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La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM.
Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices.
Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
J'ai un besoin irrésistible de me faire sauter, j'ai besoin d'une belle et grosse bite dans ma chatte de femme du troisième sexe. J'ai rencontré Pat sur des petites annonces. J'aime ses mains. De belles et grosses mains d'ouvrier métallurgiste. J'ai envie d'être caressée et j'aime les belles grosses paluches d'hommes, puissantes, râpeuses, surtout sur mes petits seins. Cela me fait mouiller. Pat m'invite pour une soirée et une nuit chez lui. J'accepte.
J'adore me préparer et rouler en femme, jambes nues. J'adore me caresser les jambes quand je conduis. Merde, un contrôle de gendarmerie à un carrefour. Une jolie gendarmette. je relève ma jupe haut sur mes cuisses pour bien lui montrer mes très jolies jambes de sportive. Je ne la regarde pas mais je devine son sourire amusé sous son masque anti covid. Elle me fait signe de passer.
J'arrive chez Pat, mon homme pour cette soirée. C'est vrai que ses mains sont superbes. Il commence par m'offrir un verre, mais je ne suis pas préliminaires. Déjà je me love dans ses bras et cherche ses lèvres. Sa bouche est douce, nos langues se frottent. Merde au covid 19 et à tous les protocoles de sécurité. J'ai envie de baiser. Il me caresse les fesses, les seins. Je lui caresse l'entrejambe. Et là, merde de merde, un impuissant. Heureusement il caresse et embrasse très bien. Moi qui rêvait d'un démonte pneux dans la chatte, ...pourtant je ne me sens pas frustrée. C'est étrange je suis même bien entre ses bras.
-Tu es une coquine toi, tu aimes embrasser.
-Non, je ne suis pas une coquine, j'aime juste être femme et sentir de belles mains d'hommes sur moi.
Pat fait comme tous les impuissants, il essaie de me faire jouir en me suçant le clito. Il veut me palucher.
-Non, on ne paluche pas le clito d'une femme, on se contente juste de bien lui masser le gland.
Après il décide de me bouffer la chatte. Je me laisse retourner et faire. Sa langue est douce. Je le laisse me doigter. Il ne sait pas bien si prendre pour masser une prostate et trouver le point P. Mais à ma surprise, je ne suis pas frustrée. Je suis bien avec lui. il est doux.
Je ne peux résister à l'envie de lui flanquer une bonne fessée. Il résiste un peu, puis se soumet. Je fais très très mal. Une fois qu'il a les fesses bien rouges, il semble bien. Son sexe est toujours désespérément mou.
Dans le lit, je me love entre ses bras. J'aime ses caresses avec ses belles mains râpeuses d'ouvrier. Je ne me sens toujours pas frustrée. Une sensation étrange. Je suis bien même et je m'endors sur son épaule.
Le lendemain, café et je file vite. Je me fais plaisir de nouveau à rouler en femme, jambes nues et serrées. C'est jouissif ce truc. Plus de jolie gendarmette au carrefour. Arrivée chez moi, je me donne seule un délicieux orgasme et je me délecte de mon sperme. De quoi être bien en forme pour cette nouvelle journée radieuse.
Bisous
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J'ai toujours aimé lire Guerre et Paix de Léon TolstoÏ, J'aime sa conception amusante de l'histoire où les grands hommes ne sont rien d'autres que des étiquettes sur des évènements historiques que personne ne comprend vraiment tant ils sont complexes. Sur ces évènements, l'auteur greffe des personnages fictifs qui vivent leurs vies. Seulement voilà, Tolstoï a ses bons et ses mauvais. C'est trop simple et je n'aime pas. De toute façon la fin de vie de Tolstoï avec son épouse a quelque chose de dramatique. Je veux donc réhabiliter certains personnages imaginaires crées, les décrire autrement. C'est libre. Parlons par exemple de celle que Tolstoï décrit comme une garce, Hélène kouraguine devenue Hélène Bezoukov après son mariage.
Tolstoï veut décrire une femme intéressée uniquement par la fortune de son époux, Pierre Bezoukov. Je ne crois pas à cette version. Je crois que si l'on offre à une femme le choix entre l'amour et l'argent, la femme choisira toujours l'amour et n'en aura rien à faire de l'argent. Un mariage arrangé, voulu par son père, un mariage sans amour, bref un désastre pour les deux. Cela me fait penser à Lady DI et le Prince Charles. Un mariage arrangé sans amour véritable. Il ne sert à rien de jeter la pierre à l'un ou l'autre, cela n'a pas de sens. Non, la femme du Prince Charles c'est depuis toujours Camilla et depuis qu'ils sont ensemble, c'est un fleuve paisible.
Pourquoi vouloir faire d'Hélène une garce alors qu'elle subit un mariage sans amour. Hé bien elle prend des amants, mais cela ne lui convient pas totalement. C'est un canon. Elle fait bander. Elle n'a aucun mal à multiplier les conquêtes mais elle est toujours insatisfaite. Elle a besoin comme toutes les femmes de l'amour total, complet, celui qui donne vraiment la paix et le bonheur, celui qui permet de construire. Ce n'est pas avec ceux qui veulent juste la sauter qu'elle peut trouver cela. Et Tolstoï en fait une garce, ce qu'elle n'est pas. Je n'aime pas Hélène, mais elle ne mérite pas l'opprobre. Le fait qu'elle ne soit pas heureuse, l'oblige presque à cette fuite en avant. De même, je n'aime pas Lady Di, mais elle ne mérite pas ce sort funeste.
Hélène est belle, c'est une des plus jolies femmes de Russie. Avec Pierre Bezoukov elle devient immensément riche. Ceux qui ont arrangé ce mariage ont cru faire bien. Jeune belle et riche mais pas heureuse pour autant. Alors oui, le sexe, les amants. Les beaux jeunes hommes des régiments. Ce n'est pas une garce pour autant.
Voilà c'est dit. N'en déplaise à l'illustre Tolstoï.
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Lorsque Marie Leszczy?ska devient Reine de France le 5 septembre 1725, elle ignore tout des subtilités
de cour et des coteries qui y font rage. Son père, Stanislas, lui a donné pour conseil de se fier entièrement
aux artisans de son mariage, le duc de Bourbon et sa maîtresse la marquise Agnès de Prie. Conseil qui va
se révéler désastreux. Le duc de Bourbon, premier ministre depuis la mort du Régent, et sa maîtresse
Madame de Prie sont au faîte de leur puissance. Louis XV est encore trop jeune et trop influençable pour
gouverner par lui-même. Le couple va s’en charger avec délectation. Marie Leszczy?ska, polonaise sans
fortune ni avenir, fille d’un roi détrôné, n’est pas devenue reine par hasard. Alors que l’on cherche de toute
urgence une épouse au roi capable de lui donner une descendance, son nom est lancé par Madame de Prie.
Elle veut "une fille de roi, mais simple, douce, docile, pieuse à souhait, sans prétentions ni appuis." En effet,
que deviendrait-elle si le jeune souverain épousait une femme de caractère soutenue par une puissante famille ?
Il n’en est pas question. Il lui faut une Reine à sa solde, inexpérimentée, prête à se fier totalement à elle.
Pourquoi ? Tout simplement pour contrebalancer l’influence du cardinal de Fleury, précepteur du Roi, très écouté
et très apprécié par ce dernier. Éblouie par la Cour de Versailles, honorée toutes les nuits par un mari empressé
et métamorphosé par le mariage, qu’elle aime de toute son âme, Marie nage dans le bonheur. Un bonheur qui
ne sera que de courte durée. Moins de quatre mois après son union avec Louis XV, elle va commettre un faux
pas qui va lui coûter cher. Elle fait entièrement confiance à Madame de Prie pour l’aider à s’acclimater et à
s’instruire de ses nouvelles fonctions. Pourquoi en serait-il autrement ? Elle est le principal artisan de cette
union inespérée avec le plus puissant roi d’Europe et son père ne jure que par elle et le duc de Bourbon.
D’autant qu’elle ignore tout de l’aspect sordide des négociations qui l’ont conduite dans le lit du roi et ne sait rien
du passé peu recommandable du duc et de la marquise. La maîtresse du duc de Bourbon jubile. Loin d’apprendre
à sa protégée toutes les subtilités de l’étiquette, et de l’aider à arbitrer les querelles de préséance, elle use de
son ascendant et se joue de la naïveté de la jeune reine pour combler de faveurs ses amis, à l’exclusion des autres.
Marie Leszczy?ska est obsédée par Mme de Prie. Il ne lui est libre ni de parler à qui elle veut, ni d’écrire. Madame
de Prie entre à tout moment dans ses appartements pour voir ce qu’elle fait, et elle n’est maîtresse d’aucune grâce.
À soixante-douze ans, le cardinal de Fleury ne s’est pas fait que des amis. Le duc de Bourbon et sa maîtresse ne
supportent pas son influence sur le Roi, qu’il garde en entretien en tête à tête pendant des heures, et son ingérence
dans les affaires. Les deux compères mettent sur pied une manœuvre pour accéder en particulier au roi et tenter de
lui parler librement. Le but ultime étant évidemment d’évincer définitivement Fleury. D’autant que le temps presse,
leur politique est de moins en moins populaire. Marie Leszczy?ska connaît l’attachement du Roi pour Fleury.
Mais elle n’apprécie pas qu’il s’immisce dans sa vie intime, allant jusqu’à lui "donner son avis sur la fréquence idéale
des rapports conjugaux." Jouet facilement malléable par le duc et sa maîtresse, elle va accepter, après quelques
hésitations, d’intercéder en faveur du duc de Bourbon. Nous sommes le 17 septembre 1725. La journée tire sur sa
fin, et Louis XV qui revient de la chasse dispose d’une heure de temps libre avant de retrouver Fleury en entretien.
Marie envoie son chevalier d’honneur, prier le roi de passer chez elle. Louis XV ne se le fait pas dire deux fois,
et rejoint son épouse dans son cabinet. Quelle n’est pas sa stupeur de la trouver en compagnie du Premier ministre.
Certainement incapable de discerner le masque de colère froide sue le visage de son mari, Marie Leszczy?ska
l’assure qu’il lui sera bénéfique de travailler en particulier avec le duc de Bourbon. Ce dernier se lance alors dans la
lecture d’une lettre hostile à Fleury puis demande au roi ce qu’il en pense. Le roi, muré dans un silence de plomb
depuis le début de ce curieux entretien, renouvelle sa confiance au vieux cardinal, son ami. La défaite du duc de
Bourbon est cinglante. Louis XV regagne ses appartements, laissant Marie en pleurs. Il a vu sa femme être
l’instrument des ennemis de son précepteur. Le piège qu’elle lui a tendu maladroitement, l’a mis dans une colère noire.
À la suite de cet épisode, les jours du duc de Bourbon et sa maîtresse à la cour sont comptés. Ils ne vont y survivre
que quelques mois. Marie Leszczy?ska, qui persiste, intercède en faveur de ceux à qui elle se croit intimement liée.
En réalité Louis XV, poussé par Fleury et faisant preuve de dissimulation, s’apprête à leur signifier leur congé. Le duc
de Bourbon est disgracié. Madame de Prie doit regagner ses terres où elle mourra quelques mois plus tard.
Non seulement elle n’a pas mesuré combien le roi était viscéralement attaché à Fleury, qui va d’ailleurs diriger les
affaires de la France jusqu’à sa mort, mais encore se rend-elle compte que l’amour qu’elle porte à Louis n’est pas
payé de retour. Du moins pas de la même façon. En outre, en brusquant ce grand timide qui déteste les drames
et les conflits, distant avec autrui, Marie a commis une faute très grave. Elle dit adieu à ses chances de devenir sa
confidente, et de voir s’instaurer entre eux une réelle complicité. À partir de ce moment-là et ce pour toute sa vie,
Marie aura constamment peur de déplaire au roi, qu’elle aime plus qu’il ne l’aime. Après ces mois éprouvants,
elle a compris qu’il la domine et elle se montre plus docile et plus soumise que jamais. Désormais, leurs relations
seront dénuées de spontanéité et, irrémédiablement, Louis XV se détachera de sa femme trop douce et trop éprise.
Seconde fille de Stanislas Ier Leszczynski et de Catherina Opalinska, Marie Catherine Sophie Félicité naît le 23 juin
1703 en Pologne. Marie Leszczy?ska n’a que six ans lorsque Stanislas Ier perd la couronne de Pologne, au profit
d’Auguste III. En 1717, Anne Leszczy?ska, sœur aînée de Marie, meurt à l’âge de dix-huit ans, laissant une sœur
et une mère inconsolables. La princesse de Pologne se réfugie à Strasbourg en 1720 avec ses parents, grâce
au soutien du Régent, Philippe d’Orléans. Marie est une princesse instruite. Elle connaît le latin, parle plusieurs
langues, dont le français et a reçu l’enseignement des lettres, de la musique, du chant, de la danse et de l’histoire.
Concernant son premier rôle de génitrice, Marie Leszczy?ska le remplit à merveille. En dix ans, elle met au monde
dix enfants. Malheureusement, huit d’entre eux sont des filles, quand le royaume a besoin d’héritiers mâles.
Si les premières années de mariage ont été calmes et heureuses, Louis XV finit par s’ennuyer que son épouse soit
toujours indisposée par ses nombreuses grossesses. Dés 1733, il prend une maîtresse, Louise-Julie de Mailly, mais
la reine ne l’apprendra qu’en 1738. En 1733, Marie a le chagrin de perdre sa fille Louise-Marie et son second fils,
le duc d’Anjou, victimes de maladies infantiles. La France se désole que la reine ne donne plus naissance qu’à des
filles. On dira que “son ventre penche fâcheusement de ce côté-là”, la rendant ainsi responsable de ne pas renforcer
la dynastie par la naissance de garçons. Fatiguée d’être constamment enceinte, Marie Leszczy?ska dira un jour:
"toujours coucher, toujours grosse, toujours accoucher." En cette même année 1733, Louis XV intervient dans la
guerre pour la succession de Pologne, espérant remettre enfin le père de Marie Leszczynska sur le trône vacant.
Marie étant sa seule héritière, la Lorraine reviendra à la France au décès de Stanislas. Les frontières seront ainsi
élargies pacifiquement avec l’annexion d’une région importante d’un point de vue stratégique. En 1735 et 1738, la
reine a fait une fausse-couche, d’un garçon à chaque fois. La seconde perte met un terme à ses grossesses. Les
médecins conseillent à la souveraine de ne plus porter d’enfant, insistant sur le fait qu’il y a désormais un risque
de mort pour elle. Dés ce moment, Louis XV dévoile ses liaisons amoureuses et délaisse son épouse. Celle-ci se
réfugie dans la prière et obtient du roi de pouvoir tenir un petit cercle d’amis. Le couple royal vit sa vie chacun de
son côté. Louis et Marie n’apparaissent plus ensemble que pour les cérémonies officielles. Marie Leszczy?ska
bénéficie alors d’une liberté incroyable pour une reine de France, sans pour autant déroger à ses obligations.
Cette même année 1738, les quatre dernières filles de Marie Leszczy?ska partent pour l’abbaye de Fontevraud,
pour y recevoir une éducation religieuse. Seule Félicité, de santé fragile, ne reverra pas ses parents, victime de
maladie. En 1739, la fille aînée de Marie Leszczy?ska, Elisabeth, dite Madame Infante, épouse l’infant d’Espagne
Philippe de Bourbon. Les autres filles ne se marieront pas. À la cour, les maîtresses du roi se succèdent et Marie
Leszczy?ska prie pour le salut de son époux. Cependant, si le souverain impose ses favorites à la reine, il fait en
sorte de ne pas l’humilier davantage car, à l’inverse de son aïeul Louis XIV, il n’impose pas ses nombreux enfants
illégitimes à la cour, et n’en reconnaîtra qu’un. En 1744, on croit Louis XV perdu lorsqu’il tombe malade à Metz.
Il renvoie sa favorite et promet que, s’il guérit, il demeurera fidèle à la reine. Louis XV se rétablit et reprend des
maîtresses. Marie est résignée. Elle continue ses actions pieuses, se montre charitable envers les pauvres et se
consacre à ses enfants. Elle aime le jeu, ce qui permet à la reine généreuse de pouvoir donner des aumônes.
En 1752, un deuil affecte Marie Leszczy?ska et Louis XV. Leur fille Henriette meurt de la tuberculose. Elle était la
préférée du roi. Le peuple y voit un châtiment de Dieu, pour punir le roi de sa nouvelle liaison avec la marquise de
Pompadour. Marie n’aime guère cette favorite, qui restera vingt ans auprès du roi et jouera le rôle du Premier ministre,
le cardinal de Fleury étant décédé en 1743. La marquise est à la fois la maîtresse, la confidente, la politicienne. Les
enfants du roi, scandalisés par le comportement de leur père, la surnomment "Maman putain." Encore une fois,
la reine trouve refuge dans la prière. À partir de 1759, une série de deuils frappe le couple royal. Madame Infante,
en visite à Versailles, meurt de la variole. Elle est suivie, en 1761, par le fils aîné du dauphin, qui décède de la
tuberculose osseuse. En 1763, c’est au tour d’Isabelle de Bourbon de disparaître prématurément. Le 20 décembre
1765, le dauphin Louis-Ferdinand meurt, miné par la tuberculose. Son épouse Marie-Josèphe se laisse dépérir,
atteinte elle-aussi du même mal, et le rejoint dans la tombe en mars 1767. En 1764, la marquise de Pompadour
était morte d’un cancer, libérant Marie Leszczynska de sa présence à la cour et de son influence sur le roi.
Pourtant, Louis XV et Marie Leszczy?ska vivent séparés depuis trop longtemps pour se rapprocher maintenant.
Résignée, et fatiguée par les deuils, la reine s’éteint le 24 juin 1768 à Versailles, à l’âge de soixante-cinq ans. Aimée
par le peuple, Marie Leszczy?ska est vite oubliée par Louis XV qui reprend une nouvelle favorite, Jeanne Bécu, future
Madame du Barry. Marie laisse l’image d’une reine généreuse mais qui fut discrète, mélancolique et malheureuse car
trop vite délaissée par son époux qu’elle n’a pas réussi à s’attacher. Dernière reine de France à mourir avec sa couronne,
son corps est inhumé à la basilique Saint-Denis, tandis que son cœur repose auprès de ses parents à Nancy.
Bibliographie et références:
- Michel Antoine, "Louis XV"
- Simone Bertière, "La Reine et la Favorite, Marie Leszczynska"
- Jacques Levron, "Marie Leszczynska"
- Anne Muratori-Philip, "Marie Leszczy?ska"
- Benoît Dratwicki, "Les Concerts de la reine"
- Cécile Berly, "Les femmes de Louis XV"
- Maurice Garçot, "Stanislas Leszczynsk"
- Thierry Deslot, "Impératrices et Reines de France"
- Letierce, "Étude sur le Sacré-Cœur"
- Pierre Gaxotte, "Le Siècle de Louis XV"
- Yves Combeau, "Louis XV, l'inconnu bien-aimé"
- Pascale Mormiche, "Louis XV"
- Bernard Hours, "Louis XV et sa cour"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Si Mazarin et Anne d’Autriche ont laissé le jeune roi se divertir avec Marie Mancini, c’est qu’il était important,
après la grave maladie de l’été 1658, de rassurer les sujets sur le complet rétablissement du souverain. Atteint
d’une fièvre typhoïde qui faillit l’emporter après la prise de Dunkerque, Louis XIV a appris que le pouvoir royal
est tributaire de l’état de santé du prince. De multiples cabales ont en effet secoué le royaume et le quotidien
d’une cour toute disposée à porter le roi au tombeau. Après la guérison, Mazarin a songé au mariage du
convalescent. L’aventure avec l’une de ses nièces n’aurait servi qu’à distraire le jeune monarque en rassurant
les cours européennes sur sa capacité à se marier et à faire des enfants. Marie Mancini n’aurait donc servi
qu’à exercer le roi aux plaisirs de l’amour en espérant que, le moment venu, la raison reprendrait ses droits et
que le monarque se détournerait d’elle. Mais les choses se sont déroulées différemment. Après une séparation
en public, le jeune roi inaugure une correspondance avec Marie et la revoit plus tard, à Saint-Jean-d’Angély,
le treize août 1659, alors que les négociations avec l’Espagne ont débuté la veille sur l’île des Faisans.
Pourtant, tout au long de l’été, Anne d’Autriche et Mazarin n’ont eu de cesse de convaincre Louis de ne pas
revenir en arrière et de songer à l’avenir en la personne de Marie-Thérèse. Nombreux sont les contemporains
à avoir reconnu l’amour impossible du roi dans la Bérénice de Racine. Un vers resté célèbre: "Vous êtes empereur,
Seigneur, et vous pleurez." aurait été repris de l’échange survenu entre les deux amants au moment de leur
séparation publique. Plusieurs témoignages accréditent l’hypothèse selon laquelle le roi aurait effectivement
versé des larmes au moment fatidique. Mme de Motteville indique que ces pleurs ont débuté dès la veille au
soir, dans la chambre d’Anne d’Autriche, et qu’ils ont recommencé le lendemain en présence de la jeune femme.
Celle qui est considérée comme étant la première passion amoureuse de Louis XIV naît à Rome le vingt-huit
août 1639 et reçoit le prénom de Marie. Elle est la fille de Lorenzo Mancini et Girolama Mazarini, sœur de Mazarin.
Son père, Lorenzo Mancini, lui prédit dés sa naissance un avenir malheureux. Sa mère, Girolama Mazarini, sœur
de Mazarin, a déjà trois enfants dont deux filles lorsque Marie vient au monde et remarque bien vite que de toutes
ses filles, elle est celle qui a le moins de charme, a le visage le plus ingrat. Après Marie, Mme Mancini aura
encore plusieurs enfants qui porteront la famille à huit héritiers. Dés 1647, le cardinal de Mazarin fait venir sa
famille à la cour de France. Il espère ainsi marier ses nièces et ses neveux à de bons partis. La jeune fille
rejoint la France en 1655, après la mort de son père, survenue en 1650. Olympe, est déjà courtisée par Louis XIV.
Malgré la Fronde qui éclate en 1647, Laure parvient à épouser la même année, le duc de Mercœur, petit-fils
d’Henri IV et de sa maîtresse, Gabrielle d’Estrées. Après la Fronde en 1655, Madame Mancini emmène le reste de
ses enfants à Paris. Son époux, Lorenzo Mancini est mort en 1650. Alors que toute la famille est présentée à
la cour, Marie est mise dans un couvent à cause de son caractère inconvenant et ses mauvaises manières. En
décembre 1656, sa mère finalement s’éteint, emportée par une maladie. Girolama meurt en recommandant sa
fille, Marie Mancini, à son frère, le cardinal de Mazarin, pour qu’il la mette au couvent pour y finir ses jours. Malgré
les recommandations de Girolama, Marie est enfin libre et peut aller où elle veut. C’est à cette occasion qu’elle
apparaît à la cour pour la première fois. Elle trouve que sa sœur aînée, Olympe est déjà courtisée par Louis XIV
depuis quelques temps. Il ne faut pas attendre longtemps, pour que Marie tombe sous le charme du jeune Louis.
En 1657, sa sœur est finalement mariée au comte de Soissons. En 1658, une occasion vient montrer la grande
passion qu’elle a pour le roi. Celui-ci, parti guerroyer à Calais, est prit de fortes fièvres à Compiègne et il semble
que ses jours soient comptés. Marie, amoureuse depuis longtemps mais en secret de Louis, éprouve un profond
chagrin. Quand Louis XIV se remet de sa maladie, il apprend la tristesse que la jeune femme avait eue lors de
sa maladie, et conçoit peu après une violente passion pour elle. Cette nouvelle liaison ne fait qu’attiser la jalousie
d’Olympe qui manifeste immédiatement une haine incommensurable à sa sœur. Elle souhaite à tout prix sa perte.
Elle ne comprend pas comment cette fille, qui sans être d’une grande beauté, a réussi à conquérir le cœur du roi.
Car il faut le dire, Olympe est plus belle que Marie Mancini. Et selon les dires de l’époque, Marie n’est pas très
belle, elle n’a pas la blondeur et les rondeurs de l’époque. Pour le séduire encore plus, Marie lui fait découvrir
les connaissances qu’elle a. En fait, Louis aime la littérature, la mythologie et Marie Mancini veut briller devant
en lui montrant qu’elle connaît ces choses. Elle lui fait aussi partager sa passion pour la poésie. La liaison entre
Louis et Marie éclate pendant le séjour de l'ensemble de la cour réunie à Fontainebleau, durant l’automne 1658.
En fait, Louis fait donner plusieurs fêtes somptueuses, des feux d’artifice, en l’honneur de sa bien-aimée, Marie.
La Cour comprit que c’est Marie, la nouvelle élue dans le cœur du roi et espérant en tirer des profits, tous les
courtisans se mettent aussi à courtiser Marie. Cela ne fait qu’aviver la jalousie de ses sœurs et surtout Olympe
qui avait espéré d’être toujours auprès du roi. La liaison entre Louis et Marie fût des plus platoniques. Dans les
premiers temps, Mazarin est content de voir sa nièce être aimée du roi car cela éloigne de lui des femmes
intrigantes et ambitieuses. Néanmoins, Louis commence à aimer beaucoup Marie et prévoit de l'épouser. Cette
fois, c’en est trop pour Anne d’Autriche. Elle menace Louis de faire révolter tout le pays et de le faire marcher
contre lui et à leur tête, son propre frère, le duc d’Orléans. Au début, la reine-mère pense que Mazarin approuve
cette union car Marie est sa nièce. Or elle se trompe, Mazarin avait prévu depuis longtemps l’union entre Louis
et la petite infante d’Espagne et de plus, sa nièce le haïssait. Donc Mazarin avait tout à craindre si un jour,
sa nièce parvenait à épouser Louis XIV, celle-ci aurait poussé son époux à le disgracier. Entre amour et haine.
Mazarin et Anne doivent feindre d’unir Louis XIV à Marguerite de Savoie pour éveiller de la jalousie chez le roi
d’Espagne, Philippe IV. Louis, se sentant maître de lui-même, refuse de se séparer de Marie. Il l’aime à la folie
et ces projets de mariage entre la Savoie ou l’Espagne ne lui font pas changer d’avis. Mais la reine-mère fait
entendre à son fils les méfaits qu’il y aurait s’il s’obstine à rester avec Marie. Louis XIV n’a plus de choix et pour
des raisons politiques ainsi que pour le bien de la France, il doit hélas quitter Marie. Craignant en effet l’autorité
de sa mère, Anne d’Autriche, Louis XIV est obligé de se séparer de Marie. Avant de quitter la cour, voyant le roi
pleurer, Marie ne peut s’empêcher de dire: "Vous pleurez Sire, vous êtes le maître et moi je pars." Marie Mancini
rejoint Brouage avec ses jeunes sœurs Hortense et Marie-Anne. En 1659, alors que Louis XIV part pour l’Espagne,
on lui accorde d’aller rendre visite à Marie à Cognac. C'est la dernière fois que Marie et Louis se voient seuls.
Bien que ne connaissant pas la future épouse de son fils, Anne d’Autriche en témoigne de l’affection, puisqu’elle
est sa nièce. Elle est la fille de Philippe IV, qui est son jeune frère. Elle éloigne Marie de Louis XIV, cette fois pour
de bon. Après avoir eu une liaison amoureuse avec Charles de Lorraine, Marie épouse en 1661 Lorenzo Colonna,
Connétable de Naples, un homme beau et riche que son oncle Mazarin lui a trouvé avant de mourir. Dès lors,
Marie mène un grand train de vie. Son époux est très amoureux d’elle et lui donne tout ce dont elle a envie.
Mais il ne faut pas attendre longtemps pour que Marie découvre la vraie nature de son époux. En fait, celui-ci la
trompe ouvertement avec d’autres femmes. Même si son époux la trompe, Marie n’en est pas plus fidèle. Elle
s’affiche avec d’autres galants, profite de la vie et sort plus régulièrement, allant dans plusieurs fêtes et bals.
Après huit années de leur mariage, Marie Mancini apprend que son époux a eu plusieurs bâtards que nombre
de ses maîtresses lui ont déjà donné. Exaspérée, elle refuse de partager son lit conjugal avec son époux puis finit
par s’enfuir, laissant derrière elle ses trois fils, tous jeunes. Elle, sa sœur Hortense, et son jeune frère Philippe
commencent à mener une vie dissolue. Enfin, pour éviter le scandale et que tout le monde ne sache pas ce
qui se passe, Lorenzo Colonna poursuit son épouse pour la faire enfermer dans un couvent. Marie craignant pour
sa vie, à tort, s’enfuit dans toute l’Europe, n’étant pas sûre où elle est en sécurité. En 1672, pour échapper à son
époux, Marie doit se réfugier chez sa jeune sœur Hortense. Arrivée avec elle à Aix en vêtements masculins, sa
ferme intention était de revenir à la cour. Et là, elle demande un passeport à son ancien amant. Mme de Montespan,
alors favorite en titre y met le holà en démontrant au roi combien la situation serait délicate s’il l’accueillait en
présence de la reine. Louis XIV se revisa et pria la voyageuse de se retirer dans un couvent ou de regagner l’Italie.
Marie s’installe d’abord à l’abbaye du Lys, près de Fontainebleau. C’était encore près. La marquise de Montespan
exige une retraite dans une plus lointaine province. La "Mazarinette", "outrée de douleur", séjourne quelques mois
à Avenay, non loin de Reims, puis descend à Nevers et là, ne trouvant aucun couvent agréable, demande asile au
duc de Savoie. Après, elle prend la route vers l’Espagne où elle mène une vie nomade à Madrid, où ne pouvant pas
mener un train de vie digne de son rang à cause de l’absence de ressources, elle erre d’habitation en habitation,
allant même dans un couvent. En hiver 1691-1692, Marie fait un séjour à Rome où elle se trouve mal à l’aise et
décide de retourner à Madrid. La France et l’Espagne sont encore en guerre et Marie a besoin d’un nouveau
passeport. Elle l’obtient en échange de ne pas quitter son parcours. L'errance se poursuit encore de ville en ville.
En 1700, la succession au trône espagnol est un bouleversement car c’est le petit-fils de son ancien royal amant,
Philippe V, qui devient roi d’Espagne. Ayant porté son choix sur le rival de Philippe V, Marie est obligée de s’exiler.
Alors qu’elle a plus de cinquante ans, elle obtient l’autorisation de retourner à Paris où le roi lui fait adresser "milles
honnêtetés." Mais son amour d’autrefois ne veut plus la revoir. Après 1700, Marie Mancini finira par retourner en
Italie d’abord à Rome puis à Pise où elle décède le 8 mai 1715 à l'âge de soixante-quinze ans, quelques mois avant
Louis XIV qui refusa toujours de la revoir. Après sa mort, elle est inhumée dans le couvent du Saint-Sépulcre. Son fils
favori, le Cardinal Charles, fera graver sur sa tombe, située à l'entrée de l'église, l'inscription “Cendres et poussière”.
Bibliographie et références:
- Claude Dulong, "Marie Mancini, la première passion de Louis XIV"
- Anne-Marie-Louise d'Orléans-Montpensier, "Mémoires"
- Luce Herpin, "Le Roman du grand roi; Louis XIV et Marie Mancini"
- Henry Bordeaux, "Marie Mancini"
- Michel Bernard, "Brouage, Lausanne"
- Gerty Colin, "Un si grand amour, Louis XIV et Marie Mancini"
- Claudine Delon, "Marie Mancini"
- Françoise Mallet-Joris, "Marie Mancini"
- Simone Bertière, "Les Femmes du Roi Soleil"
- Pierre Combescot, "Les Petites Mazarines"
- Frédérique Jourdaa, "Le Soleil et la Cendre"
- Emile Ducharlet, "La ballade de Marie Mancini"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Donc nous évoquions le passage d’une langue longue et profonde dans les plis, l’entrée, et le petit bouton et insérée dans l’antre, les jambes ouvertes et tombantes, une main fouillant ton antre chaude et glissante, et une de tes mains s’étant saisie de cette tige de chair tremblante de désir….Avalée par cette bouche chaude et accueillante….Qui sait, profonde et aussi une langue agile s’enroulant sur le vit gonflé et chaud, pour le plaisir de chacun
Je te retourne, cette chatte toujours léchée, parcourue et ouverte de doigts inquisiteurs, profonds parfois, éprouvant l’ouverture
Je retourne encore….
Mais cette fois échangeant la superposition des corps, pour mieux t’avoir à appuyer la chatte contre mon visage…t’ouvrir un peu plus sur tes genoux
Alors tu plonges vers cette queue dressée vers le ciel, pour l’engloutir goulument, plus profondément, les mains s’activant…A glisser sur ce manche de chair et ses attributs…alors que les miennes écartent peu à peu ce fessier pour mieux y voir le fruit
Fouillé de mes doigts pour l’ouvrir aussi encore plus et in fine en arriver à le fouiller pleinement
Ta bouche vibrante sur moi me procure des effets et en fait durcir ma tige….
Ta chatte maintenant bien ouverte et luisante, le rythme de ta respiration ne laisse plus aucun doute, et demande à être prise comme il se doit
Présenté entre tes jambes ouvertes et guidé par tes mains écartant le passage pour mieux être prise, je m’y enfonce lentement de toute ma longueur, en prenant en considération la configuration de ton corps, cela ne sera que douceur et peu nombreuse comme pour mieux les apprécier
Mais chacune des sorties de ce vit…serait également accompagné de l’usage de tes mains, les miennes occupées à tes seins, et tétons…les palper pour les uns, les pincer pour les autres
Les tiennes à parcourir plus ou moins rapidement la tige de chair sortie de ton ventre….et inviter à y prendre possession de nouveau…une prochaine sortie trouverait ta bouche pour accueillir cette queue raide et puissante, bien aussi dans cette bouche, parcourue dans sa longueur et en profondeur….tu recules bavant face à cette queue, pour reprendre ton souffle, tes mains enserrent mes hanches comme pour ne pas me laisser la possibilité de fuir…pour mieux me prendre en bouche, goulument, profondément…
Tu recules de nouveau, essoufflée d’avoir forcer ta gorge, en apnée…les mains toujours accrochées aux hanches tu rapproches ton corps du mien et d’un habile mouvement ma queue encore luisante de ta bouche, se trouve enserrée entre tes seins dont les pointes durcies frôlant mon corps pendant que tu t’actives à jouer et à frotter ma queue entre tes deux globes
Mais les envies reprennent un tout autre chemin, cette fois c’est moi qui recule. Je te pousse et tu tombes sur le dos, les jambes pendantes et ouvertes de chaque côté de moi..Je retrouve ton entrée dans laquelle je m’enfonce sans ménagement et sans résistance…une chatte mouillée et ouverte à souhait
N’y tenant plus, je prends une de tes jambes, la passe par-dessus moi, et tu finis sur le ventre…les jambes bien écartées et la croupe relevée…tu laisses entrevoir ta chatte luisante dans laquelle je m’engouffre, dans un feulement que tu pousses à chaque introduction
Mes mains parcourent ce fessier, l’écartant un peu plus….Le dos, les flancs, les seins si ronds et durs, puis les cheveux. Une poignée pour mieux avoir une emprise, et se retirer de nouveau après quelques mouvements lents…pour mieux t’ouvrir encore, les doigts glissent et s’insèrent dans ce fourreau
De nouveau, je te retourne, et te tiens bien ouverte, peut-être pour mieux rentrer dans ce corps accueillant. Mes doigts continuent leur voyage, intérieur et extérieur, ma queue également intérieur surtout….Mais se promène aussi sur cette chatte et ce ventre, pour s’y insérer de nouveau, en sortir, pour mieux l’investir de nouveau
Mais déjà, je sens cet état étrange et précurseur d’une fin proche, ce moment de petite mort interne, qui fait suite à une décharge courte mais intense, ce désir de t’inonder de mon plaisir, ce geyser chaud et brûlant qui laisse échapper par jet court et puissant, le résultat de ce désir, sur ta chatte déverser tout mon désir
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Distance.
Des culs ternaires rythment les vagues
de la foule incertaine et moutonnante de la gare,
j’aurais longtemps avant que ne s’efface ta peau
ton sourire léger, tes petits cris dans l’étreinte.
Mes mains gardent la forme de tes courbes
mes lèvres l’empreinte des tiennes,
j’oublierais tes mots de coupures, ta lame je la ferais mienne.
Étriper les remords, vider les entrailles des regrets
faire couler le sang noir, et la planter dans la terre.
Mon jardin accueillera ce tombeau
près de mes chats morts au combat
comme chez ma mère, à l’ombre du cerisier.
Je renaîtrais dans l’herbe fraîche
en buvant la rosée.
Dans mes mains ton sein, tes lèvres, je serre les poings,
quand je les ouvrirais, tu auras disparu.
Que ta vie s’écoule apaisée, bien plus douce qu’aujourd’hui,
que jamais tu ne te demandes : « l’ai-je simplement aimé ? ».
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Madian n'aime ni les hommes, ni les femmes, ni les chèvres et les chameaux, ni tout ce qui se déplace en marchant courant ou rampant sur la terre âpre. Aussi il s'est retiré au pied d'un grand arbre perdu tout en haut d'une montagne. Il n'accepte que la compagnie des oiseaux des vastes cieux. Il ne fait rien, vit de rien, juste il respire sous son arbre, boit l'eau pure d'une petite source et mâche des herbes amères. Il ne fait rien mais son esprit est en feu.
Il passe son temps à maudire les hommes, les peuples poussiéreux d'en bas, ces fous qui ne savent pas où ils vont. Ils les compare à des mouches sans ailes.
Les humains le lui rendent bien. Les chasseurs passent loin de son arbre, l'arbre du fou disent ils. Ils font bien car Madian excelle à jeter des pierres.
Seulement voilà, la sublime lila est une Madian au féminin, elle est son double ou sa complétude. Elle aussi déteste tout chez les humains. C'est ainsi qu'elle a cherché un lieux paisible loin de tout et que son regard à croisé celui de Madian. Ce dernier a voulu la chasser.
-Arrière sinistre femelle à mamelles qui n'apporte que le trouble.
Lila n'a pas répondu, elle a souri et trouvé Madian très beau. elle s'est installée plus bas dans une petite anfractuosité sous de gros rochers.
Tous les jours elle se rapproche et regarde Madian méditer sous son arbre. cela suffit à son bonheur. Surtout elle aime lorsque Madian l'aperçoit et s'énerve. Elle aime le voir entrer en rage. Ses colères sont pires que l'orage et le puissant tonnerre.
Lila est si belle. Elle aime se laver nue dans le torrent joyeux. Un jour Madian l'a surprise. Elle se faisait sécher au soleil sur les herbes vertes. Il est troublé. il ne peut exprimer sa colère. lila s'approche et se met à genoux. Elle a tressé un fouet avec des lianes. Elle le tend à Madian et dit:
-frappe moi si tu veux, tant que tu veux, mais ne m'ignore plus. Je t'aime, toi mon beau ténébreux. Je t'ai aimé dès que je t'ai vu.
Madian dédaigne le fouet. Il redresse Lila et la regarde dans les yeux.
-il est dit que la femme est plus rusée que le serpent, voilà que tu veux m'enchainer avec ton amour. C'est quoi l'amour? Encore des malheurs et des turpitudes ?
-Aime moi, laisse toi aller. Je sens l'émoi dans ton coeur. Je vois le trouble dans ton corps.
-Es tu une couleuvre ou une vipère. J'ai fui le monde et toi tu veux me rendre esclave du plaisir que je pourrais prendre entre tes cuisses. Pourquoi ne retournes tu pas dans la grande ville. Un prince te trouvera belle et voudra faire de toi sa femme.
-Mais c'est toi que j'aime, pas un Prince ou un riche marchand. Je n'ai que cela à t'offrir.
-Mais pourquoi veux tu m'offrir ton amour. Je ne demandes rien.
Lila est retournée au bord de la rivière et s'est allongée sur son fin matelas d'herbes douces. Elle a pris soin de bien cambrer sa croupe sublime. Une invitation au viol. Madian ne peux pas résister. Le besoin de s'accoupler est trop fort....Rires
La morale de cette histoire, c'est que même loin de tout, la nature trouve toujours un moyen pour qu'un homme et une femme puissent s'accoupler et procréer.
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Je n’ai pas, loin s’en faut, le talent de Méridienne d’un soir.
Ni sa culture, ni son érudition.
Mais j’aime la littérature.
C’est aussi quelque chose que je partage avec mon mec.
Parce que si le sexe est fondamental, la vie ne se résume pas à cela.
Et qu'entre deux plans cul, nous aimons aussi parler ensemble ce que nous aimons, des livres qui nous plaisent.
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Je crois aussi que le plaisir passe par la connaissance, la compréhension intime de l'autre.
Je sais que c'est une gageure, quelque chose que l'on n'atteindra jamais.
Mais je pense qu'un des moyens pour au moins approcher la part de vérité de l'autre, c'est de s'intéresser à ce qu’il aime.
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Malraux est l'un des auteurs qui figurent au panthéon littéraire de Maxime.
Pour ma part, si j'ai toujours été fascinée par l'homme, son parcours, si j'aime ses écrits sur l'art, ses essais, l'homme précaire, les voix du silence, les antimémoires, les chênes qu'on abat, j'avais moins accroché avec ses romans.
Alors, durant les vacances, je m'y suis (re)mise.
En commençant par son œuvre emblématique, le Goncourt 1933, la condition humaine.
Quelques semaines avant le covid, au hasard de nos flâneries du week-end, je l'avais trouvé en édition originale, numérotée alfa 1475.
Le bouquin trône désormais en bonne place dans la bibliothèque de Maxime, avec les mots que j'y ai laissés.
Mais c'est dans une édition de poche, maintes fois relue, cornée, annotée, surlignée de sa plume que je me suis replongée.
Et j'ai autant aimé l'œuvre que les gribouillis de Maxime.
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La condition humaine est le dernier des romans de la période asiatique de Malraux, entre les conquérants et la voie royale et avant le temps du mépris et l'espoir.
C'est son second roman qui traite des mouvements révolutionnaires en Chine.
Malraux a longtemps été vu sinon comme un communiste, du moins comme un compagnon de route.
Mais en réalité il n'a jamais été ni l'un ni l'autre.
Ce qui attirait Malraux dans la révolution et le communisme, c'était la geste héroïque, le romantisme révolutionnaire, la lutte pour la liberté des hommes et de l'homme.
Rien de moins conforme à la doxa communiste que ses mots tirés de la préface du temps du mépris :
"L'individu s'oppose à la collectivité mais il s'en nourrit.
Comme le génie, l'individu vaut par ce qu'il renferme.
Il est difficile d'être un homme, mais pas plus en approfondissant sa communion qu'en cultivant sa différence".
Le marxisme, l'homme en tant qu'élément de classe, rien n'est plus étranger à la pensée de Malraux.
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La condition humaine c'est d'abord un moment de l'histoire.
Une unité de temps et de lieu.
Les 3 semaines, de fin mars à mi-avril de la conquête de Shanghai par Tchang Kaï-chek et l’armée du Kuomintang, appuyée par le soulèvement du peuple, sous l'égide des cellule communistes, puis le massacre du peuple et des dirigeants communistes par les soldats du même Kuomintang. Après que sur ordre de Moscou, ils aient rendu les armes aux soudards de Tchang Kaï-chek.
Mais ce sont surtout des personnages.
Tchen, le communiste, fasciné par le terrorisme, qui mourra dans un attentat raté.
Ferral, la caricature de l’occidental colonialiste, qui ne prend plaisir que par la domination. Y compris celle, malsaine, de sa femme.
Gisors, le sage, l'intellectuel engagé, communiste, en quête de transcendance au travers de l'opium.
Kyo, le fils de Gisors, l'idéaliste engagé dans l'action, celui qui l'inspire et la dirige, pour qui le sens de la vie était de redonner à l'homme sa dignité.
May, la compagne de Kyo, allemande, médecin, intellectuelle, militante communiste, libre, forte, indépendante.
Katow, l'ancien militant de la révolution de 1917, qui a rejoint la Chine par idéalisme politique, pour participer à la révolution. Et qui avant de mourir, prouvera sa bravoure et sa générosité en offrant sa dose de cyanure à deux prisonniers qui avaient trop peur de la torture.
Le baron Clappique, l'homme de l'illusion, l'anti héros, le bouffon, le mythomane.
Enfin Hemmelrich, le communiste belge. Le seul prolétaire de la geste malrucienne.
Malgré le contexte historique qui lui sert de trame, la condition humaine n'est pas un roman politique au sens classique du terme.
C'est un roman sur l'homme, dans lequel chacun des personnages incarne sa vérité devant la vie et dans l'action.
Dans ce qu'elles ont à la fois de vil et de sublime, et donc de contradictoire.
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C'est aussi, du moins c'est comme ça que je l'ai lu, un roman sur la passion entre deux êtres, Kyo et May.
Passion amoureuse, mais au delà du raisonnable, et surtout dans la liberté de chacun.
Parce que l'un et l'autre ne croient en l'amour que dans la liberté, ils étaient convenus d'accepter chacun la liberté de l'autre.
Mais lorsque May lui avouera s'être abandonnée dans les bras de Lenglen, un ancien camarade, Kyo réalisera qu'entre la volonté de laisser l'autre libre et savoir qu'il a usé de cette liberté, il y a un fossé. Surtout pour un homme.
Mais il saura surmonter sa jalousie, parce que pour lui, pour elle, aimer quelqu'un, c'est s'ouvrir à l'autre et non pas le posséder.
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Et cela donne ces mots
"Il faut que je te dise quelque chose qui va peut-être t'embêter.
Appuyé sur le coude, il l'interrogea du regard.
- J'ai fini par coucher avec Lenglen cet après-midi.
Il haussa l'épaule, comme pour dire : ça te regarde. Mais son geste, l'expression tendue de son visage s'accordaient mal à cette indifférence.
...
Elle s'assit sur le lit, lui prit la main. Il faillit la retirer, mais la laissa.
Elle sentit pourtant son mouvement.
- Ca te fait de la peine ?
- Je t'ai dit que tu étais libre... N'en demande pas trop, ajouta-il avec amertume.
Il retira sa main.
Tu es libre, répéta-t-il. Peu importe le reste.
- Enfin, je devais te le dire. Même pour moi.
- Oui.
Qu'elle dût le lui dire ne faisait question ni pour l'un ni pour l'autre.
Il voulut soudain se lever.
...
Mais pourquoi faire ? Tout était tellement vain... Il continuait pourtant de la regarder, à découvrir qu'elle pouvait le faire souffrir.
L'aimerais je moins que je ne crois ? pensa-t-il. Non, même en ce moment, il était sûr que si elle mourait il ne servirait plus sa cause avec espoir mais avec désespoir, comme un mort lui-même.
...
Kyo souffrait de la douleur la plus humiliante : celle qu'on se méprise d'éprouver. Réellement, elle était libre de coucher avec qui elle voulait. D'où venait donc cette souffrance sur laquelle il ne se reconnaissait aucun droit, et qui se reconnaissait tant de droits sur lui ?
...
- Kyo, je vais te dire quelque chose de singulier, et qui est vrai pourtant ... jusqu'il y a cinq minutes, je croyais que ce te serait égal. Il y a des appels qui n'ont rien à voir avec l'amour.
Pourtant la jalousie existait, d'autant plus troublante que le désir sexuel qu'elle lui inspirait reposait sur la tendresse.
Sa blessure venait d'abord de ce qu'il prêtait à l'homme qui venait de coucher avec May, du mépris pour elle. Il connaissait la mysoginie fondamentale de presque tous les hommes. Pour May, la sexualité n'engageait rien. Il fallait que ce type le sût. Qu'il couchât ave elle, soit, mais qu'il ne s'imaginât pas la posséder.
...
La révélation de ce qu'il voulait tomba enfin sur lui : coucher avec elle, se réfugier là contre ce vertige, dans lequel il la perdait tout entière ..." (la condition humaine, première partie)
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Kyo, capturé, se suicidera, non par peur de la torture mais pour ne pas parler.
May, ravagée par la mort de Kyo, s'embarquera pour Moscou.
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Le roman se termine par un ultime dialogue de May avec Gisors, le père de Kyo.
"Elle ne répondit pas, ce désir toujours passionné lui semblait maintenant une trahison.
Mais elle contemplait avec épouvante ce visage serein. Il lui revenait en vérité du fond de la mort, étranger comme l'un des cadavres des fosses communes.
Dans la répression abattue sur la Chine épuisée dans l'angoisse ou l'espoir de la foule, l'action de Kyo demeurait incrustée comme les inscriptions des empires primitifs dans les gorges des fleuves.
Il reprit :
-La seule chose que j'aimais m'a été arrachée, n'est-ce pas, et vous voulez que je reste le même. Croyez-vous que mon amour n'ait pas valu le vôtre, à vous dont la vie n'a même pas changé ?
-Comme ne change pas le corps d'un vivant qui devient un mort.
Il lui prit la main :
-Vous connaissez la phrase Il faut neuf mois pour faire un homme, et un seul jour pour le tuer". Nous l'avons su autant qu'on peut le savoir l'un et l'autre. May, écoutez il ne faut pas neuf mois, il faut soixante ans pour faire un homme, soixante ans de sacrifices, de volonté, de tant de choses Et quand cet homme est fait, quand il n'y a plus en lui rien de l'enfance, ni de l'adolescence, quand vraiment il est un homme, il n'est plus bon qu'à mourir.
Elle le regardait atterrée, lui regardait de nouveau dans les nuages :
-J'ai aimé Kyo comme peu d'hommes aiment leurs enfants, vous savez...
Il tenait toujours sa main, il l'amena à lui, la prit entre les siennes :
-Ecoutez-moi; il faut aimer les vivants et non les morts.
-Je ne vais pas là-bas pour aimer.
Elle se leva lui rendit sa main en signe d'adieu.
Mais lui prit le visage entre les paumes et l'embrassa. Kyo l'avait embrassée ainsi, le dernier jour, exactement ainsi, et jamais depuis, des mains n'avaient pris sa tête.
-Je ne pleure plus guère maintenant, dit-elle avec un orgueil amer."
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Je n'avais pas aimé la condition humaine quand je l'avais lu la première fois.
Je l'ai re-découvert, et j'ai aimé ce que je lisais.
Sans doute aussi parce le contexte était différent pour moi.
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Alors, sur la dernière page, j'ai complété les gribouillis de Maxime avec mes mots.
"May n'est pas une révolutionnaire. Elle est l'image de la femme, de l'intellectuelle, passionnée, idéaliste, l'image de la vie face à la mort.
Ce n'est pas à la révolution qu'elle adhère, c'est à Kyo.
Et lorsqu'après la mort de Kyo, elle part pour Moscou, ce n'est pas pour venger Kyo, ni pour s'engager dans la révolution.
C'est pour continuer de le faire vivre. En elle. Pour elle.
Laisse moi devenir May"
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Je les ai fait lire à Maxime.
Il m'a serrée dans ses bras.
Fort, très fort.
Mes vacances, nos vacances ont été belles.
Bonne lecture.
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???? Avertissements aux lecteurs ????
?? https://maxxence.tumblr.com/post/630128234598711296/avertissements-aux-lecteurs]?---
{ ?? TABOU } L'emprise amoureuse
> L'amour, la mort, peut-être
> Tout son être s'impose à nous
> Trouver enfin peut-être un écho
> Et son âme sœur
> On l'espère on l'attend, on la fuit même
— Innamoramento — M. Farmer.
——————
L'emprise, son envers la dépendance. La dévotion ?
L'emprise, le graal du BDSM ?
Emprise :
Ascendant intellectuel ou moral exercé par quelqu'un ou quelque chose sur un individu
Domination physique
il ne se passe pas quelques jours sans qu'une haine féroce vienne dénoncer une affaire d'emprise. Une emprise malveillante, force est de le constater.
Est-ce qu'il est possible d'envisager une emprise bienveillante, une addition au bonheur, une joie d'être ensemble, le manque de l'autre pour le bon et le bien qu'il nous procure ?
Est-ce possible d'imaginer qu'une emprise puisse être de l'ordre de la "prévenance" au sens de porter attention à l'autre que cette considération soit addictive et que celle, celui qui est l'objet de toutes ces attentions soit devenu accro aux précautions dont il ou elle est l'attention?
Pourquoi l'emprise ne serait-elle que maux et toxine ?
L'ascendant, c'est quoi ?
De façon sommaire : «Influence, autorité morale exercée par quelqu’un sur une personne ou un groupe.», est-ce qu'une autorité est réductible qu'au mal ?
Le Pape, une autorité morale.
Le Dalaï-Lama, une autorité morale.
Bouddha, le Bienheureux, une autorité morale.
Sont-ils des incarnations du mal ?
«L'autorité morale, définie comme « une réalité psychique, une conscience, mais plus haute et plus riche que la nôtre et dont nous sentons que la nôtre dépend », trouve sa source dans la société.» nous informe gracieusement l'Encyclopédie Larousse en ligne.
Puisse-t-il être une emprise, qui fasse que l'on puisse juger bon d'abandonner toute autonomie et s'en remettre à une personne qui sera celle qui vous "prend en charge", au sens de l'autorité et du charme. N'oublions pas le contexte, mes bien chers frères, surtout mes sœurs, qu'ici nous parlons de BDSM, d'asservissement, de domination, de sadisme, de masochisme.
L'emprise, n'est-elle pas une des clés de ces festins ou l'œuvre de l'autorité morale s'exerce pleinement, il revêt le nom de Maître, de Dom, de Top, il guide, oriente, dirige.
Rôle d'éminence grise ou non, de précepteur, de mentor-d'égérie.
Directeur de conscience ?
Pourquoi la personne épanouie aux pieds de son précepteur, n'en ferait-elle pas des élégies ?
Pour quelle raison l'emprise, la mainmise, l'addiction «a autrui» ne se ferais que par le biais de ce qui détruit, et non de ce qui élève et façonne ?
Ou est la dignité d'être Mentor, de modeler une personne qui n'a d'autre ambition que d'être façonnée à la main du suzerain qu'elle s'est choisie ?
Auquel, avec force détermination, un individu abandonne toute raison de se refuser.
L'emprise, aurait-elle un versant du gris-clair au blanc, d'une blancheur virginale ; telle une première neige immaculée ou l'on ne discerne plus les à pics, les roches, ou l'ensemble des rochers anguleux, saillants, tranchants se sont transformés en suaves drapés, en soyeuses rondeurs, en galets polis, soyeux, par des millénaires du ressac des vagues ou des roulis de torrents qui ont traversé des cimes à la baie ?
La cime devrait-elle être saillante, coupante, vive et risquée ?
N'y a-t-il pas des monts, ces cimes ondulantes, ronde tel un séant hottentote ?
Sous l'emprise d'un amour inconditionnelle, faudrait-il une passion foudroyante qui aveugle et oblitère le discernement de celle qui choisit délibérément ses chaines ?
*«la liberté c'est de savoir danser avec ses chaines.»* (Nietzsche)?
Si ce n'est d'être libre de tout, de disposer de soi même et d'être l'écrivain de sa vie, d'être l'ouvrier de ses maillons qui viendront promettre de trouver l'attache.
Victor Hugo, dans l'œuvre foisonnante qu'il offrit à l'humanité n'en as jamais moins joui, que de cavaler d'un cœur à l'autre, sans qu'il ne sois raison, unique, que de saillies sauvages.
Il misait sur l'autonomie, sur la faculté de ses fréquentations à penser par elle-même et défendre le droit d'être possédées, par celui qui n'avait de cesse d'aimer ; n'affirmait-il pas, convaincu : *«La liberté d'aimer est le même droit que la liberté de penser ; l'un répond au coeur, l'autre à l'esprit ; ce sont les deux faces de la liberté de conscience.»*
Lumineuse conscience de la reconnaissance que chacune des personnes qui se lie doit le faire en conscience, par choix, avec raison.
En quoi faudrait-il s'interdire l'emprise, puisque ce n'est pas le moyen, mais l'enjeu qui détermine si celle-ci est bienveillante ou non.
L'unique critère devrait être ***l'intention***.
Quel est donc le dessein de cet amour, de ce lien.
Quelles sont les ambitions qui se trament dans le fait de s'abandonner, ou de recevoir le sujet de cet abandon ?
L'ambition, l'exigence, les buts, la destinée, dans quelle démarche s'oriente l'emprise ?
Savoir recevoir cette intention, ce souhait, cette volonté, savoir l'accueillir avec le sens que confère le fait de devenir le récipiendaire d'une confiance éclairée, à l'opposée totale de l'aveuglement, de la cécité, qui s'inscrit dans un choix savamment, subtilement, intelligemment réfléchit. Une détermination profonde. L'abandon de soi, réalisé en conscience.
Nous ne sommes pas dans la capitulation, dans l'abdication, le renoncement face à l'épuisement fruit d'un harcèlement.
C'est tout le contraire qui naît de l'abandon de soi entre les mains de l'autre.
Parce que cet autre est choisi en conscience, pour être celui qui va cueillir cet abandon.
Comme la rose tant prisée par le Petit Prince, dont il estime la charge, sans cesse, la nécessité d'en prendre soin. De trouver les mots pour exprimer l'attachement, l'amour qu'il lui témoigne. Du chemin qui mène à elle, de l'incarnation d'une responsabilité.
C'est se donner du temps. Prendre soin de soi afin de pouvoir prendre soin de l'autre.
Tel est l'enseignement que nous prodigue Saint-Exupéry.
Pour chérir, encore faut-il être aimable, avant d'être aimant.
L'intention, ce n'est pas un acte sans conséquence ni densité.
C'est une ambition, une envie ; par delà le désir, c'est l'exigence, c'est l'appétit de vivre, c'est une volonté, c'est une attirance qui est forte de revendications, de responsabilités, procédant d'une démarche, d'un processus de choix.
L'intention, c'est la responsabilité du choix, c'est une formulation qui suppose une interaction avec des choix, y compris la possibilité de renoncer à gérer tout ou partie de pans entiers de sa vie intime, personnelle.
Apprivoiser le temps, d'accepter l'intention de l'autre et ce qu'elle à d'obligeant, d'engageant.
Dépendre de toi, ce n'est pas un engagement léger.
M'en remettre à ton jugement n'est pas une frivole sentence.
Attendre d'être, parce que je choisis d'être l'objet, c'est apprivoiser l'absence.
L'emprise, est-ce le mal ?
Pour te posséder, j'ai dû vaincre plus de démons que tu n'as eu de hussards à vaincre.
Pour accepter de prendre la longe d'un licol qu'un être à choisi de se poser, il m'a fallu entendre, recevoir et comprendre que cela impliquait de créer, que ton abandon me commandait d'être deux pour former le nous.
Que ce que tu n'attendais pas serait ce qui me surprendrait, que ce que tu n'espérais pas serait ce qui m'éclairerait, ce que nous n'imaginions pas, serait notre unisson.
Tu t'es livrée, désormais mon jouet. Toute abandonnée.
C'est léger, c'est solennel. C'est ludique et foutrement engagé. C'est définitivement paradoxal.
Jouer à se faire peur, mutuellement, sans que l'un ne puisse avoir la moindre prise sur les gages. Un jeu ou l'amour est en jeu, ou l'on a tout à perdre, puisque c'est toi que je perdrais si jamais je faillissais à mon œuvre. Elle m'oblige, sans que je ne puisse savoir si toutes ces années sont solides ou fragiles, si ton sourire est destiné à me rassurer ou bien me condamner.
L'emprise que tu as souhaitée, c'est la fragilité qui s'est imposée.
Tout, absolument tout reposait alors sur mes arbitrages, toi poupée, léguée, qui a choisi de renoncer à tout choix. Je t'habille, te rosse, je suis injuste, je fais de toi une sainte, une catin, un pantin, un objet ou un être, j'habille toute en sobriété, une veuve. Je déshabille, une fleur de macadam, il 'mincombre de guider les pas. Stigmate ou pas.
Graver sur ta peau, un temps ou pour l'éternité.
Rien, rien n'est choix pour toi. Tu as donné, offert, livré, par choix, ayant longuement cherché, malmener tes convictions, bousculé tes certitudes, songé aux conséquences, envisagé le pire, cherché quelle serait la pire des souffrances, fait le tour de toi, de fond en comble, cherché une porte dérobée, un soupirail, une infime fente dans le mur.
Sans cesse jamais te résoudre à envisager autrement, que d'être "sa chose", sans raison de trouver l'opposition à te délivrer de toi même.
Jour après jour, maillon après maillons, alourdissant la charge, complexifiant le dénouement, tu as souhaité ne plus exister, ne plus choisir, ne plus conduire, ne plus regarder, ne plus sentir autre chose que ce qu'un tiers déciderais pour toi.
Bien avant de savoir qu'il en existe, tu voulais déjà ne plus t'appartenir.
Faut-il une raison à cela ?
Faut-il raisonner nos choix ?
Tu n'as jamais rien demandé de moins que de tout céder, quitter ta vie "de choix", que celui qui prendra doit tout prendre, y compris jusqu'à l'abandon, te livrer aux lions ou bien te planter là ; au pied d'un immeuble.
L'arbitraire, ne jamais savoir, la vie d'une attente, longue, parfois. Brève, selon.
Tout t'oblige à qui tu t'en remet, rien ne l'oblige, lui.
Cette abandon-là, cette emprise-là, c'est cela que tu as choisie, cherché, désiré, fantasmé, rêvé. Ne plus être. Que devenir.
Risquer d'être abandonner, à ton tour.
Maxen Lascombe Octobre 2020
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???? La liberté d'aimer est le même droit que la liberté de penser ; l'un répond au coeur, l'autre à l'esprit ; ce sont les deux faces de la liberté de conscience. (Victor Hugo)
???? La liberté consiste à choisir soi-même ses chaînes. (Romain Guilleaumes)
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Désolée pour les éventuelles fautes, je suis prise en photo...
La voix de Bono m'aura bien inspirée entre in a little while et le Very Best Of U2 - U2 Greatest Hits - U2 Collection
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19h, je mettais la clé pour ouvrir l a porte d’entrée de son antre. Il m’avait demandé de lui faire les courses. Son travail le prenait énormément. Il avait prévu une soirée chez lui, un repas en tête à tête. L’automne s’était installé brutalement. Ces changements de température était fatiguant. Je ne savais même plus comment m’habiller. Il faisait si frais ce matin que je regardais dépiter mon dressing. J’avais ressorti mes collants couleur chair…
A peine entrée dans le vestibule, je vis un immense bouquet de roses rouge avec une carte à côté.
Je m’empressais d’allumer la lumière. Je souriais. Ses attentions étaient toujours surprenantes, parfois simples mais à me donner le sourire car c’était lui.. simplement lui.
J’ouvrai le lettre jointe.
« Ma petite chatte,
Je sais combien tu as des envies en toi, inassouvies. Sache que quelque soi la situation je serai toujours à tes côtés"
Que voulait il dire ?... Je continuais la lecture.
"Ce soir, je veux que tu vives intensément cette soirée que je t’ai préparé. C’est mon cadeau."
Je ne comprenais rien à son message.
A coté du bouquet était posé un polaroïd avec ce post-it.
- Vis ce moment instantanément
Je ne saisissais toujours pas où il voulait en venir. En tout cas, comme majorité de femmes le ferai , je déposai mon nez au-dessus de ces roses pour en sentir le parfum. Quelle déception, aucune odeur.
Je me remémorai toujours le rosier de mon enfance que ma mère avait planté et qui était si odorant, des roses blanches avec le bout des pétales d’un rose pale..
C’est au moment où je me relevai, surprise, je me retrouvais avec un sac en plastique sur la tête.
Une main se déposa sur ma bouche l’autre me tenant par la gorge.
Je tentais de me dégager de ces bras si forts.
Dans ma tête, comme une panique. C’est là que je compris le sens de son message.
L’inconnu me tenait si fermement que ma résistance était bien veine. Je me débattais quand même. La première minute me paru interminable. Il m’avait bloqué. Je savais que le sachet sur ma tête commençait à faire son effet. L’air allait commencer à me manquer.
- Tout doux ma belle. Calme toi… Laisse toi faire.
Je tentais une dernière fois de me défaire. L’air se faisait de plus en plus rare. Mes mains s’était posées sur son bras qui me tenaient par la gorge. Malgré le fait que mes griffes se plantaient dans son avant bras, il ne lâchait rien de son emprise.
Doucement, j’acceptais sa présence, je tentais de rester calme, de gérer ma respiration.
Quand l’air commençait à manquer, il me parla.
- Calmée maintenant ?
Sa voix était rauque, perverse et à la fois maîtrisée.
- Tu vas être bien sage si j’enlève le sachet ?
Je hochais la tête par l’affirmative.
A moitié sonnée par le manque d’oxygène, il ôta le sachet. Je profitais de ce moment là pour tenter de m’échapper.
Il bloquait le passage de l’entrée. Je me retrouvais ainsi sans défense face à cet intrut. Il était habillée en noir, il avait une cagoule sur la tête. Je savais parfaitement que cela n’était pas le hasard. Il avait organisé cela. Il savait que cela était un de mes fantasmes. Qui n’a jamais eu ce fantasme. Mais entre réalité et fantasme, il y a toujours une différence.
Je savais qu’il avait le contrôle, malgré moi sur la situation. C’était à la fois terriblement excitant et à la fois je voulais me dégager de cette situation.
Je luttais contre cet inconnu. Le fait de ne pas voir son visage me rassurait.
Je ne percevais que ce regard bleu glaçant. Il était grand, je sentais un homme qui s’entretenait vu sa force, sa poigne.
Il m’agrippa par la taille. Je tentais encore de me dégager. Mes escarpins tombèrent de mes pieds, témoin de ce qui allait se passer.
Je tombai au sol, il se jeta sur moi. Je sentais le poids de son corps sur moi.
- Tu veux jouer, on va jouer.
Je commençais à hurler. Il me bâillonnait de sa main puissante.
- Ta gueule !
- Si tu veux que je te remette le sachet sur ta gueule… continue de te débattre.
Je me calmais, il était toujours sur moi. Je sentis sa main remonter ma robe. Avec mes mains, je tentais de l’empêcher de faire ce qu’il voulait.
D’un coup brutal, il défit sa ceinture, saisit mes bras et m’attacha.
- Je vous en prie arrêter.. murmurai-je.
Il releva ma jupe pour qu’elle soit bien relever sur mon cul.
- Des collants, comme c’est mignon…
Il saisit le collant au niveau de mes fesses et les déchirer avec violence.
- Oh cette petite culotte….
Je me faisais suppliante, telle une biche effarouchée. Il avait pris soin de réaliser mon fantasme. Il était fou, incroyable.
L’homme déchira ma culotte. Je sentais sa force implacable. Je me débattais pour ne pas me laisser faire.
Il se rallongea sur moi, mis sa main sur ma bouche.
- Sache que plus tu vas te débattre et plus ça va m’exciter.
Il força ma bouche pour y mettre ma culotte. Il saisit le scotch qu’il avait amené et me musela ainsi.
- Oh quel regard, tu es bien excitante.
Il s’était relevé et s’était agenouillé à ma hauteur pour bien me regarder.
Il en profita ensuite pour m’attacher les chevilles à mes poignets.
J’étais ainsi à sa merci au milieu du salon. Il me laissa.
Qu’allait il faire de moi ? que faisait il ?
Je pleurnichais.
Soudain, j’entendais le bruit du polaroïd.
- Il te faut de bons souvenirs de la soirée qui t’attend.
Il caressa ma larme puis me claqua les fesses.
- Je vois que tu as fait les courses…
Il fouillait les sacs. Quand je le vis avec des légumes en main, je commençais à me débattre.
Je tentais de hurler un non. Mes sons s’étouffaient dans ma culotte.
Il s’était assis face à moi. Il me regardait, il se délectait de ce spectacle. Il prenait un plaisir à me prendre en photo pour me les montrer, les commenter et les jeter devant moi pour que je les vois attentivement.
- Je sais que tu es une bonne petite salope. Ne prends pas ces airs effarouchés avec moi. Je vais très bien m’occuper de toi. Je ne te ferais rien de mal, je te donnerai juste du plaisir.
Je devinais son sourire pervers. Il se leva. Je tentais de regarder au dessus mon épaule malgré ma position. Je comprenais.
Il inséra le concombre dans ma chatte. Quelques secondes auparavant je me débattais.. là j'étais à son écoute.
- Tu peux continuer à te débattre petite pute. Ta chatte et ton cul vient bien être tringlés ce soir.
Il prit encore une photo de moi goder avec ce légume dans la chatte. Je me sentais humiliée et honteuse.
- Quels jolis pieds tu as. Bien vernis d’un rouge que j’aime.
Il les massa longuement. Je me tortillais.
- Je vais bien m’amuser avec toi, ma poupée.
Il s’était rallongé sur moi. Il tenait en main le concombre. Il commençait doucement à faire des va et vient. Son bras entravait ma gorge.
- Profite ma chérie. Je vais te gâter. Tiens prend bien ça dans ta petite chatte.
Je gémissais. Mon état était entre crainte et plaisir. Je savais au fond de moi que c’est lui qui avait organisé tout cela. C’était un jeu. Rien qu’un jeu. J’étais profondément excitée.
- Allez lève toi.
Attachée comme j’étais, je tentais de me relever. C’était compliqué. Il me regardait. Voyant que je n’y arrivais pas, il me saisit pour me lever. Il était derrière moi. Son souffle au creux de mon oreille.
Il me lécha la joue.
Je voulais résister de toute mes forces et en même temps je voulais être docile. C’était un sentiment étrange. Pourquoi ce fantasme du viol simulé que j’ai toujours eu?. Si excitant. Le sentiment de lâcher prise, de se laisser aller, tout en sachant que dans ce contexte précis, tout était bien sûr sous contrôle.
Je m’étais déjà retrouvé dans une situation de contrainte dans ma vie, je n’étais pas dans cet état d’esprit. Le cerveau a une capacité à se figer face à une agression. Avec lui, Je pouvais tout lui dire, mes envies, mes désirs les plus sombres, j’étais un livre ouvert. Il avait une telle écoute, une telle maitrise. Je me sentais vulnérable et forte. Jamais je n’aurai organisé ce fantasme seule, trop de peur, trop de crainte de « mal tombé ».
Combien de fois, j’ai eu la sollicitation d’hommes qui rêvaient que je les attende dans une chambre d’hôtel les yeux bandés, ou même pire chez moi ? Je me disais mais à quoi pensent- ils. Malgré la situation qui peut être excitante, on ne sait jamais sur qui on tombe. J’ai toujours été précautionneuse. Ne jamais se mettre dans une situation qu’on ne peut contrôler.
Avec lui, je pouvais me laisser aller car il contrôlait la situation. Je savais son regard bienveillant. Peut être regardait il même ou était-il chez lui. Des deux je ne savais pas qui était le plus pervers.
Sans ménagement il me conduisait à la chambre. Je ne me laissais pas faire. J’étais comme déchainée. J’avais envie de me débattre, cela augmentait bizarrement cette envie d’être prise si fortement. D’être contrainte, sans défense. Un schéma psychologique où au final cela me permet d’accepter toute ma sexualité, mes désirs sombres.
Tout en me tenant par la gorge , derrière moi il me faisait avancer en direction de la chambre.
C’est là que je le vis.
Il était assis sur le fauteuil de chambre. Je devinais son ombre. Son parfum. Il allait être spectateur.
L’homme me poussa sur le lit comme une marionnette. Il écarta avec son genou mes cuisses. Je sentais le contact contre mon sexe. Il détacha alors mes mains de mon dos. Il saisit des cordes qui attendaient là.. il m’écartela sur le lit. Attachée, jambes et bras écartées. Offerte.
Il s’était levé. Je le vis alors à la main avec l’appareil photo. Il me regardait. J’étais rassurée de la savoir ici. Il ne disait aucun mot. Il prenait juste des photos indécentes.
Il jeta le polaroid sur le lit. Puis il se remit sur son fauteuil.
L’homme s’était mis à califourchon sur moi. Il m’embrassa à travers mon bâillon. Avec animalité il me lécha la joue tout en tenant mon visage entre les mains pour me forcer à le regarder.
L’homme prit le polaroïd et saisit cet instant.
- Humm ces yeux de biches larmoyant plein de noir.
Mon maquillage avait probablement coulé.
Je gémissais. Il me fit taire en mettant ses doigts sauvages dans ma bouche.
- Ta gueule, tu as compris.
Je me débattais. Cette situation m’excitait.
Ses doigts remplissaient ma bouche, puis il mis sa main ferme sur ma bouche. De son autre main, il envahissait mon sexe, prenant d’assaut ma chatte. Ses doigts était gros, possessifs. Je râlais. C’était bon et en même temps je ne voulais pas de ce plaisir. Ce n’était pas lui.. mais il regardait.
Un sentiment de lutte et d’envie.
Il me baisait de ses doigts en me faisant taire. Ses doigts furent très rapidement remplacés par son membre. Il était moyennement grand, juste ce qu’il fallait. Cette fougue me rendait folle.
Je tirais sur mes liens, je bougeais. Je sentais les cordes me cisaillaient. Je pouvais me lâcher.
Quand il me recouvra à nouveau la tête avec un sac. Il allait jouer avec ma respiration. Il le tenait bien fermé, sur ma gorge. Il me prenait, tout en me regardant.
- Tout doux ma belle…
Chaque coup était intense, le sentiment de peur exultait. Quand il voyait que le manque d’air se faire un peu trop, il m’en redonnait puis refermait le sachet. Tout en me prenant, encore et encore. Je perdais doucement pied, mais tout était sous contrôle. J’étais devenue une marionnette.
J’étais un peu au paradis, juste ce qu’il fallait, je pouvais maintenant me laisser complètement aller.
Il me détacha pour me retourner sur le ventre. Il y plaça plusieurs coussins sous celui-ci.
- Quel beau cul de salope. Je vais te saillir.
J’entendis encore une fois le bruit du polaroid.
- Il parait que tu aimes être fouillée petite putain.
Il s’attarda alors sur mon cul. Sans aucune préparation, il m’encula. IL tenait fermement ma nuque. Il l’enfonçait dans le lit, comme pour m’étouffer. Je criais.
- Ferme ta gueule.
- Tiens, prends ça dans ton cul de pute.
Je l’entendais râler. Il y allait avec une telle frénésie. IL me saisit alors par les cheveux pour bien redresser ma tête. Il me prenait encore en et encore. Je sentais ses couilles taper contre moi. Des coups précis, bien au fond, cinglant.
- Dis moi que tu aimes ça !
- Je… j’aime encore murmurai-je
Il se stoppa net. Il écarta de ses mains mes fesses.
- Quel bon petit trou bien serré. Il ne m’a pas menti.
Je savais qu’il parlait de lui.. Je me doutais qu’il n’en perdait pas une miette
- Humm tu mouilles comme une chienne.
Il avait de la mouille plein la main quand il décida de me la montrer et de m’en mettre sur mon visage.
Il se mit bien à califourchon sur moi. Deux doigts dans mon cul. Il s’amusait avec, à tournoyer à jouer avec le pourtour de ma petite auréole.
Il tenta de mettre sa queue avec ses deux doigts à l’intérieur. Je gémissais, je ne voulais pas.
- Ferme ta gueule.
- Mais regarde moi cette mouille !!
Il me posséda et éjacula. Il enleva alors sa capote et la posa juste devant moi.
- Hum tu m’as bien vidé mais j’en ai pas fini avec moi.
Il se leva et prit alors un crochet anal.
Lui.. Il avait sorti plusieurs choses pour notre invité.
Il m’attacha alors les cheveux. Inséré la crochet sans ménagement dans mon cul. Il le rattacha à ma queue de cheval en y mettant une certaine contrainte.
Je me déhanchais pour tenter de trouver une pose confortable. Qu’allait il faire.
Puis j’entendis encore le son du polaroid.
- Une belle position de soumise… contrainte me dit il au son de l’oreille.
Un long silence. Etait il toujours assis ?
Il prit soin de déchirer tout mon collant pour m’en défaire. IL était revenu avec une petite bassine.
Il commença doucement à me nettoyer les pieds.
Je ne me laissais pas faire. Le crochet jouait au fond de mon petit cul. Et j’en étais responsable. Je gémissais, encore et encore. Excitée et honteuse.
Il les embrassait et s’en délectait.
- Hum ces petits pieds… si délicats, si doux… Et ce vernis…
Je sentis alors le coup de la badine s’abattre dessus. Je sursautais. Je me débattais.
Des petits coups précis, puis il y passait sa main pour me chatouiller. Je ne tenais pas, j’étais bien trop chatouilleuse. Je tentais de me convenir. Contrainte..
Il massa ensuite mes pieds, puis s’aventura encore mes jambes, mes cuisses. Il me posséda cette fois par la chatte. Il était à nouveau frénétique. La douceur avait laissé place à l’emprise.
Il me tenait par les cheveux. Il me besognait. J’entendis alors le polaroid. Ils s’était levé. Il était à mes côtés. Il me regarder en train de me faire prendre. Il ne disait toujours rien.
L’homme me tenait fermement les cheveux, il me murmura.
- Bonne petite chienne.
Lui, me regardait. Je le regardais, il voyait le plaisir honteux que je prenais. Il voulait me voir prise, combler.
Il me baisait si intensément, j’en avais presq
ue mal. Je disais non.. il continuait jusqu’à sa jouissance. Une seconde fois, il posa a nouveau la capote devant mes yeux.
Il claqua mes fesses.
- T’es une bonne videuse de couille…
Je rougissais , honteuse et humiliée.
L’homme se releva. Je restais ainsi attachée. Ils quittèrent la pièce.
Quand il revient, il s'assit sur le bord du lit me caressant la joue.
- Si tu t’étais vu. J’ai aimé te voir ainsi. Je n’en ai pas fini avec toi.
Il s’était approché du li. J’étais épuisée. Il me caressait les cheveux. Il saisit alors le Magic wand. Il le plaça sur ma chatte. Je sentais ses effets. Cela me grisait.
- Je t’interdis de jouir !
Je savourais cette instant.
- As-tu aimé ?
- Je… oui j’ai adoré à vrai dire lui avouai-je
- Ne sois pas honteuse. Je t’ai fait cette surprise. J’ai aussi pris beaucoup de plaisir.
Tout en me parlant, je me retenais de ne pas jouir, j’en avais tellement envie.
Il avait ramassé toutes les photos pour me les montrer.
- Tu as été une bonne petite chienne ce soir.
Je ressentais tellement de choses contradictoires. Un tel lâcher prise.
Je n’arrivais plus à me retenir.
- Allez jouis.
Mes cuisses commençaient à trembler tellement la vague était immense. Je fermais les yeux. Il me parlait, me murmurait tellement il était heureux avec moi.
Avec douceur, il détachait le crochet anal. Il passait ensuite sa main douce dessus.
- Ton trou est béant. J’aime le voir ainsi.
Mon petit trou était meurtri.
Il m’embrassa le creux du dos. Il embrassait mes salières de Vénus. Ses doigts longtemps ma longue cicatrice tout le long de ma colonne vertébrale. Puis il remontait jusqu’à ma chevelure pour libérer mes cheveux. Tendrement il m’embrassait,, me léchait mais il n’était jamais loin de vouloir m’infliger encore des sévices pervers.
Je sentais à nouveau sa main sur mon sexe…
- Tout est à vous.. Monsieur.. tout.. je suis à vous…
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En 1615, Anne d’Autriche, infante d’Espagne, quitte son pays natal pour lier son destin à celui de Louis XIII.
Ses espoirs seront vite anéantis. Tenue à l’écart des affaires de l’État par son époux et sa belle-mère, tous
deux jaloux de leurs prérogatives, elle découvre par ailleurs le peu d’attirance du roi pour le beau sexe. Sa
vie devient un enfer. Une entrevue galante à la nuit tombée, avec le séduisant duc de Buckingham fait
scandale dans les cours européennes et déchaîne la fureur d’un souverain humilié. Le cardinal de Richelieu,
qui gouverne la France d’une poigne de fer, espionne désormais la reine sans relâche tandis que la duchesse
de Chevreuse multiplie les intrigues autour d’elle, provoquant de graves crises qui ébranlent le trône. Parvenir
à embrasser les intérêts de la France et se sentir enfin reine, tel sera l’enjeu douloureux d’Anne d’Autriche
jusqu’à la naissance de son fils, le futur Roi-Soleil. Raison souveraine la cueille comme le bouton de rose
qu’elle est en 1615, alors qu’âgée de quatorze ans, elle épouse le roi de France. Louis XIII a le même âge,
il est en quête d’amour. Sa mère, Marie de Médicis, l’en a privé durant toute son enfance, lui préférant son
frère et l’élevant dans la crainte de Dieu et de ses châtiments. La responsabilité de cette femme dans l’échec
de la vie conjugale de son fils est énorme. Henri IV, son père, est assassiné quand il n’a que huit ans. Il voit
le cadavre que l’on ramène au Louvre, il en est traumatisé. Mais un roi ne doit pas pleurer. "Père manquant,
fils manqué" disait Corneau. Fille de Philippe III d'Espagne et de Marguerite d'Autriche, grande, belle, telle
que l'ont peinte Rubens (musée du Prado) et Mignard (musée du Louvre), héroïne enfin d'Alexandre Dumas,
la reine a suscité amitiés fidèles et animosités redoutables. Louis XIII ne l'aime guère, Richelieu s'en méfie.
Le 18 octobre 1615, après des années de négociations rendues difficiles encore par l’opposition huguenote
au mariage en France, Louis XIII épousait l’Infante d’Espagne, tandis que sa sœur Élisabeth était unie à l’Infant
Don Philippe, futur roi d’Espagne. Cet événement était censé mettre fin définitivement à la longue rivalité
politique et territoriale entre les deux puissances. Aussi bon nombre de publications célébrèrent-elles le double
mariage princier en des termes dithyrambiques et se firent-elles l’écho des fêtes somptueuses organisées
pendant près de deux mois des deux côtés de la frontière. Une riche iconographie ornait les architectures
éphémères, de nombreuses comparaisons et métaphores érudites émaillaient les discours officiels, dont le
but évident était de célébrer le mariage et la consolidation des relations pacifiques entre la France et l’Espagne.
Mais ces images étaient essentiellement ambivalentes, ambiguës même. En effet elles servaient moins à
construire des représentations paradigmatiques du mariage et de l’union qu’à forger un ensemble de fictions
destinées à affermir politiquement un royaume en période de reconstruction. Comme telles elles articulaient
les mêmes questions de pouvoir souverain et d’impérialisme que les autres rituels monarchiques du règne.
Les fêtes qui marquèrent le long séjour du roi et de la cour à Bordeaux à l’automne 1615 furent multiples et
variées. Il y eut tout d’abord son arrivée et entrée dans la ville le sept octobre, puis son mariage et celui de
sa sœur Élisabeth par procuration, à Bordeaux et à Burgos, simultanément, le 18 octobre de la même année.
Le retour à Paris n’eut lieu que le 16 mai suivant, avec tout l’apparat d’une entrée solennelle. L’annonce des
mariages en 1612 avait été le prétexte de multiples réjouissances dans la capitale et ailleurs, et notamment
d’un splendide carrousel, dit du Palais de la Félicité, donné sur la place Royale, à Paris, le seize avril 1612.
Derrière cet accord de façade entre la France et l’Espagne, se dissimulaient cependant les prétentions plus
nationalistes de la part des Bourbons. Loin de manifester un désir de partage d’influence et de souveraineté
avec l’Espagne, les emblèmes et autres images retenues n’envisageaient en fait l’instauration de la paix avec
la maison d’Autriche que comme un moyen destiné à faciliter l’avènement de la France à la domination
suprême sur la Chrétienté. L’alliance n’apportait pas l’égalité entre les deux puissances nouvellement
réconciliées, ni l’abandon de leur traditionnelle rivalité, elle venait plutôt consacrer la suprématie de la France
en Europe et, imaginairement, dans le monde. La jeune infante d’Espagne Anne d’Autriche, fille aînée de
Philippe III, née en 1601, devient reine de France par son mariage avec Louis XIII en 1615. Il faut attendre
1638 pour que la reine accouche d’un enfant, Louis Dieudonné, futur Louis XIV. La maternité constitue un
tournant majeur dans la vie d’Anne d’Autriche, qui acquiert ainsi le statut de mère de l’héritier du trône que
les régnicoles lui souhaitent depuis de longues années. Les relations avec Louis XIII, marquées par les
tensions voire la conflictualité, peinent cependant à s’apaiser. À la mort du roi en 1643, le jeune Louis XIV
n’a que quatre ans et huit mois, et Anne d’Autriche assure la régence du royaume de France. Veuve et
mère du roi, elle défend avec jalousie l’autorité de son fils en même temps qu’elle s’appuie sur le cardinal
Mazarin pour exercer l’autorité souveraine. Ce dernier a toujours compté sur son indéfectible soutien.
Même s'il n'y eut jamais de mariage secret. Paresseuse, peu instruite, c'est un trait qu'elle partage avec
nombre de membres des familles régnantes de l'époque, aussi entêtée qu'autoritaire, elle n'a plus, après la
mort de son mari, qu'un souci, celui de léguer à son fils un royaume intact. Pour simplifier, disons qu'elle a eu
deux carrières politiques successives. Jusqu'en 1643, elle chaperonne l'opposition, participe peu ou prou à
tous les "complots", comme ceux de Chalais ou de Cinq-Mars, entretient avec son frère Philippe IV une
correspondance secrète qui témoigne de plus d'inconscience que de réelle trahison. Tout change avec
Mazarin. Elle se laisse aveuglément guider par l'italien, par celui qui fut peut-être l'un des plus brillants
hommes d'État du XVII ème siècle, au plus grand bénéfice de la monarchie française. Justifiée par les
besoins de la politique de rapprochement franco-espagnol de Marie de Médicis, cette union ne produit pas
d’abord tous les fruits attendus. Si les hostilités ne reprennent officiellement qu’en 1635, le roi montre peu
d’empressement auprès d’une personne qui passe néanmoins pour bien faite, et à ce dédain apparent, ou
tout au moins à ce manque d’attention, Anne répond en manifestant des sentiments espagnols de plus en
plus ardents à mesure que la menace de guerre se précise. Il faudra attendre l'intervention de Luynes.
Tout son comportement attise la défiance d’un époux naturellement soupçonneux. C’est d’abord l’affaire
Buckingham, en 1625, dont elle comprend le danger à temps, aidée par son sens de l’honneur espagnol.
C’est ensuite le complot de Chalais, en 1626, auquel elle est mêlée comme à toutes les intrigues maladroites
où Madame de Chevreuse parvient à l’engager. Elle se fait ainsi un ennemi de Richelieu, qui l’espionne avec
régularité et qui semble l’avoir longtemps desservie dans l’esprit du roi. Au point de vue psychologique et
moral, la détérioration des rapports conjugaux atteint son comble avec la découverte, en 1637, de la
correspondance secrète qu’elle entretient avec le roi d’Espagne Philippe IV et le cardinal-infant. Bien que l’on
admette généralement qu’elle est alors à deux doigts de sa perte, il n’est pas sûr qu’elle ait livré ainsi à ses
frères des renseignements de première importance. Quoi qu’il en soit, la disgrâce est très brève. En 1638,
naît le dauphin tellement attendu de tous les Français. Il n’est plus possible de répudier la mère du futur roi.
La reine est devenue indispensable, non seulement au roi, mais encore à la politique de son ministre. Elle
aurait acquis en 1642 les bonnes grâces de Richelieu en lui dévoilant les secrets du complot de Cinq-Mars.
La reine a-t-elle bien trempé dans le complot ? Rien ne permet de l’affirmer. La mort de Louis XIII, en 1643,
est une autre grande date dans la vie d’Anne d’Autriche. La régence à peine ouverte, la reine fait casser le
testament de son époux. Elle a désormais tous les pouvoirs, en particulier celui de confier les affaires du
royaume à qui lui plaît. Elle a le bon goût de nommer Mazarin chef de son Conseil. Ceux qui comptaient
sur la régence pour renverser l’ordre voulu par Richelieu et conquérir les bonnes places doivent déchanter.
Les nombreux Importants, les ambitieux ou les simples aigris réclament à grands cris le renvoi de Mazarin.
C’est mésestimer le caractère de la souveraine. Persuadée que son autorité est en jeu, Anne d’Autriche
commence par confirmer les fonctions de Mazarin dont le pouvoir sera aussi illimité que celui de Richelieu.
Et aussitôt après, elle frappe un grand coup en renvoyant en prison le plus fou des Importants, Beaufort ,
qui n’est pas encore le héros de la populace. Il n’en faut pas plus pour réduire au silence, pendant quelques
années, les velléités d’opposition. Il est difficile d’évaluer indépendamment l’action politique de la reine et
celle de son ministre pendant la période de la Fronde de 1648 à 1653, et plus généralement pendant les
dix-huit années qui séparent le règne de Louis XIII et le règne personnel de Louis XIV de 1661 à 1715.
Dès le début de la régence, la Cour, frappée par l’unité d’inspiration qui préside aux destinées du royaume,
avait conclu que la veuve de Louis XIII avait trouvé dans le cardinal un amant qui la consolait de ses déboires
passés. Sans qu’il soit possible de nier l’inclination d’Anne pour son favori, et l’influence de ce sentiment sur
la politique française, il ne faudrait pas raisonner en auteur de mazarinades et faire de la reine un jouet entre
les mains d’un intrigant italien. Les actes autoritaires de la régence ont été décidés par elle et Mazarin. Lorsque
les circonstances obligeaient à les révoquer, la reine a toujours fait beaucoup plus de résistance que son ministre.
Inversement, les actes conciliants ont été presque tous engagés ou inspirés par Mazarin. L’association d’une
Espagnole et d’un Italien a permis la conclusion définitive des traités de Westphalie en 1648, l’abaissement
des grands qui s’étaient cru à tort revenus au bon temps de la régence de Marie de Médicis, l’anéantissement
des prétentions politiques du parlement de Paris, la négociation et la conclusion du traité des Pyrénées en
1659, avec le mariage de Louis XIV et de Marie-Thérèse, qui était depuis longtemps le grand dessein personnel
de la reine. Ce n’est pas tout ce que Louis XIV doit à sa mère. Il semble que celle-ci lui ait légué une grande
partie de sa dignité et de sa majesté naturelle. Par sa volonté, le roi reçoit une instruction assez peu étendue
peut-être, mais solide et pratique, faite de principes simples, débarrassés des préjugés à la mode. Après la mort
de Mazarin, Anne n’a plus aucune part au gouvernement du royaume. Elle n’en continue pas moins de bénéficier
de l’affection de son fils. Anne d'Autriche, qui a toujours joui d'une bonne santé, atteinte d'un cancer du sein,
s'éteint le 20 janvier 1666, à l'âge de soixante-quatre ans. Son mariage secret avec Mazarin n’a jamais été prouvé.
Bibliographie et références:
- Ruth Kleinman, "Anne d'Autriche"
- Philippe Alexandre, "Pour mon fils, Pour mon Roi"
- Simone Bertière, "Les deux régentes"
- Aimé Bonnefin, "La monarchie française"
- Jean-Christian Petitfils, "Louis XIII"
- Michel Duchein, "Le duc de Buckingham"
- Jean-Christian Petitfils, "Louis XIV"
- Claude Dulong, "Anne d'Autriche"
- André Castelot, "L'Histoire insolite"
- Pierre Chevallier, "Louis XIII"
- Claude Dulong, "Anne d'Autriche"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Cédant aux revendications du parti anti-autrichien de la cour, Louis le Bien-Aimé lance en 1741 son royaume
dans la guerre de Succession d’Autriche, qui durera sept ans, malgré l’opposition du vieux cardinal de Fleury,
qui décède deux ans plus tard. Dorénavant, à l’image de son grand-père, Louis XV, âgé de trente-trois ans,
gouvernera sans Premier ministre. Si durant les premières années de guerre, la monarchie française collectionne
les succès militaires, telle la bataille de Fontenoy en 1745, celle de Rocourt en 1746, et enfin celle de Lauffeld en
1747, la défaite rencontrée à l’issue de la bataille de Plaisance de 1746 met cependant un terme aux espoirs
français d’établir la frontière nord du royaume le long du Rhin, aux Pays-Bas autrichiens. Cette guerre affaiblit
la monarchie au point de vue financier. Si les dépenses de la guerre de Succession de Pologne s’étaient chiffrées
à près de deux cents millions de livres, la guerre de Succession d’Autriche, premier grand conflit terrestre et
maritime du règne de Louis XV, pesa plus lourdement encore sur le budget. Le conflit engloutit plus d’un milliard
de livres, accroissant dès lors la dette de l’Etat. Le traité d’Aix-la-Chapelle, signé en 1748, restitue toutes les
conquêtes françaises aux Autrichiens, suscitant le mécontentement des généraux de Louis XV et l’indignation
dans tout le royaume. Mécontents, les français avançaient que "Louis XV avait travaillé pour le roi de Prusse."
La popularité du monarque connaît après cette paix une large érosion, alimentée de surcroît par les rumeurs
de la cour évoquant un roi égoïste et jouissif, plus préoccupé des plaisirs que lui procuraient ses maîtresses que
par la conduite de l’Etat. Pourtant, le roi formait autrefois un couple solide avec Marie Leszczy?ska, avant que
la lassitude vienne s’installer, la reine étant épuisée par ses maternités trop rapprochées. Ses grossesses
répétées l’ont tenue écartée des activités préférées du roi, la chasse et les divertissements. Bien qu’instruite,
elle manque de l’éclat capable de retenir Louis XV. La reine finit par se plaindre à son père de l’infidélité
récurrente de son mari volage, tombé successivement sous le charme des quatre sœurs de Mailly-Nesle: Louise
Julie, comtesse de Mailly; Pauline Félicité, comtesse de Vintimille; Diane Adélaïde, duchesse de Lauraguais;
Marie-Anne, marquise de La Tournelle et duchesse de Châteauroux. Tour à Tour, elles furent ses favorites.
Aînée des cinq filles de Louis III de Nesle, Louise-Julie née le 16 mars 1710, la même année que Louis XV. Elle
n’a que seize ans lorsqu’elle épouse en 1726 Louis-Alexandre, comte de Mailly. Grâce à sa haute naissance,
Louise entre dès l’âge de dix-neuf ans au service de la reine Marie Leszczynska comme dame d’honneur. La jeune
femme fut délivrée de son époux qui n’appréciait pas la cour et demeurait sur ses terres. Quant à sa mère,
Armande-Félicitée, elle est la petite fille d’Hortense Mancini et donc par conséquence, arrière-petite-nièce du
célèbre cardinal de Mazarin. Louise-Julie donc par son père et sa mère, appartient à des illustres et nobles
familles. Louise-Julie ne passe pas une enfance paisible, sa mère fréquente beaucoup d’amants et elle n’a que
seize ans lorsqu’elle épouse en 1726 Louis-Alexandre, comte de Mailly, qui est le cousin germain de son père.
Le comte de Mailly, de seize ans son aîné était débauché, le contrat de mariage ne fut pas respecté par les
beaux-parents, et le couple se trouva dépourvu de moyens. On disait: " C'est le mariage de la faim et de la soif."
La jeune Louise-Julie prit dans l'entretemps, un amant, le marquis de Puisieux qui en devient amoureux et qui
la consola de son mari. Le roi la remarque dès 1732 mais ne fait rien car il est encore très épris de son épouse.
Pourtant, les grossesses à répétition de la reine commencent à lasser Louis. Bachelier et Lebel pourvoient à leur
maître quelques passades amoureuses mais qui n'assouvissent pas ses désirs. Le Cardinal de Fleury dut se
rendre à la réalité. Il fallait trouver au souverain une maitresse-en-titre capable de lui tirer de son ennui. Afin
d'éviter que le choix du roi ne se porte sur une femme ambitieuse susceptible d'exercer quelque influence sur
le souverain, Le choix se porta sur Mme de Mailly. Ainsi, et avec la complicité du Cardinal de Fleury ainsi que
celle de Mlle de Charolais, de la comtesse de Toulouse ainsi que de Bachelier, premier valet de chambre du roi,
Louise entreprend une relation avec le roi pour le sortir de son ennui. Mais il fallait d'abord chasser l'encombrant
marquis de Puisieux qui était fou amoureux de sa maîtresse. Pour l'éloigner de bon de Mme de Mailly, on lui fit
miroiter le poste d'ambassadeur à Naples mais il refusa disant qu'il ne partirait que sur ordre de sa maitresse. Et
ce que fit Mme de Mailly. Le marquis fut surpris par sa décision à laquelle il ne se connaissait pas de successeur.
La liaison de Louis XV et de la comtesse de Mailly débutera en 1733 et restera secrète jusqu’en 1737, année
où la reine donne naissance à sa dernière enfant, Madame Louise et les deux amants utiliseront des portes et
couloirs dérobés pour se voir. Mais en 1738, Marie Leszczynska ferme définitivement la porte de sa chambre au
roi pour raison de santé. Les médecins lui ayant conseillé de ne plus tomber enceinte car une autre grossesse
pouvait nuire à sa santé. Louis s’affiche alors publiquement et sans scrupules avec la comtesse de Mailly. Ses
contemporains décrivent le portrait d'une jeune femme enjouée, bonne, tendre, adroite et désintéressée.
Pourtant Louise qui est si douce et réservée, est sans grande beauté. Elle a un long nez, une grande bouche,
un teint brun, cheveux bruns, des joues plates, une voix rude et une démarche masculine. Mais elle a un front
"ayant le poli d’ivoire", est très bien faite et adore l’intimité. Elle est aussi fort élégante et sait mettre en valeur
quelques avantages que la nature lui a donnés. Le valet de chambre de Louis XV la dépeint ainsi: "Grande
et bien faite, c'est une très belle brune piquante, sa gorge est blanche et ses yeux sont magnifiques".
Louise fut certainement celle qui, parmi les sœurs Nesle, et presque toutes les favorites de Louis XV, aima le
roi d’un amour totalement désintéressé voire sincère. Eloignée de toute intrigue, Mme de Mailly reste en
extase devant ce souverain qui lui témoigne régulièrement sa flamme, malgré les scrupules religieux qui
l'assaillent parfois. En fait il quittait parfois sa maîtresse pour rejoindre le lit de la Reine où pleurant et à
genoux, lui demandait plusieurs fois de lui accorder le pardon. Malgré sa position de favorite royale, elle ne
demandait rien au roi ni pour elle ni pour ses proches. Louis XV d’ailleurs, ne lui donnait presque rien puisqu’elle
ne le demandait pas. Même la pension qu’il lui versait était bien maigre et Louise portait parfois des robes
trouées et usées. Quoique Louise-Julie de Mailly-Nesle soit la favorite déclarée de Louis XV, en revanche,
elle est respectueuse envers la reine. Louis XV parait heureux de sa maitresse et Fleury est satisfait d'un plan
qui n'entrave pas la marche du gouvernement. Malheureusement, il ne va pas pourtant tarder à déchanter.
Louise, dans sa grande naïveté introduit bientôt à Versailles sa sœur Pauline qui vient de finir son éducation
au couvent de Port-Royal. Après avoir écrit plusieurs lettres à sa sœur, Pauline veut venir à la cour et la
supplanter dans le cœur du roi. Pauline est aussi insolente, mordante et laide que sa sœur aînée est réservée,
timide et sans grande beauté. Il apparaît bien vite que Louise ne sert plus que de paravent aux amours du roi
et de sa sœur. Mais en septembre 1741, Pauline décède brusquement lors d’un accouchement et Louis, éploré,
retourne auprès de la comtesse de Mailly. Le roi installe Mme de Mailly dans un appartement secret aménagé
au-dessus du sien. Leur relation reprit mais Louise-Julie ne parvenait plus à égayer les petits soupers des
cabinets. Elle pleurait et le roi aussi. Lorsque celui-ci partageait son lit, il se réveillait pendant la nuit pour
réciter un acte de restriction. Pour se recoucher ensuite auprès de sa maîtresse parée comme une châsse
puisqu'elle ne pouvait pas dormir sans ses bijoux. Elle avait appelé une autre de ses sœurs, Mlle de Montcavrel
qui fut sa maitresse de très courte durée. Il l'avait renvoyée et s'empressa de la marier au duc de Brancas.
La cour s'enlisait dans l'ennui et les courtisans se demandaient qui allait succéder Mme de Mailly dans le lit
du roi. Et une fois de plus, Louise encore sans défiance, fait entrer à la cour ses deux dernières sœurs, les
plus jeunes, Hortense et Marie-Anne. Le roi de France alors amoureux fou, courtise la première, qui repousse
ses avances puis la deuxième, qui finit par accepter de devenir sa maîtresse en titre. Louis XV mettra alors
définitivement un terme à sa relation avec Louise. Celle-ci quitte alors Versailles en 1742 pour Paris où,
honteuse, elle porte désormais un cilice. Elle vient d’être bannie par le roi à la demande de sa sœur, Marie-Anne,
qui souhaite être la seule favorite officielle de Louis XV. Louise de Mailly se retire à Paris où elle vit dans la
charité, la dévotion et la pauvreté. Touchée par un sermon du père Renaud, Mme de Mailly se sentit tout à coup
ravie et dégoûtée d'elle-même par cette parole douce et pénétrante qui parlait du bonheur de vivre avec Dieu.
Un jour où elle devait dîner chez M. de Boissière, elle faisait dire qu'elle ne pouvait plus s'y rendre et c'est là
qu'on apprit le renoncement de Mme de Mailly. Elle quittait le rouge et les mouches. Elle s'était complètement
métamorphosée et de ce jour, elle se vouait à une pénitence exemplaire. Le Jeudi Saint de l'année 1743, la
cour et le peuple se pressaient chez les sœurs grises de Saint-Roch pour voir Mme de Mailly, qu'accompagnait
la jeune veuve du duc de La Trémoille pour le lavement des pieds. Elle consacrait tout son argent pour des
bonnes œuvres. Elle ne s'employait qu'à visiter les pauvres, n'hésitant pas à se dépouiller en secours et en
charités, à peine se réservait-elle pour son nécessaire personnel deux ou trois écus de six livres. Cette vie de
sacrifice menée avec courage, avec gaîté même, dura jusqu'au 5 mars 1751 où la comtesse de Mailly mourait
à l’âge de quarante-et un ans en odeur de sainteté. Son légataire universel fut le jeune comte du Luc, fils du
roi et de sa jeune sœur, Mme de Vintimille, qu'elle avait adopté. Son exécuteur testamentaire, le prince de Tingry
à qui elle laissa un diamant de prix et une somme de 30 000 livres qui était destinée à payer ses créanciers.
L'ancienne favorite fut enterrée selon ses veux, au cimetière des Innocents, à Paris, parmi les plus pauvres.
Bibliographie et références:
- Alain Decaux et André Castelot, "Dictionnaire d'histoire de France"
- François Bluche, "Louis XV"
- Michel Antoine, "Les favorites de Louis XV"
- Marc Langlois, "Louise-Julie de Nesle"
- Pierre-André Laurens,"Louise-Julie de Nesle"
- Bernard Hours, "Louis XV : un portrait"
- Paul Del Perugia, Les amours de Louis XV"
- Jean-François Solnon, "La Cour de France"
- Jean Meyer, "Louis XV"
- Simone Bertière, "Les amours de Louis XV"
- Evelyne Lever, "Le crépuscule des rois"
- Jean-Christian Petitfils, "Louis XV"
- Jacqueline Suzanne, "Louise-Julie de Nesle"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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MINOTAURUS INEST
-Veneris monumenta-
J'aimerais que tu te postes à nouveau
au sommet de mon lit
le dos apposé contre le mur de mon salon,
quasi-nue.
Un quart de siècle nous sépare en âge,
mais tes yeux francs, intemporels, presque mystiques
m'adressent un familier langage..
Laisse-moi déposer ma joue très doucement
dans le creux de ton cou,
être la plume qui rejoint son nid..
Je suis un enfant, une panthère, une brise d'Eté;
je suis un grand soleil près d'un refuge aux portes de coton..
Ta bouche est une fleur sauvage,
qui parfume mon âme de papillon.
Vois mon aile silencieuse se poser
sur la soie de ton épaule chaude !
Le temps suspendu
infuse mon âme à ta presqu'île;
Mon souffle sur ta peau me grise:
tu es ma vapeur d'absinthe !
Ta chevelure est désormais
un vaste champs moissonné
à mon vexillum externum.
Ton épiderme irradie contre le mien
comme un pain chaud sorti des braises !
Aucun des chats sacrés de l'antique Egypte,
n'a transporté autant de lumière que ta peau :
Hathor, Isis et Rê se sourient et se taisent
lorsque je te caresse.
Tes deux pyramides sont des flacons de rivages.
Fais-moi boire de ton lait; enfante ma déraison !
Mes griffes de faucon ratissent ta nuque;
je porte mes dents à ton cou,
je mordille ta chair tel un vampire avide..
Je suis ton Minotaure, ton Lucifer, ton Dracula !
Mes doigts délicats viennent broder d'audaces
un incertain langage à même tes seins..
Des alcools de prune et de poire coulent à présent de tes tétons;
je t'attrape au cou, tel un canidé, pour te tirer lentement vers moi;
je sens tes fioles d'effluves infiltrer mon cœur;
Ta bouche capture la mienne comme une proie fébrile.
Tes bactéries s'engouffrent dans mon sang, restaurent ma matrice..
Je vois des gouttelettes d'eau fines
bouillir sur ta peau
puis s'évaporer au diapason de tes soupirs..
Tes aréoles crantées pénètrent souplement mon torse.
C'est alors que le grand mât du Drakkar se lève
et tu l'absorbes sans tarder tout entier en toi,
dans ta forêt d'éponges.
Ta rosée coule déjà du septième ciel convoité.
La chambre se tapisse d'un rouge-violacé..
Je sens ton odeur animale qui s'abat comme une tempête:
tu plantes tes yeux intenses
tel des ancres dans l'océan de mon âme.
Je me retourne tout entier sur toi,
ragaillardi par ton puissant courant.
Ta bouche carmin
a faim
de recevoir l'écume de ma lèvre.
Je t'ensevelis d'une vague puissante
et j'engouffre encore davantage
ma corne de Minotaure
dans le tréfond de ton corps.
Voici l'offrande de nacre:
de multiples orages tonnent dans ta chair
Tu tressailles d'accueillir dans ton caveau
ma liqueur de perle.
L'onde de choc de ma queue
se prolonge tel un écho parmi tes dunes.
Tu m'enfonces tes ongles dans le dos si profondément
que je sens distinctement ton nom se graver sur mes os.
Je plante à mon tour mes dents dans ta jugulaire
tandis que tes canines percent mon épaule.
Je m'abreuve, tu me bois,
nous nous embrassons follement
pour partager ce vin de messe.
Je ramasse au sol des caillots de raisin
et je les porte à ta petite gueule affamée.
Tu les dévores en me dévisageant.
Ta bouche coule infiniment
jusque dans ton nombril
et abreuve les petits papillons
qui palpitent dans ton ventre.
Le coutelas divin de ton sourire en coin
me suggère un sacrifice à venir
Tu t'éclipses dans la salle d'eau
et déjà tu m'inspires
de vilaines rêveries..
Relevant une pièce d'étoffe
trop ajustée à tes hanches
tu me laisses entrevoir
l'arrogante colline hirsute.
M'empoignant le vit en me fixant des yeux,
tu veux me voir céder à proférer
mes ordres rabaissants.
Ta bouche lascive de succube
réclame la lie de mon calice !
Ta main est un nid à serpents;
elle me caresse et me compresse
pour que je crache enfin
tous mes mots volcaniques.
Tu m'engloutis de ta gueule de fauve
pour m'assassiner de plaisir.
Des torrents hypnotiques se répandent en moi,
tandis que tu bois toute ma fontaine.
Démon repu, tu m'adresses un sourire.
Je suis une comète
dans la galaxie de tes yeux fauves.
Aucunement je n'ai la beauté d'Artemis,
mais je peux être un grand forgeron de volupté !
Fais de moi le gardien secret de tes moiteurs,
l'arboriste de ton plus secret jardin..
Je l'avoue, je suis parfois jaloux des visiteurs
que tu salues de ton candide balcon.
Tous ces mirages, si laborieux, sont autant de déserts..
Et si chaque homme est fait de sable,
je serai ton désert de Mojave,
ton Dasht-e-lout, ta Kébili.
Je serai le Queensland bouillant
au milieu des montagnes de feu.
Mon orgueil est un empire suintant,
et tu le sais toi qui réapparais
dans une robe andrinople..
De ton dos je m'approche;
tes ourlets, déjà, se pourfendent de flammèches..
Je veux sédimenter encore à ton épaule;
j'entrevois tes doux seins dans l'écorchure de ta robe;
ta bretelle s'affaisse ainsi que ta chute de reins;
soudain, le bas de ta robe s'enflamme
Tes doigts fraîchement vernis
soulèvent avec une insolente lenteur
le tissu embrasé !
Le bas de ton dos est désormais tatoué
d'obscurs hiéroglyphes;
«Sois indécent» chuchotes-tu.
J'ai besoin de lécher ta petite béance,
comme un chien des enfers !
Tes canines d'orque scintillent dans le miroir;
Tu lèves un bras au ciel;
tes doigts gracieux s'éventaillent et s'enroulent
tandis que la chambre prend feu.
Je pointe à mon tour vers le ciel un index
qui se change en verge féconde;
et tandis que les parois de ton éminence charnue
s'abandonnent à mon autorité,
j'enfonce un doigt séminal à ton nombril..
Des Jigokubana naissent soudain dans tes cheveux;
une nuée de papillons pourpres et ocres
comme sortie des enfers,
vient butiner chacune de tes mèches,
éteignant les feux alentours
de battements d'ailes..
Des abeilles rouge-ponceau surgissent à leur tour.
Tu étires ta langue en récupère de tes doigts un étrange miel
que tu portes aussitôt à mes lèvres, à mes seins;
de mon gland jusqu'au galbé séant.
Tu n'aimes rien tant que me sentir palpiter dans ta bouche;
tu me dégustes infiniment, tandis que des plumes d'ange
tombent très lentement sur nous comme une fine pluie;
tandis que des sirènes au lointain
nous chantent leurs plus doux sortilèges..
Sois mon alcool, mon brasier, ma folie,
sois ma déesse et ma putain,
Sois le petit matin des longues nuits.
Le soleil s'attarde sur mon torse
lorsque tu le caresses.
Je veux te voir tournoyer en riant
dans des champs de coquelicots mutants.
Sidère-moi;
écorche-moi de souvenirs violents !
Fais de moi le buvard de ta cyprine et de ta lave,
de ton urine et de ta bave.
Baise-moi comme si j'allais crever demain.
Je veux mourir et ressusciter dans tes bras..
Je veux tes hanches et tes pieds dans ma bouche,
ton cul sur ma gueule et ma queue dans ta main.
L'un dans l'autre, je veux nous mélanger
encore et toujours !
Je veux tes mamelons sauvages, ta peau soyeuse,
tes épaules et ton cou..
Je veux surtout tes yeux cosmiques au fond des miens
tes cuisses et ton pubis amarrés à ma taille,
quand je viendrai cent fois sur toi pour te donner mon âme !
Je rêvasse, je me languis, je me dilue..
Entends-moi s'il te plait, rejoins-moi !
Viens contre mon épaule et contemplons
les derniers instants de ce monde-ci !
Je veux me noyer sans fin dans des étreintes folles;
je veux brûler d'ivresses, célébrer le feu qui me porte
et qui m'emportera jusqu'à l'ultime crémation !
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Désolée pour les éventuelles, je suis partie tenir la chandelle.
Ambiance musicale : Gortoz a ran - Denis Prigent et Lisa Gerrard.
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La tempête approchait.
Après des semaines sans se voir, il était si bon de se retrouver.
J’avais trouvé un petit gite dans une de ces maisons en pierre typique nous plongeons dans le passé. Une chaumière avec un e chambre, une belle pièce à vivre avec des poutres et une cheminée. Tout invitait ici au calme, à la détente et à la luxure.
Mon esprit pervers prenait vite le dessus quand nous recherchions des lieux pour nous évader.
Ces poutres nous invitaient à des jeux attachants. Il avait allumé le feu dans l’âtre.
Arrivé la veille, nous avions pris nos marques. Nous avons profité de l’air marin revigorant. Voir les vagues s’abattre sur les rochers. Elle était déchainée. Le vent virvoltait dans mes cheveux. Il ne laissait aucun répit même à mes yeux qui pleuraient. Ils nous poussaient même.
Aujourd’hui la pluie n’avait pas cessé. J’entendais le son des volets claquer, le bruit du vent se faire menaçant. J’aime cette atmosphère. En tant normal je n’ai pas peur, mais je sentais le vent terrifiant comme jamais.
Il était derrière moi. Je regardais dehors cette sublime forêt qui nous entouraient. IL me massait doucement les épaules tandis que mon regard se perdait au loin.
- Hum, tu sens si bon. J’aime ton parfum si envoutant.
Ma main se releva pour se lover sur la sienne. Je me retournais vers lui. Je souriais du bonheur que nous avions, de la chance que j’avais. Je me blottissais contre lui cherchant le réconfort, la protection. Il mis sa main à l’arrière de ma tête pour me maintenir avec tendresse contre lui. Tendrement il m’embrassa le dessus de ma tête.
Nous étions dans notre bulle. Passant, jouant de ce que nous étions. Lui, un homme tendre, à l’écoute, empathique et si respectueux. De l’autre, une femme enfant, parfois une femme fatale qui avait besoin malgré l’apparence de lâcher sa vulnérabilité et de se sentir protéger et que rien ne puisse lui arriver.
Je me suis longtemps posé la question si tout cela était lié au rapport à l’enfance, mes rapports avec mon père autoritaire. Il me traitait un peu comme sa princesse et une mère au foyer très fragile. J’avais peur de ressembler à ma mère. Je ne voulais jamais être dépendante d’un homme. Pourtant ces jeux que nous affectionnions nous rendent dépendant l’un de l’autre.
- Regarde comme tout est noir dehors.
Je me retournais. Il faisait presque nuit en plein milieu de la journée. Je sentis ses mains passés sur mes seins alors qu’il respirait mes cheveux.
- Humm tu m’enivres.
Je souriais intérieurement. IL prie plus possession de mes seins. Cela éveillait en moi l’envie à la fois de douceur mais l’envie de choses bien plus sombres. Il abaissa soudainement mon pull bleu marine qui faisait ressortir la blancheur de ma peau.
Je me retrouvais ainsi avec le pull autours de la taille.
Il défit mon soutien gorge.
- Il est dommage de les laisser enfermer ces petits seins.
Il les pris à pleine main alors qu’il m’embrassait dans le cou. Ses mains possessives s’emparaient de mes petits tétons. Il s’amusait à les tourner. Je gémissais.
- Chut… me murmura t il.
Il me plaqua subitement mon torse contre la fenêtre. Mes seins se retrouvaient glacés par le contact avec celle-ci. Il m’écrasait fermement au nouveau de mon dos pour que mes seins soient le plus comprimés. Si un passant errait dans le secteur il aurait eu un magnifique spectacle.
Il remonta ma robe pull jusqu’à la taille.
- Cambre toi !
Naturellement j’étais déjà cambrée, appelant son attention, ses caresses. Ma joue était contre la vitre, il la tenait appuyer tout en vérifiant l’étant de mon excitation. IL me fourra deux doigts dans mon con. Je ne pus m’empêcher de quémander davantage.
Je sentais que cela était peine perdue.
Il me releva en m’empoignant les cheveux et il m’amena à lui. Il s’empara de mes lèvres avec tant de fougue et de passion. Je lui rendais son baiser.
- Mets toi en position d’attente !
Je me mis alors a genou, les jambes bien écartées, me tenant droite et fière. La tête baissée.
En revenant il appuya sur ma tête pour que je comprenne qui j’étais. Je sentis alors rien qu’à la manière dont il me touchait la virulence de son désir.
Il s’assit alors sur le canapé si confortable.
- Viens ici à mes pieds.
Mes chaussettes hautes me réchauffaient et je glissais presque sur le parquet. C’était agréable. Félinement j’allais vers lui, à quatre pattes. Je me mis naturellement entre ses jambes. Avec audace, je posais alors ma tête sur sa cuisse.
D’un geste tendre il me caressait avec les cheveux. Il aimait que je sois ainsi, douce et câline.
- J’aime tes cheveux soyeux. Ta nuque est si délicate.
J’aimais tant son affection. Quand sa main se fît plus dure, il saisit ma nuque pour la mettre sur son membre. Je sentais son excitation à travers son pantalon.
- C’est ce que tu attends, n’est ce pas ?
- Je…
- Tais toi… me railla t il.
- Je sais parfaitement qu’une bonne petite chienne n’attend que cela.
Il me rejeta alors en arrière.
- Regarde ce que j’ai pour toi. Lève toi et va me servir un verre.
Puis tu t’empaleras sur ce gode que j’ai posé sur la table et tu te baiseras.
Je lui envoyais alors un regard lui faisant comprendre que je n’en avais pas envie.
- Oh, ma toute jolie.. je vois que tu n’es pas très obéissante. Je vais devoir te punir…
Je me levais pour aller lui chercher son verre de Whisky qu’il affectionnait et je lui posais avec une certaine nonchalance sur la table.
- Est-ce une manière de me traiter ?
Je lui souriais d’une certaine défiance.
- Alors comme ça.. tu veux que je te punisse… soit…
Il pris une corde et la fît passer autours d’une poutre. Il connaissait pas les nœuds surtout les coulissants. Puis il m’attacha les poignets à la corde. Je me retrouvais livrée à mon châtiment.
Puis il saisit un gag-ball pour me bâillonner.
- Tu sais que je vais te punir pour ta désobéissance… Tu peux me faire ton regard suppliant, rien ne marchera.
- Pardon.. Monsieur tentai-je de dire avec mon bâillon.
Il choisit alors un martinet. Sans aucun ménagement il commença à m’assener des coups. Certains s’abattaient plusieurs fois au même endroit.
Je me dandinais presque pour éviter les coups.
- Ne bouge pas, sinon j’en ferai de plus fort. Tu sais que c’est pour ton bien que je te punis.
- Regarde moi quand je m’occupe de toi et remercie moi !
Il lâcha plusieurs coups sur mes seins, mes cuisses.
- J’entends rien…
- Merci monsieur répondais-je difficilement .
J’avais la sensation que la tempête était dans la maison, je sentais le vent du martinet me rafraîchir pour laisser ensuite place à la morsure.
Il reposa alors le martinet. Il prit mes tétons en me forçant à avancer vers lui. Puis il me murmura.
- Hummm, tu n’as que ce que tu mérites.
- Me..rr..cii Monsieur, avec mon regard suppliant.
- J’ai une petite surprise pour toi , ma petite fée clochette.
Il mit devant mes yeux des pinces à tétons. Il prit d’abord mon téton droit. Il le pinça comme il faut pour y mettre la pince. Il ne me ménageait pas. Il me regardait. Je prenais sur moi un peu comme une fierté, cette femme enfant qui voulait dire.. même pas mal. Il fit la même chose avec l’autre téton.
Il accrocha ensuite des petites cloche. Puis il remonta encore plus haut la corde pour queje sois sur la pointe des pieds.
Il malaxa ensuite les seins..
- Quelle douce musique. Je vais à présent m’occuper de ton petit cul. Plus j’entendrais de musique, plus que je punirais fortement.
- Alors que vais-je prendre ?
Il présenta en premier la badine à mes yeux. Je les écarquillais.
- Ah non ? bon, je vais être clément…
Il se plaça derrière moi et passa le manche du martinet sur ma gorge. Il murmura à mon oreille.
- Je préfère continuer avec ca. Je vais que tu sois rouge de honte.
Je ne veux rien entendre tu as compris ?
- Je hochais la tête.
Il commença par s’attaquer à mon dos, mon épaule gauche, puis droite. Je faisais tout pour ne pas bouger. Je savais qu’il maitrisait ses coups pour que ce ne soit pas souffrance inutile. Le juste dosage pour me faire du bien.
- Cambre toi !
A peine cambrer il commença son travail sur mes fesses. Plusieurs fois au même endroit, encore et encore. Parfois il passa sa main pour m’apaiser. Je me dédouanais parfois et les cloches sonnait.
Il tirait alors sur les cheveux pour me dire.
- Tu sais ce qu’il va se passer.
Je hochais la tête.
Il frappa sur ma croupe que je criais. Un seul coup. Puis il posa le martinet. Il me caressa les fesses puis les seins.
Il me mordait le cou, l’épaule, il aspirait ma peau, il me sentait. Je lui appartenais. Je sentais son odeur. Il m’enivrait. Sa voix était chaleureuse et elle me rassurait durant nos jeux.
- Je vais te laisser méditer à ton sort.
Il me mit un bandeau sur les yeux. Je restais ainsi attachée au milieu de la pièce. Le feu de cheminée me réchauffait. Le vent dehors me donnait la chair de poule. Il allait vaquer à ses occupations.
Parfois je le sentais passer à côté de moi. Il m’ignorait. Je me demandais ce qu’il faisait.
Quand, alors que le temps semblait s’être figé il ôta une pince. Je hurlais intérieurement. Cette morsure me saisit pour ensuite être cajolé par le baiser qu’il lui infligeait.
- Hum il est si délicieux. A l’autre maintenant.
Idem, je voulais crier sans le pouvoir. De la bave s’écouler de ma bouche. Il prit alors ma salive avec son doigt pour adoucir mes tétons.
- Ils sont si bien dressés maintenant…
Ses deux mains s’emparait, sa bouche se délectait. Ma tête retombait en arrière de ces délicates caresses.
Quand je sentis qu’il me détachait, mes bras étaient endoloris. Il ôta mon gag ball mais me laissait dans la compagnie du noir.
- Ne bouge pas.
Je sentis alors un bruit métallique. Je compris alors qu’il me mis des fers à mes cheville. La dureté du métal n’était pas confortable. Les fers étaient reliés. Quand il me fit avancer j’entendais le son de la chaine, comme une esclave qui allait subir ses sévices.
Il me guidait ainsi vers un lieu de la pièce. J’étais complètement désorientée. Je n’entendais que le vent et le bruit métallique de mes fers.
- Ne bouge pas. Tiens toi bien droite. Je nous ai préparé un repas.
Il me saisit par le bras pour me montrer où je devais me placer.
- Voilà assied toi. Va y doucement.
Je sentais alors sa main sur mon cou et l’autre sur le bas de mes fesses.
Quand mon sexe butta contre quelque chose de mou. Je compris.
- Tu vois, maintenant tu es toute à l’écoute. Tu vas empaler ta petite chatte sur ce gode.
Une fois bien empalée dessus, il appuya fortement sur mes épaules. Il m’attacha les mains sur les bras de la chaise. Il était derrière moi, son souffle juste à coté de mon oreille gauche.
- Maintenant, je veux te voir baiser sur cette chaise ce gode pendant que je déguste mon entrée.
Je commençais alors à faire des va et viens sur ce gode qui me transperçait.
- Applique toi, je veux plus d’entrain ma petite chienne.
Je gémissais, cela me procurait un certain plaisir le fait qu’il me voit me prendre sur ce gode. J’aimais quand il me matait, j’aimais être mater tout court.
Je sentais ses coups de fourchette, quand il prenait une gorgée de vin, je supposai.
- Suffit maintenant. Garde le bien au fond.
- Maintenant je vais m’occuper de toi. Tu dois être affamée.
- Ouvre ta bouche, je vais te donner une gorgée de vin.
Ce vin était un divin nectar. En effet j’étais affamée. Il passait ensuite son doigt sur ma bouche pour être certain que rien n’avait coulé.
Il allait me nourrir. Je ne savais pas ce que j’allais manger. Il avait préparé du poisson. C’était exquis. Il prenait son temps. Il me parlait à l’oreille, cela m’excitait. Un moment de pure complicité.
Puis il empoigna mes cheveux et les tira en arrière et s’approcha de mon oreille
Soudain il jura. Les plombs avait lâché.
- Voilà qui est parfait et qui tombe à point nommé se reprit il.
Sur le coup je ne comprenais pas. Mais vu ma position, je savais qu’il savait parfaitement ce qu’il allait faire.
Il relâcha mes cheveux et jeta ma tête vers l’avant.
Ma respiration se faisait de plus en plus forte, comme le vent d’ailleurs. Les volets claquaient.
J’étais ainsi, sur cette chaise complètement à sa merci. Attachée et empalée. Je ne pouvais plus faire de mouvement. Je ne pouvais rien voir. J’étais attentive au moindre son.
Une vague de chaleur se fit sentir au niveau de mon entrejambe. Elle remontait ensuite au niveau de mon vente puis au niveau de mon sein droit, puis gauche. Quand je sentis alors la cire chaude s’abattre entre mes seins je compris. La bougie….
Etait-ce ce qu’il avait prévu ou c’est cette coupure de courant dont il s’était inspiré.
Il me voyait sursauter à chaque fois que la cire tombait.
- Tout doux ma belle.
- Je vais encore te recouvrir de rouge. Tu sais que j’aime voir le rouge sur ta peau blanche.
Je sursautais encore et encore. Il jouait de la distance. Parfois la cire était plus chaude, à la limite du supportable parfois plus agréable. Je devinais qu’il observait chacune de mes réactions.
Puis il défit mon bandeau. Il avait allumé plusieurs bougies de partout. Je ne me sentais pas aveuglée. Naturellement je baissais la tête pour voir son œuvre. Il y avait plus de petits points de cire partout.
- Je n’en ai pas fini avec toi.
Il voyait la crainte dans mes yeux. Voir cette flamme danser devant moi et attendre que la cire perle sur mes seins. Il y prenait un malin plaisir. Il ne ratait aucune partie de mon corps.
Je plongea parfois mes yeux dans les siens me faisant implorante.
- Alors ? tu es bien ingrate à nouveau…
- Je tenais à vous remercier pour votre repas… cher Monsieur.
Il avait approcher la bougie très près que je sursautai quand la cire arriva sur mon mont de Venus.
Il Prit ma bouche avec sa main et serra fermement, puis il s’empara de ma bouche pour me voler un baiser sauvage.
Il retourna la paume de mes mains et y installa deux bougeoirs chandelle.
- Voilà à quoi tu vas me servir, tu vas le plus beau chandelier vivant.
J’avais juste envie de lui répondre je ne fis rien. Il avait lu dans mon regard ma défiance. Il souriait de me voir ainsi.
Il partit dans la cuisine et revint avec son repas. Puis il mangea ainsi à la lueur de la bougie. Moi, parfaitement immobile. Je sentais la cire des chandelles s’abattre sur mes mains. Je sentais son admiration, sa fierté.
Une fois qu’il eut terminé il sortit alors le désert glacé qu’ll avait préparé. Je vis qu’il avait également sorti des glaçons.
Il servit la boule de glace pistache sur un cône. Il le tenait à la portée de ma bouche.
- Allez lèche, cela ne va pas être compliquée pour toi. Délecte toi.
Doucement avec ma langue, je léchais, je le provoquais du regard pour le rendre fou, comme si je m’occupais de son membre. Je le voyais saliver. Mon regard se faisait intense et passionnée. Il ne peut s’empêcher alors de venir m’embrasser.
- Hum cette glace est si bonne.
Nous délections avec notre langue cette glace envoûtante.
La bougie fondaient de plus en plus. Il me regardait.
- Tu es si belle. Ton regard me transperce.
Je lui souriais.
- Je vais t’enlever toute cette cire.
Il prit alors un glaçon et le passa en premier lieu sur mes seins. Ils réagissaient immédiatement. De l’autre, il avait pris un couteau pour la retirer. Je sentais le métal caresser ma peau. Le glaçon aidait à ce qu’elle parte facilement. C’était d’un tel érotisme. Je me sentais si femme à cet instant. Il me pénétrait de toute son attention. Ses mains se faisaient douce.
Il me caressait tout en dégageant la cire. Je n’osais plus parler. Nos échanges de regards en disait longuement.
Il me détacha.
- Relève toi.
J’écoutais naturellement.
Il me poussa vers ma table. Mes mains, naturellement s’y posait. Il plaça sa main sur mon cul et ma chatte.
- C’est à moi. A moi.
- Oui.. Monsieur c’est à vous, lui répondais-je en souriant.
Il écarta alors mes fesses. Je le vis saisir un glaçon.
- Il va falloir calmer cette ardeur.
Il plaça le glaçon sur mon auréole. Je sursautais, puis je sentis qu’il le poussait pour que mon petit trou se rafraîchisse.
- Maintenant, au tour de ta petite chatte..
Il commença à en insérer un tout en jouant avec plusieurs doigts à l’intérieur. C’était une sensation sur curieuse. Je mouillais de partout, de la chatte, du cul.
- Ecarte tes jambes.
- Ecarte tes fesses.
Il mis alors deux doigts dans ma chatte, deux autres dans mon cul. Il me pénétra ainsi.
Il me fouilla si profondément.
- Je veux te voir jouir, que tu hurles.
- Allez prends bien ça petite chienne.
Je sentais encore la fraicheur du glaçon dans ma chatte et dans mon cul. L’eau perlait de partout, elle se mêlait à celle qu’il avait fait jailiir.
Il y avait mis une telle intensité. Il avait mis presque une main dans ma chatte tout en me tenant par le cul.
Je hurlais je ne tenais plus de ses assauts au fond de moi. Il me pénétrait si fortement, si fermement.
- Allez jouis !
- Caresse toi.
Je n’arrivais plus à me contenir, je pleurais presque…
Je gémissais si fortement, je râlais longuement…
- Ooohhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
- Oooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
J’étais au bord de la délivrance.
- Tiens ma belle.. prends tout ça… je suis fière de toi. Jouis
J’étais toute contractée. Je sentais cette chaleur dans mon bas ventre. Cette libération. Il m’avait complètement épuisée. Ce jeu m’avait vidée.
Il resta quelque instant avec ses doigts en moi, le temps que je me calme. Il donnait encore quelques coups. Je n’en pouvais plus. Il comprit.
Il les retira.
Il me releva avec douceur. J’entendais les fers à mes chevilles. Je me sentais totalement possédée et libérée. Il nous dirigea vers le canapé. Il s’assit et m’ordonna de poser ma tête sur ses cuisses. Il me cajolait. Il passa ensuite sa soirée à s’occuper de moi avec tendresse.
La tempête grondait, il pleuvait violemment, et lui me berçait… Je fermais les yeux, Morphée me kidnappant.
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« Il faudra que je te rase la tête », lui dis-je en jouant avec ses longs cheveux soyeux, alors qu’elle me pompait goulument. « Quelle drôle d’idée », répondit-elle, après un moment d’hésitation, interrompant ma fellation.
Sans rien dire, je lui remettais mon sexe au fond de la gorge et une fois les couilles vidées, l’emmenais aussitôt à Chateau d’Eau, choisir une perruque.
De retour à l’appartement, nous la sortons de sa boîte et la posons sur son support au milieu de la table du salon. Nous la regardions, tous les deux en silence. Elle dit soudain : « J’aimerais bien te sucer pendant que tu me couperas les cheveux ». Je trouvais l’idée excellente et lui dis d’aller mettre une de ses tenues de soumises. Elle partit en trottinant et revint affublée d’un harnais de cuir noir, qui séparait bien ses seins, avec un collier à clous et un string assortis, des cuissardes noires vernies gainaient ses jambes jusqu’au dessus du genou. Elle avait pris un air triste et résigné à l’idée de perdre sa belle chevelure, pour mon plaisir ! Offrande inestimable !
Je me levais et allais chercher la tondeuse dans la salle de bain. Je retirais le sabot pour une coupe au plus court et retournais au salon.
Elle était affalée dans le canapé, les jambes en l’air, impudique comme à son habitude. Elle se redressa à mon approche et me laissa la place. J’enlevais mon pantalon, m’assis pour qu’elle vienne se nicher entre mes jambes, la tête reposant sur mon bas-ventre, sa place préférée, je crois.
Elle ne tardat pas à entamer une lente fellation. Je poussais le bouton, et le vrombissement de la tondeuse envahit la pièce. A ce bruit, elle devint plus câline, posant sa joue sur ma cuisse tout en gardant mon sexe en bouche, m’offrant ainsi sa tempe, les cheveux rejetés en arrière. Je plaquais la tondeuse contre cette tempe bien tentante et remontais sur le sommet du crâne. Une lourde mèche de cheveux noirs se détacha et tomba sur ma cuisse. Plus de retour en arrière possible maintenant, il fallait finir !
Je partais cette fois-ci du sommet du front et lui fit une large tonsure jusqu’au sommet du crâne. Elle était vraiment risible ainsi. Elle fermait les yeux, et, absorbée par ma queue, me laissait aller et venir dans sa chevelure à ma guise. De lourds paquets de cheveux tombaient à mes pieds. Elle enfouit alors son visage entre mes cuisse, mon gland enfourné jusqu’à la glotte, et m’offrit sa nuque que je m’empressais de dégarnir aussi. Elle s’essuyait le visage de temps en temps mais continuait de m’offrir toutes les facettes de son crâne jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, qu’un fin duvet sombre. J’interrompais sa fellation pour la contempler ainsi, pitoyable et tondue. Je me finis à la main et lui balançais deux giclés de mon sperme, une dans l’oeil, l’autre dans le nez. Elle était tellement ridicule ainsi, que je la giflais.
« Hé ben… t’es chouette comme ça ! Qu’est-ce que va dire ta mère ? », demandais-je.
« Que t’es un salo !. » répondit-elle, l’effrontée.
« Elle le sait déjà, je te rappelles que c’est grâce à elle que je t’ai rencontrée. »
« Je sais bien qu’elle te suce encore, dès que vous pouvez vous retrouver seuls. »
« Tu n’es qu’une sale gamine qui se mêle de ce qui ne la regarde pas ! Nettoie-moi tout ça en désignant ce qui restait de sa belle chevelure. Après, tu iras au coin ! »
Elle revint avec un balai et une pelle et ramassa tout avec soin. Je retournais à la salle de bain ranger la tondeuse et prendre quelques ustensiles. Quand je revenais, elle était au coin, face contre le mur, prête à recevoir sa leçon...
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Vous appelez cela cirer ?
Il me regardait fixement en me serrant la gorge. Il plaçait sous mon nez ses bottes d’équitation.
- Alors ? j’attends vos explications ?
- Je.. commençai-je hésitante, je n’ai pas eu le temps de les cirer, Monsieur.
- C’est bien ce que je constate. Vous savez j’aime que lorsque je vous donne un ordre et que vous vous engagiez à le faire, que ce soit exécutez.
- Oui.. Monsieur.
- Donc, vous savez ce que vous me contraignez à faire ? je crains que vous manquiez de discipline. Nous allons remédier à cela.
Devant moi il mis alors ses bottes.
- Vous allez les nettoyez maintenant.
J’allais chercher avec hâte le nécessaire pour cirer ses bottes. Il s’installa dans son fauteuil chesterfield fétiche. Il tenait dans sa main la cravache. Je savais que j’allais être punie. J’avais fauté. Après tout, j’avais fait exprès. Ma journée avait été pleine de tensions, j’avais besoin de lâcher prise.
Je m’assis devant lui sur mes genoux, la boite de cirage juste à coté. Je commençais ma tâche. Il ne me regardait pas puis quand je jetais un regard furtif, je sentais son intransigeance. Son regard était froid, possessif. Je savais qu’il ne me laisserait rien passer.
- Appliquez-vous mieux que cela, je vous prie.
- Oui.. Monsieur.
- Frottez bien, mieux que cela !
Soudainement il releva mon visage avec le bout de la cravache sur le menton.
- Vous savez que je vais vous punir.
Je le regardais avec une certaine gravité. Je hochais la tête pour lui dire que je comprenais.
- Allez continuez de frotter ! plus fort ! allez.
Je m’attelais à ma tache pour faire briller ses bottes.
- Remontez moi votre robe sur votre cul, écartez moi donc ces jambes.
Avec sa cravache, il savait me faire exécuter ses ordres. Son autorité était naturelle.
- Parfait, je vois que vous n’avez pas de culotte. Maintenant mettez votre chatte sur ma botte que vous venez de nettoyez et faite la luire de votre mouille de petite chienne.
J’obéissais.
- Allez encore ! Voilà c’est bien.
Je baissais la tête. Je savais qu’il ne ratait pas une miette de me voir en train de me masturber sur sa chaussure.
- Je vais vous enseigner de rester à votre place.
Je continuais encore à me déhancher d’avant en arrière sur sa botte, quand il m’ordonna de me reculer.
Il leva sa botte et la regarder.
- Humm voilà c’est presque parfait. Maintenant lécher.
Je m’abaissais lentement.
Il se releva tout en restant assis pour s’avancer vers moi.
- Suffit maintenant vos petites provocations.
Il indiqua de son doigt sa botte. Il me gifla sans trop de force. Il n’aimait pas me faire plier par la force. Bien au contraire. Et c’est ça que j’aimais chez lui. Ce respect que nous avions l’un pour l’autre.
Certain ou certaines pourraient juger cela irrespectueux, mais au fond pourquoi est ce que je ressens ce désir en moi ? faut il en chercher des causes alors que nous sommes en train de nous satisfaire l’un de l’autre.
Je baissais alors le regard et j’avançais ainsi vers le bout de sa botte. Je sortais ma langue et je commençais à lécher avec une certaine délectation comme si je léchais une sucette.
Au bout de quelques instants, après s’être délecter de ce spectacle, il m’ordonna de me releva.
- Venez ici.
J’étais alors sur mes genoux, mon ventre se mit contre sa cuisse ferme et réconfortante. Je sentais sa chaleur comme une étreinte. Il me fit poser mes coudes sur la table basse en bois.
Il releva davantage ma robe légère que je portais. Elle était noire et blanche, avec un col qui se fermait de manière assez stricte. J’étais parfaitement dans le jeu de rôle que nous jouions..
Il commença alors sa fessée. Je sentais sa main forte s’abattre sur mes fesses. Il me parlait.
- Alors pensez vous mériter que je vous punisse.
- Oui.. Monsieur.
- Savez vous que c’est pour votre bien. Je veux que vous gardiez cela à votre esprit. Vous devez chaque jour vous améliorez dans votre tache.
Ses fessées se faisait de plus en plus forte. J’avais de plus en plus chaud. Je gémissais. Il ne s’arrêtait pas. Je gémissais, quand il fessa encore de plus belle.
- Vous pouvez gémir autant que vous voulez. Vous n’avez que ce que vous méritez.
Je contractai mes fesses comme pour atténuer la douleur. Je devinais qu’elles étaient rouges, bien rouge. Marquées en signe de punition pour mes manquements.
Chaque coup de sa main était déterminé et ferme. J’entendais chaque claquement résonner.
- Je n’accepterai plus que vous preniez vos libertés sans demander permission.
- Aller mettez vos mains au sol et posez votre tête dessus.
- Bien. Quelle belle posture.
- Maintenant écartez vos jambes.
- Parfait !
Il caressa alors mes fesses puis les malaxa fortement. Puis il repris de plus belle la belle fessée que je méritais.
- Je crois que chaque jour je devrais vous fesser, pour que vous rougissiez de honte d’avoir été vilaine.
Encore une fois chacun de ses coup de main étaient déterminés. Intérieurement je me demandais comment il faisait pour ne pas avoir la main qui le démangeait à force de me fesser.
Quand il s’arrêta, il se replongea sur son fauteuil et déposa sa botte sur mon dos.
- Voulez vous que je vous laisse encore une dernière chance ? de bien faire ce que je vous demande ? ou dois je bien vous faire comprendre que je serai de plus en plus intransigeant ?
- Alors ? que dois-je faire de vous ?
Je savais que je devais me taire, ne pas répondre.
Je sentis alors la cravache s’abattre sur mes fesses bien rouges tandis qu’il gardait sa botte sur le haut de mes fesses. Puis, quand il s’arrêta, il garda le silence quelques secondes. Il ôta sa jambe puis m’ordonna de me redresser face à lui.
Il dégraffa alors le haut de ma robe afin de me libérer de mon carcan.
Je ne portais pas de soutien gorge. Je savais qu’il aimait voir mes seins pointés à travers le tissu. Et j’assumais cette féminité. La liberté de ne pas en porter.
- Voilà qui est mieux. Hummm… alors ?
Je relevais mes yeux pour le regarder. Il posa sa main sur ma joue comme pour me réconforter.
Mais cela ne fût que d’une courte durer quand il me gifla. Je savais qu’il était sensible à mon regard. Je voulais en jouer pour atténuer la punition que je méritais. Mais quand il était dans son rôle, il ne faisait preuve d’aucune clémence à mon égard.
- Allez redressez votre dos Tenez vous droite. Vos seins doivent être présentables.
Presque froidement, il les admira, les sous-pesa comme pour s’assurer qu’ils tiennent bien. Puis pour être certaine que je sois présentable, comme il le disait, il posa la cravache contre ses cuisses, puis saisit mes tétons et les tira vers lui. Je commençais à râler.
Il me gifla une autre fois.
- Tournez vous d’un quart de tour sur votre gauche.
- Baissez donc votre tête ! arrêter votre arrogance je vous prie.
Je m’exécutai, j’avais juste envie d’obéir, de ne plus penser à rien. J’avoue toute son attention. Il avait j’imagine aussi passer une rude journée. J’étais toujours admirative de sa détermination à tenir ce rôle tout en gardant sa maîtrise. Je ne savais pas s’il y avait un meilleur rôle à tenir le sien ou le mien.
Dans mon cas c’est de lui offrir ma soumission, ma dévotion et toute ma confiance pour qu’il profite de moi, de l’autre, lui devait s’assurer de ma parfaite sécurité, de mes limites, de comprendre chacune de mes réactions et d’avoir cette inventivité et ce contrôle de soi.
Il repris sa cravache pour me caresser alors les seins avec. Il la passa sur ma bouche, ma gorge. Je fermais les yeux, comme pour ne pas voir ce qui allait suivre.
- Ouvrez vos yeux !
Dès que je les ouvris, je sentis la cravache frapper en premier mon sein droit puis gauche. Puis de sa main, il venait me cajoler avec une telle douceur. Cela ne durait que quelques secondes avant de reprendre son envie de me punir et de s’attarder à nouveau sur mes fesses.
- Taisez vous je ne veux rien entendre, sinon je serai contraint de vous bâillonner.
Il semblerait que ce ne soit pas suffisant.
Il plaça alors la cravache dans ma bouche. Et j’entendais à nouveau le claquement de ses mains sur mon fessier bien douloureux.
- Allez à quatre pattes, petite effrontée.
A peine mise à quatre pattes, ses coups de cravache étaient précis.
- Je vous ai donné un travail à faire et vous ne l’avez pas fait. Vous êtes ingrate. Je m’occupe de vous et au lieu de me rendre fière, vous m’obligez à vous corriger.
- Vous voulez me tenir tête, vous allez voir comment je punis les vilaines filles comme vous.
- Ne bougez pas ! je n’en ai pas terminé avec vous.
Je gémissais encore et encore. Il soupirait comme s’il était exaspéré.
- A genoux, le ventre contre vos genoux, mettez vous en boule.
J’ai envie de voir quel repose pied vous faites.
J’avais ma tête sur mes mains. Il me parlait de ce qu’il pouvait faire pour m’éduquer.
- Je vais vous donner une belle correction pour vous faire mieux progresser rapidement.
- Vous êtes bien confortable quand vous êtes à votre place, à mes pieds.
Avec la cravache, il tapa sur le sol pour me montrer comment je devais me mettre. Je me relevais pour faire demi tour,
- restez à quatre pattes, tête au sol.
- Jambes écartées ! Allez plus vite.
- Votre cul est bien rouge, comme le rouge de la honte dont vous devriez être couverte.
Je sentais alors sa main douce me caressa doucement le sexe. J’étais toute trempée. Il me rendait complètement folle. J’aimais sentir ses caresses. Elles étaient un peu comme cette atmosphère après un orage, le relâchement de tensions, une plénitude.
Il s’amusa à écarter mes jambes puis à insérer un doigt dans ma petite chatte. Je commençais à gémir.
- Non vous ne le méritez pas.
Il saisit sa cravache et s’affaira à continuer ma punition. Quelques coups s’abattaient sur ma petite chatte, sans y mettre trop de force. Cela me faisait sursauter. Il savait doser pour me donner cette douleur qui me procurait ce plaisir.
- Maintenant redressez- vous , mettez -vous ici.
- Allez sur les genoux, bien droite.
- Mains dans le dos.
- Plus vite j’ai dit !
- Baissez votre tête !
Il marqua une pause un bref instant et cravacha mes seins par des coups bien fermes et précis. Je gémissais encore voulant me défaire de cette position inconfortable. Quand il reposa sa cravache il posa à nouveau sa main sur ma joue. Je m’aventurai à le regarder, quand il me gifla.
- Embrassez ma main.
J’embrassais alors sa main comme l’adolescente qui avait été prise en faute et qui demandait pardon.
- Pensez vous que je dois reprendre cette leçon combien de fois ?
- Combien de fois faut il pour que vous compreniez ?
- Maintenant vous allez aller dans votre chambre, je ne veux plus vous voir.
Je me relevais pour aller dans ma chambre. Je regardais alors dans le miroir les marques de ma punition. Mes fesses étaient d’un rouge vif, parfois bleutées par endroit. J’avais quelques boursouflures.
Certains ou certaines penseront que j’aime me faire battre, mais il n’en ai rien. C’est un contrôle de soi qui amène à libérer un plaisir. Il y a toujours un dosage aux coups et à la douleur. Ce qui est important c’est notre état d’esprit. Il y aura des personnes qui aiment être énormément marqués, allant à des pratiques qui ne sont pas les miennes. Certaines peuvent être selon moi des déviances. En tout cas chaque chose qui sont faites dans ce genre de relation sont voulus. La communication, le respect et parler de ce qu’on veut et ne veut pas dès le départ sont très importants. Ainsi, un homme à qui j’offre ma soumission ne fera jamais ce que je ne veux pas. Et si cela ne correspond en rien à mes envies, la confiance sera rompue, tout comme la relation. Un homme réellement dominant le sait. Et c’est ce qui en fait la différence avec un dominateur qui prend son plaisir en se fichant de sa partenaire.
Je n’osais pas sortir de la chambre, comme une vilaine fille qui n’a que ce qu’elle mérite. J’allais alors prendre une bonne douche pour ensuite me poser en attendant qu’il vienne. Cette douche me fit le plus grand bien, elle me cajola. Quand je sortis de la douche il était là. A la main, une cagoule. Je devinais alors qu’il n’en avait pas fini avec moi.
Il me saisit alors par les cheveux et me jeta sur le lit. Il me redressa en me tenant par les cheveux puis saisit avec brutalité mes mains. Il s’empressa de me mettre des liens et de les attacher dans mon dos. Fermement. Bien fermement. Puis il me mit cette cagoule sur la tête avec un trou au niveau de ma bouche.
Puis pour parfaire le tout, mis mon collier. Je savais que je serais sa chienne ce soir. Je me sentais complètement désorientée et plus aucun repère. Il me jeta ensuite sur le lit puis s’allongea sur moi. Je tentais de bouger pour me défaire.
Il dit à mon oreille :
- Ta punition est loin d’être finie.
- Ouvre ta bouche.
Il y insérera un écarteur. Il voulait que je reste bien ouverte pour être sa disposition. Ainsi offerte à ses plaisirs.
Je me retrouvais dans la position où j’étais à genoux, le ventre replié vers mes cuisses. IL ne disait aucun mot.
- Prête ma petite chienne ?
Il pénétra alors bien profondément ma chatte. Je ne pouvais dire mot. Ma bouche était grande ouverte. J’émettais juste le son de cette petite chienne qui allait être saillie.
Il saisit alors le haut de la cagoule en empoignant également les cheveux. Il me redressait. Cela me cambrait un peu. Je ne pouvais davantage avec mes problèmes. Mais je savais qu’il voulait me baiser avec frénésie, sans aucun ménagement.
- Regarde toi petite chienne. Tu n’attendais que cela avoue le !
Je sentais son souffle quand il me prenait, chaque coup où ses couilles s’abattaient contre moi. Quand il décidait de se stopper il prenait alors possession de ma bouche. J’étais son objet à disposition. Il pouvait alors faire de moi ce qu’il voulait. Il avait le choix de me prendre par le trou qu’il désirait, la chatte, le cul ou alors ma bouche.
Avec l’écarteur, il ne se gênait pas pour me la mettre bien au fond de la gorge, à m’étouffer. J’étais sa salope. Il maintenait toujours ma tête par le haut de ma cagoule tout en me baisant la bouffe.
Je ne pouvais dire aucun mot, juste quelques sons. Il me baisait si fortement. Il me rejeta sur le lit comme une marionnette et vint cette fois prendre l’assaut à nouveau de ma chatte. Il me mit alors sur mon flanc et remonta mes jambes sur le coté. Il tenait encore ma tête comme pour montrer que j’étais qu’un objet pour le satisfaire.
- Regarde quelle bonne petite salope tu es.
- T’es qu’une putain et tu dois m’honorer avec tous tes petits trous.
- Regarde combien je te bourre ta petite chatte.
Il rejeta ma tête violemment pour se saisir de mon sein gauche. Il le malaxait bien fermement tout en me baisant. Puis parfois il s’agrippait à mes hanches puis revenait me gifler les seins. Une fois il me disait qu’il m’aimait me punir d’être aussi belle.
Il les tenait bien fermement et me pilonnait encore et encore.
- Je sais que tu aimes être ma putain. Regarde toi. Tu es si belle.
Puis il stoppa et me claqua les fesses. Il me laissa ainsi sur le lit. Je perdais la notion du temps.
Je ne sais pas au bout de combien de temps il était revenu. IL m’agrippa par les chevilles pour me tirer au bord du lit. J’avais les pieds au sol. Avec son pieds il me fit écarter les jambes.
C’est là que je sentis la froideur du métal sur mon petit trou. Il le passa sur ma petite chatte.
- Oh comme t’es humide, prête
comme toujours à ce que je t’utilises.
Soudain, je sentis une boule de métal dans ma bouche.
- Regarde ce que je vais mettre dans ton cul de pute.
- J’aime quand tu ne peux rien dire, juste subir.
Quand il le sortit de ma bouche, il s’assit à califourchon sur mon dos. Il écarta bien mes fesses de ses mains…
Je sentais qu’il forçait le passage de la boule pour qu’elle soit aspirée.
Doucement il cédait à cette pression pour qu’elle disparaisse. Il tira ensuite dessus…
- Voilà, tu vas pouvoir être bien tenue. Droite.
Il se dégagea puis accrocha le crochet anal à mes mains liées dans mon dos. Il s’était arrangé pour que je ne puisse plus bouger. Puis pour être certain que je sois bien maintenue, il encorda mes mains à mon collier. IL tira ensuite sur la corde. Cela me faisait me redresser, et je sentais la pression du crochet dans mon petit cul.
Je sentais qu’il s’était levé. Puis il écarta mon cul, j’imagine pour admirer son œuvre.
- Comme tu es belle, exposée ainsi.
Il tapotait légèrement ma fesse gauche.
- T’inquiète pas je vais encore te baiser petite chienne.
Puis il me laissa là. Cette position était un peu inconfortable. Je tentais de me défaire mais rien à faire. Il m’avait attaché bien solidement.
Puis il me donna une fessée pour me stopper dans mon élan.
Il écarta encore mes fesses.
- Je vois que cette situation te plait, tu dégoulines
Il passa avec son sexe sur ma chatte pour le lubrifier.
- Voilà petite salope. Tu as ce que tu mérites.
Je sentais son membre glisser bien au fond de mon con. Je sentais son pouvoir sur moi. Quand il pris la corde qui me tenait mes mains à mon collier, cela me fit me redresser. Il voulait jouer de la contrainte. Le nœud qu’il avait fait m’étranglait un peu. Parfois il relâcha la pression pour me permettre de reprendre mon souffle.
- T’es qu’une salope bonne à baiser.
Je sentais son hardeur à me prendre sauvagement, fermement et bien profondément. Je ne pouvais émettre trop de son. Il me malmenait ce soir. Il tira à nouveau sur ma cagoule. Je gémissais, encore et encore. Il ne cédait rien.
Il avait poser ses mains sur les miennes. Je sentais sa chaleur pendant qu’il me besognait.
Puis il s’arrêta et me délaissa à nouveau.
Quand il revint, il retira alors mon crochet. Il enleva mon écarteur bucal.
Je n’offrais plus aucune résistance. J’étais à ses ordres ou étais ce lui qui était au mien.
- Demande moi de t’enculer.
- Je..
Je reprenais mon souffle, et je desserrai ma mâchoire, qui était restée ouverte si longtemps.
- Alors ?
- Monsieur, je vous en prie, enculez moi.
- Croyez vous que vous méritez que je vous honore de mon membre alors que vous avez été si vilaine ?
- Je vous en prie.. Monsieur.
Il malaxa bien mes petites fesses, puis introduit son pouce dans mon fion.
- Hum, comme il est bien ouvert…
Je me dandinais.
- Je vous en supplie, monsieur, enculez moi.
Il retira son pouce et posa son membre à l’orée de mon auréole
S’il vous plait Monsieur…
- Non, tu ne le mérites pas.
Il me retourna alors brutalement sur le dos, me retourna la tête pour la mettre au bord. Et il me baisa la bouche. J’étais endolori.
Il me tenait la gorge pour qu’elle soit bien au fond. J’étais presque sur le point de vomir tellement il voulait me punir, me faire taire.
Il éjacula sur mes seins.
- Alors?
Il me donna un claque sur la joue..
- Remercie moi!
- Je vous remercie.. Monsieur?
Tu me remercies de quoi?
- Je vous remercie de m'honorer comme vous le faîtes.
- Continue?
- Je vous remercie de m'avoir punie.
Il caressa alors ma joue et me laissa ainsi attachée et souillée.
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j'aimerais ouvrir le débat (tranquille et apaisé) sur l'acronyme "BDSM" qui est généralement utilisé et qui serait les initiales de "Bondage Domination Sado-Masochisme".
Autant Bondage et Domination me convienne parfaitement, beaucoup moins pour Sado-Masochisme.
La suite logique serait de conserver l'acronyme, de modifier le sens des 2 dernières initiales (SM) en leur attribuant d'autres mots.
Pour étayer mon point de vue,:smirk: ci dessous qques extraits d'une page Wiki à ce sujet :
Deleuze voit dans le « retournement en son contraire » et le « retournement contre soi » un « transformisme » dans lequel les pulsions sexuelles sont susceptibles de passer les unes dans les autres. Il s’en étonne car Freud, dit-il, « a vis-à-vis du transformisme en général une attitude extrêmement réservée. »
Sigmund Freud représenterait toutefois une première pierre pour la pensée de Gilles Deleuze. Mais, aux yeux du philosophe, l'association par Freud des deux termes, sadique et masochiste, provoque un « monstre sémiologique » dans le sens où le sadique, celui qui fait souffrir dans l’œuvre de Sade, n'est pas une personne qui pourrait faire partie de l'univers mental du masochiste chez Leopold von Sacher-Masoch. En effet, le sadique (chez Sade) se complaît dans la souffrance de l'autre à condition qu'elle ne soit pas contractuelle « et en jouit d'autant plus que la victime n'est pas consentante », alors que le masochiste (de Leopold von Sacher-Masoch) aime à régler, dans des contrats, les modalités diverses de sa « soumission. » De ce fait, pour Deleuze, sadisme et masochisme sont deux univers différents et ne peuvent être de parfaits contraires, ni avoir une parfaite complémentarité. Le sadisme est un univers de crimes, de ce fait hors consentement ; le masochisme, l'univers du contrat où tout est accepté par le sujet qui éduque son bourreau. Là où le sadique cherche une « possession instituée », le masochiste veut établir une « alliance contractée. » Il précise qu'en cas de rencontre « chacun fuit ou périt».
Pour Deleuze, « À la base de la croyance en l’unité sado-masochiste, n’y a-t-il pas d’abord des équivoques et des facilités déplorables ? »
Jean-Paul Sartre évoque aussi le sadisme et le masochisme séparément. Il écrit que le masochiste, pour satisfaire sa pulsion, fait appel à une femme qu’il paye. Ou alors, il exploite l’amour des femmes, comme le faisait Leopold von Sacher-Masoch. Dans les deux cas la femme « s’éprouve » comme un objet sexuel. Ainsi Jean-Paul Sartre démontre que le masochiste ne s'adresse pas au sadique, mais qu'il éduque un bras armé pour tenir le rôle de dominant dans le monde masochiste.
« En particulier le masochiste qui paye une femme pour qu'elle le fouette, la traite en instrument et, de ce fait, se pose en transcendance par rapport à elle. Ainsi le masochiste finit par traiter l'autre en objet et par le transcender vers sa propre objectivité. On rappelle, par exemple, les tribulations de Leopold von Sacher-Masoch qui, pour se faire mépriser, insulter, réduire à une position humiliante, était contraint d'utiliser le grand amour que les femmes lui portaient, c'est-à-dire d'agir sur elles en tant qu'elles s'éprouvaient comme un objet pour lui… »
Quand Virginie Despentes parle de ses fantasmes de viol, elle est dans l’univers du fantasme masochiste, mais face au vrai viol qu’elle a subi elle dit qu’elle est face à la mort, victime non consentante dans l'univers du sadisme : plus de fantasme, mais la peur de la mort. Si dans le fantasme masochiste, la rêverie, comme le dit Krafft-Ebing, le sadique a sa place, il ne l’a pas dans le passage à l’acte avec le masochiste. Le masochiste cherche celui qui fait semblant et donc un bourreau sous contrat faisant intégralement partie de l’univers masochiste.
Quel est votre point de vue ?:smirk:
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Désolée pour les fautes éventuelles, je suis partie en vacances :).
Chacun a sa vision de son univers sexuel. Jeune je me sentais perdue dans mes ressentis. Un homme un jour a mis des mots sur mes envies et mes désirs. IL me parlait de BDSM. Toutefois Je n'aime pas les cases, je suis libertaire. Pour moi, es sentiments sont vitaux.
Photo personnelle.
J'ai écrit sur différentes musiques, mais j'ai commencé avec Diana Panton, Fly me to the moon... pour vous mettre dans l'ambiance.
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Nous étions sur ce bateau qui nous conduisait au paradis.
Le bleu est ma couleur favorite et ici le camaïeu en était sublime et transparent. J’étais b ercé. J’ai toujours aimé être sur un bateau. Ce sentiment d’être bercée.
Au loin je devinais l’île où nous allions être durant une semaine.
Un petit coin de paradis sur terre. Nous arrivions au ponton.
La chose qui me saisit tout de suite à mon arrivée, c’est l’odeur de l’île. Je n’ai jamais senti à ce point un parfum naturel de fleurs. Une lumière, une atmosphère et l’odeur du bonheur. Je me sentais légère dans cette bulle. Il était là à mes cotés. Il aimait observer mon regard enfantin qui appréciait les choses simples, ce moment présent. J’étais si sensible à mon environnement.
Nous nous dirigions vers la réception de l’hôtel. Il était parfaitement intégré dans la nature. C’était une première pour moi. Passer une semaine sur une île. Nous avions fait le choix de ce lieu car nous sommes passionnés tous les deux de plongées sous-marine. Simplicité, un minimum de confort et surtout pas de télévision ni de piscine. Juste la nature et la mer. Le club de plongée était superbe. A son entrée une immense volière avec deux perroquets. Je n’ai jamais aimé voir des animaux en cage mais ceux là semblait ne pas être malheureux.
C’était notre premier voyage où nous partions si longtemps loin de tout. Je me sentais libre et protéger à ses côtés. Sa bienveillance m’avait appris à prendre confiance en moi.
Il me savait exigeante sur mes attentes, mes envies. J’étais déterminée. Le plus compliquée est l’idéal qu’on se fabrique. Plus on avance en âge et plus il est complexe de rester totalement ouvert. Les sites et les applications de rencontres font que nous avons à notre disposition un vaste catalogue. On regarde, on coche des cases. C’est concurrentiel. Mais si on prenait juste le temps. Le temps d’apprendre à savoir si nos attentes coïncident, à respecter l’autre. Nos choix, notre manière d’être, notre égoïsme a toujours un impact sur l’autre. Lui avait su me donner cette confiance.
J’étais devenue si craintive, presque inaccessible car je n’en pouvais plus de cet empressement, de cet emballement où plus personne de donne réellement de soi. J’avais besoin de sentir cette considération. J’étais à la fois forte et fragile. Forte car la vie nous oblige à ne dépendre de personne. Fragile car j’avais besoin de ces bras qui me disait. Je suis là, tu ne crains rien.
La soumission m’apporte cela. Ce sentiment où je sais que je ne crains rien, où je peux enfin de détacher de ce qui me fait peur. C’est bien plus que des pratiques sexuelles. Celui ou celle qui pensent qu’il suffit juste d’être attachée ou d’obéir. C’est tellement bien plus profond. C’est avoir le choix de se remettre à une confiance ultime, animale, protectrice. C’est en moi, depuis ma plus tendre adolescence. Je n’ai jamais pu mettre de mots sur ce que je ressentais. Je pensai que tout était mal de mes ressentis. A l’époque, internet n’existait pas. Il aura fallu une rencontre pour que je puisse mettre des mots sur mes désirs. Jeune, spontanée et surtout amoureuse, j’ai appris beaucoup de cet homme. La rupture fût brutale et traite. Les sentiments sont une chose qu’ils ne faut pas piétiner. Lui s’en fichait. Avec le temps j’ai compris la différence dans les sentiments. Ce que je prenais pour de l’amour était en fait de l’addiction à lui. Il me rendait folle. J’ai compris plus tard que ce n’était pas de l’amour mais de l’appartenance.
Le temps fît son œuvre. Je décidais de faire ce que l’on attendait de la jeune femme que j’étais. Ce poids sociétal où je devais trouver un petit ami, avoir une vie stable, de rêver à la vie à deux, au mariage, la maison et les enfants. Quelle prison ! Je veux dire par là que rien ne nous empêche tout cela si c’est notre envie, mais combien de personnes restent ensemble car cela est confortable.
J’ai toujours voulu ma liberté d’être avec quelqu’un pour ce qu’il est et de pouvoir partir si nous n’allions plus dans la même direction. Ma vision du couple n’est pas celle de majorité mais j’ai besoin de ressentir que je suis unique à ses yeux. Je désire sa franchise sans concession. Mes choix, ses choix, nos choix. Avec le temps il m’avait apprivoisé.
Certains hommes tentaient de s’intéresser à moi juste pour me posséder comme un trophée sans avoir aucune imagination, ni aucune créativité. J’avais besoin d’être surprise autant que j’aime surprendre mon partenaire. Mais la vie est aussi faite de routine, de besoin d’être seule. Et j’étais mure pour cela aujourd’hui. Le bonheur est le jardin que l’on doit entretenir.
Et là, nous étions là à profiter de cette parenthèse enchantée. Nous avions un petit bungalow en bois qui donnait sur la place sublime de sable blanc. La végétation était si luxuriante, et toujours ce parfum. J’adorais humer les fleurs de tiare.
A peine dans le bungalow, il m’enlaçait la taille en m’embrassant tendrement puis plus fortement. Parfois le loup prenait le dessus quand il m’empoignait par les cheveux pour me saisir ma gorge avec sa bouche, sa langue, ses dents. Je râlais de plaisir. Il aimait jouer de moi car il me laissait là avec ce désir naissant pour aller admirer la plage.
- Viens me dit-il
Il tendait la main vers moi pour que je la saisisse.
Pas besoin de mot, nous nous comprenions.
La nuit commençait à tomber. En sortant de la douche il m’observait.
- Enlève ta serviette.
IL était assis dans ce fauteuil en rotin.
Les cheveux trempés, je le regardais droit dans les yeux. Je dénouais ma serviette.
Il était en train de se caresser.
-Mets toi sur le lit.
J’obeissais.
- Ecarte tes jambes et caresse toi.
Je détestais me caresser devant un homme, et il le savait. Cela me renvoyait à ces histoires banales où les hommes qui avaient pris leur plaisir, pensait qu’une pénétration faisait jouir une femme. Ces hommes qui vous laissent là et qui vous disent… « Caresse toi ».
C’était pour moi le pire. Je me suis souvent caressée, surtout après l’écriture de mes nouvelles où j’étais dans un tel état. Mais certaines femmes comprendront ce que je veux dire.
Je mettais un point d’honneur à voir les aptitudes de l’homme avec qui je serai à prendre réellement le temps de connaître tout ce qui me rendrait folle, à savoir comment me donner du plaisir. Et cela va dans les deux sens.
Tout en le regardant, j’ouvrais mes jambes. Ma chatte était complètement épilée. Je commençais à descendre mes doigts sur mon petit mont de Vénus.
Ma main droite, toujours la main droite. Mon majeur commença d’abord à dessiner le contour de mes lèvres. Je commençais à mouiller. Son regard était pénétrant. J’imaginais que c’était ses doigts.
Imprégnés de mouille, je remontais doucement sur mon clitoris. Il était petit et si sensible. Je faisais des petits cercles circulaires. Je tourbillonnais.
- Pénètre toi avec tes doigts.
Gourmande comme j’étais, je mis trois doigts dans ma chatte qui s’ouvraient naturellement au désir d’être comblée, remplie. Je faisais des va et vient. Cela ne me suffisait pas. J’en rajoutais un quatrième, sans sa permission.
- Petite salope me dit-il.
Je mouillais de plus en plus. Tout mes doigts rentraient comme dans du beurre. J’étais assez étroite.
Il se leva d’un seul coup. Tout en me toisant du regard il mis ses doigts dans ma bouche.
- Ta bouche est aussi faite pour être remplie.
Je baissais les yeux.
- Regarde moi et réponds.
- Oui… Monsieur, ma bouche est faite aussi pour être remplie.
- Descend mon short.
Je descendais son short. Pas besoin de comprendre que son sexe était en érection.
- Branle -moi, tu ne la mérites pas pour le moment.
Je saisis son sexe dans ma main. J’avais tellement envie de le sentir dans ma bouche. J’aimais le lécher, le caresser, le servir, le voir prendre du plaisir.
Il était debout sur le coté du lit. Pendant que je le caressais, il commença à s’intéresser à ma poitrine.
Doucement il saisit mon sein gauche. Des caresses, douces puis plus insistantes, puis il le gifla. Il prit mon téton dans sa main. Je commençais à gémir. Il le pinça de plus en plus fort.
- Il ne pointe pas beaucoup à mon goût.
Il tira alors fortement vers l’avant pour le rendre droit, fier et parfaitement dressé.
Cette douce douleur me rendait folle. Je le regardais dans les yeux.
- Qui t’a dit d’arrêter !
J’avais toujours du mal à me concentrer quand il s’occupait de moi et qu’il me donnait l’ordre de m’occuper de lui.
- Je vais t’éduquer à faire plusieurs choses à la fois, sois en certaine.
Je rougissais. Je me demandais ce qu’il avait en tête. Sa perversité comme la mienne n’avait pas de limite. On pouvait tout se dire sans jugement. L’art d’une véritable relation.
- Ouvre ta bouche et sors ta langue.
- Voilà qui est mieux, petite chienne.
Il repris son sexe en main. Il monta alors sur le lit.
Face à moi, son sexe à ma hauteur, il passait son sexe sur ma langue.
- Lèche ! juste lécher.
Je me délectais de son gland. J’aimais le lécher, l’honorer. C’était si bon. Un pouvoir immense que ma langue a sur lui, au plutôt ma bouche.
Il remonta alors mes cheveux par l’arrière de ma tête . Il s’engouffrait en moi. Il bloqua ainsi ma tête contre sa queue qu’il avait enfoncé profondément en moi. Je voulais déglutir, mais cela ne faisait que le prendre davantage dans ma gorge. C’est là qu’il mis sa main sur ma gorge comme pour m’accompagner à prendre plus, bien au fond.
- Voilà, tout doux petite chienne. C’est bon de te voir t’étouffer avec ma queue.
Puis il ressortit presque sauvagement. Je repris alors ma respiration. Il la replongea à nouveau, puis la ressortit. Il prenait ma bouche comme il aimait prendre ma chatte.
Il tenait ma tête pour qu’elle ne bouge pas. Je sentais la dureté de son membre dans ma bouche. J’aimais quand il était doux et aussi quand il se transformait avec ce animalité qui me consumait.
Je salivais tellement, je mouillais aussi tellement. Je bavais. Il se servait de sa queue pour ramasser la mouille sur mon visage et me caresser avec.
Je voulais prendre sa queue avec mes mains. Il me saisit avec les poignets. Il les plaçait au dessus de ma tête.
- Qui t’a permis? Suce.
Quand il prenait mes poignets ainsi, je me livrais encore plus à lui, ses désirs, les miens. Sa fougue était sans limite. Aucun jugement.
Il appuya sur ma tête pour me faire descendre.
- Allonge toi.
Il s’assit alors sur moi au niveau de la poitrine.
Il m’embrassa sauvagement sur la bouche. Nos langues se mélangeaient d’une passion vorace. Puis il me claqua la joue droite sans que ce soit une gifle. Je me débattais légèrement.
Il bloqua alors mes mains sous ses jambes. J’étais ainsi impuissante.
Il pris alors sa main pour me tenir la bouche. Il serrait.
- Tu vas me laver le sexe .
- Ouvre ta bouche.
Il recommençait alors à prendre l’assaut de ma bouche. Cette fois je me sentais réellement utilisée pour le satisfaire. J’aimais ce sentiment d’abandon.
Il avait placé ses mains sur le mur. J’étais littéralement remplie par son membre.
Quand il s’arrêtait il me regardait pour me faire comprendre que j’étais son esclave sexuel.
Il aimait me mettre sa queue en bouche . A ne plus me faire bouger. Je sentais qu’il aimait cette façon dont je pouvais me débattre pour me défaire de cette étreinte étouffante.
J’étais possédée. Naturellement j’ouvrais ma bouche, je sortais ma langue, comme pour le supplier d’avoir plus. Il s’assit alors sur ma bouche pour que je lui lèche ses couilles. Je les aspirais, les prenais en bouche. Il prenait en main sa queue pendant que je le léchais. Il ondulait son bassin pour que ma langue passe partout. Surtout sur cette partie lisse entre ses couilles et son anus. Cette partie su douce qui le rendait complètement fou. Je le sentais. Je savais qu’il se contenait pour ne pas me montrer l’effet que cela lui faisait. J’adorais justement le faire défaillir. C’était un jeu auquel nous aimions jouer.
Il appuyait alors complètement son anus sur ma bouche. J’avais un goût certain pour la sodomie et j’aimais cette délicate attention alors pourquoi ne le ferai je pas à mon partenaire. Et j’avouais que j’adorais ça, car il aimait ça. Il aimait que ma petite langue aille partout.
- Bonne petite bouche nettoyeuse.
Il jouait encore et encore. Ma langue toujours dehors. Son bassin ondulait. JE me sentais chienne, salope mais au fond, j’assumais juste celle que je suis. J’ai toujours trouvé fou le fait qu’on traite une femme qui s’assume de salope, de chienne.. alors que pour un homme au fond on trouverait cela presque normal.
Une fois qu’il estima que je l’avais bien nettoyé, il se leva. Face à moi au bout du lit, il me regardait. Mon visage était mouillé.
- Allez lève toi, petite paresseuse.
Son regard était presque tendre. J’étais si excitée.
- Tu es en chaleur ! Tu vas te calmer.
Il voulait me frustrer comme il savait si bien le faire.
Il prit alors mes bras pour les maintenir dans mon dos. Il se mit ensuite derrière moi et me poussa contre le bureau de la chambre. Il posa alors mon vendre contre.
- Ecarte ton cul.
J’obtempérai. Je plaçais mes mains de part et d’autres pour exhiber alors mon petit anus. J’avais tellement envie de le sentir en moi. Qu’il me prenne là.
Il mis sa main sur ma tête. Il s’approcha de moi pour me murmurer à l’oreille.
- T’es une bonne petite chienne. Dis le !
- Je suis une bonne petite chienne.
Il me fessa l’entrejambe.
- Je suis une bonne petite chienne.. Monsieur.
- Pardon.. je suis une bonne petite chienne, Monsieur dis-je dans un murmure presque honteux.
Il lécha alors ma joue.
- J’aime te déguster, te sentir, te ressentir.
Il mis alors à hauteur de mon visage un plug
- Regarde ce que j’ai pour ton petit cul. Je veux que tu sois moins étroite. Je veux pouvoir te prendre comme bon me semble sans aucun ménagement.
I- Suce le comme si c’était mon sexe.
Il s’amusait à le mettre dans ma bouche. Et à le ressortir.
Il me redressa.
- Pose le bien droit devant toi. Montre moi comment tu fais bien tes fellations.
Il le tenait avec sa main. Il maintenant parfois ma tête pour que je le prenne bien comme il le faut dans ma bouche.
Puis une fois qu’il estima que j’avais eu assez d’entrainement pour se voir, il le prit dans sa main.
- Regarde toi dans le miroir. Je veux que tu vois ton visage quand tu vas prendre ton plug dans ton petit fion.
Je m’observais. J’étais avec ce regard félin, joueur. Je le regardais.
Lui se concentrait sur mon cul. J’avais mis mes deux mains sur le bureau.
Il mit un doigt dans mon cul, comme pour prendre la température.
Il humidifia à nouveau le plug en le passant sur mes lèvres et mon clitoris.
Il plaça alors le bout à l’orée de mon antre.
- Empale toi dessus, avale le avec ton cul.
Doucement je sentais la largeur du plug me saisir. Il était assez gros. Je sentais mon auréole céder. J’allais à mon rythme.
- Hum j’ai hâte de te baiser après la chatte sachant que ton cul est bourré par ce plug.
Me dit il en me regardant dans le miroir. Je me redressais avec fierté. Je lui souriais, avec cette envie et cette défiance.
- Habile toi maintenant !
Je revêtis alors une robe longue faite de plein de couleurs. Elle avait se décolleté. Je ne portais rien d’autre que cette robe.
Lui portait ce short bleu marine avec son polo blanc. Il avait cette élégance naturelle sans jamais être classique.
Nous nous promenions alors sur le chemin sablonneux de l’ile, pieds nus. Je sentais le plug dans mes fesses. Je me sentais excitée et honteuse de mouiller honteux. Je la sentais couler à travers mon entrejambe.
Notre bungalow était légèrement éloigné du restaurant mais c’était plaisant. Aucune voiture.
En marchant je m’amusais à le narguer. Vu qu’il me rendait folle, je me devais de lui rendre la pareille. Je m’amusais à relever ma robe pour qu’il admire mes fesses tout en marchant. Je voyais son sourire. Il était si bon de ne pas se prendre au sérieux.
La nuit était tombée relativement tôt. Il avait réservé une attention délicate pour moi ce soir. Un repas les pieds dans l’eau.
La lune était pleine, l’océan se parait du reflet scintillent qu’elle provoquait. C’était un spectacle magique. Le repas était à la bougie. Juste le bruit des vagues qui allaient et venaient. L’eau était chaude, c’était si agréable. Je vivais un rêve.
Le repas était divin. Du poisson, quoi de plus frais. Un peu de vin. J’étais frustrée car je voulais lui faire la surprise d’apporter une bouteille de champagne ainsi que mes coupes . Malheureusement aux Maldives il était interdit d’importer de l’alcool. Une grande frustration.
Nous aimions rendre chaque moment unique et magique.
On se dévorait du regard, nous pouvions parler de tous les sujets et surtout de notre passion commune pour la plongée. Nous allions commencer dès le lendemain. Notre première plongée ensemble. Je trépignais d’impatience.
Une fois le repas terminé, il demanda à ce qu’on qu’on nous dérange plus. La table était débarrassée.
C’est à ce moment qu’il se leva. Son regard était brulant. Il me leva de ma chaise. Il m’enlaça fermement.
- Te souviens tu que ce que je t’ai dit tout à l’heure ?
- Humm.. oui…
- Que t’ai-je dit ?
- Que vous vouliez me prendre avec le plug dans mon cul.. Monsieur.
Je souriais.
- Relève ta robe sur ton cul.
- Si tu voyais comme je te vois. La lune laisse deviner l’accès au fruit défendu que tu es. Une posture qui montre que tu es prête à être cueillie.
Je n’en pouvais plus depuis tout à l’heure.
Il me poussa alors le vendre contre la table. J’étais sur la pointe des pieds. Le sable était des plus agréables. Sentir l’eau aller et venir sur mes pieds était terriblement apaisant.
Je sentais son sexe doucement s’introduire dans ma chatte. L’accès était plus difficile. Puis une fois installé dans ma chatte, il voulu rester profondément ancré.
C’était si érotique. Puis il me retourna sur le dos. Cette position était tout aussi érotique. J’avais envie de crier mon plaisir, mais il me baîllonnait avec sa main. Chaque butée provoquait un cri qui partait dans le silence de sa main ferme.
- Tu aimes ça hein ? le cul rempli, la chatte comblée.
- Allez réponds ma belle.
Je hochais la tête par l’affirmative. Il était frénétique. J’avais l’impression que la table allait partir dans le décor. C’est alors qu’il saisit poignets et s’en servit pour bien me prendre, me prendre intensément. Son membre était gonflé par son désir.
- Tu es ma petite chienne.
J’aimais quand il me disait cela. Je devinais son regard dans cette pénombre. Quand il relâchait la pression au niveau de mes poignets, il agrippait mes seins fermement pour ne pas qu’il bouge. Il aimait s’en occuper particulièrement. Juste avant que sa jouissance n’arrive il mettait sa main sur ma gorge pour m’étrangler légèrement. Je sentais ses coups se faire féroces. Ces coups de reins qui font que nous ne sommes plus qu’un.
Je gémissais.
Il me gifla de plus belle. Je mordais mes lèvres pour me taire. Il me baisait fortement autant qu’il me désirait et que je le désirais.
Quand il se redressa au moment de jouir, je le regardais. On aurait dit un kouros. Vigoureux, conquérant.
Nous ne disions plus aucun mot mais il n’y avait rien à dire. Nous étions juste bien.
- Reste ainsi les jambes écartées. J’aime te voir souillée ainsi exposée à la lumière de cette lune.
Il s’approchait son visage de mon sexe. Il regardait son sperme sortir de ma petite chatte.
- Caresse toi.
Je mis mes mains sur mon sexe, doucement sur mon clitoris. Je n’aimais pas le sperme. Il savait pourquoi, mais au fil du temps avec lui je me sentais de plus en plus confiante. Il ne me forçait jamais à faire quelque chose que je ne voulais pas. Il connaissait mes limites.
Il saisit le plug et commença à jouer avec pendant que je me caressais. La chaleur du sperme se mélait à ma mouille. J’inondais.
- Allez écartèle bien ta chatte avec tes doigts.
Lui s’amusait à me pénétrer avec le plug. Ça me rendait folle d’excitation.
- Humm, regarde comme ça rentre, comment ça sort… Bientôt tu resteras avec un petit trou bien ouvert. Regarde ça comme t’es ouverte.
Il aimait observer mon petit trou s’agrandir, se refermer. Puis il remplaçait le plus par ses doigts.
Maintenant, il me pénétrait avec. Il me fouillait pour m’élargir. Je mettais mes doigts dans ma chatte. Je sentais les siens qui étaient dans mon cul de petite chienne.
C’était si intense. Quand je sortis mes doigts de mon con, je les mis sur mon clitoris qui était si gonflé, tout comme mes lèvres. C’est là qu’il profita pour entrer quatre doigts à l’exception de son pouce. IL tournait son main, encore et encore pour que mon cul accepte d’être à disposition autant que ma chatte.
Je fermais les yeux, il me parlait comme je l’aimais.
- Allez petite pute, regarde tu as quatre doigts dans ton petit cul. Dis moi que tu aimes ça.
- Ohhh oui.. j’adore ça, murmurai je.
- Tu es ma petite chienne, abandonne toi. Je veux que tu jouisses pendant que je te baise de mes doigts.
Plus il me parlait plus j’étais folle. Je sentais les contractures se faire intense. Ses doigts qui me prenaient le cul était si intense. Il tenait ma gorge, continuait à me parler à l’oreille comme pour préserver notre jardin secret.
Quand cette vague arriva je commençai à hurler. Il me bâillonnait fermement.
- Allez jouis ma chérie, tu es si belle…
Plusieurs vagues me submergeait. La plus forte a été celle où je sentis mes larmes perler de mes yeux.
Il caressait alors mon visage.
Il m’aidait à me relever. Il saisit ma main.
Il se dirigea dans l’eau. Nous prenions ce bain de minuit.
Nous étions seul, la mer nous berçait. Il me prit alors dans ses bras, l’eau me faisait légère comme une plume. Je me blottissais contre lui. Le temps s’arrêtait…
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Tu me veux nue pour toi.
Totalement nue, physiquement, moralement.
Sans le moindre vêtement, ni sous vêtement.
Parce que le vêtement est une protection, une barrière,
vis à vis des autres, de l’autre.
Une femme nue face à un homme habillé
est en situation de faiblesse,
d’infériorité, de vulnérabilité,
Il y a quelque chose d’humiliant pour elle à se présenter ainsi face à lui.
Mais c’est ainsi que tu me veux.
Pour que je sache que je dois être disponible pour toi.
Toujours.
Pour que tu aies accès à tout moment à toutes les parties de mon corps.
A mon sexe, à mes reins si tu décides de me prendre.
Pour me toucher, me cravacher, m’utiliser, me pénétrer.
Mais tu ne te contentes pas de la nudité du corps.
Tu veux que je m’offre totalement,
corps et âme.
Tu veux tout savoir de moi
de ce que je pense, de ce que je ressens,
de mes craintes, de mes doutes.
Pour que je sois totalement à toi.
_______________
C'est ainsi que je veux m'offrir à toi,
en étant nue pour toi.
Je n’ai pas peur.
Je ne me sens pas humiliée de me présenter ainsi à toi.
Je n’ai pas besoin de protection face à toi.
Parce que c’est toi mon protecteur.
Celui auquel je veux appartenir.
Alors prends moi ainsi.
Nue, entièrement, totalement nue.
Parce que je suis à toi.
Pour toi. A toi.
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Quel rapport avec le bdsm me direz vous ? Aucun sans doute sur le plan des lanières et des coups, par contre sur le plan psy, c'est bien autre chose. La première des dominations se fait en esprit. Le soumis se couche et obéis par une mentale. Il n'est pas besoin de mots.
Je suis contre l'indication des sexes sur nos documents d'identité. Pour une raison simple, je pense que nous sommes tous intersexués. plus ou moins, peu importe puisque nous le sommes tous et que nous avons tous du féminin et du masculin en nous. Si je met le féminin en premier c'est parce que c'est celui ci qui prime dans la nature. Il nous faut les deux, en nous et autour de nous pour être bien. Peu importe ce qui prédomine en nous, ce qui compte c'est de faire circuler ces énergies complémentaires pour y trouver et la force et la paix.
C'est là, dans le grand calme, qu'il me plait de laisser mon esprit aller.
"-va, souffle, Va où il te plait ! Puis reviens me raconter tes merveilleux voyages. "
C'est ainsi que je procède. Je n'ai pas de boule de cristal. Je laisse la femme en moi s'envoler de ses pieds agiles et danser sur les ondes psy.
Accepter l'intersexualité en soi c'est se libérer et donc c'est accepter les dons. La voyance en est un. il ne faut pas en avoir peur. Juste jouer, ne pas se prendre au sérieux. Cela ne convient pas de croire. Il faut au contraire douter de tout ce qu'il nous sera donné de voir.
Etes vous femme? Homme? Je réponds toujours : intersexuelle. Ce qui me fait rire. La femme en moi est une dominante impitoyable. J'adore les voyages astraux. Il est possible d'y pratiquer le bdsm sans limites. Je peux laisser libre tous mes fantasmes et il n'existera jamais aucun code de sécurité pour soumises et soumis. En astral tout n'est pas permis, mais bon, je n'ai pas encore trouvé de limites.
Sortir de son corps. Etre libre ! Les rencontres en astral sont d'une force incroyable. Les relations sexuelles qui vont avec peuvent atteindre une intensité inouïe. L'extase.
L'orgasme en mode astral est un peu semblable à un orgasme en mode tantrique. Il ne faut pas se toucher, c'est tricher. Cela doit monter seul. Une fois l'orgasme enclenché il est multiple, ce sont des vagues qui se suivent. Les rencontres sont directes, l'envie de faire l'amour est partout. L'infidélité n'existe pas.
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Désolée pour les éventuelles fautes, je suis vilaine, je ne me relis pas.. J'écris instantanément.
J'ai écris sur cette musique, donc je vous invite à lire en l'écoutant
NINE INCH NAILS - "CLOSER"
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A peine arrivée chez lui après une longue journée, je n’avais qu’une envie. Me poser. Juste avant de toquer, je me regardais encore dans le miroir afin de paraitre à mon avantage. Mes traits étaient un peu tirés.
Je portais une chemise blanche avec une jupe crayon. J’affectionne particulièrement ce style. J’avais pris soin de mettre des bas couture. J’avais échangé mes chaussures à petits talons contre mes vertigineux Nina Ricci, d’un vernis rouge hypnotisant.
Je sonnais, il ouvrit la porte. Il était encore habillé de son costume bleu marine. Il était si sexy. Je sentais son regard me dévorer tout en étant froid. En voyant la cravache dans sa main, je baissais naturellement les yeux. Nous allions pénétrer dans notre jardin secret où nous sommes complètement à nu.
Le bruit de pas se frayait le chemin dans son antre. Je prenais soin d’avoir la démarche la plus provocante qu’il soit. Je voulais le rendre fou comme il me rendait folle. La sensualité est un art. Je me postais au milieu du salon, les jambes entreouvertes avec mon appui sur la jambe droite, me faisant me déhancher.
C’est là que je sentis la cravache sur ma hanche droite m’indiquant que je devais me tenir droite.
- Voilà qui est mieux ! me dit il.
Il était derrière moi, je sentais son torse contre moi. Mon cœur palpitait, mon souffle l’appelait. Ma tête se glissa en arrière, recherchant son contact. Il passa la cravache alors sur ma gorge. Cela m’électrisait. Mes mains commençaient alors à chercher son contact au niveau de son entrejambe.
J’avais du mal à me contenir. Je me frottais contre lui telle une petite chatte en chaleur. Il plaça alors la cravache dans ma bouche. Il remonta d’un coup brutal ma jupe sur mon fessier.
- Hum ce cul.. une peau si blanche. Je sais que vous aimez rougir.
Je sentis cette vague en moi monter, j’avais envie de serrer fortement mes jambes, de contracter mon sexe. J’avais envie qu’il me prenne là et maintenant.
Il caressa doucement mon fessier. Il écartait ses doigts pour mieux mesurer le galbe de chacune de mes fesses. Il me fessa à travers ma petite culotte. Je sursautais. Il appuya sur ma tête pour la baisser. Il tournait tout autours de moi comme si j’étais sa proie qu’il allait dévorer ou plutôt avec laquelle il allait se délecter.
Il parlait peu. Mes sens étaient complètement en éveil. Le bruit de ses pas. J’aimais fermer mes yeux juste pour ressentir. La privation de la vue a toujours été si excitant me donnant ce sentiment de vivre la liberté de qui je suis.
Je restais ainsi en attente. Je mouillais complètement. Il tira alors sur mes cheveux pour ensuite redresser ma tête.
- Votre collier ma petite chienne.
Il relacha son emprise au niveau de mes cheveux.
- Relevez vos cheveux.
Il passa entre mes bras et ma nuque pour me faire comprendre son statut de petite chienne, et j’adorais ça. Il aimait que je me tienne fière en le portant. Il le serra fortement. Je sentais un léger étranglement si érotique. Je sentais l’odeur du cuir et cette fois ci il le verrouilla un cadenas. Il m’excitant tant. Cette envie qu’il me possède. Ce désir si animal et à la fois si beau.
Il était là en train de me respirer. J’avais toujours la cravache en bouche. Il déposa un baiser si sauvage dans mon cou à la limite de la morsure. Il me léchait. Sa langue était inquisitrice, puissante. Ses dents voulait marquer son désir. Je me contenais. Garder cette frustration. Il m’avait demandé de ne pas me caresser durant une semaine. J’étais dans un tel état.
Alors que je ne m’y attendais pas il claqua mes fesses avec une telle force que j’ai failli en faire tomber la cravache. Il abattit une seconde fessée sur mon postérieur. Il saisit alors ma culotte pour qu’elle se fraye un chemin dans la douce raie de mon cul. Il tira vers le haut. Je sentais la pression du tissu sur mon clitoris. Il s’amusait ainsi à jouer en tenant ma culotte ainsi avec des va et vient.
Mon sexe se consumait, ma mouille devait couler entre mes lèvres.
Tout en tenant ma culotte fermement vers le haut, j’avais la sensation que ce string éphémère était e train de me faire perdre pied. Je me cambrais naturellement. Il passa sa main sur ma chatte.
- Hum ma petite salope, vous êtes si trempée.
IL passa sa main a hauteur de mes yeux.. Ses doigts étaient en effet trempés. Il était devant moi. Son regard plonger dans le mien. C’est là qu’il saisit la cravache de ma bouche.
- Bonne petite gardienne.
Je le regardais fixement, avec cette fierté, cette envie de le provoquer pour qu’il me punisse. J’adorais cela.
Avec le bout de la cravache, il tapotait de chaque coté de mes cuisses pour m’indiquer de les ouvrir davantage. Il glissa alors la cravache sur la culotte au niveau de mon sexe. J’avais envie de me déhancher dessus pour me caresser avec. Totalement impudique, voulant me satisfaire et me libérer de ce désir. Soudainement il me cravacha le sexe. Naturellement j’eusse envie de serrer mes jambes.
- Ecarte !
Je le regardais droit dans les yeux avec cette défiance et ce sourire provoquant.
- E…car…te..
Je m’exécutais et je savais que j’allais me faire punir pour cette audace qu’il aimait tant. Je sentis alors la cravache s’abattre sur mes cuisses. Il jouait alors encore avec ma chatte pour ensuite la punir.
Il alla chercher la laisse qui gisait sur la table.
Naturellement je m’accroupis Il était là à mes côtés. Il me caressait la tête. Je plaquais ma tête contre sa cuisse. Il était d’une telle douceur. Je pouvais me laisser complètement aller. J’étais en confiance car je savais qu’il me considérait et il savait me rassurer. Il posa alors son pouce sur ma bouche pour en dessiner le contour. Il inséra doucement son pouce dans ma bouche. Je le suçais, je m’en délectais. Je voulais aussi lui apporter toute ma dévotion, ma reconnaissance et les sentiments que j’avais à son égard. Je lui offrais ma soumission pour me sentir libre.
Combien il était bon d’être avec un homme qui partageait les mêmes envies que les miennes. Mes envies peuvent s’apparenter à l’univers du BDSM, mais pour autant je déteste les cases. Cet univers peut être peuplé de fantasmeurs, de manipulateurs ou de personnes qui réduisent la domination à de la violence, ou encore à pouvoir faire ce qu’ils veulent d’une femme ou d’un homme, ayant trop regardé peut être des pornos. La soumission se mérite et chacun en a sa définition. Cette mise à nu à tout se dire est la relation la plus intense que je connaisse. Avez-vous déjà vécu une relation où vous êtes simplement vous. Soumise ne veut pas dire qui n’a pas de personnalité, qui ne se respecte pas, bien au contraire, c’est une femme qui s’amuse. Je sais je parle au féminin. Elle demande à l’autre de faire des efforts, de vous connaître. Messieurs, vous pensez réellement que sans savoir prendre le temps de s’intéresser à l’autre vous pouvez tout obtenir de lui ?.
Et là à ce moment ici où il attache la laisse, je suis libre. Je n’ai plus besoin de penser. Il prend les rennes. Quelle libération pour moi. Quel plaisir de marcher à quatre pattes à ses côtés. Il connait tout de moi, ma personnalité, cette femme-enfant, cette femme indépendante et celle qui a envie aussi de se laisser aller à sa perversité.
Il me promenait ainsi jusqu’à sa chambre. Félinement je le suivais et parfois j’aimais résister pour que la laisse se tende.
Arrivés à la chambre, il me plaça devant son lit sur son tapis. Il avait pris soin de mettre une musique des plus excitantes. Nous avions cette passion pour la musique, elle nous met parfois dans un tel état. Certaines musiques sont si sexuelles. Celle-ci me rendait folle.
J'étais là à quatre pattes. Il descendit alors ma culotte sur mes cuisses. Il avait appuyé sur ma tête pour la baisser vers le sol. Il s’était placé au- dessus de moi. Il avait ses jambes de pare et d’autres de ma taille. Il redressa ma jupe complètement sur ma taille. Avec la cravache il appuya sur mon dos afin que je me cambre. Je devinais qu’il regardait mon cul offert à sa vue. Je ne sentais pas le temps passé. Que faisait- il ? que me réservait il ? C’est la que je devinais un paddle long caresser mon fessier..
Il le passait d’une fesse à l’autre. Quand le premier s’abattit, je sentis force et détermination. Le ton était donné. Je savais que je ne devais pas bouger, ni rien dire. J’aimais la fessée mais parfois ses coups étaient si forts que je n’en voulais pas davantage. Parfois je faisais taire la provocation. Il me donnait des coups ferme que j’avais presque envie de me dérober. Il savait me canaliser par des gestes tendres entre pour me soulager pour mieux me punir comme je le méritais.
Quand il s’arrêta, je restais statique. Mon fessier devait être écarlate. La fin donnait place à cette endorphine qui me faisait me sentir bien. Il tournait autours de moi, me laissant ainsi. Puis avec sa main, il m’appuya la tête pour que je la mette au sol.
- Reste ainsi.
Il me fit attendre, comme une bonne chienne attend son maitre. Quand il me laissait ainsi, je savais qu’il pensait à moi et il savait que je pensai à lui. Cette tension était palpable, mon sexe était totalement en attente. Il était en train de défaire ses boutons de manchettes, tout en ôtant sa cravate. Il sortit de la pièce et revint avec un verre de Whisky à la main. Il consultait alors son portable. Je devinais qu’il gardait un œil sur moi. Mon cul surélevé lui donnait le meilleur angle d’observation.
- Tu es divine ainsi. Quelle belles chaussures ! elle te vont à ravir. Je vais prendre un plaisir à m’occuper de toi.
Il prenait son temps, je commençais à être impatiente. Ce n’était pas ma meilleure qualité. Il appuya sa chaussure sur ma tête…
- Prête à être baiser come une petite pute ?
- Je…
Un long soupir s’échappa, oui j’avais envie de cela ! qu’il me libère de cette tension animale.
Il saisit alors la laisse et me redressa. Il était face à moi, il me jeta alors sur le lit. Je tombais sur son bord. Ce sentiment de vulnérabilité me donnait envie de reculer. Je commençais doucement avec mes mains à me mettre vers le milieu de celui-ci. Il plongeait son regard dans le mien. C’était électrique Je le sentais sauvage, possédé, tout comme moi. J’étais panthère.
D’un seul coup il me stoppa dans mon recul. Il écarta mes jambes brutalement. Il me saisit alors sous le genou et me tira violemment à lui. Je me sentais conquise, prête à être possédée avec cette fougue qui l’animait. Mon dos tomba sur le lit soudainement. Lui était au bord du lit entre mes jambes qu’il tenait fermement de ses mains dominantes. Nous nous regardions avec une telle intensité.
Naturellement je lui appartenais, naturellement il me donnait envie de me soumettre. C’était d’une évidence. Cette passion.
Il se pencha alors vers moi Je sentais à travers son pantalon son sexe dressé. Il mis alors sa main sur mon visage pour le caresser puis il passa son pouce sur ma bouche. Elle était complètement asséchée. Il força ma bouche à céder sous sa pression pour qu’elle s’entrouve. Il l’enfonça dans ma bouche. Naturellement je l’ouvrais davantage, je le désirai. Je commençais à me délecter de son pouce. Il saisit alors ma gorge pour maintenir plus de pression. Il s’approcha davantage pour passer sa langue sur ma bouche. Il plongea ses yeux dans mon regard. Je le regardais droit dans les yeux. Il me gifla. Ma tête était partie sur le côté gauche. IL mis sa main sur mon cou, il serra, tout en me léchant la joue, tel un loup qui s’apprête à dévorer le pauvre petit chaperon rouge.
Il se redressa. Il saisit ma chemise et fit sauter les boutons pour me l’arracher. C’était si intense, si excitant. Il voulait libérer mes seins. Il me fixa encore. Il libéra mes seins en les sortant du soutien gorge.
Il les pris alors de ses pleines mains pour les malaxer. Je sentais ses doigts marqués ma peau. Il saisit d’un coup net mes tétons pour les tirer à lui comme il aimait tirer sur ma laisse. Je me redressai alors. Il me gifla pour me faire comprendre que je ne devais pas bouger.
Il avait pris soin de préparer les pinces à tétons que je redoutais tant. J’avais une sensibilité certaine. Il aimait me parer ainsi pour me rendre des plus dociles, sentir la douleur m’exciter.
Il me para également de bracelets en cuir noir à mes chevilles ainsi qu’à mes poignets. Et les attacha ensemble pour avoir un accès total à mon sexe et à mon cul. J’étais là exposée, soumise à ses moindres envies. Il mis sur mes yeux un bandeau également tout en cuir.
Ma poitrine se soulevait. Je ne tenais plus jusqu’au moment où je sentis ses doigts toucher mon clitoris.
- Que tu es trempée, je vais me délecter de ce doux nectar.
Quand sa langue s’abattit sur mon sexe, je soupirais. C’était si bon. Il titillait doucement mon clitoris. Mon sexe était lisse, sans poil, j’aimais sentir ses doigts recouvrir tout mon sexe de ma mouille. Il écartait mes lèvres pour l’aspirer c’était tellement intense. J’avais envie qu’il me possède sur le chant, qu’il me baise comme jamais.
Il savait me rendre folle. Il m’acheva quand il enfonça ses doigts dans ma petite chatte. Il aimait s’y aventurer, me l’écarteler. J’adorais ça. Il y allait en profondeur avec des vas et viens puissants, tout en continuant à me lécher. Je me dandinais comme une bonne petite chienne qui n’attend que d’être prise. Je suffoque de ce désir. Il me fait monter à la limite de la jouissance. Je me contracte, voulant de cette jouissance, mais il arrive à me mettre au bord. Il m’a interdit de jouir.
Pour me faire redescendre il aime continuer à me lécher tout en tirant sur la chaine de mes pinces. Des petits cris de douleurs, de plaisirs s’échappent alors de ma bouche.
J’ai senti qu’il se redressait quand il plaqua sa main sur ma bouche. Il me détacha. Il saisit à nouveau mes jambes pour bien les ramener au bord.
Tout en me regardant il prit la mouille de ma chatte, il se délecta les doigts puis les posa à nouveau à l’orée de mon trou. Il défit son pantalon et sortit son sexe en érection. Il me pénétra ainsi sauvagement.
D’un coup sec. Il me tenait par les cuisses, il était debout. Il prenait ce qui était à lui. De bons coups de queue me transperçaient. Mes seins volaient dans tous les sens. Il me baisait comme une bonne petite putain. Il soulevait soudainement mes jambes pour les mettre contre lui. Je le sentais intensément. Ses coups étaient si fort. Il prenait aussi son temps pour me la mettre dans profond. Quand il saisit mes poignets pour me rapprocher de lui, c’était pour mieux me transpercer.
- Petite putain !
J’aimais quand il m’insultait. Je n’ai jamais compris pourquoi cela me faisait tant d’effet. Mais j’aimais être sa putain. Il faut être femme, amante, maîtresse et putain.
D’un seul coup il me retourna sur le ventre. Il saisit mes poignets et les attacha fermement dans le bain. En me tenant par les coudes, il me prit à nouveau sauvagement. Je le sentais bien au fond de ma chatte. Parfois une douleur venait. Mon utérus rétroversé parfois me donnait quelques douleurs. Mais que j’aimais être possédée ainsi.
Je sentais alors son poids sur moi et il me tenait par la gorge. Je ne pouvais pas me cambrer comme je voulais au niveau de mon dos. Sentir son souffle était si bon. Il m’embrassait l’épaule gauche, il la mordait puis dans une frénésie il appuyait ma tête contre le lit. Et il entamait de me labourer comme il se devait.
C’était si fort que j’en étais arrivée, je le devinais au milieu du lit. J’étais alors allongée sur le ventre. Il se relevait et écarter mes fesses.
- Reste les jambes bien fermées.
- J’ai tellement envie de rendre béante ta petite rondelle ma
chienne. Laisser l’empreinte de ma bite.
Il commença par insérer un premier doigt.. il s’amusait avec son jouet. Il faisait des va et vient. Il aimait ensuite passer sa main sur ma chatte pour s’assurer de bien me lubrifier de partout.
J’étais si trempée.
- Hum j’ai du travail à faire avec ton petit fion pour bien l’écarteler.
Tu es si serré.
Il plaça un doigt de chacune de ses mains pour l’ouvrir. Il voulait l’inspecter, voir ce qu’il pouvait en faire. Puis il remit deux doigts bien fermement. Il commença à nouveau des vas et bien puis à l’élargir.
- Humm tu t’ouvres doucement. J’aurai tant aimé t’enculer comme ça à sec comme une vraie salope.. mais tu n’es pas encore prête.
Cela me vexait mais m’excitait à la fois.
- Je vais te faire porter un rosebud pour ton entrainement anal.
Il me tenait le cou, et il me baisait de ses doigts.
- Tu aimes avoue !
- Oui j’adore… encore…
- Regarde moi comme tu te dandines…
Je voulais davantage. Puis il écarta si fortement mes fesses que j’en eu presque mal. Je sentis alors sa queue au niveau de mon anus.
-Hum si tu voyais comment ton petit orifice cède.. tu sais que tu vas prendre cher. Je ne veux rien entendre. Compris.
- oui…
- Oui qui ?
- Oui.. Monsieur.
Tout en douceur je sentais mon fion cédé. Quand il fut bien en moi, il prit son temps. Puis tout doucement commença à me chevaucher. Il me claquait les fesses. Un son s’échappa de ma bouche. Quand soudainement Il s’allongea sur moi, et mit sa main sur ma bouche pour me faire taire.
Sa frénésie commença, je me débattais pour limiter son assaut. Mes mains dans le dos tentaient de le repousser pour le calmer. Il continuer de me baiser. Quand je sentais ses coups de rein de plus en plus fort, je compris que sa jouissance était proche. Il éjacula. Je n’entendais que son souffle. Ce silence qui parle.
Je sentis alors son poids sur moi. Il s’était complètement relâché.
- Ne bouge pas !
Il resta quelques minutes sur moi. Je sentais son cœur battre. Il était à nu sur moi. Je sentais sa chaleur, il transpirait. Il me caressait doucement les cheveux.
Je sentais sa semence au fond de mon petit cul. J’ai toujours eu un rapport au sperme particulier.
Au bout de quelques minutes il se releva. Il s’absenta. Il était allé se nettoyer. Quand il revint, il caressa mes fesses. Je sentais qu’il m’observait. Peut être regarder il le spectacle du sperme s’écouler de mon petit trou ?.
Soudain, je sentis la chaleur d’un gant de toilettes me laver. C’était si érotique, intime. Quand il eu finit, il me retourna. J’avais toujours mon masque sur les yeux.
C’est là que je lui dis.
- Je ne tiens plus il faut que j’aille faire pipi.
Tout en m’aidant il me releva.
Il me conduisit aux toilettes. Il rabaissa alors la cuvette comme un réel gentleman.
- Détachez moi, s’il vous plait
C’est là qu’il me dit.
- Allez fais tes besoins ma petite chienne, dit il .
Je sentis dans son regard une forme de taquinerie.
Je le regardais un peu gênée mais nous aimions jouer. Nous avions un tel degré d’intimité qu’au fond cela était presque naturel.
Je m’assis alors sur les toilettes pour me soulager.
Quand j’eusse fini il s’approcha de moi. Il saisit le papier toilettes et m’essuya et tira la chasse d’eau. Puis soigneusement il lava ma petite chatte
Il me tira à lui et m’embrasser avec tant de passion.
- Mademoiselle mouille encore..
Nous sortîmes de la salle de bain. Il me poussa alors sur le fauteuil. Il noua mes chevilles à l’assise pour que mes cuisses restent bien ouvertes. C’est là qu’il ôta mon bandeau. Il me regardait avec une telle passion, une telle détermination.
Il mit ses doigts dans ma bouche pour que je les mouille. Puis tout en me regardant, il les mis dans ma chatte. Il le fit avec une telle intensité. IL me tenait bien dressée par le collier.
- Allez ..
- Non… non…
Je voyais qu’il avait mis une serviette au sol, il aimait me rendre fontaine. Ca l’excitait.
- Regarde tout ce que tu mets partout petite chienne
- Tiens ma petite catin.
Fontaine, je l’étais. J’en avais presque honte. Il recommençait, je perdais complètement pied. Il tapait ensuite sur ma petite chatte pour engouffrer à nouveaux ses doigts, il aimait me remplir.
Puis une fois mûre il déposa sa langue sur mon clitoris. Il prenait ma chatte mais aussi mon petit fion.
- Oh oui c’est bon des doigts dans la chatte et dans le cul.. hein ?
- Oui.. c’est… c’est .. si bon.
- Allez jouis ma belle….
Je me sentais au bord du précipice voulant que cela dure et à la fois être soulagée. IL m’acheva. Mon corps tremblait de partout. Je sentis les secousses m’envahir et ce plaisir me faire monter dans les étoiles.
Les larmes commençaient à monter. Tout en me regardant il me détacha les jambes. Il me leva, pris ma place. IL me fit m’asseoir sur lui. Je me lovais contre lui. Tremblante de mon désir, de ma jouissance, d’avoir atteint ce bonheur, ce plaisir. Je me sentais à la fois vulnérable et à la fois protéger contre lui. Je sentais ses bras me tenir fermement et ses mains me caresser.
Au bout de quelques minutes il me releva.
- Viens, viens au chaud.
IL m’invita alors à me mettre sous les draps. J’étais frigorifiée. Il me déshabilla complètement, je me laissais faire, j'en avais envie. C’est là que je me rendis compte que la pluie s’abattait dehors. Complètement heureuse d’être ici. Je m’endormais.
Quand je me réveillais, il m’avait alors enchaînée au lit avec des cadenas…
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On a dit de la vie de Mme de Staël qu'elle constituait le meilleur de ses romans. De fait le rôle qu'elle joue, toute
jeune mariée, dans son salon de la rue du Bac, le rayonnement qu'elle exerce à Coppet, l'exil auquel elle est
contrainte, ses voyages en Allemagne, en Italie et en Russie, sa liaison mouvementée avec Benjamin Constant,
sa fréquentation des plus beaux esprits de l'époque, lui donnent un prestige qui dépasse de beaucoup son œuvre.
Femme de lettres, Madame de Staël est considérée comme une des importatrices du mouvement romantique en
France, avec son défenseur et ami François-René de Chateaubriand. Fille de Necker, la jeune femme reçoit une
excellente éducation et grandit au contact des grands noms de la vie intellectuelle française, ce qui fera d'elle une
femme curieuse, libre et ambitieuse, animée par l'esprit des Lumières. Vivement opposée à Napoléon Ier, Germaine
de Staël passe une grande partie de sa vie en exil, en Suisse notamment, où elle fonde le Groupe de Coppet avec
Benjamin Contant, son amant. Femme forte dont la personnalité marquera profondément les générations suivantes,
Madame de Staël demeure une figure majeure de la littérature française pour son aspiration à un renouveau littéraire.
Née à Paris le 22 avril 1766, Germaine de Staël côtoie dès son enfance les esprits les plus éclairés de son temps
dans le salon de sa mère, Suzanne Curchod. Elle est par ailleurs initiée au jeu du pouvoir par son père, le ministre
des finances Necker. À vingt ans, elle suit la décision de ses parents et épouse le baron de Staël, ambassadeur de
Suède, et entame sa carrière de femme de lettres avec les "Lettres sur J. J. Rousseau." Déçue dans sa vie privée,
prise dans le tourbillon de la vie publique et politique, elle s’éprend du comte de Narbonne, futur ministre de la Guerre.
La naissance de son fils Auguste, en 1790, et les aléas de la carrière de Necker ne l’empêchent pas de regrouper
dans son salon le parti constitutionnel et libéral. En 1792 naît son second fils, Albert, qui mourra dans un duel en
1813. Délaissée par Narbonne, Mme de Staël se lie alors au comte de Ribbing. Après avoir dénoncé le sort fait
à Marie-Antoinette dans "Réflexions sur le procès de la reine", elle théorise sur l’avenir du roman dans "l’Essai sur
les fictions", traduit par Goethe. Perçue comme une dangereuse intrigante par le Comité de salut public, elle quitte
la France pour la Suisse. De sa liaison avec Benjamin Constant naît une fille, Albertine, en 1797. Mme de Staël
espère jouer un rôle politique, mais ses rares rencontres avec Napoléon révèlent qu’il se méfie beaucoup d’elle.
Très tôt, et malgré l'ingratitude d'un physique sans grâce, elle séduit par sa culture, son intelligence et sa conversation.
Bien qu'appartenant traditionnellement à la littérature, le personnage de Mme de Staël déborde des cadres étroits où
l'on voudrait l'enfermer. La plume est pour elle à la fois un moyen et un pis-aller. Par son père, Jacques Necker, l'enfant
connaît surtout la nouvelle puissance de l'argent. Necker, commis de banque devenu associé de ses patrons, fait
fortune et devient ministre. En 1777, il est directeur général des Finances du royaume. Celle qu'on appelle alors Louise
Necker a onze ans. Elle entre précocement dans la vie politique et ne se résignera jamais à l'abandonner, servie et
contrée par l'extraordinaire expansion des affaires françaises à travers toute l'Europe. Portée par les événements, elle
ne les vit pas et cela dès son plus jeune âge, comme devant être subis et croit toujours pouvoir les infléchir.
Elle est attachée aux préoccupations politiques de son temps. Jean-Jacques Rousseau a été son maître. Il reste son
inspirateur et elle lui consacre son premier ouvrage important. Aussi accueille-t-elle avec joie la Révolution. Espère-t-elle
jouer un rôle ? C'est vraisemblable, car elle proposera à Montmorin un plan d'évasion du roi et elle aura suffisamment
d'influence pour faire donner le portefeuille des Relations Extérieures à Talleyrand. Il le paya d'ailleurs de la plus totale
ingratitude, et elle se vengea en le peignant sous les traits d'une vieille dame sèche et égoïste dans Delphine (1802).
À ce jeu, elle risque quelquefois la mort, comme le 3 septembre 1792, et ne cesse jamais de lutter avec les différentes
polices, où elle a cependant des intelligences. De cette lutte, elle n'est victorieuse qu'au prix de péripéties dignes d'un
roman d'espionnage. Mais ses défaites provisoires, elle les transforme en victoires. Lorsque Napoléon l'exile en Suisse,
en 1802, elle fait de Coppet, propriété de son père sur les bords du Léman, le lieu où se crée de toutes pièces un esprit
européen, image qu'elle veut positive des conquêtes négatives de l'Empereur. À partir de là commence une lutte ouverte
entre elle et Napoléon, qui va se répercuter sur sa pensée et ses ouvrages. Il n’aime pas les femmes influentes et craint
une personne très éloquente tenant un salon fréquenté par des gens brillants, haut placés dans son entourage, un salon
où l’on professe des idées qu’il rejette. Il croit trouver la trace de Mme de Staël, non sans raison, dans des groupes
d’opposants, puis dans des conspirations, ce qui est beaucoup moins sûr. Elle sera sans nul doute sa pire ennemie.
Si Mme de Staël connut la gloire de son temps, ce fut d'abord par son œuvre romanesque, avec "Delphine" en 1802, puis
"Corinne", en 1807. Mais elle fut aussi l'auteur d'articles, signés parfois de pseudonymes, et d'essais politiques d'une rare
pénétration à cette époque de la part d'une femme. La plupart ne furent connus qu'après sa mort, comme ses "Réflexions
sur la paix", ses "Considérations sur la Révolution française", ses "Circonstances actuelles". Adepte de la monarchie
constitutionnelle, Mme de Staël, qui élève sa passion de la liberté au-dessus de la forme des régimes constitutionnels, s'est
ralliée à la République après le 9 Thermidor. Pourtant, la situation de Mme de Staël devient intenable. Repoussée par les
républicains, elle se pose en égérie de la monarchie constitutionnelle et s'attire les sarcasmes de la noblesse. Effrayée par
les massacres de septembre 1792, elle fuit Paris pour la Suède, puis rejoint son père à Coppet. Le gouvernement modéré
de 1794 la rassure. Elle revient à Paris et un grand changement s'opère en elle. Sa générosité, son sens élevé de la justice
et sa commisération profonde s'épanouissent. Son salon devient le rendez-vous des mécontents. Le pouvoir s'inquiète,
Bonaparte se méfie. Fouché prévient Mme de Staël qui n'en tient aucun compte. Elle est préoccupée par son livre "De la
littérature considérée dans ses rapports avec les institutions sociales" (1800), qui est unanimement critiqué. Seul
Chateaubriand prend sa défense. De là date leur grande amitié. Les deux écrivains se retrouvent sur tous les autres plans.
La mort de son père interrompt son périple en Allemagne. Elle se rend en Italie avec A. W. Schlegel et, à son retour, Mme
de Staël décline une offre de mariage de Constant. Son deuxième roman à succès, "Corinne" (1808), trace le destin d’une
femme qui tente d’être artiste et amante à la fois et prône la liberté de l’Italie. Elle passe l’hiver de 1808 dans la haute
société viennoise, s’éprend du comte Maurice O’Donnel et fréquente le prince de Ligne, dont elle publie les préfaces.
Revenue en Suisse, elle alterne la rédaction de "De l’Allemagne", œuvre qui ouvre les portes au romantisme en France,
avec celle des pièces de théâtre qu’elle interprète parfois elle-même. Elle tente de se rapprocher de la capitale, mais la
police lui ordonne de rentrer en Suisse et fait détruire les épreuves de "De l’Allemagne" sur l’ordre de Napoléon (1810).
À Genève, Mme de Staël rencontre un sous-lieutenant des hussards, John Rocca, qu’elle épousera secrètement en 1816
après lui avoir donné un fils. En mai 1812, elle s’échappe de Coppet, sa propriété suisse, et se rend alors en Angleterre.
Elle reprend "Dix années d’exil" et commence les "Considérations sur la Révolution française." Mme de Staël traverse
alors une période cruelle. Affectée des mesures prises par Fouché, l'âge l'assombrit. Elle a horreur de vieillir et tout lui
devient âpre. En 1812, elle réussit à s'enfuir à Saint-Pétersbourg, puis en Suède et en Angleterre. Partout, elle tente de
stimuler l'ardeur des ennemis de Napoléon. À Londres, elle rencontre le futur Louis XVIII, en qui elle veut voir l'homme
capable de réaliser la monarchie constitutionnelle dont elle rêve. Mais elle pressent la désastreuse influence que vont
avoir sur le roi les émigrés arrogants: "Ils perdront les Bourbon", dit-elle. De retour à Paris le 30 septembre 1814, elle
se rallie aux Bourbons après les Cent-Jours. Pendant l’hiver 1816, elle fait un dernier voyage en Italie pour marier sa fille.
De retour à Paris, elle meurt le 14 juillet 1817. La mort brutale de Mme de Staël à cinquante et un an, arrête une œuvre
inachevée sur le plan littéraire. Il ne lui a pas été donné de voir les changements maintenant proches de la littérature
française, elle sans qui les choses n’auraient pas été tout à fait ce qu’elles sont. Elle repose conformément à ses vœux
auprès de ses parents dans la chapelle d'un cimetière situé non loin du château de Coppet au bord du Lac Léman.
Bibliographie et références:
- Simone Balayé, "Madame de Staël. Lumières et Liberté"
- Jean-Denis Bredin, "Une singulière famille, les Necker"
- Laurence de Cambronne, "Madame de Staël"
- Ghislain de Diesbach, "Madame de Staël"
- Françoise d'Eaubonnes, "Germaine de Staël"
- Maria Fairweather, "Madame de Staël"
- Henri Guillemin, "Madame de Staël et Napoléon"
- André Lang, "Une vie d'orages, Germaine de Staël"
- Marcel Laurent, "Madame de Staël"
- Georges Solovieff, "Madame de Staël"
- Michel Winock, "Madame de Staël"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Josiane me dit :
— Quelqu'un pourrait arriver, on sera mieux à la maison.
Oui, elle a raison. D'ailleurs, on peut attendre ce soir pour faire monter le désir, qu'ils aient vraiment envie. Je réponds à Josiane :
— Tu as raison. D'ailleurs, j'ai faim... On va manger??
— Oui, j'ai faim aussi.
N° 1 gémit :
— Vous avez promis...
— Ben oui, on fera ça ce soir.
Ils ont un peu le menton qui tremble, comme un bébé juste avant qu'il ne pleure. J'aime bien l'idée de les tenir un tout petit peu par les couilles. Mais, pas de quoi, les faire pleurer?! Je les rassure :
— Ce soir, juré craché.
Les jumeaux sortent de la piscine. Ils ont leurs maillots en forme de tente d'Indien... Josiane se tourne vers les maris en disant :
— Arrêtez de jouer, on s'en va.
On devrait leur acheter des joujoux et un parc?! D'ailleurs, même moi j'imagine parfois des choses... spéciales. Par exemple, Djibril en sultan et moi en esclave, mais moi, c'est normal : je suis une femme et je suis victime de mes hormones... par moment. On se balade dans le village, à la recherche d'un resto sympa. Les jumeaux sont légèrement collants, N° 1 m'a prise par la taille et N° 2 est scotché à Josiane. Vous savez qu'ils sont devenus presque normaux, ces petits?? Cette histoire de syndrome d'Asperger, j'y crois pas des masses. Ils sont bizarres, c'est tout, mais qui ne l'est pas?? Tenez, les maris qui marchent derrière nous : Robert regarde sa femme se faire peloter par son fils, tandis que Julien sucerait ce vieux type qui vient de nous saluer, si je lui disais de le faire. C'est pas bizarre, ça, comme comportement??
On arrive devant un petit restaurant. On s'installe et on commande des tajines de mouton. Je dis au patron qu'on loge chez Djibril, il est aussitôt aux petits soins pour nous. Il est même d'accord pour nous donner du vin, du Boulaouane rosé. C'est Byzance?! Nous laissons même les maris boire. Les jumeaux ne sont pas très à l'aise. D'abord, ils ont peur qu'on change d'avis, genre, avec les femmes, on ne sait jamais... Ensuite, j'ai mis mon pied nu entre les cuisses de mon chouchou N° 1 et je caresse son sexe. J'aime l'idée qu'un homme bande pour moi.
On mange, on boit, les jumeaux bandent... Les maris mangent proprement et en silence, trop contents d’avoir reçu du vin.
Je prends mon dessert préféré : des cornes de gazelles. C'est une pâtisserie qui contient 200 % de miel, c'est délicieux, si on aime ce qui est... sucré.
Robert paie... et on rentre. Deux couples d'amoureux : N° 1 et moi, Josiane et N° 2 et puis deux maris cocus qui suivent... les pauvres?! D'autant qu'au plus ils acceptent d'humiliations, au plus on a envie de leur en faire voir?!
Dès qu'on est à la maison, Josiane me dit :
— Viens dans le jardin, je voudrais te parler.
Allons, bon?! Elle a enfin réalisé que ce qu'elle projetait : se faire baiser pas ses beaux-enfants sous les yeux de leur père qui est aussi son mari, ce n'est vraiment pas convenable. M'en fous, je me ferai sauter par les deux?! N'empêche, j'aurais bien voulu voir ça. En nous voyant aller dans le jardin, les jumeaux font la même tête qu'un tigre à qui on enlève son fourrage... Je veux dire son antilope pubère (elles sont plus tendres).
Dehors, Josiane me prend contre elle pour me dire :
— Ce que je vais te dire va peut-être te choquer, Samia.
Ah ben ça, tu peux y aller ma grande, faudra te lever tôt pour me choquer?! Elle m'explique... et ce qu'elle me dit, ça me troue littéralement le cul, comme on dit à la Cour d'Angleterre. Je vais vous décrire ça. Quoique... je dois quand même vous dire le but que poursuit Josiane. Elle a envie d'un enfant. Donner le sein et changer des couches, ça la branche. Robert en voudrait aussi, mais il est impuissant, ce qui se soigne, et stérile, ce qui ne se soigne pas... Elle n'a pas envie de se faire inséminer par le sperme d'un inconnu qui est peut-être un serial killer, elle aimerait que ça reste dans la famille. En clair, elle voudrait un enfant de ses beaux enfants?! Alors, là, c'est pas le genre de plan qui troue le cul?? Il y a encore un petit plus, elle veut qu'ils l'inséminent tous les deux?! Elle m'explique son plan. Vous allez voir....
On retourne dans la maison et on se déshabille. Le visage des jumeaux s'illumine, ils enlèvent vite leurs pantalons. On a aussitôt chacun le sien à nous embrasser partout. Josiane leur explique :
— Samia et moi, on a envie de se faire baiser à 4 pattes comme des petites chamelles (c'est moins joli, si on dit des dromadaires femelles) alors faites les chameaux, mes chéris.
On se met à 4 pattes et aussitôt, ils nous montent, les chéris. Je dois avouer que ça se fait sans difficulté, parce que Josiane et moi, on est tout sauf des oies blanches (des chamelles, on a dit) et puis on a très envie et nos chattes (décidément, c'est un zoo) s'offriraient aux premiers chacals venus, tellement on est excitées.
Il y a des voyeurs, bien sûr les : les maris. Mais, bon, ils ont été sages, donc on ne les envoie pas se coucher.
Josiane et moi, on s'est dit que les jumeaux n'allaient pas baiser longtemps, en bons puceaux surexcités... Ils le font à toute vitesse... et franchement, c'est très agréable. J'aime me faire enfiler par N° 1. Quand je sens qu'il est prêt de jouir, je lui dis :
— Je veux que tu jouisses dans ma bouche, mon chéri.
Il est surpris, mais du moment qu'il peut jouir, il est d'accord. Je le désarçonne d'un coup de reins. Puis, je me retourne et prends son sexe en bouche. Il aime... Je jette un coup d'œil à N° 2, qui couine un peu. Il va bientôt lâcher un nuage de lait dans le café de sa belle-mère (jolie image, non??). C'est maintenant qu'on va devoir bien s'accorder. Je caresse fermement le sexe de N° 1 tout en le suçant. Voilà, en plusieurs fois, le nuage de lait m'emplit la bouche. J'avale le moins possible, mes joues se gonflent.
Ressemblant à un hamster qui vient de trouver une mine de noisettes, je vais devant Josiane... Vite?! N° 2 ne tient pas plus longtemps que son frère. Dès, qu'elle est remplie, Josiane se dégage et la main en conque sur sa chatte, replie bien ses jambes, les fesses en l'air. Sa chatte est comme un verre qui attend une boisson. À moi de jouer : je colle ma bouche à sa chatte et j'envoie tout le sperme que j'ai.
Je fais un enfant à une femme?! Enfin, peut-être... Le sperme des deux frères se mélange dans sa vulve et ils seront tous les deux le père. C'est dingue, non?? Un jour, je devrai écrire tout ça, je suis sûre que je me ferai des couilles en or avec des poils en platine... ou alors des petits ovaires plaqués cuivre avec 2 poils en fer?! Est-ce que c'est le fait de cracher du sperme dans le vagin de Josiane qui me fait penser à ce genre de conneries?? Non, c'est normal chez moi.
Je regarde Robert en me demandant ce qu'il pense. Il me regarde aussi, justement... intensément. Son regard me met mal à l'aise. Robert, je le sens moyen. Je sais que ce rôle lui plaît, mais j'ai l'impression qu'il pourrait vite en changer. Les jumeaux sont surpris par ce qui se passe. On va leur remettre les idées dans le bon sens c'est-à-dire celui du cul. Mais, d'abord, Josiane, qui est toujours les fesses en l'air, avec le bas ventre plein du cocktail des jumeaux, me fait signe d'approcher. Elle me murmure :
— Merci Samia... Je suis pleine de sperme et en pleine ovulation. Il y a un truc qui va se passer, je le sens. Tu crois que je dois rester longtemps comme ça??
Le truc, c'est un enfant des jumeaux?! Je réponds :
— Je l'ai fait avec plaisir. Reste 10 minutes dans cette position, je vais jouer avec eux.
Eux, ils reprennent du poil de la bête et reviennent me coller. Je leur annonce :
— Je vais vous montrer quelque chose de mignon à faire avec deux frères.
Ils sont partants. Je les fais mettre face à face, légèrement tournés. Ils sont bite à bite. Comme si quelqu'un se mettait face à un miroir. Je me mets à genoux et je prends leurs sexes en main. Je teste d'abord leur degré de tolérance, en frottant les glands l'un contre l'autre. Ils aiment... Je les lèche pour pouvoir ensuite les frotter l'un contre l'autre, puis je les suce en passant de l'un à l'autre, un peu comme si vous achetiez deux cornets de glace à votre femme et qu'elle les lèche ensemble. L'exemple avec votre femme et vos deux meilleurs amis, ça marche aussi.
Josiane descend de son fauteuil pour voir ce qui se passe de plus près. Robert et Julien aussi. On est prêt à passer à d'autres jeux. Comme quoi?? Je sais pas, un truc banal, comme les faire enculer leur père?! Non, N° 1 me dit :
— On voudrait faire quelque chose de spécial avec vous deux.
— D'accord, et toi Josiane, d'accord, aussi??
— ... Euh... pareil.
N° 2 a descendu leur petite radio et il met de la musique douce. N° 1 vient devant moi et se plie en deux en disant :
— Puis-je vous inviter à danser, ravissante demoiselle??
— ...Oui...
J'ai un peu de mal à suivre, là. N° 2 invite Josiane, sa belle-mère, à danser. C'est ça qu'ils appellent "spécial"?? Dans le fond, c'est vrai. Par rapport à notre façon de nous conduire jusqu'à présent, c'est spécial. On danse comme des lycéens dans un bal de province. À part qu'on est nus et que la peau douce de N ° 1 contre la mienne me donne des frissons. Il m'embrasse dans le cou en me disant... des bêtises :
— Tu es belle, Samia. Tu sens bon et j'ai envie de toi....
— Moi aussi... euh... (c'est quoi son prénom, putain?!)
Il sait que je ne le retiens pas, car il me dit :
— C'est Jack, mais tu peux dire N° 1, surtout si je suis le N° 1 dans ton cœur.
Hé, où on va, là?? Est-ce qu'on est soudain dans un de ces romans-photos avec un titre idiot, genre "Le pompier m'a mis le feu au cul." ? Enfin, un titre du genre, mais avec plus de guimauve et de fleurettes. Heureusement, on retourne fissa dans notre univers de chattes humides et de maris cocus, quand N° 1 me dit :
— On aimerait vous sodo... miser?!
Ouf?! Sauvées. Je demande à Josiane :
— Qu'en penses-tu, ma chérie??
— Une bite dans le cul, j'dis pas non. Et toi??
— Pareil.
Vous voyez, on n'est vraiment plus dans les romans-photos qui font mouiller les jeunes filles. On se met à quatre pattes, l'une contre l'autre dans la position que vous connaissez bien ou alors demandez à votre femme comment elle a obtenu son augmentation. D'abord à genoux, puis les deux mains l'une sur l'autre, par terre, avec le front posé dessus. Dans cette position, les fesses se trouvent dans la position idéale. Nos hanches se touchent et en tournant la tête, on se fait un bisou. Josiane leur dit :
— Oubliez pas de cracher sur nos trous du cul, mes chéris.
Encore un super titre pour un roman-photo. Les jumeaux nous crachent effectivement dessus. Comme je suis un peu joueuse, je dis :
— Les maris, sucez la queue de ces jeunes gens pour que ça glisse mieux.
Julien le fait aussitôt et Robert?? Oh oui, il suce la queue de son fils pour que celui-ci puisse plus facilement enculer sa femme. Fini la romance, on est dans le sexe bien trash. Mon vagin et mon cul se relâchent de soulagement. Ça y est, le gland de N° 1 recouvert de la salive de Julien vient me flairer le cul. Faut te décider, bonhomme. Je lui dis :
— Prends-moi par les hanches et encule-moi à fond, mon trésor.
Ouch?! Je le sens bien, là. J'entends Josiane gémir. Ça y est, on les a profondément dans le cul, les jumeaux, et ils nous liment à un bon rythme. Je sens mes seins qui se balancent en cadence... Josiane murmure :
— Samia.
— Oui ma chérie??
— Embrasse-moi.
On mélange nos langues et nos salives. Quand nos lèvres se séparent, elle me murmure :
— Je ferai... nettoyer les... bites par les... maris?!
Oh, putain?! L'image de Robert nettoyant la bite de son fils, c'est la goutte qui me fait jouir... Josiane aussi... Ouch?! Mon vagin se serre, mon cul aussi, emprisonnant la bite de N° 1 dans mon cul. Je le tiens prisonnier, comme un chien dont le nœud distend complètement la vulve de la chienne. Il aime et le dit à son frère :
— Elle me serre trop bien dans son cul, je vais tout lâcher?!
— Moi aussi...
Des jumeaux, quoi. On est performants tous les quatre, on pourrait faire un numéro de music-hall. Josiane lance :
— Les maris, nettoyage?!
Julien, ça ne lui pose pas de problème et il lèche soigneusement le sexe de N° 1 qui vient de sortir du cul de sa femme chérie. Et Robert?? Je regarde : il suce N° 2 et je vois une bosse dans son pantalon. Il bande?! D'après Josiane, ça n'arrive presque jamais. Je dis à Julien :
— OK, c'est propre, maintenant va sucer Robert. Si t'es d'accord, Josiane??
— Bien sûr, ma chérie.
Robert a déjà sorti son sexe de son pantalon et Julien le suce comme la salope qu'elle est devenue, grâce à moi... Ça ne dure pas longtemps et je vois Julien déglutir à plusieurs reprises. Il est bien dressé.
Quel beau dépucelage pour les jumeaux, non??
On est tous fatigués. Les jumeaux veulent dormir avec nous et les maris sur leurs couvertures par terre.
À suivre.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Désolée pour les éventuelles fautes, j'étais en train de prendre la pose.
Après de longs mois de silence, je reprends timidement la plume avec cette envie de douceur.
L'excitation aura eu raison de moi, en prenant une autre direction.. mais reprendre l'écriture après ces épreuves me font du bien.
Pour information : photo personnelle.
Voici les musiques sur lesquelles j'ai écrit :
Levon Minassian - Bab'aziz
The Cinematic Orchestra - Arrival of The Birds & Transformation
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L’automne commençait à s’installer. Le brouillard r endait le paysage comme les toiles impressionnistes où l’on distingue à peine les formes dans le flou des rayons du soleil le transperçant.
La température était fraiche, les couleurs chaudes. Les paysages de la forêt noire sont si sublimes à cette période. Il m’avait convié à une promenade près de Baden Baden où Brahms avait ses habitudes. A l’aube du printemps, les rhododindrons flamboient mais là, en arrivant c’est le feu que je vis.
Il était là devant moi. Son élégance naturelle et ce sourire qu’il avait eu en me voyant arrivé.
- Vous êtes en retard ma chère.
Je souris..
- Oui en effet je le suis mais il parait que c’est ainsi qu’on se fait désirer. Je vous prie tout de même de me pardonner.
- Vous n’êtes pas pardonné me dit il, mais vous êtes resplendissante. J’avais envie de vous faire découvrir ce lieu que j’affectionne particulièrement.
Le parc donnait sur une vieille maison, nous marchions à travers des arbres sublimes. Je m’amusais à jouer des feuilles tout en marchant à ses côtés. J’aimais sentir son bras autours de mes épaules. C’était d’un si doux réconfort, une forme de protection. Nos pas étaient lent. J’aimais poser ma tete contre lui. Me laisser porter tout simplement, me laisser guider.
Ce parc était comme un labyrinthe avec ses terrasses. On devinait les statues qui nous accompagnaient, immobiles tout le long de cette escapade. Je voyais qu’il les regardait avec attention.
Il s’agissait de statues de femmes. Elles représentaient pour moi la femme dans toute sa splendeur et ses imperfections. Une peau lisse mais des formes généreuses. La nudité est presque voilée par la beauté de la pierre.
Je l’observais, son regard était plongé sur cette statue. J’en étais presque jalouse. Il la caressait tant de ses yeux.
- Regardez combien elle est magnifique. Ses seins qui se tiennent ainsi, cette peau blanche qui ne demande qu’à vivre. On dirait qu’elle va presque bouger.
Je l’observais lui puis je vis sa main commencée à caresser la statue. Il commença par toucher sa cuisse avec sa main gantée. Puis d’un geste si sensuel il ôta son gant en me regardant droit dans les yeux. Il lâcha ma main et se rapprocha davantage de cette femme au cœur de pierre.
Il la toucha avec tant de désir pour ôter doucement les feuilles qui avaient décidées de l’habiller.
- Regardez comme elle est belle, douce.. ses seins sont si beaux. Ils tiennent dans ma main, ils pointent.
Je le voyais la déshabiller avec ce regard perçant le mien. J’avais la sensation qu’il me caressait moi…
Je me sentais si désirée à cet instant précis. Je voulais qu’il me caresse moi. Il me torturait délicieusement. Ma poitrine se soulevait d’envie, mes lèvres s’entre-ouvraient. Ma gorge se séchait assoiffée par ce désir brulant, qui faisait mettre la rivière entre mes jambes. Je respirais fortement. Il me regardait et il la caressait avec une telle intensité. Il ne disait plus un seul mot. Je voyais ses doigts, sa main en prendre totalement possession.
Il revint à mes côtés. Plus aucun son sortait de ma bouche si ce n’est des gémissements incontrôlés.
Il me tenait avec fermeté par le cou pour me diriger. Il se montrait quelque peu froid et moi si suppliante qu’il s’occupe de moi comme il l’avait fait avec cette statue. Je me sentais si frustée. Et il le savait. Je devinais son sourire et son regard bienveillant. Pendant le reste de la promenade, nous parlions peu. Nous profitions juste du moment présent.
Doucement nous nous retrouvions à la voiture.
- Vous allez me suivre.
Je hochais la tête pour lui signifier que je l’écoutais. Il empruntait des petites routes non loin de Baden Baden pour se retrouver dans une maison toute cosy dans un style des années 1900. J’étais saisi par la beauté des lieux mais à la fois la simplicité qu’il y régnait.
Pour accepter à cette maison il fallait monter un escalier de pierre dont les marches sont arrondies sur les cotés. Je levais la tête pour l’admirer. Je me tenais par la rambarde en pierre si rugueuse. On devinait l’histoire ici.
Il saisit ma main et m’attira à lui. J’aimais juste sentir le doux parfum qu’il dégageait. Je me sentais si bien à ce moment. Je m’en remettais à lui.
Il ouvrit la porte en fer forgé. Je restais impressionnée par la surprise qu’il me préparait.
Dans cette maison tout était cosy. Le sol avec ce carrelage ancien qui me rappelait celui de chez ma grand-mère. Je retombais presque en enfance. Les souvenirs défilaient. Je le regardais avec intensité.
Il s’aventura devant moi dans une pièce où la cheminée ancienne imposait sa lumière. Le crépitement du feu était une si belle surprise.
Depuis la promenade il avait cette distance, il me touchait très peu.
- Otez moi tous vos vêtements.
- Là ? comme ça ?
- Est-ce un souci pour vous ?
- Non.. je..
- Obéissez.
Doucement je laissais tomber mes vêtements un à un. Je frémissais, je tremblais. Je me réchauffais en frottant mes mains contre mes bras.
- Venez par ici.
Il me conduisait alors dans la salle de bain.
- Douchez vous je vous prie. Je vous inspecterai après.
Il s’était assis sur le fauteuil bergère de la salle de bain. Elle était sublime, tout en noir et blanc.
Il m’observait en train de me laver.
- Lavez vous aussi les cheveux, je vous veux humide.
Je terminais ma douche. Il vint vers moi avec une serviette. Il commença à sécher chacun des parties de mon corps sans aucun ménagement.
- Ecartez vos jambes.
Il passait la serviette sur mon cul et mon sexe.
- Bien. Maintenant, montrez moi vos mains.
Je lui tendais mes mains. Il les pris dans ses mains.
- Otez moi ce vernis ! vous avez tout à votre disposition ici.
JE cherchais alors dans la trousse de toilette le dissolvant ainsi que le coton. Je me demandais où il voulait en venir.
- Faites également la même chose à vos orteils.
J’obtempérai.
- Maintenant mettez ce vernis blanc sur vos ongles. Vous avez 10 min.
Il me laissa ainsi dans la salle de bain à me demander cet hideux vernis blanc. Que lui arrivait il ?
- Avez-vous terminé me dit il ?
- Oui. Monsieur. J’ai terminé.
Il s’était assis à nouveau.
- Montrez moi cela.
- Parfait, vous l’avez très bien posé.
- Tournez vous je vous prie et montrez moi votre cul .
Je sentais le sang monter à mes joues. Je me tournais tout en me penchant. Je sentais alors sa main caresser mes fesses, ses doigts s’arrêter sur mon auréole puis passer sur ma petite chatte.
- Déjà toute trempée…
Il le savait parfaitement
- J’apprécie, vous êtes totalement épilée de partout comme demandé.
- Oui.. Monsieur..
- Suivez moi.
Je m’apprêtais à me saisir du peignoir quand il m’ordonné
- Non laissez ça là.
Je suivais ses pas. La température n’était pas la même. La chair de poule me saisit.
Juste à coté de la cheminée il y avait déposé au sol des draps sur lesquels il y avait une colonne de pierre blanche. C’est alors que je réalisais quel était son dessein.
- Asseyez vous.
Il avait disposé sur la table du maquillage blanc. De la peinture pour le corps.
Il commença d’abord par saisir mon bras. Je sentais la fraicheur de la peinture sur mon corps. J’avais froid. Je tremblais. C’était mes nerfs, mon désir. Chaque fois il me surprenait par son imagination débordante
Il tenait mon bras, je le vis doucement se faire blanc, puis se fut au tour de l’autre bras. Il ne manquait aucun détail. Le sculpteur éphémère.
Doucement je me sentais comme cette statue au parc. Dans l’impossibilité de bouger.
- Mettez vous à quatre pattes et écartez moi bien vos fesses.
Je m’exécutais, à la fois pudique et provocatrice. Je sentais le pinceau passé sur mon cul.
- Vous êtes le plus beau des marbres.. froide et si facile à travailler.
J’aurai pu dire qu’il savait être aussi froid en apparence et si envoutant par son regard.
Une fois qu’il avait peint toute les parties de mon corps, il commença son travail sur mon visage. Mon regard plongea un court instant dans le sien, puis naturellement je le baissais. C’est là qu’il peignit mes paupières, puis mes lèvres, les courbes de mon nez, mes oreilles…
Il posa ses pinceaux et commença a me coiffer négligemment les cheveux en une sorte de queue de cheval. Et mes cheveux noirs se blanchissaient…
Une fois son œuvre réaliser il me talqua tout le corps.
- Levez vous.
Voilà vous allez être la plus belle pièce sculptée. Des mains il me montra alors où je devais être exposée à sa vue.
- Je ne veux plus que vous parliez, vous garderez les yeux fermés. Si je vous vois bouger, je le noterai, ne vous inquiétez pas.
- Maintenant il faut que ma sculpture sache se tenir sur son piédestal. Vous allez vous empaler la - dessus. Je ne veux rien entendre, ni vous voir tressaillir compris.
- Un long soupir s’échappa tout comme un oui à peine audible.
Je sentais le gode froid s’humidifier au contact de ma nouille. Je plaçais mon auréole afin de pouvoir l’installer convenablement. J’y allais avec une certaine douceur. Il était si serré.
Il m’observait en il n’en ratait pas une seule miette.
- Maintenant, mettez vous dans la pose de votre choix. Toutefois je vous veux droite pour mettre en valeur vos magnifiques seins.
Je m’inspirais alors d’une sculpture que j’avais vu au musée du Bargello à Florence, une statue de Giambologna, l’architecture.
Cette position était soutenable, simple et noble.
Je sentais dans mon dos la chaleur de l’être me réconforter. Je sentais aussi le vent de son passage. Je sais qu’il me regardait, m’observait. Je ne bougeais aucunement. Je sentais son souffle s’aventurer près de mon cou.
- Ce qui vous rend trahie belle muse est le sang. Toutefois vous êtes terriblement envoutante, intemporelle. On pourrait vous exhiber à la vue de tous, comme ces statues au Louvre. Vous êtes mon œuvre d’art que je souhaite tant montrer mais que je garde cacher rien que pour moi.
J’avais tant de mal à retenir mon souffle pour garder cette pose. J’étais sous son emprise ou plutôt l’emprise de mon désir. Il me rendait folle tellement tout était simple avec lui et à la fois si unique.
Certain ou certaines ne pourraient pas comprendre, mais chaque moment passé ainsi nous lient davantage l’un à l’autre. Nous nous écoutons, nous sommes nous-mêmes complètement à nu. Pas de jugement, juste l’esthétisme, la beauté, le désir, le partage de l’ivresse de nos sens. Peu importe les jugements, l’essentiel est de vivre ce qui nous fait du bien. Et là, à ce moment là, je suis dans cette bulle enivrante.
Le temps semble si long quand on ne bouge pas, mais il a a cœur de ne pas me laisser m’ennuyer. La musique. Son pouvoir apaisant, relaxant, exitant.. tout est une question d’humeur.
Je sens alors sa main gantée de cuir commencer à me caresser.
- Savez vous combien de fois j’ai eu envie de toucher une sculpture au musée de Louvre, de la posséder rien que pou moi, de la caresser.
Il me survolait de ses mains, je le sentais à peine. Cela me faisait frissonner. Mon cœur palpitait.
- Ne bougez pas ! vous êtes sur le point de succomber. Je vous interdis de succomber. Résister.
- Sentez combien ma main vous désire. Elle effleure chaque parcelle de votre blanche peau.
Il ota son gant comme il l’avait fait au parc. C’est alors que je ressentis l’érotisme poussé à son art. J’avais presque envie de pleurer par tant de sensualité. Il me caressait comme il l’avait caressé. Quand je sentis sa main passée sur mes seins, j’avais tellement envie d’hurler mon désir mais il battait dans mon cœur, intérieurement. Cette frustration terrible me rendait folle.
Quand j’étais prête à être cueillie, je sentis alors ce courant d’air. Il me laissa ainsi. Je ne savais pas où il était, ce qu’il faisait. M’observait il ? s’amusait il de moi ? Je savais qu’il était toujours si bienveillant à mon égard et il savait comment me rendre pleine de désir.
Le feu crépitait toujours, sa chaleur mêler à celle de mon désir rendait ma pose de plus en plus complexe. Je sentais mes muscles s’endolorirent.
Le temps paraissait long. J’entendis alors un peu loin
- Vous savoir empaler sur ce gode me ravit. Ne bougez pas, je ne vous l’ai pas permis.
Je pestai intérieurement.
- Je ne sais pas encore si je vais faire une exposition éphémère. Un nouveau concept. Qu’on vienne vous admirer, vous touchez. Vous seriez l’intriguante de cette soirée. C’est à méditer ne pensez vous pas ?
- A c’est vrai, une statue ne parle pas. Je vous aime bien ainsi.
Le temps ne s’écoulait plus. Je le comptais pour être libérée, qu’il revienne. Son ignorance était feinte et nous le savions tous les deux. Je le maudissais intérieurement. J’allais lui rendre la pareil dès que je pourrais. Lui rendre le désir qu’il me procure. Il est ma drogue.
Je sentis alors ses lèvres se déposer sur mes lèvres. Je compris qu’il était temps d’ouvrir les yeux.
Il les plongea dans les miens. J’étais presque aveuglé, sans repère. La tête qui tournait.
- Ouvrez votre bouche. Restez ainsi.
Ma bouche était si asséchée. Sentir la fraicheur de l’eau se frayer un chemin pour étancher ma soif. Je n’ai jamais été aussi heureuse que de boire de l’eau. Je buvais si fortement que je laissais l’eau perler sur le coté et tomber sur ma cuisse.
- Je vous vous aider à vous relever.
Tout était endolori. L’exercice imposé était si érotique mais si contraignant. Doucement je me levai, le dos douloureux. Le gode se retirait doucement de son antre. J’étais entre le désir, le plaisir et la douleur. Un sentiment si étrange. Il pouvait faire ce qu’il voulait. Je tombais alors dans ses bras telle une poupée. Il m’étreigna fortement.
- Vous avez été sublime. Venez.
Il avait pavé le sol de bougie qui m’indiquait le chemin. Il me guida aussi par ses bras protecteurs. J’étais fatiguée, ma tête se baladait presque. C’est là que je vis alors ce bain qu’il m’avait préparé. Je devinait alors la vapeur qui me faisait penser au brouillard du matin.
Délicatement, il m’aida à entrer dans le bain. Nous ne disions mots. J’étais lasse.
- Détendez-vous maintenant. Je vais m’occuper de vous.
Doucement il mettait de l’eau sur ma peau avec cette petite cruche. C’était si bon . J’étais assise dans la baignoire. La tête sur les genoux. Je savourai ce moment de détente ultime. Je sentais la pulpe de ses doigts insister sur mon corps, il me massa, il me délassait, il me lavait. Quel moment d’abandon.
Je voyais l’eau du bain devenir laiteuse, comme ma peau l’était.
- Profite bien de ton bain. Je ne fais que commencer à m’occuper de toi.
Je fermais les yeux et je sentais alors mes muscles se détendre. Quand l’eau commençait à se faire froide, il rajoutait un peu d’eau chaude. Il nous avait apporté un bon verre de vin. J’étais enivrée.
Il commença par se déshabiller. J’aimais son corps avec ses cicatrices. A mon tour de l’observer.
Il tendit alors sa main et me dit
- Viens.
Je sortis alors du bain. Il prit alors ma main et me poussa vers la douche à l’italienne faite de pierre noire.
Il prit mes mains et les bloqua de pare et d’autre de ma tête contre la pierre.
Je sentis alors la douche d’abattre sur mon dos. Il saisit alors mes seins et les malaxait. Il pris alors mes tétons et les pinça jusqu’à me faire crier.
- Chut… tais toi ma belle statue.
Il tira alors sur ma queue de cheval et ôta l’élastique.
Il me retourna sauvagement pour s’emparer de ma bouche. Je répondais de plus belle à son assaut.
J’aimais sentir sa main sur mon cou, prendre totalement possession de moi. J’aimais qu’il fasse de moi sa chose. Je l’autorisais à faire cela car nous en avions envie tous les deux.
Je sentais son sexe se frayer un chemin pour atteindre mon cul. Je me cambrai. J’étais juste prête à être cueillie. Mon désir était si intense.
- Baisez moi je vous en supplie.. baisez moi.
Il me pris avec tant de vigueur. C’était passionnel. J’avais aussi envie de le mordre, de le griffer. Il me savait panthère. J’aimais qu’il me traite ainsi, tout comme j’aimais le fait qu’il soit aussi doux avec moi après. Il me sodomisait si fortement tout en me tenant bien dressé par le cou. Cet étranglement me faisait ressentir le fait que je lui appartenais et qu’il me possédait.
Les coups de queue qu’il me donnait me rendait folle. Quand il s’arrêta il écarta mes jambes avec ses cuisses. Il fourra alors sa langue sur mon sexe. Il était accroupi. Il écartait bien mes fesses pour se délecter de ma mouille.
J’avais tant de mal à me contenir.
Sa langue me rendait folle surtout quand il me fouillait de plus belle.
Puis il se releva. Ses doigts étaient insérés en moi. Il me doigta avec vigueur. Des vas et vient qui se faisait de plus en plus inquisiteurs.
Je hurlais, mes jambes commençaient à trembler
- Tais toi !
Je pincais alors mes lèvres. Je giclais. Cela se mélangeait à l’eau de la douche qui ruisselaient contre ma peau.
Il me tenait fermement il n’en avait pas fini de me doigter. J’étais transie. Folle. C’est alors qu’il me tenait par les tétons et les pinça fermement.
Il plongea son regard dans le mien. J’avais retrouvé ma peau diaphane. Il me prit alors dans ses bras. Nous sortions de la douche. Cette fois ci il me sécha avec une telle douceur et une telle tendresse.
- Mets toi du rouge à lèvre rouge.
Je m’exécutais.
Emmitouflée dans mon peignoir blanc, je pris alors mon rouge à lèvre. Il me pris à nouveau la main et me dirigea vers une autre pièce.
Je découvris alors une chambre avec un grand lit et à nouveau une cheminée. Quel bonheur. Comment avait il fait pour dénicher cette adresse.
J’étais alors intriguée par l’instrument qu’il avait juste devant le lit. Des barres métalliques.
- Va te reposer maintenant, tu en as besoin. Tu n’as pas fini d’être immobilisée.
Il me laissa seule dans la chambre. Il l’avait fermé à clé. Que me réservait il ?
Je décidai de profiter de ce moment de sérénité et de plénitude.
Je m’endormais d’un sommeil profond. Quand je me réveillais doucement, il était là allongé à coté de moi. Il me regardait, je le regardais on se souriait. J’étais heureuse.
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Charlotte fouilla dans son sac, sans trop savoir ce qu'elle cherchait, sans rien chercher de précis, à vrai dire,
simplement pour s'occuper jusqu'à l'arrivée de Juliette. Elle ne pouvait pas se contenter de rester, là assise,
le regard perdu dans le vide, et elle ne voulait pas non plus jouer à la fille courbée sur elle-même qui pianote
frénétiquement sur son portable. Il y avait bien ces cent premiers feuillets d'un manuscrit que son assistante
lui avait tendu au moment où elle quittait le bureau, mais non, sortir un manuscrit de la maison Gallimard chez
Berthillon à l'heure de prendre une glace, c'était comme lire un scénario chez Miocque à Deauville. Le truc à
ne pas faire. La seule chose dont elle aurait vraiment eu envie, ç'aurait été de poser sur ses oreilles son casque
pour écouter de la musique, afin de ne plus entendre la voix grinçante et aiguë de l'homme, qui, derrière elle,
hurlait dans son téléphone. Si elle avait été seule, ou avec des amies, elle aurait tout simplement demandé à
changer de table, mais Juliette allait arriver d'une minute à l'autre, elle ne voulait pas qu'elle la surprenne à faire
des histoires. Elle connaissait trop ses sautes d'humeur et respectait par dessus-tout la relation SM qui les
unissait. Charlotte avait accepté sans restriction de se soumettre totalement à Juliette. L'anxiété générée par
la perspective de ce déjeuner, combinée au brouhaha incessant de la soirée organisée à l'étage au-dessus
qui s'était prolongée jusque tard dans la nuit, s'était soldée par un manque à gagner sérieux de sommeil.
La séance que lui avait imposée Juliette lui revenait en mémoire par flashes. Elle revivait surtout le moment où
elle avait dû retrousser sa jupe. Dès cet instant, elle avait commencé à éprouver du plaisir. Un plaisir que la
punition face au coin, la culotte baissée, les poses obscènes, et jusqu'à la tentative de viol de Juliette n'avaient
fait qu'accroître. Bien sûr, elle avait eu peur. Bien sûr, elle avait eu honte. Bien sûr, elle avait pleuré. Et pourtant,
le désir l'avait toujours emporté. Elle avait passé plus d'une heure à trouver une tenue sans arriver à se décider.
Toutes celles qu'elle portait d'habitude lui semblaient si classiques. Juliette aimait la provocation jusqu'à oser ce
qu'il y avait de plus sexy ou d'aguicheur. Elle possédait l'art de la composition et savait assortir avec goût les
éléments les plus disparates. Elle osait, au moins elle osait. Elle arriva finalement sans retard à leur rendez-vous.
Elle avait décidé de faire quelques courses en centre ville. Charlotte dévala quatre à quatre les escaliers du glacier.
Raide au volant de sa voiture allemande, Juliette ne lui jeta même pas un regard. Elles roulèrent sans se parler.
