentir. Ce soir Monsieur, vous me detesterai, pour l'ignorance que je vous concèderai. Ce soir Monsieur, vous aussi vous allez prendre le temps, le temps de regarder, de regarder Votre Chienne. Ce soir Monsieur, vous êtes mon god. Ce soir Monsieur, je me jouierai de Vous. [u] ====================================================
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Par : le 30/01/17
Être Maitre ou Maitresse c’est, à minima, expérimenter la discipline et l’exigence pour soi même. Beaucoup sont capables de se dire Maitre ou Maitresse simplement parce qu’ils ou elles ont le désir d’être obéis, entendus, considérés comme tels. Hélas, ce n’est pas suffisant. Combien de relations de Domination soumission se terminent dans les six mois avec l’amertume partagée de ne pas avoir été à la hauteur ? Combien de personnes attirées par la Domination soumission se satisfont de leurs fantasmes nourris de toutes ces images et récits que les marchands produisent à longueur de temps afin d’augmenter leurs chiffres d’affaires ? Combien de personnes cherchent à reproduire l’image idéale du couple personne dominante personne soumise toujours en phase sans le moindre effort comme s’il suffisait de reproduire un modèle qui de toute façon n’existe pas. Il n’y a pas de modèle. Il existe des exemples, des personnes qui vivent en relation D/s depuis de longues années, dont chacun peut s’inspirer. Mais rien ne remplacera jamais la création de votre relation avec la personne choisie. Avec exigence et discipline. L’exigence et la discipline s’appliquent avant tout à vous même. Soyez exigeant envers vous même : ne vous laissez pas aller à croire que la vie et les relations humaines sont faciles, elles ne le sont pas. Ni l’une, ni l’autre. Exigez de vous même d’être le meilleur possible pour vous même. Faites preuve de discipline à l’égard de vous même avant d’imposer quelconque discipline à la personne soumise qui est dans votre vie. Soyez à l’écoute de vous-même, conscient du présent dans lequel votre vie se déploie à chaque instant. Est-ce s’améliorer que ne pas se laisser aller à toutes les distractions que proposent notre monde marchand ? Non, c’est juste être conscient de qui l’on est et de ce que l’on peut apporter à soi même comme au monde. Faites preuve d’exigence et de discipline, vous comprendrez immédiatement qu’il manque ce qui fonde la qualité primordiale de toute relation humaine, à commencer par la relation avec vous-même : la bienveillance. La bienveillance vous évite de tomber dans le piège du jugement, de la culpabilité, de la peur ou de l’inquiétude qui est sont les pires poisons de l’être humain. À tel point que leur rôle dans le déclenchement des cancers est aujourd’hui avéré. La bienveillance vous accorde à la vie qui coule en vous à chaque instant, elle s’accorde à la gratitude d’être vivant lorsque vous ressentez de la bienveillance envers vous même comme envers les autres et le monde qui vous entoure. La bienveillance est ce qui donne à l’exigence et à la discipline leur remarquable potentiel de création de relations humaines exceptionnelles, durables, riches et épanouissantes. Et sincèrement, si vous vous engagez à vivre une relation D/s voire une relation Maitre esclave, c’est bien parce que vous souhaitez au fond de vous vivre une relation remarquable, aussi exceptionnelle que celle dont vous rêvez. La clé qui ouvre la puissance de l’exigence et de la discipline est la bienveillance. Retenez-le, vous n’aurez qu’à vous en féliciter avec toute la gratitude que nous devons à la vie comme à la personne que nous avons choisie pour partager cette relation qu’elle soit D/s ou Maitre / esclave. Bonne semaine à T/tous et à T/toutes.
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Par : le 27/01/17
Le clapotis et le ressac t'avertissent immédiatement de l’immensité aquatique, ton cerveau doit bouillonner d’appréhensions à cet instant.. tu parles, plaisante, te détaches, tu es si fière devant ton bourreau ne montre pas tes peurs tu as raison, reste digne. De toute façon pas le choix, tu as voulu te débattre plus tôt mais tu ne fais pas le poids, Dominée par ma puissance ma main te guide ferme et douce à la fois, tu m'as aussi choisi pour ça, ma Soum. tu es embarquée, et les coups de rames se font sentir. les yeux bandés, tes sens en alerte depuis plus de 2 heures commencent a ronger sensiblement ton assurance. les scenarii sont multiples maintenant pour toi. immergée liée en pleine mer! pour toi c'est sûr. Que fais tu là? Pourquoi? Qu'y a t'il de sexuel? La "pause" des rames te sort de tes pensées en suspens.. Je déshabille ton corps, te passe un gilet de sauvetage et commence à lier tes poignets et tes chevilles la corde glisse sur ta peau maintenant pour te lier à l'assise de l'embarcation ma main passe sur tes formes, elle est douce et ferme, geste qui se veut rassurant mais donnant la direction de mes intentions tu reste mon objet sexuel. Mon emprise sur toi doit te faire mouiller, ma main plonge entre tes cuisses, ouvertes et s'enfonce entre tes lèvres complètement trempées. Qu'y a t'il de sexuel? ta réponse, tu l'as.. Je t'embrasse, puis m’écarte et reprend les rames. Silence.. Ta vulnérabilité provoque au fond de ton âme un bouffée d'angoisse le flot de paroles sort de ta bouche et cherche à atteindre mon coeur ma culpabilité, ma sensibilité, si chères a tes yeux, si protectrices? Ma voix pour la première fois s'exprime pour autre chose qu'une directive: "Te voici exposée au milieu d'un élément qui est mortel vu ta situation, sache que je suis là en toute circonstances... je suis là... Nous sommes suivis, à portée de secours, mes consignes sont strictes." Silence.. les secondes s'étirent.. Ta poitrine est trop étroite pour ton coeur, tu ouvres ta bouche pour aspirer d'avantage tout t'es hostile alors.. tout contre toi.. même ton DHom.. ton geôlier, c'est lui qui te met hors de ton contrôle, tu canalises tes forces psychologiques pour déstabiliser en toute intelligence, tu incises où ça fait mal, tu rages, tu foudroies, tu incantes et te déchaine.. Silence.. les secondes s'étirent.. quel est le sens de cette volonté? contrôle? Dominée par la situation mon silence te guide fermement, patiemment et calmement tu m'as aussi choisi pour ça, ma Soum. Point besoin de te bailloner tu vois? les mots ont finit par s’étrangler dans ta gorge te voilà livrée, tes épaules s’affaissent, ta tête se baisse, ton menton se décrispe, une larme sillonne ta joue, tu ne contrôles pas, plus, tu te résignes, tu subit, ta fierté t'accable, tu es Soumise.. par Domination. Ma main vient se poser un instant sur ta nuque dans ce geste de protection. Ma voix se veut chaude et enveloppante à ce moment là: "Ma Soumise... Je suis là." Les mots étincelles. feu de paille, tu t'embrase immédiatement.. et t’éteins aussi tôt. Il fait noir, il faisait jour.. il fait froid, il faisait chaud.. Nous sommes en-dedans, nous étions en-dehors.. Nous sommes deux, tu étais seule.. Le cerclage de ton amour explose alors, sans limites, ton être se projette vers moi. ton menton de redresse et tu me fixes de tes yeux bandés. sincère, nue, exposée.. Le lien devient une seule et unique voie entre N/nous. le flux en est étourdissant, d'intensité et de densité; Au delà te ta situation, l'envie de te blottir contre moi, protégée, s'impose injonction d'envie, besoin irrépressible Tout devient distant, à part ma présence, tu rompt le silence: "où êtes vous mon Dhom?" les mots n'ont pas d'équivoque. "je suis là." Ma main se pose rassurante. Je te délie alors de ton siège, tu plonges a mes pieds.. Silence.. les secondes s'étirent.. Tu es redressée et glissée hors de l'embarcation, l'angoisse te saisit, tes jambes et tes bras sont liés.. tu ne pourras nager ainsi. L'humidité envahit tes cuisses jusqu'alors sèches. L'eau monte pendant que tu descends L'air est froid et humide, les sons sont échos, échos... un grotte putain ! et de l'eau partout L'angoisse que tout s'écroule te submerge, irrationnelle.. Phobie.. tu ne touche pas le fond, tes mains accrochées au bord du canot respiration haletante, frenetique, voir, voir y voir! tu ne veux plus jouer tu arraches ton bandeau le mot se forme sur tes lèvres, tu vas pour l'exulter quand tu me vois calme, face à toi, posé, compatissant Mon regard aimant émane confiance et force Les muscles de mon corps se veulent rassurant mais ce sont mes mains qui figent le son dans ta gorge, Elles tiennent une corde reliée a tes poignets.. Silence.. les secondes s'étirent.. ta réalité explose ton fantasme tu t'en veux d'avoir douté, tu ne le montre pas, fière, encore.. et puis la grotte va s'écrouler après tout! les étapes se franchissent unes à unes, ton Dom est toujours là près de toi, fiable, imperturbable, déterminé à te mener dans son univers, liée a lui, en toute confiance.. Il est ton garant de tes limites, il a tout respecté. "Tu as fini? on peut commencer?" Silence.. La petite fille en toi ne sait plus ou se cacher. ne pas reculer, pas de faiblesse, affronter.. tu jettes un dernier oeil à la grotte puis Insoumise tu clames fièrement: "comme il vous plaira mon Dhom" ...
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Par : le 16/01/17
La lecture est à la fois source d’inspiration et de méditation. Elle réserve aussi d’autres plaisirs. Je recherchais à Sarrebruck, la grande ville la plus proche de l’endroit où je vivais et travaillais, des ouvrages traitant de la Domination Féminine, ou de Suprématie Féminine, convaincu que nos voisins d’outre-rhin possédaient sur le sujet une littérature plus abondante et surtout plus riche. Je faisais le tour des librairies dans cette quête C’est ainsi que j’entrai dans cette libraire modeste située près du pont de la Sarre au centre de la ville. Deux femmes tenaient la librairie, et me mis en recherche. J’étais accroupi à farfouiller les rayons, quand j’eus la sensation d’une présence à coté de moi. « Puis je vous aider ? ». Je relevai les yeux confus. Une femme se tenait devant moi, souriant. J’étais presque à genoux, elle était debout. Elle avait la grâce des femmes germaniques telles qu’ont les représente ou les caricature : blonde, grande, les yeux bleus, les hanches un peu lourdes. J’étais bien trop intimidé pour lui expliquer ce que je recherchais véritablement, aussi répondis je que je ne recherchais rien de spécial. Elle sourit et rejoignit la caisse. Je décidai d’acheter néanmoins quelques livres, juste pour le plaisir de repasser près d’elle. Quand je réglai mes achats, elle me remit un petit billet, que je lus aussitôt. Elle y avait écrit : « j’aimerais bien prendre un café avec toi ». Ma réponse fut immédiate : « maintenant ? ». Elle me répondit qu’elle devait se faire remplacer à la caisse et que je repasse la chercher trente minutes après. Ce que je fis, grillant nerveusement plusieurs cigarettes en attendant. Nous nous rendîmes dans la « vieille ville », à proximité du théâtre, qui est entouré d’un large parc. J’étais terriblement intimidé mais me sentais capable néanmoins de toutes les audaces. Je ne me souviens plus très bien des termes précis de notre conversation. Nos regards étaient plongés l’un dans l’autre. La proximité de son corps , son odeur, sa chaleur me bouleversaient. Je lui dis que je me verrais volontiers lui masser respectueusement les pieds, ou être allongé devant son lit comme un ours qu’elle aurait capturé et domestiqué et sur lequel elle s’essuierait les pieds chaque fois qu’elle le voudrait. Elle a eu un léger sourire, puis m’a demandé sur un ton de reproche si c’’était uniquement du sexe que je recherchais avec elle. Je lui ai répondu du tac au tac que bien sûr que non, que je pouvais tout aussi bien faire pour elle la cuisine, la vaisselle et le ménage, sortir les poubelles, et même manger dans une gamelle, mais que je n’étais vraiment pas doué pour le repassage. Elle a rit. D’un air un peu grave elle m’a dit qu’elle ne connaissait pas du tout ce dont je lui parlais mais que cela semblait fort intéressant. Je citais alors cette phrase que je connaissais depuis peu, expliquant qu’il serait resté bien peu de temps aux romains pour conquérir le monde, s’ils avaient tous du d’abord apprendre le latin. Le temps de trouver une traduction, Michaela me prenait dans ses bras et m’embrassait avec une délicieuse « autorité ». Elle me dit simplement : « on va chez moi ! ». Elle m’amena directement dans la chambre de son appartement et s’assit sur le bord du lit. Je m’agenouillai devant elle , lui défit ses souliers et posai ses pieds sur mes cuisses. Elle les rapprocha l’un de l’autre de manière à sentir ma verge tendue sous la plante de ses pieds… Elle me regardait fixement guettant mes réactions. Je me suis déshabillé devant elle et me suis remis à genoux devant elle, venant lui embrasser et lécher les pieds. Puis je lui montrai comment en balançant la jambe elle pouvait venir frapper mon sexe et mes testicules… Elle rougit, recommençant plusieurs fois le geste. Puis elle s’est déshabillée, avant de se rassoir sur le bord du lit, maintenant ses cuisses entrouvertes devant moi. Ma tête est venue s’enfuir entre ses cuisses, et ma bouche s’est approchée de son sexe. Elle exhalait une odeur puissante qui m’enivrait. Ma langue est venue la lécher, elle a posé son pied sur ma verge tendue et s’est mise à l’écraser, la faisant rouler sous la plante. J’ai ressenti comme une brûlure, non à cause de son pied, mais du frottement sur le tapis… Ses cuisses se sont resserrées autour de ma tête, presque douloureusement. Sa jouissance fut aussi ma délivrance…. Je l’ai prise dans mes bras et j’ai commencé à la caresser, ma bouche s’est collée dans son cou puis s’est mise à descendre dans son dos. Ma langue a glissé entre ses fesses et s’est mise à nouveau à la lécher avec délectation. Elle m’a retourné s’est empalée sur mon sexe et m’a chevauché avec une vigoureuse intensité. Je me mordais les lèvres pour ne pas jouir. J’étais pris entre ses cuisses puissantes, la vue de ses seins ballotés par ses mouvements de reins m’éblouissait. Quand elle a joui je me suis glissé entre ses cuisses pour la lécher. Elle s’est placée à quatre pattes sur le lit en position de levrette et m’a demandé de la prendre. Sa croupe était ronde et excitante. Je la saisis aux hanches et voulut la pris avec fougue. Hélas au bout de quelques saccades, je ne pouvais plus me retenir, mon excitation était à son comble …. Un orgasme violent m’a traversé le corps. Michaela en parut quelque peu déçue… Je me suis allongé près d’elle dans le sens opposé et j’ai embrassé ses pieds. Son orteil s’est posé contre mes lèvres, et je me suis mis à le sucer docilement. J’ai cru qu’elle voulait enfiler son pied entier dans ma bouche. Elle paraissait beaucoup moins intimidée tout à coup. Elle prit mon sexe dans sa main et s’est mise à me masturber énergiquement. Chacun des mouvements de son poignet était comme un coup de poing dans mes testicules. S’en rendait elle compte ? Il me semblait que cela décuplait mon envie de lui sucer les orteils avec d’autant plus d’application… Si bien que j’éjaculais ainsi , le sexe broyé dans sa main, son orteil enfoncé dans ma bouche…. Nous avons pris un thé. Elle l’a préparé en me disant que la fois prochaine c’est moi qui le ferait. Elle m’a dit que je n’étais pas très fort avec ma queue, mais qu’avec la bouche c’était déjà mieux. La seconde fois que nous sommes vus, elle avait acheté une paire d’escarpins à talons hauts de couleur rose « fluo »….Ils étaient bien en évidence sur le paillasson devant la porte d’entrée de son appartement. Elle m’a demandé si j’aimais …. Je lui répondis que tout dépendait ce qu’elle comptait en faire. Elle m’a rétorqué que je n’allais pas tarder à le savoir. Nous sommes entrés dans l’appartement, elle s’est assise cette fois dans la pièce commune qui faisait office de salon. Sa voix était plus assurée quand elle me demanda d’aller chercher les chaussures sur le palier. J’eus une moue avant de m’exécuter. Elle me rappela à l’ordre : « non pas comme ça ! A quatre pattes, comme un chien ! ». Voilà bien une chose à laquelle je ne m’attendais pas. Faire le chien n’avait vraiment rien d’érotique. Mais constatant qu’elle faisait somme toute un effort, et qu’il n’était pas pour moi question de la décourager, je m’exécutai …inquiet cependant de me retrouver à quatre pattes sur le paillasson avec les souliers roses fluo dans la bouche, nez à nez si l’on peut dire avec un éventuel visiteur. Je rapportai donc les souliers aux pieds de ma Maîtresse…. Je dus la déchausser, la rechausser …. Autant de fois qu’elle l’exigea, déposant de furtifs baisers sur ses pieds, espérant qu’elle allait mettre fin à cette comédie, et débuter les « choses sérieuses »…. Je ne fus pas déçu. Elle avait du mettre les quelques jours écoulés depuis notre rencontre pour se documenter. Ses claques sur mes fesses ne furent pas feintes, et les chaussures roses furent bientôt baptisées avec du sang de ma verge dont le gland s’était mis à saigner tandis qu’elle l’écrasait en me faisant lécher ses fesses…. Je dus me masturber à genoux tandis qu’elle me fustigeait le derrière…. Et c’est moi qui préparai le thé cette fois là et bien des suivantes. Notre liaison dura cinq ans. Je la rejoignais dès que le pouvais, j’étais déjà père de famille. Les points d’orgue furent pour moi les quelques fois où nous sortions ensemble avec une ou deux de ses amies. Nous allions dans les bars de la ville, et nous rentrions chez elle. Je ne savais pas trop comment me comporter. Je me souviens de la première fois où je me retrouvai dans la cuisine au beau milieu de ces trois femmes. Il n’y avait que trois chaises. Michaela me demanda d’aller chercher le tabouret de la salle de bain. Je m’exécutai et vint m’assoir près d’elle. Elle me demanda de servir les bières, ce que je fis. Puis je repris ma place auprès d’elle. L’une des filles dit en riant que j’étais obéissant. Elles éclatèrent de rire. Je rougis en baissant les yeux. Comme pour lui donner raison, Michaela me demanda de leur préparer une collation. Je dus aller me déshabiller dans la chambre et enfiler le tablier de cuisine qu’elle m’avait ordonné de prendre dans un des placards. Je revins seulement vêtu du tablier. Les filles pouffaient de rire. Je ne comprenais pas tous leurs commentaires mais je me sentais à la fois humilié, furieux et excité. Comme je plaçais les assiettes sur la table, Michaela me dit que pour ce qui me concernait, je mangerais dans la casserole à ses pieds. Les filles faisaient des plaisanteries sur les hommes …. Michaela me fit signe que je devais lui masser les pieds….ce que je fis tandis qu’elle bavardait, fumait et buvait avec ses copines. L’une des filles dénoua l’un de ses souliers (des baskets blanches) et demanda si elle aussi pouvait être massée. Michaela me donna l’ordre d’aller remplir une cuvette, et de laver les pieds de toute la joyeuse assemblée…. Je dus faire la vaisselle : Michaela pris une cuillère en bois et m’en cingla les fesses plusieurs fois, avant de tendre la cuillère à la suivante. Elle expliqua que j’étais plus attentif et plus serviable ainsi. Les deux femmes ne se firent pas prier, et recommencèrent plusieurs fois. Puis elles m’abandonnèrent à la cuisine, à mes occupations ménagères et s’installèrent au salon pour discuter. Je dus leur servi à nouveau des bières, Michaela me fit mettre à genoux et me gifla , parce que je n’avais pas pris de plateau. Les autres femmes paraissaient un peu gênées sur le moment , ne disant mot sur le coup…. J’étais assez furieux mais formulai des excuses à Michaela… Pourtant l’une deux encouragée par les circonstances, exigea également des excuses et me gifla à son tour. Je restai interdit mais Michaela me demanda de m’excuser encore et de lécher les chaussures de son amie, sans toutefois toucher les pieds. Je dus recommencer le service, c'est-à-dire aller chercher le plateau à genoux, reprendre les bières, les emporter à genoux à la cuisine et revenir, servir et m’excuser encore. Les deux amies rentrèrent chez elles, je crois qu’elles étaient un peu saoules. Michaela m’attacha et me fouetta durement, à coups de ceinturon. Ma verge ne fut pas épargnée, Michaela avait pris la boucle métallique du ceinturon pour me frapper la verge qui resta entre le bleu et le noir pendant une bonne dizaine de jours. Je crois qu’elle connut l’orgasme le plus violent de notre histoire dans ma bouche cette nuit là… Elle me sodomisa avec un doigt l’enfonçant sans aucun ménagement. J’avais une sainte horreur de ça, mais la curieusement j’avais envie qu’elle me viole….Elle aurait pu me découper en pièces…. Elle m’entraina jusqu’à la salle de bain dans laquelle je dus prendre place et urina sur moi, toute la bière qu’elle avait ingurgité. Je dus ouvrir la bouche, mais je n’aurais jamais pu tout avaler. Du reste elle ne semblait guère s’en soucier, même si elle lançait des « avale ! avale ! avale ! « Cela me fit bander malgré les coups que j’avais reçus. Elle me prit ainsi sur le tapis de la salle de bain. Ce fut le coït le plus douloureux que j’ai vécu. J’étais allongé sur le dos, le sexe tendu, couvert de bleus qui n’avaient pas encore pris leur teinte violacée. Elle avait garrotté ma verge prétextant qu’ainsi je ne risquerais pas de ‘spritzen », puis elle l’avait enfourchée et la chevauchait comme une furie. Nous avons fait l’amour quatre ou cinq fois cette nuit là….au petit matin j’étais encore en train de la lécher..les mâchoires complètement tétanisées…. Notre relation dura cinq ans environ…. Elle prit fin pour deux raisons. J’ai changé de travail et de région. J’étais père de famille et déjà bien engagé par ailleurs. Michaela me l’a assez reproché et aurait manifestement voulu que nous vivions ensemble. Nous ne nous sommes jamais revus…la petite librairie n’existe plus…. Son nom, Michaela Hilppert ne figure plus au 22 Pfadfinderstrasse à Saarbrücken.
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Par : le 16/01/17
J'ai rêvé de connaître les cordes, je trouve cela très beau , , je voulais connaîtrelses sensations , 'occasion était là. J'arrive place des cordes, j'entre dans cet endroit où je sais que beaucoup de mes amis BDSM m'en ont parler, je les enviais, mais me voilà dans cet endroit où tout le monde semble se connaître .. ceux qui se connaissent se serrent dans les bras s'embrassent, tout est fait avec un certain amour .. Me voila assise face à la magicienne que certain ont connu se petit bout de femme a des mains magiques .. Nous discutons, je la vois sortir ces cordes une à une, je tes touches, lui demande comment elles les préparent, elle me confit que c'est un ami qui s'occupe de l'entretient de ses cordes .. Sans rien me dire elle commence a me positionner, les cordes s'enroulent autour de mes jambes , j’essaie de suivre ses gestes précis, je renonce, telle une araignée elle tisse sa toile sur moi, quand elle arrive à mes mains elle m'explique comment les positionner pour pas que les veines soient touchées , elle est attentive a mes réactions... La corde remonte vers mon cou, mes bras, elle s'enroule autour de mon corps, je suis dans ma bulle avec ma magicienne, je l'entends chantonner, les personnes autour de nous sont très loin .. Ses gestes sont précis , elle me frôle, m'encorde doucement .., parfois nos yeux se croisent, un sourire sûrement idiot de ma part je suis bien.. Un moment ou tout s’arrête ou un petit spectacle est donné, nous assistons a un moment incroyable entre un encordeur et sa partenaire, comment vous décrire cela ? c'est encore une fois magique, elle est liée suspendue, avec des gros morceaux de bambous, les cordes volent autour d'elle, la prennent, la possèdent , c'est encore un moment hors du temps .. La magicienne n'a pas fini avec moi, la voila qui me suspend, moment très fort quand je la vois en dessous de moi allongée et moi un peut plus haut .. notre sourire notre plaisir en dit long .. Expérience qui me semble réussie, je pense le refaire, servir de modèle encore une autre fois si l'occasion se présente .. Voila cher lecteur, vous voila face à une Domina qui aime se faire encorder .. Je ne sais si l'on peut dire que je deviens soumise à cette occasion la , jeme sens simplement bien Clin doeil au soumis qui ma accompagner , silencieux et present , me regardant sourire une première rencontre entre lui et moi très spécial .. Lady H
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Par : le 12/01/17
1) Mon petit moi est un amas chose chaotiques et délicates. Je ne saurais vous garantir que vous puissiez me lire sans rire, pleurer ou saigner. 2) Je suis une personne très franche. J'estime avoir déjà trop perdu de précieuses minutes,de délicates secondes ou de savoureuses années pour continuer à mentir. 3) Enfant, j'avais beaucoup de rêves et on les a broyés dans un étau jusqu'à que juste la souffrance et l'aigreur reste accrochée comme des microbes, insensible à tout. 4) De l'âge de sept ans à celui de quatorze ans (ou à peu prés), je me prêtais à des jeux érotiques en rêve avec charlie : mon ami imaginaire. Je me souviens, il m'attachait à des arbres et me faisait des choses vilaines. 5) A l'heure où j'écris, je suis amoureux. Un amour si élaboré et si empli de bienveillance que j'en souffre presque. 6) Je ne parle plus à ma famille, ils m'ont fait trop de mal. J'éclate de bonheur aujourd'hui et je ne pense vraiment pas qu'ils aient droit à leurs parts. 7) Ma copine, qui connait mes besoins en câlins proche de la névrose, m'a offert un nounours cassé abandonné dans un bac. Je l'ai appelé abdenounours pour embêter ma belle mère raciste. 8) Je jouis beaucoup plus avec des mots plutôt qu'avec tout autre organe incongru 9) Ma copine et moi, on est des vrais gamins. On fait des danses bizarres et des grimaces rigolotes 10) Un jour, elle m'a dit qu'elle ne voulait plus de moi. J'ai explosé une bouteille contre un mur et l'ai blessé par mégarde. Je m'en veux beaucoup pour ça. 11) Je crois que malgré les cendres, les carnages et les regrets, je suis trés amoureux de ma copine. On a appris à se connaitre nous même et à arrêter de se faire du mal. Je crois que je tombe toujours amoureux de personnes écorchés et maladroites. 12) J'adore le terme "exhalaison du pire",je trouve ça très sensuel. 13) J'ai une addiction assez forte à l'houmous. 14) J'ai déjà vendu mon corps à des inconnus mais je ne vous dirais pas à qui, ni comment, ni pourquoi. 15) Quand il veut plaire aux gens mon aîné met sa joue sur son épaule nu, un peu comme une pin up. Je trouve ça très attendrissant. 16) J'ai l'esprit d'escalier. Ça fait de moi quelqu'un d'assez bordélique. 17) J'essaye toujours de protéger les gens qui me sont cher. Car cela est si rare. 18) Je baise volontiers avec quantité d'inconnus mais j'ai une sainte horreur qu'on vienne à me toucher sans MA permission. Beaucoup de gens trouvent ça bizarre. 19) Sexuellement j'aime bien me faire traiter de traînée ou de putain. Cela me pose quelques soucis éthiques. 20) Au final, je suis très fleur bleu. 21) J'aime quand un vêtement c'est comme une caresse ou même comme une cage, que je m'y sens protégé. 22) Je suis assez flippé comme garçon mais je l'assume plutôt bien. 23) Ma "soumise" me genre au féminin quand on fait des trucs de grands. Avec elle, étrangement, cela ne me gène pas. 24) C'est ma "soumise" qui m'a choisi, je n'ai jamais choisi une seule seconde de la dominer. C'est juste une manœuvre de séduction de sa part. 25) C'est bête à dire d'ailleurs mais je crois que je suis amoureux d'elle. Le fait de savoir que notre relation va s'arrêter bientôt ne rend tout ça que plus savoureux. 26) Je crois qu'on peut dire sans se tromper que j'ai de grosses carences affectives. Voir immense... Voir gigantesque... 27) L'enfer pour moi c'est quand les choses se répètent, se ressemblent un peu trop. 28) Avant de faire du BDSM, je crois qu la dernière fois que j'avais vouvoyé quelqu'un c'étais au lycée. Le vouvoiement a toujours été pour moi une forme de mépris mais j'apprend à corriger ça. 29) Je crois que si je n'avais pas été bisexuel et eu un accès aussi "facile" aux pratiques BDSM, j'aurais juste arrêté le sexe. Et fait autre chose comme de la programmation, c'est bête mais je trouve qu'il y a quelque chose de presque érotique dans l'architecture d'un code. 30) C'est bête à dire mais au début quand j'appelais mes partenaires "maître" dans mes jeux de domination, je ne pouvais m’empêcher de penser au film "young frankenstein" avec cet igor boiteux. Je me soigne mais j'ai encore du mal. Bon cela dit, après 45 minutes de sm je suis tellement en vrac que je peux appeler mon dom "maître", "courgette" ou les "girondins de bordeaux", dans mon processus mental c'est kiff kiff. 31) Oh que dire encore ? J'ai un peu de mal avec la définition générale que peuvent avoir les gens du sexe y compris dans le sm. Ma foi lécher un doigt, se faire caresser le fessier avec un martinet ou se chuchoter des mots étranges à l'oreille, est-ce que n'est pas plus du sexe que de se dire "Bon martine on commence, tu t'allonges ?". 32) J'ai trois enfants. Ils sont plutôt rigolos, je les aime bien. 33) Découvrir l'anal pour moi, ça m'a permis de comprendre un plaisir qui a effacé un peu tout le reste pendant quelques temps. 34) J'ai deux grandes passions dans la vie : le sexe et le jeu de rôle. Mais dans un cas comme dans l'autre, je n'ai pas l'impression de faire autre chose que de raconter des histoires. 35) Mes premiers moment sm c'étais avec mon ex. On étais vraiment trop cramé à l'époque, je me demande comment on s'est pas tué. 36) Je crois qu'on s'aimait et se haïssait à la fois. Le sexe n'étant qu'une manière très efficace d'exprimer cela. Je m'estime chanceux d'avoir haï et aimé comme cela. Merci à elle. 37) Il y a un peu plus de six ans elle s'est suicidé. Je détestais le monde à l'époque et c'étais mon seul soutien. Je me suis nimbé de cynisme et ai voulu affronté ça seul, comme un "vrai mec". Je ne peux m'empêcher de penser avec tendresse et hauteur à cet être fragile que je fus jadis. 38) Ma copine actuelle m'a souvent reproché de trop idéalisé ce fantôme d'autrefois. Je suis plutôt d'accord, c'est toujours dur de lutter contre un fantôme. Ce n'est plus le cas aujourd'hui mais je suis désolé de lui avoir imposé ça. 39) Je kiffe être étranglé c'est mon petit truc à moi. Ça et la sensation d'enfermement, de privation de liberté. Mon frère est claustrophobe et moi c'est un peu l'inverse. 40) Je n'aime pas mon frère. C'est un espèce de charle bovary en puissance. Je suis content de ne plus le voir. 41) Mes critères de beauté sont complètement éclaté. Cela rend mes échanges sociaux parfois compliqué. 42) J'étais un grand fan d'anne rice dans le temps. Je rêve encore que ma vie sexuelle ressemble à ce qu'elle dépeint dans ses chroniques de vampire. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour David Arcas », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 06/01/17
Depuis le matin, nous étions affairés à tout préparer... Elle, la matinée, à tout ranger, tout nettoyer, d'abord, entièrement nue, bien sûr, en dehors de ses talons hauts, de son collier et des quatre bracelets de cuir et d'acier qui ornaient son cou, ses poignets et ses chevilles, ainsi que de la petite chaînette d'argent qu'elle portait de façon permanente à sa cheville gauche comme symbole discret de son appartenance... Il faisait un peu frais, bien sûr, dans la maison, en ce début d'hiver, mais l'activité fébrile l'empêchait d'avoir froid. J'avais eu envie de la prendre, plusieurs fois, sauvagement, sans crier gare, basculée sur le dossier du canapé ou jambes écartées face au mur, à la voir ainsi, nue, désirable, la peau un peu humide de transpiration... Mais je savais qu'il fallait réserver mon énergie vitale - et la sienne - pour le soir ! J'étais donc sorti faire les courses prévues pour cette soirée à venir, et je m'étais ensuite occupé de mettre le champagne au frais, puis de mettre en place l'accueil prévu à l'extérieur... Nous avions ensuite déjeuné rapidement, sur le pouce, et fait une petite sieste, afin d'être au mieux de notre forme ! Bien sûr, pour ce jour spécial, elle avait dormi attachée dans sa cage, sortie spécialement pour l'occasion, au pied du lit, un masque sur les yeux, afin de la mettre en condition pour l'évènement à venir... Puis nous avions continué nos préparatifs... Elle, en cuisine... Pour l'occasion, elle avait ajouté à sa panoplie un tablier de cuisine court, en coton beige écru festonné de feuilles d'oliviers, qui lui arrivait en haut des cuisses, laissait deviner largement le sillon de ses seins, et bien entendu la montrait entièrement nue de dos, en dehors des deux fines cordelettes nouées au creux des reins et autour du cou... Et tout l'après-midi, elle avait confectionné de petits plats pour le buffet du soir : un cake salé aux olives vertes et noires, de petits roulés de jambon cru au fromage frais de brebis, de petits pains suédois croquants en canapés au saumon et tomate cerise, des roulades de poivrons rouges au thon et à la feta, des boulettes d'aubergine au parmesan, et de petites barquettes de feuilles d'endive aux crevettes, coriandre et pointes d'asperges... Puis elle avait préparé un beau plateau de fromage, agrémenté de petites grappes de raisin blanc. De mon côté j'avais utilisé ce temps pour vérifier le chauffage et les éclairages de la pièce, pour disposer les cordes, les plugs, la cravache, le fouet et autres accessoires à l'emplacement approprié, sur la petite console adossée au mur, et tester la solidité des anneaux d'acier noir vissés dans les poutres du plafond... J'avais aussi pris le temps de disposer plusieurs dizaines de bougies, toutes de couleur rouge, partout dans la pièce. Puis j'étais allé sélectionner les musiques qui agrémenteraient notre soirée, et les parfums d'encens qui lui donneraient cette atmosphère exotique et voluptueuse... Enfin, pour parfaire le tout, j'avais allumé un grand feu dans la cheminée, avec ce mélange si particulier et si odorant de chêne blanc et de ceps de vigne qui embaumaient la pièce d'un parfum de vendanges d'automne ! Le temps ainsi était vite passé... J'étais un peu frustré, car il ne se passait jamais une journée entière sans que je la prenne, la possède, sans qu'elle me fasse jouir ou que je lui procure un orgasme... Mais il était déjà dix-huit heures, et nous aurions le temps de nous rattraper plus tard dans la soirée, cela était certain ! J'appelais ma bien-aimée soumise : il était temps pour les derniers préparatifs avant de recevoir nos invités, nous habiller ! Elle savait ce que nous avions choisi et commandé ensemble pour cette occasion, je n'avais pas besoin de le lui rappeler... Elle savait aussi ce qu'il lui restait à préparer avant que je ne revienne avec les invités... Il était temps pour moi d'aller les chercher ! J'avais rendez-vous avec eux dans un bar du village voisin... Le temps d'un verre ensemble, et de m'assurer qu'ils avaient bien compris les instructions pour cette soirée... J'entrais dans ce bar que je connaissais surtout en terrasse au soleil, l'été... Une atmosphère paisible et un peu désuète y régnait, entretenue par une chaleur confortable, par une douce pénombre trouée de quelques halos de lumière chaude diffusés au travers de lampes à abat-jour et de spots harmonieusement répartis, par ces banquettes de cuir rouge surmontés de hauts miroirs encadrés de bois sombre vernis, et par cette musique jazzy de temps plus anciens... Il y avait peu de monde à cette heure intermédiaire entre les amateurs de thé de de chocolat chaud de l'après-midi et les premiers inconditionnels de l'apéro accoudé au bar de zinc. Vers le fond de la salle, dans un coin, un jeune quinqua à l'air encore fringuant, la peau hâlée et creusée d'un marin, le nez fin surmonté de lunettes rondes d'intellectuel un peu mystique, avec un cahier, un stylo et un livre que j'identifiais comme étant le Magellan de Stefan Zweig posés devant lui... Plus au centre, tournée vers la baie vitrée de la façade, une femme attablée devant un thé citron et qui semblait habituée des lieux, et habitée d'une vie intense, l’œil vif au regard malicieux et pétillant, et dont émanait une sensualité irrésistible, semblait plongée dans de profondes pensées, comme flottant dans un autre univers... Et près de l'entrée, un couple attablé devant deux tasses de thé encore fumantes devisait tranquillement : je reconnus immédiatement mes deux visiteurs attendus, et m'approchais de leur table. Ils se levèrent pour nous saluer. Elle, dénommée V., une belle femme élancée et souriante, la quarantaine épanouie, emmitouflée dans un beau manteau au col de fourrure et doublé d'une longue cape évasée qui emmenait le regard jusqu'à ses bottes de cuir noir à talons hauts qui dépassaient au bas de la doublure... Lui, prénommé H., un beau métis élancé et musclé, la quarantaine affirmée, vêtu de façon très élégante sous son épaisse parka en mouton retourné gris anthracite et d'une longue écharpe de cachemire et soie aux discrets motif monogrammés dans une dominante violette foncée enroulée nonchalamment autour de son cou ... Je ne pus m'empêcher en le saluant de jeter un coup d’œil rapide sur la bosse qui tendait son pantalon de cuir noir au niveau de l'entrejambe, et qui semblait répondre aux promesses de nos échanges lors de la sélection que j'avais opérée ! Sophie, la jeune serveuse brune et accorte, aux fesses légendaires et à la voix gouleyante que je connaissais un peu, prit ma commande de thé aux épices, et nous nous avons discuté un petit moment avec mes deux invités du jour, pour faire connaissance, et m'assurer une dernière fois en réel et en face-à-face que l'impression était bonne, et qu'ils correspondaient à ce que nous attendions d'eux pour cette soirée si spéciale ! Il était près de 19h. La nuit était tombée. Un autre homme entra et vint saluer l'homme attablé au fond d'une bourrade amicale... Quelques habitués commençaient à s'agglutiner au zinc pour l'apéro. Il était temps pour nous de quitter les lieux, et de rejoindre Â, comme prévu. Mes deux invités me suivirent, et je les invitais comme convenu à l'avance à laisser leur propre voiture sur le parking et à monter dans ma voiture, après qu'ils eurent chacun récupéré dans leur véhicule un petit sac de voyage, dont je connaissais le contenu... Une fois installés, je leur tendis à chacun un petit foulard de soie noire. Ils en savaient la raison : notre destination finale ne devait pas être connue d'eux, et ils s’exécutèrent docilement en se bandant les yeux. Je leur dis avec un sourire malicieux : "Ce n'est pas tous les jours que deux Doms se font bander les yeux !", ce qui déclencha un petit rire collectif et mis une ambiance joyeuse dans la voiture pendant ce court trajet de retour ! Dix minutes plus tard, nous arrivions à la maison. Il était 19 heures précises, le timing était parfaitement respecté. Je garais la voiture sous le grand tilleul, comme j'en avais l'habitude, et leur dis : "Vous pouvez ôter vos bandeaux". Et nous sortîmes de la voiture. Les photophores éclairaient l'allée de cyprès depuis le portail de l'entrée jusqu'à l'entrée de la maison, dont le porche était encore entouré d'une guirlande de Noël à la douce lumière chaude et scintillante. Je les invitais à entrer dans la maison, et à se débarrasser de leurs manteaux. L'occasion de me rendre compte que V. ne portait pas juste des bottes ordinaires, mais de grandes cuissardes qui gainaient ses longues jambes jusqu'à mi-cuisse : j'appréciais la vision sensuelle et exquise ! C'était le moment d'entrer dans le lieu de nos réjouissances à venir ! J'ouvrais la porte, et les fis entrer devant moi. Et nous restâmes là tous les trois un instant à admirer le spectacle qui s'offrait à nous et à nous imprégner de l'ambiance, comme saisis par la magie de l'instant ! Le feu crépitait dans la cheminée, dégageant sa subtile odeur de bois et de vendanges qui se mêlait aux parfums d'ambre musqué des bâtonnets d'encens... Des dizaines de bougies rouges faisaient danser leurs ombres vacillantes sur les murs de pierres banches et les plafonds aux poutres apparentes... La musique de l'album 'Climax' de Molecule (https://youtu.be/hvxBsffzQr0) faisait vibrer l'air de ses harmonies sensuelles et charnelles... Dans un angle était dressé une joli buffet où chaque plat invitait aux plaisirs épicuriens de la gourmandise... Le long d'un grand mur était disposé une immense bibliothèque dont les étagères montaient jusqu'au plafond, munie d'une barre de laiton horizontale à laquelle s'accrochait une échelle de bois permettant d'accéder aux ouvrages les plus en hauteur... Deux profonds canapés de cuir nubuck et un grand pouf couleur fauves trônaient au centre de la pièce autour d'une table basse en teck massif aux formes asiatiques arrondies dans leur teinte naturelle imperceptiblement cérusée de blanc et imprégnée d'huile de lin... Le long d'un autre mur était disposé une longue console de fer forgé et verre, sur laquelle étaient étalés mes accessoires de jeu... Et, dans un espace vide de la pièce pendaient plusieurs cordes de chanvre épaisses, suspendues à autant d'anneaux d'acier noir fixés aux poutres du plafond... Mais nos yeux étaient évidemment irrésistiblement attirés par un autre spectacle... Celui de Â, en position d'attente et de soumission, à genoux, cuisses écartées en V, bras croisés dans le dos, tête baissée... Et entièrement vêtue de rouge, de noir et d'argent : des escarpins ouverts aux talons vertigineux en peau façon croco, des bas couture de nylon noir, un serre-taille au fond rouge agrémenté de fines dentelles noires, lacé dans le dos, auquel étaient reliés les bas dans la partie inférieure par quatre porte-jarretelles de soie noire, et qui dans la partie supérieure soutenait ses seins entièrement apparents... Une fine tunique de tulle rouge transparente à deux pans brodée de motifs en forme d'arabesques orientales masquait partiellement son torse aux regards, laissant deviner plus que voir le serre-taille et ses formes sensuelles, et laissant les bras nus... Une chaînette de cheville en argent luisait à la lueur des bougies et du feu de bois, et deux larges bracelets en argent ciselé enserraient ses bras au niveau du biceps... Enfin, elle était nantie de quatre bracelets et d'un collier de cuir rouge munis chacun d'un anneau d'acier aux poignets, aux chevilles, ainsi qu'à son cou... J'étais moi-même subjugué par la beauté de  à cet instant, et laissait mes invités absorber le choc émotionnel que visiblement cela leur procurait, si j'en croyais leur visage ébahi et leur silence éloquent - sans parler de la bosse du pantalon de H. que je voyais nettement prendre de l'ampleur ! Puis je rompis le charme : "Je vous présente Â, ma soumise bien-aimée. Â, je te présente V. et H." V. et H. saluèrent  de vive voix : "Bonsoir Â, vous êtes superbe", dit V. tout d'abord. "Bonsoir Â, je suis très heureux de faire votre connaissance ce soir", a ajouté H. Ensuite.  répondit sans lever les yeux, et en inclinant le buste vers l'avant : "Bonsoir Madame, bonsoir Monsieur, soyez les bienvenus". Je continuai : "Comme vous le savez, cette soirée est spéciale. Mais avant toute chose, déposez ce que vous avez apporté avec vous sur la console, là-bas". V. et H. se dirigèrent d'un pas commun vers l'endroit désigné, posèrent leur petit sac sur le sol, et en sortirent chacun un long fouet aux lanières de cuir qu'ils déposèrent sur la console, à côté du mien. "Bien, vous pouvez maintenant vous installer confortablement dans les canapés.  va nous servir le champagne, puis nous pourrons profiter du buffet dînatoire avant de commencer les festivités !"  se leva pour aller chercher le champagne, un Laurent-Perrier rosé millésimé... J'échangeais un regard avec elle au moment où elle revint dans la pièce, portant un plateau avec la bouteille et quatre coupes de cristal Baccarat, et vis ses yeux refléter les milles lueurs des bougies de la pièce, mais aussi scintiller d'un mélange d'angoisse et d'excitation que je sentais monter en elle... J'étais fier d'elle, et je savais que la soirée serait la plus merveilleuse de notre relation jusqu'alors...
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Par : le 21/12/16
Une scène de domination : Elle paraissait si fragile et si vulnérable, seins nus, ne portant pour tout habit que des bas soutenus d'un porte-jarretelles. Elle devait garder ses mains derrière la tête et ce n'était vraiment pas facile. En effet, son dominant, à deux mètres d'elle, tenait fermement un fouet à la main et lui assénait des coups violents au niveau du bassin et de la taille. La lanière du fouet s'enroulait à chaque fois rapidement autour de son corps et terminait son action par un claquement sonore, imprimant une strie rouge sur la peau. Pleine de courage, elle gardait tant bien que mal sa position mais ne pouvait s'empêcher de pousser de petits cris plaintifs dont son dominant se délectait. Puis de temps en temps il redoublait les coups jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus tenir et plie son buste en avant dans un frêle effort pour protéger son corps. Et alors, dans une entente parfaite, sans qu'aucun ne donne un signe à l'autre, ils se jetaient dans les bras l'un de l'autre et se perdaient dans une folle étreinte. Et là, l'émotion était palpable, omniprésente, puissante. Elle s'imposait à tous les spectateurs. Et la tendresse que chacun vouait à l'autre leur conférait une force que nul n'aurait pu briser... Quelques questions : Peut-être au vu de cette scène, au vu surtout de vos expériences, pensez-vous que la domination (et parfois elle peut se révéler cruelle) puisse être compatible avec l'expression de la tendresse ? Mesdames et Messieurs les soumis(es), la tendresse est-elle présente dans vos fantasmes de soumission, ou préférez-vous imaginer un partenaire ténébreux et sévère ? Mesdames et Messieurs les dominants(es), souhaitez-vous être habité de ce sentiment, savez-vous, même souhaitez-vous l'exprimer auprès de votre partenaire ?
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Par : le 20/12/16
J’ai caressé ton sexe pour le réveiller, le faire durcir entre mes doigts, assouvir mon désir de sexe. A califourchon, mon sexe tout contre le tien, que je branle dans mes mains, tu durcis, te tends. Je commence un va-et-vient de ton membre entre mes lèvres qui se gonflent, je frotte mon bouton sur la peau lisse de ton sexe; je me branle langoureusement avec ta queue… Je fais monter le désir, emprisonne ton sexe, et joue avec ton gland à l’entrée de ma chatte humide, je te rentre à peine et te fais ressortir aussitôt. Je joue au bord de mon sexe, t’empêche de t’enfoncer au fond de moi… J’aime ce jeu, l’attente avant de te sentir pleinement au fond de moi, mon corps ondule doucement, tète ton gland… ma main entourant fermement ton membre… avant te laisser t’engouffrer entièrement en moi, ma chatte cogne sur tes couilles, tu me remplis, glisses en moi. Je m’abandonne au plaisir, m’empale sur ton sexe, ondule, me frotte sur toi… mes seins caressent ton torse… tes mains sur mes fesses m’encouragent à poursuivre, tes ongles sur ma peau me font frissonner… J’ai envie de plus, plus fort… je guide ton sexe, dans mon cul, je prends le temps de laisser mon cul t’accueillir, s’ouvrir, avant de m’empaler un plus sur toi, je te demande de me caresser en même temps, envie de sentir tes doigts en moi, qui me fouillent…On se caresse mutuellement, jusqu’à ce que l’orgasme nous libère.
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Par : le 07/12/16
Le sourire malicieux, les yeux courroucés L'allure rebelle, de la femme indomptée. La jeune femme trahit, son intime complicité. Un désir, une envie, d'une tendre fessée. Soudain basculée, sa jolie croupe offerte. La bouche refuse, mais ses pulsions se prêtent. robe relevée, comme un rideau de scène. Les doigts font glisser, la culotte sans peine Déjà la peau frissonne, de mille plaisirs. D'un désir infini, qu'elle ne peut contenir. Les tendres rondeurs, caressées par la fessée. S'offrent aux mains de son Dominant intéressé. Les gestes ébauchés, d'une lenteur pénétrante. Les fesses se tendent, devenant provocantes. La jeune femme gémit, le temps d'un délice. Lascive et ravie, de ces gracieux sévices. Le 6 décembre 2016
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Par : le 29/11/16
Ce site est une terre d'exhibition, où la pesanteur fluctue. Il y germe deux poids, deux mesures. Autant dévoiler un sexe féminin est plébiscité. D'autant plus si l'audace s'inscrit dans un processus D/s transgressif. Où la soumise glorifiée, se projette candidement ; telle l'oeuvre d'un succédané d'odyssée antiquisante aux vertus épanouissantes. Autant le quidam proposant son phallus, à la vue de tous, est promptement raillé, rabroué, et prié d'en retourner humblement, lui et son pénis,... à ses pénates. La rebuffade, en revanche, n'a qu'un poids, une mesure. Elle s'effectue à l'unisson. Pour unetelles, une verge impudique est forcément, férocement agressive. Poncif sociétal, où la sexualité masculine se veut prédatrice. Pour untels dominants, si fiers d'exhiber leurs trophées assujettis, ils chassent en meute l'impudent, faisant curée du philistin... évidemment "sans cervelle". Comme si la vue de ce mât sans voilure, ainsi dévoilé, ne méritait qu'un vent persifleur. Un souffle porteur, que trop souvent, des complexes celés de nos chers Doms. Face à ces courants contraires, l'esseulé et son fier éten..."dard", bravant l'oeil de vos cyclones sardoniques, se fait erratique... Et je le regrette. Car lorsqu'un sceptre majestueux me subjugue, m'inspire, je n'ai qu'une envie. Offrir le membre royal à celle, à mes côtés, qui le contemple avec les mêmes yeux égrillards que les miens...
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Par : le 21/11/16
Non, je ne te fouetterai pas. Pourquoi ? Parce que je ne joue qu'avec des personnes avec qui j'ai un feeling. Je ne suis pas une machine à fouetter. J'ai déjà essayé de fouetter sans avoir le feu sacré, ce fut un fiasco. Je ne ressens rien, je fouette mécaniquement, je m'ennuie très vite, en fait. Tu mérites mieux que ça. En plus, ne me réduit pas à mes pratiques, je vaux mieux que ça aussi. Je ne suis pas une domina, je suis une femme. Si je m'intéresse à toi, ce sera à l'homme que tu es, bien avant de savoir ce que tu veux, ce que tu attends d'une domina. Il faudra que nous aimions discuter, que nous sachions rire ensemble, avant que j'ai envie de quoi que ce soit d'autre. J'aime créer tout un monde autour de mon partenaire, le faire entrer dans une bulle de sensualité, de cérébralité, d'érotisme. Comment veux-tu que je le fasse si je ne te connais pas. Et pour que j'ai envie de te connaitre, il ne suffit pas que ton annonce dise "Soumis bi curieux cherche Domina sévère". Et il ne faut pas que tu m'abordes en me disant "Bonjour, vous pratiquez telle chose ?". C'est compliqué ? Oui, mais, tu sais, ce sont les rapports humains qui le sont, en général. Tu vois, en arrivant dans ce monde, j'avais des fantasmes, comme tout le monde. Je les ai vécus, et maintenant, je n'en ai plus. J'ai acquis des techniques, je sais faire plein de choses, en matière de BDSM, j'ai de l'expérience. Je ne suis donc pas à la recherche d'une personne pour pratiquer telle ou telle chose. D'ailleurs, ce n'est jamais une pratique ou un accessoire que j'affectionne, c'est la personne qui me donne follement envie de pratiquer, qui est à l'origine de mon envie. Je cherche un compagnon, quelqu'un qui m'accompagne dans le chemin de la vie. Quelqu'un avec qui je partagerais bien plus que de la domination/soumission. Que veux-tu, je suis une incorrigible sentimentale. J'aime cette passion qui m'anime quand je joue avec quelqu'un que j'aime. J'ai besoin de respecter mon partenaire, pour faire de lui ma victime tant aimée, fêtée, bien que tourmentée. Et j'ai besoin que mon partenaire m'aime profondément, se donne par amour, à la femme qu'il aime, pas à la domina qu'il vénère. Tu sais, sur un piédestal, on est seule, on a froid. J'ai besoin de chaleur, de joie et de rire. Mon BDSM n'est pas l'expression d'une part sombre de mon être, c'est pour moi un chemin vers la joie. Tu vas peut-être me dire que je suis trop idéaliste, et tu auras peut-être raison. Si je ne connaissais personne qui vit ce genre de relation, je changerais peut-être d'envie. Si je n'avais pas vécu une relation pleine de richesse, en osmose avec une personne, je te dirais que oui, je n'ai pas le sens des réalités. Mais voila, je sais que ça existe. Alors non, je ne te fouetterai pas. Pas plus que je ne t'encorderai. Je suis patiente, je vais attendre les beaux cadeaux que la vie me fera, elle m'en a déjà fait, et il n'y a aucune raison que ça ne continue pas.
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Par : le 07/11/16
Paulo vit à Nantes. Il est journaliste spécialisé en sports équestres et se déplace un peu partout en Europe et parfois un peu au-delà. Ses activités sont assez irrégulières et lui laissent du temps disponible qu'il utilise à rêvasser sur les terrasses de café en regardant passser les filles ou à écrire de petites nouvelles érotiques plus ou moins autobiographiques, et parfois très épicées. Ses personnages principaux sont féminins la plupart du temps avec des personnalités volontaires et fortes, souvent portées sur la domination, voire le BDSM, ce qui semble manifestement le ravir. Il aime les massages et nous raconte ici un de ses rendez vous récents avec une femme au caractère bien trempé: Lady M. La belle était en forme, gaie et joyeuse, malgré le petit retard avec lequel Paulo se présenta devant elle. Elle ne lui en tint pas rigueur et il prit d'un pas alerte la direction de la douche, sentant des yeux attentifs fixés sur son collier de soumis. Paulo aime ces douches qui précédent un massage, chassant les mauvaises sueurs, la fatigue du jour et éveillant aussi le corps qui soupçonne déjà les attentions dont il va faire l'objet. Pas vraiment d'érection triomphale en se présentant de nouveau devant elle, totalement nu et ne portant que les attributs de sa soumission imposés par sa Maitresse, collier de cuir noir et lourd bijou intime en argent massif entre les jambes, mais le début d'un frémissement que Lady M remarqua immédiatement d'un petit sourire entendu. Faisant mine de rien, il s'allongea confortablement sur le ventre, lui demandant des nouvelles de sa famille et d'elle même, pendant qu'elle préparait ses lotions et retirait ses vêtements. Paulo aime les massages naturistes et c'est d'abord cela qu'il vient chercher chez Lady M, même si leurs rendez vous se terminent souvent, à la demande de Jana, sa Maitresse, par quelques incursions mesurées en direction des relations de domination. Celle-ci considère en effet que le dressage de Paulo n'est pas encore abouti et entend profiter de toutes les occasions pour approfondir son éducation et affirmer sa totale emprise sur sa sexualité. Elle s'est d'ailleurs mis en tête récemment de lui apprendre à satisfaire aussi les hommes. Mais pour l'instant, l'heure est au calme et à la sérénité. Lady M s'est posée à genoux près de lui sur le lit et ils devisent paisiblement comme de vieux amis prenant un verre à la terrasse d'un café, aucunement gênés par leurs nudités respectives. Puis un silence complice s'installe et Paulo se prépare à écouter ses mains expertes, elle-même se concentrant de son côté et décidant sur l'instant - elle le dira plus tard - du déroulement du massage, en fonction de son inspiration du moment. Au premier contact de l'huile chaude coulant entre ses omoplates, guidé par un doigt léger et espiègle, puisqu'il descendra parfois jusqu'entre les fesses, Paulo est toute ouie, attentif et totalement réceptif. Lady M est une vraie masseuse qui a longuement pratiqué au Canada et aux Antilles. Elle sait comment toucher, dénouer, libérer les tensions, installer la douceur et la quiétude, laisser filtrer aussi une sensualité certaine, mais légère, élégante, joyeuse et ludique, sans vulgarité aucune, même si ses doigts ne détestent pas venir de temps à autre bousculer les bijoux de famille de ses visiteurs. Le cou, les épaules, le haut du corps sont les objets premiers de ses attentions qui descendent parfois jusqu'à la pointe des deux pieds, distribuant là encore, détente et douceur. Ils échangent parfois un mot ou deux, mais l'un et l'autre veillent à privilégier le langage du corps. Et puis belle surprise! Lady M vient d'enjamber Paulo et c'est maintenant son ventre musclée et sa poitrine lourde qu'il sent glisser, tout huilés, au long de mon dos. Elle ne s'épargne pas, vient et revient avec délicatesse et générosité, déclenchant bientôt chez l'homme un mouvement involontaire des fesses qui viennent maintenant à sa rencontre. Le contact est chaud, léger, sensuel certes, mais étonnamment naturel et sans tension érotique particulière. Paulo y prend tellement gout qu'elle devra lui répéter à trois reprises qu'il faut maintenant se mettre sur le dos. Le sexe éveillé qu'elle découvre à l'occasion de ce demi tour lui fait manifestement plaisir et elle en sourit en silence. Masseuse toujours, elle poursuit son ouvrage en s'occupant de l'abdomen, de la poitrine, des bras, évitant tout contact, même impromptu, avec le sexe dressé. Par contre, elle ne prend pas les mêmes précautions avec les tétons de Paulo qu'elle effleure et frôle à plusieurs occasions, provoquant alors une superbe réaction, qui la fait rire de bon coeur. Ses mains poursuivent leur ballet mais Paulo a senti que la panthère vient de lever le sourcil, apercevant la chair fraiche abandonnée là devant elle, fragile et offerte. Ses ongles d'ailleurs n'hésitent plus à marquer la peau, ses doigts pincent volontiers la pointe tendre d'un sein, déclenchant mille étincelles agréables au creux de ses reins. Et l'un de ses doigts huilé vient de se poster en embuscade entre ses fesses, prêt à investir la place. Paulo le sent, désire et appelle cette intrusion qui, pourtant, ne viendra pas. Lady M sait manifestement conduire la manœuvre. Son sourire vanille s'est un peu figé et c'est maintenant un visage fermé, décidé et volontaire que Paulo découvre. Il sent que cette femme de tête aime avoir les hommes à sa main et que l'intensité de ses exigences va progressivement croitre. Elle ne s'est pas encore vraiment occupé de son sexe mais vient d'empoigner ses testicules bagués. Elle joue un instant avec le petit anneau qui pend librement entre ses jambes puis soudain, enfonce son doigt à l'affut dans les profondeurs de son cul, tout en utilisant l'anneau pour le tenir en place. Paulo se cabre mais apprécie l'assault, qui loin de le faire souffrir, déclenche mille picotements agréables ainsi que des envies de pénétrations plus consistantes. Et c'est précisément le moment qu'elle choisit pour lui glisser quelques mots à l'oreille. A suivre…
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Par : le 07/11/16
DANS LA PEAU D'UNE ESCLAVE. Chapitre 1 – Léantos est déprimé. En cette fin du 25ème siècle, on est revenu à une vision simplifiée de la Société. Le but est de prévenir les guerres, les famines, les inégalités dans la mesure du possible. Pour y arriver, il a fallu refaire des classes sociales sur un modèle antique. C’est ce que le philosophe Tien Long, appelle « Une société en forme de pyramide. » Tout au sommet, il y le Consortium Suprême, qui nomme les Gérants des Régions. En dessous, mais toujours au sommet, il y les riches ou citoyens Alpha. Ils sont environ 1/20ème de la population mondiale. Ile sont riches et disposent de la technologie moderne. Ils peuvent faire ce qu’ils veulent, sous réserve de ne pas déplaire à un membre du Consortium et de payer l’impôt. Au milieu, il y a les citoyens Lambda. Ils n’ont aucuns rapports avec le sommet de la pyramide. Ils ignorent même l’existence des citoyens Alpha. Ils vivent comme au Moyen Age, sans aucune technologie, ce qui est un gage de paix ou de conflits limités. Les villes Alpha leur sont dissimulées. En dessous et jusqu’à la base, il y les esclaves. Il y en a a aussi bien chez les Alpha que chez les Lambdas. Ce sont les condamnés de droit commun pour des faits bénins : dettes, vol, avoir déplu à un citoyen Alpha… Les condamnés pour des faits graves sont envoyés sur les planètes bagnes. Dépendant du Consortium et des citoyens Alpha, il y a les gens d’armes : soldats, policiers, gardes privés, informaticiens. Seuls le Consortium et les citoyens Alpha ont accès à la technologie. Depuis, très longtemps, il n’y a plus de carte d’identité, de passeport, de permis de conduire, de cartes de crédit. Tous les citoyens et tous les esclaves ont une minuscule puce dans leur organisme, où tous les renseignements les concernant sont consignés. Il est impossible d’extraire cette puce. Léantos. En ce début de juin, je suis plus déprimé que jamais. J’envisage même de léguer tous mes biens et mon titre de Gérant de La Région 3 de l’Europe du Sud Est. Je voudrais repartir à zéro sur un des mondes que nous avons colonisés. Enfin, je me suis quand même organisé pour envoyer une importante somme d’argent, d’or et de diamants dans une banque discrète sur une planète qui l’est tout autant. Je suis déprimé, mais pas au point de risquer de me retrouver citoyen Lambda. Une des causes de cette situation est mon récent et catastrophique mariage. La passion vous prive de toutes formes de lucidité ! J’ai eu un coup de foudre pour Fenza, une fille de 22 ans, le tiers de mon âge. C’est une très jolie brune aux yeux noirs. Elle est petite et mince avec un tour de poitrine atteignant à peine les 85 cm et des fesses de garçon. Jusqu’à ma rencontre avec elle, je ne m’intéressais qu’aux femmes aux formes opulentes. Je suis tombé follement amoureux de Fenza et je l’ai épousée un mois après notre première rencontre : une pure folie ! Pourtant, j’avais déjà fait l’expérience d’un mariage raté. Ma première épouse avait un caractère difficile et était une véritable nymphomane. J’ai réussi à faire annuler notre mariage. C’est une chose terriblement difficile à faire de nos jours et ça m’a coûté… un bras. Les lois du Consortium sont devenues strictes, concernant la protection des conjoints. Je n’avais d’ailleurs pas de griefs recevables, juridiquement parlant, pour obtenir le divorce. Comment, après mon premier mariage ne me suis-je pas mieux renseigné sur la personnalité de Fenza? La passion ! Son caractère dominant montrait déjà le bout de son nez, certes, mais avec moi, elle était adorable et au lit elle se révélait perverse et inventive. Toujours prête à ajouter quelques esclaves pour pimenter nos ébats. La grande révolution de l’année 10 du Consortium, a heureusement remis de l’ordre dans notre société en créant la Grande Pyramide. Elle a aussi donné la possibilité aux citoyens Alpha et Lambda d’acheter des esclaves. Le monde Lambda étant une source inépuisable d’esclaves, que nos hommes d’armes vont « razziés ». J’ai une trentaine d’esclaves dont une vingtaine de femmes. Fenza, ma nouvelle femme, a une qualité, c’est une très bonne maîtresse de maison… Avant de la rencontrer, c’est mon intendant qui s’occupait de faire régner l’ordre parmi mes esclaves. Il le faisait assez mollement, toujours prêt à accepter de ne pas punir une esclave si elle était assez docile, ce qui est pourtant la définition même d’une esclave. Il s’en suivait une légère nonchalance chez certaines esclaves… Fenza a changé tout ça, avec une main de fer dans un gant d’acier. Elle est très sévère, d’autant plus que c’est une maniaque de l’ordre et de la propreté. Elle ne supporte pas le plus petit manque de soin. Les punitions sont donc devenues extrêmement fréquentes. Les esclaves la craignent et une esclave qui a peur est d’autant plus obéissante et soumise, cherchant à tout prix à plaire à ses maîtres et a leurs invités. Et puis, c’est amusant de voir une esclave présenter ses fesses pour se faire fouetter, surtout quand elle n’a rien fait pour mériter ça. Elle a aussi établi toute une série de règles et de punitions. On ne voit nulle part des esclaves aussi bien dressées que chez nous. A tel point, que nos amis s’inspirent à la lettre de son règlement pour l’appliquer chez eux… En ce qui concerne la tenue de la maison et la discipline des esclaves, Fenza est parfaite… Par contre… sexuellement, elle a cessé de faire des efforts comme au début de notre mariage et m’envoie régulièrement me satisfaire avec une esclave. Nos enfants sont en pension, mais la nièce de ma femme qui a 18 ans, vit avec nous. Elle s’appelle Calypso. Je l’ai accueillie dans ma famille et je suis devenu son beau-père, légal, jusqu’à ses 21 ans. Elle est belle, très belle et a un QI de 167, ce qui fait d’elle un membre de la prestigieuse société du Temple d’Athéna, qui réunit les cerveaux les plus brillants. Athéna étant la déesse de l’intelligence. Hélas, comme beaucoup de jeunes gens, elle fait des bêtises. Fenza la punit souvent et la fait même fouetter par une esclave noire, ce qui est l’humiliation suprême pour une citoyenne Alpha. Je dois avouer que je prends un grand plaisir à voir Calypso se faire fouetter. C’est une beauté callipyge, pour rester dans la terminologie de la Grèce antique, c'est-à-dire qu’elle a les plus belles fesses du monde ! Oui, je deviens exalté quand je parle des fesses de ma belle-fille. Les relations entre elle et Fenza sont devenues explosives. Bien sûr, elle mérite souvent une punition et ce n’est pas sans raison que Fenza la punit, contrairement aux esclaves qu’elle fait fouetter pour se distraire ou amuser nos invités. Ma belle-fille s’appelle donc Calypso, ce qui veut dire « la très désirable » en référence à la reine de l'île d'Ogygie, amante d’Ulysse et elle porte bien son nom. Les prénoms de la mythologie grecque sont devenus une mode ces dernières années en Europe du Sud. Calypso déteste celle qui est devenue sa belle-mère légale et qui n’a que 3 ans de plus qu’elle. D’autant plus, qu’elle a le droit de la punir à sa guise. Fenza s’est mise à régenter ma vie personnelle, aussi… Si je n’y mets pas bon ordre, elle va me faire un règlement, comme aux esclaves et à notre belle-fille ! Mon moral étant au plus bas, je ne souhaite plus qu’une chose, me séparer de cette épouse qui devient de plus en plus tyrannique. Je sais qu’il y a eu une enquête quand je me suis séparé de ma première épouse. Les lois sont ainsi faites que si un des époux le refuse, le divorce est impossible. Il m’a donc fallut obtenir le consentement de ma première épouse par des moyens un peu… spéciaux. Je ne puis recommencer avec celle-ci. Ce matin, n’en pouvant plus, je suis allé chercher un peu de réconfort auprès de ma belle-fille. Si une personne peut trouver une solution à ce problème, c’est elle Je sais qu’elle ne supportera plus longtemps, les brimades et les humiliations que lui inflige sa belle-mère. Elle a d’ailleurs, certainement, du élaborer un plan. Concernant, ma belle-fille, j’ai un aveu à faire : je suis terriblement attirée par elle. Je veux dire, sexuellement. Plus mes rapports avec ma femme se détériorent plus mon désir pour Calypso devient brûlant. La voir fouettée par une négresse met le feu à mes sens. Il est 10 h du matin. Elle vient à peine de rentrer. Sa belle-mère va de nouveau piquer une crise, étant donné qu’elle exige qu’elle soit rentrée à minuit au plus tard. Elle va sûrement la faire fouetter et l’enfermer dans sa chambre tous les soirs à 7 h, pendant une semaine. Calypso est légèrement ivre, ses vêtements sont froissés, elle a même une tache de sang sur une manche de sa tunique de soie transparente. Elle m’embrasse et me dit : — Beau-papa, quelle bonne surprise. — Je n’en peux plus ma chérie, je ne supporte plus cette femme. C’est certainement quelque chose qu’elle attend avec impatience. A bout de nerfs, je me mets à pleurer. Calypso vient contre moi et met ses bras autour de mon cou… Elle a eu chaud, très chaud… Elle sent… la nymphe qui a beaucoup couru dans les bois. A travers, mes larmes, je lui dis : — J’adore ton parfum — Je n’en ai pas mis. C’est mon odeur naturelle. Elle lève un bras et met le creux de son aisselle humide contre mon nez ! Aussitôt, je m’arrête de pleurer et… je me mets à bander… Elle me dit : — Tu es décidé ? Enivrée par son odeur, je bredouille : — Oui, ma chérie… et pardon… de l’avoir laissé… Je veux dire, pardon d’avoir laissé ta belle-mère te punir, mais les mots restent dans ma gorge, car elle enlève sa légère tunique. Ses seins nus pointent agressivement vers moi. Elle me la donne en disant : — Allez, essuie tes larmes et mouche-toi. Il est temps que tu te décides. Cette sorcière causera ta perte, si on ne l’élimine pas. Je mets mon nez dans son vêtement humide de sueur comme un enfant peureux met le sien dans son « doudou » ! Elle enlève son léger pantalon. Elle n’est plus vêtue que d’une minuscule culotte à motifs léopard d’un parfait mauvais goût, mais extraordinairement érotique sur elle. Je me mets à geindre : — Elle ne voudra jamais accepter de divorcer et tu sais que son consentement va me coûter une fortune. Elle me tourne le dos et enlève sa culotte en se tortillant… Les fesses de Calypso sont les plus belles du monde. Elles luisent, laiteuses, dans la lumière du petit matin. Elle me tend sa culotte... J’ai deux « doudous » ! Puis, elle vient s’asseoir à califourchon sur mes cuisses les deux bras autour de mon goût en disant : — Je sais comment nous en débarrasser sans dépenser un sou. — Sérieux ? — Oui. Et en plus, je te fais une proposition : je te débarrasse de ta mégère et tu peux me baiser. Mon rêve… Non, mes rêves ! L’odeur musquée et entêtante de sa sueur me brouille l’esprit… Et puis, je me sens incapable de continuer à vivre avec cette garce de Fenza et… je rêve de baiser ma belle-fille ! J’embrasse son épaule me rapprochant encore de l’odeur de son aisselle Elle dit : — Je veux que tu me lègues tes biens et tes titres. Tu avais quand même l’intention de la faire un jour. Avec un chat dans la gorge, je réponds : — Et on baise… — Oui… Je vais enfin la baiser. Elle sort un petit ordinateur d’un tiroir et l’allume. Je vois le document concernant la cession de mes biens et titres à ma belle-fille. Sans réfléchir, je mets mon pouce sur le premier emplacement, puis mon iris sur l’autre. Elle fait la même chose et envoie le message. Avant que je réalise bien ce que je viens de faire, elle écarte les cuisses en disant : — A genoux et montre-moi ce que tu sais faire avec ta langue. Je mets le nez dans sa chatte en jachère, ses poils me chatouillent les narines. Je passe de l’odeur musquée de ses aisselles à celle fortement marine de son sexe… Je suis au 7ème ciel. Je reste là, à la… humer, elle me donne une claque sur la tête en grognant : — Qu’est-ce que tu attends ? Je vais lécher la chatte en broussaille de ma Calypso, enfin ! Bien sûr, c’était une chose que je ne fais jamais avec mes esclaves. Qui irait lécher le cul ou la chatte d’une esclave ? Il m’est cependant arriver de le faire à mes épouses et je lèche ma belle-fille, comme une esclave lèche sa maîtresse. Rapidement, elle me repousse, en disant : — Baise-moi beau-papa et fais-moi un enfant. Je suis saoulé par ses odeurs et enivré par ses paroles. Elle veut que je me couche sur elle dans la position du missionnaire. Elle croise ses pieds sur mes reins, pour m’enfoncer au plus profond d’elle. De toutes mes forces, j’essaye de freiner le tsunami de sperme qui se prépare… Impossible, je jouis trop rapidement en elle… Calypso, met rapidement sa main en conque sur son sexe en disant : — Je garde ton sperme en moi… Tu peux rester, mais moi, je dors. Je viens de réaliser mon fantasme : lécher et baiser Calypso. Et puis, elle saura me débarrasser de Fenza, cette garce qui me pourrit la vie. Évidemment, je lui ai légué ma fonction, ainsi que tous mes biens… Enfin, une petite partie de mes biens. Elle a beau avoir un QI énorme, elle ne saura jamais que j’ai dissimulé la plus grosse partie. Je la laisse dormir, mon sperme bien au chaud dans le fond de sa vulve. Mes spermatozoïdes se battant comme des barbares à qui sera le premier à violer son ovule ! Chapitre 2 - Calypso fouettée pour la dernière fois. Calypso. Pour le moment, je fais profil bas, ce qui n’est pas dans mon caractère. Je suis dorénavant, la seule propriétaire des biens et des titres de mon beau-père. Je n’aurais jamais imaginé que ce serait aussi facile. Il a suffi que ce vieux cochon renifle mes aisselles et que je lui montre mon cul, pour que j’en fasse ce que je veux. Quelle moule !! Je sais qu’il a mis une très grosse partie de sa fortune dans une banque qu’il croit sûre, mais les biens de mon beau-père sont désormais à moi et j’ai des amis qui vont très vite me renseigner. Pauvre type, je vais l’enculer à sec ! Pour tout dire, ça m’a plu qu’il me baise et qu’il jouisse en moi. J’aime les sports extrêmes et ceci en est un, non ?? Il lèche pas mal d’ailleurs, je le garderai peut-être pour ça. Mais, je n’ai pas envie qu’il passe son temps à baiser « mes esclaves », aussi je l’équiperai d’un petit gadget, l’équivalent pour les hommes d’une ceinture de chasteté. Il va être mignon avec ça… Pas très content, mais mignon ! Maintenant, c’est le tour de ma chère belle-mère de se faire enculer, mais elle ce sera à sec et au moyen d’un énorme gode trempé dans du piment ! Ah, elle va griffer les mains de sa mère… la salope ! Elle ne doit surtout pas savoir ce qui va se passer… J’adore l’idée de lui faire la surprise Il est impossible de faire confiance à une esclave, elles sont éduquées à être veules et obéissantes. Celle qui me plait le plus c’est Aicha ! C’est une blanche, bien sûr, mais elle a la peau mate, ce qui fait qu’on lui a donné ce nom Africain. Le nom d’une esclave est souvent insultant ou ridicule. Un jour je lui ai demandé si je pouvais lui faire confiance, elle m’a répondu : — Non, Maîtresse, si on m’interroge énergiquement, je vous trahirai. C’est une bonne réponse. Ce soir, je suis dans ma chambre. Punie ! Je suis rentrée à 9 du matin au lieu de minuit. Résultat ma belle-mère va me faire fouetter et je devrai être au lit tous les jours à 19 h 30’ Mon Dieu que j’ai hâte de lui faire la petite farce que j’ai mise au point ! Elle ignore que je suis à présent la maîtresse des lieux, des biens et des titres de son époux… Elle vient se distraire à mes dépends. Et, elle est à l’heure, 19 h. Oui, c’est une maniaque de l’heure. Elle arrive dans ma chambre avec une esclave en disant joyeusement — C’est l’heure Calypso, on va te chauffer les fesses. L’esclave dépose près de mon lit, 2 tranches de pain sec et un verre d’eau, mon repas du soir ! Ma belle-mère me dit, — Tu sais ce que tu as à faire. — Oui, belle-maman, mais, si je suis rentrée… — Je m’en fous, minuit c’est minuit — Oui, belle-maman… Je remonte ma chemise de nuit blanche jusqu’aux reins. La chemise de nuit, c’est son idée, bien sûr. Je mets l’oreiller au milieu du lit et je me couche dessus de façon à ce que mes fesses soient surélevées. L’esclave a en main un court fouet à plusieurs lanières, ça fait mal, même très mal, mais ça n’entame pas la peau. « swwwitch », les lanières s’abattent sur mes fesses. — Aaîîîîeee ! 1, merci belle-maman. C’est une fétichiste de la fessée, si je ne compte pas et ne remercie pas, c’est un de plus… ma vengeance ne sera que plus jouissive… « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 2, merci belle-maman. Elle dit à son esclave : — Ne va pas trop vite, il faut qu’elle apprécie, chaque coup ! — Oui, Maîtresse. « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 3, merci belle-maman. Je ferai attention. — Je crois que tu aimes te faire fouetter. — Non, je vous ju… « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 4, merci belle-maman. « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 5, merci belle-maman. Elle pose la main sur mes fesses, en disant : — Elles ne sont pas encore à point ! — Oui, mais… « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 6, merci belle-maman. « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 7, merci belle-maman. Elle s’adresse à son esclave : — On avait dit combien ? — Vous ne m’aviez pas dit, Maîtresse. — Bon, je te dirai quand arrêter ! « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 8, merci belle-maman. Je serai sage ! « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 9, merci belle-maman. Je vous le jure. — Bien… C’est bien, j’aime te voir t’humilier Calypso. Plus qu’un, alors. (grrrrrr !) « swwwitch » — Aaîîîîeee ! 10, merci belle-maman. Elle vient de nouveau tâter mes fesses en disant : — On pourrait faire cuire un œuf au plat sur tes grosses fesses, Calypso. — Oui, belle-maman. Tu vas voir les tiennes de grosses fesses, poufiasse, et dans pas longtemps ! L’esclave m’attache par la cheville à une barre du lit. Ma belle-mère, très femme du monde, me dit : — Bonne nuit sur le ventre, Calypso. — Merci, bonne nuit à vous aussi, belle-maman. En pensée, j’ajoute « ce sera ta dernière bonne nuit avant un bon moment. » Mais, elle me réserve une dernière petite gâterie, — Ah, j’oubliais, embrasse la main de l’esclave qui t’a fouettée et remercie-la. Elle s’appelle, Mouche Bleue. L’esclave me tend sa main et je l’embrasse en disant : — Merci Mouche Bleu de m’avoir bien fouettée. Petit gloussement satisfait de la sorcière. Une fois seule, j’essaye de manger un peu de pain, mais il est tellement dur qu’il faudrait le faire tremper pour le manger et comme je n’ai qu’un verre d’eau, je préfère boire. La chaîne qui m’attache au lit, ne me permet pas d’aller à la salle de bains. La première fois qu’elle m’a fait fouetter et attacher pour la nuit, je lui ai dit : — Et si je dois faire pipi, belle-maman ? — Tu serres les fesses ! Elle est jouette ! Enfin, plus pour longtemps ! Chapitre 3 - Le plan machiavélique de Calypso. A 2 h du matin, Aicha entre dans ma chambre, elle scie la chaîne au ras de l’anneau avec une scie a métaux. Ensuite, on va chercher une esclave qu’on a déposée devant la porte de la propriété. Elle ressemblait à Fenza avant que je l’envoie dans la clinique du Professeur Di Martino, et maintenant, c’est Fenza. Bien sûr, vous vous dites, impossible de faire ce genre de substitution, à cause de la puce identitaire dissimulée en nous. Exact… Mais, je fais partie du « Temple d’Athéna » qui regroupe les QI les plus élevés du monde. Le grand Maître est aussi un membre de la Triade du Dragon de Feu qui règne sur toute l’Asie pour le compte du Consortium. Il a trouvé très amusant mon idée d’échange et m’a mise en contact avec leurs spécialistes en bio-informatique. Là, on m’a fabriqué une copie exacte de la puce de ma belle-mère. Elle est dissimilée, inactive, dans la nouvelle esclave. A trois, nous remontons dans la chambre de Fenza Elle dort profondément, Aicha lui a donné un soporifique puissant. Son esclave dort par terre, à côté de son lit. Elle dort ou elle fait semblant. Les esclaves ont souvent un 7ème sens leur permettant de survivre. Je fais une piqûre à Fenza pour l’endormir pendant 24 h. Ensuite, je prends un petit appareil pour désactivé sa puce et immédiatement après, j’active celle de l’esclave qui va prendre sa place. La nouvelle esclave est devenue Fenza. Voilà ! Le Contrôle Central ne peut pas se rendre compte que la puce a cessé d’émettre pendant une fraction de seconde. On met Fenza dans une grande valise et on descend dans le garage. On l’installe dans le coffre et on est part. A suivre : https://www.amazon.fr/Dans-peau-esclave-Collection-Pleine-ebook/dp/B01MFEGCW9/ref=pd_ecc_rvi_1 mais à seulement 3,50 e. Et que je me réveille avec des fesses plates, si vous n'aimez pas le livre !
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Par : le 23/10/16
1- j'ai un angiome tubéreux sur le visage, beaucoup moins visible que ds mon enfance mais ca m'as valu les jolis surnom de "la cramé" et la "contagieuse"...et mon crapouillot de la part de ma mère mais c’était affectueux 2- je regrette d'avoir du être la nounou pour un couple d'amis de mes parents, a la finale je devais m'occuper bien plus souvent du papa que des enfants. j'avais 14 ans 3- je suis pas maternelle 4- a 16 ans, je me suis prise des droites dans la gueule accompagné de "salope" pendant une demi heure par ma mère quand elle a découvert ma sexualité active. 5- quand les gendarmes on dit a mon ex "elle vous a peut être quitter en douce", il a répondu "impossible, elle serait jamais partie sans son PC" 6- je supporte mal le silence ambiant 7- la mort n'est qu'une étape, j'ai vu des fantomes 8- Mon père aurait préféré que je ne vois jamais le jour 9- dans la disposition de mes meubles, les portes sont toujours dans mon champs de vision 10- je suis plus salé que sucré... j'adore les gateaux apéro 11- Madame rêve...un peu trop. 12- j'ai beaucoup de mal a parler de moi 13- je suis pas tjrs delicate quand je suis franche 14- je m'entends mieux avec les hommes que les femmes, elle n'aiment pas ma liberté d'esprit et ma tolerance dans le couple...ni que je leur dise que leur bonhomme ont bien du courage pour les supporter...(délicatesse légendaire je vous dit...) 15- pendant longtemps, ma 1ere pensée du matin, au reveil, c'etait merde...je me suis encore reveillée 16- je suis partie de chez ma mere a 18 ans et 1 mois 17- j'ai accouché de ma fille a l'aube de mes 19 ans 18- je suis pas comme ma mère 19- j'aime tt ce qui touche a l'erotisme et la sexualité 20- je bois 2L de coca par jour 21- je suis ponctuelle 22- vers 10-11 ans j'ai decouvert que les jets de la piscine donnaient d'agreable sensations sur ma mimine 23- un homme torse nu en jeans attise mes sens et rendent mes yeux tt brillant 24- comme si cela suffisait pas, mon vrai prenom est aussi atypique que mon visage, l'histoire de ce prenom m'as toujours fait sourire...jaune... 25- quand je n'ecoute pas de musiqque, je la marmonne 26- mon meilleur ami a aussi été mon 1er Dom 27- je ne sais pas etre egoiste 28- chieuse, mais pas chiante 29- je n'ai jamais été amoureuse du pere de mes deux grands, il a été une "excuse" pour quitter le domicile familiale 30- qd je fais une nuit blanche, je deteste entendre au petit matin les 1er petit zozios et voir le jour se lever, c'est en generale là que je part me coucher 31- la 1ere BD erotique sur laquelle je suis tombé, chez des amis de mon pere, au milieu des luky luke et lagaffe, etait ex libris eroticis, j'ai adoré du haut de mes 12 ans et demandais souvent qd est ce qu'on retournait labas... pour la collection de lagaffe...biensure quoi d'autre ? 32- a 7 ans j'ai vu ma mere et celui qui allait devenir mon pere faire des galipettes, je les ai regardé jusqu'a la fin 33- la seule chose de bien rangé chez moi c'est mon PC 34- j'aime la sensualité, pas la vulgarité 35- j'adore scene de menage 36- j'ai souvent héritée du petit nom "ma puce"...vu que je depasse pas le metre 50 37- Mon fils et moi aurions pu mourir le 18 septembre 2014, 106 contre deux camions de chantier, 3 tonnes x2 contre 700kg, bizarrement j'ai pas fait le poids... 38- le matin j'ai une tete de con et je parle pas 39- je deteste d'ailleurs le matin...quand mon reveil sonne je lui reponds avec amabilité de fermer sa gueule 40- ah oui je parle un peu vulgairement parfois...bon ok souvent 41- j'aime l'ironie et l'humour noir 42- je prend tres bien les choses, parfois trop bien, alors que parfois je devrais pas, je me vexe pas facilement 43- j'aime pas les fleurs, a part la rose noire, mais j'aime les plantes vertes, dommage j'ai reussi a faire crever un ficus, pourtant on peut pas dire que ca demande beaucoup d'entretiens... 44- je m'ennui devant la télé 45- je suis tres frileuse, moi qui adore ne porter qu'un tee shirt, je suis malheureuse en hiver, pas de bol la Normandie c'est pas la meilleur region niveau chaleur... 46- ma mere a lacéré ma passion pour les chevaux en refusant que j'en fasse mon metier, motif : ecole trop loin de la maison pour me surveiller 47- j'avais 50 francs d'argent de poche par mois a partir de mes 16 ans 48- j'ai commencé ma premiere cigarette a 13 ans, une gitane piqué avec des copines lors d'une soirée des parents a la maison, ptin c'etait degueu...je suis devenue fumeuse reguliere a 16 ans 49- a 17 ans, mon petit ami m'as bourré la gueule pour coucher avec moi 50- tant qu'on est dans le sujet je bois rarement, 2-3 verres de malibu on va dire tous les 6 mois ou tt aussi rarement et qu'un seul, ca monte vite au crane, kir vin blanc au resto 51- j'aime qd MON HOMME me dit les choses cash, plutot que de me sortir les violons...et l'orchestre j'en parle meme pas... "Cheri ce soir tu me vois pas! - ah bon tu sors? - non je t'encule." par exemple...quel romantisme...j'ai bien dit MON HOMME ! 52- sinon je ne trouve plus rien a rajouter. 53- ma plus grande terreur est de voir une défenestration. 54- j'aime pas lire, je depasse rarement le titre, le seul livre que j'ai avaler jusqu'au dernier mot, c'etait antigone de Jean Anouilh. 55- j'ai herité du gene nocturne de papa, donc couche (trop) tard 56- je cherche pas le contacte humain, plutot solitaire 57- je suis caline 58- il m'as fallu 6 mois et un cauchemar pour comprendre et accepter que mon 1er fils etait mon fils et non pas une erreur de parcours 59- j'ai des enfants formidable... 60- je deteste parler au telephone 61- j'ai un genoux foireux, j'ai peur que ca me pose des soucis pour les cordes 62- j'adore commencé une gaterie au repos et la sentir prendre forme sous mes va et vient 63- j'ai pas le souvenirs de bons moments passées avec ma mère 64- la seule personne avec qui je n'ai aucun mauvais souvenirs etait ma grand mere 65- j'aime pas les chats, enfin si, chez les autres, le mien s'apelle mimine...ou connard... 66- j'ai du bosser pas plus de 3 mois dans ma vie 67- je suis pas venale, pas depensiere, parait meme pas assez, je sais pas vraiment me faire plaisir 68- je n'ai ni Dieu ni Maitre, mais je respecte les croyances et convictions des autres 69- un peu raleuse, mais souvent avec humour 70- je suis pas la meilleure femme de menage, mais j'aime faire la vaiselle avec la musique ds les oreilles pour finir une anecdote signé mon deuxieme et dernier fils: fils dit : merde !!! maman dit: non on dit zut plus tard papa taquine maman et maman dit : je t'emmerde fils repond: non maman on dit je t'enzut !! ********************************************************************* 08/08/2016 Je me qualifierai pas de Soumise, ni dans l’âme, ni dans le caractère, mais je peux l’être dans l'attitude je dirai plutôt borderline, j'aime le D/s, la cérébralité, le douceur comme la violence, un peu maso, ouverte d'esprit et plutôt débridée. La première fois que j'ai entendu parlé du BDSM, c'etait via une plateforme de jeu 3D, en 2013, la discussions s'est engagée et nous avons longuement parlé du sujet, enfin plutôt lui du coup, puis çà m'as intrigué....rien d’étonnant pour quelqu'un qui aime la sexualité et qui en est curieuse quelque soit sa forme, donc j'ai fouiné le sujet, par différent forum, site, et discussions avec des Doms, très vite je me suis faite mon idée....Moi Soumise ? JAMAIS !!!... mouai on en reparlera hein....ceci dit, j'ai vite compris le cotés sain de ses relations, cette façon de tt dire, d’être honnête, dont les choses sont posées et claires, contrairement au vanille ou finalement tous l'monde y l'sais, mais personne y'l'dis. J’étais en couple à ce moment là, couple qui commençait à vaciller. la décadence à continuer et moi pendant cette année je continuais à m'informer sur ce monde, puis viens septembre 2014, le 18 précisément, jour où j'ai eu un accident important de voiture avec mon fils, pour faire court, une tite 106 contre deux camions de chantier type master et taille au dessus bah j'ai pas fait trop le poids hein, et puis s'en ai suivi une série de coup de massue sur le coin de la gueule durant 1 an, mon couple vacillait de plus en plus, et moi, je réalisais de plus en plus que je ne voulais plus vivre comme ça... jusqu’à ce que rien ne soit plus sauvable, une lutte acharnée pour lui faire comprendre qu'il me perdait, mais en vain, dans cette période le D/s a pris un peu plus de place ds ma tete, je ressentais un besoin qu'on prenne la relève, qu'on me décharge de mes responsabilités, et surtout qu'on m'aide à surmonter ma séparation qui était inévitable, j'ai du moi même l'accepter et ca a pris 6 mois, sauf que mon ex lui la refusait catégoriquement, ça a pris 1 an pour qu'il déménage, et çà a été dur, durant ces 1 an, je lui demandais de partir...et il répondait que non. il était bien ici, qu'il me ferait chier jusqu'au bout "parceque je t'aime MOI." J'ai eu un guide, virtuel, beaucoup par sms, plus qu'un Dominant, un soutiens morale et un coup de pied au cul aussi qd je faisais les choses de travers ou que je me laisser bouffer. je continuais toujours à fouiner le sujet, mais je n’étais pas prête a passer au réel, vu le contexte, un peu logique, je n’étais pas dans des conditions sereine pour me lancer la dedans, puis même en perdition, il était hors de question de tromper mon ex, je voulais faire les choses ds l'ordre, d'abord clore ce chapitre. mais une chose devenait de plus en plus limpide pour moi, c’était un monde qui correspondait a ma façon de penser et a ma liberté sexuel, refoulé et bridé jusqu'ici. Octobre2015....enfin il part....après 12 ans de couple.... Le jour de son départ, le1er, ce fut dur, pour tt le monde, même si il était hors de question que je lui montre. Une fois passé la porte, mon fils l'a regardé partir à la fenêtre, il m' a dit "Maman, tu viens pas dire au revoir à Papa" "Non mon Cheri...". J'avais mal, mal d'avoir échoué, il a fallu que je paraisse forte et que je console mon fils, lui expliquer ce qu'il savait déjà, que c'était mieux ainsi. Le soir arrive, mon fils couché, je me suis assise sur une chaise, les coudes posés sur mes cuisses, les bras ds le vide, j'ai regardé chaque recoins du salon comme si c'était la première fois, écouté ce lourd silence, et je me suis dit à haute voix " putain..." Je venais de me prendre la réalité en pleine gueule...j' étais désormais seule, avec la responsabilité de mon fils. "et maintenant...tu fais quoi...?" A ce jour, je n' ai tjrs pas trouvé de réponse à cette question. le calme et la sérénité reviennent, et puis je ne me reconnais plus....mes pensées changent, mon passé si lourd que je portais depuis toujours s'apaise, semble reprendre sa place, dans le passé, et non plus dans le présent, je change d'optique petit à petit, de façon de voir les choses, moi qui était tt le temps stressé du lendemain, a présent je m'en foutais, enfin c'est pas le mot, disons que je ne trouvais pas les réponses, et je n'arrivais meme pas à me poser de questions, je ne voyais pas d'avenir, tt semblait flou et totalement inconnue. tout çà s’étend et évolue petit à petit jusqu'a aujourd'hui. 7 mois avant ce fameux octobre, sur mon jeu, je croisais un homme de temps en temps, nous parlions de tt de rien, on apprenait à se connaitre sans grande intention, enfin pour moi, vu le flinguage que je subissais je ne voyais rien d'autre. en décembre, après un sale coup de mon ex (2 mois seulement après la séparation, et alors que la veille il me pleurait de revenir, Monsieur se tape une gonzesse....et qui plus est, en présence de mon fils -_-"), et en même temps cet homme commençait a être un peu plus explicite dans ces propos....ou c'est moi qui les entends plus clairement, alors je me laisse aller vers cette relation, après tout, ce n’était que virtuel, un jeu, et puis ça m'occuperait un peu....et le temps passe....et la relation deviens plus serieuse, moins "in game", on descends clairement tt les deux une pente "dangereuse" : le reel....les personnages s'effacent, les personnalités plus ou moins jouées, sont remplacées par notre propre personnalité, la vrai, le virtuel s'efface pour faire place au réel, Monsieur sors du placard et Mademoiselle née doucement entre ses mains....ai je dis "Moi Soumise ? JAMAIS !!!" ? ....ah bah ravale tes mots cocotte..... le lien, les sentiments, l'emprise, et ce, des deux cotés, deviennent de plus en fort et le D/s s'installe, son cotés latin y fait beaucoup, et ça me plait, énormément, ça en devient une relation a double sens, il me fais évoluer autant que moi je le fais grandir et le révèle à lui même, une belle, forte, intense histoire qui prend fin 6 mois après, donc en juin 2016...bah vi....le vanille à découvert le chocolat....et nous voila comme deux cons chacun de notre cotés, a morfler du manque de l'autre....mais c'est comme ça, nous sommes tjrs en contacte qd même, mais plus de la même façon. disais-je dans mes premiers mots que je ne me qualifierai pas de Soumise ? je me souviens même d'un com posté sur une de mes photos "bon courage à celui qui voudra entendre Maître dans ma bouche" Mais j'ai été Sa Soumise...et il a été Mon Patron...comme quoi...il suffit parfois de croiser une personne, une seule... Voilà... un complément aux 70 verités, qui abordait le passé Voilà... ou nous en sommes aujourd'hui.
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Par : le 23/10/16
La pluralité des goûts invite à une pluralité des formes. Ainsi, la beauté se pare de bien des courbes, aussi uniques les unes que les autres ; et c'est tant mieux ! Pour autant, je ne confonds pas silhouettes naturellement généreuses, et bourrelets négligents. En ces lieux, on prône le plaisir, mais aussi l'esthétisme. Conjointement, soumises et dominants évoquent, ou s'affublent à l'envie de notions plus ou moins pompeuses : éducation, rigueur, sévérité, apprentissage, mise en valeur de l'autre... Tout un programme, donc ! Pléthore de photos personnelles sont publiées. La grande majorité des corps proposés, crient à l'unisson : paresse, négligence, laisser-aller, laxisme... Alors soumises et dominants, quid de ces demandes ou promesses disciplinaires ? Car la plus grande des rigueurs ne s'exprime-t'elle pas, tout d'abord, au travers de notre hygiène de vie (alimentaire, sportive,...) ? Et la première des sévérités, n'est-elle pas d'y veiller ?
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Par : le 17/10/16
2 – Le grand nettoyage. *********************** Comme, je l'ai déjà dit, Saint Ouen, c'est... folklorique ! Bon, pour me motiver, je m'imagine, invitée chez Laurent Ruquier pour parler de mon dernier livre... Hélas, un de ses chroniqueurs, le méchant, il y en a toujours un, se met à descendre mon livre. Pffff... Même mon imagination me joue des tours ! J'arrive devant le café... Il n'est pas très engageant. Il y a surtout des hommes. Quand j'entre, tout le monde me regarde. Je me fraye un passage vers le bar pour demander si Monsieur Bajram est là. Le patron me montre une table où il y a quatre hommes qui discutent. J'y vais et je dis : — Bonjour, excusez-moi de vous déranger, je voudrais parler à Monsieur Bajram. Un gros homme, la cinquantaine et noir de poils, me regarde : — C'est moi... mais, tu nous interromps pendant qu'on est en train de discuter. Je deviens toute rouge : — Pardon, mais... Il me coupe, — Sois polie et attend qu'on ait fini de parler. Je ne peux pas dire que je raffole de me faire « gronder » en public ! L'homme qui est assis à côté de lui, se recule un peu et me montre un petit bout de baquette. Je le remercie et m'y assied un peu difficilement, vu le peu de place et le volume de mon derrière ! Ils parlent encore... pendant une bonne dizaine de minutes. Enfin, la discussion se termine. Bajram se souvient de mon existence et se tourne vers moi. Il n'a pas l'air commode du tout. Gros, suant, poilu... une cicatrice sur le menton et une sur le sourcil, une vraie, en zigzag. Il me dit : — Alors, pourquoi, nous as-tu interrompus ? On parle au-dessus de l'homme qui m'a fait une place. — ... euh... je viens de la part de Monsieur William, parce que je... cherche du travail. — Dans le nettoyage ? — ... euh...oui... Il n'a pas l'air de trouver très crédible qu'une fille comme moi, c'est à dire... euh... assez séduisante… ait envie de nettoyer des bureaux, plutôt que de chercher une place de vendeuse ou de serveuse. Je lui donne l'enveloppe en disant : — J'ai ceci pour vous. Il l'ouvre, lit et éclate de rire, ce qui ne doit pas lui arriver souvent. Il donne le mot aux autres qui se mettent à rire aussi. Ben, pourquoi ?? Il me tend la feuille. Il est écrit « Cette petite suce comme une reine ! » — Qu'est ce qui est écrit Bajram ? demande une femme qui est à deux tables de nous. Il lit tout haut : — CETTE PETITE SUCE COMME UNE REINE. Franc succès... comique ! Tout le monde me regarde et moi, je regarde mes pieds. Je les fais bien rire… enfin grâce à William ! On devrait peut être monter un numéro ! Bajram me dit, bien fort : — Bon, tu as références intéressantes. Je t'engage pour une semaine. C'est quoi ton nom ? — Mia, Monsieur. Alors, quoi ? Est-ce que je me tire, honteuse comme... une renarde qui vient de se faire enculer par surprise et par un petit lapin ou... je fonce ? Je n'ai pas dépensé des sommes folles pour le voyage en car, plus un sandwich, un coca, un ticket de métro... Je fonce. — Merci, Monsieur, je travaillerai bien. Il m'examine plus attentivement... puis il dit : — C'est dur le nettoyage, tu es capable ? — Oui Monsieur, je vous assure, je... Il me coupe. — D'accord, tu commenceras ce soir. Tu viendras à l'entrepôt avec moi. — ... euh... oui, merci Monsieur... C'est le soir ? Il secoue la tête en prenant l'air accablé : — Tu crois qu'on fait ça, la journée quand tous les gens sont là ? Comme je ne sais pas quoi répondre, il dit : — Bon, tu peux rester ici, si tu veux. Ils recommencent à discuter dans une langue qui pourrait bien être de l'Albanais. J'ai bientôt un boulot, alors je ne compte plus, je commande une bière et un sandwich. Bajram regarde arriver la bière et me dit : — Tu n'en bois qu'une, va falloir travailler dur cette nuit. — Oui, Monsieur. On reste encore une petite heure, puis Bajram me dit : — On y va. Les gens du café nous regardent partir. J'ai droit à un : — Suce bien, petite. Et un : — Tu fais le nettoyage des bites ? J'en passe et des moins classes ! Bajram a une grande camionnette. Sa raison sociale est écrite sur les côtés et à l'arrière. ***************** « Bajram et associés » Nettoyages bureaux Salles de spectacles... Service impeccable « À l'ancienne. » ***************** En dessous il y a le dessin d'une femme à genoux qui nettoie un sol, à l'aide d'une brosse. Je comprends ce que « à l'ancienne » veut dire ! On arrive à son entrepôt. Il y a des femmes qui attendent. Des Arabes, des Blacks et les Occidentales viennent de l'Est. *** — Viens en au fait, Mia. Les lecteurs veulent savoir comment, tu as fini par rencontrer le directeur de la maison d'éditions et s'il s'est montré intéressé. Oui, je sais, la Voix... mais ça a été trois jours pénibles. Tu veux bien le raconter à ma place ? — Mais... tu crois que je n’ai que ça à faire ? Steuplé... Steupléééééé… — Pfffff… bon, d’accord. *** Le soir même, Mia part avec trois autres filles pour nettoyer des bureaux. Hélas, il s'agit d'un autre building abritant des sociétés. Une fille lui dit : — Vendredi on va dans le building du cul, tu verras, c'est marrant ! Encore 3 nuits de nettoyage, pour Mia. Bajram veut que les femmes travaillent à l'ancienne, c'est à dire, à genoux. Ça plait beaucoup aux employeurs ! Nettement moins aux filles ! En contrepartie, il paye bien. Mia déteste faire le ménage. Pour tout dire, chez elle, une chatte ne retrouverait pas ses petits ou un capitaliste les codes secrets de ses comptes off shore... Donc, Mia a du nettoyer à genoux des kilomètres de couloirs et des mètres carrés de chiottes ! De plus, le patron a voulu vérifier ses références, « cette petite suce comme une reine ». Elle a dû lui faire des fellations en rentrant, épuisée, d'une nuit de dur labeur ! Bon, à toi, Mia ! Enfin, vendredi, c'est le tour des Éditions Millevertus !! Après, 3 nuits à récurer à genoux et à sucer la bite du patron, j'arrive devant le saint des saints : le bureau du directeur. Sur sa porte, il est écrit « Directeur général ». J'ouvre la porte et je vois tout de suite le grand agenda dont m'a parlé le Black. Oh ! Il y a un homme assis derrière un bureau... Je bredouille : — Pardon... Monsieur, je reviendrai plus tard. — Non restez, vous tombez bien ! C'est un homme d'une cinquantaine d'années, bien habillé. Il n'a pas l'air content... et il le dit : — Je ne suis content du tout de la façon dont mes bureaux en général et le mien en particulier, sont nettoyés ! Il se lève et va vers la fenêtre : — Regardez ces traces sur les carreaux. Allons, venez voir. Il me montre de vagues traces. — Oui... euh... — Et ça ? Il passe le bout de son index sur l'appui de la fenêtre. Il est vaguement sale. — Oui, mais... Il me coupe à nouveau : — Je vais me plaindre à votre patron ! Si vous avez choisi de nettoyer, faites-le bien, au moins. Je dis très vite : — Je ne suis là que depuis 3 jours, Monsieur. Il m'examine : — J'espère que vous allez mieux nettoyer que vos collègues ! — Oui, Monsieur. C'est un maniaque ! Ce bureau est impeccable ! Il ajoute : — J'attends un coup de téléphone. Je vous demanderai de sortir à ce moment-là, mais, en attendant, mettez-vous au travail et faites ça bien, pour une fois ! — Oui, Monsieur. Comme je ne bouge pas, il dit : — Quoi, encore ? — ... euh... Monsieur, je ne fais ça, que provisoirement... Il hausse les épaules en disant : — Je suppose que personne ne veut faire du nettoyage de bureaux, définitivement. Et là, il me vient une idée ! Oui, je suis blonde, mais ça m'arrive. — C'est... euh... mon amie... qui me punit, parce que je ne m'occupe pas assez bien du ménage. Elle m'oblige à faire ça pendant une semaine. Une relation lesbienne avec une femme dominante qui aime la propreté, ça devrait grave lui plaire ! Il est surpris, mais pas plus souriant, — C'est très gentil à vous de me raconter votre vie, mais ça ne m'intéresse pas, mettez-vous au travail ! Bon, je n'ai plus rien à perdre, alors, je me lance : — Je vous dis ça... parce que... euh... c'est une coïncidence, mais j'écris. Il me détaille de haut en bas. Je suis habillée d’une robe tablier tachée. Mes bas sont trop grands et ils tirebouchonnent sur mes mollets. De plus, j'ai un torchon dans une main et un seau dans l'autre. Il a l'air amusé et... méprisant. — … et qu'écrivez-vous, Miss Souillon ? Ouch ! C'est violent, ça ! J'en ai les larmes aux yeux. — J’écris des histoires érotiques, Monsieur. Je sors le dvd de ma poche et lui tend. Il doit trouver qu'il a été un peu fort avec son « Miss Souillon » car il lève les yeux au ciel, pousse un long soupir, mais... il met le dvd dans son PC... en disant : — Je vais jeter un coup d'œil. Mais, ne restez pas plantée là, commencez à nettoyer. — Oui. Tout de suite, Monsieur ! Je vais chercher le liquide pour les carreaux et enlever toutes les traces. Ensuite, je nettoie comme si la vie de mon livre en dépendait ! Mon Dieu, faites, qu'il aime ! Les carreaux sont bientôt impeccables. Je me mets à genoux pour nettoyer sous les meubles. Il pourra ainsi apprécier mon meilleur profil ! *-*-*-*-*-*-* A suivre. PS mes livres : “Mia sans dessous.” Avec 81 dessins de Bruce Morgan. http://www.lamusardine.com/P30476-mia-sans-dessous-morgan-bruce-michael-mia.html https://www.amazon.fr/Mia-sans-dessous-Michael-ebook/dp/B01DUI7ZJW/ref=pd_sim_351_3?ie=UTF8&psc=1&refRID=6ECBWGE65BVE6MR3RH95 “Les fesses d’Eva L.” 155 pages 3,50 e https://www.amazon.fr/fesses-dEva-collection-Pleine-Lune-ebook/dp/B01JM76ABO “Eva en uniforme.” 155 pages 3,50 e https://www.amazon.fr/Eva-uniforme-II-aventures-dEva-ebook/dp/B01LZV7WG2
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Par : le 17/10/16
Bonjour à tous, J'écris des livres qui parle de domination et de soumission. Bien sûr, ça n'intéresse pas beaucoup de gens, sauf ici peut être... Le livre dont je vous parerai d'abord c'est "les fesses d'Eva L" et il est ici “Les fesses d’Eva L.” https://www.amazon.fr/fesses-dEva-collection-Pleine-Lune-ebook/dp/B01JM76ABO Mais avent ça je voudrais vour raconter en plusieurs épisodes, comment j'ai réussi à me faire publier à Paris. Allez, j'essaye. 1 - Le rêve de Mia. On a tous des rêves, petits et grands. Moi, je suis le genre à me bouger le cul pour que mes rêves se réalisent. Ce n'est pas très élégant, dit comme ça, mais mon cul va avoir un rôle important. Mon rêve, enfin un de mes rêves, c'est d'être publiée... sur du papier comme dans l'ancien temps. Alors, je m'applique, je raconte des choses qui me sont arrivées, je les embellis, aussi. Et puis, je raconte des histoires de pirates, d'aventures, de « red light district. », de harem, de chiens... très affectueux... Toutes des choses cool. Alors, il y a un mois, je me suis dit : — Ma fille, si tu veux être publiée bouge-toi le cul. Ce que j'écris est quand même un peu spécial, étant donné que je n'imagine les rapports humains... enfin, disons, le sexe, que dans des rapports de domination/soumission. Genre, une personne tient le fouet, l'autre rampe à ses pieds ! Vous allez me dire que, je pourrais écrire une histoire de domination soft pleine de... nuances. Ah oui, je vois très bien ce que vous voulez dire ! J'adorerais avoir autant de succès que les femmes qui écrivent des histoires... nuancées ! Mais bon, moi, je connais ce milieu, contrairement à l'auteur dont on parle. — Bref? Oui, vous avez raison, bref, moi, j'écris des histoires pour les adultes! Je me suis renseignée et il n'y a qu'une maison d'éditions qui édite ce genre de livres : les Éditions Millevertus à Paris. Ok, Paris ce n'est pas le bout du monde, alors je casse ma tirelire. C’est que moi, je n’ai qu’un petit salaire. Bah, je mangerai des pâtes! *** — Eh, oh, Mia! T'en fais des tonnes là ! Tiens, la Voix ! T'es ici aussi ? — Je suis partout où tu es. Ah, ben oui, logique (La voix, c'est ma voix intérieur, qui sommeille en général dans mon nichon gauche !) *** Bon, je ne mangerai pas des pâtes, mais des raviolis ! Je prends le car pour Paris avec mon dvd, sous le bras, enfin, dans mon sac. En arrivant à Paris, après 6 h de route - c'est long – j’admire la ville du haut de mon car. Alors, je lançai sur cette ruche bourdonnant un regard qui semblait par avance en pomper le miel, et je dis ces mots grandioses : A nous deux maintenant ! * Je me perds d'abord dans le métro… Pas facile quand on vient de la province…. Je finis pourtant par arriver du côté de la porte de Saint Ouen. Ce n'est pas pour critiquer, mais ce n'est pas le plus beau coin de Paris. Par contre, l'immeuble où se trouve le siège des Éditions Millevertus est moderne et assez impressionnant. J'entre dans le hall. Il y a beaucoup de gens qui vont et viennent. Je regarde les noms des sociétés qui ont leur siège dans cet immeuble. Oh! Ce sont toutes des sociétés de cul! — MIA! Je veux dire, ce sont des sociétés qui on en commun, une activité en rapport avec l'érotisme. En plus, des « Éditions Millevertus. », il y a « X movies and videos. » « Sex Toy International. » « Agence Charme. » « The golden shower Inc. » J'arrête ma lecture parce qu'une chatte m'interpelle! — Vous désirez ? Oui, les hôtesses sont des chattes! Collant noir soulignant leurs formes, petites oreilles pointues et même une queue que je vois dépasser du bureau. C'est surprenant! Mais, bon, pourquoi pas. J'aurais du faire un effort, question vêtements, mais je crois que je vous ai déjà parlé de mon salaire. J'ai un jean propre, à peine déchiré au genou droit et un tee shirt du groupe de hard de Seattle « Alice in chains. » Au dessus, un petit blouson en cuir un peu étriqué mais à peine râpé. Ah, oui et des baskets, sans chaussettes parce qu'elles étaient toutes « au sale ». ... euh… peut être que je rentre un peu trop dans les détails! Les visiteurs s'adressent à une des chattes et reçoivent un badge qu'ils doivent porter. Ils passent ensuite dans un portique qui détecte le métal comme dans les aéroports. Un garde vérifie qu'ils n’ont pas une arme en plastique et les laisse passer. Les chattes me regardent... amusées. S'en suit le dialogue suivant. — Vous désirez? — ... euh... voir le patron? — Le patron de quoi? —... euh... des Éditions Millevertus. — Il est à 6000 kilomètres d'ici. — Alors... euh... le directeur. — Vous avez rendez vous? — Non, mais c'est pour lui donner un livre que j'ai écrit et il est sur dvd et... Là, les filles se regardent et se mettent à rire, mais, bien, franchement! Dites c'est normal, ça, des hôtesses chattes qui se foutent de la gueule des visiteurs ? Elles ne me répondent même pas. Une des deux appuie sur le bouton d'un interphone et dit : — William tu peux venir. Un grand Black arrive. — Tu veux bien reconduire, Mademoiselle. Quelle garce! Je leur dit : — Mais, vous pourriez au moins... La chatte se lève et va murmurer quelque chose à l'oreille du garde. Quoi? Elle n'est vraiment pas polie cette chatte! Le garde me prend par le bras, serre un peu et on sort. Comme, je suis sur le point de pleurer, il me dit : — Pleure pas, personne ne peut entrer sans rendez vous depuis les attentats. Je lui explique : — Mais, j'ai pris le car de Bruxelles… — Envoie ton manuscrit par la poste. — Vous croyez qu'on le lira ? Il hausse les épaules, en disant : — Je ne crois pas. Ils reçoivent des quantités de manuscrits et de dvd... — Et, si je téléphone? — Si tu ne téléphone pas de la part de quelqu'un qu'il connaît, on ne te passera jamais le directeur. — Peut être, si je vais devant chez lui ou dans un restaurant où il va ou en boite... Je devrais pouvoir rester 5 minutes dans son bureau pour me renseigner sur lui. — C'est tellement important ? — Oh oui, Monsieur, je suis sûr que s'il lit mon manuscrit, il publiera mon livre : c'est mon rêve ! Il réfléchi : — Je connais une façon pour toi d'aller dans son bureau, mais ce sera un peu compliqué. Bon, là, je sais qu'il va me demander quelque chose en contrepartie, de l'argent ou mon cul ! Et... il met sa grosse main sur mes fesses ! Ouf ! C'est mon cul qu'il veut! Oui, parce que je ne sais pas si je vous l'ai déjà dit, mais... j'ai des fins de mois difficiles ! Je frôle délicatement la bosse qui est apparue dans son pantalon ! Ces deux gestes : sa main sur mes fesses, la mienne sur sa bite, c'est comme deux marchands de chevaux qui se tapent dans la main : on vient de conclure une affaire ! Ton cul contre le renseignement. On retourne, dans l'immeuble vers les 2 chattes. Le black leur dit : — Je vais discuter dans le bureau avec Mademoiselle. Les hôtesses se marrent à nouveau! Une des deux me dit : — J'espère que tu as une grande bouche, parce qu'il a une grosse bite. Les autres visiteurs nous regardent amusés. Je devrais répondre quelque chose à cette pouffe en chatte, mais à la place d'une répartie cinglante, je deviens toute rouge. On va dans le local du garde où il y a une série de petits écrans de contrôle reliés aux cameras de surveillance. Le Black descend la tirette de son pantalon et extrait un sexe qui bande déjà à moitié. Il s’assoit en disant : — La sucette de Mademoiselle est avancée ! Il est marrant… enfin, pour un garde privé ! Les mecs marrants, j'aime... mais faire une fellation à un inconnu, j'aime moins ! On ne connaît pas les habitudes d'hygiène du Monsieur. Mais, bon, j'ai entendu dire qu'il fallait coucher pour réussir dans le ciné ou la télé, on va dire qu'il faut sucer pour réussir dans la littérature. *** — Qui fait de la littérature? Oui, la Voix, en l'écrivant je me suis dis, « ça va réveiller la Voix... » — J'aime pas être la voix intérieure d'une gamine qui a la grosse tête !! Tu as raison, je recommence : on va dire qu'il faut sucer pour réussir dans... les livres cochons ? Les écrits dégueulasses ? Les torchons qui sortent d'une poubelle ? — Ça va, ça va n'en rajoute pas ! Va sucer, c'est encore ce que tu fais le mieux! *** Ppffff... Je m'agenouille à côté des jambes du garde, le nez contre son gland rose et humide. L’odeur est légère ! Ouf ! Il a une salle de bains et il l'utilise. Comme ça, ça va ! Comme un de mes principes, c’est de connaître le prénom d’un Monsieur, que je vais sucer, je lui demande : — Tu t'appelles comment? — William. Et toi? — Moi, c'est Mia. — Ravi de me faire sucer par toi Mia. Je ne vais pas sucer un inconnu, mon honneur est sauf ! Je commence à lécher le gland comme si c'était un magnum glacé aux amandes (j'adore ça !). J'enfonce le bout de ma langue dans son méat... Et, puis j'arrive à le prendre tout à fait en bouche. Ouch ! C'est juste ! J'ai la bouche pleine ! Ma tête va et vient sur son membre et ma luette, vient caresser son gland. Il aime, me le dis, le grogne même... Quand je sens que son membre grossit, je le retire juste à temps et il arrose le plancher. C'est vrai, quoi, je ne suis pas dans une histoire de Mia, où les filles sont vaccinées contre les MST. Je prends quelques de kleenex et je nettoie le plancher. Bon... et maintenant ? Je reste à genoux et je pose la main sur sa cuisse musclée. Il apprécie... ma soumission et remplit sa part du contrat : fellation contre renseignements. — J'ai remarqué que Monsieur A notait tous ces rendez vous, dans un grand agenda qui se trouve sur son bureau. Pour y aller, je ne vois qu'une solution, fais-toi engager dans l'équipe de nettoyage. Celui qui s'en occupe, c'est un nommé Bajram, un Albanais. Le soir, il est souvent dans un café de quartier. Tu as vraiment envie d'aller dans ce bureau? — Oui, Monsieur, vraiment. Je me relève. Il prend une feuille de papier, écrit quelque chose, le met dans une enveloppe qu'il ferme en la léchant. Ensuite, il écrit l'adresse du café. Il me donne l'enveloppe en disant : — Donne-lui ça. Comme, il n'a pas encore remis son matos dans son pantalon, je me baisse et donne un baiser sur son sexe qui est tout alangui sur une de ses cuisses. — Merci, Monsieur. Il me reconduit. En passant une des chattes lui demande : — Elle suce bien. — Super!, répond-il en levant le pouce. Bon... Un bisou, sur la bouche, cette fois-ci... Et, en route pour de nouvelles aventures. * Je sais, qu’on dirait du Balzac. — C'est du Balzac, Mia! Oh, ben, mince! C'est une… euh… coïncidence... *-*-*-*-*-*-*-*
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Par : le 10/10/16
Je livre ici un extrait de correspondance que ma soumise m'a écrit : (je précise qu'elle est consentante à la publication de cette correspondance) F, J'ai besoin de t'écrire, sans comprendre à première vue la texture de mes attentes envers toi. Il me semble que j'aime forcer mes limites, et que c'est ce lieu de dépassement qui anime mes élans à vivre. Je suis capable d'encaisser pas mal de violence, car j'y oppose une résistance acharnée, orgueilleuse, ce qui m'emmène vers des contrées où se fracture la confiance que j'ai en mes propres forces. Je me pousse à aller loin, et j'ignore souvent le moment où je ne respecte pas mes fragilités, parce qu'en vrai, je me refuse fragile. Tu l'as entrevu par toi-même lors de notre dernière discussion, en m'envoyant cette belle gifle à travers la figure, pour provoquer les larmes que je me suis une nouvelle fois évertuée à contenir: «Tu dois tout me donner, même tes larmes, surtout tes larmes», m'as-tu dis à ce moment-là. Tu me questionnes sur cette gifle: en effet, je ne l'ai pas vu venir, elle m'a pour ainsi dire assez surprise, et dans l'instant, je n'ai pas su à quoi m'en tenir. Sortais-tu de tes gonds, sérieusement? Quoi qu'il en soit je ressens à présent qu'elle vient marquer en moi le désir qui t'anime de me voir baisser la garde jusqu'au bout, mais j'espère seulement que tu maîtrises la source et la portée de tes emportements. 

Je me demande avec une certaine frayeur ce qui me grise dans l'accueil de ta main sévère, et quel rapport entretenir avec ma propre soumission pour m'aider à expurger les douleurs et les peurs en moi. D'une part j'ai besoin de subir les fantasmes masculins parce qu'ils me hantent, et que, comme beaucoup de femmes, j'ai appris le désir au travers du regard des hommes. Exister dans un rapport de pouvoir, c'est correspondre à ce que les dominants valorisent, et aussi d'ailleurs à ce qui leur permet de garder leur ascendance: une femme rendue vulnérable et dépendante permet à l'homme de se renforcer dans un rôle où il se doit d'être puissant, autant protecteur que bourreau. Je ressens la nécessité de vivre cela, et de jouir de ce qui relève quelquefois d'une brutalité vulgaire, crue, sans détour ni ambiguïté, qui ne s'embarrasse pas de dentelles. Je cherche à affiner la compréhension que j'ai de mes propres désirs pour que les dominations auxquelles tu me confrontes continuent de me nourrir, et nous permettent de décupler la jubilation que l'on partage. Je te rassure: je jubile déjà, si tu savais à quel point (je crois que tu le sais), tellement que ma conscience se désintègre quand je prends du recul sur tout ça et tente d'y mettre de l'ordre. Je joue à être ta soumise et ce jeu m'entraîne plus loin que ce que j'aurais imaginé, et pourtant c'est avec une pâle délectation que je me dévoile chaque fois un peu plus pour te permettre de m'appréhender au plus près de mes douces terreurs, jusqu'aux plus imperceptibles frissons. Me voilà confinée dans le creux spiralé de ces quelques journées grises, recouvertes d'un ciel placide, lourd d'une latence qui se donne pour horizon. Je suis alitée, la gorge nouée d'avoir tant couru, bercée par le clapotis des livres à mon chevet qui fredonnent à mi-voix quelques incantations pour me remettre sur pied. J'espère revenir d'aplomb et j'ai hâte d'entendre le bruit discret d'une clé se fermant derrière moi, je fonds à l'idée de sentir ton regard parcourir mes stupeurs, ton sourire ébaucher la fierté qui ta-bite de me sur-prendre encore, de me surpasser sur le corps dément-ibulé de toutes droitures d'esprit. Envie d'être investie entière enfermée vivante et laissée là, sur le carrelage blanc et froid vibrante emmurée dans un bal aux pensées folles sans fond d'où perce une source assoiffée de se frotter, ivre et prétentieuse, à la ténacité de tes possessions. Mon sexe se déploie et prend toute la place en moi, tant il était contenu et timoré jusque-là. Mon dos se hérisse de ta main qui furtivement passe 
et s'empare, nerveuse de ce qui crépite en sourdine 
et me lézarde tant j'enrage à présent 
de n'être pas déjà là, 
étreinte. 
 Silva
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Par : le 22/09/16
Subspace & After Care by Sue Rozen ( http://femdommag.com/?p=32 ) (pour un soucis de pratique dû à la traduction du neutre en anglais et pour ne pas répéter les termes au féminin puis au masculin, je garderai le terme "Doms" (regroupant dominateurs et dominatrices) et "Sub" pour les soumis et soumises. J'utiliserai ensuite un masculin général mais ceci s'adresse autant aux femmes qu'aux hommes) Pendant mes cours avec des doms nouveaux ou peu expérimentés, quand je mentionne le subspace la réponse que j'entends le plus souvent c'est "qu'est ce que c'est?" Le Subspace et l'aftercare sont deux sujets dont certains sont complètement ignorant. Pour s'assurer que tout le monde soit heureux et en sécurité cependant, les Dommes ont besoin d'une connaissance active de ce qu'est le subspace, ce qui le provoque, comment identifier si un sub entre en subspace pendant la session et comment en repérer les signes. Le D/s est universel dans le sens ou il ne concerne pas que le jeu de rôles, la jouissance, le plaisir, la joie, le contrôle et toutes les choses excitantes que nous faisons. Il concerne des personnes réelles, leurs envies et leurs besoins. Un Dom consciencieux saura qu'il est responsable du bien être de son sub. Une part de cette responsabilité implique de savoir ce qui peut arriver à son Sub quand il interagit avec lui. En tant que scientifique qui a personnellement l'expérience du D/s et le bénéfice de recherches en physiologie humaine et en biochimique, je vais essayer de partager des conseils tout en expliquant le côté scientifique de notre sujet. D'abord, qu'est ce que le subspace? Le subspace [littérallement traduit "état/espace de soumission"], aussi appelé le headspace, est le nom donné à un état mental et physique du sub lorsqu'il est profondément pris dans un jeu ou une scène. C'est un état second insaisissable et recherché qui est le saint Graal de beaucoup de subs. Certaines pratiques du BDSM provoquent des réponses physiques fortes. L'aspect physiologique du BDSM cause aussi à beaucoup de subs une séparation mentale entre eux et leur environnement quand il font l'expérience du subspace. Un subspace profond est souvent caractérisé par un état de récession profonde et d'incohérence. Un Subspace profond peut éventuellement mettre en danger des subs inexpérimentés qui ne sont pas familier avec ses effets. Cet état requiers que le Dom soit particulièrement vigilant à ce que son sub ne se mette pas lui-même en danger. Comment cela arrive-t-il? (Accrochez vous à vos sièges, c'est la partie scientifique) Pendant la session, l'expérience intense de douleur et de plaisir déclenche une réaction du système nerveux, celle ci cause la libération d'adrénaline dans le corps du sub. D'autres substances sont alors libérées, comme les endorphines et enképhalines (qui sont des anti douleurs naturels), et ces agents naturels vont alors combattre le stress imposé à l'organisme et produire effet comparable à celui d'une prise de morphine. Ces réactions chimiques de l'organisme ont cet effet sur le cerveau qu'ils accroissent sa résistance à la douleur, plus le jeu s'intensifie, plus cet effet s'approfondit. Sous l'influence ce ces réactions chimiques, le sujet entre alors dans un genre de transe. Le sub commence à se sentir détaché de son corps, de la réalité, comme s'il flottait ou planait. Beaucoup de sub, atteignant ce point, perdent la sensation de douleur et n'importe quel stimulus prolonge cet état. Une fois que le système nerveux parasympathique reviens en force pour contrer les effets du surplus des réactions sus-nommées, une profonde fatigue et une incohérence peuvent parfois se faire sentir. C'est à ce moment que la notion d'aftercare devient importante pour le bien-être du sub. Ok, c'est très bien tout ça, mais qu'est ce que ça implique en réalité? Les Subs qui tombent profondément dans le subspace peuvent souvent être incapacités dans leur communication. Ça veut dire qu'ils ne sont plus capable d'utiliser leur safeword ou safesignals quand les choses tournent mal! En fait ils ne seront même pas conscients que le choses tournent mal! Cette capacité réduite ou absente à communiquer avec leur Dom, combiné avec le fait qu'ils sont moins ou plus capables de ressentir la douleur à cause du trop haut niveau d'endorphines présentes dans leurs corps, peuvent amener la scène à aller trop loin. Si par exemple, un Dom peu expérimenté doit gérer un sub qui est est tombé dans un subspace profond, et qu'il ne sait pas comment en reconnaitre les symptômes, ce Dom peut passer la limite de la résistance physique et aller trop loin en attendant sincèrement un safeword qui ne viendra pas parce que son sub est incapable de le lui donner. Du coup qu'est ce que je cherche? Quels sont les signes que mon sub est parti en subspace? C'est exactement comme le reste, ça varie d'un individue à l'autre. Le temps qu'il faut pour atteindre le subspace, le genre d'activité qui le déclenchent sont souvent spécifiques à chaque individu. Pour certainil faut de longues séances de stimulation physique, pour d'autres ce peut être simplement la voix de leur dom ou être touché qui les envoie dans cet état particulier. Mais il y a quand même quelques signes révélateurs: Le soumis va devenir moins communicatif verbalement lorsqu'il entre dans une phase intense du subspace. Le Dom va certainement noter une difficulté à utiliser des mots pour communiquer ou décrire les ressentis, remplacé par des gémissements ou des grognements (qui sont, admettons le, difficile à interpréter). Il y a des changement de couleurs de peau, les yeux peuvent se révulser. Le corps peut devenir complètement amorphe (ce qui est étonnant car une stimulation physique devrait induire une tension des muscles en réaction logique d'une punition) En apprenant à connaitre son Sub, le Dom identifiera ses signes particuliers d'atteinte du subspace. Le "trip" que provoque les endorphines mixées à l'adrénaline est souvent comparé par les subs à un "trip" induit par une drogue et peut être adictif. Exactement comme peut l'être la libération des mêmes hormones pendant la pratique d'un sport. Un sub peut supplier pour plus de stimulation physique pour se garder en subspace sans se rendre compte que cela peut finir en une véritable blessure. C'est là que le rôle revient au dominant de garder le contrôle de la situation, et d'organiser le "retour sur terre" de son sub. Maintenant que je sais ce que je cherche, qu'est ce que je dois faire? Il peut être très dangereux pour un sub d'être abandonné là à décrocher tout seul, sans être ramené en sécurité dans sa "redescente". Un Dom qui n'aurait pas conscience des effets physiques et mentaux du subspace sur son sub pourrait juste se lever et s'en aller, avec la possibilité que son soumis soit toujours en subspace. Ce n'est pas suffisant de juste défaire les liens et de s'en aller. C'est la responsabilité du Dom de prendre le temps d'accompagner son sub dans son retour à la réalité, graduellement, en réduisant les stimulations, en lui parlant pour le faire revenir à lui, de lui donner l'affection et de le rassurer, de lui dire qu'il a fait du bon travail et de lui donner beaucoup de contact physique pour l'accompagner, par exemple. L'épuisement accompagne souvent le sub dans sa redescente du subspace. Donc le Dom peut avoir prévu un environnement sécurisé où le sub puisse dormir et récupérer des forces. Laisser un sub dans un état de subspace, où il est grisé et peut se sentir en dehors de son corps, peut être dangereux. Imaginez un sub, toujours en subspace, essayer de rentrer chez lui en voiture. Les subs n'ont pas la concentration et les capacités nécessaires pour des taches complexes lorsqu'ils sont en subspace, et en ne les rattachant pas à la réalité avant de les laisser partir, le Dom peut mettre son soumis en danger. Maintenant vous vous dîtes "Bien, je n’interagis qu'avec des subs en ligne, je n'ai pas besoin de m'inquiéter pour ça" Ce n'est pas nécessairement vrai. Les subs en cyber-relations entre en subspace juste aussi facilement et complètement que dans les situations réelles. Et en tant que Dom dans une cyber-relation D/s ne peuvent pas souvent voir leur sub ils doivent s'appuyer sur d'autres méthodes pour determiner si le sub est revenu après la session. Dans ce cas, la voix est encore les meilleur moyen disponible pour le Dom -il doit bien connaitre les intonations de voix de son sub et la manière dont elles changent quand il est en subspace donc il peut définir quand le sub est revenu à lui. Quand la scene se réduit uniquement à du texte, la communication pendant la scène et après la scène, pendant l'aftercare, entre le sub et le Dom est toute aussi critique pour le bien-être du sub. Bon j'ai compris.... Mais c'est quoi le Subdrop? Même après le meilleur des aftercare, il y a des effets résiduels de l'expérience du subspace qui peuvent rester présent chez le sub. Le phénomène de "subdrop" est le nom donné aux épisodes qui surviennent dans les heures voir les jours qui suivent une session de BDSM intense. Le terme "Subdrop" est généralement utilisé pour les effets "negatif" ou l'état dépressif qu'un sub peut vivre après la scène. Les causes peuvent être multiples mais cela peut être causé par les endorphines et de l'adrénaline qui quittent le corps. Pour ceux qui ont été élevés dans un milieu très traditionnel il peut en résulter que ces "drops" soit associé avec un sentiment de culpabilité ou de honte. Le subdrop peut se manifester de bien des manières -larmes, peurs irrationnelles exprimées par le sub, il peut se sentir triste, ou seul dans les heures ou les jours qui suivent la séparation d'avec le dom. Le subdrop peut être comparé à un état de choc en quelque sorte et le traitement est le même. Le dominant devrait fournir un espace pour son sub où il puisse exprimer ses sentiments et recevoir son attention. (après tout le dom est en partie responsable de son état). Le Dom devrait également chercher les signes de détresse et essayer de comprendre ce dont son sub a besoin- sachant que ce peut être très différent selon le sub. Le point important dans l'aftercare, c'est de faire en sorte que le sub se sente accepté, désiré, sain, sauf et à l'aise. Avec une application systématique, un bon aftercare aidera les liens entre un sub et son Dom , et aidera la relation à s'épanouir et à atteindre des somments, puisque le sub saura que son dom n'a que son intérêt en tête, comprends ce qui lui arrive et soulagera les situations négatives qui pourraient se développer. Un Dom bon et attentionné aura toujours le soin de son sub comme soucis principal. Mais surtout faîtes cous plaisir, c'est le point essentiel du D/s -mais ne faîtes pas que prendre sans donner en retour. L'expérience du D/s devrait être gratifiant et plaisant pour à la fois le Dom et le Sub. Les Doms et les subs se complètent et cet équilibre ne peut pas être ignoré ou oublié. Le BDSM est tou à propos de confiance mutuelle et de compréhension, et les deux paries se chargent de comprendre l'autre, dans ce cas beaucoup de responsabilités pèsent sur le Dom d'apporter le contrôle et la cohérence que le sub désire tellement dans sa vie. Le sub n'est cependant pas exempt de toute responsabilité en relation avec le subdrop et l'aftercare, le sub doit communiquer ses besoins et ses sentiments au Dom ouvertement et honnêtement pour donner au dominant l'occasion d'y répondre. En prodiguant un aftercare satisfaisant, le sub saura que son dom lui procure un environnement sécurisant qui lui permettent de discuter sans peur et avec honnêteté. Un Dom qui comprends le subspace - ses frissons comme ses écueils- peut tirer le meilleur de son Sib et donc le meilleur de l'expérience pour lui-même et tout le monde est gagnant.        
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Par : le 12/09/16
J'ai encordé pour la première fois. Un homme. Une femme. Pas encore deux personnes à la fois mais cela viendra... J'ai fumé le cigare. Avec un Islay fumé plus que iodé. Me rappelle plus quoi, trop bourrée. Enfin pas tant que ça. Et puis le verre m'avait été offert... J'ai dominé un homme, contrôle, sensation de pouvoir extrême, frustration, baise dominante. J'ai peint sur un corps. J'ai écrit sur le mien des mots crus. On a écrit sur le mien des mots poétiques. J'ai été suspendue, en apesanteur, un peu trop court à mon goût. J'ai lâché prise dans les cordes. J'ai été couverte de lait, de salive, cachetée de cire. J'ai été fistée et j'ai fisté. J'ai failli vomir en gorge profonde. Mais paraît que j'ai fait des progrès ^^ J'ai été caressée par une lame. Du couteau de cuisine à la lame d'un sabre. J'ai fait une séance photo, ambiance médiévale dans une abbaye J'ai appris l'immobilité et la patience.
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Par : le 07/09/16
Monsieur derrière moi, se lève et commence à débarrasser nos assiettes. Bravant la douleur de mes fesses endolories, je me lève à sa suite et prend dans mes mains les restes de notre repas. Nos regards se croisent dans un silence. Son visage est sérieux et figé, je lui souris pour tenter d'obtenir son sourire en réponse. Ai-je fait une bêtise de me lever sans son autorisation? un torrent de doutes m’envahit et j'en rougis. Il se retourne et se dirige dans la cuisine. Je reste là sans savoir quoi faire. Tous les convives m'observent dans l'attente de ma réaction. Voyant mon embarras, Madame M m'ordonne. - Et bien ne reste pas là sans bouger maintenant que tu es debout, ramène tout dans la cuisine. - Oui Madame, vous avez raison. A petit pas je m'élance dans la cuisine. Il est là en train de ranger. Ses gestes sont brutaux, il fait du bruit en claquant les portes de placard sans ménagement. Il est nerveux. Il évite clairement de me regarder. Je m'active à mon tour sans un mot. Alors que je lui tourne le dos, Je sens sa main saisir la mienne brusquement. La vivacité et la force de sa prise me laisse à peine le temps de me retourner qu'il m'entraine déjà hors de la cuisine. - Viens, suis moi, me lance t'il dans un souffle à peine contenu Nous passons vivement devant nos convives, dont les regards d'étonnement nous suivent dans notre précipitation. Nous montons les marches de l'escalier à toute volée. J'essaie de ne pas tomber. Sa main tenant la mienne si fermement que j'ai l'impression qu'il peut m'arracher le bras. La porte de la chambre, devant le lit, soudain il se fige et je trébuche. Je me retrouve à genou à ses pieds haletante de cette course en avant. Je lève les yeux, vers son visage et j'y découvre enfin son sourire. Sa tension, son envie, son excitation il ne peut plus les contenir, tout son être me dit son intention. Je lui répond par mes gestes, en silence. Je m'incline et lui retire ses chaussures. Mes mains défont sa ceinture et son pantalon ne tarde pas à tomber. Je libère son sexe tendu et dresser de plaisir trop longtemps contenu. Je le caresse, mes yeux se tournent vers lui pour avoir son approbation. Son sourire encore et ses mots qui me donnent son ordre. - Vas-y, donnes-moi tout ton corps, appartiens-moi. Et dans un mouvement de douceur ma bouche avale son sexe brulant de désir. Ses mains se glissent dans ma chevelure pour m'imposer le rythme qui lui convient. Son râle et ses soupirs me confirment l'urgence de son plaisirs enfin libéré. Mes sens sont en éveil, pour ressentir tout son être, ses mouvements, la puissance de ses mains qui s'apaise au fur et à mesure de la satisfaction de son désir. Je goute à son sexe avec délectation, ma bouche est son écrin. - Merci, ma petite chienne soumise. Il se retire et me relève. Ses yeux me transpercent, sa bouche vient prendre la mienne et nos langues se cherchent dans une danse d'amour et de complicité, de désir sexuel violent et immédiat. Ma tête bascule en arrière dans un mouvement impérieux imposé par sa poigne dans mes cheveux malmenés. De son autre main, il vient caresser mon entrejambe et l'humidité qu'il y trouve réactive son désir fougueux. Ses doigts humides entrent dans ma bouche et ma langue gourmande se met à lécher cette substance intime et personnelle preuve indiscutable de mon propre désir. - Lèche, lèche, ma petite chienne, tu es mienne, je te veux maintenant. Il me pousse en arrière et je me retrouve sur le lit. Sa chemise vole à travers la pièce et sans plus de cérémonie, il entre en moi. Son corps puissant et musclé impose sur moi toute la nature d'un mâle dominant sûr de son pouvoir et de son bon droit. Mes mains courent sur son dos larges et ses épaules si solides. Mes jambes autour de ses hanches viennent l'encercler comme pour ne plus jamais le lâcher. Ses coups de boutoir au fond de mes entrailles m'arrachent des gémissements et des cris que je ne peux retenir. Nous sommes deux corps en un, dans le plaisir brutal et bestial. Le monde autour n'existe plus. je ne retiens plus mon plaisir. La jouissance monte d'entre mes cuisses. Son rythme ralenti. Il s'est redressé, quittant mon emprise. Un coup, puis un autre au plus profond de mon être, pour toucher la cible de notre jouissance. Il s'arrête, se retire. Il me laisse là allongée sur le lit et sans rien dire, il ramasse ses affaires et quitte la chambre. Je me retrouve abandonnée sur le lit, sans comprendre. Décidée à ne pas le décevoir, cette fois-ci, je ne bouge pas et j'attends, de cette attente pleine de fantasmes et de rêveries, d'envies et de questions...
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Par : le 06/09/16
Lettre à ma future soumise, Je suis sur ce site pour y trouver une soumise. J’en ai trouvées quelques unes, rencontrées quelques unes, mais le processus de sélection n’est pas encore terminé et je n’ai pas encore MA soumise. Je voudrais m’adresser à toutes les candidates et leur raconteur un souvenir : ma première fois. La première expérience BDSM, lors de laquelle j’ai découvert que j’étais un home dominant. Alors que je ne m’en doutais absolument pas. J’espère que j’aurai beaucoup de retours pour cet article. Un soir, il y a des années, au moins 15 ans, dans une soirée libertine chez des amis, j'ai flashé sur une femme qui était là. Je l'ai draguée et elle a consenti à se faire baiser par moi. On s'est isolés dans une pièce. Je voulais la baiser seul. C'était une femme pas belle mais qui m'attirait beaucoup, avec des gros seins, vraiment ce qu'on appelle des seins lourds. Tout son physique était lourd, lourdes cuisses, lourdes fesses. Pas une beauté mais je la désirais violemment. Je l'ai caressée, puis pénétrée en levrette. Elle était plutôt du genre passive. Elle mouillait, acceptait d'être pénétrée mais n'avait pas l'air très excitée. Elle ne disait rien. C'était une femme silencieuse. Ca aussi, ce côté animal me plaisait. Tout en la limant, je lui ai donné des claques sur les fesses pour la réveiller un peu. Parce que je trouvais qu'elle dormait. D'un seul coup ça l'a réveillée en effet. Elle m'a dit (elle parlait mal le français) ouiiii, j'aime ça. Plus fort! Plus fort! J'ai giflé son fessier plus fort, très fort même. Elle semblait reprendre vie. Elle en voulait toujours plus. Moi, je n'avais aucune expérience du BDSM, ni savoir faire. Je me contentais de lui donner la fessée avec les mains, tout en la pénétrant. Visiblement elle restait sur sa faim. Elle me disait: tape moi, tape moi, plus fort, plus fort, plus fort. Elle me suppliait vraiment. Je faisais de mon mieux mais je ne savais pas comment la satisfaire, n'ayant ni fouet ni cravache ni rien de ce genre. Finalement j'ai vu une sorte de bouquet de fleurs artificielles très moches qui étaient là. Ca n'était pas un appartement de luxe avec du mobilier classe. C'étaient des grands tournesols en plastique, dont les tiges avaient un plus d'un mètre de long, en plastique également avec à l'intérieur une tige en métal, le genre de faux tournesols à 5 francs pièces sans doute achetés au garden center du coin. Ca pouvait servir de cravache, faute de mieux. Bon, je commence à lui cravacher les fesses, ses grosses fesses tellement bandantes, avec cette tige, mais j'avais peur de la blesser car c'était vraiment un instrument cinglant, contondant, avec en plus les fausses feuillolles en plastique vert qui devaient faire encore plus mal. Si j'y allais trop fort elle allait être blessée, peut-être saigner. Donc je tapais, mais doucement, en prenant soin de ne pas lui faire trop mal. Elle gémissait, elle me suppliait, d'une manière toujours plus lamentable: Plus fort, plus fort, plus fort. Moi je me retenais toujours parce que je me disais que ça allait mal finir. A la fin elle a tellement supplié, gémi, que d'un seul coup ça m'a pris et je me suis mis à la fouetter sans aucun égard. Vlan, vlan, vlan. Ca devait lui faire un mal de chien. Mais là, moi j'avais franchi un seuil. Je n'étais plus le garçon gentil, poli, civilisé que je suis normalement. J'étais devenu une vraie bête fauve et n'avais plus aucune inhibition. Donc je la fouettais comme un sourd avec cette affreuse tige cruelle. Pire qu'un nerf de boeuf. Et pendant ce temps je continuais à la limer et j'étais de plus en plus excité, je bandais comme un taureau et moi aussi je prenais mon pied. Elle a commencé à crier, mais c'était de jouissance. Elle a joui avec une violence incroyable, en beuglant. Et son vagin se contractait d'une manière terrible. C'était excitant à un point... Je ne vous dis pas. Je sens encore les spasmes de son vagin. Je pense que c'est une de mes expériences de baise et de jouissance les plus intenses de toute ma vie. Peut-être la plus intense. Elle a joui comme ça longuement, moi aussi. Plusieurs fois. Ca la reprenait, elle suppliait à nouveau d'être fouettée. Là je n'hésitais plus. Je lui donnais ce qu'elle voulait, sans ménagement. Et elle jouissait de nouveau, et moi aussi, etc., etc. Bon, je ne sais pas ce que les lecteurs vont penser de ce récit. Mais moi je dois avouer que cet épisode m'a excité à un point indescriptible. Je pense que c'est à moment là que j'ai pris conscience de mon caractère de dominant, dont je n'étais absolument pas conscient auparavant. Quand je dis que je suis un dominant, ça ne veut pas dire que j'éprouve le besoin de laisser pour morte toute partenaire sexuelle après lui avoir asséné des coups de fouet ou de cravache à assommer un boeuf. Ca veut juste dire que je sais que la relation dominant dominé me donne une satisfaction intense. Je précise aussi, pour rassurer les soumises potentielles, que je suis incapable de faire subir des abus de ce genre à quiconque, sauf si c'est la personne elle-même qui me le demande. D'autre part, je suis encore quelqu'un de gentil, poli, courtois, même assez réservé, bien élevé, même plutôt doux. Mais cette histoire m'a changé en me révélant à moi-même une part de ma personnalité inconnue, et probablement, ça ne se voit pas de l'extérieur que je suis comme ça. Je n'ai plus jamais revu cette femme et je l'ai amèrement regretté. J'aurais tant désiré une relation SM durable. Mais elle n'habitait pas la Suisse. Elle est repartie le lendemain et je ne l'ai plus jamais revue. J'ai eu quand-même le temps de bavarder un moment avec elle après l'amour, alors que tous les deux nous récupérions de nos orgasmes à répétition. J'ai compris que son père la battait comme plâtre quand elle était petite fille. Son mari la battait. Elle avait un blocage émotionnel, impossible de s'épanouir en tant que femme, impossible de jouir sans être battue très violemment. Pendant très longtemps j'ai cherché une soumise sexuelle maso hard comme cette femme. Elle m’a beaucoup manqué. J’aurais voulu avoir avec elle une relation de longue durée. J’étais très frustré de son absence. Je voulais une maso grave comme elle. J’en ai rencontrées quelques unes, mais qui n’étaient pas comme elle. J’ai en revanche rencontré d’autres femmes soumises, certaines masos et d’autre pas. Je suis devenu ce qu’on appelle un “maître expérimenté”. Avec le temps j’ai beaucoup appris et compris que chaque femme, et donc chaque femme soumise est différente. Il faut savoir tirer le meilleur de chacune. Au cours de ces diverses rencontres avec des soumises de toutes sortes, j'ai un peu mis de l’eau dans mon vin. Je m'adapte au désir de l'autre, comme j'espère que l'autre va s'adapter à mon désir à moi. Mais ce que je recherche c’est quand même la femme maso qui veut être cravachée comme une jument, battue, rabaissée, traitée plus bas que terre comme une catin, et qui a besoin de ça pour son plaisir. Elle ressent ça comme le summum de l’attention qu’on puisse donner à une femme, et elle en a besoin. C'est ce que je voulais dire. Je cherche une servante sexuelle et je désire qu'elle me server. C'est ça qui est si grisant. C'est ce qui m'enivre comme du champagne. A un moment donné je demanderai à ma soumise de me donner le même genre d'amour que cette femme aux gros seins. Si je sens que ça ne lui convient pas, je n'irai pas plus loin. Mais entre nous, la soumise et moi, tout pourra être tenté, en toute confiance. C'est ça qui compte. Est-ce qu'on est bien d'accord ? Ton Maître si tu veux P. S. J'espère que ce récit suscitera des vocations et que je recevrai beucoup de lettres
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Par : le 06/09/16
Loi n° 2016-444 du 13 avril 2016 sur la pénalisation des clients apporte son lot de nécessaires précisions et de nombreuses interrogations. L’article 611-1 de la nouvelle loi dispose que «le fait de solliciter, d’accepter ou d’obtenir des relations de nature sexuelle d’une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, en échange d’une rémunération, d’une promesse de rémunération, de la fourniture d’un avantage en nature ou de la promesse d’un tel avantage est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe.»Des amendes de1500euros pour l’achat d’actes sexuels et de 3750euros pour récidive sont prévues. On punit le fait de «solliciter, d'accepter ou d'obtenir». Cela signifie-t-il que dans les deux premiers cas, c'est la tentative (par exemple une promesse de rémunération suffit ) qui est visée, alors que dans le dernier, c'est l'infraction consommée. Dans le cas d'une sollicitation ou d'une acceptation, en pratique, l'intervention des forces de police agissant en flagrant délit est donc possible dès lors qu'il apparaît qu'un accord a été conclu entre le client et la Maitresse (vénale), sans qu'il soit nécessaire d'attendre le commencement d'un attouchement ou d'un rapprochement sexuel pour intervenir. (source justice.gouv.fr) Puis se pose la question de «relations de nature sexuelle» Que cela signifie-t-il? Tout d'abord, il est étonnant que cela soit au pluriel. Une seule relation de nature sexuelle sollicitée, acceptée ou obtenue ne saurait donc être sanctionnée. Que signifie en droit «relation de nature sexuelle» ? On peut, d'ors et déjà, affirmer qu'une exhibition n'est pas une relation sexuelle car l’article 227-22 du Code Pénal fait une distinction «...comportant des exhibitions ou relations sexuelle ...». Cette loi ne sanctionne pas toute relation de nature sexuelle, seuls étant réprimés les comportements qui interviennent dans le cadre d'une relation de prostitution. Mais qu'est-ce que la prostitution ou qu'est-ce qu'une personne prostituée? En droit, le régime de cette dernière avait été défini par le décret du 5 novembre 1947. Désormais, la seule définition juridique de la prostitution est jurisprudentielle : l’arrêt de la Cour de Cassation a considéré en 1996 que la prostitution consiste « à se prêter, moyennant rémunération, à des contacts physiques de quelques natures qu’ils soient, afin de satisfaire les besoins sexuels d’autrui ». C’est ainsi que l’arrêt de principe de la Chambre criminelle du 27 mars 1996 pourvoi n° 95-82016 donne de la prostitution une définition qui comporte deux éléments: d’une part, la vénalité du comportement, et d’autre part, des contacts physiques de «quelque nature qu’ils soient». Le terme de "rémunération" peut être pris au sens large: argent mais également objets à valeur marchande ou même services. Les investigations Les ordinateurs sont surveillés et les mobiles écoutés. Pas tous, bien entendu, les traces numériques seront des indicateurs. Cette cyberinvestigation se traduit par le fait que les mouvements sur Internet des clients présumés seront traqués sans qu’ils en sachent rien et ceci est d'autant plus aisé, à présent, avec l'utilisation IMSI-catcher(International Mobile Subscriber Identity) autorisé par la loi relative aux renseignements de 2015. Matériel pas plus gros qu'un attaché case qui intercepte tout trafic numérique et téléphonique En DSM (Domination ou sado-masochisme) Dès lors qu'il y a «contacts physiques de quelques natures qu’ils soient», c'est assimilé à de la prostitution s'il y a offrande ou autre échange ou même «promesse» d'un tel avantage, alors le client tombe sous les fourches caudines du code pénal . Cependant, la CEDH, dans un arrêt très important, souvent cité, du 11septembre 2007, «Tremblay contre France», dans son considérant25, souligne, en des termes très forts et assez rares , que «la prostitution, en général, n'est incompatible avec la dignité de la personne humaine» - «que lorsqu'elle est contrainte» ou, comme elle l'indique dans l'arrêt du 17/02/2005 «K.A. et A.D. contre Belgique» allant jusqu'à des mutilations effrayantes Nonobstant les cas de mutilations effrayantes, l'interdiction apparaît lorsqu'il y a contrainte, quand il n'y a plus acceptation, que le consentement s'est volatilisé sous la pression. En définitif la jurisprudence de la CEDH, à laquelle nous sommes soumis: chacun est maître de disposer de son corps, pourvu qu'il soit adulte, dans le respect de l'intimité de la vie privée, et à condition qu'il n'y soit pas contraint. » (Badinter commission Sénat du 14 mai 2014) Donc se pose, aussi avec acuité la question du consentement Le consentement est au coeur de toutes relations: vanille, sm ou D/s . La présomption de consentement des époux à l'acte sexuel ne vaut que jusqu'à preuve du contraire. La loi du 4 avril 2006 reconnaît le viol entre époux. Le consentement peut être considéré comme vicié, tant au civil (par ex art 1109) qu’au pénal, par exemple lorsqu’une personne tait sa séropositivité, falsifie ses résultats de tests VIH ou allègue une allergie au latex, pour entretenir des relations sexuelles non protégées. L'auteur trompe la victime sur la réalité de la situation. Trompée, elle acceptera les relations sexuelles mais son consentement sera inopérant parce que non éclairé. Le consentement est vicié dès lors qu’il est établi que la victime a accepté de participer à des relations par peur ou par quelque moyen ou subterfuge que ce soit, à obtenir le consentement de la victime qui l'aurait refusé si elle avait été mieux éclairée. C’est une atteinte à la liberté sexuelle. L'indifférence du droit pénal au consentement de la victime est un principe établi. «La violence […] à caractère sadomasochiste ne pourrait être légitimée par le consentement de la victime» (Cass. crim., 2 déc. 2009, n° 09-82.447) Il en résulte que le consentement de la victime est écarté par le juge répressif et permet de condamner l’auteur, y compris dans le cadre de relation sadomasochiste. La Cour européenne des droits de l’homme a une position contraire, d'autant qu'il y eut un revirement jurisprudentielle par son arrêt précité K.A et A.D c/ Belgique du 17 février 2005. Après avoir rappelé que la vie sexuelle est une composante de la vie privée, elle indique qu'un Etat ne peut porter atteinte au droit à la vie privée, que si « les juridictions nationales ont soulevé la question du « consentement de la victime ». Pour la CEDH, le sadomasochisme ne peut-être condamné que pour « des raisons particulièrement graves » et que si la victime n'est pas en mesure de faire cesser les actes (par un safeword par exemple) ou que sa volonté n'est pas respectée. Il est résulte qu'il est de bon conseil, après avoir épuisé tous les recours de droit interne, de saisir la CEDH.
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Par : le 03/09/16
Depuis quelques années, je constate avec grande circonspection la montée de cette mode du développement personnel où tout est galvaudé à qui mieux-mieux, pour le plus grand plaisir de quelques charlatans sachant bien cibler et attirer les gogos crédules. J'ai un bon nombre de connaissances dans mon entourage qui se proclament pseudo-thérapeutes ou qui proposent d'on ne sait où des ateliers ou stages de yoga de ceci-cela ou "découverte du soi sacré", etc... et ça marche ! Certains m'ont convaincu en 2010 de m'inscrire à un forum, ou plutôt un petit réseau social de gens "cools" détenteurs d'une "zénitude" positive... J'y suis allé, mais j’ai vite constaté qu’on y trouvait tout et n’importe quoi, notamment des ateliers proposés par des inititateurs autoproclamés, payants bien sûr, et souvent les repas non-fournis, ni le couchage (camping), bref tout bénef pour l’organisateur. En voici un exemple (copié/collé, je n’ai rien modifié) : __________________________ ÉVEIL DE L’ÊTRE L’ÊTRE SACRÉ... Rassemblement 8-14 AOÛT Le Sacré... Accepter, accueillir, respecter... Tout sur Terre ; Honorer le Vivant ; Célébrer chaque instant. Le Sacré se regarde, se respire, s'écoute, se touche, se goûte, se partage, se parle, se vit consciemment. Le Sacré EST LE TOUT : Ciel et Terre réunis. « Il est temps que le rassemblement des Êtres ait lieu sur la Terre. Ensemble, acceptez votre rôle, vivez et pratiquez le Sacré dans votre quotidien. » Pierre **** Invitation à s'incarner pleinement ; Invitation à la réalisation, à la concrétisation ; Invitation à savourer la Vie Invitation à Vivre le Sacré... Lieu du stage Domaine des ***** (15 mn d'Orléans) Stage Prix exceptionnel 300€ (collations non comprises) __________________________ Deuxième exemple : __________________________ Week- end d’exploration corporelle de notre être intérieur………. pour les hommes comme pour les femmes... Je suis un Homme, je désire aller vers plus d’intériorité, oser des instants de vulnérabilité, en déposant le masque de l’homme tout puissant pour mieux vitaliser mon énergie de vie. Je suis une Femme, je désire relier mon intériorité à mon expression créatrice pour danser en pleine lumière ma vie de femme. OBJECTIFS : Prendre conscience de sa dualité féminin –masculin, les mettre en relation, pour vivre l’HARMONIE & l’EQUILIBRE de leur UNION Apprendre à déplacer nos rôles figés d’homme et de femme Sentir la diversité et la richesse de notre nature en parcourant ses forces opposées Explorer la rencontre et l’union de ses forces dans la nature environnante Les outils mis en place : Marche consciente Pratique corporelle d’intérieur et d’extérieur Souffle de l’arbre Mise en situation d’éveil sensoriel Programme : Vendredi 13 août : -accueil au **** entre 18H et 19H : rencontre et mise en place de la synergie du groupe, Samedi 14 et dimanche 15 août: ateliers de 10H à 17H30 avec pause pique-nique Dimanche : fin du week-end à 18H. Renseignements pratiques : Le prix de notre week-end de ressourcement (150 €) comprend : Les ateliers de Isabelle ***** soit 100€ pour les deux jours, La pension complète (petit déjeuner, repas pique-nique et repas du soir) soit 49€ pour les deux jours, Ne comprend pas : Le logement : En camping : 12€ par personne pour les deux nuits, En dortoir de 12 personnes : 22€ par personne pour les deux nuits, En dortoir de 6 personnes : 31€ par personne pour les deux nuits, En chambre double : 34€ par personne pour les deux nuits, Le transport : co-voiturage organisé en fonction des inscriptions. Matériel nécessaire : Chaussures souples, tenue décontractée, sac à dos, gourde. Conditions : Nombre de participants limité à 12 personnes. Inscription avant le 15 juillet. Bulletin à remplir ici : Participation garantie dès réception de l’acompte de 80€ sur le compte de ***** __________________________ J’avais commenté cette dernière annonce ainsi : Je suis en train de me demander si je ne vais pas organiser un stage de jeûne et méditation en pleine nature. "Rencontrez votre être intérieur sacré par le jeûne et la méditation" 150 € par personne me paraîtrait honnête, et ça ne me coûterait rien en bouffe (hé hé), ni en hébergement. Juste avoir l'air un peu "gentil" et béat pendant un week-end, et me retenir de ne pas me foutre des gogos présents, je pense y arriver. Je me tâte... [je me tâte tellement, que je me demande si je ne vais pas proposer aussi un atelier de tâtonnements (sacrés, bien sûr), 50€/h] Je suis aussi intervenu dans quelques débats, j’ai posté un coup de gueule, sur l’abus qui est fait des termes "yoga" par exemple (le rire, le son, la voix, ...et on peut en inventer encore plein, le mot "yoga" se chargera toujours apparemment de séduire un certain public). j'étais même intervenu avec humour sur une annonce de "yoga du rire", pour proposer d'inventer le "yoga du vélo", le "yoga de la cuisine", du massage, et autres yogâteries diverses et variées. Je me suis fait modérer et tous mes posts et coms ont été supprimés. Pourtant je proposais également des références utiles pour comprendre ce qu'est réellement le yoga, le vrai, tel que défini par la Bhagavad Gita, et qui est en premier lieu une voie de dévotion aux dieux hindous (Bhakti yoga). Ce n'était pas un commentaire méchant ; sur le ton de l'humour, j'invitais à réaliser ce qu'est le vrai yoga, et à quel point l'utilisation de ce terme est fausse, galvaudée, et limite insultante à la BV. Ainsi que d'autres termes à la mode, dont les utilisations interchangeables dans différents "ateliers" porteraient à rire si ce n'était pas aussi pathétique (et commercial, car n'oublions pas que ces soi-disant ateliers sont pour la plupart payants) ; des termes comme "sacré", "karma", "énergies", "être intérieur", "shamanisme", "méditation", "shakra", "ressourcement", "lumière intérieure", etc... D'ailleurs, ce n'est pas compliqué à imaginer : on pourrait faire un petit jeu qui consisterait à créer un atelier ou stage, pseudo-thérapeutique ou non, contenant certains de ces termes à la mode, ou d'autres assimilés, voire inventés, par exemple "Atelier de thérapie par la méditation shamanique", ou "Découvrez votre lumière intérieure sacrée par le massage des énergies", ou encore "Stage d'ouverture des shakras et de prise de conscience du karma", etc. Une fois qu'on a le truc,avec les bons mots-clefs, tout est possible : il y aura toujours des gens branchés, du moment qu'on cible dans les sphères adéquates, comme sur la plateforme en question. D'ailleurs je vous propose ci-dessous de vous prêter au jeu et de proposer des faux stages de développement personnel selon ce principe, avec les bons mots-clefs ! Bref, je me suis amusé à surfer là-dessus à la limite de la provoc, tout en étant bien conscient que je risquais encore la censure, en leur proposant un atelier fictif intitulé "Yoga du sexe". Son énoncé était assez crédible, les activités proposées et l'argumentaire tenaient debout, sans marcher sur les platebandes de la sexologie ou des yogas kundalini ou tantra. L'événement est resté affiché pendant plus de deux semaines, a été abondamment consulté. Beaucoup de gens étaient intéressés. Faut dire qu'en plus le critère sexe était un atout ! Quelques jours avant l'échéance, j'ai mis un commentaire pour expliquer ma démarche, par souci d'honnêteté, et pour révéler qu'il s'agissait d'un gentil canular, destiné à éveiller un peu les consciences, à montrer à tous ces gens crédules, béats et avides d’expériences pseudo-mystico-exotico-ésotérico-bio-énergético-spirituelles qu’il ne faut pas se faire aussi facilement avoir. Aussitôt, l'événement a été supprimé, avec mon commentaire. Je ne l'ai pas ramené, me disant que c'était probablement de bonne guerre, mais j'y vois là tout de même une attitude relativement obscurantiste visant à entretenir à tout prix un certain esprit reposant sur cette béatitude crédule, un pseudo-mysticisme et autres spiritualités de pacotille à la mode. Enfin, voici le texte de mon atelier-canular : Après le yoga de la voix, le yoga du son, le yoga du rire, le yoga du visage, le yoga du cœur, le yoga de la nutrition, yoga du soleil, yoga du rêve éveillé, et autres yogâteries dont la liste n'arrête pas d'augmenter grâce à la bienveillante vogue du développement personnel new age, voici un nouveau yoga qui, lui, ne se prend pas au sérieux : le yoga du sexe. À ne pas confondre avec le tantra yoga, le kundalini yoga, ou les consultations de sexologie. Le sexe a trop longtemps souffert de diabolisation, tabous, morale, ignorance, traditions, routines, complexes, etc, alors qu'il est désormais communément admis que faire l'amour est bon pour la santé, l'énergie, l'assurance de soi, bref pour le corps et l'esprit. Or, le sexe peut être un medium vers une conscience et une connaissance de soi et de l'autre, un moyen de ré-unification du corps et de l'esprit (comme le yoga, justement) et de transcendance, trop méconnu et qu'il est temps de faire connaître. Oser en parler honnêtement, au delà des tabous sociaux et religieux. Côté observation scientifique, grâce au sexe, l'espérance de vie est augmentée, certains problèmes cardiaques peuvent être repoussés, voire même certaines formes du cancer. Les chercheurs de l'Epidemiol Communitty Ealth ont démontré en 2002 que les risques cardiaques diminuent à mesure que la fréquence des relations sexuelles augmente. Le coït permet en effet d'éliminer des toxines, d'activer la circulation veineuse, de muscler le cœur. Pour les hommes, le risque de développer le cancer de la prostate par exemple pourrait être réduit de 15% en faisant l'amour au moins trois fois par semaine (JAMA, 2004). Pour les femmes la stimulation des mamelons et l'orgasme libèrent une hormone appelée ocytocine, bénéfique aux seins (Breast Cancer Res Treat, 1995). Le désir lui-même produit une amphétamine naturelle : la phényléthylamine (que l'on trouve aussi dans le chocolat). Elle active les neurones, efface toute trace de fatigue et anesthésie la faim. Par ailleurs, faire l'amour permet au cerveau de produire de la sérotonine, de la dopamine, et surtout libère des endorphines, bref tout ce qui est bon pour les insomnies, les angoisses et le stress. De manière générale, le sexe renforce également les défenses immunitaires. En fait, tout l'organisme et le psychisme profitent des effets bénéfiques de l'acte sexuel. Le yoga du sexe apprend tout d'abord à oser, à vaincre les inhibitions. Les séances sont plutôt naturistes, mais pas obligatoirement, l'atelier est chaleureux et invite au bien-être, dans un cadre à la fois feutré et confortable. Chacun est invité au lâcher-prise sans aucun tabou, d'abord en s'exprimant oralement face aux autres sur ses atouts et ses faiblesses, ses refoulements et ses obsessions. Selon ceux-ci, des complémentarités sont vite définies : on s'aide soi-même en aidant les autres. La honte, les complexes, les limites, les hésitations sont vite surmontés par un effet d'émulation et de disponibilité inévitable, les barrières tombent, et chacun peut s'exprimer à sa manière. Le sujet du libertinage est abordé, de façon à redéfinir son authentique acception. Une initiation anatomique est également comprise au programme, car peu de gens connaissent véritablement leur corps et à fortiori celui de leur partenaire, ainsi que certaines mises au point utiles (à titre d'exemples, sont abordés : le point G, les glandes de Skene, l'éjaculation féminine, l'importance de l'odorat, le contrôle du périnée, celui du shakra-racine, la prostate, l'intellectualisation lors d'un rapport, le problème de la taille, la peur de la sodomie, la recherche obsessionnelle de l'orgasme, les pratiques extrêmes, la domination, le BDSM, les frontières entre hétérosexualité, homosexualité et bisexualité, les réels risques de MST et les manières de se protéger, etc). Une initiation aux massages érotiques et à l'art de la caresse est également proposée. Pourront être abordés à la demande les problèmes de traumatismes, de frigidité, d'impuissance, d'insensibilité post épisiotomie, etc. Un accompagnement psycho-thérapeutique et/ou pratique peut alors être induit au besoin, même en dehors des séances, après en avoir défini préalablement et mutuellement les limites et la portée. La détente, l'humour et la bonne humeur sont encouragés tout au long de la séance. Chaque participant est libre de partir quand il le veut. Les séances sont proposées aux couples et aux femmes seules, mais les hommes seuls ne sont hélas plus acceptés en raison d'abus récurrents (des exceptions sélectives peuvent être faites après argumentation). Les places sont limitées, les séances ne pouvant pas accueillir plus de 8 personnes. Interdits aux mineurs, sinon pas de limitation d'âge. La discrétion et l'anonymat peuvent être respectés à la demande. Durée de la séance : 2 à 3 heures Tarifs : 60€ par personne, 100€ pour un couple. Filo
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Par : le 23/08/16
Je continue cette petite série par l'angle psychanalytique, en abordant en particulier les travaux de son Père Fondateur, Sigmund Freud (1856-1939), ainsi que de trois de ses disciples : Carl Jung (1875-1961), Otto Gross (1877-1920) et Sabina Spielrein (1885-1942), qui ont apporté une contribution majeure à la libération sexuelle ainsi qu'à la compréhension des pulsions sadiques ou masochistes, et des relations de domination-soumission. A tout seigneur tout honneur : il faut reconnaître à Freud son rôle de pionnier dans la reconnaissance des pulsions sexuelles comme moteur de nombre de nos actes conscients et inconscients, et dans la formalisation de deux éléments clé du psychisme humain : - le principe de plaisir, basé sur le concept d'activation et transmission neuronale d'un état d'excitation qui préside au besoin de recherche permanente du plaisir ; - le principe de réalité, qui s'oppose à l'immédiateté de ce besoin de plaisir, en intégrant les contingences du monde réel et conséquences futures de ses actes, mais qui crée simultanément des déceptions, frustrations et refoulements plus ou moins conscients, qui peuvent donc dégénérer en névroses ; Sous l'influence de Sabina Spielrein, il y ajoutera deux pulsions : - la pulsion de vie, ou l'Eros, sorte d'instinct de vie et d'autoconservation, ainsi que force vitale et libido, qui engendre le désir, source d'action pour assouvir ce désir ; - la pulsion de mort, ou Thanatos, qui s'oppose à la précédente et tend à la déliaison , c'est-à-dire au non désir, caractéristique d'un état dépressif, voire d'auto-destruction. Ces quatre principes et pulsions s'organisent et interagissent dans les théories freudiennes aux trois niveaux de l'appareil psychique : le Moi (qui est régi par le principe de réalité et permet la vie en société), le Ça (qui obéit au principe de plaisir et recherche la satisfaction immédiate du désir) et le Surmoi (qui intériorise au niveau inconscient, une fois le complexe d'Oedipe résolu, les règles de vie sociale et les restitue sous forme de remords ou de culpabilité lorsqu'elle sont enfreintes, tel une tour de contrôle de notre trafic émotionnel). La dynamique des interactions entre ces quatre principes et pulsions aux trois étages du psychisme engendre alors des conflits et des tensions qui peuvent simplement s'évacuer par les rêves nocturnes, mais peuvent aussi se développer en névroses visibles (paranoïa, schizophrénie, mélancolie, ...) ou en pulsions libidinales incontrôlées (sadisme, masochisme, fétichisme, ...). On le comprend : Freud a été précurseur dans la reconnaissance du rôle central de la sexualité dans le psychisme humain. Il considérait que ses dérives constituaient des maladies ou névroses qu'il fallait soigner. Carl Jung a été, pour sa part, l'un des principaux disciples de Freud. Ses contributions au développement de la psychanalyse ont été prolifiques. Pour notre sujet du jour, je retiendrai notamment le concept d'anima et d'animus, c'est-à-dire de part de masculinité et de féminité chez l'homme et la femme : c'est donc, d'un certaine façon, grâce à lui que certains membres de ce site peuvent aujourd'hui se déclarer "bi" ou "trans", et assumer leur bi- ou trans-sexualité ! J'y reviendrai dans la 5ème et dernière partie... Mais un autre aspect de la personnalité de Jung était son penchant pour les femmes. En dehors de son épouse officielle, il eut plusieurs relations adultérines, essentiellement avec certaines de ses patientes, dont l'une occupera une place de premier plan dans sa vie et sa carrière : Sabina Spielrein. D'abord sa patiente, atteinte d'une grave névrose de type hystérie, elle devint son élève, jusqu'à devenir l'une des premières femmes psychanalystes, et enfin son amante. C'est elle qui formalisa le concept de « pulsion destructive et sadique », et eut avec Carl Jung une relation passionnée, que l'on qualifierait sans doute aujourd'hui de BDSM. Ces deux précurseurs de l'étude du psychisme humain furent donc aussi deux pionniers de l'art des plaisirs extrêmes et des relations de domination/soumission et de sado-masochisme ! Un autre patient eut cependant également une influence décisive sur Carl Jung : Otto Gross. Ce médecin fantasque s'oriente très tôt vers la psychanalyse. Mais il est aussi anarchiste, toxicomane, et, comme Carl Jung, amateur de femmes … Ce qui lui vaudra de nombreux séjours en prison et en hôpital psychiatrique (comme patient, et non comme médecin !). Il est apprécié par Freud pendant quelques années, mais face à ses positions anarchistes, celui-ci finit par le renier, le jugeant hérétique et dangereux. Mais surtout, Otto Gross s'opposa à Freud sur un point essentiel : il fût un fervent défenseur de la liberté sexuelle, alors que Freud considérait au contraire la sexualité comme la cause essentielle de la formation des névroses. Otto Gross eut sur ce point une influence considérable sur Carl Jung pour l'aider à libérer ses propres pulsions sadiques, et les mettre en pratique avec Sabina Spielrein (cette histoire est assez bien racontée dans l'excellent film "Dangerous methods", d'ailleurs). Il fut donc un théoricien fondateur de la libération sexuelle qui aboutit aux révolutions des mœurs des mouvements hippies aux Etats-Unis et de mai 68 en France presque cent ans plus tard ! Ce quadrumvirat de psychanalystes a donc joué un rôle essentiel dans la reconnaissance d'une sexualité débridée et ouverte à des pratiques « hors normes » telles que le BDSM. On peut donc dire sans exagération que sans eux, tous les membres de ce site seraient encore aujourd'hui condamnés au bûcher social ! Pour conclure cette partie 4, je dirais juste que la philosophie et la psychanalyse ont été déterminantes pour briser le carcan de la morale religieuse. Il aura cependant fallu encore d'autres étapes difficiles pour faire admettre la liberté sexuelle, et en particulier celle des femmes : ce sera l'objet de ma 5ème et dernière partie !
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Par : le 21/08/16
Le jour ou nous avons Switché. Lui : Comment est-ce venu? Je n'ai pas écris "arrivé" parce que cela comporterait une notion de soudaineté qui n'est pas. C'est venu petit à petit. Je reconnais que, pour être passé par là, un switch n'a pas la tâche facile. Là où ceux qui ne connaissent pas la question ou restent sur l'apparence y voient des chasseurs sur les 2 tableaux, je sais combien il est difficile d'être pris au sérieux. La domina se méfie d'un possible sinon probable "souminateur", la soumise doute que la personne en question soit vraiment capable de la dominer. Or les 2 cotés, dominant ou soumis, sont chez moi totalement dissociés: quand je fais l'un, je ne fais que cela. Je suis dans mon "statut" à fond (j'évite le mot rôle qui peut laisser à penser que c'est un jeu). Par quel chemin avons-nous basculé? Je connais sont tempérament autoritaire (elle adore employer l'impératif) depuis toujours. Je me souviens aussi de son aisance immédiate quand elle dominé devant moi une de ses amies soumise. Pour s'imposer naturellement, psychologiquement ou physiquement elle ne se forçait pas. Cela coulait de source (dans tous les sens du terme ^^). Elle prenait un plaisir évident à la fesser, la fouetter. Je me souviens de sa phrase quand j'ai ouvert la porte pour lui faire la surprise; son amie attendait dans le couloir de l'hôtel à genoux, yeux bandés. Hydréane avait murmuré, "c'est donc ça être soumise"... Ma belle par retenue ou gentillesse masque à beaucoup ce coté de son caractère. Quelques mois après elle décida avec mon accord de chercher sa perle rare, sa soumise; Mais en y repensant il y eu aussi un déclic. Lors d'une de nos dernières rencontres, ma Douce (je ne sais plus trop si je devrais toujours la nommer ainsi ...... voulu me faire une surprise. J'aime cela. J'aime les surprises, j'aime ses initiatives, sa participation, son implication dans notre relation; elle n'est pas juste "suiveuse". En revenant de la salle de bain, elle m'est apparue dans une superbe tenue en vinyle: une robe courte, échancrée, noire....... Elle était complétée par des gants remontant au coude, des bas à couture avec 2 jarretelles devant, une derrière Juchée sur ses escarpins noirs, elle avait une classe folle. Et une vraie allure de domina. Je me suis toujours demandé si elle en avait conscience ou non... Toujours est-il que rien n'a changé ce jour là, je suis resté le Maître. Enfin c'est ce que je croyais. Parce que subrepticement, une étrange idée s'installait peu à peu en moi. Mes envies de soumis, d'obéir à une superbe déesse revenait en moi. Contre mon gré. Impossible de lutter quand on ne le voit pas venir. Avec le recul c'est plus clair, mais sur le moment... Pas à pas cette idée faisait plus moins inconsciemment son chemin. Je m'étais déjà dit aussi qu'en corset noir et dim-up résilles elle était terriblement sexy, et que finalement quand on y pense une tenue de domina n'est parfois pas si différente d'une tenue de soumise. Je me souviens également que ce jour là je me suis fait violence pour ne pas m'agenouiller devant elle et l'entourer de mes bras ma tête contre son ventre. Toujours est-il que le vers était dans le fruit. Plus tard, par hasard (mais en était-ce vraiment?) nous en avons parlé; comme je le supposais elle adorait cette idée. Avec le recul, et me sachant absolument grand fétichiste de ses matières, tenues de notre environnement BDSM, je suis persuadé que rien n'avait été fait innocemment. Pour mon plus grand bonheur je précise. Je pense qu'elle voulait me tester voir m'inciter à basculer sans oser me le dire. Pour une réussite... Dorénavant, j'appartiens à dame Hydréane. Moi..... Mon Soumis.... Je pensais trouver ma Perle Féminine, et surtout pas un soumis. Nos conversation changent depuis quelque temps, j'ai pris une autre voie et tu m'as laisser faire. Après bien des discutions ou emails. J'ai pris peu à peu le rôle de Domina sur toi, cette dernière rencontre est vraiment autre et tu le sais. Nous avons longtemps discuter tous les deux de nos changement de statut et plus l’heure approche de te voir, plus je tremble à l’intérieur de moi, mais je sais se qui va se passer. Tu as su bien avant moi que je serais Domina un jour, tu le savais à ma façon de te parler. Dans la chambre ou nous nous retrouvons, je te dis de te déshabiller, j'admire ton corps, mais je ne dit rien; tu es si lent, je te dis de te dépêcher; je vois ton léger sourire... Je m éloigne, m’attache les cheveux; tu me regardes, ma robe de vinyle, mes longs gants qui montent jusqu'à mes coudes, mes escarpins .. Tu ne sais pas encore que dessous j'ai juste mon porte-jarretelles. Tu es à genoux devant moi; te voir ainsi me trouble… Ton regard sur ma robe vinyle en dit long, je n’avais jamais vu tes yeux briller de cette façon... Je te parle et je suis étonnée de mon aisance , , je te dis de t' agenouiller face au lit, je te caresse les fesses avec mes gants, je te fesse d abord doucement, je te claque de plus en plus fort, tu gémis; je m assied sur son dos, si sûre de moi , je te fesse de plus belle: tu tressautes, tes fesses deviennent rouge sous mes gants, tes jolies fesses que j'ai toujours rêvé de claquer, tes jolies fesses si blanches qui rougisses au plus fort de la fessée... Je te caresse longuement , il me semble bien que mon soumis est une belle érection... J’alterne caresses et claques, j’embrasse tes fesses si rouges... Et mord en même temps. Mes plus profonds désirs deviennent réalité, tu n'as plus ton mot à dire... A ma demande tu t’allonges sur le lit, je prends les cordes je t'attache la main, je ne connais rien au nœuds; ce que je fais est simple, je repasse sous la table de chevet et t'attache l’autre main; à chaque fois que je te frôle avec mes gants vinyle, je te sens frémir mon soumis... Puis c est au tour de tes pieds. Allongé sur le lit, je te regarde, tu es mon soumis, tout à moi; je frisonne et me reprends, une Maîtresse peut elle éprouver de la tendresse pour son soumis?... Je sors la bougie l’allume, j’attends qu'elle chauffe, je me place au dessus de toi sur ton dos à califourchon, je fais tomber une goutte sur son dos tu gémis et plusieurs gouttes de cire coulent sur ton dos; j’essaie d'écrire le mot soumis et je te le dis. Tes gémissement sont de plus en plus fort, je me relève et je fais tombée des gouttes de cire sur ses fesses chaudes, je me rends compte que je n ai pas la technique, je pense que cela te brule de trop. Tu ne me diras pas stop, c’est à moi de savoir; je souffle la bougie . Je vais chercher un gant mouillé , pour le rafraîchir pour soulager la douleur, je vais le faire longtemps. jusqu’à que ta peau soit moins brulante. Je prends la cravache je te dit de l'embrasser . Je te caresse les fesses avec et claque la cravache s’abat sur elles, Hummm tes fesses sont plus rouges, je te claque partout à l’intérieur des fesses, le haut de cuisse, je sens que je dois me maîtriser. J ai envie de le frapper fort, je te demande si tu veux que j’arrête si c est trop dur, de me dire stop ,tu gémis, refuse. Je te cravache encore , je pose la cravache et applique délicatement mes mais gantées sur tes fesses si bouillantes, je te détache et te prends s dans mes bras, je n ai aucune idée de ce que fait une Maîtresse dans ses ças là. Mais moi j’ai envie de te câliner et de te remercier de cette confiance que tu me donnes… Il est beau ton regard, magnifique, il y a un tel désir dans tes yeux de me plaire, tu me fait temps frissonner je te caresse avec mes escarpins tu gémis à nouveau, frisonne; ton corps n'est que désir de me plaire... Alors je passe mon pied avec mon escarpin sur ton corps, tu aimes cela… Nous sommes en osmose c'est géant... j’ai envie de toi Soumis, je te mets les pinces sur tes tétons; hummm j aime ça te voir te tortiller pendant que je te chevauche je tire sur la chaîne!... Je défais une pince pour mette sur mon téton, nous sommes reliés par la chaîne, je te regarde. Hummm ce que je vois dans tes yeux est fort , tu es du plein de désir, tu m affoles... Je te remercie.., Dans la douche tu me laves doucement, tu me sèches avec la serviette, je me lasse pas de tes yeux sur moi. .. Tu as été mon premier soumis, j ai adoré. Je me suis sentie grandir, devenir une autre, je suis ta reine désormais, ta Domina ... Mon Adorable soumis, j’ai si hâte de te revoir... Dame Hydreane qui est Ta Reine désormais, Maîtresse de son soumis. Merci a toi tu m as comblée . Je te réserve bien d'autre surprise à notre future rencontre ........... Lady H
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Par : le 21/08/16
Quand certains voient en nos relations,luxures, violences, dépravations ou encore humiliations.Moi, j'y vois beauté, partage, don et abnégation.Quelle satisfaction de se reconnaître et de s'accepter soumise!Mais le plus grand bonheur est de trouver la terre promiseavec mon âme sœur, mon alter ego,qui m' est complémentaire au delà des mots.Alors sans honte et sans scrupule,nous savourons de pouvoir vivre nos envies simplement,toujours dans le respect et libérés de la peur du jugement.A deux, contre vents et marées,nous construisons un nouveau monde,Notre nouveau monde, affranchi des normesétriquées qui étouffent et emprisonnent.Nous vivons en accord avec ce que nous sommes,L'un Dominant, l'autre soumise,L'un debout, l'autre à genoux,libres, heureux et plus que jamais amoureux.