Elle conduisait sa voiture à travers la circulation avec son autorité naturelle. À coté d'elle, Charlotte ne savait pas
comment se tenir et gardait le visage tourné vers la vitre. Où allaient-elles ? Juliette n'avait même pas répondu à la
question. Elle flottait entre inquiétude et excitation, ivresse et émoi. À l'extérieur ne défilaient que des silhouettes
floues, échappées d'un mirage. Cette fois, elle savait que l'univers parallèle qu'elle s'était tant de fois décrit en secret
était tout proche, enfin accessible. La réalité peu à peu s'effaçait. À tout moment, elle s'attendait à ce que la main de
Juliette se pose sur sa cuisse. Une main douce glissant sa caresse sur le satin de sa peau. Ou une main dure au
contraire, agrippée à son corps. N'importe quel contact lui aurait plu, mais rien ne passait. Indifférente à la tension
de Charlotte, aux imperceptibles mouvements que faisaient celle-ci pour l'inviter à violer son territoire, à ces cuisses
bronzées que découvraient hardiment une minijupe soigneusement choisie, Juliette ne semblait absorbée que par
les embarras du trafic. Enfin, elle gara sa voiture devant la plus célèbre bijouterie de la ville et fit signe à Charlotte
de descendre. Toujours sans dire un mot, elle la prit par le bras et lui ouvrit la porte du magasin. Comme si on
l'attendait, une vendeuse s'avança vers elle, un plateau de velours noir à la main et leur adressa un sourire un peu
forcé. Sur le plateau étaient alignés deux anneaux d'or qui étincelaient dans la lumière diffuse de la boutique.
- "Ces anneaux d'or sont pour toi, chuchota Juliette à son oreille. Tu seras infibulée. Je veux que tu portes ces
anneaux aux lèvres de ton sexe, aussi longtemps que je le souhaiterai."
Charlotte accueillit cette déclaration avec émotion. Elle savait que dans les coutumes du sadomasochisme, la pose
des anneaux était une sorte de consécration réservée aux esclaves et aux soumises aimées. C'était une sorte de
mariage civil réservé à l'élite d'une religion qui professait l'amour d'une façon peut-être insolite, mais intense. Il lui
tardait à présent d'être infibulée, mais sa Maîtresse décida que la cérémonie n'aurait lieu que deux semaines plus
tard. Cela illustrait parfaitement la personnalité complexe de Juliette. Quand elle accordait un bonheur, elle le lui
faisait longtemps désirer. Le jour tant attendu arriva. On la fit allonger sur une table recouverte d'un tissu en coton
rouge. Dans la situation où elle se trouvait, la couleur donnait une évidente solennité au sacrifice qui allait être
célébré sur cet autel. On lui expliqua que le plus long était de poser les agrafes pour suturer l'épiderme du dessus
et la muqueuse du dessous. Un des lobes de ses lèvres serait percé, dans le milieu de sa longueur et à sa base.
Elle ne serait pas endormie, cela ne durerait pas longtemps, et serait beaucoup moins dur que le fouet. Elle serait
attachée seulement un peu plus que d'habitude. Et puis tout alla très vite, on lui écarta les cuisses, ses poignets
et ses chevilles furent liées aux pieds de la table. On transperça l'un après l'autre le coté gauche et le coté droit de
ses nymphes. Les deux anneaux coulissèrent sans difficulté et la brûlure s'estompa. Charlotte se sentit libérée,
alors même qu'elle venait d'être marquée pour signifier qu'elle appartenait à une seule femme, sa Maîtresse. Alors
Juliette lui prit la main droite et l'embrassa. Elle ferma les yeux pour apprécier plus intensément encore cet instant
de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes, d'émotion, de joie et de fierté. Personne ne pouvait comprendre
l'authenticité de son bonheur. Elles allèrent à La Coupole fêter la cérémonie. Leur entrée dans la brasserie fit
sensation. Juliette la tenait en laisse le plus naturellement du monde. Un serveur apporta une bouteille de Ruinart.
Charlotte sortit de son body transparent les billets qu'elle tendit au garçon littéralement fasciné par le décolleté
qui ne cachait rien de ses seins. Les voisins de table les épiaient plus ou moins discrètement. Ils n'avaient sans
doute jamais vu auparavant une jeune fille tenue en laisse par une femme, attachée au pied de la table, payant
le champagne à ses amis. Elles sortirent d'une façon encore plus spectaculaire. Aussitôt passé le seuil, Juliette
l'obligea à rejoindre, à quatre pattes, la voiture laissée en stationnement juste devant la porte de la brasserie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Changement de lieu, j'ai décidé d'inviter mon maître à rentrer dans mon lieu secret qui est ma chambre.
Chambre, qui est adaptée à des séances BDSM, cette chambre est très particulière car elle est sombre, laisse entrevoir très peu de chose, est éclairée par de simple bougie et aménagée de façon à ce qu'un maître puisse assouvir les envies de son esclave ou de sa soumise.
J'invite donc le Maître a rentrer dans cette chambre. Il me demande si je suis prête à subir tous les sévices que je souhaite depuis un moment.
Il commence à m'attacher les mains, les pieds, me bander les yeux, à mettre le bâillon, les pinces tétons, et là je commence à me dire que ce n'est que le début.
Je sens que le maître a pris possession de mon corps rien qu'à le sentir autour de moi.
Je lui fais comprendre que je suis prête par un signe de la tête. Il commence par inspecter mes orifices, me demande si ces derniers sont propres et vides, je lui réponds que oui excepté ma vessie, ce qui fait qu'il me demande de bien vouloir uriner devant lui, afin qu'il puisse me caresser la chatte avec.
Je m'exécute, je sens sa main faire des va-et-vient sur mon clitoris et et me pénétrer avec quelque chose de froid.
Ne pouvant m'exprimer ayant les yeux bandés je me demande quel objet il a pu introduire en moi. Je sentis que cela vibrer en moi et que c'était à sa demande qu'il pouvait contrôler à distance ce qu'il avait introduit. Il s'agissait de boules de geisha.
Pendant ce temps il avait libre accès à tout mon corps, en profita pour prendre sa badine et commencer à me fouetter avec.
puis voyant que cela ne me faisait aucun effet, il décida de prendre son fouet et de me fouetter avec jusqu'à temps que mon corps ne puisse plus subir cette souffrance.
Ne pouvant m'exprimer oralement je le fais par le biais de mon corps en bougeant pour éviter les coups.
Ceci ne lui plaît guère !.
Pour me punir, il décide alors de prendre un câble , et de me fouetter de plus en plus fort jusqu'à en perdre connaissance. Je résiste malgré ça mais mon corps lâche au bout d'un moment.
Il décide alors d'enlever le bandeau de mes yeux il me demande de le regarder droit dans les yeux.
Il voit la souffrance dans mon regard je vois sa jouissance dans le sien.
Il décide donc de continuer mais cette fois-ci sur mon ventre, sur mes seins, sur mes cuisses, sur mes fesses et afin de savoir si ceci me plaît il décide d'enlever le Bâillon. Il me demande de m'exprimer de dire encore et encore et encore.... en bon esclave je m'exécute sans broncher.
Nous avons décidé d'un safe code comme déjà évoqué entre nous. N'ayant pas utiliser ce code mon cher Maître continue.
Il décide donc de jouer avec les pinces tétons jusqu'à ce que les larmes coulent sur mes joues.
Cela arrive plus vite que je ne le pensais. Le maître me regarda et vit dans mon regard que la souffrance était terrible et que je ne pouvais plus la supporter.
Sa jouissance n'était pas au plus haut niveau, donc il décida de me détacher, m'ordonna de me mettre en position de Nadu, il continua à me fouetter tout en se branlant devant moi, et me demanda d'ouvrir ma bouche afin que je puisse récolter sa semence légèrement en bouche et sur mon visage.
Rien qu'à y penser, sa jouissance arriva très vite et en bonne esclave je le remercia pour ce moment très fort.
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il est 9h00, ce matin là je me connecte comme chaque jour depuis une semaine sur ce site de tchatche avec mon pseudo « x » , je suis devenu accro à ces discussions mème si malgré quelques discussions qui tournent bien souvent autour du sexe , rien de concret .ce jour la je commence à discuter avec une femme dont je ne me souviens plus le pseudo. mais peu importe , le contact est établie et le feeling passait bien .
Cela fait déjà 2 heures que nous discutons par intermittence entre son travail et moi douche etc.
La discussion commence à devenir plus orienté sexe et deviens excitante :
Moi : tu as déjà fait des rencontres ?
V: non mais ça me tente
Moi :que recherches tu ?
V: une excitation nouvelle
Moi acceptes tu que je te pose des questions plus indiscrète ?
V:oui
Moi: mes questions seront très indiscrète !
V: ça ne me gêne pas
Nous démarrons une discussion dans laquelle j’apprend qu’elle n’est pas épanouie sexuellement , et que moi je suis à ce moment là triste dans ma vie sexuelle , quitté depuis quelques moi par une femme dont j’étais fou amoureux m’a fait énormément souffrir , et je souhaite désormais vivre ma vie comme je l’entend sexuellement .
Nous commençons à être excité tous les 2 à discuter comme cela avec nos envies , nos préférences bref , je suis toujours en peignoir , il est presque midi et j’ai une forte érection , tout en discutant je commence à me masturber , et pris dans un jeu d’excitation , je lui demande dans quelle coin de la ville , elle travaille , coïncidence ou Hazard , elle bosse à mois de 2 kilomètres de ou j’habite .
Moi:je te lance un défi , si tu viens me voir , je t’accueille nu en peignoir ce midi
V: j’adore l’idée mais si je viens je pourrais toucher ta queue
Moi : viens et tu le sauras
Quelques minutes s’écoulent , je me dis qu’elle va se déconnecter et que c’était juste un délire virtuel , comme bien souvent sur ces sites ou des hommes se cachent sous des pseudos de femmes .
V: j’arrive
Moi :ok
Entre excitation et méfiance je sais qu’il ne faut pas longtemps pour qu’elle arrive , je regarde à travers ma fenêtre si une voiture arrive , soudain effectivement une voiture tourne dans le parking de ma résidence .c’est elle
Une jeune Femme cheveux court et avec des formes , de jolies seins qui sur le moment je ne remarque pas trop tant la situation est irréel et excitante .
Elle frappe à ma porte , j’ouvre , on se met à rigoler de la situation et elle rentre
Moi : tu as vu j’ai relevé le défi
V:oui je vois et j’ai l’impression que tu es en forme !!!
Moi : oui
Nous bavardons de banalités , comme si chacun n’osait pas franchir le cap ,
V : tu sais j’ai peu de temps ce midi
Je m’approche et je commence à l’embrasser et mes mains caresser sa poitrine à travers son chemisier , belle et généreuse poitrine , j’ouvre le chemisier pour mieux la caresser , mes mains passent sous le soutien gorge et je sens sous mes doigts ces tétons qui sont dures et sa poitrine bien ferme est un délice et réclament ma langue et ma bouche , chaque fois que je mordille ces tétons elle se cabre , elle gémit et la complicité que vous avions eu en discutant se vérifie en réel .
Je suis excité , ma queue bien raide , j’ai qu’un souhait sentir ces mains sur ma queue et sa bouche ,mais je savais suite à notre dialogue qu’elle n’aimait pas faire de fellation , mais elle bascule la tête en arrière et me tient la tête pour que lèche bien ces seins
V: oui vas y suce moi les tétons , j’adore
Moi: hummm j’adore ça aussi coquine tu va être gâté
Bien vite la température monte entre nous et je glisse ma main entre ces jambes , elle n’oppose aucune résistance , bien au contraire elle écarte ces cuisses , j’introduis un doigt dans sa ptite chatte et , elle mouille , ondule ,
Et gémit à chaque mouvement de mes doigts , plus je la caresse plus elle mouille , gémit , serre desserre les cuisses , son sexe est tout lisse , après quelques temps à la caresser , il faut se rendre à l’évidence que nous avions perdu trop de temps à discuter ensemble , et qu’il fallait qu’elle reparte travailler , mais à ma grande surprise , alors que je la raccompagne à ma porte elle ouvre mon peignoir
V: hummm belle queue !!!et en grande forme
Elle la prend dans ces mains et de manière frénétique et rapide elle me masturbe , je sent l’explosion au plus proche , je retire ces mains et je lui dit de manière taquine
Moi : connecte toi à ton boulot et je te lancerais un défi si tu as envie !
V: ok dit elle en me caressant les couilles , m’embrasse et me dit avec un petit sourire
V: j’ai adoré et tu est très doué avec tes doigts , j’imagine qu’avec ta langue ...
Après un baiser rapide et discret , elle remonte dans sa voiture et repart .
A peine la porte refermé , j’ai une envie folle de me faire jouir en me masturbant mais , j’ai une idée en tête et , pour me calmer , je referme mon peignoir et me dirige pour faire la vaisselle(lol) , mais l’excitation a du mal à redescendre jusqu’à me faire mal à la queue à être en erection depuis quelques heures .
Après un repas rapidement avalé , je me reconnecte en espérant bien sûr revoir V connectée
A mon grand plaisir elle est présente
Moi : tu as aimé ?
V: oh que oui mais suis grave excité et je me suis caressé dans les toilettes de mon travail
Moi : ah oui coquine ,et moi mon réception ne retombe pas
V: ah ok , tu sais je me suis dit je tu allais te masturber après mon départ mais je vois que tu résistes
Moi : j’ai failli ...
V : tu aurais dû et me raconter si je t’avais bien excité et si ta jouissance était belle
Moi: oui l’idée est intéressante mais je te propose plutôt de venir le faire ?
V: quand ?
Moi : après ton taf , tu repasses , je laisse la porte ouverte , je serais allongé dans mon canapé nue , tu me masturbe à la vitesse que tu veux , tu me fais jouir et tu repars
Qu’en penses tu?
V :idée est excitante mais j’ai pas trop le temps et j’ai rien en retour ?
Et voilà nous sommes reparties à discuter et nous exciter de plus belle pendant toute l’après midi , bientôt 16h
V: je vais devoir partir
Moi : tu passes ?
V: je sais pas j’ai pas trop le temps
Moi : je t’attends , c’est toi qui voit
V: ok à tout à l’heure ou demain sur le site je file
Je me déconnecte à mon tour , je suis excité mais je suis convaincu qu’elle ne passera pas mais malgré tout je regarde quand même à la fenêtre , je bande encore plus fort et derrière ma fenêtre je me caresse en espérant la voir arrivée .
Le temps semble suspendu , et puis soudain sa voiture rentre dans la résidence .
Je déverrouille ma porte , je m’allonge sur le canapé et je tiens mon sexe entre mes mains en érection
Je l’entend arriver , elle ouvre la porte comme nous avions discuté
V: hummm tu es prêt pour moi mon coquin , montre moi ta queue. , tu es excité à ce que je vois
Moi: elle t’attend masturbe moi joue avec elle est à toi !!
V: oui mais avant lèche moi fais moi voir ce que tu sais faire avec ta langue , fais moi jouir j’ai peu de temps
Elle place son sexe sur ma bouche , ma langue n’attendais que ça , l’odeur de son sexe m’enivre ,ces petites lèvres gonflées pleins d’envie m’excite , elle s’allonge sur moi pour me masturber. Elle sert fort mon membre , chaque coup de langue que je lui fait , elle sert plus fort ma queue e me masturbe plus vite .elle mouille de plus belle , encore mieux et plus que le matin , je joue de ma langue , de mes doigts , j’introduis dans sa fente humide ,un puis deux puis trois doigts mes va et vient rapide l’excite de plus en plus ces gémissements sont continu , de nouveau je titille son clitoridien avec ma langue , elle gémit encore plus fort et son odeur , son goût m’excite de plus en plus , elle me l’avait confier dans nos dialogues qu’elle pouvait jouir très vite si l’excitation était haute, effectivement je l’entend gémir de plaisir rapidement et je la ressent au bord de la jouissance intense ce qui m’excite encore plus je multiplie mes coup de langue Mes doigts s’agitent en elle
V:humm c’est bon je joui mon cochon , a toi vas y crache ta semence .
dans une énergie débordante elle entreprend et imprime une masturbation rapide sur ma queue dure et dressé gorgé de sang , qui ne laisse pas le temps de me retenir , très vite un jet énorme jailli de ma queue et s’étale sur mon torse puis un deuxième , elle reprend de plus belle la masturbation et un dernier jet jailli ,
V: ah oui quelle jouissance effectivement , j’adore mon obsédé préféré.
Nous restons quelques minutes à sourire et récupérer de cette intensité sexuel .
Le calme revient doucement et après quelques banalités , elle doit vite partir
Notre complicité coquine venait de débuter .
Quelques jours passèrent sans aucun contact car j’avais repris le travail , un midi je trouve le temps de me connecter , je la voit , j’entame la discussion et comme si de rien n’était nous repartons à papoter , nous reparlons notre première rencontre sexe .c’etait la première pour chacun de nous .
On établissait des règles de rencontre
Chacun était libre , aucun compte à rendre
On se racontait tout , nos envies , nos vidéos x qui nous excitait, nos caresses.
Pas de rdv précis ça devait se faire selon les envies et excitation de chacun .
Au fur à mesure de nos rdv je l’initiais a l’art de la fellation et plus nous avancions dans le temps plus elle prenait du plaisir et puis un jour , elle me dit :
V: je vais venir à ma coupure de midi , je veux que tu sois debout dans le salon , je vais arriver me mettre à tes pieds et te sucer jusqu’à la jouissance mon pti cochon
Moi :chiche
Autant dire que dès midi je filais rapidement chez moi .qui était à 10min de mon travail de l’époque
Déjà en voiture je bandais , j’étais excité , je me garais rapidement et montait me préparer ou du moins me mettre à poil
J’étais tout juste déshabillé que j’entendis frapper à ma porte.
C’était elle ou pas ?
Par mesure de sécurité et pour éviter de recevoir un inconnue à poil , je regardais par l’œilleton.
V: c’est moi
Moi :entre c’est ouvert
A peine la porte refermé je pensais qu’elle se jetterais comme prévu entre mes cuisses pour me prendre en bouche mais qu’elle ne fut pas ma surprise
Elle ouvrit son manteau et je l’a découvre totalement nue , et elle me glisse à l’oreille
V:mets toi entre mes jambes , lèche moi mon cochon
Elle me pris la queue dans ces mains et nous sommes allez dans le salon
Je la plaçais dos au mur et je me mis à genoux et je commençais mes caresses , ces mains impliquait de forte pression sur ma tête pour enfoncer ma langue encore plus dans son sexe , lèvres prête à m’accueillir bien humide , elle prenait du plaisir que j’entendais , et qui ne faisait que m’excité encore plus , et je mettais encore plus d’intensité dans mes caresses !!du bout de ma langue je titillais son clitoridien gonflé , je dégustais son nectar de plaisir
Elle jouissait une première fois debout jambes écartées
V: allonge toi sur le canapé je veux sentir ta queue dans ma bouche !
Elle se mit dans une énergie et intensité à me procurer une fellation de haute voltige ,bouche serré elle faisait des allé retour , elle léchait mon gland , caressait avec ces doigts mes couilles, depuis ces débuts a maintenant , tout avait changer , désormais elle prenait beaucoup de plaisir à sucer ma queue lécher mes couilles , je voulais a mon tour de nouveau la lécher , caresser les seins ,
Ils étaient très réceptifs à ma langue , je les mordillait mordillait , malaxait , suçait bref , un plaisir énorme m’enivrait
Ne voulant pas avoir un plaisir égoïste , je lui demandais de se retourner. En 69 chacun de nous s’occupait de l’autre , je la léchait de nouveau , elle mouillait toujours autant , son goût était divin , son nectar m’excitait ,
Elle mettait beaucoup d’intensité et je dû me rendre à l’évidence que j’allais éjaculer d’ici peu
Moi: je vais jouir retire ta bouche , je veux jouir sur tes seins
V: non !! vas y mon cochon crache moi dessus , vas y jouis comme moi ton jus salop !!!
Une éjaculation intense parti de mon sexe qui atteint son visages à bouche ces cheveux et une deuxième suivi sur ces seins , elle se caressa avec mon jus .
Nous étions comme évanouie tellement l’intensité était grande .
Après une petite douche rapide , elle repartie nue sous son manteau comme elle était arrivé .
Notre histoire dura quelques années et s’arrêta d’un commun accord mais chaque rdv ensemble fut un plaisir partagé
Bien plus tard , je repris contact avec elle par un réseau professionnel , mais ça , c’est une autre histoire .
Lord Vian
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Le Maître, m'attends cette fois-ci dans la chambre d'hôtel. Il m'intime l'ordre de me déshabiller, et d'aller dans la douche, de m'accroupir et d'uriner devant lui pendant qu'il bande mes yeux..
Je suis maintenant dans le noir total, je sens quelque chose couler sur moi, quelque chose de froid, c'est l'eau froide qui coule sur mon corps afin de faire durcir mes tétons, et qu'il puisse mettre les pinces tétons sans que je m'en rends compte...le froid et la douleur, me fait réagir violemment en l'insultant, ce qui me vaut une belle correction, il me gifle encore et encore...afin de me montrer qui est le Maître... et qui est l'esclave....
Je lui demande pardon pour cette réaction vive de ma part, et lui promet de ne plus recommencer. De ce fait, il me pose le collier et la laisse, me fait marcher à quatre pattes en me guidant et en utilisant le fouet qu'il a dans les mains, pour que j'obéisse le plus à ses ordres.
Je me cambre sous les coups, et il adore cela, car il se sent Maître de mon corps, de mon esprit, et de faire ce qu'il veut de moi, car il sait que je lui obéirai sinon c'est la correction.
Il m'intime l'ordre de rester à 4 pattes, je sens qu'il inspecte mes orifices afin de voir si ces derniers sont propres, vides et accessibles à souhait.. ce qui est le cas
Je l'entends changer d'objet mais je ne sais pas lequel il compte prendre vu que j'ai les yeux bandés...Il me demande si je connais la badine, je lui réponds : "Non Maître", très bien donc tu vas découvrir et je suis sûr que tu vas y prendre plaisir...le 1er coup tombe, c'est supportable, puis 2, 3 et il me demande de compter jusqu'à ce que je lui dise Rouge, safe code, entre nous....J'ai supporté la douleur jusque 10 car c'était la 1ère fois pour moi.
Il fut comptant mais il me dit qu'en bonne esclave, j'aurai dû supporter encore plus la douleur, car c'est ce qui lui fait prendre plaisir et jouissance.
Il décide de me traîner jusqu'au lit pour m'y allonger sur le dos, je sens du froid sur mes tétons et ma chatte, je me cambre sous l'effet, je m'interroge sur ce que c'est....puis je ressens que c'est un glaçon, il parcourt mon corps avec afin de me faire frissonner et de prendre plaisir, puis voyant que je commençais à aimer cela, il décide de prendre le câble en sa possession et de me fouetter légèrement, puis de me retourner brusquement pour pouvoir fouetter mon corps et me laisser des traces d'appartenance...
La douleur est extrême, insupportable que j'en crie de douleur, et les marques sont là, pour me faire oublier tout ceci, mon Maître décide de s'amuser avec mon clitoris puis mon vagin en introduisant un gode, puis des boules de geisha, et voyant que j'aimais cela, il continua et me donna l'ordre de continuer seule, pendant que lui se branler jusqu'à ce que sa semence m'éclabousse le visage, puis l'étaler et finir par m'y faire goûter...il m'a tellement excité que la femme fontaine que je suis c'est lâchée complètement au moment où mon Maître étaler sa semence et me faisait goûter délicatement avec ses doigts
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On ne peut pas mesurer nos vies à nos dernières années. De cela, j'en étais certaine. J'aurais dû deviner ce
qui m'attendait. Avec le recul, il me semble que c'était évident, mais les premiers temps, je trouvais que ces
incohérences étaient compréhensibles et n'avaient rien d'unique. Elle oubliait où elle posait ses clés, mais à
qui n'est-ce jamais arrivé ? Elle ne se rappelait pas non plus le nom d'un voisin, mais pas quand il s'agissait
de quelqu'un que nous connaissions bien. Elle réprima un certain sentiment de tristesse, espèrant un jour,
qu'elle changerait. Sarah l'avait souvent promis et y parvenait en général quelques semaines avant de retomber
dans la routine. Patricia n'aimait pas en discuter avec elle, essentiellement parce qu'elle savait qu'elle lui disait la
vérité. Son travail était très prenant, aussi bien avant son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art
sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle
s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée en constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie
d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ? Elle pénétra dans
la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence
de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs,
des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs
inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient
manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage.
Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par
l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec
des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un
peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand
elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connues
en khâgne au lycée Louis-le-Grand puis rencontrées par hasard sur la plage de Donnant à Belle île en Mer un soir d'été.
Elle n'avait pas changé: elle avait à présent vingt-trois ans, elle venait de réussir comme moi l'agrégation de lettres
classiques. Elle avait également conservé un air juvénile, perpétuant son adolescence. Les visages en disent autant
que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil,
épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais
pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelée, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez elle.
Elle m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-elle dit, j'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que ce n'est pas une habitude.
Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable.
Il pleuvait; mes cheveux étaient mouillés; elle les a ébourriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main,
m'a attirée à elle, je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, ellle ne m'a jamais embrassée,
depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe,
mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais
froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener
dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est
revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses,
en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé
que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir
longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer
un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait
couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je
n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait.
Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine,
d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir.
Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller.
J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais
je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds
un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À
cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue
absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux
aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre
chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses.
C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Sarah se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous
pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Patricia se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle
avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un
inextriquable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour
voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne
pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves.
La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Décidément cette petite conne de Samia, une adulte consentante et fort jolie qui adore les scénarios d'infantilisation, ne comprendra jamais ses leçons. J'ai beau lui flanquer de copieuses fessées, la mettre au piquet, l'enfermer dans le placard à balais, rien à faire, Samia ne comprend rien et se trompe toujours. A croire qu'elle fait exprès pour être punie de plus en plus sévèrement.
Pour y voir plus clair, je l'ai prise chez moi en cours particuliers pour un week end. Cette petite conne est arrivée avec sa jupette plissée, ses longues chaussettes mi bas de laine, ses chaussures vernies et ses couettes. Elle avait une sucette en bouche et ce manque de respect lui valu de suite une bonne paire de gifles. Elle serrait les genoux et a dit:
-Madam j'ai envie pipi
Je l'ai conduite aux toilettes et elle n'a pas pu se retenir. Elle a fait devant la porte. Elle voulait visiblement me faire perdre mes nerfs. J'ai sorti ma cane anglaise bien souple et son petit cul est vite devenu rouge. Elle a du tout nettoyer à quatre pattes et bien astiquer le sol. Cela au moins, Samia savait faire à peu près bien. Elle a du aussi laver sa petite culotte à la main et la faire sécher sur le poêle. C'est un froid week end d'automne, une journée de brumes où il fait bon rester au chaud.
C'est vrai que Samia a un adorable petit cul et un joli petit minou de femme qui adore jouer à l'écolière pas sage. J'ai eu envie d'elle et nous sommes montées dans ma chambre. J'avais envie de lui bouffer sa chatte pendant qu'elle sucerait mon clito. Nous avons joui très fort toutes les deux. Un pluie fine frappait contre la fenêtre de la chambre. Nous avons glissé sous la couette pour être bien au chaud.
Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu envie de materner cette petite conne de Samia. Je lui ai donné le sein. Elle a sucé et s'est endormie comme une bébé.
Cela ne faisait pas avancer les devoirs. Mais pour une fois, j'ai décidé de prendre mon temps, de ne pas tomber dans le piège des fautes exprès pour recevoir des corrections. Non, j'ai décidé de conduire le jeu. Samia s'est pliée, cambrée. Elle a beaucoup gémi et supplié. Nous avons fait l'amour souvent. Elle a eu droit à son collier avec un bel anneau. Elle a adoré dormir nue au pied de mon lit, en bonne chienne bien dressée.
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Le fétichisme du nez (ou nasophilie) est le fétichisme sexuel (ou paraphilie) du nez. Cela inclut une attirance sexuelle envers une forme spécifique de la variation physique de l'apparence (tels que la taille) ou une zone spécifique (par exemple, les narines). Le fétiche lui-même peut se manifester lors d'un désir d'un contact physique et d'interaction, ou fantaisies spécifiques comme une pénétration des narines. D'autres fantaisies peuvent inclure le désir d'observer ou d'expérimenter une transformation physique nasale comme dans Pinocchio, ou des idées concernant la transformation du nez en nez d'une autre créature comme le cochon en tant qu'humiliation d'un partenaire ou d'une connaissance. Ces fantaisies peuvent être assistées par l'utilisation de jeux de rôles sexuels, ou fiction de transformation, par des formes de littérature, de dessins ou de photos modifiées. Sigmund Freud interprète le nez en tant que substitut du pénis. De plus, et tout ceux qui on analyé et étudié ce fétichisme : le nez est la partie du visage que l'ont peut déformer le plus facilement, et c'est bien visible, dès le tout début. Modifier la forme du nez d'une personne la rends très vite méconnaissable. ca annihile vite son identité, et permet de la dominer d'avantage. Le simple fait d'étirer un nez vers le haut, avec un nosehook, peut facilement rendre la personne méconnaissable. Enfin, le nez est indispensable pour vivre car c'est là que passe l'air en direction des poumons, et rien qu'imaginer que cette aptitude pourtant vitale puisse être entravée par une partie nasophile, rajoute plus de tension sur le soumis, et renforce encore d'avantage le sentiment de domination du maitre.
Pour en savoir plus
HanaZeme : la Nasophilie au Japon
Les différentes approches possibles et les spécialités (en préparation)
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Le guerrier est là, nu, pitoyable, ligoté à ce tronc d'arbre. Il est à la merci de sa Maitresse. Il vient de boire l'alcool du supplicié, celui qui lui fera oublier pour un temps la douleur. Il ne doit pas montrer qu'il a peur. La Völva pour l'instant l'ignore. Elle joue avec ses runes. Les heures passent. L'alcool se dissipe. Le guerrier a envie de pisser. C'est plus fort que lui. il se fait dessus. La peur s'est glissée en lui. il tremble. La Völva l'ignore toujours, comme s'il n'était rien. Une limace collée à son arbre.
Le premier coup de fouet est arrivé précédé d'un terrible sifflement. Le guerrier hurle, la peau de son dos vient de voler en éclats. Il saigne. Mais voilà déjà le deuxième et tous les autres. Le guerrier hurle et cela agace tout le clan. Le chef vient et lui attrape les cheveux.
-tu vas la fermer !
Le guerrier pleure. c'est trop dur, il a trop mal.
Le chef fait un signe à la Völva. Elle sort un court poignard. Elle s'approche par derrière et passe la lame sur la gorge du guerrier qui se crispe d'un coup, tétanisé.
-Mais t'es vraiment une merde, dit le chef.
La Völva attrape les couilles et le pénis du guerrier. Elle tranche tout net. Une émasculation. Le sang coule le long des jambes du guerrier qui vient de s'évanouir.
-S'il survit à cela, il sera banni du clan. S'il meurt il sera enterré face contre terre. Il est la honte du clan.
Le castré survit. La peur cela fait vivre. La Völva ne fait pas partie du clan. Elle vit dans les vastes forêts sombres. Elle lui perce le nez, pose un anneau et lui passe une solide laisse en cuir.
-Puisque tu n'es bon à rien, je vais faire de toi mon chien. Tu rongeras des os devant ma porte et tu couineras de peur en cas de danger. Là au moins tu seras utile.
Le castré a suivi la Völva en se trainant sur ses genoux. Il semblait enfin en paix.
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Au risque de choquer, de m’inscrire à nouveau à contre-courant de l’idéologie dominante, j’aime me sentir femme objet.
L’objet de ton désir,
l’objet de ton plaisir,
un objet utilitaire,
un objet que tu possèdes.
Parce que ce n’est pas nier la femme que de « l’objectifier » parfois (dieu que ce mot est laid).
D’en faire simplement un instrument de plaisir,
De ton plaisir et du mien.
D’être utilisée pour assouvir tes fantasmes,
et de réaliser ainsi les miens.
Il n'y a rien de mal à aimer les objets.
Et tu aimes les beaux objets.
Belle, je ne sais pas si je le suis,
ailleurs que dans tes yeux.
Mais j’aime quand tu m’aimes et me traite comme telle.
Je serais toujours femme, laisse moi être "objet" chaque fois que tu le voudras.
A la manière de cette nuit encore.
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Le Maître rentre dans la pièce où je suis en train de l'attendre en bonne esclave, à genouiller, j'ai mis mon collier afin qu'il puisse attacher sa laisse. Il commence par me lécher le visage puis me cracher dessus, et étaler ses crachats, puis continue par des petites gifles. Il me demande de lui tendre les mains afin qu'il puisse les attacher pour que je ne puisse jouir de mes mains à ma guise, je m'exécute sans dire mot, puis il commence à sortir son fouet pour en jouer sur mes seins, sur mon dos, et me demande de me relever, son fouet claque sur mes fesses, doucement puis de plus en plus fort, il voit en moi la douleur rien qu'à l'expression de mon corps, puis revient sur mes seins pour les marquer également.
Il me demande de mettre le bâillon afin de ne pas entendre ma souffrance, de là, il pousse violemment sur le lit, m'écarte les jambes et crache sur ma chatte afin de pouvoir y introduire un gode, et m'exciter mais ce fut de courte durée, il décide de m'attacher les pieds et détache une de mes mains, de m'uriner sur la chatte et souhaite que je me branle avec son urine, je m'exécute... Et pendant ce temps, il me mets des attaches aux tétons, la douleur est insupportable que les larmes coulent toutes seules... Il me demande si j'en veux encore... À mon regard il voit que oui, il me met sur le ventre et à 4 pattes afin de jouir de mes orifices, il introduit de nouveau le gode tout en me fouettant, puis décide de m'introduire un plug et de jouer avec les 2, la jouissance monte en moi, mais le Maître le ressent, il s'arrête brusquement et me tire la tête en arrière au moyen de la laisse, m'ordonne de me mettre à genoux et de lui dire que je suis son esclave et que mes sévices ne font que commencer, que la douleur va être de plus en plus forte, car cette fois il va utiliser une ceinture en cuir pour me fouetter et me corriger si je désobéis...je laisse faire les choses et me dit que la douleur n'est pas physique mais mentale et que c'est à moi de contrôler cette douleur...
La 1ère séance arrive à sa fin et me dit que la prochaine sera plus intense et qu'il fera ce qu'il veut sans un moindre mot, geste ou mécontentement de ma part
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Le 15 avril 1719, Madame de Maintenon s’éteint, seule et insatisfaite, quatre ans après Louis XIV.
À Saint-Cyr, institution créée par ses soins pour protéger et éduquer les jeunes filles nobles et pauvres,
et leur éviter les désarrois et les humiliations qu’elle a elle-même supportés, elle achève un destin tumultueux,
audacieux et hautement romanesque. Toute de passions contrariées, celle qui a œuvré pour le bonheur de
ses proches, l’avenir de ses neveux et nièces, l’instruction des enfants illégitimes du roi, la gloire de son
époux, part sans jamais avoir vraiment rencontré le Dieu qu’elle cherche depuis sa jeunesse. La figure et l’œuvre
de Françoise d’Aubigné, veuve Scarron et marquise de Maintenon, se sont trouvées longtemps prisonnières
des mythes qu’ont inspirés dès le XVII ème siècle la vie romanesque et le destin exceptionnel de l’épouse
morganatique du Roi-Soleil. La Palatine, Saint-Simon, Michelet ont bâti la légende noire, les Dames de
Saint-Louis, Mme de Caylus et Mlle d’Aumale en ont édifié l’hagiographie, Voltaire et Sainte-Beuve tracé
des portraits plus nuancés, mais insuffisants à faire sortir Madame de Maintenon de son statut de conseillère
de l’ombre et de fondatrice de l'institution de Saint-Cyr, ou à dégager l’épistolière de grand talent qu’elle fut.
L’enfance de Françoise, née d’Aubigné, offre trop peu de souvenirs heureux. Elle doit sa naissance en novembre
1635, dans la prison de Niort, à un père coutumier des cachots, faux-monnayeur, tricheur, renégat et assassin de
sa première femme. Déshérité par le poète Agrippa, grand-père de Françoise, compagnon d’Henri IV, pourfendeur
de catholiques et homme de convictions, le mal nommé Constant laisse à son épouse Jeanne le soin d’élever seule
leurs enfants. Celle-ci parvient mal à assumer la survie des siens. Surtout, Françoise manque de tendresse: "Je ne
me souviens d’avoir été embrassée de ma mère que deux fois, et seulement au front, après une grande séparation."
La jeunesse de "Bignette", son surnom, s’embourbe dans la nécessité, dans la grande pauvreté et parfois même
dans la misère, hormis six ans au cours desquels elle savoure le bonheur, l’amour et les rires chez sa tante
Louise-Arthémise. Avec son cousin chéri, elle découvre les travaux des champs, les semailles et les récoltes,
les marchés aux bestiaux. Personne ne l’oblige à rallier la foi protestante, personne ne l’intimide, personne ne
la blesse. Mais son bonheur butte sur les retrouvailles inopinées de sa famille, un temps reconstituée, partie à
la conquête de chimériques richesses aux Antilles. Le retour à La Rochelle, trois ans plus tard, accuse la défaite
et la honte. Françoise mendie parfois aux portes des couvents et du collège des jésuites. Elle s’endurcit, forge
son tempérament, consolide son assurance et assoit sa volonté ; bientôt placée entre les mains d’une parente
catholique, riche et pingre, arrogante et ennuyeuse, elle apprend à dissimuler et à faire bonne figure. Elle s’initie
aussi à l’art de la conversation, une nécessité pour qui veut appartenir à la bonne société. Avec ses immenses
yeux noirs, sa chevelure brune, quand la mode est aux blondes, sa taille élancée, son goût prononcé pour la
répartie et la science des précieuses, elle affirme une personnalité originale. Du haut de ses seize ans, elle fait
déjà seule, face au destin. Sa marraine l'introduit dans les salons, elle y acquiert le surnom de "belle indienne."
Faute de dot, elle préfère au couvent se marier à un paralytique de quarante-et un-ans, bel esprit au corps atrophié.
Pour autant, le poète Scarron, ce "raccourci de la misère humaine", lui apporte bienveillance, carnet d’adresses,
renommée, gentillesse. Il conforte son intelligence, lui permet de briller en société, de goûter aux jeux de l’esprit,
de la séduction et de l’amour chaste. En échange, elle lui offre sa jeunesse, son éclat, son indéfectible fidélité.
Le couple tient bon face au mépris et aux mauvaises langues, et à "l’hôtel de l’Impécuniosité" esprits fins, élégants,
libertins, lettrés, frondeurs, aristocrates critiques, peintres et musiciens se pressent au chevet de l’écrivain tordu.
L'auteur à l'esprit mordant est au sommet de sa gloire. Il dispose d'une confortable pension et fréquente une foule
d'esprits distingués et de personnalités influentes. Françoise sait qu'il lui est impossible de trouver meilleur parti.
Veuve à vingt-quatre ans, Françoise reçoit des dettes pour tout héritage. Mais, pendant huit ans, elle a placé
ses pions, tissé un étroit réseau de relations, cultivé un comportement exemplaire et rassurant, consolidé une
réputation sans faille. Pragmatique, sensible, consciente de sa précarité, elle a déjà entrepris son irrésistible
ascension sociale. "Comptez que jamais personne n’a établi sa réputation en se divertissant. C’est un grand bien
mais il coûte cher. La première chose qu’il faut sacrifier pour sa réputation, c’est le plaisir", analyse-t-elle. Et cet
adroit calcul la propulse sans peine auprès d’épouses dévotes et puissantes, qui assoient sa notoriété.
Installée dans une chambre au couvent de la Petite-Charité, elle cultive son image de femme respectable, dévouée
et charitable, entre sincérité et nécessité. Le soir, auprès des d’Albret, Richelieu, Montchevreuil, elle parfait son
masque de chrétienne accomplie. Lors d’un dîner, elle croise la piquante Madame de Montespan, de cinq ans sa
cadette. La rencontre, décisive, dicte son avenir. Françoise devient bientôt, dans la plus grande clandestinité,
la gouvernante des enfants naturels de la favorite de Louis XIV, l’éblouissante et mordante Athénaïs. Ainsi, durant
quatre années, dans une maison discrète de Vaugirard, dans l'actuel XV ème arrondissement de Paris, la future
marquise de Maintenon s'occupe des quatre enfants cachés de Madame de Montespan et de Louis XIV: le duc
du Maine, le comte de Vexin, Mademoiselle de Nantes et Mademoiselle de Tours. Tout en organisant la vie de
ses petits protégés, Françoise Scarron continue de remplir ses obligations mondaines et de se montrer dans les
salons. Malgré cette double vie exténuante, elle se prend d'affection pour les petits bâtards royaux, s'attachant
particulièrement à l'aîné, le duc du Maine, enfant boiteux et à la santé fragile. Doté d'une vraie fibre paternelle,
Louis XIV rend régulièrement visite à sa progéniture, et s'attarde pour bavarder avec leur charmante nourrice.
Elle remplit son rôle à merveille auprès des bâtards du roi. Les questions de pédagogie et d’éducation la
passionnent, et elle défend avec ardeur l’intérêt et l’éveil des enfants. Louis XIV découvre la dévote sous un autre
jour. Elle le touche, le séduit. "Elle sait bien aimer, il y aurait tant de plaisir à être aimé d’elle." Pour conquérir le
cœur du roi, Françoise use de toute son intelligence. La tête froide, l’habile gouvernante se lance avec le Roi-Soleil
dans une relation amicale, intellectuelle, amoureuse qui perdure de 1673 à 1715, année de la mort du souverain.
Bien que discrète, elle vit dans l'intimité du roi et se révèle une conseillère de taille. En raison de son austérité et
de son intransigeance, l'épouse secrète de Louis XIV est détestée par la famille royale. Son influence pèsera
surtout sur les mariages des bâtards royaux et sur la nomination de certains ministres. Très hostile au marquis de
Louvois, elle prend parti pour le clan de Colbert et favorise les carrières du maréchal de Villars et de Chamillart.
Au long de leurs trente-deux ans de vie commune, elle apprend à connaître, à respecter et à craindre un homme
égoïste, tyrannique, autoritaire, rigide. Déçue par cet amour qui ne correspond pas à un absolu tant espéré, elle
s’adonne avec passion, sincérité et efficacité aux œuvres charitables et utiles. Loin de la mystique et de la
contemplation qui, dans le fond, ne l’intéressent pas vraiment, elle pense à son grand dessein, Saint-Cyr, son cadeau
de mariage, son salut et sa dernière demeure, qui doit la réconforter. Il n’en sera rien. À quatre-vingt-deux ans,
l’ambitieuse généreuse achève un destin exceptionnel dans la peine et la lassitude. "Ma lassitude m’avertit que
je suis mortelle mais j’aperçois un miroir qui me dit que je suis morte." Toute de complexité et de paradoxe, elle n’a
pourtant rien abdiqué, elle n’a jamais renié sa liberté de penser ou encore entaché son orgueilleuse constance.
Bibliographie et références:
- Arthur Conan Doyle, "Les Réfugiés de Madame de Maintenon"
- Marguerite Teilhard-Chambon, "Françoise d'Aubigné, marquise de Maintenon"
- Christine Mongenot, "Madame de Maintenon, une femme de lettres"
- Éric Le Nabour, "La Marquise de Maintenon, l'épouse secrète de Louis XIV"
- Jean-Paul Desprat, "Madame de Maintenon, le prix de la réputation"
- Éric Le Nabour, "La Porteuse d'ombre. Madame de Maintenon et le Roi Soleil"
- Simone Bertière, "Les Femmes du Roi-Soleil"
- André Castelot, "Madame de Maintenon, La reine secrète"
- Françoise Chandernagor, "L’Allée du roi, souvenirs de Françoise d’Aubigné"
- Louis Mermaz, "Madame de Maintenon"
- Alexandre Maral, "Madame de Maintenon, la presque reine"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Condorcet rédige son célèbre "Tableau des progrès de l’esprit humain" alors même qu’il se sait menacé de la guillotine.
Ombres et lumières de la Révolution française, portée par ce rêve de justice qu’ont inspiré nos philosophes, rêve d'un
monde en marche et à portée de l’homme, dont les événements de 1789 ont d’abord paru l’accomplissement, et qui
sombra dans la Terreur. Il n’est période plus propice à l’observation du concept de progrès que celle où l’idée fut aux
prises avec la réalité, sur le point de devenir lois et conditions de vie. La Terreur ? un démenti, peut-être. Un démenti
provisoire, laisse penser Victor Hugo au terme de son "Quatre-vingt-treize". Le concept perdure. On en voit aujourd’hui
encore les effets. S’il faut entendre "progrès" comme la certitude d’un nouvel âge d’or, de bonheur et de liberté, l’époque
actuelle semble avoir perdu ces illusions. Mais les idéaux des Lumières président toujours aux mouvements de nos
sociétés et, que nous en ayons conscience ou non, informent notre pensée. La filiation est plus sensible encore en temps
de crise comme celui que nous traversons. Or, l’Histoire n’a livré ses enseignements qu’après avoir épuisé les figures
héroïques, lorsqu’elle s’intéresse à ses oubliés. Tel est le personnage d’Olympe de Gouges, témoin privilégié et actif de
ces événements, qui s’affirme, deux siècles plus tard, en raison de convergences qui apparaissent avec l’époque
contemporaine. Olympe de Gouges, ardente avocate du progrès social en est aussi l’exemple vivant, dans son évolution
personnelle, dans ses combats, dans ses renoncements, jusque dans sa destinée. Le 3 novembre 1793, à l’âge de
quarante-cinq ans, ayant refusé de faire contre sa conscience des aveux qui lui auraient peut-être sauvé la vie,
elle monte sur l’échafaud, quelques jours seulement après Marie-Antoinette, première femme victime de ses opinions.
Née en 1748, Marie Gouze grandit à Montauban, ville où elle épouse dix-sept ans plus tard Louis-Yves Aubry,
"traiteur grossier et inculte" de trente ans son aîné. La vie du ménage ne fait cependant pas long feu. Aubry meurt un an
plus tard, emporté par une crue du Tarn. Désormais veuve, Marie Gouze, encore très jeune au moment des faits, se met
à avoir soif de liberté de publier. À cette époque, la loi interdisait aux femmes de publier des textes sans l’accord de leur
époux. Il n’en faut alors pas plus à Marie Gouze pour la persuader de ne jamais se remarier. Mue par l’envie de mener
une carrière littéraire, elle quitte finalement Montauban pour rejoindre sa soeur aînée à Paris. C’est en montant à la
capitale qu’elle prend le nom sous lequel on la connaît le mieux, Olympe de Gouges. Entretenue par un fonctionnaire
de la marine du nom de Jacques Biétrix de Rozières, elle se met à côtoyer les milieux bourgeois et plus particulièrement
les salons fréquentés par les hommes de lettres. Ses diverses rencontres l’inspirent et la poussent à écrire toujours plus.
Elle s’essaye alors aux pièces de théâtre, aux romans ainsi qu’aux écrits politiques. Avant-gardiste et féministe, ses
fortes convictions et la liberté de ses engagements la conduiront à sa perte. Elle sera guillotinée le 3 novembre 1793.
L’intérêt qu’Olympe de Gouges suscite au-delà de nos frontières nous rappelle la valeur de ce personnage. Son cas
n’appartient donc plus seulement à la France, pas seulement aux femmes, n’appartient pas seulement à la Révolution.
Il intéresse justement parce qu’elle s’est immergée totalement dans son époque, toutes les générations qui se posent la
question de l’individu et celle de sa participation à l’Histoire. Son cas nous intéresse parce qu’il jette un jour différent
sur une page essentielle de notre Histoire et qu’il permet de nous interroger sur nous-mêmes, aujourd’hui où nombre
de ses propositions, réalisées ou non, occupent encore nos débats. L’œuvre qu’elle laisse à la postérité, abondante et
variée, élaborée dans des années décisives, entre 1783 et 93, est riche d’informations sur ce mieux qui était rêvé,
promis à tous, sur les moyens et les méthodes pour y parvenir. Elle offre l’avantage pour nous de présenter un point
de vue tout à fait exceptionnel, celui d’une femme d’abord, une provinciale de la petite bourgeoisie, admise auprès
des Grands à partir de son arrivée à Paris (1767) et qui a acquis dans ce parcours le regard perspicace et indépendant
du "persan" en voyage. Née française, elle a fait son fruit de la pensée des Lumières, sans rien perdre de la vivacité
de la languedocienne forte d’un esprit critique affirmé et d’une évidente énergie. Une voie, seule, s’ouvrait devant elle,
où tous ses élans pouvaient s’exprimer et être partagés, la littérature. Libre à chacun de juger de son œuvre.
Elle est inégale peut-être et parfois sent la précipitation. Elle se flatte d’ailleurs d’être rapide et avoue parfois avoir
terminé l’écrit sur le comptoir de l’imprimeur. Bien qu’elle ait tout sacrifié à cette passion des lettres et de la parole
jusqu’à sa fortune et sa sécurité, elle garde la tête froide: "Qu’on ne me prête pas le ridicule de croire que mes pièces
sont des chefs d’œuvre", dit-elle dans Molière chez Ninon ou le siècle des grands hommes. Il faut dire que les dix
années de sa carrière littéraire ne furent pas pour le XVIII ème siècle le temps des chefs d’œuvre, en raison même
des troubles qui agitaient les consciences. Il y avait à ce moment d’autres urgences que la recherche de la perfection
artistique. Ces circonstances en revanche étaient favorables, chez Olympe particulièrement, à l’invention d’idées
nouvelles comme de formes artistiques, qui se sont révélées naturellement, sans être voulues. Mais pour elle, que
le sens des mots engage, citoyenne avant la lettre, l’urgence est d’intervenir, de participer à la construction, car elle
est dans la crainte de voir, au moment du déferlement de la Terreur, la démocratie naissante s’élaborer sans avoir
déraciné tous les esclavages de l’Ancien Régime. C’est dans ce moment de crise auquel pour la première fois les
femmes participaient qu’il est intéressant d’observer cette prise de parole féminine, qui s’est élevée à la grande
surprise, c’est le moins qu’on puisse dire des philosophes, des politiques, des hommes en général et en particulier.
Le volet de son œuvre le mieux connu aujourd’hui, c’est "La Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne"
en raison des publications qui ont été réalisées dans les années quatre-vingt et de l’utilisation qui en a été faite par le
mouvement féministe. Il était question, dans ces années qui voyaient certaines avancées en matière de progrès social,
de revenir sur la place des femmes dans la société et d’étendre effectivement leurs droits. Le texte d’Olympe devait
soutenir puissamment les revendications de ces femmes, impatientes de voir, après l’adoption du droit de vote
après-guerre, évoluer concrètement les mentalités et les lois. La pensée d’Olympe ne saurait cependant être réduite
à ce mouvement. Fruits de son enfance occitane et de ses trois entorses aux bonnes mœurs de son temps.
Dans son roman autobiographique "Mémoire de Mme de Valmont", on y apprend qu’elle vécut une enfance pauvre
et sans instruction, avec l’occitan comme langue maternelle. D’après ses dires, elle serait née d’une union illégitime
entre le marquis Jean-Jacques Lefranc de Pompignan, magistrat et écrivain, et une fille du peuple, Anne-Olympe
Mouisset. Bien qu’il n’ait jamais reconnu sa paternité publiquement, Olympe idolâtrait ce père, en plus de prétendre
avoir hérité de son talent d’écrivain. Très avant-gardiste sur son temps, on dira d’Olympe de Gouges qu’elle commit
trois entorses aux bonnes mœurs et lois de son sexe. La première entorse fut son refus de se faire appeler la veuve
Aubry. En effet, après la mort de son mari, Louis-Yves Aubry, alors qu’elle n’était âgée que de dix-huit ans et mère d’un
garçon, Pierre Aubry, elle décida de se créer sa propre identité, prétextant que le nom Aubry lui évoquait de mauvais
souvenirs. Marie Gouze veuve Aubry changea alors son nom pour Olympe de Gouges, reprenant une partie du prénom
de sa mère. Sa deuxième entorse fut de refuser d’épouser le riche entrepreneur Jacques Biétix de Rosières alors
que cette union lui aurait assuré la sécurité financière. Olympe ne croyant pas au mariage, qu’elle définit comme "le
tombeau de la confiance et de l’amour", lui préférait "l’inclinaison naturelle", c’est-à-dire un contrat social entre un
homme et une femme. Ces déclarations lui vaudront, chez les chroniqueurs de l’époque, une réputation de femme
galante, connue à Paris pour les faveurs qu’elle rendait aux hommes. Finalement, sa troisième entorse fut son
implication sociale et sa condamnation des injustices faites à tous les laissés-pour-compte de la société.
Après la mort de son mari, elle décida de poursuivre une carrière littéraire qui l’amena à dénoncer l’esclavage des
"Noirs" et à plaider en faveur des droits civils et politiques des femmes dans ses écrits. Elle s’exila alors à Paris avec
son fils et Jacques Biétrix de Rozières, où elle apprit très vite ce qu’était l’exclusion sociale. Il faut dire qu’Olympe
était avant tout considérée comme illettrée, occitane, indomptable et imprudente. Autodidacte, elle se mit à fréquenter
les milieux politiques, ainsi que les "gens bien nés." Olympe fut l’auteur de nombreux romans et pièces de théâtre.
Sa première pièce de théâtre à être acceptée et présentée fut l’"Esclavage des Nègres" qui ne sera joué qu’une seule
fois. Par la suite, elle devint très engagée dans des combats politiques en faveur des "Noirs" et de l’égalité des sexes.
D’ailleurs, elle est la seule femme à avoir été citée en 1808 dans la "Liste des hommes courageux qui ont plaidé ou
agi pour l’abolition de la Traite des Noirs." Olympe de Gouges fut plus d’une fois injustement critiquée pour ses
nombreux écrits contestataires de l’ordre établi. Cependant, avec sa force de caractère et ses convictions, elle devint
à plusieurs reprises le porte-étendard dans la dénonciation du traitement injuste réservé aux femmes.
En 1788, elle publie dans le "Journal Général de France" une brochure politique intitulée "La lettre au peuple ou projet
d’une caisse patriotique." Dans cette lettre, elle proposait des idées socialistes avant-gardistes qui ne furent reprises
que plusieurs années plus tard. On y retrouve la demande de création d’une assistance sociale, d’établissements
d’accueil pour les aînés, de refuges pour les enfants d’ouvriers, d’ateliers publics pour les ouvriers sans travail et
de tribunaux populaires. Son audace ne s’arrêta pas à cette lettre. En 1791, Olympe rédigea une "Déclaration des droits
des femmes et de la citoyenne", copiée sur la "Déclaration des droits de l’homme et du citoyen". Cette déclaration
dénonçait le fait que la Révolution n’incluait pas les femmes dans son projet de liberté et d’égalité et considérait que
"l’ignorance, le mépris des droits de la femme sont les seules causes de malheurs publics et de la corruption des
gouvernements." Elle adressa sa Déclaration à la "première des femmes", en l'occurence, la reine Marie-Antoinette.
Jusqu'à la chute du Roi, Olympe de Gouges soutient l'idée d'une monarchie constitutionnelle pour la France, exprimant
encore son point de vue au printemps 1792 dans un essai dédié à Louis XVI," L'Esprit français", où elle prône une
révolution non-violente. Au premier jour de l'an I de la République (21 septembre 1792), elle rejoint le mouvement
modéré des Girondins. Abhorant la peine de mort, elle propose son aide à Malesherbes pour assister le Roi dans son
procès devant la Convention. Vivement opposée au régime de la Terreur, elle signe une affiche contre Robespierre et
Marat qu'elle accuse d'être responsables des effusions de sang. Fidèle à ses principes humanistes, elle y déclare que
"Le sang même des coupables, versé avec profusion et cruauté, souille éternellement les révolutions". Après la mise
en accusation du parti girondin, elle adresse au président de la Convention une lettre où elle s'indigne de cette mesure
attentatoire aux principes démocratiques. Elle continue de s'exprimer publiquement alors qu'elle fait l'objet de menaces
et que la sanglante guillotine de la Terreur coupe les têtes à plein régime démontrant ainsi toute la force de son courage.
Le 20 juillet 1793, alors qu'elle diffuse son pamphlet "Les Trois urnes", Olympe de Gouges est arrêtée et emprisonnée
à l'Abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Elle est accusée d'injures envers les représentants du peuple et de publication
d'écrits contre-révolutionnaires. De sa cellule, elle parvient à faire afficher deux derniers libelles, "Une patriote persécutée"
et "Olympe de Gouges au tribunal révolutionnaire", mais tous ses amis se cachent ou la renient. Sous la pression, son
propre fils, Pierre Aubry de Gouges, la renie publiquement dans une "profession de foi civique". Le 2 novembre, elle
comparaît devant le Tribunal révolutionnaire. Elle tente vainement d'expliquer que son combat humaniste s'inscrit au
cœur même de la Révolution mais elle est condamnée à mort et guillotinée le lendemain matin. C'est la seconde femme
guillotinée de l'histoire de France après Marie-Antoinette. Victime en son siècle de ses prises de position contre les
dérives de la Révolution, puis victime encore pendant près de deux siècles d'intellectuels misogynes qui la peignirent
comme illettrée et exaltée, Olympe de Gouges fait aujourd'hui l'objet d'une réhabilitation. Comme au début des années
1990, le nom d'Olympe de Gouges circule parmi les "panthéonisables." Néanmoins, après l'annonce du 21 février par
le président de la République des quatre personnalités entrant au Panthéon en 2014, sa popularité fait toujours d'elle
une candidate à une entrée dans un futur proche. Plus de deux siècles après sa mort, Olympe de Gouges continue
d’inspirer les femmes et de leur donner du courage et de la détermination dans la lutte pour l’égalité femmes-hommes.
Bibliographie et références:
- Daniel Bensaïd, "Moi la Révolution"
- Olivier Blanc, "Olympes de Gouges"
- Olivier Blanc, "Olympe de Gouges, une femme de libertés"
- Marie-Paule Duhet, "Les femmes et la Révolution"
- Michel Faucheux, "Olympe de Gouges"
- Joëlle Gardes, "Olympe de Gouges"
- Caroline Grimm, "Moi, Olympe de Gouges"
- Léopold Lacour, "Trois femmes de la Révolution"
- Catherine Marand-Fouquet, "La Femme au temps de la Révolution"
- Catherine Masson, "Olympe de Gouges, anti-esclavagiste et non-violente"
- Michelle Perrot, "Des femmes rebelles,Olympe de Gouges, Flora Tristan, George Sand"
- Jürgen Siess, "Un discours politique au féminin, le projet d’Olympe de Gouges"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Pas facile d'être une femme dans un corps de mec et de devoir faire avec ce pénis qui pend ou se dresse entre les jambes. Le reste cela va, peau douce, seins naturels, cils longs, peu de poils. J'ai pas besoin de changer quoi que ce soit. Si je passe des fringues androgynes, ni homme, ni femme, on me dit : "madame". C'est vrai que même sans soutif, j'ai les seins qui pointent. Alors c'est vraiment pénible ce truc depuis l'enfance. Vivre en femme ou en homme? C'est con mais j'aime bien les deux. Je ne cherche pas du tout à me féminiser. Je suis une nana très masculine ou bien un mec à joli cul et poitrine qui fait bander. Bref, c'est une galère ou une chance. En tout cas je jouis mieux et plus fort en femme. L'orgasme féminin, enfin presque, j'adore. C'est en fait multiorgasmique et je coule beaucoup, sans me toucher le clito. Mais en version pénis cela marche très bien aussi. Alors impossible de choisir. J'aime les deux, même si je préfère être pénétrée.
Et comme si ce n'était pas assez compliqué comme cela, c'est nana dominante et mec je sais pas, ni dom, ni soumis. En femme j'ai la baffe facile et le fouet amer. En femme je cogne d'abord et je cause après. C'est fou les mecs qui sont soumis. Je suis terrifiante, impitoyable, j'adore attacher et faire pleurer. J'aime lorsque le soumis supplie, implore, verse des larmes chaudes. Cela m'excite et ne me parlez pas de codes ou autres procédures pour dire stop. C'est moi qui fixe les limites, pas le soumis attaché et bâillonné.
Pourtant j'adore aussi jouer à la femme, même si je ne me travesti pas, pas besoin. Je reste nature. J'aime un beau soumis avec un cul rouge sang et une belle bite bien tendue. J'aime être prise et j'adore sentir son sperme en moi. Bref que des contradictions.
De toute façon, le mâle qui veut me pénétrer doit faire preuve de son courage sous le fouet. J'aime pas les mauviettes.
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Je nettoie bien mon plan de travail, puis je remonte vers les étages supérieurs pour l'embrasser, mais elle détourne le visage en riant. Je demande :
— Tu n'as pas aimé??
— Si, c'était délicieux, mais tu sens trop la chatte?!
— J'aime ton odeur...
— Tu es mignonne.
Tandis qu'on bêtifie, une grosse voix se fait entendre :
— Alors Samia, pour demain??
Je fais la conne en répondant :
— Quoi, Monsieur Djibril??
— Est-ce que tu viens??
Malha se lève et me prend contre elle, on est peau à peau, seins à seins, ses poils caressent mon pubis épilé. Elle met ses bras autour de mon cou, en disant :
— On dansera ensemble.
— Bon... alors, je viens... pour toi.
Malha dit à son frère :
— Djibril, sois gentil avec elle, c'est une femme, pas une gamine... Arrête de la fesser.
— La ramène pas trop, toi. Rappelle-moi la dernière fois que tu as reçu une fessée??
Elle rougit, enfin, j'imagine, parce que c'est difficile de rougir quand on a un teint... ambré. Elle me dit :
— Mets ma robe pour rentrer... Tu me la ramèneras demain.
— On ne se voit plus aujourd'hui??
— On doit aller discuter avec le chef de la région, mais demain, on viendra vous chercher vers 14 h et on préparera tout ensemble.
— Tu resteras près de moi??
La grosse voix de Djibril retentit à nouveau :
— Dis, Samia, t'as plus 8 ans. Oui, elle s'occupera de toi et si tu fais ce qu'on te demande, tu pourras passer la nuit avec elle. Mets la robe, je te raccompagne.
J'enfile la robe de Malha... Oh?! il y a des auréoles de transpiration sous les bras et... Ho, vos gueules les hormones?!
Arrivée à la maison, je vais dans le jardin... Josiane est là avec les jumeaux. Je leur dis :
— Vous m'avez bien laissée tomber?!
C'est Josiane qui répond :
— Qu'est-ce que tu voulais qu'on fasse??
Jumeau 1 ajoute :
— On savait bien qu'il ne te ferait pas de mal.
— La fessée, je te jure que ça fait mal !
Josiane vient près de moi en disant :
— Djibril nous a fait un signe le pouce levé, on savait qu'il allait se racheter, c'est ce qu'il a fait??
— ... Euh...
— Mais dis donc, toi?!
Elle me renifle, puis s’exclame :
— Tu sens la chatte?! Qu'est-ce que tu as fait??
— C'est que... euh... je suis très souple.
Elle ouvre de grands yeux, puis éclate de rire. Je lui dis :
— C'est Malha, la sœur de Djibril.
— Aaah d'accord, elle t'a prise par les sentiments...
Djibril met fin à cet échange mondain en nous annonçant :
— Cet après-midi, je dois voir des gens importants. Je voudrais que les deux femmes en profitent pour faire le ménage à fond. Ça devient une porcherie, cette maison. Ramassez tout ce qui traîne, faites la vaisselle, donnez un coup de torchon par terre, prenez les poussières...
C'est tout, faut pas lui cirer les chaussures en plus?? Il ajoute :
— J'ai dit les femmes, Samia. Compris??
— Ouais, ouais...
— Est-ce que c'est poli de répondre comme ça??
— Non, monsieur Djibril, et oui, le ménage sera fait.
— Voilà qui est mieux... quand tout sera impeccable ici, vous pouvez aller dans la 5e maison en descendant, il y a une piscine. Vous pouvez en profiter, mais sans foutre le bordel.
Il nous traite vraiment comme des enfants, mais on dit tous «?Oui Monsieur Djibril?». Il ne sait pas si c'est pour se foutre de lui ou pas. Il s'en va, le macho.
Qui a dit que c'était aux femmes de nettoyer?? Et là, j'ai une idée... je dis à Julien :
— Va chercher la valise
Il obéit toujours aussi vite et aussi bien. Quand il la pose devant moi, je lui dis :
— Transforme-toi en Giulia.
Pas un instant d'hésitation, ce qui lui vaudrait une raclée avec la cuiller... Oui, la même, et je sais qu'elle fait vraiment mal?! Il se déshabille, les jumeaux rient en voyant son petit sexe. Il met une mini, un top, des chaussures à haut talon et voilà Giulia. J’explique à Josiane :
— Djibril a dit les femmes, et voici Giulia, la nouvelle bonne.
Elle rit, puis s’exclame :
— Super?! Mais j'ai une autre idée.
Elle va dans sa chambre et revient avec une perruque blonde qu'elle met sur la tête de Robert. Les jumeaux éclatent de rire, eux aussi. Il faut dire Robert avec une perruque blonde, il y a de quoi se marrer. Les deux nouvelles "servantes" commencent à tout ranger et à nettoyer. Je dis à Josiane et aux jumeaux :
— C'est vrai que les femmes nettoient bien... Dites, si Djibril revient, vous me défendrez??
Ils me le jurent. Jumeau 1 me dit :
— Tout à l'heure, on a été surpris et puis on avait envie de voir ce qu'il allait faire et... c'était si beau la cuiller sur tes fesses?!
Ils n'ont pas de filtres, les frangins.
Pendant que les "femmes" font le ménage, je vais me laver... Ensuite, Josiane me propose :
— Si on allait à la piscine??
— Bonne idée...
Il est déjà 15 h. Josiane crie :
— Plus vite les femmes de ménage?! Sinon, pas de piscine?!
Ils sont déjà rouges et suants, mais ils se dépêchent... C'est cool d'avoir des servantes aussi dévouées. C'est vrai que la maison avait besoin d'un bon nettoyage. Je dis à Julien :
— Change-toi...
On part pour la 5e maison. La porte est ouverte et on entend déjà des cris d'enfants. Merde?! Il y a d'autres gens. Il s'agit d'un couple de Scandinaves avec leurs gosses. Je leur parle en anglais, ils sont sympas... La fille, très blonde, est à l'ombre d'un parasol. Je lui demande :
— Ça ne vous dérange pas si on fait du topless??
— Pas du tout, on a déjà fait du naturisme, allez-y...
Le mari est d'accord aussi et les enfants n'ont pas l'air de se soucier de ce qu'on fait. Évidemment, il n’est pas possible de "jouer" devant les Suédois... Alors on se baigne. Les jumeaux ont du mal à ne pas regarder nos nichons. On envoie les maris acheter à boire, quelque chose d'alcoolisé. Josiane donne de l'argent à Robert, en fait, son argent. Ils vont dans le magasin du village et reviennent avec des bières et du vin. En principe, on ne vend pas de boissons alcoolisées ici, mais on est des touristes et on paye. On donne une bière aux Suédois.
Les jumeaux boivent aussi, bien que ce ne soit pas habituel. Ça m'arrange, parce que j'ai envie de leur demander quelque chose. Je différencie bien les jumeaux, maintenant, mais je ne retiens pas leurs prénoms. Mon préféré, je l'appelle N° 1. On nage et on s'amuse dans la piscine. N° 2 joue à la balle avec les enfants, tandis que N° 1 se repose appuyé sur le bord de la piscine. Je m'approche de lui jusqu'à ce que le bout de mes seins s'appuie sur sa peau douce. Il s'immobilise comme paralysé par le contact de mes nichons. Je lui dis :
— Tu as vu comme on regarde les marques sur le haut de mes cuisses?? C'est vraiment gênant. J'en ai marre des sévices de Djibril. Je n’irai pas à la soirée demain... Je vais peut-être retourner à Marrakech.
Oulah, N° 1 fait une de ces têtes. Il me supplie pratiquement :
— Oh non, ne nous fait pas ça, je t'en prie?!
— Je ne sais même pas ce qui va se passer. Si ça se trouve, il va me fouetter pour amuser ces putains d'investisseurs.
— Non?! Je te jure...
— Alors, raconte-moi ce que Djibril t'a dit...
N° 2 arrive au secours de son frère qui perd pied.
Vous savez que certains jumeaux inventent une langue à eux que les autres ne peuvent pas comprendre?? Ben, si... Ils parlent en jumeau bas et vite. Donc je ne comprends rien. On a de l'eau jusqu'à la taille et je plonge la main dans leurs maillots. Ouch?! Radio jumeau s'arrête net. Par contre, leurs bites grandissent entre mes doigts... N° 1 me demande :
— Tu jures de ne pas répéter qu'on te l'a dit??
— Je le jure?!
Alors ils me racontent en se relayant :
— Il y aura une grande soirée aux cascades.
— C'est très important pour la région.
— Il y aura un DJ, plein à boire et à manger.
— Et aussi de très belles filles.
C'est un peu comme si j'assistais à un match de tennis, je passe d'un jumeau à l'autre... Je leur demande :
— Quelles filles??
— La sœur de Djibril, une de ses amies, deux belles Marocaines et...
— Et puis Josiane et toi.
Il s'arrête. Je leur redemande :
— Qu'est-ce qu'on devra faire??
Là, ils se bloquent tous les deux. J'accentue la pression de mes doigts sur leurs sexes qui frétillent dans mes mains...
Les Suédois se lèvent et nous disent au revoir... Ils ont rendez-vous avec un guide. Güt. On est seuls... Josiane s'approche de nous en disant :
— Vous faites quoi??
— Les jumeaux me parlent de la soirée.
On est toutes les deux en face des jumeaux qui déballent tout : «?On devra distraire les investisseurs, ce qui ne sera pas un problème, puisque nous sommes du genre à se coucher en écartant les cuisses, quand on nous propose de nous asseoir?».
Je reconnais le style de Djibril... Josiane et moi, on se regarde en riant. C'est vrai qu'on n'est pas tellement farouches. Je dis à N° 1.
— Continue.
— Il nous a promis qu'on pourrait baiser les filles, après les hommes importants...
— Et même vous... On a tellement envie de vous...
C'est mignon, non?? Et puis ça me plaît qu'ils baisent leur belle-mère... Je dis :
— Et c'est tout??
— Non, vous recevrez des cadeaux.
Josiane leur fait remarquer :
— Si vous aviez envie de me baiser, fallait simplement me le dire.
Les deux numéros ensemble :
— Tu serais d'accord??
— Évidemment et Samia aussi. Hein chérie??
— Mais oui, bien sûr. Toujours d'accord pour me faire baiser, moi.
Ils nous regardent tous les deux, comme s'ils étaient affamés, et nous, deux gros gâteaux au chocolat et crème fraîche?! Ils demandent :
— Maintenant??
Josiane répond :
— Oui, on rentre, on boit un coup et on le fait. Mais avant ça, faut penser aux maris.
Elle crie :
— Les maris à poil?!
Après qu’ils se soient déshabillés, elle leur jette :
— Allez, dans la piscine?!
Oh?? Elle se préoccupe d'eux maintenant?? Elle leur lance une balle en disant :
— Vous pouvez jouer.
Ils obéissent. Putain, ces deux-là, la cigogne qui les apportés a dû égarer leurs paires de couilles en chemin?!
Je sens la main du N° 1 sur mes fesses tandis que N° 2 tète goulûment les seins de sa belle-maman.
A suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Quand je rencontrai Patricia, j'étais dans la pire période pour tomber amoureuse. J'avais
voulu le succès, l'amour, il ne me restait plus rien. Et Patricia proposait de me dédommager
en m'offrant le bonheur, mais elle le faisait au mauvais moment, celui où je ne pouvais rien
recevoir, rien donner. À cette époque, j'aurais dû la fuir, autant pour elle que pour moi. Il me
fallait m'enfoncer dans ce deuil de l'amour, atteindre le fond. J'aurais dû reforger mon âme
dans la solitude mais on ne décide rien. On est que l'observateur impuissant des événements
qui doivent arriver. Et je vis Patricia, je la revis, alors je devins son amante puis sa maîtresse.
Rarement, l'amour donne une seconde chance. Pourtant Patricia revint. Elle me pardonna.
À force de tendresse, je tentais de lui faire oublier ce moment de folie. Son visage n'exprimait
aucun sentiment de rancune. Elle était douée pour le pardon. Souvent, je me disais que je
devais prendre modèle sur elle, être capable de tout accepter de l'amour, son miel comme
son vin amer. Cette jeune fille me dominait en réalité par sa sagesse. Les apparences sont
parfois trompeuses. Elle courbait avec grâce sous le fouet, mais l'esclave, ce n'était pas elle.
C'était moi. Elle n'évoquait jamais l'incident de Sauzon, pas plus que s'il n'avait jamais eu lieu.
Moi, il me ravageait. J'y pensais sans cesse. Qui pouvait m'en délivrer ? Ma faute m'emplissait
de honte. Quand je la serrais dans mes bras, je respirais le parfum iodé de Belle-Île, la bien
nommée. Nous nous promenions sur la côte sauvage, avec les yeux de John Peter Russell,
le peintre australien si généreux que les marins appelaient affectueusement "l'anglais". La
beauté de Marianna, son épouse, que Monet vantait et qui avait tant inspirée Rodin. Cachées
dans une crique, nous nous baignons toutes les deux nues, non loin de la plage de Donnant.
J'étais si empressée à reconquérir Patricia que j'en oubliai Béatrice. Certes je la voyais mais
je ne la regardais plus. Nos gestes devenaient machinaux. S'en apercevait-elle ? Sans m'en
rendre compte je baissai la garde. Je ne me préoccupais plus de lui dissimuler ma liaison
avec Patricia. Non que je souhaitasse lui en faire l'aveu, mais je pressentais que le hasard
se chargerait de lui faire découvrir la vérité tout en m'économisant un courage inutile.
La souffrance vient bien assez tôt. Point n'est besoin de devancer l'appel. Je m'abandonnais
à cette éventualité avec fatalisme. Un jour, je reçus une lettre particulièrement tendre de
Béatrice. Elle y exprimait de manière explicite les élans de son cœur. Aussitôt, je fus consciente
de sa gravité, de son pouvoir de séduction. Je la plaçais bien en évidence sur mon bureau afin
de ne pas oublier de la dissimuler. Mais je fus distraite de cette sage précaution. Or oubliant
l'existence de cette pièce à conviction, Patricia était seule chez moi. Le destin se vengeait.
Quand je revins, la porte d'entrée était grande ouverte, ce qui m'étonna. Quelle ne fut pas ma
surprise de voir que la maison offrait le spectacle d'un ravage comme si elle avait été détruite
par le passage d'un cyclone. Je crus à un cambriolage. Mais très vite, je me rendis à l'évidence.
Patricia s'était acharnée sur les bibelots qu'elle avait brisés. Les tableaux gisaient sur le sol,
leur cadre fracassé. Cette fureur me soulagea. Ainsi tout était dit, du moins je le croyais.
Mais Patricia revint bientôt à la charge. Il y avait dans son regard une flamme meurtrière qui
n'était pas sans charme. Peu d'êtres ont réellement le désir de vous tuer. Tout ce que son
caractère avait amassé de violence contenue s'exprimait à cause de moi. L'orage dura assez
longtemps. J'en comprenais mieux que quiconque les raisons. Mais que pouvais-je alléguer
pour ma défense ? Je n'avais rien à dire. Je plaidais coupable avec circonstance aggravante.
Mon mutisme augmentait sa fureur. La vie seule portait la responsabilité de ce gâchis, la vie
qui nous jette, sans égard pour autrui, là où nous devons être. Ne pouvant rien tirer de moi,
elle partit en claquant la porte. Cet amour finissait comme il avait commencé, dans l'irraisonné,
l'incohérence, la violence et la tendresse mêlées. Béatrice la douce et Patricia la rebelle. Elles
coexistèrent quelque temps. Puis elles s'effacèrent comme si elles étaient reliées à une époque
révolue de ma vie et n'avaient existé que pour m'offrir les deux visages d'un même amour.
La pluie, le soleil, la brume ont peut-être plus d'influence sur notre comportement amoureux
que nous l'imaginons. il me semble que la nature a toujours émis des messages. Et le vent.
Le vent qui soulève le sable du désert, des oasis du Hoggar, et les dépose sur les arbousiers
du maquis corse. L'invisible, ses sarabandes, ses fêtes, ses débauches, ses orgies des sens,
la fabuleuse orchestration qui s'y déroule sans qu'on y prête attention, quelle conscience nous
reste-il de l'immensité de tout cela ? Un instrument d'observation inapproprié, un organe
atrophié fossile d'une fonction perdue, l'amour. Lui seul nous fait pressentir l'invisible. Et la
poésie des corps. Mais c'est encore l'amour qui la suscite, l'éclaire, module son chant et fait
frémir ses incantations lumineusement obscures. Le désir le conjugue au plus-que-parfait.
Chaque étape initiatique de notre existence, par des liens secrets, est en relation avec un
amour qui épanouit ses virtualités. Parfois, quand l'inanité d'écrire me ravage, je ne reprends
confiance qu'en m'agrippant à la certitude que ce que je recherche ne réside que dans le
partage, et la seule chose qui m'importe est ce qui jette mon destin dans de vastes espaces,
bien au-delà de moi-même. La grande distinction d'Arletty coiffée de son turban blanc.
Trois années avaient passé depuis ce réveillon où j'avais fait connaissance de Claire. Cette
rencontre m'avait placée dans une position qui avait le caractère d'une parenthèse. Elle
appartenait à un monde irréel puisque aucun des maux de ce monde ne l'atteignait. Un univers
trop parfait n'est pas fait pour une femme qui veut toujours se prouver quelque chose en
modifiant le cadre de son existence. Le temps passait avec une lenteur inexorable. Il semblait
enfermer Claire dans une perpétuité du bonheur. Il me fallait des drames, des souffrances, un
théâtre d'émotions, des trahisons qui ne pouvaient nullement se développer sur ce terreau-là.
Claire, insatisfaite comme on l'est lorsqu'on choisit le chemin de la perfection, avait trouvé en
moi un dérivatif à sa passion d'aimer endurer. Aimer c'est souffrir mais c'est aussi vivre.
Vivre avec Claire ? J'y songeais, je le souhaitais et je le redoutais. Je le souhaitais parce que le
sentiment amoureux qui ne se double pas d'amitié n'est qu'un état intérimaire de peu de durée,
que l'indispensable amitié se fonde sur le temps qui passe, sur une accumulation heureuse de
situations partagées, de circonstances vécues en commun. Je le redoutais parce que j'ai déjà fait
l'expérience de prendre des trains en marche. Pas besoin d'imagination pour prévoir ce qui, tôt
ou tard, adviendra, il me suffit d'avoir un peu de mémoire. Me voici, soumettant Claire. Nous
dégustions les charmes de cette situation nouvelle dans une profonde entente mutuelle. Je la
fouettais avec application tout en réfrénant son masochisme. Je ne voulais pas casser ma
poupée de porcelaine. Me manquait-il une certaine cruauté ? Voici Claire qui s'anime d'amples
mouvements à la rencontre du cuir. Voici qu'ils se confondent et s'exaspèrent et que, de sa
bouche captive, elle pousse un gémissement qui me déchire le cœur. L'insensée crie et m'invite
plus intensément. Ils se perdent ensemble au comble d'une tempête dont je suis le vent.
Les yeux clairs s'agrandissent et leur eau se trouble. Elle ne me voit plus, son regard s'accommode
au-delà. L'un après l'autre, les traits du visage changent d'ordonnance, ils se recomposent en
une géographie que je ne connais plus. Sur ses lèvres qui s'entrouvrent, les miennes se posent,
ma langue cherche et investit. La bouche de Claire accepte et bientôt requiert.
Les yeux immenses se ferment et je devine qu'ils se tournent en dedans sur un monde ignoré.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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On a beaucoup écrit sur ce personnage à la fois sulfureux, intrigant mais passionnant et attachant. Il
s'agit bien sûr d'Alberto Girolamo, le poète phénicien, à la fois écrivain, magicien et surtout escroc.
Il passa sa vie, à errer de cour en cour, afin d'assurer son train de vie fastueux. Ses besoins d'argent
étaient colossaux, alors il ne recula devant rien pour parvenir à ses fins. Entre immoralité et débauche.
On croit connaître Casanova. Souvent, on se trompe. On a pas voulu admettre qu'il soit un grand écrivain.
Il hante les imaginations, mais il les inquiète. On veut bien raconter ses exploits galants mais à condition
de priver leur héros de sa profondeur. On le traite trop souvent avec un ressentiment diffus et pincé. C'est
oublier que l'aventurier Vénitien était surtout un homme cultivé, séduisant, complexe et un fin mémorialiste.
Depuis plus de deux siècles, Giacomo Casanova, est un des plus grands aventuriers du XVIIIème siècle.
Il est l'objet de tous les fantasmes. De ses innombrables conquêtes et de ses frasques amoureuses émane
encore aujourd'hui un parfum de soufre et de scandale. Sa vie est pourtant mal connue, à tel point que
certains se demandent si cet homme n'est pas un personnage de fiction. Mais Casanova a bel et bien existé.
Et de la façon la plus intense qui soit. Le Vénitien, qui a parcouru l'Europe, ses cours impériales et ses tripots,
l'a clairement dit: "J'ai aimé les femmes à la folie, mais je leur ai toujours préféré ma liberté. Lorsque je me
suis trouvé dans le danger de la sacrifier, je ne me suis sauvé que par hasard." En quelques mots, celui que
Barbey d'Aurevilly appelait le "faune en bas de soie" fut, en vrac, jeune abbé, charlatan patenté, alchimiste
et ésotériste, grand trousseur de jupons, suborneur, écornifleur de cœurs, escroc, espion, mythomane,
délateur, bretteur à la fine lame, guérisseur, violoniste à l'opéra, parieur insensé, prisonnier plus d'un an,
mais aussi poète, dramaturge, admirateur d'Horace et de Rousseau, traducteur lettré et conteur hors pair.
Alberto voyage de vile, passant frontière après frontière, à la recherche de l'amour et des aventure érotiques.
Il avait une libido phénoménale. Sans cesse de nouvelles victimes, des femmes de plus en plus jeunes.
Casanova se jette dans la vie sans rien attendre d'autre en retour que le plaisir. Pour l'obtenir, le Vénitien est
doté de quelques qualités indispensables. C'est un très bel homme d'un mètre quatre-vingt-sept, il a de
l'allure, s'exprime merveilleusement bien et sait faire des femmes ses complices. On connaît les dimensions
intéressantes de son membre viril, entre vingt-deux et vingt-trois centimètres, car il nous a donné la taille de
ses préservatifs qui, à l'époque, sont de petits étuis de soie. Ainsi avantagé, ce libertin s'adonne sans compter,
et ne trouve son plaisir que si celui-ci est partagé. Pour les femmes, Casanova est un homme disponible, à
l'écoute de leurs requêtes et de leurs moindres désirs. Ses conquêtes, estimées par ses soins à plus de cent
vingt, sont issues de tous les milieux, de toutes les classes sociales: soubrettes et aristocrates, comédiennes
et religieuses. Cette vie incroyablement libre et dissolue n'est possible que dans le contexte du XVIIIème siècle,
siècle des Lumières et du libertinage, durant lequel règne dans certains milieux une grande liberté des mœurs.
L'aventurier aigrefin ne reculera devant rien pour accomplir son destin fait de découvertes érotiques et de vol,
pour hélas, terminer sa vie dans de très tristes conditions, seul et abandonné de toutes et de tous, à Rome.
Sa vie tourna vite au cauchemar malgré ses très nombreux appuis politiques et ses relations aristocratiques.
Alberto Giacomo Girolamo est né à Venise, le 2 février 1725. Son père, Gaetano Casanova, un comédien,
a épousé la fille d'un cordonnier, Zanetta Farussi, elle aussi comédienne. Premier enfant de cette famille roturière,
il aura trois frères, dont deux, Francesco et Giovanni, seront peintres, et une sœur qui épousera un maître de
clavecin à Dresde. Giacomo Casanova est d'abord élevé par sa grand-mère maternelle, Marsia Farusso, qu'il
adore. Son père meurt en 1733. Sa mère, enceinte de son cinquième enfant, continue sa carrière de comédienne
hors de Venise. De 1735 à 1742, il suit des études de théologie à l'université de Padoue. Remarquablement doué,
s'intéressant à tout, grammaire, prosodie, mathématiques, droit, théologie, cosmographie, musique, il dévore les
auteurs anciens et modernes: savants et philosophes et poètes. Comme on le destine à l'état ecclésiastique, on
le place dans un séminaire de Venise où il reçoit la tonsure et les ordres mineurs, mais sa carrière de prédicateur
tourne court après un sermon catastrophique. Ses mœurs déjà libertines ne tardent pas à le faire renvoyer du
Séminaire. Il effectue des stages dans des cabinets d'avocat et passe son Doctorat de droit. Une liaison avec
la favorite du sénateur Malipiero lui fournit l'occasion de faire connaissance avec les prisons de la République,
au fort San Andrea. Relâché, il erre alors pendant plusieurs mois à travers l'Italie profitant de sa chère liberté.
Il ne reculera devant rien pour se faire un nom dans toutes les cours européennes, et même au sein du Vatican,
où dit-on, il converti même le Pape au jeu de cartes et de l'amour. Grand séducteur, aucune limite pour lui.
On ne compte alors plus le nombre de ses victimes, de plus en plus nombreuses. Alla-t-il alors en prison ?
Cherchant toujours à se faire admettre dans le clergé, il réussit à obtenir chez le cardinal Acquaviva, à Rome,
une place de secrétaire qui le met en relations avec le pape Benoît XIV. Il rejoint en Calabre l'évêque Bernardo de
Bernardis mais il est rapidement congédié à la suite d'une étourderie, emprisonné quelque temps à Ancône, et
regagne Venise où il prend du service dans l'armée. Après une escale à Naples, Casanova s'installe à Rome au
mois de juin 1744. Il y trouve un travail auprès de l'ambassadeur d'Espagne, le cardinal Acquaviva. Mais l'année
suivante, à la suite d'une affaire de rapt dont il a été complice, il doit quitter quitter Rome et abandonne tout espoir
de carrière dans l'Église. Il gagne la Turquie puis revient à Venise en 1746. Il doit alors se contenter d'un emploi
de violoniste dans l'orchestre du théâtre San Samuele, et mène une vie médiocre jusqu'au jour où le sénateur
Bagradino, ayant été frappé devant lui d'apoplexie, il parvient à le ranimer et à le ramener chez lui où il opère
en quelques jours une guérison d'allure miraculeuse. Il achève de gagner la confiance absolue du rescapé en
faisant mine d'être initié aux sciences occultes en lui promettant rien de plus que la fameuse pierre philosophale.
De voyage en voyage, il brisera les cœurs et videra les bourses et les coffres de ses victimes, alors séduites.
Sa férocité et sa vénalité ne connut aucune limite. Mais à sa décharge, le XVIIIème siècle est au libertinage.
Alberto peut alors commencer à tenir le train fastueux d'un grand seigneur accaparé par les soupers fins,
le jeu, les intrigues et surtout les femmes. Il fait la connaissance du sénateur Bragadin qui devient son protecteur.
Il est mêlé à des affaires de jeu et se fait rapidement une réputation sulfureuse dans la Sérénissime. Au début de
l'année 1749, il voyage dans le Nord de l'Italie et en Suisse. Vérone, Milan, Crémone, Genève. À l'automne, il
rencontre et enlève la Provençale Henriette dont il est très amoureux. Le couple s'installe à Parme, mais Henriette
est contrainte de le quitter au début de l'année suivante. La grande aventure ne commence qu'en 1750, avec le
départ de Casanova pour la France. À Lyon il est reçu dans la franc-maçonnerie, puis séjourne deux ans à Paris
dans les coulisses de la Comédie Italienne, en particulier de la famille Balletti, faisant lui-même du théâtre.
Cherchant le plaisir auprès de femmes mariées de la haute société, de jeunes filles sortant à peine du couvent,
mais aussi bien auprès de servantes et de souillons, accumulant les scandales galants et les dettes de jeu, il est
bientôt contraint de fuir la colère des dupes et des jaloux, passant alors en Allemagne, recommençant les mêmes
fredaines et les mêmes indélicatesses à chacune de ses étapes. En 1754 arrive le nouvel ambassadeur de Louis
XV, l'abbé de Bernis, futur cardinal et académicien. Casanova devient son ami, et les deux hommes se partagent
pendant plusieurs mois les faveurs d'une religieuse libertine. Alors, autour de lui le scandale redouble d'intensité.
Mais on ne prête qu'aux riches dit-on, et sa légende fut renforcée par de nombreuses études universitaires dont
les sources paraissent peu fiables et sujettes à contradiction. Entre la réalité et la littérature, la frontière est tenue.
L’aventure avec Bellino, jeune castrat rencontré durant un voyage, est tout à fait significative. Alberto en devient
amoureux et s’en étonne, lui qui n’eut, semble-t-il, que peu d’expériences homosexuelles et qui n’éprouvait guère
de sympathie pour "les chevaliers de la manchette." Amoureux jusqu’au délire, Casanova se fit pressant et finit
par découvrir, malgré la résistance de Bellino, qu’il s’agissait d’une femme, appelée Thérèse, travestie et appareillée
pour donner le change, Il fallait un tel retournement pour que Casanova conserve son statut d’homme à femmes et
pour montrer que la nature finit toujours par réclamer son dû. Fervent pratiquant du sexe, Giacomo Casanova le
mêle à presque toutes ses activités. Le sexe est un moyen dont il use pour duper en satisfaisant son goût du plaisir,
encore qu’il s’en défende, en prétendant qu’il lui faut aimer pour jouir. Ce que contredisent nombre de ses conquêtes
et sa fréquentation des prostituées. Il présente certains de ses excès sexuels comme autant de curiosités naturelles.
Girolamo avait de nombreux protecteurs. On comprend mieux alors pourquoi, il échappa longtemps à la justice
et à la prison. Heureusement pour notre héros, car il tenait par dessus-tout à sa liberté et à l'amour du jeu.
Il est arrêté et condamné à cinq ans de prison pour impiété, libertinage, exercice de la magie et appartenance
maçonnique. Incarcéré aux "Plombs" du Palais ducal, dans une cellule étouffante située sous un toit composé
de lamelles de plomb, il réussit à s'évader le 1er novembre 1756 et quitte Venise, où il ne reviendra que dix-huit
ans plus tard. Il reprend sa course à travers l'Europe qui lui sert désormais de patrie. De nouveau à Paris, il trouve
le moyen de s'introduire dans la meilleure société, devient un familier du duc de Choiseul. Il fait la connaissance
de la Marquise d'Urfé, passionnée d'occultisme, qu'il escroque sans scrupule, pendant qu'il vit un amour platonique
avec Manon Balletti. Il effectue des missions pour le compte du gouvernement français, fonde une manufacture
d'étoffes et, ayant séduit plusieurs financiers, organise une loterie dont les produits considérables permettent
à l'État d'achever la construction des bâtiments de l'École militaire. Cette loterie fonctionnera jusqu'en 1836.
Sa vie est un roman. François Mauriac, plus que tout le monde, a su, avec talent, décrire sa vie. Plus près de
nous, Philippe Sollers, également, a écrit une excellente biographie. C'est à chacun de se faire une opinion.
Tour à tour financier, diplomate, magicien, charlatan, il n'est pas une grande ville d'Europe que Casanova ne
traverse, de Madrid à Moscou, de Londres à Constantinople. De sa propre autorité, il se décerne le titre de "Chevalier
de Seingalt". Toujours homme à bonnes fortunes, car ce séduisant garçon plaît aux dames et par elles il s'introduit
auprès des gens en place et même des souverains, il passe de la cour de Georges II à Londres à celle de Frédéric
le Grand à Berlin ou de celle de Catherine II à Saint-Pétersbourg à la prison. De discussions avec Voltaire et
Jean-Jacques Rousseau à la promiscuité avec des ruffians et des prostituées. De l'amitié de Souvaroff à celle de
Cagliostro. D'un duel avec le général polonais Braniski à une rixe de cabaret. À Paris il se fait présenter à Mme
de Pompadour et réussit à paraître à la Cour de France. À Dresde, le théâtre royal donne sa traduction du
"Zoroastre" de Cahuzac avec la musique de Rameau. À Rome, le pape le décore, tout comme Gluck ou Mozart,
de l'ordre de l'Eperon d'or. En Espagne, il intéresse les ministres, comme le fera un peu plus tard Beaumarchais,
à de grands projets de mise en valeur des territoires déshérités. Bientôt, le voilà devenu, chef d'entreprise.
Il exerça tous les métier afin de subvenir à ses moyens, et surtout à son somptueux train de vie, toujours plus
dispendieux. Il fallait alors que l'argent coule à flot dans sa bourse, ou comme d'habitude, celles des autres.
Les moyens d'existence de cet infatigable aventurier ne sont pas toujours avouables. Il use cyniquement de ses
charmes auprès des dames vieillissantes, sait fort bien, quand il le faut, corriger au jeu la fortune, paie ses
créanciers au moyen de chèques sans provision, et utilise auprès des naïfs et des esprits faibles les secrets
de la Kabale. Il est connu de toutes les polices de l'Europe, mais sa séduction personnelle, ses talents d'homme
à projets, d'homme d'esprit et de causeur emportent tout. "Dans tout ce que Casanova produit, dit de lui le prince
de Ligne, il y a du trait, du neuf, du piquant et du profond." Aussi est-il en commerce d'amitié et de correspondance
avec quantité de savants et de littérateurs des deux sexes. Lui-même fait partout figure d'homme de lettres et
aborde en des livres, brochures, articles de journaux les sujets les plus divers. À la fin de l'année 1758, lors d'un
séjour de quelques mois aux Pays-Bas, il fait la connaissance de la belle Esther. En août 1759, il est incarcéré
pendant deux jours au For-l'Evêque pour de fausses lettres de change. En 1763, il effectue un séjour désatreux à
Londres, puis se prend d'une passion suicidaire pour la Charpillon, épisode qui inspirera le récit de Pierre Louÿs,
"La Femme et le pantin." En 1765, il se soigne à Wesel d'une maladie vénérienne. Toute l'histoire de sa vie est
ponctuée par des maladies vénériennes, qui se soignent alors très mal. La plus grave est la syphilis, dite "mal
de Naples", ou "mal français". On la traite par le mercure et des fumigations enrichies en soufre et en arsenic.
Une vie de vagabond et d'errance, sans aucune attache, ni vie familiale établie. Ainsi vécu Girolamo. Mais
sa plus grande richesse était à ses yeux sa liberté. La difficulté est d'établir la réalité et la part de légende.
En 1767, chassé de Paris par une lettre de cachet, il se rend à Munich, puis passe en Espagne où il échoue
dans une prison de Barcelone. C'est là qu'en 1769, pour se concilier les bonnes grâces des autorités de la
Sérénissime République, il rédige sa "Réfutation de l'Histoire du gouvernement de Venise d'Amelot de la
Houssaye." En octobre 1772, il s'installe à Trieste, aux portes de la Vénétie, attendant son retour en grâce.
En septembre 1774, il est autorisé à rentrer dans sa ville natale. C'est, dans sa vie aventureuse, une de ces
pauses pendant lesquelles Casanova, qui n'a rien d'un philosophe ni d'un esthète, qui se garde bien d'autre
part de hausser son cynisme jusqu'à une critique générale de l'état social, mais qui, cependant, a touché
un peu à tout dans les arts, les lettres et les sciences, se délasse en se consacrant à des tentatives littéraires.
Baroudeur, écrivain, escroc, musicien, courtisan et amant, joueur de cartes international, tricheur et voleur.
Où se trouve la réalité de sa vie ? Sans doute, comme toujours, entre les deux. C'est la richesse du héros.
Déjà il a composé une cantate à trois voix, "Le Bonheur de Trieste", il s'est essayé au roman historique avec
ses "Anecdotes vénitiennes d'amour et de guerre du XIVème siècle, sous le gouvernement des doges Giovanni
Gradenigo et Giovanni Dolfin." En 1775, il rapporte à Venise son "Histoire des troubles de Pologne." Il rencontre
Lorenzo Da Ponte, traduit "L'Iliade d'Homère", publie des "Éloges de M. de Voltaire par différents auteurs" et un
"Opuscoli miscellanei" qui contient notamment la récit intitulé "Le Duel." En 1780, il s'improvise imprésario
d'une troupe de comédiens français et lance une revue de critique dramatique, "Le Messager de Thalie."
Mais approche peu à peu, la fin de sa vie. De la chance et de la joie, il passe au malheur et à la tristesse. Il
tentera de gagner la sympathie d'un grand seigneur fortuné, afin d'assurer des moyens d'existence décents.
De 1783 à 1784, nouvelle période d'errance. On voit Casanova à Francfort, Aix-la-Chapelle, Spa, Amsterdam,
Anvers, Bruxelles, Paris, Berlin, Dresde, Vienne, où il est secrétaire de l'ambassadeur de Venise Foscarini et se
lie d'amitié avec le comte de Waldstein-Wartenberg, neveu du prince de Ligne, qui, par charité, le recueille en 1785
dans son château de Dux, en bohême, comme bibliothécaire. C'est pendant ces dernières années assez humiliantes,
en l'absence de son hôte, qui d'ailleurs l'exhibe comme une curiosité devant ses invités, il est obligé, par exemple,
de prendre ses repas à l'office, en compagnie des valets, que l'extraordinaire aventurier entretient une dernière
correspondance tendre avec une jeune fille, Cécile de Ruggendorf, qu'il ne rencontrera jamais. C'est surtout là
qu'il écrit son roman fantastique "Icosameron ou Histoire d'Édouard et d'Élisabeth" (1788), un travail sur les
mathématiques," Solution du problème déliaque", et surtout ses deux livres autobiographiques, "Histoire de ma
fuite des Plombs de Venise" et "Histoire de ma vie." Une œuvre majeure qui le fait entrer à jamais au panthéon
des mémorialistes. Sur plus de trois mille pages, Casanova nous livre son incroyable vie, sans complaisance.
Il se mettra en tête alors de tenter d'écrire ses mémoires. Intéressantes, elles demeurent néanmoins sujettes à
caution, car de nombreuses contradictions, d'innombrables contre vérités apparaissent. Où se trouve la réalité ?
Ces Mémoires, dans lesquels le vrai et le moins vrai sont habilement dosés, feront alors les délices d'un Musset,
d'un Stendhal, d'un Delacroix et de tous ceux enfin qui veulent y retrouver, sous les récits trop souvent érotiques
de Casanova, les prestiges libertins du XVIIIème siècle. Témoin de la fin d'une époque, l'aventurier Vénitien, par
sa liberté d'être et de pensée, demeure une figure emblématique des Lumières. Il meurt au château de Dux, le
quatre juin 1798, à l'âge de soixante-treize ans. Seule une plaque dans la chapelle du château évoque son souvenir.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Un chat sur une autre messagerie (Ce genre de messagerie oui à 150% les contacts sont faux et sans intérêts) et aucun contact depuis 5 ans , heureusement que je ne paye pas).
Bref, le 18 Septembre, j'y fais un saut rapide avec mon pseudo de Dominateur et pas plus surpris que cela je reçois un message d'une femme soumise du 75. (Ne pas oublier je suis dans le 45).
Je me prépare à la conversation habituelle puis à couper, mais bon le dialogue semble assez cohérant, je poursuis.
Rapidement une adresse mail, des photos réalisées sur demande, femme de 38 ans divorcée seule voulant passer une semaine de soumission.
Evoquant notre éloignement elle me dit qu'elle viendra pas le train et qu'elle assume les frais (Rares).
Ce qu'elle veut des groupes, des introductions bizarre, de la violence verbale et physique et bukkake.
Beau programme, je vous raconterais au jour le jour le déroulement des contacts de cette semaine. Elle veut venir à compter du 26/09.
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— Toi aussi, dis-moi, ça t’excite ! Tu aimes ça, hein ! Tu ne vas pas être déçu !
Sa main droite descendit et attrapa mon sexe pour commencer à me branler doucement. Sa main gauche quant à elle, était posée sur mes fesses. Ses doigts commencèrent à fouiller ma raie. Bientôt, elle découvrit mon anus et se mit à caresser doucement avec son index les bords de mon orifice. Puis, je sentis son doigt pénétrer doucement mon anus. La sensation était bizarre mais pas désagréable. Elle faisait doucement sans me brusquer. Bientôt ses deux phalanges m'avaient complètement envahi et le va-et-vient commença. Tout mon corps frissonnait, elle était en train de me préparer à la sodomie…
J’essayai d’en faire de même avec mes deux mains, mais sa réaction me fit comprendre que je devais la laissant faire. sa main n’avait pas quitté mon sexe et continuait à le branler ; son autre main me dilatait petit à petit l’anus. Quand son majeur vint se rajouter à son index, mon corps réagit un peu.
— Tu peux encore choisir, mon coquin, ou tu t’en vas et je ne veux plus jamais te revoir, ou tu te laisses faire sans dire un mot et tu me laisses tout organiser du début à la fin. Si tu acceptes de rester, tu devras être mon esclave encore plus qu’avant et tu devras tout accepter ! Quelle est ta réponse ?
je veux rester, dis-je sans hésiter, mon corps vous appartient ! J’étais peut être allé un peu loin, j’étais quand même puceau avec les hommes et avec les trans.
— Bonne réaction mon chéri, tu es donc à moi maintenant. Mets-toi à quatre pattes et montre moi ta croupe.
Je m’exécutais lui laissant admirer mon cul qu’elle n’allait pas tarder à maltraiter pour mon bonheur et sûrement aussi pour le sien. Je lui offrais mes fesses et elle ne tarda pas à renfourner son index, puis elle rajouta son majeur. La douleur laissait peu à peu place à une sorte de plaisir. Elle le sentait, et elle accéléra progressivement le mouvement. Sa main gauche me donnait des fessées de plus en plus forte et les doigts de sa main droite se frayaient un passage dans mon anus tout serré.
— Accompagne mes doigts, bouge tes fesses pour me montrer que tu aimes ça ! Je m’exécutai et je reculai mes fesses pour mieux me faire pénétrer. La jouissance avait dépassé la douleur et l’appréhension.
— Oh tu m’excites à bouger comme une petite salope ! Tu es fin prêt à recevoir ma bite ! Je vais me régaler avec ton petit cul !
Elle retira ses doigts, s ouvrit un tiroir et en retira une capote
— Tourne-toi vers moi, Allez maintenant, lubrifie mon sexe avec ta salive !
Elle me présenta son sexe devant ma bouche et en un coup de rein, elle le mit au fond de ma gorge. C’est elle qui imprimait la cadence, son gland sortait et rentrait dans ma bouche comme des coups de boutoir. Elle diminua le rythme pour laisser son gland toujours en contact avec ma langue. Je pris sa bite dans ma main pour la branler tout en la suçant, elle apprécia. Je la branlais d’une main et de l’autre je caressais ses boules. Au bout d’un petit moment, elle retira son sexe et me donna le préservatif.
— Allez mon joli, enfile-le-moi, mais rien qu’avec ta bouche, je ne veux pas voir tes mains et tu as intérêt à y arriver sinon la sanction sera lourde pour toi !
Les difficultés commençaient ; déjà que je n’avais jamais mis de capote sur quelqu’un (à part sur moi) avec les mains, en plus, il fallait que je ne me serve que de ma bouche ! Je mis le préservatif sur son gland, et commençai une habile pipe en essayant de le dérouler. Je la pipai quelques secondes puis appréciant mon travail elle m’interrompit :
— C’est bien mon chéri, tu es un brave garçon, je vais finir moi-même, retourne-toi à quatre pattes et écarte bien ton cul ! Je me retournai et je sentis son gland à l’entrée de mon anus. Je sentais que celui-ci s’avançait, la douleur était de plus en plus présente au fur et à mesure que sa bite s’engouffrait. Les deux premiers aller-retours furent très difficiles puis la vitesse de ses va-et-vient commença à s’emballer.
— Oh oui c’est bon mon chou, je sens que tu commences à aimer ça, bientôt tu me supplieras de ne plus arrêter ! Je sentais que la sodomie me donnait des frissons presque du plaisir, et plus on avançait et plus je sentais que sa bite rentrait bien dans mon cul : le plaisir commençait à se faire ressentir !
— Ça y est, tu te régales, tu es une petite salope en fait, tu aimes ça te faire enculer, je veux t’entendre dire que tu aimes ça, je veux t’entendre crier que tu aimes être soumis comme une petite pute !
Il est vrai que j’adorais ça mais l’avouer était difficile ! Le plaisir montait tellement :
— Oh oui, j’adore ça ! Vas-y, continue, défonce moi le cul, j’aime ça, quand tu me prends le cul, fais ce que tu veux, mon trou est pour toi ! — Tu vas me faire jouir, toi, continue à crier comme une petite chienne !
ses coups de bite étaient de plus en plus forts. Ils étaient accentués par mes mouvements de hanche qui permettaient à son sexe d’aller plus profond que jamais. La sodomie sembla durer une éternité. Mon dépucelage était assez violent mais je dois être un peu maso… Elle me mit sur le dos et, en me tenant par les jambes, elle me pénétra d’une autre façon. son sexe entrait et sortait de mon anus. Je sentis sa bite grossir dans mon cul.
— J’ai bien apprécié mon chéri pour une première c’était plutôt pas mal. Mes fesses et mon anus étaient assez douloureux. Mais je pense que j'aime ça.
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Colette, femme affranchie par excellence. Elle s'est émancipée du mariage, a rejeté les conventions sociales.
Par le biais de l'écriture. Et de la sexualité. Insaisissable Colette. Colette l'amoureuse, exploitée par un mari
volage et mercantile, ou Colette la scandaleuse, qui danse à moitié nue sur les scènes du music-hall ? Colette
l'émancipée, qui multiplie les aventures et ose afficher sa bisexualité, ou Colette l'antiféministe, qui refuse tout
engagement. Colette, symbole d'une France provinciale, passéiste et vichyste ou Colette, figure de la femme
moderne, indépendante et rebelle. Tour à tour romancière, mime, auteur dramatique, journaliste, comédienne,
critique de théâtre, marchande de produits de beauté, scénariste, Colette a mené sa vie tambour battant,
comme elle l'entendait. Au point que cette existence singulière, hors des sentiers battus, a parfois fait de l'ombre
au travail de l'écrivain, l'un des plus grands du XX ème siècle , reconnu entre tous comme la pionnière de
l'autofiction. Et pourtant l'une et l'autre, la vie et l'oeuvre sont indissociables, se nourrissant sans cesse.
Elle est née le 28 janvier 1873, à Saint-Sauveur en Puisaye dans l'Yonne, aux confins de la Bourgogne et du
Morvan. Sa mère, Sidonie Landoy, familièrement baptisée "Sido", femme énergique, intelligente et cultivée,
spontanée, généreuse, était née à Paris en 1835, avait épousé Robineau-Duclos, un gentilhomme fermier dont
dont elle était devenue la veuve pour, en 1865, se remarier avec Jules-Joseph Colette. Ce Toulonnais qui était
passé par Saint-Cyr, avait fait la campagne de Kabylie, la guerre de Crimée, la guerre en Italie où, capitaine de
zouaves, il avait été blessé à la bataille de Magenta en 1859 et amputé de la jambe gauche. Il avait dû, en 1860,
dès la trentaine, se contenter d’un modeste emploi sédentaire, celui de percepteur du canton de Saint-Sauveur.
Cet homme à l’accent chantant, était gai, attentif, galant, empressé. Il était assez cultivé, une bibliothèque aussi
importante que celle de la maison familiale n’étant pas courante au XIX ème siècle et dans le milieu qui était le
sien, et ce doux rêveur avait même des velléités d’écrivain. Le père, très tôt, la considéra comme une grande fille
et lui fit découvir le monde des livres, lui faisant lire Balzac dès l’âge de six ans puis Hugo, Labiche et Daudet.
Sa mère lui transmit son goût de la liberté, sa passion pour toutes les formes de la vie, son amour de la nature
et sa naturelle sagesse. Son heureuse enfance rurale lui donna sa compréhension instinctive des animaux, son
sens de l'observation et sa luxuriante et presque païenne sensualité. Gabrielle Colette a eu une éducation hors
du commun pour l’époque, enfance des enfants villageois qui avaient besoin non pas de jouets mais de livres.
La fin des années 1880 fut marquée par des difficultés matérielles aiguës. Le percepteur se révéla mauvais
gestionnaire de l'héritage de son épouse, et les Colette, en 1890, après avoir été contraints de vendre aux enchères
une partie de leurs biens, quittèrent Saint-Sauveur. Elle aimait, depuis l’âge de quatorze ans, un ami de son père,
Henri Gauthier-Villars, alias Willy, qui avait perdu sa femme dont il avait eu en 1892 un enfant appelé Jacques, et
qui venait à Châtillon-Coligny où il l’avait mis en nourrice pendant quelques mois. C’était un homme à femmes,
un Don Juan notoire, un noceur aux fantaisies très voyeuristes. Le capitaine Jules Colette voulut croire qu’il était
un noceur repenti et jeta littéralement la délicieuse sauvageonne qu’était sa fille dans les bras de ce vieillard, en
dépit du désaccord de sa mère. En 1891, des fiançailles officieuses eurent lieu, mais elles durèrent longtemps à
cause des résistances de la famille Gauthier-Villars qui aurait préféré une riche et digne héritière alors que Sidonie
Gabrielle n’aurait pas de dot. Le mariage fut célébré très modestement le 15 mai 1893, à ChâtillonColigny.
Sidonie Gabrielle, à l’âge de vingt ans, se sépara donc de ses parents chéris pour s’établir dans la garçonnière de
Willy, 55, quai des Grands Augustins. Il s’employa à initier à l’amour et à ses perversions cette "fille maladroite" dont il
allait faire un prodige de libertinage, sans qu’elle ressentît de dégoût. Il était le patron d'une véritable "industrie littéraire"
qui produisait des romans licencieux ou humoristiques, chroniques mondaines et critiques musicales. À la tête d'une
écurie de jeunes talents, qui jouaient pour lui les "nègres", Willy règnait en maître sur la bohème parisienne. Pour la
jeune Bourguignonne, née vingt ans plus tôt à Saint-Sauveur-en-Puisaye, l'immersion soudaine dans ce microcosme
à la fois chic et frelaté, conjuguée à la découverte rapide des infidélités de son époux, est un choc. Elle manque alors
de mourir, suite semble-t-il à une grave dépression. Parce qu'elle se faisait mal à sa vie, loin de ses racines, elle se
mit à raconter son enfance à son mari. Willy comprit vite toute la richesse de ces souvenirs et lui conseilla de les
coucher par écrit. Il ne fit d'abord rien de ces cahiers qui devaient fournir le matériau des premiers "Claudine".
Puis il comprit qu'il y avait chez sa femme, titulaire du brevet élémentaire, un talent littéraire insoupçonné. La nostalgie
du pays natal et l'intelligence d'un Pygmalion plus ou moins de fortune révélèrent Colette à elle-même et ce qui devait
être sa destinée, écrire. Alors, la scène littéraire s'ouvrit bientôt à elle. Son sens inné de la représentation fit le reste.
Le premier "Claudine à l'école" (1900) trouva son public. Willy, publicitaire avisé qui avait avant l'heure le génie de la
mercatique, exploita le filon en conjuguant déclinaisons en série des "Claudine" et produits dérivés à l'effigie de l'héroïne
créée, sous son label, par sa femme. Voilà Willy s'enrichissant du labeur de Madame, qu'il trompe gaillardement,
l'adultère étant à l'époque un sport national. Le piège s'était refermé sur Sidonie-Gabrielle. C'est sous les conseils
de Willy qu'elle se lance, en 1894, dans la rédaction de ce qui deviendra "Claudine à l'école". Des souvenirs de la
"communale" un peu échauffés, sur les conseils du maître, de patois, de gamineries et d'amours lesbiennes. C'est à
ce moment-là sans doute que sa créature, qu'il enfermait dans son bureau pour un meilleur rendement, lui échappe.
Même si l'ouvrage est signé Willy, la jeune femme trouve dans l'écriture une raison d'exister. D'aucuns d'ailleurs
soupçonnent qu'une main féminine n'est pas étrangère à cette oeuvre originale, qui a le talent de créer un style.
Suivent en effet trois autres titres dans la série des "Claudine" , fruit de la collaboration des époux. Si le manuscrit
original de "Claudine à Paris" est manquant, ceux de "Claudine en ménage" et de "Claudine s'en va" attestent que Willy
intervenait abondamment dans l'œuvre, pour en pimenter le récit et ménager des piques à ses rivaux littéraires.
Il donnait également des consignes de correction dont il semble que Colette ait de moins en moins tenu compte.
Le succès de "Claudine", dès le premier titre, est inouï. Le livre est décliné au théâtre, au cinéma et à travers une
multitude de produits dérivés notamment les fameux "cols" Claudine. A y regarder de plus près, la fascination
exercée par le personnage de Claudine révèle bien des ambiguïtés. Claudine, femme enfant, amoureuse soumise
à Renaud, ou femme fatale, tentée par la rousse Rézi, c'est en fait Colette qui coupe ses longs cheveux à la
demande de Willy, expérimente les idylles saphiques et se découvre écrivain. Le parcours de Colette est celui
d'une émancipation, affranchissement progressif des chaînes du mariage, le divorce d'avec Willy est prononcé
en 1907 et des normes sociales. Et cela passe par le biais de l'écriture, de la libération du corps et de la sexualité.
En publiant "Dialogues de bêtes" (1904), l'écrivain, qui signe encore Colette Willy, devient Colette, créatrice d'une
langue riche et gourmande, touffue et jouissive, métaphorique et animale. Une écriture féminine ? En même temps,
Colette, visage de chat et hanches lourdes, danse chez Natalie Barney, une poétesse américaine, figure de proue
de la communauté lesbienne parisienne. Elle rencontre "Missy", la marquise de Morny, avec qui elle entretient une
liaison, et entame une carrière théâtrale. Ses performances, dans "Rêve d'Égypte" 1907, où elle apparaît aux côtés
de Missy, ou dans "La Chair" (1908), où elle révèle un sein laiteux, sont sujettes à scandale. Colette y gagne une
réputation de provocatrice, mais surtout son indépendance, économique d'abord, sociale ensuite. Ces multiples
activités, les tournées en province, conjuguées à un infatigable labeur d'écriture, sont le prix à payer pour sa liberté.
Son remariage, en 1912, avec le baron Henry de Jouvenel, journaliste, homme de pouvoir et homme à femmes,
ne marque pas un retour au foyer. Colette ne supporte pas longtemps les exigences de la vie de couple et, malgré
la naissance d'une fille, en 1913, l'amour conjugal ne résiste pas aux tromperies d'Henry ou à la liaison incestueuse
qu'entretient Colette avec son beau-fils, Bertrand de Jouvenel. Le second divorce, en 1924, est pour elle l'occasion
d'un nouveau départ. À plus de cinquante ans, elle entame sa dernière grande aventure avec Maurice Goudeket,
un joaillier amateur d'art de quinze ans son cadet, qui restera son compagnon jusqu'à la dernière heure. En 1932,
Colette publie "Le Pur et l'Impur ", œuvre essentielle dans laquelle elle développe sa conception du rapport entre
les sexes et consacre des pages remarquées à l'homosexualité. Elle y défend le lesbianisme, dont elle met en avant
le rôle consolateur mais condamne sévèrement les "unisexuelles" masculines, qui se complaisent dans le drame
et la culpabilité. Pour Colette, il ne peut y avoir de perversion là où il y a acceptation du corps et de ses désirs.
Ce qu'elle refuse en revanche, c'est l'injonction normative. Colette est insensible à la différence des sexes, elle qui
ne veut se laisser guider que par son instinct. En revanche, elle ignore le militantisme et déteste les féministes.
Le refus du féminisme, c'est aussi le refus de toute forme d'engagement, le rejet des idées générales au profit de
l'expérience personnelle. Indifférente au politique, elle en méconnaît, parfois dangereusement, les enjeux. En 1936,
sa nouvelle "Bella-Vista" paraît dans Gringoire aux côtés d'attaques antisémites contre le président du Conseil Léon
Blum et son ministre de l'Intérieur Roger Salengro. En 1941, c'est "Julie de Carneilhan" qui paraît dans le même
hebdomadaire, désormais ouvertement profasciste. En 1942, un article, "Ma Bourgogne pauvre", publié dans "La
Gerbe" , revue collaborationniste, sert de caution, à l'insu de son auteur, à une revendication allemande sur la province.
De fait, pendant l'Occupation, Colette, qui souffre d'arthrose et peine à se déplacer, se soucie plus du rationnement
que de la politique, et verse dans le pétainisme le plus conforme. Pourtant, son époux, d'origine juive, est arrêté en
1941 et risque la déportation. Colette devra mettre en œuvre tout son réseau de relations, elle fait appel en particulier
à Robert Brasillach pour obtenir sa libération, en février 1942. Quelques mois plus tard, elle répond néanmoins à
l'invitation de l'ambassadeur allemand à Paris Otto Abetz. Aveuglement ou lâcheté. Période trouble et peu glorieuse.
Après la guerre, Colette devient notre Colette. Recluse dans son appartement du Palais-Royal, installée sur son
lit-divan, l'idole préside aux destinées du prix Goncourt, reçoit la jeune génération montante et continue d'écrire jusqu'à
sa mort en 1954. Deuxième femme à avoir bénéficié d'obsèques nationales, Colette, la scandaleuse, était devenue
l'ambassadrice d'une certaine France, qui se reconnaissait en elle. Seule l'Église lui refusa une absolution, qu'elle n'avait
d'ailleurs pas souhaitée. La demande d'enterrement religieux, formulée par son époux, fut rejetée. Ce que l’on retient de
Colette et de ses œuvres est son originalité en terme d’objets d’étude. Son style recherché sublime sa région natale,
la Bourgogne. De plus, ses écrits sont sensuels et synesthésiques. Elle est aussi considérée comme une pionnière de
l’autofiction, elle qui s’est toujours mise en scène dans ses romans. Il y a, de fait, un cas Colette. L'écrivain, incarnation
d'un certain "génie féminin", qui a su accéder aux plus hauts honneurs de la République, à une époque où les femmes
y étaient rarement conviées, sans jamais renier sa liberté, et en assumant totalement, jusqu'au bout, ses choix.
Bibliographie et références:
- Marie-Jeanne Viel, "Colette au temps des Claudine"
- Michèle Sarde, "Colette, libre et entravée"
- Geneviève Dormann, "Amoureuse Colette"
- Herbert Lottman, "Colette"
- Claude Francis et Fernande Gontier, "Colette"
- Jean Chalon, "Colette, l'éternelle apprentie"
- Michel del Castillo, "Colette, une certaine France"
- Hortense Dufour, "Colette, La vagabonde assise"
- Sylvain Bonmariage, "Willy, Colette et moi"
- Madeleine Lazard, "Colette"
- Dominique Bona, "Colette et les siennes"
- Marine Rambach, "Colette pure et impure"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Juliette était fière, aussi farouche que les chevaux qu'elle dressait avec passion dans sa propriété
de l'Orne, près d'Argentan. Elle préférait ne pas s'interroger sur le moment de folie qui, contre
tous ses principes, l'avait jetée dans mes bras. Cela lui semblait un phénomène aussi bizarre
que la foudre ou un tremblement de terre. Elle ne pensait pas qu'une telle catastrophe pût
jamais lui arriver. Elle avait construit un mur autour d'elle pour se protéger et se croyait à
l'abri. Elle se sentait imprenable autant par dégoût de l'aventure que par un sentiment de
fierté qui lui faisait juger les choses de l'amour saphique soit comme un idéal impossible, soit
comme un abandon bestial. Elle n'imaginait pas l'entre-deux. Son intransigeance ne lui faisait
jamais envisager les moyens termes ou les compromis. La vie devait être ainsi: droite, sans
écart, maintenue dans son parcours par une main inflexible, la rigueur était sa religion. Mais
l'amour meurt d'exister. La nature offre d'autres exemples de cette simultanéité de la naissance
et de la mort. Les femmes lointaines échappent à ce destin. Leur immatérialité même les préserve
des atteintes du temps. Quand je retrouvais Juliette, que j'aille à Rome ou qu'elle vînt me rejoindre
à Paris, à Sauzon ou dans tout autre lieu, nous conservions intact cet élan que nous avions connu
dans la chambre mauresque. Son caractère pudique, réservé, ajoutait une distance supplémentaire.
La combustion de l'amour était sans cesse ravivée par l'attente, le doute, l'incertitude. Comment
face à tant d'adversité et de menaces, n'aurions-nous pas connu l'angoisse. Chaque retrouvaille
représentait une conquête. Nous gardions de notre rencontre, fruit de tant de hasards, une pure
confiance dans la prédestination qui y avait présidé, mais en même temps ce destin qui avait
instruit les conditions de ce rendez-vous mystérieux place Saint-Sulpice pouvait avoir décidé de
façon brutale, l'instant de notre rupture. Nous sentions que notre volonté n'y pourrait rien. C'était
ce lien avec l'angoisse qui donnait tant d'intensité et de force à nos étreintes. Elles avaient un goût
de première et de dernière fois. Nous savions que l'instant serait bref. Cette perspective de la
séparation jetait sur nous son ombre mais aussi elle exacerbait notre désir inépuisable de profiter
du présent. Une exaltation inconnue aux couples établis qui n'ont pas d'obstacles à affronter.
Juliette ne me disait presque rien de sa vie. Elle ne me posait aucune question sur la mienne. Sans
doute par crainte d'apprendre des choses qui auraient pu lui déplaire. Aimer écrire, c'est coucher
des mots sur le papier, et non pas partager le lit de Madame de Staël. Mon existence en dehors
de la littérature ne méritait pas que je la fisse souffrir avec des passades sans importance. Elle ne
pouvait être jalouse de ma méridienne. Je ne vivais que dans l'attente d'un prochain rendez-vous,
de baisers volés, d'étreintes usurpées. Où aurait-il lieu ? En réalité je passais plus de temps à
imaginer Juliette qu'à la voir. Et quand je la retrouvais, c'était à travers la brume de ce songe que
j'avais construit autour d'elle. Elle m'écrivait des lettres brèves, quelques phrases denses comme
des aphorismes, datées avec précision. Elle indiquait toujours l'heure et le temps qu'il faisait.
J'appris un jour qu'elle avait épousé un éleveur de chevaux. Elle était fière, aussi farouche que
les pur-sang que son mari dressait dans sa propriété de l'Orne. Elle préférait ne pas s'interroger
sur le moment de folie qui, contre tous ses principes l'avait jetée dans ses bras. Cela lui semblait un
phénomène aussi bizarre que la foudre ou un tremblement de terre. Elle avait construit autour d'elle
un mur pour se protéger et se croyait à l'abri. Elle se sentait imprenable autant par dégoût des autres
que par un sentiment de fierté qui lui faisait juger les choses de l'amour soit comme un idéal impossible
soit comme un abandon bestial. Elle n'imaginait pas l'entre-deux. La vie devint pour elle, droite, sans
écart, maintenue dans son parcours par une main inflexible, faisant de la doctrine du cadre noir de
Saumur sa ligne de conduite. " En avant, calme et droit ", la citation du général L'Hotte l'inspira.
Avait-elle lu le beau roman de François Nourissier ? Au milieu de la vie, elle voyait venir l'hiver. Elle
acceptait avec courage la solitude qui de plus en plus l'envelopperait dans ses voiles glacés. Juliette
échappait à cette angoisse en demandant à la nature de lui offrir les plaisirs, les joies, les émotions
qui lui manquaient. Cette liberté de l'instinct débridé, l'ardeur des saillies, les montées de la sève et
l'allégresse reproductrice du monde végétal la fascinaient. Elle ne vivait plus que pour les chevaux,
les arbres et les fleurs. Elle habillait sa sauvagerie nouvelle d'un masque de mondanité provincial.
Bientôt elle m'invita chez elle et me présenta à son mari qui m'accueillit avec une diplomatique et
rigoureuse politesse. Nous étions dans un monde où tout se joue sur les apparences, où le soupçon,
les arrière-pensées étaient bannis. Un monde de civilité absolue où ce qui n'est pas montré pas plus
que ce qui n'est pas dit n'avaient droit à l'existence. Il m'emmena faire le tour du parc ainsi que de
manière immuable, il procédait avec ses hôtes et me tint les mêmes propos qu'il leur avait tenus à
tous pendant leur visite, propos qui certainement devaient être à quelques nuances près, ceux de
son père et de ses aïeux. Des chevaux gambadaient dans une prairie, d'autres travaillaient dans une
carrière. Tout était dans un ordre parfait. La maison du jardinier rutilait. La serre semblait aussi propre
et rangée qu'une salle d'opération. Un hommage digne à Monsieur de Buffon. Seul le cœur semblait
ne pas avoir de place. On le considérait comme un intrus. J'allais monter à cheval avec Juliette. Nous
nous promenions dans les bois. Parfois nous rentrions avec le crépuscule, et cette demi-obscurité
jetait sur nous des ombres coupables. Son mari nous attendait impavide sur le perron. Sa distance,
son indifférence vis-à-vis d'une liaison qu'il ne voulait pas voir, étaient presque plus lourdes à supporter
que s'il nous avait attendues un fusil chargé à la main. Ce silence du non-dit pesait sur nous comme une
faute. Je regagnai ma chambre et dans cette atmosphère de crime, Juliette se glissait contre moi. Elle
repartait à l'aube. Alors, souvent, en m'éveillant dans le lit vide, je me demandais si je n'avais pas rêvé.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Un prénom masculin et un patronyme emprunté. Ainsi se compose le pseudonyme de l'une des plus libres figures de
la littérature française, George Sand. Sa seule évocation renvoie à des œuvres emblématiques de notre patrimoine
romanesque. Sa notoriété et son talent sont unanimement reconnus. Et pourtant, qui sait que derrière ce nom de
plume, se cache une femme téméraire, qui a révolutionné par son audace le monde littéraire du XIX ème siècle ?
Féministe avant l'heure, George Sand n'a jamais eu peur de s'affirmer dans un milieu qui lui était pourtant hostile.
Rares étaient ceux qui, à l'époque, acceptaient qu'une femme puisse faire ses armes dans le monde encore très
masculin de la culture. Qu'à cela ne tienne, George fumait le cigare, portait une redingote de drap gris, un gilet et
un pantalon. Mais elle payera cher son désir d'émancipation. Tour à tour accusée d'être une mauvaise épouse, une
mère déplorable, voire une traînée, aucune critique ne lui a été épargnée. Et pourtant, sa force de caractère lui a
permis de garder la tête haute tout au long de sa vie. Assumant une vie sentimentale à la fois riche et orageuse,
parsemée d'amants aussi célèbres que nombreux. Si la femme peut se vanter d'être libre, cette indépendance
aura un prix à payer. Toute sa vie sera un continuel combat. Le plus souvent houleux, et parfois très douloureux.
Les coulisses de son existence ont encore beaucoup à nous apprendre de cette personnalité hors du commun.
Plus de deux siècles après sa naissance, il est grand temps de mettre fin aux clichés et de découvrir celle qui
transcenda son époque par son talent littéraire et imprégna nos cœurs et nos mémoires par son inexorable aplomb.
Le 10 juin 1876, ils sont nombreux à écouter l'oraison funèbre de l'auteur de "La Petite Fadette" prononcée par
Victor Hugo: " Je pleure une morte et je salue une immortelle. George Sand était une idée; elle est hors de la chair,
la voilà libre. Elle est morte, la voilà vivante." Hommage très poignant à celle qui a gravé à jamais son nom dans
l'histoire de la littérature française, en dépit des critiques acerbes assenées de son vivant par ses contemporains,
de Beaudelaire à Lamartine en passant par les frères Goncourt, Barbey d'Aurevilly et même Émile Zola. Sand
aura tant bien que mal su résister à ses détracteurs misogynes et s'entourer d'amants fidèles, qui l'épauleront tout
au long de sa carrière pour lui permettre d'accéder à la gloire. On aurait tant voulu que la dame de Nohant demeure.
Celle qui est à l'origine de toutes les polémiques naît en 1804, des amours d'une fille du peuple, Sophie Delaborde,
et d'un aristocrate rencontré durant la campagne d'Italie, Maurice Dupin de Francueil, petit-fils du maréchal de Saxe
et arrière-petit-fils du roi de Pologne, Frédéric-Auguste de Saxe. La vie conjugale d'Aurore Dupin commence tôt pour
de mauvaises raisons. Elle épouse à dix-huit ans le baron Casimir Dudevant, de dix ans son aîné, pour échapper à
l'autorité maternelle. De cette union naîtra un fils, Maurice. La famille s'installe dans une maison de maître dont elle
a hérité à Nohant, un village du Berry. Cet endroit familier lui est vital. Elle y séjournera régulièrement au cours de sa
vie, éprouvant le besoin irrépressible de revenir sur les terres de son enfance. Mais son mariage ne la satisfait pas,
bien au contraire. Malgré le doux caractère de son mari, Aurore s'ennuie. Ses multiples voyages n'y changent rien.
De toute évidence, ils ne servent qu'à masquer la lente agonie du couple. Enfermée dans une relation qui l'étouffe,
c'est ailleurs qu'elle cherche son salut. C'est ainsi qu'en 1825, lors d'un séjour estival dans les Pyrénées, Aurore
noue une relation passionnée avec un jeune substitut au tribunal de Bordeaux, descendant d'un des avocats de
Louis XVI, Aurélien de Sèze. L'homme la séduit par son immense culture qui fait tant défaut à son mari. Deux ans
plus tard, Aurore devient la maîtresse de son ancien professeur, Stéphane Ajasson de Grandsagne, érudit d'une
grande beauté mais d'une santé fragile. C'est probablement lui qui est le père de sa fille Solange née en 1828.
Ces deux aventures extraconjugales seront passionnelles et brèves. C'est au cours de l'été 1830 que le destin
d'Aurore va enfin prendre son envol. Lors d'une soirée organisée au château de Coudray, près de Nohant, elle est
présentée à un Creusois aux cheveux blonds, un étudiant en droit de dix-neuf ans qui devient son amant, Jules
Sandeau. Féru de littérature, il transmet sa passion à la jeune fille, qui se met à écrire et dévoile un véritable talent.
Installés au cœur de Paris, dans un appartement du quai Saint-Michel, les deux amants croient au génie du peuple
et se galvanisent des évènements politiques de 1830. Aurore, tentée par le journalisme, est engagée par le Figaro.
Parallèlement, le couple compose un premier roman à quatre mains, sous le pseudonyme de "J.Sand", diminutif
de Jules Sandeau, "Le commissionnaire", qui sera bientôt suivi par "Rose et Blanche", un roman fort bien accueilli,
dont la jeune femme tire une certaine fierté pour en avoir écrit la majeure partie. Les suivants, elle les signera seule,
du pseudonyme de George Sand. C’est Indiana (1832), qu’une rumeur admirative accueille, puis Valentine (1832),
dont les descriptions enchantent Chateaubriand. La voilà enfin libre d'écrire selon son cœur. Mais hélas, la fin de la
collaboration littéraire entre la romancière et son amant entraînera la fin inéluctable de leur histoire d'amour.
George Sand fait bien froncer quelques sourcils, car elle se pose en défenseur de la femme, plaide pour le droit à
la passion, attaque le mariage et la société opprimante. Mais, dans l’ensemble, la critique est très favorable, vantant
le style, le don d’observation, l’analyse psychologique. Sainte-Beuve remarque le premier un souci de réalisme qui
place les personnages dans "un monde vrai, vivant, nôtre." Ainsi commence une carrière féconde de romancière.
Elle fait la rencontre d’Alfred de Musset en juin 1833, lors d'un dîner qui réunit les collaborateurs de "La Revue."
Quelques semaines plus tard, il devient son amant. Ensemble, ils partent, le douze décembre suivant, dans la
malle-poste pour un voyage romantique à destination de l’Italie. En compagnie de Stendhal, qui rejoint Civitavecchia
et son poste de consul, Sand et Musset descendent la vallée du Rhône en bateau avant de s’installer, le 1er janvier
1834, à l’Hôtel Alberto Reale Danieli à Venise. Musset tombe alors gravement malade. Il souffre de fièvres et de
délires, que seul un spécialiste pourrait soulager. Tout en soignant avec abnégation son compagnon, George, peu
à peu, s'éprend du médecin appelé à son chevet, Pietro Pagello. Et lorsqu'il est enfin remis sur pied, Alfred quitte
Venise dès le mois de mars, laissant George, sans le sou, séjourner dans la cité des doges jusqu'au mois de juin.
Peu de liaisons auront suscité autant de commentaires que celle-ci. L'attachement ardent qui les liait l'un à l'autre
transparaît dans leurs créations respectives. Le jeune auteur y fait directement référence dans son unique roman,
"La Confession d'un enfant du siècle", tandis que Sand relatera leur histoire, vingt ans plus tard, dans "Elle et Lui."
Publié deux ans plus tard après la mort de Musset, ce récit exaspérera le frère du poète, Paul qui répliquera à
Sand, six mois plus tard, avec "Lui et Elle". Dans son texte, Alfred est présenté comme la victime d'une femme
sans cœur aux mœurs dissolues. Un portrait qui blessera profondément et durablement l'ancienne amante. Un
mois seulement après sa séparation d'avec Musset, elle quitte officiellement son ancien époux, Casimir Dudevant.
Afin de s'éloigner quelques temps de ces souvenirs oppressants, George Sand quitte la France pour rejoindre en
Suisse le compositeur hongrois Franz Liszt, dont elle avait fait connaissance du temps de sa relation avec Musset.
Le compositeur avait à l'époque provoqué un scandale en enlevant sa bien-aimée, Marie d'Agoult à son époux.
De retour à Paris, Sand loue un appartement à l'Hôtel de France, où Marie tient un brillant salon artistique.
Bien qu'ils aient toujours nié avoir été amants, la relation exhaltée entre les deux artistes qui oscillait entre amitié
créatrice et amour platonique, provoqua de nombreuses tensions entre George Sand et Marie d'Agoult. La fin de
la liaison particulière avec Franz Lizst coÏncide avec le début d'une nouvelle aventure pour Sand. Et signe du
destin, c'est d'un autre compositeur qu'elle va follement tomber amoureuse, Frédéric Chopin, rencontré au cours
d'une soirée donnée dans le salon de Marie d'Agoult. Il ne faudra pas attendre longtemps pour qu'ils ne deviennent
amants dès 1838. Tout semble pourtant opposer les deux artistes à première vue. Profondément attachée au
peuple, la romancière est fermement acquise aux idées socialistes et se méfie du clergé. Le pianiste polonais est
quant à lui introverti, à la fois écorché vif et raffiné, monarchiste et résolument catholique. C'est tout naturellement
que Chopin, qui a besoin de repos, accompagne George Sand lors d'une villégiature aux Baléares destinée à
soigner son fils Maurice de ses rhumatismes. Mais leur séjour est détestable, car le couple fait face à l'hostilité de
la population locale, que George Sand s'empresse de décrire dans une nouvelle œuvre: " Un hiver à Majorque."
De retour en France, Frédéric Chopin s'installe à Nohant, où il passera tous les étés de 1839 à 1846. Cette période
est particulièrment heureuse pour George Sand et demeure l'une des plus fécondes de la vie du compositeur. La
relation passe de la passion exclusive à une vie conjugale quasi bourgeoise qui semble convenir à tous les deux.
Mais au bout de huit années communes, des tensions naissent dans le foyer, auxquelles le fils de Sand n'est pas
étranger. Maurice se montre très jaloux des rapports fusionnels que sa mère entretient avec son compagnon.
Chopin, de son côté, a de plus en plus de difficultés à dissimuler son attirance pour Solange, alors âgée de dix-sept
ans. La colère gronde sourdement dans le couple. La séparation avec l'écrivain devient inéluctable et Chopin ne
répondra plus jamais aux lettres de celle qui fut sa compagne neuf ans durant. Après sa rupture avec Chopin, il
faudra seulement deux ans à Sand pour rencontrer celui qui sera son dernier et plus fidèle compagnon: Alexandre
Manceau. Ce graveur sur cuivre devient l'amant, le secrétaire et l'homme de confiance de l'écrivain qui, alors âgée
de quarante-six ans, en paraît davantage avec ses cheveux blancs. Fuyant l'éternelle jalousie de Maurice, ils
décident de quitter Nohant et emménagent ensemble dans une maison à Palaiseau, bien décidés à vivre leur amour
au grand jour, loin des pressions familiales. Le temps jouera malgré tout contre eux, puisque le 21 août 1865,
Manceau mourra de la tuberculose, veillé jusqu'à son dernier souffle par George Sand. Les relations tumultueuses
de l'auteur avec les hommes ne cessent d'alimenter les polémiques. Pourtant ces liaisons de Sand ont tendance à
occulter ses amitiés particulières avec les femmes. Or deux d'entre elles ont compté dans sa vie, la belle et très
sensuelle comédienne Marie Dorval qui lui inspira le personnage de Pulchérie dans "Lélia" et Pauline Viardot, l'une
des plus grandes cantatrices de l'école française, personnalité très romantique, remarquable du monde des arts.
George Sand était, comme nombre d'artistes, une âme sensible et écorchée, éternelle amoureuse et amie fidèle.
Pourtant, nourrie par une succession de déceptions, celle qui croyait ardemment à l'amour-passion ne s'est jamais
leurrée sur ses relations. Les rencontres qui ont jalonné sa vie ont surtout alimenté son œuvre et contribué à faire
de Sand l'une des femmes les plus singulières du XIX ème siècle. Affrontant les préjugés et faisant fi des barrières
pour s'affranchir de sa condition de femme, elle s'est battue pour exister aux yeux du monde. Mission accomplie,
puisqu'elle est devenue en quelques siècles, bien plus qu'un écrivain talentueux, reconnu et admiré de tous, une
femme engagée et libre. Elle décède le 8 juin 1876 à Nohant d’une occlusion intestinale jugée inopérable. Le dix
juin suivant ont lieu ses obsèques en présence de son ami Flaubert, d’Alexandre Dumas fils et du Prince Napoléon
venus de Paris. L’écrivain est inhumé dans la propriété familiale située non loin de Nohant-Vic dans l'Indre.
Bibliographie et références:
- Silvia Lorusso, "La misogynie littéraire, le cas Sand"
- Simone Bernard-Griffiths, "Dictionnaire George Sand"
- Jean Buon, "George Sand et Madame Dupin"
- Christine Planté, "George Sand critique"
- Deborah Gutermann, "Ouvrage collectif George Sand"
- Marielle Caors, "George Sand et les arts"
- Noëlle Dauphin, "George Sand, terroir et histoire"
- Pierre Remérand, "George Sand, propriétaire terrienne"
- Marie-Reine Renard, "George Sand et l'émancipation féminine"
- Simone Balazard, "Sand, la patronne"
- Béatrice Didier, "George Sand, écrivain"
- Georges Lubin, "George Sand en Berry"
- Albert François Clément Le Roy, "George Sand et ses amis"
- Aurore Sand, "George Sand chez elle"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Préambule: Je soumets ce texte après l'approbation de Maîtresse Lady Gabrielle. Il s'agit d'une énumération d'idées destinées à agrémenter vos réflexions et intentions d'organiser un tel événement. J'ai vécu de similaires situations qui avaient été couronnées de succès mais aussi, une fois, un malheureux "bide". Par ce préambule je veux aussi éviter de me faire accuser d'une quelconque demande, juste contribuer à la réflexion. C'est pour cette raison que j'ai demandé à ma divine Maîtresse l'autorisation de publier ce dernier.
Quelques idées relatives au dîner protocolaire
Rencontrer des amis autour d’une bonne table. Voilà qui ressert les liens d’amitiés ou de confraternité entre dominants et dominantes.
L’occasion de réaliser un repas protocolaire permet d’associer les soumis et soumises aux libations de leur propriétaires.
On désigne donc ces repas sous le vocable « dîner protocolaire » en ce sens que pour bien marquer la différence entre un repas copain-copain, on délimite la zone de la domination avec celle de la soumission. On la délimite selon des règles, un protocole dans lequel chacun occupe son rôle, le tout étant sous-tendu par la pratique BDSM.
J’ai parfois eu le sentiment que la compréhension « protocole » signifiait des règles strictes de présentation de table, de place des verres et des couteaux. C’est à mon sens aller un peu trop loin. Le protocole veut plutôt dire, je suis Maître ou Maîtresse et toi mon soumis, mon esclave tu vas me servir et servir les invités. Servir à manger et à boire bien sûr mais aussi servir de toutes les façons que ces derniers veulent.
A l’expérience, ces rencontres demandent que tous participent de façon active et volontaire pour animer le repas. Cela demande donc, de la part de chacun des dispositions, une inclination naturelle à des pratiques sadiques, humiliantes et aussi d’être ouvert à des comportements désinhibés.
Alors, d’abord choisissons les invités. Des personnes que l’on connaît et dont on sait leur niveau de domination. Des personnes qui ont aussi leur self contrôle. Nous connaissons les gens qui s’enivrent et qui font transforment la soirée en une salle de bistrot qui n’a plus rien à voir avec la pratique originelle. Des gens qui ne craignent pas de se dévêtir pour satisfaire une de leur envie préférée.
Des invités qui, de bonne humeur, aiment discuter entre eux, pincer le téton d’une soumise, piquer avec la fourchette le sexe d’un soumis, fourrager avec ses doigts la bouche d’un garçon, faire exprès de laisser tomber sa serviette pour gifler le servant inattentif, goûter un vin mais recracher dans la bouche de celui qui a servi.
Parmi toutes ces belles choses qui agrémentent un « dîner protocolaire citons :
• Le cadre, un salle à manger assez large pour permettre le mouvement de tous les participants, un salle attenante pour la préparation des plats.
• Un salon pour l’apéritif d’entrée et éventuellement le café de la fin.
• Marquer le personnel de service « préparé » avec des pinces, des attaches, des marquages ou des décorations sur la peau.
• La haie d’honneur, à l’entrée des invités, avec les soumis/soumises nus, menottés ou « bondagés » ou décorés avec des aiguilles sur les seins ou sur la peau, une bougie dans la bouche, la tête étant renversée ou dans les mains.
• Utiliser un ou deux soumis utilisés comme porte-manteaux à l’arrivée.
• Au cas où la maison le permet, disposer une cage pour y mettre des soumis en cage pendant la phase d’arrivée des invités.
• Aligner les soumis et soumises regroupés, nus enchaînés ou entravés avec un bâillon dans la bouche.
• Disposer des statues vivantes emballées complètement dans du cellophane avec la queue dégagée et debout pendant une partie du repas.
• Pendant l’apéro faire manger les soumis dans des écuelles par terre avec de la nourriture qui tache (spaghettis bolognese par exemple). Les soumis se nettoient mutuellement à la langue.
• Mettre sur pied un petit spectacle genre fléchettes, ou flagellation. (Dans le cas où cette pratique est faite en attendant l’arrivée de tous les invités, le ou la soumis est ensuite utilisé pendant le repas comme tableau vivant avec une ou deux bougies en plus.
• Disposer des soumis sur le sol, procéder à un petit cérémonial d’entrée de la personne qui préside en la faisant marcher sur des soumis couchés par terre, elle-même tenue par les mains par des soumises.
• Disposer pour le repas une ou deux soumis/ses nus posés sur la table et recouverts de choses à manger. Changer le décors en faisant une pause et en ordonnant à d’autres soumis de les « laver » en léchant le reste collé au corps.
• Disposer des soumis comme meubles pendant l’apéro comme tabourets, tables, comme servir-boy, avec un plateau accroché autour du torse.
• Utiliser des soumis comme porte panier à pain avec une corbeille attachés par des pinces aux seins.
• Bander les yeux de soumis qui sont chargés d’apporter les plats mais avec un autre soumis utilisé pour guider le premier pour servir.
• Selon les envies du moment glisser un soumis ou soumise sous la table pour effectuer les cunis/turluttes avec le jeu, entre les invités de deviner qui est en train de jouir.
• Chaque dominant ou dominante nourrit les soumis, à genoux derrière les invités assis et les invités, en « crachant » par terre ou dans la bouche des soumis/ses la nourriture pré-mâchée.
• Faire boire dans une écuelle remplie d’eau ou d’urine selon les envies et le moment.
• Prévoir un petit spectacle homosexuel (des hommes aiment voir deux lesbiennes faire l’amour ou les femmes deux homosexuels) lors du café.
• Au cas où des servants ont été particulièrement maladroits, petite séance de kick-boxing (ça change des coups de cravache quoique ça peut aussi se faire évidemment).
• Imaginer un jeu (tirage au sort) pour permettre à la gagnante ou au gagnant de faire quelque chose avec un soumis ou une soumise. Par exemple trouver sur un soumis ou une soumise une combinaison de numéros ou un mot qui aura été marqué sur la peau dans un endroit un peu difficile (genre sous les seins tombants, à côté des lèvres du sexe, sous le scrotum, près de l’anus, que sais-je encore. Le but étant évidemment de favoriser le « toucher » des soumis/soumises par les invités.
A l’expérience aussi, il est préférable que quelqu’un préside le repas et s’il y a assez de monde un Majordome qui commande les divers « tableaux » ou phases du repas selon un programme ou un « protocole » de choses qui se feront tout au long du repas:
1. l’entrée des invités,
2. arrivée de la présidente,
3. apéro,
4. repas des soumis,
5. exposition des statues,
6. prise place autour de la table,
7. repas, etc.
8. le "fumoir », les invités affalés dans leurs fauteuils ou divans et les soumis/ses faire des cuni ou des fellations.
9. animation genre flagellation, joutes entre deux sujets, service des cafés, etc.
Comme cela se fait lors de belles rencontres, il est souvent préférable au tout début de l’invitation de citer le code de conduite pour l’occasion, des règles de ce qui est permis et ce qui est défendu et autorisé, régler le problème de la prise de photographies et de vidéos. Si c’est possible désigner un dom ou une domina qui agit comme « bourreau » (attacher, détacher, enfermer, allumer, fouetter, etc., etc.)
En ce qui concerne le repas, la succession de petits plats permet de provoquer des situations multiples qui exposent les soumis et soumises. Un bon traiteur permettant de libérer les organisateurs du souci de réussir un plat.
Bon appétit alors…
Kaji, soumis de Lady Gabrielle.
(slnr: 386-312-138)
Photo tirée du film "Sleeping Beauty"
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Femme protectrice des arts, inspiratrice des poètes et véritable tête politique, la vie d’Aliénor d’Aquitaine est fascinante.
Lorsque l’on survole les grands évènements qui jalonnèrent sa vie, on est frappé par la grande longévité de cette femme,
et de sa résistance exceptionnelle face aux épreuves de son temps. Héritière d’un vaste et riche duché, Reine de France
à quinze ans par son union avec Louis VII en 1137, Reine d’Angleterre aux côtés d’Henri II Plantagenêt en 1154, Aliénor
eut une vie particulièrement mouvementée, semée d’embuches, et s’éteignit à un âge extrêmement avancé pour l’époque.
Plus de quatre-vingts ans. Elle donna naissance à dix enfants, dont neuf atteignirent l’âge adulte, à une époque où les
femmes mouraient souvent en couches et où la mortalité infantile faisait des ravages. Elle survécut non seulement à huit
d’entre eux, mais également à ses deux maris. Auréolée de mystère par le manque de sources à son propos, diabolisée
par les chroniqueurs de son temps, elle est néanmoins l'exemple même de la femme aristocratique qui tente, avec force,
de se démarquer du carcan machiste qui régnait au XII ème siècle dans l'Occident médiéval. Portrait d'une personnalité.
Avant d'être la reine que l'on connaît, Aliénor est la descendante de l'une des plus prestigieuses lignées de l'époque. Elle
est la fille de Guillaume X et d'Aénor de Châtellerault. Très vite, elle devient l'unique héritière du duché d'Aquitaine à la
mort de son frère en 1130. Sept ans plus tard, c'est au tour de son père de mourir et de laisser Aliénor seule, à la tête du
duché. Belle, riche, et puissante, elle devient le parti le plus convoité de France. Mais sa jeunesse et son statut de femme
l'empêchent de régner en maître sur le duché d'Aquitaine. Il est impensable qu'une femme puisse diriger seule un territoire
sans l'aide d'un époux qui puisse pallier à toutes les faiblesses liées à son état. Son père, avant de mourir, contacte Louis VI
pour unir sa fille à son héritier, en échange de nombreuses terres. Une si belle dot ne se refuse pas, et les noces ne se font
pas attendre. Le 25 juillet 1137 voit l'union d'Aliénor et de Louis à Bordeaux. À peine sont-ils couronnés duc et duchesse
d'Aquitaine qu'ils apprennent le décès de Louis VI. Ils regagnent rapidement Paris pour le couronnement. Louis VII et sa
femme Aliénor sont désormais à la tête du royaume de France. Le rôle politique de la reine est, au départ, assez limité.
Pour de multiples raisons, Louis décide de partir en pèlerinage à Jérusalem avec sa femme. Sa présence s'explique pour
deux raisons. Louis était tellement amoureux de sa femme, mais aussi tellement jaloux qu'il lui était inconcevable de la
laisser en France. La seconde, plus pragmatique, permettait de faciliter la participation militaire des barons aquitains.
Loin d'avoir gagné la quiétude de son âme, le roi de France essuie alors un échec cuisant. Lors de la bataille du mont
Cadmos, le zèle d'un de ses vassaux entraîne la mort de nombreux hommes et manque d'entraîner une attaque turque
qui aurait été sans nul doute fatal pour la croisade. Les Byzantins masquent également aux Français la déroute des
allemands et ne fournissent pas les vaisseaux promis. Mais le pire reste à venir pour le jeune Louis. Lorsque les croisés
arrivent à Antioche, l'oncle d'Aliénor, Raymond de Poitiers, tente par tous les moyens de rallier les croisés à sa cause,
qui est d'attaquer Alep, principale menace des États latins de la Terre Sainte et particulièrement de sa principauté
d'Antioche. En outre, Aliénor et Raymond ont de longs et fréquents entretiens. Sont-ils d'ordre politique ? D'ordre
familial ? Ou bien, plus grave encore aux yeux de ses chroniqueurs, ont-ils une liaison incestueuse et adultère ?
Toujours est-il que le roi en prend ombrage et une dispute éclate entre les deux époux. Aliénor désire rester à Antioche,
et veut mettre fin à leur mariage pour cause de consanguinité. Mais le roi, conseillé par Suger et Galeran, l'emmène de
force avec lui, et décide de ne prendre de décision la concernant qu'à son retour en France. Après quelques opérations
militaires et dévotions à Jérusalem, la croisade prend fin. Le roi et la reine font le voyage de retour sur des nefs différentes
jusqu'en Italie. Une bataille et un enlèvement plus tard, Aliénor rejoint son époux à Tusculum où le Pape Eugène III les
attend et cherche à les réconcilier. Même si cela semble fonctionner un moment, le désaccord ressurgit un an plus tard,
puis le 21 mars 1152, malgré l'interdiction du Pape, ils annulent leur mariage pour cause de consanguinité au quatrième
et cinquième degré. Le royaume de France perd la possibilité de posséder, après une génération, le duché d'Aquitaine,
et par conséquent, d'accroître son domaine. La mésentente dans leur couple était de notoriété publique. Le divorce n’est
pas chose courante à cette époque, surtout lorsque l’on est Reine de France. Qu’importe, on invoque le prétexte de
consanguinité, et l’affaire est rondement menée en mars 1152. Deux mois plus tard, Aliénor d’Aquitaine, libre, épouse
le fringuant Henri, duc de Normandie, héritier du royaume d’Angleterre, qui possède déjà sur le continent français la
Normandie, l’Anjou et le Maine. Aliénor lui apporte l’Aquitaine. Elle devient alors dans les faits reine d'Angleterre.
Une nouvelle vie, brillante, s’ouvre à la Reine. Elle partage son temps entre l’Angleterre, la Normandie et ses terres
d’Aquitaine, traversant la Manche dans un sens puis dans l’autre, infatigable, visitant les terres de son époux et les
siennes, dispensant grâces et faveurs, administrant en véritable chef d’Etat. Ces voyages perpétuels ne font pas peur
à Aliénor. Elle les entreprend avec fougue, souvent enceinte. Car la jeune femme est non seulement Reine d’Angleterre
et duchesse d’Aquitaine, mais aussi mère incroyablement féconde. Alors qu’elle n’a donné que deux filles à son premier
époux en onze ans de mariage, les grossesses se succèdent avec Henri II. D’une santé florissante, elle supporte ces
multiples grossesses très rapprochées, donnant naissance à son dernier enfant à plus de quarante ans. Cependant,
les relations ne tardent pas à s'aigrir entre Henri II et Henri le Jeune après la grave maladie du premier. La morbidité
du roi l'oblige à partager son royaume entre ses fils, mais dès sa guérison, il reprend ce qu'il a donné. Cela déplaît
fortement à ses fils et le conflit éclate en 1173 lorsqu'il décide de soustraire une partie des terres d'Henri Le Jeune
pour les donner à Jean le Puiné. Aliénor décide de prendre parti pour ses fils. Il semblerait que, depuis plusieurs années
déjà, le couple royal se soit brisé. La liaison d'Henri II avec Rosamonde Clifford a, par ailleurs, exacerbé la mésentente
entre les époux. Généreux envers ses fils rebelles, Henri II se montre en revanche intransigeant avec son épouse.
Le roi la met sous bonne garde au château de Chinon, puis l'enferme pendant quinze ans dans la tour de Salisbury, par
crainte d'une nouvelle conspiration. Le roi, à la suite de la révolte, en était venu à détester sa femme et désirait même
divorcer peut-être au profit de sa maîtresse. Malheureusement pour lui, elle tombe gravement malade et meurt. Aliénor
est alors accusée de l'assassinat de sa rivale. Ses fils décident de se rallier à leur père, incapables de lui résister et la
sédition des barons aquitains est définitivement matée par Richard Coeur de Lion en 1183, qui y gagne son surnom.
Les succès de Richard éveillent la méfiance de son frère aîné. Ce n'est que le début de la révolte de Richard à l'égard
de sa famille et celle-ci s'éteint lors de la mort du vieux roi. Dès lors, Aliénor est libérée par le nouveau roi, Richard Ier.
Âgée de soixante-cinq ans, Aliénor reprend alors une intense activité politique et se comporte comme une reine, avec
l'accord unanime des barons qui lui sont restés fidèles. Elle assure la régence tandis que Richard était parti dans les
terres lointaines de l'Orient, pour la troisième croisade. Mais Jean Sans Terre tente de trahir son père. Informé des
velléités de son frère, Richard se dépêche de rentrer. Mais sur le chemin du retour, il est capturé par le duc d'Autriche,
Léopold V et livré à l'Empereur germanique Henri IV. Aliénor est ainsi obligée de payer une énorme rançon pour la
libération de son fils. Un an après, Richard est de nouveau libre. Estimant que la situation reprenait son cours normal,
la reine mère se retire à l'abbaye de Fontevraud. Seule la mort de son fils la pousse à revenir sur la scène politique.
Elle tente d'asseoir le pouvoir du dernier de ses fils. Mais ce-dernier s'attire les foudres du roi de France et malgré
quelques manœuvres politiques, elle assiste impuissante à la déchéance de son fils. Elle retourne définitivement à
Fontevraud où elle y meurt au mois de mars 1204. Elle est inhumée à Fontevraud où l'on peut toujours voir son gisant
polychrome qui voisine avec celui de son second mari, Henri II Plantagenêt. C'est l'illustration de notre article.
Pendant longtemps, on a attribué à Aliénor un grand rôle de mécène, avec notamment les troubadours, héritage laissé
par son grand-père Guillaume IX, le prince des troubadours. Or, il s'avère qu'elle n'est pas un cas d'exception. En effet,
les trois reines Mathilde qui l'ont précédée, ont toutes les trois eu une importante implication parmi les artistes. Cette
vision est remise en question. Tout d'abord, on ne sait rien de l'éducation de la reine avant son premier mariage. Ensuite,
on retrouve peu ou prou des dédicaces mentionnant son patronage. Outre le mécénat, on prête aussi à Aliénor des
cours d'amour courtois à Poitiers, rumeur véhiculée par le traité "De l'Amour" d'André le Chapelain. Là encore, il faut
prendre avec précaution ces propos. Quelle que soit l'interprétation adoptée concernant l'origine du trait d'André le
Chapelain, un fait demeure incontournable. Pour beaucoup, l'amour courtois a largement pénétré les mentalités et les
mœurs aristocratiques. Aliénor passe pour en être l'arbitre, voire l'initiatrice par son mythe, par sa vie réelle mais aussi
par sa fréquentation des milieux lettrés qui en véhiculent la doctrine. Mais les cours d'amour courtois ne viendraient
que de l'imaginaire de certains, à cause d'une fausse interprétation d'un érudit du XVI ème siècle. En revanche, la
légende noire d'Aliénor d'Aquitaine perdure toujours. De son vivant, Aliénor fut déjà l'objet d'une légende scandaleuse.
Des ragots sont colportés sur son compte et les rumeurs les plus folles sont propagées. Ainsi, on raconte qu'elle se
livra à des sarrasins pendant la croisade. On lui prête même une aventure avec Saladin qui était pourtant très jeune à
l'époque. Celle qui semble plus vraisemblable reste sa liaison avec Raymond de Poitiers. Peu après sa mort, elle
devient une source d'inspiration pour les conteurs, les ménestrels et les poètes. Les chroniqueurs de son époque étaient
tous, sauf exception, des clercs. Ceux-ci voient en Aliénor, l'exemple même d'une Ève, voire d'une Messaline qui bafoue
l'ordre établi, par deux fois au moins. La seconde est son émancipation, et sa révolte, avec ses fils à l'encontre de son
second mari Henri II, sans compter les relations amoureuses dont nul ne sait si elles ont véritablement existé.
Le mythe d'Aliénor perdure aujourd'hui encore. C'est à partir de la période romantique que la légende d'Aliénor reprend
de l'ampleur. L'image d'une Messaline laisse place à un portrait plus nuancé. Toujours aussi libre et séductrice, la reine
devient avant tout une reine cultivée, porteuse de la culture occitane à la rude cour capétienne. Son gisant, à Fontevraud,
la représente un livre ouvert entre les mains. Aliénor incarne deux images. D'un côté la souveraine influente et opiniâtre,
de l'autre la femme disposant librement de son cœur et de son corps. Fut-elle une manipulatrice, sensuelle et adultère,
comme ont voulu le faire accroire les historiens des siècles suivants ? Ou une victime, comme le suggère George Duby ?
Il est certain que son rôle politique fut grand et qu'elle donna une véritable impulsion à l'épanouissement de la culture
occitane. Femme de caractère, elle assuma le scandale que provoqua l'annulation de son mariage et elle se soucia
jusqu'à la fin d'aider ses fils à asseoir leur pouvoir, fussent-ils incompétents ou félons. Elle a inspiré les plus grands.
Bibliographie et références:
- Martin Aurell, "Aliénor d'Aquitaine"
- Katy Bernard, "Les mots d'Aliénor"
- Amaury Chauou, "Sur les pas d'Aliénor d'Aquitaine"
- Brigitte Coppin, "Aliénor d'Aquitaine, une reine à l'aventure"
- Jean Flori, "Aliénor d'Aquitaine, la reine insoumise"
- Georges Duby, "Dames du XII ème siècle"
- Yannick Hillion, "Aliénor d’Aquitaine"
- Amy Kelly, "Aliénor d'Aquitaine"
- Edmond-René Labande, "Pour une image véridique d'Aliénor d'Aquitaine"
- Marion Meade, "Biographie d'Aliénor d'Aquitaine"
- Régine Pernoud, "Aliénor d'Aquitaine"
- Alison Weir, "Aliénor d’Aquitaine"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Une de mes pratiques préférées est le Glory Hole. j’adore l’idée de ne pas voir qui on suce ou par qui on est sucé. Le Glory Hole est parfait pour cela, et porte bien son nom. J’aime cet attente, enfermé dans le noir, avec pour seule obsession ce trou de lumière par lequel on espère voir apparaître le loup. après de longues longues minutes d’attente . Le bonheur d’y voir enfin s’y introduire un sexe. Le prendre délicatement, avec douceur, le prendre en bouche… et si la queue est de bonne taille, pourquoi ne pas se l’enfiler, les fesses collées à la paroi ?
Ou en profiter pour se faire sucer à son tour, passer et repasser devant le trou noir, être attiré par lui au point d’en oublier toute précaution. Jusqu’à y glisser son sexe avec appréhension et sentir la douceur d’une bouche gourmande… si en plus, comme cela m’est arrivé, jour de gloire ! un jeune noir viens vous plaquer contre la paroi et vous pénètre pendant qu’un ou une inconnue vous pompe…
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Étrange fortune que celle de Charlotte Corday. Si son nom évoque un épisode bien connu de la Révolution
française, l'assassinat de Marat dans sa baignoire, le 13 juillet 1793, le mythe qui s'est aussitôt attaché à cette
meurtrière de vingt-cinq ans a presque entièrement effacé la vérité historique. Tantôt haïe, tantôt idolâtrée, elle
a été l'emblème d'intérêts souvent opposés, pour finalement devenir la caricature de la Contre-Révolution. La
complexité du contexte historique, son attitude provocatrice lors de son jugement, à quoi il faut ajouter la rareté
des sources les pièces du procès ont en effet fait d'elle une légende. Marie-Anne Charlotte de Corday est née
le 27 juillet 1768, à Saint-Saturnin-des-Ligneries , près de Sées département de l'Orne, dans une famille qui
tente de compenser sa perte de puissance économique en s'accrochant à son identité nobiliaire. La généalogie
souligne l'enracinement normand, l'ancienneté et le prestige. L'héritage transmis par son père est cependant
moins limpide. Valorisant son exploitation, il a publié des brochures révélant une culture étendue, influencée
par les Lumières, et des désirs de réformes nourris par sa révolte face à l'injustice frappant les cadets de famille.
Descendant d'une vieille famille noble de Normandie, sa vie est marquée par l'échec. Après avoir quitté l'armée
pour se marier et s'établir dans une coquette ferme normande, il n'a jamais pu obtenir de sa belle-famille le
versement de la confortable dot de sa femme. Toutes ses démarches juridiques restent vaines. Amer et désargenté,
Jean-François de Corday d'Armont en est réduit à travailler sa terre lui-même, comme un paysan. Triste condition
pour un aristocrate du XVIII ème siècle, même si beaucoup de nobles de province sont alors bien loin de mener la
vie fastueuse des courtisans de Versailles. Ce qui ne l'empêche pas d'élever ses filles dans les valeurs traditionnelles
de l'aristocratie, sens de l'honneur et conscience du statut social, et de leur imposer une éducation très classique.
En 1782, elles deviennent pensionnaires à l'abbaye de la Trinité de Caen, où elles mènent la vie des bénédictines.
Huit années durant, Charlotte Corday, jolie blonde aux yeux bleus, qui ne semble ni plus dévote ni plus turbulente
qu'une autre, parfait sa culture. Elle lit de tout, des livres de piété, les classiques, Plutarque, Corneille, mais aussi
l'abbé Raynal et John Milton, deux théoriciens du tyrannicide. Corneille a notamment ses faveurs. Il faut dire que,
par son père, elle descend en droite ligne du dramaturge rouennais. Rien ne l'émeut tant que ces héros prêts à se
sacrifier pour leurs idées. Des idées, Charlotte commence à en avoir, à l'approche se son vingtième anniversaire.
Mélancoliques, ses lettres trahissent une forte inclination pour le pessimisme mortifère de la littérature "gothique".
"Personne ne perdra en me perdant" , écrit-elle à son amie Armande le Loyer. Elle s'initie à la gestion des affaires
économiques de l'abbaye. En effet, à partir de 1788 ou de 1789, elle devient la secrétaire de l'abbesse. En 1790,
en raison de la loi sur les congrégations religieuses, les pensionnaires doivent quitter l'abbaye. Alors que son amie
Alexandrine de Forbin émigre en Suisse, Charlotte Corday retrouve le domicile de son père, qui a participé aux
événements de 1789. Il a notamment réclamé la suppression des privilèges et il est devenu maire du Mesnil-Imbert.
En juin 1791, elle retourne à Caen, chez une parente, Mme Le Coutelier de Bretteville-Gouville. Elle est aristocrate,
par sa naissance, son éducation, ses fréquentations, son attachement alors banal au roi, sa méfiance vis-à-vis des
mouvements populaires. Dans une lettre à Armande le Loyer, datée du 10 mai 1792, elle en critique la versatilité en
citant Voltaire: "Vous connaissez le peuple, on le change en un jour. Il prodigue aisément sa haine et son amour."
Mais elle est aussi, comme son père, en rupture avec son milieu d'origine. La radicalisation de la Révolution la laisse
hésitante. Ses amies ont fui à Paris ou à Rouen, ses frères se sont engagés dans l'armée des émigrés. Elle cultive
des liens étroits avec son entourage qui a franchement basculé dans le camp de la Contre-Révolution, mais elle
partage plutôt les idées des révolutionnaires modérés. Charlotte Corday a acquis une culture politique, garante d'une
certaine indépendance d'esprit, lorsque surviennent les événements de juin 1793. La Révolution est alors en pleine
crise. Depuis le mois de mars, la Vendée s'est soulevée contre la levée des soldats, alors que les armées étrangères
se trouvent aux frontières. La crise économique fait flamber le prix du pain. Ce contexte dramatique entraîne le vote
des premières mesures exceptionnelles destinées à lutter contre les "ennemis de la Révolution", création du Comité
de salut public, du tribunal révolutionnaire, de comités de surveillance dans chaque ville. La révolte gronde partout.
Le 2 juin, les Girondins, réputés modérés, sous la pression des sans-culottes, sont exclus de la Convention et décrétés
en état d'arrestation. Quelques jours plus tard, certains d'entre eux trouvent refuge à Caen, à l'Hôtel de l'intendance,
à proximité de la demeure de sa parente. Charlotte Corday suit leurs activités d'un œil intéressé. Elle entre en contact
avec eux notamment avec le député des Bouches-du-Rhône, Charles Barbaroux, mais ne prend pas part à leurs
réunions et garde une distance critique. Depuis Caen, les Girondins proscrits lancent des appels à l'insurrection.
Au cours des mois de juin et juillet, une soixantaine de départements, des Bouches-du-Rhône au Calvados, en passant
par la Gironde, se soulèvent contre la Convention où dominent les Montagnards, autour de Robespierre, Danton et Marat.
Pour les modérés, qui lui attribuent la chute des Girondins, Marat, député montagnard de cinquante ans, apparaît comme
l'incarnation monstrueuse de la violence révolutionnaire. Favorable à une radicalisation de la Révolution, il s'assure par
son journal, "L'Ami du peuple" , une solide popularité parmi les sans-culottes. Rongé par la maladie, il ne va presque plus
à la Convention, mais diffuse et amplifie dans son journal le sentiment d'un complot imminent, encourageant la suspicion
et la dénonciation des mauvais citoyens. Il est vrai que le peuple adore ce tribun radical, dont la plume acérée et rageuse
exprime les aspirations des sans-culottes parisiens, et les incite à la violence contre les ennemis de la Révolution. Le jeudi
11 juillet, vers midi, dans la chaleur qui écrase Paris, Marie-Louise Groslier, tenancière de l'Hôtel de la Providence, rue
des Vieux-Augustins, voit entrer dans le vestibule une jeune femme d'environ vingt-cinq ans, plutôt grande, les cheveux et
le teint clairs, disant s'appeler Mademoiselle de Corday d'Armont. Accompagnée d'un commissionnaire, elle arrive de la
place des Victoires, où une voiture venant de Caen l'a déposée. Elle a atteint Paris après deux jours d'un voyage harassant.
Le procès révélera qu'elle sort une première fois quelques instants plus tard pour rendre visite à Lauze de Perret, député
girondin des Bouches-du-Rhône comme Barbaroux qui sera arrêté et guillotiné en octobre 1793. Ne l'ayant pas trouvé,
elle retourne chez lui quatre heures plus tard. Perret viendra lui-même la voir plusieurs fois le lendemain. Que se disent-ils
alors ? Charlotte Corday a été recommandée par Barbaroux, qui a profité de son voyage pour faire passer à Perret une
lettre et un ouvrage sur la future Constitution. Mais le député doit également servir de sésame à Corday, venue intercéder
auprès du ministre de l'Intérieur, Garat, en faveur d'Alexandrine de Forbin, ancienne pensionnaire de la Trinité, connue
de Barbaroux, et qui réclame une pension. Le 12 juillet, n'ayant pas réussi à voir le ministre, Charlotte Corday envoie le
garçon d'hôtel Pierre-François chercher de quoi écrire. C'est ce jour-là qu'elle rédige son pamphlet, Adresse aux Français,
où elle justifie par avance son acte et rit quand il lui dit qu'à Paris, Jean-Paul Marat est considéré comme un bon citoyen.
Le 13 juillet, à huit heures du matin, elle achète au Palais-Royal un couteau de table à gaine noire et le jugement rendu
contre les notables orléanais considérés comme responsables d'un attentat manqué contre le député montagnard
Léonard Bourdon, le 15 mars 1793, à Orléans. Vers onze heures, un fiacre la conduit faubourg Saint-Germain, rue des
Cordeliers, près du Théâtre-Français l'actuel Odéon. La cuisinière Jeannette Maréchal se souviendra d'une jeune femme
demandant à la portière l'adresse de Marat. Il n'est pas facile de rencontrer le journaliste. La concierge et la compagne de
Marat, Simone Evrard, éconduisent la jeune femme, qui décide d'écrire à sa future victime une lettre prétendant avoir
d'importantes révélations à faire au sujet des troubles fédéralistes intervenus dans le Calvados.
Vers sept heures du soir, coiffée d'un chapeau, Charlotte Corday revient rue des Cordeliers. Devant un nouveau refus,
elle insiste, s'emporte et finit par attirer l'attention de Marat, qui la fait entrer dans son étroit cabinet. La tête enveloppée
d'un linge, il corrige dans une baignoire-sabot le prochain numéro de L'Ami du peuple. La pièce, chaude et humide, n'est
éclairée que par une petite fenêtre. Simone Evrard laisse la porte entrouverte, puis, méfiante, perturbe le tête-à-tête en
venant rechercher une assiette qui contient quelques restes de nourriture. Souffrant de migraines permanentes et d'un
eczéma généralisé, il ne quitte plus son domicile de la rue des Cordeliers, où il passe ses journées dans une baignoire.
À peine est-elle sortie qu'un cri sourd s'échappe de la pièce. La portière et le commissaire Laurent Bas, qui travaillaient
dans la pièce attenante, se jettent sur la jeune femme, immobile devant le corps de Marat. Un couteau gît sur le sol. On
crie dans la rue pour demander un chirurgien. Corday est aussitôt arrêtée, interrogée sur place puis conduite à la prison
de l'Abbaye. Très vite, les rumeurs les plus diverses circulent sur l'identité de la meurtrière. Qu'est-ce qui a conduit
Charlotte Corday à assassiner Marat ? La jeune femme n'a rien d'une écervelée agissant sous influence, comme on l'a
souvent écrit. Mais, depuis plusieurs mois, sa curiosité politique s'accompagnait d'une volonté d'agir. Au printemps
précédent, lorsqu'elle a fait viser son passeport pour retrouver sa famille à Argentan, elle l'a fait prolonger pour Paris.
Soucieuse d'unité nationale et de paix, Charlotte Corday n'est pas la royaliste acharnée qu'on a dit. Elle a pris ses
distances avec les contre-révolutionnaires qu'elle a été amenée à fréquenter. Son geste, en tout cas, n'a rien d'impulsif.
L'entreprise a été minutieusement préparée. Charlotte Corday, qui avait un prétexte à sa visite à Paris, l'entretien avec
le ministre, a brûlé avant son départ une partie de ses papiers, notamment ses correspondances avec les Girondins.
Prévoyant un éventuel repli en Angleterre, elle a rassemblé une grosse somme d'argent et emporté avec elle son extrait
de baptême. Durant son procès, qui nous est connu à travers la transcription officielle du tribunal criminel révolutionnaire,
et donc sujet à caution, Corday déjoue les pièges de ses juges et séduit jusqu'aux partisans de Marat. Avec un véritable
sens du spectacle, elle montre à Chauveau-Lagarde, son avocat désigné d'office, il défendit les Girondins et la reine,
qu'elle n'est pas dupe du simulacre de justice vite expédié par le tribunal révolutionnaire. Elle accepte sa destinée.
Elle affiche un calme insolent avant d'être guillotinée, quatre jours après son geste meurtrier, le 17 juillet 1793. Songeant
à perpétuer son image dans la mémoire familiale, elle demande qu'on la fasse peindre afin que ses proches puissent
conserver un souvenir d'elle. À peine accompli, le geste de Charlotte Corday est présenté par les Montagnards comme
la preuve d'un grand complot contre-révolutionnaire. Récupérant l'image d'un Marat désormais inoffensif y compris pour
eux, ils disqualifient définitivement leur rivaux girondins. Ils font accepter de nouvelles mesures exceptionnelles. En août,
la révolte fédéraliste est matée dans le Calvados. Le 17 septembre, la loi sur les suspects est votée et à l'automne, les
Girondins en fuite sont arrêtés et accusés d'avoir organisé l'attentat. Quant à Barbaroux, débusqué de sa cachette de
Saint-Émilion après avoir tenté de se suicider, il est exécuté à Bordeaux en juin 1794, avec ses deux collègues girondins
Pétion et Buzot. Il est alors présenté, à tort, comme l'inspirateur, et même comme l'amant de Charlotte Corday.
Le meurtre de Marat fut enfin le prétexte de l'élimination des femmes trop bruyantes de la vie politique. Le 20 juillet,
Olympe de Gouges, auteur d'une "Déclaration des droits de la femme", est arrêtée, avant d'être guillotinée. Le 30
octobre, les clubs féminins sont définitivement interdits. Les Montagnards ne peuvent empêcher cependant une légende
de naître autour de la personnalité subversive de la meurtrière. Charlotte Corday devient un monstre hermaphrodite,
une aristocrate méprisant le peuple, et une libertine fanatisée par des Lumières mal digérées. La charge politique cache
un véritable malentendu culturel. Si la meurtrière est vue comme un monstre, c'est qu'elle a doublement transgressé la
loi, par le meurtre d'une part, par un acte individuel d'autre part, à un moment de l'histoire où seule la violence collective
est tolérée. Par un effet de contraste qui veut que seul Marat, martyr de la Révolution, soit visible, on tente d'effacer
son image. Le tableau de David, "Marat assassiné", traduit cette volonté d'éviction. Commandé dès les lendemains du
meurtre par la Convention, il est aussitôt peint, reproduit puis expédié en modèle réduit aux quatre coins de la
République. Cette œuvre de propagande a fortement contribué à opacifier la mémoire de Charlotte Corday.
Mais, dès la fin du XVIII ème siècle, les réseaux normands du souvenir se mettent en place et les érudits exhument les
archives. L'avocat Louis Caille, un des acteurs du fédéralisme caennais de 1793, rassemble les premiers documents en
vue d'écrire une biographie restée lettre morte. Il communique son travail au bibliothécaire de l'École centrale de l'Orne,
Louis Dubois, considéré comme le premier véritable biographe de Charlotte Corday. La monarchie de Juillet renverse
les icônes. Les Montagnards et Marat sont maintenant perçus comme des monstres sanguinaires. Charlotte Corday,
réhabilitée, devient la figure de proue d'une révolution girondine, payant de sa tête le refus de la Terreur. Le peintre Henri
Scheffer propose au Salon de 1830 une "Arrestation de Charlotte Corday." Lamartine, la qualifie d' "ange de l'assassinat",
n'est pas le premier à la sacraliser, mais sa célèbre "Histoire des Girondins" la mentionne en bonne place. Louant la
prédestination cornélienne, il fait de Charlotte Corday une véritable synthèse physique et morale des femmes françaises,
brossant l'impossible portrait d'une héroïne des contraires. La célébrité de Corday, dès lors, ne se démentira plus.
À la fin du XIX ème siècle, la figure de la meurtrière nourrit un autre débat, celui de la criminalité. Les médecins tentent
de prouver que la violence est une tare héréditaire. Charlotte Corday devient alors un véritable cas d'école pour tout un
courant de l'anthropologie criminelle européenne. L'histoire universitaire officielle de la III ème République voit en elle
avant tout l'assassin d'un député montagnard. Corday est alors durablement précipitée dans les oubliettes de l'histoire
républicaine. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle sera comparée par Drieu la Rochelle à Jeanne d'Arc chassant
l'étranger Marat, auquel on attribue des origines allemandes. Cette connotation conservatrice ou réactionnaire a été
relayée depuis par plusieurs romanciers. Aristocrate, elle fut rangée dans le camp d'une contre-révolution caricaturale.
Assassin d'un député, elle fut exclue des honneurs de l'histoire nationale. Femme, elle fut aussitôt mise sous la tutelle
des Girondins, dépassée par les réels enjeux politiques de 1793. Trois handicaps qui plaident plutôt aujourd'hui en
faveur d'une relecture du destin de Charlotte Corday. Tout au long du trajet qui la menait à la guillotine, la jeune fille
afficha un calme souverain. Jusqu'à la fin, elle se sera montrée digne des héros cornéliens de son adolescence.
Bibliographie et références:
- Jean-Denis Bredin, "On ne meurt qu'une fois, Charlotte Corday"
- André Castelot, "Les Grandes Heures de la Révolution"
- Martial Debriffe, "Charlotte Corday"
- Marie-Paule Duhet, "Les Femmes et la Révolution"
- Dominique Godineau, "Citoyennes tricoteuses"
- France Huser, "Charlotte Corday ou L'ange de la colère"
- Bernardine Melchior-Bonnet, "Charlotte Corday"
- Michel Onfray, "La religion du poignard: éloge de Charlotte Corday"
- Jean-René Suratteau, "Dictionnaire historique de la Révolution française"
- Jean Tulard, "Histoire de la Révolution française"
- Charles Vatel, "Charlotte de Corday et les Girondins"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ce matin je me suis réveillé et je t'entrevoyais déjà aux côtés de mon lit, attendant que j'ouvre les yeux.
« Vous avez passée une bonne nuit? »
Mes meilleurs matins seront toujours ceux où je m'éveille et tes premières intentions aimables sont les premières ponctuation de ma journée. :blush:
« À merveille! Mais je t'ai entendu ce matin! »
Ton regard devint blême et confus.
« Ne t'inquiète pas, Je t'ai entendu veiller à fermer la porte de ma chambre pour ne pas me réveiller et remonter le chauffage. Je trouve que c'est un peu plus atténuant que si c'était pour toi-même. Et je suis sûre que tu feras plus attention. Je suis d'une humeur bien trop délicieuse ce matin pour commencer la journée par une sérieuse réprimande. »
J'aime voir tes épaules se décontracter légèrement.
Tu me confère un pouvoir petit ange. Je souffle pour toi le chaud et le froid.
Et c'est si agréable. Je t'en suis reconnaissante.
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Le lendemain, je me réveille en forme. Julien me fait un peu de bouche-à-bouche. Entendons nous, ses lèvres horizontales sur mes lèvres verticales, un peu collantes le matin, surtout quand j'ai fait des rêves érotiques... Ensuite, il va aider l'autre domestique. Mais si, vous savez bien, l'autre mari.
Je me lève un quart d'heure plus tard et je vais embrasser Josiane et les jumeaux. Tous sur la bouche, ce matin. Il faut dire qu'on est devenus intimes. Ils vont de mieux en mieux, ces petits, ils sont même de très bonne humeur. Même d'humeur à faire des farces, vous voyez. Au moment où leur père arrive avec une théière, un des deux lui fait un "croche-patte" ! Résultat, ce maladroit de Robert trébuche et renverse la théière sur la table. Et "presque" sur les cuisses de Josiane, qui se met à gueuler comme un putois femelle à qui on vient de marcher sur la queue?! Elle le traite de connard, d'enculé, de grosse larve et j'en passe des moins classes.
Ce qui est amusant, c'est que Josiane m'a dit que Robert n'est pas un petit employé de banque comme je le pensais, mais le PDG d'une grosse société de vins et spiritueux. Josiane me dit :
— Samia, tu me prêtes ton truc à punir les maladroits??
— Oui, avec plaisir. Julien, va chercher?!
Robert bredouille :
— Excuse-moi ma chérie... on m'a fait trébucher.
— C'est ça, accuse les autres?!
Julien revient avec la grande cuiller en bois que j'emploie régulièrement pour lui donner des corrections. Quand il a fait une connerie ou simplement parce que quelque chose m’a énervée... Hé oui, ça me calme. Pas de chance pour ses fesses...
Comme il est excessivement douillet, Julien piaille délicieusement quand je le corrige.
Josiane crie à son mari :
— En position !
Oh?! Je vois qu’il est également bien dressé puisque, sans discuter, il baisse son short et se penche en avant, les coudes posés sur l’assise de la chaise. Son gros derrière tout blanc est une cible parfaite. Il va avoir des couleurs dans pas longtemps. J'adore voir ce PDG, tout penaud, les fesses en l'air et en plus devant ses fils. Justement, un des jumeaux demande à Josiane :
— On peut le faire aussi?? Steupléééé...
Alors ça, c'est limite pas convenable. J'adore?! Josiane tend la cuiller au Jumeau N° 1, qui en envoie un grand coup sur les fesses de son père. Oh qu'il n'aime pas. Il crie :
— Aïe... ça fait mal?!
Ben évidemment, banane, c'est une punition. Jumeau N° 1 y va de bon cœur et donne une douzaine de coups de cuiller tandis que son père crie comme un bébé qui fait ses dents. Il passe la cuiller à Jumeau N° 2 qui frappe à son tour. Le gros derrière du PDG est constellé de grosses marques rouges en forme de cuiller... Jumeau N° 2 me demande :
— Tu ne veux pas le punir, toi aussi??
On ne refuse pas quelque chose qui est offert de bon cœur... Je prends la cuiller en disant :
— Volontiers... Je vais vous montrer un petit mouvement du poignet qui rend le coup encore plus douloureux.
Je frappe et, bizarrement, Robert n'aime pas du tout mon petit mouvement du poignet. D’ailleurs, il le crie bien fort.
Je suis là, la cuiller levée prête à corriger, quand Djibril arrive en disant :
— Mais qu'est-ce que tu fais encore?? On entend ce pauvre homme crier à l'autre bout du village.
Je bredouille :
— Mais... euh... c'est pas moi, c'est...
— Comment ça, c'est pas toi?? Je t'ai vue. On ne traite pas un homme comme ça?!
Non mais, de quoi il se mêle?!? Qu'il nous laisse nous amuser. Sans réfléchir, je réponds :
— C'est pas vos affaires et d'ailleurs...
Je regrette aussitôt d'avoir dit ça, car Djibril répond sur un ton furieux :
— Si, c'est mes affaires?! Maintenant, je vais te montrer comment moi, je traite les gamines insolentes?!
L'instant d'après, il saisit mon poignet, s'assied sur une chaise et me couche en travers de ses cuisses, les fesses en l'air. Je crie aux autres :
— Ne le laissez pas faire?!
Personne ne bouge... Alors, j'essaie autre chose :
— Pardon Monsieur Djibril, je...
Trop tard : il a déjà descendu ma culotte de maillot sur mes talons. Je crie :
— Je vous donnerai... Aïïïe?!!
Il vient de me balancer un grand coup de cuiller en bois sur les fesses?! Ça fait un mal de chien?! Et ça repart :
— Aïe... aïïe... nnooonnn... aïe, aïe... pardon, noonnn... ça fait trop mal?!
Il s'arrête pour me demander :
— Et à lui, tu crois que ça ne faisait pas mal??
— Siiii, mais c'est pas moi qui.... Aïe?! Noooonnn?!!! Aïe...
— Si c'est toi?! Et je vais te filer quelques coups sur le haut des cuisses, tu te souviendras que ça fait mal chaque fois que tu t'assiéras?!
— Noooonnn?!!! Aïe, aïe, aïe...
Enfin, il s'arrête. J'ai terriblement mal aux fesses et aux cuisses. Il pose sa main sur mon derrière en disant :
— Tu n'as rien à me dire??
— Pardon Monsieur Djibril.
— Que ça te serve de leçon. Moi, on ne me parle pas mal. OK??
Tout en frottant mes fesses, je réponds :
— Oui, j'ai compris Monsieur Djibril.
D'accord, je m'aplatis, mais elle fait vraiment mal, cette cuiller?! Je me défoulerai sur les fesses de Julien, chacun son tour?! Djibril annonce à tout le monde :
— Je n'étais pas venu pour fesser Samia, mais pour vous inviter à une soirée aux cascades, demain en fin d'après midi, en l'honneur d'investisseurs étrangers. Il y aura le chef du village et des gens importants.
Il continue pour moi et Josiane :
— Comme vous êtes belles toutes les deux...
Je devine la suite "belles et pas farouches"... Mais en fait, il dit :
— On a prévu des cadeaux qui vont vous plaire et...
Je le coupe en disant :
— Je suis désolée, j'ai un projet pour demain soir. De toute façon, je ne compte pas montrer mes fesses et mes cuisses couvertes de traces rouges.
Les jumeaux disent :
— On restera avec toi.
Merci, les frérots?! Djibril paie ce qu'il m'a fait. Je me demande comment il va rattraper la situation... Il prend les deux jumeaux par les épaules et va dehors avec eux. Josiane essaie de me raisonner :
— Ce n'est jamais qu'une fessée.
— Tu as vu mes fesses??
— Oui, mais une fessée, c’est quand même pas si terrible et...
Et je ne sais pas quoi, car Djibril revient avec les jumeaux en disant :
— Voilà, ils viennent. Toi aussi, Samia.
— Non?! D'ailleurs, je vais aller m'allonger sur mon lit, je ne me sens pas très bien.
Djibril insiste :
— Ce sera une super fête.
Je me frotte à nouveau les fesses en disant :
— Je n'en doute pas. Amusez-vous bien.
Alors, il me prend et me met sur son épaule comme si j'étais un sac à patates?! Je crie :
— Au secours?!
Personne ne bouge, évidemment. Il sort de la maison et on traverse une partie du village, moi sur son dos, en train de crier. Ça fait rire les gens qu'on croise. Je lui donne des coups de poing dans le dos, mais en guise de réponse, il me claque chaque fois les fesses... donc j'arrête tout de suite.
On arrive devant la maison de ses parents. Je crie :
— Qu'est-ce que vous allez me faire??!!!
On monte une volée d'escaliers. Au premier, il me remet sur mes pieds mais en me tenant fermement. Il me dit :
— J'ai une surprise pour toi.
Je m'en fous de sa surprise?! Il me pousse dans une chambre... et là, sur le lit, il y a une apparition : la reine de Saba nue... ou Cléopâtre avec un petit nez... ou Shéhérazade... C'est Malha, ce qui veut dire "charmante" en Berbère. Comme elle dormait, notre arrivée l’a réveillée. Elle se redresse et dit en bâillant :
— Kes' tu veux encore Djibril??
— Tu te souviens de Samia??
— Bien sûr.
— Je compte sur toi pour la convaincre de venir à la soirée de demain.
Mes hormones se mettent à crier : "Ouais, super?! Elle est belle, elle sent bon la fille qui a eu chaud, va vite mettre ton nez dans ses poils."
Je leur réponds (en pensée) : "Cette brute m'a fait trop mal, j'en veux pas de sa surprise, il peut se la remballer?!"
Ouh là?! Mes hormones deviennent enragées, puisqu’en guise de réponse, elles me gueulent : "Tu mens, tu as fait beaucoup de cinéma pour qu'il ne frappe pas trop fort, mais tes fesses en ont vu d'autres?!"
Tout ce dialogue en une fraction de seconde... Malha me tend la main, m'attire à elle et m'embrasse sur la bouche.
Mes hormones roucoulent : "Trop bonne, sa salive?!"
C'est pas faux. Je dis quand même a Malha :
— Ton frère est une brute?!
— Je sais, mais, moi, je vais être très gentille avec toi...
Dans mon dos, Djibril me dit :
— Alors, tu viens?? Malha sera là...
Je crève d'envie de lui dire d'aller se faire foutre, mais je suis prudente et puis, elle est trop belle et elle sent trop bon... La forêt, la mer, le cuir humide... De plus, j'ai toujours eu l'intention d'aller à cette fête, mais je voulais le faire chier un peu, pour appeler un chat, un chat. Je réponds :
— Oui....
— Reconnais que tu la méritais, cette fessée.
NON?! Malha me caresse la hanche, alors le non se transforme en :
— Oui.
Ma grand-mère disait "Un petit moment de honte est vite passé". Mais ici, c'est un grand moment de honte. Il est satisfait, il m'a retourné le cerveau avec les odeurs de sa soeur. Justement, elle me dit :
— Tu veux que je te console??
— Je voudrais plutôt m'occuper de toi.
— D’accord.
Je l'embrasse à nouveau sur la bouche. De là, je mets mon nez dans le buisson humide de son aisselle gauche. J'adore... Je lèche la sueur de ses poils, mes hormones surexcitées me disent : "Tu avales sa sueur, trop bon?!"
Je lèche et je suce ses poils de ses aisselles. Elle rit et dit :
— Tu chatouilles. Embrasse mes seins.
Oh oui?! Elle a des superbes seins en poire. Je la tète comme un gros bébé affamé, je retrouve le goût de sa sueur... Après m’être occupée de ses beaux seins, je file à l'étage en dessous en faisant une incursion par son nombril. J'arrive aux abords d'une forêt tropicale humide et odorante. Je sens l'odeur musquée de ses aines... Dans le sillon, entre l’aine et les grandes lèvres, ses sécrétions ont formé un léger dépôt blanchâtre que je lèche?! Ouch?! Deux ou trois hormones manquent de faire une crise cardiaque. Pour les ranimer, j'embrasse le clito et le méat de Malha. Odeur beaucoup plus acidulée, marine, de crustacé, aussi... Mes hormones font une "hola" en criant "lèche?!"
Bon, d'accord. Je lèche comme un petit chat qui lape son lait, ma petite langue va et vient très vite. J'ai appris à Julien à me lécher comme ça, alors je sais l'effet que ça fait. Malha se tortille sous ma langue. Mes hormones sont aux anges : elles ont le goût, l'odeur et la douceur du clito de ma Princesse du désert. Je ne veux pas que ça aille trop vite, alors je ne mets pas mes doigts. J'évite surtout de faire un truc genre la pince de crabe (le majeur dans le cul, l'index dans la chatte et le pouce sur le clito)... Je veux tout faire avec ma petite langue de chatte, genre "lap, lap, lap, lap, lap, lap, lap, lap, lap..." Elle me caresse le dos de son pied nu... Bientôt, je sens qu'elle va décoller. Surtout ne pas changer de rythme. Elle pousse un cri tandis que ses cuisses serrent mon visage et que ses glandes le mouillent.
Championnat du meilleur Cunni d'Afrique du Nord... And the winner is... Miss Samia ! Mes hormones entonnent "on est les meilleures, on est les meilleures..." Quelles petites cabotines?!
A suivre.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Parce-que vous êtes hommes
Parce-que vous êtes femmes
Parce-que vous êtes cendres
Parce-que vous êtes flammes
Parce-que vous êtes sang et que votre être est âme
Parce que vous êtes beaux
Et laids, et admirables
Parce que vous êtes faux,
Et au fond véritables
Parce que vous êtes joie
Saisis de vos remords
Parce que vous êtes haine, colère, de cœur et d’or
Parce que vos émois
Et vos visages m’inspirent
Autant qu’il y a d’étoiles je pousserais de soupirs
A l’aube de mes rêves
Vous faites ma pensée
De vous, de part en part
Jaillit l’humanité
Ainsi, peut être que vous me comprendrez
Si je vous disais que, qui que vous soyez
Je vous aime
Pour l’éternité
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Une voix qui répète qu'elle vous aime et, derrière cette voix, imaginez ce qu'il vous plaira,
car elle dira rien d'autre. Les silences tendres, les mots échappés, tout cela vous importe
peu. Cette voix vous accable. Vous voudriez la chasser. Hélas, Patricia, avec ses belles
mains fines, était là, toujours là. Elle se multipliait au long des semaines, monotone et
identique. On ne se sauve que par l'excès, se disait-elle. Elle ne précisait pas devant quoi
elle se sauvait. Elle avait entre les reins une terrible dureté, dont on abusait trop souvent.
Elle n'avait pas besoin de bonheur. La souffrance, qu'elle savait parfaitement se procurer,
l'avait rendue presque sensible à l'existence des autres filles qui comme elle étaient livrées.
Dire que dès la seconde où sa Maîtresse l'eût quittée, elle commença de l'attendre, est peu
dire. Elle ne fut plus qu'attente et que nuit dans l'abstinence de ses supplices. Tout le temps
qu'elle demeura dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir, incapable de retenir
l'eau qui s'échappait de son corps. Il faisait plus chaud que d'habitude. Le soleil et la mer
l'avaient déjà dorée davantage, ses cheveux, ses sourcils et la très fine toison de son ventre.
Il y aurait beaucoup de choses à lui dire, mais d'abord, celle-ci, que je crains de deviner en elle de la légèreté.
Elle aimait la légèreté des choses, des actes, de la vie. Elle n'aimait pas la légèreté des êtres, tout ce qui était
un peu au-dessus du niveau semblait heurter Patricia. Elle ne recherchait pas à s'attribuer beaucoup de mérites
en ce monde ni dans l'autre, celui de l'abandon. Un sentiment d'insécurité pour son corps sans cesse meurtri. Elle
était bien jeune et ne savait même pas si elle possédait un peu de lumière. Sarah était arrivée quand elle était
dans l'ombre, et maintenant, il fallait arranger les choses. Tant pis pour elle. Les souvenirs qui ont su être poètes
de sa vie, c'est à dire dans le désordre, plaisir et enivrement de l'imagination. Mais dans la moindre de ses paroles,
raisonnable douce-amère, ce cadeau imprérieux du ciel, le lot avait oublié sa jeunesse, l'allégresse avec laquelle
elle devait accepter l'insistance, la mauvaise grâce, et la maladresse. Comme le fouet et les doubles fenêtres pour
que l'on ne l'entende pas hurler. Ses mains s'agrippaient aux colonnes du lit, où Sarah les assujettissait à l'aide de
fines cordelettes qui lui sciaient les poignets. Des sangles passaient dans les bracelets de ses chevilles. Elle était
allongée sur le dos, de telle façon que ses jambes surélevées et écartelées laisse à Sarah toute la fantaisie de la
fouetter. Elle était debout à coté d'elle, un martinet à la main. Aux premières cinglades qui la brûlèrent aux cuisses,
Patricia gémit. Mais elle ne voulait pas demander grâce, même quand sa Maîtresse passa de la droite à la gauche.
Elle crut seulement que les cordelettes déchireraient sa chair, tant elle se débattait. Mais Sarah entendait marquer
sa peau de traces nobles et régulières et surtout qu'elles fussent nettes. Il fallut subir sans souffle, sans troubler
l'attention de Sarah qui se porta bientôt sur ses seins. Elle allait retrouver sa considèration en s'accomodant de son
statut d'esclave et non pas de soumise. Et il n'était pour elle de plus grand bonheur que de se savoir appréciée.
L'amour mais avec un arc-en-ciel d'émotions vertigineuses en plus rayonnait toujours chaque parcelle de son corps.
Patricia n'avait pas très mal; chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles
fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irridia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses
et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs,
entrecoupés de sanglots. Sarah, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent
plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla.
Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Patricia crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Sarah s'accroupit près des épaules
de Patricia et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée.
Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins.
Patricia laissa couler quelques larmes. Alors Sarah arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens,
mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit.
Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Sarah posa ses
lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de
sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda
à la jouissance. Sarah dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et
ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité
même. Penchée au-dessus d'elle, Sarah tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur
sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux.
Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait
l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Sarah pour y échapper, quand il était
terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse
ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire.
Patricia ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme
pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation.
De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues,
être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne
la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Avant propos :
Pourquoi ici ? Pourquoi maintenant ? Des écrits de mon passé, qui m'ont vus devenir ce que je deviens. Je ne trouve pas de meilleur endroit qu'un site de BDSM pour se mettre à nu, et ces textes touchent à ce qu'il y a de plus intime en moi : ma pensée.
Alors plutôt que de découvrir mon corps, je vous propose de découvrir mon âme. Il ne m'importe pas tant que vous lisiez. Il m'importe que si quelqu'un veut me lire, il y trouve du plaisir et de la curiosité.
C'est donc le premier texte d'une série que j'ai nommée chemin de vie. Il a été écrit il y a de cela deux ans.
---
Nuits couleurs de leds. Les lueurs de l’écran et la veille rouge de la prise pour compagnie. Un silence complet, si ce n’est la musique douceâtre tournant en boucle dans le casque : Imaginary Folklore de Nujabes accompagne mes pensées.
La fenêtre ouverte laisse parvenir un peu d’air. Il ne fait ni froid, ni chaud. Bientôt je ne pourrais plus fuir la moiteur de l’été. La chaleur implacable. Pour l’instant je profite de mon répit.
Autours de moi, le peu de lumière qu’émet l’écran de l’ordinateur joue avec les formes de l’appartement. Des lignes blanches et noires se dessinent, géométrie immobile qui quadrille mon petit quotidien nocturne. Une étagère sans livres. Un étendoir sans linge. Et un chauffage éteint.
Je devine la forme de quelques autres objets, méconnaissables, mais que je reconnais par habitude. Ici un casque de vélo. Là mon Dictionnaire Historique de la Langue Française d’Alain Rey, en trois volumes, mon petit bijou. Derrière lui se cache une pile de mangas. Je les ai lus récemment. Dévorés pour être plus précis. Et cela me rappelle le temps où je lisais beaucoup. Je passais des journées allongé, plongé dans mes livres. Et quand je ne lisais pas, j’allais dehors, courir aux bois et inventer mes propres aventures avec un groupe d’amis.
Je devine aussi ma pochette bleue, celle ou je mets mes dessins. Elle est posée sur l’étendoir à linge, devant l’entrée. Et si je ne me trompe pas, non loin d’elle, à la même hauteur, sur l’un des étages de ma bibliothèque, reposent sagement mes papiers en retard.
La cuisine elle aussi attend l’attention de son propriétaire. Un mini four, qui jusqu’ici n’a servi que deux fois, patiente sur sa table, à côté de la vaisselle salle, des paquets de brioche tranchée, et des pots de nutella vide. Dans le frigo, quelques aliments que j’ai eut l’espoir de cuisiner s’apprêtent à pourrir.
Si l’on revient près du lit, il y a un appareil photo argentique, celui de ma mère, ainsi que trois pellicules qu’il faut que je fasse développer. Sur le mur sont accrochées les photos que j’ai tirés. Une petite vingtaine je crois…
Encore un peu plus près, une machine à écrire. Cela fait des lustres qu’elle n’a pas servi. J’ai pris l’habitude d’écrire sur l’ordinateur les textes qui me passent par la tête. Des textes pleins de sens, mais vides d’ambition. Cela m’attriste un peu. C’est peut être cela qui manque, l’ambition ?
C’est finalement un tableau assez grotesque… C’est le signe d’une vie mise à l’arrêt, qui dort patiemment autours de moi, qui m’attends. Il m’arrive de m’imaginer l’avoir rejoint. Mais jamais de la rejoindre. C’est un chemin qui me semble à mille lieux de ce que je suis capable de réaliser.
Je regarde à nouveau autours de moi, et me demande depuis quand cela est arrivé. Et, pour la première fois, il me vient un ensemble d’évènements précis. La répétition inlassable d’une mésaventure que j’ai trop vécue. Il y avait avant cela une fille que j’aimais…
Est-ce là la réponse. L’amour est peut être le sentiment que j’ai le plus enfoui. Pour ne pas en souffrir. Il repose en silence, non loin de l’amour propre. Blessé par une solitude que l’amitié ne comble pas. Rien n’a de sens si je suis seul. Rien n’a de valeur si je suis seul. Alors j’attends. Et si je ne fais qu’attendre, c’est parce que j’ai peur.
Parce que jusqu’ici chaque mésaventure ne m’a apporté qu’une blessure de plus. Dire que l’on est blessé lorsque l’on demande à être aimé…
Et dire que je n’ai jamais su aimer ceux qui m’ont aimés… Étrange coup du sort.
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Roxane,
Petite brune et femme qui m'a séduite, ma fait divorcé et plus, il y a 20 ans
Elle fut d'abords mon jouet, ma soumise (tant que je ne vivais pas avec elle), je pouvais l'attacher, la prendre par tous les orifices, la goder elle m'obéissait.
Puis nous nous sommes installé ensemble et doucement elle pris les choses en main.
Je devins vite son objet, elle me godait chaque soir, elle me sondait (elle est ambulancière) et me mettait le tuyau de la sonde dans la bouche).
Peux de travail des seins ou autres, son centre d'intérêt était mon cul et les godes devenaient de plus en plsu gros jusqu'au FIST.
Un jour elle me traita de petit Pédé, et cela fut mon nom régulier quand elle urinait sur moi.
Je rencontrais ANNELORE et je quittais ROXANE qui c'est trouvé un beau black qui lui a fait une jolie fille qui doit avoir 10 ans.
Roxane m'a donné des nouvelles il y a deux jours, elle n'est plus avec le Black et elle vit avec une Femme. (je me doute de qui fait l'homme!!!).
Comme pour Annelore ou Annelaure , je vous donnerais des détails du avant, je n'ai rien de l'actualité de Roxane avec sa compagne.
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Une veste d'homme ajustée, des formes voluptueuses, de longs cheveux bouclés, deux pistolets à la
ceinture. Par son style provocateur, la flamboyante Théroigne de Méricourt reste dans les mémoires
comme une icône de la Révolution. Mais bien plus que par son apparence, c'est par son action que la
jeune femme a marqué l'Histoire. Féministe avant l'heure, protectrice des libertés, elle participe au
débat politique comme aux émeutes populaires, harangue les foules et affronte sans rougir tous ses
détracteurs. En prônant un féminisme de l'action, elle déchaîne contre elle une presse royaliste
profondément misogyne, qui lui invente une réputation de femme violente, fantasque et dissolue.
Jeune paysanne orpheline de mère, livrée à elle-même dès l'adolescence, partie pour Londres
seule et revenue mère célibataire à Paris, Théroigne échoue dans sa carrière de cantatrice mais elle
devient une égérie de la Révolution, durant laquelle elle sera tour à tour oratice, fugitive en exil,
prisonnière dans une forteresse autrichienne, adversaire de la Terreur de Robespierre. Finalement
victime de la violence révolutionnaire et d'une maladie neurologique, elle laisse derrière elle un
destin hors du commun et par sa personnalité, un exemple fondateur pour le droit des femmes.
Anne-Josèphe Théroigne de Méricourt, de son vrai nom Anne-Josèphe Terwagne, est née le treize août
1762 à Marcourt, dans l’ancienne principauté de Liège. Elle est la fille d’Élisabeth Lahaye de Marcourt et
de Pierre Terwagne, un laboureur de Xhoris, petit village situé à trente kilomètres de Liège. Suite au décès
de sa mère, Anne-Josèphe, prénommée plus tard Lambertine, est confiée à différentes tantes à partir de
l’âge de cinq ans, puis elle est remise à un couvent. À douze ans, elle rentre chez son père, qui, entre-temps,
s’est remarié. À peine un an plus tard, ne s’entendant pas avec son acariâtre belle-mère, elle s’enfuit de cette
famille de petits paysans propriétaires pour devenir, à quatorze ans, vachère à Sougné-Remouchamps puis
servante dans une maison bourgeoise. À dix-sept ans, elle est remarquée par une femme du monde d’origine
anglaise, madame Colbert, dont elle devient la dame de compagnie. Avec elle, Anne-Josèphe parfait son
éducation et développe son goût naturel pour la musique. Pendant quatre ans, Anne-Josèphe va s’occuper
des enfants de Madame Colbert et apprendre à lire et à écrire, ainsi que le chant lyrique.
C’est à Londres où elle tente sa chance comme chanteuse qu’elle rencontre un officier anglais qui jette son
dévolu sur elle. Elle fugue avec lui à Paris et donne naissance à sa seule fille, Françoise-Louise qui mourra
cinq ans plus tard de la variole. L’officier la quitte rapidement, la laissant à Paris avec un peu d’argent. Par la
suite, elle entretient une relation énigmatique avec un marquis de soixante ans, qui se montre très généreux
avec elle. Cela lui vaut un début de réputation de dépravée et courtisane. Le marquis de Persan, maître de
requêtes au Parlement de Paris, lui verse des sommes considérables allant jusqu’à, selon certains, se ruiner
pour elle. Cette partie de la vie de Théroigne est encore pleine d'obscurités. On sait, toutefois, qu'alors que le
marquis de Persan lui servait fidèlement une plantureuse rente, son "amie" s'associait à son professeur de
chant, un Italien, bellâtre et viveur, endetté et laid, un certain Tenducci, qui profitait largement à la fois du réel
talent musical et vocal de son élève et de l'argent dont le marquis gratifiait naïvement celle-ci. Cette existence
prêtait naturellement aux suppositions les plus désobligeantes pour la moralité de la jeune Liégeoise, sans que,
pourtant, la preuve ait pu être faite qu'elle ait justifié les atroces calomnies que ses adversaires ont répandues
plus tard à flots sur son compte. Elle mène quelque temps une vie d’artiste bohème, en tant que membre d’une
troupe en tournée. C'est ainsi qu'elle fut de passage à Gênes. Là, elle rompit toutes relations avec Tenducci.
Fin mars 1789, rendue libre, elle partait pour Rome, où elle séjourna quelques mois, grâce aux fonds que lui
envoyait un banquier parisien, chargé de ses intérêts financiers, spécialement du paiement des arrérages de
la rente de M. de Persan. C'est à Rome qu'elle apprit les événements qui se préparaient à Paris. Voulant les
suivre de près, elle quitta brusquement l'Italie, et se retrouva dans la capitale de la France quelques jours après
l'ouverture des Etats-Généraux. Une nouvelle existence commence alors pour la chanteuse rusée et dépensière
qu’avait été jusque là la petite paysanne. Théroigne est totalement conquise par le spectacle passionnant qui
se déroule sous ses yeux. Elle est entièrement prise par la Révolution naissante, spectatrice selon certains,
actrice enthousiasmée selon d’autres. Sa légende se crée. On la taxe d'une audace plus que virile, montrant
une vraie rage de meneuse exaltée, d’énergumène en jupon ou encore d’amazone déchaînée. Lamartine la
surnomme "la Jeanne d’Arc impure de la place publique" et l'historien Michelet la qualifie "d’impétueuse,
charmante et terrible." Elle est accusée d’avoir pris part personnellement à certains excès de la Révolution.
Baudelaire la dépeint comme "une amante du carnage, excitant à l’assaut un peuple sans sourciller. La joue
et l’œil en feu, jouant son personnage. Et montant sabre au poing les royaux escaliers." Les royalistes
s’emploient à lui faire une réputation de dépravée et de tigresse. On l’appelle également l’"Amazone rouge",
la "furie de la Gironde" ou encore la "belle Liégeoise." Sait-on qu’elle n’a jamais reconnu cette appellation
théâtrale de "Théroigne de Méricourt", imaginée par la presse royaliste ? Il est vrai que sa beauté fait, depuis
ses dix-sept ans, tourner bien des têtes. Selon un de ses contemporains, elle a "un minois chiffonné, un air
mutin qui lui allaient à merveille et un de ces nez retroussés qui changent la face des empires."
Pour certains elle ne prend pas part, le 14 juillet, aux assauts de la foule contre les tours de la Bastille, se
trouvant au Palais-Royal et ignorant les graves incidents du faubourg Saint-Antoine. Pour d’autres, elle est
au contraire bien présente puisqu’elle fait partie des meneurs. Quoi qu’il en soit, elle partage l’enthousiasme
général de la foule qui se presse dans le jardin en apprenant la prise de la célèbre prison. Le 17 juillet, pour
la première fois, on la voit en "amazone de couleur blanche" assister à la visite de Louis XVI à l’Hôtel de Ville.
Elle est une habituée du Palais-Royal, se met à suivre assidûment les séances de l’Assemblée constituante
à Versailles, et elle devient une fidèle des tribunes. Son éducation politique se fait de la sorte petit à petit,
et sa sympathie pour le peuple "se transforme en ardent amour", quand elle est "persuadée que la justice
et le bon droit étaient de son côté." Elle devient alors la cible parfaite pour les contre-révolutionnaires.
Pour certains, elle ne joue aucun rôle lors des journées des 5 et 6 octobre 1789, et n’est aucunement mêlée
aux "mégères" qui mènent la populace. Encore une fois, pour d’autres, Théroigne, portant sabre et pistolet,
est à la tête du cortège qui va à Versailles pour ramener le "boulanger, la boulangère et le petit mitron."
Depuis son entrée dans la Révolution, Théroigne revendique cette image d’amazone, une image personnelle
de la féminité qui lui sied. Elle porte cette tenue selon sa propre expression "pour avoir l’air d’un homme et
fuir ainsi l’humiliation d’être femme." Elle remplace sa féminité blessée, synonyme d’Ancien Régime, par
une image et un idéal de femme guerrière. Elle apparaît donc comme un homme sur les barricades, à la tête
des révoltés, les excitant et les entraînant. Elle devient l’image de la Révolution. Quelques dizaines d’années
plus tard, fait vrai ou romancé, c’est de Théroigne, dont Eugène Delacroix se sert comme modèle pour son
tableau "La Liberté guidant le peuple." Résolument républicaine, elle suit de près l’assemblée révolutionnaire.
Théroigne crée un groupe, le Club des amis de la loi, à tendances démocratiques, qui se fond bientôt dans
le célèbre club des Cordeliers. Celle qui jouait à la perfection ses rôles de "gentille muse de la démocratie" et
de "Vénus donnant des leçons de droit public", selon l’expression médisante d’un autre journal du temps, jouit
d’une grande estime auprès de la plupart des Constituants. Ainsi, elle vit, en ce début de l’année 1790, sa
période la plus heureuse. On l’estime, certes, mais a-telle une véritable audience ? Influence-t-elle le cours
des événements ou les personnalités qu’elle fréquente en tenant pour eux table ouverte et en dépensant
sans compter ce qui lui reste de l’argent de ses anciens protecteurs ? On sait par leurs écrits que beaucoup
ne prenaient pas tout à fait au sérieux cette drôle de femme. Pour eux, Théroigne fait seulement partie du
décor de la Révolution. Dans les faits, elle n’exerce pratiquement aucune influence sur les révolutionnaires.
Les royalistes, quant à eux, exagèrent volontairement le rôle joué par cette excentrique aussi voyante que
bruyante, qui devient ainsi une cible facile pour leurs moqueries. En tant que figure de proue de la Révolution,
les journalistes royalistes la calomnient et décrédibilisent en l’accusant de libertinage, d’avoir été présente
lors de la prise de la Bastille et d’avoir voulu assassiner Marie-Antoinette lors de la Marche des femmes.
Soudain, Théroigne se met en retrait, ne fréquente plus ses amis puis disparaît même de la scène politique.
Les raisons ? Elle mène un train de vie au-dessus de ses moyens et s’endette toujours d’avantage. Elle doit
maintenant faire face aux créanciers. De plus, elle sait que le tribunal du Châtelet, qui l’accuse d’avoir pris part
aux excès des 5 et 6 octobre, à Versailles, a lancé une information contre elle. Elle estime donc plus prudent
de se retirer momentanément et retourne dans son pays natal. Théroigne retrouve donc son village de Marcourt
avec beaucoup de mélancolie et de tendresse. Elle profite de ce séjour pour renouer avec l’un de ses frères,
établi à Liège, et s’installe dans cette ville. Certains prétendent qu’elle a gagné la principauté pour y fomenter
une révolution. C’est là qu’en février 1791, des agents à la solde des Pays-Bas autrichiens l’enlèvent et
l’emmènent au Tyrol. Ils la séquestrent avant de la conduire à Vienne où elle est remise en liberté seulement
dix mois plus tard. De retour à Paris, son enlèvement ne la rend que plus populaire. On la voit parcourir les
quartiers populaires et haranguer les foules. La nouvelle gloire de l’"Amazone rouge" est cependant éphémère.
Ses excès de langage lui attirent de solides inimitiés. En commettant l’imprudence de s’attaquer à Robespierre,
elle s’aliène beaucoup de ses amis politiques et est désavouée par Robespierre lui-même en personne.
Le 15 mai 1793, Théroigne se rend à la porte de la Convention pour assister à la séance. Une forte escouade
de femmes de la Halle, des mégères jacobines, garde les portes des tribunes. Théroigne, qui se présente à
l’une d’elles, est prise à partie et insultée par des partisanes de Robespierre, qui l’accusent de modérantisme.
Ne se laissant pas intimider, elle veut forcer l’entrée. Les gardes la saisissent alors à bras-le-corps et, tandis
qu’une d’elles lui relève ses vêtements, les autres la fouettent le cul nu en public comme une enfant, sur la
terrasse des Feuillants, devant les portes de la Convention. Marat, qui passe par là, prend Théroigne sous son
bras, la sauvant ainsi de la fureur des femmes. L’irréductible "féministe", battue par des femmes, c’est un comble.
Elle se retire de la vie active, tout en s’occupant encore de ses affaires privées et de ses faibles intérêts financiers.
Le choc nerveux que Théroigne ressent lors de cette humiliation publique est si important que son cerveau est
ébranlé. Ce choc est également causé par l’impression d’un échec de la Révolution et la vie tendue et fiévreuse
qu’elle mène depuis si longtemps. Elle semble de plus en plus sous-estimer la portée de ses paroles et actes.
Elle est également fréquemment en proie à des hallucinations. Au printemps 1794, elle commence à réellement
sombrer dans la démence. Elle est mise en interdit le trente juin de cette même année. Le vingt septembre, sa
folie est officiellement reconnue, fait qui, certainement, lui permet d’échapper à la guillotine, à l’instar d’autres
femmes de la Révolution, telles Olympe de Gouges ou Madame Roland. Sa maladie mentale lui sauva la vie.
Elle est hospitalisée le onze décembre dans une maison de santé du faubourg Saint-Marceau. Elle a encore,
même alors, des moments de lucidité, pendant lesquels elle écrit à des personnalités, entre autres à Saint Just,
son ancien ennemi, pour obtenir un secours. C’est même la lettre adressée à celui-ci qui est le dernier écrit de
Théroigne que l’on possède. À la Salpêtrière où elle est internée, elle est considérée comme un cas célèbre
de mélancolie. Sa démence devient folie furieuse avec le temps. En 1797, la malheureuse est à l’Hôtel-Dieu
puis en 1799, on la retrouve à la Salpêtrière et enfin, en 1800, aux Petites-Maisons, où elle séjourne sept ans.
En 1810, sa maladie s’aggrave encore. Obsédée par le sang, elle vit nue et verse sur son corps des baquets
d’eau glacée. Le 9 juin 1817, la longue et lamentable agonie de Théroigne de Méricourt se termine. Pendant
vingt-trois ans, elle aura porté le deuil de la Révolution. Sa triste fin et sa vie hors du commun pour l’époque
inspirèrent nombre d’artistes, dont Beaudelaire et Dumas. Delacroix s’inspira sans doute d’elle pour "La liberté
guidant le peuple", Sarah Bernhardt joua son rôle au théâtre en 1902 dans la pièce éponyme de Paul Hervieu.
Bibliographie et références:
- Olivier Blanc, "Théroigne de Méricourt"
- Jacqueline Dauxois, "Les jupons de la Révolution"
- Otto Erns, "Théroigne de Méricourt"
- Dominique Godineau, "Histoire‚ femmes et sociétés"
- Léopold Lacour, "Les origines du féminisme contemporain"
- Catherine Marand-Fouquet, "Destins de femmes et révolution"
- Christiane Marciano-Jacob, "Théroigne de Méricourt ou la femme écrasée"
- Marcellin Pellet, "Étude biographique sur Théroigne de Méricourt"
- Martial Poirson, "Amazones de la Révolution"
- Gustave de Reiset, "La Vraie Théroigne de Méricourt"
- Élisabeth Roudinesco, "Théroigne de Méricourt"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Entre le second Empire et la troisième République, elles ont mérité le titre de "demi-mondaine", de "cocotte",
ou d’"horizontale" en épinglant à leur corsage le coeur des hommes les plus influents de leur temps, princes,
ducs ou présidents. Aujourd’hui, leurs héritières ont tout autant de piquant et d’aplomb. La Païva gravit chacune
des marches du perron de l’Élysée en prenant son temps. En ce soir de printemps de l’année 1848, l’ancienne
prostituée savoure sa revanche sur le destin. À son bras, son époux, le comte Guido Henckel von Donnersmarck,
plus riche et mieux né que les trois précédents. Le couple est reçu pour un dîner officiel, par Adolphe Thiers, le
premier président de la III ème République. Quelques années auparavant, la Païva avait été vertement renvoyée
du palais des Tuileries par le chambellan du roi LouisPhilippe. La monarchie ne voulait pas d’une femme de
mauvaise vie dans ses murs. Mais aujourd’hui, le Tout-Paris est témoin de sa réussite, et continue de la jalouser
autant que de la haïr. Qu’importe. Comme des trottoirs de Notre-Dame-de-Lorette au somptueux hôtel particulier
du 25, avenue des Champs-Élysées, l’ascension de cette célèbre courtisane du XIX ème siècle passe par quatre
mariages et autant de prénoms sans oublier, ses amis proches, Franz Liszt, Richard Wagner, Théophile Gautier.
Elle est née Esther Pauline Blanche Lachmann le 7 mai 1819 dans le ghetto de Moscou, au foyer de Martin, tisserand
devenu revendeur de lainage et de vieux draps. La petite regarde avec envie les équipages des beautés moscovites,
un désir irrépressible de richesse s’impatiente en elle. Une nuit glaciale de décembre, elle descend les Champs-Elysées,
le ventre vide, en robe bien trop légère. Elle s’affale sur un banc, en face du Jardin d’Hiver, et pleure à chaudes larmes
sur son sort. Elle ne sait pas encore qu’en moins d’un bail, un somptueux palais s’élèvera là, le sien. À dix-sept ans,
elle épouse Antoine Villoing (1810-1849), un tailleur français émigré, pauvre et maladif, client de son père. Un fils,
Antoine, naît de cette malheureuse "union" en 1837. Sans scrupule, la jeune Esther abandonne son foyer pour courir
sa chance, d’homme en homme, en une haletante traversée du continent, en passant par Vienne et Constantinople.
Arrivée à Paris, elle s’installe dans la prostitution à l’ombre de Notre-Dame de Lorette en se rebaptisant Thérèse.
Elle n’a que sa jeune beauté, et entend l’exercer sur tous les hommes bien nés et surtout extrêmement fortunés.
Dans la capitale française, elle fait ses classes en offrant ses charmes aux passants autour de l’église Notre-Dame-de
Lorette. Rapidement, elle prend ses quartiers chez "La Farcy", maison de plaisir et de tolérance de la rue Joubert, où
défilent "les grands hommes." Les rencontres se multiplient. Fonder une famille n’a jamais été son ambition.
En 1840, elle séduit le riche pianiste Henri Hertz (1803-1888). Elle est au premier rang de tous ses concerts. Il la
présente à ses amis de la bonne société, Frantz Liszt, Richard Wagner, Théophile Gautier ou le patron de presse Emile
Girardin. Quoique déjà mariée "ailleurs", elle épouse Hertz et "lui donne" une fille, Henriette (1847-1859). Elle lui dévore
sa fortune et il s’en va aux Etats-Unis pour une tournée de concerts. La famille du pianiste la déloge de leur appartement.
Seule, sans appui, Blanche vend ses derniers bijoux avant de se faire expulser du domicile conjugal. Elle finit dans une
chambre en sous-pente. Humiliée, Blanche décide de se refaire à Londres. Avant de traverser la Manche, elle demande
à son fidèle ami, Théophile Gautier, un flacon de laudanum. "De quoi m’endormir pour toujours en cas d’échec." En
dehors de son poison, elle emporte un trousseau, dernier cadeau de Camille, une modiste, qui croit en sa résurrection.
Dans la capitale anglaise, Blanche loue une loge bien en vue au Théâtre Royal. Parée de ses plus beaux atours, elle
espère attirer le regard des hommes. Riches. Rien ne se passe. Pas de mots doux, même pas un seul regard intéressé.
Mais la chance tourne enfin. Elle rencontre lord Edouard Stanley qui fait sa fortune. À la fin de leur première nuit, Lord
Derby lui laisse l’équivalent de 320 000 euros. Retournée à Paris, elle a une liaison avec le marquis de Liocourt puis
avec le duc de Gramont, très proche du prince Napoléon, qui complète sa richesse. Elle repousse son premier mari,
venu pour tenter de la reconquérir. Bientôt, il en meurt de désespoir, mais accepte de pourvoir à l’éducation de leur fils.
Le 6 juin 1851, elle épouse Albio Francisco, marquis de Païva Aranjo, pour la belle sonorité de la particule. La marquise
de Païva, quel magnifique octosyllabe remarque Théophile Gautier. Il lui offre aussi un hôtel particulier place St-Georges
qu’elle occupe le temps de quatre saisons de félicité. Elle aura la couleur de l’or, des diamants et des saphirs. Alors, les
invitations se succèdent, Blanche fait tourner les têtes et entasse pierres et billets dans ses bagages. Le lendemain de
la nuit de noce, le nez dans sa tasse de porcelaine, elle lui dit: "Vous avez voulu coucher avec moi. Vous y êtes parvenu
en m’épousant. Vous m’avez donné votre nom, et cette nuit j’ai rempli ma part du marché. Je voulais un nom et je l’ai.
Mais vous, vous n’avez qu’une putain. Le mieux est que nous nous séparions. Je resterai une putain à Paris avec votre
nom. Vous pouvez rentrer au Portugal." Le pauvre homme repart chez sa mère. Quelques années plus tard, il se tire
une balle dans la tête et agonise douze heures durant avant de mourir. Le mari était replet et niais mais bien titré.
"Tous mes désirs sont venus à mes pieds comme des chiens couchants." Au plus haut de son art et de sa gloire, la
Païva voit poindre le sommet de sa carrière en la personne du comte Guido Henckel von Donnersmarck, issu d’une
ancienne et influente famille prussienne. Elle a trente-six ans, et lui vingt-cinq. Non content d’être beau, il est le parti le
plus riche d’Europe. Elle soudoie les domestiques pour organiser des rencontres soi-disant fortuites dans toute l’Europe.
Le jeune comte, timide héritier de la fortune de son aîné, est fasciné par cette femme de tête et de corps. Il ne résiste pas
à cette entreprise de séduction qui confine au grand art. Le 28 octobre 1871, Blanche l’épouse dans un temple luthérien.
C’est la troisième fois qu’elle change de religion. La noce est fêtée dans le somptueux palais des Champs-Élysées,
construit à la gloire de la prostituée la plus riche et la plus célèbre d’Europe. L’escalier de marbre veiné de jaune mène
aux chambres et à la salle de bain. La richesse et le luxe s’étalent du sol au plafond. La Païva possède tout, la gloire,
un titre et la richesse, et des montagnes de bijoux. Chez Frédéric Boucheron, le joaillier de la rue de Valois, la liste de
ses acquisitions est vertigineuse: une collerette de diamants, deux saphirs, montés en boucle d’oreille, un brillant jaune.
En 1857, le comte Henckel von Donnersmarck lui offre aussi le château de Pontchartrain, où elle séjourne en villégiature.
De quoi rendre jalouses ses rivales. Et toutes la détestent, les horizontales comme les bien nées. Elle est maintenant
invitée dans le monde, et même par le président de la République. Au bras de Guido qui a l’oreille de Bismarck son cousin,
la Païva attise haine et jalousie. En cette immédiate après-guerre franco-prussienne, on jase. "N’a-t-elle pas couché avec
tous les hommes influents? Quelles confidences ont été divulguées sur l’oreiller ? Elle espionne, c’est certain." Rien
n’interdit de penser qu’elle a joué les intermédiaires. Mais peu de temps. À l’apogée de sa gloire, la Païva n’a plus de désir.
L’envie s’est éteinte. Elle sombre dans l’ennui. L’ancienne courtisane n’a plus même le pouvoir d’ensorceler les hommes.
Rien ne l’amuse en dehors de la contemplation de ses bijoux, la nuit tombée. Bientôt une faiblesse cardiaque rend ses
déplacements difficiles. Et puis, ces rumeurs qui perdurent. Paris n’a décidément plus rien à lui offrir.
Elle remarque un jeune politicien promis à un grand avenir, Jules Gambetta (1838-1882), le meneur de la Défense nationale
en 1870 et entend le convaincre de traiter avec Bismarck. Hélas, l’ultime tentative échoue en avril 1878 et l’occasion ne se
représente plus, celle qui avait gagné toutes les parties perd la dernière. Son mari négocie l’indemnité de guerre que la
France doit payer, une somme exorbitante: cinq milliards de francs-or. À la mort de Gambetta, en 1882, le couple est prié
de quitter Paris. Cristallisant les critiques, elle est obligée de s’exiler en Silésie dans le château de Neudeck de son mari.
La Païva le sent bien, elle qui, d’un coup d’œil ou de rein renversait une situation ou un ministère n’a plus assez d'allant.
Dorénavant, elle a juste de l’argent. Elle ne survivra pas longtemps à cet éloignement forcé, à cette déchéance sociale.
Elle meurt le 21 janvier 1884 dans son château de Silésie, avant sa soixante-cinquième année, copie des Tuileries, que
lui a offerte Guido. Le comte Henckel von Donnersmarck se remarie avec une jeune aristocrate russe, Katharina Slepzow.
Mais le veuf éploré disparaît parfois, et s’enferme dans les appartements de sa première épouse. Il semble rongé par le
manque. Profitant d’une de ses absences, sa seconde épouse, intriguée, décide de percer le secret, et pénètre dans ces
chambres interdites. Elle ne se remettra jamais de ce qu’elle y découvre. Au milieu d’un salon, plongé dans un bassin
d’alcool, Guido conserve le corps inerte de Blanche. Fascinante jusque dans la mort. Fabuleux destin de cette femme
polyglotte, jouant du piano avec un certain talent pour ses hôtes, qui montait à cheval qu'elle lançait au galop, habillée
en homme, dans les terres de ses propriétés allemandes, ou à Pontchartrain où elle donnait également des réceptions
splendides les soirées d’été. Animée d’une volonté de fer, elle fit preuve d’une ténacité qui surprend, et force l’admiration.
Bibliographie et références:
- Marcel Boulenger, "La Païva"
- Alfred Colling, "La Prodigieuse Histoire de la Bourse"
- Paul Gordeaux, "La Païva"
- Janine Alexandre-Debray, "La Païva"
- Gabrielle Houbre, "Courtisanes sous surveillance"
- Les Frères Goncourt, "Mémoires de la vie littéraire"
- Joëlle Chevé, "Les grandes courtisanes"
- Odile Nouvel-Kammerer, "L'Extraordinaire hôtel Païva"
- Horace de Viel-Castel, "Mémoires sur le règne de Napoléon III"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Albert Londres, c’est l’histoire d’un homme engagé qui, poète par vocation, s'affirma comme écrivain de valeur,
et surtout, de façon indiscutable, comme le premier tout grand reporter de l'entre-deux-guerres. Dans son indolence
et soucieuse de la défense de ses privilèges, une certaine presse a tendance à s’enfermer dans l’anecdotique,
le sensationnel, à se soucier moins de la qualité littéraire, à se cantonner dans une fonction morne, souvent répétitive,
d’enregistrement et de restitution des faits. Tout cela, à l’exact opposé de ce qui fait la noblesse du métier d’informer,
telle que le concevait Albert Londres, à savoir le réveil des consciences, la pédagogie, le militantisme et la recherche
de la vérité. Pour lui, un journaliste n’est pas un enfant de chœur, son rôle ne consiste pas à précéder les processions,
la main plongée dans la corbeille de pétales de roses. "Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort,
il est de porter la plume dans la plaie", dit le reporter dans son ouvrage "Terre d’ébène". Albert Londres est engagé au
service des nobles causes. Il considère qu’il existe "une plaie", c’est l’indifférence devant les problèmes à résoudre.
Albert Londres est né le 1er novembre 1884 à Vichy. Il est issu d’un milieu modeste. L’un de ses grands-pères est
chaudronnier, l’autre est colporteur et ses parents vont tenir une pension de famille, "la Villa Italienne." Très vite,
l’enfant témoigne d’un goût prononcé pour les lettres. Fervent lecteur des grands auteurs du XIX ème siècle, il a
notamment un penchant pour les oeuvres de Victor Hugo et Charles Baudelaire. Le patronyme de Londres aurait
d'abord été Loundrès, terme gascon désignant des zones humides ou marécages. Après des études secondaires
au lycée de Moulins, en 1901, il quitte l’Allier pour Lyon où il occupe un emploi de commis aux écritures au service
comptabilité de la Compagnie Asturienne des Mines. Consacrant le plus clair de son temps libre à l’écriture, il rédige
à cette époque quelques poèmes de facture classique, ainsi qu’un chant tout en vers à la gloire de Léon Gambetta.
Rien qui puisse le faire passer à la postérité. Pour gagner sa vie, il exerce la fonction de journaliste parlementaire
au "Matin", et couvre pendant la première guerre mondiale les fronts européens. Ce journal refuse de l’envoyer
aux Dardanelles, mais il s’y rend pour le compte du "Petit journal." Grand reporter, il collabore avec "l’Excelsior",
le "Quotidien" et le "Petit parisien." Ouvert sur le monde et aux autres, notamment aux marginalisés comme les
bagnards, les prostituées, les Juifs persécutés, les colonisés, les malades mentaux, Albert Londres va choisir
de dénoncer la misère et l’injustice au quotidien, érigeant en parti pris journalistique son militantisme social.
En 1903, Albert Londres "monte" à la capitale. Il y fréquente les milieux littéraires, en compagnie de ses deux
amis venus de Lyon avec lui: Henri Béraud, futur journaliste et Charles Dullin qui se destine à une carrière de
comédien. François Coppée, notamment, exerce une influence notable sur le jeune homme. Mais après la
publication de quelques textes poétiques dont "La Marche aux Étoiles", une oeuvre en vers consacrée aux
pionniers de l’aviation, celui-ci abandonne vite ses ambitions lyriques. Un nouvel emploi lui donne l’occasion de
mettre à profit plus utilement son penchant pour l’écriture. En 1904, il devient correspondant à Paris du journal
lyonnais "Le Salut Public". Cette première expérience du journalisme éveille en lui une véritable vocation.
Après deux ans, il est embauché par le grand quotidien "Le Matin", pour lequel il rédige des chroniques politiques.
Réformé du service militaire, il n’est pas mobilisé lorsque éclate la guerre en 1914. Il travaille alors comme reporter
à la Chambre des députés. La première guerre mondiale constitue pour Albert Londres une aubaine inestimable,
un véritable coup de pouce du destin. Mais le journaliste sait la saisir au moment opportun. En septembre 1914,
quittant Paris, il se rend de sa propre initiative dans la ville de Reims, qui vient juste d’être libérée à l’issue de la
bataille de la Marne. Il y assiste au bombardement allemand sur la cathédrale. De cette expérience, il tire un article
qui aura un énorme retentissement. "Ils bombardent Reims", paru dans Le Matin du 21 septembre 1914. Son style
nouveau, alerte, vivant et enflammé, au service de l’un des grands symboles du patriotisme français lui vaut,
contrairement aux usages du "Matin", de signer l’article de son propre nom. C’est le début de la célébrité et Albert
Londres devient ainsi le premier correspondant de guerre français.
"La Victoire, quel alcool !", écrit Londres après l’armistice de novembre 1918. Mais une fois dégrisé des joies de la
paix recouvrée, le reporter doit se trouver de nouveaux terrains d’investigation. En septembre 1919, il couvre pour
le magazine "Excelsior" le coup de force de Gabriele d’Annunzio sur Fiume. Il ne cache pas dans ses articles la
sympathie que lui inspire le mouvement romantico-politique du poète italien, ce qui lui vaut l’inimitié de Georges
Clemenceau, tenant des traités de paix, qui voyait d’un mauvais oeil de telles initiatives. Quittant l’Europe pour le
Moyen-Orient, Albert Londres se rend ensuite en Syrie et au Liban, où le mandat français se met en place, non
sans mal ni combats. Les articles qu’il y rédige tiennent à la fois de l’analyse de la domination franco-britannique
sur les anciennes provinces ottomanes que du roman d’aventure.
Mais le coup de Fiume comme les mandats orientaux ne sont que des sujets périphériques pour le grand reporter.
La Russie, qui a basculé dans la révolution depuis 1917 lui offre d’autres espaces, à la mesure de ses ambitions.
Les Bolcheviks ont quasiment coupé le pays du reste du monde et la guerre civile n’arrange rien. Albert Londres
sait qu’il y a là un magnifique sujet d’investigation. Mais pour rendre compte à ses lecteurs de l’état de la Russie,
encore faut-il pouvoir y entrer. Après plusieurs démarches auprès du ministère des Affaires étrangères, l’aide
financière dont il a besoin lui est refusée. Il avait bien proposé aux autorités françaises de jumeler son travail de
journaliste à une activité clandestine de déstabilisation du régime bolchevique, mais rien n’y a fait. Lorsqu’il quitte
Paris pour les pays baltes, il n’a pas un sou vaillant. Ce handicap matériel ne le freine pourtant pas.
Passé d’Estonie en Finlande, il arrive à Petrograd après cinquante deux jours de périple. Le voici à pied d’œuvre.
Ce qu’il voit le révolte et ses comptes rendus sont dénués de toute nuance. L’ancienne capitale des Tsars n’est plus
"qu’une sinistre cour des miracles" peuplée de mendiants affamés, le régime bolchevique est une monarchie absolue.
Le tableau que brosse Albert Londres de la Russie bolchevique est sans appel. Après la Russie, Londres parcourt
l’Europe orientale, puis il part pour l’Asie en 1922. L’année 1922-23 est également celle d’un reportage qui fera
grand bruit, celui sur le bagne de Cayenne. Avec l’aide du gouverneur général de la Guyane Canteau, Albert Londres
fait découvrir aux lecteurs du "Petit Parisien" les rudes conditions de vie des bagnards dans cette "usine à malheur.
Prenant fait et cause pour Eugène Dieudonné, un bagnard évadé qui clame son innocence, il plaide en sa faveur
dans ses articles, avec une telle éloquence que l’opinion publique s’en émeut. Le dossier est rouvert. Un second
procès a lieu, qui aboutit à la grâce de Dieudonné. Mais ce succès ne doit pas cacher la teneur réelle des écrits
de Londres. Car au-delà des conditions carcérales, il dénonce le retard économique et social de la Guyane.
À partir de 1923 et sous la direction de son ami Henri Béraud, les articles de Londres commencent à être publiés
en livres, sous forme de recueils. Le journaliste sort alors du cadre strict de la presse et de la relation de l’instant
présent. Ses textes rassemblés constituent dès lors de véritables études sur son époque. En même temps que son
style, Albert Londres s’est forgé un personnage tout à fait particulier. Coiffé d’un chapeau de feutre taupé à larges
bords, barbu, il affecte une allure de poète rêveur et bohème. Le type même du globe-trotter a désormais un visage:
le sien. Il a également une ligne de conduite: la sienne. En 1924, dans la foulée de son reportage sur Cayenne,
Albert Londres se rend en Algérie, où il visite le bagne militaire de Biribi. Une fois encore, le journaliste dénonce
en décrivant et ses écrits obtiennent un large écho. Sous sa plume, les Français découvrent les sévices corporels,
les punitions humiliantes, les gradés sadiques ou les mutilations volontaires des condamnés désespérés.
Entre deux reportages sur le Tour de France, ce voyageur insatiable ne cesse de parcourir le monde, au détriment
de sa vie privée. Sa fille unique, Florise, née en 1904 de son union avec Marcelle, sa compagne morte à 23 ans
avant même d’avoir eu le temps de se marier avec lui. En 1928-29, Albert Londres est en Afrique Noire. Il y visite
notamment le chantier de la voie ferrée qui doit relier Brazzaville à Pointe-Noire. Le tableau qu’il en brosse est
épouvantable. Les ouvriers meurent par milliers et des populations entières sont décimées en servant de vivier de
main d’œuvre à cette entreprise meurtrière. Ses reportages pour le "Petit Parisien" sont rassemblés dans "Terre
d’Ebène", un livre-réquisitoire paru en 1929, qui obtient un grand succès, mais qui attire à son auteur les foudres
des autorités coloniales. En 1929, il enquête sur la communauté juive en Europe de l’Est. Il découvre alors les
vexations quotidiennes d’un peuple qui souffre. De fil en aiguille, il suit la route des émigrants et se rend en
Palestine, pour savoir si l’idée d’un "foyer national" juif est valide ou non. Ses conclusions sont mitigées.
Le dernier grand reportage d’Albert Londres est publié dans Le Petit Parisien en 1931. Il concerne les Balkans,
et plus précisément la lutte des Comitadjis macédoniens contre le dépeçage de la Macédoine entre la Bulgarie,
la Yougoslavie et la Grèce. L’année suivante, le cinquante-troisième périple du journaliste doit le conduire en Chine.
Le sujet de cette nouvelle enquête est à sa mesure. Depuis l’agression japonaise de 1931, la Chine est en guerre.
Le pays est en proie au chaos et aux "éclats de rire devant les droits de l’homme." Ce qu’il découvre à Hong-Kong
et à Shanghaï est terrifiant: trafic d’armes et d’opium, viols, tyrans locaux, pillages, exactions en tous genres
perpétrées par les communistes chinois. Lorsqu’il s’embarque sur le "Georges Philippar" pour revenir en France,
début mai 1932, il possède la matière d’une série d’articles exceptionnelle. Mais Albert Londres ne pourra jamais
livrer ses révélations à ses lecteurs. Le 16 mai 1932, le "Georges Philippar" est détruit par un incendie alors qu’il
s’apprêtait à entrer en mer Rouge. Le journaliste fait partie de la quarantaine de personnes tuées dans le sinistre.
On a beaucoup écrit sur les origines de cet incendie. Peut-être était-il criminel ? Peut-être même était-il destiné à
empêcher Albert Londres de publier certaines des informations sulfureuses glanées en Chine ? Quoi qu’il en soit,
cette disparition brutale met un terme à une existence hors du commun, alors même que Londres songeait à faire
une pause, pour fonder un foyer et se rapprocher de sa fille. Le destin ne lui en aura pas laissé le temps. On ne sait,
en relisant Londres, s’il reste encore des plumes aussi acérées. On se doute que subsistent encore des scandales.
S’ils ont moins d’ampleur, leur dénonciation en est rendue plus difficile, tout aussi exigeante, pas moins nécessaire.
Quelques mois après la disparition du journaliste, Florise Londres (1904-1975) et d’anciens compagnons de route
de son père créent le prix Albert-Londres, décerné encore aujourd’hui à des reporters travaillant dans la presse écrite
et dans l’audiovisuel. Il leur faut pour cela se montrer fidèles à la devise d’Albert Londres.
"Notre rôle n’est pas d’être pour ou contre, il est de porter la plume dans la plaie."
Bibliographie et références:
- Jean Débordes, "Vichy au fil de ses rues"
- Pierre Assouline, "Albert Londres"
- Gérard Berthelot, "Albert Londres aux Dardanelles"
- Léon-Marc Levy, Albert Londres"
- Philippe Ramona, "Paquebots vers l'Orient"
- Sophie Desmoulin, "Albert Londres par lui-même"
- Régis Debray, "La mort d'Albert Londres"
- Didier Folléas, "Albert Londres en terre d’ébène"
- Jean Lacouture, "Les Impatients de l’histoire"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Le retour à une situation normale, c'est à dire une Maîtresse et ses deux soumis, a pris encore un mois.
Les deux dernières semaines de juin et les deux premières de juillet. Ennia va bien. Je dirais même qu'elle va très bien, du moins en apparence. Plus de séquelles physiques. Reste l'empreinte psychologique de cette terrible épreuve.
Nous n'avons toujours pas fait l'amour. Elle ne supporte pas encore l'idée d'être prise par la queue d'un homme. Elle a cependant retrouvé le goût du sexe entre les mains de Maîtresse Caroline. Offerte sous mes yeux à son gode-ceinture. Maîtresse se montre douce et attentionnée avec elle et c'est un sublime spectacle que de les voir faire l'amour, gémir, jouir. Ma queue a retrouvé sa cage depuis une semaine déjà, et j'avoue avoir du mal à le supporter. Maîtresse l'a remarqué, plusieurs fois, et s'est contentée de sourire sans un mot.
Si elle se montre douce avec Ennia, elle compense en se montrant plus dure avec moi, souvent avec l'aide d'Ennia qui la seconde. Je suis cravaché régulièrement et Maîtresse a entrepris d'allonger mes tétons. J'ai droit à une séance quotidienne d'élongation, soit à l'aide de pinces lestées soit à l'aide d'une pompe à vide. Je suis de plus en plus sensible et mes Maîtresses s'amusent à me faire gémir de douleur en jouant avec.
Nous ne voyons plus les complices de Maîtresse Caroline, je ne sais pas pourquoi. Sans doute juge-t-elle qu'Ennia a besoin d'un certain calme pour retrouver une vie "normale", si notre trio peut être considéré ainsi.
L'annonce qui va bouleverser notre vie arrive quelques semaines plus tard. Ennia a peu à peu retrouvé sa joie de vivre et elle se montre plus entreprenante avec moi. Plus douce. Plus amoureuse aussi. Comme si rien ne s'était passé. Maîtresse Caroline lui laisse un peu plus de liberté et mon amour en joue délicieusement. Notre déesse a décidé de nous préparer pour quelque chose de spécial. Elle se montre très mystérieuse et le laisse filtrer aucune information, tout juste de quoi nous rendre fous d'impatience.
"Il est temps, je crois. Sachez que j'y pense depuis un certain temps. Ma décision a été longuement mûrie. Ce soir, vous saurez mes petites chiennes, ce soir... En attendant, je vais vous mettre en condition".
Maîtresse Caroline nous ordonne ne nous préparer, respectivement. Epilation parfaite, lavement, tenues imposées. Nous passons deux longues heures dans la salle de bains, sans surveillance. Sauf pendant le laps de temps où je suis débarrassé de ma cage pour me rendre parfaitement lisse. Maîtresse surveille Ennia qui s'amuse à m'agacer. Je bande instantanément bien sur, et mon amour est d'une douceur qui me rend fou.
"Je t'ai dit de le préparer, pas de le branler ! Il a toujours interdiction de jouir je te rappelle. A moins que tu ne cherches ma cravache peut-être, ma petite pute ? "
Sa cravache, elle l'utilise justement.... mais pas sur Ennia.
"Maintiens ses cuisses écartées, cette queue dressée va retourner dans sa cage. Et je connais un bon moyen de la calmer ! Mon soumis, je ne veux aucun bruit. Tu encaisses et tu débandes, sinon je double la mise... compris ?"
Je ne puis que laisser échapper un faible et résigné "Oui Maîtresse Caroline".
Le premier coup s'abat sur mon gland offert. Je m'y attends mais la douleur est trop forte et je laisse échapper un cri. Le regard de Maîtresse se durcit, et les suivants s'enchaînent, sans aucune pitié. Gland, hampe et pour finir, mes couilles gonflées. Je m'écroule sur le carrelage. Maîtresse me laisse une minute pour récupérer et ordonne à Ennia de m'aider à me relever. Elle a atteint son but, je ne bande plus...
"Voilà qui est mieux. Remets lui sa cage maintenant... j'en ai marre qu'il bande sans autorisation. Il va falloir que je le fasse travailler là dessus. Je veux un esclave qui bande sur demande, et qui sache se retenir. Je crois que je ne vais jamais y arriver avec toi... tu es une cause perdue. Tu es bien trop obsédé par le cul."
Ennia et moi finissons de nous préparer. J'ai mal. Ma queue, de nouveau emprisonnée, me fait terriblement souffrir et la frustration me maintient au bord des larmes. Ennia le sent, et se montre particulièrement tendre. Nous nous enlaçons et nous nous embrassons comme au premier jour. Elle laisse échapper un "je t'aime" qui me fait rendre les armes. Je pleure dans ses bras et je lui dis mon amour pour elle, mon besoin d'elle.... je ne veux plus jamais être séparé d'Ennia. Je ne le supporterai pas.
Nous enfilons les tenues préparées par Maîtresse Caroline. Latex noir pour moi, bas et serre-taille à jarretelles, longs gants, cagoule et large collier de cuir. Des anneaux fixés à mes poignets et mes chevilles, pour des entraves à venir. Tenue identique pour Ennia, mais de latex blanc. Elle est sublime ainsi recouverte de cette peau si spéciale. Maîtresse Caroline m'a révélé mon fétichisme pour cette matière. Je crois que je pourrais vivre ainsi habillé chaque jour. Nous rejoignons notre déesse dans le salon. Elle est assise dans un fauteuil et nous ordonne de nous agenouiller face à elle...
"Mes petites chiennes.... vous savez que j'ai une grande annonce à vous faire. Je le ferai ce soir. Dans 3 heures exactement. Et croyez-moi, l'attente va être terrible !"
Maîtresse nous attache, debout, bras au dessus de nos têtes, face à face. Assez éloignés pour que nos corps ne puissent se toucher. Puis elle nous bande les yeux.
"Maintenant, la touche finale mes petites chiennes. Je vous veux en feu !"
Elle pose un casque sur nos oreilles. Et lance la bande-son. Des cris, le claquement des fouets, des soupirs, une femme qui jouit... je ne sais pas où Maîtresse a trouvé cet enregistrement mais il est d'une efficacité redoutable. Je sens ses mains retirer ma cage et ma queue se dresse instantanément. L'effet de la privation sensorielle, de ces cris de jouissance et de douleur, me plonge dans un état d'excitation terrible. L'attente va être longue. Très longue en effet. Je perds rapidement la notion du temps. Les femelles torturées et jouissant sous la cravache ou je ne sais quel instrument de plaisir se succèdent. Il n'y a aucune parole, juste des soumises travaillées, hurlant ou haletant, une jouissance sonore qui semble sans fin. Je n'entends absolument rien de ce qui se passe dans le salon. Il me semble que quelqu'un bouge autour de nous. Maîtresse Caroline sans doute, qui prépare je-ne-sais-quoi. Nous n'allons pas tarder à le savoir.... Et cela va bouleverser nos vies, à jamais.
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Les mots de ma Maîtresse me glacent.... je resserre mon étreinte et le corps de Caroline épouse le mien. Ce que je ressens à l'écoute de son récit est un mélange d'effroi, de tristesse, de colère... J'aime cette femme, si fragile en cet instant. Je l'aime de tout mon être. Maîtresse Caroline me raconte tout. Comment, maintenue à genoux par les deux monstres gardes-du corps, le bourreau a d'abord violé sa bouche, sans aucun ménagement. Comment il s'est répandu sur son visage, lui interdisant ensuite de s'essuyer. Comment dans la foulée elle a du se déshabiller et s'offrir à ses sbires, réclamer à voix haute leur queues, réclamer d'être "baisée comme une pute, comme une truie" selon les mots dictés par son nouveau Maître.
Comment, pendant 5 jours, elle a subi viols à la chaîne, cravache et fouet, humiliations diverses et perverses pour la briser. Elle me raconte ce qui lui a permis de tenir, son amour pour Ennia, son désir de la sauver. Elle a enduré, pleuré, souffert... mais elle n'a pas flanché. Je l'entoure de ma chaleur, lui caresse les cheveux, l'embrasse tendrement en pleurant. Son récit me bouleverse. Elle arrive au final, baisée par des dizaines de queues devant une foule d'invités. Un viol collectif sous les rires et les moqueries, les coups de cravaches assénés par les Maîtresses présentes, la séance d'uro avec les soumises de la soirée, qui ont toutes uriné sur elle sous l'oeil d'une caméra.
Elle me parle de ce film, épée de Damoclès, miroir de son avilissement entre les mains de ce monstre. Elle me parle de sa peur maintenant. Elle me dit son départ, Ennia dans ses bras, presque inerte. La voiture qui les laissent sur le bord d'une route de campagne, à moitiés nues... Elle me parle aussi de ses sentiments, la honte, l'humiliation, la douleur physique, la douleur psychologique. Je la sais forte, si forte et pourtant je mesure, à l'aune de ses paroles, combien elle a souffert et combien cet épisode l'a marquée.
Je l'aime et je l'admire. Nous restons ainsi, enlacés, durant un temps qui me paraît infini. Plus de parole, juste le silence et nos corps serrés l'un contre l'autre. Puis Maîtresse Caroline échappe lentement à mon étreinte. Elle me regarde longuement et m'embrasse. Entre tendresse et amour. Un long baiser, pour sceller un pacte. Celui de l'oubli. Effacer, ne plus en parler et se tourner vers l'avenir, notre avenir. Maîtresse Caroline, Ennia et moi.
"Il est temps mon soumis, va, elle t'attend. Je sais que tu trouveras les mots maintenant. Et puis.... merci. Je t'aime".
Ces dernières paroles me font fondre en larmes immédiatement. Impossible de contenir la boule d'émotion qui me submerge. Maîtresse me prend la main et me guide, pas à pas, vers le seuil de la chambre. Ennia dort profondément lorsque je pénètre dans la pièce. Doucement, je viens m'asseoir sur le lit. Et je découvre mon amour.... et je pleure en silence. Elle est encore méconnaissable. Si amaigrie, si marquée.
Dans son sommeil, elle a repoussé la couette et je vois son corps, les marques violacées, profondes, les cicatrices, la trace des fers qu'elles portait en permanence aux poignets et aux chevilles. Et je sens une vague de haine m'envahir. Je pose délicatement ma main sur ma sienne, et ma belle s'éveille en sursaut, apeurée, levant ses bras comme une protection dérisoire.
Elle met quelques secondes à comprendre, à me découvrir. Aucun mot. Je ne sais où elle trouve cette force qui la projette dans mes bras. Elle me serre, si fort. Sa bouche trouve la mienne et nous nous embrassons, passionnément, longtemps, très longtemps. Je retrouve le goût de sa langue, le contact de sa peau, l'alchimie de nos corps, faits pour se comprendre. Je n'ose la toucher, la serrer, de peur de lui faire mal. Ennia a de la force pour deux et son étreinte ne se relâche pas. Nos bouches se détachent et nous nous regardons. Tout passe par nos yeux, nul besoin de mots. Elle me dit tout, pleure et sourie en même temps, caresse mon visage comme je caresse le sien. Il est des instants qui font de la musique et celle que j'entends est à mes oreilles la plus sublime du monde. Je romps le silence, en murmurant : " Je ne veux plus être séparé de toi. Jamais plus. Mon amour, jamais plus".
Ennia se blottit contre moi et nous restons allongés l'un contre l'autre. Nous perdons tous deux la notion du temps et nous finissons par nous endormir. Nous nous réveillons avec la lumière du jour qui filtre à travers la fenêtre. Maîtresse Caroline vient de tirer les rideaux. Elle semble heureuse, apaisée. Je sursaute, réalisant que je ne me suis pas levé, comme à mon habitude, pour préparer son petit-déjeuner et être à son service dès son réveil.
"Pardon Maîtresse, je suis sincèrement désolé, je vous demande de bien vouloir me pardonner, j'ai manqué à mon devoir, je..."