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Par : le 12/08/16
LA JUSTE PAROLE est mon deuxième roman, sorti en 2013. C'est l'histoire revisitée de la société humaine sur plusieurs siècles, à travers une autre religion que celles que notre humanité a connues dans notre réalité. Sous forme de conte uchronique pour adultes ou d'épopée, illustré par AlxiA, ce roman de théo-fiction s'attaque sans ménagement au concept de religion, s'inspirant de certain monothéisme. Le mot "dieu" n'y est pourtant pas mentionné une seule fois. Dans un monde qui pourrait être le nôtre (entre la dystopie et l'uchronie), une religion artificielle devient, de l'antiquité à l'ère moderne, le courant spirituel dominant, façonnant la société humaine avec ses préceptes, ses lois, ses jeux de pouvoir, ses guides charismatiques, ses opposants, son inquisition et ses guerres. Mais la foi, quelle que soit la validité de sa nature d'origine, engendre autant le bien que le mal, et gouverne pour le meilleur et pour le pire le destin des hommes, consciemment ou inconsciemment, à travers des siècles de générations. Le prophète a annoncé qu'à la fin du septième âge, la Comète de Mand repassera et marquera la venue du rédempteur, le Juste d'entre les Justes. À l'ère moderne, Dhorès, un journaliste désabusé, va enfin découvrir celui-ci, et aura à choisir entre le chaos immédiat et une longue agonie du monde perverti. Épopée d'une société humaine, sur dix-sept siècles, en plusieurs époques clefs, à travers l'histoire de sa religion, de ses fondements jusqu'au chaos final, La Juste Parole nous délivre un message d'humanité, teinté d'écologie, de socio-philosophie, de politique, mais aussi d'amour. Broché - 15x21 cm - 338 p -illustré couleur - ISBN 978-2-918566-29-8 - 22 € (disponible sur Amazon ou commandable en librairie, mais il vaut mieux me le commander directement par ici, en com ou MP) J'ai composé et enregistré également la B.O. du livre, un CD musical de 50 mn, comme une musique de film. Pour l'écouter en ligne : https://soundcloud.com/la-juste-parole Voici un extrait, tiré de la deuxième époque : Le Prince était dans un bon jour, il était impatient de revoir la mystérieuse étrangère, de l’admirer danser. Peut-être allait-elle, comme à la foire aux esclaves, le choisir de son regard. Les musiciens commencèrent dès qu’ils furent prêts. Un rythme lent mais enjoué, d’attente contenue, en sept temps, sur lequel s’installait peu à peu un mode très ouvert. Un thème de milieu de journée, particulièrement adapté à l’état d’esprit du Prince, joué par un des meilleurs flûtistes de l’empire sur une flûte en or. L’étrangère ne devait pas être loin derrière. Elle déciderait elle seule du moment où elle ferait son entrée, lorsque la musique l’inspirerait. Le Prince souhaitait que cette attente ne durât pas. Il arrivait que la danseuse reste en coulisse et ne sorte jamais, si la musique ne lui convenait pas. Dans ce cas les musiciens étaient châtiés. À sa grande surprise, elle fit son entrée dès la première pièce de musique, après seulement cinq minutes d’introduction. Décidément, elle n’avait pas froid aux yeux ! À moins qu’elle ignorât l’usage. Il vit d’abord sa silhouette s’avancer lentement entre deux tentures. Entièrement cachée sous un voile qui la recouvrait de la tête aux pieds. Elle joue le mystère ! se dit-il. Le vieux flûtiste s’accorda sur cette entrée subreptice. Volutes de mains sous le voile, de plus en plus haut. Volutes de notes, en spirales sur la gamme ascendante. Mouvements circulaires des hanches, de plus en plus larges. Microtons balançant avant et après les notes. Le voile se lève et tombe, comme à regret. Montée à l’octave aigu et retour pentatonique au grave. À la chute du voile, le Prince put enfin voir les yeux, seulement les yeux ocre-orange, car un autre voile cachait le visage en dessous. Un maquillage qu’il n’avait jamais vu entourait les yeux, des arabesques noires serpentant jusqu’aux tempes. Le flûtiste traduisait chacun des mouvements de la danseuse, et celle-ci, inspirée par la musique, réagissait en harmonie avec elle, de sorte qu’une émotion homogène s’empara de l’atmosphère de la pièce. Un homme vint déposer des bougies à l’avant de la piste, devant les hommes assis, car le jour déclinait. La danseuse s’approcha des frêles lueurs, fléchissant ses jambes, écartant les bras, puis elle avança la tête, les yeux grands ouverts pour mieux regarder l’assistance. Les jeux d’ombres, les mouvements de ses seins sous les voiles, et ce regard illuminé par les chandelles, tout cela acheva d’envoûter le cœur du Prince et de ses invités. La percussion s’intensifia, et le voile s’écarta du visage, libérant la bouche entrouverte, souriante, coquine. Mais en un tournoiement harmonieux et léger, la danseuse regagna le fond de la piste dans l’ombre, et commença à raconter une histoire. Un conte sans mots, que peut être chacun pouvait interpréter à sa manière ; pour le Prince il était vaguement question de naissance, de printemps, d’astres, de lumière, d’adoration, de détresse, d’amour, de mort... Les cheveux furent libérés, puis le dos. Le temps n’existait plus. Le Prince, définitivement séduit, sentait une émotion tangible à chaque fois que le regard de la danseuse croisait le sien. Elle l’avait élu. Il en était désarmé, fier et honoré à la fois, même s’il s’y attendait. Depuis combien de temps, dansait-elle à la lumière de ces chandelles, il n’en avait plus aucune idée. Cela pouvait faire des heures. Il faisait nuit dehors lorsqu’elle enleva enfin le dernier bout d’étoffe, un turban qu’elle déroula autour de ses seins fermes et fièrement pointés vers le ciel, le turban couvrait encore le ventre, passait entre les jambes et remontait entre les fesses pour se nouer autour de la taille. C’est par là qu’elle acheva de le dégager, qu’elle le fit glisser de toute sa longueur sur son sexe glabre, puis après quelques arabesques dans l’air, elle le fit tournoyer et se poser devant le Prince. Elle était complètement nue, le rythme progressif de ses pas avait considérablement accéléré et approchait un paroxysme soutenu par le percussionniste. Tout le monde était fasciné par les décharges d’énergie et d’émotions qu’irradiaient cet être vivant habité par le divin, en proie à sa transe communicative. Elle tournait, tournait sur elle-même, criait même à présent, une note que la flûte s’empressa d’harmoniser, puis elle s’effondra enfin à genoux devant le Prince, tête baissée et mains jointes devant. C’était fini. Silence. Quelque chose de si intense venait de se passer qu’un temps d’expiration et de réajustement avec la réalité fut nécessaire. Puis une ovation. Des cris, des larmes de joie. Les hommes se levèrent tous en l’acclamant. CRITIQUES DE LECTEURS Les commentaires suivants proviennent de littéraires et intellectuels parmi les premiers à lire mon roman, avant que celui-ci ne soit publié sous la forme d'un livre, avant ma collaboration avec Alexia qui l'a illustré, avant l'écriture de l'époque médiévale qui est la plus longue du récit, et avant la composition et l'enregistrement du CD qui l'accompagne. Autant dire à l'état de base non finalisée. Mais ces critiques plutôt positives de "bêta-lecteurs" m'ont encouragé à améliorer ce livre. Emporté par la lame de fond de ton talent, ça se lit comme on déguste un bon vin, une femme ou son plat préféré. Comme je te disais, la chronologie est séduisante par son approche, et la fin... La boucle est bouclée ! Pessimiste à l'occasion, mais ça donne justement plus de vigueur au message. Message spirituel indéniable (quoique basé sur nos acquis judéo-chrétiens et musulmans (hindouistes ?)). Bref, une bouffée d'air frais et un avertissement tout en finesse. Les personnages sont bien étoffés même si nombreux... Bref peu de critiques si ce n'est parfois quelques mots "modernes" dans la première époque. Le chapitre du viol de la première période est un peu hard mais enfin, c'est la "Passion". Donc, bon et puissant... La fin de l'Humanité ? Et pourquoi pas ! (Zarfo) J'ai vraiment trouvé ce texte très bon. Et comme toi, je suis une lectrice "difficile", je n'ai pas le compliment facile et n'ai ni le mépris ni la condescendance de l'hypocrisie ou de la complaisance. D'abord, cette écriture sur le fil, savant équilibre entre synthèse - comme celle qu'on trouve dans le trait efficace d'un bon coup de crayon - et analyse - cette acuité de regard aussi bien intellectuel qu'émotionnel. Pas une maladresse de style, pas la moindre trace d'une négligence. Mais surtout, ce qui m'a frappée, c'est l'ambition du projet et sa portée philosophique. Le monde recréé aussi bien dans son espace que dans le temps. L'épaisseur historique, la réalité géographique que tu as su lui donner grâce aux cartes, à ces noms de pays, de régions, d'océans, à ces citations, à ces références précises à des textes imaginaires. La profondeur de ta réflexion sur la religion, sur sa place dans notre monde moderne, surtout sur les formes qu'en prendrait une encore vivante, encore en train d'écrire son histoire - entre internet, l'ultra-médiatisation et ses dérives, l'appétit de gloire notamment. Cette histoire religieuse créée de toute pièce, d'un "genre" renouvelé si je puis dire, est débarrassée des tabous et misogynies que nous lui connaissons, mais enrichie des problématiques de notre époque. Primo, l'identité sexuelle et ses ambigüités à travers le mythe de la métamorphose que l'on retrouve autrement, de l'homme en femme, question d'autant plus centrale qu'elle concerne la figure sacrée du prophète et qui renouvelle totalement le statut de la femme dans la religion. Les amours sacrifiées du prophète à sa condition aussi, qui l'humanisent autant qu'elles le grandissent. Le rapport de la religion au mensonge et à la vérité ; la mise en question de la croyance tout autant que la remise en question de la valeur vérité, double questionnement, inscrit dans l'histoire elle-même, que j'ai trouvé très fort, relancé encore par la mise en abîme créé par le parallèle évident entre le propos de ton texte et le projet littéraire lui-même : on y croit, à la "Juste Parole" - à sa sagesse comme à son histoire ! Cette religion "fictive" (s'il en est d'autres...) gagne, à travers ton texte, la même réalité d'existence, dans l'esprit du lecteur, que les religions établies dans le monde réel ! C'est génial ! Et puis, le jeu sur la temporalité, la surprise de réaliser que le mythe fondateur se situe dans l'avenir (à moins que je n'ai laissé échapper une date au début...?) ; le mélange des genres, entre conte fondateur et un réalisme (Je suis encore traumatisée par la scène du viol !...) qui effleure la science-fiction à la fin... Parfois seulement, j'ai trouvé le ton un peu trop ostensiblement didactique. Mais on n'a pas tous la même sensibilité à cela, et - ça va sans doute paraître prétentieux, ce que je vais dire, mais - si l'explication peut sembler inutile à certains, d'autres en ont davantage besoin. Il en faut pour tous les lecteurs. Mais c'est vraiment pour ne rien te cacher, car ce n'est pas là une impression dominante. (Alexandra Plays) J'admire la fertilité de ton imagination : le nombre et la variété des personnages, des lieux, le souci du détail dans ton récit, tes descriptions, et j'en passe... On se laisse porter par l'histoire, par les histoires, car tu te plais à juxtaposer des scènes, des périodes... Un talent qui augmente à mon sens le plaisir de te lire et que l'on retrouve dans certains de tes autres écrits. L'ensemble se tient et offre un superbe moment de rêve et de réflexion sur la spiritualité et la responsabilité de l'homme sur sa propre existence et celle du monde. De très belles aquarelles. Je note également que le sexe est omniprésent dans tes récits (obsédé !) et que tu exprimes avec une aisance évidente des ressentis féminins. Quant à ta dualité, on la retrouve partout : homme/femme, enfant/adulte, douceur/violence, naïveté/dureté, spiritualité/sexualité, passion/liberté... Complexe complétude qui font de ces paradoxes une riche personnalité dont je me sens très proche. (Sylvie Jonq) Ce n'est pas seulement l'intelligence de la construction, l'élaboration patiente et passionnante d'un univers, d'une cosmogonie. Ni seulement l'utilisation d'une langue fluide et précise qui me ravit. C'est la simple humanité des personnages, leur doutes et leurs certitudes, leurs souffrances et leurs joies, qui m'a liée à eux et tenue éveillée tard dans la nuit pour achever de lire ce roman. Je reste dans le bonheur et la lumière de cette lecture. (C. Constance) Mes impressions ? Très impressionnée, surprise de ton savoir sur l’histoire des religions qui est la base de ton écriture. Je ne pensais pas avoir envie de tout lire au début, car au premier ressenti je me suis trompée sur la direction que pouvait prendre ton texte, en le prenant pour de la fantasy. Bref, …j’ai dévoré. Déjà le langage qui coule malgré le poids des informations ; la narration ne freine pas par sa difficulté. Peut être quelques problèmes au début pour se souvenir de qui est qui et de retenir les noms des lieux. Merci de joindre la carte – j’ai ma mémoire visuelle – ça m’a aidé beaucoup. Ce qui m’a plu, c’est cet assez intéressant passage d’une partie à l’autre, la transition. Apparemment chaque chapitre surgit d’un nouveau sujet comme une coupure, on commence à lire, pas de lien, et tout de suite un fil qui mène vers le reste : c’était superbe. Je n’ai pas senti la lourdeur des descriptions, et les illustrations y sont pour quelque chose. Le rythme – assez intense - éveillait ma curiosité à tel point que parfois mes pauvres yeux pleuraient et négociaient l’effort de lire plus. Agréable surprise que tu ne te sois pas arrêté sur une seule époque… très adroit passage dans l’anticipation. Et les associations avec notre réalité sont discrètes mais bien lisibles (j’ai adoré). Tu sais tout ça, mais ça me donne envie de lire tes nouvelles. Merci aussi pour ça. (Solweig Irena Barbier) Ce roman a la rare qualité d'emmener le lecteur dans un monde qu'il ne veux pas quitter, de le passionner jusqu'à son expiration, en apothéose, pour le laisser haletant mais serein, conscient d'avoir effleuré l'espace de quelques jours une vérité, ou du moins un morceau de la Vérité. Je partage beaucoup des théories que tu abordes ici, et si seulement une infime portion de l'humanité faisait de même, le monde serait moins sale, moins terne. (Tanid) J'ai lu hier le manuscrit. Son registre ne m'est pas très familier et je t'avoue ne pas avoir un goût prononcé pour les romans couvrant de longues périodes, à l'exception des textes sud-américains. La première bonne surprise a été pour moi de ne pas me perdre dans le dédale des noms de personnages et de pays. La relative brièveté du texte et l'efficacité des descriptions doivent y être pour beaucoup. Tes personnages prennent d'ailleurs rapidement consistance malgré le peu d'attention romanesque qui leur est consacrée (constat sans portée critique : j'ai simplement été étonnée par le format que tu as choisi, entre conte et épopée, et je te dirai que c'est d'ailleurs ce qui m'intrigue probablement le plus dans ce que tu as fait (je ne parviens d'ailleurs pas à savoir si cela m'a plu). Par ailleurs, ton rapport à certains de tes personnages est touchant. Je trouve la construction du récit excellente, les derniers chapitres évitant l'écueil de la fin apocalyptique, sans surprise puisque tout la prépare et qu'en bon citoyen du XXIème siècle, on la pressent, on la veut même. Il me semble que cette fin permet d'alléger un peu le didactisme (compte tenu de ton propos, ça ne doit pas trop te faire plaisir, mais il est là, tout aimable et bienveillant soit-il) qui se dégage de l'ensemble. Ta lecture du phénomène religieux, ceci dit, est très intéressante et intelligemment déployée (avec le mérite d'une clarté incontestable). J'aime beaucoup la juxtaposition d'écrits "sacrés" et profanes, ainsi que le ton d'ensemble de l'"enquête". À plusieurs égards, cela m'a fait penser à Michel Tournier (La goutte d'or), Shan Sa (La joueuse de go, Impératrice) et Flaubert (Salammbô) mais les passages que j'ai préférés sont ceux où la plume se libère : la danse, par exemple, est superbe. Sinon, les thèmes que tu abordes trouvent en moi un écho certain. Cette question du masculin, du féminin, de l'humain, d'une transcendance... du silence. (Laurence Mornand) J'ai dévoré le roman La Juste parole en 5 parties, soit les 4 époques ainsi que l'épilogue. Chacune de ses parties ont mérité selon moi une attention particulière, singulière, comme si chacune était un roman à part entière. Tu m'as fait voyager, en moi comme en ce monde que tu as créé de toutes pièces avec tant de talent. Au fil de ma lecture, dont mes yeux avaient du mal à s'arracher, chaque personnage, chaque paysage, chaque émotion et chemin emprunté devenaient peu à peu les miens. J'ai ressenti le déchirement, la douleur, la joie, l'illumination et, surtout, la passion en une foi incommensurable. Tout y était. Ne crois pas que ce commentaire soit fait pour te faire plaisir. Si quelque chose en ce texte m'avait déplu tu l'aurais su. Mais voilà, j'ai aimé... et bien plus encore. Je n'ai qu'un seul reproche : J'aurais voulu te lire encore. J'ai ressenti ce vide du lecteur à la dernière page d'un roman. Sachant qu'il laissait à jamais des amis proches. Certes il pourra toujours se relire... encore et encore... Mais une première fois est incomparable. Un dernier mot : Merci. (Véronique Fracas) Je viens tout juste de terminer la lecture... c'est magnifique ! Bien écrit, et surtout bien construit ! J'ai eu l'impression que cette religion aurait pu être réelle, que les personnages aussi, et même le récit. Ce roman est empreint d'un souffle de sagesse et vaut la peine d'être lu. Magnifique dans tous ses détails, très captivant, il sort un peu de l'ordinaire de ce que l'on peut lire. Félicitations ! (Sylphide) Voilà, je suis arrivé au bout, à l'heure du commentaire. Epoustouflé, c'est le 1er mot qui me vient à l'esprit. Tu as recréé tout un monde, une Histoire et une religion sur lesquels nous pouvons faire des parallèles permanents avec la réalité. Une œuvre très philosophique, à laquelle tu ajoutes une petite touche poétique finale, pour ne pas rester sur une note trop pessimiste. Encore qu'une vision où la nature survivrait à l'homme ne soit pas si pessimiste que ça... Je reste persuadé qu'il y a matière à 3 tomes minimum, en développant un peu les époques : 1 pour chaque époque, en regroupant les 2 premières, qui sont véritablement une continuité l'une de l'autre. Je vais maintenant essayer de faire lire ta Juste Parole à ma femme. Je pense et j'espère qu'une fois qu'elle l'aura lue elle comprendra un peu mieux pourquoi je passe du temps sur ce genre de lecture. Elle comprendra aussi sans doute pourquoi j'ai envie de dépasser le monde virtuel pour rencontrer un auteur. (Christophe "Mémère" Rossi) Filo, je viens de finir la Juste Parole. Je n'ai qu'une chose à dire : clap clap ! Très bon travail, très intéressant. L'idée de la progression dans le temps est géniale, notamment lorsqu'on suit comment les 4 Apôtres vivent leur foi et comment elle s'accorde avec l'évolution des sociétés c'est excellent. Petit bémol sur cette époque : on aurait pu s'attendre, et on aurait souhaité, une étude plus approfondie de la façon dont chacun vivait sa foi (que ce soit Mila et la politique ou Salya auprès du peuple...). L'époque de la Révolution est une superbe vue de l'alliance politico-religieuse. Là encore, on aurait voulu un peu plus d'approfondissement. Quant à la dernière époque : ENORME. As-tu lu "La Mort de la Terre" de Rosny-Ainé ? Car on s'y croirait mais en moins ennuyeux. Une excellente idée. Le flashback final est ma partie préférée du conte. La fin est SUPERBE. Elle est écrite de façon géniale. Bref, je me suis régalé. Bravo Filo : clap clap clap ! Un très beau conte, inspiré de nombreuses références à des mythes et légendes du monde entier. Tout le conte en est imprégné mais pas de façon grossière, ce qui n'est pas évident. Une belle histoire que je vais faire lire à certains de mes potes et peut-être même à mes parents. (Guillaume Herpe)
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Par : le 04/08/16
Puisqu'il faut toujours choisir son camp, allons-y : J'ai toujours été plutôt : thé que café vin rouge que vin blanc joint qu'alcool olive verte qu'olive noire soirée feu de camp que soirée en boîte hétéro que homo guitare que piano rouge que bleu cours de français que cours de maths vers libres que rimes classiques livre que télé fiction qu'essai jeu d'échecs que jeu de cartes T-shirt que chemise Beatles que Stones Prince que Mickael Jackson Mac que PC Camel que Marlboro Coca que Pepsi Marvel que DC Canon que Nikon Fender que Gibson english que español à gauche qu'à droite dessin que peinture curieux que croyant calme que speed éducatif que répressif été qu'hiver montagne que plage campagne que ville chat que chien débat que bagarre bain que douche pauvre que riche suivi que suiveur dominant que dominé sado que maso nudité que dessous sexy bohème que BCBG sucré que salé huile d'olive que beurre viande que poisson rez-de-chaussée qu'étage Orient qu'Occident du soir que du matin carotte que bâton optimiste que pessimiste Filo
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Par : le 11/07/16
1. J'ai couché avec une fille pour la première fois à 18 ans. J'avais l'occasion de franchir ce cap avec ma première copine mais comme je comptais me séparer d'elle et que je considérais cette étape comme importante je ne l'ai pas fait. 2. Je pense que mon handicap à façonné ma vision actuelle de la vie, mes choix et mes désirs... 3. J'ai une vision parfois dur de la vie même si je me suis assagit. 4. J'ai fait partie de mouvements extrêmes et suis parfois encore sensible aux discours et idées fortes. 5. J'ai pendant longtemps complexé sur ma virilité et me suis souvent senti en insécurité. J'ai réalisé un gros travail sur ces deux thématiques ces derniers mois et me sent bien mieux depuis. 6. Je suis un grand fan des fellations et adore qu'on m'en fasse. 7. Je pense que mon père n'a pas été suffisamment dans son rôle et aurait du parfois faire preuve de plus d'autorité. 8. J'aimerai avoir des enfants mais c'est pour moi une démarche très forte qui va au delà de la simple acceptation social. J'attends d'être suffisamment mûr et porteur de valeur forte avant de m'engager dans cette expérience unique. 9. J'aime tout ce qui est underground : le cinéma, la musique et toute forme d'art en marge. 10. Je pense que toute forme de faiblesse doit être annihilé. 11. Mon réalisateur préféré est Lars Von Trier. 12. Le chanteur que j'aime le plus est Rochdi. 13. Les deux citations que je trouve les plus marquantes sont : "Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" et "Il vaut mieux être seigneur en enfer qu'esclave au paradis". 14. Je me fixe régulièrement des objectifs et m'auto challenge pas mal. 15. Je n'aime pas me sentir humilié. 16. Il y a de fortes chances que je me rase le crâne à blanc le jour où je franchirait les plus grosses étapes de mes parcours spirituel et philosophiques. 17. J'adore dire putain. Je deviens vulgaire quand des sujets me prennent à coeur. 18. Je n'ai pas peur de la mort mais des maladies dégénérescentes. J'y pense régulièrement. 19. Je compte orner mon corps de tatouages à haute valeur symbolique pour moi. 20. Je me méfie des femmes. 21. Il y a des matins ou en me levant je me sent invincible. 22. Je me remet très souvent en question et je ne veux pas me faire bouffer par mon égo. 23. J'aime sentir la douleur physique (bdsm,boxe,musculation...). Je me sent encore plus vivant lorsque j'ai mal. 24. Je ne suis pas assez présent pour ma famille. 25. Le sexe à une haute valeur ésotérique à mes yeux. 26. J'ai fait cette liste pour ma Maîtresse Adeléa. Je ne sait pas comment l'avenir va se goupiller mais j'ai vécu des moments extrêmement puissant grâce et avec elle récemment. Si un jour notre relation Domina/soumis doit prendre fin, j'espère pouvoir garder contact avec elle. RAPPEL DES REGLES DU JEU : ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur "j'aime", je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1)écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné 2)me dédicacer le titre de la manière suivante " x choses sur moi pour Maël" 3)le publier dans la section " articles" 4)me le faire savoir Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte
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Par : le 11/07/16
Voici en quelques traits rapides mon orientation : * je suis avant tout masochiste, depuis la plus tendre enfance (l'école maternelle) : la douleur - presque toute douleur - m'est érogène. * je suis libre et affirmée dans la vraie vie, insoumise et agitée plutôt que dominante ou leader. * on me prend souvent en soirée pour une maîtresse, et j'aime assez manier le fouet, surtout en public, quoique je sois loin à ce jour de la maîtrise que je vise. J'aime aussi attacher, à mon niveau de débutante encore entaché de bien des maladresses. * mais en fait, j'aime surtout faire plaisir à ceux qui apprécient de danser et gémir sous le fouet. * je n'assume pas du tout mon agressivité. * je suis fétichiste des fouets, des corsets, des lames. Des cicatrices, des bas, de la dentelle... * Je suis sex-addict. * je suis straight, et peu intéressée par le sexe, quoiqu'en disent d'aucuns. * je n'ai pas peur de la contradiction, et ça vaut mieux pour moi. * je voue une passion à la virilité, j'aime l'homme, les hommes, je les trouve dignes d'amour et de respect. (oui c'est un fantasme) * je suis attirée violemment par les hommes sombres, profonds, manipulateurs, sadiques et un peu destructeurs. Dangereux et fiers. * je suis extrêmement émue par le masochisme masculin, la souffrance et l'auto-destructivité... sublimée. * je suis exhibitionniste, et j'ai mes moments passablement fréquents d'exubérance. * j'aime l'emprise, et pourtant, je me sens libre, irréductiblement. * j'apprécie de me confronter, de défier, de lutter, de me battre. J'aime la violence et l'excès. * j'ai besoin de faire face à quelqu'un qui, dans cette lutte, saura me mettre la joue à terre, les lèvres sur son soulier, et me bottera durement les fesses en me morigénant jusqu'à ce que je capitule, humiliée dans ma fierté, honteusement vaincue à chaque combat. * j'aime me soumettre totalement, corps et esprit, à celui qui a triomphé de moi, et le suivre loin dans ses folies, ses idéaux, ses fantasmes, ses exigences et sa fantasy. * j'aime la sodomie. J'aime la frustration. J'aime l'humiliation. * je fonds lorsque d'un regard, l'homme que je désire et qui s'en amuse obtient sans plus d'effort que me jette on all fours, quémandant la sanction ou la caresse, le droit de le toucher, d'embrasser sa main, de le servir, rendue docile comme jamais je ne l'ai été envers quiconque, respectueuse comme jamais je ne le serais face à un gentleman. * Lorsque, rarement, je trouve mon partenaire dominant, alors je deviens dévouée, sexuelle, loyale, soumise infiniment : femme-lige inféodée à son prince charmeur. * nota bene : je suis passionnée, et être mon amant n'est pas sans danger. Et quelques autres contradictions qui ne resteront certainement pas bien longtemps cachées...
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Par : le 27/06/16
Je dois cette libération à une rencontre féminine. Une femme que je ne connaissais pas ; qui au fil des discussions a lu en moi comme dans un livre. Elle m'a ouvert les yeux et indirectement poussée à faire un travail sur moi-même (je précise qu'elle n'est ni psy, ni voyante ). Elle m’a tout de suite cernée puisqu'elle a devinée beaucoup de choses que je n’avais jamais avouées à quiconque. Je vous laisse imaginer à quel point c'est déstabilisant !!! Je suis quelqu'un de très cérébral et introverti, qui ne s'est jamais assumé et dissimulait le mal-être de ne pas s’accepter. Lorsqu'on me demandait si j'allais bien, j'orientais la conversation uniquement sur le côté "professionnel" et évitais et/ou détournais les sujets "personnels". En y repensant, les questions dérangeantes de mes proches ont sans doute été une des raisons pour laquelle je me suis éloigné de mon pays pendant plusieurs années. C'est difficile de s'avouer tout cela ... mais c'est encore plus dur de prendre conscience de n’avoir jamais rien fait pour que cela change… S'en est donc suivi une nécessaire remise en question ... dont les conséquences sont après quelques mois déjà positives. Par exemple, depuis cette prise de conscience je fais quotidiennement des efforts physiques (abdominaux, pompes), me sens désormais beaucoup mieux dans mon corps et m'assume. Le simple fait que je dévoile tout cela prouve également un autre déblocage. Et j'en passe... Je pourrai énumérer encore longtemps les différences entre le moi d'avant et la personne que je tends à devenir tellement il y en a … et il y en aura d’autres. Je ne connais pas mon avenir et où me mènera la dynamique actuelle, mais qu’importe je m’y sens bien et avance sereinement. ________________________________________ Le texte ci-dessus est le texte que j’ai envoyé à plusieurs de mes proches afin de leur expliquer mes changements, mon bien être (re)trouvé. Je suis resté mystérieux sur l’identité et les détails de Celle qui est à l’origine de ma transformation. Parce que c’est du domaine de l’inavouable, j’ai parlé d’Elle sans trop en dévoiler. J’expliquais dans ma confession qu’Elle n’était ni psychologue ni voyante. C’est vrai ! Mais c’est également presque un mensonge, étant donné que ce sont là des capacités que je Lui reconnais volontiers. Elle a en effet fait preuve de beaucoup de « clairvoyance » pour découvrir mes secrets, et a su provoquer en moi des déclics salvateurs. Plusieurs personnes ont répondu à mon message. Des proches intrigués qui souhaitaient rencontrer la mystérieuse bienfaitrice ; et des curieux qui ont voulu connaître Ses domaines de compétences. Coach sportif ? Coach personnel ? Enseignante ? Une personne qui travaille dans le milieu des soins ? Non toujours pas, même s’il s’agissait là encore de plusieurs des nombreuses casquettes qu’Elle a portées à un moment ou un autre. Les trois premiers sont évidents lorsque l’on sait de qui il s’agit. Le quatrième l’est peut-être un peu moins, surtout que là encore Elle avait un double rôle. Elle punissait mes erreurs et m’expliquait à la fin de nos entrevues comment je devais soigner les éventuels marques et blessures qui ont résulté de mes errements. Vous l’aurez bien sûr compris, c’est d’une Dominatrice dont il était question. Je me souviens encore du soir où j’ai découvert Son espace web. Ses mots me parlaient et trouvaient écho en moi. Les illustrations qu’Elle avait choisies m’hypnotisaient. Il s’est passé quelque chose ! Je trouvais dommage qu’Elle ait un site web aussi banal. Je suis entré en contact avec Elle en me présentant et Lui proposant de refaire Son site Internet. Etant donné le caractère tout à fait inhabituel de mon message, Elle a été méfiante et m’a très logiquement demandé des échantillons de mes travaux déjà réalisés. Ce que j’ai fait. Sans réponses de Sa part j’ai continué à Lui faire part d’idées d’améliorations et Lui transmettre des maquettes. J’étais depuis longtemps fasciné par tout ce qui concerne le BDSM et je voyais en Lui rendant ce service un moyen pour moi de vérifier que mon besoin de soumission était mûrement réfléchi ... et pas un simple fantasme ! Pour Lui prouver ma motivation j’ai émis le souhait de La rencontrer. Plusieurs jours ont passés avant qu’Elle m’accepte ce privilège. Plus on s’approchait de la date convenue et plus j’étais anxieux. Tout le temps du trajet, j’étais ailleurs. Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Et s’il m’arrivait quelque chose ? J’ai pris une longue respiration avant de Lui transmettre le SMS pour La prévenir de mon arrivée. Je ne pouvais de toute façon plus reculer, j’étais allé trop loin. Elle m’a comme ensorcelé dès la première fois où Elle a posé Son regard sur moi. J’étais subjugué devant tant de beauté et de prestance. La puissance qu’Elle dégageait m’a fait perdre mes moyens. J’avais de légers tremblements et je bafouillais. Elle m’a fait rentrer dans Son monde. Elle m’a rassuré. Une fois la phase de questionnement passée Elle m’a ordonné de me dénuder entièrement. Pourtant d’un naturel pudique, je me suis exécuté pour ne surtout pas La décevoir. Je suis de nature réservé et pas du genre à me confier facilement ; cela ne l’a pas empêché de découvrir des choses que j’avais enfouies en moi. La mise à nu imposée n’était pas que physique… Je me suis livré à Elle. J’avais régulièrement contact avec Elle, notamment concernant Ses directives pour le site. Je l’ai revue plusieurs fois. Mais c’est lorsqu’Elle m’a proposé de Lui appartenir que tout s’est accéléré. Sans aller dans les détails, j’avais désormais une liste de règles de vie à connaître par cœur et bien évidemment appliquer. Que ce soit via mon agenda partagé ou mon journal je devais régulièrement et quotidiennement La tenir informé de mes moindres faits et gestes. En acceptant de devenir un de Ses soumis attitrés, je Lui avais donné le contrôle sur ma vie. A Ses côtés je ne me sentais plus « anormal », j’étais juste « différent ». Elle m’a encouragé à faire de longues réflexions personnelles et mis en place des rituelles (exercices physiques du matin, joggings réguliers…). Elle m’a poussé à mieux me connaître et à m’accepter tel que je suis. Elle a provoqué en moi une véritable « renaissance » et cette voie de la soumission a été pour moi une vraie « révélation » ! Je me sentais bien tout simplement. J’étais moi-même et grâce à Elle je m’étais trouvé. C’est Elle qui m’a guidé jusque-là, et Elle ne s’est pas contentée de si peu. Elle m’a conditionné à réussir. Elle n’a pas cessé de me tirer vers le haut, bien au contraire. J’ai gagné en confiance, je suis devenu plus sûr de moi. C’était juste le commencement d’une spirale positive aussi bien personnelle que professionnelle. Dans mon travail j’avais désormais beaucoup plus d’assurance qu’avant ; et mes efforts étaient démultipliés. Le fait de Lui appartenir avait le don de me transcender. Lorsque je faisais quelque chose je ne le faisais pas uniquement pour moi, mais aussi pour Elle. Elle me donnait la force de me dépasser. Si j’ai par exemple évolué à plusieurs reprises dans ma vie professionnelle, c’est beaucoup grâce à Elle. Puisque nos projets de vie respectifs ne permettaient plus d’entretenir un lien D/s, notre relation a cessée. Même si nos vies nous ont éloignées, une amitié sincère et réciproque perdure. Elle compte beaucoup pour moi. On aime se donner des nouvelles et on partage le besoin de savoir que nous allons bien. Et si ce n’est pas le cas, on sait que l’on peut compter sur l’autre pour nous conseiller/aider. Elle m’a aidé à déployer mes ailes, je Lui en serai infiniment reconnaissant. Et Elle le sait. Je souhaite sincèrement à quiconque de vivre ce genre de relation. On en ressort grandi et transformé !!! Ajout du 25/06/2016 : Ce texte est présent ailleurs depuis longtemps et date déjà de quelques années (2 ans et demi je crois). Il raconte ma découverte de ce monde BDSM. Cette révélation qui m’a changée « pour toujours », et explique du coup mon pseudo ici . Cette spirale positive étant toujours d’actualité, voilà pourquoi je me permets de partager ce texte ici. knight4ever
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Par : le 21/06/16
J'ai participé à ma première soirée hier soir. En fait c'était la première fois que j'abordais le BDSM. Ca été un grand pas en avant, un saut dans l'inconnu. Je redoutais de franchir ce Rubicon mais je l'ai fait. Première victoire. Cela paraît anodin, mais ce n'était pas gagné, loin de là. Je suis arrivé en avance. Auparavant il y avait un repas auquel j'avais décidé de ne pas participer, ne connaissant personne. J'aurai peut-être dû, pour lier connaissance. Et bien oui, les personnes présentes, semblaient tout à fait normales et cordiales et j'aurai certainement pu m'intégrer dans un groupe. Cela m'aurait peut-être également fait gagner du temps car le repas avait un peu de retard et j'ai donc attendu une heure que la soirée commence. Attente qui a fait resurgir mon malaise et mon appréhension. Mais finalement la soirée a débuté. Je venais en connaissant, de nom mais pas de visage, deux personnes en plus de l'organisateur. L'organisateur, bien normalement, occupé, j'ai fait le spectateur. Personne ne m'a, de quelque manière que ce soit, fait sentir que j'étais "voyeur". En l'occurrence, ce n'était pas du tout le cas. J'observais, essayant de deviner qui dans l'assistance était soumis, qui était dominateur. C'était parfois flagrant, parfois moins. J'ai vu avec quelle facilité, avec quelle aisance, soumises ou soumis offraient leurs fesses aux mains, aux martinets, aux cravaches... Le Maître de cérémonie a enfin pu me présenter la Maîtresse que je connaissais d'ici. Elle a essayé de me faire préciser ma recherche, mes envies, mais sur le moment j'étais un peu "démuni". Très patiemment, elle m'a amener à parler et des choses que je n'avais jamais dites à voix haute ont pu être entendues. Encore une fois, grand merci à elle. C'est une chose de les entendre trotinner dans sa tête, d'écrire à leur propos ici et de les dire les yeux dans les yeux, d'une Maîtresse, inconnue de surcroît. Je pense qu'ainsi, un verrou a sauté. Je ne savais neanmoins toujours pas me comporter. Je brulais de demander à de nombreuses personnes de me fesser et/ou de me fouetter mais j'avais encore peur de leurs réactions. L'organisateur m'avait bien dit de lui demander si je voulais qu'il fasse une séance, il m'impressionnait et j'espérais une Maîtresse. Alors une femme, que j'avais prise pour une soumise, m'a abordée, mangeant son dessert d'une manière si sensuelle ... Je ne réalise pas encore avec quelle facilité elle m'a entrainé dans le donjon, m'a fait me déshabiller, juste en boxer, m'a guidé dans le choix du martinet/fouet ?, pour en prendre un qui conviendrait à une première, m'a fait m'appuyer contre la croix et m'a frappé les fesses, le dos, les flancs. Elle, puis son assistant, que j'avais initialement pris pour son Maître. Puis fait retourné pour ensuite me frapper le ventre, le torse , les jambes. Elle puis son assistant. Cuisant, un peu mal, mais pas trop. Juste ce qu'il faut pour une première séance. Voire pour me frustrer dans l'attente d'une deuxième séance qui n'est pas malheureusement pas venue(ça je me le suis dit après, pas sur le moment). Je n'en reviens pas de ne pas avoir été mortifié de me mettre presque nu devant des gens comme cela. Elle m'aurait ordonné de me mettre nu, cela aurait été exactement pareil. Je ne voyais qu'elle et j'ai totalement fait abstraction des autres personnes, si il y en avait. Une jeune femme faisait de nombreuses photos de la soirée. Je ne sais pas si elle en a fait de moi. Ce qui aurait inconcevable 10 minutes avant m'était totalement indifférent au moment où j'appartenais à cette Maîtresse. De tout ce que j'ai vu lors de cette soirée, rien ne m'a rebuté. Tout au plus sais-je que certaines pratiques ne sont pas pour tout de suite. Qu'elle viendront naturellement lorsque ma Maîtresse aura forgé ma capacité de résistance à la douleur et m'aura rendu endurant. J'ai ressenti une grande admiration pour trois jeunes femmes L'une, encordée de magnifique manière, était ainsi très esthétiquement mise en valeur L'autre enchainée du début à la fin de soirée a été tellement fessée que je ne sais pas comment elle a pu le supporter. Respects à la soumise et à son Maître. La dernière, qui photographiait également la soirée, a tellement encaissé bien les coups de fouets qui on sacrément marqué son dos. Respects à la soumise et à son Maître. En résumé, superbe soirée qui m'a beaucoup fait progresser.
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Par : le 18/06/16
50 vérités que MademoiselleLilith va payer. 1 ) – Je n’ai jamais voulu faire ce jeu, j’ai simplement liké les aveux d’une personne qui m’est chère parce que j’ai aimé son partage, je n’avais pas réfléchis au fait que cela impliquait que je devait y participer… j’en ai pris pour 50 réponses… Ma soumise est une sadique… 2 ) – Je me suis fais bouffer ma carte bleue par un DAB il y a peu en tapant le code d’entrée de chez moi au lieu de celui de ma CB. Je ne l’avais pas oublié, je n’ai juste pas la tête sur les épaules depuis 10 jours… J’aime cet état. 3 ) – Il y a quelques années, j’ai passé une soirée dans un pub avec un ami, j’étais assis a coté de Claude Nougaro, au bout de deux heures de conversation passionnée, je lui ai demandé s’il s’y connaissait en musique… J’étais le seul, à la table, à ne l’avoir pas reconnu… Vous avez dit gaffeur ? 4 ) – Entre mes 20 et 21 ans j’ai été un homme battu, par une femme, quand je suis allé chercher de l’aide dans une association de « femmes battues » on m’a « gentiment » demandé de quitter les lieux, parce que ma présence, celle d’un homme, dans les locaux, indisposait les dames qui étaient là. 5 ) – A 22 ans, je suis tombé fou amoureux d’une femme de 1m50 qui devait peser 22 kilos, anorexique, elle a mit sa main dans la mienne pendant les 6 derniers mois de sa vie, une des plus belle âme que j’ai croisé. 6 ) – En 1990 j’ai découvert Thomas Harris avec 2 de ses romans « Dragon rouge » et « Le silence des agneaux », complètement subjugué par le personnage d’Hannibal Lecter, j’ai eu pendant des années le fantasme de goûter de la chair humaine… Fantasme assouvi un jour de manière spontanée et involontaire de ma part. 7 ) – Je n’ai jamais su aimer de manière conventionnelle, je verse toujours dans les extrêmes ou la passion… Malgré moi. 8 ) – En 2006 un abrutit m’a diagnostiqué bipolaire et m’a foutu sous traitement pendant 6 mois… Il s’averre que je ne l’ai jamais été, j’ai juste une hypersensibilité extrême qui me fait connaître des phases euphoriques et à l’inverse des phases mélancoliques extrêmes, proches et ressemblantes à des phases hystériques et dépressives que peuvent connaître les bipolaires. 9 ) – Je suis capable de basculer dans mes rêves ou pensées en une fraction de seconde en pleine journée, alors que je suis occupée, de manière si intense que je ne vois plus, ni n’entend plus ce qu’il se passe autour de moi. 10 ) – J’aime l’art sous toutes ses formes, pas forcément les oeuvres… Les artistes, ou ceux qui se prétendent l’être, beaucoup moins… Et leur discours sur l’art me répugne généralement. 11 ) – J’ai découvert le BDSM à l’âge de 17 ans, avec une femme de 30 ans… A vrai dire elle m’a tout apprit ou presque, le libertinage, l’amour, le lâché-prise, le triolisme, etc… 12 ) – A 23 ans, j’ai été confronté à un chien, type berger malinois, non dressé, agressif, babines retroussées, qui montrait les dents en grognant. Sur un claquement de doigts, un geste de la main et un « Ho » l’animal s’est couché au sol, oreilles rabattues. J’ai avancé dessus, il a roulé sur le dos. Son propriétaire m’a demandé comment j’avais fait… 22 ans plus tard je n,’ai toujours pas de réponse satisfaisante à cette question. C’est sans doute ce jour là que j’ai réalisé mon coté dominant. 13 ) – Un de mes plus grand regret est d’avoir hésité avant d’intervenir un jour où un homme a agressé une femme à quelques mètres de moi, je suis intervenu une seconde trop tard, ce n’est JAMAIS plus arrivé. 14 ) – Il y a quelques années une amie a perdu sa fille de 13 ans dans un accident, j’ai pris le train dans la nuit pour être présent à ses cotés dans cette épreuve… Il y a quelques mois elle ma avoué que cette gamine était peut-être bien la mienne… ET MERDE !!! 15 ) – J’ai vécu une très belle histoire d’amour vanille à 4, deux hommes, deux femmes, tous les 4 bisexuels, nous vivions ensemble, un superbe souvenir qui a durée un an. 16 ) - J’ai eu une peur panique de la mort jusqu’à la naissance de ma fille, au point de s’en réveiller la nuit. Depuis cette peur m’a quitté, mais j’aime ma vie, je transcende tous les petits moments, mais ça me fait vraiment chier que cela doive s’arrêter un jour. 17 ) – Je suis exigeant envers les gens que j’aime et intransigeant envers moi-même… Conclusion je dois m’aimer encore plus… 18 ) -. Ma confiance et mon assurance en moi m’ont apporté beaucoup de plaisirs, mais aucun n’est au dessus de la confiance que m’ont accordé les gens que j’aime et de leurs confidences les plus intimes. 19 ) - Un jour en regardant une mappemonde je me suis aperçu que de frontières en frontières j’ai fais le tour du monde… Dans mon lit. 20 ) – Mon premier souvenir de masturbation date de l’âge de 6 ans. Je me disais qu’il n’était pas normal de ressentir un tel plaisir. Du coup je suis allé voir mon père, quequette toute raide, pour lui montrer que « ce geste » faisait beaucoup de bien, il a éclaté de rire en me disant que c’était normal mais de faire ça en privé… J’étais déçu, je me croyais exceptionnel. 21 ) – J’ai connu une vraie nymphomane, six fois par jour minimum, les premiers jours c’est normal, au bout de 6 mois ça l’est moins, au bout d’un an c’est usant, quand elle est partit j’avais perdu 10 kilos, je n’ai pas eu envie de sexe pendant presque un an. Comme dirait Serge Lama : « Quand je pense qu’il y a des cinglés qui paient pour voir ça au ciné… » 22 ) – Véritable sapiosexuel, je peux bander devant un homme ou une femme qui me toise intellectuellement, même si je les trouve repoussant physiquement. J’aime bien cela, mais c’est rare et ça n’arrive jamais devant ceux qui se veulent et/ou se réclament intellos, même et surtout dans le cadre d’aveux, l’intelligence va de pair avec la modestie et l’humilité. 23 ) – Je suis bisexuel à forte tendance hétérosexuel, comme disait William, un de mes amants homo. 24 ) – J’aime beaucoup la part de féminité qui est en moi. Je l’exprime, beaucoup d’hommes me prennent pour un homo et se moque de moi… Jusqu’à ce que je couche avec leurs femmes… Bizarrement ça les fait beaucoup moins rigoler… Moi, beaucoup plus. 25 ) – J’aime beaucoup les machos… Leurs femmes viennent se consoler dans mes bras. 26 ) – J’aime beaucoup le foot, la coupe du monde et tous les tournois possible… Les messieurs sont devant leur télés et leur femmes dehors, bien souvent seules. 27 ) – Le plus beau compliment qu’une femme m’ai fait est : « Je regrette de t’avoir connu car depuis tous les hommes me semble bien fades ». … C’était 15 ans après notre rupture. 29 ) – J’ai le loup dans la peau, un véritable totem, au propre comme au figuré. 30 ) – Vers mes 24 ans j’ai couché avec une prostitué sans le savoir. Au matin quand nous avons pris un café, elle m’a avoué sa profession, gêné, je ne savais pas si je devais ou pas lui proposer une rétribution. Elle a rigolé et m’a dit que « non », elle me voulait. Puis elle m’a dit qu’elle avait adoré la manière dont je l’avais sodomisée et m’a demandé si j’étais bi et si j’avais déjà subit une sodomie, je lui ai dis que « oui », elle a ajouté « ha… C’est pour ça alors. » Depuis c’est une règle d’or, chaque fois que j’apprends ou me teste à une nouvelle « technique », je passe d’abord « à la casserole »… Merci Christine de m’avoir fait réaliser cela. 31 ) – J’ai « épousé » la pensée zététique il y a presque 20 ans. 32 ) – Le mensonge m’est insupportable, c’est la pire torture que l’on puisse m’infliger. 33 ) – J’ai perdu ma virginité à 13 ans avec une fille de mon âge qui était vierge aussi, c’était comique, catastrophique et pataud au possible. Lorsque cela fut « fait », elle s’est allongée à plat ventre sur le lit et a écarté ses fesses en disant « Autant tout faire d’un coup »… Ca par contre je ne m’y attendais pas. 34 ) – En 1993 une femme a appelé chez moi en pleur, suite à une erreur de numéro,elle cherchait à joindre son « amant » qui l’avait largué parce qu’elle était frigide. Nous avons passé la nuit à parler au téléphone, pour la rassurer et la calmer. Quelques jours plus tard nous avons fini dans le même lit, je ne sais pas si je suis un bon amant ou pas, mais une chose est certaine… Elle n’était pas frigide du tout…. Quand je vous dis que j’aime les machos. 35 ) – J’ai plus d’amies que d’amis, j’ai couché avec toutes sauf une, je ne sais pas qui a dit que coucher avec un(e) ami(e) brisait l’amitié mais dans mon cas c’est absolument faux. 36 ) – J’ai pleuré il y a peu pour une des plus belles déclaration d’amour que l’ont m’ai faite. La dernière fois ce fut pour la naissance de ma fille. 37 ) – Une femme m’a fait une fellation dans un pub bourré de monde, une fois la chose faite, en essuyant ses lèvres, elle m’a dit : « Je m’appelle Stéphanie, ravie de faire ta connaissance »… Et moi donc !!! 38 ) – En 3eme j’ai obtenu le 2eme record d’heure de colle d’un lycée, 365 heures en une année, le recordman est mon meilleur ami, forcément on était toujours ensemble en colle, 366 heures… Je le surnomme « Bissextile ». 39 ) – Les blagues nulles me font rire aux éclats, car elles n’ont aucune prétention, même pas celle de faire rire. 40 ) – J’aime les gens humbles, ils ne peuvent que surprendre alors que les prétentieux ne peuvent que décevoir. 41 ) – J’aime me lever tôt, voir le soleil se lever au calme en silence en sirotant un thé, pendant de très longues minutes ou des heures. 42 ) – J’aime m’endormir extrêmement fatigué, éreinté, les sensations sur la peau sont merveilleuses et cela me provoque des secousses hypniques, sensations que j’adore. 43 ) – J’ai eu un serpent, un boa arc-en-ciel, j’ignorais que c’était une espèces protégée à l’époque, que j’avais baptisé « Saphir ». Un animal tout à fait fascinant quand on étudie son mode de vie. 44 ) – J’aime les livres, les films, les œuvres d’art qui soulèvent des questions, pas ceux qui apportent, ou tentent d’apporter, des réponses. 45 ) – La première fois que j’ai joué avec de vraies menottes, nous nous sommes endormis avec l’un attaché au poignet de l’autre. Au petit matin nous n’avons jamais retrouvé les clés. Nous étions nus et dans une chambre d’hôtel. 46 ) – J’ai touché à un peu toutes les drogues possibles, des plus douces au plus dure, la plus insidieuse de toute est réellement l’alcool. 47 ) – C’est la 8eme fois de la journée qu’elle m’appelle pour me faire entendre ses orgasmes, il n’est que 15h30… La journée va être longue. 48 ) – Le dormeur du val. 49 ) – Smoke get in your eyes. 50 ) – J’aime une femme comme il y en a peu. 51 ) – J’ai triché il n’y a pas de N° 28…Donc ce 51 est le 50eme. RAPPEL DES REGLES DU JEU : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. 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Par : le 13/06/16
1. je suis empathique, parfois trop 2. je suis bon vivant, gourmand et épicurien 3. je suis cérébral, me pose beaucoup de question 4. je n’ai pas suffisant confiance en moi 5. je ne sais pas épargner 6. je suis fidèle en amitié mais pas toujours en amour 7. j'aime faire plaisir, je suis généreux 8. je suis sportif en général 9. je m’investis trop dans mon travail 10. je suis parfois immature dans certaines de mes réflexions 11. j’aime les femmes dominantes et de caractères 12. je suis timide avec les femmes 13. je suis un peu bordélique 14. j’ai du mal à me défaire de mon premier amour 15. je suis serviable 16. j’ai l’esprit de compétition 17. j’ai du mal à me défaire du regard des autres 18. j’aime le vin rouge 19. je me suis dépucelé avec une prosituée à 18 ans 20. je suis sensible 21. j’ai repris la cigarette après avoir arrêté 5 ans 22. je ne suis pas un héros, mes faux pas me collent à la peau 23. j’ai été accroc à la masturbation pendant longtemps 24. je suis gentil 25. on dit de moi que j’ai un physique agréable 26. je suis tendre 27. je considère ma mère comme manipulatrice et possessive 28. je n’aime pas mon frére, mes amis sont ma vrai famille 29. je suis content du chemin que j’ai parcouru professionellement 30. j’ai cru pendant longtemps qu’une femme perdait ses os et pas ses eaux  31. je suis rancunier et têtu 32. je ne suis pas jaloux 33. je suis très curieux
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Par : le 08/06/16
source: http://getextrem.livejournal.com/3064.html Juste parce que ça m'amuse ^^ DOMINANT ARIES Aries is a naturally dominant sign, in many ways. The aries tends to be hard-headed and spirited, and is dissatisfied when things are not done his way. He will hold his slave to high personal standards, and will demand things be done to his liking above all else. He can be confrontational and protective, and is intensely passionate, so his slave will be well-looked after.SUBMISSIVE ARIES Most people know that gemini and pisces are dual signs (as are many others), but few know that aries is as well. Aries is the ram, but also the sheep. Submissive aries will retain the fire and passion of the dominant, but he will shy from confrontation, and serve obediently. Nevertheless, this slave epitomizes the truism that bondage is really all about the bottom, because without attention and devotion, the aries slave will become easily upset and rebellious. DOMINANT TAURUS A dominant taurus will be stubborn and unwielding, and will be even less willing to compromise with her slave than the aries Master. She will, however, be more hands-on, and will focus on the accoutrements of slavery. The slave of a taurus will likely have a beautiful collar, attractive and numerous toys, and frequent, undivided attention from his Mistress. SUBMISSIVE TAURUS The submissive taurus is lazy, by nature, and needs her Master to keep her busy. She will be confrontational, and stubborn, at times, but will also be fiercly loyal. She will cherish the gifts her master gives to her above all else, and will gladly wear tokens of her slavery. The taurian slave may be strong, as well, able to bear the brunt of her Master's wrath with little complaint. DOMINANT GEMINI Gemini could easily be the sign of a switch, or of a man who is dominant in the real world, and submissive in the bedroom (or vice versa). That said, a gemini Master will be talkative and engaged with his submissive, always willing to try new things, and ever desirous of his slave's feedback. He is interested not just in physical domination, but intellectual control as well. He can be overbearing, perhaps, and can easily allow his slave to top from the bottom. Once in control, however, few dominants can match his ability to keep his slave entertained. SUBMISSIVE GEMINI A gemini slave must be allowed to speak his mind. He will be ready to do whatever his Mistress asks of him - and his limits will likely be softer than most people's - but he demands that She think of him not as merely a toy. There must be a dialogue. The submissive gemini is happiest when being told what to do, when being praised for doing something well, or when being admonished for doing it poorly; it is the communication of his Mistress that controls him, not her riding crop or her latex. DOMINANT CANCER I'll resist the urge to say too much here, since I am a cancer and a dominant... Cancer is a reclusive sign, and an emotional one, and so this Mistress will ever seek the approval of her slave. She delights in aftercare, in tending to the wounds she has inflicted, and in the power she has over her slave's emotions. She can be hard to serve, if only because she is incapable of pretending: her disappointment or pleasure will be too obvious for her to fool her slave. Once she has accepted someone, however, and has been accepted in return, she will be inventive and intense, pushing her submissive beyond into the spiritual and emotional centers of bondage. SUBMISSIVE CANCER She is likely beautiful, well-proportioned, and easily upset. She does not respond well to her Master's chiding, because it cuts her much deeper than he realizes. She is happy being told what to do, yes, but must have variety in order to be comfortable. She is likely to be outrageously flirtatious with her Master, but quiet and shy in public. DOMINANT LEO There is no more easily stereotyped sign than leo, and the stereotype fits all-too-well with dominance. The leo is an egoist, true, but a spirited and friendly one. He is likely to show off for his slave - as he does for others - by constructing elaborate scenes, or engaging in b-movie romance for all to see. But despite his personality, the leo Master will do anything for the slave he sees as his. She is - to draw on the mythos - his lioness, and while he may demand her obedience himself, he would prefer that she be a leader among others, thereby reflecting all the more on his power. SUBMISSIVE LEO Is there such a thing? Submissive leo is that very lioness, who leads, who is personable and intense, and who's devotion is the most fiery and dangerous imaginable. She is hard to control, and must be fought with, because for her submission does not come naturally. But faced with sufficient strength - of body and soul - she will give in, and direct herself through her Master. More than any other slave, the leo must be won. Her submission is never a gift, but it is a worthy prize. DOMINANT VIRGO Nagging and particular, she is a hard Mistress. Her tasks may seem endless and pointless, her insistence on organization and well-kempt appearances may seem overblown, but her concern for her slave's well-being, and her awareness of the realities outside of the lifestyle are unmatched. She knows exactly when it is appropriate and when it is not to play, and she will compel her slave to be not just a better lover, but a better person. SUBMISSIVE VIRGO Like the her dominant sister, the virgin slave is concerned with order. She would nothing more than to be kept busy with tasks and service to her Master. She is, perhaps, a bit less sexual in her submission than most, but thereby, her submission extends well-beyond the bedroom. She will demand the best of her Master, and He must make sure that his commands are more than mere whim.
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Par : le 07/06/16
Ce ne sont pas, avec mon ange, des larmes apaisantes. Mais sous son contrôle le témoignage de sa position dominante. Quant à la pluie qui inonde mes lèvres, l'un de ses baisers, longue morsure imposée, Suffit à attiser ma fièvre pour des années. Lorsque ses yeux si bleus se fendent, Je vois qu'approche la torture : Je vais rouler, hurler, épandre des flots de larmes sur son corps dur Me lover sur son torse tendre sous son œil froid, sous ses mots durs. Poitrine glabre, présomptueuse et pure. Et rejetante. (L'Amour éphémère, extrait)
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Par : le 02/06/16
Je vais dire la vérité toute la vérité. Je vous aime bien chers lecteurs mais vous n'êtes pas naifs, je vais quand même arranger ça à ma sauce. Cette histoire, même si je ne suis pas le seul acteur il faut bien comprendre que je suis le modeste narrateur et en tant que tel j'ai tous les droits. Presque trois mois que je ne suis pas venu au club. Le club est un endroit, c'est un décor magique certes. Mais un décor. Ce sont les gens séjournant un moment , une vie, un instant qui anime le décor. La passion est la, l'ambiance est excellente. Aux cotés de néophytes beaux de candeur, sont installés quelques aficionados, fiers, sur, magnifique. Un même sourire flotte sur leurs lèvres, énigmatique, mélange d'invitations et de pente à gravir. Je me défini comme soumis. Quand on est «soumis» c'est un choix! afin de vivre une vie et, ou, une sexualité. Mais comme beaucoup! on est souvent soumis tout seul. Soit que ceci ou soit que cela, mais moi je suis content car je peux aller au club, pas quand je veux, des fois, je suis pris ailleurs. Mais je suis content quand je vais au club. Une chance sur deux pour qu'Elle soit la. Évidement vous souriez cher lecteurs.... Je ne tourne pas autour du pot! j'explique. Oui bon! J'y vais parce que j'ai envie de la voir, bien sur. Je compte sur votre discrétion hein! Vous la verriez, assise au milieu des habitués, attentive, sérieuse, souriante. La température corporelle augmente sensiblement. La vision devient centrale et les gestes mécaniques, rassurez vous chers lecteurs, je pense que c'est un effet du club. Les poumons n'en finissent plus de se gonfler. Un problème de ventilation certainement. J'aperçois une domina qui avait la dernière fois joué de la badine sur mon corps, meurtri après son passage. Pas rancunier du tout....Je me déplace pour la saluer elle et son compagnon. Nous sommes trois soumis « seul». Accompagné de la Maîtresse des lieux, Elle, nous demande un strip-tease au milieu de la salle. La musique très Lully n'est pas adapté mais bon.... les trois! de la 7eme compagnie essaient de faire quelque chose qui ressemble... à rien! Sur ordre nous entamons une ronde afin de divertir les yeux des convives, pour mettre de l'entrain, ces dames nous fouettent et nous fessent. Le fouet sur les orteils......... aie! Une horreur. Je crois que cet épisode comique met tout le monde en joie. Un peu de repos nous est offert. Un quatrième garçon se joint a nous, Elle le connaît bien, elle heureuse de le voir, Elle à l'air de beaucoup l’apprécier. Je me rappelle de notre danse d'entrée en matière, ensuite l'ordre des choses, le déroulement des aventures m'échappe un peu. Je sais que la domina de la dernière fois me demande si je veux bien l'accompagner au fouet, j'essaye.... J'ai mal, je supporte moins que la dernière fois et le fouet est douloureux pour moi. Dans la soirée nous réessayerons deux fois. Cette Dame fouette sur les conseils de son compagnon. Elle aime apprendre visiblement. Ça joue dans le club, c'est beau, fascinant. Aucune vulgarité, une concentration palpable. Je suis un couple des yeux, jeune et déjà aguerri, jouant sérieusement elle enroule ses fouets autour de son soumis. C'est une danse hypnotique, sans fin... souple et inspiré. A quel moment me met elle des bracelets de cuir rose tout mimi. Je ne sais pas. Mais là ma tension a nettement augmenté. Les bras suspendus Elle alterne martinet, ongles, caresses, joue sur les tétons qui gonflent, je perd la tête, j'aime cette douleur, j'aime ces bras qui m'enlace je ne voie rien, je vis cet instant, de pur bonheur. Les gémissements, la peau qui se raye, ça aurait pu durer, durer. Un claquement puissant fouette l'air. La douleur est atroce. Le maître des lieux rigole de bon cœur. Elle me détache doucement. Un peu de sang s'écoule. Je regarde M ce faire martyriser le cul par la Dame au fouet. Le troisième larron du trio de tête est pris en main par la Maîtresse de maison. Il à une queue énorme... soupirs. Cette dernière est malmenée savamment, re-soupirs.... on doit la sentir passer.... Le quatrième veinard est un petit gars sympa comme tout. Nous nous retrouvons tout deux très intimement liés par les bourses, cul a cul. Elle nous fesse copieusement, son genoux gaîné de bas vient frotter ma joue. Elle attrape mes tétons, je gémis de bonheur. Quatrième en prends pour son grade. J'écoute mon compagnon de lien, je sent ses sursauts, sa souffrance et ces gemissements. Quelque chose de froid, passe sur mes fesses. Puis des caresses plus que piquantes arrivent, je pense à du piment, meuh non! Avec effroi j'imagine la chose quand elle m'attrape les bourses, un gants garnis de picots acérés. Je ne bouge plus ma phobie de piqûres, est la, sous-jacente, ça ne dure pas. Merci! Elle s'occupe de nous deux a tour de rôle. Nous gémissons, mais en aucun cas nous subissons, trop heureux d'être la entre ses mains. Il y a ceux qui jouent autour de nous et ceux qui nous regardent. La salle est petite pour nous tous par moment. La Maîtresse de maison nous démontre son adresse au fouet, pauvre troisième larron... Mais quelle bite. Nous nous reposons d'autre jouent, le clou du spectacle pour ma part et quand Quatrième fut mis au pilori. Car.... Je la regarde, travailler le corps de son soumis. Elle est belle, concentrée, cela dépasse mon imagination. Je me rempli la cervelle de ses mimiques, sourires et autres facéties qui font hurler quatrième. Sa façon de dire «mais voyons» qui donne des sueurs froides. Sa détermination au moment de frapper juste ou elle veut . Derrière son soumis parfois devant, attentionné et sadique Quatrième crie, se tortille sous la cire, implacable, Elle va au bout du processus, Quatrième rend grâce, sous ses mains. Au vu de sa sortie du pilori, il a joui mentalement. Il est heureux. Comme je le comprends. Elle a le mot de la fin. Vous vous en doutez bien! ce fut celui-ci, dit avec une satisfaction évidente. waouh! Ça fait du bien. Merci
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Par : le 01/06/16
Pour ceux qui auraient raté l'introduction, et même pour les autres d'ailleurs, avant de lire ce texte, je vous conseille de revenir un moment sur celui-ci : http://www.bdsm.fr/blog/2914/j-039-ai-tap%C3%A9-sur-mon-clavier/ J'ouvre la porte de la maison, rentre et referme derrière moi, geste machinal, à peine trahissant l'état dans lequel je suis. Le claquement faisant même trembler le chambranle. Je marmonne, scotché à mon smartphone, outil de malheur ne me quittant jamais ou presque, finissant de taper un mail pro. Je suis devenu expert en la matière pour pouvoir faire chaque geste du quotidien sans lâcher cet objet des mains... Connecting people... ouais, ils nous ont bien en…cordé avec leur merde. Je jette ma veste sur le canapé, la sacoche de mon pc portable également. Je n'ai pas encore levé les yeux, mais je sais qu'Elle est là, à quelques pas. Je la devine dans mon champ de vision. Elle est posée contre le meuble de l'entrée, les mains de chaque côté de ses hanches, appuyées sur la tablette. Cette pose qui lui fait remonter les épaules, comme si elle les haussait, comme s'il y avait vraiment besoin de renforcer son côté désinvolte. Elle porte un T-shirt... Non, elle porte mon T-shirt, celui des "Celtics Hangover", évident... C'est mon préféré. Mais en y réfléchissant, est ce que ce n'est pas parce qu'elle l'a toujours sur le dos (cul ?) et qu'il lui va si bien que je l'aime autant? Surtout quand comme aujourd'hui, elle ne porte rien d'autre que ça... Je lève enfin les yeux sur elle et m'en approche. Ma main se pose sur sa joue, caressante, puis, passe dans son cou, et serre un peu plus. Remonte à ses cheveux, les saisis en crispant les doigts dedans, entremêlés dans sa tignasse et la tire sèchement en arrière pour basculer sa tête, amenant ma tête au-dessus de la sienne. Elle sourit. - On dirait que je t'ai énervé là... Je ne bronche pas, à peine mes mâchoires qui se décrispent un peu pour que je puisse articuler posément : - Ainsi donc Mademoiselle réclame mon attention... Son attitude est déjà différente. Son regard est moins rieur, bien que pas moins provocateur, son sourire ne s'efface pas mais prend une autre expression, elle frémit. - Mademoiselle réclame toujours votre attention. Je ne réponds même pas et finit de descendre ma tête jusqu'à ce que mes lèvres rejoignent les siennes... à peine le temps d'un léger baiser et je plante mes canines dans sa lèvre inférieure. Elle grogne, rugissement de la Louve surprise, et je vois ses yeux s'ouvrir très grands. Dès lors, les 2 animaux sont de sortie... -Grogne, profites en... Tu as raison, ça ne va pas durer. Sa réaction ne se fait pas attendre, elle n'a jamais eu l'intention de se rendre si facilement, je sens ses griffes se planter dans mes côtes. Je lui saisis immédiatement les poignets, et hôte ses mains de mon corps, ma poigne ne souffrant aucune résistance. - Tu as 30 secondes pour être en tenue, dans la salle de jeu... A ta place... Ne me fait pas attendre ! Je la vois s'y diriger, sans un mot, mais sans me quitter des yeux. Je la suis, à quelques pas derrière, m'arrêtant à l'entrée de la salle pendant qu'elle poursuit. La regardant enlever le T-shirt et le balancer, prendre dans le tiroir du gros meuble noir sa pince à cheveux, son collier et sa laisse. Elle arrive nue devant sa chaise, y pose le collier et la laisse le temps de s'attacher les cheveux, puis les reprend, un dans chaque main, s'asseyant dans sa position habituelle. A califourchon sur la chaise, le dossier face à elle, les coudes posés dessus. Cambrée, son cul rebondi s'offre à ma vue. Je la rejoins, récupérant au passage un objet dans un autre tiroir du meuble, sans le lui montrer, je le fourre dans ma poche. Je continue d'avancer vers elle, en déboutonnant ma chemise, arrivant en face d'elle torse nu. Elle me tend les mains et j'empoigne le collier d'abord, le refermant sur sa gorge, j'adore la façon dont il lui est parfaitement ajusté, plissant presque la peau de son cou. Puis je viens y joindre la laisse. Pas un mot... juste mon regard, pas méchant, mais sérieux. Son regard se fait profond, plus taquinerie, elle sait que Monsieur est là. La laisse en main, mon coude se bloque contre mes côtes et le lien d'acier se tend, secouant son cou, puis le reste de son corps... Je m'écarte d'elle... La laisse toujours tendue, m'amusant à la voir tenter de garder l'équilibre sur la chaise, une fesse, une demi fesse encore posée dessus et son cou qui s'étire pour suivre le mouvement... Jusqu'à ce que je fasse un pas de plus et même un très léger petit coup de poignet sur la laisse qui l'a fait chuter sur le sol. Premiers mots depuis que je suis entré dans la salle... secs, cinglants. - Suis-moi. Elle se retourne et se met à 4 pattes, sa tête contre ma jambe. Elle la lève et me fixe, attendant que j'avance pour me suivre sans jamais me dépasser. Mes pas sont lents, je lui laisse tout le temps d'imaginer le sort que je lui réserve. Nous avançons ainsi jusqu'à la table basse, bois massif, solide, semblant taillée dans la masse même du tronc d'arbre, d'une seule pièce... Rien à voir avec celle "Ikea" du salon… Elle ne casserait jamais celle-ci... - Grimpe ! A plat ventre sur la table. Appuyant mon ordre par un coup de poignet tirant sur la laisse. Elle s'exécute, sans mot, une patte après l'autre dans la lenteur que j'aime voir, puis baissant d'abord son torse pour enfin étaler ses jambes, les bras le long de son corps, la joue posée sur la table, bien à plat sur le ventre. Ma main se pose avec une vraie douceur sur son cul rebondi... une vraie caresse… Les doigts qui dessinent cette courbe.... Et.... La plus piquante, la plus brulante, la plus claquante des fessées que je ne lui ai jamais donné.... juste une seule, mais elle m'en a même fait vibrer le bras. Je regarde sa peau et son corps se tendre pour la "digérer" pendant que je vois apparaitre sur sa fesse la marque de mes doigts, rouges vifs, aussi nette que si je les avais dessinés au feutre. Elle s'en mord la lèvre et son souffle se coupe, elle ne s'attendait pas à une telle force d'entrée. Elle contracte les fesses, comme légèrement inquiète sur la suivante. Ma main se repose sur elle, au même endroit et glisse avec douceur tout le long de sa raie, puis de ses lèvres intimes, puis remonte de l'autre côté, passant sur son clito, son pubis, et la paume se posant à plat sur son bas ventre, entre la table et elle. L'avant-bras collé à son sexe... et avec force, la décolle de la table vers le haut...30 ou 40 cm d'un coup, sans me soucier de la douleur que l'appui de ma main sur son ventre peut lui causer.... jusqu'à ce que ses genoux puissent la soutenir d'elle même, le cul levé, la tête écrasée sur le bois. Je retire la main de son corps et vient lui appliquer une autre fessée, beaucoup moins forte celle-là. Comme une tape de satisfaction de la voir comme ça, celle qui dit "Bien, bonne fifille". Je la laisse dans cette état, et me déplace pour que de sa tête tournée sur le côté elle puisse me voir... debout en face de son regard... le regard de prédateur, le regard qui ne lui laisse planer aucun doute sur ce qui va se passer. D'une façon ou d'une autre, elle va prendre... et prendre cher. Je sors de ma poche l'objet que j'ai pris dans le tiroir, toujours bien à sa vue... un gros rouleau de scotch US toilé, noir... et de mes deux mains, ouvrant les bras d'un geste sec et un sourire aux lèvres, j'en tire une grande bande. Je découpe une bande d'une trentaine de centimètres que je tiens d'une main, tandis que l'autre empoigne sa laisse... Je la tire sans ménagement, jusqu'à ce que sa tête soit plaquée complètement sur la table, la joue incrustée dans le bois dur... Je tends la laisse jusqu'au pied de la table et je la lie avec le scotch. Ses sens s'affolent, je vois sa respiration s'accélérer, sa peau battre au rythme de son pouls, son odeur qui change. Puis c'est au tour de ses chevilles, je me déplace... Elle ne peut plus me voir, mais le bruit qu'elle connait à présent lui fait savoir exactement ce que je fais... Une bande de scotch, une cheville, un pied de table... puis l'autre côté. J'attrape ensuite un poignet, le ramène dans son dos, au-dessus de ses reins... le temps d'attraper l'autre et l'amener au même endroit... et toujours ce même bruit du scotch qui se déroule du rouleau. ... Mais pas celui qui suivait, de la déchirure de la bande... pourtant ses poignets se lient l'un à l'autre par l'étreinte du scotch qui les entoure, 1 tour, 2 tours, puis 3.... Toujours pas déchirure... et le bruit du scotch qui se déroule encore... la morsure de la colle puissante qui se fait sentir sur toute sa taille, son ventre, qui la ceinture... et revient sur ses poignets liés, par l'autre côté de son corps. Je me recule et contemple mon tableau... Je n'ai pas besoin de lui demander ce qu'elle ressent, je le sais. Je reconnais bien ces frémissements de sa peau, le parfum qui se dégage d'elle à présent, cette odeur de petite Chienne... et son intimité luisante, mouillant même ses cuisses. Je reviens à sa vue, debout en face de son regard... le rouleau dans une main, et de l'autre je viens lui empoigner les cheveux... fermement... Mes yeux se font rieurs, et sévères à la fois... Dominants tout simplement... Je penche la tête, proche de la sienne, un léger sourire... - Et maintenant, dis-moi petite fille... Est-ce que Moi, j'ai ton attention? - Oui Monsieur. - C'est la seule chose que je voulais entendre. J’extirpe une dernière bande de scotch toile du rouleau, 15 cm... Et la lui applique sur la bouche.... Terminant ainsi la discussion et disparaissant de son champ de vision en me dirigeant derrière elle. Le bruit d'une braguette qui s'ouvre. Le claquement de 2 corps l'un contre l'autre... Tout est réunis à présent en un seul élément, bestial, animal, brutal... Le Loup, La Louve, Sa Lune... Cette fin d'après-midi ne sera décidemment ni calme, ni romantique.
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Par : le 31/05/16
Je partage cet article, si certains s'intéressent à cette notion et souhaitent pouvoir le lire en français je peux le traduire intégralement Subspace & After Care by Sue Rozen ( http://femdommag.com/?p=32 ) During mentoring sessions with new or less-experienced Dommes, when I mention subspace, the reply I often get is, “What is that?” The subspace and aftercare are topics that tops playing in SL are often unaware of. To ensure everyone is safe and happy, however, Dommes need to have a working knowledge of what subspace is, what causes it, how to identify if a sub is in subspace when playing and how to spot the signs of sub-drop. D/s is all-encompassing in the sense that it’s not just about scenes, highs, fun, pain, control, and all the exciting things we do. It’s about real people, and their needs and wants. A conscientious dominant will know that she is responsible for her submissive’s well-being and care. Part of that responsibility involves knowing what can happen to her sub when he interacts with his dominant. As a scientist who has both personal D/s experience and the benefit of research into subjects such as human physiology and biochemistry, I’ll try to share practical tips while working in the science-y stuff. Firstly, what is subspace? Subspace (also called headspace, flying, or floating) is the name given to the state the submissive’s mind and body is in during a deeply involved play scene. It is an elusive and sought after space that is the holy grail of many submissives. Many types of BDSM play invoke strong physical responses. The psychological aspect of BDSM also causes many submissives to mentally separate themselves from their environment as they process the experience. Deep subspace is often characterized as a state of deep recession and incoherence. Deep subspace may also cause a danger in newer submissives who are unfamiliar with the experience. The experience requires the dominant to keep a careful watch to ensure the submissive isn’t placing him- or herself in danger. How does this happen? [Hold on to your seats, this is the science-y bit!] During the scene, the intense experiences of both pain and pleasure trigger a sympathetic nervous system response, which causes a release of adrenaline in the sub’s body. Other chemical messengers such as endorphins and enkephalins (natural pain relievers) are also released, and these natural chemicals, part of the fight or flight response (the stress response of the body), produce the same effect as a morphine-like drug. These chemicals have the effect on the brain of increasing the sumbissive’s pain tolerance as the scene becomes more intense. A sort of trance-like state is produced in the sub due to the increase of hormones and chemicals. The submissive starts to feel out-of-body, detached from reality, like he or she is floating or flying. Many submissives, on reaching a height of subspace, will lose all sensation of pain, as any stimulus causes the period to prolong. As the high comes down, and the parasympathetic nervous system kicks in (to counteract the effects of the aforementioned chemicals), a deep exhaustion, as well as incoherence may result. This is when aftercare becomes important to the well-being of the submissive. Ok, that’s all well and good, but what does this mean in reality? Submissives that are deeply in subspace can often have their ability to communicate impaired. This means that they may not be able to use their safewords/safe-signals when they are heading into dangerous territory. In fact they may not even be aware they are heading into dangerous territory! This reduced or impaired ability to communicate with the tops, combined with the fact that the subs may no longer be able to feel pain due to the high levels of endorphins rushing through their bodies, could mean that subs could be hurt or damaged during scenes. If, for example, a less experienced top is dealing with a sub who has gone deeply into subspace, and doesn’t know what signals to watch for, that top may take the physical aspect of the play too far, all the while waiting for s safeword from the sub that the sub is incapable of giving. So, what do I look out for? What are the signs that a sub is in subspace? Just like anything else, signs of subspace can vary from individual to individual. The length of time taken to go into subspace, and the types of activities that can take a sub into subspace are often specific to the individual sub. For some, it takes a long time and quite a deal of physical stimulation, whereas for other subs, merely hearing their tops’ voices or being touched by the tops can have them floating off. But there are a few tell tale signs: The submissive may become less verbal in communication as he enters the more “feral” state of subspace. The top may notice that the sub’s ability to speak and to use words to communicate how he or she feels is reduced, and the sub may only communicate in grunts or moans (which, let’s face it, are difficult to interpret). There are often changes in skin tone; eyes may roll back in the head. The body may go limp and floppy (which is at odds with the muscle tensing that would generally be expected with physical punishment). After a time with a sub, the top will come to recognise the signs of that individual’s subspace. The endorphin-mixed-with-adrenaline high that is experienced by the submissive is often compared to a drug-induced high and can be addictive for the submissive. Think of it as something akin to “runner’s high.” Indeed, a sub in subspace can often beg for more of the physical stimulation that got and keeps him there without the knowledge that this could result in harm. This is where the dominant needs to keep control of the situation, and bring the sub safely down from the high. Now that I know what to look for, what should I do? It can be damaging for a sub in subspace, to just be left, cold-turkey as it were, without being brought safely “back down to earth.” A dominant that is unaware of subspace and its physical and psychological impact on her sub, may just up and leave after a scene, with the sub possibly still in subspace. It’s not good enough to just untie the binds, and leave. It is the top’s responsibility to spend time bringing the sub back down: gradually lessening the stimulation, talking the sub back to earth, giving the sub affection and reassurance, telling him that he’s done good job, and giving lots of hugs and kisses to accompany the sub’s journey back down, for example. Exhaustion will often accompany the sub coming down from subspace. So the dominant may have to provide a safe environment for the submissive to sleep and regain strength. Leaving a sub in subspace, where the sub’s still flying and buzzing in an out-of-body experience, can be dangerous. For example, imagine a sub, still in subspace trying to drive a car. They sub doesn’t have the requisite concentration and ability to perform such a complex task, and by not grounding the sub before letting him or her leave, the top could be putting the sub in danger. Now, you may be thinking, “Well I only interact with my submissives online, I don’t need to worry about this.” But that’s not necessarily true. Subs in cyber-relationships enter subspace just as easily and fully as those in RL situations. And as the domme in a cyber D/s relationship cannot often see her sub, she needs to rely on other methods to determine if the sub is brought down again after a scene. In this case, the voice is the best tool available to the Domme – she needs to get to know her sub’s voice intonations and how they change while in subspace, so that she can safely determine when the sub is again grounded. Where a scene is done in text alone, the communication that occurs in-scene and following the scene, in aftercare, between sub and Domme is similarly critical to the sub’s well-being. I got the picture — But what is subdrop? Even after the most carefully applied aftercare, some residual effects of the subspace experience can still remain with the submissive. The phenomenon of “sub-drop” is the name given to the drop or low that a sub (or indeed a dominant, but that’s another discussion) can experience in the hours or even days after an intense BDSM scene. The term subdrop is generally applied to the ”negative” effects or depressive state that a sub can experience after a scene. The causes are manifold, it can be a physical reaction to the adrenaline and endorphins leaving the body. For those raised in a very traditional environment the resulting drop may be associated with feelings of guilt or shame. Subdrop may manifest itself in may different ways – there could be tears, irrational fears expressed by the sub, or a sub may feel sad or lonely in the hours or days after leaving the dominant. Subdrop could be compared to shock in a way, and the treatment is much the same. The dominant should provide as environment for her submissive in which the sub can express his or her feelings and receive the domme’s attention (after all, the dominant is at least party responsible for getting the sub into this place). The Domme should watch for signs of distress, and try to understand what the sub needs from her – bearing in mind that this may be different depending on the sub. The point of aftercare is to make the sub feel accepted, wanted, safe, secure and comfortable. With consistent application, good aftercare will help grow the trust between Domme and sub, and will help the relationship to blossom and reach new heights, as the sub will know that the Domme has his best interests in mind, has an understanding of what’s happening to him and will do her best to alleviate any negative situations that may develop. A good and caring Domme will always have the care of her sub foremost in her mind. By all means take the pleasure, that’s what D/s is about – but don’t take and give nothing back. The D/s experience should be rewarding and pleasurable for both the dominant and submissive. Dominants and submissives equipoise each other – and this balance cannot be dismissed or forgotten. It’s about mutual trust and understanding, and while both parties are charged with trying to understand each other, in this case much of the responsibility lies with the Domme to provide the lead, and the consistency which the submissive craves so much in life. The submissive however is not without responsibility in relation to subdrop and aftercare, the sub must communicate needs and feelings to the Domme openly and honestly, so that the Domme can take the necessary actions to care for her sub. By providing good aftercare, the sub will know that the Domme provides a safe environment in which these topics can be discussed without fear and in full honesty. A Domme who understands subspace – its thrills as well as its pitfalls – can get the very best from her submissive, and therefore the best experience for herself, from which everyone wins.
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Par : le 25/05/16
Elle a minaudé auprès de mon Maître pour que l’on vienne à la soirée des Windsors alors que j’avais un programme avec mon pote Cauet et mes copines pour des bœufs improvisés. On arrive avant elle et je me demande, si cette fois encore, elle ne fera pas faux bond à l’invitation. Je guette l’entrée, ma coupe à la main et elle arrive. Elle est accompagnée d’un beau dominant, ils rient ensemble. Ça me fait du bien de la voir rire car cela fait des mois que je l’entends pleurer… Ils se tiennent par la main et je les pense plus proches que je ne croyais. Je me garde de faire quelques remarques que ce soient même si des questions curieuses me brûlent les lèvres. Elégante et souriante, je la retrouve comme à la belle époque, servant son partenaire avec dévotion. Ça me fait bizarre de la voir dévouée à un autre que Oxy. Oxy et Cindy, c’est aussi mythique que Masterlau et Bergamote. Egoïstement, je les souhaiterais toujours ensemble mais la vie, et surtout Oxy, en ont décidé autrement et ça ne me regarde pas. Mais ça me renvoie à ma propre histoire et contre cela, je ne peux pas lutter. Je ne peux pas m’empêcher d’en vouloir à Oxy même si j’ai beaucoup de respect et d’affection pour lui. Elle me rejoint sur la banquette et on babille comme deux collégiennes. C’est toujours un grand moment de plaisir que de se retrouver, elle et moi. On s’est découvertes par hasard, il y a quelques années déjà et la similitude de nos parcours (et accessoirement le partage du même dominant) nous a liées d’une amitié sincère. J’ai vécu son abandon et ai écouté sa peine, tellement elle réveillait de douloureux souvenirs pour moi. Je connaissais le chemin qu’il lui faudrait parcourir. Je savais que cette phase de deuil lui paraîtrait interminable et qu’elle passerait par tellement d’états d’âme… Je savais et elle savait que je savais. Je devenais sa boule de cristal, lui expliquant avec patience, l’épreuve suivante. Je lui servais des phrases toutes faites qu’on m’avait dites et dont je me nourrissais, à l’époque, pour survivre à mon chagrin. Remplacer Oxy, c’est comme remplacer Masterlau, c’est du domaine de l’impossible ! Pourtant, je savais combien il était important de ne pas renoncer à sa soumission à cause de la mort d’une histoire dans laquelle on n’avait pas vraiment de responsabilités. C’était le choix de l’autre que de dire stop à la relation, au nom de tout un tas de mauvaises raisons. Mais était-ce suffisant pour, à notre tour, dire stop au BDSM ? Similitude de notre parcours, Cindy, tout comme moi, avions fait notre temps « vanille », mené notre carrière professionnelle, élevé nos enfants pour qu’à un moment, on décide de s’occuper de notre libido devenue morte. Après le libertinage vite jugé fade, le BDSM nous avait ouvert des portes menant à des chemins lubriques insoupçonnés qui nous dévergondaient avec tellement de plaisir à la clé, qu’il aurait été criminel d’y renoncer. J’insistais pour qu’elle m’écoute et surtout qu’elle m’entende. Je la connaissais battante et tout à fait capable de surpasser sa peine pour se concentrer sur son futur bonheur. J’aiguisais sa curiosité en lui parlant des rencontres que j’avais faites et qui, pour certaines, m’avaient fait vibrer le temps d’un instant. Mais ce soir, on ne parle plus du passé. On regarde vers son avenir BDSM et elle en tisse la trame durant cette première sortie parée de son collier de pacotille. Elle est sollicitée par les membres du groupe qui l’apprécient tous. Elle sourit. Elle rit. Elle parade. Je l’aime ainsi. Elle suit son dominant et je suis curieuse de la voir jouer mais ils se sont isolés et la porte est fermée ; je connais ce code et je respecte leur intimité. Je me réjouis pour elle de ce qu’elle peut être en train de vivre, à vibrer sous les caresses d’un autre. Cela fait partie de son « apprentissage » du retour à sa vie. Elle revient le feu aux joues, alors que mon Maître me fouette en enroulant le fouet autour de mon corps. On se prend dans les bras et on partage ce moment, on virevolte afin de changer l’angle de l’impact. Elle a envie de fouet et s’adresse à Masterlau. En deux clics, elle a ôté son joli corset de cuir et exhibe avec indécence ses moelleux melons qui composent sa poitrine opulente et blanche. Elle garde sa jupette de dentelle et son string. C’est déjà beaucoup pour elle de s’effeuiller ainsi en public. Je le sais, je la connais ! Elle décide tout ce soir et elle instrumentalise les autres à son propre plaisir. Elle est toujours soumise mais désormais c’est à elle-même. Elle donne que ce qu’elle veut donner. Elle se donne si elle veut. C’est une femme libérée même si elle ne se sent pas si libre que ça. Elle veut jouer les Houdini pour fourguer ses chaînes devenues rouillées, inutiles voire dangereuses. Elle ne sera pas attachée. Elle veut garder le contrôle de ses bras en l’air. Elle s’impose une contrainte supplémentaire en s’agrippant aux chaînes qui pendent. Elle gigote comme si elle cherchait de la stabilité sur des sables mouvants, puis, soudain je la sens inspirer à fond et s’immobiliser. Elle est prête. Masterlau œuvre sur elle. Il vit sa disposition comme un grand honneur qu’elle lui fait. Secrètement, il a espéré ce moment et c’est sans doute pour cela qu’elle n’a pas eu de mal à le convaincre de venir ce soir, au détriment de ma soirée « nanas ». Je les regarde jouer ensemble. Le rythme est soutenu. Ça monte crescendo et c’est elle qui mène la danse. Elle ahane, elle crie comme si elle avait besoin de s’exorciser d’un mal qui l’asphyxie. Elle rit aussi et chaque fois, je pense qu’elle va dire stop. Elle se « punit » d’une abstinence qui n’a que trop duré. Elle en veut encore, mon Maître transpire. Ils sont ensemble dans cette bulle de complicité et d’admiration réciproque. C’est comme une lutte où le matériel est mis à rude épreuve, où le corps de la soumise encaisse et où les muscles des bras du fouetteur sont bandés à outrance. Je constate que mon Maître ne fait quasiment pas de pause, qu’à aucun moment, il ne vient la caresser comme pour effacer les traces du passage de son engin et je m’approche d’elle pour la prendre dans mes bras. Je ne crains pas le fouet et l’affronte en regardant mon Maitre. Je sais qu’il fera particulièrement attention de ne pas m’atteindre au visage. Je veux m’assurer que ma topine va bien. Je caresse le corps meurtri de Cindy. Elle est brûlante et l’espace d’un instant, je me demande si elle n’est pas allée trop loin. Mais les propos qu’elle chuchote à mon oreille me rassurent et je fais signe à mon Maître que tout va bien, qu’elle en veut encore, qu’elle peut encore. Ils joueront longtemps ce soir-là et leur air hagard respectif lorsqu’enfin ils se poseront face à face m’en dira long sur leur satisfaction personnelle. Le reste de la soirée sera plus léger pour Cindy, elle est venue chercher sa jouissance à elle, celle qui la fait vibrer et la confirme dans son statut de demandeuse de pratiques SM. Je sais combien son retour, seule, à la maison lui sera pénible. J’ai connu, moi aussi, ces retours de soirée où l’on décide de rentrer seule, quand bien même on a envie de baiser et même si on a été sollicitée, voire tentée parfois. Bizarrement, on est emplie d’une forme de culpabilité idiote, comme une adolescente qui aurait fait le mur pour se rendre au bal qu’on lui refuse depuis trop longtemps. Cindy, tu es une pétroleuse et je sais que tu sauras puiser la force dans ta passion du BDSM pour envisager un avenir à deux. Tu ne trouveras pas le « remplaçant » de ton Maître Oxy, mais tu vivras autre chose, quelque chose de différent qui te rendra plus forte et plus sereine. Moi aussi, lorsque j’ai perdu CKristo, j’ai pensé que je ne pourrais plus jamais rencontrer quelqu’un d’autre qui me fasse autant vibrer. D’ailleurs, lorsque Masterlau est entré dans ma vie, je ne lui ai accordé aucun crédit mais il a su me faire rêver et m’emmener dans son univers, où, avec confiance et amour, je l’ai suivi et où je me pavane dans le bonheur depuis trois ans. Je vais continuer à te suivre, avec bienveillance, de loin ou de près (comme tu voudras), mais « je sais » d’ores et déjà, quelle soumise épanouie tu seras dans trois ans. N’oublie jamais que si le pare-brise est plus grand que le rétroviseur, c’est pour pouvoir regarder DEVANT.
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Par : le 24/05/16
Après avoir constaté quelques erreurs, je poste de nouveau mon portrait québécois pour Amroth60. Portait qui permet de parler un peu de soi, d'en savoir plus. J'évoque un peu de moi et mon goût pour le BDSM. 1- Un pays où j’ai vécu : le Chili. 2- Mon livre préfére : Confieso que he vivido-Pablo Neruda. 3- Ma première vraie histoire d’amour : à l’âge de 18 ans 4- Mon signe du zodiaque : Lion. 5- Mon sport préféré : la natation 6-Matière préférée à l’école : l’espagnol 7- Je suis pacsé 8- Ce que j’aime le plus : nager nu dans la mer 9- Je suis dans une relation vanille 10- J’ai avoué mon goût pour la soumission récemment à mon compagnon. C’est un sujet assez tabou que j’évoque facilement en virtuel mais peu en réel. 11- Je sens que mon compagnon a un potentiel pour être dominateur, mais j’ai l’impression qu’il s’ignore. Je ne sais pas si c’est réel où si je projette en lui ce que j’aimerais qu’il soit. 12- J’aime être dirigé. Mon compagnon me reproche parfois de ne pas être suffisamment force de proposition dans le couple. Mais j’ai un mental de suiveur et non de meneur. 13- A l’âge de 6 ans, le fils de ma nourrice a reçu le martinet sous mes yeux, j’avais mal et en avais les larmes aux yeux. 14- A 7 ans, j’ai à mon tour été puni au martinet. 15- Inconsciemment, ces expériences m’ont sans doute donner le goût de la fessée à l’âge adulte. Ces deux souvenirs sont restés gravés et je suis devenu un réel fétichiste du martinet. 16- Je possède 3 martinets. Mon préféré : celui avec un manche en bois, lanières carrées. J’ai aussi un faible pour les martinets aux lanières en cuir tressées. 17-La première fois que j’ai été puni adulte : à l’âge de 23 ans. 18-Punition où j’ai eu le plus peur : attaché, j’avais peur qu’il ne s’arrête plus car j’avais utilisé le safeword, la douleur/plaisir s’est rapidement transformé en pure douleur. J’ai détesté sur le moment, adoré après. Expérience qui m’a permis de me dépasser. 19-Au sein de mon couple, j’adorerais être puni 20-Mon idéal de vie de couple : servir, obéir, partager des moments de complicité, être puni si besoin. 21- Ma punition la plus longue et la plus ennuyeuse : Un Master me demandait après chaque coup si j’avais mal, et me disait que les coups pouvaient être moins fort si je le souhaitais. C’est à ce moment là que j’ai regretté mon expérience évoquée en 18. 22- J’ai vécu pendant 4 mois dans une relation BDSM. 23- Une relation, BDSM se fonde sur la confiance et la complicité. L’expérience évoquée en 22 a échoué sans doute parce qu’il manquait des moments de tendresse. 24- Je peux aussi bien être en couple avec une femme qu’avec un homme 25-J’ai longtemps cherché une femme dominatrice, en vain. J’ai souvent été déçu par des femmes virtuelles et vénales. 26- J’admire les couples qui ont des relations D/s sur du long terme et qui en font un mode de vie. 27- J’admire et envie les hommes dominateur car ils sont le contraire de moi. J’aimerais être à leur place, leur ressembler. J’admire aussi les mecs machos que je croise dans la salle de sport, car je ne suis pas du tout comme eux et me sens vraiment inférieur quand je suis en leur présence. 28- Pour moi le BDSM n’est pas qu’un jeu. Être soumis fait réellement partie de ma personnalité. 29- Un moment gênant : j’ai croisé des collègues alors que j’étais sous cage de chasteté. J’étais habillé, mais j’avais peur que ça se voit. 30-Certaines personnes que j’ai croisées sur ce site m’ont vraiment donné l’impression d’être super. Dommage que je ne puisse pas vous connaître en vrai ou qu’une rencontre soit compliquée. 31- J’apprécie ce site mais je n’aime pas le fait de devoir ajouter une personne en ami pour pouvoir échanger avec. 32- J’ai parfois peur de passer pour un fake ou un fantasmeur. Non je suis bien réel, sauf que je suis en couple, aussi bizarre que cela puisse paraître je suis fidèle et n’ai pas l’intention de tromper mon partenaire pour un moment bdsm peut-être sans lendemain. Je suis resté pendant 3 ans seul, à la recherche de ce qui m’a paru impossible. J’ai peiné à me reconstruire après une histoire d’amour douloureuse. Je n’ai pas envie de tout gâcher. 33- Un regret parfois : ne pas être en couple avec une dominatrice. Une vie à deux au service de ma Domina et avec enfants m’aurait aussi comblé.
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Par : le 16/05/16
Si j'avais une Soumise... Séduise, soit par mon regard ou par ma voix... Acquise, offerte à mes désirs avec réelle joie... Conquise, ton corps est découverte pour moi... Éprise, ta chatte mouillée tu offres avec émoi... Commise, de tes orifices je me délecte adroit... Marquise, ton élégance masque la Salope en toi... Promise, le stupre pour ma chienne est l'unique voie... Introduise, tes appendices honorés je m'y emploie... Emprise, liée et impuissante ton corps je m'octroie... Friandise, ma bonbonnière remplie ainsi il soit !!! Exquise, je dévore tes calices brûlants et étroits... Gourmandise, seulement l'overdose j'entrevoie... Prise, Ton Dom, et puis qui encore ? Lui seul prévoit !! Mainmise, ton Dominant pour ton plaisir sera Roi... Soumise, à Marc Ydessad, tu adores sa luxurieuse foi.
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Par : le 10/05/16
Inconditionnel des massages et ayant eu l'occasion de vivre en Espagne une expérience en la matière au goût prononcé de soumission consentie, Paulo roule maintenant vers une adresse inconnue, située au coeur du Pays Nantais. Vaillante dans les côtes, intrépide lors de la traversée de la profonde forêt du Gâvre, la petite Fiat 500 avale les kms et approche de sa destination. Sur le siège du passager se trouve un petit sac noir contenant une longue laisse de chanvre et aussi quelques autres petits accessoires utiles. A son cou, à peine dissimulé par le col de ma chemise, Paulo porte son collier de soumis en cuir noir, solide, confortable et orné d'un bel anneau de bronze. Comment est-elle cette masseuse aux mains d'or vers qui l'envoie Jana ? Il se surprend à l'imaginer grande, à forte poitrine, avec des battoirs de masseurs turcs. Et puis il se dit qu'au contraire, elle a peut-être des points communs avec sa masseuse espagnole à l'oeil noir et aux seins minuscules. Sa Maitresse s'est bien gardée de lui donner le moindre indice. Il sait seulement qu'elle a le goût des corps et aime masser hommes et femmes, sans distinction. Il a cru comprendre aussi que la domination ne lui est pas étrangère. Les consignes que Paulo doit transmettre sont simples et claires: liberté totale de conduire le massage à sa guise en ayant à l'esprit que tétons, testicules et anus sont régulièrement souvent à des jeux qui peuvent être sévères et qu'il convient donc de les manipuler avec toute la vigueur nécessaire, tout en assurant détente et assouplissements. Et Jana avait aussi ajouté, en saisissant sa bite de façon autoritaire: - il s'agit d'un massage, mon ami, donc pas question de réclamer une quelconque «finition». Je t'impose une abstinence complète et j'entends bien qu'elle soit respectée. Puis elle l'avait repoussé d'une tape bien placée, alors que son sexe commençait à exprimer une raideur prometteuse. Les derniers kilomètres dans la campagne bretonne furent un véritable enchantement: symphonie de verts tendres dans les bois traversés, rivières gorgées d'eau par la pluie des derniers jours, scintillant maintenant sous un soleil printanier retrouvé. Un bruit de verrou et la lourde porte verte s'ouvre sur un visage avenant et souriant. Vêtue d'une élégante robe orientale de soie rouge boutonnée jusqu'au cou, Pandora s'écarte pour laisser entrer son visiteur. La pièce baigne dans une agréable pénombre agrémentée de quelques bougies à la lumière douce où flotte aussi la lenteur apaisante d'une musique zen. Au fond, près de la fenêtre au volet clos, se trouve une grande table de massage. Y déposant le petit sac noir préparé par sa Maitresse, il s'assied sur le siège que lui désigne son hôte. Quelques échanges de politesse, la découverte amusante de quelques ami(e)s commun(e)s, un jus de fruit frais pour oublier la longueur du trajet, puis Pandora lui montre où déposer ses vêtements. Mis en confiance par cet accueil paisible et serein, Paulo ne fut pas long à se retrouver totalement nu devant sa masseuse. Celle-ci sourit en découvrant le bijou qu'il porte au sexe mais ne dit mot et se tourne vers la table de massage qui l'attend. S'allongeant sur le ventre comme elle le lui demanda, il se détendit, ferma les yeux, tout attentif à la suite des événements. Réchauffant l'huile entre ses mains, Pandora regarder l'homme étendu là. Un corps plutôt massif lesté de quelques kilos de trop, sans grâce particulière mis à part de belles épaules musclées, il dégage cependant une sérénité tranquille, un calme qui lui semble à toute épreuve. La découverte d'un nouveau client est toujours un moment important et fort pour elle. Saura t'il la respecter, la considérer comme une femme qui aime les hommes et sait parler à leur corps, mais qui n'est ni à prendre ni à importuner seulement à découvrir et écouter. Saura t'elle trouver la bonne distance, déceler les tensions, procurer détente et bien être sans pour autant éveiller concupiscence et folle excitation. La limite est ténue, elle le sait et s'en amuse aussi, car elle peut aussi être directive et cassante, dominatrice et autoritaire. Le fouet qui dort dans la pièce voisine, et qu'elle manie avec dextérité pour le plus grand bonheur de son esclave personnel, pourrait éventuellement servir, si nécessaire. Mais cet homme là parait doux, sociable et obéissant aussi lui semble t'il. Qu'attend t'il exactement d'elle, jusqu'où est il prêt à aller dans l'abandon dont elle devine l'envie à sa pose alanguie devant elle. Posant ses mains chaudes sur ses chevilles, lui écartant doucement les jambes, elle remonte ensuite avec lenteur jusqu'à les poser sur ses fesses. - avez vous des consignes particulières à me transmettre ? lui chuchote t'elle à l'oreille. Et Paulo de lui indiquer les instructions reçues en omettant, acte manqué probablement, d'évoquer la question des «finitions». - combien de doigts lui demande Pandora le plus naturellement du monde? - trois s'entend répondre Paulo en se redressant, avant de rougir de confusion - très bien, nous ferons en sorte que vous puissiez en accueillir bientôt quatre sans difficulté répondit elle. - et côté tétons, j'ai vu qu'ils étaient déjà fort développés chez vous? - oui… et ma Maitresse souhaite qu'ils puissent grossir encore et atteindre la taille d'une framboise répondit Paulo. - mon cher ami, il faudra à l'avenir veiller à me transmettre la totalité des consignes qui vont été données et pas seulement celles qui vous conviennent dit elle en crochant sa fesse tendre de ses ongles acérés. - j'ajoute que vous êtes ici chez une masseuse qui prend un grand soin des corps qui lui sont confiés, les préparant à leurs activités futures suivant les indications données. Mais chez moi, ne comptez pas bénéficier d'un quelconque service sexuel ni d'aucune «finition» ou autre gâterie de ce genre, que ce soit bien clair!. Un peu penaud, Paulo se retint de dire que c'était justement pour cela que sa Maitresse l'avait choisie et reposa la tête sur la table de massage. La pièce retrouva son silence et le calme, uniquement troublés par le son sophistiqué d'une cithare indienne au rythme hypnotique et envoûtant. A SUIVRE…
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Par : le 06/05/16
Si je vous parle d'elle c'est qu'elle était ma sœur soumise, mon amie ma confidente et bien plus encore, une attirance commune; combien de fou rire j'ai eu avec elle, la première fois que je l'ai vue , c'est la première fois que je voyais une soumise, j'imaginais les soumises autrement, avec des collier des chaînes, comme si on pouvait les repérer dans la rue.. Ne riez pas ,je ne connaissais rien au monde du BDSM Se qui était évident pour moi c’était de la protéger cette voix si douce ,que je me penchais pour l’écouter, Nous avons bu un café ; on est allée dans un magasin D ,on a rit de nos bêtises de nos envies . Elle avait essayer son premier corset avec moi , elle voulait absolument mon avis On c'est tout confier , nos doutes , parfois , nos questions secrètes que l'on peux se poser entre soumises même si le Maître c'est tout, on a besoin de se rassurer pour se dire que nous sommes normales.... Nous lisions peut les forums , Je connaissais d'autres amies soumises , c'était la seule à qui j'arrivais à me libérer ,jusqu'à présent. Nous nous étions jamais jugées l'une et l'autre , on c'était confié tant de choses.... Que pourrais je encore dire d’elle , elle avait été aussi mon coup de cœur , Nos envies l'une de l'autre a été forte, nous avions sus passer outre, même si nous avons été réunies plus d'une fois.. Se que je n'avais pas vue à cette époque la , c'est que j'aurais pu être sa Domina , elle me demandait dans qu'elle habits venir , je lui disais mes tes bas pas de culotte, je ne pensais même pas à vérifier , j'étais si sur qu'elle viendrait comme je lui avais dit d'être. je n'avais rien vue de cette attirance commune , c'est si bête de sentir cela bien trop tard .......... C'était une merveilleuse amie, c'était une personne douce, qui était aussi taquine parfois.. Je pouvais lui posée mille questions , elle avait toujours une réponse, dans notre amitié , je fus plus l'amie posée qui la calmait parfois la rassurait sur ses doutes...... Elle était toujours présente parfois dans mes rencontres avec mon Maître, je lui disais parfois mes tenues, mes doutes ou j’étais , mille textos échangé avec elle. que de fou rire et d’idioties dites...... Nous avons été ensemble une fois cadeau de mon Maître , elle fut sa complice pour une séance ou elle fut mienne , merveilleux souvenir ou ses fesses ont rougit sous mes mains ......... Si vous la croiser parfois, vous la reconnaîtrez au pied de son Maître qu’elle vénère plus que tout, vous verrez son visage s'éclairer,........... La vie nous a séparé, pour mille raisons futiles. Il m'arrive encore de la croisé dans un déjeuner rencontre, je la regarde de loin au bras de son Maître , la magie est partie , nous avons chacune évoluée à notre façon , son évolution est si grande , je ne peut m'empêcher parfois de la regardée, et si j'avais osée franchir se pas que je ne voyais pas..... je sais que je n'aurais jamais pu lui apporter tout se qu'elle désirait......... Elle fut ma première amie soumise Lady H qui fut sa Dame de l'ombre
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Par : le 21/04/16
Vu l'utilisation récente de quelques mots littéraires "compliqués", et à la demande de quelques membres, voici mon lexique abordant la littérature, la poésie et le théâtre. À toutes fins utiles... J'espère que ce travail pourra être utile à quelques-uns. A acception : le sens particulier d’un mot. acronyme : sigle prononcé comme un mot ordinaire. exemples : ovni, sida, Fiat, drac... acrostiche : poème ou strophe où les initiales de chaque vers, lues dans le sens vertical, composent un mot (auteur du texte, dédicataire...). action : suite des événements dans une œuvre littéraire (ou un film). adage : formule qui énonce une vérité générale ou une règle d’action. Elle fait souvent référence à un proverbe ancien. exemple : « mens sana in corpore sano.» alexandrin : vers de douze syllabes (et non pas "pied" ). allégorie : figure de style qui consiste à personnifier une idée. exemple : Cupidon est une allégorie de l’amour. alliance de mots : il s’agit de la figure de style nommée aussi « oxymore » qui consiste à associer deux termes de sens opposés. exemple : « l’obscure clarté » (Corneille). allitération : répétition de plusieurs consonnes identiques. exemple : « Pour qui sont ces serpent qui sifflent sur vos têtes ? » (Racine) amplification : figure de style qui consiste à faire progresser l’idée par une énumération de termes de plus en plus forts et souvent de longueur croissante. ampoulé : fait référence à un style plein d’emphase, sans simplicité. anacoluthe : rupture de construction syntaxique. exemple de Baudelaire (L’Albatros) : « Exilé sur le sol au milieu des huées Ses ailes de géant l’empêchent de marcher » anacrouse : demi-syllabe de temps faible initial d'un vers, précédant la première syllabe accentuée dont il est le prélude, ou syllabe accentuée servant de prélude à la cadence métrique. La syllabe en anacrouse est le plus souvent constituée d'une exclamation ou d'une conjonction de coordination ; elle est comme détachée de la trame rythmique. anagramme : création d’un mot en disposant différemment les lettres d’un mot initial exemple : aimer est un anagramme de Marie. analogie : relation de ressemblance établie entre des réalités ou des notions qui, en tant que telles, sont de nature différente. exemple : pour parler d’une « couleur criarde », j’ai dû créer une analogie entre une réalité visuelle et le domaine sonore en me basant sur une comparaison entre une couleur et une sonorité désagréables. anaphore : figure de style qui consiste à commencer une série de phrases ou de vers par le même mot ou expression. exemple : « Avec la mer... Avec le vent... Avec des cathédrales... Avec un ciel... etc ». antihéros : personnage qui ne possède aucune des qualités attribuées généralement au héros (courage, moralité...). antinomie : contradiction entre deux notions, idées, thèses. exemple : Pour Sartre la liberté humaine et l’existence de Dieu sont antinomiques. antiphrase : figure de style qui consiste à dire le contraire de ce que l’on pense. Elle est le procédé essentiel de l’ironie. exemple : dire à un enfant qui a fait pipi au lit : « C’est du propre ! » antithèse : 1) Figure de style qui consiste à opposer deux termes ou deux expressions dans une même phrase. 2) Point de vue opposé à une thèse précédemment exposée. antonomase : figure qui consiste à remplacer, en vue d'une expression plus spécifiante ou plus suggestive, un nom propre par un nom commun (le Sauveur pour Jésus-Christ) ou un nom commun par un nom propre (un Tartuffe pour un hypocrite). Et par extension : Substitution d'une expression suggestive à une expression banale. antonyme : mot de sens opposé à celui d’un autre exemple : « richesse » et « pauvreté ». aparté : courte réplique que le personnage s’adresse à lui-même sans être entendu de ses partenaires, mais perçue par le public. aphérèse : chute du début d’un mot. exemples : « bus » pour « autobus », « pitaine » pour « capitaine »... aphorisme : formule courte qui exprime une idée ou un principe moral. apocope : suppression à la fin d’un mot d’une ou plusieurs syllabes. exemples : « ciné » pour « cinéma », « pub » pour « publicité »... apologie : éloge ou défense d’une personne, d’une théorie, d’une institution... apophtegme : sentence morale (voir le mot « adage »). apostrophe : figure de style qui consiste à s’adresser solennellement à une personne présente ou absente, ou à une réalité qu’on personnifie. exemples : • « Sois sage, ô ma Douleur (Baudelaire).» • « C’est à Toi que je m’adresse, ô Dieu Tout-Puissant !» archaïsme : figure de style qui consiste à employer dans un texte des mots vieillis ou démodés. Il est parfois choisi par un écrivain qui aime la langue du passé. exemple : dire « partant » pour « par conséquent ». argument : désigne une preuve que l’on avance pour défendre une idée ou réfuter une théorie adverse. assonance : 1) Répétition de la même voyelle accentuée à la fin de deux vers : exemple : file/rime ; lobe/pomme ; nu/cru (celle-ci est aussi une rime). 2) Répétition de voyelles : exemple : « Tout m’afflige et me nuit, et conspire à me nuire.» (Corneille) asyndète : absence volontaire d’éléments de liaison entre des mots ou des groupes de mots (des conjonctions de coordination ou de subordination manquent). L’asyndète permet de donner plus de rapidité et d’énergie à une phrase. exemples : • « Les parents boivent, les enfants trinquent.» (slogan contre l’alcoolisme) • « Coup de fil, rasoir, voiture ; je monte ; la voici dans mes bras.» autobiographie : récit que fait une personne de sa propre vie. axiome : idée admise par tout le monde comme une évidence. B ballade : au Moyen Âge, poème lyrique à forme fixe (composé de trois strophes et d’un « envoi » en conclusion) : voir les ballades de François Villon. barbarisme : grave incorrection de langage qui consiste à déformer un mot ou à créer malencontreusement un mot inexistant. Un barbarisme peut parfois provoquer une image qui ne manque pas de charme. exemple : • « détériorisation » pour « détérioration », « visualité ». • « Une brise délicieuse, transportatrice d’une bonne odeur de tourbe, vint rafraîchir mon front.» (Queneau) baroque (en littérature française) : mouvement littéraire qui se développe entre 1580 et 1665. Ses thèmes de prédilection sont : l’illusion, la métamorphose, le mouvement, l’instabilité, l’apparence. Tendance qui s’opposera au Classicisme épris de raison et de mesure. binaire (rythme) : rythme qui se compose de deux éléments. biographie : récit de la vie d’une personne ayant existé. blog (anglicisme) : forme récente de récit autobiographique, sous forme de chroniques datées, et publiées sur internet périodiquement. À l’origine il s’agissait de rapports sur l’évolution d’un régime alimentaire ou d’un état de santé, pour témoigner de l’évolution et l’efficacité de la cure. boulevard (pièce de —) : pièce de théâtre d’un comique léger, populaire et traditionnel. bovarysme : trait psychologique qui consiste, à l’instar de Madame Bovary (Flaubert), à n’être jamais satisfait de la vie quotidienne, à se bercer d’illusions et à rechercher une vie romanesque. burlesque : a) Historiquement le burlesque est une forme de comique parodique, bouffon, en vogue au milieu du XVIIème siècle. Il ridiculise les modèles de la littérature épique et du style précieux (cf. Le Virgile travesti ou Le Roman Comique de Scarron). b) En général, on qualifie de burlesque toute situation dont le comique se fonde sur le ridicule, l’extravagance, la bouffonnerie (voir certaines séquences des films de Laurel et Hardy). Le mot se rapproche fortement de grotesque, loufoque, clownesque. C cacophonie : rencontre de sonorités semblables et déplaisantes. Elles sont parfois volontaires : celles-ci créent alors un effet humoristique. exemple : « Il peut, mais peut peu ». calembour : jeu de mots qui repose sur une différence de sens entre des mots dont les sonorités sont semblables ou assez proches. exemple : « merveilleuse » et « mère veilleuse ». calligramme : poésie dont la graphie des vers forme un dessin illustrant son sujet (Les Calligrammes d’Apollinaire). catachrèse : métaphore banalisée, entrée dans l’usage. exemples : les ailes d’un moulin, le pied d’une montagne... césure : dans l’alexandrin classique, la césure désigne la coupe centrale du vers. Elle sépare le vers en deux moitiés égales ou hémistiches. champ lexical : ensemble des mots utilisés pour désigner une notion. exemple : « pneu, carrosserie, volant, coffre... » appartiennent au champ lexical de la voiture. champ sémantique : ensemble des sens qu’un mot prend dans un énoncé donné. exemple : le champ sémantique du mot «aimer» recouvre l’amour entre les hommes, l’amour paternel ou maternel, l’amour conjugal... cheville : en versification, mot ou expression qui ne sert qu’à remplir un vers, pour obtenir un compte de syllabes correct. exemple : Les adverbes en -ment du poème de Trissotin dans Les Femmes savantes de Molière « Votre prudence est endormie De traiter magnifiquement Et de loger superbement Votre plus cruelle ennemie...» chiasme : figure de style qui consiste à inverser l’ordre des termes qui s’opposent (on a toujours une disposition croisée). exemple : - « Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger » (Molière) - « Valse mélancolique et langoureux vertige ! » (Baudelaire) chronique : a) récit d’événements (fictifs ou historiques) qui suit l’ordre dans lequel ils se sont déroulés (Les chroniques de l’historien Jean Froissart). b) événements d’actualité, nouvelles concernant tel ou tel milieu, ou encore rubrique journalistique qui en rend compte régulièrement (chronique sportive, gastronomique...). chute : en littérature, effet de surprise inattendu produit par la fin d’un texte. La chute est aussi un terme de versification qui désigne le dernier vers d’un sonnet. En général elle est particulièrement soignée. classicisme : mouvement intellectuel et artistique de la seconde moitié du 17 ème siècle, caractérisé par la recherche de l’ordre, de la clarté, de la mesure, du naturel, du vraisemblable et par la prédominance de la raison (Pascal, Racine, Corneille, Boileau...). clausule : dernier membre particulièrement travaillé d’une strophe, d’un vers ou d’une période oratoire. cliché : idée toute faite, conventionnelle, banale. Le cliché désigne souvent une idée tellement vue, lue ou entendue qu’elle n’est plus originale. comédie : pièce de théâtre qui provoque le rire. comparaison : figure de style qui consiste à établir un rapport entre un terme et un autre terme (terme comparatif, comparé et comparant obligatoires). exemple : Paul est gai comme un pinson. confident : dans la tragédie classique, personnage auquel le héros se confie. connotation : sens second d’un mot. contrepèterie : interversion des lettres ou des syllabes d’un ensemble de mots spécialement choisis, afin d’en obtenir d’autres dont l’assemblage ait également un sens, de préférence burlesque ou grivois. exemple : «femme folle à la messe» (Rabelais) pour «femme molle à la fesse». coq-à-l’âne : texte dans lequel on saute sans transition d’une idée à une autre idée sans rapport avec la précédente. couleur locale : expression mise à l’honneur par les écrivains romantiques pour désigner tout ce qui, dans une oeuvre, rappelle l’époque ou le lieu où elle se déroule, ou en donner l’impression : langue, coutumes, décor, vêtements, arts («couleur» signifie ici «aspect caractéristique»). La couleur locale rend un texte plus véridique. coup de théâtre : au théâtre, brusque revirement de situation. On dit aussi «Deus ex Machina» (voir ce terme) coupe : dans un vers, pause après une syllabe accentuée. La principale coupe est la césure. exemple : «Le long /d’un clair ruisseau// buvait/ une colombe» (La Fontaine) critique : a) domaine de l’activité intellectuelle et artistique qui étudie les oeuvres artistiques. b) ensemble des écrivains ou journalistes dont le métier est de faire la critique des oeuvres artistiques. D Dada : mouvement intellectuel et artistique qui voulut détruire les valeurs traditionnelles et les conventions esthétiques. Il précéda le Surréalisme. décasyllabe : vers de dix syllabes. deus ex machina (un dieu qui sort de la machine du décor) : expression latine employée au théâtre pour désigner une personne ou un événement qui intervient de façon invraisemblable, un coup de théâtre, souvent à la fin d’une pièce, pour en permettre le dénouement. diachronie : en linguistique, ensemble des faits de langue étudiés dans leur évolution historique (par opposition à synchronie : voir ce mot). diatribe : texte, discours ou propos violent et injurieux à l’encontre de personnes, de groupes, de comportements... exemple : «des diatribes contre les moeurs modernes». didascalies : ensemble des indications scéniques (généralement représentées en italique) qu’un auteur ajoute à son texte pour signifier aux interprètes le ton à prendre, le geste à faire, la place à adopter, au cours de la représentation. dénotation : sens premier d’un mot. exemple : la dénotation du mot «araignée» est arachnide. dichotomie : division nette entre deux réalités qu’on sépare nettement et qu’on oppose . didactique (ouvrage) : qui vise à instruire. diégèse : terme de la nouvelle critique qui désigne la fiction ou l’histoire. diérèse : en versification, la diérèse est le fait de prononcer en deux syllabes deux voyelles qui se suivent. Le but de la diérèse est de souligner un mot (procédé de mise en valeur). exemple : Et se réfugi-ant dans l’opi-um immense (Baudelaire). digression : développement qui s’écarte du sujet. direct (style) : expression directe des paroles et des pensées des personnages. exemple : Elle lui dit : «Je t’aime.» disjonction : voir asyndète. distanciation : La théorie de la distanciation vient de Brecht (auteur très important du théâtre nouveau en Allemagne). Brecht souhaitait que l’acteur refuse de s’identifier au personnage qu’il joue et que le spectateur ait un recul critique par rapport au personnage. La théorie de la distanciation détruit donc l’illusion du réel. distique : strophe composée de deux vers. dithyrambique : qui est très élogieux, d’un enthousiasme excessif (fait référence au dithyrambe qui est un poème antique très élogieux). exemple : «Il parle de ses parents en des termes dithyrambiques.» divertissement : terme pascalien pour désigner les activités qui nous détournent de l’essentiel. dramaturge : auteur de pièces de théâtre. drame : pièce de théâtre, développée à partir du 18 ème siècle, qui n’est ni une comédie ni une tragédie (le drame offre une action généralement tragique et pathétique : il comprend des éléments à la fois réalistes, familiers et parfois comiques). Voir par exemple le drame bourgeois de Diderot ou le drame romantique de Hugo ou de Musset. E école : au sens artistique et littéraire, rassemblement d’écrivains, d’artistes ou d’intellectuels qui partagent les mêmes préoccupations esthétiques (l’école romantique, l’école naturaliste...). écriture : le style. éditorial : article de fond, dans la presse, situé en général en première page, qui reflète la position prise par la rédaction sur un sujet donné. L’éditorialiste est souvent le rédacteur en chef. élégiaque : ton plaintif et mélancolique qui est propre aux élégies poétiques, et qu’on peut retrouver ailleurs, dans la musique par exemple. ellipse : figure de style qui consiste à omettre un ou plusieurs éléments en principe nécessaires à la compréhension du texte, pour produire un effet de raccourci. L’ellipse nous oblige toujours à rétablir mentalement ce que l’auteur passe sous silence. Des ellipses peuvent également apparaître dans des récits ou des films, dans la mesure où certains événements ne sont pas évoqués. exemple : « Pris ou non, exécuté ou non, peu importait.» (Malraux) emphase : exagération verbale. Un style emphatique est ampoulé, grandiloquent, pompeux. engagement : en littérature ou dans l’art en général, attitude qui consiste à mettre son œuvre au service d’une cause sociale ou politique. L’écrivain engagé met son œuvre au service d’une cause qui, selon lui, doit être défendue : il combattra ainsi les injustices, toutes les formes d’oppression... La littérature engagée sera défendue essentiellement par Sartre et critiquée par le Nouveau Roman qui estime que l’art ne doit pas défendre une cause qui lui serait supérieure. enjambement : en versification l’enjambement est un procédé qui consiste à faire «déborder» une phrase d’un vers sur le vers suivant ; la compréhension du premier vers est impossible sans la lecture de la partie de la phrase rejetée dans le second. entrefilet : court article inséré dans un journal de manière à attirer l’attention. énumération : procédé qui consiste à énoncer successivement les différentes partie d’un tout. épigone : en littérature, successeur, imitateur d’un auteur ou d’une école qui précèdent. Le terme a souvent un sens péjoratif. épigramme : poème se terminant par un trait de satire. épigraphe : courte citation placée en tête d’un livre, d’un article ou d’un chapitre d’ouvrage. L’épigraphe donne le ton du texte ou éclaire sur son intention. épilogue : texte qui clôt une oeuvre pour en achever l’histoire ou mettre en valeur son sens. épique (style) : a) qui se rapporte à l’épopée ou à des oeuvres littéraires qui offrent les caractéristiques de l’épopée (actions du héros magnifiées, noblesse des sentiments, faits exagérés...). b) qui, en dehors des œuvres littéraires proprement dites, présente des caractères dignes de figurer dans une épopée. exemple : un film épique, un débat épique... épistolaire : qui se rapporte aux lettres, à la correspondance écrite (voir, par exemple, le roman épistolaire, constitué uniquement d’une série de lettres : Les Liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos ou Les Lettres persanes de Montesquieu). épitaphe : inscription gravée sur une tombe. épître : lettre en vers (voir les épîtres de Marot, Voltaire...). équivoque : mot ou phrase pouvant avoir un double sens. essai : ouvrage de réflexion en prose, qui propose une étude sur un sujet donné. étymologie : étude de l’origine et de l’histoire des mots. euphémisme : figure de style qui consiste à atténuer la réalité dont on parle, par l’emploi d’une expression indirecte qui l’adoucit (disparu pour mort, petit coin pour cabinet, maladie de longue durée pour cancer. Il atténue une réalité afin de ne pas choquer l’interlocuteur (un professeur qui écrit sur une copie médiocre : «Il y a des progrès possibles»). euphonie : agencement agréable de sonorités dans un mot (certains poètes y sont très attentifs). exégèse : science qui consiste à établir, aussi scientifiquement que possible, le sens précis d’un texte (une analyse minutieuse du sens des mots est parfois réalisée). Par extension ce terme désigne l’étude trèsapprofondie d’un texte. exergue : ce qui présente, explique. L’expression « mettre en exergue » signifie « mettre en évidence ». exemple : « Mettre un proverbe en exergue à un texte ». exorde : première partie d’un discours. Elle est l’introduction qui a pour but de créer un lien avec l’auditeur, de lui annoncer le sujet du discours et d’en exposer le plan. explicite : qui est dit clairement. exposition : début d’une œuvre (théâtrale essentiellement) où sont exposés les éléments indispensables à la compréhension de l’intrigue ou du récit. F fable : court récit en vers ou en prose contenant un enseignement moral très souvent explicité (Les Fables de La Fontaine). fabliau : petit conte en vers du Moyen Âge, au ton satirique. fac-similé : reproduction exacte d’un document. fantastique : désigne une littérature qui se caractérise par l’intrusion de l’insolite, de l’extraordinaire, du mystère dans le cadre de la vie réelle. À notre époque, l’atmosphère y est souvent dominée par l’épouvante (ou l’angoisse) et l’horreur. fantasy (anglicisme) : genre mineur du fantastique, souvent épique (voir ce mot), se déroulant dans un monde parallèle inspiré de notre moyen-âge et incluant la magie et des créatures récurrentes (mages, dragons, fées, trolls, guerriers mutants, etc). L’œuvre amblématique de ce genre, et pratiquement la référence à tous les autres, étant sans conteste «le Seigneur des Anneaux» de Tolkien. farce : pièce comique, au Moyen Âge, qui fut d’abord intercalée dans les représentations de mystères : elle était caractérisée par un comique bouffon, satirique (son comique, parfois grossier, était fondé sur des jeux de scène, des calembours, des quiproquos...) : La farce de Maître Pathelin au XV ème siècle, Le médecin malgré lui de Molière... fiction : succession d’événements, histoire, non inspirées de la réalité mais nées de l’imagination de l’auteur. figure de style : procédé d’expression particulier. Utiliser des figures de style, c’est vouloir dépasser le simple désir de transmettre une information en utilisant un langage original. figuré (sens) : sens second de certains mots. figure de rhétorique : figure de style et procédé qui concernent plus particulièrement l’art du discours. filée (métaphore) : On appelle une métaphore filée une métaphore qui se développe longuement (sur une ou plusieurs phrases) en poursuivant l’analogie sur laquelle elle se fonde. exemple : «Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé ça et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage...» (Baudelaire) focalisation : point de vue qui permet de préciser d’où et comment, dans une oeuvre littéraire, les faits, les personnages, les objets... sont perçus (le narrateur peut être extérieur au récit et en même temps analyser le caractère des personnages comme un Dieu qui voit tout et sait tout ; il peut être lui-même un personnage qui découvre petit à petit les choses ; il peut être un témoin extérieur au récit qui se contente de décrire ce qu’il voit sans rien analyser). G galimatias : langage ou écrit embrouillé, inintelligible. gargantuesque : digne du héros de Rabelais, Gargantua (énorme et pittoresque). genèse (d’une œuvre) : ensemble des éléments qui ont contribué à produire une œuvre, manière dont l’œuvre s’est formée. genre (littéraire) : catégorie d’œuvres que l’on rassemble à partir de critères divers. Si l’on tient compte de la structure formelle de l’œuvre, on distingue le roman (ou récit d’une manière générale), la poésie, le théâtre, l’essai, l’autobiographie. Geste (Chanson de —) : nom donné au moyen-âge à des épopées, en vers, qui étaient récitées avec un accompagnement musical (gesta en latin signifiait actions). Ces chansons racontaient les exploits de héros ou desgrands faits (voir La Chanson de Roland). gradation : succession de mots dont les significations ont une intensité croissante ou décroissante exemple : « Je me meurs, je suis mort, je suis enterré.» (Molière) grandiloquence : éloquence pompeuse, constituée de grands mots creux et de tournures emphatiques. H hagiographie : récit de la vie d’un saint. harmonie imitative : effet de style par lequel un texte, en combinant diverses sonorités, tend à reproduire ou à suggérer le son produit par la réalité qu’il décrit, dans le principe de l’allitération (voir ce mot). exemple (voir, dans ces deux vers, certaines sonorités qui évoquent l’écoulement de l’eau) : « La respiration de Booz qui dormait Se mêlait au bruit sourd des ruisseaux sur la mousse.» (Hugo) hémistiche : la moitié d’un vers. hendécasyllabe : vers de onze syllabes. heptasyllabe : vers de sept syllabes. hermétique (style) : difficile à comprendre (on parle de l’hermétisme de certains poèmes de Mallarmé). hexasyllabe : vers de six syllabes. hiatus : heurt de deux voyelles dont l’une finit un mot et dont l’autre commence le mot suivant. Quelques hiatus existent à l’intérieur des mots. L’hiatus produit la plupart du temps un effet désagréable. Néanmoins certains auteurs l’utilisent dans un but expressif. exemple : «Après bien du travail le coche arriva au haut.» (La Fontaine) historiographe : écrivain chargé d’écrire l’histoire officielle de son temps ou de son souverain. Il présente l’histoire en flattant le pouvoir qui l’emploie (ce n’est donc pas un historien !). holorimes : se dit de vers aux rimes homophones, c'est à dire qui oralement résonnent à l'identique sur l'ensemble du vers. exemple fameux de Marc Monnier : «Gall, amant de la Reine, alla, tour magnanime, Galamment de l'arène à la tour Magne, à Nîmes ». homéotéleute : L’homéotéleute désigne le retour, à la finale d’un mot, d’un même son à l’intérieur de la même phrase ou du même vers. exemple : « Que pour nous battre, et de nous battre un contre quatre...» (Edmond Rostand) homonyme : se dit des mots qui se prononcent de la même façon mais qui ont des sens différents exemple : « saint », « ceint », « sain ». homophone : deux mots ou groupes de mots sont homophones lorsqu’ils comportent les mêmes sons. exemple : « Naturiste : corps sage sans corsage.» (Alain Finkielkraut) honnête homme : expression qui désigne au XVII ème siècle, une personne cultivée, modérée, ayant le sens des convenances sociales et le goût de la vie mondaine de l’époque. Ses sentiments étaient nobles. Son honnêteté intellectuelle et morale étaient exemplaires. Ainsi l’honnête homme était bien plus que l’homme honnête d’aujourd’hui ! hymne : poème lyrique célébrant un personnage, une idée ou une réalité morale, un grand sentiment, une patrie... hypallage : figure de style qui consiste à attribuer à un mot d’une phrase ce qu’il conviendrait normalement d’attribuer à un autre mot de celle-ci. exemples : • « l’odeur neuve de ma robe » (Valéry Larbaud) : c’est, en fait, la robe qui est neuve. • « une île paresseuse » (Baudelaire) : ce sont, en fait, les habitants de l’île qui vivent paresseusement. hyperbole : figure de style qui consiste à exagérer l’expression de sa pensée. exemples : • « Peuple qui, de ton sang, écrivit la légende » (Edmond Rostand) • « J’étais mort de peur ! » hypotypose : procédé stylistique qui comprend l’harmonie imitative (voir ce mot), mais aussi tout ce qui est mise en scène, mouvement descriptif, découpage des phases d’une action. L’objectif est que le lecteur « ait l’impression d’y être ». exemple : «...je cours à toutes jambes ; j’arrive essoufflé, tout en nage ; le cœur me bat ; je vois de loin les soldats à leur poste, j’accours, je crie d’une voix étouffée. Il était trop tard.» (Rousseau) I iconographie : ensemble des illustrations contenues dans un ouvrage. impair (vers) : vers dont le nombre de syllabes est impair. impromptu (sens littéraire) : petit poème ou petite pièce de théâtre improvisés par l’auteur. incise : proposition insérée à l’intérieur d’un phrase et qui a pour but de rapporter les paroles ou la pensée de quelqu’un. exemple : « Je ne veux pas, lui disait-il, que tu m’oublies ». index : liste alphabétique, en fin d’ouvrage, des sujets traités ou des noms cités, avec les références correspondantes. indirect (style) : procédé qui consiste à rapporter les paroles de quelqu’un sous la forme d’une proposition subordonnée. exemple : « Elle lui dit qu’elle l’aimait ». indirect libre (style) : procédé qui consiste à rapporter d’une manière indirecte les paroles de quelqu’un en supprimant la subordination exemple : « Rieux répondit qu’il n’avait pas décrit un syndrome, il avait décrit ce qu’il avait vu.» (Camus) induction : en logique, opération de l’esprit par laquelle on énonce une idée générale à partir d’un ou plusieurs faits particuliers. injonction : commandement, ordre. Un texte injonctif est un texte qui ordonne d’obéir ou qui pousse simplement à agir. Le mode impératif a une valeur injonctive. intransitif : se dit d’un verbe qui n’a pas de complément d’objet direct ou indirect. exemples : dormir, voyager... ironie : figure de style, fondée le plus souvent sur l’antiphrase, qui consiste à exprimer le contraire de ce que l’on pense pour mieux faire comprendre qu’en réalité, on pense le contraire de ce que l’on dit. exemple : dire à un enfant turbulent : « Quel gentil pinson ! » irréguliers (vers) : se dit des vers qui n’offrent pas le même nombre de syllabes. isométrique : désigne les rimes qui ont le même nombre de syllabes, des vers qui ont la même métrique accentuelle, des strophes composées de vers de même longueur. J jargon : a) langage particulier à une profession (jargon juridique, médical...). b) langue compliquée, peu compréhensible en dehors du clan qui la pratique. juxtaposition : on dit que deux propositions sont juxtaposées lorsqu’elles n’ont aucun mot de liaison entre elles. K kafkaïen : se dit d’une situation ou d’une atmosphère qui rappelle l’univers oppressant, absurde et cauchemardesque des romans de Kafka. exemple : « L’administration est parfois kafkaïenne ». L lapalissade : vérité évidente. Le terme vient du personnage de La Palice, dont une chanson dit précisément : « Un quart d’heure avant sa mort, il vivait encore ». langue de bois : langue lourde et stéréotypée qui élude les problèmes (on est à l’opposé d’un “parler vrai“). lapsus : erreur consistant à déformer un mot ou à employer un mot pour un autre, en parlant ou en écrivant. Le lapsus est involontaire et traduit, selon Freud, une pensée inconsciente. exemple : Le jeune mariée qui écrit à sa belle-mère : « Vous êtes évitée à mon anniversaire !» lieu commun : voir le mot « cliché ». leitmotiv : image (ou thème) qui se répète dans une œuvre artistique. lexique : a) Dictionnaire restreint, consacré au vocabulaire particulier d’une science ou d’une technique (lexique de la philosophie, des termes musicaux...). b) Ensemble des mots qui constituent la langue d’une communauté. libelle : petit texte attaquant violemment une personne ou une institution. On emploie plus couramment le mot pamphlet. libre (vers) : terme qui s’applique à la poésie moderne. Il désigne des vers dont la structure (longueur, césure, coupe), les rimes et le groupement (strophe...) sont libres, donc non soumis aux règles de versification. lipogramme : texte dans lequel une ou plusieurs lettres de l’alphabet sont volontairement absentes. exemple : le récit de Perec «La disparition», qui ne contient aucune voyelle "e" ! litote : figure de style qui consiste à dire le moins pour, en réalité, faire entendre le plus. Son but est souvent de modérer les éloges ou les aveux. Elle procède fréquemment par la négation du contraire. exemples : • « Ce n’est pas la grande forme » pour « je suis au plus mal ». • « Pas génial » pour « franchement nul ». • « Pas mauvais » pour « très bon ». • « Va, je ne te hais point » (Corneille), pour « Je t’aime beaucoup ». • Un professeur qui écrit sur une copie médiocre : « Ce n’est pas génial ». logorrhée : trouble du langage caractérisé par un abondant flot de paroles débitées rapidement sur de longues périodes. Par extension : verbalisation ou écrit (en tchat par exemple) rapides et parfois désadaptés. Lumières (philosophie des —) : Les Lumières désignent un mouvement intellectuel européen qui a dominé le XVIIIème siècle, se développant sous l’impulsion des philosophes. Les Lumières désignent les facultés humaines (raison, intelligence...) et les idées nouvelles (tolérance, foi dans le progrès...) qui doivent éclairer l’époque. M mal du siècle : état d’âme caractéristique de la jeunesse romantique au XIXème siècle (un sentiment fait de mélancolie et d’inquiétude). manifeste : écrit théorique par lequel une école ou un mouvement (littéraire, artistique) fait connaître au public ses convictions esthétiques ou politiques. marivaudage : style propre au théâtre de Marivaux (langage raffiné et complexe de personnages qui jouent avec les sentiments amoureux). mélodrame : au XIXème siècle, le mélodrame se caractérise par l’invraisemblable complexité de l’intrigue, la simplification des caractères (les bons et les traîtres) et des émotions (violence, amour, bons sentiments). Le public recherchait la pitié, l’horreur et les pleurs à bon marché. Aujourd’hui, par extension, le terme désigne des situations caricaturalement pathétiques. mémoires : récit d’événements historiques dont l’auteur a été témoin ou auxquels il a participé. L’auteur de mémoires est un mémorialiste. merveilleux : désigne tout ce qui, dans un texte, est du domaine du surnaturel (réalités surnaturelles, éléments féeriques, magie...). On le retrouve dans les contes de fée où les données du monde surnaturel sont acceptées comme allant de soi par le lecteur ou le spectateur. métaphore : figure de style qui consiste à remplacer un mot (ou un un groupe de mots) par un autre mot en vertu d’un rapport de sens entre les deux termes. exemple : la phrase «tes yeux sont bleus comme l’océan» devient «l’océan de tes yeux» (le sème commun entre le mot «océan» et le mot «yeux» est la couleur). métonymie : figure de style qui consiste à remplacer un terme par un autre terme qui est dans un rapport de contiguïté ou de liaison avec le premier (une relation étroite unit ces deux termes). On observe les cas suivants : • La cause pour l’effet : « boire la mort » pour « boire le poison » qui entraîne la mort. • Le lieu d’origine pour la chose : « fumer un havane » (un cigare originaire de La Havane). • Le contenant pour le contenu (ou vice versa) : « boire un verre » (boire le contenu d’un verre). • Le symbole pour le symbolisé : « J’ai quitté la robe pour l’épée » pour «J’ai abandonné la magistrature pour le métier des armes ». miracle : spectacle, centré sur un thème religieux, qui se jouait, au Moyen Âge, sur le parvis des églises. monographie : étude détaillée écrite sur un seul sujet précis. monologue : mot qui appartient au vocabulaire théâtral pour désigner une scène dans laquelle un personnage parle seul, pour lui-même ou pour les spectateurs. monologue intérieur : procédé qui nous dévoile la pensée d’un personnage au moment même de sa formation (pensée livrée telle quelle dans un désordre apparent). Les pensées, qui se déroulent dans la conscience du personnage, sont, bien entendu, exprimées à la première personne du singulier. monosémie : fait, pour un mot ou une expression, de n’avoir qu’une seule signification. Les mots scientifiques sont souvent monosémiques. mot-valise : mot nouveau qui est le résultat de la rencontre de deux mots. exemple : « camembour : style de blague que l’on aime bien faire entre la poire et le fromage.» (Alain Finkielkraut) mystère : au Moyen Âge, le mystère est une représentation dramatique d’inspiration religieuse. Les acteurs y jouaient divers épisodes de la vie du Christ ou de scènes tirées de la vie des saints. Ces spectacles offraient des scènes, à la fois surnaturelles, mystiques, réalistes et comiques,qui plaisaient au public populaire (celui-ci participait souvent au spectacle). N narrateur : voix qui raconte la fiction. narration : manière de raconter les événements. naturalisme : réalisme poussé à l’extrême, principalement illustré par Zola qui souhaitait que le roman rende compte de la vie naturelle et sociale de façon scientifique et exhaustive. niveau de langue : niveau de langage auquel choisit de s’exprimer un auteur. On distingue trois niveaux ou registres de langue : a) le niveau familier (termes et images argotiques et populaires, syntaxe du langage parlé...). b) le niveau courant (style correct). c) le niveau soutenu (style littéraire : vocabulaire recherché, soin des figures de style...). néologisme : mot nouveau, souvent inventé par un auteur à partir de mots existants ou d’une étymologie plus ou moins plausible. Nouveau Roman : nom donné par la critique à des romanciers français qui, à partir de 1950, ont décidé de détruire les conventions du roman traditionnel (le Nouveau Roman est une catégorie du roman nouveau). nouvelle : court récit en prose, généralement centré sur un seul évènement, avec des personnages peu nombreux. Les personnages sont vraisemblables à la différence de ceux que l’on rencontre dans les contes. En général une nouvelle se termine par une chute inattendue. L’auteur de nouvelles est un nouvelliste ou novelliste. O octosyllabe : vers de huit syllabes. ode : a) Dans la Grèce antique, poème lyrique destiné à être chanté ou dit avec un accompagnement musical (qu’on appelle improprement aujourd’hui «slam»). b) Du XVIème siècle à la poésie romantique, l’ode désigne un poème solennel et majestueux qui évoque la divinité, un héros ou la destinée humaine. onomastique : science des noms propres, spécialement des noms de personnes. onomatopée : création d’un mot dont les sonorités sont censées reproduire le bruit qu’il désigne ou évoquer la chose qui produit ce bruit. exemple : « boum », « crac », « roucoulement »... opuscule : petit livre. oraison funèbre : sermon prononcé à l’occasion des funérailles d’une personne illustre. oratoire : qui concerne l’art de parler en public, l’éloquence des orateurs. oxymore (ou oxymoron) : voir alliance de mots. P palindrome : texte que l’on peut lire de gauche à droite et inversement. exemple : « élu par cette crapule ». pamphlet : écrit satirique en général court et violent, qui attaque une personne connue, une institution, la religion, le gouvernement... panégyrique : discours public célébrant les louanges d’une personne illustre. Éloge de quelqu’un ou quelque chose. Apologie excessive à la gloire de quelqu’un. parabole : petit récit allégorique qui propose un enseignement moral ou un message religieux. Le Nouveau Testament est riche en paraboles. paradoxe : énoncé qui présente des arguments allant à l’encontre des opinions généralement admises. exemple: « Il avait le don de paresse et donc d’organisation.» (certains paresseux simplifient leur travail en l’organisant mieux) paralittérature : terme qui désigne, à tort, toute littérature qui n’entrerait pas dans le cadre d’une vraie littérature (bande dessinée, roman policier, fantasy, chanson...). paralogisme : raisonnement qui semble approximativement logique, mais qui en réalité est faux. Le paralogisme est en général fait de bonne foi, ce qui n’est pas le cas du sophisme (voir ce mot). paraphrase : opération de reformulation qui consiste à redire d’une autre manière ce qui a déjà été dit. La paraphrase peut avoir un sens péjoratif, dans la mesure où de nombreux étudiants, par exemple, répètent les phrases d’un auteur sans les expliquer ou les analyser. parataxe : voir asyndète. Parnasse : mouvement littéraire du XIX ème siècle qui, sous l’égide de Leconte de Lisle, critiqua le romantisme et notamment l’expression des sentiments personnels. parodie : imitation caricaturale, burlesque, d’une œuvre connue (sérieuse). paronomase : figure de style qui consiste à rapprocher deux paronymes, c’est-à-dire deux mots très proches sur le plan de la sonorité, d’où le risque de confusion. Elle est fréquemment utilisée dans le langage publicitaire. exemple : « collision/collusion » ; « abjurer/adjurer » , « L’amour à mort » (titre d’un film d’Alain Resnais). paronyme : mot très proche d’un autre par la sonorité (voir paronomase). pastiche : imitation d’une œuvre en s’en approchant le plus possible, au point de tromper sur l’origine. pastoral : œuvre ou genre littéraire mettant en scène des bergers. Qui dépeint ou évoque les mœurs champêtres. pathétique : qui émeut profondément et douloureusement. pathos : le pathos est du pathétique facile, mélodramatique, exagéré. Il se rencontre fréquemment dans la presse à sensation, les discours, les romans populaires. Le pathos cherche à provoquer des émotions fortes par des moyens assez grossiers. pentasyllabe : vers de cinq syllabes. période (oratoire) : phrase longue et complexe utilisée dans le style oratoire. péripétie : tout événement qui modifie le cours de l’action dans une oeuvre de fiction. périphrase : figure de style qui consiste à remplacer un terme usuel par un groupe de mots qui possède un sens équivalent. Les Précieux du XVIIème siècle en abusaient. Elle a parfois une fonction poétique. exemples : « la capitale du royaume » pour Bruxelles, la « messagère du printemps » pour l’hirondelle. péroraison : conclusion d’un discours (elle présente l’essentiel de l’argumentation et cherche à émouvoir l’auditeur). personnification : procédé stylistique qui consiste à présenter comme un être animé une notion, une abstraction, une chose ou toute forme de réalité inanimée. exemple : « Il appelle la Mort. Elle vient sans tarder, Lui demande ce qu’il faut faire» (La Fontaine) pied : s’emploie de façon erronée en prosodie pour désigner les syllabes comptées des vers. Seul le mot «syllabe»est juste. pittoresque (style) : qui offre de nombreux détails visuels, colorés, imagés. plagiat : action qui consiste à copier une œuvre (ou une partie de cette œuvre) en la présentant comme sienne. Pléiade : groupe de poètes du XVIème siècle, admirateurs de l’Antiquité grecque et latine, qui voulurent promouvoir la langue française. pléonasme : expression qui consiste à donner deux fois la même information. Redondance fautive sauf si elle est créée dans un but volontaire (ex : applaudir des deux mains, penser dans sa tête, …). Par extension : juxtaposition de deux mots de même signification (ex : au jour d’aujourd’hui, bien évidemment, …). polémique (style) : qui, par son ton combatif, cherche à susciter des réactions vives chez le lecteur. polysémie : propriété d’un terme qui a plusieurs sens selon les contextes. exemple : le mot « amour ». poncif : voir le mot « cliché ». Préciosité : mouvement littéraire et intellectuel du XVIIème siècle qui se traduit par un grand raffinement du langage, par l’importance accordée à la vie mondaine et aux manières recherchées. La préciosité fut surtout développée, dans les salons, par des femmes de la haute société (Molière les a ridiculisées dans « Les Précieuses ridicules »). prétérition : figure de rhétorique par laquelle on dit que l’on ne va pas dire ce que l’on dit, pour mieux attirer l’attention sur l’élément passé sous silence. exemple : « Je n’ai pas besoin de vous dire que je suis scandalisé par votre attitude ». prolepse : figure de rhétorique qui consiste à réfuter d’avance l’objection que pourrait faire un interlocuteur. exemple : « Vous me direz que l’accumulation des têtes nucléaires est l’unique façon d’empêcher la guerre atomique, mais...» prologue : a) dans l’Antiquité, partie d’un spectacle théâtral qui précède la pièce proprement dite, dans laquelle, souvent, un personnage vient présenter le sujet avant l’entrée du chœur. b) dans les ouvrages modernes, texte introductif ou préface. Partie assez courte qui relate des événements antérieurs à l’action proprement dite de l’oeuvre (dans ce sens l’antonyme est « épilogue »). prosaïque : qui manque de poésie, qui est banal, plat commun. Ce mot issu de « prose » (qui s’oppose à la poésie) laisse supposer à tort qu’une prose ne peut pas être poétique... Les poèmes en prose (ou prose poétique) ont démontré le contraire. prosodie : ensemble des règles de la versification régissant le compte syllabique ; et en linguistique, étude précise des sonorités. prosopopée : figure de rhétorique par laquelle un orateur ou un écrivain fait parler fictivement un individu mort ou absent, un animal ou une réalité personnifiée. Souvent proche de la personnification (voir ce mot). exemple : « Ébloui de l’éclat de la splendeur mondaine, Je me flattai toujours d’une espérance vive, Faisant le chien couchant auprès d’un grand seigneur...» (Tristan l’Hermite) protagoniste (sens littéraire) : désigne un personnage principal dans une œuvre de fiction. proverbe : énoncé court d’une vérité d’expérience ou d’un conseil de sagesse populaire, dont le contenu est supposé partagé par l’ensemble du groupe social. psychocritique : méthode d’étude des textes littéraires mise au point par Charles Mauron (1899-1966) qui s’appuie sur la psychanalyse pour aborder les œuvres sous un angle psychologique très approfondi. psychodrame : méthode thérapeutique qui consiste à faire jouer par des patients des scènes réelles ou imaginaires qui représentent des situations traumatisantes, des moments conflictuels de leur passé ou de leur avenir. Ils jouent théâtralement des rôles où ils « revivent » ces moments difficiles, ce qui leur permet de se libérer de leurs angoisses. Q quiproquo : malentendu, erreur, méprise qui fait prendre quelqu’un pour quelqu’un d’autre, ou une chose pour une autre. R rabelaisien : qui évoque l’oeuvre de Rabelais, caractérisée par la gaieté, la liberté d’expression, la truculence et parfois la grossièreté. rap : pamphlet moderne scandé ou parlé sur un rythme sans obligation de mélodie. Le flux de syllabes doit coller parfaitement au rythme. Assimilé à un genre musical à part entière, le rap s’est développé par des jeunes des banlieues, marqué par une poésie privilégiant la forme (rimes) plus que le fond, et une révolte antisociale souvent agressive. réalisme : courant littéraire français qui a dominé entre 1850 et 1885 (Balzac, Flaubert, Maupassant, Zola...). récit : relation orale ou écrite de faits vrais ou imaginaires. La relation des faits correspond à la narration du récit et les faits correspondent à la fiction du récit. redondance : fait de donner plusieurs fois la même information, de répéter sous diverses formes la même idée. Elle est un procédé d’insistance en ajoutant parfois une nuance à une idée. exemple : « Il ne se souciait guère de ces plaintes et doléances ». régionalisme : utilisation d’une expression qui ne s’emploie que dans une ou quelques régions. rejet : le rejet désigne la partie de la phrase rejetée dans le second vers. Le contre-rejet désigne la partie de la phrase qui précède l’enjambement (voir ce mot). rhétorique : art de bien parler (ensemble des procédés oratoires employés pour produire un discours convaincant). La rhétorique comprend notamment les figures de rhétorique et les figures de style. Par extension moderne : talent de bien répondre au bon moment dans les débats ou discussions, de trouver ses mots tout en s’exprimant bien. Rhétoriqueurs : groupe de poètes français de la fin du XVème siècle, remarquables par leur virtuosité formelle et leur habileté rythmique (mais leur poésie était quelque peu artificielle). rime : homophonie (identité de sons) à la fin de deux ou plusieurs vers de la dernière voyelle sonore et de tout ce qui peut la suivre. exemples : - ravi et midi, patrie et servie, village et branchage, terre et mystère sont des rimes. - mène et règne, ramure et solitude sont des assonances (voir le mot). Si la rime est limitée à une seule voyelle, elle est PAUVRE (ravi et midi, patrie et servie). La rime est SUFFISANTE si elle porte sur la dernière voyelle sonore et la consonne qui suit (village et branchage, tours et velours). La rime est RICHE quand l’homophonie s’étend à la consonne qui précède la dernière voyelle sonore (acier et coursier, terre et mystère). Les rimes sont FÉMININES si elles se terminent par un e muet (pleurent et meurent, père et amère) ; elles sont MASCULINES dans le cas contraire. Les rimes peuvent être : - SUIVIES : elles se succèdent par groupe de deux (deux masculines, deux féminines ou vice versa). - CROISÉES : les vers se répondent de deux en deux (à un vers masculin succède toujours un vers féminin). - EMBRASSÉES : deux vers d’une espèce sont encadrés par deux vers de l’autre espèce. - REDOUBLÉES : il y trois vers ou plus sur la même rime. - MÊLÉES : les vers se suivent sans ordre précis. roman-feuilleton (sens littéraire) : roman qui paraît dans la presse par fragments (le but est de tenir le lecteur en haleine). romantisme : mouvement intellectuel et artistique au XIXème siècle en France (Lamartine, Hugo, Vigny, Musset, Nerval, Chateaubriand, Stendhal...). rondeau : poème à forme fixe du Moyen Âge (il comprend six quatrains dont le dernier s’appelle «l’envoi») : les rondeaux de Charles d’Orléans. rousseauisme : caricature de la pensée de Jean-Jacques Rousseau. Elle exprime une attitude de confiance naïve en la bonté de la nature humaine qui s’accompagne d’une vision idéaliste de l’existence de l’homme primitif, proche de la nature. rythme (en versification) : le rythme du vers est marqué par le retour à intervalles déterminés d’un certain nombre de syllabes accentuées. S saga : récit héroïque de la littérature scandinave du Moyen Âge. Ces récits racontent les aventures légendaires de familles entières. D’où l’application du mot aux longs romans qui racontent, de génération en génération, l’histoire d’une famille ainsi qu’aux films qui en sont tirés. satire : écrit ou discours qui s’attaque à quelqu’un ou à quelque chose en s’en moquant. science-fiction : littérature dont l’action se déroule dans le futur et dans un monde fort différent du monde contemporain du fait de progrès scientifiques complètement imaginaires. À ne pas confondre avec l’anticipation, qui imagine une évolution plausible du monde contemporain selon nos bases actuelles. sémantique : partie de la linguistique qui étudie le sens des mots et les variations de leurs significations. sémiotique (sémiologie) : science qui s’intéresse à tous les systèmes de signes (signes linguistiques et extralinguistiques comme le code de la route, les symboles chimiques...). sentence : pensée ou morale exprimée dans une formule courte et littérairement soignée. La vérité morale est affirmée d’une manière souvent dogmatique. sigle : lettre initiale ou suite d’initiales qui sert d’abréviation. exemple : la lettre B sur une voiture est un sigle qui renvoie au mot Belgique, la SNCF... signe (linguistique) : désigne le mot qui lui-même comprend un signifié (signification du mot) et un signifiant (marque graphique et phonique du mot). Nous devons ce concept à Saussure. exemple : le mot « arbre » est un signe qui comprend : - un signifié : définition du mot « arbre » dans le dictionnaire. - un signifiant : la réalité acoustique du mot (les sonorités du mot « arbre ») et sa réalité graphique (la forme écrite du mot « arbre »). Slam : joutes poétiques et rhétoriques sur fond musical en réunion. Un style de poésie improvisée né à New York et ensuite happé par le mouvement hip hop, qui l’a hélas vidé de son sens premier spontané et inspiré. solécisme : faute de syntaxe. exemple : « l’homme auquel j’ai épousé sa fille ». soliloque : discours d’une personne qui se parle à elle-même (dans la solitude). Ce mot désigne parfois le discours de quelqu’un qui est seul à parler dans une compagnie, comme s’il ne s’adressait qu’à lui-même. sophisme : raisonnement incorrect bien qu’apparemment logique. Ce raisonnement est souvent fait avec l’intention de tromper l’interlocuteur. Socrate s’est insurgé contre les sophistes. spleen : mot venu d’Angleterre et passé dans la langue française, surtout grâce à Baudelaire (ce mot désigne un état de mélancolie et d’angoisse). stéréotype : voir le mot « cliché ». strophe : groupe de vers organisés de la même façon, que l’on retrouve à plusieurs reprises dans un poème. structuralisme (en linguistique ou en littérature ) : étude de la langue ou d’un récit comme un système constitué de plusieurs parties ayant des rapports entre elles (relation de ressemblance, opposition...). stylistique : étude des procédés de style. surréalisme (en littérature) : mouvement littéraire qui, sous l’impulsion d’André Breton au début du XXème siècle, se caractérise par une révolte contre l’ordre établi, par une liberté de pensée, par un rejet de toutes les contraintes rationnelles et morales, par l’invention d’un nouveau langage créant des associations surprenantes de mots et ce en accordant de l’importance au rêve et à l’inconscient. syllogisme : en logique, argument qui se compose de trois propositions (majeure, mineure et conclusion) dont la troisième se déduit parfaitement des deux autres. Il faut noter que certains syllogismes sont erronés parce qu’ils contiennent une erreur de raisonnement (ils s’apparentent alors aux sophismes). D’ autres syllogismes sont corrects. Voici un exemple de syllogisme correct et incorrect : a) Majeure : « Tous les hommes sont mortels ». Mineure: « Socrate est un homme ». Conclusion : « Socrate est mortel ». b) Majeure : « Le lion est un animal ». Mineure : « Le tigre est un animal ». Conclusion : « Le lion est un tigre ! ». symbole : représentation concrète d’une idée abstraite exemple : la colombe est le symbole de la paix (ou la paix est symbolisée par la colombe). symbolisme : mouvement littéraire de la fin du XIX ème siècle en France (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Lautréamont...). synchronie : étude du système d’une langue tel qu’il fonctionne à un moment donné (par opposition à diachronie : voir ce mot). synecdoque : figure de style qui est une variante de la métonymie. Les objets de la synecdoque forment un tout (rapport d’inclusion ou d’appartenance). Plusieurs cas possibles : • La partie pour le tout (ou vice-versa) : « une voile à l’horizon » pour « un bateau à l’horizon ». « J’aime le bordeaux » (un « bordeaux » pour « un vin bordelais »). • La matière pour l’objet : « la toile » pour « la peinture représentée sur la toile d’un tableau ». • Le singulier pour le pluriel (ou inversement) : « Le riche doit aider le pauvre ». synérèse : en versification, fusion de deux syllabes vocaliques en une seule. Elle permet d’accentuer le rythme. exemple : Ces deux octosyllabes : « Juin ton soleil ardente lyre Brûle mes doigts endoloris ». (Guillaume Apollinaire) synesthésie : association de sensations diverses. exemples : une couleur criarde, un parfum savoureux... synonyme : mot dont le sens est identique à celui d’un autre mot. syntagme : (de suntagma, constitution) groupe d'éléments formant une unité dans une organisation hiérarchisée : syntagme nominal, verbal, prépositionnel, adjectival. syntaxe : ensemble des règles de grammaire régissant les unités linguistiques se combinant en phrases. Par extension : caractéristiques d'une langue ou d'un moyen d'expression T tartufferie : terme qui fait référence à Tartuffe, pièce de Molière (hypocrisie). tautologie : répétition inutile de la même idée sous une forme différente. On dit souvent qu’un dictionnaire est tautologique. À mettre en rapport avec la redondance. exemple : l’amour est l’art d’aimer ! ternaire (rythme) : rythme qui se compose de trois éléments. exemple : Un grand cri s’éleva, domina la Marseillaise : « Du pain ! Du pain ! Du pain ! » (Émile Zola) tétrasyllabe : vers de quatre syllabes. tic langagier : mot ou expression répétés abusivement par un locuteur ou un auteur. exemples : «n’est-ce pas», «en fait», «hé bien»… Par extension : expression ou mot dont l’utilisation devient une mode langagière répandue par l’usage, même s’ils sont erronés (ex : «rajouter» au lieu d’ «ajouter», ou le pléonasme «bien évidemment») tirade : au théâtre, long discours ininterrompu et adressé à des interlocuteurs. tragédie : La tragédie classique (XVIIème siècle) est une œuvre dramatique dont les éléments constitutifs sont les suivants : sujet grave, dénouement malheureux, lutte vaine du héros contre le destin, mise en scène des passions humaines, style relevé, respect des trois unités (voir le mot « unités »). tragi-comédie : au XVIIème siècle, pièce de théâtre sérieuse dont le dénouement est heureux (voir Le Cid de Corneille). Dans l’Antiquité la tragi-comédie comportait des éléments comiques. trilogie : groupe de trois œuvres (La trilogie new-yorkaise de Paul Auster). trimètre : vers qui présente trois mesures. exemple : « Il vit un œil /tout grand ouvert /dans les ténèbres » (Hugo) trisyllabe :vers de trois syllabes. trope : terme classique pour désigner les figures de style ou de rhétorique. troubadour : poète lyrique du Moyen Âge qui récitait ses oeuvres ou celles d’autrui de château en château (dans le nord de la France on lui donnait plutôt le nom de trouvère). U ubuesque : d’un comique et d’une absurdité énormes (allusion à Ubu, personnage d’Alfred Jarry). uchronie : récit de l’Histoire telle qu’elle se serait déroulée si ses évènements déclencheurs étaient différents (par exemple si les Nazis avaient gagné la seconde guerre mondiale, le récit des évènements postérieurs serait uchronique). unités (règle des —) : désignent les trois unités du théâtre classique français au XVIIème siècle : • Unité de temps : tout doit se passer en vingt-quatre heures. • Unité de lieu : l’action doit se dérouler en un seul endroit. • Unité d’action : un seul événement central doit nourrir l’intrigue. univoque : qui n’a qu’un seul sens (monosémique). V vaudeville : comédie au rythme rapide, fondée sur l’intrigue, les quiproquos, les rebondissements et les situations cocasses (voir les pièces de Labiche et Feydeau). verbalisme : défaut qui consiste à masquer le manque d’idées par l’abondance verbale. vérisme : a) mouvement littéraire italien (fin XIXème siècle) qui, à l’instar du naturalisme français, cherche à représenter très exactement la vérité concrète de la vie quotidienne et de la réalité sociale. b) terme qui s’applique à toute œuvre éprise de réalisme social (on parlera d’un cinéma vériste, d’un roman vériste). vers libres : vers ne respectant pas les contraintes caractéristiques de prosologie traditionnelle (la liberté des vers peut aller jusqu’à l’absence de rimes). Par extension : poésie non soumise aux règles de versification. Z zeugma (ou zeugme) : figure de style qui consiste, pour éviter de répéter un terme, à lui donner plusieurs compléments de nature différente. exemples : « Je lui ai porté une lettre et un coup de pied » ; « Il sauta la barrière et son repas ». (D’après Jean-Pierre Leclercq, revu, corrigé et augmenté par Filo)
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Par : le 01/04/16
Paulo vit à Nantes. Il est journaliste spécialisé en sports équestres et se déplace un peu partout en Europe et parfois un peu au-delà. Ses activités sont assez irrégulières et lui laissent pas mal de temps disponible qu'il utilise à rêvasser sur les terrasses de café ou à écrire, quand il est inspiré, de petites nouvelles érotiques plus ou moins autobiographiques, et parfois très épicées. Ses personnages principaux sont féminins la plupart du temps avec des personnalités volontaires et fortes, souvent portées sur la domination, voire le BDSM, ce qui semble manifestement le ravir. La Bretagne, avec son histoire ancienne celte émaillée de multiples contes et légendes plus ou moins fantastiques, est souvent présente dans ses récits, créant une ambiance et un climat particuliers, mélange subtil de rudesse et de sensualité assumées. ______ La tempête récente a lessivé le ciel et sur la campagne, la lumière est d'une pureté cristalline. Paulo, au volant de sa petite Fiat 500 verte, s'enfonce peu à peu dans les profondeurs de la Bretagne, traversant hameaux isolés et villages immobiles. Nous sommes vendredi et les habitants semblent avoir tous déserté les rues pour courir vers des rendez vous secrets. Lui aussi a rendez vous ! Et c'est là-bas, dans ce petit groupe de maisons isolé qui se détache sur le haut de la lande. Autour, des champs puis des bois en grand nombre, parfois adossés à une ferme. La dame qu'il va rejoindre à l'heure du café est agée, près de 70 ans, et divorcée depuis de longues années. Vague connaissance de Jana, sa Maitresse, elle a sollicité les conseils de celle-ci pour trouver un homme pouvant l'aider à divers travaux de bricolage et de jardinage. Dans la conversation, elle a laché que si l'homme lui plaisait, elle aurait aussi plaisir à jouer un peu avec lui, ses longues années de célibat forcé l'ayant privé des ardeurs d'un mâle disponible en permanence à la maison. Premiers contacts L'affaire fut conclue en échange de quelques beaux légumes tout frais récoltés, et je quittais donc Nantes missionné pour servir la dame de toutes les façons possibles, durant une journée et une nuit entières, avec comme seule consigne le respect impératif de l'abstinence sexuelle imposée par ma maitresse Jana et la condition de tout lui raconter au retour. Ayant probablement entendu la voiture ralentir au dernier virage, France est sur le pas de la porte pour m'accueillir, en compagnie d'un homme. Remarquant mon air surpris, elle me le présente comme son ex mari, de passage pour l'après midi. Et elle annonce aussi la visite d'un couple d'amis pour l'heure de l'apéritif. Furtivement, et avant de pousser le portail, je remarque une autre présence masculine, silencieuse et discrète, de l'autre côté de la haie séparative avec le voisin. Me voici donc repéré ! France est petite, un peu gironde avec une peau blanche de rousse. Malgré son age, elle est encore très vive dans ses déplacements et ses injonctions aussi. Manifestement, elle aime commander, régenter son monde. Cela se voit et s'entend. Son ex mari semble plus réservé, grand et sec, le regard un peu fuyant. Je décide de rien changer à ce qui a été convenu avec ma Maitresse et entre donc dans la maison, tenant à la main un sac de tissu noir que je pose sur la table, couverte de la traditionnelle toile cirée bretonne. Et là, j'attends, immobile et déjà obéissant, les consignes de la maîtresse de maison. Le sourire aux lèvres, elle s'approche et commence par m'inspecter de la tête aux pieds. Ma tenue de paysan médiéval semble lui plaire, tout comme mon attitude humble, tête baissée et jambes légèrement écartées. Son mari se tient en retrait, silencieux mais manifestement très attentif à la scène. Plongeant la main dans le petit sac noir, elle en sort un collier de cuir, un de ceux que portent tous les chiens des environs et qui servent à les tenir attachés à l'entrée des cours de ferme tout au long du jour. Je surprend le regard intéressé et amusé de l'homme qui s'approche lui aussi de la table. Se saisissant du collier, il en éprouve la souplesse, glisse un doigt dans l'anneau où s'accroche la laisse, puis le donne à sa femme avec un hochement de tête affirmatif. Je n'en mène pas vraiment large durant cet échange silencieux qui voit ce vieux couple pourtant séparé décider en silence des entraves que je vais devoir porter durant mon séjour ici. La grosse laisse de coton torsadé noir est maintenant étalée devant moi, tout comme les deux bracelets de chevilles que j'ai fourrés dans mon sac avant le départ. C'est manifestement elle qui décide. S'approchant de moi, elle met en place d'une main experte le collier puis les bracelets. A tel point que j'ai soudain le sentiment qu'elle n'en est pas à son coup d'essai et qu'ils ont peut-être déjà reçu ensemble avant lui d'autres soumis comme moi, venus pour assurer son service. Lui se contente de vérifier la solidité des attaches, du collier autour du cou, des bracelets aux chevilles. J'ai soudain l'impression qu'une de ses mains vient furtivement de me frôler mes fesses, mais je n'ai pas le temps d'identifier s'il s'agit d'un geste volontaire ou non. France, qui n'a manifestement pas les yeux dans sa poche, intervient de suite et intime à son mari l'ordre d'aller chercher du bois dans la remise pour recharger le feu qui s'épuise dans la cheminée. Elle profitera d'ailleurs de son absence pour glisser elle aussi une main entre mes jambes et vérifier si le gros anneau dont lui a parlé ma Maîtresse est bien en place. Une légère traction sur celui-ci me confirmera, si besoin était, qu'elle a fort bien compris l'usage de cet accessoire destiné à contenir mes ardeurs sexuelles, si nécessaire. Des bruits de pas venant du dehors rappellent la corvée de bois en cours et je s'empresse d'ouvrir la porte pour faciliter la livraison d'une petite montagne de bûches. Il s'agit manifestement là du seul mode de chauffage de la maison et les abords de la cheminée vont probablement être le lieu d'une bonne partie de nos jeux de domination à venir. Pour l'instant, l'heure n'est pas à la bagatelle et il faut débarrasser la table des restes de leur repas et attaquer la vaisselle dans la petit cuisine attenante. Par la fenêtre qui donne sur le jardin, je surprends à nouveau la silhouette masculine de tout à l'heure. Décidément, mes hôtes semblent bel et bien être épiés par leur voisin. Peu familier des habitudes de rangement de la maison, je pose quelques questions auxquelles France répond avec gentillesse et précision. Un climat de douce coopération s'installe progressivement dans la cuisine et je commence aussi à sentir de temps à autre sa main se poser sur mon bras ou sa poitrine frôler agréablement mon dos lorsqu'elle passe derrière moi. Elle n'a probablement jamais eu un physique à se faire pâmer une garnison mais je lui trouve des formes encore très avenantes, notamment de belles fesses rebondies, et une poitrine certes menue mais dirigeant toujours ses hauts sommets fièrement vers le plafond. Son visage est rieur avec de petites étincelles dans les yeux et j'aime la rousseur de sa tignasse contrastant avec la blancheur laiteuse de sa peau. La vaisselle se termine et je m'approche de la machine à café. Prenant le prétexte de m'indiquer où se trouve le café, elle vient plaquer la chaleur de son corps contre mon dos. Ses bras m'enserrent et je sens, cette fois très distinctement, ses mains venir se poser sur mes tétons. C'est sûr, ma Maitresse a dû lui signaler ma petite particularité car bientôt ceux-ci roulent sans ménagement sous ses doigts, déclenchant illico une monumentale érection ! Poussant les fesses contre son bassin, je lui exprime toute ma réceptivité à ses caresses en ondulant à la cadence de ses doigts. « eh bien, comme vous y allez » dit l'homme en entrant dans la pièce. « pourquoi ne pas m'avoir attendu pour faire plus ample connaissance ? ». Nullement impressionnée par la remarque de son ex mari, France poursuit son petit jeu sous ma chemise en pinçant maintenant avec davantage de vigueur encore mes pointes sensibles et maintenant toutes dures. Ne pouvant résister plus longtemps à cette délicieuse torture, je pose le boite de café et me laisse complètement emporter par ses mains expertes. Avec malice, elle nous fait alors doucement pivoter ensemble, me positionnant béat et abandonné, juste en face à son mari. Celui-ci apprécie manifestement l'offrande qui lui est faite et n'hésite pas longtemps sur la conduite à tenir. Sa main file vers mon entrejambe et se saisit avec autorité de l'anneau qui s'y trouve. Je n'ai alors d'autre choix que de suivre le mouvement et me voici bientôt littéralement pris entre leurs deux corps qui m'assaillent. Je dois avouer que cette situation me plait et m'excite. Je sens contre mon ventre un sexe tendu et dur tandis que roule contre mes fesses la houle douce d'une femme qui me berce, tout en pétrissant mes seins avec vigueur. Pas pour longtemps d'ailleurs, car deux doigts décidés viennent de changer d'activité et se glissent dans mon pantalon. Cherchant un instant leur chemin, ils finissent par le trouver et, sans plus attendre, me pénètrent l'anus, heureusement préparé par le massage récent d'une amie. Ces doigts sont féminins car l'un de mes tétons se sent maintenant abandonné. Fugace impression qui ne dure pas car une bouche gourmande à la barbe piquante vient de le happer. Mordillé, aspiré, têté avec ardeur, le pauvre petit m'envoie de furieux messages d'excitation dans tout le corps. Mon bassin se cambre encore davantage et c'est maintenant 3 puis 4 doigts qui me pénètrent. Si cela continue, c'est bientôt la main toute entière de France qui m'aura envahi. Ravi de tout cela, j'entreprends de défaire le ceinturon qui me meurtrit le ventre et de libérer le sexe tout dur de l'homme que je sens contre moi. A SUIVRE...
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Par : le 28/03/16
Quelques dominatrices présentes sur ce site me connaissent et savent qu'en plus de fréquenter les milieux BDSM classiques, c'est à dire domination / soumission entre hommes et femmes, je fréquente les milieux homos. J'aimerais que l'on parle de ces ambiances. Certains clubs réservés aux hommes sont à tendance SM, certains clubs à PARIS sont même exclusivement destinés à la domination entre hommes. J'ai fréquenté quelques après midis organisées par la CLEFASSO, club de la fessée entre hommes. Fesseur ou fessé, les fesses chauffent très vite sous l'application de ces fessées à main nue données par ces paluches très viriles. Ces milieux ont une image toujours très virile, surtout lorsque les hommes sont habillés de cuir et peuvent paraître impressionnants et sont mêmes considérés comme crades. C'est vrai que ces milieux manquent de sensualité due à l'absence féminine, les hommes vont très loin entre eux. J'ai connu un club avec un mur carrelé de blanc en face du bar, des hommes nus alignés le long du mur se faisant asperger d'urine pendant des heures entières par les autres hommes. J'ai préféré participer en qualité d'arroseur plutôt qu'arrosé et j'ai trouvé jouissif d'uriner contre ce mur d'hommes. J'en ai connu un autre CLUB où des hommes passaient des heures entières dans la cave, allongés sur des pierres à se faire fister par des paluches viriles. Là je me suis limité au rôle de spectateur. A côté de cela, il y a des endroits plus sensuels, je veux parler des soirées travesties où je suis devenu travestie dominatrice, chez Prisca ou à la MDT, il y a toujours quelques hommes prêts à vous lécher les cuissardes et à prendre quelques fessées. Sans nul doute ces hommes là cherchent toujours des dominatrices, vraies dominatrices génétiques, mais à défaut de les trouver, ils se rabattent vers les soirées travesties, du moment qu'il y a des cuissardes en cuir à lécher ou des fessées à prendre données par une jupe en cuir, peu importe le sexe que l'on peut sentir sous la jupe. C'est la tenue qui fait la dominatrice, pas le sexe. Ces endroits spécifiques mis à part, dans les saunas classiques homos, on peut voir des croix de ST ANDRE, on entend parfois claquer quelques fessées et parfois un peu de doigté anal peut se transformer en fist. J'écris cet article sachant qu'il va intéresser les soumis et les dominateurs préférant fréquenter les milieux réservés aux hommes, mais les dames dominatrices ou soumises peuvent réagir, je sais que des dominatrices déplorent de ne pas pouvoir accéder à ces clubs même avec leur statut de dominatrice.
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Par : le 19/03/16
bonjour à tous Je me présente je suis un soumis de 45 ans marié a une femme plus jeune de 20 ans. Nous sommes très amoureux et progressivement elle a appris et aimé me dominer. Au tout début de notre relation J'ai commencé à lui lécher les pieds pendant nos rapports, j ai commencer à aimer la nettoyer mon comportement l'ayant surpris nous en avons discuter et nous avons regarder différents sites traitant du sujet de domination. D'abord très surprise elle est devenue une superbe maitresse et tout naturellement Je suis devenu un homme d'intérieur exemplaire, je fais tout à la maison (ménage, lessive etc). Ma vie sexuelle c est la sienne je porte un cockring en permanence j ai le droit à l'orgasme qu'à ma date d'anniversaire et je suis vidangé une fois par semaine. Un jour par semaine est réservé à ma correction (baguette de bois très fine) je ne m'égare pas. De temps en temps ma langue sert à la nettoyer je l adore je l a vénère. J'aimerai partager et surtout encore progresser pour mieux la servir, toutes vos expériences et subjections pourront m aider. par avance merci a vous tous
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Par : le 13/03/16
Je crois que c’est un jeu entre nous qui nous amuse tous les deux. Il me taquine, je le provoque. Il aime à mes rappeler mes obligations de soumise et je ne le « rate » pas lorsqu’il ne se conduit plus en Maître. C’est en paroles et « bon enfant ». On en rit souvent tous les deux et les gens autour de nous renchérissent pour mettre de l’huile sur un feu doux. Bref, tout ceci contribue à une complicité dotée d’abord de respect et d’amitié réciproques. Samedi, il est particulièrement énervé. Il faut dire qu’il y a de quoi, car il a mis en place un grand rassemblement BDSM avec plus de 60 participants. Tout est organisé au millimètre, minuté et précis. Il tente de faire preuve de bonne humeur, mais je le sens tendu. S’il ne me « cherche » pas, je sais que je vais l’épargner de mes sarcasmes. A peine à table, il règne en patriarche. Il me lance quelques pics avec le sourire et je rétorque gentiment. En fait, il a lancé son dévolu sur une autre soumise (pour l’occasion car switch en réalité) qui nous fait l’honneur de faire le service à table. Certaines de ses réflexions la touchent et la laissent muette, je la vois qui se ferme peu à peu. J’ignore si son dominant attitré lui en a intimé l’ordre, mais toujours est-il qu’elle se rassied et cesse le service. Je crois que tout le monde ne comprend (ou ne perçoit) pas le ton de la plaisanterie de la même façon. Moi ça me fait rire, elle ça la vexe (je peux comprendre, d’autant que moi, je le connais depuis plus longtemps qu’elle). Je sais qu’à partir de ce moment-là, il va se chercher une autre tête de turc à malmener de ses propos. Il est comme ça. Il a besoin de faire résonner sa voix de stentor, en rapport avec sa stature pour dominer les autres. Il le tente même parfois auprès de certains/es dominant/es mais jusqu’alors souvent sans succès. Il croit, parfois que toutes les soumises de la terre sont les siennes. C’est amusant de voir les réactions des gens lorsqu’il se comporte ainsi. Nous, on le connaît, on lui pardonne. Il est comme ça ! On l’apprécie ainsi, avec ses extravagances et son humour requin parce qu’il a, avant tout, un grand cœur… Bingo, c’est pour ma pomme ! « Madame Bergamote » par ci « Soumise Bergamote » par là, ça fuse ! il est en forme. Je ne veux pas rester en dettes, je rétorque, je manifeste, je provoque et je souris (ordre de mon Maître)… Mais, je comprendrai plus tard, à mes dépends, que je n’aurais pas du. Cela fera quatre fois aujourd’hui qu’il porte atteinte à mon intégrité physique dont deux fois en dehors de la présence de mon Maître. Masterlau en sera mécontent lorsqu’il le saura, alors je n’ai rien dit. Dès le matin, après le petit déjeuner, je lis calmement dans le home qui m’a été désigné. Il rentre comme une furie en laissant la porte ouverte et le vent s’engouffrer. Je lève la tête et j’ai dû lui dire un truc qui a fait qu’il s’est avancé vers moi et m’a claqué la cuisse. C’est bien la première fois qu’il se permet un geste déplacé comme celui-là. Je sais que mon Maître n’aurait jamais osé ça sur sa soumise (ou qui que ce soit d’autre, d’ailleurs !). Mais bon, tout le monde n’a sans doute pas reçu la même éducation. Je prends. Je ne relève pas. Je ne dis pas merci non plus. Ça lui a fait du bien ? ça ne m’a pas fait de mal. Je poursuis ma lecture et il ressort comme il était entré. Mon Maître est parti nettoyer un accessoire qui servira à la soirée. Il a pris la voiture et dû parcourir plusieurs kilomètres car il est absent longtemps. J’ai eu le temps de me doucher, de mettre de l’ordre dans la chambre, de m’habiller et de me maquiller. Je vais voir si je peux être utile en cuisine, même si la belle organisation a tout prévu, on ne sait jamais. La porte de la salle pour la réception de ce soir est ouverte. Je m’interroge pour savoir si mon Maître n’y serait pas et je jette un furtif coup œil. Il en sort et me demande de dégager en disant qu’il ne faut pas regarder. Je lève le nez, l’air arrogant : « sinon ? ». Il soulève ma jupe et me claque le cul en signe de réponse. Je sais qu’il n’a pas le droit de faire cela ; j’avoue que je suis interloquée par ce geste et plus agacée que vexée, je réponds, provocante : « bah si c’est le prix à payer, j’ai les moyens de regarder encore ». Il s’avance de nouveau vers moi et je dis STOP en me tournant, face à lui. Il comprend que je ne rigole plus et qu’il est allé un peu loin. L’incident est clos. Je déguerpis des lieux. On passe à table. Il ne peut s’empêcher une élocution et dans ces cas-là, il en fait toujours trop, c’est parfois pathétique, mais bon, on l’écoute. Encore une fois, il outrepasse ses droits en disant qu’une telle est sa seconde soumise. Il n’entend même pas la violente manifestation de son Maître. De toute façon, dans son esprit, c’est un ami, donc tout est permis ! Il chope le melon depuis quelques temps, certains nous l’avaient dit mais on n’y avait pas porté attention. Il dit des choses comme « les gens nous suivent »… Il pense que, parce qu’il y a 60 personnes qui viennent des quatre coins de France et même de Belgique, c’est pour ses beaux yeux ! Mais il se trompe, les gens viennent car il y a une soirée d’organiser ou un week-end dans un bel endroit, pas pour lui ! On sait à quel point les gens du milieu BDSM sont ingrats et opportunistes. Il le comprendra plus tard lorsqu’il finira par faire chou blanc sur une soirée ; on ne le lui souhaite pas… Il parle tellement fort qu’il n’entend plus les autres. Il tient à ce que chacun lui souhaite « bon appétit », c’est ridicule et déplacé. Je ne me plie pas à ce rituel absurde. Il n’est plus Maître, il est Roi ! Sans doute le château qui nous héberge qui lui monte à la tête ? Il me prend à témoin sur je ne sais quelle connerie. Je réponds et je lui tiens tête. De par mon attitude, je voudrais lui faire comprendre combien, lui aussi, peut être agaçant et lourdingue. Il fait semblant de jouer les exaspérés et empoigne un couteau. Il fait rapidement le tour de la table et le présente sur ma gorge. On est dans le jeu. Il rit et fait très attention de ne pas me blesser. Même lorsque je fais mine de me débattre, il écarte soigneusement la lame de mon cou. Masterlau ne dit rien, il comprend qu’on chahute…même s’il aurait apprécié qu’il lui demande la permission de me toucher…mais comme il est toujours dans ce trip du « tout m’est permis »…il passe outre, une fois de plus. Il ne supporterait pas que quiconque se conduise ainsi avec sa soumise et il aurait bien raison, car c’est intolérable, dans notre milieu où le maître-mot est « respect ». Le repas se poursuit dans la bonne humeur. Il est toujours aussi excité et s’adresse parfois aux gens sur un ton inadmissible ; il ne s’en rend même pas compte, c’est dingue ! Cela fait plusieurs fois que mon Maître tente de l’appeler pour lui demander quelque chose d’important, l’autre gigote et caquette tellement qu’il n’entend rien. A ce moment-là, je prends le relais et crie : « R******** » ! et là, il entend. Il sourit dans un premier temps, car je l’ai appelé par son prénom et non par son pseudo puis il se doit de réagir, car, pour lui, c’est un manque de respect et j’avoue que je l’entends bien ainsi. Je m’attends à ce qu’il réclame punition à mon Maître ou je ne sais quelle autorisation de sévir mais il n’en fait rien. Il s’avance vers le sac à jouets de mon Maître et y fouille sans gêne aucune. Ce geste m’amène à en rajouter « ce n’est pas bien de fouiller dans le sac des autres », je ris car je sais qu’il doit gentiment « bouillir » intérieurement que je le mette à l’affiche. Il saisit un fouet bleu (c’est la dernière image que j’ai avant le noir total). Il l’enroule autour de mon cou et il serre en me tirant la tête en arrière. J’ignore s’il serre fort et longtemps ni comment il me manipule, je m’évanouis et je perds la mémoire des derniers instants… Lorsque je reviens à moi, je sens une main fraîche sur ma joue droite et je vois mon Maître qui me regarde fort inquiet. J’ai l’impression de me réveiller et je suis sourde d’une oreille. Je perçois des sons qui viennent de très loin et ma vue se réadapte doucement à mon environnement. Combien d’yeux sont rivés sur moi ? Autant que de personnes qui viendront plus tard me demander comment je me sens et ce qu’ils pensent de son attitude. Mon Maître me stimule et me demande toutes les vingt secondes si ça va. Aucun son ne sort de ma bouche, j’ai extrêmement mal lorsque je déglutis. Je me contente de hocher la tête ; en fait, je vais bien. J’ai juste du mal à récupérer mes fonctionnalités physiques. Puis j’éclate en sanglots, des pleurs d’enfant sortent de ma gorge et mon Maître me prend dans ses bras pour me consoler. Il est content de ce « retour à la vie ». Il me dit que mes yeux sont injectés de sang et que je suis brûlante. Il subit l’autre qui clame, d’un air victorieux « elle a fait un subspace » et qui finit par en convaincre certains ! Mais quel abruti…il y a une nette différence entre un subspace et un évanouissement…En tant que Maître SM, ce serait bien qu’il en prenne conscience, au risque d’en tuer une ! Je tente de me remémorer ce qui s’est passé. Mon Maître et ma voisine m’y aident en me racontant ce qu’ils ont vu. Mais rien à faire, je ne m’en souviens pas ! Il parait qu’il m’a parlé à l’oreille et qu’il m’a donné des tapes sur le visage. Il m’aurait tourné violemment la tête à gauche et c’est à ce moment-là que j’aurais perdu connaissance. Je ne supporte pas de ne pas me rappeler. Je ne veux pas qu’un moment de ma vie échappe à ma mémoire. J’ai soif et je suis très fatiguée. Mon Maître m’accompagne au lit et reste à mon chevet, mort d’inquiétude. Il est partagé entre l’envie de foutre son poing sur la gueule de ce mec et celle de ne pas me quitter des yeux. Il choisit la seconde option et je lui en suis reconnaissante. J’attends le moment où il me dira « on rentre à la maison ». Il n’en fait rien et je valide son choix. Je ne voudrais pas que l’autre triomphe de m’avoir mise hors service, par sa force. Je vais faire tous les efforts possibles pour ne rien lui laisser voir. Il serait trop content de m’avoir atteinte et esquintée. Après quelques heures de repos, Master me propose une promenade en voiture. J’ai un mal de tête épouvantable qui ne passe pas malgré les cachets dont je me suis empiffrée. J’ai une raideur de nuque avec des bruits d’eau qui circule dans l’arrière de mon cou et des craquements sinistres à chaque mouvement de tête. Je ne profite que sommairement de la soirée. Pourtant j’affiche un sourire de circonstances et je ne me plains pas. Je positionne ma tête de façon à ce que cela m’importune le moins possible durant les jeux. Je ne dis rien à personne et sauf ceux qui ne sont pas dupes, personne n’y voit rien. Le lendemain, j’ai l’impression d’être passée dans un tambour de machine à laver et ma tête pèse une tonne. Tout le monde s’active pour ranger le château avant de le rendre à son propriétaire et par deux fois, je me force à me lever pour aider. Je suis nauséeuse et migraineuse à un point que seule la station couchée m’apaise. Mon Maître est occupé à donner un coup de main et je ne lui dis rien. Je fais un effort surhumain pour sortir enfin du lit, à la demande d’un Maître qui viendra me voir pour prendre de mes nouvelles. Je réussis à me préparer et à rassembler nos affaires afin de libérer les lieux pour midi, comme convenu. Je fais un bref passage à table pour être avec les autres mais rien ne passe… Le retour en voiture me sera fort pénible. Mon Maître me cale la tête tant bien que mal et j’en reviens à regretter la minerve de Cari ! Lundi, rien ne va mieux. Je ne suis pas une acharnée de la médecine mais devant le constat de l’échec des médicaments contre la douleur, je me rends chez l’ostéopathe. Il me manipule et me scanne et il me demande si j’ai eu un accident de voiture. Je lui dis qu’il s’agit d’un chahut qui a mal tourné. Il m’explique j’ai eu le « coup du lapin » et beaucoup de chance d’avoir le cou musclé pour ne pas avoir eu la nuque brisée qui m’aurait laissée au mieux dans un fauteuil roulant à vie et au pire entre quatre planches de chêne ! Il m’explique que la rotation de mon cou en traction a comprimé l’artère cervicale et provoqué la perte de connaissance. Que dans les cas d’étranglement, il existe trois stades, le premier l’évanouissement, le second l’asphyxie et le troisième la mort. Il plombe l’ambiance et me laisse perplexe. Je prends conscience que j’ai risqué ma vie parce qu’une grosse brute n’a pas su contrôler sa force ni maîtriser ses gestes (et accessoirement ses nerfs). Il conclut en disant « celui qui a fait ça est un con, changez d’ami ! Il ne peut rien faire pour me soulager sans avoir les résultats d’un scanner et je repars de là avec mon mal de tête, mon cou semi bloqué et toujours les glouglous aux oreilles. Souffrant d’insomnies depuis ce jour, je tente de me rappeler ce qui s’est passé. Je revois le fouet bleu s’avancer, menaçant devant moi…puis plus rien ! Je n’admets pas que quelques souvenirs échappent à ma mémoire. Mais, fondamentalement, je m’interroge sur la situation qui aurait découlé d’un accident mortel. La venue de la police et des pompiers dans ce coin reculé du fond du cru, la présence de tous les articles SM sur place, des médias qui n’auraient pas manqué de faire l’amalgame dans leurs grands titres, la mise en cause de tous les participants, directement ou indirectement. Et puis, combien de vies brisées ? la sienne, celle de mon Maître et de mes enfants… Comment admettre une telle situation, une attitude aussi débile qu’irresponsable ? Un souvenir me revient. Je le croise dans l’escalier samedi soir et d’un air abruti, il me demande : « ça va Bergamote ? ». Je lui réponds que j’ai très mal au cou et que je ne lui dirai pas ce que je pense de son attitude. Je respecte trop sa soirée et ses convives pour faire un esclandre…mais faut pas me chercher non plus ! Il n’aura, à aucun moment, le réflexe par politesse de s’excuser et pour toute réponse, il me dira « moi non plus »… Qu’est-ce que cela veut dire ? Qui a-t-il derrière ces paroles ? Pense-t-il que je fais semblant pour me rendre intéressante ? Cela rejoindrait-il les propos qu’il a portés auprès de ceux qui voulaient l’entendre, au sujet de cet incident, du genre « j’ai pas serré, j’en fais 10 fois plus à ma soumise ». Le pire, c’est qu’il n’a même pas réalisé la force qu’il a mise dans ce geste (c’est inquiétant !) ; qu’il est assez stupide pour ne pas savoir à quel point le cou est fragile et combien il faut faire gaffe lorsqu’on le manipule. Tirer la tête en arrière de quelqu’un par strangulation, c’est d’abord regarder la victime dans les yeux afin de relâcher la pression lorsque le regard se brouille. Mon Maître qui pratique l’étouffement maîtrisé l’explique bien mieux que moi. Lui, il n’a rien vu, rien regardé. Il a agi de manière bestiale et primaire et en plus, il a tourné la tête au risque de briser les cervicales. Mon Maître, furieux du résultat de l’examen médical l’appelle lundi pour lui donner de mes nouvelles puisqu’il n’en prenait pas ! Tout ce qu’il a trouvé à lui dire, c’est de faire taire sa soumise ! Alors, il existerait dans le monde BDSM, la toute-puissance aux dominants annexant le droit de mort sur tous les soums ? Je m’interroge parfois…sur la maîtrise qui lâche prise et devient une arme dangereuse pour autrui.