Elle m'interrompt : "Chuttt. Aujourd'hui, et pour les quelques jours qui viennent, il n'y a plus de Maîtresse Caroline. Plus de soumis, ni de soumise dit-elle en faisant un clin d'oeil à Ennia. Je vous aime, et je sais qu'Ennia a besoin de toi. Bientôt, très bientôt, nous reprendrons notre vie. Notre ménage à trois, et toi, ma belle petite chienne, tu reprendras ton service à mes pieds et aux pieds d'Ennia. Et toi Ennia, tu me serviras à nouveau, pour notre plaisir commun. Mais nous avons le temps. Rien ne presse. Restez au lit si vous voulez. Pour ma part, je vais aller voir mes amies. J'ai besoin de leur insouciance. A tout à l'heure ! "
Elle quitte la pièce et nous nous regardons, Ennia et moi, comme si nous venions de rêver. Mon amour semble elle aussi apaisée. Elle porte encore, et pour de longs jours voire de longues semaines, les stigmates de sa détention, de son calvaire, mais ses yeux brillent à nouveau de cette flamme qui m'a brûlé le coeur dès le premier jour. Elle me sourie et vient m'embrasser tendrement. Je la prends dans mes bras et nous nous retrouvons de nouveau allongés.
"Mon amour.... je suis là pour toi. Dis moi, et je fais. Tout et n'importe quoi. Ce que tu veux, ce qui te plaît, ce qui te fera du bien. Demande moi s'il te plaît. Je t'aime Ennia, je t'ai aimée dès que je t'ai vue. Dès la fin de mon premier cours avec toi, Je t'aime, je t'aime, je t'aime".
Maîtresse Caroline fait irruption dans la chambre un seconde fois, alors qu'Ennia et moi nous nous embrassons de plus belle, lentement, tendrement. Un baiser qui n'a rien de sexuel, un baiser totalement amoureux, fou.
"Les amoureux, pour quelques jours, je vous confie ceci..."
Et elle lance la clé du cadenas de ma cage de chasteté. Je l'attrape au vol. Maitresse Caroline est déjà repartie et nous entendons la porte de l'appartement claquer. Je pose la clé au creux de la paume d'Ennia...
"Je suis à toi, uniquement et absolument à toi".
Son visage s'assombrit et un voile de tristesse vient obscurcir ses yeux...
"Je... je ne peux pas tu sais... pas maintenant... c'est... trop tôt, trop dur.. je ne sais pas si je pourrai.." Elle éclate en sanglots... "Je ne sais pas... peut-être que je n'y arriverai plus...."
Elle pleure de plus belle et se presse contre moi...
"Pardon, pardon mon amour... je t'en supplie... pardonne moi".
Elle s'active fébrilement et libère ma queue. Plusieurs jours déjà, sans jouir, sans bander si ce n'est en pensée. Je me dresse immédiatement, dur, ultra sensible...
"Je t'en supplie, moi je ne peux pas, mais toi.... s'il te plaît, donne toi du plaisir, jouis pour moi".
Je m'allonge sur le dos et la bouche d'Ennia vient trouver la mienne. Je me caresse au rythme de ses baisers... elle pleure et murmure des mots sans suite, comme possédée. Je comprends qu'elle me raconte, à sa manière. Elle se libère, laisse aller ses émotions alors que ma respiration s'accélère. Sa main rejoint la mienne et je jouis avec une rare violence. Mon amour porte ses doigts maculés de mon sperme à ma bouche. Je suce, lèche... et sa langue vient à nouveau trouver la mienne. Un baiser au goût de foutre. Je l'aime, et j'aime ne pas, ne plus avoir de tabou avec elle. Une certitude... je vais être heureux, totalement, si elle l'est elle aussi. Et je ne la quitterai plus.
Nous passons presque toute la journée au lit. Je n'en sors que pour faire couler un bain, qu'Ennia partage avec moi. Et pour nous préparer une repas froid, que nous mangeons également au lit. Je la masse longuement et doucement, par peur de réveiller les douleurs de ses cicatrices encore bien visibles. Ce corps torturé, sous mes doigts, me hante. Comment peut-on vouloir détruire à ce point une femme ? Pourquoi ? Pourquoi détruire cette beauté ? Je prends soin d'elle de la même façon les jours suivants. Les cours sont terminés et je peux me consacrer totalement à sa guérison. Ennia aime me voir jouir et elle me le demande, plusieurs fois par jour. Petit à petit, elle s'enhardie et joue avec mon plaisir. Sa bouche se fait plus exploratrice et elle aime me contrôler, m'arrêter aux portes de la jouissance, puis m'ordonner de reprendre mes caresses. Elle joue avec moi mais je ne peux toujours pas la toucher. Elle a parfois de mouvement de recul, s'excuse aussitôt et vient se serrer contre moi. Je lui répète qu'elle a le temps pour elle, qu'elle ne doit se forcer à rien, que je suis là uniquement pour son bien-être, pour elle, que je comprends, accepte totalement... mais rien n'y fait, Ennia me demande souvent de la pardonner.
Maîtresse Caroline passe beaucoup de temps avec ses amies. Elles viennent parfois à l'appartement, mais je suppose que Maîtresse les a prévenues car aucune ne se comporte en Maîtresse avec moi. Caroline semble aller de mieux en mieux elle aussi. Elle redevient parfois la Maîtresse qu'elle est naturellement. Un ordre fuse, un geste lui échappe... Mais elle n'insiste pas. J'avoue attendre de reprendre ma place à ses pieds. A leurs pieds. Je me comporte en soumis, assurant le ménage, les repas, les courses. J'aime m'occuper d'elles, de leur confort.
Ennia a repris quelques kilos et elle redevient lentement la beauté rayonnante qu'elle était avant ce monstre. Les marques s'effacent, seules 4 ou 5 cicatrices, sur ses reins et ses seins, restent encore bien visibles. Moi, je suis heureux. Heureux de les voir aller mieux, heureux d'être avec elles, heureux de les servir, heureux d'être entouré de ses deux magnifiques femmes, profondément humaines, entières, si fortes et si fragiles. Nous avons trouvé un équilibre qui frise la perfection et je sens Maîtresse Caroline redevenir Domina, de plus en plus.
Il n'y a qu'une chose que j'appréhende.... le retour en cage. Je jouis plusieurs fois par jour avec Ennia. Et Maîtresse Caroline utilise ma langue, autant qu'elle en a envie. Elle le sait, je suis une chienne assoiffée de sexe et la cage est pour moi la plus dure des règles qu'elle puisse m'imposer. Pourtant, en mon for intérieur, je sais que ce contrôle m'est indispensable dans la durée. Pour ne pas céder à mes pulsions. L'animal s'impose toujours sur l'homme d'esprit et de coeur. J'aime intensément, mais mon désir profond de jouissance peut être bien plus fort que ma volonté. Je le sais pour l'avoir vécu, maintes et maintes fois. Pour avoir perdu cette bataille, sacrifié et perdu tant pour cet instinct primaire venu du fond des âges.
Mais perdre m'a fait trouvé ce que je vis aujourd'hui, ce que je redoute le plus au monde de perdre: Elles.
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La vie reprend et avec, mes habitudes de professeur soumis, aux pieds de Maîtresse Caroline. Plusieurs jours déjà, depuis son retour. Plusieurs jours qu’Ennia se repose. Et moi je deviens fou. Fou d’angoisse, fou d’amour… une angoisse permanente et tant d’interrogations. Je n’ose questionner Maîtresse Caroline. Elle aussi est marquée, silencieuse, et je surprends parfois de la tristesse lorsqu’elle sort de la chambre d’Ennia. Un calme certain s’est abattu sur nos vies, et j’avoue que cela n’est pas pour me déplaire. Maîtresse Caroline, Ennia et moi-même en avons besoin je crois.
Moins de visite des amies de ma Maîtresse, de mes autres Maîtresses devrais-je dire, une certaine routine qui se révèle salvatrice. Déjà une semaine et la soirée s’annonce paisible, presque rituelle. Bain de ma Déesse, préparation du repas qu’elle prendra avec moi à ses pieds puis ensuite une longue séance de massage. Maîtresse Caroline n’a pas enlevé ma cage depuis que Maîtresse Chloé l’a remise en place, scellant ainsi la fin de notre parenthèse amoureuse.
Je mesure ma chance d’être entouré de toutes ces femmes que j’aime profondément, chacune d’un amour particulier. Elles sont si belles, si grandes, si sublimes à mes yeux. J’en pleure de bonheur et je n’ai qu’un désir, les voir s’épanouir et être heureuses. J’ai trouvé ma place et ne n’en désire aucune autre. Les humiliations, les douleurs infligées, les frustrations ne sont rien comparées à l’honneur de les servir, de faire partie de leur intimité, de leur vie. Et puis j’aime souffrir… ma jouissance, lorsque l’on me l’accorde, n’en est que plus intense dans la douleur.
Maîtresse Caroline a raison: je ne suis qu’une chienne assoiffée de sexe et je le resterai à jamais. Un jour, peut-être, je prendrai le temps de réfléchir sur ces désirs hors du commun, sur ce plaisir désormais associé à la douleur, l’humiliation et une certaine transgression. Désormais, mais peut-être que non.
Entre les bras de Maîtresse Chloé, de Chloé simplement, lorsque je suis redevenu un homme amoureux dans les bras d’une femme amoureuse, sans rapport hiérarchique, sans soumission ni domination, mon plaisir fut tout aussi intense quoique différent. Un plaisir bien plus absolu, comme j’ai pu le connaître, avec une intensité inégalée, dans les bras d’Ennia. Lutte éternelle entre le plaisir physique trouvant ses racines dans les plus inavouables de mes désirs et le plaisir physique puisant sa force et son absolu dans l’amour le plus pur. Suis-je seul à m’interroger ? Mes pensées divaguent alors que je sers de repose pieds à ma Déesse pour sa cigarette du soir. Alanguie dans le canapé, Maîtresse Caroline garde le silence de longues minutes puis m’ordonne de m’agenouiller, face à elle.
-Tu dois savoir ce qui est arrivé. Je pensais d’abord ne rien te dire, mais il est temps que tu la vois. Elle a besoin de toi. Tu ne pourras pas comprendre si tu ne sais rien. Et si tu ne comprends pas, ton amour seul ne suffira pas à l’aider. Je vais tout te dire… et ensuite, tu la rejoindras.
Je ne dis pas un mot, mais l’intensité de mon regard soudé au sien vaut pour toute parole. J’ai le souffle court, j’attends, je tremble, j’ai peur.
-Tu n’as certainement pas oublié la raison de son départ. Ce Maître qui me l’a achetée. J’ai abandonné tous droits sur elle, à sa demande. Je veux dire à la demande d’Ennia elle-même. Elle était comme envoûtée, attirée inexorablement par cet homme que je croyais respectable, que je croyais un bon Maître. Mais je l’avais juste cédée à un bourreau, un tortionnaire qui aurait pu la détruire, qui l’a presque détruite. C’est une autre soumise qui m’a alertée, en secret. Selon elle, Ennia risquait tout simplement sa peau, elle avait atteint les limites de sa résistance. Elle avait l’air vraiment inquiète c’est pour cela que je suis partie précipitamment. Je croyais que j’allais pouvoir la ramener avec moi, comme ça… la reprendre… mais…
Les derniers mots refusent de franchir la barrière de ses lèvres et Maîtresse Caroline explose en sanglots. J’oublie une fois de plus ma condition d’esclave et je la prends dans mes bras, je la serre contre moi et ma sublime Déesse se laisse aller.
-Si tu savais…. putain… si tu savais….. je…
-Chutttt vous n’êtes en rien obligée de me le dire Maîtresse.. laissez-vous aller, vous êtes protégée ici. Vous l’avez ramenée, vous l’avez sauvée et je suis là, je suis là pour vous Maîtresse Caroline.
Son corps se presse contre le mien, et Maîtresse Caroline continue son récit, entrecoupé de sanglots qu’elle ne peut maîtriser:
-Comme je te l’ai dit, c’était un monstre, un bourreau. Elle était retenue dans les caves de sa maison bourgeoise. En fait, elle était réduite à l’état d’objet sexuel, servant à tous ses amis, aux amis de ses amis… battue tous les jours, fouettée, cravachée, mal nourrie… Elle ne réagissait même plus, ne hurlait plus, elle subissait, juste. Les séances de baise à la chaîne, la douleur des coups,… je ne comprends pas pourquoi.. pourquoi choisir une soumise, l’acheter et en faire cela… La première fois que je l’ai vue, je me suis précipitée vers elle. Mais ses deux sbires m’en ont empêché. Je me suis mise à hurler, à le menacer…
Mais je n’étais pas de taille. Il m’a retourné une gifle qui m’a presque assommée alors que ses gros bras me tenaient. Puis il m’a parlé, sans crier, mais c’était glacial et à ce moment là j’ai eu peur, vraiment peur tu sais: Petite conne, tu te prends pour qui ??!!! Si tu la veux, je te la rends. Elle n’est plus bonne à rien de toute façon. Mais il va falloir que tu la gagnes sale petite pute bourgeoise qui se croit Maîtresse… tu la veux vraiment ? Je te donne 10 secondes pour répondre. Oui, on continue à discuter. Non, mes hommes te ramènent à la gare et je n’entends plus jamais parler de toi. Ni toi de cette salope que tu m’as vendue. Alors ? »
10, 9, 8, 7, 6, 5….4, 3….2….1…..
-Oui
-Oui quoi connasse ? Parle plus fort !
-Oui, je veux la reprendre !
Un autre gifle…
-Répète après moi jeune idiote: oui Maître, je veux la reprendre et je ferai ce que vous voudrez pour cela…
Maîtresse Caroline éclate d’un sanglot plus profond encore…
-Et j’ai répété tu sais… mot pour mot…
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Aujourd’hui. C’est aujourd’hui que Maîtresse Caroline revient. 9 jours sans ma Maîtresse. 9 jours d’une intensité inouïe. 9 jours qui m’ont marqué, psychologiquement et physiquement. Je porte encore les traces des assauts de mes Maîtresses d’une nuit. La journée d’hier, dans les bras de Maîtresse Chloé, m’a laissé dans un état de faiblesse psychologique intense. Je suis redevenu un homme, amoureux, tendre, sensuel. J’ai caressé, embrassé, serré dans mes bras une femme avec qui j’ai partagé mon âme, l’espace de quelques heures. Nous avons fait l’amour encore et encore, dormi dans les bras l’un de l’autre, peu parlé mais beaucoup communiqué par nos regards et nos gestes, comme si la parole était superflue. J’en ai oublié ma condition de professeur soumis, de salope aux ordres, mon état de dépendance totale à ma Maîtresse Caroline, son emprise sur moi, sur ma vie. Nous avons été un couple, lié par delà nos corps en sueur collés l’un à l’autre.
Le réveil est douloureux et je suis triste. Maîtresse Chloé a remis ma cage de chasteté en place ce matin, après que nous avons fait l’amour une dernière fois. Une étreinte lente, tendre et sensuelle. Je me suis vidé en elle, et j’ai explosé en larmes, au creux de ses bras. Maîtresse Chloé est partie en cours à 8h45, me laissant nu, encagé, avec pour consigne de ranger parfaitement l’appartement. Je n’ai pas cours avant 11h. Et ma journée se termine à 15h. Maîtresse Chloé est prise toute la journée. C’est donc Maîtresse Christelle qui a pour charge de me ramener à l’appartement et de me préparer au retour de Maîtresse Caroline, vers 17h.
Après la tendresse et l’amour de Maîtresse Chloé, la sévérité sans pitié de Maîtresse Christelle est un choc brutal. Elle ne prononce que quelques mots, secs :
-Dépêche toi salope, je n’ai pas que ça à faire !
Une fois dans l’appartement, elle continue sur le même ton.
-Tu te douches, et tu rappliques. Je te donne 10mn maxi. N’oublie pas de bien te récurer la chatte !
Je m’exécute. Lavement obligatoire donc. Même si j’ai horreur de cela, je crains encore plus que mes Maîtresses ne me fassent sucer le god souillé sortant de mes reins. Douche, vérification de mon épilation. 9 minutes plus tard, je me prosterne aux pieds de Maîtresse Christelle, assise dans le canapé du salon. Sans un mot elle me relève et commence à me préparer, en commençant pas la cagoule de latex et un masque qui m’aveugle totalement. Puis vient le collier de cuir, le corset qu’elle prend bien soin de serrer au maximum quitte à me couper le souffle, mes bas de latex noir, bracelets à mes poignets et mes chevilles. Je ressens une grande excitation à l’idée de retrouver Maîtresse Caroline. Et je m’interroge sur celui ou celle qui l’accompagnera. Maîtresse Chloé m’a bien rappelé qu’elle ne serait pas seule.
Maîtresse Christelle fixe la barre d’écartement entre mes chevilles. Ensuite, elle attache mes poignets à la chaîne qui pend du plafond, tendue au maximum, et sans aucun ménagement, à peine un peu de gel, me remplit le cul d’un plug de bonne taille. Elle termine ma préparation en fixant un bâillon-boule.
-Hmmm voilà qui est mieux. Je crois que Caroline sera satisfaite de te voir ainsi ma soumise. Ah, au fait, elle m’a laissé carte blanche pour imprimer ma marque, avant son arrivée. Ça tombe bien, j’ai besoin de me défouler.
Elle ponctue sa phrase par un coup de cravache sur mes reins. Elle a frappé fort et je hurle à travers mon bâillon. Maîtresse Christelle se lâche. Les coups s’enchaînent rapidement. Mon cul en prend la majeure partie. Je ne suis pas encore remis de ma nuit de soumission avec mes jeunes Dominas déchaînées, et la souffrance est atroce. Je pends au bout de ma chaîne, brisé par la douleur. Maîtresse Christelle repose la cravache et vient se saisir de mes tétons. Nouvelle décharge de douleur.
-Debout soumis ! Ta Maîtresse va arriver d’une minute à l’autre. Je veux te voir debout, cul tendu, prêt à la recevoir. Tu n’as pas envie de me faire honte je pense…. sinon ce n’est pas la cravache qui va te faire hurler, mais la canne !
Je fais non de la tête et j’essaie de me redresser, tout en me cambrant au maximum. J’entends mal, les sons sont diffus à cause du latex qui recouvre ma tête. Mais Maîtresse Christelle a crié pour bien se faire comprendre.
J’entends vaguement la sonnette, les talons de Maîtresse Christelle, des voix. Je crois reconnaître celle de Maîtresse Caroline. Je ne saisis pas totalement la teneur de leur conversation. Cependant, je crois comprendre « emmène là dans la chambre s’il te plaît Chris… ». Emmène-là. C’est donc une fille dont il s’agit. Je n’ai pas le temps de gamberger. La main gantée de Maîtresse Caroline se saisie de mes couilles.
-Alors ma petite chienne… on s’est bien amusée pendant mon absence ? Ta seule et unique Maîtresse est revenue. Je vais te reprendre en mains. Fini les réjouissances. On passe à la vitesse supérieure.
Elle serre, tord et m’arrache un hurlement. Puis elle me détache les poignets et je m’effondre au sol, à genoux. La mise en condition de Maîtresse Christelle m’a brisé.
-Viens renifler ta Maîtresse ma petite chienne, et donne lui quelques coups de langues. Montre-lui qu’elle t’a manquée. Allez…!
Maîtresse Caroline saisie mon collier et colle mon visage entre ses cuisses. Je redécouvre le parfum et le goût unique de ma Domina. Au fond de moi, je suis heureux de la retrouver. La fascination qu’elle a toujours exercée sur moi, depuis la première fois où je l’ai vue, en cours, ne se dément pas. Je suis marqué, sous son emprise et je me régale de son calice divin.
Maîtresse profite quelques minutes de ma langue puis me repousse et ôte mon masque pour me rendre la vue.
-Regarde moi !
Je plonge mon regard dans le sien, et je découvre une Maîtresse qui semble à bout. Marquée. Par quoi ? Qu’a-t-elle bien pu vivre pendant ces neuf jours d’absence ? J’oublie un instant ma condition d’esclave et j’ose…
-Maîtresse, vous semblez épuisée. Tout va bien ?
Maîtresse Caroline ne relève pas mon manque de discipline. Elle semble même touchée par mon empathie. Elle me regarde sans un mot. Je prends conscience de ce que je viens d’oser et je m’en effraie soudain. Mais Maîtresse Caroline m’apaise d’un doigt posé doucement sur mes lèvres…
-Shuuuttt… tu as raison. Je suis épuisée. Ces derniers jours ont été très éprouvants pour moi. Et pour elle. Elle est de retour tu sais. Je l’ai ramenée… Non, je t’en prie. Elle a besoin de temps. Et d’abord elle a besoin de repos. Vraiment. Elle m’a fait jurer de ne pas te permettre de la voir. Pas comme cela. Alors respecte sa volonté. Le temps viendra, vite je l’espère. D’ici là, je crois que tu as une Maîtresse à laquelle tu as juré fidélité. Occupe t’en. Va me faire couler un bain ma jolie chienne… j’en ai bien besoin.
Maîtresse Caroline me sourit tendrement et essuie la larme qui coule sur ma joue. Ennia est revenue. Mais je dois patienter. Le bain de ma Maîtresse, lui, ne peut attendre.
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Combien de fois, Sarah, la pointe de mes seins s'était-elle dressée à l'approche de tes mains ? Combien de fois à la
sortie de la douche ? Le bus arrive déjà, la belle monte et s'assied juste derrière le chauffeur. Le siège de derrière est
occupé. Pascal s'installe sur la banquette opposée. Il observe le profil racé, les traits de la jeune femme sont crispés, le
froncement du sourcil trahit l'inquiètude et il s'en réjouit. Il la dévisage longuement, admire le galbe de ses seins semblable
aux contours d'un joli pamplemousse et rêve de se désaltérer au fruit défendu. La jeune femme lui paraît de plus en plus
nerveuse. Ils descendent à la même station devant le musée des automates. Elle prend un ticket et dépasse le portillon.
Pascal est frustré, il ne peut payer l'entrée. Tant pis, il attendra dehors, il fait beau et il doit se calmer mais elle se retourne.
Je posais le livre sur la couverture. La ligne du 43, c'est celle que nous empruntions le dimanche pour aller promener le
chien. Même le chien, tu l'avais oublié. "- Vous ne me suivez plus ! Vous n'aimez pas les automates, peut-être ?" Quelle
prétention dans la voix. Pascal va la faire plier cette pimpêche, elle ne perd rien pour attendre. Il la suivra jusqu'au moment
propice où il pourra se l'approprier, même si cela doit lui prendre des jours et des nuits. Il achète un ticket pour le musée.
Pascal a soudain peur. Jamais il n'a connu ce sentiment. Il suit la croupe légère qui s'enfonce dans la salle des automates.
L'obscurité est quasi complète, seuls des spots blafards éclairent les drôles de pantins qui répètent dans un mouvement
saccadé des gestes identiques. Une voix suave conte l'histoire des curieux personnages. Le jeune homme n'a jamais vu
un tel spectacle et s'approche du cordon qui barre l'accès aux créatures magiques. La fraîcheur de la pièce contraste avec
la chaleur du dehors. La jeune femme vient se coller à lui, ses cheveux effleurent la joue rasée. Elle le prend par la main.
Une main chaude et douce, rassurante. " - Venez plutôt par là, c'est mon préféré!." Pascal ne s'intéresse plus au jouet de
fer mais à cette main qui pour la première fois s'est tendue à lui. Ils sont seuls dans la pièce. La main le guide habilement
d'un personnage à l'autre, les doigts graciles pressent les siens. Elle les arrête devant un duo. Il regarde. Une petite tête de
fer avance et recule la bouche ouverte sur un pénis rouillé, la nuque du propriétaire balance de droite à gauche dans un
imperceptible grincement. L'image de ce pénis rouillé, Sarah ... Quel souvenir ! Je reprenais hâtivement ma lecture.
"- Il manque d'huile, vous ne trouvez pas ?" Mais elle le provoque ! Le jeune homme sent monter en lui une sève brûlante,
son gland le tiraille, sa violence originelle le tenaille, il ne peut plus se retenir et tant pis s'il fait mal à cette main tendue. Il
se dégage et soulève la jupe. Il s'attend à un cri. La jeune femme ne dit rien, elle accélère seulement soudain le rythme de
sa respiration. Pascal ne comprend rien. Il s'en moque. Pressé par son désir, il fourre sa main sous le tissu et plonge ses
doigts à l'intérieur du sexe humide de sa proie. Nul besoin de dégraffer son jean, une main habile vient à sa rencontre qui
se faufile et aggripe sa verge. Elle le masturbe frénétiquement. La jeune femme se plie en deux, enfonce le gland gonflé
au fond de sa gorge et mime avec application la scène des deux pantins. La béance boulimique l'avale littéralement,
tentant d'atteindre la luette. Prêt à décharger, possédé par l'étrange créature, il la relève. Ses bras costauds soulèvent ses
cuisses légères, seule la pointe des pieds résiste à cette élévation. Il l'empale sur son jonc tendu. Malgré les ongles qui
éclatent la peau, la jeune femme se laisse glisser avec volupté sur cette gaillarde virile. Le rythme fort de leur respiration
s'accorde, laissant à la traîne le grincement de l'automate. L'instant d'après, l'extase les submerge, vertigineuse et folle.
Jamais personne ne s'est offert à lui avec tant de générosité. La jeune femme desserre l'étreinte, elle agite le pied gauche,
son bénard en soie bordé de dentelle coulisse le long de sa cheville. Dans un geste rapide, sa main froisse l'étoffe soyeuse
et la fourre dans son sac à main. La déculottée trémousse son arrière-train, rajuste la jupe et quitte les lieux, assouvie d'un
plaisir charnel. Le jeune homme la regarde s'éloigner, déjà elle ne le connaît plus. Pourtant, elle se retourne, pédante:
- Il vous reste beaucoup de choses à apprendre.
Et toi, Sarah, que te restait-il à apprendre ? Tu croyais tout savoir en matière d'amour. J'aurais tant aimé, à cet instant de
la lecture, que tu sois près de moi. J'aurais pu alors t'embarquer pour de nouveaux voyages. Pourquoi m'as-tu quittée,
espèce de garce. Je soupirais et je reprenais, j'étais là pour te haïr, pas pour te regretter. Quel beau roman.
Pascal n'a plus qu'une obsession, retrouver cette offrande, ce don divin balancé de la voûte céleste. Lui qui n'est pas
croyant se surprend même à prier, à supplier, mais le ciel n'est jamais clément à son égard. Les jours, les mois défilent.
Le miracle ne daigne pas s'opérer. Chaque jour, le jeune homme emprunte le même chemin, celui qui l'a mené à ce sexe
offert. Fébrile, il l'attend. Errant dans les bouches de métro, les gares, les cafés, tous ces lieux où se croisent les âmes
non aimées, il cherche les jambes de gazelle qui lui ont échappé. Un après-midi d'hiver, alors que les flocons de neige
mêlés au vent du Nord flagellent les visages, Il remarque deux chevilles montées sur des talons aiguilles qui abandonnent
les marches du 43. Le bus et le blizzard l'empêchent de distinguer la silhouette. Emmitouflée dans un long manteau de
fourrure, la créature est là en personne. Elle lui passe devant sans un regard et d'un pas lourd et rosse enfonce son talon
pointu dans l'extrémité du godillot. La douleur aiguë qui le transperce, soudain se transforme en une érection subite.
- Encore vous ! Suivez-moi !
Le ton péremptoire ne supporte aucune discussion. Rien n'a changé dans la salle obscure, si ce n'est la chaleur, contraste
des saisons. Tant d'attente ! Pascal brûle d'impatience. Il peut encore et il pourrait des milliards de fois s'il le fallait. Un
regard rapide atteste de leur heureuse solitude. Le jeune homme se jette sur la fourrure, il va lui montrer ce que c'est que
de faire trop patienter un tronc assoiffé. Saisissant la chevelure, il fait plier le genou gracile et guide la tête vers son sexe.
Il veut l'humilier. Brusquement, un mouvement de recul et les perles de porcelaine incisent cruellement son derme.
- Pas tout de suite, suivez-moi d'abord.
Pascal, blessé, obéit. Les talons pressés dépassent le couple d'automates où l'huile fait toujours défaut, mais n'y prêtent
aucune attention.
- Fermez les yeux !
Le jeune homme se laisse conduire par cette main qui, une fois encore, se tend à lui.
- Ouvrez maintenant. Là, regardez. N'est-ce pas extraordinaire ce travail de précision ?
Pascal découvre deux automates. L'un tient un manche à balai qu'il introduit chirurgicalement dans le trou du derrière
de l'autre figurine. Face à ce mécanisme parfait, l'homme sent poindre les foudres du désir, résiste tant qu'il peut à la
lave incandescente. La belle se met à quatre pattes sur le sol glacial, relève la pelisse. Le balancement de sa croupe
se met à l'unisson de celui de la pantomime. La chute des reins de fer aspire le bois rugueux. La bande sonore, très
généreuse en détails impudiques, crache de façon nasillarde, l'histoire de Sodome et Gomorrhe. Le jeune homme
n'en a cure. Seuls les mots suggèrent à son membre contrarié, nourri d'une sève prospère, le chemin à suivre pour
atteindre la voie promise. À genoux derrière elle, il presse son pouce tout contre l'ovale brûlant, la fente muqueuse.
Le nid douillet gazouillant semble suinter de tous ses becs. Et d'un geste puriste, la jeune femme désigne le bout de
bois. Pinocchio ravale son désir et se met à fouiller partout en quête d'un balai. Essouflé, le dard raide, il revient du
pont d'Arcole, victorieux. À la pointe de son bras jubile l'objet du caprice. L'aide de camp Muiron dormira ce soir sur
ses deux oreilles. Enfin, le jeune homme va pouvoir se mettre à l'attaque, la tenir au bout de cette étrange queue.
S'enfoncer loin dans le noir, l'entendre le supplier de ne pas s'arrêter. Mais lui, Pascal, n'est pas un automate que l'on
remonte à l'aide d'une clef. Fait de chair et de sang, comme les grognards de l'Empereur, ses sens aiguisés, le cerveau
vomira tous ses fantasmes, peut-être même juqu'à la dernière charge. Ce sera son Austerlitz à lui. Le jeune homme
prend son élan, ferme les yeux et plante sa baïonnette. Le manche à balai lui revient en pleine figure, lui arrachant la
moitié du menton. Le bois a cogné le carrelage et a ripé. Hurlant de douleur, il se penche, une main appuyée sur sa
mâchoire endolorie, l'autre prête à saisr son arme. La belle a disparue. Stupéfait, notre hussard bleu tourne en tout sens,
agité comme un pantin désarticulé. Plus de pelisse, plus de petit cul offert, plus rien. Seule une voix impertinente:
- Décidemment, Pascal, vous n'êtes pas un artiste, jamais vous ne comprendrez le mécanisme automatique.
À cet instant précis du récit, je jubilais. Je te voyais toi, Sarah, et je répétais à voix haute, la phrase machiavélique qui te
réduisait en cendres. J'étais si contente de te voir humiliée de la sorte que je n'ai rien entendu. Soudain, le livre m'échappa
des mains, un corps gracile s'était abattu sur moi, entraînant dans sa chute la lampe de chevet. Mon cœur s'arrêta net de
battre dans le noir. Je laissai des mains inconnues cambrioler mon corps paralysé de terreur, voguant sur mes seins, mes
reins, à l'intérieur de mes cuisses, comme une carte du Tendre.
Les méandres de mes courbes, ces doigts agiles les connaissaient par cœur. C'est alors que je te reconnus. Moi qui
désirais tant te détester, je ne pus résister au supplice de tes caresses. Innondée de plaisirs, je m'offris à toi, assoiffée,
je t'avais dans la peau, et bien sûr, tu le savais, tu étais une artiste, Sarah, à l'encre de ma rage. Je te remercie d'exister.
Hommage à Roger Nimier.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Tristan Tzara était un poète d'avant-garde, un essayiste et un artiste talentueux. Également actif en tant que
journaliste, dramaturge, critique d'art littéraire, compositeur et réalisateur, il fut surtout connu comme l'un des
fondateurs et des personnages centraux du mouvement Dada. Ses écrits dépassent la simple forme littéraire.
La culture académique respectait les distinctions de genre et la séparation des domaines artistiques. Accueilli
chaleureusement à Paris par les jeunes surréalistes, il s’éloigna de l’esprit de sérieux affiché par ces écrivains.
En 1921, il ne souhaita pas collaborer au procès de Barrès et refusa cette parodie qui reprenait la forme de la
Justice. Surtout, l'auteur semblait exprimer la destruction de la culture académique tandis que les surréalistes
s’attachaient surtout à édifier de nouvelles constructions intellectuelles. Et Tristan Tzara fut reconnu pour avoir
inspiré de nombreux jeunes auteurs modernistes, en particulier Louis Aragon, André Breton, Paul Eluard,
Georges Ribemont-Dessaignes et Philippe Soupault. La création dadaïste se porte souvent sur le langage, étrillé
et désarticulé, considéré comme le fondement de la société bourgeoise. Dada propose des poèmes polyglottes
qui jouent avec les associations sonores. Le public est laissé libre d’interpréter la signification de mots inventés.
Plus révolté que révolutionnaire, étudiant doué, influencé par le symbolisme français, il fait ses premières armes
de poète et crée avec un de ses camarades sa première revue, "Simbolul", dès 1912. C’est trois ans plus tard qu’il
adoptera définitivement le nom de Tristan Tzara en référence à l’opéra de Wagner, "Tristan et Isolde" et parce que
Tzara signifie "la terre", "le pays" en roumain. La citoyenneté roumaine lui est interdite parce qu’il est de confession
juive. Étudiant en mathématiques et philosophie à Bucarest (1914), il souhaite quitter la Roumanie. Il part pour la
Suisse, espérant y trouver d’autres jeunes Européens refusant la guerre, mais il s’ennuie dans ce pays trop policé
pour son goût. Il repart, pour Zurich cette fois où il rejoint son ami, le peintre Marcel Janco. Il s’inscrit en faculté de
philosophie. 1916 est le début d’une vie très dense pour Tzara. Il fait la connaissance d’une jeune danseuse, Maya
Chrusecz, qui partagera sa vie jusqu’à 1922. Par l’intermédiaire d’un marchand de tableaux, il rencontre Apollinaire,
Max Jacob et Pierre Reverdy et des poètes italiens qui publient ses textes. Tzara, c’est la démesure mais c’est aussi
l’élégance autant de la tenue vestimentaire que de la pensée. Au début de l’année 1917, au cours d’une exposition
Dada, Tzara prononce trois conférences sur l’art ancien, l’art moderne, le cubisme. Il présente de nouveaux artistes.
En 1918, on publie ses poèmes à Paris. Une correspondance importante est échangée avec des artistes allemands
ainsi qu’avec Picabia et Eluard. Fin juillet, au cours de la soirée qui lui est consacrée, Tzara lira son célèbre Manifeste
Dada. Ses conférences sur l’art continuent, ses échanges avec d’autres artistes également. C’est au début de 1919
qu’il rencontre Picabia et qu’il correspond avec Breton, Aragon et Soupault, qui animent la revue littéraire "Littérature."
Les trois instigateurs de ce qui deviendra le surréalisme ne cachent pas leur enthousiasme pour les activités dadaïstes,
auxquelles ils participent jusqu’en 1923. À partir de la décision de Breton de créer le surréalisme, les deux mouvements
se séparent. Philippe Soupault sera exclu trois ans plus tard du surréalisme, en même temps qu’Antonin Artaud.
Beaucoup plus tard, Soupault se rapprochera de nouveau de Breton mais en gardant son indépendance, sa liberté de
pensée et d'action. En réalité, dès son arrivée à Paris, en 1920, Tzara compte dans le milieu artistique d’avant-garde.
Par correspondance avec Eluard, il avait réalisé des papillons dada destinés à être répandus dans les lieux publics.
Peu après, Picabia lui offre l’hospitalité de son domicile parisien et lui fait rencontrer aussitôt Breton, Soupault et Eluard.
Il participe à leurs activités. Arrivé depuis quelques jours, fin janvier, Tzara, pour le premier Vendredi de littérature, lit le
dernier discours à la Chambre de Léon Daudet. Les lectures et les activités se poursuivent à Paris, et en février, à
l’université populaire du faubourg Saint-Antoine, il expliquera ce qui anime les dadaïstes. Il est désormais reconnu
comme le chef de file du mouvement Dada. Tout l’été de cette même année, il voyage dans les Balkans, en Grèce et
en Turquie en passant par l’Italie puis revient à Paris reprendre ses activités. En janvier 1921, son manifeste "Dada
soulève tout" est signé par vingt-sept personnes. Dans cette effervescence intellectuelle, la concurrence est rude.
En effet, dans ce jeu de rôle, on voit poindre les différentes positions subjectives qui opposeront surréalisme et
dadaïsme, Breton et Tzara en particulier. On voit le militant politique chez le premier, le provocateur, l’électron libre
chez le second. L’un et l’autre veulent changer le monde, l’un par la politique, l’autre par l’art, la connaissance et la
liberté individuelle. La scission des deux groupes est inévitable. C’est ce qu’a dû ressentir Philippe Soupault, tout en
nuances, face aux positions politiques d’Aragon et de Breton. Plus tard, une des plus belles et grandes figures du
surréalisme, Paul Eluard, cet amoureux de l’amour et de la liberté, aura lui aussi des réticences. Il rompra avec ses
compagnons et définitivement avec Breton en 1938. On veut oublier qu’il s’est égaré dans le stalinisme, pour ne
retenir que le grand poète de la Résistance et son génie poétique. Pour Eluard, la poésie c’est la beauté, une issue
qui permet l’évasion, le merveilleux du désir. Tzara a longtemps tenté de réconcilier surréalisme et communisme.
Le mouvement Dada représente le doute absolu exprimé par la dérision. N’ayant pas de statuts ni de règlements
préconçus, il laisse ainsi une porte ouverte à tous les possibles. Tzara, entre violences verbales, ressassements,
scandales, fureurs et enthousiasme, fait peu à peu l’expérience d’une œuvre créatrice et vitale qui préconise la
spontanéité. Sa visée était de changer l’homme, mais elle restera une aventure personnelle. Toutefois, par son
innovation, elle a créé des ponts entre les différentes cultures du monde, contribué à arracher en partie l’art à la
sacralisation sociale et au conservatisme, mais elle n’est pas arrivée à le détacher des marchés et des marchands.
Tzara, toujours très élégant, en compagnie de Radiguet et de Cocteau, passe ses nuits au Bœuf sur le toit. Sa pièce
"Mouchoir de nuages" est représentée dans le cadre des "Soirées de Paris". Il fait la connaissance d’une artiste
peintre suédoise, Gréta Knutson, qu’il épousera en 1925. S’il s’éloigne de cette aventure collective, c’est pour
poursuivre son propre chemin, pour préserver l’esprit dada et ses objectifs. Son obsession, sa hantise a toujours été
la pensée unique. La révolution pour Tzara si elle doit être permanente ne peut être qu’individuelle. Les reproches qu’il
adresse aux dadaïstes sont les mêmes que ceux aux surréalistes. Le compagnonnage de Tzara avec les surréalistes
se poursuivra jusqu’en 1935. C’est par une lettre aux "Cahiers du Sud" qu’il annoncera sa rupture avec le groupe.
En 1939, le recueil "Midis gagnés", illustré par Matisse, rassemble les poèmes de Tzara, contre tous les fascismes.
On peut dire que l'ouvrage symbolise l’œuvre de Tzara, son état d’esprit, sa volonté inébranlable de justice, de paix et
de liberté. Il n’a jamais renié Dada. Ce mouvement qu’il a créé, ses outrances restent chers à son cœur. Dada, c’est le
questionnement de Tzara sur le langage, et les semblants de la vie sociale, sur l’art, sur les contradictions des idées ou
des opinions politiques. En créant une forme nouvelle du langage, il fait surgir un étonnement, une nouveauté, la poésie
ici fait événement. La nouveauté restera un leurre puisque le désir est un manque. La subversion de Tzara est bien de
l’ordre du désir et n’en déplaise à Breton le déroulement des événements ne dépend pas que de l’énonciation. Mais
cette parole poétique, puisqu’elle est sans cesse à renouveler, vivifie l’existence.
La poésie ainsi que l’œuvre créatrice de Tzara peuvent être considérées comme une éthique. Elles répondent à trois
commandements indissociables: l’impératif de jouissance, le précepte selon lequel il ne faut pas céder sur son désir,
enfin la nécessité que les non-dupes errent. Les non-dupes se croient libres mais ils errent parce qu’ils sont tributaires
de l’objet. Tzara est excentrique, touche-à-tout insatiable mais lucide, il est farouchement du côté de la vie, une vie de
lutte où l’espoir est toujours au bout du chemin. C’est aussi un homme d’action, un esprit curieux jusqu’à la fin de sa vie
et un homme engagé, promoteur d’une poésie vecteur de liberté. On peut qualifier la poésie de Tzara, comme celle
d’ailleurs de ses compagnons surréalistes, de contemporaine. Elle est issue des événements dramatiques où les nations
sont plongées, depuis son enfance. Le poète est intéressé par les dialogues interculturels. Il est passionné par la poésie
de François Villon, c’est encore un de ses paradoxes. En 1949, il préface ses poésies. Il y retrouve une forme d’analogie
avec la poésie contemporaine, reflet de l’actualité. Il entreprend un important travail de recherche sur les anagrammes
de Villon et de Rabelais, recherche qu’il poursuivra pratiquement jusqu’à la fin de sa vie.
Son adaptation et son maniement, sa maîtrise des langues sont remarquables, au point qu’on oublie que sa langue
maternelle est le roumain. Sa recherche a toujours porté sur le langage, sur le travail des signifiants, non sur les langues
en tant que telles. Révolutionnaire et surréaliste, le mouvement Dada s’est différencié du surréalisme parce que sa visée
était celle d’une intelligence collective qui devait permettre et favoriser les aspirations personnelles. Tel n’était pas le but
du surréalisme, qui prônait l’effacement total des individualités au profit du groupe. Dada, c’était tout détruire mais pour
réinventer, c’était en un mot réenchanter un monde en déliquescence et permettre l’épanouissement de chacun. Dans la
poésie de Tzara, il y a harmonie et la symphonie se déploie à plusieurs niveaux. Chaque vers est l’unisson de l’image
portée, chaque poème est l’accord des visions multiples consonnantes dans l’unité du sens, et chaque recueil, enfin,
paraît comme la phrase vaste et vertigineuse qu’un orchestrateur de génie reconduit toujours à sa note fondamentale.
De là ces vers innumérables qui paraissent ne rien vouloir dire, dès lors qu’on entend analyser tel ou tel poème, c'est-à-
dire tenter d’en résoudre la totalité en chacune de ses parties. Distraits du poème, les vers de Tzara n’ont aucun sens.
De même qu’un thème mahlérien n’accomplit sa signification qu’au lieu de la Symphonie où il est installé, le moindre
vers de "L’Homme approximatif", ne révèle son sens qu’en étant situé, comme dirait Max Jacob, en étant lu là où il est,
dans la grande architectonique du texte tout entier. En écrivant un langage neuf, un style inouï avant lui, en faisant
entendre un chant dont les inflexions sont immédiatement signées de son universelle singularité, l’auteur d’"Où boivent
les loups" ne cédait à nulle gratuité. Toute l’œuvre de Tzara peut se résumer dans l’un des premiers vers de cette ultime
épopée versifiée de l’histoire qu’est "L’Homme approximatif": "quel est ce langage qui nous fouette, nous sursautons
dans la lumière." L’homme contemporain est celui pour qui le langage est une surprise, un abîme de perplexité, dans
la mesure où cet homme a perdu l’habitude du verbe, laquelle par exemple permettait à Claudel d’accueillir le don de
la parole. " Aucun mot n’est assez pur dans la lumière pour couper le diamant de leur beauté autour de nous."
Il faut rendre aux mots leurs yeux, et les faire à nouveau dignes du sens, si bellement décrit comme cette "lueur
prédestinée de ce qu’ils disent", qu’il convient de raviver et qui n’est autre que leur visée fixée de toute éternité, où,
seule, ils se peuvent accomplir en donnant à entendre, par l’homme, le nom exact de chaque chose, ce nom unique
dont elle est grosse et qui n’attend que la parole humaine pour atteindre à l’expression manifeste. À cette fin, Tzara
forge sa langue si singulière où la syntaxe classique, faite de virgules, de points, de périodes et de propositions,
explose, ou cède plutôt la place à une autre syntaxe. Pas de phrases, mais une "flotille de paroles" selon l'auteur.
Expression subtile de l’insurmontable distance qu’il y eut toujours, pour Tzara, entre la forme et le contenu de sa
conscience, entre ce qu’il savait être la vérité et celle qu’il croyait devoir être sa place, contemplée toujours du dehors,
en un isolement qu’il ignora toute sa vie, construit de toutes pièces par ceux-là même dont il déplorait, dans son
œuvre, l’inappétence pour l’essentiel langage. Tout autre sans doute eût sombré dans le désespoir, dans l’ontologique
cynisme. L’auteur de "L’Homme approximatif", aristocrate dans l’impasse où il s’impose, persiste à hauteur de sublime
et chante ses espérances ténues mais intarissables, à l’épreuve de toutes les agonies et de toutes les angoisses.
"L’eau de la rivière a tant lavé son lit
que même la lumière glisse sur l’onde lisse
et tombe au fond avec le lourd éclat des pierres
le souffle obscur de la nuit s’épaissit
et le long des veines chantent les flûtes marines ... "
Œuvres et recueils poétiques:
- Vingt-cinq poèmes (1918)
- Le Cœur à gaz (1921)
- Le Cœur à barbe (1922)
- De nos oiseaux (1923)
- Mouchoir de nuages (1924)
- L’Arbre des voyageurs (1930)
- L’Homme approximatif (1931)
- Où boivent les loups (1932)
- Ramures (1936)
- Midis gagnés (1939)
- Entre-temps (1946)
- Le Surréalisme et l’Après-guerre (1947)
- La Face intérieure (1953)
- Le Fruit permis (1956)
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Difficile de retrouver la trace de Samuel Rosenstock, né le 16 avril 1896 à Moinesti dans la province de Bacau en
Roumanie. Entretenant un certain mystère sur ses années de jeunesse, le futur Tristan Tzara a voulu se construire
une autre vie très loin de ces premiers contreforts des Carpates. "À quel moment commence ma jeunesse, s'interroge-t-il
bien plus tard, je ne le sus jamais. Quoique j'eusse des données exactes sur le sentiment que ce changement d'âges
mineurs déterminera en moi et que je fusse si accessible à son style coulant et délicieux. Des lueurs myopes seulement,
par instants, se creusent dans le passé déjà lointain, avec des mélodies rudimentaires de vers et de reptiles insignifiants
embrouillés, elles continuent à nager dans le sommeil des veines." La mémoire est défaillante et le passé très embrumé.
Tzara a déjà fait le tri pour nous. Il reste pourtant quelques photos jaunies retrouvées dans la bibliothèque familiale. ?Le
jeune Samuel y est toujours très sérieux et bien habillé, comme un gamin de cette bourgeoisie fin de siècle qui raffole
des portraits sépia. Ses parents Philippe et Emilie font partie de ces quelques privilégiés qui ont réussi dans l'exploitation
pétrolière et le commerce du bois. ?Ils ont su habilement profiter de la timide modernisation d'un pays encore très archaïque.
Faute de capitaux, l'industrialisation ne fait guère de progrès. L'aventure pétrolière a commencé en 1870 avec des moyens
dérisoires. Très vite, ce sont les Allemands qui ont pris les choses en main. Ils ont l'argent, le savoir-faire et ne dédaignent
pas utiliser la main-d'œuvre locale. Son père est devenu au fil des années cadre, puis directeur d'une société pétrolière.
Mais la fièvre de l'or noir ne doit pas faire illusion. Le reste du pays n'a pas suivi le mouvement. Les classes dirigeantes
ultraconservatrices maintiennent la population hors du jeu politique. Le roi Carol a bien du mal à cacher le désastre d'une
économie arriérée. Il tente d'imposer son pays dans le concert des nations, au milieu d'une Europe orientale en proie au
vertige nationaliste. C'est d'ailleurs grâce à la guerre russo-turque de 1876 que la Roumanie a définitivement acquis son
indépendance. Encouragés par les autorités les mouvements nationalistes se développent. Les Rosenstock font partie
de cette communauté juive forte de huit cent mille personnes qui devient une cible toute trouvée. Ils sont fréquemment
montrés du doigt comme les pires représentants du capitalisme sauvage. Ils se font donc discrets. D'ailleurs les origines
juives du jeune Samuel n'ont pas directement influencé sa formation. Cette filiation n'en a pas moins pesé sur son
attitude face à l'antisémitisme et au nationalisme roumains. Samuel sait, par exemple, que son grand-père qui gère
une exploitation forestière ne pourra jamais devenir propriétaire. Les juifs n'ont aucun droit sur les terres roumaines.
Pendant les vacances scolaires, il aime retrouver la maison familiale perdue au fond des bois. Il regarde ce grand-père
entouré de son armée de bûcherons. La vie n'est pas toujours facile pour ces hommes, mais Samuel, lui, ne manque de
rien. Il évolue dans un monde de sentiers, de ruisseaux et de soleil, une enfance champêtre et bucolique. Les vacances
finies, il retourne à Moinesti, un autre monde. Sur la place ou aux terrasses des guinguettes on rêve de modernisme.
Dans ce petit bourg de province bien tranquille, le pétrole a entraîné une petite révolution. Dans le pavillon familial un peu
austère, où la vie semble un rituel immuable, Samuel découvre les premiers tourments de l'enfance, l'ennui des journées
trop longues, les bonheurs de la tendresse d'une mère qu'il adore mais surtout la peur d'un père qu'il juge trop distant et
trop intransigeant. Après l'école primaire de Moinesti, il a droit aux rigueurs de la capitale Bucarest. ?Un univers qu'il voit
de loin. Comme toutes les familles bourgeoises, ses parents l'ont placé en internat à l'institut privé Schemitz-Tierin, une
grande caserne où la seule ouverture sur le monde est sans doute ce cours sur la culture française. Quand il rentre au
lycée Saint-Sava, Samuel est déjà un bon élève. C'est là, au milieu de ces couloirs interminables et dans ces salles de
classe tristes à mourir qu'il se passionne pour la littérature. Il commence à éprouver ses talents d’entraîneur en créant
une revue de poésie avec l’appui financier de son ami Marcel Janco, et l’aval des représentants de la nouvelle poésie
roumaine. Les premiers textes qui y sont publiés sont dans la veine romantique et seront très vite reniés par leur auteur.
Mais il est encore loin d'avoir choisi sa voie. Quand il s'inscrit au certificat de fin d'études au lycée Milhaiu-Viteazul, on le
retrouve en section scientifique. Dans son dossier scolaire, ses enseignants notent son ouverture d'esprit et sa curiosité
infatigable. Quand il a une autorisation de sortie, Samuel en profite pour découvrir tous les plaisirs de la capitale. ??Sur ses
années de formation, le futur Tzara se fera le plus discret possible. Lorsque Samuel va commencer à écrire, la littérature
roumaine est sous l'emprise du symbolisme, mouvement importé de France par l'écrivain Alexandre Macedonski. Dès
1892, ce dernier a violemment attaqué la tradition romantique et a présenté, dans la revue Literatorul, les principaux
écrivains français et belges du moment, de Baudelaire à Joseph Péladan, de Mallarmé à Maeterlinck. Emporté par la
fièvre symboliste, il a créé son propre cénacle fin de siècle pour cultiver un certain dandysme avec quelques disciples
triés sur le volet. Avec ses copains de lycée, Samuel se rêve en ange noir du symbolisme triomphant. Cultivant son
"snobisme de la mélancolie", il se réfugie dans cet univers de légendes, de donjons moyenâgeux ou de palais orientaux.
Tout de noir vêtu, il marque sa différence en organisant son petit groupe à l'intérieur même du lycée. Mais Samuel, comme
le futur Tzara, a l'esprit pratique. Pas question de s'en tenir à des réunions de chambrée qui ne débouchent sur rien. Il faut
créer une revue. Avec son ami Marcel Janco, qui a la chance d'avoir des parents plutôt aisés, il imagine "Simbolul". Pour
cela, il prend contact avec tous les représentants de la nouvelle poésie roumaine. Même Macedonski donne son accord,
et dès 1912 le numéro 1 de la revue paraît. Dès 1913, Samuel prend un virage radical sous le pseudonyme de Tristan
Tzara et commence à écrire des textes plus personnels qui préfigurent ceux qui seront publiés plus tard par les dadaïstes.
Le prénom Tristan, non usité en roumain, a du prestige auprès des symbolistes, à cause de l'opéra de Wagner. Le nom de
Tzara correspond au mot roumain terre (ou pays) mais écrit en orthographe occidentalisée. ?En fait, le jeune Tzara, dès
1913, semble s'affirmer en écrivant des textes audacieux, voire plus insolents. C'en est fini de la sagesse et de l'imitation.
En 1914, son certificat de fin d’études en poche, il s’inscrit à l’université de Bucarest, commence à trouver ennuyeuse cette
vie provinciale sans fantaisie, et se décide à couper les ponts avec sa famille pour rejoindre son ami Janco qui a déjà tenté
sa chance à Zurich. C'est alors un jeune homme, sérieux et appliqué se passionnant pour Rimbaud portant costume croisé,
cravate, manchette et lorgnon. À cette époque de début de conflit mondial, Zurich est devenu le refuge de jeunes proscrits,
aventuriers de tous acabits, objecteurs de conscience et bolcheviques russes. Parmi eux, Hugo Ball, allemand déserteur, et
agitateur professionnel. Il fonde un cabaret littéraire, qui se fera connaître sous le nom de cabaret Voltaire. Très vite, le
succès est là, avec des soirées débridées, où se succèdent chansons, poésies, danses endiablées. Et comme le note
Hugo Ball: "Une ivresse indéfinissable s’est emparée de tout le monde. Le petit cabaret risque d’éclater de devenir le
terrain de jeu d’émotions folles. Nous sommes tellement pris de vitesse par les attentes du public que toutes nos forces
créatives et intellectuelles sont mobilisées." L'aventure Dada a commencé par une fête, avec une formidable envie de
danser, de hurler, et de ne plus dormir . Les jeunes gens finissent épuisés, mais grisés sur la scène du Cabaret. Et comme
un tel tapage ne peut jamais s’arrêter, ils terminent souvent en petit comité dans la chambre de l’un d’entre eux.
Et au milieu de ce joyeux charivari se dessine un mouvement littéraire radical qui va au fil du temps essaimer un peu
partout, en Europe et même aux États-Unis et dont Tzara sera le promoteur. En 1916, sous l’impulsion de Tzara, une
revue intitulée Dada 1 sort des presses. On y trouve des articles littéraires et poétiques. Cependant, dès son troisième
numéro, Tzara y donne libre cours à ses convictions anarchistes en publiant son manifeste Dada 1918, qui prône le
nettoyage par le vide, la destruction complète des valeurs officielles politiques et artistiques et leurs remplacement par
un art nouveau, ouvert à la véritable utopie. Avec ce manifeste, qui a un énorme retentissement, Tazra a réussi ce qu’il
souhaitait: devenir le maître d’œuvre du mouvement Dada. Zurich est une fête permanente et la police helvétique
surveille attentivement ce peuple de déserteurs et de comploteurs. Comme beaucoup d'autres, Tzara est ainsi arrêté en
septembre 1919, à la terrasse du café Splendid. Emmené au commissariat, il doit s'expliquer sur les raisons exactes de
son séjour et sur ses fréquentations. Le jeune auteur est un nihiliste sans calcul qui a largué les amarres vers des rivages
dont il ne sait rien encore. L'ensemble paraît bien sage et s'inspire fortement de l'esthétique cubiste ou expressionniste.
En 1920, la paix revenue, Tzara débarque à Paris, trouve refuge chez Picabia et commence à montrer toute l’étendue de
son savoir-faire en matière d’organisation. Ses liens avec le surréalisme et Breton vont n’être, le temps passant, qu’une
suite de scènes d’amour et de ruptures, entre ces deux personnalités antagonistes, l’une autoritaire et dictatoriale, et la
seconde, jalouse de son individualisme et se voulant toujours au premier rang. Et finalement, c’est Tzara, le temporisateur,
qui va prendre la tête du surréalisme après la fin du mouvement Dada et il continuera d’être un rouage essentiel du
parisianisme de l’époque. C'est un tout jeune homme de petite taille, très myope, arborant monocle fréquentant le "Bœuf sur
le Toit" et Montparnasse en compagnie d’allemandes androgynes et d’étrangères excentriques comme Nancy Cunard.
La poésie restera toute sa vie sa passion première, dans les années 1930, il continuera de prôner en matière de poésie
pratiquement les mêmes règles qu’au temps du Cabaret Voltaire: "La poésie ne pourra devenir uniquement une activité
de l’esprit qu’en se dégageant du langage et de sa forme." Il a d’autres passions, comme la mythologie et surtout les arts
primitifs africains, océaniens et amérindiens. Collectionneur, il se constitue un riche ensemble de statuettes et de masques.
Pendant la seconde guerre mondiale, il est poursuivi par le régime de Vichy et la Gestapo, et doit être maintenu dans la
clandestinité pendant deux années, où il collabore avec la résistance. En 1947, il obtient la nationalité française. En 1960,
il signe la déclaration sur le droit à l'insoumission lors de la guerre d'Algérie. Et il restera fidèle jusqu’à la fin de son
existence à ses convictions politiques, toutes proches du parti communiste, malgré les soubresauts doctrinaux imposés,
un temps par les soviétiques à l’encontre du surréalisme. Tristan Tzara épousa l'artiste et poète suédoise Greta Knutson.
Il s’éteignit le 24 décembre 1963 dans son appartement parisien, rue de Lille et repose au cimetière du Montparnasse.
"De tes yeux aux miens le soleil s’effeuille
sur le seuil du rêve sous chaque feuille il y a un pendu,
de tes rêves aux miens la parole est brève,
le long de tes plis printemps l’arbre pleure sa résine,
et dans la paume de la feuille je lis les lignes de sa vie"
Bibliographie et références:
- René Lacôte, "Tristan Tzara"
- Cristian Anatole, "Le dadaïsme et Tzara"
- Marc Dachy, "Tzara, dompteur des acrobates"
- Henri Béhar, "Dada est tatou"
- François Buot, "Tristan Tzara"
- Christian Nicaise, "Tristan Tzara"
- Laurent Lebon, "Dada"
- Núria López Lupiáñez, "La pensée de Tristan Tzara"
- Petre R?ileanu, "Les avant-gardes en Roumanie"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Il est 4h30. Le silence. Apaisant mentalement. Pour la douleur physique, il faudra plus de temps. Je viens d’achever une grosse partie du ménage. Débarrasser les cadavres de bouteilles de champagne, les verres, la vaisselle, vider les cendriers, nettoyer et ranger les accessoires de tortures dont mes Maîtresses, de jeunes étudiantes dominatrices, ont usé sur moi durant des heures. Il ne me reste que l’aspirateur, impossible à passer à cette heure. Mes Dominas d’une nuit sont parties vers 3h. Maîtresse Chloé dort, j’ai ordre de ne pas la déranger. Elle n’a pas cours aujourd’hui. Journée pédagogique. La plupart des professeurs sont en formation. J’y échappe miraculeusement, et je dispose moi aussi d’une journée off. Elle ne sera pas de trop pour récupérer de cette nuit folle.
Le dernier gage, celui non limité dans le temps, m’a laissé des marques. Pour plusieurs jours sans aucun doute. Je porte les stigmates de ma soumission, pour le plus grand plaisir de Maîtresse Chloé. C’est elle qui a utilisé la canne. Et mes fesses en portent les stries violacées. Toutes mes Maîtresses ont abusé de moi. Le dernier gage, sans limite de temps, consistait à m’utiliser pour leur jouissance, sans aucune restriction. Autrement dit, à me faire subir tout ce qui leur passait par la tête. J’ai léché, sucé, j’ai été utilisé comme god vivant, mes reins ont été violés sans ménagement, j’ai bu leur champagne, nettoyé leur liqueur, j’ai reçu la cravache, le martinet, la fessée, encore et encore lorsqu’elles ne me jugeaient pas assez performant.
Et pour finir, j’ai du me masturber, face à elles, et jouir sur le string noir de Maîtresse Christelle qui avait eu la chance d’être tirée au sort. String que j’ai ensuite léché longuement pour le nettoyer. La fin de soirée n’a été que cris de plaisirs et d’excitation, gémissements, cris de douleur pour moi, humiliations, coups, utilisation sexuelle et jouissance finale tout en éclatant en sanglots.
Je reste dans ce silence, dans le noir. en fumant une cigarette retrouvée sur une table. En fait, je sais que je n’ai pas ce droit, mais Maîtresse Chloé n’est pas prête de se réveiller, aussi je prends ce risque. Je n’ai aucune consigne pour la réveiller à une heure précise, aussi je dois me tenir prêt. Mais je suis certain d’avoir quelques heures devant moi, pour plonger dans un sommeil réparateur. Je suis à bout, épuisé physiquement et mentalement. Je sens le cul, la jouissance, je me sens sale, imprégné des parfums de mes Maîtresses. Mais j’aime cela. Je sais que cette nuit marquera un tournant dans ma condition de soumis, d’esclave. Je ne saurais l’expliquer mais je le sens. Tout à l’heure, en me réveillant, je ne serai plus le même.
Je programme mon réveil à 10h. En espérant que Maîtresse Chloé ne se réveille pas avant moi, mais j’estime les chances assez faibles au regard de la quantité de champagne ingurgitée cette nuit. 5 heures 30 plus tard, douché, épilé, je suis en dessous sexy, bas et serre-taille en vinyle noir à jarretelles en train de passer l’aspirateur. Je n’ai pas entendu Maîtresse Chloé se lever. Elle m’observe sur le pas de la chambre lorsque je croise son regard.
D’un geste elle m’ordonne de cesser. Elle s’approche sans un mot et tourne autour de moi en laissant aller ses doigts sur ma taille emprisonnée dans le vinyle.
-Hmmmmm mais tu t’es faite belle ma petite soumise…. j’adore te voir travailler dans cette tenue… Viens, suis-moi, tu vas me laver. Je sens la baise et j’ai horreur de ça au réveil. Ensuite tu me prépareras un café. Allez…
Maîtresse Chloé prend tout son temps son la douche. Je la lave, la masse longuement sous l’eau chaude puis la sèche le plus doucement possible. Nous sommes tous les deux dans un état de fatigue avancée. Et quelque chose de très spécial flotte dans l’air. Une certaine tendresse j’ai l’impression. Je sens son trouble et cela renforce le mien. Je ressens cette sensation étrange depuis que je l’ai surprise à m’observer.
-Hmm merci ma petite chatte… j’aime quand tu es doux avec ta Maîtresse. Viens, à genoux, j’ai envie !
Je colle ma bouche à son sexe et boit son champagne. Cela me dégoutte de moins en moins et je suis presque fier que Maîtresse Chloé m’accorde ce privilège.
-Lave toi gourmande…. et rejoins moi dans la cuisine. Vite !
Je rejoins ma Maîtresse et lui fait couler son café. Elle me regarde sans dire un mot. Presque amoureusement je trouve. Maîtresse Chloé déguste son nectar noir lentement, debout face à moi. Je garde le regard baissé, comme Maîtresse Caroline m’a appris à le faire. Maîtresse Chloé se rapproche, et tout en buvant, commence à caresser ma queue. Je porte encore quelques marques de cravache, bien rouges. Je suis très sensible et je gémis de douleur lorsque ses doigts, bien que très doux, me font bander très dur. Elle m’effleure à peine, s’amuse avec ses ongles sur mon gland, prend ma hampe à pleine mains pour quelques allers et retours lents.
-C’est notre dernière journée, seuls tous les deux ma petite soumise. Maîtresse Caroline, TA Maîtresse, rentre demain. Elle ne sera pas seule. Je ne t’en dis pas plus. J’ai envie de profiter de cette journée, de vraiment en profiter tu sais. Je ne sais pas quand tu seras de nouveau à moi pour plusieurs jours. Aujourd’hui, je veux que tu sois totalement à moi. Ton corps et ton âme. Aujourd’hui je veux que tu m’aimes. Regarde moi petite soumise…!
Je lève mes yeux et plonge mon regard dans celui de Maîtresse Chloé. J’y lis beaucoup de douceur, de tendresse… et cela me bouleverse. Sans doute l’effet de la fatigue. Je me sens à fleur de peau, rempli d’émotions incontrôlables. Son visage se rapproche et ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Un baiser infiniment doux. Nos langues se trouvent et nous nous embrassons passionnément. Je n’ose prendre ma Maîtresse dans mes bras, c’est elle qui attrape mes mains et les poses sur ses fesses. Je me laisse aller, redevient « homme ». Sans un mot, en nous embrassant, nous caressant, en riant aussi, Maîtresse Chloé m’entraîne vers la chambre.
Je porte toujours mes bas et mon serre-taille, ainsi que mes longs gants de vinyle. Je suis allongé sur le dos, Maîtresse à mon côté, en appui sur un coude. Elle caresse mon corps lentement. Mon torse, mon ventre luisant et noir, ma queue dure. Nous nous embrassons encore et sa bouche quitte la mienne, descend, lèche, embrasse, effleure, agace…. je manque de jouir lorsque ses lèvres se posent sur mon gland, tant la sensation est intense. Je râle, gémis de plaisir sous la fellation douce, lente, de ma Maîtresse.
-Chuuutttt doucement… résiste… aujourd’hui je veux faire l’amour… toute la journée…. retiens toi… !
Maîtresse Chloé replonge sur sa proie et l’engloutit. J’arrive à ne pas céder. Elle abandonne ma hampe et vient s’allonger sur moi. Sa main me saisie et me dirige, et lentement je sens la chaleur de son ventre m’absorber. Baisers lents et profonds, au rythme de ses va-et-vient sur moi. Je me laisse aller, et les larmes coulent sans que je puisse rien y faire. Je lui souris, je gémis de plaisir, de bonheur instantané, je l’embrasse, caresse ses fesses, les attrape pour mieux l’attirer sur moi. Nous faisons l’amour longuement, lentement. Maîtresse Chloé jouit la première. Je n’ose pas, pas sans son accord. Maîtresse reste empalée sur moi. Elle m’embrasse doucement, en retrouvant son souffle et me murmure…
-Viens, jouis en moi… tu as le droit…!
Elle recommence, très très lentement, à me chevaucher. Quelques va-et-vient suffisent tant je suis au bord de l’explosion et ultra sensible. Je jouis en elle, longuement. En cet instant précis, nous nous aimons, intensément.
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Collier nouveau,
Joli bandeau.
Livres, cahiers
Et beau fessier...
Cloche a sonne?,
Une grosse fesse?e,
Il faut y aller :
C'est la rentre?e !
------------------------------
Bon Dieu ! que de choses a? faire !
Enle?ve tes souliers crotte?s,
Ne laisse pas ta cagoule au vestiaire,
Rele?ve ta jupe pour les invite?s,
Revois tes re?gles de Ge?ome?trie.
Tout est question d’angle, vois-tu ?
Et pour lui faire pousser des cris,
Dis, comment la prendras-tu ?
Bon Dieu ! que de choses a? faire !
-------------------------------------------------
A l'école des Petites Souillons,
On révise nos leçons !
Dans la classe de Madame Agnès,
On cultive sa souplesse.
Dans la classe de Madame Sibylle,
On apprend à être docile
...
Tout ça pour un Zéro de Conduite
A retrouver sur [https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com]
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Maîtresse Christelle et son soumis m’abandonnent. La porte se referme, à clé, et je reste à genoux, épuisé, le visage maculé de foutre. Je suis dans un état second. Ensuite, le temps passe, lentement, et nulle autre cliente ne se présente. J’en suis presque déçu. Enfin, la sonnerie qui marque la fin de la journée retentit. Et Maîtresse Chloé vient me délivrer…
-Wouahouh… ça pue le cul ici. C’est intenable ! Alors ma salope, on a bien travaillé ?
Maîtresse Chloé ne me laisse pas le temps de répondre et me jette mes affaires « civiles » au visage.
-Tu as 3 minutes pour être présentable !
De retour à l’appartement, Maîtresse Chloé m’ordonne de me doucher, puis de la rejoindre au salon. Cependant, elle m’autorise à prendre mon temps dans la salle de bains. Chose rare, car mes passages y sont généralement minutés. Je reprends peu à peu des forces sous l’eau chaude, et mon esprit tente de faire le bilan de ce que je viens de vivre. Je suis forcé de reconnaître que j’ai aimé cela. J’ai aimé être offert à ces jeunes femmes et à cet homme. J’ai aimé n’être qu’un objet de plaisir, un esclave que l’on baise, que l’on utilise. L’humiliation, la douleur, la perversité de ces instants uniques m’ont amené au bord de la jouissance. Plus cérébrale que physique. Et c’est un nouveau monde pour moi. Comme une nouvelle libération. Un stade supérieur dans ma soumission, aux pieds de mes Maîtresses.
Ensuite, je rejoins Maîtresse Chloé au salon, comme ordonné. J’ai passé une tenue minimale, préparée par ma Maîtresse : bracelets de cuir à mes poignets et mes chevilles, collier large et cagoule de latex. Rien d’autre. J’ai lutté contre l’envie de me caresser. Le contact de l’eau et les souvenirs de mon abattage m’ont fait bandé. C’est, ainsi, la queue dressée que je viens m’agenouiller devant ma Maîtresse, dans la posture de présentation.
-Hmmmm je vois que la séance de cet après-midi ne t’a pas fait perdre ta vigueur ma chienne. As-tu joui ?
-Non Maîtresse.
-Debout, et approche….
J’obéis, et viens me présenter devant Maîtresse Chloé. Elle saisit ma queue et commence à me masturber lentement. Puis de son autre main, elle vient caresser mes testicules, gonflées à éclater.
-Tu es bien plein ma petite salope… depuis combien de temps n’as tu pas été vidangé ? Cinq jours Maîtresse Chloé. Hmmm il est temps de te traire, mais ne crois pas que je vais faire le boulot…. J’attends Christelle, et je crois qu’elle vient accompagnée. De qui, je ne sais pas. L’heure de la traite n’a pas encore sonné dit-elle en éclatant de rire. En attendant, déchausse moi, et occupe toi de mes pieds. Ils ont besoin d’un bon coup de langue.
Je lui ôte ses bottines, puis ses bas, et je commence ma vénération de ses divins pieds. Car ils sont vraiment divins. Fins, racés, doux… Je ne suis pas un fétichiste des pieds mais j’avoue qu’user de ma bouche, de ma langue sur ceux de mes Maîtresses me trouble profondément. Et j’y mets toute mon ardeur, tout mon désir de bien faire. Tout mon amour oserais-je dire. Maîtresse Chloé savoure mes caresses et se laisse aller dans son fauteuil. J’aime intensément ces instants, pendant lesquels je peux voir le plaisir que je donne à ma Maîtresse.
C’est une totale satisfaction de soumis que de la regarder s’abandonner et apprécier mon travail. Ainsi, je redouble d’application, suce, lèche entre les orteils comme Maîtresse Chloé adore, pendant que des mes mains je lui masse la plante des pieds.
La séance de vénération est interrompue par la sonnerie de l’entrée. J’abandonne à regrets ses pieds pour aller ouvrir. Maîtresse Christelle entre la première, et je me jette à ses pieds pour les baiser en lui souhaitant la bienvenue. D’autres escarpins suivent, sans que je puisse voir à qui ils appartiennent. Je les baise également en signe d’allégeance et de bienvenue. Et avant que je ne puisse refermer la porte, c’est une paire de ballerines qui entre, suivie par une autre paire de talons-aiguilles. Baisers, paroles de bienvenue, prosternations.
Ensuite, je me redresse et conduis les invitées au salon. Je réussis à glisser un rapide coup d’œil. Céline, Nadia et une troisième jeune femme que je crois être Sophie. Trois de mes clientes de cet après-midi. Heureusement pour moi, elles ne peuvent me reconnaître, ou plutôt m’identifier.
-Hmmm Chloé, tu as vraiment de la chance d’avoir cette pute à domicile. Et toi aussi Christelle, j’ai cru comprendre que tu en profites pas mal !
C’est Céline qui a parlé. Céline qui a baisé mon cul avec une infinie douceur. Merci les filles, de nous inviter à en profiter encore.
Maîtresse Chloé réclame le silence, difficilement, au milieu des éclats de rire.
-Ce soir, nous allons jouer. Avec notre salope bien entendu. J’ai préparé plein de petits papiers. Vous allez écrire dessus tout ce que vous avez envie de faire et de faire subir à notre petite chienne. Un gage par papier. Ainsi, au cours de la soirée, nous tirerons chacune à notre tour un bulletin dans cette boîte. Et celle qui tirera devra désigner celle qui appliquera le gage. En attendant, Puta va nous servir le champagne et les petits fours. Que la fête commence !
Ces Dames discutent de choses et d’autres, des cours, de mecs. Rires de plus en plus forts, au fur et à mesure que le champagne coule. J’ai très régulièrement droit à une claque sur mon cul, une caresse appuyée sur la queue ou mes couilles. Maîtresse Christelle, assise confortablement dans le grand fauteuil, m’a administré une fessée, sur ses genoux, pour me chauffer a t-elle dit.
Maîtresse Chloé réclame une nouvelle fois le silence.
-Il est temps de commencer le jeu ! Sophie, le tirage au sort t’a désignée. A toi d’ouvrir le bal des supplices !
Sophie tire un bulletin, et le lit à haute voix, en ménageant son suspens…
-Le premier gage pour notre salope sera…… 3 minutes de léchage de cul ! Et je désigne Céline !
Applaudissements, rires… Céline ôte sa jupe, elle ne porte rien dessous.
-Allez ma lécheuse, viens me montrer ce que tu sais faire !
Elle se met à quatre pattes sur le canapé et je viens me placer derrière elle. Ensuite, je lèche délicatement son oeillet, enfonce timidement ma langue. Céline semble apprécier.
-Plus fort la chienne… bouffe moi bien la rondelle ! J’obéis, pendant que Maîtresse Chloé garde un oeil sur le chronomètre. Ma Maîtresse délicieuse gémit sous mes coups de langues plus appuyés. Une main sur ma tête, elle maintient mon visage plaqué entre ses globes.
-Top ! 3 minutes !
Céline proteste, arguant qu’elle commence à peine à être excitée.
-C’est à toi de tirer un bulletin Céline !
-Et le gage est … 10 coups de cravaches, Et je désigne…. Nadia !
Nouveaux applaudissements. Ainsi, Nadia m’ordonne de prendre place au centre du salon. Debout, mains sur la tête, cuisses écartées. Elle prend son temps, tourne autour de moi. Mes autres Maîtresses se sont installées pour profiter du spectacle.
-Compte petite pute… et remercie ta Maîtresse à chaque coup !
Le premier s’abat en travers de mes fesses. Nadia a frappé fort et je lâche un cri, oubliant de remercier.
-Petite pute…. on reprend à zéro !
Ensuite, elle enchaîne 4 coups, salués par des salves d’applaudissement. Je n’oublie pas de compter cette fois, j’encaisse difficilement car Nadia à la main lourde.
-Ecarte mieux tes cuisses, salope !
Mes jambes tremblent. Mes reins irradient de douleur et j’appréhende en sentant le cuir caresser l’intérieur de mes cuisses. Nadia prend son temps, effleure à nouveau mes fesses, fait glisser la cravache sur mon ventre, ma poitrine… puis un coup sec sur ma queue bandée. Hurlements de joie des spectatrices. Je me plie en deux sous le coup de la douleur.
-Debout, tiens ta position soumis !
-Cinq.. merci Maîtresse Nadia !
-Christelle, tu veux bien te mettre derrière lui et lui tenir les bras s’il te plaît ? Voilà… Sophie, Céline, tenez ses chevilles, bien écartées… les 5 derniers pour ses couilles ! Prêt à encaisser petite salope ?
Je hurle de douleur et mes jambes cèdent. Seule Maîtresse Christelle, en me tenant les bras dans le dos, m’empêche de vraiment m’effondrer sur le sol. Je suis tétanisé et j’ai peur. La violence de mes Dominatrices vient de franchir un cran. Et je bascule dans un autre monde, dans lequel je réalise pleinement ce que je suis : un jouet. Que l’on martyrise pour s’amuser. Peu importe ce que je peux ressentir, mon ressenti n’a justement pas sa place, il n’existe pas aux yeux de mes Maîtresses d’un soir. Effet de groupe ? De l’alcool qui coule à flots ? Sadisme communicatif ? Leur excitation semble croître de concert avec ma douleur.
La soirée sera longue, douloureuse, et je redoute vraiment ce que mes Maîtresses dominatrices vont inventer, tant la notion de limite me parait inexistante ce soir. Nadia se penche vers moi :
-Alors ma petite chienne…. on a mal à ses petites couilles, hein ?
Elle explose de rire avant de tirer à son tour un gage.
-Hmmmm intéressant, dommage que je ne sois pas tombée sur celui là ! Le gage suivant est…… 10 minutes de sodomie ! Et je désigne….. Christelle !
-J’ai le choix de mon arme ? répond l’intéressée.
-Bien sûr… Chloé, montre-lui ta collection s’il te plaît. Je suis sûre que tu as le gode-ceinture parfait pour baiser notre salope…
-Hmmm je crois que je sais lequel Christelle va choisir.
Nadia a vu juste. Christelle ne prend que quelques secondes pour faire son choix. Elle jette son dévolu sur le plus beau et le plus gros. Maîtresse Caroline ne m’a prise que rarement avec celui-là. Et Maîtresse Chloé ne l’a utilisé qu’une fois. Noir, luisant, un gland énorme… Maîtresse Christelle s’harnache avec l’aide de Céline.
-Ma pute, tu vas goûter au plaisir de te faire prendre par ta Maîtresse. Enfin, peut-être que le plaisir ne sera que pour moi…En position, à quatre pattes sur la table basse, et offre bien ton cul, je te veux cambrée comme une chienne qui a envie de se faire saillir. Aller, ta petite chatte n’attend que cela j’en suis sûre… »
Je me positionne selon les ordres de Maîtresse Christelle. Je me cambre au maximum, espérant secrètement que mon obéissance parfaite rendra Maîtresse Christelle plus clémente. Mais j’en doute, connaissant sa capacité à se montrer sans pitié. Mes 5 Maîtresses m’entourent, elles sont toutes sous l’euphorie de l’alcool et totalement désinhibées. Je sens leurs mains sur mon corps, je ne sais plus laquelle appartient à qui. Une main se glisse sur mon torse et me travaille le téton, l’autre ouvre mes fesses pour mieux offrir ma petite chatte à Maîtresse Christelle, une autre empoigne mes couilles et les étire ce qui me fait gémir de douleur, je n’ai pas encore récupéré des coups infligés par Nadia.
J’implore la pitié de mes dominatrices. Maîtresse Chloé consent à me préparer :
-Attends Chris, faut le lubrifier correctement, sinon tu vas le déchirer… Et Caro va me pourrir si jamais je lui abîme son jouet préféré..!
Je sens l’embout de la bouteille de lubrifiant forcer mon anneau, et le liquide froid couler abondamment. Plusieurs fois, elles me massent, s’enfoncent, m’ouvrent sans aucune douceur. Je gémis et me tortille, tentative vaine pour échapper à mes tourmenteuses. Je prends une série de claques sèches sur mon cul, pour me faire tenir tranquille. Puis le silence se fait. Maîtresse Christelle caresse mon anus avec le gland de son gode-ceinture. Mes cinq Maîtresses retiennent leur souffle.. Nadia murmure ses encouragements, non pour moi, mais pour Christelle :
-Hmm vas-y Chris, baise le bien, force encore.. regarde, il commence à s’ouvrir… C’est fascinant, je crois que c’est le plus beau spectacle du monde, le cul d’un soumis qui accueille le sceptre de sa Maîtresse !!! Éclat de rire général…. L’excitation te rend poète Nadia ! rigole Maîtresse Chloé.
Maîtresse Christelle s’impatiente, elle a beau forcer, le gland est trop gros, et mon anneau refuse de céder. Je gémis de douleur, je suis à la limite de craquer. Je fonds en larmes et j’ose implorer la pitié de mes Maîtresses… erreur. Maîtresse Chloé rentre dans un colère noire :
-Ta gueule sale chienne, personne ne t’a autorisé à t’adresser à nous. Tu es là juste pour notre plaisir, t’as pas encore compris ? Tu n’es rien ! Un esclave, une chose pour qu’on s’amuse ! Christelle, baise-le, vas-y. défonce moi cette sale petite pute, qu’elle comprenne une bonne fois pour toutes ! Attends qu’on se retrouve toutes les deux, salope, tu m’as fait honte devant mes amies, tu vas prendre une bonne raclée pour t’apprendre le respect. Crois-moi. Vas-y Chris, encule-le !
Maîtresse Christelle n’hésite pas. Elle appuie plus fort et force. Je hurle en sentant mon anneau céder. Mes Maîtresses encouragent Christelle comme si elles étaient au stade , alors que Maîtresse Nadia déclenche le chrono:
-Top, c’est parti ! Vas-y, à fond, défonce-la… encule-la plus profond cette salope… Encore, baise-la au maximum… Allez Christelle, allez Christelle, allez Christelle !!!
Elles se laissent griser, emporter dans leur délire sportif. Maîtresse Christelle s’enfonce jusqu’à venir coller ses hanches contre mes fesses. Je crie sans discontinuer, à moitié étouffé par le string trempé de liqueur que Maîtresse Céline a fourré dans ma bouche. Je pleure de douleur, le corps tremblant, tétanisé par cette sodomie brutale. Maîtresse Christelle se retire entièrement et me force à nouveau. Insoutenable. Je suis au bord de l’évanouissement, totalement ailleurs, assommé par la douleur, les cris de mes Maîtresses, l’humiliation jamais ressentie.
Maîtresse Christelle joue avec mon cul, se retire, rentre, alterne lenteur et baise brutale. Commentaires crus des spectatrices, claques sur mon cul, ordres qui fusent en tous sens…
-Cambre toi la pute, empale toi bien sur sa queue… hmmmm mais c’est qu’elle aime ça regardez les filles, elle est bien ouverte notre chienne… vas-y Chris, baise là encore plus fort… il te reste 3 minutes, défonce la !
-Top ! Terminé !
Maîtresse Christelle se retire une dernière fois. Je ne sens plus mes reins, je me sens béant, comme anesthésié… je tiens à peine en appui sur mes bras et mes genoux.
-Debout esclave, nos verres sont vides, allez… abreuve tes Maîtresses !
L’ordre vient de Chloé, et ne souffre aucune rébellion. Je me relève, chancelant, j’ai mal et je peine à me diriger vers la cuisine, prendre du champagne au réfrigérateur. Étonnamment, je bande. Dur. Les deux pilules bleues que mes Maîtresses m’ont déjà fait avaler font leur effet. Ma queue se dresse comme jamais, ce qui fait hurler de rire mes Maîtresses…
-Regardez les filles, elle en veut encore notre salope, elle est toute excitée… va falloir qu’on s’en occupe : rigole Sophie.
-T’inquiète Soph, il reste encore un gage…. tu vas voir, on va se régaler ! La soirée n’est pas finie ! : commente Maîtresse Chloé.
Je reviens chargé de champagne frappé et j’assure le service, en prenant bien garde de n’en renverser une goutte, sous peine de punition. Et dans l’état de déchaînement de mes Maîtresses, je ne sais ce qu’elles seraient capables de m’infliger. Maîtresse Christelle demande le silence :
-Chères amies, je crois que notre soumis a droit lui aussi de boire un coup. Et je crois que Céline a très envie, n’est-ce pas ?
-Oui… je n’en peux plus. Le champagne me fait un effet terrible, j’ai trop envie là… !
-Allez la chienne, va chercher une coupe pour toi !
Je reviens avec une flûte à champagne propre et la tend à Maîtresse Céline.
-Vas-y Céline, soulage toi. Notre petite salope a très soif, n’est-ce pas ?
Je tarde un peu trop à répondre, et Maîtresse Chloé me cingle le reins d’un coup de cravache.
-Oui Maîtresse, j’ai très soif, je vous remercie de m’offrir à boire votre champagne !
Céline a rempli mon verre et le dépose sur la table basse du salon. Entouré de mes Dominas, je viens à quatre pattes boire mon dû. Humiliation maximale. J’ai un haut le coeur, je n’ai jamais aimé l’urine, cela me dégoutte. Maîtresse Caroline affirme qu’un bon soumis doit déguster le champagne de sa Domina, il doit l’adorer, l’espérer, c’est un honneur que de le boire. Mais je n’arrive pas à m’y faire. Sauf que je n’ai pas le choix.
-Allez, ne fais pas ta mijaurée.. avale et remercie comme il se doit Maîtresse Céline !
J’avale d’un trait, tant bien que mal et je remercie Maîtresse Céline pour sa liqueur précieuse. Je ne me sens plus rien, je ne suis plus rien. Rien d’humain à mes yeux. Je suis brisé, du moins c’est ce que je ressens. J’atteins un stade où je suis prêt à subir n’importe quoi, plus rien ne m’importe. Ni ma condition, ni la souffrance, ni les conséquences. Maîtresse Chloé me regarde longuement puis lance le départ du dernier gage, un gage non limité dans le temps précise t-elle, qui marquera la fin de la soirée. Je n’ai plus aucune idée de l’heure qu’il peut être. Une nuit sans fin, à souffrir pour le plaisir de mes Déesses.
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Sa queue me semble hors norme. J’ai déjà sucé deux beaux membres, ceux des deux livreurs à qui m’avait offert Maîtresse Caroline. Mais là c’est un autre calibre. Je l’embrasse du bout des lèvres, le lèche à petits coups pour en appréhender toute la grosseur. Je ne saurais décrire le désir trouble qui m’étreint à ce moment là, accroupi dans les toilettes, habillé comme une chienne bonne à baiser, enchaîné aux tuyaux par mes étudiantes dominas. J’ai envie de donner du plaisir à cette queue qui s’offre à ma bouche. Et la Maîtresse du soumis que je suce ne manque pas de le remarquer :
-Mais c’est que tu as bien progressé dis-moi. J’avais vu que tu aimais ça sur la video. mais là je suis impressionnée. Tu es devenue une vraie pro de la suce… !!!
Christelle, c’est bien sa voix que j’avais reconnue. Ma Maîtresse, ou plutôt mes Maîtresses, mes étudiantes dominas, c’est une chose. Mais elle…. Peut-être est-ce parce qu’elle appartient au personnel administratif de l’école, peut-être parce qu’inconsciemment je la considère plus comme une adulte. Je ne sais pas, mais le fait qu’elle me domine, et surtout qu’elle sache qui je suis vraiment m’humilie avec une intensité inégalée. Ses mots me brûlent et me transpercent. Et si les larmes perlent à mes yeux, ce n’est pas uniquement à cause de la colonne de chair qui me fouille la gorge.
Je me concentre entièrement sur ma fellation, comme pour oublier mon humiliation, la chasser de mon esprit. J’ai envie de donner du plaisir à cette queue, je veux la faire jouir. Je veux son miel, comme une victoire pour la petite salope en chaleur que je suis devenue grâce à mes Maîtresses, mes étudiantes dominas. Mais ma Domina perverse n’est pas de cet avis.
Christelle ordonne à son soumis de se retirer de ma bouche et à moi de me redresser, face au mur, cul bien offert et cambré :
-Il est temps de donner du plaisir à sa petite chatte… Vas-y, encule là, elle n’attend que cela, n’est pas la chienne ?
Silence. Ma réponse tarde. Quelques secondes de trop pour Maîtresse Christelle. Ainsi, elle attrape mes couilles entre mes cuisses et serre :
-Je t’ai posé une question salope…!
Je gémis de douleur.
-Tu as envie de te faire enculer ?
J’articule difficilement un
-"Oui Maîtresse ! "
-Demande-le mieux que cela au mâle qui va te baiser la chatte. Tiens retourne toi, frotte toi contre lui comme une bonne femelle en chaleur. Montre lui que tu en crèves d’envie. Caressez-vous et embrassez vous les putes, j’ai envie de vous regarder. Excitez moi bien mes salopes !!!
Son soumis m’attire à lui et fourre sa langue dans ma bouche. Les hommes ne m’attirent pas. Ne m’excitent pas. Et je n’ai jamais ressenti le désir d’embrasser un homme, de caresser amoureusement, avec un désir intense, leur corps. Seule l’idée de soumission à une queue m’excite. Toucher, caresser, embrasser, sucer une queue cela fait bouillir mes sens. Me comporter avec un homme comme je sais me comporter avec une femme, j’en suis incapable. Aussi, j’ai un mouvement de recul qui n’échappe pas à Maîtresse Christelle.
La réaction est cinglante, sous la forme d’un coup de cravache brutal sur mes fesses. Suivi par sa voix, dure bien que murmurante, à mon oreille :
-Si je veux que tu sois sa femelle amoureuse, tu deviens sa femelle amoureuse… ne m’oblige pas à enlever ta cagoule et à te laisser visage nu pour l’heure qu’il te reste à passer ici. Tu as vraiment envie que tout le monde sache ?
-Non Maîtresse, pitié, s’il vous plaît….
-Alors à toi de jouer ma chienne !
Je pose mes mains sur la taille de mon « amant » et je viens me coller à lui. Maladroitement, je pose mes lèvre dans son cou. Ensuite, je laisse mes mains descendre sur ses fesses, je frotte ma queue contre lui. J’ai envie de sexe, vraiment envie. Et cette envie s’ajoute à la peur que j’ai de voir mon identité révélée. Elle la dépasse même, rapidement. Les encouragement de Maîtresse Christelle m’y aident beaucoup :
-Hmmmm bien… frotte toi bien contre lui, embrasse-le… suce ses tétons pendant que tu le masturbes, il adore ça…. c’est bien ma salope, laisse toi aller totalement. Tu es une femelle qui a envie de son étalon black. Dis-lui…..
Je suis en plein délire sexuel. Envoûté par la voix de Maîtresse, submergé par mon désir de cul, par mon besoin de cul. J’embrasse à pleine bouche, je joue de la langue avec la sienne, je la laisse descendre sur sa poitrine, je caresse ses fesses, ses couilles, je branle sa queue tout en lui disant mes envies.
-Baise moi… je veux ta queue dans ma chatte, encule moi… hmmm viens, je veux te sentir… je suis ta pute… fais moi jouir, ouvres moi… remplie moi de sperme… j’ai trop envie.
J’entends vaguement Maîtresse Christelle gémir de plaisir. Elle doit se caresser en se délectant du spectacle. Je me retourne et je tends mon cul vers son soumis, une main appuyée au mur, l’autre tenant sa queue maintenant recouverte d’un préservatif pour venir caresser mon œillet avec son gland. Il est si gros. J’ai peur d’être déchiré mais j’ai besoin de me faire baiser. Avec la cagoule qui préserve mon anonymat, mes Maîtresses me permettent de plonger au plus profond de mes fantasmes. Je n’aurais jamais été capable de leur avouer, de vive voix, face à elles.
Mais là, plus rien ne me retient. Je peux les vivre, mettre à terre toutes les barrières psychologiques et morales qui sont encore en moi. J’ai réellement envie de lui. Le contact de la douceur de son gland sur mon anus m’électrise. Je sais que je vais souffrir lorsqu’il va me pénétrer, mais le désir est si fort.
-Baise-moi !
Ses mains ouvrent mes globes et je sens sa pression. Lentement il m’ouvre. Je gémis de douleur, laisse échapper un cri. Maîtresse Christelle approche son visage du mien. J’entends ses halètements qui s’accélèrent.
-Prends-le.. allez ma chienne, tu en as trop envie… ouvre toi pour lui !
Son gland franchit le barrage de mon anneau. Et il me pénètre lentement, jusqu’à la garde, encouragé par mon long gémissement ininterrompu. De douleur et de plaisir, je ne sais plus. J’entends le plaisir de Maîtresse Christelle qui augmente. Au fur et à mesure que son soumis me baise plus vite, plus profondément. Ma Domina l’exhorte à me pilonner sans aucune retenue. En appui, les deux mains contre le mur, je subis cette sodomie violente, cette possession totale. Maîtresse jouit longuement alors que mon amant se déchaîne. Elle reprend son souffle et lui dit de se retirer. Sensation unique de vide. Elle lui arrache sa capote et lui ordonne de se branler pour décharger sa semence sur le sexe délicat de ma Maîtresse. Il jouit rapidement en grognant de plaisir. Puis Maîtresse plaque ma bouche sur ses lèvres maculées de foutre :
-Nettoie-moi, et fais moi jouir encore !
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Ce texte est entre le réel et le fictif.
Toutes les sensations sont miennes lors des épisodes passés de sm.
Certains passages sont véridiques mais l’histoire est totalement inventée.
Peut-être y’a t’il un message à lire entre les lignes, ou pas...
À vous de voir...
Je reprends le chemin de mon écriture, soyez indulgents....
« Je ne suis qu’un jouet entre tes mains, qu’un fantasme ni plus ni moins.... et pourtant, parfois, j’aimerai qu’il en soit tout autre.
Ton désir est palpable, même si j’essaie de t’éloigner depuis tant d’années.... ne pas franchir cette limite... et laisser les choses où elles en sont... »
On se cherche mutuellement depuis des mois, à coup de sms torrides, à coup de vidéo de cul pour nous chauffer tous les deux...
Jusqu’ici je me défilais, trouvais une excuse, un rdv de dernière minute pour que l’on évite de se croiser.
Mais là je ne peux plus reculer, tu m’as donné un ultimatum...
Nos regards se croisent, je baisse les yeux, je tourne la tête encore une fois.... je sens mes petits seins pointer sous le tissu de la robe que j’ai mise pour toi... la tête me tourne presque...
Tu m’excites au-delà du raisonnable...
« Viens ma chienne me montrer à quel point tu as envie de moi »
Pas eu le temps de fuir, tu m’attrapes par les cheveux, m’immobilisant la nuque... avec ta poigne inutile d’insister.
Je joue les offusquée, mais j’adore quand t’es brutal...j’aime bien aussi les p’tits moments où tu m’embrasses en disant que tu m’aimes, même si c’est pour de faux, (mais c’est le jeu), mais je préfère vraiment quand tu me laisses aucune chance, quand je suis à ta merci.
Tu me tiens fermement par les cheveux, un peu plus fort, me bloquant contre toi. Aucune échappatoire. ... J’en ai pas envie de toute façon...
Tu plonges tes doigts dans ma chatte, même si je mouille, ça ripe un peu et ça titille. Non ça fait pas mal.
Tu retires ma robe, je suis nue devant toi, gênée par ce corps éprouvé par les années. Tu aimes pas quand je me dévalorise, tu aimes pas quand je dis que je suis grosse et laide.
Tu mets tes doigts tous mouillés dans ma bouche, me demande de lécher ma cyprine. Je te regarde, je te défie j’aime ça, le jeu du chat et de la souris.
Tu me retournes contre le mur, fesses devant toi, j’écarte mes jambes, une envie irrésistible de toi.
Ouille...
Quand je le dis que tu sens pas ta force...
une fessée, une grosse fessée, je me mords l’intérieur des joues, je contracte les muscles... pas question de montrer que ça fait mal... et même si ça fait mal, de toute façon ça fait du bien aussi.
Une seconde, je m’y attendais pas trop sans m’y attendre...
Puis tu continues.
Tu sens que le plaisir se mélange à la douleur, tu as envie de me voir « partir », parce que l’orgasme intellectuel te dépasse...
Moi dans ces moments là, je passe dans une espèce de mi-transe mi-auto hypnose. Je m’envole vers ce lieu que j’aime tant, et la douleur s’éloigne pour ne laisser que des picotis sensoriels, qui vous emporte dans des méandres de plaisir.
J’ai le cul qui chauffe, ça brûle limite...
J’ai a peine passé un doigt sur mes fesses pour tâter d’éventuelles boursouflures, que tu me bloques les mains enfermant les poignets dans un carcan...
« Bloquée chérie... aujourd’hui je vais enfin avoir ce que tu me refuses... »
Regard noir de ma part, je lui refuse la sodo que je supporte de moins en moins en vieillissant.
Brusquement tu me tires de nouveau par les cheveux et me jette comme une poupée de chiffon sur le lit.
J’ai a peine le temps de reprendre mon souffle, que déjà le cravache siffle....
Hé on avait dit doucement !!
Ça fait deux ans que j’ai pas eu de sm, deux ans sans cul, retrouver ma forme et mon endurance ça va pas se faire en un jour....
Apparemment non, pas avec toi.
Je tressaute, sursaute... ça fait mal, je tente de bouger pour pallier certains impacts, je me mords les lèvres, je supplie en silence....
Je crois que j ai jamais eu de coups de cravache aussi forts...
La douleur, la brûlure, l’envie de me dépasser, de lui montrer que je suis pas une midinette qui se la raconte fait que je dis rien...
Je serre les dents et les poings, emportée dans un tumulte de sensations diverses.
Et ma jouissance arrive, me faisant presque hurler sous ton dernier coup mon amour.
Tu rentres de nouveau tes doigts, je suis mouillée mais pas trempée, je te l’ai dit l’orgasme il est dans la tête avant toute chose. Tu comprends pas et tu me fistes avec violence comme j’aime que tu le fasses, mais ça je te le dis pas.
Je jouis, je t’éclabousse et j’aime ça.
Tu me pousses plus vers le lit, tu détaches mes mains, tu écartes mes cuisses et sans me demander quoique ce soit tu forces le passage interdit.
J’hurle de douleur et de plaisir, heureuse tout en étant à la fois contrariée, offerte tout en ne l’étant pas.
Tu sais que j’ai mal vraiment, alors tu y vas quand même doucement et je t’en remercie...
Une décharge électrique, une ultime fessée et j’explose dans un orgasme violent...
Mes seins me brûlent, tu les as touchés avec ta cravache car tu les sais hyper sensibles...
Mes fesses sont une douleur au moindre mouvement mais j’aime ça ....
Liquide chaud qui ravive mes blessures, tu me recouvres de ta pisse, ton offrande...
Je suis nettoyée et purifiée...
J’avale et je bois avec plaisir ce nectar salé, que tu me donnes comme un cadeau...
.....
Je me regarde dans la glace, à certains endroits la peau a éclaté et ça saigne. C’est si beau...
« Ça fait pas mal ? »
Bien sûr que si, ça fait mal. Un mal de chien... qu’est ce que tu crois ? Suis maso certes, mais la douleur est bien réelle...
J’aime avoir mal pendant plusieurs jours, la douleur me rappelle ce moment intense.
Je porte avec fierté ces hématomes, ces coupures, ces stries, comme s’ils étaient les étapes d’un passage, un rituel.
Oui un rituel, celui d’apprendre à dominer son corps, à se dépasser sans cesse chaque jour.
Merci pour tout....
Octavia 3 septembre 2020.
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Comme dans un rêve, on entendait le feulement de Patricia monter peu à peu vers l'aigu et un parfum
déjà familier s'exhala de sa chair sur laquelle les lèvres de Sarah étaient posées. La source qui filtrait
de son ventre devenait fleuve au moment qui précède le plaisir et quand elle reprit la perle qui se cachait
entre les nymphes roses qu'elle lui donnait. Elle se cambra de tous ses muscles. Sa main droite balaya
inconsciemment la table de travail sur laquelle elle était allongée nue et plusieurs objets volèrent sur la
moquette. Un instant, ses cuisses se resserrèrent autour de sa tête puis s'écartèrent de nouveau dans
un mouvement d'abandon très doux. Elle était délicieusement impudique, ainsi couchée devant Sarah,
les seins dressés vers le plafond, les jambes ouvertes et repliées dans une position d'offrande totale qui
lui livrait les moindres replis de son intimité la plus secrète. Quand elle commençait à trembler de tout son
être, elle viola d'un doigt précis l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abattit sur elle avec une violence inouïe.
Pendant tout le temps que le feu coula dans ses veines, Sarah but les sucs délicieux que son plaisir libérait
et quand la source en fut tarie, elle se releva lentement. Patricia était inerte, les yeux clos, les bras en croix.
Venant d'un autre monde, sa maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela
ne finisse jamais. Elle s'agenouilla entre ses jambes et Sarah voyait ses cheveux clairs onduler régulièrement
au-dessous d'elle. Sa vulve était prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus
divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais cru que c'était aussi
bon de se soumettre puis brusquement, adorablement savante, sa main vint se joindre à ses lèvres et à sa langue
pour la combler. Mille flèches délicieuses s'enfoncèrent dans la chair de Sarah. Elle sentit qu'elle allait exploser
dans sa bouche. Elle voulut l'arrêter mais bientôt ses dents se reserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et
doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes
dorées à la feuille. Sarah invita Patricia à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau
dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant
à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau,
avant même que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Une impression d'aisance l'emplit.
Voluptueuse, Patricia s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de
façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne
pas éprouver un plaisir sensuel ? L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une
onde caressante. Sarah ferma les robinets, releva les manches de son tailleur et commença à lui masser les épaules
avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis à nouveau, elle la massa
avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de ses fesses,
effleurant la pointe de ses seins. Patricia ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle. Animé par ces mains
fines et caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était tiède à présent. Sarah
ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Patricia, l'obligeant à explorer
les reliefs de son intimité en la poussant à des aventures plus audacieuses. Ses phalanges pénétèrent son ventre.
Sarah perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte,
et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe
et se débarassa de son corsage. Dessous, elle portait un charmant caraco et une culotte de soie, un porte-jarretelle
assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Ses petits seins en forme de poire
pointaient sous le caraco en soie. Elle le retira délicatement exposant ses formes divines. Bientôt, les mains de Patricia
se posèrent langoureusement sur ses épaules et glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes fermes de
de la poitrine. Son ventre palpita contre les fesses de son amante. Elle aimait cette sensation. Peu à peu, ses doigts fins
s'écartèrent du buste pour couler jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu.
Sarah pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que
ce bien-être animé par le voyage rituel de ces doigts dans le velours de sa féminité. L'attouchement fut audacieux.
Combien de temps restèrent-elles ainsi, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, l'ombre d'un fantasme ?
Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer. Mais Sarah se rhabilla et abandonna Patricia sans même la regarder.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Suite à cette séance je dormis aux pieds du lit de mes Déesses. Le réveil était programmé sur 6h. Après avoir préparé leur petit-déjeuner, je dus les réveiller chacune à leur tour en leur prodiguant un long cunnilingus. Maîtresse Christelle, prétextant que le matin était la meilleure heure pour faire du sport, entreprit de me chauffer au martinet. Elle s’amusa à me rougir le cul pendant que je léchais Maîtresse Chloé. Puis je dus également la faire jouir avec ma langue. Je ne portais toujours pas ma cage de chasteté, selon le désir de Maîtresse Chloé. Ainsi, je bandais dur, comme toujours à la vue du corps de mes sublimes Déesses et surtout de leur miel qui agissait sur moi comme le plus puissant des aphrodisiaques. La veille, je n’avais pas joui. 6 jours déjà, sans jouissance. Mes Maîtresses n’avaient aucune idée de la douleur que l’abstinence, doublée d’une excitation quasi permanente, pouvait engendrer. Je ressentais une douleur sourde, permanente, lancinante, qui vous prend tout le bas du ventre. Rien, sans doute, comparé à la douleur d’un accouchement. Je me souviens avoir lu un article sur la douleur des contractions. Une douleur qu’aucun homme ne connaîtra jamais, et que sans doute peu seraient à même de supporter. Aussi ce que je ressentais n’était rien, même si cela occupait pour l’heure tout mon esprit. Je fis jouir mes Maîtresses plusieurs fois, uniquement avec ma langue. Pendant que Maîtresse Christelle occupait la salle de bains, Maîtresse Chloé me fit m’agenouiller aux pieds du lit, face à elle. Cuisses ouvertes, mains dans le dos, regard baissé… position de présentation que j’adoptais depuis un certain temps mécaniquement, sans même y réfléchir. Maîtresse Chloé aimait à dire qu’elle m’éduquait comme un chien, qu’elle programmait mon cerveau d’esclave. Elle avait raison. Peu à peu j’avais acquis certains réflexes. Une routine finalement reposante. Nul besoin de réfléchir, juste obéir. Et c’est de cette routine, justement, dont Maîtresse Chloé voulait me parler…. -Petite chienne, il est temps de casser un peu nos habitudes. Cette fois tu vas servir en dehors de cet appartement. On va t’exposer !!! Tu vas voir, tu n’es pas au bout de tes surprises crois moi…. Allez, après moi tu passeras à la douche. Je t’ai préparé tes dessous. Tu vas avoir l’air d’une bonne salope, une bonne pute en chaleur. Par dessus, costard, comme d’habitude. N’oublies pas que tu as cours tout à l’heure. Maîtresse Chloé avait prononcé ces derniers mots sur un ton très ironique et je redoutais le pire. Jamais encore mes Maîtresses ne m’avaient exposé en dehors de l’appartement. Sauf une fois, dans ce garage au sous-sol froid, lorsque Maîtresse Caroline m’avait fait venir chercher à la gare par une de ses amies dominatrices. Ce fut la seule fois. Depuis, je servais toujours sur le terrain douillet et protecteur de son appartement, son univers qui était maintenant le mien. Etre exposé en dehors de ce cocon m’effrayait énormément. J’avais peur même si je faisais confiance à mes Maîtresses. 10h50, l’heure de gagner l’école. Sous mon costume noir, une tenue de pute, Maîtresse Chloé avait bien choisi : bas noirs à couture, corset porte jarretelles en latex, de couleur rose, plug… et dans un petit sac, une cagoule aveuglante également en latex, de même couleur ainsi que deux longs gants. Elle avait rajouté un gode-ceinture, de très bonne taille, ainsi que du lubrifiant, un collier de cuir lui aussi rose, une chaîne et deux cadenas. Mon esprit tournait à pleine régime. Pourquoi devais-je emmener tout cela à l’école ? Où allait-elle m’emmener après mes 2 heures de cours ? J’avais pour consigne, à 13h, de rester dans ma salle après le départ de mes élèves. J’appréhendais la suite. Maîtresse Chloé me rejoignit à 13h05, accompagnée par Christelle, dans sa tenue de secrétaire stricte, tailleur gris, chemisier blanc. C’était un uniforme qui lui allait merveilleusement bien et qui me faisait bander à chaque fois que je la croisais. -Ma salope, cet après-midi tu vas servir… Tu vas être réellement un esclave de plaisir. Tu vas prendre ton sac, avec tes jouets et me suivre. J’obéis, m’attendant à sortir de l’école pour me rendre dans un autre lieu. Mais Maîtresse Chloé se dirigea vers les toilettes des femmes. Elle m’y fit entrer discrètement, un sourire amusé sur son visage face à mon incompréhension totale. -Ma salope, entre là-dedans : me dit-elle, en me désignant les toilettes pour handicapés. -Déshabille toi, dépêche ! -Mais Maîtresse….! Une gifle me fit taire immédiatement. -Ta gueule, tu obéis, c’est tout. Je ne t’ai pas autorisé à parler que je sache ! Je m’exécutai rapidement. Maîtresse Chloé fit disparaître mon costume dans son sac puis elle m’enfila la cagoule, posa le collier sur mon cou et y fixa la chaîne, cadenassée à la fois à l’anneau de mon collier et à la tuyauterie des toilettes. -Voilà, tu ne vas pas te sauver comme ça… A genoux, regarde moi ! A partir de maintenant, et jusqu’à ce que l’on vienne te chercher, tu es à la disposition de quiconque pénètre dans ces toilettes. Tu obéis, sers, exécutes ! Tu lèches, suces, nettoies et surtout tu te tais ! Avec Christelle, nous avons prévenu un certain nombre de filles qu’un esclave sexuel serait à leur disposition, aujourd’hui. Tu n’imagines pas le nombre que cette nouvelle a excité ! Tu ne vas pas t’ennuyer à attendre la cliente je crois. Rassures toi ma petite salope qui bande déjà, Christelle a réussi à se procurer une clé. Tes utilisatrices n’auront qu’à se la passer entre-elles, ainsi pas de risque que tu sois découvert par hasard. Nous ne voulons pas de scandale, et nous tenons à ce que notre petite chienne personnelle reste à son poste de professeur…. Allez, je te laisse… Et attention, tu as intérêt à les satisfaire… Et qui sait, va savoir, tu auras peut-être d’autres surprises…. je sais que ces toilettes sont réservées aux femmes, mais… Je restai sans voix. Ainsi, elles me mettaient à la disposition des élèves, comme une salope qu’on emmène sur un chantier, pour qu’elle vide tous les ouvriers. Avant de sortir, Maîtresse Chloé avait disposé le gode-ceinture et le lubrifiant bien en évidence sur le lavabo. Et elle avait scotché une pancarte au dessus des toilettes : Pute à votre service. Abusez-en ! Elle me quitta, refermant à clé la porte derrière elle. Mon calvaire n’allait pas tarder à commencer. Je perdis rapidement la notion du temps. Ma première « cliente » arriva seulement quelques minutes après le départ de Maîtresse Chloé. Impossible de deviner qui était entré dans ces toilettes. Impossible de reconnaître sa voix. La cagoule déformait les sons et me privait de ma vue. -Wouahouh….. putain mais c’est dingue ! Elle avait murmuré et semblait ne pas croire ce qu’elle voyait. Elle s’approcha de moi, toujours à genoux, dans ma posture de présentation, cuisses ouvertes, mains derrière le dos, queue bien bandée. Maîtresse Chloé m’avait posé un cockring très serré, pour que je sois apte à bien satisfaire une cliente, selon ses propres mots, si l’une d’entre-elles avait envie d’une queue. Ou simplement de me travailler un peu. Toujours en murmurant, ma visiteuse m’ordonna de me relever. Ensuite, elle tourna autour de moi, laissant ses mains parcourir mon corps. Elle n’en revenait pas. -Et si je t’ordonne quelque chose, tu le fais ? Tu le fais vraiment ? -Oui Mademoiselle ! -Voyons voir…. dos contre le mur, branle-toi, très lentement ! Je m’exécutai pendant que je l’entendait se déshabiller. Je savais que je n’avais pas le droit de jouir, sauf ordre express d’une cliente. Elle se rapprocha lentement et, toujours en murmurant, m’ordonna de me mettre à genoux. -Lèche moi, fais moi jouir avec ta langue ! Elle m’offrit mon premier orgasme de cette journée de travail à la chaîne. Les sexes juteux s’enchaînèrent durant deux heures. Peu de ces jeunes femmes osaient ordonner autre chose que de les faire jouir avec ma langue. L’une m’avait même sucé, mais sans me permettre d’atteindre la jouissance. Ma queue me faisait terriblement souffrir. En effet, elle était gonflée à bloc, ultra sensible. Une autre s’était enhardie à me donner une fessée, et à jouer avec le plug qui remplissait mon cul. Aucune n’avait encore utilisé le gode-ceinture. J’étais surtout une langue obéissante, et mon visage avec ma cagoule de latex rose, était maculé de mouille. Dans l’ensemble elles avaient été plus surprises que vraiment perverses, mais je savais que cela ne durerait pas. A 15h, la sonnerie de fin de cours retentit. 15 minutes de pause. J’entends des voix, plusieurs, qui résonnent dans l’espace toilette réservé aux Dames. J’entends la serrure jouer, et plusieurs personnes entrer. Rires, commentaires, surprise… -On peut vraiment lui faire ce que l’on veut ? Lui donner des ordres ? -Essaye, tu verras… -Tiens, regarde, il y a une cravache, J’ai toujours eu envie de tester sur mon ex…. il l’aurait bien mérité. Soph, tiens-le par la queue, qu’il ne puisse pas bouger. Debout, mains dans le dos, enchaîné par le cou à la tuyauterie, aveuglé, je ne vois pas comment je pourrais fuir. On me retourne contre le mur, cul offert. Une main saisie la base de ma queue, et me maintient fermement. -Chuttt… ne bouge pas petite chienne… Ma copine va donner sa première fessée, et à la cravache en plus… j’espère que tu vas aimer! Avec une main inexpérimentée, il n’y a que deux possibilités : soit elle hésite et caresse, soit elle ne maîtrise pas sa force et fait mal, très mal. Cette Sophie, que je ne pensais pas avoir comme élève, appartenait à la deuxième catégorie. Grisée par la situation et par la présence de ses amies qui l’encourageaient, elle m’asséna une dizaines de coups, rapides, secs, forts. Je ruai et tentai de maîtriser mes cris de douleurs, avec plus ou moins de succès. -Ta gueule… tu veux qu’on se fasse choper ou quoi ? Vas-y, encore quelque uns, pour qu’il apprenne à la fermer. Et puis moi j’aime bien les marques que ça laisse… ça m’excite. Tu vas bientôt goûter ma chatte, esclave, je coule comme une fontaine ! Je n’avais pas reconnu la voix de celle qui me tenait maintenant par les couilles. Mais visiblement, elle avait un peu d’expérience en matière de domination, ou alors elle était faite pour cela. -A moi maintenant… il y a un truc que j’ai envie de faire depuis que j’ai vu son petit cul. Je meurs d’envie de le baiser. De l’enculer bien à fond. Céline, passe moi le gode-ceinture s’il te plait. Et le lubrifiant ! Céline. Si je ne me trompais pas, elle suivait mes cours, en deuxième année. Petite, menue, plutôt jolie avec un regard qui ne laissait pas indifférent. Si elle était là, ses deux amies, Sophie et celle qui me tenait fermement, devaient aussi être parmi mes élèves. Je n’avais qu’une hantise… qu’elles me reconnaissent. Pour l’instant, aucune n’avait eu l’idée de retirer ma cagoule. Peut-être que Maîtresses Chloé et Christelle les avaient briefées. Je sentis des mains écarter mes fesses, une autre retira le plug… -Hmmm regarde, j’hallucine, son cul reste bien ouvert ! Vas-y, doigte-le bien et remplit le de gel, je vais le défoncer ! Éclats de rire, trois doigts qui m’ouvrent. Je sens le gel froid qui coule. Ensuite, elles me remplissent directement en introduisant l’embout du flacon. Puis le gland qui se pose sur ma rondelle. -Allez… ma petite pute, je suis ton mâle, tend ton cul vers moi ! Dis nous que tu as envie de te faire enculer… Allez ! -Oui Maîtresse, j’ai envie de me faire enculer. Baisez moi le cul Maîtresse s’il vous plaît ! Putain, c’est une vraie chienne ! je crois que je n’ai jamais été excitée comme ça ! Ses mains sur mes hanches, le gode-ceinture s’enfonce d’un coup, jusqu’à la garde. Je crie mais une main posée sur ma bouche étouffe mon hurlement. Ma cliente me baise bien à fond, sans ménagement. Ainsi, elle se retire presque entièrement puis replonge entre mes reins. La sodomie brutale dure plusieurs minutes avant qu’elle ne cède la place à Céline. -Ta nouvelle Maîtresse est plus petite. Vas y ma salope, plie les jambes pour bien te mettre à niveau, offre ton cul mieux que ça ! Toujours cette voix que je ne réussis pas à identifier. La meneuse du groupe. C’est elle qui décide. Céline est donc plus petite, je dois avoir raison : c’est bien l’élève à laquelle je pense. Un intense sentiment d’humiliation s’empare de moi, moi le professeur soumis, je suis devenu la pute de l’école. Je suis attaché dans les toilettes pour filles et une de mes élèves est en train de m’enculer. Céline le fait avec douceur. Je la sens coulisser en moi, ses mains me caressent le dos, les hanches pendant qu’elle rythme sa pénétration. Une main se pose sur ma queue et me branle doucement. Je sens le plaisir monter. Ensuite, je me tends vers le gode et la Maîtresse du groupe le remarque : -Hmmm regardez les filles, elle vient se baiser elle-même sur ton gode Céline. Regardez comme elle aime ça… une vraie chienne en chaleur !!! Nad, tu veux la baiser toi aussi ? Nad. Pour Nadia, sans aucun doute. Deuxième année elle aussi. Grande, brune, un peu forte. Assez effacée comme élève. -Non… par contre je meurs d’envie de me faire lécher la chatte… A genoux esclave ! Nouvel éclat de rire général. Nadia m’ordonne de m’accroupir, dos au mur, et vient coller son sexe contre ma bouche. Elle m’abreuve de son miel, abondant, et jouit rapidement. La troisième participante prend aussitôt sa place, suivie par Sophie. -Moi, j’ai surtout envie de pisser ! Tu dois avoir soif, la lécheuse, non ? Ouvre bien grand, et avale ! Son jet m’inonde la bouche, et j’ai du mal à surmonter mon dégoût. Son urine coule sur mon visage, mon torse…. -Hmmmm j’espère que tu apprécies mon champagne. Allez, maintenant, fais moi jouir. Et dépêche toi, on a cours ! La porte se referme. Je pue la pisse et le cul. Je n’ai pas le temps de m’apitoyer, la serrure joue à nouveau et deux personnes pénètrent dans les toilettes. -Lave-le ! La voix est féminine et je crois la reconnaître, sans certitude. La main armée de lingettes nettoyantes, qui passe et repasse sur mon corps, mon visage cagoulé, qui s’attarde sur ma queue, entre mes fesses, sur ma rondelle laissée nue par l’absence du plug, je ne sais pas. Aucun mot n’est échangé. J’entends une fermeture éclair, quelques gémissements. Deux mains appuient sur mes épaules pour me faire m’accroupir. -Vas-y, baise lui la bouche. Interdiction de jouir ! Aucun doute. C’est une Maîtresse et son soumis. Élève ou non ? Dans ma classe ou non ? Un gland énorme se pose sur mes lèvres, et ma langue, docile, vient à sa rencontre.
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Donc nous évoquions le passage d’une langue longue et profonde dans les plis, l’entrée, et le petit bouton et insérée dans l’antre, les jambes ouvertes et tombantes, une main fouillant ton antre chaude et glissante, et une de tes mains s’étant saisie de cette tige de chair tremblante de désir….Avalée par cette bouche chaude et accueillante….Qui sait, profonde et aussi une langue agile s’enroulant sur le vit gonflé et chaud, pour le plaisir de chacun
Je te retourne, cette chatte toujours léchée, parcourue et ouverte de doigts inquisiteurs, profonds parfois, éprouvant l’ouverture
Je retourne encore….
Mais cette fois échangeant la superposition des corps, pour mieux t’avoir à appuyer la chatte contre mon visage…t’ouvrir un peu plus sur tes genoux
Alors tu plonges vers cette queue dressée vers le ciel, pour l’engloutir goulument, plus profondément, les mains s’activant…A glisser sur ce manche de chair et ses attributs…alors que les miennes écartent peu à peu ce fessier pour mieux y voir le fruit
Fouillé de mes doigts pour l’ouvrir aussi encore plus et in fine en arriver à le fouiller pleinement
Ta bouche vibrante sur moi me procure des effets et en fait durcir ma tige….
Ta chatte maintenant bien ouverte et luisante, le rythme de ta respiration ne laisse plus aucun doute, et demande à être prise comme il se doit
Présenté entre tes jambes ouvertes et guidé par tes mains écartant le passage pour mieux être prise, je m’y enfonce lentement de toute ma longueur, en prenant en considération la configuration de ton corps, cela ne sera que douceur et peu nombreuse comme pour mieux les apprécier
Mais chacune des sorties de ce vit…serait également accompagné de l’usage de tes mains, les miennes occupées à tes seins, et tétons…les palper pour les uns, les pincer pour les autres
Les tiennes à parcourir plus ou moins rapidement la tige de chair sortie de ton ventre….et inviter à y prendre possession de nouveau…une prochaine sortie trouverait ta bouche pour accueillir cette queue raide et puissante, bien aussi dans cette bouche, parcourue dans sa longueur et en profondeur….tu recules bavant face à cette queue, pour reprendre ton souffle, tes mains enserrent mes hanches comme pour ne pas me laisser la possibilité de fuir…pour mieux me prendre en bouche, goulument, profondément…
Tu recules de nouveau, essoufflée d’avoir forcer ta gorge, en apnée…les mains toujours accrochées aux hanches tu rapproches ton corps du mien et d’un habile mouvement ma queue encore luisante de ta bouche, se trouve enserrée entre tes seins dont les pointes durcies frôlant mon corps pendant que tu t’actives à jouer et à frotter ma queue entre tes deux globes
Mais les envies reprennent un tout autre chemin, cette fois c’est moi qui recule. Je te pousse et tu tombes sur le dos, les jambes pendantes et ouvertes de chaque côté de moi..Je retrouve ton entrée dans laquelle je m’enfonce sans ménagement et sans résistance…une chatte mouillée et ouverte à souhait
N’y tenant plus, je prends une de tes jambes, la passe par-dessus moi, et tu finis sur le ventre…les jambes bien écartées et la croupe relevée…tu laisses entrevoir ta chatte luisante dans laquelle je m’engouffre, dans un feulement que tu pousses à chaque introduction
Mes mains parcourent ce fessier, l’écartant un peu plus….Le dos, les flancs, les seins si ronds et durs, puis les cheveux. Une poignée pour mieux avoir une emprise, et se retirer de nouveau après quelques mouvements lents…pour mieux t’ouvrir encore, les doigts glissent et s’insèrent dans ce fourreau
De nouveau, je te retourne, et te tiens bien ouverte, peut-être pour mieux rentrer dans ce corps accueillant. Mes doigts continuent leur voyage, intérieur et extérieur, ma queue également intérieur surtout….Mais se promène aussi sur cette chatte et ce ventre, pour s’y insérer de nouveau, en sortir, pour mieux l’investir de nouveau
Mais déjà, je sens cet état étrange et précurseur d’une fin proche, ce moment de petite mort interne, qui fait suite à une décharge courte mais intense, ce désir de t’inonder de mon plaisir, ce geyser chaud et brûlant qui laisse échapper par jet court et puissant, le résultat de ce désir, sur ta chatte déverser tout mon désir
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S'émerveiller
Du rose aux joues des cerisiers
Du Japon sur fond de teint pâle
Esprit encore bridé
Par une nuit de rêves oubliés
Qui s'effacent à petits pas
Elle ôte son kimono de soie
Nue devant l'eau qui bout
La théière patiente
Quand son thé vert invente
Des parfums aux arômes de fruits
Et de douce vanille
Comme un printemps à Kyoto
Qui fleurit sur ses lèvres
Et réveille ses sens en bourgeons
Elle t'embrasse en vert tendre
T'enlace au printemps nouveau
De son amour de coton
Le 31 08 2020
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Les jumeaux sont assis sur le bord de l'oued, il y en a un qui a un petit appareil photo et l'autre son cahier de croquis et un crayon. Il ne leur manque qu'une caméra !
Maintenant, il faut qu'on fasse participer les cocus. Ah, si, appelons un chat un chat, on vient de se faire tirer par deux mecs virils sous leurs yeux, ils sont cocus, désolée. On va les gâter, tant que c'est chaud, si vous voyez ce que je veux dire. Non vous ne voyez pas ? Je leur dis :
— Tous les deux couchés sur le dos.
Là, vous voyez ! On s'accroupit au-dessus de leurs visages et on les fait participer, plus exactement, ils sont chargés du nettoyage. J'entends Djibril dire quelque chose en berbère à son cousin. Je ne serais pas étonnée qu'il lui dise "Ces Occidentales, y a pas plus salope." J'espère que le jumeau photographe réussit à bien prendre la bulle de sperme et de sécrétions qui sort de la chatte de sa belle-mère pour aller dans la bouche de son père. On termine en s'asseyant carrément sur leurs visages.
Je comprends que Djibril et son cousin soient un peu scandalisés, dans leur culture, les femmes ne trompent pas leurs maris sous leurs yeux. D'ailleurs, il nous dit :
— On va vous montrer où est votre place, les filles. Venez vous mettre à genoux devant nous.
Je laisse à Josiane le soin de lui dire d'aller se faire foutre... Ah non, elle ne dit rien. Au contraire, elle obéit... Alors, moi aussi. On est dans leur pays après tout et surtout, ils sont grands, costauds et décidés. Il nous dit :
— A votre tour de nettoyer.
Ouah ! Bonne réplique. Bon, d'accord, on va leur faire plaisir. Alors on se retrouve toutes les deux avec une belle bite dans la bouche. Du côté des jumeaux on entend les "clic clic", de l'appareil photo et les "kkrriich kkrriicch" du crayon sur le papier. Ce qui est curieux, c'est que je ne retrouve pas le goût de ma chatte sur les sexes que je suce. Oh ! C'est le cousin, ils se ressemblent tellement qu'on s'est trompées. Bah, une bite c'est un bite, sauf que celle-ci a le goût de la chatte de Josiane. On est presque synchrones elle et moi, notre tête va et vient sur les bites dressées. Les jumeaux viennent voir de tout près. Faut bien qu'ils s'instruisent. Djibril nous dit :
— Croisez les mains sur les reins, les filles.
Il ajoute pour les jumeaux :
— Voilà comment il faut traiter vos femmes !
Têtes des maris, qui iraient bien se cacher dans un trou de souris, ce qui va être difficile pour Robert qui doit approcher des 100 kg. Ce que Djibril ne comprend pas c'est qu'il y a des hommes qui aiment les salopes qui les trompent et les traitent... comme on les traite. Il nous dit :
— Arrêtez de sucer, c'étais juste pour vous montrer votre place. Si on a envie de vous baiser, on claquera des doigts !
Il y va faire fort quand même, mais ni Josiane, ni moi n'ouvrons la bouche pour protester. Pour les sucer, oui, pour les remettre à leurs places, on se dégonfle !
En montant le sentier, Josiane me dit :
— Je peux prendre ta place à l'arrière ? J'ai trop envie de me faire baiser.
Bien sûr, j'ai aussi envie, c'est normal, mais j'ai aussi envie de voir Josiane avec Djibril et puis, je veux rester amie avec Josiane, je m'amuse avec elle. Je lui dis :
— D'accord...
— Merci Samia, je te revaudrai ça.
Elle m'embrasse sur la bouche.
On monte dans la voiture. Le cousin conduit, Julien est assis à côté de lui. Je suis sur la banquette entourée des deux jumeaux et à l'arrière il y a Djibril, Josiane sur ses genoux et Robert à leurs pieds.
On démarre... Josiane a mis un grand tee shirt au dessus de son maillot. Elle dit à Djibril :
— J'ai oublié de mettre ma culotte de maillot, ça ne fait rien, Monsieur Djibril ?
Aussitôt les têtes des jumeaux se tournent vers elle. Ils ont un grand sourire aux lèvres. Notre façon de vivre un peu... olé olé, leur fait un bien fou à ces petits. Jumeau 1 dit à Djibril :
— Vous allez la baiser, M'sieur Djibril ?
Il fait une moue un peu dégoûtée et répond :
— On vient de les baiser dans la rivière... Vous aimeriez que je le fasse ?
Jumeau 2, la bave aux lèvres :
— Oh oui M'sieur, elle est en chaleur !
— Ça c'est vrai, elles sont toutes les deux en chaleur... Bon, ça vous ferait vraiment plaisir ?
Jumeaux 1 et 2, presque en choeur :
— Oh oui M'sieur.
Les jumeaux et moi on se met carrément à genoux sur la banquette pour mieux voir. On est au spectacle. Djibril sait y faire, il dit à Josiane :
— Et toi tu as envie de te faire baiser.
— Oui.
— Fais une phrase !
Putain, j'adore sa façon de faire. Je mouille déjà !
Josiane répond :
— J'ai terriblement envie que vous me baisiez, Monsieur Djibril.
Ça lui convient. Il commence par l'embrasser sur la bouche, mais bien avec les langues... qui se cherchent, se trouvent et mélangent leurs salives. Un beau baiser bien mouillé... Djibril dit à Robert qui est par terre devant eux :
— Prépare ta femme pour moi, lèche-la.
J'aime... faut que je fasse ça avec Julien. Robert rampe entre les jambes de sa femme et de son futur amant pour la préparer. A mon avis ce n'est pas nécessaire, vu le tempérament de Josiane... Ils recommencent à s'embrasser tandis que le mari s'active à l'étage en dessous. Djibril remonte son tee shirt et lui caresse les seins. Les jumeaux se sont rapprochés de moi et je sens une main sur ma cuisse, puis une autre de l'autre côté. Je ne dis rien...Aussitôt les mains se retrouvent sur mes fesses nues, car moi aussi, j'ai oublié de remettre ma culotte, comme quoi les grands esprits se rencontrent.
Jumeau 1 me murmure à l'oreille :
— Tu as le plus beau cul du monde.
Je le sais, mais ça fait toujours plaisir... Je rigole !
Juneau 2 me dit :
— On se sent bien avec toi.
— Vous êtes gentils....
— On peut te caresser... steuplléééé...
— Mais c'est ce que vous faites.
Ne faites pas la moue ! Je vous signale qu'ils ont 18 ans et qu'ils sont beaucoup plus normaux qu'au début. Josiane et moi, on les guérit...
Il se passe des choses devant et derrière moi. Derrière Djibril a sorti son sexe de son short et en prenant Josiane par les cuisses, comme on le fait pour faire pisser une petite fille, il l'assied sur sa bite. Elle aime, le dit, le crie. C'est une extravertie, elle décrit tout. A Djibril :
— Oh, je la sens bien monsieur Djibril ! C'est bon...
A son mari qui est à genoux le nez à 10 cm de sa chatte :
— Regarde comment baise un vrai homme, ça me change de ta bite aussi molle que de la pâte à crêpe.
C'est vrai que de la pâte à crêpe, c'est mou ! Vous voyez que ce n'est pas un hasard, si nos maris sont cocus ! Julien a la bite d'un enfant de 8 ans et Robert en a une extra molle ! On me dira pourquoi les avoir épousées dans ces conditions... Ben, la réponse est simple : le fric ! Et puis, leur tempérament soumis qui nous permet de nous envoyer en l'air avec qui on veut. J'imagine leur faire faire une bataille de zizis : une minuscule contre une molle !
Derrière moi les mains des deux garçons m'investissent de plus en plus, j'ai deux doigts dans la chatte et un doigt dans le cul. Jumeau 1 me dit :
— Je peux embrasser ta chatte ?
— Mais...oui !
Il se glisse derrière moi, je me cambre bien. Il a peut être une forme atténuée d'autisme, mais, pas pour trouver une chatte et y fourrer sa langue, il est champion. Il me lèche soigneusement depuis le clito jusqu'au coccyx tout en écartant mes fesses. Putain, il est trop bon ! Comment c'est possible ? Josiane m'a dit qu'ils étaient puceaux ! Des puceaux comme eux, j'achète.
Il s'arrête ! Mais pourquoi ? Ah juste pour donner la place à son frère. Je sais, on pourrait croire que je suis un peu vicieuse, si, si... mais l'idée qu'ils vont mélanger leurs salives dans ma chatte, ça m'excite encore plus.
De plus, j'ai sous les yeux Josiane qui est assise sur le sexe de Djibril tandis que le mari essaye de lécher le tout, malgré les cahots de la route. M'étonne pas que ça marche l'excursion à la cascade, si c'est tout le temps comme ça.
Josiane me dit :
— Ils lèchent bien, les jumeaux ?
— Oh putain, oui ! Ce sont des "natural born lickers" (nés pour lécher).
Elle rit en sautant sur le sexe de Djibril, qui s'énerve et lui donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Vous la fermez les filles !
— Aaaaiiie ! Pardon, Monsieur Djibril
Je ne sais pas si c'est la claque ou la bite en elle ou le tout, mais bientôt, elle nous annonce :
— Aaaahhhh... oui... je jouiiissssss....
La voir jouir sous les yeux de son mari et d'un de ses beaux-fils (l'autre, je suis quasi assise sur son visage) ça m'achève et je crie :
— Moi aauuussssssiiiiiiiiiii....
Ouch ! C'est bon, il faut dire que les stimulations viennent de partout.
Les jumeaux changent encore vite de place, sans doute pour avoir chacun sa part de nettoyage du plan de travail, ma chatte et mon cul en l'occurrence. Après un moment, c'est sûrement propre. Je repousse un peu celui qui est en-dessous de moi, en disant :
— C'était super les gars, vous pouvez arrêter.
Jumeau 1 :
— C'est le meilleur moment de notre vie
Il est un peu exalté, non ?
Jumeau 2 :
— Pour moi aussi.
Grands sourires.
Le soir tombe... On s'assoupit un peu, les jumeaux sont collés à moi, c'est mignon. Au bout d'un moment, je dis à Djibril :
— J'ai soif et puis faim et puis je dois faire pipi.
Aussitôt Josiane s'écrie :
— Moi, aussi.
Les jumeaux :
— Nous, aussi.
— Les deux maris n'osent rien dire. Djibril soupire et répond :
Il y a une pompe à essence qui vend des trucs à manger, on va s'arrêter. Tu vois où cousin ?
— Oui, oui...
Il ajoute :
— Bon, les filles, c'est pas des Berbères, là. Il n'y a pas une très bonne entente entre les Arabes et nous. Donc, vous deux, pas de conneries, vous vous conduisez bien.
Comme deux gamines Josiane et moi on répond presque ensemble :
— Oui M'sieur Djibril
J'ajoute :
— Mais pipi c'est pressé je vous jure.
Enorme soupir de Djibril qui ronchonne sur "les femmes qui sont des pisseuses." Les cousins s'arrête sur le bord de la route. Josiane et moi, on sort vite de voiture et vu tout ce qu'on a fait aujourd'hui, on estime ne pas devoir s'éloigner. Surtout qu'on n'a pas envie de pisser sur une vipère à corne. On tourne le dos aux Messieurs. Josiane retrousse son tee shirt et moi ma petite jupe. Ni l'une ni l'autre n'a de culotte. Djibril dit :
— Deux salopes sans slip.
C'est mignon... On n'a pas de papier et on n'ose pas demander aux maris de venir lécher, Djibril pourrait s'énerver. On se secoue un peu puis on remonte en voiture, la chatte humide. On repart et on s'arrête enfin devant une station d'essence qui fait magasin. Josiane nous dit :
— Prenez tout ce que vous voulez c'est Robert qui invite.
Robert, c'est qui ? Ah oui, son mari, je l'avais presque oublié. Il faut dire que Julien et lui, ils sont très discrets. On remercie Josiane et on achète des trucs à manger genre Bounty, Mars, Chips, cornes de gazelles (gâteau de miel au miel, comme vous savez). Djibril parle en arabe et le marchand sort d'un frigo 2 packs de bière et 2 bouteilles de vin Skoura. De retour à la voiture, on le boit à la bouteille, il est plutôt bon.
Je me dis que je dois trouver un truc un peu excitant à faire avec lui. Le faire enculer ou sucer la bite d'un dromadaire. Après tout, c'est son voyage de noce, aussi...
On mange, on boit, on a un petit coup de mou, même les jumeaux. On somnole tous, sauf le cousin, enfin j'espère.
A suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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7 aime
Traduction :
Il aime être dominé. Il le veut. De plus, il en a besoin pour se sentir complet. S'il n'en était pas ainsi, je n'aurais jamais eu le cœur de lui faire ça. Je suis une dominante, pas un monstre.
Je ne laisserais jamais aucun vrai mal physique, mental ou émotionnel lui arriver.
Quand il est sous mon contrôle, il est également sous mon attention et ma protection.
Le dominer est la chose la plus tendre et la plus aimante que je ne pourrai faire pour lui. Cela lui permet d'être vraiment lui-même.
Et il n'y a rien de plus précieux qu'il puisse me donner que sa confiance totale et son abandon. Cela me permet d'être vraiment moi même. Nous construisons cette vie ensemble, remplie d'amour, de respect, d'acceptation et de confiance.
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6 aime
Je me demande quel lien l'unit à l'amour ? Sommes-nous dans les cris que nous poussons ou
que nous suscitons dans l'alcôve ? Quelle part de nous-mêmes participe à ces coups de reins,
à la furie des corps embrassés à bouche-que-veux ? De ces feux éteints, que me reste-t-il ?
Rien n'est volatile comme le souvenir de la volupté. Mais quelle denrée périssable que le
plaisir. Le passé n'est pas le temps du désir. Celui-ci s'enflamme et s'enfuit ailleurs aussi vite
qu'il était venu, comme une amante oublieuse et volage. Au présent, c'est le sexe qui nous
tient, nous insuffle ses ardeurs; au passé, il faut faire un effort de mémoire pour rallumer nos
anciennes fièvres. Car ce sont rarement les moments parfaits où tout concourait à l'harmonie
de l'amour et des siens, les instants de la plénitude où la vie rendait justice. Ces heures-là,
douces comme de paisibles siestes, basculent dans l'oubli comme tant de moments du bonheur
passé. Nous ne conservons en souvenirs que les nuits d'excès et les scènes de perversité.
La mauvaise humeur passa. Pas la blessure, qui demeura intacte. Cet échec ne fut pas inutile.
Il me donna matière à réfléchir. Je ne cessais de penser à Charlotte, non plus dans l'espoir d'un
retour d'affection. J'étais trop meurtrie pour remettre en route cette machine à souffrir, mais pour
tenter d'élucider l'énigme de sa conduite. D'autant qu'elle ne fit rien pour se justifier. Je ne reçus
pas de nouvelles d'elle, ni lettre ni message d'aucune sorte. Elle s'était évanouie dans le silence.
Cela fut l'occasion d'un examen de conscience. Avais-je des torts envers elle ? J'avais beau me
livrer à la plus sévère critique de mes faits et gestes depuis notre rencontre, je ne trouvais rien
à me reprocher. Pourtant j'étais experte en autodénigrement; mais en la circonstance, quel que
fût mon désir de me flageller et de me condamner, force était d'admettre que pour une fois,
peut-être la seule dans une vie amoureuse déjà longue et parsemée de petites vilénies, mon
comportement se signalait par son honnêteté. Mais un doute affreux me traversait. N'était-ce pas
justement dans cette honnêteté un peu niaise que résidait mon erreur ? Pourquoi s'imaginer que
les jeunes filles veulent être traitées comme des saintes ou des chaisières ? Peut-être ce respect
n'était-il pas de mise avec elle ? Ne m'eût-elle pas mieux considérée si je l'avais bousculée au lieu
d'accumuler ces stupides désuets préliminaires ? L'amoureuse et la tacticienne, qui dans le succès
amoureux ne font qu'une, s'affrontaient dans l'échec. Elles se donnaient réciproquement tort.
Seule Charlotte détenait la clé qui me manquait. Et encore, je n'en étais pas certaine. Savait-elle
vraiment ce qui l'avait d'abord poussée à accepter cette invitation puis à s'y soustraire ? J'imaginais
son débat intérieur. À quel instant précis avait-elle changé d'avis ? Quelle image s'était présentée
à son esprit qui soudain avait déterminé sa funeste décision ? Pourquoi s'était-elle engagée aussi
loin pour se rétracter aussi subitement ? Parfois, je l'imaginais, sa valise prête, ce fameux jour,
soudain assaillie par le doute. Hésitante, songeant à ce séjour à Belle-Île-en mer, à la nuit passée
à l'hôtel du Phare à Sauzon, au bonheur escompté, mais retenue par un scrupule, un scrupule qui
s'alourdissait de seconde en seconde. Puis la résolution fulgurante qui la retenait de s'abandonner
au plaisir. Et cet instant encore instable où la décision prise, elle balançait encore jusqu'à l'heure
du départ qui l'avait enfermée dans ce choix. Le soir, avait-elle regretté sa défection, cette occasion
manquée, cet amour tué dans ses prémices ? Ou bien était-elle allée danser pour se distraire ?
Danser, fleureter, et finir la nuit avec une femme qu'elle ne connaissait pas, qu'elle n'aimait pas.
Songeait-elle encore à moi ? Souffrait-elle comme moi de cette incertitude qui encore aujourd'hui
m'habite ? Quel eût été l'avenir de cet amour consacré dans l'iode breton ? Eût-il duré ? M'aurait-elle
infligé d'autres souffrances pires que celle-là ? Mille chemins étaient ouverts, tous aussi arides, mais
que j'empruntais tour après tour. S'il est vrai que tout amour est plus imaginaire que réel, celui-ci se
signalait par le contraste entre la minceur de ses épisodes concrets et l'abondance des songeries
qu'il avaient suscitées en moi. Charnel, il devint instinctif mais intellectuel et purement mental. À la
même époque, le hasard me mit entre les mains un livre de Meta Carpenter, qui fut le grand amour
de Faulkner. Ce récit plein de pudeur, de crudité, de feu et de désespoir raviva ma blessure.
Meta Carpenter travaillait comme assistante d'Howard Hawks à Hollywood lorsqu'elle vit débarquer
Faulkner avec son visage d'oiseau de proie; à court d'argent, il venait se renflouer en proposant
d'écrire des scénarii. Il venait du Sud, élégant comme un gandin, cérémonieux. Meta avait vingt-cinq
ans. Originaire du Mississipi elle aussi, c'était une jolie blonde très à cheval sur les principes, qui
vivait dans un foyer tenu par des religieuses. Tout de suite, l'écrivain l'invita à dîner. Elle refusa. Il
battit en retraite d'une démarche titubante. Elle comprit qu'il était ivre. Faulkner revint très souvent.
Chaque fois qu'il voyait Meta, il renouvelait sa proposition, chaque fois il essuyait un refus. Cela
devint même un jeu entre eux qui dura plusieurs mois. Un jour, Meta accepta. À la suite de quelle
alchimie mentale, de quel combat avec ses principes dont le principal était qu'une jeune fille ne sort
pas avec un homme marié ? Elle-même l'ignorait. Elle céda à un mouvement irraisonné. À l'issue de
ses rencontres, elle finit par accepter de l'accompagner à son hôtel. Là dans sa chambre, ils firent
l'amour. Ainsi commença une longue liaison sensuelle, passionnée et douloureuse. Comprenant
que Faulkner ne l'épouserait jamais, Meta se rapprocha d'un soupirant musicien, Rebner qui la
demanda en mariage. Elle finit par accepter. L'écrivain tenta de la dissuader sans vouloir pour
autant quitter sa femme. Il écrivit "Tandis que j'agonise" sous le coup du chagrin de la rupture.
Mais au bout de deux ans, le mariage de Meta commença à chavirer. Elle ne pouvait oublier
l'homme de lettres. Ils se revirent, vécurent ensemble à Hollywood, puis Meta revint avec Rebner
qu'elle quitta à nouveau pour retrouver Faulkner. C'était à l'époque où il recevait le prix Nobel. Leur
amour devenait une fatalité. En Californie, sur le tournage d'un film, un télégramme mit fin pour
toujours à ses espoirs. Faulkner était mort. Cette pathétique histoire d'un amour en marge ne me
consola pas. Bill et Meta, eux au moins, avaient vécu. Ils s'étaient aimés, s'étaient fait souffrir.
Mais que subsisterait-il de cette passion pour Charlotte restée dans les limbes ? Un vague à l'âme
dédié à ce qui aurait pu être, une buée amoureuse qui s'efface. Dans toutes les déceptions qu'apporte
l'amour, il reste au moins, même après l'expérience la plus cruelle, le sentiment d'avoir vécu. Alors
que cet amour sans consistance me laissa un sentiment plus violent que la frustration. J'étais furieuse.
Au lieu de cette irritation due à une passion esquissée, j'eusse préféré lui devoir un lourd chagrin.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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De nouveau des semaines se passent. Madame me veut plus féminine. Ma démarche est trop masculine trouve-telle !
Dans le couloir Madame à mit un papier collant parterre de 5 cm de large sur les 4 mètres de long.
Va me cherchez les pinces à tétons puis tu retires ta robe et ton chemisier. Je suis la devant Madame en bas, talons hauts, slip fendu derrière montrant mes fesses le god dans ma chatte, mon clito dans sa cage. Madame me pose les pinces aux tétons et m’embrasse sur la bouche « tu es parfaites Pat ».
Madame marche se dandine sans erreur sur le papier. Tu dois bien serrer les cuisses pour que tu sentes bien le god dans ta chatte. Attention si tu ne marches pas sur le papier un coup de cravache. Vlan sur mes cuisses nues ! je te suis derrière. Je commence à marcher je suis hésitante, Madame m’assène un coup de cravache « allez marches comme une femme. » Je marche, je fais des erreurs, mes fesses doivent être rouge le calvaire dure 1 heure au moins.
Bon ça suffit pour aujourd’hui vu tes fesses, je ne veux pas abimer ma marchandise. Tu dois faire la même chose chez toi devant une glace. Oui Madame. Tout en retirant les pinces Madame me cause. « Maintenant tu me faire les ongles des pieds avec le vernis carmin ». Assise à ses pieds je m’attelle à ses ongles, nettoyage de l’ancien verni, lime puis la pose du nouveau vernis. Ma main ne tremble plus. Madame me pose des questions, contrôle mes seins. Me rappelle qu’il manque encore un client payant. Madame me caresse la joue « le mois prochain tu en feras 1 de plus ma chérie.
Après les ongles, j’épile à la pince à épilée les poils de son pubis. Mon clito est tellement bien compressé qu’il me fait mal. Le travail fini je masse son pubis avec une crème. Madame ferme les yeux apprécie mon massage intime sur les grandes lèvres. Ses 2 mains écartent les lèvres « suce-moi, je vais t’apprendre à bien sucer les femmes ». Ma langue commence son travail. Madame me guide. Je sens sa liqueur. Je m’attarde sur son clitoris. Madame mouille toujours plus.
« Allonge-toi sur le dos ». Je m’allonge, madame me chevauche sa chatte trempée sur ma bouche se frotte mon nez est dans ses fesses. Madame se frotte toujours plus fortement. Je suffoque. Madame me prend les tétons et les tors au rythme de ses frottements. J’ai mal partout, mes seins ma bouche, mon clito, Madame continue encore et encore, mon clito coule, Madame pousse des râles puis s’assoie sur ma bouche. M’impose sa volonté. J’étouffe. Madame bascule sur le côté. Je respire. « Tu lèches bien, je comprends pourquoi les hommes aiment ta bouche. Je suis contente de mon travail d’éducatrice. Tu es une femelle. Allez retourne faire le ménage.
La sonnette tinte je me précipite pour ouvrir, j’ouvre la porte un homme est la une petite mallette à la main. Bonjour Monsieur. Vous désirez voir Madame. Oui Mademoiselle avec un sourire. Entrez Monsieur. Je referme la porte. « Si vous voulez me suivre » et je marche sur le papier Monsieur doit se demander ce papier.
Arrivée à la porte je frappe. « Entre » Madame c’est un Monsieur qui vous rend visite.
Bonjour Paul c’est gentil de venir me voir ici. Bonjour Madame. Ils s’embrassent sur les joues.
-Paul je te présente Pat à soubrette.
-Bonjour Monsieur Paul.
-Bonjour Pat tu es ravissante
-Merci Monsieur Paul.
-Paul tu veux boire quelques choses.
-Oui un café avec sucre et crème.
-Fais en 1 aussi pour moi dit Madame
Je me dandine vers la cuisine, prépare les cafés. Reviens pose les cafés.
-Paul ma soubrette je la dresse, obéissance totale chez moi, je la féminise toujours plus, regardez sa poitrine elle commence à pointer Pat prends des hormones et est suivi par un docteur. Elle suce tous les sexes divinement. Sa chatte anale est constamment prise par un god.
-Relève ta jupe et montre à Paul tes fesses. Allez. Je relève la jupe.
-Tournes-toi montre ton clito dans sa cage. Voilà godée encagée, hormonée alors Pat contente de m’appartenir
-Oui Madame.
-Va chercher le bandeau!!!
-Oui Madame. Je reviens avec, Madame me mets le bandeau.
-A genoux sur le fauteuil, tu ne dois pas bouger sinon c’est cravache aussitôt tu as compris.
Oui Madame.
Quelques minutes et je sens une main sur mon oreille, puis du froid et tout d’un coup une piqure, je hurle, je reçois 2 coups de cravache.
Puis c’est la même chose pour l’autre oreille du froid et une autre piqure, je crie. Vlan 2 autres coups de cravache. J’ai mal aux 2 oreilles je comprends que l’on vient de me les percées. Les mains s’occupent un liquide ça pique, puis je sens que l’on me pose les boucles. Et après le silence.
Je reste là à genoux sur le fauteuil. Madame me retire le bandeau. Voilà Pat tu as de petites bouches.
Tu dois désinfecter 2 fois par jour jusqu’à ce que les cicatrices soient faites. Je viendrai Mercredi prochain pour contrôler.
-Oui Monsieur Paul.
-Pat tu vas maintenant sucer Paul il veut jouir dans ta bouche à genoux devant lui aller salope obéi !
Je me mets à genoux et je dégrafe ses pantalons baisse son slip et j’enfourne son sexe dans ma bouche. J’ai toujours mal aux oreilles, « suce Salope » en me donnant 2 coups de cravache.
-Vous voyez Paul elle n’est pas encore assez obéissante la cravache ça la motive. Suce allez c’est pour le travail qu’il a fait tu payes avec ta bouche le du. Tu es ma pute Pat.
Son sexe grossi toujours plus il devient raide Madame me pousse la tête pour qu’il soit au fond de ma bouche. Il se raidi encore les mots fusent, « allez-y Paul videz-vous dans cette bouche de salope, elle aime le jus ma pute ». Je sens le jus couler dans ma bouche je ne peux qu’avaler. Son sexe se ramolli.
-Nettoie le Pat, montre comment tu aimes ça.
Monsieur Paul se rhabille. « Votre soubrette suce bien je viendrai régulièrement me vider en elle. J’en parle à un ami qui adore les filles comme Pat ». Je reste là à genoux, Madame le raccompagne et revient. « Bravo Pat tu viens de te faire 2 nouveaux clients, en plus de soubrette soumise te voila ma pute, je suis contente de toi ».
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J’ai grandi dans le culte de la liberté.
Ce mot qui parfois encore orne le fronton de nos écoles et de nos bâtiments public.
Mes parents m’ont toujours laissée libre de mes choix, de conduire ma vie comme je l’entendais.
Me soutenant toujours, sans me juger jamais.
Ils m’ont aussi appris que la liberté avait un corollaire, celle de toujours assumer ses décisions.
Je crois aussi en l’égalité.
Pour moi cela implique que qui que nous soyons, hommes ou femmes, de quelque race, religion, origine, nous sommes d’abord des êtres humains et que nous nous devons de nous respecter pour cela.
Cela m’a conduit à me définir comme « féministe modérée », parce que si je refuse que nous les femmes soyons considérées comme inférieures aux hommes, je ne me reconnais pas dans les outrances de certaines, qui voient dans l’homme un ennemi, le mal (sans e) absolu.
J’ai toujours considéré nos différences, qu’elles tiennent à nos caractéristiques physiques, à nos origine, notre culture, nos désirs comme une source d’enrichissement.
Et ces valeurs je continue de les porter en moi et d’essayer de les faire vivre.
_______________
Mais il y a deux ans, je t’ai rencontré, toi, Maxime, mon mec, mon compagnon, mon Mâle, mon Maitre.
Et ma vie bien organisée, mon obsession de ne jamais dépendre de personne, mon regard sur les hommes en ont été bouleversés.
Tu m’as fait comprendre que s’engager vis à vis d’un autre ne signifiait pas renoncer à être libre.
Que s’offrir à un homme corps et âme, jusqu’à se sentir totalement dépendante de lui n’impliquait pas de cesser de croire en l’égalité des sexes.
Que me prosterner devant toi n’avait rien de dévalorisant puisque je le désirais.
Tu m’a fait découvrir qu’un homme ce n’était pas seulement un partenaire pour le cul, une bite dont je jouissais quand il me baisait.
Au fil des mois, j’ai appris à te connaître, à te faire confiance en toute circonstances, à te respecter en tant qu’homme, à te servir en tant que Maitre.
Je n’ai pas changé dans ce que je crois, dans ces valeurs qui ont jusqu’ici structuré ma vie.
J’ai simplement appris grâce à toi qu’elles n’étaient que plus fortes lorsqu’on les partage.
Merci à toi d’être d’être ce que tu es désormais pour moi.
L’ami, le confident auquel je peux tout confier, sans craindre jamais d’être jugée.
Le compagnon sur qui je sais que je pourrais toujours compter.
L’amant tendre et attentionné que tu sais être souvent.
Le Mâle arrogant fier de sa queue, que je désire aussi que tu sois
Le Maitre qui me permet de jouir de la violence qu’il porte en lui.
Tout simplement toi, Maxime, l’homme qui m’a faite pleinement femme, femelle fière de me soumettre à toi et d’être désormais ton esclave.
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Soirée de Septembre.
J'avais un ex collègue avec qui j'avais décidé de dîner ce vendredi soir sur Paris et en provenance de Bruges, j'avais demandé à Annelore de nous rejoindre.
Lors du dîner dans un petit établissement typique de Montmartre, je voyais que le regard de Christian se posait régulièrement sur Annelore.
Il en était de même d'ailleurs, du regard du Patron de l'établissement qui assurait aussi le service. lui il semblait surtout sous le charme de l'accent Flamand De Annelore.
Je connaissais beaucoup de choses de la vie sexuelle de Christian, car lorsque nous étions collègues, étant plus âgé que moi et surtout vrai Parisien, il m'avait fait visiter tout Pigalle. Je savais donc qu'il adorait fesser des filles.
J'orientais donc la conversation sur le sujet de la fessée en fin de repas, au moment du café.
"Alors Christian, tu as fessé qui dernièrement" ?
Annelore leva les yeux, posa sa tasse et de sa voie gutturale et sonore elle s'adressa à Christian.
"Toi aussi tu aimes taper les fesses, j'aime quand Jean me le fait et tu le fait aussi le fouet"?
Les quelques personnes, encore attablées tournèrent toutes le regard vers nous.
Nos échanges sur le sujet, se firent moins bruyants, mais nul doute que les autres convives de l'établissement tendaient l'oreille.
La petite salle se vida doucement et le Patron nous offrit le dernier verre.
Je profitais de cette petite intimité, nous trois et le Patron, qui s'était assis à notre table pour lui demander si il connaissait un Club sur Paris ou nous pourrions nous rendre pour satisfaire les désirs de mes deux compagnons de soirées.
C'est ainsi que j'obtins l'adresse de "Cris et Chuchotements" et aux mouvements qu'Annelore faisait sur sa chaise , je notais son impatience de découvrir ce lieu.
Nous abandonnâmes notre hôte qui ne put s'empêcher de laisser son regard se poser sur le postérieur de Annelore quand elle franchit la porte et il nous souhaitât une très bonne soirée fortement appuyé, d'un air de dire je sais ou vous allez finir.
Surprise quand nous arrivâmes Rue TRUFFAUT, devant la porte discrète de "Cris et Chuchotements", l'établissement est juste à coté du commissariat du 17ème arrondissement de Paris.
Nous sommes reçu par un Monsieur tout habillé de noir (Pascal le patron qui devint une relation amicale), et qui dans un premier temps nous fis savoir que nous n'avions pas le "dress code", nous les deux hommes et que de toutes les façons il n'y avait personne ce soir là dans son établissement.
Lui expliquant que nous aurions aimé au moins voir son établissement, que Annelore venait de loin, ce que confirmait son accent, Pascal accepta de nous faire rentrer, en nous proposant à Christian et moi, un tee shit noir de la maison.
Nous découvrîmes l'établissement. Derrière la porte un petit comptoir, un vestiaire et les sanitaires et une vue su l'escalier qui menait à la cave. Christian et moi, revêtîmes le Tee shirt et je demandais à Annelore d'aller se mettre nue et de nous rejoindre.
En descendant avec Pascal, Christian et moi, nous pûmes découvrir une première pièce aux couleurs chaleureuses avec un grand Bar. Effectivement l' établissement était vide. Nous commandions un verre à Pascal et avec Christian nous fîmes vite le tour des différentes salles de l'établissement.
Annelore, descendit enfin les escaliers, resplendissante dans sa nudité, ses petits seins fièrement dressés. Même Pascal qui nous avait expliqué que jamais il ne faisait des choses avec les clients et clientes , ne put s'empêcher de laisser passer un petit sifflement, même si il convint très vite qu'il voyait passer très souvent de jolies femmes.
Annelore, appuyée au Bar pu boire son verre de Porto.
Je commandais un deuxième verre pour Christian et Moi et nous allâmes nous installer dans un canapé avec Pascal, pour discuter du lieu et des pratiques.
Je n'avais pas oublié avant de demander une règle, que j'avais posé au sol et j'avais ordonné à Annelore de se mettre à genoux dessus, en nous tournant le dos les mains sur le haut de la tête en accentuant sa cambrure.
Après vingt minutes environ d'échanges avec Pascal, Annelore s'adressa à moi
" Monsieur, j'ai vraiment très mal, je peux arrêter" ?
Ce fut toujours pour moi une marque de Respect envers Annelore, quand elle voulait arrêter, je lui disais oui immédiatement pour que nos pratiques restent plaisir partagé.
Alors qu'elle se relevait pour venir vers nous, la sonnette de l'établissement retentit. Pascal, nous quitta pour remonter vers l'accueil.
"Tu veux toujours poursuivre" ? Liefde (Amour en Flamand)
"oui je le veux, Monsieur"
Pascal redescendit avec un de ses ami mais aussi client.
Dans une petite alcôve à coté du Bar, il y avait un Phallus artificiel, posé sur une tabouret, j'y envoyais Annelore s'empaler dessus et nous attendre.
Christian et moi, en compagnie de Pascal pûmes ainsi discuter avec Philippe, le nouvel arrivant.
Un verre de plus, et Philipe me demanda si il pouvait profiter de Annelore.
Nous nous dirigeâmes tout trois, Christian, Philippe et moi vers l'alcôve, laissant Pascal à son Bar.
Annelore, le visage rosit par le Plaisir ou par l'effort, car elle montait et descendait sur le godemichet depuis un petit moment, nous fixa du regard, cessant ses mouvements pour rester posséder à fond par le Phallus.
"Debout et nettoies"
Annelore, s'exécuta pour enlever le préservatif enfiler sur le Gode et nettoyer le tabouret.
Christian, ne put s'empêcher de passer la main entre les jambes de ma compagne pour constater l'humidité de son sexe. A son regard je compris que Annelore était fortement excitée.
Je dirigeais, Annelore dans la seconde alcôve ou un SLING trônait au milieu de la pièce.
Elle se posa docilement sur le cuir, se laissant attacher par Christian.
Philippe reçu alors mon autorisation de posséder Annelore.
Sa pénétration fut violente, arrachant un cri à Annelore et le SLING se mit a se balancer aux rythmes des mouvemenst de Philippe.
Christian profitant de la disponibilité de Annelore, lui, lui pénétra la bouche.
Les cris de jouissances des deux Hommes et de Annelore sonnèrent la fin de cette première soirée.
Nous nous retrouvâmes au Bar pour un dernier verre et nous éclatâmes de rire quand Annelore nous déclara.
" Les mouvements de la balançoire ça donne mal au cœur"
Je ne pu attendre d'être de retour dans ma propriété de Sologne, pour posséder ma soumise et je lui fis en toute simplicité l'Amour sur une aire d'autoroute de l'A10 entre Paris et Orleans.
(Oui, nous savions aussi nous aimer dans l'acte simple)
A suivre prochainement...
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Après le repas, Maîtresse Chloé passa au salon. Elle me fit m’agenouiller à ses pieds, pour que je puisse les masser longuement. Selon ses envies, elle les portait à ma bouche et me faisait comprendre d’un regard que je devais lécher ou sucer ses orteils. Un pied entre mes lèvres, l’autre jouant avec ma queue et mes couilles, j’étais libre de bander. Maîtresse Chloé m’avait faire jurer de garder cela secret. Caroline n’apprécierait sans doute pas qu’elle m’ait ôté ma cage. Maîtresse Chloé fumait tout en discutant par sms avec une amie lorsque son téléphone sonna. J’étais persuadé que c’était Maîtresse Caroline prenant des nouvelles de son professeur soumis. Cependant, j’étais loin de me douter que ce coup de téléphone m’emmènerait encore plus loin dans l’humiliation et le don de moi.
-Oui oui, il est juste à me pieds… Tu le verrais, une vraie bonniche, bien salope avec son petit tablier blanc, ses bas et son porte-jarretelles. Et je lui ai mis un bon collier de chien. Oui c’est exactement ça ! Il bande comme un âne… Non bien sûr, interdiction de jouir…. Tu crois ? Hmmmm tu me donnes des idées tu sais…. Cela m’excite à mort… oui, une vraie pute tu n’imagines pas !
Mais à qui pouvait bien parler Maîtresse Chloé ? J’avais beau retourner la question dans tous les sens, rien. Aucun indice. J’avais l’impression que ce n’était pas Maîtresse Caroline, ni Ennia. Or elles n’étaient que trois à connaître mon état de professeur soumis, Caroline, Chloé et Ennia. Et bien sûr les deux livreurs, mais la voix que je devinais à travers le haut parleur du téléphone me semblait féminine. Je sentais mon anxiété monter. Qui pouvait bien être dans la confidence encore ? Je n’allais pas tarder à être fixé.
-Tu passes comme prévu ? … Hmmmm oui, avec plaisir, j’adore…. T’inquiète, je vais le préparer et il sera tout à toi…. A tout à l’heure. Fais vite !
Je me concentrai sur les pieds de Maîtresse Chloé. Suçant un par un, délicatement et avec dévotion, ses orteils, je n’osais lever mon regard, même si je sentais parfaitement le sien posé sur moi.
-Patience ma pute ! Dans moins de 30 minutes, tu vas avoir une belle surprise, crois-moi ! En attendant, j’ai envie que tu me lèches un peu ! Cette conversation m’a bien fait mouiller. Viens nettoyer ta Maîtresse ! Allez, respire mon parfum de plaisir !
Maîtresse Chloé jouit rapidement, ma langue sur son anneau mauve pendant que ses doigts virevoltaient sur son clitoris.
Puis elle me prépara. Elle me fit d’abord me déshabiller entièrement, puis passer un ensemble en latex noir, bas, serre-taille à jarretelles. Ce dernier me marquait bien et faisait ressortir mes hanches de pute selon elle. Il y avait, également, des longs gants, une cagoule, un rouge à lèvres brillant et très… rouge pour ma bouche à pipes. Enfin, elle termina par la pose d’un large collier de cuir duquel pendaient deux mousquetons.
-Voilà, tu es prête à accueillir notre visiteuse. Une belle salope ! viens, approche ! que je te fasse bander encore un peu plus dur.
Maîtresse Chloé me fit avaler une pilule bleue puis me masturba lentement, d’un geste ample le temps que le viagra fasse effet. Lorsqu’elle me jugea assez gonflé, elle me posa un cockring en cuir, très serré ce qui eut pour effet immédiat de faire saillir mes veines. J’étais gros, gorgé de sang, ultra sensible.
-Hmmm parfait pour te travailler la queue ! Ce soir, j’ai envie de te faire mal ma salope ! Je veux t’entendre couiner. On veut t’entendre couiner !
Maîtresse Chloé avait à peine prononcé sa phrase que la sonnette retentissait.
-Va ouvrir ! et fais moi honneur ma chienne !
J’ouvris la porte, le regard baissé, les yeux fixés sur deux magnifiques pieds chaussés d’escarpins à bride puis sur des jambes gainées de bas noirs.
-Madame, puis-je vous prier d’entrer s’il vous plaît ?
Je m’agenouillai immédiatement pour venir baiser ces divins pieds, comme Maîtresse Caroline m’avait appris à le faire. Il s’agissait d’une marque de déférence envers toute femme pénétrant dans son appartement. L’inconnue m'interpella d’une voix dure :
-Debout petite pute ! débarrasse moi de mon manteau !
Je connaissais cette voix. Trop bien même. C’était celle de Christelle, la responsable des programmes de l’école dans laquelle j’enseignais. Nous avions eu une petite aventure, deux semaines environ après mon arrivée dans l’équipe enseignante. Une aventure d’un soir. Nous étions restés bons amis, enfin sans plus. Des rapports très cordiaux. Je n’osais pas lever les yeux.
-Hmmm si j’avais su…. Je t’aurais prise en main dès le premier soir. Et tu serais maintenant ma petite chienne personnelle ! Regarde moi, allez ma salope !
J’étais tétanisé. Je tardais un peu trop au goût de Christelle. La gifle fut immédiate.
-J’ai dit regarde moi !!! Chloé, tu permets qu’il enlève sa cagoule ? J’ai envie de le voir sans. Je suis sûr qu’il se sent un peu protégé sous ce latex. Allez ! Montre moi ton vrai visage !
Sous la menace d’une seconde gifle, j’obéis sans rechigner. Et je plantais mon regard dans celui de Christelle. Elle était belle, hautaine, et son sourire méprisant me fouillait le fond de l’âme, martyrisant ce qui me restait de fierté masculine. Mais c’était ses mots qui m’humiliaient le plus !
-J’adore… ça joue les mâles séducteurs dans le couloirs, mais ça bande quand on la traite comme une petite pute soumise ! Je me demande encore comment j’ai pu ne pas le deviner!
Christelle empoigna mes couilles et les tordit brutalement.
-Regarde moi salope !!!
La douleur et l’humiliation me mettaient au bord des larmes.
-Pour une surprise, tu m’as bien eue Chloé, bravo ! Je ne m’y attendais vraiment pas…. Hmmmmm petite pute, ta vie va changer à l’école, j’espère que tu en es bien conscient ! Finis de jouer les petits profs ! tu es une pute, et il me plairait assez que cela se sache pour que tu sois traitée en tant que telle. Une belle chienne… Dis moi Chlo, elle a goûté la queue déjà ?
-Oui, bien sûr. Et elle a adoré je te promets. Tu veux voir la video ? On en a fait un montage avec Caro. Tu vas aimer j’en suis certaine.
Maîtresse Chloé projeta ma séance avec les deux livreurs sur le grand écran du salon. Christelle, ou plutôt Maîtresse Christelle se régala du spectacle, sans être avare de commentaires.
-Dis donc petite pute, mais c’est que tu aimes ça !!! Une vraie suceuse pro… Wouhaouh !!! Je n’y crois pas… tu la prends en entier ???? T’es un vrai garage à bite ! Quelle salope… elle en redemande, mais t’as vu ça Chloé, elle s’encule elle même sur la queue du black ! J’hallucine ! Vous en avez fait une super pute. C’est génial ! J’ai hâte de l’essayer…. je suis super excitée maintenant ! Tu vas prendre cher ma petite salope !
Pendant toute la durée du visionnage, j’avais servi de repose pieds pour mes deux Maîtresses. A quatre pattes, le visage tourné vers l’écran pour bien voir mes prestations de chienne en chaleur selon les propres mots de Chloé. Je bandais. J’étais une pute, mes Maîtresses avaient raison, et me voir sucer, me faire enculer, lécher, embrasser, avaler le foutre de mes Maîtres livreurs, cela me rendait fou de désir.
Mes Maîtresses dominatrices se levèrent et m’ordonnèrent de m’agenouiller, face à elles, cuisses écartées. Maîtresse Chloé s’adressa à son amie :
-J’ai envie de le rendre dingue, pas toi ? Regarde, il bande déjà bien ! Le petit film l’a bien excité je crois. Et la pilule que je lui ai fait avalé tout à l’heure a l’air de bien faire son effet. Il va bander pour nous pendant plusieurs heures, comme ça on va bien en profiter. Je t’avais dit que je t’offrirai un jouet pour ton anniversaire, le voilà…. une petite pute docile, une salope à baiser sans retenue !
Maîtresse Christelle enlaça Maîtresse Chloé et déposa un baiser sur ses lèvres.
-Hmmm ! j’adore ton cadeau Chloé ! Regarde, la pute, regarde tes Divines Maîtresses. Tu vas te branler sans nous quitter des yeux, mais interdiction de jouir. Si tu désobéis, je te fais souffrir, t’as bien compris salope ?!!
-Oui Maîtresse Christelle, à vos ordres !
-Regarde bien, et profite du spectacle de tes deux magnifiques Maîtresses !
-Magnifiques ? Sublimes tu veux dire ma chérie ! : répliqua Maîtresse Chloé en éclatant de rire avant d’embrasser, très sensuellement, son amie.
Mes Maîtresses s’embrassèrent et se caressèrent longuement face à moi. Spectacle saphique divin, le plus excitant qu’il m’ait été donné de contempler. Deux femmes aux corps sublimes, à la sensualité extraordinaire. La beauté, la féminité à l’état pur. Comment ne pas désirer servir, vénérer, adorer. Comment ne pas comprendre qu’un mâle n’atteindra jamais un tel niveau de perfection ?
Alors que je me branlais très lentement, en me concentrant pour ne pas me faire jouir, je dévorais des yeux ces deux sublimes jeunes femmes. Je les aimais je crois, j'étais fier d’être autorisé à les regarder, fier d’être à leurs pieds. Mais mon corps réclamait son dû. Et sans y faire attention, le rythme de mes doigts accélèrait. J'étais grisé par ce que je voyais, hypnotisé par leurs langues qui jouaient, par leurs mains qui effleuraient, caressaient, par leurs soupirs de plaisir. J'étais dans un état second, et ma frustration sexuelle prenant le contrôle de mon esprit. J’oubliais les ordres, l’interdiction, je redevenais la salope assoiffée de jouissance, je me branlais, queue tendue vers mes Maîtresses, je gémissais, râlais et accélèrerais encore le va-et-vient de mes doigts sur ma hampe.
Mais le plaisir refusait de monter. L’effet du viagra sans doute combiné à celui du cockring que je portais très serré. J'étais dur comme je ne l’avais jamais été, mais je n’arrivais pas à jouir. Je crachais dans ma main pour mieux me lubrifier. Dans mon délire sexuel je remarquais à peine que mes deux divines Maîtresses me regardaient.
Maîtresse Chloé mis un quart de seconde à réagir. Elle saisit la cravache et se précipita vers moi avant que je ne réalise vraiment ma désobéissance. Le premier coup s’abattit dans le mouvement, directement sur ma main. Je lâchai ma queue et poussai un cri.
-Sale truie, qui t’a autorisé ??!!! Hein ??? Sale pute !!! Je comprends pourquoi Caro te laisse en cage ! Garde ta position, tends ta queue vers moi… Salope, je vais t’apprendre à chercher à jouir sans autorisation !
J'étais à genou, je me penchai en arrière, prenant appui sur mes mains et je tendis mes hanches vers Maîtresse Chloé. Mon hypnose s’était évanouie.
J’eus peur soudain, et je bredouillai des excuses :
-Pardon Maîtresses, je vous supplie… vous êtes si belles… je..
La cravache s’abattit directement sur ma queue tendue. Je hurlai de douleur.
-Ta gueule sale truie ! T’as oublié que tu n’es pas autorisé à parlé ?!!! En position ! Je vais te faire passer l’envie de te branler ! A ton avis Chris, comment pourrait-on la calmer notre salope en rut ?
-Hmmm je pense qu’il faut lui faire très mal. Je ne vois que ça… Vas-y, 10 coups pour commencer. Ensuite 10 pour moi. Non, 20 pour moi. C’est moi qui lui ai donné l’ordre de se branler, sans jouir. C’est à moi qu’il a désobéi, et j’ai trop envie de le voir souffrir pour payer. Tiens, on va lui mettre le bâillon-boule. Comme ça on pourra le corriger sans retenue. Attends, j’ai une idée… Lèves toi la pute, et allonge toi sur le banc ! Vite !
Je me plaçai allongé sur le petit banc recouvert de cuir, sur le dos. Mes Maîtresse m’attachèrent rapidement poignets et chevilles. Maîtresse Christelle pris une cordelette et l’attacha à l’anneau fixé sur mon cockring, puis elle tira de façon à ce que ma queue, toujours bandée au maximum, reste bien droite, tendue vers le plafond.
-Voilà, maintenant on va pouvoir le punir tranquillement. Tu n’es qu’une petite salope qui mérite d’être corrigée. Peut-être que la douleur va te faire comprendre… Vas-y Chlo, à toi l’honneur !
Maîtresse Chloé tenait toujours la cravache dans sa main. Elle s’approcha et commenca à caresser ma hampe avec la pointe de son instrument de dressage, qui glissa sur mes couilles, douloureuses et gonflées à exploser. J’avais mal. La pression exercée par le cockring, la jouissance réfrénée, ma queue dure était devenue la source d’une douleur diffuse mais constante.
Je hurlai lorsque Maîtresse Chloé frappa un premier coup sur mon gland offert. Elle frappa sèchement. Je me tordis, ruai solidement fixé au banc.
-Calme toi salope, c’est juste le début ! Allez, on enchaîne…. couilles, gland… couilles, gland….!
Maîtresse alterna les coups. Vifs, durs. L’objectif était la souffrance du soumis. La punition. La douleur comme moyen de dressage. Je hurlai sans cesse, mon corps tendu, mes larmes coulant. En fait, je subis la correction sans aucun moyen de fuite. Je repris difficilement ma respiration lorsque Maîtresse Chloé annonça victorieusement :
-Et de 10 !!! A toi Chris… vas-y, lave l’affront que t’a fait cette petite truie obsédée. Fais la bien souffrir, qu’elle comprenne…!
Je ne cessai pas de bander. La douleur irradiait tout mon bas ventre mais ma queue restait obstinément dure, gorgée de sang. Les coups de cravache sur mon gland m’avaient rendu ultra sensible. Quant à mes couilles, la douleur que je ressentais me coupait presque le souffle. Je n’avais jamais connu ce niveau de douleur. Même lors des solides corrections que m’avait déjà infligées Maîtresse Caroline. J’essayai de me contrôler, tant bien que mal, pour pouvoir encaisser la suite.
Maîtresse Christelle enfila une paire de gants en latex.
-Je vais d’abord le faire durcir encore un peu, enfin si c’est possible ! Dis Chlo, tu lui as donné une dose de cheval ou quoi ? Normalement, une bonne correction, ça les fait toujours débander les petites salopes dans son genre ! C’est parfait. La punition sera plus efficace. Allez petite chienne… c’est mon tour de te faire souffrir !
Maîtresse fit couler du lubrifiant sur ma queue et mes couilles et m’empoigna sans aucun ménagement. Elle me branlait d’une main, en me serrant très fort et en insistant bien sur mon gland. Son autre main pressait et étirait mes couilles. Je hurlai. Ses caresses étaient dures et dans mon état de sensibilité, elles ne firent que relancer la douleur qui s’apaisait un peu. Maîtresse Christelle éclata de rire et accélèra sa masturbation, en concentrant ses caresses sur mon gland.
-Hmmm je le sens durcir, je te jure. Un vrai morceau de bois… allez, encore un peu…. hmmm je sais que tu aimes ça, souffrir pour ta Maîtresse. Moi ça m’excite, tu ne peux pas savoir à quel point… Allez, assez joué, je suis obligée de te punir. Enfin, non, j’ai envie de te punir !
Nouvel éclat de rire. Maîtresse Christelle lâcha mon sexe et enlèva ses gants. Elle pris une des bougies allumées sur la table basse et l’amèna au dessus de mon bas-ventre.
-J’adore jouer avec ça… !
Je me tendis de toutes mes forces dans mes liens lorsque Maîtresse versa une bonne dose de cire chaude sur mon gland. Elle tint la bougie assez près de ma queue. La cire n’eut pas le temps de refroidir lorsqu’elle entra en contact avec la peau fine et ultra sensible. Je hurlai à travers mon bâillon, mais cela sembla exciter encore plus Maîtresse Christelle. Elle pris tout son temps pour recouvrir entièrement mon gland. La cire coula le long de ma hampe.
Maîtresse se recula un peu pour admirer son œuvre.
-Bon, maintenant que j’ai fait la tige, passons aux couilles ! Chlo, tu peux me passer une autre bougie s’il te plait ? La grosse là, elle est bien pleine !
Maîtresse Christelle versa la cire en une seule fois. Mon hurlement, difficilement étouffé par le bâillon, n’eu pas de fin. Mes couilles se recouvrirent d’une gangue de cire… Je perdis presque connaissance sous la douleur. Dans un état second, je perçevais à peine ce qui se passait autour de moi. Je ne voyais plus le sourire sadique de satisfaction de Maîtresse Christelle.
-J’avais dit combien déjà ? 20 coups c’est ça ? Maintenant, faut enlever la cire ma salope. Tu vas déguster. Je commence par quoi à ton avis Chloé, couilles ou queue ?
-Attends, j’ai envie de bien profiter du spectacle…!
Maîtresse Chloé enlèva mon bâillon et le remplace par un bâillon-god. Une petite partie, courte et large vint se loger dans ma bouche. L’autre, un beau sexe noir, veiné, se dressa au dessus de ma bouche…. Maîtresse Chloé vint s’empaler sur le god, m’offrit une des vues les plus sublimes de Paris.
-Voilà, maintenant je suis aux premières loges. Je vais pouvoir me faire jouir pendant que tu finis la punition… prends ton temps Chris ! Tout ton temps… et commence par les couilles. On garde le gland pour le final !
Maîtresse Christelle mania la cravache avec précision. Plusieurs coups furent nécessaires pour enlever la carapace de cire qui recouvrait mes couilles. Je hurlai, ruai, solidement attaché à mon banc de torture. Maîtresse Chloé chevauchant mon bâillon-god. Son miel de plaisir coulait sur mon visage. Maîtresse Christelle avait suivi sa demande… elle espaçait les coups de cravache, pour permettre à son amie de faire grimper son plaisir palier par palier. Je n'étais que douleur. Mes couilles martyrisées provoquant une décharge électrique continue, insupportable.
Maîtresse Christelle saisit la base de ma queue et se réjouit :
-Il me reste 13 coups…hmmm bien plus qu’il n’en faut pour débarrasser toute cette cire…. Vas-y Chlo, baise toi bien sur cette belle queue. Et toi la pute, jouis du spectacle, le cul de ta Divine Maîtresse et sa chatte bien ouverte… regarde… respire son parfum… tu as de la chance tu sais !
Maîtresse Christelle compta à voix haute, et frappa. Avec précision. Chaque coup m’arracha un hurlement étouffé. En dépit de la douleur fulgurante chaque fois que le cuir venait me frapper, je bandais. De plus en plus dur j’aavsi l’impression. Mon corps ne répondait plus, je ne comprenais plus rien. Je souffrais atrocement mais je bandais et j'étais excité.
Dans un état second, je subissais, et….. j’aimais cela. Serait-ce ça le « subspace », cet état presque de transe, provoqué par la douleur lors de jeux Sm ? J’avais déjà lu à ce sujet… jamais encore je ne l’avais expérimenté.
-Et de vingt !
Maîtresse Christelle était radieuse. Elle contemplais ma queue débarrassée de sa cire, mon gland torturé, gonflé à éclater. Maîtresse Chloé avait joui au 11ème coup, inondant mon visage de sa liqueur. Elle restait empalée sur le god, pendant qu’elle retrouvait son souffle. Maîtresse Christelle vint s’empaler sur ma queue, d’un seul coup. Face à son amie. Elles s’embrassèrent longuement. Je sentais Maîtresse Christelle coulisser sur ma hampe. La chaleur de son ventre, de son désir, apaisait un peu ma douleur. Comme une anesthésie. J’avais mal, mais ce que je ressentaiss, emprisonné par les chairs brûlantes de celle qui fut mon amante d’une nuit, était au delà. Au delà du plaisir pur, au delà de la douleur. Un autre état.
Maîtresse Chloé recommença à s’empaler sur le bâillon god, suivant le rythme de Christelle baisant ma queue. Les deux Maîtresses laissèrent monter leur plaisir, s’y abandonnèrent et jouirent ensemble en unissant leurs cris. Je n’existais plus en cet instant. Je n'étais rien. Un simple objet de plaisir. Ni vivant ni mort, la question n’avait aucune importance, juste un ustensile dont elles se servaient pour se rejoindre dans l’orgasme.
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C'était une île sous l'archipel des étoiles. Le matelas posé à même le sol sur la terrasse chaulée
semblait dériver dans la nuit obscure de Pátmos. La douce brise de mer tiède comme une haleine
étreignait un figuier dans un bruit de papier froissé, diffusant une odeur sucrée. Le ronflement du
propriétaire s'accordait aux stridulations des grillons. Dans le lointain, par vagues, parvenait le
crincrin d'un bouzouki. Le corps hâlé de Charlotte semblait aussi un îlot; majestueux, longiligne
et hiératique comme un kouros de Náxos, il paraissait tombé d'une autre planète sur ce matelas
mité. Aucun luxe ne pouvait rivaliser avec la splendeur qu'offrait ce dénuement. Quel lit de duvet,
quelle suite royale des palaces de la place Syndagma, de l'hôtel d'Angleterre ou du King George,
pouvait dispenser de la magnificence d'un plafond aussi somptueux que cette voûte étoilée ?
Que de péripéties, d'efforts, de fatigues, devenus subitement lointains, nous avaient jetées dans
cet asile sans murs, sans fenêtres et sans toit. C'était le charme de ces voyages d'île en île où les
bateaux se délestent de leurs lots de passagers abandonnés sur le port; à eux de se dénicher un
gîte au hasard de la chance. Plus de chambre à l'hôtel, ni chez l'habitant, alors on trouve refuge
n'importe où, sur le parvis d'une église, sur les marches d'un escalier. Cette fois, faute de mieux,
on m'avait proposé ce toit en terrasse où le propriétaire devait venir chercher un peu de fraîcheur
par les nuits de canicule. Ni la couverture râpeuse qui sent le bouc, ni le matelas en crin, ni les
oreillers confectionnés avec des sacs de voyage enveloppés dans des foulards ne font obstacle
à la féerie de la nuit grecque. Charlotte acceptait sans rechigner ces vicissitudes du voyage.
À la palpitation des étoiles éclairant le temps immobile des sphères répondait le frémissement
des corps. J'étreignais Charlotte, j'embrassai son ventre avec le sentiment de saisir cet instant, de le
fixer, de l'immortaliser. Ce que je détenais entre mes bras, ce n'était plus seulement elle, son monde
de refus obstiné, son orgueil aristocratique, mais la nuit intense et lumineuse, cette paix de l'éternité
des planètes. Le plaisir me rejeta dans un bonheur profond. Je ne m'éveillai que sous la lumière
stridente du jour qui, dès l'aube, lançait ses feux. Une violence aussi brutale que doit l'être la naissance
qui nous projette sans ménagement dans la vie. Je maudissais ce soleil assassin, tentant vainement
d'enfouir mes yeux sous la couverture à l'odeur de bouc. Le paysage des maisons cubiques d'un blanc
étincelant qui s'étageaient au-dessus de la mer me fit oublier la mauvaise humeur d'une nuit écourtée.
Des autocars vétustes et brinquebalants transbahutaient les touristes dans des nuages de poussière.
Une eau claire, translucide, réparait les dégâts de la nuit. Nous étions jeunes et amoureuses. Au retour
de la plage, j'échangeai notre toit contre une soupente aux portes et aux solives peintes dans un vert cru.
Nous dînerions dans une taverne enfumée, parfumée par l'odeur des souvlakis, d'une salade de tomates,
de feta, de brochettes, en buvant du demestica, un vin blanc un peu râpeux. Et demain ? Demain, un autre
bateau nous emporterait ailleurs. Notre sac sur l'épaule, nous subirions le supplice de ces périples sur des
navires à bout de souffle. Tantôt étouffant de chaleur dans des cabines sans aération, tantôt allongées
contre des bouées de sauvetage dans les courants d'air des coursives humides d'embruns. Où irions-nous ?
À Lesbos, à Skiatos, à Skyros, dans l'île des chevaux sauvages, d'Achille et de Rupert Brooke ?
Je me souviens à Skyros d'une chambre haute et sonore des bruits de la ruelle maculée de ce crottin des
petits chevaux qu'on laissait sur le sol blanchi comme s'ils provenaient des entrailles sacrées de Pégase.
Des ânes faisaient racler leurs sabots d'un air humble et triste, écrasés sous le faix, chargés non pas de la
légende mais des contingences du monde. La chambre meublée de chaises noires caractéristiques de l'île
était couverte de plats en faïence. La propriétaire, méfiante, s'en revenait de traire ses chèvres et d'ausculter
ses fromages, parfumée de leurs fragrances sauvages, regardait nos allées et venues avec un œil aiguisé de
suspicion comme si l'une et l'autre, nous allions lui dérober ses trésors. Que de soleils roulèrent ainsi.
Chaque jour l'astre éclairait une île nouvelle, semblable à la précédente. Les jours de la Grèce semblaient
s'égrener comme les perles des chapelets que les popes barbus triturent de manière compulsive. Charlotte
aimait ses paysages pelés, arides. La poussière des chemin ne lui faisait pas peur. Elle ne manifestait aucun
regret devant la perte de son confort. Cette forme de macération qui la coupait de ses habitudes et de ses
privilèges, lui montrait le saphisme comme un nouveau continent. Un continent intense tout en lumières et
en ombres, éclairé par la volupté et nullement assombri par la culpabilité. L'amour n'avait pas de frontières.
Nous protégions ainsi notre amour hors des sentiers battus, dans des lieux magiques qui nous apportaient leur
dépaysement et leurs sortilèges. En marge de la société, condamné à l'errance, ce fruit défendu loin de nous
chasser du paradis semblait le susciter chaque fois sous nos pas. Mais la passion saphique qui fuit la routine
où s'enlise et se renforce l'amour pot-au-feu n'a qu'un ennemi, le temps. Ce temps, il est comme la vie, on a
l'impression quand on la possède qu'on la gardera toujours. Ce n'est qu'au bord de la perdre qu'on s'aperçoit
combien elle était précieuse. Mais il est trop tard. Nous étions deux jeunes femmes, innocentes et amoureuses.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Le mercredi suivant je suis chez Madame à faire le ménage toujours encagée et godée, Madame joue avec la douceur et la punition d’un instant à l’autre elle me fouette et m’embrasse après, me donne des ordres. La sonnette retentit « vas ouvrir Pat, J’ouvre un homme est là une sacoche à la main, « entrez Monsieur »
Je l’amène voir Madame.
Bonjour docteur comment allez-vous dit Madame
Très bien la routine dans mon cabinet, suis content de vous voir.
Pat je te présente le docteur.
Enchantée Docteur.
Bonjour Pat, cela te va bien tu es ravissante avec ce collier. Depuis combien de temps es-tu la soubrette de Madame.
Quelques mois déjà Docteur.
Madame s’occupe bien de toi, elle te traite bien dit-moi.
Oui Docteur, elle m’éduque pour être une bonne soubrette soumise.
Enlève ta jupe et ton chemisier que je vois cela.
« Allez Pat le Docteur en a vu d’autre obéi. »
J’enlève mon chemisier, retire ma jupe.
Le slip aussi Pat le Docteur va te contrôler.
Je retire mon slip gêné.
Vient ici Pat que je contrôle.
Il me prend les tétons les tires un peu, palpe. « Ils sont développés et très sensible Pat » en tirant dessus. Aie. Tu as déjà un peu de poitrine aussi Pat.
Docteur chaque semaine je lui travaille les tétons déjà pour cela qu’ils sont plus gros.
Ho que c’est joli cette cage Pat tu la porte souvent.
Oui Docteur c’est Madame qui a la clef et qui de temps en temps me la retire où me l’installe.
La canule dans l’urètre tu supportes Pat.
Oui docteur.
Allonge-toi sur la table Pat sur le dos que je vois ça de près.
Allongée, le Docteur dévisse la canule et la sort. Un long tuyau flexible sort. Le Docteur contrôle puis ouvre sa sacoche et sort un tuyau le coupe de la même longueur, Pat je vais te mettre une canule un peu plus large de 1mm de diamètre en plus, cela te permettra de mieux uriner.
Il installe la vis sur la canule la lubrifie et commence à l’enfoncer. Je sursaute un peu.
Tu sais si je fais des vas et vient comme ça tu vas jouir sans être excitée Pat.
Montrez-moi ça Docteur dit Madame. Le Docteur entre et sort la canule et après quelques va et vient je sens mon sperme sortir de mon clito. Voilà Pat a joui sans autre, elle va avoir un peu mal pour uriner, mais rien de grave, il faut bien nettoyer maintenant, la rincer et la désinfectée avant de la remettre
Madame prend la canule « suce Pat, nettoie la bien aspire bien ton jus. Elle aime le sperme Docteur une vraie gourmande. » je suce aspire et lèche. Le docteur la désinfecte et la remet dans mon clito et la visse.
Bon Maintenant je vais contrôler ta chatte anale « mets-toi sur le ventre Pat »
Le Docteur sort mon god contrôle après avoir mis des gants
Elle est bien ouverte ta chatte Pat !
Oui docteur Madame me fiste et y entre sa main.
Jolie chatte bien lisse et bien ouverte très propre félicitation dit le Docteur à Madame.
Tout cela est en ordre et il remet le god en place.
Donc je vais te donner des hormones que tu devras chaque jour mettre sur tes bras ou jambes. Je vais te montrer.
Il sort un tube doseur et met 3 petite dose sur chaque bras, prend une règle dans sa sacoche et étale le gel, « Madame c’est la même odeur et le même froid que le gel que vous mettez sur les fesses pour les rendre fermes. »
Il y a tellement de gel qui se ressemble dit le docteur, une fois le gel étalé tu laisses sécher après quelques minutes il rentre dans la peau et diffuses les hormones. Tu ne dois pas en mettre plus pour le moment et surtout pas sur la poitrine comprit Pat. Voilà 4 tubes.
Oui docteur.
Bon Madame votre soubrette commence le traitement je viendrai régulièrement la contrôler et lui remettrai des tubes en fonction. Ça va
Combien nous vous devons Docteur demande Madame.
Je pense que vu la discrétion le mieux c’est que Pat me paye une partie en nature et qu’elle s’arrange avec Madame pour le solde.
Bonne idée Docteur, Allez Pat tu as compris.
Oui Madame.
Pendant que je range mes affaires je peux avoir un café.
Oui bien sur Pat allez va faire un café au Docteur.
Le café servi. Pat vient me sucer dit le docteur. Je me mets à genoux dégrafe ses pantalons les baisses, baisse le slip et j’englouti le sexe du Docteur, il me pilonne la bouche et joui très vite, voilà Pat avale bien montre au Docteur comme tu aimes ça. Maintenant lèche le bien nettoie correctement sa queue.
Le Docteur se rhabille, je reste à genoux la bouche avec son gout. Madame raccompagne le Docteur et revient.
Bon Pat voilà une bonne chose de faite. Ton traitement débute, Tu sais maintenant comment tu vas payer une partie. Il reste le solde que j’avance au Docteur pour chaque visite.
Tu as une idée Pat pour le solde chaque mois.
Je reste dubitative sans voix. Madame enchaine j’ai peut-être une idée Pat.
Oui Madame.
J’ai des connaissances je peux leurs dire de venir te baiser comme vient de le faire le Docteur mais eux ils te donnent les sous et après tu les donnes au Docteur. Il faudrait 2 ou 3 hommes par mois. Je fais passer le mot à Charles, Olga et le Docteur. Ça ne change rien pour toi.
Oui Madame je veux des seins comme Olga, alors je ferai comme vous dites. Depuis le début je vous fais confiance Madame. Merci à vous et je lui saute au coup comme une gamine de 16 ans.
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J’ai toujours aimé voyager.
Découvrir d’autres horizons, d’autres cultures, laisser du temps au temps.
J’aime les paysages d’Asie, les rizières à perte de vue.
Le Maroc et son passé impérial, New York et l’Ouest américain.
J’ai adoré l’an dernier découvrir le Québec grâce à toi.
Et te sucer à genoux dans notre chambre du 17ème étage face aux chutes du Niagara.
Cette année Covid oblige nous sommes restés en France, alternant les escapades de quelques jours et une dizaine de jours en Normandie.
Tu m’as fait découvrir les plages du débarquement.
Et un hôtel merveilleux, niché dans la campagne normande, les petites rues et les musées de Bayeux.
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Je connaissais l’histoire, moins bien que toi néanmoins, celle de ces centaines de milliers de jeunes hommes, américains, anglais, canadiens, neo-zélandais débarquant une nuit de tempête sur les plages du Cotentin et de la Manche.
Très peu de français, parce que de Gaulle n’avait été prévenu que peu de temps auparavant.
Et aussi parce que Roosevelt, cousin par alliance de Laval, ne voulait pas des Français libres pour pouvoir faire de la France libérée un protectorat américain.
Pourtant, face aux croix blanches du cimetière d’Omaha, quand tu m’a pris la main, j’ai ressenti que nous communiions dans la même émotion, la mémoire de tous ces boys à qui nous devions notre liberté.
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Le soir de la visite du cimetière américain, nous avons été dîner à Bayeux.
Et, au retour, tu es repassé par la côte, vide de touristes désormais.
Tu t’es arrêté face au petit bunker sur la côte de Saint Laurent, tu m’y a entraînée, nous y sommes entrés et là, à côté d’un canon antiaérien allemand rouillé, je t’ai sucé et nous avons joui.
Cet hommage au sacrifice de milliers de jeunes hommes n’avait pour nous rien d’obscène ou de vulgaire. C’était l’hommage de la vie à ceux qui étaient tombés, grâce auxquels nous avions la chance d’être libres, vivants, ensemble.
Plus que jamais ce soir là, ton foutre a eu pour moi le goût du sacré.
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Les vacances touchent à leur fin.
Comme toujours quand je suis avec toi, j’ai profité de chaque instant passé ensemble.
Plus encore peut-être cette année, au vu du contexte et de ces lieux de mémoire que tu m’a fait découvrir.
Merci à toi, Maxime.
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Ça avait tout d'un flirt...moi l'animateur, elle l'instit.
Un jour dans sa classe elle m'a dit pas chiche...puis, elle a compris ma main dans sa culotte très humide que si...chiche.
Elle, si belle. Mais qui se détestaient tellement....elle était de ces femmes que l'on dit grosse. Moi je la trouvait sublime.
Le dressage est venu vite....un jeu proposé, un ok...j'étais le maître....elle l'esclave. Elle n'avait pas de collier...juste une petite corde...qu'elle devait porter qd je lui ordonnais...avec preuve photos a l'appuis...une fois sur le sein...une fois en travers de sa fente magnifique.
Il n'y avait aucune limite dans nos jeux...j'espérais la voir atteindre des sommets de plaisirs.... c'était mon but...puis la vie nous a séparé....
Peut être trouverai écho en toi...qui est quelque part, iciou ailleurs.... peut-être
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De nouveaux 3 semaines, manicure, ménage, changement de douche, Madame est ravie, pas un mot de Olga, Elle m’offre à des inconnus avec ou sans capote, je deviens une vide couilles. Elle m’annonce que mercredi prochain elle aura 2 amis à manger et que je dois faire un bon service.
Même procédure, presque le même repas qui doit venir 11h30 ça sonne Olga est là je l’embrasse un monsieur est derrière elle que je n’avais pas vu. Bonjour Monsieur, Bonjour Pat.
Je les amène au salon, je frappe et j’ouvre la porte ils entrent je prépare l’apéritif, Madame trinque avec Olga, Chéri je te présente Pat la soubrette. Pat je te présente Charles mon mari Bonjour Monsieur Charles Ils commencent à boire
Mais la soubrette a aussi droit à un apéritif non !! Bonne idée Olga.
D’un ton sévère Olga me dit « Pat à genoux devant Charles, ouvre sa braguette descend ses pantalons, ainsi que son slip allez maintenant suce Charles et fait le jouir c’est ton apéritif ». A genoux je suce Charles iil apprécie ma bouche. Olga m’encourage vas-y Pat suce bien. Charles se laisse faire. Son sexe grossit, ça sonne à l’entrée Madame me dit continu Pat je vais y aller. Puis revient c’était le traiteur. Charles commence à me pilonner la bouche, donne son verre à Olga et me bloque la tête sa queue bien au fond et joui Olga m’encourage vas-y Pat avale, Madame relève ma jupe et me donne des coups de cravaches, continue pompe-le encore. Charles se retire de ma bouche, Nettoie-le Pat il y a encore ton apéritif dessus, avec la langue bien propre. Remonte-lui son slip et ses pantalons. Tu as vu Charles la bouche de Pat c’est un plaisir, depuis qu’elle est à mon service elle à chaque fois une queue ou deux. J’ai de très bons amis.
Olga annonce qu’elle a un cadeau pour moi la soubrette, je souri, et me tend une boite avec un joli ruban. Ouvre ton cadeau Pat. Je défais le nœud enlève le papier et le couvercle. Un objet en métal, Olga commente l’objet c’est une cage de chasteté pour son clito.
Madame la prend en main regarde surprise « Bonne idée Olga je vais lui installer, elle est gâtée après son apéro une cage. Relève ta jupe enlève ton slip fendu, penche-toi en arrière sur le fauteuil je m’exécute, Madame m’installe la cage elle est très petite cela me serre, le clito est compressé dans la cage. Tiens voilà le cadenas, Charles assis dans un fauteuil assite à la scène. Olga me caresse le visage, me sourit, m’embrasse tendrement, La cage est en place dans la boite il reste un tube flexible. C’est pour mettre dans son clito la canule elle se visse sur le devant de la cage devant dit Olga, Madame lubrifie la canule et l’installe dans mon clito la visse. Pose le cadenas. Voilà ma soubrette encagée je suis très contente de ce cadeau Olga, je pourrai mieux contrôler ses états d’excitation. Bon Passons à table. Pat enlève ta robe et sers-nous. Je veux te voir avec ce god et cette cage. Madame me donne des coups de cravache sur les fesses et le clito et crie « tu n’as même pas dit merci à Olga. Olga donne -lui 3 coups de cravaches en plus, penchée je reçois la cravache d’Olga je compte et je la remercie pour son cadeau.
Pendant le service leurs mains touchent les fesses, mon clito, Olga aime me pincer les tétons. Olga suggère à Madame de me faire prendre des hormones pour que ma poitrine grossiste, Charles trouve l’idée très bonne, ils discutent de la grandeur, Olga m’appelle, je viens à elle, elle ouvre mon chemisier et le sien je pense que Pat à très envie d’avoir les mêmes seins que moi en me regardant dans les yeux. Quand elle était dans mes bras elle s’est confiée à moi. Elle m’a dit c’est de la décision de Madame pas la mienne. Madame me regarde et me dit Pat aura la même poitrine qu’Olga Depuis qu’elle est à mon service je lui travaille les tétons et depuis sa poitrine à un peu grossi. Pour les hormones c’est au Docteur de lui prescrire le traitement.
Je fini de servir le repas, le café Charles me demande un digestif que je lui sers ;
Je pense que la soubrette Pat a aussi droit à d’un digestif lance Olga sitôt dit-elle en m’empoignant par l’anneau du collier et m’oblige à me mettre à genoux devant elle, relève sa jupe sort son pénis et me dit « suce-moi tu as eu l’apéro avec Charles moi c’est la liqueur que tu connais déjà » et comme de rien ils continuent à discuter entre eux. Le clito d’Olga grossit, Madame vient derrière moi s’amuse avec le god et la cage. Olga me tire tors pince les tétons et m’encourage par des mots doux « continu Pat, lèche bien mon clito, aime mon clito, fait durer le plaisir, plus vite le nectar sortira moins tu prendras du plaisir. La dernière fois tu étais folle de mon clito alors profite Tu l’aimes mon clito, ma tête fait signe que oui. Olga glisse doucement vers le sol et relève ses jambes bien haut. Charles s’était posté derrière le fauteuil d’Olga attrape les 2 jambes. Suce-moi la chatte Pat comme tu sais bien le faire, met ta langue dans ma chatte, humm vient lécher le bout de mon clito et branle moi en même temps continue Pat c’est bon huummm ça vient Pat prend mon clito dans ta bouche ça y est mon clito coule Pat continu avale mon nectar. Olga me tient la tête le clito a moitié dans ma bouche, il coule toujours avale Pat.
Nous restons ainsi quelques minutes, le clito d’Olga devient mou, je continu à bien le lécher. Pendant tout le temps qu’Olga baisait ma bouche Madame s’amusait avec mon cadeau et le god, mon clito avait coulé, Madame me demanda de lécher ses doigts quand Olga se retira de ma bouche. Après que les doigts de Madame bien propre Olga m’embrassa très fort
Je restais ainsi à genoux devant Olga et Madame, Charles me parlait.
Pat tu aimes ta condition de soubrette. Oui Charles.
Pat tu aimes faire l’amour sur les ordres de Madame, oui Charles.
Pat Madame va te faire prendre des hormones tu le veux, oui Charles.
Pat tu aimes servir Madame et ses invités, oui Charles.
Certaines fois Madame t’offre à des inconnus tu aimes, J’ai confiance en Madame
Te voilà avec une cage Pat, tu ne pourras plus te branler, Je sais Charles.
Ce sera très dur Pat et très humiliant d’aller voir le docteur avec cette cage. Oui Charles.
Le docteur devra suivre ton traitement c’est un ami il a suivi Olga, Oui Charles.
Ce traitement coute cher Pat, il faudra t’investir Oui Charles je vais y réfléchir.
Madame toujours à coté me serre dans les bras et m’embrasse à pleine bouche. Ma Pat, Ma salope, Ma pute tu ferai ça. Oui Madame.
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Ennia partit deux jours après notre dernière étreinte. J’avais passé l’après-midi en cours et elle n’était plus là à mon retour. Maîtresse Caroline m’avait accueilli sur un ton très dur.
-Ma pute, maintenant il n’y a plus rien pour te distraire. Tu n’as qu’un seul but, une seule personne sur qui concentrer toute ton attention : ta Maîtresse. Moi ! J’ai l’intention de faire entrer ton dressage dans une nouvelle phase. Mais avant, je vais devoir m’absenter quelques jours, je dois rejoindre ma famille. Je vais donc te confier à Maîtresse Chloé. Elle a toute ma confiance et pourra disposer de toi à sa guise, pour tout ce dont elle a envie. J’attends de toi que tu la serves comme si c’était moi. Je pars demain. A ton retour de cours, ta gardienne sera là. Ne me déçois pas petite salope, sinon je n’hésiterai pas à me débarrasser de toi. Définitivement !
Maîtresse avait raison. Désormais, Ennia ne devait plus occuper mes pensées. Seulement je n’y arrivais pas. Elle m’avait marqué dans ma chair, et je souffrais d’un manque intense, physique. Une douleur lancinante et permanente. Pourtant je devais oublier mon amour et me concentrer sur mon devoir : servir Maîtresse Caroline, de mon mieux. Tendre vers la perfection, du moins celle qu’elle attendait de moi. La servir, lui obéir, aveuglément. Elle tenait mon destin entre ses mains, au propre comme au figuré. La perspective de ces quelques jours au service de Maîtresse Chloé me réjouissait. Maîtresse Chloé m’attirait beaucoup. J’aimais ce qu’elle dégageait. Une puissante sensualité alliée à une certaine tendresse.
Mais en même temps, elle avait cette classe naturelle, hautaine, et un regard qui pouvait se faire si dur que nul, surtout pas moi, ne désirait alors discuter ses désirs et encore moins ses ordres. Je la croyais moins dure que Maîtresse Caroline. Mais comme je l’avais dit, elle n’avait jamais eu l’occasion de se « révéler » vraiment en tant que Dominatrice. J’étais impatient, excité, et aussi un peu effrayé. Une Maîtresse ne réagit jamais comme le soumis s’y attend. C’est ce qui fait sa force. J’appréhendais donc un peu de me retrouver aux ordres de Maîtresse Chloé.
Certes la gestion de l’appartement, de la cuisine, des courses, du ménage… tout cela était maintenant bien rodé et Maîtresse Chloé n’aurait pas à s’en soucier. J’étais devenu un expert, un parfait majordome, enfin presque. Plutôt une parfaite gouvernante. Doublé d’une petite pute, une chienne en chaleur assoiffée de sexe et de soumission. Si je faisais le compte de ma vie, j’étais heureux. J’avais atteint, aux pieds et entre les mains de Maîtresse Caroline, une certaine plénitude.
Le lendemain, j’assurais mes cours normalement. Avec l’impatience difficilement dissimulée de retrouver Maîtresse Chloé à mon retour à l’appartement. Je n’avais pas sa classe en cours cet après-midi là, aussi je n’avais aucune idée de ce qu’elle me préparait. Je terminais vers 18h, après un cours particulièrement intéressant sur l’équilibre des opinions dans le traitement de certaines informations. Déséquilibre devrais-je plutôt dire. A 18h10 je sonnais à la porte, prêt à me mettre au service de ma gardienne, Maîtresse Chloé, pour quelques jours. Sa voix m’accueillit dès l’entrée :
-A poil sale pute ! Tu enfiles le collier, les bracelets et la cagoule que je t’ai préparés sur le fauteuil. Puis tu viens au salon ! Dépêche. Je t’attends depuis une heure et j’ai horreur d’attendre.
Sa voix était dure. Je ne connaissais pas cette autorité, presque violente, chez Maîtresse Chloé. Je me dépêchais de lui obéir et de la rejoindre.
-Relève toi ! Et viens de mettre en place pour que je t’attache. Nous allons vraiment faire connaissance. Et je ne crois pas que tu vas vraiment aimer. Plus vite la chienne… j’ai des fourmis dans les mains… ça me démange de t’échauffer le cul !!!
Maîtresse Chloé m’immobilisa rapidement. Puis elle me mis un bâillon-boule, avant de me libérer de ma cage.
-J’aime un soumis qui bande dur… si tu étais à moi, plutôt que de te mettre en cage, je te menotterais pour que tu ne puisses pas te toucher. Je te contrôlerais autrement mais tu banderais le plus souvent possible. Par contre, tu ne jouirais pas très souvent, crois-moi. Pas plus qu’avec ta Maîtresse actuelle. Mais au moins tu me ferais l’honneur d’être bien dur pour moi, pour me montrer à quel point je t’inspire le désir. Et puis…. torturer une queue bandée, c’est tellement plus jouissif. Tu vois, c’est la première fois que tu es à moi toute seule. Et pour plusieurs jours. Je vais commencer par marquer mon territoire. Par te marquer. Tu peux hurler tant que tu veux, je ne suis pas du genre à m’émouvoir de la douleur d’une pute attachée. Ton corps est à moi, et tu vas bien le sentir !
Maîtresse Chloé avait disposé sur le canapé tous les instruments dont disposait Maîtresse Caroline. Un martinet court, un autre avec des lanières plus longues, une cravache d’équitation et un paddle en cuir noir. Elle vînt se placer face à moi et m’enlaça…
-Avant de t’échauffer, je vais te chauffer un peu… je te veux excité à mort ma pute. Tu es à moi, mon jouet sexuel que je peux exciter et torturer à ma guise… Hmmmm j’adore ça !!!! Ma pute à moi, ma salope !
Elle se colla contre moi, et la chaleur, la douceur de sa peau me fit bander immédiatement. Elle joua longuement de ses ongles sur mes tétons ou sur ma hampe et mon gland. Maîtresse Chloé était d’une sensualité animale, brute, et surtout communicative. Sa langue et ses griffures me rendaient fou de désir, mes sens étaient poussés à leur maximum. Je haletai et gémissai, sa chienne en chaleur qui réclamait sa dose de plaisir. Maîtresse Chloé se détacha de moi pour saisir le martinet.
-Je crois que t’es à point là… moi aussi, je suis trempée. Mais ce n’est rien. Tu vas voir, après la correction que je vais te mettre, je vais couler comme une fontaine. Je t’es déjà dit que j’étais une dominatrice sadique en fait ?
Elle ponctua sa phrase par une série de coups rapides, secs, durs. Je ruai et criai dans mon bâillon. Elle n’épargna aucune partie de mon corps. Torse, dos, cuisses, fesses, queue….
Elle prit un malin plaisir, entre les séries, à masturber lentement ma queue. Elle me ramena chaque fois au bord de la jouissance, avant de passer à la suite. La séance dura plus de 30 minutes. Le martinet court, puis le long, le paddle et enfin la cravache avec laquelle elle s’acharna sur mes fesses. Je hurlai de douleur. Mes reins devaient se zébrer de rouge sous la violence de ses coups. J’avais arrêté de compter depuis longtemps, incapable d’encaisser la douleur sans broncher.
Maîtresse Chloé avait voulu me briser, pour sceller son emprise. Elle avait réussi. Je pendais au bout de mes chaînes, retenu par mes poignets. Mon corps, et particulièrement mon cul irradiait de douleur. Maîtresse Chloé vînt se planter face à moi. Elle me retira mon bâillon puis releva ma tête et me força à la regarder. J’avais les yeux pleins de larmes. Elle se masturbait doucement, ou plutôt recueillait sa liqueur abondante.
Elle avait raison. M’infliger cette correction l’avait excitée au plus haut point. Elle essuya ses doigts sur ma bouche, mon nez :
-Sens moi ma pute, lèche et goûte moi ! Mon miel va te redonner de la force tu vas voir. Maintenant tu sais ce dont je suis capable. Et je crois même que je peux être encore plus dure. J’ai adoré te faire souffrir. Fais attention de ne pas m’en donner trop souvent l’occasion. Autrement dit, je veux ton obéissance totale. Sinon je te punis. Et j’aime vraiment ça. Hmmm ma pute à moi, ma salope, ma chose !
Maîtresse Chloé m’enlaça et m’embrassa longuement, profondément. Ses ongles enfoncés dans ma tige qu’elle masturbait très lentement, mais douloureusement. Je rebandai presque instantanément. La douleur n’avait pas réussi à venir à bout de mon excitation, de mon désir de chienne. J’avais besoin de jouir. Mon corps ne pensait, ne vivait que pour cela. L’assouvissement de mon besoin sexuel. J’aimais cette dépendance, plus forte, de plus en plus forte à mesure des semaines entre les mains de mes Maîtresses. J’étais frustré en permanence, sauf les rares fois où Maîtresse Caroline m’autorisait à jouir, à jouir vraiment. Sinon, par hygiène, elle avait recours à la traite, pour me vidanger disait-elle, sans plaisir.
Elle me masturbait, tout en me doigtant pour stimuler ma prostate. Et elle arrêtait ses caresses quand j’explosais. Mon sperme coulait, mais sans que j’atteigne vraiment la jouissance. Je pleurais de frustration à chaque fois, en léchant mon foutre recueilli par les doigts de ma Maîtresse. Jouir m’obsédait. J’avais toujours été accro au sexe, au cul, au porno. Mon addiction n’avait fait que s’accroître, de conserve avec l’emprise de Maîtresse Caroline. Mon plaisir ne m’appartenait plus depuis un moment. Il était entre les mains de Maîtresse Caroline, qui en disposait désormais à sa guise. Pour trois jours, Maîtresse Chloé en était la propriétaire. Et elle ne comptait pas m’en faire cadeau. J’allais devoir mériter ma jouissance.
-Allez mon esclave, va faire couler un bain pour ta Maîtresse ! Ensuite tu prépareras mon repas ! Hmmmm la soirée va être délicieuse. Enfin pour moi. Pour toi, elle risque d’être un peu plus dure.
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Comme je m’y attendais, Maîtresse Caroline jouit plusieurs fois en utilisant ma langue. J’aime profondément l’honorer ainsi, c’est pour moi une réelle récompense et Maîtresse le sait. Parfois, entre deux cours, elle revient à son appartement, pour se faire prodiguer un rapide cunnilingus par son esclave soumis, puis elle repart, apaisée, me laissant dans un état d’excitation indescriptible, le visage maculé de sa mouille qui m’enivre. Je crois que la liqueur de ma Maîtresse a sur moi l’effet d’une drogue, dure. Lorsqu’elle me refuse son sexe délicat, pour l’offrir à Ennia par exemple, ou pour se caresser en m’ordonnant de regarder, c’est une intense humiliation et une frustration terrible pour moi. Maîtresse exige que je la fasse jouir avec ma langue chaque matin. Je suis le premier levé, cela va de soit. Je prépare son petit déjeuner, et à l’heure ordonnée, je glisse ma bouche entre les cuisses de Maîtresse. Le plus souvent, Maîtresse jouit rapidement, ses mains empoignant mes cheveux pour mieux me plaquer contre elle. Elle m’abreuve alors de sa jouissance, forte et abondante. Le week-end, Maîtresse Caroline aime prendre son temps. Je dois l’honorer longuement, et user de ma langue aussi bien sur son clitoris que son œillet mauve. Elle aime aussi que je m’attarde dans son sillon pendant qu’elle se masturbe. Je dois avouer que voir Maîtresse Caroline jouir, entendre Maîtresse Caroline jouir, ressentir son plaisir, son corps qui se tend, ses halètements, tout cela est suffisant pour vivre. Elle est d’une beauté qui me bouleverse. Et je sais que c’est un honneur que de pouvoir assister à cela. Que me le permettre est une marque de confiance que m’accorde Maîtresse Caroline. Après ses orgasmes successifs, Maîtresse m’ordonne de lui servir un alcool, puis de m’agenouiller à ses pieds, regard baissé, cuisses ouvertes et mains derrière le dos. Ensuite, elle joue du bout des orteils avec ma cage, ce qui a pour effet de m’exciter douloureusement. Je n’ai toujours pas encaissé la frustration de ma jouissance avortée dans la bouche d’Ennia, et je gémis, les larmes aux yeux. -Ma chienne, je crois que tu as compris n’est-ce pas ? Ennia va nous quitter. Je la cède à un Maître de mes amis. Nous nous sommes rencontrés il y a 3 mois, lors d’une soirée SM, et il a flashé sur ma pute rousse. Il la reçoit régulièrement, pour la tester. Normalement, elle entrera pleinement à son service la semaine prochaine. Tu n’es pas trop déçu ? Je suis sans voix. Je pleure silencieusement. Anéanti. Je n’arrive pas à croire ce que Maîtresse Caroline m’annonce. Et son sourire me crucifie. -Tu m’appartiens ma chienne, mon esclave soumis. Ennia aussi, enfin pour quelques jours encore. Et je fais de vous ce que je veux. Peut-être que je te vendrai toi aussi. A un couple gay dominant, tu aimerais ? Devenir une bonne lope, une bonniche putain à demeure… Réponds moi quand je te pose une question ?!!! Maîtresse Caroline me gifle sèchement. Je pleure toujours mais j’ose lever mes yeux et les planter dans son regard. -Divine Maîtresse, je vous supplie de me garder auprès de vous. Vous êtes ma raison de vivre, ma déesse, ma sublime Déesse. Dans la vie, je n’ai qu’un seul but : vous vénérer. Aussi, je vous supplie de m’emmener encore plus loin sur les chemins de vos fantasmes, de vos désirs Maîtresse Caroline. Je vous suis fidèle, votre pute, votre salope, votre esclave soumis. Faites de moi ce que vous voudrez Maîtresse, mais je vous en supplie, ne m’abandonnez pas. J’ai tout abandonné pour vous, j’ai choisi cette vie pour vous Maîtresse Caroline. Cependant, je ne le regrette pas un seul instant. Je suis heureux avec vous. Je vous aime Maîtresse Caroline, intensément. Maîtresse me regarde longuement, sans un mot. Puis elle me tend sa main que je m’empresse de baiser du bout des lèvres, en signe d’allégeance. -En attendant, esclave soumis, va préparer mon bain, et ensuite tu te mets en cuisine. J’ai faim ! Après le repas, Maîtresse Caroline ne s’intéressa plus à moi. Je finis de nettoyer la cuisine, puis la salle de bains et je pris la pose, aux pieds de Maîtresse, attendant qu’elle daigne m’adresser la parole. Nous avions un rituel. Si je souhaitais interroger Maîtresse, je devais me placer ainsi, et attendre son bon vouloir. Mon temps d’attente était parfois court, parfois très long, et parfois même Maîtresse partait sans s’être intéressée à moi. Cette fois, Maîtresse attendit près de 10 minutes, le temps de fumer 2 cigarettes en lisant un magazine. -Oui ma pute ? -Divine Maîtresse, puis-je rejoindre Ennia ? Je.. j’aimerais… j’aimerais la voir, j’ai besoin de la voir, je vous en supplie Divine Maîtresse Caroline. Elle prit tout son temps pour me répondre. -Va. Je suis dans un jour de grande bonté, et vu qu’elle va bientôt nous quitter… je t’accorde une dernière nuit avec elle. Détache-la, prends soin d’elle comme tu veux, et tu peux même passer la nuit avec elle. Du moment que demain matin, le service est effectué comme il doit l’être. Je ne tolérerai aucun manquement, tu le sais ma chienne. Ce soir je suis crevée. Allez… dégage de ma vue, et va rejoindre ta pute rousse. Je me jetais aux pieds de Maîtresse, les baisant en la remerciant… -Mais dégage maintenant ! Tu me gonfles avec tes jérémiades. Vite avant que je ne change d’avis !!! Je ne me fis pas prier davantage et je rejoignis Ennia. Mon amour s’était réveillée, attachée, meurtrie par la correction infligée par Maîtresse Caroline. Doucement je la détachai et la conduisis à la salle de bains, en la soutenant de mon mieux. Je lui fis couler un bain, et la ramenai dans la chambre. Nous n’avions pas échangé un mot. Juste des regards. J’entrepris de la masser délicatement avec une crème apaisante, en insistant sur les marques de cravaches qui zébraient sont corps. Maîtresse avait vraiment eu la main lourde. Ennia s’abandonna à mes mains expertes et plongea dans un demi-sommeil, m’offrant son anatomie en soupirant. -Caresse moi… fais moi jouir avec tes doigts, mais très lentement. Ensuite j’ai envie que tu me lèches s’il te plaît… j’ai envie de ta langue. Ennia était une soumise, mais c’était une femme. Et par là supérieure au mâle soumis que j’étais. Je devais donc lui obéir, quand bien même aucun ordre n’était nécessaire pour que je me mette au service du plaisir de celle que j’aimais à la folie. J’aimais intensément Maîtresse Caroline, mais avec Ennia, mon amour était plus profond, quelque chose d’absolu qui explosait lorsque je la regardais, lorsque nos peaux se rejoignaient, nos langues se mêlaient, nos soupirs de plaisirs à l’unisson, ou simplement lorsque je pensais à elle. Sa seule présence me rendait heureux, et ce plaisir qu’elle me réclamait était un cadeau de la vie, le plus beau à mes yeux. Je la fis jouir longuement, lentement et avec une infinie tendresse. Aucun de nous n’avait remarqué la présence de Maîtresse Caroline, adossée contre la porte de la chambre. Elle nous regardait avec une intensité rare, jouant avec une clé entre ses doigts, LA clé, celle de ma cage. -Approche! Pas un mot de plus. Maîtresse Caroline me libéra, non sans mal car faire jouir Ennia m’avait bien entendu excité comme un fou. Je me mis à genoux, et en plantant mon regard dans celui de ma Dominatrice, je pris sa main entre les miennes pour la baiser respectueusement. Pas besoin de merci, Maîtresse Caroline pouvait lire dans mes yeux toute ma reconnaissance et à quel point son geste me touchait au plus profond. Je retournai auprès d’Ennia, assise à genoux sur le lit. Elle aussi me regardait avec une intensité rare. Elle m’invita à prendre la même position, face à elle. -Caresse toi pour moi…. je veux te regarder te masturber, et surtout jouir. Je veux garder cette image de toi. Je t’aime. Et je ne sais pas si je te reverrai. J’ouvris la bouche pour répondre, les larmes aux yeux, mais Ennia posa un doigt sur mes lèvres. -Je t’en supplie, ne dis rien… s’il te plaît, c’est ainsi. Je t’aime, j’aime Maîtresse Caroline, mais je suis une soumise et je vais avoir un nouveau Maître. J’ai un nouveau Maître. Je pars dans 2 jours. Je vais arrêter l’école, ne dis rien par rapport à cela aussi, s’il te plaît. C’est mon choix. Maintenant caresses-toi…. donne moi ton plaisir je t’en supplie, j’en ai besoin… A genoux, cuisses ouvertes, j’obéis. Ennia vint à côté de moi, et tout en regardant ma main aller et venir, elle me murmura à l’oreille, m’encouragea, me réclama son dû, gémit de plaisir en sentant le mien monter… -Jouis, oui…. laisse toi aller, donne moi ton foutre mon amour, branle-toi pour moi… viens, viens maintenant…. J’hurlai en éjaculant, la main d’Ennia venue caresser mes testicules m’avait donné le coup de grâce. Elle recueillit ma semence dans la paume de sa main puis la porta à sa bouche avant de me renverser sur le lit et de m’embrasser, passionnément. Nous nous enlaçâmes longuement, et corps contre corps, le désir finit par renaître. Nous fîmes l’amour comme lorsque Maîtresse m’offrit Ennia, cette sublime première fois qui scella mon destin de soumis. Une ultime étreinte, perdus l’un dans l’autre, pleurant, riant, jouissant, heureux et amoureux. Peu importait demain, peu importait tout.
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Ennia s’agenouille à mes pieds, plante ses yeux dans les miens et pose ses lèvres sur mon gland. Par nos regards soudés, nous nous retrouvons. Je peux à nouveau lire l’amour qu’elle a pour moi, le désir…. mais j’y lis aussi de la détresse, de la peur. Serait-ce la menace de Maîtresse Caroline ? Je ne crois pas, elle en a vu d’autres. Il y a autre chose, de plus profond, de plus insidieux. Je bande comme un fou. Maîtresse me maintenait en cage depuis 6 jours, avec des excitations quotidiennes pour « me maintenir en état » précisait-elle. J’avais envie de jouir, et surtout je ne voulais pas qu’Ennia soit cravachée. Ainsi, je me doutais que Maîtresse Caroline, et peut-être aussi Maîtresse Chloé, serait sans pitié.
Je me concentre sur mon plaisir. Ennia connait parfaitement les caresses les plus efficaces. Maîtresse Caroline donne le timing, toutes les 30 secondes. Une façon, sans aucun doute, de nous mettre la pression et de nous déconcentrer pour que je ne puisse jouir à temps. Je ne veux pas y penser. Retourner dans ma cage après avoir goûter à la bouche de mon amour, assister ensuite à sa punition, cela serait au delà de mes forces. Ennia accélère le va et vient de ses lèvres, au même rythme que sa masturbation. Ensuite, son autre main caresse mes bourses, un doigt se faufile entre mes fesses. Ses yeux soudés aux miens, ses doigts qui serrent, accélèrent encore, la pointe de sa langue sur mon frein, je sens le plaisir monter, du plus profond de moi, alors que Maîtresse Caroline entame le décompte, à haute voix bien sûr, des dernières 30 secondes.
Jouir, je ne veux qu’une chose : jouir. Me vider, exploser, hurler de plaisir. Mais alors que la voix de Maîtresse Caroline, à laquelle s’est jointe celle de Maîtresse Chloé, égrène les 10 dernières secondes, Ennia stoppe net sa caresse. Ses yeux pleins de larmes regardent mon incrédulité, ma détresse. Je hurle « Noooonnnnnn pitiéééé » mais le couperet tombe : Zéro ! hurlent en cœur mes Maîtresses, affichant un large sourire.
Je m’effondre au sol, en proie à une crise de larmes. En effet, je pleure mon désir coupé net, ma jouissance à peine approchée, mon incompréhension la plus totale. Je ne suis rien. Même pas un animal à qui l’on accorde un peu de plaisir. C’est l’impression d’être au sol depuis une éternité, alors que cela ne fait qu’une ou deux minutes, lorsque la voix de Maîtresse Caroline me ramène à la réalité :
-Chloé, chope le par ses pinces à sein et relève le. Faut le remettre dans sa cage maintenant. Mais d’abord, il faut qu’il débande, et je ne connais qu’un moyen !
La douleur me fait obéir et suivre les mouvements de Maîtresse Chloé. Je me retrouve debout, bras maintenus dans mon dos, queue dure et dressée. J’ai peur, je suis déboussolé, mais je bande encore très dur. Bien trop pour remettre la cage en place. Maîtresse Chloé tient mes poignets d’une main et se saisit de la pince qui torture mon téton droit. Un quart de tour suffit à m’envoyer une violente décharge dans la poitrine :
-Ecarte les cuisses salope, offre bien ta queue à ta Maîtresse ! Elle va te passer l’envie de bander !!!
Elle éclate de rire lorsque Maîtresse Caroline saisit la base de ma hampe, pour la maintenir à l’horizontal, et que la cravache vient frapper mon gland offert. Je hurle, je rue, mais Maîtresse Chloé tient fermement mes poignets et la pince fait son office. De plus, la douleur de mon téton s’ajoute à celle des coups sur mon gland, ma hampe. Sept coups suffisent à venir à bout de mon érection. Enfin, ma queue débande, et Maîtresse Caroline remet en place ma cage de chasteté.
-Et voilà. On est reparti pour une semaine, ou peut-être même plus, hein ma pute ? Tant pis pour toi, tu as eu ta chance !!!
Je sanglote, et cela ne semble pas vouloir se calmer.
-Et arrête de pleurnicher. T’es une petite pute, MA PUTE, et c’est moi qui décide. J’en ai marre de t’entendre ! Tu vas assister à la punition de mon autre pute, même pas capable de faire gicler un soumis en manque ! Va falloir t’améliorer, sinon ton futur Maître va remettre en cause son achat. Il est déjà moyennement satisfait de ses tests avec toi. Et ça, crois moi, tu vas le payer. Tu m’as fait honte ! Tu m’as humiliée, MOI ! TA MAITRESSE !!! Tu vas payer très cher, je vais te faire sucer tout le personnel d’un chantier, pour t’entraîner. Tu n’es qu’une truie, juste bonne à mettre à l’abattage. Et moi qui croyais avoir dressé une bonne soumise !!!
La colère de Maîtresse Caroline ne semble pas feinte, même si je pense que l’arrêt de ma fellation avait été ordonné par Maîtresse. Tout était convenu et Ennia n’avait pas le choix. Je n’ose comprendre ce que j’entends. Ennia, Maître, achat, tests…. serait-ce là l’explication de ses absences de plus en plus régulières ? Maîtresse Caroline céderait Ennia à un autre Maître ??? Je refuse de comprendre. Impossible. Ennia, mon amour, celle qui a fait que je suis là aujourd’hui, soumis encagé d’une sublime Dominatrice nommée Caroline. Ennia… je ne peux admettre, accepter de la perdre. Je veux passer mes jours avec elle, ma vie ou ce qu’il en reste.
J’en suis là, perdu, lorsque le premier coup de cravache s’abat sur les reins d’Ennia, attachée, nue, debout sur la pointe des pieds au milieu du salon, les chevilles maintenues par une barre d’écartement. Maîtresse Caroline a fait installé un anneau solide au plafond, et elle adore l’utiliser pour y suspendre Ennia ou moi-même.
-Position parfaite pour une bonne correction ! : dit-elle.
Bonne n’est pas le mot qui convient. Violente oui. Les coups pleuvent sur Ennia. Reins, seins, cuisses, dos, ventre, sexe…. Maîtresse Caroline ne lui épargne rien. Ensuite, elle s’acharne sur sa vulve et ses fesses, en la maudissant de lui avoir fait tant honte. Ennia hurle dans son baillon boule, le visage ravagé par la douleur, les larmes… je ne l’ai jamais vu ainsi. Elle ne cherche pas à résister. Ne peut pas. La douleur est trop intense. Maîtresse Caroline se révèle incroyablement cruelle, une cruauté à la hauteur de sa colère. La punition dure un bonne vingtaine de minutes.
Lorsque je détache Ennia, elle s’effondre dans mes bras et je dois la porter dans la chambre. Maîtresse Caroline m’ordonne de l’installer sur le lit, en lui attachant bras et jambes en croix. J’ai juste le droit de lui ôter son baillon. Aucune chance de l’apaiser, de caresser son visage, encore moins de déposer un baiser tendre sur ses lèvres, Caroline et Chloé surveillent l’opération. Ennia ne réagit pas, dans un état second après la violence de sa correction.
-C’est bon, ça suffit. T’inquiète pas elle va survivre ta chienne adorée… Maintenant tu reviens au salon. Tout cela nous a particulièrement excitées, et nous, on a pas encore joui. Tu as encore du travail ma salope. Faire jouir tes Maîtresses. N’est-ce pas la plus belle des récompenses ?
-Oui Maîtresse Caroline, c’est un véritable honneur de vous donner de plaisir !
Je dois commencer par Maîtresse Chloé. Elle doit partir mais pas sans avoir eu sa dose de jouissance. Je viens à quatre pattes enfouir ma langue entre ses cuisses. Maîtresse jouit rapidement, et abondamment. Ensuite, je prends soin de bien la nettoyer, comme elle aime à l’être. Au fil des semaines, Chloé s’est installée peu à peu chez Maîtresse Caroline. Elle vient de plus en plus souvent, et reste parfois pour la nuit. Ma Maîtresse et elle se sont découvert une vraie complicité dans la perversité, le sadisme et le dressage de chienne comme moi. Elles rivalisent d’imagination, même si Chloé reste un peu en retrait, Maîtresse Caroline menant la danse la plupart du temps. Je me demande ce dont Maîtresse Chloé serait capable, si elle pouvait se révéler librement, sans la présence de Maîtresse Caroline.
Enfin, ma Maîtresse prend congé de son amie et revient vers moi, à genoux au milieu du salon. Elle n’a pas encore joui et je sais qu’elle va réclamer son dû, plusieurs fois, pour mon plus grand plaisir je l’avoue. Faire jouir Maîtresse Caroline est une chose dont je ne me lasserai jamais. Sa liqueur est une drogue, abondante, délicieuse… et le face-sitting dont Maîtresse raffole est la plus sublime des tortures à mes yeux.
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1ère rencontre avec mon Maître
Notre relation dure depuis peu de temps, à la base nous ne devions pas être dans une relation D/s, mais plus dans l'apprentissage, l'éducation et découverte du monde BDSM pour ma part. Mon Maître, puisque maintenant je peux l'appeler comme ceci, a décidé tout en connaissance de cause de me prendre sous son aile, pour m'apprendre et me faire découvrir... Au début, nous avons échangé par message, mail.... Puis par un puis plusieurs appels téléphoniques.... J'étais déjà dans une relation BDSM mais pas comme je me l'étais imaginée... La rencontre et les échanges avec mon 1er Maître m'ont fait peur.... J'en ai discuté avec mon Maître actuel et ce dernier m'a dit que cette relation n'était pas faite pour moi au vue de mon passé et qu'il fallait que je stoppe car cela allait me détruire plus qu'autre chose....je l'ai écouté mais en tant que protecteur et ami.... Puis les semaines ont passé, nos échanges ont continué de plus en plus dans l'éducation et ce qui arriva, arriva...nous avons décidé de passer de l'autre côté à savoir lui mon Maître et moi sa petite soumise....nous ne l'avions vraiment pas envisagé, ni même prévu mais notre relation est fluide, simple, une complicité s'est installée entre nous et nous n'arrivons plus à ne plus être dans cette relation amicale.... Nous avons pris goût à nos petits appels, nos petits rituels, défis et punition qu'il est difficile aujourd'hui d'envisager autre chose... Une confiance totale s'est installée entre nous, je lui dis tout.. Alors cela peut paraître bizarre aux yeux de certain ou certaines mais ce n'est qie du virtuel entre nous, et nous prenons énormément de plaisir à cela, et qui sait peut-être qu'un jour le virtuel deviendra réel... Et là la soumise qui l'aura faite de moi pourra mettre en pratique ce qui lui a inculqué mais avec une grande appréhension pour elle car nouvelle dans ce domaine.... J'espère qu'à la lecture de cette petite histoire mon Maître ne m'en voudra pas de ne pas lui avoir envoyé avant le contenu et comprendra le devenir après ces 3 semaines à moitié off que nous avions convenu ensemble... Merci pour votre patience et votre soutien dans ce nouveau chemin qui s'ouvre ou s'offre à moi à vos côtés
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Annelore,
Ma petite Belge, ma collaboratrice et mon "prototype".
Annelore était ma collaboratrice quand je travaillais en Belgique, grande 172, fine 50 kg et une jolie petite poitrine.
Elle portait souvent des cuissardes qui allongeaient encore son corps et mettait en valeur la rondeur de ses petites fesses.
Pour la remercier de l'obtention d'un marché, je l'invitais à dîner à BRUGES. Ne connaissant pas encore bien cette ville Belge, je lui laissais le choix de l'établissement. Lors du repas nous sommes sortit du cadre professionnel pour parler de nos vies respectives et j'ai pu aussi découvrir qu'Annelore aimait le bon vin de la France comme elle disait avec son accent FLAMAND.
Après le repas elle me fit déambulé dans les rues de BRUGES pour me faire découvrir cette jolie petite sous les éclairages des réverbères.
J'osais poser ma main sur son cou, elle tressaillie légèrement et nous continuâmes à marcher. Au coin d'un mur, je la tournais vers moi et l'embrassais langoureusement tout étonné qu'elle me rendre mon baiser, j'avais déjà 50 ans et elle 28 ans. Ce soir la je ne pu que dans la voiture toucher son sexe humide mais elle me refusa l'entrée chez elle.
Ce ne fut que partie remise car la semaine suivante, nous fîmes l'Amour sur son canapé. Je la découvrais avide de sexe, elle aimait les caresses, les jeux de mains de langues les pénétrations par tous ses orifices. Notre relation commençait. Après quelques semaines de jeux banaux, un soir lors de nos ébats elle me demanda de lui serrer le cou fortement insistant pour que mon étreinte soit de plus en plus forte. Au moment ou je voyais ses yeux se révulser j'arrêtais.
Le lendemain nous en discutâmes et Annelore porta à ma connaissance le fait qu'elle avait été l'une des victimes de DUTROUX beaucoup plus jeune et que ses parents n'avaient pas voulu que cela se sache . Elle en gardait un traumatisme certain et aimait être violenté dans les actes sexuels.
C'est ainsi qu'elle devint mon "prototype", celle de toutes les expérimentations ou il fut rare qu'elle me dise non. Nous profitions de nos Week end dans ma propriété de Sologne pour passer par Paris, nous arrêtant fréquemment chez (Pascal, qui devint une relation amicale) le Patron de Cris et Chuchotement (Superbe établissement et une pensée pour lui en cette période de COVID). Que de soirées ou elle était l'attraction, l'objet de toutes les attentions, le jouet des perversités des autres Femmes et Hommes. A travers elle, je me mettais en valeur Moi.
Nous avons arpenter PIGALLE, l'Ambassade de Russie et rencontrer de nombreux (ses) Hommes, Femmes, Couples en France et en Belgique.
Elle voulu franchir une étape en cherchant des relations tarifées me demandant de passer des annonces pour la vendre par téléphone. Elle aimait se livrer dans les hôtels de luxe comme bas de gamme. Elle aimait être PUTE dans l'acte mais jamais dans l'habillment. Sa tenue préférée était la Nudité.
Cette période a eu une fin, d'où la rédaction au passé.
Peut-être un jour viendrais ici narrer en détail l'une de nos soirées.
Jean
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Vous vous placez ensuite, debout, entre mes cuisses. Vous passez vos mains derrière ma tête et défaites mon bandeau délicatement. Je cligne alors des yeux, mets quelques secondes à me refaire à la luminosité... Vous attendez que je sois pleinement remis, puis au moment ou nos regards se croisent, vous retirez doucement votre bustier... Je suis hypnotisé par cette vision, je ne vous quitte plus du regard... Vous me regardez, amusée, puis vous baissez la fermeture éclair de votre minijupe, que vous retirez tout de suite... Il ne vous reste plus que votre petite culotte, terriblement sexy, vous passez vos pouces sous l'élastique et la baissez tout doucement le long de vos cuisses me dévoilant ainsi votre intimité... Cette vision me ravit et m'excite.
Vous me regardez droit dans les yeux, puis placez un de vos pieds sur une de mes cuisses pour bien signifier que je vous appartenais, appuyez bien sur la cuisse, puis commencez a passer langoureusement les mains sur votre poitrine afin de me chauffer encore plus, vous titillez vos tétons, vous arborez un immense sourire et me dites d'une voix encore plus aguicheuse qu avant :
" Ce que tu vois te plaît ? Imagine que ce soit tes mains."
" Oui Madame" je réponds tout en bougeant sur ma chaise, frustré intérieurement de ne pouvoir bouger et mais a la fois très heureux d'etre sous votre contrôle.
Vous descendez alors les mains le long de votre ventre, passez vos mains sur vos cuisses en frôlant votre entrejambe. Votre regard devient alors encore plus coquin, vous me fixez intensément du regard, puis vous caressez votre sexe, ... Je n'en perds pas une miette, vous jouez avec moi, mon excitation, je suis totalement sous votre contrôle... Vous augmentez la pression sur ma cuisse...
Après quelques secondes, vous arrêtez, vous reposez votre pied par terre, vous vous retournez, d'une main vous écartez une de vos fesses, me dévoilant ainsi votre magnifique petite rondelle, et d'une voix autoritaire " lèche" Je m'exécute immédiatement, je me penche en avant et commence a donner de petits coups de langue rapide dessus. Vous passez votre autre main derrière ma tête et me la plaquez contre vous. J'intensifie mes actions, mes coups de langue deviennent plus profonds... Votre pression sur ma tête augmente, vous vous penchez bien en avant pour bien me laisser accès, j'aime m'occuper de vous comme cela... je m amuse à faire rentrer ma langue en vous, vous avez l air d apprecier enormement cela.
Soudainement, vous vous retournez a nouveau, vous positionnez vos mains sur mes épaules et me plaquez contre le dossier de la chaise. Vous passez vos jambes de part et d'autre des miennes, je les resserre sans que vous l'ordonniez, vous commencez a vous baisser, vous prenez fermement mon sexe et le placez contre le vôtre... Et d'un coup vous faites rentrer ma queue en vous... vous commencez par des mouvements amples et longs me dites a l oreille" surtout ne jouis pas tout de suite", vous plantez vos ongles dans mon dos, me griffez... Je ne peux rien faire, si ce n'est vous regarder, vous commencez à gémir, le plaisir se lit dans votre regard. j essaye de garder les yeux ouverts, j ai tendance a les fermer sous votre effet... Vous variez les angles ; la vitesse a votre guise.. Vous me donnez de grands coups de bassin, vous m'utilisez comme un gode, un jouet sexuel et j'adore cela.... Vous passez de temps en temps votre main délicatement sur ma joue... Je sens l'excitation de votre sexe couler le long du mien... vous me chevauchez, me baisez divenement bien... Vos mouvements s'intensifient encore en vitesse et en force, vos gémissements s'amplifient... Vous allez me faire jouir.... Je me retiens au maximum, vous le sentez et me dites " vas y tu peux".... En entendant ces mots, je me relâche et joui en vous poussant un immense cri de plaisir... Vous restez sur moi, et venez m'embrasser fougueusement.
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On frappe, il ouvre.
Elle, là. Il dit rien. Il l'attrape par les cheveux. L'a met à genoux... déboutonne son jean...sors sa queue, sans caleçon...plus simple, pas encore toute dure...suces...une baffe, elle ouvre sa bouche. Il la prend... comme on prend une chatte...elle suffoque, il durcit...il la relève, tournes toi salope.
Il lève sa robe... déchire son collant...arrache sa culotte...sa chatte coule...il le voit...ça coule sur ces cuisses...il lubrifie ces doigts avec. Enfonce sans ménagement son pouce dans son petit trou...ces autres doigts dans sa chatte qui les avalent avidement. Elle gémit...il l'a doigte fort...elle est bloquée contre la porte...elle se branle le clito...elle jouit...il est fâché, il voulait pas...pas tout de suite...il l'a remet à genoux...sa queue un peu molle face à son visage...
E
lle, attend...un jet, petit...puis plus soutenu...il lui pisse dessus...sur le pas de sa porte...le visage...le cou...la bouche...ouvre la...une baffe, elle s'exécute...il lui pisse dedans... elle recrache...il l'a relève...arrache son décolleté...sors ces seins. Frôle ces tétons avec son sexe à nouveau dur...il l'a veut...devant d'abord...il aime sa chatte mouillée...sur sa table...en l'ordonnant de se branler...si elle ralenti elle se reçoit une baffe...son corps se cambre...elle jouit encore...il l'a retourne...il enfonce un truc...elle ne sait pas quoi...
Il avait prévu le coup et caché une bouteille de chantilly...il l'enfonce et appuie...l'a fourre de crème...en glisse dans sa raie....lèche...l'a fourre à nouveau et lui baise son cul... lubrifié avec la crème...c'est sale....ça coule...il lui ordonne de pisser...il sent son urine couler...sur ces cuisses...descendre jusqu'à ces jambes... ça l'excite terriblement...il jouit si fort...qu'il laisse de profonde griffure sur son dos à elle...
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3 semaines ont passées, je fais la manicure de Madame avec vernis, elle aime que je l’épile son sexe lisse comme le mien, je la masse. A chaque visite je fais des fellations et je suis sodomisée avec ou sans capotes. Madame est contente elle entre sans difficulté sa main dans ma chatte. Mercredi dernier Madame m’a prévenue qu’elle aurait une amie pour manger et je devais venir à 10h30 pour préparer sa venue. C’est la première fois que je verrai une personne chez Madame. Je suis troublée.
A 10h30 je sonne 2 coups, Madame m’ouvre, je referme la porte. Je me love dans ses bras, câlineuse elle m’embrasse sur la joue.
-Tu vas te préparer, jupe noire aujourd’hui, mon amie est Olga tu verras elle est très gentille. Tu la sers et obéi si elle te donne un ordre. Tu mets la table pour 2 couverts, toi tu manges avant à la cuisine. Quand elle sonne tu lui ouvre tu dis « bonjour Olga », il y a une bouteille de blanc au frigo tu nous sers l’apéritif. Puis tu nous sers le melon avec le jambon crus qui est déjà préparé. A 12h30 on livreur va venir apporter un plat préparé avec sa garniture. Saumon et pomme nature. Pour le dessert il y a de la glace dans le petit congélateur du frigo. A toi de bien nous servir sinon tu connais la cravache elle sera à ma portée de main. Quand nous mangeons tu seras à ma gauche immobile à côté de moi. Après la glace tu sers le café avec des mignardises
11h45 la sonnerie retentie j’ouvre une magnifique Dame, cheveux brun mi-long en tailleur, chemiser, de jolis souliers à talon hauts. Encirons 175cm pour 72 kilos, de jolies jambes gainées de bas noirs.
Bonjour Madame Olga,
Bonjour Pat dis-moi seulement Olga en me caressant la joue.
Je précède Olga et je frappe à la porte du salon et j’ouvre et j’annonce Olga à Madame referme la porte et je prépare l’apéritif sur un plateau.
Quelques olives, quelques chips, 2 verres et la demi bouteille de blanc. Je frappe à la porte une voix m’invite à entrer, Madame est assise sur un fauteuil, Olga sur le canapé, je pose le plateau sur un guéridon, mets des sous verres pose les verres dessus, posent les olives et chips pose 2 serviettes à coté, prend la bouteille et commence à servit Olga, puis Madame, je dépose la bouteille sur le guéridon et je viens à gauche de Madame immobile et debout.
Les 2 dames se font santé, Madame glisse une main sous ma jupe et s’amuse avec mon god sans aucune gêne.
Olga j’ai ma soubrette Pat à mon service depuis plusieurs mois je la forme à devenir une bonne soubrette soumise. Elle est divine dans les tâches ménagères. Elle a appris à bien sucer les mâles, sa chatte est assez ouverte pour ma main. Je la gave de sperme de certains amants. Pas vrais Pat.
Oui Madame
- Tu aimes ça
- Oui Madame
- Quand j’ai ma main en entier dans ta chatte tu couines de plaisir !
- Oui Madame.
- Aller ressert nous un peu de vin et mets-toi à côté d’Olga.
Je sers et mets-toi à gauche d’Olga,
Les 2 dames discutent Olga glisse sa main entre mes jambes remontes jusqu’à l’entre 2 cuisses je frémies c’est la première fois que je vois une personne chez Madame et en plus elle me pelote. Sa main est très douce, elle sent ma gêne. Elle serre ma cuisse pour me faire comprendre que je ne dois pas avoir peur.
Chez Madame j’ai été prise par des hommes, ils ont joui dans mes 2 trous et la une femme me pelote sa main est sur mon god , elle appuis dessus, Madame veut surement m’offrir aussi aux femmes pour que je sois à tous.
-Madame décide passer à table. Je sers le vin, l’eau, l’entrée. Ça sonne à l’entrée surement le livreur.
-J’ouvre un livreur avec un sac, bonjour c’est les 2 repas commandés. Je dis merci le livreur est surpris de voir une soubrette masculine travesti. Je referme
-Je débarrasse l’entrée fais le service du saumon et reste au côté de Madame.
-Pat tu es contente de servir Madame ?
-Oui Olga. Je suis très contente Madame est une bonne patronne.
-Tu n’avais avant jamais été la soubrette de quelqu’un ?
-Non Olga, mais j’aime depuis toute petite servir.
-Madame a fait de toi une femelle tu aimes ça ?
-Oui Olga, Madame a su trouver en moi ma féminité ?
-Tu aimes alors offrir ta bouche et ta chatte à des inconnus ?
-Oui Olga, c’est Madame qui décide, je lui obéi.
-Quel sentiment as-tu pour Madame ?
-je l’aime toujours plus Olga.
Je reprends le service, sers le café.
Bon Pat Olga veut que tu te donnes à elle sans aucune limite. Je sors faire des courses. Madame se lève, Olga me prend la main et m’amène dans la chambre ou il y a le chevalet.
Elle m’embrasse à pleine bouche, déboutonne mon chemisier. Je fais de même elle s’amuse avec mes petits tétons, elle a une jolie poitrine je lèche ses tétons elle me pince les tires je subis mais c’est bon. Elle relève ma jupe caresses mes fesses, me donne des claques dessus, je lui défais sa jupe elle tombe elle a un joli fessier.
Embrasse-moi les fesses descend-moi mon string et lèche moi ma chatte anale comme tu aimeras que je te fasse. Elle a une douce odeur d’amande je lèche insère ma langue. Ecarte-moi les fesses, mouille bien. Je suis à genoux, Olga me demande de fermer les yeux. J’obéi, Olga se tourne et elle me met un doigt dans la bouche je le suce puis son doigt ressort elle me met un sexe d’homme et me bloque la tête et crie « suce Pat, suce-moi, Madame veut que tu m’obéisses suce encore, fait moi bander Pat, je comprends qu’Olga est une transgenre. Son sexe est dur, elle s’active encore plus dans ma bouche elle jouit son jus coule Avale-Pat tu aimes ça, tu me l’as dit. Tout va très vite je suis perdue dans ses bras je la caresse ses seins me plaisent je joue avec mes doigts. Elle s’amuse aussi avec mes tétons, me demande si j’aimerai une poitrine comme elle, oh oui Olga petite comme vous. Mais c’est Madame qui décide.
Les minutes passent j’ai la tête sur ses jambes je joue avec son sexe doucement Olga m’encourage, son sexe commence a durcir elle pousse ma tête pour que je le suce encore. Il est dur très dur Olga me crie à 4 pattes donne-moi ta chatte. Elle retire le god, entre dans ma chatte me pilonne sans ménagement je ne suis qu’une poupée elle jouit de nouveau. Se calme puis me retourne, Nettoie-moi maintenant comme tu sais le faire. Je gout est un peu acre. Elle m’encourage. Son clito est lisse j’ai des souvenirs de ma première fois sur le chevalet qui me revienne. Rompue Olga m’installe sur le chevalet sans m’attacher, me remet le god, prends le martinet et joue avec les lanières, elles passent sur moi vont et viennent Olga me donne un grand coup de fouet je sursaute et recommence à me caresser avec les lanières. Ferme les yeux, Olga alterne caresse et coup de fouet, Madame entre, Je saute au cou de Madame l’embrasse Merci Madame vous m’avez offerte à Olga aujourd’hui c’est la même personne qui m’avait dépucelée Madame. J’ai reconnu son odeur sa douceur des mains.
Olga se rhabille embrasse Madame « tu as de la chance d’avoir Pat, continue à la former » se tourne vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Puis s’en vas
Tu ranges tout Pat, et te rhabilles et après tu me laisses seule il est 19h tu as baiser tout l’après-midi. Je l’embrasse et elle quitte la pièce.
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2 semaines se sont passées, Madame m’a acheté un collier avec un anneau inscrit PAT, je dois toujours le porter, il est en acier chromé Mes cheveux poussent Madame m’a fait percer les oreilles et j’ai 2 petits faux diamants, c’est discret vu que mes cheveux cachent les oreilles.
Je sers Madame, fait ses tâches ménagères, chaque semaine elle m’offre à des hommes. Je suce, j’avale, je suis sodomisée, Madame à bien élargie ma chatte elle entre sa main facilement et est fière de moi.
Après avoir servi le café à Madame fait la vaisselle Madame m’ordonne le chevalet. Installée Madame m’attache me parle, me tors les tétons, mets les pinces, relève ma jupe contemple mes fesses nues dans se slip ouvert ou mon petit clito est rangé, caresse les fesses, joue avec le god me donne des coups de cravache pour me conditionner. Tout cela en me parlant.
Pat tu es splendide ainsi sur ce chevalet tu l’aimes ce chevalet, tu t’y installes, tes tétons avec ces pinces, ha ces fesses fermes, et ta chatte avec ce god cela me fait mouiller Pat. Et vlan 3 coups de cravache pour finir Madame me mets les écouteurs. Enlève le god je sens le gel froid dans ma chatte Madame installe le god gonflable et puis plus rien. Je perds la notion du temps.
Les lanières du fouet me rappellent Madame s’amuse à le passer sur mes tétons, mes fesses entre mes jambes, la caresse est douce agréable puis un violent coup de fouet sur mes fesses Madame s’amuse, Madame me veut offerte à elle.
Madame me retire les écouteurs. J’entends le fouet quand madame me donne un coup, Tout d’un coup Madame me parle « Pat tu vas avoir 2 amants aujourd’hui tu vas bien les sucer. En même temps 2 bouts de pénis sont sur ma bouche je sors ma langue suce l’un puis l’autre, pendant qu’un est en bouche l’autre se frotte contre mes joues puis inversement. Un est lisse petit mais gros l’autre moins gros mais long il va jusqu’au fond de ma bouche. Ils grossissent je ne sens plus qu’un pénis dans ma bouche. Madame parle m’encourage voila Pat tes amants sont bien dur ils vont te prendre en même temps par ta bouche et ta chatte au même moment le deuxième me sodomise. Les va et vient commence, Madame m’encourage, suce bien offre ta chatte sent comme c’est bon Pat.
Je commence à être fatigué de la bouche Madame me donne des coups de fouets sur les tétons, m’encourage l’amant dans ma bouche commence à râler il jouit Madame m’ordonne te tout avaler il est dans ma bouche je ne peux bouger le liquide acre coule j’avale par saccade, il sort je respire « Avale Pat il en reste » il remet son sexe dans ma bouche et continu. L’autre amant me pilonne de plus en plus fort la chatte il me lime puissamment il jouit Madame l’encourage à me féconder « vas y vide toi en elle, après je lui mets son god elle gardera comme ça ton jus longtemps » il me pilonne encore puis sort de ma chatte Madame aussitôt me mets le god que je dois garder sa semence. Installe les écouteurs et le calme revient.
Je n’ai aucune idée du temps à attendre quand Madame me prend le clito et y passe une corde autour puis l’enlève, je commence à bander, Madame me donne des claques sur le clito il grossit. Pause. Tout d’un coup Madame me prend le clito et le plonge dans un bas rempli de glaçons, je débande aussitôt, Madame reprends mon clito s’y amuse mets une corde puis une autre. Puis de nouveau le calme.
Je sens une main qui me détache les pieds et les mains, mes écouteurs sont retirés
-Pat tes 2 amants ont envie que tu les suces et que tu les branles. Ils veulent de nouveau jouir .
Les yeux bandés. Un pénis sur ma bouche puis le deuxième.
-Pat prend en 1 dans chaque main. Je m’exécute.
-Voilà c’est bien tu suce l’un pendant que tu branles l’autre. Voilà tu apprends vite ma fille.
Les 2 sexes grossissent. Ma bouche me fait mal avec le gros. Alors je suce plus le petit fin et doux. Madame me rappelle à l’ordre en me donnant 2 coups de fouet sur les jambes.
Le gros commence à s’agiter dans ma bouche il accélère les va et vient il va jouir. Ses mains me prennent la tête et il s’enfonce en jouissant dans ma bouche.
-Tu y es Pat, avale tout tu aimes ca je sais, continu à bien le pomper que tout son jus sorte, continu à branler l’autre t’arrête pas il va venir aussi jouir dans ta bouche. Continu. Il se retire de ma bouche ma main le tient toujours, je mets l’autre dans ma bouche je le branle en le suçant, il durcit Madame continue à m’encourager.
- vas-y, fait le jouir aussi ta bouche. Je m’active plus vite il sent venir la jouissance et comme l’autre me prend la tête et s’enfonce au fond son jus coule il me baise, Madame continue à parler.