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Par : le 29/02/16
57 choses de moi pour Donna25 1/ Je suis né en 1966 2/ Je suis soumis depuis plus de 12 ans 3/ Je vis en couple 4/ J’ai, avec ma compagne, 5 enfants en tout 5/ Je suis un soumis très cérébral 6/ j’ai un cap de cuisine 7/ J’ai exercé plein de métiers et actuellement je suis dans les fleurs 8/ J’aime le charisme des dominant(e)s 9/ J’adore porter de la lingerie féminine 10/ Je n’aime pas trop me travestir 11/ J’aime beaucoup la viande 12/ Je déteste les légumes mal préparés 13/ Je suis un épicurien 14/ J’aime beaucoup le sport (sauf les pompes) 15/ Je suis très curieux 16/ Je ne suis pas très bon en nouvelles technologies 17/ Je suis plus majordome que soumis maso 18/ J’aime être nu 19/ Je me trouve trop gros 20/ Je suis un autodidacte 21/ J’aime les discussions intelligentes 22/ Je suis jamais satisfait de moi 23/ Je suis très famille 24/ J’aime énormément ma compagne 25/ J’ai peur de la mort 26/ je déteste la solitude 27/ J’aime le soleil 28/ Je n’aime pas trop les vacances 29/ Je m’ennuis vite 30/ J’aimerais pouvoir plus vivre ma condition de soumis 31/ Je n’aime plus rouler longtemps 32/ Savoir et transmettre sont mes moteurs 33/ J’aime l’océan, pas la mer 34/ J’aurais aimé être une femme avec mon caractère masculin 35/ Si j’avais été femme, je n’aurais pas eu d’enfants 36/ Je suis pour le mariage 37/ Je ne crois pas a la fidélité 38/ Je suis bi 39/ J’ai toujours aimé ma part de féminité 40/ Je ne pleurs presque plus 41/ J’ai des soucis de santé du aux excès 42/ J’aimerais vivre longtemps 43/ Je n’ai plus beaucoup de rêves 44/ J’adore l’eau sous toutes ses formes 45/ J’aime les orages 46/ j’aime l’odeur du goudron après la pluie 47/ Je raffole du chocolat 48/ J’aime les couleurs vives 49/ J’ai une préférence pour l’amitié avec des femmes 50/ Le bdsm fait parti de moi, je n’aime pas les séances et la vénalité 51/ Je n’aime pas la politique 52/ L’avenir de mon Pays m’angoisse 53/ J’aime la fessée 54/ J’aime la politesse et le respect 55/ J’aime les mots et les maux 56/ J’aime l’humour et la dérision 57/ Je suis sur qu’on peut et doit rire de tout 58/ Je dépasse ma liste….comme ça vous garderez les 57 que vous préférez 59/ J’aime repousser mes limites en SM 60/ Je suis sincère dans mes phrases.
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Par : le 19/02/16
1. Écrire ce portrait québécois est loin d’être facile pour une personne plutôt réservée comme moi. Mais je ne me défilerai pas. 2. Je suis né dans une ville de l’Ille et vilaine. Même si j’ai grandi en Loire-Atlantique et qu’il y a une polémique avec ce département et la Bretagne, je suis donc breton ! 3. Pour une de mes premières journées d’école (en maternelle) j’ai escaladé la barrière pendant la récréation. Je crois me souvenir que c’était un défi du genre « t’es cap de rentrer chez toi ? ». Un kilomètre plus tard et enfin arrivé chez moi, ma mère m’a directement reconduit à l’école. 4. Voilà pourquoi à chaque rentrée scolaire j’avais le droit au « Pour ta journée de rentrée tu ne t’enfuies pas hein ! ». 5. J’ai failli me faire écraser par une voiture sans permis. Pas celles de maintenant hein. Les bonnes vieilles « cacahuètes » d’il y a 20 ans qui font plus de bruit qu’elle n’avance… Si si, c’est possible ! 6. Je suis français mais un autre pays compte beaucoup pour moi : l’Irlande. 7. Quand j’avais environ 12 ans, j’ai dit à mes parents que je commencerai ma carrière professionnelle en Irlande. Ils pensaient que ça me passerait d’ici là et que cela ne resterait qu’un rêve. Pourtant quelques années plus tard c’est exactement ce que j’ai fait. 8. L’Irlande pour la nature et les magnifiques paysages. La côte sauvage. L’hospitalité des gens qui n’a rien d’un mythe. L’esprit pub. La Guinness. 9. J’ai vécu plusieurs années à Dublin et je n’en garde que d’excellents souvenirs. 10. J’ai toujours adoré la langue anglaise. Mais jamais réussi à me débarrasser de mon accent bien franchouillard… 11. Je suis un gaffeur. 12. Vous est-il déjà arrivé de réaliser que vous aviez oublié quelque chose alors que Vous êtes dans un avion ? Moi oui, et c’était même les cadeaux de Noël pour mes proches que j’avais oubliés… 13. Pour son anniversaire mon filleul souhaitait un Carrom (billard indien). Le cadeau c’est moi qui l‘ai reçu ; et si le courrier ne s’était pas perdu en route mon filleul aurait normalement dû recevoir la facture...En fait je me suis un peu planté dans les adresses. 14. Ai-je hérité de cet esprit gaffeur ? Je n’en sais rien. Toujours est-il que pour couper les ongles de mon canari, ma mère a serré trop fort… Il a fait son dernier cui-cui sous mes yeux . 15. J’ai un bon coup de fourchette ! Certaines personnes disent que suis un ventre sur pattes. D’autres plaisantent en disant que j’ai une colonie de vers dans mon ventre. 16. Ce qui énerve tout le monde d’ailleurs c’est que malgré tout ce que je mange, je ne grossis pas ! 17. Ma sœur a 4 ans de plus que moi. Même si nous n’avons pas le même père ; je la considère comme ma sœur. 18. Je suis un grand cinéphile. Je n'ai pas vraiment de genre préféré. Voilà sans ordre particulier une petite liste de films que j'apprécie particulièrement : Sur la route de Madison ; Paris, Texas ; Au nom du père ; les évadés ; Into the Wild ; Bagdad Café ; Once ; The chaser ; les films de Miyazaki, Nolan, Tarantino ou encore Kubrick. 19. Niveau musique j’écoute majoritairement du rock pop. Muse, U2, Coldpay… 20. Le livre que j’ai sur ma table de nuit en ce moment est « Into the wild » de Jon Krakauer. 21. Le livre BDSM que je préfère est sans hésiter « Uniquely Rika ». Un ouvrage anglais très bien fait et très sensé où Ms Rika explique comment Elle mêle vie de couple et BDSM. C’est plus précisément de soumission orienté service dont il est question. Voilà une phrase tirée du livre que j’aime particulièrement : True submission is not about what the Dominant partner does TO the submissive partner. It’s about what the submissive does FOR the Dominant. 22. Sensible, entier, attentionné, romantique, cérébral. Voilà des adjectifs qui me correspondent bien. 23. Altruiste. Si je peux aider quelqu’un, je le fais toujours avec grand plaisir sans rien espérer en retour. 24. Mais je suis également quelqu’un d’assez réservé et qui parfois manque de confiance en lui. 25. J’ai toujours été fasciné par les Femmes de pouvoir et/ou qui ont un fort caractère. 26. J’ai parlé du côté BDSM de ma vie à plusieurs personnes vanilles de mon entourage. Une amie me considère depuis comme « infréquentable » … Dorénavant j’y réfléchi à 2 fois avant de parler de cette partie de moi. 27. Je me sens bien dans cet univers BDSM. Et je suis définitivement plus dans le réel que le virtuel. Qu’ils soient simples curieux ou passionnés ou encore Doms, soumis ou même switchs ; ce milieu regorge de personnes extraordinaires. Et j’avoue être particulièrement admiratif des couples qui en font un mode de vie. 28. Rencontrer ! Je trouve dommage que quelquefois les gens tardent à se rencontrer en réel. C’est sans doute notre génération qui veut ça… Mais plutôt que d’échanger entre écrans interposés, n’est-ce pas mieux d’échanger en vrai ? Hé oh c’est moi le timide pourtant . Rien ne vaut le réel ! Quand on veut, on peut ! Sachant qu’au bout ce sont à chaque fois des rencontres extraordinaires, personnellement ce ne sont pas les kilomètres qui m’arrêtent. 29. BDSM,D/s, SM … il s’agit avant tout de relations humaines. Faites d’amitié pour les uns, d’amour pour les autres et dans tous les cas ce sont des échanges forts et des bonheurs partagés. Chacun son BDSM ! Je suis peut être naïf mais je ne pense pas qu’il y ait de mauvais Dominant ou soumis ; il faut juste trouver le partenaire qui nous correspond. 30. Je tiens à parler de quelqu’un qui compte beaucoup pour moi ici. Une tornade blonde qui respire la joie de vivre. Une magicienne au grand cœur. Une Grande Dame qui irradie et dont la bonne humeur est contagieuse. Une Femme qui a sûrement eu plusieurs vies antérieures tellement Elle sait tout faire… « Maman nantaise » ou « Ange Gardienne » comme j’aime l’appeler. Je n’avais absolument rien demandé. Elle a remarqué que j’avais soif d’apprentissage. Elle m’a appris à masser, fait faire des manucures/pédicures. C’est grâce à Elle si je prends désormais plaisir à cuisiner. Et j’en passe… Les personnes qui me connaissent savent de qui je parle. Je Vous suis infiniment reconnaissant pour tout ce que Vous faites pour moi « Miss Cari » ! 31. Je crois en la Princesse Charmante. Ma quête est une vie de couple sous l’Autorité Féminine Aimante. Rêveur je le suis, sans aucun doute. Naïf ? L’avenir me le dira. 32. Pour le petit clin d’œil « actualité » ; j’espère franchement que l’accent circonflexe ne va pas disparaitre. Sans cet accent la prononciation de mon vrai prénom est étrange . 33. On me dit très souvent que je fais beaucoup moins que mon âge. 33, c'est l’âge que j’ai actuellement. RAPPEL DES REGLES DU JEU : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ... », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. knight4ever
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Par : le 18/02/16
Salut à toutes et tous, dans la série je reprend un vieil article que j'ai écrit pour lap révention, je recycle. si j'en sauve un ou deux avec, ça sera déjà pas mal! Aujourd'hui donc, voyons les dangers du port de la cage de chasteté. On parle souvent de l'aspect excitant du bousin, ses soit disant avantages toussa, mais.....des soucis qui vont avec, nada walou, et faut vraiment bien chercher pour trouver des références là dessus croyez moi! Dans mon ex relation D/s, j'ai par le passé porté une cage de chasteté, d'abord une CB, puis ensuite une Prison de Morgane en acier sur mesure, quasi en 24/7 sur des mois. Nous avions fait une pause...puis retour en cage, avant que je ne lise des Maitresses sane safe and consensual sur un autre forum. En ayant subit plusieurs désagréments la première fois(port très régulier voire permanent sur plusieurs mois) ma Maitresse a alors préféré passé au port de ballstretcher en sa présence, notamment la nuit, devant mes craintes et interrogations du moment, plutôt qu'à celui de la cage. Je portai encore la cage quand je n'étais pas avec elle.... J'ai alors souhaité me renseigner un maximum sur le net sur les effets de la cage, notamment avec plusieurs avis médicaux. Et là....c’est le drame...difficile de trouver des avis tout à fait semblables. Si chaque médecin a son propre avis sur la question, on retrouve quand même certaines tendances. Je vous livre ici les différents avis médicaux que j'ai pu trouver, qui sont pas légion, pris à droite à gauche. Merci aux posts judicieux des Maitresses du Château des Dames notamment, j'espère qu'elles m'en voudront pas de partager ici ces infos pour faire vivre le débat hors de leurs murs, la plupart de ce qui suit n'étant pas de moi, mais un simple travail de rassemblement des infos sur la toile : 1 : "Selon elle(une médecin généraliste), deux sorties hebdomadaires le temps d'une branlette (par exemple) sont largement suffisantes pour conserver un pénis en bonne santé, cad afin que les corps caverneux conservent leurs élasticité. Donc en clair vous pouvez rester en cage 24/7, du moment que votre KH vous accorde ces deux sorties hebdomadaires(avec éjaculation), votre pénis restera en pleine forme et ne perdra aucune de ses qualités érectiles ou même fertilisant" 2 : "Bonjour Je voulais vous faire part de ma perplexité à propos du problème de prostate qui serait consécutive à une chasteté prolongée. La plupart des sites se rapportant à la chasteté annoncent en effet que le maintien d’une chasteté durable accentuerait les risques de mauvais fonctionnement de la prostate des hommes et pourrait même entraîner un cancer. Il est alors proposé plusieurs techniques de pression qui permettrait de vidanger cet organe sans entraîner de plaisir. Ce qui est étonnant, c’est que le risque d’impuissance liée au port prolongée d’un dispositif de chasteté contraignant sur la circulation sanguine n’est que rarement évoqué...... .......Ce sont les cages trop longues ou trop grandes qui peuvent occasionner des problèmes aux flux sanguins et au fonctionnement des artérioles...... ........Néanmoins, le port prolongé d’un tel dispositif ne sera pas sans effets à long terme sur les capacités érectiles. Une certaine impuissance, due à l’inertie des corps caverneux, se fera sentir au bout de quelques mois. Cette impuissance reste généralement temporaire si l’exercice normal des érections nocturnes y pourvoit, mais peut aussi s’avérer plus capricieuse si la chasteté s’est poursuivi sur du long terme. Ceci dit, les porteurs doivent donc être avisés de ce réel problème et en assumer les conséquences. De fait, un soumis chaste, volontaire sur une longue période, et qui n’aurait plus à utiliser son pénis pour une jouissance, ne devrait pas s’en préoccuper puisque le problème de dysfonctionnement érectile n’engagera aucun trouble majeur, sinon une frustration accrue. Mais, dans de rares cas, l’impuissance pourrait s’avérer définitive. Au bout d’un an, l’inertie des corps caverneux peut également entraîner un léger raccourcissement de la taille du pénis en érection, mais le pénis retrouve sa taille assez rapidement après quelques mois d’érections normales. Pour ma part, j’ai noté un raccourcissement de plus d’un centimètre en trois ans de port sans rémission........ .........Bien entendu, la prostate fonctionne comme une glande assez ordinaire et avec le temps et un fonctionnement réduit, la plupart des hommes connaissent un épaississement de sa paroi qui en réduit la souplesse. Cela n’a pourtant rien à voir avec une pathologie sévère. Il s’agit seulement d’un état de fait lié à l’âge. Chez la majorité des hommes, la « vidange » de la prostate n’a rien de nécessaire car en fait, elle ne se remplit pas. Je ne sais pas d’où vient ce mythe réitérée de la nécessaire « traite » de cet organe. En fait, le liquide prostatique accompagne le sperme lors de l’éjaculation et est produit en continu. Mais il se résorbe aussi plus ou moins en continu, ou bien finit par s’écouler tout seul lors de « pollutions nocturnes ». Il n’y a lieu à « dégorger » la glande que dans de rares cas pathologique de d’épididyme bouché, voire lors de cas exceptionnel de dureté de la paroi glandulaire. En règle générale et hors rarissimes cas d’inflammation, il n’y a nul besoin de laisser s’écouler le liquide prostatique, pas plus qu’il n’est obligatoire de dégorger les glandes de Skene des dames." 3: "La fonction érectile, comme toutes les autres fonctions de notre organisme, pour durer a besoin de fonctionner : ce n'est pas "la pile Wonder qui ne s'use que si l'on s'en sert" (les plus âgés comprendront), mais tout le contraire. Voici les bases scientifiques du raisonnement qui devrait tous nous conduire au tact et à la mesure quant à l'usage de la cage sur le long terme. Sur le principe il a donc un consensus; mais là où la médecine ne peut répondre, faute d'étude scientifique réelle, c'est sur la situation exacte du seuil du danger (durée, fréquence du port, taille de la cage, fréquence et type d'éjaculation, orgasme ou ruine..). Comme pour tous les risques médicaux, il est sans doute extrêmement variable d'un individu à l'autre, en fonction de tout un tas de critères: âge, tension, cholestérol, diabète, etc... Tous les soumis ayant porté une cage connaissent les réveils douloureux en pleine nuit dus à une érection. Ces mêmes soumis décrivent une amélioration au fil du temps. Cela signifie t-il qu'ils s'y habituent.. Je le pense pas: mais plutôt d'une raréfaction des érections, début de la spirale... En conclusion, le risque patent est la perte des érections au fil du temps. Mais est-ce un danger? Non car l'individu n'est pas en danger, et peut-être même que pour certains, cette disparition prématurée correspondra à un renforcement de leur psyché. La tête du soumis dirigeant pour une fois son fonctionnement." 4: "Vous parlez de cette si célèbre cage(la CB), je relève en effet "il ne peut plus s'en passer" ... L'outil a fait un fameux chemin dans les chaumières n'est ce pas ? De mon côté, ma modeste expérience médicale extérieure m'alerte justement sur ce côté Pavlovien quasi et sur l'impuissance à long terme qui menace le soumis-toutou. Je préfère, comme me disait une de mes "collègues" la cage mentale que j'impose à mon soumis et qui m'amuse tellement pour le carnet de fausses notes qu'il rempli à force de gaffes. Encore de quoi rire et punir. Étant de près dans le milieu médical et ayant les infos à la source (mdr ... je ne peux en dire plus mais c'est tout à fait cela), le port prolongé au delà du côté Pavlov si on peut dire :D , empêche les fonctions érectiles si l'objet est bien choisi. Hors donc plus de fonction érectile = impuissance à long terme puisque c'est le manque de fonction érectile nocturne qui est le premier symptôme de l'impuissance à traiter. Donc dixit source (lol) au lieu de traiter on provoque indubitablement le problème. Voilà en très bref .... .... Plus de fonction érectile nocturne du tout = impuissance à long terme. Combien de temps ? Sur quelle durée ? Pas de réponse mais risque existant. -Comment ensuite y remédier et est-ce que marche arrière est possible ? Certes oui mais comment ? Sur quelle durée ? Combien de temps ? Réponse aléatoire !! -Donc on revient au mode jouet . Un jouet est un jouet et ne peut être pris comme mode de vie total sous peine de ne plus être un jouet mais un déformation de la personne. Si je suis ce que dit le forum ce n'est plus du sûr, sain et consensuel . En abrégé le corps médical avisé dit : " si on s'amuse à provoquer ce que nous tentons de soigner avec difficulté, notre profession a des beaux jours devant elle..... .....On l'a dit : le mental a sa part dans l'érection. Donc tout jeu mental portant sur l'interdiction d'érection, la restriction de celle ci, la privation, la récompense etc... Porte automatiquement au terrain glissant de risques à la longue d'accoutumances de la personne à ces jeux au point de ne plus pouvoir fonctionner que par ceux- ci. Si le sujet est d'accord pour prendre ces risques il ne se rend évidement pas compte de la puissance de ceux-ci et de la difficulté ensuite à le "déprogrammer" le jour où il voudrait l'être. La encore on revient à la case plus haut : - Comment ensuite y remédier et est- ce que marche arrière est possible ? Certes oui mais comment ? Sur quelle durée ? Combien de temps ? Réponse aléatoire !" Voilà pour la partie citation, je reprend le clavier....et les avantages de la cage dans tout ça? Je vais faire court, tant les infos abondent sur le net à ce niveau: -Le port de la cage est agréable mentalement, vous maintenant dans un état de désir constant, mélangé à la frustration, obnubilant le cerveau(très agréable si vous êtes quelqu'un de très cérébral), et à terme vous trouvez ça souvent plus fort qu'un orgasme finalement si court..... Plus à fleur de peau, le soumis devient parfois aussi une vraie chienne en chaleur.... -Il assure que le soumis soit plus attentif, obéissant, moins agressif, dévoué envers sa Maitresse puisque moins concentré sur son pénis. -L'encagé doit faire pipi assis, donc les toilettes sont propres et les dames contentes ^^ Résumé des dangers lors d'un port prolongé de la cage(en 24/7 sur de longues périodes). Désolé c'est long, donc pas si anodin que ça: -Avec le temps, le pénis va rétrécir un peu en longueur. Ce n'est pas forcément irréversible s'il recommence à pouvoir bander souvent -Comme vôtre sexe ne peut pas bander la nuit pour sa bonne santé, vous perdez peu à peu la puissance et la longueur de vos érections. -Chez la plupart des sujets, le port de la cage prolongé vous rend aussi de plus en plus précoce pour éjaculer, car à peine libéré, vôtre corps ne pense plus qu'à une chose, se soulager rapidement.... -La nuit l'encagé sera réveillé par une tentative de bandaison douloureuse, parfois plusieurs fois dans la même nuit. C'est surtout valable les premiers temps...l'encagé dort mal, puis il s'habitue car ses érections se raréfient. Il n'est donc jamais au meilleur de sa forme, que ce soit professionnellement, quant à sa vie familiale et de fait, pour servir sa Maîtresse. -Le port prolongé, mais surtout les premiers temps là encore, va irriter la peau, en particulier au niveau du scrotum(en tentant de bander ça fait remonter les bourses, et donc étire la peau). Attention à ce que ça devienne pas des plaies. -Qui dit port de la cage dit moins de production de testostérone. La diminution du taux de Testostérone impacte ces organes cibles : Le Cerveau par une : - diminution de l'agressivité et de la concentration - tendance à la déprime et à l'insomnie - baisse voire une disparition du désir sexuel - diminution de la fréquence des érections Les Muscles par une : - diminution de leur volume - fatigabilité physique croissante lors de l'exercice Les Os : -par une réduction de l'hématopoïèse dans la moelle osseuse et une déminéralisation : La Peau : -qui devient plus fine, plus fragile, plus sèche, plus ridée Le Visage : -par un teint pâle, un regard terne, les muscles des joues relâchés, des ridules au coin des lèvres et des yeux Les Organes sexuels : -par une diminution ou une disparition de la fertilité, un manque de sensibilité clitoridienne, une perte du désir sexuel Le Système immunitaire : -par une diminution des lymphocytes T et des défenses immunitaires contre les mitogènes Il en résulte une sensation de " mal-être ", accentuée par les modifications de l'image corporelle (obésité, rides, calvitie, taches brunes, raideur et douleurs articulaires...) et de certains comportements (fatigue permanente, tendance à la dépression, manque de confiance en soi, sommeil agité, pertes de mémoire, manque de créativité, bouffées de chaleur). Dans quels domaines agit-elle ? L'action de la Testostérone porte principalement sur les organes génitaux et sur le cerveau. Ses autres cibles sont le système pileux, le tissu musculaire, la masse graisseuse, les cellules sanguines et les os. Elle agit de manière identique chez l'Homme et chez la Femme dans les domaines suivants : Surcharge pondérale : La Testostérone régule la répartition entre la masse maigre et la masse grasse : la diminution de son taux amène ainsi à un excès de graisse s'accumulant principalement dans la ceinture abdominale chez l'Homme et dans les cuisses chez la Femme. Ostéoporose : La Testostérone et l'Oestrogène peuvent augmenter la densité des os et contribuent à la prévention de l'ostéoporose. Le déficit en Testostérone caractéristique de l'andropause et de la ménopause a des répercussions sur la fragilité des os. L'ostéoporose peut donc exister chez l'Homme comme chez la Femme. Masse musculaire : La testostérone contribue au renforcement de la masse musculaire de façon conséquente. C'est pour cette raison que les sportifs en sont " friands" bien que la prise de Testostérone soit interdite en compétition pour des raisons d'égalité de chances. Cholestérol : La Testostérone contribue à une bonne circulation sanguine et aide à favoriser le taux de " bon " cholestérol et à réduire les taux sériques de cholestérol total et de triglycérides. Système cardio-vasculaire : Un lien étroit a été établi entre de faibles niveaux de Testostérone et les maladies cardiaques ; l'augmentation de la quantité de Testostérone entraîne une dilatation des vaisseaux sanguins stoppant ainsi l'amincissement des artères ; l'hypertension artérielle et les maladies coronariennes sont concernées par cet effet. Troubles de la Libido : Chez l'Homme comme chez la Femme, de faibles taux de Testostérone entraînent une diminution voire une perte de désir et d'efficacité sexuels. Même si l'homme en produit 10 à 20 fois plus que la femme, la diminution de production de celle-ci ne fait donc pas qu'éteindre son désir sexuel. -Une hygiène douteuse....même si avec les cages "ouvertes", il n'y a pas de souci -Risque de formation d'œdème gros souvent au niveau du prépuce, occasionné par une circulation lymphatique ralentie par la cage compressant le dessous de la base du pénis. C’est totalement insensible et se résorbe après une libération de quelques heures. -Risque de peau irritée, surtout les premiers temps. Si on ne retire pas la cage à ce moment, on risque que ça se transforme en plaie.... Voilà pour la liste des risques purement anatomiques. Vous trouvez pas que ça fait beaucoup? Moi si. Quelques questions essentielles à se poser selon moi: -L'équilibre mental...et bien, oui, pour certains hommes porter une cage c'est résoudre un souci par un autre, par exemple un soumis éjaculateur précoce dont le psychisme rejette la relation sexuelle, l'érection et l'éjaculation. Être encagé le plus souvent possible lui permet de mettre de côté des soucis psychologiques qui n'auraient peut être nécessité plutôt un traitement psycho-médical et médicamenté? -Que devient un soumis impuissant, habitué à être 100% sous cage et sans relation sexuelle lorsque, par accident , aléas de la vie ou tout simplement séparation ou divorce, celui ci se retrouve seul ? -Quand la médecine dit et redit que les érections nocturnes sont signe de bonne santé , comment un/e simple quidam peut il/elle affirmer que l'en priver ne comporte aucun risque ? Pour sa santé physique et morale, pour son avenir ? -L'homme encagé vieillit sexuellement très rapidement (au bout de quelques mois)... Sa libido baisse pour devenir inexistante, ce parfois assez jeune. Certains n'ont plus aucune érection même pour leur Maîtresse... et c'est bien le but de certaines femmes pour qui cette cage est une aubaine pour ne plus se cacher derrière des migraines, maux de têtes, fatigue etc au moment du sacro-saint "devoir conjugal"... -Faut-il qu'un homme porte une cage de chasteté pour être un "bon" soumis ? Mais alors, cet homme n'est il pas soumis à sa cage plutôt qu'à sa Dame ? Il suffit pour s'en convaincre de prendre ça et là quelques déclarations de ces "soumis" encagés : "sans ma cage je me sens nu", "sans ma cage je ne me sens pas/plus "soumis" etc... -Quid des Dominas qui aiment dominer et/ou pratiquer une sexualité avec pénétration? -Cet objet n'est il pas un prétexte à manipulation de l'un ou de l'autre? Je t'offre ma chasteté et fais de toi la reine de mes désirs dont tu as la clef (trad : sous clef je suis bien tranquille et tu n'auras aucune idée de mes problèmes sexuels) J'accepte ou je désire que tu sois sous la clef que je garde afin d'être le soumis parfait que tu désires tellement être (trad : ainsi je suis bien tranquille, tu ne m'ennuiera plus avec des désirs sexuels qui ne m'intéressent pas et m'ennuient plus que tout) -Pourquoi une Dame qui n'a plus de désir ne fait elle pas l'effort de consulter pour en connaître la raison (la ménopause peut être belle) et saute plutôt sur l'occasion sur la cage comme bouée de sauvetage? On parle de la bonne santé du soumis par sa sexualité, les études prouvent que la bonne santé de sa Dame passe par la même chose. Conclusion: La cage de chasteté n'est pas un jeu BDSM anodin. Si on passe à du port prolongé, on est en droit de se demander si on est encore dans du safe sane and consensual, car on entre rapidement dans une addiction, avec tous les risques des dangers cités que celà comporte. La cage "mentale" de la Maitresse qui ordonne à son soumis de rester chaste mais sans cage peut être une meilleure solution, et de plus très gratifiante pour le soumis qui va résister, tout en éliminant une bonne part des dangers et désagréments de la cage. La cage mentale a comme supériorité par rapport à la cage de chasteté qu'elle devient en plus un jeu intellectuel entre deux êtres pensants. La domination de l'un par L'Une est alors au stade ultime de l'interpénétration, de la connivence. Elle n'apporte aucune souffrance physique, ce qui est bon pour les non-masos, et favorise l'imagination. Maintenant au vu de tous les témoignages que j'ai pu lire, jouer en mode ludique occasionnel sur quelques jours, voire au max quelques semaines, ne semble pas dangereux, surtout si des libérations sont fréquentes, donc que cela ne refroidisse pas trop ceux qui veulent s'y essayer. Simplement, j'espère qu'après lecture de tout ça, tous sont prévenus de ce qu'ils risquent en voulant passer à du port permanent. PS: Je serais très curieux d'avoir d'autres avis argumentés, notamment de médecins sur la question Eenwë
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Par : le 13/02/16
Sonnet de l'acrobate Un jour tu m’as écrit, tu as capté mes yeux J’étais le jeune inscrit, je me suis vu joyeux Moi dominant conscrit, j’ai lu tes mots soyeux Ouvre toi manuscrit, dès lors lisons curieux Les premiers mots, tu m’as exprimé tes craintes Nous avons parlé de tout, et surtout de rien Jamais vain, tu m’as marqué de ton empreinte Depuis, de ton coeur, je me suis fait prétorien Ô muses, vous m’avez fait croisé son chemin Ses manières qui me disent de vivre le lendemain Foulons le chantier glorieux, suivons le chemin Nos doigts croisés amènent un avenir harmonieux Sous le regard des dieux nous sommes des fidèles pieux Ouf ! La nuit ! Nos ébats seront irréligieux.
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Par : le 07/02/16
Allez, puisque j'ai été piégé (bien malgré moi, pfiouuu ...), voici, pour Linsoumise, quelques trucs à se mettre sous la dent ... 1- C’est quasiment un exercice narcissique auquel Linsoumise nous convie … allons-y. 2- Au chapitre pître, je suis né un 1er avril 3- Difficile pour un pître d’être pris au sérieux au premier abord … mais ça m’a toujours fait rire d’être pris pour un branleur – et aujourd’hui je le revendiquerais même 4- D’ailleurs j’adore glander, comme ça, procrastiner sans objectif dans la journée 5- Pour un branleur, je bosse beaucoup trop d’ailleurs … mais en activité, j’ai horreur de la routine, du redondant, du manque de créativité, dans lesquels beaucoup se complaisent … beurk ! 6- J’ai un chat, récupéré de dehors ; enfin une chatte en fait. 7- Sitôt intégrée au foyer, elle fut en chaleur, et il fallait lui choisir un nom … mon plus jeune, 5 ans à l’époque, a proposé « Toutouffe » … adopté ! (je ne sais pas d’où lui est venue l’association d’idée, mais il a de l’avenir ce bon jeune !) 8- Ce regard du véto, quand il a fallut qu’il inscrive « toutouffe » dans son registre … arrff ! 9- Je me suis mis à fumer la pipe il y a 15 ans environ, pour arrêter de cloper … bah encore maintenant je fume la pipe 10- Un truc qui m’émerveille : découvrir un nouvel univers dans lequel j’ai envie d’entrer … pour moi ce fut successivement la recherche universitaire (ça m’a quitté), l’exigence conviviale du goût et des meilleurs vins, les aventures sexuelles, et enfin le bdsm .. 11- Ah ! enfin, vous dites-vous, on va parler cul ;-) ! 12- Tout doux, on va y aller progressivement … 13- Premières expériences sexuelles à 11-12 ans environ … comme un truc naturel (bon c’était plutôt « touche-pipi » à l’époque) 14- Enlevé par un pédophile vers 13 ans, il m’a sucé (ma première vraie pipe en quelque sorte !), s’est branlé, a juté dans son chiffon, et m’a laissé repartir 15- Le plus emmerdant ensuite c’est d’expliquer aux parents pourquoi j’ai mis plus d’une heure pour aller chercher le pain … 16- J’ai été un mari trompé … enfin trompé, non, elle avait mon consentement (ça l’a toujours étonné d’ailleurs) 17- J’ai toujours aimé la compagnie des femmes, même collégien (et même autant que je m’en souvienne au primaire), j’avais autant, voire plus, d’amies que d’amis 18- Encore aujourd’hui, sauf que maintenant ce sont parfois d’anciennes amantes rangées des voitures … 19- Bref ! 20- Après séparation, nouvelle vie avec une compagne, peu à peu en couple libre 21- Re-séparation, aventures sexuelles diverses, vanilles, et refus de ma part de trouver autre chose que des relations du type sex-friend 22- Plus ça va, et moins je comprends ce besoin d’exclusivité si répandu … 23- Tiens, un blog intéressant sur les questions autour de la non exclusivité : les fesses de la crémière (tapotez ça sur votre moteur de recherche) 24- Ai-je été libertin ? je l’aurais été vraiment si j’avais rencontré des gens intéressants dans ce milieu … 25- J’y ai plutôt rencontré des faux-semblants, de la méfiance, de la vacuité, et ce fossé entre un discours libertaire et la fermeture d’un petit monde recroquevillé … 26- Peut-être pas tombé sur les bonnes personnes, tant pis. 27- J’ai eu des fantasmes de soumis fut une époque (il y a 7-8 ans), enfin je les qualifie ainsi aujourd’hui, c’était assez confus pour moi à ce moment là 28- Notamment celui-ci : le dard bien raide, à l’orée de son œillet, elle me branle doucement, m’approche, je vais pouvoir entrer mais … non, elle me repousse doucement … me suis branlé un certain nombre de fois sur cette scène !! 29- En période de couple libre, l’une de mes amantes était une vraie furie dès que je lui pinçais les pointes des seins … le bouton qui réveillait la furie ! 30- Au début, disons le, son comportement m’a un peu dépassé … 31- Elle a donc assez naturellement pris le dessus au départ, mais je n’en tirais aucun plaisir cérébral, je me sentais comme un observateur … comme étranger à la scène, même si c’était bien ma queue qui était en elle. 32- Et puis, peu à peu, comme une évidence, j’ai repris les choses en mains, décidé de m’écouter ; puisqu’elle était toute énervée, une fessée pour la calmer … et visiblement elle aimait ça, et moi aussi … l’engrenage était lancé ! 33- Puis après la fessée, une prise sauvage dans la cuisine … 34- Et peu à peu, au fil des rencontres, une maîtrise de la bête, et le plaisir enfin complet, pour moi, aussi pour elle visiblement … plus je la contraignais, plus elle jouissait, plus je prenais plaisir, cérébralement et queutalement ;-) ! 35- une révélation … il y a 4-5 ans, pour situer. Grâce lui soit rendue, elle m’a révélé à moi-même en fait. 36- Et depuis, de rencontres en recherches sur le bdsm, la domination ne m’a pas quitté, j’ai juste mieux appris à gérer cette domination, quelques codes de base … 37- Et au fil des rencontres, à devenir un meilleur dom 38- Forcément attentif, c’est dans ma nature en quelque sorte, mais en imposant mon chemin 39- Cette tension entre l’attention à l’autre, et l’écoute de soi, est aussi ce qui me fait vibrer … un équilibre sur le fil, que quelques règles permettent de circonscrire bien sûr, mais qui se construit différemment avec chaque soumise que j’ai eu la chance de croiser 40- Et voilà … je conserve quelques amantes vanilles, et heureusement car je n’ai plus de soumise depuis 2 mois … 41- Et puis, je trouve mon équilibre ainsi : quelques amies / amantes vanilles, à voir de temps à autres, une soumise pour laquelle je m’investis réellement. 42- C’est con que je n’ai plus 42 balais, j’aurais bien terminé là-dessus 43- Ah si un dernier truc 44- Attention aux pervers narcissiques les filles 45- J’en ai récupéré quelques-unes, qui sont passées entre les griffes de ces grands malades 46- Mention particulière pour Bulle Romaine, qui semble défendre le prétendu D, lequel me semble avoir toutes les mentions requises, un beau spécimen me semble-t-il 47- D’expérience elles en ressortent en doutant d’elles-mêmes, détruites dans leur confiance en elles-mêmes, et ça met bcp de temps à se reconstruire la confiance en soi 48- Tchüsss
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Par : le 04/02/16
1/ Pourquoi accepter de m'y remettre? -Pour les beaux yeux d'Eowyn -Parce que la premiére fois où j'ai participé, j'ai trouvé ça ludique, mais au delà, j'ai aussi beaucoup appris sur moi. Ce jeu m'a tendu un miroir et m'a fait réfléchir à ce que je suis, à mes faiblesses, à mes rapports avec les autres. J'ai vu que si je jacasse beaucoup, je suis parfois incapable d'aborder certains sujets, meme avec des proches. Que j'ai bonne mine à taquiner Dieu sur son lacher-prise, je me blinde de partout! 2/ Je n'ai aucuns piercing ni tatoos. Les piercings ne m'attirent pas, sauf peut etre les anneaux intimes, façon O Les tatoos: J'adorerais, mais je n'ai jamais réussi à m'arreter sur un motif, un endroit. 3/ Les dragons me fascinent: indestructibles, redoutables, terrifiants, indomptables. A l'inverse, j'abbhore les ptits poneys pastels gnangnan, les contes de fées et les disneys. 4/ Je n'ai jamais eu peur des Doms sado. N'étant que légérement maso, je ne risque rien d'eux. 5/ Je glisse doucement vers la Domination, où je trouve de la sérénité. Peut etre avec le temps deviendrai-je une Domina trés convenable! 6/ Je suis une solitaire, qui a besoin de moments de solitude, qui peut passer des journées seule sans souci. Empathique, mais guére sociable, sauvage, farouche, pour qui toute nouvelle rencontre est une joie, mais aussi un saut dans le vide. 7/ Dans le miroir que m'a tendu le premier quebecquois, quelque part, j'y ai vu Galadriel. Ce qui m'a beaucoup troublée, puisque je n'avais jamais accroché avec elle, meme si je la trouve émouvante, dans sa bienveillance, dans ce pouvoir que je devine en elle, équivalent à celui de Gandalf. Douce, sage et terrible Galadriel... Sans doute deviens- je enfin une grande fille et finirai-s je par accepter de prendre de l'age. (beurk beurk! Je ne veux pas vieillir, moi!). Je veux rester une grande ado fofolle, rieuse, qui retrouve son adolescence apres avoir étouffé trop longtemps 8/ Je roule en R5 (si si, ca existe encore!:D 9/ J'ai découvert le net et les PC trés tard, en 2007. J'ai tout appris sur le tas, et ça a été pour moi une formidable ouverture sur le monde! 10 / J'ai longtemps fréquenté des forums sous un autre pseudo, puis découvert les réseaux sociaux, puis une amie soumise m'a prise par la main et m'a fait découvrir ce site 11/ Je déteste mon prénom. On a pas idée aussi de mettre un prénom qui veut dire haricot à la mode! Divorcée, je l'ai raccourci, tchac tchac! Là c'est mieux! :D 12/ J'aime la vie, passionnément. Je déteste qu'au fil des années le temps passe plus vite, les journées passent plus vite. 13/ Je n'arrive à dormir que sur le ventre, et sans oreiller. 14/ Je dors comme un loir, parfois beaucoup. Souffrir d'insomnie à une époque m'a été extrémement pénible. 15/ J'ai découvert le naturisme il y a quelques années et j'aime bien. La nudité, la mienne, celle des autres, ne m'a jamais géné. Je n'ai pas un corps de réve, je suis ronde, je m'en fous, je suis bien dedans! 16/ J'ai découvert péle-méle libertinage et saphisme, parce que l'homme que j'aimais m'a offert une femme pour mes 40ans. 17/ J'ai longtemps été attirée, émue par des corps de femmes, sans jamais rien oser. 18/ Meme en été je ne bronze pas vraiment, c'est un truc qui m'énerve! 19/ Je suis entrée dans la vie active trés tard, vers 40ans. Je ne suis pas d'accord quand on dit que la vie de femme, mére au foyer c'est cool. J'ai plutôt trouvé que c'était un enterrement de premiére classe! 20/ Je suis quelqu'un de fataliste: ce qui doit etre sera! 21/ Je déteste les films d'horreur, je trouve ca vraiment terrifiant! Les films policiers m'emmerdent. J'adore les films qui vous font réver, sourire. 22/ J'aime l'histoire, les vieilles pierres, les arbres. On dit que j'ai la main verte 23/ J'aime bien les cactus, les cactées et mon living est plein d'aloes, tant pis pour le feng shui! 24/ Je deteste les gens toxiques ou négatifs. 25/ Je bois trop de thé et de café, mais je ne fume pas, je n'ai jamais fumé 26/ Je suis une procrastineuse convaincue! Je remets à demain, et encore, et encore... 27/ Je crois sincérement que vouloir c'est pouvoir, dans une certaine mesure. Utopique? Peut etre! Et pourquoi pas! 28/ Je suis myope comme trois taupes. 29/ J'aime les forets. Bazin les appellait "l'église verte". Bernard Clavel avait baptisé les grands épicéas du haut-doubs "les colonnes du ciel", et Tolkien les Ents. J'aime les arbres, ils sont là avant nous, ils seront là apres nous, et à l'inverse du minéral, ils sont vivants. 30/ Voilà, ce petit portrait de moi arrive à son terme, je suis heureuse d'avoir réussi, à l'inverse du premier, à livrer plus de moi. Merci à ceux qui me liront. Add-non: ca a été un choix de ne pas risquer de piéger ceux qui liront, j'aime aller à contre courant. Rebeeeeeeellleeeeeeeee!!!!
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Par : le 03/02/16
1/ Pourquoi accepter de m'y remettre? -Pour les beaux yeux d'Eowyn -Parce que la premiére fois où j'ai participé, j'ai trouvé ça ludique, mais au delà, j'ai aussi beaucoup appris sur moi. Ce jeu m'a tendu un miroir et m'a fait réfléchir à ce que je suis, à mes faiblesses, à mes rapports avec les autres. J'ai vu que si je jacasse beaucoup, je suis parfois incapable d'aborder certains sujets, meme avec des proches. Que j'ai bonne mine à taquiner Dieu sur son lacher-prise, je me blinde de partout! 2/ Je n'ai aucuns piercing ni tatoos. Les piercings ne m'attirent pas, sauf peut etre les anneaux intimes, façon O Les tatoos: J'adorerais, mais je n'ai jamais réussi à m'arreter sur un motif, un endroit. 3/ Les dragons me fascinent: indestructibles, redoutables, terrifiants, indomptables. A l'inverse, j'abbhore les ptits poneys pastels gnangnan, les contes de fées et les disneys. 4/ Je n'ai jamais eu peur des Doms sado. N'étant que légérement maso, je ne risque rien d'eux. 5/ Je glisse doucement vers la Domination, où je trouve de la sérénité. Peut etre avec le temps deviendrai-je une Domina trés convenable! 6/ Je suis une solitaire, qui a besoin de moments de solitude, qui peut passer des journées seule sans souci. Empathique, mais guére sociable, sauvage, farouche, pour qui toute nouvelle rencontre est une joie, mais aussi un saut dans le vide. 7/ Dans le miroir que m'a tendu le premier quebecquois, quelque part, j'y ai vu Galadriel. Ce qui m'a beaucoup troublée, puisque je n'avais jamais accroché avec elle, meme si je la trouve émouvante, dans sa bienveillance, dans ce pouvoir que je devine en elle, équivalent à celui de Gandalf. Douce, sage et terrible Galadriel... Sans doute deviens- je enfin une grande fille et finirai-s je par accepter de prendre de l'age. (beurk beurk! Je ne veux pas vieillir, moi!). Je veux rester une grande ado fofolle, rieuse, qui retrouve son adolescence apres avoir étouffé trop longtemps 8/ Je roule en R5 (si si, ca existe encore!:D 9/ J'ai découvert le net et les PC trés tard, en 2007. J'ai tout appris sur le tas, et ça a été pour moi une formidable ouverture sur le monde! 10 / J'ai longtemps fréquenté des forums sous un autre pseudo, puis découvert les réseaux sociaux, puis une amie soumise m'a prise par la main et m'a fait découvrir ce site 11/ Je déteste mon prénom. On a pas idée aussi de mettre un prénom qui veut dire haricot à la mode! Divorcée, je l'ai raccourci, tchac tchac! Là c'est mieux! :D 12/ J'aime la vie, passionnément. Je déteste qu'au fil des années le temps passe plus vite, les journées passent plus vite. 13/ Je n'arrive à dormir que sur le ventre, et sans oreiller. 14/ Je dors comme un loir, parfois beaucoup. Souffrir d'insomnie à une époque m'a été extrémement pénible. 15/ J'ai découvert le naturisme il y a quelques années et j'aime bien. La nudité, la mienne, celle des autres, ne m'a jamais géné. Je n'ai pas un corps de réve, je suis ronde, je m'en fous, je suis bien dedans! 16/ J'ai découvert péle-méle libertinage et saphisme, parce que l'homme que j'aimais m'a offert une femme pour mes 40ans. 17/ J'ai longtemps été attirée, émue par des corps de femmes, sans jamais rien oser. 18/ Meme en été je ne bronze pas vraiment, c'est un truc qui m'énerve! 19/ Je suis entrée dans la vie active trés tard, vers 40ans. Je ne suis pas d'accord quand on dit que la vie de femme, mére au foyer c'est cool. J'ai plutôt trouvé que c'était un enterrement de premiére classe! 20/ Je suis quelqu'un de fataliste: ce qui doit etre sera! 21/ Je déteste les films d'horreur, je trouve ca vraiment terrifiant! Les films policiers m'emmerdent. J'adore les films qui vous font réver, sourire. 22/ J'aime l'histoire, les vieilles pierres, les arbres. On dit que j'ai la main verte 23/ J'aime bien les cactus, les cactées et mon living est plein d'aloes, tant pis pour le feng shui! 24/ Je deteste les gens toxiques ou négatifs. 25/ Je bois trop de thé et de café, mais je ne fume pas, je n'ai jamais fumé 26/ Je suis une procrastineuse convaincue! Je remets à demain, et encore, et encore... 27/ Je crois sincérement que vouloir c'est pouvoir, dans une certaine mesure. Utopique? Peut etre! Et pourquoi pas! 28/ Je suis myope comme trois taupes. 29/ J'aime les forets. Bazin les appellait "l'église verte". Bernard Clavel avait baptisé les grands épicéas du haut-doubs "les colonnes du ciel", et Tolkien les Ents. J'aime les arbres, ils sont là avant nous, ils seront là apres nous, et à l'inverse du minéral, ils sont vivants. 30/ Voilà, ce petit portrait de moi arrive à son terme, je suis heureuse d'avoir réussi, à l'inverse du premier, à livrer plus de moi. Merci à ceux qui me liront, je vous embrasse. Add-non: ca a été un choix de ne pas risquer de piéger ceux qui liront, j'aime aller à contre courant. Rebeeeeeeellleeeeeeeee!!!!
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Par : le 02/02/16
01 une enfance entre le France et l’Espagne, pendant longtemps je ne me suis senti ni d’ici ni de la bas 02 J’aime la corrida et j’y trouve souvent une corrélation avec le SM 03 L’adolescence en France, décalée pas la même culture 04 Les vins de France notamment les bordeaux restent pour moi un vrai choc de bon gout. 05 Perdre ma virginité étais pour moi un « détail « j’ai donc fait comme un casting pour choisir le bon 06 Premier émois SM, une révélation mêlée d’un fort sentiment de honte 07 J’ai aimé le sexe fort dès le début, par ici les mecs en mode « connard » de préférence 08 Je me suis marié avec après réflexion mon meilleur ami, par gout de la fête alcool musique et 2/3 trucs pas légal 09 Des années de fêtes, insouciance, nous avons la jeunesse, les moyens et les envies 10 Du sexe, du SM, des orgies, des voyages, une époque sympa …mais l’envie de se poser arrive et elle n’est pas partager 11 Un divorce compliqué plein de rancœur 12 Une période bizarre, ou j’accumule les hommes, les soumis, je découvre aussi les femmes … 13 Et LUI …un homme mystérieux, lumineux …on s’installe, on construit, on monte une entreprise 14 Découverte du sm adultère et honteux 15 Son mauvais caractère ….ses cris…sa violence contenue …je suis forte, il va changer 16 Mon FILS, ma bouture mon amour ma vie …. 17 Une gifle …une bousculade …un coup de poing …il va changer 18 Test de grossesse positif, une fille, il change se calme 19 Explosion de haine de violence, ma fille arrive. Beaucoup trop tôt elle rejoint les anges …. 20 Descente aux enfers j’essaye de me noyer d’oublier je coule volontairement 21 Ma mère présente pour mon fils arrive à me faire reprendre pied 22 On survie, on re vie, on réapprend à vivre à avoir envie de rire 23 Je découvre la légèreté dans les relations, ne jamais s’attacher. 24 Je découvre les amitiés sm , et elle me donnent un sentiment de liberté , pour être vrai … 25 Le sm sans entrave, je teste la soumission, pour le laisser aller, sexuellement kiffant mais cerebralement bof 26 Pas d’amis, pas d’amoureux, pas d amoureuse, juste ma bulle avec mon fils 27 Au détour d'un check up, diagnostic, cancer et la …au lieu de sombrer la rage …je laisse la porte ouverte 28 Des amitiés, du soutien, les mêmes combats, on se comprend. On rit, on vomi, on compte nos cheveux 29 Une panne informatique, une amie m’envoie un de ses copains ….le coup de foudre .un détail 15 ans de moins que moi 30 On s’aime, c’est indéniable, pas simple a accepter, mais un jour c’est juste une évidence, je prends, on verra bien 31 Nos premières séances ensemble, il n’adhère pas, mais adore me voir faire (voire ca l’excite) 32 Une relation pleine de joie, ma fripouille qui lui demande un soir pourquoi tu pars, reste avec nous 33 J’aime les weekends entre amis avec des enfants partout, du bon vin, des tapas, et un peu de « chill out » 34 Je hais ses kilos en trop que je n’arrive pas à perdre, 35 J’essaye d’être quelqu’un de facile à vivre, d’humain. 36 J’ai perdu mon père l’été dernier, c’est dur parfois, souvent en fait 37 J’ai pleurée en écrivant ses lignes 38 J’aime pas me plaindre, je n’aime pas que l’on me plaigne 39 J’aime le soleil, pas la pluie et le froid 40 J’aime dominer les dominants …oui ! C’est une annonce déguisé ! 1 de + pour remercier roifaune et vous donner un lien de chill-out que j’aime RAPPEL DES REGLES DU JEU : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Maestria », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.
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Par : le 31/01/16
40 choses sans importance, (Pour King Faune et Loic) 1/ Je déteste faire la cuisine et le ménage 2/ Je suis une vraie gourmande 3/ Je peux me montrer d'une mauvaise foi abominable et je suis trés tétue 4/ Je n'ai quasiment jamais quittée ma région, la Franche-Comté 5/ En vrai, je suis trés timide et beaucoup moins expansive que sur le net, ça surprend parfois. 6/ Je suis venue au BDSM tardivement, avec la découverte du net et de l'ordinateur, et je suis passée à la pratique prés de dix ans plus tard, au hasard d'une rencontre avec un Dominant sur un site libertin 7/ Je suis d'une nature joyeuse rieuse et optimiste (qui dit que les Balance sont mélancolique?) 8/ Quelques dictons qui m'ont accompagnés dans les aléas de la vie: "Demain sera un autre jour", "Ce qui ne vous tue pas vous rends plus fort", et "Fais de ta vie un réve et de ce réve, ta réalité" 9/ J'ai vu Kill Bill 2 en boucle, à l'époque de mon divorce, période trés difficile pour moi : non que j'y piochais des moyens de meurtres, mais parce que j 'aimais cette vision de la femme, incassable et obstinée. 10/ Un des grands regrets de ma vie est de ne pas avoir eu de fille(s). On ne peut guére parler shopping, cuisine, potins avec des gars. Mais j'ai quand meme fabriqué un mécano, c'est bien pratique! 11/ J'aime le printemps pour cette force qui soudain jaillit de rien, le bonheur de fleurs qu'on fait naitre et qui vous crient que bientot reviendra le temps des siestes au soleil dans un hamac, et des fraises du jardin tiédies au soleil 12/ Une de mes bonnes résolutions de 2016 c'est de me remettre au sport (quelqu'un pour me botter les fesses?) 13/ Je suis non fumeuse et j'aime pas les fumeurs, mes bronches non plus. 14/ Mes toutes premiéres expériences BDSMeuses ont été des démélés avec des millimaitres, puis j'ai rencontré un vieux soumis qui m'a bombardé d'office Domina et souminait à mort. Et il m'a fait une crise d'asthme la premiére fois où l'on s'est vu chez moi, il était allergique aux chats. (on pense rarement à aborder ce sujet préalablement.) 15/ Mon idéal BDSM, c'est la complicité d'Ana et de Christian G, le fait qu'ils progressent ensemble, tant dans leur BDSM que dans leur vie perso, pro... Pourtant je n'ai jamais vraiment été liée à un Dom en particulier, volontairement, parce qu'à la recherche d'un Dom le plus proche de mon idéal, et que peut etre que cet idéal comme le Prince Charmant n'existent pas. 16/ La fin de mon mariage, la période de mon divorce sont une des périodes les plus noires de ma vie: depuis je ne supporte plus les contraintes, les gens toxiques et manipulateurs 17/ Je pense qu'aimer quelqu'un, c'est lui donner des ailes, et non tenter de les rogner. 18/ Je suis frileuse, déteste tout ce qui est sensation de froid et j'adore le soleil 19/ J'ai découvert le BDSM, comme beaucoup, avec le film" 9 semaines et demie", et le sado-masochisme en lisant "Histoire d'O". 20/ Ma journée est foutue si je n'ai pas mon choco chaud du matin, et mes tartines beurre/ miel 21/ Je déteste me lever tôt le matin, surtout l'hiver. 22/ Ouf, déjà la moitié du chemin de fait, mais je trouve qu'avec 40 lignes, King Faune a sacrément chargée la mule! :p 23/ Je vis trés mal le stress 24/ Je ne survis pas sans net, sans TV sans portable et sans choco 25/ A 40 ans je me suis brulée au 3e degré au visage, aux mains et aux bras en allumant un feu à l'essence et au briquet. J'ai eu trés peur de rester défigurée et eu la chance de n'en pas garder pas vraiment de traces. Et j'ai eu un temps la phobie du feu. 26/ Je suis quelqu'un de trés paradoxal, c'est un peu mon armure. 27/ Je conduis comme une savate mais je n'ai jamais d'accidents. :D 28/ Je déteste le mauve et j'adore les couleurs vives, le velours noir et les matiéres douillettes. 29/ On avance, on avance, lentement mais surement! Si j'ai une cata et que je doive tout reprendre dés le début je péterai un plomb, c'est sur! 30/ J'ai été la fille unique de parents déjà agés que j'ai perdu tôt. Du coup, j'ai voulu des enfants jeunes, et une famille nombreuse. 31/ Je suis méga fan de GOT, de la série Viking, de Trueblood (les 3 premiéres saisons et les livres de Charlaine Harris) et j'ai adoré Twilight. Eh oui, je suis restée une ado, quelque part! 32/ J'ai adoré 50 nuances de Grey. Mon côté midinette. Et puis la chambre rouge de la douleur était trop chouette dans le film. Quoi, c'est po du BDSM? Et les buds à fourrure du film étaient une tuerie! 33/ Je pourrais tuer pour des oeufs à la neige maison, mon péché mignon. En plus j'ai du mal à les réussir! 34/ J'ai un don pour partir dans de méga fou-rire à des moments impromptus. 35/ J'ai longtemps eu une peur absolument irraisonnée des pinces à sein. Elle s'est envolée lorsqu'un Dom m'a posé des pinces à vis. J'ai été surprise et heureuse de ne pas ressentir de douleur. Et cru mourir quand m'ayant bloquée sous lui, il a tiré sur la chaine... Sauf que n'étant pas serrées, elles m'ont quitté d'elles-memes, la phobie avec. Depuis, j'aime bien les pinces!:D 36/ Je crois au feng shui, à l'écologie, que peut etre avec de petits gestes on peut influer sur les choses, à notre petite échelle. Au moins on aura essayé! 37/ Mes efforts écolos sont parallélement anéantis par mes fils, grand amateurs de suremballages, de canettes, de cochonneries industrielles et de diesel. 38/ Enfant, j 'étais assez garçon manqué. Ado, j'étais androgyne, j'adorais qu'on se demande si j'étais un garçon ou une fille 39/ J'ai été brune, rousse, noir corbeau, prune. Depuis quelques années je suis blonde et j'en explore toutes les tonalités. J'aime etre blonde, ça me donne une douceur que je n'ai pas ^^. 40, enfin!!!! Quoi mettre? Je suis nulle en math, plutôt littéraire et totale blonde, dans les gaffes et les étourderies. Tant pis! Vive les blondes! J'aurais aussi pu mettre que je suis une maniaque des smiles et une fan des acronymes.
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Par : le 31/01/16
1-j'ai eu une enfance heureuse ,choyé et avec beaucoup d'amour. 2-A la naissance j'ai failli passé déjà de l'autre coté 3-rebelote à 3 ans et à 23 ans 4-j'adorais la natation surtout quand j'ai failli faire couler le moniteur qui m'a appris 5-j'ai aimé les sports d'équipe 6-j'ai embrassé ma 1 ere fille à 12 ans mais déjà c'est elle qui m'avait attrapé 7- A 15 ans j'ai fait le Tour de Gironde en Solex et j'ai tellement adoré qu'après j'ai participé au 24H du solex avec un engin qui roulait à plus de 100km/H 8-la voile m'a accroché, et je revis régulièrement ces longues nuits à dormir sur le pont à la belle étoile 9-Punaise décider socialement pour les autres ce n'est pas facile 10-Je me sens l'âme d'un Don Quichotte, à vouloir toujours me battre contre les moulins à vent 11-Je dis toujours ce que je pense mais en mettant les formes et le temps 12-j'adore le Saint Honoré et le Vacherin avec plein de Meringue 13-J'aime la crème fouettée , mais on est pas obligé de se limiter à la crème 14- "la liberté des uns s'arrête ou commence celle des autres " précepte qui me suit toujours 15-Roi Faune vous en avez imposé 35 , ce n'est pas rien 16-la famille c'est sacrée 17-Découvrir son "Moi "tardivement à des avantages et des inconvénients 18-Avantage= on a l'expérience de la maturité même tardive 19-Inconvénient=" j'ai une vie et il est difficile de tout concilier" , et ma frustration de ne pas le vivre est d'autant plus grande 20-Avec l'expérience on apprend la patience 21-Ce construire ne ce fait pas en un jour mais chaque étape quand on est bien conduit et bien guidé est encore plus fort. 22-Punaise j'ai envie d'une bonne assiette d'huitre à déguster en face du bassin D'Arcachon avec un bon Sancerre blanc 23-Si je ne juge pas les autres , alors laissez moi me juger seul 24-J'aime et j'ai besoin d'échanger 25-je préfère OUI ou Non à "Peut être" 26-rien ne vaut même avec mon expérience s'abandonner pour lâcher prise que de résister pour subir 27-Echanger avec des personnes qui se comprennent c'est très fort pour tout le monde 28-Loic ce n'est pas mon prénom  29-J'ai eu la chance de rencontrer une Domina formidable et je sais qu'une autre prendra le relais pour parfaire mon "Moi" à son image 30-Attention j'ai ma personnalité et j'espère moi aussi lui apporter ce quelle attend pour s'élever avec Moi 31-Roi Faune je vous ai battu 32-je suis admiratif de tous ceux qui vivent à fond leur vérité 33-Merci au Site , j'ai rencontré plein de personnes qui me permettent d'aller vers mon "Moi" 34-plus qu'une ,alors je vous embrasse toutes et tous qui " liker" mes photos, même les autres 35-Bon Mesdames qui me lisez, n'ayez pas peur d'échanger avec moi , je ne vous en voudrai pas Je vous respecte et vous aime Loic RAPPEL DES RÈGLES DU JEU : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Loic33 », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 18/01/16
Salut à toutes et tous, envie de partager avec vous aujourd'hui mes anciens écrits. Le sujet: la Gynarchie, la fameuse suprématie féminine, et ses dangers. Sortez vos stylos vous avez deux heures! :) De ci de là sur le net, je vois énormément de personnes fantasmeuses ou pas assez informées employer ce terme sans comprendre ce qu'il y a réellement derrière, galvaudant et sous estimant totalement les idées de haine, mépris, déni, règlements de compte avec les hommes qui vont trop souvent avec. Pire, aujourd'hui la gynarchie est à mon sens trop souvent érigée sur le web comme l'unique modèle de couple Maitresse/soumis. Ça devient un effet de mode, avec ses recettes miracle, alors que dans les faits elle n'est que minoritaire, les pratiquants d'une domination SSC (sane safe and consensual) étant bien plus nombreux pourtant dans les faits. J'ai synthétisé ici pas mal de mes lectures sur le sujet, mais ça ne va pas m'empêcher de tailler un costard trois pièces façon puzzle à ce que je considère parfois comme une dérive dangereuse, extrémiste, et je pèse mes mots. Pas de plagiat, ni de gloire à en tirer, juste une vraie envie de remettre les points sur les i, les barres sur les t, en mode coup de gueule. D'habitude j'ai coutume de ne plus répondre à pareille immondice, tel ce cher Audiard "je parle pas aux cons ça les instruit". Mais là c'est plus fort que moi, j'en ai ras le bol de voir cette lavasse érigée régulièrement en modèle sur la toile. Alors en avant Guingamp, je suis pas là pour jouer à la dînette. Avant d'en venir aux réflexions, questions et démonstrations..... faisons la démarche de définir ce concept, comme pour un devoir de philo. Si on tape sur wikipédia, on obtient ceci: "Du grec ancien gunê « femme » et arkhia « pouvoir ». Exercice du pouvoir par les femmes. Systême politique où les trois pouvoirs (législatif, judiciaire et exécutif) sont détenus par les femmes. Systême social et familial donnant la primauté à la femme." Quel rapport avec le BDSM me direz vous? Dans les années 90, une écrivain du nom d'Aline d'Arbrant écrit plusieurs bouquins porno ou érotiques où les hommes sont des esclaves dans une société dominée par les femmes. Dans ces ouvrages on nage en plein déni de la sexualité masculine, c'est un monde lesbien. L'homme est considéré comme un animal, il est appelé le "mâle", qui doit être conversé juste en tant qu'esclave géniteur, domestique ou agent de service(sinon on supprime les bébés mâles). Ce dernier ne doit trouver son épanouissement que dans la servitude et la soumission à la femme. Sous cage de chasteté en permanence(avec tous les dangers pour sa santé qui vont avec...cf ma récente synthèse sur ça), il doit accepter d'être cocufié par sa maitresse, et n'a pas voix au chapitre. Les hommes féminisés y sont valorisés. Les récalcitrants travaillent en usine ou dans des fermes avec un encadrement féminin très dur. Les condamnés sont euthanasiés. Rien que ça....si on en était restés au stade du roman, à la limite why not? Bon on se croit quand même un peu dans Mein Kampf mais admettons....D'autres femmes auteurs s'en sont par la suite inspiré, comme Marika Moreski. Aline d'Arbrant avait elle besoin de se venger des hommes? A t elle simplement exploité le filon dans un but lucratif? Ou bien étaient ce simplement ses fantasmes les plus extrêmes couchés sur papier? Peut être un peu des trois.... J'ai envie de dire...quoique...car la création d'un tel bouquin ne pourrait elle pas être le fruit d'un esprit malade, totalement retord, visant par sa lecture à faire détester les femmes, les dominatrices? Quand on sait qu'Elise Sutton(je vais revenir sur ce personnage) qui a gommé certains aspects de la gynarchie dans ses préceptes pour faire plus soft avec sa simple suprématie, édite ses bouquins aux mêmes éditions(éditions Lulu)que nôtre fameuse Aline d'Albrant, on peut se poser quelques questions sur le réel but du truc. En poussant un peu, on se rend bien compte finalement que la gynarchie est un vraie pompe à fric... Toujours est il qu'une certaine frange du mouvement lesbien féministe américain a érigé ça en modèle de société parfaite. Le terme "gynarchy" est né. Une secte s'est créée sur cette base, et depuis ici ou là on voit naitre des "sororiétés", ou communautés gynarchiques, qui appliquent la doctrine plus ou moins à la lettre, le principe de départ restant le même. En France, c'est Anne Lezdomme qui a été la tête de pont de ce mouvement, ainsi que Josiane Sapho. Evidemment, des hommes maso, soumis ignorants, fragiles, fantasmeurs ou encore naïfs les rejoignent, prenant souvent leurs écrits pour du pain béni. Souvent considérés avant tout comme des porte feuille sur pattes, ils obtiennent rarement quelque chose en retour à part des coups, quand c'est pas des arnaques. Tout au plus ne sont ils bons qu'à travailler au confort de leur pseudo maitresse.... Si dans le monde moderne occidental, le phénomène reste encore marginal, il est aujourd'hui de plus en plus répandu au Japon, où la femme japonaise longtemps soumise de force prend sa revanche par ce biais. Il y existe des écoles de formation gynarchistes, où on apprend aux jeunes femmes cette ligne de conduite extrême. Au Japon sachez le, les femmes seraient plus nombreuses que les hommes à chercher ce type de relation, allant jusqu'au mariage gynarchique, que certaines n'hésitent pas à faire respecter dans ses termes par la suite par l'intervention des Yakuza. Ici vous entendrez souvent parler d'Elise Sutton, chantre de la suprématie féminine, qui reconnaît la sexualité masculine, mais préconise de la réprimer pour la satisfaction de la femme. Selon elle, la suppression des orgasmes chez l'homme le rend plus attentif à son service auprès de la femme, ça devient un objet de chantage..etc..etc.... Le monde d'Elise Sutton est plus proche de celui du BDSM que de la gynarchie. Maintenant il faut savoir que cette personne a été retirée de wikipédia, puisque personne ne l'a jamais vue, alors qu'elle prétend par ailleurs être psy. Selon le milieu BDSM américain, un homme se cacherait derrière ce personnage.... Il fut un temps, j'ai pratiqué un forum francophone de domination féminine, que je ne citerai pas car hors de question de faire de la pub , prônant en fait officieusement la gynarchie, issu du blog d'Elise Sutton. Tout discussion constructive y fut impossible, dès que vous entriez en contradiction avec leurs préceptes en leur mettant le nez dans leur merde. Vous auviez tort seulement parce que vous êtes un "mâle". L'équipe admin du forum modèrant par ailleurs sur cette base, bonjour l'objectivité et l'éthique. Si vous argumentiez de façon logique sans vous laisser marcher sur les pieds, c'est pire, vous vous faisiez lyncher par les mili maitresses soutenues par leurs sous fifres mâles, dégoulinant de miel condescendant bien entendu. Nombre de femmes que j'y ai croisées sont hautaines, arrogantes, méprisantes et elles ont surtout un gros problème de vengeance à régler avec les mecs. Dans ce cas là, on est pas Maitresse, et on va vite voir un psy...j'dis ça, j'dis rien hein. Certains me diront que chacun est libre de faire penser et dire ce qu'il veut. Voltaire a même dit: “Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”. Perso ça me pose un vrai problème car le paradoxe est total, je m'explique: Si je suis prêt à débattre avec ces gens là, même en tant que Don Quichotte contre les moulins à vent, je sais pertinemment qu'eux n'ont pas eu, et n'auront jamais à mon égard la tolérance que je peux avoir envers eux. Ça me fait penser à l’extrême droite qui se présente aux élections démocratiques, mais qui une fois qu'elle sera élue, balayera peu à peu de démocratie qu'il reste. Bref, démontons point par point cet extrémisme qu'est la gynarchie, en prenant quelques extraits d'une interview donnée par Anne Lezdomme aux Inrocks: -"Naturellement, la femme sera alors totalement les­bienne/ la transcendance des rapports sexuels lesbiens qui ne sont pas seulement une préférence sexuelle, quoique vous en disiez, vous, les mâles, mais un mode de vie féminine supérieur." Ça commence bien. On nage en plein surréalisme. Si l'homosexualité est parfaitement normale dans le règne animal(450 espèces), la plupart des individus restent hétérosexuels (et beaucoup sont également bisexuels mais l'ignorent). Si jamais vous demandez à ces gourdes ce qu'elles pensent et ce qu'on doit faire pour les femmes soumises et heureuses de l'être dans le cadre BDSM, bien sur elles ne vous répondront pas. Allons plus loin...si on interroge des lesbiennes dominatrices qui sont dans le BDSM, quelles réponses obtient on? Elle vous répondront qu'elle ignorent plus ou moins les hommes. Ni haine hi amour. Parfois de l'amitié. On est en droit de se demander sérieusement si ce n'est pas un homme en fait, qui a des fantasmes d'hétéro et qui n'a aucune idée de comment pensent les homosexuels et les dominants quels qu'ils soient, qui a pondu toutes ces conneries. Faites lire ces conneries à des lesbiennes....elles seront mortes de rire, effet garantit. -"Elles leur permettent en effet de se libérer d'un truc fondamentalement emmerdant si on veut bien y songer la aussi : la sexualité." Quid des Dominas qui aiment faire la pénétration ou la sexualité avec leurs soumis? -"La suite a confirmé les choses : vous, les mâles, avez une intelligence qui ne vous permet que de repérer les coups francs et les hors-jeu, parfois la cylindrée des automobiles. Le reste le votre comportement ne dépend que de ce que vous avez entre les jambes." No comment? S'il est vrai que les mecs sont plus gouvernés par leur sexe....car c'est anatomique(7m pour atteindre le paroxysme de l'orgasme, contre 15 - 20 minutes pour une femme)....faudrait peut être pas exagérer. Einstein, De Vinci, Darwin, Pasteur, pour ne citer qu'eux... c'est de la merdasse? -"car il est prouvé scientifiquement que le chromosome Y est en régression et sa disparition inéluctable" Via quelle étude? MDR! -"En gy­narchie, l'homme consentant n'a qu'une seule raison d'être : Obéir. Ramper. Travailler pour ses maîtresses. Renoncer à toute sexualité. Pour être finalement euthanasié comme une bête par sa maîtresse le jour venu. il n'a pas d'âme, il n'est qu'un animal." Comment peut on vociférer de tels dégueulis? Désolé mais là, je pense à Hitler(et je conchie le point godwin). Vive la barbarie, la haine, le crime contre l'humanité.... - "La communauté, la sororité des cigales": Il y a eu ici ou là certains projets de formation de ces communautés ici ou là (j'avais vu ça sur le net dans le sud est de la France, et en Espagne). On persuadait les soumis de participer financièrement, avec de belles promesses évidemment. Je vous laisse imaginer la suite: une grosse arnaque. On retrouve aussi ce phénomène dans le money slavering, pratique extrême que je ne cautionnerai jamais, qui n'est là bien souvent que pour satisfaire des opportunistes vénales qui plument de pauvres pigeons. Faut il en rajouter pour convaincre? Oui...j'ai envie de rajouter...et l'Amour dans tout ça? En frustrant l'autre de sexe, de tendresse...et en le traitant avec mépris, donc parfois pire même qu'un animal, je me demande bien comment on peut prétendre remettre avec ça un couple sur de bons rails, puisque c'est le cheval de bataille d'Elise Sutton. Quelle fumisterie! Et dangereuse avec ça, car de nombreuses personnes qui débutent dans le BDSM se voient conseiller ces sites et forums qui arrivent en tête sur Google, avec ces idées, qu'ils prennent souvent au pied de la lettre, ce qui risque fort de mener leur couple à la ruine, car ce n'est pas une recette miracle. Si jamais ils sont fragiles, naïfs, dans une mauvaise passe de couple, en pleine découverte du BDSM, c'est encore plus facile. "Plus c'est gros mieux ça passe" - Chirac. A l'arrivée bonjour les dégâts.... Comment en est on arriver là? Avec la vulgarisation du BDSM qui va de pair avec l'avènement d'internet j'imagine. Parce que l'ère du temps capitaliste donne la part belle aux idées de plus en plus individualistes, consommatrices, financières, extrémistes, intégristes au détriment des piliers humanistes tel que le respect, la complicité, la consensualité, l'amour, le dialogue.... J'ai envie de dire pour conclure: Attention où vous mettez les pieds avec la gynarchie et la suprématie féminine! Messieurs les soumis, sachez réprimer vos bas instincts. Les hommes sont faits ainsi qu'ils ont des pulsions sexuelles très fortes. Ce n'est pas pour autant que vous serez mieux en cage de chasteté. Ce n'est pas pour autant que vous êtes si nombreux et les dominas si peu nombreuses, que vous devez tout accepter pour pallier à vos frustrations.Respectez vous que diable! Lorsque vous vous soumettez avec amour aux pieds de celle qui vous avez choisit, c'est un beau cadeau que vous lui faites, peut être le plus beau. Un cadeau qui se mérite, fait pour quelqu'un qui doit s'en montrer digne. Alors réfléchissez avec un peu de bons sens. Si au fond de moi, il réside un léger fantasme d'esclavage à ma Maitresse, celui là doit le rester....et c'est une travestie adoratrice de la féminité qui vous le clame! Mesdames les Maitresses, ne cédez pas à ces pseudo préceptes miracle. A chacun de construire sa D/s. Vôtre homme qui se soumet vous aime et vous admire. Le mettre en cage c'est de la facilité, et c'est dangereux. Non la femme n'est pas supérieure à l'homme. Tous deux sont simplement différents et complémentaires, ainsi que nous a fait la nature, et nous nous enrichissons mutuellement de nos différences. Si vous avez la haine d'un homme pour x raisons, il est injuste de la transposer à tous les hommes. Tous les hommes ne sont pas responsables du passé et présent si phallocrate, ou de ce que font certains hommes dans certains pays aux femmes. Revendiquer un monde où la moitié doit être mise en esclavage est une pure folie. Appliquer une telle doctrine n'est rien d'autre que de la barbarie. Sur ce, bonne méditation à toutes et tous. J'ai essayé de faire court, mais voilà en gros ce qui se cache derrière la gynarchie et la suprématie féminine. Des intégristes qui tendant à être aussi cons, voire plus cons encore de ce que l'homme a fait de pire dans l'Histoire. "Ceux qui ne tiennent pas compte des événements qui ont eu lieu au cours de l'Histoire sont condamnés à répéter les mêmes erreurs" - Goethe Le débat est ouvert dans les commentaires, mais je préviens à l'avance les quelques rageux de service passant par là que je me réserve le droit de modérer tout commentaire injurieux et non argumenté. Eenwe
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Par : le 18/01/16
Hier soir, en rentrant du travail, Jana vint, toute caline, se frotter contre moi et me dit qu’elle avait envie d’aller prendre un pot en ville. Je lui répondis que le soleil était encore haut et que c’était une très bonne idée mais que je souhaitais auparavant changer de pantalon car un peu trop serré à l’entrejambe. Elle sourit, soupesa mon encombrant paquet de couilles alourdi par le lourd anneau d’argent qu'elle me fait porter depuis plusieurs années maintenant, et dit que non, c’était parfait ainsi. Elle releva ma jambe de pantalon pour vérifier que les bracelets de cuir qu’elle m’avait ordonné de mettre le matin étaient en place et décréta qu’on pouvait partir. J’aurai du me méfier. D’une humeur décidément très enjouée, ma Maitresse utilisa chaque occasion, la traversée d’un passage clouté, un passage sur un trottoir un peu étroit, pour laisser une main furtive frôler mes tétons sensibles ou me toucher les fesses. S’ajoutant à la délicieuse sensation de sentir mes couilles alourdies danser entre mes jambes, ces petits gestes affectueux déclenchèrent une superbe érection qui eut du mal à trouver de quoi s’exprimer dans mon pantalon serré. Un peu mal à l’aise de cette situation et inquiet de la voir atteindre bientôt le haut de la Tour Bretagne, je fus cependant vite rassuré. Aucune lueur grivoise dans le regard des passantes que nous croisions, personne ne semblait remarquer mon trouble, mis à part un jeune minet. Jana surpris son regard et me mit immédiatement la main aux fesses, ce qui doucha illico l’émoi du jeune garçon. Arrivés au café du Pilori (le bien nommé), nous eûmes la chance de trouver une table, une seule, encore disponible en terrasse. Autour de nous quelques habitués que je saluais de la tête, pas mal de touristes aussi, et puis un couple qui retint mon attention. Elle devait avoir une quarantaine d’années, un visage agréable, des cheveux noirs de jai, coiffés au carré. Ses yeux verts, un peu éblouis par la lumière forte du soleil, étaient vifs et s’intéressaient à tout ce qui se passait à proximité. Je ne distinguais pas vraiment son corps ni ses jambes, masqués par les tables voisines, mais se dégageait d’elle une élégance naturelle, décidée et volontaire. La personne qui l’accompagnait était plus jeune, toute fine et semblait intimidée. Son regard fixait obstinément son Perrier citron, aucun son ne sortait de ses lèvres et son tenue très classique d’employé de banque lui donnait une silhouette stricte, jambes serrées, reins légèrement cambrés, ses cheveux blonds tenus par une barette. Sous la veste, elle portait un chemisier léger qui laissait deviner une poitrine menue, dont je ne parvenais pas à voir si elle était libre ou non de tout soutien gorge. Ma Maitresse ne semblait pas les avoir remarquées et s’était lancée dans une conversation qui s’éternisait un peu avec Julien, le jeune serveur du café. Lorsqu’elle eut enfin fini, elle se déplaça et vint s’asseoir à côté de moi face au soleil, posant la tête contre mon épaule. Sa main se glissa discrètement sous ma chemise et repris son petit jeu avec mes petits tétons vite redevenus tout durs. De nouveau gêné par une érection quasi immédiate, je m’agitais un peu sur mon siège, cherchant à une position plus confortable. Et soudain, je sentis se poser sur moi le regard perçant de la belle brune. Elle semblait beaucoup s’amuser de ce qu’elle voyait et j’eus le sentiment qu’elle appréciait de voir ainsi sous ses yeux un mâle devenir le jouet d’une femme. Jana semblait ne s’apercevoir de rien, mais lorsqu’elle se pencha pour soulever ma jambe de pantalon, juste assez pour que la brune puisse entrevoir mon bracelet de cuir et son gros anneau, je sus qu’elle avait tout deviné. La réaction de notre voisine fut surprenante. Elle se tourna vers la jeune fille silencieuse et lui murmura quelques mots à l’oreille. Sursautant comme si elle avait reçu une décharge électrique, celle-ci marqua un temps d’hésitation pour desserra un peu les jambes. Manifestement cela parut très insuffisant à celle qui l’accompagnait qui posa alors carrément sa main sur son genou et lui ouvrit les jambes en grand. Les doigts de Jana se crispèrent brusquement sur un de mes tétons et je ne pus retenir un mouvement vif du bassin vers l’avant. La brune sourit et glissa elle aussi discrètement une main sous le chemisier vers l'un des seins de la jeune blonde. Ses jambes tentèrent un instant de se refermer mais la main de fer qui s’était saisi d’un de ses tendres tétons la rappela à ses obligations de soumise. Et elle s’abandonna, allant jusqu’à lâcher son verre maintenant vide pour laisser filer une de ses mains sous la table. Le manège des deux dominas avec leur partenaire dura quelques courtes minutes, puis elles décidèrent d’un commun accord, sans qu’un seul mot ait été prononcé, que s’en était assez. La belle brune se leva, alla payer au bar, puis se perdit dans la foule, suivie à deux pas derrière par la jeune blonde revenue à son mutisme. Au retour à la maison, ma Maitresse me dit d’un ton sec qu’elle exigeait maintenant de moi un meilleur contrôle de mes pulsions et que cela commençait tout de suite par une sérieuse période d’abstinence, jusqu'à nouvel ordre. Elle s’assit sur le canapé, ouvrit les jambes et m’appela près d’elle. FIN
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Par : le 17/01/16
Bonjour voilà un article que j'ai trouvé lors de mes recherches je vous le retranscrit telle que je l'ai trouvé mais je le trouve tellement juste que je souhaite le partager "Le bonheur ne réside pas seulement dans le plaisir mais dans le contentement de soi qu’éprouve celui qui vit des sensations (parfois pénibles) valorisantes. il implique la présence, au moins fantasmée des autres, car être content de soi c’est se reconnaître (et être reconnue au moins virtuellement) comme valeur ; or cette valorisation de soi suppose une référence en des valeurs sinon universelles au moins généralisables. La conscience humaine est réflexive (conscience de soi) et cette réflexivité implique nécessairement le jugement des autres sur soi, sinon pour le faire sien, au moins pour le contester au nom de valeurs qui ne peuvent valoir pour soi que parce qu’elles devraient valoir pour d’autres que nous imaginons à notre image et ou à l’image de Dieu (ce qui revient au même) . Ainsi le désir humain, comme désir d’être heureux, est désir du désir des autres pour mieux se désirer soi-même ; il se décline en désir de possession et de prestige (je possède ce que tu ne possède pas et que tu désires posséder), en désir de domination ( je te possède et donc je te suis supérieur en valeur) ou en désir d’amour réciproque et, dans le meilleur des cas, égalitaire (je désire t’aimer pour être aimé, je désire ton désir de moi ; je te désire autant comme sujet de désir que comme objet de désir). L’homme égoïste ne peut être heureux car il est un déçu de la vie et cette déception a deux origines : la défaite dans compétition sociale pour le pouvoir et l’honneur (ressentiment); et la mauvaise gestion de son désir d’être dans ses relations avec le désir des autres qui lui interdit d’obtenir ce qu’il désire : le désir « autonome » d’autrui. Ce qui veut dire que le désir d’être heureux dans l’amour ou désir réciproque doit être régulé dans sa relation au désir d’autrui pour avoir quelque chance de succès ; non par une morale du devoir toujours culpabilisante et dépréciative de soi, mais par une éthique pragmatique de la joie réciproque selon une stratégie donnant/donnant et/ou gagnant/gagnant. Les autres déclinaisons du désir (possession et domination) repose sur des stratégies gagnant/perdant qui peuvent procurer le bonheur dans la certitude toujours fragile de sa supériorité instituée et reconnue socialement, donc objectivement. Mais se croire indépendant des autres est une illusion qui ne peut conduire qu’au délire paranoïaque du pouvoir absolu, retourné en délire de la persécution, ou à une solitude affective et psychologique dévalorisante et suicidaire. Ce que l’on peut désirer c’est être plus autonome dans nos projets d’autovalorisation (donc plus raisonnable dans le gestion de notre désir d’être heureux dans la reconnaissance de soi par les autres) vis-à-vis des autres dont notre désir de bonheur dépend toujours. Il ne faut pas confondre donc l’indépendance (n’être en rien dépendant des autres) et l’autonomie (accroître sa marge de manœuvre dans le relation de dépendance plus ou moins réciproque entre notre désir et celui des autres)." en tout cas ce qu'il en ressort pour moi, c'est que l’égoïsme ne peut amener nulle part et donc le Bonheur c'est le résultat de l’échange. bien à vous tous Loic
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Par : le 15/01/16
A ces mots, un éclair sadique traversa fugitivement les yeux de la veuve. Et L de se dire que la jeune vierge innocente qu'elle avait été en se mariant n'a pas forcément eu la vie heureuse avec son notaire de mari. Et instinctivement, il sent qu'elle en éprouve encore un vif ressentiment vis à vis des hommes. Confirmation immédiate avec la laisse qui soudain lui emporte le cou et le plaque tout entier contre l'opulente poitrine d'Agathe. Le tenant ainsi fermement, elle palpe sans ménagement son entrejambe, histoire de vérifier si son charme légendaire opère toujours. Les gigolos qu'elle fréquente habituellement, avec le carnet de chèque de feu son mari, savent anticiper. L, lui, est un instant pris au dépourvu et ne déploie pour l'instant qu'une très modeste érection. Heureusement Madame veille au grain et lâche d'une voix détachée. «Agathe, attrapez le par les seins et vous en ferez ce que vous voudrez». Une prédiction qui s'avère parfaitement exacte et provoque immédiatement une érection remarquable qu'Agathe attribue illico à son charme torride. «Me permettrez vous, Madame, d'aller voir de plus près la petite chose un peu dure que je sens làsous ma main ?» demande t'elle. «Bien sûr, très chère, mais rappelez vous ce que je vous ai dit tout à l'heure à l'oreille, je ne veux aucun débordement intempestif.» La suite pourrait choquer même des âmes particulièrement averties, tant la faim sexuelle d'Agathe était impressionnante. Elle se permit sur L toutes sortes de privautés devant, et surtout derrière, avec une rudesse laissant à penser qu'elle avait elle même était fort rudoyée de ce côté là. Et puis, un peu calmée par ces investigations, elle vint s'asseoir près de Madame et ouvrit largement ses cuisses généreuses pour écouter la langue du soumis lui conter une histoire agréable au creux du ventre. Très vite, le plaisir la transperça une fois, puis une seconde fois... et une fois encore. Refermant les jambes, et pour éviter d'avoir à demander encore, elle se leva, salua Madame d'un large sourire et disparut dans la nuit qui avait maintenant envahi le bois de pins, la plage et la mer. Enfin seuls Un peu secoué par l'érotisme primaire de la veuve du notaire, L vient s'agenouiller au pied de Madame, posant sa tête sur ses genoux. Celle-ci passa son doigt dans l'anneau de son collier et le berca doucement. Massant délicatement les tétons meurtris par les mains brutales d'Agathe, elle se préoccupa aussi de l'état de son fondement. Trois doigts d'un coup sans quasiment de préparation, ce fut (presque) un viol! Certes, son soumis savait à quoi s'attendre lorsqu'il reçut l'ordre de retirer son pantalon. Mais le spectacle de ses couilles, baguées par des anneaux, a littéralement décuplé les ardeurs de la veuve. Engloutissant jusqu'à la garde le membre dressé, celle-ci a pris beaucoup de plaisir à faire danser dans le même temps ses testicules déjà bien allongés par le poids du métal porté depuis quelques semaines seulement. L sut cependant résister vaillamment à l'envie de se laisser aller et de gicler insolemment sur ce visage rougi et déformé par l'excitation. De même lorsqu'elle exhiba ses seins énormes, il se pencha respectueusement pour les têter comme elle le souhaitait. Mais là, dans le silence et la douce sensualité qui émanent des caresses de sa Maîtresse, il sent monter un puissant désir. Poussant progressivement la tête entre les jambes de Madame, il force celles-ci à s'ouvrir et bientôt une délicieuse odeur de femme vient lui taquiner les narines. Encore quelques centimètres et il aurait pu, sans l'obstacle de cette maudite culotte totalement inutile, promener sa langue sur la dentelle délicate du sexe de Madame. Il sait celle-ci friande de cette caresse qui en annonçe d'autres, plus vigoureuses et déterminées. Et lui de savourer se sentir ainsi utile et dévoué à cette femme dont il apprécie la sensualité spontanée, naturelle, gourmande et sans faux semblants. Une main ferme l'arrêta cependant dans sa progression et il comprit en levant les yeux vers elle, que Madame avait une autre idée en tête. Elle se leva et se dirigea vers le grand pin qui dominait la clairière où ils se trouvaient. «Viens là tout de suite, et prends moi. Vous m'avez beaucoup excitée avec vos petits jeux de domination. Mais moi maintenant, je veux un sexe d'homme bien vigoureux qui m'envahisse et me donne du plaisir» dit elle en s'adossant à l'arbre et en soulevant sa jupe jusque haut sur ses cuisses. FIN
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Par : le 15/01/16
Après avoir longtemps œuvré pour l Abomination Switch ( 2 théories différentes : maladie démoniaque apparue en 1427 en Égypte ; complot contre l Ordre des Grands Maîtres et Maîtresses Digne de Ce Nom de la Nuit Noire des Ténèbres GMMDCNNNT (cf articles de Vlan01), Ayant à présent rejoint les rangs des Soumis (bien que philosophiquement switch et sympathisante active de l AS), Je propose La Révolution Soumission !!! Soumis du monde entier, Levez vous ! Il est temps que nous prenions la parole ! (Et le pouvoir ! Oups) Et que nous faisions entendre le vent fou et furieux de nos désirs !!! Et que nous renversions les icônes de la domination ! Oui nous soumis voulons être dominé ! Oui nous soumis sommes prêts lorsque nous trouvons un maître qui devient le notre à sombrer dans l obscur de la Soumission ! Et alors nous soumettre totalement et aveuglément (une lampe de poche ou une bougie quand même Maître ? Siouplait !) Et alors nous soumettre totalement et aveuglément à sa loi, ses désirs et sa domination ! Mais tous les dominants ne sont pas des dominants à nos yeux ! Et tous les dominants que nous reconnaissons tels ne sont pas nos dominants ! Je propose donc En ce premier jour sacré de Révolution Soumission : - que nous imposions une cérémonie d adoubement des dominants par nos folles mains échevelées - que nous ouvrions enfin ce putain de café pour Soumis interdit aux maître - et que nous nous attaquions à nos ennemis ! Et pour commencer : Bdsm-mon-ami (voire le Fucking Switch journal switch in articles Lupa). Le Baiseur De Salopes de Maître switch punk est complexe comme tous les switchs. Qu est ce que c est que ces statuts ! "Dominant" "soumis" ?! Qui laissent entendre que nous sommes tout le temps soumis et les soumis de qui veut ! Qui laissent entendre que les membres inscrits comme dominant sont des dominants ! Avec dans nos rangs et les leur des personnes qui n ont vécu aucune expérience .. Je propose que nous exigions que Bdsm-mon-ami remplace les statuts de "dominant" et "soumis" par "désir de domination " et "désir de soumission" Pour cela allons tous faire un sitting devant la maison de Wondersalope qui est la seule personne ici (encore vivante ) à avoir rencontré Bdsm-mon-ami Soumis ! Soumise ! L ère de la Révolution Soumission advient !
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Par : le 12/01/16
La deuxième édition du Fucking switch a été interdite par Bdsm-mon-ami du fait d un article dévoilant sa véritable identité . Après des mois de refus de la censure , le comité de rédaction s incline et renonce à tout dévoiler sur le Baiseur De Salopes de Maîtres La prochaine édition à paraître : Tout sur la Domspace par Koi GMDCNNNT ! Verbe et soumission ! Humiliations verbales par Son ange le premier Soumis sans contrat ni safeword ! Domination à travers la parole , déclinaisons par Analogique, le seul switch qui a une bite à la place du stylo ! Eh oui la deuxième édition sera sérieuse , du faut de l exigence de Bdsm-mon-ami que Vlan01 soit rédacteur en chef Sous prétexte de sa thèse sur l Internationale Switchuationniste et de son prix Nobel de La Vérité pour ses découvertes archéologique sur l Ordre des Grands Maîtres et Grandes Maîtresses Dignes de Ce Nom de la Nuit Noire des Ténèbres (OGMGMDCNNNT). Sous prétexte , je dis ça je dis rien... À paraître prochainement la deuxième édition du ´Fucking Switch ! Le journal des Switchs Fuckers !!!
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Par : le 12/01/16
<Suite> "Hhhmmmmmmmm, fait-elle en reposant le verre et posant la tête sur Son épaule. - Fatiguée?" Un signe de tête Lui répond, avec le sourire. Il lui rend une caresse "Ca a été intense, murmure-t-elle - J'ai senti ca, fait-Il en clin d'oeil". Profitant d'un petit moment de calme aprés les sensations, Il regarde autour de Lui. L'ambiance est un peu plus chaude. Un fouet claque au loin, tandis que, face à eux, d'autres couples s'adonnent au plaisir des cordes. La Croix reste vide, mais le trapèze a trouvé un occupant. Manifestement, il va ramasser.... Elle aussi dévisage la salle, calée contre Lui, dans Son bras. Son joyau. Sa place est à côté de Lui, symboliquement à Ses pieds, mais certainement pas par terre, comme ce soumis qui semble trouver le sol un peu sous sous genoux. Si elle doit être au sol, c'est forcément sur un coussin et pas piqué des vers. Un vrai coussin, moelleux, confortable. Elle est son Joyau, le diamant à l'abri dans son écrin à la hauteur de sa valeur, écrin qu'Il ouvre à sa guise pour permettre l'admiration, l'envie, mais aucun doigt ou autre n'y touche. Il aime qu'elle suscite l'admiration, même si sa première sensation est l'hostilité. En fin de compte, ca lui a plu que le type soit venu.... et qu'il se soit vite éclipsé. Porter un diamant se mérite. Personne n'a ce privilège. Pas touche à l'écrin Encore moins au Cailloux ! La femme qui les avait regardé tout particulièrement à côté de la Croix s'approche. A la tenue vestimentaire, elle connait le milieu et sait utiliser l'esthétique du latex. A priori, non hostile. "Bonsoir - Bonsoir, répondent-ils - Vous avez passé un sacré moment, tout à l'heure - Ho oui, répond-elle - Vous venez souvent ici ? - Non, c'est la première fois, répond-Il - Je viens de temps en temps; d'habitude, je suis avec ma soumise, mais elle n'a pas pu se libérer.... - Ha :/ - Vous avez une très belle soumise - Je vous remercie, répond-Il courtoisement, mais sentant un début d'hostilité, non sans fierté - Aimez-vous le bondage? - Oui, nous aimons tous les 2; vous pratiquez depuis longtemps ? - Depuis pas mal de temps, oui. Est-ce que vous voudriez que nous jouions tous les 3 ? " Il hésite. Même s'Il est là et que ce serait uniquement pour des cordes, leur passion commune, Il n'est pas enchanté. Même si c'est une femme; c'est une inconnue. Il se tourne vers sa soumise, lui murmure à l'oreille; laquelle hoche avec conditions. Quelques instants plus tard, le trio est dans une petite pièce qui contient une sorte de grand lit en cuir et d'une chaise. "Je vous propose de vous attacher en premier. Ma soumise pourra ainsi me voir à l'oeuvre. - Humm, d'accord, je n'ai pas trop l'habitude - Il suffit de fermer les yeux et de se laisser aller. J'utilise vos cordes ? - Oui, bien sûr" - Asseyez-vous sur la chaise" A ces mots, Il extirpe des cordes en chanvre de son sac, ainsi qu'un autre accessoire. L'odeur Lui plait. Il entame un motif qu'Il connait bien; la corde serpente du buste jusqu'aux pieds. Le motif est simple, mais il a son charme; les cordes sont bien tendues, et dessine un quadrillage de carré et de losanges. Quand le dernier noeud est serré, Il se retourne vers Sa soumise "Qu'en penses-tu ? - Il est bien fait - Y'a mieux, non ? - Il suffit de s'entrainer, mais celui-la, Vous le connaissez bien, vous pouvez en faire un autre. - Oui.... Je les réserve pour toi", se dirigeant vers elle. Puis se tournant, vers la Domina "Vous aimez?" - Merci - Pouvez-vous me détacher ? - Non, pas tout de suite - Pourquoi ? - C'est avec ma soumise que vous voulez jouer... - ... - Je vous libererai après. Soyez sage, sinon .... " Il s'éloigne en montrant le bâillon-boule qui était rangé avec les cordes. Rejoignant sa soumise, Il retire son corset pour libérer sa poitrine. Doucement, Il l'enferme dans ses cordes, qui serpentent de part et d'autres des seins, en dessous, les mettant en valeur. Puis, Il ligote ensemble ses coudes dans le dos. Le brin descend jusqu'aux poignets pour les immobiliser. Il regarde Ses oeuvres. Satisfait, Il embrasse Sa soumise sur le front et dépose une pince sur chaque téton. "S'il vous plait - Oui ? - C'est trés dur de rester comme ça devant vous.... Votre soumise est trop .... - Elle vous plait trop ? - Heuu, oui.... - Tant pis, fait-Il en se détournant" Prenant la tête de Sa soumise, Il l'approche de Son membre trés gonflé. Elle l’attrape aussitôt en bouche. Ils sont restés trés excités depuis la Croix, si bien qu'Il ne peut faire durer le Plaisir qu'elle Lui offre. "S'il vous plait ... C'est dur .... " N'écoutant pas ces gémissements, Il couche sur le côté sa soumise afin de la prendre en possession. Son intimité est aussi mouillée qu'Il est dur et Il ne lui faut qu'un mouvement pour s'enfoncer en elle. Elle ne peut retenir un cri de plaisir et un grand frisson la parcours. La vue de Sa soumise ligotée, offerte, à Lui, explose son plaisir. Le fait qu'il y est cette lesbienne ligotée qui ne peut assouvir son désir attise sa fierté. Cela ne semble pas Le laisser indifférent. C'est un étrange mélange de plaisir et de gêne qu'une autre paire d'yeux soit là. Serait-ce une nouvelle limite qu'Il testerait et qu'Il ferait aussi tester à Sa soumise ? Pour le moment, aucun mot de sécurité n'est prononcé; Il continue, elle est déjà en plein orgasme. Il ne tarde pas à faire de même..... Les corps s'étant détendus après de longues secondes de plaisir intense, Il détache doucement sa Douce, qui n'a toujours pas fini de voyager. Il la caresse tendrement, et l'embrasse sur le front. Enfin, Il la prend dans ses bras et la câline tout doucement.... Ils sont dans leur bulle, savourant chaque caresse, chaque câlin, chaque seconde de cet instant privilégié. Puis, se relevant, Il demande : " Ca va ? pas trop chaud ? " Elle est rouge, ligotée sur sa chaise. Elle ne répond pas, le regard teinté de reproche, de frustration, d'excitation est suffisamment expressif. "Vous ne m'en voulez pas ? Ma soumise et Moi ne nous prêtons pas. - Vous auriez pu me le dire dés le début - Ca a pimenté la soirée de manière imprévue, et vous avez connu une sensation qu'une soumise connait bien..., dit-il avec un sourire au coin - Il n’empêche, fait-elle agacée, mais ne pouvant cacher l'excitation qui est montée en elle" Le trio se sépare dans la salle. Vu le nombre de verre frais qu'elle boit et les yeux, Il se dit qu'elle n'est pas si perdante que ca au final. Mais Il préfère se tourner vers son Diamant, assise à ses côtés, les yeux encore plein d'émotion. Une caresse au visage, un regard puissamment amoureux entre les 2, puis, Il la prend dans Son bras, heureux, comblé....
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Par : le 11/01/16
<Suite> L'établissement dans lequel ils se rendent n'est pas à côté. Mais le voyage leur a paru tellement court. La joie, le bonheur, la fièvres des sensations précédentes, la perspectives des prochaines.... tous les ingrédients étaient réunis pour que le Temps passe vite... Les portes passées, l'ambiance à l'intérieur est plus calme qu'Il ne l'avait pensée, mais ce n'est que le début, il n'est pas si tard que ca... Prenant place sur un sofa, elle s'assied à côté de Lui, découvrant elle aussi les lieux du regard. Il repart aussitôt chercher 2 rafraichissements. "C'est calme.... mais je ne vois pas beaucoup d'autre personnes qui ont gout au fétiche ou au BDSM, fait-Il en se rasseyant - Ca ne va peut-être pas tarder, lui répond-elle en prenant le verre qu'Il lui tendait". Quelques couples passent dans la salle ou discutent entre eux, des personnes isolées sirotent au bar, ou font mine de découvrir aussi les lieux. L'ambiance est calme, timide.... Mais à y regarder de plus prés, ici, lui semble être un habitué : il est à l'aise et semble très bien connaitre ce groupe de 3 personnes. Une domina avec son soumis, partagent eux-aussi, leur verre, discrètement. A côté, un soumis visiblement en quête de sa Maitresse; et elle, Domina ? peut-être mais seule.... A la vue du nombre de mâles seuls ce soir, elle ne devrait pas avoir à se relever souvent pour remplir le verre qu'elle est en train de terminer.... La décoration est sans prétention mais explicite : une croix de St-André, un trépied pour faire de la suspension, quelques fouets entreposé sur ce barreau..... faisant lui-même partie d'un espalier; pas loin,un trapèze défit la gravité attendant le ou la soumise prochaine; enfin, le fauteuil orné d'accroches, d'anneaux ne serait pas passé inaperçu s'il n'était caché par ce couple... Finalement, cela ira très bien pour la suite de la soirée. C'est même parfait. Il a envie de tout, mais par quoi commencer ? Déjà, vider le verre... désespérément presque vide. En face d'eux, un couple, visiblement expérimenté se lance dans une démonstration de bondage suspendu. Prenant la main de sa soumise, Il assiste au spectacle en sa compagnie. Ce n’est pas la pratique qu'Il préfère le plus, mais cela reste un jeu de cordes, un jeu intime, personnel, très complice, de confiance, d'abandon, de possession, de tout ce qui fait qu'Ils sont unis l'un à l'autre. Pendant que les cordes serpentent autour du trépied et du corps de cette soumise, Il regarde la Sienne, se délectant aussi du spectacle. Il est rapide pour l'encorder et les gestes sont sûrs. Il maitrise, certes, mais cela manquerait un chouilla de sensualité. Ne perdant pas de vue ce tro dont l'un des membres ne touche plus le sol désormais, Il récupère de son sac 4 bracelets de cuir bien connus, utilisés quelques heures auparavant. Il les pose à nouveau sur Sa soumise. Encore un prétexte pour l'admirer à nouveau.... La démonstration touche à sa fin, elle a bien été ficelée et, il est vrai, c'est de l'art. La timidité de la salle semble s'effacer et d'autres couples s'approchent du trépied, tandis qu'un autre a pris possession du fauteuil, cordes à la main. L'envie est trés forte de se lever, mais sa timidité naturelle est diaboliquement forte, aussi. Il finit pour la 3e fois son même verre pour se décider à emmener sa soumise et au moment où Il repose son verre... "Bonsoir" Un inconnu. Pas du tout habillé en style BDSM. Seul de toute évidence Il la regarde avec trop d'intérêt Hostile. "Bonsoir, répond-Il - Comment allez-vous ?" - Ca va, répond-Il, fouillant dans son sac - Vous venez souvent ici ? C'est la première fois que je vous vois - On vient de loin - Vous verrez, il y a de quoi faire ici - Je n'en doute pas, le toise-t-Il aprés avoir fixé la laisse au collier de Sa soumise - Vous savez tout ce qu'il y a ici ? demande-t-il, la regardant intensément - On n'a pas encore fait le tour du propriétaire, mais J'irai avec elle le découvrir et - Venez, je vous y emmène. - J'ai tout mon temps, répond-Il fermement mais poliment" Et montrer ostensiblement la laisse dans Sa main ne laissait entrevoir aucune ambiguïté... Il n'aime guère ce genre d'individu qui s'imagine pote avec tout le monde.... et qui disparait aussi vite qu'il est venu sitôt qu'il a compris qu'il était de trop. "Bonsoir" Une inconnue Vétue d'un ensemble noir dans les tons fétichistes Elle les regarde tous les 2 avec un large sourire Non hostile "Bonsoir - Est-ce que c'est la première fois que vous venez ici ? Voulez-vous que je vous fasse visite ? - Avec grand plaisir, répond-il avec le sourire, cette fois." Elle devait être une employée, ou la patronne; c'est carrément un autre charme de se faire guider par un lourdaud. Le petit tour se termine au niveau de la Croix de St-André. Vide. C'est le moment.... mais cette fichue timidité.... Il la prend par les hanches, devant elle et la fait reculer contre la Croix. Puis, Ses mains remontent vers son visage et lui caressent les joues. Adossée à la Croix, Il lui dépose un baiser sur le front. Il se tient trés prés d'elle, lui bouchant la vue sur toute la selle depuis laquelle, Il imagine, tout le monde les regarde. Il est dans Sa bulle, avec elle. Doucement, Il saisit un poignet qu'Il monte au sommet et le fixe. Sa main prend son temps pour redescendre et, surtout, la caresser. Elle passe sur le visage et passe le relais à l'autre main qui emporte l'autre poignet vers le sommet. Elle redescend, pareil, sensuellement lentement. Saisissant à nouveau son visage, Il lui dépose un autre baiser et, sans quitter son regard, pose un bandeau. Prenant son temps, Ses mains descendent pour écarter les jambes et fixer les chevilles aux 2 extrémités de la Croix. Son coeur bat la chamade; un mélange d'excitation de ce qui reste à présager, de la vue de sa soumise entravée et offerte... et de la sensation d'avoir 10.000 regarde braqués sur Lui. Restant dans sa bulle, Il dégrafe le corset qu'Il tire vers le bas, délivrant 2 magnifiques seins. Tandis qu'Il en saisit le téton de l'un, Sa main s'occuper coquinement de l'autre. Les frissons ne tardent pas à venir, surtout quand Il décide de titiller son sexe, déjà bien humide. Jouant de toutes ces sensibilités, Il prend possession de sa bouche avec la Sienne lui offrant un langoureux baiser qu'Il prend plaisir à faire durer. Puis, repasse sur un téton bien durci par l'excitation, sans négliger l'autre. Ses doigts naviguent entre l'un et l'autre, faisant escale sur le sexe de temps à autre. Elle lâche des gémissement de plus en plus prononcés, ondulant d'avantage son corps, effrontément si désirable. Dans une autre situation, Il lui aurait déjà sauté dessus. Mais dans l'immédiat, Il s'applique à jouer avec ce plaisir qui monte inexorablement, cet orgasme qui n'est plus bien loin. Mais surtout, Il joue d'elle, de son Corps offert, de cet abandon qu'elle Lui donne. Il jouit de ce moment si particulier et si puissant à la fois d'exprimer sa Domination, son Emprise. Cette sensuelle Force, cette douce torture, qui l'emmène voyager est la Sienne, rien que pour Elle, sa soumise. Le regard rivé vers sa bouche entrouverte de Plaisir, Il jongle, titillant d'avantage le téton droit, délaissant le clitoris un moment avant de revenir à pleine charge sur lui, arrachant une gracieuse et érotique ondulation de sa soumise. Quelle liberté et jouissance d'être entravée ainsi offerte à Ses doigts et à sa bouche, se laissant balloter d'un plaisir à un autre, son voyage doit être magnifique et il n'y, justement, pas de limites pour cela. Décidé à la faire voyager la plus insensément possible et à en profiter, Il lui loge un bâillon-boule qu'Il serre fermement et reprend ses caresses. Surtout, Il s’attarde longuement sur son sexe mouillé d'excitation. Il passe ainsi la main sous sa jupe, si bien que personne ne peut voir Son intimité. C'est voulu. N'est pas partageur. Mais Il sent, Il voit malgré tout du coin de l’œil que quelques personnes les regarde. Il sent de l'intérêt, de l'amusement, mais cette femme à côté semble être plus intéressée que les autres. Qu'importe. Il continue encore plus fermement Ses caresses; elle est proche de l'explosion, elle ondule comme ce n'est pas permis au rythme des gémissements. Elle semble vouloir s'échapper, mais le Désir lui empêcherait d'aller si loin, préférant subir cette torture que de lui échapper. Elle crie de bonheur, se lâchant grâce au bâillon et pour le plaisir de son Maitre. Son corps ondule, elle crie, gémit, son corps est chaud de Désir, mais la jouissance ne vient pas. Il fait durer. La récompense sera d'autant meilleure. Doucement, Il ralentit ses caresses qui deviennent douces et sensuelles. Elle se calme, mais haletante. Il lui remet son corset et, rapidement, la détache de la Croix. Tandis qu'Il l'embrasse à nouveau sur la bouche, Il lui retire son bandeau et la laisse reprendre ses esprits. Il ne lui pas beaucoup de répit avant qu'Il ne lui attache les poignets par devant et qu'Il remette la laisse, la gardant bâillonnée. C'est en se dirigeant vers le sofa qu'Il constate que quelque personnes les regardaient avec une envie certaine, ou de la curiosité coquine. Il la fait asseoir à côté de Lui, retire son bâillon et lui tend un verre d'eau fraiche. Une pause méritée avant la suite de la soirée.....
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Par : le 06/01/16
C'est sur une longue plage de sable fin, qu'elle lui a donné rendez vous. Il est encore un peu tôt en saison pour y surprendre là comme en plein été, sous le couvert des grands pins bordant le littoral, des couples en pleine copulation ou des mâles souvent agés, désoeuvrés et en rut. Mais retrouver cet endroit qu'elle affectionne après la longueur froide et humide de l'hiver la met en joie et fait aussi remonter dans sa mémoire des moments intenses et fort agréables. L'été prochain, à n'en pas douter, elle étendra à nouveau sa serviette sur la dune et se libérera de tous ses vêtements. Sa peau blanche attirera les rayons du soleil et il lui faudra d'ailleurs veiller à ne pas oublier de la protéger. Elle attirera aussi les regards et certains mâles n'hésiteront pas à dire en silence et par gestes leur désir pressant pour ses rondeurs délicates. Et il grandira certainement encore lorsqu'elle s'allongera sur le sable, écartant ses cuisses généreuses juste ce qu'il faut. Du côté des femmes présentes sur la plage, certaines prendront un air courroucé, jetant un oeil inquiet vers leur compagnon et la direction de son regard. D'autres trouveront la scène amusante, se demandant lequel de ces hommes osera le premier s'approcher d'elle et tenter sa chance. Sur sa serviette, Madame jubile de la situation et sent déjà une étrange chaleur l'envahir. Peut-être le soleil y est-il pour quelque chose, mais elle connaît bien le langage de son corps et sait que ce sont rudesses et caresses qu'il réclame. A la fois soumise et dominante, elle navigue avec bonheur entre ces deux rives. Le spectacle d'un homme soumis à ses pieds la ravit, tout comme la voix autoritaire d'un Maître qui lui demande de montrer son cul en tenant ses fesses écartées pour une inspection détaillée. Elle aime donner et recevoir, caresser et punir, avec un même plaisir. Son ventre, ses sens, sa tête réclament tout à la fois. Parfois le rôle de la domina qui doit inventer pour deux l'agace et l'épuise. Et elle trouve alors dans la soumission qu'elle accorde à quelques uns, le calme et la paix intérieure auxquels elle aspire. Mais Madame est d'abord et avant tout une gourmande de la vie, qui aime les hommages vigoureux et endurants. Aujourd'hui elle est cependant un peu inquiète. Dans quel état va t'elle trouver l'homme qu'elle attend! Outre le fait qu'il n'est plus tout à fait le jeune étalon fougueux que ses sens réclament, elle se demande si leur complicité d'hier saura trouver de nouvelles façons de s'affranchir de ses problèmes de santé actuels. Sur la plage, le vent est tombé. On devine dans le lointain la silhouette d'un petit groupe de personnes qui avance vers la Turballe. Le temps paraît comme suspendu, tout est calme et reposé. Et Madame est heureuse de tout cela. Une douce chaleur Plongée dans ses pensées, elle sursaute presque lorsque la main amie attendue se pose sur son épaule. Sans se retourner, elle cambre légèrement les fesses et se plaque doucement contre lui. Pendant de longues minutes, ils vont rester ainsi, silencieux et pensifs devant le spectacle immuable de cet océan en perpétuelle activité. Calant son rythme sur le mouvement régulier des vagues qui explosent en écume devant elle, Madame sent vite s'éveiller contre ses fesses la raideur plaisante d'un membre masculin. Poursuivant son manège, elle y imprime parfois un mouvement plus vif vers l'arrière qui, manifestement, ne laisse pas indifférent. Et puis, toujours sans un mot, elle glisse une main dans la poche du blouson de son visiteur du soir et en sort un joli collier de cuir noir. Se retournant alors, elle lui sourit, caresse furtivement sa poitrine dont la dureté des tétons déjà fort excités la surprend, puis fixe autour de son cou ce symbole élégant d'une soumission consentie. Entre ses jambes, une douce chaleur commence à se faire sentir. La voilà totalement rassurée pour la suite de la soirée, l'homme debout devant elle est là pour la servir et sa virilité est bien au rendez vous pour la satisfaire de toutes les façons possibles. Dans l'autre poche du blouson, elle sait la présence d'une laisse dont elle décide de repousser l'usage à plus tard. La fraîcheur du soir commence à se faire sentir et, toujours sans un mot, ils marchent maintenant vers le couvert protecteur de la forêt de pins bordant la plage. Souvent déjà, elle y a attiré des hommes rencontrés sur la plage pour une étreinte sauvage et rapide. Et aujourd'hui encore, elle est heureuse de s'y rendre, savourant par avance les délicieuses attentions dont elle va être l'objet. Elle est aussi très curieuse de prendre la mesure de la soumission croissante dans laquelle s'est engagée son visiteur. Elle sait déjà qu'il a en permanence entre les jambes une belle et large bague d'argent massif, mis en place en signe d'appartenance. Et elle veut aussi savoir à quoi ressemble le lourd et massif anneau d'acier qu'il porte également depuis quelques semaines et quels en sont les premiers effets. Sentir battre contre ses fesses, les couilles du mâle qui la prend est agréable et plaisant. Les sentir plus longues et lourdement lestées doit certainement provoquer de nouvelles sensations, fort intéressantes à tester. A SUIVRE
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Par : le 05/01/16
voilà 7 mois un monde nouveau se révélait à moi , celui de mon "Moi" profond celui de "Soumis" Depuis plusieurs années lors de rencontre au fil de la vie, je côtoyais le monde D/s sans savoir qui j'étais. Puis au mois de juin dernier , discutant avec un de mes amis Dominant dans sa nature, et dans son couple, celui ci me dit: " ne serais tu pas en fait un soumis? " cela me travailla et venant sur le site de BDSM que je découvrais , je créais un profil de soumis, dévoilant qui j'étais et exprimant ma volonté de me soumettre à une Domina ,mes contraintes personnelles, non pas une folle du fouet, non pas une professionnelle mais une Maîtresse capable de me conduire et de m'éduquer pour me permettre de me révéler à moi-même. C'est là que prenant contact avec des Dames au profil plus intellectuelles que physiques , je rentrais en relation par messagerie avec Maîtresse Sarah. Nos échangeâmes beaucoup alors sur nos désirs respectifs, et je pénétrais un monde qui alors m'étais en réalité totalement inconnu.J'avais soif d'apprendre , mais en même temps étant depuis si longtemps dans cette construction de mon "être" cela sonna comme une évidence pour tous les deux ; que Maîtresse Sarah pouvait me conduire vers elle et ma soumission à son endroit. Ni une ni deux , rendez vous fut pris et je rencontrais alors pour la 1 ere fois ma Domina qui en plus de l’intellectuelle, avait le physique et qui sut dés le début créer l’atmosphère idéal pour une rencontre qui allait être ma "Naissance". Permettez moi de gardez pour nous le récit de ce moment mais sachez que je découvris ce que le lâcher prise était effectivement . Maîtresse Sarah, dés le début m'avait prévenu que sa carrière professionnelle pouvait évoluer et quelle pourrait être amené à quitter la région. Mais sentant chez moi un tel besoin de m'abandonner elle accepta de me conduire. Nos échanges quotidiens nous permettaient de vivre même à distance une vraie relation et deux mois plus tard nous nous rencontrions à nouveaux. Et là ce fut encore plus fort. Mais effectivement Madame du s'éloigner de la région , et nos rencontres étaient compliquées. malgré tout , elle vint sur Bordeaux et nous passâmes une excellente soirée en compagnie de mon ami Dominant.Un souvenir mémorable! Depuis plusieurs semaines , étant repartie loin de moi, nous continuâmes à échanger quotidiennement, mais l'un et l'autre savions au fond que ce type de relation passe aussi par le physique surtout quand c'est une construction. Voilà pourquoi , Maîtresse Sarah a décidé et je lui en suis gréé , de me libérer de ce collier quelle m'a fait porter par 2 fois signe de ma soumission à son égard et de sa domination Merci à vous Madame Aujourd’hui orphelin ou célibataire comme vous voulez ,sans collier, surement , je cherche une Domina qui accepterai de reprendre ce rôle d'éducatrice envers le soumis que je suis , qui à soif d'apprendre. Je suis un cérébral, Oui mais pas que!! J'ai besoin aussi de me donner à une Dame qui voudrait vivre dans un échange ou à la fois je lui donnerai ce qui lui revient de Droit parce quelle est une Femme et ce que je pourrais recevoir car je recevrais ses désirs. Comme je disais plutôt les pro et les folles du fouet (il n'y a pas que ça dans la vie!!) passez votre chemin, je ne cherche pas ce type de relation et de toute façon je ne me donnerai pas à la juste mesure de mes moyens . De la même façon je n'ai pas une âme d'esclave, mon coté taquin est une partie de moi,mais toujours respectueux de part ma position et de celle de la" Femme" , feront que notre relation ne pourra être qu'une relation d'échange ou chacun fera grandir l'autre et ou j'ai besoin de me donner ou plutôt de m'abandonner. J'ai perdu ma Domina , mais je conserve l’éducation quelle m'a donné avec la personnalité de chacun et je l'en remercie. Alors Madame qui lisez ce témoignage et ,vous , qui trouvez une sincérité peut être puérile mais si véridique, n'hésitez pas à me contacter pour échanger mais de grâce, n'habitez pas à 500 km !!!
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Par : le 17/12/15
En ces temps reculés, nul clocher catholique ne vient hérisser la campagne bretonne. A la saison froide, seuls quelques minces filets de fumée troublent le ciel immense, signalant ici la présence de quelques familles dans leurs chaumières ou là le bivouac d'un groupe de chasseurs.Au lieu dit «Corgarho», à une quinzaine de lieues au nord-ouest de la déjà mythique forêt de Brocéliande, se trouve une habitation isolée aux volets souvent clos. Son occupante vit chichement de son petit lopin de terre, cultivant pommes de terre, carottes et choux. Et lorsqu'on s'approche, quelques poules destinées aux repas des jours de fête se manifestent bruyamment.Pas vraiment grande, comme tous les celtes de son temps, cette femme aux rondeurs généreuses et aux gestes vifs, ne passe pas vraiment inaperçue. Ses yeux rieurs et sa langue bien pendue déclenchent régulièrement des tempêtes dans les caleçons masculins des environs. Et certaines femmes aussi ne détestent pas venir lui montrer leurs trésors, sous des prétextes les plus futiles.Une grande libertéMais sa notoriété dans toute la contrée et les nombreuses visites qu'elle reçoit sont, d'abord et avant, tout liés à sa connaissance du ciel et des étoiles. Elle sait déchiffrer le langage des astres.Née quelques siècles plus tard, elle aurait certainement été rapidement emprisonnée, torturée et violentée avant d'être conduite au bûcher, accusée de sorcellerie.Mais dans cette Gaule celte vénérant encore quotidiennement le soleil et plusieurs centaines de divinités, elle est au contraire un personnage incontournable, une interprète précieuse avec le ciel, que l'on sollicite et que l'on écoute.Et puis beaucoup savent aussi qu'elle sait sonder les mystères du corps humain. Ses mains habiles connaissent la science du massage et dénichent aisément ici ou là telle ou telle douleur à calmer.Des femmes désireuses d'enfant ou des hommes à la virilité défaillante viennent également la consulter et repartent souvent de chez elle plus détendus et souriants qu'à leur arrivée, ravis aussi de savoir qu'il leur faudra revenir bientôt et s'étendre à nouveau nus sur la peau de bête, tout au centre de la chaumière.En ce temps là, le modèle social gréco-romain basé sur le patriarcat ne s'est pas encore répandu sur l'immense pays gaulois où les femmes bénéficient d'une grande liberté.La femme celte a une existence sociale propre, elle peut disposer de biens personnels qui la suivent toute sa vie et dont elle reste propriétaire. Les mariages sont par ailleurs temporaires et renouvelables, sans obligation de durée.Par ailleurs, les femmes pouvaient diriger des peuplades. Elles buvaient et faisaient la guerre comme les hommes. Dans «la Guerre des Gaules», César évoquait d'ailleurs la polyandrie et signalait aussi le fait qu'une femme gauloise pouvait avoir plusieurs époux/partenaires simultanément. Maitresse femmeAmbre, car tel est son nom, est indéniablement une de ces maîtresses femmes qui ne confient à personne d'autre qu'à elles-mêmes le soin de conduire leur vie. Et aujourd'hui, fait totalement inhabituel pour elle, elle s'est levée aux premières lueurs de l'aube.L'oeil encore mi clos, elle a toutefois pu ranimer la flamme du foyer et mettre de l'eau à chauffer pour son brouet du matin.Du rêve érotique qui a peuplé sa nuit, elle se rappelle peu. Seulement le moment très plaisant où les deux voyageurs hébergés chez elle la nuit précédente l'ont étendue avec une grande douceur sur sa peau de bête de massage et l'ont bercée chacun leur tour d'une délicieuse et profonde pénétration.Quel plaisir de se soumettre ainsi totalement à l'ardeur de mâles attentifs et vigoureux ! Elle n'aurait d'ailleurs opposé qu'une très faible objection de principe s'ils avaient décidé soudain de la prendre avec davantage d'ardeur encore tous les deux ensemble, l'undevant, l'autre derrière. La domination est pour Ambre un ingrédient précieux dont elle adore pimenter savie sexuelle. Y compris d'ailleurs dans des situations où c'est elle-même qui prend lesinitiatives et impose sa loi.Avec la complicité coquine de ses amies les étoiles qui l'informent des opportunités, il lui arrive en effet de proposer le gîte et le couvert pour quelques jours à un voyageur de passage.Se transformant alors en Maîtresse exigeante et directive, elle impose tout d'abord à son nouveau serviteur le port d'un collier de cuir, symbole de sa soumission consentie. Ildevra ensuite accepter sans discussion aucune toutes ses instructions et directives,notamment celles d'aller travailler dur au jardin, à gratter la terre ou élaguer les arbres.En cuisine, il veillera à préparer avec un soin attentif et imaginatif les repas de Madame, sans jamais oublier de nettoyer ensuite ustensiles et matériel. Et si d'aventure des visites sont annoncées, il assurera le service avec discrétion et efficacité, proposant boissons fraîches ou collations, d'abord aux dames puis aux messieurs.Si les uns ou les autres s'adressent à lui, il sollicitera d'abord l'accord de sa Maîtresse avant de répondre. Et si elle souhaitait pour eux d'autres services plus personnels ou plusintimes, il s'exécutera avec distinction et élégance. C'est également elle qui décidera de la tenue qu'il portera, n'excluant pas qu'il puisse être, à l'intérieur de la chaumière comme à l'extérieur, partiellement ou totalement nu.Enfin, il lui faudra se tenir à l'entière disposition de Madame pour lui faire la lecture,l'accompagner en forêt… ou bien s'allonger contre elle pour la caresser et la satisfaire, et cela à toute heure du jour ou de la nuit. Et il devra, bien entendu, renoncer à tout plaisir sexuel pour lui-même, sa condition de soumis le destinant à être exclusivement là, actif, entreprenant et endurant, pour l'aboutissement de son plaisir à elle.Sa meilleure récompense sera alors d'entendre monter lentement son chant d'amour, ses doux gémissements de bonheur, puis d'être tout à coup ébloui par son puissant cri de jouissance, qui portera certainement jusqu'à Pontivy, voire au-delà encore.A suivre...
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Par : le 15/12/15
Suite à la proposition de Lady Spencer je mets en ligne un article agrémenté d'un dessin En fait la question est : voilà une expérience que je ne connais pas réellement quel plaisir ou souffrance y a t'il à être Milké comme il est souhaité par certaine Maîtresse et quelle est la véritable différence avec l'orgasme avorté que j'ai subi pour le désir de ma Domina. Il y a un article sur le milkage très détaillé mais le retour des Dominas ou soumis seraient très apprécié Bien à vous tous Loic
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Par : le 28/11/15
Parole de Feu "Expression extrême le branding n’est pas simplement une marque apposée, un produit de décoration, il est l’aboutissement d’une longue et profonde réflexion. C’est une implication totale physique et psychique où la douleur et la prise de risque inhérent à cette pratique ne doivent pas être pris à la légère. Il existe autour du marquage une sphère émotionnelle très particulière réservée aux initiés. Et en témoignage de cette émotion je ne peux résister à vous confier (avec son accord) le texte envoyé par F (aujourd'hui, Lady Spencer) et qui résume à lui seul ce que je vous souhaite dans votre expérience de feu." Marc Sainteul (Corpus Delicti)(2009) "Nous avons vécu ce marquage tous les deux , sans autre cérémonie que notre émotion partagée , immense , intense , profonde . Que ce moment fut extraordinaire et émouvant... La préparation tant matérielle que physique et surtout psychologique d' A fut assez longue pour obtenir une tension idéale maximum accompagnée de ce stress bienfaiteur et obligatoire dans le don de soi lors de cette épreuve. Ma préparation psychologique fut, pour moi, une source d'étonnement quant à mon pouvoir et ma puissance. Ne jamais oublier qu’un marquage, pratiqué par la ou le Dom, demande une force mentale et émotionnelle sans faille car l épreuve ne peut pas laisser indemne... Le marquage fut bref, ma main légère, précise, aucunement hésitante, et d’une assurance "amoureuse" ...brûler la peau de l homme que j'aime, lui arracher ce cri si important mais ne pas le faire souffrir... inutilement. Photos, soins immédiats post acte, surveillance de l état émotionnel d A... Et effondrement de la super Domina... larmes, larmes, larmes... Que cette charge émotionnelle fut douce à partager... La cicatrisation se passe parfaitement bien , la plaie ne nécessite plus de soins particuliers 15 jours après, la marque est belle, la couleur nacrée désirée ornera sa fesse dans quelques semaines." J'ai écrit ce récit en 2009 et si je le publie ici aujourd'hui, c'est pour connaitre vos avis, vos désirs, vos craintes sur ce type de marquage. L'avez-vous vécu et si oui, dans quelles conditions ? Ressentez-vous le désir ou le besoin de vivre cela ? Pourquoi ? Entre fantasme et réalité : quelles craintes vous empêchent de passer à l'acte ? Merci pour votre approche libre et sans jugement .
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Par : le 18/11/15
(je rappelle que je suis l'auteur de tous les articles que je publie) L'impossibilité d'être une femme mûre idéale, dans une société qui prône la jeunesse éternelle, est contestable. Les femmes de la période génaire (quadra-quinqua-sexa-septua-octo) ont bien raison de refuser de se laisser enfermer dans ces représentations. Elles ont également raison de continuer à s'affirmer comme épouse, compagne, maîtresse ou Dominante. Pour cette gente, les difficultés sexuelles ne sont pas corrélées au vieillissement biologique. Souvenez-vous de cette femme de 63 ans qui tenait son compagnon de 40 ans (interpellés un soir en plein centre-ville de Carcassonne) attaché à l’aide « d'une chaînette de 70 cm accrochée autour des testicules. Même si la beauté des femmes mures lie plus étroitement le corps et l’âme. Encore très en forme, elles revendiquent une sexualité active car le bonheur, l'équilibre, le partage sont dans le sexe. Le temps fait encore ses affaires de moments de tendresse, de plaisirs intacts. L’expérience est le fruit d’une plante mature et ses femmes, d'un âge certain, apprécient toujours le tumulte des rendez-vous interdits plutôt que la tiédeur d'un amour unique. C’est à l’aune de l’horizon temporel limité que doit être évaluée l’utilité du plaisir. Le fruit mûr est plus sucré et plus désaltérant. Ses propriétés aqueuses sont stimulante et vivifiante. Les femmes mûres détiennent cette naturelle réalité et comme dit voltaire la vérité est un fruit qui ne doit être cueilli que s'il est tout à fait mûr. Une belle maturité se mesure à l'aune des plaisirs charnels qui jalonnent la vie, ayant culbuté les belles années. Sexe génère du bonheur ! Ces femmes sont bien plus profondes qu’en ces temps. Femmes qui ont du vécu, qui ne se sont pas contentées du premier venu, ne se satisfont pas de la précipitation des puceaux. Esprits ludiques, les hommes ou/et les femme sont leurs playmobils d'amour. Elles savent jouer avec les sens de manière non conventionnelle.
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Par : le 15/11/15
Un de mes textes publiés ailleurs Une femme n'est pas qu'une petite chose gentille, tendre, ronronnant et ondulant comme un chaton pour plaire ! Et une femme dominante, quand elle ne se montre pas franchement autoritaire, est souvent sexy, désirable, et représente un défi, souvent la réalisation d'un fantasme lors d'un moment exceptionnel. La séduction : Une femme marche souvent aux coups de cœur. Mais parfois le gibier se fait rare. En période de disette, si elle découvre un homme qui peut être intéressant, faute de mieux, et dans le doute, elle ira l'étudier avec l'acuité d'un entomologiste passionné par son sujet. Les tests : Se montrer impolie, désagréable : (donc tester les limites), ou essayer de le mettre en colère Poser un lapin Tenter de rendre jaloux Elle parle de sexe directement, histoire de déstabiliser l'homme (eh non, chez une femme, parler sexe ce n'est pas faire des avances) Lui demander combien il gagne, quel auto il conduit : tester vos valeurs et/ou son porte-monnaie Lui demander s'il est gay : façon de découvrir si vous êtes à l'aise avec vous-même. Bon, le Monsieur a réussi les tests... Mais peut-être faut-il rajouter le fameux "je ne couche pas le 1er soir", délicate merveille de perversité féminine emballée sous un papier de soie de convenances ? La femme un chouia dominante a une caractéristique : elle prend le contrôle des choses, fermement, mais avec assez de subtilités que vous n'y verrez que du feu. C'est ce qui la différencie de la femme autoritaire. Elle prend les initiatives, elle sait ce qu'elle veut ! Mais enfin, ça y est, MONSIEUR est dans la place, enfin, dans la chambre de Madame (Enfin, ça, c'est s’il ne s'est pas fait violer avant !!!) Donc, assis du bout des fesses sur une courtepointe de boutis rose, un peu interloqué, il voit la dame de ses pensées présentes, câline mais déterminée, lui retirer ses vêtements. Détail significatif : elle laisse la cravate. Et voilà l'homme toutou d'un soir, assez décontenancé. Elle-même se charge de retirer ses vêtements, langoureusement. Vous tentez de la toucher, elle esquive gracieusement. L'homme se rend assez vite compte qu'il n'a plus qu'à abdiquer. Quel homme n'a pas rêvé, au moins une fois dans sa vie, de s'abandonner ? Et l'important, l'essentiel, le primordial, pour un homme, est de faire l'amour. Et tant que la femme n'essuie pas ses escarpins sur sa fierté comme sur un vulgaire paillasson, aucun risque qu'il se rebiffe! D'autant que la dame, sous ses façons autoritaires, ne lui veut que du bien : lui faire l'amour. Elle prend les initiatives des caresses, des baisers. Peut-être lui passera-elle des menottes fourrées aux poignets, pour le lier aux barres de cuivres de son lit, réalisant ainsi un de ses fantasmes secrets ? Ou pourquoi pas, prendra-t-elle peut-être l'initiative de le masser, jouant avec ses sens et ses zones érogènes ? Lui bandera-t’elle les yeux, vous faisant picorer des douceurs, avant d'offrir sa propre intimité à déguster dans un face-sitting ? Au terme des préliminaires, où Madame, par de savantes manipulations, de caresses avisées en fellations raffinées a mis en forme sa monture impatiente, dont le vit turgescent vibrant comme un ludion supplie désespérément qu'on daigne lui offrir un nid douillet ou une délivrance à son heureux calvaire, vient enfin l'instant T des chevauchées coquines. Une femme dominante, c'est une femme qui se place au dessus, et qui s'y maintient. Si elle est parvenue à attacher l'homme, aucun risque qu'il ne retourne la situation, au propre ou au figuré. Cela dit, sa situation à lui reste toutefois enviable! Nombreuses sont les positions possibles et délicieuses. Elles offrent également moins de risques d'éjaculations prématurées, et la possibilité pour la femme de stimuler à loisir son clitoris. Les inconvénients : Le risque un poil accru de fracture pénienne, incident toutefois rare, mais qui vous enverra derechef finir la soirée aux urgences. Mais revenons plutôt à nos amants ! Puisque Monsieur est sans défense, Madame peut décider d'explorer plus en avant. Un mini vibro posé sur des boules à l'écoute ou la rose de Monsieur peut être une sensation terriblement excitante! Madame peut aussi se révéler sacrément délurée, et profiter de son état de faiblesse momentané pour tenter des privautés parfaitement inconvenantes, et aller taquiner du doigt votre prostate. L'orgasme prostatique est souvent intense, et peut être multiple. Le 1er set joué, comment et pourquoi ne pas tenter d'enchaîner sur un second ? Ce qui est parfaitement possible si le Monsieur est en verve et spécialement excité. Il suffit parfois de discuter un peu d'inflation, pour que le tour soit joué...
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Par : le 13/11/15
Permettez-moi de connaitre vos aspirations, votre respiration. Que je m’abandonne à Vous pour un aller sans retour. Dans l’innocence de la nudité, je me donnerai à Vous en espérant que Vous m’accordiez le meilleur de Vous-même. En concession, posture du pénitent, instant solennel, j’attendrai d’être à Vous. Initiez-moi à vos desseins secrets. J’attends que Vous me dites « J’attends ! » Dominez-moi également avec votre cœur car je ne veux pas mourir de chagrin pour une Dominante sans âme. Votre présence me désarmera. Vos gestes me mettront en émoi Corps livré, Vous me posséderez. Pouvoir en ostensible impudeur. Vos désirs suffiront à me lier. Vous Vous égarerez sur moi, sans loi. Vous me contrôlerez, dirigerez suivant vos envies.... Montée d'adrénaline. Je serai mis à l’index, comme une invitation à l’obscénité poétique sublimée. Imagination créative pour assouvir votre impatiente passion. Ce sera le grand jeu des attractions universelles qui metta le feu aux joues… et ailleurs.
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Par : le 10/11/15
Je suis tombé sur de mauvaises traductions des textes de Pink Floyd, alors j'ai décidé de les traduire moi-même. Sûrement peu de gens en France font réellement attention au sens des chansons même très connues qu'ils entendent en anglais, même s'ils en apprécient la musique. Dans le cas de Pink Floyd, l'aspect poétique, ou juste l'inspiration dans l'écriture, est particulièrement intéressant. L'auteur principal des textes du groupe fut Roger Waters, qui hélas prit la grosse tête à la fin des 70's et décida de dissoudre le groupe aux débuts des 80's, après l'album The Final Cut, suite logique et déplorable du génial The Wall. Cela n'empêcha pas le reste du groupe mené par David Gilmour (voix & guitare), de reformer le groupe sans lui quelques années plus tard, pour trois derniers albums studio, mais sans son génie torturé qui avait accouché dans les 70's de tant de concepts et textes dignes d'intérêt. Les textes notamment des albums ANIMALS (1977) et THE WALL (1979) sont très durs, cruels, symboliques, et j'irai même jusqu'à dire qu'ils ont un rapport avec le BDSM, au moins par la violence des désirs et frustrations, ainsi que des rapports de domination/soumission "ordinaires" présentés par ces œuvres de manière exacerbée. Mais d'abord de la poésie pure avec la traduction de la chanson ECHOES sur l'album MEDDLE : Echos Immobile, l'albatros surplombe les airs Et au creux des vagues déferlantes, Dans les dédales des récifs de corail, L'écho d'une marée lointaine Résonne à travers le sable Et tout est verdoyant, sous-marin Et personne ne nous a montré ce royaume Et personne ne sait où ni pourquoi Mais quelque chose remue et s'agite Et amorce son ascension vers la lumière Des étrangers passent dans la rue Par chance, deux regards se croisent Et je suis toi et je me vois en toi. Devrais-je te prendre par la main Et te guider à travers le royaume Et m'aider à comprendre de mon mieux ? Et personne ne nous demande de partir Et personne ne nous force à baisser les yeux Et personne ne parle ni même n'essaie Et personne ne vole autour du soleil Chaque jour sans nuage te guide vers mes yeux endormis, M'invitant et m'incitant à me lever. Et à travers cette fenêtre, Viennent sur leurs ailes de lumière, Un million d'ambassadeurs incandescents du matin. Et personne ne me chante de berceuse. Et personne ne me fait fermer les yeux. Alors j'ouvre grand la fenêtre Et je t'appelle par delà le ciel. Roger Waters (musique par David Gilmour & Rick Wright) Voici maintenant l'intégralité des paroles de l'album ANIMALS : ANIMAUX PINK FLOYD COCHONS VOLANTS - 1ère partie Si tu ne faisais pas attention à ce qui m'arrive Et si je ne me souciais pas de toi Nous zigzaguerions entre l'ennui et la souffrance En nous observant sous la pluie A se demander à qui la faute Tout en regardant les cochons volants. LES CHIENS Tu es peut-être fou, tu dois avoir un vrai besoin. Faut que tu dormes debout, et quand tu es dans la rue, Repère les proies faciles Les yeux fermés. Puis tu approches sans bruit, le vent dans le dos et hors de vue. Frappe au moment propice. Sans réfléchir. Après, tu peux travailler ton style. Aie la cravate du club et la poigne bien ferme, Le regard franc et le sourire facile. Tu dois gagner la confiance des gens à qui tu mens, Ainsi, dès qu'ils te tourneront le dos, Tu pourras mieux les poignarder. Assure toujours tes arrières. Tu sais que ça va se corser Se corser avec le temps. Et à la fin tu te casseras dans le sud, Te cacher la tête dans le sable. Juste un autre vieillard, Seul et crevant du cancer. Et quand tu perdras les pédales, Tu récolteras ce que tu as semé. Puis la peur grandira, Et le mauvais sang se glacera. Alors il sera trop tard pour se débarasser de ce fardeau. Toi qui en avais pourtant le besoin. Fais bon voyage, seul, Pendant ta descente aux enfers. Je dois admettre que je perds un peu les pédales. J'ai parfois l'impression de n'être qu'un pantin. Faut rester éveillé, essayer d'expulser ce malaise qui me ronge. Si je ne tiens plus sur mes jambes, Comment trouver mon propre chemin pour sortir de ce labyrinthe ? Sourd, muet et aveugle, tu prétends encore Que personne n'est indispensable et que nul n'a de véritable ami. Et il te semble que la meilleure chose à faire Serait d'isoler le vainqueur. Et y'a rien de neuf sous le soleil. Et tu es persuadé qu'en chaque homme il y a un tueur. Qui est né dans une maison pleine de souffrance. Qui a appris à ne pas cracher dans la soupe. Qui s'est fait dicter sa conduite. Qui s'est fait briser par le personnel qualifié. Qui s'est fait castrer par une laisse et une chaîne. Qui s'est fait encourager. Qui sortait de la masse. Qui était même étranger chez lui. Qui a été rabaissé plus bas que terre. Qu'on a retrouvé mort à côté du téléphone, Qu'on a entraîné vers le fond. LES PORCS(la bande des trois) Grosse pointure, gros porc qui se fait son cinéma ah ah Toi la grosse tête qui se fait son cinéma ah ah Quand tu poses la main sur ton cœur, Tu me fais bien marrer Presque autant qu'un clown. La tête dans l'abreuvoir, Disant "continue de t'enfoncer". Ton menton bien gras rappelle celui d'un porc. Qu'espères-tu trouver Dans le fin fond de la porcherie ? Tu me fais bien marrer. Mais en réalité tu es vraiment à pleurer. Terminus sale vermine qui se fait son cinéma ah ah Putain de vieille peau qui se fait son cinéma ah ah Tu irradies les éclats froids du verre brisé. Tu me fais bien marrer. Ca vaut presque un rire en coin. Tu aimes la sensation du métal. T'es de la bombe avec ta parure à chapeau. Et t'es mignon avec ton flingue à la main. Tu me fais bien marrer. Mais en réalité tu es vraiment à pleurer. Hé, la Whitehouse (1) qui se fait son cinéma ah ah Toi la fière vermine urbaine qui se fait son cinéma ah ah Tu essaies de foutre nos sentiments au placard. Tu es presque une bonne affaire. Les lèvres scellées, découragée, Te sens-tu trahie ? Tu dois vaincre le courant démoniaque. Et garder tout ça pour toi. Tu es presque une bonne affaire, Mary. Mais en réalité tu es vraiment à pleurer. MOUTON Tu passes gentiment ton temps dans les prés, Vaguement conscient du malaise qui plane. Tu devrais faire gaffe : Il se peut qu'il y ait des chiens dans le coin. J'ai regardé par-delà le Jourdain, et j'ai vu (2) Que les apparences sont parfois trompeuses. Qu'est ce que ça t'apporte de faire fi du danger ? Fidèle et soumis, tu suis le chef Jusqu'aux sentiers achalandés de la vallée d'acier. Quelle surprise ! La stupeur se lit dans tes yeux. Maintenant tout est réel. Non, ce n'est pas un cauchemar. Le Seigneur est mon berger, je ne saurais y manquer. Il me laisse me reposer dans le vert des prés (3) Il me conduit vers les eaux silencieuses De ses couteaux de lumière, il libèrera mon âme. (4) Il me pendit aux crochets de milieux haut-placés. Il m'a transformé en côtelettes d'agneau. Pour sûr, son pouvoir est immense et son désir profond. Quand viendra le jour où nous, les humbles, Par muette réflexion et grand dévouement, Nous aurons appris l'art du karaté, Voyez, nous nous soulèverons, Puis nous ferons chialer les cons. En bavardant et débitant des conneries Je lui suis soudain tombé surle paletot en hurlant... Vague après vague, les vengeurs fous Sortent gaiement de l'obscurité pour entrer dans le rêve. As-tu entendu les nouvelles ? Les chiens sont morts. Tu ferais mieux de rester chez toi Et faire comme on t'a dit. Ecarte-toi du chemin Si tu veux vivre vieux. COCHONS VOLANTS - 2ème partie Tu sais que je me soucie de ce que tu deviens, Et je sais que tu te soucies de moi, Alors je ne me sens pas seul, Ni entraîné vers le bas Maintenant que j'ai trouvé un endroit sûr Pour enterrer mes os. Et n'importe quel fou sait qu'un chien a besoin d'une maison, Un abri contre les cochons volants. Roger Waters/Pink Floyd (1) Il s'agit de Mary Whitehouse. Née le 13 juin 1910, elle était une militante pour le retour à l'ordre moral et l'éducation dure à l'anglaise. Elle fut professeur d'art jusqu'en 1953, dispensant à l'heure du déjeuner des cours d'éducation sexuelle fondée sur la chasteté avant le mariage et la fidélité ensuite. Elle était surnommée la "Madame propre" de la télévision britannique pour sa lutte contre le sexe et la violence sur les écrans. Elle fut ridiculisée dans une série télévisée de la BBC qui portait son nom, “l'expérience de Mary Whitehouse“. Elle a d'ailleurs accusé le directeur de la BBC, Hugue Greene, d'être à l'origine de la décadence de la société britannique. En 1965, elle crée l'Association nationale des spectateurs et auditeurs pour obtenir plus de contrôles des programmes et un renforcement de la législation permettant de poursuivre en justice les producteurs jugés "immoraux". Elle avait tenté, en vain, de faire interdire des films comme Orange mécanique ou Le dernier tango à Paris et s'était attaquée à des séries télé comme Benny Hill. On lui doit la loi sur la protection des enfants de 1978 après une campagne contre l'exploitation sexuelle des enfants. Elle dénonça sans relâche la "technique d'attaque au goutte à goutte" des valeurs chrétiennes qu'elle défend. Elle fut reçue par le pape en 1971. En 1980, elle a été élevée au rang de Commandant de l'Empire britannique, un titre prestigieux. Elle est morte le 23 Novembre 2001 à l'âge de 91 ans. (2) Référence biblique (3) C'est mot pour mot le début du Psaume 23 de la Bible (4) Dans le Psaume 23 toujours : "Il me conduit près des eaux immobiles, il sauva mon âme." THE WALL LE MUR In The Flesh ? En chair et en os ? Alors comme ça tu t'es dit que tu aimerais bien aller au spectacle Pour ressentir le doux frisson du fanatique en extase Quoi, quelque chose t'échappe mon petit ? Ce n'est pas ce à quoi tu t'attendais ? Si tu veux découvrir ce qu'il y a derrière ce regard froid Tu devras déchirer de tes ongles ce déguisement. The Thin Ice La fine couche de glace Maman aime son bébé Et papa l'aime aussi Et la mer peut te sembler chaude mon bébé Et le ciel te paraître bleu Ooooh bébé Ooooh mon tout petit bébé Oooooh bébé Si tu devais patiner Sur la fine couche de glace de la vie moderne Traînant derrière toi le reproche silencieux D'un million de regards remplis de larmes Ne t'étonne pas qu'une fissure dans la glace Apparaisse sous tes pieds Tu perds la tête et l'équilibre Et ta peur s'échappe derrière toi Tandis que tu t'agrippes à la fine couche de glace. Another Brick In The Wall, Part 1 Une brique de plus dans le Mur 1ère partie Papa s'est envolé de l'autre côté de l'océan Ne laissant derrière lui qu'un souvenir Un instantané dans l'album de famille Papa, qu'as-tu laissé d'autre pour moi ? Papa, que m'as-tu laissé ? Tout compte fait, ce n'était rien qu'une brique dans le mur Tout compte fait, ce n'était rien que des briques dans le mur. The Happiest Days of Our Lives Les plus belles années de nos vies «Toi! Oui toi, tiens-toi droit mon garçon!» Quand nous avions grandi et que nous allions à l'école Il y avait certains professeurs qui voulaient Blesser les enfants par tous les moyens possibles En tournant en dérision Tout ce que nous faisions Soulignant chaque faiblesse Que les gamins s'efforçaient pourtant de cacher Mais en ville, il était bien connu Qu'en rentrant chez eux le soir, leurs grosses Epouses névrosées les harcelaient Jusque dans les moindres détails de leur vie. Another Brick In The Wall, part 2 Une brique de plus dans le Mur 2ème partie Nous n'avons pas besoin d'éducation Nous n'avons pas besoin qu'on contrôle nos pensées Assez de ces sombres sarcasmes en classe Professeurs, laissez les enfants tranquilles Hé professeur ! laisse-nous tranquilles ! De toutes façons vous n'êtes qu'une brique de plus dans le mur. ( «Faux, Recommence !» «Si tu ne manges pas ta viande tu n'auras pas de dessert.» «Comment pourrais-tu avoir un dessert si tu ne manges pas ta viande ?» «Toi ! Oui toi derrière les parkings à vélos, tiens toi droit !» ) Mother Mère Mère, penses-tu qu'ils largueront la bombe ? Mère, penses-tu qu'ils aimeront cette chanson ? Mère, penses-tu qu'ils vont me briser les couilles ? Mère, devrais-je construire le mur ? Mère, devrais-je être candidat à la présidence ? Mère, devrais-je faire confiance au gouvernement ? Mère, m'enverront-ils en première ligne ? Oooh tout cela n'est-il qu'une perte de temps ? Chut mon bébé, ne pleure pas Maman va transformer tous tes cauchemars en réalité Maman va te refiler toutes ses peurs Maman va te garder bien au chaud sous son aile Elle ne te laissera pas partir, mais elle t'autorisera peut-être à chanter Maman gardera son bébé bien douillet au chaud Oooh mon bébé, Oooh mon bébé, Oooh mon bébé bien sûr que maman t'aidera à construire le mur Mère, penses-tu qu'elle est assez bien pour moi ? Mère, penses-tu qu'elle est dangereuse pour moi ? Mère, va-t-elle détruire ton petit garçon ? Ooooh Mère, va-t-elle me briser le cœur ? Chut mon bébé, ne pleure pas Maman vérifira toutes tes petites amies pour toi Maman n'en laissera passer aucune de pervertie Maman t'attendra jusqu'à ce que tu rentres Maman saura toujours où tu as été Maman gardera son bébé propre et en bonne santé Oooh mon bébé Oooh mon bébé Oooh mon bébé, tu seras toujours mon bébé à moi. Mère, fallait-il qu'il soit si haut ? Goobye Blue Sky Adieu Ciel Bleu Oooooooooooooooooooooooooooooh As-tu vu ces gens effrayés As-tu entendu les bombes tomber T'es-tu jamais demandé Pourquoi il fallait se mettre à l'abri Alors que la promesse d'un monde nouveau Pointait dans un beau ciel bleu ? Oooooooooooooooooooooooooooooh As-tu vu ces gens effrayés As-tu entendu les bombes tomber ? Les flammes sont toutes éteintes depuis longtemps, Mais la douleur persiste Adieu, ciel bleu Adieu, ciel bleu Adieu Adieu Empty Spaces Espaces Vides Qu'utiliserons-nous pour remplir les espaces vides Où rugissent les vagues de la faim Où nous parlions autrefois Comment vais-je remplir les derniers trous ? Comment vais-je terminer le mur ? Young Lust Désir* jeune Je suis nouveau par ici Etranger à cette ville Où sont les bons plans ? Qui va guider cet étranger ? Ooooh, il me faut une salope Ooooh, il me faut une petite salope Y a-t-il une femme dans ce bled paumé Qui me fera sentir que je suis un vrai mâle ? Ce réfugié du Rock & Roll ? Oooh, bébé libère moi Ooooh, il me faut une salope Ooooh, il me faut une petite salope. * (désir sexuel) One Of My Turns Une de mes crises Jour après jour, l'amour vire au gris Comme la peau d'un homme mourant Et nuit après nuit Nous faisons semblant que tout va bien Mais je suis devenu plus vieux, et Tu es devenue plus froide et Désormais, rien ne nous éclate plus vraiment. Et je sens Venir une de mes crises Je me sens Froid comme une lame de rasoir Serré comme un garot Sec comme un tambour funéraire Cours dans la chambre Sur la gauche il y a un étui Tu y trouveras ma gratte* préférée. Ne prends pas cet air effrayé C'est juste une phase passagère Un de mes mauvais jours. Tu veux regarder la télé ? Ou te glisser dans les draps ? Ou contempler l'autoroute silencieuse ? Tu veux quelque chose à manger ? Tu veux apprendre à voler ? Voudrais-tu me voir essayer ? Tu as envie d'appeler les flics ? Crois-tu qu'il est temps que j'arrête ? Pourquoi tu t'enfuis ? * "axe" signifie guitare en argot mais aussi hache Don't Leave Me Now Ne me quitte pas maintenant Ooooh chérie Ne me quitte pas maintenant Ne dis pas que c'est la fin du voyage Souviens-toi les fleurs que j'ai envoyées J'ai besoin de toi chérie Pour te passer à la moulinette devant mes amis Ooooh chérie Ne me quitte pas maintenant. Comment peux-tu partir Alors que tu sais à quel point j'ai besoin de toi ? Besoin de toi, besoin de toi Pour te réduire en bouillie le samedi soir Ooooh chérie, Ne me quitte pas maintenant Comment peux-tu me traiter comme ça ? Te débiner Ooooh chérie Pourquoi est-ce que tu t'enfuis ? Ooooh chérie Another Brick in the Wall, part 3 Une brique de plus dans le mur 3ème partie Je n'ai pas besoin de bras autour de moi Et je n'ai besoin d'aucune drogue pour me calmer J'ai vu l'inscription sur le mur Ne croyez pas que j'ai besoin de quoi que ce soit Non, ne croyez pas que j'ai besoin de quoi que ce soit Tout compte fait, ce n'était que des briques dans le mur Tout compte fait, vous n'étiez tous que des briques dans le mur Goodbye Cruel World Adieu Monde Cruel Adieu monde cruel Aujourd'hui je te quitte Adieu, adieu, adieu Adieu vous tous, rien de ce que vous pourrez dire Ne me fera changer d'avis Adieu Hey You Hé Toi Hé toi, là bas dans le froid En train de t'isoler, de devenir vieux Peux-tu me comprendre ? Hé toi, debout dans les couloirs Avec des fourmis dans les pieds et de fades sourires Peux-tu me comprendre ? Hé toi, ne les aide pas à éteindre la lumière N'abandonne pas sans combattre Hé toi, là bas livré à toi même Assis nu à coté du téléphone Voudrais-tu me toucher ? Hé toi, avec ton oreille collée au mur En train d'attendre que quelqu'un t'appelle Me toucherais-tu ? Hé toi, m'aiderais-tu à porter ce fardeau ? Ouvre ton cœur, je rentre à la maison ! Mais tout n'était qu'illusion Comme tu peux le voir, le mur était trop haut Il a eu beau essayer, il ne pouvait pas s'échapper Et les vers ont dévoré son cerveau. Hé toi, là-bas sur la route Toujours en train de faire ce qu'on te dit Peux-tu m'aider ? Hé toi, là bas derrière le mur En train de casser des bouteilles dans l'entrée Peux-tu m'aider ? Hé toi, ne me dis pas qu'il n'y a plus aucun espoir Ensemble nous tenons bon, divisés nous chutons. Is There Anybody Out There? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Y a-t-il quelqu'un de l'autre côté ? Nobody Home Personne à la maison J'ai un petit carnet noir avec mes poèmes J'ai un sac contenant une brosse à dent et un peigne Quand je suis un bon chien on me jette parfois un os J'ai des élastiques pour attacher mes chaussures (1) J'ai le blues des mains enflées J'ai le choix entre treize chaînes de merde à la télé (2) J'ai la lumière électrique Et j'ai un sixième sens J'ai d'extraordinaires pouvoirs d'observation Et c'est comme ça que je sais Quand j'essaie de t'avoir Au téléphone Qu'il n'y aura personne à la maison J'ai la permanente obligatoire à la Hendrix(3) Et les inévitables trous de boulettes Sur le devant de ma chemise en satin préférée. J'ai des taches de nicotine sur les doigts J'ai une cuillère en argent au bout d'une chaîne J'ai un piano à queue pour soutenir ma dépouille mortelle (4) J'ai le regard fixe d'un fou Et j'ai une furieuse envie de voler Mais je n'ai nulle part où aller Ooooh chérie Quand je décroche le téléphone Il n'y a jamais personne à la maison (5) J'ai une paire de chaussure Go-hill (6) Mais mes racines s'estompent (1) «Syd était la seule personne qui attachait ses chaussures avec un élastique, c'est de là que vient ce vers de la chanson.» Roger Waters. (2) Encore une référence probable à Syd Barrett dont un des passe-temps préféré est le zapping T.V. (3) Référence aux coupes de cheveux de Syd, la permanente afro de Jimi Hendrix fut à la mode même chez les blancs hippies au début des années 70. (4) Référence possible à Rick Wright. (5) Référence à la vie maritale de Roger qui s'effritait de plus en plus à cette époque. (6) Les Go-hill Boots étaient des chaussures avec des élastiques fabriquées par une boutique londonienne du même nom à la fin des années 60. Seulement quelques personnes en avaient, celles de Syd étaient jaunes. Vera Quelqu'un ici se souvient-il de Vera Lynn ? Souvenez vous, comme elle disait Qu'on se retrouverait Par une journée ensoleillée* Vera Vera Qu'es-tu devenue ? Est-ce que quelqu'un d'autre ici Ressent la même chose que moi ? * Référence à We'll Meet Again, une chanson de Vera Lynn. Voici un extrait des paroles : «We'll meet again We'll meet again, Don't know where, Don't know when But I know we'll meet again some sunny day» Bring The Boys Back Home Ramenez les gars à la maison Ramenez les gars à la maison Ramenez les gars à la maison Ne laissez pas les enfants livrés à eux-même Ramenez les gars à la maison Comfortably Numb Agréablement Engourdi Hé bonjour ? Il y a quelqu'un là-dedans ? Hoche la tête si tu m'entends Il y a quelqu'un à la maison ? Allons, voyons, Il parait que tu ne vas pas bien Je peux soulager ta douleur Et te remettre sur pied Détends-toi, Il me faut d'abord quelques renseignements Juste les symptômes de base Peux-tu me montrer où ça fait mal ? Je ne souffres pas, vous débloquez Un bateau au loin fait de la fumée Vos paroles n'arrivent que par vagues Vos lèvres remuent, mais je n'entends pas ce que vous dites Quand j'étais enfant j'ai eu une fièvre Mes mains étaient gonflées comme deux ballons Maintenant j'ai à nouveau cette sensation Je ne peux pas l'expliquer, et puis vous ne comprendriez pas Ce n'est pas vraiment moi Je suis devenu agréablement engourdi Ok, Juste une petite piqûre Il n'y aura plus de aaaaah ! Mais il est possible que tu te sentes un peu malade Tu peux te lever ? Je suis sûr que ça va aller, bien Ca te permettra de tenir jusqu'à la fin du spectacle Viens il est temps d'y aller Je ne souffres pas, vous débloquez Un bateau au loin fait de la fumée Vos paroles n'arrivent que par vagues Vos lèvres remuent, mais je n'entends pas ce que vous dites Quand j'étais enfant Une vision m'a traversé l'esprit Furtivement Je me suis retourné, mais elle avait disparu Je n'arrive pas à remettre la main dessus L'enfant a grandi, Le rêve est parti Et je suis devenu Agréablement engourdi. The Show Must Go On Le spectacle doit continuer Ooooh M'man Ooooh P'pa Le spectacle doit-il continuer ? Ooooh P'pa ramène-moi à la maison Ooooh M'man laisse-moi partir Il doit y avoir un malentendu Je n'avais pas l'intention de les laisser Prendre mon âme Suis-je trop vieux, est-ce trop tard ? Ooooh M'man Ooooh P'pa Où cette sensation est-elle partie ? Ooooh M'man Ooooh P'pa Vais-je me rappeler des chansons ? Le spectacle doit continuer In The Flesh En chair et en os Alors comme ça, Tu t'es dis Que tu aimerais bien Aller au spectacle Pour ressentir le doux frisson Du fanatique en extase ? J'ai de mauvaises nouvelles pour toi mon petit Pink ne va pas fort, il est resté à l'hôtel Et on nous a envoyés en remplacement Pour découvrir Vos vraies motivations. Y a-t-il des pédés dans la salle ce soir ? Alignez-les contre le mur! En voilà un dans le projecteur Il ne m'a pas l'air bien comme il faut Alignez-le contre le mur ! Celui-ci a l'air Juif Et celui-là est un nègre Qui a laissé entrer toute cette racaille ? Il y a un qui fume un joint et Un autre qui a des boutons Si ça ne tenait qu'à moi Je vous ferais tous descendre ! Run Like Hell Prends tes Jambes à ton cou Cours...cours...cours Tu ferais mieux de te déguiser avec Ton costume préféré Avec ta bouche cousue et tes Paupières descendues comme des stores Avec ton sourire vide Et ton cœur affamé Tu sens monter la bile remonter de ton passé coupable Avec tes nerfs à vif Quand la coquille se brise Et que les marteaux Tambourinent à ta porte Tu ferais mieux de déguerpir Tu ferais mieux de courir toute la journée et toute la nuit Et d'enfouir ta sale nature au plus profond de toi Et si tu sors ta copine ce soir Tu devrais garer la voiture bien à l'abri des regards Parce que si on te surprend sur le siège arrière En train d'essayer de la sauter On te renverra à ta mère Dans une boîte en carton T'as intérêt à déguerpir. Waiting For The Worms En attendant les vers Un, deux, trois, c'est parti ! Ooooh maintenant vous ne pouvez plus m'atteindre Ooooh malgré tous vos efforts. Adieu monde cruel, c'est fini Passez votre chemin Assis dans un bunker, ici, derrière mon mur J'attends l'arrivée des vers, l'arrivée des vers Dans l'isolement le plus complet, ici, derrière mon mur J'attends l'arrivée des vers, l'arrivée des vers (Nous [allons réussir] et nous allons nous réunir à l'extérieur de Brixton Town Hall où nous allons être...) J'attends d'éliminer les choses inutiles J'attends de nettoyer la ville J'attends de suivre les vers J'attends de mettre une chemise noire J'attends d'éliminer les faibles J'attends de briser leurs fenêtres Et d'enfoncer leurs portes J'attends la solution finale Pour durcir le mouvement J'attends de suivre les vers J'attends d'ouvrir les douches Et d'allumer les fours J'attends les pédés et les nègres Et les cocos et les Juifs J'attends de suivre les vers Voudrais-tu voir Britannia Régner à nouveau mon ami ? Il te suffit de suivre les vers Voudrais-tu renvoyer nos cousins de couleur Dans leur pays, mon ami ? Il te suffit de suivre les vers. Stop Stop J'veux rentrer chez moi Enlever cet uniforme Et quitter le spectacle Et j'attends dans cette cellule Parce qu'il faut que je sache : Ai-je vraiment été coupable pendant tout ce temps ? The Trial Le procès Bonjour, votre honneur le Ver Le Ministère Public va clairement démontrer Que le prévenu qui se tient devant vous A été pris en flagrant délit de manifestation de... sentiments ! Manifestation de sentiments de nature presque humaine C'est intolérable Appelez l'instituteur ! J'ai toujours dit qu'il tournerait mal Votre honneur Si on m'avait laissé faire à ma façon j'aurais pu Le façonner comme il faut Mais j'avais les mains liées Les cœurs brisés et les artistes L'ont laissé s'en tirer à bon compte Aujourd'hui, laissez-moi le marteler Cinglé... une araignée dans le plafond, je suis cinglé Ils ont dû me couper les couilles Appelez l'épouse de l'accusé ! Petite merde, t'es dedans jusqu'au cou maintenant. J'espère qu'ils jetteront la clé. Tu aurais dû me parler plus souvent L'as-tu fait ? Mais non évidemment, Tu n'en faisais qu'à ta tête. Au fait, as-tu brisé des foyers dernièrement ? Rien que cinq minutes, votre honneur le Ver, Laissez-moi seule avec lui. Bébéééé, Viens voir Maman mon bébé. Laisse moi te tenir dans mes bras. Monseigneur, je n'ai jamais souhaité le voir Dans le pétrin. Pourquoi a-t-il fallu qu'il me quitte ? Votre honneur le Ver, laissez moi le ramener à la maison. Cinglé, Complètement détraqué, je suis cinglé. Des barreaux à la fenêtre. Il devait pourtant bien y avoir une porte là, dans le mur, Quand je suis entré. Cinglé, complètement détraqué, il est cinglé Les témoignages devant la cour sont Irrécusables, il n'est pas nécessaire que Le jury se retire pour délibérer. Tout au long de ma carrière, Je n'ai jamais vu Quelqu'un qui mérite davantage La peine maximale prévue par la loi. La façon dont vous avez fait souffrir Votre exquise femme et votre mère Me donne envie de ...DÉFÉQUER ! Hé Juge, chie-lui dessus ! Puisque vous avez laissé entrevoir votre Crainte la plus vive, Je vous condamne à être exposé à vos semblables ! Abattez le mur ! Abattez le mur ! Abattez le mur ! Outside The Wall A l'extérieur du mur Seuls, ou par deux, Ceux qui t'aiment vraiment Font les cent pas de l'autre côté du mur. Certains main dans la main, D'autres regroupés en bandes, Les cœurs brisés et les artistes Font face. Et une fois qu'ils t'ont tout donné, Certains chancellent et puis tombent. Après tout ce n'est pas facile De faire battre son cœur contre le mur d'un pauvre taré. Roger Waters/Pink Floyd Traductions : Filo
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Par : le 05/10/15
"Je vais te faire mal petite chienne" je ne peux répondre, mon attention est prise par cette voiture qui ne cesse de freiner.. Je le mérite de toute façon.. Au bout de 20 minutes interminables de "touche touche" je retrouve l'autoroute, et tente de rattraper tout ce retard.. Il est quasiment 22h, je trouve son hôtel, me gare, arrange ma robe pour cacher mes bas.. le parking est plein.. Rejoins sa chambre que je cherche.. trouve l'escalier qui mène à l'étage en dessous.. Je ne comprends pas l'endroit, mais je perçois un homme, en costume, assis dehors.. C'est lui.. je m'arrête nette. Je le regarde.. Beau comme un Dieu... L 'air sérieux imperturbable. Me fixe et fume sa cigarette.. Je suis heureuse.. Mais j'ai peur.. Descends l'escalier.. et marche à lui sans pouvoir le regarder.. Je ne note aucune réaction de sa part, pose mes lèvres timidement sur les siennes, en demandant poliment comment il va, et me tord un.. "Non, je suis très énervé" Fuyant son regard noir, je n'arrive pas à le jauger. Je pose mes affaires, fume et me perd en regardant cette Lune si claire.. Il éteint sa cigarette, ne dit rien et rejoins sa chambre, je le suit.. Me fais entrer, pose mes affaires au sol. Il me gifle sévèrement, me pousse sur le lit, saisit mon écharpe qu'il serre encore plus. Vérifie mon décolleté, me gifle à nouveau, tire et pince fort le bout de mon sein, observant ma souffrance, Me relève, saisit mes cheveux, m'embrasse passionnément.. il s'assoit sur le lit et me prend dans ses bras.. à cet instant c'est l' ivresse, des frissons me parcourent sans discontinuer.. Je le respire, le touche.. j'ai tellement envie de le serrer que je crains de le blesser... Des larmes montent en le sentant lui aussi m'étreindre comme un fou.. Sa bouche est délicieuse. Mon Dominant, retire ma veste, mon écharpe et m'agenouille à ses pieds, me fait avancer un peu plus loin et me somme de ne pas bouger. Obéissante, je patiente dans ma position d'animal. Il attache la laisse à mon collier que j'avais au préalable mis avant de partir, Divin relève ma robe à la taille, châtie sa chienne de sa longe de cuir, Le coup et le claquement m'excite profondément, tête baissée je reçois mes punitions Ses doigts me fouille, j'adore ça, j'en veux plus "tu mouilles ma Salope" Il s'arrête me place tout près de son visage, empoigne mes cheveux "Alors comme ça tu voulais que je te paie pour te baiser?" j'hoche un oui de la tête malgré ses mains ferment qui me tiennent "tu crois que je vais te payer pour te voir et te baiser salope? Réponds." - C'était de la provocation Maître - Tu as trouvé que ça? Tu te sent toute merdeuse là?... Alors écoute moi bien. Tu es ma pute.. A moi, je paie pas pour te baiser. Je serai ton proxénète. D'accord? Tu crois que tu vaut combien?" Je ne tiens pas à répondre.. " 600 euros .. Pffff...Tu vaut beaucoup plus que ça." Une claque ponctue son avertissement, il me relâche, place ma tête baissée, "Ne bouge pas." Je devine qu'il cherche ses subsidiaires. Ses mains me cambre, je n'arrive pas à décrire ce qu'il fait..Mon désir monte et s'impatiente.. Je comprends qu'une pointe parcoure mon derrière, à l'odeur, c'est un marqueur.. Que je sais indélébile.. Il s'affaire silencieux. Se plaçant maintenant devant il écrit aussi au dessus de mes seins, patiemment. "Tu sais ce qu'il y a de marqué sur ton cul ma chienne?" - Non Maître - MA PUTE. Et là? Je baisse la tête, devine des lettres capitales, mais ne vois pas son inscription. " CHIENNE parce que c'est que tu es. C'est ici qu'est ta place. Au pied de son Maître marquée comme une pute." Mon désir s'attise. J'aime tellement celle que je suis à cet instant. Mon acquéreur honore mon visage de son crachat, qu'il prend plaisir à étaler. il cambre son animal pour lire fièrement son marquage seins tendus, qu'il caresse divinement. Maître s'introduit dans ma bouche pour se faire sucer, retire ma main qui prenait appuis sur le lit afin d'éviter le moindre confort, et décide même quelques secondes après de m'entraver. Mains jointes dans le dos, bras tendues. "Lèche mes pieds." Je me soumet, et baise ses pieds ainsi, chiennement positionnée, totalement enflammée.. je le lèche sensuellement, langoureusement, longuement.. ses soupirs m'encourage... "Que c'est bon de te voir comme ça, marquée, à mes pieds. Lèche encore." Comme un accessoire il baise encore mon couloir, me bifle de sa belle queue tendue... Me doigte, mon plaisir est intense, il me fait couler sans difficulté, et sent ma liqueur se répandre sur sa main et le long de mes cuisses... Il insère ses doigts trempés dans ma bouche pour me faire gouter sa victoire.. Au sol, je découvre ma flaque. Mon Beau, Mon Maître sait m'assouvir. "Vas nous servir le champagne" Domestiquée, je le sert.. Nous échangeons un peu le temps de cette pause, courte, car à nouveau ma bouche couronne sa verge longuement, et y prends un plaisir divin. Il me retourne, et caresse mon dos de son fouet... Le pose lourdement sur l'épaule, les lanières froides glissent jusqu'au bas des reins.. J'en frissonne, cela m'excite terriblement. Ses coups se précisent, plus sévères.. je sursaute et gémis, il me visite de ses doigts "Mais tu coules petite chienne. Ecarte." A présent sa cravache tapote entre mes cuisses pour disposer d'une vue plus explicite Et corrige Sa Pute Ses coups sont impitoyables, cinglants, strict, il frappe aux mêmes endroits.. J'ai mal, mais exulte.. Le bruit du souffle, le claquement de sa badine, la douleur que Maître m'afflige, m'honore parfaitement.. Je ne veux pas qu'il s'arrête.. J'aime ma pénitence.. J'aime qu'il m'offense; Sadique poursuit ses châtiments en me placant, debout, face au mur, cambrée au maximum. Me prends soudainement, le sent merveilleusement bien, glisse en moi, et me baise comme il aime.. Violement. Comme une Salope, je me cambre plus, croise les jambes et me tord pour jouir sur ces assauts.. Il me prend aussi contre la fenêtre rideaux fermés, petite perverse espère qu'on la voit, qu'on l'entende Il bande fort.. je la sent presque totalement, continue et me pénètre profondément, par derrière sur le lit, il me fait mal, son sexe majestueux me charge, je tente de m'avancer pour qu'il me prenne moi loin.. Bel gueule est pris d'une bestialité sans pareil et ne me laisse pas la moindre chance de m'échapper.. Mes cris ne le freine pas et me baise comme il veut. Je le supplie d'arrêter, mais sa main étouffe mes supplications, mes cris. Me prend. De force. Il n'en a pas terminé; Il me retourne, met mes jambes tendues écartées pour en découdre. Son sexe est raidit au possible, il me baise aussi fort et jouit. Mourant sur mon corps.. Son ultime plaisir, vider le préservatif sur mon buste, et fait lécher tout son foutre à sa chienne. Irréelle.. Nous reprenons doucement nos esprits Un instant complice, tendre que j'affectionne tant se perpétue.. Je ne sais pas qu'elle heure il est mais je dois m'inquiéter de rentrer.. Je n'en ai aucune envie, nous fumons, buvons, bavardons.. Mais je reste totalement surprise car Maître retrouve toute sa vigueur, et ne tarde pas à empoigner mes cheveux pour lui la sucer.. Dévouée, obéissante je m'y attèle.. il bande aussi fort qu'il y a quelques minutes, j'ai peine à l'avoir entièrement dans ma gorge, mais il me force, me garde contre lui, je bave beaucoup..j'étouffe, parviens à respirer.. mais très peu de répit.. Au bord du vomissement Il décide de la cadence... baise ma bouche très fort et profondément, il ne me laisse toujours pas respirer, et parviens rapidement à me pencher pour vomir au sol.. Il exulte, et je suis totalement humiliée; Cela l'excite vraiment, il me replace, et se fait sucer à nouveau "Tu veux boire?" - Oui Maître. Bouche ouverte, j'attends mon cadeau... Je l'admire.. Ainsi fièrement sa semence jaillit. Et ne lui laisse rien avant de tout avaler.. Il est 1h30 du matin.. je n'ai aucune envie de partir.. mais finis par disparaître péniblement.. extrait http://carnetdebordduneputain.unblog.fr/
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Par : le 21/09/15
"Ma chienne je serai là dans 20 min. Tu seras en robe. Avec une string tanga ou autres.. De ton choix. Pas de soutif tu seras à 4 pattes quand j arriverai avec le collier autour du cou. Tu laisseras la laisse à disposition pas loin. Tout les autres jouets accessoires capotes marqueur ect seront installés. A tout de suite ma chienne." J'obéis. Mon téléphone sonne à nouveau, c'est mon ami, je zappe l'appel.. Mais il insiste, j'ai bien peur que, si je ne réponds pas, il finisse par passer à la maison.. Je prépare mes recommandations durant la communications.. Je prends un peu de retard.. Mon propriétaire ne me préviens toujours pas par mail de son départ.. J'en profite, je fume une cigarette et check mes autres mails.. En allant chercher mon verre et le cendrier j'aperçois quelqu'un dans la cours.. Mon Dieu.. Maître.. Mon cœur bat la chamade.. Il ouvre la porte.. Je m'agenouille à ses pieds.. Il est magnifique.. je lève la tête.. il sourit.. il semble ravi de voir ainsi sa chienne se soumettre à sa venue. Bel gueule exulte.. je baisse la tête, il se porte à ma hauteur. Il garde un temps près de mon visage, trop tentant, j'aimerai prendre le risque de l'embrasser. Je sais pertinemment que dans la seconde je serai châtiée d'une telle prise d'initiative.. Mais Divin est désireux, nous nous embrassons passionnément, follement, lentement... j'aime sa langue et sa façon de me gouter.. Une tension sexuelle sensuelle dévorante, envoûtante Il me caresse, fait le tour de son esclave, lui soulève la robe, vérifie sa prescription.. Il se place fasse à moi.. Colle mon visage contre son sexe, puis entre ses jambes, prend le temps de me faire une queue de cheval, haute.. Me promène un peu ainsi... Il me lâche, je ne sais pas où il va, je ne me retourne pas.. Il me donne une cinglante fessée. Cela m'excite profondément "Où est ma laisse?" Je pointe du doigt, le bar.. Il m'attache... J'adore... Un réelle sentiment d'être une chienne à présent.. Mon Maître l'entoure autour de sa main, tendue, au pied. "Avance.." J'entame le tour de la table, il soulève ma robe, celle ci m'empêche d'avancer comme il se doit, je prends le bout de tissus à la bouche.. "Lève toi, montre moi comme tu es belle" j'obéis.. Mon beau me détail, m'embrasse, amène une étreinte merveilleuse et salvatrice... Nous nous sommes tant manqués.. Il me porte, et tente de me poser sur la table... en verre.. me demandant si celle ci est solide... je lui fais part d'un doute... Me remet sur mes jambes, fasse à la table, dos à lui, robe soulevée.. Il me cambre au maximum.. Caresse mon cul, offert.. "Belle croupe de chienne ça.." Se colle contre moi.. j'aime ca.. je vois son reflet sur le verre noir de la table.. Je sent sa queue sur mes fesses.. J'ai envie qu'il me baise.. Mon acquéreur fait durer cet instant, jusqu'à ce qu'il se dirige vers le bar, pour servir le champagne, au préalable j'avais préparer sa coupe, et ma gamelle. J'ai une affection particulière de le voir servir sa dog girl ainsi, l'entendre m'ordonner de boire, le voir dans le reflet de mon récipient lécher ce breuvage.. A nouveau il me caresse, "Je n'aime pas ta robe.."Je suis un peu déçue, mais comprends que Divin, ne peut profiter des "ses" seins comme il le veut à cause d'elle.. Un obstacle, un petit affront que je n'avais pas envisagé.. "Déshabille moi.." Je défais chaque bouton debout, m'agenouille ensuite.. Son immensité me toise du haut de son mètre quatre vingt dix.. Sa ceinture est défaite, les boutons aussi...et fais glisser son vêtement le long de ses jambes.. je retire ses chaussettes, il m'ordonne de placer son pantalon correctement afin de ne pas le froisser, j'avoue expédier son ordre, j'ai envie de le sentir en moi.. Rigoureux il ne laisse rien passer et me montre comment je dois m'y prendre.. Bien que je le sache parfaitement.. "Suce moi" Son boxer est retiré, il bande, j'aime sa jolie queue.. Je le lèche et le suce lentement, le prends totalement dans ma bouche.. je la sent durcir au fond de ma gorge. Je m'applique, sa main n'a plus besoin de me forcer pour se placer profondément, je l'exécute comme il l'aime.. Il baise ainsi ma bouche, comme il l'entend.. Parfois au bord de l'étouffement, sans pour autant me laisser de répit.. "Retire ta robe" J'obeis et je peine à l'enlever.. Il me gifle.. me crache au visage.. Pince le bout de mes seins..J'aime ça.. Dès lors, il attrape de bondage tape.. me met les bras tendus dans le dos, mains jointes.. entoures mes poignets de cette entrave parfaite.. Maître saisit mes cheveux et me promène ainsi... Il saisit sa badine.. me cravache d'emblée sévèrement les fesses, plusieurs fois.. je prends un plaisir fou, il caresse mon corps avec son associé, me rapelle immédiatement qu'il aime me faire mal... J'entends l'élan et le souffle du coup.. le claquement.. Mon Maître me signifie que je suis rouge.. je jubile.. Il me ballade dans le salon... "Baise moi les pieds" La Pet éduquée que je suis obéis, et lui embrasse les pieds comme sa bouche.. sensuellement, lentement.. je l'entends... et continue.. Il reprend la laisse et nous place vers le canapé.. pose la cravache à ses pieds.. il m'approche pour que je puisse m'agenouiller sur le manche de son souffre douleur.. Ainsi positionnée il m'impose une fellation et charme sa queue de ma langue.. le suce longuement, profondément et bave totalement sur sa verge tendue.. "Tu as mal ma chienne?" je mime un non, j'avais même oublié que cette cravache était présente dans mes genoux.. Mon dominant se lève, prends le balai... Ayant déjà été chatiée ainsi.. C'est certain je"le" crains terriblement.. la douleur est immense positonnée la dessus.. Mais je ne décide de rien.. et me place sur le manche. Il me baise la bouche... Je l'entends gémir, je le sent trembler... je me rejouit de son état.. tel est mon rôle..Celle d'une Putain asservie. J'ai mal, et tétanise, des crampes dans les bras m'affaiblissent.. je n'arrive plus à le satisfaire, gémit de douleur, Divin m'aide a me remettre en position.. je devine sous mes bas les traces du balai enfoncés dans ma chaire, tandis que Mon Maître défait mes entraves. Nous faisons une pause, partageant le champagne et une cigarette.. Un instant sensuelle nous gagne.. Les baisers sont passionnés.. Je l'aime comme jamais.. Nous discutons sincèrement sur le tumulte des jours précédents.. Mais restons unis malgré nos désaccords.. "Tu vas me laver." Je n'attendais que ça.. Dans la cabine la tension sexuelle est palpable... mais rien est précipité.. Ainsi je mousse son corp délicieux, à genou, sans rien oublier, et reste dans cette position lorsqu'il se rince.. Il baise ma bouche, et me fais baiser son cul de ma langue.. J'aime quand il fait cela.. l'étreinte est longue et chaude.. Il me prends par derrière, cambrée contre le mur.. Sent son long sexe assaillir le miens profondément et violement... J'en jouit sans sommation.. L'étreinte est longue et chaude.. carnetdebordduneputain.unblog.fr
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Par : le 20/09/15
Leçon n°1 : Tes désirs tu accepteras Lorsque j’ai été assaillie par tous ces désirs refoulés, je me suis retournée sur mon passé, me demandant d’où de telles envies pouvaient bien me venir. Un besoin irrépressible de comprendre avant de pouvoir accepter. Est-ce dû à ma mère ? J’ai eu une éducation bienveillante, avec une maman opposée aux châtiments corporels. Peut-être mes penchants sont-ils dus à un manque de fessées ? Ou alors à mon ex-mari ? Lui m’a infligé des châtiments corporels. Mais ses châtiments ne m’ont jamais procuré le moindre plaisir et je n’ai jamais eu envie de les recevoir. Ce n’est d’ailleurs pas le même genre de châtiment que j’aime qu’on m’inflige. Non, mes désirs ne sont dus ni à ma mère, ni à mon ex-mari. Déjà toute petite, lorsque j’avais à peine dix ans, mes fantasmes ne ressemblaient pas à ceux de mes copines d’école. J’étais bien une princesse, mais une princesse retenue prisonnière par un méchant à la carrure imposante et au regard noir. Il m’attachait dans la plus haute tour du château, s’assurant bien que je ne puisse pas m’échapper. Déjà dans mes rêves de petites filles, j’avais les poignets et les chevilles entravés par de gros bracelets métalliques reliés à des chaînes. J’étais en croix, contre un mur de pierres froides, souvent exhibée. Le prince venait rarement me secourir et lorsqu’il venait, il se faisait assassiner par le méchant, qui me gardait pour lui. Plus grande, c’est lorsque je marchais dans des petites rues discrètes et sombres que j’imaginais des hommes terrifiant me bondir dessus pour m’emmener avec eux. J’avais dit à ma mère que parfois j’imaginais des hommes me violer. Elle m’avait alors expliqué que c’était une façon de vivre mes angoisses pour les apprivoiser et ne plus en avoir peur. Explication qui, bien que cohérente, me paraissait peu plausible, déjà à l’époque. Je n’avais jamais entendu parler de BDSM, ni d’aucune des pratiques que ça englobe. Je n’avais même jamais eu de rapports sexuels. Ce qui se passait dans ma tête me semblait incompréhensible. C’était une grande source de culpabilité, car ce n’était pas normal d’avoir de telles pensées si jeune, encore moins lorsque c’est des désirs. J’étais attirée par les mauvais garçons. Les plus sadiques, les plus forts, les plus imposants. Dans toutes les classes, il y en a toujours un. Le dominant. C’est celui-là dont je tombais amoureuse, à chaque fois. Non, mes désirs ne viennent ni de ma mère, ni de mon ex-mari. Ils viennent du plus profond de moi et il est temps pour moi de l’accepter. Je suis seule responsables de mes désirs les plus obscures, ils font partie intégrantes de ma personne. Il est désormais temps de les vivre. [Texte écrit au tout début de mon acceptation... il y a quelques mois]
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Par : le 20/09/15
Plus tard le même jour, au dîner, Iska était de bonne humeur. Elle avait eu un avant-goût de la domination, et cela lui avait plu. Elle appréciait la perspective, finalement moins angoissante que ce qu’elle avait imaginé. Elle pensait surtout qu’elle pourrait s’en tirer avec ses petites rébellions face à moi parce que nous nous aimions. Toutefois, tout mon amour pour elle ne l’empêcherait pas de se faire punir ce soir. La réprimande, après tout, faisait partie intégrante de tout dressage. - Alors, es-tu satisfaite de l’expérience jusqu’ici, ma chérie ? - Oui, mon amour ! J’ai joui comme jamais tout à l’heure ; je ne pensais pas que je ferais, ou dirais, toutes ces choses que nous avons faites aujourd’hui, mais cela me plaît. Elle souriait tendrement… la surprise n’en serait que plus vive. - Bien, bien. Je suis content que tu sois satisfaite, dis-je calmement. Parce que je ne le suis pas, ajoutai-je froidement. Le sourire de Iska s’effaça, elle prit un air inquiet. - Tu crois que tu peux me désobéir, me défier, et ne pas subir de conséquence ? Si c’est le cas tu te trompes lourdement, comme tu es sur le point de le découvrir. Iska voulut dire quelque chose mais n’en eut pas le temps. Je l’entrainai vivement dans une autre pièce, plus appropriée pour son dressage. Je lui ordonnai de quitter ses vêtements. Elle était donc seins nus, jambes nues, à part une courte jupe et une culotte en dentelle. - Tourne-toi dos à moi, penche-toi en avant et tiens ta jupe pour que tes fesses soient bien découvertes, fis-je sur un ton sec. Iska s’exécuta, je la sentais apeurée, très bien. Je voyais ses fesses bien offertes, toutes pâles. J’allais arranger ça rapidement. Je caressai rapidement la chatte de Iska à travers sa culotte, je voulais qu’elle salisse son sous-vêtement. Ceci fait, je pris une badine (la villa était bien pourvue en accessoires de ce genre), et me mis à cingler rapidement, sans trop appuyer, les fesses de ma soumise, pour les colorer un peu. Elles virèrent rapidement au rose, puis à l’écarlate. Iska couinait à chaque coup en essayant de ne pas pleurer. Mais elle était excitée en même temps. Finalement, je décidai que ses fesses avaient la bonne couleur et cessai mes coups. Je lui massais à nouveau la chatte à travers le tissu. Iska gémissait doucement, le plaisir atténuait la douleur. Quand la culotte fut suffisamment mouillée à mon goût, je la fis glisser le long de ses cuisses et la ramassai. Je fis se tourner Iska, lui fourrai la culotte dans la bouche en guise de bâillon, et lui dis : - Ecoute bien, ma petite pute. Maintenant, tu vas te retourner, enlever ta jupe, et je vais te baiser comme une chienne. Je vais te défoncer, et je me fous que tu jouisses ou pas. Tu es juste mon jouet. Par contre, je ne veux pas t’entendre. Alors tu vas garder cette culotte que tu as tachée dans ta bouche jusqu’à ce que je l’enlève. J’espère que tu aimes le goût de ta mouille, salope. Iska hocha la tête, la bouche pleine. Je l’embrassai, malgré le tissu, pour goûter à son intimité. Elle se retourna, enleva sa jupe. Je claquai ses fesses plusieurs fois, pour qu’elle tressaille et qu’elle gémisse de douleur : son cul était déjà bien chaud du fait de la badine. - Mets-toi en levrette, soumise ! Elle s’exécuta et attendit. Je me mis à nouveau à masser sa chatte, y mis deux doigts, fis quelques va-et-vient. Toutefois je pense que Iska ne s’attendait pas à la suite. Avec mes doigts pleins de mouille, je commençai à masser son anus vierge. Je sentis qu’elle se raidissait : je n’étais jamais allé là avant. Rapidement, j’introduisis un doigt, puis deux dans son petit cul serré. Iska gémit vivement et se tordit ; elle protestait. - Cesse immédiatement, chienne. Tu es à moi. Je ne veux pas t’entendre, je ne veux pas te voir bouger. Je la saisis aux hanches, puis giflai ses fesses à la volée. Iska se calma tout de suite. - J’aime mieux ça. Je continuai à doigter son petit trou pour l’élargir. Puis, je sortis ma bite de mon pantalon, et entrai dans sa chatte. Iska gémit, pensant que j’en resterais là, et appréciant de se faire ainsi prendre. Toutefois je sortis rapidement, et me plaçai à l’entrée de ses fesses. Iska ne respirait plus, attendant le choc. Je l’enculai sèchement, son hurlement s’étouffa dans son bâillon. Je me mis à la bourrer sauvagement, je ne me contrôlais plus. Mes couilles claquaient contre sa chatte, ma verge entrait et sortait des fesses étroites d’Iska, qui sanglotait doucement. Je me mis à caresser sa chatte par devant, pour soulager un peu sa douleur, mais je n’arrêtai pas pour autant mes va-et-vient, son cul serré était trop bon. La vision de ses fesses rouges m’excitait d’autant plus. - Tu vois, soumise, c’est pour cela que la désobéissance est déconseillée, lui dis-je tout en la fourrant. J’accélérai le rythme, j’étais bestial. Iska encaissait bravement mes assauts, elle ne pleurait plus et soupirait légèrement. Elle commençait à avoir un peu de plaisir à se faire sodomiser. Je continuai à caresser sa chatte tout en la baisant. Ses fesses étaient chaudes et enserraient mon sexe de manière exquise. Finalement, j’agrippai fermement les hanches d’Iska et jouis dans son cul étroit. Iska gémit à travers son bâillon quand elle sentit mon sperme la remplir. Je poussai un long râle de jouissance, cette pute était vraiment parfaite. Je restai un moment en elle, savourant ce moment. Iska était docile, elle se remettait de ma sauvagerie. Puis, je me relevai, et la mis face à moi. - La séance est terminée pour aujourd’hui. Je sortis sa culotte de sa bouche, l’embrassai avec douceur, et la portai jusqu’à une salle de bains. Elle semblait perdue, encore choquée, de ce qui venait de lui arriver. Je la lavai, la séchai, et l’emmenai jusqu’à notre lit. Là, elle s’allongea sur le ventre. Je massai longtemps ses fesses avec de la pommade, pour apaiser la brûlure de la badine. Iska sembla finalement revenir à elle. Elle parla d’une voix timide : - Merci, mon amour, de t’occuper de moi. - Ce n’est rien. C’est cela, la relation d’une soumise avec son maître : un amour et une tendresse infinis, en contrepartie de la confiance et de l’obéissance. As-tu aimé la sodomie ? - Un peu… c’était très douloureux au début, puis c’est devenu plus supportable. J’ai même eu du plaisir à la fin. Je suis sûre que j’aimerai cela si je m’habitue. - C’est bien. Je t’y préparerai, tu verras. Tu devrais te reposer, maintenant. Je l’embrassai avec amour, sur les lèvres, dans le creux du cou, et finalement elle s’endormit dans mes bras avec un sourire sur le visage, épuisée de sa première journée en tant que soumise, mais en même tellement satisfaite de s’être fait baiser ainsi, sans respect, comme une chienne, et d’avoir fait plaisir à son maître. Voilà ce à quoi elle aspirait, être la meilleure des catins. *** Nous nous réveillâmes de bonne heure le lendemain matin. Je laissai à Iska quelques heures de liberté : après quelques câlins et caresses dans le lit, nous allâmes nous laver, et chacun vaqua à ses occupations un temps. Puis Iska me prévint qu’elle allait courir. Il y avait suffisamment d’espace pour faire cela sans sortir de la propriété. Une idée me vint et j’allai chercher un jouet d’un genre particulier. C’était un plug anal terminé par une queue de crins, comme celle d’un cheval, pour les maîtres qui souhaitaient transformer leurs soumises en poneys. C’est aspect ne m’intéressait pas outre-mesure, par contre, j’avais très envie d’humilier ma petite chienne, et je savourais d’avance la vision de cette queue sortant de son cul. Je sortis pour aller la retrouver. Elle courait autour du bloc piscine + court de tennis, ses cheveux ramenés en queue de cheval derrière sa tête. Quelle belle coïncidence. Pour le reste, elle portait un petit short de sport qui moulait ses fesses et descendait à peine assez bas pour les couvrir entièrement. Ses seins étaient comprimés par un soutien-gorge de sport blanc. Elle était à peine essoufflée, tout au plus les joues roses: cela ne faisait pas longtemps qu’elle avait commencé, et elle était sportive. Autre qualité que j’appréciais chez elle d’ailleurs, car cela la rendait plus endurante, sans parler de maintenir la fermeté de son corps délicieux. Je la regardai courir un moment. Elle s’approcha de moi avec un grand sourire et m’embrassa. Je lui rendis son baiser et lui dis calmement : - Bonjour, soumise. Ton dressage reprend maintenant. Elle regarda le plug d’un air intrigué. - Ceci sera ta nouvelle queue. Tourne-toi et quitte ton short et sous-vêtement. Elle s’exécuta, m’offrant ses fesses. J’avais bien enduit le plug de gel, il entra donc sans problème dans le cul étroit de ma chienne, qui tressaillit légèrement, mais n’avait pas eu mal. Je lui fis faire quelques va-et-vient, pour exciter Iska et caler correctement le plug. La queue descendait au niveau de ses genoux. Je retroussai le soutien-gorge sur le haut de ses seins, je voulais les admirer. - Le but maintenant, c’est que tu continues à courir, avec ce plug. Tu ne dois pas le perdre. File, maintenant. D’une tape sur les fesses, je lui indiquai qu’elle pouvait retourner courir. Iska reprit sa course. La queue se balançait au rythme de ses pas. Je voyais que ma soumise serrait les fesses autant qu’elle pouvait pour maintenir le plug en place. Sa course était plus hésitante qu’au début, cela me faisait sourire. Ses seins fiers pointaient du fait de la brise, et rebondissaient à chaque foulée de manière jouissive. A chaque fois qu’elle passait à ma hauteur, j’en profitais pour claquer ses fesses, afin de l’encourager. Iska rougissait de plus belle, mais moins à cause de l’effort que de l’humiliation : je la faisais courir, nue, comme un animal de concours. Il est vrai que s’il y avait eu une compétition pour déterminer qui était la meilleure des chiennes, elle l’aurait remportée haut-la-main. Je voyais aussi que ses cuisses devenaient humides, et ce n’était certainement pas que de la sueur. Je la laissai continuer un moment en l’admirant, mais l’arrêtai avant qu’elle ne se fatigue trop. - Cesse, catin. Tu vas t’occuper de moi, maintenant. A force de m’aguicher, tu m’as donné envie de toi. Iska ne dit rien mais sourit, flattée d’avoir excité son maître. En vérité, j’avais envie d’elle tout le temps, j’aurais pu passer ma vie entre sa chatte, ses seins, son cul et sa bouche, la baiser sans arrêt, mais cela n’aurait pas été aussi distrayant. De plus, pour un bon dressage, il était nécessaire que profiter de ma queue reste un privilège pour ma soumise, de telle sorte qu’elle fasse toujours le maximum pour me satisfaire, dans l’espoir que je lui fasse le plaisir de la baiser. Elle me suivit jusqu’à un des transats qui bordaient la piscine. Je m’allongeais dessus, sur le dos. - Chevauche-moi, chienne. Fais-moi jouir avec ta chatte. Iska vint s’empaler sur moi, toujours ravie d’obéir. Elle me montait sauvagement, se trémoussant pour que j’entre en elle aussi profondément que possible. Ses seins se balançaient glorieusement sur sa poitrine. Je caressais ses fesses du bout des doigts tandis que ma soumise se démenait pour que je jouisse en elle. Je sentais les crins de la queue qu’elle portait toujours caresser mes couilles. Une de mains quitta ses fesses pour aller goder son cul avec le plug, ce qui la fit gémir de plus belle. J’aimais qu’elle soit bruyante, sans dignité. Iska accéléra son mouvement, son ventre frémissait, sa mouille trempait mes couilles. Nous jouîmes ensemble, je remplis sa chatte serrée de sperme brûlant. Iska poussa un cri de bonheur et s’écroula sur moi, comblée. Ses seins sur mon visage, j’étais heureux. Nous restâmes là un moment, alanguis par le bien-être somnolent qui suivait l’orgasme. Je continuai à caresser ses fesses -le vent lui donnait parfois la chair de poule, j’aimais sentir cela sous mes doigts Puis nous allâmes nous laver, déjeuner, et l’après-midi fut plutôt calme. (à suivre…)
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Par : le 17/09/15
C’était une belle journée de début d’été sur Porquerolles. Le ciel était bleu indigo et une petite brise charriant l’odeur des pins calmait l’ardeur du soleil. Une voiture s’avançait sur la route menant à une villa de bord de mer isolée des autres habitations de l’île. A son bord, moi-même, et Iska, mon amie. Nous étions ensemble depuis plusieurs mois déjà, et notre entente était idéale : je m’étais montré attentif, dévoué, aimant, et elle était tendre et douce. Toutefois elle pouvait sentir une certaine réticence de ma part lorsqu’elle me questionnait sur mes fantasmes, mes désirs secrets. Je déviais le sujet, ou j’adoucissais mes réponses, car je n’étais pas sûr qu’elle puisse accepter cette part de moi-même. Devant son insistance, je finis par céder et lui dévoilais, petit à petit, mon goût pour la domination et le sadomasochisme. Elle se montra d’abord intriguée, puis tout-à-fait excitée par cette facette de ma personnalité. Elle n’eut de cesse, à partir de ce moment, que je l’initie à cet art de la soumission. Il est vrai qu’elle avait du potentiel en la matière, Iska. Car derrière sa crinière blonde, et ses airs de reine, je sentais qu’il y avait une délurée, une joueuse, en un mot, une petite chienne en devenir, que je me ferais une joie d’éduquer. Ces vacances à Porquerolles seraient pour elle son initiation. Alors que nous sortions de la voiture, garée devant la superbe villa, je m’arrêtai devant elle, mes mains sur ses bras, et lui demandais : - Es-tu sûre, ma chérie, de vouloir aller au bout ? Choisis bien, je te donne là une chance de renoncer. Mais si tu acceptes, alors tu m’appartiendras, tu seras ma soumise. Comprends-tu cela ? - Oui, et j’accepte avec joie. Ce fut sa réponse, prononcée avec fougue, et une fierté qui voulait dissimuler le soupçon de peur qu’elle éprouvait. Je l’embrassai, et murmurai à son oreille : « Je n’en attendais pas moins de toi ». Une fois nos affaires déchargées, je vins trouver Iska dans notre chambre. - Il est temps de commencer ton éducation, dis-je doucement. A partir de ce moment, tu es ma soumise, ma propriété. Si je te demande quoi que ce soit, tu t’exécutes. Discute mes ordres à tes risques et périls. Tu devras également m’appeler « maître ». Déshabille-toi maintenant. Iska acquiesça de la tête, et s’exécuta. Elle commença par retirer son chemisier blanc, puis son pantalon, qui moulait si bien ses fesses délicieuses. Elle faillit s’en tenir là mais continua, ce qui à la fois me plut, parce qu’elle était obéissante, et me déplut, parce que j’aurais bien saisi ce prétexte pour la corriger. Je savais néanmoins que ce n’étaient pas les occasions qui allaient manquer dans les jours à venir. Son soutien-gorge rejoignit le chemisier par terre, dévoilant ses seins fermes. Ils étaient généreux, sans être gros, parfaits pour la taille de ma main. J’aimais leur pâleur, Iska le savait : combien de fois les avais-je pris en main, léchés ; combien de fois avais-je mordillé et pincé ses tétons roses et sensibles… Finalement elle retira sa culotte, qui glissa le long de ses jambes fines et longues. A voir le tissu déjà humide, je pris un air gourmand. Je dis à Iska de se tourner pour me présenter ses fesses, rondes et douces. Elle se pencha en avant, pour que je voie bien sa chatte luisante de mouille, et son anus encore vierge, à la pensée duquel me venaient nombre d’idées exquises. Satisfait de mon inspection, je laissai Iska aller se rafraîchir. Il lui faudrait être en forme pour ce qui allait suivre. *** Je décidai d’emmener ma jeune chienne en promenade dans le bois autour de la villa. Si j’étais habillé, Iska, en revanche, était entièrement nue, mises à part une paire de chaussures et la laisse attachée à son cou. Elle jugea utile de s’en plaindre : - Mais, et si des gens nous voient ? Son assurance du début avait faibli et sa voix était bien plus timide maintenant. Je secouai la tête en soupirant. - N’oublie pas à qui tu t’adresses. Je vis la frayeur dans ses yeux quand elle réalisa qu’elle avait oublié mon titre lorsqu’elle m’avait parlé. J’étais son maître à présent. Pour cet oubli, je fis à l’aide de la sangle de la laisse cinq belles marques rouges sur ses fesses rondes et blanches. Iska ne cria pas -j’avais été gentil- mais ne put empêcher quelques larmes de couler. - Pour ce qui est des promeneurs qui pourraient te voir, ne t’en fais pas, la forêt est assez grande. Et de toute façon, une belle chienne comme toi est faite pour être admirée. Voilà la réponse que je lui fis, un sourire lubrique sur les lèvres. Elle baissa les yeux, l’air résigné. Iska marchait devant moi, à quelques pas. Je pouvais voir ses fesses en forme de cœur qui se dandinaient et tressaillaient légèrement à chacun de ses pas. Les traces des coups de laisse commençaient à peine à s’estomper et rosissaient sa peau fine. J’étais sûr qu’elle sentait encore leur brûlure, et qu’elle ne trouvait pas la sensation désagréable. Cette petite promenade n’avait pas d’objectif précis, à part titiller les nerfs de ma délicieuse soumise. Elle s’attendait peut-être à une entrée en matière plus brutale, à plus de violence de ma part, mais il était trop tôt, son dressage ne faisait que commencer. Toutefois je ne comptais pas le lui faire savoir, je préférais qu’elle continue à s’inquiéter, à s’interroger sur son sort. J’aimais l’incertitude que je lisais dans ses yeux implorants quand elle tournait furtivement la tête vers moi, pour s’assurer que j’étais satisfait de sa conduite. Nous marchâmes encore, puis je me mis à sa hauteur, et, tout en continuant d’avancer, je caressais ses fesses, et glissais ma main entre elles. Je fis aller et venir mes doigts sur sa chatte chaude et de plus en plus mouillée, sans rentrer à l’intérieur. Je voulais simplement l’exciter un peu. Iska gémissait, elle était très excitée. C’était la première fois que je la touchais depuis notre arrivée, et le mélange de peur, de honte (elle marchait nue et en laisse dans les bois, quel changement pour cette citadine fière et parfois hautaine…) et de désir l’avait rendue terriblement sensible et humide. Je continuai mes caresses jusqu’à ce que ses gémissements se fassent plus rauques. Mes doigts étaient trempés, et la mouille de Iska dégoulinait maintenait le long de ses cuisses. Elle haletait, soupirait, sentait la jouissance qui n’allait pas tarder à l’envahir. Mais je n’allais pas lui donner ce plaisir. Je retirai ma main avant qu’elle ne jouisse et elle resta pendant quelques secondes désorientée ; elle voulait jouir, elle s’y attendait, et voilà que son plaisir lui était dérobé, comme cela, d’un coup. Instinctivement, elle porta sa main vers son sexe, si je n’allais pas lui faire ce plaisir, peut-être pourrait-elle s’en charger elle-même ? Bien sûr que non. J’attrapai sa main au vol. - Non, petite pute. Tu es à moi maintenant. Ton corps m’appartient, tu es mon objet, je ferai de toi ce que bon me semble, et c’est moi qui t’autoriserai à jouir si je juge que tu l’as mérité. - D’accord… maître. Pardon, maître. Je sentais que dire cela lui arrachait les lèvres. Il lui fallait encore s’habituer à son nouveau statut, mais cela viendrait. Je sentais une étincelle de défi dans sa façon de me répondre et cela me fit sourire. « Ne t’en fais pas, chérie, bien assez tôt tu seras docile », pensai-je. Je portai mes doigts trempés de son humidité vers sa bouche, mais elle détourna légèrement la tête. Je n’insistai pas, je comptais punir toutes ses petites insubordinations de manière exemplaire le soir venu. Iska se rendit compte de ce qu’elle venait de faire -me désobéir- et voulut rattraper ma main, mais j’essuyais mes doigts sur sa cuisse. J’entendais bien lui rappeler qu’elle ne valait pas mieux que cela, une vulgaire serviette pour moi. - Ca ne fait rien. Tu ne perds rien pour attendre cependant. Je passai une main dans ses cheveux, et de l’autre j’appuyai sur son épaule pour qu’elle se mette à genoux. Je vis Iska sourire et reprendre un peu d’assurance : elle se retrouvait en terrain connu. Elle déboutonna mon pantalon et sortit mon sexe dur du caleçon. J’étais moi aussi très excité de voir son petit cul se déhancher devant moi depuis tout à l’heure. Ses mains passaient sur ma queue, l’érigeant encore un peu plus. Puis elle me prit dans sa bouche et commença à me sucer. Elle fit quelques va-et-vient, puis elle passa sa langue le long de ma hampe avant de me gober à nouveau. Dans le même temps, ses doigts fins massaient mes couilles. Cette catin savait s’y prendre, j’avais toujours apprécié de voir qu’elle me suçait avec entrain, elle aimait cela. Je ne pus m’empêcher de lui faire remarquer : - Alors, soumise, je vois que tu n’es plus si réticente maintenant. Où sont passés tes scrupules et ta peur de te faire surprendre ? Je vois que tu commences à devenir une bonne salope dévouée. C’est bien. Elle leva vers moi des yeux rieurs, contente de voir que son travail était apprécié. Très bien. Je la laissai faire, appréciant son savoir-faire. Je voulais endormir un peu sa méfiance, lui faire croire que finalement je n’allais pas être si dur avec elle, qu’elle pourrait se permettre de se rebeller. Iska continuait ses caresses, elle était désireuse de bien faire. Bientôt je succomberais sous ses coups de langue. Je ne cherchais pas à me retenir, pas à ce moment-là. Je jouis dans sa bouche alors que ses doigts continuaient de me caresser les couilles. C’était divinement bon, se faire sucer ainsi par ma belle chienne nue et humide, en forêt. J’eus toutefois la désagréable surprise de la voir recracher mon sperme sur le sol. Cela me mit en colère mais je ne fis rien. Les comptes seraient soldés ce soir. Je la regardai d’un air désapprobateur, elle se contenta de me sourire avec défi, et passa un doigt sur ses lèvres pour récupérer ce qui restait de sperme, et le lécha d’un air gourmand. « C’est cela, continue de faire la maligne », pensai-je. « Tu en seras pour tes frais ce soir ». Je ne dis rien toutefois, et d’une tape sur les fesses, lui indiquai d’avancer. Nous rentrions. *** Une fois revenus à la villa, j’envoyai Iska se doucher. Elle en avait besoin, après avoir autant mouillé. De plus, vu son attitude, j’étais sûr que cela allait se révéler intéressant. J’espérais bien qu’elle allait transgresser les règles une fois encore. Et bien évidemment, quand j’allai la voir sous la douche, je la trouvai en train de se caresser. Je la voyais, deux doigts dans la chatte, en train de se masturber avidement, tandis que son autre main était crispée sur son sein. Elle haletait rapidement, elle le voulait, cet orgasme, ma petite chienne. Ravi de ce que je voyais, j’entrai brusquement. Iska sursauta, tenter de cacher ce qu’elle était en train de faire, en pure perte. Je lui pris la main, sortis ses doigts de son sexe, et les léchai tendrement. - Toujours aussi délicieuse, ma chérie. Mais je ne me rappelle pas t’avoir permis de te toucher. Tu n’es vraiment qu’une pute, au fond. Mais je te dresserai. D’un ton froid, je lui commandais de se sécher rapidement. Ceci fait, je lui remis sa laisse autour du cou et lui dis de me suivre. Elle s’exécuta mais je m’arrêtai d’un coup. - Où crois-tu aller comme cela ? Tu me désobéis et tu crois que tu peux marcher debout, comme une… personne ? Mais tu es une chienne. Et les chiennes vont à quatre pattes. Allez, soumise, exécute-toi. Et Iska s’agenouilla puis me suivit ainsi, après un long moment d’hésitation. Pour lequel elle payerait tout à l’heure. Elle se sentait honteuse, avilie, mais en même temps elle obéissait, parce qu’elle s’ouvrait peu à peu à sa nature profonde de salope docile et obéissante, désireuse de plaire à son maître. Et cette perspective la remplissait d’une excitation indécente : elle était humiliée et maltraitée, et cela la faisait mouiller de plus belle. Je la conduisis dans une pièce où plusieurs cordes tombaient du plafond. Je lui ôtais sa laisse, mais pas son collier, et lui liai les bras à une des cordes. Je tirai pour faire en sorte que ses bras soient au-dessus de sa tête. Iska respirait plus vite, elle avait peur. A tort, pour cette fois. - Alors, petite traînée, tu veux jouir ? C’était rhétorique mais elle répondit quand même, à ma grande surprise. - Ouiii maître, je vous en prie, vous jouez avec moi depuis notre arrivée, je n’en peux plus ! - Tu as raison, je te tourmente un peu. Je l’embrassai avec passion pendant un moment, tout en caressant sa chatte. Puis je descendis sur ses seins dont je mordillai le téton. Enfin, partant du nombril, je posai ma tête contre son pubis. Et je déposai un baiser sur son sexe tiède. Je sentis Iska tressaillir. Je passai ma langue tout le long de sa chatte délicieuse un moment, m’attardant sur les grandes lèvres. Ensuite je collai ma bouche entière contre sa motte, l’embrassant comme je l’avais fait avec elle plus tôt. Iska était fébrile, elle trépignait. Elle dégoulinait, dans ma bouche, contre ses cuisses. Elle gémissait, couinait. Et pendant que je la léchais, mes mains caressaient ses fesses, les pétrissaient. Je sentais que ma soumise était près de jouir : son ventre se contractait contre ma tête, elle cherchait à se coller encore plus à ma bouche. C’est à ce moment-là que je m’écartai d’elle, tout sourire. Elle, en revanche, était au bord des larmes. Elle frémissait de désir et d’impatience, elle aurait voulu plaquer ses mains sur sa chatte, se masturber une bonne fois pour toutes, se faire jouir une fois, puis deux, se doigter jusqu’à être rassasiée, mais elle était enchaînée. Elle me lança des regards furieux. J’attendis qu’elle se calme et que son excitation redescende un peu. Moi-même, je bandais fortement, j’aurais voulu la baiser, cette chienne haletante et trempée, mais je me contrôlai. Le moment n’était pas encore venu, et le maître devait faire passer le plaisir -ou le tourment- de sa soumise avant sa propre satisfaction. Je revins me coller à sa chatte, cette fois je léchais son clitoris, je le faisais tourner dans ma bouche, je le mordillai gentiment, et comme la dernière fois, je m’écartai d’elle au dernier moment, avant qu’elle ne jouisse. C’était la quatrième fois que je lui faisais cela depuis que nous étions arrivés, et je pouvais voir qu’elle en devenait folle. Je pris une chaise et m’assis en face d’elle, avec un air narquois sur le visage. Sa mouille encore sur ma bouche, je passai ma langue sur mes lèvres pour la taquiner. Elle leva sur moi des yeux humides et implorants ; elle en tremblait presque. - Maître, je vous en prie, laissez-moi jouir comme la chienne que je suis, s’il-vous plaît ! - Ah, je vois que tu commences à saisir comment tout cela est censé fonctionner. Très bien. Supplie-moi et peut-être que j’accéderai à ton désir. - D’accord maître -plus d’hésitation dans sa voix cette fois, elle s’abandonnait à sa condition-, je vous en supplie, prenez-moi, faites de moi ce que vous voulez, je vous appartiens, mais laissez-moi jouir ! - Continue… - Je suis une traînée, une catin, je suis votre soumise, maître, s’il-vous-plaît, permettez-moi de jouir, je ne suis qu’une petite pute qui ne pense qu’au sexe, je mouille pour vous, je veux que vous me défonciez, que vous preniez ma bouche, que vous vous serviez de moi, je suis votre salope attitrée. Maître, votre petite chienne vous implore de la laisser jouir comme l’animal qu’elle est. Iska avait fait sa tirade en me regardant dans les yeux avidement, elle était folle d’excitation. Oubliées, ses réticences, tout ce qu’elle voulait à présent, c’était que son maître la laisse atteindre l’orgasme. J’étais satisfait. Je recommençai à la lécher, j’embrassai sa chatte que j’aimais tant, puis je la baisais avec ma langue, je rentrai en elle ainsi. Iska se raidissait, criait maintenant sans retenue. Elle se collait tant qu’elle pouvait contre moi. Je pétrissais ses fesses en même temps. Et cette fois, je ne m’écartai pas. Iska hurla, jouit dans un râle de satisfaction : enfin ! Elle me trempa la bouche, j’aimais cela. Tous ses muscles étaient contractés, elle haletait comme la chienne qu’elle était. Elle avait fini par jouir. Je me relevai pour la détacher, puis l’embrassai longuement. Cette fois, elle ne fuit pas. Elle apprécia de goûter sa propre mouille. Petit-à-petit, ses inhibitions tombaient. (à suivre …)
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Par : le 17/09/15
Trouver son maître de soumission L'idée de cet article m'est venue suite à un échange avec un femme qui aspirait à se soumettre à un Maître et qui m'a fait part de son témoignage. Cette personne aspirante à être soumise est sur ce site BDSM et sans doute se reconnaîtra, ...... je pense. « La liberté, c'est de pouvoir choisir celui dont on sera l'esclave. » Jeanne Moreau Sachez que c’est là que réside l'une de vos deux libertés de soumise dans l'univers BDSM. La première liberté est le choix de votre Maître. Votre seconde liberté sera justement de la reprendre .... votre liberté . Ce choix de l'homme dominant est donc crucial ! Si vous acceptez d’entrer dans une relation de soumission avec un maître, vous choisissez cet homme pour vous donner à lui, vous autorisez cette personne à disposer de vous et à subir, en fonction de ce que vous avez convenu ensemble, des assauts, humiliations, peines, flagellations, etc... C’est votre complicité commune avec le maître qui transformeront ces moments de soumission et séances de BDSM en relation qui réponde réellement à votre recherche et à votre envie de plaisir Le Premier Rendez-Vous avec un Maître : Attention : Un Maître qui propose à une femme soumise une séance BDSM pour un premier rendez-vous est à bannir, ce n'est pas la bonne façon d'entamer une relation. Certains Maîtres ne cherchent par ce biais, qu’à profiter de votre naïveté (et de profiter de vous sexuellement au lit ). Un bon Maître voudra connaître son éventuelle future soumise avant de développer la relation, vous jauger sur votre envie et et vous préparer à cette première séance BDSM qui sera pour vous une découverte des pratiques SM liées à la soumission si vous êtes débutante, ou la découverte des pratiques d'un nouveau maitre si vous avez déjà un peu d'expérience. De plus, il y a bien d’autres façons pour un homme d'entamer la relation et de tester une personne soumise que de lui proposer une séance de soumission surtout lors d’un premier rendez-vous, surtout si la femme débute dans cet univers BDSM. Affinités de pratiques BDSM : Pour commencer donc, lors de ce premier rendez-vous, il vous faut poser un maximum de questions à votre éventuel futur homme dominant : elles seront déterminantes pour votre éducation de soumise. Et cela permet aussi à cet homme que vous envisagez comme Maître de construire la relation. Il est important pour la soumise de poser toutes les questions à son futur Dominant. Aucune question n’est anodine ou ridicule quand on envisage de devenir la soumise d'un Maitre. Le désir d’un Maître sadique (relation SM) peut être insoutenable si vos attentes sont celles d’une soubrette (relation DS). Les conséquences et engagements ne sont pas les mêmes selon que votre souhait est d’être une soumise de services, sexuelle, maso ou esclave voir un savant mélange de tout cela... La relation BDSM est en cela plus complexe qu'une histoire d'amour. Une fois que vous serez sa soumise, votre Maître pourrait en venir à vous imposer des pratiques de domination qui vous heurtent (ou qui font mal) ou aller voir ailleurs si vous n’êtes pas en mesure de le satisfaire. Il est important de déterminer toutes vos limites lors de cet échange ou d’informer votre futur Maître si vous ne connaissez pas encore votre vision et vos limites : •Attentes et désirs de soumission et/ou de sadomasochisme •Limites envisageables dans les séances de soumission/domination •Limites à ne jamais franchir par votre futur maître Dress-Code : Chaque Maître a ses propres exigences en ce qui concerne le Dress code. Toutefois, s’il suit les préceptes du BDSM, certains reviennent régulièrement concernant la tenue vestimentaire des soumises durant toute leur relation avec leurs maîtres : •Talons : plus le Maître est fétichiste, plus il réclamera de la hauteur, •Bas : couleur chair étant la plus approuvée, d’autres préfèreront la résille, le noir, ou même des jarretelles pour les « puristes », •Les culottes, strings et boxers sont inutiles et proscrits, •Toujours épilée (ou rasée, mais un Maître préfère que ce soit lisse, le rasage peut être frustrant), •Un décolleté plongeant est, en général, plus adéquat, mais ce sera à l’appréciation du Monsieur. Safe word : Le « Safe word » est la porte de secours de la soumise en pleine séance. Il s’agit d’un mot, un geste, un objet, un regard. A vous de définir ce qui vous conviendra le mieux à vous et votre Dominant pour lui indiquer la nécessité d’interrompre immédiatement la séance. Un Maître très expérimenté peut se dispenser d’un « Safe word » s’il estime être suffisamment attentif et fin psychologue. Il reste généralement vivement conseiller d’en établir un avant de commencer votre apprentissage (surtout si c'est un dressage avec des pratiques SM et que vous êtes appelée à recevoir des coups de fouet). Expliquez également les pratiques dont vous avez envie. C'est le meilleur moment pour le faire. Votre envie de telle ou telle pratique ou de telle ou telle recherche d'expérience sera moins facile à exposer quand vous serez réellement sa soumise. Un conseil : Des échanges approfondis avec le maitre et des discussions sur sa manière de prendre le pouvoir doivent précéder une première rencontre visant a explorer plus en avant l'éventuelle relation de domination - soumission. Profitez des nombreux moyens de dialogue mis à notre disposition aujourd’hui dans cet univers qu'est le BDSM : Tchat, Telephone, eMail, etc. Lors du premier rendez-vous avec celui qui sera peut-être votre futur maître, dites à une amie que vous allez rencontrer quelqu’un. Donnez rendez-vous à votre futur Maître dans un lieu public (dans un univers vanille donc), à une heure d’affluence. Vous aurez bien le temps pour les têtes à têtes lorsque vous l’aurez choisi pour Maître ! Prenez le temps de la réflexion avant de vous lancer dans une relation plus approfondie, même si vous semblez sûre de votre choix, vous n’êtes pas désespérée ni à 24 H près, et le laisser languir un peu (pas trop longtemps non plus) ne sera pas une mauvaise chose. Votre choix fait, rappelez le Maitre et commencez votre initiation. Le contrat : Envisagez la rédaction d'un contrat de soumission. Si ce contrat BDSM vous engage, il engage aussi votre dominant, et permet d'acter les limites que vous avez fixé avant de vous soumettre. Bien des soumises regrettent après coup de ne pas avoir la protection d'un contrat de soumission, elles ont fait confiance dans le maître, qui était parfois d'ailleurs très sincère mais la relation BDSM évolue parfois de part et d'autre et pas nécessairement dans le même sens. Il n'y a pas de problème quand la relation BDSM se fait dans un cadre vanille (et que l'homme dominant est le mari par exemple, et que la relation est déjà régit par l'amour, le sexe et le mariage). Pour qu'un jeu soit source de plaisir, il faut respecter les règles du jeu. Et la confiance dans le monsieur peut donc ne pas suffire. Comment faire la rencontre de son Maitre ? Ce n'est qu'une vision personnelle, mais je suis convaincu que l'internet et les réseaux sociaux sont un excellent moyen d'explorer les pratiques de soumission domination, car elle permettre à la future femme soumise de découvrir à son rythme, de prendre le temps d'affiner sa vision quant aux pratiques SM et à ce que le maitre éventuel peut attendre d'elle dans sa domination. Cela permet d'entrer progressivement dans le jeu, et la naissance de la relation entre la soumise et le dominant fait également partie intégrante du plaisir que l'on peut en tirer. Beaucoup de relations entre les soumis et les soumises et leur dominateur (ou leur dominatrice) démarrent de nos jours sur Internet.