- ça y est Pat tu as fait jouir 2 nouveaux tes 2 amants. Tu aimes je le sens. Maintenant tu vas bien les nettoyer tous 2. Lèche bien mets ta langue dans leurs méats. Ils aiment tu sais.
Puis Madame me questionne devant mes amants.
Alors ma chérie tu aimes les queues, oui Madame. Tu aimes leurs jus oui Madame.
-Dis moi tes sensations sur tes 2 amants.
-ils ont une odeur différente, l’un est plus court que l’autre et un est plus gros que l’autre. L’un est lisse l’autre moins. Un est sans poils, l’autre des poils. Ils savent me prévenir quand ils jouissent. Je sent couler leurs jus au fond de ma bouche. Un est plus liquide que l’autre.
-que dis-tu à tes amants Pat.
-Merci à vous deux. Madame m’éduque à devenir une femelle a queues, je garde en vous vos semences. Je serai contente que vous revenez tous 2 me féconder. Cela fait plaisir aussi à Madame.
Bon tu peux lâcher les 2 queues ils doivent partir. Tu ne bouges pas, je les raccompagne.
Les minutes passent, je reste assise là, ma bouche pâteuse, le god me gêne dans ma chatte.
Madame ouvre ferme la porte, m’enlève le bandeau et m’offre un verre d’eau.
Debout devant moi je bois le verre en entier et lui dit « merci Madame »
Puis Madame me saisit et m’embrasse à pleine bouche, me serre, me caresse partout. Je me sens fière de son apprentissage sur moi. Je lui dis « merci Madame » et je l’embrasse encore plus.
Je repars contente de me sentir fécondée la chatte pleine de jus les cuisses serrées pour bien garder le god.
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Nous nous réveillons côte à côte pour la 1ère fois, et quel bonheur de me retrouver à côté de mon Maître, depuis le temps que nous attendions cela.
Je regarde s'il est réveillé...à mon grand bonheur il dort encore...j'en profite pour m'extirper du lit pour aller prendree une douche avec tous mes orifices soient propres quand mon Maître se réveillera.
Sans faire aucun bruit, ou de mouvement brusque, je me glisse tout doucement de nouveau dans le lit...puis je me colle à lui, fesse sur sa queue...il a senti la chaleur de mon corps contre lui et se réveille doucement... Sa main parcourt mon corps et me fait frissonner tellement les sensations sont fortes, puis prend une de mes mamelles dans sa main et commence à titiller mon téton pour le faire durcir et pouvoir le tirer afin que la sensation de douleur et de plaisir montent en moi... Ce qui fut rapidement le cas.
Il m'ordonne de me mettre sur le dos afin de pouvoir accéder à tous mes orifices, je m'excute immédiatement...me demande d'écarter les jambes afin que ses doigts puissent caresser ma chatte et me faire mouiller à souhait... Il ne lui faut pas longtemps pour y arriver... Il m'enfonce 3 doigts et mon corps se cambre de plaisir... je dois rester dans cette position car il adore quand je me cambre... Et sa bouche prend mes tétons tour à tour afin qu'ils pointent et qu'ils puissent profiter de ces belles mamelles... Je suis fortement excitée que je ne rends même pas compte que j'en jouis de plaisir... La femme fontaine que je suis c'est laissée avoir à son propre jeu...mais normal mon Maître connaît les moindres réactions de mon corps... L'excitation en moi ne s'arrête plus que je supplie mon Maître de bien vouloir me laisser venir sur lui afin de lui faire sentir mon envie...il acquiesça rapidement et le mouvement de mon bassin...lui fait durcir sa queue encore un peu plus à chaque mouvement que quand je la sens bien dure et en moi, j'en crie de plaisir....ce qui m'a value une fessée car je n'avais pas prévenu mon Maître de cette montée en jouissance....
La fessée fût appréciée et adorée, la mise en levrette a fait raviver l'excitation en moi, qu'en bonne soumise, je présenta de nouveau mes fesses pour que mon bon Maître puisse prendre à son tour le plaisir et la jouissance dont il se contient depuis le début....nous avons malgré tout ceci pris notre pied ensemble alors que cela m'était interdit par mon Maître
En guise de punition.... J'ai eu droit à être mise au coin et à être fessée par la cravache de mon bon Maître
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L'importance du dialogue OU bien choisir son partenaire.
« Alors que la jeune femme s'emporta, répondant à l'affront de son conjoint, elle lui agrippa la mâchoire. »
Cette même scène peut être vécue de façons très différentes par les deux partenaires.
Elle pourrait donner des résultats catastrophiques ou exactement l'inverse.
Elle peut démontrer quelque chose de cohérent ou alors, de non-souhaitable.
Cas No1: La jeune femme est furieuse, vexée ou blessée. Elle traduit un message de mécontentement. L'homme ressent du plaisir.
Cas No.2: La jeune femme joue avec son conjoint, elle sait qu'il aime se faire dominer. Il s'agit d'un jeu et c'est consensuel.
Cas No.3: La jeune femme aime dominer et essaie une approche avec son conjoint. Il n'aimera pas.
Cas No. 4: La femme est furieuse, vexée ou blessée. Elle traduit un message de mécontentement. L'homme n'aimera pas.
4 cas différents, 1 situation hors contexte.
Quelles sont vos observations? Je veux faire travailler vos méninges.
Il s'agit d'un exercice IDÉAL pour les débutants.
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J’ai cru un instant que notre malédiction sévissait à nouveau quand ta cheville a lâché en début de semaine. Par chance, à la énième entorse, tu t’en remets assez vite, en tout cas, suffisamment pour que nous puissions quand même profiter tous les deux de ces jours ensembles…
Comme cela nous arrive quand nous avons un peu de temps devant nous, les « hostilités » commencent ce vendredi par un shooting photo. Et dire que tu n’aimais pas te faire photographier quand nous nous sommes rencontrés. La première fut épique … en milieu naturel, en plus ! Avec ce beau soleil sur fond de ciel bleu quasi pur, il eut été dommage de ne pas profiter du jardin pour mettre en avant ta dernière robe. Violette, lacée par un ruban sur la poitrine, vaporeuse à souhait, transparente juste ce qu’il faut pour suggérer sans tout dévoiler. Et pour rehausser le tout, tu optes même pour les plateformes noires, malgré ta cheville encore sensible. Pour le coup, aujourd’hui, c’est moi qui tourne autour de mon modèle obligé de rester immobile. L’appareil crépite jusqu’à partir en rafale à certains moments …
Changement de tenue pour les escarpins suivants. Tu redescends avec une jupe longue et noire qui laisse apparaître au gré de tes pas la fameuse paire de Louboutin dont tu me parlais depuis des semaines. Elles sont discrètes mais il faut reconnaitre qu’elles sont jolies. Du coup, mon objectif se sent obligé de focaliser sur elles ;-) . Nous terminons avec une dernière tenue, toujours accordée avec ces talons noirs à semelle rouge, cette fois étendue sur le lit. Tu sembles préférer ce dernier cadre, des plus reposants et confortables.
La séance se termine par l’idée que tu avais en tête depuis que tu as fait l’acquisition de talons quasi identiques à ceux que tu m’avais offert il y a quelques mois. Ainsi, mes bagages se sont vus lestés d’une boite à chaussures pour venir te rejoindre. Telles deux victimes de la mode, nous faisons toute une série de clichés avec nos talons respectifs, rouges pour les tiens, noirs pour les miens.
Il était temps de faire une pause bien méritée avant de passer à la suite, une soirée placée sous le signe des essais. Ces derniers mois de confinement ont été propices à quelques achats de nouveaux jouets que tu voulais ardemment tester sans délai.
Cela commence très classiquement par le collier à pointes que tu me tends. Une fois que je l’ai mis en place, tu me tends les bracelets que je boucle sur les chevilles et les poignets. Tu termines en me tendant le bâillon-pénis, qui fait son retour. Tu me fais bien rire en me faisant remarquer que j’ai mordu dedans la fois précédente : comment dire ? Pas vraiment le choix ? Alors seulement tu me fais mettre en place sur le lit, couché sur le dos, les jambes repliées au bord du matelas. J’ai l’impression que tu prends de plus en plus goût à cette disposition. Une fois n’est pas coutume, tu me laisses le bénéfice de la vue. Néanmoins, ainsi allongé, je ne peux guère voir que ton visage, sûrement pas tes mains, ce qu’elles attrapent et ce qu’elles font. Envie subite d’endosser le rôle de dentiste, tu t’amuses à me poser une question alors que je ne peux plus répondre de manière audible Tu extrais alors de ta valise à cordes deux cordelettes roses qui finissent par relier de près chevilles et poignets sans oublier quelques tours de cuisses. Pour être sûre de la solidité de tes liens, tu infliges quelques coups sur mon sexe avec ton mini paddle en cuir. Comme tu l’espérais, je me tortille immédiatement dès la première morsure. Visiblement tu es satisfaite de ton test : les contraintes ont résisté. Tu peux donc passer aux choses sérieuses. Il manquait tout de même une petite touche de nouveauté. Tu viens mettre en place ces nouvelles pinces faites d’une paire de fines baguettes métalliques dotées de petits anneaux permettant de moduler le mordant à ta guise. Inutile de les serrer beaucoup pour que leur effet se fasse sentir. Sur le moment, comme souvent avec les pinces, la douleur est « transperçante » avant que le corps, tout du moins les tétons s’habituent à cette présence. Les années passent mais je reste toujours aussi réactif aux morsures quelles que soit la nature des pinces. Ce nouveau modèle est presqu’aussi pinçant que les japonaises, sans même insister. C’est dire… Pour t’assurer de mon confort afin de profiter à fond de tes tourments du soir liés à tes essais, tu glisses un coussin sous ma tête avant de t’installer sur ton « trône » du jour, face à mon entrejambe, a priori juste à la bonne hauteur pour t’amuser et en profiter sans encombre, surtout que ton coffre aux trésors est juste à côté. Il suffit de piocher dedans en fonction de l’inspiration de l’instant.
En entendant claquer les gants sur tes mains, je devine sans difficulté que tu te prépares à tester ta nouvelle sonde. J’ai beau ne plus être inquiet à ce sujet, je préfère ne pas essayer de regarder. Elle me semble bien bien longue par rapport à l’autre. J’ai la sensation que tu peines à faire pénétrer cette longue tige boursouflée toute en silicone. La suite va me prouver que mes sens m’ont largement égaré. Les seuls quelques centimètres que je pense être entrés font leur effet. J’ai rapidement le sentiment de ne plus rien contrôler. Par moments, je crois même que je suis en train de me vider. Mais a priori, il ne doit rien en être : tu ne fais pas le moindre commentaire sur le sujet. Quand tu déclenches les vibrations, mes couinements se poursuivent de plus belle, virant même aux gémissements … de plaisir ; le peu de maitrise que je pouvais encore penser avoir s’est évanoui. Impossible d’échapper à ce fin « serpent » vibrant qui s’est insinué en moi. En revanche, les différents modes de vibration ne changent pas réellement la sensation procurée. Ou alors je ne suis déjà plus en état de les distinguer ! Lorsque tu arrêtes cette divine torture, il me faut de longues minutes avant de revenir sur terre alors que je suis resté confortablement étendu sur le lit. Même la caresse raisonnable du petit martinet sur mon pénis et mes testicules ne suffit à pas me sortir de cette délicieuse torpeur.
Toujours pourvue de tes gants, tu titilles mon pénis désormais calmé et apaisé : c’est a mi-chemin entre la griffure et le massage : pas désagréable du tout comme sensation. La présence des gants change totalement la sensation procurée : j’y goûte bien volontiers. Un bien agréable moment de simili-douceur.
Après cet intermède tactile, tu passes à la suite. En sentant le contact du stylo sur mes cuisses, j’en conclus que tu as finis pas retrouver l’inspiration qui te fuyait il y a quelques jours encore pour écrire quelques mots à mon sujet … sur le-dit sujet ;-) Comme à chaque fois, il faudra que j’attende de voir les photos pour découvrir ce qui t’es passé par la tête.
Toujours assez largement offert, il était trop tentant de ne pas abuser de la situation. Je devine le contact en cuir d’un petit paddle qui vient tourmenter mes couilles et mon pénis. Ma zone sensible par excellence. Impossible pour moi de retenir le moindre couinement et de ne pas me tortiller, du moins essayer. Les gants, une fois retirés, prolongent efficacement tes mains pour continuer dans le même esprit. Le tourment est simplement plus doux. D’ailleurs, je pense que je sursaute moins sous les impacts. C’est dire. En revanche, je redeviens extrêmement sensible lorsque tu dégaines la spatule en bois. Tout du moins c’est elle que je crois reconnaitre. De là, à prendre un pari …. C’est quand même terrible d’avoir les sens perturbés malgré le fait que tu m’aies laissé la vision libre … Toujours est-il que le plat rigide du bois sur mon intimité la plus chère est des plus « stimulant » !
Place au nouveau jouet suivant délicatement appelé « Anal Intruder » par son vendeur. On devine mieux sa forme lorsqu’on l’appelle cockring à double boules anales, tout en métal et pesant son poids selon tes dires ! Voici qui annonce une charmante parure pour ton soumis. Si l’anneau passe très bien autour du pénis, il en va bien différemment lorsque tu arrives à la base. Impossible de faire passer les testicules. Et mon excitation soudaine n’aide pas ! Qu’à cela ne tienne ! Tu ne vas pas te laisser arrêter par si peu. Quelques noix de lubrifiant sur la tige et tu poursuis la mise en place. J’ai l’impression que tu galères pour arriver à trouver le chemin. A croire que j’ai une anatomie hors normes. Après quelques efforts raisonnables, je sens se présenter la première boule qui semble pénétrer sans trop d’encombres, rapidement suivi de la seconde. Je sens que tu pousses sur l’ensemble pour t’assurer qu’il est bien en place. Je n’ai guère l’impression qu’il risque de s’échapper tout seul. Ainsi équipé, mon excitation est à son paroxysme. En plus, tu prends un malin plaisir à venir appuyer régulièrement sur cette pièce de métal qui m’envahit tout autant qu’elle me leste. Je n’ose imaginer l’effet que cela doit procurer une fois debout. Très, très efficace : l’adaptation n’a, semble-t-il, rien gâché ! Ainsi tendu, tes griffes sur ma tige sont des plus efficaces. Avant de l’enlever totalement, tu m’amuses un moment à faire coulisser la tige métallique et ses deux excroissances. Je reste aux anges ... C’est alors que tu me fais retirer le bâillon. Mais comble de sadisme, tu t’amuses immédiatement à me faire parler. Sauf que les premiers mots qui sortent sont tout bonnement inintelligibles. Cela déclenche un des fous rires dont tu as le secret, et, surtout, tu continues à m’interroger …
Il reste tout de même le plus délicat à essayer. Je dois reconnaître que cela faisait longtemps que j’avais un œil sur cet engin diabolique qu’est le humbler. Et cela a fini par piquer ta curiosité aussi. Désormais, il faut passer à l’action. Plus facile à dire qu’à faire ! Mélange d’excitation et d’incompatibilité anatomique (encore une fois ! Décidément, je finis par croire que je suis totalement anormal !), il s’avère impossible de le mettre en place lorsque je suis à quatre pattes. Il en faut plus pour nous freiner. Je m’installe sur le dos, les cuisses les plus relevées possible. A quatre mains, cela devrait peut-être faciliter la mise en place. C’est un peu mieux mais encore pas le top. Mais tout de même suffisamment pour bien sentir la tension dès lors que je laisse redescendre très délicatement mes cuisses. A quatre pattes cela doit être terrible …. Restrictif à souhait. Il faut peut-être que nous trouvions un tuto ;-)
Dimanche matin, nous remettons le couvert avec une deuxième séance photo. A défaut d’aller à l’église, tu as enfilé une vaporeuse petite robe noire toute en suggestion avec ses voiles, et surtout tes nouveaux escarpins noirs à semelle rouge. Le jardin représente une nouvelle fois un parfait écrin pour mon modèle et mon appareil photo à la limite de la surchauffe. Avec la climatisation, il fait meilleur dedans. D’ailleurs, la chambre se prête bien mieux à l’idée que je voulais développer : variations de menottes présentées avec les talons aiguilles. Je crois que nous avons fini par faire le tour de la question. Pour une raison que j’ignore, comme à peu près une fois par an, la séance dérape en délire peluche. L’ours en peluche est croqué à toutes les sauces … Nous essayons de finir plus sérieusement avec les plateformes rouges, mais pas question de se lever avec. Il est encore trop tôt pour celles-ci. La fin de la séance m’est consacrée : il fallait bien faire l’essayage des nouveaux boxers en vinyle. Comme cela tu m’auras vu dedans en direct.
Une pause était plus que nécessaire avant la soirée. Il fallait bien se reposer un peu. Côté tenue, tu as prévu une légère variation. Le collier, incontournable, est le premier à prendre place, suivi de près par les bracelets de poignets. Enfin tu me tends la cagoule. Il devrait donc logiquement y avoir de longues lanières au programme. Une fois installé à genoux au milieu du lit, tu viens fixer mes poignets au niveau de l’anneau du collier. Nous avons la même idée au même instant : je t’entends dire que je ressemble à un chien ainsi présenté. Ni une ni deux, tu attrapes l’appareil pour immortaliser cette transformation d’un nounours en chien !
Je ne suis pas surpris que tu commences par essayer le dernier jouet à avoir rejoint ta panoplie. Déjà hier, alors que nous vérifions comment cela fonctionnait, tu étais impatiente de savoir l’effet que cela allait avoir ailleurs que sur ma cuisse. Dans la position que tu m’as fait prendre, tu as libre accès à ta cible favorite. Après avoir oint mon intimité du gel spécial électro, tu commences à promener ton stick électrique sur ma verge. Tout d’abord la sensation ressemble à une sorte de brûlure très localisée et très fugace. Elle est identique sur les testicules. Un peu plus tard, la sensation change totalement, peut-être as-tu changé les réglages. Cette fois, c’est totalement différent : l’électricité semble courir sous la peau quelques centimètres autour du stick. C’est un effet inattendu mais tout à fait plaisant, quoi que difficile à décrire précisément. Finalement, en s’y prenant correctement, cette nouvelle extension de ton kit d’électrostimulation pourrait trouver une bonne place dans ta panoplie.
Après cette électrisante mise en bouche, je me roule en boule l’espace d’un instant. Il n’en faut pas plus pour dégainer tes griffes, enfin retrouvées avec une longueur conséquente. J’en suis toujours aussi friand, au point de ronronner dès lors que tu parcours mon échine, depuis les fesses jusqu’au cou, depuis les flans jusqu’au creux du dos, sans oublier le haut des bras. Je ne m’en lasserai jamais.
A une phase de douceur succède une série de douleurs. Je pensais que tu voulais « traiter » ces vieilles ceintures avant de t’en servir. Finalement non ! C’est bien l’une d’entre elles que je sens claquer sur mon postérieur à plusieurs reprises. Visiblement, il va falloir s’y adapter : je crois deviner que tu as subi un dommage collatéral. Mes sens m’égarent encore une fois lorsque tu dégaines une baguette dont je n’ai pas souvenir d’y avoir déjà goutté. Trop flexible pour correspondre aux baguettes en bois que je connais. J’opte alors pour une cravache. Pourtant, jamais je ne ressens l’impact si spécifique de sa tête. Ce n’est qu’à la fin de la soirée, en jetant un œil sur le plancher que je comprends enfin ce qui était si mordant sur mes fesses : une simple tige de seringat (merci le jardin !). Moins lourd et plus fin mais au mordant certain. De quoi me revigorer, si c’était nécessaire et de continuer à faire monter la température. Mes capteurs sont toujours aussi déréglés quand je confonds le long strap clouté avec une des spatules en bois. Tu en uses longuement et j’imagine aisément que je dois commencer à virer au rouge et à chauffer l’atmosphère de la pièce. La situation est telle que j’en oublie même la petite cravache en forme de cœur qui l’a précédé.
En guise d’apaisement, tout est relatif, tu laisses tes griffes acérées autour de mon sexe. Ma réaction est immédiate : je couine. J’hésite aussi entre « l’obligation » de garder la position et le réflexe de me tortiller pour tenter d’y échapper … en vain. De toute façon, ce serait mal te connaitre que de penser que cela t’arrêterait. Bien au contraire.
Une courte fessée à mains nues marque ton retour dans mon dos. Cette fois, je n’ai pas de doute, c’est bien une cravache qui se promène entre mes cuisses, tantôt frôlant astucieusement mes couilles, tantôt claquant l’intérieur de mes jambes. On dirait que je résiste mieux à ce traitement que certains autres. Pourtant c’est toujours en zone hyper réactive !
Un flogger que je n’ai ni reconnu ni mémorisé prend le relais. Le lourd contact qui suit me rappelle immédiatement la « caresse » du martinet. Celui-ci procure un mélange très spécial de sensations, à la fois cet impact imposant et la fine et délicate morsure de chacune des lanières. J’aime beaucoup. Mais question morsure, rien ne vaut ce qui vient derrière. Tu dégaines un de tes fouets qui vient zébrer mon dos de belles marques rouges. Malgré les morsures provoquées, je dois reconnaitre que je ne regrette jamais ces moments-là. La cagoule avait donc bien son utilité : tu ne fais jamais rien au hasard.
Pour conclure cette belle soirée, tu me refais pencher en avant, la tête plantée dans le couvre-lit et le postérieur bien tendu. Ainsi, tu peux allègrement y déposer de multiples gouttes de cire. J’aurais tendance à dire que tu cherches à en faire couler un peu partout sur cette zone des plus charnues. Tu finis même par empoigner mon sexe pour atteindre l’arrière de mes couilles avec ta cire chaude. Étonnamment, la sensation fugace de brûlure est moins importante à cet endroit précis que sur mes fesses. La cravache ne semblant pas être des plus efficaces pour assurer le « décirage », j’entends que tu quittes la pièce avant de revenir et de présenter sur mon corps une sorte de racloir qui fait sauter la plupart des gouttelettes solidifiées, en réalité la plus petite de tes spatules métalliques, pour une fois en mode délicatesse. Pour le coup, je dois reconnaitre que j’ai eu beaucoup moins de souci sous la douche pour finir le nettoyage.
Presque épuisés, nous nous étendons côte à côte, moi libéré de mes contraintes et reprenant mes esprits, toi reprenant des forces. Néanmoins, tu me gratifies à nouveau de délicieuses et frissonnantes griffures qui me font ronronner de plus belle. Cela ressemble à un pêcher mignon.
Lundi
Pour conclure mon séjour à tes côtés, tu as imaginé une séance de shibari. Hier, tu m’as dessiné une esquisse de ce que tu avais en tête. Pourquoi ce thème des losanges ? Mystère ! Toujours est-il que c’est le motif central de ta réalisation du soir. Commençant par équiper mon buste avec une première série de losanges colorés et concentriques, tu poursuis sur mes membres, une fois étendu sur le lit. Bras et jambes doivent eux aussi former des losanges. De fait, la position devient petit à petit moins confortable. Pourtant il semblerait que la situation ne me laisse pas insensible. Difficile de le cacher… Le résultat est un mélange d’esthétique et de contrainte, car, malgré tout, les différentes cordes enserrent de près tout mon corps. Je n’ai pas vu le temps passer pourtant quand je me relève, libéré de tes cordes, je découvre que deux heures au moins se sont écoulées. Pas étonnant que tu sois épuisée …. Comment te remercier pour tout cela ?
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Pendant 3 semaines ce fut presque la même chose. Madame devient toujours plus sévère avec moi, sa main entre en entier dans ma chatte, elle joue de la cravache, ma tenue de soubrette évolue au fil des jours. Madame a acheté plusieurs slips ouverts derrière et mes chemisiers ont été modifiés, 2 petites ouvertures aux niveaux des seins laissent apparaitre mes tétons, Madame s’amuse avec. Une fois propre changé et après avoir servi le café Madame me dit « va sur le chevalet et attends-moi » Oui Madame.
Quelques minutes après Madame m’attache les mains et pieds, me mets le bandeau et glissa à mon oreille « tu vas aimer ma soubrette » et installe le casque. Me mets les pinces aux tétons.
Elle relève ma jupe me donne 3 coups de cravache, s’amuse avec le god que je porte toujours chez elle. Le retire et me sodomise avec le god-ceinture pour bien m’ouvrir. Ses 2 mains sur mes hanches. Un doigt me caresse la bouche pour l’ouvrir d’où vient ce doigt ? Ma bouche le suce par habitude et il se retire aussitôt remplacé par sur sexe d’homme mou. Ma tête bloquée je ne peux bouger. La surprise passée le pénis commence à me baiser la bouche pendant que Madame me laboure la chatte. Ce sexe grossis il entre et sort de ma bouche, Madame m’avait appris à bien sucer son god-ceinture je fais de même. Je le trouve énorme dans ma bouche, je suffoque, il se retire et s’amuse avec ma bouche. Madame m’enlève le casque des oreilles. Tu vois Pat il va jouir dans ta bouche il bande bien, tu vas aimer ce sperme comme tu aimes le tien. Suce bien mets la langue fait comme je t’ai appris. Elle était immobile dans ma chatte. L’homme accentue les va et vient puis il jouit, je manque de m’étouffer, Madame m’encourage avale Pat (Le gout de se sperme ressemblait au mien). Lécher-le, nettoie avec ta langue applique-toi. Puis l’homme se retire, Madame me glisse à l’oreille « tu es magnifique Pat, tu tout prit et tout avaler ».
Tu as aimé Pat. Pas de réponse Madame m’administra une claque sur les fesses et cria
Tu as aimé Pat » Oui Madame nouvelle claque Tu as aimé.
Oui Madame j’ai aimé.
Elle me remit le casque sur les oreilles, se retira de ma chatte installa le god gonflable et après l’avoir bien gonflé, je suis restée seule.
J’ai dû m’endormir quand plusieurs coups de cravache sur mes fesses me réveillent.
L’homme remet son pénis dans ma bouche il est mou. Il commence ses va et vient, pour le faire durcir Madame me retire les écouteurs elle m’encourage de nouveau à bien le faire durcir. Des mots te voilà femelle Pat, tu suces bien, il bande, ta bouche est faite pour ça. Sent comme il est dur, Madame dégonfle le god le retire et elle dit vas-y baise lui la chatte maintenant, l’homme entre sans difficulté dans ma chatte béante et entame des va et vient.
Madame me caresse le visage me parle « Tu aimes ca Pat après ta bouche c’est ta chatte qui va être fécondée, Tu es faites pour ca Pat. Pat parle-moi dis-moi des mots.
Oui Madame j’aime être sodomisée, je suis à vous Madame je suis heureuse de vous appartenir j’aimerai vous embrasser Madame pendant qu’il me pilonne.
Madame prend ma bouche, le baiser est long très passionné, elle joue avec mes tétons qui me font très mal. Me caresse le visage. Se retire de ma bouche me lèche le visage. Tu es très belle Pat sent comme ton amant te baise offre toi plus encore à Lui, remue tes fesses. Et Madame m’embrasse de nouveau Mon amant accélère le rythme et joui. Madame n’arrête pas le baiser, l’homme se libère de ma chatte. Madame me caresse le visage retire les pinces aux tétons. Me remet le casque et je suis seule. Je n’ai plus de notion du temp. Ma bouche est pâteuse, le baiser de Madame était très puissant. Ma chatte est vide pas de god juste le jus de mon amant.
Madame commence à me détacher enlève les écouteurs et le bandeau j’ai du mal à voir.
Madame met mon god il ne tient pas il ressort aussitôt. Madame s’en amuse. Ta chatte c’est bien ouverte Pat, je te reprends ce god et te donne un plus gros. Celui-là reste. Tu le garde à la place de l’autre.
Madame me regarde droit dans les yeux me parle me caresse le visage.
Pat je suis fière de toi, tu m’as fait confiance depuis le début tu suces très bien, te voilà dépucelée j’ai vu que tu aimes ça j’ai aussi joui en te voyant faire la femelle, tu as assumé ta place de soubrette soumise. Tu seras régulièrement fécondée, fouettée fouillée punie Aujourd’hui tu as perdu ta virginité. Tu as gouté au plaisir. Embrasse-moi Pat. Je lui saute au cou et l’embrasse longuement.
En l’embrassant je lui dis « je vous aime Madame »
Ton amant du jour veut revenir Pat il te trouve à son gout Donne-moi ton avis sur lui.
Il a des mains très douce son sexe est lisse petit et gros, il a fait attention à me donner du plaisir, son sperme est comme le mien doux. Il pince les tétons différemment de vous Madame il sait faire l’amour, il sent bon. Moi aussi Madame j’aimerai qu’il revienne.
On verra Pat. Tu ranges tout et pense à porter ton god chez toi
Je range le chevalet, nettoie les jouets, les habits me change et repart avec mon nouveau god dans ma chatte heureuse d’être devenue une femelle Heureuse d’être à Madame.
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1 semaine se passe je me retrouve devant la porte à sonner 2 petit coups. Madame m’ouvre
Bonjour Madame,
Bonjour Pat va dans la chambre changes-toi après un bon lavement très profond, tu t’habilles, tu me serviras un café au salon en m’apportant la cravache.
Oui Madame.
En 15 minutes me voilà prête en train de préparer le café puis je lui sers le café après lui avoir donné la cravache. Je reste la Madame boit son café me questionne sur ma semaine de travail puis pose sa tasse et me dit
A genoux Pat face à moi et regarde-moi
Oui Madame
Je vois que les tâches ménagères tu sais faire donc je contrôlerai ton travail après. Si tu ne le fais pas bien c’est 5 coups de cravache sur tes fesses.
Oui Madame.
Tu as mis le god qui était sur le lit.
Oui Madame.
Bien montre-moi.
Je pivote et relève ma jupe pour lui présenter mes fesses. Elle me caresse s’empare du god le tourne le sort. J’ai un cri de surprise, Madame le remet en place.
Madame se lève tourne autour de moi la cravache caresse mes fesses, passe sur ma chatte prise.
Tu vois Pat comme c’est bon une cravache qui caresse mais c’est aussi un instrument pour te faire obéir et vlan un grand coup je cri.
A toi de choisir Pat soit les caresses soit les coups. Maintenant tu débarrasses le café, fait la vaisselle, tu fais mon lit, tu passes l’aspirateur dans ma chambre et après quand c’est rangé tu vas te mettre en place au chevalet.
Oui Madame.
Je m’attelle aux taches m’applique à bien faire le travail. Puis fini je m’allonge sur le chevalet et j’attends.
Madame arrive me caresse les jambes avec la cravache, passe sur mes fesses
Ton chemisier est ouvert ?
Non Madame
Vlan un coup de cravache « sur le chevalet tes tétons doivent être nus. Je déboutonne mon chemisier et me rallonge. Madame en saisi 1 et le tire, le pince, le tourne en piçnant, « aie » la même chose à l’autre, puis elle y met une pince à chaque cela est douloureux et les règles au minimum et y installe un petit poids. Pat c’est le plus petit poids et c’est réglé pour que tu peux supporter. Je commence à comprendre pourquoi ce chevalet est ainsi fait, à la hauteur des seins le chevalet est plus étroit, devant il y a un support pour y poser mon menton, un décrochement au bas du chevalet permet de laisser pendre mon sexe et ses bourses. Les pieds du chevalet sont à crémaillères pour régler la hauteur et l’inclinaison. Madame me met un bandeau sur les yeux, puis les écouteurs Toujours de la musique de Sade douce et langoureuse.
Puis plus rien, je suis immobile, Madame me caresse la bouche introduit un doigt me fait comprendre de le sucer puis son doigt est remplacer par un objet plus gros lisse froid elle le fait entrer et sortir ses 2 mains me maintiennent la tête l’objet je devine que c’est un plug ou god, il est dans ma bouche Madame me pilonne la bouche à différentes vitesses. Ma bouche est libérée.
Madame enlève le god que j’avais dans ma chatte depuis le début. Elle me passe un gel c’est froid et elle m’introduit un god ou plug plus gros. Je la sens entre mes fesses puis elle commence à entrer et sortir le god ou plug, je comprends qu’elle me sodomise avec un god-ceinture elle alterne la vitesse puis la profondeur, ma chatte s’habitue, mes tétons me font mal je me tortille, Madame bien au fond de moi me retire les poids et les pinces au tétons ils sont en feu, me passe un gel puis reprends la sodomie. Elle en sort. Ma chatte doit être béante, une pause, puis ses doigts me fouillent la chatte, et elle introduit un god plus gros et me pilonne de nouveau, ses doigts remplacent le god, puis de nouveau le god puis ses doigts elle m’introduit de nouveau un god et je sens le god gonfler dans ma chatte Madame pompe le god grossit toujours Puis plus rien, la chatte écartelée. Puis m’ouvre la bouche et y introduit un autre god ou plug. Je sens une mais me caresser les tétons, le corps, elle me retire le god gonflable et me masse la chatte avec ses doigts je sens un liquide couler de mon clito elle continu de masser ma prostate le liquide coule toujours. Madame m’enlève le god de la bouche et y mets 1 puis 2 doigts dans ma bouche ils ont le gout de mon sperme elle m’oblige à bien les nettoyer. Madame enlève le bandeau et les écouteurs.
Tu es dépucelée Pat te voilà femelle, ta chatte est bien ouverte mais pas encore assez pour moi. Tu as été sage sans voir et sans entendre tu te donnes à moi comme une femelle.
Libérée Madame m’embrasse à pleine bouche « tu vois Pat comme tu as aimé ton clito à bien coulé et tu as bien sucée mes doigts tu aimes ça ».
Oui Madame,
Répète- Pat « je suis une femelle soumise à Madame je dois me goder chez moi pour avoir la chatte plus ouverte encore Madame »
Je répète « je suis une femelle soumise à Madame je dois me goder chez moi pour avoir la chatte plus ouverte encore Madame ».
Maintenant tu vas laver le chemisier, tes bas et ton slip et les suspendre sur le fil de la salle de bain. Montre-moi ta chatte Pat que je te fasse cadeau de ce god.
Je me penche en avant Madame me mets le god et dit.
« Il est à toi après ta toilette tu le remets dans ta chatte Je veux que tu le portes en sortant d’ici et en entrant la semaine prochaine. C’est ton cadeau. Oui Madame
J’allais partir laver le linge Madame me relève la jupe et me donne 3 coups de cravache fâchée que je ne lui dise « merci Madame.
Dans la rue je serre les fesses de peur de perdre mon cadeau de Madame dans ma chatte.
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Le réveil
Le réveil se fait dans vos bras en commençant par un bonjour Maître, et vous demande s’il est possible que vous restiez au lit pendant que je vous prépare le déjeuner
Le déjeuner
Je me lève doucement du lit, nue et rien d’autre sur moi
Je vous prépare votre petit déjeuner pendant que vous êtes encore au lit, et vous attendez comme je vous l’ai demandé
Je m’affère donc à la préparation, mais vous avez décidé de venir me troubler pendant un court instant, en venant discrètement derrière moi, pour effleurer les pointes de mes mamelles pour les faire durcir, et descendre délicatement votre main sur ma chatte, et votre queue effleure mes fesses puis vous décidez de repartir vous remettre dans le lit tranquillement,
Le café
J’arrive donc à la porte de la chambre avec dans mes mains le plateau où se trouve votre déjeuner, vous me demandez de ne plus bouger pour pouvoir admirer
Vous m’ordonnez d’avancer lentement vers vous, tout en gardant le plateau dans les mains
Je m’exécute sans aucun souci
Puis, d’un seul regard, je comprends que je dois poser le plateau et prendre votre queue en pleine gorge avant la dégustation
Vous adorez cela, puis d’une seule main vous vous mettez à tirer ma tête en arrière, et me dire que je suis votre femelle salope soumise, et que vous aimeriez m’attachez les mains, afin de profiter pleinement de ce corps nu et à disposition comme vous l’aimez
Tout en bonne soumise, je vous tends les mains pour que vous puissiez me les attacher, et là, l’excitation monte en moi
Votre langue commence à lécher mes tétons pour les faire durcir, puis pouvoir les prendre en bouche afin de me les tirer et de voir dans mes yeux, la sensation d’excitation
Puis vos mains, descendent le long de mon corps, pour y retrouver ma chatte, qui est ma foi bien humide, et ouverte afin que vous puissiez y glisser 3 voir 4 doigts, et me faire gicler comme votre « femme fontaine », et vous y arriver facilement
Cela vous excite tellement que vous décidez de me relever et de me pénétrer d’un coup sec, afin d’entendre mes gémissements, encore et encore, et vous me demandez de vous dire, que je suis votre garce, votre soumise, votre femelle, votre salope, et sous la jouissance de mon corps et des mots émis par ma bouche, votre plaisir augmente de plus en plus, et je récolte votre semence en moi
Cela fut tellement intense, que je vous demande de recommencer car l’excitation est encore présente en moi
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Les semaines qui suivirent furent consacrées à me dresser. Je n’étais plus qu’un petit soumis dressé par sa sublime Maîtresse. Il s’agissait d’une éducation de tous les instants, distillée par Maîtresse Caroline chez qui je vivais, nu la plupart du temps. Je devais apprendre à servir au quotidien, du réveil – bien avant Maîtresse – jusqu’au coucher. Mes jours étaient fait d’humiliations, de séances de punitions au gré des envies de Maîtresse, et de mes erreurs aussi. J’étais aussi un sex-toy pour le plaisir de Maîtresse Caroline et de Chloé, qui passait souvent rendre visite à son amie. Et surtout, j’avais retrouvé Ennia. Mais une Ennia différente, plus secrète, parlant très peu. Elle ne vivait plus au domicile de Maîtresse Caroline et ses apparitions, toujours pour des séances particulièrement dures auxquelles j’assistais le plus souvent en spectateur, se faisaient de plus en plus rare. Bien trop rare. Mon amour pour elle ne faisait que se renforcer, en proportion inverse du manque d’elle dont je souffrais. Il m’arrivait souvent de pleureur, lorsque j’étais seul. Je ne savais à quoi me raccrocher, si ce n’était, parfois, un regard que me jetait Ennia, dans lequel je pouvais lire ses sentiments, sa tristesse aussi. Ces regards me faisaient tenir, espérer. Je m’en nourrissais. Bien plus que de mon plaisir à servir Maîtresse Caroline. L’amour d’Ennia me jetait dans les bras de ma Divine Maîtresse bien plus que mon désir, mon besoin de soumission. Mais cela, je le gardais précieusement pour moi. Je ne sortais de son appartement que pour me rendre à mes cours, et parfois faire quelques courses pour Maîtresse, quand elle ne se faisait pas livrer à domicile. Ainsi, j’étais chargé de réceptionner les livraisons, une bonne occasion pour Maîtresse Caroline de m’humilier. Pour que je comprenne bien qui j’étais, ou plutôt ce que j’étais désormais. -Tu l’as choisi, n’oublie pas ma pute. Tu ES à moi, ma chose, mon esclave. J’ordonne, tu exécutes. Peu m’importe ce que tu penses, tu obéis et tu me satisfais, sinon je te punis. C’est clair ? » -Très clair Maîtresse Caroline ! -Alors tu vas enfiler cette jupe, ce chemisier blanc, et ce tablier. Ne boutonne pas ton haut. Pour le reste de ton déguisement, je vais m’en occuper personnellement. Je veux que tu sois une bonniche très sexe, bien bandante. Une vraie pute aguicheuse. J’espère que tu vas me faire honneur ma salope, hein ? -Je l’espère Maîtresse Caroline », répondis-je…. De moins en moins convaincu par ce que Maîtresse voulait que je fasse. Mais je n’avais pas à être convaincu. Juste à lui faire plaisir. Quel qu’en soit le prix pour ma fierté – oui, à cette époque, j’avais encore ma fierté de mâle. C’est ce que Maîtresse entendait me faire perdre, au profit de la seule fierté de lui appartenir. Je me sentais affreusement ridicule, avec ma jupe courte, très courte. Maîtresse l’avait choisie en latex, ultra moulant bien sûr. Depuis que je vivais sous son toi, j’étais entièrement épilé, très régulièrement. Jambes, sexe, torse, aisselles… glabre comme elle aimait à me voir. Le chemisier blanc était presque transparent, je le laissais ouvert, suivant les instructions de Maîtresse. Bien sûr je ne portais aucun dessous, jamais. Juste ma cage de chasteté. J’ajustais mon tablier, et je me présentais à Maîtresse Caroline. -Fais moi voir ça ma salope… tourne un peu…. bien, ton cul de pute est bien moulé, j’aime. Approche… J’obéissais, effrayé par ce que Maîtresse allait encore inventer. J’avais raison d’avoir peur. Elle prit deux pinces-étau, et les fixa à mes tétons, après les avoir bien étirés douloureusement pour les faire saillir au maximum. Maîtresse aimait beaucoup me travailler les seins. Des tétons de bonne salope comme elle disait. J’avais mal, et les pinces se voyaient parfaitement sous le tissu très fin de mon chemisier. Ensuite, elle m’enfila une perruque, et entreprit de me maquiller. Fard à paupières, blush, rouge à lèvres… -Voilà, une bonne bonniche, avec un air de salope. Tu es parfaite ma chienne. Le livreur ma bientôt arriver normalement. Je te charge de lui faire un bon accueil, sois polie, il fait un travail difficile. Tiens, tu devrais même descendre pour l’attendre sur le trottoir. C’est la première fois que je commande chez eux, il ne sait pas où c’est. Allez, dégage sale petite truie. Hop, sur le trottoir ! Maîtresse avait appuyé ses derniers mots, avant d’éclater de rire. Je ne savais plus où me mettre, et j’étais descendu, comme un robot. Par l’escalier comme Maîtresse me l’avait ordonné, avec la peur de croiser un voisin ou une voisine. Heureusement, cela n’arriva pas. Je dus attendre 15 minutes sur le trottoir, en essayant de me cacher le plus possible, ce qui était difficile. Moins difficile que de sentir les regards des passants, surtout des hommes. Je ne me sentais pas encore la force de leur jeter ma soumission, ma fierté d’appartenir à ma Maîtresse, à la figure. Je n’assumais pas encore, et cela me faisait cruellement souffrir. J’avais honte. Honte de ne pas être à la hauteur, et encore un peu honte de ce que je faisais pour satisfaire ma Maîtresse. Caroline avait raison, mon dressage était loin d’être parfait, et il me restait encore beaucoup de chemin pour parvenir à l’état de vrai soumis auquel me destinait Maîtresse Caroline. Sur ce trottoir, je prenais la décision de faire enfin, psychologiquement, le grand saut. Et de revendiquer ce que j’étais devenu. La pute de Maîtresse Caroline. Un statut que pas un passant n’atteindrait jamais. C’est de cela dont je devais être fier. Et non de ce que j’étais avant. Lui ne devait plus exister. Elle, cette salope, cette pute, cette chienne obéissante, ouverte, prête à tout pour sa Maîtresse… elle seule comptait désormais. La livraison arriva enfin. La camionnette se gara à quelques places de l’entrée. Et j’eus la désagréable surprise de voir descendre non pas un, mais deux livreurs. Un grand noir, en salopette, et un blanc, plutôt petit mais les muscles saillants, moulés dans un t-shirt trop petit. Tous deux semblaient approcher la trentaine, à peine. Deux, et non pas un seul livreur comme je m’y attendais. Et visiblement, Maîtresse Caroline ne s’était pas contentée de commander. Elle les avait également briefé. Mon attente, sur le trottoir, dans cette tenue… Maîtresse l’avait aussi prévue, et les livreurs s’y attendaient. -C’est toi la salope qui portent les sacs ? C’était le plus petit qui m’avait interpellée. J’étais tétanisée. Incapable de répondre ou de bouger. -Ben approche… tu crois pas qu’on va bosser à ta place quand même ? Pour une fois qu’on a de l’aide, on va en profiter ! Je m’étais approchée, sous les rires des deux hommes. Comme un robot j’avais saisi les deux sacs, suivie par les livreurs. -On va monter avec toi, se faire payer ! Dans le hall, le black m’avait poussée vers l’ascenseur. -On ne va pas de faire chier à monter par l’escalier. Et puis on sera plus serré, l’ascenseur est tout petit dis donc. Je ne disais pas un mot, rouge de honte, morte de peur aussi. Mais le plus troublant, c’était ce désir qui montait. Ce dont j’avais le plus honte. Une fois dans l’ascenseur, les deux hommes commencèrent à me caresser les fesses à travers le latex. Le black essayait de glisser sa main entre mes cuisses, mais je les maintenais serrées. -Tss tss…. on a dit qu’on montait pour se faire payer… t’as intérêt à te montrer gentille, si tu ne veux pas qu’on en parle à ta proprio. J’écartais les cuisses, juste assez pour sentir la main géante remonter vers ma queue encagée… -Attends, j’y crois pas… -Vas y remonte lui sa putain de jupe, faut que tu vois ça. La salope a sa queue dans une cage. Le grand black semblait vraiment surpris. Le petit livreur un peu moins… -Ouais, ça doit être un truc de chasteté, j’en ai déjà vu sur internet. C’est pour éviter que la petite salope se branle n’importe quand. Hein, c’est pour ça que tu as ce truc sale chienne ? Tu n’arrives pas à t’empêcher de te branler ? T’es toujours en chaleur ? -Oui Monsieur, c’est pour ça. J’étais anéanti. Jamais je n’avais vécu une humiliation pareille. Mais ce n’était rien à côté de ce qui m’attendait. Quand le black avait parlé de monter se faire payer, je savais que j’étais inclue dans le prix. Maîtresse Caroline nous attend sur le pas de la porte de l’appartement. -Dépose les sacs à la cuisine, tu rangeras plus tard, ensuite tu nous rejoins au salon ! Je m’exécute et rejoins Maîtresse Caroline au salon. Je marque un temps d’arrêt. La table basse a été enlevée, laissant un bel espace libre au milieu de la pièce. Les deux livreurs sont assis chacun dans un fauteuil, Maîtresse sur le canapé. Et à côté d’elle, Maîtresse Chloé. Ennia est à genoux aux pieds de Maîtresse Caroline, nue, portant seulement son collier de chienne, tenue en laisse par ma Maîtresse. La présence de Chloé et d’Ennia me fige. Je devine ce qui va m’arriver, enfin ce que je vais devoir faire, je l’accepte… mais je pensais que Maîtresse Caroline serait seule. -Alors ma petite bonniche, on hésite ? Viens là, immédiatement ! J’approche, regard baissé. J’obéis, c’est tout. Je suis mort de honte, j’ai peur, mais je suis excité. La cage remplit parfaitement son office et contient un début d’érection plus que douloureuse. Je suis une pute, une chienne en chaleur… je suis devenue cela. Ou peut-être l’étais-je depuis toujours, sans le savoir. -Alors…. elle s’est montrée coopérative ma bonniche ? Le petit livreur prend la parole: -Elle aurait pu mieux faire…. hein Marc ? dit-il en s’adressant à son partenaire black. -Ouais c’est sûr… elle voulait pas ouvrir les cuisses. Une vraie pucelle. La cage, c’est pour l’empêcher de se branler c’est ça ? Il semble toujours ne pas en revenir que ma queue soit encagée. Maîtresse Caroline m’humilie encore plus, avec un grand sourire. -Oui, sans la cage, cette chienne bande en permanence et ne pense qu’à se toucher. Une vraie salope qui a le feu au cul. D’ailleurs, tu devrais leur montrer ma pute. Allez, caresse toi, montre leur que tu as envie de cul…. excite nos invités. Vous allez voir, c’est une vraie truie en chaleur ! Dans un état second, j’obéis à Maîtresse Caroline, en évitant soigneusement de croiser le regard d’Ennia. Maîtresse Caroline a raison. Je suis une salope qui ne pense qu’au cul. Je remonte lentement ma jupe en latex sur mes hanches. Le grand black, celui qui s’appelle Marc, laisse échapper un sifflement… -Wouah, elle est entièrement rasée… c’est une vraie pute dites donc ! Je caresse l’intérieur de mes cuisses, j’ouvre mon cul à pleines mains et je le présente aux invités, je joue avec les pinces sur mes tétons, ce qui m’arrache un petit cri de douleur, je donne des coups de hanches dans le vide. Ma queue me fait terriblement souffrir, serrée au maximum dans ma cage de chasteté. Maîtresse Caroline donne la laisse qui retient Ennia à Chloé et se lève pour me rejoindre. Elle déboutonne mon chemisier et commence à jouer avec les pinces, plus durement que je ne le faisais… -La chienne est très sensible des tétons. Son dressage est loin d’être terminé. Comme nous en avons convenu Messieurs, vous allez m’aider à l’éduquer. Elle n’a encore jamais sucé de queue, et son cul de pute ne s’est jamais fait baiser par une vraie queue de mâle. Elle est à vous. Vous pouvez l’utiliser comme vous voudrez. Et faites la bien couiner cette salope, ça nous excite à mort ! Le grand black a sorti sa queue, plus qu’imposante, et se branle lentement en me regardant. C’est le premier à m’adresser la parole : -Viens là ma salope, tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta bouche, allez, viens sucer ta première queue. Une belle queue de black, t’en as de la chance hein ? Je m’approche lentement, et je me mets à genoux. Son gros gland luisant me révulse et me fascine à la fois. Personne ne parle, comme si l’instant était solennel. -Plus vite, suce moi sale pute. Je sors ma langue et l’approche lentement de sa hampe. Je donne de petits coups tout le long, je lèche délicatement son gland pendant qu’il continue à se branler. Mais il n’a visiblement pas envie que je prenne mon temps. Il pose sa main sur ma tête et appuie. Son gland force mes lèvres et vient de planter au fond de ma gorge -J’ai dit suce la pute !!! » J’ai un haut-le-coeur et je la recrache en toussant… -Doucement, allez, encore… suce moi bien ! Je fais de mon mieux, je suce, l’enfonçant à chaque fois un peu plus loin. Je la retire de ma bouche pour lécher son gland. Il semble aimer… -Lèche moi les couilles aussi…. t’as vu comme elles ont bien pleines… du bon jus pour toi ma salope. On va faire de toi une bonne pute à blacks, j’ai plein de potes qui vont t’adorer. Je lèche, suce, salive le long de sa tige… Maîtresse Caroline et Maîtresse Chloé se sont rapprochées, elles me regardent faire, de près. Je me sens encore plus humilié, mais cela me donne aussi la volonté de bien faire. Pour que mes Maîtresses soient fières de moi. -Hummm regarde Chloé comme elle aime ça. Je te l’avais dit, c’est une vraie chienne à queue. On va en faire une bonne suceuse. Faut qu’on la surveille, elle va devenir accro! Mes Maîtresses éclatent de rire, et s’amusent beaucoup. Mon humiliation atteint son maximum. Je pleure de honte tout en suçant la queue de Marc qui grossit encore. Il impose le rythme avec sa main, et je le sens accélérer. Ensuite, il jouit en grognant et je m’étouffe avec son sperme, très abondant. Je recrache sous le coup de la surprise, et aussitôt, Maîtresse Caroline m’assène une gifle magistrale -Sale pute, tu ne sais pas que tu dois avaler ?!!! Regarde t’en a foutu plein le parquet, nettoie immédiatement ! Chloé, je crois qu’elle a besoin de la cravache pour que cela lui rentre bien dans le crâne. Faut la motiver un peu notre suceuse… allez lèche le bon sperme, et ensuite on nettoie la queue de son homme, et on le remercie ! Sous les coups de cravache qui cinglent mon cul, je lèche le foutre de Marc, puis je le reprends en bouche. Il n’a presque pas débandé et il rigole en se moquant de mes piètres qualités de suceuse. -Va falloir que tu t’améliores, tu suces comme une merde. On va revenir t’inquiète, tu pourras t’entraîner dit-il en faisant un clin d’œil à son collègue. Allez, mon copain aussi il a envie. Et même si je suis black, il en a une plus grosse que moi. Et des couilles bien pleines, pas vrai Luis ? Luis, qui s’est branlé pendant tout le temps de ma fellation, m’attire à lui et me roule une pelle en triturant mes tétons. Il enfonce sa langue dans ma bouche, et je ne peux pas l’en empêcher. Je crois que cela me dégoutte encore plus que de sucer. J’essaie de détourner la tête.Il n’y a rien de plus humiliant pour moi. Mais Luis me tient pas les pinces, par les tétons. Face à la douleur, je ne peux que lui offrir ma bouche. Il m’embrasse longuement puis abaisse ma tête vers sa queue énorme. Je n’ai jamais vu de gland aussi gros. Sa queue est épaisse, pas trop longue mais très large. J’ai du mal à la prendre en bouche. Il me force à le sucer, s’enfonce au maximum en manquant me faire vomir à chaque fois. Cela l’amuse beaucoup. Maitresse Caroline et Chloé y vont de leur commentaire. -Dis Chloé, t’en as déjà vues des queues pareilles ? Moi jamais. Elle est vraiment super grosse. Notre petite truie va se faire éclater le cul dis donc… -Ouais t’as raison, elle va bien morfler. Putain elle est géante sa queue !!! T’aime ça hein la pute, les grosses queues !!! T’es vraiment une lope à baiser !!! J’essaie de jeter un œil vers Ennia, mais elle garde le regard baissé. Et Luis m’ordonne de le regarder dans les yeux pendant qu’il baise ma bouche. Mais il se retient de jouir. -A quatre pattes. Marc va te préparer le cul pour que je puisse te défoncer. Si c’est moi qui commence, tu vas exploser. Il saisit mes pinces à seins et tire pour me forcer à me relever puis à me mettre à genoux sur le tapis central. Marc s’est levé aussi. Maîtresse Caroline me lance un flacon de lubrifiant et une capote. -Allez la pute, tu ne crois pas que quelqu’un d’autre va le faire quand même ? Tu lui mets la capote et je te conseille de bien te tartiner le cul de gel, si tu veux que ça fasse moins mal. Ils vont t’ouvrir complètement tu vas adorer ! Je tremble en enfilant tant bien que mal le préservatif sur la queue de Marc. Elle est plus grosse que le plus gros des gods avec lequel Maîtresse Caroline m’a déjà travaillé. Je m’enduis de gel, copieusement. Tu devrais bien te doigter, et t’en mettre un max dans la rondelle. C’est Ennia qui a parlé. Je me fige et je tourne vers elle. Maîtresse Caroline est debout à côté d’elle. Les larmes me montent aux yeux et je suis ses conseils, sans détacher mon regard du sien. Je suis anéanti, totalement. Marc trouve que c’est trop long et il vient derrière moi. Sa main sur ma nuque me force à me mettre à quatre pattes. Je sens son gland se frotter sur mon anus, et il commence à pousser. J’essaie de m’ouvrir, de me détendre. Il force et son gland m’ouvre et me pénètre. Je crie de douleur et il m’assène une grande claque sur les fesses. -Hmmm j’adore les faire crier les putes dans ton genre… Vas y, hurle si t’en as envie. Putain ce qu’elle est étroite, c’est trop bon !!! Il fait quelques va et vient et s’enfoncer à fond d’un seul coup. Je hurle mais Luis m’enfonce sa queue dans la bouche, pour étouffer mes cris. Ils me violent. La douleur s’atténue un peu mais le plaisir n’est pas là. Enfin pour moi. Marc me baise à grands coups de reins, et il ne tarde pas à jouir une deuxième fois. Il se retire, me laissant béant, et Luis vient aussitôt prendre sa place. -Attends ! : dit Marc. -Remets lui du gel, tu vas voir elle est trop bonne cette salope ! Son gland est bien plus gros que celui du black. Il force mais sans réussir à rentrer. Maîtresse Caroline farfouille alors dans son sac et en sort une fiole de poppers. -Vas y ma salope, respire un grand coup ! J’obéis, la chaleur m’envahit aussitôt, monte.. et je hurle à nouveau lorsque Luis m’empale. Maîtresse Caroline me fait sniffer encore et encourage Luis. -Vas-y, maintenant tu peux vraiment la défoncer ! Il ne s’en prive pas. Je ne suis plus qu’un cri continu, que le string que Maîtresse Chloé a enfoncé dans ma bouche pour me baillonner peine à atténuer. Luis a saisi mes hanches et il me pilonne de plus en plus vite. Il jouit rapidement et se retire. Mon viol anal est terminé, mais pas l’humiliation. Tiré à nouveau par les pinces, je me retrouve encore à genoux. Visage ravagé par la douleur, les larmes… Maîtresse Chloé retire son string de ma bouche et Maîtresse Caroline prend la parole : -Tu dois avoir soif ma petite pute…. Regarde le bon foutre chaud que tu vas pouvoir déguster…ouvre ta bouche et sors ta langue, allez ! Ensuite, joignant le geste à la parole, elle vide sur ma langue les deux préservatifs remplis du sperme de mes violeurs. -Avale ! Avale tout ! Va falloir que tu apprennes à aimer ça, ce n’est pas la dernière fois que tu vas y goûter, crois moi !! Je suis au bord du vomissement, mais j’obéis, j’avale tout comme Maîtresse me l’a ordonné. Je me sens déshumanisé. Brisé totalement. Maîtresse Caroline prend congé des deux livreurs, non sans leur dire à très bientôt. Et qu’ils n’hésitent pas à en parler à leurs amis qui seraient intéressés. Puis elle revient au salon et se plante devant moi. -Ma pute…. vois ce que je peux faire de toi. Je peux t’offrir à qui je veux, te faire baiser par qui je veux. Je l’ai fait et je le referai encore, souvent. Tu es à moi. Mon objet, mon esclave j’espère que maintenant tu en as pleinement conscience. Tu es ma pute. Et si j’ai envie de te prostituer, je le fais. C’est aussi simple que ça. Mais assez pour ce soir, je crois que tu as eu ton compte. Et comme tu nous as bien excitée, t’as droit à une petite récompense. Je me jette à ses pieds, les embrasse, les lèche avec dévotion… je pleure en la remerciant, en disant que je suis sa chienne, sa pute, sa gagneuse, qu’elle peut faire de moi tout ce qu’elle veut, que je suis à elle, qu’elle est ma Déesse, ma Divine Déesse…. Elle me repousse de sa semelle et m’ordonne de me relever. Ensuite, elle prend la clé qui pend au bout d’une chaîne, entre ses seins, et me libère de ma cage. Je bande aussitôt. -Ennia, approche. Notre petite truie a mérité une récompense. Tu as donc 3 minutes pour le faire jouir. Si tu n’y arrives pas, tant pis pour lui. Il retourne dans sa cage et toi, je te punis comme rarement tu l’as été. Rien qu’à la cravache. Tu sais combien je peux être sévère, surtout quand je suis super excitée comme maintenant. Allez, au boulot !
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Il fait frais, et la voix de Madame résonne. Sans doute un parking souterrain.
-Avance la pute. Stop. A genoux, mains dans le dos !
J’ai toujours les yeux bandés. Ainsi, j’obéis à cette femme naturellement dominatrice. Ma séance de masturbation, puis de nettoyage de mon foutre, m’a fait débander. Je me sens vulnérable comme jamais je ne l’ai été. Aucune présence familière. Juste cette magnifique femme qui me dirige à la voix, et un chauffeur que je n’ai fait qu’apercevoir en montant dans la voiture.
Est-ce que ma divine Maîtresse est là ? Est-ce qu’elle me regarde ? Pas le temps de m’apitoyer sur mon sort, la voix de Madame se fait à nouveau entendre.
-Lorsque l’on vous transporte gratuitement, la moindre des choses, c’est de remercier ses hôtes, ne crois-tu pas la pute ?
-Oui Madame, vous avez raison !
-Et bien…. remercie donc celui qui t’a conduit jusque là. Paul, approchez… la pute va vous dire merci !
En même temps que les mots de Madame résonnent dans le parking, je sens la présence du chauffeur qui s’est rapproché de moi, très près. J’entends, alors, le bruit caractéristique d’une fermeture éclair. Tout se bouscule dans ma tête… les mots de Madame… dire merci…le bruit de braguette que l’on ouvre… je comprends, mais ne veux pas comprendre en même temps. Pas ça… s’il vous plaît, pas ça… je ne suis pas prêt. Pas un mot ne sort de ma bouche. Mes suppliques sont silencieuses.
-Allez la pute, remercie le comme il se doit. Paul est gâté par la nature, et il aime particulièrement se faire sucer par des putes comme toi….
Trop. Je craque, tombe prostré au sol, aux pieds de ce Paul, et mes larmes jaillissent. A mes sanglots répond le rire de ma divine Maîtresse Caroline. Elle était là, elle a tout vu… je l’ai sans aucun doute déçue, je ne suis pas digne d’elle, je ne suis pas assez fort pour devenir sa pute, ce qu’elle désire que je devienne, elle va me rejeter… Mes larmes redouble, mon humiliation explose, et la peur m’envahit. J’entends sans vraiment entendre ma divine Maîtresse Caroline saluer et remercier Madame. Le temps est suspendu, et je ne suis plus qu’une loque, au sol, pleurant sur son sort. En fait, je suis brisé, totalement.
Enfin, des pas se rapprochent et stoppent à quelques centimètres de mon visage. Une voix. SA voix.
-Alors, 15 jours sans me voir t’ont fait oublié la façon dont tu dois saluer ta Maîtresse, ma petite pute pitoyable ?
L’insulte me fait d’autant plus mal qu’en cet instant, c’est exactement ce que je suis. Pitoyable. Je me jette littéralement sur ses pieds. J’embrasse, je lèche, je délire….
-Divine Maîtresse Caroline…. pitié Maîtresse… ne m’abandonnez pas je vous en supplie… je deviendrai la pute que vous voudrez, je sucerai toutes les queues que vous me présenterez…Divine Maîtresse Caroline, s’il vous plaît, ma Maîtresse, je vous supplie… gardez moi divine Maîtresse Caroline….
Maîtresse me laisse supplier, pleurer et embrasser ses pieds divins pendant de longues minutes. Puis elle recule, sans un mot… je reste à genoux, totalement désemparé, ne sachant que faire. Mains liées dans le dos, yeux toujours bandés, je suis offert et sans espoir. En cet instant, je crois que mon sort m’indiffère complètement. Je me sens anéanti, vide. Mes larmes cessent de couler.Ensuite, j’attends sans boucher, les cuisses écartées, sans aucune conscience du spectacle que je peux offrir. Quelqu’un pourrait surgir, je m’en fous.
Maîtresse Caroline se rapproche, toujours sans un mot. Elle me contourne et vient se placer dans mon dos. Je sens un collier autour de mon cou, Maîtresse qui en manipule le mécanisme de fixation. J’entends le bruit d’une chaîne, Maîtresse la fixe à mon collier…. et mon espoir renaît. Je renais, pour elle, par elle. Debout, cambré, cuisses écartées, tête droite, j’attends et je me laisse envahir par la joie, le bonheur même. Elle m’a mis un collier. C’est donc qu’elle veut toujours de moi.
-Ma pute. Mon chien. Ma salope. Mon soumis….. Ce que tu viens de vivre était un test. Que tu l’aies réussi ou non, peu importe. Ce que je voulais, c’est te briser. Et je n’ai eu aucun mal. Maintenant tu vas m’écouter très attentivement. Ce que je vais te dire maintenant, je ne te le répéterai jamais. A toi de ne jamais l’oublier. Tu ES A MOI ! J’ordonne, tu obéis. Je t’offre, tu te donnes. Je t’humilie, tu me remercies. Tu vis pour moi, par moi. Tu n’es plus rien et moi je suis tout. Ta vie m’appartient, ton corps m’appartient. Tu ne décides plus, tu subis.
-C’est maintenant que tout commence pour toi. A mes pieds, moi, ta Déesse, ta Reine ! Tu as une unique chance. Dis juste NON, et je te libère. Je te rends photos, vidéos, et liberté. Mais alors n’espère plus jamais rien de moi. N’espère pas revoir Ennia. Tu n’auras, tu ne seras plus rien pour moi…. Ou alors donne toi à moi. Décide de m’appartenir et de me vénérer, et saches qu’il n’y aura pas de retour en arrière possible. Tu choisis, maintenant. Ta Reine ou ta liberté !
Maîtresse Caroline a dosé les silences… ses mots m’ont transpercé, transporté… elle me donne espoir, force… et en cet instant, je suis un soumis fou amoureux de sa Maîtresse. Un sentiment d’une puissance que n’ai jamais connue. Enfin, je pleure doucement, bouleversé par l’émotion.
-Divine Maîtresse Caroline…. je n’ai qu’un désir, au plus profond de moi : vous appartenir. Je choisis ma Reine, vous, Maîtresse Caroline.
Ma Déesse s’est approchée. Puis, elle prend mon visage entre mains, et murmure, avant de m’embrasser avec une infinie tendresse…
-Je le savais.
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Il avait fait moins chaud que de coutume. Béatrice, qui avait nagé une partie de la matinée, dormait
sur le divan d'une chambre fraîche au rez-de-chaussée. Sarah, piquée de voir qu'elle préférait dormir,
avait rejoint Patricia dans son alcôve. La mer et le soleil l'avaient déjà dorée davantage. Ses cheveux
et ses sourcils semblaient poudrés d'argent, et comme elle n'était pas du tout maquillée, sa bouche
était du même rose que la chair rose au creux de son ventre. Les volets étaient tirés, la pièce presque
obscure, malgré des rais de clarté à travers les bois mal jointés. Patricia gémit plus d'une heure sous
les bontés de Sarah. À la moindre caresse, sa peau frémit. Elle ferma les yeux. Sarah contemplait
impunément le pur ovale du visage de Patricia. Des épaules fines et le cou gracieux. Sur la peau mate
des joues et du front, sur les paupières bistrées passaient, comme des risées sur la mer, de brefs
frissons qui gagnaient le ventre, les bras et les doigts entremêlés. Une émotion inconnue s'empara
d'elle. Serrer une femme dans ses bras, c'est se priver de la voir, se condamner à n'en connaître que
des fragments qu'ensuite la mémoire rassemble à la manière d'un puzzle pour reconstituer un être
entièrement fabriqué de souvenirs épars. Les seins, la bouche, la chute des reins, la tiédeur des
aisselles, la paume dans laquelle on a imprimé ses lèvres. Or, parce qu'elle se présentait allongée,
pétrifiée comme une gisante dans son linceul de drap blanc, Sarah découvrait Patricia comme elle ne
croyait jamais l'avoir vue. Des cheveux courts d'une blondeur de blé, les jambes brunies par le soleil.
Elle ne reconnaissait pas la fragile silhouette vacillante sous le fouet. Bouleversée, elle regarda un
moment le corps mince où d'épaisses balafres faisaient comme des cordes en travers du dos, des
épaules, du ventre et des seins, parfois en s'entrecroisant. Patricia, étendue sans défense, était
infiniment désirable. Comme le suaire que les sculpteurs jettent sur une statue d'argile ocreuse
encore fraîche, le drap mollement tendu épousait les formes secrètes de la jeune femme; le ventre
lisse et bombé, le creux des cuisses, les seins aux larges aréoles et aux pointes au repos. L'onde
tiède surprit son ventre. La blondeur accepta l'étreinte. Le ballet érotique devint un chef-d'œuvre de
sensualité, un miracle de volupté. Sarah fut la corde sous l'archet, le clavier sous les doigts du
du pianiste, le fouet sur la chair, l'astre solaire dans les mains d'une déesse. Ne plus s'appartenir est
déjà l'extase. Les traces encore fraîches témoignaient de l'ardeur de leur duel passionnel, des
courbes s'inclinant sous la force du fouet comme les arbres sous la bourrasque. La muraille d'air, de
chair et de silence qui les abritait où Patricia était soumise, le plaisir que Sarah prenait à la voir
haleter sous ses caresses de cuir, les yeux fermés, les pointes des seins dressées, le ventre fouillé.
Ce désir était aigu car il lui rendait constamment présent sans trêve. Les êtres sont doubles. Le
tempérament de feu qui façonnait Patricia la conduisait à l'abnégation, de supplices en délices.
Elle avait gardé les yeux fermés. Elle croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'elle contemplait son corps
inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir
tout autour. Tout à l'heure, à son arrivée, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre.
Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se
croisant les mains dans le dos. Elle lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle lui avait dit plus
fort et Sarah avait noué des liens plus étroits. Elle voulait la rendre rapidement à merci pour leur plaisir.
D'elle-même alors elle s'était laissée tombée sur le lit. Ça l'avait beaucoup excitée de la sentir aussi vulnérable
en dessous d'elle. Elle s'était dévêtue rapidement. Elle lui avait relevé son shorty d'un geste sec. Elle l'avait
écarté pour dégager les reins et l'avait fouettée sans échauffement. Elle reçut sans se débattre des coups de
cravache qui cinglèrent ses fesses de longues estafilades violettes. À chaque coup, Patricia remercia Sarah.
Elle devint son sang. La vague accéléra son mouvement. L'ivresse les emporta et les corps ne surent plus dire
non. Ils vibrèrent, se plaignirent, s'immobilisèrent bientôt. Sarah la coucha sur le dos, écarta ses jambes juste
au-dessus de son visage et exigea d'elle avec humeur qu'elle la lèche aussitôt comme une chienne. Elle lapa
son intimité avec une docilité absolue. Elle était douce et ce contact nacré la chavira. Les cuisses musclées
de Sarah s'écartèrent sous la pression de la langue et des dents. Elle s'ouvrit bientôt davantage et se libéra
violemment dans sa bouche. Surprise par ce torrent fougueux, Patricia connut un nouvel orgasme qui la tétanisa,
lorsqu'elle prit conscience qu'elle jouissait sans l'autorisation de sa Maîtresse, avec la nonchalance que procure
le plaisir poussé à son paroxysme. Elle l'en punirait certainement sauvagement pour son plus grand bonheur.
Après une toilette minutieuse, comme pour retrouver son état de femme libre, Sarah qui regrettait de ne pouvoir
la fouetter davantage, l'embrassa tendrement. Il était temps de sceller le lien qui les unissait. Le jour tant attendu
arriva. Elle la fit allonger sur un fauteuil recouvert d'un tissu damassé rouge. La couleur donnait une évidente
solennité au rituel qui allait être célébré. Elle ne put éviter de penser au sang qui coulerait sans doute bientôt des
lèvres de son sexe. Et puis tout alla très vite. On lui écarta les cuisses, poignets et chevilles fermement liés au
fauteuil gynécologique. Elle résista mais on transperça le coté gauche de sa lèvre. Sarah lui caressa le visage
tendrement, et dans un geste délicat, elle passa l'anneau d'or dans la nymphe percée. Il lui fallut écarter la chair
blessée afin d'élargir le minuscule trou. L'anneau coulissa facilement et la douleur s'estompa. Mais presque
aussitôt, elle ressentit une nouvelle brûlure. L'aiguille déchira la seconde lèvre pour recevoir l'autre anneau. Tout se
passa bien. Patricia se sentit libérée malgré son marquage. Elle ferma les yeux pour vivre plus intensément ce
moment de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes. Sarah lui prit la main dans la sienne et l'embrassa.
Ces anneaux qui meurtrissaient sa chair intime trahiraient désormais son appartenance à sa Maîtresse. La condition
d'esclave ne l'autorisait pas à extérioriser sa jalousie ou son agressivité envers une jeune femme dont pouvait se
servir trop souvent Sarah. Car les jeunes filles qu'elle convoitait n'étaient là que pour assouvir ses fantasmes; elle
les utilisait comme telles. Elles ne pouvaient imaginer qu'elles servaient de test à satisfaire sa passion avant tout.
Le prétexte de sa soumission semblait lui donner tous les droits, même celui de la faire souffrir dans son orgueil de
femme amoureuse. Sarah a le droit de prêter Patricia. Elle puise son plaisir dans celui qu'elle prend d'elle et qu'elle
lui vole. Elle lui donna alors son amour. Pour elle, il n'y avait pas de plus grande passion que dans l'abnégation.
Patricia était particulièrement en beauté, ce soir-là. Elle portait des bas noirs à couture et une veste en soie de la
même couleur dont l'amplitude laissait entrevoir son intimité. Un collier de chien ciselé de métal argent et serti d'un
petit anneau destiné au mousqueton de la laisse conférait à sa tenue le plus bel effet. Sarah lui fit prendre des poses
provocantes. Elle en rajouta jusqu'à devenir franchement obscène. Le harnais de cuir et le bustier emprisonnaient son
sexe et ses seins. On lui banda les yeux avant de la lier à une table, jambes et bras écartés. Sa Maîtresse expliqua
calmement aux invitées qu'elle était à leur disposition. Elle avait décidé de l'offrir à des femmes. Bientôt des inconnues
s'approchèrent d'elle. Elle sentit des dizaines de doigts la palper, s'insinuer en elle, la fouiller, la dilater. Cela lui parut
grisant. Elle éprouva un plaisir enivrant à être ainsi exhibée devant des inconnues. Elle devint une prostituée docile.
Sarah interrompit brutalement la séance qui lui parut trop douce et génératrice d'un plaisir auquel elle n'avait pas droit.
Elle fut détachée pour être placée sur un chevalet. Elle attendit dans la position infamante de la putain offerte avant
que des mains inconnues ne commencent à la pénétrer. Elle fut alors malmenée, fouettée et saccagée telle une chose
muette et ouverte. Ce que sa Maîtresse lui demandait, elle le voulait aussitôt, uniquement parce qu'elle lui demandait.
Alors, elle s'abandonna totalement. Ayant deviné les pulsions contradictoires qui l'ébranlaient, Sarah mit fin à la scène,
l'entraîna hors de la pièce et la calma par des caresses. Lorsqu'elle eut retrouvé la maîtrise de ses nerfs, ce fut Patricia
qui lui demanda de la ramener dans le salon où les invitées attendaient son retour. Elle fit son apparition, les yeux de
nouveau bandés, nue, droite et fière, guidée par Sarah qui la dirigea vers le cercle des inconnues. Ce fut elle seule qui
décida de s'agenouiller pour leur offrir du plaisir, sans réserve. Jamais, elle ne fut autant heureuse que cette nuit-là.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Hier en me baladant, j'ai croisé un homme qui a tout pour lui, nos regards se sont croisés...et avons décidé d'engager un dialogue....
Nous sommes tombés sur le charme de l'un et de l'autre, sans savoir qu'il était Dominateur et moi soumise....l'envie fut tellement forte que nous avons choisi de nous revoir mais cette fois-ci plus intimement....
Lieu et date fixé, je décide donc de m'y rendre pour approfondir cette attirance, nous nous sommes retrouvés dans une chambre d'hôtel, réservé par lui, en parfait gentleman... Je lui ai fait part que j'étais une femme soumise, et que j'avais un Maître, sans savoir que lui était un Dominateur...je le su très vite au vu de sa 1ère demande.
Celle-ci fut de savoir si j'acceptais de me faire bander les yeux, grande première pour moi, car j'adore voir mes partenaires... J'accepte en sachant qu'il ne sera le seul Maître du jeu car je suis dans le noir complet.
Il commence par me mettre à 4 pattes et me caresser, puis me demande de me cambrer afin que mes orifices soient bien à sa disposition.... Je sens un liquide couler sur mes fesses et ressens sa queue glisser entre mes fesses...je me demande si je dois me laisser faire ou l'interdire.
Je décide de me ne rien dire, et de voir ce qu'il envisage de faire....il commence à me sodomiser doucement pour voir ma réaction, il réussit à rentrer mais très vite il se retire pour pouvoir me pénétrer au plus profond de moi, et il ressent l'envie qu'il y a en moi.
Il me demande de me cambrer de plus en plus, afin de pouvoir lui présenter mes fesses et de bien sentir ses mains me fesser, il commence doucement puis va de plus en plus fort...je ne pensais pas ressentir une telle excitation
De là, il m'ordonne de me mettre sur le dos, puis enfonce 2, 3 voir 4 doigts pour que je puisse prendre plaisir et gicler à souhait...chose que j'ai fait à plusieurs reprises au cours de l'acte...
Il me relève la tête et me présente sa bite bien érigée, et m'ordonne une gorge profonde, je m'exécute et il prend énormément de plaisir à sentir ma bouche prendre ainsi sa bite...
Je me retrouve de nouveau à 4 pattes, et là je sens qu'il me fouette avec un espèce de martinet je pense, la douleur est supportable et me demande si j'aime, je lui dis que c'est supportable et pas désagréable...Ce n'est pas ce que je t'ai demandé, répond moi, je lui dis que oui j'aime... Il commence à être de plus en plus excité au point de m'insulter de pute, garce, et me demande de répéter ces mots....
L'excitation monte de plus en plus en lui, en entendant ces mots, il accélère le mouvement à m'en faire jouir...et gicler....il décide de me présenter de nouveau sa bite en bouche, puis la retire et se mets à se branler devant moi, et me demande de lui caresser les couilles et de l'exciter encore plus jusqu'à ce qu'il arrive à jouir sur mon visage...J'ai réussi à enlever mon bandeau avant qu'il ne jouisse et j'ai vu cette fierté en lui et il a vu mon regard rempli de jouissance....
Nous en sommes restés là, tous les 2 satisfaits de cette rencontre éphémère et pleine d'excitation...Merci à ce charmant Dominateur de m'avoir procuré autant de plaisir et de m'avoir fait découvrir le bandage des yeux
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Des romanciers français du XIX ème siècle, Huysmans est de nos jours, celui qui a le moins de lecteurs,
contrairement à Zola, Stendhal et Flaubert, que chaque génération redécouvre. Pourtant, l'un de ses romans,
"À rebours", paru en 1884, est un livre culte. On le considère comme le premier des anti-romans du vingtième
siècle. Son personnage de Des Esseintes passe pour être l'aîné du Bardamu de Céline (1932) et du Roquentin
de Sartre (1938). Connaissant ses premiers succès dès le milieu des années 1870, l'auteur s’établit rapidement
parmi un groupe d’auteurs commençant à faire parler d’eux. Il s’agit de l’école qu’on appelait "naturaliste", dont
Zola était le chef de file. Dans son premier roman, "Marthe, l’histoire d’une fille" (1876), il fait d’une prostituée le
personnage principal, ouvrant en cela la voie à toute une génération d’écrivains. Au cours des années qui suivent,
Huysmans a produit des ouvrages dont certains sont considérés comme les plus représentatifs de l’esthétique
naturaliste. "Les Soeurs Vatard" (1879), une représentation sévère de deux femmes travaillant dans un atelier de
brochage. "En Ménage" (1881), un plaidoyer amèrement ironique contre l’établissement bourgeois du mariage.
"À vau-l'eau" (1882), la description aigrement comique d’un gouvernement fonctionnaire pour qui rien n’arrive
jamais, excepté le plus mauvais. Se sentant à l’étroit dans l'école naturaliste, qu’il trouvait parfois réductrice,
Huysmans a progressivement repoussé les frontières littéraires qui constituaient le sujet d’un travail de la fiction.
"À rebours" (1884), comme "Bouvard et Pécuchet", roman inachevé de Flaubert (1881), est un livre sans intrigue,
une encyclopédie de sensations qui a reflété l’esthétique contemporaine de la notion de décadence. Dans "En Rade"
(1887), l’originalité de l’auteur et sa mise à distance d’avec l’école naturaliste apparaissent, l'ouvrage étant divisé
de façon inégale entre des sections de réalisme pur peignant la brutalité sinistre de la vie rurale, et des passages
oniriques et fantasmagoriques laissant libre cours à l’érotisme et au merveilleux. Dans un court roman, "Sac au dos"
(1880), Huysmans décrit son enrôlement dans la brigade mobile de la Seine au moment de la guerre franco-prussienne
de 1870. Là aussi, c’est hallucinant de vérité et de brutalité. Comme le fera Céline dans la guerre 14-18 avec son
"Casse-pipe", l'écrivain décrit la désorganisation de l’armée française, l’absence de discipline, l’injustice des gradés,
les tentes pleines de fumier et de poux. La charge est forte et sans nuance, la plume acérée, tranchante, crue et drue.
Avec "Là-bas" (1891), un roman qui reflétait l’esthétique de la renaissance du spiritualisme et l’intérêt contemporain pour
l’occulte, Huysmans fut le premier à mettre en forme une théorie esthétique recherchant la synthèse de l’empirisme et du
spirituel: le "naturalisme spirituel". Cette nouvelle approche l’amena à réaliser sans fard, à travers les ouvrages suivants,
son "autobiographie spirituelle". "En Route" (1895) fut le premier travail en apparence pro-catholique. Dans "La Cathédrale"
(1898), l'écrivain proclame haut et fort ses convictions, se plongeant dans l’esthétique du symbolisme catholique. Dans ses
dernières oeuvres, et notamment dans "Sainte Lydwine de Schiedam" (1901) et "Les Foules de Lourdes" (1906), Huysmans
a laissé de côté la forme fictionnelle pour se lancer dans une exploration des stades mystiques de conscience. Dans la
première "Sainte Lydwine", il réalise une hagiographie des temps modernes, retraçant la vie de la mystique du quatorzième
siècle. Dans la deuxième version, Huysmans explore le champ des visions mystiques de Sainte Bernadette Soubirous.
Cette foi, il va la trouver. C’est l’abbé Mugnier, célèbre confesseur du Paris des lettres, qui va, à sa demande, lui "laver
l'âme au chlore". Ses romans postérieurs seront d’une autre eau, une eau bénite, moins signifiante. Après avoir lu
"À rebours", Barbey d’Aurevilly écrivit: "Après un tel livre, il ne reste plus à l’auteur qu’à choisir entre la bouche d’un pistolet
ou les pieds de la croix". De la crasse du ventre de Paris à la croix, du désespoir à la foi, Huysmans a choisi sa voie.
"La vie de l'homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui", dit des Esseintes dans "À rebours", livre sur une
quête d'idéal qui échoue et dont Oscar Wilde s'inspirera, quelques années plus tard pour écrire "Le Portrait de Dorian Gray".
Dégoûté de la réalité, des Esseintes, antihéros "houellebecquien" avant l'heure, cherche désespérément, en recourant sans
cesse à l'artifice, des sensations rares et des plaisirs toujours nouveaux, jusqu'à l'hallucination, presque jusqu'à la folie.
"À rebours", roman énigmatique de l'auteur, n’a rien perdu de son mystère. Tantôt admiré, tantôt désavoué par les critiques,
les universitaires ou les écrivains depuis sa parution en 1884, le roman pose de nombreux problèmes d’interprétation. Ces
difficultés n’ont toutefois pas empêché ce texte de figurer en première place parmi les exemples historiques d’écrit classé
"décadent", toujours au moins évoqué par les spécialistes lorsqu’il est question de littérature décadente. C’est Émile Zola
qui formule, peu de temps après la parution du roman, ce qui est devenu depuis la principale critique. Le maître de Médan
relève ce qu’il appelle la "confusion" de "À rebours". Ce mot a résonné d’un commentaire à l’autre parmi ceux qui se sont
prononcés sur le caractère défectueux du roman, un écho qui a perduré jusqu’à ces dernières années, reprochant l'absence
totale d'intrigue. Le plus étonnant, au vu du consensus autour de la "confusion" censée régner dans "À rebours", même si
ce consensus n’est pas entièrement monolithique, c’est le nombre et la qualité des admirateurs de Huysmans.
Figurent parmi ceux-là: Oscar Wilde, Paul Valéry, Stéphane Mallarmé, sans compter William Yeats et George Moore.
L'engouement de Valéry est sans doute la plus étonnante. On pourrait multiplier les témoignages d’admiration. Il semble
toutefois plus utile de se demander si Valéry, ou encore Mallarmé, Wilde, Yeats, ou Moore, n’ont pas perçu quelque chose
que d’autres lecteurs moins enthousiastes n’auraient pas su saisir. Pour la plupart des critiques, le problème est l’absence
d’intrigue du roman. Si fascinant que soit un personnage qui refuse les conventions sociales tout au long de ce qui apparaît
comme un kaléidoscope de chapitres, le lecteur n’en trouve pas moins déconcertante l’impossibilité de dégager la moindre
ligne narrative de l’enchevêtrement luxuriant des descriptions. L’histoire se déploie à l’aide de symboles employés par
l’auteur et délibérément concentrés en pulsations textuelles conduisant à chaque fois l’expérience de des Esseintes de
l’exaltation à l’épuisement, suivi d’un bref moment de retrait du personnage, qui n’entame en rien le mouvement général,
la progression qui l’amène inexorablement à l’effondrement, presque jusqu’à son dernier souffle. S’il y a peu d’action au
sens où on l’entend généralement pour une narration, il y a toutefois une progression indéniable sur un plan analogique.
Autant l’écrivain a approfondi le naturalisme, autant il s’en détourne en créant le personnage de Des Esseintes, un duc,
dernier descendant d’une famille illustre, de sang appauvri et de nerf ultrasensible, un esthète qui, après une vie d’amour
perverse, s’enferme chez lui, se coupe du monde pour vivre avec ses écrivains préférés, ceux de la décadence latine,
Pétrone et Apulée. Les critiques psychologiques n’ont pas manqué de souligner l’importance de la notice de "À rebours",
dans laquelle les ancêtres des Esseintes sont présentés au lecteur comme des brutes dont la vigueur initiale aurait été
progressivement épuisée à force d’incestes répétés. Il regrette son père toujours absent, sa mère pâle et silencieuse,
morte d’épuisement. À la mort de son père, dont la maladie n’est pas nommée, des Esseintes a dix-sept ans. À sa
majorité, il quitte les Jésuites et se consacre à la vie sans but du jeune parisien fortuné. Tout était possible pour lui,
homme riche, après une série d’expériences sexuelles de plus en plus déviantes, il devient impuissant. Son indifférence
pour sa famille et son peu d’intérêt pour ses amis ou même pour la débauche, font de lui un misanthrope. Il commence à
rêver d’une retraite, d’une Thébaïde, un havre de solitude à l’abri du flot incessant de la bêtise humaine.
Si le lecteur ne peut manquer de remarquer l’insistance de "À rebours" sur la retraite hors du monde de des Esseintes,
d’autres thèmes sont plus subtils. C’est peut-être seulement après une première lecture, qu’ayant remarqué que le héros
abuse du goût, de la vue, de l’odorat et de l’ouïe, on peut se demander d’où vient la pauvreté des références au toucher.
La situation est inversée dans "À rebours", car les sens sont mis les uns après les autres à l’épreuve, jusqu’à ce qu’ils
cèdent à la souffrance ou à l’épuisement. Le déménagement à Fontenay-aux-Roses marque le début de son retrait hors
du monde et de la réalité. Il supprime alors le mouvement. Tandis que le personnage se repaît de la nouveauté des idées
et des mots, des constructions inhabituelles, des verbes inconnus, des adjectifs contournés, rares, des mots abstraits,
il jouit de la déliquescence progressive du langage jusqu’à sa putréfaction totale. La décomposition du langage est bien
entendu directement liée à la décadence sociale. La progressive détérioration de son corps et de son esprit continue,
implacable. Les cauchemars reviennent inlassablement, au point qu’il redoute de s’endormir. La névrose s'accentue.
Après avoir détruit par ses excès son esprit et les sensations du goût, de la vue et de l’odorat à un degré tel que son
corps est au bord de l’effondrement et son cerveau plein d’hallucinations lancinantes, il consacre un court temps de répit
à inventorier ses préférences. C’est alors que commence le dernier stade du voyage de des Esseintes. Il se tourne en
particulier vers Baudelaire, son mentor, qui l’entraîne jusque dans les profondeurs de son inconscient, derrière la surface
de l’âme et les péchés répertoriés par l’Église. Il savoure l’éloquence de Bossuet et de Bourdalou, se délecte du style
austère et vigoureux de Nicole et jouit de cette contrition pascalienne si éloignée de celle de Rousseau. Transporté par
Villiers de l’Isle-Adam, il renvoie ses serviteurs et s’installe avec Mallarmé et une sélection de poèmes en prose. Bien
plus vite que le latin, la langue française est arrivée à son agonie, se dit-il complaisamment. La fin du roman, marquée
par le renversement récent de l’ingestion orale à l’ingestion anale, souligne à nouveau que le roman dans son ensemble
doit être lu à rebours en interprétant les faits et les images comme des indications de la réalité mentale, physique et
spirituelle du personnage principal. En eux-mêmes, les objets et les couleurs n’ont aucune importance. Les événements
ont simplement lieu au niveau des connotations ou des analogies. On comprend pourquoi Valéry a tellement aimé
"À rebours". Le roman s’approche de la poésie, ainsi qu’il l’a comprise. En se servant de maints procédés poétiques,
Huysmans contraint son héros à se rendre. Là où la conscience du Cimetière marin tourne vers la vie comme une fleur
vers le soleil, des Esseintes n’a pas de choix. Il est arraché à sa Thébaïde et tourné de force vers la vie.
La révolte de Huysmans contre le roman du dix-neuvième siècle a commencé dès "À vau-l’eau" (1882), une longue
nouvelle aux descriptions compliquées organisées autour d’une intrigue si triviale qu’il est difficile d’y attacher quelque
attention que ce soit, et qui est par conséquent facilement mise de côté. M. Folantin erre d’un restaurant à l’autre dans une
tentative dérisoire et vaine de trouver quelque chose de décent à boire et à manger. Quoique la connaissance qu’avait
Huysmans du symbolisme traditionnel était plus sophistiquée à l’époque de "En rade", "À rebours" utilise les principaux
éléments de connotations symboliques, communs à la poésie de l’époque, partie intégrante du bagage intellectuel de
toute personne cultivée et des esthètes du temps. Même pour ceux qui trouvent "À rebours" déconcertant, peu seraient
enclins à prendre l’absence d’intention littéraire revendiquée par Huysmans au sérieux. Le pouvoir de ce texte ne peut
être nié. Quelque déconnecté que les chapitres peuvent sembler à certains, chacun montre un maître de l’écriture.
Un examen plus détaillé à travers la lentille de symboles bien connus à l’époque, les complexités d’une progression
délibérée qui traverse les aventures du héros dément les remarques de Huysmans dans sa préface tardive et renforce
le constat de Zola. Huysmans avait bien rompu avec le camp naturaliste. De fait, puisque beaucoup voient en Mallarmé
le principal innovateur poétique de la fin de siècle, peut-être est-il temps de saluer en Huysmans le Mallarmé, sinon le
Valéry du roman. Écartelée par ses pulsions, tendre ou cruelle, érudite ou érotique, l'œuvre est le reflet de sa vie.
Principales œuvres:
- Le Drageoir aux épices (1874)
- Marthe, histoire d’une fille (1876)
- Les Sœurs Vatard (1879)
- Sac au dos (1880)
- En ménage (1881)
- À vau-l’eau (1882)
- À rebours (1884)
- En rade (1887)
- Un dilemme (1887)
- Là-bas (1891)
- En route (1895)
- La Cathédrale (1898)
- L'Oblat (1903)
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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La pause de fin d’année fut à la fois un calvaire et une libération. Les aveux à ma femme, l’ambiance de Noël, en famille, alors que la décision de nous séparer était prise. Les contacts réguliers avec Maîtresse Caroline, qui acceptait de m’héberger dès la rentrée, en attendant que je trouve un logement. J’avais réussi à négocier plus d’heures de cours dès janvier. J’exercerai désormais mon rôle de professeur quasiment à plein temps, et vivrai donc à Paris, aux pieds de ma Maîtresse, totalement soumis à elle. J’étais à la veille de repartir pour Paris. Au fond du trou même si je savais que ma libération, ma renaissance se ferait par mon appartenance à Maîtresse Caroline, par ma soumission à ses envies, par l’assouvissement de mes pulsions profondes. Je quittais la plus grande partie de ma vie. Cela me laissait un goût amer, un goût d’échec personnel et j’avais du mal à encaisser. Me donner entièrement à Maîtresse Caroline, lui confier ma destiné, la gestion de mon temps à son service, cela m’aiderait à passer le cap. Ne plus réfléchir, mais juste obéir et m’en remettre à elle, en fait être totalement soumis à elle. Durant ces deux semaines, je n’avais pas osé interroger Maîtresse sur l’absence d’Ennia. Je souffrais du manque d’elle. Et ce manque me consumait de l’intérieur. Besoin d’elle, de son regard, de sa peau, de sa chaleur, de son odeur…. besoin. Soif. Faim. A en crever. Une vraie obsession. Si Maîtresse Caroline souhaitait repousser mes limites, je me savais d’ores et déjà capable de surpasser ses désirs, si cela me permettait de retrouver Ennia. Plus que quelques heures avant la gare de Lyon, et ma nouvelle vie. Maîtresse Caroline avait dit qu’elle serait là pour m’accueillir… "A moins que je n’envoie quelqu’un d’autre prendre livraison de ma petite pute. D’ailleurs, pour ce dernier voyage, tu porteras bas et string. Et ton plug bien entendu. N’oublie pas de t’épiler… tu es libre maintenant, alors j’exige que ma pute soit lisse". Ainsi, J’avais obéi. Et c’est en bas et string sous mon costume, le cul bien rempli par un plug, que le TGV me transportait vers ma seconde vie. Les kilomètres avalés par le serpent du rail me vidaient peu à peu de mon angoisse, de ma tristesse, de mes regrets. Pendant le voyage, je me pris à imaginer mon arrivée à la gare de Lyon, et surtout l’accueil de Maîtresse Caroline. Mes fantasmes divaguaient… mais rien ne se passa comme prévu. Personne n’était là sur le quai à ma descente du train. Cependant, un peu plus loin, une femme d’une quarantaine d’années attendait, tenant une pancarte avec mon prénom et le nom de famille « Lapute »… Les gens hilares, moquant cet inconnu au nom importable. Je réduisis donc l’allure de ma marche et je retardais au maximum ma rencontre avec celle qui m’attendait. Car je saivais que ce monsieur « Lapute », c’était moi. Maîtresse Caroline avait voulu frapper un grand coup pour mon arrivée, mon passage d’homme « libre » à « petite pute à pleine temps ».. J’approchai de la femme. Plutôt grande, un visage dur, et une classe qui fait se retourner sur elle les vrais hommes, dans la rue. Par vrais hommes, j’entends ceux sensibles à la vraie féminité, celle là même qui est le contraire de la faiblesse. Cette femme dégageait une telle assurance, une telle puissance oserais-je dire. J’arrivai à sa hauteur et prononca un discret « Bonjour Madame, je suis Victor », en regardant ses pieds. La réponse fut immédiate, une gifle cinglante qui fit se retourner les passagers encore sur le quai. « Tu es en retard Lapute… ta Maîtresse en sera avertie, compte sur moi ». Le TGV avait effectivement 10 mn de retard. Je voulus disparaître. J’entendais les moqueries des spectateurs de mon humiliation. « Suis moi la pute, et ne traine pas ». La surprise, le fait d’être humilié ici, en pleine gare de Lyon, le plug qui me remplissait le cul, les regards posés sur moi…. j'étais à la limite de la rupture. Cependant, je suivis Madame, sans un mot. Sortie de la gare pour rejoindre un véhicule garé dans une rue adjacente. Une berline noire, qui ressemblait un peu à une limousine sans en avoir la démesure. Un chauffeur en sortit, ouvrit le coffre et déposa ma valise. Puis il ouvrit la portière arrière. Madame se tourna vers moi et m’ordonna sèchement de monter à bord. La voiture démarra, et se glissa dans le flot de la circulation. Les vitres arrières étaient teintées, très foncées. « A poil la pute. Tu gardes tes bas et ton plug. Rien d’autre ». Je m’exécutai sans discuter. Madame ramassa mes vêtements et s’adressa au chauffeur : « Ouvre la fenêtre ! ». Je la regardai, tétanisé, balancer le tout sur la chaussée. J'étais en dim-up, le cul remplit, sans plus aucun vêtement, à l’arrière d’une voiture qui m’emmènait je ne sais où. J’avais peur et je me raccrochais comme je pouvais à la seule chose qui existait encore à mes yeux : la confiance que j’avais en Maîtresse Caroline, et mon désir d’être totalement soumis à elle. Madame me banda les yeux, puis m’ordonna de m’allonger sur le sol. Elle se positionna au milieu de la banquette arrière, ses talons se posés sur mon ventre. Le trajet dura. Je ne voyais rien et perdis la notion du temps. Madame joua de la pointe de son escarpin avec ma queue. La situation, le contact du cuir, mon désir sexuel frustré… tout cela me faisait bander, dur. « Tu es en rut… Ta Maîtresse va très vite te remettre en cage, crois-moi. Je vais devoir faire quelque chose, je ne permettrai pas que tu ne présentes à elle dans cet état. Tu ne voudrais pas non plus, n’est-ce pas, la pute ? ». Madame posa son escarpin sur ma queue, et elle accentua la pression, tout en m’interrogeant. Comme je tardai à répondre, la pointe de son talon s’enfonca un peu plus. Je gémis sous la douleur qui ne me faisait pas bander moins, bien au contraire… « Non Madame, je ne voudrais pas me présenter à ma Maîtresse comme cela Madame ». Elle fit rouler ma queue gonflée sous sa semelle, m’arrachant des gémissements de plus en plus intenses… « N’as tu pas appris à te taire la pute ? » Je cessai mes jérémiades et j’encaissai la douleur, par ailleurs délicieusement excitante. « Je ne vois qu’une solution, tu vas te branler. Allez…. tu as 3 minutes pour te vider les couilles et te ramollir… BRANLE TOI !!! Je veux que tu gicles sur mon pied, allez… C’est sans doute la dernière fois que quelqu’un t’autorise à le faire, avant longtemps. Peut-être même la dernière fois tout court ». Je m’exécutai immédiatement. Trop envie. Besoin. Désir… je ne réalisai pas immédiatement qu’elle dit peut-être vrai. Que je me branlais peut-être pour la dernière fois. Le plaisir monta rapidement. J’avais essayé de résister durant ces deux semaines, comme Maîtresse me l’avait demandé. Je ne m'étais caressé que deux fois, je n’avais pas tenu l’abstinence totale. Je me masturbai rapidement. Le plaisir vint…. en même temps que ma prise de conscience de l’abandon de ma sexualité, du contrôle de ma sexualité. Contrôle que j'allais remettre entre les mains de Maîtresse Caroline. Je rendais les armes. Par le renoncement à cette acte si simple, que je pratique depuis si longtemps, si animal… la masturbation… je rendais les armes. J’abandonnais, je m’abandonnais donc à ma Maîtresse. Je jouis alors que les larmes perlent à mes yeux. Explosion de plaisir, jets de foutre sur le cuir qui gainait le pied de Madame. « Branle toi encore…. vide toi complètement la pute… Voilà.. c’est mieux… presse tes couilles pour être sûr qu’il ne reste rien… » « Maintenant, sale petite pute, que tu as souillé mon bel escarpin, il va falloir le nettoyer…. LECHE ! » Madame écrasa son pied maculé de foutre sur ma bouche.. Je surmontai mon haut-le-coeur et le léchai… je n'étais plus qu’un esclave qui obéit. Je ne décidais plus de rien. Mon libre-arbitre à la poubelle. J’appartenais, j’obéissais, je servais. Rien d’autre. Je sentis le véhicule quitter la route. Ralentissement. Sans doute une rampe. Descente. « Voilà, nous sommes arrivés. Allez, descends la pute. Je dois te livrer à la Maîtresse. »
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Maîtresse Caroline m’empoigne par les cheveux et me tire en arrière pour me redresser. Je ne suis plus qu’un soumis puni entre ses mains. J’ai le visage baigné par le plaisir de Maîtresse Chloé qui a joui abondamment. Je bande comme un fou, à genoux, la queue au niveau de la table basse. L’escarpin de Maîtresse Caroline vient se poser sur ma tige, appuyant douloureusement.
-Alors ma pute… tu vois, la liqueur de ta Maîtresse te fait bien bander… On va te conditionner ma chienne. Tu vas devenir accro à l’odeur de nos chattes tu vas voir sale petite pute… hmmmm j’adore sentir ta queue sous ma semelle… tu aimes ça quand j’appuie, comme ça ?
La douleur m’arrache un cri, aussitôt suivi d’un coup de cravache sur mes fesses.
-Ta gueule sale pute… tu souffres en silence. Chloé, tu veux bien prendre le paddle sur la table derrière toi ? Le noir, large… Je crois que la punition peut vraiment commencer.
Maîtresse Chloé vient se placer derrière moi, je suis toujours à genoux, rivé à la table par la semelle de Caroline qui m’écrase la queue. La douleur, loin de me faire débander, m’excite encore plus. Je n’ai jamais été aussi dur. Maîtresse Caroline prend une bougie sur la table et l’allume.
-Ma pute, il faut que tu sois puni pour bien comprendre ce que tu as fais. Et surtout pour que tu ne recommences plus. Je suis, nous sommes tes Maîtresses. Tu nous dois respect et obéissance, quelles que soient les circonstances. En cours et en dehors des cours. Malheureusement pour toi, les chiennes comme toi ne comprennent que la douleur… On va donc te faire souffrir. C’est pour ton dressage ma pute. Et aussi parce que ça nous fait mouiller. N’est-ce pas Chloé ?
-Hmmm cette sale pute vient de me faire jouir et je suis encore toute trempée. T’as raison… ça m’excite à mort de le dresser. J’adore !!! Merci Caro !
-Tu vas voir, tu vas encore plus adorer la suite…. Ma sale putain rebelle, pour chaque coup que va te donner Chloé, je ferai couler un peu de cire sur ton gland. Tu vois, ma semelle appuie sur ta tige… seul ton gland dépasse, bien offert. C’est parfait ! A toi Chloé, et n’oublie pas que c’est une punition…. il doit souffrir.
Chloé m’assène un premier coup. Plus sonore que douloureux, Je laisse échapper un petit gémissement, puis un cri lorsque Maîtresse Caroline fait couler une goutte de cire sur mon gland.
-Plus fort Chloé…. fais lui rougir le cul !!! Vas-y… après on le baisera au god-ceinture. On prendra le plus gros, pour bien la défoncer cette petite chienne en chaleur.
Les coups pleuvent. De plus en plus fort. Chloé prend son pied à me rougir le cul, Maîtresse Caroline à recouvrir mon gland d’une coque de cire. Je gémis sans discontinuer… Après une bonne dizaine de coups, Maîtresse Caroline retire son string, trempé, et me le fourre dans la bouche.
-Tiens ma pute… tu nous déranges avec tes jérémiades. Vas-y Chloé, continue…. il mérite encore une dizaine. Plus fort, je veux que ça claque !!!
Maîtresse Chloé ne se fait pas prier. Je hurle sous les coups suivants, alors que mon gland se couvre totalement de cire. Je perds le fil des coups qui s’abattent sur mon cul. J’ai mal…. Maîtresse Caroline retire son pied et m’empoigne à nouveau par les cheveux pour me redresser.
-Hmmmm il est bien rouge à souhait…. allez la pute, installe toi sur ce fauteuil….. Attends, avant, il faut te débarrasser de toute cette cire… Chloé, passe derrière elle et tiens lui les bras. Tiens fort, elle risque de ruer notre petite salope, notre petit soumis puni.
Chloé vient m’attraper et me maintenir. Ruer… avec la barre qui tient mes chevilles écartées, je ne risque pas de ruer beaucoup ! Ma queue est toujours dure, je ne comprends pas. La douleur devrait me faire débander, pourtant…. Les doigts de Maîtresse Caroline viennent m’enserrer. De son autre main elle se saisit d’une cravache…
-Allez ma pute, serrer les dents !
A peine a t-elle fini sa phrase d’un coup de cravache s’abat sur mon gland ! Je hurle et tente d’échapper à la morsure du cuir. Mais avec Chloé qui me maintient les bras, et Caroline qui me serre la queue, je ne peux rien faire. Un, deux, trois…. Maîtresse Caroline vise bien, et la cire se détache, par morceau, de mon gland. Je crie à chaque coup sec, je suis en larmes…
-Voilà.. plus de cire, tu as eu mal ma chienne ? : me demande Maîtresse Caroline, d’une voix faussement désolée… Je gémis, la douleur est encore insupportable. Caroline m’attrape par les cheveux et m’installe sur le fauteuil club, mon torse reposant sur le dossier, mon cul bien offert. Puis elle retire le string de ma bouche.
-Sale petite traînée, je suis sûr que tu as envie de te faire baiser par tes Maîtresses. Tu n’es qu’une salope qui aime se faire défoncer la chatte, n’est-ce pas ? ».
Je ne réponds pas, enfin pas assez vite au goût de Caroline. Je suis dans un état second, perdu. Où est Ennia ? Où est mon amour ? Je l’ai trouvée si bizarre tout à l’heure en cours, froide, distante…. Je ne comprends plus. J’aimerais qu’elle soit là, j’aimerais pouvoir plonger mes yeux dans les siens, y trouver la force de subir ma punition. Mais je suis seul. Est-ce cela la condition de soumis, d’esclave ? La solitude face à la douleur, à l’humiliation, à la servitude ? Peut-être que je n’ai pas encore franchi le cap, pas encore compris, appris ma condition ?
Pour l’instant, seule la concrétisation de mes fantasmes les plus sombres m’apporte du plaisir… arriverai-je à éprouver un plaisir plus grand encore en servant ma Maîtresse ? J’ai peur. Peur de ne pas y arriver. Et d’être contraint à la soumission par le chantage qu’exerce Maîtresse Caroline. Je suis terrorisé à cette idée. Mais j’ai peu de temps pour y réfléchir. Je ne suis plus qu’un soumis puni par ses Maîtresses.
Caroline et Chloé se sont équipées de god-ceintures. Caroline a pris le plus gros. Noir, veiné… Il me parait énorme. Jamais je ne pourrai supporter un calibre pareil. Elle va me déchirer l’anus c’est sûr. Maîtresse Caroline passe derrière moi et entreprend de me lubrifier copieusement.
-Tu vois ma salope, je suis déjà moins en colère…. je te prépare. Je devrais t’enculer à sec sale pute ! Tu le mérites ! Viens Chloé, tu vas commencer, vu que en as une moins grosse que moi !!! » Mes deux Maîtresses éclatent de rire… « Tu vas sodomiser ton premier mec. Tu vas voir, tu vas adorer ça ! Baiser une petite lope, c’est ce qu’il y a de plus jouissif crois-moi !
Maîtresse Chloé vient se positionner derrière moi. Je sens son gland se poser sur ma rondelle. Maîtresse Caroline la guide.
-Tu vois, tu le prends en main, et tu le poses bien sur sa rondelle. Ensuite tu pousses, doucement mais sans t’arrêter. C’est la salope qui doit s’ouvrir. Vas-y, force un peu plus, tu vas voir il va le prendre. Hmmm c’est bon, tu es rentrée. Maintenant tu fais de petits va-et-vient… regarde, il s’ouvre bien là, baise le un peu plus… rentre à fond, encule la cette pute !
Je sens les mains de Maîtresse Chloé sur mes hanches. J’essai de m’ouvrir au mieux, pour ne pas trop souffrir. Je gémis le moins fort possible. J’ai l’impression que mon cul se déchire. Mais j’en ai envie. J’ai envie que ma Maîtresse black me baise, m’encule comme une bonne salope. Je veux la sentir en moi. Maîtresse Caroline vient présenter son god à ma bouche.
-Allez la salope, suce ma queue. C’est le modèle au dessus, tu vas voir, je vais bien te dilater avec ça… allez la lope, lèche moi le gland… imagine que c’est une vraie. Je suis sûr que tu en meures d’envie de sucer une vraie queue, pas vrai ma pute ?
« Oui Maîtresse Caroline, vous avez raison, j’en ai envie »….
Je ne dis pas cela pour lui faire plaisir. J’en meure d’envie. J’ai ce fantasme depuis longtemps, très longtemps. Etre contraint à sucer une queue, être l’esclave d’une queue bien dure. Maîtresse Chloé prend son pied à me baiser le cul. Elle se lâche et me traite de noms plus humiliants les uns que les autres, elle se retire – me laissant avec l’impression d’avoir l’anus totalement béant – puis s’enfonce à nouveau, avec de moins en moins de délicatesse. Elle m’encule, sans ménagement. Elle délire, me dit que je suis sa femelle, sa salope, sa truie… qu’elle va m’enculer avec des gods monstrueux, qu’elle va me faire faire le tapin, me présenter à ses amis blacks qui ont des queues d’éléphants, qu’elle adore m’enculer, que ça la fait jouir de me défoncer. Elle m’assène de grandes claques sur le cul pour rythmer ma sodomie…
-Je vois que t’aimes ça dis-donc : dit Maîtresse Caroline. Je te l’avais dit, que c’était jouissif de baiser une pute. Allez… à mon tour maintenant. Il est temps de vraiment lui défoncer le cul.
Maîtresse se plaça derrière moi, et posa la pointe de son énorme gode sur mon anus. La sodomie administrée par Chloé m’avait préparé, mais j’étais sûr que Caroline allait me déchirer, tant sont appendice était gros.
-Allez ma chienne, il est temps que tu te fasses bien ramoner. Tu vas comprendre ce que veut dire éclater le cul. Chloé, écarte lui les fesses s’il te plaît. Allez, ouvre toi pour ta divine Maîtresse !
Ainsi, je hurlais lorsque le gland ouvrit ma rondelle.
-Ta gueule la truie, tu l’as bien mérité ! Chloé, mets lui le bâillon-boule, cette sale pute va rameuter tout l’immeuble !
Maîtresse Caroline posa ses mains sur mes hanches et poussa pour me pénétrer. Une pression lente mais ininterrompue. Je hurlais dans mon bâillon, douleur atroce et impression d’être complètement déchiré.
-Voilà ma chienne, tu vois tu l’as pris en plein. Je vais bien t’ouvrir, régulièrement. Et je t’offrirai à des blacks bien montés. Chloé et moi on va se régaler en te regardant te faire baiser comme une truie, à la chaîne. Sûr que tu vas aimer ça, n’est-ce pas ma pute ? Tu n’as pas le choix du reste, tourne un peu ta tête, tu vois la caméra ? Elle tourne depuis un moment.
Je criais et pleurais pendant que Maîtresse Caroline me défonçait sans ménagement. Je pleurais de douleur, de peur, de désespoir mais j’aimais ça. J’aimais qu’elle me baise, qu’elle m’humilie. J’aimais ma Maîtresse pour ce qu’elle faisait de moi, et le plaisir que je prenais à être ainsi utilisé comme la dernière des putes. Je ne vivais que cet instant. J’oubliais tout le reste pendant que Maîtresse Caroline me dilatait et me claquait le cul. Peu importe qu’elle me filme, elle avait déjà assez d’images pour me détruire.
Maîtresse Caroline s’amusait à se retirer entièrement, puis à me reprendre d’un coup, le plus profondément possible. Pendant ce temps là, Chloé n’en perdait pas une miette et se faisait un plaisir de commenter.
-Hmmm regarde comme il est bien dilaté ! dis donc, tu lui as complètement défoncé le cul !regarde cette salope, comme elle le prend !!!! J’hallucine !! Regarde, elle s’empale elle même !! Elle aime ça cette pute !!!
Ainsi, je perdais la notion du temps, incapable de mesurer combien de temps avait duré ma séance de sodomie brutale. Maîtresse Caroline finit pas se retirer, sa colère visiblement calmée. Mais pas son excitation, ni celle de Chloé. Aussi, je dus les lécher et les faire jouir à plusieurs reprises. J’étais épuisé, le visage maculé de mouille. J’avais l’impression que mon cul était béant et je puais le sexe. Cependant, je me sentais bien. Je ressentais une certaine plénitude, que je refusais encore d’accepter vraiment. L’heure de me rendre à la gare approchait, et la peur montait. Cependant, je portais toujours ma cage et la simple idée que Maîtresse Caroline ne veuille pas m’en délivrer me mettait au bord des larmes. Elle le savait, et avait bien l’intention d’en jouer jusqu’au bout.
-Dis moi ! Il va être bientôt l’heure que tu nous quittes n’est-ce pas ?
-Oui Maîtresse Caroline !
-Et bien, tu peux te rhabiller. Tu ne crois pas qu’on va t’aider non plus ?
La cage de chasteté
Maîtresse jouissait de voir mon visage se décomposer. Ainsi, je fondis en larmes et je me jetais à ses pieds :
-Je vous en supplie Divine Maîtresse ! Par pitié, je ne peux pas rentrer chez moi avec ma cage. Je ferai tout ce que vous désirez Divine Maîtresse ! Je vous en supplie ! libérez moi s’il vous plaît ! Je deviendrai votre pute, votre chienne, je vous obéirai en tout Divine Maîtresse.
-Tu deviendras ma pute, ma chienne ???? Mais tu l’es déjà. Tu crois quoi ???? Que tu as encore une chance ??? TU ES A MOI, MA CHOSE, MA SALOPE !!! Et cela ne fait que commencer !!!
Je pleurais en baisant les pieds de ma divine Maîtresse Caroline. Au bout de plusieurs minutes, elle mit fin à mon calvaire.
-Allez ma salope, je vais te libérer. Inutile de te dire que toute masturbation est interdite ?
-Oui Maîtresse, je vous le promets, je ne jouirai pas !
-Je ne te crois pas une seconde ma pute. Et tu seras punie dès ton retour pour ces jouissances sans autorisation. Crois moi, tu vas prendre ! Même si tu tiens ton engagement, je te punirai. J’aime trop ça !!! Allez, voilà, va te rhabiller. Et essaye de calmer ton érection, on dirait un âne en rut !
A peine la cage enlevée, je m’étais mis à bander dur. Très dur. Chloé me prit en pitié, enfin je le croyais.
-Dis Caroline, on ne peut pas le laisser partir dans cet état, ça ne se fait pas : dit-elle, avec un clin d’œil appuyé à son amie dominatrice.
-Tu as raison, on manque à tous nos devoirs. Allez mon mâle en chaleur, tu vas te branler sur ma cuissarde. Exécution !!!
Je ne me fis pas prier et je me masturbai rapidement. Chloé était passée derrière moi, et elle malaxait mes couilles, accélérant ma jouissance. Je jouis longuement sur le latex qui gainait la cuisse de Maîtresse Caroline. Un foutre abondant.
-Continue encore, vide toi bien en plein ma salope…. au moins, ce soir, tu n’auras pas envie de recommencer…… bien… maintenant il va falloir nettoyer avant de partir. Allez lèche !
Puis je tombai à genoux. Je n’avais pas le temps de m’apitoyer sur mon sort. Lécher mon sperme me dégoûtait, mais les minutes défilaient et je ne pouvais rater mon train. Celui qui me séparerait de ma Maîtresse, de mes Maîtresses pendant la durée des vacances de Noël. Deux semaines de délivrance ou d’enfer, je n’en savais encore rien. Et pendant que je léchais les dernières traces de foutre, une seule pensée occupait mon esprit: où était Ennia ?
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Après 1 semaine de réflexion je me suis retrouver le mercredi à 12 heures à donner 2 petits coups de sonnettes.
Madame m’ouvre, me regarde droit dans les yeux et me dit « Je vois que tu aimes ta destinée. Entre et Suis-moi ».
Elle me désigne une porte je l’ouvre elle passe et je la suis, c’est une chambre avec un grand lit une table une armoire et un chevalet, une chaise, une jolie décoration sobre. Elle se plante devant moi et me dit « donc tu veux être ma soubrette », je réponds un oui hésitant 2 gifles sur les joues fusent « Ici c’est oui Madame » je dis Oui Madame. Bon maintenant tu seras Pat la soubrette ce sera ton prénom et ta qualification. Oui Madame, ouvre cette armoire Pat, oui Madame j’ouvre l’armoire possède une penderie et des étagères avec des vêtements suspendus et des blouses blanches et des tiroirs. Ouvre les tiroirs et dis-moi ce que tu vois, j’ouvre le premier il y a Madame des sous-vêtements noirs et blancs. J’ouvre le deuxième tiroir, il y a des bas Noirs et blancs Madame avec des portes-jarretières noirs et blancs. J’ouvre le troisième, il y a une cravache Madame, un fouet, des gods et divers ustensiles attaches menottes Madame. Madame me dit « Pat donne-moi la cravache » oui Madame en lui donnant. Me prenant la cravache et qu’y a-t-il encore. Dans la penderie Madame il y a des jupes blanche et noires ainsi que des blouses blanches et noires et en bas il y a 2 paires de souliers blancs et noirs. Voilà Madame l’inventaire.
Bon Pat déshabilles-toi maintenant et prends la tenue, souliers noirs bas blancs jupe noire et blouse blanche allez, j’hésite un coup de fouet sur mes fesses me rappelle que je dois obéir.
J’enlève mes souliers, chaussette, chemise et pantalons que je pose sur le lit Madame me donne un coup de cravache sur les fesses « Pat tu dois apprendre à ranger tes habits dans l’armoire ici rien ne traine ta compris, oui vlan un autre coup de cravache me rappelle à dire Oui Madame.
Tu vas t’habiller en blanc et noir en variant ces 2 couleurs. Je choisis des bas blancs avec porte-jarretières, slip noir, blouse blanche jupe noire et souliers noir. C’était la première fois que je passais des bas et porte-jarretières, j’étais hésitant maladroit une fois prêt Madame m’indiqua une autre armoire je l’ouvris il y avait une grande glace et des perruques brunes, blondes courtes ou mis long. Elle m’indiqua la brune. Elle m’ajusta la perruque et m’indiqua un tiroir j’ouvris il y avait des petites tabliers Noirs et blancs Madame me le passa et tout en nouant le tablier me dit « tu vois Pat te voilà à mon service en tenue de soubrette tu es contente de ta tenue. Oui Madame toute troublée. Chaque fois que tu viendras chez moi tu t’habilleras comme cela en alternant les tenues tu as compris Pat, oui Madame.
Bon maintenant tu vas me suivre je te fais voir ton lieu de travail. La cuisine et l’entrée tu connais ouvre-moi cette porte Oui Madame une autre chambre presque identique que la première. Une autre porte une salle de bain avec toilettes.
Puis une autre porte une chambre plus grande c’est ma chambre à coucher tu devras y faire le lit le ménage Pat, oui Madame.
Un couloir et au bout j’ouvre une porte un très grand salon salle à manger.
Voilà tu vas me faire un café et me le servir ici Pat.
Je file à la cuisine cherche trouve pour faire le café. Cafetière italienne pour 2 tasses.
Je trouve café moulu, sucre crème et des petits chocolats. Pendant que le café se fait je mets tout cela sur un plateau. Puis le café étant fait je mets la cafetière sur le plateau et je pars servir Madame.
Elle trouve mon attitude très stylée pendant que je verse le café dans la tasse elle passe sa main sous ma jupe et me caresse les fesses. Tout en sirotant son café sa main sous ma jupe me pelote les fesses. Je reste là immobile à sa merci. Un doigt caresse mon anus. Elle me fait signe de lui servir une deuxième tasse je sers, son doigt entre un peu plus dans mon anus. Madame me parle « ici tu es une femelle, tu n’as plus d’anus mais une chatte anale ton pénis est un clito compris » oui Madame, remue tes fesses Pat autour de mon doigt pour qu’il entre mieux montre-moi que tu aimes ça. Tu aimes Pat, Oui Madame, tu aimes être une soubrette. Oui Madame. Je vois que ta chatte n’est pas assez propre Pat tu vas aller à la salle de bain et tu vas utiliser le tuyau de douche dans la baignoire et te faire un lavement, quand tu seras propre tu reviendras me voir. Oui Madame. Je me dirige et je m’assois sur le bord de la baignoire après avoir enlevé jupe et slip et me mets le tuyau de douche dans ma chatte comme le dit Madame et ouvre l’eau, plusieurs fois de suite pour bien rincer. Après 15 minutes je reviens voir Madame et lui dit je suis propre Madame.
Mets-toi à 4 pattes Pat et relève ta jupe que je vois tes fesses. Je m’exécute. Ainsi troussée Madame me passe une crème et m’introduit un god dans ma chatte. Aller Pat débarrasse le café fait la vaisselle puis tu passes l’aspirateur dans ma chambre et la chambre ou tu as tes habits.
Je me relève avec ce god en moi et me dirige à la cuisine. Madame me suit « Pat marche comme une femme serre-bien tes fesses ». A la cuisine je fais la vaisselle, Madame passe une main sous ma jupe et pousse le god, » tu aimes ca Pat », Oui Madame tu aimes que ta chatte soit travaillée Oui Madame, Puis je passe l’aspirateur quand je le passe sous le lit a 4 pattes Madame relève ma jupe et me donnes des claques sur mes fesses en me félicitant de mon travail. Puis le travail fini Madame me présente le chevalet « Tu vois Pat ce chevalet ce sera ton éducation » elle me fait allonger dessus. M’attache aux 4 pieds du chevalet mes mains et pieds avec du velcro, et me dit, chaque fois après ton travail tu viendras à ce chevalet te soumettre à moi, je te mets un bandeau sur les yeux tu auras des écouteurs sur les oreilles. Tu ne verras rien et tu n’entendras rien. Tu subiras mon dressage Pat. Es-tu prête as-tu confiance en moi, je répondis « Oui Madame » elle me mit le bandeau et des écouteurs, une musique de SADE douce dans mes oreilles.
Pendant 1 heure Madame fouille ma chatte anale gods doigts, plug, travailla mes tétons en les tirant pinçant, alternant des claques sur les fesses, puis des pauses m’offre à boire. Puis elle me mit un god vibrant et me caresse le clito, je jouis. Elle met un doigt dans ma bouche pour que je le lèche puis un à un je suce ses doigts avec mon sperme dessus.
Elle enlève les écouteurs, le bandeau me détache « tu vois Pat comme tu jouis bien sous mes caresses regarde-moi dans les yeux Pat tu es à moi ma soubrette tu as aimé, oui Madame, tu es contente de me servir Oui Madame, tu aimes me lécher mes doigts pleins de ton jus Pat. Oui Madame. Bien tu vas te changer et tu reviens la semaine prochaine. Je commence à partir Madame me rappelle et me donne 2 gifles « tu dois me dire Merci Madame tu vois ton éducation n’est pas encore faites. » Merci Madame et je me change et quitte l’appartement. Dans la rue je suis perdue dans mes pensées.
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Joris-Karl Huysmans, de son vrai nom, Georges Charles Marie Huysman est né à Paris dans le quartier latin,
le 5 février 1848. Singulier personnage, il se disait hollandais à la suite d'un voyage au pays de Rembrandt.
Son père, disparu lorsqu'il avait huit ans, était typographe et se prétendait issu d'une lignée d'artistes et de
peintres flamands. Son enfance est assombrie par le remariage de sa mère, maîtresse d'école. Élève terne
au lycée Saint-Louis, il suit pendant quelque temps des cours de droit, puis devient, en 1868, fonctionnaire
au ministère de l'Intérieur. Incorporé en 1870 dans les mobiles de la Seine, réformé, puis réintégré dans son
ministère, il fait après la guerre un voyage en Hollande, à la suite duquel il prend les prénoms de Joris-Karl.
Écrivain et critique d’art, il a commencé sa carrière comme naturaliste et disciple d’Émile Zola avant de s’en
éloigner, une rupture qu’il marque par la rédaction d’"À rebours". Il s’est battu pour l’avant-garde artistique
toute sa vie. Méprisant la vie sociale et politique, misogyne, agnostique anxieux, Huysmans était un auteur et
penseur tourmenté. Seul l’art l’intéressait, ainsi que la question religieuse. Celle-ci imprégna ses œuvres et
constitua le thème du dernier tiers d’entre elles ; il la résolut peu à peu, après être passé par l’occultisme et
le mysticisme, en se convertissant au catholicisme, renouant ainsi avec la tradition de la littérature mystique.
Il fut l'ami de l'abbé Mugnier. Critique d’art, il contribua à promouvoir en France la peinture impressionniste
ainsi que le mouvement symboliste, et permit au public de redécouvrir l’œuvre des artistes primitifs. Grand
érudit, Il mourut à son domicile parisien le 12 mai 1907, et fut inhumé à Paris au cimetière du Montparnasse.
En 1874, il publie à compte d'auteur, "Le Drageoir aux épices", recueil de poèmes en prose, suivi d'un premier
roman, "Marthe", l'histoire d'une jeune fille se livrant à la prostitution pour survivre. Ces débuts le font remarquer
d'Émile Zola et, en compagnie de Henry Céard, Guy de Maupassant, Paul Alexis et Léon Hennique, Huysmans,
avec sa nouvelle "Sac au dos", collabore aux Soirées de Médan, recueil-manifeste de la jeune école naturaliste.
En 1879, c'est à Zola qu'il dédie "Les Soeurs Vatard". Dès cette époque, cependant, son originalité s'affirme en
marge du groupe: son style d'abord, de visuel, de peintre, avec une précision d'enluminure, le distingue des autres
naturalistes. Le naturalisme, d'autre part, débordant d'une santé robuste, manifeste une confiance mystique dans
les forces élémentaires de la vie, tandis que Huysmans est un petit bourgeois hépatique et pessimiste, exhalant
son écoeurement devant le monde moderne qu'il considère composé en majorité "de sacripants et d'imbéciles."
Dans "En ménage" (1881), "À vau-l'eau" (1882), c'est lui-même qu'il met en scène dans des personnages de petits
célibataires lamentables aux prises avec des filles ou, comme M. Folantin, avec la mauvaise cuisine des restaurants
à bon marché. Ces misères dérisoires prennent chez Huysmans une importance démesurée, obsédante, car elles
symbolisent l'absurdité d'existences ternes et sans issue. Avec une sorte de parti pris et un impitoyable soin du détail,
le romancier s'établit dans ce désespoir d'autant plus accablant qu'il ne tient pas à des circonstances exceptionnelles
mais à l'essence même de la vie quotidienne. Tout en publiant ses livres, J.-K. Huysmans poursuit sa carrière de
fonctionnaire, suivant la filière administrative, voyageant peu, sans autres aventures que celles de son imagination.
"À rebours " (1884) marque une rupture déjà plus nette avec l'esthétique naturaliste. Des Esseintes, le personnage
du roman, est le type du "décadent" maniaque, impuissant à renouveler sa sensation sinon par un détraquement
systématique du système nerveux et par une recherche effrénée d'imaginations bizarres et d'excentricités morbides.
C'est l'époque où Maurice Barrès s'écrie: "Réfugions-nous dans l'artificiel" et "À rebours" illustre le changement
profond que va connaître la littérature avec le symbolisme. Des Esseintes reste pourtant de la même veine spirituelle
que M. Folantin: si leurs moyens d'évasion sont différents, c'est bien un même dégoût du siècle qui les anime.
Huysmans arrive à un nihilisme qui justifie le dilemme où l'accule Barbey d'Aurevilly: "La bouche d'un pistolet ou les
pieds de la Croix". Brutale est cette proposition littéraire, parce que l’homme qui écrit est un pessimiste. Le cynisme
est le refuge de son personnage comme il transparaît dans l'écriture elle-même. Habitée de questions, de suppliques,
elle se transforme finalement en prière mais se formule d’abord sous le signe de l’angoisse. Le monde ne convient
pas aux personnages de Huysmans. Il les étouffe, il les navre, il les hérisse. En tant qu'écrivain, il semble se
présenter toujours devant une impasse, faire de son œuvre le constat de cette impasse. Des romans qui prennent
de plus en plus une texture étrange, complice et brutale à la fois, exigeante quoique parfaitement bienveillante.
Avant de se convertir, il passe toutefois par l'étape satanique avec "Là-bas" (1891), où s'exprime son intense curiosité
des phénomènes surnaturels, suscitée par ses relations avec des occultistes, des magnétiseurs, et surtout avec le
prêtre défroqué Joseph-Antoine Boullan. Huysmans vit alors pendant quelque temps entouré de pressentiments, de
menaces mystérieuses. Il se croit victime des vengeances diaboliques des Rose-Croix, mais Boullan meurt en 1893
et le romancier se trouve désormais sous la seule influence de l'abbé Mugnier, qu'il a rencontré en 1891. C'est sur le
conseil de celui-ci que, l'année suivante, il fait à la Trappe d'Igny une retraite suivie, de 1894 à 1896, par plusieurs
séjours à Solesmes et à Saint-Wandrille. À Igny, Huysmans se confesse et communie: conversion soudaine, racontée
dans "En route", qui suscite une vive agitation dans les milieux littéraires parisiens. Centré sur le personnage de Durtal,
le roman de sa conversion se poursuit par les publications successives de "La Cathédrale' (1898) et "L'Oblat" (1903).
En 1898, il avait en effet décidé de prendre sa retraite et d'aller mener la vie des oblats à côté de l'abbaye de Ligugé.
C'est là qu'il écrit sa biographie de Lydwine de Schiedam. Les moines ayant été expulsés par la loi sur les congrégations,
Huysmans se retire chez les bénédictines de la rue Monsieur, fait paraître en 1906 "Les Foules de Lourdes", réplique
au livre d'Émile Zola. Il meurt à Paris 12 mai 1907, après de terribles souffrances supportées avec une foi ardente.
Le christianisme de Huysmans est absolument sincère même si l'écrivain n'a rien renié de son esthétique passée.
Converti, il renouvelle avec un réalisme imagé et savoureux la littérature catholique. Il a le droit de rester fidèle à l'art,
puisque c'est l'art d'abord qui l'a attiré vers l'Église et attaché à elle. Le même critique qui exaltait dans L'Art moderne
des méconnus comme Paul Cézanne, Edgar Degas, Georges Seurat, Camille Pissarro ou encore Odilon Redon.
Auteur poursuivi par son image d’esthète décadent, perclus de doute et de désespoir, Huysmans se maintient dans
l’histoire littéraire du dix-neuvième siècle comme l’instigateur d’un style, d’une rigueur et d’une finesse d’écriture dont
rêvaient secrètement les dernières années de gloire du naturalisme zolien. Détenteur d’une formule nouvelle, d’un
regard nouveau pour la littérature à venir, et maître d’armes à cet égard de Céline ou de Mauriac. Toutefois, son œuvre
se résume en une dizaine de romans, quelques nouvelles, des textes sur l’art, sur Paris, sur la vie politique et culturelle
de son temps. Rien au fond, dans ce que nous laisse Huysmans, n’en fait un auteur considérable, comme d’autres dans
son siècle ont voulu l’être. Mais ce parisien lettré, raffiné et bohème sut décrire avec talent les paysages lépreux et les
promiscuités troubles du ventre de Paris. Il a ouvert une brèche féconde dans le pacte de lecture proposé par le roman.
Les personnages désormais traversent son histoire comme s’ils devaient la mériter, la vouloir et lui trouver un sens.
Bibliographie et références:
- Émile Zola, "Joris-Karl Huysmans."
- Jules Lemaitre, "Joris-Karl Huysmans."
- Remy de Gourmont, "Joris-Karl Huysmans."
- Jules Barbey d'Aurevilly, "Joris-Karl Huysmans."
- Joanny Bricaud, "Huysmans et le satanisme."
- Léon Bloy, "Sur la tombe de Huysmans."
- Rudy Steinmetz, " le pessimisme d’À rebours."
- Gaël Prigent, "Huysmans et la Bible."
- Jérôme Solal, "Huysmans avec Dieu."
- Michel Houellebecq, "L'œuvre de Huysmans."
- Pierre Jourde, "Huysmans en Pléiade."
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je me montrais surexcité lorsque, tout jeune garçon, je pus lire les Vies des martyrs. Je me souviens avoir éprouvé une émotion qui n'était que ravissement à ces lectures, dont les personnages semblaient étrangement jouir de la douleur : ils souffraient les pires tourments avec une sorte de joie, ils se languissaient dans les geôles, étaient suppliciés sur le gril, percés de flèches, jetés dans la poix bouillante, livrés aux bêtes féroces ou cloués sur la croix... Je continuais de lire avec une véritable avidité toute une série de récits dans lesquels étaient dépeintes des cruautés des plus effroyables, je contemplais avec une délectation particulière les tableaux et les gravures qui pouvaient en offrir le spectacle ; et je les voyais chaque fois habillés de fourrures ou de robes garnies d'hermines: tous les tyrans sanguinaires qui ont jamais siégé sur un trône étaient ainsi vêtus, tout comme l'étaient les inquisiteurs qui faisaient persécuter, brûler ou égorger les hérétiques, mais aussi et surtout toutes ces femmes qui, dans le grand livre de l'histoire du monde, sont placées sous le signe de la volupté, de la beauté et de la violence : Libussa, Lucrèce Borgia, Agnès de Hongrie, la reine Margot, Isabeau, la sultane Roxelane, et les tzarines russes du siècle dernier. C'est maintenant dans mon temps que je cherche mes héroïnes et il me revient d'être simultanément leur amant passionné, leur admirateur inconditionnel et leur bourreau bienveillant.
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Béatrice disparut de ma vie. Ne recevant aucune réponse aux lettres que je lui adressais, je cessai
de lui écrire. Elle ne ne demeurait pas moins présente. Je m'éveillais le matin avec un sentiment
d'abandon. Je ne pouvais concevoir qu'un amour aussi intense ait pu achopper sur ce qui
m'apparaissait plus comme une indélicatesse que comme une trahison. Je croyais naïvement
qu'elle reviendrait. Je demeurai trois mois ainsi dans l'incertitude. Je sursautais en entendant la
sonnerie du téléphone, j'attendais le courrier avec angoisse. J'imaginais son existence à Rome.
Je vivais comme un automate. J'accomplissais le rituel de la vie quotidienne, je voyais des
amis, je faisais l'amour, mais ces gestes restaient extérieurs à moi-même. Mécaniquement, je
ne m'y impliquais pas. Une maladie intérieure me minait. Personne autour de moi ne se doutait
du drame que je vivais. À qui aurais-je pu en faire la confidence ? Personne ne connaissait
l'existence de Béatrice. Il ne me resterait aucune trace de cet amour. Cette idée m'effrayait
parfois. Qu'un être ait pu remplir à ce point ma vie et s'effacer sans laisser aucun signe.
La première fois que je la rencontrai au vernissage d'une exposition Giacometti au Musée Rodin,
je fis tout pour attirer son attention. Sarah ne m'adressa pas un regard. Son intérêt la portait là, où
précisément, je n'étais pas. Est-ce cette froideur qui m'intrigua ? Quand je lui adressai la parole,
elle ne m'écouta qu'autant que la politesse l'exigeait. Elle arborait l'air résigné que les victimes
de la mondanité réservent aux fâcheux, aux raseurs. Elle était aussi insensible à l'enthousiasme
que je lui manifestais que peut l'être une statue en marbre du sculpteur. Quand je lui demandai
son numéro de téléphone, elle me toisa avec une expression offensée. Eût-elle exprimé un peu
plus d'urbanité qu'elle aurait moins piqué ma curiosité. La froideur de cette inconnue m'aguichait.
Une indifférence courtoisie m'eût découragée avec plus d'efficacité. Qu'avais-je fait pour la mériter ?
Je n'eus pas le loisir de lui en demander l'explication car elle disparut en me tournant le dos. Le
lendemain, je lui fis porter un bouquet de tulipes à son hôtel, accompagné d'une carte amicale.
je ne reçus aucune réponse. Je n'en fus pas étonnée. Espérant la rencontrer, j'allai me poster à
la porte du Bristol, son hôtel. Je l'attendis sur le trottoir de la rue du Faubourg-Saint-Honoré. Enfin,
je la vis apparaître. Dans les reflets de la porte à tambour, elle me parut plus grande, plus élancée,
plus altière que jamais. Un soleil printanier éclairait mon espoir. Plutôt réservée, je n'avais pas pour
habitude d'accoster une inconnue. Mais sa beauté exacerbait mon attirance saphique, fut-elle sans
fière assurance. Elle sembla hésiter sur sa direction. Cette incertitude l'humanisa à mes yeux. Sans
hésiter, je m'approchai d'elle. Quand elle m'aperçut, elle eut un soudain mouvement de recul. Je
lus dans son regard noir cette lueur de blâme que l'on réserve aux extravagances d'une folle.
- Encore vous, soupira-t-elle.
Notre conversation fut aussi cordiale qu'un échange de coups de pistolet, le matin, à l'aube, entre
deux duellistes. Malgré mon sourire avenant, et ma fausse innocence, la partie semblait perdue.
- Pourquoi ne me laissez-vous pas le temps de m'expliquer ? N'aimez-vous pas les tulipes ?
- Je n'ai aucune envie d'entendre vos explications.
- Pourquoi ne pas accepter le dialogue amical ? Avez-vous peur de votre propre faiblesse ?
Je vis passer une flamme assassine dans ses yeux. Je l'avais piquée au vif. Une femme ne
pouvait-elle pas offrir à l'une de ses congénères un bouquet de fleurs ?
- Vous n'êtes pas de nature à m'en inspirer.
- Pourquoi cette brutalité ? Pourquoi toujours imaginer le pire ? Que faites-vous de l'amitié ?
- Me croyez-vous à ce point naïve ? Avec vous, je sais très bien à quel type de femme j'ai affaire.
- C'est mal me connaître et me faire un procès d'intention. Je ne suis pas une amazone.
- Prenez-le comme vous voudrez. Mais laissez-moi, vous perdez votre temps, je suis pressée.
- Puis-je vous déposer quelque part ?
- Non, c'est inutile, je reste dans ce quartier.
- Avez-vous l'intention de déjeuner ?
- Oui, mais pas avec vous.
- Je vous propose un pacte amical. Nous déjeunons ensemble et je vous promets de ne plus tenter
de vous revoir. Parole de femme, honneur de femme. Elle me regarda d'un air dubitatif. Balle au centre.
- Puis-je accorder le moindre crédit à quelqu'un qui se comporte comme vous ?
- Je vous répète, je vous donne ma parole d'honneur.
Je la sentis vaciller. La situation semblait tourner à mon avantage. La victoire semblait proche.
- Votre parole d'honneur, répéta-t-elle en haussant les épaules, je ne me fais aucune illusion sur vous.
Mais je suis lasse de votre insistance et de votre folie. Je vous accorde vingt minutes.
Un restaurant nous tendait les bras à l'angle de la rue du Cirque. Je l'y conduisis. Pendant le déjeuner, elle
resta fidèle à elle-même: sur la défensive, hautaine, éludant toute question personnelle, et ne m'offrant que
l'armure d'une personnalité bouclée dans les conventions et le dédain. La glace contre le feu. Pourtant
quelque effort qu'elle fît pour être désagréable, elle ne parvenait pas à me déplaire. Je sentais en elle,
derrière la Ligne Maginot qu'elle m'opposait, un tumulte de contradictions qui n'était pas sans charme. Au
moins, elle ne ressemblait à personne. En vérité, il faut bien reconnaître que moi aussi. Le café bu, elle se
leva et, sans se départir de son air farouche, elle prit congé.
- Maintenant que j'ai eu la faiblesse d'accepter votre déjeuner, j'espère que vous allez tenir votre promesse.
Merci pour les tulipes. Adieu. Elle disparut laissant derrière elle un sillage glacé comme un blizzard. Je tins
parole. Pendant dix jours. Puis je l'appelai dans sa propriété non loin de Bordeaux.
- Et votre promesse, s'exclama-t-elle. En plus, vous êtes parjure. Le ton de sa voix n'exprimait qu'un courroux
de facade purement formel. Ce qui était un progrès. Et puis n'avais-je pas évité le pire, elle n'avait pas raccroché.
- J'ai promis de ne plus vous voir, pas de ne pas vous téléphoner.
- Vous êtes bien française, dit-elle en ciselant ce qualificatif pour marquer un insondable mépris.
Maintenant que l'habitude de ses amabilités était prise, je prenais un certain plaisir à la voir décocher ses flèches.
- Quand venez-vous à Paris ?
- Que vous importe puisque vous m'avez juré de ne pas chercher à me revoir.
- Je sais par l'une de mes amies, que vous serez après-demain à un dîner chez les Moras.
- Vous ne me donnez pas envie de m'y rendre.
Quand elle raccrocha, je conservai un instant le combiné muet à la main. Pourquoi insister ? Oui, pourquoi ? Par jeu ?
Il y a des rencontres qui, comme celle-ci, ne commencent pas précisément par de forts encouragements. Si elle avait
ressenti un coup de foudre pour moi, elle le dissimulait bien. Peut-être n'aimait-elle pas partager son lit avec une femme ?
Tout simplement. Mais alors, pourquoi ne pas me l'avouer ? Il y a des vérités qui ne méritent aucune contestation. Mais
alors, pourquoi n'avoir en tête que cet horrible mot de réciprocité La réciprocité en amour est un calcul bourgeois. Pas
d'investissement du capital sans un rendement substantiel. Cette femme, sans doute mariée, avait beau me rabrouer,
elle me plaisait. Hétérosexuelle convertie, bisexuelle non pratiquante. Elle m'attirait pour une raison que je ne cherchais
pas à m'expliquer. Mais après-tout exige-t-on de Dieu qu'il vous donne des preuves de réciprocité. Et puis parfois, en
amour, on a l'impression sans savoir pourquoi, qu'en dépit des obstacles, le destin a déjà gravé notre avenir.
Et cette histoire aussi était probablement déjà écrite dans un mystérieux livre qu'hélas je n'avais pas lu. Comme se serait
simple de pouvoir consulter le livre des destinées avant d'offrir un bouquet de tulipes à une femme. On éviterait tant
d'impairs, de temps perdu, de malentendus, mais on passerait aussi à côté de la vie et de ses surprises. Elle vint à
Paris. Je me trouvai au même dîner qu'elle. Elle m'accueillit avec son habituelle mansuétude. Après le dîner, elle tenta
de s'éclipser mais je la rejoignis dans l'escalier, en abandonnant mon amie Charlotte. L'immeuble donnait sur le jardin
du Luxembourg. Il y avait dans l'air je ne sais quel parfum de printemps. Nous fîmes quelques pas en silence. Un
silence doux et reposant comme une paix. Elle avait une voiture anglaise, comme elle. Elle était née à Londres mais elle
vivait à Bordeaux. Je lui demandai de me raccompagner. Elle accepta en poussant un soupir. Elle gara sa voiture en
bas de chez moi. Elle semblait avoir épuisé ses ressources d'agressivité. Je tentai alors de l'embrasser en posant une
main audacieuse sur sa cuisse nue. Elle ne me repoussa pas. Au contraire, elle répondit à mon désir avec tant de
fougue que j'en fus presque déconcertée. Une grande bataille est celle que l'on remporte avec une résistance farouche.
Dès lors, elle bascula, comme une statue bascule de son socle. Nous nous retrouvâmes chez moi. Et ce fut comme si,
de toutes ses forces, elle tenait à démentir l'indifférence qu'elle m'avait manifestée. Nous nous aimâmes dans une douce
ambiance de paix conclue, sur un lit d'armes abandonnées et de sensualité débridée. Déshabillée de son agressivité et
de sa pudeur, elle demeurait menaçante comme une tempête apaisée. Ses refus donnaient un prix mystérieux à son
abandon. Je l'admirais comme une belle énigme. Avais-je véritablement une femme devant moi qui avait cédé à une
pulsion saphique ou l'incarnation d'un phénomène météorologique. Son corps magnifique était celui d'une femme
aimante, mais les ressorts de son âme paraissaient aussi inaccessibles que les déchaînements imprévisibles d'une
tornade. Loin de me sentir maîtresse de la situation, il me semblait que je n'avais été que l'exécutante d'un jeu qui me
dépassait. Sarah entra ainsi dans ma vie au même moment où Béatrice en sortit. Une nouvelle vie, un nouvel amour.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Toute la semaine j’ai des doutes des envies, je suis dans l’incertitude, les jours passes mardi soir je n’arrive pas à me décider je dors mal. Mercredi 11h je rode dans le quartier des Eaux-vives. 12heures je suis devant la porte je sonne 2 petits coups et j’attends.
Madame m’ouvre et me dit « suis-moi ». Nous sommes dans la cuisine il y a une ampoule sur la table « tu vas me changer la lampe ». J’enlève ma veste, je reste en chemise, je prends le petit escabeau je monte et je commence à changer l’ampoule.
Madame me questionne sur ma semaine, une de ses mains tiens l’escabeau l’autre me pose sur mes fesses et les caresses sans autre, je me mets à bander je suis mal à l’aise, Madame le sent, sa main est très indiscrète elle passe des fesses à l’entre jambe, elle me parle je réponds l’ampoule dévissée je vais descendre mais elle me prend l’ampoule et de ma donne la nouvelle sa main continu de passer sur mes fesses. L’ampoule est en place je le lui signale. Elle me donne une grande claque en me félicitant.
Maintenant tu vas faire la vaisselle me dit Madame. Dans l’évier 2 assiettes 2 verres des couverts rien de bien compliqué une casserole aussi. Je me mets à la tache Madame toujours aussi présente se colle derrière moi et me dit « si tu casses une assiette je te puni ».
Je commence donc la vaisselle Madame me pelote de nouveau mes fesses et continues de me questionner sur ma vie mes envies et mes attentes je réponds sa main est toujours aussi douce. De son autre main elle défait ma chemise, puis avec ses 2 mains elle me prend les tétons et les pinces doucement un petit cri sort de ma bouche « t’es sensible dit-elle, tu as un joli cul des tétons sensible une vraie femelle. »
J’essuie la vaisselle en me laissant peloter. La vaisselle finie Madame me montre l’aspirateur à passer dans l’entrée et la cuisine elle m’ordonne de me mettre a 4 pattes pour voir sous les meubles de bien aller au fond ainsi en posture a 4 pattes elle me félicite sur mon postérieur et passant sa main dessus.
Je me relève range l’aspirateur Madame m’oblige à me cambrer sur la table elle défait mes pantalons qui tombent, elle glisse ses 2 mains dans mon slip et en 1 minute elle me fait jouir, ses mains sont pleines de sperme. Elle les retire et me mets 1 doigts dans la bouche et me dit « suce-moi les doigts et écoute bien pour la semaine prochaine. Ça fait 3 fois que tu viens chez moi donc si tu reviens la semaine prochaine ici c’est que tu acceptes de devenir ma soubrette. Tu devras m’obéir sans dire non, je te formerai à cela. Je vois que tu aimes mes caresses sur tes fesses je te ferai découvrir tous les plaisirs que peut te procurer ton cul, tes fesses ta bouche et tes tétons, tu aimeras cela. Je veux une soubrette lisse tu devras te raser des pieds à la tête sans les cheveux, ton corps doit être lisse comme un bébé sans aucun poil et tu le deviendras ma soubrette. A toi de choisir ton destin. Tu suces bien mes doigts en retirant sa main, rhabilles-toi et réfléchir mercredi à 12h ici.
Je me rhabille et je quitte l’appartement troublé. D’un homme à tout faire elle veut maintenant une soubrette.
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« Tu as 5 minutes pour être à poil devant ma porte sale pute. Garde juste tes bas. » Ces mots résonnaient dans ma tête. Sonner. Monter. Me déshabiller. Frapper. Attendre. Je suis nu, ou presque. Je ne porte que mes bas et ma cage. Je suis anéanti. Incapable d’une pensée rationnelle. N’importe qui peut monter l’escalier. Un voisin, une voisine. Maîtresse Caroline le sait. Que vais-je faire si quelqu’un arrive ? Nul part où me cacher. Me rhabiller ? Même pas la peine d’y songer. Je suis juste là, sur le palier de ma Maîtresse. Terrorisé, soumis humilié, au bord des larmes. En ces quelques minutes, le bilan se dresse. Ce que j’ai trouvé, ce que j’ai perdu ou vais perdre. Le plaisir, la concrétisation de mes fantasmes les plus inavouables, Ennia et l’amour, Maîtresse Caroline et le désir insondable qu’elle m’inspire. En face, mon couple qui n’en était plus un, ma dignité – mais ne pourrais-je pas la retrouver, ou plutôt en trouver une autre dans la servitude de Maîtresse ? Et au fond, ma dignité a t-elle encore une importance ? Pour qui ? – je suis brisé et soulagé. Je crois que je n’arriverai jamais à expliquer ce sentiment ambivalent. Plus je m’enfonce plus je renais. Plus je me perds, plus je me trouve. Moins j’existe, plus je vis. Des pas qui montent. Je frappe de nouveau. J’entends du bruit derrière la porte. Un froissement. Maîtresse Caroline m’observe. Elle doit lire ma détresse sur mon visage. Suffisamment pour éprouver quelque pitié. Les pas montent et montent encore. Un palier de différence. Maîtresse ouvre et m’assène une gifle magistrale qui m’achève. Je me tombe à ses pieds et j’explose en larmes. -Maîtresse…. pitié…. Caroline… je t’en supplie ! Mais la fureur ne peut être apaisée par les jérémiades de la lope, du soumis humilié que je suis en cet instant. Caroline claque la porte, et hurle en me cravachant : -SALE PUTE !!!! SALE SOUS MERDE !!! MAIS COMMENT TU OSES ???? TU CROIS QUE T’ES QUOI PAUVRE CHIENNE DE MERDE, HEIN ???? TU CROIS QUE T’ES QUOI ??? Les coups pleuvent, je suis recroquevillé au sol. Je me protège comme je peux et j’encaisse, en criant à chaque coup. D’abord frappant au hasard, sa cravache se fait plus précise, mon cul, mon dos, mes cuisses. Maîtresse Caroline tourne autour de moi sans cesser de m’insulter. Je hurle lorsque le cuir rencontre mes couilles. Chloé, qui assiste à la scène depuis le début, sans broncher, retient le bras de Caroline. -Dis, tu y vas un peu fort non ? -Cette salope, cette truie n’a que ce qu’elle mérite !!!! Jamais, JAMAIS une pute ne m’a humiliée comme ça… Monsieur veut jouer le petit prof ??? Hein sale merde ??? Mais putain.. tu vas morfler, fais moi confiance. Je vais te passer l’envie de me faire une remarque, devant toute la classe. Tiens, j’ai une idée, je vais tous les inviter pour une petite projection privée. Un petit film bien trash, avec une truie qui se fait enculer… tu crois que ça leur plaira ??? -Pitié Sublime Maîtresse Caroline, pitié, pas ça ! Je ne le ferai plus, je ferai tout ce que vous voulez Maîtresse, mais pas ça je vous en supplie ! Je me jette à ses pieds et je les baise, je les embrasse comme si ma vie en dépendait. Maîtresse Caroline peut tout. Je ne suis que son soumis, sa pute, sa chienne ou tout ce qu’elle voudra. Je n’ai d’autre option que de m’humilier, me rabaisser, aussi bas qu’elle le désirera. Aller loin, aussi loin qu’elle l’exigera. Obéir, subir, me taire, m’offrir, accepter, progresser, me donner. Voilà me seules perspectives. Aux pieds de Maîtresse Caroline, je rends mes armes, moi le soumis humilié. Je pleure en suppliant, mais Caroline n’en a cure. Sans l’intervention de Chloé, je crois qu’elle m’aurait fait très mal tant sa fureur est intense. -Sale pute, debout au milieu du salon, mains dans le dos, cuisses écartés…. TOUT DE SUITE !!! Je m’exécute, sans broncher. Je prends la pause ordonnée, et je suis rapidement rejoint par Maîtresse Caroline. Elle me passe une paire de menottes et immobilise mes bras dans mon dos. Puis elle pose deux bracelets sur mes chevilles et y fixe une barre d’écartement. -Maintenant, je vais pouvoir te corriger tranquillement ma sous-merde. Tu vas bien prendre sale pute…. Tiens Chloé, voici la clé de sa cage. Libère le et…. tu veux bien le faire bander s’il te plaît ? Remarque, cette salope est tellement en chaleur, à mon avis, tu ne vas pas avoir grand chose à faire…. Tiens, qu’est-ce que je te disais ?!!! Il bande déjà comme un âne… En effet, à peine Chloé m’a t-elle libéré que je me mets à bander. Très dur. Maîtresse Caroline s’approche et empoigne mes couilles. Elle les presse et m’arrache un cri…. -TA GUEULE LA TRUIE !!!! TES COUILLES SONT A MOI ET J’EN FAIS CE QUE JE VEUX. T’AS PIGE SALOPE ? -Oui Maîtresse, je suis à vous. -Maintenant en position, sur la table basse… et t’as intérêt à bien offrir ton cul !!! Je me mets à genoux comme un bon soumis humilié puis pose mon torse sur la table. Mes cuisses sont maintenues ouvertes par la barre et je me cambre du mieux que je peux. -Tiens Chloé, prends ça et chauffe lui le cul pendant que je vais chercher quelques jouets…. Maîtresse Chloé s’empare du martinet et m’assène quelques coups, plutôt légers. Caroline revient sur ses pas…et lui arrache des mains. -Mais vas-y, t’as oublié ce que cette sale pute nous a fait ??? Elle nous a viré du cours je te rappelle… Elle doit payer. Alors vas-y, fais la bien chauffer. Je veux entendre le claquement des lanières sur son cul de salope en chaleur… Vas-y, ne te retiens pas, elle adore ça j’en suis sûr. Chloé frappe avec plus d’ardeur, je tente de contenir mes gémissements, mais j’ai de plus en plus de mal. Elle y prend goût et frappe de plus en plus fort. Lorsque des lanières touchent mes couilles, je ne peux retenir un cri de douleur. Loin de calmer Chloé, ce cri la galvanise… et elle se prend au jeu de la Dominatrice. -Sale chienne… t’aime ça hein ???? Hmmm si tu savais comme ça me fait mouiller de te dresser, je coule comme une folle… tout à l’heure tu vas bien me nettoyer ma petite lope. Hein ma pute… Tiens, prends ça… Elle frappe encore et encore.. . je ne sens plus mon cul, je gémis sans discontinuer lorsque Maîtresse Caroline fait son retour dans le salon. -Hmmm tu l’as bien chauffée. Bravo… cette truie n’a que ce qu’elle mérite. On va encore bien jouer avec, et bien la punir pour lui passer l’envie de recommencer…. Tiens, la salope ne bande plus…. Les coups m’ont fait débandé. Maîtresse Caroline qui a enfilé des gants de cuir s’empare de ma queue et commence à me branler sans ménagement. -Allez ma pute, bande pour tes Maîtresses, c’est un ordre. Chloé, je crois qu’il a besoin d’être dopé. Et je ne connais rien de mieux pour les putes dans son genre que la mouille de sa Maîtresse. Je t’ai entendu dire que tu étais trempée, t’as pas envie de te faire nettoyer en profondeur ? -Hmmm si, avec plaisir. Allez sale chienne, tu vas bien enfoncer ta langue, et me nettoyer la chatte. Lèche moi bien la pute, lèche ta Maîtresse… Chloé se met à genoux sur la table et empoigne mes cheveux pour fourrer mon visage entre ses cuisses. Elle ruisselle littéralement, et trempe mon visage. Je lèche, fouille, aspire, bois sa mouille…. Maîtresse Caroline avait raison, le parfum et le goût de Chloé me font bander immédiatement. Maîtresse Caroline est passé derrière moi et entreprend de lier mes couilles et ma queue avec une fine cordelette. Très serrées. Je deviens dur, je crois que je n’ai jamais bandé à ce point. Elle en profite pour me branler sans aucun ménagement, pendant que de son autre main elle presse et tord mes couilles. Je gémis de douleur, gémissements étouffés entre les cuisses de Chloé qui s’approche rapidement de l’orgasme. -Sale pute, fais jouir ta Maîtresse, allez lèche là encore mieux que ça… T’es juste bonne à nous lécher, et à te faire baiser le cul sale truie. Je fais faire de toi un sac à foutre… tu vas avaler des kilomètres de queues bien dures et juteuses crois-moi. Je vais te droguer à la queue et au foutre. Je vais te faire baiser par des blacks pendant qu’on se branlera en regardant…. Hmmmm allez fais jouir mon amie Chloé !!! Chloé explose de plaisir en inondant mon visage. Je la bois et je me régale, malgré la douleur que Maîtresse Caroline m’inflige en jouant durement avec mes couilles gonflées à exploser. J’ai entendu tout ce qu’elle vient de me dire… mais dans un état second, concentré sur le plaisir de Chloé. Je sais qu’elle est capable de me faire subir tout cela. Je sais aussi qu’au fond de moi, dans les méandres les plus sombres de ma perversité, je le désire. Je veux être tout cela pour Maîtresse Caroline. Je veux être son soumis humilié. Et elle le sait.
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Je reçus un sms de Maîtresse Caroline, mon étudiante domina, vers 10h.
« 11h devant la porte de mon appart. Tu frappes, tu entres, tu te fous à poil sauf ta culotte et tes bas, et tu attends, à genoux, mains sur la tête ».
Je n’avais que peu de temps pour me préparer. A 11h, j’étais devant sa porte. Je frappai et j’entrai. Je me déshabillai et j’attendis Maîtresse dans la position qu’elle m’avait ordonnée, c’est à dire à genoux, cuisses écartées, mains sur la tête, regard baissé. Je dus attendre quelques minutes, j’étais angoissé. Qu’allait-elle me faire subir ? Allait-elle me libérer de ma cage ? Ses sublimes pieds dans des escarpins entrèrent bientôt dans mon champ de vision. Maîtresse passa derrière moi et plaça un collier muni d’une laisse à mon cou. Elle tira un coup sec pour me faire mettre à quatre pattes.
-Suis moi la chienne !
Elle me guida, sans ménagement, dans le salon. Je gardai le regard baissé, et je découvris d’autres pieds, eux aussi chaussés d’escarpins. Mais ce n’était pas Ennia. La peur m’envahit aussitôt, et je restai bloqué.
-Alors la pute, on n’oublie les bonnes manières ? Tu ne sais pas comment une chienne doit saluer une femme que lui présente sa Maîtresse ????
-… Je….
– Tu quoi ma chienne ?.
-……
J’étais simplement tétanisé. J’avais reconnu Chloé, une de mes élèves, une grande et sublime black, très élancée, et plutôt effacée. Je rougis immédiatement, et j’avançai maladroitement, vers ses pieds que je devais honorer. Maîtresse Caroline enfonça le clou :
-Tu vois Chlo, je ne t’avais pas menti. J’en ai fait une belle petite chienne de notre prof. Mignonne hein ? T’as vu ses bas, sa culotte ? Et tu ne devineras jamais ce qu’il y a dessous… tu vas voir… dès que la pute t’aura saluée comme il se doit.
Je ne savais plus où me mettre. Toute la classe allait être au courant à ce rythme. Je ne pourrais jamais continuer à leur faire cours. Pas dans ces conditions.
-Je l’ai filmé, et j’ai pris plein de photos, tu veux les voir ?
-Oui…. avec plaisir. Je suis curieuse de voir cette……. cette petite pute.
Ces mots, dans la bouche de Chloé, me choquèrent profondément. L’humiliation montait en intensité. Une petite pute, obéissante, soumise, c’est ce que j’étais entre leurs mains. Je n’avais aucun autre choix que d’obéir, sinon celui de voir ma vie exploser. Le visionnage dura un temps qui me parut interminable. Assises dans le canapé, moi à genoux face à elles, regard baissé, cuisses ouvertes, queue encagée et exposée, Maîtresse Caroline et Chloé passèrent en revue ce que j’avais subi. Chloé, d’habitude si réservée, se montrait de plus en plus excitée, et de moins en moins avare en commentaires.
-C’est vraiment une chienne…. tu as eu du mal à l’enculer…. on dirait qu’il aime vraiment ça….. Nan !!! Mais regarde…. quelle pute !!!.
-Hmmmmm c’est malin, je suis trempée maintenant, toutes ces photos et ces vidéos, ça m’a fait mouiller comme une folle. Merci Caroline, c’était très…. instructif !
-Je t’en prie… tu sais, si tu es trempée, tu as une bonne lécheuse à ta disposition…. elle n’attend que ça, n’est ce pas pas chienne ?
-Oui Maîtresse Caroline. A vos ordres !
-Tu vois…. tu n’as qu’à ordonner. Elle est toute à toi Chloé.
-Approche la pute ! Viens goûter le miel de ta Maîtresse black ! Déguste moi ! j’aime bien sentir une langue s’enfoncer dans ma chatte, montre moi ce que tu sais faire sale chienne !
J’approchais comme un robot, à quatre pattes, presque par automatisme.
« Sale chienne »…. étais-je déjà conditionné ? Chloé retira son string et le présenta devant mon visage.
-Lèche, et respire ! Elle avait une odeur musquée, entêtante, délicieusement excitante. Je léchai le tissu trempé, et goûtai son miel.
-Maintenant, tu vas boire directement à la source et je veux bien sentir ta langue, enfonce là ! Lèche moi bien !
J’enfouis mon visage entre ses cuisses, et je la léchai longuement. Elle mouillait abondamment et elle finit par jouir en me traitant de chienne, de pute en chaleur, de lécheuse, de salope soumise.
-Hmmmm ! c’est qu’elle m’a fait bien jouir ta salope Caro. Tu me la prêteras encore ?
-T’inquiète, tu pourras essayer d’autres trucs avec elle. Tu as déjà enculé un mec ?
-Nan, jamais.
-Tu vas voir, tu vas adorer !!!
Sur ces promesses de plaisirs, mes deux Maîtresse se levèrent du canapé.
-Allez la pute, rhabille toi, c’est l’heure d’aller en cours ! Après on reviendra là, je n’en ai pas fini avec toi ma chienne. Prêt Monsieur le professeur soumis ?
Caroline et Chloé, mon autre étudiante domina, éclatèrent de rire. Le cours allait être long, très long.
Mon intuition fut la bonne. Ce fut 1h30 en enfer !
Le plaisir de retrouver Ennia, assise au premier rang, fut douché par son attitude. Elle était froide et distante. C’était un contraste cruel avec ce que nous avions vécu la nuit précédente. Derrière elle, Maîtresse Caroline et Chloé ne me quittaient pas des yeux. Je les voyais chuchoter, et ricaner.
Je cherchais mes mots, perdant le fil de mes pensées. Ce fut sans doute le pire cours que j’avais jamais dispensé à mes élèves. Caroline, ma Maîtresse dominatrice et Chloé chahutaient de plus en plus, m’obligeant finalement à les reprendre :
-Mesdemoiselles, merci de cesser vos bavardages ! Je veux bien être cool, mais il y a des limites, et vous venez juste de les dépasser. Si le cours vous gonfle, je ne vous retiens pas.
J’avais parfaitement conscience d’avoir dépasser les bornes moi aussi, avec cette remarque. J’allais le payer, d’une façon ou d’une autre. Le regard que me lança Caroline en se levant et en quittant la salle de cours, escortée par Chloé, présageait du pire.
Je tins tant bien que mal jusqu’à la sonnerie, qui coïncida parfaitement avec celle de mon téléphone, annonçant un sms. Je n’avais aucun doute sur l’identité de l’expéditrice.
« Tu as 5 minutes pour être à poil devant ma porte sale pute. Garde juste tes bas. »
Je me trouvais devant un non-choix. Obéir à ma Maîtresse dominatrice était devenu ma seule possibilité. Il n’y avait aucune fuite, aucun répit possible. Maîtresse Caroline me tenait, et j’étais devenu son pantin, sa chose, sa pute obéissante. De nouveau, la peur m’envahissait alors que je me dépêchais de rejoindre la tour dans laquelle se nichait son antre.
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Maîtresse Caroline, dominatrice cruelle, nous laissa de longues minutes seuls. A force de baisers, de caresses tendres, Ennia apaisa mes larmes et la chaleur de son corps contre le mien finit par me faire rebander. Quand Caroline revînt, Ennia se caressait lentement sur ma tige, sans cesser de m’embrasser. Elle cria lorsque la cravache s’abattit sur ses reins.
– Mais regardez moi ces animaux en rut. Je ne peux pas vous laisser 3 minutes !!! Vous ne pensez qu’à baiser ! Vous mériteriez que je vous mette à l’abattage, dans une cabane de chantier, pour vous faire baiser par un tas de mecs aux couilles bien pleines. Vous n’êtes que deux putes en chaleur ! Toi la chienne, tu retournes à ton hôtel. Et tu attends mon message, demain matin. Mais pour que tu penses à moi, je vais t’équiper. Debout, mains sur la tête, maintenant !
J’étais vaincu. Maîtresse Caroline, dominatrice cruelle, avait définitivement pris l’ascendant et je n’avais plus aucune envie de me rebeller. Elle empoigna mes couilles à pleines mains et les tordit, ce qui m’arracha un cri de douleur.
-Silence sale truie… Je t’interdis de te branler jusqu’à demain. Mais je n’ai aucune confiance, donc il n’y a qu’une solution pour m’assurer de ton obéissance. Je suis obligée de t’engager!
-Maîtresse Caroline, s’il vous plaît, pas ça !
La gifle fut aussi instantanée que ses doigts broyant mes couilles.
-Ta gueule sale pute. Tu n’es qu’une salope en chaleur, une traînée qui ne pense qu’au cul. Ta bite m’appartient maintenant. A moi seule, c’est clair ? C’est clair ma pute ???
-Oui Maîtresse Caroline!
J’avais parlé dans un souffle, les yeux embués de larmes sous la douleur de sa main serrant mes couilles. Je n’avais plus du tout envie de bander, et Caroline n’eut aucun problème pour me poser la cage de chasteté. Le clic du cadenas me condamnait. Et j’étais envahi par la peur. Demain, je devais rentrer chez moi. Et si Maitresse ne me libérait pas ????
-Une bonne pute doit toujours porter des dessous de putes. Tiens ma salope, enfiles ça!
Une paire de dim-up et un string rouge, bien trop petit, qui ne cachait presque rien de ma cage. Je me sentais ridicule et Maîtresse Caroline en rajouta :
-On dirait un pauvre travelo. T’es trop vulgaire ma pute… Vulgaire comme une vraie salope bonne à foutre sur le trottoir. Un jour je te ferai tapiner !
Sa dernière réplique m’acheva.
-Allez, dégage de ma vue maintenant ! Toi ma pute d’Ennia, tu files te préparer. Ce soir tu vas être la reine… je t’ai préparé une petite surprise, j’espère que tu n’as pas oubliée ! Tu vas prendre cher crois moi !
Le trajet jusqu’à mon hôtel fut terrible. Le cul ouvert par le plug, mes jambes gaînées de bas, ma queue prisonnière, mon string rouge… j’avais l’impression que tous les passants que je croisais, tous ces gens dans la rame de métro ne voyaient que ça. Qu’ils savaient. Je devinais leurs petits sourires méprisants. Bien sûr, c’était impossible, mais je me sentais nu, et ma démarche, cul plein et cage entre les cuisses, n’avait rien de naturel, du moins me semblait-il.
La soirée fut aussi terrible. Entre un coup de fil à ma famille, mes efforts pour paraître naturel, le film de l’après-midi en boucle dans mon esprit, mon envie de sexe exacerbée par le plug et ma cage me privant d’érection… Je trouvais difficilement le sommeil, en dépit de mon corps épuisé par ses épreuves. Des coups frappés à ma porte me tirèrent de mes rêves agités. Je ne savais plus où, ni qui j’étais. 5h34. L’heure d’une surprise totale en laissant entrer Ennia dans ma chambre. Son visage marqué par les larmes, maquillage ravagé, odeur de cul…. et regard glacial. Pas un mot, juste une enveloppe qu’elle me tendit. Une lettre de Maîtresse Caroline.
-Ma pute…. Ennia m’appartient. Elle est ma chienne, ma chose. Mais elle est aussi ta Maîtresse en mon absence. Tu lui es inférieur, et tu lui dois obéissance. J’espère pour toi qu’elle t’a trouvé avec le plug dans le cul, et ton string toujours sur toi… ou tu seras puni durement. Cette nuit, la salope rousse a été offerte à une assemblée de mâles. Elle s’est faite défoncée le cul et la chatte. Elle a hurlé de douleur, très longtemps. Et j’ai bien pris garde qu’elle ne jouisse pas. Il y a moins d’une heure, des queues se vidaient encore dans ses trous et sur son corps. Elle pue le cul, le foutre. Tu vas la nettoyer, bien en profondeur. Et elle a le droit jouir, cette fois.
Le regard d’Ennia ne soufrait aucun refus.
-Mains sur ma tête…. maintenant tu es ma pute à moi. Et j’ai envie de te faire mal!
Elle avait pris ma ceinture, sur le dossier de la chaise… et elle m’en cingla les fesses. Assez fort pour m’arracher un gémissement.
-Tu as le droit de crier… j’aime, et ça m’excite… Mais pas trop fort, n’oublie pas où nous sommes.
Les coups s’abattirent sur mon cul. Ennia tournait autour de moi, frappant mes fesses, parfois mon torse ou mes cuisses. Je résistais tant bien que mal à la douleur, gémissant le moins fort possible. J’étais épuisé. Trop d’émotions, de sensations, trop peu de sommeil. Mais je pensais à ce qu’Ennia avait enduré. Bien pire que moi si j’en croyais les mots de Caroline….
Les coups cessèrent.
-Allongé par terre la chienne, tu vas me nettoyer! Je suis remplie de foutre encore chaud… tu vas bien me lécher.
Elle vint s’asseoir sur mon visage. Un facesitting gluant, odorant. Elle puait la baise, le sperme… Elle coulait de la chatte et du cul… et ses cuisses étaient maculées de longues traînées de jouissance masculine. Je dus surmonter mon dégout, enfoncer ma langue, lécher, avaler, nettoyer…. elle se frottait sur ma bouche, ouvrait ses fesses à pleines mains…
-hmmm enfonce bien ta langue ma pute, suce moi la rondelle… aspire le sperme… hmmm tu aimes ça hein… lèche ta Maîtresse, nettoie là bien… hmmmm ouiiiiiii continue ma chienne… tu vas me faire jouir…. Ahhhhhhhhhh!
Ennia jouit plusieurs fois. Elle délirait, m’appelait son amour, sa pute, sa salope de plaisir… se branlait sur ma bouche, dirigeait ma langue… ma belle rousse me dominait et mon amour pour elle explosait. Qu’importe l’avilissement, le sperme qui la souillait, peu importe qu’elle se fasse baiser par d’autres… En cet instant, j’étais à elle, rien qu’à elle. C’est moi qui la faisait jouir. Mon dégoût était loin, mes tabous tombaient les uns après les autres. Je voulais tout, aucune limite… juste être à elle, être avec elle. Ma queue diffusait une douleur continue, enfermée dans sa cage. La frustration que cela engendrait était nouvelle pour moi. Et j’en pleurais en serrant Ennia dans mes bras, en baisant sa bouche, en léchant ses seins couverts de traînées blanchâtres. Elle me quitta sans un mot, à 7h15. Et je m’effondrais sur le sol de ma chambre, pleurant encore sur mon sort, sur ce que j’allais devenir, anéanti par les doutes, les questions…. et par dessus tout, le manque d’Ennia, la douleur de son absence. Je n’avais cours qu’à 13h30. L’attente allait être insupportable. En attendant, j’étais brisé.
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Donc j'étais la dans le vestibule a attendre.
Madame arrive et se plante devant moi à 1 mètre et me dit " tournes-toi que je vois comment tu es mignon.
Je tourne sur moi-même elle me complimente sur ma tenue sobre discrète et me dit. Ici c'est moi qui commande et tu me dis Madame.
Oui Madame.
Suis -moi à la cuisine j'ai un petit meuble à monter tu vas le faire pendant que nous causerons de toi et moi.
Oui Madame, je la suis à la cuisine et je me met à déballer un petit meuble, je consulte la notice de montage et m'attelle à la tache. Elle me dit de mettre tout sur la table et de le monter.
Oui Madame
Tu as déjà fait des rencontres.
Non Madame
les questions fusent, Madame étant a quelques centimètres derrière moi enchaine les questions qui devienne de plus en plus intimes je suis mal à l'aise et mon sexe est à l'étroit dans mes pantalons.
Madame me voyant mal à l'aise pose une main sur mes fesses et tout en les caressants continus ses questions. Le petit meuble est presque fini Madame me caresse toujours mes fesses et me complimente sur la fermeté de mes fesses.
Le meuble étant monté Madame me complimente encore et elle se colle à mon dos et de ses mains défait la ceinture et le pantalons descends à mes cheville, passe ses mains dans mon slip. Excité comme je me laisse faire Madame me branle en même pas 1 minute j'ai jouis dans ses mains dans mon slip, Elle essuie ses mains dans mon slip puis les ressorts et me glisse un doigt dans la bouche pour me faire comprendre de le sucer en le rentrant et sortant de ma bouche elle me dit "ici tu sera Pat le meuble est bien monté tu obéis bien, tu as un joli cul bien ferme, tu suces bien mon doigt tu te rhabilles et tu reviens la semaine prochaine même heure ici tu sonnera 2 petits coups.
Elle me laissa en plan mon slip plein de sperme. Je remet mes pantalons me rajuste et je sort de l'appartement.
La semaine se passe et mes pensées sont multiples, dois-je y retourner ou pas. je me sent mal à l'aise.
Arrive le mercredi 12h je sonne 2 petits coup et attends.
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En lisant une revue coquine sur Genève , je tombe sur une annonce dans la rubrique coquine " femme cherche homme à tout faire etc.
Cela me trouble j y pense pendant 2 jours, puis après hésitation je réponds sans grand espoir. Ayant mis mon adresse et mon téléphone fixe j'envoie la. Dans les années 90 le téléphone n'existait pas il y avait les cabines publiques.
après quelques jours sur mon répondeur téléphonique un message y était. je l'écoute " suite annonce à tout faire veuillez me téléphoner tel jour à telle heure a ce numéro. Soyez ponctuel.
Le jour dit à l'heure je compose le numéro cela sonne puis une voix féminine me répond "oui c'est pour quoi" ma voix tremblante je balbutie " c'est au sujet de l'annonce homme à tout faire"
Bien Madame m'explique ce qu'elle cherche. Homme pouvant être libre chaque semaine de 12h à 18h pour bricolage, réparation, vaisselle, aspirateur, rangement et divers travaux simples.
Ça te convient.je réponds Oui Madame.
Donc tu vas te présenter mercredi à 12h juste pas de retard possible. tu auras une fleur 1 seule sur la table et tu m'attends dans ce bar des Eaux-Vives a Genève.
nous étions le jeudi donc 6 jours à attendre.
j'étais prit entre 2 feux le trac et la curiosité.
les jours se suivent le travail et mercredi arriva à 12h j' étais assis un café devant moi et une fleur une rose simple.
Tout d'un coup une dame se positionne devant moi et me dit " bonjour suis moi" je me lève et je la rattrape et marche à coté d'elle elle me regarde et me dit "je t'ai dis de me suivre pas de m'accompagner, marche à 3 mètres derrière moi"
nous arrivons devant un immeuble " ouvre moi la porte" elle entre je la suis se positionne devant l’ascenseur et attends que je lui ouvre la porte elle entre et me dit toi tu montes a pieds 2 étage la porte sera entrouverte tu entres et tu m'attendra après avoir fermé la porte de l'appartement.
je monte donc trouve la porte entrouverte, j'entre et refaire la porte et j'attends.
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Djibril nous loge dans deux petites maisons voisines. C’est très simple, on pourrait même dire spartiate. Enfin, plutôt Berbère. Une chambre avec un lit et une armoire, une douche, une grande cuisine qui sert de salle à manger, un évier, l’eau courante... et comble du luxe, l’électricité et un frigo.
A l’extérieur, il y a un petit jardin. Il fait noir car il n’y a que quelques lampes nues et la lune pour éclairer. Je distingue quand même des arbres et un barbecue... Josiane me dit :
— Si tu veux, Robert préparera le petit déjeuner pour 9 h.
— Volontiers et je dirai à Julien de l’aider.
— Les jumeaux sont... assez directifs avec leur père. Ils peuvent aussi donner des ordres à Julien??
— Pas de problème, il file doux. Il a un intérêt, sinon gare à ses fesses. Je dois souvent le punir.
— Oh oui, j’aimerais voir ça?!
Je la questionne au sujet des jumeaux. En fait, ils ont une forme bénigne du syndrome d’Asperger, une variété d’autisme qui cause un décalage dans les rapports sociaux, tout en ayant un QI de 140. C’est vrai que par moment, on dirait que le son et l’image ne sont pas synchrones... C’est comme ça que je le ressens. Ils méprisent ouvertement leur père.
Djibril a fait préparer des sandwichs dans la maison de Josiane, qui est plus grande. On mange tous ensemble, Djibril, Josiane, moi, les jumeaux... Julien et Robert doivent attendre qu’on ait fini et ils mangent ce qui reste, y compris les croûtes, les épluchures. C’est symbolique, vous voyez?!
Quand on décide d’aller se coucher, j’embrasse Josiane et je m’approche des jumeaux. Ce matin, ils m’avaient donné la main de loin, mais depuis, ils m’ont beaucoup matée et j’ai bien compris que je leur plaisais... Leur belle-mère aussi, manifestement. Ils font une drôle de tête quand je les embrasse, mais ils me sourient. Ils s’apprivoisent petit à petit.
On va dans notre petite maison. Je dis à Julien :
— Demain, tu dois être chez Josiane à 8 h 30 pour aider Robert.
— Oui... Samia... euh...
— Quoi??
— Je peux t’embrasser??
Il est malade, l’autre?! Je le regarde et lui regarde ma chatte... Aaah, d’accord?! Je lui réponds :
— Oui... et lèche mon cul aussi, il chatouille depuis ce matin.
Je me mets à genoux, le visage sur l’oreiller et Julien se précipite sur mon trou du cul, la langue la première. Il est accro, non?? En tout cas, c’est agréable. Même très agréable... Il faut dire qu’il fait ça bien, il suce mon anus et arrive à y faire pénétrer sa langue... Ils sont faits pour s’entendre, mon cul et sa langue?! Je suis fatiguée, mais je glisse quand même la main entre mes cuisses pour me caresser tandis qu’il fait subir les derniers outrages à mon trou du cul. J’imagine différentes circonstances où je lui demanderais de faire ça... ce serait écoologique..... ooohhhh... c’est l’image qui me fait jouir... C’est bon... Maintenant il faut dormir, mais avant ça, je lui demande :
— Tu aimes ça, hein??
— Oui Samia.
— Moi aussi, on va le faire souvent. Maintenant, file dans ton panier.
C’est une image, mais il saute quand même du lit pour aller se coucher en boule sur sa couverture.
***
Julien me réveille à 8 h 45... J’ai bien dormi... il fait calme dans le désert. Enfin, dans le village. Il me dit :
— Bonjour Samia, le déjeuner sera prêt à 9 h.
Je redresse une jambe et il file sous le drap, coller sa bouche à ma chatte. J’aime le faire obéir sans avoir à prononcer un mot. C’est un peu juste comme toilette, alors je vais vite prendre une douche... froide et je me lave les dents. Étant brune et légèrement colorée, comme mes ancêtres qui venaient de l’Indus, je n’ai pas besoin de me maquiller.
Je descends déjeuner... Josiane est déjà à table avec les jumeaux. Je les embrasse. Ces garçons sont de plus en plus à l’aise avec moi. Robert fait le service et Julien attend les ordres. Dites, c’est pas un peu le monde à l’envers?? Ce sont les femmes qui servent les hommes depuis des siècles, non, des millénaires... Oui, mais pas ici... Enfin, jusqu’à ce que Djibril rapplique avec son cousin. Ils se ressemblent comme deux gouttes de Mahia (alcool de figue). À eux, je n’oserais pas demander de nous servir. Ils s’attablent avec nous pour boire un café. Je demande à Djibril :
— Ça ne vous choque pas de voir que ce sont les hommes qui nous servent??
Il réfléchit puis répond :
— Ce n'est pas du tout dans notre culture, mais de toute façon, ils ne sont pas enchaînés.
Un des jumeaux dit :
— On devrait le faire.
Ils rient tous les deux, nous aussi... pour leur faire plaisir. Ils sont spéciaux les Asperger?! Ils ont l’air de beaucoup aimer faire courir leur père. Ils sont même franchement désagréables avec lui, par exemple, je les entends dire : "Tu vas remuer ton gros cul?!" Avouez que c’est limite de la part d’un fils à son père. J’aurais sorti ça à mon paternel, il aurait fait en sorte que je ne puisse plus m’asseoir pendant une semaine.
Jusqu’à présent, tout se passe bien : Djibril est près de moi, le cousin près de Josiane, les jumeaux insultent leur père et les maris font les servantes?! Physiquement, les cousins se ressemblent, mais au point de vue du caractère : le cousin de Djibril est beaucoup plus effacé, introverti.
Dès qu’on a fini, Djibril nous dit :
— Nous devons y aller, vous ferez la vaisselle ce soir ou les maris.
Grand sourire sur le visage des jumeaux, mais de moi aussi, je dois dire.
Après être sortis, on va vers un vieux pick up. Djibril conduit, Josiane et moi, on s’assied à côté de lui, les quatre autres sont à l’arrière. Josiane me dit :
— On s’amuse bien ensemble... Je passerais volontiers tout le reste de mes vacances avec toi.
— Moi aussi, on le fera... Deal !
Je tends la main, mais elle approche ses lèvres de ma bouche. On se rate d’abord à cause des cahots et puis on s’embrasse. Ses lèvres sont douces, sa langue encore plus... C’est très agréable d’embrasser une fille. Djibril nous dit :
— Arrêtez, c’est dangereux de bander en conduisant.
Nos lèvres se séparent pour pouvoir rire.
On arrive sur le site de la cascade d’Ouzoud. Djibril gare le pick up. Notre destination est une cascade qui se trouve au fond d’une gorge, 100 mètres plus bas. On descend par un sentier assez raide et on arrive sur le site. La cascade est vraiment spectaculaire. Le point positif : c’est très beau. Les points négatifs : il y a beaucoup de monde et il fait tellement chaud qu’on est en sueur. Je demande à Djibril :
— On peut nager??
— Ici, non, mais on va aller un peu plus loin sur la rivière.
— Cool...
On admire le site, puis on va boire un Coca dans un petit café installé dans la gorge. On remonte et on reprend la voiture pour aller vers l’endroit que Djibril et son cousin connaissent. C’est au bord de l’oued El Abid, ce qui signifie littéralement "la rivière des esclaves". Un nom qui me plaît. Je fais remarquer à Josiane :
— Ça convient très bien aux maris.
Djibril répond :
— Non, ça convient mieux aux femmes.
Josiane et moi, on se regarde et je conclus en silence qu’effectivement, Djibril pourrait être le maître et nous ses esclaves. Il doit nous dépasser de 20 cm et peser 30 kg de plus. Et surtout, c’est un homme, lui, pas un jouet comme les deux autres.
Il arrête le pick up. On descend, Djibril nous annonce :
— On doit suivre ce sentier, mais c’est beaucoup moins long que pour la cascade.
Il se retourne vers son cousin et lui dit :
— C’est ici qu’on venait chercher des pointes de flèches et des perles en coquille d'œuf d’autruche, quand on était gamin. Tu te souviens??
Les jumeaux tournent la tête ensemble vers lui et lui en disant :
— C’est le néolithique du Sahara??
— Je ne sais pas, mais les pointes de flèches sont très belles.
— Vous croyez qu’il y en a encore??
— Oh oui, personne ne connaît cet endroit. Allez là, sur ce promontoire, vous verrez tout de suite des outils en pierre et des morceaux de coquilles d’œufs d'autruche. Ensuite, il suffit de suivre ce sentier pour nous rejoindre.
— D’accord, on y va.
Ils filent aussitôt. Je pense «?bien joué?!?»?parce que Djibril s’est sûrement dit que la baignade pourrait vite se transformer en parties de jambes en l’air. En 10 minutes, on est en bas, au bord de la rivière des esclaves. Il y a un bel endroit dégagé, entouré de joncs... Ce matin, Josiane m’a demandé si elle pouvait donner des ordres à mon mari. Bien sûr, les maris sont là pour obéir. Josiane dit à Julien et Robert :
— Vous gardez nos affaires et vous faites le guet. Si vous êtes sages, vous pourrez vous baigner après nous.
Là, ils ne sont plus d’accord du tout... mais non, je rigole?! On se déshabille. Les Maîtres : Djibril et son cousin, aussi (impossible de me souvenir du prénom du cousin). Ils sont grands, costauds et ils ont des sexes qui me mettent des langueurs entre les cuisses. D’autant plus qu’ils commencent à gonfler dès que les esclaves – Josiane et moi – se déshabillent. Il faut dire qu’on est canon, toutes les deux. On a dû leur coûter bon/bon, au marché aux esclaves. Moi, vous me connaissez. Je ne suis pas très grande, mais j’ai des seins en poires bien fermes, une taille fine, des fesses bombées et une chatte aussi lisse qu’un galet de l’oued El Abid. Josiane est un peu moins belle que moi : ses seins assez lourds ont un petit coup de fatigue, ses fesses un peu de cellulite. Je crois qu’ils ont reçu cette deuxième esclave en m’achetant, mais elle est quand même plus que comestible. Je mélangerais bien nos sueurs... hé oui, il fait plus de 35°. Je lui demande tout bas :
— Lequel tu prends??
— N’importe, ma chérie, on les échangera.
Djibril a entendu et il hausse la voix pour dire :
— Et depuis quand c’est les esclaves qui choisissent??
C’est sûrement pour rire... mais il me fait quand même un peu peur. Il ajoute :
— Toi (moi), viens ici?!
Je m’approche de lui... Il me prend par la taille et me colle à lui en disant :
— Tu es quoi??
— Votre esclave, Maître (euh... c’est pour rire que je dis ça, bien sûr).
Josiane et le cousin rigolent, Djibril aussi. Il me prend par la main en disant :
— Viens te baigner.
— Y a pas des crocodiles??
Ça y est, ils se remettent à rire, mais qu’est-ce que j’en sais, moi ! On entre dans l’eau, c’est agréable, elle est fraîche par rapport à la température extérieure. On joue, comme des hommes et des femmes, c’est-à-dire que les hommes nous taquinent... Et puis on se frôle... On a de l’eau jusqu’à mi-cuisses. Djibril me prend à nouveau contre lui, mais, de dos. Je sens sa bite contre mon derrière. Il me dit :
— J’aime tes fesses.
Moi, j’aime sa bite. Le cousin prend Josiane contre lui, de la même manière, et ils s’approchent. Djibril nous dit :
— Excitez-nous les filles.
À mon avis, ce n’est pas nécessaire, à sentir sa bite contre moi, mais je ne demande pas mieux. Les seins de Josiane se frottent aux miens, tandis que sa bouche cherche la mienne.
Derrière moi, le sexe de Djibril essaye de trouver le chemin du paradis, c’est-à-dire ma chatte. Il s’est baissé derrière moi pour y arriver et le cousin fait la même chose à Josiane. Ils sont très au point, les cousins?! J’ai l’impression qu’ils ont dû en tirer, des jolies Berbères, dans la rivière des esclaves... Enfin, les filles Berbères sont peut-être plus sérieuses que nous, alors disons des jolies touristes. Josiane et moi, on est jeunes, même très jeunes en ce qui me concerne, mais on a déjà vu le loup toutes les deux et plutôt deux fois qu’une. Parfois deux ou trois loups en même temps, d’ailleurs. On connaît la marche à suivre, on écarte les cuisses en se cambrant, genre nos terriers n’attendent que vous, Messires Loups. Tout en caressant mes seins, Josiane me dit :
— Putain, il est bien monté, le mien.
— Le mien aussi et il sait y faire.
Djibril me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Arrêtez de jacasser quand on vous baise, femelles?!
— Oui Maître, pardon.
Je dis ça pour rire... mais en même temps c’est excitant, deux chrétiennes avec leurs Maîtres Berbères.
Bon, les cousins accélèrent le rythme, Josiane et moi, on ne parle plus, on s’embrasse, on se caresse. Je gémis :
— Je vais jouiiir....
Djibril me donne une nouvelle claque sur les fesses en disant :
— Jouis en silence, esclave.
Il joue aussi, mais la claque et le mot esclave... Ça y est, je pars?!
— Aaaaaahhh oooouuiiiii?!
Mon vagin se serre et je sens que Djibril jouit aussi. On reste l’un dans l’autre, le temps que Josiane et le cousin nous imitent. Les hommes se retirent et je mets ma main en conque sur ma chatte en disant à Josiane :
— Nos maris vont nous lécher.
On va vers la rive, mais, oooh?! Il y a des voyeurs?! Les maris, c’est normal, mais il y a aussi les jumeaux qui sont redescendus silencieusement.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Patricia déverouilla avec peine les cadenas qui la retenaient encore prisonnière des chaînes, dénoua rageusement
le bâillon et se coucha en chien de fusil, la tête enfouie sous les draps. Elle tremblait toujours, mais de froid cette fois.
Tous ses muscles, raidis par la tension des menottes métalliques, lui faisaient mal. Elle aurait voulu remuer, se lever,
s'habiller. Tout effort lui semblait insurmontable. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un
orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses chaînes, elle se
sentait plus impuissante que lorsqu'elles l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se
mit à pleurer fénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasmes, et cela dura assez longtemps. Elle
dut dormir un peu. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la chambre était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller
tout à fait encore. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop
fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ?
Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un
tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle
tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Sarah. Patricia secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées.
Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Patricia avait beau
tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait et ne la lâchait plus. Sarah voulait l'offrir à une
amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en
donnant vie à ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué
qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle
cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la chambre. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte
s'entrouvit. Patricia distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Sarah mais elle n'était
pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière
la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance.
Patricia la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita
les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus
du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention à ne
pas en perdre le nectar. Patricia ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle.
Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa
Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa
plusieurs fois sa langue sur le sexe de Patricia, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites
lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas.
À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Patricia se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait
encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur
prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte.
Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles
lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Patricia, en retard sonna à la porte. Trop facile, pas
de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. Accueillie
dans la pénombre fraîche du salon par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, les " Trois Gymnopédies"
de Satie. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de hongrie, elle se déshabilla
lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts.
L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant
des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la
bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur
humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes.
Mes yeux se retournent vers ton sourire. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand
quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Patricia
ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres
que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt
par dessus la nuque passe le harnais en cuir; son corps supplie; toujours nue, de dos sur mes genoux; bientôt mes doigts,
à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont
frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue; les lèvres de ton sexe sur
la pulpe de mes doigts; ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets; mon souffle effleurant le profil
de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes; je
t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore; tu te débats, tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à
exposer son corps asséché de solitude; tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque
rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de
sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une
insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la
bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance.
Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements
de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel.
Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille
parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée.
Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et
blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant
de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse et fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meutrissaient hier.
Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle
semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus
que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme
suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie
était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne
forçait personne. Patricia fut éblouissante de félicité. Tel l'envol gracieux d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi,
elle s'abandonna sans pâlir, corps et âme, à la bouleversante incantation sacrée du rite célébré du plaisir des chairs.
Elle entendrait, encore une fois bientôt Sarah, étendue à coté d'elle, respirer dans la nuit.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Vous avez une envie de pimenter la soirée en dominant Monsieur mais voilà, vous ne savez pas par ou commencer et sans aller jusqu’aux extrêmes (BDSM) Voici quelques petits conseils. Introduction : Votre mari a-t-il des désirs cachés de soumission ? Une séance de domination est une période, plus ou moins longue, où votre mari devient votre serviteur corps et âme. Il doit oublier ses besoins et ses désirs pour se concentrer sur les vôtres. Il doit obéir sans discuter à vos ordres et si possible anticiper vos envies. Toute désobéissance doit être punie moralement ou physiquement. Votre soumis doit accepter sa punition comme une chose normale qui lui permet de progresser dans son rôle de soumis afin de mieux vous servir. Au début, les périodes ou votre mari acceptera d’être dominé seront sans doute limitées à l’acte sexuel. Le but étant de faire durée de plus en plus longtemps ces périodes. La chose la plus importante et de doser le dressage, selon l’humeur de votre mari. Si vous le sentez disponible à être dominé profitez-en pour avancer dans votre dressage, mais si vous le sentez, réfractaire, lâchez du leste… Vous ne transformerez jamais un homme en soumis sans son consentement. S’il montre des envies de se soumettre à vous Le plus facile est de commencer la période de soumission avant l’acte sexuel. Un mari excité est un mari obéissant ! Au fil du temps, vous arriverez à faire en sorte que votre mari ne jouisse pas pendant vos jeux sexuels. Vous pourrez ainsi très facilement faire durer les périodes de soumission en dehors de votre chambre à coucher. Votre mari sera soumis en permanence, pourvu que vous gériez bien sa libido et qu’il soit frustré sexuellement. Mais souvenez-vous que cela prendra sans doute beaucoup de temps pour en arriver là. Il y aura des progrès fulgurants et des périodes où il n’en fera qu’à sa tête, ne lâchez pas prise, relâchez simplement un peu votre domination pour la reprendre un peu plus tard. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/quand-madame-domine/
Voir également :
Soumettre un homme
Chasteté et contrôle d'orgasme
Candaulisme
BDSM en Couple
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Mon amant, Mon Maître m’a téléphoné hier soir. Rendez-vous est pris pour le lundi de la semaine prochaine chez lui à 20h. 8 jours à attendre. 8 jours privés de masturbation et tout acte sexuel. Avant chaque rendez-vous je passe un long moment en salle de bain. Rasage de près de mon sexe, mes bourses et l’intérieur de mes fesses. Je démonte le pommeau de douche afin d’introduire le flexible dans mon conduit anal et de bien le rincer. Éliminer toute trace d’excrément. J’enfile un jean’s propre sur ma peau nu. Une chemise et je pars chez lui. Arrivé au bas de sa résidence je sonne. La porte s’ouvre. je monte les 2 étages, me dirige vers la porte de son appartement. Elle est ouverte. Toujours le même rituel. Je rentre, me dirige sur la pièce de droite. Je me déshabille entièrement. Une première alerte. j’entends des voix provenant du salon. Il n’est pas tout seul. Une voix d’homme et une de femme. La peur et l’excitation. Il va m’offrir à des invités. Je me dirige vers le salon et en entrant je baisse la tête le regard vers le sol, les mains derrière le dos. Il y a 3 invités. Une femme et 2 hommes. D’une cinquantaine d’années. Du coin de l’oeil je les détaille. Elle est assez grande, mince, peu de poitrine, cheveux bruns et court. Les deux hommes grands costaud du genre rugbyman. Mon maître s’approche de moi et me fait tourner sur moi-même. Je suis inspecté des pieds à la tête. On m’oblige à me pencher pour écarter mes fesses et exhiber mon petit trou. La femme prend très vite les choses en main. Ou plutôt, elle prend mes testicules en main. M’oblige à me mettre à 4 pattes et commence une petite série de claques sur mes fesses tout en tirant sur mes bourses. Un des hommes retire sa ceinture et la donne à la femme. Elle remplace sa main par la ceinture. A chaque coup de ceinture, la brûlure devient difficile à supporter. Puis la douleur devient supportable. Mon esprit est concentré sur mon fessier en feu que je tends du mieux que je peux vers celle qui prend plaisir à m’humilier. Ayant la tête baissée à quelques centimètres du sol je suis surpris de sentir une main tirer sur mes cheveux pour redresser ma tête et me présenter un sexe bien raide devant la bouche. Sans réfléchir, j’ouvre grand la bouche pour y laisser glisser ce membre déjà dégoulinant de jus. Alors que le premier mâle s’active dans ma bouche, les coups de ceinture cessent. Je sens deux mains puissantes prendre mes fesses pour les écarter au maximum. Mon cul est exhibé. Je creuse les reins afin de le rendre plus disponible. La femme se penche sur ma rondelle et crache à plusieurs reprises pour bien l'humidifier. L'homme, derrière moi, doit se préparer pour me clouer sur son pieu. Puis, enfin, je le sens appuyer le gland de son dard sur mon petit trou. Il force. De mon côté je me cambre encore plus et pousse pour mieux l’aspirer avec mon cul. La queue qui coulisse tel un piston dans ma bouche me fait suffoquer à la limite de l’étouffement. Puis, je sens mon anus s’ouvrir. Je sens cette queue qui me semble énorme se glisser en moi. J’ai l’impression que sa verge va me déchirer tellement elle est grosse. Je perds la notion de temps. Incapable de savoir combien de temps dure l’assaut de ces deux butoirs, ces deux défonçoir. J’ai mal aux mâchoires à force de garder la bouche grande ouverte. Je sens mon cul complètement ouvert. Au son de celui-ci, je l’image trempe de ma mouille anale. Il doit avoir la queue bien mouillée. Puis je sens le membre se raidir dans ma bouche. Signal qui indique une jouissance proche. Il enfonce au maximum sa queue dans ma bouche et m’inonde de son foutre. J’ai du mal à déglutir. Je n’ai d’autre choix que d’avaler sa jouissance. Pendant ce temps-là, l’autre mâle me pistonne comme un animal pendant que la femme tire sur mes testicules qu’elle tient fermement d’une main et me claque sans répit mes fesses me traitant de grosse pute. Le premier mâle se retire de ma bouche que je garde ouverte dégoulinant de bave mélangée de sperme pour reprendre mon souffle. Le deuxième mâle voyant l’accès de mon avaloir libre se retire de mon cul et sans attendre se glisse entre mes lèvres. Très vite je sens le goût âcre de mon cul. Je me presse de tout aspirer. De bien lui nettoyer son membre. Il n’y a pas de doute. Il a un sexe énorme. Je ne peux avaler que 10 petits centimètres. Mes mâchoires ouvertes au maximum me font horriblement mal. Heureusement, il ne tarde pas à jouir. J’ai l’impression qu’il est plus généreux. J’avale une première fois, mais très vite je sens une nouvelle giclée cognée au fond de ma bouche m’empêchant de respirer. À moitié étouffé, je sens une partie de sa semence passer par les voies nasale. Les deux mâles s’étant soulagés copieusement, je m’affale sur le sol. À plat ventre, le cul en l’air. La femme caresse mon cul en me félicitant d’avoir su donner du plaisir à ces deux gros cochons. Mon Maître m’aide à me relever. Les jambes tremblantes et avec un peu de vertige il me raccompagne à la porte, m’aide à m’habiller et me met dehors. Je me retrouve dans la rue un peu perdu, le goût de sperme encore en bouche. Je sens mon cul encore ouvert et très humide. Je sens mon jus anal dégouliner à l’intérieur de mes cuisses. Je ne suis pas sûr de vouloir prendre une douche. J’aime sentir mon corps souillé, encore poisseux et chargé d’odeurs de sexe.
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Contrat de soumission BDSM
1. Lieu et durée :
Le soumis accepte de se soumettre complètement à sa Maîtresse. Il n'y aura aucune limite de lieu, de temps, ou de situation dans lesquelles le soumis puisse refuser d'obéir à un ordre de sa Maîtresse.
2. Plaisirs :
Le soumis accepte, aussitôt ce contrat signé, que son corps devienne la propriété totale et exclusive de sa Maîtresse, qui pourra en disposer comme bon lui semble. Cela signifie désormais que sa jouissance appartient à sa Maîtresse, que celle-ci pourra par conséquent lui interdire tout plaisir, ou au contraire fixer à sa guise ses rapports avec toute autre personne et l’offrir à toute autre personne. Lorsque la Maîtresse et son soumis se livreront à des attouchements, il va sans dire que le plaisir de sa Maîtresse prime sur le plaisir de son soumis, et que le seul plaisir de contenter sa Maîtresse pourrait suffire au plaisir du soumis.
3. Respect :
Le soumis parlera toujours de sa Maîtresse en des termes d'amour et de respect. Le soumis s'adressera toujours à elle en tant que " Maîtresse ou Madame…». En retour, la Maîtresse pourra appeler son soumis « petit soumis », ou autre surnom qui lui plaira sans que le soumis ne puisse s'en offusquer.
4. Sincérité :
le soumis répondra sans hésitation à toutes questions posées honnêtement et directement, par sa Maîtresse et il inclura toute information, même intime, afin que sa Maîtresse soit parfaitement informé de tout ce qui se passe dans la vie intime de son soumis. L’intimité du soumis appartient désormais à sa Maîtresse.
5. Plaintes et critiques :
La Maîtresse exige de son soumis, qu’il s'exprime honnêtement et spontanément sur tout ce qui la tracasse, le soumis ne pourra se plaindre ou critiquer sa Maîtresse qu'avec une infime précaution, beaucoup de respect, et toujours dans le souci de renforcer leur relation.
6. Apprentissage :
Le soumis recherchera, pendant la période de soumission, à plaire à sa Maîtresse et acceptera gracieusement toute critique de la part de sa Maîtresse, et ce peu importe la forme que celle-ci prendra, évidement ces critiques devront toujours être constructives et respecter les limites définies dans ce contrat.
II. Rôle de la Maîtresse :
Le soumis, qui accepte de devenir sa chose, son soumis, doit en retour pouvoir vivre sa relation avec sa Maîtresse en toute confiance, ce qui signifie que sa Maîtresse s'engage à respecter le contrat et à prendre soin de son soumis, s'assurer de sa sécurité et de son bien-être. La Maîtresse accepte donc de traiter le soumis comme il se doit, de le dresser, de le punir, de l'aimer, et de l'utiliser au gré de sa volonté, mais toujours dans le souci de : - lui procurer du plaisir, de satisfaire ses fantasmes, ses penchants, sa libido. - le dresser pour en faire un soumis parfait, c'est-à-dire docile et perver et une bonne pute. - le respecter, dans son intégrité physique et morale, sa vie familiale et professionnelle
III. Exigences de la Maîtresse :
1. Refus :
la Maîtresse ne permettra jamais certaines pratiques dans le cadre des relations qui le lie au soumis : la scatologie, toutes marques de sang. Toutes ces pratiques sont catégoriquement refusées par le soumis et marquent des limites à ne jamais franchir.
2. Supériorité :
la Maîtresse ne permettra jamais que le soumis ne soutienne en public des positions contraires aux siennes, ou ne défie son autorité, sous peine d'une très sévère punition. Le soumis reconnaît et accepte à l'avance la supériorité de sa Maîtresse, dans quelques domaines que ce soit.
3. Position et culotte :
la Maîtresse ne permettra pas à le soumisde croiser les jambes ni de fermer totalement les cuisses en sa présence ou devant son ordinateur lors de chat ou lors de prêts de la soumise à des tiers. Le soumis ne devra porter aucun sous-vêtement en présence de sa Maîtresse et lors des prêts ou utilisation du soumis par des tiers, et parfois même en son absence. Le but étant que les orrifices et le sexe de l'esclave soit disponible et accessible à toute caresse ou pénétrations diverses choisies par sa Maîtresse, quel que soit l'heure et le lieu et les tiers autorisés par celui-ci.
4. Politesse :
la Maîtresse exigera que le soumis inclus toujours le vouvoiement, le mot Maîtresse ou Madame dans ses réponses lorsqu'ils seront seuls, ou parmi d’autres dominants.
5. Internet :
la Maîtresse pourra déterminer le temps que le soumis passera sur Internet et y publier sur son blog ou des sites dédiés, les photos de son soumis dans toute tenue et positions. Les images de la soumise appartiennent à sa Maîtresse.
6. Dilatation anale :
la Maîtresse pourra dilater l'anus du soumis et y introduire tous les objets qu'il désirera, (doigts, godemichés, etc.) ou bien exiger du soumise qu’il le fasse lui-même lors de séances de domination virtuelle ou par lui-même.
7. Achats :
la Maîtresse pourra exiger que le soumis lui demande son avis pour acheter ou porter ses vêtements. La Maîtresse pourra décider des tenues vestimentaires que son soumis aura à porter. Les tenues vestimentaires en présence de la Maîtresse ou de prêt à des tiers devront être très explicites sur le statut du soumis.
8. Collier :
la Maîtresse pourra exiger que le soumis porte un collier en cuir discret, mais avec un petit anneau pour que la Maîtresse puisse y accrocher une laisse. Le soumis pourra néanmoins retirer son collier sur son lieu de travail et en famille.
9. Laisse :
la Maîtresse pourra si elle le désire obliger le soumis à se promener en laisse et ce, où il le désirera, En extérieur tant que cela ne porte pas préjudice à sa carrière, sa famille ou à sa réputation.
10. Demande de châtiment :
la Maîtresse pourra exiger du soumis que celui-ci demande spontanément matin et soir le châtiment de son dressage soit ; coups de fouet, badine, cravache, martinet, ceinture ou à la main.
11. Relations sexuelles :
la Maîtresse pourra si elle le désire, interdire toute relations sexuelles au soumis et ce pour une période que seul la Maîtresse déterminera. Le soumis ne pourra pas refuser de relation sexuelle avec toute personne qui lui sera présentée par la Maîtresse ni à l’occasion des prêts.
12. Prêt du soumis :
la Maîtresse pourra si elle le désire, donner, prêter le soumis à d'autres Maîtres ou Maîtresse, des connaissances et amis en qui elle a confiance. Le soumis pourra aussi être amenée à obéir ou à s'exhiber devant certains amis et complices de la Maîtresse en présence ou non de la Maîtresse.
13. Masturbations et frustrations :
la Maîtresse exige de son soumis qu’il se masturbe au moins deux fois par jour en pensant à Maîtresse mais sans se donner le plaisir libérateur. Le but étant de maintenir le soumis dans un état d'excitation permanent.
20. Clause de sauvegarde :
la Maîtresse s'engage à ne pas compromettre la vie de famille et professionnelle du soumis en révélant sa soumission à sa famille ou ses collègues, y compris par des actes ou des punitions qui trahiraient son statut de soumis.
IV. Punitions :
1. Justification :
Le soumis accepte de recevoir toute punition que sa Maîtresse décidera de lui administrer, qu’il l'ait mérité ou non.
2. Forme et intensité :
Le soumis accepte qu'une punition sévère puisse lui être administrée pour toute infraction à la lettre ou à l'esprit du présent contrat, et acceptera cette correction gracieusement. La forme et l'intensité de la punition seront laissées à la discrétion de la Maîtresse. Il pourra évidemment s'agir de châtiments corporels : fessée, cravache, martinet, badine... Mais aussi de punitions psychologiques, des contraintes, des obligations, des humiliations, des exhibitions...
3. Date et lieu :
la Maîtresse devra faire clairement savoir au soumis qu’il est puni et ce, quand la punition lui sera infligée : en sa présence immédiatement, ou ultérieurement lors d'un rendez-vous, dans le lieu et à l'heure qu’elle aura choisis.
4. Intensité :
la Maîtresse s'engage à ne causer aucune blessure corporelle au soumis tout comme il s'engage à ne pas la tatouer ou la percer. Néanmoins, le soumis s'engage à endurer toutes les punitions, que ce soit sur les fesses, les seins ou toute autre partie du corps que le Maître aura envie de martyriser. Si toute marque ou cicatrice sont proscrites, des fesses bien rouges ou des zébrures sur les fesses du soumis seront acceptées.
V. Règles de conduite au travail :
Aucune partie de ce contrat n'est prévue pour nuire à la carrière, à la famille ou à la réputation du soumise. La Maîtresse, souhaite que son soumis travaille fort et honnêtement et qu’il se conduise le plus normalement du monde. Pendant les heures de travail, le soumis aura la permission de s'habiller d'une manière appropriée, ce qui signifie sans excès ou provocation, et sa maitresse ne pourra exiger aucune exhibition ou acte à caractère sexuel sans le consentement de son soumis.
VI. Signature du soumis :
De son consentement libre et éclairé et par désir d'exprimer son amour et sa dévotion pour sa Maîtresse, il s'offre en soumis à sa Maîtresse. Malgré le fait qu’il se considère comme soumis à sa Maîtresse, l soumis s'engage à se dévouer complètement et totalement au plaisir et désirs de sa Maîtresse et ce sans aucune hésitation ou autre considération. Le soumis a lu et compris le présent contrat dans son entier. Le soumis accepte de remettre son corps et son âme à sa Maîtresse. Le soumis comprend qu’il sera façonné et dressé à servir en pute et en chienne et d’être puni en cas de désobéissance à sa Maîtresse ou lors de prêts et ce dans son meilleur intérêt et il promet de se consacrer à combler le moindre des désirs de sa Maîtresse. Je reste le soumis de ma Maîtresse sans limite de durée de façon irréversible. Je ne peux rompre ce contrat, seul ma Maîtresse peut le rompre. Note ajouté par la Team BDSM : Merci à francksoum33 de partager son contrat BDSM. Il constitue un excellent exemple de contrat d'appartenance. Ce contrat de soumission pourra servir de modèle aux membres de la communautés. A chacun d'adapter ce contrat pour en faire le modèle qui lui sera propre en fonction des ses pratiques (les contrats BDSM type pour un esclave peuvent être formuler différemment).
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Texte initialement écrit le 29 mai 2019
Ce texte est un avertissement sur les menteurs/queutards/voyeurs/mais surtout PN que l’on retrouve Un peu partout...
« C’est l’histoire d’une fille trop naïve, l’histoire d’une fille perdue, d’une fille qui faisait trop confiance aux autres.
Elle aurait dû comprendre à force de s’en prendre plein la tronche, mais non, elle avait toujours pas compris.
C’est l’histoire d’une fille tellement mal dans sa peau, qui se haïssait tellement, qu’elle faisait tout et absolument tout pour se faire détester.
Un jour de juin 2016, parce que son compagnon de l’époque lui avait demandé, elle est arrivée sur Ce site, ne sachant pas vraiment ce qu’elle allait y trouver.
Elle y a fait de superbes rencontres, d’autres, un peu moins.
Il y a eu le type qui vivait en couple, un Skype où il assurait pas et où il buvait vodka sur vodka pour se donner de la prestance.
Il y a eu les centaines de queutards qui attendaient leur casse-croûte si longtemps attendu. On demande une photo, puis deux, veux-tu ci ?
Veux tu ça ?
Il y a les queutards qui font croire qu’ils sont des doms, pour cela hop on se fait appeler Maître X, Monseigneur Machin truc. Sauf qu’ils n’ont ni le langage, ni la mentalité dom. On les repère assez facilement ils postent toujours des photos de cul, et n’ont Aucun respect pour les esclaves et soumises.
Pour eux, c’est juste de la chair fraîche facile à trouver.
La fille naïve a connu tout ça, et puis son côté rebelle/haine des hommes est revenue très vite. Elle s’est reforgée une armure plus indestructible que la précédente, et pour éloigner tout le monde est devenue plus insolente que jamais.
Elle s’est vite retrouvée isolée des uns et des autres, certains la soutenaient, d’autres au contraire s’en éloignaient.
Plus elle était détestée, plus son comportement allait dans son sens.
Et puis un jour est apparu un dom différent des autres.
Sûrement quelque part ce pseudo dom (car évidemment cela en était un, mais elle ne le saurait que beaucoup plus tard), avait senti une proie facile, avait senti la fille qu il allait pouvoir manipuler à sa guise.
Elle se sentait attirée par lui, même si physiquement ce n’était pas son type. Il jouait son rôle de séducteur auprès de ses ami(e)s, passant pour le sauveur de cette âme égarée.
Pourtant sa petite voix lui disait que ça n’allait pas le faire, a de nombreuses reprises. Elle n’a pas voulu l’écouter, continuant une relation qui allait fatalement l’entraîner dans la merde.
Il y eu malgré tout des hauts et des bas, elle était amoureuse, il l’avait accroché.
Son comportement puéril et irrationnel par moment aurait dû l’alerter, mais même pas. Ses amis disaient qu’il était ainsi, susceptible, et qu’il fallait laisser passer la crise.
Elle revenait toujours, s’excusant de choses qu’elle n’avait pas commises, déplorant son comportement inadapté alors qu’elle n’était fautive en rien. Elle s’écrasait de plus en plus, rampait littéralement à ses pieds.
Il avait gagné....
Elle était maintenant dévouée à lui et prête à accepter tout et n’importe quoi....
Elle lui présenta ses enfants, en leur disant qu’elle avait rencontré quelqu’un de bien, et que c’était l’homme de sa vie...
Ses enfants qui avaient des problèmes avec leur propre père le virent comme un sauveur...
Et lui en profitait, dénonçait le comportement de leur père (alors qu’il fera pire ensuite), disant que c’était un PN (et lui aussi)
Il avait dû sentir la bonne aubaine, la fille déprimée, pas jolie, pas sure d’elle, mais qui avait des gosses et qui allait récupérer de l’argent via un héritage. Certes pas beaucoup, mais 60 000€ cela ne se refuse pas.
Ses amis à elle lui disaient combien elle avait de la chance de rencontrer quelqu’un de bien comme lui, qu’elles étaient heureuses pour elle...
il y eu des envieuses pourtant, des situations incroyables aussi, ou soit-disant des soumises lui tournaient autour et cherchaient à nuire à leur couple.
Alors elle se mit en retrait, mis ses amis à elle de côté car elle n’avait plus confiance qu’en lui, et se retrouva de plus en plus isolée.
Il ne voulait pas non plus qu’elle voit trop sa famille parce qu’il jugeait sa mère à elle responsable de tout ce qui lui arrivait...
Ses enfants et elle emménagèrent chez lui, un petit appartement où ils se retrouvèrent tassés comme des sardines à 6 (car il avait des enfants) et les animaux.
Il différencia ses enfants à lui des siens, privilégiant ses enfants à elle par rapport aux siens. Et fatalement créant des tensions entre les enfants )ce qu’il voulait)
Par contre, elle ne trouvait pas sa place, en temps que soumise, en tant que compagne et potentiellement belle-mère.
Elle s’inscrivît dur des groupes traitant du bdsm avec son accord sans qu’il fut présent.
Bon nombre des membres de ces groupes eurent beau lui dire que c’était son devoir a lui de prendre soin d’elle, de lui expliquer comment se placer, la rassurer...
Il n’en faisait rien. Elle était devenue sa bonne (repas/ménage/repassage), la bonne de ses enfants, lever tôt pour rendre un appartement le plus propre possible et accessoirement son esclave sexuelle, car selon lui, sa condition de soumise faisait qu’elle n’avait pas le droit de dire non.
Elle se sentait piégée, elle avait quitté son compagnon pour lui, et la situation était pire.
Bientôt il y eu des propos qui auraient dû l’alerter...
« Tu ne vois pas tout ce que j’ai fait pour toi »
« Personne ne peut t’aimer comme je t’aime, je suis le seul à te respecter »
Elle se détestait encore plus, et continuait de grossir et de grossir...
Et sa libido déjà vacillante, s’éteignit complètement.
Elle n’avait plus envie de rien...
Il lui disait qu’elle était tout pour lui, que personne ne pouvait l’aimer comme elle l’aimait...
Il lui disait qu’ils s’achèteraient une maison, une grande maison qu’elle paiera avec son héritage, et qu’il partagerait la maison entre ses enfants à elle et les siens.
Elle ne tiqua même pas...
Et puis un jour de novembre où elle était chez ses parents, chose compliquée pour elle, il lui envoya des messages où il disait qu’elle n’aimait personne, qu’elle était un fake du bdsm, qu’elle ne devait jamais se refuser à lui, qu’elle avait quelqu’un d’autre, qu’elle avait profité de lui...
Il y eu une fêlure à ce moment là, c’est comme si le fait de lui avoir envoyé à la figure le fait qu’elle n’aimait personne (même pas ses enfants à elle selon lui), qui fit que du jour au lendemain elle n’était plus amoureuse.
Elle alla consulter quelqu’un parce qu’elle n’arrivait pas à se sortir du mal être où elle était.
Cette personne qu elle voit toujours, a du trouver les mots pour qu’elle puisse parallèlement faire le point sur sa situation...
Les bas succédèrent de plus en plus aux hauts moments.
Quand elle recherchait à ce qu’il lui rende confiance, tout ce qu’il était capable de dire c’est qu’elle était bonne au ménage et au repassage et à entretenir la maison.
Il sentait qu’elle lui échappait car elle lui a dit ne pas vouloir acheter une maison avec lui...
Adieu ses rêves de maison à lui, le statut social qu’il recherchait. Car ce n’est pas une compagne qu’il voulait, c’était essayer d’éduquer ses enfants à elle selon ses principes à lui, chose qu’il n’avait pas réussi avec les siens.
C’était une femme qui ferme sa gueule qu’il voulait, et le statut social qu’il pourrait avoir grâce à elle. Propriétaire...
Bientôt il lui dit qu’il regrettait son ex (qu’il continuait à voir en parallèle, mais cela elle ne le su que récemment)...
Qu’il avait perdu au change, qu’elle n’était pas à la hauteur, qu’elle n’avait pas le niveau.
Il disait d’elle et de ses enfants que c’était des cassos...
Il commença à frapper ses enfants à elle, à les dénigrer.
Et puis il l’a menaçait de rendre l’appartement, qu’elle dégage de sa vie, qu’elle n’avait rien fait pour lui, qu’elle avait profité...
Elle avait profité selon lui, sauf qu’elle avait payé bon nombre de meubles et d’électroménager, la déco de son appartement, des vêtements, qu’elle payait la moitié de son loyer, ou tout le Matos bdsm...
Et puis il a trouvé un nouveau travail , il a pris le melon, et elle qui stagnait dans le sien... il la rabaissait pratiquement quotidiennement, elle était pas assez si, pas assez ça.
Il avait fait le vide, dans la région elle ne connaissait personne et vu qu’il avait un caractère particulier il ne se mêlait pas aux autres non plus.
Elle était isolée, sans amis, sans famille, sans activités extérieures...
Dès qu’elle parlait à des amis il les dénigrait en disant que tout ce qu’ils voulaient c’était les séparer...
Il a piraté ses comptes fb, ses emails, accusé ses amies de lui avoir envoyé des copies d’écran par jalousie. Elle s’est encore plus isolée... et refermée...
Et puis il y a deux mois, il a décidé de partir du jour au lendemain, après qu’elle eut découvert qu’il partait en week-end avec une femme.
Il est retourné chez son ex...«
Le bilan de cette situation, est qu’il faut toujours écouter sa petite voix, surtout quand elle dit que ça va pas le faire.
Il faut écouter les autres aussi, quand une, dix, 30 personnes vous disent que le dom se doit de rassurer sa soumise, de l’accompagner au quotidien et non de la traiter de menteuse, de la rabaisser et de la prendre pour une boniche.
Écouter les avis des personnes expérimentées qui vous disent qu’un dom doit savoir gérer l’insolence de sa soumise autrement que par la manière forte.
« Il ne l’a jamais frappé, même si une séance fut plutôt mal vécue par elle.
Il y a eu de la violence psychologique, il y en a encore beaucoup...
Il y en a aussi sur ses enfants à elle...
Elle va partir bientôt, le quitter sans regret, mais avec amertume...
Car il l’a fout dehors en gardant bien sûr, ses meubles et ses affaires...
Elle n’a plus du tout confiance envers les hommes, qu’ils soient dom ou pas.
Et encore moins confiance dans le milieu bdsm.
Elle se reconstruit petit à petit, retrouve son indépendance,son énergie, se soigne et avance.«
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Avec L. on se connaissait depuis déjà presque 10 ans. Nous avions discuté à l’époque sur un tchat quand ma femme et moi recherchions comme beaucoup de couples, une femme bi pour s’essayer au triolisme et à plus long terme, au libertinage. Disons-le de suite, le libertinage nous a plutôt fait fuir qu’autre chose et L. n’est resté qu’un de mes contacts internet avec qui je discutais de tout de rien, mais de sexe ouvertement sans aucun complexe.
Elle passait régulièrement à la maison et nous parlions de sexe dans la bonne humeur et le bon humour, et de plein de choses. Ce matin là, elle était venue boire un thé et enchaîna sur une relation qu’elle venait d’avoir avec un mec durant une soirée. On en rigolait. La discussion allait bon train quand elle glissa qu’elle s’ennuyait, car, les mecs qu’elle rencontrait manquaient d’originalités, d’idées, d’initiatives… Je lui disais qu’effectivement, il est rare de trouver celui ou celle avec qui on peut se laisser aller à des jeux sensuels et autres. Que c’était ainsi.
– Tu vois, toi, tu as plein d’idées et de trucs fous en tête ! Me sortit-elle d’un coup.
Il y eut un blanc qui me sembla durer une heure.
– Oui…balbutiais-je sans savoir quoi dire sur le moment.
Pourquoi avait-elle sorti ça comme ça ?
– J’aimerai bien trouver quelqu’un qui est des idées un peu folles de jeux, de situations, de défis comme tu en as toi. Continua-t-elle.
– Tous les mecs ont des idées un peu folles. Il faut juste ouvertement de parler du sujet pour que ça se débloque en fait…je pense. Lui dis-je en voulant en savoir plus sur cette phrase qu’elle avait lancée.
– Je ne suis pas sûre. La plupart trouvent ça un peu « chiant » de jouer. Je le sens.
– Essaye de trouver un mec pour jouer. Avais-je lancé pour la pousser dans sa réflexion.
– J’ai essayé. En général ils jouent, mais…
– Mais… ?
– Ce n’est pas comme les trucs que tu écris. Il n’y a pas ce côté un peu…
– Un peu… ? Finis tes phrases s’il te plaît !
– Beh…un peu pervers, mais pas dans le sens négatif hein ?
– Non, mais, je comprends ce que tu veux dire. Je prends ça comme un compliment cela dit.
Un autre petit blanc s’installe.
Tu n’as qu’à les laisser lire les idées du site…après tout, mes idées sont dessus et ça peut les aider à jouer.
L. connaissait mon site d’où ses réflexions sur mes idées de jeux et autres.
– Oui, mais ils vont copier tes idées tu vois ? Ça peut être sympa, mais quelque part, c’est TES idées !
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/defis-en-cascade-part-i/
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Quand on parle d’exhibition, on imagine souvent le mec un peu pervers la queue à la main qui essaye d’attirer la fille à se montrer afin qu’il arrive à prendre son plaisir. L’image semble vulgaire, perverse et je l’avais aussi jusqu’au jour ou je me suis retrouvé être à la place du mec.
C’était un soir où j’étais seul face à mon écran toujours en train de fouiner sur internet pour je ne sais quelle chose quand mon MSN Messenger (oui à l’époque) se mit à sonner.
C’était « C ». Son homme était absent pour le boulot depuis deux jours. Cela faisait maintenant 3 ans que nous discutions ensemble. Pas en secret, son homme discutait aussi avec moi. C’était un couple libertin et très ouvert, mais nous étions toujours restées correctes comme des amis.
« C » était tout à fait le genre de femme qui me faisait et me fait encore fantasmer. Grande, fine Eurasienne avec donc les cheveux longs, fins et noirs. Elle avait (et à encore !) un corps parfait.
J’aimais bien quand nous prenions le temps de discuter de tout, de rien, de sexe aussi, car elle était très libérée. On plaisantait dessus et elle me racontait ses expériences libertines. C’était coquin sans jamais aller au-delà.
Je décrochais l’appel vidéo comme toujours. C’était toujours plaisant de la voir. Il devait être 22h30 à peu près. Nous parlions toujours tard. Ce soir-là, j’étais seul moi aussi sans pour autant me rappeler la raison. Elle me gratifie d’un salut avec un grand sourire comme à son habitude. Nous n’avions rien de particulier à faire à ce moment-là et nous profitions donc longuement de la soirée pour discuter et plaisanter. Elle était en chemisier blanc. Je ne voyais que le haut forcément dans ce type de visio.
Je ne sais pas pourquoi à ce moment-là elle me dit être excitée. Je l’ai pris sous le ton de l’humour, mais j’ai surenchéri en lui disant que si elle voulait se faire plaisir, ça ne me dérangeait pas. Les conversations très ouvertes sur le sexe dont nous parlions l’avaient sans doute amené à cela. J’étais moi-même un peu rêveur, il était tard, sans doute la fatigue jouait aussi.
– En fait, je ne t’ai pas attendu me réponds elle.
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/initiation-a-lexhibition/
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Cela fait 3 jours qu’il fait chaud sur Paris.
Et la température ne baisse pas durant la nuit.
Même si ce n’est pas seulement du fait de la canicule.
Comme chaque matin, je me suis réveillée avant toi.
Ça ne me gêne pas, au contraire.
J’aime contempler ton corps endormi, ton sexe au repos.
J’ai pris ma douche sans faire de bruit, eau tiède d’abord, avant de baisser la température jusqu’à ce qu’elle soit froide, presque glacée.
Puis, encore ruisselante, je suis venue me coller à toi,
me réchauffer à la chaleur de ton corps,
excitée de sentir encore sur toi les effluves de nos ébats de la nuit.
J’aime l’odeur de ton corps, le goût de ta sueur,
embrasser, renifler, lécher tes aisselles.
Je me suis allongée nue sur toi pour te rafraîchir de mon corps,
parcourant le tien de ma bouche, de ma langue,
sentant ta queue durcir sous mes caresses.
Ce n’est qu’après avoir longtemps profité de toi
que je t’ai pris en bouche pour te sucer lentement,
jusqu’à ce que ton foutre gicle,
me remplisse et que je te boive jusqu’à la dernière goutte.
Puis je suis revenue m’allonger à tes côtés,
la chatte encore humide de mon désir pour toi,
comblée du plaisir que je t’ai donné,
reconnaissante de celui que j’ai reçu de toi.
La journée sera encore chaude, mais belle grâce à toi.
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Margot est une des quatre femmes du Commandeur de classe D, qui commande l''Agamemnon et l'exploration du système planétaire U354 à plus de soixante années lumières de la Terre. Ce qui distingue les Commandeurs et leurs femmes, toujours au nombre de quatre, c'est la taille de leur cerveau. Il a fallu loger dedans toutes sortes de connexions et interfaces, sans compter les ajouts de mémoires et intelligences artificielles, et même avec des ultras nano technologies, il a fallu pousser un peu les parois du crane. Les commandeurs et leurs femmes ne font plus l'amour physique, ils pratiquent une sexualité très sophistiquée, purement par ondes mentales, sans aucun contact charnel. Il parait que c'est le must absolu. Pour ma part, je n'ai pas envie d'essayer, j'ai besoin du contact avec les chattes bien humides.
Le commandeur est venu faire une inspection à notre base de Khe sanh, je l'ai appelée ainsi parce que nous sommes entourés d'énormes prédateurs qui rôdent la nuit sur la planète Monstra. Il veut se rendre compte par lui même de l'excellent travail réalisé par le sergent chef Ramirez, avec l'espèce la plus évoluée de cette planète, de grosses crevettes absolument horribles selon nos critères de beauté, mais fort attachantes, et pleine d'humour. Grâce au sergent chef Ramirez, nous sommes devenus presque des amis de ces aliens, et ce, même si le QI de ces crevettes géantes dépasse rarement le 100.
Le sergent chef Ramirez fait de nombreux exposés au Commandeur. Elle explique le langage amusant des monstriens, c'est ainsi que nous avons appelé ces crevettes. Les mâles utilisent très peu de mots, dont presque tous, sont en apparence des insultes fort grossières et obscènes. Cela fait penser aux Marseillais avec des "putain con" ou des "con putain con" dans toutes les phrases et même sans phrases. De là à penser que nos chers marseillais ont des QI de crevettes...je blague. Les monstriens eux, c'est gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée....et avec cela, ils se comprennent très bien. Les femelles crevettes n'utilisent pas les insultes, jamais! Elles sifflent , façon de dire, cause toujours tu m'intéresses. L'étude Ramirez a montré des dons artistiques incroyables chez ces crevettes. Donnez trois cailloux à un enfant monstrien, il va en faire une oeuvre d'art avec un talent qui frise chaque fois le génie. Cela se retrouve partout dans leur culture. C'est aussi une forme de langage, plus complexe et subtile. les jeux amoureux reposent beaucoup sur les capacités de créations. Pour séduire il faut offrir une belle oeuvre, peu importe la forme et les matériaux utilisés. Le sergent chef Ramirez reçoit beaucoup de cadeaux fort jolis de la part des crevettes mâles. Allez savoir pourquoi?
J'ai été surpris que le Commandeur me propose un échange de femelles, le sergent chef Ramirez contre Margot, une de ses quatre femmes. J'ai bien évidement accepté. J'adore les échanges.
Le soir venu sur Monstra, nous avons dégusté le repas du soir préparé et servi par des crevettes géantes, invitées sur notre base, où nous avons beaucoup ri et surtout très bien mangé, la cuisine des crevettes est exceptionnelle de finesse et de saveurs. Là aussi ce sont des artistes. Le Commandeur a fait un signe au sergent Chef Ramirez qui ne s'est pas faite prier pour le suivre, passant bien devant moi et tortillant à l’exprès son cul de rêve et en jouant bien à la conne, comme elle sait que j'aime. Les crevettes mâles n'ont pas pu s'empêcher de dire: gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée...et là encore Ramirez, toute sourire a ondulé sa croupe. Et c'est reparti de plus belle: gros cul, salope, pétasse, pouffiasse, enculée..J'ai du débrancher le traducteur. Pour ma part j'ai pris par la main la superbe Margot pour la conduire vers mon logement près de la serre. Une main très douce et chaude. De très agréables vibrations. Le Commandeur et ses quatre femmes cachent leur masse crânienne beaucoup plus imposante sous de longs cheveux.
Dans ma chambre Margot m'a demandé si je voulais essayer le sexe sans contact physique. J'ai presque hurlé:
-Non, mais ça va pas! je vais d'abord bien te troncher par tous les trous et te remplir de sperme, après, on verra pour les expériences.
Je mes suis éclaté avec Margot et son corps de bombe sexuelle. Une belle salope avec des airs de sainte ni-touche, première de la classe. Je l'ai violée et re-violée, on a joué à cela pour commencer. Margot s'est retrouvée, vêtements déchirés, attachée, fessée hard, orifices ouverts de force et remplis de sperme. Au bout d'un moment, bien pinée et perforée de partout, elle a commencé à gémir, puis à bien se cambrer et à être secouée de spasmes, de plus en plus violents, de plus en plus fréquents. Elle a fini par partir en fontaine, à ruisseler les grandes eaux. Elle me pisse carrément dessus, cette belle salope, ne peut plus rien retenir.
-Ben toi ma Margot, quand tu lâches prise, tu lâches prise !
-C'est trop bon, j'adore être violée, prise de force, sodomisée , fessée.
Nous nous sommes reposés un peu, nous avons bu un verre et j'ai fait goûter à Margot un calumet spécial avec des herbes choisies et savamment mélangées par les crevettes. Un truc de ouf ! Un démonte pneu cérébral ! Cela sent très bon et l'envie de baiser revient aussitôt, brutale, avec une érection d'une vigueur incroyable. En voyant mon pieu dressé, Margot a remis cela:
-Voulez vous , Mon Maître, essayer le sexe sans contact.
-Ok, mais si cela ne me va pas, tu seras bien corrigée.
A peine ai-je dit cela que Margot m'a envahit de ses ondes cérébrales qui toutes puent le sexe le plus cochon qui soit. Je sent la sève qui monte, monte. Je vais exploser lorsque Margot stoppe l'orgasme, me laisse souffler un peu puis remet cela. Au bout de la dixième montée, j'en peux vraiment plus. Je me dis dans ma tête: "si cette salope de Margot m'arrête encore, je l'étrangle ! ". Elle a du entendre mes pensées car cette fois j'ai explosé un orgasme d'un violence inouïe. Je tombe dans les pommes tellement c'est fort. Lorsque je me suis reveillé, j'ai estimé que Margot méritait une bonne raclée pour m'avoir trop bien fait jouir. Je l'ai solidement attachée et baillonnée et elle a dérouillé à coup de ma grosse ceinture militaire en cuir épais. Son cul a vite été rouge feu. Et comme cela l'a fait jouir, elle a ruisselé de nouveau, lâché les écluses. Je me suis régalé à l'obliger à tout nettoyer à quatre pattes, bien ouverte et cambrée.
La nuit ne fait que commencer. Dans les habitations à coté, les râles du sergent chef Ramirez secouent presque la base. Ses orgasmes sont comme des ondes telluriques qui parcourent le sol et vont se perdre je ne sais où, très loin, dans les vastes plaines. Le Commandeur est sans doute un cérébral pur, on ne l'entend pas. Mais sur Monstra, les terriens baisent et ne se privent de rien.
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Voilà, c'est la fin de cette petite série de fictions sur fond de science fiction. J'espère qu'elles vous auront détendus. A ne jamais prendre au sérieux. C'est par plaisir d'écrire. Prenez soin de vous.
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Caroline vînt se placer derrière moi. Ses mains caressant mon cul, jouant à écarter mes globes, s’égarant sur ma queue tendue pour quelques rapides va-et-vient. Elle prenait son temps, savourait sa prise de possession à venir.
-Hmmmm j’adore cet instant. Déflorer un petit cul quasi vierge, cela me grise ma lope. Je vais te baiser, t’ouvrir, te dilater. Je vais t’apprendre à jouir par le cul, ma chienne. Je vais te faire aimer la sodo tu vas voir. Ennia, va te mettre devant lui, et branle toi un peu pour l’exciter. Même si visiblement il n’en a pas besoin. La petite pute bande comme un âne !.
Ennia s’installa dans le fauteuil qui me faisait face. Une jambe passée sur chaque accoudoir, j’avais la plus belle vue qui soit sur sa chatte humide où elle faisait déjà courir ses doigts. Elle se releva, rapprocha le fauteuil et me murmura en plantant ses yeux dans les miens :
– Regarde moi… ne lâche pas mon regard. J’ai envie de vivre ta première sodomie dans tes yeux s’il te plaît. Offre moi cela mon coeur….
Elle reprit sa position. Sa chatte trempée à 20 cm de mon visage. Elle m’avait appelé « mon coeur ». Et je sentais une vague d’amour pur me submerger. Comment pouvais-je ressentir cela, maintenant, nu, à quatre pattes sur une table basse, le cul graissé de lubrifiant, un énorme god s’apprêtant à me baiser ? Je ne maîtrisais plus rien et certainement pas mes émotions. Je plantais mon regard dans celui d’Ennia lorsque Maîtresse Caroline posa son gros gland sur mon anneau.
-Pousse bien ma lope, tu vas le prendre. En douceur, parce que c’est ta première fois. Profites en, je ne serai pas toujours aussi arrangeante. J’aime baiser mes petites putes sans ménagement. Allez, pousse bien, ouvre toi pour moi ».
Maîtresse saisit mes hanches et accentua sa pression. Je sentis ma résistance s’effacer et le gland me pénétrer. Je criai sous la douleur. Je me sentais ouvert, sûr que j’étais déchiré, que je saignais déjà. J’avais le souffle court. Seule l’intensité du regard d’Ennia me permettait de tenir. Maîtresse Caroline poursuivit sa possession, millimètre par millimètre.
-Hmmmm tu as passé le plus dur ma pute. Je t’ai ouvert. Oh putain que j’aime ça…. baiser un mec. Je crois que c’est le truc qui me fait le plus mouiller au monde. Allez ma chienne… doucement…. tu vois, je coulisse déjà mieux. Tu t’assouplis bien.
Je haletais, gémissais, mes yeux embués de larmes. J’avais mal, mais je ne voulais pas renoncer. J’avais attendu, espéré ce moment depuis si longtemps. Je l’avais rêvé tant de fois. Et je ne pouvais imaginer un meilleur scénario, de meilleures conditions pour perdre mon pucelage. Intérieurement, je remerciais Caroline, Ennia, le ciel et l’enfer. Je remerciais le monde entier de me permettre de vivre cela. Maîtresse Caroline faisait de lents et courts va-et-vient. Elle avait raison, la douleur s’éloignait un peu et je sentais le god coulisser plus facilement. Doucement, elle pénétrait à chaque fois un peu plus profondément. Ses mains caressaient mes fesses, mes hanches. Je me surprenais à tendre mon cul vers ce pieu qui me fourrait, à aller au devant de lui. Et Maîtresse Caroline appréciait.
-Hmmm mais c’est que tu aimes ça !! Je le savais, tu es une lope à queue. Bonne à te faire enculer par de belles tiges bien dures. Tu aimes… regarde, tu viens t’enculer toi même ! Une vraie salope en chaleur. Allez… je suis presque à fond. Viens…. pousse encore un peu !.
Elle me motivait par quelques claques bien sonores sur mes globes. Je gémissais, et je me sentais totalement parti. J’étais ailleurs. Je n’étais plus moi même, ou alors si, j’ETAIS moi même. Je me faisais baiser, sans aucune retenue. Ce ne sont pas des gémissements de douleurs qui sortaient de ma bouche. Enfin plus tout à fait, et de moins en moins. Le plaisir, plus cérébral que physique en cet instant, gagnait du terrain. Maîtresse le sentait, le savait. Elle en jouait, me possédait. J’étais heureux de pouvoir offrir la victoire à Caroline, heureux de ce que je lisais dans le regard d’Ennia. Elle me souriait, elle aussi avait les yeux embués. Elle me confiera plus tard que mon dépucelage l’avait bouleversée. Que l’émotion que j’avais vécue était si intense qu’elle la ressentait elle aussi à travers mes yeux.
-Hmmm ma chienne, je te baise bien. Tu es bien ouvert. Allez, cambre toi mieux que ça ma pute. Offre toi à ta Maîtresse.
Caroline me baisait avec plus d’ardeur. Elle se retirait totalement (j’avais alors l’impression d’avoir le cul béant) et s’enfonçait à nouveau avec de moins en moins de douceur. Je gémissais sans discontinuer, oscillant entre douleur et un plaisir physique qui s’alliait de plus en plus à mon plaisir cérébral. Les claques pleuvaient sur mon cul, pas vraiment douloureuses, et je faisais de mon mieux pour m’offrir à ma Maîtresse. Son god me fourrait complètement. Caroline glissa ses mains sous mon torse et attrapa mes tétons. Elle pinça et m’attira à elle, redressant mon buste tout en étirant et faisant rouler mes pointes entre ses doigts. J’adorais cette caresse. Et je laissais échapper un vrai gémissement de plaisir. Maîtresse Caroline m’amenait peu à peu vers la jouissance, en baisant mon cul !!!
– La chienne, tu arrêtes de te branler et tu viens sucer sa queue. On va le faire bien jouir. Allez la lope, laisse toi aller, apprécie de te faire enculer et montre moi que tu aimes ça !!!.
Ennia tomba à genoux et enfourna ma queue tendue dans sa bouche. Ce contact brûlant manqua de me faire gicler. Maîtresse Caroline me baisait de plus en plus fort, sans lâcher mes tétons qu’elle torturait entre ses doigts. La langue d’Ennia, ses doigts qui me masturbaient, caressaient mes couilles, sa bouche qui allait et venait au rythme du god-ceinture qui me fourrait.. tout cela me fit exploser dans un long cri de plaisir et je me vidais sur la langue de ma déesse rousse. Un orgasme ravageur, d’une intensité que je n’avais encore jamais connu. Maîtresse se retira de mon cul et je tombais sur la moquette. Ennia vient se coucher sur moi, et lentement colla sa bouche pleine de mon sperme sur la mienne pour un long jeu de langue, un baiser d’une tendresse inouïe.
– J’ai joui, j’ai joui en même temps que toi, sans avoir besoin de me toucher. Quand tu as déchargé, quand tu as crié, ce que j’ai ressenti était si fort, que je suis partie complètement. Tu sais, je crois que je…. »
Je l’interrompis dans un souffle… murmurant à mon tour, mes yeux plongés dans les siens :
– Chuuuttt…. je t’en supplie… ne le dis pas… pas maintenant. Moi aussi. Mais je n’ai pas la force de l’entendre, s’il te plaît Ennia….
Et je fondis en larme. Un flot de larmes que je ne pouvais arrêter. Je n’avais jamais pleuré comme cela. C’était comme si toute mes frustrations, mes interrogations, mes inquiétudes… tout ce poids que j’avais traîné depuis tant d’années s’évacuait. Je me libérais et cela faisait si mal. Ennia me serrait dans ses bras, caressait mes cheveux, me murmurait des paroles apaisantes. Sa chaleur me faisait du bien et je savais que je pouvais me laisser aller. Il FALLAIT que je me laisse aller. Que je meurs, pour mieux renaître, ici et maintenant.
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– Tu sais, ça m’excite vraiment de voir un mec se faire dominer par un autre mec. J’adore regarder ce genre de vidéos. Avec toi, je vais pouvoir avoir ça en vrai ! Un bon suceur, un bouffeur de queue qui se fera bien dilater le cul. Je vais te choisir des amants hors normes ma pute. Je vais me régaler. Rien que d’y penser je mouille ! Mais comme je suis une bonne Maîtresse, je vais te préparer t’inquiète pas ma pute. Tu vas voir, je suis très gentille en fait.
Je restai dans ma position, à genoux, yeux baissés. Les mots de Maîtresse Caroline m’avaient fait débander. Je ne m’imaginais absolument pas offert à des gays dominants qui feraient de moi leur lope. Mais je savais aussi que je n’avais pas vraiment les moyens de négocier avec Caroline.
-Ennia, ma salope en chaleur, va chercher de quoi travailler ma nouvelle lope. Il va falloir qu’on la prépare. J’ai vraiment envie de réaliser mon fantasme, et pas dans trois mois.
Ennia disparut à la salle de bains et revînt rapidement avec un plateau qu’elle déposa sur le guéridon, à côté de Caroline. Je n’osai lever les yeux pour regarder mais j’imaginais sans peine qu’elle allait vouloir assouplir mon cul. Je ne lui avais pas dit que c’était là un des mes fantasmes les plus intenses. Je me sentais profondément hétéro. Les hommes ne m’avaient jamais attiré. Au contraire. Mais je voulais découvrir le plaisir anal avec une femme, me faire prendre par un god ceinture. Si possible celui de ma Maîtresse. J’en avais vraiment envie, et je me mis à rebander immédiatement. Maîtresse Caroline le remarqua.
– On fait sa mijaurée mais quand je parle de te fourrer le cul tu bandes bien dur ma lope. Tu vois que tu en as envie. Tu vas aimer. Mais pas autant que moi !.
Elle pris un collier, large, noir, et me le passa autour du cou. Elle y attacha une laisse et me tira brutalement.
– Allez la lope, en position. A quatre pattes sur la table basse.
Je n’avais pas vu qu’elle avait aussi empoigné sa cravache.
– Tu es une pute à baiser maintenant, alors offre toi bien. Cambres toi mieux que cela sale chienne.
Ma dominatrice perverse ponctua son ordre d’un coup de cravache sur mes fesses. Je laissai échapper un cri, plus de surprise que de douleur.
– Je t’ai à peine touché. Tu te fous de moi ou quoi ? Cinq coups, pour t’apprendre à la fermer. Compte et remercie moi.
-Schlaaack. Un, merci Maîtresse Caroline.
-Schlaaack. Deux. Merci Maîtresse Caroline.
-Schlaaack Trois. Merci Maîtresse Caroline.
-Schlaaack Cinq. Merci Maîtresse
-C’EST MAITRESSE CAROLINE PETITE PUTE DEBILE. Tu viens d’en gagner un sixième !
Et elle frappa plus fort. J’étouffais tant bien que mal un cri de douleur. J’avais l’impression d’avoir le cul en feu, et je savais qu’elle avait frappé moins fort que tout à l’heure, avec Ennia. Elle avait vraiment du souffrir le martyr. Je n’aimais pas la cravache, et j’avais mal.
– La salope, prépare le. Et mets la dose. Je suis énervée maintenant. J’ai besoin de me calmer. Tant pis pour lui ! Tu as 5 minutes, je reviens.
Je sentis les doigts d’Ennia se poser sur mon anus. Ma seconde Maîtresse me caressait doucement, étalant un liquide froid que je savais être du lubrifiant. Elle me pénétra d’un doigt, le faisant coulisser. J’adorais cette sensation, pour l’avoir souvent expérimenté par moi-même.
– Détends toi…. je vais te dilater un peu plus.
Elle enfonça un deuxième doigt. J’essayais de me cambrer au maximum, et de bien lui offrir mon trou. Je venais même à la rencontre de ses doigts, pour lui signifier qu’elle pouvait y aller. Elle se retira et remplaça ses doigts par une canule fixée sur la bouteille de lubrifiant. Elle m’en injecta une bonne dose puis repris son massage anal, en ajoutant un troisième doigt, plus difficilement.
-Tu es étroit je trouve, tu as vraiment besoin d’être assoupli, sinon tu vas morfler. Tu sais, je n’ai jamais enculé un mec, mais c’est mon fantasme. Maîtresse m’a promis qu’elle me permettrait de te baiser, un jour prochain.
Baisé par ma déesse rousse. L’idée d’appartenir à Ennia me fit bander instantanément. Et je me mis à rêver, sans plus aucune retenue, l’imaginant avec un god ceinture énorme, la suppliant de me baiser, de faire de moi sa femelle. L’appelant mon amour, ma chérie. Je tombais amoureux d’elle. Et cette évidence me bouleversait. Je vivais. J’exaltais. Je brûlais de ce feu auquel je ne pensais pas me réchauffer à nouveau. J’avais 20 ans, et j’étais emporté par cet élan de liberté et de sentiments. J’avais besoin d’elle. Besoin de la sentir, de pouvoir la regarder, de son sourire, de son corps. J’étais accro. Dès la première prise. Pire qu’un pipe de crack. Et si pour avoir ma dose, je devais devenir la pute, la chienne de Maîtresse Caroline et accepter d’aller loin, très loin dans la soumission aux désirs de ma Maîtresse, j’en acceptais par avance les conséquences.
Servir Caroline était la concrétisation de mes fantasmes. Aimer Ennia et pouvoir vivre cet amour était bien au delà. J’étais sans doute fou de penser tout cela. Caroline devait m’avoir drogué pour que je délire à ce point. J’étais un homme marié, un père de famille, et je redevenais un ado transi d’amour pour une déesse aux cheveux rouges. Je ne savais plus rien. Je ne savais qu’une chose. Alors que les doigts d’Ennia me fouillaient le cul, j’étais en transe et j’en voulais plus.
-Alors, ma lope est prête ?.
Caroline revenait. Plus sublime dominatrice encore que dans mes rêves les plus érotiques. Corset de latex, longs gants, cuissardes aux talons aiguilles vertigineux. Une créature surgit d’internet où pullulent les Maîtresses aux physiques parfaits, dignes de l’objectif de Christophe Mourthé. Elle était belle, attirante, et la plus excitante femme qui soit au monde. Du moins à mes yeux et en cet instant. Mon désir de me soumettre atteignait son apogée.
(NDLA: Le désir sexuel, au risque de déplaire à nombre de Maîtresses et de paraître d’un égoïsme typiquement masculin, a toujours alimenté mon désir de soumission. J’ai besoin de désirer une femme pour me donner à elle et pour la servir. Ce désir physique est indispensable pour moi, même s’il est aussi, et je le sais parfaitement, ma plus grande faiblesse. En le maîtrisant, une femme dominatrice possède le moyen le plus sûr de s’assurer mon obéissance. Sans ce désir, je ne suis qu’un gentleman, respectueux des femmes. Mais si une Maîtresse me séduit, si elle sait jouer de mon désir, alors je deviens le plus dévoué des esclaves.)
-Hmmm tu n’y es pas allée de main morte ma chienne. Tu l’as gavé de lubrifiant. On dirait qu’il mouille de la chatte. Tu as peur que je lui fasse mal ou quoi ?.
En prononçant ses derniers mots, Maîtresse Caroline posa la pointe d’un plug sur mon anneau et poussa d’un coup. Je laissai échapper un bref gémissement, de surprise plus que de douleur. Caroline avait du utiliser le plus petit de ses plugs et je n’avais pas souffert. Etonnée par la facilité avec laquelle elle m’avait pénétré. Sans doute les doigts de ma déesse rousse m’avaient-il bien préparé, avec la douceur qu’elle me témoignera toujours lorsque nous serons ensemble, et ce encore aujourd’hui.
-Et bien ma pute…. on dirait que ton cul est fait pour ça. Tu es étroit mais très souple…. on va essayer avec un plus gros calibre. Regarde !
Maîtresse Caroline me présentait un plug beaucoup plus gros. Conique et d’un noir luisant.
-Il fait 5 cm à sa base. Celui-là, tu vas le sentir passer.
Elle pesa d’abord doucement sur ma rondelle. M’ouvrant petit à petit. Il était effectivement beaucoup plus large, et même si j’étais bien graissé, la dilatation devint rapidement douloureuse.
-Pousse ma chienne… je suis sûre que tu peux le prendre.
Maîtresse Caroline appuya plus fort et mon anneau céda, m’arrachant un cri de douleur, aussitôt ponctué d’une claque sur mon cul.
– Chuuuut ma lope. Tu souffres en silence ou je te corrige à la cravache. Tu es bien rempli. On va le laisser un peu en place, que tu t’habitues. Je veux que tu te dilates au plug chaque jour. Je te donnerai un programme d’entrainement, progressif. Je veux que ma lope soit bien ouverte, et toujours prête à se faire enculer. La truie, passe moi mon god-ceinture. C’est pas le tout de lui entraîner le cul, il faut aussi entraîner sa bouche et sa langue, si je veux en faire un bon suceur de queue.
Ennia aida Maîtresse Caroline à passer un très beau god-ceinture noir. Je le trouvais énorme, avec un gros gland, et des veines saillantes. Un magnifique objet, et aussi effrayant. Elle le présenta à ma bouche.
– Allez ma lope, sors ta langue et montre moi ce que tu sais faire. Toi, ma petite salope, continue à lui travailler le cul avec le plug.
Je tirais ma langue et commençais à lécher le gland, doucement, à petits coups. Je l’enfonçais entre mes lèvres, léchai à nouveau, en pensant à la façon dont moi j’aimerais être sucé. Je pensais bien faire, mais ce n’était pas du goût de Maîtresse Caroline. Elle arracha le god à mes lèvres et me gifla.
-Trainée, tu suces comme une godiche. T’as vraiment besoin d’être dressée ma lope. Tu ne penses pas faire jouir un mec comme ça quand même ? Allez… appliques toi, et regarde moi dans les yeux. C’est MA queue que tu suces. Donne moi du plaisir, excite moi, montre moi que tu es une vraie chienne en chaleur qui aime la queue.
J’étais vexé. Et j’avais honte de l’être. Je ne suçais pas bien aux dires de ma Maîtresse, et même si imaginer sucer une vraie queue me dégoûtait, j’étais pourtant vexé de ne pas y arriver. Il faudrait que je réfléchisse à ce sentiment, plus tard. Pour l’heure je repris ma fellation, essayant au mieux de satisfaire les désirs de Maîtresse Caroline. Aspirant, suçant le gland, léchant les couilles, l’enfonçant le plus profond possible entre mes lèvres, à la limite du haut-le-coeur, accélérant, ou au contraire ralentissant, très lentement, juste en léchant le gland. Et je regardai Maîtresse dans les yeux. Cette situation m’excitait. Je me sentais humilié mais j’aimais ce sentiment d’humiliation, que Maîtresse Caroline me transforme en suceuse me faisait bander comme un âne. Les sensations du plug dans mon cul n’y étaient pas étrangères bien sûr. Mais regarder Maîtresse Caroline, avoir l’impression qu’elle ressentait vraiment les caresses de ma langue, de ma bouche sur son god-ceinture, cela me transportait, ailleurs. Quelque chose d’intense passait par nos regards soudés. Je ressentais toute la force de ma Maîtresse. Tout son désir aussi. Je m’en nourrissais. Caroline avait peut-être raison. J’étais une pute à queues qui s’ignorait, une chienne qui aimerait sucer et se faire baiser aussi.
-Allez, débouche son cul. Tu l’as assez préparé. A mon tour de bien l’enculer.
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La séance de nettoyage dura longtemps. J’eus droit à trois lavements, administrés par Ennia. Elle prit soin ensuite de me doucher, longuement. Ses mains savonneuses sur mon corps me firent retrouver une certaine vigueur, et la belle rousse ne se privait pas de quelques va et vient sur ma queue de nouveau bandée. Elle termina en épilant soigneusement ma raie culière et ponctua :
-Maîtresse adore une raie bien lisse. Et je crois qu’elle te réserve une belle surprise pendant ton dressage. Enfin, peut-être pas pour tout de suite… mais je t’avoue que j’ai hâte de voir ça.
Je plongeai mon regard dans le sien et elle se rapprocha jusqu’à presser son corps contre le mien. Nous venions de baiser comme des fous, mais nous avions visiblement encore envie l’un de l’autre. Elle posa sa bouche sur la mienne, et nous échangeâmes un long baiser profond pendant lequel elle empoigna ma queue et me masturba très lentement. J’étais sur un nuage. Caroline avait raison. Ennia me faisait fantasmer depuis le début de l’année et jamais je n’aurais pensé vivre ces moments avec elle. Elle se recula un peu, me tenant toujours par la queue.
– Tu as entendu ce qu’a dit Maîtresse Caroline. Je suis sa soumise, mais je suis aussi ta supérieure, et tu me dois respect et obéissance. Je sais que je te plais, beaucoup même. Tu me plais aussi, et j’espère avoir souvent l’occasion d’abuser de toi. A genoux ma chienne. Lèche moi un peu…
Je lui obéis immédiatement, trop content de la goûter encore. Ennia debout, un pied sur le rebord de la baignoire, moi à genoux sur le carrelage, j’enfouis mon visage entre ses cuisses ouvertes et je la dégustai très lentement. C’est dans cette position que Maîtresse Caroline nous surpris :
– Mais vous êtes obsédés ou quoi ? La lope, debout, au milieu du salon, mais sur la tête, immédiatement. Quant à toi, ma chienne, en position, sur le fauteuil !!!.
Caroline n’avait pas crié. Nul besoin. Sa voix dure et autoritaire suffisait à nous faire obéir. Je pris la pose ordonnée, et Ennia s’installa, le ventre sur le dossier du fauteuil de cuir, cuisses écartées, cul offert. Maîtresse Caroline s’approcha très lentement.
– D’habitude, je te punis sans t’attacher. Mais là, entre tes cris de chienne obscène de tout à l’heure, et le fait que tu te fasses lécher comme un truie sans mon autorisation, je crois que tu mérites une vraie correction, qu’en penses tu ma chienne ?
– Comme vous voulez Maîtresse Caroline. Je suis votre chienne, punissez moi, je le mérite.
Caroline prit plusieurs cordes et lia Ennia au fauteuil, comme sur un cheval d’arçons, avant de lui poser un bâillon boule. Ennia me faisait face et je pouvais lire une certaine appréhension dans son regard. La situation m’excitait terriblement. Je n’avais jamais assisté à une punition, en réel. Je me contentais de vidéos trouvées sur le net.
-Tu as le droit de crier ma chienne. Tu vas te retenir comme d’habitude, mais je vais te faire craquer tu vas voir.
Le premier coup de cravache tomba. Le corps d’Ennia se tendit dans ses liens, et la douleur et la surprise emplirent ses yeux. Un deuxième lui arracha un bref gémissement. Caroline frappait fort. Le bruit, la vision d’Ennia attachée et de Caroline maniant la cravache, mon érection devenait incontrôlable. J’aimais ce que je voyais, ce que je ressentais. Et je remerciais en silence Caroline de m’offrir la concrétisation de mes fantasmes. Trois, quatre, cinq… Ennia gémissait à chaque coup. De plus en plus fort. Je ne voyais pas ses fesses, sans doute marquées sérieusement par la cravache vu l’intensité des coups. Mais je voyais son visage. Six, sept, huit, neuf…. Au dixième, elle hurla et rua dans ses liens. Les larmes coulaient et son visage était défait. Elle avait lutté, mais elle craquait. Maîtresse Caroline avait gagné. Onze, douze, treize, quatorze…. Ennia criait sans discontinuer, à moitié étouffée par son bâillon. Caroline prenait son temps. Aucun coup ne s’abattait au même rythme. Elle ménageait le suspens. Caressait la peau du bout de sa cravache, ou le passait entre les cuisses d’Ennia, pour venir tapoter sa chatte. Ennia s’apaisait un peu et Caroline frappait à nouveau, provoquant un autre hurlement de sa soumise. Je souffrais pour elle, et je croisais les doigts de ne jamais subir une telle punition. La douleur me faisait peur. Quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf…..
-Je vais te passer l’envie de te faire baiser comme la dernière des salopes. Ton cul va te chauffer demain, en cours.
Le vingtième s’abattit,le baillon étouffant un dernier hurlement. Ennia, le visage ravagé, semblait irradier la douleur. Et moi je bandais encore plus fort, fasciné par la scène qui venait de se dérouler sous mes yeux. Caroline posa la cravache et plaqua sa main sur la chatte de sa soumise.
– Mais c’est qu’elle mouille cette chienne !!! Je te corrige et toi tu dégoulines. Tu es vraiment une pute en chaleur. Tu ne penses qu’à cela…. La prochaine fois, c’est ta chatte que je vais travailler. Ça te fera peut-être passer l’envie !.
Caroline n’avait pas retiré sa main. Et je la devinais aller et venir sur les lèvres d’Ennia. Sans doute avait-elle enfoncé ses doigts pour la branler plus profondément. Je voyais le poignet de Caroline bouger d’un bon rythme, et Ennia gémissait de plus en plus fort.
– Hmmmm laisse toi aller ma chienne, tu as bien enduré la cravache, je vais t’accorder une petite récompense express. Tu as 1 minute pour jouir. Pas une seconde de plus.
Caroline accéléra encore le rythme de ses doigts. Ennia soufflait, criait à travers son bâillon, et elle jouit rapidement, en un nouveau hurlement. De plaisir cette fois. Son visage, bien que marqué par la correction, rayonnait. Elle semblait totalement ailleurs.
Caroline retira sa main et me regarda.
– A genoux la lope. Puisque tu aimes tellement le goût de sa chatte, viens nettoyer mes doigts.
Je me précipitai aux pieds de Caroline, et pris soin de bien lécher et sucer chacun des doigts qu’elle présentait à ma bouche.
-Hmmm c’est que tu aimes vraiment ça dis donc…. Tu as besoin d’un bon dressage. Je vais t’entraîner encore un peu, et je pourrai peut-être louer tes services de lécheur. Tu ferais des passes et tu lécherais des chattes pour me ramener un peu de fric, comme une vraie pute. Peut-être même que tu aimes aussi sucer des queues ? Hein ? Tu as déjà sucé une queue ma petite lope ?
-Non Maîtresse Caroline, jamais Maîtresse Caroline. Cela me dégoûte.
-Ca te dégoute ?!!! Parce que tu crois que c’est toi qui décides ? Tu te rappelles des vidéos ? Du directeur ?
Je ne savais plus ou me mettre. Je sentais que je rougissais, et l’idée même de sucer la queue d’un homme me révulsait vraiment.
-Je vous en supplie Maîtresse Caroline, pas ça. Je ne pourrai pas !
La gifle fut immédiate.
– Tu parles si je t’autorise, sale pute. Tu suceras des queues si j’en ai envie. Je fais faire de toi une vraie lope, qui réclamera du foutre et des queue dures pour lui défoncer le cul !.
Les mots de Caroline m’avaient ramené brutalement à la réalité de ma nouvelle condition. Je n’avais pas d’autre choix que de lui obéir. Même si le jeu allait trop loin à mon goût, elle avait les moyens de me contraindre à ce qu’elle désirait. Si elle voulait que je suce des queues, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir y échapper.
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– Vous êtes vraiment deux chiennes en chaleur… vous ne pensez qu’à baiser, de vraies putes.
Caroline avait troqué son téléphone contre une cravache noire et fine, avec laquelle, elle caressait nonchalamment le divin postérieur d’Ennia, avant de la faire claquer sur sa peau.
– Debout sale chienne… tu me dégoûtes, une vraie traînée, tu seras punie pour ta jouissance, tu n’as pas pensé une seule fois à ta Maîtresse quand tu te faisais baiser comme une truie, je l’ai vu. Crois-moi tu vas prendre. TU ES A MOI ET A MOI SEULE, TU NE PENSES QU’A MOI, TU NE JOUIS QUE POUR MOI. Dégage de ma vue, va te laver, tu pues le foutre !.
Caroline avait hurlé, visiblement dans une colère noire dont je ne savais si elle était feinte ou non. En tous cas, la trace de la cravache se voyait parfaitement sur la peau blanche du cul d’Ennia. Pour ma part, j’étais toujours allongé par terre, la queue pendante, et je ne me sentais vraiment pas à mon avantage. Je n’avais qu’une envie, me tirer. Mais je me doutais que Caroline avait d’autres projets pour moi. Elle s’approcha et posa directement son pied sur ma queue, appuyant assez pour m’arracher un gémissement, sans réellement me faire mal.
-Désormais tu es à moi. Tu as accepté mon offrande, cette pute d’Ennia, donc tu as accepté de devenir mon soumis. C’était le deal. Et j’ai tout filmé, et tout sauvegardé déjà. Je ne te conseille pas d’essayer de te défiler, je ne pense pas que le directeur apprécie de te voir baiser une de tes élèves….
-Caroline, je ne..
-Maîtresse Caroline rectifia t-elle en appuyant un peu plus fort sur ma queue. Tu m’appartiens désormais. Ne l’oublie pas. C’est Maîtresse Caroline chaque fois que tu t’adresses à moi. Et tu ne parles que si tu y as été invité, est-ce que je suis assez claire ma petite lope ?
– Oui Maîtresse Caroline, très claire.
Je ne savais plus quoi penser. Je vivais ce que j’avais tant désiré, rêvé, fantasmé depuis des années. Mais j’avais peur. Peur de tout ce que cela pouvait bouleverser dans ma vie. Peur de perdre ce que j’avais, mais si tenté par ce que j’avais à gagner, à savoir une somptueuse Maîtresse et la possibilité d’être enfin ce que j’étais au fond de moi, un soumis, un homme désirant obéir et servir sa divinité. Caroline retira son pied, et recula pour s’asseoir dans un fauteuil, face à moi.
-Approche la lope. Vous voir baiser comme des porcs ça m’a excitée. Viens, montre moi ce que tu sais faire avec ta langue. J’ai envie de jouir. Et tu as intérêt à t’appliquer. Je ne supporte pas les mauvais lécheurs.
Je m’approchai à quatre pattes, les yeux rivés sur la plus sublime vision du monde, le sexe de celle qui était maintenant ma Maîtresse. Lisse, humide, simplement beau. J’aimais profondément lécher une femme, et j’espérais que Caroline aimerait mon savoir-faire. Je commençai doucement à embrasser et donner des petits coups de langue sur le pourtour de sa vulve, mais Caroline empoigna mes cheveux et colla ma bouche sur ses lèvres.
– Je t’ai ordonné de me bouffer la chatte petite merde, pas de me déguster du bout des lèvres. Lèche moi, et fais moi jouir.
Je lui obéis, faisant de mon mieux pour lécher, enfoncer ma langue le plus profond possible, aspirer son clitoris entre mes lèvres, lécher encore. Elle maintenait sa prise et je n’existais plus que par ma langue. Elle appréciait visiblement mon travail, haletait de plus en plus fort, et m’exhortait à continuer, sans m’arrêter. De sa cravache elle venait de temps en temps claquer mon cul, légèrement, en me traitant de tous les noms. Je sentais son plaisir monter, et je me concentrais sur son clitoris, jusqu’à ce qu’elle jouisse en criant et en m’abreuvant de son nectar. Elle repoussa mon visage, et je restai à genoux, cuisses écartées, mains dans le dos, à la regarder reprendre ses esprits.
-Pas trop mal, mais il va falloir que je t’apprenne ce que j’aime. Tu vas devenir un parfait chien lécheur que je pourrai prêter à mes amies.
-Merci Maîtresse Caroline.
La réponse fut fulgurante. Une gifle sonore et assez douloureuse que je ne vis pas venir.
-Je t’ai autorisé à parler sale pute ? Dis moi, t’ai-je demandé une réponse ? T’ai-je demandé de ponctuer ?
-Non Maîtresse Caroline. Je vous demande pardon Maîtresse Caroline, cela ne se reproduira plus Maîtresse Caroline.
-Tu as vraiment besoin d’être dressé. Je vais prendre mon pied, tu n’as pas idée de ce que je vais t’apprendre ma chienne.
Ennia était de retour. Vêtue seulement de bracelets de force, aux chevilles et aux poignets, et d’un collier large et noir. Elle vint se mettre à genoux aux pieds de sa Maîtresse. Caroline se pencha et saisit la pointe d’un sein de sa soumise.
-Regarde ma petite lope, regarde bien ma soumise et le résultat de mon dressage. Elle est maintenant capable de la fermer quand il faut. Même pas un gémissement.
En disant cela, elle étirait et tordait la pointe entre ses doigts. Je regardais Ennia se raidir, mais elle encaissait. Caroline joua près d’une minute à torturer cette pointe. Le visage d’Ennia se crispait. Je voyais sa mâchoire se serrer, et une larme perler. Elle souffrait, mais en silence.
-Tu vois, elle endure, mais elle ferme sa gueule, comme je lui ai appris. Toi aussi tu vas apprendre, apprendre à te taire et à souffrir crois-moi. Sinon tu souffriras encore plus. Il n’y a que comme ça que ça rentre dans la tête des lopes comme toi. En force ! dit-elle en riant. Maintenant, tu vas aller à ton tour te nettoyer. Tu sens la chatte à plein nez. Ma chienne, accompagne le, et veille à bien le laver en profondeur.
J’avais l’impression que Caroline avait ponctué ses derniers mots d’un clin d’oeil à Ennia. Je n’en étais pas sûr, mais je n’étais pas tranquille quant à ce qui m’attendait à la salle de bains.
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Tu cherchais à devenir soumise, je voulais prendre la position du dominant, c’est ainsi que nous nous sommes rencontrés. Nous avons lentement mais surement intégré nos rôles respectifs. De discussions neutres de prises de connaissance, nous avons lentement glissé vers des discussions BDSM. Plus je parlais avec toi et plus tu me plaisais. Mais pour que la relation à venir, te choisir était loin d’être suffisant. Je te voulais entièrement dévouée et pour cela, je me devais d’attendre que tu me choisisses et que tu décides de ton sort. Pour provoquer ce moment, je paradais afin de faire monter l’envie en toi. Mes mots étaient savamment choisis pour évoquer sans dire. Chaque échange voyait évoluer notre relation dans la direction tant attendue. Après avoir pris le temps d’y réfléchir comme il se doit, tu t’étais décidé, tu voulais être ma soumise. Tu ne savais pas encore totalement tout ce que cela impliquait, mais tu savais que je t’y amènerais progressivement et avec douceur. Cette étape était symboliquement importante, mais en pratique rien n’a changé subitement. Nous continuions à échanger sur nos vies, et je continuais à en apprendre un peu plus sur toi chaque jour. Tu n’avais jamais été soumise, mais je n’avais jamais été maître non plus. Je n’avais pas en tête de te laisser beaucoup de liberté pour nos rencontres à venir, il me fallait donc te connaître au mieux pour savoir satisfaire tes envies et tes besoins.
Après quelque temps à discuter par messages, nous commencions à bien nous connaître. Tu avais glissé dans une conversation la possibilité de nous rencontrer. Cette rencontre à venir nous l’avions déjà évoquée, mais jusqu’à maintenant il était encore trop tôt. Aujourd’hui il était temps de franchir ce cap. Nous étions tout deux disponibles le weekend prochain, ce qui fixa la date simplement, la grande question était où ? Je voulais que tu te se sentes confortable pour ta première soumission et je te laissais donc le choix. Tu me proposas de m’accueillir chez toi. J’étais surpris de la confiance que tu me portais, mais je savais que notre communication t’avait rassurée. Cette première rencontre allait donc enfin avoir lieu. J’étais mélangé entre une grande euphorie et la pression de cette première fois. Je défilais tout ce que j’allais pouvoir faire dès vendredi puis me concentrait sur ce qui était raisonnable. Je voulais que tu saches que j’étais aussi bien là pour t’utiliser que pour te protéger.
Ce vendredi nous avions encore discuté pendant la journée et avions fixé les derniers préparatifs. À 18h30, tu te mis donc en place comme convenu. Dans le salon, à genoux, les mains derrière le dos et les yeux bandés. Tu avais laissé la porte ouverte pour que je puisse entrer quand je voulais. Tu savais que tu allais devoir attendre, car je n’arriverais pas avant 19h. Je n’avais aucun doute sur le fait que tes pensées fusaient, et cette demi-heure d’attente était là pour cela. Avais-tu raison de te lancer dans cette entreprise ? Allais-tu faire marche arrière ? Toutes ces questions se posaient, mais je t’avais rassuré sur un point, c’est que je te respecterais aussi bien pour la soumise que tu t’apprêtes à être que pour la femme que tu es. La porte s’ouvrit et ces questions s’effacèrent rapidement pour se concentrer sur mes mouvements. Qu’avais-je prévu pour toi ? Tu allais bientôt le découvrir.
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Patricia n'avait pas très mal; chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles
fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses
et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs,
entrecoupés de sanglots. Sarah, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent
plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla.
Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Patricia crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Sarah s'accroupit près des épaules
de Patricia et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée.
Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins.
Patricia laissa couler quelques larmes. Alors Sarah arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens,
mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit.
Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Sarah posa ses
lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de
sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda
à la jouissance. Sarah dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et
ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité
même. Penchée au-dessus d'elle, Sarah tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur
sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux.
Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait
l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Sarah pour y échapper, quand il était
terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse
ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire.
Patricia ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme
pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation.
De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues,
être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne
la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Sur ce canapé de cuir, la main de Caroline, mon étudiante dominatrice, sur ma cuisse, Ennia face à moi, j’étais simplement tétanisé. Je ne pouvais détacher mon regard de la créature sexuelle qui s’exhibait face à moi. Je ne pouvais pas non plus ignorer la main de la plus excitante de mes étudiantes remontant vers ma queue déjà tendue. Ma réflexion était anesthésiée par l’afflux massif d’hormones, de fantasmes, d’interdits entre un professeur et ses élèves… La bouche de Caroline s’était rapprochée de mon oreille et c’est sa voix qui me ramena parmi elles : – Je te vois la regarder, depuis le début de l’année. Je sais qu’elle t’excite, et tu dois sûrement te branler en l’imaginant. Cette petite chienne est ma soumise, depuis 6 mois. Elle m’appartient. Je te l’offre. A une condition. J’avais retrouvé un semblant de réflexion et je savais que si j’avais encore une chance de partir, c’était maintenant. Si je ne voulais pas mettre ma carrière de professeur en danger, et sans doute mon couple et ma famille, je devais me lever et partir. Maintenant. -Laquelle ? m’entendis-je répondre. Je te l’offre si tu t’offres à moi. Elle t’excite mais moi, c’est toi qui m’excite. Je te veux. Tu vas devenir ma pute mâle, mon soumis, mon objet sexuel. Je suis une Dominatrice, et je te veux. Je ne pense qu’à cela depuis que je t’ai vu. Je veux te dresser et je vais te dresser. Sa main était remontée se poser sur ma queue, accentuant si il en était encore besoin mon érection. Caroline affermit sa prise, serrant plus fort à travers mon pantalon de costume. Cette divine manipulatrice me masturbait, très lentement, alors que mon regard ne quittait pas Ennia des yeux. – Ma chienne, excite le un peu… montre lui ce que tu as à lui offrir…. fais moi honneur ma petite pute, allez !. Ennia obéissait sans rechigner. Elle avait fait glisser sa jupe à ses pieds, apparaissant en dim-up, sexe nu, avec son petit haut transparent qui ne cachait rien de ses seins. Elle commença à onduler en se rapprochant. Une danse qui me fascinait et me faisait bander plus fort sous les doigts de Caroline. -Allez ma pute…. caresse toi pour ton professeur. Montre lui que tu es une vraie chienne en chaleur. Ennia faisait glisser ses mains sur son corps. Pinçant et étirant ses pointes à travers le voile, caressant ses lèvres, cuisses écartées, se tournant pour prendre ses globes à pleines mains, les écarter et m’offrir une vue directe sur son sillon, son oeillet mauve et sa chatte que je devinais trempée. Caroline avait extrait ma queue de mon pantalon et je sentais ses doigts chaud me serrer, de plus en plus fort, ce qui me fit gémir. J’aimais ça. Elle devait l’avoir deviné, je ne voyais pas d’autre explication. Elle devait savoir que je ne protesterais pas, que je resterais, que je me soumettrais parce que je rêvais de cela. Ennia serait le cadeau qui scellerait le pacte, mon pacte avec une diablesse. Oui, elle l’avait certainement senti, et je me foutais de savoir par quel super pouvoir elle m’avait eu. J’étais un homme, et avec ma queue bandée entre ses doigts, elle me dirigeait. Je percevais toute ma misérable condition de mâle dominé par ses pulsions, par son envie de sexe, par sa queue. Un pauvre mâle qui ne pensait qu’à cela, le cul, les culs. Un mâle qui ne pensait qu’à baiser. Elle allait devenir ma drogue et ma dealeuse. Elle l’était déjà du reste, et elle le savait. Je fixais les doigt d’Ennia qui branlaient sa chatte et j’entendis à peine la voix de Caroline lui ordonner d’approcher et de les porter à ma bouche. – Goûte sa chatte, lèche son miel. Tu vois comme elle est déjà trempée…. tu vas la baiser, pas tous les trous. Tu vas l’enculer, baiser sa chatte, tu vas la bouffer, la sucer, et vas enfoncer ta queue dans sa bouche… tu vas voir comme elle suce bien, une vraie pro. Tu vas jouir comme un dingue. Après cela, tu seras à moi, et ton dressage commencera. Ta queue de mâle en rut sera à moi, et elle ne jouira plus que quand je t’en donnerai l’autorisation. Ennia continue à te branler, ne t’arrête pas, il a adore ça. Nous on va adorer quand il devra se branler pour nous. Ennia est ma chienne, mais c’est une femme. Quand toi tu seras ma chose, ma pute mâle, elle deviendra aussi ta Maitresse. Bien que soumise, elle est supérieure à tous les mâles, tous ces chiens qui ne pensent qu’avec leur queue, comme toi. Sa voix était devenue dure. Elle serraient plus fort ses doigts sur ma queue et je commençais à souffrir sérieusement. J’apprendrai plus tard que cette douleur n’était rien, et que je connaîtrai bien pire. Mais pour l’heure, j’avais mal, mais j’aimais ça et elle le savait. Caroline me fit me lever en me tirant par la queue. – Déshabille toi…. et baise cette pute, baise la autant que tu veux, elle est à toi, tant que je l’ordonne. Je ne réfléchissais plus. Pilote automatique. Désir de baiser. Chatte, cul, seins, son goût sur ma langue, l’odeur de sa liqueur, sa langue dans ma bouche, la mienne dans sa chatte, entre ses fesses sur son anneau, ma queue dans sa bouche, dans son cul, ses doigts dans le mien, ses seins sous mes mains, sa bouche soudée à la mienne pendant que je m’enfonçe dans son ventre. Je suis une machine, une queue, plus rien qu’une queue qui baise, s’enfonce, ressort s’enfonce encore et ailleurs. Frénésie, folie sexuelle. Ennia me semble atteinte elle aussi. Nous ne sommes que cris, gémissements, mots crus, peaux luisantes de sueur, bras et jambes emmêlées, langues sorties, insatiables. Je remarque à peine Caroline qui tourne autour de nous, son téléphone à la main. Je m’en fous, je me fous de tout sauf de la chatte d’Ennia qui vient s’écraser sur ma bouche. Je la bouffe encore et encore et elle me suce encore et encore. Nous jouissons à nouveau dans ce dernier 69 qui nous laisse morts, repus de sexe et de plaisir. Nous reprenons notre souffle lentement, Caroline nous mitraillant toujours de son objectif. Je la regarde, conscient de ce qui vient de se jouer, mais comme détaché, fataliste. J’ai perdu, elle a gagné. Je n’ai été qu’un mâle faible, dominé par sa queue, comme je l’ai toujours été. Je pourrais encore me relever, lui arracher son téléphone et partir. J’en ai peut-être la force, mais plus la volonté. Ses images ne lui serviront à rien. Elle n’en aura pas besoin pour me faire chanter. Je veux être à elle, je veux être dressé, devenir sa pute, sa chienne. Elle m’a confronté à mon désir profond, à mon fantasme absolu. Je sais en cet instant que je n’aurai jamais qu’une Maîtresse, et que ce sera Caroline. Maîtresse Caroline, mon étudiante dominatrice.
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Avant-propos:
Ce récit est celui d’une naissance, d’un apprentissage, d’un dressage mais aussi celui d’une descente aux enfers pour connaître le paradis. Puissent ces mots faire voyager votre imaginaire, puissent-ils vous exciter, que vous soyez Maîtresse ou soumis. Vécu ou fantasme, vous choisirez.
Chapitre 1
Cela faisait maintenant deux mois que, chaque semaine, je gagnais la capitale pour 2 jours. Deux mois que j’avais enfilé mon costume de professeur au sein de l’Ecole Supérieure de Journalisme et que j’enseignais, ou plutôt tentais d’enseigner à mes élèves l’art du commentaire sur image. Deux mois que j’essayais aussi de les déformater, d’ôter de leurs esprits jeunes et déjà si conformistes ces clichés et certitudes qui font de notre profession une des plus détestées du grand public. J’étais moi-même journaliste, issu de cette école, et j’avais retrouvé avec plaisir ce quartier du XIIIème, Tolbiac et cette Asie parisienne qui m’avait fait si souvent voyager vers un ailleurs plus fantasmé que réel. J’avais en charge deux classes, que je voyais chacune 3 heures par semaine. 30 élèves par classe, une majorité de jeunes filles qui rêvaient pour la plupart de marcher dans les pas de Claire Chazal. Quelques élèves brillants, une majorité qui ne deviendrait jamais de bons journalistes, et quelques uns qui arrêteraient sans doute en cours d’année.
Deux mois avaient été suffisants pour avoir mes préférences. Ma préférée aussi. Caroline. Brune au teint mat, pas la plus belle, mais celle qui dégageait le plus d’énergie, la seule dont j’avais du mal à soutenir le regard. Un regard dur, brûlant, qui semblait me sonder, plonger en moi pour mettre au jour mes secrets les plus inavouables. C’était aussi, à mon sens, la plus brillante, sachant écrire et raconter, captiver par ses mots toujours justes. Caroline avait son acolyte, Ennia. Sa colocataire d’après ce que je savais. Rousse au corps de rêve et au minois d’actrice porno un brin vulgaire, qui venait souvent peupler mes masturbations solitaires, le soir, dans ma chambre d’hôtel lorsque je l’avais eue en cours l’après-midi. Leur duo, assis au second rang, me faisait fantasmer. Et je les imaginais dans les tenues les plus sensuelles. Le plus souvent, elles finissaient vêtues de cuir ou de latex, et je jouissais alors qu’elles faisaient de moi, professeur soumis, leur esclave sexuel lors de face-sitting très humides. Mais cela n’était que rêve, et du haut de mes 40 ans, je savais n’avoir aucune chance, malgré ma belle gueule et mon look « petit journal », de les avoir un jour dans mon lit et de pouvoir les honorer de ma langue.
Après mes cours, je rejoignais un café-restaurant où j’avais autrefois mes habitudes. Je me posais une heure ou deux pour y lire ou appeler ma famille avant de rejoindre mon hôtel. Cette routine dura jusqu’à la mi-décembre, jusqu’à ce jeudi où ma vie bascula dans un monde que je croyais jusqu’alors inaccessible. J’avais achevé 3 heures de cours plutôt intenses à disserter sur la liberté des médias en France, puis discuté longuement avec le directeur, un vieil ami, et j’avais gagné, sous une pluie battante, mon café préféré.
-Monsieur, vous pouvez vous asseoir avec nous si vous voulez.
C’est Ennia qui avait parlé, Caroline se contentant de me sonder du regard, comme à son habitude, affichant un petit air narquois.
-Vous êtes trempé on dirait.
Je bredouillais un vague merci, et prenais place sur la banquette, à côté d’Ennia, juste en face de Caroline. J’étais un homme sûr de moi. Séducteur invétéré, j’aimais les femmes et cela se voyait m’avait-on souvent dit. Mais là, je me sentais presque mal à l’aise, ou plutôt intimidé. Les deux jeunes filles avaient visiblement commencé à travailler sur le devoir que je leur avais donné pour la semaine suivante. Le grand sac de Caroline, posé sur la table, vomissait feuilles de cours et stylo, et un livre à la couverture grise que je remarquais immédiatement : « Scéances ». Un titre d’une belle écriture rouge sang, au dessus d’un fouet de cuir noir. J’avais sans doute bloqué quelques secondes de trop sur la couverture et lorsque je croisai le regard de Caroline, celui-ci se fit plus intense, et son sourire très particulier. Pour masquer mon trouble, je leur proposai de renouveler leurs consommations et me levai pour aller commander au bar. Je ne pensais plus qu’à une seule chose, la couverture de ce livre dépassant de son sac, ce titre évocateur et ce fouet. Avais-je mal vu ? Je n’étais plus sûr de rien. Et je redoutais mon retour à leur table, me demandant comment j’allais bien pouvoir dissimuler mon trouble.
Ennia vînt à mon secours, involontairement, en se faisant la plus bavarde, m’interrogeant sur le métier, les débouchés, la difficulté de trouver un stage. Caroline était moins loquace, mais elle me scrutait, et à chaque fois que je croisais son regard, elle affichait toujours le même sourire. Et ce sourire ne disait qu’une chose : je sais ce que tu as vu.
La nuit tombait déjà bien que l’horloge n’afficha que 17 heures, et je songeais à prendre congé de ces demoiselles. Sans doute pour échapper au regard inquisiteur de Caroline, qui me troublait de plus en plus. Mais avant que je n’ouvre la bouche, Caroline planta son regard dans le mien.
– Nous habitons juste à côté, venez prendre un verre, nous pourrons continuer cette conversation et j’aimerais vous montrer l’article sur lequel je travaille, vous savez, l’enquête que vous nous avez imposée pour la rentrée.
Une invitation qui ne souffrait aucun refus, refus dont j’étais d’ailleurs incapable.
– Avec plaisir, je vous suis.
Elles habitaient effectivement à quelques minutes. Elles étaient bien colocataires d’un appartement assez spacieux, au 5ème étage d’une des tours de l’avenue de Choisy. Un appartement meublé avec goût, teintes sombres, tapis, bougies un peu partout.
– Mettez-vous à l’aise, je vais chercher quelque chose à boire.
Ennia prenait visiblement les choses en mains, jouant les maîtresses de maison accomplies, pendant que Caroline s’installait dans le canapé. Ennia revînt rapidement avec les boissons et Caroline l’apostropha, d’une voix que je trouvai assez dure :
-allume les bougies, et vas te changer.
Je ne montrais rien de ma surprise, mais mon trouble se fit plus intense. D’ordinaire volubile, je gardai le silence. Caroline tapota le canapé à côté d’elle :
– Venez vous asseoir ici, je vais vous montrer ce que j’ai déjà écrit pour l’enquête.
Ma respiration s’était accélérée lorsque je pris place à côté d’elle. Elle colla immédiatement sa cuisse contre la mienne, en étalant ses feuilles.
-Lisez, et vous me direz ce que vous en pensez.
Je me plongeai dans la lecture, trop content d’avoir de quoi distraire mes pensées qui divaguaient du côté de mes fantasmes secrets. La lecture me prit quelques minutes. Je sentais toujours la cuisse de Caroline contre moi, mais cela n’avait pas l’air de la gêner, elle.
– C’est, disons, un très bon début. Mais il y a des passages qu’il faudrait retravailler. Ce n’est pas assez argumenté et vous vous embrouillez un peu dans votre démonstration. Il vous manque un fil conducteur…..
Le regard de Caroline ne cachait pas sa contrariété, et je me sentis presque mal à l’aise. J’avais été professionnel, honnête, et je craignais d’avoir été un peu trop dur. Le retour d’Ennia au salon me stoppa net dans mes réflexions. Elle avait troqué son jean contre une juppe noire, ultra courte, qui laissait apparaître des dim-up. Talons aiguilles à ses pieds, haut noir quasi transparent, sans soutien-gorge, ses cheveux réunis en une longue tresse rousse. J’en restai sans voix, fasciné par sa beauté, et l’érotisme qu’elle dégageait.
-Je… euh….. je vais peut-être vous laisser. Je dois travailler sur mon cours de demain et il se fait tard
dis-je sans quitter des yeux la déesse sexuelle qui venait de faire son apparition.
-Tu devrais rester répliqua Caroline, en posant sa main sur ma cuisse. Ma petite chienne s’est faite belle pour toi.
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Le sergent "chef" Ramirez est de retour dans mon harem après sa location échange contre Gina. J'aime ce moment où une soumise revient, où elle regarde de biais son Maître, où elle interroge de ses yeux humides. C'est le moment où elle comprend le mieux sa condition de soumise. Le sergent Chef Ramirez est ma propriété et j'en joui à ma guise, selon mon bon plaisir. Elle n'a rien à dire, juste obéir, et elle ne dit rien.
Depuis la dernière extinction massive sur Terre, les choses sont devenues très simples. Sans une intervention extérieure, il n'y aurait eu aucun survivant. Les humanoïdes, ils nous ressemblent beaucoup, qui sont venus à notre secours ont procédé à l'élimination directe de 99, 999% de l'humanité et ils ont tout recyclé dans le soleil. Ils n'ont gardé que 144 000 âmes et offert l'immortalité, les corps qui restent en parfaite santé plus de 800 ans, sans vieillir et que l'on change comme on change de véhicule. Ils ont séparés les hommes, en propriétaires et dominants, et les femmes, en propriétés et soumises, dans des proportions de un pour quatre ou un pour douze. Aucune homosexualité même entre femelles, justes des caresses et autres mais pas d'homosexualité ou bisexualité déclarée. Les hommes ont tous les droits, les femmes obéissent et servent leurs doms respectifs. C'est hiérarchisé entre doms, il existe des commandeurs et tout en haut un commandeur suprême. Aucune démocratie, c'est pyramidal et très organisé, chacun sait ce qu'il doit faire et où est sa place.
Le sergent chef Ramirez me regarde en biais et retourne à sa place dans mon Harem. Ce soir c'est le major Shirley qui partage ma couche, c'est son tour. L'Agamemnon est dirigé par un Commandeur de classe D, le commandeur suprême est le seul classe A. En tant que militaire c'est moi qui dirige toute la petite mission humaine sur Monstra. Les autres doms me doivent obéissance, mais tout se passe très bien. De toute façon, nous intervenons le moins possible, nous sommes plus des observateurs et des analystes qu'autre chose. Le rôle des militaires est de protéger les scientifiques et de les assister.
Le Commandeur de l'Agamemnon est très intéressé par les "exploits" du sergent chef Ramirez. Il propose de nous rendre visite dans quelques mois pour se rendre compte par lui même.
-Sergent Chef Ramirez, je vous dégage de vos missions de protection des scientifiques. Le Commandeur souhaite que vous poursuivez vos contact avec les Monstriens. Il va venir se rendre compte par lui même.
-Je peux prendre des initiatives, faire à mon idée, mon Maître ?
-Oui et si vous avez des besoins, je vous invite à les formuler.
Un magnifique sourire éclabousse le visage du sergent Chef Ramiez, ses yeux pétillent de malice. Elle me fait une révérence et s'éloigne. Elle a une idée en tête c'est sûr. Je la connais par cœur et je sais qu'elle va nous faire une jolie surprise.
Le Major Shirley se pointe. Avec ses seins pointés en avant et ses jambes écartées, elle a envie de se faire troncher et pue le sexe. Elle se déshabille et c'est nue qu'elle m'amène vers les bains. Nous nous sommes rendu la vie la plus agréable possible sur notre base de Khe Sanh. Shirley me masse le dos et les épaules. Elle me lave, me frotte, me bichonne. Nous allons boire un verre dans une serre vitrée au dessus des brumes de Monstra. Le soleil,de ce monde sauvage se couche et plonge dans les brumes grises et or. Je suis en érection. Shirley s'empale sur mon membre et commence ses succions avec son vagin très tonique et étroit.. Elle ruisselle de plaisir et parfois se tétanise...un orgasme qui passe. Elle peut jouir longtemps et je ne suis pas pressé. Je lui caresse ses seins magnifiques. Elle m'embrasse, m'offre sa bouche et sa langue. Elle se donne de plus en plus profond, je résiste à l'envie d'exploser. Il fait nuit à présent. On entend au loin les rugissements des énormes prédateurs de Monstra. Ils aiment sortir la nuit pour boire et chasser. Je n'en peux plus, je hurle à mon tour et je tapisse le fond de la chatte de Shirley de mon sperme. Je donne tout. Elle m'embrasse, s'allonge sur moi, se love. Je m'endors en paix. Encore une superbe journée sur Monstra.. Ma vie de pacha avec mes douze superbes femelles, c'est le paradis.
C'est le cri strident d'un énorme prédateur qui m'a réveillé. Un qui vient sans doute de se choper une belle proie. Le major Shirley dort pasiblement. Elle est divinement belle. Son cul est invitation. L'erection est là, puissante, impérieuse. Je la retourne m'allonge sur elle et pousse de toute mes forces avec mon pieu en avant. Mes douze femmes sont toutes des sportives de très haut niveau, des expertes en arts martiaux, elles ne sont pas pénétrables comme cela et j'adore cette sensation incroyable lorsque cela cède et s'ouvre devant mon pénis victorieux. C'est incroyablement jouissif. Shirley pousse un petit cri et je l'empale d'un coup. J'adore sodomiser mes femelles et bien leur claquer les fesses. J'empoigne la chatte poilue de Shirley et enfonce un doigt pendant que mon pénis lui défonce le cul. Elle part en fontaine de plaisir. Mais je me retiens et me retire. J'appelle un robot domestique et je lui ordonne d'attacher Shirley à un arbre dans la serre, suspendue, chatte et cul bien ouverts. Le robot domestique s'exécute et voilà Shirley qui pend sous son arbre. Elle adore cela. Elle aime méditer ainsi.
Je consulte mon bip bip à femelles, c'est une intelligence artificielle qui calcule qui doit être la suivante. Bien sûr je peux choisir qui je veux. Mais le bip bip c'est pour ne léser personne. Mes femelles ont droit à une forme d'équité. Tiens le bip bip appele le lieutenant Asthon qui arrive dans un grand tea shirt de nuit. Elle est ravissante et elle se caresse la chatte. Elle a une forte envie de se faire sauter par son Maitre.
-position 22
Asthon s'exécute et s'offre. Je la pénètre sauvagement. Elle pousse un cri qui fait trembler la serre. Un message pour les grands fauves et prédateurs qui rodent autour de la base. Le message d'une bonne femelle qui se fait bien troncher et qui le fait savoir.
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Clara ne me disait presque rien de sa vie. Elle ne me posait aucune question sur la mienne. Sans
doute par crainte d'apprendre des choses qui auraient pu lui déplaire. Aimer écrire, c'est coucher
des mots sur le papier, et non pas partager le lit de Madame de Staël. Mon existence en dehors
de la littérature ne méritait pas que je la fisse souffrir avec des passades sans importance. Elle ne
pouvait être jalouse de ma méridienne. Je ne vivais que dans l'attente d'un prochain rendez-vous,
de baisers volés, d'étreintes usurpées. Où aurait-il lieu ? En réalité je passais plus de temps à
imaginer Clara qu'à la voir. Et quand je la retrouvais, c'était à travers la brume de ce songe que
j'avais construit autour d'elle. Elle m'écrivait des lettres brèves, quelques phrases denses comme
des aphorismes, datées avec précision. Elle indiquait toujours l'heure et le temps qu'il faisait.
J'appris un jour qu'elle avait épousé un éleveur de chevaux. Elle était fière, aussi farouche que
les pur-sang que son mari dressait dans sa propriété de l'Orne. Elle préférait ne pas s'interroger
sur le moment de folie qui, contre tous ses principes l'avait jetée dans ses bras. Cela lui semblait un
phénomène aussi bizarre que la foudre ou un tremblement de terre. Elle avait construit autour d'elle
un mur pour se protéger et se croyait à l'abri. Elle se sentait imprenable autant par dégoût des autres
que par un sentiment de fierté qui lui faisait juger les choses de l'amour soit comme un idéal impossible
soit comme un abandon bestial. Elle n'imaginait pas l'entre-deux. La vie devint pour elle, droite, sans
écart, maintenue dans son parcours par une main inflexible, faisant de la doctrine du Cadre noir de
Saumur sa ligne de conduite. " En avant, calme et droit ", la citation du général L'Hotte l'inspira.
Avait-elle lu le beau roman de François Nourissier ? Au milieu de la vie, elle voyait venir l'hiver. Elle
acceptait avec courage la solitude qui de plus en plus l'envelopperait dans ses voiles glacés. Clara
échappait à cette angoisse en demandant à la nature de lui offrir les plaisirs, les joies, les émotions
qui lui manquaient. Cette liberté de l'instinct débridé, l'ardeur des saillies, les montées de la sève et
l'allégresse reproductrice du monde végétal la fascinaient. Elle ne vivait plus que pour les chevaux,
les arbres et les fleurs. Elle habillait sa sauvagerie nouvelle d'un masque de mondanité provincial.
Bientôt elle m'invita chez elle et me présenta à son mari qui m'accueillit avec une diplomatique et
rigoureuse politesse. Nous étions dans un monde où tout se joue sur les apparences, où le soupçon,
les arrière-pensées étaient bannis. Un monde de civilité absolue où ce qui n'est pas montré pas plus
que ce qui n'est pas dit n'avaient droit à l'existence. Il m'emmena faire le tour du parc ainsi que de
manière immuable, il procédait avec ses hôtes et me tint les mêmes propos qu'il leur avait tenus à
tous pendant leur visite, propos qui certainement devaient être à quelques nuances près, ceux de
son père et de ses aïeux. Des chevaux gambadaient dans une prairie, d'autres travaillaient dans une
carrière. Tout était dans un ordre parfait. La maison du jardinier rutilait. La serre semblait aussi propre
et rangée qu'une salle d'opération. Un hommage digne à Monsieur de Buffon. Seul le cœur semblait
ne pas avoir de place. On le considérait comme un intrus. J'allais monter à cheval avec Clara. Nous
nous promenions dans les bois. Parfois nous rentrions avec le crépuscule, et cette demi-obscurité
jetait sur nous des ombres coupables. Son mari nous attendait impavide sur le perron. Sa distance,
son indifférence vis-à-vis d'une liaison qu'il ne voulait pas voir, étaient presque plus lourdes à supporter
que s'il nous avait attendues un fusil chargé à la main. Ce silence du non-dit pesait sur nous comme une
faute. Je regagnai ma chambre et dans cette atmosphère de crime, Clara se glissait contre moi. Elle
repartait à l'aube. Alors, souvent, en m'éveillant dans le lit vide, je me demandais si je n'avais pas rêvé.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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La pluie, le soleil, la brume ont peut-être plus d'influence sur notre comportement amoureux
que nous l'imaginons. il me semble que la nature a toujours émis des messages. Et le vent.
Le vent qui soulève le sable du désert, des oasis du Hoggar, et les dépose sur les arbousiers
du maquis corse. L'invisible, ses sarabandes, ses fêtes, ses débauches, ses orgies des sens,
la fabuleuse orchestration qui s'y déroule sans qu'on y prête attention, quelle conscience nous
reste-il de l'immensité de tout cela ? Un instrument d'observation inapproprié, un organe
atrophié fossile d'une fonction perdue, l'amour. Lui seul nous fait pressentir l'invisible. Et la
poésie des corps. Mais c'est encore l'amour qui la suscite, l'éclaire, module son chant et fait
frémir ses incantations lumineusement obscures. Le désir le conjugue au plus-que-parfait.
Chaque étape initiatique de notre existence, par des liens secrets, est en relation avec un
amour qui épanouit ses virtualités. Parfois, quand l'inanité d'écrire me ravage, je ne reprends
confiance qu'en m'agrippant à la certitude que ce que je recherche ne réside que dans le
partage, et la seule chose qui m'importe est ce qui jette mon destin dans de vastes espaces,
bien au-delà de moi-même. La grande distinction d'Arletty coiffée de son turban blanc.
Trois années avaient passé depuis ce réveillon où j'avais fait connaissance de Charlotte.
Cette rencontre m'avait placée dans une position qui avait le caractère d'une parenthèse. Elle
appartenait à un monde irréel puisque aucun des maux de ce monde ne l'atteignait. Un univers
trop parfait n'est pas fait pour une femme qui veut toujours se prouver quelque chose en
modifiant le cadre de son existence. Le temps passait avec une lenteur inexorable. Il semblait
enfermer Charlotte dans une perpétuité du bonheur. Il me fallait des drames, des souffrances, un
théâtre d'émotions, des trahisons qui ne pouvaient nullement se développer sur ce terreau-là.
Charlotte, insatisfaite comme on l'est lorsqu'on choisit le chemin de la perfection, avait trouvé en
moi un dérivatif à sa passion d'aimer endurer. Aimer c'est souffrir mais c'est aussi vivre.
Vivre avec Charlotte ? J'y songeais, je le souhaitais et je le redoutais. Je le souhaitais parce que le
sentiment amoureux qui ne se double pas d'amitié n'est qu'un état intérimaire de peu de durée,
que l'indispensable amitié se fonde sur le temps qui passe, sur une accumulation heureuse de
situations partagées, de circonstances vécues en commun. Je le redoutais parce que j'ai déjà fait
l'expérience de prendre des trains en marche. Pas besoin d'imagination pour prévoir ce qui, tôt
ou tard, adviendra, il me suffit d'avoir un peu de mémoire. Me voici, soumettant Charlotte. Nous
dégustions les charmes de cette situation nouvelle dans une profonde entente mutuelle. Je la
fouettais avec application tout en réfrénant son masochisme. Je ne voulais pas casser ma
poupée de porcelaine. Me manquait-il une certaine cruauté ? Voici Charlotte qui s'anime d'amples
mouvements à la rencontre du cuir. Voici qu'ils se confondent et s'exaspèrent et que, de sa
bouche captive, elle pousse un gémissement qui me déchire le cœur. L'insensée crie et m'invite
plus intensément. Ils se perdent ensemble au comble d'une tempête dont je suis le vent.
Les yeux clairs s'agrandissent et leur eau se trouble. Elle ne me voit plus, son regard s'accommode
au-delà. L'un après l'autre, les traits du visage changent d'ordonnance, ils se recomposent en
une géographie que je ne connais plus. Sur ses lèvres qui s'entrouvent, les miennes se posent,
ma langue pénètre, cherche et investit. La bouche de Charlotte accepte et bientôt requiert.
Les yeux immenses se ferment et je devine qu'ils se tournent en dedans sur un monde ignoré.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le
baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette
faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité
de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites
et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement
rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses
doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle.
Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme.
Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque.
L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant
avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire
légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte.
Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir.
Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller.
Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée
maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande
que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésitible; j’entends son souffle.
Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine.
Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie
que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre.
J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous
ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce.
Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant:
- Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi.
Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis.
- Tu apprendras à me connaître.
Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de
mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis.
Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras.
Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur
la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche
et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact.
Un affectueux sourire se dessine sur sa figure.
- Tu es toujours trop pressée.
Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent.
Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma
langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle.
- J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ?
Son rire mélodieux me répond.
Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir,
de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inépanchable de plaisir et de passion. Son bras me
décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles.
Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille.
Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision
m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher.
Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu.
Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les
contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin.
Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual
remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille.
D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une
longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne.
Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements.
Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me
soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant
avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu.
Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent.
Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et
ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite.
Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit
ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton
tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente.
Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes
doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des
délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but:
le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser
ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et
retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée
chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis; elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs.
Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je
la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant
une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi.
Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque
contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés.
Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale.
Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes.
Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et
m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps
amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise
à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon
clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle,
me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever.
D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage.
L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa
poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac
de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos
et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma
langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance.
Je me relève pour l’embrasser tendrement. Une bien belle nuit, en somme.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Une jeune fille apparut. Elle avait de longs cheveux blonds et ressemblait à un ange. Elle souriait mais son sourire
ne parvenait pas à dissimuler une expression de tristesse. On la sentait fragile, prête à tout donner sans contrepartie.
Une de ces créatures que chérit particulièrement le malheur. En face d'elle, je me sentais brutale, maladroite. J'avais
peur de la blesser. Sa jeunesse, sa beauté m'affolaient. Je me jurai de ne rien tenter contre elle. Patricia était dans ma
vie. Elle revint me voir. Elle se passionnait pour la littérature. J'espérais qu'elle ne reviendrait pas. Mais un jour je la vis
à nouveau comme si elle savait son sacrifice inéluctable. Je tentais de la prévenir en ne lui dissimulant rien de mes
ombres. Elle prit mon aveu comme une preuve d'honnêteté. "- Je me méfie toujours des femmes qui se prétendent
des filles bien ..." Et, en me foudroyant d'un nouveau sourire, elle me lança:
"- Je vous aiderai à devenir meilleure.
J'étais désarmée. Une telle gentillesse aurait attendrit Landru lui-même. Nous passâmes une douce nuit, fragile comme
un songe. Ses cheveux sur mon visage balayaient mes scrupules. Je la revis encore. Les nuits sans elle me semblaient
chastes. Comme si son corps, comme celui des saintes, ne pouvait être profané. Nous étions à la veille de l'été.
- Où irez-vous ? lui demandai-je.
- Je serai en Turquie.
- Et si je vous rejoignais ?
L'idée avait fusé. Elle sourit, l'air incrédule.
- Ce serait romanesque.
C'était le mot à ne pas prononcer.
Deux jours plus tard, je partais avec Béatrice pour le Midi. Elle conduisait comme Françoise Sagan un coupé sportif. Nous
atteignîmes les premiers oliviers, les cigales, le parfum des melons, le Rhône, puis la Durance, avec la palette bleue des
Alpilles. Nous dormions dans de petits hôtels vétustes parfumés d'encaustique et d'ail. Nous rejoignîmes une bastide
cachée dans les vignes où une de ses amies nous avait ménagé une retraite secrète, une maison en pierres toute en
souterrains d'ombres fraîches et de fontaines. Au bout de trois jours, mon démon se réveilla, J'appelai l'ange blond.
- Je viens, dis-je. Retrouvons-nous dans l'île de Samos.
Je croyais alors que Samos était l'île du bonheur. Dans une autre vie, n'y avais-je pas goûté des ivresses brûlantes ?
J'annonçai mon départ à Béatrice. Je ne sais quel prétexte je trouvai à ma fuite. Son visage se ferma. Contrairement à moi,
elle refusait de chercher des explications aux choses incompréhensibles. Elle s'appliqua à l'indifférence. Je partis. Rien
ne m'aurait résisté. Rien n'aurait pu faire obstacle à l'appel du rêve. Je bouclai mon sac et je m'envolai. Quelle fièvre
m'habitait. Sur l'aéroport de Marignane, déjà je sentais le parfum des jasmins de la Grèce, je dévorai l'avenir. Je devançais
le bonheur. Je brûlai les étapes: Paris, Athènes défilèrent. Bientôt par le hublot, je vis s'égrener le chapelet blanc des
Cyclades. Lorsque l'avion atterrit sur la piste de l'aéroport de Pythagorion, il me sembla que je ne pourrai résister à ce
bonheur. Un doute me transperça. Était-elle réellement là ? N'avait-elle pas changé d'avis ?
Dès que je mis le pied sur la passerelle, je l'aperçus. Elle m'attendait dans une robe d'été rouge. J'allai vers elle pour
l'embrasser. Et soudain quelque chose se brisa. Cette jeune fille que j'avais devant moi, c'était une autre, ce n'était pas
celle que j'avais rêvée. Certes elle était belle, jeune, blonde, aimante, tendre, comme l'autre, mais il lui manquait une
qualité qui n'appartenait qu'à l'autre. La jeune fille qui se tenait devant moi n'était pas celle que j'avais rêvée. J'étais flouée.
On m'avait trompée. Dès lors la nuit tomba sur Samos, éteignant le soleil, voilant le ciel bleu, la mer à l'éclat de saphir.
J'en voulais à Claire d'avoir usurpé la place de celle que j'avais voulu rejoindre, pour laquelle j'avais bravé tant d'obstacles
et de fatigue. Il ne demeurait que l'enveloppe sèche d'un rêve épuisé de sa substance. Devant moi, il n'y avait plus qu'un
être réel; une présence que ne parait plus aucun sortilège. Je lui en voulais. Et plus encore à moi-même.
La malchance s'acharna sur nous. Aucune chambre n'était disponible. Après d'harassantes recherches sous le soleil, nous
échouâmes dans le cagibi sans air d'une maison moderne non encore achevée qui sentait le plâtre. C'était comme si la
Grèce avait succombé sous un hiver torride. Je ne voyais plus sa lumière. J'avais beau me baigner, l'eau ne caressait plus
mon corps. J'aspirais de toutes mes forces les parfums de lavande et de romarin, je ne sentais rien. Je regardais avec
haine l'insupportable visage de celle que j'avais cru aimer. Je regrettais d'avoir abandonné Béatrice. Le reproche de l'avoir
trahie me hantait. Ma faute me poursuivait. Je la buvais dans mon verre d'ouzo où, à la tombée de la nuit, je cherchais
refuge dans la torpeur. Quand je me retrouvais à ses côtés sur notre couche étroite, j'évitais le contact de son corps.
Loin de m'attirer, il ne m'inspirait plus que du dégoût. Où donc étaient passés sa beauté et son charme ? Sa gentillesse,
sa compréhension me pesaient. Son indulgence m'horripilait car elle offrait à ma mauvaise humeur et à mes injustes
reproches un sourire indéfectible. Je la haïssais de n'offrir aucune résistance à ma rancœur. Je n'avais plus qu'un espoir.
Qu'elle parte. Chaque jour j'espérais honteusement que ma mauvaise humeur l'engagerait à prendre ce parti. Enfin, après
une scène particulièrement violente pour un motif dérisoire, elle me fixa avec des yeux humides de larmes.
Elle me demanda:
- Vous préférez peut-être que je vous laisse seule ? J'ai l'impression de ne pas vous rendre heureuse.
- Oui, dis-je soulagée. Ce serait peut-être mieux.
- Un bateau part demain pour Bodrum. Voulez-vous que je le prenne.
- Oui, dis-je, je crois que c'est la décision la plus sage.
La vie commença à reprendre des couleurs. J'attendis ma délivrance avec fièvre. Pourvu que le vent n'empêchât pas le
bateau de partir. Cette nuit-là, je m'endormis d'un lourd sommeil. Je l'accompagnais au port. Le bateau largua ses
amarres. Je respirai. Aucun contretemps ne s'était mis sur mon chemin. Je lui fis signe de la main tandis que le navire
s'éloignait. Bientôt, il dépassa le môle et gagna la haute mer. Je m'éveillai de mon cauchemar. Pourquoi était-elle partie ?
Je me mis à la regretter. J'avais envie de crier pour lui demander de revenir. J'escaladai le promontoire afin de suivre
le bateau des yeux. Était-il possible qu'il revienne ? J'étais déchirée. La jeune fille merveilleuse que j'avais imaginée en
arrivant m'apparaissait à nouveau. Pourquoi ne pouvais-je l'étreindre ? Pourquoi avait-elle disparu ?
Le soir sur le port, je fis connaissance avec un compagnon bien plus cruel, le désespoir. Il m'attendait. Il ne me lâcha plus
pendant les quelques jours que je passai sur cette île maudite. J'errais à travers les paysages que nous avions traversés
tentant de ressusciter le bonheur. Mais comment réparer de tels saccages ? Ce crime contre l'amour, donc contre la vie.
Je ne me pardonnerai jamais cette faute inexpiable. Mais qu'est-ce que tout cela signifiait ? Je n'avais pas su l'aimer.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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L'équipe des scientifiques vient de débarquer sur Monstra, Base de Khe Sanh, perdue au dessus des brumes poisseuses et des cris terrifiants des monstres des plaines, vallées et noirs marécages. Monstra est une planète qui regorge de vie et donc de prédateurs. Les "monstriens", de grosses crevettes d'un mètre quatre vingt de haut, sont l'espèce la plus intelligente et évoluée de ce monde inhospitalier. Avec un QI qui ne dépasse pas le cent, nos crevettes savent néanmoins, écrire quelques mots, compter, et faire du feu. La vie est facile sur monstra où il suffit de se baisser pour cueillir des baies délicieuses et ou le gibier abonde. Les Monstriens sont peu nombreux car les monstres terrifiants des brumes adorent croquer des crevettes. Pour se défendre, ils savent fabriquer des outres remplies de naphte qu'ils enflamment et jettent sur les prédateurs qui même s'ils font plus de quarante mètres de haut pour certains détalent vite par peur du feu.
Gina est à la tête d'une équipe de scientifiques sous les ordres d'un Maître. C'est ainsi, un homme dom pour douze femelles soumises qui adorent se faire sauter. Nous avons fait simple et efficace pour l'humanité terrestre. 144000 éternels, car nous avons trouvé la combine pour être éternels et donc environ douze mille hommes dom. Il nous arrive de nous échanger les soumises entre dom. Celles ci n'ont rien à dire. Elles sont l'entière propriété de leurs doms respectifs qui en disposent comme ils veulent.
J'ai échangé Le sergent Ramirez contre Gina, pour le cul seulement, pas le boulot. Hurtzman, le proprio de Gina, cela fait longtemps que j'avais remarqué qu'il en pinçait pour le cul de rêve du sergent ramirez. Lorsque cette dernière joue à la conne, elle peut foutre le feu à toute la base. Hurtzman en a une très grosse, il va bien s'amuser.
Avec Gina, je ne perd pas au change pour cet échange pour un mois tout au plus. La meilleure façon de mettre à l'aise une nouvelle soumise, c'est de la troncher de suite. Avec Gina j'ai envie d'une bonne branlette espâgnole avec celle qui a les plus beaux nichons de l'Agamemnon. C'est l'enfer. Elle me malaxe si bien la bite que j'ai du mal à retenir mon éjaculation.
-Dans la bouche et avale bien tout.
Gina ne se fait pas prier et j'explose dans sa gorge profonde. Elle me nettoie bien la verge à grand coup de langue chaude. Une experte.
Dans l'habitacle à coté, de longues protestations:
-non, non, pas le viol, pas le viol, votre bite est trop grosse....
C'est cette conne de sergent Ramirez qui s'amuse à rendre fou Hurtzman et sa pine d'âne. Il pousse un cri de fauve. Le sergent Ramirez ne dit plus rien. Étrange. Et tout à coup elle gueule son orgasme. Putain elle a du déguster avec cette bite d'amarrage de paquebots dans le cul. Une qui va pas marcher droit ce soir.
Gina en redemande. Je la retourne et je la sodomise d'un coup. C'est une vraie féline, elle feule de plaisir, se cambre. Je prend tout mon temps. Son cul est aussi beau que ses nichons, bien ferme et bien galbé. Gina sait serrer un pénis, elle est musclée des orifices. Elle sait aspirer et relâcher en cadence. Elle sait sentir son mâle et le guider vers des orgasmes d'une puissance inouïe. Elle sait y faire. Hurtzman est un bon Maître. Il l'a très bien éduquée. J'explose à nouveau, cette fois complètement vidé. Je m'endors de bonheur sur ses seins généreux. Trop bien cette Gina.
Les monstriens ont entendu le sergent Ramirez hurler en explosant son orgasme. Ils se sont approchés. Il faut dire que le sergent Ramirez est devenue presque une divinité pour eux. Allez savoir pourquoi, elle sait leur parler. Je crois que je vais la nommer adjudant. La façon dont elle a réussi à établir le contact avec ces aliens est vraiment une réussite. Sincèrement les conquistadors et Christophe Colomb sont des gros nazes à coté.
La morale de cette histoire c'est que soumises bien partagées sont soumises bien enculées.
..../....
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vous me faites patientez quelques secondes comme ca...privé de ma vue, j ecoute le moindre de vos mouvements. Le seul bruit que je capte est celui de vos talons, vous marchez autour de moi puls j entends le bruit de vos chaussures juste a cote de mes oreilles... puis quelques secondes apres, je sens le poids de votre corps sur mon visage, ma bouche au contact de votre petite culotte que je devine legerement humide...cela m excite terriblement d etre dans cette position j adore cela et j imagine la vue que je pourrai avoir si je n avais pas les yeux bandés.. Vous ondulez legerement votre corps, faites de petits va et vient puis vous caressez mon torse avec vos mains ...vous accentuez la pression sur ma tete, j embrasse votre sexe a travers ce bout de tissu, je suis attentif a chacun de vos mouvements, vous decollez quelques secondes vos mains, puis revenez les poser sur mon torse pour y plantez vos ongles et vous vous amusez a les faire parcourir sur ma poitrine autour de mes tetons... cela me plait beaucoup, j intensifie mes mouvements de bouche, puis d un coup vous attrappez mes 2 tetons et les serrez bien fort. je pousse un gemissement ettouffe par votre corps, je sursaute... vous tirez delicatement sur mes tetons, doucement mais fermement, je me laisse entierement faire, j adore souffrir sous vos doigts... vous les relachez, vous vous penchez en avant, je leve ma tete pour rester au contact de votre sexe, puis passez une de vos mains autour de mes testicules, vous les serrez progressivement au creux de vos mains, je gemis, je gigote... j aime quand vous me tenez par cet endroit...
Vous relachez votre prise, puis je vous sens vous relever. Vous me dites alors de votre voix excitante et sensuelle
" maintenant leve toi".
Je m execute, me met en position assise, puis vous attrapez une de mes mains pour m aider a me relever. Une fois debout, vous tirez sur ma main, je comprends qu il faut que je vous suive. Je n ai aucun repere, je vous suis aveuglemment en me demandant bien ou vous allez me mener. Je marche doucement me fiant entierement a vous, en essayant de ne pas perdre l equilibre. Apres quelques metres, vous vous stoppez, puis posez ma main sur un objet que je devine etre une table. Vous prenez mon autre main que vous posez a son tour sur cette table, puis me dites d un ton plus autoritaire
" laisse bien tes mains poser a plat, ne bouge pas , penche toi en avant et tends bien ton cul".
En meme temps vous placez une de vos mains sur mes hanches et appuyez dessus en arriere pour m inciter a me mettre dans la position souhaitée. Je m execute, un sourire au coin des levres, penché en avant, les jambes tendues legerement ecartees et mes fesses bien tendues dans la position que vous souhaitez
Vous commencez par caresser doucement, tendrement mon cul, passez bien votre main sur toute la surface de mes globes fermes, vous intensifiez vos caresses, votre main devient plus ferme, par moment vous compressez une de mes fesses au creux de vos mains... de mon cote je me laisse aller a vos caresses, j adore le contact de votre main sur ma peau, je ne bouge pas et garde mon cul bien tendu.... puis vous alternez petites claques et caresses, pour ensuite ne mettre que des claques... elles deviennent de plus en plus fortes, vous changez regulierement de zone de frappe, je sens mon cul chauffer lentement et devenir legerement rose, ce qui me ravi. De votre autre main vous attrappez un de mes tetons et tirez bien fort dessus ce qui m excite encore plus...
Vous relachez un de mes tetons, je vous entends vous eloigner, chercher quelque chose dans votre sac puis revenir vers moi... soudain je sens un coup dur s abattre sur mes fesses, je gemis, sursaute, mais je reconnai instatannement cet instrument... un paddle en cuir... vous continuez a me fesser avec, en espacant chaque coup, en variant bien les intensites et les zones de contact.... ma douleur initiale se transforme petit a petit en plaisir, je garde bien mon cul tendu, j adore sentir mon cul rougir sous l effet de votre instrument... mon cul doit etre bien rouge la... une fois que ma peau a la couleur qui vous plait vous venez vous placer derriere moi, votre bassin contre mes fesses, le cuir de votre mini jupe contre ma peau puis deposez un long baiser dans mon cou... puis vous me dites " suis moi" vous attrapez une de mes mains, me guider vers un autre endroit, vous placez une chaise contre mes genoux.
"assieds toi puis ecartes tes cuisses"
je m execute, la chaise est en bois dur, ce qui me fait bien ressentir l effet de vos fessées, j ecarte mes cuisses, puis vous aggrippez mes poignets fermement dans vos mains, vous les placez derriere la chaise puis je sens que vous attachez mes poignets avec une paire de menottes.
Me voila donc attaché, yeux bandés, le cul en feu, tres excité entierement a Vous.
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Les deux jours suivants, on prend le petit déjeuner dans la salle à manger... Pas trop envie de me faire niquer au réveil. Bon, Julien a quand même eu le droit de me faire le bisou du matin?!
Il faut que ça bouge : je veux des sensations, du fun, du rock'n roll. J'ai de l'argent, enfin, suffisamment. J'ai aussi un ou une esclave, au choix. Et, enfin, je suis belle, j'ai les seins et les fesses de Marilyn à 22 ans... J'ai pas l'intention de passer des vacances de retraités. Je veux du sexe, mais du sauvage, pas le garçon d'étage qui vient apporter le petit déjeuner le matin, avec un plateau dans une main et sa bite dans l'autre.
Je veux des étreintes viriles avec des guerriers berbères. Je veux être une proie, prise dans une razzia. Faut que je me calme, moi?! Enfin, faut surtout que ça bouge?! D'abord, Julien redevient mon mari, je veux le tromper... sous son nez, je veux le voir soumis au Maître qui m'aura enlevée ou que j'aurai choisi.
Après le petit déjeuner, on part en ville. D'habitude, je traîne le matin, par conséquent, je sens que Julien a très envie de me demander pourquoi on se met en route si tôt, mais il n'ose pas et il fait bien?! Si je dois me justifier de mes actes, où ça va, ça??
Sur place, j'ai repéré une agence de voyages, c'est là que je veux aller. La fille de l'agence est jolie, elle n'est pas voilée et elle a un tatouage sur le poignet : c'est une Berbère. D'accord, je simplifie un peu. Je lui annonce :
— Je voudrais de l'aventure... et voir des choses extraordinaires.
— Un trek dans le Sahara, ça vous plairait??
— Je n'ai pas envie de passer des heures en voitures, peut-être plus tard.
— J'ai ce qu'il vous faut : à 3 h de voiture de Marrakech, les spectaculaires cascades des chutes d’Ouzoud, la rivière Al Abib, les villages berbères de l'Atlas, les singes sauvages et d'autres animaux.
Wahou?! Ça me plaît. Je lui demande :
— On peut loger sur place??
— Oui certainement... Logement dans le village berbère de Tanaghmeilt. Mon frère peut vous loger, il habite là. Nous sommes Berbères.
Aah?! Je le savais. Je lui demande :
— Et il est aussi séduisant en homme que vous êtes séduisante en femme??
Elle ouvre de grands yeux et rougit, ce qui n'est pas facile pour une fille colorée. Puis elle rit – j'adore son rire – et répond :
— Il est très beau, mais méfiez-vous, c'est un séducteur.
— Toutes les qualités.
Elle rit à nouveau et je lui demande :
— Il est peut-être fiancé??
— Non, non. Je ne veux pas être indiscrète, mais je pensais que vous étiez en voyage de noces avec votre mari.
— Oui, c'est le cas...
— Et Monsieur n'est pas jaloux??
— J'en sais rien, mais ce connard m'a trompée lors de son enterrement de vie de garçon, je l'ai appris et je lui ai dit quelle serait sa punition : je ferai la même chose lors de notre voyage de noces et le plus souvent possible.
Pour une Berbère, la façon dont je traite mon mari, c'est de la science-fiction. Elle est stupéfaite... et admirative?! Elle me dit :
— J'aime votre façon de traiter un homme infidèle. Vous êtes mon héroïne?!
Je suis une héroïne de la cause féminine et pas une salope sans cœur et sans slip, dure avec les mous et rampant aux pieds des forts?! Elle ajoute :
— On dirait que les femmes occidentales se libèrent de plus en plus de la domination masculine. Hier, il y avait une jeune femme avec son mari, nettement plus âgé, et elle le traitait exactement comme vous faites. Ils partent demain à 14 h voir la région de la cascade et ils logeront sur place, chez mon frère.
— J'aimerais beaucoup les accompagner. Est-ce que ce serait possible?? Je pourrais parler avec elle du dressage de maris...
Elle rit à nouveau et vous savez ce qu'on dit "Berbère qui rit, avec vous sera gentille"?! Elle consulte son agenda puis dit :
— Ils sont déjà six. Je peux vous ajouter pour demain, mais vous serez tous les deux à l'arrière, avec mon frère. Ce n'est pas très confortable.
— Ce n'est pas un problème.
Je m'imagine déjà dans le village berbère, je me ferai baiser par son frère tandis que Julien agitera une palme pour nous rafraîchir. Et puis, je discuterai avec ma nouvelle amie et compagne de voyage, des humiliations et punitions qu'on va infliger à nos maris. On est des héroïnes?! La fille me dit :
— Je passerai peut-être par la maison, ce week-end.
— Ce serait super. Dis, on va se tutoyer. Je m'appelle Samia, et toi??
— Malha.
— Ça a une signification??
— Oui, mais c'est un peu gênant
— Allez, vas-y.
— Ça veut dire "charmante".
— Ça te va trop bien?!
Elle rit... et comme vous savez, j'adore le rire de Malha. Je paye l'excursion. En ce qui concerne le logement, je devrai voir ça avec son frère. On s'embrasse... elle sent bon.
En rentrant à l'hôtel, je vais à la réception et je raconte un bobard au réceptionniste, genre "Nous devons rentrer d'urgence car la mère de mon mari a fait un AVC".
L'employé est désolé pour ma belle-mère, mais pour la chambre, pas de soucis, il y a des gens sur liste d'attente.
Cool ! À moi le désert, les cascades, les Berbères mâles et femelles. Seule ombre au tableau, une petite voix dans ma tête, me souffle "N'oublie pas Kristos, ne va pas ramper aux pieds du premier ou de la première Berbère venue..." Elle est conne, cette voix?!
***
Le lendemain on quitte l'hôtel, vers 13 h 30, pour aller au rendez-vous. Après avoir réduit nos bagages au minimum, j'ai donné une partie des vêtements que je ne compte pas mettre à une femme de chambre. J'ai fait la même chose avec les vêtements de Julien. Il devrait être content, puisque c'est lui qui porte tout.
On va à l'endroit du rendez-vous. J'aperçois un garçon qui ne ressemble pas du tout à Malha. Il est appuyé contre l'avant d'une Toyota Land Cruiser 7. Voiture idéale pour le désert, mais très inconfortable. Je lui dis :
— Je suis Samia. Vous êtes le frère de Malha de l'agence??
— Bonjour. Non, je suis le chauffeur. Djibril va arriver. Ah, voici vos compagnons de route...
Je vois arriver quatre personnes. Une jolie femme d'environ 25 ans se dirige vers nous. Je lui dis :
— Bonjour, je crois qu'on va voyager ensemble.
Elle m'embrasse et répond :
— Bonjour. Je m'appelle Josiane et voici mon mari et ses enfants.
Elle a un accent du Midi. Son mari est un gros homme chauve, qui a bien 30 ans de plus qu'elle. Inutile de se demander pourquoi elle l'a épousé?! Les deux fils du mari sont des jumeaux, enfin, je pense. Ils doivent avoir 18 ans, mais ils ressemblent à des ados, avec les écouteurs de leurs walkmans vissés dans les oreilles. Ils ont cependant tout à coup l'air intéressés par mon décolleté et ils viennent m'embrasser aussi. Ils ne sont pas mal, mais... bizarres. Un peu blonds à mon goût. Le mari vient me donner la main, tandis que Julien attend bêtement derrière la voiture. Je lui dis :
— Viens dire bonjour.
Il serre la main de tout le monde en bredouillant. Quelle andouille?!
La jeune femme m’explique qu'ils viennent de Toulouse. Elle est exubérante et très peuple... mais, moi aussi, je suis peuple, toute Comtesse que je sois devenue. Mais d’abord, il faut la mettre au courant :
— Malha, la fille de l'agence, m'a dit qu'on se ressemblait.
— Ah?? À quel point de vue??
— La façon de traiter les maris...
— On va en parler entre nous. Robert, va faire un tour mais que je ne te perde pas de vue.
Ouah ! J'adore ça?! Je dis à Julien :
— Va avec lui.
Les jumeaux se sont rapprochés... Ils peuvent écouter?? Josiane suit mon regard et dit :
— Ces jeunes gens savent que leur père est une nouille et ils n'ont aucun respect pour lui. N'est-ce pas les gars??
Jumeau A répond :
— C'est pas notre père?!
Jumeau B :
— C'est un porc et on n’est pas des porcelets.
Ils sont farces, les petits ! Josiane me dit :
— Explique-moi ta relation avec ton mari.
Je lui raconte le bobard, qu'il m'a trompé à son enterrement de vie de garçon, etc. Eh?! Mais, j'y pense, c'est pas un bobard, il m'a vraiment trompée ce soir-là?!
Josiane me raconte aussi comment elle a rencontré sa grosse andouille de mari qui est devenu fou amoureux d'elle. Les jumeaux sont toutes oreilles. Surtout quand leur belle-mère me demande :
— Tu aimes les filles??
— J'ai été élevé chez les religieuses, alors...
On rit toutes les deux, les jumeaux, aussi. Le A ou le B nous dit gravement :
— Vous voir ensemble, toutes les deux, ce serait le plus beau spectacle du monde.
Oh?!? Josiane répond :
— Peut-être...
Elle caresse mon pubis du dos de la main. Je suis surprise et... émue. Mais, retour sur terre, car un beau mec arrive. Lui, c'est sûrement le frère de la Princesse du désert. Il doit avoir 25 ans, costaud avec une barbe courte, un short et un tee-shirt kaki. Il salue les Toulousains, puis m'embrasse en disant :
— Ma sœur m'a beaucoup parlé de toi.
— En bien??
— Non, heureusement.
On rit. Déjà complices?? Ne voulant pas que cela indispose ma nouvelle amie, je lui murmure :
— S'il te tente, on partage.
Elle me sourit. Cool... On monte dans la Land Cruiser. Le père à côté du chauffeur – la mère et les jumeaux sur la banquette arrière – Djibril, Julien et moi à l'arrière. Il y a deux sièges assez bas qui se font face. Comme Julien n'ose pas s'asseoir, le chauffeur lui dit :
— Vous pourriez prendre votre femme sur vos genoux.
Djibril répond :
— Il n'a pas le gabarit pour ça, viens plutôt sur les miens.
Il m'attrape par les hanches et m'assied sur ses genoux. Enfin, sur ses cuisses nues....
Le Toulousain – il s'appelle Robert – se croit permis d’intervenir :
— Ils sont mariés, ce serait peut-être plus normal que...
Sa femme l'interrompt aussitôt :
— De quoi tu te mêles ? Entre les genoux de ce jeune homme et les tiens, je n'hésiterais pas une seconde.
Ça fait glousser les jumeaux. Elle ajoute pour moi :
— Amuse-toi, ma belle. Un voyage de noces, c'est fait pour ça et puis une paire de cornes, c'est ce qui pend au nez des maris. Hein Robert??
— ... Euh... oui ma chérie.
Nouveaux rires des jumeaux.
Je sens qu'on va s'amuser. Le chauffeur nous dit :
— Bouclez vos ceintures, on y va.
La route qu'on prend devient vite une piste. Heureusement que Djibril me tient collée contre lui, ça amortit les chocs. On parle un peu mais ce n'est pas facile, tellement il y a du bruit. Je somnole, la tête sur son épaule, mes pieds sur les jambes de Julien qui me caresse doucement les pieds. Il sait que j'aime ça. Je dis à Djibril :
— Je ne suis pas trop lourde??
Il tourne la tête pour me répondre et... nos bouches se rencontrent, sans même me demander la permission. Mes lèvres s'écartent... humide et offertes. On s'embrasse sous les yeux de Julien. Quoi, c'est pas bien?? Vous avez entendu la dame : une paire de cornes n'a jamais fait de mal à un mari et question cornes, Julien et Robert, le mari de Josiane, ils doivent ressembler à des cerfs 10 corps?! On parle un peu entre nos baisers. Je sens son sexe dressé contre moi... Je mouille doucement.... Les jumeaux nous regardent du coin de l’œil, manifestement très intéressés.
Après 150 km, la voiture s'arrête : pause boisson et pipi.
Josiane me dit :
— Viens, on va faire pipi ensemble.
On s'éloigne, mais pas trop quand même, à cause des vipères à cornes et des scorpions, elle me dit?;
— On est bien assez loin et puis pipi, c'est la nature
Elle est farce : on n'est pas à plus de 10 mètres. Elle se tourne le dos, relève sa jupe et baisse sa culotte en s'accroupissant. Je fais la même chose. Bah?! tout ce qu'ils peuvent voir, c'est nos deux paires de fesses et nos chattes offrant un peu d'humidité au désert. Quand c'est fait, on se redresse et on se secoue, comme font les filles pour envoyer des gouttes de pipi sur leurs jambes. On retourne à la voiture, l'entrejambe humide...
On boit et on repart. Je reprends ma place sur les genoux de Djibril.
On roule encore une bonne heure et on arrive enfin dans le village. La Toyota nous dépose et repart.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
Les 6 premiers épisodes de ma nouvelle histoire "Justice Cajun" sont sur le site gratuit de La Musardine, "Mes histoires porno."
http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-1/
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L'Agamemnon s'est placé en orbite furtive dans le système U454 après un voyage qui a duré plus de cent trente cinq années terrestres. On a eu beau faire, les bonnes vielles théories de la relativité sont restées incontournables. La première planète en zone habitable est un cauchemard, un condensé de tous les musées des horreurs de la galaxie. Un monde inhospitalier, glauque, couvert de brumes denses et poisseuses et peuplé de monstres terrifiants. Nos dinosaures sont des caniches à coté. Curieusement ce monde plait à ma ravissante capitaine, mon second dans l'escadrille de chasse, la sulfureuse Bana, une bombe sexuelle infatigable.
Nous avons survolé dans tous les sens cette planète avec nos superbes chasseurs Cobra et finalement J'ai choisi une base sur un plateau entouré de vertes collines avec un joli lac au centre. Nous sommes au dessus des brumes et nous avons placé des répulseurs pour dissuader les monstres d'approcher. J'ai appelé cette base "Khe sanh ", c'est mon humour, pour dire qu'autour, il faut faire attention, le danger est partout. Nous avons du séparer les eaux du lac pour empêcher des énormes sortes d'anguilles carnivores et très voraces d'approcher. Les filles montent le camp. Avec le capitaine Bana, je visionne nos survols d'explorations pour préparer nos prochaines missions. Une équipe de scientifiques doit nous rejoindre avec à sa tête la bombe Gina aux gros lolos qui pointent comme des obus de 120mm droit devant. La plus belle poitrine de l'Agamemnon. La vie à "Khe Sanh" va pas être triste.
Bana suit mes pensées et me sourit. Elle porte un short moulant, raz la chatte et putain je peux pas résister, il faut que je la nique. Elle comprend de suite et baisse son short. Je lui bouffe la chatte . Elle me ruisselle dans la bouche. Cette conne de Mimie arrive vite.
-Hé vous faites quoi là ? C'est mon tour !
Il existe un tour de rôle pour la distribution de sperme. Aucune de mes douze femmes ne doit être lésée. Effectivement c'est au tour de Mimie de recevoir sa giclée. Bana l'empoigne, l'embrasse et la déshabille. Mimie s’électrise et part dans un soixante neuf avec Bana. Cette dernière lui empoigne les fesses et les écarte. Cela me fait rire. Elle me désigne la cible. Je sodomise Mimie qui se tétanise dans un râle de plaisir. Putain que c'est bon de troncher mes femelles au bord de ce lac perdu. Je donne à Mimie sa giclée. Je pousse le plus au fond possible. Nous explosons un violent orgasme. Bana qui est dessous se délecte en mangeant le minou délicat de Mimie.
Shirley s'est pointée. Je suis sur le dos en train de récupérer. Elle se place debout au dessus de moi, écarte les jambes et me montre sa chatte bien poilue, histoire de me dire que c'est son tour à présent. Je recommence à bander lorsque nous entendons un brouhaha vers les clôtures invisibles et les répulseurs. Un groupe de "monstriens" fait un remue ménage pas possible. C'est le sergent Ramirez qui les provoque en jouant à la conne et en leur montrant son cul de rêve.
Les "monstriens" ressemblent à de grosses crevettes. Ils sont vraiment horribles mais je ne sais pas pourquoi, je les trouve sympathiques.
-Bana, branche le traducteur !
la machine n'a eu aucun mal à traduire
-Salope, pétasse, gros cul, pastèque???....
Je les trouve de plus en plus sympathiques ces "monstriens"
-allo l'Agamemnon, premier contact avec une intelligence extra terrestre sur Monstra, base de Khe Sanh. Contact amical pour l'instant.
Nous avons porté le traducteur sonore au sergent Ramirez qui s'est amusée comme une folle avec ses crevettes en rut. Elle a reçu 4 demandes en mariage. Les crevettes ont voulu voir sa chatte, ses nichons et ....ses oreilles, c'est très érotique pour elles.
J'aurais pu opter pour l'approche: "Nous sommes des Dieux", mais ce n'est pas mon truc. Nous avons sympathisé avec les monstriens et nous les avons invités sur notre base de Khe Sanh. Ils se sont montrés très respectueux et amicaux. Le soir nous sommes allé dans leur village de crevettes et le sergent Ramirez leur a fait la danse du ventre. Les femelles crevettes ont voulu apprendre. Nous avons beaucoup ri.
La morale de cette histoire c'est que le cul est la langue intergalactique.
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Rien n'est plus érotique, plus stimulant pour l'imagination, plus échauffant pour les sens, que l'extrait du "Rouge et le Noir"
où Julien après avoir gravi les degrés d'une échelle pénètre par la fenêtre dans la chambre de où l'attend Mathilde de la
Mole: "C'est donc toi, dit-elle en se précipitant dans ses bras ...".................................................." Rien de plus sensuel que
cette ligne de points, comme la suggestion qu'elle provoque. Quelle nuit réelle aura donné autant d'émotions, de feu, dans
le cœur ? Ce jour-là, Stendhal n'a pas imposé une scène d'amour au lecteur. Il a fait beaucoup mieux. Il lui à prié d'entrer
dans la chambre, de prendre Mathilde dans ses bras, toute chaude et frémissante dans sa chemise de nuit, et de faire à
sa guise, jusqu'à l'aube, tout ce qu'il voulait. Rien de plus efficace pour la littérature érotique que la liberté de l'esprit.
La volupté, les caresses, la sensualité permettent de réinventer le plaisir sexuel en dehors des normes pornographiques
dominantes, la littérature érotique féminine insiste sur l’imagination et le désir pour créer un climat sensuel, contre le
plaisir immédiat; cette conception de la sexualité semble aussi plus réaliste que les scénarios érotiques occultant les
relations humaines, avec leurs frustrations et leurs contrariétés; dans la pornographie traditionnelle, les individus se livrent
au plaisir sexuel sans même se rencontrer et se connaître. Que l’amour soit un chef-d’œuvre, que l’éros soit poésie, nul
n’en disconviendra; non pas au prix toutefois du rejet de la négativité, ce noyau de réel au cœur de l’expérience érotique.
Cette part maudite que tous les auteurs affirment diversement est inséparable du travail littéraire dont elle est la source.
L'odeur d'un parfum excite, une fragrance inédite, le corps devant elle se raidit. Revenons à l'amour, puisqu'il n'y a que
cette passion éphémère qui donne seule à la vie un goût d'éternité. Souvent des images me reviennent. Chaudes, épicées,
elles se superposent aux visages et aux corps. Les femmes que j'évoque m'apparaissent alors dans l'éclairage violent de
de leur autre vie, celle ardente du lit, de la volupté, des étreintes. Ces souvenirs familiers deviennent aussi étrangers que la
mémoire d'anciens accès de folie. Pourtant un rien les ressuscite. Un mot, une anectode, un parfum. Aussitôt s'éveille et
s'anime le théâtre de la jouissance, de l'extase. Je me demande quel lien l'unit à l'amour ? Sommes-nous dans les cris
que nous poussons ou que nous suscitons dans l'acôve ? Quelle part de nous-mêmes participe à ces coups de reins, à la
furie des corps embrassés à bouche-que-veux ? De ces feux éteints, que me reste-t-il ? Rien n'est volatile comme le
souvenir de la volupté. Mais quelle denrée périssable que le seul plaisir. Le passé n'est pas le temps du désir. Celui-ci
s'enflamme et s'enfuit ailleurs aussi vite qu'il était venu, comme une amante oublieuse et volage. Au présent, c'est le sexe
qui nous tient, nous insuffle ses ardeurs; au passé, il faut faire un effort de mémoire pour rallumer nos anciennces fièvres.
Car ce sont rarement les moments parfaits où tout concourait à l'harmonie de l'amour et des siens, les instants de la
plénitude où la vie rendait justice. Ces heures-là, douces comme de paisibles siestes, basculent dans l'oubli comme
tant de moments du bonheur passé. Nous ne conservons en souvenirs que les nuits d'excès et les scènes de perversité.
La mauvaise humeur passa. Pas la blessure, qui demeura intacte. Cet échec ne fut pas inutile. Il donna matière à réfléchir.
Je ne cessais de penser à Charlotte, non plus dans l'espoir d'un retour d'affection. J'étais trop meurtie pour remettre en
route cette machine à souffrir, mais pour tenter d'élucider l'énigme de sa conduite. D'autant qu'elle ne fit rien pour se
justifier. Je ne reçus pas de nouvelles d'elle, ni lettre ni message d'aucune sorte. Elle s'était évanouie dans le silence.
Cela fut l'occasion d'un examen de conscience. Avais-je des torts envers elle ? J'avais beau me livrer à la plus sévère
critique de mes faits et gestes depuis notre rencontre, je ne trouvais rien à me reprocher. Pourtant j'étais experte en
autodénigrement; mais en la circonstance, quel que fût mon désir de me flageller et de me condamner, force est de
constater que pour une fois, peut-être la seule dans une vie amoureuse déjà longue et parsemée de petites vilénies, mon
comportement se signalait par son honnêteté. Mais un doute affreux me traversait. N'était-ce pas justement dans cette
honnêteté un peu niaise que résidait mon erreur ? Pourquoi s'imaginer que les jeunes filles veulent être traitées comme
des saintes ou des chaisières ? Peut-être ce respect n'était-il pas de mise avec elle ? Ne m'eût-elle pas mieux traitée
si je l'avais bousculée au lieu d'accumuler ces stupides désuets préliminaires ? L'amoureuse et la tacticienne, qui dans
le succès amoureux ne font qu'une, s'affrontaient dans l'échec. Elles se donnaient toujours réciproquement tort.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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L'Agamemnon glisse sur les abîmes insondables des vastes cieux, en route vers deux exoplanètes fort lointaines où l'on est certain de trouver de la vie. Nous n'avons pas recours à l'hibernation pour ce voyage qui doit durer plus d'un siècle terrestre, pour une raison simple, c'est que la durée de vie d'un humain est d'environ Huit à neuf cent ans, en parfaite santé. Le corps n'est qu'un véhicule. L'homme ne meurt plus en fait, les femmes ne procréent plus. Lorsqu'il faut changer de véhicule corporel, l'âme est transférée dans une machine puis réimplantée dans un corps neuf et presque parfait. On peut choisir d'être homme ou femme. Les hommes sont peu nombreux et sont les maîtres absolus. les femmes obéissent à leur homme qui est souvent polygame.
C'est mon sort et j'ai mes douze femelles soumises, toutes des militaires et des pilotes émérites qui font partie de mon escadrille de chasse qui escorte l'Agamemnon. La mort violente est bien sûr possible pour nous car en combat, il n'est pas possible de transférer l'âme dans une machine. Il nous faut accepter la mort à l'ancienne, avec tous les risques qu'elle comporte, aussi loin de notre terre mère et de son champ magnétique de protection.
Nous approchons. La vitesse de l'Agamemnon ralentit et nous devrions pénétrer ce nouveau système avec son étoile centrale dans moins de dix ans. J'ai passé six cent ans dans ce corps et toujours en pleine forme. Il faut bien cela, avec mes douze femmes à honorer...et ce sont des gourmandes qui adorent la bite.
Là je m'occupe du lieutenant Asthon, une qui adore être attachée et bien fouettée. J'adore lui rougir son beau cul et quand il est bien chaud, je la sodomise d'un coup. Le viol de ses reins lui arrache des orgasmes incroyables. Sa cyprine coule le long de ses superbes jambes très musclées. Elle vibre et tremble sous les coups de fouet. Une dure qui râle son plaisir.
Après on s'allonge et ellese détend. C'est à ce moment que sa douleur se transforme en plaisir. Je la laisse méditer. Elle se love dans mes bras. Mes autres femmes viennent. Nous sommes bien ensemble, nous aimons être ensemble. Nous avons tout le temps. Mon sexe se dresse. Je regarde autour...une chatte s'offre et je la pénètre d'un coup. Je n'aime pas les préliminaires, j'aime défoncer de la chatte bien étroite et tonique. Mes douze femmes sont très pneumatiques. C'est chaque fois l'extase.
Le lieutenant Asthon émerge de sa méditation, de son subspace. Elle caresse ses fesses brûlantes.
-Allez les filles, on retourne sur simulateurs, allez, un bon entrainement au combat !
Toutes ont passé leurs combinaisons et sont allées dans les simulateurs tester des routines, procédures et combats. Elles sont adorables et très professionnelles. Je ne sais pas ce que nous allons rencontrer dans ces mondes nouveaux, mais nous sommes prêts.
La morale de cette histoire c'est que les hommes c'est fait pour vivre en pachas.
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Lina numéro 1 Enfant j'ai eu un chien qui s'appelait Lina, une chienne, une jolie petite caniche naine et noire. Bien plus tard, je suis à la plage avec une nouvelle chienne que j'ai décidé d'appeler aussi Lina. Cela m'aide à la considérer comme une canidée. En effet la plage est interdite aux chiens, pourtant Lina est là, à côté de mon siège couchée sur le côté en rond, comme je lui ai appris et comme je lui ai demandé de le faire sur la plage, lorsqu'il y a du monde elle peut s'étendre sur le ventre ou le dos. C'est le matin à Cannes sur les plages du midi, l'eau est claire et calme, il n'y a pas de vagues, il fait chaud. J'ai mis Lina à l'ombre d'un parasol qu'elle m'a aidé à apporter de la voiture. Elle installe: parasols, serviettes, mon siège, mon sac, les vêtements que je viens d'enlever pour piquer une tête. Quand elle a fini elle m'attend au soleil en position "kneel" assise à genoux sur le sable, mais les paumes de mains sur les genoux. Elle me surveille et garde les affaires. Si je ne lui fais pas signe de me rejoindre dans l'eau, ce qu'elle adore, elle attend que je revienne. Je lui sussure en prenant place dans mon fauteuil : "à ta place" accompagné d'un regard discret qui lui montre sa serviette. Il m'arrive de lui dire "ici" pour la mettre à ma droite dans le sable au soleil quand je ne l'a trouve pas assez bronzée. Elle porte un bas de maillot de bain, un string noir en lycra et des petits anneaux aux seins. Un fin ruban de lycra noir autour de son cou. Elle doit le maintenir en place cette année car je souhaite une bande blanche sur son cou à l'emplacement de son collier de chien, elle peut aussi se transformer en: esclave, soumise, servante, mobilier ou vanille et cela sur: demande, geste, regard, claquement de doigt, habitude, rituel ou consignes pérennes. Du doigt je peux lui montrer la surface à côté de mes pieds ou tapoter sur ma cuisse pour qu'elle y dépose sa tête. Elle sait que nous sommes en public et que je souhaite d'une manière générale qu'elle n'ait qu'un comportement vanille. Elle ne porte toute l'année que des robes de plage sans bretelles en tissus extensibles, éventuellement un gilet et dehors un manteau doudoune resserré à la taille. Tous ces gestes de domination envers Lina et demandes sont exécutés dans une discrétion totale. Les voisins nous regardent du coin de l'œil sans manifester d'hostilité. Je m'attache à ce que Lina n'ai que le présent à vivre. Elle n'a de raison de vivre que de veiller à mon bien-être et mes besoins. Elle me suit comme un chien et n'a d'yeux que pour mon moindre besoin, qui ne s'exprime que par ma communication non verbale. Cela demande beaucoup d'observation, en effet assouvir le désir du dominant est simple, il suffit de l'écouter. Elle m'observe très souvent et détourne les yeux quand je la regarde… C'est un confort immense, c'est le résultats d'un travail de 7 ans. Ce n'est pas du dressage, mais de mise en condition ou de mise en situation. En équitation on ne "dresse" pas un cheval, on le met. C'est l'apanage des grands mammifères, je pense, comme les orques, les dauphins, les chevaux ou les soumis. Lina est si bien "mise", qu'elle force mon amour, j'ai peur de l'aimer. J'en suis à être effrayé qu'elle me quitte. Je l'ai éduquée à coups de fouets, cordes, pinces, poids, anneaux, et autres oiseaux de mauvaise augure… Elle nage, elle court, elle grimpe, elle saute, elle me fait la lecture au lit, je suis légèrement dyslexique, j'en ai fait mon héroïne, c'est ma cam à moi, ma drogue, elle m'enivre… Je me sens faible, alors que je dois être son mentor son maître. J'ai peur qu'elle le ressente et trouve nul de m'obéir, de me servir, de m'observer, de disparaître dans mon ombre, d'avoir mal, d'avoir un mâle pour son bien. Je me ressaisi, la réveille… Elle dort par fractions, comme en voile ou sur un voilier en transatlantique. Elle tient des quarts. Elle dort par petits bouts comme l'impose toute veille. Elle doit rester à mon service humain et sexuel. Son rôle: être à mes côtés. Elle me regarde, m'observe afin de devancer mes souhaits exprimés par mes attitudes ou mes comportements. Quand elle ne devine pas ce que je veux, elle me lèche, me caresse avec ses joues ou son front, elle se love. On est toujours sur la plage. Elle me sent bouger, et sort de sa torpeur. Je cherche dans mon sac un objet gonflable qui ressemble à un mini ou mico zodiac avec un drapeau qui signale un plongeur aux bateaux à moteur. Ce mini zodiac de 50 centimètres. Permet de transporter un tas d'objet et permet de s'y reposer et de retrouver son souffle après une apnée en profondeur ou une longue nage. Ce tout petit bateau permet de tirer une personne lorsqu'elle peut plus nager. Surtout elle nous balise si nous sommes à la limite de la zone de baignade qui va va jusqu'à 300m des côtes ou si nous allons nager dans les calanques de l'Estérel ou ailleurs dans le monde. Lina le trouve pour moi et le gonfle. Elle se retrouve hyper ventilée avec la tête qui tourne, j'adore la voire avec la tête qui tourne, je lui interdis l'alcool. Je veux qu'elle soit toujours en possession de ses moyens pour pouvoir utiliser son safe word qui est "bouillabaise". Je lui fais enfin un signe de se mettre à l'eau et la commence un rituel qui a pris plusieurs étés d'apprentissage. Elle se mouille, plonge dans la vague où s'immerge totalement dans la mer calme. L'eau à la taille elle retire son string et le place comme "chouchou" dans ses cheveux en me regardant. J'aime voir ses anneaux de sein vibrer sous les gestes des ses mains s'affairant près de sa nuque. Une fois sa queue de cheval terminée je souhaite pouvoir observer l'instant d'un flash sa nudité totale, elle doit se projeter la tête dans l'eau vers le large. Si elle le fait en arrière je vois son sexe glabre que je connais par cœur, je vois parfois un de ses sept anneaux de sexe accrocher un rayon de soleil. Elle doit enfin se retourner vers moi de l'eau jusqu'au cou et m'attendre...
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« Comme j'aimerais révolutionner dans votre tête votre vision violente et sombre du BDSM pour y mettre des coloriages gaies de fleurs, de papillons et de petits camions. ^^ »
Quel parent aime punir son enfant?
Bien sûr on peut aimer donner la fessée, la recevoir. Mais punir, infliger quelque chose qu'on SAURA désagréable pour l'autre... quelqu'un qu'on cherche à élever... Personnellement, je n'aime pas ça. (Et je soupçonne que le contraire soit du sadisme pur et simple à la source de l'abus)
Est-ce qu'on ne ressent pas une sincère et amère déception en soi de voir l'être qu'on aime transgresser nos limites?
Pour moi, le BDSM n'est pas un jeu. Dans le BDSM il y a des jeux. Et pour certains, c'est peut-être un jeu.
C'est peut-être bien ainsi. Mais je vous demande alors de comprendre que même ce que vous appelez ''soft'' comporte des enjeux et pas seulement le jeu. :wink:
Faire semblant de punir c'est très bien. C'est mignon. On applique les quelques règles de sécurité et de consentement et c'est très ludique!
Pour un dressage, là, c'est tout autre chose. C'est important de le comprendre je trouve.
Vous ne pouvez pas punir impunément. :yum:
Dans ma vision des choses, il est souhaitable que la dynamique occasionne du plaisir et de la sécurité pour les 2 partis.
C'est assez difficile à faire si votre soumis craint continuellement de faire un faux pas (état de stress et de tension négative/chercher à échapper à quelque chose/atteinte à l'estime de soi) plutôt que d'espérer vous faire plaisir (état d'appréhension, d'anticipation, d'espoir: tension positive/dépendance à l'approbation du dominant).
C'est très différent.
L'un entraînera votre protégé dans des séquelles psychologiques et l'autre dans un entretien du lien qui vous unit.
Et encore selon moi, le plus souhaitable reste, (une coche au-dessus) de tenter de faire en sorte que le soumis développe son propre discernement et auto-jugement pour qu'il ait grandit de votre échange une fois qu'il retournera dans le grand monde. :two_hearts:
Pour cela, il est indispensable, à mon avis de forcer la dose de renforcement positif.
Et pour ça, il faut être très attentif à son soumis/sa soumise. Il faut cerner ce qui peut constituer pour lui, une gratification qui occasionnera cet infime boost de dopamine dans son cerveau.
Ce que vous considérez une récompense, pour lui, n'en est peut-être pas une. Afin qu'il reproduise le comportement attendu, il est essentiel que ça soit à LUI que vous pensiez.
Et en fait, ça fonctionne également pour une soumise qui chercherait à signaler à son Dominant son appréciation.
On récompense toujours ceux qui nous entoure pour leurs bienfaits. L'essentiel est de le faire avec ce qui, pour eux, constitue une gratification.
Bonne journée mes amours! :blush:
Mme Julie
:blue_heart::revolving_hearts:
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Sarah n'aurait pas poussé la cruauté mentale jusqu'à s'effacer définitivement de sa vie après y avoir tenu une telle
place, sans un mot d'explication. Pas elle, pas avec Patricia. Quoique ... Plus rien n'était sûr. Il faut dire que le terrain
était fertile. Le moindre indice favoriserait l'angoisse du revirement. Les symptômes s'associaient en elle avec un
naturel de malfaiteur, d'autant qu'elle les accueillait bien volontiers. Au vrai, Patricia passait auprès de ses amis pour
une anxieuse, une hypocondriaque des troubles de l'esprit. Elle médicalisait en permanence tout ce qui lui advenait
d'inquiétant, quoiqu'elle consultât plus souvent les grands classiques littéraires que les dictionnaires spécialisés de la
Faculté. Cette fois, elle se sentait l'âme cernée par une conjuration de névroses. Le colonel Chabert et le baron de
Münchhausen y campaient joyeusement en attendant d'être rejoints par leurs nombreux amis. Non, un tel épilogue
eût été indigne de leur histoire. Au chagrin se serait substitué l'écœurement, qu'aurait suivi une insondable déception.
La fin d'une liaison n'est pas tenue d'être médiocre. Elle peut même ne jamais advenir. Longtemps après une passion,
il est des amitiés amoureuses qui ne s'achèvent qu'avec la mort. Inconstante, elle était juste assez pour passer du
registre de la séduction à celui de la frustation, de la tendresse à l'abandon, et retour, mais n'était-ce pas l'ordinaire
des rapports amoureux ? Une première fois déjà par le passé, Sarah avait pris ses distances. Patricia n'avait pas pu
déterminer réellement si plus labile qu'elle ne l'eût crue, elle s'était éprise d'une autre ou si, rattrapée par un remords
mal enfoui, le mensonge lui était devenu aussi invivable qu'elle le prétendait, elle qui s'en était jusque-là apparemment
si bien accomodée. Il n'est pas envisageable de vivre heureux dans le mensonge, à moins d'être deux en un, justement.
L'une attachée, l'autre détachée. Elle s'était éloignée au point de ne plus l'appeler que sous sa pression insistante.
Leurs rendez-vous étaient régulièrement repoussés sous les prétextes les plus divers, réceptions imposées par son
travail, agenda surchargé à son cabinet, toute la litanie des mille et un devoirs et obligations qu'elle savait si bien
maîtriser et qui soudain, bizarrement, l'accaparaient. Elle avait dû la harceler pour obtenir enfin une explication qui ne
fût pas un faux-fuyant. Une lettre de deux pages égrenant des motifs qui se voulaient des raisons, aussitôt lues et
aussitôt oubliées car elle avait mis les petits mots dans les grands, mais qui s'achevait par un "Je ne t'aime plus."
Quelque temps après, elle était revenue vers elle. Sans plus d'explication. Or, ce qu'on ne dit pas devient un secret, un
lieu où s'enracinent la honte et la peur. Mais elle avait vite compris que désormais, il y aurait toujours cette différence
entre elles, que l'une avait fait du mal à l'autre. Un jour, dans un restaurant, quand cette douleur affleura à nouveau au
détour d'une conversation, elle avait baissé la tête, lui avait pris et baisé la main à plusieurs reprises avec ferveur et,
abdiquant toute fierté, renonçant à toute pudeur, avait imploré sa clémence. Ne l'aurait-elle pas retenue qu'elle se serait
agenouillée entre les tables sous le regard effaré des clients. Elle pourrait pardonner mais jamais oublier. Les mots tracés
sur le papier, plus encore que les paroles, restent gravés dans l'arrière-pays de la mémoire. Surtout des mots aussi
puissants et rares. Certaines phrases, on aimerait les gifler. Elle se connaissait des adversaires et des ennemies, elle
savait quelles inimitiés et quelles critiques, elle pouvait même compter sur la haine sourde et tenace de quelques
irréductibles, mais nul n'avait encore jamais éprouvé l'impérieuse nécessité de lui dire qu'elle ne l'aimait plus. Et moins
encore de lui écrire. Souvent les propos s'envolent, la lettre est olographe. Un sentiment passe pour être plus médité,
quiite à paraître moins spontané, quand on l'a couché sur le papier. La lettre de Sarah avait tout du testament, vierge de
toute rature, entièrement écrite à la main, datée et signée. Comme si la testatrice était parfaitement consciente de la
forme sacramentelle de son texte. Cela ne se faisait pas. Il fallait que cette peine lui fût infligée par celle qui lui importait
plus que tout. On ne dit pas ça, et on ne l'écrit pas davantage. On se tait ou on disparaît au bout du monde sans un mot.
Elle en était là, à cette simple mais ferme conviction: une femme comme elle ne pouvait pas faire souffrir volontairement.
Pas après avoir déjà pris la mesure de cette douleur. Elle ne pouvait y trouver ni plaisir ni intérêt. C'est donc qu'il y avait
autre chose. Ce ne pouvait être que l'ultime scénario envisagé, celui qui aurait dû s'imposer en tout premier, n'eût été ce
délire qui pousse tout amoureux à se croire le centre du monde de l'autre. Depuis, de Sarah, elle attendait tout mais
n'espérait rien, du moins le croyait-elle. Le sujet avait été évacué. Il y aurait toujours cela entre eux. Puisqu'elle l'avait fait
une fois, pourquoi n'en serait-elle pas capable à nouveau ? Son esprit et son corps la comblaient, mais elle nourrissait
des doutes sur la qualité de son âme. Rien ne démentait en elle une mentalité de froide amante dominatrice. Après tout,
leurs deux années de vie commune dans la clandestinité la plus opaque qui soit, non pour cacher mais pour protéger,
les avaient fait passer maîtres dans l'art de la dissimulation. Sarah était bien placé pour savoir que Patricia mentait avec
aplomb, et vice versa. Elles s'adaptaient différemment à la déloyauté, et cloisonnaient leur existence avec plus ou moins
de réussite. Mais jamais elles n'auraient songé à élever la trahison au rang des beaux arts. Puisqu'elle lui mentait, et par
conséquent au reste du monde, Patricia pouvait supposer qu'elle lui mentait aussi. Sarah avait-elle échaffaudé ce scénario
pour s'évader de tout et de tous avec une autre. L'amour impose le sacrifice et le privilège de l'être aimé. Il leur fallait se
reconquérir, alors tous les matins seraient beaux, les lèvres dessinées en forme de baisers, frémir de la nuque, jusqu'au
creux des reins, sentir le désir s'échapper de chaque pore de la peau, tanner comme un soleil chaud de fin d'après-midi,
et blanchir fraîchement comme un halo de lune, que les draps deviennent dunes et que chaque nuit devienne tempête.
L'indifférence prépare admirablement à la passion; dans l'indifférence, rien ne compte; dans la passion, rien ne compte
non plus, sauf un seul être qui donne son sens à tout. Seul est pur l'élan qui jette les corps l'un contre l'autre, les peaux
désireuses d'un vrai plaisir. Un lit où l'on s'engouffre, un rêve où l'on s'enfouit, des doigts soyeux, un arpège harmonieux.
Refaire sa vie ailleurs, là où on est rien pour personne. Sans aller jusqu'à s'installer à Sydney ou ailleurs, combien de
fois n'avait-elle pas rêvé à voix haute de vivre dans un quartier de Paris ou une ville de France où elle ne connaîtrait
absolument personne. Un lieu au cœur de la cité mais hors du monde. Un de ces finistères ou morbihans où elle ne
représenterait rien socialement, n'aurait de sens pour personne, ni d'intérêt pour quiconque. Où elle ne serait pas
précédée d'aucun de ces signes qui préméditent le jugement, vêtements, coiffure, langage, chien ou chat. Une parfaite
étrangère jouissant de son anonymat. Ni passé, ni futur, sérénité de l'amnésique sans projet. N'était-ce pas une manière
comme une autre de changer de contemporain ? Une fuite hors du monde qui la ferait échapper seule à la clandestinité.
À tout ce qu'une double vie peut avoir de pesant, de contraignant, d'irrespirable. Vivre à cœur ouvert. Ce devait être
quelque chose comme cela le bonheur. Un lieu commun probablement, tout comme l'aventure intérieure qu'elle avait
avait vécue avec elle. Mais souvent hélas, la vie ressemble à des lieux communs. La Baule-les-Pins ou Le Touquet.
Une mécanique perverse fait que le corps s'use durant la brève période d'une maturité dont nul n'ignore qu'elle est un
état instable. Rien de plus menacé qu'un fruit mûr. Des mois précèdent cet instant de grâce. Des semaines nécessaires
pour accomplir l'épanouissement. Entre ces deux évolutions lentes, le fruit se tient, l'espace d'un jour, à son point d'idéale
perfection. C'est pourquoi la rencontre de deux corps accomplis est bouleversante. Sarah en était là. Patricia aimait la
la retrouver parce que, en elle, elle se retrouvait. De ce qui n'était qu'un grand appartement sans âme, elle en avait fait
un refuge à semblance: lumineux, paisible, harmonieux. Les chambres qu'habitèrent des générations de gens sans goût
dont la vie morne avait déteint sur les murs, Sarah les avaient meublées de couleurs exactes et de forme harmonieuses.
Le baroque engendre souvent la tristesse et le confort l'ennui lorsqu'il se résume à une accumulation de commodité.
Chez elle, rien n'offensait ou n'agaçait. C'était un endroit pour états d'âme et étreintes joyeuses. Elle avait crée chez elle
un micro-climat privilégié fait d'un confort invisible qui se haussait à la dignité de bien-être et de cette forme supérieure du
silence, le calme. Les yeux de Patricia la voyaient telle qu'elle était. Sarah la dominait mais en réalité, c'est Patricia qui
devait veiller sur elle et la protéger sans cesse de ses frasques, de ses infidélités. Elle ne supportait mal d'être tenue à
l'écart. Avec une patience d'entomologiste, elle avait fait l'inventaire du corps de Sarah et souhaitait chaque nuit s'en
régaler. Elle s'arrêtait pas sur ce qui, dans le corps, atteignait la perfection. La ligne souple du contour de son visage, du
cou long et de l'attache de ses épaules, flexibilité qui fascinait Modigliani en peignant sa compagne, Jeanne Hébuterne.
Patricia avait connu la révélation en pénétrant pour la première fois dans l'appartement de celle qui allait devenir,
sa Maîtresse et l'amour de sa vie. Elle n'avait ressenti aucune peur, elle si farouche, en découvrant dans une pièce
aménagée les martinets pendus aux poutres, les photos en évidence sur la commode de sycomore, comme une
provocation défiant son innocence et sa naïveté. Sarah était attentionnée, d'une courtoisie qu'elle n'avait jamais
connue avec les jeunes femmes de son âge. Elle était très impressionnée à la vue de tous ces objets initiatiques
dont elle ignorait, pour la plupart l'usage, mais desquels elle ne pouvait détacher son regard. Son imagination la
transportait soudain dans un univers qu'elle appréhendait sans pouvoir cependant en cerner les subtilités. Ces
nobles accessoires de cuir, d'acier ou de latex parlaient d'eux-mêmes. Ce n'était pas sans intention que Sarah lui
faisait découvrir ses objets rituels. Elle savait qu'elle fuyait plus que tout la banalité. Elle avait pressenti en elle son
sauvage et intime masochisme. Les accessoires de la domination peuvent paraître, quand on en ignore les dangers
et les douceurs d'un goût douteux. Comment une femme agrégée en lettres classiques, aussi classique d'allure
pouvait-elle oser ainsi décorer son cadre de vie d'objets de supplices ? L'exposition de ce matériel chirurgical,
pinces, spéculums, anneaux auraient pu la terrorriser et l'inciter à fuir. Mais bien au contraire, cet étalage la rassura
et provoqua en elle un trouble profond. Sarah agissait telle qu'elle était dans la réalité, directement et sans détours.
Instinctivement, Patricia lui faisait confiance, cédant à la curiosité, recommandant son âme à elle. Elle ne marchait
plus seule dans la nuit éprouvant un véritable soulagement d'avoir enfin trouver la maîtresse qui la guiderait. Malgré
le cuir, l'acier et le latex, elle est restée avec elle ce soir-là. Elle n'a plus quitté l'appartement et elle devenue l'attentive
compagne de Sarah. Car, en vérité, si elle avait le goût de l'aventure, si elle recherchait l'inattendu, elle aimait avant
tout se faire peur. Le jeu des situations insolites l'excitait et la séduisait. Le danger la grisait, la plongeait dans un état
second où tout son être se dédoublait, oubliant ainsi toutes les contraintees dressées par une éducation trop sévère.
Ce double jeu lui permettait de libérer certaines pulsions refoulées. De nature réservée, elle n'aurait jamais osé jouer
le rôle de l'esclave jusqu'à sa rencontre avec Sarah. La fierté dans sa soumission lui procurait une exaltation proche
de la jouissance. Était-ce seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou de se livrer sans condition
à un tabou social et de le transgresser, avec l'alibi de plaire à son amante, d'agir sur son ordre. Elle apprit à crier haut
et fort qu'elle était devenue une putain quand un inconnu la prenait sous les yeux de Sarah. Agir en phase avec son
instinct de soumise la faisait infiniment jouir. Étant donné la manière dont sa Maîtresse l'avait livrée, elle aurait pu
songer que faire appel à sa pitié, était le meilleur moyen pour qu'elle redoublât de cruauté tant elle prenait plaisir à lui
arracher ou à lui faire arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Ce fut elle qui remarqua la première que
le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la
peine et de recommencer parfois presque aussitôt. Elle ne souhaitait pas partir, mais si le supplice était le prix à payer
pour que sa Maîtresse continuât à l'aimer, elle espéra seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi, et attendit, toute
douce et muette, qu'on la ramenât vers elle. Sous le fouet qui la déchirait, elle se perdait dans une délirante absence
d'elle-même qui la rendait à l'amour. On s'étonna que Patricia fût si changée. Elle se tenait plus droite, elle avait le
regard plus clair, mais surtout, ce qui frappait était la perfection de son immobilité, et la mesure de ses gestes. Elle
se sentait désormais, au cœur d'un rêve que l'on reconnait et qui recommence. Elle avait enfin reconquis Sarah.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Le sergent Ramirez est pilote de chasse en protection du vaisseau intergalactique Agammnon en direction de l'étoile U354 et ses deux planètes habitées et encore sans contact avec l'humanité. Celle ci a bien changé avec l'exploration de l'espace insondable. Fini les mystiques, les théories fumeuses, les postulats moralistes et autres inventions de l'humanité terrestre. A présent nous sommes dans l'hyper réalisme, sans morale ni état d'âme. Les morts sont recyclés dans les étoiles, et retournent ainsi à la poussière des origines.
-Sergent Ramirez au rapport !
Une bombe sexuelle se pointe. Une qui a du coucher et se servir de son joli cul pour être affectée dans mon escadrille. (Rires, allez un peu de "je" pour écrire). Une nouvelle, une blonde et qui sait jouer à la conne pour me plaire. J'adore les femmes très intelligentes mais pour la baise, les connes c'est pas mal. Et cette sergent Ramirez sait que nous partons pour une longue mission et l’inconnu des mondes nouveaux et donc, autant s'amuser. Elle se met au garde à vous et écarte légèrement les cuisses. Putain qu'elle est bandante. Et elle sait jouer. Une experte. J'adore sa petite lèvre supérieure légèrement retroussée, la marque des supers salopes qui savent foutre le feu dans les braguettes et pas que. Ses yeux brillent d’intelligence et elle sait bien faire la conne.
-Oui , mon Maitre. Aux ordres !
Et elle fait claquer ses talons. Son cul bombé trémousse. Putain la salope !
-On va tester le nouveau chasseur Cobra et vous allez me montrer ce que vous savez faire. Un petit vol de routine en suivant l'Agamemnon.
-Bien maître !
Elle c'est le sergent Raimrez, ne me parlez pas de la sergente et mon grade c'est "Maitre" d'escadrille, et comme les spartiates, j'ai rétabli tous les châtiments corporels pour que mes pilotes aient plus peur de mon bâton que des dangers extérieurs. Le commandant de l'Agamemnon nous fout la paix pourvu que le job soit fait et bien fait.
Le sergent Ramirez est une excellente pilote. Elle adore conduire à l’instinct (avec la force? rires), sans l'assistance des robots et intelligences artificielles. Une surdouée.
Nous nous posons sur un astéroïde, une grosse patate difforme de la ceinture de Kuiper. Là se trouve notre dernière base avant le plongeon vers les autres étoiles.
-On va se boire un bon cognac. Dans moins d'une semaine terrestre, ce sera le grand départ vers U354.
Notre soleil est si loin que ce n'est plus qu'une étoile quelconque. Magnifique ! Le sergent Ramirez a trinqué. Je n'ai pas pu résister à l'envie de bien la tringler aussi, de bien la remplir de sperme. Pour me faire plaisir, elle a joué à être la plus conne possible. J'ai pris mon pied. J'ai adoré la sodomiser et l'entendre couiner. Ici le Maitre à tous les droits. Je suis le Pacha a la tête d'une escadrille d'élite avec douze superbes femmes pilotes toutes bien dévouées, prêtes à se sacrifier corps et âme. J'adore ce métier. Elles adorent aussi.
La morale de cette histoire c'est que les connes sont les meilleures pour ce qui est de faire jouir un mâle.
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Charlotte ouvrit le tiroir où s'entassaient pêle-mêle ses sous-vêtements. Tout au fond, planquée sous des dizaines
de strings et de soutiens-gorge, il y avait une enveloppe de papier kraft. Elle s'assura d'un rapide coup d'œil que son
mari était bien vissé devant son écran avant de l'ouvrir. Sur le premier cliché, elle posait nue, debout devant sa coiffeuse,
les chevilles liées au pieds du meuble. Des cordelettes enroulées autour de ses cuisses et fixées aux poignets des
tiroirs l'obligeaient à maintenir les jambes très écartées et légèrement pliées. Elle avait les bras relevés au-dessus de
la tête mais on n'apercevait pas ses mains que Xavier avait croisées, ligotées ensemble, et qu'un bracelet fixé autour
du cou lui maintenait derrière la nuque. Une corde longue et épaisse, passée autour du torse, juste au-dessus de ses
seins, et tendue jusqu'à la base du miroir la contraignait à se tenir très cambrée. C'était une position difficile à soutenir,
indécente à l'extrême avec ce ventre lisse jeté en avant comme une figure de proue. Pourtant, elle souriait, les yeux
mi-clos. Le second cliché était identique au précédent, à ceci près que Xavier était présent sur la photo. De lui, on ne
distinguait que son torse, un peu de son dos, l'amorce de ses fesses et surtout, son sexe tendu, se pressant contre
celui de Charlotte qui, cette fois, levait le menton au ciel et semblait innondée de plaisir. Comment son mari réagirait
s'il tombait un jour dessus. Quant à la tête de sa mère, si elle la surprenait un jour dans une telle situation, elle ne
pouvait même pas l'imaginer. Chaque fois qu'elle envisageait cette éventualité, un frisson la parcourait toute entière.
Xavier et elle prenaient des risques insensés. Ils étaient tous les deux fous. Xavier élaborait des liens si complexes
qu'il fallait beaucoup de temps ensuite pour la libérer. Si, comme elle avait l'habitude de le faire, sa mère débarquait
à l'improviste en plein milieu d'une de leurs séances, il leur serait difficile de lui faire croire à une simple visite de
courtoisie. Quelle honte si elle la découvrait ainsi, intégralement nue, ligottée et bâillonnée. Mais quel plaisir étrange
à seulement envisager que cela puisse arriver. Charlotte y pensait souvent tandis qu'elle éprouvait l'étroitesse des
liens tout autour de son corps et cela ne faisait qu'accroître son excitation. Peut-être rêvait-elle alors que la porte
s'ouvre tout à coup sur le visage sévère, qu'elle le voit s'allonger de stupéfaction et qu'elle réussisse à lui sourire.
Enfin, tout serait dit. Sur le troisième cliché, elle était assise à l'envers sur un fauteuil, les cuisses sur les accoudoirs,
la poitrine écrasée contre le dossier, les bras pendant de l'autre côté. Ficelles, cordes, lacets, sangles, lanières, tout
un entrelacs de liens étroits la pétrifiait dans son attitude. Elle aimait bien cette photographie parce que l'ombre noyait
de nombreux détails, ne laissant à la lumière que son dos courbé, le galbe d'une cuisse et l'arrondi de ses fesses.
Elle se souvenait de ce soir-là. La neige était tombée en abondance et ouatait tous les bruits de la rue. L'appartement
n'avait jamais été aussi calme. Xavier avait pris tout son temps. Il était allé chercher une bouteille de champagne chez
lui, s'était assis sur un tabouret face à Charlotte et l'avait aidée à boire, portant alternativement la coupe de ses lèvres
aux siennes. Elle avait adoré qu'il s'occupe d'elle de cette façon. Ils avaient parlé longtemps. Elle lui racontait sa vie
avec son mari, sa crainte de sa mère, ses rêves d'évasion. Peu à peu, Xavier s'était arrangé pour orienter la conversation
sur le sujet qu'il voulait aborder. "- C'est quoi les fantasmes d'une fille comme toi ? lui avait-il demandé avec son sourire
le plus doux. Elle avait pouffé de rire d'une façon un peu stupide. "-Des fantasmes ? Je n'ai pas de fantasmes."
"- Allons, allons ... avait-il insisté. Ne va pas me faire croire cela. Ose donc prétendre que certains soirs, ton esprit ne
s'en va pas vagabonder sur des territoires interdits ... Ose donc essayer me faire croire que tes doigts distraits jamais
ne s'égarent sur ton ventre ... Par exemple, en t'imaginant au lit avec une de tes amies ... - Faire ça avec une femme,
ça ne m'est jamais venu à l'esprit, mentit-elle cependant. - C'est bien vous, les mecs, qui entretenez ce désir de voir
des filles ensemble ! Comme si nous ne rêvions toutes que de cela ! Tu l'as déjà fait avec un garçon, toi, peut-être ?"
La coupe au bord des lèvres, Xavier attendait la suite avec intérêt mais voyait que Charlotte hésitait. Des dizaines de
fois comme ce jour-là, elle lui avait permis de contempler sa plus inégrale nudité. Il manipulait son corps, comme on
s'amuse avec un jouet et pourtant, capable de se livrer physiquement à lui de la façon la plus osée qui soit, mais elle
éprouvait encore des réticences à lui ouvrir toutes grandes les portes de sa libido la plus intime. "- Parfois, je pense
à des situations dingues ... amorça-t-elle. Au milieu de la salle, il y a une sorte de podium circulaire couronné d'anneaux
d'acier ... Tu m'y fais monter et tu me passes des bracelets aux poignets. Tu me passes aussi des bracelets de cuir
aux chevilles avec une chaînette, des cadenas et me voilà clouée à l'estrade, les jambes ouvertes. Dans le plafond,
on a aussi rivé des anneaux auxquels tu m'attaches. Je dois me tenir courbée, tant le plafond est bas. Il y a des
mains épaisses qui s'approchent de mon corps. Elles me palpent comme on évalue la santé d'une pièce de bétail.
Elles malaxent mes seins à travers ma robe. Elles claquent sur mes fesses. Elles me fouillent le ventre. Mon corps
subit les pires injures. les fines bretelles de ma robe ne résistent pas longtemps. Me voilà déjà presque nue, offerte
en pâture à leur désir brutal. Je ne sais combien de mains me touchent. Elles s'acharnent sur moi impitoyablement.
Elles choisissent les points les plus sensibles. Elles me tordent les pointes de mes seins, elles écartent mes fesses
comme si elles voulaient les séparer l'une de l'autre, elles s'agrippent comme des griffes à mes hanches. Ma culotte
est en lambeaux. Je sens mon sexe forcé par ces mains avides dont j'ignore tout, hormis leur brutalité. C'est l'orgie ...
Je suis leur veau d'or. Un corps massif se frotte contre le mien. Sa sueur me colle à la peau. Un sexe raide, large
comme un poignet, tâtonne entre mes fesses, cherche l'entrée, s'y engouffre férocement, sans ménagement. Je
pousse un cri de douleur. Je parviens presque à oublier cette queue sauvage qui me défonce les reins, ces mains
qui toujours m'assaillent, ces doigts qui maintenant me fouillent de l'autre côté. Un d'abord, puis deux, puis trois.
Mon anneau anal est dilaté à l'extrême. On l'enduit d'un liquide gras et tiède. L'instant d'après, quelque chose de dur
et de froid s'enfonce puissamment dans mes entrailles en élargissant l'étroit passage. Chaque fois que le sexe de
l'homme plonge dans mon ventre et cogne contre ce truc, j'en éprouve une douleur effroyable. J'ai l'impression que
je vais exploser sous les coups de cette double pénétration. Je halète. Je suffoque. Je me mords les lèvres. Ils y
sont tous passés, par devant et par derrière. Je sens les ruisseaux de sperme dont ils m'ont éclaboussée me couler
le long des cuisses. Des mains à peine moins agressives que les autres, des mains de femmes sans doute l'étalent
sur les fesses, le ventre, les seins et même le visage. Elles ne veulent pas être en reste. Elles prennent part à la fête,
elles aussi. Jalouses, elles m'enduisent le corps tout entier de la semence de leurs mâles, prenant bien soin de me
griffer les flancs, des aisselles jusqu'aux cuisses. Charlotte s'éveilla de son rêve. Xavier ne souriait plus du tout.
"- Hé, c'est toi qui as voulu que je te raconte mon pire fantasme ! " Xavier n'avait pas répondu. Il lui avait fait l'amour
sans enthousiasme et l'avait quittée peu après, l'air préoccupé, sans avoir oublié toutefois de la ligoter avant.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Patricia était sur le toit avec moi sous l'ardente brûlure du soleil. La terrasse, malgré sa hauteur, ne dépassait la cime des arbres entourant la propriété, mais de là, on découvrait la forme parfaite de la ville et le dessin de ses rues. Au bord du parapet côté place Bonaparte, se dressaient deux sièges curules, non pas en ivoire comme il était d'usage au temps des romains, mais en marbre blanc de Carrare, l'un légèrement plus haut que l'autre. Dans le plus bas était assise une fillette, jouant avec ses pieds. Patricia arrangeait dans une jarre un bouquet de feuillages, et Béatrice nettoyait le verre rouge de photophores dans lesquels elle plantait ensuite des bougies. Arrivée sans bruit, pendant un moment, je les regardais avant d'attirer leur attention. Chacune représentait une énigme, mais je sentais, si différentes fussent-elles, combien elles m'avaient maintenu à distance. La nuit précédente, l'une d'elle avait franchi un pas bien hardi dans leurs équivoques relations. Je pensais, non sans une certaine émotion au geste si discret de Patricia, sa main qui avait saisi la mienne en se taisant. C'était cela le cadeau de l'Italie; une beauté de mystères et de sous-entendus où les amoureux se heurtaient aux frontières d'un royaume interdit. Elle était bien la figure la plus achevée du trio. Elle incarnait la beauté de la vallée. Je regrettais presque de ne pouvoir glisser dans un rêve le souvenir de sa bouche frôleuse qui avait déclenché en moi un tel désir. Mais est-ce que les précautions prises par l'inconnue, le soin qu'elle avait eu de ne pas se laisser toucher ni respirer, est-ce que cette scène impossible à croire, n'avait pas été inventée pour que je doutasse de sa réalité ? Si oui, il fallait jouer le jeu, effacer le souvenir comme s'efface un rêve. Demain, j'y croirai moins, dans huit jours plus du tout. Alors les tentations surgissaient et freinaient mes élans. Que dire de l'étrange sexualité de cette jeune femme ? Sa voix basse et tendue désarmait. On sentait avec quelle prudence, il fallait s'approcher de Patricia, sans bousculer un équilibre hardi où elle se maintenait grâce à une concentration extrême. À chaque phrase, presque à chaque mot, un pli vertical s'amorçait sur son front, à l'endroit où j'eusse aimé l'embrasser. J'étais là, seule avec elle, une occasion qui ne se présenterait peut-être pas avant longtemps, et me découvrais impuissante à lui arracher sinon son secret, du moins une indication qui me mît sur la voie, quelque chose qui ne fût pas un lien, mais un pont entre nous pour passer au-dessus de ce qui nous séparait et cultiver l'illusion d'habiter deux mondes voisins. Je retrouvai le goût de notre dernière soirée et les bribes du songe allaient déjà s'effaçant quand je me levai pour m'habiller. À cette heure-là, je me sentis d'une lucidité parfaite qui effaça vite les pénibles relents du rêve, cette poursuite impossible de Patricia que j'eus terriblement envie de soumettre pour de bon. Quelle folie avais-je fait de m'éloigner d'elle au moment où elle avait besoin de moi. Ainsi manquerons-nous les beaux moments de la vie. Quant à Patricia, je n'avais pas besoin de clairvoyance pour comprendre en quoi elle illuminait la grande songerie commencée ces derniers mois lorsque je l'avais possédée pour la première fois. Au fond, j'avais rarement été aussi heureuse pendant la demi-heure où je l'avais tenue dans mes bras. Et il me restait à retrouver au fil des heures toujours anxieuses de la nuit, la saveur, infiniment douce, de son corps effleuré dans la moiteur de cette nuit d'été. Elle apparut en robe légère et, à la transparence du tissu, on voyait qu'elle ne portait rien en dessous. Elle sortait de son bain. J'aime son goût de la sobriété. Ses cheveux nets, coiffées courts, son regard paisible qui ne vous lâche pas quand vous parlez. Je suis tellement habituée à ces femmes sophistiquées, manquant de naturel, confondant sensualité et sévérité. Enfin une femme qui avouait, qu'elle ne cédait pas d'obéir à son rang. Que tout était sexe en elle, et jusqu'à l'esprit. Elle avait l'air d'une jeune fille sage, à peine fardée. Je passai la nuit avec elle, étourdie, abreuvée, saturée de plaisirs inavouables. Elle sentait bon le savon frais et je baisai son épaule découverte par la grande serviette de bain dans laquelle elle était enroulée. Elle décida de s'abandonner. Je défis sa robe en silence. Les paroles eurent été inutiles. Il m'eut fallu protéger son sein tiède. Mais je pensai alors rien d'autre qu'à son esclavage, qu'au fait qu'elle était ouverte et aux marques qu'elle méritait. Ses cheveux bruns brillaient comme s'ils étaient huilés, noirs de jais. Elle s'agenouilla, les bras croisés derrière le dos, la pointe des seins frémissante. Le plaisir sur lequel elle ouvrait grands les yeux face au jour était un plaisir anonyme et impersonnel. Il m'était indifférent qu'elle admirât son visage lissé, sa bouche haletante, indifférent de l'entendre gémir. Elle aima le fouet pour la première fois. Je retins longtemps la fièvre lancinante de ses reins. Son corps n'en fut pas lésé. Tout était évident. Elle était maintenant allongée. Elle précisait l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. La caresse était légère presque rêvée. Le réveil de Patricia était, lui, réel. Envahissant. Elle écoutait les lèvres de son sexe, l'émergence de sa pointe, la moiteur en ses plis, les battements de sa matrice. Lorsque le feu inonda ses reins, que la jouissance s'avança, elle se redressa brusquement, saisit mon visage, et le plaqua contre ses seins, affamés par cette nuit des temps abstinents. Je dessinai son corps de caresses. Elle fut foudroyée. Elle me gicla au visage des flots de plaisir. Pour la soulager, l'exciter et la rejoindre à la fois, je me couchai sur elle, frottai ses chairs qui perdaient le désir à celles qui en poussaient les portes, mêla son duvet brun à la mousse vénitienne d'une vie à peine croquée. Le vagin qui avait avalé une partie de ma main l’appela de nouveau. Je la pénétrai, de ma langue, de mes doigts, suivant la respiration de mon amante. Quittant ce lieu humide pour continuer le chemin des délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud, touchant enfin son but, le petit orifice. La basculant sur le ventre en écartant son genou pour lui dispenser une caresse buccale, je la léchai consciencieusement. Passant et repassant sur l’anus qui se détendit peu à peu. Tournant, contournant et retournant. Mon doigt pénétra son son intimité, jouant avec la pulpe de mon index contre son petit anneau. L'orgasme fut à nouveau proche, d'enfler son ventre, je croyais pénétrer la jeune fille. Notre friction frénétique nous arma d'une verge spirituelle en lui ouvrant un sombre royaume. Je collai mes mains sous les fesses de Patricia pour la fouiller encore, plus loin, pour l'empêcher de se dérober à l'extase qui nous unissait, trop d'images fraîches et de pensées folles nous assaillirent brutalement. Nos cris moururent en un baiser, un baiser sauvage et cannibale, brutal et dévorant comme la secousse qui nous avait basculées. Un baiser qui ne conciliait pas mais exacerbait encore chaque projectile d'orgasme. Je roulai à coté de la jeune fille, rassemblant ses sensations après cette confusion. La tête en arrière, perdue dans la symphonie des sens, elle leva les paupières. L'imbrication des sexes et des jambes, ce fut notre chahut renversé. Le nouage animal de nos jouissances, la guerre de nos bustes et le désir révolté crachèrent leur répulsion soudaine. La mienne pour Patricia, jeune fille enfin initiée. Les élans s'espacèrent. Quelques spasmes l'agitèrent encore. Et tout devint calme. Comme avant. Nous nous endormîmes. La nuit était tombée sur la ville. Un clair de lune berçait la pâleur d'une jeune fille à qui la vie ne ne volerait pas sa pureté, puisque volée à la vie. Elle reviendrait cette même nuit s'installer dans mes rêves, pour une caresse de lèvres à lèvres, un effleurement, prolongeant à l'infini le plaisir. À l'infini est toujours ambitieux. Chaque soir, le cœur battant, Patricia repensait à l'ardeur de son amante. Oserait-elle lui avouer qu'aucune joie, aucune imagination n'approcherait le bonheur qu'elle ressentait à la liberté avec laquelle elle usait d'elle. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Venant d'un autre monde, sa maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela
ne finisse jamais. Elle s'agenouilla entre ses jambes et Sarah voyait ses cheveux clairs onduler régulièrement
au-dessous d'elle. Sa vulve était prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus
divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais cru que c'était aussi
bon de se soumettre puis brusquement, adorablement savante, sa main vint se joindre à ses lèvres et à sa langue
pour la combler. Mille flèches délicieuses s'enfoncèrent dans la chair de Sarah. Elle sentit qu'elle allait exploser
dans sa bouche. Elle voulut l'arrêter mais bientôt ses dents se reserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et
doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes
dorées à la feuille. Sarah invita Patricia à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau
dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant
à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau,
avant même que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Une impression d'aisance l'emplit.
Voluptueuse, Patricia s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de
façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne
pas éprouver un plaisir sensuel ? L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une
onde caressante. Sarah ferma les robinets, releva les manches de son tailleur et commença à lui masser les épaules
avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis à nouveau, elle la massa
avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de ses fesses,
effleurant la pointe de ses seins. Patricia ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle. Animé par ces mains
fines et caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était tiède à présent. Sarah
ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Patricia, l'obligeant à explorer
les reliefs de son intimité en la poussant à des aventures plus audacieuses. Ses phalanges pénétèrent son ventre.
Sarah perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte,
et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe
et se débarassa de son corsage. Dessous, elle portait un charmant caraco et une culotte de soie, un porte-jarretelle
assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Ses petits seins en forme de poire
pointaient sous le caraco en soie. Elle le retira délicatement exposant ses formes divines. Bientôt, les mains de Patricia
se posèrent langoureusement sur ses épaules et glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes fermes de
de la poitrine. Son ventre palpita contre les fesses de son amante. Elle aimait cette sensation. Peu à peu, ses doigts fins
s'écartèrent du buste pour couler jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu.
Sarah pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que
ce bien-être animé par le voyage rituel de ces doigts dans le velours de sa féminité. L'attouchement fut audacieux.
Combien de temps restèrent-elles ainsi, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, l'ombre d'un fantasme ?
Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer. Sarah se déshabilla et abandonna Patricia sans même la regarder.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Nous sommes arrivées à Locmaria, à l'heure du bain. La nuit était noire sur la plage, la lune, le sourire en coin.
Les étoiles lointaines ou filantes brillaient peu, l'air chaud n'empêchait pas le petit frisson qui vous parcourt quand
vous entendez la mer sans la voir, sa puissance que le corps devine. La maison était à cent mètres du rivage.
Elle était simple et belle, sur un terrain en pente planté de pins, de mimosas, et dominé par un araucaria poussé
pas droit, un arbre singulier, jamais familier au yeux ni à l'esprit, qui barrait le ciel tel un hiéroglyphe dont Juliette
possédait seule la pierre de Rosette. Le lendemain matin, Charlotte fut réveillée de bonne heure par le gazouillis
sans cesse des étourneaux. Elle se frotta les yeux; tout son corps était raide. Elle avait eu un sommeil agité,
s'éveillant après chaque rêve, se rappelant avoir vu, durant la nuit, les aiguilles de sa pendulette dans différentes
positions, comme si elle n'avait cessé de vérifier le passage du temps. Elle avait dormi dans la chemise qu'elle
lui avait donnée et, tout en se remémorant la soirée passée ensemble, elle se rappela les rires insouciants et,
surtout, la façon dont Juliette lui avait parlé de littérature. C'était si inattendu, si encourageant. Tandis que les mots
repassaient dans son esprit, elle comprit quels regrets elle aurait eus si elle avait décidé de ne pas l'accompagner.
Par la fenêtre, elle observa les oiseaux pépiant qui cherchaient de la nourriture dans les premières lueurs du jour.
Juliette, elle le savait, avait toujours été quelqu'un du matin qui accueillait l'aube à sa façon. Elle aimait se baigner
tôt sur la plage de Donnant. Patricia s'attarda sur ce souvenir du matin qu'elle avait passé avec elle, sur le sable,
à regarder le lever du soleil. Elle se leva pour aller prendre un bain de mer, sentant le sol froid sous ses pieds.
Elle avait raison. Sarah s'était levée avant le soleil. Elle s'était habillée rapidement. Le même jean que la veille au
soir, un maillot une pièce, une chemise de flanelle et des mocassins Tod's. Passer l'aube sur la plage avait quelque
chose de magique, de presque mystique. Elle le faisait maintenant chaque jour. Que le temps fût clair ou ensoleillé,
ou bien froid avec une bise pinçante, peu importait. Elle nageait au rythme de la musique des pages écrites la veille.
En quelques mouvements de brasse, fruit d'une longue habitude, elle sentait sur sa peau la fraîcheur mordante de
l'air, et le ciel était noyé dans une brume de différentes couleurs. Noir juste au-dessus d'elle comme un toit d'ardoise,
puis d'une infinité de bleus s'éclaircissant jusqu'à l'horizon, où le gris venait les remplacer. Elle prit quelques profondes
respirations, s'emplissant les poumons d'iode. Elle aimait marquer un temps au point du jour, guettant le moment où
la vue sur les rochers était spectaculaire, comme si le monde renaissait. Puis elle se mit à nager avec énergie.
Quand elle arriva à la maison, elle se sentit revigorée. Patricia était rentrée de la plage et l'attendait. Juliette se doucha.
Elles s'embrassèrent tendrement. Quelle sorte de pouvoir possédait-elle sur sa jeune amante après tout ce temps ?
Charlotte passa enfin dans la salle de bain, se fit couler un bain, vérifia la température. Tout en traversant la chambre
en direction de la coiffeuse, elle ôta ses boucles d'oreilles en or. Dans sa trousse à maquillage, elle prit un rasoir et
une savonnette, puis se déshabilla. Depuis qu'elle était jeune fille, on disait qu'elle était ravissante et qu'elle possédait
un charme ravageur. Elle s'observa dans la glace: un corps ferme et bien proportionné, des seins hauts placés et
doucement arrondis, le ventre plat et les jambes fines. De sa mère, elle avait hérité les pommettes saillantes, la peau
toujours hâlée et les cheveux blonds. Mais ce qu'elle avait de mieux était bien à elle, ses yeux, des yeux comme les
vagues de l'océan ou le ciel, d'un bleu azur, se plaisait à dire Juliette. Dans la salle de bain, elle posa une serviette à
portée de main et entra avec plaisir dans la baignoire. Prendre un bain la détentait. Elle se laissa glisser dans l'eau.
Quelle belle journée. Elle avait le dos crispé, mais elle était contente d'avoir accompagné Juliette à Belle-Île-en-Mer.
Elle se couvrit les jambes de mousse et entreprit de les raser, songeant à Juliette et à ce qu'elle penserait de son
comportement. Elle le désapprouverait sans aucun doute. Elle resta encore un moment allongée dans le bain, avant
de se décider à en sortir. Elle se dirigea vers la penderie pour se chercher une robe. La noire avec un décolleté un
peu plongeur ? Le genre de toilette qu'elle portait pour des soirées. Elle la passa et se regarda dans le miroir, se
tournant d'un coté, puis de l'autre. Elle lui allait bien, la faisait paraître encore plus féminine. Mais non, elle ne la
porterait pas. Elle en choisit une moins habillée, moins décolletée, bleu clair, boutonnée devant. Pas tout à fait aussi
jolie que la première, mais mieux adaptée aux circonstances. Un peu de maquillage, maintenant un soupçon d'ombre
à paupière et de mascara pour faire ressortir ses yeux. Une goutte de parfum, pas trop. Une paire de boucles d'oreilles,
des petits anneaux. Elle chaussa des talons hauts que Juliette exigeait, comme elle exigeait qu'elle soit nue sous sa
robe, d'autant plus nue qu'elle était toujours intégralement rasée, lisse, offerte, ouverte à ses désirs ou ceux des
des inconnues auxquelles elle la destinait. Depuis son infibulation, elle ne portait plus aucun sous-vêtement, la culotte
la plus légère irritait sa chair et lui faisait endurer de véritables tourments. Juliette l'obligeait à en porter pour la punir.
Elle portait deux anneaux d'or sur ses petites lèvres, signe de son appartenance à sa Maîtresse, Juliette. Les marques
imprimées sur son pubis, étaient creusées dans la chair. Rien que de les effleurer, on pouvait les percevoir sous le
doigt. De ces marques et de ces fers, Charlotte éprouvait une fierté insensée presque irraisonnée. Elle subissait toujours
les supplices jusqu'au bout, faisant preuve en toutes circonstances d'une totale docilité. Qu'une femme fût aussi cruelle,
et plus implacable qu'un homme, elle n'en avait jamais douté. Mais elle pensait que sa Maîtresse cherchait moins à
manifester son pouvoir qu'à établir une tendre complicité, de l'amour avec les sensations vertigineuses en plus. Charlotte
n'avait jamais compris, mais avait fini par admettre, pour une vérité indéniable, l'enchevêtrement contradictoire de ses
sentiments. Toujours docile, elle aimait le supplice, allant jusqu'à regretter parfois qu'il ne soit pas plus long et plus féroce,
voire inhumain. Mais sa nature masochiste ne suffisait pas à expliquer sa passion. Elle aimait cette partie obscure qui
faisait partie d'elle et que sa Maîtresse nourrissait. Juliette la hissait, elle la projetait en révélant les abysses de son âme,
la magnifiant, la sublimant en tant qu'esclave, lui faisant accepter son rôle d'objet. Elle avait créé un lien indestructible.
Elle ne pourrait jamais oublier le jour de ses vingt ans. Ce jour-là, Juliette quitta plus tôt les cours qu'elle donnait à la
Sorbonne pour venir la chercher à la sortie de la faculté. La soirée s'annonçait douce et agréable. Charlotte écoutait
le bruissement des feuilles, en songeant à la beauté naturelle du jour. La nature vous rend plus qu'elle ne vous prend
et ses bruits obligent à penser à son destin. Le grand amour vous fait cet effet-là. Les nuages traversaient lentement
le ciel du soir. Ils s'épaissirent un peu. Désormais, la réalité de la nuit et la réalité du jour seraient la même réalité.
Chez elle, Juliette lui demanda de se mettre nue, et la regarda sans un mot lui obéir. N'avait-elle pas l'habitude d'être
nue sous son regard, comme elle avait l'habitude de ses silences. Elle l'attacha et lui demanda pour la première fois,
son accord. Elle voulait la fouetter jusqu'au sang. Elle lui dit seulement qu'elle l'aimait. Alors elle la battit si fort qu'elle
suffoqua. Au petit matin, Charlotte était allongée près de Juliette, elle ne pouvait penser à meilleure occupation que de
la dévorer des yeux. Le soleil du matin qui entrait par raies obliques entre les lamelles du store rehaussait le brun
luisant de son corps. Elle était assoupie sur le ventre; le haut de ses bras étirés au dessus de sa tête était bronzé
et ses aisselles blanches. Juliette glissa un doigt sur la courbe sinueuse de son dos et sa peau satinée se couvrit
d'un frisson. Elle était grande et très blonde. Une femme idéalement belle. Bientôt, son regard s'attarda sur ses
cuisses écartées et immanquablement, une tension sourde s'empara d'elle. De ses lèvres, elle lècha sa peau tout
en dessinant ses omoplates avant de laisser glisser le majeur jusqu'au creux de ses reins. Elle frôla l'œillet secret
qui déjà cédait aux effleurements. Les chairs se distendirent, pour se raffermir aussitôt comme brusquées.
La douleur vive s'était évanouie alors Juliette la vit qui hésitait: devait-elle reprendre le fil de ses paroles susurrées ?
Allait-t-elle l'accepter ? Elle désirait la faire oser pour elle, pour qu'elle puisse dérouler le fantasme d'une femme.
Une femme objet. Bien sûr, il est à craindre que pour une autre, cela ne se passerait pas comme cela. Elle se tairait.
Mais Juliette la voulait obscène, pour mieux la prêter. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses doigts. Il courtisait ses
hôtes, il les choyait, savoureusement. Le giclement séminal accompagna les mots venus se fracasser comme une
éclaboussure. Le coeur s'était déplacé au fondement du corps. Il battit, se contracta et se rétracta comme l'aorte qui
donne vie. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. Juliette sentait
la jouissance envahir Charlotte peu à peu. Le désir brûlait, et retombait, suspendu bientôt à la prochaine salve.
L'amante fut à cet instant forcément animale. Elle exigea tout, tout de suite. Elle écarta les doigts et en introduisit
subrepticement un troisième. Là, la femme soumise s'attendit à ce qu'elle eut exigé un quatrième puis un cinquième.
Elle se trompait. Mesurait-t-elle seulement combien, elle se trompait ? L'amante est toujours dans la force. La
prouesse n'est bien souvent qu'un détail. Elle l'empala d'un mouvement violent pour se caler en terrain conquis,
profondément. Le cri résonna en écho venant lécher les parois d'une chambre que l'on imaginait forcément sombre.
Les murs étaient d'un blanc clinique; un matelas flanqué à même le sol pliait sous les corps nus, brunis par le
soleil, soudés, parfaitement imberbes. Maintenant, Charlotte allait supplier pour céder à l'impétuosité de l'orgasme.
Les chairs résistèrent, se plaignirent, s'insurgèrent puis craquèrent, obéissantes. Elle desserra les dents de son
index meurtri, bleui par la morsure. La jouissance sourde venait de loin, d'un tréfonds dont elle ne soupçonnait pas
l'existence. Elle hurla. Qu'elle voulait le poignet. Qu'elle voulait plus encore. Qu'elle irait le chercher, elle-même si
Juliette ne cédait pas. Elle vit la fureur s'emparer du corps, et le vriller, l'hystérie libérer toute l'énergie de l'organisme.
D'un mouvement brusque, le poignet venait d'écarteler ses reins, elle avait joui. Le jour était tombé sur Locmaria.
Juliette lui posa un baiser sur les lèvres. Elle porta la main jusqu'au visage penché sur elle et lui toucha la joue,
l'effleurant de ses doigts. Charlotte eut le souffle court quand Juliette baissa la tête pour l'embrasser entre les seins,
quand elle sentit sa langue remonter lentement jusqu'à son cou. Leurs corps s'enlacèrent. Ce fut presque au ralenti
que toutes deux s'étendirent devant la cheminée. Elles passèrent la nuit endormies dans les bras l'une de l'autre.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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L'heure arrivait bientôt pour moi. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais
froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener
dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est
revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses,
en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé
que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir
longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer
un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait
couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je
n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait.
Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine,
d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir.
Après une longue absence, je retrouvais le désir. J'avais peur de le perde. Nous restâmes alors toutes les deux aux
aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre
chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses.
C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Juliette se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous
pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Charlotte se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle
avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un
inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour
voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne
pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves.
La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Depuis mes 18 ans, j'éprouve une attirance extrême pour les pieds féminins. Ce qui m'a conduit à construire un book autour de cette Passion dévorante. Ainsi, je reçois des modèles photos depuis des années pour des mises en scène de pieds chaussés, nus, en action. Depuis peu, j'ai ajouté une galerie " Dans la Rue " dans laquelle sont exposées des pieds au naturel, photographiés sur le vif avec l'accord de charmantes passantes. Certaines sont devenues des amantes, d'autres des Déesses d'un soir où ma langue a fait des merveilles. Je continue toujours ce cérémonial lorsque vient l'été. Avis aux amatrices de ce site.
A bientôt !
Matthieu
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Chapitre 6 : Ma femme vide-couilles
Samedi, vingt-et-une heure. Nathalie doit se rendre chez son Maître pour la nuit. Au programme, cinq hommes, dont son Maître, à satisfaire et une femme. Elle se prépare à y aller. Elle respecte les ordres de son Maître. Elle doit être vêtue seulement d’un imperméable et d’une paire de chaussures. Son Maître vient la chercher en voiture. J’ai prévu pour ma soirée la venue de Catherine qui arrive. Elle embrasse Nathalie et vient m’embrasser tendrement.
Nathalie se rend à son rendez-vous. Je reste avec Catherine. Nous nous déshabillons et nous installons sur le canapé. Catherine vient se coller à moi, nous échangeons un long baiser. Je ne peux cacher mon érection. Catherine s’en aperçoit, elle s’agenouille, me prend les couilles dans une main et ma queue de l’autre main. Elle me branle mais je ne compte pas en rester là. Je me lève et l’entraîne vers le lit. Elle s’allonge sur le dos, écarte ses jambes et me dit :
- Viens me baiser.
Je me couche sur elle et la pénètre aussitôt. Son vagin est humide. J’effectue des va-et-vient dans sa chatte. Elle m’enserre avec ses cuisses et ses jambes. Elle a un orgasme mais je ne jouis pas. Je me déplace et présente mes lèvres à l’entrée de sa chatte et je commence à la sucer. Elle a de nouveau un orgasme, elle me caresse la tête. Je me déplace à nouveau tout en continuant à la sucer et lui présente ma queue devant sa bouche. Nous entamons un soixante-neuf. Je me délecte de sa mouille abondante. Elle me suce avidement, je sens avec ma queue le fond de sa gorge. La gourmande a encore un orgasme. Je finis par jouir dans sa gorge. Elle vient aussitôt m’embrasser, dans nos bouches s’emmêlent son jus et le mien. Nous dégustons.
Je propose un rafraîchissement. Nous nous installons au salon et je raconte à Catherine les progrès effectués par ma femme. Elles communiquent, se sont vues plusieurs fois. Mais Catherine n’avait aucun détail pour le rendez-vous de ce soir. Je lui explique que ce sera une partouze à sept, cinq hommes et deux femmes. Ce sera un baptême pour Nathalie.
- Ta femme est en train de devenir une putain.
- Tu crois ? Mais ça me plaît, elle était tellement coincée.
- Tu ne crains rien pour ton couple ?
- Non, on se dit tout. Je trompe depuis longtemps Nathalie et ça n’a pas affecté notre couple.
- Tu dois avoir raison. Tu vas lui raconter notre nuit ?
- Je n’ai rien à lui cacher.
Nous retournons sur le lit et continuons à bavarder. J’adore être avec Catherine, une femme ouverte dans tous les sens du terme. Elle sait qu’entre nous deux il n’y a qu’une attirance physique.
Je suis allongé sur le dos. Catherine commence une série de caresses sur le torse, sur les cuisses. Elle fait bien attention à éviter mon sexe. Mais ses caresses me font quand même bander. Elle me dit de me mettre à plat ventre et me caresse le dos et les cuisses. Je sens ma queue durcir. Ses mains atteignent mes fesses. Ses doigts se promènent entre mes fesses, ils atteignent mon anus.et je sens un doigt inquisiteur me pénétrer. Drôle de sensation ! Catherine retire le doigt de mon cul et le porte à sa bouche pour le lécher. Puis sa bouche s’insère entre mes fesses et sa langue fouille mon trou du cul. J’adore cette caresse particulière qui se prolonge. C’est délicieux ! Sa bouche quitte mon trou du cul. Ne voulant pas être en reste, je lui dis de se mettre à plat ventre, je lui caresse le dos, les cuisses. Je lui pose quelques baisers dans le cou puis ma bouche descend le long de sa colonne vertébrale et entame l’exploration de ses fesses, ma langue fouille son trou du cul. Elle tressaute, elle apprécie le travail de ma langue. J’ai envie de remplacer ma langue par ma queue. J’empoigne ses fesses, les écarte et présente ma queue pour l’enculer. Je la pénètre d’un coup et commence à la ramoner. Je l’ai surprise mais elle ne tarde pas à réagir pour accompagner mes coups de rein. Ma queue grossit. Nous restons unis un bon moment. Puis je jouis longuement dans son cul.
Sa bouche vient remplacer son cul, sa langue venant nettoyer mon sexe.
Nous sommes en sueur et éprouvons le désir d’aller nous doucher. Après la douche, nous nous couchons et nous endormons, enlacés.
C’est le matin. Nous nous réveillons et échangeons un baiser. Je commence à bander. Nous sommes couchés sur le dos, j’avance ma main vers la chatte de ma voisine. Elle est déjà mouillée. Je prends Catherine par la taille et la fais mettre à califourchon sur moi. Elle place sa chatte au-dessus de ma queue. En descendant, elle vient se faire pénétrer. Je commence à la baiser. J’entends un bruit de serrure, c’et Nathalie qui rentre. Elle arrive dans la chambre et nous surprend en pleine action. Elle vient m’embrasser, elle embrasse Catherine. Elle se défait de son imperméable et se couche à côté de nous. Je continue de baiser Catherine. Nathalie nous observe. Je finis par jouir dans la chatte de Catherine.
Je propose aux deux femmes de leur servir me petit-déjeuner au lit. Je me dirige vers la cuisine et laisse les deux femmes.
Nous prenons notre petit-déjeuner au lit puis je remporte le plateau à la cuisine. Quand je reviens dans la chambre, les deux femmes sont enlacées.
- Faites-moi une petite place.
Elles s’écartent et je me glisse entre elles. Un bisou à chacun et je m’adresse à Nathalie :
- Alors ?
- Je suis crevée mais heureuse.
- Raconte.
- Ça a commencé en descendant d’ici. Mon Maître m’a fait quitter mon imperméable et mes chaussures. J’étais donc nue. Il m’a mis un collier avec une laisse et m’a dit de monter dans le coffre de sa voiture. Arrivés chez lui, il m’a emmené dans un donjon. Il n’y avait encore personne. Mon Maître m’a accrochée à une croix. J’avais les pieds et les mains liés, dos contre la croix et les jambes écartées, un plug dans le cul. Puis quatre hommes et une femme sont arrivés, ils étaient nus. La femme a été accrochée sur une autre croix avec le dos collé à la croix et un plug dans le cul. Mon Maître a indiqué aux quatre hommes. Voici deux chattes, servez-vous.
- Que t’ont-ils faits ?
- Ils ont commencé à me caresser les seins et la chatte ainsi qu’à l’autre femme.
- Puis ils nous ont pénétré chacun à leur tour. Mais sans jouir. Ça a duré un bon moment, ils caressaient nos seins, nous pénétraient la chatte avec leurs doigts ou leur sexe.
- Tu as joui ?
- Non, mon Maître m’avait indiqué que, pendant toute la séance, ce serait interdit, sauf permission de sa part.
- Puis mon Maître nous a détachées et on a dû sucer les hommes un par un. Un homme a joui dans ma bouche et un autre a joui dans la bouche de l’autre femme. Nous avons retiré nos plugs anaux et les trois hommes qui n’avaient pas joui nous ont enculées. Un homme a joui dans mon cul et un autre dans le cul de l’autre femme. Seul mon Maître n’avait pas joui. Il m’a attrapée par les cheveux et m’a ordonné de le sucer en exigeant que je le fasse jouir. Il est très résistant et ça a été plutôt long. Enfin, j’ai réussi à recueillir son sperme dans ma bouche.
- Et ensuite ?
- Les deux femmes ont été attachées et les hommes ont disparu, certainement pour se rafraîchir et se restaurer. Ils ont été absents un bon moment. Quand ils sont revenus, les deux femmes ont été attachées à leur croix mais cette fois la poitrine contre la croix. Les hommes avaient des fouets, les coups ont commencé. On devait compter à chaque fois et remercier. Et puis mon Maître a donné un nouveau départ et, cette fois, nous avons été enculées. Ils alternaient d’une femme à l’autre, écartant nos fesses de leurs mains. Ça a duré un bon moment jusqu’à que tous les hommes aient joui. Trois ont joui dans mon cul, deux dans le cul de l’autre femme. Ils nous ont laissé chacune sur notre croix et les hommes ont quitté la pièce.
- La séance était terminée ?
- Je le croyais. Le matin, ils sont tous revenus, ils nous ont détachées et nous avons dû les sucer avec ordre de les faire jouir. Deux ont joui dans ma bouche et trois dans la bouche de l’autre femme. Nous avons été conduites dans le jardin et les hommes nous ont pissé dessus puis mon Maître nous a lavées au jet d’eau froide. Nous avons pu nous sécher. Puis mon Maître m’a ramenée ici dans le coffre de la voiture. Mon Maître m’a enlevé mon collier et ma laisse et je me suis rhabillée
- À qui appartient l’autre femme ?
- Je ne sais pas.
- Mais tu n’as pas joui ?
- Non, j’ai été un vide-couilles, j’ai été traitée comme un animal et ça m’a plu.
- Tu es prête à recommencer ?
- Bien sûr. Mon Maître m’a fait découvrir une nouvelle vie.
- Tu aimes ton Maître ?
- Non, mon chéri. Je n’aime que toi. J’ai du respect pour mon Maître. J’obéis à tous ses ordres tant que tu le permettras.
- Tu es heureuse, tu peux donc continuer.
- Merci, mon amour.
Nous décidons avec Catherine d’aller prendre une douche. Quand nous revenons dans la chambre, Nathalie s’est endormie. Cette nuit l’a épuisée. Elle a de nombreuses marques sur le corps. Nous nous couchons à côté d’elle. Catherine vient sur moi. Nous nous embrassons. Puis elle change de position, nous sommes tête bèche. Catherine prend mon sexe en bouche tandis que ma bouche prend possession de sa chatte. Je goûte à sa liqueur, elle me fait une gorge profonde puis vient lécher mon gland. Elle a un orgasme mais je suis plus endurant, je continue à lui pilonner la bouche. Nous n’avons pas envie de changer de position, nous sommes bien comme ça. Elle a un second orgasme et je me déverse dans sa bouche. Nous échangeons un baiser où se mêlent nos deux jus.
Nathalie continue de dormir. Nous ne la réveillons pas. Nous allons au salon. Nous avons vraiment envie de nous revoir mais plus régulièrement.
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La mer n'avait pas changé. Sa rumeur et son odeur étaient les mêmes, les vagues allaient et venaient comme celles
de jadis. Vingt ans plus tôt, Sarah avait contemplé l'océan depuis cette même plage en songeant à la vie qu'elle avait
devant elle, et à présent. Elle sentait le sable râpeux sous ses pieds et la brise iodée emmêler ses cheveux. Elle inspira
profondément et ferma les yeux. Le noir derrière ses paupières l'aidait mieux que celui de la nuit à se perdre dans le
passé pour éviter de penser à l'avenir. En ces derniers jours du mois de mai, le fonds de l'air était encore frais, et son
chemisier et sa jupe de coton ne lui tenaient pas très chaud. Elle croisa les bras sur sa poitrine pour se réchauffer, en
pensant, cependant, que ses frissons étaient une réaction appropriée aux souvenirs de cet été désormais si lointain
qui revenaient en trombe. Les souvenirs qu'elle avait de lui, jeune écrivain d'une force et d'une précocité monstrueuses.
Vingt ans durant, elle avait essayé de l'effacer de sa mémoire, pour se retrouver, de retour sur la plage de Donnant, tout
aussi incapable de l'oublier qu'elle l'avait toujours été. Elle leva le visage, et la brise repoussa ses cheveux en arrière.
Elle ouvrit la bouche pour l'avaler et s'en régaler. L'odeur iodée emplit ses narines et enveloppa sa langue, saisissant
son esprit comme s'il s'agissait d'une friandise. Elle était stupide et trop âgée pour croire aux contes de fée. Et les
voyages dans le temps n'existaient pas, il n'y avait aucun moyen de retourner en arrière, aucun moyen, même de rester
simplement au même endroit. Son seul choix, le seul choix que quiconque avait, c'était d'aller de l'avant. Cette pensée
en tête, elle avança. Un pas, puis un autre. Ses pieds s'enfoncèrent dans le sable et elle se tourna pour regarder la
terrasse de sa maison et la bougie solitaire qui y luisait. Un coup de vent agita la flamme et la fit vaciller, et Sarah
s'attendait à ce que cette frêle lumière s'éteigne, mais celle-ci résista vaillamment derrière sa cloche de verre.
La maison se trouvait pratiquement isolée à l'époque, se rappela-t-elle, tandis qu'à présent, il fallait supporter la joie
bruyante des enfants et celle des surfeurs en herbe osant affronter les rouleaux de Donnant. Elle avait découvert à son
arrivée la villa tapageuse de trois étages construite juste derrière la maison centenaire, aussi nouvelle pour elle que les
dunes tachetées d'algues, inexistantes vingt ans plus tôt. Cependant, au mois de mai, les vacanciers n'avaient pas
encore pris leurs quartiers d'été, et, à l'exception d'un bungalow au loin dont elle voyait les fenêtres éclairées, les autres
habitations acadiennes semblaient vides. Elle fit encore un pas. La mer était trop froide pour nager, sans compter que
le reflux risquait d'être puissant. Pourtant, poussée par les souvenirs et le désir, elle ne résista pas à son envie d'avancer
vers les flots. L'océan lui avait toujours donné une conscience aiguë de son corps et de ses cycles. Les marées soumises
à la force d'attraction de la lune, lui avaient toujours paru un phénomène très féminin. Elle n'avait jamais été une grande
nageuse, mais lorsqu'elle se trouvait au bord de la mer, Sarah se sentait plus vivante et plus sensuelle. Elle avait connu
les eaux chaudes des Bahamas et les vagues froides de la côte bretonne, la douce houle du golfe du Morbihan, mais
aucun de ces lieux ne l'avaient autant ensorcelée que ce bout de terre et les eaux qui le baignaient. Belle île en mer était
unique dans la cartographie de sa mémoire. Et vingt-ans après, le charme était plus fort que jamais.
Elle sentit sous ses pieds le sable compact et humide que la dernière vague venait de lécher. L'écume blanchissait ici et
là le rivage, mais l'eau ne touchait pas encore sa peau. Elle avança avec précaution en tâtonnant avec ses orteils pour ne
pas trébucher sur un rocher ou se couper avec un coquillage. Un pas de plus, et elle sentit le sable plus mouillé, doux et
fuyant. Elle rouvrit la bouche pour aspirer les gouttelettes invisibles que l'air charriait, et les savoura comme elle l'avait fait
avec la brise. Avant qu'elle ait fait un autre pas, une nouvelle vague échoua sur ses chevilles et la tiédeur enveloppa ses
mollets en éclaboussant ses jambes nues. Sarah s'accroupit lentement et les flots embrassèrent son corps tel un millier de
baisers, l'écume trempant son short. Elle frissonna de plaisir, et se laissa aller en arrière pour que l'eau couvre son visage
de sa volupté iodée. Elle contint sa respiration jusqu'à ce que la vague se retire. Elle ouvrit les bras, mais l'océan ne se
laissait pas étreindre, et elle referma les paupières, ses yeux la brûlaient à cause du sel de la mer et du soleil. Ils avaient
fait l'amour sur cette plage, leurs cris couverts par la clameur de l'océan. Il l'avait caressée et embrassée jusqu'à la faire
trembler. Elle avait guidé son sexe en elle, croyant lier leurs corps pour toujours. Elle s'était fourvoyée. Peu importait qu'ils
aient vécu un été de passion, leur histoire n'avait pas tenu. Le plaisir était éphémère, elle le savait, et tout avait une fin.
Elle commença par se caresser. Le sable érafla sa peau lorsqu'elle pressa ses seins. Sarah écarta ses cuisses pour que
la mer lèche son sexe et elle souleva ses hanches, nostalgiques du poids qui répondait à son mouvement, autrefois. Les
eaux se retirèrent, laissant son corps exposé à l'air froid de la nuit. D'autres vagues bercèrent son corps. Cela faisait très
longtemps qu'elle ne s'était pas donné du plaisir, si longtemps que ses mains semblaient appartenir à une autre femme.
Il n'avait pas été son premier amant, ni le premier homme à la conduire à l'orgasme. Il n'avait même pas été son premier
amour. Mais il avait été le seul à la renverser rien qu'avec un sourire, et le seul à la faire douter d'elle-même. Son immense
talent littéraire et sa grande modestie. Pour lui, la vie était un roman. C'était un personnage de roman. C'était avec lui
qu'elle avait plongé au plus profond de la passion, pourtant elle ne s'y était pas noyée. Pourquoi cet amour d'une saison
continuait-il à l'habiter ? Ce n'avait été qu'un chapitre dans le livre de sa vie, à peine quelques pages. Elle avait passé plus
d'années sans lui qu'avec lui, beaucoup plus. Mais rien de cela ne comptait. Lorsqu'elle se caressait, c'était à son sourire
qu'elle pensait, à sa voix murmurant son prénom, à ses doigts enlacés aux siens. La main qui saisit sa cheville était aussi
tiède que l'eau, et le temps d'une seconde, elle pensa qu'il s'agissait d'une algue. Le poids d'un corps, un poids solide, la
recouvrit. Elle ouvrit la bouche et ses lèvres rencontrèrent un vrai baiser. Elle aurait dû crier et se défendre de cet inconnu
qui arrivait de nulle part, sur la plage de Donnant dans le noir. Mais ses mains ne lui étaient pas inconnues. Ce n'était qu'un
fantasme, une simple chimère, mais peu lui importait. Elle s'ouvrit à lui comme elle s'était ouverte à la mer. Demain, lorsque
le soleil se lèverait sur sa peau écorchée et rougie par le sable, elle aurait le temps de se traiter de folle, mais, cette nuit,
l'appel du désir était trop fort pour s'y soustraire, son corps la poussait à céder. Elle sentit ses mains puissantes s'enfoncer
dans ses cheveux, il l'attira contre lui pour s'emparer de sa bouche. Sous elles, elles pouvait sentir le relief de ses vertèbres.
Les vagues allaient et venaient, mais la marée baissait et les flots ne les couvraient plus. La mer le lui avait ramené, et elle
accepta ce don sans se poser de questions. Tout ce qui venait de se passer lui sembla irréel à la lumière du jour, et tant
mieux. Alors elle se relèverait pour quitter la plage de Donnant et regagner son lit. Mais ce moment qui n'avait pas existé,
lui sembla aussi réel que le ciel et le sable, elle ne voulut plus penser à rien d'autre de peur que tout disparaisse à jamais.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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J'ai envie de faire quelque chose d'amusant tous les jours, pendant ces vacances... Pour aujourd'hui, c'est fait, on s'est envoyé l'oncle et le neveu et même si ça n'a pas été le super pied pour moi, j'y repense étendue au soleil...
Je passe la journée à paresser au bord de la piscine en buvant des jus de fruits. Pour les cocktails, j'attendrai 17 h... Oui, vous avez tout à fait raison, je m'embourgeoise. Quoique...
Quoique, j'ai une idée pour demain après-midi : allez voir les marchés avec ma copine ou ma servante... Vous ne la connaissez pas?? Mais si... elle s'appelle Giulia.
***
Ce matin, le gars d'hier vient apporter le petit déjeuner. Il est comme un chien qui a senti une femelle en chasse. Je n'ai pas plus envie que ça, mais bon, une Rom n'a qu'une parole (mais non, je ne croise pas les doigts derrière mon dos ! ) alors je lui prête un derrière distrait. Faut bien que je pense à nourrir Julien. Voilà, ça, c'est fait.
On traîne un peu le matin. J'ai envie d'aller faire un tour sur la place Jemaa el Fna. Je suis toujours à la recherche d'un joli bijou de fantaisie ou d'un vêlement sexy. C'est clair que pour du sexy, je serais mieux à Pigalle qu'à Marrakech...
Rien de mieux qu'être avec une copine pour faire les boutiques, on peut parler fringues, maquillage... et se faire draguer. Une copine, j'en ai une. Je dis à Julien :
— Mets une jupe et un tee-shirt, puis du rouge à lèvres, maquille tes yeux et arrange tes cheveux.
Vous croyez qu'il va me répondre «?Non mais dites donc vous, je ne suis pas celles que vous croyez?»?? Ben non, parce qu'il est celle que je crois, c'est-à-dire mon jouet. J'ajoute :
— Et lave-toi les dents.
C'est important, des belles dents. Une chatte un peu... sauvage, ça passe, des dents jaunes, ça ne passe pas. Depuis petite, je me suis toujours lavé les dents, même si par moment on n'avait qu'une seule brosse à dents pour toute la famille. Je ne suis pas très raffinée pour une comtesse, hein?? Que voulez-vous, je suis née sur la route.
Je m'habille aussi : mini noire, tee-shirt rouge bien échancré et baskets noires. Julien s'est maquillé et il s'habille avec mes vêtements. J'arrange un peu ses cheveux, blonds et longs et.... Tadam.... Je vous présente ma copine Giulia?! Pas mal, hein?? Un peu plate de seins mais un beau cul. De toute façon, les seins, c'est moi qui en ai pour deux.
On quitte l'hôtel et on se dirige vers le centre.... On mange sur la terrasse d'un petit resto sympa sur la place. Je choisis la spécialité de Marrakech : un tajine aux 7 légumes et comme dessert, des cornes de gazelles. J'aime bien le nom et c'est délicieux si on aime les pâtisseries contenant 200 % de miel?!
Faudra que je surveille mon régime, je sens mes fesses grossir sous moi. Ma sœur mange de bon appétit. Oui, Giulia n'est plus ma copine, mais ma sœur un peu demeurée, ce qu'elle fait naturellement. Elle a d’ailleurs beaucoup de succès. Moi, comme vous le savez, étant brune à la peau mate, je ressemble beaucoup aux Marocaines, tandis que Giulia est une jolie blonde l'air plus effarouché qu'une gazelle du désert face à deux guépards?!
Après avoir mangé, on se balade dans le souk. Des hommes nous proposent : des tapis, des antiquités, des Rolex, des Vuiton et j'en oublie. Il n'y a pas que ce genre de propositions, on promet aussi à ces deux belles étrangères de les envoyer au 7e ciel. On se fait peloter les fesses... j'aime ça, je les frotterais bien sur toutes les mains des hommes qu'on croise. Par contre, Giulia est toute rougissante et pousse des petits cris quand une main se fait un peu trop insistante.
Il y en a parmi vous qui doivent se demander s'il aime ça... Alors, je vais vous répondre un peu brutalement « Je m'en fous ». Sauf peut-être au tout début, mais très rapidement, je l'ai traité selon mes envies et mes caprices. Il est toujours là, plus obéissant que jamais, alors...
On arrive dans un endroit où il y a des petits magasins de bijoux. Je tombe en arrêt devant deux bracelets inhabituels. D'abord un pour le bras : une spirale en argent. Pour Giulia, un lourd bracelet de cheville qui me fait penser aux fers d'esclaves. Il y a des reproductions en nickel (si, si), mais ceux-ci sont en argent. Et c'est cher. Le marchand est un homme qui doit bien avoir 70 ans. Il a un jeune homme pour l'aider. Ils s'appellent Ahmed et Jalil. Malgré son âge, il a l'air très intéressé par ces deux belles filles court vêtues. Surtout par la jolie blonde timide...
Je lui demande le prix pour le bracelet de bras. Je ne détaille pas trop la discussion, c'est toujours le même échange : le client « Il est beau mais c'est trop cher, si on disait... » Le vendeur « Mais à ce prix là, j'y perds. Disons... »
Je prends la main du commerçant et la colle sur mes seins en disant :
— J'en ai vraiment envie, sentez comme mon cœur bat?! Faites-moi un prix pour ces deux bijoux.
Il ne bouge plus, comme paralysé par le moelleux de mes nichons. Je mets sa main sous mon tee-shirt en disant :
— Ce serait un péché de ne pas faire un prix à une fille qui a des seins aussi doux.
Pas mal comme argument, non?? Vous qui vendez sans doute quelque chose, disons des... (ajoutez l'objet ou le service que vous vendez), vous n'aimeriez pas avoir une vendeuse comme moi??
Le marchand commence à céder :
— Je diminuerai le prix si tu me fais une pipe.
Ça, pas question?! Pas parce qu'il est vieux, mais parce que... on va dire qu'il ne me plaît pas du tout. Pour différentes raisons. Je réponds :
— Ce serait avec plaisir, mais j'ai un bouton de fièvre.
Je lui montre un endroit de mes lèvres que je pince avec les ongles. J'ajoute :
— Mais si vous voulez, je vous montre mes nichons, pendant que ma sœur vous suce.
Il faut un petit temps pour qu'il comprenne et visualise bien ce que je propose et tout à coup, son visage s'éclaire. Il s’exclame :
— D'accord?!
Il va vite fermer la porte du magasin et il met aussi un écriteau. Je suppose qu'il est écrit "Fermé pour un quart d'heure." ou alors "Fermé pour un quart d'heure, le temps que le patron se fasse sucer par deux petites salopes de touristes qui ont le feu au cul et qui veulent des réductions. Et merde, on doit bien vivre, nous, non??" Ce qui compte c'est qu'il ait accepté la transaction. J'suis bonne en affaire, hein?? Il s'assied et soulève sa tunique, pendant que je distribue les rôles :
— Giulia, va sucer la bite de ce gentil Monsieur.
Elle va aussitôt se mettre à genoux devant lui, puis disparaît presque sous la tunique à moitié relevée.
Afin de remplir ma part du marché, je remonte mon tee-shirt pour me caresser les seins. Vous voyez que je paie aussi de ma personne... et plus que vous ne le pensez, car le jeune homme vient regarder mes nichons avec l'air que je devais avoir gamine, quand je proposais aux passants de lire leur avenir et qu'ils me chassaient d'un revers de la main (du coup, leurs lignes de chance rapetissaient de 5 cm !) Je lui demande :
— Tu as envie de les embrasser??
J'ai l’impression qu'il ne parle pas du tout le français, alors je fais un bruit de baisers en montrant mes seins. Là, il comprend mieux et répond :
— Oui, oui, toi, un ange.
Un ange, c'est possible, mais il faudra que je demande d’abord son avis à Julien... Je veux dire à Giulia. Celle-ci a disparu sous la tunique du vieux marchand. D'accord, ce type n'est pas hyper soigné, mais je vous signale que les Arabes sont circoncis, donc leurs bites ne sont pas aussi sales que celles des chrétiens qui... Oui, bon, passons. Le jeune homme couvre mes seins de baisers. Il finit même par me téter un peu, c'est comme si j'avais un bébé de 20 ans. Ça commence à m'exciter, tout ça. Les baisers et les succions, puis la tête de Giulia qui va et vient sous la tunique du commerçant... Je désigne mes seins en disant au jeune homme :
— Tu veux mettre ta bite ici??
Il ne comprend pas et je ne parle pas le berbère, mais il veut tout ce que je veux. Je m'assieds sur une chaise en me mettant de profil pour que le commerçant voit le spectacle et je soulève la tunique du plus jeune. En dessous, il n'a rien, non plus... J'attrape son sexe comme je saisirais une truite en dessous d'une pierre dans un torrent de montagne. Sauf que son sexe est beaucoup plus chaud. Il est tout frémissant et le gland est humide de désir pour moi. Exactement, comme une truite, sauf la température.
Je le prends entre mes seins pour le masser. Il pousse des petits gémissements de plaisir en berbère, mais ça, je comprends. Je crache un peu sur mes seins pour que ça glisse. Oui, ce n'est pas classe et votre femme ne ferait jamais ça... Enfin, je parle de cracher. Le reste, c'est son affaire. Ça marche du tonnerre, le jeune homme se meut avec délice entre mes seins.
Le spectacle de mes seins qui emprisonnent le sexe de son apprenti et la bouche de Giulia qui le suce, ça fait beaucoup et le commerçant doit être occupé de jouir à en croire ses petits cris. Giulia avale tout, enfin, ça vaut mieux pour elle. C'est comme ça que je l'ai éduquée. Quand elle ressort à l'air libre, les yeux clignotants, je lui demande :
— T'as tout avalé, petite??
— Oui Samia.
L'idée qu'elle avale tout m'excite. Masser le sexe du jeune homme aussi, alors, je demande à celui-ci :
— T'as envie de me baiser??
Il me regarde comme si je lui demandais ce qu'il pense de la mécanique quantique, j’essaie de parler plus simplement :
— Toi zig-zig moi??
Lui pas comprendre non plus, alors je me lève, soulève ma jupe, baisse mon string et tends les fesses vers lui en m'appuyant sur une table basse. Là, il comprend et quelques secondes plus tard, il fourre son sexe dans ma chatte. Ouch?! Ça fait du bien?! Il baise bien... en force et en me tenant solidement par les hanches. Je ne vais pas tenir longtemps. Il y a tout un échange de messages entre mon cerveau et mes organes, ma tête dit « Attends, ce sera encore meilleur », mais ma chatte répond « Va te faire enculer, gros mou, je veux jouir ». Oui, c’est vrai, ma chatte n'est pas très polie.
Et puis voilà que le vieux s'en mêle, et il râle en berbère si bien que le jeune homme sort de moi. Le vieux me dit :
— Moi aussi je veux te baiser !
Quelle santé?! A son âge, rebander?! Il vient prendre la place chaude et toute mouillée. Pour tout dire, son sexe me dégoûte un peu. Heureusement que Giulia l'a lavé pendant un bon quart d'heure avec de l'eau et un gant de toilette, je veux dire avec sa salive et sa langue?!
Ne voulant pas laisser ce pauvre garçon sur sa faim, je dis à Giulia :
— Suce-le?!
Mais, qu'est-ce qu'elle obéit bien?! On pourrait croire que je la punis quand elle me désobéit. Oui, bon, c’est vrai que je la punis... avec ce qui me tombe sous la main, comme ma sandale. Pas nécessairement pour un refus d’obéissance, mais parce que ça me calme, quand je suis énervée.
À genoux devant lui, elle caresse même les fesses du jeune homme tout en le suçant.
Vous voyez comme je me préoccupe de tout le monde. Le jeune est ravi de se faire sucer par la jolie blonde, celle-ci est ravie d'avoir une bite jeune et propre (lavée entre mes seins) dans la bouche et puis, la bite du vieux est toute frétillante dans ma chatte.
Je dois penser à moi... Je glisse la main vers mon minou pour me faire un brin de cour... C'est-à-dire que mon majeur fait des câlins à mon clito. Ils s'entendent super bien, ces deux-là : toujours collés ensemble.
Tandis que je me caresse, il y a de nouveaux échanges entre ma chatte et mon cerveau. Cette fois-ci, la tête n'a plus envie de discuter : mon hypophyse et mon hypothalamus se sont associés pour le goinfrer d'endorphines. Il se sent comme quand on a fumé trop de pétards : mou, con et hilare. Il bredouille à ma chatte : « Vas-y ma poule, envoie-nous au fiel... au ciel?! »
Je revois Giulia sous la tunique du vieux, puis celui-ci me baisant en levrette et :
— Oooouuuiiiiii, je jjjoooouuuiiiisss....
Il y a de la torsion dans mon bas-ventre, un orgasme presque douloureux, mais en même temps, c'est tellement bon !
Ouch?! Le vieux jouit aussi.
Il hoquette un peu. Eh, faut pas qu'il claque, on doit encore marchander...
Il ne reste plus que Giulia et le jeune homme... Qu'est-ce qu'il attend, le gamin ? Je dis à Giulia :
— Colle-lui ton doigt le cul, qu'il balance la purée.
Mon Dieu, Samia, quel langage pour une Comtesse?! Ah, ça y est, je vois Giulia déglutir. C'est que j'ai besoin d'elle, vous devinez pourquoi ? Oui, je lui montre ma chatte du doigt et j'enlève ma main. Prosit Giulia?!
Elle se shootait à la vodka, maintenant, c'est au sperme. C'est beaucoup plus sain?! Voilà, voilà... tout le monde se rajuste. Je laisse le vieux faire un prix. En réalité, je m'en fous de sa remise, je voulais juste un peu de fun.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
Les 6 premiers épisodes de ma nouvelle histoire "Justice Cajun" sont sur le site gratuit de La Musardine, "Mes histoires porno."
http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-1/
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Oleg et Kathrin sont en couple. Ils adorent baiser. Ils se sont rencontrés dans un club de lutte Gréco Romaine de Moscou. Bien sûr,, ils ont voulu jouer à la lutte sexuelle où celui qui gagne domine l'autre. Interdit de pénétrer l'autre pendant la lutte, par contre pour compenser la différence de masse, Kathrin a droit à la saisie des couilles et du pénis. Une arme redoutable qui lui donne souvent l'avantage.
Oleg croit avoir gagner. Il écrase Kathrin de tout son poids et l'immobilise. Il protège ses couilles de la main droite. Kathrin est rusée. Cette fois elle glisse sa langue dans une oreille d'Oleg et le chatouille. Il se déconcentre. Trop tard, une main vient de le choper par les couilles...
-Alors mon doudou, on fait moins le malin.
-Salope, tu m'as encore baisé
-Tu abandonnes ou je te castre ?
-J'abandonne pardi, pas le choix. On devrait interdire les chatouilles dans les oreilles.
-Dis pas de conneries, t'as pedu, t'as perdu, on râle pas et tourne toi, je vais t'enculer au god ceinture, tu te sentiras bien mieux après.
-Salope ! ...putain pas si fort avec le god...Ouille...
-Mais t'es une vraie gonzesse mon doudou et tu aimes cela, regarde tu coules.
-Salope, tu me fais jouir.
-Allez, viens mon doudou, viens te finir dans ma chatte, tu l'as bien grosse à présent.
Oleg ne se fait pas prier, il défonce la chatte de Kathrin qui ruisselle et explose un orgasme de mammouth de Sibérie.
-Putain que c'est bon ! t'es la plus grosse salope des rives de la Volga !
La morale de cette histoire c'est qu'un enculé bande mieux après s’être bien fait mettre.
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Chapitre 5 : Ma femme soumise Nous sommes un couple libéré.
Chacun suit ses envies.
Nous avons des rencontres séparées ou des rencontres en couple. Notamment des rencontres candaulistes.
Un soir, Nathalie s’adresse à moi : Chéri, je vais te parler d’un nouveau fantasme.
Je t’écoute. Voilà, j’ai rencontré un homme.
Pour le moment, il ne s’est rien passé. Mais il m’a proposé de devenir sa soumise..
Et qu’as-tu répondu ?
Que j’allais en parler à mon mari et que nous déciderions ensemble.
C’est d’abord toi que ça regarde.
Mais tu ne serais pas contre ?
Non. Reste à en définir les modalités.
Je peux demander à cet homme, Paul, de venir un soir à la maison pour en parler tous les trois.
D’accord.
Paul vient donc ce soir.
Nous l’accueillons autour d’un apéritif.
Je m’adresse à Paul : Monsieur, quelles sont vos intentions concernant Nathalie ?
Je m’appelle Paul et on peut se tutoyer.
D’accord, Paul.
Voilà, ta femme m’intéresse, je sens qu’elle pourrait devenir une bonne soumise. Et j’ai eu l’impression qu’elle n’était pas contre. Mais que deviendrait notre couple ?
Rien ne changera. Tu es son mari, elle restera ta femme. Rien ne doit changer dans votre relation affective ou sexuelle. Je retrouverai Nathalie lors de séances où elle m’appartiendra. Il ne s’agira que d’un rapport dominant / soumise sans aucun autre sentiment. Je choisirai également ses partenaires.
A priori, pas de problème. Pourra-t-elle refuser certaines pratiques ?
Bien entendu, je signerai avec elle un contrat qui stipulera les interdits.
Quelle sera la durée ?
Nathalie ou moi-même pourront arrêter cette relation quand nous le voudrons.
Et où vous rencontrerez-vous ?
Chez moi ou ici.
Quel serait mon rôle ?
Tu peux assister aux séances, tu peux filmer mais tu n’as pas le droit de participer.
Et quel est le but ?
Transformer, faire évoluer. Ta femme doit devenir une chienne.
Je m’adresse à Nathalie : Qu’en penses-tu ? Ça me convient.
Puis à Paul : Quelles sont les pratiques incontournables ?
Sexuellement, ses trois orifices doivent toujours être disponibles sans qu’elle ait le choix.
Bien entendu, si elle me suce, elle doit accepter d’avaler.
Et les autres pratiques ?
J’aime bien dilater chatte et anus. J’aime bien cravacher ou fouetter. J’aime bien uriner dans une bouche. J’aime bien prêter ma soumise. Nathalie a-t-elle déjà fait l’amour avec une femme ?
Oui et elle adore.
Je m’adresse à Nathalie : Qu’en penses-tu ?
Tout ça me convient.
Je m’adresse à Paul : J’opposerai quand même une objection. Nathalie ne devra pas être prostituée.
Aucun souci, je suis dominant, pas un mac.
Alors, c’est parfait. Paul nous présente alors un contrat en double exemplaire. Toutes les règles y sont spécifiées. Une rubrique reste à remplir : "Restrictions, la soumise refuse absolument les pratiques suivantes".
Nathalie me consulte du regard et inscrit le mot "Néant". Puis elle signe les deux exemplaires.
Paul fait de même. Paul et Nathalie ont chacun un exemplaire. Ils sont liés.
Paul s’adresse à Nathalie. Dorénavant tu m’appelles Maître et tu me vouvoies.
Bien, Maître. Nous convenons d’une date pour la première séance. Ce sera samedi en début d’après-midi.
Paul s’en va. Je m’adresse à Nathalie : Satisfaite ?
Oui, merci.
Tu as bien réfléchi aux engagements que tu viens de prendre ? Oui.
Tu ne crains pas le fouet ? Je crois que j’aimerai.
Très bien.
Nous sommes samedi en début d’après-midi. Nathalie est contractée.
Tu es stressée, tu as peur ?
Oui, peur de ne pas être à la hauteur.
Mais je suis avec toi. Tu vas satisfaire Paul et, en même temps, me satisfaire.
Paul arrive. Il vient me serrer la main. Je commence à prendre des photos. Nathalie s’adresse à lui : Bonjour, Maître. Bonjour, salope. À poil ! Bien, Maître. Nathalie se déshabille. Reste debout, les bras le long du corps.
Oui, Maître. Paul se déshabille et s’approche de Nathalie. Il en fait le tour. Il commence à caresser les fesses puis passe sa main sur la chatte. Écarte les jambes.
Oui, Maître.
Il enfonce un doigt dans la chatte de Nathalie puis présente son doigt devant la bouche de Nathalie qui se met à le lécher. Puis les mains de
Paul tâtent les seins de sa soumise. Ils les pincent. Nathalie émet un petit cri. Ta gueule, je ne veux pas t’entendre. Oui, Maître. Paul se place face à Nathalie et lui administre une belle paire de claques. Tu dois me remercier, connasse. Merci, Maître. Tu dois toujours me remercier pour l’attention que je te porte.
Oui, Maître.
Paul prend Nathalie par les cheveux et me demande de lui indiquer la salle de bain. Il fait entrer Nathalie dans le bac à douche et lui ordonne de s’agenouiller. Il entre dans la cabine et présente son sexe devant la bouche de Nathalie.
Ouvre ta bouche. J’ai envie de pisser.
Oui, Maître. Et tâche de ne rien perdre, je veux que tu avales tout.
Bien, Maître. Paul commence à uriner, il règle son débit pour que Nathalie puisse recueillir et avaler.
Je filme cette scène. Quelques gouttes ont coulé sur les seins de Nathalie. Paul donne une paire de gifles à Nathalie. Tu as laissé couler quelques gouttes. Ramasse avec tes doigts et lèche.
Oui, Maître.
Nathalie récupère l’urine sur ses seins avec ses doigts qu’elle lèche ensuite. Tu as oublié quelque chose.
Pardon. Merci, Maître.
Et Nathalie reçoit à nouveau une paire de claques.
Reste à quatre pattes ! Relève bien ton cul ! Tu vas avancer jusqu’au salon en écartant bien tes cuisses !
Bien, Maître.
Nathalie est au milieu du salon, à quatre pattes. Tu vas te mettre en position d’attente, jambes repliées, ton cul sur tes talons, les bras dans le dos.
Oui, Maître.
Paul va fouiller dans le sac qu’il a apporté et en sort un fouet. Tu vas compter à haute voix chacun des coups et me remercier. Oui, Maître. Paul commence par un coup sur les seins.
Un. Merci, Maître.
Et il continue ainsi en frappant de plus en plus fort. Nathalie compte jusqu’à cinq et remercie à chaque coup. Lève tes bras.
Oui, Maître.
Paul frappe Nathalie sur le dos. Dix coups en tout. La poitrine et le dos de Nathalie sont zébrés. Mais elle a résisté. Maintenant viens me lécher les pieds.
Oui, Maître.
Paul s’installe sur un fauteuil et Nathalie se déplace jusqu’aux pieds de son Maître qu’elle se met à lécher à grands coups de langue. Paul commence à transformer Nathalie en une chienne obéissante. Elle continue à lécher, elle semble y prendre du plaisir.
Mets-toi à genoux et viens me sucer, salope. Oui, Maître. Nathalie avance sa bouche et commence à lécher le gland de son Maître.
Caresse-moi les couilles Puis Paul lui prend la tête et lui enfonce sa queue dans la bouche. Il baise sa bouche. Il doit toucher le fond de sa gorge.
Viens te placer sur moi, viens te faire baiser. Et je t’interdis de jouir.
Oui, Maître.
Nathalie se place à califourchon et sa chatte absorbe la queue de son Maître. Je pense que ma femme aura du mal à ne pas jouir. D’ailleurs, elle a un orgasme. Qu’est-ce que je t’ai dit, connasse ?
Pardon, Maître.
Tu seras punie. Oui, Maître. Tourne-toi et viens placer ton cul sur ma queue.
Oui, Maître.
Nathalie se place de façon à se faire enculer par son Maître. Elle effectue des mouvements verticaux pour accentuer la possession de son cul. Elle arrive à ne pas jouir. C’est au tour de Paul de jouir dans le cul de Nathalie.
Viens me nettoyer la queue avec ta langue, salope.
Oui, Maître.
Nathalie s’agenouille à nouveau et nettoie le sexe de son Maître. Puis Paul se lève. Tu as joui, pétasse.
Oui, Maître. Je vous demande pardon.
Mets-toi debout.
Paul prend son fouet et assène dix coups de fouet sur le ventre et sur les fesses de Nathalie. Celle-ci a dû bien entendu décompter les coups et remercier à chaque fois son Maître. Paul s’approche de moi.
Ta femme s’est bien comportée sauf quand elle a joui. Si tu veux me rendre un service, tu peux l’entraîner à ne jouir que sur commande.
J’essaierai.
La séance est terminée. Paul se rhabille. Nous nous serrons la main. Il s’approche de Nathalie.
Tu me dis au revoir et, en même temps, tu me baises les mains.
Au revoir, Maître.
Nathalie baise les mains de son Maître. Paul s’en va.
Nathalie s’adresse à moi : Mon chéri, je vais prendre une douche. Tu peux y aller. Nathalie revient de la douche. Elle me rejoint sur le canapé. Son corps est encore marqué par les coups reçus.
Alors ?
Je suis ravie.
Tu as aimé te faire fouetter ?
C’est une révélation. J’ai adoré.
Et la séance dans la douche. J’ai aimé aussi mais ce n’est pas facile de tout retenir.
Tu as joui.
Oui, je n’ai pas pu m’en empêcher.
Paul m’en a parlé. Il aimerait que je t’entraîne à ne jouir que sur commande.
J’aimerais que tu le fasses. C’est d’accord. Et les traces de fouet sur ton corps ?
Je les ai acceptées.
Elles te gênent ?
Pas du tout. Il faudra s’y habituer.
Tu as envie de continuer avec Paul ?
Plus que jamais. Mais promets-moi une chose.
Oui ?
Si tu as envie que j’arrête, tu me le dis, j’arrête aussitôt.
Continue.
Qu’est-ce que ça changera entre nous ?
Te faire jouir sur commande et voir les marques sur ton corps. Tu demanderas à Paul de ne pas trop te marquer pour les vacances, il ne faudrait pas faire croire que tu es une femme battue involontaire.
Et toi, tu ne pourrais pas me battre ?
Je pourrai essayer.
Mon chéri, je t’aime.
Tu m’as permis de me révéler à moi-même.
Quand la prochaine séance ?
Mon Maître doit me téléphoner mais j’irai certainement chez lui.
Je te raconterai. Si tu veux. Je t’aime et j’ai apprécié cette séance. Ça t’a fait bander ?
Oui. Nathalie s’agenouille, dégage mon sexe et l’engloutit.
J’ai droit d’emblée à une gorge profonde.
J’appuis mes mains sur la tête de ma femme pour accompagner ses mouvements.
Je jouis rapidement au fond de sa gorge.
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De cette chose impalpable, peut-être inexistante qu'est le passé, que gardons-nous ? À peine quelques mots
dont nous ne savons plus s'ils ont été réellement prononcés ou si c'est nous qui les inventons dans le naïf
désir de nous justifier, de croire que nous avons vraiment existé tel jour, telle heure cruciale dont le souvenir
nous poursuit. Seules des images, parfois même reliées entre elles comme dans un film dont le monteur aurait
coupé les meilleures ou les pires passages, ôtant toute logique à leur enchaînement, seules des images fugaces
surnagent et permettent de reconstituer un épisode du passé dont nous sommes assurés qu'il a été un carrefour
fatal. Là, tout est décidé. Un pas à gauche au lieu d'un pas à droite, une minute de retard, et toute une vie
bascule dans l'inconnu. La double magie des lumières et du maquillage conservait miraculeusement l'éclat des
vingt ans de Sarah alors qu'elle approchait du double et l'ardeur généreuse de sa jeunesse ressuscitait sur son
visage en présence de Patricia. Son amante ne voyait plus qu'elle, n'entendait plus que le timbre de sa voix à
peine mûrie par les excès de sa vie passée. Face à face, elles ne se mentaient jamais. Dans un miroir, c'est
beaucoup plus facile. Une remarque insolente sur sa soudaine pudeur, le rappel de la scène qui a motivé leur
fâcherie seraient de mauvais goût. Se souvenait-elle seulement des plaisirs partagés, et qu'elles prenaient,
parfois pour de l'amour ? Une méprise bien de leur âge. Un jean noir et un chandail amincissait sa silhouette,
sans être grande, elle avait un corps charmant. Un bandeau noir sur son front maintenait en arrière ses cheveux
cendrés. Patricia avait depuis longtemps, dépassé le stade de la souffrance, une douleur qui s'annihile elle-même.
Allongée dans le lit, la jambe de Sarah pressée contre la sienne, Patricia respirait avec bonheur le doux parfum épicé
de son amante. La chaleur qu'elle dégageait la rassurait autant qu'elle aiguisait ses sens. Cette nuit, elle ne dormirait
pas seule. Et si d'aventure, il arrivait que Sarah l'embrasse encore, et apaise ses brûlures qu'elle avait fait naître sur
tout son corps, elle se plierait avec joie à son bon plaisir. Les longues jambes fuselées, le triangle inversé de la fine
toison qui plongeait entre ses cuisses, le galbe des hanches d'une perfection appelant la caresse et là-haut au-dessus
de la taille crémeuse, les seins ronds qui pointaient. Pourtant, elle comprit tout de suite, qu'elle ne se livrerait pas en
totalité. Ce baiser manifestait la violence de son désir, l'accuité des sensations qu'elle éprouvait mais l'esprit de Sarah
demeurerait à distance. Cela, alors qu'elle se donnait sans compter. Elle risquait de rompre le charme. Elle était si
claire de cheveux que sa peau était plus foncée que ses cheveux, bise et beige comme du sable fin quand la marée
vient juste de se retirer. Un peu de sueur brillait sous ses aisselles, qui étaient épilées et Patricia en sentit l'odeur âpre
et fine, un peu végétale et se demanda comment une femme si belle pouvait parfois se montrer d'une si grande cruauté.
Elle savait à qui elle appartenait mais se demandait où étaient sa bouche, ses seins et ses reins. Les exigences de Sarah,
le plus difficile n'était pas de les accepter, le plus difficile était simplement de parler. Dans la moiteur de la nuit, elle avait
les lèvres brûlantes et la bouche sèche, la salive lui manquait, une angoisse de peur et de désir lui serrait la gorge, et ses
mains étaient froides. Si au moins, elle avait pu fermer les yeux. Mais non, elle veillait sur la lancinante douleur des traces.
Les amours l'avaient laissé indemne jusqu'à Patricia. Elle adorait voir la joie de vivre dans ses yeux malicieux, la parfaite
connaissance de ses doigts soyeux du corps féminin, jamais lasse d'étreintes fiévreuses, toujours à l'assaut. Pour Sarah,
les hommes étaient le mensonge, avec leurs mains fausses, leur appétit, la politique dont ils parlaient, ils font impression
jusqu'au jour où leur faiblesse éclate; pour la plupart, ils sont peureux et paresseux, et la faiblesse engendre la vulgarité.
Patricia était la femme de sa vie. Avec le temps, les corps s'apprivoisent et les caractères se sculptent. Elle avait accepté
de se soumettre à elle dans une totale abnégation. La flagellation et les humiliations, ça faisait partie de la poésie de
Patricia. Entre douleur et langueur, supplices et délices, telle de la glace sur du granit, le désir était devenu une terre
ardente où s'épanouissait son corps. Quand Sarah évoquait l'anatomie altière de Patricia, sa grâce brune et allongée, sa
femme-enfant, fragile et éternellement adolescente, ses seins parfaits, ses longues jambes toujours brunies par le soleil,
elle avait peur pour elle, du soleil, des coups de cravache trop violents qui semblaient devoir la brûler. Elle l'aurait voulue,
idéalement dans la pénombre d'un boudoir, dans un décor vaporeux qu'elle aurait éclairé de la lueur de ses longs cheveux
noir de jais croulant en cascade sur ses épaules nues. Fragile et forte, forte mais attendrissante de faiblesse pensait Sarah
en regardant la nuit monter dans le ciel immense. Que ferais-je sans elle, je serais un peu perdue, désemparée.
Patricia s'ouvrit et se cambra au contact de son doigt qui remontait et qui se mit à masser doucement son bouton de chair
turgescent qui gîtait dans l'ombre de son pubis. Ineffable lui fut la caresse de son index à l'orée de sa voie la plus étroite,
provoquant en elle une sensation de plaisir telle que jusqu'au fond de son ventre et de ses reins, elle fut traversée d'une
tension exquise, presque insoutenable. Elle s'abandonna à cette jouissance, à cette extase irradiante. C'était comme si son
être entier, tout son corps, tous ses nerfs, tout son sang bouillonnant affluaient dans son hédonisme solitaire. Elle eut un
éblouissement d'impudicité. Elle cria sa lasciveté, avec des saccades et des soubresauts. Elle demeura debout, les cuisses
écartées, les bras mous immobiles le long du corps. Elle avait encore en elle des ondes d'orgasme qui se répandaient dans
une fréquence de plus en plus lente, comme les vagues qui meurent sur le sable quand la mer est calme sous un ciel étale.
Une femme experte n'aurait pas été plus habile à lui donner autant de plaisir, sauf Sarah. Mais elle était heureuse de dormir
seule dans le grand lit, avec le calme de la campagne tout autour. Elle allait tirer les rideaux, laisser entrer la lumière du soir
recouvrir ses rêves et la lune éclairer les arbres. Il n'est pas de plus grands fâcheux que ceux qui racontent leurs rêves. Si
Sarah s'y risquait, ce n'était pas par complaisance envers elle, détachée et prisonnière de l'instant, confrontée tantôt jusqu'à
l'angoisse, tantôt jusqu'au plaisir avec la réalité onirique, mais parce qu'elle se trouvait en proie à une netteté indéléblle. Il
était plus de minuit. Patricia ne se déroba pas aux promesses. Elle avait les yeux de ce bleu qui dénotait une âme tendre.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Un nouveau pas dans mon éducation à la soumission. J'avais rendez-vous à l'hôtel avec une domina; je l'appellerai Madame dans la suite de ce récit car c'est ainsi que j'avais pris l'habitude de l'appeler lorsque je m'adressais à elle. Je devais l'attendre dans la chambre, vêtu avec classe (pantalon, chemise, noeud papillon) mais je devais également porter un string et un bandeau noir satiné sur les yeux. Je devais avoir préparé à l'attention de la dame: champagne, coupes, des amuse-bouche, des fraises, des cigarettes... Madame m'avait également demandé d'amener mes sextoys, à savoir un rosebud et un plug anal transparent en verre; j'y avais adjoint un double dong noir acquis récemment ainsi que du gel lubrifiant. Arrivé un peu avant à l'hôtel, J'ai disposé l'ensemble de façon harmonieuse sur la table de la chambre , puis je me suis passé à a douche pour être bien présentable; j'avais pris soin de faire un lavement après mon dernier repas du matin et j'ai relavé mes fesses au savon. Je me suis habillé comme l'avait demandé Madame, j'ai attendu le SMS de Madame me disant qu'elle arrivait, je lui ai répondu en lui donnant le numéro de la chambre, j'ai entrouvert la porte de la chambre pour qu'elle puisse entrer, mis le bandeau sur les yeux et me suis assis sur le lit, les mains posées sur les cuisses. En attendant, j'entendais les femmes de chambre qui faisaient le ménage dans les chambres voisines; la porte étant entrouverte, je redoutais un peu qu'elles entrent dans la chambre que j'occupais... finalement j'ai entendu que l'on poussait la porte et j'ai entendu Madame arriver. Je me suis levé pour la saluer et elle m'a félicité sur ma tenue qu'elle trouvait très élégante; Madame a également apprécié le soin que j'avais apporté pour répondre à ses attentes: le champagne, les coupes, les fraises, les amuse-bouche, les cigarettes et allumettes... les sex toys, le gel lubrifiant spécial "back door". Madame m'a ensuite dit qu'elle allait se mettre en tenue; elle m'a fait assoir sur le lit, s'est mise devant moi et a posé mes mains sur sa poitrine qui était fort opulente, puis m'a demandé de lui enlever sa robe...j'ai dû y aller à tâtons pour trouver comment l'enlever... elle m'a ensuite demandé de lui enlever ses chaussures. J'ai ensuite dû l'aider à enfiler sa tenue de domina: ses longues bottes noires entrevues par l'espace entre le bandeau et mon visage, son corset en cuir noir avec des lanières dans le dos qu'elle m'a demandé de bien resserrer (la j'ai été autorisé à enlever le bandeau pour bien tirer sur les lanières). Ce corset laissait sa poitrine apparente, après m'avoir demandé de remettre le bandeau, elle m'a demandé de lui prendre un sein à deux mains, de le lécher, et de lui mordiller le téton... c'était plutôt excitant... elle avait les tétons volumineux et bien fermes. Après quelques instants, elle m'a repoussé en disant "ça suffit". Bien Madame... Ensuite elle m'a demandé de la prendre en photo avec son téléphone portable... (Madame voulait des photos d'elle en tenue de domina!) ce n'était pas facile avec les yeux bandés: je devais tenir l'appareil tel qu'elle me l'avait donné et prendre une photo à intervalle régulier... elle a encore changé de tenue et a continué à me demander de faire des photos... Madame est ensuite venue vers moi et a commencé à me déshabiller: le noeud papillon, la chemise, les chaussures, les chaussettes, le pantalon... Elle a tiré sur mon string pour inspecter mon sexe, je n'étais pas du tout en érection car assez impressionné par ce qui se passait et cette inconnue qui inspectait mon corps... de plus je n'étais pas là pour du sexe mais pour être soumis au désirs de Madame. Elle ma demandé de me retourner et de me mettre à quatre pattes, puis a tiré un peu sur le string, a attrapé une fesse dans chaque main pour bien les écarter et a craché à deux reprises sur mon anus pour le lubrifier... C'était très excitant de recevoir les crachats de Madame dans le cul. Puis elle a introduit directement le plug en verre dans mon anus et l'a enfoncé jusqu'au bout sans ménagement; c'était trop douloureux et je me tordais de douleur, j'avais l'impression qu'on me déchirait... j'ai dû l'enlever car c'était vraiment trop douloureux. J'ai suggéré à Madame de me mettre d'abord le rosebud ce qu'elle a fait un peu à contre coeur... celui là est rentré bien plus facilement... Elle m'a fait allonger sur le dos et a commencé à me faire découvrir ses différents instruments: cravache, martinet, un long fouet... Elle faisait tournoyer ses jouets au dessus de mon corps et m'effleurant de temps en temps... c'était assez effrayant... pas douloureux car elle ne portait pas les coups pour le moment mais effrayant d'entendre l'air siffler au passage des lanières. Elle a ensuite fouetté un peu plus violemment mon torse et mes cuisses avec le martinet... la sensation était plus douloureuse surtout quand une lanière s'abattait sur mon sexe même si ce n'était pas lui qui était visé... je me tordais comme un ver de terre... Madame a ensuite ouvert la bouteille de champagne, a servi deux coupes et m'en a donné une... nous avons trinqué à notre rencontre... elle a glissé un peu de nourriture dans ma bouche et nous sommes passés à la suite... Madame a dit qu'elle allait m'encorder, pas vraiment façon shibari mais plutôt pour décorer mon corps avec des cordes d'une façon qui soit à son goût... Pratiquant moi-même l'encordage j'étais plutôt ravi de me prêter à cette activité... de toutes les façons, ravi ou pas c'était Madame qui décidait. L'encordage a pris pas mal de temps, je prenais les positions demandées et je sentais les cordes glisser sur mon corps, se serrer autour de mon buste, de mes cuisses... Pendant l'encordage Madame me racontait son plaisir d'encorder, de faire glisser les cordes sur la peau, de glisser ses mains sur mon corps... En plus des cordes, Madame m'a également ajouté les pinces à tétons que j'avais amenées et à la fin m'a ajouté un collier de soumis avec une laisse, en me disant: "maintenant que tu as le collier, tu obéis bien à mes ordres!"... "Oui Madame..." Puis Madame a fait des photos en me demandant de prendre différentes poses, en tenant la laisse à la main ou encore son fouet dans une main et le martinet dans une autre... Je me suis conformé bien docilement à ses ordres, c'était plutôt agréable de prendre les poses, d'être son objet... Elle m'a fait mettre à quatre pattes sur le lit, les fesses bien exposées et a commencé à me donner des claques sur les fesses avec ses mains, des coups de martinet violents ou comme des caresses ou encore des coups de cravache... je sentais mes fesses de plus en plus chaudes, douloureuses et rougissantes... Madame m'a demandé de compter à haute voix les coups de martinet et uniquement de martinet, sans compter les claques, sans compter les coups de cravache, sans compter les effleurements comme des caresses... je devais reconnaître ce qui me tapait et ne compter que les coups suffisamment forts... si j me trompais je recevais évidemment une punition sous forme de coups gratuits que je ne devais pas compter... nous avons arrêté l'exercice après un long moment et un décompte de 70 coups de martinet... mes fesses étaient plutôt rouges et douloureuses. Madame a refait des photos de mes fesses rouges en posant quelques instruments sur mon corps: fouet, martinet... J'étais toujours à 4 pattes et madame est venue présenter une fraise devant ma bouche; je pensais que c'était pour me nourrir puis j'ai compris que Madame voulait que je la suce comme le gland d'un sexe masculin; j'ai commencé à lécher et sucer la fraise... Madame m'a dit "Bien!" en me demandant si j'aimais sucer des bites. J'ai répondu "Oui Madame" et la maîtresse m'a dit qu'il faudrait qu'elle me trouve des mecs à sucer... J'ai continué à sucer la fraise et finalement je l'ai avalée... Madame m'a alors dit à l'oreille "Je suis sûre que tu voudrais que je te prenne au gode ceinture"; j'ai répondu "Oui Madame" tout en étant un peu inquiet de la taille de l'engin... Madame s'est positionnée derrière moi, a enlevé le rosebud qui était toujours profondément enfoncé dans mes fesses, m'a longuement léché l'anus en profondeur puis a introduit le double dong noir après l'avoir lubrifié... elle a laissé le double dong pendre de mes fesses et a chaussé son gode ceinture; elle est venue près de ma bouche pour que je suce le gode, que j'avais du mal à prendre en bouche... Madame gémissait comme si elle avait un vrai sexe d'homme que j'étais en train de sucer... Après un moment, elle s'est levée, est passée derrière moi, a retiré le double dong de mes fesses et a présenté son gode ceinture à l'entrée de mes fesses; il est entré plus facilement que je ne pensais et madame à commencé à faire des allers retour dans mon cul; elle me demandait de bien m'empaler dessus pour que mes fesses rejoignent son ventre... Madame m'a alors donné l'autorisation de me branler et j'ai joui assez rapidement. J'étais complètement épuisé... Nous nous sommes faits un câlin dans les bras l'un de l'autre puis a commencé la longue période pour défaire les cordes et ranger la chambre... J'ai remercié Madame pour tout ce qu'elle m'avait fait et j'ai repris la route pour Toulouse... Deux jours plus tard, mes fesses me faisaient toujours mal et portaient encore la trace de certains coups de martinet... ce fût pour moi une très belle première expérience de rencontre à l'aveugle, soumission, encordage et prise au gode ceinture...
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Les choses sont à peu près revenues à la normale. Xavier me rend visite, on traîne pas mal ensemble. Coté physique,
ça s'est également calmé. Même si j'ai toujours autant de désir pour lui, voire plus, et même si je le surprends souvent
en train de me regarder. On s'est embrassé quelques fois, mais il semblerait qu'on ait mis un moratoire tacite sur toute
démonstration d'affection physique. Je ne suis pas sûre de savoir pourquoi. Je ne suis pas sûre que cela me plaise. J'ai
envie de lui. J'ai besoin qu'il me touche. Je suis mes cours à l'université, je vais courir, je travaille à mi-temps comme
serveuse dans un bar à cocktails. Et je le vois de temps en temps mais c'est loin d'être suffisant. Surtout, j'essaie de ne
pas paniquer en attendant de savoir si je suis acceptée ou non dans l'année supérieure de la faculté. Avec tout ce qui
s'est passé depuis que je l'ai croisé sur le campus, j'ai réussi à oublier que j'attendais une réponse. La lettre arrive enfin,
c'est Xavier qui me l'apporte avec le reste de mon courrier. Je suis assise sur le comptoir de ma cuisine, les pieds sur
une chaise, quand il frappe à la porte et entre sans attendre que je lui dise de le faire. La lettre de l'université est la
dernière, bien évidemment. Quand je la vois, mon cœur se met à battre très fort et je fais tomber toutes les autres. On
laisse tous les deux cet instant de tension passer en silence. Le temps de déchirer l'enveloppe, mon passage en classe
supérieure est validé. Je suis folle de joie mais je ne parviens pas à décrypter l'expression de son visage. On est l'un à
coté de l'autre, debout dans le séjour. Je tends ma main pour prendre la sienne, j'enlace mes doigts avec les siens.
Son visage s'adoucit. J'avance plus près, je me colle contre lui. Il lâche ma main et passe son bras autour de ma taille,
me serrant encore plus contre lui. Sa main est posée sur le creux de ma hanche, d'un seul coup, le feu de sa présence,
de sa chaleur, de ses muscles m'envahit. Le moindre contact me brûle, consume toutes les couches de vêtements entre
nous jusqu'à ce que je sois presque capable de sentir sa peau contre la mienne. J'ai besoin de ça. Cela fait trop longtemps
qu'on joue à ce petit jeu maintenant et le maigre avant-goût que j'ai eu de lui ne suffit plus. J'ai besoin de plus. Je ne sais
pas pourquoi il a conservé cette distance entre nous, mais j'en sais assez. J'ai joué le jeu, j'ai ralenti nos baisers quand
il le faisait lui, je n'ai pas insisté. Nos baisers sont presque platoniques ces derniers temps. Un effleurement des lèvres
qui va parfois jusqu'à franchir la porte du royaume de la chaleur et du désir. Maintenant mon corps chante d'être si près
du sien, mon esprit et mon cœur bourdonnent d'adrénaline. Ses doigts se plantent dans la chair de ma hanche, ses yeux
brûlent dans les miens, deux flammes couleur cobalt posées sur moi. Je sais qu'il ressent tout à fait la même chose.
Je me mords la lèvre en sachant parfaitement quelle sera sa réaction. Ses yeux s'ouvrent et ma poitrine se gonfle. Ses
doigts se resserrent sur moi encore plus jusqu'à ce que soit presque douloureux, d'une façon excitante. Je cambre mon dos
et prends une grande inspiration, j'écrase mes seins contre lui. Je suis prisonnière de l'ardeur de mon propre désir. Sa
bouche descend jusqu'à la mienne, dure et violente, et ses dents attrapent ma lèvre inférieure, la mordent, affamées,
la dévorent. Sa langue glisse entre mes dents, elle remue furieusement contre la mienne en s'entremêlant. Je gémis tout
doucement. Je sens sa chaleur brute juste derrière moi et j'entends mon sang marteler dans mes oreilles. Les marches
pour arriver à ma chambre n'en finissent pas. Je suis à deux doigts de me retourner et de me jeter sur lui dans l'escalier.
Le désir m'accable. C'est comme être affamée, un besoin qui transperce chaque parcelle de ma peau. J'ai besoin de son
corps, de ses mains, de sa bouche, de ses lèvres. J'ai besoin de passer mes doigts dans ses cheveux, de tracer les lignes
de son anatomie et de m'abandonner à tous les paradoxes qu'il est, ses muscles saillants, sa peau satinée, le vagabondage
de ses doigts et de son membre viril. Trempée, je tremble entre mes cuisses et j'ai besoin de le sentir en entier maintenant.
J'enroule mes jambes sauvagement autour de sa taille, prends son visage entre mes mains et unis ma bouche à la sienne,
dans un baiser sauvage. Je sens toujours le fantôme de Xavier cogner contre mon âme, et celui de ma culpabilité et de ma
souffrance. Je les ignore, qu'ils me hantent, qu'ils hurlent. Ses mains caressent mon dos, mes fesses, je n'entends plus les
fantômes. Il recule, cherche mes yeux, de ses deux saphirs étincelants et je vois ses fantômes à lui qui essaient de sortir.
Nous sommes tous les deux hantés par les spectres du passé, mais il faut bien tourner la page un jour et faire taire la voix
de notre culpabilité. Et ce jour, c'est maintenant. Xavier me repose doucement par terre et je sens son érection quand mes
hanches glissent contre les siennes. Je le contourne et me mets à marcher à reculons en direction du lit. Ma respiration est
de plus en plus faible. Je me défais de son étreinte et ses sourcils se froncent de confusion. Ses traits se détendent quand
il me voit continuer à reculer en dansant et attraper le bas de mon tee-shirt. Je l'enlève d'un seul geste et le jette par terre.
Je ris, saisis l'arrière de ma jupe et fais glisser la fermeture Éclair. Il se fige dans le couloir. La lueur phosphorescente qui
vient du salon accentue sa silhouette virile. Je défais mon soutien-gorge, une agrafe à la fois, le tout glisse le long de mon
bras jusqu'au sol. Son regard sur moi me fait chavirer. La pointe de mes seins se tend. Et puis, je ne peux plus me retenir.
Je lui enlève son tee-shirt et l'imite en le reniflant. Mes doigts courent le long de son torse et s'arrêtent sur le chemin de son
boxer. Ils effleurent son sexe. Le tissu est humide au niveau de son gland. Il enlève son jean et nous sommes désormais
tous les deux en sous-vêtements. Il se penche et m'embrasse. J'empoigne ses fesses. Il plonge à genoux devant moi et je
dois m'accrocher à l'encadrement de la porte. Il écrase son visage contre mon sexe moite. Un cri m'échappe quand il baisse
mon string d'un coup sec. Me voici entièrement nue. Sa langue lèche mon intimité en traçant des cercles autour de mon
clitoris. Je sens une pression brûlante monter en moi. Plus je hurle, plus ses coups de langue deviennent rapides et fiévreux.
Je suis sur le point de jouir, il ralentit. Sa langue sort de mon vagin, puis recommence à lécher mes lèvres. Il est partout
en moi. Je m'écroule, les genoux tremblants, dans sa bouche, sur ses doigts, mes mains s'emmêlent dans ses cheveux.
Il va et vient. Il attrape mon clitoris entre ses dents. Je suis la ligne de son flanc, le long de ses côtes, redescends sur ses
hanches. Je commence à le caresser du bout d'un doigt. Juste la pulpe de mon index frôlant l'extrémité de son gland. J'ai
envie de le prendre dans ma bouche. Il est épais et dur comme du bois. Il glisse sa main dans mes cheveux puis incline la
tête en arrière quand je trouve enfin le courage de le prendre entre mes lèvres. Il a un goût tiède. Un liquide chaud sort de
son gland, je le sens sur ma langue, une odeur de musc et de sel. Il gémit et je l'avale plus profondément, centimètre par
centimètre dans ma bouche, faisant courir ma langue le long de son membre. Je le tiens toujours dans ma main, que je
bouge de bas en haut. Mes lèvres rejoignent mes doigts, je vais aussi loin que possible avant de m'étouffer. Je recule et
le fais glisser hors de ma bouche avec ma main. Il agite légèrement les hanches quand il touche le fond de ma gorge.
Il gémit et se met à bouger en suivant mon rythme. Je sais qu'il a dit qu'il ne voulait pas jouir dans ma bouche, mais je
décide du contraire. J'en ai envie. Je veux l'avaler, le goûter, le sentir, le sentir s'abandonner dans ma gorge. Je prends ses
testicules dans une main, ils sont tendus, gonflés. Je les masse aussi délicatement que possible, en continuant de bouger
mon autre main sur la base de son pénis. Je le suce énergiquement. Son souffle semble épuisé, ses hanches convulsent
de façon incontrôlable. Je l'avale en entier à chaque mouvement, sans m'étouffer. Cela me rend fière. Je sens ses testicules
se contracter, palpiter. Et d'un coup, il explose au fond de ma bouche. Je sens une coulée chaude gicler dans ma gorge.
Je recule pour que son gland soit au bord de mes lèvres et le suce énergiquement. Il grogne bruyamment, ses hanches se
rebellent et un autre jet jaillit dans ma bouche. J'y goûte cette fois. Un liquide épais, chaud, salé qui coule sur ma langue,
puis dans ma gorge quand je l'avale. Je serre son sexe à la base, pompe, continue à le sucer et il se laisse aller une
troisième fois, un jet moins dense et plus doux. Quand je ressens les convulsions s'évanouir, je le reprends une dernière
fois. Je le relâche et je glisse le long de son corps afin de me reposer sur son torse. Son gland encore dur chatouille mon
sexe et je ne peux m'empêcher de me tortiller, de me placer au-dessus. C'est à mon tour. J'ai envie de lui en moi.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Loïc est un marin, il n'est bien que sur son bateau, au large, glissant sur les abîmes insondables des vastes océans. Il navigue partout, surfe sur les grandes vagues et les courants, se laisse guider par les vents. Il aime accoster dans des criques ou des baies isolées, loin des ports encombrés. Il aime la pêche aux gros et préfère griller du thon ou de l'espadon aux lyophilisés. Son bateau est agile, il est bon navigateur et sait déjouer tous les pièges, éviter les tempêtes folles et rester tant que faire se peut sur les vastes flots.
Loïc a une autre passion, il adore attacher les filles dans des toiles d'araignées toutes en cordes solides, bien les ficeller et bien les niquer ainsi, offertes et exposées nues, aux vagues et aux vents. Il n'a eu aucun mal à se trouver trois jolies équipières qui aiment aussi cela, être attachées nues et suspendues entre les mats d'un beau bateau. Ce ne sont point seulement fantasmes. Les filles qui essaient cela deviennent toutes acrros. Les liens et les suspensions facilitent un total lacher prise et la méditation. Les roulis du bateau et le bercement de vagues font le reste, c'est l'extase, la grande paix intérieure.
Loïc adore conduire son bateau face au vent, avec ses trois superbes filles pendues nues entre les maits, dans leurs toiles de cordes. Elles sont si belles et si paisibles ballottées par les vagues. Parfois, il quitte la barrre et va en tringler une. Elles sont incroyablement jouissives avec leurs minous serrés. Il aime se vider dans un cri, puis il retourne à la barre apaisé. Elles peuvent rester des heures ainsi, a méditer. Puis il les détache. Elles vont boire le thé et reviennent se lover contre lui, nues dans d'amples peignoirs éponges. Elles sont bien. Personne ne parle ou presque sur le bateau de Loïc.
La morale de cette histoire c'est que si votre femme vous casse les couilles, attachez là et suspendez la nue. Laissez la méditer en silence. Elle vous reviendra en paix et heureuse.
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Le drap remontait jusqu'au menton, laissant nus les bras et les épaules. Elle ferma les yeux. Sarah contempla
impunément le pur ovale du visage de Patricia. Sur la peau mate des joues et du front, sur les paupières bistrées
passaient, comme des risées sur la mer, de brefs frissons qui gagnaient les belles épaules, les bras, la main tenue
par son amante. Une émotion inconnue s'empara d'elle. Serrer une femme dans ses bras, c'est se priver de la voir,
se condamner à n'en connaître que des fragments qu'ensuite la mémoire rassemble à la manière d'un puzzle pour
reconstituer un être entièrement fabriqué de souvenirs épars: la bouche, les seins, la chute des reins, la tiédeur des
aisselles, la paumes dans laquelle on a imprimé ses lèvres. Or parce qu'elle se présentait ainsi allongée, pétrifiée
comme une gisante, Sarah découvrait Patricia comme elle ne croyait ne l'avoir jamais vue. Elle ne reconnaissait pas
la fragile silhouette à la démarche vacillante sur la jetée du port, menacée dans son équilibre par la bourrasque qui
se ruait sur Sauzon. Elle était infiniment désirable, ce à quoi, elle avait peu songé depuis leur première rencontre.
Plus surprenante encore était l'immersion de Patricia dans le sommeil dans la tempête, comme si seule une pression
de la main de sa maîtresse libérait d'un torrent de rêves. Un souffle à peine perceptible passant ses lèvres entrouvertes.
Comme le suaire que les sculpteurs jettent sur une statue d'argile ocreuse encore fraîche, le drap mollement tendu
épousait les formes secrètes de la jeune fille: le ventre à peine bombé, le creux des cuisses, les seins attendant les
caresses. Sarah se pencha sur ce masque impassible comme on se penche sur un livre ouvert. En la serrant dans
ses bras, elle la réveillerait, la rappellerait sur l'île où un avis de grand frais s'était abattu. Un élan de tendresse étrangla
Sarah. De très près, son front apparaissait comme un mur impénétrable derrière lequel se cachait un courage inouï.
On pouvait y lire aussi de la crainte. Un peu de sueur brillait sous ses aisselles épilées et Sarah en sentit l'odeur âpre
et fine, un peu végétale et se demanda comment une femme si belle pouvait parfois se montrer d'une si grande docilité.
Elle savait qu'elle lui appartenait mais se demandait où étaient sa bouche, ses seins et ses reins. Les exigences de Sarah,
le plus difficile n'était pas de les accepter, le plus difficile était simplement de parler. Dans la moiteur de la nuit, elle avait
les lèvres brûlantes et la bouche sèche, la salive lui manquait, une angoisse de peur et de désir lui serrait la gorge, et ses
mains étaient froides. Si au moins, elle avait pu fermer les yeux. Mais non, elle veillait sur la lancinante douleur des traces.
La veille, elle avait accepté d'être fouettée jusqu'au sang par Sarah. Elle se souvint seulement qu'elle ne lui avait jamais
dit autre chose qu'elle l'aimait. Un ordre l'aurait fait se rebeller, mais cette fois-ci, ce qu'elle voulait d'elle n'était pas qu'elle
obéît à un ordre, mais qu'elle vînt d'elle-même au-devant de ses désirs sadiques. Encore un instant, avait-elle dit. Patricia
se raidit, mais en vain. Elle reçut quarante coups de cravache. Elle le subit jusqu'au bout, et Sarah lui sourit quand elle la
remercia. Dans le lit, elle ne pouvait cesser de désirer refermer ses cuisses meurtries. Sarah s'était révélée chaque nuit de
leur vie languissante toujours plus fougueuse dans leurs ébats d'alcôve. Toutes les femmes amoureuses ont le même âge,
toutes deviennent des adolescentes exclusives, inquiètes, tourmentées. Patricia endormie n'échappait pas à la règle.
La mer est comme ça. Elle peut accumuler les malveillances, multiplier au-delà de l'imaginable les mauvais hasards, les
coïncidences mortelles et, lorsque tout semble perdu, détourner sa fureur et faire une fleur à ceux contre qui elle s'est
acharnée. Mais il y avait peu de chance que la tempête ramène le voilier près de son point de départ. Le canot tous temps
de la SNSM était sorti en fonçant dans les rouleaux d'écume au large de la pointe des Poulains. Rien de plus stupide que
la bravoure frôlant l'inconscience. La fin était là, tracée par les rochers. Le cercle se resserrerait autour d'eux pour la curée.
Ce serait au tour de Sarah d'être muette. Le froid ne les referait pas vivre. La vague envahirait le carré, l'ancre flottante ne
tiendrait pas. Le bateau se coucherait et se relèverait mais pour combien de temps. Il faudrait apprendre à mourir car le flot
reprendrait possession de son domaine. Rien n'est plus important que les vertiges de Monet et de son ami, le pêcheur Poly.
La découverte des aiguilles de Port-Coton des rochers du Lion de Port-Goulphar et de Port-Domois. Un soleil rouge, un
soleil de fiction incendie le couchant. Lisse comme un toit de zinc, la mer est morte, on la croirait déserte sans le friselis. La
côte a disparu. Admirable justesse du langage marin dont ricanent les niais. Au-delà du jargon de pure technique, les mots
cernent au plus près la vérité des choses dans toutes leurs dimensions avec tant d'exactitude et de simplicité qu'ils en sont
poétiques. Les sémaphores signalent "mer belle". Le langage des gens de mer ne se prête pas à l'épopée.
Renaître à la vie est heureux pour les amoureux. Pour qu'un rêve soit beau, il ne faudrait pas s'éveiller. En aucune façon,
Sarah demandait à Patricia de se renier mais bien plutôt de renaître. C'est bon, les autres, c'est chaud, c'est nécessaire.
Sarah avait du goût pour les autres. Pour elle, c'était une attitude moins altière que l'imprécation et l'anathème, moins chic
aussi; le monde est peuplé de mains tendues et de cœurs entrouverts. Le jour n'en finissait pas de se lever. Le spectacle
de l'aube réticente n'était pas exaltante. Des nuages bas galopaient sous une couche de cumulonimbus plombés. Le vent,
contre la houle, créait une mer confuse, heurtée, rendant la navigation confuse. Ce fut un soulagement de revoir la lumière.
Il fallait prendre un autre ris dans la grand-voile et envoyer un petit foc car, sous les rafales qui forcissaient, le vieux ketch
commençait à fatiguer, puis descendre dans le carré et regarder une carte marine de plus près. Patricia faisait semblant de
dormir dans le joyeux charivari des objets usuels livrés au roulis. Nous étions dans le sud de Groix. Continuer sur ce bord
en espérant identifier à temps les dangers de Belle-Ile ou changer d'amures et courir un bord hasardeux vers le large en
attendant l'embellie. C'était la meilleure solution quitte à tourner le dos volontairement à la terre. C'était l'heure du bulletin
météo de Radio-France annonçant un vent frais du nord-est. C'était le vrai mauvais temps. Raison de plus pour virer de
bord, vent devant si possible, sinon lof pour lof et à la grâce de Dieu. Sous son seul petit foc, "Albatros" allait vite, trop vite,
il ventait en furie. Il souffrait. Lorsqu'il dévalait la pente d'une lame, nous avions peur qu'il se plante dans la lame suivante.
Le bout-dehors plongeait sous l'eau. Chavirer par l'avant n'est pas une légende. La barre franche devenait dure. À bord,
les yeux se fermaient, mais personne ne dormait, c'était un état intermédiaire, pas exactement le demi-sommeil, plutôt
une torpeur éveillée. Le corps s'absentait mais l'esprit demeurait en alerte. Des torrents d'eau mousseuse s'écoulaient
par les dalots. La mer était grise tout autour mais d'un vert profond. Sur ses pentes ruisselaient des cascades blanches.
Combien de temps "Albatros" avait-il souffert contre la peau du diable ? La tempête cessa et nous rentrâmes à Sauzon.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Week end avant le 14 juillet, vendredi soir.
J’avais eu une journée chargée. Il devait être près de 20 heures quand je suis rentrée chez toi.
Enfin, chez « nous » désormais.
Le temps de prendre quelques effets et nous sommes aller dîner chez l’italien d’à côté, avant de prendre la route pour passer le week end dans ta villa près de Deauville, là où, il y a maintenant un peu plus de deux ans, pour la première fois, je me suis donnée à toi, et où j’ai décidé que je serais ton esclave.
Spaghetti vongole, un blanc du nord de l’Italie, un café et la voiture qui file dans la nuit.
La même destination, la même autoroute vide, vu l’heure tardive,
les souvenirs qui remontent, ta main qui se pose sur mon sexe humide, qui me caresse avant de me fouiller.
Péage de Heudebouville, la bifurcation vers Rouen laissée derrière nous, bientôt l’aire de Josapha.
_______________
Cette nuit là, il y a deux ans, je n’en pouvais plus de t’attendre.
Les hommes que j’avais connus avant toi n’avaient qu’une hâte, me baiser, jouir de mon corps.
Toi, au contraire, tu voulais tout savoir de moi, me mettre à nu, m’obliger à te livrer mes pensées les plus intimes, mes désirs les plus secrets.
Pendant un mois, nous avions dialogué, échangé, partagé,
mais tu continuais de te dérober, alors que ne désirais que te rencontrer, m’offrir à toi, te faire jouir et jouir de toi.
Jamais aucun homme ne s’était comporté de la sorte.
Et jamais je n’avais vécu une telle attente, une telle frustration.
Mais le moment que j’avais tant attendu était enfin arrivé.
J’étais avec toi, à tes côtés, tremblante de ce désir si longtemps refoulé,
craignant de pas être à la hauteur de ce que je savais déjà ressentir pour toi,
sans oser encore me l’avouer.
Après le premier péage, tu m’as demandé d’écarter mes cuisses.
Tu as posé la main sur mon sexe humide,
introduisant un doigt dans ma chatte pour commencer à me fouiller
et pour la première fois j’ai joui de toi.
Après Rouen, tu as mis le clignotant. Aire de Josapha.
Vide à cette heure tardive.
Tu es sorti de la voiture, tu as ouvert ma portière et demandé de te suivre.
Tu m’as emmenée dans les toilettes pour handicapés,
plus grandes que les autres,
tu as refermé la porte derrière toi,
tu m’as ordonné de me déshabiller et de me m’agenouiller.
J’ai obéi, sans oser rien dire.
Une fois à tes pieds, les gestes me sont venus naturellement.
Embrasser l’emplacement de ton sexe, dégrafer ton pantalon, te prendre en bouche.
Ta réaction m’a libérée de ma peur de ne pas être à la hauteur de ce que tu attendais de moi.
L’avantage, avec les hommes, c’est qu’il est des signes qui ne trompent pas.
Je t’ai sucé un long moment,
jouissant enfin de ce sexe dont j’avais si longtemps été frustrée, le tien.
Puis tu m’as relevée, plaquée contre le mur, ordonné de cambrer mes reins.
J’ai refusé que tu enfiles une capote,
ce que je n’avais jamais fait jusqu’alors avec quiconque,
pour te supplier de me prendre ainsi, à sec, brutalement, violemment.
Aucun homme ne m’avait jamais baisée de la sorte,
dans un lieu aussi sordide, glauque,
comme si je n’étais rien d’autre qu’une pute, une chienne, une salope.
Mais c’est ce que j’attendais, ce que j’espérais,
ce que je savais au fond de moi que je voulais être dorénavant pour toi.
______________
Tu n’avais pas choisi cette aire au hasard.
Josapha.
Prénom oublié, tombé en désuétude.
Image d’une femme belle, mais fragile, ayant peur de s'attacher ou de paraître vulnérable.
Les Josapha sont réputées secrètes, introverties.
Elles ont confiance en elles mais à condition de se sentir soutenues.
Belle je le suis, au moins dans tes yeux.
Quant au reste, tu m’avais bien cernée.
_______________
Depuis, deux ans sont passés.
Cette aire de repos, désormais, est devenue comme un fétiche pour nous,
l’arrêt obligatoire chaque fois que nous allons à Deauville.
Pour y renouveler ce qui est plus qu’un rituel à mes yeux,
le serment réitéré de l’offrande de mon corps,
qui désormais t’appartient.
J’aime m’y exhiber, nue devant toi, m’agenouiller, te sucer,
avant que tu ne me plaques contre le mur, pour me prendre, me défoncer, me féconder.
_______________
Je mesure, en écrivant ces lignes, le chemin que tu m’a fait parcourir en deux ans.
Moi, secrète et réservée pour tout ce qui concernait l’ « intime », tu lis désormais en moi comme dans un livre ouvert.
Moi, qui refusais jusqu’alors de m’engager, je partage aujourd’hui ta vie.
Moi, qui passais d’un mec à l’autre, je ne désire plus que toi.
Ce chemin, c’est toi qui m’y a entraînée, mais je sais que je n’attendais que cela.
Rencontrer celui qui me donnerait envie de le parcourir avec lui.
Toi, mon mec, mon compagnon, mon confident, mon Mâle, mon Maître.
Merci à toi, Maxime, d’être tout cela à la fois, et plus encore.
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Elle l'attendait, sagement assise derrière le volant. Leurs bouches se rejoignirent à l'intersection des deux
sièges selon un rituel tacitement établi depuis qu'elles se retrouvaient dans la clandestinité. Mais, en deux
ans, elles avaient appris à le bousculer à tour de rôle, afin que jamais l'habitude n'entamât la passion. Elles
échangèrent un long baiser, si imaginatif qu'il pouvait à lui seul dresser l'inventaire exact de tout ce qui peut
advenir de poétique et de prosaïque entre deux êtres soumis à leur seul instinct, du doux effleurement à la
morsure, de la tendresse à la sauvagerie. Toutes les figures de l'amour s'inscrivaient dans cette étreinte.
Elle avait la mémoire de celles qui l'avaient précédée. Quand leurs bouches se reprirent enfin, elles n'étaient
qu'un seul et même souffle. Anticipant sur son premier mot, Sarah posa son doigt à la verticale sur ses lèvres
et, dans un sourire de connivence, entraîna Patricia hors de la voiture. Après qu'elles eurent tout doucement
refermé les portes et fait les premiers pas sur la pointe des pieds, comme si l'extrême discrétion leur était
devenue une seconde nature, elle la prit par la main et l'engagea à sa suite dans une des rares stalles encore
vides. À l'ardeur qu'elle y mettait, Patricia comprit que ce jour-là, encore une fois de plus, elle dirigerait les
opérations, du moins dans un premier temps. Alors une sensation inédite l'envahit, la douce volupté de se
laisser mener et emmener par celle qui la traiterait à l'égal d'un objet. En s'abandonnant sous la douce
pression de ses doigts, elle n'était déjà plus qu'un corps sans âme, qu'une soumission charnelle en répit.
L'endroit était humide et gris. Il en aurait fallut de peu pour qu'il paraisse sordide. Ça l'était juste assez pour
ajouter à leur excitation. Certains parkings peuvent être aussi borgnes que des hôtels. Un rai de lumière,
provenant d'un des plafonniers de l'allée centrale, formait une diagonale au mur, à l'entrée du box. Il n'était
pas question de descendre le lourd rideau de fer, elles se seraient retrouvées enfermées. Patricia s'appuya
le dos contre le mur, exactement au point où le halo venait mourir, de manière à réagir à temps au cas où
quelqu'un viendrait. Avant même que Sarah pût l'enlacer, elle lui glissa entre les bras tout en tournant le
dos, avec cette grâce aérienne qui n'appartient qu'aux danseuses, puis posa ses mains contre la paroi,
un peu au-dessus de sa tête, et cambra ses reins tandis qu'elle s'agenouillait. Depuis tant de mois qu'elles
s'exploraient, pas un grain de leur peau n'avait échappé à la caresse du bout de la langue. Du nord au sud
et d'est en ouest, elles en avaient investi plis et replis, ourlets et cavités. Le moindre sillon portait l'empreinte
d'un souvenir. La chair déclinait leur véritable identité. Elles se reconnaissaient à leur odeur, se retrouvaient
en se flairant. Tout avait valeur d'indice, sueur, salive, sang. Parfois un méli-mélo de sécrétions, parfois le
sexe et les larmes. Des fusées dans la nuit pour ceux qui savent les voir, messages invisibles à ceux qui
ne sauront jamais les lire. Si les humeurs du corps n'avaient plus de secret, la subtile mécanique des fluides
conservait son mystère. Mais cette imprégnation mutuelle allait bien au-delà depuis qu'elles s'étaient conté
leurs rêves. Tant que l'on ne connaît pas intimement les fantasmes de l'autre, on ne sait rien ou presque
de lui. C'est comme si on ne l'avait jamais vraiment aimé. Patricia savait exactement ce que Sarah désirait.
Se laisser prendre avant de s'entreprendre. Un geste juste, qui serait juste un geste, pouvait apparaître
comme une grâce, même dans de telles circonstances, car leur silence chargeait de paroles le moindre de
leurs mouvements. Elles n'avaient rien à dire. Demander aurait tout gâché, répondre tout autant. Elles
pouvaient juste surenchérir par la crudité de leur langage, un lexique de l'intimité dont les prolongements
tactiles étaient infinis, le plus indéchiffrable de tous les codes en vigueur dans la clandestinité. Tandis que
Patricia ondulait encore tout en s'arc-boutant un peu plus, Sarah lui déboutonna son jean, le baissa d'un
geste sec, fit glisser son string, se saisit de chacune de ses fesses comme s'il se fût agi de deux fruits murs,
les écarta avec fermeté dans le fol espoir de les scinder, songeant qu'il n'était rien au monde de mieux
partagé que ce cul qui pour relever du haut et non du bas du corps, était marqué du sceau de la grâce
absolue. Puis elle rapprocha ses doigts du sexe, écarta les béances de la vulve et plongea ses doigts dans
l'intimité moite, si brutalement que sa tête faillit heurter le mur contre lequel elle s'appuyait. Ses mains ne
quittaient plus ses hanches que pour mouler ses seins. Le corps à corps dura. Là où elles étaient, le temps
se trouva aboli. Toute à son ivresse, elle ne songeait même plus à étouffer ses cris. Fébrilement, au plus
fort de leur bataille, Sarah tenta de la bâillonner de ses doigts. Après un spasme, elle la mordit au sang.
De la pointe de la langue, elle effleura délicatement son territoire à la frontière des deux mondes, avant de
s'attarder vigoureusement sur son rosebud. Un instant, elle crut qu'elle enfoncerait ses ongles dans la pierre
du mur. Elle se retourna enfin et la caressa à son tour sans cesser de la fixer des yeux. Toute l'intensité de
leur lien s'était réfugiée dans la puissance muette du regard. Car si Sarah l'aimait peut-être, l'aimait sans
doute, Patricia sentait que le moment n'était pas éloigné où elle allait non plus le laisser entendre, mais le
lui dire, mais dans la mesure même où son amour pour elle, et son désir d'elle, allaient croissant, elle était
avec elle plus longuement, plus lentement, plus minutieusement exigeante. Ainsi gardée auprès d'elle les
nuits entières, où parfois elle la touchait à peine, voulant seulement être caressée d'elle, elle se prêtait à ce
qu'elle lui demandait avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus encore lorsque la demande
prenait la forme d'un ordre. Chaque abandon lui était le gage qu'un autre abandon serait exigé d'elle, de
chacun elle s'acquittait comme d'un dû; il était étrange que Patricia en fût comblée. Cependant, elle l'était.
La voiture était vraiment le territoire de leur clandestinité, le lieu de toutes les transgressions. Un lieu privé
en public, ouvert et clos à la fois, où elles avaient l'habitude de s'exhiber en cachette. Chacune y reprit
naturellement sa place. Elle se tourna pour bavarder comme elles l'aimaient le faire, s'abandonnant aux
délices de la futilité et de la médisance avec d'autant de cruauté que l'exercice était gratuit et sans danger.
Elles ne pouvaient que se sentir en confiance. Scellées plutôt que liées. Patricia était le reste de Sarah, et
elle le reste d'elle. Inutile d'être dénudé pour être à nu. Tout dire à qui peut tout entendre. On ne renonce
pas sans raison profonde à une telle liberté. Au delà d'une frénésie sexuelle sans entrave, d'un bonheur
sensuel sans égal, d'une connivence intellectuelle sans pareille, et même au-delà de ce léger sourire qui
emmène plus loin que le désir partagé, cette liberté était le sel de leur vie. Elle la prit dans ses bras et lui
caressa le visage tandis qu'elle se blottissait contre sa poitrine. À l'extérieur, l'autre vie pouvait attendre.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Deux mecs pour ma lopette... Je veux que ma chienne accepte !
Ma lope se doute BIEN de mes intentions mais elle ne sait pas vraiment ce que j'attends d'elle !
Je veux qu'elle comprenne bien qu'à l'avenir je ne vais plus me contenter juste d'une seule bite mais qu'elle doit devenir une véritable petite salope!
Elle devra sucer et honorer tous les mâles qui ont envie d'elle.
- Chérie je veux que tu cherches deux mecs sur internet pour ce soir!
- Comment ça deux mecs Maîtresse?
- Tu as très bien compris DEUX !
Deux mecs pour ma lopette.
Ma chienne à trouvé deux mecs assez facilement!
Elle s'est préparée pour les recevoir. Après une brève présentation et quelques explications sur ce que j'attends d'eux, les deux mâles se déshabillent et vont s'installer sur le divan.
- Voila ma chienne va les sucer ils attendent que ça!
Deux mecs ?
- OhhhMaîtresse !
- Discute pas tu es ma pute et fais ce que je demande un point c'est tout!
Ellecommence à les sucer et les branler sans rien dire. Elle adore les bites et ça se voit.
- Tu aimes ça hein grosse salope?
- Oh oui Maîtresse j'adore.
- Je te rassure tu es à ta place et tu es une bonne petite pute qui offre sa bouche gratuitement.
Oh tu as une belle salope qui suce à merveille on voit qu'elle aime la bite!
Deux mecs pour ma lopette, ça fait trois ans que je la conditionne pour qu'elle devienne une bonne chienne!
-Tu peux être fière de ton travail j'ai rarement rencontré une telle salope!
- Allez grosse pute suce nous bien...
- Elle suce à merveille effectivement et vous allez pouvoir la baiser comme vous voulez!
- Super on va bien profiter alors!
Je donne un peu d'aide à ma lope et j'en profite pour sucer moi aussi ces deux mâles.
Je suis la Maîtresse et je ne vais pas me priver et profiter moi aussi.
- Tu vois lopette Maîtresse à tout à y gagner avec toi... tu es une fiotte qui me permet de sucer et de me faire baiser comme je veux sans que tu ne puisse plus rien dire!
- Oui Maîtresse!
- Tais toi et suce moi cette queue!
- Maîtresse aussi en a une très bonne et je vais bien la sucer devant toi !
Je profite moi aussi des deux bites offertes même si c'est ma lope que j'ai envie de voir bien utilisée.
- Allez les mecs enculez-moi cette salope elle a besoin d'être abusée pour comprendre ce à quoi elle sert!
Q
- Mmmm cette chienne se dilate bien on va pouvoir y aller comme dans du beurre!
- Couche toi sur le divan salope on va t'enculer!
- Oui allez-y profitez bien de ma lopette elle est la pour servir de vides couilles et s'offrir totalement!
- On va bien en profiter tu peux nous croire... on va lui apprendre ce que c'est que de n'être plus qu'une bonne salope à bites bien soumise !
Je suis ravie car ma chienne va se sentir vraiment humiliée !
- Allez vas y encule la bien elle adore ça ma lopette!
- Ah ouais une dans le cul et une dans la bouche tu as transformé ton mec en véritable chienne je te félicite !
- Ah ça fait assez longtemps que je la conditionne pour ça!
Deux mecs pour ma lopette suce et se fait prendre sans aucune retenue sa bouche gobe cette belle grosse bite et sa chatte anale est travaillée en même temps.
Je remarque que ma petite lopette commence à aimer se sentir ainsi utilisée et je suis assez fière de voir que mon conditionnement porte ces fruits.
-Tu aimes te faire baiser ainsi ma chérie on dirait?
- Oh oui Maîtresse j'aime ça me sentir bien offerte!
Elle commence à crier tellement elle se fait prendre dans le cul mais j'ai pas l'intention de la laisser la moindre possibilité de se soustraire à ces mecs.
- Allez on va l'installer sur le chevalet les gars et vous allez continuer à lui dilater les trous!
- Quelle chienne regarde ça mes doigts massent son intimité et elle s'ouvre bien!
-Oui et ma lope bande plus elle se sent femelle !
-Ah ben ouais tu l'as bien conditionné, une vraie lope!
- Merci les gars
- Vas y ma chienne suce moi bien... lubrifie ce préservatif pour que je t'encule encore une fois j'ai envie de gicler dans ton cul!
c'est bon d'avoir a sa disposition une lopette de ton genre!
Je sens qu'elle va se souvenir longtemps de cette soirée et j'espère qu'elle sera fière!
La soirée se termine et les mecs sont partis.
- Alors ma lopette comment tu te sens?
-Honteuse Maîtresse.
- Mais tu dois être fière tu as fait du bien à deux mecs et ils ont été ravi !
- Je sais pas trop Maîtresse!
- Moi je sais et je décide, tu seras ma lope?
- Votre lope Maîtresse.
- Bravo tu as compris et être fière !
-Oui Maîtresse
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Chapitre 3 : Je suis piégé.
Une semaine est passée. Nathalie a maintenu la pression pour que je rencontre un homme. C’est elle qui a raison, c’est le chaînon manquant. J’ai fini par être d’accord. Elle m’a dit avoir trouvé un homosexuel actif. Donc, si j’ai bien compris, je devrais plutôt jouer un rôle de femelle. Et Nathalie ne devra avoir aucun contact avec cet homme.
Nous sommes samedi, en début d’après-midi. Notre invité, Christian se présente. Solide gaillard. Nous nous déshabillons et rejoignons notre chambre.
Christian est debout et me présente son sexe :
- Suce !
Je suis timide, presque désemparé. Nathalie met sa main sur mon épaule et me dit :
- Allez, vas-y, mon chéri.
Je commence à téter timidement son gland mais il me fourre sa queue dans la bouche, je manque d’étouffer mais parviens à reprendre ma respiration. Je n’avais jamais pensé sucer une queue mais ce n’est pas si désagréable que ça. Christian me place à quatre pattes sur le lit et se place derrière mon cul. Il commence à y entrer sa queue Pendant ce temps, Nathalie engloutit la mienne par la bouche. Progressivement, Christian s’enfonce de plus en plus. J’ai ressenti une douleur au début mais je m’habitue à cette queue dans mon cul et c’est loin d’être désagréable. Je suis pris entre deux feux, une queue dans mon cul et ma queue dans une bouche. Enfin, il jouit en moi et je jouis dans la bouche de Nathalie.
- Maintenant, tu nettoies !
Nathalie guide ma bouche vers le sexe de Christian et je m’applique à le nettoyer.
Christian se rhabille et s’en va.
Nathalie s’adresse à moi :
- Alors, mon enculé chéri ?
- Merci d’avoir été là. Ça t’a plu ?
- Oui, j’ai apprécié. Merci, j’ai réalisé tes fantasmes et tu as réalisé le mien.
- Mais je ne suis pas sûr de recommencer.
- Je ne t’en demande pas tant.
- Je t’aime.
- Je t’aime.
Chapitre 4 : Je l’ai piégé
Richard, après maintes discussions, a accepté de coucher avec un homme. J’ai trouvé un homosexuel actif, mon fantasme étant de voir mon mari se faire enculer. J’adore être enculée, pourquoi n’aimerait-il pas ?
Nous recevons Christian en ce début d’après-midi. Nous nous déshabillons tous les trois. Je préfère être nue pour aider mon mari. Je sais que je ne dois pas toucher Christian.
Richard doit commencer à le sucer. Je l’encourage. Il est emprunté comme je l’étais lors de ma première pipe et que Richard me guidait. Puis il s’enhardit et sa bouche est remplie par la queue de Christian. J’ai une crainte, j’ai peur que Christian jouisse ainsi. Mais non, Christian positionne Richard pour l’enculer. Aussitôt, pour l’encourager, j’enfourne la queue de mon mari dans ma bouche. On forme une sorte de sandwich. J’entends Christian grogner, il a dû jouir et Richard se déverse dans ma bouche. Maintenant, Richard doit nettoyer la queue de Christian, ce n’est pas ce qui est le plus agréable mais il doit le faire. Je l’aide.
Je suis fière de mon homme qui a relevé le défi. Nous avons chacun réalisé le fantasme de l’autre. Je m’adresse à mon mari en le traitant d’enculé. Pour moi, ça ne représente pas une injure mais une promotion. Mon mari est bisexuel comme moi. Il m’avoue ne pas être sûr de recommencer mais je saurai le convaincre.
Nous échangeons des paroles d’amour.
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Chapitre 2 : Mon mari m’a trouvé un amant. Nous sommes mariés depuis quelques années. Nous sommes heureux mais, depuis quelque temps, mon mari Richard me parle de son désir de me trouver un amant. Il me dit qu’il serait heureux de me savoir dans les bras d’un autre homme. Au lit, Richard me comble mais il m’affirme que je ne devrais plus être la femme d’un seul homme. Je ne l’ai jamais trompé. Son idée ma paraissait saugrenue puis, peu à peu, je me suis dit que je pourrais essayer. Mon mari a insisté et j’ai fini par dire oui. Mais je n’ai pas envie de chercher un homme. Richard m’a affirmé qu’il me présenterait mon futur amant. A des fins de découverte du candaulisme, ll m’a proposé de le faire venir à la maison mais je ne veux pas d’une partie à trois. Enfin, il m’a proposé un scénario que j’ai accepté : Il invitera un homme pour moi et une femme pour lui. J’irai avec cet homme dans notre lit conjugal tandis que lui et la femme iraient dans la chambre d’amis. J’ai bien compris que ces relations resteraient purement physiques mais je crains quand même pour l’avenir de notre couple. Nous sommes samedi en fin d’après-midi. Nous attendons nos invités. Mon mari me présente Francis et Catherine. Francis est un homme séduisant. Je suis heureuse de faire sa connaissance. Nous prenons l’apéritif, je suis à côté de Francis. Nous sommes un peu gênés d’être à proximité de mon mari. Ce dernier discute avec Catherine mais je vois bien qu’il m’observe, il a l’air satisfait de mon attitude. Francis a su détendre l’atmosphère, nous parlons plus joyeusement. Nous nous retrouvons dans la cuisine, Richard et moi, nous échangeons un sourire. Nous commençons le repas. Francis est à côté de moi, Mon mari et sa future maîtresse sont de l’autre côté de la table. J’échange avec Francis des propos de plus en plus tendres. À la fin du repas, Francis vient s’asseoir à côté de moi sur le canapé, il a passé ses bras autour de mes épaules. Je m’étonne d’être aussi à l’aise face à mon mari dans les bras de mon futur amant. Francis approche ses lèvres des miennes et nous échangeons notre premier baiser. J’y réponds sans aucune gêne. J’ai oublié la présence de Richard. Nous décidons d’aller nous coucher, Richard et Catherine d’un côté, Francis et moi de l’autre. Je pense à Richard qui se trouve avec Catherine.
M’a-t-il déjà trompée ? Sûrement, mais je ne suis pas jalouse. Quant à moi, je me retrouve pour la première fois avec un autre homme que mon mari auprès du lit conjugal. Francis se rapproche de moi et m’enlace. Nos lèvres se joignent à nouveau. Puis nos langues font connaissance. Notre baiser me provoque des frissons. Francis me prend les seins qu’il caresse délicatement. Puis il entreprend de me déshabiller. Il se déshabille à son tour. Nous nous retrouvons enlacés sur le lit, poitrine contre poitrine. Je m’écarte un peu et je lui caresse le torse. Mes mains descendent lentement jusqu’à son bas-ventre, je prends dans mes mains sa paire de couilles. Son sexe est dressé, c’est une invitation, je m’agenouille et prends sa queue en bouche, j’en suce le gland puis je gobe sa queue en entier. J’ai oublié toute retenue, je suis devant un mâle et je suis sa femelle. Francis change de position, il vient positionner sa bouche devant ma chatte et il entreprend un cunni. Je reprends sa queue en bouche et nous entamons un soixante-neuf. La langue de Francis me fait jouir deux fois mais il ne jouit pas. Il vient se coucher sur moi et place sa queue devant ma chatte. Il me pénètre doucement puis sa queue me pénètre plus profondément. Je l’enserre de mes jambes. Nous jouissons simultanément. Voulant récolter ses dernières gouttes, j’engloutis avec ma bouche à nouveau sa queue. Je viens me blottir dans ses bras et nous échangeons un long baiser. Francis est un amant merveilleux, il a su me donner un plaisir immense.
Je pense à Richard, je le remercie en pensée du cadeau qu’il m’a fait en m’offrant mon premier amant. Nous nous assoupissons. Quand je me réveille, mon amant est couché sur le dos. Son sexe me fait envie. Je le prends en bouche. Francis dort encore mais mes coups de langue sur le bout de sa queue le réveillent. Il me caresse doucement la tête et m’encourage à continuer. Son sexe a repris de la vigueur et me remplit bien la bouche. Son gland fait connaissance avec le fond de ma gorge. Francis veut se dégager mais je n’ai pas envie d’autre chose que de continuer ma pipe. Mon amant est très résistant, il a compris ce que je voulais et il se laisse faire. Je continue à alterner léchage de gland et gorge profonde. Mes mains caressent sa queue. Ma main se dirige vers son anus. Je mouille mon majeur et je titille son trou du cul. J’enfonce mon doigt. Francis rugit de bien-être. Sa queue grossit encore et, enfin, lâche son jus. Je suis gâté, je déguste sa semence. Et, enfin, j’avale ce nectar. Je n’oublie pas de lécher mon doigt.