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Par : le 07/09/15
J'ai écrit ce texte il y a maintenant presque 4 mois et même si je pourrais en modifier très légèrement la fin, il est toujours d'actualité. Les chemins qui mènent au BDSM ne sont que rarement pavés de belles choses et de beaux instants. Nos vies passées nous ont bien souvent bousculées, voir même abîmées. De là à dire que le BDSM peut-être une voie de reconstruction et de renaissance je ne sais pas, je ne suis pas psy et je ne suis pas certaine non plus que cela soit la meilleure façon de le faire. C'est simplement celle que j'ai choisi parce qu'elle me convient et me ressemble. C'est mon chemin, mon parcours, mes chûtes, mes espoirs. Certains trouveront cela très exhibitionniste, bien plus qu'une photo où l'on devine les amygdales "vue d'en bas". C'est simplement pour moi un moyen d'avancer encore, de me libérer du poids des douleurs et des blocages du passé. Comme le dit l'hymne des travailleurs, si cher à mon cœur, Du passé faisons table rase... Voici donc celle que je suis, en partie au moins. Mais nous sommes tous, toujours beaucoup plus que ce que nous arrivons à dire de nous même. ----------------------- À des années lumières de la gynarchie, si je devais me coller dans une case alors ce serait celle des Dominas atypiques, natures et dilettantes avec un amour inconsidéré pour les blagues à 2 balles Rien ni dans mes tenues, ni dans mon physique, ni même dans mon attitude ne laisse transparaître ce « costume » mental que je peux prendre plaisir à endosser à l'occasion. Je suis surtout, bien avant d'être Domina, une maman célibataire accompagnée d'un petit gars de 6 ans accroché à mes jupons et vivant notre exil volontaire sous le soleil des Caraïbes. Et quelque sera mon choix de vie future, mon enfant passera avant tout le reste. Je suis une femme que le politiquement correct appelle une femme ronde, en réalité je suis grosse, une vraie de vraie. Et même si aujourd'hui je commence à accepter ce corps, mon corps, car j'ai compris après un long travail les causes psychologiques de ce surpoids, il m'a handicapé pendant longtemps dans la majorité de mes relations aux autres et aux hommes particulièrement, et continuera à m'handicaper probablement encore un peu tant que je n'aurais pas appris à m'accepter totalement telle que je suis. Quand tu ne t'aimes pas il est pratiquement impossible d'imaginer qu'un autre puisse avoir envie de toi. Soit tu te refermes et tu vis une vie de nonne recluse... bof pour moi. Soit tu te lances "à corps perdu" dans du tout et surtout du grand n'importe quoi simplement dans l'espoir d'accrocher un gars un peu plus que quelques heures et espérer oublier entre ses bras à quel point tu ne t'aimes pas. Ça a été mon cas pour la plupart de mes relations. Enfin pour la plupart des relations où je ne cherchais pas un simple plan cul. J'ai longtemps, en vanille, écumé les bars parisiens et provinciaux pour chasser. Dans ces moments là, je ne me posais pas trop de question sur les envies des mecs que je croisais ou sur mon physique. Pour reprendre une expression vulgaire mais tellement parlante : "un trou est un trou et une bite n'a pas d’œil". Il m'était donc très facile de ramener le gars que je voulais à la maison pour la nuit. Passé cette phase, qui finalement n'aide en rien à l'amour de soi même ... j'ai commencé comme toute nana dont l'horloge biologique avance à vouloir me caser ... et là sont arrivés les questions et les problèmes. Me méprisant pour mon physique, je n'allais que vers des personnes que finalement je méprisais aussi. Soit un trop gros, soit un trop alcoolique, soit un trop mal dans sa peau, soit un trop dépressif, soit un trop feignant pour vivre d'autre chose que du rmi (celui là m'a même fait un enfant ...) etc. etc. Dans ma recherche malsaine et constante du gars qui voudrait bien de moi je suis tombée, un soir, sur une discussion sur un tchat spécial grosses qui parlait de vanille. Je ne comprenais pas le terme, et j'ai horreur de ne pas comprendre ^^ J'ai donc commencé à réfléchir et à chercher dans cette direction. J'avais presque 40 ans et je découvrais pour la première fois l'existence du monde BDSM en tant que monde codifié et répondant à certaines « règles ». Je l'avais effleuré auparavant mais sans en avoir conscience. Les débuts furent chaotiques puisque j'ai dans un premier temps poussé la porte du site sensationsm en m'imaginant soumise. Et je suis tombée sur beaucoup de véritables malades (jusqu'au gars voulant me faire baiser par son berger allemand ...) j'en ai donc rapidement conclu que ce monde là était essentiellement peuplé de personnes ayant des besoins sexuels non seulement hors norme mais surtout malsains, qu'ils n'étaient pas "normaux" et que donc moi ne l'étant pas non plus vu mon physique j'allais pouvoir y trouver celui suffisamment malade pour bien vouloir de quelqu'un comme moi .... Oui je sais la démarche est dure et extrême, même blessante. Mais elle était mienne à l'époque, totalement abîmée que je l'étais par la vision que j'avais de moi-même. J'ai finalement croisé sur mon tchat préféré un gars vanille, marié et gros baiseur, qui pour me faire plaisir et surtout parce que ça lui permettait de faire ce qu'il voulait avec une nana m'a dit qu'il était Dom. Il en était loin, j'en ai pris conscience par la suite, mais c'était plutôt une bonne chose parce que très soft finalement, et on a eu une relation où on jouait à la soumise et au Dom à la fifty shade ^^. J'ai fini par me lasser, tenaillée à nouveau par mon envie d'une relation établie et en plus poussée par l'idée de trouver alors absolument un beau père à mon fils... (grosse erreur) J'avais lâché sensationsm et j'étais donc retournée, en vanille, à mon site de toujours et que je fréquente encore. J'y ai eu quelques aventures en tant que soumise dont une qui m'a longtemps fait rêver et continue parfois encore à me faire pousser un soupir de déception, non pour le côté soumise mais parce qu'il représentait l'Homme parfait pour moi intellectuellement parlant. J'ai peu après ça lâché l'idée d'une relation BDSM pour me recentrer sur le vanille que je pensais maîtriser. Et un soir, j'ai croisé le beau gosse de mes rêves ^__^ Il avait un vrai boulot, une gueule d'ange qui me faisait totalement craquer, adorable, gentil enfin tout quoi :D J'ai donc décidé de mettre la main dessus. J'ai fini par "l'avoir" et j'ai été passé une nuit chez lui. On a un peu parlé de nos expériences passées et j'ai donc abordé ma période de "soumission". Il m'a dit alors être en réalité soumis et chercher une Domina. Et donc ... pour lui plaire, pour lui faire plaisir et pour tout faire pour essayer de le garder (pffffff...) je lui ai dit banco je veux bien essayer d'être ta Maîtresse. Je me suis retrouvée un peu comme une poule devant un couteau, ne sachant absolument pas quoi faire et totalement "polluée" par mes habitudes vanilles. Ça n'a évidemment rien donné très vite. Ensuite, poussée par l'idée que finalement Domina pourrait être plus porteur que soumise j'ai commencé à me pencher sur la question. Toujours sur le même site j'ai discuté avec un gars qui s'affichait ouvertement soumis. On a pas mal discuté, j'ai posé beaucoup de questions, lui était bien prosélyte (qui a dit souminateur ? ^___^) et il m'a fait prendre conscience que finalement il y avait dans la Domination féminine des pratiques qui faisaient écho à ce que j'étais. Je me suis donc rendue compte que c'était le mode de relation que je voulais vivre. Toujours extrémiste et incapable de ne pas foncer bille en tête j'ai de suite imaginé que la D/s en 24/7 était MA solution. Moi la "grande" Domina vivant avec mon chevalier servant totalement épris de moi et répondant à tous mes désirs .... (oui je sais je n'étais absolument pas réaliste ) Je me suis donc mise à chercher des fora BDSM et je suis tombée sur un forum où le contenu n'était pas uniquement centré sur la consommation immédiate. Je m'y suis inscrite en tant que Domina et j'ai très vite croisé un soumis qui écrivait bien et ne semblait pas trop con. En moins d'un week-end totalement virtuel (msn+téléphone) il était devenu MON soumis .... à peine plus d'un mois après il venait vivre chez moi à Paris. Alors a commencé mon véritable apprentissage du BDSM en 24/7. Cette histoire a durée 2 ans ½ est elle est aujourd'hui terminée . À la fin de cette aventure je me suis retrouvée persuadée que le BDSM n'était absolument pas fait pour moi et que j'avais fait la plus grosse connerie de ma vie en me lançant la dedans. Toujours poussée par ce besoin de faire plaisir et surtout de tout faire pour garder l'autre, je m'étais perdue dans cette histoire et j'avais fini par en perdre toute libido et toute envie. Je me desséchais littéralement. Et je pense que je suis seule responsable de cela. J'avais donc envie de tout autre chose que de ce type de relation. Et puis le temps a passé, j'avais commencé une thérapie avant notre séparation et pris conscience de la perversion de mon mode de pensée. Du côté malsain non pas de ceux que je croisais mais bien de ma démarche et de mon dégoût de moi même. J'ai aussi compris et donc travaillé sur ce qui m'avait amené à cette vie et à ce mépris que je me portais. J'ai compris que je faisais fausse route et que malgré mon physique j'étais une personne que l'on pouvait aimer et que JE pouvais aimer, quelles qu'aient été mes blessures d'enfances. Que j'avais une vraie force de caractère et une capacité à l'indépendance importante. Que je n'étais pas une si mauvaise mère que ça et que j'étais une amie sincère et généreuse pour ceux que j'aimais. Et j'ai surtout compris que j'avais moi aussi réellement le droit au bonheur et que je ne voulais plus me complaire dans un malheur dont j'étais la seule responsable. Margot venait enfin de devenir adulte Ce que je sais aujourd'hui, après cette phase d'introspection, c'est que oui, je ne veux plus de 24/7, je ne veux plus de D/s où je dois porter la quasi totalité de la relation, tant sexuelle qu'humaine sur mes seules épaules. En tout cas je ne pense pas pour le moment être capable de revivre ça. Je sais que je ne veux pas d'un soumis incapable de me montrer qu'il a envie de moi et incapable de me faire l'amour. Aujourd'hui j'ai envie de vivre une relation BDSM certes, mais où le BDSM ne serait qu'une partie, importante pourquoi pas, mais seulement une partie et non pas la base principale voir unique de la relation. J'ai pris conscience que j'aime ces jeux de pouvoir mais surtout que je suis finalement assez sadique et que plus que l'échange de pouvoir au quotidien j'aime les jeux sexuels où je peux contraindre, attacher, fesser, fouetter, faire gémir, faire souffrir celui que j'aime ; mais que j'aime aussi les moments totalement romantiques et fleur bleue, où l'homme qui partage ma vie me fait l'amour tendrement et doucement avec une réelle envie de moi et sans que j'ai eu besoin de lui en donner l'ordre, où on passe une soirée à deux devant la télé à regarder une grosse connerie lové dans les bras l'un de l'autre sans que j'ai le besoin de le féminiser ou de l'attacher à mes pieds pour que cela lui plaise. Aujourd'hui mon exil à 7.000 km de la métropole dans une île pudibonde ne me laisse que peu d'espoir pour rencontrer THE soumis et je ne pense pas être en capacité de vivre une relation strictement virtuelle. J'aime bien trop le réel pour cela. Donc pour le moment, je ne cherche qu'à discuter, apprendre, dialoguer, échanger sur le BDSM et ses multiples facettes et je remets à « un plus tard » quand je me serais totalement guérie de mon mal être et de mon dégoût de moi même, l'idée de reconstruire une vie de couple pimentée de BDSM.
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Par : le 30/08/15
Il est des aventures dont on ne sait s’il faut en rigoler ou s’en attrister… et là, je vais plutôt en rire. Je discutais depuis quelques jours sur un site spécialisé avec un homme plutôt cultivé et courtois qui aurait pu me convenir en que dominant. Nous avons donc échangé nos numéros de téléphone et le contact téléphonique s’est poursuivi, tout aussi intéressant que nos écrits. Là où ça a tout de même un peu péché, c’est qu’il m’expliquait être Grand Maître. Il avait été élu (ou nommé je ne sais plus) par une confrérie avignonnaise chargée de former les Grands Maîtres. Je vous explique brièvement : le Maître est formé sur toutes les activités bdsm courantes et apparemment, sur la psychologie de la soumise (comment se comporter avec elle et être un bon maître pour elle). Une fois que le maître a réussi a amené une soumise au niveau « O » , il est proclamé Grand Maître par la confrérie et peut donc à siéger à leur table. (Je veux bien !) Ayant pour habitude de ne jamais prendre pour argent comptant ce que l’on me dit (surtout venant des dominants, pardon messieurs les Doms), je décidais de faire un petit tour sur le web afin de me renseigner sur cette fameuse confrérie. Elle est carrément bien planquée ! Je n’ai rien trouvé… (d’ailleurs si quelqu’un sur ce site peut m’éclairer sur le sujet, j’en serais ravie… mais je doute !) Je décidais de laisser cette histoire de confrérie de côté pour le moment et de me concentrer sur la personne en question, ses pratiques et sa façon de vivre le bdsm. Je me trouvais de plus en plus d’affinités avec lui. Aussi, lorsqu’une amie m’a invitée à une soirée bdsm chez elle, j’en ai fait part à mon contact qui s’est dit ravi de m’accompagner. Nous pourrions même « jouer » ensemble ! Et c’était pour moi l’occasion de le rencontrer en terrain neutre. Nous décidions donc de nous retrouver une heure avant dans un endroit public afin de faire connaissance. Si nous nous convenions physiquement (oui, le physique est tout de même un critère qu’on ne peut ignorer), nous irions à cette soirée ensemble. Si non, nous repartirions chacun de notre côté et je m’y rendrais seule. J’avais, de toute façon, l’intention d’y aller. Nous nous sommes donc rencontrés. Tout s’est bien passé : bonne conversation, bon échange, mise au point sur certaines petites choses et le monsieur était décidé à m’accompagner. « je te suis », me dit-il Nous avons pris nos voitures respectives et il s’est mis à me suivre car ne connaissait pas notre destination. Nous avons passé un premier rond point puis un deuxième ! Et là, je constate avec stupeur, que le monsieur est en train de faire demi-tour et de s’enfuir !!! Pourquoi ? Cela reste un grand mystère et je ne vais pas chercher à savoir… Je suis simplement éberluée de voir qu’un homme qui se prétend dominant, et plus encore puisque soi-disant grand maître, ne soit même pas capable de dire à une soumise qu’il rencontre qu’elle ne lui convient pas ! Ou alors, le monsieur a eu peur de se faire démasquer dans une soirée entouré de gens « du milieu » ! Cette histoire n’est qu’une histoire parmi d’autres et il y aurait beaucoup à dire sur la lâcheté des dominants
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Par : le 14/08/15
Je plongerais mes yeux brûlants dans ton regard de biche en empoignant ta chevelure Je ferais ployer ton corps femelle pour que tu deviennes chienne Je crisperais ta peau, la ferais flamboyer sous ma main Je te parlerais d'une voix ferme, un peu rauque qui te fera frémir je te susurrerais des propos orduriers qui te feront mouiller Je te ferais pâmer sous mes caresses, douces puis insidieuses, insistantes puis indécentes Je te fouillerais de mes doigts pour t'entendre gémir puis crier Je te fouillerais l'âme pour t'entendre pleurer puis t'apaiser Je te baiserais jusqu'à très soif, me rassasiant de toi, de chaque miette de toi Je te garderais contre moi longuement, écoutant les battements de ton coeur
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Par : le 10/08/15
La fin du séjour approche.... Dans quelques heures cet avion t’emmènera loin de moi, je ne veux pas laisser la tristesse m'envahir, je ne veux t'offrir que mon sourire en échange du bonheur immense que tu m'apportes. Dernière balade dans les rues de Fort-de-France, son marché, les derniers cadeaux achetés, les derniers acras aussi. Retour à l'anse Madame, retour sur celle qui est pour moi Notre plage. Un punch maison dont on a pris l'habitude pour presque chacune de nos sorties. Le soleil de midi qui brûle et réchauffe nos peaux. Tu as bronzé, tu es encore plus beau. Notre place nous attend. Notre plage est pratiquement déserte. Tu t'allonges comme la première fois. Et comme la première fois mon visage s'approche de ton sexe. Tu ne vois plus personne. Nous sommes seuls au monde. Ta main se pose sur mes cheveux et vient appuyer ma bouche sur ton sexe. Ta queue sous mes dents. Ta queue dans ma bouche. La mer nous appelle. Tu me prends dans tes bras. Ta queue dans mon ventre, portés par la mer. Tu me fais jouir. Encore une fois. Mes pieds qui viennent frapper tes couilles. Ton regard qui vrille, la peur qui te saisie, peur mêlée de plaisir, peur où le désir transparaît. Je sais que tu aimes cette douleur, l'eau l'atténue, la rend supportable. Je t'offre ce plaisir. Tes pieds qui viennent frapper mon sexe. Mes mains qui s'agrippent à toi, l’électricité qui parcoure mon corps à chaque coup. Tu sais que j'aime cette douleur. Tu m'offres ce plaisir. Retour à la maison. Douche, ton sac trop petit pour tout ce que tu as à ramener. Ta Maîtresse te voyant désemparée qui fait ta valise. Rien ne vaut une Domina aimante et attentionnée Voiture Une dernière fois. Direction l'aéroport. Tu appréhendes le long voyage, les retards obligatoires, la course entre deux avions. J'appréhende mes larmes. Ma main qui une dernière fois se glisse entre tes jambes. Ta queue qui une dernière fois durcit sous mes caresses. Un dernier rhum, l'heure du départ est arrivée Je t'embrasse, je te dis à quel point tu comptes pour moi, je te dis que je serais toujours là pour toi à partir de maintenant, que tu pourras toujours compter sur moi. Tu n'es pas mon soumis, tu es mon ami. Un merveilleux ami. Je ne peux retenir mes larmes. La pluie tombe quand ton avion quitte le sol. Notre île est aussi triste que moi de ton départ. Tu es arrivé avec Dirty Old Town des Pogues et j'avais un sourire merveilleux. Tu repars avec Osez Joséphine d'Alain Bashung et j'ai des larmes plein les yeux. Ton départ m'a laissé vide, ta présence me manque. Ma main te cherche dans la voiture. Mon épaule à froid sans la douce chaleur de ta main posée dessus. Mon lit est désespérément vide et plus aucune promesse ne m'y attend. Mon café du matin n'a plus le même goût sans ta présence à mes côtés. Mais mon sourire lui n'a pas disparu... Tous ces instants si précieux sont maintenant gravés en moi. Tous ces instants si précieux ont changé ma vie. Et puis …. Et puis qui sait, peut être d'autres vacances, un jour, ailleurs. Laissons le temps décider de cela. Reprends ta vie mon sourire, tu as transcendé la mienne. Tu m'as rendu si belle.
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Par : le 05/08/15
Thutale, voici quelques petits secrets que je dévoile dans le cadre de ce portrait Québecois... 1- Ayant eu un père autoritaire, qui me donnait parfois des coups de martinet pour se faire comprendre, je fus une fois fascinée et intriguée par une marque légèrement boursouflée qui zébrait ma cuisse... 2- J’ai toujours aimé les scènes de flagellations dans les péplums ou westerns, je m’imaginais être à la place des femmes attachées recevant le fouet qui laissait des marques sanglantes… 3- Après une période d’adolescence rebelle et un premier mariage trop "calme", l’envie de sensations fortes est venue juste après mon divorce, il y a une bonne dizaine d’années. Cette liberté acquise, je découvrais alors des sites comme tiscali, wanadoo, ou msn qui proposaient des tchats divers (notamment des salles bdsm)et j’ai vite trouvé ça très prenant et enrichissant mettant des mots sur mes ressentis inconscients. 4- Puis, après quelques semaines de discussion sur un tchat, j'étais très excitée de devoir suivre des ordres pour rencontrer ce dominant que je trouvais charmant. Je me suis retrouvée les mains attachées en croix, les yeux bandés et des pinces aux seins...j'ai beaucoup aimé et j'en ai voulu plus... 5- Certaines de mes rencontres furent instructives… d’autres plus excessives m’ont permis de mieux définir mes limites. 6- Dans mon périple, une invitation par un dominant assez extrême m’a fait passé une soirée riche en sensations mais a laissé des traces trop importantes (les 2 fesses mauves)… une remise en question avec une pause s’est ensuite imposée. 7- C’est un peu plus tard que j’ai rencontré mon Maitre (un coup de foudre immédiat) grâce aux mêmes sites et qui a su me ramener en douceur vers des plaisirs BDSM communs en reprenant tout depuis le début. 8- En temps normal j’ai un caractère très fort à tendance dominante (merci maman..) ce qui fait que je ne me place pas d’entrée en "soumise" mais j’ai en moi un besoin d’être contrôlée et guidée pour équilibrer ma vie. 9- Je ressens une envie permanente de procurer du plaisir à l’être aimé, il est donc important pour moi que mon Maitre soit aussi mon mari. Je ne saurais mener une double vie (vanille et bdsm). 10- L’idée de dominer physiquement ne m’a jamais attiré. J’aurais trop l’impression de faire "mal" et je suis plutôt passive. Maintenant, s’il m'est demandé de le faire ce serait uniquement sous Ses ordres et Son contrôle, et ce qui me plairait le plus serait d’exciter tout en frustrant… 11- J’aime "offrir" ma soumission et mon plaisir passe par la fierté que je lis dans Son regard ou un sourire de ma bonne tenue en soirée. 12- J’aime les marques laissées par le fouet après une intense séance, mais je marque peu 13- J’adore sentir la cire chaude couler et figer ma peau jusqu’à sa délivrance au couteau… 14- Naturellement, je suis plus attirée par les pratiques SM que D/s, mais par amour et pour un certain équilibre dans notre relation, petit à petit j’apprends à bien me tenir en situation D/s. 15- J’aime beaucoup relever les défis, étant très joueuse et curieuse, mais il faut que cela respecte l’approbation de mon Maître qui connaît mes limites physiques et morales. Il arrive parfois que je souhaite aller plus loin que ce que je ne peux supporter. 16- L’absence de pratiques pendant une dizaine d’années pour raisons familiales, nous a permis de reprendre petit à petit nos jeux oubliés mais terriblement excitants, renforçant notre relation de couple. 17- Je suis plus endurante sous le fouet d’autres dominant(e)s, mais j’ai besoin d’être constamment sous Son regard et de sentir Sa présence. 18- C’est au pied du mur que l’on s’élève le mieux et c’est grâce aux épreuves de la vie que l’on se sent vivant et que l’expérience se développe. 19- Les cordes m’effraient et m’attirent en même temps. J’admire les suspensions, toutefois réaliste, je sais que je ne pourrais être aussi gracieuse que les personnes que je vois suspendues. 20- Pour vivre bien, il faut souvent accepter de se remettre en question et redéfinir nos priorités. 21- Je ne suis pas attirée par les femmes et pourtant j’ai vécu quelques expériences qui m’ont laissé de très bons souvenirs. 22- J’adore mes fesses et mes seins, et j’ai réussi à vaincre pas mal de complexes en prenant plaisir dans l’exhibition. 23- On ne peut pas changer le passé, mais on peut en faire une force pour s’améliorer dans l’avenir. 24- D’un naturel optimiste et toujours reconnaissante (quoiqu’on en dise), je suis parfois naïve et peut paraître manipulatrice alors que je ne cherche qu’à être appréciée de mon entourage (défaut des empathiques). 25- J’ai atteint ma limite au partage. Croyant faire plaisir (encore et toujours), je me suis brulé les ailes et je m’en mords encore les doigts… 26- Ce que j’ai raté dans ma vie, je le referais encore mais en mieux réfléchi. 27- Ce que j’aime dans le BDSM c’est qu’il y a tant de pratiques à découvrir de la plus soft à la plus hard, que l’on ne peut que s’épanouir et laisser exprimer nos sensations les plus intenses... Rencontrer, partager, discuter, apprendre et jouer avec d’autres adeptes sont aussi des moments exaltants… Cependant, on garde à l’esprit que tout doit être fait avec respect, sécurité, confiance et dialogue… 28- Ne jamais dire jamais, je découvre jour après jour que certaines choses qui me rebutaient commencent à me faire de l’effet. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife et se développe sur BDSM.fr. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour saphyr », 3) publier ce texte dans votre section « articles », 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça
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Par : le 31/07/15
Une rubrique "Cadavres exquis" vient d'être créée par la Team http://www.bdsm.fr/blog/category/254/cadavres-exqu... Vous pourrez y poster vos articles, suivi d'un mot code (avion, pendule, fouet, chat, ce que vous voulez) Il suffira à celui ou celle qui veut continuer l'histoire de reprendre le titre du premier article, suivi du mot code, dans son propre article. Ainsi, plusieurs suites pourront être publiées, et tout le monde pourra intervenir à n'importe quel moment du récit. Cet espace est à vous, amusez-vous !! (texte d'Elle.a) ___________________________________________________________________________________ Les aventures imaginaires d'une jeune fille introvertie ou la vie rêvée de Marilyne (nouvelle picaresque) Bon, c'est entendu une fois pour toutes, Marilyne est une jeune femme bourgeoise, élégante et très sage, habillée chastement et bien peignée, polie avec ça. Ça ne l'empêche pas de fantasmer à plein tub sous son masque social, un artifice qu'elle a rechigné (des années) à mettre en place, mais qui est rudement utile au fond. Là tout de suite elle s'ennuie sec depuis les gradins molletonnés d'une quelconque salle de conférences high tech au centre de laquelle pontifie une huile. Bill Gates soit loué, son notebook relié à la Terre entière grâce au réseau wifi local, lui ouvre une fenêtre sur un monde fourmillant de gars et de minettes bien réels, qui se coltinent comme ils peuvent avec leurs désirs inassouvis, tout comme elle. Alors quand elle voit cette annonce : "cherche soubrette (à soumettre)...", sur un site pas vraiment réputé pour sa poésie ni son bon ton - mais ça ne la gêne pas, la petite, elle n'est pas née dans un salon - elle n'hésite pas plus de temps qu'il n'en faut pour balancer un CV et une lettre de motivation léchés. Et puis elle est comme ça, voilà tout : maintenant qu'elle a résolu de se lancer dans des rencontres interlopes, elle préfère fignoler les détails. Ça rajoutera du piment peut-être, au pire le gars sera consterné et l'histoire s'arrêtera là. C'est une forme presque artistique de masturbation, on pourrait dire. Elle médite même de négocier son salaire, si le recruteur aux goûts rétrogrades - reconnaissons-le - daigne considérer sa candidature. CV et LM Bonsoir , bla bla bla De quelle région êtes-vous ? Et quel est votre âge, si ce n'est pas indiscret ? L'obéissance me fascine, et j'aime à jouer encore et encore sur le thème de la domination, de la soumission, et de la punition. Pour l'heure je ne connais que le missionnaire, les yeux fermés et la lumière de même, mon chapelet entre mes doigts tremblants, et la sodomie solitaire, qui me rend très coupable. Marilyne (Nb: réponse estampillée authentique ; c'est pour introduire du réalisme dans le récit) La fin de la conf' arrive et Marilyne déplie avec soulagement ses gambettes gainées de bas transparents absolument hors de prix. Avec son tailleur gris perle et ses talons hauts, porte-jarretelles et culotte de dentelle, soutif assorti au sac à main (la partie immergée du masque social : c'est pour mieux se mettre dans la peau du personnage), on imaginerait difficilement que le week-end précédent elle roulait des trois-feuilles et supervisait les infus de psilocybes bios dans une communauté de néo-ruraux baba-nostalgiques (prétendument activistes), en robe orange fluo (vous aurez reconnu l'Ariège si vous êtes du coin). --- Le lendemain matin, en dépouillant rituellement (comme tous les matins) sa boîte-aux-lettres érotique face à ses tartines, à la table en formica d'un petit café rétro situé au pied (ou à la bouche) du métro, elle découvre une réponse à sa proposition de se livrer en livrée. Le "maître de maison" (ooooh la friiiiime) la convoque pour un entretien ce week-end, dans une petite ville pas trop éloignée (champ d'action de Marilyne : Hexagone, Espagne, Italie, Suisse, Benelux, au-delà arrangements possibles si prise en charge du trajet !). Il lui reste exactement deux jours pour se préparer. Thutale Les aventures imaginaires d'une jeune fille introvertie ou la vie rêvée de Marilyne (nouvelle picaresque) - Incipit Mot-code pour la suite : LAVOIR Vous pouvez donc poster la suite par ici : http://www.bdsm.fr/blog/category/254/cadavres-exqu...
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Par : le 31/07/15
Une rubrique "Cadavres exquis" vient d'être créée par la Team http://www.bdsm.fr/blog/category/254/cadavres-exqu... Vous pourrez y poster vos articles, suivi d'un mot code (avion, pendule, fouet, chat, ce que vous voulez) Il suffira à celui ou celle qui veut continuer l'histoire de reprendre le titre du premier article, suivi du mot code, dans son propre article. Ainsi, plusieurs suites pourront être publiées, et tout le monde pourra intervenir à n'importe quel moment du récit. Cet espace est à vous, amusez-vous !! (texte d'Elle.a) ___________________________________________________________________________________ Les aventures imaginaires d'une jeune fille introvertie ou la vie rêvée de Marilyne (nouvelle picaresque) Bon, c'est entendu une fois pour toutes, Marilyne est une jeune femme bourgeoise, élégante et très sage, habillée chastement et bien peignée, polie avec ça. Ça ne l'empêche pas de fantasmer à plein tub sous son masque social, un artifice qu'elle a rechigné (des années) à mettre en place, mais qui est rudement utile au fond. Là tout de suite elle s'ennuie sec depuis les gradins molletonnés d'une quelconque salle de conférences high tech au centre de laquelle pontifie une huile. Bill Gates soit loué, son notebook relié à la Terre entière grâce au réseau wifi local, lui ouvre une fenêtre sur un monde fourmillant de gars et de minettes bien réels, qui se coltinent comme ils peuvent avec leurs désirs inassouvis, tout comme elle. Alors quand elle voit cette annonce : "cherche soubrette (à soumettre)...", sur un site pas vraiment réputé pour sa poésie ni son bon ton - mais ça ne la gêne pas, la petite, elle n'est pas née dans un salon - elle n'hésite pas plus de temps qu'il n'en faut pour balancer un CV et une lettre de motivation léchés. Et puis elle est comme ça, voilà tout : maintenant qu'elle a résolu de se lancer dans des rencontres interlopes, elle préfère fignoler les détails. Ça rajoutera du piment peut-être, au pire le gars sera consterné et l'histoire s'arrêtera là. C'est une forme presque artistique de masturbation, on pourrait dire. Elle médite même de négocier son salaire, si le recruteur aux goûts rétrogrades - reconnaissons-le - daigne considérer sa candidature. CV et LM Bonsoir , bla bla bla De quelle région êtes-vous ? Et quel est votre âge, si ce n'est pas indiscret ? L'obéissance me fascine, et j'aime à jouer encore et encore sur le thème de la domination, de la soumission, et de la punition. Pour l'heure je ne connais que le missionnaire, les yeux fermés et la lumière de même, mon chapelet entre mes doigts tremblants, et la sodomie solitaire, qui me rend très coupable. Marilyne (Nb: réponse estampillée authentique ; c'est pour introduire du réalisme dans le récit) La fin de la conf' arrive et Marilyne déplie avec soulagement ses gambettes gainées de bas transparents absolument hors de prix. Avec son tailleur gris perle et ses talons hauts, porte-jarretelles et culotte de dentelle, soutif assorti au sac à main (la partie immergée du masque social : c'est pour mieux se mettre dans la peau du personnage), on imaginerait difficilement que le week-end précédent elle roulait des trois-feuilles et supervisait les infus de psilocybes bios dans une communauté de néo-ruraux baba-nostalgiques (prétendument activistes), en robe orange fluo (vous aurez reconnu l'Ariège si vous êtes du coin). --- Le lendemain matin, en dépouillant rituellement (comme tous les matins) sa boîte-aux-lettres érotique face à ses tartines, à la table en formica d'un petit café rétro situé au pied (ou à la bouche) du métro, elle découvre une réponse à sa proposition de se livrer en livrée. Le "maître de maison" (ooooh la friiiiime) la convoque pour un entretien ce week-end, dans une petite ville pas trop éloignée (champ d'action de Marilyne : Hexagone, Espagne, Italie, Suisse, Benelux, au-delà arrangements possibles si prise en charge du trajet !). Il lui reste exactement deux jours pour se préparer. Thutale Les aventures imaginaires d'une jeune fille introvertie ou la vie rêvée de Marilyne (nouvelle picaresque) - Incipit Mot-code pour la suite : LAVOIR
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Par : le 28/07/15
Depuis quelques jours, je sais que je vais livrer Shalimée à Kris.Elle est coquine Shalimée. On se connait juste virtuellement et la complicité arrosée de confiance s’est immédiatement installée entre nous.Elle cherche le frisson dans l’aventure et rapidement je lui suggère « de traverser le Golfe »… Pour moi, cela veut dire rejoindre l’antre très privée du beau Kris.Depuis quelques temps, il dit de moi que je suis sa meilleure attachée commerciale. Le terme « attachée » est, à mon grand regret, encore pourvu d’actualité…Bien que des mois soient passés où j’ai vu mourir notre relation sans rien pouvoir y changer ; alors que j’ai eu droit à la résurrection de frissons intérimaires et tellement mieux installée dans ma belle relation avec Masterlau, je lui garde toujours une certaine dévotion qui m’agace particulièrement.Pour une fois, je vais tenter de déléguer à Shalimée tout le poids de mon âne mort.Je me fais intermédiaire de leur moment intime, confidente des envies de l’un comme des craintes de l’autre. Je jubile de ce rôle d’entremetteuse qui va les réunir le temps d’un instant.Il me plaît qu’une autre sache, pour l’avoir vécu comme moi, ce dont ce beau dominant est capable de procurer comme sensations et à quel point il peut provoquer par la douceur comme la fermeté une foule de plaisirs partagés…J’ai reçu tôt dans la semaine, les désirs de Monsieur. Je les ai consignés précieusement dans ma mémoire et, le temps d’un instant, il me plaît de penser qu’ils me sont destinés.Rapidement, je me prends au jeu de faire troubler les yeux doux de Shalimée. Elle collecte les informations au compte-gouttes et s’en étonne à peine. Elle réfléchit, suppute, subodore, s’interroge…puis elle me pose des questions, doute, flippe…J’en souris d’un air bienveillant, car je sais que ce n’est que du bonheur qui l’attend.Brutalement, le jour J, je lâche l’information : « ce soir, 21h ». L’espace d’un instant, je crois que je lis une panique gourmande dans ses yeux. Elle bondit du lit où elle flemmardait langoureusement comme un diable sorti de sa boîte pour me montrer ce qu’elle pense porter pour l’occasion.« Tu valideras sa tenue, tu connais mes goûts » avais-je reçu comme consignes. Je jette un œil critique à la jolie guêpière que me soumet Shalimée. Je valide, ce sera parfait.Je la trouve particulièrement silencieuse ce jour-là, pensive et interrogative aussi, je crois. Je ne viens pas perturber ce calme trompeur. J’entretiens, au contraire, la part de mystère qui les entoure, tous les deux, de manière virtuelle, encore pour un temps.Elle sera en retard ! Je suis partagée entre le fait de me sentir coupable et celui de la remuer pour honorer celui qui l’attend.Je suis concentrée et tendue par l’acte que je vais commettre durant lequel j’ai reçu en offrande de Shalimée et Kris la confiance qu’ils m’ont, tous deux, accordée. Je sens tout le poids de cet acte, comme une lourde responsabilité. Je me suis portée respectivement garante de l’un auprès de l’autre et vice versa. C’est lourd comme un point de congestion qui m’oppresse et je me mure dans le silence, les dents serrées.Le babillage de Shalimée qui m’amuse et me distrait en d’autres circonstances m’est particulièrement insupportable dans la voiture qui nous mène à son domicile. Je crois que je lui intime l’ordre de se taire brutalement, une fois le barrage du gardien paranoïaque du domaine de Kris passé.Toutes ses instructions pour arriver, sans encombre à son nouvel appartement, font feu pour nous conduire toutes deux à la porte entrouverte de son logement.Je passe la première, je suis accueillie, sans être étonnée, par une lumière tamisée, une douce musique et l’odeur de nos vieux souvenirs. Mon cœur se serre, il bat vite pourtant. Le temps d’un instant, j’ai envie de jeter Shalimée dans l’escalier pour prendre sa place, et de m’attacher là où c’est prévu. Je souris intérieurement de ce macabre mauvais plan et je m’efface volontiers.Mon temps, notre temps, ce temps-là est révolu… Dehors m’attend ma vraie vie, celle qui me fait vibrer à chaque instant en me jetant aux pieds d’un Maître exigeant.Kris a préparé un cintre pour y déposer la robe de Shalimée. Tout est prévu et calculé. Comme toujours. J’aime ces scénarii millimétrés et carrés. Je fais observer à Shalimée tous ces préparatifs dignes d’un psychopathe de l’ordre établi, symboles du goût de sa maîtrise. C’est rassurant, en fait !J’aide Shalimée à ôter sa robe. Je constate à quel point, elle est maladroite, gauche et stressée. Je lui propose de boire, grâce à ce verre d’eau fraîche prévu à son intention.Je la positionne telle que Kris l’attend. Face à la porte du salon, les mains levées, les jambes écartées et je l’attache à la corde qui pend de la barre de traction. Je la rassure en lui garantissant que la porte du bonheur va bientôt s’ouvrir pour elle. Inconsciemment, je vis cet instant par procuration et je ressens son émotion, ce que je nomme « le doux flip », celui qui inquiète mais qui excite.Avant de la laisser, ainsi livrée pour me délivrer, je dépose un furtif baiser chaste sur sa bouche bâillonnée par le bandeau qu’il posera sur ses yeux…Nos regards se parlent… le mien est rassurant…
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Par : le 23/07/15
Point de vue perso : Le Maitre n'est-il pas Celui qui, de Ses propres mains ou son de sa voix, sait apaiser, calmer sa soumise ? Il est celui qui répond aux désirs de sa soumise, quand elle est maso : "fais-moi mal, mais fais-le bien" N'est-elle pas celle qui a une totale confiance en Lui pour le laisser jouer d'elle, dans un pur moment d'échange ? N'est-elle pas celle qui puise son plaisir dans celui de s'abandonner et de, le temps d'une parenthèse, ne plus vouloir contrôler ? Elle est celle qui a le pouvoir d'appeler 'Maitre' Celui qui sera digne de recevoir le plus cadeau inestimable qu'un Dominant puisse recevoir : le Corps et l’Âme de sa soumise qui s'offre à Lui (et pas l'inverse). N'est-il pas celui qui, de sa liberté de mouvement, a le pouvoir de faire voyager dans le plus beau des mondes sa soumise ? Mais qui peut également faire l'inverse? Il est celui qui détient la plus grosse responsabilité dans le couple. Ne sont-ils pas ceux qui, à chaque fois, vivent un moment émotionnellement intense de complicité, d'intimité, de sensations, révélant constamment leur personnalité sans les obstacles du tabou ou de la honte ? Ils sont l'un qui attache, fouette, prend l'affaire en main, et l'autre qui se laisse faire. Ils jouent tous les 2 leur rôle à fond de leurs envies, partageant le plaisir pour l'autre autant qu'ils reçoivent pour eux-mêmes. Ils ont créé leur univers bâti sur 3 règles fondamentales : la Sécurité, le Sain d'esprit et la Consensualité. A partir de là, tout leur est permis : de la pratique la plus simple non-prise-de-tête jusqu'au scénario le plus tordu / trash / lourdement ritualisé. Qu'importe, aucune règle n'impose quoi que ce soit (sauf la SSC).... Dans une vision à peu prés poétique mais qui peut tout à faire être réel, un bon Maitre - et une bonne soumise, le couple étant fondamental - est celui qui, du toucher de ses mains, peut faire endormir sa soumise dans ses bras .... Le reste est accessoire. ***************************************** Petit texte de passage qui fait suite à une réflexion en cours suite à plusieurs échange vus sur le site. Personnellement, la soumise n'est pas la boniche et n'est pas non plus l'ombre immatérielle et docile de son Maitre. Elle peut l'être lors de scénarios, ou de mise en scène. Mais ce n'est pas pour moi l'esprit du BDSM. De même, s'imaginer qu'un Maitre est forcément celui qui maitrise les noeuds de shibari ou qui connait mieux les subtilités du BDSM ou de la technique du fouettage que sa soumise est une aberration. Nous avons tous appris à lire un jour; il en est de même dans ce milieu. La soumise se laisse faire, guider, voyager par son Maitre. Mais, elle est AUSSI une personne qui connait, qui a du savoir à transmettre, qui a ses envies et qui doit - c'est humainement normal- être mise en confiance sincère. De mon point de vue, il est une erreur de considérer le Maitre le seul et unique Maitre du jeu au sens large. Il y a tout un travail de confiance, dialogue (sans tabou) entre les 2 partenaires à faire en ayant bien la tête sur les épaules. Une fois cela fait, que chacun connait l'autre sur le bout des doigts (le "contrat de soumission" en devient pratiquement inutile) et que les 3 règles de sécurité fondamentales sont scrupuleusement respectées par les 2 partenaires, alors tous les scénarios sont possibles.... Et le Maitre peut alors être le "seul et unique Maitre du jeu"... Je parle de Maitre et soumise, mais le texte est aussi valable pour les Dominas et soumis et toutes les autres combinaisons.
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Par : le 16/07/15
Contrat de soumis.Le soumis ……………………………………………….…… (Nom – prénom) domicilié…………………………………………………………………………..(ville/code postale) âgé de …….. Ans né le …………………………… (Date) à…………………. (ville) donne de son plein gré, son corps entier et son âme et tout pouvoir sexuel à mon MAÎTRE et décide maintenant, qu'il sera à la disposition de son MAÎTRE n'importe quand Ce contrat est valable pour une période déterminée par le MAÎTRE seul.Quand l'esclave signe ci-dessous, il signe en toute connaissance de cause et déclare avoir parfaitement compris son contenu et décide librement de se soumettre à son MAÎTRE qui règne sur lui maintenant et dans l'avenir.La satisfaction de Ses besoins, désirs et caprices sont compatiblesavec mon désir en tant que soumis de Lui être agréable. À cette fin, je Lui offrel’usage de mon temps, de mes talents et capacités. De plus, je demande avec unehumilité sincère que .IL accepte la garde de mon corps pour l’accomplissement et l’embellissement de nos besoins sexuel, spirituels, émotionnels et intellectuels. Pour y parvenir, il Lui est donné toute latitude pour l’utilisation de mon corps quel que soit le moment et le lieu, en présence de quiconque, pour Son usage personnel ou pour en faire don, comme bon Lui semblera.Me considérant comme l’esclave à plein temps de mon MAÎTRE je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs sanshésitation ni considération pour moi-même ou pour d’autres.Je demande qu’IL me guide dans tout comportement sexuel. Je demande à mon MAÎTRE en tant que soumis, qu’IL utilise le pouvoir dont il est investie par Son rôle pour me modeler et me façonner ; pour m’assister à accroître ma force, mon caractère, ma confiance et tout mon être, et qu’IL continue à m’aider à développer mes compétences artistiques et intellectuelles. En retour j’accepte : 1- D’obéir à Ses ordres au mieux de mes possibilités.2-De m’efforcer à surmonter mes sentiments de culpabilité oude honte ainsi que toutes mes inhibitions qui interfèrent avec mes capacités àLa servir et qui limitent mon épanouissement en tant que Son soumis.3-D’entretenir une communication honnête et ouverte.4- De lui vouer une totale fidélité tant morale que physique et surtout sexuelle.5-De révéler mes pensées, mes sentiments et désirs sans hésitation et sans gêne.6- De L’informer de mes souhaits et de mes besoins perceptibles, reconnaissant qu’il est seul juge pour déterminer si et commentils seront satisfaits.7-De m’efforcer à entretenir une image de moi-même positiveet à atteindre des objectifs et espérances réalistes. 8-De travailler avec lui pour devenir une personne heureuseet accomplie.9-De combattre les aspects négatifs de mon ego ainsi que mesinquiétudes qui pourraient nuire à la réalisation de ces objectifs.Règles générales.L’esclave accepte d’obéir à son MAÎTRE à tous égards.Son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L’esclaveaccepte la responsabilité d’utiliser son mot de code si nécessaire, et se fieimplicitement à son MAÎTRE pour qu’il en respecte l’emploi. Si unesituation se présente dans laquelle l’esclave doit utiliser son mot de code ouun geste convenu, sa Maîtresse évaluera la situation et déterminera la conduiteappropriée.L’esclave maintiendra son corps disponible pour son MAÎTRE à tout moment. L’esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps a son MAÎTRE. L’esclave reconnaît que son MAÎTRE peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit .IL peut le punir sans raison si ce n’est Son propre plaisir. L’esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n’affecteront pas son traitement.L’esclave répondra honnêtement et directement à toutequestion qui lui sera posée et informera spontanément de son MAÎTRE de touteémotion ou sentiment qu’IL est en droit de connaître. Quoique son MAITREattende de Son esclave qu’il Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut le préoccuper.L’esclave parlera toujours de son MAÎTRE avec amour et respect. Il s’adressera à LUI en tout temps en disant «MAITRE» ou « MONSIEUR » Le MAÎTRE a le loisir d’offrir à Son esclave despériodes de liberté pendant lesquelles il peut s’exprimer en Sa présenceouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnéesd’aucune punition. Il est cependant convenu que l’esclave continuera à s’adresser à son MAÎTRE avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement.L’esclave accepte qu’une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l’esprit ou à la lettre de ce contrat et il supportera la correction avec reconnaissance. L’esclave doit pouvoir accepter tous les achats que son MAÎTRE lui demande (gode-fouet-menotte-corde- plug et encore pleins d’autres)L’esclave doit aussi accepter toutes les demandes de son MAÎTRE comme lors des plans qu’il organise avec d’autres personnes afin de lui faire plaisir La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de son MAÎTRE et Celui-ci informera clairement Son esclave quand il subit une punition. Tous droits et privilèges appartiennent à son MAÎTRE et IL peut les exercer comme bon Lui semble.Cet accord servira de base pour une extension de notre relation, dédiée, sur l’esprit d’une domination et soumission consensuelle avec l’intention de poursuive notre prise de conscience et notre exploration, à promouvoir la santé, le bonheur et l’amélioration dans nos vies.L’esclave portera un signe distinctif désigné par son MAÎTRE et par là son statutACCEPTATIONSPar ma signature :Ci-dessous, je m’oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictéesci-dessus ainsi qu’à toutes autres que mon MAÎTRE choisira d’ajouter à unedate ultérieure. Je confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, à mon MAITRE, pour Son plaisir et Son usage.J’offre mon consentement à ma soumission à mon MAÎTRE sous les termes décrits ci-dessus en ce …………………………….. (Date) fait à………………………..Signature du soumis :Mention lu et approuvé !
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Par : le 09/07/15
Déjà posté ailleurs, mais ça a peut être aussi sa place ici ...Attention c'est longCes derniers jours je discute beaucoup et avec un tas de monde.Des soumis, des masos, des Dominas, des Dom, des switchs.Il ne manque que les soumises Et ces discussions, sauf avec mes 2 amours, sont sans enjeu, sans besoin de séduction, sans espoir de sentiments ni d'un côté ni de l'autre.Et cela libère ma parole, mais libère aussi avec bonheur la leur.Je deviens confidente et je me nourris avec délectation et un bonheur sincère de tout ce que ces personnes me donnent.Et je prends de plus en plus conscience du mal et des blessures, parfois devenus insurmontables, qu'a provoqués et que provoque encore la fantasmagorie de la Dominatrice implacable et inaccessible. Tant chez les Dominas que chez les soumis.Je suis venue à la Domination pour énormément de très mauvaises raisons, et même si j'ai enfin su me débarrasser de tout cela, je perçois, je devine que de nombreuses Femmes Dominantes sont paralysées, tout comme je l'étais, par ces mauvaises raisons.Je ne suis pas venue à la Domination par amour de Dominer, même si j'ai toujours été autoritaire et dirigiste dans ma vie réelle, je n'aimais pas particulièrement ça ou en tout cas ça ne me procurait aucun plaisir cérébral. C'était simplement comme ça, dans mon caractère.La Domination m'a au départ attirée, parce que ce que j'avais découvert que cette fantasmagorie littéraire semblait offrir une réponse idéale à mon mal être et à mes manques de l'époque.Les 2 « préceptes » qui me correspondaient le plus à l'époque, j'en avais en tout cas l'illusion sincère, étaient :- La Dominatrice garde son soumis chaste, tend à le rendre impuissant et n'a jamais aucun rapport sexuel avec lui, elle s'aide en cela d'une cage de chasteté et cette chasteté lui garantira un homme obéissant et servile à vie ….Et cette règle absolue faisait écho en moi. Même si j'avais multiplié bien au delà de la norme ou de la bienséance les plans culs d'un soir, j'étais alors et depuis si longtemps en conflit avec mon corps que je ne prenais pratiquement jamais de plaisir sexuel avec ces multiples hommes de passage. Dans la masse de toutes ces rencontres éphémères je ne me souviens que d'une seule m'ayant donné réellement du plaisir dans un abandon total.Je m'étais donc convaincue que je n'aimais pas ça, que ce n'était que du blabla et que je ne pouvais pas réellement éprouver de jouissance physique ET cérébrale avec un homme.Du coup la Domina qui ne baise pas avec son soumis c'était le top comme idée.Et j'ai été amenée à prendre conscience que je ne suis pas la seule à avoir pensé cela. Que beaucoup de Femmes Dominantes repoussent ou redoutent la pénétration et le plaisir sexuel. Peu importe les raisons de cette peur.- La Dominatrice ne doit jamais être nue devant son soumis, il ne doit pas voir son corps, il se doit de le servir sans limite mais il ne devra jamais voir l'objet de son désir. Il doit obéir aveuglement.Whaou le pied !!! Complexée comme je l'étais, avoir le droit, même l'obligation d'empêcher mon soumis de voir mon corps c'était l'idéal. J'allais pouvoir m'épanouir puisqu'il ne verrait jamais mes défauts physiques et donc il ne pourrait jamais être dégoûté de ces derniers et donc de moi. Parce que je me dégoûtais moi même, je me trouvais moche, difforme, obèse. Alors, avoir l'assurance que puisque j'étais maintenant une Domme, jamais plus un homme n'aurait à voir mon corps … quelle sublime perspective.Sauf que … sauf que la vie, la vraie, celle que l'on vit tous les jours ce n'est pas cela.Et maintenant que mes complexes, mes blocages, mon mal être ont disparu, je me rends compte à quel point j'avais fait fausse route. A quel point je me suis fait du mal à moi-même et à quel point je vivais dans un état de frustration permanente.Aucune de mes relations sexuelles n'avaient été épanouissantes, non pas parce que je n'étais pas physiologiquement capable de ressentir du plaisir, mais parce que ce plaisir me faisait peur et que je le redoutais.Et mon corps qui me faisait tant honte avant, ce n'était pas de le cacher dont j'avais besoin, mais au contraire de le montrer et de voir dans les yeux de l'autre, de ressentir dans ses caresses et ses baisers, d'entendre dans ses mots que mon corps lui plaisait, qu'il l'aimait parce qu'il faisait partie de moi, qu'il était moi et qu'il ne voulait pas s'en priver.Non, bien sûr, la pénétration n'est pas obligatoire, pas plus que les jeux sexuels si ces derniers vous sont insupportables.Non, bien sûr, vous montrer nue devant votre soumis n'est pas obligatoire et cela peut être bien trop difficile pour vous.Mais avant d'appliquer ces règles tirées des fantasmes de personnes qui ne sont pas vous, posez-vous les bonnes questions. Réfléchissez à la raison pour laquelle vous voulez les appliquer et faites-le uniquement si ça vous correspond très exactement. Sinon explorez d'autres voies, cela vous apportera bien plus de plaisir et d'épanouissement.Au départ je les ai appliquées avec conviction et espoir et je les respectais pratiquement à la lettre sauf quelques rares moments où la frustration et le manque devenaient insupportables.Mais avec le temps je me suis vidée, desséchée, j'avais perdu tout goût à la Domination, mais aussi au sexe, au plaisir, aux plaisirs de la vie elle-même. Je ne vivais plus, je survivais et je souffrais.Il m'a fallu du temps pour comprendre la perversion de mon analyse de départ. Pour accepter de regarder mes erreurs en face.Mon corps est ce qu'il est, ni mieux ni moins bien qu'un autre, il est en bonne santé et même si il ne l'était pas, il ne mérite absolument pas que je le haïsse, que je le méprise, que je le fasse souffrir. Mon corps est beau parce qu'il est moi, parce que c'est le mien, et il a droit aux plaisirs, aux attentions, aux regards amoureux, tout autant que le corps de n'importe qui.Et le corps de TOUTES les Femmes et de tous les Hommes sont aussi beaux que le mien, aussi parfaits dans l'accumulation de toutes leurs imperfections. Et tous les corps méritent de l'affection, du plaisir, de l'attention et de l'amour. TOUS !Par ailleurs, le fait d'avoir recueilli les confidences de nombreux soumis m'a permis de prendre conscience qu'eux aussi étaient paralysés et blessés par ces mêmes diktats venus d'on ne sait où.Combien deviennent impuissants ou au mieux précoces à force de se refuser et de se voir refuser ce droit à la jouissance ?Combien se morfondent dans une frustration qui les pousse à la dépression ?Combien encore sont venus à la soumission parce qu'ils vénèrent les Femmes et crèvent de ne pouvoir les aimer totalement et absolument, de les regarder, de les toucher, de les embrasser, de les vénérer, de les pénétrer et surtout de partager tout ça avec LA Femme qu'ils AIMENT ?Combien s'imposent ses règles imbéciles pensant que ça sera la seule et unique façon de plaire à une Domina, alors que ce sont ces règles mêmes qui les rendent malheureux ?Alors oui, en effet, pour de très nombreux soumis la jouissance implique une baisse de l'envie, une baisse de leur sentiment de soumission, un besoin d'isolement, un repli sur eux-mêmes.Et alors ?Cela voudrait dire que ce ne sont pas de « vrais » soumis ?Cela voudrait dire qu'il faut qu'ils vivent indéfiniment dans la frustration au point d'en perdre toute libido et de devenir impuissants ?Cela voudrait dire, qu'en punition d'un simple processus physiologique il faudrait les priver de tout ce qui fait que la vie est belle ?Cet état réfractaire ne peut pas être évité pour nombre d'entre eux, il est dans la nature même du corps humain. La jouissance provoque en effet une libération hormonale qui est plus forte que la volonté et l'envie.Et alors ?Elle est nécessaire au fonctionnement de l'organisme; de quel droit, une Femme, même la plus parfaite, devrait s'arroger le droit de refuser cela à un homme ?Et non, le soumis ne devient pas un gros macho violent et méprisant après la jouissance. Non, il ne va pas s'étaler dans le canapé devant le foot avec une bière dans une main et l'autre dans le caleçon à se gratter les couilles.Si votre homme vous est soumis, il le reste même après la jouissance, parce que sa soumission n'est pas physiologique mais cérébrale. Il ne vous en aime pas moins ensuite, bien au contraire.Bien souvent d'ailleurs, il redoute encore plus que vous ce moment où il n'est plus tout à fait comme il aime être avec vous. Parce qu'il a peur de vous déplaire, parce qu'il a peur de vous rendre malheureuse.Mais ça ne remet rien en jeu dans votre choix commun d'une vie où la Femme Domine et où l'homme se soumet à elle.Vous restez Maîtresse de vos envies et de vos plaisirs communs.Ce ne sont pas ces quelques instants, ridiculement insignifiants au vue d'une vie humaine, qui feront que votre homme ne vous sera plus soumis.A vous deux seulement de découvrir le rythme qui vous convient. Là non plus aucune règle obligatoire ou universelle, à part celle ci : l'échange de parole, la communication, l'écoute de l'autre et de soi-même.J'ai eu la chance extraordinaire de rencontrer un homme formidable il y a un peu moins de 2 mois, (53 jours exactement me dit Fetlife ).Nous discutons depuis tous les jours, longtemps, passionnément.Il est profondément et sincèrement soumis.Il prend un réel plaisir à servir sa Dame, à la combler, à la rendre heureuse.C'est une évidence pour lui, il ne peut être heureux qu'aux pieds de la Femme qu'il aime.Mais lui aussi pensait qu'il ne pouvait se permettre d'avoir des envies sexuelles pour sa Dame.« Ça ne se fait pas, une Domina n'aime pas qu'un soumis puisse avoir envie d'elle » …..A force de discussions, d'échanges, je crois avoir su le convaincre du contraire.Je l'espère sincèrement.L'autre jour il m'a fait un merveilleux cadeau, il m'a écrit qu'il se sentait revivre, que sa libido revenait et qu'il se sentait bien, qu'il se sentait mieux alors qu'il pensait ne plus jamais ressentir cela.Et très sincèrement il est pourtant tout aussi soumis, et prévenant, tout aussi adorable et gentil, peut-être même plus qu'au début de nos échanges.Oui il (re)bande, enfin, vraiment ! Et oh horreur, il jouit même … impensable n'est-ce pas ?Mais NON, il ne s'est pas transformé, il n'est pas devenu un être vil et méprisant, il est simplement plus heureux, plus épanoui et finalement encore plus soumis, encore plus enthousiaste à l'idée de servir sa Dame.Même dans ses périodes réfractaires. Même si elles restent encore un peu aujourd'hui « difficiles » pour lui car il ne sait pas encore vraiment en profiter sans culpabilité. Mais j'espère que je pourrai aussi l'aider à dépasser cela.Je sais que j'ai été une accompagnatrice pour lui, et ça me rend heureuse.Parce que je le sais plus heureux et plus épanoui aujourd'hui qu'il y a deux mois.Et la Dame qui aura la chance de lui passer son collier autour du cou sera une Femme heureuse.Et même si la vie fait que ça ne sera probablement pas moi.Quel pourrait être mon plaisir de rendre malheureux un homme qui échange et partage avec moi ?Quelle Domina pourrait bien vouloir rendre malheureux le soumis qui la comble d'attentions et d'amour ?Abandonnez les convictions que d'autres que vous-mêmes ont enfoncé dans vos têtes, abandonnez-les si elles ne peuvent vous rendre heureux.Le bonheur ne résidera jamais dans l'application imbécile et pulsionnelle de concepts ne vous correspondant pas.Et rien absolument rien ne justifie de se priver soi-même du droit au bonheur.Abandonnez vos carcans, soyez libre d'être heureux, nous le méritons tous !
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Par : le 01/07/15
Week-end surprise Samedi 11 Octobre J'arrive chez ma Maîtresse, avec, dans ma voiture, la chaise que je lui avais fabriqué. Une fois déchargée, j'ai du la monter au plus vite, pour le plus grand plaisir de celle-ci, dont les yeux brillaient d’excitation. Une fois fini, il ne fallut pas longtemps, pour que je me retrouve en tenue d’Adam, fixé sur celle-ci. Je dois vous dire, que c'était assez jouissif, de construire quelque chose dont on sait que l'on va être le premier à l'étrenner. Cela n'était pas pour moi la première fois, mais là ce n'est point pareil. C'est pour ma Maîtresse, celle qui m'a choisi et dont je sens son regard dans mon dos, devinant par ailleurs le sourire carnassier qui doit se dessiner sur ses lèvres. Elle l'attendait avec impatience, pour l'avoir vu se fabriquer petit à petit lors de nos discussions le soir sur skype, et elle avait déjà concoctée quelque chose pour l'essayer, l'épilation de mon torse! Pour cela, elle s'était munie de bandes dépilatoires, trouvées dans mes affaires, mais elle trouva celles-ci inefficaces et s'en alla donc quérir dans sa salle d'eau, sa propre cire. Elle la mit à chauffer, avant de m'en tartiner la poitrine, pour ensuite y poser des bandes afin de pouvoir la retirer. Comme, elle trouvait que cela n'allait pas assez vite, elle prit l'épilateur électrique, que j'avais eu le malheur d'acheter. Ouille, çà tire! Un vrai engin de torture ! Puis, pour terminer, elle entreprit les derniers poils rebelles à la pince à épiler. Je dus ensuite aller me doucher, afin de faire un nettoyage complet de ma personne. Quelques jours plus tôt sur le même site où nous discutons pratiquement tous les soirs, elle m'avait demandé si j'avais des vêtements noirs, car elle comptait me sortir, pour une soirée surprise. Tenue noire, cela veut dire «dress code» donc soirée en club, du moins, c'était ma première impression. Une fois que je fus douché, elle me passa au cou mon collier d'acier et fixa à mes poignets, les bracelets du même métal. Ensuite, je finis de m'habiller, chemise noire et pantalon noir. Pendant ce temps, ma Maîtresse, était, elle aussi, allée se préparer, regardant plusieurs fois l'heure, trouvant que l'on avait pris du retard sur l'horaire quelle avait prévu. Ceci me fit changer d'avis sur la destination finale de notre petite virée, mais je n'en dis rien à ce moment là. Une fois toutes les affaires préparées, nous sommes donc sortis de l'appartement pour aller jusqu'à son véhicule. C'était une première pour nous, pas le fait de sortir, mais celui où j'arborais, bien visibles, mon collier et mes bracelets. Je ne sais si vous avez déjà vécu cela? pour moi, oui! J'ai déjà été exhibé par une Domina précédente, mais dans un club privé vanille, mais là, c'est sur la voie publique à la vue de tous. J'étais à la fois excité et fier d’arborer l'appartenance à ma Maîtresse, mais j'avais aussi une petite appréhension d'être vu ainsi, ce qui je l'avoue donne du piquant à la situation. Nous partons donc, ma Maîtresse, me demandant de poser mes lunettes, afin que je ne puisse voir l'adresse qu’elle allait rentrer dans le GPS. En effet, une fois sans lunettes, il m'est impossible de lire quoi que ce soit. Je ne vois que des traits. Une fois fait, j’ai pu remettre mes lunettes. Ma Maîtresse, me demanda, si j'avais une idée, de l'endroit où on allait, je lui dis que oui, mais que pour l'instant, je ne dirais rien attendant pour moi la confirmation. On prit donc l'autoroute et le sens me permit de commencer à confirmer mon idée, que je lui confiais, précisant, qu'au début, j'avais pensé à une soirée en club, vu la tenue demandée, mais que vu l'heure à laquelle nous partions, cela était impossible, puisque le Clair Obscur n'ouvre qu'à vingt heures. Elle me dit que je me trompais et que nous allions bien au Clair Obscur et qu’elle ne mentait pas (de toutes manières, article 1: une Maîtresse à toujours raison !). Pourtant, nous avons largement dépassé le Cap d'Adge, donc la destination à laquelle j'avais pensé, était la bonne, ce qui se confirma ensuite. En fin de compte, c'était juste pour récupérer une personne dont c'était l'anniversaire, puis nous avons repris la route vers le Clair Obscur au Cap d'Agde. Ma Maîtresse l’avait rencontré lors du premier week-end Fessestivités auquel elle avait participé et elle avait apprécia sa maîtrise du BDSM ainsi que certaines de ses pratiques. Une personne que je connais depuis quelques années, pour l'avoir rencontré à plusieurs reprises. Mais qui n'avait jamais eu le plaisir de s'occuper de ma petite personne. Il s'agit de Maître Pierre. J'étais donc en quelque sorte son cadeau d’anniversaire! Le Clair Obscur, enfin, nous y voilà, ma Maîtresse avait donc bien raison! Après y avoir pénétrés et pris une boisson, ma Maîtresse et son invité, décidèrent, qu'il était peut-être temps de s'occuper du cadeau, donc de moi! Pour ceux qui connaissent ce club, ma Maîtresse m'attacha les poignets, (après m'avoir changé les bracelets, ceux en acier n'étant point pratique pour les suspensions), à l’échelle horizontale qui se trouve dans la première salle à gauche en entrant. Là, j'ai eu droit à une doublette de martinet, ma Maîtresse face à moi et Maître Pierre dans mon dos. Toute sa panoplie y est passé, (Martinets soft, lourd, chat à neuf queues). Après les martinets, j'ai eu droit au fouet, là aussi, je les ai tous goûté, (trois différents). Je puis vous dire, que Maître Pierre, s'en est donné à cœur joie de me maltraiter, ma maîtresse aussi d'ailleurs. Au moment où j'écris, il me reste quelques légères traces, je dis bien légère, malgré le traitement que l'on m'a infligé. Je puis vous dire, que j'ai dégusté, (cela pour ceux qui pourraient croire, que l'on n'a fait que me caresser légèrement le cuir). Ma Maîtresse, n'est pas tendre, lorsqu'elle manie la cravache ou le fouet et Maître Pierre, n'est pas en reste non plus, je pense que les deux protagonistes, pourront confirmer cela. Comme ces messieurs dames avaient besoin de reprendre des forces, (Ben oui, c'est très fatiguant de se mettre à deux pour tourmenter un soumis) nous sommes allés nous sustenter. Après cela mes deux tortionnaires décidèrent de me faire un glaçage à la bougie. Tout bon gâteau doit avoir un beau glaçage! Mais pour cela, il fallait un petit délai, le temps que les bougies arrivent à bonne température. Ils s’occupèrent donc, de mon postérieur, en me faisant agenouiller sur le prie dieu. Dieu qui d'ailleurs ne me fut d'aucun secours malgré mes prières silencieuses lui demandant de m'épargner cela. Ma maîtresse à ma droite, Maître Pierre à ma gauche, chacun à tour de rôle. J'ai donc eu droit à six sortes de cannes, paddle, ceinturon, battoir à tapis et j'en oublie peut être, n'étant pas en bonne position pour voir exactement ce qui se passait. Après cela, ils me firent allonger sur le dos, pour un nappage à la bougie. Ils en avaient mis quatre à chauffer, Maître Pierre, s'occupant de mon torse et ma Maîtresse, a trouvé beaucoup plus jouissif de s'occuper de mon entre-jambes et surtout d'une partie de mon anatomie dont elle a essayé de faire un moulage. (Putain çà brûle! J'ai résisté, malgré quelques gros mots, qui sont restés incompréhensibles au fond de ma gorge) Une fois terminé, ma Maîtresse, armé d'un couteau, entreprit de décoller la cire à l'aide de celui-ci. Étant toujours prévoyant et sur le ton de l'humour, je lui ai dit de faire attention à la partie basse de mon anatomie, qui bien que ne servant pas à grand chose pouvait encore lui servir pour quelques maltraitances. Cela terminé, nous repartîmes nous rafraîchir, personnellement, j'en avais bien besoin après les sueurs froides que j'avais eues. Les deux comparses, n'en avait pas fini avec moi, Maître Pierre, partit s’enquérir de deux autres personnes et j'ai eu droit aux élastiques, un truc qui a du être inventé par un super sadique! Pour ceux qui ne connaîtraient pas et qui voudrait essayer, voilà la recette: prenez un volontaire désigné d'office, un bon paquet de gros et longs élastiques, passer ceux-ci autour du corps de la personne, en partant des cuisses et en remontant jusqu'au dessus de la poitrine, une fois cela fait, chaque personne choisit un élastique, le tire et le relâche et cela ainsi de suite. La vache! C'est peut être amusant pour ceux qui tirent dessus, mais pas pour celui sur qui ils claquent, c'est vrai toutefois que cela laisse de belles marques! La soirée commençant à tirer à sa fin, ils décidèrent de s'occuper de mon fondement, pour cela, ils me firent agenouiller, et ma maîtresse prépara un préservatif avec dix baguettes chinoises, quelle m'introduit, après avoir bien lubrifié l'endroit, elle en a ensuite rajoutée quelques unes, mais cet endroit là, n'ayant pas beaucoup servi était assez réfractaire à son élargissement. Juste avant l'heure de partir, ma Maîtresse joua encore un peu du fouet sur mes fesses et ensuite, nous reprîmes la direction de chez Maître Pierre. La soirée nous ayant épuisé, nous passâmes le reste de la nuit chez celui-ci. Dimanche 12 Octobre Après une nuit réparatrice et un repas frugal, ce fut encore ma fête, bien que celle-ci tombe normalement le dix neuf Mai! Au programme, CBT, introduction de sonde urétrale, pour cela, ils me firent asseoir sur le fauteuil de bain de Maître Pierre. Ma Maîtresse m’y attachât, les chevilles et les poignets. Puis commença par m'introduire celle de diamètre six, elle réussit à aller jusqu'à la huit et demi, impossible d'aller plus loin. Après cela, ils tentèrent de me mettre une vis urétrale, mais leurs essais furent vains, celle-ci n'a point voulue prendre, ce qui a laissé perplexe Maître Pierre, qui n'avait jamais vu cela. Ma Maîtresse m'introduisit ensuite une sonde beaucoup plus fine, mais bien plus longue, qui lui permit d'aller jusqu'à la vessie et ensuite utilisa un rasoir électrique sans lames muni d'un préservatif, pour titiller mon gland et mes couilles, ce qui me fit tendre comme un arc, mes mains, serrant les roues du fauteuil à presque les faire éclater. Ensuite, on me détacha. Maître Pierre montra ses autres jouets à ma Maîtresse, qui voulu les essayer et bien sûr qui fut encore le cobaye? Moi! Elle essaya donc l'électro et ensuite les ventouses, qui elles ont laissées sur ma peau de magnifiques marques, encore visibles aujourd'hui. Au moins là ma Maîtresse a réussi à laisser sur ma peau quelque chose qui ne disparaît pas en quelques heures. Après avoir nettoyé tous les instruments dont nous nous sommes servis, il était temps pour ma Maîtresse et moi de reprendre la route.
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Par : le 16/06/15
“It smells like teen spirit.” Nirvana est à son apogée, et j’observe amusé Kurt Cobain préparer gentiment son joli naufrage. Il est si beau lorsqu’il est incapable de jouer. Thurston Moore prend la guitare. Quelle classe cet enculé ! Kurt chante, éructe et vomis son héroïne sur scène. Vas-y Kurt, c’est ça qu’on est venu voir ! On est tous venu vomir sur les vainqueurs. Les vrais héros, c’est nous, les loosers ! Saignes toi! Je veux m’abreuver à tes veines! Je fantasme plein tube sur Kim Gordon, cette salope me fait bander comme un taureau. Son chant vient des enfers et me propulse au paradis. Je l’observe, elle branle sa basse lentement du bout de sa main gauche et martyrise sans complexe de sa main droite les cordes énormes et tendues d’où rugissent les mélopées souterraines de quelques moines guerriers. Kron. Le secret de l’acier. Arrêtes de me faire languir putain lubrique, chienne! Viens mouiller sur le devant de la scène et pisse ton flot d’obscénité sur moi ! Masturbes toi sur mon corps! Et détruit moi à grand coup de basse dans les couilles. J’ai toujours été sensible aux vibrations. Kim émets des vibrations lentes, sourdes, basses et puissantes. Quelqu’un aurait pu croire qu’elles étaient comme des coups de poings dans le ventre. J’ai énormément de chance d’être aussi déséquilibré, d’être une peu pervers, je ressens cela comme des claques données sur le gland, la bite enchâssée dans des griffes prédatrices, fortes, qui maintiennent sans pitié le jus rouge et épais prisonnier dans une extrémité violette sombre. Ce concert est une érection douloureuse ! Un grand concert ! Le meilleur... C’est à ça que je reconnais le vrai esprit du rock, la bonne musique … Une onde, une transe, une transe sexuelle… A chaque musique sa sensualité, son emprise et sa qualité d’érection. Sans quoi, il ne s’agit pas de musique. Vous qui écoutez avec vos oreilles bien propres… Vous vous trompez d’organe. Et de coton tige. Le son de Sonic Youth me la rend dure, insupportablement dure et… durablement Rock-solid, baby ! Une vraie expansion de la bite. Mystique. Gnostique. De la famille des vampires ! Elle arrache mon sang du cœur, pompe à contre sens. Elle vide l’oxygène du cerveau, me donne des vertiges et des crampes, elle tétanise mes muscles. Et gonfle mes veines jusqu'à la limite de résistance. Siphonne moi! Mon sexe est brûlant, tyrannique, boursouflé de racines palpitantes, bleues foncées sur fond rouge profond. Si profond...Bander en direction de l’univers profond. Une érection vivante, de celle qui se rebelle et tend les abducteurs, à cet endroit ou l’intérieur de la jambe rejoint le pubis. Cet endroit si particulier… je me demande si ces muscles là seraient assez puissants pour me désintégrer de l’intérieur. Fred aussi est hypnotisé par le concert. En tant que guitariste. Un grand guitariste. Fred c’est le seul ami qui me reste dans le monde « normal », celui ou les aiguilles ne nourrissent pas les plaies purulentes, ouvertes comme de petits volcans, semblables à des anus usés, équipé de prolapsus. Pas moi, mes blessures sont plus profondes et plus précieuses. . La monotonie m’ennuie, je change de drogue aussi souvent que possible… Ou je mélange des trucs avec des machins… Je suis un seigneur de la toxicomanie. Quand je vais pisser, la rivière devient jaune fluo et les poissons crèvent. SwimSuit issue : Un monde étrange que celui des non-tox. Des couleurs agressives et grossières, des odeurs beuuuurrrk, tout est si irréel … Un monde propre sur lui. Pas assez malade pour être honnête. Le monde des gagnants mesquins et inconscients. Je préfère fuir ces gens. Ils sont dangereux. Et je veux être observé moisissant sur pied, pourrissant de l’intérieur, zombifié, puant de sueur et de vieux sperme. Comme un symptôme dérangeant pour les braves gens, les bien-pensants… Une gastro dans cette belle société ! Pas de doute, je mène une révolution. Kim, simple, irréprochable, souriante et vaporeuse m’apparaît… Aphrodite. Un cri me monte. Un cri sourd et rauque… J’hurle à Fred qui tend l’oreille « -Je vais aller m'enchaîner à ses pieds » « -Heiiiin ? » « -Je vais chercher de la bière… » Et merde encore un orgasme ruiné ! Je suis froid comme la glace. Envahit par les ténèbres. Il n’y a plus rien de moi. Rien qu’un gouffre froid. Si affreusement vide. Tout a été absorbé. Peu m’importe. Je sais avec quoi le remplir. J’ai bien d’autres maîtresses tout aussi perverses que toi Kim. Continue de chanter… Je t’en supplie… Je pleure comme un bébé. C’est un bébé qui pleure en moi. “ Ta gueule petit con ! Ferme ta putain de gueule!” Bahhh, pleure si tu veux! Ça ne durera pas. Ce soir va falloir faire avec un barbiturique petit, et quelques litres de bière… C’est ma tournée. Allez, calme toi je t’emmène surfer sur les nuages. Je veux mourir. Ça va passer. Pratique la grand-mère cinglée. Tout le monde crois qu’elle est devenue frappée après une chute. Moi non. Moi je sais! 11 ans de pur bonheur! Je lui dois tellement de douleur! Vieille folle! Tu n’as pas eut ma peau! Regarde comment j’ai digéré ce que tu m’as fait! Je l’ai sublimé, transcendé ! Si j’avais été plus grand tu n’aurais pas pu me transformer. Et tu n’aurais pas recommencé avec mon frère. Si j’avais été plus grand je t’aurais déchiqueté la gorge avec mes dents. Enfin… Puisque que t’es vivante, y’aura jamais de vraie pénurie. Au moins tu sers à quelque chose. Ils sont forts ces enculés de chimistes, t’as de la chance la vieille. Les gens ne savent pas comment apprécier les bonnes choses. Les tox non plus. Je ne suis pas un puriste. Je préfère Sonic Youth au punk. Tellement plus sophistiqué. Kim, je serai bientôt totalement disponible aux ondes étranges de ton océan. Je me coule dans ta musique. Ta voix est si abrasive. Ton amant est si doux...la guitare de Thurston. Dis moi , Êtes-vous amant? Faites-vous l’amour ? Ce serait triste que vous ne le fassiez pas. Je vous aime si fort. Je flotte. Mon corps ne pèse plus rien. La musique m’envahit d’une nouvelle façon. Bien plus pénétrante. Au delà de tout orgasme, au delà des sens et de la raison. Au delà de la vie, c’est une mer d’énergie qui se déchaîne, une convulsion, une contraction, une explosion puissante et totale. Une déflagration qui embrase le vide et ouvre un univers si vaste. Plus fort que d’éjaculer. Être l’éjaculation. Peu importe ce corps qui ondule vaguement en bavant. Il m’est parfaitement inutile. Je sais comment vous jouissez, je le sais de l’intérieur. Je coule dans votre matrice chaude et humide. Un peu noir, beaucoup noir. Trou noir. Bye bye conscience. Vole mon ami et à demain matin. Merde! C’est déjà demain. Saloperie de soleil. Ça me brûle les yeux, je ne sais pas ou je me trouve, Il fait chaud dans mon Perfecto, je nage dedans, c’est visqueux.. Et ça pue. Ma vieille peau de bête noire. J’ai mal un peu partout. J’ai encore du aller emmerder un gros balaise. Je ne peux pas bailler. Trop douloureux. Putain de mâchoire. Rendors-toi ducon! 17 H 00. “-Bonjour Madame…” Quel embarras: Je sais ou je suis. C’est bien pire que j’ imaginais. Je suis au squat. Les self-timing … Le squat! La mère de Fred. Je regarde vite fait mon T-shirt. Oulà, mon vieil ami, tu as encore du me sauver d’un sacré merdier. Faut-il que tu m'aimasses drôlement pour prendre ce genre de risques. Pauvre con! T’aurais du me laisser là ou j’étais. Tu vas drôlement avoir à t’expliquer. T’en as pas un peu marre de jouer les super-heros? Tu me sauves la vie depuis la maternelle. J’ai des croûtes sous le nez. Des croûtes de sang séché. Mon T-Shirt? Un vrai carnage maronnasse. Du sang et du dégueuli...Ça sent la gerbe là dedans. Putain, j’ai pissé dans mon froc. “Ramènes moi à la vie Madame, suces moi! Nettoies-moi avec ta langue!” Seules les chèvres ont le droit à ce traitement. Ma mère me déteste. On ne peut pas toujours dire ce que l’on pense… “-Ho… Excusez moi, je n’avais pas vu l’heure.” Pitoyable! “-Tu vas bien Aldric?” Je titube un peu. Aucune saloperie ne me vient à l’esprit. “Oui Madame, je crois que j’ai eut une soirée un peu agitée.” Madame Amont, c’est une vraie maman. Elle n’a pas besoin de crier, ni de frapper pour distiller sa désapprobation. C’est relaxant de ne pas avoir à se rebeller. De redevenir tout petit. D’être rééduqué par une vraie mère. Je profite de ma honte. C’est si bon. Toute résistance est inutile. Je suis porté par le parfum de l’amour maternel, suave, total, reposant, rassurant. Une effluve, un murmure inaudible frissonnant au plus profond de capteurs avides. Une note légèrement acide de sueur mature, un rien d’herbe fraîchement coupée avec une petite pointe citronnée… Non , c’est du cassis… Du cassis et de la coriandre. Une réminiscence de … Enfin... d’un je ne sais quoi...qui dit... “Je suis comme je suis”. Fred, tu sais, je suis si jaloux! Un regard doux et attristé et hop! Me voilà occupé à regarder mes chaussures! Des docks martins montantes. Dix sept trous. Anglaises. Très viril et très féminin. Lacer ce genre de chaussures est un acte de femme. Un rituel de pinup. Un fétichisme haut de gamme. Je ne le sais pas encore, mais je meurs déjà d’envie de te rencontrer. Comme je brûle de te raconter ça. “-File te laver! Tu connais la direction.” “-Merci...Ma...dame” Elle soupire, les mains sur les hanches. Elle m’aime bien. Je crois qu’elle aimerait un enfant terrible. Son fils est bien trop sage. Pas sa fille… Mais… Chuuuutt … Je suis son confident, son grand frère. Je l’accompagne dans ses soirées, je jette un coup d’oeil. Puis je m’en vais. Et je reviens la chercher… A l’heure. Pour pas que Maman t’engueules soeurette déjantée. Va falloir que tu apprennes à ne pas pétiller des yeux comme ça. Ce que tu as fait est évident. Je manque de sucre et d’eau. Je vois des petits points blancs partout. Des petites fées m'entraînent dans leur sabbat pour mieux provoquer ma chute. Elles me déphasent, donnent de l’avance à ma vision. Un tunnel de fées qui ne laisse passer que l’âme. C’est beau … et très pénible pour avancer. Je download le plan, laisse les petites dévergondées danser sur l’écran de mon radar et enclenche le pilote automatique. Un algorithme rodé. Sortir du squat. Aller terrasse. Attention à la marche. Ouvrir porte. Tout droit. Cuisine. Ouvrir frigo. Prendre bière. Tourner capsule. pshhhhhhiiit. Quart de tour droite. Aller salon. Quart de tour gauche.Couloir. Douche première porte à gauche. Ouf, je suis arrivé sans incident. Quelle aventure! Dora l’exploratrice est une petite joueuse. Click. Lumière. Enfin seul. Je n’ai jamais été assez nihiliste ni détruit pour bouder les délices d’une douche bien chaude.C'est un luxe inouï, presque indécent. Et cette fameuse première gorgée de bière: Les petites bulles, la fraîcheur, cette étrange amertume, une floraison sensuelle censée vous conduire au paradis extatique des petits rien. Une belle foutaise. Il faut beaucoup d'entraînement pour supporter une bière glacée dans mon état. C’est vrai que que j’apprécie le violent contraste de cette fraîcheur dans ma bouche. Je me laisse aller au crépitement sur mes papilles engluées par une salive bien trop épaisse. Un feu d’artifice en miniature. Des frizzi pozzi pour les grands. Ça décolle la langue du palais. La vie repend ces droits. L’écoulement magique d’un glacier de l' Himalaya . Mes lèvres se posent sur le goulot étudié de la bouteille. Un baisé de cristal tendre comme la mort sur l'extremité d'un sexe froid, vert et turgescant. J’enfourne violemment le goulot entre mes lèvres. J’ai soif de toi! Je vais te pomper à mort! Je lui extirpe bientôt la moindre goûte de son jus glacial. En une seule fois! Je suce et j'avale! J’ai gagné! Je suis un grand champion! Mais non… Pas aujourd’hui. Aujourd’hui je perds le match. Le moral qui flanche. Bière 1, moi 0. Dans mon estomac un coup de fouet claque. Pas un de ses jouets pour débutants. Celui qui te lacère! Je vomis. Enfin non. Je spasme, je convulse, je fibrille, je souffre. J’accouche par la bouche d’un vertige de douleur abdominale, contracture sur contraction. Disjonction. Le sang me monte brutalement à la tête et mon cou se déforme. J’accouche d’un des fameux "petits rien" à la con. Un filet d’acide gastrique ultra concentré. Encore un autre, plus petit. Un tout petit filet de sang. Nom de Dieu, il faut que ça s'arrête! Je crois que mon estomac va se retourner et ressortir entre mes lèvres. Je n’arrive pas à respirer! Hoooo le corps! Y’a rien! Y'a plus rien !Laisse moi respirer! Laisse moi respirer! Arrêtes! Merde le bébé se venge. Il est teigneux. Il me brûle la gorge et les sinus. Il me fait imploser le bide. On appelle ça le subconscient. Un gosse martyrisé et teigneux qui veux pas fermer sa putain de grande gueule à la con! Il me gerbe dedans cette saloperie. Délicieuse première et unique gorgée de bière... Je repousse gentiment le vertige. Fais dodo mon petit vertige, fais dodo petit cachalot. A chacun sa chanson. Toutes les douleurs ne sont pas excitantes. Loin s’en faut. Elles ont toutes un point commun cependant. Elles me rendent vivant. Affreusement vivant. Va falloir y remédier au plus vite! Je dérive, mon esprit est ailleurs, ce corps lui envoie des signaux privés de sens. Je me sens vide. Pas horriblement vide. Pas le genre de vide qui se remplit de douleur. Non, un vide riche et dense de vide. Il me fusionne avec la matière. La matière est poisseuse, je suis poisseux, l'univers est poisseux. Tout doucement la lumière revient. C'est a dire... Non, elle s'en va. Mon esprit est comme un capteur CCD éclairé jusqu'à la saturation. Le vide n'est pas noir. Il aveuglant. Le sombre revient peu à peu, je retrouve les contrastes. Tourner le mitigeur. Chaud, très chaud. Le dragon a froid. L'eau coule. J'entre tout habillé. Merci, je régénère. Les gouttes tombent au ralenti. Je sais bien que le bullet-time n'a pas encore été inventé. Tant pis, les effets spéciaux explosent déjà dans ma tête. Je vois les gouttes, elles se rapprochent une à une dans un chaos dont je suis la cible. Parfois ces petites perles d'eau brûlante bondissent. Elles se téléportent et sont mollement absorbées par mes vêtements. Des sapes, des guenilles de plus lourdes, mouillées, puis collants. enfin dégoulinantes. Et je dégouline avec elle. Ma seconde peau. Je dégouline en moi, de plus en plus profondément. Mes yeux se ferment lentement. Je suis à l'étroit, j'arrache mon t-shirt, mon jean tombe. Je mue. Enfin je suis nu. Je me laisse aller au contact froid du carrelage sur mon dos...Un frisson me parcours la colonne vertébrale, il grimpe une par une les marches de mes vertèbres. Le bout de l’ongle… Un doigt léger et exigeant qui me parcours avide. Jusqu'à la nuque. Cette petite partie creuse a l'arrière, là, juste à la base du crane, lorsqu'elle frisonne,elle provoque un petit orage de picotements à l'interface de la peau. Des petites étincelles de pur plaisir frémissent à ma surface. Un feu doux s'allume dans le bas ventre, il papillonne. Mon abdomen... petite boule de jouissance interne, feu de bois qui crépite, jette des flammèches et allume d'autre incendies. Les yeux, ces yeux sont presque clos et je distingue un rêve étoilé de raies de lumière jaune. Cette main qui m'effleure le sexe, cette main ne peux être la mienne. Elle est si douce. Hoooo je jouie enfin. J’explose en toi. Totalement. De ton mon coeur, de toute mon âme, de mon ventre et de ma bite enfin libérée de l’angoisse. Je me vide dans ton invitation au bonheur. C’est si bon. Si puissant. Combien de temps encore devrais-je t’attendre? Je me sens si bien.
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Par : le 13/06/15
Au cours du week-end dernier, je devais rencontrer le Dominant vers qui je m'étais tournée et qui avait eu la patience d'attendre mon retour dans le bdsm. Je me présentais à Lui dans son fief et pendant nos ébats de bondage, de contraintes, je Lui demandais, s'il avait un collier, objet qui bien sûr n'était pas encore présent dans notre relation, vu que je n'étais pas officiellement sa soumise. Donc ainsi parée de ce collier qui me rappelais la condition que je vivais depuis bien des années, je m'inclinais à ses pieds et Lui demandais qu'il devienne mon protecteur et mon Guide. Je Lui jurais fidélité, Lui assurais mon respect envers Lui dans cette relation qui devrait aller en grandissant. Certains vont se dire, pourquoi ne le voir que comme mon Guide et pas comme mon Maître, parce que pour moi ce mot viendra spontanément à mes lèvres, quand mon esprit aura enfin acquis cette appartenance. Je n'ai jamais pu d'entrée, proclamer que l'autre était mon Maître et trop de monde à mes yeux se disent en relation Maître/soumise du jour au lendemain. Je ne porte aucun jugement sur ces personnes là, mais à mes yeux et surtout par mon esprit, je laisse les mots s'inscrirent eux même quand le moment est venu... Je ne dévoilerai pas son nom, car nous sommes d'accord tous les deux pour vivre cette relation dans l'ombre pour lui permettre de grandir dans le calme et la sérénité et si c'est Son souhait, un jour il me permettra de la montrer aux yeux de tous.
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Par : le 11/06/15
Texte sorti de mes sombres pensées. "Nous avons construit notre vie sur cette confiance. Cette confiance implicite que tu murmurais au creux de mes reins. Et tout ceci commença par des rires et du désir... Maintenant tout n'est que poussière. Nous nous disputons, nous nous battons. Nous nous tuons... Tout cela n'est que poussière. Tu prends la dominance mais je te l'arrache comme tu as arraché mon cœur, comme tu as volé mes pensées et ravagé mon cœur. Je t'appartiens, corps et âme et cette dépendance addictive aura raison de celle que jadis tu vénérais la souffrance et les vices. Et alors que tu affirmes ta puissante, que tu l'oppresse, moi ta soumise suffoque et se fane. Elle meurt dans tes bras. Et nous brûlons dans ce désir évidemment toxique. Nous nous disputons, on ne se bat plus. Debout au milieu de la nuit, caressant les courbes volubiles de ce corps qu'est le mien tu te rends compte... Que je ne suis plus rien. Que je suis ton objet. Tu as eu ce que tu voulais, mon amour, ma raison, mon cœur et mon âme. Ainsi ta domination est assurée." Cela n'est pas a prendre au sens premier
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Par : le 10/06/15
2ème partie Pour commencer, Vous allez enfin pouvoir utiliser ce matériel de Domination que vous connaissez bien. D’une main hésitante vous ouvrez la malle et sortez une variété de pinces, quelques godes, et les fouets, cravaches et paddles que vous préférez. Votre main devient soudainement plus assurée…… Les coups de fouet claquent, doucement au début. Votre maitre vous encourage. Une retenue touchante reste dans votre geste. Ce ne sont pas vos gémissements de douleur, ce sont les miens, ceux de votre soumis. Cela vous déconcerte. Vous hésitez, vous connaissez cette douleur, elle est vive, mais tellement intense et absolue. C’est un tel cadeau à offrir à son Maître. Vous vous ressaisissez, c’est le désir de votre Maitre. Le fouet claque un peu plus fort, les cris de votre esclave résonnent à vos oreilles. L’atmosphère change…. Vous vous sentez bien dans cette superbe tenue de cuir rouge clouté que votre maître vous a demandé de porter. Votre slave est bien attaché sur sa croix. Vous vous approchez …très près, lascive, l’esclave se détend, vous l’excitez tellement. Vous vous collez à lui, vous ondulez contre lui, puis de plus en plus fort. Les pointes de métal de votre robe lacèrent sa peau, il ne peut retenir des cris… cela dure… Une chaleur intense saisie votre bas ventre. Vous vous approchez de son visage à le frôler, avec un petit sourire cruel et croquez durement sa lèvre avec gourmandise. L’onde de plaisir vous submerge, les préliminaires sont bien finis. Cette esclave va s’offrir à vous totalement, il vous fera entièrement cadeau de son corps, de sa douleur, il sera votre jouet et vous allez en profitez comme jamais… (à suivre)
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Par : le 09/06/15
Bonjour à tous, c'est une belle histoire mélange de fantasme et de vécu, avec des personnages de fiction et des personnages réels que j'ai partagé avec un couple BDSM et que j'ai envie de vous faire partager.  Chapitre 1 1ère partie C’est d’abord sous le contrôle et pour satisfaire votre Maître que vous accepterez de dominer, c’est son plaisir que vous chercherez en vous appliquant à être une Domina parfaite. Le risque (mais est ce un risque ?), c’est de traverser le miroir, et de rencontrer cette jouissance de la Domination. Les instructions de votre Maître seront précises, il vous accompagnera à chaque étape. Je serai votre soumis, dès le premier regard, la première posture, l’atmosphère fétish sombre et inquiétante, vous imposez votre pouvoir vous êtes LA Domina. Quelques gestes suffisent : un claquement de doigt, une gifle, quelques claquements de cravaches…. Votre maître vous guidera. Des paroles pour montrer votre supériorité sur le slave : quelques ordres, des insultes, le verbe mettra la tension nécessaire. Ce slave qui traîne à vos pieds, Il faut maintenant rendre plus présentable : quelle tenue lui imposerez-vous ? Répondez au désir fétichisme de votre maître, c’est aussi votre propre désir : gainé de latex ou de vinyle…, en tenue de cuir avec sangles et harnais… bottes ou chaussures, avec des talons ou sans talons, ou bien vous opterez pour une tenue de servante que vous vous réjouirez de féminiser selon vos envies les plus inavouables. Votre soumis(e?) est bien en main, il est maintenant présentable. Votre maître est content de vous, il vous récompense et vous permet d’aller plus loin avec votre nouveau jouet. Il peut enfin vous servir : Slave Boy, pute, animal de compagnie,… vous allez oser aller au bout de vos envies…. vos exigences sont sans limites,….… (à suivre et à bientôt !)        
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Par : le 02/06/15
...Ou la petite liste des situations horripilantes vécues. 1. Dom dépité : Oui je vous pointe du doigt, vous, Dom mâle en manque qui se rabat sur un soumis parce qu'il ne trouve rien d'autre. Votre recherche est claire, vous voulez de la femme soumise ! Mais les jours passent ... "Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ? - Je ne vois que le soleil qui poudroie, et l'herbe qui verdoie"... Alors pour soulager cette cravache qui vous démange, vous êtes prêt à la pire des bassesses, UN HOMME SOUMIS ! Quelle horreur, quel dégoût... Mais bon... Ça devrait faire l'affaire.. Avoir des préférences, c'est tout a fait normal, mais si l'idée d'avoir un soumis ne vous a jamais effleurée l'esprit avant cette "traversée du desert", par pitié, laissez ce pauvre soumis tranquille. Le coeur n'y sera pas. Depuis quand le BDSM se pratique sans un minimum de passion ? Dans tous les cas, je refuse d’être un choix par défaut. 2. Dom voyageur : Vous habitez sur Paris et moi en Dordogne " Ce n'est pas important, je me déplace facilement", redescendez sur terre ! Allons... ce n'est pas faisable. Ouvrez les yeux ! Vous savez très bien qu'il vous arrive très souvent d'avoir la flemme de descendre vos poubelles en bas de chez vous !!!!!!! Alors traverser la moitié de la France pour un soumis, que vous ne connaissez pas ou alors si peu ? 3. Dom SMS : "Slt t rech ?" Economie de lettre, économie de réponse... Oubliez moi comme vous le faites avec vos voyelles. Vous ne vendez pas un solex dans un journal de petites annonces, vous ne payerez pas plus cher en faisant un petit effort. Pour les fautes, passons (ce récit en étant truffé, j'aurais bon dos de dire le contraire), mais ce gloubiboulga de lettres... Très peu pour moi ! 3 bis. Dominator vulgaris : "Salut lope/chienne/pute, t'es une bonne suceuse ?" Avant d’être un soumis, je suis un homme. Je demande un peu de respect, et une certaine correction lorsqu'on s'adresse a moi. Pas de respect = pas de confiance= pas d’abandon = pas intéressant = pas la peine = je vous ai demandé de ne pas insister = mais c'est terrible a la fin ! = stop ! = arrêtez ou j'appelle la police !!! 4. Dom à risque : Sans vouloir une personne ultra-expérimentée, j'aimerais au moins quelqu'un qui sait ce qu'il fait, ou alors tout a fait conscient qu'il est novice ! Je vous offre mon corps après tout et nous "jouons" parfois a des jeux qui peuvent être dangereux... N'est pas Félindra, ou Indiana Jones, qui veut et ce n'est pas parce que vous avez un fouet dans la main que vous savez vous en servir ! Je ne veux pas finir a l’hôpital, j'ai une trèèèèèès mauvaise mutuelle... 5. Dom bout de ficelle : Pour moi, le BDSM c'est jouer avec le corps et l'esprit. Avec de l'imagination et un peu de systeme D, on peut faire des merveilles, mais si vous souhaitez user et abuser du corps de votre soumis autant le faire dans de bonne condition et avec le matériel adéquat... Non, toutes les cordes ne sont pas utilisables pour attacher, non la laisse avec enrouleur de votre défunt youki/medor/sultan n'est pas forcement une bonne idée, non ces menottes cheap offertes par un ami potache ne seront pas du tout "safe"... Et rangez moi cette boite à outils, vous allez blesser quelqu'un... 6. Dom prétexte : Je ne suis pas votre bonniche. Si vous avez JUSTE besoin de quelqu'un pour faire le ménage chez vous, inutile d'utiliser le BDSM comme excuse pour faire récurer gratuitement votre maison, les chèques emplois services sont faits pour vous ! J'en ai déjà bien assez a faire chez moi...
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Par : le 29/05/15
Merci au(x) créateur(s) et administrateurs(s) de ce site pour ce lieu d'échange où règne il semblerait une liberté d'expression. Quel magnifique terrain de jeu! Novice dans le bdsm, comme tout humain j'ai une certaine pratique de la domination ;p. Manipulation, autoritarisme, etc.... Je ne connais pas les règles de courtoisie et de communication de ce lieu, et j'ai il semblerait trangressé des codes...mais peut-être les codes de la noblesse des Maitres de la Sainte Eglise du bdsm!!! J'entends et je respecte qu'il y a des pratiques très différentes de la domination, de la soumission et du bdsm. J'aime cette diversité. Pour ma part je revendique la switchitude! Nous sommes habités de tant de choses, nous tous humains, envie de destruction, de construction, amour, haine, ambivalence. J'ignore encore beaucoup des désirs qui m'animent, mais je revendique l'identité switch! Qui signifie pour moi l'affirmation de ma complexité et mes mouvements multiples. Je ne veux pas de l'étiquette de dominatrice ni de celle de soumise. J'affirme la singularité de chaque humain et celle de chaque nouage bdsm! Et je vous dis soumis du monde entier redressez-vous! Maitres déconstipez-vous! Rejoignez moi! Renversons les idoles pour ériger les nôtres! Quittons l'Eglise! Crachons sur les bibles et écrivons une nouvelle histoire! Plein de nouvelles histoires! (Marine sort de mon corps!) Oui l'enthousiasme d'arriver ici me plonge dans un lyrisme douteux avec des vibratos. Et je propose: l'ouverture d'un café pour soumis interdit aux Maitres où nous siroterons de doux breuvages nonchalamment en nous racontant des histoires ;p. Mon Maitre si tu me lis...je suis folle de toi! Mais cela ne regarde que nous, n'est-ce pas?
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Par : le 28/05/15
Le consentement éclairé Le consentement. Le BDSM requiert a minima le consentement des personnes ayant le désir de mettre en œuvre une relation dite “d’échange de pouvoir”. Le consentement est supposé être éclairé. Il concerne aussi bien la personne en désir de soumission que la personne exerçant son pouvoir de Domination. Le consentement n'est pas un acquis définitif. Le consentement doit faire l'objet d'une remise en question régulière, l'important est de renouveler la recherche d'objectifs communs, cela suppose une concertation périodique entre les partenaires. Le consentement éclairé. Pour être valable, le consentement doit être « éclairé », c’est-à-dire que la personne doit avoir recueilli et compris l’information nécessaire pour prendre la responsabilité de refuser ou consentir à tout ou partie des propositions faites entre les partenaires. L'information doit être simple, loyale et compréhensible, suffisamment exhaustive pour permettre ce choix en connaissance de cause. Les moyens pour réunir cette information sont multiples: communication avec le ou la partenaire, écrits, liste de pratiques, Internet, forums publics, discussions privées etc ... (c) Maxence Lascombe
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Par : le 12/05/15
L'appréhension avant ce shooting. .. plus osé, plus intime. .. je me sens seule, trop seule, vais je pouvoir? Pourquoi faire cela? Exprimer une émotion? Voir ce que je suis. .. cette femme sexy, offerte, obscène, vissieuse? Je me maquille, en Domina. .. maquillage sombre, noir, prune... cheveux attachés, strict... string résille, pantalon noir moulant, débardeur en résille, seins nus ou soutif noir? Les accessoires. .. cravache, gode ceinture noir, plug rose, rosebud... la pression monte... le miroir. ..tailleur, robe moulante? La séance se termine... l'esprit un peu ailleurs je réalise doucement ce que j'ai fait. .. On a commencé doucement, moi vêtu de noir... cravache. .. puis avec le gode ceinture, main sur mon sexe dur. .. Je retire mon pantalon. .. à travers la résille on aperçoit mon rubis. .. Je troque le debardeur pour une guêpière, enfilele tailleur... strict, sexy... Domina... je joue devant l'objectif, allumeuse... sévère tentatrice. .. Je me penche pour enfiler mes bas, retire string... mon cul joliment décoré est ainsi photographié... la séance se poursuis... je me dévêtis. ...une fois nue j'étalle langoureusement de l'huile sur ma peau... sur mes seins, les fait pointer. .. à genoux... cuisses ouvertent, offerte telle une bonne soumise, reins cambrés, je me caresse... mords délicatement ma lèvre, suggérant le plaisir, ma tête renversé. .. mes tétons entre mes doigts.... Puis ma main descend doucement sur mon sexe... s' y love... je simule ... un peu... Viens le miroir que je pose au sol, le plug qui trône. ... je joue avec, le suce, le léche...l indécence. .. j'ai honte un peu ... beaucoup.... rien que d' écrire cela, d'y repenser. .. Ma main rejoint mon sexe, besoin de me vider... mes doigts retrouvent cette zone si sensible... la titille. .. le plaisir m'envahit, je m'y abandonne, me laisse submerger... un premier petit jet...je poursuis encore, plus... encore oui... mon corps cède. ..se laisse envahir, .... j'ejacule, dans ma main, le liquide coule... encore... c'est fort...intense.... les images du shooting défilent. .. le plug...le miroir.... les va et viens....
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Par : le 29/04/15
une excellente émission sur une pratique revendiquée par beaucoup : le fist http://www.franceculture.fr/emission-mauvais-genres-l-amour-a-poings-nus-pratique-esthetique-et-mystique-du-fist-fucking-expo-ma du gode et du vibromasseur comme instruments de construction sociale et politique de la domination masculine : http://www.contretemps.eu/interventions/jouets-indiscrets-quoi-parlent-sex-toys
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Par : le 24/04/15
Je fais une différence entre ageplay et DD/lg. Je n'aime pas le terme "ageplay" car il y a "acting" et donc jeu (au sens jeu d'acteur) : c'est plutot une dimension de jeux de la comédie, de jeux de rôles. Je préfére parler de dynamique DaddyDom/lilgirl (ou tout autre combinaison MommyDom, lilboy, etc.) afin de faire la différence entre jeux de rôle et expression d'une réelle facette de la personnalité. Une relation DaddyDom/lilgirl (idem pour les MommyDom et les lilboy ou tout autre combinaison) est plus une relation où le Dom incarne une figure rassurante, protectrice de la soumise. La soumise recherchant un cadre où elle se sentira protéger, et où le Dom s'occupera d'elle et de son bien être. La lilgirl pouvant très bien n'avoir que très peu de traits "enfantin". De mon point de vue, la différence de cette dynamique de domination par rapport à d'autres, c'est d'utiliser la douceur comme vecteur de domination et non la douleur, ou l'humiliation. Cela rend cette dynamique plus douce, et génére (à mon sens) une emprise plus profonde. Les lilgirls que j'ai pu connaitre, cotoyer, accompagner ou dont j'ai été le Daddy, ne jouaient pas un acte, elles étaient elles-même. J'ai eu l'occasion de connaitre une soumise qui a voulu me faire plaisir en jouant la lilgirl mais cela n'a pas fonctionné. La dynamique n'était pas sur le bon niveau. Je pense que le manque de DaddyDom en France est lié à une culture BDSM très orientée controle par la douleur, la punition, ou l'humiliation alors que la dynamique DaddyDom/lilgirl nécessite un controle par la douceur et la tendresse. Mais bien entendu, cela n'est que mon point de vue (néanmoins partagé avec celles qui furent/sont mes lilgirls )
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Par : le 22/04/15
...Maintenant qu’elle connait les bases. Je lui enfile un imper cachant sa semi nudité et nous sortons de l’appart direction la cave.C’est une petite cave, comme celle de tous les habitants de mon immeuble. Elles sont accolé les unes aux autres.Et c’est ce que je trouve excitant.Il y fait sombre, froid et humide.Je sens la peur et l’excitation monté en elle.J’ouvre la porte en bois qui grince et la fait pénétrer dans la cave. Rien ne la distingue aux autres caves de toutes les copropriétés du monde et c’est en cela que c’est intéressant.Je la laisse rentrer et avant de refermer la porte, je jette un coup d’œil à la multitude de porte fermer et laisse, le temps d’un battement de cœur, mon imagination fantasmer sur le secret qu’elle renferme et toute les possibles soumises, esclaves, petgirls et autres prisonnières qu’elle pourraient renfermer à l’insu de tous les habitants…haaaalala…Sortie de ma rêverie, je lui dis que c’est ici qu’elle risque de passer beaucoup de temps si elle n’est pas sage…Ou si j’en ai envie…Et pour joindre le geste à la parole, je lui ordonne de se déshabiller. Elle s’exécute, ses seins pointe, due au froid et à l’excitation.Je lui ordonne de pousser les quelques affaires contre le mur de droite.Elle obéie et découvre ainsi les cordes et attaches que j’ai fixé au mur ainsi qu’un collier, une chaine, un bol et un seau.Je lui dis de se retourner et de se mettre à genoux.Une fois fait je lui tire les cheveux en arrière et m’introduit de force dans sa bouche.Elle s’étouffe mais n’essaye pas de se retiré, elle a déjà de bon réflexe.Zut j’aurais aimé la punir pour un réflexe d’auto défense mais son maitre d’origine la bien dresser, bah ce n’est pas grave.Je profite de sa bouche pulpeuse et sensuelle tout en lui expliquant a quoi tout sert, les différentes choses et pratique en cours dans cette cave et les conditions d’utilisation des objets ici (que je ne décrirais pas ici…allons, allons, chacun ses petits secrets ^_^ seul ceux qui testent savent ma cave et souvent ouverte )Au moment de sortir je lui dit de me tendre ses poignets. Je les attaches alors l’un a l’autre et une chaine les relies au mur. La voilà attacher dans cette cave sombre. Je lui dis que des gens peuvent venir, qu’elle ne doit pas faire de bruit ni révéler sa présence sous peine de gros ennui.Puis pour m’en assurer je sors un rouleau de scotch marron que je lui colle sur la bouche.Sa respiration se fait rapide. Sa poitrine monte et descend de plus en plus vite, ses mamelons tendent à leur maximum, ses fesses révèlent un grain de peau et une chair de poule ma fois fort excitante. Son regard est effrayer et en même temps remplie de reconnaissance.J’adore ça.Chaque détail de son corps restera a jamais dans ma mémoire. J’aime ce que je déclenche chez mes soumises et le contrôle que j’ai dessus.C’est un bonheur que de vivre une domination.Je m’en vais en éteignant la lumière, refermant la porte de bois légère qui mènent au couloir d’accès des caves. Et la laisse ainsi, nue, attachée, bâillonnée dans le froid, l’humidité et le noir seule. Je claque la lourde porte en métal qui mène a se couloir.Et je l’imagine terroriser et exciter par cette situation.Elle imagine que cela va durer des heures.En réalité elle n’y restera que quelques minutes mais pour elle cela aura duré une éternité.(Bien entendu je ne pars pas vraiment et sa sécurité est ma priorité, je reste devant la porte en fer qui mène au cave, au cas où, un voisin viendrais chercher quelque chose. Je lui ai laissé un téléphone portable avec mon numéro en priorité. Elle n’a qu’à appuyer sur le bouton appeler , car même si ses poignets son attacher, ses mains sont libre et a l’instant même où je recevrais son appel d’urgence sur mon téléphone. Je foncerais la délivrer. Je me suis entrainé au cas où, il me faut moins d’une minute pour la rejoindre et la délivré. Je préfère préciser et « casser » un peu le récit mais m’assuré que si quelqu’un s’en inspire, il comprenne bien que la sécurité est primordiale, indispensable et indissociable du rôle de maitre et que je ne fais pas cela au hasard)Au bout de quelque minutes j’ouvre la porte en fer et rentre dans le couloir mais au lieu d’aller à ma cave je fais comme si c’était un voisin qui venait voir la sienne pour rajouter a son stress et a son excitation.Je passe exprès devant ma cave plusieurs fois.J’entends un léger mais vraiment très léger bruit de chaine.Je fais mine de m’arrêter devant ma cave et d’écouter.Je l’imagine dans le noir, transie de peur d’être découverte, nu, attaché, humilié.Elle est dans le noir mais le couloir est éclairer et je sais qu’elle voit mon ombre qui se découpe dans la lumière qui éclaire sous la porte. Je l’imagine se recroquevillant, retenant son souffle afin de faire le moins de bruit possible pour ne pas être découverte.Quelques secondes passent puis je fais semblant de continuer mon chemin.Je repars et fait exprès de claquer la porte en fer.La lumière du couloir s’éteint à nouveau.J’attends encore quelque minutes et finalement rentre pour la délivrée.Lorsque j’ouvre la porte, elle est là dans un coin, rouler en boule, ses yeux exorbiter dans une expression de peur et d’inquiétude. Lorsqu’elle s’aperçoit que c’est moi, elle se rue à mes pieds en rampant toute heureuse.Je lis la gratitude et le soulagement dans ses yeux….comme j’adore ce moment.Je la prends dans mes bras pour la calmer, lui enlève son scotch et lui demande si elle est heureuse de me voir ?Elle me répond que oui.Alors je lui demande de le prouver et de se retourner pour me recevoir.Je n’ai pas fini de le dire qu’elle se retourne se met a 4 pattes et tant son cul vers moi.Je sors mon sexe et lui met en elle, fort, à fond, d’un seul coup.Elle crie, je lui mets ma main devant sa bouche pour qu’elle ne fasse pas de bruit. Elle hurle dans ma main sous mes coups de rein.Elle est toujours attachée ses mains jointes au mur.Ses chaines claques contre le sol à chaque balancement de son bassin.Je prends un morceau de scotch et je lui remets sur la bouche ainsi j’ai les mains libres pour lui écarter son cul pendant que je la prends.Apres quelques vas et viens, je m’arrête et me penche sur elle, et lui susurre a l’oreille. « Attention ça va faire mal …».Elle lève des yeux apeurés vers moi.Je lui écarte son petit cul et lui crache dedans, puis je m’introduis doucement en elle.Elle lâche un petit crie sous son scotch.Cela ne m’excite que plus et je reprends mes vas et viens dans son cul, de plus en plus vite, de plus en plus fort.Elle ramène ses mains encore attaché pour les mettre sur son baillons, tirant ainsi sur ses chaines et m’excitant encore plus.Je repasse dans sa chatte et Je la pénètre violemment comme elle aime tout en lui mettant un petit doit dans son cul.D'un seul coup, pendant que je prends mon pied, on entend la porte en fer qui s’ouvre.Nous nous arrêtons, nous fixons sans un bruit, la respiration est haletante mais nous essayons de faire le moins de bruit possible.J’entends quelqu’un qui viens dans les caves.Au bruit il se dirige a l’opposé de la mienne.Moi pendant tout ce temps je n’arrête pas mes vas et viens, ils sont juste beaucoup, beaucoup plus lent, pour qu’elle me sente en elle mais qu’elle ne fasse pas de bruit.On entend la personne faire du bruit dans sa cave.Comme si il chercher quelque chose ou qu’il rangé ca cave.Je profite du bruit qu’il fait pour mettre des coups de rein plus fort à ma soumise.Je voie bien que cela l’excite et qu’elle essaye de ne pas faire de bruit, appuyant ses mains sur sa bouche par-dessus son bâillon.La voir essayer de se faire discrète malgré mon traitement m’excite.Elle essaye de ne pas crier, de ne pas faire de bruit alors moi j’y vais plus fort, et lui remet un doigt dans son cul.L’inconnue de la cave prend son temps et moi mon pied.Alors que je défonce ma soumise, je sens qu’elle se lâche inconsciemment, elle accélère le mouvement de son bassin, reculant son cul vers moi par à-coup afin de prendre son pied et d’un seul coup je l’entends pousser un cri puis un râle sous son bâillon, je la sens tressauté et tremblé et mon doigt sent son anus se contracté.Elle ose avoir un orgasme sans mon consentement !Je la laisse finir de prendre son pied, je la voie essayer de se mordre la main à travers le scotch. Elle ralentie le mouvement, petit à petit, puis se détend vers l’avant laissant mon sexe presque sorti de dedans elle et ferme les yeux lâchant un petit soupir dans la poussière.Elle oublie qui est le maitre et a de la chance qu’il y est quelqu’un pas loin mais elle ne va pas s’en tiré à si bon compte. Je m’avance vers elle afin de me pencher sur elle, rentrant mon sexe en érection dans sa chatte endolorie par l’orgasme. Elle escarbille les yeux, ne s’attendant pas à ça, je m’enfonce doucement exprès en elle, elle tourne le regard vers moi. Je lui tire les cheveux en arrière et lui chuchote a l’oreille.« Tu jouis sans mon consentement ? Tu crois que parce qu’il y a quelqu’un tu vas t’en sortir comme ça ? Tu crois que c’est fini ? C’est moi ton maitre maintenant et tu n’es rien, c’est moi qui décide ! »Elle me regarde avec ses yeux de biche triste et secoue la tête pour dire non« Bien, alors je vais continuer, car c’est moi qui décide, tu vas ramasser hein ? »Elle répond oui de la tête« C’est bien tu es une bonne petite chienne »Et je reprends de plus belle le travail que j’avais commencé, elle ferme les yeux de douleur et de plaisir.Je continue à lui susurré des mots crue a l’oreille et lui dit « peut-être que je vais aller inviter se mec à venir te punir avec moi maintenant, peut-être que je vais l’inviter à prendre son pied avec le vide couille que tu es non ? »Elle me regarde avec un mélange de crainte et d’excitation.J’entends le bruit de l’inconnue qui arrête.Nous aussi.Il ferme sa porte et s’en vas pendant que nous retenons notre souffle.Je sors brusquement de ma soumise en disant « une prochaine fois peut-être »Je la détache, lui retire son bâillon de scotch et lui ordonne de me nettoyer avec sa bouche. Elle s’exécute.Bien quand tu auras fini nous passerons a ta punition lui dis-je…Elle sourit…fin ...pour l'instant...
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Par : le 13/04/15
Notre relation avait démarré quelques mois plus tôt, d'abord des échanges de courriers électroniques de plus en plus enflammés, puis récemment par téléphone... Mais nous ne nous étions encore jamais vu, pas même en photo, craignant, je pense,de briser une forme de charme érotique et sensuel que seul le virtuel peut apporter. Il est vrai que le passage "au réel" est toujours un risque, car c'est le moment où il va falloir assumer les délires numériques etles confronter à la dure réalité du monde physique... Bref, nous avions décidés de sauter le pas et je me retrouvais maintenant là, un peu bête, dans le froid et l'anonymat d'une grande gare parisienne ce samedi soir de janvier.J'étais nerveux et en avance, il était convenu que notre première rencontre aurait lieu dans un café, officiellement pas rassurer la demoiselle, mais aussi,beaucoup pour me rassurer moi-même. J'avais les mains moites, la gorge serrée,j'avoue que je me faisais un peu l'impression d'être un ado encore puceau lors de son premier rendez-vous amoureux... De toute manière, il était trop tard pour faire marche arrière, je la voyais déjà approcher. Elle m'avait ditqu'elle viendrait avec un imperméable noire et qu'elle serait incroyablement sexy... Mais là... Comment vous dire... J'étais abasourdi. Elle respirait la féminité,bien plus femelle encore que femme, sa silhouette divine et élancée semblait flotter sur le sol. A chacun de ses pas, assurés et conquérants, sa magnifique chevelure brune ondoyait comme au ralenti. Pour tout dire, je me serais cru pour quelques instants dans un film d'aventure, où le héros (obligatoirement beau, ce qui n'était pas vraiment mon cas) allez forcément charmer et attirer dans ses filets, l'héroïne, aussi belle qu'inaccessible et nymphomane, comme il se doit. Si nous n'avions pas été en hiver, j'aurais pu même m'imaginer qu'elle ne portait aucun vêtement sous son imperméable... Fichue région parisienne... Elle se prénommait Layla, elle était d'origine tunisienne et était encore étudiante en biologie lors de notre première rencontre. 26 ans, belle à se damner, et une tendance à la soumission, comme elle me l'avait très vite expliqué lors de nos premiers échanges. Elle vivait en couple depuis 3 ans, mais son compagnon ne partageant pas ses penchants, elle s'était vite transformée en une chasseuse d'homme, à la recherche de qui saurait la combler dans une relation de domination. C'est là, que j'entrais en jeu. Je me trouvais, finalement, dans une situation tout à fait analogue, ma femme étant farouchement opposée à tout comportement de domination, ou pire de sadomasochisme. Bref, Layla et moi,nous étions trouvés, et s'était donc naturel que tout cela finisse ici,à la gare de l'Est, entre une composteuse et un minable distributeur de sandwichs. Mais qu'importe, nous étions là. Contre toute attente, nous n'eurent aucun problème à briser la glace, nos longs échanges torrides par écrit ou téléphone avaient fait de nous des intimes plus que des étrangers, et c'est enfin détendus que nous nous sommes assis dans un petit café, à l’abri des regards indiscrets. Comme elle était très officiellement ma Soumise et moi son Maître, je lui avais donné des directives très strictes sursa tenue vestimentaire : Elle devait porter des bas (avec porte-jarretelle,bien entendu) ainsi qu'un ensemble de sous-vêtements très élégants que nous avions repérés ensemble dans une boutique de lingerie en ligne. Nous trouvions en effet tous les deux très excitant et sensuel une belle lingerie, bien plus préférable à la nudité totale, du moins dans un premier temps. Sûrement, pour moi, des réminiscences de ce plaisir enfantin de déballer un cadeau très attendu le jour de Noël. Pourtant, je la savais bien souvent nue chez elle et savais aussi que son sexe était toujours parfaitement épilé. Nous primes notre temps, devisant gentiment autour d'un café, ce qui ne m'empêcha pas à plusieurs reprises et le cœur battant à tout rompre du fait du lieu et de la situation,d'aller lui flatter impudiquement le sexe, lui faisant bien comprendre qu'elle était à ma disposition, en devoir d'assouvir toutes mes pulsions même – et surtout - les plus viles. Loin d'être choquée, elle semblait y prendre plaisir ce qui m'incitait à m'enhardir plus encore. Quand nous en fûmes au point où elle me léchait les doigts emplis de son nectar intime, la respiration courte et le pourpre aux joues, nous décidâmes de nous diriger vers la chambre quej'avais réservée dans un petit hôtel voisin... La chambre était vraiment laide, genre hôtel de passe, mais qu’importe le flacon, pourvu qu’onait l’ivresse… Jamais Musset n’avait sonné aussi juste à mes oreilles, et puis ce cadre glauque, en un sens, m’excitait profondément. Je la poussais sans ménagement sur le lit et elle émit un petit cri de surprise. Je mis longtemps à la déshabiller, profitant pleinement de la situation. Nous savions tous les deux que peut-être plus jamais nous ne revivrions ces instants et nous comptions bien en profiter. Etendue sur le lit, elle restait offerte, neportant plus que ces bas, son tanga et son soutient gorge... Je pris mon temps,définitivement... J'ai commencé par lui lécher et lui embrasser la gorge puis je suis doucement descendu entre ses seins, ma main juste posé sur son entrejambe dont je pouvais sentir l'abondante humidité malgré le tissu me cachant encore pour quelques instants sa grotte exquise. Avec mes dents, je dévoilais ses tétons que je léchais et mordillais jusqu'à la faire gémir, de cet espèce de gémissement soumis dont on ne sait trop s'il exprime la douleur ou le plaisir. Sûrement les deux, à cet instant-là, lui faire mal m'excitait au plus au point et m'effrayais tout autant. Je ne voulais pas lui faire mal, et pourtant je le désirais ardemment. Descendant de son nombril jusqu'à son entrejambe, ma langue ne s'attarda pas sur son sexe dont je respirais l'odeur à plein poumon. "Lève-toi etagenouille toi sur le sol" furent mes seules paroles. Ces yeux rivais dans les miens elle s'exécuta, sa voix tremblante me répondant dans un souffle court d'excitation "oui, Maître". Une fois à genoux, je la poussais dans l'angle de la pièce où j'immobilisais son visage pris en étaux entre l'angle de mur et ma poigne dominatrice totalement assumée. Sans autre forme de procès,j'ai pénétré violemment sa bouche de mon sexe turgescent et violet de désir et j'ai commencé une extraordinaire irumation dans sa bouche devenue maintenant simple objet de mes pulsions. Elle ne bougeait pas, elle ne pouvait pas bouger et mes vas et viens s'accéléraient sans qu'elle ne put lutter le moindre instant. Je la pénétrais jusqu'à la garde de mon sexe, l'enfonçant le plus profondément possible dans sa gorge. Elle hoquetait, avait du mal à respirer, mais elle était ma prisonnière, enchaînée de son plein grès à mon désir, la transformant pour un instant en un simple kleenex. Je jouis longuement en elle... Mon flot de sperme était tel qu'elle faillit s'en étouffer, une quantité non négligeable lui ressortant de la bouche malgré mon sexe et ces lèvres serrées avide de cenectar chaud et salé que je lui offrais. Quand je me retirais, en me regardantdroit dans les yeux, elle se lécha les lèvres d'un excitant coup de langue,pareille à une chatte lapant du lait. Nous ne dirent rien, il n'y avait rien à dire, j'avais jouis et elle n'avait servi que de réceptacle à mes vices..."Met toi en position de levrette à même le sol et fait toi jouir, Salope!". "Oui Maître, merci Maître", encore une fois, elle s'exécuta et ôta son tanga, puis se mis en position de manière obscène et servile devant moi, sa main droite fouillant frénétiquement sa chatte trempée. S'est alors queje me mis à la fessée. Plus ses fesses magnifiques devenaient rouges, plus ses doigts s'agitaient et plus ses râles de plaisir et de douleur se faisaient sonores. Son orgasme fut phénoménal et l'anéanti complétement.
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Par : le 13/04/15
Nous ne pensions pas, après notre première rencontre, qu'il y en aurait d'autres, comme si, d'une certaine manière, notre intense relation dans un minable hôtel de passe avait épuisé le sujet de notre érotisme, ou tout du moins qu'un seul écart dans nos vies biens rangées ne constituait pas, en soi, un adultère intégralement consommé. D'ailleurs, lorsque nous nous quittâmes ce soir là, ce fut sans un mot, et sans contact pendant presqu'un mois. Le temps sûrement de digérer, pour moi le profond sentiment de culpabilité qui me rongeait à chaque fois que je pensais à elle et d'assumer la présence d'un priapisme violent à la seule pensée de celle qui était en train de devenir mon fantasme absolu. Pourtant, bien souvent, la réalité n'est jamais à la hauteur du fantasme... Mais dans ce cas là, ce fut clairement le contraire. La charge érotique était telle que 4 semaines plus tard, j'en arrivais à me demander si je n'avais tout simplement pas rêvé cette nuit torride passée avec Layla. Bref, un mois plus tard, je rongeais mon frein, partagé entre l'envie folle de la recontacter et la peur viscérale que la même action provoquait en moi. C'est elle qui brisa ce silence tacitement imposé entre nous. Un simple "Je vous appartiens Maître" reçu dans un mail sans objet, me plongea dans des abîmes de désirs insoutenables. Elle avait été ma chose, et l'avoir traité de la sorte me faisait m'interroger sur moi, ma sexualité, mes valeurs. Bon, j'étais paumé quoi. Le concept même d'adultère avec elle m'excitait... Mais la "dominer", faire d'elle une poupée de chaire acceptant par avance tout ce que je pourrais lui faire "subir", dépassaient dans le désir et l'excitation tout ce que j'avais pu vivre jusque là. Je *voulais* abuser d’elle. La domination et la soumission, le sadomasochisme, relevaient avant elle d'une tendance très théorique sans réelle et profonde signification. J'avais peut-être trop lu "fifty shades of grey" sans vraiment comprendre... (Je préférais néanmoins le marquis de Sade). Mais maintenant je comprenais. Je comprenais que ma vie venait de changer et qu'elle en ferait à jamais parti, d'une manière ou d'une autre. Je comprenais qu'elle était *à moi* et qu'elle s'offrait entièrement sans demander aucune contre partie que celle de mon propre plaisir. Je comprenais aussi et surtout que ma sexualité venait de changer sans possibilité de retour en arrière. Je lui ais donc donné rendez-vous devant la même gare de l'Est. Même heure, même endroit. Le distributeur était toujours là, encore plus sale et plus minable qu'un mois plus tôt. Une éternité. La gare elle même était d'un terne révoltant, terne encore accentué par un ciel gris et des odeurs nauséabondes de désinfectants sous une chaleur étouffante. J'avais été très clair dans mes directives, elles avaient été données de manière très laconiques et sans aucune chaleur. J'essayais très maladroitement de rentrer dans mon rôle de "dominant", avec la conscience aiguë que je m'y prenais mal... Mais qu'elle ne m'en tenait pas rigueur pour autant, trop heureuse d’enfin appartenir à quelqu’un. J'avais en bandoulière un sac contenant un petit "équipement" de jeu... Je voulais lui faire une surprise, mais sans aller "trop loin"... enfin... Je lui avais demandé de venir nue sous son trench-coat. Quoi ? On a bien le droit de se taper son petit fantasme personnel non ? Et puis le trench coat c'est comme les bas avec porte-jarretelle, ça fait parti de l'inconscient fantasmatique collectif. Bon, ok, c'était aussi une preuve de mon manque d'imagination... Je lui avais aussi imposé une "pute-attitude", laissant à sa discrétion le choix de l'interprétation du concept, flou, même pour moi. J'étais dans ma demande très loin de l'image très érotiquement polissée que nous avions décidés la foi précédente, et je savais que ça allait indirectement contre ses propres goûts. Une manière encore une fois de m'imposer... Et, j'en étais certain, de la contenter dans son désire masochiste de m'appartenir coûte que coûte. Ca pour une "pute-attitude", je ne fus pas déçu. Une fois encore, je la vis s'approcher comme au ralenti, subjugué par sa beauté et sa vulgarité contenue. Elle portait bien évidemment de hautes cuissardes. Cette femme avait la classe, et quoi qu'elle fasse, elle ne pourrait pas avoir l'air *vraiment* vulgaire. Même le chewing-gum qu'elle avait dans la bouche, pour faire "plus vrai", était mâché avec féminité et élégance. Ce fut bien simple, tous les mâles présents à cette heure devant l'entrée de la gare se tournèrent vers elle, bouche entre-ouverte, tandis-que les femmes la dévisageaient, mi-intriguées, mi-scandalisées, mi-envieuses (...). J'éprouvais à la voyant arriver, un sentiment d'orgueil et de propriété vaniteuse que je ne me connaissais pas et qui me surpris tout autant qu’il me scandalisa et m’excita. Elle fusilla tout le monde du regard et tous les visages se détournèrent d’elle, mais ses magnifiques yeux s'adoucirent immédiatement lorsque nos regards se croisèrent. Elle était à moi et elle le savait. Tout son caractère, toute son intelligence, tout son être se mettaient au service de mon plaisir et se donnaient à moi sans retenue, acceptant tout par avance. Je la pris par la main et la guidais vers l'hôtel voisin où je sentais que nous allions avoir, in fine, nos habitudes. Entrés dans la chambre je lui dis "met toi nue" et elle fit tout simplement glisser son trench coat, révélant son corps superbe et tout dévoué à mon plaisir. « Tiens toi bien droite et ne bouge pas… quoi qu’il arrive… ». J’avais changé le ton de ma voix en prononçant ces dernières paroles, et j’espérais qu’elle y avait bien lu une forme de sadisme latent des plus inquiétants. Un frisson la parcourut… pour ma plus grande satisfaction tandis-qu’une ombre indéfinissable passait dans son regard. Que se disait-elle ? Avait-elle peur de moi ? Peur de ce rendre compte que j’allais *vraiment* abuser d’elle et que je n’étais peut-être pas celui qu’elle pensait, mais un monstre sadique digne des faits divers les plus vils ? A moins qu’elle n’ait *envi* que j’use et abuse d’elle comme bon me semble... Cette ombre n’était peut-être finalement que de l’impatience contenue. Dans la chambre mitoyenne, quelqu’un écoutait la radio, et la scène en prenait une allure des plus surréalistes. Elle ne bougeait pas, acceptant sans broncher, pour le moment, ce rôle activement passif que je lui imposais. Moi, je prenais mon temps, faisant glisser mes mains, mes doigts sur son corps, l’inspectant comme un esclavagiste inspecterait un futur esclave. Son visage, son coup, son dos, le bas de ses reins, ses fesses, ses jambes puis ses seins, son sexe, sa bouche… J’allais partout de la manière la plus impudique qui soit, lui faisant bien comprendre qu’elle n’était rien d’autre qu’un mannequin manipulé et habillé par mon désir. Mes doigts venaient flatter son sexe et la pénétraient sans ménagement de plus en plus. Elle, en retour, ne bougeait pas, restait immobile, et mouillait abondamment… Mes doigts étaient trempés de ses sécrétions intimes, et je les lui faisais lécher régulièrement sans qu’elle n’émette le moindre son. Après un bon quart d’heure de ce traitement, j’avais suffisamment dilaté son sexe pour pouvoir y introduire presqu’intégralement ma main. Elle jouit brutalement, tout son corps se raidissant et vibrant d’une manière incontrôlée… Elle ne réussit pas à retenir un râle guttural des plus excitants et je ne lui permis pas de s’allonger… Elle devait rester debout parce que tel était mon désir, et ces yeux noirs exprimaient un mélange d’extase absolue mêlée à quelque chose d’autre, totalement indéfinissable… De la colère ? de la haine ? De l’abandon peut-être. « Retourne toi et reste bien droite ». Elle resta là, sans bouger, me tournant le dos et moi je ne disais rien, ne bougeais pas, au point même qu’elle devait se demander si j’étais encore là. Puis, très lentement, j’ouvris mon sac, faisant jouer la fermeture éclaire avec le plus de bruit possible. Je sortis un tube de lubrifiant et je lui enduis l’anus avec une infinie douceur. Elle ne s’attendait pas à mon contact, et elle tressaillit de surprise. « Ne bouge pas ! » lui entonnais-je et immédiatement elle se ressaisit. Je sortis aussi de mon sac un énorme godemichet que je posais ostensiblement dans son champ de vision de même qu’une paire de menottes, une bougie et une cravache… Elle se mit à trembler de manière visible, l’angoisse montant au creux de son ventre, tout comme l’excitation qui atteignait des sommets, son jus intime dégoulinant maintenant abondamment entre ses cuisses et le long de ses jambes, son bassin ondulant légèrement au rythme d’un amant invisible. Dans la pièce d’à côté, Balavoine chantait « on nous prend pour des fous… ce qu’on peut penser de nous on s’en fout… »… Toujours ce côté surréaliste… L’univers entier fomentait un complot et nous faisait un clin d’œil. Je me mis enfin nu, et c’est sans ménagement que je me mis à la sodomiser, avec une brutalité à peine contenue et un plaisir évident. Je voulais voir jusqu’où elle était capable d’aller, et je commençais à craindre, que ses limites ne soient plus lointaines encore que les miennes. Son corps était secoué par mes coups de boutoir mais elle tenait bon et ne bougeait pas, même si je sentais qu’elle contractait périodiquement les muscles de son vagin… La petite câtin arrivait à se masturber sans se toucher et cette simple constatation augmenta encore mon érection. Je mis ma main dans sa chatte pour mieux sentir son plaisir. Malgré elle, elle se mit à gémir autant de plaisir que de douleur et je n’intervins pas. Je jouis en elle abondamment, mon sperme inondant largement hors de sa grotte interdite et glissant le long de ses fesses. Elle avait mal, je le savais, je le *voulais*, et de cette douleur même elle tirait de la satisfaction… celle de porter dans sa chaire la douleur de mon plaisir. Elle s’oubliait elle-même, s’abandonnant à mes envies. Je la poussais à genoux et mon sexe à nouveau turgescent pénétra sa bouche tandis- que je me saisissais de la cravache. Elle hésita, frémissant de crainte et d’envie mêlées et son regard clairement angoissé maintenant se fondit dans le mien. Et pourtant, elle continuer à silencieusement se masturber… Je lui souris et contre toute attente lui dit « un mot de toi et je m’arrête ma Layla ». Elle ne dit rien et je la fis se relever, accompagnant son mouvement de mes doigts dans son sexe trempé. Elle me regardait, clairement partagée entre le plaisir, le désir et l’appréhension. Je sortis alors de mon sac une magnifique corde de lin qui finit à côté de la bougie et du godemichet… Elle me lança un regard d’une perversion absolue, jouissant par avance de ce qu’elle allait me laisser faire… Notre nuit ne faisait que commencer… et moi je me mis à me demander qui de nous deux dominait l’autre finalement…
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Par : le 09/04/15
Dès les premiers échanges sur un tchat BDSM, je l’ai remarquée. Elle avait du style de la prestance et une certaine douceur dans sa façon d’écrire. J’y suis sensible. Sur sa fiche, l’image d’une paire de jambes féminines vêtues de cuissardes. J’y suis également sensible. C’est stupide. Les images de femmes en cuissardes pullulent sur le net et il n’est pas si difficile d’avoir de la prestance sur un tchat, il suffit de le vouloir et de prendre son temps avant d’écrire. Mais j’ai senti quelque chose avec Elle, tandis que nous échangions sur un salon peuplé de soumis et de quelques dominatrices. Et j’avais le désir qu’Elle me remarque, je voulais faire la différence, parce qu’Elle me plaisait. Je suis d’un naturel assez réservé, même sur un tchat. Mais cette fois là, je me suis dit qu’il fallait agir, ne pas passer à côté d’une opportunité. Je préférais ne pas plaire plutôt que de ne pas savoir. J’ai su me faire remarquer, j’ai su lui plaire, pour mon plus grand bonheur. Rapidement nous échangions par message privé, puis par mail et par sms. Tous ces échanges ne faisaient que confirmer ma première impression et j’étais heureux d’apprendre que je lui plaisais. Vinrent les échanges de photos, une femme magnifique avec un regard irrésistible. Mais je n’étais pas son type, pas moche mais pas le soumis qu’elle s’imaginait. Elle semblait douter, l’attirance cérébrale était forte. L’attirance physique ne se discute pas vraiment. Je devais bien m’incliner. Néanmoins nous gardions contact, les échanges étant toujours si intenses, si agréables. On se comprenait. Pour Elle j’eus de l’audace. Je lui exprimais mon admiration, mon désir de la vénérer, l’image de Déesse que j’avais d’Elle. Je n’avais pas le moindre doute, une sensation nouvelle pour moi… l’évidence. Ce que j’ai toujours cherché. D’une certaine manière je lui restais fidèle, même si Elle n’était pas ma Maîtresse. Je voulais simplement la satisfaire, être à sa disposition sans être envahissant, disponible pour Elle. Puis vinrent les échanges en skype, la voir bouger, sourire et surtout me regarder. Le photos ne lui rendaient pas honneur. Elle était encore plus fabuleuse en mouvement. Et ce regard sur moi, indescriptible, un instant de bonheur. Puis Elle changeait d’avis. Elle me voulait pour lui appartenir, être sa chose. J’en fus bien sûr très heureux et dès ce moment, je l’appelai Maîtresse. La relation démarra à distance car nous étions distants. Impossible de se voir spontanément. La distance, les vies à mener de chaque côté, pas simple de se voir. Pour la première fois je vivais la relation à distance, sans réel, sans contact physique, frustrant aussi bien pour Elle que pour moi. Mais mon plaisir fut pourtant bien plus grand comparé à mes précédentes relations réelles. A ma grande surprise j’y prenais beaucoup de plaisir, lui raconter ma journée chaque soir, parfois suivre ses ordres ou ses consignes. Je fus parfois puni, je me suis parfois rebellé mais la relation continuait, toujours forte, de plus en plus complice. Avec moi Elle pouvait être totalement Elle-même. Je m’adaptais à son humeur, à ses désirs et j’y prenais un grand plaisir. Je me rendais disponible pour Elle. J’avais un surnom juste pour Elle. Au bout d’un certain temps elle décida de faire le trajet pour venir passer un week end chez moi. Le passage en réel peut être délicat, d’autant plus quand il y a de la distance. Mais je n’avais aucun doute. J’acceptais l’idée de ne pas lui plaire en réel, sa simple présence me suffirait. Je l’attendais à la gare, impatient et stressé, le genre d’instant dont on se souvient, qui nous rappelle qu’on est en vie. Elle apparut enfin, souriante, j’étais à Elle. Un baiser sur la joue, c’est ce qui était convenu. Puis je prenais sa valise et l’emmenait chez moi. Le soir même j’étais nu et à genoux devant Elle. Elle avait apporté plusieurs paires de bottes, Elle savait bien sûr que j’y étais sensible. Elle me demanda quelle paire je préférais. Je n’osais pas répondre, mais Elle le fit pour moi. Elle avait deviné, Elle me connaissait déjà si bien. A sa demande je me mettais à 4 pattes pour lcher ses bottes tandis qu’Elle me cravachait les fesses. Au cours de ma vie j’ai eu l’occasion de vivre ce genre d’expérience plusieurs fois. Et souvent je ne pouvais m’empêcher de réfléchir tout en léchant les bottes. Je me visualisais pendant cette situation. Parfois je me demandais pourquoi je faisais ça, je me demandais si j’y prenais du plaisir. Cette fois là, ce fut différent. Je ne réfléchissais pas, j’obéissais, je me soumettais à ma Maîtresse. Je découvrais à quel point j’y prenais du plaisir et à quel point ce plaisir pouvait être intense. Je ne me visualisais pas, je vivais l’instant. Malgré la cravache, la soumission je ressentais une grande douceur venant d’Elle. Une puissance devant laquelle je m’inclinais avec bonheur. Pendant ses déplacements et sans le vouloir, son pied marcha sur ma main. Nous en furent surpris tous les deux. Et sans réfléchir, je redoublais de ferveur avec ma langue sur le cuir de ses bottes, comme pour exprimer ma soumission. Même sans faire exprès, Elle était ma Maîtresse et je devais lui montrer que j’étais prêt à subir pour Elle. Elle s’arrêta et je pus sentir son plaisir ce qui fit redoubler le mien. Ensuite Elle s’installa sur le fauteuil et m’ordonna de m’approcher d’Elle à genoux. Elle prit mon sexe dans sa main avec lequel Elle joua un moment, provoquant parfois la douleur, toujours compensé par une extrême douceur comme sa joue contre la mienne, ses lèvres sur mon visage. Puis je dus lui donner du plaisir avec ma langue, aussi longtemps qu’Elle le désirait. Ce plaisir fut intense pour moi. Et enfin je pus me masturber dans ma main, jouissant au moment où Elle le décidait. Le week-end passa ainsi, fait de discussions, de plaisir et de soumission à Elle. Parfois je ne portais que mon collier juste pour discuter. Puis Elle repartit après ces deux jours qui passèrent trop vite. La relation continua un moment à distance. Puis Elle fit une rencontre vanille face à lequel je ne pouvais représenter aucune concurrence si ce n’est son désir de dominer. Elle fit un choix, celui de vivre l’amour vanille. Bien sûr j’avais le regret de perdre cette intensité mais je souhaitais son bonheur et j’avais la confirmation que j’aimais être soumis à une femme. J’avais aussi compris grâce à Elle que je n’étais pas soumis à toutes les femmes et qu’il ne suffisait pas de porter des bottes ou des cuissardes pour que je ressente cet intensité. C’est bien la femme qui compte avant tout et la relation qui se construit avec Elle, la complicité qui émerge et se fortifie avec le temps. La capacité de deviner les désirs de l’autre et partager plus que des séances. Je ne sais pas si c’est de l’amour, mais c’est ce que je recherche… loveboot
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Par : le 08/04/15
Sans mot dire, elle s’assied par terre, tire le bas sur sa peau diaphane, lisse une mèche de cheveux, s’agenouille enfin, jambes écartées, mains jointes sous les fesses, épaules en arrière, seins dardant sous la brise fraîche de la clim. L’attente, excitante… Et ce regard dans son dos qu’elle sent, pesant, assombri mais où brille une lueur lubrique. Le silence accroît cette sensation dense et humide, presque tropicale, avec quelques degrés supplémentaires lui arrachant une perle sur la tempe, rougissant ses joues, gonflant sa poitrine autant que dilatant sa pupille. Elle inspire un grand coup, règle sa respiration qu’avait augmenté les battements de son cœur, ralentit cette galopade qui lui vrille les sens et progresse dans son ventre où gonfle cette boule pressante, vivante, exigeante. Elle devine cet afflux qui irradie son sexe, elle sent le miel couler dans la fente douce et renflée, ouverte. Elle prend conscience de cette eau douce qui coule sur ses cuisses, en jouit d’avance. Elle respire sa propre odeur de cyprine, en est troublée, redouble d’excitation, toujours suspendue, en alerte. Elle ferme alors les yeux pour savourer cette onde qui l’envahit entièrement, frissonnante et abandonnée : le désir qui la prend est un avant-goût de sa domination.
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Par : le 07/04/15
MEA CULPA Mea culpa mais aussi conseil d’un « vieux de la vieille » pour les nouveaux dans ce monde. Certaines ou certains me connaissent ici sous la « bannière de Maître ». Aujourd’hui, et après de nombreuses années passées à dominer, je préfère m’en retirer le titre. Parfois nous nous confortons dans cette image qui n’est, en fin de compte, que celle que notre ego nous dicte . N’étant pas issu du milieu libertin, (chacun ses pratiques ou ses envies mais ce n’était pas les miennes. Je respecte cependant toutes catégories), je suis entré de suite dans celles qui me touchaient, qui me faisaient vibrer. Le BDSM Mon parcours a souvent été semé d’embûches en tout genre. Même l’apprentissage n’est pas une mince affaire dans ce genre de relations. « jeux », « pas jeux » ? Je ne vais pas continuer à vous énumérer ce parcours. Des soumises ? Oui ! Les aléas de la vie font parfois que les relations se terminent brusquement avec une grande claque en pleine tête. Certes, on se remet plus ou moins vite sur pied mais difficilement. L’Homme est ainsi construit. Pour en revenir à « mon histoire », « notre histoire » avec ARC et pour ceux qui pourraient se poser des questions, je vais vous en donner un bref aperçu et chacun de vous pourra en tirer une conclusion ou plus judicieusement un conseil. NE JAMAIS COMMENCER UNE RELATION TANT QUE LE CŒUR RESTE ENCORE UN PEU AILLEURS. J’avais tout misé sur Arc en pensant que mon choix était établi. Hélas une autre était encore présente. Cinq années partagées avec des hauts et des bas. Beaucoup de bas les derniers temps. Avec Arc, nous avions des échanges plus ou moins réguliers quand j’étais avec ma soumise. Juste envie de discuter sauf que déjà, j’avais une forte attirance vers elle. Et puis voilà le moment où cette soumise, cette FEMME, devient libre. Une approche, des échanges…. Des heures à parler, à discuter de tas de choses. La rencontre : Celle que je voyais dans toutes les galeries était encore plus belle que sur les photos. Ceci dit, en passant, CELLE qui considère qu’elle est vieille, « obèse », n’est pas passée par tous les stades de la vie. Nous verrons comment elle sera après un accouchement ou plus. Une fois la ménopause venue … l’âge… Facile de parler quand on a 20 ou 30 ans de moins. Et puis comme j’ai toujours dit : Il vaut mieux un corps avec du répondant, avec des formes douces et pulpeuses plutôt qu’un corps que l’on a peur de "casser". De mon côté Homme, Mesdames soyez fières d’être aussi dévouées dans notre monde de « dépravés » car votre Dominant, en contrepartie, ne vous apportera certainement moins que ce que vous lui donnez. Vous êtes, en quelque sorte, notre force d’avancer. Arc est belle, Arc ne manque pas de personnalité. Arc est une bourrique mais c’est tellement agréable d’avoir quelqu’un ayant du répondant. Arc est volontaire et sait se donner, oui, se donner. Je suis déjà jaloux de son futur Maître. Une histoire parmi tant d’autres qui se termine mal par la faute de l’un des deux. J’assume en être ici le seul responsable par un choix, qui, je le sais d’avance, ne sera pas obligatoirement le bon. J’ai rédigé ce texte avec tout mon ressenti. Notre relation entre Elle et moi est terminée sauf que… sachez, Messieurs les futurs prétendants, je garderai contact avec Arc. Avant de vous engager, pesez le pour et le contre. Si vous êtes mariés, passez votre chemin. Si vous êtes en hésitation pour une rupture annoncée, passez votre chemin. Si vous pensez chercher une carpette, passez votre chemin. Si vous pensez pouvoir devenir Son Maître, capable de lui apporter bonheur, sincérité, plaisirs partagés… osez ! L’autodestruction du scorpion que je suis et qui vient de se détruire une fois de plus. M_JPS Le 7 avril 2015
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Par : le 07/04/15
Pour savoir ce que vous en pensez, je l'ai écrite pour moi. Les remarques, critiques, conseils et suggestions sont les bienvenus, et plus particulièrement s'ils sont argumentés. LETTRE D'ENGAGEMENT MUTUEL A LA DOMINATION ET A L'ESCLAVAGE Cette lettre lie dans un engagement mutuel : ….............................., qui sera désigné par la suite comme l'esclave. Et : ….............................., qui sera désigné par la suite comme le Maître. Par cette présente lettre, l'esclave s'engage sur l'honneur à se soumettre à la volonté du Maître, à se laisser asservir, exploiter, violer, séquestrer et torturer par lui de toutes les manières qu'il lui plaira, ainsi que par toutes les personnes à qui il donnera son autorisation. La suite de cette lettre présente un exemple de vie que souhaiterait vivre l'esclave, même s'il n'impose pas cet exemple précis au Maître. L'esclave s'engage sur l'honneur à ne jamais tenter de s'émanciper lui-même. Par cette présente lettre, le Maître s'engage sur l'honneur à exploiter à volonté l'esclave, mais aussi à le maintenir dans un état de santé satisfaisant (notamment en ce qui concerne sa bipolarité), et à chercher à le rendre globalement heureux dans l'esclavage et la torture qu'il lui infligera. S'il donne à une tierce personne l'autorisation d'utiliser l'esclave, il s'engage sur l'honneur à veiller que cette tierce personne l'utilisera de manière responsable, en respectant lui-même l'engagement précédent du Maître sur la santé et le bonheur de l'esclave. Le Maître s'engage sur l'honneur à ne jamais donner ou vendre à titre définitif l'esclave à une tierce personne, en gardant toutefois le droit de le prêter ou de le louer. Signature de l'esclave : Signature du Maître : EXEMPLE DE VIE DESIREE PAR L'ESCLAVE Dès la signature de ce contrat d'esclavage, toutes les possessions de l'esclave sont remises au Maître, et l'esclave devient une possession du Maître. Toutes possessions que l'esclave obtiendrait à titre définitif et d'une manière ou d'une autre par la suite doivent être au plus vite données en offrande au Maître, de manière à ce que l'esclave ne possède plus jamais rien. Les possessions qu'il obtiendrait dans le but de les donner, de les transmettre ou de les rendre par la suite à une tierce personne doivent leur être remises à la première occasion, et ne seront donc pas offertes au Maître. Par amour pour le Maître, l'esclave accepte de se faire asservir par lui. A partir de ce moment, l'esclave garde en permanence une attitude docile et servile, et garde les yeux baissés quand il est face à son Maître. L'esclave appelle alors son Maître «Maître» et le vouvoie, tandis que le Maître le tutoie en retour et l'appelle comme bon lui semble. Chaque fois que le Maître et l'esclave se retrouvent dans la même pièce, l'esclave salue le Maître en s'inclinant respectueusement. Quand le Maître s'absente et revient chez lui, l'esclave l'accueille en s'agenouillant devant lui. L'esclave est dressé à être efficace au travail, heureux et plaisant à côtoyer dans sa servitude, et à la fois humble et fier de sa condition d'esclave, ayant appris à se sentir honoré par son asservissement. Il est dressé à servir aussi bien son Maître que toute autre personne à qui le Maître le prête ou le loue. Il a appris un minimum sur la cuisine, le jardinage, le bricolage et la mécanique automobile pour mieux servir son Maître. Il est aussi entraîné à être violé sans ménagement par son Maître et par les amis de son Maître, et à être torturé de manière de plus en plus extrême et de plus en plus fréquente pour pouvoir supporter toujours plus de douleur. Les séances de tortures seront toutefois sécurisées avec, au minimum, un safeword que doit respecter le Maître. L'esclave est entraîné à accepter sans broncher toutes les humiliations, et à les recevoir comme des preuves d'amour de son Maître. Les journées de l'esclave sont généralement divisées en trois périodes, que le Maître peut déplacer, raccourcir et allonger à loisir. Durant la période de travail, l'esclave est relativement libre. Le Maître lui met ses fers au cou, aux poignets et aux chevilles, et l'esclave vaque à ses tâches domestiques. C'est principalement durant cette période que le Maître utilise son esclave, pour des relations sexuelles, pour des séances de tortures, ou pour des choses plus simples comme discuter avec lui ou regarder un film avec lui si le Maître le désire. De temps en temps, l'esclave peut aussi accompagner le Maître à l'extérieur (sans ses fers s'ils sortent en public, mais en portant toujours au moins un collier de chien pour indiquer clairement sa condition servile), pour que l'esclave porte les courses du Maître ou conduise sa voiture par exemple. L'esclave n'a jamais le droit de sortir seul de la demeure du Maître, et si celui-ci s'absente pendant cette période, l'esclave est au moins enchaîné dans une pièce de la maison pour éviter toute tentative de s'enfuir. Durant la période d'écriture, l'esclave est enchaîné à son bureau pour écrire. Un ordinateur est mis à sa disposition pour cela, avec une connection internet. L'esclave a le droit de lire des livres, de faire des recherches, de regarder des images, d'écouter de la musique et d'entretenir des interactions avec d'autres internautes, car cela peut aider à faire germer des idées pour l'écriture et à enrichir ses discussions avec le Maître, mais le Maître surveille son historique de navigation et ses discussions, et n'hésite pas à lui bloquer l'accès des sites où il va perdre mon temps. Le but premier de cette période reste en effet que l'esclave écrive pour le Maître, qui apprécie son écriture. Si l'esclave parvient à vendre des livres, les bénéfices sont donnés en offrande au Maître. Durant la période de repos, l'esclave est enfermé et enchaîné dans un cachot ou une cage, de manière plus ou moins contraignante selon les envies du Maître, qui le laisse alors ainsi se reposer et dormir. Bien entendu, rien n'empêche le Maître de venir voir l'esclave et de le réveiller de la manière qui lui plait le plus et pour n'importe quelle raison qu'il puisse avoir, même aucune en particulier, car l'esclave est à son service de manière permanente et il a le droit de faire tout ce qu'il désire de lui. L'esclave porte en permanence une cage de chasteté, et il n'est autorisé à jouir qu'en de très rares occasions. Le reste du temps, il est trait pour ne pas avoir d'éjaculation nocturne. De son côté, le Maître peut le violer à volonté, et accumuler autant de partenaires qu'il le désire, à qui il peut prêter l'esclave sexuellement ou pour être torturé ou pour n'importe quel autre service. Il est interdit à l'esclave de manger quoi que ce soit sans permission, tout autant qu'il lui est interdit de boire autre chose que de l'eau sans permission. L'eau quant à elle lui est la plupart du temps laissée à disposition dans une écuelle pour chien. La nourriture lui est généralement donnée dans une gamelle pour chien, ou à même le sol, ou alors l'esclave la mange directement dans la main de celui qui la lui donne, de manière docile et soumise. L'esclave ne porte pas sa nourriture à sa bouche avec ses mains, c'est sa bouche qui va à la nourriture là où elle se trouve. A moins qu'on donne temporairement à l'esclave le droit de participer à une discussion, ou que l'on lui adresse directement la parole et qu'il doive répondre, l'esclave doit systématiquement demander l'autorisation de parler avant de pouvoir le faire. Des demandes trop fréquentes ou une demande de prise de parole inutile ou impertinente peuvent l'exposer à une punition. Dans certains cas d'urgence, il peut lui être pardonné de prendre la parole sans permission. Le Maître a appris à l'esclave à hurler, à aboyer, à grogner, à gémir et à japper comme un loup ou un chien, ainsi qu'à marcher et à courir à quatre pattes. Il lui a appris à se considérer non pas comme un homme, mais comme un canidé, et chaque fois qu'il le lui ordonne, il se conduit comme un véritable chien, obéissant et bien dressé. L'esclave est ainsi l'esclave de son Maître, 24 heures par jour, 365 jours par an, et ce pour le reste de sa vie. Il peut ainsi à loisir le faire tatouer, scarifier ou marquer au fer rouge pour représenter le caractère permanent et définitif de son asservissement. En échange de ce dévouement, et par amour pour l'esclave, le Maître s'engage à le maintenir dans un état de santé satisfaisant (notamment en ce qui concerne sa bipolarité), et à le rendre globalement heureux dans la servitude et la souffrance. Ce sont, au final, les seules limites fixées à la façon dont il peut traiter l'esclave, ce qui laisse de grandes marges de manœuvre au Maître étant donné le goût prononcé de l'esclave pour la servitude et la souffrance.
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Par : le 05/04/15
Il rentrait enfin chez Lui. La journée a été aussi longue et dense que fatigante. Mais malgré cela, la satisfaction d'avoir quitté le bureau en laissant le travail correctement terminé pour ce jour se lisait sur son visage. Déjà l'esprit vagabondait... le temps d'un instant, sans avoir à courir après le temps. Il sait qu'à peine après avoir posé le pied sur le quai, la réalité va prendre le dessus et qu'il va falloir gérer repas-douche-gammelle du lendemain-courrier avant de se coucher car Mister Réveil est un lève-tôt … On n'est pas bien loin du «métro boulot dodo». Pas toujours simple de caser une séance dans ce bousin... Si ce n'est pas Chronos qui met son grain de sable, c'est Morphée qui s'en chargera. Les flèches d'Eros ne peuvent rien …. En pleine pensée, il regarde le paysage défiler sous ses yeux.... Il avait regardé des résumés de livres, des films basés sur des histoires de BDSM. Il souriait. Tous ces types, Dominants, étaient pleins aux as. Les plus «clochards» d'entre eux n'étaient que millionnaires et possédaient des empires industriels. Mais surtout, ils avaient tous le Temps …. Le Temps de s'occuper de leur soumise comme bon leur semblait, d'avoir totalement l'esprit pour, et d'en mettre plein la vue au passage.... Salauds! Son Empire se résumait à un open-space, mais il avait quelque chose que tous ces Dominants n'avaient pas: un chauffeur et un chef de bord dans un véhicule long de plus de 50m … Bon, traduisons qu'il revient du bureau en TER et qu'il a la chance d'être assis sur un fauteuil défraîchi par plus de 5 ans de bons et loyaux services. Ce soir-là, il n'y avait pas trop de monde. Pourquoi la Domination est en rapport forcé avec des types de pouvoir, fortunés? La littérature est parfois curieuse... d'autant plus étrange qu'elle véhicule un cliché par forcément représentatif. Des soumis(e)s ne sont justement pas des personnes qui veulent lâcher prise et ne plus avoir le poids de décision, d'enjeux, de responsabilités, de soucis du paraître, comme du politiquement correct? Les «pouilleux» qui se tapent le train défraîchi et la foule pour bosser n'ont-ils pas droit à leur lettre de noblesse? Ce serait certainement moins vendeur … L'élite et son cortège d'avantages fait tellement fantasmer, aussi … Le quai approche. Retour à la réalité. La soirée s'est déroulée comme à l'accoutumé. Rapidement, bon repas, les gamelles sont prêtes, la douche est prise. Mais l'envie est tenace. Pour les 2. Elle et Lui. Alors, tant pis pour la routine … Les cordes sont de sortie. Elle s'assied sur le lit. Pas un mot ne sort; quelques regards sont échangés. Seules ses mains s'activent et tissent le bondage des seins qu'Il lui fait. Un cordage tout simple, mais magique: les seins de son Joyau sont resplendissants, mis en valeur, offerts. A peine le nœud serré qu'Il la fait coucher sur le dos. Il se délecte de cette position et de cette offrande qu'elle lui fait. Ses doigts parcourent aussitôt le galbe de la poitrine et viennent titiller les tétons, très vite durs. Quelle beauté! Quel paradoxe! Ses magnifiques seins offerts, entravés, chatouillés, câlinés.... et torturés dans la foulée. 2 pinces sont posées dessus, dans un léger soubresaut de douleur et de surprise. Quel paradoxe qui est celui du mélange de la douleur et de la tendresse... C'est ce qu'Il aime. Afin qu'elle le déguste au plus profond de son âme, Il lui bande les yeux. Le sens du touché en sera d'autant plus exacerbé que les sensations seront cycloniques. Les mains de son Joyau sont toujours libres quand Il pose sa bouche sur un de ses seins, puis sur ses lèvres, déposant par-ci et là des doux baisers. Surtout, pas de jaloux entre seins; les 2 sont couverts de baisers furtifs mais déposés partout sur la peau. Les lèvres sont visitées, mais aussitôt, un autre baiser est laissé au milieu de la poitrine, suivi d'un autre sur l'oreille. La danse continue, tout aussi passionnée, ne laissant pas à la peau le temps de refroidir. Un baiser sur le nez, un autre sur le sein, un 3ème juste à côté, un autre entre les cordes, encore un autre sur le sexe, puis dans le cou …. un gémissement est lâché puis un autre quand le baiser remonte derrière l'oreille. Elle ne peut s'empêcher de poser doucement ses mains, encore libres, sur Lui, le caressant tendrement aussi, prélude au voyage qu'Il lui prépare... Il apprécie fortement ce moment de tendresse. C'est une façon pour Lui de prendre possession de ce Corps, de jouer avec Lui. Cela lui rappelle un très vieux clip vidéo qu'Il avait vu à une époque où Internet n'en était qu'à ses balbutiements (et ses connaissance en BDSM aussi). 2 Dominas couvraient de tendres baisers une soumise, attachée, offerte et bâillonnée. A chaque fois, cet érotisme faisait son effet. A présent, ce fantasme se concrétisait …. Prolongeant ces baisers, une de Ses mains vient explorer l'intimité de sa soumise, déjà bien trempée. C'est le début du Voyage. Pendant qu'il fait gonfler le clitoris, Il arrête les baisers et se rapproche pour offrir sa Queue. Le membre est raide comme de la pierre, Il est accueilli avec délice et gourmandise par la bouche de sa soumise. Le moment de plaisir est intense, mais c'est n'est que le début. Lui laissant le plaisir de le sucer, Il lui passe des bracelets aux poignets et l'attache, bras écartés. Enfin, Il revient s'occuper de la chatte qu'Il avait commencé de chatouiller. Le Plaisir montait rapidement en elle; Il le voyait via les va-et-vient et frénétique et l'intensité de cette pipe qu'elle Lui faisait. Même en plein orgasme, elle profitait le plus longtemps de Sa queue et n'était pas du tout résolue à la voir partir de sa bouche. Il était à 2 doigts de jouir également, mais Il profitait de ce court moment de calme de sa soumise pour se mettre à ses pieds. Délicatement, Il lui enfila sa paire de stilettos, puis les bracelets de chevilles. L'ensemble obtenu était magnifique pour sa soumise. Il la met aussitôt en levrette, chatte offerte, bâillon en bouche, jambes écartées et attachées. Il la pénétra d'un coup et de violents va-et-vient s'ensuivirent. Il n'en faut plus pour qu'Il la prenne sauvagement, défonçant sa chatte. Il saisit le bondage des seins, noués dans le dos, pour avoir une meilleure prise. C'est tout le corps de sa soumise qui répondit, avec les gémissements, aux coups de butoir de Son membre. Il ne lui laissa aucun répit et prit son temps, dégustant ce moment bestial. Quel plaisir de baiser ainsi sa soumise, criant d'orgasmes, perdant par moment son contrôle. Il s'aperçut au passage qu'Il ne lui avait pas entravé les mains dans le dos.... ce sera pour une autre fois, le déluge de sensations est déjà bien puissant. Enfin, les coups de butoirs cessent et sa soumise s'apaise. Ce n'est qu'une accalmie, Il n'en a pas fini. C'est sur le dos qu'Il la fait mettre, poignets attachés aux chevilles, la position de «torture orgasmique». Elle va être incontrôlable, Il l'aime la voir ainsi. Reprenant possession d'elle, la violence des va-et-vient qu'Il lui fait subir ne lui laisse aucun répit. Les orgasmes la torturent, emportée par un torrent de sensations. La puissance de ses accoups est telle qu'elle doit faire une pause pour cause de crampe.... Mais c'est pour repartir de plus belle dans une passion aussi bestiale qu'intense. Alors qu'Il était en train de caresser le pied de sa soumise délicieusement enfermé dans son stiletto – un de ses objets fétiches -, son Corps se mit soudainement à se raidir dans une formidable explosion de plaisir. Affaibli par une telle jouissance, Il se retire doucement de sa soumise, qui se détend également. Doucement, tendrement, Il lui retire la bandeau et, avec ces Mains qui l'ont attachée, prise, excitée, baisée, titillée, bâillonnée, encordée et la prend dans Ses bras. Un baiser sur la joue, une caresse derrière la nuque, c'est le retour au calme après pareil torrent de sensations. Épuisés, mais heureux de cet instant unique, ils s'enlacent de bonheur. Comblés par ce moment de plaisir intense et d'échanges, ils se laissent aller, doucement, entraîner par les bras de Morphée....
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Par : le 11/03/15
La nouvelle suivante (ou plutôt les deux nouvelles suivantes) sont en cours de travail. Elles n'ont pas pour but de fantasmer, mais de tenter de faire une présentation romancée du BDSM, et pour cette raison sont soft. Je les propose ici pour recevoir des conseils à lur sujet pour mieux les finaliser et donner la meilleure image possible du BDSM. Théoriquement, elles sont sous licence Creative Commons BY-NC-SA : en gros, si elles vous plaisent, vous pouvez les partager sur votre blog, si ce n'est pas dans un but lucratif, et si vous me faites une petite publicité au passage en citant au moins le nom de l'auteur. Toutefois, si elles vous plaisent et que vous voulez les partager, je vous conseille d'attendre d'éventuelles améliorations avant de le faire. Voici donc les nouvelles, en espérant qu'elles vous plaisent. Dialogue avec un Ange Suivi de Dialogue avec un Dieu La caisse bipait, article après article. J'attendais un peu en retrait que mon interlocuteur range ses courses dans ses deux sacs, le regardait faire son travail avec efficacité. Quand il en eut terminé, il paya par carte bancaire, remercia poliment la caissière, et se retourna vers moi, en soulevant un sac de chaque main. Je ne pus m'empêcher de jeter un autre coup d'oeil au collier de cuir encerclant son cou. Quand il parvint à ma hauteur, je lui emboitais le pas, et repris la conversation. - Et vous n'avez pas peur d'en mourir ? - Pourquoi aurais-je peur d'en mourir ? - Vous m'avez bien dit que votre Maître a tous les droits sur vous. Il a donc le droit de vous tuer, non ? L'esclave esquissa un léger sourire et me répondit. - En fait, je me suis trompé tout à l'heure, quand je vous ait dit cela. Mon Maître a en effet tous les droits sur moi, mais en échange d'une condition : il doit veiller à mon bonheur et à mon épanouissement dans l'esclavage. Ce qui inclut le fait de me garder en vie et en bonne santé. Et mon Maître consent volontiers à cette restriction, par amour pour moi. - Et en échange de cette condition, vous lui offrez donc une soumission et une obéissance totales ? - Totales... Ou non. Presque totales. Si le Maître me donne un ordre irréfléchi, et que je sais pertinemment qu'il regrettera de me l'avoir donné, je dois être capable de lui désobéir sur cet ordre. - Au risque qu'il vous punisse ? - Au risque qu'il me punisse. - Ce n'est pas injuste ? - Non. Mon Maître n'est, hélas, qu'un homme, et comme tout homme, il peut faire des erreurs. S'il me donne un mauvais ordre, et qu'il me punit pour ne pas lui obéir, je lui pardonne volontiers cette erreur. Et quand au final, il s'excuse de m'avoir puni injustement et me remercie de lui avoir désobéi, je suis l'esclave le plus heureux du monde, car je sais que j'ai servi mon Maître de la meilleure manière possible. Et mon Maître aussi est heureux, car il constate qu'il possède un esclave auquel il peut réellement faire confiance. - Et si c'est vous qui être en tort ? - Et si c'est moi qui est en tort, ce qui peut arriver aussi bien sûr, alors je demande le pardon à mon Maître, et lui explique pourquoi je pensais avoir raison jusque là. A ce moment, il décide si je mérite une autre punition ou non, et me pardonne après m'avoir puni et/ou sermonné. A partir du moment où le Maître m'a pardonné, je sais que je peux me pardonner moi-même, car je pourrai alors essayer d'être un meilleur esclave, et car je saurai que j'ai donné tout ce que je peux donner à mon Maître pour qu'il m'aide à mieux le servir. - Et ce n'est pas injuste envers vous ? - Si je suis heureux dans ces conditions, pourquoi est-ce que cela serait injuste envers moi ? - Vous êtes tout de même privé de liberté, et à la merci des décisions, peut-être parfois mauvaises, de votre Maître, je me trompe ? Nous étions dans la rue à ce moment-là. Les passants nous entouraient, allant de-ci de-là, nous ignorant. L'esclave avec qui je conversais garda le silence un moment pour réfléchir. Nous passâmes devant une mendiante, qui tendit un gobelet dans notre direction. L'esclave s'arrêta, posa ses sacs au sol, sorti le portefeuille de la poche de son manteau, et déposa quelques pièces au fond du gobelet. - Voici madame. Et bonne journée à vous. L'esclave souleva ses sacs, et nous reprîmes notre chemin. - Je sais, reprit-il à mon intention, que c'est difficile, pour quelqu'un d'extérieur, de concevoir qu'un être puisse être heureux et épanoui dans la servitude. Honnêtement, il fut un temps, quand j'étais encore un homme libre, j'avais moi aussi du mal à le concevoir. Mais c'est ainsi. Nous sommes les masochistes, et notre bonheur se trouve dans l'esclavage ou dans la torture. Certains n'apprécient que l'un ou l'autre. Personnellement, j'aime les deux. Dans cette vie, nous perdons de nombreux droits, et de nombreuses libertés. Mais ce que nous perdons en droit et en liberté, nous le gagnons en bonheur, en sérénité, en dévouement, en bonté et en altruisme. - C'était l'argent de votre Maître, pourtant, que vous avez donné, non ? - Oui, c'était l'argent de mon Maître. - Il ne vous punira pas quand il se saura ? - Il le saura, car je le lui dirai. Et je connais mon Maître : quand il le saura, il me dira probablement "c'est bien". Tout simplement. Mon Maître est un homme bon. - Pourtant, il a fait de vous un esclave. L'esclave esquissa à nouveau un sourire. - Oui, mon Maître a fait de moi un esclave, et il aime avoir un esclave à son service. Il aime aussi torturer son esclave. - Votre Maître est un sadique, et pourtant c'est un homme bon ? - Oui. C'est un sadique et un homme bon en même temps. Un sadique parce qu'il prendrait beaucoup de plaisir et de bonheur à torturer et à soumettre n'importe qui qui lui tomberait entre les mains. Un homme bon parce qu'il sait que c'est mal de faire cela à quelqu'un qui ne le désire pas. Alors il se contraint à ne le faire qu'avec des masochistes, en veillant à ce que ces masochistes-là y puisent eux aussi du plaisir et du bonheur. Ce doit être un lourd fardeau pour lui que de donner ces restrictions à ses pulsions, mais il se les donne par bonté envers les autres. - Je comprend. Mais comment savez-vous que votre Maître ne craquera pas ? A ces mots, l'esclave s'arrêta, et se tourna vers moi pour me regarder droit dans les yeux. - Le Maître est bon. C'est parce qu'il est bon que je l'aime. C'est parce que je l'aime que je lui ait demandé de faire de moi son esclave. - Alors c'est vous qui le lui avez demandé ? - Oui, c'est moi qui le lui ai demandé. Et c'est lui qui m'a fait l'honneur d'accepter de me prendre pour esclave. En retour, je ferai tout pour éviter qu'il ne lui arrive malheur. Pour éviter qu'il ne craque. Peut-être est-ce la raison de l'existence des masochistes, aider les sadiques à ne pas craquer. Nous reprîmes alors notre route. - Et vous ne faites que cela de votre vie ? Servir votre Maître ? - Presque. Techniquement, je suis aussi écrivain. J'ai déjà un petit groupe de lecteurs assidus. Alors j'écris chaque jour. Je lis souvent aussi, cela fait partie de mon travail d'écrivain, d'autant plus que mon Maître préfère avoir un esclave cultivé et avec qui il peut avoir des discussions intéressantes. Mon Maître préfère aussi regarder ses films en ma compagnie. Et puis, quand j'ai fini toutes mes tâches, il m'autorise parfois à aller sur Internet ou à jouer aux jeux vidéos, pour m'occuper. Finalement, il y a aussi les séances de torture et les relations sexuelles avec mon Maître. - Et l'argent que vous gagnez, avec les livres que vous vendez ? - Tous mes bénéfices appartiennent au Maître. Je suis sa possession, de même que tout ce qui est sensé m'appartenir. - Vous savez, fis-je remarquer, je pense que votre Maître vous a fait tout un lavage de cerveau. L'esclave se mit à rire. - Oui, bien sûr ! Bien plus encore que vous ne le pensez ! Mais cela a fait de moi un homme meilleur. Quand j'étais libre, j'étais triste, paresseux, et pour vous dire la vérité, assez égoïste. Maintenant, je suis heureux, efficace dans tout ce que je fais, et je suis plus altruiste que jamais. Cela grâce à mon Maître, et pour faire honneur à mon Maître. - Je me demandais – étant croyant moi-même – vous pensez que vous irez au Paradis ou en Enfer ? L'esclave leva les sourcils, hésita un instant, puis me répondit : - En supposant que cela existe – de mon côté, je ne suis pas croyant – je ne sais pas. Mais si je suis assez bon pour le Paradis, j'espère que l'esclavage consenti y est autorisé, pour que je puisse continuer à servir mon Maître là-bas. - Vous pensez que Dieu accepterait cela chez lui ? Les anges sont les esclaves de Dieu, au final. Dieu est bon, et ses esclaves, heureux de le servir, le secondent dans sa bonté. Je pense que si Dieu existe, il sait qu'il peut y avoir de la bonté dans l'esclavage. Pour peu que l'esclavage soit aussi le désir de l'esclave. - Et si Dieu existe, qui serait plus important ? Dieu, ou votre Maître ? - Ce n'est pas la même chose. Dieu n'a pas besoin que je lui fasse la lessive, le ménage ou la vaisselle. Dieu serait sûrement plus important, puisqu'il serait aussi supérieur à mon Maître, mais je pense que Dieu ne nous demanderait pas grand chose au final. Il nous demanderait d'être bon avec les autres, et mon Maître et moi, nous essayons déjà de l'être, même sans croire en lui. Un silence. - Je pensais, dis-je, que vous me diriez rêver aller en Enfer pour y être torturé. - Hé non. En vérité, vous savez, un peu d'imagination et de psychologie suffit pour réussir à torturer un masochiste sans lui donner de plaisir en même temps, alors l'Enfer sait sûrement comment s'y prendre pour ça. - Mais sinon, quelque part, vous pensez que l'esclavage devrait être légal, s'il peut être bon ? L'esclave hocha la tête. - L'asservissement de personnes ne désirant pas être esclave doit rester un crime. Un crime grave, car c'est bien ce que c'est. Par contre, oui, je pense que l'asservissement de personnes désirant être esclave devrait être légal, ou tout du moins, toléré. - Comment faire la différence ? - Cela, je vous l'accorde, c'est tout le problème. Je... L'esclave s'arrêta de parler d'un coup sec, et tomba à genoux, au sol. - Ca va ? Demandais-je. Ca ne va pas ? - Ne vous inquiétez pas, monsieur, me répondit une autre voix. Il ne fait que me montrer son respect. Je me retournais vers cette autre voix, et trouvait un homme plutôt petit. En fait, à première vue, l'esclave pourrait certainement surpasser physiquement son Maître. - Vous êtes son Maître ? - Oui, je suis son Maître. Enchanté. Je suis Jack. Le Maître me tendit la main. Par réflexe de politesse, je la serrais. - François. Enchanté. En fait, nous parlions de votre relation à vous deux. - Je vois. Si cela vous intéresse, nous pouvons en parler plus en détail chez moi, un de ces jours. Vous êtes le bienvenu. Il me tendit sa carte de visite, que je pris entre mes doigts. - J'espère que la discussion avec Arthur, mon esclave, a été bonne. - Oui, très intéressante. Le Maître porta sa main vers la tête de son esclave, et la caressa. - C'est bien. - Merci, Maître. - Cela a été un plaisir de vous rencontrer, François. Mais je vous prie de m'excuser, j'ai du travail qui m'attend, et Arthur devra m'assister pour cela. Je vous souhaite une bonne journée. - Juste une seconde, s'il vous plait, demandais-je rapidement. Si vous avez du travail en cours, pourquoi êtes-vous sorti nous rencontrer ? - Simplement pour vérifier si Arthur n'aurait aucune hésitation à s'agenouiller devant moi en public pour me montrer son respect. Bonne journée. Debout. Jack se retourna, et Arthur se leva aussitôt. Il se tourna vers moi, et s'inclina légèrement. - Au revoir, monsieur, me dit-il. Puis il emboita le pas à son Maître, portant toujours les deux sacs de course lui-même. - Bizarre, concluais-je. Dialogue avec un Dieu Il y avait quelques jours de cela, j'avais eu une discussion intéressante avec un homme, qui disait vivre comme un esclave. Il m'avait décrit son bonheur, éprouvé grâce à la servitude et à la torture, son amour pour son Maître, l'amour que celui-ci ressentait pour lui. Ayant pu voir quelques instants cet être vénéré, et ayant reçu de ses mains sa carte de visite, ma curiosité m'a poussé à appeler au numéro de téléphone indiqué. Cet appel s'était conclu par la prise d'un rendez-vous pour une rencontre amicale, dans la demeure de ce Maître. Le jour prévu, je me retrouvai donc au pied de leur immeuble. Je sonnai à l'interphone, et j'entendis la voix d'Arthur, l'esclave, me répondre. - Oui, bonsoir ? - Bonsoir, c'est François. - Je vous ouvre. C'est au quatrième étage, appartement 42. L'entrée émit un signal sonore. Je montai au bon étage pour sonner au bon appartement. Quand Arthur ouvrit en grand la porte de chez son Maître, il dut aussitôt remarquer mon air surpris, car il me dit tout de suite : - Le Maître a décidé de me faire porter mes chaînes ce soir. En effet, outre le short et le T-shirt qui le recouvraient, l'esclave portait un collier de cuir, et des fixations similaires à chaque poignet et cheville. Il avait les pieds nus. Du cou pendait une longue chaîne, attachée en son milieu à une seconde chaîne tendue entre ses poignet, et en son bas à une troisième tendue entre ses chevilles. Le tout devait gêner en partie ses mouvements, mais mes observations ultérieures me laisseraient penser qu'il était habitué à les porter régulièrement. - Vous pouvez entrer, continua-t-il. Le Maître vous attend dans son salon. - Le bruit des chaînes sur le sol, demandais-je en entrant, cela ne dérange pas les voisins en-dessous ? - C'est une des raisons pour lesquelles nous avons principalement de la moquette ici. Je vous en prie. Je laissai mon manteau dans les mains d'Arthur, qui m'indiqua le salon. Celui-ci était assez grand, pour un simple appartement. Meublé avec goût, mais sans signe de grande richesse. Je constatais que, même s'ils n'étaient pas sans le sou, ce couple ne devait pas non plus avoir une fortune cachée sous un matelas ou dans un compte en banque. Jack, en me voyant, se leva de son fauteuil pour m'accueillir dans la pièce. - Soyez le bienvenu, François. Je vous en prie, prenez un fauteuil. Vous aimez le vin, j'espère ? - Le vin ? Oui, j'apprécie. - Très bien. Arthur, tu peux ouvrir la bouteille. - Tout de suite, Maître. L'esclave s'éclipsa dans la cuisine, et revint avec la bouteille, pendant que moi et son Maître nous asseyons dans des fauteuils. La petite table basse proposait déjà deux verres à pied et quelques petits biscuits apéritifs. - Je dois avouer que les chaînes d'Arthur m'ont... surpris. - Je sais, c'était un peu le but. Comme vous êtes curieux à propos de notre façon de vivre, je pensais vous donner quelques petits exemples ce soir. En restant pudique, bien entendu. - Bien entendu... Arthur avait débouché la bouteille, et servit un peu de vin à son Maître. Celui-ci goûta, approuva, puis l'esclave remplit mon verre et celui de Jack. Je n'étais pas un grand connaisseur en vin, mais celui-là, sans paraître très cher, me semblait rester un choix pertinent pour un apéritif. - Seulement deux verres ? Fis-je remarquer. - Bien sûr. Arthur n'a le droit au vin que quand je le lui autorise. La seule boisson qu'il a le droit de boire sans avoir à demander ma permission d'abord, c'est l'eau, qu'il peut boire à volonté. - Je comprend. Je jetai un regard sur l'esclave. Il était debout, les mains jointes devant lui, dans une position indiquant clairement l'attente patiente et la soumission. Il attendait le moment où il servirait à nouveau. - Je me demandais : comment prenez-vous le fait que l'un de vous soit l'esclave de l'autre ? Je veux dire, au yeux de bien des gens, ce serait une situation dégradante. Vous en pensez quoi ? - Je pense, commença Jack, qu'il n'y a rien de dégradant à être esclave. Dans le cas d'un esclavage non désiré, c'est plutôt l'esclavagiste qui devrait voir son image être dégradée. Et dans le cas d'un esclavage consenti, c'est juste la preuve d'un amour partagé, entre une personne qui désire se mettre entièrement au service d'une autre, et cette dernière qui aide la première à s'épanouir dans la réalisation de ce désir. Arthur n'a pas à avoir honte d'être un esclave : la décision qu'il a prise d'en devenir un est preuve d'un grand altruisme et d'un grand dévouement, et ce sont des qualités dont il peut être fier. - Et du côté de l'esclavagiste ? - Du côté du Maître, c'est un peu plus complexe. Je suis celui qui profite de la situation. Je suis le bourreau, le tortionnaire, le méchant, vu de l'extérieur. Et je suis obligé de l'admettre, j'aime beaucoup ce rôle. Si je ne l'aimais pas, je n'aurais pas d'esclave. Croyez-le ou non, dresser un esclave, cela requiert beaucoup de temps. - Vous en avez eu d'autres ? - D'autres ? Oui, et non. Arthur est mon premier. J'ai débuté en tant que Maître en même temps que lui a débuté en tant qu'esclave. Pour obtenir de l'expérience dans le domaine, j'ai demandé conseil à d'autres Dominants. Ils nous ont aidé, moi et Arthur, à faire nos premiers pas. Et quand je suis devenu quelqu'un d'expérimenté, j'ai commencé à accueillir de temps en temps des débutants, Dominants comme soumis, pour les aider à mon tour à faire leurs premiers pas. J'ai eu plusieurs soumis sous mon fouet, mais en véritable esclave permanent, je n'ai jamais eu qu'Arthur à mon service. Jack prit une petite poignée de biscuits et la présenta à Arthur. Ce dernier s'avança, se mit à quatre pattes, remercia son Maître, et commença à manger dans la main de celui-ci. - C'est la principale chose qu'il faut comprendre, continua Jack. Arthur n'est pas esclave sous la contrainte. Il l'est parce qu'il désire l'être. Il mange dans ma main parce qu'il aime se sentir dominé par autrui. De la même manière, il aime être asservi, humilié, et torturé. Il prend beaucoup de plaisir à manger dans ma main car il montre ainsi à quel point il est inférieur à nous et soumis à nous. Il mangerait dans votre main aussi, si vous lui tendiez des biscuits à votre tour, et il aimerait ça. Arthur était en train de lécher délicatement le sel sur la main de son Maître. Ce dernier prit une deuxième poignée de biscuits, et la laissa tomber au sol. Arthur remercia son Maître, et se mit à quatre pattes pour manger à même la moquette. - C'est comme ça, poursuivit Jack. Cela peut paraître insensé, mais c'est comme ça. Arthur est masochiste. De la même manière, j'aime asservir, humilier et torturer. Je suis un sadique. Si je le faisais à quelqu'un qui ne souhaite pas l'être, je ne sais pas si j'y prendrais plaisir ou non. Un conflit entre mes pulsions et ma morale. Je ne l'ai jamais fait avec quelqu'un de non-consentant, et je ne compte pas m'y mettre un jour, par morale. Mais le faire avec quelqu'un de consentant, qui aime ça, cela me fait beaucoup de bien et beaucoup de plaisir. C'est pour lui comme pour moi un exutoire, un moyen d'apaiser nos pulsions dans un espace contrôlé, afin d'éviter qu'elles ne nous frustrent ou ne s'apaisent d'elles-même en nous faisant faire quelque chose de regrettable. On a déjà entendu parler de beaucoup de criminels sadiques, dans les journaux, on parle des sadiques qui torturent moralement leurs subordonnés et collègues dans les bureaux, mais on parle beaucoup moins de masochistes qui se mettent d'eux-même dans des situations sociales impossibles pour apaiser des pulsions dont ils n'ont parfois pas même conscience. Jack tendit son verre vide au-dessus de son accoudoir. - Par l'asservissement d'Arthur, nous joignons ainsi l'utile à l'agréable, pour lui, comme pour moi, ainsi que pour la société qui nous entoure. Arthur ? Arthur releva la tête et vit le verre vide de son Maître. - Je suis désolé, Maître. Il se releva, prit la bouteille de vin, et en versa dans le verre. Comme je lui tendais le mien, il le remplit aussi à son tour. Il retourna alors à ses derniers biscuits au sol, et revint rapidement à sa place, en position d'attente patiente. - Je comprend, dis-je. Mais quand vous dites «inférieur» à nous ?... - Socialement, bien entendu. Arthur reste un homme, et sa vie vaut tout autant que celle de n'importe qui d'autre. Même plus à mes yeux, puisque je l'aime. Je dis «inférieur» uniquement parce qu'il obéit, et que nous, on ordonne. Parce qu'il sert et que nous sommes servis par lui. Je hochai la tête, pensivement, face à toutes ces informations. Je levai un instant les sourcils, but d'une traite mon verre pour faire passer le tout, et vit Jack faire de même. Arthur remplit alors à nouveau nos deux verres. - Maître ? - Oui Arthur ? - Puis-je me retirer pour finir de préparer le diner ? - Combien reste-t-il dans la bouteille ? - Un peu moins d'un verre, Maître. - En voudriez-vous, François. - Non merci, cela suffira pour moi. - Dans ce cas, tu peux finir la bouteille si tu veux, Arthur. - Merci, Maître. Je vais la finir. L'esclave commença à se retourner. - Attend une minute, dit Jack. Arthur se tourna vers lui, et le vit indiquer le sol du doigt, à côté de son fauteuil. L'esclave se dirigea vers le point indiqué, et s'y agenouilla. Le Maître commença alors à caresser la tête de sa possession. Puis il dit en me regardant : - Arthur ne veut pas être traité à égalité avec nous. A ses yeux, ce serait contraire à mon statut de Maître, à votre statut d'Homme Libre, et à son statut d'esclave. Il ne nous en veut absolument pas d'avoir bu quasiment toute la bouteille à nous deux. Au contraire, ce fond est un cadeau que nous lui faisons. N'ai-je pas raison ? - Si, Maître. Vous avez tout à fait raison. - Mon gentil soumis, bien dressé, bien docile, bien obéissant. - Mon Maître adoré. Jack passa un doigt dans l'anneau du collier d'Arthur, et le tira à lui pour l'embrasser. Après leur baiser, je les regardais se lancer des yeux doux, aussi intenses que ceux de n'importe quel couple amoureux. Le Maître caressait la tête de son esclave, et dernier lui répondait avec toute son admiration. - Tu es vraiment trop mignon. François, accepteriez-vous que je donne une fessée à mon esclave ? - Je vous en prie, répondis-je, faites. - Merci. Garde ton slip et installe-toi, Arthur. - Merci Maître ! L'esclave baissa son short et posa délicatement son ventre sur les genoux de son Maître. Ce dernier sortit un gant en cuir de sa poche et l'enfila, ce qui me laissa suspecter la force avec laquelle il comptait frapper. - Donc, demandais-je, il y a en quelque sorte trois castes à vos yeux : les Maîtres, les Hommes Libres, et les esclaves. - Deux, en fait, dit Jack, ce serait plus exact. Les Hommes Libres et les Maîtres naissent et demeurent libres et égaux en droit et en devoir et cætera. La seule différence, c'est que les Maîtres ont des esclaves, et les Hommes Libres non. - Et les esclaves ? - Et les esclaves sont... des esclaves. Bien entendu, dans un monde idéal, seuls ceux qui désirent réellement être des esclaves rejoignent cette "caste". Il est hors de question d'imposer cette vie à quelqu'un qui ne la désire pas. Arthur aurait aimé être esclave dès la naissance, mais il sait aussi bien que moi que cela impliquerait l'existence d'esclaves ne désirant pas l'être, et lui comme moi, nous ne désirons pas que cela arrive à qui que ce soit. - Seuls deviennent esclaves ceux qui désirent être esclaves donc. - Exactement. Je rajouterais aussi que, souvent, l'esclave choisit son Maître autant que le Maître choisit l'esclave, et qu'il est préférable qu'ils définissent clairement les règles et limites de cet esclavage avant de le mettre en application. Vous avez peut-être déjà entendu parler de contrat BDSM, et c'est pour cette raison que ces contrats existent. Par exemple, Arthur a spécifié clairement ne pas vouloir être vendu ou donné à quelqu'un d'autre, alors il restera toute sa vie ma propriété à moi. Et la fessée commença. Le Maître frappa fort, très fort, plusieurs fois. A chaque fois, Arthur gémissait en même temps de douleur et de plaisir. J'imaginais parfaitement, au bruit que les coups faisaient, la teinte écarlate qu'avaient dû rapidement prendre les fesses de l'esclave. Quand cela fut fini, Jack lui dit de se relever, et d'aller finir de préparer le diner. Arthur remercia son Maître, et s'en alla, visiblement heureux, dans la cuisine. Je bus mon deuxième verre de vin d'une traite lui aussi. - En fait, repris-je après cet épisode, c'est un peu l'esclave qui dicte les règles, au final, non ? - C'est plus compliqué, mais je crois que j'ai une métaphore pour m'aider à expliquer. Pendant la rédaction du contrat, le soumis met en place les limites qu'il ne désire pas dépasser. C'est un peu comme s'il dessinait un polygone sur une feuille de papier. Ce qui est à l'intérieur du polygone, c'est ce que le Maître à le droit de faire. Ce qui est à l'extérieur, ce qu'il n'a pas le droit de faire. Le soumis dessine donc un polygone, puis le Maître peut librement s'exprimer dans la surface qui lui est ainsi laissée. Certains soumis dessinent un polygone petit et complexe, ceux-là veulent souvent des scénarios temporaires tournant exclusivement autour de un ou deux fétichismes. Personnellement, je n'aime pas ce genre de contrat, mais c'est le choix et la préférence d'autres adeptes du BDSM, et je le respecte. De mon côté, j'ai de la chance, Arthur m'a dessiné un polygone très large, et il m'a laissé beaucoup d'espace de manière permanente pour développer mon imagination et pour le surprendre. - C'est là qu'intervient le fameux «safeword» ? Pour dire au Maître «vous sortez du polygone» ? - En quelque sorte. Quand je torture mon esclave – pour son plaisir et pour le mien – il lui arrive souvent de me supplier d'arrêter. C'est un réflexe d'autodéfense, et je sais qu'en vérité, au fond de lui, il souhaite que je continue. Mais le safeword est volontairement un mot bizarre, qui n'a rien à faire dans une séance de torture. Le nôtre, c'est «colimaçon». Quand Arthur est torturé par moi, il peut crier autant qu'il veut, cela ne m'arrêtera pas. Au contraire, ça me donnera envie de continuer. Mais s'il dit «colimaçon», je sais que ce n'est pas un réflexe d'autodéfense : il me prévient que quelque chose ne va pas et qu'il faut réellement que ça s'arrête. - Et vous respectez toujours le safeword ? - Toujours. A mes yeux, et aux yeux de beaucoup, un Maître qui ne respecte pas le safeword ne mérite pas d'être un Maître. Arthur l'a déjà prononcé quelques fois, et j'ai toujours mis fin au jeu quand il l'a prononcé. De notre côté, on va aussi un peu plus loin, et on a mit aussi au point un signe de la main en guise de safeword, pour les jeux où Arthur est bâillonné. - Ce qui implique que s'il est bâillonné, il doit pouvoir faire le signe de la main. - C'est un défaut, mais c'est préférable au fait de le torturer sans sécurité derrière. Pendant ce temps, Arthur avait mis la table, et Jack m'invita à m'y asseoir. Le diner était simple, des pâtes à la carbonara, mais l'esclave les avait préparé avec dévouement. Ce dernier nous les servit dans nos assiettes, remplit nos verres d'eau, et reprit sa position d'attente patiente. Nous mangions, le Maître et moi, de bon appétit, et en discutant. - Je me demandais, dis-je à un moment. Votre esclave fait donc tout pour vous ? - Beaucoup de choses, mais pas tout. Quand une tâche de la maison a besoin de quatre mains, je l'aide, bien sûr, et je fais parfois quelques travaux domestiques moi-même. Il m'arrive de cuisiner par exemple, c'est une activité que j'apprécie. - Mais quand vous n'avez pas envie de cuisiner ? - C'est Arthur qui s'en charge, bien sûr. Il y a aussi l'argent. Arthur est écrivain. Un bon écrivain, si vous voulez mon avis, et ses ventes de livres se rajoutent à mon salaire. Le Maître passa alors une bonne partie du repas à parler de son travail en tant qu'informaticien, et surtout à faire les louanges du talent littéraire de son esclave. En jetant quelques coups d'oeil à celui-ci, je vis sur son visage la fierté qu'il ressentait à entendre son Maître parler de lui en ces termes. Elle ne fit que s'accroître quand Jack mêla à l'hommage pour son don de la plume celui de son don pour la servitude. Comme il me l'avait dit plus tôt, il ne considérait pas son domestique avec mépris, mais au contraire avec beaucoup de respect, et beaucoup d'affection. Au lieu de l'abaisser, on aurait au contraire cru qu'il mettait son esclave sur un piédestal. Paradoxalement, le Maître se révélait aussi humble dans sa position dominante que l'esclave dans sa position de soumission, et vénérait son soumis tout autant que ce dernier vénérait son Dominant. Quand il eut fini sa tirade, il ordonna à Arthur de ramener sa gamelle dans le salon, en lui annonçant qu'il mangerait ici. Arthur revint avec une gamelle pour chien parfaitement propre, et la présenta servilement à son Maître. Ce dernier s'empara des ustensiles, et servit des pâtes dans le récipient. - Voilà. Est-ce que cela te suffit ? - Oui Maître. - Très bien. Tu peux commencer à manger. - Merci Maître. L'esclave se mit à genoux, déplia une serviette au sol pour ne pas tâcher la moquette, posa le récipient au milieu de la serviette, et commença à manger à quatre pattes, à même la gamelle. - Venez, me dit alors Jack. Allons nous installer dans les fauteuils. Je le suivis, en regardant à moitié Arthur manger de la même manière qu'un chien, à côté de la table où nous avions diné. - Mais... Mais et tout ce que vous m'avez dit ? Toutes les louanges que vous avez faites à propos d'Arthur ? - Elles tiennent toujours. Je crois toujours tout ce que je vous ai dit. Si je le fais manger à quatre pattes après nous, plutôt qu'à table en notre compagnie, c'est parce que c'est le statut qu'il aime avoir, et le statut que j'aime lui donner. Cela l'humilie, bien sûr, puisque vous êtes là à le regarder manger ainsi, mais il aime être ainsi humilié. Il n'y a rien de dégradant, ni de méprisant, ni d'insultant dans ce que je lui fait faire et dans ce qu'il fait. C'est juste l'expression de nos désirs. Arthur désire être inférieur à nous, et il l'est. Inférieur non pas parce qu'il vaut moins que nous, ce n'est pas vrai. Inférieur parce qu'il obéit et que j'ordonne. C'est comme ça que nous aimons vivre, et c'est comme ça que nous sommes heureux. Nous étions alors assis dans les fauteuils, et Arthur releva la tête de sa gamelle. Tout le pourtour de sa bouche était maculé de sauce à la carbonara. - Arthur, si tu as fini de manger, nettoie ton visage, débarrasse la table, et prépare-nous trois cafés. Ensuite, tu pourras venir discuter avec nous. - Bien Maître. - Excusez-moi, se reprit Jack. Vous voulez un café, François ? - Oui. Oui, volontiers. - Trois cafés, Arthur. - Oui Maître. L'esclave était dans la cuisine et devait certainement se débarbouiller. On entendait déjà la cafetière se mettre en route. Très vite, le bruit des couverts débarrassés s'y ajoutèrent. - Je vous sens tendu, François, me dit Jack. - Oui, c'est vrai. C'est que... tout est bizarre ce soir. - C'est normal. Vous êtes entré dans un univers qui n'est pas le vôtre. Mais je vous rassure, nous ne sommes pas méchants, et nous ne vous voulons aucun mal. - Oui, d'accord. - J'arrive ! Annonça Arthur. Me voilà. Arthur déposa trois cafés sur la table et s'assit sur une chaise en notre compagnie. - J'ai manqué quelque chose ? Continua Arthur. Je me mis à rire un peu, nerveusement. - Qu'y a-t-il ? Me demanda poliment Jack. - Rien, c'est juste le fait qu'Arthur puisse discuter avec nous. L'ambiance me paraît tout d'un coup moins... Moins... - Protocolaire ? - Oui, voilà. - C'est normal, m'expliqua Jack. C'est comme ça dans un couple Maître/esclave : il y a des moments protocolaires, comme celui que je viens de vous faire vivre, et d'autres plus détendus. Attention, Arthur et moi, nous sommes dans une relation d'esclavage permanent : les règles sont plus souples pour lui, mais elles n'ont pas totalement disparues. - Je dois toujours respect et obéissance à mon Maître, par exemple, ajouta l'esclave. - Tiens, à ce propos, viens là. Jack fit signe d'approcher à Arthur, et il commença à détacher ses chaînes avec efficacité. - On va enlever ça maintenant. Ramène tes chaînes dans la salle de torture et reviens. - Tout de suite, Maître. - La salle de torture ? Risquais-je pendant qu'Arthur y allait. - La salle de torture, me répondit-Jack. On a choisi cet appartement principalement parce qu'il y avait trois chambres. La première, c'est la mienne, où dort aussi Arthur la plupart du temps ; la seconde est une chambre d'ami ; et la troisième, nous en avons fait une salle de torture. Pas de dame de fer ou d'outils tranchants bien entendu, le but est d'y trouver du plaisir, pas de faire parler. - Oui, évidement. - Je suis de retour ! annonça joyeusement Arthur. Il se rassit sur sa chaise en notre compagnie, et but une gorgée de café. Il ne lui restait plus que son collier et ses fixations aux poignets et aux chevilles, en plus de ses vêtements. - Euh, je m'excuse, pour la bouteille de vin, en profitai-je. - Oh, ce n'est pas grave : mon Maître vous l'a dit, je ne vous en veux pas. C'est même gentil de m'avoir laissé le fond. - Oui, mais du coup, j'ai l'impression que vous n'avez pas profité de la soirée. - C'est gentil de vous inquiéter pour moi, merci, répondit Arthur en souriant. Mais ne vous inquiétez pas : j'en ai profité, à ma manière. Je suis très content de vous avoir servi, mon Maître et vous. - Oui, c'est un peu ça que j'ai du mal à comprendre. - C'est normal. Je crois qu'il faut être un peu comme moi pour vraiment comprendre. - C'est un peu comme un enfant content de ramener une bonne note, dit Jack. - Donc j'ai reçu une bonne note ? - Disons... A-. - Seulement A-, Maître ? - Oui, parce que tu n'as pas fait attention à mon verre quand tu mangeais les biscuits par terre. - Ah oui, c'est vrai. Désolé Maître. - Ce n'est pas grave. Jack se pencha vers son esclave, et se dernier le rejoignit pour lui faire un bisou. - Mais donc, demandais-je, tout ce que vous m'avez dit est bien vrai ? - C'est notre point de vue en tout cas, me répondit Jack. Après, d'autres adeptes du BDSM ne seront pas forcément d'accord avec tout ce qu'on a dit. - Y compris l'autre jour, dans la rue ? demandais-je à Arthur. - Oui, dit-il. Avec un peu de mise en scène. - Un peu de mise en scène ? Poursuivit son Maître. - Je joue très bien le fanatique dont on a lavé le cerveau. - Mais tu es un fanatique, Arthur. Et je t'ai lavé le cerveau. - Je préfère le terme «dressage», Maître. - Mais pourquoi avoir fait ça ? Demandais-je. - Je ne sais pas, admit l'esclave. Vous étiez un inconnu, et vous me posiez plein de questions. Mettez-vous à ma place : c'est vous qui étiez bizarre à mes yeux. Alors j'ai essayé de vous faire peur. Je crois. Un peu. Je souris un instant à l'idée que j'ai pu paraître bizarre aux yeux d'un esclave masochiste. - Vous ne m'en voulez pas ? Demanda Arthur. - Non, non, je ne vous en veux pas. - Pour être honnête, admit Jack à son tour, je ne pensais pas que vous nous appelleriez pour nous revoir. Mais quand vous l'avez fait, on s'est senti obligé de tenir notre engagement et de vous inviter. Et au final, tout est bien qui finit bien : je pense qu'on peut dire qu'on est ami maintenant. - Je pense que vous avez raison, acquiesçais-je. - Si on est ami, je pense aussi qu'on peut se tutoyer. - D'accord. - Et moi ? Demanda Arthur. Je dois tutoyer ou vouvoyer ? - Eh bien... C'est comme tu veux, lui répondis-je. - Alors je crois que je vais continuer à vous vouvoyer, Monsieur. C'est à ce moment, je pense, que j'ai vraiment compris qu'Arthur aimait son statut d'esclave. Il n'y avait pas de mépris, ni de fausse modestie, ni même d'auto-dénigrement dans cette phrase. Juste une sereine acceptation d'un fait : il était un esclave, nous étions des hommes libres, et c'était très bien pour lui comme ça. La soirée continua tranquillement tout compte fait. Après les cafés, Arthur nous ramena de l'eau pour nous désaltérer. Ils me racontèrent tour à tour des anecdotes de leur relation, et j'ai eu le plaisir de les voir à plusieurs reprises rire ensemble de leur histoire commune. J'ai ris aussi avec eux, une fois ou deux. - Au début, me dit Jack, on s'est rencontré sur Internet, sur un site BDSM. Je voulais commencer en tant que Dominant, et Arthur voulait commencer en tant que soumis. Nous avons fini par tomber amoureux. On s'est retrouvé en vrai dans un bar, sur un terrain neutre, puis on s'est fait visiter nos appartements respectifs. Très vite, on a emménagé ensemble et j'ai commencé à le soumettre. - Les premiers mois, poursuivit Arthur, c'était irrégulier. On se couchait en Dominant et soumis et on se réveillait en égal à égal, ou vice versa. Au final, j'en ai eu assez de ça et je me suis mis à genoux devant mon Maître. Il se mit à genoux devant lui, pour mimer la scène. - Maître, souhaitez-vous prendre votre soumis pour esclave permanent, et le dresser à obéir et à servir, pour le meilleur et pour le pire, jusqu'à ce que la Mort nous sépare ? Jack souriait en revoyant la scène, et en caressant la tête de son esclave. Je demandais : - Tu lui as répondu quoi ? - Je lui ai répondu «Embrasse mes orteils un par un et je te répondrai oui». - Jamais de ma vie je n'ai embrassé aussi vite des orteils, avoua Arthur en se rasseyant sur sa chaise. - Et depuis, Arthur est ton esclave, donc ? - Oui. Environ un an après cette déclaration d'amour, je lui ai demandé s'il voulait toujours être mon esclave à vie, et il m'a répondu «plus que jamais, Maître». C'est depuis ce jour que je considère qu'Arthur est irrévocablement devenu mon esclave. - Pour le meilleur et pour le pire, Maître. - Pour le meilleur et pour le pire, répondit le Maître. - Il y en a eu beaucoup, du pire ? Demandais-je. - Pas beaucoup, heureusement, dit Jack. Surtout des bêtises d'esclave. - Beaucoup de bêtises ? - Oh oui ! Ça prend du temps à les dresser, ces bêtes-là, et il m'en a fait des belles. Heureusement quelque part, la vie serait plus monotone sans. - En fait... Commença Arthur. En même temps, il attrapait la poignée de la carafe d'eau pour resservir son Maître, mais il renversa son propre verre dans le même mouvement. Nous eûmes tous trois un mouvement de recul, puis tous trois nous nous jetâmes sur les serviettes pour essuyer au plus vite. - Arthur ! Gronda le Maître. Quand on parle de bêtises, ce n'est pas la peine de nous en donner un exemple ! - Maître, je... - Ça suffit. Tu essuies, puis tu vas au coin. L'esclave poussa un soupir. - Oui, Maître. Il essuya rapidement, porta les serviettes trempées à la cuisine, puis se positionna debout, face à un coin du mur. Je comprenais, de ce fait, pourquoi ledit coin n'était pas meublé. - Ce n'était pas une grosse bêtise, hasardais-je. - Non, c'est vrai. C'est pour ça que cela n'ira pas plus loin qu'une petite mise au coin, je pense. Ceci dit, voyons le bon côté des choses, cela nous permet d'aborder un autre point de notre relation : la punition. Une erreur que font beaucoup de gens extérieurs au BDSM, et même certaines personnes y posant un pied, c'est de considérer la douleur physique comme une punition. Dans le cas où le soumis aime la douleur physique, ça ne marche pas. - Parce qu'il aimerait ça ? - Non, c'est plus vicieux que ça. Si je donnais une fessée à Arthur pour le punir d'avoir renversé son verre, il n'aimerait pas, car il saurait qu'il la prend parce que je suis mécontent de lui. Ça briserait son plaisir, en quelque sorte. Mais quelque part dans son inconscient, il associerait la fessée que je lui ai donnée tout à l'heure avec celle que je lui donnerais maintenant, et au fur et à mesure, en utilisant la douleur à la fois comme un jeu ou une récompense, et à la fois comme une punition, cela brouille tous les repères du soumis. Il finira par avoir l'impression d'être puni quand on joue, et par avoir l'impression de jouer quand il est puni. Pour cela, quand le soumis aime la douleur, il vaut mieux ne pas punir avec la douleur. - Comment alors ? - La meilleure manière à mon avis, c'est ainsi, dit Jack en montrant Arthur dans son coin. Avec son point faible. Toute sa vie tourne autour du fait de me servir, alors je lui interdis momentanément de me servir. Pas besoin de coups de fouet, il retient bien mieux la leçon en sachant que par sa faute, son Maître est obligé de se servir son verre d'eau lui-même. Et Jack versa de l'eau dans son verre, en prenant soin de faire autant de bruit que possible. - Je pense comprendre, dis-je. - C'est bon Arthur, tu peux revenir. Je vais être gentil aujourd'hui. - Merci Maître. L'esclave revint s'asseoir parmi nous. Il y eut un instant de silence quand il se rassit. - Bon, dis-je pour le rompre et en me levant, il se fait tard, je pense que je vais rentrer. - On se reverra ? demanda Arthur. J'eus un instant d'hésitation. - Oui, je pense. Au final, j'ai passé une bonne soirée, et vous m'avez paru sympathique. Quoiqu'un peu bizarre. - Beaucoup bizarre. - Oui, c'est vrai, beaucoup bizarre. Surtout toi, Arthur. - Alors c'est entendu, conclu Jack en se levant à son tour, suivi de son esclave. Tu peux nous appeler quand tu voudras, ma porte est ouverte. - Entendu. Merci, Jack. - Juste une dernière question : pourquoi t'es-tu intéressé à nous, à la base ? - Je ne sais pas. C'est parce que le sadomasochisme, c'est un peu à la mode en ce moment. On en voit un peu partout. Alors quand j'ai vu Arthur, avec son collier, j'ai voulu poser la question. Pour savoir. Pour comprendre. - Il n'y a rien de plus que cela à comprendre. C'est simplement la vie que nous aimons, Arthur et moi. C'est vrai que le BDSM est un peu à la mode en ce moment, et en fait, ce n'est pas une si bonne chose qu'il le soit. Ce n'est pas un truc à faire n'importe comment, encore moins avec n'importe qui, et surtout pas juste parce que c'est tendance. A notre niveau, à Arthur et moi, c'est parce qu'on le veut, au fond de nous. Tu peux toujours utiliser un bandeau ou des menottes une fois de temps en temps pour pimenter une relation, mais tu ne dois pas te sentir obligé d'en faire autant que nous, juste parce qu'on voit ça à la télé aujourd'hui. Je t'ai vu pendant tout l'apéritif et pendant le repas, tu étais mal à l'aise face à tout ça. Je ne pense pas que ce soit fait pour toi. J'eus un petit rire. - Non, je ne pense pas moi non plus. - Et ce n'est pas grave. On reste des amis. - Oui, tu as raison, Jack. On reste amis. Je les saluais alors tous deux, et Arthur me raccompagna à la porte d'entrée. Il ne me resta plus qu'à rentrer chez moi. J'étais assez content, car je m'étais fait deux nouveaux amis. Des amis bizarres, mais des amis quand même.
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Par : le 01/02/15
Mon Maître ne m'est pas inconnu bien qu'aucune rencontre ait été avant mi janvier 2015. En effet, fin 2009 suite à mon annonce sur un site BDSM, il m'avait envoyé une ligne dans un mail, avec toujours cette pointe d'humour. Tous deux étions en 'quête', lui ayant fait une belle rencontre quelques mois avant que mon ancien Maître ne m'écrive. Nos chemins se sont éloignés. Les rares échanges se faisaient quand de nouvelles galeries ou de nouveaux récits étaient validés. J'étais fan des écrits de sa soumise, un suivi épisodique entre nous. Il m'écrivait parfois des mails auxquels je ne répondais pas, n'étant pas très bien vu la fin de ma relation. Il m’arrivait d’accepter ses coups de fil et j'en étais troublée. À d’autres moments je faisais silence, mettant de la distance. Patient il était là. Je recevais un courrier de temps en temps, toujours avec un peu d’humour pour me faire sourire, malgré ma tristesse. Un peu plus tard, sachant mon annonce modifiée, il a correspondu de nouveau, toujours délicat, respectueux, prenant de mes nouvelles. À aucun moment il n’a essayé de pénétrer dans cette brèche non cicatrisée. Non pas comme certains profiteurs trop pressés, s’imaginant déjà vous posséder, voulant s’imposer dès les premiers mots échangés. Des mots avilissants, déshonorants, qu’un vrai Maître ne saurai prononcer sans connaître la personnalité, les besoins mais également les limites de sa soumise. Ses vœux pour la fin d'année m'ont touchée. Depuis le contact s'est fait en suivi. La relation D/s avec sa soumise s'est terminée depuis peu. De part et d'autre, nous gardons ce beau vécu en notre cœur mais également contact avec cElle ou ceLui qui nous a fait vivre d'intenses bonheurs. Une photo m'avait été envoyée ainsi qu’un petit échange par cam. Non pas pour confirmer la réalité de la personne mais pour mieux afficher un visage à un instant T. J’ai pu le découvrir de visu. Mon cœur a parlé en le voyant à la gare, bien qu'il ait fait le « pitre » avec son humour toujours présent. Impression bizarre, comme des retrouvailles. A un moment donné j'en ai été émue, déjà des pleurs. J'étais en confiance et tard le soir un premier abandon. Tant de choses intenses se sont passées lors de ce beau week-end, votre accueil, respect, l'invitation de vos amis Justine et sa Maîtresse, la découverte de ce superbe donjon. J'étais émerveillée et l'émotion m'a submergé. Entre nous c'est très fort et j'avoue que cela me fait un peu peur. J'ai fait le choix de vous suivre dans ma soumission. Vous avez touché mon cœur, mon âme et mon corps et je vous dis : encore. Vous me faites voyager, me dépasser, me délivrer de certains mots bannis, pouvoir enfin les rayer de mon vocabulaire interdit en souvenir d'une certaine enfance... Ce mot qui refusait de sortir de ma bouche: « plaisir ». J'arrive à le dire depuis peu, je le remplaçais par bonheur ou le mettais entre parenthèses dans mes récits, articles. À un moment de la domination chez Justine, vous vous êtes placé devant moi à me parler doucement. Je vous ai écouté, j'ai accepté que vous caressiez mon corps, que vous m'embrassiez. Ce que je refusais depuis mon entrée en soumission, avec vous le verrou a sauté. J'ai encore pleuré, baissant ma tête, ne vous regardant plus. La photo où vous êtes devant moi est forte en ce symbole de lâcher-prise. J'avoue que depuis cet instant vous avez allumé le feu en moi. Bien que des étincelles à répétition ont été la veille. J'avais dit et écrit que je n'aurai qu'un seul Maître dans ma vie. Quand une Personne se présente, humble, respectueuse, me plait, que le feeling est en la réalité, pourquoi laisserai-je passer ma chance. Y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. 61 ans (l'âge est dans la tête) un autre livre s'ouvre. Comme quoi il ne faut pas dire : jamais. Nous ne savons pas de quoi demain sera fait. Tourner la page sans en oublier le vécu n’est parfois pas aisé, la vie continue. La vie est belle et réserve de bien magnifiques surprises. le 30 janvier 2015
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Par : le 08/01/15
Il avait mis plusieurs années à découvrir son don. Un don ou une mutation, en tous les cas quelque chose qui allait changer la vie sur terre. Cela avait commencé par la sensation de voir au-delà de sa vision. Des fourmillements qui se rajoutaient à l’image vue. Un jour il s’était aperçu qu’il pouvait agir sur ces fourmillements. Une motte de beurre transformé en liquide. A partir de ce jour, il avait commencé à s’enfermer souvent pour faire des expériences. Et il avait approfondi son don en plusieurs autres années en ne faisant que cela, en oubliant de vivre. Il voyait les cordes des particules et pouvait les faire vibrer. Et ces vibrations avaient la faculté de transformer la matière et le temps. Il pouvait transformer la matière. Le liquide en solide ou gaz, le solide en liquide ou gaz et le gaz en solide ou liquide. Ou une matière en une autre, comme le plomb en or. De quoi devenir riche, mais en perdant l’envie. Il pouvait créer des courants électriques plus ou moins puissants, en tout endroit. Il aussi pouvait créer une bulle temporelle, à distance ou autour de lui, un endroit ou le temps se ralentissait ou même s’inversait. Puis quand la bulle se rétrécissait le temps de l’endroit revenait doucement au même tempo que tout ce qui l’entourait. Il avait finalement développer une sorte de force ultime. En même temps que cette force, cette puissance, cette capacité, une autre symétrique grandissait en lui. En même temps que cette force ultime, symétriquement venait en lui l’impossibilité de l’utiliser pour faire le mal. De la même manière que si Dieu peut nous tromper, il ne peut pas le vouloir, sa force pouvait tuer mais lui ne pouvait pas le vouloir. Un jour il s’était senti pleinement prêt. Prêt à aller affronter le monde. Et il était sorti de son enfermement pour aller le découvrir. Sa première découverte fut sa moitié, celle qui lui permettait d’assouvir ses envies de domination en étant d’une soumission absolue. Il n’avait pas eu à aller loin pour la trouver mais c’était un hasard quasi inouï. Invité au mariage d’une lointaine cousine, lui qui semblait s’être retiré de la vie du monde et n’était plus invité nulle part, il y était allé. Et il l’avait découverte au milieu de deux cent personnes la voyant comme si elle était seule. Habillée d’une robe rouge s’arrêtant à mi-cuisse avec des chaussures plates. Une plastique de miss France et un visage plus joli encore encadré de cheveux blonds et lisses. Il s’était approché petit à petit, pour arriver à côté d’elle. Elle avait des boucles d’oreilles étranges, des losanges de points noirs qui se prolongeaient jusqu’à une flèche de cinq pierres jaunes taillées, la plus grosse à la pointe de la flèche. Elle l’avait regardé, leurs yeux au même niveau s’étaient alors plongés les uns dans les autres, comme accrochés, pendant plusieurs secondes. Elle avait presque exactement sa taille et les yeux d’une couleur indéfinissable, claire mais ni bleue ni verte ni marron, une sorte de mélange des trois couleurs. Il avait alors en quelque sorte triché. Il avait utilisé son don pour titiller son sexe, le chauffer à distance. A travers sa robe, sans l’approcher, sans la toucher, il lui a fait ressentir du plaisir par une masturbation qu’elle ne pouvait comprendre. Elle avait aimé cela et s’en était étonnée en même temps. Ressentir du plaisir sexuel en voyant un homme pour la première fois cela ne lui était jamais arrivé auparavant. Ils avaient fini la soirée dans le même lit, chez lui. Elle avait immédiatement dévoilé sa nature masochiste. Elle s’était déshabillée sans un mot et elle avait demandé à être attachée. Il l’avait ligoté au lit, sur le ventre. Elle avait réclamé une fessée et un bâillon pour étouffer ses cris. Le dominant avait obéi à la soumise, quel paradoxe. Et il avait asséné une fessée magistrale, lui rougissant les fesses pendant une bonne demi-heure. Son bras n’était pas retenu. Avec elle il pouvait avoir un comportement violent, sans la retenue de la symétrie de la force. Elle était sa moitié, il était la sienne.
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Par : le 05/01/15
Voici un article fort bien écrit que je me permets de publier, avec l'aimable autorisation de son auteur, Claude LEGENDRE Délivrez moi de moi... Quel est donc la motivation première de la soumise? Celle qui la pousse à se faire dominer dans ses relations sexuelles, jusqu'à parfois ses limites les plus extrêmes ? Sans doute parce qu'en ‘choisissant’ de perdre son libre arbitre, elle se libère ainsi de la peur primitive de l’humain envers l’écrasante responsabilité que constituent les innombrables décisions à prendre tout au long de sa vie. Contrairement aux idées reçues les femmes soumises sont presque toujours des femmes de caractère dans la vie. C'est souvent même une bonne manière de les repérer dans la vie de tous les jours ! Cette soumission consentie est pour elle un moyen de décompresser, de lâcher prise par rapport à un quotidien qu’elle aime ordinairement contrôler. Une façon d’inverser la tendance, de se laisser faire, de ne plus être en état de pouvoir réellement maîtriser cette nouvelle situation. Une sorte d’exutoire, d’oubli de soi...Sous contrainte maximale, la voici soudainement libérée de toute obligation d’action, de toutes responsabilités... Et puisqu'on décide de tout pour elle, elle n’a rien à délibérer, rien à trancher et réintègre ainsi le paradis perdu de la petite enfance ! Et un choix de transcendance spirituelle par l’oblitération du Soi qui ne passe plus par la prière enfantine, tombée en désuétude, mais par le masochisme et l’objectification sexuelle. Bien sûr dans sa jeunesse notre soumise s'est trouvée confrontée à ces fantasmes qui lui faisaient peur et honte, en contraste total avec son éducation et plus tard, avec d'éventuelles idées féministes. Combien ai-je vu ainsi de féministes s'étonner de découvrir ces penchants si soigneusement cachés au plus profond d'elles-mêmes ? Mais après avoir franchi le pas, leur regard change et elles reconnaissent que dans un cadre limite, établi à deux, elles s’épanouissent pleinement. Même si dans la vie au quotidien elles sont toujours loin d'être soumises ! Force leur est de reconnaître que dans cette nouvelle condition elles se sentent respectées, admirées, même quand elles se font cracher au visage. « Parce que c’est plus profond que ça, parce que je le veux », « Je me sens respectée parce que je me respecte, parce que j’en ai envie et que l’autre est à mon écoute. » Sans doute est-ce aussi parce que les relations avec leurs différents partenaires sont très profondes et nécessitent de part et d'autre, une implication totale de soi, contrairement aux relations classiques qui se succèdent, sans trop laisser d'empreintes sur les âmes et les corps... La confiance étant une chose essentielle dans cette relation, il faut accepter de se dévoiler totalement physiquement et mentalement, et accepter aussi tous les aspects de l’autre. Plus de tabous, les limites sont verbalisées, parfois repoussées, mais jamais dépassées sauf si les deux protagonistes l'ont souhaité. La confiance doit être totale mais suppose de se connaître parfaitement l'un, l’autre. Le dominant seul sait qu'un « non » peut vouloir dire « oui », qu'une muette acceptation peut être un signal pour aller plus loin et qu'un regard échangé peut signifier l'implicite acceptation de franchir une nouvelle étape, bien au-delà des limites convenues. Délicat : surtout pas se tromper et sentir parfaitement les besoins de l’autre... Quant à la découverte de la douleur… La soumise découvre qu'elle est relative et se teinte vite de plaisir. Oui une claque fait mal, tout comme se faire étrangler, tirer les cheveux ou se faire pénétrer « violemment ». Mais c’est une douleur recherchée, consentie, différente des autres, presque apaisante lorsqu’elle arrive ! Et quel délicieux suspense avant que la claque n’arrive ! Et quels précieux instants que ceux qui voient lorsque l'esprit s'égarer indéfiniment dans l'infini du « subspace », signant ainsi, pour au moins un instant, pour un instant seulement,le moment si rare et si désiré du total oubli du soi ! Claude Legendre
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Par : le 26/12/14
Telle une renaissance, il aura fallu attendre plusieurs mois avant de planifier une seconde rencontre dans la Maison du Fessarium, car certains évènements n'ont pas rendu possible ce nouveau rendez-vous. Je dois dire que j’ai également attendu de voir comment évoluait la relation qui a débutait entre Cerisa et les habitants de la Maison du Fessarium. J’ai pris cette distance par respect pour eux et afin de ne pas m’immiscer dans ce rapprochement qui se déroulait sous mes yeux. Cerisa faisant le choix de tenir le rôle de « soumise libre », la place de « soumise avec collier » restait vacante, et je la convoitais avec envie. Je n’ai jamais osé prendre contact directement avec cette soumise, mais un jour, pourquoi pas nous rencontrer pour échanger sur nos expériences respectives ? Ces derniers jours, ces dernières semaines, Monsieur Sitaël, sa compagne/soumise énigma et moi, avons beaucoup échangé avant de nous mettre d'accord sur une date. Nous avons évoqué des tas de sujets tant la constitution d'un trinôme est une entreprise délicate...mais aussi une chance insolente ! Nous avons du lever les derniers doutes et répondre à toutes les interrogations afin que chaque protagoniste trouve naturellement la place qui est la sienne... Il y a quelques temps j’ai eu l’honneur de leur adresser en bonne et due forme ma demande d'appartenance, sous l'impulsion de Monsieur, afin d'exposer à mes hôtes les raisons qui me poussent à les choisir pour poursuivre mon chemin de soumise. C’est une façon également de me mettre à nu et de me dévoiler en toute transparence, permettant à notre Maître de toujours mieux pour me cerner pour adapter son enseignement. Voici quelques extraits du texte expédié à leur attention : "Cher Monsieur Sitaël, Chère Énigma, Il est important pour moi de respecter les directives de Monsieur Sitaël en formalisant par écrit les motivations qui me poussent à vouloir me soumettre dans les conditions que nous avions commencé à définir. En me pliant à cette volonté, je souhaite vous démontrer ma détermination et la place que je donne au dominant : celle d’un véritable guide. I – Pourquoi me soumettre ? Voilà une question essentielle, que je me suis déjà posé régulièrement, notamment sur les conseils de Monsieur Sitaël, fut un temps. J’ai appris tous les bienfaits d’une introspection poussée, permettant de trouver les réponses à nos propres interrogations. Le fruit de ces réflexions m’a amené à comprendre que me soumettre est un besoin viscéral encré dans ma personnalité, et qui a émergé plus particulièrement ces dernières années. Il me permet d’assouvir mes fantasmes, mais aussi de faire écho à ma libido et cela est devenu un besoin au fil du temps. Je me sens plutôt à l’aise dans mon costume de soumise, un rôle qui n’en est pas vraiment un car c’est comme ça que je suis dans la vie de tous les jours : docile, mais pas dénouée de personnalité et de libre-arbitre pour autant. Même s’il s’agit de « jeux », je prends les choses très à cœur, avec l’envie de bien faire, sachant faire preuve de patience, d’humilité (et d’humidité…), de gratitude et de rigueur. Corps et âme, il m’est plaisant de me sentir appartenir pour exister. Paradoxalement cela me procure une liberté d’esprit. Je n’ai plus à décider, plus à être maître de mes actes et de mes choix, tout en conservant mon objectivité. Il est important dans ma vie de soumise de me sentir guidée et épaulée par une force. J’ai besoin de donner, de me sentir utile pour accéder à une forme d’équilibre de vie, de liberté et d’expression de ma féminité. Me soumettre, c’est remettre mon plaisir entre les mains d’autrui. C’est accorder une confiance en l’autre, permettant un lâcher-prise, condition sine qua none à l’expression de mes désirs les plus enfouis et les plus inavouables. C’est oser découvrir de nouvelles pratiques en toute sérénité, certaine que les choix de notre guide se feront pour notre bien. C’est avoir constamment tous mes sens en éveil pour travailler au mieux mon asservissement et tisser des liens très forts avec mon propriétaire. C’est admettre de repousser mes limites, dans un véritable dépassement de soi, sans pour autant se placer dans une escalade au « toujours plus », même si j’apprécie évidemment les sensations fortes. De nature joueuse et curieuse, j’aime particulièrement le côté « artiste » de Monsieur Sitaël, car il sait mettre à profit sa créativité au service de notre histoire. Être soumise, c’est être fière de porter les valeurs que l’on m’inculque pour en faire de véritables principes de vie, transposables dans mon quotidien : la droiture, la franchise, l’honnêteté et la constance…pour ne citer que ces quelques exemples. Me soumettre c’est une façon de m’en remettre aux autres, de trouver appui, aide, sécurité et bienveillance pour me laisser façonner vers l’image que l’on souhaite faire de moi. Me soumettre me permet d’accéder à un espace de liberté, sans peurs et sans tabous, dans lequel je suis libre d’exprimer tout ma chiennitude et ma sensualité sans me sentir jugée. Je pense que le trinôme que vous me proposez est un cadre idéal pour évoluer et répondre à l’ensemble de vos et de mes attentes, bien que je ne connaisse peut-être pas encore tout de vos desseins. II – Pourquoi me soumettre dans le cadre de votre couple ? Tout d’abord parce que votre couple m’attire réellement et je peux l’affirmer maintenant que l’on se connait tous un peu plus intimement. Voilà seulement que je commence à pouvoir ouvrir les yeux sur les perspectives qui s’ouvrent à nous, sans pouvoir encore en mesurer toute la portée. Avant tout, reformer ce trinôme est l’occasion pour chacun d’entre nous de réaliser ses fantasmes. L’occasion pour chacun de démultiplier les possibilités d’accès au plaisir tout en conservant son caractère unique aux yeux des autres intervenants. Je dois aussi vous dire que je suis pleinement consciente du caractère exceptionnel de la situation. M’ouvrir à nouveau les portes de votre couple et de votre Maison (j’entends par là à la fois de votre toit et de la Maison du Fessarium) est un grand honneur et un privilège rare. À ce titre, je saurais démontrer toutes les qualités d’une soumise digne de son rang, dans la retenue et la discrétion, sans jamais me faire intrusive. J’admire le couple que vous formez, et cela porte tant sur votre enveloppe charnelle, que votre intelligence respective. Les textes que vous m’avez adressés en sont les témoins. Je sens en face de moi un couple solide ayant à peu de choses près le même mode de vie que le mien. Je pense que le dialogue et la simplicité sont la pierre angulaire d’une relation saine et épanouissante. Ne plus vivre ma soumission seule dans mon coin est une véritable chance. C’est important d’avoir une confidente à qui je sais que je pourrais parler de ma soumission en toute transparence. J’en ferais évidement de même avec Monsieur Sitaël. C’est très agréable pour moi d’avoir l’assurance que tous vos actes et décisions, donnés d’une seule voix, à travers celle de Monsieur Sitaël, émanent d’une concertation. Voici donc ma demande officielle d’appartenance que je tenais à vous adresser. J’espère sincèrement que vous pourrez y puiser les réponses à vos interrogations et que vous y donnerez une suite favorable. Bien à vous, swann" L'équation était posée. J'espérais plus que tout que ma demande soit acceptée et je n’avais qu’une envie : retrouver à nouveau ma condition de soumise privilégiée, sous l’aile protectrice de mon Maître, accompagné de sa moitié. C’est une position qui me séduit depuis un petit moment déjà. Nous avons tous pris le soin d’établir des « règles » simples permettant à chacun de ne pas outrepasser sa fonction et de rester à sa place. Les fantasmes et limites ont bien entendu été évoqués et sondés par notre Guide. En attendant de nous rencontrer, Monsieur Sitaël a formulé une demande à mon attention : que je trouve une cravache à lui remettre entre les mains la prochaine fois que nous nous verrions, si ma demande est acceptée. Je tenais à offrir un bel objet raffiné et unique, à l'image de mon Maître et de sa compagne, qui symboliserait le travail de mon éducation de soumise. J'ai pris plaisir à dénicher cet outil artisanal que j'ai fait livrer directement chez Monsieur Sitaël...il me tardait de le voir autant que j'avais envie de les revoir ! J’espérais que ce présent répondrait à leurs attentes et les honorerait. En ce jour de décembre, je me suis donc présentée à la Maison du Fessarium, selon les conditions définies avec mes charmants hôtes. J'étais évidemment un peu fébrile car impressionnée par la situation et son caractère exceptionnel, mais je me sentais beaucoup plus en confiance que lors de notre première rencontre lors de laquelle la peur me tiraillait les entrailles. L’excitation et le désir montaient déjà en moi, car je savais que j’allais me retrouver en présence de deux êtres qui m’attirent énormément. J'ai été accueilli par le large sourire d'énigma, que j'ai retrouvé telle que l'avais laissé lors de notre dernière entrevue. Elle était particulièrement élégante dans sa longue robe noire et décolletée, très féminine, sa fine silhouette mise en valeur. De jolies perles grises étaient accrochées autour de son cou qui lui donnaient un air de bourgeoise raffinée et coquine. Mais énigma m'évoque avant tout une gracieuse et belle danseuse étoile avec son port de tête incroyable et sa délicatesse, dans ses paroles, dans chacun de ses gestes et sa manière de se mouvoir. C'est une épouse et une soumise très avenante qui m'a tout de suite mise à l'aise grâce à ses nombreuses attentions. Elle m'a invité à la suivre et nous avons pu, en guise d'introduction, rester un moment entre femmes pour un temps d'échange libre. Il a fallu que je reste concentrée car la fente sur le côté de sa robe laissait par moment entrevoir le haut de ses bas et quelques idées lubriques me venaient déjà à l'esprit... Nous avons eu tout le loisir de reparler du cadre que nous nous étions fixés, d'aborder une dernière fois les sujets qui pourraient se poser à nous comme des barrières. Plus le temps passait et plus je me sentais à l'aise. Ce fut un moment de détente très agréable. C'est une idée de Monsieur Sitaël que j'ai trouvé remarquable. Quel sacrifie ! Quel dominant laisserait deux créatures seules sous son toit ? Voici un extrait de ce qu'il a écrit à ce sujet dans son message de convocation reçu la veille : "Pour votre information, j’ai pris parti ce soir, après une réflexion consciencieuse, de modifier partiellement « le programme » que j’avais initialement établi, ainsi que mon rôle dans ce programme, motivé par la volonté d’apaiser certaines craintes et d’assurer à chacune de vous un cadre rassurant et serein, souhaitant que ma démarche sera comprise et surtout, qu’elle ne sera pas vaine. Telle une impulsion pour vous donner l’élan qui guidera vos pas, cette démarche n’a qu’un seul but, celui de faciliter votre rapprochement et vous permettre de vous apprivoiser mutuellement. Nul Dom en effet ne peut prétendre créer ou forcer une alchimie entre deux âmes. Il vous appartient donc de vérifier votre propre compatibilité relationnelle. Tout en vous disant ceci, je ne peux m’empêcher de me remémorer la complicité naissante dont j’ai été le témoin et l’instigateur en ces mêmes lieux. La vocation d’un Dom est sans doute parfois de savoir s’effacer pour permettre à la finalité dont il a la responsabilité de s’accomplir dans les meilleures conditions. La relation que nous tentons de construire ensemble n’est pas simple à mettre en œuvre, quand bien même chacun de nous y aspire selon toute vraisemblance. La réussite de cette équation relationnelle requière avant toute chose l’expression d’une volonté personnelle de s’y inscrire. En vous souhaitant une très belle nuit, je me réjouis à l’avance de vous savoir sous le même toit demain. Je vous embrasse et compte sur vous pour vous montrer digne de vous-même, avant de vous montrer digne du Maître, que je ne suis pas encore. Sitaël" Une fois ce temps de dialogue passé, énigma et moi avons rejoint avec hâte et envie Monsieur Sitaël... Au passage je remarquais qu'il avait mis à profit le temps libre que nous lui avions laissé pour transformer leur maison grâce à quelques astucieuses installations perverses, propices à créer une ambiance de débauche… et j’en avais déjà l’eau à la bouche. Cela lui ressemble : tout est méticuleusement préparé et il ne laisse jamais le hasard lui dicter sa conduite. C’est un trait de sa personnalité que j’admire particulièrement…et ce n’est pas le seul. Me voilà donc à côté de ma sœur de chaines, devant celui qui nous fait vibrer au plus profond de notre chair...ce moment rare et précieux que j'avais attendu depuis si longtemps. Je suis ravie de le revoir enfin car je m'étais même demandé si j'allais finalement le rencontrer aujourd'hui ! Il est particulièrement élégant lui aussi, tout de noir et de gris anthracite vêtu. Ses yeux clairs nous scrutant toutes les deux. Il est toujours aussi beau...sa barbe de quelques jours renforçant sa virilité. Il est vraiment bien accordé avec énigma et à eux deux ils forment un couple harmonieux. Son ton est calme, rassurant, posé, mais ferme. Son niveau d'exigence est toujours aussi élevé... Cependant nous avons pu compter sur lui pour glisser quelques traits d'humour pour détendre l'atmosphère aux moments les plus opportuns... Et puis tout à coup tout est devenu un peu plus grave et solennel. Monsieur nous fait comprendre que le temps de mon « sacrement » était venu. Agenouillée devant Monsieur, perdue dans la profondeur de son regard perçant...cherchant du soutien dans celui d'énigma...il était temps que Monsieur se prononce au sujet de ma demande d'appartenance. Je lui tendais nerveusement la cravache que j'avais choisie spécialement pour lui...et il l'a saisi en signe d'acceptation, me rappelant au passage combien ce geste m’engageait et combien il l’engageait lui-même. Quel ne fut pas mon bonheur ! Une certaine fierté m’envahissait et je comprenais à cet instant précis, plus que jamais, tout ce que cet acte impliquait autant dans mes devoirs que dans mes obligations envers ceux qui m’offraient à nouveau leur confiance. Grâce à cette véritable cérémonie d’intromission, je passais concrètement du simple statut d’invitée à celui de soumise officielle sous la coupe de Monsieur Sitaël. J’ai été priée de baiser les chevilles d’énigma et le dessus de la main de Monsieur, en guise de respect…ce que je me suis appliquée à faire le plus méticuleusement du monde. En retour ils m’ont chacun gratifié d’un baiser sur le front. Ces gestes en disent longs sur la place de chacun et la considération que nous nous portons mutuellement. Ce fut un moment de grâce, de plénitude…comme une évidence, accompagnée d’un sentiment d’invincibilité, comme si notre trinôme était indestructible. Je suis venue ici librement, pour me sentir soumise et ressentir à nouveau l’appartenance de mon propriétaire…et j’étais en train de m’en imprégner totalement, pour la plus grande satisfaction de chacun. Me voici donc à nouveau véritable soumise...sa soumise, au sein de la Maison du Fessarium...et à présent déculottée puisque ma lingerie de dentelle noire s'est retrouvée entre les mains de ma complice énigma...une façon de lui montrer que je suis toujours ouverte et disponible pour lui (et par extension pour elle). Je suis donc entrée dans ma période probatoire et c'est à moi de faire mes preuves de manière assidue pour leur démontrer que j'ai toute ma place à leurs côtés. Monsieur a demandé à sa compagne de vérifier mon état d'humidité, du bout de ses doigts, et à partir de ce moment tout n'a été que volupté et érotisme exacerbé. Je m'engouffrais dans l'inconnu avec la peur d'être maladroite, mais le désir ardant, me laissant volontiers guider par la voix de mon Maître vers de nouvelles saveurs. Doucement les rapprochements physiques se sont fait naturellement, d'une manière subtile, par effleurements pour débuter, au son d'une musique envoutante. Chacun était à l'écoute des autres...des souffles, des respirations qui en disaient longs...de la chair de poule qui nous faisait frissonner. J'ai particulièrement aimé le fait de ne pas avoir les yeux bandés, contrairement à notre première rencontre où j'en ressentais le besoin. Cette fois j'étais complètement désinhibée et décomplexée, comme si je m’élevais au-delà de mon enveloppe corporelle. J'ai ressenti la moindre de leur vibration, chaque onde de plaisir, à fleur de peau, comme si chaque contact était empli d'une puissance mystérieuse. Quel effet incroyable et quelles sensations indescriptibles de sentir sur mon corps ces quatre mains s'occuper de moi... Je me suis liquéfiée et laissée submergée par le plaisir... parfois avec un sentiment de gêne quand Monsieur m'a caressé devant énigma...gêne qui n'a pas lieu d'être étant donné que toutes leurs décisions sont prises de manière concertée et que chacun est évidement consentant. Je pense qu'il me faudra encore un peu de temps avant d'avoir l'esprit totalement libéré à ce sujet. Je me suis mise à la totale disposition, de corps et d’esprit, de Monsieur et de son couple, pour leur plaisir et le mien. J’avais à cœur d’obéir à ses injonctions, de me laisser guider pour découvrir de nouvelles sensations fortes. J’ai toujours pris garde de ne pas prendre d’initiative malheureuse et de toujours m’en remettre à Monsieur. Je crois que l’écoute et l’attention sont les meilleurs moyens d’y parvenir. J’ai pris comme un cadeau tout ce qu’ils m’ont offert, fière de mon nouveau statut, mais toujours avec humilité. Nous avons eu la chance de partager un moment rare et intense durant lequel toute la créativité de Monsieur a pu s'exprimer, en sachant nous étonner et nous surprendre de diverses manières (attitudes, paroles, accessoires...). Concrètement, cela s’est matérialisé par un simple élastique que Monsieur a fait glisser jusqu’en haut de ma cuisse (je crois qu’il aime détourner les objets usuels de leur fonction première !). Il s’en est saisi entre deux de ses doigts, à l’arrière de ma cuisse, pour faire claquer le caoutchouc sur ma peau…puis il a renouvelé son geste, mais cette fois-ci en se positionnant à l’intérieur de ma cuisse, ce qui a eu pour effet de me faire sursauter et serrer les dents car la morsure était encore plus incisive. Il s’agissait de me faire goûter à l’un des châtiments auquel j’aurais droit si jamais je désobéissais… Comptez sur moi pour qu’il n’ait jamais à renouveler ce supplice ! La cravache remise un peu plus tôt fut elle aussi inaugurée…tantôt pour nous effleurer, énigma et moi, tantôt pour me faire écarter les jambes, grâce à de petites tapes à l’intérieur de mes cuisses entrouvertes. Ma fente humide sentait l’air se déplacer entre mes jambes, comme une délicate caresse... Monsieur a ensuite entravé mes membres supérieurs et m’a présenté énigma offerte devant moi, allongée sur le dos sur la table…quel spectacle splendide de l’observer se caresser, en cherchant du regard notre Maître… Monsieur a pris délicatement mon visage dans ses mains pour me guider jusqu’à l’entrecuisse de sa compagne… Le bout de ma langue a visité délicatement ses petits replis rosés et doux avant de trouver la perle lisse qui la fit tressaillir… Je me laissais volontiers diriger par Monsieur, connaissant parfaitement les préférences de sa compagne, afin d’offrir le maximum de sensations à énigma. Je ne suis pas bisexuelle, mais plutôt dans une phase de découverte car je n’avais jamais eu de rapport aussi poussé avec une femme et je dois dire que j’ai particulièrement aimé cela, même si la bestialité et la masculinité m’attirent tout autant. C’est pour cette raison que la présence de Monsieur été indispensable et je ne me serais pas contenté d’un simple duo féminin qui ne m’aurais pas permis de ressentir pleinement mon statut de soumise. Je me suis retrouvée plus d’une fois au bord du gouffre de ma jouissance…Mon dieu que c’était divin ! Notre Maître a fait preuve de beaucoup d'empathie, rendant les rapports charnels incroyablement sensuels et merveilleux. Parfois actrice de ma propre soumission, parfois simple voyeuse de ce majestueux couple en osmose, mais toujours de manière participative... j'ai pu endosser différents rôles tout aussi savoureux les uns que les autres, et je remercie Monsieur pour cela car diriger deux créatures de manière simultanée n’est pas chose aisée, surtout quand, comme lui, il y a une grande volonté de bien faire pour que chacun se sente bien. Recueillir leurs jouissances respectives, telles des offrandes, fut un très grand honneur pour moi et une incroyable source de satisfaction. Je me suis sentie utile et bien utilisée telle la petite chienne docile que je suis. Vous comprendrez que je ne peux détailler ici chaque caresse, chaque parole, car cela nous appartient...mais je vous laisse imaginer toutes les délicieuses situations que nous avons pu expérimenter... Le temps est passé très vite et il était déjà l'heure pour moi de m'en aller, à regret. Avant de les quitter, Monsieur m'a remis un objet hautement symbolique (le symbolisme tenant une part important dans l’univers que nous construisons) : j'ai eu le plaisir de sentir mon Maître attacher autour de mon cou, sous les yeux d'énigma, un magnifique collier de soumise qui ressemble plus à vrai dire à un bijou, ne laissant aucun doute sur la signification de cet objet de ce geste. J'aime beaucoup leur goût des belles choses que je partage. J'ai ressenti beaucoup d'émotions et une grande fierté à concrétiser mon appartenance de cette manière. Un petit anneau permet de relier une laisse au collier et j'avoue que je suis impatiente de sentir Monsieur et/ou énigma tirer dessus... Je remercie à nouveau mon Maître, Monsieur Sitaël, et sa soumise énigma pour leur accueil chaleureux et pour avoir fait de cette nouvelle rencontre un moment magique qui laisse présager une belle progression à venir pour chacun. Je suis donc allée au Fessarium, moi aussi, et j’y reste ! Vous faites de moi une femme et une soumise comblée. swann
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Par : le 15/12/14
"Venez demain, à onze heure" les mots s'étalaient sur l'écran de son portable et son cerveau en ebulition pesait chacun d'entre eux, avant de finalement pouvoir en accepter toutes les implications. Bien sûr, elle pouvait encore refuser le rendez vous mais elle savez qu'elle avez déjà pris sa décision, et ce bien avant de recevoir ce SMS. Depuis quelques temps, sa relation avec son compagnon se dégradait; leurs séances de BDSM, pourtant si libératrices dans les premiers temps de leur vie de couple, s'étaient peu à peu transformées en une source d'enjeux dont elle ne parvenait pas à demêler l'echevau. Certes, depuis l'echec de sa relation avec son précédent amant, elle s'était un peu refermée sur elle même, mais cela n'expliquait pas pourquoi Guillaume était devenu si amer, et malgré sa bonne volonté, il semblait que rien ne puisse le satisfaire. Lors de leur dernière séance, il s'était carrément arrêté en plein milieu et lui avait dit qu'il vallait mieux arrêter là et que peut être qu'elle n'avait pas les qualités requises pour être une bonne soumise. Sur le coup, elle s'était sentie mortifiée: ne pas avoir les qualités requises, elle l'avait un peu trop entendu ces derniers temps, au cours des différents entretiens d'embauche qui s'étaient tous soldés par un échec, et encore avant lors des oraux qu'elle avait passée pour les concours. Mais le pire, c'était de voir la déception dans son regard; elle ne le supportait pas. Elle avait l'impression d'avoir déçu tout le monde et que c'est pour ça qu'elle ne parvenait pas à garder une relation stable. 11h, c'était parfait; Guillaume allait rentrer du boulot épuisé et elle était plutôt du matin. Elle pretexterait un entretien d'embauche pour justifier son départ si matinal. Elle passa la soirée à choisir une tenue suffisament habillée pour garder une contenance mais pas trop formelle au vu du lieu où elle se rendait. Elle n'avait reçu que deux consignes à suivre: talons et jupe. Elle s'endormit tard, le chat sur le ventre et Douglas Kennedy en livre de chevet. Evidemment, à 6h du matin, elle se precipita aux toilettes pour vomir, les boyaux contractés par l'angoisse qui ne l'avait pas quittée depuis hier soir. Le Domperidon fit son effet et après un thé léger, elle pu quand même avaler un café et s'habiller. Guillaume arriva à 9h30 comme prévu et après un bref petit dejeuner en amoureux, il plongea dans les bras de Morphée. Elle l'embrassa sur le front et sortit, prête à affronter ses démons. Elle avait contacté Maitre V. deux semaines plus tôt, décidée à tordre le cou à ce serpent de mer qui s'était installé dans leur vie de couple: primo, elle ne voulait pas perdre son mec. Secundo, elle ne voulait pas perdre la face. L'echec lui avait toujours était pénible mais depuis sa mésaventure avec son amant, le domaine de la sexualité était devenu très sensible pour elle. Elle ne pouvait s'empêcher de se demander pourquoi, alors qu'il s'envoyait en l'air avec toutes les filles qui passaient à sa portée, leur relation, soit disant si importante pour lui, s'était résumé à deux étreintes plus ou moins assumées qui lui avaient laissé un immense sentiment de frustration. Bien sûr, l'idée qu'elle puisse perdre son compagnon lui était pénible mais c'etait aussi une blessure narcissique: Si sa vie sociale n'avait pas toujours été à la hauteur de ses espérances, elle avait au moins le sentiment que sur le plan sexuel, elle avait réussi à s'épanouir malgré les casseroles qu'elle se trimbalait depuis l'enfance. Sentir que ce domaine puisse aussi être remis en cause la touchait profondemment. Maître V. était un dominateur professionnel et il avait accepté de la rencontrer après de multiples échanges de mails qui l'avait mise sur les nerfs; Il semblait en effet très sollicité ou bien très selectif dans sa clientèle car elle avait dû attendre 10 jours avant qu'il se décide à lui donner un rendez vous. Il habitait dans le centre ville, un immeuble sensiblement identique à celui qu'elle habitait, à quelques pâtés de maisons. Ses consignes étaient très claires: sonnez 3 fois très rapprochées et attendre son appel. Son téléphone sonna mais il s'agissait d'un SMS: "entrez dans le couloir, enlevez votre culotte et sonnez au premier étage, à gauche." Sidérée, elle relut le message deux fois avant de se rendre compte que la porte était ouverte. Elle hésita un bref instant, puis s'engouffra dans le couloir sombre et referma la porte derrière elle. Personne. Soulagée, elle retira sa culotte le plus rapidement possible, le dos collé à la porte d'entrée et monta les escaliers, le visage trempé de sueur et le souffle court. La porte de Maître V. était ouverte, ne lui laissant pas la possibilité de se remettre de la brusque montée d'adrénaline qui l'avait traversée quelques secondes plus tôt. Elle entra dans un salon qui aurait pu être le cabinet d'un psychanalyste avec un divan en cuir, une table basse et un bureau. Maitre V. portait le masque du héros de V comme Vendetta et un costume noir assez élegant. Il lui demanda très poliment si elle voulait quelque chose à boire, avec l'air de ne pas comprendre le ton courroucé qu'elle employait pour lui répondre. Quelques verres de punch plus tard, l'atmosphère s'était un peu détendue. Maître V. lui avait demandé en quoi consistait sa demande et souhaitait qu'elle lui raconte par le menu quels étaient les tenants et les aboutissants de l'affaire qui l'amenait à le solliciter. Elle trouvait assez pénible de ressasser encore toute son histoire mais Maître V. semblait boire ses paroles et malgré le masque qui dissimulait son visage, il semblait sensible à son histoire. Lorsqu'elle arriva au bout de son exposé, Maître V. semblait plongé dans une reflexion profonde et elle restait pendu à ses lèvres, attendant on ne sait quelle parole liberatrice qui viendrait éclairer son propos d'une lumière nouvelle. Mais Valmont restait silencieux, l'observant avec une acuité de faucon guettant sa proie. Sa bouche s'ouvrit enfin, mais la voix suave qu'il avait utilisé jusque là pour la faire parler avait pris des consonnances métalliques et froides qui la pétrifièrent. "Bien, Mademoiselle... si je comprends bien, vous souhaiteriez être éduquée, pour devenir une meilleure soumise. Je ne vous cache pas que le débourrage, c'est un peu fastidieux... je sens un potentiel, mais je pressens qu'il va falloir beaucoup de travail. Bon, ne serait-ce que pour le challenge, je veux bien faire un essai. Suivez-moi." Interdite, elle le regardait, incapable de répondre tant elle se sentait mise à nue devant ce type suffisant. Elle le regarda s'éloigner sans un regard pour elle, sûr de son fait, et eut quelques secondes la tentation de claquer la porte. Mais elle n'avait pas fait tout ça pour rien, et une sorte de curiosité malsaine (selon elle) la poussait à le suivre. Il l'emmenait dans son donjon. Une pièce blanche occupée par une mezzanine metallique ou pendaient divers accessoires BDSM. Un matelas par terre recouvert d'un tissu noir semblait l'attendre. Maître V. lui tendit un cintre. "Déshabillez-vous" Le ton était sans appel. Elle se déshabillait, ou elle sortait. Pour elle, la deuxième option n'était déjà plus envisageable et elle s'exécuta, dans un état second. Maître V. lui tendit deux bracelets en cuir qu'elle mit à ses poignets pendant qu'il accrochait une barre d'écartement à ses chevilles. Le contact du cuir sur ses bras, la barre qui l'obligeait à ouvrir les jambes, la tension qui s'était installée entre eux, et la terrible alchimie était en marche. A sa grande honte, elle ne pouvait que sentir son sexe s'humidifier et son pouls s'accélérer alors que Maître V. s'activait autour d'elle. Elle finit debout bras tendus vers l'avant et jambes écartées, le cul tendu vers son bourreau. La séance commença par un très long questionnaire sur ses préférences sexuelles. Elle n'avait le droit de parler que si le Maître l'interrogeait et ne devait faire que des phrases courtes à moins que le Maître ne le lui demande. Chaque manquement se soldait par un coup de cravache bien appliqué qui lui arrachait un gémissement. Les questions sur ses pratiques sexuelles étaient de plus en plus précises, et le Maître voulait tous savoir: si elle l'avait deja fait, avec qui, si ça lui plaisait, si elle souhaitait le faire dans le cadre de leur séance, à quelle fréquence... Les hésitations étaient également punies, le Maître n'hésitant pas à lui tirer les cheveux vers l'arrière quand elle ne répondait pas suffisament rapidement à son gout, l'accusant de chercher à lui mentir. Mais le pire, ce n'etait pas les coups, somme toute supportables, c'était que chaque coup s'accompagnait d'une caresse ou d'un petit surnom affectueux qui la faisait frémir de fureur et de désir. Il l'appelait "sa petite pouliche", la félicitait sur son poil soyeux, ses belles jambes, sa croupe, lui passait la main entre les cuisses et venait titiller son mont de Venus, s'attardant juste assez pour la faire haleter avant de retirer ses doigts et de les lui faire lécher. Elle buvait sa honte, les larmes aux yeux, mais refusait de prononcer le mot d'urgence qui pouvait faire cesser son supplice à tout instant. Dans son dernier mail, il lui avait dit que ça ne servait à rien, qu'elle ne tiendrait pas une seule séance. Elle ne voulait pas lui donner raison, et surtout, tout au fond d'elle, elle devait admettre que ça l'excitait. Sa consience lui criait que c'était dégradant, humiliant et pervers mais son corps s'embrasait sous les doigts du Maître. Elle n'en pouvait plus. Le questionnaire était terminé. Le Maître lui apporta un verre d'eau qu'il porta à ses lèvres avec une attention qui semblait bien réelle. "Et bien ma petite pouliche a bien travaillé aujoud'hui, elle va donc avoir droit à une récompense. Qu'est ce qui ferait plaisir à ma petite pouliche?" Le ton était enjoué, presque enfantin, et tout son corps le reclamait. Elle n'avait pas eut d'autre amant que son compagnon depuis longtemps et son corps était déjà tendu de désir. Elle murmura dans un soupir à peine audible: "Que vous me baisiez, Maître". "Aaaaaaah mais nous n'avions pas parlé de ça... C'est tout à fait imprévu!" Le ton avait imperceptiblement changé, et elle sentit que le piège se refermait sur elle. "Si j'avais su que vous étiez si dévergondée... j'aurais prévu des preservatifs mais là vous me prenez de court." "Vous me prenez vraiment pour une conne!" Les mots avaient jailli de sa bouche, avec une violence que seule sa frustration pouvait expliquer. "Mais non ma belle pouliche, je sais ce qu'il te faut". Elle s'apprêtait à hurler le mot d'urgence quand elle le sentit derrière elle mais ce n'est pas sa queue mais c'est sa langue qui vint se nicher entre ses cuisses et glisser en elle. Elle se laissa enfin aller en gémissant, le corps secoué de frissons de plaisir trop longtemps contenu, partagée entre la honte et le soulagement. Les mains du Maître prirent la relève, un doigt explorant son sexe alors que l'autre s'enfoncait dans son anus. Une double pénétration qui lui soutira un nouvel orgasme. Le maître la décrocha et la mit à genoux sur le ventre, le cul en l'air et les jambes écartées. "Il ne vous manque qu'un accessoire pour être une parfaite pouliche". La main cruelle, armé d'un vibro se glissa entre ses jambes ouvertes et vint exciter son clitoris. Implacablement, elle sentit le désir remonter à la surface et le supplia de continuer. Il s'exécuta, mais lui ordonna fermement d'écarter les fesses, ce qu'elle fit. Elle sentit d'abord le lubrifiant couler dans la raie de son cul et quelque chose lui froler les fesses alors que le métal froid se frayait un passage jusqu'à son anus. Le plug était très petit mais efficace et elle jouit encore, et cette fois, il la laissa se reposer. Ce n'est qu'en se relevant qu'elle vit dans le miroir la queue attachée au plug et devant elle Maître V. qui venait de la prendre en photo. Elle voulu l'enlever mais le Maître la retint par le bras. "Non! pas maintenant. Je vais retirer la partie queue que vous remettrez à votre prochaine séance mais vous garderez le plug et ne l'enleverez qu'à votre retour chez vous. Si votre anus se referme, votre esprit se referme aussi c'est la devise de la maison." Il lui tendit un cintre, où pendaient ses vetêments, impeccablement pliés, et sortit la laissant seule. Sur le chemin du retour; elle trouva une note dans la poche de sa jupe: "A la semaine prochaine; même jour, même heure; soyez ponctuelle." C'est un essai. Vos avis positifs et/ou négatifs sont les bienvenus. Bonne lecture
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Par : le 29/11/14
Le jeu de la D/S en raccourci (domination/soumission) est un jeu entre adultes consentants avant tout. Les scénarios mis en place par ces jeux permettent à l’homme et à la femme de ressentir des plaisirs différents de ceux qu’il sont habitués dans leurs rôles habituels. Il y a donc un dominant et une soumise (même si c’est l’homme on parle au féminin), généralement nous avons chacun une préférence, mais parfois les rôles s’inversent on se dit qu’on est « switch ». Voici quelques exemples de jeux: •Le jeu de la contrainte, pour le plaisir de vos sens, vous serez retenue dans vos gestes, isolée de la vue ou réduite au silence •Le jeu de l’éducation, apprendre les bonnes manières pour devenir la digne femme de son homme pour lui être soumise tout au long de votre vie (celle du jeu ou plus!) •Le jeu de la punition consiste à la fois à faire subir et apprécier le châtiment corporel provoqué ou demandé (petite fessées, cravache, fouet etc..), elle invite au repentir pas à la douleur! Nous ne sommes pas dans le sado-masochisme, cela reste donc léger. •Le fétichisme est la forme sado-masochiste basée sur la beauté d’une scène, issue des fantasmes des hommes (parfois de la femme): la beauté reste la priorité. Le dominateur est en position supérieure en acceptant la soumise qui se donne à lui corps et âme, il doit respect et attention : elle devient son bien le plus précieux sa soumise se donne totalement à lui perd toutes défenses. La soumise est en position inférieure offerte au dominateur, elle devient son jouet, son esclave sexuel le temps des jeux lui donnant le pouvoir sur sa personne, ce qu’on appelle l’échange de pouvoir et le plaisir intense qu’il procure au dominant. Durant les jeux, il est important de pénétrer votre position et de jouer son rôle avec conviction, les premières fois ne seront pas faciles, gêne par manque d’expérience, foux rires etc.. Mais par la suite cela doit se transformer en art de vivre. Les accessoires sont indispensables pour ces jeux, commencez à remplir votre tiroir à malice avec un bandeau, bâillon, contrainte poignets/chevilles, cordes, cravache, martinet, plug, god, lubrifiant etc… Au départ, la soumise se présente nue à son dominateur et graduellement elle érotise son corps avec de la lingerie, des bijoux, des tenues sexy, cuire, vinyle etc.. Les premières séances peuvent être définies à deux, être soft, définir ce qui nous plaît finalement et ce qui ne nous plaît pas… Vous pouvez également chercher un maître ou aller dans un club spécialisé pour voir l’effet que ces jeux vous font mais attention, soyez prêts à voir de tout: à vous de trouver vos formes de domination et soumission.
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Par : le 10/11/14
J'ai découvert le BDSM dans un petit bar alternatif du XIX arrondissement, lors d'une démonstration improvisé de Shibari et j'ai immédiatement était séduit. J'ai commencé à pratiquer avec ma compagne, d'abord sur un mode ludique, mais surtout parce que la sexualité est pour moi un espace de liberté, d'innovation et de créativité. Me définissant comme féministe, j'ai d'emblée adopté une attitude switch, passant de dominant à dominé au gré des rencontres. Et puis, il y a eu cette rencontre avec une personne qui m'a demandé de l'initier au BDSM. C'était une demande simple, adulte et assumée, qui m'a demandé de regarder en face mes envies de domination. En effet, jusqu'ici, j'avais abordé la position de dom sur un mode très ludique, assez théâtral. Je me sentais beaucoup plus à l'aise dans un rôle de soumis parce que j'en comprenais les tenants et les aboutissements: en tant qu'homme, je me sentais coupable de faire partie de la classe dominante, et je trouvais une sorte d'expiation dans les rôles de soumissions. D'autres éléments de mon enfance me semblaient parfaitement en cohérence avec ce rôle. Mais dans cette relation BDSM, j'ai découvert peu à peu que la position de dominant m'amenait à m'interroger sur des parts plus intimes, plus profondes et sans doute moins regardables de ma personnalité. Je l'avoue, j'ai eu peur. J'avais en face de moi quelqu'un qui me faisait entièrement confiance et je me sentais indigne de cette confiance. Notre relation s'est peu à peu effritée, et j'en porte l'entière responsabilité. Mais au delà du mea culpa, ce que je voudrais partager avec vous, c'est l'extraordinaire expérience humaine et relationnelle que cela fut, pour moi, et je l'espère, aussi pour elle. J'ai reçu il y a un mois une nouvelle écrite par un ami qui est en prison et qui parle de BDSM. Cette nouvelle m'a beaucoup touchée parce qu'elle parle de solitude, sujet qui me touche, mais j'ai été très heurtée par sa manière de voir le BDSM comme un milieu froid et sans âme. Bien sûr, je suis capable de comprendre qu'il s'agit d'une transposition de l'univers carcérale, mais cet aspect du BDSM, s'il existe, m'est totalement étranger. A ce point j'aimerais partagé cette citation lu sur fesses de bouc mais qui éclairera mon propos: "Je ne partage pas mes pensées pour changer celles des autres... Je partage mes pensées pour que ceux qui pensent déjà comme moi, réalisent qu'ils ne sont pas seuls. " Pour moi le BDSM, c'est avant tout une rencontre, avec des gens qui si ils ne maîtrisent pas toujours tous les ressorts de leurs pulsions, sont capables de les assumer et de les partager; c'est une rencontre authentique de deux (ou plusieurs personnes qui acceptent de se regarder telles qu'elle sont, sans se juger, avec la bienveillance de ceux qui savent qu'ils ont eux aussi leur face sombre. Aussi je voulais vous dire toute ma gratitude à vous soumise et soumis pour votre confiance, à vous maîtresses et maîtres pour votre courage et surtout rendre hommage à cette soumise, qui, je l'espère, se reconnaîtra et qui m'a offert un instant de grâce.
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Par : le 08/11/14
Je suis allée au Fessarium....... Soumise à la recherche d'un collier, j'ai lu et relu l'impressionnant "casting" du Maître des lieux, désirant trouver une partenaire docile, complice, motivée, sincère.... pour une interaction à 3. Malgré mes critères de "sélection" bien définis, je me suis reconnue en partie dans la description détaillée de cet appel qui m'apparaissait comme une opportunité à ne pas manquer. Cependant mon côté réservé, mon manque de confiance en moi, me faisaient hésiter à déposer ma candidature. La barre était placée très haut, néanmoins la tentation était omniprésente et l'envie m'a fait dépasser mes doutes, je me suis lancée, j'ai répondu à cette offre, je me suis dévoilée et j'ai cliqué, sans grande conviction, sur le bouton "envoyer" de ma messagerie dans l'espoir impatient d'une réponse. Celle-ci ne s'est pas faite attendre trop longtemps et à mon grand étonnement s'avérait plutôt positive. L'instigateur de cette annonce devant en référer à sa compagne et soumise, il me fallait encore patienter un peu pour connaître leur décision. Leur démarche commune m'a enthousiasmée. "E" est elle-même sur le chemin de la découverte, de l'apprentissage, et l'enjeu de cette coalition est non seulement que l'on devienne sœur de chaîne mais que l'on progresse ensemble dans notre soumission, sous l'éducation d'un directeur de conscience de qualité qui s'engage à nous faire cheminer vers l'épanouissement le plus complet. Selon la formule, nous avons fait plus ample connaissance, ils m'ont accordé leur confiance et après avoir fait couler beaucoup d'encre, une rencontre s'est profilée, de façon minutieuse, à l'initiative perverse de Monsieur et à travers de nombreux échanges de mails réactifs. A la veille de notre rencontre, Monsieur a écrit un message explicite sur son mur : « Bonjour à toutes et tous... Le sens de la vie en communauté étant fondé sur le partage, je souhaite donc vous faire profiter de mon actualité. Procédant à l'examen minutieux d'une candidature depuis maintenant quelques semaines, j'aurai demain soir, le plaisir et le privilège, d'accueillir sous mon toit, aux côtés de ma compagne vanille et soumise, un sujet féminin ayant manifesté sa volonté d'appartenance et présentant de sérieuses prédispositions pour rejoindre ma Maison et porter la marque de mon enseignement. Cette étape devant me permettre d'évaluer définitivement quelques éléments de compatibilité et de bonne adéquation, afin d'assurer à chacune des 3 parties concernées par l'équation relationnelle envisagée, que mon verdict final constituera la meilleure des décisions. Vous souhaitant une excellente journée, au bord de l'eau, ou ailleurs ! » (Pour les habitués du forum, cette missive rappellera sans doute quelque chose ou quelqu’un !) Il m'a également adressé son ultime écrit pour me donner les dernières instructions, dont voici un extrait : « Nous voilà arrivés devant la frémissante perspective de notre rencontre... Puisque vous avez confirmé votre présence, il convient donc désormais de vous adresser quelques informations pratiques mais aussi, quelques directives et autres consignes. Concernant votre point de rendez-vous, vous vous présenterez à 18h00 précises, sur le parking que nous avions convenu. Un chauffeur vous y attendra et vous prendra en charge pour vous conduire jusqu'à moi. Une fois le véhicule identifié, vous monterez simplement à l'arrière, côté passager. Quelques minutes suffiront pour parcourir la petite distance qui très sûrement, vous semblera une éternité... A mi-parcours, votre chauffeur vous demandera de vous bander les yeux ! Je compte sur vous pour obtempérer... A partir de cet instant, vous n'aurez plus qu'à vous laisser guider, en étant attentive aux quelques instructions que mon chauffeur vous donnera une fois arrivée et le moteur coupé...................» Le ton est donné et la volonté d’y être au plus vite s'accompagne de cette boule au ventre qui s’empare de moi. J'étais assez inquiète pour la route, je n'aime pas conduire vers un endroit méconnu, ce qui rajoute encore au stress de ce qui m'attendait..... En arrivant, je repère la voiture indiquée sur un parking qui était loin d'être désert...... J'avais quelques minutes de retard mais j'ai encore patienté un peu pour m'assurer que ce véhicule était le bon...... j'étais un peu en panique quand j'ai reçu un appel de Monsieur me souhaitant "bon voyage". J'ai rejoins la voiture en suivant les consignes....... Une femme est au volant et me souhaite la Bienvenue...... L'aventure commençait....... Depuis le début de nos correspondances, j'étais littéralement subjuguée par ce couple, de par la teneur d'une écriture habile mais surtout de nos envies respectives et de la notion d'une relation bdsm que nous partagions. Le feeling allait-il se concrétiser ce soir...... J'avais formulé mes intentions de soumission, m'accepteraient-ils au sein de leur binôme ? Trouverais-je en "E" une complice ? Consentirait-elle à partager son Maître ? Quelle décision Monsieur prendrait-il ? et tout simplement serais-je à la hauteur de ce qu'ils espéraient de moi ! Toutes ces questions me trottaient dans la tête..... Ils avaient su être rassurants, tout était prévu, sécurisé, discuté, orchestré avec brio, mais je partais néanmoins vers l'inconnu et à l'aveugle pour vivre et ressentir ma condition de soumise...... Le protocole à mon arrivée suffisait à poser le climat me rappelant l'enjeu de cette rencontre qui se plaçait néanmoins sous le signe de la décontraction. Ce récit n'a pas pour objectif de flatter l'ego de mes hôtes, mais je tiens à préciser que j'étais une invitée très attendue qu'ils ont su accueillir de manière chaleureuse dans un cadre convivial. Malgré ma nervosité je n'étais pas inquiète et me laissait guider en toute confiance. "E" m'amenait aux pieds de son Maître et me confiait les dernières consignes...... je sentais les palpitations s'accentuer, les choses devenaient concrètes, je la suivais d'une démarche incertaine, m'en remettant complètement à elle puis à la voix de Monsieur, me remerciant d'être venue à leur rencontre...... L'intonation était solennelle mais apaisante, la conversation amicale, tout en laissant planer de façon adroite et maîtrisée une certaine pression..... je retrouvais sa force de caractère, son côté subtil, cérébral, un peu calculateur, taquin, parfois pervers, mais très respectueux, jouant sur notre sensibilité à fleur de peau. Le bandeau qui était au départ une contrainte devenait finalement un refuge. Quand "E" m'a rendu la vue, sur injonction de son Maître, j'hésitais à ouvrir les yeux de peur de sortir de mon rêve, mais la réalité fut merveilleuse, et l'harmonie des plus parfaite, bien au delà de ce que je pouvais espérer vivre. Chacun a pu trouver sa place, sans jugement aucun, les limites étaient respectées et les actes se sont enchaînés de façon fluide, cohérente, progressive, comme une évidence qui nous attendait, mais sans douter un seul instant de la remarquable organisation, réfléchie et consciencieuse du Maître de maison qui a planifié cette rencontre avec finesse, rigueur et envie, qui a su combiner l'aspect troublant, excitant, suggestif, grisant...... qui a su souffler à merveille le chaud et le tiède.... jouant avec mes perceptions, me transformant en "objet" de plaisir.... mais un plaisir partagé à 3. J'ai été charmée par les allusions subtiles de Monsieur, j'ai du puiser en moi même la force pour dévoiler mon ressenti quand il m'interrogeait, je suis passée par des sentiments de gêne, d'humilité, d'offrande, et il n'est pas toujours facile d'adopter la bonne attitude quand on s'introduit ainsi au sein d'un couple, craignant de froisser la sensibilité d'"E" et j'ai reçu en retour un cadeau inestimable de sa part....... Elle a été pour moi une alliée, une sœur, et pour son Maître non seulement une soumise hors pair mais une assistante au service de notre plaisir commun..... Je n'entrerais pas ici dans le détail de notre soirée magnifiquement ficelée, j'ai bien sur exposé avec précisions mes émotions et perceptions à Monsieur et "E" en les remerciant sincèrement pour ces moments intenses. J'ai pris conscience que ma docilité était bien une partie intégrante de ma personnalité, j'ai vraiment apprécié sentir vibrer ma fibre de soumise, et que l'on me montre le chemin, il est long à parcourir mais cela me donne l'envie de poursuivre mon apprentissage, pour atteindre l'abandon, la confiance en moi et l'appartenance dont j'ai besoin. J'ai rencontré deux personnes formidables, attentionnées et touchantes par leur complicité, leur respect mutuel et envers les autres, leur délicatesse, le dévouement d'"E" pour son Maître et mari et je remercie la chance qui m'a été offerte d'attirer leur attention et de croiser leur route. Je ne m'attarderais pas sur leur élégance, leur raffinement, sinon ils vont prendre la grosse tête ;-) mais j'ai été séduite par la féminité d'"E", par la prestance de Monsieur et par l'ambiance qu'il a su créer..... Je suis fière d'avoir eu l'audace de répondre à leur invitation et de franchir le seuil du Fessarium. Y aura-t-il une seconde étape ? Cette soirée magique restera longtemps gravée dans ma mémoire et j'espère qu'elle ne restera pas isolée. Monsieur, votre pseudo est tellement représentatif de votre personnalité...... Prenant à cœur votre rôle de dirigeant pour nous amener là où Vous/nous le souhaitions et nous montrer les ressources qui existent en nous pour notre épanouissement, vous nous aidez à nous élever vers l'excellence. Vous êtes notre Ange..... Depuis cette rencontre, nous avons maintenu un contact très chaleureux. Tenant compte de toutes les parties concernées et principalement de mon idéal relationnel, qui est avant tout de trouver LE Dominant auquel je pourrais appartenir de façon exclusive, Monsieur m'a fait une suggestion. Il souhaite me prendre sous son aile éducative, protectrice, et me permettre de développer mon expérience aux côtés d'"E", en m'offrant une invitation permanente sous son toit, tout en aménageant notre relation de façon à ce que je puisse poursuivre ma quête. J'ai donc accepté de devenir une "soumise libre" néanmoins placée sous la gouvernance du Maître du Fessarium qui n'en sera pas moins exigeant. Monsieur Sitaël, puisque vous l'avez sans doute reconnu, est donc toujours à la recherche d'une soumise avec collier....... cerisa
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Par : le 31/10/14
Une soumise m'a demandé récemment : Juste une question comment vous faites pour l'oublier votre Maitre ça vous fait pas du mal d'en reparler ? Je ne l'oublie pas et en postant quelques photos personnelles, articles, je me rappelle, je me souviens. Comme une façon de garder le lien. Sept mois ont passé depuis la fin de notre relation décidée par lui, mettant ainsi un terme au monde BDSM. Je suis passée par différentes étapes comme un 'travail de deuil'. Depuis je suis mieux à parler de lui, bien que certaines émotions sont toujours présentes. La relation se termine, l'impression d'être délaissée, d'être sans intérêt, comme si je ne 'valais' plus rien du jour au lendemain, un vide sans l'autre. Comme tout, il faut réagir, prendre sur soi, rebondir, il y a un après. Je garde en mémoire les merveilleux moments passés ensemble et j'accepte que ça appartienne désormais au passé. Je suis d'un caractère positif et connaissais l'issue de la relation un an et demi avant la fin de l'année 2013. Rien n'est simple pourtant il a fallut que j'admette cette fin, que j'accepte ce fait. Il n'est pas parti pour une autre, il a mis fin à la domination pour les raisons qui lui sont personnelles, sa mise à la retraite n'a pas arrangé ce qui aurait peut être pu être autrement. Je ne peux lui en vouloir connaissant sa vie de famille, j'accepte. Nous avons toujours été sincère sur nos vies respectives et ce dès le début de nos échanges. Une relation de quatre années ce n'est pas rien dans le monde BDSM. Les séparations sont nombreuses et inévitables au cours d'une vie, elles déclenchent des émotions intenses et importantes ; vivre celles ci complètement permet de passer à travers ces durs moments. Il est important de savoir comment réussir ces séparations si on veut pouvoir continuer son chemin. Et puis, arrive le moment où l’on admet que c’est bel et bien terminé. Les choses ont changé et une page du livre de notre vie est en train de se tourner. On accepte sa douleur et sa tristesse. Il le faut bien, elles vont nous tenir compagnie pendant un bout de temps. Cette période de tristesse est l’une des étapes les plus longues du processus, mais la reconnaissance de la rupture et de sa peine est un très grand pas vers la guérison. Petit à petit, telle une plaie, la blessure se cicatrise. Certes, elle laissera une trace mais avec laquelle j'apprends à composer. J'ai arrêté de me poser des questions, j'ai compris certaines choses, j'ai accepté. Etant en retraite depuis bien des années, ayant du temps de libre et parce que je suis guérie d'une maladie ; je me suis tournée vers le bénévolat cette fois ci dans un hôpital. La vie est belle ! Quand à la seconde question pour 'trouver' un Maître, je ne suis pas en recherche, mais si un se présente, qu'il soit sincère, m'accepte comme je suis, aime l'exclusivité, pourquoi pas ... Il est permis de rêver, bien que je sois lucide. Le 31 octobre 2014
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Par : le 08/09/14
Après une soirée, chez des amis, assez ennuyeuse. Je décida de rentrer et comme souvent, quand une personne se lève pour partir, d'autre en profite pour en faire de même. Après avoir saluer pour rentrer chez moi, je ferme la porte derriere mon amie, qui me dit "Tu rentre chez toi ou tu sors?""Non je rentre, je m'ennuie un peu. Je vais surement me coller devant la télé""Tu veux venir chez moi, j'ai une bouteille de vin" Aussitôt j'accepte l'invitation, pas forcement envie de dormir. Les heures défillèrent tellement vite, que je m'aperçu que la bouteille etait vide. On avait parlé de beaucoup choses, de nos ex, mais surtout de nos expériences et fantasmes. Tout cela devenait excitant et tentant, le plus marrant c'est qu'on aurait beaucoup de mal à s'entendre, 2 dominateurs et aucun soumis, dommage.Une fois couché sur le canapé, bien evidement je dormais sur place, trois verres mon suffit à ne prendre le volant, je ne tardis pas à m'endormir.Mon rêve devenait très interessant, mon amie sortie de la chambres en fine lingerie et moi je n'avais plus de boxerune demi érection et elle se pencha pour me mettra mon sexe dans sa bouche...hmmm... cependant je ne pouvais pas les bras, comme cloué. Elle fit clisse ses levres et sa langue, le long de ma verge, jusqu'à la resortir et me masturber en chuchotant "reveille toi" au bout de 2 ou 3 fois j'était tellement excité mais un peu dans le coltar et ouvrit les yeux, elle etait nue et moi les mains attachées au pied du canapé, elle mit ma tête dans son entre jambe. Ce parfum et ce goût me donna envie de la dévorer à fond. Je lechais, mordillait et passait ma langue entre ses levres pour l'enfoncer dans son vagin. C'est agaçant de servir d'objet quand on refuse de l'être à la base. Elle me dit " doucement, sort ta langue". Je m'executa et elle frotta son clito sur la pointre de ma.langue. Ces gemissements m'excitait et me frustrait. Attaché et ne rien pouvoir faire ma vengance sera aussi agrèable pour moi. Je sentais qu'elle venait et "ne t'arrete pas, tu vas me faire venir, hmmoui" Elle se tordi dans un jouissement, un rale de plaisir. Je sentais ses petits jets de qui me giclait en bouche. J'esperait que les menottes ne soit pas solide pour me detacher, mauvaise sirprise, elle retourna se coucher et moi toujours attaché.
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Par : le 06/09/14
Cheyenne est là, devant moi, corps en croix. Ses poignets enserrés dans les bracelets de cuir supportent le corps et le tendent, ses jambes sont grandes ouvertes maintenues fermement, la ceinture équipée de deux mousquetons sur le côté lui comprime le ventre, et les liens entrelacés dans ceux-ci la plaque contre la croix improvisée, aucun bandeau pour dissimuler son regard fier et provocateur. Après la « mise en croix », l’attente… Tout est prêt…Tout peut commencer ou finir, ce moment où seul le silence a sa place, les seuls mouvements autorisés sont le battement des cils, les regards qui s’accrochent, se défiant dans la connaissance de ce qui va suivre… Minute interminable sans doute pour Cheyenne, ô combien délectable, mais c’est le jeu ; mon plaisir ; son plaisir qui monte aussi et surtout, ses angoisses, ses peurs mélangées d’excitations, ses interrogations, tout cela très vite refréné car elle est en pleine confiance. Elle m’a choisi, son Loup Noir comme elle aime à m’appeler, et je suis fier d’être son Maître. Elle m’a fait don de son corps et de son esprit, à moi maintenant d’être à la hauteur et de lui donner... Et comme à chaque fois, mes doigts prennent possession d’elle, la fouillant au plus profond de son intimité comme pour me persuader qu’elle est prête, et comme à chaque fois mes doigts trouvent ce qu’ils cherchent, son ventre coule, et ma dextre rythme le va-et-vient dans un doux clapotis, présage de la fin d’une attente, début d’une fusion et d’un échange consenti. La scène et les acteurs sont en place, mais dans ce cas-ci : pas de « silence, moteur, coupez, elle est bonne ». Il n’y a aucune place pour la comédie, tout est réel, la réalité a rejoint et dépassé le fantasme depuis longtemps, deux regards unis, conscients de ce qui va suivre, de ce qui les pousse l’un vers l’autre ; aller au plus profond d’eux-mêmes, au-delà d’eux-mêmes, dans un autre espace temps…le leur. Quel est mon plaisir à ce moment-là ? Qu’est-ce qui me pousse à dominer ? A faire mal par pur sadisme ? Où est mon plaisir ? Quelle est ma jouissance dans sa douleur ? Je suis dominant, au plus loin que je me rappelle, j’ai toujours aimé dominer. J’ai appris au fils des années à canaliser ce sentiment de puissance et de pouvoir sur un ou des corps, sur un ou des esprits, pour transformer ces pratiques et ces jeux Sm, en un plaisir immense donné et pris. De la préparation au probable subspace final, la jouissance est cérébrale, forte, l’adrénaline mon compagnon de route, la lente montée du plaisir qui parcoure le corps de Cheyenne je le ressens jusque dans mes tripes, chaque gémissement émis est un étage pour en gravir un autre, les yeux maintenant clos, elle est dans son univers, je ne suis plus que l’instrument de son plaisir, livrée, offerte elle s’abandonne dans une confiance absolue. Tromper un aussi grand don ? C’est la perdre, perdre la maîtrise de mes gestes et de mon esprit et laisser mon excitation me dépasser, c’est la trahir et me trahir. Pendant des heures elle se donnera, pendant des heures elle jouira dans ces plaisirs qu’est son masochisme, pendant des heures, je jouirai cérébralement de sa douleur, de ses cris, de son corps secoué de soubresauts, puis lorsque plus un son ne sort de ses lèvres, lorsque chaque coup asséné amène un sourire, lorsque les yeux dansent derrière les paupières, lorsque son corps se tend pour en avoir encore, et encore… Moment suprême… Je suis seul au monde, elle n’est plus là, elle est dans son monde merveilleux d’où elle ne veut revenir, reliée à moi par le fil de sa douleur transfigurée par un immense bien-être. Je suis seul…et à chaque fois la même question qui revient, continuer ? La canaliser ? Stopper ? Et c’est là que la fusion entre un Maître et sa soumise prend toute son importance… Chaque geste compte, je diminue, remonte, attentif à chaque réaction, elle sent que c’est la fin, son sourire devient encore plus éclatant, et son corps tombe, retenue par mes bras déjà prêt, je la détache, la prend dans mes bras et la couche, la recouvre, et la regarde… Où est-elle ? Moi ? Je suis vidé... comme elle le sera à son réveil. Jouir à ce moment dans le propre sens du terme ne me vient pas à l’esprit, j’ai joui au plus profond de mon être, de cette fusion, et lorsque je la regarde son sourire aux lèvres loin dans un autre monde, je me demande qui a dominé l’autre ….
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Par : le 04/09/14
La sensation de mon pouce entre ses fesses, lui fit un moment de recul.Je pris ses chevilles de pleine mains et lui dit:"Ne bouge pas et laisse toi faire, sinon je serais contraint de t'attacher"Elle me regarda et ne put s'empecher de cacher son sourire et me provoqua en se débattant des jambes en me lançant un... "Tu n'es pas un dominateur, juste un fantasmeur", dur à dire avec une petite culotte dans la bouche, mais plus compréhensible, quand je l'ai retirer pour mieux entendre et puis remettre pur qu'elle ne cherche plus à etre insolante. Je me leva, pris son foulard pour lui bander les yeux et alla chercher des cordes dans le garage (bien sur, à la base, ça me servait plus à mon travail qu'à la maison). Je retourna dans la chambre et l'attacha des genoux au barreaux du lit, la position n'était pas confortable pour elle. Je recommença ce que j'avais commencer. Ma langue passait et titillait son clitoris, mon pouce faisait des petits cercle à l'entrée de son anus, puis ma main passa le long de son corps pour finir sur son seins pour glisser et rouler mes doigts sur ton téton.Son plaisir se faisait sentir, par ses gemissement et l'humide plaisir qui coulait sur ses levres jusqu'a son anus, qui d'ailleurs s'ouvrait à mon pouce.Quand la sonnette d'entrée se mis à retentir. J'arrêta pour défaire des cordes aux jambes mais la laissa attaché aux mains solidement fixé aux barreaux, le bandeau qui cachait ses yeux resta aussi.A la porte c'était un ami, je lui offrit à boire et au bout de 10min, je l'accompagna dehors à sa voiture pendant, peut etre 5 min.Sans bruit, je rentra dans la chambre, me deshabilla et alla retirer la culotte de sa bouche. Elle me dit "C'est toi?", je sentais la peur qui lui prennait, je mis mes doigts dans sa bouche et s'executa pour les lecher. J'etait decider à ne plus paarler.Mes doigts humides se mirent entre ses cuisses et s'enfonça dans son vagin."C'est toi? Hmmm, j'aime ce que tu fais mais je veux etre ta salope et pas à un... hmm, un inconnu. Répond moi".Je me positionna en 69 et lui mis ma verge sur sa bouche.D'un coup de tête et refusa. D'une main, je lui pris la tete et entra mon sexe dans sa bouche, elle me suça, puis me remis à la lecher en enfoncant mes doigts dans son vagin.Après un moment, je me mis en missionnaire pour nos corps excités, nos mouvements devenait sauvage. Quand le moment où elle est venu et je sentis que moi aussi je devais venir. Je sortis mon sexe et 2/3 va et vient de ma main, fit jahir ma semence chaude sur son corps. J'enleva la ceinture qui la tenait prisonnière et aussi vite qu'elle put retira son bandeau "Je suis contente que ce soit toi, mais cela m'as donné d'autre envie", je lui rétorqua "Peut être un jour, tu seras en pâture".THE END Ceci n'est qu'une fiction, mais je voulais tester mes talents de conteur. Ça vous à plu? N'hésiter pas à me laisser des commentaires.
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Par : le 03/09/14
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire, ortrait québécois en 23 points 1 je suis switch , Domina. ..et soumise uniquement à mon conjoint, on ne s abandonne pas si facilement. .. 2 je vis dans le Noooorrrrd!! 3 j aime cuisiner 4 je griffe et je mords 5 j attends un bébé 6 j ai connu la pma (procréation médicalement assistée) 7 j ai un chat 8 je fais du GN (jeu de rôle grandeur nature) 9 j ai fais de la danse classique, contemporaine, voltige 10 mon première amour avez 20ans de plus que moi 11 j ai déjà eu une relation à 3 12 je fais de la couture 13 je tricote 14 mon conjoint fais 40cm de plus que moi 15 j ai perdu ma virginité seule 16 je suis sous prozac 17 je n'aime pas la chantilly 18 j aimerais aller au Japon 19 j'ai perdu mon fils a 4 mois de grossesse, l'an dernier 20 je me fiche des dites règles du bdsm, chacun sa vision des choses 21 plus que 2... 22 en Domina j'aime guider, aider et donner du plaisir 23 je suis une insoumise
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Par : le 03/09/14
La révélation. Christine. Ha Christine... Après avoir joué avec Rita à des jeux de gosses et de découvertes style « touche pipi » qui m’ont fait découvrir les premiers halètement d’aise d’une fille dès que je touchais à certains endroits, je me suis vite aperçu que quand mon "pissou" devenait tout dur, elle avait peur, ce que je comprends bien, non pas par la taille du bâton (susdit), mais parce que je devenais trop entreprenant pour mes 13 ans. Avec Rita nous avons joué souvent aux cow-boys et aux indiens et je pense qu’elle aimait être attachée, peut être a-t-elle eue plus tard une vocation, je ne le saurai jamais, car je ne l’ai plus revue...A 15 ans je mesurais déjà 1 m80. Ma mère avait une amie, Christine, belle brune aux yeux verts, grande, classieuse et âgée de 39 ans. J’avais déjà remarqué certaines œillades, mais ne pensais pas une seconde à ce qui allait se passer. C’est lors d’un déménagement que tout c’est précipité. Nous étions seuls dans son nouvel appart, son mari au doux nom de Léon était au taf. Comment s’est elle retrouvée dans mes bras ? je ne sais pas, mais j’étais plus dans ses bras qu’elle dans les miens…C’est la première fois que j’embrassais une femme avec sa langue qui me fouillait les amygdales. J’aimais vraiment, et ça dura une éternité. Puis le fifi fut extrait de mon jean et pour la première fois de ma vie je fus aspiré littéralement, j’explosais dans sa bouche au bout d une minute…Relevé, je me confondais en excuses, et elle me remit sa serpillière dans la bouche mais le goût n’était plus le même et je compris que je léchais mon propre jus au travers de sa bouche. La nouille dégoulinante se répandait sur mon futal, elle me reprit en main en me parlant doucement, « qu’elle avait eu envie de moi, de ne pas m’en faire pour Léon, ni pour ma mère, qu’elle allait m’apprendre des jeux que je ne soupçonnais pas ». Ça, c’était clair, en deux minutes j’avais fait plus qu’en 15 ans de pensées masturbatoires. Ce n’est pas ce jour là que je découvris mon premier corps de femme. Mais la relation allait perdurer, pendant deux ans je fus son amant, elle m’apprit tout ce qu’un jeune puceau avait à apprendre au niveau sexe, sodo, cunni, de n’avoir aucun tabou, mais surtout le respect que tout homme devrait avoir pour les femmes, l’écoute de leurs plaisirs, de leurs corps, les « apprendre » les goûter, les aimer…les boire aussi... Puis un jour elle me demanda ce que j’aimerai lui faire… « T’attacher » C’était sorti comme ça, de je ne sais où. Je savais qu’elle était « ouverte » à tout, je savais ne pas être jugé pour quoique ce soit. Je revois ces yeux malicieux s’allumer. Ce fut la révélation ! J’aimais ça, et quand elle me dit de la fesser et devant mon désarroi, elle m’expliqua que je ne lui ferai pas de mal mais au contraire beaucoup de plaisirs. Ma première fessée fut sûrement maladroite, mais au plus son cul rougissait plus elle jouissait et plus j’étais bien. Avec Christine j’appris tout ce que j’aurai du apprendre en 5 ans voire plus. Deux ans…Puis elle est partie, ailleurs, avec son Léon vivre loin. Les adieux furent pénibles, mais je ne demandais aucunes explications, chacun avait le droit au choix, et le sien était son mari. Avait-elle eu conscience de la différence d’âge ? Peut être. Jamais je ne la revis, mais ce que je sais c’est qu’elle a mis en moi une drogue plus forte que toutes les gitanes inhalées dans ma vie. De puceau j’étais passé dominant, je ne savais pas encore ce que c’était, mais bon dieu j’aimais ça, j’en étais parfaitement conscient, ça coulait dans mes veines, j’avais presque 18 ans… A suivre…
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Par : le 14/08/14
Comment lui faire comprendre, lui montrer, le lien? Ce n est pas un lien amoureux, mais autre chose. ..Comprendra t elle? Une séance pour qu elle voit, juge? J arrive, l'ambiance est tendue, glaciale. ..ils m attendent devant l hôtel...nous montons... je percois la tension de mon soumis. .. la haine? Colère? De sa femme... La porte de la chambre se referme...silence pesant... Je part dans la salle de bain, me préparer. ..retrouver la Domina en moi.... Je rentre, décidé. ..tire mon soumis, l ordonne de se dévêtir et de s allonger sur le lit... il s exécute un peu a contre coeur... je me tourne vers elle, m approche. .. "Vous me haïssez, vous ne savez pas, ne comprennez pas, ou avez vous peur?" impassible, un mur... une armure. .. il faut trouver la brèche "Je ne suis qu un guide, une rampe où s accrocher...je ne décide pas de monter, ou descendre...j accompagne uniquement. .." Elle se détourne, veut partir...je la retiens. .. pauvre petit oiseau affolé. ... je me colle à elle, la colle contre moi, elle ferme les yeux...je la dégoûte....la prend dans mes bras...un murmure. .."laissez moi vous aider, vous montrer...., il n y a pas que du blanc et du noir....il y a de jolis gris...." Je l attire vers le lit, pauvre mari désemparé. ..on s assoit sur le lit, un regard, "Prends la dans tes bras..." Il s approche la prend tendrement, avec douceur... des larmes coulent, elle cède? Ma main remonte le long de sa cuisse...elle s agrippe a son mari. .. "lui seul vous touchera...selon mes désirs . ..", "réconforte la...déshabille la....", je leur laisse un peu d intimité. ..juste un grand coup de griffe dans son dos...un murmure pour mon soumis, "rassure toi je vais aussi m occuper de toi...".
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Par : le 04/08/14
Il est de ces êtres indélicats que l’on croise furtivement dans une vie et qui ont le chic malvenu de vous heurter dans votre sensibilité, mettant en péril, le temps d’un instant la confiance placée en votre être cher, Maître de votre cœur, de surcroît… Une allusion, une attitude, et vous voilà, le cœur serré d’une contrariété idiote dont vous ne réussissez à gérer la progression. Les autres voient le trouble en tentant de l’interpréter, parfois faussement, parfois dans une véracité qui pose des mots inquiétants sur votre anxiété du moment. Masterlau a beaucoup hésité avant de me dire oui pour que l’on se rende ensemble à cette soirée de Pelissanne. J’ai très envie d’y aller car j’aime retrouver nos amis et faire de nouvelles rencontres. Je ne regrette pas d’arriver et de saluer les têtes connues et aimées. Mon Maître est rayonnant et papillonne volontiers d’un groupe à l’autre, pour se présenter aux nouveaux ou échanger avec ceux que l’on connaît. Je le regarde évoluer, de son sourire avenant, de sa poignée de main franche, dans son humilité affirmée et virile. Il est beau dans son assurance, il inspire confiance, il est convoité et je crois que sincèrement c’est de ça dont je suis la plus fière, lorsque l’on sort ensemble ! Je me fais discrète et aimable, à ses côtés ou pas, j’attends avec envie ce moment où, d’un mouvement de la main, il m’invitera à rejoindre son groupe de paroles. Je fais la connaissance avec plaisir et curiosité des « petits nouveaux » pour qui, première soirée BDSM oblige, gardent bien au fond d’eux toute la perversité dont ils sont capables. Elle arrive de nulle part. Elle porte un pseudo de Domina. Sa tenue est composée d’une vulgaire robe de plastoc, de bas de supermarché vaguement maintenus par un porte-jarretelles sans goût, le « tout » perché sur des chaussures à talons d’une banalité déprimante. Elle tente une première approche, sans même se présenter au groupe de quatre que nous formons pour demander du feu à Masterlau. Elle le remercie discrètement et lui en accuse réception poliment. Nous dînons dans la bonne humeur. La conversation bat son plein et mon Maître contribue volontiers aux débats. Elle revient… Elle me marche presque sur les escarpins pour me passer devant sans égards et accéder à Masterlau. Elle lui chuchote un « je ne sais quoi » à l’oreille. Il se lève et ils partent ensemble s’isoler à l’écart. Le café qu’il a commandé arrive devant moi. Comme à mon habitude, j’y mets les deux sucres qu’il souhaite et je le lui tourne, pensant qu’il va revenir le boire. Il ne revient pas… Je reste là, le regard perdu dans le jus du marc de café, comme à la recherche d’une vérité. Je n’ose même pas le regarder, je ne veux pas qu’il lise l’incompréhension ou une forme de détresse dans mes yeux. J’attends… Je vois Mira. Elle me regarde. Elle a vu le « manège ». Elle désapprouve du regard sans pour cela ne faire aucun commentaire. Elle a de la classe, Mira, elle voit tout, comprend tout mais garde pour elle ce qu’elle pense. J’ai puisé de la force dans cet échange furtif de nos regards. Je me lève et m’immisce dans ce « couple » afin de poser avec discrétion et déférence, la tasse de café devant mon Maître. Il semble brutalement prendre conscience de ma présence et se sent « contraint » de me présenter à l’intruse. Je fais vite, je ne fais que passer, leurs échanges ne m’intéressent pas, je le sens ! Je rejoins Philgard et Mira. Amis et complices, ils sont intéressants, sages et se montreront réconfortants pour moi dans ce malaise qui m’angoisse. Mira me caresse amicalement l’épaule. J’aime sentir le contact de sa main, maternelle, chaude et parfumée sur moi. Je sais que c’est un signe d’apaisement mais aussi un élan d’amour de sa part. Je le reçois ainsi, savourant ce moment langoureux, comme lorsque quelqu’un vous frotte la main alors que vous souffrez ailleurs dans votre corps. Toute sa générosité passe par ce petit geste amical et anodin. Elle sait qu’il me fait du bien. Elle me connaît, elle sait bien que même si je ne me plains jamais, je ne suis pas insensible… Masterlau et la « dinde » s’approchent de nous. Il m’informe que cette soumise novice l’a élu pour lui faire découvrir les joies du BDSM et qu’ils vont donc jouer ensemble. L’autre me toise sans autre forme de remerciement. Philgard ne comprend pas pourquoi il n’a pas été retenu pour cet apprentissage alors qu’il est seul et disponible. Mira dit froidement à Master qu’il a tort de laisser sa belle soumise seule... Je ne dis rien. Je le regarde. Je lui souris. J’ai confiance. Je lui demande l’autorisation de jouer avec Mira et il me l’accorde volontiers d’un sourire et d’un baiser. Mira semble surprise de ma demande mais elle est honorée ! Cela fait longtemps qu’elle avait envie de m’attacher et je rêve d’une suspension avec elle depuis que j’ai vu le confortable hamac qu’elle a « tricoté » pour Jennyfer, lors d’une soirée. Dans sa vivacité mais sans nervosité, elle bondit sur ses jolis souliers, déjà en quête de ses cordes, comme si elle s’attendait à ce que je change d’avis ! Cela me fait sourire intérieurement. Je suis comme elle, je vois et je ressens tout… Nous nous rendons ensemble sur l’esplanade de jeux. Je cherche mon Maître du regard et je le vois qui œuvre sur la fille encordée, d’une caresse langoureuse avec ce plumeau qui lui a été offert à notre cérémonie de la rose par Morgane et dont je n’ai pas encore eu les honneurs. Une voix gronde au fond de moi qui me rappelle que mon Maître n’est pas ma propriété, que le BDSM est avant tout un échange, que je n’ai pas forcément la primeur du matériel neuf de Masterlau, que je ne suis que sa soumise et qu’ayant accepté cette condition, je n’ai pas le droit de revendiquer quoi que ce soit. Cela n’empêche que j’ai mal…que je connais la fougue et l’amour avec lesquels mon Maître pratique ses arts et que là, c’est une autre qui en profite, parce qu’il m’a mise à l’écart… Le mot « jalousie » arrive brutalement à mon esprit ! Il toque effrontément à mon cerveau comme un facteur pressé apportant un colis trop lourd. Je le regarde ce mot sorti de nulle part. Il ne me parle pas. Non, vraiment, je ne vois pas ! J’ai toujours pris plaisir à partager Masterlau. Je me dis que ce serait un crime contre l’humanité BDSM que de vouloir garder son savoir-faire pour moi seule. Je suis généreuse et partageuse de nature. Alors quoi ? La méthode utilisée, je crois que c’est ça qui me dérange profondément. Et j’analyse… Elle ne s’est pas présentée. Elle me marche quasiment sur les pieds et s’interpose entre mon Maître et moi alors que nous sommes ensemble. Elle chuchote à son oreille une proposition de quémandeuse qui la destitue de fait de ce qui pourrait faire d’elle une future soumise. Elle enfreint avec démesure plusieurs règles de notre monde, d’entrée ! Lui me « déçoit » aussi dans son comportement. Il a bondi comme un diable de sa boîte pour s’isoler avec elle sans même m’adresser la parole. Je l’ai visiblement « dérangé » avec ma satanée tasse à café. Il s’est empressé d’accéder à sa demande, flatté comme un marin à l’appel des sirènes… Je les vois tous les deux, partis comme dans un même lit avec un gros polochon entre leurs deux corps, à tenter de jouer au BDSM de rue. Lui est sincère et participe activement à ses envies de découverte, mais, elle, en libertine frustrée, ne subit que dans l’attente du moment où il posera ses mains sur elle pour la gratifier. Elle couine et se plaint. Elle parle trop. Elle m’agace, je « m’enfuis »… Mira a encore ce regard empli de bienveillance, elle a posé l’anneau qui va me suspendre. Elle m’invite du regard et de sa voix douce et m’explique ses plans. Je n’arrive pas à me concentrer sur ce qu’elle me dit. Là, j’ai juste envie qu’elle se taise et me laisse gamberger ! Elle n’en fait rien, elle s’impose, elle est Maîtresse et je deviens sa chose ! Elle me rembarre et continue ses explications. Son ton ne mérite aucune objection et c’est avec attention que j’écoute et approuve ses recommandations. Elle ne veut pas être exutoire de ma colère, elle veut que je vienne, volontaire et soumise, avec elle dans cet espace dénué de tout. Elle a raison, j’y vais ! Elle me tourne dos aux démonstrations de Masterlau, elle stoppe ce qui nourrit mon angoisse et déjà me caresse de ses cordes pour me les faire aimer et m’y soumettre… J’arrive ! Mira a dû naître dans un flacon de parfum ! Tout sur elle, avec elle, autour d’elle, respire une odeur agréable, légèrement fleurie. C’est enivrant sans être entêtant. C’est subtil sans puer la cocotte de basse manufacture. C’est apaisant et rassurant aussi. C’est comme l’odeur du lait maternel pour un bébé. L’espace d’un instant, elle sent comme ma maman… Elle ne commence pas par les mains, c’est étonnant mais Masterlau procède ainsi, donc, je ne suis pas déstabilisée. J’impose à mon esprit de détacher cette dernière image de mon Maître caressant « l’autre », je vais chercher la quiétude dans les cordes. Je me livre à Mira sans retenue et participe activement à l’œuvre qu’elle tente de créer avec mon corps. J’ai confiance en elle. Elle est belle et méthodique, rassurante et caressante aussi. J’ai besoin de sa bonté pour m’apaiser, je me laisse faire. Les premiers passages de cordes me calment d’emblée et m’emmènent aux portes de ce « no man’s land ». C’est la première fois que je vais faire ce chemin avec quelqu’un d’autre que mon Maître. C’est étonnant comme si, brutalement, j’étais devenue assez « grande » pour y aller seule ! J’ai un peu peur. Je lutte. J’ai l’impression d’être sur le chemin de l’école et ne plus me souvenir où est le passage clouté pour traverser en sécurité… Bêtement, je tente de rappeler la dernière image que j’ai de mon Maître à mon esprit comme lorsque l’on s’interroge sur une plaie récente et que l’on touche pour savoir si on a encore mal ! Bingo, j’ai mal…mais plus de colère, juste du chagrin, une profonde tristesse de celle qui donne envie de sangloter ! Il faut que j’arrête de penser à ce duo machiavélique qui cherche à me nuire sans en avoir la réelle intention. Je renvoie ma maligne sinistrose d’un revers de main, je veux rester avec Mira et puiser dans sa chaleur tout le réconfort qu’elle m’offre généreusement. Je la regarde. Elle est concentrée, calculatrice. Elle est forte aussi car elle me soulève aisément ; je me sens plume entre ses mains. Bon Dieu qu’elle est belle La Dame ! De ses traits fins transpirent toujours un sourire empli de bienveillance, de ses yeux tendres une générosité débordante. Elle respire l’humilité et la sagesse. Elle est un empire de bonté dans une carcasse élégante et subtile. J’ai beaucoup d’admiration pour elle. Elle est ce mythe du BDSM qui m’a accompagnée dans mon noviciat ; son blog a été référence dans mes premiers pas. Elle m’a toujours inspiré sagesse et curiosité. Elle est comme faisant partie de mes « chanteurs préférés » d’adolescente qui m’auraient invitée dans leur carré VIP… Je crois que je l’aime, tout simplement ! D’une forme d’amour maternel, sans aucune connotation sexuelle ni passionnelle. Je l’aime comme par évidence, c’est tout ! Je ne m’en suis pas aperçue mais je suis partie… En fait, je ne me souviens plus de rien depuis que mon premier pied a été levé. Je n’ai plus conscience de mon corps. Je tente de savoir si mes mains sont liées ou de deviner l’attache qu’elle m’a faite mais finalement ça n’a pas d’importance et ça m’épuise d’y réfléchir. Je plane ! Je regarde à « l’intérieur de moi ». « Dehors », tout est sourd et parfois un éclat de voix ou une lumière me parvient de loin, comme un coup de klaxon qui résonne brutalement durant un profond sommeil. Je ne suis pas sur une route sur laquelle j’aurais besoin de marcher. Je me sens libre d’aller et venir sans respecter aucun code. J’ai la sensation d’avoir un après-midi de liberté, libérée de toutes obligations et sans culpabilité ! J’ai envie d’aller là puis là, sans respecter aucun itinéraire, d’errer sans but, ni surveillance. C’est bien, c’est bon ! Je poursuis sur ce terrain vague, j’ai laissé mon corps trop lourd à Mira. Elle en prendra soin, je le sais, elle me l’a dit. Parfois je la « vois » qui me sourit, me caresse, m’embrasse. Elle me rappelle ce moment de mon enfance où mon père, rentrant tard de son travail, croyait venir m’embrasser endormie alors que je faisais semblant pour pouvoir le sentir. Je ne trouvais le sommeil qu’après son baiser. C’est dingue comme des souvenirs disparates apparaissent à mon esprit. Ces bribes de mon enfance sans vraiment d’importance, je me sens infantilisée et j’y trouve une forme de bien-être. J’ai soudain envie de pleurer mais c’est comme un éternuement qui n’arriverait pas à sortir ! Mira me surveille. Elle me bande les yeux. Elle ne veut pas que je sois perturbée car elle sent bien que je suis comme morte, totalement immobile. J’ai presque envie de la rassurer en bougeant pour lui dire que je suis encore vivante mais aucun de mes membres ne répond aux commandements que mon cerveau envoie. Tant pis, je sais qu’elle comprendra que tout va bien. Je rêve ou mon corps tremble ? Pourtant je n’ai pas froid, pas peur…c’est déjà l’adrénaline qui arrive, je sens le moment imminent du retour qui s’impose. Je réintègre doucement ma dépouille mais je n’ai pas envie de « rentrer » maintenant. Je reste encore dans un état extatique alors que je suis désencordée et debout. Mira me parle doucement, avec une pointe d’inquiétude. Elle veut que personne ne me touche, pas même mon Maître. Elle me tient d’une main ferme et quête de l’aide. Je m’en veux de l’inquiéter bêtement mais rien n’y fait, le retour de ma conscience est difficile et à contre-coeur… Et pourtant, Il est là, mon Maître, mon amour, tout souriant car lui n’est pas inquiet. Il sait combien je suis sereine dans les cordes. Il me prend dans ses bras car c’est le moment « d’aller au soleil ». Il me couvre de ma cape en fourrure, mon inséparable « peuillon », complice de mes fins de séance. Il m’entoure de sa tendresse et de son humour. Il me « revient » sans culpabilité aucune, comme on vient rechercher son enfant à la crèche après une dure journée de travail. Mira paraît presque soulagée de se débarrasser de cet « âne mort » mais elle est surtout ravie de m’avoir fait vivre un tel voyage. Elle dit, à plusieurs reprises, combien elle aurait aimé être à ma place et comment elle m’a trouvée belle dans cet apaisement quasi-mortuaire. La sensation de toute puissance de l’encordeur se voit récompensé par l’abandon de l’encordé, proie sans défense et prisonnier de son art divin…
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Par : le 30/07/14
Bonjour / Bonsoir à tous , Si j'écris aujourd'hui c'est qu'on m'a conseillé de partager mon histoire. Pour qu'on me connaisse mieux et moi avec. (Je m'excuse par avance pour mon expression et mon orthographe) Pour certain cette histoire n'en sera qu'une parmi tant d'autre et n'expliquera rien, j'ai déjà essayé de la raconter on m'a dit que j'étais un fantasmeur et rien de plus. Mais cette histoire c'est la mienne et je ne la changerai pour rien au monde et j'ai décidé de la partager avec vous J'ai essayé de rassembler mes souvenirs pour comprendre comment je suis arrivé sur ce site à parler de soumission et de domination avec vous. Aussi loin que je me souvienne la première que j'ai ressentis le goût d'avoir était dominé remonte à mes 13 ans. C'est à cet âge que j'ai rencontré celle qui est aujourd'hui mon amie la plus proche. Notre rencontre est née tout à fait par hasard dans un hôpital de Lille. Quoiqu'il en soit de fil en aiguille nous nous sommes retrouvés dans le même établissement scolaire et à partager un même créneau horaire en sport, (le vendredi après-midi de 13h30 à 15h30). Vous allez penser que je divague mais pour moi tout à commencer comme cela. Un Vendredi après midi où nous avions aucune envie de rester en sport, nous avons décider de prendre la poudre d'escampette et de quitter la salle de sport et pour cela il n'y avait qu'un solution possible passer par la fenêtre au niveau des vestiaires mais il fallait attendre que chaque classes commencent le cours et les cours ne commençaient pas tant que les professeurs n'ont pas fermé les vestiaires à clef. Ce n'était pas la première fois qu'on le faisait mais on avait jamais été vu par d'autres élèves qui n'ont rien trouvé de mieux que de nous dénoncer. Nous avons du nous cacher dans les douches des vestiaires (des filles, vu que je l'avais rejoins) la double porte était suffisamment large pour nous laisser un espace qui nous a caché a l'arrivé du professeur. A cette instant, avec l'adrénaline peut être, mon esprit était comme inhiber (c'est assez dur d'exprimé ce que j'ai ressentis bien qu'aujourd'hui encore je m'en souviens parfaitement). Essayez d'imaginer , j'allais sur 14 ans et une charmante jeune fille de 16 ans vous plaque contre le mur entre la porte et le mur dans un espace étroit pour se cacher contre vous. Comme prévu le professeur est arrivé et cet instant était à la fois interminable et agréable, lorsque la porte c'est ouverte mon doigt se coinça (heureusement pour moi pas violemment). Réagissant très rapidement la charmante jeune fille qui était face contre moi plaqua avec force sa main sur ma bouche pour m’empêcher de me plaindre de la douleur de mon doigt, elle posa son front contre le mien et mis le doigt devant sa bouche pour me dire de me taire. Vous direz peut être que cela est ridicule mais pour moi cette action à déclencher chez moi des pensées qui aujourd'hui m'accompagne encore. J'ai regarde ces beau yeux vert, enivré par le parfum de son corps et de sa main. C'était les deux plus belles et les plus longue minutes de ma vie et bizarrement je ne pensais plus à mon doigt.... Mais cette histoire ne se finit pas là. Cette même après-midi après notre «évasion» nous somme allés chez elle pour passer du bon temps malheureusement son père est rentré plus tôt que prévus et nous nous sommes caché dans le seul endroit où il n'irait pas, le grenier. Pour y accédé il fallait rentrer dans la chambre des parents et passer une porte fermé à clef. Il n'était pas grand mais suffisant pour installer un matelas et attendre le moment propice pour sortir mais (parce qu'il y'en a toujours) le père est entré dans sa chambre pour dormir. On c'est assis et on a commencé à parler elle était assise derrière moi les jambe écarté moi assis entre elles. Puis on rediscuta de notre «évasion». Et je lui ai dis ce que j'avais ressentis quand elle avait posé sa main sur mes lèvres, ce qu'elle a refait, mais cette fois-ci elle bloqua mes bras avec ces jambes, ça l'amusé, et la position lui donné plus de force et je faisais exprès de me débattre pour qu'elle soit plus ferme... Je ne peut pas dire combien de temps ça a durer mais cette entrave et ce geste a été pour moi comme une révélation... Voilà, merci à ceux qui ont eu le courage de me lire, ça ma prit trois jour pour me décider à oser parler de ça... voilà j’attends vos commentaires sur cette histoire. Elle vous paraîtra niaise peut être mais si j'aime l’entrave et qu'on me fasse taire cela viens de là et mes questions sur ce que je suis ont commencé après cette aventure. Merci à la communauté, si vous avez des questions peut être parce que je ne suis pas clair ou pour savoir autre chose je serais ravis d'y répondre. Je posterai peut être un peu plus sur moi une prochaine fois, en tout cas en parler me fait du bien car le monde juge trop sans vouloir comprendre...
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Par : le 20/04/14
suite à la demande de Madame je vous livre mon ressenti de notre dernier week-end. Carnet de voyages, l'au revoir. L'île quitte doucement son attache. le continent rapetisse lentement. L'eau clapote sur les plages de sables colorées. Au port d'attache, la brise plie les tiges de bambous, les feuilles vertement fraîches tournoient dans la lumière sépia. J'ai attendu, la poitrine gonflé d'espoir, le ventre serré d'angoisse, dans ma main, un SMS éclate, brisant mon impuissance. je suis là. J'ai attendu veillant sur votre sommeil. En nettoyant sans bruit, ma douleur. L'écoute de votre silence me rassure. Mon corps froid s'anime d'une joie brûlante au bruit de votre réveil. Vos ongles s'accrochent à mon âme, en rayant ma peau, elle chauffe votre corps. Il vibre au point de tremper vos doigts qui pénètre ma bouche. Le goût de votre plaisir est doux, nectar précieux il s'incruste au plus profond de mon cerveau. La nuit et le jour se confondent sur cette île. Parfois se mélangent donnant ou prenant, en se moquant de nous. L'océan qui nous entoure, est multicolore et les heures avancent ou reculent à leur gré. Sur le continent maintenant perdu de vue. Le vent plie des tiges de bambous et les feuilles vertement fraîches s'agitent sous le ciel bleu. La découverte. En longeant les plages de l'île qui s'étaient faites bleues pour l'occasion, nous découvrons un coteau illuminé de soleil. Un coteau herbeux parsemé de prunelliers fleuris. L'île pourtant déserte, se modifie suivant vos désirs, et il se peut que quelques promeneurs égarés viennent à notre rencontre. Votre interrogation s’efface. Le premier claquement est parfait, le deuxième se perd quelque part dans la chair. L'erreur est vite comprise. A ce corps recevant vous donnez votre joie. Que cette bouche gémit sous votre rire moqueur, donne à votre bras la puissance idéale à votre bras. Votre main prolongé de la cravache fait se tortiller votre serviteur. Ses fesses tendues vers vous. Il apprend au son de votre voix ses postures d'humiliation. Sa chair rougie, le souffle haletant, est le fil de l'apprentissage. Artiste peintre, en fond blanc vous zébrez de rouge, votre modèle. En souriant, vous reconnaissez toutefois que votre serviteur à besoin d'apprendre pour encore mieux vous servir. Si son corps se tortille bien sous vos caresses badines, vous déplorez sa faiblesse à les encaisser. Mais il vous rassure et promet de s'endurcir. Quitte à pleurer dans vos bras. Il sera un objet de plaisir pour vous Madame. Sa peau douce attire vos caresses, trois points noirs incrusté dans ses pores vous gêne. Vous aimez enlevez ses choses là. Votre soumis est heureux que son corps soit un terrain de jeux pour vous. Nue, devant l'océan jaune sous le soleil bleu, votre corps se bruni un peu. Votre serviteur le corps brûlant de vos attentions, admire votre beauté et nettoie les gouttes d'urine laissé sur vos jambes. Récompense, bonheur de garder un peu de vous en moi. Gravure. L'océan révèle une infinie beauté aujourd'hui. Dans les tons orange nuancé selon les courants, l'orage gronde en venant vers nous. Nous longeons une autre plage au sable fin et vert, parsemé de coquillage multicolore. Un, particulièrement pointu attire votre attention. Vous le prenez il est fin, dur, et transparent. Il part en spirale pour finir en pointe. Vous le gardez Madame, déjà une utilisation se dessine dans votre esprit. Nous rentrons. Frédéric? Oui Madame? Déshabillez vous s'il vous plaît. Je m’exécute. Allongez vous sur le dos. Je m'allonge. Fermez les yeux Frédéric. Et mettez vos mains dans votre dos. Oui Madame. Vos doigts caressent mes mamelons, mon souffle se fait court. Vous les emprisonnez entre vos doigts et les tirez ou les tournez. La douleur est instantanée, je gémis, mon corps se tord. Voyons Frédéric! Dites vous en léchant mes tétons. Vous n'aimez pas mes coups de langues? Si Madame. Alors vous reprenez la tortures de mes seins. Alternant caresses, étirements, langues, pincements. Je crie un peu, je gémis beaucoup,je me donne passionnément, je me tord à la folie, je ne respire pas du tout. Sur mes seins rouges vous frottez vos mains. Roulant des pointes qui ont doublé de volume. vous m'excitez Frédéric. Vos doigts force ma bouche. Ils sont trempé de votre plaisir. Cadeau Frédéric! Mearcoui Badame! Vous vous éloignez un moment. J'essaie de reprendre mon souffle. J'entends la brise dans les feuillages, douce et langoureuses. Vous vous asseyez sur mon corps, vous m'encerclez de vos magnifiques jambes. Prisonnier. Vos mains, vos doigts caressent lentement mon torse. Je vais vous faire mal Frédéric. … Le voulez vous? Oui Madame. Très bien, vous m'excitez quand vous gémissez Frédéric. Un objet pointu se pose sur mon torse, j'essaie de suivre sa trajectoire, mais la douleur est intense. Je bande. Contre les fesses de Madame. Pendant que la pointe trace des sillons sur ma peau qui brûle de plus en plus. Je bande. Sous vos fesses, Madame. Mes yeux fermés se mouillent. Vous tracez inlassablement. Vos soupirs de joie, sont tuteur de mon plaisir. respirez Frédéric. Je respire, du moins j'essaie. Allongez vous sur le sol. J'ouvre les yeux, et m'allonge. Mes bras me font mal d'être resté si longtemps dans le dos. Vous vous mettez nue, votre pied s'amuse avec mon sexe raide. c'est très bien Frédéric! Votre queue est très belle. Dressée pour sa dominante. Je vais vous récompenser. Vous l'avez mérité. Vous avez été courageux. Merci Madame. En murmurant la bouche sèche. Debout au-dessus de mon corps vous urinez. Au bout de quelques secondes mes blessures me brûlent. Merci Madame. La lumière bleue du soleil inonde les pièces. l'océan c'est calmé l'orage est finalement passé, sans que je l'entende. L'eau est calme d'un joli jaune, les grand acacias frissonnent sous la brise. Je fume une cigarette de tabac oriental. un peu de botanique. Nous marchons sur le chemin bordés d'arbres. Il est étroit. Je vous suit. Mon regard se pose sur vos fesses et ne les quittent plus. Le mouvement doux et nonchalant exprime une danse érotique qui éveille mes sens. Le sentier s'élargit sur une petite clairière. Des touffes d'orties sont là. Elles ont poussé pour vous. Frédéric? Oui Madame? Relevez votre tee shirt. Oui Madame. Je relève mon vêtement, vous le passez sur ma tête. Je suis aveugle. Vous triturez mes tétons endoloris de la veille. Ils sont sensibles, et gonflent de plaisir instantanément. Vous vérifier longuement si cela gonfle aussi ma queue nue sous mon pantalon. Satisfaite vous serrez très fort en tenant ma nuque d'une main ferme. Je vous appartient. L'envie de souffrir pour vous est forte car je sais que vous prendrez du plaisir. Que vous serez heureuse. Je vous entend vous éloigner, faire votre cueillette. Vous caressez mes seins au feuilles d'orties. Vous tournez lentement autour des pointes érigées. Vous écrasez les feuilles doucement les feuilles sur ma peau. Vous contemplez votre œuvre. Pas assez. Vous recommencez. Je bande comme un fou. Je voudrais que vous baissiez mon pantalon, que vous m'attachiez à un tronc, les fesses tendues vers vous, ma posture cambrés en attente. J'aimerais sentir les orties fouetter ma chair, piquer ma peau, j'aimerais hurler. Mes seins me brûlent horriblement. Vous me l'avez dit les travailler est un plaisir pour vous et je dois m'habituer. Nous reprenons notre promenade. Le sentier serpente. Les oiseaux chantent. Mes seins fourmillent. Vos fesses dansent. Les miennes sont vierges, c'est peut être mieux car le tissus sur mes mamelons me fait mal. Et je bande... le retour. Assis sur la plage de sable bleu, je contemple le lever du soleil. L'océan, il me semble, est moins orange. À l'horizon une barre bleutée, se profile. Étrange. Perdue dans mon ignorance, je ne vous ai pas entendu arriver. Un bandeau noir obscurci mes yeux, vos mains pèsent sur mes épaules. Je m'allonge. Aveugle je ne comprend pas tous les bruits qui m'entourent. Vous vous installez à califourchon sur mon pubis vous êtes nue. Moi aussi, bien sur, mais c'est mon état. Vous tirez mes bras derrière ma tête. Vous prenez à pleine mains la peau de mon corps. Vous tirez et tordez, vous m'adressez en chuchotant des paroles d'apaisement, tandis que vous vous acharnez sur mes seins, mon ventre, l'intérieur de mes cuisses. Mon sexe enfle sous vos fesses. Comprimé, il grossit avec douleur. Vous sentez le sang affluer dans cette verge. Et vous pesez encore plus lourd pour stopper cette mutinerie. Le calme se fait soudain. Puis une goutte me surprend, chaude, puis une autre et encore... a chaque goutte je sursaute, je commence à trembler, je suis bien en votre pouvoir. Vous le savez et vous arrêtez la cire. J'aurais aimé que ces gouttes brûlantes me surprennent encore plus loin. Mais je ne suis pas là uniquement pour mon plaisir. Vous vous levez puis vous collez votre sexe sur mon visage. Accroché des deux mains aux tétons de votre soumis, vous recevez ses cris a l'intérieur de votre vagin. Étendu sur la plage, haletant, je reprend ma respiration. Débarrassé du bandeau, je vois l'horizon barré du continent qui se rapproche. Je suis presque sur que des bambous plient dans le vent, et que des feuilles vertement fraîches dansent avec le soleil. Assise à coté de moi vous contemplez l'horizon. Vous murmurez «merci Frédéric».
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Par : le 14/04/14
La vie de tous les jours est faite de routines, de moments pénibles, agréables, inoubliables, ou inutiles ... Elle est aussi faite de moments privilégiés qu'un couple vanille vit tous les jours quand chacun des fiancés changent de role. L'un devient le Dominant et l'autre la soumise. Même si cette répartition peut déteindre au grand jour, elle est marquée comme il se doit lors de ces moments privilégiés. Mais quand ces moments-là deviennent aussi précieux que de l'Or, nous en profitons à fond, nous les attendons avec impatience ...Et nous en reparlons encore par la suite Ils sont précieux par leur intensité, les partages, les sensations, .... mais par le temps. La vie de tous les jours est bien remplie, les agendas ne correspondent pas toujours, les journées trop longues, les nuits trop courtes, et quant aux WE ... C'est ainsi que Je savoure tous ces moments, intense ou doux, vanilles ou BDSM. Ces moments toujours uniques qui permettent une Evasion et qui manquent toujours ... Ma soumise / Fiancée, je t'aime à un point inimaginable. Tu es toujours à mes cotés, avec Moi. Mais ces longues journées sans toi, ces soirées trop courtes à mon gout, sont des calvaires.... Je t'aime Ton Maitre / fiancé
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Par : le 07/04/14
1er munch à Grenoble (05 Avril 2014) C'etait une soirée prévue depuis longtemps dans les agendas. Cela se déroulera à Grenoble, une première. Ma soumise avions déjà participé à une - et unique - soirée BDSM. C'était à Lyon, nous en avions gardé un bon souvenir, et avions hâte de revenir dans cet univers. Mais nos emplois du temps ne nous laissent pas toujours le choix. Mais ce soir, cela se déroulait ici. L'occasion était trop bonne de rencontrer encore d'autres personnes réelles, avec de vrais prénoms et non de simples pseudos cachant trop souvent des mythos, fantasmeurs ou autres. Nous devions y aller à 4 : Maitre Extase (qui nous avait transmis l'information), Falbala (en plus, cela était l'occasion de la rencontrer aussi en réel) et nous. D'autres personnes de la région semblaient aussi intéressées. Les jours jours passaient et l'excitation montait. Qui allaient êtres ces inconnus ? A quoi vont ressembler les personnes du site qui seront venues ? Comment allait-on s'habiller? etc ... La veilles, Maitre Extase ne pourra malheureusement venir, mais Falbala est sur la route. Nous n'avons pas plus d'infos que cas sur cette soirée, mais qu'importe ! Enfin, le Jour J arrive et Falbala avec. Pour la première fois, nous pouvons discuter ensemble sans écran interposer et échanger librement sur notre passion commune. Pour accélérer le temps, nous partons marcher dans le centre piétonnier de la ville voisine, lécher quelques vitrines. Le ciel est gris, mais l'ambiance est joyeuse. Arrive le moment des derniers préparatifs. Nous ne savions toujours pas qui nous allions rencontrer là-bas au final. Mais nous n'irons pas au rendez-vous habillés n'importe comment. C'est l'occasion de remettre nos tenues gothiques, corsets, talons hauts en vinyl... Quel bonheur de voir sa soumise resplendir de beauté. Cela fait partie du jeu, de ne pas vivre constamment la routine du quotidien. Au moment de partir, un collier est pris pour sa soumise, des fois que .... Conduire de nuit, avec 2 puces - dont 1, en particulier - qui saute de partout n'est pas le plus aisé. Mais c'est un délice. L'ambiance est faussement zen, car comblée d'excitation, d'autant plus qu'il faut marcher un peu dans les rues de Grenoble pour aller jusqu'au bar... Une "épreuve", dans un sens. Le trio ne laisse pas les passants de marbre .... Enfin, nous arrivons au bar, et montons à l'étage rejoindre le groupe ... Ils sont un peu moins une dizaine. L'organisatrice, une magnifique soumise, nous accueille avec un splendide sourire et nous prenons place avec eux. Aprés un rapide tour de présentation, nous lançons la conversation sur le thême du BDSM et des rencontres réels. Un jeune soumis a déjà une domina, un couple D/s est à nos côtés qui s'est aussi habillé pour la circonstance. Les autres découvrent cette pratique et le milieu. Ils ont moins de 25 ans, mais sont ouverts, veulent en savoir plus, mais semblent un peu impressionnés par notre présence (nous avons au moins 10 ans de plus qu'eux et avons déjà de l'expérience). Les discussions vont bon train, l'ambiance est très sympathique. Nous sommes tous motivés pour rencontrer d'autres personnes qui partagent au moins le point de vue central de nos visions du BDSM : le respect de la soumise, de la vie quotidienne de chacun et, surtout, que le BDSM est une pratique d'épanouissement, de complicité, de bonheur, de partage intense. L'un des thèmes de discussion de cette soirée est l'organisation d'autres soirées. Ce munch a réuni un bon nombre de personnes et ca ne pourrait pas s’arrêter la. Nous échangeons nos coordonnées avec l'organisatrice pour que ce genre de soirée recommence, vois +. ******** L'idée est simple. Un groupe de jeunes veut dynamiser et partager leur passion du BDSM à Grenoble. Toutes les initiatives sont bonnes à prendre, et tous les bras sont les bienvenus. Nous avons également besoin de conseils, d'aides pour l'organisation de soirée à proprement parler (logistique, local, ...). La motivation ne manque pas, mais l'expérience dans ce domaine est plus que récente. Ami(e)s Grenoblois(es), des alentours, si vous voulez nous donner un coup de main pour organiser soirées, munchs et autres festivités autour du BDSM, n'hésitez pas à me contacter (Veroso) ou à joindre ma soumise (Hestia). ***** Passionnés, nous ne nous lassons pas de parler du BDSM. Notre trio aurait voulu discuter avec des personnes qui avaient eux-aussi de l'expérience, mais c'est avec beaucoup de plaisirs que nous leur faisons part de nos ressentis, et de nos points de vue partagés. Quel bonheur pour tous de parler librement, sans artifice, de cette pratique, culturellement "interdite" ! Le temps passe également vite et, vers 2h, nous décidons de nous séparer pour nous retrouver prochainement.... La soirée se termine ainsi, la tête pleine de projets et de rêve ..... qui ne demandent qu'à se concrétiser
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Par : le 29/03/14
Un article que j'ai écrit il y a quelque temps déjà.La sexualité et les pratiques qui s'y rapportent, comme le BDSM, font partie de l'Univers, de cette Manifestation cosmique splendide.Le Tantra enseigne l'Unité : l'Origine est Une, et a voulu être connue, et s'est faite Multitude, afin que les composantes de la Multitude se connaissent les uns les autres, et connaissent l'Unité.C'est la beauté du Divin Tantra : tout commence par un Jeu, une non-nécessité issue d'un désir... tout comme le désir de contrainte et de soumission qui m'habite et qui est né en moi ainsi que beaucoup, ou le désir de contrôle et de domination qui chez d'autres réside. Ce désir raffiné est issu du désir brut de l'Origine, être connue.On parle souvent des qualités divines comme de vertus : bonté, générosité, justice, courage, patience... c'est oublier que la Torah parle du Dieu vengeur et colérique, du Dieu qui tue et châtie, du Dieu qui fait toutes les actions que nous avons jugées et enterrées sous le sceau de l'immoral et de l'interdit.Dans la sexualité, on retrouve ces paradigmes, la douceur, la bonté, la patience, l'amour. Chez ceux qui dévient, chez ceux qui ne sont pas enterrés complètement sous la presse des normes sociales, d'autres vertus divines se manifestent. La violence, la colère, la volonté de contrôle, se montrent sous des formes transcendées : c'est Elle la Maîtresse qui joue et Elle manifeste le Divin en Elle. C'est aussi Lui qui joue.Et le soumis, dans tout ça, le soumis lui aussi est part de cette oeuvre transcendantale. Il montre d'autres qualités certes, mais surtout donne un socle à la manifestation des qualités divines chez Celui ou Celle qui lui accorde la grâce du Jeu.Ce n'est pas à prendre d'un point de vue sectaire, mais juste comme la mise en avant d'un parallèle qu'on peut faire et qui met en avant, au delà du plaisir et du fun, les effets des pratiques BDSM sur l'élévation des consciences.Note utile : en tantra, il n'est pas de pur et d'impur, tout est la manifestation et de ce fait tout est vénérable. La pureté et l'impureté sont vues comme d'illusoires contingences.