Francis récupère, il me sourit. Enfin, nous nous endormons. Il fait jour. Nous nous réveillons. Nous nous embrassons. Le sexe de Francis est dressé. Francis étant couché sur le dos, je viens m’empaler sur lui. Ma chatte accueille avec bienveillance cette jolie queue. J’effectue des mouvements verticaux au-dessus de mon amant. Il tient mes seins qu’il caresse. Je sens sa queue dans ma chatte. J’aime le sentir en moi. J’ai un orgasme. Francis se déverse en moi. Je suis comblée. J’ai passé une nuit merveilleuse. Nous allons dans la cuisine pour prendre notre petit-déjeuner. Je prépare le café. Richard et Catherine nous rejoignent. Je n’ai curieusement aucune gêne devant mon mari même si mon sexe est rempli du sperme de mon amant. Francis doit s’en aller. Nous nous embrassons longuement. Nous entamons une discussion avec Catherine, nous parlons de notre nuit d’amour. Puis Richard part se doucher. Catherine vient s’asseoir auprès de moi sur le canapé et, subitement, nos lèvres se rapprochent. Je n’avais jamais embrassé une femme sur la bouche. Nos langues s’emmêlent, sa langue est imprégnée de Richard et peut-être que je reçois ainsi la salive et le sperme de Richard. Au moment où nos lèvres se séparent, Richard revient de la douche. Nous allons, Catherine et moi, à notre tour nous doucher. Je découvre le corps de Catherine et je me dis que mon mari a de la chance de l’avoir pour maîtresse. Nous échangeons quelques caresses et quelques baisers sous la douche. Nous retournons sur le canapé. Puis nous échangeons de nouveau un baiser. J’aperçois le regard étonné de Richard. Il a voulu que je couche avec un homme et voilà que j’embrasse une femme. Je dépasse de loin ses désirs. Je lui suis reconnaissante de m’avoir révélée à moi-même. J’entraîne Catherine vers la chambre. Je m’adresse à mon mari : - Chéri, tu peux venir voir mais tu n’interviens pas. - D’accord. Nous nous déshabillons. Richard s’apprête à prendre des photos ou des vidéos. Catherine se place sur moi et sa bouche cherche mon sexe. Sa langue est très agile. Cela me provoque un orgasme puis Catherine présente sa chatte devant ma bouche. Je n’ai jamais sucé une femme mais je sais ce qu’il faut faire pour lui donner de plaisir. Catherine a un orgasme. Je m’adresse à Richard : - Ne sois pas timide, viens. Richard se déshabille et nous rejoins. Nous échangeons un baiser à trois. Catherine et moi dirigeons nos bouches vers le sexe de Richard. Nous le suçons toutes les deux. Nous lui gobons les couilles, puis léchons le gland. Nous alternons pour lui prodiguer des gorges profondes. J’aime sentir une queue me remplir la bouche et j’apprends le plaisir de partager. Mais Richard ne veut pas jouir dans une bouche. Il nous place toutes les deux en position de tir et il pénètre nos chattes en alternance. Catherine et moi apprécions cette façon de nous faire baiser et nous jouissons tour à tour. J’entends Richard grogner, il a dû jouir dans Catherine. Ne voulant rien perdre je vais sucer la chatte de Catherine pour récupérer le sperme. J’approche ma bouche de celle de Catherine et la semence de Richard passe de bouche en bouche pour le déguster. Enfin, nous avalons. Richard propose un rafraîchissement. Puis Catherine et moi allons nous doucher. Catherine doit alors nous quitter. Nous nous séparons avec un long baiser tendre. Richard va se doucher. Quand il revient, nous décidons de rester nus. Nous avons un long regard de connivence. Je pense qu’il est fier de sa femme qui a osé franchir deux pas décisifs, faire l’amour avec un homme, ce que désirai mon mari, et faire l’amour avec une femme. Je n’aurais jamais pensé que c’était si facile. J’étais opposée à toute relation extra-conjugale et Richard a réussi à me convaincre et j’en suis ravie. Désirera-t-il que je couche avec d’autres hommes ou d’autres femmes ? Je pense que oui, je l’espère. J’ai envie, maintenant que le pas est franchi, de poursuivre dans cette voie. Mon seul amour est Richard, J’ai aimé faire l’amour avec Francis et Catherine mais il n’y avait aucun sentiment. Quoique … J’aimerais devenir vraiment copine avec Catherine. Nous ne parlons pas de nos amours de toute la journée mais nous sentons que nous nous sommes rapprochés. Quand nous nous couchons, Richard s’adresse à moi et me félicite pour m’être désinhibée. Il a apprécié que je couche avec Francis et Catherine et notre triangle. Il m’a demandé si j’avais été heureuse avec Francis. Il m’affirme qu’il aimerait que je recherche moi-même d’autres hommes et d’autres femmes sans que je devienne une femme facile. Je lui redis que je ne l’avais jamais trompé auparavant. Il m’avoue m’avoir trompé, ce dont je me doutais, mais je ne lui en veux pas, il avait raison. Je lui parle d’une relation homo qu’il pourrait avoir mais il reste dubitatif. Je reviendrai sur cette question, j’aimerais bien qu’il couche avec un homme. Richard me fait un cunni. Depuis hier, je les collectionne et il me fait jouir. Puis j’ai envie de me faire remplir le cul. - Coquin ! Maintenant, encule-moi, mon chéri. Nous nous mettons en position. Richard a quelques gestes d’approche puis il m’embroche. Que c’est bon d’avoir la queue de son chéri dans le cul. Je suis pénétrée bien profond, je lui enserre la queue. Je suis transpercée.
, il jouit. J’approche mes lèvres de son sexe et j’entreprends un nettoyage avec ma langue.
- Bonne nuit, mon chéri.
- Bonne nuit, mon amour.
Quelle belle aventure candauliste !
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Julius ne supporte pas l'autorité. Bébé il rouspétait déjà contre sa mère, une chiante avec ses gros mamours et ses bizouilles. Gamin, il s'est prit la tête avec son père et il s'est battu. Il n'a pas eu le dessus, mais son père fait très attention depuis. Julius a le poing facile. Son instit s'en est vite rendu compte. Il a fini aux urgences et Julius en maison de correction. Cela ne la pas corrigé du tout, il est juste devenu pire qu'avant.
Ado, il a bastonné tout ce qui se trouvait devant lui dans son quartier et il a vite su comment se tirer des gonzesses. Il s'est amusé à collectionner les trous sur pattes, comme il dit. Il a cocufié la moitié du quartier. Les femmes mariées sont ses favorites. Il adore aller prendre le café le matin chez les femmes délaissées et mal baisées par des époux idiots. Il tronche à tout va dans les lits encore chaud et donne généreusement son sperme aux femelles en manque.
Julius n'a pas voulu bosser. Ni dieu, ni maître, ni patron, ni impôts et encore moins une patronne à la maison. Il s'est trouvé une cabane dans les bois et il a touché les allocs comme sociopathe. Un cas parmi les cas. Le matin, il part dans les rangées d’immeubles faire la tournée de ses femelles, qui l’attendent en chemises de nuit, jambes nues et écartées, bien ouvertes, avec du café fûmant et des petits pains chauds sur la table. L'après midi rebelote pour les siestes coquines. C'est fou le nombre de femelles qui sont en manque de vrai bon sexe avec un vrai bon mâle qui en a une grosse et qui aime pilonner du minou humide.
Les flics et les gendarmes n'osent pas aller voir Julius.
-Si vous m’emmerdez, je passe chez vous, et vous serez vite cocus !
Les flics, les gendarmes, le maire, toutes les autorités foutent la paix à Julius, sauf l'assistante sociale avec ses gros nichons roses. Une nymphomaniaque celle là. Elle a toujours des papiers à examiner avec Julius dans son bureau. Cette grosse chatte en feu est toujours en manque. Julius la démonte par tous les trous, on l'entend hurler les orgasmes et faire vibrer les vitres, rien à faire, elle en redemande toujours.
La morale de cette histoire c'est que même les anars sont les esclaves de leurs sexes.
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Anita adore fumer un havane sur son balcon, le soir, paisible et détendue, avec un bon verre de grappa à coté. Elle s'installe dans un beau fauteuil, allonge ses longues et belles jambes, et se laisse aller à méditer. Elle est bien, elle peut rester des heures ainsi. Juste tirer sur son havane et respirer, s'imprégner de tous les subtils arômes du tabac pur. Elle voyage en esprit, au gré de ses rêveries. C'est la grande paix du soir. Les gens rentrent chez eux, allument leurs télévisions. Les rues se vident. La nuit est là dans cette cité de banlieue, où tous les balcons se ressemblent. Tous, sauf celui d'Anita, elle est la seule fumeuse de havane et jusque tard dans la nuit.
Pedro, son homme se couche tôt. Il est médecin urgentiste dans un grand hopital. Il bosse beaucoup, gagne bien sa vie et ne baise plus. Il est impuissant. Castré par Anita et sous cage de chasteté, comme cela il ne l'embête plus. Et impossible pour lui de draguer avec son sexe sous cadenas acier.
Il bossse et se couche tôt, comme cela Anita peut fumer son cigare tous les soirs. Parfois elle se caresse et se fait jouir . Elle préfère se donner du plaisir seule, c'est plus jouissif.
Parfois elle joue avec Pedro, un soumis qui adore recevoir le fouet. Elle lui laboure bien les reins, l'oblige à lui nettoyer sa chatte pour dire merci et zou, dodo au pied du lit dans un panier pour chien. C'est vrai que Pedro est très gringalet. Le panier est à sa taille. Un bon toutou bien dressé qui dort aux pieds de sa maîtresse.
Elle aime aussi plugger son homme. Le massage de la prostate le fait jouir. C'est sa seule façon, comme il est impuissant, d'atteindre l'orgasme. Ce qui fait rire Anita c'est qu'avec les plugs, le plaisir arrive parfois sans prévenir. Elle s'amuse de voir Pedro devenir rouge, haleter et se tortillonner.
-ben ma salope, tu mouilles encore ton slip. Il va falloir que je te corrige avec le fouet. Tu n'as pas honte de faire tes cochonneries dans ta culotte ! Je vais t'obliger à porter des couches.
Pedro devient encore plus rouge, ne répond pas et se prend de belles baffes bien sonores.
La morale de cette histoire c'est que les fumeuses de havane préfèrent les cigares aux bananes.
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Un vent frais murmurait dans le feuillage, secouant tendrement chacune des folioles ovoïdes, comme autant de confettis célébrant le passage de leurs hôtes de marque. Au cœur de cette nuée allant d’émeraude en absinthe, pendaient de généreuses grappes blanches, lourdes de leurs centaines de pampilles, lustres de lumière parsemée présidant à ce défilé. Le souffle, taquin, se chargeait de répandre leur délicieuse senteur sucrée, la laissant, gourmande, monter aux papilles de nos jeunes promeneurs. Gambadant d’un arbre à l’autre, le murmure cessait pour mieux reprendre, semblable aux chuchotements d’une foule admirative et béate. La frondaison s’était faite nef, théâtre de cette auguste procession.
Le comte n’avait pas dit mot depuis qu’ils avaient emprunté le corridor végétal bercé d’ombres et de lumières concentrées, aussi claires et vives qu’un soleil ardent à travers une lentille, se contentant de regards dissimulés adressés à sa compagne d’excursion. Elle, impassible et fixée sur la route, les mains serrées sur ses rennes, ne perdait pourtant rien de ses œillades chargées de conflits intérieurs. Derrière son indifférence, elle se délectait du trouble et du désordre que traduisaient les pupilles bleutées de son jeune soupirant. Elle aurait sans doute pu en conter le moindre remous, balloté entre désarroi, incompréhension et attirance coupable, peut-être même admiration. Mille maux lui étaient nécessaires pour calmer l’émoi que cela lui procurait. Elle devenait gourmande de ses yeux clairs qui venaient de se baisser devant les certitudes de son regard. Un féroce appétit d’en jouir là et maintenant, qu’elle s’efforçait de réprimer, serrant encore plus fort les sangles de cuir dans ses poings menus. Ni lui, ni sa monture ne devait en ressentir le moindre tressaillement, elle se devait de contenir leur force, nécessaire préalable à leur docilité.
De plus en plus éblouissant, le point de lueur grandissant au bout de leur chemin de verdure, lui servait de point de fugue : robuste récif de contenance auquel elle s’accrochait fermement.
Ils débouchèrent sur une large clairière bordée en son tour par une épaisse forêt de chênes et de châtaigniers. A peine à quelques pas, un minuscule édifice, à peine grand comme un abri de vigneron, se dressait face à eux. Pourvu d’une étroite arche gothique, pauvrement décorée, il arborait fièrement sa petite croix sur son couvre-chef de tuiles : l’Oratoire. Destiné à accueillir quelques obscurs prédicateurs errants, Élisabeth trouvait cet insignifiant monument aussi pathétique que touchant.
— Je m’attendais à quelque chose de plus grand pour célébrer nos fiançailles, lança-t-elle rieuse à son suzerain qui ne l’était plus tant.
Sans doute encore décontenancé, il ne sut lui opposer qu’un rire, néanmoins empli d’une évidente complicité, avant d’enfin révéler l’objet de leur expédition.
— Ce sont les vignes que je voulais vous montrer.
En effet depuis l’Oratoire, un large chemin sablonneux divisait la clairière en deux, fendant des parcelles de vignes aux troncs robustes, presque dissimulés sous une dense chevelure de rameaux hirsutes. Les deux pièces semblaient s’ouvrir comme des ailes autour de l’échine de sables gris, offrant un écrin mystique au modeste Oratoire contrit.
Il descendit de cheval, puis se proposa à sa compagne pour l’inviter à le rejoindre. Élisabeth observait ce nouveau territoire, humant chacune de ses senteurs, attentive à chacune des formes du terrain, ne laissant rien paraître de son expertise à son mandataire. Elle avança d’une dizaine de pas entre les règes basses et touffues, s’accroupit légèrement pour caresser la terre du creux de sa paume. Elle ébouriffa tendrement le pelage de feuilles vert pâle d’un cep à sa droite, avant de scruter le regard du comte, resté en retrait. A quelques coudées d’elles, il n’osait le moindre geste, attentif à un quelconque signe de la sachante, inquiet du bien-fondé de cette visite et de son jugement.
— Que voulez-vous savoir sur cette terre ? lui demanda-t-elle, rassurante et posée, comme si elle avait senti la nécessité de calmer l’anxiété de son protégé.
— Notre intendant m’a informé de la prochaine mise en vente de ces parcelles. Il m’en a vanté les mérites, mais je n’ai confiance qu’en vous.
— Qu’imagine-t-il en faire ? interrogea-t-elle, inquisitrice à nouveau.
— J’imagine qu’il envisage d’augmenter notre production.
Élisabeth sourit, mêlant la compassion de son regard au sarcasme de son expression.
— Venez près de moi, lui ordonna-t-elle doucement.
Il s’approcha docilement et vint s’accroupir auprès d’elle. Dans un souffle, elle s’empara fermement de son poignet et plaqua presque férocement sa main contre la terre, tiédie du fil de cette lumineuse journée printanière. Elle guidait sa paume contre la surface irrégulière, révélant à son toucher la rondeur des grosses graves clairsemées, blotties dans leur rugueuse couverture de sables.
— Que ressentez-vous ?
— Elle semble sèche et presque chaude, et … râpeuse ?
— En effet, il n’y aucune douceur dans cette terre, ni le gras des argiles, ni la soie des limons. Que voyez-vous ?
— Elle est très grise, presque noire.
— Absolument. Vous parait-elle semblable à l’une des nôtres ?
Il retint sa réponse, il savait. Cette terre n’avait rien de commun avec celles de leur cher enclos. Il lui semblait même pouvoir deviner ce qu’Élisabeth pouvait lui en dire. Sans avoir à l’exprimer, elle lui déconseillait cette acquisition.
— Que voyez-vous d’autre ?
— Eh bien, les feuilles. Elles semblent d’un vert assez pâle, presque semblable à nos Merlaus, cependant elles sont plus fortement découpées, mais moins que nos Petites Vidures. De quoi s’agit-il ?
— Monsieur l’intendant n’a pas pris la peine de vous en informer ? soupira-t-elle désespérée par l’inconséquence de ce comptable, ignorant de toutes choses.
— Non, murmura-t-il, gêné.
— Ce sont des Grosses Vidures, cousines des nôtres mais bien différentes. Ni elles, ni cette terre n’ont aucune place auprès de nos vignes, elles n’en ont pas la race. Ne vous méprenez pas, elles ont un excellent potentiel, je les crois même capables de grandes choses, mais elles ne sont pas de la même lignée. Ni elles, ni les nôtres ne méritent un mariage aussi dissonant.
— Cela interdit-il toute évolution à vos yeux pour notre propriété ? se désespéra-t-il dans un soupir.
— Vous souvenez-vous du bosquet que nous avons traversé ? Avez-vous remarqué ces arbres si parfumés qui le composaient ?
— Oui, ils étaient très beaux, sentaient si bon, mais je ne les connais pas, je ne crois pas en avoir jamais vus.
— Ce sont des robiniers, un arbre exotique rapporté des Amériques et qui n’est encore vu que pour son aspect décoratif. Feu votre père en a imposé l’utilisation pour le piquetage. Son bois est robuste et ne semble pas souffrir le passage des ans. Vous voyez que l’innovation a toute sa place. Il ne lui est requis qu’une chose, servir l’identité de vos vins, de votre terre : votre héritage.
Le vent se décidait enfin à s’essouffler, laissant la fraicheur du soir se poser doucement contre la terre tiède, et Élisabeth n’avait pas lâché le poignet du jeune conte, la paume encore écrasée au sol. Sans doute espérait-il que ce moment durât éternellement, comme pour servir la majesté de cet instant décisif. Peut-être se laissait-il simplement enivrer du parfum salé de la jeune femme, qui ne lui paraitrait jamais plus belle que sous cette lumière rasante, dessinant avec élégance le moindre de ses traits, illuminant délicatement les sinueuses courbes de sa sauvage féminité resplendissante. Osant à peine profiter de ce spectacle voyeur, il laissa un petit cep touffu devant lui happer son regard, comme pour se raccrocher à la réalité, faire taire un peu du feu qui rongeait son corps tout entier. Il aurait tant aimé oser, ne serait-ce que l’effleurer.
— Quelque chose vous soucie, mon cher ?
— Pourquoi ne distingue-t-on pas les troncs derrière toutes ces branches ? bafouilla-t-il pour esquiver sa gêne, et la préserver du regard d’Élisabeth.
— C’est parce qu’il faut faire les chausserons ! s’exclama la vigneronne exaltée.
— Les chausserons ? s’étonna-t-il se sentant enfin autorisé à croiser son regard noir et si billant.
Relâchant sa prise sur son poignet déjà au bord de la douleur, elle commença à trier le sommet de la chevelure de rameaux, le geste appliqué, fixée sur sa tâche méticuleuse, le cep semblait s’éclairer d’une nouvelle vie, ainsi offert à la lumière descendante. Puis délicatement, elle commença à débarrasser le tronc de la multitude de branches qui le recouvrait. Elle n’en conserva qu’une, à peu près à un pied du sol, droite et robuste, comme si elle devait être destinée à braver les éléments de son orgueil. Ainsi dépouillée, la souche paraissait presque frêle désormais, et si chétive au milieu de ses voisines joufflues.
— Jeunesse débordante se doit d’être disciplinée, s’amusa-t-elle. Voilà ce que nous nommons les chausserons, mon cher Comte. Pour que les vignes puissent devenir robustes et solides, il faut choisir les meilleurs bois, ceux qui auront la force de porter de belles grappes.
— Et celui-ci, ce rameau sur le tronc, qu’a-t-il de si spécial ?
— Celui là est pour les tailleurs, cet hiver, c’est un rappel. S’ils trouvent au cep des velléités à s’élever trop au-dessus des autres, alors c’est avec lui qu’ils le reformeront, pour le maintenir à sa juste place et lui conserver toute sa force.
Sur ces mots, elle se redressa d’un bond, et pointa le pied suivant du bout de sa cravache.
— A votre tour ! ordonna-t-elle d’un naturel déconcertant, à peine ébranlé par le regard interrogatif du Comte, visiblement décontenancé.
Pourtant, le jeune noble se fendit d’un léger pas de côté pour se placer devant la mystérieuse touffe de branches. Il avança timidement une main en direction d’un rameau un peu plus faible en son cœur. Le claquement de la bandelette de cuir sur le dos de sa main l’arrêta net.
— Pas celui-là. Commencez toujours par les extrémités, vous devez avoir trois rameaux par bois, et sauvegarder ceux de la base quoi qu’il en coûte. C’est à ce prix que l’on contient la souche et qu’on la préserve d’une trop rapide émancipation.
Fantastique ! La décharge s’était étirée tout le long de son bras, courant ensuite depuis son cou, son échine, jusque vers son sexe électrisé. Non, elle n’avait pas rêvé, ce premier coup devant le renard apeuré, n’était donc pas un accident, elle aimait ce qu’elle lui infligeait, un plaisir grisant qu’elle n’aurait jamais pu imaginer. Comment-était-ce possible ?
Sans trop s’en laisser conter, le suzerain, de son côté, s’appliqua à sélectionner trois intrépides rameaux bien raides et farouchement décidés à atteindre le ciel, portant chacun fièrement leurs quatre à cinq feuilles délicatement découpées. Il s’efforçait maladroitement de reproduire l’élégante gestuelle de son enseignante, cassant à la base les tiges superflues. Deux autres branches, et puis …
Un autre coup de cravache tomba, plus violent, plus ferme et maintenu à son point d’impact, sur le bras cette fois : un tressaillement le long de son épaule jusque dans le creux de ses reins. Puis la bande de cuir remonta de son bras jusque sur sa nuque, du haut en bas de son dos, contre sa colonne vertébrale, une sensation étrange, entre contrition et plaisir inavoué, paralysante. Pourquoi acceptait-il ce traitement ? L’excitation de peur, mêlée au plaisir de plaire à Élisabeth, embrasait ses pensées : les souvenirs de corrections administrées sous ses yeux à des domestiques éplorées remontaient. Il n’était pourtant pas question de pleurer, au contraire. L’influx qui le parcourait le grisait tant que ses gestes s’accélérèrent inconsciemment, de plus de plus en plus, comme pris dans un tourbillon.
Un autre impact claqua sur son dos cette fois.
— Du calme, je vous prie. Elles méritent de la douceur.
Puis l’extrémité de la cravache remonta le long de sa nuque, avant d’exercer une pression étonnamment puissante sur l’arrière de sa tête. Il reprit son labeur, plus appliqué et méticuleux, soucieux de ne pas se voir infliger une nouvelle remontrance. Son corps pourtant criait en lui l’envie de la ressentir encore, et encore, une pulsion malsaine qu’il réprimait tant bien que mal, s’attelant avec passion à sa mystérieuse tâche. La tête du cep désormais dépouillée de l’encombrante végétation superflue, le jeune homme amorça un léger mouvement en quête du regard de la belle.
La pression sur sa nuque redoubla de puissance, elle devint écrasante, lui interdisant de s’écarter de son ouvrage. La confusion le débordait, ce traitement méprisant et pourtant si bienveillant le chamboulait.
— Le pied maintenant !
Étrangement docile, il s’attela à débarrasser le tronc de chacun des gourmands qui le couvraient, révélant à nouveau au jour les peluches d’écorces grisées. Un autre coup s’abattit, sur ces fesses cette fois, plus puissant encore que le précédent, jusqu’à lui arracher un gémissement, qui pourtant n’était pas de douleur. Il ne vit rien du sourire qui illuminait le visage d’Élisabeth, ni son nez fin qui s’était retroussé au son de sa délicieuse plainte.
— Et le retour ? interrogea-t-elle narquoise.
— Je … Je ne sais pas lequel choisir.
—. Imaginez sa forme l’année prochaine, lorsque tous ces rameaux auront grandi, alors vous trouverez celui qui vous manque pour que sa forme reste harmonieuse. Au suivant !
D’un geste elle l’avait presque poussé grâce à sa claquette au bout de son manche, le plaçant nez à nez avec un autre cep, plus touffu encore que le précédent. Le Comte, bouleversé par les émotions et le conflit qui faisaient rage en lui, redoubla de vigueur devant son labeur. Emportés par sa fougue et guidés par l’adrénaline qui bouillait dans ses veines, les gestes se firent mécaniques, plus nets, plus rapides, trop rapides.
Un autre coup déchira le ciel pour s’abattre sur ses reins. Il cria, de douleur cette fois. Une idée s’imposait à lui, celle d’avoir la chance de prouver sa valeur devant l’épreuve. Une épreuve que la vie ne lui avait jamais offerte, lui qui avait passé sa vie entourée de satin, de dorures et de confort, servi jour et nuit par d’autres, auxquels on ne prêtait même pas attention. Son existence entière s’éclairait d’un jour nouveau : servir les exigences et les rêves d’Élisabeth, un cadeau divin, un luxe dont elle lui faisait don et qui valait bien toutes les souffrances, peut-être même valait-il de les espérer.
— Vous n’êtes pas encore un maître, soyez plus mesuré, je vous prie !
Il s’exécuta, encore, de plus en plus soumis à un trouble qui ne faisait que s’accentuer, rendant la tâche encore plus ardue. La cravache passant et repassant de sa nuque à son dos, sur son torse, et même jusque devant son entrejambe, s’y attardant même largement, le frôlant, juste assez pour dessiner l’érection qu’il ne pouvait contrecarrer. Symbole inavouable de son envie coupable. Honte supplémentaire ne faisant que brouiller encore un peu plus sa vision. Il brûlait de tout son être, pourtant incapable de briser les barreaux de l’invisible cage, dans laquelle elle le tenait du bout de son manche. Le souhaitait-il d’ailleurs ? Encore un impact, entre les omoplates.
— Votre dos, bien droit ! Il me déplairait que vous finissiez bossu.
De pied en pied, les remontrances ponctuées de frappes se répétaient, corrigeant chaque erreur de plus en plus fermement. La leçon devenait douloureuse, à le faire vaciller presque. Combien de fois le corrigea-t-elle de ses coups, violant sa chair comme pour en extraire le stupre caché ? Sans doute bien trop pour les compter, mais assez pour que chacun d’eux se pare de la teinte d’un délicieux supplice, infligé par la plus belle main qu’il n’ait jamais vue. Pour rien au monde il ne s’y serait soustrait. Pourtant, malgré la douleur de plus en plus lourde et diffuse, presque insupportable, il reprenait sans relâche sa position de travail, assumant chaque faute, se maudissant lui-même de l’avoir commise, comme si le seul enjeu n’était plus que d’obtenir la fierté d’Élisabeth. Les coups qui commençaient à bleuir sa peau sous sa culotte, lui arrachaient des gémissements de plus en plus audibles, des perles de larmes semblaient même vouloir naître au coin de ses yeux clairs. Il continuait, supportant cette correction par dévotion, mais plus encore par affection. Aurait-il avoué à quel point il l’aimait à cet instant ? Le sourire éclatant arboré par sa guide, qu’il ne pouvait cependant imaginer, témoignait de cette complicité qui se tendait, à chaque impact un peu plus.
Il ne restait plus qu’un seul pied au bout de la rège, plus que trois branches sur le tronc, choisir un rappel, mais lequel ? Le sort en était jeté, son destin serait donc suspendu à ce frêle rameau vert, si chétif, à peine quatre pouces sous la tête ; il attendit, mais aucun autre coup ne vint. Se prit-il même à le regretter ?
De son autre main, Élisabeth empoigna fermement la chevelure blonde du Comte et lui tira violemment la tête en arrière, presque à le faire choir. Son jeune élève se retint comme il put d’une main posée dans la terre de sables et de graviers, abrasive, mais pas assez pour lui arracher le moindre cri. Elle vint planter son regard dans les yeux clairs de son suzerain, désormais rendu esclave de ses caprices. Le temps avait disparu, et le soir, désormais totalement tombé leur était devenu étranger. Ne restait plus que ce pacte, diabolique et pourtant délicieux qu’ils avaient désormais lié, et que rien ne pourrait jamais entacher.
Elle le scella de sa langue, perforant la fragile forteresse de ses lèvres, qui ne rêvaient que de rendre les armes devant sa stature, brillante au clair d’une lune naissante.
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Tessa et Abby sont des adeptes du wrestling, ce combat au sol qui peut être un jeu sexuel avec une dominante et une dominée. Elles ont fixé des règles simples. Le combat commence en maillot de bain et se termine par abandon de l'une des deux, peu importe la forme, mais en évitant de se blesser. Ce peut être par de redoutables armblocs, des immobilisation au sol, dés clés diverses. Les étranglements sont interdits, de même que tirer les cheveux mais pas la saisie de poils de chatte. Tessa et Abby se sont vite épilées pour éviter cela, car la saisie d'une chatte poilue fait très mal.
Tessa et Abby se sont aménagées une pièce avec de bons tapis de sol pour jouer. C'est souvent Tessa qui gagne. Le prix c'est la soumission inconditionnelle de la vaincue jusqu'au combat suivant, en tout et pour tout, et bien sûr sexuellement.
Abby vient encore de perdre. Tessa a réussi à lui faire une clé de jambe et elle a du abandonner à cause de la douleur. C'est le moment que Tessa préfère, celui où elle prend possession de sa soumise. Elle enserre son visage entre ses cuisses musclées et l'oblige d'abord à bien lui lécher le minou. C'est délicieux et elle jouit dans la bouche d'Abby qui doit ne pas perdre une goutte de cyprine.
La fessée est un autre moment de plaisir. Abby doit couiner de douleur ! Un bon martinet en cuir fait très bien l’affaire, surtout que Tessa ne fait pas semblant quand elle frappe. Elle empoigne les cheveux de sa soumise, cette fois c'est permis et aime la corriger comme une jument rétive.
Tessa adore son god sans harnais, avec une partie qu'elle introduit dans son vagin bien serré et le reste à l'extérieur, dressé comme une belle bite de mâle en rut. Un bon 30 cm et 6 cm de diamètre, de quoi bien dilater Abby. Cette dernière hurle chaque fois qu'elle se fait enculer et sans préliminaires, à la cosaque. Elle pleure, se débat, supplie, mais en vain, Tessa lui démonte chaque fois le cul, en bonne sauvage. C'est une façon de briser psychologiquement Abby et de lui faire comprendre par la sodomie qui est la Maîtresse.
De toute façon Abby est rentrée dans son rôlr de soumise et de vaincue. Tessa est de loin la plus forte. Elle domine en tout. Ce soir Abby devra encore faire le service cul nu, les fessées bien zébrées au martinet. Toutes les corvées c'est pour elle.
La morale de cette histoire c'est qu 'une soumise doit se la fermer, filer droit et bien obéir.
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Ca y est le jour J arrive enfin, celui de notre rencontre apres des dizaines de mails, d appels, de photos echangées, le RDV est fixé dans un hotel... Vos consignes sont claires. Je dois prendre une chambre , vous envoyez le numero par SMS et vous y attendre a genoux, en boxer moulant, dos tourné a la porte sans me retourner. Vous arriverez quelques instants plus tard.
Me voici en situation, toutes les consignes sont respectées... plein d idées, d envies me viennent en tete en vous attendant. Un grand sentiment d apprehension aussi... allions nous retrouver en reel la meme complicité, le meme feeling que par ecran interposé? Mes pensées sont interrompues par le bruit de la porte d entrée. Vous m aviez prevenu que vous alliez faire un detour par la salle de bain pour vous preparer. Vous savoir si pres renforce mon excitation... quelques instants apres, j entends des bruits de talons qui se rapprochent... je lutte pour ne pas me retourner... puis je sens une douce main se poser sur ma nuque... je suis surpris; je sursaute mais ce contact est tres agreable.Vous passez face a moi, tout en laissant votre main sur mon visage et nos regards se croisent enfin.... nous restons quelques secondes ainsi, votre visage arbore un large sourire. Vous portez des talons hauts, des bas, une mini jupe en cuir, un bustier moulant. Dans votre autre main vous portez un sac dont une cravache depasse. Vous decollez legerement votre main de mon visage, je l embrasse delicatement , en vous regardant les yeux dans les yeux.
Vous vous asseyez face a moi, avancez un de vos pieds vers moi sans dire un mot. Je me mets alors a 4 pattes, commence a lecher et embrasser vos pieds, je remonte doucement vers votre cheville, puis le long de votre mollet. Mon regard est attire par votre entrejambe, je distingue une petite culotte noire tres sexy sous votre minijupe, vous remarquez alors mon attitude... vous vous penchez alors vers moi, passez une de vos mains sous mon menton et vous me faites relever la tete
"Regardes moi bien dans les yeux"
" Bien Madame"
Je continue alors a remonter le long de votre mollet, en fixant mon regard sur vos yeux, arrivé au genou vous me dites " ca suffit ne sois pas trop gourmand passe a l autre jambe". Je m execute et fais de meme avec l autre jambe, en luttant pour ne pas regarder sous votre minijupe, Des que je frole votre genou, vous placez vos mains sur mes épaules, me repoussez légerement puis me dites d une voix douce et sensuelle
" allonge toi par terre a plat dos"
je m execute, m allonge par terre a meme le sol a plat dos, vous ne me lachez pas du regard, puis vous vous relevez et attrapez votre cravache qui etait posée a cote de vous. vous me dites ensuite de la meme voix sexy"deshabille toi, ecartes tes cuisses et ne bouge pas".je retire doucement mon boxer et le fait glisser le long de mes jambes, laissant mon sexe bien gonflé apparaitre a vos yeux, j écarte mes cuisses, puis reste immobile en arborant un large sourire. vous posez l extremité de votre cravache sur ma joue, la faites ensuite sur mon torse, puis me donnez un petit coup bien sec sur un de mes tetons, ce qui me surprend, m arrache un gemissement et me fait sursauter. Vous faites de meme avec l autre, cette fois ci un peu plus fort me faisant encore sursauter.
" je t ai dit de ne pas bouger "
" veuillez m excuser Madame"
Vous me donnez quelques autres petits coups, mon rythme cardiaque s accelere, mais je reste immobile. vous descendez alors tout doucement votre instrument le long de mon ventre, carressez mon sexe avec, je vous regarde avec un immense sourire, mon excitation est renforcée... vous vous deplacez alors vers mes jambes, d une demarche feline, votre mini jupe mettant tres bien votre posterieur en valeur. Vous me faites face, me regardez droit dans les yeux, un immense sourire se dessine sur vos levres sensuelles... vous posez alors la semelle d une de vos chaussures sur mes boules delicatement, puis appuyez doucement et progressivement tout en guettant mes reactions... j ecarte encore plus les jambes, je cherche a garder les yeux ouvert mais ils ont tendance a se fermer sous l effet de l excitation, je reste immobile au maximum, mon sexe se gonfle encore plus.... Vous relachez la pression, puis quelques secondes apres vous recommencez, legerement plus fort, je sens bien votre chaussure sur mes couilles j adore cela, etre sous vos pieds...
Vous arretez, fouillez dans votre sac, attrapez un bandeau, vous venez vers ma tete, la soulevez puis m installez ce bandeau, le serrez fermement... vous reposez ma tete sur le sol, je n y vois plus rien... je me demande alors de savoir ce que vous me reservez pour la suite...
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CANDAULISME
Chapitre 1 : Mes fantasmes réalisés
Mariés depuis quelques années, la vie se déroule paisiblement. Nous nous entendons bien dans la vie de tous les jours et au lit. Nous parlons librement, le dialogue est permanent. Mon épouse, Nathalie, m’est fidèle, elle me le dit et je la crois. Mais, depuis quelque temps, nous parlons d’un projet pour elle et pour notre couple, j’aimerais qu’elle connaisse un autre homme, qu’elle connaisse d’autres bras que les miens. Jusqu’à présent, elle a toujours été réticente, d’abord pas pudeur et, ensuite, elle pense que ce serait dangereux pour notre couple. Nous nous aimons et l’amour est plus fort que le sexe. Je lui ai souvent répété qu’une relation avec un autre homme n’avait rien à voir avec l’amour cérébral.
Elle s’est enfin décidée. Mais elle n’a aucune envie de draguer et elle ne pense à aucun homme. J’ai donc décidé d’arranger une réunion. J’ai parlé de cette situation à mon collègue Francis en lui disant que je lui offrais ma femme. Il a de tout de suite accepté. Mon épouse avait encore une réticence. J’ai demandé à une amie, Catherine, de bien vouloir passer une soirée chez moi. Nathalie ne veut pas d’une partie carrée. Francis et Nathalie pourraient s’isoler dans la chambre tandis que Catherine et moi-même irions dans la chambre d’amis. Mon épouse accepte ce scénario. Elle aura ainsi moins l’impression de me tromper puisque je serai avec une autre femme.
Nous sommes samedi en début de soirée et nous nous apprêtons à recevoir nos invités. À leur arrivée, je fais les présentations. L’atmosphère est assez réservée. Nous prenons l’apéritif. Nathalie et Francis se rapprochent timidement tandis que je m’entretiens avec Catherine.
Francis est un collègue que j’apprécie énormément, je lui fais entièrement confiance. Je lui ai expliqué la situation, il est prêt à être l’amant de Nathalie mais, pour lui, ce ne sera que physique. Quant à Catherine, c’est une amie. Nous n’avons jamais couché ensemble mais je crois que nous en avions envie tous les deux.
J’observe Nathalie et Francis. Ils discutent assez joyeusement.
J’accompagne Nathalie dans la cuisine pour aller chercher les plats. Elle a un joli sourire. Nous commençons le repas. Côte à côte, Nathalie et Francis. De l’autre côté de la table, Catherine et moi. Le contact entre ma femme et son futur amant est maintenant bien établi. Nathalie m’étonne, elle est très à l’aise. Nous passons au salon. Nathalie et Francis d’assoient sur le canapé, serrés l’un contre l’autre. Francis passe les bras autour des épaules de Nathalie et ils échangent leur premier baiser. J’en suis ravi.
Nous discutons un moment puis décidons d’aller nous coucher. Nathalie et Francis se dirigent vers notre chambre. J’entraîne Catherine dans la chambre d’amis.
Mon plan est en bonne voie. Ma femme va se donner à un autre homme. Quant à moi, je n’en suis pas à ma première infidélité et j’entends profiter pleinement de cette nuit. Pour une fois, je coucherai avec une femme sans être infidèle.
Catherine est vraiment active au lit. Elle ne me refuse rien. J’ai le droit de visiter avec mon sexe chacun de ses orifices. Elle suce merveilleusement bien. Elle a plusieurs orgasmes. Nous nous endormons enlacés et épuisés.
Nous nous réveillons et échangeons un baiser. Catherine dirige sa bouche vers mon sexe qu’elle absorbe. J’ai envie de la baiser mais elle persiste en continuant de me sucer pour enfin recueillir mon sperme dans sa bouche. Il faudra se fixer un autre rendez-vous après cette nuit extra. Nous nous levons et allons dans la cuisine. Francis est assis et Nathalie prépare le café.
Nous nous saluons et prenons notre petit-déjeuner. Francis doit absolument s’en aller. Il enlace Nathalie et l’embrasse longuement. Il nous salue et s’en va. Je reste avec les deux femmes. Nathalie est très joyeuse, sa nuit et sa première expérience lui ont apparemment plu.
Elle entame la conversation avec Catherine. Je pars me doucher.
En revenant, je vois les deux femmes sur le canapé discuter joyeusement. Je ne comprends pas ce qu’elles se disent, c’est dommage. Elles se dirigent vers la salle de bains. Je les entends rire. Apparemment, elles prennent leur douche ensemble.
À leur retour, elles retournent sur le canapé. Elles agissent comme si je n’étais pas là. À ma grande stupéfaction je les vois s’embrasser. Mon épouse qui avait des réticences à prendre un amant embrasse maintenant une femme ! Je n’en crois pas mes yeux.
Puis, subitement, elles se lèvent et se dirigent vers la chambre. Nathalie s’adresse à moi :
- Chéri, tu peux venir voir mais tu n’interviens pas, tu te fais cuckhold.
- D’accord.
Elles se rapprochent du lit, se déshabillent et se couchent, Catherine au-dessus de Nathalie.
J’apprécie ce tableau. Nathalie s’est complètement décoincée et je ne connaissais pas Catherine sous cet angle. Je prends des photos des deux femmes en action.
Catherine a approché sa bouche du sexe de ma femme. Cette dernière a des tressautements dans son corps. Je savais qu’elle aimait les cunnis mais pas ceux faits par une femme, elle a un orgasme. Puis Nathalie commence à sucer Catherine, elle y met toute son énergie. Nathalie m’a toujours prodigué de belles pipes, maintenant elle suce une femme. Catherine jouit à son tour. Elles se retrouvent bouche à bouche pour échanger un baiser profond.
Elles sont maintenant allongées côte à côte.
Nathalie m’adresse un grand sourire.
- Ne sois pas timide, viens.
Je me déshabille rapidement et vais les rejoindre. Je suis comblé, entouré de mon épouse et de ma maîtresse. Elles viennent m’embrasser. Leurs lèvres sont imprégnées de leurs salives et du jus de leurs chattes. Nous mélangeons nos trois langues.
Puis elles dirigent leurs bouches vers mon sexe. L’une me gobe les couilles, l’autre me lèche le gland puis, tour à tour, chacune d’elles me fait une gorge profonde. C’est délicieux ! Mais je tiens à prendre l’initiative. Je les place côte à côte, à quatre pattes sur le lit, cul dressé et je commence à les baiser, trois coups dans la chatte de l’une, trois coups dans la chatte de l’autre. Je finis par jouir dans Catherine. Nathalie avance sa bouche vers la chatte de Catherine pour récupérer mon sperme. Elles échangent un baiser, mon sperme passant de bouche à bouche.
Nous sommes ravis de ces échanges. Je propose un rafraîchissement. Nous allons boire, tous les trois nus. Les deux femmes se tiennent par la main. On dirait de vieilles copines alors qu’hier elles ne se connaissaient pas.
Catherine doit malheureusement nous quitter. Elle va prendre une douche avec Nathalie. Après quelques embrassades, elle nous quitte. Je vais me doucher. Quand je reviens, Nathalie est toujours nue, je ne me rhabille pas. Nous échangeons un regard de connivence. Nathalie semble fière d’avoir réalisé un double défi, celui que je désirais et celui plus inattendu d’avoir fait l’amour avec une femme. Quant à moi, je suis comblé, une nouvelle maîtresse et une épouse enfin libérée.
Nous allons manger au restaurant et faisons une balade dans la campagne sans reparler des événements récents.
Après le dîner, nous allons nous coucher. Nathalie s’adresse à moi :
- Alors chéri, tu es satisfait ?
- Oui, ma chérie. Satisfait et surpris. Je n’aurais jamais pensé que tu sois aussi à l’aise avec Francis et, surtout, d’avoir fait l’amour avec Catherine. Comment ça s’est passé avec Francis ? Tu n’es pas obligée de répondre.
- Je n’ai rien à te cacher. J’ai passé une nuit merveilleuse. J’ai couché avec un homme que je n’aime pas, ce n’est pas comme avec toi. Il m’a comblée. Je te remercie de m’avoir ouvert les yeux.
- Tu es prête à recommencer ?
- Avec Francis ?
- Avec lui ou avec un autre. Je te laisserai choisir le prochain. Tu dois vivre ta vie sexuelle sans que j’intervienne. Bien entendu, il peut venir à la maison.
- Merci, mon chéri.
- Et comment ça s’est passé avec Catherine ?
- Je ne m’y attendais pas du tout. Quand tu es parti à la douche nous nous sommes rapprochées.
- Tu as envie de la revoir ?
- Pourquoi pas ?
- Elle ou une autre, ce sera ton choix. Comme pour un homme, elle pourra venir à la maison pour être seule avec toi ou pour un triangle. Dis-moi, chérie, tu peux me le dire maintenant, avais-tu déjà couché avec un homme ou une femme ?
- Non, mon chéri. Personne d’autre que toi. Et toi, tu m’as déjà trompée ?
- Oui.
- Tu as eu raison. Et tu vas continuer ?
- Oui, mais je ne tromperai plus puisque tu seras au courant.
- Je me pose une question. J’ai couché avec une femme, as-tu déjà couché avec un homme ?
- Jamais.
- Et tu le ferais si je te le demandais ?
- Tu aimerais ?
- Oui.
- Et tu aimerais y assister ?
- Oui.
- Je vais y réfléchir. Je te tiendrai au courant.
Nous nous embrassons, complices comme jamais. Je commence par lui prodiguer un cunni. J’espère la faire jouir comme Catherine a su le faire. Elle a deux orgasmes coup sur coup. Elle vient aussi m’embrasser.
- Coquin ! Maintenant, encule-moi, mon chéri.
Et elle se met en position pour que je puisse accéder à sa demande. J’approche ma queue de son cul. Je commence à titiller son anus avec mon gland puis je la pénètre. Elle accompagne mes mouvements. J’essaie de la pénétrer au plus profond d’elle-même, je sais qu’elle prend beaucoup de plaisir à sentir ma queue dans son cul. Ses sphincters agissent sur ma queue qui n’arrête pas de grossir. Mon épouse est une enculée de génie. Enfin, je me lâche. La bouche de Nathalie vient remplacer son cul. Elle nettoie avec application mon sexe.
- Bonne nuit, mon chéri.
- Bonne nuit, mon amour.
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Sarah s'amusait. Elle jouait avec Patricia, elle montait et démontait de petits mécanismes et elle se promettait d'avance
les satisfactions les plus vives à les voir fonctionner. Mais ce qu'il y avait surtout, c'était que les liens avec elle rentraient
ainsi défintivement dans le rang des êtres et des événements dont on parle avec les autres. Ce qu'est l'amour d'abord,
c'est une complicité. Une complicité et un secret. Parler d'un amour, c'est peut-être déjà le trahir. L'amour ne se passe
qu'entre deux êtres; tout ce qu'on y introduit d'étranger lui fait perdre sa force et de sa pureté, le menace de mort. Sarah
était plutôt de ces femmes qui n'ont pas besoin d'aimer pour vouloir enchaîner, ni d'être amoureuse pour pouvoir être
jalouse. Elle entendait sans doute la voir rester fidèle, non à la passion ni à la tendresse, mais au plaisir et au jeu. Et
peut-être se disait-elle en outre que Patricia était fait pour ces agréments-là plutôt que pour les flammes qui consument
dans une violence et une pureté irréversible. Mais lorsque l'amour arrive, lorsque l'irréparable est là, ce qui avait été
vaguement envisagé dans un hypothétique avenir frappe alors avec la brutalité incomparable de l'évidence immédiate.
Le temps s'arrête. Il se roule en une boule de feu autour de trois ou quatre mots où se concentrent toute la douleur et
toute la réalité du monde. La machine infernale est prête à fonctionner. Ces mots si simples qui annoncent la naissance
ou la fin d'un amour se chargent d'une signification que le chagrin et le désespoir poussent indéfiniment à creuser. Ce
qui surgit dans ce temps immobile, tout chargé de souffrance et de larmes encore retenues, c'est un amas énorme, un
afflux de questions. Elles brûlent de crever cette membrane étroite et fragile que la stupeur du moment et peut-être une
ultime et déjà désespérée prudence opposent encore à leur poussée. Car la victime de ces conjurations sait que les
réponses feront souffrir. Mais si on ne choisit de ne pas céder, de survivre à ces mots qui font encore plus mal que tout,
le besoin de savoir l'emporte sur toutes les sagesses. Le coup une fois porté, qui arrête le temps en une espèce d'extase
de douleur qui anéantit l'univers pour ne rien laisser subsister que l'horreur et le mal, le déroulement du temps ne reprend
enfin son sens que pour savoir pourquoi et comment, pour interroger sans fin, pour apprendre et pour souffrir encore.
Si l'amour se persuade qu'il durera toujours, le chagrin aussi s'imagine qu'il ne s'émoussera jamais. Patricia vit parce que
le temps passe et parce qu'elle n'y croit pas. Heureux, l'amour déteint sur un monde qu'il colore inlassablemement. Le
temps et l'espace ne sont pas neutres dans l'amour. Ils se chargent de nos espoirs et de nos attentes, et le monde entier
se couvre ainsi peu à peu d'un réseau de signes qui lui donnent parfois un sens absurde. La douleur ne se lasse pas.
Elle eut encore mal. Ce que Patricia souhaitait de toutes ses forces, c'est que Sarah fût cruelle, qu'elle eût envie de la
faire souffrir et de se venger d'elle. Alors elle aurait pu espérer. Car on entend des gens d'allure normale, et même
sensée, volontiers parler de l'amour comme un sentiment léger, et qui ne tire pas à conséquence. On dit qu'il offre bien
des plaisirs, et ce contact de deux épidermes ne va pas sans charme. On ajoute que le charme ou le plaisir donnent leur
plein à qui sait conserver à l'amour sa fantaisie, son caprice et précisément sa liberté naturelle. Il faut bien penser à ce
qu'il y a, dans le désir de Sarah, d'insoutenable. On voit de ces pierres, où soufflent les vents, qui bougent tout d'un coup
ou bien se mettent à pousser des soupirs. Il est une décence, irréductible et prompte à châtier, qui humilie la chair assez
vivement pour la rendre à sa première intégrité et la renvoie par la force aux beaux jours où le désir ne s'était pas déclaré
encore et le rocher n'avait pas chanté. Une décence entre les mains de laquelle il est dangereux de tomber. Car il ne faut
rien de moins pour la satisfaire que les mains liées derrière le dos, les corps écartelés, les balafres, la sueur et les larmes.
À la moindre caresse, sa peau frémit. Elle ferma les yeux. Sarah contempla impunément le pur ovale du visage de Patricia.
Des épaules fines et le cou gracieux. Sur la peau mate des joues et du front, sur les paupières bistrées passaient, comme,
comme des risées sur la mer, de brefs frissons qui gagnaient le ventre, les bras et les doigts entrêmelés. Une émotion
inconnue s'empara d'elle. Serrer une femme dans ses bras, c'est se priver de la voir, se condamner à n'en connaître que
des fragments qu'ensuite la mémoire rassemble à la manière d'un puzzle pour reconstituer un être entièrement fabriqué
de souvenirs épars. Les seins, la bouche, la chute des reins, la tiédeur des aisselles, la paume dans laquelle on a imprimé
ses lèvres. Or, parce qu'elle se présentait ansi allongée, pétrifiée comme une gisante dans un linceul de drap blanc, Sarah
découvrait Patricia comme elle ne croyait jamais l'avoir vue. Des cheveux courts d'une blondeur de blé, les jambes brunies
par le soleil. Elle ne reconnaissait pas la fragile silhouette vacillante sous le fouet. Bouleversée, elle regarda longtemps le
corps mince où d'épaisses balafres faisaient comme des cordes en travers du dos, des épaules, du ventre et des seins,
parfois en s'entrecroisant. Patricia étendue sans défense, était infiniment désirable. Comme le suaire que les sculpteurs
jettent sur une statue d'argile ocreuse encore fraîche, le drap mollement tendu épousait les formes secrètes de la jeune
femme; le ventre lisse et bombé, le creux des cuisses, les seins aux larges aréoles et aux pointes au repos. L'onde tiède
surprit son ventre. La blondeur accepta l'étreinte. Le ballet érotique devint un chef-d'œuvre de sensualité, un miracle de
volupté. Sarah fut la corde sous l'archet, le clavier sous les doigts du pianiste, le fouet sur la chair, l'astre solaire dans les
les mains d'une déesse. Ne plus s'appartenir est déjà l'extase. Les traces encore fraîches témoignaient de l'ardeur de ce
duel passionnel, des courbes s'inclinant sous la force du fouet comme les arbres sous la bourrasque. La muraille d'air,
de chair et de silence qui les abritait où Patricia était soumise, le plaisir que Sarah prenait à la voir haleter sous ses
caresses de cuir, les yeux fermés, les pointes des seins dressées, le ventre fouillé. Ce désir était aigu car il lui rendait
constamment présent sans trêve. Les êtres sont doubles. Le tempérament de feu de Patricia la conduisait à l'abnégation.
Elle avait gardé les yeux fermés. Elle croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'elle contemplait son corps inerte, ses
poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. L'esthétique
du lien. Tout à l'heure, à son arrivée, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait
la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos.
Elle lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle lui avait dit plus fort et Sarah avait noué des liens plus étroits.
Elle voulait la rendre rapidement à merci pour leur plaisir. D'elle-même alors, elle s'était laissée tombée sur le lit. Ça l'avait
beaucoup excitée de la sentir aussi vulnérable en dessous d'elle. Elle s'était dévêtue rapidement. Elle lui avait relevé son
shorty d'un geste sec. Elle l'avait écarté pour dégager les reins et l'avait fouettée sans échauffement. Elle reçut sans se
débattre des coups de cravache qui cinglèrent ses fesses de longues estafilades. À chaque coup, Patricia remercia Sarah.
Elle devint son sang. La vague accélèra son mouvement. L'ivresse les emporta et les corps ne surent plus dire non, alors,
ils vibrèrent, se plaignirent, s'immobilisèrent bientôt. Sarah la coucha sur le dos, écarta ses jambes juste au-dessus de
son visage et exigea d'elle avec humeur qu'elle la lèche aussitôt comme une chienne. Elle lapa son intimité avec une
docilité absolue. Elle était très douce et ce contact nacré la chavira. Les cuisses musclées de Sarah s'écartèrent sous la
pression de la langue et des dents. Elle s'ouvrit bientôt davantage et se libéra violemment dans sa bouche. Surprise par
ce torrent fougeux, Patricia connut un nouvel orgasme qui la tétanisa, lorsqu'elle prit conscience qu'elle jouissait sans
l'autorisation de sa Maîtresse, avec la nonchalance que procure le plaisir poussé à son paroxysme. Pour son plus grand
bonheur, elle l'en punirait certainement sauvagement. Mais elle puise ses désirs dans ceux que sa Maîtresse soutire d'elle
et qu'elle lui vole. Elle lui a donné tout son amour. Pour elle, il n'y avait pas de plus grande passion que dans l'abnégation.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Piper est une fan de rugby. Elle adore les hommes tout en masses puissantes, les bulldozers qui défoncent. C'est son fantasme. Écouter le haka, et se faire démonter la chatte par un rugbyman de plus de 120 kg minimum. Elle veut de la masse sur elle, elle peut encaisser avec ses hanches larges et son bassin robuste. C'est son trip. Des coups de boutoir dans son vagin, se faire exploser le minou, être écrasée par une montagne de muscles, sentir la respiration d'un vrai mâle en rut. Le tout avec des chants maoris traditionnels pour donner le rythme. Le pied total. Des orgasmes inouïs. Elle baise de la sorte jusqu'à pouvoir épuiser toute une équipe de rugby, staff technique inclus. Elle a son entrée secrète pour préparer certains matchs.
Un entraîneur un peu original a trouvé que c'était un bon exercice que de vider à fond les couilles de ses joueurs, trois jours avant un match. C'est vrai, nous sommes en Nouvelle Zélande et dans ces îles au large, on ne se refuse rien. L’entraîneur a pensé justement que les épouses ou les copines, cela, elles ne pourraient pas faire, trop de soft ou de retenue. Il a engagé Piper pour ce service spécial. Elle a adoré ce job et n'a même pas voulu être payée .
-Je ne suis pas une pute, je fais cela pour l'équipe et vous avez intérêt à gagner !
Ce qui a donné une autre idée à cet entraîneur un peu fou, le bottage de culs en cas de défaite. Et il a encore demandé à Piper de faire cela. Après tout, si le vidage des couilles a conduit à une défaite, les joueurs doivent subir une bonne branlée et Piper sait bien manier la cravache. C'est une experte là aussi.
C'est le soir du vidage des couilles ! Les rugbymans viennent de finir l’entraînement et ils prennent la douche. Pipper se pointe, jupe courte, rien dessous et jambes nues.
-Alors mes braves, j'ai soif de bon sperme ce soir. Qui veut se faire traire en premier ?
Ils se sont précipités pour bourrer la chatte de Piper qui n'a eu qu'à retrousser sa jupe pour se faire saillir. Putain le pied. Elle a commencé à bramer les orgasmes, ce qui a excité encore plus les rugbymans qui ont joué à qui la ferait le plus hurler. Piper se fait prendre par la bouche, l'anus, la chatte. On lui jouit dessus en faciale, entre les seins, sur les pieds. Elle est couverte et remplie de sperme.
-Allez videz vous, videz vous, ne gardez rien. Après ce sera deux jours de chasteté absolue avant le match, vous allez exploser vos taux d'hormones mâles. Allez on donne dans le cul de Piper, elle adore cela.
Le gars ont tout donné, mais le match suivant c'était contre les célèbres All Blacks, l'équipe nationale, en match de coupe. Ils étaient donnés à 20 contre un et c'était beaucoup pour le petit village de Millborough et son équipe d'amateurs de 4e division. Ils se sont pris une raclée et les cris des supporters fanatiques du village n'ont pas suffit. Le rouleau compresseur des All Blacks a tout laminé. Aussi de retour dans les vestiaires, ils ont eu droit à la cravache de Piper. Une toute autre femme cette fois, en bottes de cuir avec des gants cloutés. Elle adore sa tenue de dominatrice toute en cuir. Interdiction de se plaindre . Dix coups de cravache et plus par joueur avec l’entraîneur qui hurle dans les oreilles. .
-Et toi, Ron. C'est pas parce que tu joues contre les Blacks que tu dois plier les genoux.
L’entraîneur égrène les fautes et les erreurs et Piper fait siffler la cravache. Les joueurs se frottent bien leurs culs tout rouges. Ils vont avoir du mal à s’asseoir.ce soir. Piper s'amuse beaucoup. Elle aime autant fouetter que baiser avec ses beaux rugbymans. Elle adore sentir leurs masses et leurs odeurs de fauves. Que du beau mâle. Elle mouille sa culotte. Heureusement qu'elle n'habite pas Millborough....
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C'était la première fois. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a
descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes.
Quand il m'a pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans
mon cul, trois doigts, d'un coup. C'était juste avant qu'il me sodomise, pas un instant, à ce moment-là, je n'ai
pensé qu'il pourrait me prendre autrement. Et puis les mots. Quand il me disait de bien l'enrober avec la langue,
de bien remonter jusqu'au gland avant de m'enfoncer encore. Quand il est sorti de ma bouche, il m'a dit que
j'étais une incapable, incapable de le faire jouir. Il l'a redit en sortant de mon cul. Je me suis traînée à ses pieds,
en lui disant que j'étais désolée, que j'allais le faire jouir, que je saurais le faire. Il est revenu dans ma bouche,
sa verge avait un goût âcre que j'ai appris à connaître, mais là encore il n'a pas joui. Il le faisait exprès, bien
sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher, de long en large. Nous sommes allés dans la cave, il m'a
fait allonger sur une table de bois très froide et il m'a ordonné de me caresser. L'idée qu'il regardait mes doigts
m'a fait jouir presque tout de suite. Il me l'a reproché, bien sûr, c'était tout le but du jeu. J'étais pantelante. J'ai
joui si fort que j'en avais les cuisses inondées, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser
mes talons sur ses épaules, j'ai voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, et c'est là qu'il m'a dépucelée.
Depuis tout ce temps que le connais, il a toujours aimé me baiser dans des lumières violentes, et glauques en
même temps, des lampes dénudées, des néons, pendant au bout d'un fil. Et surtout sur des surfaces froides, des
carrelages, des bois laqués. Une fois, une seule, nous avons fait l'amour dans sa chambre, mais il avait jeté par
terre une paire de draps blancs, qu'il a soigneusement aspergés d'urine, avant de m'étendre sur le tissu souillé,
il m'a roulé dedans, laissant juste émerger la partie de mon corps qu'il voulait utiliser. J'ai eu très mal, brièvement,
j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il m'a pincé les seins, durement, et j'ai joui aussitôt.
Quand il est sorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, et il m'a dit que j'étais incapable, une bonne à rien. Il a
dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée plusieurs fois, en m'ordonnant de compter les coups, sur les
seins et le ventre. J'ai glissé à genoux, et je l'ai repris dans ma bouche. Il n'a pas arrêté de me frapper, le dos et
les fesses, de plus en plus fort, jusqu'au sang, et j'ai arrêté de le sucer parce que j'ai joui à nouveau.
Je le regarde bien en face, avec attention. Je ne ne suis pas gênée par l'évocation des souvenirs, ni par l'usage
des mots les plus précis. Il est même certain que je m'en délecte. Comme si ces aveux, si chirurgicaux et si cruels,
faisaient partie d'un protocole imposé par le Maître, et loin de dire quelque chose sur ma névrose, ils en devaient
la manifestation, la complaisance, devrais-je dire. Mais non, j'utilise ces mots parce que je pense qu'ils sont tout à
fait adéquats. Il a dit me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le string poisseux, le jean taché du sang qui gouttait
encore. Et le reste. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé bien sûr la porte ouverte,
me regardant avec intérêt, ravi, sans trop le montrer, de ma confusion quand le jet de pisse a frappé l'eau de la
cuvette comme une fontaine drue. Le lendemain, j'avais passé la nuit à repenser à cela, à tenter de comprendre
pourquoi, j'avais les nerfs à vif, comme après toutes les insomnies. J'avais longuement examiné mon corps. Ma
peau était couverte de plaques rouges, la délimitation exacte du ceinturon avec lequel il m'avait châtiée. Châtiée
de quelque faute, et chaque fois que j'en arrivais là, je me caressais, je jouissais, et la question disparaissait, ou
plutôt, la réponse éventuelle, mais la question demeurait brûlante d'actualité, et je me caressais à nouveau.
Il m'a fait entrer dans la salle de bain. Il m'a donné un coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur
le carrelage glacé. Il m'a saisie par les cheveux, m'a traînée dans un coin et m'a attachée avec des menottes à un
radiateur. Il m'a frappée encore quatre ou cinq fois, je criais en me protégeant le visage. Puis il a jeté sa cravache,
il a pris des ciseaux et s'est mis à me tailler les cheveux; je les portais mi-longs, il y a seulement quatre jours encore.
Les mèches me tombaient sur les épaules, sur les seins. J'étais nue. Il coupait court dans la masse, presque à ras.
Il m'a attachée, et il m'a laissée là, toute la nuit. Je n'ai pas entendu la voiture partir. Le soir est tombé, j'étais seule,
j'ai fini par crier, par pleurer, il y avait juste le bruit du vent, et le froid, l'humidité. Toute la nuit. Il est revenu au matin,
il m'a dit que je devais choisir, entre l'obéissance immédiate et la liberté. L'autre en moi, aurait aimé fuir, l'autre a dit
qu'elle voulait lui appartenir, et qu'elle ferait tout ce qu'il voudrait, et qu'elle obéirait. Il m'a fait mettre à genoux, tout
en me laissant attachée. Il a enfoncé sa queue dans ma bouche. Je l'ai sucé comme je pouvais. Quelque chose de
chaud m'a coulé sur le dos, et j'ai compris qu'il me pissait dessus. Un peu plus tard, il a enfoncé deux doigts dans
mon ventre, le cuir de ses gants était glacé, mais il les a enfoncés sans peine tellement j'étais ouverte et docile.
L'abomination du récit ne doit pas entacher l'écoute. La cruauté est la clé du plaisir dans ce monde si particulier.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Anja, est une jeune fille chétive, une qui n'attire pas les garçons, avec ses cheveux raides et ses boutons. Elle n'a ni copains, ni copines et on se moque d'elle dans ce monde des réseaux sociaux où ce n'est que l'apparence qui compte. Anja a une qualité, c'est sa grande intelligence.
-S'ils veulent de l'apparence, ils vont en avoir, ces petits cons et ces poulettes au culs levés.
Elle s'inscrit dans un club de fitness tenu par Akim, un gay qui a la passion des beaux corps bien musclés, de l'idéal grec antique. Il aime bien Anja et ses complexes. Il a l'habitude et son histoire l'amuse.
-allez Anja, on va les faire bander tous ces mecs qui se sont moqués de toi. Au travail.
Pauvre Anja, au début ce sont les poids qui ont le dessus. Ce sont eux qui la font bouger, et pas l'inverse. Un cas désespérant. Heureusement Akim est là pour lui remonter le moral. Il décide de la booster un peu....protéines, testostérone, ...à l'insu de son plein grès. Elle prend du muscle, arrive enfin à bouger les poids. Elle se redresse, prend confiance. Les garçons commencent à la regarder.
Avec les hormones d'Akim, son clito, Anja ignorait qu'elle en avait un, commence à gonfler. Elle jouit quand elle se caresse. Se donner du plaisir la rend belle.C'est ainsi, jouir c'est aimer la vie, peut importe la manière dont on jouit. C'est d'ailleurs le sens de l'expression « Carpe Diem » que l'on peut traduire de façon grivoise, prend ton pied tous les jours, ce n'est pas quand tu seras mort que tu pourras le faire.
Akim qui est gay, se garde bien de donner des conseils à Anja, mais il sait qu'elle se caresse de plus en plus et qu'elle est devenue hyper sensible du clito.Il est temps qu'elle fasse l'amour. Est elle lesbienne, hétéro ou bi. Impossible de savoir . Anja reste secrète et semble s'autosuffire. Elle rencontre le beau Toinou, un grand brun basané et bien baraqué. Ce dernier en pince vite pour Anja et son look athlétique. Il l'invite à sortir et Anja accepte à condition que Toinou reste sage.
-Pour garder un homme, il faut le faire attendre, lui conseille sa mère. Si tu veux qu'il t'aime, ne soit pas une conquête facile, il doit te mériter.
Anja sourit. Cela change du temps où personne ne la regardait et où on se moquait de son corps malingre. Elle se laisse embrasser, puis caresser, et enfin dépuceler par son beau Toinou qui visiblement sait y faire. Ils se mettent en ménage.
Anja découvre vite le point faible de son homme. C'est un beau macho bagarreur à l'extérieur, mais à la maison, il aime être soumis à sa femme. Cette dernière commence à jouer. Elle s’aperçoit vite qu'elle adore dominer. Elle commence par attacher Toinou et à le monter. C'est elle qui conduit les rapports sexuels. Son sexe est très musclé. Suffisamment pour retarder les éjaculation de son homme. Elle aime contrôler ses orgasmes. Elle constate qu'il adore subir.
Elle passe donc à la cravache en cuir. Elle attache Toinou à la table de la cuisine avec un solide ruban adhésif . Il a beau se débattre, solidement fixé aux quatre pieds, il est totalement à sa merci. La première fois elle frappe si fort et fait si mal que Toinou hurle et bave. Elle ne joue pas sa timide. Elle le chope par la tignasse et le force à lui brouter le minou.
-Ta gueule, mon homme. Tu es à ta place et tu dois souffrir en silence. Hurler c'est pour les mauviettes. Allez mange moi bien le clito et fais moi jouir. Mieux que cela ! Voilà, cela vient. Et pour te remercier tu vas en prendre une nouvelle série mais bâillonné cette fois. Et il faut pas hurler, il faut dire merci.
Toinou a finit par s'habituer à la cravache et il aime de plus en plus ; Cela le fait presque jouir avec les contractions du fessier sous les coups. Cela donne des idées à Anja. Elle enfonce son index dans le cul de son homme et commence à lui masser la prostate. Il explose un orgasme et inonde les carreaux sous la table de la cuisine où il est solidemnt attaché, tout nu et le cul bien cravaché.
-Mais tu aimes cela, mon Toinou, tu jouis comme une femme, ma parole.
Elle continue son massage et il enchaîne les orgasmes, toujours plus saccadés et violents. Il se vide complètement de son sperme. Une vraie bonne purge. Anja découvre une nouvelle forme de torture, celle qui consiste à multiplier les orgasmes de son sujet. Il se contracte de plus en plus, il hurle de plaisir et de douleur à la fois.
-Allez, une bonne séance de cravache pour te détendre à présent. !
Toinou remercie vivement.
-Ben voilà, dit Anja, cette fois tu sais dire merci à ta Maîtresse.
La morale de cette histoire c'est que l'art de la domination c'est parfois pousser le plaisir à l'extrême.
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Sarah observa la métamorphose de ce fabuleux objet de désir, en quête de pénétration. Quelle chance pour les
hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait
encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante
palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah
s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de
balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant
toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune
femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur
un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains lièes dans le dos,
de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins.
Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusquà la
commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier
sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter
l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il
perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la
nuque de Sarah jusquà lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à
entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche.
La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un
bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula.
Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que
je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce
que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus
en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la
pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer
cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de
figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier.
J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce
sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une
chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme
les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre
la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre
les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est
plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne
plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le
moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu,
je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules
de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout.
Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je
l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante
de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que
l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues
ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide
d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant
ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même
tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler.
Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une
fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé.
Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je l'empoignerai, je la pétrirai de mes doigts avides.
Elle criera. Plus tard. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à cet étrange plaisir esthétique. L'esthétique de l'entrave.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Rien alors ne s'est passé comme je l'avais imaginé. J'ai emporté mon petit fennec jusqu'à son lit. Elle avait refermé
ses bras autour de mes épaules et niché son museau au creux de mon cou. Je la sentais vibrer, si légère au creux
de mon cou. Je la sentais vibrer, si légère entre mes bras. Mais tout cela ressemblait tellement au cliché d'un film
romantique que cela ne pouvait pas durer. Elle m'a regardé me déshabiller sans quitter la position dans laquelle je
l'avais déposée sur le lit. Ses yeux allaient et venaient le long de mon corps, des yeux d'une étonnante gravité. Je
devinais confusément que ce nous apprêtions à faire ensemble ne revêtait pas la même importance pour elle que
pour moi. Si je me préparais au combat le cœur léger, impatient de donner le premier assaut, elle ressemblait, elle,
à ces chevaliers en prière la veille d'une grande bataille. Ce n'était pas de la peur, mais du recueillement, comme
si, en m'ouvrant ses draps, elle se préparait à un exploit. Je me suis allongé à ses côtés. Enfin, j'abordais cet astre
que je guettais depuis tant de semaines. Malgré la hâte que tu devines, j'ai entamé l'exploration en m'efforçant de
juguler mon impatience. Mes doigts sont partis en éclaireurs. Peu pressés, ils ont pris le temps de s'arrêter mille fois
en chemin, de souligner le galbe d'un mollet, d'apprécier la douceur de la peau dans le creux du genou, d'aller et de
venir le long des cuisses, n'en finissant plus de découvrir un tendre territoire que mes lèvres marquaient au fur et à
mesure. Ils sont montés plus haut, effleurant le ventre, s'attardant sur les hanches, glissant jusqu'à la base des seins.
Ma bouche a atterri sur l'un d'entre eux, lentement. Ma langue s'est enroulée autour de la pointe tendue vers le ciel,
sentinelle assaillie, déjà vaincue, mais qui se dressait vaillamment sous l'assaut. C'était chaud. C'était ferme. Cela
avait le goût du caramel. Dans mon oreille montait le souffle de ma belle inconnue, pareil au flux et au reflux puissants
d'un océan tout proche. Il s'est amplifié encore lorsque mon nez a suivi la trace du parfum entre les seins, sur l'arrondi
de l'épaule et jusqu'à la base du cou, juste sous l'oreille, là où sa fragrance était la plus enivrante. Et puis le nez, les
lèvres, la langue, les doigts ont fait demi-tour. Il y avait encore ce territoire vierge qu'ils n'avaient fait qu'effleurer et qui
les appelait comme une flamme attire les papillons de nuit. Mes doigts ont cherché un passage à travers la muraille de
dentelle que mon nez, comme un bélier, tentait de défoncer, auxquelles mes lèvres s'accrochaient comme des échelles
d'assaut. J'ai lancé des attaques de harcèlement. Mes doigts glissaient sous les élastiques, filaient jusqu'aux hanches,
redégringolaient. De l'autre coté du rempart, cela vibrait comme vibre une ville assiégée. Et je voulais faire durer le
siège indéfiniment. Je voulais que là, derrière, tout soit tellement rongé de faim à cause de moi que l'on ait faim de ma
victoire. Je voulais que tout bouillonne de soif là-dedans, que tout me supplie, que tout m'implore. Je voulais que l'on
dépose les armes sans conditions, que l'on accueille l'entrée de ma horde avec des hurlements de joie.
Et alors, brusquement, elle s'est refermée. À l'instant même où je posais les doigts sur un sexe nu de fille, ses jambes
se sont serrées. Ses mains se sont crispées sur sa poitrine. Sa peau est devenue aussi dure qu'un marbre. Elle a roulé
sur le coté et s'est recroquevillée en chien de fusil. La réaction normale aurait sans doute été de l'enlacer, de lui parler
gentiment et, peut-être, de la réconforter mais je n'ai pas eu la patience. Chauffé à blanc comme je l'étais, j'ai eu un tout
autre réflexe. C'était la colère et non la compassion qui me submergeait. J'avais battu la semelle pendant deux heures
sur son palier, elle s'était déshabillée au risque d'être surprise, elle m'avait entraîné jusqu'au lit et j'avais mené toute cette
bataille pour en arriver à cela ? Je l'ai brutalement retournée sur le ventre. Elle a poussé un petit cri de douleur lorsque,
du genou, je lui ai ouvert les cuisses en lui maintenant les poignets dans le dos. Sa culotte me gênait. Je cherchais à la
dégager tout en maintenant la pression. Pendant qu'elle gigotait en dessous de moi, je m'acharnais. Je ne me rendais
plus compte de ce que je faisais. J'étais pourtant bien en train de la violer. Mais qu'est-ce que j'avais dans la tête ?
Fuir ses cris de haine, l'abandonner à ses larmes, supporter ensuite son regard plein de reproches quand nous nous
croiserions dans l'escalier ? Je n'avais rien dans la tête. Peut-on d'ailleurs avoir quoi que ce soit dans la tête dans un
moment pareil ? On a la cervelle tout entière dans le gland. On pense au cul, c'est tout ! J'étais excité. Je bandais. Je
voulais achever mon travail. J'avais cette fille à baiser et je le ferais envers et contre tout. Je me suis abattu sur elle
d'une seule poussée. Et moi qui attendais d'elle une résistance farouche, quelle ne fut pas ma surprise de constater
qu'alors elle s'offrait à nouveau. Coincée en dessous d'un homme qui lui tordait les bras, voilà qu'elle creusait les reins
pour lui faciliter le passage ! Et la pénétrant, ce fut comme si je plantais dans la lave en fusion d'un volcan. La ville que
j'avais assiégée brûlait. Y comprendras-tu quelque chose ? Car à l'instant où, la sentant offerte, je lui ai lâché les mains,
elle s'est à nouveau refermée en poussant des cris de dépit. À nouveau, il a fallu que je l'immobilise pour qu'elle s'ouvre
à mes assauts. Je n'y comprenais rien. Voulait-elle vraiment échapper au viol ou était-ce une sorte de jeu auquel elle se
livrait ? Je lui écrasais les poignets sur les reins à lui faire mal et elle semblait autant jouir de cette situation que de mon
membre qui allait et venait au fond de son ventre. Je ne lui ai posé aucune question ensuite.
Lorsque je l'ai quittée, elle semblait encore hésiter entre le bonheur et les regrets.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Mathilde se réveilla en pleure, un immense désarroi habitait son être tout entier. Par crainte d’être entendu, elle prie une position fœtale et le drap dans la bouche, elle pleura en silence et cela dura jusqu’à ce qu’elle s’endormit.
Les 3 jours suivants, elle resta cloîtrée s’alimentant à peine. Une profonde déprime l’habitait. Elle se sentait perdue son esprit harcelé de question sans réponse.
- Que faire ? Qu’allait-elle devenir ? Que pensait-on d’elle ?
Pourra-t-elle se tenir face à pierre, à son oncle. Quelle honte, elle qui chaque nuit s’offrait à la débauche des sens. Ou la plus vile des qualifications lui paraissait témoignage d’amour et hymne accompagnant ses jouissances.
- La vie en ces lieux, ne sera plus possible, il me faut partir, pensa t-elle !
Au 4e jour, c’est à 14 h précises que le prêtre frappa à la porte. On l’accueillit avec des sentiments mêlés de crainte et de honte. Après les présentations, il interrogea toute la famille et chacun avec soulagement apportant son témoignage et dans le regard de l’homme de foi cherchait appui et réconfort.
Puis en silence, le père Marcel, de sa grande taille se leva domina la table et ces interlocuteurs et demanda à être en privé avec Mathilde.
On le conduit à la chambre d’ami. La porte se referma laissant deux hommes se regarder en hochant la tête puis chacun prenant une chaise, ils s’assirent les yeux rivé au sol.
Le prêtre sourit à Mathilde, et lui dit :
Bonjour Mathilde, Allonge toi ma fille, détend toi. Je suis là pour t’aider.
Il sortit de sa poche un chapelet, une bible et une gourde d’eau. Il prit sa respiration et commença par réciter ‘notre père qui est cieux’
En même temps, il emplit le crucifix d’eau de la gourde en argent.
Puis se retourna, regarda Mathilde et lui dit :
- Mathilde, mon enfant, est ce qu’il est avec nous. Le vois-tu ?
- Non mon père, il est parti
- Que veux-tu dire ?
- Il est parti, il m’a quitté !
Le prêtre sentit dans le ton de Mathilde un regret.
- Pourquoi tu dis cela ?
- Je ne le sens plus, il m’a dit qu’il me laisserait dorénavant.
- Peux-tu me raconter ce qui s’est passer ? Quand cela a commencé ?
Mathilde jeta un regard à l’homme de foi et en larme elle se mit à délivrer sa conscience...
La première fois, murmura telle, c’était il y a 6 ans... Mathilde baissa les yeux, une larme s’échappa et s’échoua au coin de ses lèvres, elle entama le récit, honteuse et emplie de culpabilité.
Le prêtre resta un instant les yeux fermés, il invoqua le créateur et a voix basse et de façon rapide récita différentes formules.
Continu Mathilde, le seigneur t’écoute !
Cela mon père a commencer par un cauchemar :
J’étais sur une route seule perdu, je regardais dans toutes les directions, mais je ne voyais rien, je n'arrêtais pas de me dire :
Mais où suis-je ?
J’appelais, mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je me suis mise à marcher et plus j’avançais et plus je ressentais une grande soif. J’ai vu de l’eau qui coulait doucement le long d’une paroi rocheuse, dont je ne distinguais aucun contour, dans la roche une petite cavité formait un bassin dans lequel s’accumulait l’eau avant de déborder à nouveau, et de poursuivre son chemin. J’ai levé les yeux, pour voir d’où elle s’écoulait. Mais il faisait sombre, je ne voyais rien. J’ai plongé ma main dans le petit bassin, pour puiser de l’eau. Après une première gorgée, j’ai remarqué que ma main saignait. Mon regard s’est posé sur le fond de la cuvette et remarquée, qu’il était parsemé de petites stalactites, aussi coupantes qu’une lame. J’ai pensé avoir éraflé le dos de ma main, par imprudence.
Mais mon envie de boire était trop forte. J’essayais une nouvelle fois, de puiser de l’eau, mais mon sang se mêlait à l’eau. J’essaie de me laver les mains et je m’éraflais à nouveau. Tout à coup l’eau que j’ai bue, c’est transformer en une pâte collante dans ma bouche, je n’arrivais pas à cracher ni à m’en défaire tant elle collait comme une résine. J’ai voulu prendre de l’eau pour enlever cette résine et plus je buvais et plus la résine emplissait ma bouche. Mes mains couvertes de sang, je me suis mis à pleurer à me demandant ce qui m’arrivait. Des rires de moquerie me parvenaient et j’ai vu des gens allez et venir transportant des pierres riant aux éclats. Il construisait une grande maison, dont je ne percevais aucun contour. Je me suis rapproché de ces gens et j’ai demandé qu’on m’aide. Ils se sont mis à rire et plus j’insistais et plus ils riaient.
J’étais en larmes désemparée, j’appelais ma mère mon père rien. J’ai repris mon chemin avec ma bouche que je n’arrivais plus à ouvrir. Mes mains ruisselaient de sang, quand une voix d’homme résonna :
Ne pleure pas Mathilde. Je suis là !
Ce sont les premiers mots que j’ai entendu. Mon regard cherchait celui qui s’adressait à moi, mais je ne le voyais pas, il faisait trop sombre.
Ô mon père si vous saviez comme j’ai eu peur. Tout autour de moi, il n’y avait que la nuit, cette eau puis cette pâte dans ma bouche mon sang qui n’arrêtait pas de couler.
J’ai voulu parler demander qui il était ? Mais ma bouche était complètement collée. J’essayais de crier, mais impossible !
Et puis la voix à de nouvelles fois parlée.
- Mathilde, calme toi, tu sais, je te connais bien. Cela fait un long moment que je t’attends. Tu ne me connais pas, mais moi, je te connais bien. Que t’arrive t-il Mathilde dis moi ?
J’essaie de parler lui dire mon malheur, ma bouche, mes mains.
Et puis il a continué, mon père, je ne sais pas pourquoi, mais je me rappel parfaitement tous les mots qu’il m’a dit, sans s’en rendre compte le visage de Mathilde exprima de la passion et du dépit !
Mathilde, ô m'a protéger, tu as croisé les bâtisseurs et leurs rires moqueurs, pourtant les pierres de chimère, c’est avec ces pierres que sont bâtis des univers dans l’imagination de l’homme. Il se moque de ta crédulité, cette façon que tu as de te croire libre.
Ton instinct de survie guidé par une soif sans nom, invoque l’inconnue.
Cette eau sans origine ni but symbole du temps qui s’écoule,
Et offrant une pose à sa course par l’intermède d’une vasque, instant de quiétude tant recherché.
Menant de part ta main à ta bouche assoiffée, le baume apaisant.
Puis voilà que l’appel de par ta bouche ne peut être émis.
L’imprudent élan tels un appel à l’aide, plongeant ta sincérité, dans les profondeurs voilées ou la souillure, le sévère et tant d’épreuves, encore, écorchent ta fragilité Mise à nue.
Tes espérances agonisantes à l’extinction programmée, portées dans le creux de ta main jusqu’à ta bouche.
Le palais empâté, le verbe interdit à toute indépendance, ne laissant que l’effroi et tes larmes témoins d’un impossible oubli.
Et tu te présentes à moi écorché de la vie, laissant de tes mains échapper l’essence de ta vie, ton sang.
Mais je suis là et moi, je suis différents moi, je veux t’aider.
Mathilde, je suis là pour t’aider, mais je ne le peux qu’avec ton accord.
Vois tu, je peux prendre de toi ce que je veux et sans ton accord.
Mais ce n’est pas ce que je veux.
Viens te reposer là sur ce lit, tu es fatigué et je nettoierai ce qui t’a sali.
J’étais vraiment fatigué et un lit apparu, je ne sais pas d’où il venait et je voulais me reposer, alors je me suis allongée, je me suis sentie si bien que j’ai fermé les yeux quand je les ai ouverts.
Un homme au visage dissimulé sous des cheveux tombant et qui allongé à mes côtés en appui sur son coude et légèrement pencher en avant, et me parlais doucement, se tenant très proche de moi et d’une façon que je n’avais jamais entendu, me dit des mots qui comme un chant mélodieux trouva, instantanément le chemin de ma quiétude … Mon être entier était tendu vers ces mots nouveaux..
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On fait un petit bond dans l'espace et dans le temps?? Voilà : voyage sans histoire. On est devant l'hôtel « Shéhérazade, perle du désert ». Joli nom et bel hôtel, genre 5 étoiles avec 2 piscines, un spa... tout, quoi. Je remarque une chose un peu surprenante : le personnel est beau. Les employées et les femmes de chambre ressemblent à des actrices de Bollywood et les hommes sont franchement pas mal. Je ne savais pas encore que les riches veulent être entourés d'un personnel séduisant et stylé.
Un Sheik nous reçoit à la réception. Le luxe, je n’y suis pas habituée. Quand j'étais petite, le luxe, c'était de n'être pas trop loin d'une source. Enfin, disons d'un robinet.
Une jolie Berbère (j'en sais rien, mais j'aime le mot) prend nos bagages et nous conduit dans notre chambre. Je lui donne un billet, c'est peut-être beaucoup, parce qu'elle se confond en remerciements et en courbettes. Je la congédie avant qu'elle ne me lèche les pieds. Dire que vers 10 ou 12 ans, c'est moi qui recevais une pièce quand quelqu'un me laissait lire son avenir dans les lignes de sa main...
On a une grande chambre avec télé, bar, terrasse... Oui, vous, vous avez l'habitude, pas moi. Il y a deux grands lits, mais je dis à Julien :
— Tu dormiras par terre.
Pourquoi?? Parce qu'il ne faut pas habituer les chiens ou Julien à grimper sur les lits. Ou alors, exceptionnellement.
Avant de m'endormir, je réfléchis à comment mettre un peu de piment dans ce voyage de noces et... Oh?! J'ai une idée.
***
Je passe une bonne nuit et me réveille vers 9 h. Julien est réveillé, mais je lui interdis de se lever avant d’en avoir reçu l'autorisation. Dès qu'il voit que j'ouvre un œil, il me demande :
— Je peux aller faire pipi ? S'il te plaît, Samia.
J'adore le contrôler jusque dans ses... besoins naturels. J'attends un peu avant de lui permettre. Ensuite, il grimpe entre mes cuisses pour débarbouiller mon minou, comme tous les matins. Je prends le téléphone et commande des petits déjeuners dans la chambre. Avec un peu de chance, ce sera la jolie Berbère avec qui je ferais bien un jeu de chat/chat. C'est comme chat/bite mais sans la bite et avec une deuxième chatte. On toque, je réponds « Entrez ».
Ce n'est pas la jolie Berbère mais un Touareg plutôt séduisant. Il nous salue, dépose le plateau et tire les rideaux. Je me suis redressée dans le lit, oubliant ma nudité. Il doit en voir souvent, des nichons. Et pourtant, il a l'air hypnotisé par les miens. Je vous ai déjà parlé de mes seins?? Ils sont trop beaux : deux poires bien fermes avec des aréoles roses. Ils bougent trop joliment quand je marche, j'adore mes seins... Le Touareg aussi, j'ai l'impression?! Je lui dis :
— Je crois qu'il y a un problème avec la baignoire.
— Quel genre de problème, Madame??
— Je vais vous montrer.
Oubliant à nouveau que je suis toute nue, je sors du lit pour aller dans la salle de bain. Je me penche sur le bain pour essayer de tourner le robinet d'eau froide, avant de lui dire :
— Vous voyez, c'est coincé... Mais, oh mon Dieu ! Je suis distraite, j'ai complètement oublié ma tenue. Ça ne vous choque pas??
— Pas du tout, la beauté n'est jamais choquante.
Oh, c'est joliment dit... Est-ce que les domestiques des riches doivent avoir fait des études à la Sorbonne?? Ayant envie de jouer, je lui dis :
— On me dit parfois que j'ai des beaux seins. Comment vous les trouvez, mes seins??
— Les plus beaux du monde.
Je ris en répondant :
— Non, non... Juste devant moi, il y a Marilyn Monroe à 25 ans.
Faut être lucide, elle est légèrement devant moi. J'ajoute :
— Ils sont fermes. Tenez, touchez?!
Je lui balance mes seins sous le nez?! Là, il panique un peu en disant :
— Votre mari... euh...
— Ah d'accord, vous préférez caresser les couilles de mon mari ?
— NON?! Non, pas du tout... mais je dois absolument continuer mon service.
Merde?! C'est que je mouille, moi. Il ajoute :
— Demain, je suis de repos. Je viendrai...
Je prends sa main et la mets sur ma chatte en disant :
— J'veux une queue maintenant?!
— Je peux vous envoyer le chef technicien. Très viril, très gros zob.
On dirait qu'il me fait l'article. Je réponds :
— D'accord, mais vite.
— Oui, et moi demain??
— Oui, je te l'ai dit.
— Je vais le lui annoncer immédiatement.
Il s'en va. Je suis en manque, y a ma chatte qui miaule?! J'ai bien Julien et sa langue mais je veux un truc plus fort?! Genre couleur locale avec un gros zob, comme il a dit. D'un autre côté, j'ai faim. J'ai envie de manger le petit déjeuner sur la terrasse. Ma chatte me murmure « on attend encore un peu », tandis que mon estomac gronde « je veux manger?! » Qui va gagner ce bras de fer entre mon estomac et mon minou (c'est une image?!)?? Je ne le saurai jamais, car on toque à la porte. Je vais ouvrir à poil, m'en fous, si c'est pas eux. Je me sens prête à violer une femme de chambre. Mais c'est eux. Un grand type d'une cinquantaine d'années me dit :
— C'est ici qu'il y a une urgence??
— Oui Monsieur.
— Bien, je m'appelle Ahmed. Je suis le chef technicien et voici mon neveu Jalil. On est spécialisés en plomberie féminine...
Je ris... et vous connaissez le proverbe « Femme qui rit, bientôt vous offrira son frifri ». Les deux hommes me dévorent des yeux... C'est intimidant?! Non, je rigole. Je vais près du chef, il me prend par la taille pour me coller à lui. Je lui murmure à l'oreille :
— Traite-moi comme une pute.
Je crois qu'il voit bien ce que je veux, mais il me demande quand même :
— Et ton mari??
— Il a eu les oreillons à 12 ans et sa bite a arrêté de grandir. Il m'aime et ça lui fait plaisir que de vrais mâles me baisent.
Comment ça, c'est n'importe quoi, l'histoire des oreillons?? Oui, c'est vrai, mais ça a l'air de leur convenir. Un mec qui a envie de baiser croit ce qu'il a envie de croire. Julien est assis par terre à côté de mon lit, là où il a dormi. Ahmed dit à son neveu.
— Enlève ton pantalon et couche-toi par terre.
Puis à moi :
— Toi, à genoux et suce-le pendant que je te baise, comme la chienne que tu es.
Pour jouer, je lui demande :
— Comme une chienne d'infidèle, Monsieur??
Il me donne une bonne claque sur les fesses en disant :
— Obéis, insolente?!
Oui, il sait jouer aussi. Je vais entre les jambes de Jalil. Oh, il est tout à fait comestible, ce petit. Son sexe fait bien 20 cm de long et il tressaille sur son ventre, preuve qu'il est vivant. Ses couilles sont de belle taille. J'aime les couilles, je promène mes lèvres sur la peau, imaginant le sperme qui s'y trouve, enfin, je fais comme si c'était là qu'il se trouve. J'embrasse la hampe du sexe jusqu'au gland. Le méat déborde déjà d'amour pour moi, sous forme d'une grosse goutte. Seule ombre au tableau, il est circoncis – mais d'un autre côté on risque moins de mauvaises surprises. Derrière moi, Ahmed me donne à nouveau une bonne claque sur les fesses en disant :
— Allez, remue ton cul, gagne tes dirhams?!
Tédirame??? Ah oui, la monnaie d'ici, les dirhams. J'suis conne.
— Aïe?!!
Comme je ne remue pas assez vite, il me donne une deuxième claque en me prévenant :
— Les putes paresseuses, on les revend au marché aux esclaves pour les travaux des champs.
Ah... oui, il aime jouer... Mais bon, il doit se calmer, on n'a quand même pas gardé les dromadaires ensemble. Mes fesses me brûlent, alors je lui fais une très jolie danse du ventre... avec les fesses?!
Il caresse ma fente avec son gland, puis pénètre dans mon vagin. Oh?! Ça fait du bien, j'en avais vraiment envie. Maintenant, je suis bouchée, par la bite de l'oncle dans la chatte et du neveu dans la bouche. J'enlève la bite qui est dans ma bouche pour dire :
— Julien, viens te mettre derrière nous et observe comment les guerriers de l'Atlas baisent les femmes.
Ça fait rire Ahmed, qui me demande :
— C'est ton esclave ?
Je caresse le sexe du neveu avec la main pour qu'il ne refroidisse pas et je réponds :
— C'est un esclave qui m'obéit au doigt et à l’œil, Monsieur. Vous voulez qu'il vous lèche le cul pendant que vous me baisez??
— Il ferait ça??
— Bien sûr?! Julien?! Lèche le cul de ce Monsieur.
Le neveu prend ma main. Oui, bon, je le reprends en bouche. Derrière moi, Ahmed a ralenti le rythme, sans doute pour mieux profiter de la langue de Julien dans son cul?! C'est quand même dégoûtant tout ce qu'il fait, non?? Comment ça, c'est moi qui l'oblige?? Je ne réponds même pas à ça, d'autant que j'ai une bite dans la bouche et que je la sens palpiter. Je crois qu'il ne va pas tarder à arroser mes amygdales avec son sperme...
Ça y est. Ouch?! J'en ai plein la gorge... J'avale... et ce con de Julien qui est derrière, sinon j'aurais tout recraché dans sa bouche... Bah, il ne perd rien pour attendre, il aura droit au foutre d'Ahmed. Le neveu s'est redressé sur un coude pour me regarder avaler. Attends, ce n'est pas fini. Je sors son sexe de ma bouche et avec le pouce et l'index, je le presse depuis le bas vers le haut. Une grosse goutte de sperme apparaît et je la gobe sous ses yeux ravis.
Ah, je sens que l'oncle va lui aussi me remplir... Il s'enfonce bien à fond en moi... Son gland doit être contre le col de la matrice. Ah là, là, l'instinct des hommes?! Inconsciemment, il veut être sûr que ses spermatozoïdes n'auront pas trop de chemin à parcourir, pour aller violer mon pauvre ovule sans défense. Voilà, je sens qu'il repeint le fond de ma vulve... et allez que j'en remets une 2e couche et même une 3e !
Et moi?? J'étais trop occupée à imaginer des choses. Heureusement, il y a mon sex-toy. Ahmed quitte ma chatte. Je me lève avec la main en conque sur mon minou. Un coup d'œil à Julien et il est déjà couché sur le dos, bouche ouverte, comme un oisillon attendant la becquée. Attends, tu vas l'avoir ta becquée?! Je me mets bien au-dessus de son visage et je m'accroupis, en retirant ma main quand ma chatte est à 20 cm de sa bouche. Je pousse et une grosse bulle émerge et tombe dans sa bouche. "Tiens?! Cadeau, petit oisillon".
Ahmed et Jalil regardent la scène avec intérêt.
Je pousse encore et d'autres bulles tombent dans sa bouche. Ça m'excite. Le traiter comme ça devant ces fiers guerriers... Enfin, on dit comme ça.
Mon oisillon devient mon sex-toy et je me branle sur son visage en me frottant du menton au front, en passant par sa langue dressée et son nez. Je finis par faire du trot sur son visage en pensant que je vais ajouter ma jouissance à son repas du matin.
Mais non, je mettrai des morceaux de pain entre mes orteils avant de prendre ma douche pour que ce soit complet.... Ouch?!... C'est l'image de trop?! Je jouis... Putain, c'est fort.... Quelques minutes plus tard, je descends de cheval... Je veux dire du visage de Julien. Je jette un coup d'œil, il est tout barbouillé de sperme?!
Ahmed me dit :
— Tu as bien travaillé. Tiens, voilà ton salaire.
Il me tend un billet de 10 dirhams, ce qui doit être une somme dérisoire. je réponds :
— Merci Monsieur, j'ai toujours à cœur de satisfaire mes clients.
Une dernière claque sur les fesses, amicale cette fois-ci, et ils s'en vont. Je dis Julien :
— Mets le petit déjeuner sur la table de la terrasse.
Quel confort, avoir un boy. Plus d'effort à faire, à part lui donner des ordres. Je vais sur la terrasse. On n'est pas trop vus ou alors de loin.
Julien attend que je l'autorise d'abord à s'asseoir, puis à manger. Ou pas, ça dépend de mon humeur... Aujourd'hui, me sentant bien, je lui dis :
— Tu peux t'asseoir et manger.
— Merci, Samia.
Je mets les restes de ce que j'ai mangé sur son assiette. C'est symbolique. Par exemple, quand je mange une pomme, je lui fais toujours manger le trognon. Eh, c'est encore très bon ! Aujourd'hui, j'ai mangé une mandarine et j'ai craché la peau et les pépins. C'est pour lui.
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Anitson et Patrick viennent de se marier, dans la plus pure tradition catholique du village, un petit bourg d'Irlande battu par les vents du nord et du grand large. La nuit de noces se passe très mal. Ils sont vierges tous les deux et ce crétin de Patrick, pour ne pas montrer à son épouse qu'il n'y connait rien, est allé chercher des infos sur le net. Il a voulu faire de longs préliminaires, un cunni, et il a failli se prendre une baffe. Il n'a pas pu la sauter et pourtant il en meurent d'envie tous les deux. On ne déflore pas une rousse irlandaise traditionaliste, comme cela.
Patrick est désespéré de ne pas avoir consommé ce mariage. Il ne veut pas devenir la risée du village. Il va trouver le prêtre qui vient de célébrer la noce pour lui demander conseil. Ce dernier le confesse, c'est plus discret et plus libre.
-Mon Père, j'aime ma femme et je n'ai pas pu lui faire l'amour, elle a failli me gifler, comme si je m'y prenais mal. J'ai honte.
-Qu'as tu donc fait? Je sais qu' Anitson t'aime. Tu es son homme, son époux.
-Je suis aller chercher des conseils sur internet pour savoir comment bien faire l'amour à ma femme. Je n'ai aucune expérience, vous le savez bien, mon Père.
-Pardonnez le Seigneur, votre Fils s'est égaré sur internet, le royaume de Satan. Pardonnez le.
-Je croyais bien faire.
-Allons mon fils, récitons ensemble, le "Notre Père" et allons voir Madame Suzan, elle va t'expliquer.
Ils partent vers la belle demeure de Madame Suzan, qui est fort riche, fort pieuse et veuve. Lorsque le Prêtre explique les raisons de leur visite, elle éclate de rire:
-Patrick, oh mon Patrick, toi le beau bagarreur pendant les fêtes du village, toi qui boxe si bien, tu ne sais pas baiser ta femme ! Ce n'est pas sur internet que tu vas apprendre à sauter une belle irlandaise rousse comme Anitson. Tu as l'épouse la plus racée du village. Il faut faire comme avec une jument rétive, le fouet. Ta femme n'attend que cela, que tu la prennes en main et que tu la montes pour de bon.
-Ah, j'ai eu peur de lui faire mal. J'ai voulu être doux et caressant.
-Tiens je te fait cadeau de la badine de mon regretté époux. C'est avec cette verge cinglante qu'il m'a bien rougi les fesses le premier soir et fait filer droit. C'est cela qu'aiment les irlandaises comme Anitson et moi, des hommes qui savent manier la badine.
Le visage de Patrick s'est éclairé. Il a prit la badine et il a filé chez lui, bien colère cette fois. L'orgasme violent d'Anitson a été entendu par tout le village. Les chats se sont couchés, les poules ont levé la tête inquiètes, les coqs ont chanté. Un beau rayon de soleil a illuminé ce paisible village battu par les froids vents chargés des pluies venues de l'Atlantique Nord.
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L'ombre peu à peu avait envahi la chambre. Sarah n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle
elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis plus d'une heure commençait
à la faire souffrir. Passent encore les fourmillements dans les jambes et les bras. Elle en avait l'habitude maintenant.
En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle parvenait à relancer la circulation sanguine. Le plus insupportable,
c'était cette douleur à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum
de ce que lui permettait l'écartement de ses jambes. De part et d'autres de son visage, ses genoux touchaient presque
les barreaux. Elle avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre
enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension à laquelle ils étaient soumis. Que faisait
Xavier ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée inonda la chambre.
Le cœur de Sarah s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel,
celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non,
c'était impossible, il l'aimait. Sarah se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, et qu'elle
serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils
auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Elle avait
beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Xavier
voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en
donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même
avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer.
Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit. Sarah distingua une silhouette dans l'embrasure, mais la lumière
l'aveuglait. C'était Xavier mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, la considéra d'un œil narquois et cruel.
C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son bustier en lamé noir, son short ultracourt sur des bas résilles et
des cuissardes à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une pute. Xavier avait amené une putain. Hébétée,
Sarah portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avec soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la
fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée.
Toisant Sarah, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses. Elle avait des jambes
longues et musclées; en bas de son ventre, son pubis lisse se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée.
Lorsqu'elle dégrafa son étroit bustier, ses seins comprimés en jaillirent comme des fauves. Tout en elle dégageait
une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa mâchoire figée en un rictus menaçant
contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la
tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque.
- Tu viens, mon chéri ? minauda-t-elle.
Xavier se débarrassa de ses vêtements. Lorsqu'il s'approcha du lit, Sarah remarqua qu'il ne bandait presque pas.
- Fais ton job, dit-il à la putain.
Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids.
- Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi m'en foutre partout.
Abasourdie de surprise, Sarah regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter avec adresse le sexe de
Xavier dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Xavier, les yeux clos,
serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le
cliquetis des chaînes dans lesquelles Sarah commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Xavier
enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Même en se tordant le cou,
Sarah ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones,
halètements convenus. Tout cela l'écœurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Xavier lui avait-il seulement
demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ?
Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se
poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle
distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle.
D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient
ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Xavier ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de
défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup
reçu au fond du ventre de Sarah. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle aimait s'acharner sur une
inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Xavier enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna
aussitôt Sarah et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelote de ficelle et alla prendre une
chaise qu'il disposa près du lit. "- Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas.
Termine ton job et casse-toi." Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser
les épaules tout en tassant ses seins dans son bustier. Sarah cherchait en vain à capter le regard de Xavier. Elle
essayait de comprendre. Quel job la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ?
Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur
la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute
l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa
ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la
taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes.
Sarah vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage. Bientôt,
elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air
d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur
inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il
demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec grand soin. Sarah
ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à
tout prix réussir à jouir. La putain passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les
approcha du sexe humide de Sarah. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procéda à de longues succions.
Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des
dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Sarah survolait
la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une putain, également nue, la suçait. Un homme, bronzé
et nu, liè à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, la pute enroba le clitoris de Sarah,
l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors.
Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua
dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles
ondes électriques. Sarah creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses
caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue.
Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Sarah et l'enfonça lentement,
de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa
main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain
plongea sa main plus profondément dans le sexe de Sarah, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile
cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus.
Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Sarah
se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains.
Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant
ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes
l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais
les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Xavier dormait-il lui aussi ? Elle n'osait
se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ?
Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humiliante. Cela n'était donc pas un
jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ?
Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Xavier. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se
précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses
épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son
menton mal rasé. Sarah sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Jonas ne sait pas d'où il vient. Il est né dans la rue, près du port, là ou arrivent tous les migrants. Sa mère qui a accouché entre des piles de caisses est morte à sa naissance. A t-il été élevé par une louve comme Rémus et Romulus, il n'en sait fichtre rien. Orphelin de mère, le père n'a jamais existé. Un coup peut être dans un port en échange d'une pièce pour manger. C'est sans importance, il est et cela n' a pas de prix.
Il a su survivre sur ce bout de quai, caché entre les caisses, les ballots et les bateaux en partance. A présent, c'est un beau jeune homme, séduisant. Il gagne sa vie comme docker. C'est très bien payé. Jonas est intelligent, il a su intégrer le syndicat qui contrôle ce port et monter les échelons.
Pourtant il ignore qu'il a un don rarissime. Il sait lire les codes cachés. Il ne sait pas d'où lui vient cela, mais s'il écoute les infos où lit la presse, il est capable de décoder et de livrer des analyses fort justes. il s’aperçoit qu'il peut gagner beaucoup d'argent et commence à jouer sa paye sur le marché des actions. Une réussite fulgurante. La grande vie ? Non, il aime bien son petit logement entre les caisses et les ballots, là où il est né de mère et père inconnus.
Il rencontre Janis, une orpheline comme lui et c'est le coup de foudre immédiat. Il ne peuvent plus se quitter et ont besoin de s'accoupler le plus souvent possible. Emboîtés, il se sentent bien. Ils font un. Jonas et Janis, les deux j, toujours ensembles, toujours follement amoureux.
Jonas gagne encore plus et décide d'acheter un ranch pour vivre à la campagne et faire des gamins. Et là, coup du sort, ils sont stériles tous les deux. Le destin semble se moquer d'eux. Ils sont pourtant beaux, jeunes , riches et voilà, ils peuvent former un couple, mais pas une famille issue de leur sang. L' adoption...ce n'est pas les orphelins qui manquent, mais l’administration refuse car, orphelins eux même, ils n'ont pas de références. Et l'enquête montre vite leur hypersexualité. Janis a besoin d'être pénétrée par Jonas. C'est une addiction totale. Il font l'amour plus de dix fois par jour.
Ils ont consulté un sexologue qui leur a recommandé de pratiquer le bdsm pour mieux canaliser cet élan vital. Janis a joué à la soumise, mais à part écarter un peu plus, cela n'a pas marché. être et jouer ce n'est pas du tout la même chose.
Le sexologue a voulu vérifier. Un bon scénario bdsm, ne fait pas plus mouiller Janis ou bander Jonas. Il sont à des années lumières de cela. Le sexologue les a virés.
-Tout va bien et donc je ne peux rien pour vous.
Jonas a coincé Janis contre la barrière du ranch et il a pénétré sa femme, d'un coup. Elle est toujours humide et prête pour se faire démonter la chatte et jouir très fort. Mais qu"avec son homme. Et Jonas de même, qu'avec sa femme. Les autres n'existent pas quand ils font l'amour. et c'est très bien ainsi.
La morale de cette histoire c'est qu'il ne faut pas tricher sur soi même et sa nature véritable, cela ne rend pas heureux et c'est aller vers des problèmes bien inutiles.
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Olga bosse pour le FSB, c'est même une amie du camarade Vladimir. Elle adore son job. Le renseinement. Dans tous les domaines, le militaire bien sûr, mais aussi la diplomatie, les affaires, l'industrie, la finance. Quand le FSB veut savoir, il envoie Olga, l'experte en sexe sur commande.
Là, elle doit se renseigner sur un milliardaire américain qui commence a bien casser les couilles à Vladimir avec ses fusées qui concurrencent celles de Roscosmos, reviennent seules sur Terre et coûtent moins cher que toutes les autres alors que ce sont les plus perfectionnées. Des technologies aliens? Et si ce milliardaire était aussi un alien? Il en a la tronche avec ses projets futuristes. Voilà qu'il veut coloniser la Lune et Mars. Olga est chargée de le coincer entre ses cuisses.
La sublime russe se pointe partout où notre milliardaire peut être. Elle est bien renseignée, ses entreprises ont été infiltrées par des savants bi-nationaux qui ont réussi à se faire embaucher. Mais pas facile, notre milliardaire est comme une ombre insaisissable. Pourtant, la rencontre se produit un jour, au moment où Olga s'y a attend le moins, près d'un distributeur de coca.
En fait c'est Olga qui s'est faite alpaguer. Elle s'en rend compte de suite. Le milliardaire est un personnage très énigmatique.
-je pars dans 15mn pour ma base en Californie. Voulez vous m'accompagner dans mon jet privé?
Olga comprend que c'est elle le poisson et qu'elle est à nue, sans filet de protection, dans les griffes d'un gros matou rusé.
Dans l'avion le milliardaire ne perd pas de temps. Il la saute sur d'épais fauteuil de cuir.. Non, ce n'est pas un alien et il la baise très bien, avec une grosse envie. Se faire troncher c'est la base du métier d'Olga et c'est en plus un plaisir. Elle adore cela, baiser n'importe où, à l'improviste. Le milliardaire qui rêve de conquérir Mars n' a aucun mal à conquérir sa bouche, sa chatte et son cul de rêve. Un pineur expert, au moins c'est déjà plus agréable qu'un bande mou ventripotent.
-Je veux discuter directement avec Vladimir. Tu vas arranger cela. Il sait que je suis en train de couler Roscosmos. Ce n'est pas mon but. J'ai envie de faire des affaires avec lui. Je te prend à mon service et je lui offre Rose, une splendide blonde américaine platine qui adore faire l'amour comme soumise. Ce sera plus facile pour communiquer.
Olga sourit. Rose se pointe. Elle est sublime. Vladimir va être content. C'est un roublard lui aussi. Olga est ravie, elle sait qu'elle va bien s'entendre avec son nouvel employeur , le milliardaire aux fusées si performantes. Olga dévoile ses belles dents de tigresse de Sibérie.
-J'accepte le marché dit elle. Tu m'as bien baisée et j'adore cela. Vladimir va adorer Rose, c'est son style. Il est fou des blondes platine avec de beaux seins. Je lui envoie une photo à l'instant. Tiens il répond....coucou Vladi, bisous, je te passe mon ami.
- Vladimir !
-Da !
- Olga est un bon coup, merci. Tu vas aimer Rose. On peut se voir bientôt?
-Da ! dans ma résidence du Caucase ce sera plus relax. Tu veux me parler de la Lune et Mars.
-Oui, mais pas que.
-Fait gaffe avec Olga, C'est une experte en arts martiaux et elle adore pratiquer la domination.
-Super, cela me reposera un peu. Rose est comme tu aimes d'après mes fiches. Soumise à souhait avec un cul de rêve. A bientôt sur les bords de la Mer Noire.
-Da. tu es le bienvenu.
-Olga, va m'attendre dans la chambre bleue. Il parait que tu adores jouer à la dominatrice. Alors prépare moi un truc sympa. Là faut que je bosse. J'en ai pour une heure encore.
-Mon cher, sachez que je ne joue pas à la dominatrice, je suis dominatrice et vous n'allez pas être déçu. Le FSB est bien renseigné, je connais tous vos fantasmes.
-C'est bien , comme cela nous ne perdrons pas de temps. Tu trouveras tous les accessoires dans un placard. Allez laisse moi maintenant.
Le milliaidaire reçoit une bonne baffe, une de celles qui font très très mal.
-On ne parles pas ainsi à "SA" dominatrice surtout si elle a été formée au FSB.
Le milliardaire sent son sexe gonfler et durcir, le signe qu'il est bien un soumis sexuellement. Il baisse les yeux face à Olga. Vouloir conquérir Mars et obéir à Olga....tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
La morale de cette histoire c'est qu'avec le cul on peut conquérir la Terre, la Lune et même Mars.
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Haya est une fort jolie jeune femme, libre et indépendante, qui travaille et refuse la domination des hommes, le port du voile. Une libanaise métis, avec du sang chinois par sa mère et arabe par son père. Une passionnnée de wing chun, l'art martial, le seul conçu par une femme et utilisé par le célèbre Bruce Lee dans ses films. Haya a tout pour être heureuse; elle est riche, jolie, très intelligente. Sauf que sa route vient de croiser celle du cheikh Hassan, un prédateur sans foi ni loi.
Cela s'est passé dans les salons d'un grand hôtel de Beyrouth. Leurs regard se sont croisés. Haya a lu toute la perversité d'Hassan et elle a eu peur. Un fou....sans limites ni barrières.
Le soir même Haya a été enlevée, séquestrée dans une grosse valise et expédiée via un jet privé dans un pays de sables brûlants. Une disparition de plus dans ce vaste monde.
Haya a été lavée, parfumée, habillée d’étoffes précieuses et laisée libre d'aller et venir dans ce harem merveilleux, avec de beaux jardins fleuris, des fontaines et des bains, des esclaves eunuques pour faire le service, servir du thé à la menthe ou aux épices. Que des femmes somptueuses, des beautés à couper le souffle. Hassan s'est choisi ce qu'il y avait de plus beau pour décorer son harem et ses femmes sont un peu comme des meubles de luxe.
-Tu es nouvelle? Fais bien attention. Hassan notre maître est un fou. Si tu lui déplaît, il te place dans un hélico et te lâche au large dans une baie infestée de requin. Ce malade filme et il nous passe les vidéos de ses meurtres. Nous filons toutes droit après avoir vu cela. Et ce n'est pas du bluff , il est vraiment fou.
Haya n'a pas peur. Elle en a vu d'autres avec Karim, le loubard de son quartier qui voulait la violer. Pauvre karim, il ne connaissait pas le wing chun....c'est lui qui s'est fait enculer et Haya a posté la vidéo sur le net. Karim a du s'exiler en Argentine à cause de la honte.
Un soir Hassan convoque la sublime Haya pour la troncher dans son baisodrome privé rempli de splendides tapis persans et de toutes sortes de gadgets pour ses fantasmes. Il porte son poignard acéré à la ceinture et visiblement il sait très bien s'en servir.
Haya l'afronte du regard et tourne autour de lui comme un fauve. Et tout à coup c'est Hassan qui a peur. Il veut appeler ses gardes eunuques noirs, formés aux combats, mais il est trop tard. Un direct en pleine face à la Bruce Lee le met ko d'un coup.
-Cela c'est pour m'avoir fait enlever, salopard de macaque de mes deux et tu vas payer.
Hassan se réveille. Il est ligoté et bâillonné solidement. Haya a trouvé tout un assortiment de fouets arabes et elle commence par bien lui labourer le dos et le cul.
-Mais tu es une vraie gonzesse mon Hassan, tu pleures sous les coups. Tu n'as pas l'habitude. Attends je vais t'enculer et t'empaler, tu vas hurler comme un chacal.
Hassan se dit qu' il est tombé sur une folle et il a vraiment peur. Il se fait dessus.
-Mais tu as la trouille, petite vermine qui donne les femmes aux requins. T'es vraiment une petite merde. Faut que je reste loin tellement tu pues du cul.
Elle avise une longue lance avec un très gros manche en bois. Elle trouve sur le plateau des collations de la sauce piquante, une belle harissa bien rouge et enduit la hampe de sa lance. Hassan la regarde horrifié, les yeux ruisselants de terreur.
-Dans le cul la lance avec la harissa ! Dans le cul et tu va hurler comme un goret ! On va t'entendre de la Mecque à Istanbul ! Tu va être la risée de tous les musulmans du vaste monde. Tu vois, j'ai ton téléphone. Je vais te filmer et publier toutes les saloperies que tu fais ici et comment je vais t'enculer ma salope.
Le manche de la lance a perforé le cul d'Hassan. La douleur a été fulgurante. Il s'est évanoui. Haya est allée chercher toutes les autres filles du Harem pour leur montrer le spectacle. Les gardes eunuques, sans ordres, n'ont pas bronché. Ils ont compris qu' Haya était celle qui commandait, une dominante sans pitié et ils se sont mis sous ses ordres. Peut être eux aussi, en ont ils marre des extravagances sanguinaires d' Hassan. Haya leur a promis la liberté. C'est inutile. Ils n'ont plus de couilles ni de pénis, et ils sont fait pour obéir....
Hassan se réveille. Il hurle et hurle comme un goret qu'on égorge. Ses captives lui pissent dessus. La vidéo fait le tour du monde. Les ambassadeurs sont vite au courant. Les filles parlent, donnent leurs identités et les lieux de leurs enlèvements.
Des hélicos et des grappes de soldats dans les jardins. Le Roi de ce pays intervient personnellement. Il fait décapiter Hassan sur-le-champ et il ordonne de jeter son corps au requins. Une justice rapide et efficace ?
Le Roi regarde Haya et la trouve fort belle.
- Je vous offre ce domaine et tout ce qu'il contient, ainsi que la fortune d'Hassan pour vous dédommager. Les filles sont libres de partir ou de rester. Je vous accorde des titres de séjour à vie comme invitées d'honneur.
Les filles et les eunuques sont resté avec Haya. C'est vrai que la propriété d'Hassan est superbe et très richement dotée, et que ses comptes ont des chiffres avec beaucoup de zéros après.
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L'effluve de son parfum l'excite, une odeur inédite, certainement inabordable; le corps devant lui se raidit. Combien de
fois, Xavier, la pointe de mes seins s'était-elle dressée à l'approche de tes mains ? Combien de fois au petit matin ? À
la sortie de la douche ? Le bus arrive, la belle monte et s'assied juste derrière le chauffeur. Le siège de derrière est
occupé. Pascal s'installe sur la banquette opposée. Il observe le profil racé, les traits de la jeune femme sont crispés, le
froncement du sourcil trahit l'inquiètude et il s'en réjouit. Il la dévisage longuement, admire le galbe de ses seins semblable
aux contours d'un joli pamplemousse et rêve de se désaltérer au fruit défendu. La jeune femme lui paraît de plus en plus
nerveuse. Ils descendent à la même station devant le musée des automates. Elle prend un ticket et dépasse le portillon.
Pascal est frustré, il ne peut payer l'entrée. Tant pis, il attendra dehors, il fait beau et il doit se calmer mais elle se retourne.
Je posais le livre sur la couverture. La ligne du 43, c'est celle que nous empruntions le dimanche pour aller promener le
chien. Même le chien, tu l'avais oublié. "- Vous ne me suivez plus ! Vous n'aimez pas les automates, peut-être ?" Quelle
prétention dans la voix. Pascal va la faire plier cette pimpêche, elle ne perd rien pour attendre. Il la suivra jusqu'au moment
propice où il pourra se l'approprier, même si cela doit lui prendre des jours et des nuits. Il achète un ticket pour le musée.
Pascal a soudain peur. Jamais il n'a connu ce sentiment. Il suit la croupe légère qui s'enfonce dans la salle des automates.
L'obscurité est quasi complète, seuls des spots blafards éclairent les drôles de pantins qui répètent dans un mouvement
saccadé des gestes identiques. Une voix suave conte l'histoire des curieux personnages. Le jeune homme n'a jamais vu
un tel spectacle et s'approche du cordon qui barre l'accès aux créatures magiques. La fraîcheur de la pièce contraste avec
la chaleur du dehors. La jeune femme vient se coller à lui, ses cheveux effleurent la joue rasée. Elle le prend par la main.
Une main chaude et douce, rassurante. " - Venez plutôt par là, c'est mon préféré!." Pascal ne s'intéresse plus au jouet de
fer mais à cette main qui pour la première fois s'est tendue à lui. Ils sont seuls dans la pièce. La main le guide habilement
d'un personnage à l'autre, les doigts graciles pressent les siens. Elle les arrête devant un duo. Il regarde. Une petite tête de
fer avance et recule la bouche ouverte sur un pénis rouillé, la nuque du propriétaire balance de droite à gauche dans un
imperceptible grincement. L'image de ton pénis rouillé, Xavier ... Quel délice ! Je reprenais hâtivement ma lecture.
"- Il manque d'huile, vous ne trouvez pas ?" Mais elle le provoque ! Le jeune homme sent monter en lui une sève brûlante,
son gland le tiraille, sa violence originelle le tenaille, il ne peut plus se retenir et tant pis s'il fait mal à cette main tendue. Il
se dégage et soulève la jupe. Il s'attend à un cri. La jeune femme ne dit rien, elle accélère seulement soudain le rythme de
sa respiration. Pascal ne comprend rien. Il s'en moque. Pressé par son désir, il fourre sa main sous le tissu et plonge ses
doigts à l'intérieur du sexe humide de sa proie. Nul besoin de dégraffer son jean, une main habile vient à sa rencontre qui
se faufile et aggripe sa verge. Elle le masturbe frénétiquement. La jeune femme se plie en deux, enfonce le gland gonflé
au fond de sa gorge et mime avec application la scène des deux pantins. La béance boulimique l'avale littéralement,
tentant d'atteindre la luette. Prêt à décharger, possédé par l'étrange créature, il la relève. Ses bras costauds soulèvent ses
cuisses légères, seule la pointe des pieds résiste à cette élévation. Il l'empale sur son jonc tendu. Malgré les ongles qui
éclatent la peau, la jeune femme se laisse glisser avec volupté sur cette gaillarde virile. Le rythme fort de leur respiration
s'accorde, laissant à la traîne le grincement de l'automate. L'instant d'après, l'extase les submerge, vertigineuse et folle.
Jamais personne ne s'est offert à lui avec tant de générosité. La jeune femme desserre l'étreinte, elle agite le pied gauche,
son bénard en soie bordé de dentelle coulisse le long de sa cheville. Dans un geste rapide, sa main froisse l'étoffe soyeuse
et la fourre dans son sac à main. La déculottée trémousse son arrière-train, rajuste la jupe et quitte les lieux, assouvie d'un
plaisir charnel. Le jeune homme la regarde s'éloigner, déjà elle ne le connaît plus. Pourtant, elle se retourne, pédante:
- Il vous reste beaucoup de choses à apprendre.
Et toi, Xavier, que te restait-il à apprendre ? Tu croyais tout savoir en matière d'amour. J'aurais tant aimé, à cet instant de
la lecture, que tu sois près de moi. J'aurais pu alors t'embarquer pour de nouveaux voyages. Pourquoi m'as-tu quittée,
espèce de salaud. Je soupirais et je reprenais, j'étais là pour te haïr, pas pour te regretter. Quel beau roman.
Pascal n'a plus qu'une obsession, retrouver cette offrande, ce don divin balancé de la voûte céleste. Lui qui n'est pas
croyant se surprend même à prier, à supplier, mais le ciel n'est jamais clément à son égard. Les jours, les mois défilent.
Le miracle ne daigne pas s'opérer. Chaque jour, le jeune homme emprunte le même chemin, celui qui l'a mené à ce sexe
offert. Fébrile, il l'attend. Errant dans les bouches de métro, les gares, les cafés, tous ces lieux où se croisent les âmes
non aimées, il cherche les jambes de gazelle qui lui ont échappé. Un après-midi d'hiver, alors que les flocons de neige
mêlés au vent du Nord flagellent les visages, Il remarque deux chevilles montées sur des talons aiguilles qui abandonnent
les marches du 43. Le bus et le blizzard l'empêchent de distinguer la silhouette. Emmitouflée dans un long manteau de
fourrure, la créature est là en personne. Elle lui passe devant sans un regard et d'un pas lourd et rosse enfonce son talon
pointu dans l'extrémité du godillot. La douleur aiguë qui le transperce, soudain se transforme en une érection subite.
- Encore vous ! Siuvez-moi !
Le ton péremptoire ne supporte aucune discussion. Rien n'a changé dans la salle obscure, si ce n'est la chaleur, contraste
des saisons. Tant d'attente ! Pascal brûle d'impatience. Il peut encore et il pourrait des milliards de fois s'il le fallait. Un
regard rapide atteste de leur heureuse solitude. Le jeune homme se jette sur la fourrure, il va lui montrer ce que c'est que
de faire trop patienter un tronc assoiffé. Saisissant la chevelure, il fait plier le genou gracile et guide la tête vers son sexe.
Il veut l'humilier. Brusquement, un mouvement de recul et les perles de porcelaine incisent cruellement son derme.
- Pas tout de suite, suivez-moi d'abord.
Pascal, blessé, obéit. Les talons pressés dépassent le couple d'automates où l'huile fait toujours défaut, mais n'y prêtent
aucune attention.
- Fermez les yeux !
Le jeune homme se laisse conduire par cette main qui, une fois encore, se tend à lui.
- Ouvrez maintenant. Là, regardez. N'est-ce pas extraordinaire ce travail de précision ?
Pascal découvre deux automates. L'un tient un manche à balai qu'il introduit chirurgicalement dans le trou du derrière
de l'autre figurine. Face à ce mécanisme parfait, l'homme sent poindre les foudres du désir, résiste tant qu'il peut à la
lave incandescente. La belle se met à quatre pattes sur le sol glacial, relève la pelisse. Le balancement de sa croupe
se met à l'unisson de celui de la pantomime. La chute des reins de fer aspire le bois rugueux. La bande sonore, très
généreuse en détails impudiques, crache de façon nasillarde, l'histoire de Sodome et Gomorrhe. Le jeune homme
n'en a cure. Seuls les mots suggèrent à son membre contrarié, nourri d'une sève prospère, le chemin à suivre pour
atteindre la voie promise. À genoux derrière elle, il presse son pouce tout contre l'ovale brûlant, la fente muqueuse.
Le nid douillet gazouillant semble suinter de tous ses becs. Et d'un geste puriste, la jeune femme désigne le bout de
bois. Pinocchio ravale son désir et se met à fouiller partout en quête d'un balai. Essouflé, le dard raide, il revient du
pont d'Arcole, victorieux. À la pointe de son bras jubile l'objet du caprice. L'aide de camp Muiron dormira ce soir sur
ses deux oreilles. Enfin, le jeune homme va pouvoir se mettre à l'attaque, la tenir au bout de cette étrange queue.
S'enfoncer loin dans le noir, l'entendre le supplier de ne pas s'arrêter. Mais lui, Pascal, n'est pas un automate que l'on
remonte à l'aide d'une clef. Fait de chair et de sang, comme les grognards de l'Empereur, ses sens aiguisés, le cerveau
vomira tous ses fantasmes, peut-être même juqu'à la dernière charge. Ce sera son Austerlitz à lui. Le jeune homme
prend son élan, ferme les yeux et plante sa baïonnette. Le manche à balai lui revient en pleine figure, lui arrachant la
moitié du menton. Le bois a cogné le carrelage et a ripé. Hurlant de douleur, il se penche, une main appuyée sur sa
mâchoire endolorie, l'autre prête à saisr son arme. La belle a disparue. Stupéfait, notre hussard bleu tourne en tout sens,
agité comme un pantin désarticulé. Plus de pelisse, plus de petit cul offert, plus rien. Seule une voix impertinente:
- Décidemment, Pascal, vous n'êtes pas un artiste, jamais vous ne comprendrez le mécanisme automatique.
À cet instant précis du récit, je jubilais. Je te voyais toi, Xavier, et je répétais à voix haute, la phrase machiavélique qui te
réduisait en cendres. J'étais si contente de te voir humilié de la sorte que je n'ai rien entendu. Soudain, le livre m'échappa
des mains, un corps lourd s'était abattu sur moi, entraînant dans sa chute la lampe de chevet. Mon cœur s'arrêta net de
battre dans le noir. Je laissai des mains inconnues cambrioler mon corps paralysé de terreur, voguant sur mes seins, mes
reins, à l'intérieur de mes cuisses, comme une carte du Tendre.
Les méandres de mes courbes, ces doigts agiles les connaissaient par cœur. C'est alors que je te reconnus. Moi qui
désirais tant te détester, je ne pus résister au supplice de tes caresses. Innondée de plaisirs, je m'offris à toi, assoiffée,
je t'avais dans la peau, et bien sûr, tu le savais. Tu étais un artiste, à l'encre de ma rage. Je te remercie d'exister.
Hommage à Roger Nimier.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Nichdali est une passionnée d'ésotérisme, de méditation, de yoga, bref, elle ne peut plus baiser que suivant les préceptes du tantrisme. Faut pas être pressé. Faire l'amour avec Nichdali peut durer des heures et même des nuits entières. Il n'est pas rare qu'elle commence la pénétration le soir et que l’orgasme et la libération de sperme ne soit que pour le matin. Elle a un Yoni très musclé et une fois un pénis inséré, c'est elle qui décide de le relâcher ou pas. Elle en fait sa propriété tout le temps de la pénétration. Cela peut être très jouissif pour un homme, mais aussi très douloureux parfois. Comme Nichdali adore faire l'amour, c'est devenue une experte.
Le problème c'est qu'elle a voulu se faire sauter par un beau noir avec une pine énorme. Ce dernier en a vite eu mare des préliminaires et il a défoncé Nichdali par tous les trous comme un sauvage. Et Nichdali a explosé les orgasmes en lâchant complètement prise sous les coups de ce pal monstrueux. Fini son approche tantrique du sexe. Elle est devenue l'esclave de la bite d'Amir, le lion indomptable du Cameroun. Et Amir ne se contente pas d'une seule femme, il faut qu'il en bourre plusieurs différentes chaque jours. Et toutes jouissent très fort et toutes sont accros.
Nichdali la fière féministe, féru d'amour tantrique n'est plus qu'un garage pour la bite d'Amir et elle doit obéir, être disponible quand son maître veut et comme il veut. Et Amir est un pressé, il a de belles chattes à visiter. Elle doit être la huitième sur sa liste, peut être plus loin encore. Elle pense être tombée bien bas. Elle qui était contre la polygamie, le patriarcat, la toute puissance du mâle dominant.
Et maintenant Amir en veut plus, il lui donne de copieuses fessées, il l'attache et parle même de la fouetter bientôt. Elle tremble, elle est prise au piège. Elle ne peut plus s'échapper. Elle jouit trop et trop fort ! A peine Amir la touche, elle brame. Son maître a du lui jeter un sort, il doit être marabout ou sorcier ! C'est incroyable, dès qu'il est là, elle n'est plus rien, sauf une chatte, un cul et une bouche ouverte.
Et Amir a fait ce qu'il a dit. Il a attaché Nichdali et il a sorti un fouet terrifiant. Nichdali a hurlé, supplié, pleuré. Rien à faire, Amir lui a labouré le dos. Puis il l' a détachée et il est parti sans un mot. Nichdali sent la douleur brûler. Elle sanglote. Puis elle se calme. Elle se souvient de ses séances de méditation....la paix revient. Sa douleur devient plaisir.
La morale de cette histoire, c'est qu'avec les soumises le fouet est le meilleur des préliminaires.
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Jean Michel se travesti depuis tout petit. En cachette d'abord, puis ouvertement avec l'aide de sa mère. Celle ci l'avait découverte un jour en train d'essayer sa lingerie et l'avait trouvée très mimie. c'est elle qui lui a appris à s'épiler, se maquiller et à vivre en fille. Une parfaite complicité et entente. Sa mère y est allé au culot et a réussi à le faire inscrire comme une fille dans une école mixte et cela a très bien fonctionné. Jean Michel a disparu, si tant est qu'il ait existé un jour et a laissé place à Jemma. De toute façon son micropénis ne bande pas et même en sport il a fait parfaite illusion avec les filles.
Devenue grande Jemma, qui est intelligente s'est trouvée un bon job comme cadre dans une grande société de commerce international. Seulement voilà, son chef de service la trouve fort jolie et semble dingue d'elle. Jemma a toujours réussi à éviter les aventures, de peur d'être découverte. Elle ne se sent bien qu'avec les garçons. Dans sa tête elle se sent femme et donc hétéro.
Lucas, son chef de service parvient une fois à la coincer dans l'ascenseur. Il n'en peut plus, n'en dort plus. Il sait que Jemma est la femme de sa vie. Alors il lui vole un baiser. Il ne reçoit pas de gifle. Jemma est rouge, troublée. Son premier baiser....et Lucas qui recommence. C'est si doux, si bon.
Suivent les premiers rendez vous, les premières sorties, les premiers restos. Lucas est sage. Il se contente de l'embrasser, de peloter un peu tendrement, mais reste très sage. Ils partent un week end ensemble. Jemma sait que cette fois elle va devoir y passer. Sa regrettée mère, lui a appris une chose: ne jamais avoir honte de ce que l'on est et assumer la différence. Elle se dit que si Lucas l'aime et la veut pour femme, il devra l'accepter comme elle est.
La première nuit d'amour est un enchantement. Lucas la dépucelle en douceur. Il aime son micropénis qui ressemble à un gros clito et qui reste mou, juste gonfle t-il un peu sous les caresses. Il adore ses petits seins et ses fesses bien musclées. Il est encore plus fou d'amour.
C'est là que Jemma se surprend. Lucas revient nu de la salle de bain et elle trouve ses fesses jolies. Elle le prend sur ses genoux et lui administre une bonne fessée. Lucas est un peu récalcitrant au début et pourtant très vite il adore. Il jouit même sur les jambes de Jemma.
-pourquoi as tu fait cela? Dit Lucas en se massant les fesses. En plus tu m'as fait jouir très fort.
-Je ne sais pas. J'ai eu envie. J'aimerai t’attacher aussi, Utiliser une cravache, un fouet, des pinces. Bref je sens cela en moi et c'est très fort? Je n'y peut rien. C'est comme mon besoin d'être en jupe depuis tout petit.
-Tu es une dominatrice....
-Oui mon Lucas et tu aimes cela, regarde, cela te fait bander. Tu ne peux pas cacher ta nature. Tu as envie d'être totalement soumis à ta femme. Allons viens, je vais t'attacher et te punir un peu. A genoux mon chéri et obéis, c'est la place que tu souhaites près de moi.
-Oui maîtresse
- C'est bien, tu vas commencer par m'embrasser les pieds et bien les masser. Après tu me feras encore l'amour. J'ai adoré. Tu me rempliras bien de sperme; je sens que cela me fait beaucoup de bien.
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Charlotte est vaincue, nous le savons déjà. L'important est de savoir comment elle chutera, si tant est que l'on puisse
parler de chute pour une femme pressée de consentir. Peut-être le plus important est-il d'ailleurs de savoir où elle
chutera car elle a perdu, depuis le début, sa superbe et l'initiative. Elle sait que c'est inéluctable mais elle n'est plus
en mesure de décider du jour ou de la nuit. Ce n'est pas la première fois, c'est la seconde. La première a été une cruelle
déception, une déception unique dont elle conserve un souvenir humiliant. Elle est sortie frustrée de cette épreuve qui
ne lui a pas appris le plaisir et a laissé en elle une défiance animale à l'égard des femmes dominatrices. Or, par une
fatalité assez fréquente, elle est retombée une fois encore sur une femme qu'elle est assez lucide pour ranger dans la
catégorie détestée. Néanmoins, elle peut espérer que cette séductrice aux mille ruses saura lui faire partager ses émois.
Il y a dans chaque femme aux abois de l'amour une part de fragilité. La passion, la jalousie, le dépit et la fureur entrèrent
en même temps dans sa vie et l'occupèrent toute entière. La victoire de Juliette avait fait écrouler ses espoirs, mais elle
avait encore fortifié leur amour. Une espèce de violence l'avait saisi sur l'instant. Le temps passé à l'attendre s'était
transformé, non en une absence de temps, mais en un temps qui n'était plus tendu vers ce seul espoir: la revoir, et qui
s'était comme affaissé en s'abandonnant à une doucereuse déréliction. Le monde de l'amour malheureux est à la fois
orienté et absurde; orienté, parce qu'il est tout plein d'un seul être; absurde, parce que cette présence envahissante
n'est pour nous qu'une absence et qu'elle ne semble être là que pour nous faire subir un vide. Charlotte était sortie du
monde de l'indifférence pour entrer dans un monde où la passion l'avait contrainte par la force à donner un sens aux
choses. Tandis qu'elle rêvait d'étreintes sublimes au clair de lune sur la plage de Donnant, ou dans des draps blancs dans
la chambre de l'hôtel du Phare à Sauzon, furieusement mélancolique, sa séductrice méditait une leçon d'amour dans un
endroit où sa victime ne pourrait rêver et, refusant un affreux décor, fermerait les yeux pour ne penser qu'à elle. Elle avait
la certitude qu'elle serait définitivement écrasée par la laideur et la promiscuité d'une maison sordide de rendez-vous.
Quand Charlotte, à bout de force, fut enfin capable de renoncer à ses rêves pour la recevoir, elle la conduisit dans une
une maison de rendez-vous près de la Place Saint-Sulpice, non loin de l'église. Cette maison se distinguait à peine des
autres dans une rue bourgeoise sans boutiques à cela près que ses volets étaient clos. L'entrée par une lourde porte en
bois donnait sur un petit hall où la réceptionniste ramassait la monnaie, contre sa discrétion, remettait une clé avec un
numéro correspondant à l'étage et prévenait la femme de chambre en appuyant sur la sonnette. L'ascenseur ne marchait
plus depuis longtemps et dans l'escalier, elles croisèrent un couple qui descendait; une femme légère et un gros homme
rougeaud qui semblait satisfait et arborait un sourire béat. Charlotte baissa la tête et supporta avec un haut-le-cœur la
femme de chambre du palier qui les accueillit avec un regard complice, en leur confiant les deux serviettes et le savon
bleu. La chambre elle-même était sinistre avec ses rideaux tirés, l'armoire à glace hideuse, le grand lit de bois marron,
le lavabo et l'obscène bidet. Charlotte ne retint plus ses larmes. Elle était très loin de la plage de Donnant, de celle des
Grands Sables, près du village de Bordardoué, ou des promenades romantiques dans la vallée de Chevreuse. En fait,
elle ne comprenait pas ce que Juliette voulait, ni pourquoi, elle lui infligeait ce supplice. Quand elle la déshabilla, elle
demeura passive, le regard perdu. Juliette eut la surprise de découvrir un ravissant corps de jeune fille, une douce poitrine,
de jolies et longues jambes. Son sexe était une discrète ombre claire au bas du ventre. Sa maîtresse fut émue, un vague
remords la saisit. Elle la caressa debout, contre elle, plus pour calmer sa honte que pour la voir défaillir dans ses bras.
Charlotte fut à la fois consentante et paralysée. Juliette acheva de la déshabiller. Elle la poussa vers le lit sur lequel
elle tomba et se retourna n'offrant que ses reins et ses fesses naïves dont la vue soudaine provoqua sur le visage de
son amante un sourire impatient où le désir l'emportait sur la satisfaction. Les coups pleuvirent mais elle ne dit rien.
Elle n'eut pas très mal. Elle espérait seulement un châtiment plus brutal, plus violent et plus sauvage. Elle savait bien
que cette attente pouvait mener Juliette à la passion. Elle serait là, discrète, calme et amoureuse. Alors sa maîtresse
finirait par l'aimer de nouveau. Les passions sont traversées ainsi de zones calmes et douces où souvent l'horreur des
bouleversements cède la place, pour quelques heures à des apaisements illusoires qui ne font rien d'autre que nous
rendre à une vie normale, mais qui nous apparaissent, par contraste, comme des sommets de félicité. La passion tend
à se perpétuer. Qui n'a vu le monde changer, noircir ou fleurir parce qu'une main ne touche plus la vôtre ou que des
lèvres vous caressent ? Mais on est où nous le sommes, on le fait de bonne foi. C'est tellement peu de choses que ce
n'est rien. Mais on n'avoue jamais ces choses-là. Comme c'est étrange cette douleur infligée par les corps, parce que
des souffles se mêlent et qu'une commune sueur baigne ses plaisirs, une âme au loin, une imagination souffrent des
tortures incroyables. Mais parler en amour, c'est agir. Juliette passa ses bras autour du cou de Charlotte. Elle l'enlaça à
contrecœur tandis qu'elle posait la tête contre sa poitrine. Elle l'embrassa dans le cou et se serra contre elle. Glissant
la main dans ses cheveux, elle posa ses lèvres timidement sur sa joue puis sur sa bouche, l'effleurant délicatement
avant de l'embrasser passionnément. Involontairement, elle répondit à ses avances. Elle descendit très lentement ses
mains dans son dos, et la plaqua contre elle. Ce fut dans la clandestinité et la laideur qu'elles s'aimèrent tendrement.
La nuit qui tomba fut un ravissement sous les grands arbres éclairés par les lampadaires aux globes de verre laiteux.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Demain, j'aurai trente-huit ans. Plus que deux années avant le seuil psychologique de la quarantaine. Je m'appelle
Florence. Je suis mariée, mère de deux enfants, infirmière à temps partiel et hétérosexuelle convaincue. Mon mari
Xavier et moi sommes assez conservateurs dans la vie, comme au lit, jamais d'extravagances. Je dirais que cet état
de fait repose beaucoup plus sur un choix que sur nos intérêts personnels. Bien que Xavier ait depuis très longtemps
désiré expérimenter l'amour à trois avec une autre femme, je ne partage pas son engouement puisque l'amour au
féminin ne m'attire pas. Et puis surtout, mon tempérament jaloux me ferait cruellement souffrir si mon mari s'ébattait
devant moi avec une jeune femme de son choix. Toutefois, puisqu'un couple en harmonie doit vivre de concessions,
j'ai accepté pour mes quarante ans l'intrusion d'un troisième partenaire dans notre lit, à la condition que ce soit un
homme. Nos discussions et négociations se sont échelonnées sur plusieurs semaines, ponctuées d'ébats torrides et
sauvages à mesure que notre excitation montait d'un cran. Je crois donc qu'il me reste deux années de sursis pour
me faire à l'idée qu'un autre homme va me pénétrer et me faire l'amour en présence de Xavier. C'est pourquoi le
cadeau qu'il me remet me laisse médusée. Outre les traditionnelles fleurs que j'apprécie toujours autant, j'ouvre la
très grande carte qui les accompagne. Quatre photographies d'hommes torse nu se disputent la place à l'intérieur.
Elles sont collées sur un rabat que je soulève. Dessous, les mêmes hommes entièrement nus et en érection.
- Seigneur, fais-je en éclatant de rire.
- Tu peux choisir ton cadeau, ma chérie.
- Xavier, je croyais qu'on avait conclu que ce serait pour mes quarante ans.
- Je ne peux plus attendre. Pourquoi pas, tout de suite ? Comme cela, ce serait une vraie surprise.
Pour être une surprise, c'en est une. Je sens mon cœur battre très fort, la première carte tremble entre mes doigts.
Le premier cliché représente un homme bien foutu, avec une queue qui dépasse beaucoup les bornes de l'imagination.
Les deux suivants, blonds, sont juste assez musclés, très athlétiques, mais peut-être un trop jeunes pour inspirer mes
idées sournoises. Le dernier, du style bad boy, avec une queue de cheval et un tatouage sur les pectoraux, affiche une
verge longue et mince. Il aurait pu m'intéresser si mon choix n'était pas déjà fait.
- Tu choisis ton cadeau, celui qui te plait, comme dans un catalogue.
- Et après ? Je peux baiser avec le mec de mon choix ...
- Oui.
- Faire tout ce que bon me semble ?
- Absolument.
- Je sens comme une arnaque.
- Pas du tout, Florence. Nous en avons déjà discuté.
- Je sais, mais je ne comprends toujours pas, tu ne m'aimes plus, c'est ça ?
- Au contraire, c'est parce que je t'aime.
- Alors, quelle est la condition ? Que tu aies ton tour ? Je t'ai déjà averti,
je ne coucherai pas avec une autre femme.
- Je sais.
- Alors ?
- Tu le sais. Je veux vous regarder.
- Cela devait être moi et un autre. Et une caméra. Un point, c'est tout.
- Je sais, je veux être là.
- Tu crois que notre couple est assez solide ?
- Sans aucun doute, alors quel est ton choix ?
- Tu le sais bien, mon chéri, la plus grosse queue.
C'est moi qui vais reconduire les enfants à l'école. Je leur souhaite un bon voyage et je reviens à la maison comme
en transe. Je n'ai pas dormi de la nuit, ne songeant qu'à annuler tout cela et à reprendre mes rêveries érotiques en
faisant l'amour. Malgré tout, plus les heures sans sommeil se succédaient, plus je devais admettre que j'en avais
très envie. Au réveil, je me suis rendue compte que je ressentais comme une sorte de trac: allais-je le satisfaire ?
Après tout, je n'ai plus vingt ans mais je reste assez désirable. Les séances de cardio training et la pratique régulière
de l'équitation ont contribué à me conserver un corps féminin attirant. Mes jambes sont longues et mes cuisses sont
musclées. Je suis perdue dans mes pensées lorsque je repère la voiture inconnue qui stationne dans l'allée de notre
maison. Notre visiteur très particulier est arrivé. Mes jambes me portent difficilement jusqu'à la porte d'entrée. Il est
sous la douche, m'annonce Xavier. Je me réfugie rapidement dans notre chambre, où je me déshabille avant de me
réfugier sous les draps. Le miroir au plafond, fraîchement installé par mon mari pour lui permettre de mieux suivre
mes jeux adultères, me renvoie l'image d'une femme inquiète, nerveuse, mais terriblement excitée et sexy. Bientôt,
j'enfile un déshabillé en satin noir. Je descends au rez-de-chaussée dans la cuisine pour me faire un café.
Quand je me retourne, ma tasse brûlante entre mes mais, je sursaute et j'étouffe un cri de surprise en découvrant
notre visiteur assis dans la salle à manger. Il est plus âgé que je ne le croyais. Ses cheveux gris sont coupés très
courts, presque à ras. Sa chemise ouverte sur son torse musclé exhibe une toison similaire. Ses pectoraux sont
saillants, son ventre plat discerne encore l'athlète qu'il a dû être. En fait, il est beaucoup plus séduisant que sur la
photo. Il se lève. Il est très grand, carré, un mur impressionnant. Il s'approche de moi et me serre la main.
- Je m'appelle Kevin.
- Et moi, Florence.
Je me fais couler un bain chaud dans lequel je m'immerge totalement. je revois ses yeux, son torse. Et je me touche.
Je me masturbe sous l'eau. Puis j'entends des pas dans le couloir, des pas qui se rapprochent. Comme dans un
mauvais rêve, je vois la poignée de la porte tourner lentement. Sauf que je n'ai pas peur, je suis terriblement excitée.
Il entre, nu. Je savais qu'il viendrait, mon invitation n'avait rien de subtil. Bien qu'il ne soit pas en érection complète
et qu'elle conserve une certaine souplesse, sa queue me fait écarquiller les yeux de stupeur. Une grosse veine la
sillonne du gland au ventre, en passant par l'un de ses testicules. Je me demande quel effet ça fait de la sucer, de
rouler la langue sur cette proéminence. Je vois dans ses yeux, dans ses mouvements suaves, dans sa manière de
me regarder, la bête de sexe implacable. Il ne me laisse pas le temps de me sécher. Il fond sur moi, me saisit par les
hanches et me plaque contre la table sur laquelle, je pose mes mains. Je le surveille dans la glace embuée; ses yeux
détaillent mon dos, mes fesses et le reflet de mes seins. Son regard fouille le mien, ardent comme un bûcher. Il ne
fait que plier les genoux et sa verge en semi-érection me pénètre comme une habituée. Je pousse un hoquet de
plaisir en sentant ce glaive charnel se frayer un passage en moi. Elle durcit au fil de ses mouvements. Elle prend de
l'ampleur en moi, c'est une sensation enivrante. Je me cramponne à la table. Je n'avais jamais pensé que d'être
pénétrée par un autre homme après tout ce temps avec le même pouvait être si radicalement différent. Mes seins
frémissent au-dessus de la table, soumis à la vibration régulière de mon corps. Enflés par la gravité, ils s'étirent, les
aréoles s'assombrissent, une veine saillante palpite près de mon mamelon gauche, scindant mon aréole en deux.
Kevin revient m'habiter, maintenant très dur et proéminent. Je mouille tellement que mes fesses dérapent sur la table.
Hallucinée, je surveille son sexe qui écartèle mes lèvres, je regarde toute sa longueur s'enfoncer lentement en moi.
Mes sécrétions abondantes refoulent sur mon entrecuisse et dégoulinent le long de mes jambes. Je me sens remplie,
écartelée et possédée. Je m'agrippe à ses hanches, labourant sa chair, et je mords dans son épaule pour extérioriser
le plaisir qui me consume. Je le repousse enfin, mon vagin reste malgré tout, grand ouvert une fois qu'il est sorti. Je
saute au sol et je le prends par la main entre mes doigts glissants. Sa verge est d'une longueur inimaginable.
- Mon mari veut nous regarder, dis-je d'une voix rauque.
Dans le couloir, sa gigantesque queue cogne contre ma cuisse. Mon désir me bat aux tempes, je me sens étourdie.
Xavier a dû nous entendre car il nous attend déjà dans la chambre, installé dans un fauteuil. Je m'agenouille devant lui
et Kevin présente son long et épais pénis à mes lèvres. Je l'admire un bon moment avant de le lécher sur toute sa
longueur, jusqu'à ce que son gland mouillé de ma salive glisse bien dans mon poing. J'ai l'impression que ma bouche
va éclater pour l'engloutir. Les deux hommes respirent fort. Mon mari a défait son pantalon et a extirpé son pénis pour
se masturber. Kevin, les mains posées sur ses hanches, surveille l'écartèlement de ma bouche sur son membre. Il
me conduit au lit et je me place à quatre pattes devant Xavier. Kevin s'accroupit derrière moi pour lécher ma vulve
irritée par l'intrusion massive de son pénis. Mon mari et moi, nous nous dévisageons. Ce que je lis dans ses pensées
m'émeut profondément. Je suis la plus belle femme qu'il ait jamais connue. Mes jambes me trahissent. Terrassée par
un afflux intense de plaisir, je m'affale sur le ventre en geignant. Kevin en profite pour me pénétrer de nouveau. En
rassemblant mes forces, je parviens à me redresser sur mes genoux et mes mains. La levrette est l'une de mes
positions favorites. C'est maintenant moi, qui avance et recule sur sa queue magistrale. Je m'exécute toujours face à
mon mari qui plonge son regard dans le mien, guettant les variations de mon plaisir. Je lui offre donc sur l'écran de
mes yeux l'intensité des émotions que me fait vivre cette pénétration par un étranger membré, doué et très endurant.
Ma lubrification épaisse, blanchâtre et visqueuse continue de se répandre sur mes cuisses. Comme mon souffle se
fait rauque et que je m'immobilise, laissant libre cours à Kevin dans ses intenses va-et-vient, Xavier s'approche et
s'agenouille devant moi. Habile, Kevin joue avec moi, m'amenant à l'orée de l'orgasme, avant de se retirer soudain
de mon vagin. Avec une grande facilité, il s'enfonce dans mon rectum. Je serre les dents, je tremble comme une
feuille. Je serre dans mes poings les draps du lit, en proie à une sensation de déchirement de ma chair. La chambre
est envahie d'une odeur de sexe brutale, pénétrante, étourdissante. Elle est aussi remplie de gémissements, de cris
et de soupirs. J'ai aussi besoin de voir Kevin me sodomiser, s'enterrer dans mes entrailles au plus profond. Quand il
redevient doux, mon plaisir se transforme, devient lancinant, s'étirant à n'en plus finir. Quand j'ouvre les yeux, à bout
de souffle et de résistance, je constate que mon mari n'a pu résister à la vision de son épouse fidèle sodomisée.
Il est grand temps de penser à moi, exclusivement. Ce n'est plus un spectacle pour mon mari, qui a récolté ce qu'il
souhaitait. C'est désormais ma satisfaction qui doit primer. Je m'avance sur mes mains et sur mes genoux, jusqu'à
ce que son membre soit éjecté de mon anus. Je le repousse sur le dos et je le monte avec des gestes lents. Je
m'assieds sur lui, en prenant appui sur son torse pour le prendre graduellement. J'incline la tête pour nous regarder
dans le miroir du plafond. J'ai peine à me reconnaître; mes yeux sont hagards, mes traits sont tirés, une mèche de
cheveux noirs colle à mon front moite. Mes seins portent les marques de ses doigts, mes aréoles brunes celles de
sa bouche. Je suis trempée de sueur. Je cesse de monter et de m'abaisser sur lui, pour osciller sur son bas-ventre.
j'enroule mes chevilles autour de ses jambes, je prends ses mains dans les miennes en enlaçant ses doigts. Xavier
se redresse. Il sait que c'est ma position fétiche, celle que j'adopte toujours à l'imminence de l'orgasme.
J'ai l'impression que sa verge s'enfonce jusque dans ma gorge. Je me démène sur lui, de plus en plus fort, selon
un rythme effréné, exacerbant la friction sur mon clitoris, gémissant à chaque oscillation de mon bassin, ma voix
monte d'une octave. Mes forces sont décuplées, les muscles de mes bras saillent sous l'effort. L'orgasme m'arrache
un long cri à fendre l'âme. Je me prosterne au-dessus de Kevin pour qu'il me pétrisse les seins, malmenant leurs
pointes sensibles, insufflant ainsi à ma jouissance un degré accru que je croyais inatteignable. J'ai besoin de douceur
après ce marathon épuisant. Je me soulève, à bout de souffle. Son pénis jaillit de mon vagin et je reste assise un
moment sur son ventre, tandis qu'il continue à me pincer les mamelons. Puis, je m'avance vers lui, vers son visage.
Ma vulve laisse sur son ventre une traînée blanchâtre. Je viens m'asseoir sur sa bouche en me cramponnant à la
tête du lit. Il lèche ma vulve irritée et rougie. La douceur de sa langue me soutire quelques longs soupirs. Puis ses
lèvres débordent encore vers mon anus, grand ouvert en raison de la position que j'adopte. Sa bouche couvre mes
deux orifices, je savoure sa moiteur, sa chaleur, sa caresse mouillée de ma cyprine. C'est à lui maintenant d'avoir
du plaisir. J'utilise mes deux mains bout à bout pour prendre sa verge encore dure. Je regarde mon mari, mon
excitation ne s'est pas tarie. Lisant l'approbation de Xavier dans son regard, je dois sucer Kevin. Je m'exécute
aussitôt, léchant d'abord son gland, puis son long manche et ses testicules. Lui ne se fatigue pas de laper ma vulve
et mon anus, qu'il badigeonne allègrement de sa salive tiède. Du bout de ma langue, je suis le tracé sinueux de sa
veine proéminente. Il est dur comme le roc, doux comme la soie. Lentement, je veux l'amener à la jouissance.
Prenant conscience que la méthode douce ne pourra seule venir à bout de son endurance, je reprends mes deux
mains pour le masturber. Je suis récompensée par la désertion de sa bouche sur mes parties génitales, remplacée
par ses mains sur mes hanches. Dans un long râle, il jouit. Je ferme ma bouche sur son gland en pinçant mes
lèvres pour qu'il éjacule au fond de ma gorge, buvant ses jets réguliers et abondants. Pour le plaisir de mon mari,
je laisse échapper un peu de son sperme, qui coule de mon menton en filaments visqueux et sur sa verge. Puis,
je roule sur le dos, mon pied droit sur le thorax de Kevin. La belle a vaincu la bête. Il me suggère de recommencer
en me caressant ma cheville. Des yeux, je cherche l'assentiment de Xavier, qui hoche doucement la tête. Je bouge
mon pied pour caresser sa verge, qui commence déjà à retrouver son aplomb. J'ai juste besoin de quelques minutes
pour refaire mes forces. Kevin se lève pour prendre une douche. Je regarde encore mon mari, cherchant à décoder
ses pensées. Dans son regard, je lis de l'étonnement, un curieux apaisement mais également une grande tendresse.
- Comment vas-tu ? lui ai-je demandé en roulant sur le ventre ?
- Très bien, tu es splendide. Il fallait que je te voie avec des yeux de spectateur.
- Tu es aussi conscient qu'on ne pourra jamais égaler cela au lit, n'est-ce pas ?
- Tu as encore beaucoup de progrès à faire dans un tout autre domaine, Kevin revient mardi prochain.
- Plus que jamais, j'ai le goût de me donner en spectacle.
- Alors mardi prochain, pour laisser libre cours à tes fantasmes, Il t'attachera et il te fouettera, Florence.
- Crois-tu que je sois masochiste ?
- La douleur est en même temps du plaisir et la souffrance de la joie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Lors de chaudes journées d'été, j'ai trouvé la fontaine idéale où me désaltérer. Dans l'intimitié
de notre chambre à coucher, je bois à sa fontaine les fruits de son caprice. Parfois, c'est moi
qui initie les choses car la simple pensée de sa saveur unique me fait saliver. Toutefois, le plus
souvent, c'est elle qui éprouve le besoin pressant d'être soulagée. C'est un rituel connu de nous
deux, amorcé par une phrase convenue que seule ou moi peut prononcer. Pour la première fois
aujourd'hui, Florence la mentionne devant nos invités, un couple d'amis à elle que nous avons
finalement conviés à un souper après maintes hésitations. "Je suis comme une petite truite sur
l'asphalte", déclare-t-elle avant de se lever de sa chaise et d'entrer dans la maison. C'est la
phrase convenue, celle qui m'annonce le besoin irrépressible de mon amoureuse. Je m'excuse
auprès de nos invités, car Florence est entrée sur les chapeaux de roues. Il y a probablement
plusieurs minutes qu'elle rumine en silence, espérant que son besoin s'éteigne, jusqu'à ce que
sa situation devienne insoutenable. Je la suis dans la maison où elle a déjà disparu dans les
ombres du couloir. Je la rattrape enfin. Elle porte une robe légère qui virevolte sur son corps.
Le dessous de ses pieds nus est brûlant et ses épaules hâlées sont couvertes d'une myriade
de taches de rousseur. Elle ne se retourne même pas lorsque je l'interpelle, enfilant rapidement
les marches de l'escalier, puis bifurquant en haut vers notre chambre à coucher.
Florence sème derrière elle un nuage fleuri et l'odeur plus marquée de sa passion. La fenêtre de la chambre est ouverte,
la brise chaude crée un courant d'air salutaire qui me rafraîchit. Tout en me souriant d'un air coupable, elle retrousse sa
robe et descend sa culotte jusqu'au plancher. Je remarque que sa fourche est mouillée. Elle la tient un moment à bout
de bras pour que je constate son état d'urgence. Rien qu'à voir ses yeux, je comprends qu'elle n'en peut plus. Puis, je la
monte sur le lit comme s'il s'agissait d'un piédestral. Elle se place à quatre pattes et remonte sa robe, exhibant sa croupe
bien haute. Elle laisse ses bras reposer inertes sur le matelas, en enfouissant son visage dans un oreiller. Je grimpe
derrière elle, je fais durer le suspense en léchant d'abord ses jambes, de la cheville au creux du genou. Puis, je suçote
ses cuisses accueillantes, tout près de leur troublante jonction. Elle se trémousse d'impatience, alors que je refoule la
mienne péniblement. Un grognement d'exaspération meurt dans l'oreiller. Elle est enfin à ma merci.
Je sais que dans l'état où elle se trouve, ça ne prendra que quelques minutes avant que je puisse déguster mon cocktail.
J'essaie donc d'étirer la sauce parce que je savoure ces moments tout autant qu'elle. Je glisse mes mains sous sa robe,
sur son dos soyeux, réchauffé par le soleil. Je caresse ses omoplates, le chapelet osseux de sa colonne vertébrale, la
rondeur exquise de ses hanches. Je lèche aussi le creux de ses reins, moite et salé, avant de presser mon visage contre
ses fesses. Car c'est d'abord son odeur intime qui m'attire, qui titille mes papilles, qui me fait perdre mon contrôle. Je
caresse du bout de mon nez sa vulve dont les grandes lèvres ressemblent à des quartiers de pêche juteux. Son duvet
très fin chatouille mes narines, son arôme m'envahit, me fait tourner la tête, déchaînant en moi un flot d'émotions.
Je veux que ma bouche et ma langue lui communiquent ma fièvre de renouer avec sa vulve chaude, douce et savoureuse.
Je lèche donc à grands coups, tout autant que je dévore son fruit mûr. Sa réaction est immédiate, brutale, bruyante.
Heureusement, l'oreiller en isole les plus violentes démonstrations. Autrement, la fenêtre ouverte aurait permis aux gens
de la rue et à nos invités de deviner les activités en cours. Sa vulve devient vite un lac où je me désaltère, une barboteuse
tiède pour mes doigts fébriles. Ouvertes comme des écluses, ses lèvres libèrent un ruisseau, un torrent qui se déverse
dans ma bouche conquise. Je n'ai qu'à ouvrir mes lèvres et à laper son miel, mon visage niché au chaud entre ses cuisses,
ma main gauche en coupe sous son ventre, et deux doigts de la droite occupés à la fouiller, à la recherche de cette zone
critique qui déclenchera le déluge tant attendu. Puis, tel un geyser, au moment où mon majeur repère et active ce point
mystérieux, une éruption se produit dans ma bouche, m'étouffe de son abondance. Je bois à la source, mes lèvres
arrondies autour de ce grand puits, mon nez appuyé sur son anus plissé. Je me détache seulement lorsqu'elle a cessé de
couler, mon visage tout barbouillé de cette débâcle, tandis que Florence s'effondre sur le ventre, épuisée.
Alors, je me dégage et je me lève. Elle découvre ma grande silhouette et ma chemise ouverte jusqu'au ventre, le pantalon
d'où darde ma queue et aussi le désordre émouvant de mes cheveux. Elle ne bouge plus, me sourit simplement pour fêter
mon allure si imposante. Je tiens contre sa joue un fouet que j'abaisse pour en effleurer son épaule. Je me déshabille et je
frôle à peine sa fente trempée, et j'engouffre mon sexe aussi loin que possible dans sa gorge. Mes jambes se raidissent,
s'enfle la mer de sang qui bouillonne en lui, y brûle le liquide qu'échaudent les mots que je ne dis pas. Je bouge le fouet de
droite à gauche. Les lanières de cuir effleurent sans doute ses cuisses. Désormais, je le manie avec une violence rare. Je
sens son corps tressaillir plus vivement que d'habitude; par instants, la saccade la soulève. Elle souffre des zébrures. Elle
monte au ciel, je l'imagine, elle s'envole, les yeux grands ouverts de l'extase qu'elle m'offre. Florence me sourit. Elle remet
une nouvelle culotte sèche, recoiffe sommairement ses cheveux et nous retournons avec regret auprès de nos invités.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Bruno possède un incroyable magnétisme animal. C'est ainsi depuis sa naissance. Déjà au berceau il était silencieux, mais il en imposait. Un pouvoir étrange et rare. Ado ce n'est pas les grands qui venaient l'emmerder. Il n'avait pas besoin de se battre.
Tout le monde lui foutait la paix car il savait inspirer la peur. Un solitaire qui attirait déjà le plus jolies filles, car ces dernières adorent se faire peur. Sauf que en présence de Bruno elles devaient toutes baiser leurs culottes et se faire prendre de la façon dont il avait envie et quand il avait envie. C'est simple, en sa présence c'est comme si elles étaient complètement nues et sans la moindre volonté.
Elle adoraient cela, sentir la peur dans le ventre. C'était déjà en soi presque un orgasme. Aucune barrière, aucune protection, aucune règle, le magnétisme animal est comme un champ de force. A l’intérieur, la proie se dissout dans une obéissance totale. On voit cela chez les loups, il suffit au mâle dominant de montrer les crocs et d'émettre un râle de gorge pour voir ses rivaux mâles se coucher et s'autocastrer chimiquement par la peur et voir les femelles écarter pour se faire prendre, elles aussi bien obéissantes par la peur.
Seule la femelle dominante ne se couche pas, mais veille à voir les autres femelles bien obéir. Bruno est ainsi, il transpire cela et ses rivaux se couchent et se castrent eux-même chimiquement par la peur et les femelles se donnent sur un claquement de doigt.
Ce n'est pas leurs corps qui sont à nus devant ce dominant, mais aussi leurs âmes. Bruno s’est mis en couple avec Nadia, une femme dominante et ils règnent sur un harem de soumis et de soumises. Ils aiment passer une soirée à l'improviste chez un couple de leur harem.
Bruno, baise l'épouse devant son mari. Ce dernier est fouetté copieusement par Nadia et mis au piquet avec le cul rouge sang. Après l'épouse doit bien lécher Nadia pour la remercier. Bruno la fouette car il trouve toujours que c'est mal fait. L'épouse va rejoindre son mari au piquet avec elle aussi un cul bien rouge sang. Un joli spectacle.
Bruno et Nadia viennent de partir. Les deux soumis ont bien chaud aux reins. Ils sentent les marques des lanières en cuir brûler. Ils ont pour ordre de rester ainsi, culs nus, debout, au piquet, au silence pendant une heure, sans bouger. Ils font cela et la douleur se transforme doucement en plaisir. Ils ont besoin d’obéir et d'être bien disciplinés par le fouet. Ils aiment sentir la peur qui leur noue le ventre, c'est une forme de jouissance. La morale de cette histoire c'est que les dominants n'ont pas besoin de morale.
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-Ben oui mon chéri, tu es cocu, et alors?
-Cela me fait très mal, Nath, de savoir qu'un autre homme te touche.
-Ne fait pas cette tête mon loulou chéri, mon amant me baise très bien et il en a une grosse.
-C'est juste une question de taille?
-Pas du tout sauf que Mika, mon amant sait très bien se servir de sa grosse et je peux plus m'en passer.
-Tu veux qu'on divorce?
-Non, je tiens à toi, pour plein d'autres choses que la baise. Cela tu sais pas faire.
-C'est sympa pour moi, je croyais que je te faisais jouir.
-Tu sais, j'en ai parlé à Mika et il ne veux plus que tu me pénètres. C'est son domaine réservé maintenant. Par contre il t'autorise à me lécher le minou et à bien me nettoyer. Il veut bien aussi que je te sodomise pour te faire jouir.
-C'est maintenant l'amant qui décide de tout?
-Oui, lui c'est un dom et toi mon chéri, tu es un soumis et il est temps que tu restes à ta place de soumis. En plus Mika veut t'obliger à porter une cage de chasteté. Il ne veut plus que tu bandes en ma présence. C'est lui qui gardera la clé.
-Et si je refuse.
-Ne dis pas de bêtises, un soumis cela obéit et ne discute pas. allez, je vais te donner une bonne fessée et te sodomiser, après tu te sentiras bien mieux et à ta place.
-Non, pas la féssée.
-Mais si mon loulou chéri, et tu vas devoir me dire merci.
----------------
La morale de cette histoire c'est qu'un soumis est toujours coupable et qu'il n'est jamais assez puni
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-Cessez donc de vous plaindre mon cher. Soyez donc heureux d'être cocu et réjouissez vous que votre épouse prenne son pied avec son amant.
-Je ne peux pas. Mon coeur souffre. Je vous voulais à moi, rien qu'à moi, dans la fidélité du mariage.
-Mais je vous reste fidèle. Vous êtes toujours mon époux, le seul. Eux...ce sont mes amants. Ce sont de bons sexe-toys , ils me font bien jouir. Mais c'est tout, je ne vis pas avec eux.
-Ah j'enrage de savoir cela. Je suis prêt à me jeter par la fenêtre lorsque je vous entend parler ainsi.
-Mais non, mon cher, ne dites pas de bêtises. Ce sont des cornes que vous avez, pas des ailes.
-En plus vous vous moquez, c'est insupportable.
-Que diriez vous si je vous posais une cage de chasteté? Peur être vous sentiriez vous mieux dans votre tête. Cocu et chaste vous irait bien. Juste un bon mari qui entretient bien sa femme et sa maison.
-Vous n'y songez pas?
-Oh si, j'y songe tellement bien que j'en ai acheté une pour vous toute en acier. très solide, avec un beau cadenas. Allons, baisez votre pantalon que je puisse vous la poser.
-Jamais, j'accepte d'être cocu, mais je refuse la chasteté.
-Vous voyez mon cher, vous êtes en plein progrès. allons, baissez votre pantalon !
-Non, cela je ne peux pas. Ne plus pouvoir bander. Mais je vous désire tant.
-Allons, promis, je vous libérerai....quand il me plaira et vous m'aimerez encore plus pour cela.
-Vous croyez ?
-J'en suis certaine.
La morale de cette histoire, c'est qu'il faut toujours punir doublement un soumis.
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Juliette est une amante unique, passionnée, ambivalente et infatigable. Coulée d'un bloc, elle n'en est pas moins
diablement féminine, gracieuse, aguicheuse. Car elle aime les hommes. Elle adore plaire et séduire, elle veut avant
tout se sentir désirable et désirée. Quand elle le veut bien, ses yeux coquins ne font aucun quartier. Peu bavarde sur
ses pratiques sexuelles, elle n'en demeure pas moins très ouverte d'esprit et même si elle n'a jamais essayé la chose,
elle est une bisexuelle convaincue. C'est lorsqu'elle se met sur les genoux et les coudes que je préfère alors Juliette
Inconditionnellement. Moi positionné derrière, avec une vue imprenable sur ses atouts éclairés par une lumière tamisée.
Ses formes harmonieuses sont alors projetées en ombres voluptueuses sur les draps frais. Entre ses atouts et ses
courbes vénérables, ce sont ses fesses musclées que je préfère devançant de peu, ses seins superbes et hauts placés.
Tout comme sa poitrine, ses reins sont délicieusement attirants, ils s'abandonnent parfois lorsqu'elle est amoureusement
passive et qu'un désir primitif se réveille en moi. Alors il n'y a pas meilleur sort pour moi que de les admirer, juste avant
de les embrasser et de les lécher, pour y frotter mes joues, ma barbe naissante ou mes lèvres gourmandes. C'est ainsi
que commence un doux ballet sensuel, durant lequel son corps unique ondule sur mon visage. Après un long examen
de son fessier qui satisfait mes yeux curieux, j'embrasse son anus comme s'il s'agissait d'une seconde bouche, d'abord
doucement avant d'y impliquer ma langue. Je prends parfois une pause pour contempler ses fesses luisantes de ma
salive, à son grand mécontentement, car Juliette se met à grogner de protestation, en dodelinant ses fesses de gauche
à droite. Je les recueille dans mes mains pour les calmer, tandis que je replonge ma langue le plus loin possible dans
son rectum caverneux et humide. Elle gémit alors, en reprenant ses mouvements d'avant en arrière pour mieux y faire
pénétrer ma langue. J'aime particulièrement la sentir réagir, frémir quand je lèche le profond sillon de ses reins, quand
je me rapproche de cet épicentre que représente son anus extensible et succulent, tel un festin royal, un buffet divin.
Au moment où je suce son muscle, Juliette agite frénétiquement ses grands pieds, telle une Lolita diabolique, sortie tout
droit de l'imagination de Nabokov, rien de plus sensuel et de plus délicat. Ses gémissements se font aigus, perçants,
totalement différents de ceux qu'elle peut émettre quand elle est pénétrée traditionnellement. Je me sers de ma langue
pour dilater, agrandir et ramollir les intimes sphincters couronnant son orifice étroit. Doucement, j'enfonce mon index,
suscitant chez elle un long grognement, une plainte d'approbation qui m'amène bientôt à extirper mon doigt de son logis
pourtant très accueillant pour y substituer ma langue besogneuse. Juliette s'arc-boute. Je pose mes mains sur son
dos large, admirablement bâti. Puis, je reprends mes mouvements pour la dilater, toujours plus, jusqu'à ce que son anus
friand de caresses forme un grand cercle ouvert, dans lequel je peux désormais insérer trois doigts sans forcer. Bientôt,
elle ne pousse que des gémissements plaintifs, étouffés. Avec une seule main, je pénètre ses deux orifices, mon pouce
dans son vagin et quatre doigts dans son cul offert. Quand elle se cambre, j'éprouve l'envie pressante de la plaquer contre
moi, pour étreindre son corps fabuleux, en plaçant une main en coupe sous son ventre, ma queue massive logée entre
ses fesses, à l'orée de son sillon anal pour la sodomiser. Toutefois, sachant ce qu'elle préfère, je résiste à la tentation en
conservant mes doigts toujours actifs dans ses deux orifices, ma bouche posée sur son rectum, prête à prendre son tour.
Je substitue donc ma langue à mes doigts dans son rectum en m'attendant à ce que Juliette crie grâce à tout instant,
en se livrant, mais elle s'accroche, tenant à pousser son orgasme jusqu'au bout, à prolonger le plaisir, à tirer le maximum
de sa jouissance. Comme dans un rêve, j'entends son feulement monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier
s'exhale de sa chair sur laquelle mes lèvres se posent. La source qui filtre de son ventre devient fleuve. Elle se cambre de
tous ses muscles. Un instant ses cuisses se resserrent autour de ma tête puis s'écartent dans un mouvement d'abandon
brutal. Elle devient outrageusement impudique, ainsi plaquée contre moi, les seins dressés, les jambes ouvertes et repliées
dans une position d'offrande totale, me livrant les moindres recoins de sa chair la plus étroite. Quand elle commence à
trembler de tout son être, je viole de nouveau de ma langue précise l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abat sur elle avec
une violence inouïe. C'est lorsque je roule ma langue en elle que Juliette éclate, qu'elle se met alors à pousser des cris
stridents, très gratifiants pour moi, si bien que je la garde en bouche jusqu'à ce qu'elle se taise, apaisée et comblée.
- Hé, hé, Xavier, fait une voix dans mon oreille.
Je sors de ma torpeur. Je ne suis plus dans la chambre rafraîchie par la douce brise estivale,
mais dans un salon éclairé aux bougies. De la cuisine, proviennent des bruits de vaisselle.
- Hé, mon homme, es-tu dans la lune ?, plaisante Juliette en me tendant une coupe de champagne.
Elle porte une robe en coton d'été au décolleté enchanteur. Il n'y a qu'elle pour porter si bien un tel décolleté.
- À quoi pensais-tu ? me demande-t-elle en s'asseyant contre moi.
- À rien, me suis-je contenté de répondre, comme tout homme se borne à faire dans ces conditions.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Bilou est une matonne et elle adore son métier. C'est elle qui a demandé à s'occuper des "pointeurs" et partout où Bilou passe, ....Toujours à l'heure, impeccable, bien mise, avec une jupe courte pour montrer ses jambes et pas de culotte. Les "pointeurs" le savent et ils se sont donnés le mot, mais cela fait partie de son plaisir, les faire baver. SI Bilou adore son job c'est parce que cela lui procure de doux orgasmes cérébraux.
Les violeurs sont des impuissants, en plus avec les drogues, ils bandent plus du tout. Alors, cela l'amuse. Elle aime les amener à la douche et les obliger à se déshabiller devant elle, à se laver devant elle, à bien se savonner les parties et le cul. Ils ont honte de ne plus bander. Elle écarte bien les jambes devant eux. Le pire c'est son sourire moqueur. Et elle jouit seule, sans se toucher.
Sa punition favorite, c'est la douche en particulier, devant elle qui "surveille".
Elle aime aussi le soir faire des inspections en privé dans les cellules des "pointeurs". Elle y va toujours seule. Elle n'a pas peur de ces psychopathes, bien au contraire, ce sont eux qui ont peur. Elle les oblige à se mettre nus et à se confesser. C'est fou comme ils obéissent bien ces "pointeurs". Ils sont en confiance avec Bilou. Elle ne cafte jamais et elle sait les écouter. Elle a plus de résultats que les religieux de service à la prison. Bilou a un étrange pouvoir sur les détenus incarcérés pour des problèmes sexuels, elle en fait ce qu'elle veut, sans jamais crier. Elle ordonne et ils obéissent en tout et pour tout, sans jamais discuter.
Parfois, en privé, dans une cellule, elle montre sa chatte et se fait lécher.
-tu vois, c'était pas si compliqué de contempler un joli minou et de le respecter.
Et tous vont bien mieux dans leur tête. Juste regarder un beau minou et accepter leur propre impuissance. Tout se passe dans la discrétion avec Bilou. Elle sait les mettre à l'aise.
-Il faut réparer et payer pour ce que vous avez fait et vous soigner. Cela c'est le discours du directeur.
avec Bilou c'est:
-je veux pas savoir ce que vous avez fait avant. Par contre, avec moi vous ne sortirez pas d'ici tant que je ne serais pas certaine que vous ne recommencerez pas.
Cela, ce n'est pas le job de Bilou. Mais elle a été violée jeune et elle a choisit ce métier pour cela. Au début elle voulait se venger. A présent, elle ne veut plus rien; juste elle aime son job et elle le fait bien.
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Parce que la liberté est comme une prison,
Et que servir et obéir est plus qu’une vocation,
Je suis en quête d’une personne protectrice
Qui pourra toutefois réveiller ses désirs de sévices.
A celle ou celui qui saura m’apprivoiser,
Avec tendresse, amour et fermeté,
J’offre mon corps, mon âme et mon cœur,
Pour devenir son support de plaisir et de douleurs.
Mon dévouement sera ainsi total,
Ma flamme intérieure s’embrasera au niveau maximal,
Sortant enfin de l’obscurité
Illuminée par son aura pour l’éternité.
Vous qui lisez ces lignes,
Si d’aventure, votre curiosité piétine,
D’en savoir plus sur une adoption,
D’une petite chose en perdition,
En manque d’affection,
De correction,
Et d’éducation,
Alors suivez votre intuition
Et envoyez un message pour entamer la conversation.
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Je pagaie tranquillement, savourant la chaleur du soleil sur ma peau. Mon amoureux est assis à l'avant du
canot, et moi à l'arrière. Quand il manie la rame, les muscles roulent sous la peau de son dos lisse. Il émane
de lui une force rassurante, voire excitante. Il y a vingt minutes, j'ai retiré discrètement mon chandail et mon
soutien-gorge, ce qui fait que je pagaie désormais les seins nus. Je suis fondamentalement exhibitionniste,
me limitant la plupart du temps à imaginer que je me dévoile à tout vent, et que des inconnus me détaillent
avec de grands yeux. Sauf que cet après-midi, j'ai décidé de passer de la pensée aux actes et je me sens
terriblement bien. La brise chaude caresse mes aréoles, glisse sur ma poitrine excitée. Je frissonne malgré
la chaleur, la chair de poule apparaît sur mes jambes. Mon amoureux ignore que je me suis dénudée, je
préfère lui réserver cette surprise qui le laissera pantois. Je sais qu'à un ou deux kilomètres en aval, il y a
une petite crique où nous pourrons nous arrêter pour batifoler en pleine nature. Quelques minutes, plus tard,
aux confluents d'une autre rivière, nous croisons d'autres canoteurs à qui je fais signe de la main. Je m'amuse
de leur mine intéressée. Il s'agit de deux hommes pour qui je représente sans doute le clou de la journée.
-Tu as vu leur mine ?! On dirait ... , commence mon amoureux, en se retournant vers moi. Bon sang, s'écrie-t-il
en découvrant ma poitrine nue sous le soleil.
Il veut me rejoindre sur mon banc, mais je le repousse gentiment.
- Allez, continue à ramer. Tu t'amuseras plus tard.
Nul besoin de dire qu'il pagaie comme un damné pour atteindre la crique, où la profondeur de l'eau doit faire tout au
plus cinquante centimètres. Voilà une heure que j'attends ce moment, depuis que j'ai dénudé mes seins. Je suis déjà
bien mouillée et prête pour amorcer les jeux. Je mets pied à terre après avoir posé ma rame dans le fond du canot.
L'eau peu profonde, tiède et sombre, me cerne les chevilles. Le sable est dur et doux sous mes orteils. Le clapotis de
l'eau est apaisant, tout comme le soleil qui tombe derrière les montagnes à l'horizon. Mon amoureux se tient à deux
mètres de moi, quand je descends ma culotte de maillot sur mes jambes, découvrant mes fesses dont la beauté a de
quoi émouvoir. Mon teint hâlé et ma chevelure sombre me prêtent des origines latines que je n'ai pourtant pas. Mon
nez fin et ma bouche ample donnent souvent de mauvaises idées à mon amoureux, comme en ce moment précis.
Je recule, les yeux fixés sur lui, jusqu'à ce que l'eau de plus en plus fraîche me ceinture la taille. Il se déshabille, puis
il nage vers moi en touchant le fond du bout de ses mains. Quand il se dresse sur son séant, je remarque le coup de
soleil sur ses bras et ses épaules, jusque sur ses omoplates. Ses cheveux noirs sont mouillés sur sa nuque, son pénis
en érection vibre sous son ventre. Sa peau brûlée doit trouver un certain soulagement dans l'eau fraîche de la crique.
Il me rejoint en marchant, des gouttes d'eau dévalant de sa verge dressée. Son torse que j'aime caresser pendant l'acte
est irréprochable et lisse. En raison de son diamètre hors norme, son sexe ne devient jamais aussi dur que celui de mes
soupirants précédents, conservant ainsi une certaine souplesse qui nous autorise un éventail de positons nombreuses.
Ma préférée, lorsque le confort le permet est celle où je suis couchée sur mes omoplates, mes jambes repliées, un
genou de chaque côté de mes oreilles et lui debout dos à moi. Quand il insère son pénis dans mon vagin, je bénéficie
d'une vue rapprochée sur ses fesses et ses testicules. C'est une pénétration très profonde, une position délinquante et
acrobatique qui brise la routine. Pour le moment, sous le soleil couchant, nous luttons un moment sous l'eau. Quand
mon amoureux prend le dessus, je me mets à jouer avec son pénis et lui agrippe mes seins quand il en a la chance.
Je tente de lui échapper, je cours dans l'eau qui éclabousse mon corps nu, et je me hisse enfin sur une roche plate au
milieu de la crique. Debout, les bras élevés au-dessus de ma tête, je pousse un grand cri de victoire, attendant que mon
amoureux vienne me conquérir. Il ne perd pas de temps à me rejoindre, muni de sa virilité glorieuse en érection.
Il me fait un croc-en-jambe pour me forcer à m'étendre. Ses lèvres survolent les miennes, sa langue chaude s'insinue
dans ma bouche. Ses mains puissantes et précises caressent mes seins, ses doigts étirent leurs pointes, me soutirant
de courts gémissements. Il glisse sur mon corps, telle une couleuvre, pour s'arrêter sur mon sexe mouillé. Sa bouche
s'accouple à ma vulve, sa langue me pénètre, me lubrifie, me fait vibrer de plaisir. Je joins mes mains aux siennes, sa
barbe rugueuse frotte sur mes cuisses sensibles. Puis, mon amoureux s'appuie sur ses mains, me surplombant de toute
sa carrure. Il laisse son gland flirter avec mes lèvres enflées, mouillées par sa salive. C'est le moment que je préfère dans
nos relations sexuelles, quand il prend tout son temps pour me pénétrer, quand il écarte mes nymphes avec le bout de
son sexe. Ses yeux rivés aux miens, concentrés et allumés, se moquent de moi, jusqu'à ce qu'il me pénètre enfin.
J'appuie mes mains sur son dos brûlé, je plante mes ongles dans sa peau et il gémit de douleur. J'aime aussi la position
du missionnaire. J'aime le sentir en moi, mes yeux ancrés dans les siens, mes mains voyageant de son dos à ses fesses,
mes jambes relevées bien hautes en l'air. Je geins fort, je sais qu'il aime m'entendre, car quand je suis plus bruyante, sa
vanité s'en voit réconfortée. Et avec le temps, j'ai appris à apprécier mes propres gémissements, à entendre la vibration
extatique de ma propre voix jusqu'à ce que l'orgasme la brise par son intensité. Connaissant fort bien mes préférences,
mon amoureux roule sur le dos, ses yeux voilés de plaisir. Je m'installe sur le dessus, sur son érection prodigieuse, en
contrôle de la situation. Je caresse ses épaules, ses pectoraux et ses bras, tandis que j'oscille sur sa verge. C'est une
position qui a rapidement raison de moi, car la friction de mon clitoris sur son bas-ventre devient vite intolérable.
Je me cambre, une sensation de chaleur m'envahit, me monte au visage et me gagne toute entière. L'orgasme est
alors imminent, je cherche ses mains et je les étreins presque à les briser. Lui accompagne mes mouvements, en
ondulant son bassin, accentuant encore la pression sur mon clitoris. Il réussit à patienter, à surveiller mon orgasme
pour minuter le sien au mien. L'envie subite lui vient alors de me sodomiser car il sait que je suis très anale. Je guide
alors son sexe vers ma voie la plus étroite. Cela me permet de retarder ma jouissance et de le fortifier également. Je
crie encore quand il se tait, puis tous mes muscles se relâchent comme l'orgasme s'enfuit lentement. Je courbe le dos,
rassassiée, mes genoux à vif en raison de la friction de ma peau contre le rocher. Il se redresse sur ses coudes, et je
pose ma main sur son thorax pour le forcer à se rallonger. Je me glisse sur lui, jusqu'à ce que je vienne m'asseoir sur
son visage. J'adore me faire lécher après, lui n'est pas rebuté à laper son sperme directement de ma vulve suintante.
Je tente de réfréner mes spasmes au moment où il me lèche en gémissant. Je suis si à vif que sa langue me fait encore
sursauter, je peine à demeurer immobile sur sa bouche très active. Je me soulève un peu, ma vulve se trouve alors à
quelques centimètres de sa bouche. Puis j'insère deux doigts pour l'ouvrir et permettre un meilleur égouttement de nos
nectars mélangés. Je lui badigeonne d'abord les joues, puis le nez, avant d'orienter de nouveau ma fontaine charnelle
sur sa bouche toute grande ouverte. Une fois que je suis vidée, je m'étends sur son flanc, ma tête dans ma main, et je
caresse sa verge qui perd de sa splendeur avant de la prendre amoureusement entre mes lèvres pour la laver.
- Personne ne peut se douter à quel point le canot peut-être un loisir sensationnel déclare mon amoureux.
- Si, eux, dis-je en pointant un groupe de quatre canoteurs amassés sur une butte, d'où ils ont pu surveiller
nos ébats. Deux d'entre eux applaudissent d'ailleurs, les bras relevés au ciel, alors que les autres dressent
une tente près du lieu où nous monterons la nôtre.
Je me lève, je fais la courbette, toute nue. Je suis franchement excitée, désinhibée.
- Tu crois qu'ils ont tout vu ? me demande mon amoureux, ne cherchant lui non plus à se camoufler.
- J'espère bien. Et si ce n'est pas le cas, on pourra recommencer cette nuit.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Tina est une brillante avocate, fort jolie femme, qui s'est fait une spécialité, défendre les mecs, victimes des femmes voraces qui comme de noires corneilles s'abattent en nombre contre eux, leurs bouffent les yeux, les émasculent et en font des esclaves, toujours coupables de tout et devant payer pour tout.
Tina passe pour la pire salope des prétoires et elle adore cela,, promener sa chatte bien remplie de sperme devant toutes les féministes aux vagins asséchés, faute de mecs bien membrés pour bien les bourrer. D'abord, ses clients, elle les récupère toujours en morceaux, castrés, prostrés, ruinés, brisés. Face aux femmes, ils ne font pas le poids. De toute façon c'est une mafia de femmes ces tribunaux avec des juges femmes, des greffières femmes, des huissières femmes, des flickettes femmes. les hommes sont terrorisés.
Tina commence toujours par les rassurer:
-Non, non, et non. Vous n'êtes pas un pervers manipulateur, pas un pervers sexuel, pas un mauvais mari, pas du tout un violent ni un feminicide. Cela fait combien de temps que vous avez plus baisé correctement? C'est la première technique des femmes qui veulent divorcer pour se faire du pognon, casser votre sexualité de mec. Allons courage, branlez vous si vous n'avez pas de copine mais redressez-vous et bandez bien. Pour gagner il faut bander.
Arrive les procès! Il faut entendre Tina sortir les crocs et rentrer dans le lard des femmes. Une furie. Une traite à la cause des femmes? Tina aime la bite et le fait savoir:
-Vous en avez pas marre de casser les mecs, de vouloir les faire payer pour tout. "Papa où t'est?" . Raz le bol de ce parti pris anti-père dans ces tribunaux où la parité n'existe pas. 80% de femmes dans ces tribunaux c'est 80 % des hommes privés de leurs droits. Ah elles sont belles vos théories féministes fumeuses sur la parité et l'égalité.
Tina ne gagne pas. Les femmes haussent les épaules et se moquent:
-Tiens cette grosse salope a encore plaidé. On va finir par le savoir qu'elle aime la bite. Nous on s'en fout, ce qui compte c'est de gagner et avec Tina c'est cadeau. A croire qu'elle bosse pour nous.
-Bien sûr qu'elle bosse pour la cause des femmes. Elle fait juste croire aux hommes qu'elle va bien les défendre mais avec ses plaidoiries nulloches, elle est sûre de perdre. Les mecs sont vraiment cons. Ce sont encore eux qui se font enculer.
-Ouais, ben c'est pas moi qui vais les plaindre ces lopettes.
-En plus les juges femmes sont aussi dans la combine...elles laissent à Tina quelques miettes ou un os pour créer l'illusion.
La morale de cette histoire, c'est cool avec les fictions.....
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Brit est un mec, un putain de macho, à l'intérieur d'un superbe corps de femme à faire bander même les morts et à défroquer tous les prêtres et sacristains du Vatican. Brit a beau détester son corps de rêve, son cul bien bombé, sa chatte et ses nichons généreux, ce n'est pas cela qui va lui donner la belle bite dont elle rêve depuis toujours. Lorsque les mecs lui matent trop le cul ou ses longues jambes bien galbées, elle les cogne et cela , les bastons, elle sait faire. De toute façon Brit est classé lesbienne et adore défoncer des chattes avec des gods sans harnais, qui, tiennent bien une fois introduits dans son vagin serré qu'aucune bite n'a jamais pénétré. Mais Brit se considère comme un mec et donc comme un hétéro . Et surtout n'allez pas la contredire sans quoi elle vous fout son poing sur la gueule. Peut être faudrait il dire il dans son cas. Elle milite pour faire écrire sexe masculin sur ses papiers d'identité, mais avec ses si beaux nichons.... cela ne passe pas pour l'instant. D'autres pays plus en avance ont eux accepté le libre choix du sexe sur les documents d'identité, en tenant compte du sexe cérébral.
Donc, Brit, le garçon, s'est mise en couple avec Poppee, une soumise fort jolie, hyper féminine et sophistiquée, pas mlf pour un sous, très obéissante, disponible et dévouée en tout et pour à Brit. Poppee est une lesbienne pure et elle est folle amoureuse du corps de rêve de Brit. Elle mouille en sa présence et arrive à se faire jouir juste avec des caresses. C'est une bombe sexuelle, avec un minou qui sent très bon. C'est courant chez les femmes qui comme Poppee puent le sexe. Un fort joli couple. Autant Brit est toujours en jeans, ne se maquille jamais, autant Poppee est frous frous, rouge à lèvres et bijoux. Elles font très souvent l'amour et jouissent beaucoup.
Pourtant Brit a un fantasme : l'auto-torture et une passion pour les estrapades. Des machines fort appréciées pendant l'inquisition ou personne ne pouvait résister au besoin tout à coup impérieux « d'avouer ». avouer tout et n'importe quoi mais ne plus subir le supplice effroyable de l'estrapade.
Et donc Brit s'en est construites plusieurs dans son garage. Toutes en bois et acier. Avec de beaux mécanismes bien huilés. De quoi se faire bien mal et bien peur toute seule. Comme Brit est deux personnes en une, c'est l'homme en elle qui estrapade elle, mais parfois elle joue à l'inverse, c'est elle qui martyrise lui. Inutile de chercher à comprendre, Brit se comprend parfaitement toute seule dans ses jeux . Popee est dans l'interdiction d'approcher du garage. De toute façon, si elle voyait Brit s'envoyer en l'air de la sorte, elle tomberait en syncope.
La morale de cette histoire, c'est qu'il est très facile de se faire avouer soi même avec une bonne estrapade bien conçue.
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Ils sont 1100, et il en arrive encore, par vagues successives.
Tels des crickets déferlant sur les
plaines fécondes,
Ces barbares ne laisseront rien.
Ils sont 1100 et chacun, quels qu’il soit, revendique le butin.
Déjà, l’horizon s’assombrit, le départ est donné, les rats sont lâchés.
C’est une course effrénée vers la vie vers l’espoir d’une autorité retrouvée.
De posséder exclusivement ce que tous convoitent, d’être le désiré
Cela rend fou à en perdre la raison.
Les 1100 sont comme aveugles.
Ils se côtoient, mais ne se voient pas, ils avancent dans leurs armures de mots, armés de phrases.
Ils sont gueux, écuyés, chevaliers, nobles princes, sultans, rois, érudits, sorciers, fakirs, hommes de science, architectes, ouvriers, capitaines de guerre, clown que sais-je encore
Tous ces visages, frères d’armes et ennemies à la fois tous prêt à posséder ...à guider...... Sur des voies qu'eux-mêmes ignorent.
Puis gravir la montagne des caprices des doutes et des peurs
Trouver l’âme affolée fébrile et esseulée.
Ainsi l’âme dévoilée, emportée par les vents mauvais pensant bien mérité la décadence programmée.
Et chaque jour, de cette âme, peler les rêves et briser tout noyau d’espoir.
Le laid côtoie le beau et la douceur le rugueux.
Le pouvoir oppressif régnera jusqu’à la révolte et la révolte à la fuite et de la fuite à l’errance, et de l’errance au prochain rat.
Mais pour l’instant, oui pour l’instant et peut-être pour toujours, il sont 1100 et bien plus encore et il en arrive encore par vagues successives...
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Même si, en réalité, le feu couvait depuis longtemps, tout a réellement commencé ce lundi soir. Sur le flanc sud de
ma maison, soit le côté ensoleillé, j'entretiens un grand jardin de plantes vivaces et de fleurs annuelles, disposées
autour d'un sentier de pierres chinoises et d'un banc de bois. Une fontaine chuinte au milieu d'un arrangement de
bégonias. Le seul moment qui m'appartienne exclusivement dans la journée, le seul où je puisse me détacher de
mes obligations professionnelles, de mon mari et de mes enfants, c'est lorsque je me retrouve seule au crépuscule
à prendre soin de mon jardin. Ce lundi de juillet donc, par une soirée étouffante d'humidité, je me suis retirée dans
mon havre de paix après avoir nagé un bon moment dans la piscine. L'éclairage des lampes à énergie solaire
plantées dans le sol diffuse une lueur bleutée très paisible. Avec ma serviette nouée sur mon buste, j'arrache les
feuilles mortes en respirant le parfum des fleurs agitées par la brise. De l'autre côté de la clôture de fer forgé, mon
voisin entretient aussi un superbe jardin. Si nous ne l'avons jamais avoué, lui et moi nous livrons une compétition
saine pour déterminer lequel aura le plus bel arrangement. Il lui arrive, comme ce soir, de sortir aussi à la tombée
de la nuit pour dorloter ses plantations. Nous nous saluons alors, non sans jeter un regard sur les derniers ajouts
de l'autre, afin de bien évaluer la compétiton. J'ai entendu ses pas bien avant qu'il me salue, avant de me retourner,
je vérifie que ma serviette est attachée convenablement sur mon maillot une pièce. Xavier est le seul et unique
célibataire du quartier. Beau garçon, son arrivée a fait jaser dans les chaumières, particulièrement les femmes
souffrant d'un sérieux manque d'attention de la part de leur mari. Il me dévisage avec une telle intensité que la
chaleur me monte rapidement au visage. Je me sens scrutée, deshabillée par ses yeux brillants dans l'obscurité.
Habituellement, ce type de comportement m'incommoderait et me choquerait. Toutefois, ce soir, j'y puise une douce
gratification. Il me donne presque le goût de retirer ma serviette pour lui offrir un meilleur aperçu de mon corps
avantageusement bronzé. Même si je n'ignore pas qu'il me regarde parfois de sa fenêtre, je n'ai pas cette audace.
Il est torse nu et, dans la noirceur, je vois ses jambes musclées et ses pectoraux athlétiques. Ses lèvres forment un
sourire de connivence. Mes yeux descendent sur son torse, là où je m'imagine tout juste glisser mes mains, sur sa
peau moite, emmêlant mes doigts dans ses poils foncés. Je sens entre mes cuisses un afflux d'excitation. Qu'est-ce
qui me prend ? Moi, Béatrice, trente-deux ans, mère de deux enfants et épouse rangée, en train de mouiller ma
culotte de bain en ressassant des pensées indécentes ? Pour éteindre mon feu intérieur, je plonge dans la piscine.
Témérairement, je retire mon maillot et je nage nue, après avoir pris soin d'allumer le projecteur du bassin, en
songeant avec excitation, que Xavier me regarde certainement depuis sa fenêtre. Le soir est tout aussi torride le
lendemain. J'ai troqué mon maillot une pièce pour un bikini sans serviette. Le bikini est purement symbolique, car
les pièces triangulaires ne masquent qu'une infime partie de ma poitrine. Je suis penchée au-dessus de mes fleurs,
le tuyau d'arrosage, et cette position alourdit mes seins qui tendent à casser les fins cordons de mon maillot. Mon
string est également composé de deux pièces triangulaires, retenues sur mes hanches par les mêmes cordons.
Mon voisin reste sans voix un bon moment, ne sachant trop où regarder, avant de jouer l'honnêteté et de caresser
mes courbes de ses yeux avides. Je me sens nue, et c'est tellement bon. Lui aussi a changé de maillot. Il porte
un caleçon de type nageur, très moulant. Si ce n'était de la pénombre, je devinerais sans peine les contours de
son sexe. Je me rapproche de la clôture. Il faufile sa main entre deux barreaux et ses doigts effleurent le tissu de
mon soutien-gorge. Je sens les pointes de mes seins se durcir en se dressant, et j'essaie tant bien que mal de
dissimuler mon souffle qui se fait rauque. Nous échangeons un sourire complice. Il approche son visage de la
grille et nos lèvres se touchent, à peine un effleurement qui dure tout au plus une ou deux secondes.
Une onde électrique parcourt mon échine de la nuque à mes reins. Mes lèvres me picotent, je me sens énergisée.
Mon voisin émet un sifflement en se détachant de moi et nous rions tous les deux. Sur mes lèvres, le glissement
très subtil de sa langue dans ma bouche. Je n'ai plus conscience de ce qui m'entoure, juste de lui et de son baiser
intense et viril. Puis, d'une fenêtre au-dessus de nos têtes, s'élèvent soudain les pleurs d'un enfant. Je reviens
brusquement à la réalité. Cela vient de chez moi. Je hausse les épaules, signifiant ainsi l'arrêt immédiat de nos
jeux sensuels.Tandis que je regagne l'intérieur, je perçois les yeux de Xavier sur moi. L'invitation est lancée. Dès
que je rentre le lendemain, vers une heure quarante-cinq, je saute dans la douche et j'enfile ensuite mon peignoir.
Rien d'autre. Je repasse par ma chambre où mon mari dort à poings fermés. Je ne me sens même pas coupable,
j'ai juste hâte de descendre dans mon jardin. J'y trouve justement Xavier, assis sur le banc de bois au milieu des
vivaces. Il me sourit en m'apercevant. Puis, il me fait signe de venir m'asseoir tout près de lui. Je tire sur mon
peignoir, dévoilant ma poitrine nue et excitée. Il penche sa tête et m'embrasse. Ses lèvres ont le goût du péché
capital. Après plusieurs jeux de langues coquins, féroces au point de me meurtrir la chair, mon voisin prend alors
l'initiative de me délester de mon seul vêtement. Puis, il prend mes seins dans ses mains et dans sa bouche. Il
doit l'écarter entièrement pour bien saisir mes aréoles larges et étirées, d'une couleur brune renforcée par mon
bronzage. Une fois, qu'il les a bien en bouche, il mordille mes mamelons avec une gourmandise contagieuse.
Je pose ma main droite sur sa cuisse chaude et musclée. Puis je caresse par-dessus son maillot son sexe en
érection. Il me coûte de me soustraire aux attentions maniaques de sa bouche sur ma poitrine réactive, mais je
tiens moi aussi à goûter à la saveur de sa peau. Je m'agenouille devant le banc et je lui arrache son maillot.
Son sexe musclé explose alors dans mon visage, large et dur. Je lèche son gland en ressentant sur ma langue le
sang battre dans la grosse veine qui sillonne son manche sur toute sa longueur. Mes lèvres parcourent aussi ses
testicules, lourds et rasés, un à un car ils sont trop gros pour que je les gobe tous les deux simultanément. J'en
déduis par ses grognements étouffés qu'il apprécie beaucoup les attentions que je porte à ses boules chaudes.
De mon côté, entre mes cuisses, ma vulve s'ouvre, tandis que que je masturbe Xavier dans ma bouche. Bientôt,
je relâche sa verge pour reprendre mon souffle et je monte sur le banc, portant mon sexe à la hauteur de son
visage. Il en profite pour me lécher avant que je redescende lentement, un sourire accroché à mes lèvres, jusqu'à
ce que je me retrouve assise sur sa virilité. Je me pends à son cou, empalée profondément sur sa verge, ivre de
plaisir. La pointe de mes seins frotte contre son torse, exacerbant leur sensibilité déjà insoutenable. Aggripée au
banc, la charge de ses hanches explore mon puits. Il se met à pleuvoir, de petites gouttes fraîches se tranforment
en vapeur quand elles se déposent sur nos peaux brûlantes. Les derniers mouvements de Xavier me soutirent de
nouveaux gémissements, plus gutturaux ceux-là. Il y décèle l'apogée, et ses pénétrations se font plus profondes,
plus lentes, plus langoureuses. Juste ce dont j'ai besoin. Je ressens alors une jouissance brute, indomptable, se
gonfler dans mon ventre, comme une tempête qui menace. Mes jambes, puis mes bras tremblent. Xavier place
ses mains au creux de mes reins et il soude sa bouche à la mienne pour étouffer mes élans. Mon orgasme se
transforme en un long baiser passionné. Mon peignoir est souillé de terre, je le ramasse en boule sous mon bras.
Je vais rentrer par le garage pour passer inaperçue, ai-je expliqué à mon voisin.
- "Est-ce que ça veut dire que l'on ne peut pas se revoir demain ?
- Jamais de la vie ! Jamais, je ne négligerai mon jardin !"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Il arrive, de nos jours, que lassés de la vie des villes surencombrées, polluées et devenues inhumaines, des citadins
accomplissent un retour à la terre, à la vie campagnarde. Dans la plupart des cas, ces disciples de Rousseau, ces
Robinsons agrestes ne parviennent pas à s'adapter et regagnent au plus vite leurs cités inhabitables mais, finalement,
si commodes à habiter. Il en allait de même pour Patricia, dans le domaine intime qui était le sien. Elle avait découvert
les charmes de la nature, les délices des longs après-midi sous bois, dans la brise murmurante et le soleil qui perce au
travers des feuillages. Que d'heures exquises avec Sarah, sur l'herbe des clairières ou à l'ombre des grands rochers
moussus. Que de caresses, de baisers échangés dans des nids de fougères, sur des matelas de feuilles mortes. Mais
ces amours buissonnières ne permettaient que des effleurements, grisants mais décevants, avec la crainte, toujours
d'être découvertes, l'impossibilité de se mettre totalement nues, en accord avec la nature environnante. Alors parfois,
Patricia, après un court plaisir, allongée contre Sarah sous la voûte des pins ou des châtaigniers, avait une lancinante
nostalgie de grands lits aux draps frais dans la pénombre d'une chambre aux rideaux clos. Étreindre le corps enfin
dénudé de son amie, se pelotonner dans sa tièdeur, mêler ses cheveux aux siens sur la douceur fraîche d'un oreiller.
Révélée maintenant à sa plus profonde sensualité, libérée de ses angoisses, elle s'abandonnait au plaisir de tout son
corps qu'elle ouvrait à son amante. Plus intense encore, dans des rencontres furtives; le danger, la peur d'être surprise
les rendaient plus enivrantes encore. Et Sarah se prenait à cette passion fruste, à ces amours rapides, prise dans une
hâte fièvreuse dans le soir tombant, quand le vent semble chasser dans les feuillages, que la nuit s'amasse avec ses
dangers, ses ombres et ses présages. Heureusement que les bois étaient vastes et solitaires autour des amoureuses.
Il y avait bien une solution pour Sarah, à laquelle elle pensait depuis quelque temps déjà, mais qu'elle hésitait à adopter.
C'était tout de même délicat. Il fallait faire confiance, et ce n'était pas toujours facile. Anne, oui. Il lui faudra parler à Anne.
C'était une femme étonnante, la patronne de "La Licorne Royale", une femme libre, qui comprenait les choses. Elle finit
par se décider un après-midi où seule avec Anne, tranquilles sous la vigne-vierge de la terrasse, elles buvaient une
orangeade, l'arrangement fut trouvé. Il y avait une chambre au premier étage qu'elle ne louait jamais. Elle la lui prêterait
en toute discrétion. Et Anne prit la main de Sarah, la garda dans la sienne et la serra gentiment. Un sourire amical mais
presque tendre flottait sur ses lèvres. Anne aimait Sarah, sa blondeur, sa fragilité et ses airs délurés. Elle avait le goût de
protéger les amours singulières, de les faciliter, de vivre un peu dans l'intimitié des passions, des "amitiés particulières."
L'inauguration de "sa chambre" de l'hôtel de Lyons-la-Forêt devait être une solennité: bougies, fleurs, champagne. Elle
aurait voulu un déshabillé extraordinaire pour Patricia, mais les boutiques de lingerie n'offraient hélas, sans doute que
des chemises de nuit pour dames d'œuvres, tant pis. Elle passerait nue cette fabuleuse nuit d'épousailles, au terme de
ces longues fiançailles champêtres qu'elles avaient vécues. Ce fut la nuit des sortilèges, des envoûtements, la joie des
corps, les embrasements des cœurs, dans la lueur cérémonieuse des cierges que les grands candélabres tendaient à
bout de bras. Elles s'étaient glissées comme des ombres jusqu'à la petite porte discrète qui ouvrait sur l'escalier privé.
Des fleurs des champs par brassées, semblaient avoir, par magie, quitté les prés pour venir joncher la chambre d'amour.
Le champagne glaçait dans un seau. Il n'y avait que la nuit alentour, et les murmures de la forêt. C'était la chambre des
enchantements, une crypte ardente, illuminée par la flamme dansante des bougies. Les fumées du champagne aidant,
Sarah vivait une espèce de rêve éveillé, une fête silencieuse, hypnotique et sensuelle. Elle n'avait connu jusqu'alors
que la fougue maladroite d'étreintes masculines, qui n'arrivaient que très rarement à l'émouvoir, un peu par accident.
Nue devant Patricia agenouillée qui la priait de demeurer immobile, droite et figée comme une idole pour qu'elle pût
mieux l'admirer avant de l'éveiller par ses caresses, comme elle aurait aimé une statue, des caresses dévotieuses et
d'abord tremblantes, Sarah régnait. Et puis, sur le lit où elle la coucha, elle lui révéla son corps. Jamais encore aucune
bouche féminine ne s'était posée au cœur de son intimité. Et un gémissement s'éleva en elle, roula dans sa gorge à
mesure que le plaisir la gagnait, montait, la saisissait dans les reins et dans le ventre, un gémissement qui devint un cri
rauque lorsque l'orgasme la secoua, la tordit, comme une folle qui se cambrait, s'offrait, croyait mourir foudroyée. Et
elle sut alors que le plaisir, c'était beaucoup plus que le plaisir. Les bougies blafardes finissaient d'agoniser au-dessus
des stalactites de cire en larmes d'amour. L'aube d'été trouva les amantes furtives enlacées dans un sommeil heureux.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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(Réédition du 07/07/2020 -> 20/04/2024 - 1103 Vues)
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Quelles peuvent être les véritables raisons, qui poussent les femmes mariées à s'ouvrir au BDSM ?
Quelles sont les limites de ces femmes censées être sociétalement établie ?
Ironiquement, deux questions qui n'ont que finalement que très peu d'importance, lorsque l'homme entreprends une relation BDSM avec une femme mariée.
L'auto-satisfaction de la conquête ou de répondre à l'envie d'adultère paralysant toutes exigences, à savoir si la relation que l'on débutera sera aussi éphémère que futile.
Et c'est lorsque le plaisir de consommation retombe, qu'un vide abyssal se dévoile en terme de compréhension et de communication envers l'autre.
Comprendre que le domaine du BDSM est affilié à un public de "niche", c'est accepter que pour beaucoup, c'est la facilité de palier à une frustration en utilisant l'autre qui attire..
Aucunement de se donner dans ses pulsions viscérales, pouvant se révéler invivables en solitaire, et s'ouvrir à une perspective d'avenir moins sombre avec un partenaire adéquat.
Pour en appréhender la portée, la Domination / Soumission appelle à l'état de conscience suivant :
Est-ce que le plaisir BDSM des femmes les amènent t'elles à s'accepter, ou à s'éloigner de leurs chemins à s'épanouir dans leurs existences ?
07 - Les femmes dites "switch" au service de la compréhension des femmes mariées ?
"Soit "Switch" ou mariée !" : Pourrait-on dire à l'étalage flagrant de profils les plus répandus sur internet, ou du chouinement perpétuel des femmes envers la gente masculine, dans leurs propos de la vie quotidienne.
Pour en découvrir la raison, et ainsi permettre de faire la part des choses entre une volonté de s'émanciper dans leurs vies sexuelles, tout en s’affranchissant de l'homme.. Intéressons-nous à certains traits* de l'attitude "switch" :
La frustration et les tensions étant légion dans le domaine du BDSM, l'aspect "switch" est une attitude basée sur l'incertitude et l’opportunité.
Les "switchs" sont de véritables couteaux suisses, où leurs polyvalences leurs offrent un argument de choix à ne pouvoir se placer et s'investir dans une relation, par jeux ou nécessité.
Un mécanisme propice à combler ou renouveler une partie de leurs libidos, non dans une aspiration à s'épanouir.
Entre amertume, désappointement, et famine... 3 raisons majeures poussent les femmes à devenir "Switch" pour continuer à côtoyer l'homme :
- Entre amertume et désir, d'accéder aux plaisirs "simple" de l'homme (Penser que l'hypothétique "pouvoir" d'imposer, ou répondre à une demande, soient liés à la notion d'aller plus facilement vers son plaisir).
- Le désappointement de ne pas avoir atteint son paroxysme de plaisir et d'épanouissement en tant que femme (Vouloir témoigner leurs hautes frustrations à leurs partenaires, sous le couvert de pratiques Dominantes).
- L'état de "famine sexuelle" de ne pouvoir sustenter leurs besoins nutritionnels personnels (Espérer dans la dévotion au plaisir de l'autre, un retour sur investissement en terme de plaisir charnel ou au moins dans l'égo d'avoir été utile).
En résulte une dualité à vouloir se différencier de l'homme et non de le compléter, et pourtant s'évertuer à mimer sa vénalité et son adaptabilité pour arriver à ses fins.
Les femmes dites "switch" et les femmes mariées se rejoignant sous la même bannière : "Ce que tu ne peux atteindre, tu le deviens."
08 - L'Union ou le Célibat ; Quelle est la source ou l'origine d'un meilleur épanouissement BDSM ?
Le BDSM amène à un état de conscience développé.
Il réponds à un besoin perpétuel à se réguler, et à l'hypothétique désir "d'être", ce que l'on était destiné à "être".
Pour la métaphore, c'est comme faire face au cahier vierge de sa vie, que tous le monde possède à sa naissance, et se torturer à écrire dessus de ses doigts ensanglantés..
Tout cela parce qu'un "vil" environnement, nous a piqué notre crayon ou notre stylo.
La Domination étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, cela ne nous empêcherait pas de faire et d'écrire de la "merde".
La Soumission étant de reconnaitre qu'avec l'outil retrouvé, nous ne l'utiliserions pas pour autant, de peur de raconter des "conneries".
Un désir fort d'exister et de compenser en révélant une authenticité qui nous est propre, et par la même occasion approcher de notre ferveur à l'ouvrage, une des vérités absolues de la vie.
Il sera toujours possible de copier ou d'écrire sur le cahier de son voisin, mais il est assurément plus difficile d'écrire à deux avec le même stylo, pour raconter sa propre histoire !
Clairement, pour n'évoquer que ces autres exemples métaphoriques, un couple ouvert d'esprit écrivant son expérience au crayon, aura toujours la possibilité de réécrire sa propre histoire individuellement..
Tandis qu'un couple l'ayant écrit au stylo, témoignera à jamais de sa frustration à vouloir effacer ou se ré-accaparer ce qu'il ne leur appartient plus, car tombé sciemment dans le "tronc commun".
Vouloir se donner plus de force à se convaincre que son ou ses partenaires soient nécessaires à son propre épanouissement, est du domaine de la puérilité ou de la paresse, aucunement du BDSM.
La femme mariée par définition, a autant de possibilité de s'investir dans une relation BDSM que la femme célibataire.
Encore faut-il qu'elles s'avouent toutes les deux, que ce n'est pas une question de chance ni de disponibilités, mais bien d'un travail préalable d'introspection personnel, réel et immodéré.
09 - Y a t'il un âge révélateur de l'éveil des pulsions BDSM d'une femme mariée ?
Si l'on se devait de faire des conjonctures et statistiques sur des tranches d'âges des activités pulsionnelles des femmes mariées, 4 périodes seraient mise à l'honneur :
De 18 à 25 ans : Age révélant l'idéalisme, ou au contraire l'aspect militant d'une femme mariée.
Une volonté et plaisir à se trouver des preuves à s'aimer, et s'appartenir par un esprit de mise en valeur, de sécurité, ou de fuite en avant.
De 26 à 39 ans : Age révélant sa maturité ou sa puérilité à faire face à la vision de son corps se transformant irrémédiablement.
Dans l'enfantement, dans l'assèchement et l'épuisement professionnelle, ou dans la boulimie à vouloir profiter de la vie.
De 40 à 50 ans : Période d'âge où la notion des contraintes d'horloge interne prends tous son sens.
Et qui en découle l'anxiété d'un sursis d'une ménopause à venir, l'évolution d'un corps et de son humeur qui désormais ne nous appartient plus, ainsi qu'une perception différente du plaisir et de son bien être.
Plus de 50 ans : l'âge de la résolution, de la résignation, ou de la détresse palpable du corps et de l'esprit.
Où la principale activité d'une femme n'est plus de cumuler du plaisir, mais au minima de le retrouver.
Majoritairement, les femmes mariées ou célibataires s'évertuent à prendre élan sur le BDSM pour ne pas penser à la réalité de la vie qui leurs échappent. Les femmes ayant besoin de Soumission quand à elles, n'aspirent qu'à la commencer.
Les femmes et mères à l'apogée de leurs maturités, ou à contrario à bout de souffle, ont plus un besoin BDSM pour faire un bilan de leurs vies, plutôt qu'à envisager de s'épanouir dans ce substitue.
Un désir de troquer ne serait-ce qu'un instant, "leurs chronomètres" accrochés à leurs cous (Représentation de leurs horloges internes qui défilent), par le collier tout neuf d'un Dominant (Représentation de l'emprise et d'un plaisir éternel).
La stimulation qu'engendre ce "médoc" qu'est le BDSM, étant propice à être de nouveau en accord avec elles-mêmes.
(Le BDSM pouvant être affilié à la "pilule bleu" de l'homme à se redécouvrir une nouvelle jeunesse, dans un bon coup de fouet !)
En conclusion :
Plus excitée par la transgression, que pour se livrer à un dépassement de soi dans le BDSM, la femme mariée souhaite être plus fidèle à elle-même, que Soumise à l'autre à proprement dit.
Sujette à l'obsession à se prouver "qu'elle vit sa vie au lieu de passer à coté", l'homme sert de "défouloir" pour ces femmes se plaignant de ne jamais joindre le "service après-vente" de la vie.
Celle-ci leur ayant vendu d'office la certitude de ne jamais oublier ce pourquoi leurs corps sont programmés à réaliser, reléguant leurs épanouissements en second plan.
(*Oui parce que bon, je vais pas écrire systématiquement 5 articles pour traiter une thématique !)
A suivre : Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 4 sur 5)
Article du même auteur : https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)
https://www.bdsm.fr/blog/4897/%22O%22nanisme-;-Je-m'en-branle,-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
https://www.bdsm.fr/blog/2703/Les-trois-chemins -> Les trois chemins.
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Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore.
Pas maintenant. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop
fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ?
Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un
tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle
tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Juliette. Charlotte secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées.
Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Charlotte avait beau
tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait et ne la lâchait plus. Juliette voulait l'offrir à une
amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en
donnant vie à ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué
qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle
cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte
s'entrouvit. Charlotte distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Juliette mais elle n'était
pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière
la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance.
Charlotte la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita
les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus
du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention de ne
pas en perdre le nectar. Charlotte ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle.
Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa
Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa
plusieurs fois sa langue sur le sexe de Charlotte, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites
lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas.
À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Charlotte se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait
encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur
prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte.
Elle m'attendait sur un canapé. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds nus, ongles
lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de vingt heures, Charlotte en retard sonna à la porte. Trop facile, pas
de punition, l'inconnue ne fut pas dupe. Anxieuse, elle poussa la porte entrouverte. À double tour, la referma. La voici
introduite dans la pénombre fraîche du salon, par une jeune fille nue, complice des jeux. En fond sonore, le "Boléro" de
de Ravel. Doucement le piano pour entendre le bruit de ses pas quand sur le parquet point de Hongrie, elle se déshabilla
lentement, une épaule après l'autre, sa robe glissa sur le sol doucement pour écouter le clapotis du sexe entre ses doigts.
L'inconnue décroisa ses jambes, les paumes claquant sur ses cuisses, la pria d'avancer. La flamme des bougies lançant
des lueurs dansantes sur leurs visages, semblait réveiller des ombres dans le haut plafond. Elle eut les caresses et la
bouche de l'inconnue. Cette bouche alla jusqu'au secret de son corps, au plus secret de son être émotif dans la chaleur
humide que le désir enfiévrait. Tout d'un coup, elles ressentirent, cette étrange douceur, cette paix heureuse des amantes.
Mes yeux se retournent vers ton sourire. Le silence, nous l'avions décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand
quand je te flagellerai jusqu'au sang. Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Charlotte
ne sait plus ce qu'elle veut, le fouet, oui mais pas pour son plaisir. De l'amour des femmes, elle ne connaissait rien d'autres
que quelques privautés, quelques complaisances accordées avec des camarades de classe, à la limite du jeu mais bientôt
par dessus la nuque passe le harnais en cuir; son corps supplie; toujours nue, de dos sur mes genoux; bientôt mes doigts,
à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes lèvres. Alors, les omoplates ont
frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Le grain de ta peau sur ma langue; les lèvres de ton sexe sur
la pulpe de mes doigts; ta joue sur mon épaule, mes mains à l'envers ont fermé les crochets; mon souffle effleurant le profil
de tes seins dressés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes; je
t'attrape par la nuque, te renverse sur le canapé, je te dévore; tu te débats, tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à
exposer son corps asséché de solitude; tout est évident. Tu es allongée, au-dessus de toi, la caresse est légère presque
rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrecuisse à peine ouverte. Le désir est prégnant, ton sexe est brûlant, l'émergence de
sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice. Elle lui apprit et lui révéla son corps, par des caresses d'une
insidieuse lenteur, par des baisers qui n'en finissaient plus d'éveiller en elle des ondes de plaisir presque intolérable. De la
bouche venait alors calmer la fièvre qu'elle avait fait naître, s'abreuvant à la source même d'où jaillirait la jouissance.
Tu te tais. Quand bien même le voudrais-tu que tu ne pourrais parler. Tes soupirs, les plaintes d'extase, les gémissements
de volupté ont pris toute la place dans ta poitrine et dans ta gorge. Tu deviens muette d'un incomparable bonheur charnel.
Nos cris meurent en un baiser brutal, comme la secousse qui bascule. La fleur sanguine laisse sourdre son suc aux mille
parfums dans un mouvement de bacchanale déchaînée, sanglot de l'extériorisation extrême de ta sensualité fouaillée.
Tu es ouverte, béante, les lèvres palpitantes, la vulve agitée de pulsions enflammées et suintante de son miel blanc et
blond. Nous basculons, enroulées l'une à l'autre dans un enlacement tortueux qui nous emplit de joie enfantine. Cessant
de lutter, désespérée, retrouvant la joie de vivre, honteuse, fière, tu t'abandonnes alors aux bras qui te meurtrissaient hier.
Aucune nuit pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Elle
semblait appartenir à un autre monde. Quelque chose d'indissoluble et de fatal, une puissance invisible les liait bien plus
que dans le bonheur et l'euphorie, errant dans le pur illogisme de la réalité, ne rendant de comptes à personne, forme
suprême de la liberté dont elles usaient dans le bien comme dans le mal. Leur idéal avait changé d'objet. Leur frénésie
était un peu glacée. Se laisser toucher, se laisser fouetter, être docile et nue. Pour l'amour qui fait battre le cœur, on ne
forçait personne. Charlotte était éblouissante de félicité. L'envol étourdi d'un oiseau nocturne dans un jardin endormi,
distrait par la bouleversante incantation sacrée qu'elle portait au rite célébré de leurs chairs confondues.
Elle entendrait, encore une fois bientôt Juliette, étendue à coté d'elle, respirer dans la nuit.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je te convoite plus que tout trésors, Moment d’une infime rareté dans l’existence d’un maudit.
L’ivresse emportant tout interdit. Je sais qu’un jour, tu m’aimeras.
Détenir ton âme, c’est obtenir de façon exclusive toute ton attention appliquée à ma satisfaction
Ô source de vie, soit ma douceur et ma douleur, ma récompense et ma punition, mon désir et mon interdit.
Ô Femme, Fait de moi, ton ami et ton amant, ton homme et ton démon, ton maître et ton vagabond ....
Ô, soumise, sois reine et chienne, Addict et rebelle, rassurante et instable.
Laisse de ton cocon éclore tes aspirations profondes.
Réponds à mon appel, à mon attente, à mon désir de posséder ton âme affolée par son attirance pour le sensible.
Je t’invoque ô tentation, Ô Lilith par le verbe et le sensuel. Soumis à ma déesse et maître des songes de ma belle,
Enlacé, je me mue au rythme de ses hanches ensorcelées, jusqu’à donner naissance au séisme sensoriel.
Et par vagues successives et incessantes, les légions du désirs ambassadrice de l’enfer qui t’attend, déferlent sur ta peau, escaladent les récifs de ta morale, harcelant ton esprit à l’imagination fertile sensible et délicate.
Incapable de contenir le flot des pulsions.
Souillant le beau et légitiment dans l’intimité secrète, l’orgie des sens.
Et enfin m’offrir le peu d’essence abandonnée dans le creux d’un destin brisé, d’une jeunesse kidnappée par quelques rapaces hideux.
Agonisante abusé , une âme douce et fraîche dira son bourreau avec délectation.
Une femme persévérante et décidée une femelle aux ressources surprenantes
Pose un genou à terre, tends les poignets croisés, au-dessus de l’échine baissée en signe de soumission et entend ma prière.
Sois à moi.
Merci à vous
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La séance que lui avait imposée Juliette lui revenait en mémoire par flashes. Elle revivait surtout le moment où
elle avait dû retrousser sa jupe. Dès cet instant, elle avait commencé à éprouver du plaisir. Un plaisir que la
punition face au coin, la culotte baissée, les poses obscènes, et jusqu'à la tentative de baiser de Juliette n'avaient
fait qu'accroître. Bien sûr, elle avait eu peur. Bien sûr, elle avait eu honte. Bien sûr, elle avait pleuré. Et pourtant,
le désir l'avait toujours emporté. Elle avait passé plus d'une heure à trouver une tenue sans arriver à se décider.
Toutes celles qu'elle portait d'habitude lui semblaient si classiques. Juliette aimait la provocation jusqu'à oser ce
qu'il y avait de plus sexy ou d'aguicheur. Elle possédait l'art de la composition et savait assortir avec goût les
éléments les plus disparates. Elle osait, au moins elle osait. Elle arriva finalement sans retard à leur rendez-vous.
Elle avait décidé de faire quelques courses en centre ville. Charlotte dévala quatre à quatre les escaliers du glacier.
Raide au volant de sa voiture allemande, Juliette ne lui jeta même pas un regard. Elles roulèrent sans se parler.
Elle conduisait sa voiture à travers la circulation avec son autorité naturelle. À coté d'elle, Charlotte ne savait pas
comment se tenir et gardait le visage tourné vers la vitre. Où allaient-elles ? Juliette n'avait même pas répondu à la
question. Elle flottait entre inquiétude et excitation, ivresse et émoi. À l'extérieur ne défilaient que des silhouettes
floues, échappées d'un mirage. Cette fois, elle savait que l'univers parallèle qu'elle s'était tant de fois décrit en secret
était tout proche, enfin accessible. La réalité peu à peu s'effaçait. À tout moment, elle s'attendait à ce que la main de
Juliette se pose sur sa cuisse. Une main douce glissant sa caresse sur le satin de sa peau. Ou une main dure au
contraire, agrippée à son corps. N'importe quel contact lui aurait plu, mais rien ne passait. Indifférente à la tension
de Charlotte, aux imperceptibles mouvements que faisaient celle-ci pour l'inviter à violer son territoire, à ces cuisses
bronzées que découvraient hardiment une minijupe soigneusement choisie, Juliette ne semblait absorbée que par
les embarras du trafic. Enfin, elle gara sa voiture devant la plus célèbre bijouterie de la ville et fit signe à Charlotte
de descendre. Toujours sans dire un mot, elle la prit par le bras et lui ouvrit la porte du magasin. Comme si on
l'attendait, une vendeuse s'avança vers elle, un plateau de velours noir à la main et leur adressa un sourire un peu
forcé. Sur le plateau étaient alignés deux anneaux d'or qui étincelaient dans la lumière diffuse de la boutique.
- "Ces anneaux d'or sont pour toi, chuchota Juliette à son oreille. Tu serais infibulée. Je veux que tu portes ces
anneaux aux lèvres de ton sexe, aussi longtemps que je le souhaiterai."
Charlotte accueillit cette déclaration avec émotion. Elle savait que dans les coutumes du sadomasochisme, la pose
des anneaux était une sorte de consécration réservée aux esclaves et aux soumises aimées. C'était une sorte de
mariage civil réservé à l'élite d'une religion qui professait l'amour d'une façon peut-être insolite, mais intense. Il lui
tardait à présent d'être infibulée, mais sa Maîtresse décida que la cérémonie n'aurait lieu que deux semaines plus
tard. Cela illustrait parfaitement la personnalité complexe de Juliette. Quand elle accordait un bonheur, elle le lui
faisait longtemps désirer. Le jour tant attendu arriva. On la fit allonger sur une table recouverte d'un tissu en coton
rouge. Dans la situation où elle se trouvait, la couleur donnait une évidente solennité au sacrifice qui allait être
célébré sur cet autel. On lui expliqua que le plus long était de poser les agrafes pour suturer l'épiderme du dessus
et la muqueuse du dessous. Un des lobes de ses lèvres serait percé, dans le milieu de sa longueur et à sa base.
Elle ne serait pas endormie, cela ne durerait pas longtemps, et serait beaucoup moins dur que le fouet. Elle serait
attachée seulement un peu plus que d'habitude. Et puis tout alla très vite, on lui écarta les cuisses, ses poignets
et ses chevilles furent liés aux pieds de la table. On transperça l'un après l'autre le coté gauche et le coté droit de
ses nymphes. Les deux anneaux coulissèrent sans difficulté et la brûlure s'estompa. Charlotte se sentit libérée,
alors même qu'elle venait d'être marquée pour signifier qu'elle appartenait à une seule femme, sa Maîtresse. Alors
Juliette lui prit la main droite et l'embrassa. Elle ferma les yeux pour apprécier plus intensément encore cet instant
de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes, d'émotion, de joie et de fierté. Personne ne pouvait comprendre
l'authenticité de son bonheur. Elles allèrent à La Coupole fêter la cérémonie. Leur entrée dans la brasserie fit
sensation. Juliette la tenait en laisse le plus naturellement du monde. Un serveur apporta une bouteille de Ruinart.
Charlotte sortit de son body transparent les billets qu'elle tendit au garçon littéralement fasciné par le décolleté
qui ne cachait rien de ses seins. Les voisins de table les épiaient plus ou moins discrètement. Ils n'avaient sans
doute jamais vu auparavant une jeune fille tenue en laisse par une femme, attachée au pied de la table, payant
le champagne à ses amis. Elles sortirent d'une façon encore plus spectaculaire. Aussitôt passé le seuil, Juliette
l'obligea à rejoindre, à quatre pattes, la voiture laissée en stationnement juste devant la porte de la brasserie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je me glissai le plus discrètement possible sous la couette, en scrutant le visage de Xavier, bien résolue à ne
pas le réveiller. Il ne bougeait pas. J'éteignis la lampe de chevet, me retournant sur le flanc. Il ne bougeait toujours
pas. Mais juste au moment où mon esprit commençait à s'apaiser, où mes membres se détendaient entre les draps
frais, je sentis ses jambes se coller aux miennes. Son corps bien vivant. Xavier m'enlaça et écrasa son pelvis contre
mes reins. Je demeurai sans réagir, en priant pour qu'il se rendorme, en me détestant de le souhaiter. Mais hélas,
il se rapprocha et m'embrassa dans le cou. Je fus parcourue d'un frisson, que Xavier interpréta comme un signe de
plaisir. Il effleura ma peau hérissée par la chair de poule, ce qu'il prit pour un symptôme prometteur et une invitation.
Au tout début de notre relation, je pensais qu'il était l'homme qui embrassait le mieux de la terre. Je me souvenais
encore de notre premier baiser, un instant de pure transcendance. Au terme d'une soirée agréable passée au
restaurant et après un dernier verre dans un bar de nuit, il m'avait attirée contre lui pour le plus incroyablement doux
baiser que je n'avais jamais reçu, une caresse subtile des lèvres et de la langue, avec une juste combinaison de
passion et de sensualité. De toute évidence, Xavier avait eu tout le loisir de peaufiner sa technique, puisqu'il était
un des hommes les plus connus et les plus sollicités que j'avais jamais rencontrés. Pourtant, depuis quelques mois,
j'avais l'impression d'embrasser un inconnu, et cela n'avait rien d'un fantasme excitant. Cette bouche que je trouvais
autrefois douce et sensuelle me semblait de plus en plus froide, humide et d'un contact déplaisant. C'est avec trop
de voracité que sa langue cherchait la mienne désormais, que ses lèvres étaient engourdies ou trop charnues.
Chaque caresse me faisait l'effet d'un viol. Autrefois, pourtant, le sexe avec lui avait été fantastique. Quand Xavier
était moins disponible, plus assidu aux jeux de la séduction, moins collant, moins impatient de se caser avec une
fille plus sérieuse que toutes celles, frivoles et inconstantes, qu'il avait fréquentées entre vingt et trente ans. Une
époque qui semblait se perdre dans la nuit des temps. L'offensive me prit au dépourvu. Soudain, avant que j'ai pu
comprendre ce qui se passait, il avait baissé mon shorty jusqu'aux genoux et s'était collé contre moi. Je voyais ses
bras puissamment musclés saillir sous son menton et les appuyer sur ma gorge. Je lui demandé avec véhémence de
desserrer son étreinte, par chance l'obscurité m'empêchait de voir son visage. Je finis par m'endormir peu avant
six heures. Mais ce n'est que plusieurs heures plus tard, en pleine réunion, tandis que la fatigue m'embrumait l'esprit
et rendait mon élocution laborieuse, que je me souvins de ma dernière pensée avant que le sommeil ne me happe.
Je repensais à cette soirée au cours de laquelle mes amies s'étaient mises au défi de réformer leur vie. Florence
allait élargir son champ d'expériences en collectionnant les aventures. Anne était résolue à s'essayer aux joies de la
monogamie. Dix jours avaient passé, et je n'avais toujours pas trouvé comment m'associer à ce projet. Jusqu'à cet
instant. Ne serait-ce pas opportun d'annoncer que j'allais mettre un terme à cette relation sentimentale insatisfaisante.
Même si j'étais terrifiée à l'idée de me retrouver seule. Je m'efforçai de penser à autre chose, à mon prochain voyage.
J'assistai à un cocktail pour un prix littéraire organisé par une prestigieuse maison d'édition parisienne. Si mes collègues
ne se décidaient pas à remballer leur insupportable verbiage dans les dix minutes, je serai en retard pour un dîner.
J'allais discrètement m'éclipser quand le visage radieux de Claire apparut. Elle était réellement lumineuse ce soir dans
sa robe noire courte et moulante, glamour et sexy, avec une pointe d'élégance empruntée à Jackie Kennedy, un collier
de perles ras du cou. Sa présence qui ne passait pas inaperçue dans l'assemblée me sauvait d'un ennui profond.
- Bonjour, Claire, tu vas bien ? Tu es vraiment lumineuse. Il faudra que tu me donnes ton truc.
Elle me regarda avec un regard encore tout chaviré de sa rencontre avec lui, mais cela je ne le savais pas.
- J'ai une recette incroyable, que nous nous passons d'amies en amies, je t'en parlerai quand tu voudras.
Notre conversation dériva sur notre domaine d'activité et la soirée fut un moment très agréable. Trois jours plus tard,
au cours d'une réunion plus qu'ennuyeuse, le visage de Claire réapparut dans mes pensées vagabondes. Avec le
recul, elle m'apparut encore plus resplendissante que jamais. Dès qu'un moment libre se présenta, je décidai de
l'appeler. Après le bonjour rituel, j'osai aborder le sujet directement, mourant d'envie de connaître son truc.
- Écoute, mon secret, c'est un homme, mais pas n'importe quel homme. Je ne le connais pas, il vient chez moi
une fois par semaine. Je l'attends, les yeux bandés. Il a les clés et dès qu'il arrive, il mène le jeu. Il m'a fait
découvrir un plaisir incroyable, basé uniquement sur le sexe. Il n'y a pas d'amour, pas de partage. Il ne parle pas.
Ses mains, son corps, son pénis: il met tout en œuvre pour que je jouisse. Un homme que pour l'orgasme.
- Tu te laisses baiser par un homme que tu ne connais même pas, mais tu es complètement folle.
- Au début, j'étais comme toi. Plutôt prudente et méfiante. Mais l'idée a fait son chemin. Un jour, j'ai franchi le pas.
J'ai donné mes clés. Le jour X est arrivé. J'éprouvais de l'appréhension. Je ne te parlerai pas de la suite, mais tout
ce que je peux te dire, c'est qu'aujourd'hui, je ne peux plus m'en passer. Si tu veux profiter de ses visites, c'est très
simple, tu m'envoies un trousseau de clés avec une étiquette où tu précises ton adresse, ton téléphone, et quel jour
de la semaine tu veux baiser avec lui.
Je reposai le combiné, troublée. Ouvrir ses cuisses, se laisser pénétrer par le sexe d'un homme que je verrai jamais:
incroyable; moi si classique, si traditionnelle, j'ai un amant certes créatif mais dont je connais toutes les fantaisies.
Baiser avec lui est un havre de bien-être, de complicité. Nos sexes se connaissent et se reconnaissent. Un passage
aux toilettes me fit découvrir l'effet de cette conversation. Un jus clair, tiède s'écoulait de ma vulve, déjà en éveil à
l'idée d'une telle rencontre. Je ne pus m'empêcher de me caresser pour apaiser d'un plaisir au singulier son attente.
Me faire pénétrer par un homme que je ne connaîtrai jamais; le désir était né. Dès le soir, dans les bras de mon amant,
je lui ai demandé de me bander les yeux; j'ai pensé à lui, lui que j'attends déjà. Tout mon corps, mon esprit se sont
centrés sur son sexe, un membre superbe, tendu, turgescent, allant et venant. Le plaisir a envahi tout mon être. J'ai
hurlé comme sous ses coups, j'ai joui avec une telle intensité jusqu'alors jamais ressentie. Le lendemain, l'envie
était toujours là, pensée permanente trottant dans mon esprit. Toute la journée, j'ai essayé en vain de chasser ses
fantasmes. Mais tous mes sens s'opposaient vivement. L'idée semée au cours de la soirée avait grandi et se défendait
vigoureusement. Trois, quatre jours passèrent ainsi. Je restai dans une dualité qui ne m'apportait aucun répit. Un désir
de plus en plus fort s'imposait au fil des jours, qui profitait à mon fiancé tout surpris de retrouver une dynamique dans
notre couple. Xavier me demanda alors une explication, je lui répondis que je venais de remporter un très important
contrat face à une agence concurrente. En réalité, je ne me sentais pas bien; j'avais rompu l'équilibre que j'avais si
soigneusement réussi à construire. Le sixième jour, n'y tenant plus, je courus faire un double de mon trousseau de clé.
Je mis le trousseau dans une enveloppe et l'envoyai à Juliette. Un frisson incroyable me parcourut quand je la glissai
dans la fente de la boîte aux lettres, un avant-goût du plaisir animal qui prit place désormais dans ma vie. Je décidai
le jour même de ne plus porter de sous-vêtements sous mes robes, délaissant ma lingerie La Perla. Ce soir-là, je fis
l'amour avec un lâcher-prise qui laissa mon partenaire de jeu épuisé mais émerveillé. J'avais consenti à accepter l'un
de ses plus grands fantasmes, un triolisme érotique avec une très jeune fille désirable et infatigable. Le premier jeudi
arriva. Il fut au-delà de mes attentes; un moment rare. Depuis, ma vie a changé de couleurs: hier dans les couleurs
pastel, aujourd'hui, jaune, rouge, verte: elle brille aux éclats comme un arc en ciel après la pluie. Je l'attends. Dès que
je suis rentrée du bureau, j'ai pris une douche pour me détendre et chasser toute pensée professionnelle. Je me
suis massée afin d'assouplir mon corps, le rendre plus animal, plus félin. Je l'ai parfumé délicatement, nappant mon
intimité d'un voile odorant. Depuis que je le connais, j'ai rasé le duvet de mon pubis pour qu'il soit encore plus doux.
Je suis là allongée sur le lit, mes sens en alerte. Le plaisir est là qui tient en éveil mon bas-ventre; les pointes de mes seins
dardent dans l'attente de ses morsures. Mes yeux masqués ne voient plus le soleil ambiant. Soudain, j'entends la clé dans
la serrure, qui la pénètre aussi efficacement que son sexe pénètre le mien. Il se déshabille sur le chemin qui mène à ma
chambre, lançant ses chaussures sur son passage. Le frottement de sa chemise et de son jean sur sa peau est la plus
douce musique, prélude à notre étreinte. Pour le reste, je suis incapable de savoir s'il porte un slip ou non. Il ne vient jamais
directement dans le lit. Je sens son regard qui, centimètre après centimètre, prend possession de mon corps. Il ne me
touche pas et pourtant déjà celui-ci se rend sous le coup de l'émotion. Qu'attend-il pour me prendre, je suis en manque de
lui depuis une semaine. Il reste là à brûler ma peau. Je reste là à attendre, le sexe moite et impatient. Il se lève, rejoint le
lit d'un pas tranquille et monte avec la souplesse d'un félin. Je ne peux toujours pas le toucher, car c'est lui qui mène le jeu.
Il commence par mordiller les pointes de mes seins, en suçant les larges aréoles brunes, puis d'un coup me retourne
exposant mes fesses à la lumière. Il attrape mes mains, et avec des menottes, me les attache dans le dos. Sa langue
reprend sa douce promenade, découvre mollets, cuisses. Son trajet décrit des courbes ne pouvant me laisser prévoir aucune
logique. Sa langue se glisse entre mes fesses, vient forcer mon intimité, ôtant lentement avec une délicatesse infinie le bijou
anal qui lui interdisait l'accès à ma voie la plus étroite. Je dilate et je cambre pour mieux l'accompagner. Il la déflore avec un
doigt, l'éveille d'un va-et-vient progressif, un deuxième, bientôt un troisième viennent rejoindre le premier. Je commence à
partir, mes mains emprisonnées ne peuvent partir à sa découverte et me saisir de son sexe entre mes doigts.
Il ose me prendre comme peu d'hommes ont osé. Il ne tient pas compte de mes cris, de mes suppliques: il fouille, prend,
envahit, me fait mal, me libère pour mieux me reprendre. Quand il me sent au bord de l'extase, il me retourne. Sa langue
reprend mon sexe, le suce avec avidité. Je hurle, j'aime sa douceur, sa force, sa violence, la chaleur de sa langue tonique.
Je m'ouvre, impudique pour que ma chatte béante capte chacun de ses coups de langue, pour qu'il me pénètre au plus
profond. J'ose lâcher tout l'animal qui est en moi, être pute, offerte, libre dans mon plaisir. À aucun moment, je ne me sens
menacée ni jugée, je suis libre au pays d'Éros; une liberté qui me rend aussi dépendante de lui que d'une drogue.
Je suis accro de sa peau, de sa bouche, de ses mains, de sa queue qui me délivre d'une attente d'être. Je le supplie de
me pénétrer. Enfin, il répond à mon impatience et entreprend la découverte de mon sexe avec ses doigts. Quel plaisir de
m'ouvrir, coulant sous le désir de ses caresses sur mon clitoris, mes petites et grandes lèvres. Mon corps se déchaîne; mes
reins se cambrent pour mieux me livrer. Je brûle. Je perds toute pudeur. Mon vagin, mon anus, ma bouche, mes plis, ma
chair veulent être pénétrés. Je le supplie. Esclave, je lâche prise. Son gland rosé, gonflé caresse le sillon de mes fesses.
Il entre, je m'offre, je me laisse envahir, je suis pleine, je le guide, je rythme ses va-et-vient. Je suis lui, il est moi. J'aime
d'être enfournée de sa queue si dure, campée, enfilée. Son plaisir est rapide, mais il se retient. Quand je le sens prêt, je
l'appelle par mes parois et ma voix. Il crie, longtemps, au même rythme qu'il se vide en moi. Je happe ses jets, les suce,
les conserve. Il s'effondre sur moi. Je suis dans l'entre-deux, espace intemporel, le voyage s'achève et la vie reprend.
La trêve est terminée. Il me retire mes menottes. Il s'écarte de moi. Puis laisse ma peau abandonnée de son contact.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Bonjour à toutes et à tous.
Je souhaite aborder ce sujet qui est à la fois vaste et complexe, afin de vous faire part de mon expérience personnelle et pour recueillir vos avis/critiques le cas échéant. Avant de me lancer, je tiens à préciser que je n'ai pas effectué de recherches sur le sujet, ni lut de livre et je ne tiens pas à donner un aspect scientifique à cet article. Ce que je vais tenter d'expliquer n'est que l'agglomération de nombreuses années de pratiques et d'expériences. J'essaie de mettre des mots sur un phénomène qui au final relève de l'instinct et de la pensée, il n'y a rien de tangible et ce sont ces mots qui vont le rendre concret en quelque sorte.
Pour introduire le sujet, je vais commencer par vous décrire ce que j'entends par auto-conditionnement (ou auto-persuasion). Pour moi c'est le fait d'agir sur la psyché au niveau du subconscient, de la mécanique du cerveau. Cela permet de changer la réaction, la perception ou le fonctionnement du cerveau sur des points, des situations ou des sentiments précis. Plus concrètement, cela permet de modifier les connexions que votre cerveau a établi suite à vos expériences de vie (chocolat=léger/bon=douceur/bien être). Avec l'auto-conditionnement vous allez pourvoir faire ceci (chocolat=lourd/mauvais=malaise/culpabilité) ou bien ceci (chocolat=lourd/bon=douceur/culpabilité) ou ce que vous voudrez. La seule limite à ces combinaisons c'est votre imagination, votre capacité à comprendre les choses et les percevoir, car pour implanter ou modifier une émotion, un sentiment ou une idée, il faut d'abord comprendre et appréhender votre vision de l'idée/émotion/sentiment, sans ça vous ne pourrez pas faire le lien. Pour reprendre le chocolat, si vous ne savez pas ce qu'est le bien être ou que n'avait aucune idée de comment vous le percevez, vous ne pourrez pas tenter de l'intégrer. Voici un exemple concret sur ce que j'ai fait plus jeune. Au collège il m'arrivait tomber amoureux à cause de petits détails, un sourire à un moment précis, une attitude, une phrase ou autre. Etant assez timide et introvertie à l'époque, je n'osais pas aller la voir et de ce fait je souffrais dans mon coin. Je mettais un moment à m'en remettre (1 mois en général), une fois cette fille sortie de ma tête, au bout de quelques temps je finissais par retomber amoureux et tout recommençait. Pendant l'une de ces périodes amoureuses j'en ai eu marre de souffrir et j'ai décidé de me la sortir de la tête par la force. Je l'ai imaginé dans une plaine par un temps d'orage, qu'un éclair la frappe et la réduise en cendre. Je fus assez surpris de voir que tous les sentiments que j'associais au fait de penser à elle ont disparu après que je l'ai imaginé en cendre. J'ai recommencé le processus à chaque fois qu'elle s'imposait à mon esprit et au bout de quelques jours mes sentiments ont disparu, pour ne laisser que du vide lorsque je pensais à elle. Ce fut une vraie révolution pour moi car j'avais abattu en une poignée de jours ce qui m'en prenait 30 habituellement, mon auto-conditionnement était née.
Avant de rentrer dans le vif du sujet un petit point vocabulaire me semble nécessaire car je vais employer des mots qui, dans d'autres contextes, peuvent avoir une autre signification. Cela nous permettra d'avoir un vocabulaire commun et au final une meilleure compréhension.
Assimilation : Cela représente une suite de réactions suite à un stimulus unique, en associant plusieurs réactions ensemble, elles viennent à la suite de l'autre ou en même temps (vous mangez toujours le même repas devant le même film avec la même musique de fond, donc quand vous entendrez, verrez ou goûterez l'un de ces éléments les autres vous viendront automatiquement).
Agglomération : C'est l'idée de complexifier une idée ou une émotion en rajoutant des réactions en plus de celles déjà présentes, pour l'étoffer ou la complexifier.
Câblage : Cela représente le réseau de connexions liant les différents "points" sur lesquels nous décidons d'agir. C'est la compréhension de ce réseau de connexions qui m'a amené à tester différentes combinaisons. Pour vous faire une idée plus concrète de ce que je vois comme le câblage et les connexions, voir la photo plus haut, c'est cette image qui a mis en branle tout le processus. Les connexions du standard sont reliées par un câble qui met en contact deux personnes.
Effacement : Quand une pensée s'impose à l'esprit sans le "consentement" de la personne, elle et ses réactions peuvent être supprimer par l'effacement (Voir l'exemple de la fille et de l'éclair plus haut). Entrée : Cela représente le stimulus de base, l'événement qui déclenche la ou les réactions.
Modification : Un stimulus entraîne une réaction donnée dans le cerveau et le but de la modification c'est de remplacer cette réaction par une autre, c'est un peu le B A BA de l'auto-conditionnement, car peu importe ce que vous faites (effacement, assimilation...), vous faites une modification à la base (un stimulus de douleur entraîne "normalement" une réaction désagréable, la modification peut la transformer en quelque chose d'agréable). Sortie : Cela représente la/les réactions provoquée(s) par le stimulus. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
I Entrevoir le mécanisme de sa psyché
Pour pouvoir mettre en place l'auto-conditionnement, il faut que Vous fassiez un travail d'introspection afin de pouvoir déterminer vos réactions aux différents stimuli. Ce n'est pas facile car il faut être capable de bien différencier les différentes réactions quand il y en a plusieurs, si vous ne pouvez pas détacher chaque émotion/pensée les unes des autres vous ne pourrez pas agir sur une en particulier. Pour reprendre l'image du standard, la source rentre par un trou, l'entrée, passe par le câble pour aller dans le trou opposé, la sortie, (en cas de réactions multiples, le câble est unique à l'entrée, mais ce multiplie en autant d'émotions/pensées que vous en émettez à la sortie).
Donc pour pouvoir agir sur notre psyché il faut changer le trou de sortie. Pour reprendre l'exemple du chocolat l'on a l'entrée (le fait de manger le chocolat), l'information passe par le câble et ressort vers la sortie que votre psyché associe au bon (vous trouvez le chocolat bon). Si vous estimez que vous mangez trop de chocolat vous pouvez soit changer le trou d'arrivée, c'est une modification (de bon cela passera à mauvais), soit ajouter une autre sensation, assimilation (la culpabilité par exemple) en dédoublant le câble à l'arrivée.
Au fur et à mesure que vous effectuez cette modification/assimilation votre cerveau va changer sa façon de réagir au chocolat et quand vous y penserez, une sensation désagréable vous envahira (comme celle d'un plat que vous n'aimez pas manger), ce qui coupera votre envie de manger du chocolat. Il n'y a pas de schéma type car la psyché de chacun(e) est unique, construire de par vos expériences, votre mode de pensée et votre perception de ce qui nous entoure. Il y a bien des sensations communes (beaucoup de gens trouvent le chocolat bon) mais chacun le trouvera bon à sa façon et aimera un chocolat différent.
II Comment effectuer l'auto-conditionnement ?
Un dessin vaut mieux que mille mots, de ce fait je vais vous donner un autre exemple de ce que j'ai fait. Plus jeune j'avais un souci de confiance en moi qui me minait, combiné à la timidité cela devenait handicapant. Après avoir fait un travail d'introspection, je me suis rendue compte que dans les moments cruciaux j'ai toujours bien agi et fait ce qu'il fallait, quand il fallait assurer et bien j'ai assuré. Au lieu d'essayer de comprendre la raison de ce manque de confiance en moi (ce qui aurait pu prendre des années), j'ai décidé d'implanter cette confiance car je ne voyais pas de raison de douter de moi vu ce que j'avais fait et ce dont j'étais capable. Pour rendre effective cette confiance, il a fallu que je m'imagine dans une situation ou le doute se fait sentir, une fois le manque de confiance installé en moi j'ai associé ce sentiment aux moments où j'ai été aptes à gérer la situation pour faire naître un sentiment de confiance. Au départ rien ne s'est produit et j'ai dû recommencer l'opération pas mal de fois, mais au bout d'un moment quand le sentiment de manque de confiance en soi se faisait sentir, les situations et la confiance en moi me venait automatiquement à l'esprit (par effet d'association), ce qui gomma petit à petit l'impression de ne pas être capable de faire quelque chose pour laisser place à l'assurance d'en être capable.
A me lire cela parait simple et en effet avec la bonne méthode et surtout de la répétition c'est simple. Après c'est comme pour tout, que ce soit dans la vie professionnel, dans le BDSM ou la vie de tous les jours, pour être bon à quelque chose il faut pratiquer, apprendre et pratiquer à nouveau. La répétition crée une habitude dans votre cerveau et une fois cette routine mise en place, il fera le boulot tout seul.
III Comment mettre en place un auto-conditionnement ?
Comme dis plus haut le secret c'est la pratique et de créer une habitude mentale, je vais prendre un exemple dans le BDSM pour illustrer mes propos. Lors d'une de mes précédentes relations, j'ai suivi un entrainement pour aimer la douleur. Ma Maîtresse a instauré une habitude de 10 coups de fouet à chacune de Ses convocations, non comme punition mais comme moyen de m'habituer à la douleur. Au début lorsque le fouet me cinglait le dos, je me concentrais sur autre chose, j'envoyais mon esprit ailleurs afin de mieux supporter la douleur, mais j'ai remarqué qu'au lieu d'aimer souffrir pour Elle, je ne faisais qu'augmenter mon seuil de résistance. J'étais vraiment reconnaissant envers Elle pour Son dressage, de me faire évoluer en tant que soumis dans mes pratiques et ma mentalité et j'ai vraiment eu envie de souffrir pour Son plaisir, de sentir Son excitation à me faire mal et à se nourrir de ma douleur.
Afin de mieux progresser, j'ai commencé à penser à des pratiques qui provoquait du plaisir et de l'excitation en moi, je m'imaginais ramper à Ses Divins pieds pour les lécher, pour y déposer des baisers d'adoration, pendant que dans la réalité mon dos était lacéré. Cela porta partiellement ces fruits, car cela implanta en moi une envie de souffrir pour Son plaisir. J'ai compris cela lors d'une séance ou Elle invita Une autre Dominatrice et que je fus Leur jouet de plaisir et Leur souffre-douleur. J'étais à quatre pattes en train de m'occuper de l'invitée de Ma Maîtresse, lorsque celle-ci me cravacha le dos, j'en fut terriblement excité et le plaisir et la douleur se mélangèrent. Ayant la bouche pleine, je ne pus manifester mon plaisir que par un "Humpf" mais ma vraie récompense fut quand Ma Maîtresse me parla "C'est fou comme tu m'excites salope, viens par-là t'occuper de moi". Je me suis dirigé vers Elle (toujours à quatre pattes) avec les yeux brillant de bonheur et en effet quand j'eu la chance de pouvoir vénérer Son sanctuaire, je ne l'ai jamais sentie aussi humide et excitée. J'avais pu transmettre ma douleur et mon plaisir à Ma Maîtresse pour qu'Elle puisse s'en rassasiez, ce fut une évolution dans mon parcours de soumis. ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Pour conclure en quelques mots, si vous voulez pratiquer l'auto-conditionnement, la première chose à faire et de savoir où vous voulez aller, ce que vous voulez modifier (ou autre) et par quoi vous voulez le remplacer. Une fois cela fait, il vous suffit de vous recentrer en vous même pour pouvoir ressentir vos émotions et suivre le processus que votre cerveau applique. Enfin la troisième étape, il faut que vous interveniez sur ce que vous voulez modifier et le remplacer par ce que vous souhaitez. Cette pratique peut se résumer en trois mots : réflexion, introspection et application. Voilà, j'espère que cet article vous aura plus malgré les nombreux aspects théoriques, ce fut assez délicat de transmettre en mot ce qui se passe dans ma tête et j'espère m'être acquitter de la tâche honorablement.
Merci à vous d'avoir lu jusqu'au bout et si l'article à plus je ferais une autre partie pour décrire plus en détail les différentes méthodes de la partie vocabulaire. Je tiens à remercier la personne qui m'a aidé à trier mes idées en discutant avec moi ainsi que de son avis qui m'a permis de peaufiner cet article. Bonne journée/soirée à vous.
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Lorsqu'elle s'éveilla, le soleil déjà haut dans le ciel, s'était engouffré dans la chambre et la
transformait peu à peu en étuve. Juliette rejeta les draps humides entortillés autour d'elle.
Le radioréveil lui indiqua qu'il était plus de onze heures. Tout le monde avait dû partir au
travail maintenant. Une journée comme les autres commençait dehors. Elle avait mal dormi.
Elle se mit à trembler de façon nerveuse, elle savait qu'elle jouait gros maintenant, il lui aurait
été facile de couper court à cette relation de soumission et de poursuivre sa vie de femme
d'affaires à laquelle rien ne résistait, mais son estomac se serra, la chaleur du désir l'envahissait,
l'irrésistible envie de découvrir un univers totalement inconnu pour elle, celui de l'abnégation.
En s'habillant, toutes les bonnes résolutions de la nuit s'étaient envolées. Elle rendit les armes.
Lorsqu'elle arriva à son bureau, Juliette portait un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait
particulièrement avant que Chloé ne lui impose des tenues provocantes; celui-ci, gris anthracite
était composé d'une jupe droite lui arrivant juste au dessus des genoux et d'une veste croisée
sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur un collier de perles fines; sous ce
chemisier, un soutien-gorge balconnet transparent aux baleines rigides, rehaussant ses seins
aux larges aréoles brunes; comme l'avait exigé sa nouvelle maîtresse, sous sa jupe, rien qu'une
paire de bas fins noirs, un porte-jarretelle de la même couleur, et un plug anal destiné à l'élargir.
Elle sentait l’étau se resserrer sur elle, et pourtant cet étau, c'est elle qui l'avait mis en place, elle une femme de
pouvoir, fière et crainte de tous, une femme de décisions, froide en affaires, distante avec ses subordonnés.
Laurence avait exigé d'elle qu'elle séduise Chloé, la jeune stagiaire que Juliette venait d'embaucher. Elle y
parvint facilement car cette jeune fille, sous ses apparences innocentes, était en fait une jeune femme très
libérée qui avait compris tout l'intérêt qu'elle pourrait tirer de la situation. Bien que n'étant pas lesbienne, elle
accepta cette relation inédite, mais elle se rendit vite compte que Juliette, sous ses attitudes hautaines avait
des comportements qui laissaient deviner qu'elle était d'une nature soumise, alors elle décida de la tester.
Juliette se sentant prise à son propre piège, se retrouvait maintenant à quarante-deux ans à la merci de ces deux
gamines de vingt-trois et dix-neuf ans, mais paradoxalement de ce piège démoniaque elle jouissait, son esprit rejetait
cette situation mais son corps la demandait. C'était une femme qui avait beaucoup de classe, se tenant très droite,
toujours habillée avec élégance, ses cheveux châtains souvent coiffés en chignon; sportive elle avait gardé un corps
ferme et bien proportionné avec une poitrine superbe. Arrivant au bureau son sang se glaça quand elle vit Laurence
souriante dans le hall qui discutait avec Chloé, un café à la main.
- On va aller à ton bureau on a des choses à te dire.
Tremblante elle les précéda, les deux jeunes femmes s'assirent, Juliette allait s'asseoir quand Laurence la stoppa.
- Reste debout.
- Ecoutez, j'en ai assez de tout ça, on est allé trop loin, je ne vous en veux pas mais restons en là, je vous prie, je
reconnais que c'est un jeu excitant mais je ne veux pas que ça interfère dans ma vie professionnelle.
- C'est justement de ça que nous discutions avec Laurence, ne t'inquiète pas, nous n'en voulons pas à ton argent,
tout ce qui se passe et qui se passera entre nous est strictement privé, on veut juste te faire comprendre qu'une femme
comme toi n'est qu'une femme ordinaire, tu te crois supérieure ? Alors on va te faire comprendre la vie, tu m'as souvent
humiliée, traitée comme une moins que rien mais en vérité, tu es juste une salope.
- Je t'avais prévenue, je t'ai demandé si tu savais à quoi tu t'engageais en acceptant de m'appartenir, tu as dis oui il me
semble... Alors, tu es à moi, point final.
- Tu es une salope, dis-le.
- Je... Je suis une salope.
- Voilà au moins c'est clair, alors écoute bien ce que je vais te dire. J'en ai mare de toi, j'ai plus envie de te voir, maintenant
tu es devenue une vraie gouine et j'aime pas les gouines, je préfère les bites bien dures, alors je te donne à Laurence, c'est
une brave fille mais elle a envie de s'amuser un peu avec toi, donc tu l'écouteras comme si c'était moi. Ok ?
- À toi de jouer, Chloé.
Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à ses bureaux, Chloé étant à l'accueil, lui fit un clin d'oeil, Juliette détourna le regard
faisant mine de n'avoir rien remarqué. Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte de son bureau.
- Oui entrez.
Chloé entra et referma la porte.
- Tu m'ignores ?
- Non Chloé, mais nous sommes au bureau ici, c'est différent.
- Différent de quoi ? Tu me prends pour une imbécile ? Tu veux que j'appelle Laurence ?
- Non ne fais pas ça, je ne veux pas me facher avec elle et puis tu es une amie maintenant, je te prie de m'excuser,
je ne voulais pas te vexer.
- Ton amie ? Je vais te montrer si on est juste amies.
Chloé s'approcha d'un pas vif et l'embrassa à pleine bouche fourrant sa langue au plus profond de sa gorge, puis lui
mordit les lèvres. Juliette, les mains posées sur son bureau, crispa les papiers qu'elle avait sous les mains. Chloé lui
lui saisit la main droite et la lui fourra entre ses cuisses.
- Vas-y branle moi.
Juliette était morte de peur et résista.
- Tu veux que je te le dises plus fort ? Ça ferait mauvais effet non ?
Juliette céda, Laurence jouissait de la situation, elle sentait que sa patronne cédait à ses caprices.
- Plus vite, mieux que ça.
Chloé, pendant ce temps malaxait la poitrine de Juliette, par dessus son chemisier puis elle lui saisit sa main et la
fourra sous son string.
- Tu sais très bien où il faut caresser, je n'ai plus envie de te le demander, je veux un orgasme.
Elle s'appliqua sur son clitoris, puis au bout d'un moment, Chloé lui prit la main fermement et l'amena sur le canapé en
cuir du bureau, elle la positionna la tête sur un accoudoir, puis elle écarta les cuisses et se positionna à cheval au dessus
de sa tête.
- Vas-y suce moi, et fais le bien.
Juliette lui suça le clitoris, Chloé s'accroupit un peu plus de façon, à ce que sa patronne ait la bouche et le nez fourrés
dans sa vulve, puis la jeune fille se retourna, se baissa et lui mit ses fesses au niveau de sa bouche puis elle écarta ses
cuisses avec ses deux mains, sa position était inconfortable, mais ça valait le coup.
- Suce moi le cul, Laurence m'a dit que tu le faisais bien.
Pendant ce temps, Chloé se caressait le clitoris et Juliette, elle aussi se caressait le sien. Rapidement elles jouirent toutes
les deux puis Chloé se releva et se retourna vers elle.
- Laurence avait raison, tu es une vraie salope, mais avec moi tu vas l'être encore plus, d'abord quand on aura des
relations, je ne veux plus que tu te caresses, tu te caresseras quand j'aurais fini et je te surveillerai. Ton but ce sera de me
faire jouir, moi je m'en fous de toi, tu auras le droit de te caresser, après toute seule. C'est ok ?
- Maintenant, enlève tout ce qui te reste. Mets-toi toute nue, couche-toi à plat ventre, croise les chevilles et mets les mains
dans le dos. Allez. Exécution.
Tandis que, s'étant agenouillée, Juliette obéissait en silence, elle entendit Chloé sortir de son sac un objet qui tintait de
façon métallique.
- J'ai acheté quelque chose pour toi. Un beau jouet. Tu vas adorer, j'en suis sûre. Donne-moi tes bras.
Deux claquements secs et les poignets de Juliette furent pris dans les collets d'une paire de menottes. Chloé la poussa
à plat ventre, lui plia les jambes à l'équerre et emprisonna ses chevilles de la même manière.
- Ce ne sont pas des menottes ordinaires, espèce de chienne. Tu vois, il y a quatres bracelets accrochés au même
anneau. Voilà ce qui s'appelle être pieds et poings liés. Cela te plait ? Si je voulais, je pourrais être vraiment cruelle
avec toi, Juliette. Contrainte ainsi, je saurais bien te faire hurler en te fouettant jusqu'au sang. Mais tu aimerais trop.
Dans le fond, ça t'excite beaucoup d'être soumise ainsi. C'est parfait, tu vas voir, on va bien s'amuser ensemble.
Puis Chloé se dirigea vers la porte et avant de sortir se retourna pour contempler Juliette.
Le lendemain matin, lorsque elle arriva au bureau, elle était vétue de son tailleur gris anthracite, classique, jupe très au
dessus des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons hauts. Chloé, quand elle la vit arriver lui fit un clin d'oeil, elle lui
répondit par un petit sourire géné. Cinq minutes plus tard, on frappait à sa porte, sans attendre de réponse, Chloé entra et
referma la porte puis vint s'asseoir sur une chaise en face de Juliette.
- Bon, je suis contente de toi, je vois que tu commences à t'y faire, on va passer à l'étape suivante, tu vas aller chercher
des cigarettes mais ensuite tu t’assiéras à une table et tu commanderas un café, je ne serais pas loin de toi mais on fera
comme si on ne se connaissait pas, je vais t'appeler, tu mettras un écouteur à l'oreille, on sera en ligne et je te donnerai
des instructions. Rassure-toi, on est dans ton quartier et je ne te demanderai pas des choses extravagantes.
Juliette fit un geste de la tête pour montrer qu'elle avait compris. Elle arriva donc dans le bar-tabac et acheta les cigarettes
puis elle alla s'asseoir au fond de la salle et commanda un café. Ce jour-là elle avait opté pour une jupe classique noire au
dessus des genoux et une veste cintrée grise. Sous cette veste, elle portait un chemisier blanc en satin. Tenue tout à fait
classique sauf que Chloé lui avait interdit de porter un soutien-gorge, la poitrine de Juliette était ferme de sorte qu'on
devinait bien les pointes à travers le chemisier, vu la taille généreuse de cette poitrine, lorsqu'elle marchait, elle ne pouvait
empêcher un balancement de ses seins.
Cela ne dura pas longtemps, une habituée de la brasserie qui l'avait observée depuis le début se dirigea vers elle pour lui
demander l'heure, puis lui demanda si elle pouvait s'asseoir à sa table. Accepte, entendit-elle dans l'écouteur. La femme
qui devait avoir une trentaine d'années portait un jean et un tee-shirt, elle était séduisante, avec des cheveux coupés courts;
elle commanda un café, puis souriante, commença à lui parler de tout et de rien, observant d'une manière très peu discrète
sa poitrine entre sa veste entrouverte. Juliette rougit de cette situation, elle n'avait pas l'habitude de parler à une inconnue.
Enlève ta veste, entendit-elle dans son écouteur. Hésitant un moment elle finit par obtempérer. Bientôt, l'inconnue sortit un
mouchoir et s'essuya les lèvres, la poitrine de Juliette à travers ce léger chemisier satin était plus que devinable. Alors
prenant cela pour une invitation, elle s'approcha d'elle et lui glissa à l'oreille:
- J'habite à côté, tu viens ?
Elle entendit dans son écouteur:
- Accepte et surtout, céde à toutes ses exigences. Retire discrètement ton plug anal et donne le moi.
Je crois deviner ses fantasmes. Tu vas passer un bon moment avec elle. Elle aime l'anal et l'urolagnie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Maître Trépuissant éprouve un grand plaisir à contrôler ainsi le plaisir de ses soumis-esclaves.Le sexe de Marc la soubrette entre et sort de l’anus de la jeune Bianca au rythme des claquements des doigts du dominant. Les deux autres femmes sentent quant à elle leurs anus et leurs vagins se resserrer à l’écoute de ce petit bruit qui résonne si bien dans le silence du salon. Elles ont été soumises à Maître Trépuissant toutes les deux, elles ont appris à contrôler leur plaisir afin de pouvoir par la suite maîtriser celui des soumis. Elles ont connu la frustration des interdictions de jouir qui sont imposées pour la satisfaction du Maître et comme le chien de Pavlov, elles ont acquis des réflexes conditionnés qui persistent alors qu’elles sont devenues toutes les deux des domina chevronnées. Mais dans ce pavillon de la banlieue de Versailles qu’elles connaissent si bien pour y avoir vécu de nombreuses séances de dressage, leurs corps réagissent parfois encore comme lors de leur état antérieur, en soumises malgré leur changement de statut . Maître Trépuissant qui connaît bien ses anciennes soumises sourit intérieurement de la force du conditionnement qu’il leur a imposé. Il voit à leurs expressions le plaisir diffus lié au petit son répétitif du claquement de doigts. Cela lui procure une satisfaction intense, un pur plaisir cérébral rare , une jouissance intellectuelle difficile à décrire tant l’intensité en ce moment parfait est importante. Il n’est pas jusqu’au p’tit soumis qui ne réagisse à ce rythme claqué doucement. Sa tête dodeline d’un coté à l’autre bien qu’elle soit maintenue contre le torse de la jeune Julie. C’est un pur moment , un exemple parfait d’entente entre les protagonistes de séances de jeu bdsm. La jeune Bianca jouit de plus en plus, et Marc derrière elle commence à sentir ses genoux le brûler. Son plaisir s’amoindrit. Maître Trépuissant perçoit le changement sur le visage de la soubrette et d’un doigt relevé lui indique qu’il peut jouir sur le dos de Bianca. Marc se retire de l’anus si bien servi et de son sexe tendu jaillit un long jet de sperme chaud qui inonde le dos de la petite esclave. Il s’empresse de tout lécher avant que sa semence ne coule à terre comme un certain nombre de coups de fouet sur ses fesses ont fini par lui apprendre à le faire avec une grande célérité. Le p’tit soumis de Maîtresse Julie est très surpris de cette capacité et s’interroge : « saurait-il lui aussi se contrôler aussi rapidement ? » en cet instant il en doute fort, il est persuadé qu’il n’y arrivera pas, tellement ses éjaculations le vident de ses forces et l’obligent à se reposer. Dame Méphista le regarde d’un air interrogateur, un sourcil fin relevé vers son front et un petit sourire asymétrique sur les lèvres.
La jeune Bianca s’étire lentement comme elle sait en avoir le droit puis vient poser sa tête sur les chaussures de son maître avec un profond soupir de satisfaction. Elle est si heureuse de s’être ainsi offerte entièrement à cet homme si grand, si beau, si juste mais surtout si bon Maître. Avant de le rencontrer elle avait tenté la soumission auprès de deux autres dominants. L’un était assez âgé, et malgré de profonds et longs échanges sur un site spécialisé, puis des conversations téléphoniques répétées, elle avait été déçue de ce début d’apprentissage : il ne l’autorisait jamais à jouir, se satisfaisant lui de la grande frustration qu’elle laissait apparaître sur son visage rond. Il l’obligeait sans cesse à porter des tenues vraiment horribles, elle devait seule apprendre à se fister, il ne la complimentait ni ne l’encourageait jamais mais par contre s’adonnait à l’insulte, elle ne savait pas s’il était satisfait ou pas. Bien sûr la frustration fait partie du jeu, mais il doit exister un juste milieu, puis ce dominant âgé, malgré son expérience, ne lui apportait pas réellement satisfaction. Elle qui voulait connaître le plaisir sexuel de la jouissance n’y trouvait jamais son compte et ressortait désenchantée des rares séances accordées. Elle avait alors porté son dévolu sur un jeune Maître qui semblait toutefois expérimenté.La situation était très différente, malgré ses dires, il ne donnait que quelques fessées au début des rencontres, puis lui faisait l’amour un peu vivement, ce qui semble être appelé de l’amour vanille épicée. Encore une fois déçue,Bianca avait hésité à faire confiance une troisième fois. Ce n’est qu’après de longs échanges avec Méphista qui était encore soumise, qu’elle avait accepté de se joindre au couple. Son attente avait été enfin comblée et rapidement de soumise elle était devenue l’esclave du couple. Cette situation l’enchantait, elle continuait ses études d’infirmières au centre mutualiste de La Verrière , était logé chez le couple et n’avait que très peu de frais pour ses études. Elle avait ainsi économisé sur sa bourse d’étudiante pour s’acheter une petite voiture qui lui apportait un peu d’autonomie pour se rendre à l’école. Il lui était permis une fois par mois d’aller voir sa famille, mais celle-ci ne lui manquait guère. Elle se sentait bien plus en paix en présence de ses Maîtres. Sa situation d’esclave sexuelle lui apportait un vrai contentement, elle aimait les punitions, elle jouissait des humiliations, elle éprouvait une profonde satisfaction à être utilisée comme un jouet sexuel,réduite à ses orifices pour le plus grand plaisir de ses dominants. Elle avait découvert des capacités insoupçonnées jusque là. Elle lâchait facilement prise car sa confiance en eux était totale.Ils la laissaient s’entraîner et participer à toutes les courses de vélo qu’elle souhaitait. La soubrette Marc était attentif à ses besoins et à ses goûts, il lui préparait régulièrement des petits desserts sucrés et prenait soin d’équilibrer son alimentation. Par rapport à ses amies élèves infirmières elle s’estimait chanceuse . Elle se sentait sereine et épanouie dans son corps malgré son jeune âge.
Maître Trépuissant retourne s’asseoir dans la Méridienne délaissée par son épouse. Celle-ci garde un air rêveur sur le visage, il connaît cette expression : Madame souhaite encore jouer avec le p’tit soumis de son amie Julie. D’un clignement des yeux il lui donne un accord tacite.
Maîtresse Méphista pose sa tablette sur un guéridon au coin de la pièce et s’approche de Julie qui s’est relevée, son soumis à ses pieds. Elle l’enlace et lui murmure quelques mots à l’oreille. Julie se fend d’un magnifique sourire vers son ancien Maître et s’éloigne. Baptiste ressent un changement dans l’ambiance de la pièce, il tourne un regard inquiet vers les autres soumis mais ceux-ci restent impassibles. Marc a changé de position, il sert de repose-pied à Maître Trépuissant qui a déployé ses longues jambes. La petite jupe blanche de soubrette s’est relevée sur son dos afin que les chaussures du Maître ne soient pas en contact avec le dos humide de transpiration du soumis. Son derrière est bien relevé, son service trois-pièces pend librement entre ses jambes, son sexe ramolli est à peine visible derrière ses testicules plutôt grosse. Ses cuisses peu poilues sont tendues à la verticales et s’ajustent parfaitement à la hauteur du siège. Maître Trépuissant est très bien installé ! Il caresse doucement Bianca qu’il a fait allonger contre lui , la tête sur ses cuisses.
Julie regarde son p’tit soumis d’un air dubitatif. Il a l’air perdu, toujours à même le sol les membres repliés, seul son derrière est redressé pour bien présenté son anus à la domina.
Celle-ci s’est équipé d’un gode ceinture qu’elle a fixé à sa taille . Le diamètre en est modeste mais le sphincter de Baptiste n’a connu que des doigts de femmes plutôt fins. Il a été décidé d’y aller progressivement et de commencer par le petit gode. L’idée n’est pas de le faire fuir, mais plutôt de stimuler une réelle sodomie qui est le but final à atteindre. Méphista a attrapé un tube de gel lubrifiant sur la table et en a déposé une noisette près du petit orifice vierge. Baptiste frémit de crainte quand le froid du gel pénètre son anus. Méphista lui caresse la tête et lui parle gentiment « ne t’inquiète pas petit chien , je sais faire, je vais te préparer, tu n’auras pas mal. Enfin pas trop » murmure-t-elle dans un léger ricanement. Elle sait que les premières pénétrations sont souvent douloureuses. L’appréhension limite la dilatation de l’oeillet malgré le gel qui assouplit un peu.Alors Méphista prend son temps , elle caresse autour de l’orifice, donne un petite tape sur la fesse rebondie, et lui caresse aussi la tête pour le rassure.Elle introduit un index long et fin , le fait entrer et sortir , puis passe au majeur. Elle joint les deux doigts , et en ajoute un troisième puis tente le quatrième. Baptiste n’est pas prêt et tente d’échapper aux doigts inquisiteurs. Sa position ne le lui permet pas et un coup de ceinture claque près de lui. Il sursaute et se met à trembler. Julia se rapproche, prend le cou du jeune homme entre ses mains et positionne de nouveau sa tête contre son sein en souriant à sa complice.Le p’tit soumis rassuré se détend un peu et la domina recommence à masser son anus.Elle y introduit de nouveau ses doigts un à un et s’aperçoit que l’intervention de Julie a été bénéfique, l’anneau se dilate très bien. Elle s’agenouille alors derrière le soumis et commence à approcher le gode tout en continuant le massage. Baptiste se crispe un peu mais il a donné son accord à Julie. Il a dit qu’il accepterait une sodomie préparée bien qu’il ne l’ait jamais pratiquée.Mais il veut être un bon soumis pour sa Maîtresse versaillaise si élégante, si belle, si souriante si...si belle domina. Il ne veut pas lui faire honte devant ses amis. Même s’il ne connaît pas tous les tenants de l’histoire, il est conscient qu’il s’agit d’un test, non seulement pour lui mais aussi pour Julie. Il entent son coeur battre fort sous sa poitrine généreuse. Il ne veut pas la décevoir et tiendra ses engagements. Dame Méphista va le dépuceler avec son gode, malgré sa peur il ne fuira pas l’épreuve. A ce moment là il sent le plastique qui commence à forcer sa rondelle. La main douce de Julie caresse sa tignasse tendrement, il essaie de régler sa respiration sur la sienne, il se concentre sur leurs souffles mêlés pour ne pas sentir le viol de son intimité. Bien sûr il a donné son accord , bien sûr Dame Méphista le fait avec une délicatesse surprenante, n’empêche qu’il est en train de se faire défoncer le trou de balle par une nana ! Heureusement que personne de son entourage n’est au courant, lui qui plaît tant aux jeunes et jolies voisines de ses tantes de province qu’il visite régulièrement. Que dirait ces jeunes filles catholiques si sages si elles avaient vent de cette histoire ? La réputation de toute sa famille en pâtirait grandement c’est certain.
Tout à ses réflexions, Baptiste commence à ne plus avoir mal d’être ainsi sodomisé par cette femme qu’il rencontre pour la première fois. Le contact doux de sa domina le rassure, il se sent bien, il est réduit à être un jouet dont usent et abusent ces femmes, mais il en est heureux. Il commence alors à se concentrer sur les sensations qui lui parviennent de son arrière train : curieux, cela ne fait pas si mal si on se détend. Il éprouve même du plaisir. Les mains un peu rugueuses de Méphista caresse doucement ses fesses, Julia continue à le bercer de sons rassurants, Baptiste se laisse aller. Et au moment où le gode le pénètre il en est à peine surpris, il trouve même agréable cette situation. Deux belles femmes sont aux petits soins pour lui et il en oublie l’humiliation légitime qu’il pourrait ressentir. Puis un claquement de doigts rythmé se fait de nouveau entendre et il sent le gode suivre le son, en avant et en arrière , doucement puis lorsque la vitesse accélère, le gode pénètre de plus en plus vite, de plus en plus loin. Et dans un éclat surprenant, un point particulièrement sensible se révèle au p’tit soumis tout surpris, tout surpris et tout heureux. Son sexe tente de s’étirer, son anus se dilate et un rayonnement diffus accompagne les mouvements. De curieuses sensations lui parcourent tout le corps et il ne peut retenir un petit cri de satisfaction. Celui-ci cesse rapidement quand Julie tire de toutes ses forces les cheveux si doucement caressés l’instant d’avant. Elle fait claquer l’élastique de la culotte rouge en dentelle qui a été juste écartée pour faciliter le passage du gode. Méphista continue et Baptiste se détend et se sent bien, son visage se lâche, et son sexe tente de se redresser malgré les entraves qu’a installées Marc la soubrette ou plutôt Marc le repose-pied tout à l’heure dans la cuisine. Maître Trépuissant commence à ressentir une certaine admiration pour ce jeune soumis mais il n’en laisse rien paraître. Il ne faudrait pas que le p’tit soumis se croit autre chose que ce qu’il est : un soumis, un chien, un jouet sexuel dont on use et abuse. Difficile pour le dominant de comprendre qu’un homme aime être ainsi avili par des femmes. Mais bon , chacun sa vie, chacun sa façon de vivre ses relations bdsm du moment que tout le monde y trouve satisfaction. Julie a l’air de l’apprécier, elle se montre tendre et cruelle avec lui. Dame Méphista a l’air de bien s’amuser aussi.
Baptiste se sent bien , son sexe se gonfle, il n’aurait jamais supposé qu’il allait réellement aimer cela, même avec un gode aussi fin. Vivement la prochaine séance.
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Il la cadre, la dirige, la guide.
Il la contrôle, la maîtrise, la tient.
*
Il la colle au mur.
Nue ou habillée, alors troussée, peu importe.
Il la colle au mur le dos droit. Les épaules baissées. La tête haute. Bassin basculé en arrière. Jambes écartées. Il faut qu’elle adhère. Qu’elle s’incruste.
– Respire … Lentement… Respire…
Il la caresse. Lentement.
Il la fait monter. Doucement. Lentement.
– Ne respire plus.
Elle obéit. Bloque sa respiration. Malgré le plaisir qui agite son ventre.
Elle obéit. Retient son souffle.
Jusqu’à ce qu’il la libère d’un ordre :
– Respire.
Et le jeu continue.
Sous la douce caresse et la contrainte. Dans le plaisir et la crainte.
Surprise, quand il la laisse respirer au bout de quelques secondes seulement.
Inquiète, quand il ne la libère pas, qu’elle n’en peut plus de retenir son souffle, qu’elle voudrait gémir et crier son plaisir. Concentrée à retenir sa respiration alors que le plaisir l’emplit.
Tenue par sa main, ses doigts qui lui imposent cette lente montée vers la jouissance.
Tenue par son regard : il la scrute, l’observe. Il la cloue au mur.
Elle voudrait se tordre, se plier, se recroqueviller. Mais elle ne peut pas. Elle n’en a pas le droit.
Elle doit rester collée au mur. Fièrement dressée. Fière de lui obéir. Dressée. Il la dresse.
Il est le Maître de son souffle.
Au bord de la jouissance, et de l’asphyxie, elle n’en peut plus.
Jouir. Respirer. Crier.
Va-t-il la libérer ?
*
Il est le Maître de son corps.
De ses désirs. De ses besoins.
– Maître, il faut que j’aille aux toilettes…
Il ne lui répond pas, mais la fixe.
– Maître, j’ai très envie de faire pipi…
Est-ce un sourire ironique qui illumine ses yeux ?
– Tu attends.
Et il reprend sa lecture.
Ou bien :
– Approche…
Et il prend un malin plaisir à la caresser.
Un malin plaisir à la voir tendue, contractée. Prise entre son désir de vider sa vessie, et son désir de jouir.
Elle doit se retenir. Se retenir de jouir. Pour ne pas vider sa vessie. Là. Debout dans le séjour.
– Maître, c’est horrible…
– Maître, je vous en supplie…
Quand il la sent à bout, dans l’angoisse et la honte, sans la lâcher, sa main tenant toujours sa vulve, il la fait reculer, la mène ainsi jusqu’aux toilettes.
Sans la lâcher, il l’assied sur le siège.
– Oh non, Maître ! Retirez votre main… Ce n’est pas possible… Je ne vais jamais y arriver…
Il faut qu’elle se détende, qu’elle s’oublie, qu’elle s’abandonne.
Pour enfin gicler de son jet chaud longuement sur la main qui la tient.
Alors peut-être la fera-t-il jouir, assise là, cuisses écartées, sur les chiottes.
*
Il la cadre, la dirige, la guide.
Il la contrôle, la maîtrise, la tient.
Quand cela le prend. Soudain.
Elle le voit dans ses yeux.
Elle le lit dans son regard.
– Viens là.
Elle l’entend dans sa voix.
Et son ventre aussitôt se noue. Sa bouche s’assèche. Ses jambes mollissent.
Et pourtant, elle doit avancer.
Elle doit marcher jusqu’à lui. Se présenter. S’offrir. Le dos droit. La tête haute. Fièrement dressée.
S’avancer pour subir.
Sans savoir s’il va rester assis dans son fauteuil et lui ordonner de venir s’agenouiller à ses côtés. Peut-être lui ordonner de poser sa tête sur sa cuisse. Et reprendre sa lecture. Une main sur sa nuque.
Simplement pour qu’elle soit là, animal de compagnie aux pieds de son Maître.
Ou bien va-t-il se lever. Lui faire face. La défier du regard. Et la gifler ?
Une fois ? Plusieurs fois ? Jusqu’aux larmes ?
Si tel est son désir. Elle lui a donné ce droit.
Ou bien va-t-il empoigner ses seins ?
Les pétrir. Les faire gonfler. Les travailler. Les torturer.
Guettant son souffle, ses halètements, ses gémissements, ses cris.
Et vérifier ensuite qu’elle en coule…
La caressera-t-il pour la faire jouir ? Ou bien va-t-il enfin la prendre ? La foutre, la niquer, la baiser… La fourrer avec sa queue… Fort. Longuement lentement. Fort. Plusieurs fois la faire jouir ?... Avant de gicler son foutre…
Champagne !
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Je ne l'ai jamais autorisé à me baiser. Il me dit :
— Mais... euh... comment veux-tu que...
— En mettant ta bite dans ma chatte, stupide?!
Il vient maladroitement se coucher sur moi. Je prends son petit engin en main et je le dirige vers ma fente humide. Il la frôle et... il jouit dans ma main... Faites du bien à un vilain, il vous jouit dans la main?!
Il balbutie des excuses stupides : je suis si belle, je l'excite tellement... Je lui dis :
— Lèche ma main?!
Il lèche et aspire son sperme sur ma peau : retour à l'envoyeur. Je dois dire à sa décharge, c'est le mot qui convient, que je lui ai interdit de se masturber depuis plusieurs jours, pour qu'il soit en forme pour ce soir... Maintenant, il est à genoux et il s'excuse, supplie, pour changer.
— C'est pas de ma faute... Pas la cuiller, je t'en prie?!
Quelle petite moule?! Quoique je sais que la grande cuiller en bois fait mal. Mais quand je suis énervée, je dois passer mes nerfs sur quelque chose, comme son cul?! J'avais un peu prévu que le coup allait partir tout de suite et même... ça m'arrange. Je lui dis :
— Je ne vais pas te punir, mais je vais me faire baiser. File sous le lit?!
Trop content d'éviter la cuiller en bois, il obéit tout de suite. J'ajoute :
— Tu restes immobile et tu te tais?!
J'enfile un tee-shirt et je sors de la chambre. Je vais me plaindre... à son père. Je toque à la porte de sa chambre.
— Entrez...
Mon beau père est assis torse nu, dans son lit, il lit un livre. Je me mets à pleurer. Il me dit :
— Qu'est-ce qu'il y a Samia??
— C'est Julien... bou... hou...
— Ne me dis pas qu'il t'a battue, je ne te croirais pas.
— Non, c'est pas ça, mais je voulais une vraie nuit de nooooces. Et... et... quand j'ai pris son sexe pour le mettre dans ma chatte, hé bien, il a... bou... hou...
— Il a quoi??
— ... Joui dans ma main.
Il éclate de rire. Je suis d'accord avec lui : c'est gag, mais je joue les victimes.
— Vous devez m'aider, vous êtes son père.
— Mais enfin, comment veux-tu que je le fasse bander??
— Je veux baiser, j'y ai droit, c'est ma nuit de noces. Si lui n'y arrive pas, faites-le, vous?!
Il est surpris, là. J'ajoute :
— Faites un effort?! Tenez, regardez.
Je me tourne et tends mes fesses vers lui. Malgré le spectacle, il ferme les yeux, genre « Je réfléchis très fort », puis il me dit :
— D'accord, de toute façon, je t'aurais enfilée un jour ou l'autre. D'autant plus que ma femme vient de baiser comme une chienne dans la chambre à côté. Viens près de moi.
— Non dans mon lit de nuit de noces.
— Et Julien, je ne vais quand même pas te baiser devant lui?!
— Je lui ai dit que j'allais me faire baiser et je l'ai enfermé dans la salle de bains. Vous n'avez qu'à ne pas parler.
Gros soupir. Il se lève et... Oh?! Il bande déjà et il a une vraie bite, lui. Je la prends par la main pour l'entraîner dans le couloir.
Pour qu'il accepte, je flatte son gros pénis qui meurt d'envie de me flairer la chatte, j'en suis sûre. On entre dans la chambre et je lui fais signe de se taire en mettant un doigt sur ma bouche. Je lui dis :
— C'est gentil de me baiser, Monsieur, mon mari a joui sur ma cuisse et je l'ai envoyé dormir ailleurs. C'est ma nuit de noces, après tout.
C'est pour de faux, bien sûr. Vous, vous savez très bien qu'il est sous le lit.
J'imagine que vous vous dites "quelle petite garce". Mais non, pourquoi?? Qui a joui plus vite que son ombre?? Lui?!
Je mets à nouveau le doigt sur ma bouche en montrant la salle de bain à son père. D'accord, Julien est en réalité sous le lit, mais c'est presque la même chose, non?? Il enlève son tee-shirt, moi aussi. On est nus comme Adam et Ève, enfin, comme Adam et la fille d'Ève, étant donné notre différence d'âge. Je me mets à genoux devant lui et j'embrasse ce que j'ai sous le nez : une bite menaçante et des couilles gonflées. Bon, il doit prendre sa douche le matin, mais c'est une odeur pas trop forte. Je veux que Julien sache ce qui se passe, alors je le suce bruyamment, genre "slurp, slurp". Le Monsieur aime. Je le lèche jusqu'à ce qu'il me montre le lit. D'accord... Je me couche sur le dos en disant :
— Vous serez doux Monsieur ? Je suis encore pucelle...
Il secoue la tête en souriant et en levant les yeux au ciel, comme s'il ne me croyait pas?! Puis il met son visage entre mes cuisses et il me lèche. Je continue à décrire ce qui se passe pour distraire le jeune marié, qui doit s'ennuyer là-dessous (vous voyez que je ne suis pas si garce que ça?!). Je gémis :
— Oh ouiiiii... c'est bon, oh vous me léchez bien. Ooohhhh...
Ça ne dure pas, beau-papa veut baiser pas lécher. Il remonte vers moi... Il sent bon ma chatte. Il me fait des signes un peu compliqués que je comprends comme « Je veux te prendre en levrette, petite salope ».
Je fais « Non » de la tête, car je veux qu'il me baise comme une vraie jeune mariée, dans la position du missionnaire. On se comprend, j'écarte bien les cuisses. Il se couche sur moi. Ouch?! Il pèse sûrement près de 100 kg, l'animal. Sa bite vient caresser ma chatte. Je lui dis :
— Faites doucement... C'est la première fois.
En même temps, je croise mes chevilles sur ses reins et je l'enfonce en moi en poussant des cris de vierge dépucelée. Oui, je l'avoue : c'est un rôle de composition. Rapidement, mes gémissements de douleur se transforment en gémissements de plaisir. Il veut m'embrasser sur la bouche, je n'ai pas spécialement envie, mais c'est mon beau père, après tout. Je peux bien lui montrer... un peu d'affection. Je l'encourage pour mon public :
— Oui... aahhhh... c'est bon.... Allez-y, baisez-moi comme une chienne?!
Ce n'est qu'en partie du cinéma, parce que ça me plaît... Il a une gosse bite et il baise bien, que demander d'autre?? Ah oui, que ça dure un moment et là, j'ai l'impression qu'il va y avoir un problème : je sens son sexe grossir en moi et il se met à grogner. L'éjaculation précoce serait-elle héréditaire?? Hélas, oui?! Je sens son sexe se cabrer et inonder mon vagin de saccades de sperme. Je joue le jeu :
— Aaah ouii... c'est bon... je jouiiiis...
Mais je ne jouis pas du tout, merde ! Il devait avoir les couilles bien pleines parce que ça n'arrête pas.... Quand il se retire, je mets vite ma main en conque sur ma chatte, comme toutes les femmes. Pour deux raisons, d'abord pour ne pas mouiller les draps, qu'après on se retrouve les fesses sur du mouillé et aussi, pour ne pas avoir des traînées de sperme le long des jambes quand j’irai pisser. Il y a une troisième raison, vous allez voir.
Voilà beaucoup de cinéma pour pas grand-chose. Mon beau père a beau être bien équipé, il n'est pas beaucoup plus performant que son rejeton. Enfin si, quand même. Je mets le doigt sur ma bouche pour qu'il se taise. Il m'envoie un baiser avec la sienne. C'est ça, casse-toi?! Maintenant, c'est au tour du fils à terminer ce que le père a commencé. Je dis :
— Julien, aux pieds?!
Il sort de dessous le lit, les yeux clignotant comme une chouette prise dans la lumière des phares d'une voiture, mais elle s'envole à temps (j'aime les chouettes). Il est là, prêt à obéir, et il bande. Oui?! Je me fais baiser au-dessus de lui par son père et il bande. C'est mignon. Je lui demande :
— Tu veux réessayer??
— Oh oui, Samia, merci...
Il se couche sur moi avec précaution. J'enlève la main de ma chatte et sa petite bite me pénètre. Enfin, je suppose, car mon beau père m'ayant inondée, mon vagin est trop glissant pour le sentir. Julien s'active et ça a l'air de lui plaire. Il faut dire que c'est la première fois qu'il me baise vraiment. C'est une nuit de noces pour lui aussi, après tout. Son petit engin est comme un poisson dans l'eau dans ma chatte ou plutôt comme une sardine dans l'océan. Il va mélanger son sperme avec celui de son père. C'est excitant comme idée, non?? Quoi, vicieuse?? Moi?? Demandez à votre femme si l'idée de...
— Samia?!
Ben quoi?? Oui, bon, pas votre femme, mais demandez à votre mère...
— SAMIA?!
Je ne peux plus rien dire, moi ! Si, à Julien :
— Suce le bout de mes seins
Je pense "comme ton père". Ça y est, il jouit. Enfin, je pense car il s'agite un peu plus en gémissant. Il a quand même tenu trois minutes?! Pas mal pour un de Préville?! Je lui ordonne :
— Nettoie !
Il file aussitôt à sa place, entre mes cuisses, la langue en avant. J'ajoute :
— Et suce bien?!
Ouiiii, j'aime l'idée. Dans mon vagin, le sperme du fils se mélange à celui du père, avec un peu de mes sécrétions pour former un cocktail que Julien consomme... à la source. Je n'ai pas joui avec la grosse bite du père ni avec la petite du fils, mais la, je sens que ça se prépare. Je sens que mes glandes de Bartholin se mettent à secréter tout ce qu'elles peuvent. J'ai beau leur dire, « Vous fatiguez pas les files je suis trempée », elles sont là pour me faire mouiller, elles font leur boulot...
Tout n'est pas rose dans la vie, loin de là, et il y a quelques épisodes récents pas glorieux qui me restent en travers de la gorge. Mais là, baiser avec le père et le fils, j'adore. Ça vient, ça se prépare... Il y a eu un tremblement de terre sous-marin et le tsunami se déclenche, je colle le visage de Julien contre ma chatte et je jouis. Mmmmmhhhh, enfin un vrai orgasme, pur et dur, presque douloureux tellement il est fort. J'en ai les yeux mouillés, c'est dingue. Je me détends avec le visage de Julien toujours contre ma chatte. Bon, ça, c'est fait. Comme il a mérité une récompense, je lui dis :
— Exceptionnellement, tu peux dormir dans mon lit, mais à mes pieds et embrasse-les d’abord.
J'suis sympa non?? Je m'endors tandis qu'il embrasse les plantes de mes pieds...
***
Le lendemain matin, je me réveille fraîche et rose. C'est une image, parce que j'ai besoin d'une douche d'urgence. J'ai la chatte toute collante, Julien n'a pas bien fait son boulot de nettoyage, la nuit passée. Je lui dis :
— Julien, va dire bonjour.
Il sait ce que ça veut dire. Il fait ça pratiquement tous les matins depuis qu'on se connaît. Il rampe entre mes cuisses et colle sa bouche à ma chatte... Il lèche comme un chien lape de l'eau dans son bol. C'est bien meilleur pour la santé que de se poudrer le nez à la coke. Je n'ai pas envie de jouir, c'est juste... par hygiène. Quand j'ai l'impression de ne plus être collante, je le repousse et me mets à 4 pattes. Aussitôt, je sens une langue frétiller dans mon cul. Voilà... Une douche maintenant.
On va dans la salle de bain. Julien passe après moi. On s'habille et on descend déjeuner.
Il est 10 h du matin. Mes beaux parents se sont levés tard, eux aussi. Mon beau père mange, tandis que ma belle mère qui a fini est assise sur les genoux de son amant. Je les embrasse, Julien également. Enfin, ses parents, pas l'amant de sa mère.
Sylvain, mon beau-père, n'a pas l'air très joyeux de la situation, je veux dire que sa femme se tortille sur les genoux de son amant. Père et fils m'ont baisée la nuit dernière et père et fils sont cocus.
Ma belle mère me dit :
— Alors, cette nuit de noces, ça s'est bien passé, petite??
Je rougis. Enfin, je devrais... avant de lui répondre :
— Oui, belle maman, je suis une femme maintenant.
Elle fait la grimace en disant :
— Ne m'appelle pas belle-maman, j'ai 30 ans...
— Je vous appelle Cynthia??
— Voilà...
On déjeune... À deux heures, on prend un taxi pour l'aéroport de Lille Leurquin, direction Marrakech. C'est notre voyage de noces, 1 mois au Maroc. Et comme mon beau père est un opportuniste, il m'a demandé de prendre différents contacts pour implanter une usine là-bas. Je lui réponds :
— Vous savez que je n’y connais encore rien.
— Oui, je sais, mais une fille aussi peu farouche que toi, elle a des arguments.
Je vais devenir une femme d'affaires.
Le père de Julien ce n'est pas de genre à nous accompagner à l'aéroport, sa belle-mère encore moins.
À suivre.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … …
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Elle avait vingt-huit ans, elle connaissait une foule de gens, toujours élégante, physiquement attrayante,
intellectuellement stimulante. Elle avait fait une thèse sur Camus, avant de s'occuper de collections d'art
contemporain dans toute une série de fondations. Visiblement, Sarah savait ce qu'elle voulait. Elle était
tout le contraire de Patricia. C'est d'ailleurs elle qui l'a voulu, qui lui a laissé son adresse et son numéro
de portable à la fin de la soirée, en lui recommandant de ne pas hésiter à l'appeler, et Sarah qui s'est fait
désirer une bonne quinzaine de jours, avant de composer son numéro. Pourquoi l'a-t-elle revue ? Sans
doute parce qu'elle voulait la revoir. C'était moins de l'amour ou du désir, en tout cas, qu'un sentiment
étrange de vertige et de domination. Ce qui est sûr, c'est que passé la surprise de découverte chez cette
jeune femme cérébrale, assez guindée sur les bords, un tempérament sensuel qu'elle ne lui imaginait pas,
tout est allé très vite, probablement trop vite. Patricia s'est soumise, non sans restriction mentale de sa part.
Elles sont aussitôt parties vivre une année à Naples où Sarah faisait des expertises, tandis que Patricia
enseignait dans un collège français. Et il leur est arrivé là-bas ce qui arrive à tous les amants pressés qui
s'engouffrent dans le premier hôtel venu coincés dans l'ascenseur, ils sont toujours bloqués et ont épuisé
tous les sujets de conversation. Pourtant, les longs tête-à-tête, les nuits que l'on passe ensemble, les
promenades à deux pendant les premiers mois permettent normalement de pressentir la part de bonheur
ou de malheur que l'autre lui apportera. Et Patricia n'avait pas mis longtemps à deviner que la part de
légèreté dans l'abandon serait la plus lourde des deux. Mais elle a fait comme si. Par manque d'assurance,
par immaturité. Ce que la plupart des femmes recherchent dans toute leur vie, l'intelligence, la tendresse,
Sarah lui apportait sur un plateau, et on aurait dit qu'elle ne savait pas quoi en faire. Sarah la hissait en
révélant les abysses de son âme, en les magnifiant, la sublimant en tant qu'esclave en donnant vie à ses
fantasmes. Elle est aussi juvénile et éclatante, elle a les mêmes cheveux clairs encadrant ses oreilles, les
mêmes taches de rousseur, la même élégance, avec son T-shirt blanc sous une veste de soie noire.
Elles s'étaient déshabillées dans la salle de bain, avec la prémonition que quelque chose de terriblement fort,
de terriblement impudique allait se produire et que rien ne serait plus comme avant. Elles ne le savaient pas
encore. Sarah était totalement nue, avec ses fesses musclées hautes, ses seins aux larges aréoles brunes,
alors que Patricia avait conservé un tanga en soie rouge mettant en valeur son bronzage italien. Elle était
grande et possédait de longues jambes galbées. Elles étaient paisibles, enveloppées par l'atmosphère fraîche
de la pièce, et comme le plaisir les avait moulues, elles flânèrent encore un peu dans les draps, tandis que le
rythme emballé de leur cœur se ralentissait peu à peu. Mais beaucoup plus tard, à force d'insistance, Patricia
s'allongea docilement sur le dos, les bras le long du corps, accueillant le désir de Sarah mais sans le réclamer.
Et d'un seul coup le silence se fit. Sarah soulevée sur les coudes, Patricia la bouche appliquée sur sa peau,
descendant le long de son corps avec la lenteur d'un ballet aquatique. Le temps parut suspendu, la culmination
toujours retenue. Elles retrouvèrent spontanément les mêmes mots, les mêmes gestes, les mêmes procédures
intimes, sans doute car le sexe est toujours la réminiscence du sexe, avant de desserrer soudain leur étreinte et
de rouler chacune de leur coté, le corps épuisé. La nuit tomba, un courant d'air fit battre le ventail de la fenêtre.
Lorsque Sarah eut fini de se doucher, elle enfila un peignoir, les cheveux attachés au-dessus de la tête à l'aide
d'une pince, Patricia préféra la régaler d'un copieux petit-déjeuner sur leur balcon. Elles s'installèrent toutes les
deux, accoudées à la balustrade comme pour porter un toast au soleil levant et restèrent ainsi, à bavarder, à voix
basse, la peau hâlée et les sens à vif. Au sortir du lit, il leur arrivait parfois de se promener dans le vieux Naples.
La mer qui bougeait à peine, les pins immobiles sous le haut soleil, tout paraissait minéral et hors du temps. De
grands murs à droite et à gauche protégeaient des voisins; l'aile des domestiques donnait dans la cours d'entrée,
sur l'autre façade, et la façade sur le jardin, où leur chambre ouvrait de plain-pied sur une terrasse, au premier
étage, était exposée à l'est. La cime des grands lauriers noirs affleurait les tuiles creuses achevalées servant de
parapet à la terrasse. Un lattis de roseau la protégeait du soleil de midi, le carrelage rouge qui en couvrait le sol
était le même que celui de la chambre. Quand Sarah prenait son bain de soleil totalement nue sur la terrasse,
Patricia venait la rejoindre et s'étendre auprès d'elle. Il faisait moins chaud que de coutume. Sarah, qui avait nagé
une partie de la matinée, dormait dans la chambre. Patricia, piquée de voir qu'elle préférait dormir, avait rejoint la
plus jeune domestique. Ses cheveux noirs étaient coupés droit au-dessus des sourcils, en frange épaisse et droite
au-dessus de la nuque. Elle avait des seins menus mais fermes, des hanches juvéniles à peine formées. Elle
avait vu Sarah par surprise, en pénétrant un matin sur la terrasse. Sa nudité l'avait bouleversée. Mais maintenant,
elle attendait Patricia dans son alcôve. Elle eut soin à plusieurs reprises de lui renverser les jambes en les lui
maintenant ouvertes en pleine lumière. Les persiennes étaient tirées, la chambre presque obscure, malgré des
rais de clarté à travers les bois mal jointés. La jeune fille gémit plus d'une demi-heure sous les caresses de Patricia.
Et enfin, les seins dressés, les bras rejetés en arrière, serrant à pleine main les barreaux de bois qui formaient la
tête de son lit à l'italienne, elle commença à crier, lorsque Patricia se mit à mordre lentement la crête de chair où se
rejoignaient, entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres. Patricia la sentait brûlante, raidie sous la langue,
et la fit crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendit d'un seul coup moite de plaisir, mais encore demandeuse.
Patricia enfonça alors son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait
que la jeune fille n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. Elle avait
la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche; elle était dans cet état second où l'appréhension des gestes de
Patricia conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre
main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnant, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant avec
délicatesse le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Elle était prête a subir l'insurmontable.
Elle se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvements
du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. Patricia le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Alors elle s'accouda
et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face au canapé. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux,
la jeune fille avoua qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois
mais de toutes ses forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa
les épaules. La jeune soumise avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits
amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra
les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète,
jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus; la chair autour des phalanges
s’épousait parfaitement, l'anneau accepta l'intrusion. La jeune fille se caressait parfois la nuit par cette voie étroite.
Patricia admirait la jeune fille qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en
passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec
une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Elle enfonça alors l’olisbos puis arrêta la progression
et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Elle se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours cette
vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement. Elle pouvait maintenant retirer entièrement
le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois. La jeune fille avait l'anus bien dilaté et
Patricia écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un large cercle.
Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de
ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière du plafonnier dévoilant leur nudité.
Le jeune corps soumis réclamait toujours davantage; le devinant, Patricia ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel,
pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient
étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de l'inconnue. Alors bientôt,
elle se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant; la décharge fut intense et l'orgasme violent.
Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. Patricia sentit la jouissance
l'envahir par saccades, les contactions la lancèrent en la fluidifiant jusqu'aux premières dorsales. Elle l'empala de
son poignet encore plus profondément. Le cri résonna en écho. Les chairs résistèrent, s'insurgèrent puis craquèrent et
se fendirent en obéissant. Elle desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. Elle hurla encore une fois.
Sa jouissance fut si forte que son cœur battit à se rompre. Alors Patricia retira très lentement son poignet. Elle était
suppliciée, extasiée, anéantie mais heureuse, détendue. Elle avait lâché prise sans aucune pudeur jusqu'aux limites de
l'imaginable mais à aucun moment, elle s'était sentie menacée ni jugée. Au pays d'Éros, elle serait libre dorénavant.
Elle écoutait, toujours renversée, brûlante et immobile, et il lui semblait que Sarah, par une étrange substitution, parlait
à sa place. Comme si elle était, elle, dans son propre corps, et qu'elle eût éprouvé le désir, la honte, mais aussi le secret
orgueil et le plaisir déchirant qu'elle éprouva à soumettre ce jeune corps. Même évanoui et nu, son secret ne tiendrait
pas à son seul silence et ne dépendait pas d'elle. Patricia ne pouvait, en aurait-elle eu envie, se permettre le moindre
caprice, et c'était bien le sens de sa relation avec Sarah, sans s'avouer elle-même aussitôt, elle ne pouvait se permettre
les actes les plus anodins, nager ou faire l'amour. Il lui était doux que ce lui fût interdit de s'appartenir ou de s'échapper.
Elles décidèrent de retourner à Rome, pour oublier ce mensonge pour rien. Il lui sembla voir les choses reprendre enfin
leur place. Elles avaient devant elle, deux semaines de soleil, de bonheur et de Rome. Elles entrèrent dans un jardin
public. En un éclair, le monde se réorganisa alors et beaucoup d'omissions, longtemps obscures, devinrent explicables.
Durant dix ou quinze jours, au lieu de disparaître dans l'oubli, l'éclipse prit fin et elles ressuscitèrent cet amour sans fin.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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On ne peut pas mesurer nos vies à nos dernières années. De cela, j'en étais certaine. J'aurais dû deviner ce
qui m'attendait. Avec le recul, il me semble que c'était évident, mais les premiers temps, je trouvais que ces
incohérences étaient compréhensibles et n'avaient rien d'unique. Elle oubliait où elle posait ses clés, mais à
qui n'est-ce jamais arrivé ? Elle ne se rappelait pas non plus le nom d'un voisin, mais pas quand il s'agissait
de quelqu'un que nous connaissions bien. Elle réprima un certain sentiment de tristesse, espèrant un jour,
qu'il changerait. Il l'avait souvent promis et y parvenait en général quelques semaines avant de retomber dans
la même routine. Elle n'aimait pas en discuter avec lui, essentiellement parce qu'elle savait qu'elle lui disait la
vérité. Son travail était très prenant, aussi bien avant son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art
sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle
s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée en constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie
d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ? Elle pénétra dans
la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence
de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs,
des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs
inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient
manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage.
Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par
l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec
des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un
peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand
elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connus
en khâgne au lycée Louis-le-Grand puis rencontrés par hasard sur la plage de Donant à Belle île en Mer un soir d'été.
Il n'a pas dû beaucoup changer: il avait à présent vingt-trois ans, il venait de réussir comme elle l'agrégation de lettres
classiques. Comme lui, j'avais conservé un air très juvénile, perpétuant mon adolescence; les visages en disent autant
que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil,
épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais
pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelé, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez lui.
Il m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-il dit. J'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que je n'en fais pas une habitude.
Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Il m'a aidée à ôter mon imperméable; il pleuvait
pour changer, mes cheveux étaient mouillés; il les a ébourriffés comme pour les sécher, et il les a pris à pleine main, il
m'a attirée à lui, je me suis sentie soumise, sans volonté. Il ne m'a pas embrassée, d'ailleurs, il ne m'a jamais embrassée,
depuis quatre ans. Ce serait hors propos. Il me tenait par les cheveux, il m'a fait agenouiller. Puis, il a retiré mon pull,
mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, en jean, torse nu, j'avais froid; quand je pense à nos rapports,
depuis, il y a toujours cette sensation de froid, il a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Il m'a
ordonné de ne pas le regarder, de garder le visage baissé. D'ouvrir mon jean, de ne pas le descendre. Il est revenu vers
moi. Il a défait sa ceinture, il m'a caressé la joue avec le cuir. C'est à ce moment-là que j'ai réalisé que j'étais littéralement
trempée. Je dégoulinais, j'avais le ventre en fusion et j'étais terrorisée. Il a fini de défaire son pantalon, et il m'a giflé,
plusieurs fois, avec sa queue, avant de me l'enfoncer dans sa bouche. Il était si loin, du premier coup, que j'en ai eu une
nausée. Il avait un sexe robuste, rectiligne, large à la base, plus grosse que mon poignet. J'ai commencé à aller et venir
de mon mieux. Je me suis dit que j'avais bien mérité de sucer ce membre épais. C'était comme un viol désiré. J'étouffais
un peu. C'était la première fois. Pour tout d'ailleurs, c'était la première fois. Quand il est passé derrière moi et qu'il m'a
descendu le jean à mi-cuisse. Qu'il m'a ordonné de me pencher, la tête dans les mains, les fesses offertes. Quand il m'a
pénétrée du bout des doigts, essayant la solidité de mon hymen, avant d'enfoncer ses doigts dans mon anus, trois doigts,
d'un coup, c'était juste avant qu'il me sodomise; pas un instant, à ce moment-là, je n'ai pensé qu'il pourrait me prendre
autrement. Il est revenu dans ma bouche, sa verge avait un goût acre que j'ai appris à aimer, mais là encore, il n'a pas joui.
Il le faisait exprès, bien sûr. Il a achevé de me déshabiller, il m'a fait marcher à quatre pattes, de long en large. Nous
sommes allés dans la cave, où il m'a fait allonger sur une table en bois, très froide; il y avait une seule lampe au plafond et
il m'a ordonné de me caresser, devant lui, en écartant bien les cuisses. La seule idée qu'il regardait mes doigts m'a fait jouir
presque tout de suite. Il me l'a reproché bien sur, c'était le but du jeu. J'étais pantelante, j'avais joui si fort que j'en avais les
cuisses innondées, bientôt, il s'est inséré entre mes jambes, les a soulevées pour poser mes talons sur ses épaules, j'ai
voulu le regarder mais j'ai refermé les yeux, à cause de la lumière qui m'aveuglait, et il m'a dépucelée. J'ai eu très mal, très
brièvement, j'ai senti le sang couler, du moins j'ai cru que c'était du sang, il a pincé la pointe de mes seins, durement, et
j'ai rejoui aussitôt. Quand il est ressorti de moi, il n'avait toujours pas éjaculé, il m'a dit que j'étais une incapable, une bonne
à rien. Il a dégagé sa ceinture de son pantalon, et il m'a frappée, plusieurs fois, sur le ventre et sur les seins. J'ai glissé à
genoux, et je l'ai repris dans ma bouche, il n'a pas arrêté de me frapper, le dos, les fesses, de plus en plus fort, et j'ai arrêté
de le sucer parce que j'ai joui à nouveau. C'était un affront pour lui. Il a saisi une tondeuse à cheveux et il m'a rasé la tête.
Sanglottante, il m'a dit de me rhabiller, tout de suite, sans me laver, le jean taché du sang qui coulait encore, le slip souillé
par son sperme. Je lui ai demandé où étaient les toilettes. Il m'y a amenée, il a laissé la porte ouverte, me regardant avec
intérêt, sans trop le monter, ravi de ma confusion quand le jet de pisse frappa la cuvette comme une fontaine drue. Il m'a
donné en détail, le protocole de nos rencontres. Les heures exactes, mes positions de soumission, le collier et la lingerie
que je devrais porter et ne pas porter. Il m'a ordonné d'aller tout de suite chez un sellier acheter une cravache de dressage
en précisant que le manche devait être métallique.
- Qu'est-ce que tu es ? M'a-t-il demandé ?
- Je ne suis rien.
- Non, a-t-il précisé, tu es moins que rien, tu es mon esclave.
- Je suis ton esclave, oui.
Cinq jours plus tard, nouveau rendez-vous, juste après les cours. J'ai apporté la cravache. La porte était entrouverte,
je suis entrée et je l'ai cherchée des yeux. Il ne paraissait pas être là. Je me suis déshabillée, et je me suis agenouillée,
au milieu du salon, les mains à plat sur les genoux en cambrant les reins, devant un lourd guéridon bas où j'avais posé
la cravache. Il m'a fait attendre un temps infini. Il était là, bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté
de me frapper sur les reins, les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un
les coups. Ce fut tout ce qu'il dit.
À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'il faisait cela juste pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me
retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'il allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer
un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais il m'avait
couchée sur le bois, et m'avait ligoté les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Il s'est arrêté à soixante, et je n'étais
plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas
à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait.
Il s'est arrêté, il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie puis l'autre.
J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser au plus profond, de me déchirer. Mais il est
d'abord venu dans ma bouche. J'avais les yeux brouillés de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant. Me libérant la
la bouche, il s'est décidé à m'enculer, sans préparation, pour me faire mal. Il se retira pour me frapper encore cinq ou six
fois sur les seins en me meutrissant les pointes. Je me mordais les lèvres au sang pour ne pas hurler. Il m'a donné un
coup juste à la pliure des genoux, et je me suis affalée sur le sol glacé. Il m'a traînée dans un coin, et il m'a attachée avec
des menottes à une conduite d'eau qui suintait. En urinant sur ma tête rasé, il me promit de me marquer au fer lors de la
prochaine séance. J'avais de longues traînées d'urines sur le visage et sur les seins.
Au fond, c'était un pâle voyou qui avait fait des études supérieures. Et qui m'avait devinée dès le début. Il avait su lire en
moi ce qu'aucun autre n'avait lu. J'ai fréquenté, un temps, certains cercles spécialisés, ou qui se prétendent tels. Des
Maîtres, jouisseurs, toujours si affolés à l'idée que l'on puisse aimer la souffrance et les humiliations, capables d'élaborer
un scénario d'obéissance, où toutes les infractions sont codifiées et punies mais sans s'interroger jamais sur la raison ou
la déraison qui me pousse à accepter ces jeux. Car c'est alors que mon corps peut s'épanouir, se donnant à part entière.
C'est l'extase, la jouissance exacerbée par des rites souvent inattendus, l'abnégation de soi.
Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller.
J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais
je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, mes pieds
un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À
cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue
absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux
aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre
chose à propos de la chasteté, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurèrent silencieuses.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Sur la plage soumise abandonnée,
En cette période estivale mon maître a pris congé,
Sur la plage soumise abandonnée
Se laisse aller à quelques pensées
Ma voisine de serviette a l'air outré
J'ai hésité mais n'y tenant plus je me suis déshabillée
Elle regarde l'arc en ciel sur mes fesses rebondies,
Et moulées dans un bikini un peu petit,
Du bleu, du jaune et du rouge cramoisi
Elle observe horrifiée
Femme battue ?
Femme perdue ?
Faut-il mon aide lui proposer ?
Je lui rends son oeillade l'air amusé
Dieu que l'air est bon au bord de Méditerranée
Mais que devient l'esclave une fois libérée ?
Errance de l'esprit et du corps, Errances,
Vacances.
Sur la plage soumise abandonnée,
La mer viendra tout récupérer
Et le temps tout effacer
Les traces que mon maître sur moi a laissé
Et que fièrement en étendard je portais
Sur mon corps et dans ma tête
La vie reprendra ses droits, c'est un fait
Que devient un esclave qui subitement la liberté a recouvré ?
Et comment s'y préparer ?
Sur la plage soumise abandonnée
Qui passe sur son cou nu sa main qui cherche le divin collier
Il était là, elle l'aurait juré
Soumise cachée sous ses lunettes fumées
Et de crème solaire tartinée
A l'air, peucheur, fort angoissé.
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Tout à coup, je la regardais avec une sorte d'épouvante: ce qui s'était accompli dans cet être dont j'avais
tant envie m'apparaissait effroyable. Ce corps fragile, ses craintes, ses imaginations, c'était tout le bonheur
du monde à notre usage personnel. Son passé et le mien me faisaient peur. Mais ce qu'il y a de plus cruel
dans les sentiments violents, c'est qu'on y aime ce qu'on aime pas. On y adore jusqu'aux défauts, jusqu'aux
abominations, on s'y attache à ce qui fait de plus mal. Tout ce que je détestais en elle était sans prix pour moi.
Et mon seul bonheur, c'était le plaisir même; le mien, le sien, tous ces plaisirs du monde, camouflés la plupart
du temps sous de fugaces désirs, des amours passagères, des illusions d'un moment. Nous avions du mal à
parler. Il y avait un silence entre nous, fait de nos fautes et de nos remords. L'éclatement et l'évidence des
amours partagées, la simplicité qui jette les corps l'un vers les autres. Ce monde ambigu où les choses
s'interprètent et où nous leur prêtons un sens qui est rarement le sens, c'était l'insoutenable légèreté du
bonheur où le temps et l'espace n'étaient plus neutres dans l'amour et la soumission. Ils se chargeaient de nos
espoirs et de nos attentes, et le monde entier se couvrait ainsi d'un réseau de signes qui lui donnait un sens
parfois absurde. Si tout était là, la vérité serait à la portée de tous, à la merci d'un miracle, mais on ne peut
n'allumer que la moitié d'un soleil quand le feu est aux poudres. Qui n'a vu le monde changer, noircir ou fleurir
parce qu'une main ne touche plus la vôtre ou que des lèvres vous caressent ? Mais on est où nous le sommes,
on le fait de bonne foi. C'est tellement peu de choses que ce n'est rien. Mais on n'avoue jamais ces choses-là.
Juliette passa ses bras autour du cou de Charlotte. Elle l'enlaça à contrecœur tandis qu'elle posait la tête contre
sa poitrine. Elle l'embrassa dans le cou et se serra contre elle. Glissant la main dans ses cheveux, elle posa ses
lèvres timidement sur sa joue puis sur sa bouche, l'effleurant délicatement avant de l'embrasser de plus en plus
passionnément. Involontairement, elle répondit à ses avances. Elle descendit lentement ses mains dans son dos,
et la plaqua contre elle. Debout sur la terrasse, assourdies par le bruit des vagues, elles se laissèrent gagner par
un désir grandissant. Charlotte s'écarta de Juliette, la prenant par la main, l'entraîna vers la chambre. Ensuite, elle
s'écarta d'elle. La lumière de l'aube inondait la pièce, jetant des ombres sur les murs. N'hésitant qu'une fraction de
seconde avant de se retourner vers elle, elle commença à se déshabiller. Charlotte fit un geste pour fermer la porte
de la chambre, mais elle secoua la tête. Elle voulait la voir, cette fois-ci, et elle voulait qu'elle la voit. Charlotte voulait
que Juliette sache qu'elle était avec elle et non avec une autre. Lentement, très lentement, elle ôta ses vêtements.
Son chemisier, son jean. Bientôt, elle fut nue. Elle ne la quittait pas des yeux, les lèvres légèrement entrouvertes.
Le soleil et le sel de la mer avaient hâler son corps. Il venait d'ailleurs, de l'océan. Il émergeait des eaux profondes,
tout luisant de ce sucre étrange cher à Hemingway. C'était la fleur du sel. Puis Juliette s'approcha de Charlotte et
posa ses mains sur ses seins, ses épaules, ses bras, la caressant doucement comme si elle voulait graver à jamais
dans sa mémoire le souvenir de sa peau. Elles firent l'amour fiévreusement, accrochées désespérément l'une à
l'autre, avec une passion comme elles n'en avaient jamais connue, toutes les deux douloureusement attentive au
plaisir de l'autre. Comme si elles eu avaient peur de ce que l'avenir leur réservait, elles se vouèrent à l'adoration de
leurs corps avec une intensité qui marquerait à jamais leur mémoire. Elles jouirent ensemble, Charlotte renversa
la tête en arrière et cria sans la moindre retenue. Puis assise sur le lit, la tête de Charlotte sur ses genoux, Juliette
lui caressa les cheveux, doucement, régulièrement, en écoutant sa respiration se faire de plus en plus profonde.
Soudain, les lèvres de Juliette exigèrent un maintenant plein d'abandon. La communion ne put être plus totale. Elle lui
prit la tête entre ses deux mains et lui entrouvrit la bouche pour l'embrasser. Si fort elle suffoqua qu'elle aurait glissé si
elle ne l'eût retenue. Elle ne comprit pas pourquoi un tel trouble, une telle angoisse lui serraient la gorge, car enfin, que
pouvait-elle avoir à redouter de Juliette qu'elle n'eût déjà éprouvé ? Elle la pria de se mettre à genoux, la regarda sans
un mot lui obéir. Elle avait l'habitude de son silence, comme elle avait l'habitude d'attendre les décisions de son plaisir.
Désormais la réalité de la nuit et la réalité du jour seraient la même réalité. Voilà d'où naissait l'étrange sécurité, mêlée
d'épouvante, à quoi elle sentait qu'elle s'abandonnait, et qu'elle avait pressenti sans la comprendre. Désormais, il n'y
aurait plus de rémission. Puis elle prit conscience soudain que ce qu'en fait elle attendait, dans ce silence, dans cette
lumière de l'aube, et ne s'avouait pas, c'est que Juliette lui fit signe et lui ordonnât de la caresser. Elle était au-dessus
d'elle, un pied et de part et d'autre de sa taille, et Charlotte voyait, dans le pont que formaient ses jambes brunes, les
lanières du martinet qu'elle tenait à la main. Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, elle gémit. Juliette passa de
la droite à la gauche, s'arrêta et reprit aussitôt. Elle se débattit de toutes ses forces. Elle ne voulait pas supplier, elle ne
voulait pas demander grâce. Mais Juliette entendait l'amener à merci. Charlotte aima le supplice pourvu qu'il fut long et
surtout cruel. La façon dont elle fut fouettée, comme la posture où elle avait été liée n'avaient pas non plus d'autre but.
Les gémissements de la jeune femme jaillirent maintenant assez forts et sous le coup de spasmes. Ce fut une plainte
continue qui ne trahissait pas une grande douleur, qui espérait même un paroxysme où le cri devenait sauvage et délirant.
Ces spasmes secouèrent tout le corps en se reproduisant de minute en minute, faisant craquer et se tendre le ventre et
les cuisses de Charlotte, chaque coup, le laissant exténué après chaque attaque. Juliette écouta ces appels étrangers
auxquels tout le corps de la jeune femme répondait. Elle était vide d'idées. Elle eut seulement conscience que bientôt le
soir allait tomber, qu'elle était seule avec Charlotte. L'allégresse se communiqua à sa vieille passion et elle songea à sa
solitude. Il lui sembla que c'était pour racheter quelque chose. Vivre pleinement sa sexualité, si l'on sort tant soit peu des
sentiers battus et sillonnés par les autres, est un luxe qui n'est pas accordé à tous. Cette misère sexuelle la confortait
dans son choix. Le masochisme est un art, une philosophie et un espace culturel. Il lui suffisait d'un psyché. Avec humilité,
elle se regarda dans le miroir, et songea qu'on ne pouvait lui apporter, si l'on ne pouvait en tirer de honte, lui offrir qu'un
parterre d'hortensia, parce que leurs pétales bleus lui rappelaient un soir d'été heureux à Sauzon à Belle île en Mer.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je sais que ça va se produire bientôt. Je sais que tu attend ce moment. Tu l'attend surement car c'est un vieux rêve hein ? Etre le garçon, être celui qui mène, être celui qui guide. Prendre une moeuf mais pas comme une moeuf, comme un garçon. Un vrai de vrai, avec tout l'attirail.
Surement pour ça qu'avant ce n'étais pas toi que je regardais. Je n'avais d'yeux que pour lui. J'ai toujours eu une attirance un peu trop considérable pour les mecs. Peut être parce que c'est resté enfoui en moi aussi longtemps et que depuis quelques temps ça implose à l'intérieur. Alors quand on a commencé tout ça, nos trajectoires, nos intersections... J'ai compris. C'étais la, latent. Mais c'étais tellement dure à dire. J'avais envie de ta force. De ta force et de ma fragilité. Un fantasme d'hétéro un peu vétuste, un peu cramé, un peu cliché.
J'avoue, j'en ai honte. La militante du genre qui se prend pour betty page... En fait c'est pour ça que y'a des trucs que je ne veux pas avec toi. Je suis heureuse de notre manière de faire du sexe. C'est pas simple, c'est pas évident, c'est pas automatique. C'est animal, voir bestial, instinctif et méditatif. Alors je ne veux pas mon amour, je ne veux pas de ces singeries. Surtout pas avec toi...
Je veux que ça fasse mal, je veux des torsades de douleurs, je veux des colliers de cris et des bracelets de brûlures. Je veux convulsionner sous ta transe et éructer dans ta bouche des mots sales et bileux. Je veux ta peau qui grince et ton cœur qui frissonne. Je veux que ma douleur te fasse grelotter et que tu la sente comme une lave qui suinte par mes pores. Que tu sente ma terreur sourde et la violence de nos ébats. Quand je te sentirais en moi je veux tout ça. Je veux voir nos âmes cruelles qui rejouent le spectacle de violence auquel elles ont réchappé.
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Le Ass Rubbing ou qui s’y frotte…
Je vous ai déjà présenté différents Gifs et méthodes de masturbations dans différents articles et même dans la Boîte à Fantasmes. Pourtant le Ass Rubbing ( ou Ass Rub) reste une pratique hautement excitante alors, pourquoi ne pas en abuser ?
Ass Rubbing :
Ass = Cul/fesses
Rubbing = Frotter.
On le voit sans le voir, dans les clips de rappeurs et autres mettant en avant des naïades au corps divin, mais surtout aux fesses mises en avant qui ondulent de la croupe devant ces chanteurs. L’image est bien sûr reprise de la pornographie (encore elle!) qui use de cette pratique. Tout compte fait, cela apporte un jeu supplémentaire à notre panel de jeux lubriques.
Attention, je ne parle pas de cette pratique sauvage que certains usent dans les transports en commun en toute impunité, si vous voyez ce que je veux dire ? Le consentement va de soi.
On peut pratique le Ass Rubbing de différentes façons.
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-ass-rubbing/
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A mon réveil, je me suis rapidement douchée.
J'ai préparé ton petit déjeuner.
Café, croissants, jus d'orange.
Caresses buccales pour te réveiller.
Tu m’as demandé de te prendre en bouche, pour te soulager en moi de ta pisse de la nuit
Puis tu m'as prise dans tes bras et tu m'as fait l'amour.
Quand j'ai voulu à nouveau te prendre en bouche, tu as refusé.
"Laisse moi faire, te rendre un peu du plaisir que tu m'as donné."
Je me suis laissée faire.
Tu as exploré, caressé, embrassé chaque parcelle de mon corps.
Tu as posé tes lèvres sur ma chatte, tu m'as pénétrée avec ta langue
jusqu'à ce que je me torde de plaisir.
Avant de me prendre, doucement, longuement, tendrement.
Te retenant de jouir, pour me faire jouir plus longtemps.
Pour finir par me laisser épuisée d'orgasmes quand tu t'es répandu en moi.
_______________
J’ai refait du café, le précédent était froid.
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Il faut qu’elle rampe.
Qu’elle rampe !
Son Maître veut la voir au sol.
Nue.
*
Chaque étape est importante.
*
Etre sous le regard du Maître. Habillée sous son regard. Habillée sous son regard qui soulève sa jupe ou sa robe. Se glisse entre ses cuisses.
Elle obéit.
Elle obéit, elle est là pour ça.
Elle obéit, elle aime ça.
Ne plus penser. S’abandonner. Etre seulement pour lui, par lui : femme et femelle. Sa chose. Un animal docile. Sa chose animale femelle esclave dont il use. Abuse. Elle lui a donné ce droit.
Ne plus penser, obéir. Etre au service des désirs de l’homme. Qu’elle appelle « Monsieur », « Maître ». Elle sait que ces mots sont comme des caresses de sa langue sur sa queue. Et elle aime le faire bander. Savoir qu’il la désire. Elle le lit dans son regard. Elle l’entend dans les ordres qu’il lui donne.
Alors elle obéit.
*
Débout, jambes écartées, elle remonte sa robe ou sa jupe. Elle se fait pute pour lui. Elle l’allume. Elle veut qu’il bande. Qu’il est envie de la baiser, de la fouetter, de la branler, de la goder, de lui faire mal. De l’asservir à ses désirs.
Tous ses désirs.
Elle est là pour ça.
*
Pour se trousser devant lui.
Ouvrir sa fente.
Largement. Avec ses deux mains.
Lui offrir sa béance. Son ventre. Son intimité.
N’être plus que ça : ce trou qui coule.
Qu’il la remplisse !
*
Mais il prend son temps.
Chaque étape est importante.
*
Elle sait qu’il veut la voir débraillée : son chemisier ouvert sur ses seins nus.
La jupe ou la robe troussée, qu’elle maintient sur son ventre.
Débraillée et exposée.
Vulnérable.
*
Mais elle ne sait jamais ce qui va suivre.
*
Va-t-il franchir la distance ?
Et venir empoigner sa vulve. Toute sa vulve dans sa paume. Dans sa poigne.
Et la broyer.
Lui faire mal. La tenir d’une seule main. Lui imposer la douleur. Cette terrible douleur. Et la faire plier ?
Se réjouir de l’entendre gémir.
Se réjouir de la voir souffrir. Par lui. Pour lui.
Lui offrir cette souffrance. Et sentir qu’elle en coule.
*
Va-t-il franchir la distance ?
Et caresser sa bouche d’un doigt. Frôler ses lèvres. Les dessiner avec tendresse. Glisser entre ses lèvres ce doigt inquisiteur. Impérieux qu’il lui impose ?
Un doigt ? Deux doigts ?
Va-t-il jouer avec sa langue ? Explorer sa bouche ?
Lui intimer l’ordre de ne pas déglutir :
– Laisse couler…
Il aime la voir souillée. La réduire à cet animal qui bave.
Son cœur s’affole.
Va-t-il se contenter de l’humilier ?
Ou bien, enfonçant ses doigts au fond de sa gorge, va-t-il, la tenant de son autre main ferme sur sa nuque, la mener au bord du spasme, du vomissement, la faire vraiment vomir ?
Elle est sa chose.
Cette femme qui bave. Cette femme qui obéit et subit. Jusqu’au délabrement…
Atteindre ces moments ultimes où le cœur manque.
*
Ou bien va-t-il lui ordonner d’aller se déshabiller dans la chambre ?
Pour revenir, nue, s’agenouiller devant lui. S’allonger à ses pieds. La faire ramper ?
Il aime la voir au sol.
Poser son pied chaussé au creux de ses reins.
S’agenouiller à ses côtés pour la doigter, la fouiller, la branler. Lui imposer son plaisir.
*
Ou va-t-il lui ordonner de prendre appui des deux mains bien à plat sur la table. De se pencher. De tendre la croupe. Jambes écartées. De creuser les reins.
Pour la prendre ?
Brutalement l’investir. La remplir. Etre le Maître. Prendre possession d’elle ?
Ou bien va-t-il tirer sa ceinture, la faire glisser, pour la corriger. La cingler. La marquer ?
*
Ou bien lui ordonner de l’attendre à genoux nue dans la baignoire ?
Mais pour subir quel sévice ? Quel outrage ? Quelle humiliation ?
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Clara ne me disait presque rien de sa vie. Elle ne me posait aucune question sur la mienne. Sans
doute par crainte d'apprendre des choses qui auraient pu lui déplaire. Aimer écrire, c'est coucher
des mots sur le papier, et non pas partager le lit de Madame de Staël. Mon existence en dehors
de la littérature ne méritait pas que je la fisse souffrir avec des passades sans importance. Elle ne
pouvait être jalouse de ma méridienne. Je ne vivais que dans l'attente d'un prochain rendez-vous,
de baisers volés, d'étreintes usurpées. Où aurait-il lieu ? En réalité je passais plus de temps à
imaginer Clara qu'à la voir. Et quand je la retrouvais, c'était à travers la brume de ce songe que
j'avais construit autour d'elle. Elle m'écrivait des lettres brèves, quelques phrases denses comme
des aphorismes, datées avec précision. Elle indiquait toujours l'heure et le temps qu'il faisait.
J'appris un jour qu'elle avait épousé un éleveur de chevaux. Elle était fière, aussi farouche que
les pur-sangs que son mari dressait dans sa propriété de l'Orne. Elle préférait ne pas s'interroger
sur le moment de folie qui, contre tous ses principes l'avait jetée dans ses bras. Cela lui semblait un
phénomène aussi bizarre que la foudre ou un tremblement de terre. Elle avait construit autour d'elle
un mur pour se protéger et se croyait à l'abri. Elle se sentait imprenable autant par dégoût des autres
que par un sentiment de fierté qui lui faisait juger les choses de l'amour soit comme un idéal impossible
soit comme un abandon bestial. Elle n'imaginait pas l'entre-deux. La vie devint pour elle, droite, sans
écart, maintenue dans son parcours par une main inflexible, faisant de la doctrine du Cadre noir de
Saumur sa ligne de conduite. " En avant, calme et droit ", la citation du général L'Hotte l'inspira.
Avait-elle lu le beau roman de François Nourissier ? Au milieu de la vie, elle voyait venir l'hiver. Elle
acceptait avec courage la solitude qui de plus en plus l'envelopperait dans ses voiles glacés. Clara
échappait à cette angoisse en demandant à la nature de lui offrir les plaisirs, les joies, les émotions
qui lui manquaient. Cette liberté de l'instinct débridé, l'ardeur des saillies, les montées de la sève et
l'allégresse reproductrice du monde végétal la fascinaient. Elle ne vivait plus que pour les chevaux,
les arbres et les fleurs. Elle habillait sa sauvagerie nouvelle d'un masque de mondanité provincial.
Bientôt elle m'invita chez elle et me présenta à son mari qui m'accueillit avec une diplomatique et
rigoureuse politesse. Nous étions dans un monde où tout se joue sur les apparences, où le soupçon,
les arrières-pensées étaient bannis. Un monde de civilité absolue où ce qui n'est pas montré pas plus
que ce qui n'est pas dit n'avaient droit à l'existence. Il m'emmena faire le tour du parc ainsi que de
manière immuable, il procédait avec ses hôtes et me tint les mêmes propos qu'il leur avait tenus à
tous pendant leur visite, propos qui certainement devaient être à quelques nuances près, ceux de
son père et de ses aïeux. Des chevaux gambadaient dans une prairie, d'autres travaillaient dans une
carrière. Tout était dans un ordre parfait. La maison du jardinier rutilait. La serre semblait aussi propre
et rangée qu'une salle d'opération. Un hommage digne à Monsieur de Buffon. Seul le cœur semblait
ne pas avoir de place. On le considérait comme un intrus. J'allais monter à cheval avec Clara. Nous
nous promenions dans les bois. Parfois nous rentrions avec le crépuscule, et cette demi-obscurité
jetait sur nous des ombres coupables. Son mari nous attendait impavide sur le perron. Sa distance,
son indifférence vis-à-vis d'une liaison qu'il ne voulait pas voir, étaient presque plus lourdes à supporter
que s'il nous avait attendues un fusil chargé à la main. Ce silence du non-dit pesait sur nous comme une
faute. Je regagnai ma chambre et dans cette atmosphère de crime, Clara se glissait contre moi. Elle
repartait à l'aube. Alors, souvent, en m'éveillant dans le lit vide, je me demandais si je n'avais pas rêvé.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Juliette passa enfin dans la salle de bain, se fit couler un bain, vérifia la température.
Tout en traversant la chambre en direction de la coiffeuse, elle ôta ses boucles d'oreilles
en or. Dans sa trousse à maquillage, elle prit un rasoir et une savonnette, puis se déshabilla
devant la commode. Depuis qu'elle était jeune fille, on lui disait qu'elle était ravissante et
qu'elle possédait un charme ravageur. Elle s'observa dans la glace: un corps ferme et bien
proportionné, des seins hauts placés et doucement arrondis, le ventre plat et les jambes
fines. De sa mère, elle avait hérité les pommettes saillantes, la peau toujours hâlée et les
cheveux blonds. Mais ce qu'elle avait de mieux était bien à elle, ses yeux, des yeux comme
les vagues de l'océan ou le ciel, d'un bleu azur, se plaisait à dire Ka-Sandra. Dans la salle de
bain, elle posa une serviette à portée de main et entra avec plaisir dans la baignoire.
Prendre un bain la détentait. Elle se laissa glisser dans l'eau. Quelle agréable journée. Elle
avait le dos crispé, mais elle était contente d'avoir terminé ses courses si rapidement. Elle
se couvrit les jambes de mousse et entreprit de les raser, songeant à Ka-Sandra, à ce qu'elle
penserait de son comportement. Elle le désapprouverait sans aucun doute. Elle resta encore
un moment allongée dans le bain, avant de se décider à en sortir. Elle se dirigea vers la
penderie pour se chercher une robe. La noire avec un décolleté un peu plongeur ? Le genre
de toilette qu'elle portait pour des soirées. Elle la passa et se regarda dans le miroir, se tournant
d'un coté, puis de l'autre. Elle lui allait bien, la faisait paraître encore plus féminine. Mais non,
elle ne la porterait pas. Elle en choisit une moins habillée, moins décolletée, bleu clair, boutonnée
devant. Pas tout à fait aussi jolie que la première, mais mieux adaptée aux circonstances. Un peu
de maquillage, maintenant un soupçon d'ombre à paupière et de mascara pour faire ressortir ses
yeux. Une goutte de parfum, pas trop. Une paire de boucles d'oreilles, des petits anneaux. Elle
chaussa des talons hauts que Ka-Sandra exigeait, comme elle exigeait qu'elle soit nue sous sa robe,
d'autant plus nue qu'elle était toujours intégralement rasée, lisse, offerte, ouverte à ses désirs ou
à ceux des inconnues auxquelles elle la destinait. Depuis son infibulation, elle ne portait plus
aucun sous-vêtement, la culotte la plus légère irritait sa chair et lui faisait endurer de véritables
tourments. Ka-Sandra l'obligeait à en porter lorsqu'elle n'avait pas été assez docile pour la punir.
Elle portait deux anneaux d'or sur ses petites lèvres, signe de son appartenance à sa Maîtresse, Ka-Sandra.
Les marques imprimées sur son pubis, étaient creusées dans la chair. Rien que de les effleurer, on pouvait les
percevoir sous le doigt. De ces marques et de ces fers, Juliette éprouvait une fierté insensée presque irraisonnée.
Elle subissait toujours les supplices jusqu'au bout, faisant preuve en toutes circonstances d'une abnégation totale.
Qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable qu'un homme, elle n'en avait jamais douté. Mais elle pensait
que sa Maîtresse cherchait moins à manifester son pouvoir qu'à établir une tendre complicité, de l'amour avec
les sensations vertigineuses en plus. Juliette n'avait jamais compris, mais avait fini par admettre, pour une
vérité indéniable, l'enchevêtrement contradictoire de ses sentiments. Toujours docile, elle aimait le supplice, allant
jusqu'à regretter parfois qu'il ne soit pas plus long et plus féroce, voire inhumain. Mais sa nature masochiste ne
suffisait pas à expliquer sa passion. Elle aimait cette partie obscure qui faisait partie d'elle et que sa Maîtresse
nourrissait. Ka-Sandra la hissait, la projetait en révélant les abysses de son âme, en les magnifiant, la sublimant
en tant qu'esclave, en lui faisant accepter son rôle d'objet. Elle avait créer entre elles un lien indestructible.
Elle ne pourrait jamais oublier le jour de ses vingt ans. Ce jour-là, Ka-Sandra quitta tôt les cours qu'elle donnait à la
Sorbonne pour venir la chercher à la sortie de la faculté. La soirée s'annonçait douce et agréable. Juliette écoutait
le bruissement des feuilles, en songeant à la beauté naturelle du jour. La nature vous rend plus qu'elle ne vous prend
et ses bruits obligent à penser à son destin. Le grand amour vous fait cet effet-là. Les nuages traversaient lentement
le ciel du soir. Ils s'épaissirent un peu. Désormais, la réalité de la nuit et la réalité du jour seraient la même réalité.
Chez elle, Ka-Sandra lui demanda de se mettre nue, la regarda sans un mot lui obéir. N'avait-elle pas l'habitude d'être
nue sous son regard, comme elle avait l'habitude de ses silences. Elle l'attacha et lui demanda pour la première fois,
son accord. Elle voulait la fouetter jusqu'au sang. Elle lui dit seulement qu'elle l'aimait. Alors elle la battit si fort qu'elle
suffoqua. Au petit matin, Ka-Sandra était allongée près d'elle et elle ne pouvait penser à meilleure occupation que de
la dévorer des yeux. Le soleil du matin qui entrait par raies obliques entre les lamelles du store rehaussait le brun
luisant de son corps. Elle était assoupie sur le ventre; le haut de ses bras étirés au dessus de sa tête était bronzé
et ses aisselles blanches. Ka-Sandra glissa un doigt sur la courbe sinueuse de son dos et sa peau satinée se couvrit
d'un frisson. Elle était grande et très blonde. Une femme idéalement belle. Bientôt, son regard s'attarda sur ses
cuisses écartées et immanquablement, une tension sourde s'empara d'elle. De ses lèvres, elle lècha sa peau tout
en dessinant ses omoplates avant de laisser glisser le majeur jusqu'au creux de ses reins. Elle frôla l'œillet secret
qui déjà cédait aux effleurements. Les chairs se distendirent, pour se raffermir aussitôt comme brusquées.
Ses doigts contournaient les formes plissées qui sertissaient l'anus. Ils lissèrent les veinules lentement, les unes
après les autres, consciencieusement. Elle la vit approuver d'un mouvement de reins, une cambrure pour l'instant
étudiée, maîtrisée. Rien du domaine de l'abandon. Ils se confinaient encore dans la séduction. Ou en tout cas,
le crut-elle. L'amante ne trichait pas. Elle était sexuelle. Mais Juliette se l'imaginait elle, bien trop jeune pour le savoir.
Bientôt l'anus ne se défendit plus. Il rougit en acceptant, s'humidifia, larmoya une liqueur d'acquiescement, frémit au
moindre toucher et enfin sursauta. Elle ressentit la naissance d'une jouissance s'inscrire dans les va-et-vient de ce
ce trou qui appelait. La sève s'écoula et lubrifia l'orifice pour permettre le passage. Voilà, elle ne joue plus, elle le sait;
elle peut maintenant tout imposer, froidement, à ce corps qui ordonnait l'intromission. Elle supposa qu'elle aimerait être
capable de hurler les mots et les actes qu'elle attendait. Elle se rembrunit, chercha à dégager son visage d'entre les
draps. L'amante s'irritait parce qu'elle ne supportait pas l'affront d'un quelconque échec.
La douleur vive s'était évanouie alors Ka-Sandra la vit qui hésitait: devait-elle reprendre le fil de ses paroles susurrées ?
Allait-t-elle l'accepter ? Elle désirait la faire oser pour elle, pour qu'elle puisse dérouler le fantasme d'une femme.
Une femme objet. Bien sûr, il est à craindre que pour une autre, cela ne se passerait pas comme cela. Elle se tairait.
Mais Ka-Sandra la voulait obscène, pour mieux la prêter. Elle la sentait brûlante, raidie sous ses doigts. Il courtisait ses
hôtes, il les choyait, savoureusement. Le giclement séminal accompagna les mots venus se fracasser comme une
éclaboussure. Le coeur s'était déplacé au fondement du corps. Il battit, se contracta et se rétracta comme l'aorte qui
donne vie. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. Ka-Sandra sentait
la jouissance envahir Juliette peu à peu. Le désir brûlait, et retombait, suspendu à la prochaine salve.
L'amante fut à cet instant forcément animale. Elle exigea tout, tout de suite. Elle écarta les doigts et en introduisit
subrepticement un troisième. Là, la femme soumise s'attendit à ce qu'elle eut exigé un quatrième puis un cinquième.
Elle se trompait. Mesurait-t-elle seulement combien, elle se trompait ? L'amante est toujours dans la force. La
prouesse n'est bien souvent qu'un détail. Elle l'empala d'un mouvement violent pour se caler en terrain conquis,
profondément. Le cri résonna en écho venant lécher les parois d'une chambre que l'on imaginait forcément sombre.
Les murs étaient d'un blanc clinique; un matelas flanqué à même le sol pliait sous les corps nus, brunis par le
soleil, soudés et parfaitement imberbes. Maintenant, Juliette allait supplier.
Les chairs résistèrent, se plaignirent, s'insurgèrent puis craquèrent, obéissantes. Elle desserra les dents
de son index meurtri, bleui par la morsure. La jouissance sourde venait de loin, d'un tréfonds dont elle ne
soupçonnait pas l'existence. Elle hurla. Qu'elle voulait le poignet. Qu'elle voulait plus encore. Qu'elle irait le
chercher, elle même si Sarah ne cédait pas. Elle vit la fureur s'emparer du corps, et le vriller, l'hystérie libérer
toute l'énergie de l'organisme. D'un mouvement brusque, le poignet venait d'écarteler ses reins, elle avait joui.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Adoré par les soumis fétichistes et Dominas qui récompensent ceux-ci en les autorisant à le faire,pratique sale et perverse pour les autres, le Cum on Clothes ou Panties tend à se généralisé sur les sites de vidéos pornos et dans les pratiques de couples.
Il s’agit d’un fétichisme sexuel* lié à l’excitation de voir sa partenaire porter un vêtement qui ne laisse pas indifférent Monsieur et dont la finalité est que monsieur éjacule sur ce dit vêtement. Chaussures, bas, collants, culottes et strings, soutiens-gorge, etc. Tout est possible. Ainsi sur certains sites , on découvre les mêmes pratiques sur lunettes, chaussettes, etc.
Il n’existe pas de nom propre à cette déviance que l’on peut classer comme la paraphilie** s’approchant le plus de la Salirophilie***
Le Vêtement est un objet d’érotisme
Dans le milieu du BDSM, autoriser son soumis à jouir sur le vêtement fétiche est une récompense. Le plus répandu étant le fétichisme des pieds et/ou des chaussures, botte, etc. Dans ces cas précis, l’homme est en position de soumission et c’est Madame qui décide où et sur quoi Monsieur peut éjaculer. Cette « pratique » fût longtemps assimilée au milieu du BDSM qui avait ses codes, mais aussi ses matières (Cuir, latex, vinyle, etc.) qui ont toujours fait fantasmer ces messieurs. Plus évoluée et raffinée, la lingerie a évolué et les matières aussi. Devenant excitante et provocante, ces messieurs en sont devenus fétichistes, même un peu. Les tenues de ville de ces dames, elles aussi plus sexy, près du corps, moulant les formes, n’hésitant pas à mettre en valeur leurs courbes. Ainsi les collants, leggings et autres produisent des excitations nouvelles et de nouveaux fantasmes et vices.
Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/cum-on-clothes-2/
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Elle me regarda longuement, puis eut un vrai sourire, dans lequel en faisant un effort,
on pouvait retrouver ce qui avait été sa féminité avantageuse mais qu'un nouvel élément
transformait en une sorte de féminité crispée, mais tout de même empreint de sérénité.
Patricia a eu raison bien à l'avance et je ne lui suis déjà plus loyale. Alors, je me sentis
mue par cette naïveté qui habite les cœurs encore jeunes, et je fus convaincue que ma
vie sentimentale ne pouvait abriter deux intrigues à la fois. J'étais poussée, en outre, par
je ne sais quelle intime impossibilité de lui mentir. Nous ne possédions rien ensemble.
Rien d'autre qu'un engagement mutuel, un collier et un lit. Rien, aucune activité sociale,
aucun contact avec d'autres êtres humains, les lumières du ciel ou de la ville. Il n'était
rentré dans notre relation que la vérité, crue et nue, de notre sexualité. Nous n'avions pas
eu à donner le change, pas plus à nous-mêmes qu'aux autres, et les subtils aménagements
ou glissements successifs vers le mensonge et l'omission qui s'opèrent entre amantes,
n'avaient pas pu amorcer le chemin qui mène très souvent, vers l'hypocrisie, le compromis
et le malentendu librement consenti. Nous n'étions pas des animaux sociaux. Le mensonge,
dès lors, ne servait à rien et nous n'y avions pas eu recours. Aussi, je me sentais tenue de
tout lui dire, sans même l'embrasser ou la caresser, mais je n'avais pas assez comptée sur
l'appétit que nous avions l'une de l'autre, et je lui fis d'abord l'amour, et le mal après. Sous
le fouet, elle ne réagit pas. Elle eut un bref pincement aux commissures des lèvres si promptes
habituellement au sarcasme et elle baissa la tête, puis elle la releva à peine troublée.
Patricia regarda Sarah sans pouvoir prononcer une parole. Elle prit une douche, et se brossa les cheveux.
Elle finit de se sécher et passa seulement un peignoir. Et tout en s'essuyant avec une serviette de bain, elle
se regarda dans le miroir, en contemplant les deux lettres S qui ornaient son pubis lisse, double signe de son
appartenance, mais surtout les cicatrices. Les coups de cravaches ou de fouet. Sarah la fouettait généralement
elle-même, mais il lui arrivait de la faire fouetter par une autre jeune femme. C'était une fille très mate de peau,
élancée et fine, les yeux bleus dévorant le visage, des cheveux noirs coupés droits au-dessus des sourcils, en
frange à la garçonne, Elle avait de petits seins fermes et frémissants, des hanches enfantines à peine formées.
À force de la battre, elle était tombée amoureuse de Patricia. Elle obtint le droit de demeurer près d'elle. Mais
Sarah lui interdit de la caresser, de l'embrasser fût-ce sur la joue, ou de se laisser embrasser par elle. Elle
attendait qu'elle arrivât à se soumettre sans avoir été touchée par les mains ou les lèvres de qui que ce fût. En
revanche, elle exigeait, puisqu'elle ne la quittait à aucun moment, qu'elle vît aussi bien Patricia caresser une
autre femme mais uniquement en sa présence et pour son seul plaisir. Peut-être Sarah avait-elle trop comptée
sur l'indifférence à la fois et la sensualité de Patricia par rapport aux jeunes filles. Jamais, elle n'avait eu avec
elle l'attitude d'une amante amoureuse. Elle la regardait froidement, et quand elle lui souriait, le sourire n'allait
pas jusqu'aux yeux. En admettant que Patricia fût avec elle aussi abandonnée qu'elle l'était avec Laure, ce qui
était probable, elle ne pouvait s'empêcher de croire que cet abandon ne l'engageait pas à grand chose ou rien.
Mais quel repos, quel délice le fouet qui balafre la chair et marque pour toujours, la main d'une Maîtresse qui
vous couche sur un lit de fer, l'amour d'une Maîtresse qui sait s'approprier sans pitié ce qu'on aime. Et Patricia
se disait que finalement elle n'avait jamais aimé Sarah que pour apprendre l'amour et mieux se donner, esclave
et comblée, à elle. Comme si elle avait deviné l'intensité de son plaisir, qu'elle dissimulait de son mieux sous les
râles et les spasmes. Elle apprit à aimer porter des pinces aux seins. Sarah disait d'elle qu'elle en profitait trop,
que le plaisir effaçait la douleur et que cela était scandaleux. Les lèvres de son sexe étaient en revanche très
sensibles, quels que soient ses efforts. Mais cette farouche volonté de ne jamais la décevoir lui permettait alors
d'assumer bien des sévices. Elle se concentrait de toutes ses forces pour oublier ses souffrances; parfois elle
parvenait à oublier la douleur lorsque brisant ses chaînes et la tension nerveuse qui la faisait trembler, Sarah
la fouettait et qu'elle se débattait entre ses mains, le visage durci par la peur et le désir. Elle cessait de se raidir,
aussitôt pressée contre le mur, saisie au ventre et aux seins, la bouche entrouverte par la langue de Sarah, pour
gémir de bonheur et de délivrance. La pointe de ses seins se raidissait sous les doigts et parfois même les dents
de sa Maîtresse. Elle fouillait si rudement son ventre qu'elle crut s'évanouir. Oserait-elle jamais lui dire qu'aucun
désir, aucune joie, aucune imagination n'approchait le bonheur qu'elle ressentait à la liberté avec laquelle elle
usait d'elle, à l'idée que Sarah n'avait aucun ménagement à garder; aucune limite à la façon dont, sur son corps,
elle pouvait chercher son plaisir. La certitude que lorsqu'elle la touchait, ce fût pour la caresser ou pour la battre.
Comme elle était là, plaquée contre le mur, les yeux fermés, les mains de sa Maîtresse montaient et descendaient
le long d'elle la faisant brûler chaque fois davantage. Cette nuit, Patricia passa une nuit agitée, et maintes fois la jeune
fille se réveilla en sursaut. L'aube fraîche apaisa son énervement; elle en conclut qu'elle n'avait plus l'habitude d'être
fouettée et quelques traces douloureuses sur ses reins la confirmèrent dans cette idée. Étendue nue sur son lit, elle
se remémora la soirée et seulement toute l'horreur de son abandon lui apparut. Elle frémit à l'idée qu'elle avait pu
s'offrir et se laisser ainsi sodomiser dans des poses d'une lubricité atroce par des inconnus; puis, peu à peu, le souvenir
de certaines émotions charnelles supplanta la vague de pudeur qui déferlait en elle; elle repensa à l'ardente virilité de
l'homme et trouva la vie plus belle que jamais. Elle se caressa dans la douce lumière du jour tamisée par les volets.
L'après-midi, elle retrouva Sarah et l'emmena chez Paul; vêtues toutes deux de blanc, elles avaient l'air de deux sœurs
et le miroir éclairé renvoya bientôt aux yeux de l'homme leurs intimités lisses et moites. Bientôt, les deux corps dénudés
se roulèrent sur le lit en une étreinte sauvage où Patricia exhala non sans passion sa volupté toujours puissante. Alors
Patricia abandonna son corps aux désirs sadiques de Paul. Il l'entraîna sur une table haute et l'allongea à plat-ventre,
jambes et bras écartés en lui liant les chevilles et les poignets fermement avec des cordes en prenant soin d'étirer ses
membres en position d'écartèlement extrême. Paul se saisit d'un martinet aux lanières en cuir et commença avec art à
flageller les reins qui s'offraient à lui; il commença doucement, visant le sommet des fesses tendues. Elle n'avait pas très
mal; chaque coup amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles, mais peu à peu, une douce chaleur
irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion légère des cuisses et de ses hanches donnait au corps un
balancement lascif. De la bouche de la soumise contrainte sortirent de longs soupirs. Paul, excité, commença à frapper
plus fort par le travers et les gémissements de Patricia furent plus profonds et la danse de la croupe s'accentua.
En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure dans les reins et hurla; l'homme la
flagellait à toute volée. Il n'attendit pas qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Patricia crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à la tête. Alors Sarah s'accroupit près des
épaules de Patricia et lui caressa la tête, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise
éplorée. Paul frappa encore plus fort et les fines lanières claquèrent dans un bruit mat les fesses musclées.
La suppliciée se mit à gémir en hoquetant et en tordant son buste que sa Maîtresse maintenait tout en le
caressant; elle lui promit toutes les joies charnelles qu'elle voudrait sur son propre corps, mais lui demanda de
résister encore; parfois Patricia se tournait vers Paul dénudé, qui, tel un démon, les yeux fous de luxure, le
ventre tendu, la verge en érection, la flagellait avec une force inouïe. Alors les lanières léchèrent le sexe entre
les cuisses écartées et un long cri s'échappa des lèvres de la soumise douloureusement atteinte; elle voulut
fermer les jambes mais des cinglements plus vifs l'atteignirent sur leur coté. Mais la douleur devint trop vive.
Patricia laissa couler quelques larmes sur la main de Sarah qui fit signe à Paul de cesser la flagellation. On
la détacha de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que peu de
temps; penchée sur le ventre ouvert de la soumise, Sarah posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide
et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité; mais elle même, sentit monter en elle la plus violente
des jouissances sous la caresse précise de Paul qui, glissant sa langue entre ses reins, lapait la peau
satinée de sa voie étroite, tandis que des lèvres de Patricia s'échappait la plainte d'amour, s'éleva le
gémissement étouffé de la chair humide et palpitante de Sarah, jouissant de toutes ses forces. Paul dut
maintenir les hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus.
Quand Patricia eut repris ses sens, tous trois revinrent sur le lit; Paul fit prendre à la jeune soumise les
positions les plus indécentes, puis à son tour, il lui tendit sa verge en érection. Elle s'agenouilla et le masturba
lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair avant de le prendre en bouche; avec violence le
phallus se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres qui l'aspiraient pour le retenir. Il éjacula brusquement,
innondant sa gorge de sperme qu'elle avala mystiquement jusqu'à la dernière goutte.
Sarah posa son index sur l'anus de Patricia, et lentement l'enfonça dans les entrailles chaudes, jusqu'au bout.
Les yeux fermés, elle cherchait à imaginer, en sentant les contractions des sphincters intimes, la volupté ressentie
par un homme dont le membre était pris dans cette voie exiguë; doucement, elle agita son doigt dans l'orifice offert,
tandis que sa soumise redonnait de la vigueur à Paul, par le mouvement de sa bouche refermée et resserrée sur
le membre gonflé; elle comprit simplement qu'à son tour, il souhaitait frayer un chemin au plus étroit. Alors, bientôt
il se dégagea, se leva et, attirant par les reins Patricia, laissa son sexe se caresser au sillon des reins, que Sarah
avait laissé à regret; alors avec force, sans préliminaire, il enfonça son phallus, remontant et allant frapper au fond de la
cavité de l'orifice naturellement étroit. Dans un long gémissement, elle accepta cette chair qui distendait ses reins non
sans se débattre et sans être comblée de honte, mais à laquelle, elle ne se déroberait pas, même si cela lui semblait
sacrilège; elle gémit encore plus fort, quand elle sentit le membre caché, buter au fond de ses entrailles offensées.
Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté
nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Paul, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland
amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche; l'anus plissé s'ouvrit sous la poussée
continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau.
Paul sodomisa profondément ce jeune corps soumis, se regardant glisser hors de l'étui intime, se contracter et
distendre les bords plissés de l'anneau anal. Bientôt, l'excitation fut trop forte et il accentua la cadence, secouant la
croupe empalée. Patricia, elle même avivée par ce frottement intense dans ses entrailles forcées, s'abandonna
à son tour, tandis que l'homme lançait en elle, par saccades quatre jets de sperme visqueux et âcre. Elle se tordit de
jouissance et, dans une longue plainte, soupira, s'écroula, vaincue par un orgasme dont l'intensité la bouleversa.
Paul se retira, la libérant; Patricia voulut le prendre dans sa bouche pour le laver, mais dédaigneusement, il refusa.
Semi-consciente, elle pensa seulement qu'aucun orifice de son corps ne serait épargné, qu'elle devrait aussi accepter
d'être prise au plus étroit et savait que cette humiliation lui serait infligée par la volonté de la maîtresse qu'elle aimait.
Elle était là pour que Sarah assouvisse ses plus bas instincts, ses plus vils fantasmes; au fond d'elle même, elle était
décidée à ne pas la décevoir. En fut-elle délivrée ? Chaque jour et pour ainsi dire rituellement salie de sueur, de salive,
et de sperme, elle se sentait comme un réceptacle d'impureté. Cependant les parties de son corps les plus souvent
offensées lui paraissaient, malgré elle, plus belles, comme anoblies. Sa liberté serait pire que n'importe quelle chaîne.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Obstinément, Patricia gardait son front contre la vitre. Le soleil et le silence la brûlaient.
La campagne, comme une peau bien morte, s'étirait sous ses yeux. Un grand morceau de
cette peau, à chaque kilomètre, s'arrachait d'elle-même et la laissait désespérée, mais vive.
Elles avaient l'air invincible, chacune dans une armure et un rocher. Si l'on regardait de plus
près, leur visage était décomposé par le désir, l'envie ou le bonheur. Sarah, c'était le besoin
de s'affirmer comme une femme, capable de faire souffrir. Patricia ne parvenait pas à affadir
son amour pour elle. Il ne faut pas reprocher aux gens, d'être un peu faibles. Ils ont tort de le
montrer, voilà tout, avait dit Sarah. Les traces, sur le corps de Patricia mirent quinze jours à
s'effacer. Encore lui resta-t-il, aux endroits où la peau avait éclaté, une balafre un peu blanche,
comme une ancienne cicatrice. Mais aurait-elle pu en perdre le souvenir; qu'il lui aurait été
rappelé par le comportement de sa Maîtresse. Elle attendit longtemps, se demandant si elle
la surprendrait en pleine nuit, si elle viendrait seule ou accompagnée. Elle souhait qu'elle
vienne pour provoquer des marques nouvelles. Si Sarah poussait Patricia au paroxysme de
l'épuisement et de la souffrance physique lors de séances très éprouvantes, l'amenant à la
limite de la rupture psychologique, il lui suffisait de lire dans son regard la satisfaction pour
prendre conscience de son plaisir et cela pouvait décupler ses forces. La crainte de la
décevoir par un refus la poussait parfois à accepter certaines humiliations qui pourtant la
révulsaient, mais qui attestaient de son appartenance à elle. Donner ce bonheur, obéir, se
soumettre, endurer et tout accepter d'elle était la seule préoccupation de Patricia. Elle savait
aussi que les raisons de provoquer ces traces pouvaient disparaître. Sarah pouvait-elle un
jour l'abandonner en rompant le lien qui les unissait. Bouleversée, elle regarda son pauvre
corps mince où de fines balafres blanchâtres faisaient comme un quadrillage au travers des
épaules, des cuisses, du ventre et des seins. En quelques endroits, un peu de sang perlait.
L'un des plus grands bonheurs de sa vie était de se débarrasser des tabous qui l'habitaient.
Sa fierté à sa soumission dans l'abandon lui procurait une exaltation proche de la jouissance.
Elle se disait aussi que tout était bien, car Patricia était heureuse d'aimer en elle son esclave.
Il lui suffisait d'y songer, d'entendre simplement parfois sa Maîtresse lui dire qu'elle l'aimait.
Après une route qui lui parut interminable, elle arriva dans la ville. Des carrefours sans âme et des feux se
succédèrent jusqu'à ce que la voiture s'engageât dans une ruelle si étroite qu'elle lui fit penser à une espèce
de coupe-gorge où elle n'aurait jamais osé s'aventurer seule. Elle avait si peur qu'elle se mit à trembler. Sarah
arrêta la voiture devant un portail austère où un homme à l'imposante stature les attendait. Le temps de réprimer
son angoisse, elle se retrouva, les yeux bandés face au colosse. Sa Maîtresse lui attacha les mains derrière le
dos. Une poigne brutale et soudaine enserra ses bras frêles et la conduisit dans une pièce minuscule plongée
dans l'obscurité totale, une sorte d'antichambre où elle attendit un long moment, dans un état d'angoisse et
d'excitation extrême. Une présence se manifesta bientôt en l'arrachant de sa torpeur. On la poussa dans un
escalier qu'elle devina tortueux. L'odeur de la terre humide emplit ses narines. Au bas de l'escalier, une cave.
L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le
long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Sarah la poussa en avant, pour pour qu'elle fût mieux à portée.
Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se
dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte, il lui semblait sacrilège
que sa maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas.
Elle gémit quand les lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure,
l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort
quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser le membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres,
une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu la quitta d'un brusque arrachement et lui aussi cria. Dans un
éclair, Patricia se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique.
Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Sarah s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire
outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse
être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler; c'était la première
fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Sarah parut subitement échauffée;
elle s'approcha d'elle, la coucha sur un lit, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche.
Ses cuisses musclées s'écartèrent sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra violemment dans
sa bouche. Patricia ne sentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne, son corps partait à la dérive.
Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit
avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues
assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve
en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. Elle fut mise à nue et attachée sur la croix de Saint
André. Elle reconnut immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière,
à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement
sec toujours imprévisible et judicieusement dosé. Patricia sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup,
elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette marque de tendresse lui donna le désir d'endurer davantage.
On lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi
la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux.
Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté,
elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Sarah mania longtemps et avec
une extrême lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage.
On lui débanda les yeux et elle put connaître le visage des autres invités de cette soirée mémorable. Elle découvrit
ainsi que Laurence était une superbe jeune femme brune aux yeux clairs, avec un visage d'une étonnante douceur
dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une
dominatrice telle qu'elle l'imaginait; elle fut mise à nouveau dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été
contrainte la veille. Pendant que l'on usait de tous ses orifices, un inconnu exhiba devant elle son sexe congestionné
qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum.
Mais l'homme, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre
sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit quelques commentaires
humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu; ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient
son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra.
Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Sa Maîtresse l'avait pliée à toutes
ses fantaisies, l'avait façonnée à sa mesure, avait exigé et obtenu d'elle les complaisances les plus outrageantes.
Patricia n'avait plus rien à livrer qu'elle ne possédât déjà. Du moins, elle le pensait. Mais elle était infiniment heureuse.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Une voix qui répète qu'elle vous aime et, derrière cette voix, imaginez ce qu'il vous plaira,
car elle dira rien d'autre. Les silences tendres, les mots échappés, tout cela vous importe
peu. Cette voix vous accable. Vous voudriez la chasser. Hélas, Patricia, avec ses belles
mains fines, était là, toujours là. Elle se multipliait au long des semaines, monotone et
identique. On ne se sauve que par l'excès, se disait-elle. Elle ne précisait pas devant quoi
elle se sauvait. Elle avait entre les reins une terrible dureté, dont on abusait trop souvent.
Elle n'avait pas besoin de bonheur. La souffrance, qu'elle savait parfaitement se procurer,
l'avait rendue presque sensible à l'existence des autres filles qui comme elle étaient livrées.
Dire que dès la seconde où sa Maîtresse l'eût quittée, elle commença de l'attendre, est peu
dire. Elle ne fut plus qu'attente et que nuit dans l'abstinence de ses supplices. Tout le temps
qu'elle demeura dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir, incapable de retenir
l'eau qui s'échappait de son corps. Il faisait plus chaud que d'habitude. Le soleil et la mer
l'avaient déjà dorée davantage, ses cheveux, ses sourcils et la très fine toison de son ventre.
Il y aurait beaucoup de choses à lui dire, mais d'abord, celle-ci, que je crains de deviner en elle de la légèreté.
Elle aimait la légèreté des choses, des actes, de la vie. Elle n'aimait pas la légèreté des êtres, tout ce qui était
un peu au-dessus du niveau semblait heurter Patricia. Elle ne recherchait pas à s'attribuer beaucoup de mérites
en ce monde ni dans l'autre, celui de l'abandon. Un sentiment d'insécurité pour son corps sans cesse meurtri. Elle
était bien jeune et ne savait même pas si elle possédait un peu de lumière. Sarah était arrivée quand elle était
dans l'ombre, et maintenant, il fallait arranger les choses. Tant pis pour elle. Les souvenirs qui ont su être poètes
de sa vie, c'est à dire dans le désordre, plaisir et enivrement de l'imagination. Mais dans la moindre de ses paroles,
raisonnable douce-amère, ce cadeau imprérieux du ciel, le lot avait oublié sa jeunesse, l'allégresse avec laquelle
elle devait accepter l'insistance, la mauvaise grâce, et la maladresse. Comme le fouet et les doubles fenêtres pour
que l'on ne l'entende pas hurler. Ses mains s'agrippaient aux colonnes du lit, où Sarah les assujettissait à l'aide de
fines cordelettes qui lui sciaient les poignets. Des sangles passaient dans les bracelets de ses chevilles. Elle était
allongée sur le dos, de telle façon que ses jambes surélevées et écartelées laisse à Sarah toute la fantaisie de la
fouetter. Elle était debout à coté d'elle, un martinet à la main. Aux premières cinglades qui la brûlèrent aux cuisses,
Patricia gémit. Mais elle ne voulait pas demander grâce, même quand sa Maîtresse passa de la droite à la gauche.
Elle crut seulement que les cordelettes déchireraient sa chair, tant elle se débattait. Mais Sarah entendait marquer
sa peau de traces nobles et régulières et surtout qu'elles fussent nettes. Il fallut subir sans souffle, sans troubler
l'attention de Sarah qui se porta bientôt sur ses seins. Elle allait retrouver sa considèration en s'accomodant de son
statut d'esclave et non pas de soumise. Et il n'était pour elle de plus grand bonheur que de se savoir appréciée.
L'amour mais avec un arc-en-ciel d'émotions vertigineuses en plus rayonnait toujours chaque parcelle de son corps.
Patricia n'avait pas très mal; chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles
fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irridia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses
et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs,
entrecoupés de sanglots. Sarah, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent
plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla.
Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Patricia crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Sarah s'accroupit près des épaules
de Patricia et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée.
Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins.
Patricia laissa couler quelques larmes. Alors Sarah arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens,
mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit.
Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Sarah posa ses
lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de
sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda
à la jouissance. Sarah dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et
inintérrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité
même. Penchée au-dessus d'elle, Sarah tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur
sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux.
Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait
l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Sarah pour y échapper, quand il était
terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse
ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire.
Patricia ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme
pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation.
De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues,
être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne
la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Lisbeth se fait carrément chier dans sa vie de couple, mais bon, c'est elle qui porte la culotte et donc c'est elle qui l'a voulu ainsi. Un job intéressant et très bien payé, un époux attentionné, deux superbes bambins, Lisbeth aurait tout pour être heureuse sauf que...elle se fait chier en amour. C'est pas que son mari ne la baise pas bien. Non, c'est juste que c'est elle qui conduit tout, décide de tout, dirige tout et que...elle n'en peut plus de son mari trop gentil et trop attentionné. Elle aimerait presque rentrer à la maison et se prendre des baffes et faire la vaisselle et ne penser à rien, juste obéir à son homme, pour se reposer.
Elle se rend compte combien c'est chiant de toujours tout décider. Elle passe sa journée comme cadre supérieure à diriger les autres, souvent des hommes. C'est fou comme ils l'écoutent et obéissent bien, mais c'est emmerdant comme dirait le regretté Le Luron qui savait se moquer de tout (à ses risques et périls, avec les coincés de partout, assoiffés de pouvoir et petits en tout) .
Alors Lisbeth a pris le taureau, la bite du taureau, rires, par les cornes ou les testicules, peu importe. Elle s'est inscrite sur BDSM. Fr, le bon site gratuit, pour se chercher un dom (rires). Lisbeth est une bonne casse couille, bien exigeante. Elle a cherché et finalement elle a choisi Hans, un dom original qui n'aime que les scénarios SS, un fan d'Adophe. Lisbeth a de suite aimé le coté humour et non conformiste, rien à foutre des quand dira t'on, des blas blas castrateurs. Hans délire sur le 3e reich et joue à l'officier SS.
Il a de suite su faire rire Lisbeth en lui disant:
-je te laisse le choix entre ces jeux de rôles: soit la "$*%"" juive (censure oblige), soit la "$ù*%" parisienne, soit la tankiste russe prisonnière, pour commencer.
-Va pour la tankiste a dit Lisbeth, amusée.
La première séance a été bien ouf de chez ouf. Hans l'a reçue en impecable uniforme noir Hugo Boss, croix de fer et insignes de la waffen SS, avec cravache et son berger allemand Otto , dressé à bien aboyer et faire peur. Tout y était, même le luger avec des balles réelles.
-Allez ma tankiste, va te changer, enlève des fringues de bourge et va passer la tenue des chiennes de Stalin. Après on va vider des chargeurs et quelques bonnes bières. J'ai mon propre stand de tir.
Lisbeth s'est amusée comme une folle à tirer sur des cibles. Hans est un très bon instructeur.
- Bon allez, on va jouer maintenant que nous sentons bien la poudre. C'est très érotique. J'adore cette odeur.
Lisbeth a trouvé aussi que cela sentait bon.
La tankiste a été capturée, attachée, battue, violée, enfermée, bref lisbeth s'est enfin beaucoup amusée. Même Otto a du la trouver jolie car il a bien reniflé le cul de la prisonnière.
En partant Lisbeth a dit:
- la prochaine fois je veux bien faire la "xw$*$ù" juive.
Hans a claqué ses bottes et fait le salut des légionnaires romains. il a rit et dit:
-Non, ici tu ne décides plus de rien, tu obeis, c'est tout, en tout et pour tout.
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Elles descendirent le long du lac. Quelques fiancés se promenaient sur le sentier qui le longeait. Elles les croisaient et s'embrassaient quand elles étaient seules. Une brume froide et blanche les enveloppait. Partout, le calme et l'absence, un paysage lunaire, une vie désertique, des branches mortes, des lumières glacées dans la nuit qui commençait à venir. Sarah tournait son visage vers le sien. D'elle, elle voulait savoir quelque chose et n'apprenait rien. Patricia demeurait silencieuse. Quelle peur des êtres ou quel ennui l'enfermait à l'intérieur de cette armure. Qu'avait-elle fait ? Elle serra les lèvres, demeura une seconde immobile. Elle ne voyait rien, mais elle souriait. Quand elle avait le courage, ou plutôt le cœur, d'accepter cette insensibilité, elle lui parlait tendrement, comme on parle à un fantôme. Elle avait toujours envie de lui demander: "Pourquoi acceptes-tu de souffrir ? Pourquoi aimes-tu être fouettée ?" Mais, elle disait seulement: "Cela n'a pas d'importance, je t'aime." Patricia avouait son amour dans la soumission et la douleur. Sarah la croyait. La brume l'aidait à supporter cette idée. Dans la brume, parfois tout est vrai. Il y avait d'assez jolis reflets sur le lac. Les yeux extasiés de Patricia, sa voix douce, chavirée, son air de marcher sur les nuages, en apesanteur, son succès, tout montrait la vérité. Comme les traces nettes que laissait le fouet sur son corps de bronze. Elle n'avait pas le droit de se plaindre, elle avait parfois l'autorisation de jouir. Sur un lit blanc, elle avait rencontré sa Maîtresse. Sarah avait pris ce visage entre les mains, elle l'avait regardé de toutes ses forces. Elle s'était allongée sur elle. Quel plaisir nouveau ce fut quand Patricia la remercia de l'avoir fouettée. Sa bouche refermée sur son sexe, les pointes de ses seins constamment froissées, les cuisses écartelées sur le chemin de son ventre, labouré à plaisir quand à sa fantaisie, Sarah imitait l'homme, ceinte d'un olisbos, chaque jour, de plus en plus large, l'élargissait. Le spectacle constant de son corps toujours offert, mais aussi la conscience de son propre corps. Patricia en était éclairée comme par le dedans, et l'on contemplait en sa démarche le calme, et sur son visage l'impalpable sourire intérieur que l'on devine dans les yeux des soumises. Tu as commencé à te taire. Tu as voulu m'aimer. Sans doute la vie n'est-elle pas faite pour les adolescentes. Elle lui demandent la lune, elle ne peut offrir que la juste densité de la terre. La vie, elles la supportent, les outrages et les châtiments corporels. Elles l'aiment parfois tant qu'elles ne la connaissent pas, elles l'inventent pour la rendre semblable à elles mais l'illusion est brève. Patricia rêvait. Lorsque Patricia s'apercevra que sa vie rêvée est en rupture de réalité, pour la plupart des dons qu'elle réclame d'elle, elle sombrera dans la mélancolie. Il n'est ni plaisant de changer de peau, d'autant moins que la mue des femmes s'accomplit à contresens, du papillon à la chenille, et que la perspective de perdre ses ailes et d'apprendre à ramper sous le fouet n'est pas exaltante. Alors on refuse, on se cogne contre les barreaux de sa cellule. Tu te heurtes depuis trop longtemps aux contours aigus de la réalité, il fallait qu'enfin, tu te résignes car rien n'est plus triste que le regard d'une recluse. Ah, comment l'aurait-elle oublié ? Elle était la main qui lui bandait les yeux, le cuir qui lui tannait la peau, la chaîne au-dessus de son lit, et parfois des inconnues qui lui mordaient les seins, et toutes les voix qui lui donnaient des ordres étaient sa voix. Se lassa t-elle ? Non, à force d'être battue, il semble qu'elle aurait dû s'habituer aux coups, à force d'être caressée, aux caresses, sinon au fouet à force d'être flagellée. Une ignoble satiété de la douleur et de la volupté dût la rejeter peu à peu dans un monde irréel. Mais au contraire, le harnais qui la tenait droite, les liens qui la gardaient soumise, le bijou anal qui l'élargissait, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose, comme le spectacle fréquent des jeunes femmes livrées comme elle. Je te comprends d'avoir voulu rester de l'autre côté de cette muraille mais c'était une mauvaise idée de tenter de m'entraîner avec toi. cela s'appelle de la désobéissance. La soumission heureuse est une invention d'intellectuels. Aucune soumise adolescente n'a exprimé autre chose que l'incertitude, la difficulté d'être, le trouble et le désespoir et c'est seulement à partir d'un certain niveau d'abnégation, qu'elles se font les poétesses du fouet, comme du charme du blé en herbe. La même réflexion vaut pour les amours passées. C'est vrai qu'elle était si belle et sans doute bouleversante avec son corps inachevé et la simplicité peureuse qui donne tant de velouté aux âmes à fleur de peau des adolescentes. C'est vrai que le premier soupir arraché l'une à l'autre est inoubliable. Tu l'as oubliée. Alors, tu veux ça, tu veux vraiment ce que je t'ai promis ? Ton visage se retourne vers mon sourire. Te taire, tu dois te taire. Nous en avons convenu ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas crier quand je te fouetterai jusqu'au sang. C'est la règle du jeu. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible du jeu. Tes longs cils recourbés de siamoise, la fente de tes pupilles. Tes yeux rieurs. Sarah sait ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût. Comme la semence des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque glisse le harnais en cuir. Ton corps supplie. Toujours de dos, nue à mes genoux. Bientôt, mes doigts simultanément, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de ton sexe. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Mon souffle effleurant le profil de tes seins érigés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par le cou. Je te renverse sur le grand lit. Je te mords. Tu te rebelles. Tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à exposer son corps asséché de plaisirs. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. Ton désir est envahissant. Tu écoutes les lèvres de ton sexe. Tu cèdes enfin, je ranime les flammes. Tes mains renversées, abandonnées, la paume en l'air, haletante de bonheur. Le feu envahit tes reins. Tu es foudroyée. Tu me fuses au visage les vagues de ton plaisir. L'orgasme est à nouveau proche d'enfler ton ventre. Il te pénètre. Mes doigts profondément en toi pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller encore plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser sauvage et cannibale, brutal comme la secousse qui nous bascule. Un baiser fou qui exacerba chaque gouttelette de jouissance. Bienheureuse soirée pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans le fouet. Le temps cessa d'être immobile. Sarah lui défit les bracelets et le collier qui la tenaient captive. La nuit tomba sur elles. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Récit fictif sur demande de MaîtreOni avec pour thème, un semi-remorque aménagé. Trois parties de trajets, avec trois groupes différents. Le nombre et le sexe définit par MaîtreOni.
Trash et qui ne sera jamais réalisé, hein :) faut bien délirer et se laisser par écrit libre de tout.
Bonne lecture à vous
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Nancy-Dijon? ?
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Me? ?voilà? ?partie? ?pour? ?le? ?sud.? ?Un? ?trajet? ?de? ?l’est? ?France? ?jusqu’à ?la? ?côte? ?varoise.? ?J’ai? ?rendez? ?vous? ?
sur? ?un? ?parking? ?à? ?la? ?sortie? ?de? ?la? ?ville.? ?Je? ?suis? ?en? ?avance? ?et? ?ne? ?vois? ?que? ?des? ?camions? ?garés? ?là.? ?
Je? ?sais? ?que? ?le? ?trajet? ?aura? ?une? ?saveur? ?particulière? ?car? ?j’ai? ?accepté? ?d’être? ?soumise? ?durant? ?le? ?
long? ?voyage.? ?
Je? ?reçois? ?un? ?sms? ?qui? ?me? ?dit? ?de? ?m’approcher? ?d’un? ?camion? ?en? ?particulier? ?et? ?de? ?mettre? ?mon? ?
bandeau? ?sur? ?les? ?yeux? ?en? ?arrivant? ?à? ?l’arrière? ?du? ?véhicule.? ?Je? ?m’exécute.? ? ?
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Je? ?n’attends? ?pas? ?longtemps? ?avant? ?qu’une? ?poigne? ?m’agrippe? ?le? ?coude? ?:? ?
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- Bienvenue,? ?veuillez? ?vous? ?laisser? ?faire,? ?vous? ?ne? ?craignez? ?rien,? ?me? ?demande? ?
doucereusement? ?une? ?voix? ?masculine.? ?Je? ?me? ?laisse? ?aller? ?un? ?peu? ?tremblante.? ?Les? ?
portes? ?s’ouvrent? ?à? ?entendre? ?le? ?bruit.? ?Je? ?suis? ?aidée? ?pour? ?monter? ?à? ?l’arrière? ?du? ?véhicule.? ? ?
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Mon? ?cerveau? ?carbure? ?à? ?cent? ?mille.? ?Je? ?suis? ?donc? ?dans? ?un? ?camion.? ?Va-t-il? ?rouler? ?avec? ?moi? ?à? ?
l’arrière? ??? ?Que? ?va-t-il? ?se? ?passer? ?ici? ??? ?Pourquoi? ?ai-je? ?accepté? ??!? ?
J’entends? ?des? ?voix.? ?Plusieurs? ?voix.? ?Je? ?ne? ?peux? ?cacher? ?un? ?frisson.? ?
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- Il? ?ne? ?vous? ?arrivera? ?que? ?des? ?choses? ?agréables.? ?Détendez-vous,? ?me? ?dit? ?encore? ?cet? ?
homme? ?avec? ?sa? ?voix? ?posée.? ?
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Il? ?me? ?fait? ?asseoir? ?sur? ?une? ?surface? ?dure.? ?Me? ?pousse? ?du? ?dos? ?pour? ?que? ?je? ?sois? ?exactement? ?
positionnée? ?comme? ?il? ?veut,? ?soit? ?au? ?bord? ?du? ?siège.? ?Il? ?me? ?lâche.? ?La? ?porte? ?du? ?semi? ?s’ouvre? ?à? ?
nouveau? ?et? ?je? ?me? ?retrouve? ?au? ?milieu? ?de? ?conversations? ?bruyantes? ?de? ?tous? ?côtés.? ?Hommes? ?et? ?
femmes? ?se? ?saluent? ?et? ?rient? ?de? ?bon? ?coeur.? ?Mon? ?hôte? ?se? ?fait? ?entendre? ?au? ?milieu? ?de? ?tous? ?:? ?
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- Mes? ?amis,? ?silence? ?je? ?vous? ?prie.? ?Etant? ?tous? ?présents? ?nous? ?allons? ?démarrer? ?notre? ?trajet.? ?
Vous? ?avez? ?jusqu’à? ?Dijon? ?pour? ?vous? ?amuser.? ?Je? ?vous? ?ai? ?apporté? ?une? ?friandise? ?pour? ?
votre? ?voyage.? ?Prenez-en? ?soin? ?tout? ?en? ?vous? ?en? ?servant.? ?Je? ?reste? ?disponible? ?à? ?l’avant? ?
du? ?véhicule,? ?il? ?faut? ?suffit? ?d’appuyer? ?sur? ?ce? ?bouton.? ?Bons? ?jeux? ?à? ?tous? ?!? ?
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La? ?porte? ?s’ouvre? ?à? ?nouveau? ?et? ?se? ?referme.? ?J’entends? ?des? ?murmures? ?tout? ?autour? ?de? ?moi.? ?On? ?
me? ?frôle,? ?puis? ?on? ?me? ?touche.? ?Une? ?main? ?caresse? ?mon? ?cou,? ?une? ?autre? ?mon? ?dos,? ?quand? ?une? ?
autre? ?soupèse? ?directement? ?un? ?de? ?mes? ?seins.? ? ?
Je? ?suis? ?habillée? ?comme? ?demandé.? ?Un? ?robe? ?moulante? ?à? ?fermeture? ?éclair? ?tout? ?du? ?long.? ?Elle? ?se? ?
colle? ?à? ?ma? ?poitrine? ?et? ?en? ?dessine? ?la? ?rondeur.? ?Un? ?95D? ?ça? ?attire? ?l’oeil? ?chez? ?une? ?petite? ?comme? ?
moi.? ?
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- Je? ?sens? ?que? ?nous? ?allons? ?nous? ?régaler? ?!? ?dit? ?une? ?femme? ?aux? ?autres? ?personnes? ?
présentes.? ?
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C’est? ?sous? ?les? ?rires? ?que? ?le? ?camion? ?démarre.? ?Étonnamment,? ?nous? ?ne? ?sommes? ?pas? ?bousculés.? ?
Je? ?reste? ?ainsi,? ?assise,? ?prenant? ?mon? ?mal? ?en? ?patience.? ?Les? ?invités? ?se? ?sont? ?éloignés? ?et? ?je? ?
n’entends? ?plus? ?leur? ?pas? ?dans? ?la? ?remorque.? ?Des? ?rires? ?prennent? ?le? ?dessus.? ?Je? ?tends? ?l’oreille.? ?Ils? ?
se? ?complimentent? ?et? ?des? ?gloussements? ?se? ?font? ?entendre.? ?Puis,? ?d’un? ?coup,? ?un? ?silence? ?se? ?fait,? ?
ou? ?du? ?moins,? ?tout? ?est? ?assourdi.? ?C’est? ?dingue? ?à? ?dire? ?mais? ?c’est? ?à? ?ce? ?moment? ?là? ?que? ?je? ?
commence? ?à? ?paniquer.? ?Pourquoi? ?est-ce? ?que? ?je? ?ne? ?les? ?entends? ?plus? ??? ?J’ai? ?envie? ?de? ?demander? ?
tout? ?haut? ?mais? ?je? ?sais? ?aussi? ?que? ?je? ?ne? ?dois? ?prendre? ?aucune? ?initiative,? ?règles? ?convenues? ?au? ?
deal.? ?Je? ?me? ?tais? ?donc? ?et? ?prends? ?sur? ?moi.? ?Je? ?commence? ?à? ?me? ?dandiner? ?un? ?peu? ?sur? ?mon? ?
assise.? ?Le? ?temps? ?passe.? ?J’entends? ?de? ?petite? ?bruits? ?et? ?rires.? ?Des? ?chuchotements…? ?le? ?temps? ?
passe.? ?
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- Oui,? ?oui,? ?oui? ?!? ?souffle? ?une? ?voix? ?féminine.? ? ?
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Mon? ?ventre? ?se? ?noue,? ?mon? ?sexe? ?se? ?serre? ?au? ?même? ?moment,? ?mon? ?esprit? ?s’échauffe.? ?Je? ?sors? ?
de? ?ma? ?bulle? ?et? ?écoute? ?vraiment…? ?des? ?soupirs,? ?des? ?corps? ?qui? ?claquent.? ?Ils? ?sont? ?en? ?train? ?de? ?
baiser? ?dans? ?ce? ?semi.? ?Mon? ?sang? ?ne? ?fait? ?qu’un? ?tour? ?et? ?affolée,? ?je? ?me? ?sais? ?déjà? ?humide? ?de? ?
savoir? ?cela.? ?Les? ?voix? ?se? ?lâchent? ?et? ?des? ?gémissements? ?se? ?font? ?ouïr.? ?Un? ?pas? ?se? ?rapproche.? ?Un? ?
main? ?passe? ?sur? ?mon? ?visage.? ?
?
-Tu? ?vas? ?être? ?docile? ?et? ?te? ?laisser? ?faire? ?petite? ?pute,? ?me? ?dit? ?une? ?femme.? ?Ouvre? ?ta? ?bouche? ?
bien? ?grande,? ?voilà.? ?Bien.? ?Hummm,? ?tu? ?vas? ?te? ?régaler.? ? ?
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Elle? ?se? ?rapproche? ?de? ?mon? ?oreille? ?et? ?me? ?susurre? ?:? ?
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- Je? ?t’envie? ?petite? ?traînée? ?!? ?
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Je? ?suis? ?affublée? ?d’un? ?“ouvre? ?ta? ?gueule”.? ?C’est? ?ainsi? ?que? ?je? ?nomme? ?cet? ?objet? ?qui? ?fait? ?de? ?mes? ?
lèvres? ?et? ?de? ?ma? ?langue? ?un? ?réceptacle? ?à? ?foutre.? ?
?
- Je? ?vais? ?ôter? ?ton? ?bandeau? ?et? ?tu? ?vas? ?admirer? ?le? ?spectacle.? ?Mais? ?avant? ?cela,? ?donne? ?tes? ?
mains,? ?je? ?vais? ?te? ?les? ?attacher? ?dans? ?le? ?dos.? ?Et? ?je? ?vais? ?bloquer? ?tes? ?chevilles.? ?
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Je? ?me? ?laisse? ?faire.? ?Elle? ?agrippe? ?mes? ?poignets? ?et? ?me? ?lie? ?les? ?deux? ?membres? ?ensemble? ?mais? ?
aussi? ?à? ?l’assise? ?où? ?je? ?suis.? ?Les? ?pieds? ?sont? ?quant? ?à? ?eux? ?aussi? ?maintenus,? ?écartés.? ?Je? ?suis? ?
donc? ?prisonnière? ?de? ?ce? ?siège.? ?Le? ?sexe? ?accessible? ?et? ?trempé.? ?Le? ?dos? ?droit? ?du? ?fait? ?de? ?mes? ?
mains? ?attachées,? ?la? ?gueule? ?ouverte? ?malgré? ?moi.? ? ?
Comme? ?promis,? ?elle? ?m’ôte? ?le? ?bandeau.? ?Je? ?découvre? ?un? ?spectacle? ?aphrodisiaque.? ?Trois? ?
couples,? ?pèle-mêles,? ?se? ?baisent? ?ardemment? ?devant? ?moi.? ?Les? ?femmes? ?couinent,? ?les? ?hommes? ?
râlent? ?de? ?leur? ?coup? ?de? ?reins.? ?Une? ?femme? ?se? ?fait? ?prendre? ?alors? ?qu’elle? ?a? ?sa? ?main? ?dans? ?la? ?
chatte? ?d’une? ?autre? ?qui? ?elle-même? ?suce? ?un? ?homme.? ?Je? ?suis? ?abasourdie? ?car? ?je? ?ne? ?m’attendais? ?
certainement? ?pas? ?à? ?tant? ?de? ?monde? ?et? ?à? ?se? ?mélange.? ?Mon? ?sexe? ?palpite.? ?Ma? ?bouche? ?
commence? ?à? ?se? ?remplir? ?de? ?bave? ?que? ?j’ai? ?du? ?mal? ?à? ?déglutir.? ? ?
Mon? ?affolement? ?monte? ?car? ?j’ai? ?envie? ?d’être? ?parmi? ?eux? ?et? ?d’être? ?ainsi? ?touchée,? ?prise,? ?
possédée? ?et? ?de? ?jouir? ?de? ?tout? ?cela.? ?
?
Au? ?lieu? ?de? ?cela,? ?parfois? ?ils? ?me? ?regardent? ?à? ?tour? ?de? ?rôle,? ?m’envoient? ?des? ?baisers? ?ou? ?des? ?clins? ?
d’oeil.? ? ?
Enfin,? ?un? ?homme? ?s’approche? ?de? ?moi.? ?Grand,? ?grisonnant,? ?un? ?petit? ?ventre? ?qui? ?laisse? ?voir? ?une? ?
bite? ?de? ?bonne? ?dimension.? ?J’ai? ?envie? ?de? ?me? ?lécher? ?les? ?lèvres.? ?Miam,? ?il? ?me? ?fait? ?envie.? ?Là,? ?de? ?
toute? ?façon,? ?je? ?suis? ?liquide? ?et? ?je? ?ne? ?veux? ?que? ?du? ?sexe.? ?Oui,? ?du? ?sexe? ?!? ?
Il? ?me? ?défait? ?la? ?fermeture? ?éclair? ?non? ?sans? ?quelques? ?difficultés? ?vu? ?ma? ?position.? ?Sa? ?main? ?caresse? ?
mes? ?seins? ?libres? ?et? ?ma? ?chatte? ?humide.? ?Je? ?soupire? ?et? ?me? ?tortille.? ? ?
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- Arrête? ?de? ?bouger? ?et? ?prends? ?plutôt? ?ça.? ? ?
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Il? ?me? ?fourre? ?d’emblée? ?sa? ?queue? ?dans? ?ma? ?bouche,? ?en? ?ressort? ?couvert? ?de? ?bave.? ?
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- Sale? ?petite? ?pute? ?toute? ?dégoulinante.? ?Hey? ?regardez-moi? ?ça,? ?la? ?donzelle? ?écume.? ? ?
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Les? ?autres? ?se? ?lèvent? ?au? ?fur? ?et? ?à? ?mesure? ?et? ?s’approchent.? ?
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- Vas-y? ?colle-lui? ?la? ?bien? ?au? ?fond? ?!? ?Dit? ?un? ?autre? ?en? ?se? ?marrant.? ?
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Une? ?femme? ?vient? ?se? ?tenir? ?derrière? ?moi? ?pendant? ?que? ?l’étalon? ?grisonnant? ?me? ?défonce? ?purement? ?
la? ?gueule.? ?Quand? ?il? ?sort? ?à? ?chaque? ?fois,? ?je? ?laisse? ?échapper? ?des? ?filets? ?entiers? ?de? ?bave.? ?Une? ?
d’entre? ?elles? ?l’attrappe? ?au? ?vol? ?et? ?ma? ?la? ?colle? ?sur? ?les? ?seins.? ?Une? ?main? ?me? ?pénètre.? ?Je? ?ne? ?sais? ?
plus? ?qui? ?je? ?suis.? ?Sa? ?bite? ?finit? ?par? ?cracher? ?son? ?jus? ?et? ?ce? ?sont? ?de? ?grandes? ?giclées? ?qui? ?ma? ?
tapissent? ?la? ?gorge.? ?L’homme? ?râle? ?en? ?me? ?tenant? ?le? ?menton? ?d’une? ?main.? ?Son? ?sperme? ?est? ?au? ?
fond? ?de? ?ma? ?bouche.? ?Un? ?autre? ?approche? ?et? ?me? ?colle? ?son? ?sexe? ?aussi,? ?il? ?en? ?ressort? ?gluant,? ?
blanchâtre.? ?Tout? ?le? ?monde? ?rit? ?alors? ?que? ?je? ?ne? ?tiens? ?plus? ?d’être? ?caressée.? ?Une? ?femme? ?se? ?
penche? ?pour? ?lécher? ?le? ?sexe? ?dégoulinant.? ?Ces? ?gens? ?me? ?plaisent,? ?ils? ?aiment? ?les? ?fluides.? ?Je? ?les? ?
regarde? ?avec? ?émotion? ?et? ?avec? ?une? ?supplique? ?muette? ?dans? ?le? ?regard..? ?Des? ?doigts? ?s’agitent? ?
plus? ?vite? ?sur? ?mon? ?clito? ?et? ?je? ?ne? ?peux? ?me? ?retenir,? ?je? ?frémis? ?de? ?la? ?tête? ?aux? ?pieds? ?alors? ?qu’un? ?jet? ?
sort,? ?ruisselle? ?entre? ?mes? ?cuisses? ?et? ?tapisse? ?les? ?pieds? ?devant? ?moi.? ?Les? ?exclamations? ?se? ?font? ?
entendre.? ? ?
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- Alors,? ?petite? ?pute,? ?tu? ?ne? ?sais? ?pas? ?te? ?tenir? ?!? ?Tu? ?nous? ?pisses? ?dessus? ??? ?
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Je? ?n’ai? ?même? ?pas? ?le? ?temps? ?de? ?réagir? ?que? ?déjà? ?une? ?troisième? ?queue? ?se? ?présente? ?devant? ?ma? ?
gueule? ?béante.? ?Il? ?ne? ?me? ?pénètre? ?pas.? ?Son? ?regard? ?intense? ?veut? ?tout? ?dire.? ?J’essaie? ?de? ?déglutir,? ?
en? ?vain.? ?Son? ?jet? ?sort? ?et? ?me? ?rempli? ?la? ?bouche,? ?sa? ?pisse? ?finit? ?par? ?dégouliner? ?de? ?mes? ?lèvres? ?et? ?
me? ?couvre? ?le? ?corps.? ?Je? ?suis? ?trempée? ?en? ?quelques? ?secondes.? ?Les? ?rires? ?continuent? ?et? ?les? ?
mains? ?se? ?touchent? ?tous? ?azimuts.? ?Devant? ?moi,? ?je? ?ne? ?sais? ?plus? ?qui? ?caresse? ?qui.? ?L’hommes? ?se? ?
recule? ?fier.? ?Une? ?femme? ?se? ?tient? ?dès? ?lors? ?à? ?mes? ?épaules? ?alors? ?qu’elle? ?se? ?fait? ?prendre? ?la? ?chatte? ?
en? ?fist? ?par? ?une? ?autre.? ?Les? ?hommes? ?matent.? ?La? ?troisième? ?caresse? ?les? ?seins? ?de? ?la? ?première? ?et? ?
les? ?miens.? ?Mon? ?esprit? ?a? ?disjoncté.? ?Je? ?veux? ?une? ?queue? ?dans? ?mon? ?sexe.? ?Je? ?veux? ?être? ?
pénétrée.? ?Mais? ?il? ?n’en? ?sera? ?rien.? ?Durant? ?tout? ?le? ?trajet,? ?il? ?useront? ?de? ?ma? ?bouche? ?et? ?joueront? ?à? ?
me? ?faire? ?gicler? ?de? ?plus? ?en? ?plus.? ?Il? ?y? ?aura? ?ce? ?moment? ?où? ?l’une? ?d’elles? ?déclarera? ?ceci? ?:? ?
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- Détachez-la? ?et? ?couchez-la.? ?J’ai? ?envie? ?de? ?pisser? ?et? ?sa? ?bouche? ?me? ?plait.? ? ?
?
Il? ?en? ?sera? ?fait? ?ainsi? ?fait.? ?Je? ?recevrai? ?son? ?urine? ?dans? ?mon? ?gosier? ?à? ?m’en? ?étouffer.? ?
Ils? ?me? ?laisseront? ?sur? ?le? ?côté? ?ainsi? ?toujours? ?la? ?bouche? ?ouverte.? ?Et? ?au? ?moment? ?de? ?l’arrivée? ?
viendront? ?me? ?saluer? ?chacun? ?leur? ?tour? ?:? ?
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- Merci? ?petite? ?pute,? ?le? ?prix? ?payée? ?en? ?valait? ?la? ?chandelle? ?!? ?
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J’ai? ?donc? ?été? ?vendu? ?comme? ?une? ?prostituée? ?à? ?leur? ?yeux…? ?
Pourquoi? ?donc? ?cet? ?aveu? ?m’excite-t-il? ?autant? ??!? ?Folle? ?!
Dijon-Lyon
Après s’être arrêtés, les convives sont tous descendus. Mon hôte est monté pour ranger et laver le sol du semi proche de moi.
Au fond, je remarque seulement que la remorque est aménagée. Dans la folie des heures précédentes, je n’ai prêté attention qu’aux corps en action. Je comprends pourquoi le bruit fut étouffé. Tout le sol sur la moitié du camion est recouvert de matelas en sky et de serviettes, comme dans un vrai club libertin. Ils ont donc tous baisé là-bas. Le reste de la structure est aussi aménagée. Un bar contre une paroi et là où je me trouvais des sièges comme des souches d’arbres avec des crochets au sol à plusieurs endroits, et même sur les côtés. Une lampe diffuse une lumière tamisée. Je prends la mesure de tout l’espace.
Mon hôte m’a aidé à me relever et m’a donné de quoi me débarbouiller pour ôter les fluides qui me couvraient. De nouveau présentable, je referme ma robe et me passe la main dans les cheveux. Je reste totalement fébrile et toute échauffée. Ces heures m’ont ouvert un appétit que je ne me connaissais pas. Mon sexe palpite encore des instants précédents.
Le deuxième acte commence. Je regarde, bouche bée, monter une tripotée d’hommes. Huit au total. La sueur commence à perler derrière mes cheveux. Et c’est non sans une panique gauchement dissimulée que j’accuse le coup de cette vision. De tous genres, cet amas de testostérone défile devant moi. Ils ont tous un masque sur mes yeux, comme un loup noir. Grands, petits, sveltes, rondouillard, jeunes et dans la fleur de l’âge, tous se dirigent vers le fond du semi remorque, ôtant leur chaussures pour monter sur le matelas géant.
Mon hôte m’accompagne vers eux et me place au centre du cercle naturel qu’ils ont formé.
- Messieurs, voici TalaOni, votre dévouée soumise pour le trajet à venir. Prenez en grand soin et amusez-vous, bien entendu ! Je reste disponible à l’avant du camion pour toute demande.
Les hommes le remercient et sourient de toutes leurs dents en me dévorant du regard. Je déglutis avec peine. Je me retrouve seule au milieu de huits corps, tous plus hauts que moi.
- Tourne sur toi-même, petite salope, me dit une voix.
Je fais ce qu’on me demande et parcours du coup tout ce joli monde. Quelques uns ont la main sur le renflement de leur pantalon. Je ne peux ôter mes yeux de ces directions.
- Regardez-moi la la putain, elle mate. C’est ça que tu veux, sale chienne ?
Me tournant vers la voix, je vois le sexe de l’homme sorti. Il me fait signe de venir. Je m’approche de lui et me mets à genoux. J’engloutis sa bite mi-molle dans ma bouche. Je m’applique. Ma main et ma langue travaillent de concert. L’homme grogne et pousse au fond. Je ressors en toussant. Il rit.
Un autre dard se pointe, plus fin, plus long. Je le déguste quelques instants avant de me retrouver avec dans chaque main une queue à branler. Le pilon me défonce maintenant de lui-même. Les bruits de succion m’excitent au plus haut point. Je ressors chaque fois plus gluante.
Une main me relève et ôte ma robe d’un geste rapide, avant de me forcer en position à genoux à nouveau et de me retrouver mains et gueule prise.
Huit bites. Huit sexes bandés pour ma bouche. Ils me défoncent les uns après les autres. Je les gobe, les suce, les lèche, les aspire, et toujours ils restent de marbre. Une main de libre, je la passe sur mon sexe, il est trempé. Je veux être baisée, pilonnée, défoncée…
-Tss tss, pas touche salope ! Tes mains ne servent que nos queues. Viens-là !
Je le retrouve étouffée par un engin bien calibré qui me lime mes lèvres et bloque au fond jusqu’à ce que je me mette à avoir la nausée. Il continue, et les mains me filent leur bite à continuer de branler. Il me pince le nez et recommence. Son gland touche ma glotte, il force et finit en gorge profonde.
- Allez sale pute, continue de nous branler ! Allez salope, c’est ça !
Il me relâche et je finis à terre en toussant, couverte de bave. Un autre prend le relais. Encore. Et encore… Cela n’en finit plus. J’ai mal à la bouche, mais ils n’en ont cure. Puis d’un coup, après ce qui me parait des heures, un signal est comme lancé. On me met au sol au centre. Une douche de foutre vient me couvrir. J’ouvre la gueule pour en boire. Le pserme chaud et gluant atterri partout, poitrine, joue, cheveux, ventre, sexe. Je suis couverte d’eux et j’en suis totalement folle. Je veux qu’on me prenne. Je suis en ébullition.
La scène se finit. Ils se rhabillent et à l’arrêt du camion sortent tous. J’ai envie d’uriner et j’en fais part à mon hôte. Mais je n’ai aucune réponse si ce n’est un rire de sa part. Je n’ai pas le temps de comprendre que six blacks entrent dans la remorque. Les portes se ferment de suite et le camion démarre. Aucune instruction. Rien.
Lyon-Montpellier
Au sol, toujours couverte de foutre, je regarde ces tigres avancer. Je me sens proie. J’ai une trouille phénoménale qui me prend. Et ma vessie fait toujours des siennes.
- Parait que t’as envie de pisser traînée ?! me dit l’un d’eux en me tendant un sceau. Vas-y pisse comme la chienne que tu es !
Terrifiée tout en étant excitée, je dois ressembler à une folle dégoûtante. Je me mets au-dessus du seau et me concentre pour uriner.
- C’est bien petite salope. Regarde-toi couverte de foutre à pisser devant six mâles. Il y en a qui n’ont honte de rien. Une vraie pute. Je vais te défoncer, viens ici !
L’homme se désape et sort devant moi un queue monstrueuse. Elle est mi-molle et pourtant c’est un véritable pilon qu’il me présente.
Les autres rient et se dénudent aussi. L’homme m’attrape et me pousse en levrette sur le matelas. Il présente sa bite à l’orée de ma chatte.
- Putain les mecs, c’est qu’elle est trempée la salope. Tu vas prendre cher !
Ni une ni deux, il pousse son dard en moi m’écartant les chaires avec force. Je crie.
- Ta gueule putain !
Un se met devant moi et me fait avaler son engin du même calibre.Je me fais écarteler de devant et derrière.
Les autres se branlent et je ne peux ôter mon regard de leur monstrueux pilon. Je n’arrive même pas à mettre la moitié dans ma bouche. Mais il ne stoppe pas pour autant. Une fois plus dure, c’est au suivant de venir frotter son gland contre mes lèvres. J’écume, je suis gluante de bave, de foutre.
Derrière moi, la bite enflée m’ouvre littéralement la chatte. Il va et vient à un rythme effréné. Ce qui était douleur est devenu plaisir. Et je lâche des râles de plus en plus forts.
L’étalon ressort et c’est au suivant de me prendre. Il est plus long, et mon col en fait les frais.
Je n’ai d’autres pensées que des “putain que c’est bon”. Il sort et écarte mes fesses.
- Regardez-moi ce cul ! C’est qu’elle semble affamée la salope ! Je vais te limer le trou ma beauté !
Ni une ni deux, je sens déjà son dard à l’orée de ma rondelle dilatée. Il pousse alors même que j’ai la gueule remplie, tirée par les cheveux. Son sexe entre centimètre par centimètre. Il me la met toute entière avant de repartir dans un grognement.
Il recommence et ce coup-ci, elle entre sans mal.
- Putain, elle me l’aspire la chienne…
A peine prononcés ces mots, qu’il me pilonne comme un dingue. Je ne suis plus que pantin. Les bites se pointent à l’orée de ma bouche. Des claques sont données à mes fesses ainsi qu’à mes pis qui pendent.
Ils essayeront de me forcer les deux trous du bas en même temps, mais n’ayant jamais pratiqué cela et vu la taille de leur sexe, ce sera chose impossible. Ils se débrouilleront donc pour me rendre pantelante. Je finirai écartelée, sans réaction, chose offerte à ses corps qui passeront le temps restant à remplir mes trous, tous et à me couvrir de semence.
Quand le camion s’arrête, mon hôte me trouve nue et collante, les yeux mi-clos et inerte sur l’immense matelas. De moi, il n’obtiendra aucune réaction. Au point que lui aussi en profitera de cet objet sans vie pour le baiser encore et encore. Comme si le fait de se défouler sur une TalaOni avachie et déconnectée le transcendait complètement.
Je ne bougerai pas d’un poil, me laissant me faire remplir à nouveau, les chairs gorgées, chaque coup de rein offrant à mon cerveau un énième orgasme. Quand enfin je sentirai la chaude coulée sur mes yeux, je sombrerai complètement.
C’est MaîtreOni qui me portera, me lavera soigneusement susurrant des mots d’amour, de passion et de fierté à mon oreille, avant de me coucher pour sombre longuement.
TalaOni
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Mercredi dernier, j’étais en plein blues.
Je me suis connectée et j’ai passé une partie de la journée à échanger avec une jeune femme, maso comme moi, dans la même tranche d’âge que moi,
également inscrite ici et dont les écrits avaient résonné en moi.
Je tairais son nom, elle se reconnaîtra.
_______________
Elle aussi était en plein questionnement existentiel, après une aventure qui l‘avait laissée blessée, meurtrie.
Je ne sais si nos échanges l’ont aidée, en tout cas ils m’ont fait du bien et je lui en sais gré.
Au fil de ses messages, mon spleen du jour m’est apparu pour ce qu’il était,
totalement vain, infondé,
parce que j’ai la chance de partager la vie d’un homme
qui a su me comprendre, m’apprivoiser, me dresser
et faire de moi tout à la fois sa «chose », son esclave mais aussi sa «femme »,
qu’il veille à distinguer de la « femelle » qu’il baise,
et surtout sa compagne, son égale dans la vie.
_______________
Pourtant, je me suis reconnue dans ses doutes et grâce à elle mon spleen m’est passé.
Ce texte je le lui dédie, non pour m’exprimer en son nom, je ne m’en reconnais pas le droit, et elle l’a fait ici même, avec ses mots, bien mieux que je ne saurais le faire
Je veux simplement lui réitérer publiquement ce que je lui ai écrit en privé,
qu’elle mérite mieux que le salaud qui lui a fait du mal,
parce qu’elle n’a pas seulement un corps qui est beau mais une âme qui est belle.
Et parce qu’elle est comme nous toutes,
jeunes femmes soumises qui nous offrons aux hommes,
lumineuse dans ses désirs, forte et fragile à la fois
Je ne suis pas pour autant passée sur l’autre rive.
Mon appétence demeure envers les Mâles, et un seul désormais,
et pas davantage aujourd’hui qu’hier ne s’adresse aux femmes.
J’ai simplement apprécié nos échanges et son amitié.
_______________
Mais je veux aussi et surtout dire ma colère et mon mépris
envers tous les prédateurs et autres pervers narcissiques,
heureusement minoritaires sur ce site,
qui oublient qu’une jeune femme soumise ce n’est pas qu’un cul qu’on baise,
une enveloppe vide sans contenu,
et qu’il ne suffit pas de s’autoproclamer «Maîtres»
mais que ce titre que nous vous décernons, Messieurs,
il vous incombe avant toute chose de le mériter.
C’est à ce prix que vous obtiendrez de nous
la soumission de nos corps dans la jouissance partagée.
Et n’oubliez jamais lorsque vous « jouez » avec nous et nos désirs,
qu’il est des comportements qui peuvent blesser davantage et plus durablement que le fouet.
_______________
Cette approche du sexe et du bdsm, ou l’autre n’est qu’un cul (ou dans mon cas une bite),
je la connais bien pour l’avoir longtemps faite mienne et pratiquée,
mais en ayant au moins l’honnêteté d’être toujours claire avec mes dom d’un soir
sur ce que je recherchais.
Pour autant, j’en mesure aujourd’hui la vacuité.
et je ne pense pas, Messieurs, qu’en la matière vous soyez à ce point différents de nous.
Quant à moi j’ai appris et je sais désormais que pour jouir pleinement de l’autre,
que l’on soit dominateur ou soumise, Maitre ou esclave,
il faut avant tout faire en sorte de le comprendre, de le respecter, en un mot de l’aimer.
_______________
Loin de moi l’idée d'assimiler tous les « Mâles dominants » aux comportement de certains prédateurs.
Je sais, Messieurs, que la plupart d’entre vous sont conscients de nos fragilités
et ne s’en servent qu’à bon escient, pour nous aider à grandir.
Le bdsm alors devient le lien magique entre deux êtres,
deux sensibilités complémentaires,
où chacun peut s'épanouir dans une jouissance partagée.
_______________
Je déteste le « name and shame », façon « me too » ou « balance ton porc »,
qui ne correspondent pas à mes valeurs.
Aussi je m’en abstiendrai.
Les protagonistes sauront se reconnaître et le reste ne concerne qu’eux.
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Il n’aura fallu qu’un week end normand,
voulu par toi, choisi par toi, décidé par toi,
avec toi
pour ramener le sourire sur mes lèvres,
le soleil dans mes yeux.
Une fois encore, tu as été tout à la fois,
tendre et câlin, animal, bestial, brutal,
homme et amant, Mâle et Maître,
pour m’aimer, me posséder, me baiser, me dominer.
Je ne suis qu’un matériau brut,
qu’il t’appartient de façonner.
J’ai besoin que tu me dresses, encore et toujours,
à coups de fouet et de sexe.
Je voudrais être davantage encore salope, chienne, pute, esclave,
pour toi, pour moi, pour nous,
pour pouvoir te rendre autant que tu me donnes.
Je suis accro à toi,
raide dingue de toi,
droguée à toi et de toi.
Merci à toi.
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Cette nuit-là, Sarah voulut l'observer dans son sommeil. Patricia reposait sur le ventre, les mains
sous l'édredon, recroquevillée en position fœtale. Elle se leva, s'assit dans un fauteuil et se surprit
même à retirer les draps jusqu'à ses chevilles pour mieux la contempler. Ses traits si parfaitement
réguliers qu'on en venait à espérer le hiatus qui bouleverserait cette harmonie, glaçante à force
d'équilibre. Ses cheveux courts qui annonçaient déjà tant de détermination dans le caractère et la
ferme intention de ne pas s'encombrer de préoccupations superflues. Sa peau laiteuse que l'on
eût crue encore en enfance si le travail du fard ne l'avait rendue diaphane. De sa tête, seul son
regard se dérobait à l'exploration, et pour cause; mais les yeux fermés, tout en elle paraissait si
limpide qu'on lui voyait l'âme. Y compris cette éternelle insatisfaction subtilement manifestée à la
commissure des lèvres. Son corps ferme et gracieux, refusant de tricher malgré la finesse de ses
hanches, ses seins superbes et ses paupières closes. Elle ne ruserait pas et demeurerait à jamais
solidaire de tous ses âges, du moins c'est ce qu'elle prétendait, consciente qu'une telle attitude est
plus aisée à soutenir avant quarante ans qu'après. Tout de même, depuis deux ans que Juliette
avait pénétré par effraction dans sa vie, elle ne pouvait éviter de comparer les deux femmes en
toutes choses, à commencer par la plus intime, et elle savait où se trouvait la grâce. L'une était la
règle constatée parmi tant de compagnes: une âme active dans un corps inoccupé. L'autre était
l'exception observée chez tant d'amies de cœur: l'ineffable trinité du corps, de l'âme et de l'esprit.
L'une était en charge, elle gérait et assumait, avec elle ça fonctionnait, pour reprendre ses affreux
mots. L'autre avait le don des larmes. Sarah aurait voulu découvrir Patricia comme si elle la regardait
pour la première fois. La désirer avec le même élan. Mais, ainsi penchée vers elle, surgie de la
pénombre, les coudes sur les genoux, elle semblait plutôt veiller une morte. Depuis une dizaine
d'années qu'elle partageait la vie de Patricia, elle s'interrogeait pour la première fois sur ce qu'elle
était vraiment, comme s'il s'agissait d'une étrangère rencontrée la veille dans un train de nuit.
Elle savait des choses que nul ne savait mais ne voyait pas ce que tout le monde voyait. Elle croyait tout
connaître d'elle, mais rien de plus. Jamais elle n'avait autant ressenti ce manque qu'en cet instant précis,
à la faveur de cette relation si anodine aux yeux des autres mais capitale aux siens. Fallait-il qu'elle ait un
désir charnel intact pour choir dans un tel gouffre existentiel au bord vertigineux du lit. Se sentait-elle un
peu vulnérable depuis le choc subi lors de la première séance de soumission, la facilité avec laquelle elle
s'était donnée. Mais non, ça ne pouvait pas être cela, pas uniquement. Pour la première fois en une dizaine
d'années, elle remettait en question ce qu'elle savait de Patricia. Une phrase l'obsédait: "Êtes-vous vraiment
sûre d'elle ?." La question avait été posée par le dermatologue qu'elle avait consulté un jour de démangeaison
inexpliquée, au lendemain d'une étreinte fugace et violente dans la cage d'escalier de la Faculté avec une
collègue de travail qui lui était apparue soudainement irrésistible: "Probablement une mycose superficielle,
vous auriez dû prendre le temps de vous renseigner, mais êtes-vous vraiment sûre d'elle ?", lui avait répété le
médecin en se penchant sur son cas avec la curiosité primesautière d'un mycologue en cueillette aux confins
de la forêt de Fontainebleau. Mais de qui est-ton vraiment sûre quand on ne l'est même pas de soi ? Sarah
ne l'était plus de sa propre compagne. Plus, elle la méditait, plus le bloc de mystère se durcissait. Indéchiffrable,
celle qu'elle l'avait toujours crue si lisible. Le soupçon avait instillé le doute. Elle la regardait dormir tout en se
demandant si elle dormait vraiment. Une énigme que cette belle gisant dans leur lit. Elle la regardait dormir et
la jugeait. Rien ne semblait pouvoir troubler le sommeil de Patricia. Mais quelle Patricia observait-elle dans la
pénombre de leur chambre: la compagne, l'amante, la soumise ? Elle les aimait toutes à travers celle qu'elle
était devenue. Mais comment prétendre aimer quelqu'un à qui l'on ment sur l'essentiel ? S'installer dans cette
contradiction, c'était déjà y répondre. Tant de choses avaient eu lieu et tant de paroles avaient été échangées,
souvent si regrettables mais jamais regrettées. Elles avaient déjà éprouvé de la haine mais jamais encore de
l'indifférence, qui est son stade ultime. L'oubli étant essentiel à la survie, elles étaient capables d'oublier.
Chacun son rôle. Ça tenait presque à rien. C'est pourquoi nulle n'était prête à y renoncer si facilement. Sarah
avait rencontré Juliette. Le contraire idéal de Patricia, son négatif dans la soumission et dans la vie. Patricia
était brune, Juliette était blonde, le teint toujours hâlé, un corps superbe où tout était parfaitement en place
dans les quantités recommandées par les magazines féminins et les proportions suggérées par les magazines
masculins, le rire adorablement mutin, qui donnait le change avec brio mais qui semblait se moquer de tous les
enjeux. Des signes d'une nature insoupçonnée, secrètement scellée par une complicité acquise par le fouet et
en se chevauchant dans un lit. Après, quoi qu'il advienne, on ne se regarde plus de la même manière. On est
conniventes pour toujours puisque, en toutes choses, et plus encore en amour, on oublie jamais les premières
fois. Leur intimité avait façonné un monde de souvenirs communs. Les volets tirés, la chambre obscure, malgré
des raies de clarté à travers les bois mal jointés, Juliette gémit plus d'une heure sous les caresses de Sarah,
et enfin les seins dressés, les bras rejetés en arrière, serrant à pleine main les barreaux qui formaient la tête du
lit baldaquin, elle commença à crier lorsque Sarah se mit à mordre lentement la crête de chair où se rejoignaient,
entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres. Sarah la sentait brûlante et raidie sous sa langue, la fit hurler
sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendit d'un seul coup, moite de plaisir, épuisée mais heureuse.
Le lendemain, Sarah l'avait vue sourire, si curieusement qu'elle se demanda ce qu'elle avait imaginé sur l'instant.
Juliette ne portait qu'un corset, la serrant à la taille, dont l'armature dessinait la poitrine, les seins largement offerts,
ligotant durement le sexe par le cuir des lanières. Sarah tira ses bras, l'un après l'autre, pour les tendre davantage.
Les chevilles et les poignets entravés par des bracelets, Juliette sentit bientôt ses jambes s'élonger. Puis Sarah
lui caressa le visage. Aux premiers coups de cravache qui lui brûlèrent le haut des cuisses, elle gémit. Sarah
passa de la droite à la gauche, s'arrêta puis continua. Juliette se débattit de tout son corps. Elle crut que le jonc
la déchirerait. Elle ne voulut pas supplier, demander grâce. Mais bientôt, elle céda aux cris et aux larmes. Sarah
ne s'arrêta qu'au quarantième coup. Juliette s'offrit sans réserve en ressentant sa première jouissance cérébrale
de femme soumise à une femme qui l'obligeait à souffrir. Quelque chose d'indéfinissable sembla avoir pris le
contrôle de son cerveau en commandant à son corps de jouir de cette souffrance fulgurante magnifiée par son
obéissance servile. Ce fut une révélation prodigieuse pour elle que de parvenir à se libérer. Elle était si clair de
joie, et de cheveux que sa peau hâlée ne semblait pas marquée. Elle remercia Sarah perdue dans sa double vie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Elle en était là, à cette simple mais ferme conviction: une femme comme elle ne pouvait
pas la faire souffrir volontairement. Pas après avoir déjà pris la mesure de cette douleur.
Elle ne pouvait y trouver ni plaisir ni intérêt. C'est donc qu'il y avait autre chose. Ce ne
pouvait être que l'ultime scénario envisagé, celui qui aurait dû s'imposer en tout premier,
n'eût été ce délire qui pousse tout amoureux à se croire le centre du monde de l'autre.
Depuis, de Juliette, elle attendait tout mais n'espérait rien, du moins le croyait-elle. Le
sujet avait été évacué. Il y aurait toujours cela entre eux. Puisqu'elle l'avait fait une fois,
pourquoi n'en serait-elle pas capable à nouveau ? Son esprit et son corps la comblaient,
mais elle nourrissait des doutes sur la qualité de son âme. Rien ne démentait en elle une
mentalité de froide amante dominatrice. Après tout, leurs deux années de vie commune
dans la clandestinité la plus opaque qui soit, non pour cacher mais pour protéger, les
avaient fait passer maîtres dans l'art de la dissimulation. Charlotte était bien placé pour
savoir que Juliette mentait avec aplomb, et vice versa. Elles s'adaptaient différemment
à la déloyauté, et cloisonnaient leur existence avec plus ou moins de réussite. Mais jamais
elles n'auraient songé à élever la trahison au rang des beaux arts. Puisqu'elle lui mentait,
et par conséquent au reste du monde, Charlotte pouvait supposer qu'elle lui mentait aussi.
Juliette avait-elle échaffaudé ce scénario pour s'évader de tout et de tous avec une autre.
L'amour impose le sacrifice et le privilège de l'être aimé. Il leur fallait se reconquérir, alors
tous les matins seraient beaux, les lèvres dessinées en forme de baisers, frémir de la nuque,
jusqu'au creux des reins, sentir le désir s'échapper de chaque pore de la peau, la tanner
comme un soleil chaud de fin d'après-midi, et la blanchir fraîchement comme un halo de
lune, que les draps deviennent dunes et que chaque nuit devienne tempête. L'indifférence
prépare admirablement à la passion; dans l'indifférence, rien ne compte; dans la passion,
rien ne compte non plus, sauf un seul être qui donne son sens à tout. Seul est pur l'élan
qui jette les corps l'un contre l'autre, les peaux désireuses d'un irrésistible plaisir. Un lit où
l'on s'engouffre, un rêve où l'on s'enfouit, des doigts soyeux, un arpège harmonieux.
Refaire sa vie ailleurs, là où on est rien pour personne. Sans aller jusqu'à s'installer à Sydney, combien de fois
n'avait-elle pas rêvé à voix haute de vivre dans un quartier de Paris ou une ville de France où elle ne connaîtrait
absolument personne. Un lieu au cœur de la cité mais hors du monde. Un de ces Finistères ou Morbihans où elle
ne représenterait rien socialement, n'aurait de sens pour personne, ni d'intérêt pour quiconque. Où elle ne serait
pas précédée d'aucun de ces signes qui préméditent le jugement, vêtements, coiffure, langage, chat. Une parfaite
étrangère jouissant de son anonymat. Ni passé, ni futur, sérénité de l'amnésique sans projet. N'était-ce pas une
manière comme une autre de changer de contemporain ? Une fuite hors du monde qui la ferait échapper seule
à la clandestinité. À tout ce qu'une double vie peut avoir de pesant, de contraignant, d'irrespirable. Vivre enfin à
cœur ouvert. Ce devait être quelque chose comme cela le bonheur. Un lieu commun probablement, tout comme
l'aventure intérieure qu'elle avait vécue avec elle. Mais souvent hélas, la vie ressemble à des lieux communs.
Une mécanique perverse fait que le corps s'use durant la brève période d'une maturité dont nul n'ignore qu'elle
est un état instable. Rien de plus menacé qu'un fruit mûr. Des mois précèdent cet instant de grâce. Des semaines
accomplissent l'épanouissement. Entre ces deux évolutions lentes, le fruit se tient, l'espace d'un jour, à son point
de perfection. C'est pourquoi la rencontre de deux corps accomplis est bouleversante. Juliette en était là. Charlotte
aimait la retrouver parce que, en elle, elle se retrouvait. De ce qui n'était qu'un grand appartement sans âme, elle
en avait fait un refuge à semblance: lumineux, paisible, harmonieux. Les chambres qu'habitèrent des générations
de gens sans goût dont la vie morne avait déteint sur les murs, Juliette les avaient meublées de couleurs exactes
et de formes harmonieuses. Le baroque engendre souvent la tristesse et le confort l'ennui lorsqu'il se résume à
une accumulation de commodité. Chez elle, rien n'offensait ou n'agaçait. C'était un endroit pour états d'âme et
étreintes joyeuses. Elle avait crée chez elle un microclimat privilégié fait d'un confort invisible qui se haussait
à la dignité de bien-être et de cette forme supérieure du silence, le calme. Les yeux de Charlotte la voyaient telle
qu'elle était. Juliette la dominait mais en réalité, c'est Charlotte qui devait veiller sur elle et la protéger sans cesse
de ses frasques, de ses infidélités. Elle ne supportait mal d'être tenue à l'écart. Avec une patience d'entomologiste,
elle avait fait l'inventaire du corps de Juliette et souhaitait chaque nuit s'en régaler. Elle s'arrêtait pas sur ce qui,
dans le corps, atteignait la perfection. La ligne souple du contour de son visage, du cou très long et de l'attache de
ses épaules, cette flexibilité qui fascinait tant Modigliani en peignant sa tendre compagne, Jeanne Hébuterne.
Charlotte avait connu la révélation en pénétrant pour la première fois dans l'appartement de celle qui allait devenir
sa Maîtresse et l'amour de sa vie. Elle n'avait ressenti aucune peur, elle si farouche, en découvrant dans une pièce
aménagée les martinets pendus aux poutres, les photos en évidence sur la commode de sycomore, comme une
provocation défiant son innocence et sa naïveté. Juliette était attentionnée, d'une courtoisie qu'elle n'avait jamais
connue avec les jeunes femmes de son âge. Elle était très impressionnée à la vue de tous ces objets initiatiques
dont elle ignorait, pour la plupart l'usage, mais desquels elle ne pouvait détacher son regard. Son imagination la
transportait soudain dans un univers qu'elle appréhendait sans pouvoir cependant en cerner les subtilités. Ces
nobles accessoires de cuir, d'acier ou de latex parlaient d'eux-mêmes. Ce n'était pas sans intention que Juliette lui
faisait découvrir ses objets rituels. Elle savait qu'elle fuyait plus que tout la banalité. Elle avait pressenti en elle son
sauvage et intime masochisme. Les accessoires de la domination peuvent paraître, quand on en ignore les dangers
et les douceurs d'un goût douteux. Comment une femme agrégée en lettres classiques, aussi classique d'allure
pouvait-elle oser ainsi décorer son cadre de vie d'objets de supplices ? L'exposition de ce matériel chirurgical,
pinces, spéculums, anneaux auraient pu la terroriser et l'inciter à fuir. Mais bien au contraire, cet étalage la rassura
et provoqua en elle un trouble profond. Juliette agissait telle qu'elle était dans la réalité, directement et sans détours.
Instinctivement, Charlotte lui faisait confiance, cédant à la curiosité, recommandant son âme à elle. Elle ne marchait
plus seule dans la nuit éprouvant un véritable soulagement d'avoir enfin trouver la maîtresse qui la guiderait. Malgré
le cuir, l'acier et le latex, elle est restée avec elle ce soir-là. Elle n'a plus quitté l'appartement et elle devenue l'attentive
compagne de Juliette. Car, en vérité, si elle avait le goût de l'aventure, si elle recherchait l'inattendu, elle aimait avant
tout se faire peur. Le jeu des situations insolites l'excitait et la séduisait. Le danger la grisait, la plongeait dans un état
second où tout son être se dédoublait, oubliant ainsi toutes les contraintes dressées par une éducation trop sévère.
Ce double jeu lui permettait de libérer certaines pulsions refoulées. De nature réservée, elle n'aurait jamais osé jouer
le rôle de l'esclave jusqu'à sa rencontre avec Juliette. La fierté dans sa soumission lui procurait une exaltation proche
de la jouissance. Était-ce seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou de se livrer sans condition
à un tabou social et de le transgresser, avec l'alibi de plaire à son amante, d'agir sur son ordre. Elle apprit à crier haut
et fort qu'elle était devenue une putain quand un inconnu la prenait sous les yeux de Juliette. Agir en phase avec son
instinct de soumise la faisait infiniment jouir. Étant donné la manière dont sa Maîtresse l'avait livrée, elle aurait pu
songer que faire appel à sa pitié, était le meilleur moyen pour qu'elle redoublât de cruauté tant elle prenait plaisir à lui
arracher ou à lui faire arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Ce fut elle qui remarqua la première que
le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la
peine et de recommencer parfois presque aussitôt. Elle ne souhaitait pas partir, mais si le supplice était le prix à payer
pour que sa Maîtresse continuât à l'aimer, elle espéra seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi, et attendit, toute
douce et muette, qu'on la ramenât vers elle. Sous le fouet qui la déchirait, elle se perdait dans une délirante absence
d'elle-même qui la rendait à l'amour. On s'étonna que Charlotte fût si changée. Elle se tenait plus droite, elle avait le
regard plus clair, mais surtout, ce qui frappait était la perfection de son immobilité, et la mesure de ses gestes. Elle
se sentait désormais, au cœur d'un rêve que l'on reconnaît et qui recommence. Elle avait enfin reconquis Juliette.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Possédé, disait-on dans sa famille, une malédiction était donc tombée sur eux. Qu’avait-il donc fait pour que cette honte salisse toute une maison et ou la rumeur jettera doutes et confusion sur leur croyance et leurs modes de vie.
Après mille précautions, afin que l'affaire ne s’ébruite pas. On prit contact à 400 km de là, avec un prêtre exorciste, réputer pour son efficacité et sa discrétion.
Celui-ci dut repousser par 4 fois sa venue pour apporter son aide à la malheureuse… De mystérieux incidents intervenaient à chaque départ programmé l’obligeant à annuler.
Enfin, un jour, il prit la route, un matin à 4 h, à 9 h, il alerta la famille de son arrivée au village. Il se devait de passer au préalable voir le prêtre et se recueillir auprès du père, tout cela prendra 2h et sa venue prévue à 11 h.
On se dit, enfin l'aide tant attendue, et avec, l’espoir une rapide guérison… c’est du moins ce que pensait la famille de Mathilde.
En attendant, elle était attachée chaque nuit et enfermée. Malgré cela, on pouvait l’entendre gémir à n’en plus finir tant son plaisir était intense… Nul n’osait ouvrir la porte de peur d’être à son tour possédé… On préféra attendre la venue du docteur de l’âme…
Mathilde vivait ces nuits de façons si différentes. Elle l’attendait... Elle l’invoquait de mille façons, mais c’est aux formules d’amour qu’il était le plus sensible…
- Ô mon désiré, toi qui chaque nuit bénit ma peau de mille douceurs viens à mes cuisses, vient te perdre dans les méandres de mes formes voluptueuses. Regarde comme elles te réclament envoûtées et gourmandes de tes sublimes caresses. Hummm... Ô maître des sens, toi qui m’a révélé les plaisirs de la chair. Toi qui de moi, a fait ta convoitise. Viens et regarde, de mon délicat calice, devenu inaccessible, comme tu l’as exigé, s’écouler de fines gouttelettes miel et lait à la fois. Vient mon voleur... Descends les parois de mes cuisses, traverse la petite allée, jusqu'aux pétales accueillante de ma fleur. Hume les suaves senteurs de mon intimité ... Plonge dans l'infinie douceur de ma sensibilité, de ma corolle fait ta demeure, puis doucement escalade l'échine de mes émotions.
En place de mon assurance, de ma quiétude, sème le désordre, le trouble et l'envoûtement... Bâtie en moi le manque de toi ... Je t’offre ma chaire et bois mon sang. Deviens O, sublime poison celui qui vit en moi. Qu’ai-je à faire de ce monde si médiocre, inquisiteur et sans vie.
Et ainsi, la bête pour la dernière fois apparut, au coin du lit, puis l’interpellant.
- Humm Mathilde, reprenant une longue inspiration, tu aimes trop ressentir la jouissance. Hummmm, quelle chienne tu es!. Ta soif, de servir, d’appartenir et de t’offrir corps et âme à la perversion m’étonne, je l’avoue.
J’ai passé mon existence à exploiter les faiblesses de l’âme, rendue tant de femmes addicts aux plaisirs de la douleur. Combien d’antre-t-elles ont adopté la luxure comme mode de vie. Mais jamais je n’ai trouvé plus apte aux plaisirs de la chair, que ce soit par le doux ou par le sévère, tant tes zones érogènes sont sensibles et gourmandes de caresses.
Jamais, de ma vie démoniaque, je n’ai ressenti un tel désir de possession et de servitude. Et jamais, je n’ai reculé pour mon plaisir et celui de ma proie, jusqu’à la mener aux confins de noirs désirs, de déchéance, ou l’humiliation est jouissance. Tu es à moi et nul ne pourra te procurer ce que le gouffre de tes désirs réclame…
Par notre serment, nous profitons de votre sommeil. Dans votre lit, au plus profond de votre intimité, parfois prêt de vos maris, de vos amants, pour venir vous prendre, vous violer, vous baisez jusqu’à entrevoir les portes de la perception des jouissances ultimes. Vous jouissez de nos mots, de notre de science de l’interdit et vous écartez vos cuisses pour profiter de nos avantages. Quel que soit votre statut dans votre monde, nous connaissons la perverse qui est en vous. Et votre sommeil, ouvre les voie du songe par lesquels nous vous apparaissons.
Puis levant les yeux vers le ciel :
- Le Créateur vous à donnée ô femelle un appétit sexuel 8 fois supérieur à celui de l’homme, ignorant et prétentieux, bien maladroit quant à vous comprendre. L’immense majorité, n’en explore guère plus que le deuxième degré. Rares sont celles qui atteignent le degré 3. Pour les autres niveaux, l’élévation spirituelle, la maîtrise des sens, la connaissance de l’âme, de l’esprit et du corps, vous sont à peine accessibles tant vous avez perdu confiance, oublié votre nature profonde et tout son potentiel. Mais cette ivresse vous reste accessible, en partie, un moment. Certains tente de la retrouver par tout moyen, la majorité l’abandonne.
Oui, certaines cherchent à retrouver, dans leur vie réelle, le ressentit vécu. Aux grès de leurs errances, frôlant des sensations de jouissance, sans jamais les atteindre. Ignorent-ils que les degrés supérieurs sont inaccessibles d’un point de vue purement physique.
L’amour ce sentiment si puissant, que nous ressentons, mais ne pouvons le donner. il agit sur votre sensibilité cérébrale, vous rendant apte à la réception physique de l’émotion de façon décupler, bien plus puissante, chargée d’énergie, qui vous transporte au-delà des mondes au delà de toute réalité, mais seulement un instant un petit instant. D’ailleurs, s’il devait se prolonger, votre cœur ne pourrait le supporter.
Nous, déchût de l’amour, condamné à ne pas pourvoir, exprimer, transmettre ce sentiment, percevons vos fantasmes, votre sensibilité, votre faiblesse face aux plaisirs de la chair. Notre idéal se faire aimer et construire un univers secret. Mais cela est si rare. Et quand cela arrive, les vôtres, les enferment et divers moyens utilisés, nous coupent de tout contact, interdisant au songe d’être.
Et je ne veux pas que cela soit pour toi.
Aucune, aussi jeune que toi. Aucune, aussi attachante que toi. Et cela, attendrît mon regard et me pousse à la rédemption. Je te crois sincère et me refuse d’être ton bourreau.
Ainsi, j’ai décidé de rompre, tu es libre et aucun des miens mâles ou femelles ne t’importunera… Celui que j’ai possédé et à qui j’ai emprunté l'apparence, ne connaît pas ton existence et pourtant en vous réside votre salut... Votre accomplissement. Trouve-le avant que cela ne soit trop tard. Il resta à la regarder un instant, puis disparu….
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Ça y est.
Paris est passé en zone verte. Les interdits sont levés, les restaurants ré-ouvrent, la vie reprend.
J’ai vécu ces trois deniers mois confinée avec mon Maitre.
C’était la première fois que je vivais de la sorte, avec un homme, et surtout avec lui, Maxime, partageant tout, son(notre) quotidien, sa vie, chez lui, dans son environnement.
Au début j’appréhendais cette situation.
Très vite pourtant, grâce à lui, j’ai pris goût à cette vie à deux, à fonctionner ensemble comme un «couple (presque) normal ».
Nos relations intimes dont demeurées ce qu’elles étaient auparavant, celles d’un Maitre et d’une esclave, la seule différence étant que, confinement aidant, nous pouvions jouir plus souvent l’un de l’autre.
Depuis le « déconfinement », même si j'ai choisi de conserver mon appart, à cause de cette part de moi qui me porte à toujours douter de tout et notamment de moi, nous avons décidé que je m’installerai définitivement chez lui.
_______________
Le confinement est terminé, Maxime est désormais « déconfiné ».
De mon côté, si je passe deux ou trois fois par semaine au cabinet, je reste en télétravail les autres jours.
Et il me manque.
Son absence, même pour quelques heures, après ces 3 mois où nous avons passés tous nos jours et toutes nos nuits ensemble, crée comme un vide en moi.
J'appréhendais la vie à deux, le quotidien partagé, le fait d'être en permanence tous les deux, confinés chez lui, au lieu de ne nous voir que lorsque nous le décidions.
Désormais c'est l'inverse.
Je me sens abandonnée quand il n'est pas là.
Quand il ne passe plus dans le living où je me suis installée, pour échanger quelques mots, une caresse.
Quand je ne peux plus me rendre dans son bureau désormais vide, où il s'était installé à l'époque du télétravail, pour poser mes lèvres sur l'emplacement de son sexe, le faire durcir sous mes caresses jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus et m'offre sa queue à sucer.
Je suis comme une droguée en manque.
Droguée à lui, à sa présence, à son corps, à son sexe et à ce qui en sort.
En manque de lui, quand il n'est pas là.
_______________
Je sais que pour tous ceux(celles) qui ont vécu les 3 mois qui se terminent dans la peur du lendemain, les problèmes, les difficultés du quotidien, confinés avec des gosses, dans des appartements étroits, la promiscuité permanente, mon propos de « bourge privilégiée » va paraître futile voire choquant.
Et je m'en excuse par avance auprès d'eux.
Mais je n’y peux rien si je suis aussi cela et si pour moi, ce confinement forcé m'a permis de donner une nouvelle direction, un nouveau sens à ma vie.
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C’était une période de fêtes et de froid. Je venais de décrocher un travail provisoire dans une grande surface ou je conseillais les parents sur les futurs cadeaux de leurs progénitures. Le boulot était sympa. Me retrouver dans le rayon jouets me faisait redevenir enfant par moment et j’enviais tous ces enfants d’avoir des jouets si évolués désormais. Je travaillais dans une équipe composée de quatre personnes. Des étudiants et étudiantes. J’étais le seul « vieux » de l’équipe. L’équipe était sympa, le boulot beaucoup moins par moment. Mon seul réconfort était la fille qui gérait le rayon d’à côté. Le rayon luminaires. Une jeune femme de vingt-cinq ans, brune à la peau mate (oui toujours cette attirance), les cheveux longs, lisses et très noirs. Toujours habillée de façon très simple, mais élégante malgré le job. À chaque fois que j’arrivais, je la saluais. Elle relevait la tête et me saluait aussi avec une voix timide. Je n’arrivais pas à entamer une discussion avec elle. Timidité ou désintérêt ? Je ne sais pas.
Un matin, alors que j’arrivais, je la vis discuter avec un autre vendeur. Je me plaçais de l’autre côté du rayon pour pouvoir les entendre. Je pensais qu’il la draguait dans un premier temps. Je compris à leur complicité qu’ils étaient ensemble. Je compris aussi pourquoi elle était distante. Savoir que son homme est dans le même travail que soi. Bref…
La semaine suivante on me changea mes horaires et je devais commencer à dix-sept heures jusqu’après la fermeture, soit vingt-trois heures. Je trouvais ça cool. Je ne serai pas embêté par les clients non-stop. À ma prise de service, je fus surpris de voir qu’elle était du soir aussi. Mais, temps mieux, le temps me paraîtra moins difficile si je peux observer ses courbes de femmes sportives qu’elle mettait en avant dans de petits leggings et autres vêtements près du corps. Je n’insistais jamais d’autres qu’en disant bonjour. Impossible d’entamer une conversation. Elle passait du rayon au dépôt sans arrêt.
Un soir, je devais entrer un stock ou que sais-je sur l’ordinateur du dépôt. Je n’y comprenais rien et, à ma grande surprise, ce fût elle qui, en passant, me proposa de l’aide. J’en profitais pour me présenter, que j’étais là depuis deux semaines. Elle glissa furtivement oui « Oui, je t’avais remarqué ». Elle se prénommait Maéva. Je fis un petit sourire, mais n’ajouta rien.
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Juliette n'était pas du genre à accepter l'échec dans quelque domaine que ce soit
surtout auprès des femmes. Elle avait le sens de la compétition, exacerbé par la
pratique de l'équitation qu'elle pratiquait encore régulièrement. Rien ne lui plaisait
plus que l'odeur des écuries, monter et démonter des barres en carrière au petit
matin, s'endormir dans le van au retour d'un concours de saut d'obstacles. Elle
avait fait la connaissance de Sarah dans un club. Depuis, elle n'avait qu'une idée
en tête, la pousser à se soumettre totalement à elle, corps et âme. Elle était déjà
son amante attitrée depuis leur rencontre. Sarah s'était révélée chaque nuit de
leur vie languissante toujours plus fougueuse dans leurs ébats d'alcôve. Toutes
les femmes amoureuses ont le même âge, toutes deviennent des adolescentes
exclusives, inquiètes, tourmentées. Sarah n'échappait pas à la règle. Mais cela
ne déplaisait pas à Juliette. Elle était intelligente, sentimentale et charmante.
Mais surtout, elle pressentait en elle, un réel potentiel de soumission. Guidée par la
confiance qu'elle lui porterait, Juliette obtiendrait tout d'elle, la forcerait à concrétiser
tout ce qu'elle désirerait, surtout ce qu'elle n'osait pas intimement s'avouer. Confiance
aveugle indispensable pour Sarah lorsqu'un bandeau de velours ou un masque de cuir
recouvrirait ses yeux, lors de séances de soumission, en des lieux et en présence
d'inconnus. Les humiliations, les sévices sexuels et le fouet l'épanouiraient. Mais en
respectant la sécurité. Tout être humain a ses limites, l'esclave a les siennes.
Elles étaient devant une porte, à double battant, une antichambre étroite. Dans sa main, Juliette sentait
les doigts anxieux de Sarah. Elle tremblait, non de froid, elle savait ce qui l'attendait de l'autre coté. Bientôt,
elle connaitrait la révélation en pénétrant dans la cave du manoir. Un mélange de curiosité et d'angoisse
surgissait en elle. L'inattendu est une arme de séduction. Le jeu des situations insolites l'excitait et le danger
la grisait en la plongeant dans un état second où tout son être se sentait autoriser à se dédoubler, libérant ses
pulsions refoulées. Elle portait une robe droite descendant sous le genou avec une fente arrière jusqu'aux reins,
resserrée à la taille mais un peu lâche à la poitrine. Dessous, seulement une paire de bas noire tenue par un
porte-jarretelle. Dans une des poches de sa Maîtresse, la laisse métallique qui lui était destinée lestait sa veste.
Sarah frottait nerveusement ses cuisses et ses genoux les uns contre les autres faisant crisser ses bas. Elle
semblait adorer l'appréhension qui précédait sa première mise à l'épreuve, excitée par la sensation d'être
préparée ainsi à son sacrifice telle une vestale. Elle aurait seulement préféré être nue sous une longue cape.
L’entrée passée, Juliette l'entraîna dans un petit salon dont l’un des murs était occupé par un grand miroir. Elle se
glissa derrière elle, et souleva sa chevelure. Elle fit glisser la fermeture Éclair de sa robe de la nuque, jusqu’au bas
de ses reins, dégageant ses épaules et sa poitrine. Son vêtement tomba à ses pieds. Elle ne portait plus que ses
bas et une paire de talons hauts. Puis, elle dégrafa ses bas et les fit glisser le long de ses cuisses. Bientôt le
porte-jarretelle rejoignit le reste de sa parure au sol. Juliette lui ôta ses chaussures. Elle était totalement nue.
Juliette sortit de son sac un rosebud orné d'une couronne en rubis. Elle le prit dans ses doigts quelques instants
pour le réchauffer. Sarah se pencha alors en avant en écartant ses fesses pour faciliter l'intromission. Il avait été
décidé qu'elle serait privée de bâillon, pour l'entendre crier mais qu'en revanche un bandeau l'interdirait de voir
ceux qui la fouetteraient ou ceux qui auraient envie de la posséder par tous les orifices naturels selon leur fantaisie.
Sa Maîtresse lui enserra le cou d'un collier et lui passa à ses chevilles ainsi qu'à ses poignets des bracelets.
Sarah se regarda furtivement dans le miroir avant que Juliette noue le bandeau sur son visage. Elle se trouva belle
dans le secret de sa nudité et la noblesse du cuir. L'esclavage, c'est un peu comme l'amour, le vertige en plus.
Le temps de réprimer son angoisse, la porte s'ouvrit. Elles reconnurent aussitôt Béatrice. Sa mince silhouette
était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu’à ses bottes en cuir. Juliette lui tendit sans
hésiter la dragonne de sa laisse. Elle s'en saisit de ses mains gantées de cuir.
- La nudité te va bien. Tu as un corps superbe, fait pour le sexe et pour le fouet.
- Merci Madame, répondit Sarah.
Elle ouvrit les deux battants et la guida vers son sacrifice; le lien pendait entre elles deux. Elle ne la tira pas,
comme on mène un animal. Elle marchait derrière elle, les mains liées dans le dos, en se cambrant au maximum,
projetant sa poitrine en faisant saillir ses reins. Attachée, mais libre, elle s'offrait. Au fond de la salle, éclairée par des
projecteurs, l’attendait une croix de saint André. À coté d'elle se tenait une jeune fille brune aux cheveux très courts.
- Je m’appelle Claire.
- Et moi, Sarah, lui répondit-elle d’une voix respectueuse.
- Nous allons beaucoup te faire souffrir.
- Je sais que Juliette vous l’a demandé.
- Madame a décidé: nous irons au bout de ce qu’elle a choisi pour vous, mais vous connaissez le code du safeword.
- Je le connais et je suis prête.
Claire lui entrava les chevilles et les poignets en fixant aux bracelets des cordes maintenus à la croix par des chaînes.
Elle était écartelée, face à la salle plongée dans l'obscurité. Sarah savait que des yeux l'observaient, imaginant les
tortures qu’ils aimeraient faire subir à sa fière poitrine, ou à son sexe ouvert. Mais seul, le regard de sa Maîtresse lui
importait, en espérant qu'elle la trouve digne de lui appartenir. Atteindrait-elle le niveau de perfection qui sublimerait
leur relation périlleuse. Il était essentiel pour elle de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de
mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne susciter aucun reproche, ou plus simplement par orgueil
ou par fierté. Donner cet immense bonheur à la femme qu'elle aimait était une préoccupation majeure, bien plus que la
concrétisation de ses fantasmes masochistes. L'une comme l'autre ne devaient pas se décevoir mais en respectant les
limites à ne pas franchir. Sarah avait ses limites, l'esclave qu'elle allait devenir aurait les siennes. Juliette ne l'ignorait pas.
Sur une table basse, un martinet à longues lanières en cuir, un fouet dont la mèche est tressé de deux cuirs différents,
et une fine cravache. Claire prit le fouet, et lança son bras. La lanière s’enroula autour de sa taille et le serpent la mordit
au centre de son ventre. Le coup fut doublé au même endroit par le martinet. Bientôt, ce fut le haut des cuisses qui attira
l'attention. Jamais auparavant, ces parties de son corps n'avaient été touchées même par Juliette. Et quand les lanières
s'attaquèrent à ses seins en lacérant leurs pointes, elle comprit qu'elle serait intégralement fouettée sauf au visage.
Puis c’est le haut de ses cuisses qui fut l’objet de leurs attentions. En écho, les lanières atteignirent son pubis mais avec
plus de délicatesse. Elle cria sa douleur, comme la femme qu'elle avait entendue dans le couloir. Elle aussi avait souffert,
nue et crucifiée comme elle. Plus Claire frappait fort et plus Sarah s'offrait. Elle souffrait, mais elle dominait sa souffrance:
le plaisir qui naissait insidieusement en elle la dépassait, la stigmatisait. Elle ressentait sa première jouissance cérébrale.
Claire recommença méthodiquement à la flageller, lentement, alternant fouet et martinet, descendant et montant de ses
épaules à ses cuisses, en quadrillant tout son corps, afin que les traces fussent nettes. La tête penchée sur le coté, elle
pendait au bout de ses bras crucifiés. Bientôt, la croix qui la soutenait fut basculée vers l'avant parfaitement à l'horizontale.
On lui ôta le rosebud puis une large olive métallique pénétra sans préparation son anus lui arrachant un cri de douleur.
C'était un crochet anal. Claire attrapa le lien de sa chevelure et le passa dans l’anneau de métal, elle tira, cabrant sa tête
en arrière. Une main adroite malaxa les pointes de ses seins pour les durcir avant de les prendre en étau par des pinces
dentelées. Les deux mâchoires mordirent sa chair. Tout cela était nouveau pour elle, mais elle se montrait courageuse.
Pas un instant, elle n'eut l'idée d'arrêter la séance en prononçant le code du safeword. Elle se découvrait plus masochiste
qu'elle ne le pensait. Pour Claire, il était grand temps de franchir une nouvelle étape dans la séance. Ce furent les brûlures
par une bougie. Les premières perles de cire brûlantes s'écrasèrent sur ses épaules. Bientôt les larmes de feu atteignirent
ses seins zébrés par le fouet. Enfin la brûlure gagna son périnée entre les deux voies intimes. Dans son esprit échauffé
par cette succession de peurs, de douleurs et de plaisirs entremêlés, des images fulgurantes de sacrifice déferlèrent en
elle. Elle se surprit à chuchoter "merci" à chaque nouveau coup alors même que sa chair se déchirait et que son sang
coulait. Elle allait gagner la considération de Juliette. Devenir esclave, digne de ce nom. C'était pour elle comme l'amour
avec une excitation vertigineuse en plus. La fin de la soirée s'écoula comme dans un rêve. Après avoir ôté le crochet anal,
on rétablit la croix de saint André à la verticale, pour la libérer de ses liens. Honteuse mais fière, elle avait joui des
traitements infligés par la seule volonté de sa Maîtresse. Juliette la rejoignit, recouvra ses épaules d'une cape et l'embrassa.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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A leur retour, Mathilde avait changé. Moins bavarde, plus distante, comme absente, incapable du moindre geste de tendresse à l’égard de son époux.
Deux mois s’étaient écoulés depuis le salon, le printemps frappait à la porte des bourgeons, le soleil déployait chaque jour un peu plus son pouvoir et la nature convaincue s’offrait à ces premières caresses.
Les absences de Mathilde du lit conjugal devenaient récurrentes, presque journalières. Pierre n’osait pas évoquer sa détresse et ne dit pas mot à son entourage. Un soir, il exprima sous forme de crainte, son inquiétude à Mathilde, au moment d’éteindre les lampes du salon. Il lui proposa de voir un médecin pour ses insomnies et aussi pourquoi elle ne tombait pas enceinte. Mathilde lui rit au nez et lui assura que tout allait bien en déposant un baiser sur sa joue. Pierre avec délicatesse et insistance obtînt son accord, puis essaya de la retenir par la main. Se retournant sans s’arrêter, elle lui fit signe que ce n'était pas la bonne période.
Quant à la sortie du cabinet, le médecin lui conseilla de voir un psychiatre, son agacement devint de l’inquiétude. Le Praticien demanda à Pierre s'il jetait de temps à autre un coup d’œil dans la chambre de sa femme pour voir si tout allait bien... Pierre béa, répondit :
- non, cela ne lui avait jamais traversé l’esprit.
Le médecin resta un instant à le regarder, interrogatif puis hocha la tête, serra la main de pierre en disant :
- Il n’y a pas de raison de s’inquiéter.
Fit un signe à Mathilde qui attendait un peu plus loin. Et souhaitant une bonne journée ferma sa porte.
Les propos échangés avec le médecin décidèrent Pierre à épier sa femme, guidé par le sentiment que c’est ce que le médecin suggérait.
C’est ainsi qu’une nuit, il observa sa femme. Œil rivé sur le trou de la serrure. Dans son sommeil, Mathilde se caressait et tenait des propos obscène s’adressant à un partenaire invisible.. Et que l’on identifia par la suite comme démon… La première fois pas plus que la deuxième ou troisième fois, il ne dit pas mots… Il s’était transformé en voyeur et observait d’un regard curieux et hébété sa femme si effacée dans de langoureuses positions. Ce corps, qui lui semblait plutôt maigre, fragile, allait et venait, répondant à l’excitation de ces seins étonnamment gonflés.
Ses hanches envoûtaient son regard et plongeaient avec ses mains entre ses cuisses, jusqu’à jouir… Ces râles, lui procuraient excitation et frustration. Ce n’est qu’à la quatrième fois et par l’intervention de son beau-père que l’affaire éclata au sein de la famille.
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Presque 24h, un peu moins. Un timing plus que serré.
Plein d'envies et de désirs, alors je ne perds aucune de ces heures, je fonce.
Je teste une nouvelle cravache, elle claque,mais marque trop légèrement.
A peine dévêtu, encore sous le coup des kilomètres et d'une fin de conduite pluvieuse.
Je ne lui laisse pas de repos.
Il sait.
Il désire mais sans l'avouer, il provoque, recule, approche puis obéit.
Je veux poser une de mes empreintes : tout de suite, ne pas lui laisser le temps de réfléchir, le cueillir à froid pour le réchauffer et m'échauffer avant les prochaines heures.
Il sait.
Le stick claque sans bruit.
Un long gémissement pourtant.
Main droite, main gauche, stricte application au centre de ses fesses, je frappe pour obtenir cette marque particulière lorsque l'extrémité vient éroder la peau de sa cuisse, de son ventre ou de sa queue.
Une marque rouge, douloureuse, quelques centimètres seulement, une résonance vive.
J'aime. Terriblement.
Il le sait.
D'autres gémissements, une attitude de protection.
Inutile.
Nouveaux claquements, comme pour équilibrer.
Fin de nos retrouvailles immédiates.
L'heure avance, nous rejoignons un domicile ami.
Un garage. Aménagé.
Fabuleusement aménagé.
De nouveaux désirs en frôlant certains instruments cinglants, brûlants, piquants.
"Déshabille toi. Retire tout"
Gêne.
Son cerveau en ébullition face à nos amis.
Je l'installe sur une banc à fessées, le ventre sur le cuir rouge, genoux repliés.
Je fixe les attaches : j'aime cet instant précis où je le sangle serré, en le pinçant parfois. Pas grave.
Il sait.
Pas de bandeau, je veux qu'il voit.
Je lui glisse à l'oreille : "tu as une pose d'une grande indécence"
Puis, je redis cette phrase à nos hôtes.
Mon amie domina commente d'un ton badin : "Hmmm, intéressante cette pose, elle permet d'imaginer des tas de gestes "
Il rit mais n'en mène pas large.
Je le chauffe en le fessant : j'aime ce contact, doux, sensuel, j'aime le bruit de mes mains sur son cul tentant.
Je joue. Sérieusement.
Je reprends possession de son corps.
Il me l'offre, il grince des dents, gémit, crie, se cambre, tente d'éviter.
Les liens enserrent ses bras, ses mollets et ne lui permettent que peu de liberté.
Je joue toujours.
Fouets rapides, vifs, irradiants.
Fouets lourds : ses préférés, coups répétés, cadence élevée.
Poings serrés, paupières closes, sourcils froncés.
Il gémit de plus en plus et de plus en plus fort.
Je ralentis puis cesse.
Je le regarde, je touche sa peau, sa chaleur, sa transpiration, ses boursouflures .
Question : "je poursuis ? "
Murmure assuré : "Oui, ma Lady"
Je cingle ses fesses, zone de frappe non érogène pour lui, il se concentre pour accepter cette douleur.
Je suis attirée par son cul tendu
Il sait.
Je reprends mais en le détachant et en le faisant lever.
Un instrument m'attire terriblement.
Deux longues griffes sur une bague.
Je strie son corps entier, je dessine, je compose
Je trace de longs traits rouges puis je coupe leur trajectoire en retraversant de l'autre coté.
Son corps devient damier. Il aime mes griffures. Il geint et il aime
De nouveau sur le banc, je griffe sa queue et ses couilles. Délicatement.
Il a peur.
J'aime sa peur. Terriblement.
Il sait.
1 heure pleine de contacts appuyés, zébrant sa peau, la chauffant de plus en plus.
Il aime mais sans l'avouer.
Je frôle les marques, pose mes doigts sur les traits larges du fouet bifide, masse légèrement ce corps bouleversé mais pas assez travaillé encore.
Pas assez repossédé.
Je le relève, l'observe, le contrôle, le surveille, le cajole.
Il ne lâche pas prise facilement.
Il contrôle aussi, sans se laisser aller totalement : alors, je saisis un couteau.
Il sait, recule et me fixe. Muet, il dit non.
Je lui conseille juste de ne pas bouger.
Je passe la lame sur ses joues, sur ses yeux fermés, sur ses lèvres gémissantes.
Je descends la lame sur sa gorge, je reste en appui sur sa peau si fine.
Il tremble mais accepte.
Ma main est sûre, ne tremble pas : une des différences entre le soumis et la domme.
Merci à toi, pour ces émotions
Merci à eux de nous avoir reçus et accompagnés
Et merci à vous si vous en êtes arrivés là
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Ma vie de soumise
Chapitre 17 : Samedi 8 Samedi après-midi.
J’arrive en même temps que s2 chez notre Maître. Nous sommes fébriles avec ce que nous devons annoncer à notre Maître. J’ai relu attentivement le contrat me liant à mon Maître que stipule "L’un ou l’autre des partenaires pourra le détruire et stoppera de ce fait l’engagement".
J’ai contacté s2 et elle m’a confirmé que cette clause figure également dans son contrat.
Nous nous sommes rencontrées dans la semaine et je lui ai annoncé le désir que j’avais de quitter mon Maître si elle en faisait autant. Je lui ai avoué que je l’aimais et nous sommes tombées d’accord pour rompre le contrat.
Notre Maître nous accueille, il est habillé. Carole, habillée également, est assise dans un fauteuil. Je viens avec s2 embrasser les paumes de notre Maître. Il s’adresse à nous deux : - Restez habillées et asseyez-vous dans le canapé, j’ai des choses à vous dire. Nous ripostons :
- Nous aussi, Maître.
- Je vous écoute.
Je prends la parole et explique à notre Maître la décision prise par s2 et moi. Il arbore un large sourire. Nous sommes soulagées. Il répond :
- C’est parfait. Je vais me marier avec Carole et elle a exigé que je rompe avec mon passé de dominant.
Elle veut que je lui sois fidèle. Nous pouvons donc considérer que les deux contrats que j’ai avec vous sont caducs.
- Merci, Maître. Je m’appelle Jérôme.
- Merci, Jérôme.
- Merci, Florence et Laurence.
Il s’approche de nous et nous embrasse amicalement.
- Puis-je vous demander pourquoi vous avez pris cette décision simultanément ?
- L’amour.
- Je vois.
S2 enlève son collier et je quitte mon boléro. Nous saluons Carole puis nous partons de chez Jérôme. Nous arrivons chez moi, à la fois désemparées de ne plus avoir de Maître et libres de nous aimer sans en référer à personne. J’ai vingt-deux ans, Laurence a dix-huit ans. Elle est étudiante, je vis seule et je suis indépendante financièrement. Laurence pourra venir chez moi quand je le voudrai. Nous projetons de nous présenter à nos parents respectifs. Nous avons envie de revendiquer notre bisexualité et notre amour. Laurence reste avec moi ce soir. Nous allons nous coucher dans le même lit. Mais notre amour ne changera pas la relation que nous avons, je resterai sa Maîtresse, elle restera ma soumise. Laurence m’appartient donc exclusivement.
FIN
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Cela dura au point que la quiétude l’enveloppa. Sa respiration s’apaisa, ses traits se relâchèrent et son visage apparut plus détendu. Elle s’endormit doucement dans le silence réparateur ... Le vide absolu l’entourait ... Le temps passa ... Les heures avec... Puis un objet ou une chose l’effleura dans son sommeil. Quelque chose touchait sa peau, s’enfonçait sans lui faire mal dans sa chair, mais suffisamment pour la déranger, un objet froid.... Elle dormait et sans ouvrir les yeux, elle s’interrogeait sur ce qui l’a gêné... Quand... une voix murmura son prénom. Elle l’appelait à la façon d’un chuchotement.
- Mathilde, je suis là..
L’appel se répéta...
- Mathilde, je suis là...
Quelques secondes encore....
- Je suis là Mathilde... Pour toi...
Répétait -il en enfonçant légèrement son doigt sur sa poitrine. Se pensant éveillée, elle crut à un mauvais rêve et essaya de changer de position, mais n’y arriva pas. Seule sa tête sembla pouvoir encore bouger.
- Cette voix l’intriguait, dans sa chambre, se dit-elle?
-un mauvais rêve je délire, je suis dans ma chambre, mais qui m’appelle ?
Et encore cette voix chaude sensuelle qui l’appelait, lentement, doucement presque un chuchotement, lointain et proche à la fois. Elle prononçait son prénom comme seule une personne l’avait fait, mais sans se souvenir de qui. Cela lui donna une sensation de bien-être et de détente. Attirée, intriguée, elle concentra son attention pour deviner d’où cette voix venait?
Elle était familière, elle la connaissait.... Puis d’un coup, elle réalisa, cette voix, ce son, cette façon de l’appeler, encore une fois... Cette voix ... Sa respiration devint plus difficile, une sensation d’étouffement, peu à peu, l’envahit. Elle tenta de reprendre son souffle. Lutta pour se libère de cette oppression en balançant sa tête de gauche à droite. Elle tirait sur son cou pour dépasser cet étouffement comme si l’air était juste là à côté, le manque d’oxygène insupportable finit par lui faire ouvrit les yeux, qu’elle écarquilla à la vue de celui qu’elle pensait ne plus jamais revoir. Elle n’arrivait ni à crier ni à pleurer tétanisée... Elle resta là ... à le regarder. Te voilà donc revenu...Lui dit-il puis se tut. Il était là en position accroupi sur son ventre, sans que son poids ne l’empêche de respirer, elle le sentait lourd et léger à la fois Il passa son bras derrière sont dos et du bout de son annuaire il caressa, d’une légèreté infime, sa chaire la plus douce, la serrure de ces secrets. Son sein débordait de sa nuisette et son téton offert, gonflé posé sur un plateau rosé et tacheté de petites rousseurs, tendu, il avait doublé de volume. Ses doigts se contractèrent sur sa gorge... Elle suffoqua...Son corps se raidit ... Elle savait qu’il pouvait réclamer sa mort, elle prit peur, paniquée, elle poussa avec ses jambes, souleva son torse, rien. Ses bras balayèrent l’espace, mais sans rien attraper, elle se souvint qu’elle ne pouvait le toucher.... Contrairement à lui. l’être humain pouvait le voir que s'il le désirait, mais ne pouvait le toucher en tant que matière. Lui par contre possédait la faculté du toucher et le ressentit qu’il transmet en ai décupler par l’aptitude naturelle de ses dons. Elle agrippa de ses mains les barres verticales de son lit et tira. Sa tête s’enfonça dans son coussin, elle tira encore et finit par déborder du lit. . Ses cheveux tombèrent balayant le sol. Sa tête renversée, elle reprit son souffle quelques secondes s’écoulèrent haletante, elle souffla du bout des lèvres: - Arrête s’il te plaît, arrête, je t’en supplie !! Je suis là pour toi ! Le démon marqua un brin d’étonnement, desserra sa prise... Pour entendre encore ce qu’elle venait de dire .... Elle respira bruyamment se releva légèrement et regarda son mari à ses côtés plongé dans un profond sommeil, et de ses yeux rougis de chaque de côté une larme déborda suivit par une autre... La bête prit une longue inspiration et poursuit : - Hummm que ta peau sans le parfum des grands espaces. Il huma l'air - hummm .... Celui d’où tu viens ne comporter ni souillure ni puanteur, ... Tu le porte encore! ... Comme il inspire mon imagination… Elle pleurait et lui gardait un regard perdu au loin... - Tu es partie et tel un fou, j’ai parcouru durant des nuits la laideur et l’amer le vice et la perversion la douceur et là douleurs, j’ai plonger mon odorat entre chaque cuisse d’homme à la recherches des parfums de ton miel, j ai visite le songe de toutes les femelles qui s’accouplent aux femelles et nul ne portait tes odeurs. J'ai des jours durant humer le vent porteur des senteurs secrètes inavoués, jusqu’à visiter les tombes tant je craignais malheur. Puis j’ai interrogé mes frères et mes sœurs rien, rien que l’absolu vide… nul démon nul humain ne pus me donner espoir. Ainsi j’ai admis que tu avais quitté la ville, que tu m as fui moi qui ignore les distances, que tu as préféré fuir pour mourir dans l’ennui et l’amertume plutôt que jouir à en mourir. Le silence se fit alors qu’il titillait toujours son téton, cela m’était, Mathilde dans un tel état d’excitation son corps se tendait et son sein gonflait, il reprit… - Le temps cruel et interminable accomplit son œuvre, apaisé par le créateur, j’ai pu t’oublier, je crus t’oublier…Puis l’aveugle hasard me fit dont de son indulgence, humm quoi d’autre aurais pu m’aider, ton Maire, l’ elu de ce lieux ou tu t’es cachée pervers et zoophyle en secret te convoitait et c’est avec l’une de mes sœurs qu’il t’invoqua en lui demandant de prendre ton apparence et évoqua ton mariage, comme un gâchis… Ainsi, j’ai sollicité que son désir pour toi ne cesse de le harceler, veiller que ces progénitures ne puisse se déplacer et enfin lui inspirer ton nom et celui de ton mari pour les remplacer, et très vite pour lui, l’idée de ta compagnie est devenu une obsession. Et aujourd'hui te voilà là si proche.... Tu m’as fuis, moi le songe, le démon pervers… Moi qui par mes mots à ta demande à sublimé tes jouissances… Et de toutes ces nuits tu n’as vue en moi que l’hideux. Il laissa tomber sa tête en arrière et de longues mèches de cheveux échouèrent sur ces cuisses et au grès des hochements de sa tête tel des vagues se retiraient puis revenaient. À force de tenter de se libérer, Mathilde réussit par prendre appui sur le coin du lit et cessa de se débattre, lutter ne servait à rien, se dit-elle. Et d’ailleurs jamais de mal, il ne lui avait pas fait. Le démon gonfla sa poitrine repris son souffle… et ses doigts ne cessaient de tapoter sur ses seins tendus. Le regard presque suppliant, ses yeux révulsés, Mathilde pour tenter de l’apaiser lui dit : -Je ... heu... Je ne vous ai jamais fuis, je ... je n’ai pas peur de vous, ni peur de mes envies, de mes tentations ni de mes jouissances. J’ai parcouru les terres pour ne plus succomber à vos caresses et... Aussi pour ce que je ressens pour vous et je le regrette… Aujourd'hui, le destin me présente à vous… Et je ne veux plus fuir, venez à moi et prenez moi… Je veux vous connaître, vous apprendre, mieux répondre à vos attentes, oui maintenant prenez moi, je vous le demande..Je vois en vos yeux que vous êtes capable d’amour, je voie en vous cette douceur, Prenez-moi, je vous en prie… La bête laissa sa main glisser jusque son entrecuisse, du bout de ses doigts, il effleura les lèvres humides de ces pétales… et Mathilde se sentit fondre, Dès qu’il effleure sa chaire des vagues de sensations jouissives parcouraient son ventre et remontaient jusqu’à ça gorge, manquant d’aire elle ouvrit la bouche, sa respiration devint haletante, elle ferma les yeux et se laissa envahir par ces frissons qui galopaient sur son corps au point de sentir ses cheveux se redresser… Elle laissa échapper un râle de plaisir… Mis son doigt dans sa bouche et serra les dents pour ne pas réclamer, elle préféra se contenter de subir le rythme de sa caresse tentant sans conviction de résister aux plaisirs. La bête pesta et disparu…
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Manu m'invite à danser, tandis qu'un mec costaud entraîne Julien sur la piste de danse. Plusieurs hommes se relaient pour le faire danser.
Emma a choisi une jolie blonde aux cheveux courts. Mon petit doigt me dit que cet enterrement de vie de jeunes filles va vite tourner à la partouze. Manu m'embrasse tandis que sa main se perd dans ma culotte en dentelle... Je regarde Julien. Oh, il n'est plus dans les bras de son danseur, mais à genoux devant lui avec une bite king size dans la bouche?! Ils ont le sens de la fête, les Chtis gays. Je dis à Manu :
— Reste près de moi. Je voudrais voir comment Julien se débrouille, ensuite je ferai ce que tu veux.
— D'accord.
Le mec que Julien suce jouit dans sa bouche et il avale comme un grand. Un autre homme vient aussitôt lui mettre sa bite sous le nez. Puis deux autres le suivent... Julien suce et avale, je suis fière de lui et de moi qui l'ai si bien dressé?!
Un homme me demande :
— On peut baiser la future mariée??
Choquée par une demande aussi inconvenante, je réponds :
— Vous n'y pensez pas Monsieur, cette jeune fille est vierge !
Conversation très vieille France, vous avouerez. Il me propose :
— Et, si je l'enculais, elle restera vierge.
Argument valable, je suis bien obligée d'accepter. Je réponds :
— L'enculer d'accord, mais je vous en prie, ne dérapez pas.
Les gens se marrent. Il faut dire qu'il est amusant, notre sketch. L'homme dit à Julien :
— Mets-toi à 4 pattes, le front posé sur le sol.
Julien le regarde tout bête, il faut dire que je ne l'ai pas tenu au courant du déroulement de la soirée. L'homme l'attrape par une oreille en disant :
— Obéis !
Gémissant un peu, Julien se retrouve à 4 pattes et l'homme pousse sur sa tête pour qu'il la pose sur le sol. Ensuite, il relève complètement sa jupe et descend la culotte en dentelle. Le tableau est très excitant : une jolie jeune "fille" va se faire violer par un soudard. D'accord, y a un truc qui fait un peu désordre.
Évidemment, on a tout prévu, y compris les accessoires, en l'occurrence un petit paquet de beurre comme on en sert dans les restos. Le gars en met sur son doigt et le plonge dans le derrière de Julien. Il couine un peu. Oui, un inconnu vous met son doigt dans le cul, ça surprend. Julien remue son cul en gémissant, tandis que son... amoureux fait aller et venir son doigt. Voilà, tout est prêt, la fusée peut partir dans la lune. Faites pas attention, j'ai picolé....
Petite remarque en passant : le gars est un costaud mais il a une bite normale?! Je ne veux pas abîmer mon sex toy. Il écarte les fesses de Julien et sa bite s'approche de l'anus vierge de la future mariée. Enfin, vierge, c'est vite dit. Si ça se trouve, il a été dans une école catho?! Voilà, le gland défroisse les fronces roses de l'anus, jusqu'à ce qu'il ne soit plus qu'un mince anneau de muqueuse autour du gland rouge. C'est beau?! Bon, ça a l'air de piquer un peu, à entendre les gémissements de Julien, mais je sais qu'elle est douillette?! Le costaud donne un coup de reins et Julien pousse un grand cri. Voilà, il est devenu une vraie femme... L'homme le baise vigoureusement et bientôt, les gémissements de la "jeune fille" se transforment en cris de plaisir. Vous allez voir que Julien va jouir devant tout le monde, y compris les ouvrières de l'usine. Après ça, il aura du mal à jouer les patrons et... euh... oui, moi aussi?! Ça y est, il jouit et son partenaire le suit, quelques minutes plus tard, en lui envoyant certainement 10 cc de sperme dans le cul.
Manu m’annonce :
— Maintenant, à toi?!
Oui, mais... je n'ai rien prévu pour moi?! Ceci dit, c'est vrai qu’il s’agit aussi de mon enterrement de vie de jeune fille. Le spectacle du fils du patron des filatures du Nord Est, qui se fait sodomiser comme la première salope venue, ça a échauffé tout le monde, donc ça baise à tour de bras. Mais attention, en restant convenable : les hommes avec les hommes, les femmes avec les femmes.
Un femme bien en chair s'approche de nous. Manu me dit :
— Patronne, je te présente Monique, qui travaille à l'atelier 4, elle va te bouffer la chatte.
La femme ajoute :
— Ce sera un plaisir, je vais te faire miauler.
— ... euh... oui, merci.
Manu met une couverture par terre en me disant :
— À poil et sur le dos.
C'est sûrement une idée d'Emma. J'enlève ma robe et je me couche. Monique aussi, entre mes cuisses, et sa bouche se colle à ma chatte comme un rémora au ventre blanc d'un requin. Manu a enlevé son jean déchiré et pas très propre. Elle met ses pieds des deux côtés de mon visage, la tête tournée vers sa grosse copine, puis elle s'accroupit sur moi. Oh, mais c'est la jungle ! Elle n'a pas été au cap d'Agde, elle, et sa chatte est recouverte d'une forêt de poils noirs. Ses poils me chatouillent le nez... Elle sent la fille qui a oublié de prendre sa douche, juste ce qu'il faut. Elle se met à genoux des deux côtés de mon visage, de cette façon mon nez est dans son cul et ma langue dans sa chatte. Son odeur me plaît, heureusement. Monique s'active dans la mienne de chatte. Je lèche, je me fais lécher... j'aime. Manu joue avec mes seins, tire sur les bouts et les pince. Pense à des choses tristes, Samia. Oui, mais quoi?? Ce pauvre Julien qui se fait enculer?? Non, surtout pas.
Je sais quoi : toute l'usine va être au courant de ce qu'on fait, je n'aurai plus jamais de l'autorité sur quelqu'un. C'est affreux, mais... je m'en fous. Au contraire, ça m'excite !
Manu se frotte bien sur mon visage, elle le lave... Faut être lucide Samia, tu vas lâcher les amarres... Oui, je vais.... "Oooohhhhh", je crie dans sa chatte, tout en jouissant. C'est fort et par vague, ça me submerge... Manu s'est carrément assise sur mon visage. C'est gentil, mais j'ai joui et j'ai envie de boire un verre, maintenant. Je pousse sur ses fesses, mais elle me dit :
— Tu ne sortiras de là que lorsque tu m'auras fait jouir.
Normal. Elle se soulève un peu en disant :
— Mets un doigt dans mon cul et suce mon clito.
Pas facile à faire mais j'y arrive... Je lui file le majeur dans l’anus et tète son petit bouton... Heureusement que son odeur me plaît. Enfin, un peu moins depuis que j'ai joui. Il faut que je me livre 10 minutes de stimulations pour la faire jouir.... Voilàààà... Elle reste encore un moment assise sur mon visage, avant de se décoller.
Je dois être belle, toute décoiffée et le visage luisant de sa jouissance. Bah?! Après tout, c'est normal dans un enterrement de vie de jeune fille. Si, si, demandez à votre fille.
J'aperçois Julien un peu plus loin. Il est toujours occupé de sucer des bites. Avec ce qu'il a avalé comme calories, ce soir, demain, je le mets à la diète.
On boit encore un peu... mais il se fait tard et demain, il y a usine. Putain, ça va être spécial d'en voir certaines. À ce sujet, je dis à Manu :
— Tes amies... enfin, celles qui travaillent à l'usine... euh...
Elle comprend et répond :
— Ce qui se passe à Vegas reste à Vegas.
En clair : « on sera discrète ». Elle ajoute :
— Mais j’apprécie quand même qu’on danse comme je siffle.
En clair : « il faudra faire ce que je veux ». Je lui dis :
— Si tu me siffles pour te lécher, avec plaisir.
Vous voyez les bonnes manières?? Une Comtesse qui lèche la chatte en friche d'une de ses ouvrières, c'est rock'n roll, non?? Je m'amuserai le temps que ça durera et si un jour ça ne me plaît plus, je prendrai Julien sous le bras et on ira vers d'autres cieux... Mais pour ça, il faut que je mette de l'argent de côté. Parce que je sais que je partirai, je suis une fille du voyage.
Pour le moment je trouve qu'on s'amuse bien chez les Chtis.
****
Trois jours plus tard, je me marie. Mon rêve?? Oui, pour le moment, mais j'ai l'âme voyageuse, comme vous savez.
Tout ce qui a précédé ayant pour but d’arriver à ce jour. Je suis dans une belle robe crème... Je n'ai pas choisi blanc, car avec ma peau mate et mes cheveux noirs, le contraste était trop grand. Mes beaux parents font un peu contre mauvaise fortune, bon cœur. Leur fils quasi junkie et perpétuellement déprimé est maintenant casé avec une fille qui le fait filer droit. C'est une Rom?? Un moindre mal.
Je vais bientôt m'appeler de Préville, avec un petit «?de?». Moi, franchement ça ne me fait ni chaud ni froid, le petit «?de?». Par contre, les usines et la chaîne de magasins, ça ne me laisse pas indifférente. Normal que Julien ait une dot, après tout.
Ma famille n'étant pas là, c'est le père de Julien qui me conduit vers l'autel. Je regrette qu'on ne soit pas aux Saintes Maries, sous le regard bienveillant de Sainte Sara, la protectrice des Gitans. Lorsque le prêtre me dit :
— Jurez vous d'être fidèle, bla-bla-bla...
Je réponds :
— Oui, je le jure.
Mais j'ai prévu le coup et j'ai croisé les doigts de la main gauche. Non mais sans blague, il a pas vu la bite Julien, le curé?! Sinon, il ne demanderait pas ça. Fidélité, mes fesses?!
Cependant... je vais faire l'effort de baiser avec lui, cette nuit. Je me doute que vous vous dites comme moi, mais qu'est-ce qu'une fille belle et sensuelle comme Samia a besoin de se faire niquer par ce ouistiti... Oui, j'ai des côtés, ancien régime. Lors de la nuit de noces, on baise avec son mari. Après, on fait ce qu'on veut. Vous avez hâte de connaître la suite?? Moi aussi.
Hélas, il y a un repas à rallonge avec la famille et les amis du marié. De mon côté, personne. On mange, on boit... Ils s'amusent, moi moyennement, ça manque de sexe et d'aventures, ce mariage?! Jusqu'à ce que mon beau père m'invite à danser. Vous voyez Julien?? Le père, c'est le contraire. Il est vrai que c’est sa femme qui commande, mais quoi de plus normal?? Il est grand, costaud, sûr de lui... Il s'appelle Denis. Je me sens... une femme dans ses bras. On danse, il me dit :
— J'aime beaucoup ta robe, elle te va très bien.
— Merci beau-papa.
— Elle met en valeur tes nichons.
— Vous les trouvez beaux, mes nichons??
Il est un peu surpris. J'ajoute :
— Et mes fesses, comment vous les trouvez??
Là, il éclate de rire. Après s’être calmé, il me dit :
— Beau sens de la répartie... Je vais te trouver un boulot qui va bien te convenir.
Il me sert contre lui et je sens son intérêt pour moi, sous la forme de son sexe en érection qui se colle à mon ventre. Je lui dis :
— Ce n'est pas convenable de bander pour sa bru.
— C'est de ta faute, tu es trop excitante. Et dire que c'est mon fils qui va te baiser...
— Qui va essayer de me baiser.
On rit tous les deux. Comme vous le voyez, mon beau père et moi, on est dans un marivaudage de bon aloi... N'empêche, cette bite toute dure contre mon ventre, ça me fait mouiller. Le slow s'arrête... Un cousin de Julien m'invite, mais il ne bande pas, ce con?!
C'est long... je discute, je bois, je danse... et je pense à notre voyage de noces : demain, on part à Marrakech. Ce soir, on dort dans le manoir des de Préville. Julien et moi, on s'installera dans la maison des concierges dès qu'une série de travaux seront terminés. Cette maison est vraiment jolie...
En ce début de soirée, je suis bourrée, mais ça m'étonnerait que je le sois la nuit prochaine, si vous voyez ce que je veux dire.
On mange à nouveau, je m'emmerde?! Ces gens ne sont pas marrants. Seul bon moment de la journée, le frotti-frotta avec mon beau père. Vers 23 h, on s'éclipse... Je vais enfin voir le loup?! On monte dans la chambre d'amis qu'on occupe en attendant la maison des concierges. J’enlève ma robe, ça fait du bien. Je dis à Julien :
— Déshabille-toi.
Je me couche nue sur le lit, lui se met à genoux et embrasse mes pieds, selon le cérémonial que je lui ai appris. Si ça se trouve, il aime ça. Après quelques minutes, je lui dis :
— Plus haut.
Aussitôt, il fonce sur mon minou, la langue la première. C'est presque un viol?! Pour ça, il est bon. Faut dire que je l'ai déjà puni quelques fois quand il me semblait manquer d'enthousiasme... ou simplement parce que ça m'amusait. J'ai acheté une grande cuiller en bois, comme celle qu'on utilisait dans ma famille pour touiller le ragoût de hérisson. C'est ce qui faisait régner l'ordre parmi la marmaille du camp où j'ai vécu en Roumanie. C'est très efficace et Julien en a une peur bleue, parce qu'en plus, il est douillet.
Il me fait un cunni de toute beauté, tandis que je pense à des choses excitantes : mon nouveau nom, des bijoux, le fric... Je jouis assez vite, trop vite. Je vais le dresser à ne me faire jouir qu'après un certain nombre de minutes?! Maintenant, c'est au tour de mon devoir de jeune épouse. Je lui dis :
— Baise-moi?!
À suivre.
Si vous voulez me joindre, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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C'est son mari qui le premier s'inquiéta de son attitude. Jusqu'à plusieurs fois par semaine, elle refusait de dormir dans le lit conjugal. Prétextant des nuits agitées dus à des insomnies et préférant à cela, renchérissait-elle, ton ronflement, sans oublier le dérangement qu'elle lui causait dans son sommeil avec la petite lampe restée allumée.
Tout cela, finalement, justifiait qu'elle se retire dans la chambre d’ami, qui n’en avait que le nom tant elle était exigu.
Lui, frustré de cette absence, pensait que sa femme lui cachait la vérité pour ne pas l’attrister. Elle n'était pas heureuse dans sa vie paysanne. Forcément, la ville lui manquait. Le mieux peut-être était de l'emmener loin en voyage, voir la mer qu'il n'avait encore jamais vue.
L'idée était de son ami Louis, le seul d’ailleurs qu’il eut jamais, et à qui, il avait confié ses inquiétudes. Il était allé jusqu'à lui avouer tête baissée, tant il avait honte
- Quand on fait la chose soufla-t-il, c’est à peine si je l’entend couiner ».
Il n’avait pas d’explication qui lui venait en tête. Il avait l’impression qu’il faisait les choses comme il fallait, mais bon...? Peut-être était-elle ainsi, un peu froide... Puis ne voulant pas se plaindre sur son sort finissait par se dire qu’il avait bien de la chance d’avoir une femme si douce avec une peau qui sent si bon même après une journée de travail passée avec les vaches et les moutons. Puis, accompagné par un hochement d’épaule, il clôturait ces interrogations par :
- peut-être que c’est comme ça les bonnes femmes, va comprendre ce qui se passe dans leur tête.
Chaque jour, ces interrogations le harcelaient. Pourtant, il ne ménageait pas ses efforts à la tâche, pour montrer qu’il était capable de subvenir au besoin de sa maison, de sa famille. Bucheron l’hiver et à partir du printemps, cantonnier pour la mairie jusqu’après l’été.
Pierre était également le mécanicien de tout ce qui roulait au village et en particulier le vélo dont il était féru. Il collectionnait même quelques pièces prétendument de valeurs selon lui. Il était l’homme à tout faire et rendait service à tous les anciens, comme il aimait à les appeler affectueusement. Courageux et travailleur, il considérait que c’était la meilleure façon de prouver son attachement à son couple, à son village, à son pays.
Le soir, il aimait regarder sa femme avec douceur, déambuler, entre la cuisine et le salon. Plus complice avec son oncle qu’avec lui. Il écoutait leurs échanges, parfois intervenait avec un sourire avenant, tout en ayant le regard rivé sur la radio et les infos du soir. Il les laissait gérer à deux les affaires de la maison en bonne entente depuis qu’ils avaient décidé tous les 3 d’habiter sous le même toit.
Son oncle par alliance et sa tante , avant l’internement de celle-ci, vivaient à quelques centaines de mètres de là. C’était les seuls parents, qui lui restait. Devenu ses parents adoptifs après l’accident mortel des siens. Il l’avait accueilli et aimé comme un fils qu’ils n’ont pas eux. Son retour dans la maison parentale, fut décidé quand le projet de mariage se dessina.
Avec le temps, sa tante avait un peu perdu la tête. Disait-il avec empathies.
Quand elle fut diagnostiquée, elle devait régulièrement faire des séjours dans un établissement spécialisé pour des personnes souffrantes de troubles psychiques. Ô file du temps, elle finit par ne plus en sortir…
Mathilde ne connaissait rien à la tenue d’une maison. Quand Pierre proposa l'installation du vieil homme sous leur toit, elle fut ravie de l’aide et de la compagnie que lui apportait celui qu’elle considérait comme son beau-père.
Elle venait de la ville, délicate, diplômée du conservatoire et sophistiquée dans ses manières. Sans être vraiment belle elle possédait un charme réel et un corps plutôt bien dessiné et de belles hanches marquées par une fine taille. La pratique de la danse dès son plus jeune âge, avait développée sa grâce naturelle en lui laissant pour héritage une démarche haute, élancée et légèrement chaloupée. Comme si elle marchait sur la pointe des pieds, ce qui accentuait à la fois son déhanché et sa cambrure.
Après avoir entamé un début de carrière prometteur, elle quitta Paris pour s’installer à Bourgbillon. Cette décision subite scandalisa sa mère. Elle n’avait pas prêté attention au changement de comportement de sa fille. Le conservatoire et ces amis étaient passés au second rang. L’assiduité de Mathilde avait baissé et ces notes avec. Les derniers mois, il lui arrivait de sécher des cours en prétextant des migraines, les remontrances et remarques de ses professeurs se faisaient récurrentes. Elle passait des heures, enfermée dans sa chambre, n’en sortant que pour les heures de repas. Ce fut l’instant que choisit Mathilde pour annoncer à sa mère, sa décision. On essaya autour d’elle, parents, amis de comprendre, de la dissuader, mais rien n’y fait.
Sa grand-mère, ravie de rompre sa solitude, l’accueillit dans son village du Cantal d’à peine 350 âmes.
Voisin, la rencontre avec Pierre, c’était faite tout naturellement. Il s’occupait depuis son adolescence de tous les travaux manuels de la grand-mère à Mathilde. Depuis qu’elle était seule, il livrait et rentrait le bois, entretenait les murets qui entouraient la maisonnette afin d'éviter tout effondrement sans oublier de retourner la terre du jardin et d'en retirer les mauvaises herbes. Il donnait également à manger aux bêtes, essentiellement des volailles, et nettoyait le poulailler et cages à lapin si ce n’était pas fait. Il finissait par boire le café et parfois une liqueur avant de filer.
Depuis que Mathilde était là, Pierre passait plus souvent. Il finit par venir chaque jour prétextant une raison ou une autre pour quelques minutes en sa compagnie. La petite n’était pas farouche à sa présence et son oncle remarquant l’intérêt de Pierre pour la jeune fille, décida, avant d’en parler à son neveu, de se rapprocher de la grand-mère pour avis… Celle-ci approuva l’idée de les marier, d’autant que cela la rassurait de savoir que Mathilde resterait à ses côtés et Pierre représentait une aide appréciable pour son âge avancé….Malheureusement 1 mois après le mariage, elle décéda.
Pierre aimait sincèrement sa femme, même s’il n'avait jamais vraiment compris son oui devant Monsieur le Maire. Lui si rustre aux manières si paysannes avait épousé Mathilde si sophistiqué et si douce. Il fut le premier étonné par sa réponse quand il lui demanda sa main.
D’abord surprise, l’idée fut accueillie avec joie, par sa mère . Elle approuva très vite le projet pensant ainsi pouvoir.
garder libre cours à sa nouvelle vie en tenant sa fille éloignée de la gestion des biens familiaux. Son arrivée au village en grande pompe, avec un fils collé à elle chétif et manquant d’assurance, ne passa pas inaperçu. Bon nombre de commentaires prononcés du bout des lèvres, entre deux verres de vin, que les hommes claquaient, provoquaient de franches rigolades.
Frédéric, son jeune frère, suivait maman et disait mot, son attitude ne changea pas durant toutes les festivités.
Après les embrassades de fin de cérémonie, On bu, on ri, puis on dîna autour de grillades. La musique prie le relais, on bu encore, certains dansèrent, puis chacun rentra chez soit.
Tout allait bien et durant la première année de mariage, une certaine quiétude c’était installée. En secret, on espérait l’annonce de l’heureuse nouvelle mais rien ne venait.
18 mois plus tard, l’hiver était à sa fin, janvier était encore doux cette année, et laissait présager un printemps pluvieux. Monsieur le Maire vint trouver José à son atelier et lui demanda s’il accepterait de partir avec lui pour le salon de l’agriculture à Paris le mois prochain. Qu’habituellement, c’était son gendre et sa fille qui l’accompagnaient. Malheureusement tout les deux étaient immobilisés, suite à un accident de la route.
Pierre tout naturellement s’inquiéta de l’état de santé des victimes.
- sans gravité, dieu merci, répondit le Maire, une bête, qu’ils n’ont pu reconnaitre, à traversé devant eux et en l’évitant ils sont allés dans les platanes. Une Jambe cassée pour Henry et deux genoux abimés pour ma fille, cela aurait pu être bien pire, deux cent mètre plus loin et c’était le ravin.
Apres un soupir, il reprit:
- Bah, se sont les choses de la vie, ils ont eu très peur et impossible de penser les déplacer…
Et, reprenant à son intention et le prenant par le bras:
- J’ai pensée à toi pour les remplacer. Ta femme est parisienne et toi tu t’y connaissait parfaitement aux bêtes.
Puis argumenta que tous ses frais seront pris en charge et qu’une prime lui serait versé si il venait seul et triplé si Madame était du voyage.
Pierre , lui, qui de sa vie n’était jamais allez plus Loin que les rives de son département trouva là une excellente opportunité d´emmener Mathilde à Paris et d’engranger un gain important. Une semaine de dépaysement loin de la campagne monotone ne pouvait qu’aller dans le bon sens. Il demanda à Monsieur le Maire s’il fallait des habits particuliers.
- Rien lui répondit celui-ci, c’est moi qui régale.
- Mais Mathilde n’y connait rien aux bêtes interrogea Pierre?
Il lui répondit, que si elle acceptait il serait ravie de l’avoir au stand, et de rajouté avec un regard en coin complice :
- avec ses manières délicates et son élégance à mes cotés ce serait une plus value pour mettre en avant les vaches, d’autant que la visite du Président de la République doit passer à mon stand cette année. (se rapprochant et baissant la voix) c’est officiel Les organisateurs m’ont prévenu à bien être là pour répondre aux possibles questions des gens d’en haut.
Et prenant un air complice, une moue appuyée des lèvres s’en suivit.
Monsieur le Maire aimait les concours animaliers. Ses vaches laitières et ses taureaux avaient une réputation qui dépassait largement les frontières du de la régions. Nombreux étaient ceux qui venaient à la ferme pour acheter des veaux ou la semence de ses taureaux. Quand la distance le permettait, certain amenait directement leur vache pour les faire saillir. La scène amusait toujours monsieur le maire, et ne pouvait s’empêcher alors, de caresser les testicules de l’animale en lui disant, Robert, c’est ainsi qu’il appelait son taureaux,
- Vas y mon coco, donne lui du bonheur
Un éclat de rire s’en suivait, et il se prolongeait si le visiteur était accompagné d’une femme. Plusieurs rumeurs lui prêtaient des mœurs légères, et des propos aux allusions souvent limitent. Les commentaires se contentaient de dirent qu’il est très porté sur la chose…Monsieur le Maire avait un certain pouvoir dans le village et même à Paris il était entendu, et nul ne comptait se fâcher avec lui.
Mathilde fût étonnamment réticente à l’annonce de ce voyage, et Pierre dût, avec l’aide de son oncle, presque supplier sa femme pour qu’elle accepte de le suivre.
Le voyage puis le salon tout ce passa bien sauf ce jour, le dernier. Mathilde dans la nuit fit un cauchemar et se réveilla en hurlant, non ne partez pas , revenez moi... Je refuse… non je ne veux pas… son Mari sursauta et dut l’agripper par les épaules pour lui faires cesser son délire… Elle pleura, dans ces bras, le regarda dans les yeux, tourna la tête dans le coin de la chambre…elle devinait sa forme, et lui dit je n’aurais jamais dût venir ici…Puis se coucha en silence...
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Il était moins de minuit quand nous entrâmes au Club 7 et nous allâmes nous asseoir tous les
trois dans un angle où un guéridon était encore libre. Xavier commanda du champagne et Marie
s'installa à côté de Juliette. Le contraste entre les deux femmes avait de quoi satisfaire un honnête
homme. Marie était blonde, avec la fragilité apparente de la porcelaine de Saxe et de grands yeux
bleus pleins d'innocence. Juliette, brune aux cheveux courts, un fauve racé, très sportive, croquant
la vie à pleines dents et les jolies filles. Peu à peu, nos pupilles s'habituèrent à la pénombre qui
régnait. L'endroit était frais, agréable, avec une musique anglo-saxonne en fond sonore; tout au
bout de la salle, il y avait un grand rideau derrière lequel nous entendions par instants des éclats
de rire et des exclamations. Autour de nuit, des couples flirtaient sans trop de retenue et Xavier
leva son verre en direction de Marie qui lui répondit avec un sourire. Ils étaient beaux tous les deux
et très amoureux l'un de l'autre. Ils ne s'adonnaient désormais plus aux jeux échangistes qu'ils
pratiquaient autrefois. Le champagne était délicieusement frais et pétillant. Bientôt, une jeune femme
passa devant nous qui attira tout de suite l'attention de Juliette. Elle était ravissante, cheveux blonds
coiffés en queue de cheval, longiligne, le visage souriant, bronzée. Sa silhouette allongée était mise
valeur par une jupe noire très courte montrant des bas qui luisaient langoureusement. Un charme fou
et une distinction naturelle. Le Club 7 était un établissement dont l'organisation était sans défaut.
On pouvait très bien rester dans la première salle et y boire un verre tranquillement dans une atmosphère
qui ne dépassait pas le flirt un peu poussé. La jeune femme qui venait d'arriver s'était assise non loin de
nous et nous aurions juré qu'elle venait là pour la première fois. À la table voisine, un couple, lèvres soudées,
s'étreignait passionnément et la main de l'homme était invisible sous la robe de sa compagne dont les jambes
frémissaient par instants, s'ouvraient insensiblement, puis se refermaient comme sous l'effet d'un retour de
pudeur. Soudain, ils se levèrent et disparurent derrière le rideau rouge. Marie avait imperceptiblement changé
d'attitude et Xavier la connaissait suffisamment pour deviner qu'elle avait très envie de lui et encore plus d'aller
jeter un coup d'œil dans l'autre salle. Juliette de son coté, avait entrepris de faire connaissance de la ravissante
blonde. Une conquête facile et surtout très agréable, d'autant que l'attirance paraissait réciproque. Elle avait de
belles mains. Manifestement sous son chemisier noir, elle ne portait pas de soutien-gorge car on voyait ses
seins se mouvoir sans entrave. Sous des airs de jeune femme BCBG, elle devait avoir un tempérament de feu.
Elles décidèrent toutes les deux après avoir échangé quelques paroles anodines de rejoindre Marie et Xavier
dans l'autre salle, derrière le rideau. Sur les banquettes garnies de coussins qui faisaient le tour de la pièce
surchauffée, des couples faisaient l'amour sans retenue. Quelque part, s'éleva un long gémissement de plaisir.
La douce Marie avait repris ses petits travers dont Xavier avait l'habitude. Un inconnu la contempla, surpris de
leur sagesse, puis jeta un bref regard à Xavier, comme pour solliciter une autorisation. Au Club 7, tout le monde
était bien élevé. Voyant qu'il n'y avait aucun refus, il se baissa souplement vers Marie qui gardait obstinément
les paupières closes et, la prenant par la taille, la redressa doucement jusqu'à ce qu'elle fût agenouillée devant
lui. Puis il releva sa robe le plus haut possible dans son dos et défit lentement le tanga en soie jaune qui voilait
ses hanches. Elle frémit quand il commença à caresser ses fesses nues qui se tendaient vers lui. Elle adorait
se faire prendre par un inconnu dont elle se refusait à voir les traits, ce qui devait combler son fantasme favori.
Juliette avait conquis la ravissante blonde. Elle s'appelait Sarah. Le désir n'a jamais l'épaisseur qu'il a dans le
silence. Elles s'embrassaient amoureusement, les langues entremêlées. À genoux, la main de Juliette allait à
la découverte des merveilles entrevues dans le décolleté de Sarah. Ses seins tenaient juste dans la paume de
sa main et avaient une fermeté remarquable. Le bout des doigts caressait, tour à tour, chaque auréole et elle
sentait les pointes commencer à s'ériger. Elle la fit basculer pour l'allonger sur la banquette. Elle fermait les
yeux mais sa respiration avait changé de rythme. Elle couvrit son visage de baisers par de multiples touches
délicates, sur les lèvres, les yeux, passant sa langue derrière son oreille, ce qui la fit frémir. Sarah pinçait les
pointes des seins de Juliette. Après lui avoir ôté ses talons hauts, Juliette commença à faire glisser sa main
le long de la jambe dont le galbe du mollet était parfait, sa main crissait sur les bas. Bientôt la main continua
sa reptation au dessus du genou, vers l'entrecuisse de Sarah. Juliette s'aperçut qu'elle ne portait rien d'autre
sous sa paire de bas. Sarah riva son regard sur les doigts de Juliette qui parcouraient sa fente de plus en plus
vite tandis que son clitoris, bien décalotté, pointait tel un dard. Pendant ce temps, Marie venait de jouir.
Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante blonde aux cheveux courts, commençait à se déshabiller;
sa jupe flottait au gré de ses mouvements; par moments, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une
cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine; elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes
au regard de l’assistance; elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans
un balancement lascif; un homme s'enhardissant lui ôta; le soutien-gorge descendu fit apparaître l'aréoles de ses seins.
Elle s’exhibait sans retenue; deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient
déjà fièrement dressés; il les caressa et les malaxa sans douceur; le second attoucha ses fesses; elle était maintenant nue.
De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée; les doigts fouillèrent son
vagin et son anus; elle demanda à être prise; un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença
des mouvements de va-et-vient; un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge.
Sarah et Juliette avaient choisi de profiter d'un recoin sombre de la salle pour s'abandonner de façon plus discrète. Elles
étaient entièrement nues maintenant. Étendue de tout son long sur le dos, les bras rejetés loin en arrière, offerte, Juliette
avait décidé de la dompter, de la soumettre totalement, de la rabaisser, de l'anéantir presque. Mais le lieu ne s'y prêtait pas.
Elle se jura en elle-même de parvenir à ses fins. Comme dans un rêve, sous ses caresses, elle entendit le feulement de
Sarah qui se cambrait de tous ses muscles. Un instant ses cuisses se resserrèrent convulsivement autour de la tête de
Juliette puis s'écartèrent de nouveau dans un mouvement d'abandon. Juliette plongea ses doigts humides dans l'intimité
moite, constatant non sans fierté, que Sarah avait réellement joui. Les portant à sa bouche après, elle les lècha longtemps
entre ses lèvres, se délectant de l'éjaculat mêlé à la cyprine. Elle ne s'était pas trompé dans l'analyse qu'elle avait faite
sur le comportement de Sarah. Après un apprentissage sérieux et continu, elle deviendrait une parfaite soumise.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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C’était une de ces soirées d’entreprise ou les directeurs avaient décidé de nous emmener au restaurant puis de fil en aiguille, l’heure avançant, nous nous étions retrouvés en boite de nuit. Pas tous et toutes, seulement ceux et celles qui avaient encore un peu d’énergie après une semaine épuisante. Nous étions une quinzaine, tout au plus. Il était minuit passé et l’alcool aidant, les conversations s’étaient forcément axés sur le sexe. Les collègues masculins étalaient leurs conquêtes allant même jusqu’à donner des détails intimes de soirées qu’ils avaient passées avec une femme. Si tenté que tous soient vrais. Moi, j’observais et ne disais rien. Les conversations d’adolescents du genre me passaient au-dessus de la tête. Certaines semblaient intriguées et curieuses et relançaient la machine à paroles et à fantasmes de ces messieurs présents.
Ils décidèrent d’aller danser sur la piste, ce que je refusais. Je restais là, au fond de la table seul. Enfin, non, je vis que l’une de mes collègues était restée là. C’était Marine. Elle avait rejoint la boite il y a deux mois et je n’avais jamais eu l’occasion de discuter avec elle. C’était une très belle jeune femme de 28 ans à la peau mate, métisse avec des cheveux très fins, noirs et mi-longs. Elle attisait les convoitises de mes collègues masculins et ce soir, sa petite robe de soirée moulante noire ne les avait pas laissés de marbre. J’avoue que moi-même, j’étais assez charmé de sa présence.
Elle scruta dans ma direction. Nous n’étions plus que tous les deux attablés pendant que les autres se trémoussaient sur la piste. Je ne dis rien et je la regardais aussi.
– Pas d’anecdotes croustillantes sur l’une de tes conquêtes ? Me lança t’elle.
– Vous semblez presque déçue, vous n’êtes donc pas rassasiée ? Lui répondis-je.
Elle sembla interloquée. Je ne saurais dire si c’était à cause du vouvoiement ou du fait que je ne saute pas sur l’occasion pour la draguer ? C’était une femme sure de son physique.
– Non j’ai…j’ai ma dose d’histoires cochonnes pour la soirée. Si tenter qu’elles soient vraies…
– Là, je ne peux qu’acquiescer.
– Je vous est déjà croisée plusieurs fois dans la boîte. Mais nous n’avions jamais discuté.
– Oui. Souvent vous étiez avec ces mêmes collègues, souvent en train de rire d’ailleurs.
– Je vois…
Je reprends ma coupe et ne dis plus rien. L’un des collègues revient prendre une gorgée dans son verre et balance :
– Oh ! Attention Marine ! Tu parles au plus mystérieux de nos collègues !
Puis il repart en dandinant sur la piste. J’esquisse un sourire amusé. Elle me regarde l’air intrigué.
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Encore une femelle qui se la pète, qui se croit tout permis, qui manque de respects aux mâles, qui n'obéit pas au doigt et à l’œil à son mari. Non mais, elle se prend pour qui cette Carole. Hubert son époux décide de la recadrer en la confiant à Maitre Igor en stage pour une semaine. Hubert a biaisé, il a parlé d'aller prendre un verre chez un ami. Pauvre Hubert, faudra le recadrer lui aussi et lui apprendre à bien dresser son épouse, mais cela, c'est une autre histoire.
Hubert et Carole ont prit un verre chez Igor, un mastodonte survivant de l'ère des dinosaures, une sorte de croisement entre un T-rex et Astralogonum de Sibérie. Hubert s'est éclipsé (il a décampé en fait ) et Carole s'est retrouvée seule avec cette bête préhistorique qui se léchait les babines. Carole a eu peur. Plus d'hubert...
-Non, mais il ne va pas me violer ce pachyderme de l’Oural ?
Ben si Carole, tu as reçu une bonne paire de gifles et tu as du te foutre à poil. Tu as vite compris que la seule façon de calmer cette bête c'était d'écarter les cuisses et de la laisser jouir en toi. Mais quand tu as vu son membre dressé, tu as fait gloup. Tu n'en avais jamais vu une aussi grosse. Tu savais pas que les mâles avec de bonnes grosses bites cela pouvait exister. C'est vrai que la nouille d'Hubert, on peut se demander si c'est une petite bite ou un gros clito.
Au début Igor t'as fait très mail, tu as hurlé. Igor a posé sa patte sur ta bouche et tu as du la fermer. Il t'a fallu plusieurs jours pour bien te dilater et enfin faire en sorte que les pénétrations ne soient pas des éventrations.
Une semaine entre les pattes d'Igor. C'est long. A la fin, tu as commencé à jouir pour de bon. Tu as aimé la grosse bite de ton Maitre. Enfin les orgasmes à répétitions. Tu as lâché prise complètement, et plus tu l'as fait, plus tu as ruisselé de cyprine et de plaisir.
Lorsque Hubert est venu te reprendre tu as dit;
-Merde, je vais devoir encore rester avec ce petit con de mari à la petite bite.
Hé oui, Carole, il fallait bien choisir avant.
La morale de cette histoire c'est que les femelles sont prêtes à tout par amour. (de la bite ? rires)
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Je dédie ces lignes à Félix Éboué,
Français noir de Guyane,
descendant d’esclaves,
gouverneur du Tchad,
héros de la France Libre,
que d’aucun(e)s qualifieraient désormais de
« traître à sa race ».
_______________
Je me suis souvent agenouillée devant des blacks et des arabes,
parfois des latinos et des asiatiques
pour sucer leurs bites.
Mais jamais je ne mettrai le genou à terre devant quiconque
au motif que je suis Française et blanche.
_______________
Je déteste la haine et l’intolérance,
le racisme et le racialisme sous toutes leurs formes,
contre les noirs, les beurs, les latinos, les asiatiques
mais aussi celui qui vise les blancs.
Je déteste la « repentance » désormais exigée de nous,
le communautarisme sous toute ses formes,
et le politiquement correct.
Je crois en la liberté de chacun,
d’être, de vivre et de penser à sa guise.
Je crois en l’égalité entre les hommes et entre les races
et (sauf au lit) entre les hommes et les femmes.
Je crois en la tolérance dans le respect de l’autre.