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Par : le 20/03/14
Le thème du BDSM étant de plus en plus présent dans les romans parus récemment, vous vous êtes surement déjà poser des questions sur cet art de la fessée érotique. Cette pratique fait partie intégrante des jeux sexuels. Elle est la prémice de plaisirs qui sembleraient interdits mais en même temps elle nécessite une certaine mise en scène dont l’esthétique est une composante essentielle. Par le passé il était impensable d’oser en parler mais les moeurs changeant, elle devient de moins en moins tabou chez ces couples sans cesse en quête de nouvelles sensations. Je dirais qu’elle s’est d’abord libéralisée chez les couples homosexuels, elle y a trouvé façade sur rue sans pour autant signifier que c’était une pratique qui leur était propre. Seulement malheureusement la réputation des relations homosexuelles étant souvent signe de déviance pour les esprits étroits, cet art leur a été imputé d’office. La fessée érotique a de multiples aspects : - volonté de soumission - volonté d’humiliation - volonté de dégradation de l’image - rituel purement hédoniste - cliché pornographique - une gratification - ou tout simplement acte d’amour. Oui je dit bien acte d’amour car dans l’amour, la perversion n’a pas de place, il s’agit avant tout d’un libre échange entre adultes consentants. Vous serez surpris d’apprendre que la fessée existe en tant que pratique érotique depuis le moyen âge d’ailleurs le célèbre marquis de Sade l’évoquait dans ses écrits. A l’instar des autres pratiques BDSM, la fessée est une manière de se libérer du carcan du poids de notre société, elle est libératrice, mais elle doit rester avant toute chose un plaisir partagé car sinon elle devient une pratique égoïste et surtout brutale. Pour les plus curieux, il existe diverses manières de l’appliquer, tout comme divers degrés de force. La plus courante se pratique à main nue, mais un fouet, une cravache, une badine ou tout autre instrument peut être utilisé. Les positions utilisées peuvent aussi être multiples : - Sur les genoux ou entre les genoux - Penché sur un canapé, une chaise… - À quatre pattes (sur le lit ou le sol) - Sur l’épaule du partenaire dominant - Menotté à un lit -Jambes écartées. etc Tout dépend du degré voulu par le ou la fessé(e), le fesseur ou la fesseuse joue un rôle très important car c’est en lui ou elle que le fessé place sa confiance et surtout je dirais son postérieur. ;-) Certaines cultures décrivent la douleur comme un aphrodisiaque. Et dans certains cas la fessée n’est que l’expression d’un fétichisme pour les postérieurs. J’espère que mon article vous aura plu et éclairé un peu sur le sujet. L'article original est disponible sur mon blog
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Par : le 20/03/14
On peut souvent lire des articles, ou autres écrits, où la soumise – ou le soumis – rend hommage au Dominant ou à la Domina. Ce que je m'apprête à faire est ainsi l'inverse. Ma Soumise, nous nous sommes croisés, comme tous ceux qui auront fait comme Nous, via nos 2 identités virtuelles. Faux noms (pseudos), fausse photo (avatars), mais écrits vrais. Je me souviens, à peu prés, la manière dont je t'ai abordé la première fois. C'était par hasard, parce que tes posts étaient sombres, tristes alors j'ai mis mon grain de sel pour tenter de remonter le moral de cette inconnue. 7 mois plus tard, nous portons la même bague, nous avons les mêmes clefs d'appartement dans nos poches. 7 mois plus tard, tu es ma fiancée, une radieuse femme et une soumise qui s'abandonne avec une confiance inégalée entre mes mains. Au tout début, nous avons tracé notre Route. Aujourd'hui, nous la parcourons tout en traçant la suite. Quand je regarde derrière le chemin parcouru, j'en reste impressionné de tout ce qui a été fait, de ce que tu as « subi ». Un déménagement de 500Km, tout l'administratif à gérer, ton nouveau travail et, au final, une nouvelle Vie pour Toi. « Nouvelle » ne serait pas assez fort tant le résultat a été radical. Tout est différent à présent qu'avant. Nous avons été tous les 2 à gérer ce changement de Vie, mais à la vue de ce que tout ce que tu as traversé, je veux te tirer mon chapeau. Je n'ai jamais été autant admiratif envers une personne que Toi. Tu me diras que ma vie a été chamboulé également ; mais il s'agissait de simples habitudes à changer, des détails à ajuster au regard de toi. Alors, Je veux te rendre hommage, Toi, ma femme. Qui a chamboulé sa Vie en chamboulant la mienne. Tes yeux pétillent de bonheur quand tu es là et illuminent ma Vie. A toi qui relève les défis les uns après les autres avec une combativité exceptionnelle et qui fait l'admiration de ton Homme Je te rends hommage, ma soumise, Toi qui te donne avec une totale confiance dans mes mains. Une confiance que j'étais loin d'appréhender au tout début et qu'il a fallu apprivoiser au tout début. A Toi, mon Hestia, ma fierté, ma plus belle et magnifique de Mes possessions. A Vous 2 que J'ai sous Mon aile, mais qui marchez à Mes côtés sur le même chemin ; main dans la main pour l'Une, avec une Laisse pour l'autre. Mon Hestia, mon Amour, Tu es ma Chance, mon bonheur. Puisse ce texte te rendre hommage comme il se doit à une femme si exceptionnelle Ton Homme, Ton Maitre
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Par : le 20/03/14
Parce que : - parce que nous ne nous étions pas vus nus, et pas vus tout court, depuis 25 ans, - parce que notre histoire restait à écrire, - parce qu'elle est bi authentique, et alterne ses histoires d'amour à long terme, un garçon-une fille-un garçon-une fille, et que j'arrive à contrepied quand elle sort d'une histoire avec un gars et en commence une autre avec une fille, - parce que je me sens bien avec elle, - parce que nous pouvons rester très longtemps sans parler, et nous sentir bien, - parce que nous nous connaissons, et de longue date, - parce que nous nous découvrons, - parce qu'au changement de tonalité de la ballade #1 de Chopin je l'ai sentie au bord des larmes et lui ai murmuré dans un souffle : "Viens." afin qu'elle puisse se blottir, - parce que je l'ai observée, assise sur le dossier de son canap avec ses jambes de danseuse classique négligemment croisées dans ses bottes à talon, juchée telle une chatte dominante, - parce qu'elle s'est jetée sur moi comme une femelle enragée, - parce qu'elle sait toutes mes envies bédéhèssèmes, mais ne les goûte pas, pas plus qu'elle ne les juge, avec elle, je serai vanille.
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Par : le 20/03/14
Bonjour à vous Merci pour votre très beau site et très instructif. Je voulais vous faire part de ma perplexité à propos du problème de prostate qui serait consécutive à une chasteté prolongée. La plupart des sites se rapportant à la chasteté annoncent en effet que le maintien d'une chasteté durable accentuerait les risques de mauvais fonctionnement de la prostate des hommes et pourrait même entraîner un cancer. Il est alors proposé plusieurs techniques de pression qui permettrait de vidanger cet organe sans entraîner de plaisir. Ce qui est étonnant, c'est que le risque d'impuissance liée au port prolongée d'un dispositif de chasteté contraignant sur la circulation sanguine n'est que rarement évoqué. Médecin et chercheur scientifique de mon état vanille, je me suis penché un peu sur ce problème. Divers problèmes de confort sont susceptibles d'apparaître quand la cage de chasteté est trop grande parce que les corps caverneux peuvent rapidement s'emplir mais moins bien se vider du sang érectif, notamment lors des érections réflexes nocturnes. Ces douleurs peuvent facilement être réduites ou même ne pas apparaître si le dispositif de chasteté épouse parfaitement la taille d'un pénis au repos, soit entre 3,6 et 6cm en moyenne. Plus la cage sera étroite et moins le risque de dysfonctionnement sera grand, évitant le problème récurrent des douleurs nocturnes. Ce sont les cages trop longues ou trop grandes qui peuvent occasionner des problèmes aux flux sanguins et au fonctionnement des artérioles. Au contraire, en empêchant le début d'érection, une cage très courte reste confortable, évite les douleurs et peut être portée sur de très longues périodes, pour peu qu'elle soit une cage en métal chirurgical ajourée, comme la "jailbird" ou même les cages "chinoises" par exemple, facilitant un nettoyage minutieux du gland. La cage de chasteté n'entraînera alors qu'une forte frustration, longue et pénible, mais en aucun cas douloureuse et plus le port du dispositif durera, plus la frustration augmentera. C'est le privilège de la chasteté d'être efficace avec le temps. Il faut un minimum de trois jours pour en sentir les effets, qui s'estomperont un peu avec le temps, mais qui, si ils sont attisés sexuellement, peuvent s'avérer très puissants avec les mois et les années. L'effet est quasi maximal au bout de six mois sans interruption, mais peut encore être augmenté sur plusieurs années. Néanmoins, le port prolongé d'un tel dispositif ne sera pas sans effets à long terme sur les capacités érectiles. Une certaine impuissance, due à l'inertie des corps caverneux, se fera sentir au bout de quelques mois. Cette impuissance reste généralement temporaire si l'exercice normal des érections nocturnes y pourvoit, mais peut aussi s'avérer plus capricieuse si la chasteté s'est poursuivi sur du long terme. Ceci dit, les porteurs doivent donc être avisés de ce réel problème et en assumer les conséquences. De fait, un soumis chaste, volontaire sur une longue période, et qui n'aurait plus à utiliser son pénis pour une jouissance, ne devrait pas s'en préoccuper puisque le problème de dysfonctionnement érectile n'engagera aucun trouble majeur, sinon une frustration accrue. Mais, dans de rares cas, l'impuissance pourrait s'avérer définitive. Au bout d'un an, l'inertie des corps caverneux peut également entraîner un léger raccourcissement de la taille du pénis en érection, mais le pénis retrouve sa taille assez rapidement après quelques mois d'érections normales. Bien entendu, la prostate fonctionne comme une glande assez ordinaire et avec le temps et un fonctionnement réduit, la plupart des hommes connaissent un épaississement de sa paroi qui en réduit la souplesse. Cela n'a pourtant rien à voir avec une pathologie sévère. Il s'agit seulement d'un état de fait lié à l'âge. Chez la majorité des hommes, la "vidange" de la prostate n'a rien de nécessaire car en fait, elle ne se remplit pas. Je ne sais pas d'où vient ce mythe réitérée de la nécéssaire "traite" de cet organe. En fait, le liquide prostatique accompagne le sperme lors de l'éjaculation et est produit en continu. Mais il se résorbe aussi plus ou moins en continu, ou bien finit par s'écouler tout seul lors de "pollutions nocturnes". Il n'y a lieu à "dégorger" la glande que dans de rares cas pathologique de d'épididyme bouché, voire lors de cas exceptionnel de dureté de la paroi glandulaire. Quand au cancer de la prostate, bien qu'on ne sache encore pas tout sur sa genèse, il y a tout lieu de penser qu'il n'a rien à voir avec la quantité d'éjaculations. Il s'agit d'abord d'un problème de prolifération cellulaire. La (très mince) corrélation qui existerait avec le cancer de la prostate concerne le nombre déclaré d'actes sexuels par semaine inférieur à 10 ou supérieur à 10 sur un échantillon non représentatif et dont on ne sait même pas l'hygiène de vie réelle. Bien d'autres substances, alcool, drogues et surtout polluants perturbateurs endocriniens peuvent être aussi en cause. Aucune étude ne concerne un lien entre cancer et nombre d'éjaculats. Au demeurant, il n'existe aucune surmortalité due au cancer de la prostate chez les personnes chastes volontaires (prêtres et sectes religieuses étudiées). En revanche, presque tous les hommes finissent par montrer des signes de dérégulation prostatique et de cancer lié à l'âge, et cela, qu'ils soient baiseurs impénitents, chastes, impuissants, prêtres ou éjaculateurs précoces. La recherche porte bien davantage sur les mécanismes enzymatiques de régulation cellulaire. De même, le nombre de cancer de la vessie n'a rien à voir avec le nombre de miction ou le cancer de l'intestin avec le nombre de repas.... En l'absence d'études cliniques réelles, je ne comprends pas d'où vient ce 'mythe urbain" tellement décrit que nombre de participants s'imposent des éjaculats par pression de la prostate dont rien ne prouve ni l'efficience ni l'absence de plaisir. Au contraire, ces éjaculats par pression sont régulièrement l'objet des orgasmes lors de relations sodomiques. La jouissance trouvée par ce biais peut être faible ou importante selon les personnes, mais la "traite" de la prostate ne fonctionne qu'à cette condition de provoquer un orgasme, qui, chez l'homme, est directement lié à l'éjaculation (effet sur les sphincters de la prostate). Aussi, est-il étonnant que des personnes refusant l'orgasme coïtal puisse croire que l'orgasme anal serait inexistant.   Peut-être apparait-il plus contraignant et plus humiliant pour des hétérosexuel peu au fait des pratiques amoureuses, mais en aucun cas, cette libération du sperme ne me semble sujette à éliminer des problèmes prostatiques ou à réduire une jouissance. Malmener votre prostate peut limiter peut-être le plaisir masculin, mais c'est pourtant à cause de la pression du pénis dans le rectum sur cette glande par leur partenaire "actifs" que les homosexuels "passifs" obtiennent leur plaisir. Ma conclusion est donc que une chasteté imposée sur le long terme reste tout à fait possible et d'autant plus frustrante que le dispositif est étroit et que la personne n'obtient aucune éjaculation. Il reste inutile d'exercer toutes ces pressions sur cette "pauvre" glande masculine alors qu'on devrait davantage prévenir les porteurs de dispositif de chasteté du risque vrai, mais faible, d'impuissance à long terme. La culpabilisation des femmes dominantes maltraitant le pauvre soumis ne devrait en tous les cas pas être légitimée par cette pseudo "raison scientifique" et rien ne me semble justifier l'apprentissage de ces techniques de "traite" si ce n'est un jeu d'humiliation par exemple. Il serait sage d'en finir avec ce mythe bizarre, une chasteté sur plusieurs années n'entrainera surement pas de cancer de la prostate, mais en revanche une très longue frustration. Si une dominante souhaite faire perdurer la chasteté de son soumis sur de très longues périodes, il n'existe aucun motif réel de se soumettre à des exercices de pression de la prostate, le soumis, porteur d'une cage de chasteté étroite, de la taille du pénis au repos, pourra être gardé chaste aussi longtemps que les deux protagonistes consentants le souhaitent. Et le moindre paradoxe c'est que la chasteté est à la fois peu douloureuse et encore davantage frustrante avec une cage très étroite qui interdira toute érection normale ! La solution de frustration confortable implique donc une cage aussi courte que votre pénis au repos et portée sur une période aussi longue que votre maitresse le souhaite, et cela sans aucune rémission... Amusez vous bien. Votre Alfred .
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Par : le 11/03/14
Pique-nique du 10 et 11 août chez Mr TSM. Après une bonne nuit de sommeil réparateur Daniel et moi (Mon Maître m'avait accompagné vendredi 9 août vers 14 h 15 chez Maître Pierre pour repartir vers 17 heures) étions en forme pour nous rendre à Vauvert en compagnie de Maître Pierre. Nous avions rangés au frigidaire, les plats et boissons apportés pour le pique nique, aider si besoin était. Puis saluer les Personnes présentes, Mr Mistral m'a présenté sa soumise Emeraude, j'ai été ravi de cette présentation. Sacherm, Antarés venu de Cambrai (qui a changé de speudo entre temps et qui est à présent Ossad) deux soumis agréables, Mr TSM bien sur ainsi que ses deux soumises KiO et Ginou, Mr Freddy, et l'invité de ce week end Monsieur Vich qui a la maîtrise du shibari, des suspensions et fouets divers... Nous étions arrivés en avance pour que la croix de St André soit montée, cela devait prendre une bonne heure avec Maud de Nadia, comme Toutes deux n'étaient pas encore présentes Sacherm un soumis, Mr Freddy dominateur et Mr Vich ont pris les choses en mains et en moins de trente minute la superbe croix était en place trônant dans la verdure chez Mr TSM. Ginou en cuisine avait fait des petites étiquettes pour soumis (es), pour apporter les plats divers, apéritifs, entrées, plats, fromages, cafés, débarrasser, amener, il est vrai qu'il faut de l'organisation et avec KiO, elles se partagent bien les tâches et que tout le monde aide, c'est appréciable. L'heure de l'apéritif commençait à poindre, nous avons installé quelque bouteilles sur la table. L'apéritif a duré, c'est ma pensée. Je vais encore me faire des ennemis tant pis... sourire L'heure tournait, la chaleur était là, Maître Mark et sa soumise Saphyr accédaient à la maison de Mr TSM, je suis allée au devant d'eux. Saphyr a de très belles fesses et un superbe tatouage aux creux de ses reins, j'ai un peu caressé ses seins quand son Maître l'avait attaché et qu'elle recevait le martinet au fond du jardin. Elle est curieuse, très souriante, et avait apporté des plats concoctés, cuisinés chez Elle. Partis de Monaco vers midi, ils avaient dormi chez des amis avant de rejoindre Vauvert, un peu avant midi, Belle harmonie avec son Maître qui est son mari, j'ai peu discuté avec eux en fait, beaucoup de monde, je pense savoir qu'ils reviennent pour le pique nique de septembre. Mr Rphdom (sa quiche, un délice, je l'ai savouré) et Insolence que j'ai trouvé super décontracté, gracieuse et aidant beaucoup en cuisine et ailleurs, elle me prenait la vaisselle pour l'essuyer au plus vite, la coquine. Tous deux étaient accompagnés par Melle Sweet (qui avait apporté et préparé de la pâtisserie faite maison) une soumise 'prise' sous leurs ailes. Mr Rphdom la guide, une belle entente avec Insolence qui a son mot à dire bien sur, entre tous trois l'harmonie et ce n'est pas évident quelque fois. Elles ont le même gabarit toutes deux et habillées un peu pareilles elles étaient, même pour les bas. Toutes deux jolis fessiers, j'ai vu Mr Rphdom jouer avec ses martinets, puis à un moment donné Melle Sweet qui a les cheveux courts, a été rasé par lui, il restait des cheveux bien courts et une mèche sur le devant bien longue, le rendu était joli et l'éclat de ses yeux étaient plus mis en valeur à mon humble avis. Princesse ou Insolence, gracile soumise a été suspendu par Mr Vich, le rendu était de toute beauté, celui ci était l'invité de ce pique nique, un Homme qui sait manier le fouet comme j'aime, j'ai pu goûter au fouet corail et d'autres également. Maud et Dame Nadia sont arrivées, quel bonheur de les revoir, je me sens proche d'Elles et aiment leur compagnie. Maud certains jeux toujours prête à montrer son superbe fessier bien dur pour recevoir fouets, martinets, et autre ustensiles, Elle ne bronche pas et a un mental d'acier tout comme ses superbes fesses. Elle a changé de tenues quelque fois, et puis l'apercevoir déambuler avec ses hauts talons, j'aime. J'ai fait la connaissance de Dame Freya et son soumis Allain, ma plus belle rencontre de ce pique nique et j'ai pensé à Mon Maître qui aurait été enchanté de faire la connaissance de cette Maîtresse. Un bon feeling avec Tous deux et quelques larmes d'émotion à voir leur complicité évidente, les regards échangés, j'en ai été bien ému. Mr Mistral a fouetté sa soumise sur la croix de St André. Celle ci a changé de tenues x fois sourire. Mr TSM a été prolixe envers Ginou gourmande, que j'affectionne. Que cela soit les fouets de son Maître, celui de Mr Vich corail et autre canning, elle endure... Allain le fouet lui aussi par Monsieur Vich, Maître Pierre, il a en gardé de belles marques. hum... KiO séance fouet avec son Maître, une re découverte après quelques mois sans y avoir goûté. moi attachée sur la croix de St André, fouetté par Maître Pierre et faire la poupée de chiffon à un moment... Mr Vich a demandé une volontaire pour une suspension, je me suis proposée ... Cette découverte m'a comblé depuis le temps que je voulais découvrir les cordes, bien qu'à un moment donné, une me serrait bien au dessus de ma poitrine, mais comme m'a expliqué Mr Vich : c'est mon poids qui a fait que la tension était ... sourire Etre attachée et suspendue ainsi a été une totale initiation que je pensais à tort impossible vu ma corpulence. Comme quoi quelque fois, on se fait des idées qui ne sont pas ... Saphyr s'est également fait fouetter par Maître Pierre sous le regard de son Maître, des belles marques pour son retour elle a eu, et a découvert la cire samedi soir après que Mr TSM ai posé des aiguilles sur le dos de sa soumise KiO entrelaçant celles ci d'une petite chaîne et faisant couler de la cire en bas de son dos, en forme de coeur. Dessin qu'il a pu retirer avec son couteau et offrir à sa soumise avec la chaîne qu'elle pouvait porter comme un médaillon. Les applaudissements ont été. J'ai répondu à un moment donné dans l'après midi sur un ton qui a déplu à Mr TSM ce qui m'a valu 5 coups de paddle bien frappé quand Maître Pierre se servait de ses cannes, je n'ai rien dit et accepté cette remontrance qui était justifiée. Maître Pierre a la maîtrise, le sérieux, les compétences, l'hygiène est présente, le samedi cela a été le tour de soumis Allain sous le regard de sa Maîtresse Dame Freya de découvrir les sondes d'urètre, j'ai été impressionné par la longueur, par les diverses diamètres, Maître Pierre attentif comme à son habitude. Allain faisait honneur à sa Maîtresse, une première pour lui également et bravo. Moment fort dimanche après midi, Maître Pierre, Dame Freya avaient comploté pour clouer la peau du sexe de Daniel, il y la vidéo sur le site. Ce dernier a été attaché sur une chaise, bras et pieds entravés par JDuroc avec ses cordes suivant les consignes de Maître Pierre pour ne pas qu'il bouge. Daniel a eu droit à un cloutage, c'est impressionnant, j'étais assise proche de lui à voir son visage grimacer de dépassement, de don, j'ai eu mal. Dame Freya étirait comme il faut la peau de son sexe ainsi les clous étaient bien placés, aie . Maître Pierre et son marteau, entendre le bruit et regarder les expression de Daniel, aie Son Maître attentif, à l'écoute, patient, rassurant, c'était une première et le moins que l'on puisse dire, c'est que la réussite a été, bravo à Toi quel soumis, ESCLAVE depuis peu, je suis fière de lui Après les clous... La CBT, je suis partie après les clous, Dame Freya lui a percé les seins avec des aiguilles, Maître Pierre diverses sondes d'urètre, puis des vis, à visionner la vidéo c'est hard. Cet Homme a la maîtrise, l'hygiène est de rigueur il va de soi ainsi que la patience. Revoir certaines Personnes comme Dame Emma et sa soumise Kanaria pour qui j'ai de l'estime et du respect, de belles rencontres à F......, un bonheur que leur venue. Le dimanche 11 août Le Scorpion soumis m'a étonné, par sa façon d'oser certaines pratiques, de se donner à la morsure du fouet, martinets, fessées bien marquées par certaines Personnes, j'ai posé 8 aiguilles sur la hampe du sexe à sa demande, une première pour moi, Dame Freya lui a mis une aiguille à chaque sein et fait un superbe dessin avec un long ruban entrelaçant les aiguilles de son sexe à ceux de ses tétons, le rendu était de toute beauté. Et sous la cagoule Scorpion soumis s'est incliné remerciant Dame Freya. Avant son départ pour Paris, ce gourmand a reçu du champagne sur son corps, sourire. Une bonne douche avec le tuyau du jardin et il était enfin prêt pour faire x kilomètres avant de rejoindre la capitale. Un soumis à revoir si possible ... Léa sylphide soumise avait acheté des gâteaux pour fêter dimanche après midi l'anniversaire de son Maître JDuroc Gracieuse, elle a déposé devant ceLui ci le plateau composé des 3 desserts puis les deux cadeaux accompagnés d'une jolie petite carte écrite. Une soumise offre un présent à son Maître mais là était une excellente occasion. Certains (es) ont eu du fouet, martinet, des fessées, des contraintes, du canning, des dessins à la cire, des soumis lavés et rincés au tuyau d'arrosage, la pratique des aiguilles, et j'en oublie surement. Des photos ont été prises, des vidéos ont été tournés seulement et c'est très bien ainsi, que par l'Organisateur de ce pique-nique. La CBT pour deux soumis qui aiment les beaux égards et qui ne sont pas de couards, sourire Le port d'une ceinture de chasteté Sacherm pour ne pas le citer qui a eu droit à une épilation intégrale de ces attributs. A un moment donné pas moins de 4 Femmes que cela soit Domina, Maîtresse, soumises à ses cotés ainsi exposé, sur une table, le carcan maintenant sa tête et ses mains, les pieds attachés. Pendant le repas de samedi vers 15 heures, il est resté à genoux sous la table pendant x temps. Comme Ginou à un moment donné dimanche après midi, j'ai été également nue dans les jets d'eau, à genoux je devais avancer, Mr TSM avec son fouet, un régal et puis KiO s'y est mise aussi, elle manie avec dextérité cet instrument, l'eau me faisait du bien, puis j'ai eu bien froid et l'on a arrêté. Le dimanche en fin de soirée, à un moment donné petit jeu entre Dame Nadia, Maître Pierre pour que Tous deux arrivent et ils y sont arrivés à retirer des tomates du potager de Mr TSM qui avaient été disposés sur le dos de Maud, avec leur fouet respectif, et la participation de Mr Vich, je ne vous dis pas les rires, la joie, la bonne humeur, pour ce défi. Puis vient le tour des tomates concassées... Tomates éclatées par Maître Pierre à la demande de Maud avec l'aval bien sur de Dame Nadia, les tomates ont été écrasé avec le nunchaku d'entrainement en mousse mais que l'on sent bien en ce qui me concerne. Pour ce trip, j'avais installé ma chaise pour être aux premières loges, Maître Pierre adroit tout comme Dame Nadia avec le fouet à part un raté de chaque coté, petit délire entre gens de bonne compagnie. J'avais demandé à me faire fouetter par Mr Vich qui avait accepté, le fouet corail sur ma peau, hum ... Maître Pierre je l'ai vu à un moment donné était devant moi, pour le fouet enroulé c'est plus prudent et l'on peut voir ainsi les marques sur la poitrine. Je ferme toujours les yeux quand je suis dominée et quelque fois les aient ouverts et aie certains coups comme deux sur mon sexe. Le respect a été aucun débordement Nous étions 26 à ce pique-nique, j'ai bonne mémoire. Les marques des cannes ont été présentes pendant une semaine passée sur mon généreux fessier par contre, les marques des fouets de Maître Pierre le samedi après midi, et Mr Vich le dimanche se sont estompées au fur et à mesure, me reste à ce jour du 26 août, une trace enfin un bleu, sur mon sein gauche, rappel du fouet enroulé de Maître Pierre. Merci à mon Maître aimé qui a la confiance de Maître Pierre, pour m'avoir permis de participer à ce second pique-nique. Merci à ce dernier pour les belles marques qu'il m'a offert et son respect à mon égard. Merci à Monsieur Vich pour la suspension, vos fouets, dont le superbe fouet corail, votre respect et bonne humeur, dialogues. Merci à Monsieur TSM pour son accueil ainsi qu'à ses deux soumises pour l'organisation complexe d'une telle rencontre sur deux jours, il y a du travail avant, pendant et après les départs. De belles rencontres, découvertes à ce deuxième pique- nique, de la convivialité, du respect, de l'amitié, des initiations, de l'écoute. J'ai écrit ce second récit à ma façon avec mes propres ressentis, mes émotions. J'ai demandé l'accord de Toutes les Personnes mentionnées dans cet écrit. Le 27 08 2013
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Par : le 07/03/14
Je suis assis à mon bureau travaillant sur l’ordinateur, elle est dans la pièce d’à côté sur le canapé, les lumières sont éteintes et nos pièces séparé par une arche sans porte sont éclairé par les lumières blafarde venue de l’extérieure et par celle bleutée de nos écrans respectif.Alors que je ne mis attendais pas je voie une forme ce déplacé a quatre patte dans ma direction.Je tourne une tête distraite et j’aperçois ma petite chienne qui a quitté son canapé et qui se dirige vers moi d’un mouvement lancinant.Sa magnifique chevelure brune légèrement bouclée encadre en cascade son visage éclairé par les lueurs blafardes, un sourire aux lèvres.Ses mouvement sont félin, plutôt inhabituelle pour une chienne pensai je en souriant.Elle me regarde et dit « n’y voie aucune malice » mets ses fines mains sur mon pantalon et le descend doucement, prend mon sexe et tout en me regardant me mets dans sa bouche. Je sens mon sexe durcir dans sa bouche sous ses vas et viens, j’apprécie en silence.Apres quelques coups de langue elle arrête et remet mon pantalon.Je la regarde étonné, elle me dit « juste parce que j’en avais envie » et s’apprête à repartir un sourire aux lèvres.Je la retiens par le bras et lui dit « tu crois t’en sortir comme ça ? »elle me répond « oui ,en rigolant, mon film reprend » je ne dis rien mais sourit , finis mon travail, laisse passer quelques minutes puis me lève à mon tour, me met devant elle, la regarde d’en haut. Elle lové sur le canapé, sourie.Je passe une main amoureuse et tendre dans ses cheveux, appuis sur sa tête et la dirige doucement vers mon sexe. Elle rigole mais ne se fait pas attendre.Elle se met à genoux pour mieux me sucer et cela réveille mes envies de soumission.Je lui demande si elle a envie d’une petite séance.Elle me répond de son joueur et habituel « peut-être » un sourire sur le visage.Resserrant ma prise dans ses cheveux je ne lui laisse pas le choix et lui donne le rythme.je l’entend s’étouffé avec mon sexe, comme j’aime cela, puis je la laisse continuer, pendant que moi je la relève en position debout mais penché, elle sait que quand nos séance commence et quel me suce peu importe ce que je fais sa bouche ne doit en aucun cas quitter mon sexe sous peine de punition.Je lui fais enlever son pantalon pendant qu’elle continue à s’occupé de moi puis la remet à genoux, a sa place.Je la laisse la et vais chercher son collier, que je lui mets immédiatement.Sa bouche se jetant sur mon sexe a peine suis-je revenue dans la pièce.A partir de ce moment elle n’est plus rien, elle n’est plus humaine, elle est ma chose, ma chienne, ma larve, mon objet, mon dévidoir.Je le lui rappel en lui faisant baiser mes pieds.Pendant ce temps je lui passe un doigt sur son cul et descend vers son sexe qui dégouline comme je l’aime.Bien.Je l’oblige à me regarder puis lui met une gifles pendant qu’elle me suce, puis une autres, puis encore une autres, cela l’excite.Elle me met dans sa bouche jusqu’à s’étouffer puis ressort, un long fil de bave et de sperme nous reliant.Puis recommence jusqu’à l’étouffement.Je me retire sans prévenir, part dans l’autre pièce et reviens avec des attaches.Je lui attache les deux mains dans le dos et lui dit de continuer. Mais avant je lui retire son haut et lui met quelque baffes sur ses seins comme elle aime. Au moment où je prends mon pied je m’aperçois que les rideaux ne sont pas tirés et que de dehors quelqu’un promène son chien dans le parc en bas de notre immeuble. Il a l’air de regarder dans notre direction.A sa silhouette c’est une femme mais je ne sais pas si elle peut nous voir sans lumière.Tant pis.Je prends ma chienne la relève, pousse tout ce qu’il y a sur la table et lui met la tête dessus et tend sa croupe sensuelle vers moi.Je l’oblige a me regarder pendant que je passe un bâillon dans sa bouche.Et puis la pénètre d’un coup, elle crie dans son bâillon, cela m’excite encore plus et je continue, de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profond.Elle hurle.Comme j’aime cela.Je la défonce comme elle aime, ses mains attachées dans son dos se tendant vers moi pour m’attraper ou me repousser suivant la lourdeur des coups.Je me tourne encore vers le parc pour y voir cette silhouette toujours au même endroit.Qui semble regarder vers nous, nous voit elle, ou regarde elle ailleurs, plus haut ou plus bas, peut être discute elle avec quelqu’un sur son balcon, nous observe-t-elle en train de faire l’amour violemment.Le doute est encore permis.Plus pour longtemps.J’attrape ma chienne par les cheveux tout en me retirant puis la relève violement, la plaque contre la porte vitré du balcon.Ses seins aplatis contre la vitre glacée, sa chaleur faisant déjà de la bué causé par le froid extérieur.Les mains attaché dans le dos elle n’a pas de prise lorsque je la pénètre violement, je la prends fort, elle crie à chaque coup, je crois reconnaitre dans ses crie étouffé des je vous aime maitre ou des merci maitre.Pendant ce temps je ne quitte pas des yeux la silhouette féminine sortie prendre l’air avec son chien.Elle ne bouge pas, mais je ne voie pas ce qu’elle fait dans le noir.Ma chienne me dit quelque chose, je ne comprends pas, alors j’enlève son bâillon elle me demande de la mordre à l’épaule.Quelle impudence.JE suis le maitre, JE décide.Puis je réalise qu’elle le sait et qu’elle sait que je vais la punir pour cette outrecuidance.Je souri, elle aurait pu me demander de la punir directement, je l’aurai fait avec plaisir mais c’est plus drôle ainsi.Je lui détache les mains, elle s’appuient contre la vitre et se met sur la pointe des pieds pour mieux me recevoir, comme j’aime quand elle fait cela.Je lui dis de me regarder, ce qu’elle fait et je lui crache a la figure.Elle lâche un petit cri de plaisir suivit d’un sourire que je lui fais vite effacer par un grand coup de queue.Je regarde par la vitre et n’aperçois plus la silhouette. Nous a-t-elle vues ? L’as ton choqué ?Je n’en sais rien et m’en moque.Je prends donc ma petite chienne par le collier, lui passe sa laisse et lui dit de me suivre a quatre patte dans la chambre afin de recevoir sa punition, ce qu’elle fait docilement.D’elle-même elle se place à quatre pattes sur le lit m’offrant sa croupe délicieuse comme support à mes coups de punition, sachant ce que je veux après tout ce temps de relation.Bien sûr en tant que dominant et pour bien lui signifier que JE décide, je refoule mon irrésistible envie de lui fouetter les fesses avec ma cravache qui traine au bord du lit et prend un de ses pieds que je soulève légèrement.Puis lui fouette la plante des pieds.Elle se mort les lèvres pour ne pas crier.Un pied après l’autre subit mon courroux.Puis vint le tour de ses fesses, qui deviennent vite rouge.Mais j’arrête, la met sur le dos et attache ses mains au corde qui traine à chaque coin de notre lit, placer là il y a bien longtemps pour que cela soit disponible de suite lorsque l’on en a envie. Puis lui attache les pieds, la voici donc écartelé, offerte à mes désir et mes envies, sans moyens de s’y soustraire.Je m’assois sur son ventre, lui donne quelque coups sur ses seins, puis sur ses joues.puis m’avance jusqu’à m’assoir sur ses seins et mettre mon sexe dans sa bouche. Elle me suce et me regarde droit dans les yeux pendant que moi je la doigte.Au bout d’un moment, je m’allonge sur elle et la pénètre ainsi, léchant ses seins, l’embrassant, mordant son coup faiblement et ses épaules fortement laissant des traces qui je le sais dureront plusieurs jours.J’alterne pénétration longue et douce, puis courte et puissante, de temps en temps crache dans sa bouche ouverte ou sur ses seins, ou l’étrangle de mes mains jusqu’à ce qu’elle me fasse un signe de tête pour que j’arrête.Tout cela l’excite et elle se lâche, prenant parfois l’initiative d’un rythme, d’un mouvement.Elle me fait monter, je sens que je vais jouir mais je n’en ai pas fini avec elle.je me retire donc la laisse la, reprendre son souffle, son mascara ayant laissé des coulées au coins de ses yeux.Ce qu’elle est belle.Je la détache, la relève, et la plaque contre la vitre de notre chambre qui donne sur la rue passante.Le store extérieur est fermé, personne ne peut nous voir, puis l’attache les bras écarté aux cordes installées à chaque mur, elle aussi a demeure. Je lui mets son bâillon et la fouette avec ma cravache dans le dos.A chaque coup je relève un peu plus le store afin qu’on puisse la voir depuis la rue en train d’être dressé.Elle mouille énormément, cela lui plait je le voie bien.Une fois à la vue de tous (il n’y a personne, il est vraiment tard, seule quelque voiture passe trop vite pour remarquer quoi que ce soit.) je la pénètre violement et lui fait payer son insolence par une relation physique brutale.Elle hurle dans son bâillon et j’aime ça.Je finis par redescendre le store électrique, la détaché pour mieux lui rattaché ses mains dans le dos, et la posé délicatement sur le côté dans le lit.Je viens me placé en culière et la pénètre tout doucement.Lui enlève son bâillon pendant que je la pénètre.Elle me remercie à chaque coup, je la caresse en même temps, les seins, son sexe, ses cuisses.Elle me dit qu’elle va jouir.Moi aussi.Nous finissons ensemble dans un moment de pure extase.Je la détache, lui enlève son collier et la prend dans mes bras pour un câlin.Elle m’embrasse et me dit merci.C’est moi qui la remercie plutôt !Merci d’être ce qu’elle est et de me laisser être ce que je suis.Je lui dis que je l’aime elle me répond moi aussi puis rigole.Je lui demande ce qu’il la fait rire.Elle me dit que là c’est sur elle a loupé la fin du film.
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Par : le 07/03/14
Je finis de mettre mon matériel dans mon sac pendant qu’elle discute entre elle. Ma compagne et ma soumise du jour son toute deux vêtu de la même façon. J’ai insisté la dessus. Jupe, chemise, porte jarretelle, bas et talon, classique mais j’aime cela. Et elles le savent toute les deux. Ce n’est pas notre première séance avec elle. Je suis prêt. Elle aussi. je mets son collier à ma soumise pour lui signifier qu’à partir de cette instant elle m’appartient, elle est ma chose, mon objet, par ce collier une extension de moi et de ma volonté, elle est là pour me servir. Puis nous montons en voiture, ma compagne devant et ma soumise en place arrière. Alors que nous roulons j’ordonne à mon extension, ma soumise de mettre son collier à ma chienne. Elle s’exécute. Comment pourrai-t-il en être autrement, elle est mon bras, mon esclave, ma servante, elle n’est là que pour m’obéir et me servir dans mon dressage de ma chienne. C’est son rôle dans cette soirée. Nous partons donc pour ce lieu ou ma chienne subira mes envies sadiques et sexuelles directement ou par le bien de ma soumise qui pour elle sera une domina. C’est pour cela que je préfère que mes soumises pour ce genre de séance soit des switch, il faut qu’elles aiment dominer, faire subir leur fureur et la mienne à ma chienne par des actes physiques et douloureux mais aussi qu’elles aiment être dominé par moi, et subir à leur tour des punitions physiques si elles ne m’obéissent pas bien. Le plaisir de dominé mais en étant retenue, engendrant une frustration croissante qu’elle peut déverser sur sa soumise, voilà ce qu’il lui plait à ma switch. Et j’aime ça. Sentir sa frustration monter, la restreindre et puis la laisser déversé sa colère et son plaisir sur ma chienne qui aime avoir mal. Nous roulons donc vers l’endroit que je leur réserve et que j’ai découvert il y a pas très longtemps, j’y ai déjà fait quelques séances et je commence à bien aimer l’endroit, j’espère juste ne pas être dérangé, cela n’est jamais arrivé mais dans le BDSM outdoor avec le frisson de l’interdit et d’être découvert viens de temps en temps la frustration d’être découvert. Je suis excité par la possibilité d’être découvert mais ne le suis jamais par l’être. Cela coupe tout. Tout en conduisant je voie les belles cuisses de ma chienne, comme elle m’excite, j’ordonne à ma soumise d’obligé ma chienne à me sucer pendant que je roule. Elle prend donc ma chienne par les cheveux d’une main, se penche dans l’espace entre les deux sièges avant, ouvre ma braguette et sort mon sexe de l’autre. Puis plonge la tête de ma chienne sur ma queue qu’elle tient droite afin de l’obliger à me sucer. Hum un vrai délice, sa langue fait des vas et viens pendant que ma soumise lui tiens les cheveux tout en l’insultant et en lui disant quoi faire. Je donne un ordre d’une voie grave et sourde «plus profond». Oui maitre répond ma soumise et sans prévenir enfonce la tête de ma chienne plus profondément. Je l’entends s’étoufféavec ma queue, comme j’aime cela. Ma soumise soulève et rabaisse la tête de ma chienne au rythme qu’elle veut, lui donne de petite gifles au visage et lui parle mal. Arrivé à un feu rouge, personne aux alentour je lui dit d’arrêter, prend la tête de ma chienne a pleine main et la force à me sucer moi-même, tout en l’insultant et lui donnant des gifles. Ma soumise attend patiemment bien au fond de son fauteuil, je lui ordonne de se toucher en nous regardant. Ce qu’elle fait. Il y a des moments où l’on aimerait que le feu passe vite au vert, ce n’était pas ce genre de moment que je vivais là. Bien trop vite le feu passe au vert et je redémarre laissant ma soumise reprendre l’acte précèdent. je lui ordonne d’arrêter, nous sommes bientôt arrivé. Je gare la voiture et ordonne à ma soumise de mettre sa laisse à ma chienne et de m’attendre devant la voiture. Pendant ce temps je sors et récupère mon sac. Une fois fait je mets sa laisse à ma soumise. Normalement elle marche debout devant moi ,la tenant en laisse qui elle-même tiens ma chienne en laisse qui marche à quatre pattes a même le sol. Mais là il y a de la boue, il fait noir. je préfère garder cela pour des lieux plus intimes et sacrifie l’aspect symbolique pour l’aspect pratique. je me rattraperai plus tard. Nous arrivons devant cet immeuble abandonné que ni l’une ni l’autre ne connaissent. Mine de rien les bâtiments délabré les impressionnent, il apporte une ambiance glauque et malsaine par sa décrépitude, ses murs couvert de tags et son absence de luminosité. Elles ne disent rien, mais cela les excites tout autant que cela leur fait peur. Je le sens à leur façons de respiré et à leur maintien. J’adore ça. Moi j’y suis déjà venue une demi-douzaine de fois afin de faire des repérages, des préparatifs, et des séances. Je connais un peu l’endroit et donc je les guide par-delà les couloirs sombres et couvert de débris jusqu’à la salle du fond. Une grande salle dont trois des quatre murs sont couvert de fenêtre et le dernier, celui par lequel on accède à cette salle est tapissé de miroirs. Les lumières de la ville rentrent indirectement par toutes les directions donnant une illumination blafarde et irréelle à la salle. Les deux poteaux qui supportent le poids de la pièce sont répartie équitablement au centre, dans un angle de la pièce se trouve un fauteuil que j’ai mis la a mon dernier repérage. Je détache ma soumise et lui dit de préparé le matériel, prend une corde dans le sac puis lui tend. Elle se dépêche d’étendre le drap propre que j’ai dans mon sac par terre, a même la moquette et d’y sortir tous les instruments que j’ai emmené avec moi. Pendant ce temps j’attache ma chienne au poteau, bras écarté de chaque côté relier aux poteaux face aux miroirs mais aussi pour que du coin de l’œil elle aperçoive le fauteuil dans l’angle de la pièce. alors même que je l’attache, elle me sourit et essaye de m’embrasser. je l’aime cette nana, elle sait qu’elle va être punis pour ça. Mais elle adore ça. Et moi aussi. J’attache aussi ses jambes, puis demande à mon assistante, ma soumise de me donner le martinet. On va commencer doucement. Elle s’exécute et attend à côté de moi. Quelque secondes passent et elle se rend compte que j’attends quelque chose d’elle. Puis elle se rappelle qu’elle se doit de déshabillé ma chienne. Elle s’excuse et enlève la chemise de ma chienne . Bien entendu comme je l’ai déjà attaché au bras elle ne peut lui enlever totalement, il faudrait la détacher. Elle s’excuse, je hurle, l’insulte, la traite de tous les noms et lui ordonne de se dépêcher. Ce qu’elle ne sait pas c’est que je l’ai fait exprès pour assoir ma domination cérébrale en la mettant dans une situation de stress et d’échec. Et cela marche à merveille, je souris intérieurement mais ne montre que de la colère à l’extérieur. Plus je hurle et plus elle galère en proie à un stress grandissant. Je la fait stopper puis lui fait remarquer que la prochaine fois je la punirai. Elle me remercie, je détache un bras et enlève la chemise de ma chienne qui pend au deuxième, puis la rattache. Je profite du spectacle de son dos nue, la lumière de la lune éclairant son énorme tatouage dorsale, elle est si belle, si fragile, à ma Merci. Je passe une main lasse sur sa peau, elle sursaut, je lui chuchote a l’oreille lui demandant si elle est prête. Elle me répond que oui, alors je fais abattre, doucement d’abord puis de plus en plus vite, les lanières du martinet sur son dos d’un blanc laiteux. Il se recouvre vite de marque rouge, là où le cuir a mordu la peau. Elle émet de petit son étouffé a chaque passe. Je sais que cela ne lui fait pas trop d’effets, elle a une grosse résistance à la douleur, mais j’aime la laisser monter doucement. Et puis je ne suis pas pressé, on a toute la nuit. au bout de quelque temps j’arrête, puis ordonne a mon assistante de me livrer le cul de ma chienne. Elle commence donc à enlever sa jupe, entre ses cuisses, un filet de fluide corporel glisse. Comme j’aime ça, savoir que je lui fais cette effets. Je dis à mon assistante de pencher ma chienne en arrière afin de me présenter son auguste derrière et de mettre sa main sur son sexe pendant que je vais lui donner des coups de martiné. Je fais cela pour protégé le sexe de ma chienne car avec le martinet un coup mal placé peut ruiner une séance. Certaine soumise aime les coups sur le sexe et d’autre non, c’est le cas de ma chienne. Je zèbre donc ses fesses magnifiques de rouge, lui arrachant quelques cris timides et retenu au passage. Ma soumise elle aussi souffre en silence, de temps en temps quelques coups viennent toucher ses doigts qui protège le sexe de ma chienne. je souri. Encore quelques coups puis je me lasse, je décide donc de passé à la cravache et en informe mon assistante. Elle s’empresse alors de me la passer et reprend sa position. Je cravache les fesses de ma chienne, lui arrachant alors de vrai cri. Je dis bien haut que je ne veux plus l’entendre, qu’elle fait trop de bruit et donne l’ordre de lui mettre un bâillon. Ce que ma soumise s’empresse de le faire. Je reprends mes coups et dit à mon assistante de doigter ma chienne. Apres quelques coups et quelques vas et viens cette dernière ne sait plus où elle en est, plaisir et douleur se mêle. Je stoppe tout d’un seul coup, ma soumise s’arrête les doigts dégoulinant de mouille. Voyant cela je lui ordonne de les lécher. Ce qu’elle fait goulument. Je passe derrière elle et la prend par les cheveux, je lui demande si elle aime ça, la mouille de ma petite chienne, elle me répond que oui, alors je la mets a genoux et la force à la lécher. Elle fait cela de bon cœur. Puis je sors ma queue repasse derrière ma chienne et lui met d’un seul coup sans prévenir, elle mort son bâillon pour ne pas crier. Je continue, sentant de temps en temps la langue de mon assistante déraper sur mon sexe pendant quelle lèche le clito de ma chienne. Puis d’un coup je sors sans prévenir , la laissant la, relâchant ses membres de la tension accumulé par ma pénétration et ordonne d’arrêter à mon assistante. Range mon sexe et lui dit de venir tenir les jambes à ma chienne. Elle lui tient donc les jambes comme une jument que l’on va ferret afin de me présenter la plante de ses pieds. Je commence à fouetter le pied droit, puis le gauche, ma petite chienne sursaute à chaque coup. Alors que je lui donne un énième coup, le sursaut est plus fort que les autres et sa jambes échappe a la prise de mon assistante. Je la regarde sévèrement, elle se confond en excuse. Je lui explique que j’ai déjà laissé passer sa première chance et que je dois elle aussi la punir. Je lui dis de se pencher contre le poteau, relève sa jupe et lui donne une fessé avec ma main. Un coup, deux coups, trois coups, je m’arrête. Elle a oublié de me remercier pour chaque coup donné. Je le lui rappelle et pour la punir afin qu’elle n’oublie plus, je la fesse avec la cravache. Elle me remercie en criant à chaque coup. Très bien dernière avertissement lui dit-je. Je lui donne la cravache et vais m’assoir sur mon fauteuil. Maintenant je lui ordonne de la dresser et de me la préparé pour que je la baise. Elle lâche alors son courroux sur ma chienne, lui fouettant le dos, les fesses, les seins, enlevant son bâillon afin de mieux l’entendre. De là ou je suis j’apprécie le spectacle, la dirige, l’encourage, la réprimande quand elle fait une erreur. Lui ordonne de taper puis de lécher, d’alterner. Elle s’éclate et moi j’adore les voir toute les deux. Puis je me lasse et lui dit de la détacher et de la faire venir me sucer. Elle lui met sa laisse et la jette au sol, puis la fait marcher a quatre pattes vers moi, relève sa tête en tirant sur ses cheveux et force ma chienne à me regarder. Je ne dis qu’un mot. Suce. Et elle avale mon sexe goulument. Guider dans ses vas et viens par ma soumise qui commence à s’exciter frénétiquement. Dans un mouvement plus appuyé qu’auparavant, elle fait, sans le faire exprès bien sûr, que ma chienne me fait mal au sexe. Je lui dis de tout arrêter. De la lâcher. Je l’engueule et lui ordonne de se mettre elle aussi à quatre pattes et de venir lécher le cul de ma chienne pendant qu’elle me suce. La reléguant ainsi à une position plus basse que ma chienne. Elle comprend s’excuse et s’exécute. Pendant quelque minutes je profite un maximum de cette vue, mes deux soumises à quatre pattes à mes pieds, l’une bouffant le cul a l’autre, pendant qu’elle-même me lèche la queue. J’estime que la punition de ma soumise a assez duré mais je ne compte pas lui faire retrouver son statut de suite. Je lui dis de venir elle aussi me sucer à quatre pattes, elle se retrouve ainsi à la même place que ma chienne et elle se dispute joyeusement mon sexe a coup de langue. je lui explique tout cela. Elle me remercie et me promet de faire attention. Je l’autorise donc à se relever et à m’assister. Et lui ordonne de disposer de ma chienne comme elle veut mais je lui impose de me faire plaisir avec. Elle réfléchit quelques secondes puis relève gentiment ma chienne la tourne afin qu’elle me tourne le dos, prend mon sexe dans ses mains et fait s’y assoir dessus ma chienne, puis lui fait faire des vas et viens. C’est bien. Doucement d’abord puis de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je lui dis de changer, elle la tourne afin qu’elle me fasse face. Pendant qu’elle me chevauche au rythme imposé par ma soumise, je lui donne des gifles sur ses seins, sur son visages alternant avec des baisers et des coups de langues. Puis ordonne de la relever et de la mettre face a un miroirs. Elle la tire par sa laisse et la dispose ainsi cul tendu. Je viens me mettre près à la prendre juste derrière elle, puis ordonne à ma soumise de venir derrière moi, de se coller à moi, de prendre mon sexe dans sa main et de venir baiser ma chienne comme si c’était le sien. Elle donne donc des coups de reins collé à moi, et je pénètre ma chienne sous son rythme. Je regarde ma chienne dans la glace et lui ordonne de me regarder à son tour. Je la voie fermer les yeux sous certain coups, elle prend son pied. Et ainsi moi aussi. Je prends ses seins et les colles sur la glace du miroir. Le froid rajoute un petit quelque chose qui m’excite. Ma soumise aussi, elle s’enflamme et se permet des commentaires que je n’aime pas. J’arrête tout, lui dit qu’elle a était trop loin, que cette fois il faut que je la remette a sa place. Tout en disant cela je mets ma chienne à genoux et la force à me sucer pendant que je passe un savons à ma soumise qui se confond en excuse. Je la rassure, ce n’est pas grave, mais il faut que je la punisse, et durement, très durement. Elle acquiesce. Je lui dis de ce mettre nue mais de garder son porte jarretelle et ses talons. Pendant qu’elle se déshabille ma chienne me suce toujours. Je lui demande si ça lui plait elle me répond que oui et lui demande ce que je devrais faire pour punir ma soumise. Elle me répond avec un sourire que je devrais l’attacher et la fouetter et peut être si elle continue a être insolente la pénétrer de force. Du coin de l’œil j’observe ma soumise qui écoute d’une oreille distraite. Je demande à ma chienne si c’est ce qu’elle ferait, elle. Elle me répond que oui. Je lui demande alors qui lui a dit d’arrêter de me sucer. Elle reste surprise et s’excuse à son tour. Mais l’occasion est trop belle. Je la relève par les cheveux, de l’autre main attrape les cheveux de ma soumise et les mènent ainsi au centre de la pièce. Je les fais se prendre dans les bras l’un de l’autre, nue, leur peau se confondant, leurs seins s’entremêlant. Et attache leur mains en l’air ensemble. Les voilà pendu toute les deux face à l’autre. Je prends ensuite une corde et les saucissonnes ensembles, passant sur leur seins, leur hanche, leur culs, entre leur jambes, les brulant parfois en faisant passer la corde sur leur peau. Puis je les laisse ainsi pendu quelques secondes pendant que je cherche quelque chose dans mon sac. Elles ne voient pas ce que c’est. Je reviens avec une boule à attache. Je la mets dans la bouche de ma soumise et bâillonne ma chienne. Puis je tourne autour d’elle, les faisant se balancer ou tourner sur elle-même, elle galère à marcher ou tourner et cela m’excite. Je sors alors ma cravache et les fouettes tout en tournant autour d’elle, frappant sans discernement, je peux laisser ainsi ma fureur éclater, leur partie sensible de l’une sont protéger par le corps de l’autre de sorte que peut importe comment je frappe je ne tape que le dos ou les fesses de chacune. Tout en faisant cela je leur rappelle leur place, à mes pieds, à genoux, à plat ventre. Elles m’appartiennent tant qu’elles portent ses colliers. Je fais ce que je veux d’elle. Elles sont mes chiennes, mes larves, mes putes. Elles hurlent dans leur baillons à chaque coups, c’est jouissif. Puis j’en pénètre une de force, puis je sors et tape, continue puis change jusqu’à ce que j’estime que cela suffit. Elles sont la tremblante pendant que je les détache. Elle s’écroule à mes pieds et je leur ordonne de les lécher. Elle s’exécute toute en s’excusant et en me suppliant de les garder auprès de moi. Je ne sais pas pour les autres maitres mais pour moi cette instant la est le plus jouissif que je puisse connaitre. Je relève ma soumise doucement. Lui demande si elle a compris la punition. Elle acquiesce. Je me penche pour embrasser ma chienne dont le rimmel a coulé sous ses larmes de douleurs. Quel vision enchanteresse . elle tremble et n’a presque plus de force. La séance a était un peu intense et dur ce soir. Je décide de l’écourté, tant pis pour les bougies , les couteaux et les aiguilles. Ce sera pour une autre fois. Je demande à ma chienne si elle veut continuer. Elle me répond que oui. Alors je la met à quatre pattes et la pénètre doucement puis de plus en plus fort. Ordonne à ma soumise de la caressé en même temps. Elle lui touche ses seins , son dos , ses fesses , son sexe. Pendant ce temps moi, alternativement je lui griffe le dos , lui mord les épaules et lui tape les fesses Je la sens monté, elle se lâche. Je lui demande alors de me regarder et au moment où elle tourne la tête, je lui crache au visage. Elle jouit. Je la sens tremblé. Comme j’aime ça. Une fois l’orgasme passé, je sors doucement sachant que la moindre caresse lui fait du mal et du bien simultanément . Puis ordonne ma soumise de la mettre à genoux devant moi, de venir dans mon dos , de prendre mon sexe avec ses mains et de me branler sur le visage de ma chienne encore un peu dans les vappes. Ma chienne tire sa langue pour me recevoir. Je ne mets vraiment pas longtemps à venir et à voir mon sperme tout chaud se rependre sur son visage, sur ses seins, dans sa bouche. J’ordonne a ma soumise de l’étaler sur ses seins avec ses doigts. Ma chienne me sourit, heureuse. Ma soumise aussi. Et moi aussi.
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Par : le 07/03/14
La nudité est, sous la forme d'un truisme, l'état de ce qui est nu, non recouvert, dévoilé. La question de la nudité n'est pas considérée de la même manière selon le temps et selon les latitudes. Objet d'indifférence parmi certains peuples premiers, la nudité est plus souvent un objet d'opprobre parmi les différentes civilisations. Cette défience à l'égard du nu n'est pas propre aux religions monothéistes, bien que ce soit à l'aune de celles-ci que la plupart d'entre nous l'appréhende. Cette appréhension ne va pas sans ambiguïté. Le premier homme et la première femme, en effet, surgissent nus dans le récit de la Genèse. Cela apparaît dans l'épisode dit "du pêché originel" quand Adam et Eve goûtent au fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal. Alors seulement ils prennent conscience de leur nudité et se cachent sous les branches d'un figuier. Il existe donc une équivoque derrière cet état qui nous fait "tel que Dieu nous a fait", selon une formule populaire. L'équivoque tient sans doute dans le caractère imparfait de l'homme auquel la notion de morale lui tient lieu de secours. Il cache pour ne pas enfreindre les règles que la vie en société lui impose. Ces règles sont clairement, non l'impudeur qui ne correspond pas à grand chose et reste très relative dans sa définition, mais la prohibition de l'inceste et de l'adultère. Cette idée est clairement exprimée dans un autre passage biblique imposant aux femmes de se voiler pour que (paradoxalement !) l'homme ne viole pas le commandement contre l'adultère (entendez le sexe hors liens du mariage) qui ne s'impose qu'à lui. Couvrir la nudité induit un autre effet. Celui de détourner ou de tromper sur ce que nous sommes. Le vêtement ne voile pas seulement, il indique à autrui ce que nous entendons dire de nous. Il désigne une appartenance, un rang social ou autre. En cela, le vêtement peut, parfois aussi, être une tromperie. Il s'apparente à l'hypocrase, le masque de l'acteur hellène qui nous a légué le mot hypocrisie. La fashion victim se trompe-t-elle elle-même ? Il n'en demeure pas moins que, à l'opposé de la couverture du corps, la nudité devient l'allégorie de la Vérité (en tant qu'absolu d'où la majuscule). La Vérité est-elle immorale ? Elle est au-delà du frisson de l'interdit. Elle est elle-même. Elle révèle le moi profond, l'intime, le secret. "Se mettre à nu" signifie se présenter dans sa Vérité, le secret de l'intimité dévoilé, offert au regard. N'est-ce qu'une formule rhétorique ? La mise à nu est un acte difficile. Elle signifie un renoncement dans un cadre et à un moment déterminés à une norme sociale mais aussi culturelle. C'est un renoncement cependant à un paraître au profit de l'être. S'abandonner ainsi est une offrande faite à l'autre, un tiers de confiance. Car la confiance et la compréhension favorisent l'expression de la liberté, y compris dans ce cadre contraignant qu'est le BDSM. Le dominant est le guide souverain sur ce chemin de Vérité de la personne soumise. Les sentiments de honte ou de gêne suscités par la mise à nu objective du soumis ne relèvent pas d'une humiliation mais d'un conformisme socio-culturel devant être dépassé.
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Par : le 07/03/14
Je finis de mettre mon matériel dans mon sac pendant qu’elle discute entre elle. Ma compagne et ma soumise du jour son toute deux vêtu de la même façon. J’ai insisté la dessus. Jupe, chemise, porte jarretelle, bas et talon, classique mais j’aime cela. Et elles le savent toute les deux. Ce n’est pas notre première séance avec elle. Je suis prêt. Elle aussi. je mets son collier à ma soumise pour lui signifier qu’à partir de cette instant elle m’appartient, elle est ma chose, mon objet, par ce collier une extension de moi et de ma volonté, elle est là pour me servir. Puis nous montons en voiture, ma compagne devant et ma soumise en place arrière. Alors que nous roulons j’ordonne à mon extension, ma soumise de mettre son collier à ma chienne. Elle s’exécute. Comment pourrai-t-il en être autrement, elle est mon bras, mon esclave, ma servante, elle n’est là que pour m’obéir et me servir dans mon dressage de ma chienne. C’est son rôle dans cette soirée. Nous partons donc pour ce lieu ou ma chienne subira mes envies sadiques et sexuelles directement ou par le bien de ma soumise qui pour elle sera une domina. C’est pour cela que je préfère que mes soumises pour ce genre de séance soit des switch, il faut qu’elles aiment dominer, faire subir leur fureur et la mienne à ma chienne par des actes physiques et douloureux mais aussi qu’elles aiment être dominé par moi, et subir à leur tour des punitions physique si elles ne m’obéissent pas bien. Le plaisir de dominé mais en étant retenue, engendrant une frustration croissante qu’elle peut déverser sur sa soumise, voilà ce qu’il lui plait à ma switch. Et j’aime ça. Sentir sa frustration monter, la restreindre et puis la laisser déversé sa colère et son plaisir sur ma chienne qui aime avoir mal. Nous roulons donc vers l’endroit que je leur réserve et que j’ai découvert il y a pas très longtemps, j’y ai déjà fait quelques séances et je commence à bien aimer l’endroit, j’espère juste ne pas être dérangé, cela n’est jamais arrivé mais dans le BDSM outdoor avec le frisson de l’interdit et d’être découvert viens de temps en temps la frustration d’être découvert. Je suis excité par la possibilité d’être découvert mais ne le suis jamais par l’être. Cela coupe tout. Tout en conduisant je voie les belles cuisses de ma chienne, comme elle m’excite, j’ordonne à ma soumise d’obligé ma chienne à me sucer pendant que je roule. Elle prend donc ma chienne par les cheveux d’une main, se penche dans l’espace entre les deux sièges avant, ouvre ma braguette et sort mon sexe de l’autre. Puis plonge la tête de ma chienne sur ma queue qu’elle tient droite afin de l’obliger à me sucer. Hum un vrai délice, sa langue fait des vas et viens pendant que ma soumise lui tiens les cheveux tout en l’insultant et en lui disant quoi faire. Je donne un ordre d’une voie grave et sourde « plus profond ». Oui maitre répond ma soumise et sans prévenir enfonce la tête de ma chienne plus profondément. Je l’entends s’étouffé avec ma queue, comme j’aime cela. Ma soumise soulève et rabaisse la tête de ma chienne au rythme qu’elle veut, lui donne de petite gifles au visage et lui parle mal. Arrivé à un feu rouge, personne aux alentour je lui dit d’arrêter, prend la tête de ma chienne a pleine main et la force à me sucer moi-même, tout en l’insultant et lui donnant des gifles. Ma soumise attend patiemment bien au fond de son fauteuil, je lui ordonne de se toucher en nous regardant. Ce qu’elle fait. Il y a des moments où l’on aimerait que le feu passe vite au vert, ce n’était pas ce genre de moment que je vivais là. Bien trop vite le feu passe au vert et je redémarre laissant ma soumise reprendre l’acte précèdent. je lui ordonne d’arrêter, nous sommes bientôt arrivé. Je gare la voiture et ordonne à ma soumise de mettre sa laisse à ma chienne et de m’attendre devant la voiture. Pendant ce temps je sors et récupère mon sac. Une fois fait je mets sa laisse à ma soumise. Normalement elle marche debout devant moi ,la tenant en laisse qui elle-même tiens ma chienne en laisse qui marche à quatre pattes a même le sol. Mais là il y a de la boue, il fait noir. je préfère garder cela pour des lieux plus intimes et sacrifie l’aspect symbolique pour l’aspect pratique. je me rattraperai plus tard. Nous arrivons devant cet immeuble abandonné que ni l’une ni l’autre ne connaissent. Mine de rien les bâtiments délabré les impressionnent, il apporte une ambiance glauque et malsaine par sa décrépitude, ses murs couvert de tags et son absence de luminosité. Elles ne disent rien, mais cela les excites tout autant que cela leur fait peur. Je le sens à leur façons de respiré et à leur maintien. J’adore ça. Moi j’y suis déjà venue une demi-douzaine de fois afin de faire des repérages, des préparatifs, et des séances. Je connais un peu l’endroit et donc je les guide par-delà les couloirs sombres et couvert de débris jusqu’à la salle du fond. Une grande salle dont trois des quatre murs sont couvert de fenêtre et le dernier, celui par lequel on accède à cette salle est tapissé de miroirs. Les lumières de la ville rentrent indirectement par toutes les directions donnant une illumination blafarde et irréelle à la salle. Les deux poteaux qui supportent le poids de la pièce sont répartie équitablement au centre, dans un angle de la pièce se trouve un fauteuil que j’ai mis la a mon dernier repérage. Je détache ma soumise et lui dit de préparé le matériel, prend une corde dans le sac puis lui tend. Elle se dépêche d’étendre le drap propre que j’ai dans mon sac par terre, a même la moquette et d’y sortir tous les instruments que j’ai emmené avec moi. Pendant ce temps j’attache ma chienne au poteau, bras écarté de chaque côté relier aux poteaux face aux miroirs mais aussi pour que du coin de l’œil elle aperçoive le fauteuil dans l’angle de la pièce. alors même que je l’attache, elle me sourit et essaye de m’embrasser. je l’aime cette nana, elle sait qu’elle va être punis pour ça. Mais elle adore ça. Et moi aussi. J’attache aussi ses jambes, puis demande à mon assistante, ma soumise de me donner le martinet. On va commencer doucement. Elle s’exécute et attend à côté de moi. Quelque secondes passent et elle se rend compte que j’attends quelque chose d’elle. Puis elle se rappelle qu’elle se doit de déshabillé ma chienne. Elle s’excuse et enlève la chemise de ma chienne . Bien entendu comme je l’ai déjà attaché au bras elle ne peut lui enlever totalement, il faudrait la détacher. Elle s’excuse, je hurle, l’insulte, la traite de tous les noms et lui ordonne de se dépêcher. Ce qu’elle ne sait pas c’est que je l’ai fait exprès pour assoir ma domination cérébrale en la mettant dans une situation de stress et d’échec. Et cela marche à merveille, je souris intérieurement mais ne montre que de la colère à l’extérieur. Plus je hurle et plus elle galère en proie à un stress grandissant. Je la fait stopper puis lui fait remarquer que la prochaine fois je la punirai. Elle me remercie, je détache un bras et enlève la chemise de ma chienne qui pend au deuxième, puis la rattache. Je profite du spectacle de son dos nue, la lumière de la lune éclairant son énorme tatouage dorsale, elle est si belle, si fragile, à ma Merci. Je passe une main lasse sur sa peau, elle sursaut, je lui chuchote a l’oreille lui demandant si elle est prête. Elle me répond que oui, alors je fais abattre, doucement d’abord puis de plus en plus vite, les lanières du martinet sur son dos d’un blanc laiteux. Il se recouvre vite de marque rouge, là où le cuir a mordu la peau. Elle émet de petit son étouffé a chaque passe. Je sais que cela ne lui fait pas trop d’effets, elle a une grosse résistance à la douleur, mais j’aime la laisser monter doucement. Et puis je ne suis pas pressé, on a toute la nuit. au bout de quelque temps j’arrête, puis ordonne a mon assistante de me livrer le cul de ma chienne. Elle commence donc à enlever sa jupe, entre ses cuisses, un filet de fluide corporel glisse. Comme j’aime ça, savoir que je lui fais cette effets. Je dis à mon assistante de pencher ma chienne en arrière afin de me présenter son auguste derrière et de mettre sa main sur son sexe pendant que je vais lui donner des coups de martiné. Je fais cela pour protégé le sexe de ma chienne car avec le martinet un coup mal placé peut ruiner une séance. Certaine soumise aime les coups sur le sexe et d’autre non, c’est le cas de ma chienne. Je zèbre donc ses fesses magnifiques de rouge, lui arrachant quelques cris timides et retenu au passage. Ma soumise elle aussi souffre en silence, de temps en temps quelques coups viennent toucher ses doigts qui protège le sexe de ma chienne. je souri. Encore quelques coups puis je me lasse, je décide donc de passé à la cravache et en informe mon assistante. Elle s’empresse alors de me la passer et reprend sa position. Je cravache les fesses de ma chienne, lui arrachant alors de vrai cri. Je dis bien haut que je ne veux plus l’entendre, qu’elle fait trop de bruit et donne l’ordre de lui mettre un bâillon. Ce que ma soumise s’empresse de le faire. Je reprends mes coups et dit à mon assistante de doigter ma chienne. Apres quelques coups et quelques vas et viens cette dernière ne sait plus où elle en est, plaisir et douleur se mêle. Je stoppe tout d’un seul coup, ma soumise s’arrête les doigts dégoulinant de mouille. Voyant cela je lui ordonne de les lécher. Ce qu’elle fait goulument. Je passe derrière elle et la prend par les cheveux, je lui demande si elle aime ça, la mouille de ma petite chienne, elle me répond que oui, alors je la mets a genoux et la force à la lécher. Elle fait cela de bon cœur. Puis je sors ma queue repasse derrière ma chienne et lui met d’un seul coup sans prévenir, elle mort son bâillon pour ne pas crier. Je continue, sentant de temps en temps la langue de mon assistante déraper sur mon sexe pendant quelle lèche le clito de ma chienne. Puis d’un coup je sors sans prévenir , la laissant la, relâchant ses membres de la tension accumulé par ma pénétration et ordonne d’arrêter à mon assistante. Range mon sexe et lui dit de venir tenir les jambes à ma chienne. Elle lui tient donc les jambes comme une jument que l’on va ferret afin de me présenter la plante de ses pieds. Je commence à fouetter le pied droit, puis le gauche, ma petite chienne sursaute à chaque coup. Alors que je lui donne un énième coup, le sursaut est plus fort que les autres et sa jambes échappe a la prise de mon assistante. Je la regarde sévèrement, elle se confond en excuse. Je lui explique que j’ai déjà laissé passer sa première chance et que je dois elle aussi la punir. Je lui dis de se pencher contre le poteau, relève sa jupe et lui donne une fessé avec ma main. Un coup, deux coups, trois coups, je m’arrête. Elle a oublié de me remercier pour chaque coup donné. Je le lui rappelle et pour la punir afin qu’elle n’oublie plus, je la fesse avec la cravache. Elle me remercie en criant à chaque coup. Très bien dernière avertissement lui dit-je. Je lui donne la cravache et vais m’assoir sur mon fauteuil. Maintenant je lui ordonne de la dresser et de me la préparé pour que je la baise. Elle lâche alors son courroux sur ma chienne, lui fouettant le dos, les fesses, les seins, enlevant son bâillon afin de mieux l’entendre. De là ou je suis j’apprécie le spectacle, la dirige, l’encourage, la réprimande quand elle fait une erreur. Lui ordonne de taper puis de lécher, d’alterner. Elle s’éclate et moi j’adore les voir toute les deux. Puis je me lasse et lui dit de la détacher et de la faire venir me sucer. Elle lui met sa laisse et la jette au sol, puis la fait marcher a quatre pattes vers moi, relève sa tête en tirant sur ses cheveux et force ma chienne à me regarder. Je ne dis qu’un mot. Suce. Et elle avale mon sexe goulument. Guider dans ses vas et viens par ma soumise qui commence à s’exciter frénétiquement. Dans un mouvement plus appuyé qu’auparavant, elle fait, sans le faire exprès bien sûr, que ma chienne me fait mal au sexe. Je lui dis de tout arrêter. De la lâcher. Je l’engueule et lui ordonne de se mettre elle aussi à quatre pattes et de venir lécher le cul de ma chienne pendant qu’elle me suce. La reléguant ainsi à une position plus basse que ma chienne. Elle comprend s’excuse et s’exécute. Pendant quelque minutes je profite un maximum de cette vue, mes deux soumises à quatre pattes à mes pieds, l’une bouffant le cul a l’autre, pendant qu’elle-même me lèche la queue. J’estime que la punition de ma soumise a assez duré mais je ne compte pas lui faire retrouver son statut de suite. Je lui dis de venir elle aussi me sucer à quatre pattes, elle se retrouve ainsi à la même place que ma chienne et elle se dispute joyeusement mon sexe a coup de langue. je lui explique tout cela. Elle me remercie et me promet de faire attention. Je l’autorise donc à se relever et à m’assister. Et lui ordonne de disposer de ma chienne comme elle veut mais je lui impose de me faire plaisir avec. Elle réfléchit quelques secondes puis relève gentiment ma chienne la tourne afin qu’elle me tourne le dos, prend mon sexe dans ses mains et fait s’y assoir dessus ma chienne, puis lui fait faire des vas et viens. C’est bien. Doucement d’abord puis de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je lui dis de changer, elle la tourne afin qu’elle me fasse face. Pendant qu’elle me chevauche au rythme imposé par ma soumise, je lui donne des gifles sur ses seins, sur son visages alternant avec des baisers et des coups de langues. Puis ordonne de la relever et de la mettre face a un miroirs. Elle la tire par sa laisse et la dispose ainsi cul tendu. Je viens me mettre près à la prendre juste derrière elle, puis ordonne à ma soumise de venir derrière moi, de se coller à moi, de prendre mon sexe dans sa main et de venir baiser ma chienne comme si c’était le sien. Elle donne donc des coups de reins collé à moi, et je pénètre ma chienne sous son rythme. Je regarde ma chienne dans la glace et lui ordonne de me regarder à son tour. Je la voie fermer les yeux sous certain coups, elle prend son pied. Et ainsi moi aussi. Je prends ses seins et les colles sur la glace du miroir. Le froid rajoute un petit quelque chose qui m’excite. Ma soumise aussi, elle s’enflamme et se permet des commentaires que je n’aime pas. J’arrête tout, lui dit qu’elle a était trop loin, que cette fois il faut que je la remette a sa place. Tout en disant cela je mets ma chienne à genoux et la force à me sucer pendant que je passe un savons à ma soumise qui se confond en excuse. Je la rassure, ce n’est pas grave, mais il faut que je la punisse, et durement, très durement. Elle acquiesce. Je lui dis de ce mettre nue mais de garder son porte jarretelle et ses talons. Pendant qu’elle se déshabille ma chienne me suce toujours. Je lui demande si ça lui plait elle me répond que oui et lui demande ce que je devrais faire pour punir ma soumise. Elle me répond avec un sourire que je devrais l’attacher et la fouetter et peut être si elle continue a être insolente la pénétrer de force. Du coin de l’œil j’observe ma soumise qui écoute d’une oreille distraite. Je demande à ma chienne si c’est ce qu’elle ferait, elle. Elle me répond que oui. Je lui demande alors qui lui a dit d’arrêter de me sucer. Elle reste surprise et s’excuse à son tour. Mais l’occasion est trop belle. Je la relève par les cheveux, de l’autre main attrape les cheveux de ma soumise et les mènent ainsi au centre de la pièce. Je les fais se prendre dans les bras l’un de l’autre, nue, leur peau se confondant, leurs seins s’entremêlant. Et attache leur mains en l’air ensemble. Les voilà pendu toute les deux face à l’autre. Je prends ensuite une corde et les saucissonnes ensembles, passant sur leur seins, leur hanche, leur culs, entre leur jambes, les brulant parfois en faisant passer la corde sur leur peau. Puis je les laisse ainsi pendu quelques secondes pendant que je cherche quelque chose dans mon sac. Elles ne voient pas ce que c’est. Je reviens avec une boule à attache. Je la mets dans la bouche de ma soumise et bâillonne ma chienne. Puis je tourne autour d’elle, les faisant se balancer ou tourner sur elle-même, elle galère à marcher ou tourner et cela m’excite. Je sors alors ma cravache et les fouettes tout en tournant autour d’elle, frappant sans discernement, je peux laisser ainsi ma fureur éclater, leur partie sensible de l’une sont protéger par le corps de l’autre de sorte que peut importe comment je frappe je ne tape que le dos ou les fesses de chacune. Tout en faisant cela je leur rappelle leur place, à mes pieds, à genoux, à plat ventre. Elles m’appartiennent tant qu’elles portent ses colliers. Je fais ce que je veux d’elle. Elles sont mes chiennes, mes larves, mes putes. Elles hurlent dans leur baillons à chaque coups, c’est jouissif. Puis j’en pénètre une de force, puis je sors et tape, continue puis change jusqu’à ce que j’estime que cela suffit. Elles sont la tremblante pendant que je les détache. Elle s’écroule à mes pieds et je leur ordonne de les lécher. Elle s’exécute toute en s’excusant et en me suppliant de les garder auprès de moi. Je ne sais pas pour les autres maitres mais pour moi cette instant la est le plus jouissif que je puisse connaitre. Je relève ma soumise doucement. Lui demande si elle a compris la punition. Elle acquiesce. Je me penche pour embrasser ma chienne dont le rimmel a coulé sous ses larmes de douleurs. Quel vision enchanteresse . elle tremble et n’a presque plus de force. La séance a était un peu intense et dur ce soir. Je décide de l’écourté, tant pis pour les bougies , les couteaux et les aiguilles. Ce sera pour une autre fois. Je demande à ma chienne si elle veut continuer. Elle me répond que oui. Alors je la met à quatre pattes et la pénètre doucement puis de plus en plus fort. Ordonne à ma soumise de la caressé en même temps. Elle lui touche ses seins , son dos , ses fesses , son sexe. Pendant ce temps moi, alternativement je lui griffe le dos , lui mord les épaules et lui tape les fesses Je la sens monté, elle se lâche. Je lui demande alors de me regarder et au moment où elle tourne la tête, je lui crache au visage. Elle jouit. Je la sens tremblé. Comme j’aime ça. Une fois l’orgasme passé, je sors doucement sachant que la moindre caresse lui fait du mal et du bien simultanément . Puis ordonne ma soumise de la mettre à genoux devant moi, de venir dans mon dos , de prendre mon sexe avec ses mains et de me branler sur le visage de ma chienne encore un peu dans les vappes. Ma chienne tire sa langue pour me recevoir. Je ne mets vraiment pas longtemps à venir et à voir mon sperme tout chaud se rependre sur son visage, sur ses seins, dans sa bouche. J’ordonne a ma soumise de l’étaler sur ses seins avec ses doigts. Ma chienne me sourit, heureuse. Ma soumise aussi. Et moi aussi.
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Par : le 07/03/14
Un superbe week end, de belles Rencontres que cela soit Maître (sse) dominateur, trice, soumis (e) abdl De riches découvertes avec des Personnes souriantes, conviviales, charmantes, intelligentes, j'en oublie surement. Le partage des repas préparés apportés par les participants (es) j'ai aimé, en cuisine Ginou et Kio qui savent toutes deux ce qu'est l'organisation d'un tel événement, beaucoup de travail derrière ; KiO sait manier avec brio les ordres pour que tout se passe au mieux que cela soit pour ranger, desservir, apporter ainsi que sa soeur de soumission, merci à Toutes deux et à Emma pour la recette de cuisine ainsi qu'à Ginou pour une entrée chaude préparée sur place. Le débat m'a semblé long mais utile pour les participants (es) ne connaissant pas trop certains sujets. J'ai bien aimé que chaque personne se présente brièvement cela permet de savoir qui est qui. 23 Personnes présentes, une belle complicité, des connaissances avec autres Personnes, des partages, des émotions, des sensations, des initiations que cela soit : soubrette à plateau, ballbusting j'ai été impressionné par Daniel et Kanaria, Emma superbe complicité, une Maîtresse jeune par son âge, qui a la maîtrise, elle m'a époustouflé. La pratique des aiguilles avec le Dr Attila et Nurse Eva, Léa gracile soumise a expérimenté cette découverte sous le regard bienveillant de son MaîtreJDuroc, merveilleux partage que j'ai admiré. Dame Nadia accompagnée de Maud qui a été intenable, tellement électrique, sur piles dois je dire ce jour là. Merci pour vos sourires, ta gentillesse à mon égard, ton petit conseil au sujet de mains .... chut Un réel bonheur Tous deux et cela ravi mon coeur. Les cravaches musicales, bien que je ne sois pas musique en bdsm, aie ! Je vais me faire des ennemis tant pis. J'ai apprécié, je l'avoue d'admirer Nurse Eva qui a pris un réel bonheur à frapper en tempo. J'ai moi même à un court moment pris la place de Chienne 34 (qui était accompagné de son mari pour le pique nique) pour être fessée par Mr TSM en musique. sourire. Je n'allais pas faire la tête et bouder de mon coté, j'ai participé. Nous sommes là pour découvrir, pour partager. Par contre, pour les bougies et la suspension bondage kinbaku, shibari un pur moment de bonheur, la musique douce est la bienvenue, je dis à ma façon ce que j'ai vécu et mes ressentis qui ne sont pas ceux que tout le monde a vécu bien sur, chaque personne ressent les émotions différemment. Une personne m'a et me fait toujours pleuré c'est Ginou, douce soumise blonde, une belle Soumise et l'éclat de son visage, son regard sous le fouet de son Maître, elle m'émeut tout simplement, c'est de toute beauté en regardant les photos prises, que tu es belle dans ton abandon. KiO dans les cordes de toute beauté également, un réel bonheur de te voir t'envoler dans la suspension, radieuse, magnifiée si besoin était dans ces cordes de chanvre, ton regard magnifique, je suis très regard. Le canning Aie, Ginou, KiO, Daniel et ceux que j'oublie. Tenir les mains de Ginou avec Mr Mistral et que son Maître lui fasse un certain comptage plus la tva si j'ai bonne mémoire. Quelle endurance et que dire de Daniel, Soumis oh combien agréable, maso, toujours à rire, sourire, et qui reçoit beaucoup, gentil provocateur toujours en recherche de marques. Maître Pierre, son Maître est fier de lui et moi qui les ai accompagné Tous deux pour ce pique-nique, j'ai été sous le charme de ces deux Personnes et d'autres. Sourire. La cage de chasteté de Daniel et j'ai su plus tard qu'il y avait des pointes dedans aie, Ginou et KiO qui se sont amusés à lui faire des chatouilles. Aie Léa en cage, un merveilleux instant de quiétude, son Maître lui souriait, veillant sur Elle à un moment donné où KiO était allongée dessus pour un fist pratiqué par Son Maître. Puis plus tard Ginou enfermée elle aussi, une prochaine fois j'aimerai être dans la cage... Les martinets ont été à l'honneur ainsi que les fouets divers, les paddles, les cravaches certains (es) ont eu des révélations, se sont découverts des talents cachés, sourire Joffrey jeune et joli soumis abdl qui a été féminisé, maquillé, le rendu était superbe, il a joué le jeu, il s'est abandonné, a goûté au martinet, a servi de table pour qu'Emma et Kanaria puissent déjeuner, je ne suis pas branchée abdl et respecte les pratiques des uns et des autres qui font à leur guise. En ce qui me concerne les bébés et l'enfance, c'est pour moi un sujet qui me tient à coeur et vu ma sensibilité, je ne pourrais pas, bien que cela ne soit qu'un jeu, une pratique, que certains font par amour de l'autre et qui m'a beaucoup ému, j'aurais du mal, j'avoue. J'ai accompagné Sylvie pour la jouissance forcée enfin chacune à notre tour, il était tard et quelques personnes étaient présentes, Mr TSM a changé les serviettes, le vibro recouvert d'un préservatif, je suis axée sur l'hygiène qui doit être en toute circonstance. Je suis pudique et me montrer nue sexe et clitoris offert, allongée, sanglée pieds, cuisses et les mains, mon bandeau noir cachant mes yeux bleus, ainsi je n'ai pas vu les regards et ai pu me concentrer et entrer dans ma bulle comme j'aime. J'ai mentalement offert ma jouissance à Mon Maître et j'avais demandé à Maître Pierre si je pouvais lui tenir la main pendant ce temps, il a acquiescé. Toutes deux avons découvert l'électro avec Maître Pierre bien que la musique un peu forte à un moment donné pour moi m'a déconcentré, mais dehors autre pratique faites en musique, une autre fois au calme je découvrirais à nouveau l'électro. Le water-bondage que j'ai voulu découvrir étant de nature curieuse, impression bizarre, sensation diverses, la peur, la panique un court instant, le coeur qui cogne, les pieds que je remuais et Mr TSM qui ne me fait pas remonter la tête tout de suite, le mental qui est là, les bulles qui se forment à coté de ma bouche, Daniel qui a pris les photos pour que mon Maître voit mes initiations. SM 30 et son regard coquin, ses mains agiles. Aie Libellule au fouet ravissante brune Merci à Mr TSM et ses deux adorables soumises pour ce pique-nique riche en découvertes, à ces deux dernières pour toutes la préparation que l'on a pas vu derrière et que l'on a bien apprécié, gentillesse, moments de partage, mots réconfortants, petits conseils, et le massage que m'a prodigué KiO à un moment donné. Merci à tous les participants (es) et si j'ai oublié quelqu'un (e), je vous présente mes excuses. Je voudrais associer Ludic avec qui je converse depuis 2 ans passés ici, qui m'a fait découvrir l'autre site, grâce à lui, j'ai pu faire de belles Rencontres des rares personnes m'ont marqué à leur façon marques visibles ou invisibles que je garde dans l'écrin de mon coeur. Merci à Mon Maître aimé pour m'avoir permis d'aller à ce pique-nique, de découvrir beaucoup avec la confiance et le respect de Maître Pierre. PS : J'avais demandé l'accord des participants (e) à la fin du week end pour écrire ce récit plus tard. le 27 07 2013
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Par : le 20/02/14
Elle vient d’arriver, ma soumise du jour. Elle fait partie de mon petit groupe de soumise qui vienne de temps en temps jouer avec moi et ma compagne. Elle est là, en attente de savoir ce que je vais lui infliger ce soir. Je le lis dans son regard entre deux coup d’œil furtif qu’elle m’envoie pendant que ma compagne et elle discute, le temps de préparer mon matériel. Ce soir ses séances extérieur. Pour une fois je vais faire plaisir à ma soumise du jour. J’en ai parlé avec ma chienne, ma femme, ma soumise, ma compagne et elle est d’accord pour qu’en récompense de tous nos jeux avec cette soumise particulière, je m’occupe d’elle et lui fasse plaisir. Ainsi cette séance n’est que pour elle, ma compagne ne vient pas. Elle n’a pas envie de subir de domination aujourd’hui et moi j’ai envie de violence et de domination alors nous avons pensé à elle. Je suis prêt, elles se disent au revoir, j’embrasse ma compagne, ma soumise, mon aimée, ma chienne, mon esclave, mon amour. Elle me souhaite une bonne soirée et me regarde partir sur le pas de la porte. Nous montons en voiture. Elle est toute tremblante, d’excitation me dit-elle car elle ne sait rien de la séance qui va suivre. Je préfère lui garder la surprise. Avant toute «prise en main» de «soumise d’un soir» ou de «switch» qui partage nos jeux, je souhaite toujours d’abords une rencontre pour faire connaissance et savoir ce qu’il lui plait et ne plait pas, comme tout maitre qui se respecte je pense. Et donc je sais que cela va lui plaire. Je démarre la voiture et lui passe son collier de chienne lui signifiant ainsi que la séance commence maintenant. Ainsi elle sait qu’elle n’est plus rien à partir de maintenant. Elle est moins que rien, une larve, un objet, une chose. Nous partons donc en pleine nuit pour un lieu qui lui est inconnue. Alors que nous roulons je lui ordonne d’enlever sa culote, le seul sous-vêtement, avec ses bas que je l’ai laissé mettre. Elle s’empresse de m’obéir, puis je lui dis de remonter sa jupe afin que de l’extérieur on puisse furtivement la voir si un camion, un bus ou un automobiliste avec une voiture légèrement surélevé venait se mettre à côté de nous. Il est tard mais la circulation est bien présente. Je garde le silence pour maintenir une pression psychologique. Nous roulons ainsi un petit moment, cela l’excite. Je l’entends à sa respiration et à ses coups d’œil furtif à chaque feu rouge ou des voitures s’arrête près de nous. Mais personne ne remarque rien. Je décide au prochain feu de m’arrêter au niveau d’un camion. Je regarde le conducteur et ordonne à ma chienne de faire de même, au bout de quelque seconde il tourne la tête vers elle, je vois ses yeux s’ouvrirent en grand devant ce spectacle inattendu. Le laisse profité de cette vision fugitive quelques secondes. Ma soumise est gênée mais je sais que cela l’excite. Alors je lui ordonne de mettre ses seins sur la vitre gelé, et vite le feu va passer au vert! Elle s’exécute, le chauffeur se remet de sa surprise et veut dire quelque chose mais le feu passe au vert et je démarre. Je souri car nous sommes déjà loin avant que lui ne démarre, il aura surement envi de nous rattraper mais nous serrons déjà loin. Mon esclave a toujours les seins contre la vitre froide, en bonne petite chose elle attend que je lui donne la permission de les retirées. C’est bien, un bon point pour elle .je lui donne. Et met ma main entre ses jambes pour savoir si ça lui a plu. Juste une caresse car nos séances ne comportent pas d’actes sexuels. Ses derniers sont réservé à mon Unique, ma Soumise, ma Chienne, ma Femme, mon Amour et à mes soumises mais seulement quand ma Chienne est présente. Une des règles que je me suis fixé et que les gens qui ne connaissent pas notre monde ne comprenne pas. Ils leurs est souvent difficile de comprendre que je peux avoir des rapports avec d’autres femmes et être fidèle à la mienne. Mais c’est un autre sujet, un autre débat. Ma caresse donc m’apprend que cela lui a plu, j’en ressors ma main trempé. Quelque minute plus tard nous arrivons au lieu de notre séance. Un immeuble décrépi à l’abandon. Elle semble troublée. J’aime cela. Nous passons les portes éventrées du bâtiment, des chaises cassées et des débris de meubles jonchent le sol. Ma soumise en talons galère pour rentrer. Une fois arrivé dans le hall, je l’arrête lui ordonne de me tendre ses mains que j’attache avec une corde. Lui enchaine les pieds ensemble mais assez lâchement pour quelle puisse marcher avec cette gêne. Puis la bâillonne avec un foulard et lui met sa laisse. Je la tire par la laisse sans un bruit la forçant à me suivre dans les ombres du couloir. Il fait nuit nous n’y voyons pas très bien, je nous éclaire avec une lampe. Le couloir est plongé dans le noir, des débris nous gênant dans notre progression, je prends la main à ma soumise pour l’aider à avancer. Certaine porte ouverte éclaire quelque peu le couloir d’une lueur bleuté dû aux rayons de la pleine lune à l’extérieur, révélant des pièces vides lorsque nous passons à leur hauteur. Je sens le pouls de ma soumise accéléré alors que nous nous rapprochons du bout du couloir. J’ouvre la porte et là, elle découvre une salle immense baignée et éclairée par la pleine lune et les lumières extérieures de la ville. J’éteins ma lampe car tout le tour de la pièce est composé de fenêtre qui donne un éclairement naturel maximum à la pièce et le mur ou se tiens la porte est recouvert de miroirs augmentant l’effet de grandeur et la luminosité ambiante. Je tire ma soumise par la laisse et la conduit au milieu de cette immense pièce vide supporter par deux poteaux centraux. Elle est impressionnée, la lumière blafarde, le lieu, ses extrapolations sur son supplice physique et le sentiment d’interdit apportant énormément a l’ambiance et à sa domination cérébrale. Et aussi à son excitation. Je la mets face aux miroirs entre les poteaux, lui détache les mains, pour mieux les lui attacher aux cordes qui pendent des poteaux. Des cordes que j’ai installées et vérifiées moi-même quelque temps auparavant. Ainsi que ses attaches sur le mur, et tout l’immeuble. L’acoustique, la lumière, la visibilité tous ses paramètres ont été pris en compte avant cette séance. Car pour moi un Maitre digne de ce terme se doit d’assuré la sécurité et l’intégrité de sa soumise. Et puis j’aime contrôler, dominer, ma soumise comme mon environnement. Même dans une séance improvisée, dans un lieu non connue, le BDSM ne permet pas de faire les choses à la légère, sinon l’accident est vite arrivé et dans nos jeux cela peut avoir des conséquences graves. Et elle le sait, comme toutes mes soumises occasionnelle ou habituelle, avec qui j’en discute longuement avant. Et puis ce n’est pas nôtre première séance ensemble. J’aime à croire que c’est pour cela, et pour mes séances plaisante bien sûr, qu’elles reviennent .mais surtout parce qu’elles savent qu’elles peuvent totalement s’abandonnée, être mes objets, se donner à moi en toute sécurité. Ne plus réfléchir et ne plus s’inquiété de rien, juste la douleur et le plaisir, s’abandonner et obéir car je m’occupe de tout… La voilà donc les bras écarté, attachée aux poteaux, bâillonnée dans une pièce sombre faiblement éclairée. Sa faiblesse et sa fragilité reflétée par les miroirs lui renvoyant son incapacité a contrôlé quoi que ce soit. Elle n’a prise sur rien, je contrôle tout, son image avec les miroirs et les fenêtres, ses sons avec le baillons, son corps. Elle m’appartient totalement. Ses yeux suivent mes mouvements dans la glace. Je prends dans mon sac un drap blanc, propre que je pose derrière elle a même la moquette qui recouvre le sol. Et je commence à déballer mes instruments, doucement, pour qu’elle puisse les voir et laisser son imagination s’emballer. Je prends quelque attache que je lui mets aux pieds puis attache ses pieds aux poteaux, elle est ainsi en position de croix de saint Andrée. Je tourne autour d’elle d’un air satisfait tout en lui susurrant alternativement des mots doux et des insultes. Puis je me penche pour ramasser quelque chose sur le drap, doucement, son coup se tend pour essayer d’apercevoir ce que cela est. Je me relève le lui montrant, c’est un couteau, tout en courbe et en lame, je l’aime beaucoup, il est d’inspiration fantaisie avec des runes gravée sur la lame. Elle tremble un peu. Un frisson la traversant au moment de cette vision. Je m’approche d’elle doucement, fait glisser le plat de la lame le long de sa joue, la regardant dans les yeux, descendant vers son coup, puis caressant avec ses seins. Arriver en bas de sa chemise je fais sauter un a un tous les boutons, lentement mais d’un coup sec. Elle sursaute à chaque coup. Puis lui écarte sa chemise révélant son ventre nu et ses seins. Je passe derrière elle, ramasse le martinet et la fouette dans le dos à travers sa chemise quelques coups sec et rapide, elle ne s’y attendait pas et sursaute. Puis la caresse sur ses blessures tout en jetant le martinet au sol. Je commence à lui retiré violement sa chemise, tirant et découpant au couteau la réduisant en lambeaux. Elle en tremble, mord dans son bâillon, ferme les yeux et lâche de petits cris étouffés à chaque coup de couteau ou mouvement sec. Bien sur ce sont des vêtements qu’elle a choisis exprès pour cette séance et dont elle savait d’avance qu’ils seraient coupés et déchiré toujours avec son accord. Je m’attaque à sa jupe et lui réserve le même sort. Elle se retrouve nue, attaché en bas sexy. Je lui murmure à l’oreille que maintenant qu’elle est préparé je vais pouvoir m’occupé d’elle. Puis je pars, sans me retourné, sous son regard, dans le couloir plongé dans le noir, ou je disparais. Elle n’entend que mes bruits de pas qui s’éloigne. Je n’ai rien à y faire mais la laisser là, nue, attaché, ou elle ne peut rien faire, ni bougé, ni couvrir son corps nue et moi partant sans prévenir, à la vue du premier passant venue, ne sachant si je vais revenir ou pas est excitant, pour moi comme pour elle. Cela ajoute à sa pression et sa domination cérébrale et aussi sur son excitation. J’attends quelques minutes puis reviens doucement à pas bruyant, pour que son excitation et son imagination s’emballe. Me voyant émergé de l’ombre elle lâche un soupir rassuré. Sans le vouloir, tout le temps de mon approche elle a retenu sa respiration et c’est tétanisé de peur. Maintenant elle relâche la pression et ses muscles, tremblant de soulagement. Je lui met sans prévenir une gifle au visage, elle se tend et étouffe un cri. Puis je lui en mets une autre plus forte. Puis une sur ses seins, une sur ses fesses, je tourne autour d’elle. Lui assenant des gifles alternativement sur ses endroits mais aussi sur son sexe, sur ses cuisses. Je finis par une forte gifle sur sa joue et la caresse de suite après. Passe derrière elle et lui enlève son bâillon. A peine enlevé elle me remercie comme il se doit. C’est bien, c’est une bonne petite soumise, je n’en attendais pas moins d’elle. Elle est un de mes objets préféré et elle le sait, c’est aussi pourquoi je lui offre cette séances que pour elle. Je prends ma badine en bambou et lui fouette le dos, un coup, puis un autre, bien espacé. Elle se tend sous le coup se mettant instinctivement sur la pointe des pieds pour accompagner les coups, mordant ses lèvres pour ne pas crier. Je lui dis qu’ici personne ne peut l’entendre et qu’elle a tout le loisir de crier si elle en a envie. Ce dont elle ne se prive pas. Je zèbre son dos blanc de rouge résultant de mes coups de badine. Au bout d’un moment j’arrête et la prend par les épaules et la repose sur ses pieds délicatement lui signifiant ainsi que c’est fini. Elle se détend et retrouve son souffle. Je passe alors un doit langoureux sur ses zébrures, lui demandant dans un murmure si elle est prête pour la suite. Elle me répond dans un souffle que oui. Je donne donc un peu de mou a ses cordes de bras, passe une main entre ses jambes sous ses fesses et lui saisit le sexe pour la pencher en avant, de cette façon elle se retrouve cambré en arrière ses bras tirants sur les cordes. Dans cette position Je me mets a fouetté ses fesses, elle crie et me remercie à chaque coup. Au bout d’un moment je reçois un message sur mon téléphone portable. J’arrête ce que je fais, elle reprend son souffle pendant que je le lis. Bien! Ma surprise est arrivée. Je lui dis que je vais revenir et disparait à nouveau dans le couloir. Au bout de quelques minutes je reviens, elle me voit pénétrer dans la pièce puis écarquille les yeux bien grands parce que je ne reviens pas seul. Je suis accompagné de trois hommes, ils sont nue, deux porte une cagoule et le troisième un loup. Les deux cagoulé portent une chaise. Je la regarde avec un sourire en coin, je la voie se tortiller, elle ne s’attendait pas à être vue par d’autre homme ce soir. Les trois hommes posent la chaise et je m’assois dessus. Ils viennent m’entouré dans le silence le plus complet. Elle ne dit rien. Je ne dis rien. Personne ne bouge. Je me délecte de sa peur et de sa gêne causé par le silence. Puis je fais signe à l’homme à ma droite d’aller se placé derrière elle. Et au deux autre de se mettre à ses flancs. Là je lui explique que comme elle a été une bonne petite chienne, une bonne petite soumise, un objet qui ma fidèlement servie lors de nos différentes séances à ma femme et moi, ou elle n’était qu’un objet n’ayant droit qu’au plaisir d’être utilisé, de me servir et se voir refuser bien des fois la jouissance. Aujourd’hui je vais la récompenser et l’offrir à ses trois hommes. Je lui explique qu’ils vont la «violer» avec mon accord et comme je le veux puisqu’elle est mon objets, qu’ils vont la salir, la briser. Je vois dans son tremblement que cela l’excite. Je sais bien que cela l’excite, c’est un des fantasmes qu’elle a, et je me suis permis ce scenario parce que je sais qu’elle le veut et que l’on en a discuté souvent. En effets avant chaque séances avec mes soumises, d’un soir ou non , je discute longuement de ce qu’elle aime , ce qu’elle ne veulent pas faire , leur limites , les fantasmes , les surprises que je peux leur faire ou pas. Et celle-ci fait partie des siennes. C’est ça première fois avec moi en tant que maitre et je peux lire par son tortillement que cela lui plait. Bien sûr elle peut tout arrêter quand elle en a envie, elle le sait il lui suffit de donner le «safe code » et tout s’arrête instantanément. C’est aussi pour cela que j’aime le BDSM, dans ce monde un «safe code» est beaucoup plus parlant qu’un non dans la vie de tous les jours. Et je mets un point d’honneur a bien le faire comprendre à mes soumises. Bref je dis à l’homme de derrière de saisir le martinet et de commencer à la fouetter gentiment sur le dos et les fesses. Pendant ce temps j’autorise les deux sur ses flancs à la caresser et à la lécher ou ils en ont envie. Leur main parcourt son corps, ses seins, son entrejambes dégoulinante, ses cuisses pendant qu’elle subit le martinet. Elle se laisse aller à lâcher des petit bruits de plaisir. Puis j’ordonne à un des deux de la doigter. Il s’exécute. Elle souffle quelque râle alors que les premier vas et viens se font et ferme les yeux. Je lui ordonne de les ouvrir et de se regarder dans la glace. De mon fauteuil je lui parle, l’insultant et la complimentant tour à tour. Elle commence à se lâcher au plaisir, c’est ce moment-là que je choisie de tout arrêter. Pour la frustrer et lui rappeler qui est le maitre. C’est moi qui décide de son plaisir. Je me lève d’un coup, passe près d’elle, et la caresse au passage. Elle ne cesse de me remercier. J’aime ça. Ça me fait plaisir de lui faire plaisir. Elle s’est bien occupée du mien et de celui de ma chienne assez souvent. Puis j’ordonne à celui qui est derrière elle de la prendre en levrette. Il met un préservatif et la prend violement de plusieurs grand coup sans prévenir, excité comme il est. Elle crie, je dis à ce dernier d’y allez doucement pour commencer. Il s’exécute et y vas plus doucement, puis en retournant à ma chaise j’ordonne aux deux autres de continuer ce qu’ils faisaient mais je leur dit de rajouter quelques gifles sur ses seins. Au bout d’un moment je dis à celui qui est à l’arrière d’accélérer et d’y allez plus fort. Il s’exécute dans un râle, elle cris et prend son pied. Apres plusieurs coups le troisième homme jouit et se retire, donnant un répit à ma soumise mais qui est de courte durée car j’ordonne au deuxième de le remplacer. Il met un préservatif et le manège recommence. Cela dure plusieurs minutes et à chaque fois que je vois qu’elle se lâche, qu’elle va prendre son pied ou qu’elle prend l’initiative je leur ordonne de s’arrêter, la frustrant ainsi dans son plaisir et gardant la main mise dessus. Au bout d’un moment je me lève, détache ses mains pendant qu’elle se fait prendre, pour ne pas tomber en avant sous les coups, elle pose ses main libres sur les épaules des deux a ses flanc, se met sur la pointe des pieds pour atténuer la douleur des coups et se penche en avant pour profiter pleinement. Je la laisse profiter quelques secondes jusqu’à ce que le deuxième homme jouisse. Celui qui reste me regarde et je lui fais un signe de la tête lui donnant l’autorisation de la prendre à son tour. Préservatif et c’est reparti. Sauf que je dis à ma soumise de sucer le premier qu’il l’a prise en même temps (avec un autre préservatif neuf bien sûr). Elle s’exécute avec joie. Je profite de la vue quelque minute jusqu’à ce que le troisième jouisse en elle. Je leur ordonne de la laisser maintenant qu’il on jouit tous les trois. Puis leurs ordonne de nous laisser. Il reparte sous son regard dans les ombres du couloir. Elle est là au sol, pauvre petite chose épuisé, recroquevillé, reprenant son souffle la tête vers le sol. Je m’agenouille près d’elle, lui prend la tête pars le menton et la force doucement, tendrement à me regarder. Elle me sourit, je lui demande si ça va, elle me répond que oui. Je lui demande si on passe à la suite, un air étonné se dessine sur son visage, puis un sourire et un oui donné dans un souffle. Alors je la prends par les cheveux et la tire vers le drap par terre. Je la mets à genoux et l’attache avec une corde, cela prend un petit peu de temps mais c’est aussi ça qu’elle aime. Je l’attache face contre le sol, ses mains attaché entre ses jambes relier a ses cuisses qui sont attacher avec ses mollets, ce qui la met en position fesses offertes. C’est une position de shibari que j’adore. Je la re-bâillonne et la laisse la dans cette position pour rejoindre les autres hommes dans une pièce plus loin dans le couloir. Ils sont la discutant et rigolant, parlant de cette expérience. Leur affaire sont mis en vrac dans des sacs au coin de la pièce. Il m’accueille en rigolant, en me remerciant. Je leur souris et leur dit de parler moins fort parce qu’elle pourrait nous entendre et je ne souhaite pas briser l’ambiance que j’ai instauré. Je leur dit qu’ils ont été très bien. On en a discuté longtemps avant, ils ne se connaissent pas et c’est mieux ainsi .Mais moi je les ai rencontré un par un avant en préparation de cette soirée. Recruter serait plus exacte car je leur ai bien expliqué qu’ils ne sont que des objets pour faire plaisir à ma soumise, qu’ils doivent m’obéir en tout, à tout moment même en plein cœur de l’action et surtout garder le silence, pas un mot. C’était les conditions absolues pour participer à ce moment de domination. Ils m’écoutent quand je leur explique la suite, leur demande si il cela leur a plus et si ils veulent continuer, tous sourient et me dise que oui. Bien. Je leur dit de patienter un peu et que je vais revenir les chercher. Je retourne donc dans la salle ou ma soumise m’attend le cul a l’air, offerte et bâillonner. Je prends ma badine, lui tourne autours et lui fouette les fesses, puis un peu ses dessous de pieds, je prends mon temps, me fait plaisir. Elle suit mes mouvements des yeux, se tend avant chaque coup et se relâche après, mord dans son baillons ou crie à travers selon la douleur. Puis subitement j’arrête. Je prends mon couteau et lui fait de petit trou dans ses bas, je lis dans ses yeux qu’elle se demande ce que je fais. Puis je sors une bougie et un briquet de mon sac. Elle comprend. La douleur reprend à chaque goutte et le plaisir avec, le sien mais aussi le mien, je verse la cire doucement sur ses cuisses par les petits trous, sur ses fesses, son dos. Puis me met dans son champ de vision et souffle la bougie. On s’arrête là pour ça, comprend-t-elle. Je lui enlève son bâillon, lui demande si ça va et si on continue. Elle me remercie et me supplie de continuer. Je pars sans prévenir dans le couloir et reviens avec mes trois hommes-objets. Je m’approche d’elle, m’agenouille et me penche pour lui susurré ce qu’il va suivre. Elle a un peu peur mais elle acquiesce. Je dis à un des hommes cagoulé de sortir un gel du sac pendant que les autres caressent son corps attaché et offert. Puis dit à l’intéressé de mettre du gel et de préparé doucement le cul de ma soumise à la sodomie. Il s’exécute doucement, elle se tend mais aime ça. Au bout d’un moment d’un signe de tête, j’autorise l’homme a la sodomisé, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Pendant quelques minutes seul les cris de ma soumise résonnent dans la pièce. Puis alors que l’actif joui je coupe les liens de ma soumise, la libérant de tous et je vais m’assoir sur ma chaise. Tous s’arrête et se tourne vers moi, attendant mes ordres pour la suite. Comme j’aime ce moment. Je regarde ma soumise droit dans les yeux et lui dit que malgré que ses entraves physique soit enlevé elle m’appartient toujours et que je vais l’offrir encore à ses hommes dans un «viol collectif». Comme le mérite la larve et l’objet qu’elle est. Depuis ma chaise bien calé, j’ordonne à un des hommes de s’allonger au sol, puis à ma soumise de venir s’empaler face contre lui et de me regarder pendant qu’elle prend son pied, ce qu’elle fait. Après quelques coups, j’ordonne au deuxième de venir la sodomiser en même temps. Elle hurle et moi j’aime ça. Puis à celui qui l’avait sodomisé en premier et qui a déjà joui de mettre son sexe dans sa bouche pour la faire taire. Tous la baise. Elle est là, se faisant prendre par trois hommes masqués, trois anonyme qui ravage son corps pour mon plaisir, pour son plaisir. Offerte par son maitre. je leur fait changer de position, inversant leur rôles puis la mettant face à celui qui la monte ou encore la faisant s’assoir sur celui au sol, le chevauchant pendant qu’elle suce les deux autres. Au final je la fait s’allonger a même le sol, la bâillonne, et ordonne aux trois hommes de retiré leur préservatif et de lui jouir sur le visage ou les seins pendant qu’elle se touche. Ils jouissent presque en même temps, et au moment où elle est recouverte de sperme elle-même joui, c’est l’explosion pour elle, je la voie se tortiller de plaisir et étaler les spermes sur ses seins les yeux fermé. D’un geste silencieux j’oblige les hommes à partir dans le couloir. Me laissant seul avec elle, les yeux fermé, ce badigeonnant de sperme. Elle ouvre les yeux et me regarde un sourire apparait derrière son bâillon. Je la détache, et lui dit que cette fois c’est fini. Elle me sourit et me remercie pour cette séance. Elle est extenué, je lui tends une serviette pour qu’elle se nettoie, mais elle me dit préféré laisser sécher le sperme sur elle. Alors je la laisse tranquille et lui dit de prendre tout le temps qu’il lui faut et après s’être habiller qu’elle me rejoigne en bas devant la porte de l’immeuble. Pendant ce temps je range mon matériel, remet tout en place dans mon sac et rejoint mes hommes-objets dans l’autre pièce. Lorsque j’arrive ils sont en train de se rhabiller et sont content de la séance, ils me disent que si j’ai encore besoin d’eux que je n’hésite pas, et qu’ils ont vraiment apprécié. Moi aussi je les remercie, leur dit que je n’hésiterai pas et une fois tous habillé leur dit de filer avant que ma soumise ne revienne, car cela aussi fait partie du contrat, pas de contacte en dehors de ce qu’ils leurs étaient demandé avec ma soumise. Ils s’exécutent et je leur dit que moi aussi je suis content de la séance et que peut-être je les recontacterai pour faire presque la même chose avec une autres de mes soumises bien fidèle que j’aimerai récompenser. Une autre fois, je vais y réfléchir. Ce que je fais alors que je suis seul attendant ma soumise en bas de l’immeuble. Pourquoi pas, il y’en a une ou deux qui méritent vraiment d’être remercié pour tout le plaisir qu’elle nous on aider à avoir lors de séance avec ma petite chienne. A ce moment-là ma soumise arrive, un sourire aux lèvres. Me fait un bisou sur la joue et me dit encore merci pour ce soir. Je suis content, cela me fait plaisir qu’elle ait apprécié la séance. Sur le chemin du retour elle s’endort d’épuisement dans la voiture. Je la réveille arriver chez moi, elle monte encore endormie les escaliers jusqu’à mon appartement ou ma femme nous attend. Récupère ses affaires encore endormie et s’apprête à rentrer chez elle. Ma femme et moi, inquiet de la voir prendre la route dans cet état lui proposons de rester dormir dans la chambre d’amis. Elle refuse car demain elle a des choses à faire, nous remercie et nous promet d’être prudente. Puis nous embrasse et prend congés de nous. Nous lui disons au revoir à regret. Mais d’un côté je suis content qu’elle soit partie parce que cette séance ma donnée très envie et j’ai bien envie d’une séance privé avec ma femme. Elle le lis dans mon regard et mon attitude puis me dit d’un air faussement saoulé partant vers la chambre, «ca va j’ai compris je vais ramasser c’est ça?» Je sourie sur place et me dit que c’est pour ça que je l’aime. Puis un petit «tu viens?»Susurré depuis la chambre met fin à mes pensées. Je m’exécute …
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Par : le 13/02/14
Il y a quelques mois, je me suis inscrite sur ce site à la demande de mon Dominant avec un but à la fois aussi simple que difficile à atteindre, celle décrite dans mon profil. Je cherchais la perle rare, la personne avec qui j'aurais envie de faire de ce moment une expérience enrichissante, la personne qui peut-être à défaut de comprendre, tout du moins accepterait les conditions, respecterait ses engagements écrits quand nous ne serions que tous les deux. La personne en qui j'aurais assez confiance pour être l'espace de quelques heures sa soumise par extension. J'ai fini par trouver cette personne. J'ai partagé avec elle un moment qui fut pour moi unique et dont je n'ai pas encore tiré tous les enseignements, il faut laisser décanter ce genre d'émotions. Mais par la présente, nous, mon Dominant et moi, la remercions. Discrètement car elle se reconnaitra Publiquement c'est avant tout les personnes comme elle qui méritent d'être mises en avant. Alors, tout simplement Merci.
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Par : le 13/02/14
A la croisée de nos chemins, une belle rencontre qui dure depuis trois ans. Que celle-ci perdure dans le temps, et bien au-delà... Bien que je sache depuis l'année dernière qu'elle se terminera en mars 2014. Nous n'en sommes pas encore là, alors savourons ces instants présents. J'ai accepté d'être votre soumise en toute connaissance de cause. Pour fêter cet anniversaire, un séjour de deux jours était prévu depuis x mois. Un imprévu pour Vous a fait qu'un jour et une nuit étaient de Votre présence. J'ai donc pris le train seule, Vous aviez réservé pour moi une chambre d'hôtel. Comme la fois précédente, un rappel, tout près du Moulin rouge. Arrivée en début d'après midi, j'ai déposé ma valise. Je repars aussitôt pour rendre visite à une amie dans 78. A mon retour, il est déjà 21 h passées, je suis fatiguée et me couche. Je me réveille tôt, j'ai peu dormi en fait. Je descends pour le petit déjeuner puis m'affaire. Vous arriverez vers 13 h et quelque, il faut que je sois en forme. Je me prépare tranquillement. Heureusement que je suis partie avec mon manteau en ce début de saison. Sur Paris, il fait froid ce jeudi, tout le monde est vêtu chaudement. Je décide d'aller faire quelques pas en Vous attendant. L'heure approche et je patiente à la sortie du métro. Je n'ai pas écouté Votre conseil à rester au chaud dans la chambre. Sortir un peu pour voir comment j'allais et si je tenais le coup... Vous êtes là avec ce sourire malicieux que j'aime tant. Nous nous dirigeons vers l'hôtel, Vous déposez Vos effets et nous allons déjeuner. Après le repas, nous partons en direction de la boutique Démonia bien connue. J'aime cet endroit, il y a tant de nouveautés à l'entrée et dedans. L'agencement des articles a été modifié, des vêtements vinyles et cuir à profusion La couleur noire et rouge est de rigueur de toute beauté pour femmes graciles De sublimes masques en métal dentelle, merveilleux d'originalité. Nous arrivons vers la caisse et à gauche se trouve une vitrine fermée à clef contenant divers bijoux comme rosebud, collier, bracelet, bague d'O. J'essaye les deux bracelets acier et opte pour le premier qui convient à mon poignet. Un joli présent pour cet anniversaire, nos goûts sont communs sur le choix de certains articles. Comme entre autres, cette cagoule fine laissant entrevoir mes yeux bleus et ma bouche. Vous aimez tant mon regard et n'appréciez pas que je le baisse, Vous m'en aviez fait part lors de Notre belle rencontre le 23 mars 2010. Vous pouvez y lire tant dedans et toutes mes émotions y passent... Je l'incline quand j'ai honte, quand je me sens humiliée ou qu'il le faut. Nous quittons les lieux et nous nous installons à la terrasse intérieure d'un café. Dehors les gens vont et viennent, travail, courses et autres, toujours le mouvement. A notre retour, une sieste s'impose pour moi, Vous en profitez aussi. Nous allons à Cris et Chuchotements ce soir, il faut que je sois bien, sourire. La nuit commence à tomber, Vous m'invitez dans un joli restaurant italien Les tables sont bien dressées, des petites fleurs dans leur vase ornent le centre. Face à face comme toujours, nous en profitons pour discuter en attendant les plats. Délicieux repas, belle ambiance, joli décor, il y a beaucoup de monde. L'heure de se préparer pour la sortie se profile, douche, habillage, maquillage. Je vêts mon serre taille avec les jarretelles et bas noirs que Vous m'aidez à attacher. Ma jupe en cuir, un haut noir assorti aux talons, mon collier acier, le bracelet acheté l'après-midi, et mon manteau complète ma tenue. Vous également, vêtu dans la même teinte, dans ce costume qui vous sied si bien. A pied pour nous rendre au club, il fait frais dehors. La porte s'ouvre et une sublime jeune femme au corps de liane, cheveux courts Nous annonce que nous sommes en avance et qu'elle n'a pas terminé la mise en place. Nous nous promenons dans les rues adjacentes attendant l'heure d'ouverture. De retour devant la porte, nous donnons nos manteaux et prénoms avant de descendre. Il y a rien de nouveau au club comme aménagement. Vous me dominez en m'attachant à la croix de St André, avec martinet et fouet. Vous ne voyez pas bien l'état de ma peau puisqu'il fait sombre. Puis nous nous dirigeons vers le bar pour nous désaltérer et nous dialoguons tous deux. Un couple est arrivé qui part prestement dans une pièce, un homme seul les suis à un moment donné. Une jolie domina M et son soumis H qui porte un harnais de chanvre sur son torse vont dans une autre salle, j'entends quelques coups de cravache. Nous décidons de partir quand M fait connaissance avec Vous, Elle aimerait me dominer et Vous en fait part. Vous m'attachez les mains, et sur une autre croix je suis. Elle me signifie que je n'ai pas écarté les jambes... Des fessées à mains nues, puis vient le martinet et la cravache. Elle regarde de chaque côté et caresse ma peau pour constater que cela chauffe. En même temps, Elle fait des réflexions à son soumis et j'ai envie de rire, je me contiens. Vous me fouettez et je commence à compter. Certaines marques sont là qui resteront le temps de mon séjour sur l'Essonne M Vous demande si son soumis peut lécher mes fesses pour atténuer les coups. Vous acquiescez. Il porte la barbe et cela me chatouille. Quelque dialogue échangé entre Vous par ci par là. Elle me demande de retirer le bondage de son soumis. La corde de chanvre est douce. Je tourne auprès de H pour défaire les noeuds, passant, repassant à certains endroits. La corde est très longue ; je parle un peu à H. Je n'y étais pas autorisée. Elle me reprend et continue la conversation avec Vous. J'entends un peu ce qui se dit, mais je ne dois pas prêter l'oreille ... Je fais défiler la corde, et la plie comme il faut, M est ravie et m'en fait part. Nous quittons le club et disons au revoir aux personnes présentes, M m'embrasse ainsi que H, Pascal nous raccompagne à la porte et nous nous dirigeons vers l'hôtel à pied. Un peu de marche fait du bien, nous conversons de la soirée passée. Une bonne nuit de sommeil à Vos cotés ; un copieux petit déjeuner avec la vue sur le jardin d'hiver ; il nous faut partir et chacun ira dans sa direction à un moment donné. Je suis à nouveau affaiblie, j'ai tenu le coup jusqu'à votre départ. Dans le métro, nous nous séparons, Vous rentrez chez Vous dans le Sud Je rejoins l'Essonne où mon amie m'héberge jusqu'à mon départ le 26 mars. Merci à Vous pour cet anniversaire, Vous m'avez comblé par Vos nombreuses et diverses attentions tout au long de ce court séjour, où je n'étais pas au mieux de ma forme. Le 29 avril 2013. Ajout de Mon Maître Comme toujours en pareilles circonstances, le hasard d'un profil sur un site SM, un profil qui en croise un autre, quelques messages échangés et juste l'envie de faire connaissance. Et puis la magie de la rencontre, des caractères si complémentaires, des envies partagées pour aboutir à une symbiose parfaite et une relation sincère, durable dans le respect et l'attention à l'autre. Que de bons moments passés ensemble et de belles escapades parisiennes. A toi aussi merci mon amour de soumise.
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Par : le 10/02/14
Mon Maître, je Vous offre ma docilité Sur cette croix quand Vous me dominez Avec sincérité et confiance absolue C'est tout mon être qui se met à nu Mon Maître, à Vous je suis dévouée De pile ou de face, même de coté Sur cette croix, Mon Maître aimé J'aime me dépasser, m'abandonner D'un geste savoureux, Vous appliquez le châtiment Une cadence imprimée de Votre vigoureux allant Puis Votre main nue claque sur mon postérieur Tombe d'abord avec légèreté puis avec ardeur Mon séant s'empourpre, le bas de mon dos s'enflamme Mes yeux se sont baissés, seule Vous regarde mon âme Votre main est soudain remplacée par la badine Moi votre soumise appréciant cette partie fine Marbrée est ma peau, le temps est suspendu D'une correction jaspant lestement ma peau nue Laissant poindre la passion telle une éruption Qui s'offre libre présent de ma soumission Quand cette phase se finit, mon coeur s'assombrit Et c'est dans les limbes que je suis, telle évanouie Jusqu'à rééditer notre jeu, ou à nouveau je serais épanouie En hommage à Vous, à Votre domination qui m'embellit... Le 30 novembre 2012
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Par : le 09/02/14
Mon autoportrait ?... Pour « Arc en ciel » qui me fait un petit rappel (sourire). Certes j’ai tardé : je devais me reconstruire après ma dernière relation BDSM, étant passée par la colère, la tristesse aujourd’hui que j’en arrive au mépris, que je vois le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide ; je peux m’exprimer objectivement.Par où commencer un auto - portrait ? N’est-ce pas notre parcours de vie qui nous conduit pas à pas vers le BDSM ?Enfant rebelle, face à une maman, strict, autoritaire, exigeante et pas assez câline pour moi à l’époque, déjà je ne me sentais pas à ma place, m’ennuyais à l’école, m’évadais en rêveries et dans le dessin. 4 années passées hors du foyer familial à l’adolescence m’émancipèrent rapidement. Il me fallu toutefois encore m’affirmer dans le choix d’une orientation artistique : lycée, puis Fac où je dû autofinancer des études dans lesquelles personne ne croyait avec un poste de surveillante d’externat qui me guérissait d’une timidité maladive.A 25 ans, j’étais professeur d’Arts plastiques, je peignais, exposais, le conservateur du musée d’arts modernes de la ville Paris m’avait contacté, un poste en université m’était proposé, je devenais seule propriétaire de la maison où je vis actuellement. J’avais grandit et appris à me débrouiller par moi-même dans bien des domaines : Ceci je le dis pour certains Dom qui pensent que s’afficher soumise, signifie être une pauvre fille paumée, sans caractère ayant besoin qu’on la guide pour qu’elle s’en sorte et nous savons tous qu’il y en a !!! A peu prés à la même période je vivais un amour passion, avec un homme de 15 ans mon ainé : grand, très charismatique, un brin dominant. J’adorais ça : je me sentais belle, aimée et protégée, c’était si bon. Du fait d’un éloignement géographique, je compris vite que je n’étais pas volage mais libertine, car non jalouse : encore un truc hors des sentiers battus.Quelques années plus tard, l’attrait pour le BDSM commençait à titiller sérieusement : Je m’informais, lisais, allais sur des forums. Puis je croisais quelques partenaires de jeu dominants : Et oh combien il fût délicieux de pouvoir enfin « lâcher prise », ne pas avoir à décider tout en pouvant dire non, de s’abandonner à quelques jeux D/S et coquins, me grisant de sensations jusque là inconnues.Il y a quelques années je rencontrais un homme : rapidement je lui parlais de ma vie libertine passée et de mon attirance pour les moments de soumission. Quelle ne fût pas ma surprise et ma joie lorsque lorsqu’il vint me voir la fois suivante, avec du matériel BDSM qui ne sortait pas de magasin ! Pas de Maître, ni soumise, mais durant 7 ans, nous formions une couple joueur et libertin, bien qu’au fil du temps le jeu se fît de moins en moins présent.Six moins après notre rupture, je rencontrais un pseudo Maître, et compris vite qu’il me conduirait à des dépravations que je ne souhaitais pas : en une semaine ce fût plié. Déléguant facilement, il me fît croiser un autre Maître qui se montrait joueur, taquin, attentif (enfin les premiers temps), et sa présence m’était agréable : il ne m’en fallu pas plus pour franchir le pas. La troisième fois que nous nous sommes vus, le collier me fût proposé, mais je le déclinais pour l’instant, cela me semblant bien trop prématuré. Rapidement il me fît rencontrer d’autres personnes avec qui je découvrais de nouvelles pratiques : ce Maître avait-il lui-même déjà donné tout ce qu’il pouvait en termes de pratiques BDSM ? Je fus ensuite amenée à dominer avec lui, cela pouvait m’amuser, mais n’était pas mon trip : peu à peu, je me sentais de plus en plus frustrée. La suite et fin restera privée, n’étant pas là pour alimenter des rumeurs.Je tire des leçons de tout ceci : cela m’aura permis d’avancer et de rencontrer des gens très bien, de construire pas à pas des amitiés qui me sont précieuses. Avoir à dominer m’a appris des choses côté soumise : il m’arrive encore de switcher occasionnellement toujours accompagnée, pour le plaisir de faire plaisir, dans l’échange et par goût d’apprendre ; mais j’ai retrouvé ma place et tant pis si certaines personnes m’auraient mieux vu en Domina : je suis la seule à connaître le côté qui m’épanouie le plus !Je ne suis pas retournée au libertinage, devenu à la mode et qui a perdu ses valeurs : Savoir-vivre, courtoisie, respect, raffinement, subtilité, un brin de séduction... Le respect des autres m’est naturel, mais ne faut-il pas commencer par se respecter soi même ? De toute évidence, le BDSM ne sortira plus de ma vie. Si je n’ai plus de Maître à ce jour, je peux encore quelques fois pratiquer le BDSM dans un contexte amical, bienveillant, respectueux, sécurisé et continue d’apprendre beaucoup, de découvrir.Si je suis à la recherche d’un Maître ? Je dirai oui et non : mon profil est là, et j’aime à penser que la bonne personne se présentera au bon moment.
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Par : le 09/02/14
Ma compagne est assise la sur le canapé en train de regarder la télévision en pyjama. D’habitude elle est ma petite chienne, mon objet, ma chose, mon dévidoir, mon sac a sperme, mais pas ce soir. Ce soir elle n’en a pas envie, mais moi je suis pris d’une pulsion de domination, de violence. Ce soir c’est une autre qui va subir ma domination. Nous en avons discuté et avons décidé d’un commun accord que je pouvais me livrer à une séance avec une autre. Un de mes autres objets avec lequel nous avons déjà joué. Qui n’est là que pour subir ma domination. Elle n’est en rien un désir sexuel. Notre séance ne comporte pas de relation sexuelle directe d’un commun accord. Bien sur chaque séance a un côté sexuel à des degrés divers mais elles sont plutôt cérébral que physique. De temps en temps si, avec l’accord et/ou la participation de ma compagne mais pas ce soir. Ce soir je veux juste assouvir ma perversion sadique de domination. Et faire plaisir à une dominée qui elle ne recherche qu’à assouvir sa perversion masochiste de dominance. Ainsi donc ma compagne regarde la télé en mode détente et elle a accepté que je mène une séance a côté avec une autre. Ma soumise d’un soir est arrivé il y a quelques minutes et est en train de se déshabiller dans la chambre d’à côté. Je fini de préparé mon côté du salon pour recevoir ma séance. Puis fait un bisou à ma compagne sur le front et lui demande une dernière fois si elle ne veut pas participer. Elle me dit que non, qu’elle n’en a pas envie ce soir et qu’elle regarde une émission super intéressante. Je n’insiste pas. Puis ma soumise du jour arrive. Elle rentre nu dans le salon, les rideaux sont tiré, et viens s’agenouiller devant moi. Je lui ordonne de baiser mes pieds à travers mes chaussures. Ce qu’elle fait de suite. Ma compagne continue de regarder la télévision, je lui demande d’éteindre la lumière du plafond. Notre salon étant coupé en deux cela ne la gêne pas pour regarder sa télé. Je passe le collier autour du coup de ma chose, lui signifiant ainsi qu’elle est ma chienne ce soir et qu’elle m’appartient totalement tout le temps qu’elle portera se collier. Je lui mets ça laisse et la balade à quatre pattes dans la deuxième partie du salon. Là, mon matériel nous attend. Je lui demande de se relever puis je lui passe des menottes au bras et aux jambes. Ensuite avec les anneaux accroché à chaque côté du mur de notre partie du salon, je l’attache bras et jambes écarté. Elle est donc la, nue, à ma merci, moi dans la pénombre et son dos éclairée par la lumière blafarde et changeante venant de la télé de l’autre côté du salon. L’ambiance est en place. Une sorte de moment irréel ou se côtoie deux monde. Un monde commun avec une femme en train de regarder la télévision sur un canapé, les fenêtres sans rideau laissant rentrer les lumières extérieur et un monde caché, avec une femme attaché nu, les rideaux fermés loin des regards. J’allume quelques bougies pour nous éclairer mieux. Je commence par bâillonner ma chose du soir, puis lui attache le corps avec « la pointe de diamant », une pratique shibari des plus simples qui consiste à « revêtir » le corps de sa « prisonnière » avec une corde. Enfin à mon sens. Au moment où je passe la corde entre les jambes de ma chose, je sens que cela lui plait. Une fois fini, je lui explique ce qu’il va se passé. Elle le sait bien sûr mais j’aime a l’exposer à mes objets. Je vais commencer doucement. Je lui assène quelques claques tout en tournant autour d’elle. Sur son visage, ses seins, ses fesses, ses cuisses, tapant quelque fois son sexe. Puis je m’arrête et lui annonce que ça va devenir pire. Alors je lui mets un bandeau sur les yeux. Je pars quelque minutes la laissant la, nue, tremblant, ne sachant pas ou je suis, ni quand je vais revenir, privé de parole et de vision. Elle n’a plus que le son, le son de la télé à côté d’elle et le silence. Puis des bruits de pas, ce que je fais en revenant un martinet à la main, sans prévenir je lui fouette le dos, elle hurle dans son bâillon. Plus de surprise que de douleur, j’y suis allez doucement. Je lui chuchote a l’oreille ce que je vais lui faire, elle frémit. Un autre coup vient zébrer son dos. Elle m’entend tourner autour d’elle et tremble ne sachant pas quand le prochain coup va venir. Un autre sur ses fesses, elle retient son souffle, ses muscles tendus dans l’attente du prochain. Il semble qu’une éternité passe ainsi, et au moment où elle se détend, croyant que j’étais passé à autre chose, un autre coup vient bruler ses fesses. Un autre cri étouffé. Du coin de l’œil je regarde ma compagne sur le canapé, elle se tortille, feignant ne pas regarder. Mais je la connais, même si ce n’est pour l’instant qu’inconscient, mon travail l’intéresse. Elle se tend et se tiens droite. Quelques coups de plus puis j’arrête et détache le bandeau autour des yeux de ma soumise. Elle me regarde la détacher, du coin de l’œil je voie ma compagne se calmer sur le canapé et retrouvé une position moins « tendu ». Je dis à ma chose que je vais la détaché mais que ce n’est pas fini. Je l’attrape par les cheveux et la jette au sol. Ma compagne sur son canapé se « retend » discrètement, toujours intéressé par la télé. Je souris. Je l’attache avec des cordes dans une autre composition de shibari, les mains attachées au cuisse, la tête au sol, et le cul tendu en arrière. Un autre classique qui a l’avantage d’être simple a réalisé, humiliant et de mon point de vue excitant. je lui explique alors que les bougie ne sont pas là que pour le décorum. Je lis dans ses yeux qu’elle comprend. Je me dirige vers une bougie violette et la prend avec moi. Doucement je tourne autour de ma chose prostré au sol lui chuchotant ce qu’il l’attend. Je verse donc de la cire sur ses fesses, sur la partie charnue d’abord, doucement, puis partout et de plus en plus vite et d’un seul coup je m’arrête. Je reviens dans le champ de vision de ma chose et lui demande si ça va. Elle me signifie de la tête que oui. Ce à quoi je rétorque en refaisant coulé quelque goutte de cire sur son cul. Puis je lui explique que la ca va faire mal. Elle ne comprend pas. Je lui verse alors quelques gouttes sur ses cuisses proches de son sexe lui donnant l’impression que je déverse la chaleur sur ce dernier justement. Elle cri dans son baillons. Je lui dit que c’est bientôt fini et que l’on vas passer a plus dur. Je pose la bougie devant elle pour lui faire voir que je ne l’ai plus et que son imagination fasse grandir sa peur quand à la suite. Alors je la fouette avec une cravache sous ses pieds. Elle hurle dans son bandeau. Puis encore une autre fois, puis une autre. Se pieds sont zébré de mes coups. Alors je m’approche d’elle et lui susurre a l’oreille que maintenant cela va faire mal et récupère la bougie. Je verse alors la cire sur ses pieds à l’endroit où je lui ai mis les coups pour qu’elle en sente encore plus la douleur. Elle se tord de douleur et moi j’aime ça. Je la détache doucement. Elle se laisse faire. Puis je la relève, elle a du mal a marché à cause des coups reçu sous ses pieds. Je l’aide et la rattache au anneau du mur, jambes et bras écartés. Rien que la position lui fait mal. Je lui enlève son bâillon et lui remet son bandeau sur les yeux. De plus je rajoute une attache supplémentaire, en attachant son collier au plafond ce qu’il l’étrangle légèrement. Je me mets ensuite dans son dos, tournant le dos à ma compagne sur son canapé que je sens changé de position de temps en temps. Je souris car je sais que cela la démange et l’excite même si elle continue de feindre l’intérêt pour son émission. Je commence alors à fouetté proprement le dos de ma soumise. Lui arrachant des cris à chaque coup qui ne sont plus retenue par un bâillon. Je prends mon temps. Je savoure cette instant ou ma soumise coupe sa respiration et tend ses muscle dans l’attente du prochain coup. J’adore la voir sursauté quand elle le reçoit et se détendre en lâchant un cri dans un souffle une fois reçu. Puis je repasse devant elle. Bien sûr elle ne me voit pas, je récupère la bougie et sans attendre lui verse quelques gouttes de cire sur les seins. Elle cris. Ma compagne continue de « gigoter » sur le canapé, je sais qu’elle ne suit plus du tout son émission. Puis j’alterne entre coup de cravache doux, fort, coulé de cire et claques. Un coup sur ses seins, puis un autre sur ses fesses, sur son dos, ses cuisses. Son visage lui ne subit que des claques. Au bout d’un moment je regarde ma compagne du coin de l’œil elle ne regarde plus du tout son émission et ne fait que nous observer. Alors j’enlève son bandeau des yeux de ma soumise, lui détache les bras et les attachent avec ses jambes, debout. L’obligeant à me regarder je sors mon sexe. Elle s’étonne, notre séance ne devait pas comporté d’acte sexuel direct, c’était notre contrat. Mais je la rassure bien vite car cet appel ne la concerne pas. D’un signe de la main j’appelle ma compagne à venir à quatre pattes me rejoindre. Ce qu’elle s’empresse de faire dans son pyjama. Elle avale goulument mon sexe. Me suçant comme seule elle sait si bien le faire sous le regard de ma soumise du jour. Je glisse ma main dans le pantalon de ma compagne et en ressort des doigts dégoulinant de mouille. Comme j’aime cela. Je les donne a lécher a ma soumisse attaché, ce qu’elle s’empresse de faire. Les y remet, doigte un peu ma femme et les ressorts charger de cyprine afin de les essuyer sur le visage de ma soumisse. Puis me penche vers elle pour lui chuchoter a l’oreille quelque chose. Je lui demande sa permission pour un truc qui n’était pas prévu ce soir. Elle me la donne. Ma compagne suit l’échange les yeux levé vers nous tout en me suçant. Je lui dis de ne pas quitter mon sexe de sa bouche et me déplace pour détacher ma soumise et la rattacher bras écartés vers le haut. Puis j’ordonne à ma femme de venir se mettre dans mon dos et de me caresser d’une main, de me branler de l’autre et de m’embrasser dans le coup. Elle s’exécute, intrigué, puis je lui dit de me faire jouir sur ma soumisse attaché, de la recouvrir de mon sperme. Elle a un moment de flottement étonné car elle sait que la séance ne doit pas comporter d’acte sexuel directe et sais que je ne ferai jamais rien sans l’accord préalable de ma dominé du moment. Puis elle comprend que c’est ce que je lui ai demandé tout à l’heure chuchotant a son oreille. Elle hésite, mon sperme n’est que pour elle d’habitude, elle est mon sac a sperme, mon dévidoir. Même a plusieurs mon sperme lui est réservé sauf si elle me demande l’inverse bien sûr. Mais en bonne petite chienne que j’ai bien dressé elle me branle quand même. je jouis alors, mon sperme sous la pression giclant jusqu’au sein de ma soumise du jour, dégoulinant sur son ventre. J’ordonne alors à ma compagne de me lâcher, lui prend les cheveux l’oblige à se mettre à quatre pattes et lui ordonne de lécher le corps de la soumise afin de ne laisser aucune goutte de mon sperme tout chaud sur elle. Ma compagne me sourit d’un air amoureux et ravi. Mon sperme n’est bien que pour elle. Elle lèche goulûment le sperme arrachant quelque soupir a la soumise. Puis reviens à mes pieds pour lécher les gouttes qui perlent sur mon sexe. Comblé je détache ma soumise qui tremble de fatigue après cette éprouvante séance. La remercie, on débriefe pour savoir ce qu’il lui a plu, les choses a amélioré, les choses à revoir puis d’un sourire je l’invite à se rhabiller dans la chambre pendant que moi je rejoins ma compagne sur le canapé qui essaye de comprendre la fin de son émission en aillant loupé une bonne partie. Elle me prend dans ses bras et me dit qu’elle m’aime. Ma soumise du jour reviens dans le salon habillé, nous sourit, nous embrasse et prend congé de nous en nous disant au revoir et a très vite.
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Par : le 07/02/14
Dans mes yeux bleus reflet de mon âme. Brille l'insolente lueur de celle qui se damne En enlaçant fiévreusement la douleur De mes lèvres s'enfuit un gémissement Révélateur de ce feu qui me dévore lentement Un peu plus et à chaque jour nouveau De mes zébrures s'échappe cette obsession De n'exister que par Votre regard, révélation Charnelle de cette envie si troublante Dans mes yeux bleus, lueur apaisée S'affiche farouchement la fierté d'exister Enfin sous le joug de Votre domination Regard baissé A Vos pieds Je suis votre Dans mes yeux s'épanouit ma soumission
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Par : le 02/02/14
Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife.Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors :1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné,2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ......»,3) publier ce texte dans votre section « articles »4) me le faire savoir.Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte.Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ).Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire. 1) Je suis soumis aux femmes depuis aussi loin que je me souvienne. 2) Je suis Gynarchiste. 3) J'aime être bien habillé. Pas forcément toujours classe, mais bien. 4) J'aime beaucoup la musique, pas toutes les musiques non plus. 5) j'aime les voyages. 6) Je suis sportif. 7) J'aime me balader, et cela pas forcément pour aller quelque part. 8) J'apprécie les femmes qui prennent soin d'elle, et mettent en avant leur féminité. 9) J'aime les animaux, mais je n'en ai pas. 10) J'aime cuisiner. 11) Je suis assez joueur. 12) J'aime discuter par écrit. 13) J'apprécie le cinéma, mais j'ai une préfèrence pour les films avec une intrigue bien ficelée. 14) Je suis serviable 15) Je suis encore étudiant( heureusement plus pour longtemps.^^) 16) Je suis assez cérébrale. 17) J'aime les femmes dirigistes. 18) Je considère l'intrsansigence comme une qualité pour une femme dominatrice. 19) Je n'arrives pas à obéir aux hommes en dehors du travail. 20) J'apprécie toujours un bon repas. 21) Je suis un amateur de vins, mais pas un gros buveur. 22) J'aime satisfaire, et surtout une femme intransigente. 23) Je suis assez fonseur. 24) Je n'ai pas l'habitude de faire les choses à moitié. 25) J'aime danser, je n'en suis pas doué pour autant.^^ 26) J'aime les calins. 27) Je suis fétishiste. 28) Je suis un peu timide. 29) J'aime la vie. 30) Je n'aime pas rester enfermé toute une journée à l'intérieur, d'autant plus quand il fait beau.^^ 31) Je ne dirais pas que je suis fan d'Eric Stanton, mais aucun de ses désseins que j'ai vus ne m'a déplut. 32) Je ne suis pas un geek. 33) Je n'ai pas l'habitude de me coucher tôt. 34) Je suis galant. 35) Je serais fan de beaucoup de pages sur ce site, si je prenais la peine de toutes les lires. 36) Je suis plutôt poilu, heureusement que cela se retire lol. 37) Je ne suis pas à l'aise avec le fait de participer à une soirée BDSM non privée. 38) Je n'aimes pas courir. 39) Je fais attention à moi, et entretient mon corps. 40) J'aime ce site, qui m'as permis de faire des rencontres très intéressantes. 41) J'aime beaucoup voir une femme en talons, c'est une des choses que je regarde en premier. 42) Je déteste les hopitaux, et surtout l'odeur qu'il y a. 43) J'aime bien conduire. 44) Mon animal préféré est le léopard. 45) J'aime les peluches. 46) Je ne portes pas de lunettes. 47) Je me coiffe tous les jours. 48) Je suis curieux de nature. 49) Pour finir, je suis ravi de poster cet article sur moi afin de satisfaire l'envie de Mademoiselle Cythérée. docilité.
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Par : le 28/01/14
Elle est nue devant moi, à genoux, les yeux baissés car telle est sa place et elle le sait. Elle est ma chienne, mon objet, ma chose depuis longtemps déjà et connait ça place. Je viens me placer devant elle, temps un de mes pieds quel s’empresse d’embrasser. Je l’attrape par les cheveux, lui remonte la tête l’arrachant à son devoir de force. Met ma main sous son menton, serre, et la force à me regarder dans les yeux. Elle sait ce qui lui reste à faire, elle défait ma braguette, sort mon sexe et le met dans sa bouche, timidement d’abord, en me regardant cherchant une approbation du regard. Que je le lui donne par un hochement de tête. Alors elle continue goulûment. Je sais qu’elle adore ça, je glisse ma main doucement sur son sexe et sens son envie dégouliner sur mes doigts. Je l’oblige à arrêter de force, ce qui la frustre mais l’excite également. Pendant tout ce temps nos deux « assistantes » sont elle aussi nue chacune dans un coin de la pièce, elles sont restées stoïque et silencieuse depuis le début. Telle des statues elles ne bougeront que lorsque je leur en donnerai l’ordre. Car elles ne sont que des objets, des choses, des extensions de ma pensée, elles ne sont là pour me servir, elles ne sont que des instruments qui prolonge ma volonté lors de cette séance. Elles ne sont que mon bras exécutant ma domination sur ma chienne à genoux lorsque je le décide. Lorsqu’elles ne sont pas cela, elles ne sont que simple observatrice. Leurs plaisir passe par le miens. Ici je suis le Maitre, celui qui décide de la jouissance ou de la douleur de tous les êtres rassemblée dans cette pièce. Mais ses assistantes ne m’intéressent pas, d’ailleurs elles changent à chaque séance, ce ne sont que des femmes du monde BDSM qui ne cherchent qu’à être des objets et que j’utilise seulement une fois pour mon plaisir. Certaine ce révèlent alors, et de temps en temps revienne à mon service mais seule celle qui accepte de n’être que des objets le font. Elles savent qu’à mes yeux elles ne sont rien. À partir du moment où elles sont entrée dans cette pièces, elles sont devenue des choses, des larves, moins que cela encore, plus rien de vivant, seulement des objets que je manipule sans rechercher leurs approbation, ni leurs désir. Seule ma chienne, par mon bon vouloir aujourd’hui, c’est élevée au-dessus du rang d’objet banal et anonyme, de chose usuelle. Elle est maintenant MA chose, mon objet a moi, elle m’appartient, elle reste un objet mais MON objet et je m’efforce de la dresser pour qu’elle devienne une bonne chienne. Là où est sa place, sa vraie place. Elle est donc là la bouche ouverte, mon sexe dur devant son visage, elle a envie de le mettre dans sa bouche mais elle sait qu’elle n’en a pas le droit. Seulement quand et si je le décide. Je souris et lui met une claque sur le visage. Elle me remercie comme elle se doit. Je regarde alors mes assistantes, d’un signe de tête je leur fait signe de s’approcher. Elles viennent vers moi les yeux baissés, lentement. Je tends les bras sur les côtés et leur ordonne de me déshabillé. Ce qu’elles s’empressent de faire. Je n’y mets pas du miens, elles doivent se débrouillée pour que cela soit sensuelle et me soit le moins désagréable possible. Pour renforcer la pression qu’elles ont, je leur lâche un regard noir à chaque soubresaut, un regard qui promet douleur et tourment si elle ne s’applique pas. Ma chienne attend sagement qu’elles finissent, assise et sans un bruit. Une fois nue, d’un geste je les renvoie à leurs postes, prend ma chienne par le menton lui soulève la tête. Fait signe à mes choses de prendre le collier de cuir noir près d’elle ainsi que la laisse en chaine argenté qui va avec. Elle s’approche de ma chienne, et sous mon autorité, l’une lui soulève les cheveux pendants que l’autre lui passe son collier autour du cou. Puis lui mettent la laisse, me la remette en main propre et rejoigne leur poste d’observation. Je tire sur la chaine pour l’obliger à se déplacer à quatre pattes comme j’aime. Puis je la soulève pour qu’elle soit debout. Cela l’étonne car d’habitude flanqué de mes assistantes, je l’attache au anneau dans le mur, m’assoit nue sur mon fauteuil en face d’elle et commence la séance de domination, de douleur et de plaisir infligé par mes objets selon mes ordres et mon bon plaisir. Mais pas aujourd’hui, elle a était une bonne petite chienne pendant les dernières séances, j’ai envie de la récompenser. Je le lui dis, elle me remercie et me dit qu’elle m’aime et qu’elle est à moi, mais ça je le sais déjà, je lui souris de nouveau. Puis je la prends par les cheveux, la jette au sol et l’oblige à me suivre a quatre patte Jusqu’au lit au milieu de la pièce. Je m’allonge alors, et elle attend au pied du lit. Elle sait que les petites chiennes ne montent pas sur les lits sans que leur maitre ne leur en donne l’ordre. Je souris. C’était un test, elle a bien réagit. Dommage, Je comptais la punir un peu, je le pourrais si je le voulais, après tout je suis le maitre et je n’ai pas à me justifier quand à mon comportement, je n’ai pas à être juste, je décide, je suis arbitraire, pervers et dur. Mais ça bonne réaction mérite une récompense. Je suis content de son dressage. Je lui fais donc signe de venir s’allonger dans mon dos. De me serrer contre elle. Plus fort, plus fort encore lui dis-je. Je lui dis de caressé mon corps avec ses mains, elle s’exécute, puis lui dit d’embrasser mon corps partout, de me lécher. Elle commence doucement, tendrement puis ne met pas longtemps avant de se laisser allez a ce petit plaisir. Elle commence à y allez plus frénétiquement, plus sauvagement. Je sens que cela l’excite, qu’elle monte. Alors je la coupe dans son élan, lui rappelant ainsi que c’est moi qui décide de sa jouissance et de son plaisir. Je lui donne l’ordre de se frotter contre moi, je veux sentir sa mouille contre mes jambes, contre mes fesses pendant que ses mains et ses lèvres parcours mon corps. D’une intonation j’ordonne à mes deux assistantes de se rapprocher de nous et leur dit de laisser glisser leurs mains sur nos corps. Une pour moi, une pour ma chienne. Elle s’exécute avec un plaisir non dissimulé. Le faite de sentir ses caresses en plus redonne de l’ardeur à ma chienne, elle mouille de plus en plus je le sens. Elle caresse mon torse d’une main et me branle de l’autre. Je prends la main d’une de mes assistantes et lui ordonne de caresser mes couilles en même temps. Elle vient et lèche à son tour mon corps. J’incite la deuxième, celle qui s’occupe de ma chienne, à caresser son sexe et de la lécher. Pendant que ma chienne me branle, l’assistante qui s’occupe de moi, n’en pouvant plus, approche sa bouche vers mon sexe afin de me sucer. D’un regard noir je l’arrête. Elle oublie qui décide. Je leur dit à toute d’arrêter. Me lève devant le regard apeuré de mon assistante rebelle. La prend par les cheveux et la met à quatre patte. Ensuite je dis à l’autre assistante de relever légèrement le buste de ma chienne afin qu’elle soit dans une position allongé, mais assez relevé pour faire face à la punie et la voir. Je lui dis de continuer à la caresser, de la lécher tout en me regardant toute les deux punir l’impudente. Cette dernière, à quatre pattes, me montre son cul mais fait face aux deux autres. Je vais chercher mes menottes, lui attache les mains ensemble devant elle, les deux jambes entre elle et lui met une boule de soumission dans la bouche. Elle tremble, j’adore ça. Je prends ma cravache puis change d’avis, prend une badine en roseau et me dirige vers elle. Ma chienne et l’autre assistante on tout suivit du regard, en continuant leurs attouchements. La puni ne me voit pas, elle ne peut que deviner ce qu’il l’attend par rapport au regard des deux autres. Je m’en vais lui expliquer sa punition quand les bruits et râle de jouissance de ma chienne ainsi que les succions bruyante de ses seins par mon assistante, m’oblige à élever la voie pour leur dire de se taire. A partir de maintenant je ne veux plus rien entendre, elles se doivent de ne plus faire de bruit tout en continuant. Ma chienne ferme les yeux et se mord les lèvres pour ne pas lâcher de bruit de plaisir pendant que l’autre lui fait du bien, une main sur son sexe et la langue sur ses seins, la léchant sans bruit en me regardant. Elles savent que si elles font du bruit elles le payeront très cher. J’oblige d’un ordre ma chienne à ouvrir les yeux et à regarder. Elle s’exécute et se mord plus fort pour contrôler ses bruits. Bien, j’adore lui imposer ma volonté, même sur sa jouissance, et elle aussi car elle sait qu’elle m’appartient. Je peux enfin reprendre ou j’en étais. Je me penche alors vers l’oreille de la punie et lui explique pourquoi elle va être punie. Elle hoche la tête pour me signifier qu’elle comprend. De la bave coule à la commissure de ses lèvres, la boule l’obligeant à garder la bouche ouverte. Je me positionne derrière elle et lui donne un coup de badine fort qui zèbre ses fesses blanches de rouge. Elle sursaute sous le premier coup, puis sous le deuxième, et le troisième, lui arrachant des cris étouffé par la boule à chaque fois. Les deux autres aussi sursautent à chaque coup. Comme la punie elle tende tout leur muscle, arrêtant leur respiration, attendant le prochain coup puis une fois reçu se relâche totalement dans un cri étouffé. Au bout du dixième, j’arrête, et examine ma puni. Tout son corps tremble de douleur et de plaisir, son sexe dégouline de mouille et de ses lèvres part un fil de bave. Je lui enlève la boule doucement sans me presser. Elle me remercie, une larme roulant sur sa joue. Je prends ses cheveux dans ma main et l’oblige à avancer à quatre pattes, toujours attaché, vers le sexe de ma chienne. Puis je lui ordonne de lécher. Elle s’exécute, ma chienne se retient toujours de faire du bruit malgré le plaisir clairement affiché par son visage. Mes deux assistantes lèchent et caressent ma chienne sous mes ordre, la punie bougeant son beau cul blanc zébré de rouge sous mon nez, mes ardeurs reprennent. Je m’assois sur mon fauteuil en face du lit. Et ordonne a toute de se lâcher, leur permettant de faire autant de bruit qu’elles le désirent, les libérant ainsi de ma soumission sur leur jouissance. Ce qu’elle s’empresse de faire. Très bien. Au bout de quelques minutes je leur donne l’ordre de s’arrêter et de venir se présenter devant moi. Elles viennent toute les trois à mes pieds. J’ordonne à ma chienne de me mettre dans sa bouche, a la première assistante, celle attaché de me toucher les couilles, et a la dernière de venir se placer derrière moi pour me caresser pendant ce temps. Là je profite pleinement de ma domination et me laisse allez a la jouissance. Me laisse allez au plaisir qu’elles me donnent. Non ! Je me reprends. JE suis le dominant, JE donne la jouissance, C’est moi qui décide où et quand. Je me relève vivement les surprenant toute les trois. Ma petite chienne, mon sexe encore dans sa bouche, a suivi le mouvement. C’est très bien. C’est ce que j’attends d’elle. J’ordonne à ma deuxième assistante de l’attaché et de la mettre à quatre pattes, le cul tendu, prêt à me recevoir. Elle s’exécute. Une fois sans défense, prête a me recevoir, je viens dans le sexe de ma petite chienne, la labourant de mes coups de reins sans retenue, comme elle le mérite. A savoir durement et sauvagement. L’une de mes assistantes, celle encore attaché, sous mon ordre viens se placer sous nous et alterne avec sa langue entre mes couilles et le sexe de ma petite chienne. La deuxième se place devant ma chienne et lui donne des claques quand je le lui dis. A chaque coup de mon sexe en elle, ma chienne me remercie. Je la défonce ainsi jusqu’à ce qu’elle me cri qu’elle n’en peut plus. A ce moment-là je sors mon sexe et ordonne à celle en dessous de doigter ma chienne. Puis me lève, passe devant elle et tend mes pieds à ma chienne. Elle baisse la tête pour les lécher. L’assistante, sous mon ordre prend le martinet qui est à côté et fouette le dos de ma chienne à un rythme que j’impose. Au bout de quelques coups je lui prends le martinet des mains et lui ordonne a elle aussi de lécher mes pieds. Elle s’exécute. Je lui donne des coups de martinets dans son dos, alternant un coup pour ma chienne, un coup pour elle. Au bout d’un moment, j’arrête le tout sans prévenir et repasse derrière ma chienne pour la saillie. Et nous reprenons là où nous en étions, elle cris de plaisir et les gifles reprennent sous mon contrôle. Au moment où Je sens qu’elle monte, J’ordonne à mon assistante devant elle de la forcer à me regarder, elle met sa main sur son visage et l’oblige à regarder dans ma direction. C’est alors que je lui crache au visage. Elle jouit de plaisir et me dit qu’elle va avoir un orgasme. Je le lui accorde, elle se lâche en criant, tremblant et serrant les points. Quand elle se calme, je continue à lui mettre quelques coups de reins, je sais qu’une fois qu’elle a jouie elle est plus sensible et que cela lui fait mal, très mal, mais je sais aussi qu’elle adore ça. Je continue donc de plus en plus doucement presque jusqu’à l’arrêt. Alors je me retire. Mes deux assistantes se relèvent la laissant la tremblante a même le sol. Elle lève ses yeux vers nous trois qui la contemplons d’en haut et cette image la frappe, elle sait au fond d’elle que ça place est là. Je savoure l’instant mais je n’en ai pas encore fini avec elle. J’ordonne à mon assistante de détacher sa collègue, puis lui dit de relever en position assise ma chienne. Pendant ce temps je dis à ma deuxième assistante de venir ce placer derrière moi, de blottir son corps contre moi et de prendre mon sexe dans sa main. Puis leur dit de mettre mon sexe dans la bouche de ma chienne, de me faire bouger dans sa bouche à la première et de faire des vas et viens avec la tête à ma chienne à la deuxième. Elles s’exécutent, doucement d’abord puis prenant manifestement du plaisir à cela, de plus en plus vite. Ma chienne bave et s’étouffe sous leurs assauts. Comme j’aime cela. Je dis à ma deuxième assistante d’arrêter les vas et viens, et a la première de me branler sans autre explication. Sans prévenir, je jouis enfin sur ma chienne, mon sperme aspergeant son visage et ses seins par à-coup. Elle pousse un petit cri de surprise puis tire la langue les yeux fermés pour me recevoir. Mon sperme coule entre ses seins, sur ses joues. Elle adore cela et moi, j’adore la voir recouverte de mon sperme chaud. J’ordonne à ma deuxième assistante d’étaler le tout pour que ma petite chienne brille pour moi. Une fois fait, je demande à mes assistantes de détacher ma petite chienne et part m’allonger sur le lit. Une fois détachée cette dernière coure me rejoindre et se blottir dans mes bras. Et la séance se finit par des câlins, elle l’a bien mérité et puis j’en avais envie ce soir.
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Par : le 28/01/14
1) je suis, parait-il, intrinsèquement salope, et je l'assume totalement 2) j'adore le jazz et l'opéra, mais j'ai aussi plein de Mike Brant sur mon iphone 3) Ma 50aine ne m'empêche pas de danser sur les tables dans des bars enfumés 4) J'ai un faible pour Chapeau Melon et Bottes de Cuir période Tara King 5) Je suis amoureux d'Elizabeth Montgomery 6) Je suis heteroflexible, c'est a dire que j'aime me pencher en avant, si il y a un truc miam derrière moi 7) Il y a peu, je suis tombe raide dingue d'une femme Domina ... mauvais timing, mais major major crush, et la certitude que je ne m'étais pas trompé 8) Un jour lointain, alors que pour me faire des sous je jouais du piano dans un bar à Saint MIchel, j'ai pique la voiture de mon papa (chirurgien), parce que étais à la bourre.. me suis fait gaule par des motards sur l'autoroute.. c'était le soir.. je leur ai montre le caducée sur le pare-brise, ma montre (genre, j'ai une urgence).. ils m'ont ouvert la route jusqu'à l'hôpital de la Pitié Salpetriere.. coup de bol, m'ont pas suivi DANS l'hôpital ! 9) Je suis un fan de SF ...John Brunner, Silverberg, Van Vogt, K.Dick... 10) J'adore Certains l'aiment Chaud.. . 11) Si j'étais une fille, je serais folle de moi (bah ouais, les soumis ont un ego et un orgueil hors norme !!) 12) Je pourrais dépenser des fortunes en fringues (mais je me contrôle)... 13) Je passe 2h dans ma salle de bain le matin (bah a mon age, faut bien ca ) 14) J'adooore me faire draguer par des mecs (et les allumer aussi, bien que je sois quand même hetero de base) 15) Il reste encore plein de choses que je ne peux pas dire ici.. on se connait pas assez ! BONUS TRACK 16) Je suis hyper sensible des seins
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Par : le 26/01/14
après plusieurs discutions avec différente personne qui m'ont toutes dit quasiment la même chose, j'aimerais beaucoup avoir votre avis sur la question : "une soumise ou un soumis à t'il le droit de ressentir et d'exprimer le manque de son Maître/Maîtresse et vis versa ?" la question peut paraître bizarre pour certain mais pour moi elle est essentielle, nous ne somme pas des robots, nous somme constitués de chaire, de sang et doter pour certains d'entre nous d'un coeur qui bat et qui ressent les choses. la question est posée sous forme général comme n'importe qu'elle autres questions n'y voyait pas une demande personnel de ma part, mais je pense que certains généralise trop et qu'il parte du principe que la soumission est un carrer dont on ne sort pas, je ne suis pas d'accord avec cela, nous somme tous unique et ces cela qui fait de nous des personne différente tant dans la soumission que dans la Domination, je ne suis pas venue au monde avec le livre de la parfaite soumise dans la main, d’ailleurs quand j'y pense cela aurais choquée ma mère j'ai échanger avec plusieurs personne ici même et ces même personne on remis en question m'on implication et mon dévouement à mon Maître, pourtant chaque jours je lis et regarde les publications de ces même personnes et n'y trouve rien, elle sont vide de tout dénués de sentiments elle me font souvent pensée a une toile de peinture avant que le peintre la touche avec son pinceau, blanche et vide !!!!! mais chacun le voie avec des yeux différent ..... je ne fait pas de règlement de compte oulala pas besoin, je demande juste l'avis de cette magnifique communauté sur la question. chaque jours je me remet en question, je m’améliore et progresse dans mon dévouement et ma condition, alors oui aujourd'hui je vous pose cette question ici a vous toutes et tous ....... au plaisir de vous lire
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Par : le 23/01/14
47 ! ça fait un paquet,non ? Mais bon, si c’est un souhait de maîtresse Isis, je m’exécute. 1.Homme de bientôt 48 ans, 1m75, 72 -74kg, bien dans ma peau, pas trop mal dans ma tête, je suis d’origine vanille mais depuis toujours attiré par le reste du monde. J’aime les sentiers rocailleux ou l’on se fait surprendre agréablement. 2 Je ne suis pas typé méditerranéen et pourtant, dans mes veines coule le sang chaud de l’Espagne. J’en suis fier, même si je ne le revendique pas au quotidien. 3 Plus jeune, j’étais très branché « Sex, drug and Rock’n’Roll « 4 Je ne partage pas ma vie BDSM avec mes amis de tous les jours, du moins pas encore ;-) 5 je suis tombé dans ce drole de monde par pur hasard…et le hasard fait bien les choses !!! 6 Je possède 6 guitares. Chacune d’entre elles a une histoire. La guitare est instrument que l’on serre contre soi, c’est enivrant et sensuel. 7 J’ai déjà eu une aventure avec des hommes, mai je préfère les femmes. 8 J’ai un chat tout noir et super gentil. Il s’appelle Hector. 9 Je suis un homme sensible et très très calin. J’aime la douceur d’une peau de femme et je pourrais passer des heures à caliner une femme avant d’aller plus loin. 10 Les jeux de cordes, ça me plait enooooormement ! 11 J’aime boire avec mes amis et refaire le monde. 12 J’avoue, je suis bagarreur…. La dernière fois que j’ai rossé un mec, c’était au CM2 ! 13 J’ai beaucoup voyagé à moto. Je roule depuis 25 ans 14 Ma partenaire de jeux, en mode domina, est à tomber raide !!!! 15 J’ai déjà fait de plan sexe à 3. 16 Depuis que j’ai découvert le monde BDSM mes attirances évoluent à vitesse V. 17 J’aime faire plaisir au quotidien à ceux que j’apprécie. 18 Dans ma tête, il y toujours de la musique. 19 Je ne planifie jamais mes vacances, toujours à l’arrache. 20 J’ai un kyste sur mon testicule droit qui me fait mal de temps à autres. 21 Je suis skieur. J’adore skier en poudreuse avec mes 2 potes. Je me sens libre. Je suis libre. 22 Je suis très souvent de bonne humeur. 23 Je ne suis pas soumis et je ne suis pas dominateur…. J’aime la savoir à ma merci pour son plus grand plaisir et j’aime être à ses pieds pour la satisfaire. Compliqué ? Nan ! 24 Je passe des heures à caresser mon chat. J’aime les chats. Tous les chats. Les chattes aussi. Ok, je sors…. 25 J’ai été plusieurs fois amoureux, vraiment très amoureux. Toujours de femmes. A chaque rupture subie, j’ai cru mourir. Pourtant, je suis toujours prêt à recommencer, quitte à souffrir plus encore. Je pense que mon coté maso est là.  26 Dimanche 19/1, j’ai participé à mon premier munch. J’ai flashé sur JunonBee et sa crinière… Cette fille, c’est du pur rock’n’roll, sur ! 27 Je ne suis pas très bon guitariste. Helas. 28 Ma partenaire de jeux est une fée. Etre à ses coté me rend profondément heureux. 29 J’aime le jazz, en live si possible. Sinon, Eric Legnini, Ibrahim Maalouf ou Peter Wolf…. Whaou ! 30 Je n’ai pas d’enfant, par choix. Je commence à penser que ce choix n’était pas le bon. 31 Quand mes amies pleurent, c’est vers moi qu’elles viennent pour se faire consoler. 32 La tarte à la myrtille est ma spécialité ! 33 Je ne supporte pas la douleur, et je n’aime pas faire mal… sauf si c’est pour son plus grand bien ! 34 Mon boulot ne me passionne plus, c’est juste alimentaire. Triste, non ? 35 Isis, t’as vraiment forcé : 47, pfiuuuu 36 Je me suis deja fait pincer les fesses par une femme dans la rue ! 37 J’ai beaucoup d’imagination et je suis bon bricoleur. Ça vous donne des idées ? 38 J’aime courrir et faire du VTT. J’aime l’effort, suer, rentrer couvert de boue et les jambes en coton, content d’aller prendre une douche. 39 Ce we, j’ai fait des choses à ma partenaire de jeux que je n’avais jamais fait à personne. 40 Je suis gourmand, j’aime le chocolat et les sucreries en general. 41 Je suis un ancien fumeur pas très tolérant ave les fumeurs. 42 Je suis attiré par la photographie, depuis toujours. J’ai des dizaines d’idée de mise en scène. Va quand même falloir que je me cotise pour m’acheter un bon appareil photo. 43 J’ai eu une relation hot avec une de mes collègues. 44 Je suis troublé quand je sens que je plais à une femme, et gêné quand il s’agit d’un homme. 45 J’aime faire la cuisine, surtout des prototypes que je prends un malin plaisir à faire goûter à mes amis. Personne n’est encore mort d’empoisonnement ! 46 Je ne veux pas perdre toute ma couleur vanille. Je l’aime bien. 47 Je repense souvent à Lydia, une jeune espagnole rencontrée à 17-18ans avec qui j’ai passé un superbe été. Finalement, ca n’a pas été aussi long que ça ! A qui le tour? Daninou
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Par : le 18/01/14
1) Je suis soumis depuis bientôt 9 ans (première rencontre avec une Maîtresse car je m'intéressais au BDSM depuis quelques temps déjà...). 2) J'ai été marqué durant mon adolescence par des récits de torture durant la guerre d'Algérie et en particulier la "gégène" 3) J'ai été à une certaine époque plus ou moins obsédé par l'idée de sévices et en particulier sexuels ... 4) Jusqu'à ce que je découvre le BDSM, j'ai pratiqué assez souvent sur moi des sévices et auto-flagellations ... 5) Le fantasme qui m'a conduit au BDSM était d'être "torturé" par des Dames. Ma Maîtresse actuelle s'en est souvenue et a monté, en décembre dernier, avec son ex. soumise devenue dominatrice un scénario "d'interrogatoire" assez génial ... (récit, photos et vidéos dans de prochains articles sur son blog et sur le mien). 6) La soumission m'a progressivement soulagé de mes obsessions. Et des rencontres BDSM avec mon ancienne Maîtresse, puis - et surtout- ma Maîtresse actuelle, se sont substituées partiellement au début, puis totalement depuis plusieurs mois aux sévices que je m'infligeais. 7) Ma première Maîtresse m'a initié à la soumission et commencé mon éducation. C'était une Maîtresse vénale, que je ne rencontrais que tous les 3 mois environ, et avec qui je n'avais que peu de contacts entre 2 rencontres...Elle était plus "bondages et contraintes" que flagellations et j'étais un peu frustré de ne pas avoir de marques ou d'en avoir peu... 8) Il y a 3 ans et demie, j'ai découvert le blog d'une grande Dame qui m'a tout de suite impressionné tant par ses qualités de Maîtresse que ses qualités humaines et sa culture qui apparaissaient dans ses articles. J'ai tout de suite rêvé de devenir son soumis. 9) Après un premier refus lié en particulier au fait que j'étais un homme marié, j'ai gardé contact via son blog et 1 an et demi plus tard, Elle a accepté (alors que je ne me faisais plus guère d'illusions) de me rencontrer. Ce fut le début d'une merveilleuse aventure ! 10) Je suis progressivement passé, à partir du moment où j'ai découvert son blog et lu ses articles, et encore plus nettement à partir du moment où je l'ai rencontrée pour la première fois, d'une "pseudo-soumission" où je cherchais surtout à satisfaire des pulsions masochistes (et où d'une certaine manière la Maîtresse était à mon service -payant- pour çà), à une soumission où mon but premier est de satisfaire ma Maîtresse, de lui procurer du plaisir, d'être à son service, ce qui est fondamentalement différent. 11) J'adore ma Maîtresse. Je ne vis pas 24h/24 avec Elle puisque je suis marié et Elle aussi, mais Elle est présente dans mon esprit 24h//24. Je La respecte infiniment et, même si je ne le demande pas, Elle aussi me respecte. 12) Nous partageons les mêmes préférences pour les pratiques (la flagellation) même si ma Maîtresse me fait découvrir plein d'autres pratiques. 13) Dès que je n'ai pas de nouvelle d'Elle pendant plus de 2 à 3 jours, je suis fou d'inquiétude... 14) Elle a connu l'an dernier un dramatique évènement. J'en ai été moi-même terriblement affligé. 14) Très rapidement après nos premières rencontres, je me suis mis à éprouver beaucoup de plaisir à ressentir le plaisir qu'Elle avait à me dominer. 15) Je tire maintenant la plus grande partie de mon plaisir quand je me soumets à Elle, à sentir qu'Elle s'amuse en me dominant. 16) Je peux aller très loin avec Elle. Je peux aussi aller loin avec d'autres dominant(e)s si Elle est présente. J'ai pu constater que c'était beaucoup moins vrai si Elle s'absentait... Sa voix, son regard, le contact de ses mains peuvent me faire oublier complètement la douleur. 17) Ma Maîtresse est une grande Amie, une confidente; Elle en sait plus sur mes pulsions, mes fantasmes, que mon épouse... mais Elle est infiniment plus que çà... c'est ma Maîtresse et le restera, j'espère, pour toujours ! Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour arc_en_ciel». 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 16/01/14
1) Vlan01 veut savoir quelle partie de moi est la plus à croquer, j’aurais bien envie de lui répondre qu’elles sont toutes autant à croquer les unes que les autres, mais je crains qu’il ne se satisfasse pas entièrement de cette réponse, je vais donc tâcher d’être un peu plus précise… 2) Quand j’étais petite, j’ai toujours été la plus grande de ma classe (vous savez, j’étais parmi ceux qui sont toujours au dernier rang sur les photos de classe), j’étais également la seule à avoir de la poitrine, je courais plus vite que tous les mecs et je les battais tous au bras de fer. Je pensais donc qu’une fois adulte j’aurais les jambes d’Adriana Karembeu, la poitrine de Monica Bellucci et la force physique de je ne sais plus trop quelle sportive de haut niveau. 3) Résultat : je suis quand même plus grande que Mimi Mathy, mais pas tant que ça, j’ai la poitrine de Jane Birkin, et quand on me demande pourquoi je ne fais pas de sport, je cite Churchill qui avait répondu à un journaliste que son secret pour rester en forme était le sport : il n’en faisait jamais… 4) Je fais quand même de la danse classique, mais certains disent que ce n’est pas un sport…. 5) En théorie, mon Maître pourrait profiter de ma souplesse, mais depuis un an j’ai mal à l’adducteur gauche et j’ai l’impression d’avoir un corps de mémé avant l'heure. Je repense alors à Churchill et je me dis que j’aurais dû l’écouter, car si je n’avais pas fait de sport, je n’aurais jamais eu cette douleur et j’aurais gardé mon corps de jeune fille ! 6) Mais rassurez-vous Vlan01, mon corps n’est pas encore ridé, l’intégralité en est lisse comme un abricot… 7) J’ai l’impression de faire un gros hors-sujet, mais je me dis que cela serait un peu prétentieux d’expliquer en long et en large quelle est la partie de moi la plus à croquer, je vais donc continuer à développer mon hors-sujet 8) Quand j’étais petite, je voulais être médecin, coiffeuse, caissière et actrice. Résultat : je passe mes journées à répéter à de jeunes gens qu’un verbe conjugué dans une subordonnée se place à la fin de la phrase en allemand… C’est on ne peut plus passionnant… 9) Pour échapper à ce quotidien passionnant, j’aime repenser à mes rêves d’enfance et je me rappelle que je voulais être avant tout princesse. D’une certaine manière, cela se combine assez bien avec le métier d’actrice et j’étais donc très jalouse d’Isabelle Adjani qui a joué dans la Reine Margot. 10) Pour compenser cette frustration (j’ai compris un jour qu’il allait y avoir peu de chance que je sois actrice ou princesse), je me suis intéressée à l’histoire. J’avais décidé d’écrire un livre sur la Reine Margot, ce qui m’aurait permis, par procuration en quelque sorte, d’être princesse. 11) Résultat : je vais travailler de longues années et sans doute écrire un livre sur les causes de la Première Guerre mondiale. Je n’ai toujours pas compris le lien de cause à effet entre la Reine Margot et le déclenchement de la Première Guerre mondiale. En tout cas, si je le trouve, je vais révolutionner la recherche en histoire, ou alors être prise par les historiens pour une illuminée… 12) Je parle beaucoup de mes rêves d’enfance non réalisés, devrais-je aller voir un psy ? Quoi qu’il en soit, une chose est sûre, je m’enfonce dans le hors-sujet, je devrais sans doute retourner à l’école. 13) Revenons-en à notre Reine Margot ! Pour être honnête, je n’ai jamais lu le pavé d’Alexandre Dumas ; en revanche, dans le film de Patrice Chéreau, il y a une scène où Margot est maltraitée par ses frères et où ils sont à deux doigts de la violer. J’avais enregistré le film, et je faisais systématiquement retour arrière dès que cette scène était passée ; en tout, j’ai dû la voir une cinquantaine de fois. 14) Je continue ma thérapie en 28 points et, en repensant à mon vif intérêt pour cette scène, je me dis que j’ai commencé très jeune à penser au BDSM, sans en avoir conscience. 15) D’où vient ce fantasme ? Aucune idée. Et vous ? Sauriez-vous dire d’où il vient ? 16) Au fait, Isabelle Adjani a interprété le métier que je fais actuellement dans « la journée de la jupe », je me dis que par procuration de procuration de procuration, je suis une princesse. 17) Je ne suis pas sûre d’utiliser à bon escient l’expression « par procuration ». Qu’en penses-tu Hearbeat ? Je dis Hearbeat, mais ça peut être quelqu’un d’autre, évidemment, c’est juste que je suis béate d’admiration devant un tel maniement de la langue française. 18) Si après la lecture de cette thérapie en 28 points, mon Maître ne comprend pas que je veux qu’il me traite comme une princesse, c’est qu’il manque un peu de perspicacité, et si Hearbeat ne comprend pas que je suis impatiente de lire le tout premier livre que j’espère qu’elle écrira un jour, c’est que…..hum… je ne sais pas comment finir ma phrase, je ne connais pas assez Hearbeat pour savoir de quel trait de caractère cela relèverait. 19) Je ne suis pas en train de dire que mon Maître manque parfois de perspicacité, mais si après lecture de ce texte je vois qu’il ne change en rien son comportement vis-à-vis de moi (comportement qui, par ailleurs, me convient très bien), je préfère penser que c’est juste une question de perspicacité : il me suffira alors de l’éclairer ou d’être encore plus explicite et mon rêve se réalisera ! 20) Quand je lis une recette de cuisine, il faut que j’aie un dictionnaire à côté de moi et que j’aie accès à intérêt pour regarder l’aspect des ingrédients que je dois acheter. 21) Pardonnez-moi, je n’ai pas fait de transition, mais je sais que vous avez tous ici l’esprit alerte. 22) Bref, ce n’est pas en raison de mes talents culinaires que je suis à croquer. 23) Un jour, je me suis énervée contre quelqu’un ; cette personne m’a : « on dirait ta mère ». Depuis, je suis devenue la fille la plus calme au monde. Peut-être que ça fait de moi une soumise à croquer ? 24) Je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais j’essaie désormais de traiter le sujet. 25) Mine de rien, en parlant de ma taille dès le début, je crois que je traitais déjà un peu le sujet : avant de découvrir le monde du BDSM, je me trouvais trop petite pour séduire, et dès le premier jour où je me suis inscrite sur un site BDSM, j’ai compris que ma taille était un atout ! Ces grands mâles dominateurs ont davantage l’impression de dominer s’ils peuvent s’emparer entièrement du corps de leur soumise…. Même remarque pour la taille des seins. 26) D’un autre côté, je me suis dit que c’était peut-être aussi parce que les grands mâles dominateurs sautaient sur tout ce qui bougeait : grande, petite, peu importe, ils disent toujours que c’est parfait. Alors les grandes soumises ? Est-ce que les dominateurs vous ont dit que votre taille se prêtait tout particulièrement au BDSM ? 27) Quelle que soit votre réponse, j’oserai faire confiance à mon Maître et continuer à croire que mon petit corps lui plaît beaucoup. En revanche, je suis quand même très curieuse de connaître votre réponse. 28) Vlan01, vous ne m’avez pas demandé dans quelle mesure j’étais une « petite soumise », mais, pour conclure, je vais quand même répondre à cette question (quand on veut éviter de faire des hors-sujets, c’est très pratique de faire les sujets soi-même) : vous aurez compris que c’est parce que je suis petite, mais c’est surtout parce c’est ainsi que m’appelle mon Maître. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 15/01/14
1 – Quand j’étais petite j’étais grande mais ça n’a pas duré… maintenant que je suis grande je suis toute petite… 2 – J’aimais jouer aux voitures et aux billes, grimper dans les arbres pour être plus proche du ciel plutôt que des humains, je me faisais des cabanes où je vivais dans mon univers. 3- J’ai grandi à la campagne, j’aimais arracher les pattes des sauterelles et pousser les filles dans les orties…. 4 – A l’école, je me retrouvais souvent toute seule parce que les filles m’ennuyaient beaucoup, j’ai donc décidé de m’allier avec les garçons de ma classe et je me suis mise à jouer au foot. 5 – J’ai fini par avoir tous les garçons à mon service et ça rendait les filles folles et jalouses et ça m’amusait beaucoup. 6 – J’avais un vélo bleu et comme j’étais un peu kamikaze, je ne l’oublierais jamais car la plupart de mes cicatrices sont des souvenirs de nos ballades en tête à tête. 7- Près de chez moi il y avait un lavoir, il m’arrivait enfant de me demander ce qui se passerait si je poussais quelqu’un dedans, un fantasme que je n’ai malheureusement jamais réalisé ! 8 – Mes premiers émois sexuels ont eu lieu dans les toilettes de mon école avec une fille…..bizarrement, celle que tout le monde rejeté…. 9 – J’ai grandi entouré de vinyles (non non, pas les tenues…sourires) les fameux 33 tours, ceux qui se sont faits rares quelques temps et qui reprennent doucement leur place. 10 – Je passais des heures et des heures à écouter de la musique, grâce à cela sans le savoir je traçais mon avenir. 11 – Au fil de mes découvertes musicales mon style vestimentaire changeait, c’est comme ça qu’en une année je suis passée des jupes longues de baba cool au blouson de cuir et jeans déchirés. J’ai gardé mon amour du cuir, allait savoir pourquoi…sourires.... 12 – Un soir, alors que j’allais sur un festival, je me suis arrêtée prendre un verre avec des amis dans un bar perdu en plein milieu de la campagne. Un billard au milieu de la salle m’appelait, j’ai joué avec un jeune homme, une partie, deux puis trois etc…. il a fini par nous inviter à finir la soirée dans son hôtel. C’était un des musiciens de Nino Ferrer, nous avons terminé au petit matin en sa compagnie à chanter à tue tête, un beau souvenir de ma période travellers…. 13 – J’ai fait du bénévolat pendant longtemps pour des associations organisatrices de concert, vu passer des groupes qui n’étaient alors pas connus à l’époque et j’ai eu la déception de les recroiser plus tard quand ils avaient rencontrés le succès. Ils auraient mieux fait de ne jamais être connus, je confirme, le succès rend parfois très très cons…. 14 – Je me suis faite renvoyer de mon collège pour incitation à la grève mais c’était bien marrant d’avoir fait ça. 15 – Un de mes meilleurs amis était le fils du commandant de la gendarmerie de ma ville, j’ai fait les pires bêtises avec lui comme entourer toutes les voitures du commissariat de papier toilette, heureusement son père n’a jamais su tout ce que nous avions fait sinon il aurait démissionné ! 16 – J’ai réussi à m’endormir à côté des baffes pendant un concert au Printemps de Bourges, j’ai un sommeil de plomb, je dors n’importe où, dans n’importe quelle situation si j’en ai besoin, des amis m’ont longtemps appelé marmotte à cause de ça…. 17 – Je me suis retrouvée à faire le marché en portant dans un sac 4 petits chiwawa avec une copine Domina, qu’est ce qu’on ne ferait pas pour ses amies…. 18- J’ai eu les cheveux très très long, jusqu’aux fesses mais trop contraignant pour moi donc je me suis rasée la tête. Il ma fallu au moins un quart d’heure pour réussir à convaincre la coiffeuse de mettre le premier coup de ciseau, je crois que mes cheveux ont ensuite été récupérés pour faire une perruque, j’adorerai un jour la voir si elle existe ! 19- Je me contente de peu, je ne suis pas matérialiste pour un sous, je préfère de loin m’intéresser à l’être humain. 20 – J’ai une facilité déconcerte à faire disparaître quelqu’un de ma vie si j’estime que cette personne est nocive pour moi, pour vivre heureux vivons tranquille pourrait être une de mes devises. 21 – J’aimerai que les gens comprennent que ce n’est pas parce qu’il m’arrive de vivre comme un ours dans ma grotte sans donner signe de vie que je ne les aime pas et que je ne pense pas à eux. 22 – J’ai travaillé pendant longtemps dans le secteur social en pensant pouvoir sauver le monde ou tout du moins le petit monde dans lequel j’exerçais, après 18 ans de bons et loyaux services j’ai jeté l’éponge, écœurée par les faux semblants et l’hypocrisie des têtes bien pensantes qui ne pensent qu’à une chose, le pouvoir et leur image…. 23- J’arrive à passer de ma paire de Doc Martens à une paire de cuissardes sans aucun problème. 24 – Je suis autant à l’aise dans un squat d’artistes que dans un appartement luxueux des champs Elysées ce qui m’a permis de faire de fabuleuses rencontres et de déstabiliser plus d’une personne qui elles seraient en état d’apoplexie dans un squat…. 25 - Je suis cash et sans détours, ce qui m’a joué bien des tours mais quel plaisir de se sentir en accord avec soi même ! 26 – J’ai déménagé de nombreuses fois, tout plaquer pour tout reconstruire ailleurs, j’adore ! 27 - J’ai dompté mon côté obscur il y a longtemps, je l ai transformé en plaisir c’est ce qui ma mené vers le SM et je n’ai jamais été aussi épanouie que depuis ce moment. 28 – Je fais toujours ce dont j’ai envie, quand j’en ai envie, peu importe que ça plaise ou non. Je me fiche éperdument de ce que les autres peuvent penser de moi. 29 – Je ne suis pas très branchée tenue et talons aiguilles, on ma dit une fois que j’étais vulgaire lors d’une soirée parce que j’étais nus pieds, ça m’a fait sourire et ce n’est pas pour autant que je n’enlève pas mes bottes dès que je suis posée dans un lieu. 30 – J’ai une faiblesse par contre pour les accessoires, j’en prends grand soin et je trouve que je n’en ai jamais assez. Imagination débridée quand tu nous tiens…. 31 – J’ai créé Eveil des Inconsciences par pur égoïsme, pour me faire plaisir, frustrée de ne pas pouvoir participer à de belles soirées dans ma région, de ne pas rencontrer des artistes ou des intervenants du milieu SM qui m’émerveillaient, et bien je les ai fait venir à moi. 32 – Maintenant je prends plaisir à partager ma passion, à faire découvrir au public qui fréquentent mes soirées de belles personnes, à leur permettre à leur tour de pouvoir exprimer leur penchants SM dans la joie et la bonne humeur, comme quoi être égoïste peut aussi avoir de bons côtés. 33 – Je suis sadique et je l’assume pleinement, j’aime ce qui est hard, j’aime cette excitation que provoque chez moi les gémissements, les cris, les marques, le sang, j’aime voir un corps qui s’abandonne sous mon fouet, pour rien au monde je ne changerai. 34 - Je suis exaspérée de constater chaque jour le nombre de personnes qui sont intolérantes et si peu ouvertes d’esprit dans notre milieu mais bon, on ne change pas la connerie humaine, vaste sujet qu’on pourrait développer des heures…. 35 - Je suis émerveillée de constater chaque jours que de belles relations se nouent, que le SM c’est aussi de belles histoires d’amour loin des clichés et des codes, loin de ce que l’on peut voir sur la toile ou sur des photos qui a mon sens ne reflètent pas du tout l’image de notre univers. 36 – J’aime la sensualité brute, la douceur épicée, la tendresse sauvage, la beauté décalée, ce qui dérange, ce qui heurte, ce qui provoque des réactions, ce qui ne laissent pas insensibles. 37 – J’aime le calme de la nuit, m’asseoir en pleine ville sur un banc pour écouter le brouhaha ambiant, observer le monde qui tourne à toute vitesse ; 38 - Mais ce que j’aime plus que tout… c’est le chocolat !!!! Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 14/01/14
1- Je ne voulais pas trop participer à ce jeu, c’est Vlan qui a insisté encore et encore, pour voir toutes les bêtises que je pouvais raconter. J’ai cédé, fallait il que j’ai envie de lui faire plaisir ! 2- Eh oui, montrer mon corps est une chose, mon âme en est une autre 3- Ce que je préfère dans mon corps, ce sont mes oreilles, 4- Ce que je préfère dans mon âme c’est mon humour grinçant. Ne venez surtout pas avec de l’huile, ce ne serait plus drôle (très dommage l’humour pas drôle !) 5- J’écoute de la musique, tout le temps… en bossant, en marchant, en courant, dans mon bain, en cuisinant… tout le temps 6- Ce qui fait que j’associe des chansons à certains moments de ma vie et que quand elles repassent, je peux soudainement changer d’humeur… 7- J’ai d’ailleurs des playlists pour chaque état d’esprit , aux intitulés pragmatiques : « quand tout va bien », « pour se petit suicider au yaourt périmé», « pour courir », « pour baiser », « pour faire l’amour »… 8- Parfois quand j’écoute Placebo, je me dis que mon alter ego c’est Brian Molko et qu’il n’en saura jamais rien. Et que ça c’est dommage quand meme ☺ 9- J’ai failli répondre en première intention les paroles d’une chanson que j’aime beaucoup et qui dit de façon toute à fait vraie me concernant « I have my mother's dreams, I have my father's eyes, You can't take that from me, Just go ahead and try. » 10- J’aime bien l’art moderne, parce qu’il n’y a rien à comprendre et tout à ressentir 11- Je ne peux pas jeter un livre, c’est juste inconcevable. Mais je ne peux pas tous les garder, faute de place. Alors je les abandonne dans les trains avec des post it disant qu’il faut en prendre soin et qu’ils peuvent apporter des bons moments d’évasion. 12- Ma doctrine de vie est shadockienne « si il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème » 13- Suivi de « si t’as des problèmes, sors toi les doigts du cul et trouve un moyen pour les résoudre », l’empathie ça va 5 minutes. 14- Car oui, je peux parfois être horriblement grossière, parler gras et sortir des horreurs en parant d'un grand éclat de rire (jaime beaucoup cela d’ailleurs) 15- Ce qui est terriblement accentué par le contraste avec mon coté prout-prout. 16- J’ai fumé un paquet par jour pendant 15 ans. J’ai arrêté du jour au lendemain il y a 6 ans. Je n’ai pas pris un gramme, je n’ai hurlé sur personne, mais il n’y a pas un jour qui passe sans que j’aie envie d’une clope ! (Désolée pour ceux qui avaient pris ça comme bonne résolution 2014) 17- Je déteste le café (qui va avec la clope). Tout ce qui est au café. Et je déteste encore plus quand au resto je préviens que si il y en a dans la mousse au chocolat « maison » je n’en veux pas, qu’on me dit que non et que je grimace à la première cuillère. 18- C’est d’ailleurs une des punitions favorites de mon Dominant, de me faire boire un petit ristretto ! 19- En parlant de lui… c’est lui qui m’a initiée, il n’a pas d’égal à mes yeux et je déteste quand il me dit « si ce n’est pas moi, tu trouveras quelqu’un d’autre, peut etre même mieux ». Je ne veux personne d’autre. Et quand je veux pas… 20- Je suis une impatiente de première. Je déteste perdre mon temps mais par contre je sais le prendre pour atteindre mes objectifs. 21- Je suis une angoissée chronique. Mais sur certains sujets seulement. 22- Paraît aussi que je suis maniaque parce que chez moi c’est rangé, propre et que j’accorde mes vêtements, mes accessoires systématiquement. Ce à quoi je réponds que je n’y peux rien si je suis entourée de bordéliques crados qui se sapent comme des épouvantails. Si vous trouvez ça pas aimable, reportez vous au point 4 (et vlan lol) 23- J’aime les belles choses et le confort mais je ne suis pas matérialiste. Tout cela n’a pas d’importance pour moi, si tout venait à bruler, ca m’énerverait mais ne serait pas grave. Les objets auxquels je tiens tiennent dans une toute petite boite. 24- Parmi ces objets, un anneau à mon annulaire gauche. Qui y ressemble mais qui n’est pas une alliance. 25- J’aime observer les gens. Et imaginer leurs vies. 26- Gamine et ado, mes cheveux étaient nazes, s’abimaient avant même de pousser (forcement, le chlore de la piscine les rongeaient) et je prends aujourd’hui grand soin de ma tignasse au raide naturel envié de toutes mes copines armées de leurs lisseurs! 27- J’ai été très sportive à une époque, j’en ai gardé un gout de l’effort et un cœur qui bat très lentement. 28- Et un jour je me suis vautrée, toute seule comme une grande. Je me suis retournée le genou. Il ne fonctionnera plus jamais correctement, j’ai mis 4 ans avant de pouvoir courir à nouveau et connaît toute la vie de mon kiné ! 29- J’ai rencontré ma meilleure amie le premier jour de classe en maternelle. Depuis nous ne nous sommes jamais quittées. 30- Un jour noir, où j’étais au fond du trou, où tout le monde venait me voir en pleurant de compassion, elle est arrivée avec un jeu de société à la con et m’a dit, « vient on joue, ça te changera les idées et pour une fois je pourrais te mettre une raclée ». Et le temps de cette partie, j’ai arrêté d’avoir mal. C’était un premier pas et il m’a redonné espoir. 31- Et pourtant ce n’est pas à elle que je confie mes zones d’ombres, j’ai trouvé pire que moi et je le fais avec lui ! 32- Je ne suis pas superstitieuse, ça porte malheur. 33- Oui Docteur ! Anecdote médicale qui devrait plaire à Vlan : j’ai été un des rares individus à ne pas être vacciné et à ne pas avoir attrapé la rougeole gamine. Ce qui a transformé le responsable du labo de virologie où j’étais en stage en véritable vampire de mon « incroyable sang sans anticorps ». Du coup j’ai passé un tiers du stage interdite de manip et à me farcir de la biblio… autrement dit je me suis faite chier comme c’est pas permis 34- Je n’ai jamais dit a personne pour qui je vote. Et ça agace plein de monde. Du coup ça me fait marrer et je garde le secret ! 35- Mon âge pour encore quelques mois. Et je suis bien plus heureuse aujourd’hui qu’ 20 ans ! 36- J’ai un métier un peu bizarre, personne ne comprend ce que je fais. Donc je dis fréquemment que je suis une collègue de Chandler (oui, celui de Friends, dont aucun des amis ne comprend le job. Faut tout vous expliquer) 37- Je vis chaque jour comme si c’était le dernier. Parce que la vie m’a montré qu’elle pouvait tout faire basculer en un instant. 38- Du coup je suis incapable de me projeter dans l’avenir. Visibilité à un an maximum. Je peux pas faire mieux ! 39- J’ai un petit tatouage qui résume tout cela. 40- Je viens de faire des choix très importants dans ma vie. Professionnels et personnels. Je flippe un peu de voir ce que tout cela va donner. 41- Il y a quelques jours, j’ai été nulle et j’ai fait de la peine à quelqu’un que j’aime de tout mon cœur. J’ai lu la déception dans ses yeux et j’ai cru le perdre. Il n’y a pas pire souffrance pour moi que cette peur. Je n'en ai toujours pas retrouvé l'appétit. 42- Je vais essayer de finir ce questionnaire sur quelque chose de léger, histoire de vous faire oublier comme je peux être sérieuse et pas marrante. 43- Faudrait que je trouve une blague bien pourrie en fait… 44- Qu'est-ce qui est transparent et qui coure dans un champs ? Un troupeau de vitres. Ah oui je vous avais pas dit, mon humour aussi est pas tout net (comme les vitres... ok, je sors) Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Lulla », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 14/01/14
1- Je ne sais pas quoi dire.2- Je suis timide et peu sur de moi, sauf quand je maîtrise mon sujet… 3- Je suis dominant, d’autres le disent en tout cas…4- Je crois en la Vie, j’aime la vie.5- J’aime l’humain. 6- Je cherche à comprendre ce qui m’entoure. 7- Je suis intransigeant. 8- Je suis une vraie peluche. 9- J’aime l’art, c’est une expression de l’âme.10- Je suis (hyper) sensible, c’est une de mes forces.11- Je ne juge personne, j’apprécie ce qu’elle peut m’apporter… ou pas.12- J’aime la Femme et la féminité !13- Mes colères peuvent être destructrices.14- J’aime les dessins animés, les reportages animaliers. 15- Je suis passionné par la photo. 16- Je suis entier. 17- Ayant eu une vie particulière et chargée, j’ai mes propres codes.18- J’ai un cœur d’artichaut, un peu romantique, mais c'est bien caché ^^19- Je suis une épaule, protecteur.20- Je suis un ours blanc pas comme les autres…
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Par : le 14/01/14
1 - Je m'y colle que pour toi. 2- Je trouve Bruce Willis des années 80-90, super sex avec son Marcel blanc dans Piège de Cristal, une journée en enfer.... 3 - J'adore Charlie Sheen et notamment dans Platoon, bref, j'adore les bad boy. 4 - J'aime mater des films d'horreur ou bien gore, seule et tard la nuit. Même pas peur !!! 5 - Je suis au lit avec mon doudou (cf. Ma première peluche refaite). 6 - J'ai fêter mes 30 ans à NYC, et mon fantasme est de coucher avec un américain. Je sais pas pourquoi, sûrement le côté bad boy.... 7 - J'ai presque tous les péchés sauf l'avarice, l'orgueil, l'envie, la paresse.... Bon ben en fait non, juste le pêché d'être génial et formidable. 8 - Ma plus grande douleur avoir perdu un bébé, 48 h seulement après avoir appris que j'étais enceinte. 9 - J'ai déjà fait une opération de chirurgie esthétique.....remboursée par la sécu. 10 - J'ai adoré donner des lignes à des dominants pour qu'ils les fassent juste pour moi. 11 - J'adore les animaux, ils me déçoivent jamais et me rendent au centuple mon amour 12 - J'ai mal au doigt 13 - J'aime pas l'humour "cour de recrée" 14 - Je suis fan d'un chanteur qui fait pas l'unanimité. 15 - Je donne souvent un petit truc à un SDF que je croise avant d'aller au boulot. Il a 2 chiens, dont une âgée et il fait toujours attention à elle. Il me touche, il est très gentil. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour JolieRose», 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un coeur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 12/01/14
J'avais déjà partager avec vous un texte faite par ma meilleure amie, elle et le BDSM, ça faisait 10 il y a encore quelque mois, quand je lui ai annoncé que j'aimais ça, elle s'y est intéressée et aime même certaine pratique... Elle fait des petits textes sexuel ( des lemons ) et m'en fait très souvent profiter. Voici l'un d'entre eux... Pour vous remettre dans l'histoire, le couple ici ( Jennifer et Till, aussi dit Abigor) viennent de se marier, les deux sont des démons ( parce que ça viens de son histoire fantastico-érotique... Bref ? Oui bien sûr !)..."— J'ai envie de toi, princesse de mon coeur, chuchota Abigor. — Je... J'en ai très envie aussi... Répondit-elle excitée. — Domine-moi... Fais de moi ton soumis, susurra-t-il amoureux, fais de moi ton chien.Faire de lui son chien ? Au premier ou second degré ? Jennifer ne savait pas trop bien, elle était très surprise par cette annonce et se retrouva un peu bête. Till, amusé par sa réaction, pris la main de sa belle et sorti, fier comme un coq, de la petite chapelle. Une fois dehors, le démon la regarda, la dévora des yeux et se mit à quatre pattes. Au début, Jennifer fut amusée de voir ce qu'il faisait, mais le fait de le voir se comporter comme... Un chien, lui procura une sensation bizarre. Il s'approcha d'elle de façon sensuelle, sans la lâcher du regard. Elle frissonna, un peu plus à chaque centimètre gagné par Till, et lorsqu'il fut à sa hauteur, il s'assit et lui tendit la main comme si elle était une patte. La demoiselle sourit et lui prit tout en lui caressant derrière les oreilles. C'était officiel, Till voulait être dominé et dresser comme un chien par sa maitresse. L'idée de dominer Till excitait la jeune femme qui ne cessait de découvrir de nouvelle facette de son époux. Elle tourna la tête et vit, sur un piédestal sombre, un collier de soumission en cuir blanc. Son sang ne fit qu'un tour et elle s'approcha de lui, l'effleura du bout des doigts et le pris. Et elle revint très lentement vers Till qui lui souris et pencha sa tête en arrière, lui offrant son cou. La belle lui attacha le collier autour du cou musclé de son époux et lui attacha une laisse. Elle tira dessus pour le faire venir avec elle, mais Till en soumis désobéissant, se bloqua et tira sur la laisse. Jennifer insista, mais plus elle insistait, plus Till se bloquait, ce qui le faisait rire. La belle compris très vite ce qu'elle devait faire. Elle attacha Till à un pied de table et se dirigea dans la pièce que Till lui avait montrée il y a quelques jours. Elle chercha dans chaque recoin et prit dans sa main un martinet. Elle revint vers le démon et lui présenta le martinet. Till, en voyant et sachant ce qui l'attendait, frissonna et gémit tel un chiot qu'on allait punir. D'ailleurs, il allait être puni. Jennifer passa le bout du martinet sur ses fesses, et sans prévenir, elle l'abattit sèchement, faisant couiner son époux sous la douleur et l'excitation. Elle tenta une dernière fois de tirer sur la laisse et Till se laissa enfin faire. Elle put enfin le diriger dans « la chambre noire », pièce de tous les vices en ce qui concerne le BDSM. Lorsqu'elle pénétra dans ma pièce, elle fit face à un cheval d'arçon où le somment formait une pointe, un poteau, une croix, une table et un fauteuil. Comme son nom l'indiquait, la pièce était entièrement noire où seules quelques bougies illuminaient chaleureusement la pièce. Elle entra avec Till et l'attacha au poteau en ne lui laissant que peu de marge pour bouger. Till n'aimait pas cela, être ainsi retenu. Il se débattit tant qu'il peut, en grognant et souriant, tournant autour de son poteau à quatre pattes. Jennifer réagit immédiatement en serrant son visage entre ses mains, le regardant droit dans les yeux. Till la défiait, il aimait ça, il voulait savoir de quoi elle était capable, à quel point elle pouvait lui faire mal pour leur plaisir. Jennifer hésita longuement, préférant ne pas lâcher son regard. Elle se décida finalement en se redressant. — Tu auras cinq coups de fouet pour me résister. Tu compteras. Chaque fois que tu oublieras un chiffre, tu auras deux coups en plus ! Fit-elle avec fermeté.Elle abattit le fouet une première fois très sèchement, faisant hurler Till de douleur et de plaisir, oubliant de compter. — Compte ! Cri-t-elle en abattant le fouet une nouvelle fois. — Un ! Hurla Till surprisJennifer frappa chaque fois un peu plus fort sur les fesses de Till qui cuisaient au fur et à mesure, ce dernier prenant bien soin de ne pas oublier un seul chiffre. Le démon reçut sept puissants coups de fouet. Jennifer le regarda, lui sourit et l'embrassa avec amour. Elle le détacha de ton poteau et l'assis sur le fauteur, terminant de le déshabiller, et de lui attacher fermement les mains et les pieds. Elle prit une paire de ciseaux et coupa le boxer de son époux, laissant sortir son sexe très long, très large et très dur. Till descendit les yeux et sourit en murmurant : « Tu m'excites Liebe ». Mais il n'eut pas le temps de finir que sa belle lui posa un bâillon boule avec des pinces tétons, qu'elle attacha fermement. Chaque mouvement de tête qu'il pouvait faire lui tirait sur ses tétons, le faisant hurler de plaisir. Il fit rapidement l'expérience et il eut le réflexe de serrer les accoudoirs du fauteuil. Jennifer approcha un plateau du fauteuil avec différents instruments de torture. Elle prit d'abord une roulette à pics. Elle le lui présenta, et la reposa. Surpris, Till la regarda avec de gros yeux. Jennifer lui sourit, passa derrière lui en effleurant son torse velu du bout des doigts. Elle approcha ses lèvres de son oreille et poussa un gémissement très sensuel et excitant pour le démon qui ne put s'empêcher de se mordre le bâillon d'envie et de frissonner. — Tu as envie Abigor, n'est-ce pas ? Sourit-elleLe démon fit rapidement oui de la tête, oubliant ses pinces tétons. La douleur était telle qu'il se cambra et étouffa son hurlement à travers le bâillon, ce qui fit rire sa belle qui caressa son cou. Elle prit un bandeau et le lui posa sur les yeux. Les sens de Till étaient décuplés, il n'osait bouger par peur de se faire mal. Jennifer repassa devant lui, prit un Ring cock et le lui installa à la base du sexe de Till, serrant son membre et ses bourses. Till se mit à grogner sous la pression qu'il pouvait ressentir dans tout son sexe. Sa respiration s'accéléra et le démon pouvait sentir son coeur battre la chamade tant il avait envie de sa belle. Jennifer reprit la roulette à pics et la fit glisser sur le bas ventre de Till qui gesticula de surprise. Elle remonta le long de son ventre, son torse et fit le tour des tétons dressés et douloureux de Till qui n'en pouvait déjà plus. Il baragouinait des mots incompréhensibles à cause du bâillon, mais ce n'était pas pour autant qu'elle cèderait aux pulsions de son homme. Elle fit ce petit manège durant plusieurs longues et interminables secondes aux yeux de Till. Lorsqu'elle s'arrêta, Till se demandait ce qu'elle préparait encore et s'il allait avoir mal. Mais pas du tout ! Jennifer prit entre ses doigts une plume qu'elle passa sur le bout du gland de Till. Ce dernier donna un coup de bassin instinctif. Il ne pensait jamais l'avouer, mais l'effet de l'effleurement de la plume sur son sexe excitait encore plus le démon qui grognant et gémit de plaisir. Mais Jennifer ne voulait pas laisser ce plaisir-là à son homme. Aussi, elle prit une bougie à portée de main, la pencha pour y verser la cire sur ce gland plein de désir. Till hurla de douleur en se cambrant et en accrochant les accoudoirs. Elle recommença plusieurs fois avec la bougie, faisant couler les larmes de Till tant il avait mal, mais aussi tant il avait envie d'elle. — Alors bel homme, tu as toujours envie de moi ? Sourit-elle avec envie. De quoi as-tu envie ? Tu veux sentir un truc autour de ce merveilleux engin ?Till, tremblant comme une feuille, sourit et fit doucement oui pour ne pas tirer sur ses tétons. La jeune femme lui embrassa la joue, masturba délicatement son époux en prenant une pompe à pénis. Elle n'avait jamais utilisé ce jouet, mais c'est comme si c'était le contraire. Elle plaça la pompe autour du sexe de Till, embrassa son cou et sans prévenir, elle commença à appuyer sur le ballonnet pour aspirer le membre du démon, qui, au fur et à mesure des secondes, se cambra petit à petit. Il n'en pouvait plus, il voulait la sentir, la pénétrer avec amour. Le démon se mit à se débattre violemment, sa patience était sur le point de rompre. Jennifer sursauta et sourit. Elle retira la pompe très lentement, tirant sur ce sexe très dur et sensible, puis l'anneau vibrant. Avec une douceur extrême, elle retira la cire sur le gland de son démon qui grimaça de douleur. Elle retira ensuite son bandeau et le bâillon. Le démon cligna des yeux et les ferma avant de les ouvrir en grand. Sa respiration était courte et bruyante. Il regarda la demoiselle face à lui. C’est avec une lenteur extrême et avec un sourire charmeur que la belle ôta son bustier, puis son jupon tout en léchant ses lèvres, laissant voir un porte-jarretelle. Elle le fit claquer contre ses cuisses en mordillant ses lèvres. — Jenny ! Je t'en supplie fais-moi l'amour ! Baise-moi ! Fais ce que tu veux de moi, mais je veux te sentir ! Hurla Till en la suppliant.La belle n'en avait que faire. Elle s'approcha de Till, le chevaucha, enroula ses bras autour du cou de son homme et frotta son intimité protégée par un shorty trempé de désir. Till ne pouvait pas bouger, et la pression qu'elle exerçait sur son sexe le rendait totalement fou. C'est en toute discrétion qu'elle écarta son sous-vêtement et se frotta plus rapidement au sexe de Till. — Liebe... Je t'en pris... Je n'en peux plus d'attendre... . gémit-il — A quatre pattes ! Vite ! Ordonna-t-elle en se levant et en le détachant.Till s'exécuta aussitôt, tremblant sur ses mains et gêné par son érection. Jennifer lui remit un autre bâillon avec deux god dessus. Elle se mit à son tour à quatre pattes devant lui et lui ordonna de la pénétrer. Till se rebuta un peu. Vexée, Jennifer se redressa, coucha Till sur le dos, pris la cravache, le sexe du démon et tapota rapidement la cravache sur son gland. Till se débattit comme il pouvait, gémissant et versant quelques larmes. Son cerveau lui ordonnait d'avoir du plaisir et de la douleur, il était perdu. De temps en temps elle s'arrêtait pour mieux reprendre aussitôt. Une délicate torture à ses yeux, la pire pour Till qui ne voulait qu'une chose, la pénétrer. Après presque une minute de torture, elle le remit à quatre pattes et se remit devant lui. — Pénètre-moi ! Ordonna-t-elle très sèche.Till approcha les gods de son bâillon et les pénétra en elle très doucement. La belle lécha ses lèvres et gémit de plaisir. Elle n'avait jamais encore été sodomisée et redoutait un peu la douleur. Till fit un premier va-et-vient lent et accéléra très progressivement. Si elle avait mal au niveau de ses fesses, le plaisir qu'elle ressentait au niveau de son intimité surpassait la douleur. À son tour, elle ondula et accompagna Till dans ses mouvements, l'encourageant à accélérer, ce que Till s'empressa de faire. La douleur de la sodomie était passée et avait fait place au plaisir, mais la belle se lassait de ce god. Elle se retira de Till, le poussa pour l'allonger sur un tapis matelassé, le chevaucha en le pénétrant directement. Le démon en eut le souffle coupé. Jennifer posa ses deux mains sur le torse de son homme et ondula rapidement, faisant de petits cercles avec son bassin. Le démon posa ses mains sur ses hanches en gémissant très fort. Il avait enfin ce qu'il voulait, il pouvait enfin lui montrer son amour pour elle. La belle serra le visage de Till entre ses mains et le força à l'embrasser. — J'aimerai être plus souvent forcé de l'embrasser, pensa le démon en souriant.Till ne savait pas si ce qu'il allait faire était bien ou non, mais il prit l'initiative d'accompagner sa femme dans ses mouvements, et bien qu'elle fut surprise par ce geste entreprenant, Jennifer fut comblée. Le sexe de Till allait si loin en elle, presque au bout, et il n'avait pas pénétré entièrement son sexe. Le démon se redressa pour s'assoir, la blotti contre lui en accélérant son bassin. L'étroitesse de son vagin procura à Jenny un plaisir tout autre. Instinctivement, elle enroula ses jambes autour du bassin musclé d'Abigor, caressant ses cheveux avec tendresse et amour. Till ralentit ses mouvements et les fit plus ample, plus doux, mais cette fois il allait au bout d'elle. Jennifer en eut le souffle coupé et elle pouvait sentir un début d'orgasme arrivé. Till reprit un peu le dessus et se retrouva maintenant au-dessus d'elle, la regardant et la dévorant du regard, plus amoureux que jamais. Jennifer embrassa les lèvres fines de son homme et en profita discrètement pour prendre un sextoys vibrant. Lentement, elle le pénétra en lui. Till, sentant quelque chose entrer en lui, sursauta et donna un coup puissant à sa belle qui eut le souffle coupé sous un orgasme qu'elle n'avait pas prévu si tôt. — Pardon mon amour... Bégaya TillLa demoiselle ne répondit pas et pénétra le sextoys plus loin en lui, et une fois cela fait, elle le démarra. Till hurla de surprise et de plaisir alors qu'elle ondulait le jouet rapidement et loin en lui. Abigor ne cessait de gémir, de plus en plus fort et de plus en plus vite. Le couple se sourit et s'embrassèrent alors que Till reprit ses mouvements de bassin, cette fois plus forts, plus puissants et plus secs. Jennifer ne sentait déjà plus son bassin à cause des coups démoniaques et de l'orgasme qui lui avait pris d’assaut tout son bas ventre, et pourtant... Un autre orgasme se préparait, et il allait être plus puissant que l'autre. Till se retira de sa belle, ondula lui-même le toys qu'il avait dans les fesses, grognant et gémissant comme jamais. Jennifer s'assit et s'appuya contre le fauteuil, passant sa main sur son clitoris qu'elle décida de malmener alors que son époux se faisait presque avoir un orgasme. Ils se regardèrent, amoureux et envieux l'un de l'autre. En manque de son époux, Jennifer se leva, retira le jouet des fesses de son époux et le chevaucha avec fougue et passion. Till la blotti de nouveau contre lui en l'accompagna avec amour. Lui aussi sentait l'orgasme arriver, d'abord lentement, puis de plus en plus vite, mais le ring cock autour de son sexe bloquait un peu et retardait son éjaculation. Le démon grimaça, souffla en resserrant ses mains sur le dos de sa belle tandis que cette dernière planta ses ongles dans son dos. Le démon n'en pouvait plus et c'est avec un coup de bassin plus puissant que les autres, le corps tremblant et des râles rauques qu'il répandit sa semence en elle, la faisant hurler de plaisir et atteindre un orgasme encore plus puissant.Blottis à même le tapis l'un contre l'autre, haletants et trempés de sueur, les deux démons tentaient de reprendre tant bien que mal leur souffle. Till avait pris la fâcheuse habitude de poser sa main sur l'un des seins de sa belle sans pour autant avoir une connotation sexuelle, mais plutôt amoureuse et affective. Jennifer se retourna pour lui faire face, caressa son torse doux et chaud. — Liebe...? Murmura-t-elle. — Oui mon amour ? — Est-ce que... je... J'ai été bien...? Demanda-t-elle un peu apeurée. — C'était parfait pour ta première fois, je t'assure, sourit-il en la blottissant contre lui coeur. — Mais... Tu as aimé...? Je ne t'ai pas fait mal? — J'ai eu mal, mais j'aime la douleur, surtout quand mon épouse me maltraite, répondit-il très rassurant."
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Par : le 10/01/14
1- Nous avons monté le site BDSM.FR par hasard, parce que nous avons découvert un jour que le nom de domaine était libre 2- Certains d'entre nous sommes à l'initiative de www.charnelleattitude.com 3- Les mêmes sont tout en rondeurs ou amateurs de femme ronde 4- La plupart des membres de l'équipe ont une expérience du BDSM plus ou moins poussée 5- Dans l'équipe, il y a une personne ayant connaissance de la soumission 6- Dans l'équipe, il y un switch 7- Dans l'équipe, il y a une domina 8- Dans l'équipe, il y a un couple dom 9- L'un de nous a un doctorat de sciences 10- Un ou deux vont tous les ans aux Festival des Vieilles Charrues à Carhaix (qui promet une superbe édition 2014) 11- Nous manquons de temps pour faire tout ce que nous souhaiterions pour le site 12- La plus vieille rencontre en ligne "sexuelle" faite par un membre de l'équipe date de 1990 (Minitel) 13- L'un de nous est électricien 14- Qu'on nous accuse de lire les MP dès gens est la pire insulte qu'on puisse nous faire ... 15- ... car quitte à être voyeur, on préfère l'être en vrai 16- On a voulu faire un site gratuit par idéologie et militantisme 17- ... et c'était encore plus vrai pour CharnelleAttitude 18- Notre site BDSM payant préféré est SensationSM 19- On met de la publicité sur le site pour payer les deux serveurs qui font tourner le site 20- Quand le serveur plante, on est plusieurs a recevoir des SMS pour réparer, ca nous reveille (ou pas) parfois à 3h du matin 21- On a envie de foutre des baffes à ceux qui agissent ou réagissent comme des clients/consommateurs 22- On vire parfois des membres qu'on appréciait mais qui enfreignent les règles, dura lex, sed lex 23- On supporte au quotidien des membres qui nous insupportent, on aimerait tant qu'ils transgressent les règles, mais dura lex bis repetitae 24- Gérer une communauté, c'est comme travailler dans un restaurant toute la journée, ça donne pas envie de faire la bouffe 25- ... et oui, la modération entame plus ou moins la libido 26- Comme ce n'est pas une activité alimentaire, on veut pas trop s'emmerder non plus ... 27- ... on fait les choses par instinct, par conviction, pas par intérêt 28- on ne doit rien à personne. 29- On ne sait pas à quel prix on accepterait de vendre le site si on nous le demandait 30- ... mais comme tout bébé, le prix qu'on demanderait serait sans doute suffisamment déraisonnable pour qu'en fait ca ne se fasse pas 31- Nous sommes propriétaires d'un autre joli nom de domaine orienté BDSM qui mériterait un site ... mais pas le temps ! 32- Il y a deux modérateurs principaux 33- D'autres font de la technique, du brainstorming, du cheerleading ... 34- Il nous arrive de tomber sous le charme d'un(e) membre, et que cela nourisse le fantasme 35- ... mais nous n'avons jamais fait de rencontre sur notre propre site (voir 24-) 36- Certains membres de l'équipe sont bisexuel(le)s 37- Nos outrances "kinky" sont malgré tout surtout derrière nous 38- Deux d'entre nous voulait devenir journalistes mais ont fait autre chose 39- Nous sommes très attachés à la liberté d'expression, y compris pour raconter des énormités. Chacun prend ses risques... 40- ... mais à condition que cela ne blesse pas son prochain de manière directe et personnelle 41- La modération a déjà été faite sur un portable à partir de 3 continents différents 42- Quand on nous menace de procès, on rigole. On sait ce qu'on fait. Même pas peur. 43- 0% des lettres recommandées et des assignations en justice qu'on nous a promis n'est parvenue. Grandes gueules, pipeau ! 44- Le jour où on en aura marre, on est du genre à tout envoyé chier plutôt que de vendre le site 45- Un membre de l'équipe a une maladie chronique incurable (Sclérose en plaques) mais ça va quand même pour le moment 46- Certains membres de la communauté nous touchent dans leurs écrits 47- Une plume élégante nous rend parfois d'une indulgence excessive ("O" tempora, "O" mores) 48- Pour avoir une plus belle communauté, il faudrait que les membres en parlent à leurs amis pour qu'ils nous rejoignent, mais on ne veut pas saouler les gens avec ca, donc on laisse les choses se faire naturellement (sauf là ) 49- On aime Cavanna : "La liberté consiste à faire tout ce que permet la longueur de la chaîne." 50- ... et Maupassant, qui terminait son roman "Une Vie" par la phrase suivante : "La vie, voyez-vous, ca n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croît ..." ---- Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors : 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour Oplum », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-nous juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-nous en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça. Si vous vous êtes plié à l’exercice sur Fetlife, soyez sympa, publiez votre portrait sur bdsm et prévenez ici en commentaire, ---
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Par : le 10/01/14
Voici le jeu du portrait Québécois qui commence à avoir du succès sur BDSM.fr! En cliquant sur le bouton « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ptitju », publier ce texte dans votre section « articles » et me le faire savoir. Il faudra indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Un commentaire de votre part n’entraînera aucune obligation de jeu et un "like" si vous avez déjà participé non plus. (le texte original est de WonderSalope) 1. Je suis con et très fier de l'être, Coluche disait "Être con, c'est tout un art", ça fait 33 ans que je cultive cet art. 2. J'ai un grand frère que j'aime beaucoup, mais j'aurais bien aimé avoir en plus une petite sœur, je l'aurais grave fait chier. Vu que j'en avais pas, je me suis "vengé" sur mes animaux (jusqu'à 3 chats et une chienne). 3. Mes grands-parents étant agriculteur, on passait souvent nos vacances d'été à la ferme, on tirait la queue des vaches, montait sur le tracteur, faisait des cabanes avec des ballots de pailles, se perdre dans les immenses champs de mais et garder un fil sur soi relié au départ pour faire le retour sans se perdre. 4. Mes grands-parents sauf ma grand-mère côté paternel sont morts jeune. Étant jugé trop jeune par mes parents, je n'ai pas pu assisté aux funérailles. Pourtant j'aurais bien aimé leur dire au-revoir. 5. J'ai vécu une enfance plutôt heureuse. 6. Je suis fan de séries, et en particulier 2. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai regardé Breaking Bad et Friends. Je vais aussi souvent au cinéma, j'ai une carte de fidélité Gaumont. J'aime bien lire (bds, mangas, romans principalement) 7. J'ai une toute petite tv mais je ne la regarde jamais, sauf pour Roland Garros ou un événement sportif important. 8. J'ai arrêté de fumer pour la 2ème fois il y a environ 6 mois. La 1ere fois, j'ai tenu presque 2 ans, j'espère que c'est la bonne cette fois-ci 9. J'aime bien discuter autour d'un verre (une pinte en générale) de tout et de rien, refaire le monde, ne plus savoir pourquoi on discute de tel sujet, s'engueuler, se réconcilier, rigoler, râler, bref, je suis français 10. J'ai quelques origines lointaines italiennes voir peut être turc, j'en ai hérité la peau mat. On me prend souvent pour un arabe. Parfois même plus qu'un "vrai" arabe. Par exemple, mon meilleur ami d'enfance était arabe et on trainait tout le temps ensemble, tout le monde croyait que c'était moins l'arabe. Une fois, en buvant une bière dans un bistro, un mec me demande si je suis arabe, je lui réponds que non. Il me dit: Mais pourquoi t'as honte d'être arabe? 11. Je suis très mauvais perdant, je suis prêt à tout (à part tricher) pour gagner, je m'énerve et je suis de mauvaise humeur si je perds. Au final, les gens s'en amusent et se lie contre moi pour me faire perdre. 12. J'aime bien énerver et me moquer des personnes que j'aime (Domina incluse, hi hi hi hi), provoquer aussi. 13. Je suis plutôt scientifique, cartésien, très terre à terre. 14. J'étais super timide et réservé quand j'étais plus jeune. Maintenant, je me suis un peu guéri. je drague super mal, je dis souvent THE truc à ne pas dire. 14. La 1ère fille que j'ai embrassé vers l'age de 8 ou 9 ans, je l'ai recroisé par hasard il y a quelques années dans un bar parisien. On en a profité par "terminer" notre histoire comme des "grands" et on s'est dit rendez-vous dans 10 ans ^^ 15. J'adore l'eau, je me sens tout zen dès que je rentre dans l'eau, je fais de la plongée et de l'apnée. j'ai nagé avec des dauphins à l'Ile Maurice. Pour une fois, j'étais content car l'entrainement à la piscine servait enfin à quelque chose, j'ai nagé jusqu'à ce que je sois complètement essoufflé, c'était magnifique, à un moment, ils étaient à à peine 2 mètres de moi. 16. J'accorde beaucoup d'importance à la politique et j'aime bien en discuter, j'ai presque jamais raté une élection (2 fois de mémoire). Mais pourtant je continue de voter, élection après élection, pour le parti le plus pourri qui existe en France... Mais malheureusement pour moi, ce parti représente le mieux mes idéaux. 17. Au lycée et au début de la fac, je fumais énormément. Mais une fois, en partant, je suis tombé dans les pommes en me relevant. j'ai eu de la chance, j'ai juste eu une grosse bosse sur la tête. Depuis ce jour, l'odeur me répugne et je ne fume plus. 18. Une des plus grosse honte de ma vie s'est passé dans un bar où j'étais un habitué. je savais que la porte des toilettes fermait mal et j'ai eu une grosse envie. je laisse imaginer la suite... 19. J'ai découvert que j'aimais être soumis en voyant une photo sur internet. j'ai été un fantasmeur pendant quelques années, j'ai probablement raté quelques bonne occasions. je faisais du virtuel mais je n'osais pas passer au réel. 20. Je n'aime pas les discussions sur le vrai et avec les dogmatiques du bdsm 21. Je trouve que les soumis(e)s ont plus de caractère que les Dominant(e)s et que c'est plus jouissif d'être soumis 22. Je me soumets avant tout pour moi, j'ai du mal à comprendre ceux qui proclament le faire uniquement par plaisir de son partenaire 23. Je ne suis ni dominant ni soumis dans la vie de tous les jours, plutôt du genre insoumis, je suis un poil têtu et j'en fait un peu qu'à ma tête. 24. Je n'aime pas parler de moi, je préfère parler des autres, j'ai fait un effort pour ce "jeu". 25. Une fois mort, j'aimerais me réincarner en chat, ça a l'air cool d'être un chat, ça fout rien, ça fait ce que ça veut et on le caresse, et en plus il peut se blottir comme il veut sur les poitrines des femmes. Mais bon, je ne crois pas en la réincarnation. Rappel des règles : Ceci est le jeu du portrait Québécois qui fait fureur sur Fetlife. Si vous cliquez sur « j’aime », je vous donnerai un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors 1) écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné, 2) me dédicacer le titre de la manière suivante « x choses sur moi pour ptitju », 3) publier ce texte dans votre section « articles » 4) me le faire savoir. Vous devrez indiquer la même règle du jeu avec texte (en haut ou en bas) et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur « j’aime » pour votre texte. Si vous voulez me faire savoir que vous « aimez » sans être obligé de faire des devoirs, laissez-moi juste un commentaire (pour faire un cœur on fait < et 3 ). Si vous cliquez sur j’aime et que vous vous êtes déjà plié à l’exercice, prévenez-moi en commentaire, sauf si vous voulez remettre ça.
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Par : le 06/01/14
Votre odeur de peau m'attire, m'envahit . Qui s'offre à mes songes, à mes envies. Déclaration De l'ombre à la lumière, je suis votre. Et l'attachement fait de moi une autre. Initiation Notre histoire est une évidence. Comblant jusqu'à nos cinq sens. Inspiration Au creux de ma nuque Vous découvrez. Ce présent en acier que j'aime porter. Satisfaction Vous connaissez l'éclat de mes yeux. Quand mon sourire se livre, gracieux. Invitation Au rythme de Vos maux, de mon coeur. A Vous, je m'abandonne avec ferveur. Palpitation Il arrive qu'une image, une situation. Requiert par son trouble, mon attention. Emotion Repoussant les frontières de mes inhibitions. J'obtempère pour Vous donner satisfaction. Humiliation La cire coule au creux de mes reins. Réveillant la douleur créée de Vos mains. Soumission A mes poignets les bracelets de cuir Vous posez. Sans retenue aucune, en ces lieux, Vous imposez. Possession Sur ma peau, Vous dessinez des entrelacs. Zébrures, je n'entends plus que Votre voix. Passion Le temps passe, l'envie monte crescendo. A la mesure des marques gravées sur mon dos. Tentation La danse se fait sensuelle, je m'enflamme. De ce feu intérieur qui asservit mon âme. Domination Vos doigts effleurent les sillons rouge sombres. Traçant le chemin menant vers cette terre d'ombres. Sensation De Vous à moi, de moi à Vous, je suis soumise. A genoux ou debout, je me soumets avec délice. Excitation Et quand tout cesse, que Vous déliez mes liens. Nos corps se cherchent pour ne plus faire qu'un. Abdication
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Par : le 11/12/13
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés. Vous avez 'touché' mon âme, et mon corps a chaviré. Un ressenti au fur et à mesure et puis la réalité. C'est à ce moment précis que notre histoire est née. Notre complicité, notre relation grandit de jour en jour. J'aime être dominée par Vous encore et toujours. Avec Vous, je m'épanouis, c'est merveilleux. Quand je plonge mon regard dans vos yeux. Des sentiments partagés se sont créés. Il faut les conserver et ne jamais les briser. Chaque instant passé avec Vous me permet de m'envoler. Dans la confiance absolue de Vous en ce monde salé/sucré. La flamme de mes yeux s'est allumée. Le jour où l'on s'est rencontré. Aujourd'hui le destin nous appartient. A nous deux de savourer ce chemin. Ma soumission envers Vous est acquise Votre domination, respect m'ont conquise. Depuis une semaine, votre signature encrée orne ma peau. Bientôt deux mois que mon intimité percée en mes anneaux. Ma détermination à Vous obéir, Vous servir est constante. Me montrer digne de Vous en tous lieux et ou circonstance. Que Vos/mes paroles du début soient la sincérité en la continuité. Vous me dites que l'on s'est bien 'trouvé', j'avoue que c'est réalité. 20 mois que l'on s'est rencontré. Que nos sentiments sont partagés. A Vous je suis liée, liens visibles invisibles intactes. Notre relation est saine et profonde en nos actes. J'aime avancer avec Vous avec délice et passion. Dans la gourmandise et la sérénité de l'abandon. A Vous je suis dévouée et cela me plait. Le 23 novembre 2011
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Par : le 08/12/13
Attachée et confiante à Vous je le suis Bien des mails écrits pour Vous la nuit Ce poème alphabet, est pour Vous Délivrée de mes peurs et tabous Exhibée est source de conflit en moi Fouettée est source d'immense joie Générant le respect et puis l'humilité Histoire de Nous, en mon âme habitée Ivresse et jouissance, aussi bien que bonheur Jalonnant, cela est sur, les confins de mon coeur Kyrielles d'instants passés ensemble se bousculent en moi Livrant certaines batailles intérieures, d'où sort Votre 'loi' Mêlant gémissement, désir, cri et parfois larmes Nappant, étendant votre domination à mon âme Ode à Vous mon Maître aimé Portant Votre collier avec fierté Quémandeuse de Vos marques Réalité avec Vous, j'embarque Symbole de soumission en ma chair Traces et liens de Vous en corollaire Union de nos désirs, expressive Valeur de nos places respectives Wagon du train, lorsque je Vous rejoins dans l'Hérault X non un prénom Vous avez, et j'aime subir Vos maux Y a le respect mutuel qui prime entre Nous Zen, totale confiance, sincérité j'ai en Vous
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Par : le 08/12/13
Pour apprécier la deuxième partie, il faut impérativement lire la première ici : http://www.bdsm.fr/blog/997/naissance-dun-dominant-1ere-partie/ ----- La voici, cette deuxième toile... Ce qui était de l’érotisme soft, du porno chic, de bon ton au premier niveau de ce vernissage est beaucoup plus chaud et explicite ici, dans ce niveau pour « public averti ». Sophie se remet spontanément à genoux devant moi, la tête baissée. - Maître ? permission de parler ? - Vas-y, Sophie, je t’écoute. - Je n’ai jamais, vraiment jamais, fait ça, Maître. Veuillez bien me pardonner, ou me punir, pour me guider. - Sophie, je prendrai en compte ton inexpérience mais aussi ta bonne volonté. Au fond de moi, je me dis que je suis aussi inexpérimenté qu’elle, mais que j’apprends très vite, tout comme elle. Fascinant de voir cette complicité naissante, ces envies découvertes par le hasard d’une rencontre… - Sophie, laisse moi regarder cette deuxième toile. Ne bouge pas. Ou plutôt si, remets toi à me sucer, mais extrêmement doucement. Montre ton admiration pour ma queue. Sophie ne réponds pas et recommence à me sucer. Sa bouche est voluptueuse, velouteuse, caressante. J’ai parfaitement intégré le fait qu’elle connaît toutes les toiles de sa galerie, et qu’elle n’a pas besoin de la regarder pour parfaitement connaître tous les détails de la toile devant laquelle nous nous trouvons. La scène sur la toile représente un couple de dos, en contre-plongée (ce terme signifie une représentation qui va du bas vers le haut, comme si l’artiste s’était vu au ras du sol pour imaginer la scène au-dessus de lui). La femme est debout, cambrée, jambes légèrement écartées et s’appuie sur le dossier de ce qui semble être un fauteuil. L’homme est derrière elle et la pénètre. Son sexe n’est pas entièrement engagé. Et le point de vue choisi par l’artiste montre clairement deux choses. Premièrement, des pinces sont attachées aux grandes lèvres du sexe de la femme et rejoignent par une chaine légère d’autres pinces sur ses tétons. Et deuxièmement, la pénétration est anale… - Sophie, je n’ai pas de pince ni de chainette avec moi. Mais je te sodomiserai avec grand plaisir. J’ai hésité un faible instant en prononçant cette phrase. J’aurai pu dire que je l’enculerai comme toute une série d’autres termes crus. Je reste dans une forme de respect pour cette femme qui était habillée dans un tailleur très classe il y a quelques minutes et qui s’abandonne maintenant totalement à moi. - Merci pour votre compréhension, Maître, Elle m’a répondu en se mettant à trembler comme une feuille. - Donc tu n’as pas touché un homme depuis trois ans au moins et la première chose dont tu as envie est que je te sodomise ? - Oui, Maître. Je n’ai jamais fait ça non plus, mais je me sens prête à découvrir, Maître. Parce que c’est vous, Maître… Me revoilà dans le rôle de coach, un rôle qui semble me coller à la peau dans tout ce que je fais. Elle a de la chance quelque part. Mes amantes ont toujours adoré la manière dont je les sodomise. Toutes, sans exception, m’ont fait un hommage profond et systématiquement jouissif de leurs postérieurs. Et pourtant, la grande majorité d’entre elles n’avaient jamais pratiqué cette forme de sexualité avant de me connaître. Ou avaient eu des expériences malheureuses. Non, je ne suis pas exceptionnel. J’ai juste eu la chance d’avoir très tôt une amante littéralement accro à la sodomie qui m’a appris tout ce que je devais savoir sur ce sujet au centre de la préoccupation de Sophie. Et l’expérience aidant, je n’en suis devenu que meilleur dans cette pratique… Je suis donc confiant en répondant : - Je vais donc être ton guide. Je veux que cette première expérience te donne envie de recommencer encore et encore, alors tu vas devoir faire exactement ce que je te dis. - Oui Maitre - Ne te mets pas debout comme sur la toile. Mets toi à genoux sur le sofa, en t’appuyant sur le dossier avec tes bras. En fait, je suis un géant comparé à Sophie, et une position debout comme sur la toile serait très inconfortable pour elle comme pour moi. Elle me fait face, la croupe offerte. Elle a un cul fabuleux que je vais me faire vraiment plaisir à baiser. - Voilà. Maintenant tu te laisses faire. Je vais te préparer. Mais avant, j’enfile un préservatif. Comment aurais-tu fait si je n’en avais pas eu, Sophie ? - J’aurais été très embarrassée de ne pas en avoir, Maître. - Je n’aurais pas été embarrassé, je refuse d’avoir des rapports non protégés. C’est non négociable. On aurait dû attendre la fin de la soirée. J’aurai du te punir… - Je savais que je pouvais avoir confiance en vous, Maître. Je récupère un préservatif dans la poche de ma veste, je déchire nerveusement son enveloppe… un peu trop nerveusement… je déchire aussi le préservatif au passage. Heureusement que j’en ai un deuxième. Je fais attention cette fois ci. Je déroule celui-ci sur mon sexe tendu et dur comme de la pierre. Elle m’excite vraiment beaucoup, Sophie… Je me colle contre sons dos, et je lui susurre à l’oreille… - Sophie, je vais utiliser ton lubrifiant naturel si abondant pour te préparer. Je vais pénétrer ton sexe avec ma queue pour l’enduire avec ta mouille. - Maître, je vais jouir, je suis trop excitée, j’ai trop envie. - Sophie, garde ton orgasme pour ton cul. Contrôle-toi ! - Oui, Maître En fait, je n’ai pas besoin de la pénétrer pour récupérer sa mouille, elle est si totalement trempée que la surface de son anus est déjà lubrifiée. Je soupçonne une femme fontaine qui s’ignore… Je ma place à l’entrée de son sexe, et je la pénètre tout doucement. Son vagin est particulièrement étroit et palpite de manière très sensible autour de ma queue. Elle est visiblement déjà au bord de l’orgasme. J’ai encore envie de la faire exploser, de la prendre brutalement… mais ce n’est pas le jeu. Et j’ai très envie de son cul… Je ressors ma queue, et la glisse entre ses fesses afin de déposer sa mouille sur son anus. J’exécute alors successivement les trois actions clés d’une sodomie fabuleuse… trois actions techniques dont les fondamentaux ne sont connus que par quelques rares initiés. Ne cherchez pas sur Google, vous ne trouverez pas, ces secrets sont très bien gardés. D’abord le « massage des Cyclades». Un massage que j’ai appris d’une amante d’origine grecque, qui la détend et surtout lui donne terriblement envie d’être pénétrée… terriblement est un faible mot. Sophie halète d’une envie insoutenable. Ses mains se crispent régulièrement, son anus palpite, s’ouvre, se ferme, tente d’aspirer tout ce que je lui présente. Ensuite, deuxième action clé, la stimulation de la FAVPA (Concours : la première soumise qui trouve ce que ça veut dire gagne une soirée avec moi et aura l’opportunité d’en apprécier l’efficacité). Et là je ne donne aucun indice supplémentaire. A la suite de cette stimulation, Sophie n’a plus qu’une chose en tête, que je m’enfonce profondément en elle, de me sentir la remplir totalement avec ma queue. Je me mets mon gland contre son anus, et ma queue se prépare à une pénétration selon l’Angle d’Or, dernière caractéristique clé de ma trilogie d’action. Oui, l’angle qui donne les sensations les plus intenses… le meilleur compromis vers le plaisir. - Sophie, à toi de jouer. Viens t’empaler lentement sur ma queue. Son anus s’ouvre délicatement et fait le passage à mon gland. La couronne de mon gland vient de passer, son anus est terriblement serré malgré mon travail de détente. Le plaisir et l’excitation sont tellement intenses pour moi aussi que je vais lui demander de s’arrêter. - Sophie. Ne bouge plus et détends toi. - Tout va bien Maitre. J’ai envie de votre queue au fond de moi, Maitre. - J’ai dit NE BOUGE PLUS Si son plaisir est aussi intense que le mien, que va être la suite ? Je reprends le contrôle. J’étais encore une fois au bord du point de non-retour. Je sens son anus se décontracter un peu. Elle s’habitue au diamètre de ma queue qui lui dilate le cul. - Sophie, continue maintenant, tu es en bonne voie. Je n’ai pas besoin de le dire deux fois. Elle s’empale à fond en poussant un cri de plaisir qui me surprend par son intensité. Les brouhahas de la réception au-dessus de nos tête ont du le couvrir… j’espère… Je suis maintenant enfoncé jusqu’à la garde dans son cul, et son anus a recommencé à palpiter autour de ma queue. Des spasmes. Douleur ? Plaisir ? Mélange des deux ? Je saisis ses hanches pour bloquer son bassin, et je commence à la travailler progressivement. Je recule juste un peu, et je me renfonce jusqu’à la garde. A chaque butée, Sophie émet un cri, un espèce de feulement. Elle tremble de plus en plus. Elle se contient. Oui, elle contient un orgasme gigantesque en préparation… - Sophie, je vais compter jusqu’à trois, et tu pourras jouir. Je compte « UN», en m’enfonçant lentement au fond d’elle. Je recule jusqu’à sentir mon gland près de s’échapper de son cul. Je compte « DEUX», en m’enfonçant plus violemment au fond d’elle. Ses tremblements sont incroyables. Au moment où je compte « TROIS », je mets toute mon énergie, toute ma masse pour m’enfoncer dans son cul et je lui pince simultanément les tétons. Sophie émet un râle et son orgasme explose, de longues vagues puissantes. Mon excitation est à son paroxysme. Je me déchaine dans son cul. Je synchronise mes coups de boutoirs avec les vagues de son orgasme. Je ne sais pas combien de temps ça dure, j’ai perdu la notion du temps. Son anus est totalement ouvert et vient resserrer ma queue à chaque vague. Je suis près de l’explosion. J’ai vaguement conscience que si je me laisse aller, je n’ai plus de préservatif en réserve pour continuer le jeu… C’est trop intense. J’explose, moi aussi dans un râle de plaisir intense. Mon sperme vient remplir par longues saccades mon préservatif. Je reste collé à son cul, je reprends mon souffle. Longuement. Quelle intensité dans les sensations, quelle sauvagerie !!! Sophie semble hoqueter. Elle commence à rebouger son bassin… Elle en veut encore ? - Sophie. Cette première sodomie t’a plu ? tu en veux encore ? - Maitre, c’était fabuleux. Dire que j’ai attendu 39 ans pour connaître ça. Merci Maître, merci. Oui, j’en veux encore, Maître. Elle ne répond pas en hoquetant, en fait elle pleure. - Ca ne va pas, Sophie ? - Si Maitre. C’est juste trop d’émotion et de plaisir. Merci de me faire vivre ça, Maitre. Elle recommence à onduler du bassin autour de ma queue. Je n’ai toujours pas débandé malgré l’orgasme que je viens d’avoir. - Tu devras attendre un peu. Je dois reprendre des forces, et surtout trouver des préservatifs. Je pense que nous allons en consommer quelques uns… Je me retire, Sophie… Je sors lentement de son cul. Elle se retourne. Dans le feu de l’action, son chignon s’est à moitié défait, son maquillage n’a pas résisté à ses larmes et une partie de son gloss est sur ma queue. Elle reste superbe malgré tout. Elle me regarde avec un grand sourire épanoui… - Maître, il reste encore 22 tableaux à voir... ------ je continue ? ou pas ?
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Par : le 22/11/13
Il y a le cercle, l'accord entre le soumis et le dominant. Cet accord relève du monde sous contrôle. Et il y a le cercle lui-même où le contrôle et l'abandon ne relèvent plus d'une seule individualité mais sont distribués entre les partenaires, à chacun selon son rang. L'abandon de soi au soumis, son contrôle confié aux mains du tiers dominant. La séance est un jeu. Ce jeu est le renversement du moi, un autre je. Je suis mis à nu, dans ma vérité. Une vérité oubliée sous les contingences du monde sous contrôle. Pourtant comment ne pas se sentir ridicule, grotesque ? Cette nudité est devenue étrangère. Et pourtant c'est moi-même. Je suis donc étranger à moi-même ? Au ridicule s'ajoute la honte de la situation. Honte de s'exposer à un autre regard. Ces sentiments témoignent du basculement dans un autre univers, inconnu, dont les valeurs échappent aux normes habituelles et familières, au-delà du cercle. Ici, rien de caché et de secret où s'enfermer dans son intimité. Du contraste naît l'inconfort et l'embarras du novice. A cela s'ajoute la crainte et l'insécurité. Ce contrôle connu n'a plus sa place désormais. Il m'échappe. Il est à l'autre, dans sa voix et dans ses gestes. L'obéissance et la discipline ne sont plus de la dimension de mon être mais dans un dialogue des partenaires. Le cadre fixé dans un moment où le désir le dispute au fantasme prend soudain une silhouette vague et confuse, terrifiante même, ajoutant à l'anxiété. Le soumis se fait proie. Une proie consentante. En se soumettant à l'autre, il se soumet à lui-même. La règle et les épreuves subies sont celles dont il a lui-même défini le cadre avec le partenaire dominant. Pourtant peut-il échapper aux effets de cette loi auto-infligée par l'entremise du dominant ? L'humiliation, l'inconfort, la douleur ressentis sont inéluctables. Ils ne sont pas recherchés pour eux-mêmes seulement inéluctables. Il cherche à en dominer les effets et à se dominer lui-même. Lâcher prise dans l'offrande de la soumission n'est pas de la passivité. C'est le renversement induit par l'entrée dans le cercle. Je m'offre à moi-même ma docilité, mon obéissance, ma soumission. La dualité soumis/dominant crée une unité. Celle du collectif à travers la réunion des individualités. L'acte de soumission sous sa forme de passivité dans l'exécution de l'acte révèle la participation du soumis aux épreuves. Le gage ou la punition relèvent de sa demande. Le dominant qui agit en devient l'exécutant, dans une forme d'action passive. Ainsi, s'abandonner au plaisir de l'autre reviendrait à se soumettre à son propre plaisir. Je me soumets pour lâcher prise, afin de mieux prendre conscience de moi-même. Luciole, soumis patient aux portes de la soumission.
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Par : le 21/11/13
J’ai choisi de vous narrer ici-bas ma première expérience en tant que Dominant. Cette expérience a conditionné ma vie sexuelle à partir de cet instant. Si vous désirez lire la suite, commentez… --- Une très grande ville de Province, un soir d’hiver. Ce vent froid en rafales puissantes me brûlait les oreilles et me demandait de ne pas m’attarder dans les rues mal éclairées par des lampadaires vacillants et trop peu nombreux. J’avais été invité par un ami proche à un vernissage d’une exposition de peinture contemporaine, et quelques mètres me séparaient encore de ma destination. Il m’avait promis de rencontrer des personnes intéressantes, un public passionné, des discussions enflammées au sujet de l’artiste qui exposait enfin dans cette galerie. Le froid humide avait presque pris en défaut et percé mon lourd manteau. La galerie est là. J’ouvre la porte, créant un appel d’air qui siffle et résonne dans la galerie. Toutes les personnes présentes se retournent. Manifestement pour jauger la personne qui vient de faire s’échapper bruyamment quelques calories de cette salle surchauffée. Mon entrée produit un effet inattendu sur l’assistance. Ma stature, je suis déjà grand, 2m, est amplifiée par le jeu d’ombres et de lumières. Je lis fugacement du respect et de la jalousie dans le regard des hommes. Je note de l’effroi, de la surprise, dans le regard de certaines femmes. Arrivée peu discrète une fois de plus. Je sais que je laisse rarement indifférents les personnes qui me rencontrent, mais là c’est la version lourde, version éléphant débarquant dans un magasin... vous connaissez l'image. Mon ami lève son bras et agite sa main pour que je le repère dans la foule… rires… je l’avais déjà vu, avantage de ma vision en hauteur. Je me fraie un chemin jusqu’à lui. En fait la foule s’écarte devant moi au fur et à mesure de ma progression, les personnes qui s’écartent continuant de me dévisager, certaines me souhaitant la bienvenue d’un hochement de tête. - comment va-tu, Benjamin ? dis-je en arrivant à la hauteur de mon ami. - très bien, Philippe. Viens, je vais te faire visiter l’exposition et te présenter à quelques connaissances Nous voilà parti à faire ce tour. Nous visitons le premier niveau de l’exposition. L’artiste réalise des compositions à base de photos et de surcharge de peinture. Une grande partie de son œuvre dégage une charge érotique de très bon ton. Intéressant, mais rien de ce que je vois ne pourra entrer en harmonie dans mon intérieur. Mes commentaires, même pertinents, sont, comme souvent, emprunts d’un humour sarcastique que je suis d'habitude seul à comprendre. Arrivée au bout du premier niveau, nous sommes accompagnés de plusieurs femmes et d’un couple, qui écoutent et rient au gré de mes saillies. - on va faire un tour au buffet, et on passe au deuxième niveau ? c’est pour un public plus averti, mais je ne sais pas encore pourquoi, il semble que ce soit encore un secret bien gardé… m’informe Benjamin. - le buffet est là-bas, poursuis-je, aidé par ma vision périscopique. En cherchant le buffet de loin, mon regard croise fugitivement celui d’une femme qui semblait me scruter. Mon regard revient en arrière, je la fixe. Elle me regarde deux secondes, droit dans les yeux, puis baisse ceux-ci. Intrigué, je reste à la fixer. Elle relève ses yeux encore une fois, soutient mon regard en rougissant délicatement, et rebaisse les yeux. Benjamin vient d’assister à ce petit échange de regards avec un air amusé. - Ca y est, une victime de plus du charisme de Philippe, tu lui as grave tapé dans l’oeil. Tu veux que je te la présente ? c’est la directrice de la galerie, s’exclaffe-t’il. - Dis m’en un peu plus sur elle. C’est une bombe, cette femme… - Je crois qu’elle est divorcée, mais je n’en suis pas vraiment sûr. En tout cas tu sembles avoir une ouverture. - On va vite le savoir, présente la moi. Cinq mètres nous séparent, qui me laissent le temps de la déshabiller du regard. Elle doit avoir entre trente-cinq et quarante ans, une posture que je qualifierais de conquérante, elle est l’organisatrice de ce vernissage et elle est visiblement fière du succès de celui-ci. Elle a des formes qui sont un appel criant au sexe. Elle sait se mettre en valeur avec classe. Elle porte un tailleur Dior et son chemisier avec un décolleté assez ouvert fait la promesse visible d’une poitrine généreuse. Ses escarpins lui dessinent des jambes de folie. Des cheveux blonds cendrés coiffés en un chignon élaboré lui donne une touche de sévérité et d’austérité qui contraste avec ses formes. Intrigant au plus haut point, ma curiosité est vraiment piquée au vif. Nous avançons vers elle, elle soutient maintenant mon regard totalement. Je m’arrête. Mon regard parcourt lentement l’intégralité de sa personne. Elle fait de même avec moi. Un jeu vient manifestement de démarrer… un jeu de séduction, sans aucun doute… - Sophie, permet moi de te présenter Philippe, un ami proche en visite dans notre belle ville. Je l’ai invité à ton vernissage en me disant que ce serait une opportunité de le sortir et pour lui de tisser ici un réseau social. - Enchantée, Philippe. Vous êtes des nôtres pour longtemps ? - Enchanté de même de vous rencontrer, Sophie, j’ai un contrat qui me garde ici pour les trois mois à venir. Je suis impressionné par ce vernissage. - Vous en avez déjà fait le tour ? - Non, pas encore. Benjamin vient de me dire qu’il y a encore une deuxième partie de l’exposition, pour public averti ? - C’est exact, mais nous n’ouvrirons cette partie du vernissage qu’à minuit. Ça fait partie du concept. C’est un teaser pour exciter un peu nos invités et les inciter à sortir leurs carnets de chèques. - Dommage… je ne suis pas sûr de rester jusqu’à minuit. Faites moi donc une visite privée en avant première ! - Je ne peux pas… je le regrette vraiment, d’ailleurs… - Ce n’est pas une demande, c’est un ordre ! J’appuie cette dernière phrase, cette boutade insolente, d’un grand sourire carnassier souligné par un clin d’œil discret. Sophie reste interloquée, les yeux grands ouverts. Et après une pause de quelques secondes qui me paraît une éternité, réplique avec un sourire désarmant : - En fait oui, je vais vous faire cette faveur. Une visite privée. Très spéciale. Mon rythme cardiaque vient d’accélérer soudainement. Serait-ce une proposition ? Le doute subsiste, et je décide de le lever. - Avec plaisir, Sophie. Mais je tiens à ce que soit une visite vraiment privée. Nous deux et personne d’autre. - Absolument. Nous y allons ? - Je vous suis, Sophie. C’est donc vraiment une proposition. Sophie passe devant moi en me frôlant très ostensiblement. Je suis passé à 180 pulsations/minute… Benjamin a la délicatesse de se faire discret et de s’écarter en m’adressant une moue assez évocatrice que j’interprète comme : « bien joué mon gars, fonce ». Je le soupçonne d’avoir très envie d’être à ma place. Je suis Sophie vers un escalier descendant, protégé par un panneau « Ouverture de la deuxième partie de l’exposition à minuit ». Nous contournons le panneau, descendons les degrés jusqu’à une porte en bois massif. Sophie tape un code sur le système de sécurité et la porte s’ouvre. Nous entrons dans la salle, celle-ci est dans une pénombre prononcée pour que les œuvres, éclairées par des spots concentrés, bénéficient d’un contraste propre à leur mise en valeur. Sophie referme la porte et précise : - Voilà, il n’y a que moi qui ai le code pour ouvrir la porte de l’extérieur, nous sommes tranquilles. - Très bien, nous allons pouvoir interpréter ces œuvres comme bon nous semble. Quel est le sens de lecture de l’exposition ? la première toile à admirer ? Je suis Sophie qui se dirige vers la première toile. L’artiste a été probablement très inspiré des dessins érotiques de Luis Royo, qui mettent en œuvre des personnages fantastiques, souvent des monstres, et de superbes créatures féminines dédiées à leur bon plaisir. Cette toile représente un monstre mâle en érection, debout, et une superbe femme nue agenouillée à ses pieds lui procure une fellation avec un regard conquis. Je sens Sophie figée et frémissante juste contre moi, le regard fixé sur cette première toile. Elle ne bouge plus, comme fascinée. Je me lance. - Sophie, la puissance érotique de cette toile m’inspire de manière impressionnante. Pas vous ? - Très certainement. Juste une petite mise au point entre nous si vous le voulez bien. - Bien sûr. Dites-moi ? Sophie, toujours le regard fixé sur la toile, commence à parler avec un débit très rapide et saccadé à la fois. Une émotion intense la submerge visiblement. - Ne vous faites pas d’idées sur qui je suis. En fait je n’ai pas touché à un homme depuis ma séparation avec mon ex-mari il y a 3 ans. Et aucune envie d’en toucher un. Vous avez déclenché en moi une envie que je ne me connaissais pas. Je n’ai pas envie d’une relation banale. J’ai envie de jouer, de provoquer, de découvrir… de faire des choses qui m’ont toujours fait envie… J’ai une envie terrible. Votre regard, votre manière de me parler me font fondre. Dites-moi que je ne me trompe pas sur vous ? Dites-moi ??? Elle se tourne vers moi et me regarde. Je déglutis. Gêné mais toujours excité. Où veut-elle en venir ? - Heureux de voir que j’ai ressuscité votre désir. Dois-je comprendre que je suis un moyen privilégié d’assouvir certains de vos fantasmes ? - Oui, Maitre En une seule réponse de deux mots, la lumière vient de m’éclairer avec force. Je viens de comprendre ce qu’elle veut. C’est la première fois qu’on m’appelle Maître, mon surnom étant plutôt de temps en temps « double-mètre ». Il va falloir que je comprenne vite les règles du jeu, c’est la première fois aussi pour moi. Ça me plait. Mon niveau d’excitation vient de bondir d’un cran. - Sophie, nous allons réinterpréter la toile à ma façon. A genoux ! - Oui, Maître Sophie se met lentement, très lentement, à genoux devant moi, sa bouche arrive à la hauteur de mon sexe qui ne demande qu’à être libéré de sa prison de tissus. Elle ne bouge plus. Après quelques secondes, j’ouvre ma ceinture et dégrafe mon pantalon. - Sophie, libère-moi de ce piège de toile - Oui, Maître Sophie s’exécute, elle fait descendre mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Inutile de dire qu’elle découvre un sexe en pleine érection. Mon excitation est telle que je suinte déjà du liquide pré-séminal. Elle le regarde avec gourmandise mais semble se retenir. Je comprends qu’il faut que je la guide par des ordres et des directions précises. - Sophie, suce-moi et branle-moi - Oui, Maître - Mais attention, je ne veux pas jouir. - Oui, Maitre - Tu t’arrêteras net quand je dis stop ! - Oui, Maître Sophie commence par happer avec sa langue le bout de mon gland pour récupérer ma liqueur pré-séminale. Elle parcourt ses lèvres avec sa langue pour me montrer qu’elle en apprécie le goût. Elle entreprend une longue exploration avec sa bouche de l’ensemble de mon sexe, et vient de lécher les testicules avec douceur. Elle me regarde de temps en temps pour vérifier si j’apprécie… Elle n’a pas oublié comment donner du plaisir à une homme… En fait non, je n’apprécie pas tant que ça, car la position debout pour une fellation n’est pas agréable sur le long terme. Il y a un sofa qui nous tend les bras à deux mètres de là, et je compte bien en profiter. - Sophie, tu ne respectes pas l’œuvre originale de l’artiste. Tu devrais être nue. Déshabille-toi immédiatement ! - Oui, Maître Sophie ouvre sa veste de tailleur, retire son chemisier échancré. Pas de soutien-gorge, ses seins sont juste superbes. - Sophie, tu gardes uniquement tes bas et tes escarpins - Oui, Maître Je lui ai demandé de garder ses bas, j’espère qu’elle n’a pas eu la mauvaise idée de mettre des collants. Soulagement, une fois la jupe de son tailleur retirée, elle retire son string et se retrouve dans une tenue minimaliste qui me fait baver. Entre temps, je me suis dirigé vers le sofa avec une démarche de pingouin (toujours le pantalon sur les chevilles) et je me suis enfin débarrassé de mes contraintes vestimentaires. Je suis maintenant nu sur la partie inférieure de mon corps, et habillé sur la partie supérieure. J’en profite pour vérifier que j’ai bien mes préservatifs de secours dans la poche droite de mon veston… Oui, ils sont là. J’en ai seulement deux, il va falloir que je gère mon excitation… Je me vautre sur le sofa, enfin une position confortable. - Sophie, viens entre mes jambes, et fais ton travail consciencieusement. - Oui, Maitre La position que j’ai prise lui permet une grande liberté et de me lécher vraiment partout. Elle passe sa langue brièvement sur mon anus et semble hésiter. - Lèche moi l’anus. Fais moi plaisir. - Oui, Maître Elle se déchaine en poussant de petits cris. Elle fait ça très bien. Instinct ou expérience ? - C’est très bon… Tu as fais ça souvent ? - C’est la première fois Maître. C’est la journée des premières fois, Maître. Elle vient sucer les bords de ma hampe, l’englouti de temps en temps pour mieux la branler la seconde suivante. Je sens mon excitation monter autant que la sienne. Nos souffles sont courts et accélèrent. Il est temps de calmer le jeu si je ne veux pas jouir, je suis proche du non-retour... - Sophie. STOP !!! - Oui, Maître Je reprends le contrôle. L’éjaculation n’était vraiment pas loin. Je souffle un grand coup. - Debout devant moi que j’admire un peu ton corps. Sophie se met au garde à vous. Je suis assis au bord du sofa, j’ai ses seins juste devant mes yeux, ses tétons érigés d’excitation. - Ecarte un peu les jambes - Oui, Maître Ma main se dirige vers son sexe. Elle a fait le choix d’un sexe glabre, ce qui me convient tout à fait. Je caresse délicatement son clitoris, elle se met à vibrer, ses jambes chancellent. Son sexe est trempé à un point difficilement imaginable. L’intérieur de ses cuisses est une vraie patinoire… - Sophie, je t’interdis d’avoir un orgasme avant de t’en avoir donné l’autorisation. On est bien d’accord ? - Oui, Maître Heureusement que j’ai discuté un peu avec elle avant, sinon je pourrais penser que son vocabulaire est très limité… J’ai une folle envie de la prendre tout de suite, sauvagement. Mais le jeu m’attire. Je suis sur un nuage. Je suis venu à un vernissage, et je découvre une complice de jeux d’une manière très inattendue… - Sophie, cette première toile nous a bien inspiré. Que nous dit la seconde ? Montre la moi. - Oui, Maître Nous nous dirigeons vers la deuxième toile, elle avec ses bas et ses escarpins, son sexe dégoulinant de désir, et moi en chemise et veston sans rien en dessous à l’exception d’une érection triomphante proche de l’explosion… --- voulez-vous lire la suite ? vous avez la parole...
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Par : le 19/11/13
Vendredi 15 novembre Première séance à trois Moment enfin arrivé. Je suis très émue et très excitée. De savoir que nous allons commencer notre première séance à trois me bouleverse et me stimule. J’attendais tellement ce moment, pouvoir réaliser un de vos rêves, un de vos rêves que je partage pleinement aujourd’hui. Rêve d’avoir deux soumises qui s’abandonnent à vos perversions. Vous nous placez l’une face à l’autre, marine à genoux, cuisses ouvertes lisant un texte que vous avez écrit avec les règles de base pour devenir une bonne soumise et moi attachée sur le fauteuil. La lecture de marine me replonge au temps où j’avais moi aussi découvert les règles, vos règles pour devenir une bonne soumise, votre soumise. Je me souviens à l’époque le ras de marée en moi, bouleversée entre ce que représentaient ces règles dans la réalité et mon souhait de les vivre. Vous installez la love machine entre mes cuisses ouvertes, mon sexe est déjà trempé de désir et pendant qu’elle commence à me pénétrer, la voix émue de votre soumise Marine me berce dans un océan d’amour. Je suis heureuse d’entendre à nouveau ces règles qui pour moi me confirme encore une fois ma volonté et mon désir d’être votre soumise et de m’abandonner à notre amour. Pendant que marine lit, vous sortez la badine. Elle a la chance de recevoir les premiers coups. À chaque coup reçu par marine, ma peau frémit de désir. Je vous regarde entre deux vagues de jouissance qui me traversent. Quelle joie immense de vous voir mon Maître profiter de cette instant et d’exprimer votre domination sur une autre soumise que moi. J’ai pris un plaisir immense à vous regarder tous les deux. D’entendre et de voir marine sous votre badine ainsi que chaque supplice qu’elle recevait, mon excitation augmentait. J’avais envie de devenir chienne de jouissance pour vous servir. Quand j’ai entendu marine s’étouffer avec votre sexe dans sa bouche, je ne vous voyais plus, la love machine était plus rapide, impossible pour moi de me contrôler. Une rage de désir s’empare de ma tête et de mon corps. L’envie de vous sucer mais surtout de recevoir votre jouissance m a rendu folle. Heureusement vous m’avez rejoint avec votre badine et j’ai trouvé du réconfort quand votre badine a rencontrée la peau de mes cuisses ouvertes plus que jamais. Durant cette première séance, nous avons fait plusieurs petites pauses. Mais je restais dans mon monde magnifique de plaisir, entendant vos paroles avec Marine. Je n’arrivais pas à redescendre. Je prends soin de ne pas perdre une miette de cette état de grâce si précieux. Nous nous retrouvons allongés tous les trois, tendre moment de câlins. Vous exigez de marine qu’elle se baisse et qu’elle commence à vous sucer. J’attendais, impatiente, que vous me demandiez la même chose. Nos regards se sont croisés et vous avez pu voir dans mes yeux le désir qui débordait. Nous finissons toutes les deux sur votre sexe. Deux gourmandes, heureuses de vous montrer à quel point nous étions reconnaissantes de toutes vos attentions pendant cette première séance à trois. Mon envie de vous donner du plaisir était décuplé, je vous suçais et vous léchais avec fougue. Pour finir cette séance, vous installez marine sur le fauteuil, attachée, cuisses ouvertes, la machine entre ses cuisses. Je suis assises au sol, face à marine en position d’attente. Position inverse du début de séance. Vous me tendez un godemichet et me demandez de me rapprocher de marine. Pendant qu’elle se fait prendre par la machine, je vous vois lui torturer ses mamelles. Je découvre en moi un plaisir intense de voir mon Maître faire mal à une autre. J’avais envie au fond de moi que vous lui fassiez mal. Je n’ai pas compris ce ressenti sur le moment. Mais je comprends aujourd’hui que cette envie est liée au besoin que j’ai de me dépasser et de m’abandonner à vous, que ce soit dans le plaisir ou la douleur, pour que vous puissiez vous exprimer complètement. Notre relation je la vis dans mon abandon à vous pour que vous puissiez vous exprimer alors j’ai transféré cela sur marine. J’avais envie que vous puissiez vous exprimer avec elle et comme je sais que vous aimez faire mal j’ai souhaité que vous lui fassiez mal. J’entends gémir et crier votre soumise. Je vois son corps se tendre retenu par les cordes. Je me caresse avec le vibromasseur que vous m’avez donnez et je m’évapore dans ce monde de jouissance. Mon Maître d’amour, je repense à votre magnifique visage qui regarde vos deux soumises. Magique cette image. Nous avons tellement bataillé tous les deux pour en arriver là. Je vous remercie de prendre autant soin de moi, vous avez su gérer cette première séance à trois, toujours avec attention et amour pour moi et j’espère du plus profond de mon coeur être toujours à la hauteur, par mon abandon sans fin à vous et à votre amour.
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Par : le 15/11/13
Chapitre III, suite et fin. Le taxi payé par Pierre me dépose Jean et moi au Châtelet où je dois récupérer ma voiture que j'ai laissé au parking de l'Hôtel de ville. Sur la place j'en profite pour passer un coup de fil à mon chéri qui doit s'inquiéter car je n'ai pas donné de nouvelles depuis ma sortie du bureau, j'ai juste laissé un message en lui disant que j'avais une "mission" imprévue avec Maitre Pierre. Raymond me demande où je suis à cette heure tardive. Qu'as tu fait, où es-tu m'interroge-t-il. Je dis à mon mari que je suis encore avec les connaissances de Pierre et que je ne vais pas tarder à rentrer. Je n'ai pas envie de lui expliquer là sur le trottoir le déroulement de ma soirée de location, je lui dis une nouvelle fois de ne pas s'inquiéter, que tout va bien et je raccroche un peu énervée et inquiète de sa réaction à mon retour à la maison. Je crois que mon mari Raymond regrette de m'avoir autorisé mes folies.En plus je vais devoir lui dire que j'ai été sodomisée à plusieurs reprises par trois hommes et que j'ai apprécié cette situation. Le terme sodomisé est faible, j'ai été enculée durement. Je ne sais pas comment il prendra la nouvelle.J'ai promis de ne rien lui cacher. Jean m'accompagne jusqu'à ma voiture.En gentleman il paye le parking; après ce qu'il m'a fait subir il me doit bien ça Je lui propose de le déposer à son hôtel. Il est soudainement très affectueux avec moi alors que durant toute la soirée il s'est comporté comme un goujat dominateur. Chemin faisant, il me propose de prendre un dernier verre près de son hôtel. Où allons lui demandais-je timidement. Au 10bis, tu connais ? C'est une boite échangiste, c'est sympa tu verras dit-il en me glissant quelques billets au creux de mes cuisses. Viens me faire une dernière pipe devant mes amis dit-il en rigolant. Je suis fatiguée mais j'accepte. Pendant que je conduis, Jean n'arrête pas de me caresser, les cuisses et le sexe. Ma micro-jupe Kookaï est remontée jusqu'à la taille et mon Perfecto est ouvert, il a tout le loisir de tirer sur mes tétons nus. Je me concentre sur ma conduite et sur les indications de Jean, je n'ai pas envie d'avoir un accident. A cette heure la circulation est aisée et je n'ai pas de problème pour trouver une place de stationnement près de la Porte Maillot. Je suis à nouveau louée pour une autre "mission" avec Jean et cette condition m'oblige à lui obéir comme si je lui appartenais. Sur le trottoir, il m'interdit de fermer mon Perfecto et me tient par la taille comme si nous étions un couple d'amoureux. L'ouverture de mon Perfecto laisse entrevoir ma petite poitrine, cela ne me gène nullement. Devant la boite, il y a un groupe d'hommes qui discutent et fument. Jean s'entretient quelques instants avec eux puis me présente. Les trois hommes jettent sur moi un regard envieux. Je sens une main qui circulent sur mon corps et principalement sous ma micro-jupe qui est relevée au dessus de mon sexe épilé. La rue est sombre, la nuit est douce et tiède. Un doigt s'arrête sur ma fente et me pénètre assez loin dans mon vagin. Les hommes sont admiratifs et félicitent Jean pour mon look. Un autre qui avait écarté les pans de mon blouson semble assez déçu par faible poitrine? Je ne dis rien je me laisse faire comme il est de coutume pour une soumise . Celui qui avait osé introduire un doigt dans ma chatte me le donne à lécher. Jean est aux anges, il est fier il est visiblement content de mon comportement devant ses amis, il est fier de présenter "sa" soumise. Ca, Messieurs dit-il en me faisant pivoter sur moi même, c'est de la bonne salope black sauvage. Une fois à l'intérieur, Jean salue tout le monde, il à l'air d'être connu ici, visiblement ce n'est pas la première fois qu'il vient dans cet établissement. Devant le vestiaire, il me conseille de me mettre nue en ne gardant que mes bas, mes hauts talons et le collier de chienne avec le S pour médaille. Après un claque amicale sur les fesses, il m'invite à monter le petit escalier pour accéder aux différents salons du club. Arrivée en haut des marches, je découvre un bar meublé de banquettes basses où plusieurs couples ou trios sont blottis les uns contre les autres. Ils sont trop occupés pour s'intéresser à nous. Assis sur des hauts tabourets deux hommes se font sucer par une grande fille blonde aussi nue que moi. Jean en habitué serre les mains des deux hommes et s'adresse à la fille : Alors Chérie dit-il, tu n'as pas bouffé ce soir.... Je t' amène de la relève une bonne suceuse africaine. Soudain mon coeur s'emballe, je commence à regretter l'invitation de Jean dans cet endroit. Il me présente à tout le monde de sa voix forte en me tenant par le cou. Je vous présente Safi, la meilleure salope black de Paris, vous pouvez me croire, elle a à son actif plusieurs kilomètres de bites, je viens de la pratiquer durant six heures avec trois potes et je peux vous dire qu'elle aime les queues et surtout le jus, elle est très bonne. Vous pouvez regarder, et toucher, éventuellement vous faire tailler une pipe mais pas la baiser, elle est à moi. Si elle vous intéresse, je vous donnerai ses coordonnées pour la louer. Je ne savais plus où me mettre, il me présentait comme une vraie prostituée mais je restais digne. Après ces présentations il me demande d'aller l'attendre à genoux au fond du salon devant la banquette sans oublier de me faire servir une flute de champagne. A quelques mètres de moi, la blonde continue de sucer ses deux partenaires, elle me regarde la bouche déformée par les énormes pieux de chair et me lance un clin d'oeil complice, j'esquisse un sourire de compréhension. Pendant que j'attendais Jean, une femme nue s'approche de moi, m'examine partout et me caresse les seins. Tu es belle me dit-elle avec ton sexe épilé et ta poitrine plate tu ressemble à une adolescente. Tu aimes le cul ? me dit elle ouvertement. Oui répondis-je gênée. Est-ce que Jean est gentil avec toi au moins. Oui Madame, il est dur mais juste, il s'occupe bien de moi. Que pouvais-je dire d'autre ! La femme avait de très gros seins lourds qui tombaient sur son ventre, elle était rasée, les lèvres de sa chatte étaient grasses et brunâtres, elle devait avoir la cinquantaine, fardée à outrance. Je n'avais pas envie de me gouiner avec elle. Heureusement Jean arriva et elle s'esquiva. Jean s'installa dans la banquette en face de moi, j'étais toujours à genoux, sa bite était déjà dehors de son pantalon, il me prit violemment par le cou et me dit : Suce salope, tu es venue pour ça non ? A cet instant, toutes les personnes présentes dans le salon formèrent un arc de cercle autour de nous pour ne rien perdre du spectacle. Ecartes toi bien, répéta Jean, je veux que tout le monde voient le fond de ton cul et de ta chatte pendant que tu savoures ma bite Je m'applique avec beaucoup de vigueur sur le gland circoncis de Jean que je commence à bien connaitre; il bande toujours aussi fort que la première fois. Ce type est insatiable, il aime vraiment se faire sucer et pomper sans arrêt. L'agilité de ma langue et mon habileté à faire des pipes viennent d'avoir raison de son endurance. Je tente d'avaler son sperme qui dégouline de ma bouche en le fixant droit dans les yeux pour le montrer que j'aime sa queue épaisse. Les spectateurs applaudissent. Je suis contente et Jean aussi. Il me prit de venir m'installer près de lui sur la banquette. Il m'embrasse goulûment et nettoyant tout le sperme que j'avais encore sur les lèvres. Tu n'es pas une poufiasse, tu es une vraie femme dit-il. De sa part je pense que c'est un compliment. Nous restâmes une heure à boire tranquillement notre champagne moi nue et lui son sexe hors de la braguette que je branlais. De temps en temps des hommes venaient déposer leur numéro de téléphone pour des rendez-vous futurs si toutefois cela m'intéressait. Je ramassais les cartes de visites pour les remettre à Pierre.Certains me contactent encore aujourd'hui. Monsieur Jean il est tard il faut que je rentre chez moi le suppliais-je. Il alla chercher mes vêtements au vestiaire, pendant ce temps j'allais me remaquiller aux toilettes. Il insista pour me raccompagner jusqu'à ma voiture dans la rue. Installé près de moi Jean me dit : Safi je suis très surpris par tes prestations de ce soir, tu es superbe, je ne m'attendais pas à cela quand je t'ai vue au café, surtout compte tenu de ton gabarit et l'absence de nichons. Tu es obéissante, endurante, sérieuse et intelligente,tu es cultivée, tu as de la classe très bcbg, tu es mignonne et ce qui ne gâche rien tu es salope, je peux te placer dans des partouzes et des gang-bang payants, je veux m'occuper de toi à temps plein. Ton corps est ton capital, il faut le faire fructifier. Ca serait dommage de ne pas en faire profiter le plus de monde possible. Ecoutez Monsieur Jean j'ai un emploi, je suis mariée et j'ai un accord avec Monsieur Pierre, je ne peux pas me multiplier, je ne suis pas une pro, je fais des séances sm-sexe occasionnellement, je m'éclate c'est tout. Réfléchis à ma proposition Avant de me quitter il m'embrassa longuement sur la bouche en enfonçant sa langue. Je vous promets de réfléchir à votre gentille proposition. Casses toi salope me dit-il en guise d'adieu amical. Je n'avais qu'une envie, celle de retrouver Raymond à la maison et de me blottir dans ses bras. Ce qui fût fait moins de trente minutes plus tard. Heureusement que le lendemain je ne travaillais pas Avant de m'endormir je caressais le sexe de mon mari pour me rassurer juste pour voir si je lui faisais aussi de l'effet malgré mes incartades, il se mit à bander. En fermant les yeux j'ai repensé à la proposition de Jean. C'est incroyable le nombre de personnes qui veulent s'occuper de moi. A suivre .
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Par : le 13/11/13
Bonheur quand vous m'avez rejoint sur la capitale. Complicité qui est la notre, joie de Vous retrouver. Pour fêter l'anniversaire de notre belle rencontre. Le soleil était présent pendant ces jours. L'occasion également de se promener tous deux. Les cent coups de cravache reçus l'après midi de votre arrivée. Aucune punition, marques désirées pour imprimer l'année de notre premier rendez vous. J'ai compté les coups, j'avais énoncé au hasard le chiffre 80 et Vous m'avez dit 100. Rendre hommage à Mon Maitre, me dépasser, qu'il soit fier et heureux. Aucun temps d'arrêt ou caresse (sourire) comme le soir à ce club. Un peu plus tard, nous avons été dans ce magasin Démonia. Lieu incontournable de diversité d'accessoires, d'articles BDSM. Vous m'avez offert entre autre, cette bague d'appartenance. Votre choix était le mien au vu de mes doigts fins. Anneau symbolique, obéissance à Vous Mon Maitre. Bague rêvée, désirée, fierté de la porter. Après avoir diné dans un restaurant, nous nous sommes préparé pour nous rendre à C et C. Toute de noir, j'étais vêtue : serre taille, mes talons favoris avec bride à la cheville. Jupe que vous affectionnez, haut noir avec petits volants sur mes épaules. Vous portant ce joli costume noir qui vous sied à merveille, chemise foncée grise. Cela vous change des diverses chemises blanches que vous aimez à porter. Vous connaissez P le propriétaire des lieux, nous étions venu à ce club début juillet 2010. Ce jour là, Vous m'aviez en fin d'après midi, je me souviens : Offert ce collier qui me rappelle ma condition, Votre domination, mon appartenance. Collier qui orne mon cou, collier redouté, collier désiré. Nous avons pris le métro, pour nous rendre à ce club. J'étais assise bien droite, mes seins pointant sous le tissu fin. Un peu de marche, puis avant d'arriver devant la porte, Vous avez placé mon collier. J'ai pris une grande respiration avant d'entrer. Peu de monde, l'occasion de converser de passions communes, c'est agréable de découvrir Maître soumise et d'autre personnes présentes au fil de la soirée. Le dialogue est important dans une relation, il est la base de la continuité, de la complicité, de l'abandon total. Connaitre l'autre permet d'avancer, de se dépasser, de progresser, de ne plus avoir de tabous ou peurs. A C et C, à un moment donné vous m'avez intimé l'ordre de retirer ma jupe et mon haut, aie la honte qui arrive, deux personnes étaient présentes. Vous m'avez attaché à la croix de st André à gauche : 200 coups de cravache, je n'ai pas fait la 'maline', j'ai tenu à respecter le chiffre que j'avais énoncé en fin d'après midi, aucune punition, simplement des marques désirées. Après un certain temps, j'ai entendu des pas, ressenti des présences, les yeux clos, les sens sont décuplés. Deux personnes ont parlé de mon fessier, certains compliments, aie Qu'il se prêtait à la cravache, coups divers. J'ai eu de la honte, de l'humiliation à me savoir regardé. Il me fallait me dépasser, connaitre et accepter ce fait. J'ai attiré des regards sans le vouloir, et ce n'est pas à cause de ma plastique, sourire. Aucune gêne à avoir en fait. J'ai pris sur moi, le lendemain cela a été bien mieux J'avais mis ma honte au vestiaire. Vous me dites certains mots, ils sont sincères, je le sais. Plus tard dans la soirée, autre domination deux couples Maitre et soumise, c'est agréable de regarder quelque instants des personnes qui aiment ce que nous affectionnons. Parfois certains gestes et attitudes communes. En club SM, à priori tout le monde connait les règles que cela soit Dominateur ou Maitre/soumise, celles ci ne sont pas à sens unique, le Maitre est le garant de sa soumise, respect d'elle et des autres soumises, les codes sont à tenir de chaque coté, n'est ce pas ? Sourire. En passant près du bar, j'avais remarqué un superbe fouet accroché. J'ai émis le souhait de me faire fouetter par le propriétaire de celui ci avec l'accord de mon Maître, sa présence. Homme de talent, qui maîtrise ce art à la perfection. Mon Maître le connait et a confiance en lui. Ce magnifique fouet cinglant mon dos, mes épaules dénudées ce premier soir. Mon Maître ne va pas me confier à un abruti, il y en a. Qui sont capables de meurtrir à vie une soumise. Que cela soit par un coup de cravache, coup de fouet, et autre. De martyriser une soumise en frappant fort ses seins, ou une autre partie de son corps. N'écoutant qu'eux, ne s'inquiétant pas de celle qui leur appartient. Ou de celle qui leur est confié quelque fois. Ce n'est pas une question de savoir-faire, je pense ; c'est une question de respect. Un Maître ou dominateur qui casse une soumise psychologiquement ou la marque physiquement comme un animal aveugle marque son territoire. Il ne s'agit pas seulement de respecter l'intégrité de sa soumise, mais aussi et surtout de contribuer à son épanouissement, à son dépassement personnel. C'est toute la différence entre un Maître, un dominateur et un sadique...Sourire. J'ai aimé certains mots entendus, et ai pensé la même chose. Un Maître veille sur son soumise, il prends soin de celle qui c'est abandonné à lui, qui lui a offert son corps, son âme. La soumise fait honneur à son Maître en toute circonstance, inutile de lui glisser à l'oreille : fait moi honneur. A dire ce mot, sois il doute de lui, soit il sait qu'il va outrepasser ses droits, (cela n'engage que moi, c'est ce que je pense). Nous avons quitté le club, quelque pas dehors, puis un taxi pour rejoindre l'hôtel. Vous avez pris quelque photos dans la chambre, l'empreinte des coups de cravache, du fouet. Nuit courte, du mal à trouver le sommeil, votre présence à mes cotés... Seconde soirée, autre ambiance, peu de dialogue et puis. Certaines choses se font, nouvelles découvertes, présences. Un shibari effectué sur M par une autre jeune femme. Ses mains derrière le dos, jolie posture. Une dextérité pour passer les cordes de trois couleurs différentes. J'avais les yeux rivés sur la façon de procéder. Bien qu'en face, je ne voyais pas les noeuds effectués Quelque mousquetons, de la force dans les bras pour hisser les cordes. Une suspension a été faite, merveilleux moment ou le corps s'incline. De toute beauté, devant le résultat de cet art. Cela a été rapide à défaire les noeuds, j'en ai été bluffé. L'assistance a été captivé par la réalisation de cet envol dû aux cordes et à la manière de procéder de cette petite fine et brune jeune femme. Nous avons rejoint la pièce de droite où se trouve l'autre croix de st André. Après m'avoir attaché de face, coups de martinet sur la poitrine et le sexe. Devant les marques de mes fesses laissées la veille, Vous avez fait attention de ne pas aggraver leur état. Bien que 10 coups de cravache, ont été sollicité pour ma gourmandise, merci à Vous. Une boisson Vous m'avez commandé, l'occasion de s'asseoir, de bavarder. De voir les personnes qui étaient arrivées. Près de Vous, un homme s'est présenté, et Vous n'avez pas donné suite à sa demande. J'aime Votre façon de Vous comportez, toujours ce respect que Vous avez, que cela soi dans les gestes et paroles. Un peu plus tard, une jeune Maîtresse et son soumis, des tenues qui ne laissent pas indifférents, ils avaient mis un moment à revêtir celles ci sur place. Des merveilleux talons pour Elle et lui également qui était bien grand, il faut pouvoir marcher avec, cela n'a pas été évident pour lui quand il a suivi sa Maîtresse à un moment donné. J'avais exprimé le désir de me faire fouetter à nouveau pour notre seconde soirée à C et C. Vous avez accédé à ma demande, une soumise peut dire, en ce qui me concerne vous aimez que je m'exprime, et faites à votre guise concernant la réponse, Vous n'éludez jamais une question. Pendant Votre ou la domination, je reste silencieuse. Laissant mon corps s'exprimer, se tordre, onduler. Tard dans la soirée, l'ambiance change, un certain dialogue s'installe. J'écoute, j'entends, C jolie soumise blonde, quelle classe, élégance elle a. A un moment donné, elle reçoit des coups de martinet par M. Ses jambes et cuisses écartées au maximum, sa magnifique petite robe noire relevée. Superbe cambrure, un fessier de toute beauté. Sa façon de s'exprimer est excitante. Ses mains sont posées en dessous du cadre du grand miroir. Puis P commence à la fouetter. Instant de silence, en attente du fouet. Celui ci fend l'air, claque. Je suis près d'elle à un moment donné. En tirant nos mains l'une vers l'autre ou pourrait se les joindre. J'ai ôté ma jupe et mon haut de moi même, étonnant mon Maitre .... Sourire Aucune gène, ou peur des regards, être soi. Recevoir des coups de fouet ou cravache en étant couverte, ce n'est pas l'idéal. Je me sentais en confiance, en serre taille et talons. Ph m'a fouetté le haut du fessier, pas les reins bien sur, disons sur les cotés au vu de mes traces de la veille (cravache). Duo de fouet, je ferme mes yeux, ne pensant qu'à Vous, qui étiez assis à me/nous regarder. Au bout d'un certain temps, je crois que C pleure, j'ouvre mes yeux, son corps se tord, j'ai mal pour Elle, j'aimerais la réconforter. Je reste à ma place, je vois son corps se recroqueviller comme s'il voulait épouser la forme du cadre, se fondre en lui. Elle se fait petite, elle est dans sa 'bulle'. J'ai su un peu plus tard en parlant avec C, qu'elle n'avait pas pleuré et ne pleurait jamais. Simplement une impression à l'entendre s'exprimer. C'est troublant ce fait, comme quoi les sensations et ressentis sont différents. P étant libre, il prends la place de Ph avec son fouet également fait sur mesure; le sien est couleur argent, celui de Ph est noir, et il en a deux en fait, qu'il m'a montré avant que nous quittions le club, curiosité de femme soumise, admirer les fouets magnifiques, les soupesés, le prendre dans ma main, les laisser glisser sur ma paume, comme une caresse. Je suis au milieu de la pièce, des personnes sont présentes. Mes mains posées en haut sur l'encadrement de la glace. P m'intimide l'ordre de me cambrer plus, encore plus. Je lui obéis. En exprimant le fait de vouloir des marques pour fêter un an de notre première entrevue. Il me faut tenir la parole dite la veille et renouvelée à mon arrivée, ne pas décevoir ou se défiler. Envers son Maître, où la personne que Mon Maître connait et en qui, il a confiance. Il ne va pas me laisser entre les mains d'un parfait inconnu qui ne maitrisera pas l'art du fouet, pouvant meurtrir ma peau, mon corps par un instrument de domination. Désir du fouet sur ma poitrine, je suis à présent de face. Les mains derrière le dos, la tête bien droite. Le fouet cingle, il fouette, il claque à mon oreille, j'aime le son qu'il émet. Je suis impassible, les seins offerts au fouet, marques désirées, P me demande de me tourner un peu. Mes épaules sont sollicitées, c'est merveilleux, cette caresse du fouet, cette sensation de chaleur, ma peau réagit, mes yeux sont clos, les sens sont décuplés. P me signe les seins de son fouet, je suis bien. M et C ont peur pour moi, j'entends des : oh non ce n'est pas possible, je ne regarde plus, je les pense (peureuses)... Désolée, nous avons parlé après et vous n'êtes pas ainsi. D'où vous étiez, vous voyez les marques laissées par le fouet, marques incarnats que je ne voyais pas et pour cause. Mon Maître qui est attentif à celle que je suis, apercevait les marques laissées par le fouet, a fait signe à P d'arrêter, je l'ai su après. Un Maître protège sa soumise parfois d'elle même. Quoique certains n'écoutent qu'eux parfois, outrepassant les limites qui ont pu être fixé, ou si aucun code énoncé, le plaisir d'entendre leur soumise suppliée. Sourire. J'ouvre les yeux : les marques sont là, je ne pensais pas qu'elles seraient ainsi, incarnats. Aucun regret, désir du fouet, marques de lui, vivre l'instant présent, sans se poser de question. Je vêts ma jupe et mon haut, l'impression d'être ailleurs. C nous offre une boisson, nous bavardons assises, échanges d'impressions. M et C me demandent comment, j'arrive à supporter le fouet ainsi. Je ne sais que leur répondre, à part que : j'ai le visage de mon Maître gravé en moi, et qu'à un moment donné, j'ai eu l'impression de 'flotter' ne sachant plus ou j'étais. Que mes yeux soient clos ou ouverts, ma seule pensée est Lui. Souffrir pour Lui, lui obéir, qu'il soit heureux. Je suis un peu ailleurs pendant un laps de temps, puis tout revient comme avant. Le sourire de mon Maître, son regard qui en dit long. J'ai fait abstraction des personnes présentes et assises. Seul mon Maître, son regard sur moi, que je devinais. M regarde ma médaille gravée qui est à mon collier, un an que je connais Mon Maître. C'est peu me dit-elle, en effet ou peut être, force de l'emprise, du lien qui m'unit à mon Maître. Il est presque 3 heures, nous allons quitté le club, je remercie les deux personnes qui m'ont fouetté. Ph m'a noté sur un papier, les deux produits que je devais acheter en pharmacie le lendemain matin, ils sont été efficaces, pour les traces et coups qui se sont estompés au fil des jours. Début juillet, nous serons de retour quelque jours sur Paris, l'occasion de revenir à C et C. De revoir P et C, peut être Ph que nous avons apprécié à ces soirées. Un peu de marche dehors, puis un taxi nous ramène devant l'hôtel. Vous prenez des photos, merveilleux souvenirs. J'ai du mal à m'endormir, tant d'instants forts ressentis, vécus. L'heure tourne, je vous regarde dormir, n'arrivant pas à trouver le sommeil. Je m'endors enfin, nuit courte peuplée de cette soirée riche en sensations, découvertes. Le petit déjeuner ensemble, puis je file à la pharmacie, il nous faut quitter Paris. Ensemble nous prenons le métro, pour nous quitter à un moment donné vers nos destinations. Mon regard se trouble, les larmes perlent de mes cils. Aie ! émotion à me séparer de Vous. Vous à me dire : tu n'as pas pleuré avec le fouet et là tu pleures ! Oui Mon Maître, je pleure parce que : le trop plein déborde. Tous les instants vécus, passés avec Vous ont été source de : respect, confiance, joie, sourire, rire, gémissements, émotions, sensations, abandon, don, attentions, protection, découvertes, sincérité, complicité, intensité, désirs et envies partagés. Que cela soit aux divers restaurants, ou les petits déjeuners pris à l'hôtel avec vue sur un jardin. Face à face toujours, mon regard plongeant dans le Votre. J'aime à Vous regarder, Vous sentir, y puiser une certaine force. Vous qui êtes le premier Maître que j'ai et aurai. Vous qui êtes digne de ce titre, que je vous ai donné, après vous avoir appelé Monsieur pendant quelque mois, J'ai reconnu en Vous, de Vous nommer ainsi et Vous le méritez. Vous et ce respect que Vous avez depuis ce premier jour et il n'a jamais démérité. Vous êtes toujours d'humeur égale, jamais de colère, d'emportement, la maîtrise de Vous. Vous ne connaissez pas l'impulsivité qui est la mienne (sourire) taquine je suis. Aie la badine... Ps : Pub que nous voyons sur les abris bus, souvenir de ces affiches, et de la grande ballade, le jeudi matin sur les quais de la Seine, notre passage aux Tuileries et ce parc aux fleurs odorantes.
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Par : le 07/11/13
Les mois passent et le lien qui m'unit à Vous s'est avivé. Mes sens sont en éveil, jouissance des instants partagés. Positive de ce chemin à vos cotés avec Votre patience, Votre RESPECT en toute circonstance. Sensations sans cesse renouvelées. Votre protection, votre tendresse et fermeté. Notre relation faite de communication réciproque, de bonheur partagé. L'emprise qui est la Votre, signature de Vous. Me sentir posséder par Vous. Votre domination alliant douceur, fermeté et virilité. Quand votre main effleure mon dos, mes épaules, mon corps s'enflamme, vous attisez mes sens. Lorsque ma peau rougit et que se dessine vos marques. Les instants avec Vous, sont source de gourmandise. Sans cesse Votre voix me transporte, m'enivre. Depuis ce jour ou mon regard a croisé le Votre, je suis votre. Des émotions, des sensations, des ressentis, des instants rares et précieux où tout bascule quand la complicité s'instaure. Quand le plaisir nous envahit, quand la vague de jouissance irradie nos corps. Vous qui veillez sur moi, qui savez écouter, entendre ce qui n'est pas la même chose Vous à qui je me confie, Vous en qui j'ai placé ma confiance, elle n'a jamais démérité. Vous qui savez me devinez, Vous à qui je me suis 'livrée'. Une intuition, une sensation à Vous découvrir, à Vous entendre, à Vous écouter, puis la réalité. Le ressenti au plus profond de moi, ce que j'avais espéré, rêvé depuis des années, enfin est arrivé. Dans un mois, cela fera une année auprès de Vous. Des découvertes, des expériences, des avancées, des rendez vous parfois décalés par les aléas de la vie. J'aime les 5 sens et certaines essences de parfum de peau, tout comme la Vôtre dont j'aime à exhaler. Ma pudeur j'ai déposé à vos pieds, mes peurs je vous ai expliqué, sans me brusquer, vous m'avez apprivoisé, vous m'avez respecté. Mes peurs et tabous ne sont plus par la confiance et le respect de Vous. Le dialogue est important de part et d'autre, savoir dire les mots, cela permet d'avancer de construire une relation, de resserrer les liens et permet de se connaitre. Mes appréhensions ne sont plus, j'ai confiance en Vous. Vous avez su me rassurer, me protéger. Le respect que Vous avez de Vous, de moi, de nous, de notre relation par la confiance partagée. Je suis tombée sous votre charme. A vos pieds, j'ai déposé mes armes. Il faut s'entendre, se convenir, se plaire n'est ce pas ? Un dominateur ou Maitre choisit sa soumise et vis versa. A quoi bon dominer celle qui ne convient pas. Sans artifice, je suis devenue votre complice, votre soumise. Ma patience a été 'récompensé', les 'expériences' et déceptions du passé, ont porté leur fruit ; je n'ai plus été la même, moins candide, j'ai retenu la ou les leçons. Oubliés les couards, les virtuels, les manipulateurs, les prédateurs, ceux qui s'en connaitre la personne en réalité se permettent de juger, d'écrire, de menacer, derrière un écran c'est si facile ou par téléphone, j'ai connu cela il y a quelque années. J'avais replié mes ailes à un moment donné. Puis je les ai déployé avec Vous qui avez été clair sur votre situation, tout comme mon annonce le disait en parlant de moi. Mon caractère est entier, je ne juge et ne flatte, je taquine quelque fois, rien de plus. Nul n'est parfait. Chaque personne a droit au bonheur ici et ailleurs. A Vous je ne suis dévoilée, Vous savez tout de moi, je ne vous ai rien caché de mon vécu d'avant, de celle que je suis à présent. Du bonheur partagé quand on se retrouve, quand nos corps sont en accord avec nos envies et désirs. J'apprécie le fait que Vous ayez toujours le contrôle de Vous, jamais d'énervement, de chantage affectif comme il y a parfois, de reproche ou critique sans remise en question du Maitre qui vilipende sa soumise. La maitrise de soi est l'apanage d'un Maitre digne de ce nom, c'est ce que je pense et crois, je n'ai pas la science infuse, il va de soi que cela n'engage que moi. Sourire ! Mon Maitre, j'avais envie de vous dire que depuis notre première rencontre, je savoure chacun de nos rendez vous. De cette complicité, j'ai trouvé mon équilibre. L’épanouissement et le plaisir partagé étant la priorité d'une relation suivie et d'une construction dans le respect mutuel.
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Par : le 29/10/13
L'année s'achève bientôt ; 9 mois que je vous appartiens. Nous avons traversé les 4 saisons, sans Vivaldi, mais avec harmonie. Nous avons fait connaissance, le printemps venait d'éclore. Notre dernier rendez vous, ce premier jour d'hiver, avec la neige qui a déroulé son blanc manteau dans de nombreux départements avec une certaine avance, surprise, provoquant pagaille, retards, annulations, reports, etc. Je suis sereine, heureuse en ce chemin à vos cotés, en ces demains par le Maitre digne de ce nom que Vous êtes, Vous qui avez su m'apprivoiser au fur et à mesure de nos rencontres. Toujours le respect avec Vous, que cela soit dans la domination, en sortie comme ce club SM sur Paris, au restaurant, ou que l'on se promène, dans Votre élégance, Votre comportement, Votre attention, gestes, attitudes, écoute, à me rassurer, me faire grandir, cela me comble de bonheur tout simplement. J'apprécie la sincérité qui est Votre, qui est notre, qui est de mise entre Maitre et soumise. Avec Vous, aucun faux semblant, j'apprécie grandement. Votre patience, la maîtrise de Vous, jamais sous l'emprise de la colère, de l'agacement, de l'impatience, un Maitre ne se défoule pas sur sa soumise, elle lui rend hommage, elle se dépasse, et lui fait honneur. Par le respect, ce maitre mot qui est le sésame indispensable, tout comme la confiance réciproque des avancées, des progressions, des dépassements, des limites sont franchies. Vous qui avez touché mon coeur et bien au delà, que cela soit ce premier jour et les jours qui ont suivis, qui se suivent et se suivrons dans cette relation d'une intensité particulière. Que de bonheur avec Vous, avec la patience, on arrive à beaucoup. J'ai mis du temps, qu'importe le temps, qu'importe l'age, sourire. Quand l'évidence, l'attirance, la connivence se fait, la personne qui convient, nous convient et avec qui le temps suspend son envol. Vous avez attisé ma curiosité par ce premier mail, depuis mon chemin est près de Vous, nous nous sommes bien 'trouvés', c'est ce que Vous me dites quelque fois et cela est vrai. Bonnes fêtes de fin d'année à toutes et tous, gardez espoir, tout arrive à qui sait attendre. Que les belles relations durent et perdurent, que celles qui viennent d'éclore garde leur intensité, que celles qui ont pris fin restent positives en leur parcours et chemin. Moje marzenie stalo sie rzeczywistoscia, z moją milosc Mistrza. Le 23 décembre 2010.
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Par : le 26/10/13
Quand on a été si longtemps vanille... Que les relations étaient toujours égalitaires, recherchant le consensus, n'osant rien imposer... Que tout cela fonctionne ainsi par éducation, imitation, par valeurs humaines certes, mais par facilité de caractère aussi et conformisme un peu... Que tout cela devient tiède et gris, et ne suffit plus... Quand on bouscule tout cela, qu'on franchit la barrière, qu'on bascule vers le terrible, l'impensable, l'inimaginable domination-soumission... Qu'on s'autorise à vivre ces plaisirs colorés en rouge et noir, qu'on ne se reconnaît plus mais qu'on se retrouve... Que l'on vit des moments décomplexés, d'abus choisis... Comme cela libère et enivre, enfin ! Bien sûr ce sont des jeux, d'adultes consentants, de deuxième degré, de confiance et de non violence... (Et patati et patata) Mais qu'il est bon de se donner, se soumettre, s'abandonner... Mais qu'il est bon d'abuser, de soumettre, de jouir de prendre les rênes !
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Par : le 20/10/13
Vous et moi Plus de deux mois Et cet émoi Quand je vous vois L'émotion qui me submerge. Quand votre regard se pose sur moi. Et que dire de votre voix. Elle m'attire, m'excite, m'interpelle, m'appelle. Comme une évidence, un appel. Est ce que mes mots sont bleus. Est ce qu'ils ont la couleur de mes yeux. Ils ont la couleur de vous. La couleur de votre coeur. La couleur de votre odeur de parfum de peau. La couleur de votre âme. Vous savez réconforter, apaiser, écouter, exiger, protéger, entendre. Vous me comblez par votre personnalité, fermeté. Vous êtes un bel homme, beau dedans, beau dehors. Ce qui n'est pas donné à tout le monde. Avec ce charme qui est le votre, et cette élégance. Avec vous point de faux semblants, la réalité, la complicité, la sincérité. Vous avez su conquérir mon âme, mon coeur, mon corps. Vous que j'apprécie et bien plus encore ... Vous et ce RESPECT qui vous honore. Vous et notre sincérité réciproque. Vous êtes mon destin. Vous que je garde dans l'écrin de mon coeur. Vous êtes Vous, ils étaient eux : qui s'octroyaient des titres qu'ils n'avaient pas. Vous savez ceux (celles) qui parlent sans avoir jamais vu la personne de visu. Vous savez ceux (celles) qui écrivent avoir rencontré la personne et jamais vu en réalité. Vous savez ceux (celles) qui médisent et sont jaloux peut être, je ne sais. Vous savez ceux (celles) qui aiment la méchanceté gratuite. Vous savez ceux (celles) qui ont la critique facile. Vous savez ceux (celles) qui exigent cam et ne montrent pas leur visage. Vous savez ceux (celles) qui écoutent les autres et qui savent toujours mieux que l'intéressé(e). Vous savez ceux (celles) qui voudraient tout connaitre de la personne. Vous savez ceux (celles) qui aiment les dialogues à sens unique. Vous savez ceux (celles) pour qui le virtuel est leur pain quotidien. Les voleurs d'instants que nenni pour moi. Vous qui êtes un Maître digne de ce nom, un homme de qualité, élégant, passionnant, attachant. Ha !! Ce petit instinct qui ne m'a pas trompé, et que dire de ce regard.... Vous êtes digne de celui que je désirais pour moi. Vous avez dû vous reconnaitre et vous vous êtes reconnu dans mon annonce, je ne sais peut être.. Tellement d'émotions avec vous, tellement de choses en commun sans le savoir. Par votre douceur, fermeté, par cette voix qui me fait vibrer, qui m'excite, me fait pleurer, me fait du bien, me fait croire en demain, me fait être sereine. Que j'aime cette voix, la voix de mon Maître, la nuit, le jour, les yeux bandés ou ouverts, je vous suivrais là ou vous voudrez m'amener. Votre voix qui m'attire, m'électrise, cette voix douce et ferme La voix de celui que j'apprécie, de jour en jour quelque jour grandit, quelque chose de tapi que je ne pensais pas ou plus revivre ou entendre et là, bonheur de vous, de cette belle rencontre, qui est gravée en moi. De la relation que nous avons, et de votre sincérité, RESPECT. J'aime votre présence, votre patience, votre écoute. Sentiments divers, empreint de qualité par celui que vous êtes et votre personnalité. Je me suis attachée à vous et vous êtes 'attachant'. Etre attachée à vous me plait et me fait du bien. Confiante de vos actes et paroles depuis le début. Espoir de vos demains qui ne serons pas vains. J'apprécie vous êtes à l'écoute, patient, progressif, tendre et ferme. Enfin découvert le plaisir dans la douleur ce qui était inconnu de moi, certaines peurs sont encore là et ne serons plus prochainement avec votre patience et respect. Votre domination faites de fermeté cuisante alternée de douceur. Quand les personnes s'apprécient pourquoi attendre x temps, si l'on sait que la personne en face est celle qu'on attendait depuis des années. J'ai laisse parler mon coeur et mon intuition, comme vous m'avez dit les premiers instants sont décisifs ou pas, cela dépend. Il faut se parler, s'écouter, s'entendre, apprendre à se connaitre et ce premier msg que vous m'aviez écrit, je me suis pensée et aie eu raison, un homme motivé, expérimenté qui sait ce qu'il veut et qui ne va pas tergiverser, qui laisse son tél, son mail, qui veut une relation dans la durée et pas une simple séance pour voir. La relation se construit avec la durée, on se parle plus encore, on se découvre, certains sentiments naissent entre le Maitre et sa soumise, et la soumise à son mot à dire, oui vous êtes bien celui qui me convient, mélange de courtoisie, de savoir vivre, de respect, de fermeté, de douceur, de confidence, de maîtrise de soi, un Maitre qui plait cela est important pour se dépasser et franchir certaines limites, peurs ou craintes. Sans une certaine harmonie et complicité comment arriver à faire plus pour faire plaisir à celui qu'on a choisi, on le fait parce que c'est lui, on se dépasse, on lui fait confiance et on est bien avec lui, les peurs s'envolent, on se donne, on s'abandonne, on est sereine, il rassure. Votre regard quand vous voulez voir et lire l'expression de mes yeux que vous appréciez quand sous le bandeau mes paupières sont toujours closes, que vous relevez mon visage à me dire : regarde moi, que j'apprécie cet instant particulier du début, fort d'émotions, de sensations, d'intensité. Sentir votre présence et les yeux bandés, ne pas savoir ce qui allait m'arriver. Confiante par votre écoute, certains mots que vous m'aviez dit au restaurant, qui sont toujours à ce jour réalité, actes, paroles, l'accord des deux, aucune fausse note. Un homme de parole qui respecte sa soumise. Les mots me manquent pour vous exprimer certaines choses surement, quelque fois devant vous, je suis sans voix, l'émotion, les sensations. Vous n'êtes pas les autres, vous êtes Vous. Avec vous, je peux me confier sans "gémir", vous êtes à l'écoute, vous savez me rassurer, de temps à autre, j'en ai besoin, doute, peur en moi, beaucoup moins depuis Vous. Quand j'accorde ma confiance, j'ai dû mal et mal si on me ment, si on joue, je suis intuitive, je ressens des choses, parfois je vais au bout de certains ressentis tout en sachant que cela ne se fera pas. Pour voir ce que la personne a dans la ventre, pour pouvoir fermer la porte, faire comme la louve, cacher ma peine et panser mes blessures. Revenir avec le sourire, apprendre des erreurs. Le passé est le passé, on ne peut revenir en arrière, l'avenir compte, il est gage de bonheur avec Vous. Ce qui est important, c'est la sincérité, la franchise, le respect. Sans cela à quoi bon, tout ou tard tout se lézarde. On ne bâtit rien sur le mensonge, les fondations ne sont pas solides. Je sais de quoi je parle, certains secrets de famille et autre, qu'on apprends plus tard, alors qu'on le devine un peu sans le savoir vraiment et que personne fait cas de cela, se voile la face, croyant protéger l'enfant, l'adolescente ou l'adulte. Fragile, sensible, émotive, compréhensive, et forte à la fois je suis, tout le monde a ses faiblesses sur certaines sujets cela dépend de tant de choses dans la vie. Il faut tenir bon, faire face, savoir 'se relever' comme j'aime à dire. Notre complicité, notre belle relation, notre sincérité réciproque et cet attachement qui nous lie. Je sais par ces mots, que je peux compter sur vous, ma confiance envers vous est totale. Si la confiance, la sincérité et le respect sont là, je me livre plus, je me dépasse, je me donne, je m'abandonne, mon respect est immense sans aucune mesure. Je donne sans rien attendre en retour, je donne avec mon coeur et mes tripes. Je n'aime pas les calculateurs, les profiteurs, les prédateurs, les manipulateurs, 'candide' j'ai été par le passé, comme certaines sur le site, encore et à venir. Ceux pour qui les mots sont faciles et vide de sens. Tellement facile pour certains de jouer derrière un écran, parole de miel et rien qui suit, comment savoir parfois, le choix n'est pas facile à faire entre la personne sincère et celle qui ne l'est pas, qui veux juste tester ou jouer. Je suis bien avec vous, votre présence rassurante, votre voix que j'aime et qui me fait vibrer au plus profond de moi, que cette voix m'attire, m'ensorcelle, ferme et tendre comme vous êtes et votre regard que j'aime aussi et vous en votre entier. J'ai placé ma confiance en vous. Vous savez comme moi que parfois les sollicitudes se font et que les réponses ne sont pas. Pas la bonne personne, pas ce que l'on recherche, pas sa recherche, pas de feeling, pas de disponibilité, pas de sincérité, pas d'attirance, il ne faut pas se leurrer, se plaire veut bien dire ce que cela veut dire même si la beauté se cache parfois ailleurs et au delà de certaines apparences et physiques. Se plaire, pour accepter de se soumettre à lui car sans une certaine attirance physique rien ne se fait aussi bien pour la soumise que le Maitre. C'est la soumise qui choisit son Maitre et vis versa. Lui sans, elle n'est rien et vis versa également. Il faut une certaine alchimie !! A toutes et tous ici, gardez espoir, confiance et courage, volonté et motivation, vous saurez le (la) reconnaitre, celui ou celle qui aura ce Respect tant demandé qui n'est pas à sens unique ; celui ou celle qui sera digne de ce nom. Un peu plus de trois ans et demi passés sur Sensation/SM avec une annonce supprimée pendant 7 mois. Un autre speudo créé le 25 mars 2009 et le 23 mars 2010, tel un soleil, Il est entré dans ma vie, à Lui je suis soumise.
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Par : le 20/10/13
Une relation D/s ce n'est pas juste des mots. C'est des actes également. L'inconnu fait toujours peur. L'important est de ne pas rester bloqué face à cet inconnu et d'avoir assez de confiance dans son Maître pour le suivre et progresser à ses cotés. Se montrer nue !! Nue devant son Maître. La honte, les complexes, pour moi une humiliation. Pourtant, il faut bien passer par là n'est ce pas ? Il faut considérer plusieurs choses par rapport à cela, (il y a mon corps, il est ce qu'il est). Il y en a qui apprécie les formes, les rondeurs, d'autre pas du tout. Certains ne sont attirés que par la minceur, l'âge de la soumise, le tour de poitrine, une taille fine, des fesses rebondies, un visage admettons qu'il est 'joli' ne suffit pas. C'est une soumise en son entier et non une partie d'elle même. La soumise n'est pas toujours nue, quand son Maitre l'invite au restaurant ou se promène avec elle, elle est vêtue, qu'est ce qu'on regarde en premier : son visage, son allure, sa tenue, ce qu'elle dégage, ce qui émane d'elle, sa sensibilité, sa féminité, sa sensualité, etc Ce qui m'importe c'est la démarche, l'état d'esprit, l'offrande. Une soumise complexée qui prend sur elle, qui s'oublie pour satisfaire son Maître, lui obéir, ne rien lui cacher. Elle se transcende. Elle met sa soumission et son appartenance à son Maître plus haut que ses propres peurs, sa pudeur et ses complexes, elle se dépasse. Ensuite, il convient de ne pas penser à la place du Maître. La notion de dépassement et de don est primordial, il appréciera peut être d'autant plus l'obéissance, s'il demande qu'on se montre nue, il faut prendre sur soi, se dépasser. Ce n'est pas évident pour moi et je le fais, j'oublie mon corps, j'ai laissé ma pudeur de coté.. Dans ces moment là, je ne pense pas à moi, je pense à Lui qui me 'regarde' peut être, qui 'apprécie' ma soumission, la force de son pouvoir qui m'aide à me dépasser. Finalement, moi nue devant Lui, considérée d'un oeil D/s..... Suis je 'belle', je ne sais pas et qu'importe. Simplement moi. Toute femme ou soumise est 'belle' dans les yeux ou le regard de celui qui l'a choisi et vis versa, ne l'oublions pas !! La beauté est subjective, elle dépend de là où on la place, elle peut se placer dans l'abandon et le don de soi, penser au plaisir que l'on fait à son Maître qui mesure la portée de cet abandon. Le plus dur, c'est les premières fois, après on s'habitue !! On considère sa nudité comme une 'fierté' de soumise, une grande preuve de son abandon, réussir enfin à faire fi de ses peurs. Il ne jamais oublier que notre soumission, notre abandon, ce sont des richesses, des actes précieux, ils ont de la valeur en eux même. C’est peut être toute nue qu’une soumise est la plus troublante et aussi la plus 'belle' Ou juste vêtue d'un joli serre taille, qui lui fait une autre silhouette, des superbes talons. Quand son corps dénudé est exposé et offert, quand il est mis en valeur par la position ou la soumise est liée, ou suspendue par les poignets, bras et jambes écartés, toutes ces positions qui font saillir ses seins et affinent son corps. On le fait par obéissance, par plaisir d'être exhibée peut être, pour voir dans les yeux de son Maître qu'il est fier et heureux qu'on lui obéisse, qu'on montre sa soumission. Il y a le dress code et la soumise n'est pas intégralement nue. Par les sentiments que j'ai pour Lui, je lui obéirai, si un jour... Cela me fait peur, mais je ne me dépasserai. On obéit à son Maître, peu importe la honte ou humiliation qui fait partie de la soumission, à part celle qui apprécie les exhibitions, qui sont à l'aise avec leur corps, et pour qui se montrer, n'est pas un souci bien au contraire, une fierté même et je le comprends. Fierté d'être prêtée, exhibée, sollicitée, offerte tout dépend de chaque domination, du Maître, de ses et leurs désirs, fantasmes, voir autre. Est ce que la soumission, c'est faire que, ce qui nous convient ? A quoi bon soumettre celle qui est prête à TOUT, ou est le dépassement de soi ? Pour certains, une aubaine, je ne sais !! Affronter ses peurs, c'est grandir et se dépasser. Enfin, la nudité fait partie de la soumission, les parties les plus intimes du corps de la soumise, sont exposées à la vue de tous parfois. La honte ou le plaisir qui l’envahira fera partie de sa jouissance ou de son humiliation, en tous les cas de son abandon pour Lui. Parfois, les larmes, la colère contre moi, l'humiliation et puis, devant Lui, je me suis inclinée, j'ai mis ma pudeur de coté, même si cela m'a gêné voir 'coûté', je ne me suis pas 'défilée', sourire. Je Vous avais dit que j'étais prête à beaucoup pour Vous et pas prête à tout, respect de mes interdits et de ce que Vous savez. Par la galerie qui va suivre et que Vous me demander de montrer, je vous témoigne, si je puis dire de mon respect pour Vous et par certaines de mes paroles suivies d'actes. Vous qui connaissez mes peurs, qui ne sont plus pour certaines à vos cotés. Merci d'être Vous, de Votre respect, et sincérité avec moi, par certains sentiments partagés, on se dépasse, on s'abandonne en confiance et sérénité. La beauté est éphémère !! Est ce que la beauté est un critère de bonheur !! Je ne sais pas. La beauté du coeur ou de l'intérieur ne se fane jamais, elle dure, perdure et se bonifie avec le temps. L'authenticité l'emporte sur la superficialité. Sourire. A chaque personne, je vous souhaite de 'trouver' celui ou celle qui vous convient. Se dire que pour Lui, on est capable de, et se prouver à soi qu'on peut le faire, pour moi un simple premier pas, pour certaines rien du tout, tout dépend de tant de choses. Vaincre ses peurs, s'est s'élever !!
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Par : le 18/10/13
Misouh ayant quelques difficultés à publier son récit concernant notre soirée de samedi au Donjon Nomade, je le publie en son nom...... <<j'ai été tenté,un peu envoûte a l’aéroport,notre rencontre est de suite chaleureuse... vous dégagez,une aura paisible je suis soumis a votre gentillesse,votre sourire... la prise en main fait son petit bonhomme de chemin j'irai ou vous voulez comme cela...... jamais un tel sentiment m'habite... je découvre Maîtresse Estelle,Muse,son Maître.... un agréable moment de rire,de cocasseries.. un grand moment intime Lady L m'offre une surprise, un joli string,qui depuis le matin, habille l'intimité de Lady L,,,,,, des parfums suaves caresses mon nez,,, le plaisir de la récompense !!! nous arrivons au Donjon, je suis dans un rêve.......une réalité qui m’envoûte!!!!!! Lady L retrouve ses amies, et moi je vais prendre mal devant ma chambre d’hôtel, il fait froid,humide,et tristesse m'agresse..... je pose mes affaires personnelles... et me demande ce que je fais là..... un instant,les clefs de voiture en main,je me lève pour rentrer a Toulouse j'ai envie de pleurer,ces quelques minutes passées là, on détruit ces moments de bonheur avec Lady L, sur le pas de porte,le sourire de Lady L apparaît, tout ses efforts pour rien,c'est stupide..... je me retourne,m'assois sur le lit, un brin de toilette d'usage pour la soirée!!! je texto te a Lady L... manière de sentir sa poigne sur moi, je revis,impossible de m'assoupir pour un peu de repos donc,j'enfile mes dessous dessus,et repart vers ma muse, sous sa coupe rien ne peux m'arriver..... soumis et heureux,je suis Lady L est magnifique dans sa tenue de Domina, Quelle Beauté,je suis complètement subjugué.. je n’existe plus,juste un petit soumis a ses pieds le bonheur est revenu dans ma tête... comment ai je pu douter un moment.... ensuite,Lady L saura jouer de moi,avec ses accessoires..... mes rondeurs lui sont encore redevable de plaisir, mon corps a tremblé ,s'est laissé emporter dans cette tornade ces ongles qui s'affairait a vouloir punir mes tétons, alors que nos regards ce croisaient,dans un feu d'artifice, vous avez pris possession de moi,Lady L il n'y avait plus que nous deux,VOUS et moi, dans un moment de bonheur,de douleur de plaisir....... MERCI ,Lady L,pour cela.... pour ses attentions ,même dans ma tenue, Vous avez été une Grande Lady L >>
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Par : le 12/10/13
Interracial cuckolding ? Pute à blacks ? Chiennes à rebeus ? Quelques réflexions (qui ne sont PAS une analyse – je n’imagine pas en avoir ni les facultés ni la légitimité) sur ce thème intrigant que je croise de plus en plus fréquemment dans le milieu libertin que je fréquente. (Et qui est installé depuis un bail dans celui de la pornographie - ce qui est d’ailleurs peut être une des raisons de son apparition dans la sexualité réelle de certain(e)s…) Tout d’abord un petit rappel du concept dont je souhaite parler, au cas où nous ne partagerions pas exactement les mêmes définitions des choses : Je ne parle absolument pas du fait d'être en couple mixte ou des couples vanille interraciaux! Non. Rien à voir : Les « pute à blacks » dont je parle sont le plus souvent des personnes de genre féminin*, qui dans une optique alambiquée de « soumission » voire « d'humiliation » réservent quasi-exclusivement leur sexualité aux hommes blacks, (ou qui fantasment de leur réserver), et ce, parfois sous l’influence d’une autre personne lorsqu’il s’agit de jeux (notamment D/S) en couple. (*J’entends par « genre » féminin les femmes et les travs trans qui se revendiquent au féminin, indépendamment du sexe – J’imagine aisément que le phénomène existe aussi chez les gays, mais n’étant pas passionnée ni excitée par ce milieu, je confesse ne pas avoir fait énormément de recherches dans cette direction). Notons que des variantes existent, comme « pute à arabes » par exemple. ( http://www.lyly75.com/ ). Et globalement dans ce genre de cas, quelles que soient les origines recherchées et mises en avant, le concept me semble être : « pute à étrangers ». Bien. Donc déjà premier constat : Il me semble déceler dans ces pratiques un racisme évident. Non pas un racisme « anti-blancs » qui surgirait d’une rancœur de blanche à se sentir exclue, mais bel et bien un racisme envers les blacks, arabes, turcs en question, puisque ce qui compte aux yeux de ces personnes, c’est bel et bien la couleur de peau (voire l’origine) avant tout. Et ce, pour des raisons qui ne sont pas forcément très flatteuses si on gratte un peu plus. L’homme de couleur présumé « étranger » se retrouve objetisé. Qui qu’il soit, quel que soit son physique, sa sensibilité, sa classe sociale, son niveau d’études, ou ses responsabilités, l’homme à peau noire reste … une bête : Une bête de sexe. Résumé à un ensemble de préjugés raciaux qui peuvent le rendre particulièrement excitant aux yeux de certaines personnes (ou de leurs « cocus de maris »). Et ce, complètement au-delà du moindre rapport avec les qualités HUMAINES de ces personnes « convoitées » uniquement en fonction de leur couleur, et non pour qui elles sont. Ces personnes se retrouvent donc bien déshumanisées. Généralement certaines races prisées sont mises en avant uniquement pour leurs spécificités physiques et comportementales présumées : La taille de la bite, l’endurance, l’excitante odeur particulière de la sueur, le côté « mâle dominant » etc. Les caractéristiques étant différentes selon la race recherchée. (Les arabes sont caricaturalement fantasmés comme étant forcément intégristes violents, autoritaires et irrespectueux par exemple…) On se croirait au marché aux esclaves (sexuels). Car parallèlement à la bien connue « soumination » (dont je ne vous ferai pas l’affront de rappeler la définition), ne nous y trompons pas : Les putes à blacks et autres Kabha à rebeus (sans s’en apercevoir le moins du monde) ne sont pas « au service de leurs présumés Maîtres » comme elles le fantasment : C'est en réalité bel et bien le gibier qu’elles chassent qui se retrouvent à leur service. Pour régaler bobonne quand elle a ses chaleurs, et qu’elle a besoin du coup de bite exotique qui l'excite. Bobonne, ou Monsieur d’ailleurs. Car il est apparemment pas mal d’hommes qui adorent l’idée de voir leur femme (ou même plus généralement les femmes) être résumées à des « salopes pour étrangers ». (Exemple ici : http://sousmembre.centerblog.net/ ) Chez les hommes aimant être humiliés (revendiqués ou non), l’humiliation ressentie (et donc l’excitation) semble souvent décuplée par la race de celui qui humilie... (Et ça me semble aussi valable avec certains rapports cocus / cocufieur). Cela doit bien avoir une origine inconsciente et profonde ? Et tout ça me semble donc bien révélateur du fait qu’il se sentent soit inférieurs soit supérieurs, mais en tout cas sûrement pas à égalité : Il y a donc là encore une évidente forme de racisme, pourtant inexplicablement déguisé en l’inverse, comme en attestent par exemple ces quelques photos du site que je viens de mettre en lien : Bref vous avez compris où je veux en venir. Là je me suis attardée sur l’idée du « à blacks ». Mais sans doute serait il également intéressant de s’interroger aussi sur la 1ere partie de l’expression : « Pute ». Ces nanas ne sont pas des putes au sens propre, puisqu’elles baisent gratos. Alors pourquoi « putes » ? Bien évidemment pour s’humilier elles mêmes, et par jeu une fois encore. Se traiter (et se faire traiter) de pute, c’est potentiellement dans leur esprit « se mettre à niveau » des blacks sur lesquels elles focalisent leurs fantasmes de copulation. C'est-à-dire une « dégringolade ludique et affriolante » de l’échelle sociale. Et qui résulte du fait non seulement raciste mais également insultant pour les travailleuses du sexe que les termes « pute » ou « black » conservent indéniablement des connotations particulières. (Péjorative pour le premier, et garnit de préjugés pour le second). Au point de provoquer une excitation née de l’humiliation de se rabaisser à devenir non seulement une « pute », (à savoir ressentir l'humiliation et la honte de pouvoir disposer de son corps beaucoup plus librement tout en prétendant le contraire) mais qui plus est, la pute des « étrangers ». Tiré par les cheveux ? Exemple sur ce site : http://lucyfemellesoumise.erog.fr/ Je recopie cette petite phrase écrite apparemment par le Maître de la dame, et visible sur la page d’accueil : « Bravo ma chienne, ton Maitre est fier de toi et tu vas tres bientot devenir cette pute a black dont tu rèves. Tu es déjà bien avilie et celà n'est qu'un debut tu finiras comme une truie de ferme juste bonne a satisfaire les instincts primaires des animaux. » Je terminerai sur le racisme supposé de tout cela, en faisant remarquer que dans le porno dont je parlais au début, le racisme est presque aussi largement exploité que les femmes : Exemple : Allez sur un site de vidéo x généraliste : Je vous mets au défi de ne pas trouver une rubrique « blacks » ou « interracial ». C’est devenu un style à part entière, relatif à l’objetisation totale d’une sorte de « fétichisme négrier ». (Exemple : Les cartoons de John Person, consacrés quasi exclusivement à l’interracial et regroupant à peu près TOUS les préjugés racistes sur les blacks et misogynes pour les femmes : http://www.johnpersons.com/index2.shtml .) Eh bien vous voulez que je vous dise ? Je suis parfois cliente non seulement de cette pornographie, mais même de cette fantasmagorie. (Ex : Je suis fan de John Person, et les gang bangs de blacks ça m'excite! ) Suis-je de fait raciste ? Probablement un peu, indéniablement. (Difficile de ne pas le constater après cette petite démonstration). Mais ? Au fait ? Suis-je également misogyne en consommant du X, et en préférant m'avilir dans un rôle "féminin" ? Oui, aussi, un peu d’une certaine façon. Misandre ? Ah ça... Peut être encore plus que le reste… Homophobe ? Transphobe ? Misanthrope ? Oui oui oui, j’avoue. Mais j’ai toujours l’impression que ce n’est pas « grave »… Parce que j’ai naïvement l’impression possiblement fausse que mes haines et phobies sont « dosées correctement ». Comme vous le constatez, une fois de plus, je ne m'exclus donc pas de la mécanique que je prétends dénoncer. Loin de moi l'idée prétentieuse de moraliser quiconque, ou de faire la leçon à ces gens que je cite pour illustrer mes propos : Ils pourraient eux aussi très légitimement disserter sur mes nombreuses petites particularités comportementales. Tout ça pour dire qu’il me semble que la phobie et la haine existe en chaque personne à des degrés différents. (Puisque chaque haine/ tolérance a son inverse : « fachos » et « anti-fachos » ne sont que les deux faces d’une même pièce, d’un même ying-yang, qui ne me semblent acceptables que tant qu’ils ne sont pas déséquilibrés au point d’influer négativement sur la vie des autres… (Mais c’est finalement toujours un peu le cas malheureusement…) La prochaine fois, je m’attarderai peut être aussi sur l’esthétique nazie qui s’invite parfois de façon dérangeante – ou non, dans les fantasmes de domination / soumission de certain(e)s, et qui ne manque jamais de choquer lorsque cette imagerie érotique devient publique : C’est finalement un peu le même thème au fond, en y réfléchissant bien : Est il malsain ou non d’érotiser nos propres déséquilibres ? Et cela va-t-il dans le sens de nous « rééquilibrer » en les exorcisant, ou au contraire de cultiver nos aliénations ? Je n’ai pas de réponse. Un peu des deux sans doute…
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Par : le 05/10/13
Nous y étions enfin !! Je dis enfin car la veille, de part votre déclaration oui vous vous êtes fait mienne, acceptant de fait ma domination sur vous . Le mot Maître que vous refusiez de dire jusqu à présent est sorti de votre bouche spontanément alors que vous étiez prosternée , nue face à moi, geste symbolique s il en est un pour l un comme pour l autre, de par cette action et de vos mots prononcés vous m avez offert ainsi votre soumission totale envers moi et je l ai accepté ,confiant quand à vos capacités et vos réelles envies de progresser dans ce domaine. Pour vous remercier de votre confiance, cette nuit je vous ai envoyé un mail ne détaillant que le début de notre rencontre de ce jour, vous permettant ainsi de vous imaginer mille façons dont se pouvait se dérouler le reste de cette journée. Vous connaissant je sais oh combien cela vous met en émoi et voir même vous stresse dans le bon sens du terme bien sur. Maintenant que vous étiez mienne je vous avais prévenue que je vous voulais également chienne, il n y a rien qui m excite plus qu une bonne chienne soumise vous avais-je dit ce a quoi vous m avez répondu que l idée était non seulement séduisante mais aussi et surtout très très excitante.... Mais le sujet de ce jour, de ton premier jour avec moi serait basé sur la confiance, totale, oui totale voir aveugle car c est seulement celle-ci qui t aideras à progresser voir te surpasser . sans elle aucune relation quelle qu elle soit ne peut être envisagée sur le long terme. Je suis arrivé avec un peu d avance, restant dans ma voiture car il pleuvait très légèrement. Cet endroit habituellement agité était ce matin bien désert, quel dommage , du coup je regrettais un peu mon choix du lieu , j aurai tant aimé pour votre 1er jour de soumise vous mettre à l épreuve dans ce genre d exercice, a voir si un peu plus tard il y aura un peu plus d animation je me suis dit. Pourtant l endroit est très touristique en été , ce que ne rend pas ce grand parking si vide, mais en observant l entourage je voyais bien que la veille il avait du y avoir du passage car il restait quelques immondices au pieds de certaines tables de picnic disséminées ici et là. 10:00 tapantes et j apperçois ta voiture entrant sur le parking, tu me dépasse et part te garer dix mètres plus loin coupant de suite le moteur. Je te devine t affairant à te préparer telle que je te l ai demandé, cela dure quelques minutes puis enfin tu sors de ta voiture.. De suite je saisis mon appareil photo et te mitraille, tu es resplendissante avec ton côté chienne bien mis en avant, la vision que tu m offres ainsi est super excitante... Tu es vêtue d une robe moulante blanche avec un décolleté à la base très échancré mais aujourd hui et comme je te l avais exigé tu as sorti tes beaux et gros seins lourds écartant de fait au maximum ce décolleté, tu avances doucement mais même ainsi à chacun de tes pas tes gros seins exposés ainsi à l air libre ballottent gentiment de droite à gauche, Tu marches la tête haute le dos bien droit mettant bien en avant et en valeur ta belle poitrine, la pluie si fine de mon arrivée laisse la place à une autre plus drue mais en aucun cas tu ne te dévies de ton devoir , ta robe déjà bien imbibée d eau se fait à chacun de tes pas de plus en plus transparente, maintenant on voit plus qu on ne devine que tu es bien nue sous ta robe qui laisse bien voir clairement ton dos et surtout tes fesses... Tu traverses ainsi ce grand parking jusqu à aller te poster devant une de ces table de picnic et tu m y attend totalement immobile. Après avoir pris un petit sac ou j avais placé quelques affaires et objets je me suis dirigé vers toi et une fois arrivé juste derrière toi, presque collé à toi je t ai dis : Penche toi en avant sur cette table, et mets tes bras le plus loin et en avant possible aussi. Une fois fait, d un coup sans te prévenir je t ai remonté ta robe jusqu à la taille puis te l ai retirer complêtement laissant tes fesses nues à ma vue. La pluie ne les recouvraient pas et l eau ruisselait sur celles-ci allant jusqu à s écouler dans ton intimité , vision super excitante que celle-ci, j adore ... Je t ai ordonner d écarter un maximum les cuisses et t ai posé des menottes aux chevilles . De celles avec une chaine en métal entre chaque extrémités , puis de mon petit sac j ai sorti un plus anal taille moyenne que je n ai eu aucune difficulté à t introduire , doucement quand même ,vu l écartement de tes fesses, ensuite j ai pris tes mains et je les ai nouée dans ton dos et pour finir je t ai bandé les yeux et t ai aidé à te redresser. Le temps semblait jouer au yoyo avec nous car il ne pleuvait presque plus, juste quelques fines gouttes tombaient encore , et les températures malgré ce temps étaient encore très douce en cette saison. Je t ai pris par le bras te guidant ainsi durant quelques mètres ,jusqu à que tu te trouves en plein milieu du parking puis t ai fait faire un tour sur toi même avant de dire qu à partir de cet instant il faudra que tu te fies à moi voix et à ma voix seule , je te demandais de ne pas bouger et de ne réagir et agir seulement que sur mes ordres. Ensuite je me suis éloigné d un pas rapide te laissant seule et désemparée Je me suis posté à une bonne quinzaine de mètre de toi t observant, de sereine au début, ton angoisse se faisait plus présente au fil des minutes qui passaient. J ai laisser filer le temps une bonne dizaine de minutes ainsi avant de te demander de faire à nouveau un tour sur toi-même , seule sans aide les chevilles entravées et les mains nouées dans le dos, et sans un appui quelconque tu as peiné manquant de peu de tomber à plusieurs reprises puis tu as stoppé. Alors d une voix forte je t ai demandé de venir me rejoindre en t aidant de ma voix comme guide et qu il fallait que tu me fasses complètement confiance et que j allais t aider à passer et surmonter certains obstacles voir même certaines peurs bien ancrées en toi. Ce petit jeu a duré pendant presque une demie-heure et finalement, fatiguée à la limite des larmes tu es arrivée à mes pieds. Je t ai enlevé tes entraves , des pieds, des mains ainsi que ton bandeau puis je t ai pris dans mes bras tout en te félicitant chaleureusement et en t embrassant et te frictionnant un peu. Je suis fier de toi, vraiment très fier , cette épreuve oh combien difficile tu l as passé haut la main et je sais aujourd hui qu à partir de maintenant, nous allons toi et moi allez très loin dans cet univers que nous avons choisi t ai-je dit en te regardant droit dans les yeux. Tu as mérité ta récompense , une très bonne récompense même, viens ... Je t ai pris par la main et nous sommes retournés vers les tables, je t ai demandé de t allongé sur une table ,sur le ventre ,de bien écarter tes bras et tes cuisses, et surtout de ne rien dire, pas un mot , pas un cri . Quel spectacle c était de te voir ainsi toute nue sur cette table, je t ai remercier de cela, hum que j aime te voir ainsi... J ai sorti de mon sac un petit fouet et t ai demandé combien de coup de fouet tu estimais avoir mériter pour ta prestation de tout à l heure , Le nombre qu il vous plaira Maître m as tu répondu. J ai bien insisté sur le fait que c était ta récompense et que donc en gage de remerciements aujourd hui et seulement ce jour tu aurai le droit de choisir . Tu m as répondu par un merci Maître, alors svp j en voudrai 30. D accord mais c est toi qui va les compter, je vais aller de doucement à de plus en plus fort , mais si jamais tu avais trop mal dis le moi et je stopperai tout car il est hors de question que je te blesse. Les cinq premiers à peine appuyés ne t ont même pas fait effets mais à partir du sixième et ce jusqu au trentième ton corps n a cessé de sursauter de plus en plus haut et fort mais jamais tu n as laissé échapper un cri , pourtant je t ai vu parfois agripper très fortement la table tu en avais les muscles tendus à l extrême , surtout sur la fin. Quand je me suis approché de ton visage pour t embrasser j y ai vu couler des larmes , que j ai prises pour des larmes de douleur m empressant de te prendre dans mes bras tout en te disant que je ne comprenais pourquoi tu ne m avais pas demandé d arrêter ? Et là esquissant un petit sourire au travers de tes larmes tu m as répondu de ta petite voix toute douce , non mon Maître, je ne pleure pas de douleur , je pleure de bonheur , celui d être à vous....totalement à vous , je vous aime . Aujourd 'hui grâce à vous j ai réussi a surmonter tant d épreuves ,tant de blocages que j avais enfouis au plus profondément de moi-même et en plus j y ai ai pris énormément de plaisir, et je vous en remercie beaucoup... Je suis à vous pour toujours... Maître .
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Par : le 26/09/13
Que de temps et d expériences passées depuis ma première branlette d adolescent pré-pubère un soir seul dans ma chambre. D extrêmement timide à mes débuts je suis passé, au fil de mes expériences à l homme plein d assurance que je suis aujourd hui. Des femmes, j en ai connu dans ma vie , beaucoup, j ai eu très tôt l avantage de leur plaire ce qui m a grandement facilité la vie je dois bien l avouer. De curieux je l ai toujours été et ce même à mes débuts , mon attirance pour le sexe et tous les plaisirs qui en découlaient ne s est jamais démenti bien au contraire allant jusqu à multiplier les expériences afin d en découvrir chaque jour davantage. Et plus je faisais de découvertes plaisantes plus cela m excitais et m encourageais à aller de l avant. Au fur et à mesure de mes rencontres et devant le succès rencontré, j en demandais chaque fois un peu plus , ce petit plus qu on me refusait guère tant les plaisirs étaient bien au rendez-vous. Mais pour moi mon plaisir est et a toujours été celui de ma partenaire, il n y a rien de plus enivrant à mes yeux que d entendre une femme prendre du plaisir , petit à petit cela devient comme une drogue . Chaque femme a sa propre façon de l exprimer , certaines juste dans un souffle, seul leur corps montrant son expressivité dans un élan de soubresauts non contrôlés, d autres plus expressives laissant échapper quelques petits cris bienvenus dont elles essayent d en maîtriser l intensité et enfin les plus plus démonstratives, celles dont bien des années après l on se souviens encore, qui hurlent leur plaisir , hurler est bien le bon mot, et même quelques perles rares qui allient hurlements et soubresauts violents non contrôlés allant jusqu à se cogner dans presque tous les recoins et ou meubles de la pièces tant (j exagère très peu) elles sont incapables de se maîtriser. La première fois qu on entent hurler de jouissance une femme, le premier réflexe est de lui mettre la main sur la bouche afin d en diminuer le volume, pensant de suite aux voisins et à leurs futures plaintes, puis après avoir acquis une certaine maturité due au contact régulier de femmes ayant cette particularité on se surprend à vouloir la faire crier plus fort encore pour ainsi le lendemain et les jours suivants croiser ses voisins la tête haute tel un gladiateur entrant dans l arène, et aussi ses voisines elles plus qu envieuses bien que se refusant à le montrer... Comme quoi les hurlements de plaisir de votre partenaire vont vous procurer certes un grand plaisir immédiat mais aussi qui devrait durer plusieurs jours voir semaines tant les regards que les gens poseront sur vous vous amuserons. Femmes je vous aime comme l a si bien chanté Julien Clerc , j ai eu la chance de rencontrer des femmes merveilleuses, délicieuses, passionnantes, attachantes, J ai longtemps chercher la femme parfaite ,celle qui me correspondrait totalement qui comme chacun le sait n existe pas tout comme l homme parfait d ailleurs. On m a souvent prêté plus de relations que je n en ai eu en réalité, me gardant bien de démentir telle ou telle affirmation car servant à ma cause lol. Petit à petit mes désirs et ou orientation de domination se sont fait de plus en plus présents, allant presque à devenir une obsession, j ai donc orienté mes recherches dans ce sens et j ai eu la chance encore une fois de rencontrer des femmes qui avaient les mêmes aspirations que moi dans ce domaine si particulier parmi lesquelles certaines avaient déjà eu des expériences BDSM et d autres étaient de fait réellement soumises. Grâce à mon imagination débordante et bien qu étant relativement novice dans ce milieu, aucune d elles ne s est offusquées de mon manque d expérience, et il m a fallu peu de temps pour en comprendre les effets bienfaiteurs que ceci pouvait apporter dans une relation. Bien qu appréciant de plus en plus les relations D/S , j alternais durant des années les relations "vanille" avec celles bdsm, que voulez vous, le coeur a ses raisons que la raison ne connait pas et lorsque j étais en mode "vanille" au bout de peu de temps, a chaque fois j ai essayé d éduquer l autre pour l amener vers cet univers dont bien qu amoureux d elle je ne pouvais masquer davantage et bien que j ai connu quelques belles avancées plutôt spectaculaires avec certaines, elles n en avaient hélas pas l esprit , beaucoup trop de contraintes souvent incontournables ont fait que ces relations se sont toujours soldées par un échec, car finissant par me lasser je les quittais. J ai souvent fait souffrir je le sais et le regrettes vraiment. Et des souffrances après le décès de ma chère Isa j en ai infligé plus que de raison. Multipliant les rencontres je rompais des que je sentais poindre les prémices de quelques sentiments forts et ou l amour, que se soit de leur coté ou bien du mien. J ai ainsi gâché quelques belles relations avec des femmes dont leur investissement , leur amour ne méritait pas pareille sanction . Il m a fallu du temps, plusieurs années avant qu enfin je m apaise et retrouve en moi cette tranquilité d esprit . Maintenant au jour d aujourd hui ,oui je me sens prêt , prêt pour explorer, vivre, et découvrir sereinement, à deux , ce monde merveilleux qu est le BDSM
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Par : le 26/09/13
Le ruban de l'autouroute semble interminable. Les phares trouent la nuit avec ceux des autres voitures, voisines et compagnes de route éphémères. Il rongeait son frein depuis si longtemps, et aurait volontier mordu pour que le Sablier de Chronos s'écoule plus rapidement. Mais il a fallu faire preuve d'une impitoyable patience.Le village est endormi. Pas un bruit. Il l'appelle en lui envoyant un message afin qu'elle sorte et qu'elle le découvre. Il avait changé depuis la derniére fois qu'il s'était vu. Déjà, il n'était plus le même... tellement de choses avaient changé, évolué, ... voir chamboulé.Elle sort. Moment magique de retrouvailles, tant attendues. Moment de douceurs et de tendresses, échanges de regard; ils mangent ensemble et lui se détend. De la route, certes, mais de la suite. Leur première rencontre était la découverte, mais il sait qu'un grand pas va etre fait. La base de leur rencontre était le BDSM. Notion connue par Lui, mais uniquement en virtuel. Jamais de réel, que des discussions en tchat, forums, ou la lecture de livres et articles ou le visionnage de films ou clips. Ce monde correpond à ce qu'il rêve depuis plus de 10 ans, mais il est toujours resté à l'état de fantasme, d'imaginaire. Et il est à 2 doigts de concrétiser cela.Ils en avaient parlé longuemment avant. Il lui avait exprimé ses gouts, ses attirances, ses espérances, mais aussi ses doutes et son point de vue sur cette passion et le role du Dominant, à ses yeux. Le Dominant, pour Lui, est la personne privilégiée qui peut tout faire de sa Soumise. Mais cela signifie qu'il se retrouve, sous ses mains, avec un corps donné, offert, inoffensif et terriblement vulnérable. L'Ame aussi lui est offert. Quelle responsabilité de se retrouver en quelques secondes avec Tout Ca dans ses mains, soumis à ses Envies, à sa Merci. Ce concept prend une toute autre tournure quand ce moment approche .... C'est un peu comme le plongeur qui découvre pour la premiére fois le grand plongeoir, en vrai et plus en photos.Elle l'avait rassuré, calmé ses doutes. Et puis, ce n'etait pas la premiére fois qu'il se voyait. Mais un grand monde inconnu se dessinait. Lui qui ne connaissait ni ses réactions, ni celles de sa Soumises. Allait-il être à la hauteur et pourrait-il prolonger ce rêve qui a débuté merveilleusement bien ? Elle avait beau le rassurer, il était inquiet. Au fond de Lui, il n'oubliait pas une chose. Il n'y avait que cette petite crainte du pas à faire pour que sa personnalité BDSM ressorte. Comme le plongeur qui sait sauter et nager, mais qui lui manque la petite impulsion pour se jeter à l'eau et nager comme un poisson. Il connait son rôle et veut le jouer. Rôle qu'il veut jouer et convoiter depuis si longtemps; il l'a. Il a ce rôle. Mais ce n'est pas sans émotion qu'il s'assied dans le canapé et appelle sa soumise pour qu'elle le rejoigne. Il la fait mettre à genoux devant Lui. Il pose sa main sur sa joue et améne sa tete contre sa cuisse. C'est une caresse riche en émotion et si intense qu'il sent lui même battre son coeur. La tête de sa Soumise sur sa jambe, appuyée pas sa propre Main ... Quel geste riche en symbolique ! Puis, il lui offre un peignoir afin qu'elle n'est plus froid chez elle. Sa Soumise n'est pas qu'une simple soumise, un objet de désir; il tient par dessus tout à son bien-être, son bonheur. C'est ainsi, pour lui, qu'un Dominant vit avec sa Soumise. Elle lui offre son Corps et son Ame, a Lui de Veiller sur Elle et à son bonheur.Cassé par le voyage, et affectionnant particuliérement les massages, Il va prendre une douche avec elle, Lui demandant de le masser le long de la colonne. Le voyage a été épuisant et il l'a mérité.Enfin, encore un petit moment de complicité quand ils se retrouvent tous les 2 dans leurs peignoirs respectifs, à se blottir l'un dans l'autre pour se réchauffer.Le moment tant attendu approche, mais elle fait durer en Lui demandant de s'allonger pour lui offrir un autre massage, fortement apprécié. Il ne s'en lasse pas et se détend intégralement.Enfin, les objets du désir, fantasmés sont sortis. Il les prend en main, les teste sur Lui. C'est donc ca, en vrai. Ca fait donc ca, en vrai. Elle l'avait rassurée sur de nombreux points, dont leur utilisation. Il commence alors doucement, demandant a sa soumise son ressenti. Trop fort ? pas assez ? Il jauge, ajuste. Mais trés rapidement, son esprit réfléchi se détend et est progressivement remplacé par celui qui était enfermé jusqu'à présent. Ces objets de fantasme deviennet des jouets, des instruments de plaisir pour le Sien et ceui de sa Soumise. Il prend ce plaisir intense de la voir sursauter, gémir sous ses mains et prendre du plaisir.Il joue, il laisse parler son Coeur de sadique, son imagination; il joue avec les réactions de plaisir de sa Soumise; il joue a faire monter le plaisir et le désir de chacun d'eux. Il joue. Ces gestes qu'il appréhendait il y a encore seulement quelques heures sont devenus naturels et déconcertants en plaisir. Quel bonheur intense de pouvoir manier cette cravache qui se balade partout sur Elle, lui arrachant des cris et gémissements de plaisir. Quel bonheur de la fouetter avec le martinet en laissant parler ses sentiments. C'est un véritable soulagement pour Lui qui craignait ce moment de passage au réel. Il est à présent comme le poisson dans l'eau. Une véritable délivrance s'est emparée de Lui au moment même où une étrange agréable sensation de légèreté et de bonheur s'empare de Lui. C'est un moment unique que cette premiére fois. Il est là, sa soumise sous ses mains. Elle s'abandonne à Lui, à ses mains, a ses claques, coups, fessées, toutes ses volontés. Moment délicieux que ne peuvent égaler nul autre cadeau. Recevoir ainsi le Corps et l'Ame de sa soumise est d'une valeur inestimable qu'il s'applique d'honore en faisant rougir et chauffer cette douce peau, perturbant les sens, usant tant qu'il veut de la cravache et du martinet.Le jeu est si délicieux qu'il prend plusieurs formes. Il se laisse aller a tester autres chose. La curiosité d'en savoir plus, mais le bonheur de pouvoir toucher enfin du réel le pousse à aller un peu plus loin, a tester d'autres materiels. Mais il restera là. Le moment est déjà intense et magique. Ils sont comblés et partagent enfin pour de vrai leur passion, cette passion qui les a fait tchater, telephoner, discuter, se rencontrer, puis, s'aimer.L'aube ne tardera pas a se lever quand ils s'arrêtent, surpris du temps qui est passé si vite mais ô combien unique et délicieux.Retrouvant un moment de tendresse amoureux, ils s'endorment ensemble, emportés par des rêves d'espoir, de plaisir, d'avenir, de bonheur partagé vécu et à vivre prochainement.Il n'est de plus beaux rêves que ceux qui deviennent réalité. Ils sont comblés, heureux d'avoir avancé sur Leur Chemin à Eux Deux, heureux d'avoir vécu ce premier jeu ensemble. Ces 2 jours exceptionnels passent sous un ciel sans nuage, garnis de moments de rire, de tendresses, de partages, de complicité, de petits gestes, de bonheur.Il a envie d'aller loin avec Elle. Il sait, et Elle aussi, que leur Route ne fait que commencer. Lui sait que cette route sera particulière. Ayant horreur de voir des aiguilles, ou autres machins de ce genre, rentrer dans la peau, il se surprend à choisir et voir la pose des nouveaux piercings aux tétons d'Elle. Il se surprend aussi à vouloir, en toute sincérité, assister à la création de la suite du tatouage de son Bijou.Beaucoup de choses ont changé en Lui depuis Leur rencontre. Il sait que ce n'est pas fini. Par la tendresse et le fouet, par les calins et la cravache, par les petits gestes d'affection et les cordes, par les moments de complicité et de Domination , par les rires et les cris, Ils s'aiment tous les 2 et peuvent vivre leur passion intensément et librement.Mais le Sablier coule toujours, et vient le moment pénible de se séparer. Torture commune subit par tous les 2, mais moment aussi unique où chaque mot, chaque phrase a une valeur inestimable pour l'oreille de l'autre.Mais encore plus fort que les mots ou les caresses intenses et désespérées : le regard. Ce regard qui traduit toute la tristesse de la séparation, mais tout l'espoir de se retrouver rapidement. Ce regard, à la fois celui du Dominant et de l'Homme, de la soumise et de la Femme qui vient taper le Coeur pour lui rappeler qu'un autre Coeur bat aussi pour lui.Les yeux pleins d'étoiles et d'emotion, le Coeur rempli d'Amour, dans un Esprit nouveau et libéré, il reprend le volant sur ce long ruban qu'il espére voir fortement réduit.En attendant, ils se reverront trés bientot pour vivre leur Amour 2 semaines d'affilées....Je t'aime....
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Par : le 24/09/13
De la Femme Dominatrice.... Je sais que je vais "ramasser grave", mais m'en fout... Femme Dominatrice disais je ... Je pense que cela ne s'improvise pas. Comme on ne s'improvise pas "soumis". J'en ai cotoyé, j'ai été aux pieds de certaines. J'ai pu mesurer certaines fois leur grandeur d’Âme (et à chaque fois, j'ai retrouvé la FEMME, fragile, mais si forte, tellement plus forte que nous... respect, il n'y a pas photo...) ,mais souvent leur bassesses. On peut avoir des tendances dominatrices, et être très loin de cette stature... A des années lumières. Et je ne veux pas qu'a ce stade, vous me taxiez de partialité. Une Dominatrice a une hauteur de vue, une classe, une prestance, devant lequel le soumis ne peux que s'incliner. Et ne venez pas me dire que je suis dans un monde de bizounours, comme j'ai entendu récemment. Une Dominatrice ne s’arrête pas à ça. Elle EST. Point. Le soum doit se fonder dans les pas de sa Maitresse, œuvrer pour son plaisir. Ne pas penser que c'est à sens unique. Maitresse est là, qui veille sur son soum, qui va l'emmener plus loin, qui va lui apporter (un peu) ce qu'il attend, mais encore plus loin, vers des domaines qu'il ne soupçonne même pas. Non, pas de récriminations du style, je rêve, je suis à l'ouest , nul, j'y connais rien etc, je sais que vous etes plus affutés pour ça que moi... Dans cette relation, un mot et un seul doit émerger: Communication. Parole, dialogue, échange, appelez ça comme vous voulez. Mais les yeux dans les yeux, bugne à bugne... Pour avoir les intonations de la voix, les nuances dans les yeux, les frissons de la relation en LIVE. Reprendre ses propres erreurs comme un boomerang, DIRE ses frustrations,recevoir en pleine face ses propres insuffisances... Parler... Avancer, progresser vers l'autre.... Mais une telle relation reste , pour moi "transitoire", je veux dire que ce moment reste exceptionnel, car la vie, les emm... vous dezinguent rapidement. Et ceux qui arrivent à vivre une relation " long shot" sont pour moi des extraterrestres. Certaines se reconnaitront ... Maitresse Marika, qui ne doit pas etre sur ce site, Maitresse Ophélie, qui hélas, n'est plus de ce monde... ( cf Cactustory, idem). Bon, je m'égare. Dominatrice, disais je.... Pas de gestes "grandiloquents", de pseudos coups grand guignolesques.... Pas d'injures déshonorantes ( bon, certains aiment, respectons la diversité)), juste un geste du doigt, impérieux, qui vaut toutes les paroles... Mais aussi une tendresse, une , comment dirais je?, indifférence mais " je suis touchée que mon soum ait pensé à ça"... Et un merci... Attention, pas merci...merci. Un remerciement par oserai je dire une "amoureuse sévérité" qui va encore resserrer les liens ( ben wi on ne s'en sort pas) entre Tori et Uke.... Alors , je fatigue de vivre des choses avec des "impostrices???? Pour le moment, dans ma vie, la seule chose qui ne trompe pas, c'est la corde. Pas ces pseudos dominas qui cachent leur propre insuffisance derrière tellement de paravents. La corde. Elle qui m'envoie si haut, qui me fait tant décoller que j'en perd conscience... Elle qui ne trahi pas, qui juste serre et fait voyager. Soul... Feel....... & Ropes ...... Just Kinbaku ! Vous reconnaitrez cette devise, elle n'est pas de moi... Mais elle est tellement vraie. On dit qu'il faut regarder le verre à moitié vide ou à moitié plein... (dur quand on est " presbyte" comme j'ai entendu..) La corde me fait remplir le verre, une Maitresse me le fera déborder... Mais une MAITRESSE.
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Par : le 22/09/13
Les soumises sont des sadiques ! Prenez une soumise réelle qui vit réellement sa soumission comme un Art de vie et confiez-lui des soumis en lui ordonnant de leur faire du BDSM. Au départ la soumise refuse et râle en vous disant qu'elle n'est pas Maîtresse. Elle insiste même en vous rappelant qu'elle est soumise dès fois que vous l'auriez oubliée...... ! Insistez en lui rappelant qu'une soumise n'a pas à discuter les ordres de son Maître. Si besoin est, annoncez qu'une protestation ou un refus sera sanctionné d'une punition. (Chez moi les punitions sont redoutées car ce ne sont pas des jeux BDSM) Regardez-la partir en râlant et observez attentivement. Vous constaterez que si la dite soumise est bien soumise, passé les premières minutes l'ordre de dominer sera exécuté avec une certaine forme de sadisme. CONCLUSIONS PERSONNELLES et plusieurs fois constatées : Les réelles soumises ne sont pas domina et ne switchent pas, dominer ne les intéresse pas et les ennuie fortement, elles feront l'effort si elles n'ont pas le choix. La domination qu'elles mettent en place (puisqu'elles n'ont pas le choix) risque de vous surprendre de part leurs côtés pervers et sadiques. ET LE PIRE c'est que si ces soumises sont maso, les pauvres soumis risquent de souffrir car elles adaptent la puissance des coups et actions en fonction de leur propre masochisme ! Aie aie aie si le soumis n'est pas maso..... Personnellement (en grand pervers que je suis) j'adore faire dominer mes soumises parce qu'elles râlent mais exécutent mes ordres et les regarder m'amuse beaucoup. J'aime voir les rictus sur leur visage. Si comme moi vous aimez observer, vous serez surpris. Les soumis n'apprécient pas toujours (rire) mais ont-ils le choix ? Après une séance de domination réalisée par une soumise contrainte de dominer, une reprise en main de votre part est aussi salutaire qu'une bonne douche pour Hercule après ses grands travaux. La soumise ne vous en sera que plus reconnaissante...... J'ai fait le test avec deux soumises, si les approches sont différentes, les résultats sont les mêmes, les soumis « dégustent » et je m'amuse. TSM Maître et psychopathe en chef chez Fessestivites
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Par : le 17/09/13
Il était "marié". Marié non, mais vivant maritalement avec la mère de ses enfants depuis presque 20 ans. En secret, mensonge par omission, il était allé chercher une soumise sur le Net, soumise novice qui ne lui convînt pas. Il créa un événement, une "soirée" (ah non c'était en après-midi, un dimanche !) shibari. Une réussite, plutôt. Malgré l'humidité des caves, la peinture pas sèche, la vie quoi, le bordel. Après des heures passées à attacher chacune, dans une ambiance bon enfant, il la vit, là. Elle. Touchante. Morte de fatigue. La gueule en vrac. Rousse comme elle respire. Un potentiel. Il alla (Ali ? Allô ? Oulala ! C'est l'hallu ! L'hallali !) lui proposer de l'attacher, ce qu'ils firent. Sous le regard des spectateurs, pour la plupart hors-circuit BDSM, ce qui était une grande victoire pour lui en tant qu'organisateur, ouvrir cette pratique au plus grand nombre, il essaya de la suspendre... malgré son mètre 80 à elle (enfin 78,5) et son format XL, du genre qu'on n'escalade que par la face nord. Erreur d'inexpérience. La douleur et la peur de la femelle accrochée se faisant sentir et manifester, il la décrocha instantanément. Un ratage, pas un râteau. Ils échangèrent leurs numéros de téléphone afin de ne pas rester sur cet échec. Une quinzaine de jours après, retour sur les lieux du crime. Pour une session shibari et photo privée. Après la session, pantoufles et robe de chambre pour le modèle dans la cave voûtée fraîche et humide, ils burent une pinte de bière ensemble. Ou peut-être deux. Ou trois, qui sait ? - Lui : quel est ton rapport à la D/S ? - Elle : J'ai été soumise, je suis Domina, je ne souhaite plus ce type de rapport pour l'instant. Sauf si... De ce jour, il ne se quittèrent plus sur le Net, passant leurs journées ensemble à tchatter ardemment.. Jusqu'au jour où... elle évoqua l'idée qu'elle puisse le dominer. - Lui : tu mérites une bonne punition pour avoir eu une telle pensée impie. - Elle : Pardon Monsieur. - Lui : tu as 1/2h pour qu'on se retrouve devant la mairie du 4ème, prends dans ta cuisine une spatule en bois, ce sera l'outil de ta punition, tu en auras 30 coups. Il était 23h30. L'automne frappait à la porte. Une petite pluie fluette essayait de mouiller la terre et les corps, sans y parvenir. 23h59. Il la voit qui attend devant la mairie, pantelante de peur encore d'être en retard. Il lui fallait 40 minutes pour qu'elle vienne, et elle a tenu le délai. Elle s'est mise en danger pour ça. Il se dit que plus jamais, il ne commettra cette erreur, encore une prise de risque de cette femme qui fait tout pour se rendre digne de l'Homme, du Dom qu'il apprend encore à être à l'époque.... De chaque côté de la mairie il y a un square. A gauche un square pour enfants, en général assez fréquenté, et surtout dans l'ensemble assez accessible visuellement. A droite de la mairie, le square des vieux, beaucoup plus à l'abri des regards. Mais de toute façon, en cette nuit d'automne pluvieuse, personne dans les rues ni le nez aux fenêtres des nombreux vis-à-vis potentiels. Il l'entraîne par la main jusqu'au parc des chenus. S'assied sur un banc, lui fait baisser culotte. L'installe OTK. Elle lui donne sa spatule. - Compte. Et remercie-moi. Et le premier coup tombe. - Un. Merci. - Un qui ? Merci qui ? - Un Monsieur. Merci Monsieur. Et les 30 coups de spatule marquent son cul à elle de sa marque à lui, sublime cul rouge offert et frémissant. - Met-toi à genoux, tu as mérité l'autorisation de me lécher la queue à travers mon pantalon, dit-il. Et elle s’exécute, léchant et suçant le chibre dur à travers l'épais coton du treillis, tandis que le crachin s'échine et s'acharne à essayer de les humecter tous les deux, sans succès. Il la fait se relever, la prend dans ses bras, ils s'étreignent tendrement, et il l'embrasse. et ils ne passèrent plus un jour sans se voir physiquement. Jusqu'à ce que... Il apprendra plus tard que sans ce geste de tendresse, elle n'aurait pas donné suite à l'histoire. Mais la suite de l'histoire ne sera pas dite ici.
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Par : le 14/09/13
La Première fois... C'était un cadeau de mon Maître; on toque à la porte, il me dit va ouvrir... Je traverse la chambre à pas lents, je ne sais ce qui m'attend derrière cette porte. J'ouvre et je découvre une soumise à genoux, les yeux bandés, habillée d'une robe sexy noire. Mon Maître me dit "elle est là pour toi... Elle est à toi..." Il va s'installer sur une chaise dans la chambre et me regarde, m'observe... Je la relève, elle est un peu plus petite que moi je lui tiens les mains. Je repousse la porte, je mets la soumise adossée à la porte; je la détaille, je la soutiens. Elle est habillée comme moi... Je lui dis d'enlever sa robe... Dessous elle porte un joli soutient-gorge noir à balconnet avec un string noir ...et un porte jarretelles qui lui tient ses superbes bas sombres. Je souris de plus belle... Elle a les mêmes dessous que moi, je lui ordonne de se mette nue mais de garder son PJ et ses escarpins (une soumise est toujours belle avec ses escarpins et des bas ). La soumise est surprenante, elle obéit! ^^ Je la vois enfin nue, ses jolis seins, ses tétons érigés qui appellent la main. Je lui pince légèrement les seins, elle gémit; je la pince plus fort, ses lèvres de serrent, sûrement pour s'empêcher de crier. Je lui dis "tu aimes cela" .. Elle le répond "oui Maîtresse". Je lui dis de m'appeler Ma Dame... Je lui prends la main la guide dans la chambre, je m'assieds et l'allonge sur mes genoux.. Je me sens un peu maladroite, je lui parle, je lui dis que je vais la fesser. Je commence par lui caresser les fesses, et je la fesse d'abord doucement, à l'extrémité de ses fesses et au milieu. Au début je me sens gauche puis je prends de l'assurance (j'oublie tout, que mon Maître est là où je me trouve). La soumise se tortille sous moi, elle gémit de plus en plus fort, je la caresse aussi longuement, elle adore cela... Et je reprends de plus belle; je suis moi même ailleurs, en connexion avec elle... Je m arrête, continue de caresser ses fesses si rouges, si brûlantes sous mes doigts; je lui donne du plaisir... Je l'apaise avec de doux mots...Elle est si belle... Puis je lui demande de mette ses mains sur le mur, j'ai envie de la cravacher mais je choisis le martinet; je la frôle d' abord avec les lanières. Je commence par ses fesses, des zébrures apparaissent... Je sais que je dois me maîtriser mais ses cris de plaisir me chauffent le corps. Je remonte et lui fouette le dos, encore plus haut plus fort sur les épaules la nuque le haut du dos (j'adore quand mon Maître me fouette là où je la fouette alors je pense qu'elle aime...). Ses cris se perdent dans la chambre, elle adore ça, elle est vraiment chienne... des marques de zébrures apparaissent , et j'avoue aimer voir cela comme ses fesses si brûlantes... Je la retourne, lui fouette les seins, le ventre; je lâche le martinet... Je la cajole, l'embrasse, la caresse et elle a du plaisir encore et encore... Je l'allonge sur le lit lui enlève son bandeau, nos regards se croisent; je vois tant de plaisir dans ses yeux... Elle glisse un "merci" timide, je la remercie d'avoir accepté de venir, d'avoir été ma soumise d'un moment... Je la câline encore et encore, elle veut me caresser, mais je refuse... J'ai juste envie de profité d'elle. .Mon Maître impassible n'a pas bougé. Il est l heure pour elle de partir... Je l'embrasse et la remercie encore...peut etre un jour nous nous recroiserons... J'ai remercié mon Maître longuement d'avoir vu en moi ce désir d'avoir une soumise à moi... Ce fut comme sa la première fois que je fus Domina, la deuxième fois, c'est une autre histoire... ^^ Hydréane
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Par : le 11/09/13
Après t avoir laissé dans le coin de la pièce, je me suis dirigé au bout de la table et m adressant aux convives de ce repas je leur dis : << Messieurs, pour que la punition que je souhaite infliger à ma soumise soit aussi exemplaire que possible je viens vous demander votre collaboration>> Là je voyais bien sur leurs visages l intérêt soudain que ma petite phrase venait de susciter . Tous me fixaient attendant la suite. << je vous demanderai donc dans un 1 er temps de bien vouloir déplacer cette table et les chaises pour la placer dans un coin , puis m adressant au Maitre de cérémonie je lui demandais de bien vouloir faire apporter un banc, de ceux assez haut qui servent à éduquer certaines soumises insolentes, ainsi que plusieurs "ustensiles" , il me répondit positivement et alors que tout le monde s affairait, moi je suis allé vers toi "petite brune" , tu étais face contre le mur les mains dans le dos, une fois arrivé près de toi , je me suis approché de ton oreille pour te chuchoter à voix basse ce qui allait t arriver. << ton comportement de ce soir mérite une sanction exemplaire, tu comprends bien petite que la honte que tu m as infligé devant mes amis doit être réparée , cette fois-ci il va te falloir te montrer à la hauteur...... de mes espérances , donc je ne veux point entendre de cris de ta part, tu devras supporter ce Châtiment , car c en est bien un , les dents serrées , je veux que tu leurs montre à tous quelle soumise tu es !! Je veux pouvoir repartir de ce dîner la tête haute. Tu as certes fauté gravement , je vais mettre cela sur le compte de ton inexpérience et je sais qu il me faudra dorénavant me montrer beaucoup plus ferme et plus dur avec toi, mais je garde confiance je sais que tu y arrivera n est-ce pas ? >> Tout en me disant oui, oui mon Maître tu te tournais vers moi, je te stoppais net par un << ne bouge pas !! >> Je retournais vers les membres de cette soirée et leur dit : << Messieurs comme Châtiment pour ma soumise j ai décidé que nous l allongerons sur un banc, puis nous l attacherons , bien serré afin qu elle ne puisse en aucun cas bouger , sa jolie robe sera déchirée afin de mettre à nu la partie charnue de son postérieur , puis chacun de nous 6 la punira à son tour , mais étant son Maître je me réserve le droit de lui infliger cette punition à mains nues, tandis que vous, Messieurs, utiliserez chacun un ustensile différent que j ai demandé au Maître de cérémonie de bien vouloir nous apporter . Êtes vous d accord ??>> Applaudissement général avec des bravo Maître , nous apprécions à sa juste valeur votre demande signifiant l accord tacite quand à ce Châtiment . Je repris la parole << je demande deux volontaires pour aller la chercher puis l installer sur le banc et l attacher, je me réserve le droit de lui déchirer sa robe >> De volontaire ils l étaient tous , aussi je dû en choisir deux au hasard..... Une fois installée et attachée je suis venu m accroupir tout près de ton visage et d une voux douce, très douce je t ai dit : << Prépare toi "petite brune" et n oublies surtout pas, que cette fois-ci je veux pouvoir être fier de toi >> Je me levais puis saisissait le bas de ta robe avec les deux mains qui en les écartant fortement la déchirèrent et ce jusqu à l encolure. Me retournant vers le groupe de Dominants je leur dit << Commençons Messieurs et surtout je vous demanderai de n avoir aucune pitié ni aucune faiblesse pour cette soumise qui n a eu aucun respect à votre égard >> Devant l approbation générale , je remerciais chacun des membres de cette soirée et m approchais de toi main levée....... ............. Suite ......
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Par : le 05/09/13
Pour se plaire sur notre site, faire des connaissances, rencontrer, nous vous conseillons d'appliquer cette recette : Pour lier connaissance, vous allez devoir demander des membres en amis pour discuter, échanger, rencontrer. Pour qu'un autre membre vous accepte comme ami, il doit savoir quelle est votre recherche, où vous habitez, ce que vous aimez, comment vous êtes … Une annonce bien renseignée, c'est une des clés du succès. Cliquez ici pour revoir votre annonce/profil et l'améliorer. Notez-bien : repérez qu'il y a 4 onglets dans la partie supérieure de l'écran, voir ci dessous: ETAPE 2 : TROUVER DES MEMBRES COMPATIBLES AVEC VOTRE RECHERCHE Pour cela, cliquez ici pour vous rendre dans la rubrique "Annonces" Par défaut s'affiche à cet instant toutes sortes de membres (Dominatrice, Dominateur, Soumis, Soumise, etc) sans critères géographiques. Certains ont une photo, d'autres un pictogramme par rapport à leur recherche. Dans la partie gauche de l'écran, vous allez pouvoir préciser le type de personne que vous cherchez (Dominatrice, Dominateur, Soumis, Soumise, etc). Vous allez pouvoir aussi indiquer le pays (et compléter par la région, si vous le souhaitez). Indiquez vos préférences et cliquez sur le bouton rouge "Valider". Ne soyez pas trop restrictifs sur vos critères de recherches (surtout sur les critères géographiques). Cliquez sur les membres qui vous intéressent, et LISEZ BIEN CHAQUE ANNONCE AVANT D'ECRIRE, d'une part pour voir si elle vous convient, mais aussi si vous convenez à la recherche de la personne. C'est très important, si vous ne correspondez pas à la recherche de la personne, vous allez perdre votre temps, et elle aussi ! Une personne à qui vous aller faire une demande d'ami va très très probablement venir voir votre fiche/annonce, mais aussi voir ce que vous avez publiez sur le site (en visitant votre mur) : posez-vous ces questions : "est-ce que ma fiche/annonce, est-ce que ce que j'ai posé sur mon mur est informatif sur ce que je suis ? est-ce que c'est en correlation avec ce que cherche la personne que je m'apprête à demander en amie ?" LES MAUVAISES PRATIQUES : Ecrire directement sur le mur des personnes avec qui ont est pas amis est une mauvaise pratique, car elle est intrusive. En conséquence, elles incitent de plus en plus de personnes à interdire l'accès de leur mur aux personnes avec qui elles ne sont pas amis. Ne pas prendre le temps, c'est perde son temps : lisez les annonces et les profils des personnes que vous souhaitez demander comme ami : quelqu'un qui indique sur son profil : un soumis ou une soumise qui indique qu'elle est en "Couple BDSM" ne pourra sans doute rien pour vous si vous cherchez un(e) soumis(e). Consultez le mur de la personne s'il est ouvert à tous pour comprendre sa recherche. Ne pas tenir compte des conseils de cette recherche : se dire que prendre une heure pour envoyer 80 demandes d'amitié sans avoir lu les fiches des personnes ciblées aura de meilleurs résultats que d'utiliser cette même heure à soigner 5 demandes est définitivement une mauvaise idée ;).
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Par : le 04/09/13
Je suis toujours surpris quand je lis un Dom se plaindre de son soumis qui "ne se comporte pas comme il faut"... De mon point de vue, c'est le soumis qui conduit une relation D/s, pas le Dom. Un Dom n'a que le pouvoir de le soumis lui donne (voir mes autres articles). Sans un soumis, un Dom n'est rien : un Dom n'existe que grâce à un soumis. Le but d'un Dom est de répondre aux besoins de son soumis, pour aider ce soumis à explorer ses désirs intérieurs (parfois ignorés, refoulés), à se développer, à expérimenter de nouvelles sensations en toute sécurité. Bien entendu, le Dom doit aussi y trouver son avance en réalisant ses désirs, mais pas au détriment du soumis ! Abuser n'est pas dominer (si un soumis demande à être abuser, ce n'est plus de l'abus, puisque volontaire). Manipuler n'est pas dominer (si un Dom arrive à ses fins en manipulant son soumis, c'est de l'abus pas de la domination). Concernant la modification comportementale, ce n'est pas à mon sens de la domination. Il s'agirait plutôt pour moi de «coaching». Bien entendu, cela sous entend une demande de la part du soumis. Si les modifications comportementales, sont imposées par le Dom, ou obtenues par manipulation, il s'agit là d'abus de la part du Dom. Une fois de plus, la communicaion est fondamentalle pour identifier la limite entre abus et domination. Il est du devoir d'un soumis de toujours s'interroger si les demandes du dominant correspondent à ses attentes ou si c'est le dominant qui tente d'abuser de la situation.
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Par : le 29/08/13
Après de longs moments passés a échanger sur le net arrive enfin LE moment de se rencontrer ! Conformément aux directives on ne peut plus détaillées que je vous ai envoyé , vous êtes là garée a environ 50 mètres de ma voiture ou dans cet endroit inconnu de vous, vous allez enfin pouvoir exprimer ce dont vous m avez tant parlé, votre désir d être à la merci totale du dominant que je suis. Situé près d un parcours sportif, il y a déjà, bien qu il soit tôt plusieurs voitures stationnées ici et là. Il pleut, non d une pluie drue, plutôt fine mais continue, la température avoisine les 15* guère plus. D un appel de phare vous me signaler votre arrivée, je réponds par un, puis trois rapides ce qui signifie le début de cette aventure. Vous savez maintenant ce que vous avez à faire, je vous ai tout écrit et bien détaillé chaque phase de ce que j attendais de vous. Bien qu éloigné et sans pouvoir vraiment distinguer clairement vos gestes, je vous sais accomplissant vos devoirs sachant très bien la difficulté que je vous ai imposé , je savoure déjà votre début de soumission. Il vous a fallu bien 10 bonnes minutes afin d être prête et qu enfin une fois la portière ouverte vous m apparaissiez..... Vous êtes là, toute nue, tout d abord immobile, puis faisant doucement un tour sur vous-même afin que je puisse me faire une idée de votre physique qui je l avoue ne me laisse pas indifférent. Après avoir fermé votre voiture, vous avancez lentement ainsi sur environ 30 mètres, puis vous vous arrêtez de nouveau , vous savez que je veux vous découvrir petit à petit, aucune précipitation de prévue même si le temps pluvieux lui ne l était pas. De nouveau vous faites un tour sur vous-même encore plus doucement que tout à l heure.... Je vois l eau de pluie ruisseler sur votre corps, vous ne grelotter même pas, sans doute est-ce l excitation de cette situation qui vous maintient en température? D un appel de phare je vous indique de passer à l étape suivante . D un hochement de tête vous me signifiez votre accord , puis vous vous baissez afin de vous mettre à quatre pattes, le postérieur bien relevé et de venir jusqu à ma voiture tout en décomposant bien chaque lents mouvements que je vous ai imposé. Une fois arrivé à hauteur de ma portière, vous vous immobilisez, votre postérieur bien offert à ma vue, vous le relevez un peu plus vous cambrant davantage. De voir l eau dégouliner jusque dans votre intimité m émeut . Je baisse ma vitre ce qui signifie de vous relever, obéissante vous le faite, et tout en ayant les yeux baissés vers le sol vous vous tenez là, face a moi. .......................
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Par : le 23/08/13
nous avons rendez-vous à quinze heures, au café de l'horloge, j'arrive un peu en avance, sans être inquiet, une petite appréhension m'étreint tout de même. je m'assois en fond de salle. Comme à un rendez-vous d'espions. L'impression que tous mes sens sont sur-développé est agréable, excitante, je guette les passants, les clients, je cherche celle que je dois rencontrer. Qui changera peut-être le cours de ma vie. J'en suis conscient. la peur me glace. Je frissonne. Étonnamment cela me plaît. Un rendez-vous classique aurait moins d’effet. Faire marche arrière, me lever,partir, ne me vient pas à l'esprit. Je désire vivre cette émotion qui me gonfle la poitrine. Ces éclairs électriques qui parcourent mon corps, me semble indispensable à ma survie. Je sursaute quand mon téléphone se met à sonner. Vite, mes doigts tremblant prennent l'appareil, mon genou heurte la table le bruit résonne dans l'établissement comme une bombe. Maîtresse s'affiche sur l'écran. Tous les passants, tous les clients ce sont arrêtes et me regardent. le monde entier retient son souffle. La voix claire, nette, de Maîtresse chatouille mon oreille d'un «ou est tu? En terrasse ou à l’intérieur?» Le monde entier attend ma réponse les yeux rivés sur moi. Un son rauque, malhabile sort d'entre mes lèvres « à l’intérieur Maîtresse au fond de la salle» le monde entier pousse un soupir de soulagement et reprend ses occupations, je me met à trembler doucement, c'est pourtant une chaude journée. J'essaie de reprendre mon souffle. Elle arrive. Elle arrive, oui. Mais comment cela est arrivé. Un soir ma copine du moment, après avoir réalisé ensemble plusieurs de ses fantasmes, me demanda quels étaient les miens. Je lui répondis qu'être soumis à une dominatrice, me plairait beaucoup. Elle m'avoua que ce qu'elle aimait justement chez moi et dans cette relation uniquement sexuelle que nous pratiquions,était le fait que j’étaie très doux. Canada dry, l'apparence d'un homme, la force d'un homme, mais un coté féminin au lit. Elle me proposa de faire une soirée à trois, ou je ferais l'amour à un homme. De toutes les femmes que j'ai connus, c'est la deuxième qui me proposait cette situation. Nous l'avons fait, et j'ai pris beaucoup de plaisir. J'ai alors compris que je devais allier les deux possibilités. Assumer mon rôle de soumis, et un coté féminin très fort. Le dieu internet vint en renfort, et j'essayais quelques sites. Après un long temps, quelques flops et de gros flippes, je la découvris par hasard au détour d'une demande bien comprise, les mots ce jour là sonnaient justes, ils s'accordait aux envies, elle recherchait un homme canada dry, je cherchais une femme canada dry. Ils ne se marièrent pas et n'eurent pas de bouteilles, mais un rendez-vous ce jour. Et elle est là devant moi. Souriante, je me lève en tremblant, elle est belle, on s'embrasse, elle pose sa main sur mon épaule. Mon esprit plie, fond, je ne m'appartient plus.
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Par : le 21/08/13
En ce jeudi automnal, il pleuvait légèrement, quelques gouttelettes qui rappelait que l'été n'était plus qu'un souvenir. Il faisait frais également, pas suffisamment pour sortir de lourds manteaux, mais suffisamment pour inciter à se mettre plus qu'une chemisette sur le dos. Et donc en ce jeudi après-midi, Maître Margraf s'en allait fournir ses bons offices. On l'appelait "Maître", car il était avocat auprès du barreau de la ville de S. Il avait tout du bon citoyen bien établi, c'est à dire un métier respectable, un appartement spacieux et confortable dans un quartier tranquille, ainsi que des amis de marque avec lesquels il se plaisait à partager des activités de bons goûts. Il était plutôt bel homme, ses cheveux blonds cendrés étaient coiffés de telle sorte qu'apparaisse une raie sur le côté gauche. Ses yeux noisettes contrastaient avec une la pâleur de sa peau. Sa mâchoire carrée apportait la touche de virilité qui s'imposait à son visage impeccablement lisse. De plus, il se rendait de temps à autre à la salle de sport afin de parfaire sa plastique. Mais sans en abuser, il estimait que l'équilibre était un des piliers d'une vie réussie. Maître Margraf se rendait à l'hôtel de police sur la demande d'un officier de police judiciaire. En effet lors d'une interpellation, l'un des droits du mis en cause était de pouvoir consulter un avocat, soit de son choix, soit désigné. Il ne se souvenait plus pourquoi il avait accepté de figurer dans la liste des avocats joignables, après tout ses revenus lui permettait de s'épargner ce genre de mission. Peut-être cela lui fournissait un prétexte pour se forcer à sortir en milieu de journée, ou alors espérait-il croiser des gens intéressants à l'occasion d'un déplacement. Le bâtiment n'avait pas quinze ans d'existence, mais quelques traces orangeâtres au niveau des zones de contact entre différents matériaux tels que le béton et les parties métalliques laissaient deviner un souci constant de mégoter sur la qualité et une attention suivie sur les économies de bout de chandelle. Les préposées à l'accueil le reconnurent, et l'une d'entre elles l'accompagna dans la salle réservée aux entrevues entre gardés-à-vue et avocats. L'accès à cette salle se faisait par une porte située à l'opposé de l'entrée principale du grand bâtiment. Il fallait ensuite descendre au sous-sol où était parqués les gens interpelés, puis passer par un double-sas ouvert à distance par un fonctionnaire qui vérifiait les entrées au moyen d'une caméra. Alors que Maître Margraf et la jeune contractuelle entraient dans le premier sas, une odeur nauséabonde commençait à agresser les narines des deux visiteurs. Un pot-pourri d'odeurs de chaussettes, de sueur et d'urine flottait effectivement dans cet endroit; la raison était l'inexistence de douche pour les "pensionnaires" ainsi que la mise à disposition unique d'un seul sanitaire mal conçu. D'autres problèmes existaient, mais il ne serait pas séant d'en donner une description. Heureusement la salle où se rendait Maître Margraf était accessible à la droite du premier sas, et juste en face se trouvait une salle de visio-conférence. La salle était petite, pas plus de dix mètres carrés. Elle était insonorisée et mal éclairée par l'unique ampoule. Les murs étaient grisâtres et le seul élément de fantaisie était un petit bouton qui actionnait une sonnette afin d'avertir les fonctionnaires des geôles quand un entretien était fini ou quand il y avait un problème. Il s'installa donc, posa son porte-documents, et attendit quelques minutes qu'on lui amène son client. L'entretien fût bref, il s'agissait d'un voleur à la tire déjà connu des services de police locaux. Le contraste était saisissant, l'un vêtu d'un survêtement jaune tâché, et l'autre portant un costume noir qui le mettait en valeur ainsi qu'une chemise de couleur Bourgogne. L'entretien fini, il actionna la sonnette et attendit l'officier chargé de son dossier afin de dire si oui ou non, il avait des remarques à formuler, et également pour savoir s'il était possible de procéder à l'audition du mis-en-cause sur le champ. L'officier en question fût prévenue de la fin de l'entretien et descendit dans la salle ou l'avocat attendait. Elle était plus petite que le Maître, et sans être adipeuse elle avait quelques petites rondeurs qui lui donnait un air mignon. Sa tresse châtain claire accompagnait une tête faite d'un visage au teint pâle que certains décriraient comme étant un océan de douceur dans lequel on se noierait volontiers. Elle était plutôt agréable à vivre et compétente dans les tâches qu'elle accomplissait, et on ne lui connaissait pas d'activité particulière. Bien que franche du collier avec les quelques personnes qui avaient son amitié, elle était quelque peu timide. Maître Margraf demanda d'une voix claire quand est-ce qu'ils pourraient partir en audition: "Il serait de bon ton que nous procédions à l'audition de ce jeune homme". Alice, c'est ainsi qu'elle se prénommait, appréciait les visites du Maître, il avait ce charme de l'Homme moderne avec un grand "H", viril et raffiné à la fois, avec cette aisance à s'adresser à ses interlocuteurs, et à diriger. Il lui plaisait c'était certain. Possédée par son charme, Alice rougit un peu, et perdant un peu de son assurance elle baissa un court moment les yeux et lui répondit ainsi: "Je... je suis désolée Maître..., mais j'ai besoin de temps pour collecter certaines informations". Maître Margraf, devinant le trouble d'Alice, se mit dans l'idée de voir à quel point il pouvait étendre son autorité sur elle. Le Maître se leva donc, dominant d'une tête Alice et pris un air courroucé. Sa voix se fit impérieuse et son regard sévère: "Je ne puis tolérer un tel manque de rigueur... Ce manquement sera signalé à votre hiérarchie ainsi qu'aux autorités judiciaires compétentes qui accordent les fonctions judiciaires dont vous usez. Ils n'ont pas besoin d'incompétents de votre espèce. Si vous êtes incapables de faire les choses les plus élémentaires, laissez la place à d'autres!" Alice, baissa la tête et croisa les mains. Elle bafouilla: "Mais... vous n'avez pas à, à... je suis fonctionnaire de..., vous ne...". Elle peinait à trouver ses mots. A ces mots le Maître tapa du poing sur la table et augmenta d'un ton le volume sonore de sa voix, c'est à dire assez pour prendre un ton un peu plus agressif, mais pas trop pour qu'on le n'entende pas. "Vous savez pertinemment que dans ce pays vos dires ne valent rien face à un avocat bien placé! Je sais en outre que cela arrive fréquemment, donnez-moi satisfaction ou je me verrai dans l'obligation de sévir!". En effet la pauvre Alice avait quelques soucis à gérer ses dossiers, cela était connu, mais on ne pouvait décemment lui reprocher ses carences. Le manque de temps et de moyens, ainsi que les lourdeurs administratives faisaient que l'on mettait deux à quatre fois plus de temps pour gérer les affaires. Ces remarques lui avaient déjà été adressées, mais sur le ton de la blague, car tout le monde était concerné à vrai dire. Mais Aline avait tendance à prendre certaines remarques un peu trop à coeur. De plus, elle savait qu'on ne pouvait jouir que de peu de considération face au Maître. Maître Margraf, satisfait de son effet, poursuivit. "Je crois que je vais devoir saisir vos supérieurs, mais comme semblez être une gentille fille, je puis régler cela d'une manière privée... Cependant vous devez me jurer de faire exactement ce que je dis!" Alice laissa couler quelques larmes, et répondit en ces termes, d'une voix étouffée par l'émotion: "S'il vous plait... épargnez-moi.. j'ai.. j'ai investi tellement de temps pour en arriver là! Pi..pitié Maître..." Le Maître reprit en reprenant un ton plus posé, et en affichant un petit sourire. "Bien, vous allez donc posez vos mains sur la table et baisser votre pantalon." Alice laissa couler d'autres larmes et fit mine de parler. Le Maître l'interrompit aussitôt: "Je ne veux pas vous baiser petite idiote, je vais vous punir? Vous allez faire ce que je vous ordonne, et à la prochaine tentative d'interruption, j'irai faire sauter votre carrière? Est-ce clair dans votre petite tête?" Aline répondit d'une voix résignée: "Oui..." "Oui, oui qui?" questionna sèchement le Maître, accompagnant la question d'une petite claque sur la joue trempée par les larmes. "Oui, Maître! Par...pardonnez-moi, Maître!" répondit Alice. La pauvrette était toute chamboulée par son état de soumission, offerte au désirs sadiques de Maître Margraf. Mais celui-ci était un homme raffiné, il savait jusqu'où aller et ne pas transformer ses jeux pervers en simple déchaînement de violence bête et méchant. Le Maître était un artiste pour cela, une sorte de vampire aristocratique qui vous subjuguait et vous hypnotisait avant de vous sucer le sang, et ce, de votre plein gré. Le Maître sorti de son porte-document une règle en plastique et commença à donner des coups sur la croupe d'Alice d'un geste assuré. Elle gémit, et commença à éprouver en son for intérieur une autre honte que celle qui la voyait cul nu, à subir les outrages du Maître. Chaque coup porté se concluait par un bruit de claquement sourd qui s'accompagnement d'un raidissement d'Alice. Au bout d'une vingtaine de coup, les fesses d'Alice, présentait de longue marques claires. Une honte mêlée au plaisir masochiste d'être humiliée et rudoyée ainsi, d'être soumise et d'appartenir à quelqu'un. Elle découvrait ce plaisir honteux comme un prêtre dévôt s'abandonnant à la masturbation. La conséquence fût que son sexe larmoyait de cyprine, ce qui n'échappa pas au Maître. Le Maître empoigna fermement la base de la tresse d'Alice, approcha son visage et lui susura :"je constate que cela vous plait. Vous êtes une petite traînée qui s'ignore, je vais faire de vous une vraie salope qui s'assumera en tant que tel. Dites-le!" Alice, complètement chamboulée, laissa maladroitement ses émotions parler, ses larmes étaient devenues des larmes de honte et des larmes de plaisir. D'une voix enrouée elle admit les faits: "Je...suis..." hésita-t-elle. "Dites-le! Ayant le cran de l'admettre petite garce!" grogna le maître. "...Je..suis...une...une...salope!" admit enfin Alice, qui ferma les yeux, vaincue et humide. N'en pouvant plus, elle se laissa doucement tomber à genoux, la tête baissée et les yeux fermées. Le Maître s'écarta d'elle, alors qu'elle se laissait glisser vers le sol. Il approcha son visage sévère et lui d'un ton neutre: "je vais vous laisser un choix, et je vous le proposerai une seule et unique fois. Devenez ma soumise, et vos chaînes seront votre lien vers la libération de votre être intime. Refusez, et vous resterez dans vos petites certitudes ineptes et vos frustrations quotidiennes." Le Maître s'écarta alors de celle qui avait à choisir entre une soumission libératrice ou un retour à la liberté bien-pensante et en désaccord avec son moi profond, et déposa une carte de visite en carton avec son numéro de téléphone. Ses derniers mots furent les suivants: "relevez-vous, et rhabillez-vous, nous n'avons pas besoin de montrer votre être véritable dans ce lieu crasseux. Vous serez MA soumise, et pas celle des autres, j'espère que c'est clair. Vous avez jusqu'à ce soir, vingt-et-une heures pour vous décider." Alice obéit, elle se rhabilla maladroitement et sêcha son visage encore rougit par l'intensité des émotions et les attouchements. On vint donc leur ouvrir et le Maître s'en alla sans se retourner vers Alice, en direction du sas et des escaliers. Alice passa le sas juste après lui, mais resta dans les escaliers pour prendre un répis. Un choix s'imposait à elle. La vérité ou le mensonge? L'expression sincère des tréfonds de son âme ou un mensonge couplé à de l'hypocrisie?
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Par : le 19/08/13
Je suis une personne faisant aisément confiance, donnant ma confiance presque inconditionnellement. Si ma confiance est trahie, alors je la retire et pour toujours. Dans le monde vanille, je fais pleinement confiance dans les autres et je m'attends à la même chose een retour. À titre d'illustration, je suis membre de la communauté CouchSurfing, où les membres proposent de s'héberger gracieusement les uns les autres. J'ai ainsi accueilli des dizaines de personnes de tout pays, ce qui conduit à de riches échanges d'expériences. Dans le monde BDSM, je fais confiance de la même façon, mais je ne m'attends à recevoir la même confiance en retour. Celle-ci doit être méritée, elle n'est pas acquise. De mon point de vue, c'est parce que la confiance est très précieuse dans une relation BDSM, encore plus que dans une relation vanielle. Se sentir trahi peut avoir un impact profond pour une soumise. Gagner la confiance d'une soumise peut être un processus long et difficile. Si je me sens trahi dans une relation BDSM, je ne vais pas immédiatement retirer ma confiance comme dans une relation vanille. Tout d'abord, je vais essayer de comprendre ce qui s'était passé et tenter de reconstruire la confiance entre ma soumise et moi. Donc, étant dominant, je donne ma confiance à mes soumises, les respecte, comprends qu'elles peuvent avoir des doutes, des moments d'incertitude et des problèmes de confiance. C'est à moi de gagner leur confiance et de la mériter. Rien n'est gagné d'avance, rien n'est dû.
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Par : le 18/08/13
Dans une relation BDSM, celui qui détient le contrôle est le dominant mais celui qui détient le réel pouvoir est le soumis. Le contrôle est accordée par le soumis au dominant. C'est une délégation de pouvoir. C'est pourquoi il existe une relation de soumission : parce que les soumis laissent le dominant prendre le contrôle. Mais si le dominant va trop loin, le soumis peut révoquer cette délégation. C'est pourquoi celui qui a le pouvoir et bel et bien le soumis. Et non l'inverse comme j'ai souvent vu des "dominants" le penser. Cette délégation nécessite une mise en confiance. Cette confiance doit être méritée par le dominant. Elle n'est pas dûe.
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Par : le 13/08/13
La journée s annonçait radieuse, le soleil était déjà bien haut dans le ciel azuré, pas un nuage à l horizon, une légère brise adoucissait la chaleur ambiance. Tu étais ravissante dans ta jolie robe à fleurs, courte à souhait, comme j aime. Ton sourire éclairait ton doux visage , pendant que tu t affairais dans les derniers préparatifs de notre pic-nique estival, je t observais de loin déjà pris dans de légères pensées te concernant. Puis , chemin faisant ,notre discussion anodine laissait peu à peu la place à des mots coquins empreints d un désir mutuel. Tu me disais que c était une belle journée pour vivre de nouvelles expériences et que tu aimerais beaucoup que je te surprennes comme tu appréciais tant. Je te souriais, de ce sourire coquin que tu aimais tant car il laissait présager de futurs délices. Je m arrêtais près d un chemin et après avoir charger nos préparatifs , l appareil photo en bandoulière, nous nous sommes mis en marche. Je connaissais bien ce coin car j y étais déja souvent venu. Le départ fût difficile car le chemin montait beaucoup , la pente etait très accentuée, tu me maudissais , d abord en rigolant puis plus sérieusement tant l effort que tu devais fournir était important, je ralentis un peu et tendant ma main vers toi tu essayas de la saisir, mais je l esquivais pour venir saisir tes fesses que je palpais allègrement afin ,te disais-je de te motiver à avancer. Tes lamentations cessèrent tant le panorama qui s ouvrait à nos yeux ebahis nous coupa le souffle. Je t indiquais un endroit qui me parassait idéal , situé sous un gros arbre , quelques rochers disposés tout autour donnait à ce lieux un coté quelque peu mystérieux, dans une petite clairiëre qui dominait toute la vallée, de là on pouvait voir aussi bien le lac d Annecy que le début du lac du Bourget , la vue y était exceptionnelle et surtout nous y étions seuls. Un vrai petit coin de paradis ou tels Adam et Eve nous allions pouvoir explorer le coté extrème de notre sexualité débordante.
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Par : le 13/08/13
Plaisirs des sens que de se sentir sous l emprise d un esprit plus fort que le sien. Vous le sentez , aucune échappatoire possible . Et bien qu essayant de résister en vain, votre lutte, perdue d avance vous le savez, vous pousse vers de nouveaux horizons , de nouveaux espoirs. Il y a longtemps que vous attendiez cela , vous complaisant dans de furtives rencontres, de celles ou l on exige finalement que peu de vous, juste ce dont vous voulez bien montrer, donner. Mais votre vraie personnalité se trouve enfouie, au plus profond de votre être intérieur et ne demande qu à se libérer.... Enfin !! Cette libération , vous le savez , ne se fera pas sans mal car il vous faudra écarter de votre esprit vos peurs. De celles que l on finit par croire qu elles se sont effacées dans l oubli dans lequel on les y avait plongé. Ce retour à la réalité vous l appréhendez tant l afflux d adrénaline vous summerge. Mais ce qui aurait été impossible de réaliser seule, vous pouvez, sous la contrainte exercée , vous abandonner totalement, vous laissant guider, diriger afin de ressortir au grand jour tous ces secrets souvent inavouables . Votre désir si bien masqué n est en fait que la recherche d une sensation d appartenance totale, dans laquelle , plus nue que nue vous vous abandonnerez sans retenue aucune désormais aux plaisirs les plus subtils qui en découleront. Ma domination sur vous finira par s imposer d elle même tant votre désir d appartenance est fort. Je su réveiller en vous, de par mon esprit fort votre besoin de vous libérer de vos carcans jusqu ici si bien cachés et qui ne demandent qu à se donner-libérer telle une offrande envers celui qui en aura découvert leur cachette. Car de pouvoir jouir de vôtre moi profond, cela ne pouvait que se mériter.
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Par : le 05/08/13
(Petite nouvelle sans prétention écrite à la va-vite, je corrigerai les fautes et la syntaxe plus tard, je suis fatigué asteure) C'était un jour de milieu de semaine, un jeudi je crois bien. Ce jour qui précédait la fin de semaine, qui annonçait un vendredi détendu pour pas mal de mes connaissances et un week-end de beuverie et de fête. L'automne s'était présenté, accompagné d'un petit vent discret. J'attendais à la lisière d'une forêt à côté de la frontière, sur le petit parking d'un bar. J'habitais une ville qui avait la particularité de compter quelques espaces verts et un accès à des forêts; ainsi qu'une situation géographique près de la Germanie, pays du latex et du fétichisme en général selon les stéréotypes en vigueur. Oui, j'attendais. Qui? Mystère... Au fond tout ce que je savais d'Elle c'est que c'était une fille, ou plutôt une jeune femme avec qui j'échangeai nos points de vue et nos désirs. Des points de vue sur les relations entre une Dominatrice et son soumis, des désirs charnels et psychologiques, des envies d'explorer de nouveaux horizons. Et vu que nous nous sommes rencontrés sur un forum consacré aux déviances, je suppose qu'Elle est au moins en grande partie sincère. Elle m'avait confié qu'elle ne savait pas trop si elle se sentait soumise ou Dominatrice, mais qu'elle adorait tout le côté vestimentaire de ce petit monde. Elle aimait particulièrement les corsets en vynil et le port du latex, malheureusement les occasions d'en porter était bien rares. Elle me confiait aussi qu'elle se sentait plus féminine, ses courbes étant mises en valeur avec une certaine classe. Personnellement, je ne connaissais pas grand chose, les possibilités de constater et de rencontrer d'autres amateurs fétichistes étant proche du vide absolu dans mon bout de terre. Je devais la rencontrer aujourd'hui, sur le parking de la forêt. Par sécurité nous avons décidé de nous croiser dans un lieu dit "public". Après tout elle n'était pas sensée me connaître. La sécurité avant tout. Ainsi je l'attendais, alors que le soleil entamait sa retraite. Une quinzaine de minutes avaient suivi mon arrivée. Puis je vis un petit roadster rouge entrer sur le petit parking, avec une jeune femme à la chevelure châtain-cuivrée, légèrement bouclée, mi longue. Ca lui donnait un petit côté dryade et princesse. Elle descendit de son automobile et me sourit. En effet , j'avais précisé que je viendrai avec un puissant destrier de fer des temps modernes; c'est ainsi que je désignais ma motocyclette. Avec mon cuir et mon casque noir, seul sur le parking, elle ne pouvait pas me rater. Elle avait la démarche assurée, de celles qui savaient où elles allaient, et portait une petite robe de couleur bordeau et des talons aiguilles de la même couleur. J'aimais le contraste qu'offrait ses vêtements et sa chevelure par rapport à son teint et sa peau pâle. Elle me rappelait une collègue à qui j'avais proposé un jour un rendez-vous et dont la réponse ne vint jamais... Soudain, je réalisais qu'il s'agissait de la même personne, la même grâce, le même air sûr et dominateur. Elle s'approcha de moi et me salua avec un petit sourire: "Alors petit mâle, on a perdu sa langue? Ou alors tu es encore plus idiot que d'habitude?" Je bafouillais quelques mots, comme un prêtre surpris dans une boutique érotique se justifiant. Voyant ma gêne et ma surprise, elle m'ordonna de la suivre dans le petit bar. Elle commanda un café noir pour elle et un jus de fruits pour moi et m'ordonna de régler d'avance la petite adition. L'établissement était presque vide, deux groupes de touristes Néerlandais et Suisses dégustaient quelques boissons et sandwiches. Nous nous étions installés dans un petit coin de la salle en forme de "L", avec un mur derrière moi. J'osais enfin lui parler et exprimer ma surprise. Sa réponse était accompagné d'un petit rire: "Mais tu crois que je ne t'ai pas percé à jour? Ta façon d'écrire tes messages, certaines descriptions... Tu es bien un mâle comme les autres, imbécile et incapable de produire la moindre once de subtilité et de raffinement! J'avais envie de voir si tu étais aussi pathétique qu'au travail. J'espérais qu'il y aurait quelque chose à récupérer...". Sur ces dernier mot le patron du bar apporta les boissons et s'en alla reprendre le cours de son match de football. Elle me fixait d'un air qui oscillait entre la déception et l'irritation. Je réussi enfin à aligner quelques mots: "Mais Elaine, je ne t'ai rien fait de mal, si c'est pour l'invitation, je voulais juste mieux te connaître." A peine j'eu fini ma phrase qu'elle me gifla. D'un petit mouvement sec et énergique. Curieusement la présence des touristes ou du patron du bar n'était pas ma priorité, j'avais surtout honte d'avoir eu la prétention de m'imaginer tout les deux marchant main dans la main. Oui je l'aimais, je voulais vivre pour elle, me consacrer à Son bonheur. Je désirais me consacrer à Son être tout entier. Mais au fond qu'avais-je à lui offrir? Si peu en réalité... Elle reprit la parole dans ces termes: "Tu voulais surtout me baiser, comme toutes les paires de couilles que je croise. Même si tu crois que être sincère dans tes sentiments, tu n'es qu'un homme, tu ne penses qu'avec ton petit bout de chair d'entre les jambes. Je veux maintenant voir jusqu'à où tu serais prêt à aller pour moi. Ta gentillesse et ta bonne volonté ne suffisent pas, et tu n'es certainement pas en mesure de m'offrir une vie de rêve! Mais je te laisse une chance de me prouver que je ne perds pas entièrement mon temps ici. Et surtout ne m'appelle plus par mon nom, je te l'interdis. Et sache que tu ne me baiseras jamais, c'est compris?" J'étais au bord des larmes, mais j'avais perdu tout fierté. Je ne pouvais que dire oui. Les yeux baissés devant Celle dont je n'avais plus le droit de prononcer le prénom. Je devais me soumettre à Elle. Lui montrer qu'elle était ma priorité, je me devais de satisfaire Ses moindres caprices. Elle se leva, et je m'apprêtais à la suivre. Elle me regarda d'un air fâché, rapprocha son visage du mien, et cracha sa désapprobation: "qui t'a dit de me suivre? Tu vas m'attendre quelques minutes et me rejoindre plus loin dans la forêt sur le banc." Elle désignait un petit endroit à deux cents mètres environ, il y avait effectivement une petite table en bois avec deux bancs. Le chemin était goudronné pour permettre le passage de certains véhicules, ce qui me rassurait par rapport aux talons d'Elaine. Elle me détestait peut être, mais je ne supporterai pas qu'il Lui arrive du mal. Je la rejoignis cinq minutes après. Je commençais à m'asseoir, mais Elle se leva brusquement et me gifla de nouveau. "Tu te mets à genoux! Tu voulais apprendre à me connaître? Et tu voulais rencontrer une Dominatrice? Et bien tu es servi! Mais je veux être sûre de ton engagement." Elle prit une petite pause alors que je m'agenouillais, les yeux baissés, et me souleva le menton de sa main. Elle reprit alors: "Veux-tu sincèrement devenir mon soumis et me prouver que tes sentiments sont un peu plus que le fruit pourri du travail de tes hormones? Réfléchis bien, car je te le rappelle, tu ne me possèderas pas, et je serai exigeante. Tu m'appartiendras. Si tu acceptes, dis-moi oui, et jure-moi d'être toujours sincère et de me traiter comme il se doit." Je sortis un petit "oui", et elle ajouta: "oui qui?" "Oui Madame! Oui je veux me soumettre à Vous, et Vous prouver la sincérité de mes sentiments!". Elaine, ou plutôt Dame Elaine, prit un air satisfait et m'adressa à nouveau la parole tout en se déchaussant. "Tu pourras m'appeler Maîtresse aussi. Ca me plait bien. Pour être sûr que tu as bien compris quelles sont nos places l'un envers l'autre, tu vas embrasser mes pieds. Simple tâche, si tu tiens vraiment à moi". J'embrassai donc ses pieds comme si c'était les choses les plus précieuses. En fait ça l'était effectivement, c'était les pieds de Dame Elaine, et les embrasser était la preuve de ma soumission. A ce moment-là j'embrassai et léchai ses pieds avec une grande passion. Elle me repoussa doucement avec l'un de ses pieds, et dit: "c'est bien, il y a peut être quelque chose à faire avec toi. Tu es désormais mon soumis, nous parlerons de notre contrat de Dominatrice et de soumis ce soir, je t'enverrai un message. Et je t'interdis de te masturber, je ne suis pas là pour te servir de fantasme sexuel après tout." Sur ces mots elle se leva et passa doucement sa main dans mes cheveux. Dame Elaine me parla avec une douceur qui contrastait avec le ton d'avant: "Je ferai de toi mon esclave docile, tu seras à moi, uniquement à moi. Et je ne te laisserai jamais partir."
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Par : le 08/07/13
Oui, je sais... j'aime les cordes et les cirés... C'est une histoire vécue que j'avais postée sur un autre forum. Moins " sensible" que les autres textes, ( on ne peut pas etre toujours au niveau "international"...LOL), j'ètais en relation avec une Dame que j'avais branché sur les imperméables. Miraculeusement, elle avait aimé ça, et nous passions des soirées au téléphone, tout les deux habillés de cirés. Elle n'avait pas de webcam mais ses soupirs dans le combiné étaient prometteurs. Surtout qu'elle m'avait avoué posséder une paire de menottes...qu'elle utilisait en plus pour nos soirées délire. La dame étant de Besançon, je l'ai rejoint plusieurs fois. Et nos jeux de coquins furent rapidement détournés sur des journées de ligotages poussés, tout les deux vêtus de nos chers imperméables.. Un samedi pluvieux, elle a décidé de me faire découvrir la campagne des alentours...Nous nous sommes donc équipés pour la promenade , à vrai dire, elle s'est vêtue de bottes en caoutchouc noires, d'un pantalon en cuir, et d'un long ciré jaune, brillant, magnifique, fermé par de petits brandebourgs en cuir ...Moi je la regardais sagement s'habiller, obéissant à son ordre d'attendre qu'elle ait fini. Une fois qu'elle fut convenablement vêtue, elle s'occupa de moi. A vrai dire, elle pris une cordelette qu'elle entoura à ma taille,passant deux brins entre mes cuisses, pour les rattacher derrière le dos. Puis avec une ficelle fine, fit un " paquet " de mon pauvre appendice, qui devint de ce fait un joli rôti.. Elle me fit enfiler ma combinaison en plastique, me fit mettre mes bottes en caoutchouc. Puis me ligota sévèrement les mains croisées dans le dos. Elle passa ensuite une forte sangle par dessus mes bras qu'elle serra dans le dos, me plaquant les bras au corps. Je la vis fouiller dans son armoire et revenir avec une cape en ciré bleu nuit, assez longue, qu'elle me posa sur les épaules. Une fois boutonnée, elle me ramena la capuche sur la tête.. Nous descendîmes alors dans son garage ou elle me fit monter dans sa voiture, sur le siège arrière. Et avec une longue corde, attacha mes bottes.. Jetant un sac à coté d'elle , nous partîmes en ballade, moi complètement impuissant... Arrivés dans un chemin perdu au milieu de nulle part, elle arrêta la voiture, sortit et vint m'ouvrir la porte, me fit mettre debout. Je sentit sa main se poser entre mes jambes et caresser mon "paquet" qui répondit allègrement...Détachant mes pieds, elle reposa la corde au niveau de mes genoux, en faisant deux sortes de boucles. Le lien me laissait quelques centimètres d'espace me permettant de faire de tout petits pas , tout en étant invisibles sous la cape. Prenant son sac, elle me passât une cordelette autour du cou, en une sorte de collier, et m'emmena promener. Nous n 'allâmes pas loin, une clairière semblait nous attendre. Choisissant avec soin un fourré un peu épais, elle me plaqua contre un arbre. La pluie commençait à tomber dru, je voyais,les gouttes ruisseler sur sa capuche. Et le crépitement sur la mienne, mon impuissance qui allait encore s' aggraver me mettait dans un état chargé d'érotisme. Dénouant mes genoux, elle les rattacha très serrés. Puis prenant dans son sac une longue corde, elle commença à me ficeler contre le tronc, en commençant par les épaules. Une fois le haut du corps bien fixé, elle pris une autre corde et me ligota les chevilles. Voir cette magnifique Dame baissée devant moi, la pluie tombant à seau sur son ciré, pendant que la corde serrait mes chevilles me fait frémir encore aujourd'hui. Une autre corde fut serrée sur mes genoux et mes cuisses, les plaquant au tronc. Puis prenant un gros bâillon boule noir, avec une courroie souple, elle me l'enfonça fortement dans la bouche, avant de boucler la lanière au dernier cran. Violemment. Totalement impuissant. Un rouleau se scotch noir à la main, elle entrepris de me coller littéralement la tête contre le tronc, passant par dessus mon bâillon, recouvrant celui ci de plusieurs tours. Le plastique de la capuche se plaquait contre mes joues, la pluie dégoulinait sur mes yeux.. L'odeur de terre mouillée nous enivrait . J'essayais bien de remuer un peu, rigoureusement impossible. Je vis alors ma belle dominatrice se reculer un peu. Somptueusement belle dans son ciré tout luisant de pluie. Je vis ses mains dénouer les fermetures de l'imperméable, l'écarter. Ses doigts ouvrir le haut de son pantalon de cuir, et sa main s'insinuer dessous. Jambes légèrement écartées, elle commença à faire aller et venir ses doigts, jusqu 'a un spasme violent qui la secoua , là, devant moi, sous la pluie. Tenaillé par un désir tellement violent, je remuais un peu, je la vis se rapprocher de moi, venir se coller tout contre ma cape. Sa main caressant mon sexe..... La pluie tombait toujours.......................
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Par : le 05/07/13
Je reviens à l'instant de ma première séance avec une "dominatrice". J'y ai pris du plaisir, mais je dois dire que j'ai quand même été déçu. Je l'ai rencontré en répondant à une annonce sur internet. On a commencé par discuter via le site de petites annonces. Elle m'a dit que normalement, elle ne fait pas les initiations, mais qu'elle pouvait faire une exception si j'étais très motivé. Elle m'a même demandé si je voulais appartenir à une maîtresse. Je lui ai répondu que oui, mais que je pouvais changer d'avis, étant donné que je n'avais jamais été soumis. Elle m'a dit que c'était pour ça qu'elle ne faisait pas les initiations. Je lui ai répondu que si j'ai dit que je pouvais changer d'avis, c'était pour pas faire de promesses en l'air, mais que j'étais vraiment motivé. Elle m'a demandé si je pouvais venir tout de suite avec une enveloppe contenant 150 euros et faire tout ce qu'elle m'ordonnerait. Nous avons donc convenu des limites. J'ai pris une douche et je suis allé chez elle. Quand je suis entré, elle m'a ordonné de me déshabiller, puis j'ai eu droit à tout ce qu'on avait convenu, sauf l'uro. Je lui ai léché les pieds, le sexe et le cul. Par moments, elle était sur son lit, et moi à 4 pattes par terre. À d'autres moments, j'étais couché par terre et elle assise sur moi. Elle m'a craché au visage, dans la bouche, m'a ordonné de me doigter le cul ou de me branler pendant que je la léchait. Elle m'a également doigté le cul pendant que je me branlais à 4 pattes. C'est à ce moment là que j'ai jouit. Elle m'a ordonné de chercher du papier toilette et de nettoyer le sperme sur le sol. Elle m'a ensuite demandé ce que j'avais pensé de cette première séance. Je lui ai répondu que ça avait été un peu rapide. Elle m'a dit que j'avais jouit et m'a demandé si je voulais continuer. Je lui ai dit que oui, et on a recommencé : Léchage de pieds, de sexe, de cul, doigtages, crachats et branlette. Au bout d'un moment, elle a vu que je ne bandais plus (je venais de jouir). Elle m'a dit qu'elle le savais que ça serait comme ça et m'a ordonné de me rhabiller et de dégager. J'ai pris du plaisir, mais je l'ai trouvé trop mécanique. Elle utilise toujours les mêmes insultes (chien, chienne et salope). Pour elle, le but était que j'éjacule et la domination, un moyen d'atteindre ce but. Alors que pour moi, la soumission était déjà une fin en soi et la jouissance très secondaire. J'aurais même pu ne pas jouir du tout, ça ne m'aurait pas dérangé. J'avais l'impression qu'elle se faisait chier par moments. Il m'est même arrivé de la plaindre quand j'étais à 4 pattes en train de me branler pendant qu'elle me doigtait le cul. Je me dis qu'elle fait pas un métier facile. C'est clairement l'argent qui l'intéressait. Suite à cette expérience, je n'irai plus voir une dominatrice qui demande de l'argent. Mais j'espère toujours rencontrer une femme, avec qui j'aurais une vraie relation qui contiendra, entre autres, de la domination.
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Par : le 04/07/13
Tightlacing Mot d'origine anglaise, n'ayant pas d'équivalent en français. Pourrait se traduire approximativement par "corsetage", au sens de "port d'un corset lacé très serré" (laçage serré). Le tightlacing est une pratique consistant, par le port constant d'un corset sur une longue durée (généralement 23h/24, 7 jours/7, en l'enlevant uniquement pour prendre sa douche et en dormant même avec), à réduire progressivement son tour de taille. Technique Elle consiste à acheter d'abord un corset réduisant le tour de taille naturel de huit à dix centimètres (réduction maximale possible pour la plupart des gens quand on porte un corset pour la première fois ou de façon occasionnelle), à le porter nuit et jour pendant plusieurs semaines jusqu'à y être bien habitué(e) et s'y sentir confortable, puis, quand on peut le fermer totalement sans inconfort, à acheter un autre corset qui réduira la taille de 2 à 5 cm de plus, à le porter plusieurs semaines jusqu'à ce qu'on puisse y être totalement habitué, etc. Au fur et à mesure, chaque centimètre gagné est de plus en plus long et difficile à obtenir, et il arrive un moment au bout duquel une personne ne pourra plus rien réduire. Le degré de serrage du premier corset, la rapidité de la progression et la réduction "finale" à laquelle on arrive, dépendent énormément des particularités de chaque individu : tour de taille de base bien sûr, mais aussi écart naturel entre les côtes basses et l'os des hanches, "compressibilité" naturelle (qui varie beaucoup entre deux personnes ayant pourtant les mêmes mensurations de départ)... et bien sûr assiduité au port du corset. Pratiquer le tightlacing est un sacerdoce auquel on ne s'adonne pas sur un coup de tête, et qui suppose des mois voire des années de dévouement au port du corset, avec une modification des habitudes quotidiennes (on ne bouge pas de la même façon avec un corset très serré, on ne fait pas les mêmes activités ou on apprend à les faire différemment). Il existe sur le net des sites donnant les conseils et expériences des tighlacers d'aujourd'hui : faire de petits repas fractionnés plutôt que trois gros repas, apprendre à bien hydrater sa peau pour qu'elle ne s'abîme pas sous l'échauffement du corset, s'habiller différemment sous et sur le corset, l'enlever une heure par jour pour se doucher et faire quelques exercices de gymnastiques afin de conserver sa ceinture abdominale... (voir liens) Effets physiologiques Peu à peu, les côtes basses flottantes se resserrent, les organes vitaux se répartissent au-dessus et au-dessous de la taille, permettant l'affinement progressif de celle-ci 1. Ces modifications sont lentes et très progressives, il est illusoire de vouloir réellement changer son corps par le port occasionnel d'un corset. Ceux qui espèrent affiner définitivement leur taille par le port occasionnel voire unique d'un corset (que ce port rare ne leur permettra de toutes façons, biologiquement, de serrer que de moins de 10 cm) voient leur corps reprendre le même aspect qu'avant dès qu'ils enlèvent le corset. Esprit et histoire Le tightlacing peut être considéré comme faisant partie des diverses pratiques de modifications corporelles (body modification) comme le piercing, le tatouage, le branding... il s'agit là aussi d'imprimer volontairement une marque personnelle sur son corps, de le modeler de la façon dont on le désire, en en tirant fierté et personnalisation esthétique - dût-on subir, comme pour toute modifications corporelles, la désapprobation de ceux qui ne partagent pas les mêmes choix ou ne les respectent pas chez les autres. Il a été pratiqué de façon beaucoup plus occasionnelle qu'on ne le pense aux XVIIIe et XIXe siècles : seules quelques rares femmes de la haute société s'y consacraient, par choix personnel, et étaient souvent critiquées comme coquettes excessives voire vivement réprouvées par les médecins et moralistes religieux. La très grande majorité des femmes de tout statut social portaient le corset, mais assez peu serré, plus comme un soutien pour se tenir droite et affiner très légèrement la taille mais sans excès, et l'enlevaient pour dormir. Aujourd'hui, il existe une poignée de gens pratiquant le tightlacing, essentiellement aux États-Unis mais aussi quelques-uns en Europe. Tighlacers actuels La femme amatrice de tightlacing la plus connue aujourd'hui est Cathie Jung, une Américaine d'une soixantaine d'année qui pratique le tightlacing depuis plusieurs décennies et a aujourd'hui la taille la plus fine au monde : 38 cm mesurés sur le corset. Son physique extrême et surprenant provoque parfois l'admiration esthétique, parfois le respect pour sa démarche personnelle pleine de volonté et d'originalité, et plus souvent des critiques très agressives et épidermiques... Elle fait occasionnellement des apparitions télévisées, dont la plus récente dans l'émission de Tyra Banks a été accompagnée d'une attitude très irrespectueuse de la présentatrice et du public. Parmi les autres tighlacers connus on peut citer les Allemandes Lacie et Sylphide, les Américaines Michaela Grey (qui milite pour les droits de la femme, le féminisme et plus de respect pour les minorités) et Dita von Teese, célèbre pin-up moderne. On peut aussi citer l'impressionnant Mr Pearl qui est corsetier à Paris depuis 2004 et travaille avec des stars comme Victoria Beckham ou Kylie Minogue. Mr Pearl a la taille la plus fine pour un homme : 43,5 cm "On peut aussi citer l'impressionnant Mr Pearl qui est corsetier à Paris depuis 2004 et travaille avec des stars comme Victoria Beckham ou Kylie Minogue. Mr Pearl a la taille la plus fine pour un homme : 43,5 cm" La plus grande singularité de Mr Pearl lui-même est certainement qu'il pratique lui-même le tighlacing ( ou fait de réduire volontairement sa taille par le port constant d'un corset (23h/24, 7 jours/7), de plus en plus serré au fil des mois et années). En cela, l'excentrique homme ne fait que poursuivre une mode instaurée par les dandys et les militaires au début du xixe siècle, où le corset n'était pas réservé aux seules femmes : les uns comme les autres recherchaient un maintien droit et altier allié à la minceur d'un taille bien prise. Complèment d'information apporté par @Poison J'espère ne pas être hors sujet en soulignant pourquoi le port du corset de nos jours se fait rare et est devenu un précieux fétish d'une sensualité incomparable, de part le fait que Herminie Cadolle le découpa pour inventer le "corselet de gorge". "Au cours de l'exposition universelle de 1889 (celle de la Tour Eiffel)Herminie exposera sa nouvelle invention. Elle venait en effet d'avoir une idée simplement géniale : pour le confort de la femme elle avait coupé en deux le traditionnel corset féminin : elle venait d'inventer le premier SOUTIEN-GORGE dont elle déposera le brevet et qu'elle appelle initialement le "corselet gorge". http://www.cadolle.fr/FR/histoire2.shtml
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Par : le 27/06/13
Ce n'est pas être faible. Il est fort celui qui s'accepte tel qu'il est vis à vis de moi. Malgré la société autours qui lui indique que pour « être un homme » il lui faut être un goujat et un dominateur à la maison et au lit. C'est être fort que de constamment respecter les règles de la galanterie à l'ancienne, me tenir la porte, de porter mon sac, de supporter mes petits caprices et les trouver mignons... C'est être fort que de prendre soin de moi, de s'occuper de mon bien être, de m'éviter toute fatigue et contrariété, d'alléger voire effacer de mon esprit mes lourds soucis quotidiens. C'est être fort que de faire sa priorité de vie de moi et notre futur foyer. C'est être puissant que de jouer avec moi, aucun éjaculateur précoce ou impuissant ne le peut. Tenir jusqu'au point où j'ai donné mon aval, aucun faible ne le peut. C'est être fort d'esprit que de savoir passer de mon chevalier servant, mon rempart, à l'esclave de mes jeux et inversement. C'est être fort que de construire sa vie avec moi, avec le monde qui nous entoure, la société, les amis, les familles, les carrières professionnelles, les soucis et notre unicité.
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Par : le 24/05/13
combien d'entre nous on souffert de l'indifférence, beaucoup, trop certainement petit à petit c'est comme une gangrène, cela nous envahis, cela nous ronge de l'intérieur, on commence par perdre confiance en soi, on se remet en question pourquoi ? qu'ai je fait de mal ? Que n'ai je pas fait ? On redouble d'effort, mais rien n'y fait alors on attend le «coup de grâce» qui ne vient pas!!!!! on ne veut pas «lâcher l'affaire» on veut comprendre, pourquoi, pourquoi ca fait si mal, pourquoi on passe de «indispensable» à «inutile» et pourquoi on ne nous le dit pas en face, et là généralement arrive l'absence, plus de nouvelles «silence radio» c'est la fuite, disparaître parce que l'on n'a pas le courage, peut être pour nous avoir à l'usure !!!!! alors que simplement nous n'attendons que ces mots « c'est fini, terminé», indispensable pour permettre de tourner la page, mais non, il arrive souvent que nous devions prendre l'initiative, dernier sursaut avant de toucher le fond, s'amputer de l'indispensable sinon mourir, l'indifférence concerne tout le monde, que cela soit dominant, dominé, on abrège bien les souffrances aux animaux, alors prenez «vos couilles» ou «autre chose» a deux mains et hop un peu de courage!!!!!!! toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite
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Par : le 12/05/13
Parce qu'il est bon parfois de ressortir des vieilleries ... et que je n'ai encore rien posté ici. Il était là. Devant cette porte lisse et sans serrure, il n'y avait de toute évidence pas d'autre issues. Le signal passait au travers, si fort qu'il en avait déjà franchit huit, comme autant de semaines à déjouer leurs mécanismes, la neuvième serra-t-elle la dernière. Ses références et la présence de cette statue d'humanoïde à tête de bouc assise sur son trône l'incite à croire que oui, mais que fait donc là ce lapin sur les genoux d'un dieu ou ce qui s'y apparente. Question de culture se dit-il, manger dans la main d'un dieu ne lui plait guère et ne sied pas à côté dominant. Sa nature magique même, bien qu'engendrant une certaine voracité, lui soufflait que ce pourrait être une clé, hors de question donc de se repaitre du petit animal. Il avait déjà plusieurs fois feuilleté le grimoire des ses pensées mais n'y avait pas trouvé de note pouvant l'aider, pas de pilules bleu ou rouge qui aurait animé ce lapin blanc et qu'il aurait suivit par delà cette porte. Les inscriptions sur le piédestal ne l'aidaient pas non plus, sinon qu'il en émanait une certaine souffrance, égale à ce que peu promettre l'être qui les surmonte, angle de vu ce dit-il encore une fois. Perspective, le mot lui claqua entre les crocs, il se souvint que tout les rayons du spectre lumineux ne sont pas visibles de face, l'oeil est ainsi fait qu'il se protège. Il avait donc la porte et la clé, restait à trouver la serrure. Il tournait en rond, les paroles du dernier être surnaturel qu'il avait croisé lui revinrent, "tu es là" avait-il dit faisant suivre à son doigt le bord d'une spirale se refermant. Certes, un jour le centre serra atteint ! Mais le lumineux avait aussi ajouté, pointant cette fois ci son index sur le plexus du loup-garou "c'est fermé, là, tu n'atteindra ta véritable puissance que lorsque ce sera ouvert". Il tripotait l'anneau brisé, gravé du carpe diem, usé par ses nombreux voyages, qu'il portait en pendentif, surmonté d'un disque d'argent pur, présent du vieil illuminé, toutes les mythologies ne sont donc pas bonnes à croire mais il le savait déjà. Illusions donc, cercles est disques s'imbriquaient dans son esprit, il lui fallait en sortir, cesser de tourner en rond, la solution serait la. La fissure de son petit anneau accrocha sous son doigt. L'énigme des mots gravés sous la statue se révéla. Son regard se braqua sur le lapin blanc. Dans la périphérie il perçu la serrure. L'espace et le temps se lièrent. Il plongea.
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Par : le 29/04/13
Avant d’entamer la moindre pratique BDSM, il faut se souvenir de la devise qui s’impose à tous en la matière : les pratiques du BDSM doivent TOUJOURS être : - Sûres - Saines - Consensuelles Sûres, car il ne faut pas mettre en danger la personne soumise. Si la personne dominante n’est pas sûre de maîtriser une pratiquer, si elle ne peut assurer la personne soumise qu’il n’y a pas de danger, elle s’abstient. Toute démarche BDSM avec une nouvelle personne soumise commence par le choix d’un « safeword ». Le « safeword » est un mot de code que la personne soumise pourra utiliser pour signaler qu’elle souhaite que la pratique en cours s’arrête IMMEDIATEMENT. Certains pratiquants utilisent le mot « Rouge » (ce qui permet de nuancer avec Orange, si la personne soumise sent que la limite de ce qu’elle peut supporter est atteinte, « Jaune » pour arrêter la pratique à cet endroit du corps et « Vert » si tout va bien). Il faut également prévoir un code gestuel si la personne soumise est bâillonnée en fonction des libertés de mouvement de ses membres (faire « 2 » avec les doigts par exemple). La personne dominante devra alors être très attentive à la partie du corps par laquelle peut venir un signal d’arrêt. Pensez aussi à pouvoir agir en cas d’urgence : par exemple si vous attachez quelqu’un, vous devez avoir un outil pour le détacher rapidement (ciseaux). Et n’oubliez jamais qu’on ne laisse jamais une personne attachée ou bâillonnée sans surveillance : sans surveillance, une personne contrainte qui fait un malaise est en grand danger ! Saines, car il faut être très vigilant à la santé et à l’hygiène. Par exemple, les instruments doivent être nettoyés très régulièrement, et surtout OBLIGATOIREMENT si elle change de partenaire. Si vos pratiques génèrent un saignement, il faut désinfecter. S’il y a des pratiques anales, ce qui a pénétré ne doit pas pénétrer vaginalement sans nettoyage méticuleux. S’il y a rapport sexuel il doit y avoir utilisation de préservatifs, etc. Les précautions sont nombreuses, mais vous devez être informés et responsables : prenez le temps de lire et d’assimiler. Il faut aussi être sain dans sa tête : on ne domine pas une personne soumise si on a trop bu, on ne domine pas si on est en colère. Soyez sains, au sens propre, comme au sens figuré ! Consensuelles, vous devez obligatoirement en parler AVANT avec votre partenaire, avoir son accord et être bien sûrs que vous comprenez l’un(e) comme l’autre les risques et les conséquences des jeux BDSM que vous envisagez. Bien entendu, les jeux BDSM ont un piment particulier quand la personne soumise ne sait pas exactement ce qu’il va lui arriver. Etre prévenant(e) ne veut pas dire nécessairement « tuer le mystère » en dévoilant précisément ce qui va se passer. Mais pour autant, vous devez connaître précisément ce que la personne soumise ne veut pas, et respecter ses interdits. C’est INDISPENSABLE. Pour faire le point, il existe des questionnaires à faire remplir à la personne soumise pour qu’elle puisse lister qu’il est impensable pour elle, ce qui lui fait peur mais qu’elle veut bien essayer, ce qui l’attire, etc. La pratique du BDSM, c’est un PARTAGE et un jeu à deux.
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Par : le 18/04/13
Rendez-vous… Nous avons rendez-vous à 17 heures. En plein centre-ville de Strasbourg. Il fait si beau, presque chaud. Un monde fou se croise ici et là. J’arrive pile à l’heure. Elle aussi, presque en même temps. Elle m’avoue qu’elle était déjà là depuis un moment mais n’osait pas trop se montrer. Je l’aperçois rapidement. C’est elle. Je l’embrasse sur ses joues et je la touche. Un premier regard, qui en dit long… Elle me dit « J’ai cherché à regarder les chaussures des personnes qui attendaient là comme vous, car on voit beaucoup de photos de vos pieds sur votre blog ». Ses paroles me font sourire et cela me flatte un peu. Originale entrée en matière et j’apprécie. Elle a eu raison, j’ai mis des chaussures plates certes, mais ouvertes et qui laissent apparaître mes petits petons vernis de rouge. Nous faisons quelques pas. Nous nous dirigeons à une terrasse. Au soleil. C’est si bon de retrouver les rayons qui réchauffent nos cœurs en Alsace. Elle me fait découvrir un endroit que je ne connaissais pas. Un repaire de lesbiennes me dit-elle. Pourtant, j’ai dû y passer cent fois, je ne savais pas. J’aime me dire que je suis là, avec elle et que toutes les filles pourront se poser cette question : « Sont-elles ensemble ? »… Je m’assois face à elle. Je suis trop près. Je me recule, volontairement, un peu. Le remarque-t-elle ? Je veux garder cette distance, symbolique. Je la regarde. Elle aussi. Nos regards, se croisent et communiquent. Naturellement. Nous parlons ; De tout, de rien. De domination, bien sûr. Elle semble curieuse de découvrir qui je suis. Je réponds à ses questions, sans détours. Elle semble intéressée par celle qu’elle découvre encore un peu plus. Un client semble écouter notre conversation. Et alors ! Je m’en fiche. Elle aussi. Nous l’avons remarqué et cela ne nous empêche pas de poursuivre notre discussion de plus belle. En toute complicité. Je l’observe. Détaille ses gestes, ses mouvements, ses mains. Sa bouche. Certaines postures trahissent ses émotions. J’aime son sourire. A quoi pense-t-elle quelquefois alors que nous parlons ? Quelques silences, courts, mais qui eux en disent long… Et soudain, des paroles, qui posent un trouble. Nos regards changent. Est-ce que je la trouble ? A-t-elle envie de se rapprocher ? Je sais, je vois que je ne lui suis pas indifférente. Elle aussi m’inspire… Deux heures, qui passent bien trop rapidement. Je dois, partir… Elle demande à me raccompagner à mon parking. Nous arrivons place Broglie. Je lui signifie que c’est ici que nous nous séparerons. Je la regarde dans les yeux. M’approche. Je l’embrasse sur la bouche, d’un baiser appuyé mais dont j’avais envie. Devant tous les passants. Perverse situation, qui m’excite. Puis deux petits baisers sur ses joues. Elle bafouille. Ne sait plus dans quelle direction repartir. Nous tournons les talons. Troublées… Une belle rencontre, que nous n’oublierons pas. Nous nous quittons, pour nous retrouver… Mercredi… A toi, ma jolie et attendrissante wondersalope… Vous avez envie d'en savoir plus;.. Allez sur le profil de wondersalope. Ou sur mon blog ; http://madame.s.erog.fr
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Par : le 07/04/13
Adepte du bdsm, est-ce pour éprouver du plaisir dans la douleur ou la souffrance, ou le plaisir de ressentir que nous sommes envie grâce à la douleur ou la souffrance ?Adepte du bdsm, est-ce pour éprouver du plaisir en dominant les autres par la douleur ou la souffrance, ou le plaisir de ressentir que nous sommes en vie en infligeant la douleur ou la souffrance aux autres ?Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs à vos plumes.En espérant pouvoir lire vos commentaires, remarques ou expériences sur ce ou ces sujets. Douce et agréable soirée.
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Par : le 28/03/13
Tout en étant assis, j’écoute Pauline lire sa confession, avec plaisir je l’avoue, avoir une jeune femme qui vous fait une confession d’une telle pureté, puisant dans son âme, la force nécessaire pour parler de ce qu’elle appelle « cette chose » est un véritable trésor. Pauline me regarde à nouveau, elle cherche quel que chose dans mon regard, est ce qu’elle souhaite se relever ? Est ce qu’elle cherche une réponse à ce qu’elle vient de me lire ? Je ne sais pas, ce que je vois en revanche c’est une jeune fille qui vient de se mettre complètement à nue, elle a posé les dernières armes de son intimité, à mes pieds, moi homme qu’elle connait que depuis quelques heures. Et j’avoue qu’en partant de chez moi cet après midi, je m’attendais à beaucoup de choses mais certainement pas à cela et j’ose avouer, dans un moment de faiblesse, que Pauline me prend au dépourvue et me met dans une situation, dont le contrôle m’échappe, mois dominateur, habitué et ayant une certaine expérience de la vie. Est-ce que cette situation me fait peur ? la question peut légitimement se poser, vais-je répondre à cette demande ? Cette question commence à me traverser l’esprit. Je me lève et m’approche de Pauline qui reste en position, je fais le tour de sa personne en prenant soin de ne pas la regarder dans les yeux, la laissant ainsi avec ses questions sans réponse. En revanche deux de mes sens se mette en éveil, l’odorat, le parfum de Pauline enchante mes narines, ce parfum sucrée est agréable, le second est l’écoute j’entends la respiration de Pauline, elle est saccadé, Aurait elle peur ? Est ce de l’excitation que j’entends ? A moins que se soit l’appréhension de ce qui va se passer dans un futur qui semble proche. Voir un mélange des trois. Après avoir fais le tour je m’assoie à nouveau face à Pauline. Elle va avoir ce qu’elle recherche, cette « chose » comme elle l’appelle, je vais combler son besoin de savoir, mais je vais le faire à ma manière, alliant douceur et sévérité afin qu’elle puisse découvrir les bienfaits de la fessée (quelle soit érotique ou punitive), qu’elle puisse enfin jouir de celle-ci de manière ouverte ! - Bien Pauline, tu a fait ce que je t’ai demandé, tu ma à réussi à écrire ce que tu ressens, et ce besoin que tu a d’être fessée, et je vais t’offrir ce que recherche (Pauline se met à sourire..un peut trop à mon gout d’ailleurs) mais je vais le faire à ma façon. - (le sourire disparait un peut laissant place à un doute) c'est-à-dire ? - Tu verras cela en temps utile, maintenant tu va te lever, t’approcher de moi et t’allonger sur mes genoux. Pauline se lève, s’approche doucement, et ce couche sur mes genoux. Mes yeux se perde dans la splendeur de ses fesses, offrant à mes yeux une vue imprenable sur son intimité. Je vois que la situation ne la laisse pas indifférente puisque son sexe est humide, est ce la situation qui met en éveil le corps de Pauline, ou son corps anticipe la fessée qu’elle va recevoir ? Je prends le temps de découvrir ses fesses, après la vue, vient le toucher, je caresse ses fesses, elles sont douces et ferme. La première claque tombe sur sa fesse droite, marquant ainsi le début de cette fessée. La seconde sur la fesse gauche un peut plus forte, Pauline pousse un premier cri de surprise. La fessée monte progressivement en intensité au point de sentir Pauline bouger sur mes genoux, non pas pour éviter cette fessée, mais pour aller au contact de ma main. Depuis le temps qu’elle attend de découvrir cette « chose » elle veut profiter au maximum de cet instant, au point de ne pas sentir la douleur de la fessée. Ce que Pauline ne sait pas, ceci n’est que le début de la fessée que je lui réserve. Après 10 minutes de cette fessée qui aura permit au sens de Pauline de se mettre en éveil, je m’arrête, elle à l’air surprise et frustré par cet arrêt prématuré. Je demande à Pauline de se lever et d’aller se mettre au coin, elle se dirige vers se coin, et je ne peut pas m’empêcher d’admirer cette paire de fesses, entre le rouge qui est venu prendre possession de ses fesses et la couleur naturelle de sa peau, me yeux se délecte de ce spectacle. A quoi pense-t-elle ? Aucune idée, mais je suis sur qu’elle commence enfin à mettre un nom à ce qu’elle vient de recevoir, que sa curiosité commence à être satisfait. Je m’approche du placard qui avait fait frissonner Pauline plus tôt dans l’après midi, je l’ouvre et en sors trois instruments pour la fessée, ainsi que deux autres objets…….je vous invite à imaginer quels sont ses instruments et objets. A Suivre
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Par : le 17/03/13
La Voix, un si petit mot en lui-même, qui pour moi représente tellement pour mon esprit et pour mon corps. Cette voix, celle de Mon Maître qui telle le sang dans les veines se veut être source de vie, m’est à moi source vitale, sève de mon esprit, nourriture en mon corps, cette voix qui par ses mots, et son timbre me guide, me dicte, m’ordonne, m’interdit, m’impose, me flatte à satisfaction ou me frappe en pénalisation... Cette voix qui me guide, m’alimente, m’anime, qui s’infiltre en mes sens, et circule en mes chairs, me remplit, s’injecte en moi comme une force, dont jamais je ne me lasse ; enveloppe compressive, exclusive qu’en ma soumission, je peux suivre les yeux fermés, sur ce chemin de mon obéissance et de ma servitude. Cette voix qui me dessine l’unique voie qui est la mienne, qu’en chacun de ses mots, en moi force de vie et de paix, et par sa résonnance sonore, je m’en imprègne. Elle résonne et tonne par sa colère quand je l’entends dure, sévère ou sèche ; elle me dicte par son assurance, et sa précision des mots, quand elle me dresse, m’ordonne, me plie ; elle me rassure et m’apaise par son calme, quand elle me parle, m’explique, calme mes douleurs, me félicite ou me complimente. Elle est si différente pour chaque chose, pour chaque instant, elle est Domination, dirigeante et allaitante, qui en ma soumission m’abreuve, me sustente, ravitaillement en l’âme et les chairs, telle une eau de vie, et fruit sacré à la soumise que je suis. Elle est gardienne par ses paroles, de ma sagesse et ma droiture par mon abdication à ma liberté, qui à ce titre de propriété lui a donné sur moi toute autorité. Elle est : La Voix de Monsieur Votre voix par sa présence, est semence en ma conscience, Elle m’impose, m’ordonne, résonne, me cautionne ou me baîllonne Elle m’impressionne, me frictionne, me harponne, m’approvisionne et me soumissionne Votre voix par sa présence, est exigence, en réjouissance ou en sentence Elle me boutonne, m’actionne, me cramponne et me questionne Elle me positionne, me perfectionne, ou même me sermonne Votre voix par sa présence, est l’essence de mes sens par excellence Elle me coordonne, et me mentionne, me subordonne ou me sanctionne Elle me raisonne et me cloisonne, en mes oreilles elle bourdonne, elle me passionne. Qui pourrait comprendre qu’en moi ma soumission est si grande Qui pourrait imaginer qu’à Vous Mon obéissance et ma servitude, soient si profondes Monsieur Que soumise je ne sache me nourrir que de vos mots, de votre voix, de votre image et de votre présence, Que soumise, vous êtes mon oxygène, cet air dont je me purifie Que soumise je ne puisse me sentir sereine et en paix que de vous donner tout ce qui est en moi, vous sentir puiser en mon esprit et corps tout ce qui vous appartiens Que soumise mes seuls désirs et plaisirs sont de vous apporter plaisirs, jouissifs et satisfactions. Votre Voix par son absence, est silence en ma conscience Je me plonge dans la profondeur de ma soumission Chacune de mes pensées, vers vous est tournée Au monde « des communs » je suis fermée Concentration de mes devoirs en exécution, application, en moi dégustation Canalisation de mes obligations en nutrition, règlementation de mon éducation Je n’ai pas en moi la notion du temps, sans votre voix il paraît si long Chaque jour vers Vous mon Esprit et mon Corps en Votre Possession Chaque jour, à Vous mon obéissance et ma servitude à Votre Domination Chaque jour, pour Vous La grandeur, la profondeur et la douceur de ma Dévotion Chaque jour, à Vous mes regards et mes songes, en ma soumission Votre regard me fait briller, votre voix m’anime, Votre main me tient et me dresse, Votre autorité me dicte et me protège, Votre emprise me donne vie Votre Domination nourrit ma soumission. Que tout de moi vous soit plaisir et satisfaction Que tout de moi vous soit jouissif et excitation Quand tout de vous m’est bien-être, équilibre et paix Quand tout de vous m’est jouissance, bienveillance et excellence. Oh Monsieur que votre voix m’enveloppe, m’abreuve, Et donne clarté et mélodie à ma voix…
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Par : le 17/03/13
Il y a en ce monde je dirais plusieurs catégories de personnes qui sont: - Ceux qui ne vivent rien « Les vanilles.. Pour moi les Communs des mortels » - Ceux qui fantasment "Houla houla... On s’invente des identités, des statuts, et on est tout le contraire". - Les pseudos Dom/soumises... "pas glop... pas glop... Ils "Jouent" eux tranquilles, un samedi soir histoire de faire plus fluidifier la mouille de Madame, et tenir en exploit la gaule de Monsieur quelques minutes de plus". - Les Volontaires à la D/s... "Grrrr… Ils ordonnent, elles obéissent... Cooool... Ils s’affirment être Maître et soumise... MAIS il y a comme un os qui me met hors de moi... C’est que il y a des "Compromis" , ils Ordonnent Oui mais uniquement sur ce qu’elles Acceptent de faire. Et elles obéissent forcément sur ce qu’elles aiment et au final ils ont un listing préconçu de ce que j’appelle moi "Leurs activités sm" (hobbies, travail manuel, récréation), ils sont dans l’offre et la demande... Elle aime l’exhibe, pas de soucis il lui ordonnera de le faire, elle n’aime pas avoir mal, no problemo, elle sera fouettée avec la ceinture du peignoir en coton... - Les Dominants/soumises... Ils le font plus sérieusement, mais pas sur la réelle appartenance, dans le sens où, oui ils seront ensemble, mais ils ne pratiqueront l’art de l’Education, l’obéissance, servitude et les pratiques que dans le cadre de "Séance"... - Les Maîtres/soumises... slave... Ils sont comme les lions blancs... très rares, très peu nombreux, pourcentage minime. Mais ce qui est rare est précieux ne dit-on pas ? L’Important dans une vie n’est pas de paraître ce que nous ne sommes pas aux yeux des autres pour trouver un peu de gloire, mais de rester soi-même et de l’assumer. La Domination et la soumission : Par principe la Domination est un pouvoir qu’une personne exerce sur une autre personne, qui par un comportement directif, amènera à l'obéissance cet autre sujet d’où La soumission. Dans la relation bdsm, il est évident que ce sont nos besoins et ce que l’on a en soi qui nous amène à ce genre de relation. On ne peut pas la considérer comme un jeu, parce que c’est un art de vivre. Il faut bien comprendre ce que signifient "l’Appartenance et le don de soi" : C’est une sorte d’Union qui est scellée, elle a une grande importance dans le sens où Le Maître va prendre à sa charge la Vie d’une autre personne, Il deviendra alors son Propriétaire Absolu, Il dirigera, commandera, ordonnera, exigera à chaque fois que Il le voudra, Il utilisera, prendra, puisera, chaque fois qu’Il en aura le désir, l’envie, le besoin. Il punira, châtiera, giflera, gratifiera, caressera selon ce qu’Il verra de fautes ou de réussites satisfaisantes à ses attentes... Il aura les pratiques de Ses plaisirs qui peuvent être douces, ou bien dures, être bonnes ou faire mal, être vicieuses ou perverses... Mais avant toute chose il faut comprendre qu'Il va éduquer sa soumise, l’étudier, et devoir lui donner une très grande attention, car Il doit la nourrir de Lui, et se repaître d’elle, il doit maintenir l’obéissance, le respect, la servitude qui sont Ses règles de vie… Il ne peut être Maître sIil n’a pas la rigueur, l’autorité, la sévérité, l’esprit lucide et intelligent, l’esprit de justice, et la lucidité. Il ne peut pas être Maître s'Il lui donne des choix, car Il se doit d’être crédible. Dans la relation Maître/soumise, dans l’appartenance voici les "Essentiels" : - Pouvoir avoir une Confiance entière et absolue, - Avoir une transparence totale l’un envers l’autre, - Ne jamais se mentir, tricher, tromper, - Toujours avoir le respect de l’autre au fond de soi, - Sincérité, franchise, honnêteté, droiture. Ce sont des impératifs dans une appartenance telle que Mon Maître et moi nous la concevons. La Domination de Mon Maître : Il est sévère, Il est très directif, Il peut être très dur, il a ses perversions, ses vices en toutes formes, que sévices à mes formes sans vice de forme il décide à l’applique sans forcément y mettre les formes… Il est exigent, Il ne me laisse passer aucune faute, me punit, m’ordonne, m’interdit, m’autorise ; Il m’éduque , me dresse, me dirige. Il me donne de l’attention et parfois me met sous tension, Il m’entoure ou Il me cadre. Il a sur moi la force du Mâle. Il m’enveloppe de toute sa protection, me couvre de ses regards, et me savoure dans ce qu’Il prend et reçoit de moi… Il m’impose et m’oblige, mais aussi me dicte Ses demandes par des mots qui bien ordonnés parfois sont secs et froids et me font trembler, ou des mots qui bien murmurés parfois sont plus feutrés et chauds et me font être rassurée... Il a des règles de Vie qu’Il me dicte, Il ne me demande pas toujours si certaines choses me plaisent ou non, mais quand Il me le demande, ce n’est que pour s’informer et savoir comment je ressens les choses, simplement parce qu'Il est soucieux que je fasse de mon mieux pour Le satisfaire, et qu’Il est soucieux de bien savoir comment j’évolue dans ma soumission ; si je m’y épanouis toujours à chaque instant et avec autant de paix, mais que ce qu’Il décide me plaise ou non, il me l’imposera quand même. Le principe et la logique étant que ce sont Ses choix, Ses désirs, Ses envies, et Ses décisions. Il prend et je donne, Il puise et savoure, mais c’est Lui Le Maître, le Mâle. Ma Soumission à Mon Maître : Je suis douce, sensible voir fragile aussi, mais pourtant en moi une très grande personnalité, une grande force de volonté, un mental très volontaire. Ne pensez jamais un seul instant que je sois stupide parce que soumise, vous auriez grand tord. Car je suis très intelligente, assez cultivée, très maline, et surtout très complète, vous n’imaginez toutes les choses que je sache faire que bien des femmes ne savent pas faire… Donc n’imaginez même pas un seul instant que je sois soumise parce que stupide. Je suis soumise parce que je ne supporte pas le monde des "communs", je ne peux limite que supporter au cas par cas (famille, connaissances de longues dates, ou des éphémères qui seront des gens que juste je croiserai pas trop longtemps). Depuis toujours les communs je m’en tiens assez éloignée. Je ne peux pas expliquer pourquoi mais c’est ainsi ; je fais un rejet parce que je suis si soumise en mes chairs et en mon esprit que je ne supporte pas leur manière d’être, de vivre, de penser parfois aussi. Je respecte les choix et les vies de chacun, mais moi je ne suis pas capable de la vie "vanille/communs" fait de "chéri, mon amour, ma pupuce", bercée par des "on fait câlinoux, on fait des mamours, tendresse, souplesse, caresse"… Faiblesse, quoi... Dans ma soumission à Mon Maître, je trouve cette sérénité, cette paix en mon esprit, et en mon corps, c’est une sorte de calme et de tranquilité intérieure que je ressens. Je suis comme je vous l’ai déjà dis sur un article une réelle soumise, je ne m’épanouis qu'en appartenant, en obéissant, et en donnant au travers de ma servitude tout de moi, tout ce que Mon Maître désire. C’est par cela que je me sens moi, heureuse, que je me sens bien, et rassurée.. C’est en Le satisfaisant que je ressens un incroyable plaisir au fond de moi, ce plaisir, cette joie de savoir que je lui plais, que je le satisfais, que je lui donne tout. C’est un truc fou que je ne contrôle pas, et que personne ne pourrait imaginer le bien-être que cela me fait... Pourtant il faut savoir que c’est parfois très difficile. Quand Il me met une gifle, ce n’est pas grand-chose une gifle, parfois, souvent même, j’ai aussitôt les larmes qui surgissent, et ce n’est pas la douleur de la gifle qui en est la cause, mais en fait, c’est la douleur intérieure de voir que j’ai fais une faute qui me déchire durement. Je n’arrive pas à accepter de faire des fautes, je m’en rends malade et cela me met automatiquement ce poids du remord qui me pèse, trop lourd à supporter, avec de suite ce sentiment que je suis nulle ou mauvaise soumise. Mon désir et ma volonté sont de tellement faire toujours bien, satisfaire au mieux Mon Maître, que je me sens blessée lorsque je ne Le satisfais pas. Lorsqu’Il m’utilise, Il peut par plaisir m’infliger des douleurs, des choses qui font très mal, je ne supporte pas la douleur, mais pour Lui je l’endure, je m’y plie, parce que c’est Son choix, Son plaisir, et que pour moi Le satisfaire passe avant tout. Si je dois Le contenter parfois par des souffrances, qu’Il en soit ainsi ; je me dis que les douleurs s’arrêteront, et que le plus important, soit qu’Il ait eu ce jouissif désir qu‘Il a voulu. Je peux crier dans ces moments là, pleurer ; après Il me réconforte, m’apaise, cela me soulage de mes maux, et je me sens heureuse... J’aime Lui montrer que toute sensible que je suis et pas du tout "Maso", mes douleurs ne sont pas mon plaisir mais uniquement le Sien et que j’y mets grande volonté pour endurer... C’est une fierté que j’ai en moi que de réussir cela… Soumise je dois à mon Maître : - Obéissance, - Respect, - Servitude, - Dévotion. Il est très important pour moi que ces mots .. Ils sont ce qui régit mes quotidiens, ma vie... La règle que je me suis toujours imposée est de ne pas mentir, je ne mens pas à Mon Maître, qu’Il soit près de moi ou pas. Je maintiens en permanence mes devoirs, mes interdits, et les règles de vie qu’Il m’impose, qu’Il souhaite... Je n’ai pas comme le penseraient certains une vie de "prisonnière"... Pas du tout ; je vis tous les jours normalement, je fais mes quotidiens normalement, simplement, au travers de chaque jour, il y a des choses que je dois faire et d'autres que je ne dois jamais faire. - Je dois mettre mon joli bijou anal, tous les matins, afin de compresser les muscles de mon cul pour qu’ils soient serrés. Je dois dire tout de même que même sans bijou, cela serait identique car j’ai toujours eu le cul serré et bien plus sans le bijou, et que très souvent au long de mes journées, je compresse tout le temps par réflexe les muscles de mon cul, et quand il est fermé, on y mettrait un doigt que rien que en compressant mon cul, le doigt le sentirait bien . - J’ai obligation de m’entraîner, 2 fois par semaine avec un gode légèrement courbé ( il vaut mieux), à l’enfoncer complètement en gorge profonde, et tenter le garder ainsi le plus longtemps possible, réussir alors à sortir ma langue pour que, lorsque Mon Maître enfoncera Son sexe, il y trouve du confort et du plaisir. J’arrive quand même maintenant à garder le gode enfoncé 30 secondes au maximum, mais si je sors la langue, c'est plus dur : je peux moins car en toute logique ne pouvant plus m’oxygéner, le fait de sortir la langue réduit d’un coup ma trachée et porte à vomir, et à plus étouffer... Après chaque entraînement, ça me pique et me brûle la gorge un bon moment et, irritée je ne fais que tousser pendant les premières 10 minutes… - Je n’ai pas droit à la masturbation sans autorisation. C’est pour moi très frustrant et très dur, car j’étais quelqu’un qui, avant, aimais et surtout avais une libido très exacerbée (surtout en masturbation) ; mes besoins étant surtout de faire jaillir mes expulsions orgasmiques, mon corps à toujours eu un très gros besoin de cela pour les plaisirs du corps... j‘adore ; ce sont des vidanges qui me sont nécessaires pour mes chairs... Mes orgasmes sont normalement très travaillés, et très puissants, et je me masturbais avant presque tous les jours. Cela depuis des années... J’adore jouir et orgasmer puissamment, jusqu’à sentir toutes mes forces partir de moi, jusqu’à ne plus pouvoir bouger. C’est pour moi et pour mon corps très douloureux de ne pas pouvoir les évacuer. - je n’ai pas le droit de mettre des pantalons, des collants, des chaussures plates. C’est une chose qui ne m’est pas difficile, ni douloureux puisque je n’en mets pas, ayant comme priorité ma féminité, sensualité, sexy… - Tous les appels ou messages de Mon Maître sont prioritaires sur tout, où que je sois, sauf si je suis en situation professionnelle. Pour tout ce que sont mes devoirs et obligations ou interdits en Sa présence, je ne vous les cite pas puisque lui-même vous a publié articles où il vous en a parlé. Interdits du Maître repris dans Son article : Dès le premier jour, Je lui ai interdit le port des : 1. pantalons ou shorts. 2. collants, sauf s'ils sont ouverts à l'entre jambes ou leggings. 3. talons de moins de 10 cm. Il lui est aussi interdit : 1. de croiser les jambes 2. de serrer les genoux 3. de se masturber 4. de porter une culotte à la maison 5. d'aller aux toilettes sans permission 6. de quitter une pièce sans permission   Ma soumission est totale et réelle, elle m’est vitale et nécessaire dans mon mode de vie, pour que je me sente bien. Je ne veux pas et n’aime pas vivre autrement, car autrement cela ne me convient pas, ce n’est pas fait pour moi... J’ai connu des Maîtres ou des pseudos Maîtres dans mon passé, au fil des années, et je dois dire que certains ont été très destructeurs pour moi, parce que ils ne savaient pas me regarder, me ressentir, me deviner, me nourrir dans ma soumission , ils ne savaient pas m’ordonner correctement, me diriger, me rassurer, me protéger, me punir comme il faut, me tenir et me retenir, m’expliquer des choses, me parler, ils ne savaient pas tout simplement me donner leur attention, ils ne savaient ce qu’est "La Domination et la soumission" et le pire est que ils n’étaient pas capables de voir tout ce qui est en moi à prendre, tout ce que j’ai à offrir de moi, et à quel point... Ils ne pouvaient ni me faire évoluer, ni progresser, ni avancer pour que ma soumission soit parfaite, ni m’utiliser, et encore moins me faire me dépasser dans ce que j’ai la capacité…. En gros je n’étais pas nourrie... Si j’appartiens à Mon Maître, c’est parce que Il est Celui dont j’ai besoin, Celui à qui je veux tout donner, Celui que je veux au mieux servir, honorer, être Sa fierté, Sa réussite... J’ai une Dévotion immense pour lui... Je suis soumise à Mon Maître parce que je suis moi, telle que je suis, parce que Lui est tel qu‘Il est… parce que Il fait de moi, celle que je veux être, et qu’Il veut que je sois pour Lui…
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Par : le 15/03/13
Ce texte n'est pas de ma plume... J'aurais aimé l'écrire... Ils sont deux Esprits, qui se rejoignent, se mêlent, s’entremêlent et se mélangent, Fruits d’un pur hasard, où les goûts amères et sucrés, acides et acidulés, vont dans une parfaite concordance donner en cette alliance, ce mixte de rigueur et de douceur... Dans un pile et face, que de vice en verso, sans fard ni paillette, esprits à nus, par la poigne du Maître, enserré et cadré sera maintenu, caressé, et entretenu, l’esprit de la soumise... Esprits complices en deux applications si différentes, de l’ordonnance sur l’obéissance, de l’imposition sur la servitude, de la droiture sur la pliure, du châtiment sur la faute. Esprits Duos en opposition, de la commande et de l’exécution, de la force à la douceur, de la pratique soutenue aux douleurs non retenues, à plaisir de puiser, désir de donner... Que le Maître par ses pleins pouvoirs, et par son esprit, jouisse de sa totale emprise, Par sa suprématie, de ce qui lui est plaisir, contentement, et satisfaction. Que le Mâle Dominant par sa grandeur, et sa valeur, soit honoré et aimé, Par sa rigueur, ferveur et sa volonté, sa sévérité, que sa soumise alors à ses pieds soit posée. Que la soumise, par ses pouvoirs abandonnés, et par son esprit en total emprise, Par sa sagesse, de ce qui lui est désir, bien-être, et sérénité, serve avec humilité. Que la femelle dominée, par sa servitude, et sa docilité, soit pleine de Dévotion, Par son Obéissance, douleurs, faveurs et progression, qu’à son Maître elle soit beauté et Fierté. Esprits conjoints et pourtant si distincts, qui tant se tressent en même instinct, De la puissance opposée à la fragilité, quand l’énergie se transfuse par la parole. Esprits sanguins dont les attentions en Mâle, font les montées en tension à femelle De la vigueur posée sur la fraîcheur, l’aliment de l’un qu’est nourriture à l’autre. Esprits qui se trouvent, s’ouvrent, s’approuvent, et se soudent. De Domination à soumission, mélange du pouvoir et du vouloir, du savoir et du devoir. Esprits assortis, du domptage à l’apprivoisement, du cadrage à l’asservissement, De règles imposées à se conformer, qu’à la lettre seront accomplies et acquittées. Que le Maître par son esprit s’abreuve, à posséder entière volonté et pensées, Par son aspiration, toucher les émotions et mettre sous pression, l’âme soumise acquise. Que le Mâle Dominant, dans toute sa splendeur, impose en diction ses choix et sa loi, Que la soumise par son esprit s’abandonne, de raison avec passion... Ils sont deux esprits, qui se comprennent, se complètent, Se rejoignent pour ne former plus qu'un seul Esprit... "Osmose..."
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Par : le 18/10/12
On vous parlait il y a quelques mois de ce livre-phénomène qui a explosé les ventes aux Etats-Unis et en Angleterre sous le titre Fifty shades of Grey. Bien qu'étant matiné de BDSM, le bouquin a conquis bien des lecteurs (et surtout des lectrices) bien au delà de ce qu'on pouvait considerer être son coeur de cible : les adeptes de la Domination/soumission et du Sado-Masochisme. Nombreuses sont celles (et ceux) qui sont sortis tout emoustillées de ce sulfureux ouvrages (pour ce qui n'ont jamais entendu parlé des pratiques BDSM du moins). Nous avions évoqué l'adaptation française de Fifty shades of Grey dans cet article. Le livre bien d'être adapté en français, comme prévus, chez Lattès, sous le titre : Cinquante nuances de Grey Cliquez ici pour commander 50 nuances de Grey (à noter que BDSM.FR touchera un petit quelquechose si vous achetez 50 nuances de Grey par le lien ci dessus, petit quelquechose qui sera apprécié pour payer les infrastructures du site ! Merci d'avance ). Reste à savoir si les adeptes du BDSM, bien au fait des pratiques de cet univers si particulier se reconnaitrons un peu, beaucoup, passionnement, ou pas du tout, dans cet ouvrage. On peut penser qu'un tel succès de librairie va en tout cas décider certains lecteurs et certaines lectrices à pousser la porte du Grand Donjon des pratiques BDSM. Quel accueil va-t-il leur être réservé ? Sauront-ils passer du fantasme littéraire aux parfois âpres pratiques de l'exercice ?50 nuances de Grey risque-t-il de dénaturer l'esprit du BDSM tel que l'envisagent les adeptes coûtumiers ? Les questions sont posées. Vos commentaires sur Cinquante nuances de Grey sont les bienvenus (et sont même attendus !).  ...
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Par : le 16/10/12
Je m'appelle Philippe et je suis journaliste d'investigation. A la demande de mon rédacteur en chef, j'avais entrepris une enquête approfondie dans les milieux si méconnus des adeptes de la Domination et de la soumission, du S/m, du bondage, du BDSM, etc. Après le passage obligé des boutiques et des sites internet, j'avais réussi à obtenir un rendez-vous avec Celui qui apparaissait pour beaucoup de mes interlocuteur comme Une Référence en la matière. je me souviens, c'était lors d'un chat avec une Maîtresse : "essaie de contacter Sir Evans, avec Lui tu apprendras beaucoup", m'avait-elle affirmé. J'avais alors erré quelque temps sur le net, jusqu'à tomber enfin sur un site où figurait ce pseudo. Nous avions échangé quelques phrases et Sir Evans avait finalement consenti à me recevoir. Il m'avait dit d'être le vendredi à midi sur la place du village de St- XXXXXX et d'attendre, qu'il se chargeait d'organiser la suite. Au jour dit, je me rendis donc au lieu de rendez-vous. Il faisait gris et froid, une légère brise me glaçait les os. j'étais seul sur la place avec ma Clio noire portant le logo bleu et vert de mon journal. Impossible de me rater pensais-je, appuyé sur le capot et fumant une énième cigarette. je trouvais le temps long... Finalement, vers la demie, je vis un lourd 4X4 qui roulait au ralenti vers la place. je me redressais un peu et jetais mon mégot vers le caniveau. Une étrange sensation m'habitait... j'avais beaucoup discuté avec des adeptes du Divin Marquis lors de mon enquête, mais je n'avais encore jamais rencontré l'un d'eux. j'imaginais des choses assez glauques ou violentes, riche seulement de quelques références littéraires ou cinématographiques. Le 4X4 s'arrêta face à moi... j'attendais, immobile. Pendant de longues minutes, rien ne se passa. je tapais des pieds sur le sol pour me réchauffer et commençais à m'impatienter. Enfin, les portières du véhicule s'ouvrirent. Deux hommes à la forte carrure en sortirent et s'approchèrent. L'un d'eux s'arrêta à quelque distance, tandis que l'autre venait jusqu'à moi : "T'es le journaliste ?" ... "Oui" répondis-je "je commençais à me demander si c'était un canular !". Mon ton un peu sec ne provoqua aucune réaction sur le visage massif de cet homme à la carrure impressionnante : "Suivez moi" dit-il, reprenant le chemin du 4X4, je lui emboitais le pas alors qu'un léger crachin commençait à tomber. Celui qui était resté en retrait s'interposa alors : "Veuillez me donner les clefs de votre voiture, je m'en charge" me dit-il d'un ton qui, allié à une carrure tout aussi compact(e que celle de son compère, n'admettait pas vraiment de réplique. je donnai donc mes clefs et allai jusqu'au 4X4. Je m'installai sur le siège du passager, découvrant la présence d'un troisième homme à l'intérieur. Celui qui m'avait accueilli était déjà installé au volant. C'est lui qui m'expliqua la règle du jeu : "On tient à la discrétion... C'est pour ça que je vous conduis et qu'y faut la cagoule"... "La cagoule ?" je m'étonnai. L'homme assis à l'arrière tendit alors le bras, tenant une cagoule de soie noire. "Excusez nous hein, Le Maître y tient", dit-il tout en passant déjà le fin tissus sur ma tête. "je comprends" répondis-je, plus conciliant par la parole que par l'esprit, un peu angoissé quand même par ces manières de conspirateurs. Le 4X4 démarra en douceur et commença alors un trajet dont j'ignorais totalement la destination. D'abord mené sur une route asphaltée, je sentis soudain un ralentissement, puis quelques cahots, alors que le véhicule s'engageait sur un chemin de forêt. Il fallut environ une demi-heure pour que nous parvenions à destination. les deux hommes m'aidèrent à m'extraire du 4X4 et me guidèrent avec fermeté... A l'issue de quelques mètres sur un sol spongieux, je sentis enfin une dalle de pierre sous mes pieds... le grincement d'une lourde porte et soudain le parfum de l'intérieur... La cagoule me fut ôtée et je découvris un vaste hall dallé, s'ouvrant sur plusieurs portes fermées, et au centre un grand escalier de bois menant vers des étages. Un majordome (je sus plus tard qu'il se prénommait Walter) à l'air sévère se tenait très droit face à moi et ma salua d'un bref hochement de tête : "Le Maître vous attend, veuillez me suivre"... il tourna alors les talons et se dirigea vers l'une des portes au fond du hall, je me hâtai de le suivre... Le majordome ouvrit la porte et s'effaça afin de me céder le passage. j'avançais dans une vaste pièce aux murs de pierre recouverts de riches tapisseries anciennes présentant d'étranges scènes antiques, présentant des hommes et des femmes nus, enchaînés, exhibés sur des marchés aux esclaves ou offerts aux sévices et plaisirs de Leurs Maîtres(ses) vêtus à l'Antique. De hautes colonnes flanquaient chaque côté de la grande pièce éclairée par des fenêtres placées très haut et n'offrant pas de vue sur l'extérieur... Au fond, au centre, une sorte de trône en bois ouvragé sur lequel était installé Un Homme qui me fixait; j'eus un bref instant de doute lorsque je vis... Et pourtant c'était la réalité... A Ses Pieds, nues, seulement vêtues d'un épais collier d'acier enserrant leur cou, deux femmes nues étaient alanguies, une fine chaîne partant de leur collier à chacune pour être fixées aux accoudoirs du trône. L'Homme tendit la main et fit un léger geste pour me signifier que je pouvais approcher, flanqué du majordome qui marchait à mes côtés. Arrivé à environ deux mètres du trône, le majordome tendit la main pour me saisir le poignet; "ici c'est bien" me glissa-t-il dans un souffle. je m'arrêtai... Quelques secondes de silence... Puis la voix de l'Homme du trône retentit, claire, distincte, élégante. Sans avoir besoin de se forcer, elle retentissait dans ce vaste espace : "Bienvenue dans mon domaine", dit-il. je bredouillai un "bonjour et merci d'avoir accepté de me recevoir" plutôt piteux, assez impressionné par l'ambiance et par cet homme qui n'hésitait pas à me recevoir avec ces deux femmes réduites à l'état d'animaux de compagnie qui se tenaient docilement à ses pieds. Le majordome avança d'un pas : "je vous présente Sir Evans, Maître de céans..., Maître, voici Philippe Damier, le journaliste qui avait sollicité une entrevue". Puis il se retira et le silence retomba... Mal à l'aise, je sortis maladroitement un carnet un stylo de ma poche "euh... je... cela ne vous dérange pas si je prends des notes ?"... Un sourire se dessinant sur ses lèvres, Sir Evans eut un geste élégant de la main "mais je vous en prie, notez mon cher, notez... Je suis sur que vous avez beaucoup à apprendre ici"... "je.. euh, merci Sir, ... merci" Sir Evans se leva alors, d'un geste il saisit les bouts des deux chaînes et s'en servit de laisse pour entraîner à sa suite les deux femmes nues qui le suivirent docilement, faisant évoluer leur corps à quatre pattes avec une grâce féline. Sir Evans s'approcha de moi et j'eus du mal à soutenir son regard... Sa seule présence marquait l'évidence de Sa Nature Dominante. Il commença à arpenter la pièce, menant à sa suite les deux femmes qui le suivaient pas à pas, évoluant sans difficulté à quatre pattes au rythme imposé par leur Maître. Tout en accompagnant cette promenade circulaire à travers la grande pièce, j'interrogeai Sir Evans sur sa notion de la Domination, sur ses expériences, ses principes... Il répondait avec clarté, sincérité, ponctuant ses propos d'anecdotes et de récits variés. Fréquemment il tournait son regard vers moi afin de ponctuer une phrase ou un récit; invariablement, je me sentais rougir légèrement et je baissai instinctivement les yeux. je ne parvenais pas à me maîtriser totalement, moi qui étais pourtant habitué à interroger de hauts dirigeants économiques ou politiques, je me sentais soudain "tout petit". Et malgré mes efforts pour qu'il n'en paraisse rien, je n'étais vraiment pas sur d'y parvenir... L'entretien dura près de deux heures. Et tout au long de ces échanges, les deux femmes suivirent le rythme de nos pas, sans jamais gêner nos évolutions, sans jamais se plaindre. Sir Evans devina que je m'interrogeai et précéda ma question : "Ce sont deux de mes esclaves... deux bonnes chiennes qui ont déjà été longuement dressées. Elles sont ici pour quelques semaines et agrémentent mes journées... Ainsi que les soirées que je donne parfois dans la salle à manger du château, pour quelques amis triés sur le volet". Je ne parvins qu'à hocher la tête et ne pu m'empêcher de jeter un regard sur ces deux femmes, qui se tenaient parfaitement immobiles, à quatre pattes, les reins légèrement creusés, la croupe un peu relevée... comme prêtes à être saillies à tout instant. Mon regard s'attarda sans doute plus que je ne le voulais car j'entendis soudain la voix de Sir Evans... "Manifestement elles vous intéressent... Voudriez vous en essayer une ? Je pensais vous offrir l'hospitalité pour la nuit et l'une de ces chiennes aurait pu agrémenter votre séjour, après tout l'expérimentation enrichit toujours le simple témoignage, ne croyez vous pas ?". La proposition avait été faite d'une voix mesurée, calme... même s'il me semblait y avoir peut-être décelé un zeste d'ironie. je bredouillais... "euh, c'est à dire... (je me sentis rougir !) je dois... rentrer ce soir, je ne peux pas... merci mais, non vraiment"... Sir Evans laissa un instant peser son regard sur moi et je ressentis une gêne comme je n'en avais jamais connu. "A votre guise", dit-il, "je vais vous faire raccompagner". Dehors, la bruine du matin s'était transformée en une pluie fine mais persistante... Devant le perron du château, ma voiture professionnelle était garée. Le majordome m'en tendit les clefs que je saisis. je descendis les grands escaliers extérieurs et trouvai refuge dans la Clio. je restai ainsi immobile quelques minutes, essayant de remettre un peu d'ordre dans mes idées. j'avais été extrêmement troublé par cette journée et par cette rencontre avec Sir Evans. Une foule de pensées se bousculaient dans mon esprit. je revoyais les tapisseries avec leurs scènes d'esclavage antique, les deux femmes-chiennes si excitantes au bout de la laisse de Sir Evans... excitantes, oui, indéniablement. Mais ce qui me troublait plus encore, c'est que j'avais du mal à définir ce qui m'avait le plus excité dans cette vision : était-ce de les voir ainsi traitées comme des chiennes ? était-ce plutôt leur situation ? je n'avais pas pu m'empêcher, un instant de me demander ce qu'elles ressentaient, ce que l'on ressentait dans une telle situation, à être ainsi avili, rabaissé au rang d'un animal de compagnie... nié dans la dignité d'être humain libre... et cela aussi m'excitait. Brusquement, n'y tenant plus, je démarrais dans un crissement de pneus. je voulais partir, m'éloigner... Etre loin de ce château, de son Seigneur à la séduction si ambigüe, que je trouvais perverse... je ne me l'avouais pas, mais je fuyais, sans trop savoir quoi, je fuyais... Je roulais sans doute un peu trop vite sur le chemin de forêt qui ceinturait l'enceinte du Château. je sentais mes pneus se dérober légèrement à chaque virage, mais je ne levais pas le pied? je voulais être loin. Mais soudain, un coup de volant un peu trop brusque ? je sentis la voiture échapper à mon contrôle sur le sol boueux. Elle partit en un dérapage que j'étais bien loin de contrôler et alla se ficher dans le bas-côté, heurtant au passage une souche avec laquelle le choc fut violent. La Clio immobilisée, je restais un moment immobile au volant... j'enrageais ! je voulais m'éloigner et voilà que j'étais bloqué comme un fieffé imbécile ! je m'en voulais. je sortis pour constater les dégâts, l'aile était bien endommagée, mais la direction ne semblait pas avoir souffert. je pourrai peut-être dégager la roue et repartir. Sous la pluie, je m'affairai pendant un temps infini, sans résultat. Plusieurs fois, de rage, je donnai un coup de pied dans la voiture immobile, devenue si stupidement inutile ! Je commençais à désespérer, assis sur le capot, la tête entre les mains, lorsque j'entendis un bruit de moteur lointain... Je me redressai et vis au loin le 4X4 qui m'avait pris en charge à mon arrivée. Il approchait et s'arrêta à ma hauteur. Les deux colosses qui m'avaient accompagné à l'aller sortirent et j'allai vers eux... "Vous ne pouvez pas savoir combien je suis content de vous voir", dis-je avec un sourire. Ils ne m'accordèrent même pas un regard, allèrent jusqu'à ma voiture et l'examinèrent. Echangeant un regard entendu, il hochèrent la tête d'un même mouvement : "L'est foutue, pourrez pas rentrer avec", dit l'un d'eux sans même m'accorder un regard. "Vous êtes sur ?" "Ben oui... C'est la direction qu'à morflé... Va falloir réparer, ça prend du temps", dit-il encore, ajoutant : "Z"auriez mieux fait d'accepter l'hospitalité du Maître"... j'étais furieux... "J'aurai surtout mieux fait de ne pas venir dans ce bled pourri !" criais-je en tapant du pied sur le sol boueux, ne parvenant qu'à salir un peu plus le bas de mon pantalon... "C'est pas gentil de dire ça, le Maître a été très accueillant. C'est pas une façon de le remercier", me lança un des deux colosses. Son ton lent et neutre m'énerva encore plus : "Oui ! très accueillant, avec des femmes en laisse !" j'allais continuer lorsque la brusquerie de mon mouvement me fit perdre l'équilibre et chuter dans la boue. j'allai me relever lorsque je sentis un poids soudain peser sur mes épaules... je forçais, en m'appuyant sur mes deux mains, sans succès...le poids se faisait encore plus pesant sur mes épaules... je compris que l'un des deux hommes appuyait sa chaussure sur moi, me maintenant dans la boue... Il appuyait plus encore et mon visage s'enfonçait dangereusement dans la trainée d'eau boueuse qui noyait le chemin. L'autre s'accroupit et se pencha à mon oreille : "C'est pas bien de parler comme ça du Maître"... Tandis que le pied de l'autre me maintenait au sol, le second saisit mes cheveux et écrasa mon visage dans la boue, la maintenant ainsi jusqu'à ce que cherchant ma respiration, je finisse par sentir la boue entrer dans ma bouche et mes narines. Puis il releva ma tête... "il faut s'excuser maintenant". J'avais peur... très peur... "je demande pardon (je toussai et crachai de la boue) je suis désolé, j'étais énervé... je n'aurai pas du"... Malgré ces mots, l'homme repoussa à nouveau mon visage dans la boue de longues secondes avant de me tirer par les cheveux pour me permettre de respirer : "Encore, mieux... "... je sentis le poids du pied dégager mes épaules et c'est en me tirant les cheveux que l'on me força à me relever : les deux colosses se tenaient face à moi... je n'osais ni bouger, ni parler... j'étais tétanisé de peur. "Il est pas très poli le journaliste", dit l'un à l'autre qui lui répondit : "Non, pas très... Va falloir qu'il apprenne"... "Oui, va falloir le dresser". je me tenais dos à mon véhicule accidenté. je n'avais aucune échappatoire. De toute façon, je ne savais même pas par où aller pour rejoindre le village... "écoutez, je suis désolé. j'étais énervé par l'accident, je ne voulais... " C'est une gifle qui vint m'interrompre. Puis je sentis des mains épaisses qui me saisissaient et me retournaient... Je n'osais pas avoir de réaction... paralysé par la criante, je me laissais faire, la situation me semblait irréelle... j'avais le ventre allongé sur le capot de ma voiture, un homme me tenait fermement les poignets tandis que l'autre dégrafait brutalement mon pantalon et le baissait sur mes chevilles. Puis il arracha mon boxer et je sentais la pluie fine et régulière venant s'abattre sur mon cul nu... j'étais terrorisé... je tentais de supplier, mais je ne parvenais même pas à prononcer un mot audible. Par contre, je criai lorsque je sentis quelque chose de souple mais dur venir cingler violemment mes fesses... Une fois, deux fois... cinq fois je sentis cet objet me fouetter et à chaque fois je poussai une cri déchirant. Il y eut cinq coups encore et les sanglots se mêlaient aux cris... je tremblais de tout mon corps, la douleur, le froid, l'humiliation, la peur... je ne savais plus ce qui l'emportait en moi... j'avais le sentiment de flotter, ailleurs, je ne savais plus très bien où j'en étais lorsque les deux hommes me saisirent par les bras pour m'amener jusqu'à leur 4X4. Ils me jetèrent sur la banquette arrière tandis que je sanglotais, s'installèrent à l'avant et démarrèrent... Quelques minutes plus tard, le 4X4 s'immobilisait et je fus sorti de force... Sans ménagement, les deux hommes me mirent debout et arrachèrent mes vêtements... je tentai de supplier une fois, mais une nouvelle gifle vint rougir ma joue et j'abandonnai toute velléité de résistance. je me retrouvai nu sous la pluie battante, les pieds dans la boue, mes vêtements jetés sur le sol comme un vulgaire tas de linge inutile. je me recroquevillai et tentai de cacher mon sexe en joignant les mains devant. Les deux brutes émirent un rire gras : "Voyez donc ça ! ! ça fait des manières, ça veut se cacher"... Ils éclatèrent de rire... L'un d'eux s'approcha et leva la main, au bout il tenait une sorte de badine et il l'abattit, cinglant ma cuisses... "Mets tes mains dans ton dos, salope !" Comme je n'obéissais pas assez vite, un second coup tomba... je poussai un petit cri aigu qui ne manqua pas de faire bien rire mes deux tourmenteurs. et j'obéissais, joignant mes mains dans le dos... les deux homes s'approchèrent alors et je sentis une corde venir lier mes mains, puis ils s'amusèrent à me bousculer, me poussant de l'un vers l'autre, comme une sorte de ballon, ou de poupée de chiffon... je pleurai et mes larmes se mêlaient à la pluie battante qui s'abattait sur mon corps nu et meurtri. Je remarquai soudain que nous étions à l'arrière du Château, près d'une petite porte de service. celle-ci s'ouvrir justement et je vis une femme habillée simplement sortir en s'essuyant les mains à un torchon. "Eh bien ! ? Vous voulez qu'il attrape la mort ou quoi ? Allez, assez joué, ramenez moi ça à l'intérieur !" lança-t-elle à l'adresse des deux colosses qui me poussèrent alors vers la porte... j'entrai pour la deuxième fois dans le château de Sur Evans, mais cette deuxième expérience n'avait pas vraiment le même goût que la première. Nu, entravé, la croupe meurtrie par les coups, tremblant de froid, je franchissais le seuil d'un monde nouveau que j'allais apprendre à découvrir... Les deux brutes me poussèrent à l'intérieur... Il s'agissait d'une petite pièce nue, au sol de grandes dalles de pierre, avec seulement un banc dans un coin. La femme en sortit par une porte de côté tandis que les deux colosses m'immobilisaient au centre de la pièce... l'un d'eux saisit mon sexe dans sa main et dit en riant : "Mais regarde ! La petite salope bande... Malgré le froid, je crois que c'est vraiment une salope, Le Maître avait raison"... J'avais honte de ce qu'il venait de découvrir. Malgré le froid, la honte, la peur, la situation m'excitait, je comprenais à quel point le trouble qui m'avait saisi à la vue des deux femmes nues signifiait que je les enviais. Je n'eus pas le temps d'y penser plus, car la femme revint dans la pièce avec une serviette qu'elle lança à l'un de mes deux tourmenteurs "Sèche le, Le Maître n'apprécierait pas qu'il tombe malade ! Mais qu'est-ce qui Vous a pris ?" lança-t-elle aux deux brutes, "vous savez bien que Le Maître est très attaché à la bonne santé de ses esclaves, quand même !"... L'homme se saisit de la serviette et entreprit de me sécher brutalement. Il passait la serviette chaude partout sur mon corps, s'amusant à insister sur mon sexe et mes couilles... L'autre regardait en riant. "Regardez Marie... Cette salope est toute excitée"... La femme s'approche et regarde mon intimité avec insistance : "En effet... il semble y avoir un potentiel. Mais c'est Le Maître qui en décidera. En attendant, menez le près de la cheminée". A nouveau, les deux brutes me saisirent par les bras pour m'entraîner dans une vaste pièce attenante, où un beau feu grésillait dans une immense cheminée. Une vaste table de bois épais trônait au centre de cette pièce fleurant bon les épices et les plats qui mijotent... A la table, un homme et une femme, nus, portant un collier de métal au cou s'affairaient à éplucher des monceaux de légumes. Ils ne levèrent pas les yeux de leur ouvrage, ne risquant même pas un bref regard. Je fus transporté jusqu'à proximité de l'âtre et installé à genoux. Une main impérieuse m'obligea à me tenir prosterné, visage contre le sol, reins creusés et croupe relevée... deux mains saisissant mes cuisses pour les forcer à s'ouvrir. "Tu ne bouges plus... Immobilité totale" me glissa une voix menaçante. Je n'en pouvais plus de ce traitement, des larmes coulaient silencieusement, mais je n'osai rien dire et j'obéis, je m'appliquais à rester parfaitement immobile dans cette position qui ajoutait l'inconfort à l'humiliation. Tandis que j'entendais des bruits de cuisine tout autour de moi et que les parfums culinaires venaient titiller mes papilles je tentais de m'extraire du contexte pour retrouver mes esprits. j'avais perdu toute notion de temps... je ne savais plus quelle heure il était, j'avais l'impression qu'une éternité venait de s'écouler depuis que j'étais arrivé le matin même dans ce village perdu battu par la pluie. Pourtant tout était si réel, cette position que j'avais du mal à garder, la douleur qui lançait ma croupe meurtrie par la flagellation... Comment pouvais-je en être arrivé là ? Quels mécanismes avaient donc tout bouleversé ? Je tentais de retrouver mes esprits... j'étais victime de deux tarés et Sir Evans allait tout faire rentrer dans l'ordre, il ne pouvait pas en aller autrement ! j'étais un journaliste, on n'enlève pas comme ça un journaliste en France, quand même ! Le Maître des lieux allait corriger ce malentendu, j'étais même sur qu'il allait s'excuser et passer un sacré savon à ses sbires débiles. La chaleur émanant de la cheminée et ces pensées me rassuraient un peu, cette situation absurde ne pouvait pas durer, c'était une évidence ! Pourtant le temps passait et j'avais de plus en plus de mal à garder ma posture. je sentais que je n'allais pas tarder à vaciller, que je risquais de perdre l'équilibre et en attendant que les choses ne rentrent dans l'ordre, je ne tenais vraiment pas à risquer une nouvelle correction. Heureusement, je sentis une présence tout près de moi. Et je vis des chaussures féminines assez grossières à hauteur de mon visage. "Debout !" dit la voix autoritaire de la femme qui m'avait permis d'être réchauffé. j'obéis, me redressant maladroitement en raison de mes poignets toujours entravés dans mon dos. Je me tenais maintenant debout et je fixais le sol, tête baissée, n'osant pas regarder en face cette Femme qui semblait jouir ici d'une certaine autorité. Elle m'avait protégé des deux brutes et je tenais à conserver de sa part cette attitude plutôt positive... "Le Maître est occupé pour le moment, il m'a dit de m'occuper de toi" me dit-elle en me bousculant un peu... je compris que je devais me déplacer. Elle me saisit alors le bras d'une poigne étonnamment ferme et me guida jusqu'à la grande table, me forçant à m'asseoir sur une chaise en bois à l'extrémité opposée à celle où se tenaient l'homme et la femme nus, toujours en train d'oeuvrer à la préparation de quelques mets destinés sans doute à la table de Sir Evans. La Femme autoritaire se tenait à côté de moi et je n'osais pas la regarder. Elle saisit alors mon menton et tourna mon visage vers Elle : "Je suis Marie, la cuisinière. Pour toi c'est Madame Marie ! Quand tu seras autorisé à t'exprimer. Compris ?" "Oui" disais-je en hochant la tête... juste quand la gifle claqua. je compris immédiatement quelle faute j'avais commise. j'avais assez enquêté dans le milieu S/m pour saisir et je me rattrapai au plus vite : "Oui Madame Marie", dis-je les yeux baissés. "C'est bien, tu comprends plutot vite, c'est un avantage" dit-elle tout en s'éloignant. Elle revint quelques secondes plus tard avec un bol qu'elle posa sur la table devant moi. Il contenait une sorte de bouillon clair dans lequel flottaient quelques bouts de légume, des carrés de pain et quelques petits bouts de gras de viande. Je restais interdit face à ce bol... "Mange, c'st chaud, ça te fera du bien" lança la voix impérieuse de la cuisinière. Je me tournais vers elle l'air interrogatif... "Quoi ?" dit-elle. Me supposant autorisé à parler j'osai une courte phrase : "Mais j'ai les mains attachées Madame Marie"... ce qui lui tira un fort mais bref éclat de rire. "Et alors ? as-t-on vu un chien manger avec les doigts ? j'aurai du te servir par terre, mais comme tu es nouveau je te fais une faveur. Alors mange en silence, sinon je devrai sévir". Le ton était si autoritaire que je compris qu'il valait mieux obéir en silence. Je penchai mon visage vers le bol et je commençait à laper le bouillon et à saisir tant bien que mal les bouts de légumes et de pain entre mes dents. Le bout de mon nez trempait dans le bouillon, mon visage s'en maculait. j'essayai de garder une relative dignité mais je n'étais pas dupe, j'étais ridicule et je faisais en mangeant le bruit d'un chien qui dévore sa pitance. Peu importait, le bouillon chaud me réchauffait le corps et je me sentais mieux. je ressentis même de la reconnaissance pour Celle qui daignait ainsi me nourrir, quelles que soient les conditions dégradantes qu'Elle m'imposait. je finis mon bol sans rien laisser, espérant que Madame Marie apprécierait que j'ai fait "honneur" à sa pitance. Ce repas m'avait redonné un peu de courage, mais pas assez cependant pour oser relever le nez de mon bol... je sentais la présence de Madame Marie à proximité et je préférais rester discret car je ne doutais pas que sa main pouvait s'abattre à tout instant si mon attitude ne Lui semblait pas conforme à l'attitude exigée d'une personne dans ma situation... Ma situation, je ne cessais d'y penser, de tenter de l'analyser. j'étais persuadé que les deux brutes avaient outrepassé les ordres de Leur Maître. Le Sir Evans que j'avais rencontré quelques heures auparavant n'aurait pas manqué de s'enquérir de ce qu'il était advenu de moi. Forcément Il ignorait tout de ma situation et ne tarderait pas à remettre les choses en place. je rêvais à ma "revanche" à venir lorsqu'une tape sur la nuque me rappela à ma réalité du moment. "Debout !" m'intima Madame Marie d'une voix puissante. j'obéissais sans tarder et me tenais à ses côtés, debout et aussi nu qu'au jour de ma naissance, la tête basse, le regard rivé vers le sol dans une attitude aussi humble que je pensais pouvoir le faire. Elle vint alors devant moi et attacha une épaisse corde autour de mon cou, suffisamment serrée pour que je ressente sa présence, mais sans pour autant gêner ma respiration. Elle tenait l'extrémité de la corde en main et tira d'un petit coup sec dessus, je suivis le mouvement qu'Elle avait imprimé en faisant un pas en avant... Puis m'arrêtai. Elle recommença ce geste à deux reprises et à chaque fois je tentais au mieux d'épouser le mouvement qu'Elle avait initié. Sans oser lever les yeux, je parvins cependant à percevoir un sourire. Apparemment, Madame Marie était satisfaite de mon attitude, ce qui je l'avoue me rassurait grandement. Elle tira alors plus vivement sur la corde, m'obligeant à un brusque pas en avant et cette fois elle ne cessa pas d'avancer. le cou enserré dans la corde, je suivis le mouvement, réglant mon pas sur celui de La Dame afin de la suivre sans à-coups. Nous sortîmes de la cuisine pour suivre un long couloir assez sombre. Quelques rares appliques distillaient un éclairage tremblotant dans cette longue allée dont les larges dalles de pierre étaient recouvertes d'un long tapis de velours rouge. Je n'osais pas lever la tête et ne pouvais discerner précisément quels thèmes illustraient les riches tapisseries qui pendaient aux murs, de part et d'autre. Au bout du couloir, Celle qui me menait à la longe semblant prendre un tournant et je suivis, m'engageant à sa suite dans un étroit escalier en colimaçon en pierre nue, froide à mes pieds. L'escalier tournait en s'enfonçant profondément sous le Château. Malgré l'humidité ambiante, les marches étaient parfaitement entretenues, ni mousse, ni poussière sur ces pierres ancestrales que je descendais vers un destin dont j'ignorais tout... En bas des escaliers, un petit palier donnait sur une porte basse, fermée. Madame Marie s'arrêta au centre de ce petit espace et je fis de même. Elle s'approcha alors de moi et me saisit le menton pour me forcer à relever la tête. L'espace d'un bref instant je croisai son regard, des yeux noirs durs mais malicieux... je fus saisi d'un éclair de crainte, ce regard sur moi... je sentis qu'Elle était capable de tout, qu'Elle pourrait se montrer presque maternelle comme lorsqu'Elle m'avait protégé des brutes, mais qu'Elle pourrait instantanément se métamorphoser et me faire cruellement souffrir... En maintenant toujours mon menton serré entre Ses doigts, elle me força à regarder les murs autour du palier : à des crochets pendaient des ustensiles tels que fouets, cravaches, liens divers, mors mêlant cuir et métal... Dans des râteliers reposaient d'autres objets, barres de bois et de fer ou d'autres dont j'ignorais l'usage et jusqu'à aujourd'hui l'existence même. Madame Marie ne dit pas un mot, elle m'abandonna dans ma contemplation, comme prenant plaisir à sentir l'angoisse qui me nouait l'estomac. Elle approcha d'un mur et y saisit un simple foulard de soie noire, puis revint vers moi et banda mes yeux. "Tu n'as pas à voir ce qui est derrière cette porte, pour le moment tu n'es qu'une sorte... d'invité (elle rit) par la suite, peut-être seras tu autorisé à ouvrir les yeux" et elle repartit dans un éclat de rire. Les yeux bandés, j'entendis le grincement de la porte de bois que l'on ouvrait, puis une impulsion sur la corde qui se tendit, me contraignant à suivre à nouveau le mouvement. Je marchais en me réglant sur le rythme imposé par La Cuisinière, marchant sur un sol moins régulier qu'auparavant et ressentant comme une sorte d'oppression. Manifestement, le couloir quelque peu sinueux que nous suivions était beaucoup plus étroit. Nous avons ainsi marché une poignée de minutes, avant de nous immobiliser à nouveau. Encore le grincement caractéristique d'une porte aux gonds rouillés, le frottement du bois qui frôle un sol irrégulier... et de nouveau la corde qui tire sur mon cou et me force à avancer... Une odeur de moisi, une ambiance chaude mais humide... Privé de regard, je tentai, sans grand succès, à utiliser mes autres sens pour situer où je me trouvais. "A genoux !", à nouveau la voix impérieuse de Madame Marie et une obéissance immédiate, déjà presque un réflexe, comme une évidence qui s'insinuait dans mon esprit : un ordre, un acte immédiat, une obéissance de l'instant, pour éviter le châtiment. j'avais du mal à accepter cette soumission presque instinctive dont je faisais preuve... j'avais l'impression d'être un autre. Tandis que ces pensées occupaient mon esprit, un bruit de métal me fit sursauter. Pas le temps de réfléchir, déjà on défaisait la corde de mon cou, pour immédiatement la remplacer par ce qui ne pouvait être qu'un collier de métal. Un claquement sec et je pus sentir le poids de ce collier pesant sur mes épaules. je restais là, le collier refermé autour de mon cou, dont je devinais à chaque mouvement qu'une chaîne y était fixée, sans doute me reliant au mur de cette pièce où j'étais désormais captif. Ce n'est qu'alors que je sentis de la paille sous mes genoux... j'avais été tellement obsédé par mon environnement que je ne l'avais même pas sentie en marchant dessus. je me trouvais donc enchaîné, nu sur un sol couvert de paille, les yeux bandés, dans une sorte de cachot plongé dans les entrailles d'un Château isolé du reste du monde. Soudain, les quelques bouffées d'espoir qui m'avaient permis de tenir jusque là m'abandonnèrent totalement. j'étais désespéré, je me sentais perdu. Perdu pour le monde dans lequel j'évoluais habituellement, perdu pour ceux que je connaissais, perdu pour les autres et perdu pour moi-même... je ne savais rien de ce qui m'attendait, ni rien de ce que serait mon avenir, si j'en avais un. je commençais à pleurer doucement... Combien de temps ? Combien de temps suis-je resté ainsi dans le noir de ce bandeau posé sur mes yeux ? je m'étais abandonné à une espèce de langueur. Mon corps nu et meurtri gisait sur la paille qui garnissait le sol de pierre de ce cachot où j'étais désormais captif. Un épais collier de métal ceignait mon cou, relié au mur par une lourde chaîne... mais je ne le sentais quasiment pas, ou plutôt je m'étais résigné à ressentir sa présence. Voilà, j'étais résigné. A l'enthousiasme qui m'avait habité quelques heures plus tôt avait succédé une sorte de distanciation. Ce n'était pas moi qui étais avili par cette humiliante captivité. Cela ne pouvait pas être moi. Non ! Pas moi, pas le journaliste au caractère indépendant, pas celui qui savait toujours poser la question qui dérange. Pas cet homme irrespectueux et ... libre ! Ce n'était plus moi celui qui gisait ainsi, qui avait subi presque sans résistance de telles humiliations... celui avait avait lapé sa pitance comme un chien, qui avait été battu, giflé, humilié, traité comme moins que rien. Et surtout... surtout, cela ne pouvait pas être moi celui qui à chacun de ces instants avait, au-delà de la douleur, de l'humiliation, celui qui avait... éprouvé aussi une certaine forme d'excitation. Oh ! Quelle honte ! je n'avais pas pu totalement étouffer ce ressenti là. Les deux brutes l'avaient bien vu, qui avaient montré à Madame Martine mon sexe en érection tandis qu'ils s'amusaient à m'humilier... Et le regard de La Cuisinière avait été sans ambigüité. j'étais bien conscient de cela, aussi. Même si je me refusais à l'admettre et surtout si je ne comprenais pas ce que j'avais alors laissé s'exprimer de moi... Cette "chose" qui s'était échappée des entrailles de mon être, du plus profond et du plus primaire de ma nature... Le bruit du frottement du bois sur les pavés me tira de ces méditations. On ouvrait la porte de mon cachot... je tentais de me redresser tant bien que mal, quelque peu engourdi par la torpeur à laquelle je m'étais abandonné. Mais deux mains fermes vinrent suppléer à ma faiblesse, me forçant à me redresser et à me mettre à genoux. d'un coup de pied, celui qui venait de m'installer me força aussi à écarter les genoux, rendant ainsi mes parties intimes aussi vulnérables qu'accessibles. Une bouffée de honte me gagna alors, lorsque je sentis que mon sexe se tendait brusquement... Impossible de me contrôler, cette nouvelle humiliation suscitait en moi ce réflexe... Etre humilié, avili, me faisait bander, je n'y pouvais rien, je ne contrôlais pas cette part de moi qui avait toujours été dissimulée et qui soudain se révélait au grand jour. j'en ressentais la pire des humiliations... Manifestement, je n'étais pas le seul centré sur ce sujet... " Je constate que tu n'es pas indifférent à ce que tu subis", dit soudain une voix posée, rompant le silence. Sir Evans ! J'aurai pu reconnaître cette voix entre mille. Elle m'avait charmé lors de notre entretien, elle me glaçait maintenant. Toujours aussi élégante, mais dépourvue de la douce sympathie qui avait bercé l'interview. Maintenant Elle était plus distante, plus incisive... Sir Evans, puisque c'était bien Lui, reprit : "J'ai su tes déboires... Tu aurais dû accepter mon hospitalité je crois. Puisque celle que je t'accorde maintenant est sans doute bien moins... confortable. Mais après tout, tu m'apportes la preuve de ce que j'avais pressenti en te cotoyant ce matin"... Un silence... Je n'osais rien dire, je n'osais pas bouger... j'attendais immobile et soumis. "Donc ! (reprit Sir Evans) Te voici donc mon... hôte. J'ai pensé dès que je t'ai vu que tu avais une âme de chienne. et je ne me trompe jamais à ce propos. Jamais ! ... Enlevez lui son bandeau !"... Quelqu'un placé derrière moi retira le bandeau qui entourait mes yeux... je découvris alors Sir Evans debout, à deux mètres de moi, flanqué à Son côté de l'une des brutes qui m'avaient "capturé" sur la route. je sentais, derrière moi la présence d'un autre... Sir Evans me regardait et, immédiatement, sans même y penser je baissais les yeux. "Je m'intéresse aux sujets tels que toi. j'aime assez les dresser, révéler leur vraie nature et en user, en abuser au gré de mes Désirs, leur faire découvrir tout ce qui se cache en eux et les aider à assumer pleinement ce qu'ils sont... C'est cela que je te propose (il s'approchait de moi, se penchant vers mon visage)... petite pute !", un crachat vitn s'écraser sur mon visage... "As tu quelque chose à dire ? C'est l'occasion ou jamais", poursuivit Sir Evans. j'avalais ma salive, que pouvais-je dire ? je voulais pouvoir partir, rentrer chez moi, oublier tout cela, enfin, il me semblait que je voulais cela, mais les mots ne venaient pas... "je... euh... je veux rentrer. je ne dirai rien de ce qui s'est passé... on oublie tout ! d'accord ? je... je voudrai..." je n'avais plis de mots, pas les bons en tout cas... Sir Evans éclata de rire ! "C'est bien ce que je pensais. Tu n'as rien à dire. Tu es fait pour obéir en silence, pas pour t'exprimer... Alors je vais être clair : je vais compter jusqu'à 10 ... A dix tu devras prendre une décision : ou tu dis je veux partir et je te rends ta liberté... Ou tu choisis d'assumer ce que tu es, de vivre ta réalité. Et dès lors tu abdiques toute volonté et tu t'en remets à moi. Attention, je compte..." Un... Deux... Trois... les chiffres s'égrainaient peu à peu, mon esprit fonctionnait à toute allure. Je devais partir, bien sur je devais partir ! Six... Sept... Huit... Partir, quitter cet univers irréel et revenir vers mon quotidien, vers mes habitudes, vers... vers quoi, en fait ? Neuf... Dix... "Alors ? Qu'as tu à dire ?", Sir Evans avait terminé son décompte et je devais m'exprimer. Je savais que je devais partir, retrouver ma vie d'avant. je le savais... je le savais... Pourtant je ne dis rien... pas une phrase, pas un mot... Rien ! je ne pus, ni ne sus prononcer les mots qi m'auraient libéré. Quelque chose en moi avait pris le dessus. Quelque chose venu du plus profond de mon âme, du plus profond de mon esprit... je ne dis rien et Sir Evans éclata encore de rire... Alors qu'il sortait de mon cachot, son rire raisonnait encore entre les vieilles pierres constituant les limites de mon espace... je venais d'abandonner mon libre arbitre et de me livrer totalement à Un Homme dont j'ignorais presque tout... et sa dernière phrase retentissait encore à mes oreilles, tandis que je restais seul dans mon cachot. La voix de Sir Evans, ironique, disant : "Je le savais"... Je restai ainsi nu et à genoux, enchaîné au mur de mon cachot dont je découvrais enfin l'espace dans lequel j'avais été confiné... Il s'agissait bien d'une sorte de cachot dont trois murs étaient maçonnés et le quatrième directement taillé dans la roche. C'est à ce dernier qu'une épaisse chaîne avait été fixée à un gros anneau d'acier. Cette même lourde chaîne dont les anneaux épais rejoignaient le collier fermé autour de mon cou. Je demeurai immobile, conscient que je venais sans doute de sceller mon destin. Quelque chose au plus profond de moi m'avait empêché de hurler, d'insulter celui qui m'avait réduit à cet état de captif et qui prétendait que je le désirais... Pourquoi ? Pourquoi n'avais-je pas dit que je voulais partir ? j'avais accepté, oui accepté de rester là. Sir Evans m'avait offert le choix et j'avais été incapable de prononcer un seul mot. je m'étais résigné... Combien de temps allais-je rester dans ce réduit de quelques mètres carrés ? Qu'est-ce qui m'attendait ? Des dizaines de questions se bousculaient dans ma tête. Lorsque soudain, le verrou de la porte se mit à jouer, on ouvrait... Deux des hommes de main de Sir Evans entrèrent. l'un de mes tourmenteurs du matin et le troisième homme, que j'avais peu vu. Ils s'approchèrent sans mot dire. je baissais la tête et fixais le sol... j'avais peur... "Une belle petite salope" dit la voix de l'un d'eux... "Tu aurais vu, rien que de la foutre à poil et elle avait déjà la nouille toute raide ! je suis sur qu'elle meurt d'envie d'y passer" et ils se mirent à rire tandis que je restais immobile, craintif, n'osant pas relever la tête... C'est une poignée de main ferme qui m'y obligea. Elle saisit mes cheveux et tira dessus sans ménagement, m'obligeant à lever les yeux et à regarder les deux hommes qui étaient entrés. Grands, larges d'épaules, le crâne presque rasé... Ils portaient tous les deux des débardeurs noirs, des pantalons de treillis et de grosses rangers noires... celui qui me tenait par les cheveux affirma encore sa prise, me forçant à me courber jusqu'au sol... ou plutôt jusqu'à ses rangers... "Lèche, chienne !" lança-t-il... je n'eus pas à réfléchir, je vivais une évidence. mon visage tout contre la chaussure, l'odeur âcre du cuir emplissant mes narines, je me mis en devoir de lécher avec application la ranger boueuse. je m'appliquais à ne négliger aucun point de la chaussure, usant parfois du bout des dents pour décrocher un petit bout de terre mieux accroché que les autres. Le goût de la boue emplissait ma bouche, commençait à produire une sorte de bouillie terreuse que je devais avaler pour ne pas risquer de la recracher sur le cuir qui peu à peu retrouvait son lustre par la grâce de ma salive servile. Un léger geste me fit comprendre qu'il fallait passer à la seconde chaussure et je repris humblement mon léchage, avec application. le goût de terre m'écoeurait mais je m'appliquais à bien nettoyer la première paire, avant comme je m'en doutais déjà, de devoir exécuter la même opération avec la paire de l'autre individu. Lorsque j'eus terminé et que les deux brutes furent satisfaites du cuir brillant de leurs rangers, je sentis une nouvelle pression sur mes cheveux pour m'obliger à me relever... j'avais les articulations douloureuses, après des heures passées à genoux... Mais d'un seul bras, l'homme me maintenait debout, me retenant seulement par les cheveux, rendant mon cuir chevelu de plus en plus douloureux. Un peu titubant, je parvins tout de même à me tenir à peu près droit, même si la chaîne entravait fortement mon déplacement. D'un geste brusque, l'homme me saisit aux épaules et me plaqua contre le mur, le visage écrasé contre la pierre humide. Il m'obligea à me tenir ainsi, penché en avant, reins creusés, la croupe tendue... Je sentais que les deux hommes m'observaient et je n'osais bouger. "Regarde cette salope !" lança l'un... à quoi l'autre répondit en riant : "Oui, Le Maître avait encore raison, il avait bien senti son tempérament. Bien dressée on va pouvoir en tirer le meilleur"... L'un d'eux s'avança et saisit la chair de mon cul à pleine main... Il pétrit ainsi ma croupe, avant de relever la main et de l'abattre violemment sur ma peau. Le coup claqua bruyamment et je ne pus retenir un tressaillement... "Tu ne bouges pas !" dit-il durement, avant de continuer à me claquer les fesses. j'avais subi quelques fessées dans mon enfance, mais là je découvrais ce qu'est une "vraie" fessée... A chaque coup qui s'abattait, je sentais ma peau devenir plus sensible encore, je savais qu'elle était en train de rougir, que la main qui s'abattait implacablement, régulièrement, presque machinalement, allait continuer. Que ce que je ressentais déjà comme une douleur n'était rien... Et je subissais les coups, un à un, le claquement sec et régulier envahissant mon esprit, chassant toute autre pensée. Ma croupe n'était plus que brûlure. Je n'osais imaginer à quel point elle devait être marquée. je ne savais plus combien de coups étaient déjà tombés. Combien allaient continuer de pleuvoir... Des larmes coulaient sur mes joues, je sanglotais doucement, faisant mon possible pour rester silencieux, de peur maintenant que l'expression de ma douleur ne me vaille une multiplication des coups. La grosse main calleuse s'abattait, et s'abattait encore, je sentais mes cuisses et mes jambes qui tremblaient. La transpiration qui s'écoulait le long de mon échine, car malgré la fraîcheur relative des lieux, mon corps était brûlant, le feu de ma croupe se répandant peu à peu partout en moi. Je ne sais combien de temps dura mon calvaire, mais lorsque la main cessa, j'avais perdu toute force et je m'écroulais sur le sol, sous les rires gras et moqueurs de mes deux tourmenteurs... "Déjà ? Quelle mauviette ! (ils riaient) Bah, un bon dressage et tu apprendras à supporter bien plus que ces caresses. Là je t'ai à peine effleuré, mais bientôt ton dressage commencera"... Je restais prostré sur le sol, n'osant ni bouger, ni parler, à peine respirer... je ne vis pas les deux hommes sortir, je ne sus qu'ils étaient partis qu'au bruit de la porte qui se refermait sur mon désespoir. Et je restais seul, la croupe en feu... Le temps avait passé. Impossible de dire combien. Une heure, deux... ? Plus , ma seule façon de savoir que du temps s'était écoulé, c'est que la brûlure de la correction avait délaissé ma croupe. je m'étais à moitié assoupi, toujours enchaîné au mur de mon cachot. je préférais cela, d'ailleurs, car j'ignorais ce qui m'attendait et je préférais ne pas le savoir. je ne voulais plus rien savoir, seulement que l'on m'oublie et ne plus avoir à supporter ces humiliations si douloureuses... Mais bien sur, cela ne pouvait pas durer. Et je fus bien vite rappelé à la réalité de ma situation. La porte de la pièce où j'étais tenu prisonnier grinça à nouveau et les deux brutes approchèrent à nouveau. je ne pus retenir le tremblement qui me saisit alors. j'avais peur. Peur d'être à nouveau battu ou de subir de nouvelles humiliations et souffrances... Mais rien de tout cela. Avec cette poigne puissante qui les caractérisait, ils me soulevèrent du sol pour me remettre debout. Et tandis que le premier nouait un ruban de soie noire sur mes yeux, l'autre décrochait la chaîne du lourd collier de métal qui enserrait mon cou. Du plat de la main, celui qui se tenait derrière moi me poussa en avant et c'est aveuglé mais encadré par les deux colosses que je quittais ma prison. Dans l'autre sens, je sentis sous mes pieds le sol de l'étroit couloir, puis la pierre du palier par lequel Madame Marie m'avait guidé lors de mon arrivée. Lentement, trébuchant parfois et mes orteils heurtant douloureusement la pierre, je gravis cette fois l'escalier en colimaçon pour remonter vers le château. Mes deux accompagnateurs ne faisaient rien pour m'aider. Au contraire, ils ne disaient pas un mot, mais laissaient échapper des rires gras à chacun de mes faux pas et lorsque je cognait durement dans la pierre... Ils ne me torturaient certes pas; mais la situation me rappelait à chaque pas la situation avilissante dans laquelle je me trouvais. Prisonnier et abandonné de tous. Nu, humilié, tourmenté... et dans l'ignorance totale de ce qui m'attendait encore. Ma destinée ne m'appartenait plus. je n'étais plus rien, sinon la victime désignée des décisions de Celui qui commandait à ces gens qui me traitaient comme si je n'étais rien. Et d'ailleurs, c'était bien ainsi que je percevais ma situation : je n'étais plus rien... l'escalier se terminait, nous étions de retour, supposais-je dans le grand couloir du château. Une main se saisit de mon épaule, et- je compris tout de suite que je devais m'immobiliser. Les deux hommes se placèrent chacun d'un côté, ils me saisirent aux épaules et me forcèrent à avancer. Ils me portaient plus que je ne marchais. Et cette façon de ne même pas pouvoir me déplacer par moi même ne fit qu'accentuer mon sentiment d'humiliation et d'insignifiance. On ne me laissait même pas marcher par moi même ! Je fus ainsi "porté" pendant plusieurs minutes. Soudain nous stoppâmes. je sentis du cuir sous ma poitrine et on tira mes bras en croix... je compris de quoi il s'agissait : on m'installait sur une espèce ce cheval d'arçon. ma poitrine reposait sur la large assise en cuir, tandis que mes poignets étaient fermement liés aux arceaux de bois de chaque côté. j'étais renversé sur le ventre, bras en croix, mes pieds ne reposant au sol que sur la pointe des orteils. Dans cette position, ma croupe saillait et j'étais contraint de garder les reins cambrés. je craignais une nouvelle correction lorsque j'entendis des pas qui se rapprochaient. Une présence soudaine, tout près de moi, que mes yeux bandés m'empêchaient d'identifier. ce fut Sa Voix qui retentit soudain, Sir Evans : "On me dit que tu ne résistes guère... C'est une bonne chose, de toute façon tu es totalement en Mon Pouvoir. Autant t'y résigner et comprendre que plus forte sera ton acceptation, plus facile sera ton formatage. Tu n'en es qu'au début, mais je place beaucoup d'espoirs en toi. Bien dressé, tu seras un bon esclave et tu sauras tenir ta place. Mais pour cela, il y a encore beaucoup de travail, alors tâche d'être raisonnable..." Sir Evans venait d'énoncer ce discours d'une voix calme et régulière. Sans forcer sur aucun mot. Ceux-ci pourtant m'avaient transpercé, car ils ne me laissaient aucune alternative. Manifestement il n'y avait plus de répartie possible, mon silence lorsque j'avais eu le choix avait définitivement scellé mon destin. Mais quel destin ? Je restais muet, n'ayant pas la moindre idée sur l'attitude que je devais observer. De toute façon j'étais immobilisé, impuissant... qu'aurais-je pu faire ? Je sentis une main se poser sur ma croupe offerte... un doigt glisser le long de ma raie... Et soudain, à nouveau, Sa Voix : "Saches qu'ici, un esclave mâle ou femelle se doit d'être une bonne putain ! Les tâches ménagères sont l'apanage naturel des esclaves, mais pour être une vraie catin servile, il faut être éduqué, apprendre pas à pas. Apprendre à abdiquer toute forme de pudeur ou de dignité. Apprendre que ton corps ne sera qu'un instrument dont on pourra disposer, user et abuser sans aucun égard pour l'objet que tu seras devenu (une claque fortement appuyée sur ma fesse vint ponctuer le discours).. Compris ?" Comme je restais silencieux, une nouvelle claque retentit et je sentis ma croupe chauffer... "Compris ?" et avant même que je n'ouvre la bouche, une troisième claque ! "oui ... oui Maître"... dis-je dans un souffle... tandis que déjà mes fesses sentaient la brûlure d'une quatrième claque... "Plus fort... et plus convaincant" dit la Voix Du Maître, tandis que la cinquième et la sixième claque chauffaient mon cul... "Oui Maître" énonçais-je avec volonté et en harmonie avec le septième coup... le huitième, le neuvième et le dixième précédèrent une nouvelle phrase de Sir Evans : "Dis : je suis la putain de Sir Evans !" Ce n'est qu'après le douzième coup claquant sur mon cul que je pus articuler cet aveu à haute voix : "je suis la putain de Sir Evans !". Je dus répéter encore trois fois, d'une voix forte mais posée cette reconnaissance de mon état... Et il fallut en arriver au vingtième claquement pour que Le Maître juge mon ton satisfaisant... Dix fois encore il m'appliqua ces claques sèches et fermes qui me chauffaient la croupe. Mais je n'avais plus rien à dire, seulement à subir. Après trente coups, la fessée prit fin. je tremblais un peu, mais je demeurai aussi silencieux et immobile que je le pouvais. "Bien, désormais tu sais ce que tu es... à quoi tu vas être destiné et pour quoi tu vas être dressé"... un silence... je craignais à chaque seconde qu'un nouveau coup s'abatte sur mon cul en feu, mais il n'en fut rien, Sir Evans poursuivit : "Mais, il y a ce que l'on dit... et les faits. Puisque tu as reconnu que tu es désormais ma putain, il est nécessaire que je te voie à l'oeuvre. Dis moi..." il y eut un nouveau silence... "as tu déjà offert ton cul ?" ... je gardais un court instant le silence... Mais une claque sèche et sans appel me rappela à mon devoir, au plus vite, mais d'une voix retenue, je répondis : "Non Maître, mon cul est vierge Maître", dis-je dans un sanglot... "Eh bien, nous allons y remédier" dit alors Sir Evans, juste avant qu'un claquement de doigts ne retentisse dans la pièce dont j'ignorais tout... je ne pus m'empêcher de m'agiter... Dans une ridicule tentative pour échapper à ce qui était bien sur inéluctable. Deux mains vinrent peser sur mes épaules, m'immobilisant plus encore que les liens qui enserraient mes poignets et m'auraient de toute façon maintenu dans la position qui m'offrait totalement aux désirs de qui le voudrait. Tandis que j'étais immobilisé, je sentis une sorte de crème couler dans ma raie, une main qui l'étalait autour de mon anus et brusquement, un gros doigt qui vint se fourrer dans mon petit trou que l'on forçait pour la première fois... le doigt effectua quelques allers et retour... Il ressortit, puis entra à nouveau pour de nouveaux va-et-viens... je gémissais doucement, mais n'osais pas plus tandis que le doigt poursuivait son exploration. Et soudain le doigt ne fut plus seul. ce sont deux doigts qui forçaient mon fondement, qui s'immisçaient en moi. deux doigts qui jouaient avec mon petit trou, qui en écartaient les chairs, qui en faisaient peu à peu un trou accessible à de plus larges perspectives... Je sentis un nouveau flot de gel froid coulant dans ma raie et je ne pus retenir un cri lorsque "quelque chose" de plus volumineux vint s'enfoncer dans mon cul. Mon cri suscita quelques rires, mais surtout un coup de rein plus appuyé encore qui fit s'enfoncer la queue au plus profond de moi... Les coups de boutoir de celui qui m'enculait étaient de plus en plus rapides, de plus en plus profonds... je gémissais sans cesse et poussais de petits cris qui ne manquaient pas d'amuser ceux qui se jouaient de moi. Lorsque le premier se retira, je n'eus même pas le temps de ressentir une once de soulagement, puisque déjà, une autre queue vint remplacer la précédente. Bien que mon trou se soit légèrement élargi, je sentis bien que celui qui venait était plus large et plus long encore que le précédent... Il se mit à me limer brutalement, ses coups de reins me labouraient le cul, enfonçaient sa queue bien loin dans mon cul... Et il prenait un malin plaisir à demeurer ainsi enfoncé bien à fond plusieurs secondes, avant de se retirer partiellement et de s'enfoncer à nouveau en poussant un râle qui semblait donner plus de force encore à son coup de bitte qui me défonçait le cul. Il reste ainsi bien plus longtemps à me limer... et bien que brouillé par la douloureuse expérience, mon esprit gardait assez de lucidité pour savoir que rien n'était fini. J'étais sur en effet que ceux qui me baisaient étaient les brutes qui m'avaient kidnappé... or, tandis que l'un d'eux, le second, prenait mon cul à grands coups de bitte... je me souvenais qu'ils étaient trois... Et en effet, le second venait à peine de se retirer, qu'il y eut une brève giclée de gel et que je sentis un chibre énorme qui forçait mon cul. Bien que bien ouvert par ses prédécesseurs, celui-ci dut insister. le gland forçait contre les parois de mon anus et il s'introduisit en me forçant violemment et en me soutirant un cri strident ! Tout au long de ce troisième enculage, je ne cessais de gémir, de pleurer et de pousser des cris de douleur. Plus large, plus long, plus gros, plus violent aussi, car je sentais qu'il ne m'enculait pas seulement pour ouvrir plus encore mon cul, mais pour tirer de moi de nouveaux cris. Chaque va et vient était l'occasion de m'ouvrir un peu plus, de m'avilir un peu plus, de m'anéantir en me montrant que je n'étais qu'un trou qui devrait apprendre à être pénétré et pénétré encore et encore et encore... Et en plus, cela dura, dura... ce fut interminable et mon anus devenait à chaque instant un trou un peu plus ouvert, un peu plus large, un peu plus accessible pour tous ceux qui en voudraient... à la fin, je relâchais totalement mon corps. mes muscles ne m'obéissaient plus. je n'étais qu'un pantin dans lequel l'énorme sexe allait et venait méthodiquement. et chaque aller et retour était une façon de me dire qu'il en serait toujours ainsi et que je devrai m'y faire. Non seulement l'accepter, il était si facile de m'y contraindre, mais assimiler que c'était désormais ce que j'étais : un trou, un objet, une putain... Lorsqu'enfin le troisième se retira... j'avais abdiqué. Tout abdiqué. Et lorsque à nouveau retentit la voix de Sir Evans il n'y avait plus aucun doute. "Qui es tu ?" demanda la voix calme et posée du Maître. "je suis la putain de Sir Evans" répondis-je tout en cherchant mon souffle... (A suivre ...) ------------------------------------------ Comme déjà dit,je ne veux pas polluer le site de mes histoires, donc après avoir posté sur un premier article un épisode de ma Saga des esclaves, je poste juste ici, un épisode des Origines de la Saga et ce sera tout...Bien amicalement Année 1784 -(1) - Le carrosse & L'Invité fugitif - Printemps 1784. Un carrosse tiré par quatre puissants chevaux brinquebale sur la route cahoteuse et poussiéreuse. Il laisse loin derrière lui le sinistre donjon de Vincennes réputé pour ses prisons sordides... Les geôliers, qui se montraient cependant fort déférents à l'égard de "Monsieur le 6" (du nom de sa cellule), ainsi qu'il est d'usage dans les forteresses royales... Les lettres de cachet, qui ont déjà trop souvent interrompu ses tumultueuses expériences... Il devait être transféré... Pour plus de sécurité, lui avait-on dit. Certes ! Mais ces geôliers si attentionnés l'étaient aussi aux pièces d'or sonnantes et trébuchantes. Il avait suffi d'une bourse suffisamment bedonnantes pour les convaincre de fermer les yeux lorsque s'était effectué un discret échange. Il avait quitté le donjon, franchissant d'un pas toujours un peu plus léger les dix-neuf portes et grilles métalliques qui le séparaient de l'air vif de la liberté, tandis qu'un pauvre bougre quelque peu simplet faisait le chemin en sens inverse. Ainsi il y aurait bien un prisonnier, le lendemain matin, dans la cellule depuis laquelle il serait transféré vers l'immonde prison de La Bastille. Maintenant, il dévorait les lieux... ou plutôt se laisse porter par une folle chevauchée. Madame de Montreuil a su parfaitement élaborer son évasion, il est vrai qu'elle n'a plus qu'un espoir en tête, se débarrasser de lui, aussi définitivement qu'il est possible, sans bien entendu, se salir les mains. Tout ce qu'elle désire, c'est qu'il s'éloigne, disparaisse... sorte de sa vie et de celle de sa fille. Certes, il la déteste... Il ne cesse d'imaginer pour elle, les pires supplices. Voici seulement quelques jours, il l'imaginait écorchée vive, traînée sur des chardons, avant d'être jetée dans une cuve de vinaigre ! Mais ce soir, il se sent d'humeur indulgente. Peut-être la livrerait-il à quelque nègre acheté tout exprès pour la taille extrême de sa virilité... juste pour le plaisir de voir cette bigote rabougrie écartelée, hurlante ou gémissante ? Allez savoir avec les grenouilles de bénitier ! Il ne peut s'empêcher de sourire à l'idée de Mme de Montreuil se faisant ramoner sans ménagement par un esclave noir... d'imaginer l'énorme phallus d'ébène la transpercer, tant par le devant que par le fondement... Certes il lui doit sa liberté, mais à quel prix ! Car il est vrai que le prix à payer n'est pas anodin. Il doit disparaître et laisser le pauvre hère qui l'a remplacé assumer le poids d'une détention dont nul ne sait combien de temps elle pourrait durer... Sombres pensées... Mais bien vite, son esprit se réveille et il profite du délicieux spectacle qui lui est offert au cours de ce long et périlleux périple. Face à lui, deux jeunes beautés. A la longue chevelure ondulée, l'une est brune, l'autre est blonde. Elles sont nues, comme au jour de leur naissance, puisqu'il ne subsiste aucune pilosité sur leurs corps épilé, jusqu’aux moindre recoins de leurs sensuelles formes Elles sont l'ultime présent de sa belle-mère. Un cadeau qu'il a obtenu de haute lutte, laissant entendre qu'il préférait renoncer à la liberté, s'il ne pouvait en jouir pleinement... Il se souvient encore de ses mots, lorsqu'elle était venue, nuitamment lui rendre une visite aussi inattendue qu'intéressante. D'abord hautaine, elle avait fini presque le suppliant d'accepter de ses conditions pour disparaître de sa vie. "Si vous mettez ma liberté au prix du sacrifice de mes principes et de mes goûts, nous pouvons nous dire un éternel adieu. Car je sacrifierai plutôt qu'eux, mille vies et mille libertés si je les avais", lui avait-il lancé voyant qu'elle ne cédait point à ses exigences. "Soit, Monsieur. puisque tel en est le prix vous les obtiendrez, en échange d'un définitif éloignement", avait-elle rétorqué, gardant dans la défaite comme un accent d'autorité. L'argent et les deux filles. Il avait tout obtenu. Ces deux délicieuses ingénues dont il avait assuré l'éducation. Bien avant même d'être si vilainement emprisonné. Elles n'avaient survécu qu'en vendant leur corps si frais et se désespéraient de ne plus être en son pouvoir, où elles avaient tant appris des délices et des souffrances d'un total esclavage. Elles l'avaient si souvent inspiré, qu'il n'était que justice qu'elles puissent l'accompagner en son lointain exil pour, à nouveau, n'être qu'à lui.... Le fugitif n'accorde pas un regard à leurs visages. Il préfère se perdre dans le balancement de leurs seins blancs et lourds, qui suivent le rythme des cahots qui secouent le carrosse. Il se laisse bercer par cette émouvante vision. Il a passé tant de mois entre les quatre murs d'une cellule. Pour quelques pièces, les geôliers lui amenaient quelques fois une catin, mais ce n'étaient que femelles de bas étage, au corps usé, qui se pliaient difficilement aux exigences les plus sublimes de ses sens. Les deux charmantes créatures qui se tenaient docilement face à lui étaient tout autres. Il les avait connues fort jeunes et les avait éduquées. Au fil des ans, il avait façonné leurs pensées, mais aussi leurs corps. Et il était bien fier de son "oeuvre" ! Des seins, son regard descendait peu à peu vers leur ventre et leurs cuisses, docilement ouvertes, offrant une vision idéale sur la cicatrice rosée de leurs sexes parfaitement lisses. Il savait leurs regards baissés. Leurs pensées toutes tendues vers l'unique volonté de lui plaire. Leurs esprits parfaitement dressés, désireux seulement de combler chacune de ses attentes, les plus perverses de ses envies. Juliette et Justine, ainsi qu'il les a baptisées, sont pour lui, un aboutissement. Tout ce qu'il écrit et qui lui vaut tant d'avanies, elle en ont été la substantifique moëlle. Sur elles, il a tout expérimenté... elles se sont pliées à ses plus sombres désirs, ont offert docilement leurs corps à ses plus folles tentatives. Comblé, le voyageur contemple ses créatures. Elles lui appartiennent corps et âme et ont à jamais lié leurs destins au sien. Alors qu'il était emprisonné, elles se sont vendues à des hommes pour survivre. Le vulgaire a ainsi pu souiller leurs corps’ si magnifiques, malgré tout ce qu'ils ont subi. Mais il sait que leurs pensées sont restées vierges (le mot le fait sourire) de toute tâche. C'est pour leur Maître qu'elles ont fait commerce de ces corps qu'il avait façonné. Elles n'ont gardé que le minimum vital pour elles même, envoyant à leur Seigneur adoré tout le surplus afin d'améliorer un peu son triste quotidien. Elles n'ont fait ainsi que leur devoir d’esclaves, mais il sait que rares sont les êtres qui se seraient montrés aussi fidèles. Et cette nuit elles sont là, assises face à leur Maître. Nues, offertes, prêtes à tout accepter de lui, pour lui. Leurs cuisses à la chair ferme sont largement ouvertes, dévoilant la chair rose de leurs sexes qu'il a tant de fois pénétrés et dont la vue lui procure pourtant toujours un si délicieux émoi. L'observation de ces deux corps fait peu à peu monter le désir en lui. Après des mois de quasi abstinence, après la multiplication des pensées les plus perverses, dont il n'a pu se soulager que par l'écriture, il sent la vie renaître dans sa plus vive intimité. Il sent son sexe qui gonfle et durcit, palpitant comme aux plus beaux jours de sa jeunesse. il fixe les deux paires de seins qui palpitent au gré des cahots du chemin, les tétons roses foncé et l'une et nettement bruns de l'autre... des souvenirs lui reviennent. Il n’hésite alors pas une seule seconde et fait claquer les doigts de sa main gauche. C'est Juliette qui réagit donc. Sans un mot, sans un regard, conservant les yeux baissés, elle quitte le siège et vient s'agenouiller entre ses jambes. Lui, d'une main assurée, défait sa culotte et libère son épais phallus. Celui ci demeure droit, tendu et Juliette doit se rehausser légèrement afin de pouvoir le saisir entre ses lèvres. Elle y parvient malgré la position rendue fort inconfortable par les aléas du parcours. Mais elle est experte et sa bouche se referme sur le sexe telle une gaine parfaitement proportionnée. Elle l'avale et le suce avidement. L'érection est telle que la fine bouche parvient à peine à l'engloutir, Juliette devant l'accueillir jusqu'au plus profond de sa gorge. Puis, elle laisse le mouvement du carrosse imposer son rythme et elle offre à son Maître la plus chaude et délicieuse des fellations, serrant bien les lèvres afin d'assurer son plaisir, jusqu'à ce que celui ci jaillisse brusquement, violemment, inondant la bouche de la jeune soumise d'un flot épais et chaud qu'elle s'applique à avaler jusqu'à la dernière goutte, sans oublier de nettoyer avec le plus grand des dévouements le gland rougi du Maître avant que de reprendre sa place, humble et silencieuse... 2 - L'Auberge Ainsi se poursuit le voyage, jusqu'au plus profond de la nuit. Lorsqu'enfin le cocher arrête ses chevaux, le sombre manteau d'Hécate s'est refermé. Un léger frisson fait trembler les grands arbres qui assombrissent encore cette contrée si éloignée de tout. Au coeur de cette forêt se dresse une minuscule bâtisse. L'auberge est plus isolée du monde que la plus lointaine des îles exotiques. C'est ici qu'a été prévue l'étape nécessaire avant que le carrosse n'atteigne le terme de son périple. Le cocher descend de son siège et va ouvrir la porte du carrosse dont une épaisse couche de peinture noire a définitivement dissimulé les armoiries qui en ornaient les flancs. Justine et Juliette, aidées par le cocher, en descendent les premières, toujours aussi nues qu'au jour de leur naissance. Elles s'installent à quatre pattes sur le sol afin de constituer un marchepied de chair et de sang, sur lequel le voyageur s'appuie afin de rejoindre le sol, face à l'entrée lumineuse de son abri pour la nuit. Sans un regard pour ses servantes, le voyageur gagne la porte de la petite bâtisse dont la porte s'ouvre sur un homme trapu, à la barbe épaisse. De l'intérieur s'échappe un lourd effluve de cuisine. Senteurs chaudes et parfumées qui réveillent l'esprit de l'occupant du carrosse. A l'intérieur, près d'une vaste cheminée qui occupe un pan entier de mur, une table a été dressée, couverte de victuailles, vers laquelle l'aubergiste mène le voyageur en multipliant les gestes de déférence. Tout a été prévu pour réserver le meilleur accueil à ce voyageur de renom. L’aubergiste ayant reçu des instructions claires moyennant une forte bourse de pièces d’or. Le voyageur se laisse lourdement tomber sur un banc de bois qui ploie un peu sous son poids, tandis qu'à l'extérieur, le cocher libère ses chevaux et les mène à l'écurie afin de les bouchonner. Toujours agenouillées au sol, face à l'entrée, les deux jeunes femmes demeurent immobiles dans la nuit. Elles grelottent un peu et c'est l'unique mouvement qu'elles osent. Le cocher viendra s'occuper d'elles, lorsqu'il en aura fini avec les chevaux... respectant ainsi l'ordre établi des priorités. Ce n'est donc que bien plus tard que, et usant parcimonieusement de son fouet, que le cocher vient les faire avancer, à quatre pattes, afin de regagner à leur tour l'intérieur. Là, le voyageur a déjà regagné la chambre préparée pour lui, en compagnie de la fille de l'aubergiste qui a été largement récompensé pour avoir su préserver la virginité de la jeune femme afin de la livrer aux appétits de son hôte prestigieux, qui sait apprécier de tels sacrifices lorsqu'il les impose au commun. Tandis que l'âtre s'éteint doucement et que la nuit avance, le cocher savoure les restes du repas de son Maître, qui aime l'abondance mais se rassasie promptement. Face à lui, accroupies sur le sol, les deux jeunes femmes attendent docilement qu'il daigne leur jeter quelques reliefs de son festin. Lorsqu'il lance ses restes, elles s'en nourrissent avec reconnaissance, heureuses de retrouver ainsi les délices qui étaient leur quotidien aux temps heureux où leur Maître jouissait pleinement de sa fortune et de sa liberté. Les temps bénis où il leur avait appris à offrir la moindre parcelle de leur corps pour combler les désirs les plus inavouables. Il ne se privait de rien, ne connaissait aucune limite et elles avaient appris très tôt à l'accompagner en ses extravagances, apprenant au fil du temps à faire plaisir et délices des douleurs et avilissements qu'il se plaisait à leur imposer. Elles ont tout connu auprès de ce Maître qui a guidé leurs vies et les a dressées mieux que jamais ne le fut animal domestique. Il les a entraînées dans ses folles aventures, faisant d'elles les vestales perverses de cérémonies qui auraient valu le bûcher, place de Grève à tout autre. Au sein même d'une chapelle, il avait avec elles consommé l'offrande de sa jeune belle-soeur, la tendre chanoinesse Anne-Prospère, dont il avait possédé chacun des orifices en un quasi-pervers sabbat. La jeune religieuse avait en une folle nuit, fait le sacrifice de sa virginité et l'offrande de son âme à celui qui avait déjà fait trois enfants à sa soeur. Et avant que de la posséder et de lui faire renier tous ses voeux de chasteté, il avait confié à ses deux esclaves le soin de la pervertir et de lui faire découvrir sur l'autel même tous les charmes du saphisme le plus échevelé. ... Tous repus passèrent une reposante nuit. La seule qui fut courbaturée était la fille de l'aubergiste que le voyageur avait chevauchée avec passion durant de longues heures, n'hésitant pas à la flageller fort durement lorsqu'elle tentait sans grand espoir d'échapper à son priapique initiateur. C'est donc de fort plaisante humeur que le voyageur quitte l'auberge, non sans avoir une dernière fois fourragé le fondement de la jeune femme sous les yeux même de son cupide aubergiste de père, surtout préoccupé par les pièces d'or offertes par son noble et anonyme client, pour le prix de ‘’cet ultime service’’ Et le carrosse reprend la route... Chacun a retrouvé sa place, le cocher fouette ses bêtes tandis que le voyageur, aussi confortablement installé que possible, fait ses délices d'un recueil de Pétrarque, dont parfois il daigne faire grâce à ses deux silencieuses accompagnatrices de la lecture de quelques vers : "De longs cheveux brillants à rendre l'or jaloux, Le regard le plus pur, le plus charmant visage Qui jamais aient fait mettre un mortel à genoux, Un sourire ineffable, un si gracieux langage, Une main, de beaux bras noblement arrondis A faire implorer grâce au coeur le plus rebelle, Un pied fait par l'amour, une femme si belle En un mot, qu'il n'est rien de tel au paradis"... Ainsi lit le voyageur, faisant profiter ses deux douces créatures de la richesse de son esprit. Et la poésie aidant, le voyage se passe et le jour s'alanguit. Peu à peu il décline et déjà le terme du voyage approche. Enfin ! s'exclame le voyageur. Enfin le voyage s'achève. Le carrosse s'est engagé sur une longue allée de graviers qui crissent sous les lourdes roues ferrées. De part et d'autre de l'allée, de hautes torches éclairent le trajet qui mène jusqu'au devant d'une impressionnante bâtisse. Le Château d'un fort précieux et si prestigieux ami qui a accepté avec enthousiasme de l'accueillir et de l'héberger aussi longtemps qu'il le souhaitera. Quelques minutes encore pour qu'enfin, les chevaux ne stoppent face au perron du Château. Comme devant l'auberge, le même cérémonial... Le cocher ouvre la porte aux armoiries cachées et les deux jeunes servantes qui servent de marchepied au voyageur qui descend d'un pas assuré. Mais cette fois, depuis le perron, c'est un autre noble et grand personnage qui s'avance. Plus qu'un ami, un égal pour le voyageur qui ne s'en reconnaît que fort peu. Tandis que l'un monte les premières marches menant au Château, l'autre les descend et ils tombent dans les bras l'un de l'autre... - "Cher Marquis, quel bonheur !" lance l'invité... - "Marquis... il y a si longtemps !" répond l'hôte... Et tous deux de s'embrasser en s'étreignant... - "Donatien de Sade... Donatien, cher Marquis, mon ami ... Sentez vous ici, chez vous... autant qu'il vous plaira" - "Merci Marquis d'Evans, je n'aurai pu rêver d’un meilleur refuge !"....
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Par : le 04/10/12
... ou quand il convient de se méfier des partenaires à arrières pensées pécunières ... Il est suisse, banquier, a de gros moyens, époux et papa, mais son couple ne lui apporte pas tout ce qu'il esperait. Ce qui lui manque, il va le chercher ailleurs, auprès de professionnels : des moments BDSM. Il a confié sa "destiné" à un couple de dominateurs qui ont vite vu l'opportunité qu'il pouvait y avoir a faire chanter le richissime homme d'affaire. Pourtant doté d'une petite renommée à l'échelle européenne, le couple BDSM comparaissait mercredi 3 octobre 2012 par devant les instances judiciaires suisses, sous l'accusation de tentative d'extortion de fonds, en l'espère 250000 francs suisses (soit environ 200 000 euros) à notre malheur banquier. Les premières menaces avait été porter début 2012 : ils menacaient d'envoyer des photos de séances BDSM aux proches du "malheureux". Ils avaient également créer un compte Facebook au nom de leur victime afin de poster une photo des organes genitaux de celui ci à son employeur en guise d'avertissement, mais c'était l'homme du couple qui voulaint assumer la pleine responsabilité des méfaits. Pour autant, les élements de l'enquête semblait démontrer que la dominatrice, des plus manipulatrices (même si dans un cadre sain, sur et consensuel, c'est une qualité !) étaient impliqué dans l'arnaque. Les avocats des accusés ont choisi d'opter pour ce système de défense. Le conjoint de la dominatrice était jalou du client banquier tant qu'en a ses revenus qu'à l'égard des relations BDSM qu'il entretenait avec sa femme. L'opportunité de récupérer des espèces sonnantes et trébuchantes auraient pourtant scéllé un pacte d'escroquerie. 12 mois de prison avec sursis ont été réclamés par le procureur, le verdict sera rendu ce vendredi. Réquisition qui peut paraître clémente mais qui se justifie par la grande tolérance des lois suisses à l'égard de la sexualité tarifée.
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Par : le 23/09/12
Il y a quelques temps j’ai été contactée par un couple qui désirait pimenter ses soirées.Après un premier contacte, dans un café, où ils m’ont exposé leurs désirs et attentes concernant une soirée bdsm, nous avons enfin convenu d’un rdv. Ils nous ont invités, mon male et moi, hier soir dans un restaurant chic. Ils voulaient souper en public avec un couple de dominant ! ils ont été servi, nous arrivâmes tout vêtu de cuir. Cela a jeté un froid dans le restaurant. Je jubilais !A la fin du repas, ils nous ont conduits à leur appartement. Pour tuer le temps, pendant le trajet, je me suis occupée du sexe de mon male, sur la banquette arrière de leur voiture.Nous arrivâmes enfin dans leur appartement du 15ème. Un superbe appartement entre parenthèse.Nous prie place dans le salon sur des canapés en cuir. L’homme nous proposa de prendre des rafraichissements. Tout en dégustant notre champagne, le couple nous offrit à mon male et moi un présent. (J’aime ces petites attentions)Nous pouvions enfin commencer !J’ordonna qu’ils soient nus ! je sorti mes jouets de mon sac. Nous leur passâmes leur collier et laisse de serviture. Ils étaient à partir de ce moment nos chiens, nos jouets, nos choses !Nous avons commencé par une petite mise en bouche, avec nettoyage de nos semelles et bottes avec leur langue, tout en les caressant avec une cravache et un fouet.Puis nous avons enchainé sur quelques jeux de cires et de pinces, avant de passer aux choses sérieuses. J’ordonna à la femme de me lécher ma chatte à travers mon pantalon en cuir ! une puissante excitation commença à monter en moi au bout de quelques minutes, et je lui agrippa la tête d’une main afin de lui écraser le visage entre mes cuisses !Pendant ce temps, mon male caressait le dos et le postérieur de son homme avec sa cravache. J’adorais entendre les claquements sourds de la cravache pendant que la femme gémissait.Je la laissa reprendre son souffle, le temps que je mette ma ceinture gode.Puis je la bascula sur la table basse afin de la prendre en levrette ! les mots crus fusaient dans la pièce ! j’invita mon male à nous rejoindre. Il se plaça face à la femme et moi. L’excitation brulait au fond de nos yeux. Il dégrafa son pantalon en cuir et sorti sa queue qu’il engouffra dans la bouche de notre soumise ! elle était prise en sandwich entre deux dominants !Son homme était à genoux, obligé d’observer la scène.Lorsque mon male eu rempli la bouche et gorge de notre soumise de sa semence, nous la relâchâmes.La queue de mon male était bien gonflé et il ne fallait pas que je la laisse ainsi, cela aurait été du gaspillage.Il s’assit sur le canapé, et après avoir retiré ma ceinture gode et dézipé mon pantalon, laissant apparaître mes fesses et ma chatte, je m’installa sur lui afin de glisser son sexe en moi. L’homme était tout excité. Je lui ordonna de s’approcher de nous tout en se redressant sur ses jambes. Lorsqu’il fut a porté je commença a lui caresser son sexe de ma main, tout en me faisant défoncer par mon male. Je sentais l’excitation monter chez mon soumis. Il devait même commencer à se voir sucé par sa maîtresse. Mais je lui brisa ses rêves lorsque j’agrippa ses couilles et que je commença à les broyer entre mes doigts ! il avait oublié qu’aucun soumis ne me baise ; c’est moi qui baise mes soumis ! il se tordait dans tous les sens sous la douleur, comme un asticot. Plus je jouissais et plus broyais ses couilles, jusqu’au moment où mon male me rempli de plaisir. Je lâcha ma victime ! son sexe était violet. Je me leva et appela sa femme, qui avait récupéré son souffle afin qu’elle nettoie le sexe de mon homme. Quand à moi j’ordonna à mon soumis de me nettoyer ma chatte avec sa langue. Quand ce fut fait j’avais une puissante envie de me soulager… dans sa gueule ! (oups le tapis ! j’espère que ce n’était pas le tapis de belle maman.) je ne suis pas que cruelle. Ayant été docile je lui ai permis de se branler sur une de mes bottes et d’y jouir. Ce fut sa récompense pour cette soirée !Après cette agréable soirée et avant de prendre congé de nos hotes, nous avons pu prendre un bain délaçant, mon male et moi, dans un super bain jacousi. Nous n’avons pas pu nous empêcher de nous délasser à notre manière.Puis, l’homme nous ramena en voiture à notre domicile. Avant de nous quitter nous avons convenu de renouveler l’expérience.
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Par : le 17/09/12
  Voici une histoire de domination soumission où je serais soumis à une femme. A chaque fois j'en écrirai un petit morceau. J’imagine ma maîtresse toute de cuir vêtue, portant des bottes avec de hauts talons, des bas, une mini jupe, un corset et des gants. Elle a une cravache en main afin d’asseoir son autorité. Elle me demande de venir chez elle un vendredi en début de soirée, et une fois arrivé, d’ôter tous mes vêtements qu'elle s'empresse d'aller cacher. Elle m’impose ensuite ma tenue. Elle veut que je sois travesti en cuir. Elle choisit tout ce qu’il y a de plus difficile à porter, me justifiant à chaque fois pourquoi elle a fait ce choix. Elle commence par une catsuit en latex. Avec cet habit, elle veut que je transpire et me sente mal à l’aise. Elle me fait porter des bottines ballet boot. La raison première est évidente : avec ce genre de chaussure il m’est impossible de me tenir debout et marcher. Comme pour tous les accessoires qui vont suivre, elle va les verrouiller avec un système de lanière et de cadenas. Au niveau de la taille elle me passe un corset qu’elle serre au maximum, n’hésitant pas à me planter son talon dans le dos pour resserrer mes liens. Ainsi elle me force à garder le dos droit à cause de l’armature métallique du corset, et me donne du mal à respirer. Ensuite elle me pare d’un collier minerve pour me bloquer le cou en position. Ce collier est verrouillé par deux cadenas et possède quatre anneaux : à droite, à gauche, devant et derrière mon cou. Elle poursuit en m’attachant les bras dans le dos au moyen d’un armbinder. Là aussi elle ne me fait aucun cadeau et le serre comme il faut. Puis elle attache mes chevilles à une barre d’écartement. La raison, je la découvre après lorsqu’elle ouvre ma catsuit au niveau de l’entre jambe, prend mes testicules entre ses mains pour y passer un ball stretcher. Lorsqu’elle a fini, elle attache l’anneau situé en bout de l’armbinder au ball stretcher, me bloquant totalement les bras. Si je les bouge, je tire sur mes testicules. Elle termine de me préparer en me coiffant d’un cagoule de privation sensorielle. Cette cagoule ne possède qu’un petit œillet au niveau de la bouche. Elle est rembourrée au niveau des yeux, me forçant à garder les paupières fermées, ainsi qu’au niveau des joues pour que j’ouvre la bouche. Comme toute les cagoules elle se lace par derrière, mais en plus elle a trois lanières verrouillables afin de totalement me museler totalement. Ainsi soumis, son premier jeu consiste à me branler quelques secondes, puis à me mettre un petit coup de cravache sur mes testicules. Évidemment, je ne sais pas quand elle va me cravacher. Quelque fois elle me caresse avec la cravache au lieu de me frapper. Le but est de tenir un quart d’heure ainsi. Même si la situation est très contraignante, je suis très excité et jouis au bout de quelques minutes. Elle essuie ma queue et referme en partie ma catsuit. Elle prend une corde et l’attache d’un coté à la barre d’écartement, et de l’autre à l’anneau situé en haut de ma cagoule, me forçant à me cambrer et à rester ainsi. Elle tend la corde comme il faut. Elle me laisse ainsi et prend plaisir à me voir me tortiller et gémir à la fois de plaisir et de douleur. Je ne sais pas combien de temps cela dure mais cela devient très vite insupportable. Je suis forcé d’endurer car elle me laisse longtemps ainsi. Pour moi cela a duré une heure, mais ayant perdu toute notion d’espace et de temps, ils se peut que je sois resté ainsi seulement un quart d'heure, ce qui semble plus réaliste. Elle m’enlève ensuite la corde, la barre d’écartement et détache l’armbinder des testicules. Elle me laisse me reposer ainsi un moment avant de passer à la suite. Elle me repasse la barre d'écartement et attache mes poignets à mes chevilles. Elle m'enlève ensuite la cagoule et me demande de lécher ses bottes. Ne la voyant pas devant moi, je la cherche et la trouve assise sur le canapé à l'autre bout de la pièce. Elle veut que je rampe ainsi jusqu'à elle. Je fais ce que je peux, mais n'avance pas beaucoup. Elle menace de me rattacher comme avant si je n'y mets pas plus du mien. Lorsque je suis à ses pieds, elle ouvre ma catsuit pour dégager mes testicules qu'elle caresse avec sa cravache. Elle m'ordonne de lécher ses bottes. Cela me rebute et j'y vais lentement. Du coup elle me cravache les fesses pour me donner le rythme. Si je n’obéis pas à ses coups, j'ai droit à la même chose sur les testicules. C'est cruel et dur mais il faut ça pour dresser un chien. Aucune tolérance. Elle arrête ses coups et me laisse continuer à la lécher. A la moindre hésitation ou ralentissement de ma part, la punition tombe à nouveau. Lorsqu'elle estime que c'est suffisant, elle me coiffe d'une cagoule et me laisse ainsi. Ma maîtresse étant cruelle et exigeante, elle me fait lécher une autre de ses paires de bottes avec une cagoule ayant une ouverture au niveau de la bouche.
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Par : le 31/08/12
Avec l'accord de l'Administration, je vais essayer de vous raconter mes débuts. Pardonnez à l'avance les fautes ou la mauvaise syntaxe s'il vous plaît, ce n'est pas facile pour moi, car l'émotion est toujours aussi vive et douloureuse que ce jour où tout aurait pu basculer....   Novices, ce texte ne cherche pas à vous effrayer, seulement à vous prévenir pour VOTRE sécurité; Maîtres, par ce texte Vous saurez jusqu'où peut aller un soi-disant "maître";   Jusqu'en 1998, je n'étais toujours pas décidée à aller voir si l'herbe était plus verte dans le champ du voisin que dans le mien. Pourtant, depuis quelques années déja, mon conjoint ne s'intéressait plus à moi. Plein de questions étaient dans ma tête (du "suis-je si nulle au lit?" jusqu'au "c'est ma grosseur!" en passant par le classique "il doit en voir une autre!!!") J'ai tenté plusieurs fois de parler de "ça" avec lui, mais il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre! Bref, un jour où......................... je m'inscris sur un site de rencontre très classique, mais réservé aux infidèles. Le mot est lâché: j'ai cherché un amant. Très vite, les contacts affluent, et si certains me font fuir leur fiche, d'autres m'attirent... Rendez-vous, prise de contact avec ceux là, mais devant un café, dans un lieu public! Rien ne va plus loin que ça... sauf avec un. Il m'attire irrésistiblement! Grand, mince, élégant, poli, courtois... un rêve... Nous nous sommes vus une bonne dizaine de fois avant qu'il ne me parle de soumission. Je n'y connaissais rien, je le lui ai dit. "Ce n'est pas grave, je t'apprendrais, tu verras ce n'est pas dur. Il te suffit d'accepter ce que je te proposerais" Et j'ai dit oui, par curiosité, pour découvrir... avec son assurance que jamais il ne me ferait quoi que ce soit si je ne voulais pas. "Dis moi ce que tu refuse absolument?" Ma réponse a fusé: la sodomie!... "OK, pas de souci, je ne te sodomiserais jamais!"............... Si j'avais su!!! Tout ce passe très bien pendant huit mois. Une nuit mon mari décide de faire l'amour avec sa femme. (ça faisait plus de trois ans que je n'avais plus de rapports avec lui, vous pensez bien que je n'ai pas refusé!). Tout se passe vite, très vite, et je n'en tire aucun plaisir, mais au moins il revient vers moi... Je revois mon "maitre" quelques jours après et lui annonce que mon mari semble vouloir revenir, qu'il m'a fait l'amour... Mal m'en a pris! Il est entré dans une fureur noire, une rage indescriptible! Je lui appartenais à LUI, je n'avais pas le droit de LUI faire ça, je ne suis qu'une putain..... Je tente de lui faire remarquer que c'est quand même MON MARI, qu'il pèse quand même presque 125 kg (à l'époque, je n'en fais "que" 80), qu'il est beaucoup plus fort que moi, etc...etc..., et que de toute façon ça a été ultra-rapide et que je n'ai pas joui... Peine perdue, il est hors de lui et les insultes pleuvent. D'un seul coup, il se met à me rouer de coups... je reçois des gifles, des coups de pieds, et arrivé au point culminant de sa rage folle, deux coups de poings en pleine bouche, si rapides que je n'ai pas le temps d'esquiver...je suis presque estourbie. Puis le calme après la tempête... ou plutôt "l'oeil du cyclone"... pendant cinq secondes pas plus... et le déchaînement reprend, mais sans les coups. Cette fois c'est pire! Il m'attrape les poignets qu'il attache, me tire jusqu'au sol par les cheveux que j'avais assez longs. Je me retrouve à genoux, lui derrière moi, mes vêtements sont arrachés (nous allions commencer une séance quand je lui ai avoué ma "faute")... Je me trouve dans une posture où je ne peux rien faire, en plus je suis complètement sonnée, quasiment KO! Il se masturbe sur mon dos, sur mes fesses, ça j'ai l'habitude... et d'un seul coup il me sodomise... sans préparation, sans avertissement... Je suis sèche, les coups m'ont laissées vide. Il est entré d'un seul coup, de toute sa grosseur. Son sexe est très épais pour moi, presque 6,5 de diametre, et je suis toujours vierge par l'anus! Je me souviens que j'ai hurlé de douleur!!!! j'ai crié pitié, laissez moi partir!..... et plus rien....le trou noir.......... je me suis évanouie, terrassée par la douleur! Je me suis réveillée aux urgences de l'hôpital Tenon, à Paris. Mon mari était près de moi. Je ne pouvais presque pas parler, j'avais les lèvres tuméfiées, les yeux au beurre noir... des cheveux en moins.... et plus une seule dent! Ah! j'oubliais un détail: la police aussi était là!! Et contrairement aux films, ils m'ont demandé si je pouvais leur parler... C'est le médecin qui leur a demandé de revenir plus tard, dans mon état je ne leur servirais pas à grand-chose... Le soir est tombé, tout le monde est reparti sauf mon mari. Il veut que je vois un psy..... je lui fais comprendre que c'est non, qu'il peut rentrer, ça va mieux... "Oui me dit-il, les enfants sont inquiets, je vais leur dire que tu t'es fait agresser dans la rue et que l'hosto te garde en observation...mais que ça va mieux" Je suis fatiguée, j'ai très soif, j'ai mal partout. On me donne je ne sais quoi, et je m'endors... Le lendemain, ces messieurs de la police m'ont laissé un message: "dites lui de venir nous voir quand elle sort"... Je suis sortie dans la matinée........ et j'ai TRES envie de me venger! Mon mari m'emmène au commissariat où je dépose plainte pour une agression sexuelle. Je leur ai tout expliqué, tout. J'ai vu un album de photos... et là, j'ai sursauté! il était fiché! et pour agression sexuelle! Il leur fallait encore un témoignage pour le faire tomber... J'ai dit oui, et j'ai parlé!   Pour finir, nous avons été trois au tribunal (dont deux soumises). Ce joli monsieur a été condamné. Mes dents n'ont pas repoussé,. Mes cheveux ne sont plus du tout longs. Et mon mari est toujours là! Quant à moi, je suis toujours soumise, mais cette fois mon Dom est connu et  "reconnu" comme tel par d'autres Doms...   Petites soeurs, petits frères de soumission, Maîtres et Maîtresses reconnus (es), maîtres et maîtresses en devenir, lisez cette histoire et rappelez-vous que la soumission et la Domination sont avant tout des JEUX, et qu'ils peuvent mener loin... Ca peut être dangereux, entourez-vous de précautions s'il vous plaît!   Merci de m'avoir lue jusqu'au bout... Vous m'avez servi de psychanalystes... malgré vous.   Avec mes Hommages à tous,   Miss Tère
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Par : le 08/06/12
Bonjour à tous,Ce que j’aime dans le Bondage c’est de  procéder une jeune femme par mes cordes, bâillon et bandeaux et non par le sexe. Quelle m’appartienne, ce donne à moi corps et âme et à mes cordes. Un  moment de plaisir partagé, sans vulgarité, ni sexualité. .Pénétrer sa bouche avec la boule du bâillon et non avec mon pénis.Ne pas la dévêtir mais l’habiller avec mes cordes, la rendre encore plus belle, plus femme, sensuel ainsi ligotée et lui offrir les sensations uniques, jouissance et plaisir d’être ainsi soumises au maître des cordes et devoir attendre son bon plaisir pour être à nouveau libre et, le regretter aussi-top. Partager ces fantasmes de soumissions, son rêve d’appartenir à un Maître et subir avec délice ces liens, ces défis, ces envies, son imagination jouir ensemble sans geste intime.Cette jeune femme qui viens à moi pour découvrir des  moments intenses d’émotions que seul le Bondage est capable d’offrir, des moments de plaisir uniques, la découverte de soi, de son esprits, subir avec une grande excitation la domination des cordes sur ce corps qui, jusque la préfère les mains et le pénis d’un Homme virile.Je recherche une jeune femme pour lui offrir cette découverte d’elle-même, des candidates ?Revedhomme
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Par : le 15/04/12
L'acrophilie repose sur l'excitation d'une personne par l'altitude (acro="point culminant"). L'excitation sexuelle peut être ressenti par certaines personnes pratiquant le saut à l'elastique ou le parachutisme : ces pratiques font vibrer, finalement, les mêmes "cordes" (c'est le cas de le dire) que celle du bondage : enserrage dans un harnais, suspension, vertige. Certain(e)s soumis(e)s ayant le vertige sont d'ailleurs parfois forcé par leur domina ou leur dom, a monter les yeux bandés sur une echelle. Par contre, l'acrophilie a tendance à s'épuiser au fil des expériences, car l'acoutumence à l'altitude diminue l'excitation.
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Par : le 13/04/12
L'abattage était une punition infligée par les souteneurs aux prostituées qui ne filaient pas droit. Il s'agissait de placer la prostituée dans les hôtels les plus sordides ou autres cabanes de chantiers pour les livrer à un grand nombre d'hommes, en proposant un tarif "symbolique" pour rendre la "séance" abordable au plus grand nombre. L'abattage était également un moyen d'exploiter les prostitués arrivant en fin de carrière et ayant perdu leurs charmes les plus vendeurs. Il existait à Paris des hôtels de passe qui étaient spécialisés dans ce "commerce". Dans les rapport de soumission/Domination, on considère l'abattage comme une preuve que la soumise (ou le soumis) sont dignes de leur Maître ou de leur Maîtresse dans la mesure où ils ou elles acceptent cet acte "intense".
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Par : le 10/04/12
Le bondage qu’est ce que c’est ?(du verbe anglais to bind, lier).... Il s’agit d’une pratique érotique qui consiste à contraindre ses partenaires en leur liant le corps dans sa totalité ou en partie, le plus souvent à l'aide de cordes, ainsi que de scotch spécifique, lanières de cuir ou de plastique, chaînes, foulards, bandes de tissu …  aptent à exercer une immobilisation de la ou des partie(s) concernée(s). L'immobilisation totale n’est pas forcément la finalité de cette pratique. Le bondage ce n’est pas obligatoirement du SM, même si pour certains pratiquants il s’agit bel et bien d’un moyen plus que d’un but. Le bondage pratiqué par les puristes n’engage pas de postures de dominant/dominé mais est l’expression d’un art érotique en tant que tel. Au Japon, la pratique du bondage se nomme Shibari ou Kinbaku  et procède de traditions historiques et artistiques. Etre attaché peut être très agréable, on ne sent plus le poids de son corps, on se laisse aller entre les mains de l’autre et oubliant inhibitions et responsabilités on s’abandonne au plaisir de la contrainte. Pour l’attachant il y’a le plaisir de créer une sculpture humaine, de positionner l’autre pour un usage sexuel sans refus possible etc etc… Une séance peut durer quelques minutes ou plusieurs heures, question d’expérience et de tolérance . N’abusez pas, cela doit rester un jeu surtout si vous n’avez pas ou peu d’expérience. Comme tout bon artisan il est d’usage d’avoir les bons outils pour pratiquer correctement l’art du bondage. Pour un débutant le « bondage tape » peut s’avérer un bon début. Et si l’envie d’aller plus loin vous prend, achetez les bonnes cordes. Celles vendus dans les magasins de sport pour faire de l’escalade ou de l’alpinisme ne sont pas adaptées du tout. Elles peuvent même blesser et brûler si vous vous en servez!!! Pour le bondage il existe aujourd’hui de très bonnes cordes synthétiques assez douces et dans de multiples coloris. Pour le shibari ou bondage avec suspension, utilisez de préférence des cordes en matières naturelles : chanvre ou coton et si vous en trouvez des cordes de soie.  Quelques précautions d'usage incontournables : Le bondage doit être basé sur une forte relation de confiance entre la personne qui attache et la personne attachée. C’est une énorme responsabilité pour l’attachant, on lui fait confiance pour que tout se passe bien, à lui de mettre tout en œuvre pour honorer cette confiance et ne pas mettre la vie de l’attaché en péril. Ne jamais laissé seule une personne attachée et/ou baillonnée; Il ne faut jamais mettre une corde autours du cou de l’attaché, même sous surveillance, un accident arrive très vite et la mort accidentelle par étouffement encore plus ; Il faut toujours garder un ciseau opérationnel spécifique ou un couteau à portée de main ; Attention aux chutes ; Ne suspendez vos partenaires que si vous maitrisez l’art de la suspension ; Suspendre et attaché c’est bien si c’est fait avec de bonnes cordes : naturelles de préférence pour les suspensions ; N'utilisez jamais de nœuds coulants ; L’attaché a mal ? Les membres deviennent violets ? DETACHEZ le ou la, restez vigilant et soyez à l’écoute. Le B A BA : On a détaillé pour vous les 6 étapes de la fabrication de menottes en corde. La corde est en chanvre et d’un diamètre pas trop petit pour ne pas couper la peau. Les liens sont lâches. Regardez bien la photo 1 et les suivantes, les poignets de l’attachée ne se touchent pas laissant ainsi de la marge pour permettre de glisser les cordes entre eux dans les étapes suivantes.   Amusez vous bien !!! Lady Boudoir  
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