Ma liberté se fonde sur le fait
que sais d’où je viens,
que je sais qui je suis
et que je sais où je veux aller.
Et aux censeurs de HBO qui déprogramment « autant en emporte le vent » pour satisfaire aux exigences de minorités activistes, je rappellerai, à l’instar de Kracauer (de Caligari à Hitler) ou de Ferro (Cinéma et histoire), que le cinéma, à l’époque où il ne s’agissait pas encore d’une guimauve bien pensante, était aussi le reflet de son temps et que l’histoire, sauf pour Staline, s’assume mais ne se ré-écrit pas.
_______________
On « tolère » désormais des manifs interdites au nom de l’ « émotion »,
mais le Panthéon demeure fermé.
Sans quoi, au moment où d’autres appelleront à la haine.
au nom d’Adama Traoré,
nous aurions été, Maxime et moi,
nous recueillir devant la tombe du Gouverneur Éboué,
entre celle de Schoelcher et celle de Jaurès,
en témoignage de respect pour ce qu’ils ont été,
des Hommes, qui par delà leurs différences et la couleur de leur peau
partageaient le même espoir de liberté et de justice.
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J'ai repris mon cahier
J'aime, il m'est fidèle
Il garde et amoncelle
Mes mots sur son papier
J'en aime la caresse
Offerte à chaque ligne
Lorsque je l'égratigne
Il m'offre ses promesses
De lendemains heureux
D'oublis, d'amour d'antan
Lorsque la vie d'amants
Nous comblait tous les deux
Parfois, j'ouvre les pages
De poèmes anciens
Dont tu es le gardien
Blessures, apprentissage
Je baise chaque lettre
Que forme ton prénom
Eteignant pour de bon
L'écho de nos peut-être
Je ferme le cahier
Ses feuillets noircis
Et je conserve ainsi
Le secret de t'aimer
Le 13 06 2020
Les écrits ne sont pas toujours vains. Ils donnent un sens à ce que l'on ressent. Conservent nos diverses émotions.
L'encre inscrit des mots, des sentiments, de la tendresse, de la sensibilité, des colères parfois, tant de choses dont les cahiers sont les gardiens.
Ils fixent l'instant d'une humeur, d'un amour, d'une douleur/épreuve, aucun computer ne les remplace.
Des écrits dont on se détache pour ne garder que l'essence...Tourner les pages et en ouvrir d'autres.
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Ma vie de soumise
Chapitre 16 : Dimanche 7
Dimanche après-midi.
J’arrive chez mon Maître en même temps que s2. Nous allons embrasser les paumes des mains de notre Maître. Il nous dit de rester habillées. Nous partons en voiture vers une destination inconnue. Bientôt, nous arrivons dans un club. Au vestiaire, nous nous déshabillons complètement. Je garde néanmoins mon boléro et s2 son collier prolongé de la laisse. Notre Maître nous fait faire le tour des différentes pièces. Il nous donne ses recommandations :
- A priori, vous ne devrez rien refuser, mais on ne sait jamais. Je vous surveillerai toutes les deux. S’il y a un problème, vous m’appelez.
Nous répondons :
- Bien, Maître. Où devons-nous aller ?
- Où vous voulez, en attendant une invitation.
- Bien, Maître.
Notre Maître s’éloigne. S2 reste près de moi. Un homme s’approche de nous et prend s2 par sa laisse. Il l’emmène dans un recoin. Je les suis. Il ordonne à s2 de s’agenouiller devant lui et de le sucer. S2 prend une fesse de l’homme dans chaque main et l’attire vers elle. Pas de préliminaire, s2 pratique tout de suite une gorge profonde. L’homme gémit mais il prend son temps. S2 a très vite progressé dans l’art de la pipe. Enfin, l’homme jouit. S2 semble se régaler. S2 n’a pas le temps de se relever, un autre homme est devant et lui présente sa queue, s2 s’en empare et recommence une pipe. Assez rapidement, il éjacule. Un autre homme se présente, s2 fait sa troisième pipe, elle s’applique toujours autant. Elle reçoit un troisième jet de sperme. Elle peut enfin se relever. Elle m’adresse un sourire de connivence.
Un homme se présente près de moi. Il m’ordonne de le suivre. Nous arrivons à une croix de Saint-André sur laquelle je suis attachée, dos accolé à la croix, pieds et poings liés, bras au-dessus du corps et les cuisses écartées. Je suis à la merci de tout le monde. Je remarque que mon Maître m’observe. L’homme qui m’a attachée prend un fouet. Il m’administre des coups sur les seins et le pubis. Puis, relâchant le fouet, il se présente devant moi. Il présente sa queue devant mon pubis et me pénètre. Je ne peux pas bouger, c’est l’homme qui effectue des va-et-vient pour bien me pénétrer, ce qui me provoque un orgasme. J’ai du plaisir à me faire prendre par un inconnu. Il finit par jouir en moi.
Puis, surprise, c’est mon Maître qui s’approche. Et, directement, sa queue pénètre dans ma fente. Je pousse un cri, je suis heureuse. Un attroupement s’est créé autour de nous. Je connais la résistance de mon Maître, il me possède pendant une éternité provoquant encore deux orgasmes. Puis il éjacule. Je suis heureuse de recevoir son foutre.
- Merci, Maître.
Il me détache puis s’éloigne. Je déambule dans les différentes pièces. J’arrive près d’un mur où deux femmes sont en train de sucer des bites, les hommes se trouvant de l’autre côté du mur. Une des femmes ayant terminé sa pipe se relève, je prends sa place, je m’agenouille devant le glory-hole. Un pénis apparaît, je me le mets en bouche immédiatement. J’effectue des va-et-vient, je sens le sexe grossir dans ma bouche. L’homme jouit rapidement. J’ai le choix de recracher ou d’avaler. Mais j’ai bien été éduquée, j’avale.
Je continue ma balade, je n’aperçois ni mon Maître ni s2.
Un homme m’aborde. Il me dit ce qu’il attend de moi. Je suis d’accord. Nous allons dans un recoin, je m’appuis de mes mains sur le mur en me penchant. La verge de l’homme balaie la raie de mon cul puis pénètre peu à peu entre mes fesses. Cet homme sait vraiment s’y prendre, aucune brutalité pour s’insérer à moi. Il me ramone et je prends beaucoup de plaisir. L’homme jouit en moi et, en me quittant, me remercie.
Je retrouve s2 en train de se faire prendre. Elle est gâtée, quatre hommes sont autour d’elle, elle a une queue dans le sexe, une autre dans le cul, une troisième dans la bouche et elle en branle une quatrième. Les quatre hommes ont l’air d’être ravis. Ils jouissent tout à tour, les trois premiers dans chacun des orifices de s2. Quant au quatrième, il asperge la figure et les cheveux de s2 qui reste au sol un bon moment.
Mon Maître nous rejoint. S2 lui adresse la parole :
- Merci, Maître pour cet après-midi.
À mon tour, je remercie mon Maître.
C’est le moment de partir. Nous repassons au vestiaire et nous rhabillons. Mon Maître me dépose en bas de chez moi. Je n’ai pas l’occasion d’embrasser s2 comme je l’aurais voulu.
Je suis heureuse de mes expériences. Je retiens surtout que mon Maître m’a prise et m’a fait jouir comme je n’avais jamais joui. J’ai aimé aussi me faire prendre par des inconnus et surtout d’avoir sucé une queue d’un homme dont je ne voyais rien d’autre. Mais je suis de plus en plus attirée par s2. Il faudra que je trouve un moyen de la joindre et de nous retrouver toutes deux en l’absence du Maître. J’ai vraiment des idées coupables.
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Momo considère vraiment les femelles comme des poules qui font cot cot cot dans les rues des villes. Des poules qui parlent pour rien dire, des poules qui parfois se croient savantes, mais à part faire cot cot cot, elles sont plus vides que les grands espaces noirs entre les galaxies.
En plus, momo n'aime que la sodomie. Troncher une poule par la chatte pour qu'elle ponde, c'est vraiment pas son truc. Une poule bien enculée ne fait plus cot cot cot d'après momo mais oui oui oui. Elles comprennent vite la différence. Un cot et un oui, c'est pas la même chose. Les poules ont assez de neurones pour utiliser deux mots.
momo laisse toujours les poules faire cot cot cot jusqu'à plus soif. Cela, elles savent très bien faire. Il les écoute, du moins il fait semblant et ne dit rien. Après il les coince et les encule sans préliminaires, encore une invention des poules ce truc, comme si les mâles avaint besoin de préliminaires pour bien jouir.
Ce que momo préfère c'est les poules féministes qui se croient libérées. Ce sont celles qui ont le plus envie de se faire mettre vraiment et bien profond. Ce sont celles qui chantent le mieux oui oui oui après. Faut les entendre celles là quand elles chantent bien le oui.
momo a crée un perchoir de silence pour ses poules. Elles doivent rester nues et assises, mains sur les genoux avec interdiction de bouger et bien sur de faire cot ou cot cot. Après avoir dit oui, les poules aiment un espace de méditation pour sentir la semence du mâle au fond d'elles. Méditer sur cette étincelle yod au fond de leurs entrailles. C'est bon pour elles d'après momo.
Après c'est d'un peu de gymnastique dont elles ont besoin. momo leur met la flute enchantée de Mozart, le passage avec papageno et il fait danser ses poules sur un pied, puis sur l'autre, avec un beau god à longues plumes multicolores dans le cul. Ah qu'elles sont jolies les poules qui dansent sur un air de Mozart. Là elles ont droit au cot cot tant qu'elles veulent pourvu que ce soit en rythme avec la musique.
Ensuite vient la séance de badines, de verges cinglantes. C'est que momo adore voir ses poules avec un cul bien rouge. C'est signe d'excellente santé. Poule bien fouettée, poule en félicité.
Le picorage des poules se fait en silence, cot cot interdits, eau fraiche assurée. Ensuite c'est la sieste, la couvée, dans une grande pièce remplie de voluptueux coussins et tapis moelleux. C'est là que momo se tape ses poules comme il lui plait de le faire.
La morale de cette histoire c'est: vient poulette j'ai du bon grain dans mon poulailler. Rires
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Une sibylle est une prophétesse, une femme qui fait œuvre de divination. Le culte des sibylles
serait né en réaction contre les prêtres d'Apollon devenus trop puissants. On cite en général
plusieurs sibylles qui vivaient à Délos, Delphes, mais la première sibylle fut très probablement
Cassandre. On attribuait les oracles sibyllins à la reine Saba, la sibylle de Cumes en Italie, qui
les auraient reçus des dieux et apportés au roi Tarquin, qui fonda des collèges destinés à leur
conservation au Capitole. D'Apollon, elle avait reçu le privilège de vivre un nombre d'années
égal à celui des grains de sel que pouvait contenir sa main. Elle vécut si longtemps qu'il ne lui
resta plus que le son de sa voix. L'oracle de Dodone avait été institué par la volonté de Zeus
qui y envoya une colombe dotée du don de la parole qu'il avait offerte à la ville de Thèbes en
Epire. L'oiseau s'arrêta dans la forêt de Dodone et transmit le désir du dieu aux habitants. La
sibylle de Dodone interprétait le bruit d'une fontaine qui y coulait, ou celui de vases d'érain
s'entrechoquant autour d'une statue du même métal qui les soutenait.
Mais en général, les prophêtesses demeuraient dans les temples et, avant de rendre l'oracle, absorbaient des
herbes possédant des vertus spécifiques ou inhalaient des vapeurs d'origine volcanique, qui les mettaient dans
un état de transe. Ainsi, le devin de Lébade commençait par se purifier dans une source, puis il se penchait sur
un gouffre en tenant des galettes de miel destinées au démon qui s'y cachaient. Violemment précipité dans cet
abîme, il était au bout de quelques minutes, projeté à l'extérieur, inconscient et, en reprenant ses sens, décrivait
les visions prophétiques qu'il avait eues et que des prêtres interprétaient.
Calchas, le devin qui interprétait le vol des oiseaux, vit un jour, un serpent dévorer des oisillons et leur mère avant
d'être changé en pierre et prédit la durée du siège de Troie: dix ans. Il devait mourir s'il était dépassé par un autre
devin, et ce fut le cas lorsque Mopsos résolut des énigmes qu'il n'avait pu résoudre. Consultés par les gouvernants
et les chefs militaires, les sibylles et les devins, qui avaient dominé le monde hellène en entier, firent preuve de tant
de partialité qu'ils perdirant tout crédit.
Dans la mythologie grecque, la sibylle est une prêtresse qui personnalisait la divination et prophétisait. Elles le
faisaient dans un langage énigmatique permettant de nombreuses interprétations, ce qui les mettait à l'abri de
toute contestation ultérieure. Fameuse est sa prophétie orale pour un soldat "Ibis redibis non morieris in bello". Si
une virgule est placée avant le "non", la phrase devient "Tu iras, tu reviendras, tu ne mourras pas en guerre", mais
si la virgule était placée après le "non", la phrase est "Tu iras, tu ne reviendras pas, tu mourras en guerre".
Cette pratique, ainsi que l'ambiguïté de leur apparence, a donné le qualificatif de "sibyllin" qu'on attribue à des
écrits ou des paroles obscures, énigmatiques, mystérieuses ou à double sens. La sibylle figure l'être humain élevé
à une dimension surnaturelle, lui permettant de communiquer avec le divin et d'en livrer les messages, tels le
possédé, le prophète, l'écho des oracles, l'instrument de la révélation. Les sibylles furent considérées comme des
émanations de la sagesse divine, aussi vieilles que le monde, et dépositaires de la révélation primitive: elles seraient
à ce titre le symbole même de la révélation. Aussi n'a-t-on pas manqué de rapprocher le nombre des douze sibylles
de celui des douze apôtres et de peindre ou de sculpter leurs effigies dans des églises.
Au Ier siècle avant J.-C., on dénombrait douze sibylles. la sibylle d'Érythrée, aussi appelée Hérophilé, vient de la ville
d'Ionie. Hérophilé a la particularité de donner ses prédictions en vers. Elle a vécu au temps des Argonautes et de la
guerre de Troie. Elle est décédée à l'âge de cent-dix ans et est enterrée à Troade. Mais certains disent que cette
Sibylle d'Érythrée serait la même que de Cumes. La sibylle tiburtine ou Albunéa, la sibylle hellespontine, la sibylle
phrygienne, la sibylle persique. Elle est la fille de Berosos et d’Erymanthé et on la nomme parfois Sabbé. La sibylle
libyque, fille du dieu Zeus et de la fille de Poséidon, la nymphe thessalienne Lamia. La sibylle cimmérienne, celle de
Delphes, la sibylle samienne, la sibylle Agrippa, la sibylle de Marpessos et enfin la sibylle de Cumes, près de Naples.
Elle a vécu en même temps qu’Énée. Le poète Ovide raconte dans ses Métamorphoses qu’Apollon, épris des charmes
de la sibylle de Cumes, offrit de réaliser son vœu le plus cher en échange de ses faveurs. Feignant d'accepter sa
proposition, elle lui demanda autant d'années de vie que sa main contenait de grains de sable. Mais, elle n'honora pas
sa promesse. Or elle avait omis de formuler son vœu de manière à conserver toujours la fraîcheur de ses vingt ans et
sa main contenait un millier de grains au moment de son vœu. Apollon l'exauça à la lettre, changeant ainsi le souhait
en malédiction. Elle se mit à vieillir progressivement au fur et à mesure de son interminable existence, jusqu'à demeurer
toute recroquevillée dans une bouteille suspendue au plafond de sa cave.
Les Romains conservaient pieusement dans le temple de Jupiter, les Livres sibyllins, qui auraient été vendus par une
vieille femme, peut-être la Sibylle de Cumes, à Tarquin le Superbe, au sixième siècle av. J.-C. Celle-ci se rendit auprès
du roi avec neuf livres oraculaires, et lui en demanda une énorme somme. Il se moqua d'elle et la renvoya; elle brûla
trois des livres, et lui offrit les six restants pour la même somme. Tarquin refusant toujours de payer, elle en brûla trois
autres, et lui offrit les trois derniers, toujours au même prix. Cette fois-ci Tarquin consulta un conseil de prêtres, les
Augures, qui déplorèrent la perte des six livres et lui conseillèrent d'acheter ceux qui restaient.
En réalité, la Sibylle est un être imaginaire, sans âge, dont l’existence se passe en quelque sorte hors du temps, sans
être attachée à quelque lieu ou époque que ce soit. Cependant elle se manifeste dans des écrits prophétiques. Àpartir
du troisième siècle avant J.C., le personnage de la Sibylle devient si populaire qu’il se multiplie. Ainsi, Varron, au premier
siècle avant J.C., compte déjà trente personnages de Sibylle différents et les range selon une classification thématique
et géographique, si bien qu’apparaissent dix Sibylles quasi-officielles. Un exemple montre particulièrement la popularité
de cette croyance. les Pères de l’Eglise, Irénée et Origène ont tout simplement repris des prophéties sibyllines et donc
païennes dans leurs œuvres annonçant l’arrivée du Messie.
Bibliographie et références:
- Sabina Crippa, "La voce et la visione"
- J. Schmidt, "Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine"
- Virgile, "Les Bucoliques"
- Virgile, "Enéide"
- J. Pigeaud, "Les Sibylles"
- J.M Roessli, "Vies et métamorphoses de la Sibylle"
- M. Galley, "La Sibylle, de l'Antiquité à nos jours"
- F. Lecocq, "La Sibylle Europa"
- L. Gérard, "La Sibylle et Salomon"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Une créature venue de terres lointaines, vêtue d’une peau douce crème et veloutée, apparut au voyant comme à l’aveugle.
Arborant un diadème de feu cerclant une brassée de jeunes seigles.
Démarche de gazelle, parée de yeux de biche, ondulant de mille délices, offrant ses hanches langoureuses et endiablées aux hommes vivants de promesses.
Sa bouche aux lèvres enveloppées de fines mélodies, dentelées de mots au velours affolant, si gratifiant si réconfortant.
Hypnotisant à son passage
le vaillant comme le vilain, l’érudit comme l’ignorant.
L’opium de sa mélodie dans l’esprit comme dans l’âme de chacun se distille et apaise l’ignoré.
Dépendante de cette reconnaissance, et dans l’euphorie des sens, empressé l’âme sincère s’élance prête au sacrifice.
Impassible la bête laisse dans le sillon de sa vie les râles des agonisants et les larmes des naufragés rêveurs.
Déjà son regard se porte au lointain, réfléchissant dans l’âme des voyageurs les lampions des ports nouveaux tant espérés par des hommes sans terre.
Elle-même parfois se laisse porter submergée par les flots de promesses des Juans. Jusqu’à la faire douter, mais jamais ne lui font oublier
qu’elle est par nature une chasseuse, une prédatrice.
Elle, la reine inaccessible est à la recherche de bien plus que l’or des rois, le butin des coeurs et le sacrifice des âmes.
A l’esprit provocateur, sensible doté d’un cœur écorché, elle s´évertue à le convaincre, qu’il est celui qu’elle recherche. Promettant des demains enchantés, baignés de lumière aux reflets suaves.
L’ogresse dévoreuse des jouissances éphémères, a posé son dévolue sur mon âme errante. Elle qui, longtemps habillât mes mots de ses tranchants. Elle, que j’ai fui, renier et tant tant de fois émis de regret, a retrouver la faille de mon âme.
Mes sens en éveil, plongé dans la pénombre de mes peurs , je tâtonne avec fébrilité les espoirs de demain.
Et plutôt qu’une voix, un sifflement me parvint. Pénétrant mon âme, hérissant mes peurs, sa mélodie envoutante,
à la recherche de l’absolu, envahissait peu à peu mon être.
Entendez ô cher lecteur sa mélodie:
- Ô mon seigneur, Ô mon roi, voici bien longtemps que je vous cherche.
- Venez ô mon seigneur,
- Venez ô mon maitre, n’aillez crainte des traitrises et des vilains, allons main dans la main à la source de mes tourments. Venu d’orient et d’occident, mon sang, ma Vie sans sol et foulant toutes les terres et mon miel aux milles fleurs, dans ma coupe de chair et de sang, douceurs aux saveurs exquises, vous seront offerts à vous mon conquérant.
- Venez ô mon seigneur,
- Venez ô mon maitre, l’arène vous réclame et les belles se languit de vos joutes, vous étiez dansl’arène et vos courtisanes à vos pieds guettaient vos envies, souvenez vous de vos conquêtes et des combats ou vos victimes suppliaient de prolonger la douleur.
venez o mon seigneur, venez o
mon maitre, chevauchez possédez ou brûlez ce qui vous revient!
- N’es-ce pas là le droit de tout conquérant?
- De votre soumise inoffensive dépendante de vos désirs, vous serez avec délectation bourreau, chatiez mes prétentions et menez vos désirs au sommet d’un vaste royaumes, mes attentes...
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Le repas touchait à sa fin et nous prenions tous un digestif que nous avions depuis quelques années. Un bon Cognac de 30 ans d’âge que nous savourions dans le petit salon.
Madame avait mis les petits plats dans les grands. Fine cuisinière, elle nous avait régalées et la convive ne manqua pas de la féliciter. Durant le repas les conversations allaient bon train. L’ambiance y était détendue. Ce fut préférable, car j’aime l’humour sans tabou. Humour noir, piquant et parfois un peu osé. Je n’avais pas de honte devant cette amie de longue date. Nous nous connaissions depuis le collège, mais ne nous étions pas revu depuis que ma femme et moi étions venus vivre dans sud de la France. Nous discutions régulièrement via les réseaux sociaux et connaissions nos vies, nos évolutions professionnelles et pour elle, ses nombreuses déceptions amoureuses. Elles ne s’étaient jamais rencontrées toutes les deux, mais entendait parler l’une de l’autre par mon intermédiaire. Ce fut lorsque Ludivine, mon amie, vint sur Toulouse pour y rencontrer je ne sais qui qu’elle profita de l’occasion pour nous rendre visite et rencontrer Vanessa, ma femme.
J’avais vu quelques photos d’elle sur internet, mais je constatais que les photos ne reflétaient pas la vraie beauté qu’elle était devenue. Ses yeux bleus et ses longs cheveux noirs furent d’ailleurs un sujet de conversation à table. Ma femme ne tarit pas d’éloges d’ailleurs à ce sujet et de son physique en général. Je craignais d’ailleurs que ce ne soit pour me faire remarquer une pointe de jalousie. Les compliments, à ma grande surprise, rendirent les deux femmes assez complices. Ce fut moi qui ressentis une pointe de jalousie lorsque Ludivine me sembla plus intéressée par la conversation avec ma femme. Je tentais quelques blagues afin de m’immiscer dans la conversation. Elles souriaient par courtoisie, mais continuaient leurs discussions. Je prie alors soin de m’éclipser pour aller chercher des glaçons. Occupées par leurs points communs, je profitais pour scruter discrètement Ludivine qui portait une robe assez courte d’où je pouvais apercevoir le haut des ses bas en dépasser. Elle était chaussée de jolis talons aiguilles qui lui donnait un air très pin-up, très sexy. Mes yeux furent stoppés quand je compris que ma femme avait plongé ses yeux dans les miens. Un flagrant délit en bonne et dût forme. Je souris bêtement quand je compris que Ludivine avait tourné la tête et me regardais par-dessus son épaule en souriant aussi. J’étais un peu gêné, mais je fis l’air de rien et j’en profitais pour la complimenter de nouveau sur son physique et sa tenue très sexy me disant que la meilleure défense, c’est l’attaque.
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Chapitre 15 : Samedi 7
Samedi après-midi.
J’arrive chez mon Maître en même temps que s2. Nous lui baisons les paumes des mains puis nous nous déshabillons. Mon Maître me fait enlever mon boléro. Le Maître nous emmène jusqu’à sa cave qui a été aménagée. Au centre est placée une poutre. Le Maître nous place à cheval sur cette poutre. Nos pieds effleurent le sol. L’arête de la poutre s’insinue dans nos vulves. Nous sommes attachées l’une contre l’autre, buste contre buste. Nos mains sont reliées à des anneaux situés sur la poutre. Nous ne pouvons pas bouger. Les seuls points d’appui sont nos pointes de pieds sur le sol et nos sexes reposant sur l’arête de la poutre. C’est très inconfortable. Le Maître s’en va. La porte de la cave est restée entrouverte mais, de toute façon, nous ne pouvons pas bouger.
Nous restons ainsi ce qui nous semble être une éternité. Puis le Maître revient vac son fouet. Nous recevons chacune cinq coups de fouet que nous comptons et pour lesquels nous remercions notre Maître. Nous restons seules. Nous sommes face à face, je ne peux résister à l’envie d’embrasser s2, nos langues se rejoignent. S2 laisse échapper quelques larmes. Puis s2 me dit :
- Madame, je vous aime.
Je suis surprise de cet aveu. Surprise et émue ! Je tends mes lèvres et embrasse à nouveau s2. Dans cette situation, nous partageons un moment de bonheur. Nous sommes épuisées avec notre équilibre précaire. Nos entrejambes sont vraiment irrités.
Notre Maître vient enfin nous délivrer. Je dois remettre mon boléro. Il nous emmène dans la chambre. Il écarte les cuisses de s2 qui est allongée sur le dos.
- S1, tu commences par me faire une gorge profonde, ensuite je vais baiser s2.
- Oui, Maître.
Puis il s’adresse à s2 :
- S2, tu as le droit de jouir.
Je prends la queue de mon Maître en bouche et la gobe en entier. Quelques mouvements de va-et-vient et mon Maître pénètre le sexe de s2 qui le reçoit avec plaisir. C’est la première fois que le Maître honore son vagin.
Le Maître dégage sa queue de s2 et me dit :
- Suce !
- Oui, Maître.
Et le Maître alterne les possessions, celle de ma bouche et celle du sexe de s2. Je ne sais combien nous faisons de rotations, le Maître ne se décidant pas à jouir. S2 a deux orgasmes. Elle est ravie d’être prise ainsi. Le Maître finit par jouir dans s2. Il m’ordonne d’aller recueillir le sperme pour le partager avec s2. Je commence par lécher une cuisse de s2 sur laquelle du sperme a coulé puis avec la langue je lape la semence dans le sexe de s2.
Ma bouche rejoint celle de s2 et nous faisons passer de bouche en bouche le liquide offert par notre Maître. Puis nous avalons. Et, en chœur, nous disons :
- Merci, Maître.
Notre Maître nous chasse en nous donnant rendez-vous pour le lendemain. Nous allons embrasser les paumes de notre Maître et nous allons nous rhabiller.
S2 s’apprête à m’embrasser les pieds. Je la retiens et l’enlace. Je lui tends mes lèvres et nous échangeons un long baiser amoureux. Nous avons fauté, je ne crois pas que notre Maître aurait apprécié cet écart, mais il ne nous a pas vues.
Je rentre chez moi, je sens ma vulve très irritée. Je repense à l’aveu de s2. Elle m’aime ! Et moi, je l’aime ? Je crois que oui, mais elle est ma soumise, ai-je le droit de l’aimer. ?
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Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux heures plus tard. Déjà, le désir parcourait son corps.
La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même
temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler
et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Charlotte songea à s'enivrer avec le champagne.
Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé
à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces
indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités.
Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait
savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre
faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme
a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement.
Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il
avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Charlotte devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui
procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui
s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte.
Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet
univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état
de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle.
Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur
relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors
de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de
dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes.
Elle se pencha au-dessus des lis, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé
et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber
à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait
voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et
elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa
ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le
le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait
besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une
tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Charlotte portait un collier de soumission mais elle
n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse.
Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit
glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les
unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures
approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un
porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq
minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer.
Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins,
de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle
avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes.
- Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir.
- De quoi s'agit-il ?
- Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe.
- J'aimerais beaucoup voir.
Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi
indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la
touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura
son clitoris. Charlotte frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses.
- Nous n'allons pas faire l'amour ?
- D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ?
- Oui, je vous aime quand vous me dominez.
Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa
quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de
quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors
il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques.
- Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ?
- Vous connaissez la réponse, je vous aime.
Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand
elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple
utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache.
Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse
trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent,
selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Charlotte oublia toutes ses
résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il
s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle.
Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se
coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour
finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ma vie de soumise
Chapitre 14 : Dimanche 6
Je me réveille, j’ai le sexe de mon Maître dans la bouche. Je me suis réveillée deux fois dans la nuit. Le sexe était sorti de ma bouche, j’ai tout de suite rectifié la position. Mon Maître se réveille. Je commence à le sucer mails il m’arrête :
- J’ai envie d’uriner.
- Moi aussi. Vas-y d’abord puis va dans le bas à douche, tu te mets à genoux et la bouche ouverte.
Je sais ce qu’il veut. Après avoir satisfait mon besoin personnel, je prends la position adéquate. Mon Maître arrive, place son sexe entre mes lèvres et commence à uriner. Ce n’est pas un exercice facile, réceptionner le liquide et l’avaler. J’y arrive presque. Je ramasse avec mes doigts les gouttes sur mes seins puis je lèche mes doigts. Nous retournons dans la chambre et je continue ce que j’avais commencé. Mon Maitre ne bouge pas, il sait que je vais faire ce qu’il aime, lécher les bourses, gober les couilles, lécher le gland et, enfin, absorber la queue au maximum. Ma tête bouge verticalement. J’arrive à absorber la totalité du sexe, j’en aime le contact avec le fond de ma gorge. J’aime aussi recueillir la semence le plus profondément possible. Mon Maître m’a bien formée. Mon Maître a posé ses mains sur ma tête pour accompagner mes mouvements. Je présume qu’une pipe est un grand bonheur pour l’homme, c’est aussi un grand bonheur pour la femme que de sentir dans sa bouche les sensations de son partenaire et, en particulier, suivre son orgasme. Mon Maître est très résistant dans cet exercice. Ma bouche continue de monter et de descendre sur le sexe. Et, puis, c’est l’étincelle, je reçois en cadeau un jet de liquide qui réjouit mas papilles. Je me délecte, je déguste et je finis par avaler.
- Merci, Maître.
Nous nous levons et prenons notre petit-déjeuner. Je pense à s2 qui doit se morfondre dans la cave. Mon Maître me tend la clé :
- Va chercher s2.
Je rentre dans la cave. S2 est assise sur le sol :
- Bonjour, madame.
Je la prends par la laisse et l’emmène au salon.
- Bonjour, Maître.
- Va prendre une douche !
- Oui, Maître.
Mon Maître s’adresse à moi :
- Tu la reprends en main !
- Oui, Maître.
S2 revient toujours à quatre pattes. Je l’invite à venir se restaurer. Mais elle doit rester à terre.
Elle a le droit de se servir de ses mains. Je lui jette un morceau de pain et dépose un bol de café sur le sol. Quand elle en a terminé, je la reprends par la laisse et l’emmène aux toilettes. Je défèque, je me relève, me tourne vers s2 :
- Je veux que ta langue remplace le papier hygiénique. Je veux avoir le rectum tout propre.
On ne m’a jamais obligée à le faire mais je l’aurais fait pour plaire à mon Maître. S2 s’approche de moi, prend une fesse dans chaque main et sa langue commence à me lécher. Apparemment, elle a bien effectué son travail. Je vérifie avec du papier hygiénique, j’ai un cul tout propre.
- Va te rincer la bouche et rejoins-nous dans le salon.
- Oui, madame.
S2 revient à quatre pattes dans le salon.
Le Maître décide d’une sortie. S2 va garder son collier. Je garderai mon boléro. Nous nous habillons. S2 porte un teeshirt et une jupe, tout comme moi. Pas de soutien-gorge ou de culotte ni pour l’une ni pour l’autre. Je dois marcher devant avec s2, le Maître est à quelques pas derrière nous. S2 et moi-même nous devons nous tenir par la main, s’arrêter souvent pour s’embrasser à pleine bouche, puis nous rendre dans un parc où nous devons nous asseoir sur un banc, s’embrasser, nos jupes étant retroussées et laissant voir nos pubis.
Nous nous rendons au marché, c’est la foule du dimanche matin. Nous suivons à la lettre les recommandations, nous nous tenons par la main, nous nous embrassons souvent. Nous constatons des réactions diverses, certaines très hostiles, d’autres plus égrillardes. Nous arrivons dans un parc et choisissons un banc. Nous nous embrassons, nos jupes sont relevées. Plusieurs hommes passent devant nous plusieurs fois, l’un d’entre eux s’assoit sur le banc d’en face et nos gesticulations lui plaisent. Deux hommes se présentent en nous proposant d’aller dans un hôtel, une femme nous injurie. Le Maître a suivi toute la scène et a même fait quelques photos. Il nous fait signe de le rejoindre. Il nous indique que nous allons nous rendre dans un restaurant.
Le repas se passe bien. Notre Maître nous gâte. Il rappelle les rudiments de la tenue d’une soumise, les cuisses doivent être légèrement écartées, la jupe ne doit pas être rabaissée, quand la soumise se penche en avant, elle ne doit pas mettre la main sur le devant du teeshirt. Il nous rappelle que toute pudeur doit être exclue. Nous terminons le repas et rentrons.
Tout de suite, nous nous déshabillons. Le Maître est nu, s2 garde son collier et sa laisse et j’ai toujours le boléro.
Le Maître prend une corde et nous lie les pieds. Une autre corde nous relie sous les seins. Nous sommes s2 et moi dos à dos au milieu du salon. Le Maître s’empare du fouet et nous frappe tour à tour. Nous devons compter les coups et remercier à chaque fois. Le Maître a commencé par nos seins, il continue par le sexe, puis les cuisses. Il termine en donnant à chacune une bonne paire de gifles. Puis il nous laisse comme ça un bon moment. Nous commençons à nous ankyloser.
Notre Maître vient nous délivrer. Nous nous retrouvons tous les trois sur le lit. Notre Maître m’ordonne de le sucer. Il met directement sa verge dans ma bouche. Il fait se positionner s2 devant lui. Puis quittant ma bouche, son sexe pénètre dans le cul de s2. Mon Maître s’adresse à moi :
- Va sucer s2 !
Je plaque ma bouche contre le pubis de s2 et ma langue atteint son clitoris. Je dois me cramponner à cause des mouvements du Maître dans le cul de s2. Elle a un orgasme. Est-ce que c’est le Maître ou bien moi qui en est la cause ? Certainement les deux. Nous continuons ainsi, s2 avec un sexe dans le cul et une langue dans le sexe. S2 a un second orgasme. Le Maître rugit, il vient de jouir, son sexe quitte le cul de s2, il distribue les rôles : s2 doit lui nettoyer le sexe avec sa langue et je dois aller récupérer son sperme. Tandis que s2 a pris en bouche le Maître pour nettoyer son sexe, je place ma bouche à l’entrée du cul de s2. Je lèche pour récupérer le précieux liquide. Une fois en bouche, je fais circuler le sperme pour bien le déguster et je déglutis.
Le Maître a fait connaissance avec la bouche et l’anus de s2 mais pas avec son vagin.
Le Maître s’adresse à ses deux soumises :
- Maintenant, vous partez. S1 garde le boléro et s2 garde le collier et la laisse. Rendez-vous samedi prochain.
Nous répondons en chœur :
- Oui, Maître.
Nous allons embrasser les paumes des mains de notre Maître. S2 ne sait pas comment me dire au revoir. Je lui dis d’embrasser mes pieds ce qu’elle fait. Nous nous rhabillons puis nous partons.
J’ai passé avec mon Maître et s2 un excellent weekend. L’entente avec s2 est parfaite. Vivement samedi prochain !
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Marc entre les jambes de Bianca introduit doucement sa langue dans la fente de ses lèvres ouvertes. Il sent son sexe durcir mais ne s arrêtera pas car cet instant est dédié au plaisir de Bianca en récompense de sa docilité. Maître Trépuissant est sévère mais juste, toute attitude servile est récompensée par un moment de plaisir intense. Bianca pousse de petits cris de jouissance parfois interrompus par un silence très long. C’est à ce moment là que sa cyprine coule le plus. Marc a appris à coup de martinet à satisfaire la jeune femme. Lorsqu’il a commencé à servir le couple de dominants il était aussi débutant que l’est Baptiste aujourd’hui, ses cuni étaient brusques et trop courts. Il a compris qu’il ne connaissait rien au plaisir féminin. Il a dû observer un soumis expérimenté et répéter les mouvements de sa langue bien des fois sur un sexe féminin en plastique pour bien en comprendre la géographie. Dame Méphista a de très grandes lèvres un peu épaisses contrairement à celles de Bianca qui sont si fines. Le vagin de la petit esclave s’ouvre moins , même lorsque ses cuisses sont écartées au maximum , son périnée est très musclé car c’est une vraie sportive. Elle participe à de nombreuses courses cyclistes locales et régionales et en a gagné quelques-unes malgré une rude concurrence . Tout ce sport régulier fait qu’elle peut tenir à genoux de longues périodes, elle s’y entraîne tous les jours. Marc souffle doucement avec son nez sur l orifice de Bianca qui jouit de plus en plus. Ses longs doigts souples jouent avec le bouton dressé. Ce petit appendice est une source intense de plaisir qu’il a appris à stimuler en le faisant tourner doucement entre son pouce et son index pendant que sa langue se dirige vers la fleur étoilée à l arrière. Il masse l entrée avec délicatesse puis introduit un doigt humide de la cyprine qui coule et inonde sa bouche. L anneau se desserre. Plusieurs va et vient délicats vont permettre l introduction d un deuxième puis d'un troisième doigt. Peut-être aura-t-il la chance de sodomiser cette femelle si son Maître est satisfait ? Il a compris que faire jouir l esclave lui fait obtenir le droit de la prendre par l arrière. Le Maître se réserve le vagin et c’est lui qui décide du moment de l éjaculation de Marc. Ce fût très difficile au début de retenir son plaisir et de ne pas jouir. Il a reçu de nombreux coups de martinet et de fouet pour son incapacité à contrôler sa jouissance, mais depuis quelques mois maintenant, il en a acquis toute la maîtrise, par de longs entraînements et le port d’une cage pour de longues périodes allant jusqu’à un mois. Il aime sentir le contact du métal sur son membre qui tente en vain de se redresser.
Bianca s envole sous l’effet du cuni de Marc. Son Maître caresse sa tête et ses épaules. Il connait les réseaux nerveux cachés et sait les exciter par un effleurement très léger. Ses doigts semblent être devenus des papillons qui parcourent le dos de la jeune femme dont l état de jouissance augmente très vite. Son sexe offert à la bouche expérimentée de Marc, sa peau stimulée par les doigts de son Maître, la petite esclave est aux anges, elle a bien mérité cette récompense. Malgré tout son entrainement sportif ses cuisses lui font mal d être restée si longtemps a genoux au début de la séance de dressage de ce week-end. Mais elle sait ne rien manifester, elle l’a appris à coups de fouet sur son dos et ses cuisses. Il lui a été excessivement difficile de réprimer ses sourires de plaisir et ses rictus de souffrance. Maitre Trépuissant est intransigeant sur tout ce qui concerne les expressions faciales. Nulle expression sur le visage ne doit trahir la douleur ou le plaisir, il doit rester semblable à un masque de carnaval. Marc et elle ont eu bien du mal à contrôler leurs muscles car les réflexes sont très difficiles à contrecarrer et Baptiste ne sait pas du tout le faire, on lit sur son visage tout son ressenti.
Marc introduit un quatrième doigt dans l anus de la jeune femme, son sexe se tend mais est contraint par sa cage qu’il porte avec un certain plaisir voire un plaisir certain. Croiser une jeune femme dont le vent relève la robe et révèle que le port de culotte n’est plus une obligation l excite régulièrement lorsqu’il prend un bus qui traverse la plaine venteuse de Versailles. Beaucoup de jeunes filles qui paraissent si timides ont jeté leurs sous-vêtements et n’en portent plus. Les seins pointent sous les t-shirts de coton fin et le vent coquin soulève les petites jupes évasées laissant apparaître les fesses nues. D y penser Marc a de nouvelles érections, un mélange de plaisir et douleur irradie de son sexe emprisonné. Bianca inonde sa bouche de son miel et crie de plus en plus. Marc s applique avec ses doigts et sa langue. Le Maître est satisfait du plaisir donné, il se lève lentement et pousse Marc du pied pour qu’il se recule un peu . Il tient entre ses doigts une petite clé dorée qu’il fait tintinnabuler telle une clochette. D’un claquement de doigts il ordonne à Marc de se mettre à genoux et celui-ci s empresse de se redresser, les mains sur la tête et le dos bien droit. D’un petit tapotement sur le dos bronzé de Bianca, elle comprend qu’elle doit se mettre à genoux dans la même position face à l’homme qui va la prendre par derrière. Le Maître lui remet la clé et elle déverrouille la cage. Le membre emprisonné surgit dressé. Une légère poussée de Maitre Trépuissant met en contact la verge tendue et la bouche ouverte de la jeune femme penchée. Il s ensuit une gorge profonde que Marc contrôle. Quelle belle récompense que cette fellation pour la soubrette ! Puis Bianca se retourne sur l’ordre de son Maître. Elle présente sa croupe tendue et prête à se faire prendre à l’homme à genoux qui attend l’ordre de s exécuter.
Le dominant jubile, il ressent toutes les tensions sexuelles présentes dans la pièce. Les deux dominas le regardent avec attention, debout entre le sexe de Marc turgescent et l arrière-train tendu dans une belle position d offrande de Bianca qui attend sans laisser paraitre la moindre émotion. Julie tient toujours son p’tit soumis contre elle dans une attitude protectrice et maternelle. Le jeune homme observe et enregistre dans sa mémoire impressionnante tous les mouvements et expressions de la soubrette Marc. Il sait que celui-ci est un modèle pour lui, il aspire à aussi biens se contrôler. Il admire son contrôle de soi. Ses cunis sont acceptables mais la maîtrise de Marc est impressionnante. Dame Méphista joue négligemment avec un rosebud qu’elle a pris sur la table parmi les ustensiles de plaisir mis à sa disposition. Elle observe son époux avec une grande tendresse mêlée d admiration. Il a le don de la mise en scène et elle se saisit d’une tablette blanche pour immortaliser la scène : Monsieur debout dont on devine l érection à la tension du tissu de son pantalon, la petite esclave qui tient la position d offrande à ses pieds, et le soumis juste vêtu d’un tablier blanc de soubrette relevé par son sexe tendu à genoux mains sur la tête baissée, le regard dirigé vers les chaussures de son Maître. La splendeur de la domination, la noblesse de l offrande des soumis, le plaisir partagé, tout cela sera immortalisé dans cette photo. Dame Méphista est satisfaite, son après-midi promet encore de nombreux plaisir.
Maitre Trépuissant tapote la tête de Marc, il l’autorise à prendre Bianca comme se prennent les hommes. Pas question de pénétration avant pour le soumis ! Déjà bien de lui laisser l arrière ! Le dominant sourit intérieurement, la prochaine étape sera la sodomisation de Baptiste par Marc. Mais il ne laisse rien paraître, il est trop tôt, le p’tit soumis n’est pas prêt, ni physiquement, ni mentalement. Aller trop vite est une erreur de débutant, les soumis ont des étapes à franchir, rien ne sert d aller trop vite, ou il s’enfuira, traumatisé pour longtemps. Ce n’est pas le but du jeu, chacun doit y trouver son compte, mais le p’tit soumis de Julie est prometteur, il est plein de bonne volonté. On sent qu’il a eu une maîtresse auparavant qui lui a inculqué quelques bases.
Bien que plongé dans ses pensées Maître Trépuissant n’en oublie pas de contrôler Marc. La verge de celui-ci fait des aller-retour puissants dans l anus de Bianca qui recommence à jouir. Elle relève la tête et ses yeux brillants cherchent ceux de sa maitresse qui lui rend son regard avec un grand sourire satisfait. C’est un signal : la petite esclave peut se lâcher, crier et laisser son visage s agiter en tous sens. D’un claquement de doigts le sexe s’arrête sur le bord de l orifice, un cri jaillit, la cyprine inonde le parquet, et Marc recommence ses mouvements. Plusieurs fois le Maitre interrompt les va et vient pour faire connaître à ses Esclaves le plaisir des pénétrations répétées.
Baptiste bave devant la scène, une grosse tache de salive s étale sur le petit top de Julie mais celle-ci s’en désintéresse. Sa grotte s humidifie au rythme des mouvements du sexe de Marc. Elle sent son anus s’ouvrir et se fermer et ses seins se tendre. Son plaisir est grand et sa main glisse sur le dos de son soumis. Baptiste se tend et se frotte contre sa maîtresse tel le chien qu’il est devenu. Sa queue est contrainte, un mélange de plaisir et de frustration l’envahit, il se sent enfin en lacher-prise, l observation du couple aux pieds de Maître Trépuissant lui donne un plaisir cérébral intense.
Dame Méphista tourne son téléphone vers son amie Julie qui ne bouge pas et prend quelques photos du jeune couple au sol.
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Elle prit l'ascenseur, les paumes moites, le cœur battant à tout rompre. Pour accompagner son
string, elle s'était offert un soutien-gorge très pigeonnant, dont le voile léger couvrait à peine ses
seins. Et la caresse de son corsage sur leur pointes dressées ajoutait encore à son excitation. Un
porte-jarretelles assorti et une paire de bas noire. Tout ce qui restait à savoir, c'était le rôle qu'elle
allait jouer, l'assistante ou la soumise ? À cette perspective, un désir violent assaillit ses reins.
Au creux de ses cuisses, la dentelle du string était déjà humide. Des réactions dont Juliette ne
saurait rien. Ses doigts serrèrent la poignée. Les pensées se bousculaient dans son esprit, de
plus en plus confuses. Peu importaient les risques. Elle s'aimait trop en femme audacieuse pour
s'arrêter en si bon chemin. Pensait-elle à elle au moins ? Sa Maîtresse était passionnée et ne
vivait que pour sa passion: le sadomasochisme. Cette philosophie représentait à ses yeux un
mode de vie idéal. Elle adorait alterner les douleurs et les langueurs, les délices et les supplices.
Charlotte est très masochiste. Juliette peut tout obtenir d'elle, la forcer, concrétiser tous ses
fantasmes. Un mélange de curiosité et de détresse surgissait en elle mais le jeu des situations
insolite l'excitait trop pour se dérober. Ce soir, elle s'offrirait en esclave sexuel docile et insatiable.
À peine la porte franchie, une voix lui ordonna de se présenter, ce qu'elle fit instantanément. Pour que tous les
spectateurs puissent apprécier son obéissance, elle se retourna lentement. Des voix emplissaient l'espace sans
qu'elle fût capable de dire à combien de personnes elles appartenaient. Six ou huit, peut-être davantage. Un doigt
força brusquement ses reins avec violence. Surprise par la douleur, elle réagit avec insolence en tentant d'échapper
à l'index qui continuait à vouloir s'insinuer en elle. Celui qui la violait ainsi, sans préparation la menaçait durement.
Les hommes en face de Charlotte regardaient les jambes gainées de soie, et de chaque coté des cuisses, le reflet
voluptueux des jarretelles. Les bottes en cuir affinaient sa silhouette. Insensiblement, elle écarta les genoux, leur
laissant voir leur face intime et leur reflet. Elle suivait derrière les cils baissés leur impatience, attendant que le
compas de ses cuisses soit assez ouvert pour dévoiler le pubis et, au-dessous, son sexe dans toute sa splendeur,
bouche fermée et rose, au fond du sillon ombré du mont de Vénus. Elle sentit deux mains se plaquer sur ses reins,
la presser, soulever sa jupe et des lèvres se coller à sa chair, tandis que deux autres caressaient ses seins avec
ardeur, érigeant leurs pointes douloureusement. À nouveau, on lui demanda de se tourner. Un long silence suivit.
À nouveau, ses reins furent violentés, ses fesses subirent l'ardeur caresse de mains nerveuses, son anus fut frôlé
par un doigt inquisiteur, son sexe fut caressé par un index pénétrant. Soudain, sous sa main qui pendait le long de
ses cuisses, elle sentit un phallus raidi et palpitant. Elle le prit, tandis que l'homme caressait son sexe avec passion,
elle lui prodigua quelques douces caresses de ses doigts effilés. Le désir s'empara de lui. Il se plaqua contre son
ventre et chercha, debout contre le mur, à glisser sa verge entre ses cuisses ouvertes. La soirée avait commencé.
Subitement, elle se dégagea, se tourna; il la plaqua face au mur, affolée, elle sentit le membre glisser entre ses
reins; elle goûta la sensation de cette chair conquérante et raidie; lui, la bouche à son oreille, lui ordonna de s'ouvrir,
en lui pinçant un sein d'une main, l'autre fouillant les fesses et son entrecuisse. Brûlante, un désir tenace la tenaillait
d'être sodomisée par cet inconnu qui semblait si maître de lui. Mais il se redressa et lui glissa son sexe entre les
doigts tandis qu'il lui torturait les mamelons. Charlotte se complut à caresser le membre au gland turgescent, la
verge nerveuse et renflée dont elle sentait les veines saillantes. Rien ne l'arrêterait dans son désir d'abnégation.
Puis, il lui ordonna de s'agenouiller et de le prendre dans sa bouche; elle suça avec ferveur la verge enflammée
qui se cabrait sous sa langue. Le phallus était long et épais. Elle ouvrit la bouche et engloutit le sexe jusqu'à la
gorge; elle eut un hoquet tant il avait été enfoncé loin. Alors, dans la pièce silencieuse, s'éleva le bruit de la
succion. Charlotte n'était pas très experte, elle préférait sucer les femmes, mais c'était peut-être un charme de
plus. Avec effroi, elle pensa soudain à la déchéance de se retrouver ainsi agenouillée devant ce ventre nu, à
sucer cette virilité inconnue. Elle releva la tête, mais il la saisit par les cheveux et la força à engloutir le phallus
entre ses lèvre sensuelles, sous le regard lascif des invités.
Alors, au contact de cette main dominatrice, elle oublia tout, et ce fut une profusion de caresses instinctives qui
enveloppèrent la colonne de chair; les lèvres sucèrent les moindres recoins de ce vit. Le phallus devint si
volumineux qu'elle eut des difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta,
manquant de ressortir de ses lèvres. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge d'un liquide qu'elle prit à coeur
à boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Elle vit la pièce tourner autour d'elle et se retrouva à plat ventre
sur un lit de fer. On la déshabilla totalement. On lui lia les chevilles avec des lanières de cuir, puis ses poignets
que l'on écarta en croix, comme ses cuisses. Ainsi écartelée, elle était offerte à des inconnus. Charlotte allait être
fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, sous la lumière qui rendait son corps impudique.
On la cingla brusquement avec une cravache. L'homme ne voulait pas lui faire mal, il voulait l'amener à ce degré
d'excitation qu'il savait procurer, pour en faire après son esclave et celle de ses invités. Il savait que cette croupe
consentirait à se laisser forcer par des verges inconnues, mais il voulait que tous profitassent cérébralement de
cette Vénus callipyge. Et les cinglements résonnèrent dans le silence, couvrant les soupirs de désir des hommes
penchés sur ce corps dans l'étreinte puissante du cuir. Les reins furent vite rouges et une chaleur intense irradia la
chair de Charlotte, amenant une intense excitation à ses intimités déjà exacerbées.
Sa tête était en feu, tenaillée de douleur, elle gémissait de douces souffrances. Elle résista longuement à son
ordre quand il voulut qu'elle écartât davantage les cuisses, et quand elle ne put plus résister, elle céda; tel un
pantin désarticulé, elle offrit le spectacle du sillon sombre de ses reins qui allait être forcé. Le silence retomba
et Charlotte, les yeux clos, goûtait la sensation de ces regards sur ses intimités secrètes, comme une caresse
imperceptible frôlant ses chairs, béantes. Elle ne sentit que la caresse du phallus qui s'insinua soudainement.
Il fut violent, poussant de ses reins, il força sous son gland compressible et humide, l'étroite bouche à s'ouvrir.
Et ce fut l'acte délicieux tant espéré de Sodome. Un long cri strident; elle s'y attendait pourtant, haletante, les
tempes battantes. Elle réalisait lentement la pénétration forcée de ce membre en elle. D'un seul coup, il s'était
enfoncé; sa voie étroite dilatée, distendue, lui faisait mal, mais en elle, était le priape enflammé, elle le devinait
fouiller ses reins. L'inconnu avait poussé dur. Oubliant la souffrance du viol, et fermant les yeux, elle laissa
échapper un cri, mais au fur et à mesure que l'homme sentait venir la volupté, le bruit de son intimité exigüe
déchirée par le membre, s'amplifia, devint plus précipité; il y eut quelques râles chez l'homme auxquels se
mêlèrent les plaintes de la jeune fille, puis ce fut le silence dans la salle sous le regard satisfait des invités.
Elle reçut la semence saccadée puis l'homme se retira, libérant Charlotte. Il venait de jeter dans ses entrailles
sa sève gluante et chaude. Son anus, tout empreint de sperme accepta sans peine un second membre qui la
pénétra profondément entre ses reins; le membre lui sembla colossal mais elle se laissa sodomiser par cet
inconnu car tel était son devoir. Un troisième voulant se frayer également un chemin au plus étroit la fit hurler.
Elle cria, comme sous le fouet. Quand il la lâcha, gémissante, dans un éclair, elle se vit délivrée, anéantie,
maudite. Elle avait crié sous le choc du phallus de l'homme comme jamais elle avait crié. Elle était profanée et
coupable. Sous les regards, sous les mains, sous les sexes qui l'outrageaient, sous les fouets qui la déchiraient,
elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à la soumission mais aussi à la délivrance.
Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans une chambre et on l’étendit sur un lit.
Charlotte avait été encore une fois, méritante, docile et obéissante. Elle ferma les yeux et s'endormit.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ma vie de soumise
Chapitre 13 : Samedi 6
Samedi après-midi.
J’arrive chez mon Maître, il est habillé. Je me déshabille et vais lui baiser les paumes.
Dans le salon une jeune femme nue est allongée sur le ventre, de tout son long. Ses bras et ses jambes sont écartés. Je ne vois pas sa figure, elle est blonde et a un magnifique fessier.
Mon Maître s’adresse à moi :
- C’est Laurence. Nous nous sommes contactés sur internet, c’est notre première rencontre. Elle vient juste d’avoir dix-huit ans et, ce qui est incroyable, elle m’a assuré être vierge devant et derrière et elle n’a jamais sucé.
Je ne comprends pas pourquoi mon Maître me donne toutes ces explications. Il continue :
- Nous venons de signer un contrat d’appartenance, elle n’a émis aucune restriction, elle est donc ma propriété exclusive.
Je ne comprends toujours pas. Mon Maître poursuit :
- J’ai donc maintenant deux soumises. Je dois donc établir une hiérarchie. J’ai décidé que tu seras soumise numéro 1, je t’appellerai s1 et Laurence sera soumise numéro 2, on l’appellera s2. Tu auras donc autorité sur s2, elle devra t’obéir. Je lui ai déjà expliqué le processus.
- Elle est d’accord ?
- Elle n’a aucun avis à formuler. Je vais donc te la confier. Je veux que tu la dépucèle devant et derrière et, quand je te le dirai, elle me sucera. Je veux aussi que tu lui fasses faire connaissance avec le fouet, la cravache ou ma ceinture. Pour le reste, tu fais comme tu le sens.
- Mais, Maître, je ne pourrai pas !
- Tu le feras, je te l’ordonne !
- Bien, Maître.
- Pour commencer tu vas quitter ton collier et lui passer autour du cou. Tu porteras le boléro qui est sur la chaise. Une soumise numéro 1 doit porter un vêtement léger.
- Bien, Maître. Aura-t-elle le droit de jouir ?
- Bien entendu, elle doit apprendre le plaisir. Par la suite, elle saura ce qu’elle perd en en étant privé.
- Bien, Maître.
Je quitte mon collier, je me baisse vers s2 et lui passe le collier autour du cou. Elle me dit :
- Merci, madame.
Je vois que mon Maître a bien commencé l’éducation de sa nouvelle soumise.et je suis étonnée de m’entendre appelée madame. Je revêts le boléro, symbole de ma promotion. Ce boléro me couvre les épaules et le dos, il s’arrête à la taille, il ne ferme pas laissant à découvert mes seins, mon ventre, mon pubis et mes fesses. Je vais essayer de faire pour le mieux, je suis maintenant à la fois soumise et dominante mais je suis avant tout la soumise de mon Maître qui me fait confiance.
Je m’approche de s2 :
- Debout !
Je découvre une belle jeune fille. Des seins assez volumineux et un pubis agrémenté de poils. Je regarde mon Maître qui me dit :
- Elle a désobéi.
- Maître, si vous avez ce qu’il faut, je la rase.
Mon Maître part et revient avec de la mousse à raser et un rasoir. J’entraîne s2 sur la table.
- Couches-toi sur le dos et écarte les cuisses.
Je commence le rasage en faisant bien attention à ne pas couper la chair. J’ai réussi. Je peux admirer son pubis lisse. Mon Maître a filmé le rasage.
- Et derrière, Maître ?
- Oui.
Je fais mettre s2 à plat ventre sur la table et je m’attaque aux poils de sa raie. Je fais attention, je réussis sans aucune entaille. Je lui fais lever les bras, les aisselles sont rasées. Je vérifie les cuisses et les jambes. Aucun poil. Mon Maître apprécie.
Je fais remettre Laurence debout.
- Tu te mets à quatre pattes !
- Oui, madame.
En prenant la laisse je la fais déambuler. Je la fais se cambrer pour mettre en valeur son fessier. Ses seins ballotent de gauche à droite. J’ai une impression bizarre, je suis soumise et dominatrice. J’ai toujours été plus ou moins dominée, je ne pensai pas être un jour dominante. Je me sens à l’aise entre mon Maître et s2. Nous parcourons l’appartement puis nous arrivons dans la chambre. Le gode-ceinture repose sur le lit, il a été lubrifié ce sera mieux pour un double dépucelage. J’ai placé le gode sur mon ventre. Mon Maître nous a suivies et a commencé à filmer.
- Mets-toi à genoux dans le lit !
- Oui, madame.
Je me place devant s2 et lui présente le gode devant sa bouche.
- Suce !
Elle n’a pas le temps de me remercier. Je lui enfonce le gode dans la bouche. Je procède progressivement et j’enfonce le gode de plus en plus. Elle se met à tousser. Je la laisse faire.
- On recommence, tu dois t’habituer à avoir la bouche pleine.
- Oui, madame.
J’enfonce à nouveau le gode et, cette fois, elle résiste.
- C’est bien, tu fais des progrès.
- Merci, madame.
Je la contourne et vérifie l’état de son vagin, il est sec. Avec mes mains, je la maintiens aux hanches, je place le gode devant son sexe et le gode entre dans son vagin. Je vais y aller progressivement. Je commence des va-et-vient puis le gode progresse. J’accélère le mouvement. Cette action me fait mouiller. Je jour un rôle de mâle et je réagis en femelle. Le gode entre maintenant complètement. S2 gémit puis jouit. Je continue de plus belle. Puis je me retire pour attaquer le second dépucelage. Le gode est à l’entrée de son cul. S2 se contracte, elle sait ce qui va lui arriver.
- Détends-toi, laisses-toi faire. Je vais y aller doucement.
- Oui, madame.
Mes mains attrapent ses fesses et les écarte pour laisser la place au gode. Je le fais entrer très lentement, une première sodomie doit être réussie et c’est difficile de la subir. Le gode se fraie un chemin. La sodomisée se détend un peu. Le gode pénètre de plus en plus. Maintenant, s2 s’est relâchée et se laisse faire. Je poursuis encore un moment cette sodomie puis je retire le gode. Je contourne s2 et viens présenter le gode devant sa bouche.
- Lèche et suce !
Elle a un mouvement de recul. Je sais que je lui impose un exercice difficile mais ça fait partie de l’éducation d’une soumise. J’attrape s2 derrière la tête et lui approche la bouche du gode. Doucement mais fermement ! Elle ouvre la bouche et sa langue commence à sucer le gode.
- Nettoie-le bien !
Quand je vois qu’elle a bien léché le gode, je le lui enfonce à nouveau dans la bouche.
- Tu ne devras plus avoir de réticence les prochaines fois.
- Non, madame, je vous le promets.
- Maintenant, couches-toi et attends.
- Oui, madame.
Mon Maître m’adresse la parole :
- De quoi avais-tu peur ? Tu te débrouilles pas mal.
- Merci, Maître. Voulez-vous qu’elle vous suce maintenant ?
- Pas tout de suite.
- S’il vous plaît, prêtez-moi votre ceinture.
Mon Maître se défait de sa ceinture et me la tend. J’appelle s2.
- Je croyais t’avoir dit de te déplacer à quatre pattes !
- Pardon, madame.
- Tu seras punie.
- Oui, madame.
Aussitôt elle se met à quatre pattes.
- Viens me lécher les pieds !
- Oui, madame.
S2 commence à me lécher les pieds.
- Mieux que ça et n’oublie pas de passer ta langue entre les orteils !
- Oui, madame.
Elle s’applique, je suis satisfaite de ta prestation.
- Mets-toi debout. Je vais te donner des coups de ceinture. Chaque coup devra être compté à haute voix et tu devras me remercier.
Je commence les coups et me souvenant de ce qu’aime mon Maître, j’en donne vingt-cinq, cinq sur les fesses pour commencer, puis cinq sur le dos, cinq sur les seins, cinq sur le sexe et cinq sur les cuisses. Dès les premiers coups, mon Maître m’a dit de frapper plus fort. Quand j’ai terminé, je lui ordonne de se remettre à quatre pattes. Je vois mon Maître se déshabiller, son sexe est bien dressé. Je sais ce qu’il veut. J’attrape s2 par les cheveux et la traîne dans la chambre où elle a été doublement dépucelée. Mon Maître est couché sur le dos.
Je m’adresse à s2 :
- Je vais t’apprendre à sucer un homme.
- Oui, madame.
- Je serai à côté de toi pour te guider. Ton Maître voudra jouir dans ta bouche. Tu recueilleras son sperme. Tu n’arrêteras pas de sucer, c’est le Maître que se retirera. Tu montreras au Maître sa semence sur ta langue. Tu feras tourner le sperme dans ta bouche puis tu avaleras. Enfin, tu remercieras ton Maître.
- Oui, madame.
S2 se place la bouche vers le sexe de son Maître.
- Tu commences par sucer les couilles puis tu les gobes. Attention à ne pas faire mal à ton Maître.
S2 approche sa langue des couilles et commence à lécher. Puis elle les gobe l’une après l’autre.
- Bien, maintenant, tu prends la queue en main et tu lèches le gland, tu lui donnes des petits baisers.
Elle s’applique. Le sexe du Maître grossit.
- Maintenant, tu mets le sexe dans ta bouche. Tu dois penser que c’est un sucre d’orge. Tu lèches et tu essaies de faire avancer le sexe dans ta bouche. Tu effectues des va-et-vient. Et tu lui caresse les couilles en même temps.
Je vois sa bouche monter et descendre le long du sexe. Quand elle est au plus bas, ses lèvres touchent le pubis du Maître.
- Quand le Maître éjaculera, il ne faudra pas reculer, il faut lui montrer que tu es heureuse de recevoir son sperme.
Je sais que mon Maître est résistant. S2 continue ses mouvements de bouche. Pour le moment, elle réussit sa première pipe. Enfin, le Maître jouit dans la bouche de s2. S2 ne se retire pas, elle continue de sucer. Le Maître se retire, s2 ouvre sa bouche et tire la langue pleine de sperme, elle ferme la bouche, se délecte du sperme et finit par avaler.
- Merci, Maître.
J’encourage s2 :
- C’est bien, tu as fait une belle pipe.
- Merci, madame.
Mon Maître se rajuste.
Je m’adresse à s2 :
- Maintenant, c’est à mon tour, tu vas me sucer.
- Oui, madame.
Je me couche sur le dos, les cuisses écartées. S2 se met en position, sa bouche effleure mon pubis, je place mes mains sur sa tête pour l’encourager. Je vois mon Maître en train de filmer. S2 s’enhardit. Sa langue est au contact de mon clitoris. Je suis comme électrisée. S2 continue, c’est délicieux ! J’ai rapidement un orgasme. Mais j’invite s2 à poursuivre, sa langue devient de plus en plus insidieuse. J’ai un second orgasme. Je demande à s2 d’arrêter. Je suis comblée. Mon Maître a dégotté une excellente recrue. Pendant un instant, je pense que je pourrais être évincée, mais non, mon Maître peut très bien avoir deux soumises. La présence de s2 me plaît et mon Maître fait ce qu’il veut.
Mon Maître me demande si je veux rester avec lui pour la soirée et pour la nuit. J’accepte avec plaisir.
- Et s2 ?
- C’était prévu qu’elle reste.
Il me propose de préparer le dîner avec lui. J’accepte. Je prends s2 avec la laisse, elle marche toujours à quatre pattes. Je lui dis de s’allonger au pied de la table. Mon Maître et moi nous nous activons. Mon Maître prend deux chopes dans lesquelles il urine. Il m’en tend une et appelle s2 pour lui donner l’autre. S2 s’assoit par terre et commence à déguster le contenu de sa chope. Je bois également la mienne.
Mon Maître dresse la table avec seulement deux couverts, je vais donc manger en face de lui. Il remplit les assiettes en même temps qu’une écuelle remplie d’aliments pour chien qu’il dépose sur le sol. Il s’adresse à s2 :
- Mange sans te servir de tes mains.
- Oui, Maître.
Nous commençons notre repas. La hiérarchie est établie. En tant que s1 je suis à la table du Maître et s2 mange sur le sol. Quand nous avons fini les repas, le Maître me demande de regarder si s2 a bien mangé. De petits résidus jonchent le sol. Je m’adresse à s2 :
- Avale tous les morceaux que tu as laissés.
- Oui, madame.
Le repas terminé, le Maître s’adresse à s2 :
- Va te nettoyer la bouche, débarrasse la table et rejoins-nous dans la chambre.
Mon Maître me fait allonger sur le ventre, écarte mes jambes. Je le sens derrière moi, je sais ce qu’il veut. Son sexe me frôle la raie des fesses. Il m’a soulevée et il emprisonne mes seins qu’il pétrit et pince. Il me fait mal mais j’aime ça. Il me souffle à l’oreille :
- Je te permets de jouir.
Et, soudain, son sexe pénètre mon cul. Petite douleur qui précède le bonheur de sentir mon Maître en moi. S2 arrive à quatre pattes dans la chambre. Elle s’assoit à côté du lit où son Maître est dans s1. Mon Maître continue de me labourer. Il m’arrache un orgasme. Puis il jouit dans mon cul.
- Merci, Maître.
Mon Maître s’adresse à s2 :
- Va lécher le cul de s1 pour récupérer mon foutre !
- Oui, Maître.
S2 se place derrière moi et sa langue pénètre mon cul, elle le lèche pour récupérer le sperme de son Maître puis elle avale.
- Merci, Maître. Merci, madame.
Le Maître lui fait signe de venir nettoyer son sexe ce que s2 s’empresse de faire.
- Merci, Maître.
Il commence à se faire tard. Je me demande ce qu’a prévu mon Maître pour la nuit.
Il me tend la laisse, ordonne à s2 de se mettre debout et nous partons tous les trois vers un escalier que je connais bien. Nous arrivons à la cave. Le Maître s’adresse à s2 :
- Tu vas dormir là. S1viendra te chercher demain matin.
Et nous laissons s2 dans la cave inconfortable où j’ai passé trente-six heures angoissantes. Nous remontons. Mon Maître m’ordonne d’aller me doucher. Puis il en fait autant. Je l’attends debout au salon. Il m’emmène dans la chambre. Il s’adresse à moi :
- Viens ! Couches-toi.
Il se place à mes côtés sur le dos.
- Prend mon sexe dans ta bouche. Je veux que tu dormes comme ça. Tu ne me suces pas.
- Bien, Maître.
Je place son sexe dans ma bouche, la tête appuyée sur son ventre, il a une main protectrice sur ma tête, je suis heureuse. Je m’endors.
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Aux premiers jours de mois de mai 1717,
Le rude hiver venait définitivement de tirer sa révérence, abandonnant enfin la presqu’île aux premières chaleurs. Bien-sûr personne encore n’osait l’avouer, comme pour ne pas attirer le mauvais œil, mais ni Mamert, ni Pancrace, ni Servais n’effrayaient plus personne. La lumière brillante de son éclat d’or sur les jeunes pousses pleines de vigueur, et la douceur qui montait délicatement du sol en bouffées humides et enveloppantes, les avaient remisés pour un an à leur place d’épouvantail. Leurs chères fleurs encore recroquevillées et désormais sauvées du plus terrible des dangers, sauvegardées de cette funeste brûlure, les fragiles rameaux pouvaient enfin à leur guise s’ébattre sous le vent qui les berçait, agitant gaiement leurs petites feuilles au-dessus des inflorescences à peine écloses. En tendant l’oreille, on eût pu les entendre rire, ivres de leur jeunesse et de leur insouciance. Cela ne suffisait pourtant pas à combler le cœur d’Élisabeth.
Une fois n’était pas coutume, la jeune vigneronne ne parvenait pas à se délecter de ce spectacle enthousiasmant, de ce renouveau porteur de tant d’espérance. Une étrange lassitude la prenait, un manque confinant presque à l’indifférence, comme une lente mélancolie, dont on ne saurait dire si elle est agréable ou douloureuse. Elle se languissait de ses yeux brillants, de leur absence bien-sûr, mais plus encore de tout ce dont ils étaient privés. Alors les tâches lui devenaient plus pénibles, le feu dans ses bras lorsque la journée se refusait à finir, plus mordant, les tiraillements dans sa chair à l’heure de trouver le repos, plus lancinants. Un indéfinissable chagrin que personne n’écrirait jamais mieux qu’un illustre poète prénommé Alphonse, près d’un siècle plus tard.
Les brises de l’estuaire, à peine chargées de l’odeur acre de leurs embruns, venaient pourtant comme une douce caresse, dansant avec les rayons d’un soleil hésitant qui n’osait pas encore vous mordre. Les pousses juvéniles dressées de tout leur pied de hauteur, se retenaient encore d’exhaler trop fermement leur suave parfum de souffre, encore embarrassées par leur ingénuité.
A peine aidés par le souffle que la marée lointaine venait de se décider à ramener dans leur dos, cinq tintements parvinrent depuis la chapelle de la grande maison, jusqu’à la petite troupe de femmes, sonnant le glas de leur labeur journalier. Guillerettes, et d’un pas plus alerte qu’à l’aller, toutes se précipitèrent résolument vers les allées sablonneuses, puis dévalèrent en torrent joyeux vers leurs havres de paix, coincés entre vignes et prairies, comme si elles allaient se jeter à l’estuaire. Élisabeth, elle aussi, se laissa entrainer par ce flot instinctif, incapable comme à l’accoutumée, de lutter contre le courant et de s’accrocher encore un peu, à un cep, ou à un autre.
Les petites maisons de bois et de pierre étagées, se trouvaient toutes pelotonnées les unes contre les autres, dans un alignement approximatif. Elles regardaient sereines l’apaisant flot brun de l’estuaire, laissant échapper quelques légères bouffées de fumée grise, comme de petites dames âgées prises par la lubie de se doter d’une pipe. Élisabeth salua sa mère qui gardait l’entrée de la chaumière, assise sur un banc de pierre, profitant de ces premiers jours enfin décidés à s’étendre. Elle était attelée à un méticuleux ouvrage de raccommodage. La jeune femme monta à leur chambre, elle ôta son tablier, le replia avant de le déposer délicatement sur une chaise toute simple. Elle s’allongea, désireuse de se délasser un peu sur sa couche, en quête d’un illusoire répit : un simple moment de paix, avant de redescendre, si vite, et de s’atteler à la préparation du repas. Elle n’en eut pas le loisir.
— Élisabeth ! Tu as de la visite, héla sa mère, de sa voix chevrotante de femme fatiguée par le labeur et par le poids des ans.
Poussant un soupir, la jeune femme se redressa, lissa les plis de sa jupe de serge noir, tira sa chemise en lin blanc puis rajusta son corset de droguet. Sa mère l’attendait au pied de l’échelle de meunier, d’un hochement de tête, elle la poussa à se hâter. Qui donc pouvait bien venir la visiter ? Pourvu qu’il ne s’agisse pas d’un laboureur à la vue basse et aux pensées étroites, qui se vît poussé par d’autres vers un courage accidentel.
Elle franchit la porte et s’immobilisa sur le seuil, saisie par cette silhouette lumineuse à la chevelure dorée, lui tournant le dos, le regard sans doute perdu, au-delà des larges prairies de palus, au cœur des vaguelettes brunes de l’estuaire.
— Bonsoir Monsieur le Comte, sourit-elle discrètement, masquant autant que possible son regard attendri et l’émoi qui gagnait sa poitrine. Vous voilà rentré de Versailles ?
— Bonsoir chère Élisabeth. Ce jour même. Je n’ai même pas pris la peine de changer d’habit, avoua-t-il en se retournant, le regard rempli d’un éblouissant éclat.
Comme s’ils n’osaient s’en dire plus, ils laissèrent un instant s’exprimer le chant des fauvettes et des loriots, écoutèrent le vent bruisser dans les feuilles du gros chêne sur l’esplanade des ouvriers.
— Savez-vous monter ? demanda le Comte.
— Assez bien, je crois.
— J’aimerais vous montrer quelque chose, proposa-t-il, lui tendant le bras pour qu’elle y posât sa main.
Elle lui refusa cette marque d’affection, mais vint simplement se placer d’un pas décidé à son côté, comme pour prendre le chemin d’une aventure.
Ils gagnèrent les écuries proches, marchant de front et d’un pas alerte, sans doute sous des regards curieux, cloitrés derrière leurs fins volets ajourés, et dont ils ne prenaient même pas conscience. Le Comte poussa la lourde porte aux teintes d’ocres rouges, éclatante sur son écrin de pierre ciselée presque éblouissante de blancheur. Déférant, il l’invita à entrer, comme on ouvre le passage à une Dame à laquelle on fait grand honneur. Elle pénétra l’obscurité des écuries, indifférente à cette dévotion pourtant inhabituelle. Le port incliné, il contempla ses chaussons de cuir râpés, d’où naissaient d’élégantes chevilles, laissant à peine deviner le galbe délicat de ses mollets, couverts de leurs bas de laine pourpre. Sur son passage il s’empourpra, confus, et incapable de percevoir le frisson de désir, délicieusement dissimulé, qui parcourait la jeune femme. Deux chevaux anglais, à la robe luisante, les attendaient entre deux stalles au milieu du bâtiment : une pouliche baie et un hongre alezan.
— J’ai quelque-chose pour vous, signifia-t-il d’emblée, se jetant presque sur un long paquet de linge, qu’il prit soin de déballer avec précaution.
Il en sortit une paire de hautes bottes, brillantes à travers l’obscurité percée d’un rai de lumière poussiéreuse, émanant de la porte entrebâillée. Talonnées et montantes, entrouvertes au creux poplité, et parcourues sur tout le mollet par un délicat lacet de cuir noir. Élisabeth ne dit mot de sa surprise et de son émerveillement, elle pourtant si étrangère aux luxueuses parures.
— Puis-je ?
— Je vous en prie, acquiesça-t-elle, s’asseyant délicatement sur un petit banc abandonné devant une stalle vide.
Elle souleva précautionneusement ses jupes, avança son pied gracile, et étendit lascivement sa jambe, pointant ses orteils couverts en direction du Comte, resté immobile. Il admirait sa grâce, cette élégance racée et pourtant innée. Son œil brillait d’une lueur exquise, aux flambeaux de son admiration se mêlaient sans doute les étincelles de son désir, espiègle de se livrer à ce subtil badinage. Il déposa délicatement le chausson de cuir, et enserra doucement le petit pied tendu, il remonta méthodiquement la parure de cuir jusque sur les mollets, et resserra un à un les liens à travers leurs œillets. Le même manège s’opéra pour la seconde botte, ponctué de regards à la taquinerie évidente, confinant au défi de le pousser encore plus loin.
Il s’apprêtait à nouer les brins du lacet de l’élégante jambe gauche, tâche ardue, ainsi privé de la vue de son projet, lorsqu’Élisabeth se redressa d’un bond.
— Je le ferai moi-même ! lança-t-elle, le sourire aux lèvres, et le regard perçant.
Elle posa son talon sur le petit banc de bois grisé, releva ses jupes, presque à dévoiler la base de sa cuisse, puis noua habillement le précieux corsetage, en deux magnifiques boucles brillantes et tombantes sur la base de son mollet. Le jeune Comte, frôlant l’étourdissement, agenouillé aux pieds de la jeune femme, ne manquait rien de ce délice, sans doute enivré de ce désir mêlé de honte, dont il avait, d’une innocence feinte, fondé le théâtre.
Élisabeth, ainsi érigée devant le Comte agenouillé, la jupe n’était plus de serge, mais devenue velours aux délicats reflets moirés, sa chemise s’était faite soie, étincelante des reflets de la lumière troublée des poussières en suspension. Elle devenait Comtesse, sans en porter ni le titre, ni en avoir l’ascendance.
— Où allons-nous ? interrogea-t-elle guillerette, comme si elle refusait de se laisser envahir par les émotions qui la débordaient pourtant.
— C’est une surprise, lui répondit-il, joueur, alors qu’il posait une couverture sur le dos de chaque cheval, avant de se saisir d’une selle de cuir munie de deux fourches courbes à l’avant, reposant sur une des portes d’un enclos.
— Vous montez en amazone ? lui demanda-t-elle rieuse, se saisissant à son tour d’une autre selle, plus commune, et la calant sur le dos de la pouliche baie, avant d’entreprendre de la sangler.
Le Comte éclata de rire, reposant la selle pour en choisir une plus à sa convenance et la placer sur le hongre, laissé à sa disposition.
— Où avez-vous appris à monter ? demanda-t-il.
— C’est ma marraine, feu Madame votre tante, qui me l’a enseigné.
Lui portant tout l’honneur lié à son nouveau rang, il l’aida respectueusement à prendre place sur sa monture, ouvrit en grand les portes principales des écuries, puis conduit posément les chevaux jusque sur l’allée pavée, de l’autre côté des demeures des ouvriers. Il monta en selle à son tour et initia leur lente remontée, au pas, entre les premières règes de la pièce des socs et le parc arboré de la grande maison, où sur les vertes pelouses, quelques tilleuls se laissaient ébouriffer par le vent ; longeant une charmille fournie derrière laquelle se cachait encore le jeune cèdre du Liban qui un jour, présiderait à cette assemblée. Il guidait leur déambulation, sans prendre le moindre pas d’avance sur la belle qui chevauchait à ses côtés, sans mot dire, inspirant profondément l’air frais venu du large, qui leur arrivait de front, après avoir survolé jusqu’à eux, forêts et marécages. Ils tournèrent le long des chais, puis ils redescendirent contre le ruisseau de Juillac, au bas de cette terre dont ils étaient issus, nourricière, source de leur existence autant que de leur essence.
L’étroite bande de prairie longeant la jale, leur servait désormais d’avenue, leur permettant de contempler d’en bas, la splendeur de la croupe de graves, aux précieuses règes éclairées d’une lumière dorée. Ils quittaient le domaine, par les chemins de traverse, laissant derrière eux le vignoble. La voie sinuait, une fois bordée de prairies peuplées de jolies vaches aux robes bicolores, pigaillées et beyrettes, une autre de taillis touffus, débordant de feuillus diaprés. Le fil de l’eau, à peine un souffle, berçait de sa douce mélodie la sérénité de leur promenade.
— Vous passiez beaucoup de temps avec ma pauvre tante ?
— Ma mère m’amenait lui tenir compagnie, lorsque j’étais enfant. J’aimais beaucoup, c’est elle qui m’a appris à lire, à monter à cheval, et mille autres choses.
— C’est elle qui vous a enseigné les vignes ? osa-t-il à peine demander, intrigué.
— Non, rit-elle. C’est mon père, et puis j’y ai presque grandi. Dès que mes jambes purent me porter, il m’emmenait partout. Le soir lorsque tous rentraient, il continuait à me montrer, à me faire voir les choses qui ne se voient pas, à me les faire entendre sans me les dire parfois. J’étais un peu comme vous en fait.
— Sans doute un peu, confessa-t-il gêné.
Leur déambulation aux allures de promenade romantique, se berçait du bruit de l’eau, du souffle du vent dans les frondaisons, des sabots des chevaux qui couchaient précautionneusement les brins d’herbe hirsutes. A peine quelques craquements dans le bosquet attenant, osaient-ils venir troubler cette douce symphonie champêtre. La bande herbeuse remontait désormais le long d’un bois de chênes et de hêtres, plus fourni. Un éclair fauve parcouru de noir, traversa devant eux, osant à peine se fendre d’un regard entre crainte et défi provoquant.
L’animal s’engouffra à la hâte au cœur de l’épais taillis, pour y disparaître complètement, surprenant les chevaux, tentés de se cabrer. De quelques légers mouvements de ses cuisses fermes, Élisabeth maîtrisa sa monture sans montrer le moindre signe de surprise, presque impassible. Un sang-froid que le jeune compte, employé à reprendre le contrôle de son destrier, ne perçut pas. Soucieux de sa compagne, il finit même par poser une main rassurante sur son avant-bras dénudé, geste instinctif, protecteur et symbolique de son attention envers la belle vigneronne, désormais promue Comtesse de son cœur.
La cravache claqua net dans un fracas de cuir, sur le dos de la main du jeune homme. D’un réflexe, il la retira, contrit par son impudence. Inquiet, il osa à peine croiser le regard d’Élisabeth. Elle le fixait, sereine, le dos bien droit, allant même jusqu’à lui offrir un sourire attendri.
— Maîtrisez vos émotions Monsieur le Comte. Je veille à ma monture.
Comme s’il devait trouver un moyen de se soustraire à son trouble, il proposa d’une voix étrangement peu assurée, d’emprunter un petit sentier qui courait entre deux bosquets, à quelques pas de là, et qui semblait vouloir grimper sur le sommet d’une croupe naissante.
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Eole avait séduit Thétis, la fille de Chiron, qui se trouva enceinte et fut changée en jument
par Poséidon, qui voulait la protéger de la colère de son père. Après la naissance d'Ocyrrhoé,
en grec ancien ????(?)??, Thétis fut placée parmi les étoiles, sous l'aspect de la constellation
du Cheval et l'enfant, ayant retrouvé sa forme normale, fut baptisée Arné par son père qui la
confia à Desmontès. Plus tard, elle fut séduite par Poséidon, et Desmontès, ayant découvert
qu'elle attendait un enfant, l'enferma dans un tombeau après lui avoir crevé les yeux. Elle y mit
au monde les jumeaux Boeotos et Eole, que Desmontès fit exposer sur le Mont Pélion pour
être dévorés par les fauves. Mais ils furent recueillis par un berger d'Icarie. Devenus adultes,
Poséidon, leur révéla le secret de leur naissance et leur ordonna de délivrer leur mère et de
tuer Desmontès; puis il rendit la vue à Mélanippe qui épousa Métapontos, le roi d'Icarie, qui
adopta Boeotos et Eole. Mais peu après, le roi décida de répudier son épouse et de se
remarier. Prenant le parti de leur mère, les jumeaux tuèrent la nouvelle reine, Autolyté, et
s'enfuirent. Dans la cité de Sicyone, on célébrait son honneur, les "mélanippies". Le viol
de Mélanippe par Poséidon se rapporte sans doute à la prise de possession par les Eoliens
des centres préhelléniques du culte du cheval. Elle était une des Amazones, sœur d'Antiope.
Dans la mythologie grecque, Mélanippe est la fille du centaure Chiron et de Chariclo. Son histoire n'est attestée que
dans les Métamorphoses d'Ovide. Elle est également connue sous le nom de Hippe ou Évippe. Chiron est un centaure
mais il ne fait pas partie de la famille des centaures rustres nés de l'union d'Ixion et de la nébuleuse Néphélé. Cronos
convoitait la belle Océanide Phylira et pour déjouer la surveillance de son épouse Rhéa, il se métamorphosa en cheval
pour l'approcher. C'est pourquoi Chiron était mi homme mi cheval. À sa naissance sa mère fut si choquée de voir
l'aspect monstrueux de son enfant qu'elle implora les dieux de la transformer en tilleul.
Chiron vivait dans une grotte du mont Pélion en Thessalie connue sous le nom de grotte de Phylira. Il était sage, bon et
instruit. Il parcourait les forêts et les bois où il acquit la connaissance des simples et des étoiles mais il possédait bien
d'autres sciences, notamment la médecine ou le tir à l'arc que lui avait enseigné Apollon. De même Artémis lui avait
donné des cours de chasse. Il fut un excellent précepteur pour de nombreux jeunes héros: Jason, Asclépios, et ses fils
Machaon et Podalirios, Actéon, Achille ou Enée furent instruits par ses soins. Il fut parfois aidé par Phénix à qui il avait
rendu la vue que lui avait ôtée son père.
Il épousa la nymphe Chariclo, fille de Cychreos et Stilbe, qui lui donna trois filles et un fils. Endéis, future mère de
Pélée. Chiron accueillit ce petit-fils et l'éleva au mieux. Il enseigna même à Pélée comment faire la cour à Thétis, qui
grâce à ses bons conseils deviendra sa femme. Toutefois elle passe aussi pour la fille de Sciron (roi de Mégare) et de
Chariclo. Chiron sauva Pélée qui avait été capturé par les centaures alors qu'il avait été abandonné sans armes par
Acaste. Chiron assista aux noces de Pélée et d'Harmonie et il fit cadeau d'une lance qu'Achille emporta à la guerre de
Troie et qui servit à soigner Télèphe blessé lui aussi par une flèche empoisonnée d'Héraclès.
Ocyrrhoé, fleuve rapide, nom qui fut choisi par son père car elle naquit près d’un cours d’eau tumultueux, avait hérité de
sa mère du don de prophétie. Elle apprit rapidement les secrets de son père. Un jour en pleine transe elle prédit au
jeune Asclépios (Esculape) confié à son père, qu'il aurait le pouvoir de guérir les mortels, et même de les ressusciter.
Il provoquera, ainsi, la colère des dieux et sera foudroyé par Zeus (Jupiter), avant d’être ressuscité. Puis elle se tourna
vers son père et commença à prédire ses souffrances, empoisonné par le sang de l’hydre. Mais les dieux l’empêchèrent
d’en dire plus et la métamorphosèrent en cavale. Elle est présentée comme une nymphe par Pausanias.
Melanippe ou Hippé, jument noire fut séduite par Eole alors qu'elle chassait sur le mont Pélion. Pour ne pas faire voir sa
grossesse à son père, elle s'enfuit dans les bois et elle demanda aux dieux de la transformer en jument. Elle est parfois
confondue avec la précédente. Quant à son fils, Carystos, il fut le fondateur éponyme de la ville de Carystos en Eubée.
Il passe parfois pour le père d'Aristée. Son nom lui aurait été donné par sa mère, parce qu'elle la met au monde au bord
d'un fleuve tumultueux. Elle possède en outre, à sa naissance, le don de prophétie tout comme sa mère.
Elle se rend un jour à la caverne de son père et là le trouve en compagnie d'Asclépios encore enfant. Elle prédit au
jeune dieu son destin, lui révélant qu'il aura le pouvoir de ressusciter les mortels mais qu'il provoquera, en l'utilisant,
l'ire de Zeus par qui il sera foudroyé, avant de connaître une nouvelle existence. Elle révèle aussi à Chiron qu'il perdra
son immortalité, pour ne pas souffrir éternellement par le poison de l'Hydre. Cela le fâcha. Comme elle s'apprête à en
dire davantage, elle est changée en jument par la "colère divine", en punition de son indiscrétion. Cette métamorphose
constituait également le sujet d'une tragédie perdue d'Euripide. Mélanippe est la reine des Amazones. Elle est aussi la
sœur d'Hippolyte. Elle acquit sa liberté au prix du baudrier qu'Eurysthée avait demandé au héros.
Mélanippe signifie cavale noire. Elle est la fille de Chiron. Elle aussi nommée Évippé. Séduite par Éole ou par Neptune,
elle se réfugia dans une grotte du Pélion, pour échapper au courroux paternel, et fut métamorphosée en cavale par Diane,
qui la plaça an nombre des constellations. D'autres traditions la font fille ou mère d'Éole, et disent que Chiron lui fit crever
les yeux, mais que Neptune lui rendit la vue. Suivant Hygin, c'est pour avoir méprisé Diane, que Mélanippe, qui jusqu'alors
s'appelait Thétis, fut changée en cavale. La constellation de Mélanippe, qui monte sur l'horizon au moment où le centaure
Chiron achève de se coucher, est désignée plus ordinairement sous le nom de Pégase. Elle est surtout connue pour être la
mère d'Éole et Béotos, homonyme distinct des deux précédents conçus avec Poséidon. Quant à son père, Chiron, Il mourut
à la suite de la bataille entre Héraclès et les autres Centaures. En soignant Elatos, il se blessa avec la flèche empoisonnée
d'Héraclès qui l'avait touché. Zeus l'honora en le plaçant au ciel sous la forme de la constellation du Centaure.
Bibliographie et références:
- Apollodore, "Bibliothèque"
- Hésiode, "Théogonie"
- Homère, "Iliade"
- Hygin,"Fables"
- Ovide, "Héroïdes"
- Ovide,"Métamorphoses"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- Pindare, "Odes"
- Pindare, "Pythiques"
- Strabon, "Géographie"
- Virgile, "Enéide"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ma Maîtresse m’a dit, je pense que tu es un véritable enculé, cela te fait bander quand je te mets deux ou trois doigts dans le cul et tu aimes te faire prendre avec mes godes ceinture.
J’ai envie de te faire enculer par un mec. «Non pitié Maîtresse pas cela»
- « Mais si, et je suis sûr que tu vas aimer ça, d’ailleurs je ne t’ai pas demandé tons avis et j’ai déjà envoyé une annonce :
«Couple cherche Homme, âge indifférent, bisexuel, actif et directif pour s'occuper de Monsieur. Madame spectatrice.»
Il fallait envisager une première expériencensous l'angle des contraintes homosexuelles de mon soumis. C'est en tout cas comme ça que j'avais accepté de faire paraître cette annonce sur différents sites. Mais je crois que mon soumis n'était pas dupe.
J’ai reçu un courrier innombrable.
Et j’ai correspondu avec un certain « Maître ». Il nous avait envoyé des photos, ( la quarantaine, gueule carrée. grosse bite).
Je fantasmais déjà sur cette rencontre. Il avait bien précisé qu'il était dominateur et qu'il n'était pas question de subir la sodomie ou même de sucer un homme. Il n'aimait que la possession et la pénétration. Il exigeait aussi que je sois présente et me demandait, à moi, quelles étaient mes envies.
- Ton fantasme, c'est d'être enculé, et bien, je suis d'accord même si ce ne sera pas cette fois-ci. Puisque ici, c’est pour te faire plaisir.
Je me souviens très bien de ce qu'il m'a répondu:
- C'est uniquement pour me faire plaisir?
Le fantasme récurrent de mon soumis: être appelé enculé et l'être aussi, fantasme que je partageais de plus en plus et que je souhaitais réaliser au plus tôt.
En effet, c’est d’une véritable envie tant intellectuelle que physique dont je parle.
Quand je dis que Maître aimait posséder, je voulais bien entendu parler de soumission à ses ordres, devenir des objets de plaisir.
Mon soumis allait être pénétré par un homme, moi étant spectatrice.
Je demande à mon soumis de s’habiller avec une mini jupe en cuir et un string. Mon soumis confirme nos échanges sur Internet et son envie d'être sodomisé en ma présence.
Le Maître demande alors si mon soumis est d'accord pour lui obéir en tout et lui précise qu'il n'y aura pas de violence et qu'il pourra toujours dire le mot qui arrêtera tout.il me regarde pour chercher mon approbation mais je garde une attitude neutre. Il dit:
- Oui, je suis d'accord mais il faudrait aussi avoir l'approbation de ma maîtresse.
Se tournant vers moi, il me pose la même question, je réponds après un petit moment d'hésitation :
- Oui, je suis d'accord pour t'obéir.
Il se lève et rejoint mon mari, assis dans le divan. Je suis en face dans un fauteuil. Il se débraguette et présente sa queue au niveau du visage de mon mari et lui dit, d'une voix soudain changée:
- Suce-moi la bite!
il ouvre la bouche et engouffre la bite (de belle dimension!); une main sur la hampe, l'autre lui massant les couilles. mon soumissemble accepter.
Je vois la queue aller et venir dans la bouche de mon soumis qui y mettait vraiment du sien pour lui aussi, c’était une première !
Tout à coup, il s'adresse à mon soumis:
- Tu m'as bien dit que tu allais m'obéir en tout, sans discussions ?
- Oui, répond t il, je vais t'obéir en tout.
Ainsi je serai dans son dos. Jusqu'au moment de la pénétration, c'est toi qui dirigeras nos ébats;
De plus, je veux que ce soit toi qui guides ma bite dans ton anus. Compris?
- Oui, oui, j'ai compris !
- C'est vraiment ce que tu veux? Attention , il n'y aura plus de marche arrière même si tu demandes d'arrêter, moi je ne le voudrai plus. Tu veux vraiment être enculé ? Réponds clairement !
- Oui, je veux vraiment être enculé pour la première fois ce soir et je ne compte pas t'arrêter en cours de route.
- Eh bien, continue ce que tu as commencé alors !
J'avoue que la situation m'excitait au plus haut point, j'avais déjà envie de cette queue que je sentais contre mes fesses, pour ensuite glisser la main dans mon string.
Il voulait prendre les opérations en main et donc fait comprendre à mon soumis d'accélérer le mouvement. Je remarquais qu’il avait une érection incroyable; ça lui plaisait vraiment.
- Voilà, tu es un soumis vraiment un enculé à présent !
Au même moment,, prenant mes fesses à pleines mains, s'est enfoncé d'un coup.
Je ne sais plus combien de fois j'ai joui, mais c'était fabuleux ! il se moquait , le traitant d’enculé, de lope. tellement il était excité, il a joui dans son string sans même se toucher !! Je ne pouvais rêver de meilleures preuves de son réel plaisir à être enculé! sous l’œil brillant de mon soumis lopette.
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C’était un soir d’automne, un de ces soirs ou le vent soufflait plus fort que par habitude.
Mathilde pouvait encore sentir la présence de la créature dans sa chair. Alors que plusieurs jours s’étaient écoulés depuis sa dernière apparition. Mais ce n’était pas à lui qu’elle pensait, mais à cet homme, cet inconnu de qui le mauvais génie prit apparence, s’habillant de ses qualités de son verbe et de son corps.
Mathilde avait besoin de l’ombre malfaisante. L’immonde créature était le seul lien avec le sujet de son songe. Elle était résolue et décidée à fuir… Fuir son mari fuir sa famille fuir sa vie, il n’était plus question de faire marche arrière… Il lui fallait partir, comprendre ce qu’elle avait vécu ressentit par l’intermédiaire de ce démon. Tout cela avait un but ou alors son âme resterait à jamais errante, sans autre voie que l’aliénation. Mais il hésitait . au point de l’éviter ..
Elle s’adressait à lui uniquement de nuit, à la dernière heure précédant l’aurore, le devinant parfois ou simplement en l’imaginant tout en espérant sa présence.
Cela faisait maintenant plusieurs mois, que son calvaire durait. Malmenée, humiliée, attachée, Mathilde semblait absente. Son regard perdu ne prêtait plus attention à son environnement, et son esprit s'était détaché de la vie qui fut la sienne ces 3 dernières années.
Elle attendait dans la pénombre un signe pour détecter sa présence, décidée de lui demander une nouvelle fois son aide.
Cette nuit-là encore elle essaya de l’attirer à elle sans y parvenir et se lamentant sur son sort.
- Ainsi tu me tortures ô créature, dit-elle , et mon âme perdue dans les tourments et l’angoisse, te cherche te réclame.
Depuis ce jour ou tu es venus sous son apparence me séduire. Ou j’ai cru devenir folle, puis honteuse de mon état, mais au fil des semaines tu m’as apprivoisé rassurer et je me suis laissé enfermer entre tes griffes. Protégée en sécurité j’ai libéré mes plus folles pulsions. Que craignais-je donc ? Puisque tu n’étais que songe, rêveries obscènes charnelles ou le sensuel était toi. Il me suffisait d’ouvrir les yeux pour que la lumière me libère. Aurais-je pu deviner ne plus souhaiter les ouvrir?
Et puis vint ce jour ou tu m’a tout révélé et tes aveux ont ailés mes sentiments et mon rejet de la fatalité. Lui comme moi condamné par notre attrait pour le doux comme pour le sévère. L’un bourreau l’autre victime et utilisant le même instrument. Et finalement il me fallut bien du temps pour comprendre que c’était l’instrument qui m’utilisait.
Par ta main, celui dont j’ignorais il y peu encore, jusqu’à son existence, me couvrait de folles caresses et martyrisait ma chaire dans de délicieux moments de parfaite complicité et pourtant, me confis-tu, tous ne cherche qu’à le fuir. Et par mon âme soumise à sa volonté, accepter son désir et le servir est l’unique but de ma vie. Qu’il me donne ou me prive de son amour pourvu, que la, dans un coin, prêt de lui, il me garde. Aurais- tu pu deviné qu’en cela est mon idéal?
Aurais tu prévu que l’infime atome humain présent en toi donne naissance à l’amour et plutôt que le détruire tu l’as laissé fleurir. Et ressentir la compassion le remord la peine, t’oblige à me guider vers lui. Voilà ton défi, toi aussi porte ton fardeaux pour ta rédemptions et ton retour vers le créateur.
Ma décision est ferme. Je pars, j’irais à sa recherche, je ne sais où le trouver ni même dans quelle direction aller. Et au-delà des champs et des prairies et même des mers s’il le faut, aussi loin qu’il pût être je vais à lui.
Et si tu ne me guides pas, ô ombre des interdits, dans ma recherche, alors laisse-moi me donner la mort elle sera bien plus douce que la folie dans laquelle tu me condamnes, entend ma douleur, guide-moi à lui.
Puis alors qu’elle allait s’endormir elle entendit un murmure
- Oui ô Mathilde me voilà mais pour un court instant, persévérante tu es et peut-être que c’est le moyen qui te mènera à lui. Mais attend attend jusqu’à la pleine lune puis nous aurons une longue route. Et une nouvelle fois encore il disparu.
Oui j’attendrais lui répondît-elle sans promesse sans espoir je serais là et s’endormi.
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Un air doux remplit sa chambre. Elle est le lieu de toutes les libertés, de toutes les
expressions. Spacieuse, blanche, pour seuls meubles, en bois naturel, une commode
ronde et une simple coiffeuse avec deux miroirs. Un grand lit au centre, encadré de
voiles blancs qui accompagnent le moindre vent, deux grands fauteuils blancs au
cadre en bois. La nuit est magnifique. Elle est au même diapason de son attente.
Il n'y a qu'une heure qu'elles sont couchées, chacune dans une chambre, quand
Charlotte perçoit du mouvement dans le couloir, puis dans sa chambre. Le clair de
lune jette son halo fantomatique dans la pièce. Bien qu'elle tourne le dos à la porte,
Charlotte aperçoit dans la glace Juliette qui s'avance vers son lit. Elle est nue, ses
seins fermes et hauts placés ainsi que ses jambes galbées et bronzées lui confèrent
une silhouette indéniablement désirable. Elle soulève le drap et se glisse dessous.
Une légère brise tiède agite le rideau à la fenêtre. Juliette se blottit dans le dos de
son amie, telle une amante. Charlotte peut sentir ses cuisses brûlantes et ses
mamelons durs contre sa peau. Le désir comme tous les sens s'éveillent.
- Tu voulais enfin que je te l'avoue ? J'ai très envie de te faire l'amour.
Charlotte se retourne brusquement, Elle porte juste un tanga en soie noir.
- Juliette !
- Quoi ? Ne me dis pas que tu ne t'en doutais pas, quand même !
Charlotte s'allonge dans le lit en ramenant le drap sur sa poitrine.
- Je croyais que c'était un jeu, Juliette.
- Eh, bien non, je n'ai jamais été aussi sérieuse de ma vie.
Charlotte examine Juliette pour s'assurer qu'elle est sincère.
- Je ne suis pas lesbienne, affirme-t-elle au bout d'un moment.
- Comment tu le sais ?
- J'ai un amant.
- Et alors ? Tu as déjà essayé ? s'amuse Juliette.
- Tu sais bien que non.
- Alors, laisse-moi faire .. Après, tu prendras ta décision.
Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le
baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette
faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité
de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites
et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement
rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses
doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle.
Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme.
Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque.
L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant
avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire
légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte.
Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir.
Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller.
Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée
maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande
que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésistible; j’entends son souffle.
Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine.
Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie
que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre.
J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous
ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce.
Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant:
- Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi.
Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis.
- Tu apprendras à me connaître.
Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de
mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis.
Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras.
Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur
la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche
et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact.
Un affectueux sourire se dessine sur sa figure.
- Tu es toujours trop pressée.
Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent.
Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma
langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle.
- J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ?
Son rire mélodieux me répond.
Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir,
de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inétanchable de plaisir et de passion. Son bras me
décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles.
Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille.
Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision
m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher.
Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu.
Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les
contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin.
Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual
remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille.
D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une
longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne.
Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements.
Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me
soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant
avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu.
Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent.
Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et
ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite.
Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit
ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton
tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente.
Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes
doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des
délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but:
le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser
ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et
retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée
chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis; elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs.
Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je
la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant
une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi.
Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque
contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés.
Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale.
Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes.
Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et
m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps
amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise
à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon
clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle,
me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever.
D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage.
L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa
poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac
de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos
et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma
langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance.
Elle roulèrent sans un mot sur le sol carrelé de la salle de bain. Leur envie réciproque de se posséder les transforma
en lutteuses. Elles s'encastrèrent l'une contre l'autre en s'embrassant et en se griffant, seins contre seins, ventre contre
ventre, en un combat furieux.
- Raconte-moi ce que tu ressens quand ton amant commence à nouer des cordes autour de toi
demanda Juliette. Quelle sensation cela procure de se retrouver nue et vulnérable ?
- J'ai peur. Et en même temps, je suis impatiente.
- Il te caresse en t'attachant ?
- Non, il est comme absent.
- Il t'a déjà fouettée ?
- Non, jamais.
- Et tu le regrettes ?
- Peut-être, oui.
Charlotte fut surprise de sa propre réponse, comme si ce n'était pas elle qui avait répondu mais une autre.
Sans attendre, Juliette dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une épaisse corde de chanvre
qu'elle attacha à un anneau au plafond, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des
pieds. Elle entendit le sifflement des lanières en cuir d'un martinet.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je répare un oubli, répondit Juliette.
- Tu veux que je te bâillonne ?
Charlotte secoua la tête. Non, elle ne voulait pas être bâillonnée. Elle voulait sentir la douleur lui monter
jusqu'à la gorge pour y exploser. Cela devait faire partie du rituel. Il fallait que quelque chose sorte d'elle.
Elle osa un regard par dessus son épaule. Indifférente, bien campée sur ses jambes fuselées, ses seins
dressés tressautant au rythme de ses larges mouvements.
Juliette éprouvait la souplesse du ceinturon en en fouettant l'air. Ainsi nue et armée, elle ressemblait à une
déesse antique. Charlotte ferma les yeux. Elle désirait être fouettée et Juliette seule pouvait lui faire subir
cette épreuve. Ce serait non seulement s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave,
à une autre femme de surcroît. Accepter ses coups, encaisser à travers elle, la fureur de toutes les femmes.
Juliette la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement
une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Trente, quarante, cinquante coups
Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées s'était substituée une sensation d'intense
chaleur, comme si elle avait exposé son dos à un âtre crépitant. Le supplice était le prix à payer pour que son
amante continuât à l'aimer, elle souhaitait seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi et attendait muette.
Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une
fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme
une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois.
Juliette cessa aussitôt de la frapper et tomba à genoux devant elle. Posant avec une infinie délicatesse les doigts
sur ses reins meurtris, elle attira jusqu'à sa bouche la peau empourprée des cuisses et du ventre qu'elle couvrit
de baisers. Elle aspira entre ses lèvres, les lèvres de son sexe, les lécha avec douceur. Charlotte s'abandonna.
Charlotte avait accepté secrètement non sans abnégation de se soumettre définitivement à Juliette.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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J’ai toujours été sensible aux odeurs.
Je ne sors jamais sans porter une eau de toilette ou un parfum.
Et je veille en permanence à être d’une hygiène irréprochable,
sauf quand je n’ai pas le choix,
à l’issue de nos séances, après avoir été utilisée par mon Maitre.
Mais j’ai toujours été attirée par l’odeur des Mâles.
Pour moi, elles font partie de leur virilité.
Il ne s’agit pas de jeux « crades » pour autant : la scatologie et tout ce qui tourne autour, très peu pour moi.
Mais j’aime l’odeur de leur sueur, de leur sexe, qui pour moi font partie de leur virilité.
J’aime renifler longuement les aisselles de Maxime, les embrasser avant de les lécher.
J’aime le fumet qui s’en dégage, parfois délicat parfois soutenu lorsqu’il rentre d’un jogging ou d’avoir fait du sport.
J’aime me placer à ses côtés, lui debout, les mains posées sur sa tête, moi le visage enfoui dans ses aisselles et qu’il me laisse m’imprégner de l’odeur de sa sueur, le sentir puis l’embrasser avant d’y goûter.
J’aime m’agenouiller à ses pieds, pour renifler son slip ou son boxer,
sentir ce mélange d’odeurs de sueur, de pisse et de foutre,
qui caractérise le Mâle.
Puis, après lui avoir témoigné mon désir,
lui retirer son boxer du bout des lèvres et des dents, humer son entrejambe et sa toison pubienne
avant de lui lécher longuement les couilles, la queue, le gland.
J’aime l’Homme, sa virilité, et tout ce qui contribue à en faire un Mâle.
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Aux mensurations usuelles, le commissaire priseur ajoutait chaque fois longueur du pénis en érection pour les mâles, le diamètre introital pour les femelles. Il précisait, si besoin, les appartenances sexuelles d'origine, mais pour des soumis, le sujet n’avait pas véritablement lieu d'être.
Je remarquais que, contrairement aux légendes, aucun esclave n’était marqué au fer. En revanche, ils étaient tous tatoués à la fesse, à l’intérieur des cuisses, sur le pubis ou en quelque autre endroit sensible. J’en fis la remarque à Sarah, ajoutant que ces marques indélébiles pouvaient décourager un acheteur. Elle me répliqua que les esclaves ont tous leur histoire propre et qu’il convient de la respecter, c’est pourquoi les marques devaient, si possible, être apposées côte à côte.
- Et pourquoi ne pas avoir fait marquer Cléo ?
- Qui vous dit qu’elle ne l’est pas ?
- Chhhhhuuuuuttttt ! souffla-t-on dans notre dos tandis que le second lot se présentait.
Cléo était la cinquième. Elle s’aligna en fin de rangée, sans vraiment attirer l’attention puisque les regards étaient rivés sur la première du lot : une sublime noire qui dépassait tous ses compagnons d’infortune, hommes compris, d’une demie-tête. Son port altier, ses seins menus et ses longues cuisses musclées laissait imaginer une princesse des sources du Nil. Accrochées à ses tétons, son nombril et son sexe, des cascades de minuscules disques d’or scintillaient sur sa peau sombre, accentuant la majesté de sa démarche par leur lent balancement. Sa démarche féline tout au long du catwalk donna l’impression d’un ralenti cinématographique, le public retenait sa respiration. Sarah elle-même était subjuguée.
Suivaient un mâle et deux autres jolies femelles. Un serpent noir et or enserrait de ses trois anneaux la base du sexe du mâle. Les deux femelles étaient bâillonnées et tenues par une laisse aux anneaux de leurs tétons. Une discrète plaque de métal doré fixée par un jeu de piercings à leurs grandes lèvres garantissait leur chasteté vaginale. L’une des deux femelles avait le crâne rasé. Les regards qu’elles se lançaient me firent imaginer une complicité.
Si ses compagnons portaient la tête haute et assumaient fièrement leur condition, Cléo paraissait au contraire accablée d’être réduite au sort qui était le sien. La piqure d’aiguillon sur la fesse que lui administra une vigile la rappela à l’ordre, elle se redressa et exposa plus avantageusement sa poitrine, comme on lui avait appris à le faire, ce qui, dans son cas, n’avait pas beaucoup d’incidence mais restait charmant.
La bataille fit rage pour emporter la princesse nubienne. Les chiffres voltigeaient dans l’air comme des avions de papier lancés par une classe d’école dissipée. Je crois me souvenir qu’elle fut adjugée à un prix représentant une année de salaire pour moi, ce qui, en toute honnêteté, ne me parut pas excessif. Elle échoua finalement aux pieds un homme d’âge mûr, auquel elle n'octroya pas même un regard.
Beaucoup de femmes, mais aussi d’hommes, réclamèrent de toucher de cockring du mâle et le prix de ce dernier s’envola à son tour. Sans atteindre toutefois celui de la princesse nubienne, il parut largement satisfaire la vendeuse. Les deux filles qui suivaient, avaient certes des qualités et elles partirent rapidement. Ils finirent au service de deux couples. J’eus l’impression qu’elles souffraient d’être séparées. Les deux couples étaient ravis.
- Ce sont deux soeurs, me chuchota Sarah…
Vint enfin le tour de Cléo. Le commissaire priseur s’attacha à préciser qu’il ne s’agissait pas d’une vente mais d’une location comme il arrive parfois. Pour Cléo, la location était fixée à une semaine.
Cléo défila en mettant toute sa sincérité dans l’exercice. Elle écarta les cuisses à l’extrémité du catwalk et passa les doigts sur sa fente et pétrissant ses seins de l’autre main. Il était évident que sa fraîcheur, son naturel, étaient ses meilleurs atouts. Plusieurs mains se levèrent, hommes et femmes confondus. Soudain, je réalisai que rien ne s’opposait à ce qu’elle soit achetée par un homme.
- Evidemment, me répondit Sarah. Ce serait sa réelle punition.
- Tu sais, s’il fallait qu’elle soit prise par un homme, la première fois, j’aurais préféré que je sois par moi. J’aime beaucoup Cléo.
- Je sais. Vous l’avez prise l’autre fois, à travers moi…
- Ce n'était que symbolique. Tous les deux, nous aurions pu l’amener à subir puis accepter puis aimer le sexe de l’homme. Une vraie éducation, en quelque sorte.
- Monsieur, sans vouloir vous offenser, permettez-moi de vous dire que vous êtes désespérément idéaliste. Vous aimez Cléo parce qu’elle vous échappe. Parce que vous ne l’avez pas prise, elle, mais son image. C’est le drame des hommes, ils n’aiment que ce qu’ils n’auront jamais.
Pendant que nous échangions, les enchères sur Cléo furent emportées par une jeune femme. J’en fus soulagé. Sarah eut une réaction d’agacement. Je dus lui saisir le poignet et la maintenir à sa place pour qu’elle n’improvise je ne sais quel scandale.
- Sarah, il ne s'agit que d’une semaine. Nous reprendrons tout comme avant lorsqu’elle rentrera. Je te le promets.
Elle se blottit contre mon épaule pour pleurer.
- Je l’aime, vous savez ?
- Oui.
Pendant qu’elle dissimulait son chagrin dans les plis de ma veste, je glissais ma main entre ses bas, sous sa minijupe. Il faisait assez sombre et l’assistance était trop accaparée par la suite de la vente pour s’intéresser à nous. Son entrejambe fiévreuse accueillit mes caresses avec gratitude. Sa fente s’entrebâilla devant mon intrusion. Un musc empoissa mes doigts, par d’insensibles mouvements du bassin, Sarah quêta mes faveurs. J’hésitais… Cléo et son acheteuse quittaient la salle. J’eus à peine le temps de détailler son acheteuse : grande, fine, les cheveux courts, en Jean’s sous un manteau long, vraisemblablement du même âge que Cléo... Néanmoins, tout en ne sachant rien des conditions de la location ni de l’identité de l’acheteuse, je fus rassuré de constater qu’il s’agissait d’une lesbienne.
- Vous voulez me rendre folle, Monsieur ? supplia Sarah.
- Oui, bien évidemment, lui répondis-je agacé.
La vente était peut-être finie mais le commissaire priseur n’en avait pas complètement terminé. Alors que les conversations battaient leur plein, on entendit son marteau réclamer le silence.
Mesdames et messieurs, ainsi que le veut la tradition, une esclave acquise avec le bénéfice des ventes va être mise gracieusement à votre disposition durant trente minutes, suite à cela, nous vous demanderons de bien vouloir quitter la salle et surtout rester en contact avec nous dans l’attente de la prochaine vente !
En même temps qu’il achevait son speech, deux vigiles, un homme et une femme firent entrer une jeune femme nue et bâillonnée. Elle était blonde, avec de longs cheveux en tresse, et dans ce qui restait de lumière sa peau ressemblait à de la soie. On la fit s’agenouiller au centre de la salle. Le public se referma peu à peu autour de cette offrande vivante.
- C’est toi qui devrait être à sa place, dis-je à Sarah
- Vous avez raison, Monsieur, répondit-elle en faisant tomber son bustier et sa minijupe.
Des hommes s’approchèrent d’elle, des femmes s'emparèrent d’elle.
Sarah fut pénétrée simultanément par la bouche et le vagin par plusieurs fois deux hommes qui jouirent en elle tandis qu’elle faisait éjaculer d’autres hommes en les branlant. Sarah lécha et suça, fut léchée et sucée, par autant de femmes qui forcèrent sa chatte avec leurs mains entières.
Mais Sarah ne fut pas sodomisée. Car c’était mon privilège.
Je la relevai exténuée et dus la porter jusqu’à la voiture. Elle ne prononça pas un mot jusqu’au lendemain après-midi. Et moi non plus.
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Comme à Perpignan
Je commence à trouver gonflant
Tous ces gens
Qui ne tiennent pas leurs promesses
Qui se foutent de mes fesses
Me frustrant de leurs caresses
Complicité féminine
Amours clandestines
Je reste féline
Ce ne sera pas des hormones
Qui me transformeront en gorgone
Je vis l'instant présent
Le savoure pleinement
Tant pis pour ce fichu garçon
Incapable de décision
Qui voulait maîtriser la situation
Tous ses projets étaient bidons
Je les vivrais autrement
Son cerveau était passionnant
Il a raté le bon moment...
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Chapitre 12 : Dimanche 5
Dimanche après-midi.
Je me rends chez mon Maître. Quand j’arrive, je vois mon Maître, habillée, et une femme vêtue uniquement d’une cape ouverte sur le devant laissant voir une poitrine imposante, un ventre plat, un pubis totalement glabre et des cuisses imposantes. Elle porte des chaussures à talons. Cette femme est vraiment impressionnante. Sa tenue me fait penser que c’est une dominante.
Je vais baiser les paumes des mains de mon Maître.
Mon Maître tend à cette dame un fouet et l’extrémité de ma laisse et il me dit :
- Je te confie à Elvire. Tu dois lui obéir comme à moi. Tu l’appelleras madame.
- Bien Maître. Bonjour, madame.
Madame Elvire s’adresse à moi :
- Tu restes toujours à quatre pattes, tu te relèveras seulement quand je te dirai.
- Bien, madame.
- Je vais te promener.
Je dois donc marcher à quatre pattes, madame Elvire accompagnant notre marche par de petits coups de fouet sur les fesses. Nous faisons ainsi le tour de l’appartement. Nous revenons au salon. Mon Maître est prêt à filmer.
- Tu restes accroupie les fesses sur tes jambes. Tu laisses tes bras ballants.
Madame Elvire se baisse et me pince les seins. J’ai un petit cri vite réprimé par un coup de fouet sur les seins.
- Je ne veux pas t’entendre.
Elle reprend ses pincements sur les seins, elle les triture. Elle me fait mal mais je ne bronche plus. Cette douleur s’atténue et je ressens du plaisir. Je commence à mouiller.
Elle s’approche de moi me présente son pubis.
- Caresse-moi délicatement.
Mes mains s’avancent. Je commence à faire aller mes mains sur son ventre. Madame Elvire écarte les jambes. Mes doigts s’enhardissent jusqu’à effleurer son sexe.
- Tes doigts. Ne sois pas timide.
- Bien, madame.
Je rentre le majeur de la main droite dans son vagin qui est très humide. Mon doigt entre plus profondément. Madame Elvire se raidit et a un orgasme.
- Suce ton doigt !
- Merci, madame.
Elle m’entraîne vers le bac à douche. Elle me fait accroupir.
- Ouvre ta bouche.
Elle présente son pubis au-dessus de ma bouche et commence à uriner. J’essaie de recracher le moins possible. Elle paraît satisfaite. Mon Maître a suivi et à filmé la scène. J’ai quelques gouttes d’urine sur la poitrine. Je dois les recueillir avec mes mains et lécher mes mains. Nous revenons au salon.
- Allonge-toi le buste sur le sol et écarte tes fesses avec les mains !
- Bien, madame.
Elle s’approche de moi, et me plante son talon droit dans l’anus. Je me retiens de réagir.
- Allonge-toi le dos sur le sol !
- Bien, madame.
Elle me présente son talon droit et m’ordonne de le sucer ce que je fais.
Elle passe au-dessus de moi et présente son pubis devant ma bouche.
- Suce !
Je n’ai pas le temps d’acquiescer tant elle s’empresse. Je peux à peine respirer. Je prends contact avec son clitoris et j’avance ma langue dans son vagin. Elle jouit assez vite.
Elle s’éloigne et rejoins mon Maître. Ils prennent des rafraîchissements. Madame Elvire revient vers moi avec une écuelle remplie d’eau.
- Mets-toi à plat ventre et lape ! Tu dois tout boire et je ne veux aucune goutte par terre.
- Oui, madame.
Je m’applique à laper. Je finis l’écuelle mais quelques gouttes sont tombées à terre.
- Lèche !
Je lèche le sol. Je me remets à quatre pattes et je suis entraînée dans la chambre. Sur le lit est posé un gode-ceinture. Madame Elvire me le présente :
- Suce ! Enfonce-le bien dans ta bouche !
- Oui, madame.
Le gode a dû être lubrifié, il a un goût étrange.
Je commence par lécher le sex-toy puis j’essaie de le rentrer au maximum dans la bouche.
Puis madame Elvire s’harnache.
- Tu t’accroupis sur le lit.
- Oui, madame.
Elle se place derrière moi et, sans me prévenir, me l’enfonce dans le cul. La douleur est violente. Mon Maître filme la scène. Je reste stoïque.
Madame Elvire effectue des mouvements pour faire coulisser le sex-toy. La douleur initiale a fait place à une certaine douceur puis à du plaisir. Mais je dois me retenir de jouir. Ce traitement est assez long. Madame Elvire vient se placer devant moi.
- Maintenant, tu suces !
Et avec des mouvements des reins, elle enfonce le sex-toy jusqu’au fond de la gorge. Ma bouche est alors béante. Madame Elvire effectue des mouvements de va-et-vient. Madame Elvire s’adresse à mon Maître :
- Je te la rends.
- Elle n’a pas eu sa dose de cravache ou de fouet. Pourrais-tu la battre ?
- Donne-moi ta ceinture.
Mon Maître enlève sa ceinture et la tend à madame Elvire. Elle s’adresse à moi :
- Lève-toi !
- Oui, madame.
Les coups de ceinture atteignent toutes les parties de mon corps. Je compte et remercie à l’occasion de chaque coup. Madame Elvire a beaucoup d’énergie, ses coups me font vraiment mal.
- Maintenant, dis-nous au revoir.
- Au revoir et merci, madame.
Je vais embrasser les paumes de mon Maître, je me rhabille et l’en vais.
Mon corps me fait mal. Mon anus est douloureux. Mais j’ai bien rempli ma mission.
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Son cerveau à lui, elle s était mise à en rêver.
Son cerveau à elle, il s était mis à en rêver.
Son corps à elle le faisait bander
Sa voix à lui la faisait mouiller
Ils se sont mis à échanger,
Elle était fascinée
Ils se sont mis à se parler
Il était intrigué
Des scénarios ont été imaginés
Des tas d idées se rejoignaient
Elle le provoquait
Il la punissait
Elle lui répondait
Elle continuait
Sévère il devenait
Il s'est mis à la fesser
Ses fesses rougissaient
Son rire éclatait
Jamais il n'arrivait
À le faire cesser
Ce rire le faisait bander
À s'endormir il l'aidait
Un instant il oubliait
Les tracas de la vie vraie
Se prenait à rêver
Qu'elle le rejoignait
Trop fier il a été
Elle a raccroché.
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Tes lèvres sont calices
Offerte en caprice
J'y cueille la rosée
Perlant à leur ourlet
Tes cils sont pistils
Délicats et graciles
Orée de ton azur
A l'éclat d'aube pure
Ta langue se fait liane
Enlace ma peau diaphane
Y goûte mon pétiole
Lové à ma corolle
A cette invitation
Je sors de mon cocon
Mes pétales froissés
Par tes baisers lissés
Je plonge avec délice
Comme en un précipice
Happée par le désir
Volonté d'assouvir
Vraiment légère et délicate
Que cette approche intime
Qui invite à des voluptés
De plus en plus coquines
Surtout ne pas résister
Et se laisser emporter...
Le 05 06 2020
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Fille de Saturne et de Rhéa, épouse de Jupiter, reine du ciel, déesse du mariage,
en latin Juno, a été assimilée à la déesse Héra des Grecs. Ses surnoms: Juno,
Lucetia et Lucina ou la brillante, indiquent qu'à une période, elle fut une déesse
lumineuse chargée de protéger la sainteté du mariage et de présider sous le
nom d'Eileithya aux accouchements, vénérée lors des "matronalia". Elle était
aussi "Juno Regina", associée à Jupiter et Minerve; "Juno Pronuba", protectrice
du mariage; "Juno Moneta", donnant de bons conseils; "Juno Caelestis, la
correspondante d'Astarté et enfin "Juno Sospita", divinité tutélaire des femmes.
On la représentait sous les traits d'une femme majestueuse tenant un sceptre
et une patère ou un foudre, attribut de son mari; les Romains célébraient sa
fête au printemps lors de cérémonies grandioses, les "junonales".
Le plus ancien des dieux était le Ciel ou Coelus, qui épousa la Terre, ou Titéa. De ce mariage naquirent deux
filles, nommées Cybèle et Thémis, et un grand nombre de fils, entre lesquels Titan, l'aîné de tous, Saturne,
l'Océan, et Japet, sont les plus célèbres. Coelus, qui redoutait la puissance, le génie et l'audace de ses fils,
les traita avec dureté, les persécuta sans relâche, et enfin les emprisonna dans des cachots souterrains.
itéa n'osait se déclarer en leur faveur. À la fin pourtant, touchée de leur sort, elle s'enhardit, brisa leurs
chaînes et leur fournit des armes. Saturne attaqua ce père cruel et occupa le trône du monde.
Jupiter, parvenu à l'âge de l'adolescence, envisageait avec douleur l'esclavage où Saturne gémissait, et il
se prépara à le délivrer. Il rassemble une armée, attaque les Titans, les précipite de l'Olympe, et fait asseoir
de nouveau son père sur le trône. Mais Saturne jouissait peu de cette gloire : il avait appris des destins qu'un
de ses fils le détrônerait; et cette pensée, empoisonnant son existence, lui faisait voir d'un oeil de jalousie la
valeur que déployait Jupiter dans un âge encore si tendre. La crainte ferma son coeur aux sentiments de la
nature; il dressa ses embûches à un fils digne de son amour. Jupiter, adroit, actif et courageux, évita les
pièges, et, après avoir vainement essayé toutes les voies de conciliation, ne garda plus de ménagement,
livra bataille à Saturne, le chassa du ciel et s'établit pour jamais monarque des cieux.
Junon, soeur et femme de Jupiter, était la reine des dieux, la maîtresse du ciel et de la terre, la protectrice des
royaumes et des empires. Elle présidait aux naissances et aux mariages, et accordait aux épouses vertueuses
une protection particulière. Mais son caractère était impérieux, son humeur difficile et vindicative, sa volonté
opiniâtre; elle épiait jusqu'aux moindres actions de Jupiter, et faisait retentir le ciel des cris que la jalousie lui
arrachait. Jupiter, époux dur et volage, employait souvent la violence pour étouffer les plaintes de son épouse.
Il poussa même la barbarie jusqu'à lui attacher une enclume à chaque pied, lui lier les mains avec une chaîne
d'or, et la suspendre à la voûte du ciel. Les dieux ne purent la dégager de ses entraves : il fallut recourir à Vulcain
qui les avait forgées. Un traitement de cette nature augmenta les ressentiments de Junon, qui ne cessa de
persécuter les favoris et les amantes de Jupiter. L'infortunée Io fut le principal objet de son courroux.
Cette nymphe, fille d'Inachus, était un jour poursuivie par Jupiter, qui, pour l'empêcher de fuir, couvrit le pays d'un
épais brouillard dont elle se trouva enveloppée. Junon étonnée de ce phénomène descendit sur la terre, dissipa
le nuage, et découvrit Io qui venait d'être métamorphosée en vache. Mais comme la nymphe sous cette nouvelle
forme conservait encore des charmes, Junon, feignant de la trouver de son goût, la demanda à Jupiter avec tant
d'instances qu'il n'osa la lui refuser.
Maîtresse de sa rivale, elle en confia la surveillance à un gardien qui avait cent yeux, dont cinquante veillaient,
tandis que les autres cédaient au sommeil. Argus ne la perdait pas un instant de vue pendant le jour, et la tenait
pendant la nuit étroitement liée à une colonne. Jupiter n'avait qu'un moyen de débarrasser Io de cet incommode
satellite: il appelle Mercure, et lui intime de le tuer.
Mercure aborde Argus au commencement de la nuit, lui raconte des histoires amusantes, enchaîne un récit à un
autre, l'endort à la fin, et lui tranche la tête. Privée d'Argus, Junon déchargea toute sa colère sur la jeune vache,
bien innocente du crime : elle lâcha contre elle un insecte malfaisant, un taon; qui, la piquant sans relâche, la j
etait dans des transports convulsifs. Harcelée, ensanglantée, cette malheureuse parcourut dans sa fuite la Grèce
et l'Asie-Mineure, traversa à la nage la méditerranée, et arriva en Egypte, sur les bords du Nil. Epuisée de fatigue,
elle supplia Jupiter de lui rendre sa première forme, et elle mit au monde un fils nommé Epaphus. Junon,
qui regrettait toujours le fidèle espion tué par Mercure, prit ses cent yeux, les répandit sur la queue du paon et
perpétua de cette manière son souvenir.
Orgueilleuse autant que jalouse, Junon ne pardonna pas au troyen Pâris, fils de Priam, de ne lui avoir pas adjugé
la pomme d'or, et elle devint l'ennemie du peuple troyen; les Grecs, au contraire, furent les objets constants de sa
faveur. Les Proetides, filles de Proetus, fières de leur excessive beauté, osèrent se comparer à Junon, qui punit
leur orgueil en les rendant insensées et maniaques. Leur folie consistait à se croire des génisses, à pousser
comme elles des mugissements, et à se cacher au fond des bois pour éviter le joug de la charrue. Le devin
Mélampe, médecin habile, offrit de les guérir si leur père s'engageait à l'accepter pour gendre et à lui accorder le
tiers de son royaume. Proetus agréa ces conditions; et Mélampe ayant réussi épousa la plus belle des trois soeurs.
Le culte de Junon était universel, et la plus grande solennité présidait à des fêtes. On l'adorait surtout à Argos,
à Samos et à Carthage. Elle est représentée assise sur un trône, avec un diadème sur la tête et un spectre d'or à
la main; un ou plusieurs paons sont à ses pieds. Quelquefois deux paons traînent son char; derrière elle Iris, fille de
Junon, messagère des dieux, portait leurs ordres sur la terre, sous les eaux et jusqu'aux enfers. Vouée en même
temps à des fonctions plus pénibles, elle assistait les femmes agonisantes, et coupait le fil qui attachait leur âme
à leur corps, remplissant, au nom de Junon, ce pieux devoir.
Elle avait de nombreux sanctuaires, notamment, sous l'épithète de Moneta, c'est-à-dire la déesse qui avertit, ou
celle qui fait souvenir, elle recevait un culte sur la Citadelle, l'Arx, le sommet Nord-Est du Capitole. C'est à Junon
Moneta que l'on attribue le salut de Rome lors de l'invasion gauloise, en 390 avant notre ère. Les oies que l'on
élevait dans l'enceinte de son sanctuaire donnèrent l'alerte, et permirent à Manlius Capitolinus de sauver la Colline
et de repousser à temps l'envahisseur.
Junon était honorée encore sous d'autres épithètes: sous celle de Lucina, elle préside à la naissance des enfants;
en cela, elle rappelle plutôt Ilithye qui en a charge. On ne devait assister aux offrandes faites à Junon Lucina que
tous noeuds déliés, car la présence d'un lien, noués dans les vêtements des assistants pouvait empêcher l'heureuse
délivrance de la parturiente pour qui le sacrifice était offert.
Dans les arts, le type figuré de Junon est le même que celui de la Héra grecque. Cependant, on relève quelques
traits dans certaines représentations romaines. Le type de Juno Pronuba nous est connu par des bas-reliefs
de sarcophages; celui de Juno Lucina, par des monnaies; celui de Juno Sospita, par une belle statue du Vatican;
ceux de Juno Regina et de Juno Cælestis, par de nombreuses monnaies et plusieurs statues. Les modernes ont
conservé à Junon sa physionomie imposante. Un tableau d'Audrea Sacchi (Vienne) nous la montre assise sur un
char tiré par deux paons. Dans un tableau de Natoire (Louvre), elle est assise sur de légers nuages, au-dessus de
l'arc-en-ciel. Un tableau de Paul Véronèse (Bruxelles), qui décorait autrefois le plafond de la salle du conseil des
Dix, à Venise, montre Junon versant ses trésors sur la ville de Venise. Junon se parant de la ceinture de Vénus a
été peinte par A. Coypel. Le peintre Antonio de La Gandara réalisa un tableau de la statue de Junon située au
jardin du Luxembourg. L'épervier et l'oison lui étaient aussi consacrés.
Bibliographie et références:
- Dumézil, "La Religion romaine archaïque"
- Haudry, "Juno Moneta"
- Noailles, "Junon, déesse matrimoniale des Romains"
- Ovide, "Fastes"
- Ovide, "Héroïdes"
- Ovide,"Métamorphoses"
- Pindare, "Odes"
- Renard, "le nom de Junon"
- Virgile, "Enéide"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Chapitre 11 : Samedi 5
Samedi après-midi.
J’arrive chez mon Maître. Je vais baiser les paumes de ses mains.
Il s’adresse à moi :
- Aujourd’hui, on part en voiture. On ira dans un café. Tu dragueras un homme et tu l’emmèneras chez un de mes amis où tu feras l’amour avec lui. Il y a des caméras dans ce local et vous serez filmés.
- Oui, Maître, je peux vous poser une question ?
- Je t’écoute.
- Je devrai le faire payer ? Ce sera pour le faire chanter ?
- Pas du tout, tu es ma soumise, tu ne te prostitues pas, je veux simplement pouvoir te visionner en train de faire l’amour. Tu feras tout ce que vous avez envie de faire. Tu dois oublier que tu es filmée.
Mon Maître m’ordonne d’enlever mon collier.
- Quand nous serons dans le bar, nous serons mari et femme. Exceptionnellement, tu me tutoieras.
- Je n’oserai pas, Maître.
- Tu le feras, c’est un ordre !
- Bien, Maître.
Nous partons donc tous les deux. Nous allons reconnaître le local de l’ami de mon Maître. Ce local comporte un canapé suivi par des caméras. Puis nous allons dans un bar. Mon Maître m’a confié les clés de ce local. Mon Maître me fait asseoir sur une banquette face à la salle. Il se place sur un côté de la table.
- Prend bien soin d’écarter les jambes.
- Oui, Maître.
- Quoi ?
- Oui, mon chéri.
Nous commandons nos boissons. Mon Maître et moi entamons une discussion fictive. Un homme situé presqu’en face de moi me fixe et me sourit. Mon Maître s’en est aperçu. Il me chuchote :
- Réponds à son sourire et écarte les cuisses !
L’homme me fait un clin d’œil. Mon Maître me chuchote :
- Réponds mais il doit croire que je ne m’en aperçois pas.
Le regard de l’homme se fait plus insistant. Mon Maître me dit :
- Maintenant, tu viens m’embrasser, tu t’en vas et tu fais signe à cet homme de te suivre.
Je me lève et m’adresse à haute voix à mon Maître :
- Chéri, je te laisse. À tout-à-l ’heure.
J’embrasse mon Maître sur la bouche, je sors du bar en faisant signe à l’homme d’en faire autant. L’homme me rejoint sur le trottoir.
- Bonjour, je suis Laurent.
- Bonjour, je suis Florence.
Laurent est un bel homme, brun, les yeux marrons. Je le prends par la main :
Je l’emmène au local. Arrivés, je vais m’asseoir sur le canapé. Laurent s’assoit à côté de moi m’attire et m’embrasse. J’aime le goût de sa bouche. Nos langues font connaissance. Nous nous levons, puis il commence de me déshabiller, le teeshirt d’abord, il n’est pas surpris, il avait vu que je n’avais pas de soutien-gorge, puis ma jupe, il est étonné de me voir sans sous-vêtement. Il me caresse les seins puis se penche pour les sucer. Je lui enlève sa veste puis sa chemise. Son torse est poilu. Je lui caresse la poitrine. Je lui enlève son pantalon puis son slip. Il enlève ses chaussures et ses chaussettes. Nous sommes enlacés. Je descends ma bouche sur sa poitrine, j’atteins son nombril. Je me mets à genoux et lui caresse les couilles. Ma bouche atteint son sexe que je commence à lécher. Sa queue prend une belle dimension, je prends en bouche ce sucre d’orge et commence des va-et-vient. Son sexe remplit bien ma bouche, je me délecte. Mais Laurent ne veut pas en rester là, il m’agrippe par les hanches, me renverse sur le canapé, m’écarte les cuisses et sa langue atteint mon clitoris. J’ai déjà beaucoup mouillé, il doit se régaler. Laurent est vraiment un as en cunnilingus. Il me fait jouir. Puis il se redresse, nos bouches se joignent et son sexe pénètre mon vagin. Que c’est bon ! Sa queue va et vient en moi, je suis comblée. Il est insatiable. J’ai l’impression que son sexe me transperce. Il me caresse les seins, je lui caresse le dos. Nous ne faisons qu’un. J’ai un nouvel orgasme. Puis mon amant se vide en moi. Quand il se relève ma bouche attrape son sexe encore vigoureux pour venir cueillir les dernières gouttes de sa semence.
Il s’assoit sur le canapé, me fait venir à califourchon sur ses genoux. Je sens le sperme dégoulinant de mon sexe sur ses cuisses. Nos bouches sont unies, nos langues s’emmêlent. Apparemment mon amant récupère très vite, je sens son sexe sur mon ventre. Je me lève, du sperme coule sur ses cuisses que je me mets à lécher. Son sperme est parfumé. Je n’en laisse pas une goutte. Ma main se dirige vers son sexe et je commence à le branler puis, n’y tenant plus, j’ouvre la bouche et engloutit son sexe. Je suis gourmande, j’aime avoir son sexe en bouche. Puis j’arrête ma pipe m’appuis sur le canapé en tournant le dos à mon amant. Je suis penchée, l’invitation est très claire. Je lui laisse le choix de la porte d’entrée. Laurent se place derrière moi, son gland semble hésiter, haut ou bas. Enfin, il se décide pour le haut. Je sens un sexe pénétrer mon cul. Mon amant entre précautionneusement puis plus hardiment. Je suis remplie. Laurent caresse mes seins puis vient caresser mon bas-ventre. Je suis ravie. Mon amant me procure un orgasme. Il finit par s’épancher à moi. Je me retourne et ma langue vient nettoyer son sexe. Nous nous asseyons sur le canapé, fatigués et repus.
Laurent me demande si on pourrait se revoir. J’hésite, ne sachant pas ce que voudra mon Maître. Je lui dis que ce sera difficile avec mon mari. Nous nous rhabillons. Il me griffonne son numéro de téléphone, nous échangeons un dernier baiser.
Je rejoins mon Maître qui est resté à la même place dans le bar. Il me tend mon collier que je remets.
- Tout s’est bien passé ?
- Oui, Maître, je vous remercie.
- Tu t’es bien envoyée en l’air ?
- Oui. Le monsieur a demandé à me revoir.
Je tends à mon Maître le papier où Laurent a écrit son numéro de téléphone.
- On verra. On retourne au local. Je veux voir tout de suite la vidéo.
Nous sortons du bar et rejoignons le local. Mon Maître se déshabille et m’ordonne d’en faire autant. Il prend la télécommande en main.
- Pendant le visionnage tu me suceras. Pas de préliminaire. Tout de suite gorge profonde.
- Bien Maitre.
Mon Maître s’assoit sur le canapé, je m’agenouille devant lui. La vidéo a débuté. Je prends le sexe de mon Maître en bouche directement en en absorbant le plus possible. Son sexe ne ressemble pas à celui de Laurent, il n’a pas le même goût non plus. Mon Maître s’adresse à moi :
- Ne bouge plus. Contente-toi de garder mon sexe dans ta bouche.
Je suis dans l’incapacité de répondre. J’arrête tout mouvement. Le sexe de mon Maître rapetisse et grandit successivement dans ma bouche, certainement à la vue de ma scène d’amour avec Laurent. Je reste patiente en gardant ce sexe dans la bouche.
Le temps me paraît arrêté.
J’entends mon Maître poser la télécommande. Son bassin commence alors à osciller, son sexe grandit et il jouit dans ma bouche.
Nous nous rhabillons et rejoignons la voiture et regagnons le domicile de mon Maître. Je dois me déshabiller/
- Je suis content de toi, tu es une bonne baiseuse.
- Merci, Maître.
- Je garde cette vidéo, je la montrerai à des amis. Ils auront peut-être envie de te rencontrer.
- Comme vous voudrez, Maître.
- Va chercher la cravache !
J’ai droit à mes vingt-cinq coups que je compte et je n’oublie pas de remercier.
- Maintenant, tu dégages. À demain.
Je vais baiser les paumes des mains de mon Maître, je me rhabille et m’en vais.
Je suis satisfaite de ma journée. J’ai eu beaucoup de plaisir avec Laurent, j’ai donné satisfaction à mon Maître qui me fera peut-être faire connaissance avec d’autres partenaires.
Vivement demain !
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Chez moi, vendredi prochain, tu auras droit à cela, je te l'ai promis. Rendez-vous
à dix-huit heures précise, sinon correction. Tu porteras ce que je t'ai demandé: des
chaussures à talons hauts et une robe courte découvrant tes fines jambes brunies
qui me reviennent. Si tu as mis un string ou un soutien-gorge, je suspends le jeu. Un
arrêt irréversible. Tu es en retard ma Juliette qui longe les murs du boulevard, tantôt
poussée, tantôt ralentie par ton désir qui t'éclabousse. Tu es venue en bus. La moiteur
du skaï de la banquette rouge sous ton sexe ouvert. Ton sexe ouvert, mouillé, déjà prêt.
Tu traverses la place ronde. À trois-cents soixante degrés, des terrasses de café. Des
hommes. Leurs yeux comme des jumelles sous le fottant tissu à pois blancs de ta robe
bleu. La main d'un vent taquin frôle l'intérieur de tes cuisses. Ils devinent tes seins. Ton
désir te fait honte. Bientôt, tu marches très vite jambes serrées, une main tenant ta robe
volage. Tu caches tes seins. Ton ventre lisse avance vers moi qui t'attends.
Je t'attends sur le canapé, à l'angle. Un bras étendu sur l'accoudoir en velours grenat. Jambes croisées, pieds
nus, ongles lissés d'un vernis rouge. En dessous noirs. Autour de dix-neuf heures, Juliette en retard sonne à la
porte. Trop facile, pas de punition, je ne suis pas dupe. Nonchalante, elle pousse la porte entrouverte. À double
tour, la referme. La voici introduite dans la pénombre fraîche de mon salon, par une très jeune fille nue, complice
de nos jeux. En fond sonore, du Satie, les Gymnopédies; c'est la "fête des enfants nus". Doucement le piano
pour entendre le bruit de tes pas quand sur le parquet point de hongrie, tu te déshabilleras lentement, une
épaule après l'autre, ta robe glissera sur le sol. Doucement pour écouter le clapotis de ton sexe entre mes doigts.
Je décroise mes jambes. Viens ici. Mes paumes claquant deux fois sur mes cuisses te prient d'avancer. Plus vite
Juliette. L'œil de ton nombril, je le vois, de si près maintenant. Retourne-toi. Assieds-toi. Non, pas comme ça. Pas
de profil. Ne me présente pas tes fesses. Pas de fessée. Tu ne le mérites pas, c'est trop facile d'arriver en retard.
Tu me présentes ton dos. Le dessin de tes omoplates, ailes de papillon. La rivière de ta colonne vertébrale coule
entre tes reins creusés par le désir. Le relief de tes vertèbres, des cailloux polis sous mes doigts. Assieds-toi. De
dos, tu te présentes. Ta cuisse qui s'ouvre en arc de cercle. Lentement, joueuse. Ton sexe danse sur l'arête de
mes genoux. Je sens l'écartement de tes lèvres, la pointe de ton clitoris. Ta nuque balancée qui dit tantôt non,
tantôt oui. Mes doigts s'égarent dessus dessous les lèvres de ton sexe. Tu te laisses dompter trop facilement.
Ainsi, tu le désires, tu exiges vraiment ce que je t'ai promis ? Tes yeux se retournent vers mon sourire. Te taire.
Le silence, nous l'avons décidé ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas hurler quand je te flagellerai jusqu'au sang.
Tu n'as pas le choix. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible de la séance. Tes longs cils recourbés de chatte.
La fente des pupilles. Tes yeux rieurs. Juliette ne sait pas ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son
plaisir. Elle va y prendre goût. Comme le sperme des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus
la nuque passe le harnais en cuir. Ton corps supplie. Toujours nue, de dos sur mes genoux. Bientôt, mes
en synchronie, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de tes
lèvres. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir.
Le grain de ta peau sur ma langue. Les lèvres de ton sexe sur la pulpe de mes doigts. Ta joue sur ton épaule.
Te taire. Tes mains à l'envers ont fermé les crochets en métal. Mon souffle effleurant le profil de tes seins dressés
avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape
par la nuque. Te renverse sur le canapé. Je te dévores. Tu te débats. Tu me supplies. Juliette n'a pas de honte à
exposer son corps asséché de solitude. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est
légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur ton entrecuisse à peine ouverte. Ton désir est envahissant, toute
les lèvres de ton sexe, l'émergence de sa pointe, la moiteur de ses plis, les battements de sa matrice.
Le feu innonde tes reins. Tu es foudroyée. Tu me gicles au visage des flots de plaisir. La jouissance est à nouveau
proche d'enfler ton ventre. Elle te pénètre. Mes mains sous tes fesses pour t'avoir encore de plus près, pour te
fouiller plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser brutal,
comme la secousse qui nous bascule. Un baiser qui énerva chaque projectile de jouissance. Assouvie nuit pareille
à nulle autre, jamais Juliette ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans être battue. Dehors, il pleuvait,
et le catalpa de la place près de la fenêtre se courbait et se redressait sous le vent. Des feuilles pâles, mouillées,
se plaquaient sur les vitres. Il faisait noir comme au cœur de la nuit.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Quand elle se présenta à la porte, Juliette se sentait nerveuse; sa Maîtresse lui avait ordonné
de s'offrir à une inconnue rencontrée par hasard dans un restaurant chic. Un peu affolée à
l'idée d'affronter cette nouvelle épreuve inattendue, ses jambes tremblaient. Autour d'elle,
tout s'écroulait. Elle ne savait plus: aurait-elle la force et le courage d'appuyer sur le bouton
de l'interphone et de se soumettre à tous les fantasmes d'une étrangère ? Seule face à
elle-même, elle demeura là, interdite de longs instants. Tout se bousculait dans sa tête.
Mais finalement, elle pensa à sa Maîtresse, à la force du lien qui les unissait, et surtout
à la fierté qu'elle éprouverait quand tout serait fini. Elle réussit à contrôler les battements
de son cœur et elle pressa sur le bouton. Aucune voix ne répondit, mais la porte s'ouvrit.
Elle pénétra dans l'entrée de l'immeuble et se dirigea vers l'ascenseur. Il était encore temps de faire demi-tour,
mais maintenant elle ne voulait plus reculer. Elle frappa à la porte, sans même sans apercevoir. Elle étouffait,
mais l'inconnue apparût. Elle était réellement superbe et devait avoir son âge. Au comble de l'émotion et de
l'excitation, elle commit sa première faute, en oubliant de se déshabiller. L'inconnue le fit pour elle, avec grâce
et naturel. Puis, elle retira à son tour son jean et son chemisier. Son corps était absolument parfait. Juliette se
sentit soudainement complexée. Elle connaissait ses imperfections, que Ka-Sandra ne manquait pas de critiquer
cruellement. Elle avait des petits seins. Et ses cheveux trop courts lui donnaient un air de garçon manqué.
En se surprenant dans le reflet d'un miroir, elle se rassura. Son bronzage la rendait attirante mais timide et
nue, les mains croisées sur le pubis, elle avait l'air d'une escort-girl inexpérimentée. L'inconnue se leva, se
dirigea vers Juliette en la fixant du regard. Arrivée près d'elle, brusquement elle la gifla violemment.
Juliette recula protégeant son visage rougi de ses deux mains.
- Mais pourquoi ? Je n'ai rien fait.
- Non, mais c'est juste pour te montrer qui commande, ici, comprends-tu ?
- Oui.
- As-tu retiré ton plug anal ?
- Oui
- Parfait, prends celui-ci et enfonce le profondément dans ton cul, mais à sec, sans préparation.
- Mais, c'est impossible.
Elle leva la main faisant mine de la gifler à nouveau.
- Oui, oui ne vous énervez pas.
Elle s'accroupit et fit pénétrer le gode doucement, c'était très douloureux, pourtant, l'inconnue n'avait pas choisi un gros.
Il avait un bout évasé, de façon, à ce qu'il puisse pénétrer complètement et profondément, tout en restant fixé en elle.
- OK viens t'asseoir près de moi.
- Ne t'inquiètes pas, tu vas t'habituer, chaque fois que tu viendras me voir, je veux que tu le portes en toi pour t'élargir.
Il faudra que tu apprennes à marcher avec sans te faire remarquer, tu verras, tu t'y feras très vite.
- Maintenant, allonge-toi sur le ventre sur le canapé.
Curieusement, la voix de l'inconnue était devenue plus chaleureuse, presque amicale. Elle massa les fesses de Juliette
avec application, en faisant glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand elle s'arrêta,
ôta le plug anal et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile. Elle présenta le bout du tube sur l’anus
et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres. Juliette releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et
reposa sa tête. L'inconnue vida la moitié de l'huile dans le rectum déjà dilaté.
– Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal; elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation.
L'inconnue enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait
que Juliette n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. Elle avait la
respiration saccadée et rauque, la bouche sèche; elle était dans cet état second où l'appréhension des gestes de
de l'inconnue conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt,
l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnant, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant
délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient.
Juliette se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvement
du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. L'inconnue le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Juliette s'accouda
et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face au canapé. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux,
L'étrangère devina qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois
mais de toutes leurs forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle pensait fort à sa Maîtresse qui lui reprocherait.
Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa les épaules. Juliette avait posé les bras le long de son corps
et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu.
Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait
jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats
qui pénétrèrent son anus; la chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion.
L'inconnue admirait Juliette qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en
passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec
une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Elle enfonça alors l’olisbos puis arrêta la progression
et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Juliette se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours
cette vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement.
Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois.
Juliette avait l’anus bien dilaté et l'inconnue écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait
toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût
certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière dorée
du plafonnier dévoilant la nudité des deux jeunes femmes.
Le corps de Juliette réclamait toujours davantage; le devinant, l'inconnue ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel,
pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient
étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de l'inconnue. Alors Juliette,
détendue, se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant; la décharge fut intense et l'orgasme violent.
Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. L'inconnue sentit la jouissance
envahir Juliette par saccades, les contactions la lancèrent en la fluidifiant jusqu'aux premières dorsales. Elle l'empala de
son poignet encore plus profondément. Le cri résonna en écho. Les chairs résistèrent, s'insurgèrent puis craquèrent et se
fendirent en obéissant. Juliette desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. Elle hurla encore une fois.
Sa jouissance fut si forte que son cœur battit à se rompre. Alors l'inconnue retira très lentement son poignet. Juliette était
suppliciée, extasiée, anéantie mais heureuse et détendue. Elle avait lâché prise sans aucune pudeur jusqu'aux limites de
l'imaginable mais à aucun moment, elle s'était sentie menacée ni jugée. Au pays d'Éros, elle serait libre dorénavant.
- Je suis donc anale ... soupira-t-elle.
- En doutais-tu ? lui répondit l'inconnue.
- Vous reverrais-je bientôt ? demanda Juliette.
- Certainement, ma chérie. Mais n'oublie pas le plug anal, tu le porteras désormais en permanence.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ce sont des amis qui ont pour habitude de se retrouver et de boire un verre chez Jean,. Celui ci possède une belle maison avec un grand parc et de beaux arbres. Une dizaines de couples qui se retrouvent souvent le week end, jouent aux cartes, aux boules, (aux parties de boules aussi). Une sorte de club non officiel ou parfois les partenaires s'échangent pour le plaisir du sexe.
C'est Gaston, le mari de Béa qui a eu l'idée de ce jeu de la culotte, un soir où il avait un peu forcé sur l'alcool.
-Qui peut reconnaitre l'odeur intime de sa femme?
Un jeu simple, toutes les femmes ont enlevé leurs culottes et ont bandé les yeux des hommes. Tous ont du sentir et essayer de reconnaitre la culotte de leur femme à l'odeur. interdiction de toucher. Presque tous se sont plantés.
Un résultat bien surprenant. Peu d'hommes savent reconnaitre leurs femmes à l'odeur. Ce ne sont pas que des rires et des blagounettes qui ont fusé.... Puis Béa a dit que puisque c'était comme cela, les hommes devaient embrasser les chattes des culottes choisies et ceux, le plus grand nombre, qui s'étaient trompés devaient exécuter un gage sur ordre de leur femmes respectives.
Le jeu de la culotte a fini en partouze. La cyprine a coulé à flots ce soir là.
La morale de cette histoire c'est que les hommes sont de mauvais chiens pour sentir le cul de leur femmes.
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La réplique de Sarah était si choquante et, par contraste, elle l’avait énoncée d’une façon si sereine qu’elle me resta gravée longtemps à l’esprit. J’avais lointainement entendu évoquer ces ventes aux enchères d’esclaves mais je n’avais jamais vraiment cru à leur réalité. Ce qui me rappelait la menace de Sarah était de constater, chaque fois que je les retrouvais ensemble, que ce qui les liait ne me semblait plus être de l’ordre du désir ou de l’amour, mais du simple pouvoir de l’une sur l’autre. Les baisers, les caresses, tous les gestes délicats avaient disparu. Sarah avait la jouissance de Cléo comme on parle de la jouissance d’un bien, d’une maison, d’un objet. Elle en avait l’usage. Cette froideur, je l’identifiais dans les paroles et les gestes sans tendresse de Sarah, je la reconnaissais dans l’humilité presque exagérée de Cléo comme dans ce malaise qui flottait imperceptiblement en leur présence.
Cléo passait ses nuits nue, à même le sol, menottée et tenue par une laisse au pied du lit de Sarah. D’après ce que j’en appris, son service consistait toujours à laver, épiler et habiller sa maîtresse ou à lui lécher l’entrejambe chaque fois que Sarah en ressentait le désir mais elle ne bénéficiait en retour d’aucune caresse ni récompense. Bien au contraire, les punitions tombaient à une fréquence redoublée. Plus les jours passaient et ma compassion envers Cléo s’affirmait. Les marques rouges sur ses fesses, ses seins ou son bas-ventre se renouvelaient assez vite pour ne jamais paraître s’effacer. Pourtant, si les claquements du fouet ne parvenaient au travers des cloisons, jamais je n’entendais Cléo se plaindre.
Un soir, je pris Sarah à part et lui intimai de se tenir à ma disposition dans ma chambre, sitôt dîné.
Elle s’exécuta. Une petite heure plus tard, je la découvris splendidement nue, auréolée de sa crinière rousse, cuisses entrouvertes et tête baissée. Elle me présenta le fouet.
- J’imagine que vous allez en avoir besoin.
Plutôt que je prendre l’objet, je saisis Sarah par le menton et la forçai à me regarder dans les yeux tandis que mon autre main empoignait vigoureusement son sexe. Aucune réaction de douleur ne la trahit. Stoïque, elle accepta sans la moindre faiblesse que je brutalise sa vulve, tout juste laissa-t-elle un peu de sa liqueur suinter entre mes doigts.
- Je ne peux pas te le reprocher mais je te le dis tout de même. Tu es beaucoup trop dure avec Cléo. Elle a compris. Les punitions ne suffisent pas, une soumise doit également être récompensée si tu veux la corriger.
- Monsieur, avec tout le respect que je vous dois, c’est à moi de juger…
La gifle qui s’abattit sur sa joue lui coupa le souffle. Elle m’écouta en ouvrant des yeux stupéfaits. jamais, je ne l’avais frappée au visage.
- Je ne te demande pas ton avis, mais de m’écouter. Je n’attends pas seulement d'une soumise qu’elle soit à ma disposition et qu’elle m’obéisse, j’attends qu’elle se comporte de façon irréprochable envers les autres. Cela inclut Cléo, bien évidemment. Tu ne cherches qu’à te venger de l’affront qu’elle t’a fait. Pas à la dresser. À ce compte, Cléo reprendra vite sa liberté.
Sarah hocha la tête. Une larme courut sur sa joue encore rosie par la gifle.
Je lui menottai les poignets et l’attachai, les bras au dessus de la tête, à la chaîne fixée a une poutre, en veillant à ce qu’elle ne repose plus que sur la pointe des pieds.
Le fouet claqua sur son flanc, s’écrasa sur ses seins, zébra ses fesses, sillonna ses cuisses, claqua sur son ventre, mordit sa vulve. Sarah se tordait en gémissant mais ma colère était loin d’être épuisée. Ce qui, sans doute, la sauva, fut, en dernier recours, d’implorer ma pitié. La sincérité de sa voix me bouleversa. Elle me parut alors si fragile que je laissai tomber le fouet, que je lui caressai lentement le dos et les fesses. Elle comprit et se cambra. Je la plaquai contre moi, de dos, la forçant à s'offrir en lui tirait les cheveux en arrière et simultanément lui enfonçai deux doigts dans l’anus. Je la travaillais ainsi plusieurs minutes, asservissant le mouvement de son corps à celui de ma main. Son corps ondulait, sa croupe s’ouvrait mais les ondes de plaisir qui remontaient au long de son ventre mourraient avant de la liquéfier.
Elle ne céda que bien plus tard, alors que je m’épuisais, et c’est avec un long rauque qu’elle s’abandonna toute entière aux doigts qui la fouillaient. Une suite de secousses agitèrent son corps avant qu’elle ne s’affaisse, inerte.
Je ne la détachai pas.
Au moment où je quittai la chambre je l’entendis uriner sur elle.
Les jours s’écoulèrent dans un climat de tension impossible à dénouer. Outre le conflit entre Sarah et Cléo, les problèmes au travail me minaient le moral. J’avais beau passer des coups d fil à longueur de journée, publier des offres, rien en venait. Les anciens collègues n’avaient rien à me sous-traiter, d’autres avaient changé de métier, les secrétaires faisaient barrage lorsque je tentais d’accéder à leur patron.
Je pris l’habitude de prendre mon café le matin et lire le journal dans un bar tout proche pour échapper à l’atmosphère de la maison. cela faisait longtemps que je ne le fréquentais plus, depuis l’arrivée de Sarah du moins, et je fus heureux d’en retrouver l’ambiance. Les odeurs et les conversations était toujours les mêmes, le café n’avait pas changé de goût ni le patronne de brushing. C’est à ces petites choses que la vie tient.
D’un commun accord, il fut décidé que chacun prendrait son week-end de son côté. Il ne faisait aucune doute que Cléo allait rejoindre sa nouvelle fiancée mais personne ne le lui demanda. Pour ma part, je me faisais le plus souvent inviter chez des amis afin de recréer un réseau social trop longtemps laissé en jachère. Quand à Sarah, elle restait à la maison.
Pourtant, environ un mois plus tard, un samedi, Sarah m’annonça que se tenait le soir même une soirée, dans un certain lieu privé où nous devions nous rendre tous les trois.
- Pour une vente aux enchères, précisa-t-elle.
Au cours de la semaine, plusieurs courriers recommandés m’étaient parvenus, toujours avec les mêmes mauvaises nouvelles. Les clients me lâchaient les uns après les autres. ce ne pouvait-être l’effet du hasard. Un bruit avait couru, quelqu’un avait fait pression…
- Vous voyez bien, Monsieur, nous avons besoin d’argent…
- Tu lui en as parlé ?
- Non, elle ne doit rien savoir. Combien vous faut-il ?
- Beaucoup.
- Elle vaut bien cela.
Il nous fallu une petite heure de route pour atteindre une banlieue retirée de l’Est de Paris où nous découvrîmes après de longues recherches une villa moderniste, composées d’éléments de béton rectangulaires et peinte en blanc, avec de très larges baies vitrées qui donnaient l’impression de tout voir de l’extérieur. Un petit parc boisé la protégeait des regards trop curieux. Sarah passa un appel pour que la grille nous soit ouverte et, au moment de descendre de voiture, elle nous remis, à Cléo et moi, un masque. Cléo n’était vêtue que d’une longue robe dorée parfaitement transparente, sans aucun dessous, elle lui passa une laisse au collier.
Il fallait suivre un long bassin éclairé pour atteindre l'entrée. Deux vigiles gardaient l'entrée. Thérèse leur présenta nos invitations. Elle semblait beaucoup tout à fait familière des lieux ou alors extraordinairement sûre d'elle-même.
Nous fûmes dirigés vers une grande salle où quelques dizaines de chaises avaient installées face à une estrade en T dont la plus longue branche séparait l’auditoire en deux. Sarah disparut avec Cléo tandis que je m’installai au hasard. Il y avait bien déjà une trentaine de personnes, hommes et femmes, et la porte d’entrée ne cessait de s’ouvrir sur de nouveaux arrivants. Tous les visages étaient cachés. Parfois d’un simple loup, d’autres fois, d’un masque qui dissimulait entièrement le visage. Il était assez facile de distinguer les maîtres et maîtresses, les soumis ou soumises, les lesbiennes, les homosexuels de par leur simple tenue, même si, d’une façon générale, les femmes étaient tous assez peu vêtues.
Sarah, revenant seule et s’asseyant à mes côtés, prit les devants, sachant mon ferme hostilité à son projet.
- Monsieur, j’ai réfléchi à ce que vous m’avez dit et j’y adhère. Cléo ne va pas être vendue. Disons que je vais seulement la louer et dans des conditions très précises. Elle reviendra bientôt, je vous le promets.
Rassuré, je déposais un baiser sur les lèvres de la belle rousse qui, en remerciement, se tourna vers moi avec un mouvement qui remonta suffisamment sa mini-jupe pour me laisser admirer l’anneau de son sexe.
Vingt minutes plus tard, la salle était comble, un homme en smoking fit son apparition sur l’estrade et prit place derrière un pupitre.
- Mesdames et messieurs, dit-il, je vous remercie d’être venus aussi nombreux à cette vente aux enchères. C’est une vente exceptionnelle, la première depuis un an, parce que nous avons tenus à vous présenter un lot de vingt-cinq esclaves mâles et femelles d’une très grande qualité. Ce sont tous des specimens particulièrement recherchés que nous destinons à un public qui en saura en apprécier la valeur. Vous connaissez tous le principe d’une vente aux enchères, je ne l’expliquerai donc pas. Le règlement devra se faire immédiatement et nous nous portons garants de la vente, comme toujours. Faites entrer le premier lot !
Deux solides gaillards firent leur apparition sur la droite, encadrant cinq esclaves mâles et femelles. Cléo n’en faisait pas partie. Tous les esclaves étaient couverts d’une longue tunique blanche et portait un collier au cou. Le premier fut avancé sur le devant de l’estrade et sa tunique fut dégrafée révélant un athlète d’une rare beauté. Il devait avoir une trentaine d’années, il était brun et son corps épilé disposait d’une robuste musculature. L’un des gardes le fit pivoter de façon à ce que l’on puisse l’admirer de dos comme de face puis il s’empara de sa verge et le branla vigoureusement afin que le public constate ses capacités. L’esclave ne sourcilla pas. Il fut ensuite poussé sur le catwalk pour défiler au milieu du public. Une femme leva la main.
- Je vous en prie, madame, fit le commissaire priseur.
La femme prit dans sa main les bourses du jeune homme, les cajola, les pressa, les serra augmentant l’érection d'une façon qui souleva un murmure d’admiration dans la salle.
Plusieurs mains se dressèrent lorsque les enchères commencèrent et les chiffres valsèrent à une vitesse vertigineuse. Malheureusement pour elle, ce ne fut pas celle qui avait mis en valeur les capacités du garçon qui l’emporta mais un homme élégant qui se tenait à l’écart.
Vint ensuite une jeune femme qui fut soumise au même rituel. C’était une beauté méditerranéenne tout à fait séduisante, avec une chevelure, des sourcils et des yeux très bruns, des seins très lourds, des hanches harmonieuses et un sexe très discret. Un acheteur voulut vérifier son étroitesse, on lui procura un godemichet de taille modeste, la fille, qui était trop étroite, se laissa sonder avec une bonne volonté qui, là-encore, conquit le public.
Le premier lot partit rapidement à des prix raisonnables. Les acheteurs se réservaient pour la suite, les esclaves proposés étaient visiblement habitués à l’exercice ce qui laissait imaginer qu’ils avaient déjà plusieurs fois changé de mains.
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Le jour J arrive...
Lili a bien préparée sa tenue , sa coiffure , sa posture , les jouets sont lavés et posés de tel sorte que Monsieur puisse en disposer.
Lili a réfléchie depuis plusieurs jours et sais ce qu'il lui reste à faire dès qu'il rentre dans l'appartement.
Il sonne , elle ouvre tête baissée et le débarrasse.
Elle revient et demande l'autorisation de le toucher, il acquiesce surprit .
Elle s'approche de son pantalon et ôte sa ceinture , lui pose dans la mains , se remet à 4 pattes avec ses mots : j'ai réfléchie Monsieur et je mérite la ceinture pour ne pas avoir été sage....
Lili accompagne ses mots de pleurs , elle est peu résistante à la douleur et cela lui paraît insurmontable.
Lili aime faire ce qu'elle veut quand elle veut avec qui elle veut....
Lili se sent forte mais dès qu'elle est en sa présence , elle doit s'y résoudre elle devient sa chose...
Lili a lu beaucoup sur le sujet car comment peut-on sciemment se laisser faire de la sorte, comment ne pas se rebeller, est ce normale ? Suis je déconnectée de la vie ?
Oh Lili s'est bien rebellée au début car tout ceci n'était qu'un jeu , elle pensait être plus forte et prendre le dessus .
il lui a laissé du temps mais il y a eu La punition pour définir qui contrôle et qu'il n'y avait aucune chance que Lili gagne.
Lili ne savait pas jusqu'à cette rencontre improbable qu'elle aimait être soumise , qu'elle avait ce besoin de ne plus contrôler , de lâcher prise sur son quotidien et d'avoir ce moment qui lui appartient.
Lili pleure car elle le sait il n'est pas venu pour la câliner mais laisser son côté perver s'épanouir sur sa chose.
Souvent dans les conversations il lui demande à qui elle appartient et c'est à Lui.
PS : confuse si il y a des fautes , je manie plus facilement ma langue avec dextérité que la langue française à mon grand regret.
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Depuis le réveil, le temps ne me laissait pas le dépasser. Comme d'habitude, lever, envoi un message à mon fiancé, déjeuner, faire sa toilette, regarder l'heure, se dépêcher. Dialogue intérieur : "P**** il est déjà telle heure, je suis en retard, speed toi, je vais pas y arriver, allez ma belle vas y" en même temps que je finis la douche, je m'habille rapidement, fais mes papiers, vérifie que j'ai rien oublié, mets mes chaussures, prends mon sac, dois aller chercher ma voiture derrière la maison car il y a des travaux, presque à la voiture. A ce moment là, "Madame, je crois que la porte de votre maison est ouverte", "Quoi, oh p*****", je cours et vais la fermer, regarde l'heure, "10h20", "je vais être en retard". Excès de vitesse, respect approximatif du code de la route, bientôt arrivé et… les flics, il ne manquait plus qu'eux. "Bonjour Madame, veuillez couper la musique, le contact et me donner la carte grise et verte de votre voiture". "M. l'agent, j'ai pas le temps je suis en retard, j'ai un rendez vous". "Vous ne seriez pas en train de faire une obstruction à la justice ? ". "Non" "Bon vous avez rendez vous où et à quel heure ?", "Dans le rue en face des pompes funèbres", "Rue de Dunkerque ?" "Je sais pas le nom de la rue et à 11h". Il regarde sa montre, "vous feriez bien de vous dépêcher, votre heure est passée". "Merci monsieur l'agent et bonne journée".
Je suis très hyperactive le temps du rendez vous, je ne peux pas remplir un litre et demi de lait dans une bouteille de 1 litre, ah bon ?
Toute secouée du rendez vous qui s'est fini tard, je rentre chez moi, il est midi et demi passé et toujours pas mangé. En arrivant, je vois mon dom sur sa moto, il a l'air inquiet. "Bonjour tu étais parti ?" "Oui j'avais un rendez vous". Je ne savais pas s'il viendrai car il faisait la girouette donc je ne l'attendais plus. Je suis overbooké mais je ne vais pas le mettre dehors. S'il savait mes comportements de ce matin en plus… Nous descendons à pied chez moi, des ouvriers goudronnent devant chez moi. J'ouvre la porte, enlève mes chaussures et mon sac, me prépare à manger et mange. Il enlève ses chaussures, son blouson de motard et s'assoit sur une chaise. Quand j'ai fini mon repas, il me chuchote à l'oreille, nous devrions monter en chambre. Ce que je fis quelques minutes plus tard. Peu de temps après, mon dom qui contenait sa colère jusque là, enlève sa ceinture, me saisit et me plie sous son bras, de sa main libre il me fouette les fesses vigoureusement sur le pantalon, j'ai déjà mal, je voudrais crier mais aucun son ne s'échappe de ma bouche. Il me déshabille rapidement le jean et la culotte, me pousse sur le lit et continue de me donner des coups de ceinture cul nu, j'ai mal. Il me dit "tu as certainement mal mais tu ne pleure pas encore", je ne sais plus où me mettre. Je sais que j'ai cherché. Il colle ensuite un sex toy sur mon armoire et m'ordonne de faire une gorge profonde, j'essaye mais n'y arrive pas, il me dit comment faire mais je ne peux pas car sinon j'étouffe. Je lui dis "je n'y arrive pas et ce n'est pas la peine d'insister". Il retire le sextoy, reprend son sac et s'en va en me disant "quand tu saura dire "oui" je reviendrai sinon ce n'est pas la peine." Cela fait deux ans que je connais mon dom et fais des séances avec lui, c'est la première fois qu'une séance se passe comme ça, je ne pensais pas que ça puisse arriver.
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Lorsqu'elle s'éveilla, le soleil déjà haut dans le ciel, s'était engouffré dans la chambre et la
transformait peu à peu en étuve. Juliette rejeta les draps humides entortillés autour d'elle.
Le radioréveil lui indiqua qu'il était plus de onze heures. Tout le monde avait dû partir au
travail maintenant. Une journée comme les autres commençait dehors. Elle avait mal dormi.
Elle se mit à trembler de façon nerveuse, elle savait qu'elle jouait gros maintenant, il lui aurait
été facile de couper court à cette relation de soumission et de poursuivre sa vie de femme
d'affaires à laquelle rien ne résistait, mais son estomac se serra, la chaleur du désir l'envahissait,
l'irrésistible envie de découvrir un univers totalement inconnu pour elle, celui de l'abnégation.
En s'habillant, toutes les bonnes résolutions de la nuit s'étaient envolées. Elle rendit les armes.
Lorsqu'elle arriva à son bureau, Juliette portait un de ses tailleurs classiques qu'elle affectionnait
particulièrement avant que Chloé ne lui impose des tenues provocantes; celui-ci, gris anthracite
était composé d'une jupe droite lui arrivant juste au dessus des genoux et d'une veste croisée
sur un chemisier blanc au col entrouvert, mettant en valeur un collier de perles fines; sous ce
chemisier, un soutien-gorge balconnet transparent aux baleines rigides, rehaussant ses seins
aux larges aréoles brunes; comme l'avait exigé sa nouvelle maîtresse, sous sa jupe, rien qu'une
paire de bas fins noirs, un porte-jarretelle de la même couleur, et un plug anal destiné à l'élargir.
Elle sentait l’étau se resserrer sur elle, et pourtant cet étau, c'est elle qui l'avait mis en place, elle une femme de
pouvoir, fière et crainte de tous, une femme de décisions, froide en affaires, distante avec ses subordonnés.
Laurence avait exigé d'elle qu'elle séduise Chloé, la jeune stagiaire que Juliette venait d'embaucher. Elle y
parvint facilement car cette jeune fille, sous ses apparences innocentes, était en fait une jeune femme très
libérée qui avait compris tout l'intérêt qu'elle pourrait tirer de la situation. Bien que n'étant pas lesbienne, elle
accepta cette relation inédite, mais elle se rendit vite compte que Juliette, sous ses attitudes hautaines avait
des comportements qui laissaient deviner qu'elle était d'une nature soumise, alors elle décida de la tester.
Juliette se sentant prise à son propre piège, se retrouvait maintenant à quarante-deux ans à la merci de ces deux
gamines de vingt-trois et dix-neuf ans, mais paradoxalement de ce piège démoniaque elle jouissait, son esprit rejetait
cette situation mais son corps la demandait. C'était une femme qui avait beaucoup de classe, se tenant très droite,
toujours habillée avec élégance, ses cheveux châtains souvent coiffés en chignon; sportive elle avait gardé un corps
ferme et bien proportionné avec une poitrine superbe. Arrivant au bureau son sang se glaça quand elle vit Laurence
souriante dans le hall qui discutait avec Chloé, un café à la main.
- On va aller à ton bureau on a des choses à te dire.
Tremblante elle les précéda, les deux jeunes femmes s'assirent, Juliette allait s'asseoir quand Laurence la stoppa.
- Reste debout.
- Ecoutez, j'en ai assez de tout ça, on est allé trop loin, je ne vous en veux pas mais restons en là, je vous prie, je
reconnais que c'est un jeu excitant mais je ne veux pas que ça interfère dans ma vie professionnelle.
- C'est justement de ça que nous discutions avec Laurence, ne t'inquiète pas, nous n'en voulons pas à ton argent,
tout ce qui se passe et qui se passera entre nous est strictement privé, on veut juste te faire comprendre qu'une femme
comme toi n'est qu'une femme ordinaire, tu te crois supérieure ? Alors on va te faire comprendre la vie, tu m'as souvent
humiliée, traitée comme une moins que rien mais en vérité, tu es juste une salope.
- Je t'avais prévenue, je t'ai demandé si tu savais à quoi tu t'engageais en acceptant de m'appartenir, tu as dis oui il me
semble... Alors, tu es à moi, point final.
- Tu es une salope, dis-le.
- Je... Je suis une salope.
- Voilà au moins c'est clair, alors écoute bien ce que je vais te dire. J'en ai mare de toi, j'ai plus envie de te voir, maintenant
tu es devenue une vraie gouine et j'aime pas les gouines, je préfère les bites bien dures, alors je te donne à Laurence, c'est
une brave fille mais elle a envie de s'amuser un peu avec toi, donc tu l'écouteras comme si c'était moi. Ok ?
- À toi de jouer, Chloé.
Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à ses bureaux, Chloé étant à l'accueil, lui fit un clin d'oeil, Juliette détourna le regard
faisant mine de n'avoir rien remarqué. Cinq minutes plus tard, on frappait à la porte de son bureau.
- Oui entrez.
Chloé entra et referma la porte.
- Tu m'ignores ?
- Non Chloé, mais nous sommes au bureau ici, c'est différent.
- Différent de quoi ? Tu me prends pour une imbécile ? Tu veux que j'appelle Laurence ?
- Non ne fais pas ça, je ne veux pas me facher avec elle et puis tu es une amie maintenant, je te prie de m'excuser,
je ne voulais pas te vexer.
- Ton amie ? Je vais te montrer si on est juste amies.
Chloé s'approcha d'un pas vif et l'embrassa à pleine bouche fourrant sa langue au plus profond de sa gorge, puis lui
mordit les lèvres. Juliette, les mains posées sur son bureau, crispa les papiers qu'elle avait sous les mains. Chloé lui
lui saisit la main droite et la lui fourra entre ses cuisses.
- Vas-y branle moi.
Juliette était morte de peur et résista.
- Tu veux que je te le dises plus fort ? Ça ferait mauvais effet non ?
Juliette céda, Laurence jouissait de la situation, elle sentait que sa patronne cédait à ses caprices.
- Plus vite, mieux que ça.
Chloé, pendant ce temps malaxait la poitrine de Juliette, par dessus son chemisier puis elle lui saisit sa main et la
fourra sous son string.
- Tu sais très bien où il faut caresser, je n'ai plus envie de te le demander, je veux un orgasme.
Elle s'appliqua sur son clitoris, puis au bout d'un moment, Chloé lui prit la main fermement et l'amena sur le canapé en
cuir du bureau, elle la positionna la tête sur un accoudoir, puis elle écarta les cuisses et se positionna à cheval au dessus
de sa tête.
- Vas-y suce moi, et fais le bien.
Juliette lui suça le clitoris, Chloé s'accroupit un peu plus de façon, à ce que sa patronne ait la bouche et le nez fourrés
dans sa vulve, puis la jeune fille se retourna, se baissa et lui mit ses fesses au niveau de sa bouche puis elle écarta ses
cuisses avec ses deux mains, sa position était inconfortable, mais ça valait le coup.
- Suce moi le cul, Laurence m'a dit que tu le faisais bien.
Pendant ce temps, Chloé se caressait le clitoris et Juliette, elle aussi se caressait le sien. Rapidement elles jouirent toutes
les deux puis Chloé se releva et se retourna vers elle.
- Laurence avait raison, tu es une vraie salope, mais avec moi tu vas l'être encore plus, d'abord quand on aura des
relations, je ne veux plus que tu te caresses, tu te caresseras quand j'aurais fini et je te surveillerai. Ton but ce sera de me
faire jouir, moi je m'en fous de toi, tu auras le droit de te caresser, après toute seule. C'est ok ?
- Maintenant, enlève tout ce qui te reste. Mets-toi toute nue, couche-toi à plat ventre, croise les chevilles et mets les mains
dans le dos. Allez. Exécution.
Tandis que, s'étant agenouillée, Juliette obéissait en silence, elle entendit Chloé sortir de son sac un objet qui tintait de
façon métallique.
- J'ai acheté quelque chose pour toi. Un beau jouet. Tu vas adorer, j'en suis sûre. Donne-moi tes bras.
Deux claquements secs et les poignets de Juliette furent pris dans les collets d'une paire de menottes. Chloé la poussa
à plat ventre, lui plia les jambes à l'équerre et emprisonna ses chevilles de la même manière.
- Ce ne sont pas des menottes ordinaires, espèce de chienne. Tu vois, il y a quatres bracelets accrochés au même
anneau. Voilà ce qui s'appelle être pieds et poings liés. Cela te plait ? Si je voulais, je pourrais être vraiment cruelle
avec toi, Juliette. Contrainte ainsi, je saurais bien te faire hurler en te fouettant jusqu'au sang. Mais tu aimerais trop.
Dans le fond, ça t'excite beaucoup d'être soumise ainsi. C'est parfait, tu vas voir, on va bien s'amuser ensemble.
Puis Chloé se dirigea vers la porte et avant de sortir se retourna pour contempler Juliette.
Le lendemain matin, lorsque elle arriva au bureau, elle était vétue de son tailleur gris anthracite, classique, jupe très au
dessus des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons hauts. Chloé, quand elle la vit arriver lui fit un clin d'oeil, elle lui
répondit par un petit sourire géné. Cinq minutes plus tard, on frappait à sa porte, sans attendre de réponse, Chloé entra et
referma la porte puis vint s'asseoir sur une chaise en face de Juliette.
- Bon, je suis contente de toi, je vois que tu commences à t'y faire, on va passer à l'étape suivante, tu vas aller chercher
des cigarettes mais ensuite tu t’assiéras à une table et tu commanderas un café, je ne serais pas loin de toi mais on fera
comme si on ne se connaissait pas, je vais t'appeler, tu mettras un écouteur à l'oreille, on sera en ligne et je te donnerai
des instructions. Rassure-toi, on est dans ton quartier et je ne te demanderai pas des choses extravagantes.
Juliette fit un geste de la tête pour montrer qu'elle avait compris. Elle arriva donc dans le bar-tabac et acheta les cigarettes
puis elle alla s'asseoir au fond de la salle et commanda un café. Ce jour-là elle avait opté pour une jupe classique noire au
dessus des genoux et une veste cintrée grise. Sous cette veste, elle portait un chemisier blanc en satin. Tenue tout à fait
classique sauf que Chloé lui avait interdit de porter un soutien-gorge, la poitrine de Juliette était ferme de sorte qu'on
devinait bien les pointes à travers le chemisier, vu la taille généreuse de cette poitrine, lorsqu'elle marchait, elle ne pouvait
empêcher un balancement de ses seins.
Cela ne dura pas longtemps, une habituée de la brasserie qui l'avait observée depuis le début se dirigea vers elle pour lui
demander l'heure, puis lui demanda si elle pouvait s'asseoir à sa table. Accepte, entendit-elle dans l'écouteur. La femme
qui devait avoir une trentaine d'années portait un jean et un tee-shirt, elle était séduisante, avec des cheveux coupés courts;
elle commanda un café, puis souriante, commença à lui parler de tout et de rien, observant d'une manière très peu discrète
sa poitrine entre sa veste entrouverte. Juliette rougit de cette situation, elle n'avait pas l'habitude de parler à une inconnue.
Enlève ta veste, entendit-elle dans son écouteur. Hésitant un moment elle finit par obtempérer. Bientôt, l'inconnue sortit un
mouchoir et s'essuya les lèvres, la poitrine de Juliette à travers ce léger chemisier satin était plus que devinable. Alors
prenant cela pour une invitation, elle s'approcha d'elle et lui glissa à l'oreille:
- J'habite à côté, tu viens ?
Elle entendit dans son écouteur:
- Accepte et surtout, céde à toutes ses exigences. Retire discrètement ton plug anal et donne le moi.
Je crois deviner ses fantasmes. Tu vas passer un bon moment avec elle. Elle aime l'anal et l'urolagnie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Myrna a été bien tronchée, elle a jouit et elle a cru. Ce style de connes croient toujours. Ou bien elles n'y croient pas. Mais lorsque la réalité les rattrape, il est trop tard.
Après avoir été bien tronchée et avoir bien jouit, son amant a voulu lui donner une bonne fessée. Myrna ne voulait pas. Sauf qu'elle a eu le cul bien rouge. Puis son amant l'a laissée tomber quelque temps. Myrna a voulu le revoir, il avait laissé son tél en précisant:
-n’appelle que si tu veux devenir mon esclave.
Cette conne de Myrna a appelé en voulant se persuader que c'était un jeu. Son amant lui a dit:
-tu es certaine de vouloir devenir mon esclave?
Elle a répondu oui et a franchi la porte. Elle croyait que....mais non, il ne fallait pas croire.
Depuis elle porte le collier, elle a été marqué au fer rouge et file droit sous les coups de cravache. Elle est la propriété de son Maitre qui en dispose comme il veut. Sa seule liberté elle la trouve dans son subspace, ce monde de silence intérieur. Là, elle peut méditer tant qu'elle veut. Plus elle doit obéir à son Maitre et plus elle se sent libre dans son intérieur, connu d'elle seule. Une illusion? Non, pas du tout. Là elle trouve ce qu'elle cherchait sans savoir, la paix dans une forme d'extase. Oui, elle jouit avec son Maitre, mais pas en surface, non, de façon très profonde, dans le grand silence de son être intérieur. Son esclavage est une forme de mystique.
La morale de cette histoire c'est qu'il faut aller au bout de son désir. Au diable les sécurités.
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Chapitre 10 : Dimanche 4
Dimanche.
Je suis réveillée par le jour passant à travers le soupirail. Je me sens poisseuse, j’ai cette odeur d’urine qui m’entoure.
Que va-t-il m’arriver aujourd’hui ? Et quand va-t-on me libérer ?
La porte s’ouvre et mon tortionnaire arrive. Il est accompagné d’un autre homme. Ils sont tous deux masqués.
- Lève-toi !
Je me lève. Mon geôlier me prend par le cou et me force à me pencher vers l’avant. Il se positionne devant moi :
- Suce et avale !
Il a dégagé son sexe que je prends en bouche. Je sens l’autre homme derrière moi. Son sexe prend possession de mon vagin. Je suis ballotée entre ces deux hommes. En d’autres temps cette situation m’aurait provoqué un orgasme mais aujourd’hui je suis loin de prendre du plaisir dans ce double viol. Les deux hommes jouissent. Puis ils disparaissent. Je suis devenue une proie. Vais-je passer ma vie à subir ces sévices ?
Mon géôlier revient avec une bouteille d’eau et un morceau de pain.
- Bois et mange.
L’homme me regarde manger, le pain est très sec. Puis je bois.
L’homme prend la bouteille d’eau vide et sort de la cave. Je ne sais pas quelle heure il est. Je n’ai rien à faire, je ne peux rien faire, j’aimerais prendre une douche. Je me résous à me coucher sur le lit de camp et je songe à ma situation. Quel est le but de ce kidnapping ? Seulement, si je peux dire, pour me violer ? Et j’attends, j’attends ….
Le temps passe. L’homme revient une nouvelle fois.
- Mets-toi en position face au mur.
Je sais ce qu’il veut. Il lui reste le choix de l’orifice. Il choisit mon cul où il entre d’un coup. Quand ces viols finiront-ils ? L’homme se soulage en moi et s’en va. Je suis à bout, physiquement et mentalement. Je m’assois par terre, face au mur, fatiguée. Puis, soudain, quelque chose me revient, je n’ai pas entendu la clé dans la serrure. J’ai peur d’un guet-apens. Je le lève et me dirige vers la porte, elle n’est pas verrouillée, je l’ouvre. La voie est libre ! J’arrive dans un couloir très sombre. Je fais quelques pas, trouve un escalier. Où vais-je déboucher ? Et puis, je suis entièrement nue ! Je monte les marches une à une. J’arrive à une porte. Je l’ouvre précautionneusement. Et là, surprise, j’arrive dans un salon que je connais bien, mon Maître, nu, est assis sur son fauteuil.
- Tu es bien en retard, je t’attendais.
Alors, tout le voile se déchire. C’est mon Maître, l’organisateur de mon enlèvement, le commanditaire de mes viols.
Je cours vers lui :
- Ça ne va pas, tu as perdu la tête, connard !
Mon Maître sourit et me dit très calmement :
- Je ne te permets pas de me tutoyer et encore moins de m’injurier. Je te rappelle que tu es ma propriété. Viens à quatre pattes me saluer.
Je mets à quatre pattes et vais déposer un baiser sur les paumes de mon Maître.
- Pardon, Maître.
Je m’effondre et me mets à pleurer. Mon Maître me place un pied sous le menton et me relève la tête.
- Tu seras punie.
- Oui, Maître.
- Maintenant, tu te couches à mes pieds que tu vas lécher.
Je m’exécute, Ma langue parcourt les pieds de mon Maître, je n’oublie pas de lécher entre les orteils.
Mon Maître me donne un coup de pied dans les côtes.
- Mets-toi debout, tu es répugnante, vas prendre une douche et remets ton collier.
- Oui, Maître.
J’arrive dans la salle de bain. Je médite sur les événements récents. Mon Maître a imaginé ce scénario, je n’ai jamais imaginé qu’il en était l’instigateur. Si seulement, j’y avais pensé ! Mais l’émotion aurait été moins forte ! Et dire que je lui en ai voulu ! Et je l’ai injurié !
Je prends la douche dont j’ai tant rêvé depuis hier. Je reviens au salon. Mon Maître m’attend, il brandit sa cravache.
- Tu vas être punie.
- Maître, me permettez-vous ?
- Oui.
- Je vous présente à nouveau mes excuses pour vous avoir agressée et je vous remercie de tout ce que vous avez fait pour moi depuis hier.
- J’accepte tes excuses mais ne recommence jamais !
- Je vous le promets, Maître.
Et les coups commencent. Il s’agit d’une punition, ils sont donc très appuyés, ça fait très mal mais je les ai mérités. Je n’oublie pas de décompter et de remercier mon Maître comme il se doit. Mon corps me fait mal mais je dois subir.
Mon Maître retourne s’asseoir dans son fauteuil.
- Tu te mets à quatre pattes, tu viens jusqu’à moi, tu vas me sucer !
Je m’avance vers lui. Je vais m’appliquer, me surpasser pour montrer à mon Maître toute ma gratitude. Je commence à happer les couillles pendant qu’une main commence une masturbation. Tenant son sexe dans la main, j’enveloppe le gland de mes lèvres, ma langue titille le méat, ma main continue la masturbation, Puis je commence à sucer le sexe, une main palpant les couilles. Je gobe de plus en plus profondément la queue de mon Maître, ma main descend vers ses fesses, il a compris ma manœuvre, il fait basculer son bassin. Mon majeur que j’ai pris le soin d’humifier prend position vers son cul. Puis j’enfonce progressivement mon doigt. J’ai envie de jouir mais je me retiens, je ne veux déplaire une fois de plus à mon Maître. Ma bouche est maintenant complètement investie. Je tiens doublement mon Maître, sa queue dans ma bouche et un doigt dans son cul. Mon Maître me caresse tendrement la tête, ça me donne des frissons ! Puis, dans une sorte de feulement, mon Maître se libère à longs jets tout au fond de ma gorge. Je retire mon doigt. Je fais naviguer le délicieux sperme dans ma bouche, je me régale puis j’avale.
- Merci, Maître.
Puis je porte le doigt qui a enculé mon Maître à la bouche pour en goûter toute la saveur. Je sais que mon Maître a été satisfait de ma prestation. Il m’a caressé les cheveux, c’est un signe !
- Maintenant, tu t’en vas. À samedi.
- Oui, Maître.
Je baise ses paumes, me relève, je me rhabille et m’en vais.
Je pense à tout ce qui m’est arrivé ce weekend. Mon Maître a concocté un scénario sensationnel. J’ai cru être enlevée et violée mais il n’en était rien puisque mes pseudo-violeurs n’ont agi que pour le plaisir de mon Maître. Je me suis encore rapprochée de lui et suis plus que jamais prête à le servir.
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Le 14 du mois de Février de l’an 1717,
Très cher Comte,
La neige est venue couvrir notre beau vignoble ces derniers jours, cela faisait bien cinq années qu’elle ne nous avait pas offert la douceur de son manteau d’apaisement. Des ardoises de la grande maison aux tuiles des vieux chais, tout se retrouve désormais couvert de cette subtile blancheur, même nos frêles piquets d’acacia se dressent les uns près des autres, portant fièrement leur petit couvre-chef immaculé.
Comme j’aurais aimé que vous soyez des nôtres pour la contempler, pour profiter du répit qu’elle offre à nos chères vignes endormies. Plus encore, je me serais enchantée des heures qui l’ont précédée, de ces instants où l’air commençât à se teinter de jaune, où la nature se plaçât en recueillement, faisant silence, comme interdite. J’imagine votre blondeur s’être parée d’un éclat particulier devant tel spectacle.
Alors les premiers flocons, osant à peine descendre de leurs nuages, seraient venus se poser sur le sol, timides d’oser le dissimuler d’abord, puis plus sûrs de leur fait au fur et à mesure qu’ils s’amassaient ensemble.
Je me serais délectée de vous faire entendre ce silence qui les nimbe, cette incroyable absence de bruits, comme si tout s’était arrêté par magie. Il n’en est pourtant rien, et je crois que je me serais beaucoup amusée à vous le faire découvrir, à vous faire entendre comment ils venaient tous, minuscules étoiles scintillantes, se mêler à nos chères graves, imprégner leurs pelisses d’argiles, fondant ainsi la source de la sève qui coulerait un jour dans les veines de nos vignes, les nourrissant et leur donnant la force de se battre contre les éléments. Sans doute votre regard, lui aussi, se serait-il animé d’une étrange lueur.
Evidemment, au diapason de dame nature, les travaux de taille se sont interrompus, les crissements des faucilles ont cessé. Bien que je n’ignore rien de leur nécessité, comme une impérieuse saignée, je ne peux me résoudre à voir ces blessures que les hommes de la propriété infligent à nos chers ceps. Parfois, je tente d’apaiser leurs souffrances, d’une caresse : ai-je ce pouvoir ? Pourtant, sans cet infâme traitement, elles ne survivraient pas, condamnées à un port malingre et souffreteux, incapables de donner naissance à la moindre petite fleur. Peut-être m’auriez-vous prise dans vos bras pour m’en consoler, je ne vous l’aurais pas interdit.
Toute la vie du domaine se trouve ainsi bousculée par le grand manteau blanc. Les travaux de marnage, dans le Grand Sablonnet, ont cessé eux-aussi, ce qui n’est pas pour me déplaire. Je n’entends toujours pas le plaisir que Monsieur l’Intendant prend à faire ainsi décaisser des arpents entiers, sur plus d’un pied de profondeur, les éventrant sans ménagement, pour venir les farcir de quintaux de cette immonde glaise nauséabonde venue des palus. Je n’en peux plus de les voir défiler d’un incessant convoi de tombereaux croulants et ruisselants sur nos belles allées, asphyxiant odieusement les pauvres brins de pâturins qui s’y sont réfugiés depuis votre départ. Il prétend ainsi enrichir nos terres, il ne fait que les souiller, ignorant leur beauté, leur force et leur pureté. Cet homme n’est décidément qu’un comptable.
Au moins semble-t-il avoir suivi vos directives, puisqu’il nous a demandé de préparer des sarments de Petite Vidure, que nous avons soigneusement regroupés en jolis petits fagots, et qui se trouvent désormais bien au frais dans une des caves des chais. Les hommes avaient particulièrement bien taillé cette année, et nous n’avons quasiment pas eu de brindilles à écarter. Prenez garde à lui rappeler de ne pas infliger le même traitement au Petit Sablonnet, la terre y est différente, moins graveleuse, plus légère, la petite Vidure ne s’y plairait pas, quelques Merlaus dans la pièce des Socs pourraient s’en accommoder, j’en ai marqué quelques-uns.
Ce matin avec Marie, nous sommes allées donner la tétée à deux petits agneaux fragiles. Ils se sont tous deux montrés très agités, nous avons dû les rassurer, on eût dit qu’ils sentaient la neige au dehors, ou peut-être se languissaient-ils déjà des herbes grasses de nos prés-salés, mais cela me semble encore bien précipité. En descendant aux bergeries, je me suis promenée dans les vignes alors qu’un soleil à la blancheur hésitante irisait le manteau de neige, le givre était venu se mêler à la fête, et de petites gouttes venaient de se figer le long de quelques fiers sarments, emprisonnées par le froid. Elles m’ont fait penser à vous, prisonnier de votre cour, loin de nos terres.
Peut-être me conterez-vous quelques-unes des intrigues qui s’y déroulent, ou un peu des fêtes qu’on y donne. J’espère que vous nous reviendrez bien vite, il me reste tant de choses à vous montrer, ici.
Je vous prie de bien vouloir croire, cher Comte, en l’assurance de ma considération.
Elisabeth
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Fille de Poséidon et de Gaïa, qui fut frappée par la foudre de Zeus et expédiée dans un
gouffre marin, pour avoir dérobé à Héraklès quelques-uns des bœufs qu'il avait enlevé à
Géryon. On la considérait comme un monstre marin vivant dans le détroit de Sicile qui,
chaque jour, engloutissait des tonnes d'eau qu'elle rejetait ensuite. Scylla, fille d'Hécaste
et de Phorcys ou d'Echidna et de Typhon, métamorphosée par Circé, jalouse de l'amour
qu'avait conçu poue elle Glaucos s'emparait des navigateurs qui traversaient le détroit,
leur brisait les os et les croquait lentement. Il existait dans le détroit de Messine un très
dangereux tourbillon, le "Calofaro". En face du gouffre de Charybde, du coté italien, se
trouve le rocher de Scylla aussi menaçant pour le navigateur qui, ayant échappé au
premier, risquait de se fracasser sur le second. D'où l'expression populaire "tomber de
Charybde en Scylla".
Charybde et Scylla représentent deux dangereux obstacles et créatures pour les marins de la mythologie grecque
et parfois romaine, Scylla est la plus redoutable des deux. Charybde et Scylla correspondent à un passage maritime
difficile entre l’Italie et la Sicile, dans le détroit de Messine: un écueil face à un récif, qui veut éviter l’un risque de se
retrouver précipité sur l’autre. Charybde engloutit les navires trois fois par jour, puis les recrache trois fois par jour
également. Elle est fille de Poséidon et de Gaia. Elle vola à Hercule ses bœufs. En punition, Zeus foudroya Charybde
et la jeta dans le détroit de Messine, en face de Scylla qui s’y trouvait déjà. Charybde constitue avant tout un gouffre
marin et semble représenter, plus encore qu’un monstre mythologique, la fureur dangereuse des vagues et tourbillons
de la mer. Les descriptions de l’apparence de ce monstre semblent rares, voire inexistantes. Circé expliqua à Ulysse
que même Poséidon ne pourrait pas survivre si le gouffre de Charybde le happait.
Scylla était à l’origine une jolie nymphe convoitée de tous. Les versions divergent sur les origines de Scylla. Selon les
uns , ses parents seraient Typhon et Echidna et selon les autres , Phorcys et Hécate, ou encore dans d’autres versions
Phorbas et Hécate, ou même le dieu-fleuve Crataeis, Lamia, Triénus, Dymos. Son histoire avec Glaucos nous explique
comment Scylla devint monstre. Glaucos, dieu marin se trouva frappé par la beauté de Scylla. Malheureusement pour lui,
il réalisait difficilement que les gens de la terre ferme le trouvaient hideux, lui qui satisfaisait aux critères de beauté
subaquatiques; il était mi-homme mi-poisson, comme Triton. De plus la beauté de Scylla avait exacerbé l’égo de cette
dernière qui prenait plaisir à éconduire ses prétendants, se jugeant elle-même "trop bien pour eux".
Elle était amie avec les néréides et se plaisait à leur parler des prétendants qu’elle éconduisait. Glaucos aperçut
Scylla se baignant dans un petit plan d’eau ou, selon les versions, dans une crique ou une fontaine. La nymphe le fuit,
il ne lui plaisait pas et il éprouvait des difficultés à admettre cette évidence, lui dont les déclarations à Scylla restaient
dédaigneusement rejetées, voire raillées par la nymphe. Glaucos alla donc voir la magicienne Circé dans son palais et
lui conta son malheur.
La magicienne fut touchée par son récit et tomba ainsi amoureuse de lui. Elle promit à Glaucos une solution: elle lui fit
croire qu’un breuvage rendrait Scylla amoureuse de lui. Glaucos , enthousiaste prit la fiole que lui remit Circé. Cette
dernière avait bien évidemment dissimulé à Glaucos le fait que cette boisson magique n’était pas un filtre d’amour, mais,
devenue jalouse de Scylla, Circé avait eu envie de jouer un tour cruel a sa prétentieuse rivale. Glaucos versa le breuvage
dans cette eau où Scylla avait pour habitude de se baigner. Il ne restait plus qu’à attendre. Quand Scylla, fidèle à son
habitude, vint s’y baigner, quelle ne fut pas la stupeur. Le contact de sa peau avec le breuvage la changea en monstre.
Charybde est la fille de Poséidon et de la Terre, Gaia. Elle est d’abord humaine et vit sur un rocher qui borde le détroit de
Messine, entre l‘Italie et la Sicile. Cependant, cette jeune fille est d’une telle gloutonnerie qu’elle vole des animaux pour
les dévorer. Ainsi, elle se sert au passage dans le troupeau de bœufs conduit par Heracles. Pour la punir, Zeus la jette
dans la mer, où elle devient un monstre. Elle vit dans une grotte. Son emploi du temps est très régulier: trois fois par jour,
elle avale une grande quantité d’eau de mer, avec tout ce qu’elle contient: navires, poissons. Puis elle rejette l’eau et ce
qui n’est pas comestible. Ulysse parvient une première fois à lui échapper mais lorsqu’il repasse, son navire fait naufrage
et il est aspiré, cramponné au mât. Cependant, il s’accroche à un figuier qui pousse à l’entrée de la grotte et il n‘a plus
qu‘à attendre que le mât ressorte. Il reprend alors son périple.
Scylla est également une jeune fille. Sa généalogie est sujette à de multiples variantes cependant le nom de Phorcys,
un dieu marin, ressort souvent comme étant son père. Elle est d’une grande beauté et c’est cette beauté et la jalousie
qu‘elle suscite qui sera cause de sa métamorphose et non un défaut ou une mauvaise action. Les détails divergent
également sur la transformation en monstre. Soit Circé est jalouse parce que l’homme qu’elle aime lui préfère Scylla,
soit c’est Amphitrite, déesse marine qui voit d’un très mauvais œil l’amour que lui porte Poséidon et qui demande à
Circé d’agir. On peut admirer une statue d’Amphitrite sur une agréable petite place ombragée située au bord de
l’Hérault, en Agde. Une troisième variante suggère que Poséidon lui-même la changea en monstre car son amour
n’était pas payé de retour. On reste tout de même dans le milieu marin.
Le haut de son corps est celui d’une jeune fille mais la moitié inférieure est entourée de six gros chiens qui dévorent
tout ce qui passe à leur portée. La référence à l’animalité sexuelle est assez évidente. Les chiens dévoreront six
compagnons d’Ulysse lorsque le navire passera trop près. Une version raconte que c’est Scylla qui aurait dévoré
une partie du troupeau de boeufs d’Heracles et que celui-ci l’aurait alors tuée. On voit que la proximité géographique
et les nombreuses similitudes entre Charybde et Scylla ont quelque peu mêlé les légendes.
Elles restent inséparables dans l’expression bien connue "tomber de Charybde en Scylla". L’expression apparaît pour
la première fois dans un texte français de Rabelais en 1552. Scylla se tient à un jet de flèche de Charybde et celui qui
cherche à éviter le gouffre passe alors trop près du rocher. Il nous arrive parfois de nous focaliser sur un danger au point
de ne pas voir qu’on s’approche d’un autre encore plus périlleux.
Il existe une autre Scylla, plus pacifique. Il s’agit d’une princesse, fille du roi de Mégare, Nisos. Nisos avait la particularité
d’avoir un cheveu pourpre. L’oracle avait déclaré qu’il resterait invincible tant que ce cheveu serait sur sa tête. Lorsque
Nisos entre en guerre contre Minos, le roi de Crête, Scylla tombe amoureuse de l’ennemi de son père. Minos promet à
Scylla qu’il l’épousera si elle arrache le cheveu pourpre de son père. Elle obtempère mais on sait que les promesses
n’engagent que ceux qui les écoutent, surtout en amour, et Minos, horrifié à l’idée d’épouser quelqu’un qui a trahi sa
propre patrie, l’attache à la proue de son navire et elle meurt noyée. Les dieux eurent pitié de la jeune fille et la
métamorphosèrent en un oiseau marin: l’aigrette.
Bibliographie et références:
- Apollodore, "Bibliothèque"
- Hésiode, "Théogonie"
- Homère, " Odyssée"
- Hygin,"Fables"
- Ovide, "Héroïdes"
- Ovide,"Métamorphoses"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- Pindare, "Odes"
- Virgile, "Enéide"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Deuxième partie.
********************
Notre séjour au Cap d'Agde se termine sur une note humide ! Jibi me donne son adresse et son téléphone, on peut aller leur pisser dessus quand on veut. Le jour du départ, je reçois une enveloppe au camping, les photos de Dave, le photographe connu. Je suis belle à côté de ce garçonnet... Ah, mince, c'est Julien.
Je suis triste de quitter le Cap d'Agde : les vacances sont finies. J'ai quand même un sale goût en bouche, pas comme Jibi et Cynthia, plutôt de ce qui s'est passé avec Kriss.
Le retour n'est pas intéressant, parce que tout se passe trop bien. On est pris en stop par des gens sympas, au lieu de prêtres lubriques. Alors je vais faire le grand écart entre Agde et Lille et gommer le voyage du retour. Si vous vous baladez dans le parc naturel du Morvan, levez la tête, ma chatte est juste au-dessus de vous?!
Les parents de Julien sont mitigés, heureux de voir un fils devenu "clean" mais pas très enthousiastes à l'idée qu'il épouse une Rom. Je ne crois pas les avoir convaincus que j'étais un bon parti... mais, ils veulent le caser et surtout, qu'il arrête de se "poudrer" le nez et de picoler.
Le mariage va se faire rapidement, grâce aux relations de mon futur beau-père. Mon père est parti vers le Sud. On se parle au téléphone, il me donne sa bénédiction... On se verra plus tard. Vous voyez, rien de passionnant. Avec les parents de Julien, je fais profil bas, pas de caprices, pas de punitions pour Julien, ou alors en privé. Je veux que rien ne vienne faire capoter mon mariage. Bientôt, je serai la Comtesse Samia de Préville?! Ah, putain?! Ça me troue le cul, tellement c'est classe?! Moi qui suis née sur la route, je vais devenir une aristocrate... avant de passer à autre chose. C'est une étape, dès que j'ai une opportunité, je la saisis par les cheveux ou les poils de sa chatte.
Je joue donc les fiancées modèles.
On habite la grande maison de la famille de Préville, pendant que celle des concierges, où on habitera, est remise en état. C'est une jolie petite maison datant de la fin du 19e siècle. Je surveille les travaux, choisis les couleurs, fais installer une véranda. Mon beau-père finance les travaux, mais il me refuse une piscine, le rat?! Je passe aussi plusieurs jours avec lui dans ses usines : «?Les filatures du Nord Est?». C'est une très grosse affaire et bientôt, elle sera à moi... enfin, comme Julien a un frère et une sœur plus âgés, elle sera à nous pour 1/3 quand mon beau père rendra le denier soupir.
Qu'est-ce qu'il y a de très amusant dans ma vie de fiancée modèle??
Les rapports entre mes futurs beaux parents. C'est la mère de Julien, née Cynthia Ballard, ma future belle mère, qui est la riche héritière. Elle a la majorité des actions. Sylvain, mon futur beau-père, a amené le titre de noblesse et il "file doux". Je crois que père et fils sont des mâles oméga – c’est-à-dire au bas de l’échelle – même si le père est d'une autre trempe.
Cynthia amène ses amants chez eux, comme c'était le cas au Touquet, mais lui ne peut pas bouger.
Le petit déjeuner se prend à 8 h. Une bonne le sert, je suis là avec Julien et Sylvain. Sa femme se pointe avec un amant, pas toujours le même, qu'elle bécote devant son mari. Vous voyez, le père et le fils sont pareils?!
***
On est à une semaine du mariage. Ce matin, Sylvain, mon futur beau-père, me dit qu'après le voyage de noces, je serai chargée des contacts avec les différents syndicats. Il croit sans doute que je suis une fille du peuple, comme les syndicalistes et... il n'a pas tort.
Je dois préparer mon enterrement de fille de jeune fille. Dans la famille de Préville, ils le font un peu à l'américaine, les amies de la mariée lui préparent des surprises à la con. Je m'entends très bien avec la sœur aînée de Julien, Emma. Elle est la seule un peu rock'n roll, même plus que ça. Je lui ai demandé de s'occuper de mon enterrement de vie de jeune fille?! Elle a une trentaine d'années et ne veut pas travailler dans l'usine. Heureusement que l'autre frère seconde son père. J'ai aperçu un tatoo sur le bras d'Emma, c'est ma sœur de tatouage.
Ce matin, on parle de la fameuse soirée. Emma commence par me demander :
— Qui s'occupe de l'enterrement de vie de jeune homme de Julien??
— Aucune idée. Personne encore, je pense.
Elle réfléchit, puis me regarde tout à coup en riant. Je lui dis :
— Quoi?? Pourquoi tu ris??
— Non, pour rien.
— Allez, dis-moi.
— Bon... Ça ne te dérange pas que je dise que Julien n'est pas très viril??
— Bien sûr que non.
— Alors, je me suis dit, si on l'habillait en femme afin de faire un double enterrement de vie de jeunes filles??
Il faut un moment pour que je visualise la scène et... j'adore. Je lui réponds :
— Tu es géniale, c’est vendu?! Tu t'en occupes??
— D'accord. Si on faisait ça dans une boîte gay, filles et garçons?? J'ai une copine parmi les ouvrières de l'usine et on sort souvent ensemble dans une boîte de ce genre...
Elle m'étonne de plus en plus, si ça se trouve, c'est une butineuse. Je veux dire qu'elle aime les filles.
Le lendemain soir, Emma vient me chercher. On passe prendre sa copine qui travaille dans un des ateliers. Elle est encore plus rock'n roll. Nettement, même. Grande, mince, des cheveux noirs et une cicatrice en travers d'un sourcil, mais une vraie, pas comme un chanteur pour minettes qui se coupe le milieu du sourcil pour faire genre, "je suis un dur". Elle me dit :
— Alors, c'est toi qui vas épouser le fils du patron??
Elle me tutoie alors que je serai bientôt la patronne?! Enfin, un peu... Mais vous me voyez lui dire "Mademoiselle, chacun à sa place??" Non?! Je lui dis :
— En effet. Tu le connais??
— Oui et vous allez très bien ensemble
Elle se fout de moi, là?? Oui, elles se mettent à rire toutes les deux. Je ris avec elles. Je suis contente d'être avec ces filles, parce que par moment, les de Préville, j'en ai jusque là. Je veux toujours devenir comtesse, mais j'ai besoin d’amies du peuple. Emma a aussi l'air d'avoir besoin de changer de monde. On monte dans sa petite voiture et 15 minutes plus tard, on s'arrête devant une maison aux volets fermés. Sur la porte, il y a juste le dessin d'un monocle. On rencontre le patron, un costaud avec un pantalon de cuir et les cheveux rasés.
Emma lui dit ce qu'on veut faire. Il la regarde, surpris, puis éclate de rire. Voilà, c'est bien parti pour enterrer ma vie de jeune fille et la vie de jeune homme de Julien. Après cette soirée, il sera... un homme?! Enfin, peut-être.
Mon futur beau-père m'a donné un budget pour la soirée. Je le confie à Emma. Après tout, on est dans la même famille.
***
Trois jours plus tard, Emma vient m'aider à tout préparer pour la soirée. Elle est accompagnée par une de ses amies qui l'aide à me coiffer et me maquiller. Elles rasent même ma petite pelouse qui a eu le temps de repousser, un peu. Emma m'apporte aussi une jolie robe rose... La totale "jeune fille"?! Et puis, ça devient intéressant, elle appelle Julien, son frère. Il sait qu'on va passer la soirée ensemble, mais il n'en sait pas plus. Dès qu’il me voit, Julien s’exclame :
— Comme tu es belle?!
— Toi aussi, tu vas être belle. Déshabille-toi.
La coiffeuse maquilleuse glousse un peu en voyant son petit zizi. Ensuite, elle s'occupe de lui : coiffure, maquillage, vernis sur les ongles. Il a des cheveux assez longs et grâce à un brushing, il a vraiment une coiffure de fille. Voilà, il est presque... prête. Je lui donne une jolie culotte avec de la dentelle et une robe qui ressemble à la mienne, mais en bleu pastel. Franchement, elle est très mignonne?! Emma et sa copine le lui disent aussi et c'est vrai. Il lui reste à mettre des chaussures avec un petit talon, pas plus pour éviter qu'il se casse la figure. Julien manque un peu de nichons, mais il y a de la dentelle assortie à sa culotte à l'endroit de la poitrine.
On se regarde toutes les trois dans un miroir... Pas mal... surtout moi, bien sûr. Franchement, faut aimer le second degré pour se déguiser en vraies pétasses. On s'arrange pour quitter la maison en douce. J'ai pas envie que les parents fassent une crise en voyant leur nouvelle... fille.
On prend la voiture d'Emma. Je parle avec elle et la maquilleuse. Julien, comme à son habitude, ne dit rien : sois belle et tais-toi. Je lui demande :
— Ça te plaît, être en fille??
— ... Euh... oui...
Pas loquace, la gamine?! On va chez l'amie d'Emma, Manu, qui est ouvrière. Il y a aussi trois de leurs amies qui ne sont pas du tout le genre de fille qu'Emma devait rencontrer dans les rallyes d'aristos. Il y a une autre ouvrière de l'usine, une serveuse et une "on ne sait pas". Des filles plutôt jolies, mais des Chtis de base. Deux d'entre elles sont sûrement des butineuses, maintenant vous savez ce que ça veut dire. On s'embrasse toutes. Elles trouvent Julien trop mignonne, je relève sa jupe pour montrer sa jolie culotte en dentelle. Julien est toute rougissante, une vraie future mariée. Je crois que ce déguisement lui plaît, il serait bien mi-chair, mi-poisson. Je vais peut-être le faire dépuceler ce soir, on verra....
On part dans le centre-ville. Dans les rues, les gens se rendent tout de suite compte que c'est un enterrement de vie de jeunes filles : six filles un peu bourrées qui rigolent. Des garçons nous abordent, ils veulent embrasser la future mariée pour lu porter sa chance. Ils embrassent... Julien aussi, bien sûr.
Après s’être bien fait remarquer, on rejoint le bar, QG de Manu et Emma. Les clients sont au courant et ils sont ravis de nous voir. Il y a des butineuses et puis des mâles gays, mais dans le style du patron : crâne rasé, moustaches, jeans troués avec traces de cambouis. Moi, je me réserve les filles, et Julien, je lui laisse les hommes. Quoi?? C'est lui qui ressemble à une fille. Euh... moi aussi, c'est vrai. J'ai un peu trop picolé?!
Le patron du bar nous dit :
— On a fermé les portes pour être entre nous, si vous voulez vous détendre...
À suivre.
Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
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Compagnes d'Aphrodite, responsables de sa toilette, réputées pour leur grâce et leur
beauté, les trois Charites, en grec ancien ??????? / Khárites, eurent pour parent Zeus
et Héra, ou Dionysos et Aphrodite, ou encore Apollon et Aeglé. C'étaient Euphrosyne,
la courageuse; Thalie, la joyeuse et Aglaé, la brillante, également appelée Calé ou
Pasithéa, représentées voilées ou complètement nues et enlacées, dansant ou se
tenant par la main. Elles osèrent participer à un concours de beauté les opposant à la
déesse de l'Amour, qui changea en vieille femme Aglaé qui avait emporté la palme.
En Béotie, où elles étaient adorées sous la forme d'aérolithes ou de météorites, on
célébrait des fêtes en leur honneur, des fêtes appelées les "Charisties". Pour les latins,
elles étaient les Grâces. Ces déesses de la nature, qui personnifiaient les rayons solaires,
favorisant la croissance de la végétation et le développement des fruits. Aux hommes, elles
apportaient la joie, procuraient des menus plaisirs et égayaient la vie de société.
Toutes différentes sont les trois filles que, d’après la Théogonie d’Hésiode, Zeus eut de sa quatrième compagne,
l’Océanide Eurynomé: les trois Charites, du grec ???????, au singulier ?????, qui signifie exactement "grâce", beauté,
charme, mais aussi le fait de chercher à faire plaisir, la bienveillance, le respect, la gratitude, bref, de belles et bonnes
choses aux antipodes de la folie coupable symbolisée par les Erinyes, ou Grâces (GRATIAE) selon la terminologie
latine. Elles sont nommées Aglaé (??????), Euphrosine (?????????) et Thalie (?????). Hésiode les fait demeurer
avec les Muses, sur l’Olympe, en compagnie de Désir (Himéros). Toujours selon Hésiode, la plus jeune, Aglaé,
était l’épouse d’Héphaïstos, le dieu boiteux, le génial forgeron.
Dans un autre ouvrage d’Hésiode, les Travaux et les Jours, ce sont les Charites qui, accompagnées de Persuasion
(?????, "Pitho"), parent de colliers Pandore, l’Ève grecque. La généalogie, le nombre et les noms de Grâces sont
confirmés dans des textes de référence plus tardifs de la mythologie grecque: hymnes orphiques et Bibliothèque
d’Apollodore. En revanche, Homère nous donne quelques informations, très fragmentaires et en contradiction avec
la Théogonie, comme c’est assez souvent le cas: dans le chant 14 de l’Iliade, Héra promet de donner pour épouse
l’une des plus jeunes Charites, Pasithéa, à Hypnos, le sommeil, s’il lui rend le service d’endormir Zeus.
Héra a donc la possibilité d’accorder la main d’une Charite, ce qui, pour certains mythographes, signifie qu’elle est
la mère des Charites. C’est du moins ainsi que l’a interprété un poète du sixième siècle après J.-C. Coluthos de
Lycopolis, dont il ne nous reste qu’une "épopée courte", "l’Enlèvement d’Hélène". Toutefois, en tant que belle-mère
des Charites et épouse du maître de l’Olympe, Héra possède des droits, et cette interprétation nous semble abusive.
L’une des plus jeunes des Charites n’a pas beaucoup de sens si l’on admet qu’elles ne sont que trois. Homère
pourrait entendre, sous le nom de Charites, un groupe de divinités mi-déesses, mi-nymphes, peut-être assez
comparables aux Océanides ou aux Néréides.
le nom de "Pasithéa" vient de "???", le tout, l’univers et ??? (théa), déesse, soit, déesse universelle, déesse dont
l’empire s’étend sur tout, un nom qui ne peut s’appliquer, en toute logique, qu’à Aphrodite, puisque, en tant que
déesse de l’amour et donc de la procréation, elle étend effectivement son empire sur tous les êtres vivants. Premier
indice d’un lien puissant entre les Charites et Aphrodite. À l’inverse des Erinyes, ressorts essentiels des tragédies,
les belles, douces et charmantes Charites sont des ornements de choix pour les poètes. Et on compte par dizaines les
références aux Charites dans la poésie lyrique grecque, de Sappho à Callimaque.
Dans la poésie, elles apparaissent comme proches des Heures (voir plus haut), et certains mythographes les ont
assimilées, dans leurs fonctions de suivantes d’Aphrodite. Mais elles sont aussi les divinités de tout ce qui apporte la
joie: la beauté, la parure, l’art, la musique, la danse, le chant, les fêtes et les rires. Elles sont proches d’Aphrodite, des
Heures, mais aussi des Muses et d’Apollon, et même de sa chasseresse de soeur Artémis, d’Himéros ("désir"),
d’Harmonie, fille d’Aphrodite et d’Arès. Pausanias parle également des représentations des Charites, en peinture
comme en sculpture: initialement vêtues, les artistes les ont progressivement représentées nues.
Plus tardivement, les Charites furent associées à Bacchus, notamment dans les Dionysiaques de Nonnus de Panopolis,
poète du cinquième siècle après J.-C . Ce glissement de la retenue apollinienne aux excès bachiques, comme celui des
Charites vêtues à des Charites nues qu’évoque Pausanias, étaient prévisibles et obéissent à la seconde loi de la
thermodynamique, celle de l’accroissement du désordre. Le nom des Charites renvoie à l'idée du soleil. Si les Charites
ont trouvé place dans le cortège de plusieurs grands dieux, c'est sans doute que ces dieux les ont supplantées là où elles
étaient primitivement adorées comme forces primordiales.
Bibliographie et références:
- Apollodore, "Bibliothèque"
- Diodore, "Bibliothèque historique"
- Hérodote, "Histoires"
- Hésiode, "Théogonie"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- Pindare, "Pythiques"
- Pindare, "Odes et Fragments"
- Plutarque, "De Musica"
- Quintus de Smyrne, "Histoire de la Grèce"
- Théophraste, "Histoire"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Olga s'est pris un jour une belle prune avec deux $&à$ de flics à moto. Manquait plus que cela, elle avait plus un kopec en poche et ces deux là qui se marraient, qui faisaient et refaisaient le tour de sa vespa pour voir comment lui en remettre d'autres. Olga s'est enervée:
-Plutôt que de me mettre des prunes et des contredanses vous voulez pas plutôt me bourrer le minou? J'ai le feu au cul avec ces chaleurs .
Les deux poulets ont accepté. C'est vrai qu'Olga a des arguments au balcon.
-avant faut que je pisse a dit Olga et elle a fait devant eux pour bien leurs montrer sa chatte. Une hypnotisation par le minou vengeur. Les flics n'ont pas pu résister et ils ont embroché sur sa vespa la belle Olga toute humide.
Et puis Olga a encore eu envie de pisser. Elle a dit aux deux poulets:
-A genoux mes loulous et profitez bien de mon élixir doré.
Ils ont été ravis de boire à la source. La chatte d'Olga sent si bon. Oublié les prunes et les contredanses, les képis et les menottes. Olga est une jolie nana qui aime les hommes en uniforme. Alors, elle sait où les trouver et comment les draguer avec sa petite vespa.
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Lorette se fait chier au pieu avec son mari qui bande mal et peu. Trop crevé après le boulot. Alors Lorette a commencé par se toucher mais elle aime les hommes et la bite et encore plus les hommes avec une belle grosse bite qui marche bien. Alors le soir elle a opté pour le parcours sante. Il est vrai que le sexe est excellent pour la santé.
-Cheri, garde les gosses et prépare le repas, je vais faire mon petit jog du soir.
Lorette a passé des annonces sur le net pour sélectionner ses troncheurs attitrés. Avec son cul d'enfer, elle n'a eu aucun mal à faire la sélection. Elle leur a assigné une place et une pratique. Toi Paul c'est cet arbre, toi Nico tu m'attends dans ce fourré, toi Amhed c'est au bout de ce chemin, toi mon chou c'est sur ce banc public. A chaque mec bien gaulé son emplacement et son timing précis. Qui fait défaut perd définitivement sa place.
Lorette sort en tenues sports. son mari ne se doute de rien. il boit sa bière et prépare le repas. En bas de l'immeuble un puissant boxeur black l'attend, en tenue sport lui aussi, c'est Ginko. Il assure la sécurité de Lorette et donc, il est le premier à se servir, dans la cage d'escalier, un recoin discret. Ginko en a une énorme. La vieille du premier risquerait la syncope en voyant un tel instrument.
Bien remplie de sperme, Lorette commence son Jog. Paul l'attend, pantamon baissé, bite en l'air derrière son arbre. Ginko monte la garde pour éloigner les importuns. Paul, en plus de la baiser, doit lui malaxer les seins et les fesses, c'est son boulot. Il fait cela très bien avec ses grosses patasses de maçon.
Nico, lui, doit lui sucer le clito et la faire jouir plusieurs fois. Après Lorette lui donne de bons coups de cravache pour le remercier. Ahmed au bout du chemin a le droit de violer Lorette. Il la prend comme il veut et surtout il l'encule bien. Ginko est autorisé à faire la double pénétration et il ne s'en prive pas. "Mon chou" sur le banc public doit nettoyer Ginko et Ahmed et bien leur sucer la bite. Lorette lui pisse dessus pour qu'il se finisse en se branlant.
Voilà retour à la maison. La table est mise. Une bonne douche. Les pieds sous la table. Le mari encore crevé. Lorette aime sentir le sperme chaud au fond de son vagin et de son joli cul. de femelle qui aime la bite.
La morale de cette histoire c'est mefiéz vous d'une femme qui veut faire seule un parcours santé.
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Dans la famille de Sir Edwardson on ne lesigne pas dans l'éducation des épouses. Elles doivent obéir au doigt et à l’œil. Il n'est meilleur moyen d'y arriver que le fouet. Les épouses ne savent pas ce qui les attends. Passé les illusions du mariage, du champagne, des invités de luxe. Passé la douceur d'une jolie nuit de noce où Sir Edwardson a bien défloré sa femme, bien rougi les draps immaculés. Passé les premières semaines d'adaptation à la vie conjugale. C'est après, lors d'une visite à un des châteaux de Sir Edwardson que le dressage a commencé.
Camille a été mise à nue. Elle pleuré supplié imploré. Rien à faire, le fouet amer a cinglé, jour après jours. Dos, jambes, ventre, seins, son joli corps a été meurtri, encore et encore, sans aucun mots ni explications. Elle a du vivre dans une cage d'acier et être lavée à grandes eaux froides.
Ce n'est pas Sir Edwardson qui administre le fouet, mais son bourreau cagoulé. Une brute qui semble sans âme. Sur ses terres la loi c'est Sir Edwardson, et il fait ce qu'il veut, rend la justice qu'il veut. et pour Camille c'est mille coups de fouet et cette brute de bourreau qui n'écoute aucune plainte. 1000 coups de fouet en 100 jours.
A chaque séance Camille se pisse dessus de trouille. Le bourreau la lave après le fouet à grande eau glacée. Et zou, la cage d'acier dans le noir pour méditer et bien sentir les morsures des lanières dans ses tendres chairs.
Ah, si elle avait su. Bien sûr qu'elle aurait refusé la demande en mariage de Sir Edwardson. Mais il est trop tard. Elle n'est plus rien face à son Seigneur et Maitre. Même une esclave est mieux traitée.
100 jours, c'est long et pourtant Camille sent qu'elle s'endurcit , qu'elle commence à prendre le dessus. Elle n'a plus peur du bourreau.
Une fois libérée, elle retrouve ses belles robes, la chambre conjugale, les visites de son époux qui vient régulièrement l'honorer. De son dressage personne ne dit mot.
C'est ainsi que sont dréssées les épouses dans la lignée illustre de Sir Edwardson. De belles et braves épouses qui savent tenir une maison et donner de beaux enfants.
La morale de cette histoire, c'est qu'au bout de cent jours, ce n'est pas Waterloo et la morne plaine, mais la félicité d'une vie conjugale réussie. Femme bien dressée, femme bien honorée, car c'est une belle preuve d'amour que de bien dresser une épouse, un beau cadeau de mariage. le divorce n'a jamais existé chez les Edwardson depuis des siècles et des siècles. Les épouses ont eu des vies très heureuses. Les soumettre à la question leur a évité de se poser bien des questions.
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J’ai toujours été sensible à la beauté des corps masculins
(celui de Maxime en particulier :smile:).
J’aime les torses en V, les tétons plantés dans une pâle aréole,
les poils sombres sous les aisselles,
les ventres plats, les abdos en tablettes,
les muscles fins et puissants.
J’aime les toisons pubiennes fournies,
l’arrogance de la queue fièrement dressée,
la fragile puissance des couilles du Mâle.
_______________
Je n’ai jamais été attirée par le corps des femmes
pas davantage le mien que celui des autres.
Je trouve nos mamelles disgracieuses,
de même que nos tétines plantées dans de larges aréoles.
Je n’aime pas nos culs proéminents
ni le trou qui orne nos entrejambes
et l’obscénité de ses replis divers.
Aux courbes femelles, je préfère la fière rectitude du corps masculin.
Mais peu importe.
Ce qui compte c’est le désir que nos formes inspirent aux Mâle,
que mon corps soit au goût de Maxime et convienne à l’usage qu’il en fait.
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Ma vie de soumise
Chapitre 9 : Samedi 4
Samedi.
Je me rends chez mon Maître. Que m’aura-t-il préparé aujourd’hui ? J’ai toujours été surprise.
Je sens un homme derrière moi. Il me stoppe et me place un mouchoir sous le nez ….
Où suis-je ? Je suis ballotée, j’ai un bâillon sur la bouche et un bandeau sur les yeux. Je dois être dans le coffre d’une voiture. Que m’arrive-t-il ?
La voiture s’arrête, j’entends le couvercle du coffre s’ouvrir et une main agrippe mon bras pour me faire sortir de ce coffre. Un homme me guide, il me semble que nous entrons dans une maison. L’homme me fait descendre des escaliers. Puis nous nous arrêtons. J’entends une clé dans une serrure et une porte qui s’ouvre. Nous reprenons notre marche et j’entends une porte se fermer puis nous nous arrêtons. On me retire mon bâillon et mon bandeau. J’ai en face de moi un homme cagoulé.
Il s’adresse à moi :
- Déshabille-toi complètement. Enlève ton collier !
Je ne bouge pas. Je reçois une belle paire de gifles.
- Qu’est-ce que j’ai dit ?
Cette fois, j’obtempère.
- Ça ne sert à rien de crier. Personne ne peut t’entendre.
L’homme récupère mes vêtements, ouvre la porte puis la referme. J’entends la clé dans la serrure.
Je suis dans une cave dans laquelle il y a un lit de camp, une couverture et un pot de chambre.
La lumière entre par un soupirail mais celui-ci est trop haut pour que je puisse l’atteindre.
Je fais les cent pas dans cette cave. Pourquoi m’a-t-on enlevée ? Je n’ai pas d’argent et personne ne pourrait payer une rançon. Je me retiens de pleurer.
Je m’assois sur le lit de camp et me place sous la couverture. Que va-t-il m’arriver ?
Mon geôlier revient. Il a fermé la porte de la cave.
- Lève-toi, tu t’appuies avec tes mains sur le mur et tu te penches !
Quand je suis appuyée sur le mur, l’homme s’approche de moi, avec ses mains sur mes hanches il rectifie ma position. Je suis sans défense. Pour m’échapper, il faudrait que je le neutralise et que je prenne les clés dans la poche.
Il descend son pantalon et son caleçon et, d’un coup, sa queue entre dans mon vagin.
- Ne bouge pas, me dit-il.
Il me laboure puis finit par jouir. Il se retire, se rajuste et s’en va. Je suis blessée, humiliée.
J’étais toujours consentante quand j’ai été prise. C’est un viol ! J’ai été violée !
Je me réfugie sur le lit de camp et me blottis sous la couverture. J’arrive quand même à dormir. Je suis réveillée à nouveau par un autre homme, il est planté devant moi, son pantalon et son caleçon à ses pieds.
- Viens me sucer !
Je n’ai toujours pas le moyen de refuser. Je m’agenouille devant l’homme et prend en bouche son sexe.
- Et tu ne recraches pas, tu avales !
L’homme me tient la tête, son sexe remplit ma bouche. Il finit par jouir. Puis il se rajuste et disparaît.
Je reste pantoise. Je suis humiliée de subir tous ces événements. On ne m’a quand même pas kidnappée pour un coït et une fellation.
Le soir arrive. Un homme m’apporte une bouteille d’eau et un sandwich. Je n’ai pas très faim mais je mange quand même. Puis je me couche et finis par m’endormir.
Je suis réveillée par un bruit de serrure. Mon geôlier me fait reprendre la position que j’avais quand il m’a violée. Il baisse son pantalon et son caleçon. Je vais être violée une nouvelle fois. Mais il choisit mon autre orifice, ses mains écartent mes fesses et son sexe entre dans mon cul. Je suis encore une fois la victime de cet homme. Combien de fois vais-je devoir le subir ? Je l’entends rugir, il éjacule enfin en moi. Il se rajuste et s’en va. Je suis de nouveau enfermée. Je n’ai même pas la possibilité de me laver, j’ai l’impression d’avoir toujours un goût de sperme dans la bouche, j’ai du sperme dans le ventre et dans le cul. Je suis sale, je me sens sale.
L’homme fait de nouveau irruption dans la cave.
- Couches-toi par terre sur le dos, les bras le long du corps, tu ouvres la bouche et tu ne bouges pas sinon ….
Je prends donc la position indiquée. L’homme ouvre sa braguette et se mat à uriner sur tout mon corps en privilégiant la tête. J’avale un peu d’urine. Mes cheveux sont mouillés. Puis l’homme s’en va. Je reste allongée sur le sol un long moment, hébétée. Je n’ai rien pour me sécher. Je sens l’urine odorante. Mais que me veut-on à la fin ? J’ai du mal à m’endormir.
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Pour ceux trop pressés : la soumination n'existe pas, c'est une autre façon de dire D/s.
Pour la suite de mon propos, j'ai choisi un Dominant et une soumise, mais le sexe des protagonistes n'a aucune importance, c'est le rôle et non le genre qui importe.
Analysons les rapports de pouvoir dans une relation D/s. Tout le monde sait que le Dominant ordonne et que la soumise exécute. Donc la logique veut que ce soit le Dominant qui ait le pouvoir. Mais est-ce vraiment le cas ?
À moins d'habiter dans certaines parties du monde où l'esclavage existe encore, la soumise se soumet par choix. Mieux, elle choisit même son Maître. Nous voici devant le premier paradoxe.
Dans toute relation D/s de bon niveau, il est coutumier d'avoir un "safeword" qui signale au Maître qu'il dépasse les capacités de la soumise. Et j'irais même plus loin, si le Dominant ne remplit pas les attentes de la soumise, elle peut partir purement et simplement. Tiens encore un paradoxe : la soumise décide de quand on arrête.
Certains ne jurent que par le contrat qui lient et sacralisent les limites des deux parties. Encore une fois la soumise a son mot à dire avant de signer. Elle va fixer des limites, formalisées ou non par écrit. Troisième paradoxe : la soumise fixe les limites.
Avec une soumise qui choisit son Maître, qui a le pouvoir de dire stop et de fixer les limites de la relation, qui détient réellement le pouvoir ? La soumise !
Et oui, les soumises ont aussi des attentes. Certaines veulent souffrir, se faire humilier, aiment la violence ou le sexe. Aussi douloureuses et pénibles que soient les activités et punitions offertes par leur Maîtres, elles en ont besoin. Mais plus qu'un besoin physique, un besoin psychologique.
De ce fait, une soumise va faire tout ce qu'elle peut pour pousser son Maître à la combler : la vilaine souminatrice !
Et le Dominant va tout faire pour garder sa soumise et donc tout faire pour la combler : le vilain souminateur !
Malheureusement, vous pouvez retourner le problème dans tous les sens, une relation D/s durable sera faite de compromis. Dès lors, elles seront toutes des relations souminateur/souminatrice et là, personne n'y comprend plus rien, et personne ne sait qui fait quoi. Alors restons sur nos conventionnels D/s pour que chacun sache se situer et ce qu'il est censé faire et arrêtons de parler de soumination.
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J’ai toujours été attirée par les mecs.
C’est à l’adolescence, au moment des premiers émois, qu’est né mon désir, mon besoin d’ «être soumise», et la conviction que sexe et domination sont indissolublement liés.
A l’époque déjà, j’étais tout sauf une petite fille sage.
Mes rapports avec les garçons avaient toujours été très libres, et pour moi, si j’étais certes une fille, je me voulais aussi leur égale.
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C'était le mec le plus sexy de la classe, un charisme fou malgré ses 16 ans.
Le prototype du jeune alpha, sûr de lui et dominateur.
Nous sommes sortis ensemble jusqu’au bac.
Au lycée, nous étions tout le temps fourrés ensemble.
Il était drôle, parfois brutal, parfois tendre, mais surtout fier de s’afficher avec moi, de me présenter à ses potes comme sa « meuf », alors que nombre d’entre eux en étaient encore aux plaisirs solitaires des ados en chaleur.
C’est avec lui que j’ai découvert le sexe.
Nos jeux étaient certes innocents mais avec déjà une composante «domination» de sa part et de «soumission» de mon côté.
Il aimait me prendre brutalement, jouer avec mes seins, que je le suce à genoux pendant qu’il se tenait debout, fier de sa queue dressée et du désir que je lui témoignais.
C’est lui aussi qui le premier a pris l’habitude de m’attacher pour me baiser, pour que je sois totalement à sa disposition, sans autre choix que de me laisser faire.
Lui enfin qui m’a initiée à la sodomie.
Au début, je ne voulais pas, mais j’ai appris à y prendre goût, à éprouver du plaisir à sentir son sexe forcer mon intimité pour aller et venir en moi.
Nous étions jeunes, libres mais c’était déjà l’époque d’internet, qui permettait par vidéos interposées de découvrir de nouveaux jeux.
Nous ne nous en sommes pas privés, baisant chaque fois que nous le pouvions, en tous lieux et positions, chez lui, chez moi, dedans, dehors, explorant ensemble le champ des possibles.
Après le bac, nos chemins se sont séparés. Aux dernières nouvelles, il était marié, avec deux fillettes.
Je ne sais s’il continue avec sa femme les jeux que nous pratiquions ensemble ou s’il s’est rangé, rentrant dans la norme du sexe aseptisé.
De mon côté, j’ai poursuivi sur le chemin qu’il m’avait découvrir, avec d’autres hommes qui m’ont entraînée toujours plus loin dans mon besoin de me soumettre aux Mâles et fait découvrir le plaisir de leurs vices, évoluer des amours adolescentes vers des jeux d’adultes, bdsm d’abord, sm ensuite.
_______________
Le bdsm est un voyage, un parcours initiatique, avec un point de départ et d’arrivée.
Il a été ce point de départ, le moment magique de la découverte de nos corps au travers du corps de l’autre.
C’est aussi de lui que j’ai appris ce dont je suis désormais convaincue, que le sexe est indissolublement lié à la domination de celui qui baise, à son désir de posséder l’autre.
Parce qu’il a été le premier, il a conservé une place toute particulière dans ma vie.
Mais je sais aussi que lui et tous ceux qui l’ont suivi n’avaient en fait qu’une seule fonction, me préparer pour Maxime, pour mon Maitre, en faisant de moi ce que je suis désormais.
Son esclave.
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Le Roi du Nord est fou de rage. Il fait le compte de tous les dégats causés par les commandos du général Kios. L'hiver se termine. Il lève une grande armée. Il veut raser le royaume du général Kios et de sa Reine, annihiler tous les mâles, réduires les femmes en esclavage. il s'emporte:
-Ces commandos du génaral Kios ont pu sévir partout chez nous sans que vous puissiez les arrêter. Vous n'êtes que des incapables. je prend moi même la tête de l'armée. Je veux voir la tête du général Kios au bout de ma lance.
Une énorme armée se met en route, mais déjà cela se passe mal, les insaisissables commandos harcèlent les arrières, toujours plus invisibles et insaisissables que jamais.
Le général Kios fait comme à son habitude, il se replie avec son armée de femmes, et ne livre que des escarmouches. C'est un stratège rusé. Il décide d'envoyer ses trois plus belles nymphomanes en ambassade, pour "demander la paix".
-Faites leur croire que nous sommes faibles, que notre armée n'est composée que de femmelettes peureuses, de gamins et de vieillards, que nous voulons la paix. Allumez les et faites vous bourrer par tous les trous.
Les trois nymphomanes n'en demandent pas plus. Elle accomplissent leur ambassade avec diligence, allument les troupes adverses, se font remplir de sperme et pleurnichent en demandant la paix. Plus les mensonges sont gros et plus ils sont crédibles. le Roi du Nord tombe dans le piège.
Les deux armées vont s'affronter là ou le général Kios a soigneusement choisit le terrain. Il a fait construire une palissade de bois pour barrer le passage de l'armée du nord, une palissade bardée de longues piques. Sur les flancs deux petits corps d'armée sont dissimulés . Les femmes provoquent l'armée du nord et se replient. Les guerriers du nord sont emportés par leur fouge et la certitude d'une victoire facile et l'envie de niquer ces "femmelettes". Ils vont s'embrocher sur les piques de la palissade que les femmes du général Kios savent comment franchir. Le piège se referme lorsque les deux corps d'armée dissimulés chargent dans le dos de l'armée du Nord. C'est un massacre.
Le Roi du Nord est capturé par deux superbes guerrières et trainé aux pieds du général kios qui le fait emasculer et crucifier aussitôt.
La morale de cette histoire c'est qu'il n'est pas pire tromperie qu'un joli cul de nymphomane. Rires.
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Ma vie de soumise
Chapitre 8 : Dimanche 3
Dimanche après-midi.
J’arrive devant chez monsieur Pierre. Il vient m’ouvrir. Il est très élégant, cheveux blancs, yeux bleus :
- Je suis Pierre, Enchanté.
- Enchantée, monsieur.
Je n’ai pas le temps de refermer ma bouche, il m’enlace, ses lèvres rejoignent les miennes, sa langue force l’entrée de ma bouche. Nous échangeons un long baiser. Je suis surprise, mon Maître ne m’a jamais embrassée. Pierre me prend par la main et m’entraîne vers la salle à manger. Un homme se lève. Pierre me dit :
- Je te présente Jacques.
- Enchantée, monsieur.
Jacques est plus petit sur Pierre, il est légèrement bedonnant, les cheveux grisonnants. Il s’approche de moi, il m’enlace et ses lèvres rejoignent les miennes. Nos langues se rencontrent. Décidément, c’est un accueil curieux mais agréable.
La table est encore occupée par des bouteilles et différentes pâtisseries. Pierre s’adresse à moi :
- Tu vois, on en était au dessert. On va le partager avec toi.
Les hommes vont s’asseoir. Pierre m’attire sur ses genoux.
- Que veux-tu, ma beauté ?
Je choisis un chou à la crème. Pierre le prend en main et le présente devant la bouche.
- Garde tes mains dans le dos.
J’avance la bouche et commence à lécher la crème. J’en ai plein les lèvres que Pierre vient lécher. Puis je continue à manger mon chou et à chaque bouchée, Pierre vient lécher ce que je n’ai pas avalé. Il s’adresse à moi :
- Jacques n’en a pas profité. Nous allons continuer notre dessert. Déshabille-toi et enlève ton collier de chienne.
Pendant que je me déshabille les deux hommes dégagent un coin de table qu’il revêt d’une nappe en papier. Pierre me fait allonger, sur le dos, sur cette nappe improvisée.
- Écarte bien tes cuisses !
Ils répandent de la crème sur ma figure, mes seins, mon ventre, mon sexe. Et ils commencent à me lécher, Jacques s’occupe de mon visage et de mes seins, Pierre de mon ventre et de mon sexe. J’ai de drôles de sensations. Ces messieurs me dégustent. Je sens leurs langues surtout celle de Pierre à l’entrée de mon vagin. J’ai un orgasme. Ils continuent de me lécher. Quand mon corps est débarrassé de ces friandises, Pierre s’adresse à moi :
- Tu vas aller prendre une douche. Ensuite, tu débarrasseras la table. Enfin, tu viendras nous rejoindre dans le salon.
- Bien, monsieur.
Je vais donc me doucher. Ensuite, je retourne vers la table pour la débarrasser, mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle et rejoins ces messieurs au salon. Ils sont assis face à face, absorbés par une partie d’échecs. Pierre me demande :
- Chérie, tu connais les échecs ?
- Non, monsieur.
- Viens t’asseoir sur mes genoux.
Je vais m’asseoir sur les genoux de Pierre, il me tend ses lèvres, j’ouvre la bouche pour accueillir sa langue et je passe mes bras autour de son cou. Je sens un frémissement de son sexe à travers son pantalon. Pierre décolle sa bouche de la mienne pour jouer un coup sur la table d’échecs et, aussitôt, reprend ma bouche. Notre baiser est donc interminable. Puis, Jacques annonce :
- Échec et mat.
Pierre s’adresse à moi :
- Va rejoindre Jacques, il t’a gagnée.
Je vais m’asseoir sur les genoux de Jacques. Nos bouches s’ouvrent et s’unissent. Je l’enlace.
Les deux hommes ont des goûts similaires, ils savent tous les deux si bien embrasser. Pierre se met debout et vient me prendre par la main. Il m’emmène devant un lit :
- Couches-toi, ma beauté.
Les deux hommes se déshabillent. Je les regarde. Belle prestance de Pierre. Jacques a un petit bidon mais reste séduisant. Tous deux ont un sexe attirant. Je vais me régaler. Ils me rejoignent dans le lit.
Je suis couchée sur le dos. Jacques me chevauche au niveau du cou. Il me présente sa queue que je commence à téter. Quant à Pierre, sa verge a pris possession de mon vagin. Ma bouche et mon sexe sont remplis. Je fais une gorge profonde à Jacques. J’ai une vue sur sa bedaine. Pierre est très actif. Puis ils changent de position. Jacques m’attire sur lui et sa queue pénètre mon vagin. Je devine Pierre derrière moi. Son sexe frôle la raie de mes fesses puis sa verge pénètre mon anus. Je suis prise en sandwich par les deux hommes. Je n’avais jamais été doublement pénétrée, c’est une nouvelle sensation très agréable. Jacques a sa bouche collée à la mienne et Pierre m’embrasse dans le cou. J’ai un orgasme. Je suis aux anges, je voudrais que cet instant dure une éternité. Les deux hommes jouissent en moi. Ils se couchent sur le dos. Avec ma langue je vais nettoyer le sexe de Pierre puis celui de Jacques. Les deux hommes récupèrent. Je suis entre les deux et chacun a une main dans la mienne. Nous savourons ce moment de bonheur partagé.
Pierre se lève, il prend dans le placard un bâillon et un bandeau qu’il me met.
- Lève-toi !
Pierre me prend la main et me guide.
- Reste là et attends !
Un moment se passe dans le calme. Puis Pierre m’ordonne de lever les bras. Soudain, je reçois un coup sur les fesses puis presque simultanément un coup sur les seins. Et les coups commencent à pleuvoir, je sens les morsures sur mon corps. Pierre s’adresse à moi :
- Baisse tes bras. Vas-tu partager notre dîner ? Réponds en hochant la tête.
Je hoche la tête en signe d’assentiment. L’un des deux hommes m’attrape par les cheveux et m’entraîne. J’entends une porte s’ouvrir.
- Mets-toi à quatre pattes et avance.
Puis j’entends une porte se fermer. Je dois être dans un placard. Je parviens à m’asseoir. Je reste ainsi pendant un temps qui me paraît interminable.
J’entends la porte s’ouvrir. Pierre me dit de sortir. Il m’enlève le bâillon, le bandeau et les menottes. Il me dit :
- Tu te mets à quatre pattes. Tu ne te relèveras qu’avec ma permission. Tu es notre chienne.
- Oui, monsieur.
- Tais-toi, une chienne ne parle pas.
Il me remet mon collier et m’introduit un plug anal prolongé d’une queue d’animal. Il me conduit dans la salle à manger.
- Nous allons prendre l’apéritif. Tu te placeras à nos pieds que tu lècheras.
Les deux hommes vont s’asseoir à la table. Je vais jusqu’aux pieds de Pierre que je me mets à lécher en n’oubliant pas de passer la langue entre les orteils. Puis je fais la même chose aux pieds de Jacques. Ils se penchent quelquefois pour me caresser la tête. Je lèche alors leurs mains. Je me comporte comme la chienne que je suis.
Ils se lèvent tous deux. Pierre pose une écuelle remplie d’eau sur le sol. Jacques pose à terre une assiette remplie de nourriture pour chien. Pierre me déclare :
- Interdiction d’utiliser tes mains.
Je lape l’eau et attrape un morceau de nourriture. Ce n’est pas facile. J’essaie de m’appliquer.
Quand mon repas est terminé je retourne au pieds de mes maîtres. Pierre m’appelle :
- Viens.
J’approche à quatre pattes. Il me tend un carré de chocolat que j’attrape avec les dents. Puis je lèche la main de Pierre.
Les hommes finissent leur repas. Je suis toujours aux pieds de l’un ou de l’autre.
Pierre s’adresse à moi :
- Va dans la salle de bain. Essuie-toi la bouche, enlève ta queue et ton collier. Tu redeviens notre femme. Et rejoins-nous dans la chambre.
Quand je les rejoins, les deux hommes sont couchés sur le dos.
- Viens nous sucer.
Je m’allonge entre les deux hommes. Je commence par téter le gland de Pierre puis de Jacques. Puis j’entame une gorge profonde en alternance sur les deux hommes. Je me délecte de leurs sexes qui grossissent dans ma bouche. Puis Jacques change de position. Il se place derrière moi et sa verge pénètre mon cul. Belle sensation d’avoir la bouche et le cul occupés. J’ai un orgasme. Les deux papys jouissant à leur tour.
Jacques se recouche sur le dos. Ma langue part à la recherche de sa verge pour la nettoyer.
Pierre me dit alors que je peux partir.
Je leur dis au revoir, je remets mon collier, reprend ma laisse, je me rhabille m’en vais.
J’ai passé une excellente journée avec les deux papys. J’ai connu la double pénétration. J’attends avec impatience samedi prochain. Quelle surprise mon Maître m’aura-t-il préparée ?
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Elle avait gardé les yeux fermés. Il croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'il contemplait son corps inerte,
ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout
autour. Tout à l'heure, quand il est arrivé, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre.
Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se
croisant les les mains dans le dos. Il lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle lui avait dit plus
fort et il avait noué des liens plus étroits.
D'elle-même alors elle s'était laissée tombée sur le lit. Ça l'avait beaucoup excité de la sentir aussi vulnérable
en dessous de lui. Il s'était dévêtu rapidement. Il lui avait relevé sa jupe d'un geste sec. Il avait écarté le string
pour dégager les reins et l'avait pénétrée ainsi, toute habillée. Jamais Charlotte n'avait senti plonger en elle un
membre aussi raide. Le plaisir du viol, peut-être, ou le frottement de l'élastique du string contre son sexe avaient
aiguisé l'ardeur de Xavier. Longtemps il l'avait pénétrée ainsi, les mains posées à plat sur ses épaules.
Méthodiquement, agaçant parfois du gland seulement l'entrée de l'orifice, pour l'élargir encore plus, s'enfonçant
ensuite lentement, puissamment. Longtemps et à son rythme. Il allait et venait, d'avant en arrière, de haut en bas,
ou imprimant à son sexe un mouvement de rotation comme s'il voulait explorer le moindre recoin de son intimité.
L'anneau anal s'était élargi. Elle feignait alors la douleur, faisait semblant de chercher à se détacher en se tordant
les poignets pour le seul plaisir de se sentir vraiment prisonnière. C'était ça, un homme était entré chez elle de
force. Il l'avait bousculée, insultée, ligotée et maintenant elle gisait là, sous son contrôle et se faisait sodomiser.
Pour l'instant, il la violait seulement mais le pire restait à venir. Bientôt, il la contraindrait aux mille humiliations que
son imagination esquissait parfois. Il la rabaisserait, il la rendrait plus femelle que femme, plus chienne que femelle,
plus chienne que chienne. Elle devrait sans doute le sucer ou se masturber devant lui avec toutes sortes d'objets,
à quatre pattes. Elle n'aurait pour tout vêtement que le bandeau qu'il lui aurait mis sur les yeux. Il la flagellerait avec
un martinet à lanières de cuir. Qu'importe. Grâce à ces liens, elle était libre de s'abandonner à la langueur qui suit
l'amour. Face à lui, toutes ses pudeurs s'effaçaient. Elle effleura des lèvres le duvet brun du pubis au dessus du
sexe de Xavier. Sous la peau souple et satinée, les abdominaux se contractèrent à ce contact.
Du bout de la langue, elle joua à en suivre les sillons. Un peu plus bas, le membre de l'homme s'étira comme après
un long sommeil. Il se déroula paresseusement, se redressa un instant puis retomba sur le ventre mais sans cesser
de grandir. Charlotte observa la fascinante métamorphose de ce monstrueux pénis. Tout son corps cylindrique vibrait.
Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe de chair, les testicules s'animaient comme d'un
paisible mouvement de respiration. Charlotte s'approcha du sexe. Elle posa le bout de la langue sur le sommet du
gland et entama un délicat mouvement de balayage autour du méat urinaire. Le sang se mit à battre plus vite dans
la veine. Lorsque, léchant toujours, Charlotte glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir de plaisir.
Il plongea les mains dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sous les coups
de langue, Xavier perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua
sa pression sur la nuque de Charlotte jusqu'à lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière mais
c'était un ordre. Elle n'eut qu'à ouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre
tout entier dans sa bouche, au fond de sa gorge. La charge fut telle qu'elle suffoqua. Le membre devint si volumineux
qu'elle eut des difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Violemment, il se contracta, manquant de ressortir.
Il éjacula brusquement, inondant sa gorge, en l'abreuvant de son plaisir. le sperme coulait de ses lèvres, en filaments
visqueux qui se balançaient sous son menton.
Xavier entreprit d'autres jeux. Sans attendre, il dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une épaisse corde
de chanvre qu'il attacha à une poutre du plafond au centre de la pièce, tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur
la pointe des pieds. Elle entendit le cliquetis de la boucle de la ceinture tandis que Xavier l'ôtait de son pantalon. Le
premier coup claqua séchement contre ses fesses. Il n'était pas du style à y aller progressivement. Xavier frappa fort
avec l'assurance qui lui était coutumière et Charlotte sentit sa peau d'abord insensible, réagir rapidement à la brûlure du
cuir. Le deuxième coup tomba, plus assuré encore, et elle gémit de douleur en contractant les muscles de ses fesses.
Sa réaction sembla plaire à l'homme. Il leva le bras encore plus haut, abattit le ceinturon avec plus de force et cette
fois, Charlotte poussa un cri bref en se cramponnant à la corde qui la tenait étirée.
Xavier la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse,
puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Trente, quarante, cinquante coups. Charlotte ne
ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si
elle avait exposé son dos à un âtre crépitant. Le supplice était le prix à payer pour que son Maître continuât à l'aimer.
Elle souhaitait seulement qu'il fût content qu'elle l'eût subi et attendait muette.
- Retourne-toi, dit Xavier d'une voix calme.
Aggripée à sa corde, ruisselante de sueur, Charlotte était épuisée.
- Non, pas devant Xavier, haleta-t-elle, Pas devant.
-Tu dois aller jusqu'au bout de ton désir, Charlotte, Allons retourne-toi vers moi.
Charlotte pivota lentement sur elle-même. Elle avait gardé les yeux baissés mais elle aperçut quand même
le ceinturon s'élever dans l'air et s'abattre sur elle, au sommet de ses cuisses. Elle hurla à nouveau et releva
la jambe pour se protéger du coup suivant. Elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas et se vit perdue.
Xavier ne refrappa pas immédiatement. Il attendit que Charlotte ne puisse plus se tenir ainsi sur la pointe du
pied et qu'épuisée, elle s'offre à nouveau au fouet.
Au coup suivant, elle ne tenta plus d'esquiver. N'avait-elle pas désiré cette correction ? Xavier avait raison;
elle devait savoir ce qu'il y avait au-delà de cette douleur qui lui arrachait des cris et des larmes. Par dépit,
elle plongea son regard dans celui de son Maître et ne se lachèrent plus des yeux tout le temps que dura
la flagellation. Elle se voyait onduler au bout de sa corde, en sentant ses seins frétiller, ses cuisses tendues,
son ventre creusé. Elle se voyait brûler sous les coups, s'enflammer toute entière.
Xavier continuait à la fouetter méthodiquement sur les hanches et sur les seins.
Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une
fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme
une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois.
Xavier cessa aussitôt de la frapper et tomba à genoux devant elle. Posant avec une infinie délicatesse les doigts
sur ses reins meurtris, il attira jusqu'à sa bouche la peau empourprée des cuisses et du ventre qu'il couvrit
de baisers. Il aspira entre ses lèvres, les lèvres de son sexe, les lécha avec douceur.
Enfin Xavier se détacha d'elle. la corde à laquelle elle était suspendue fut coupée et Charlotte se laissa tomber
sur le sol, savourant l'étrange bonheur de sa soumission. Les parties de son corps offensées, devenues douloureuses,
lui apparaissèrent plus belles, comme anoblies par les marques fraîches, stigmates de la flagellation. Elle se perdait
dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à l'amour.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Dame Méphista est satisfaite. Julie a su dresser son p’tit soumis, il n’a eu qu’une seule séance et se débrouille plutôt bien pour un débutant. Voyons s il va continuer à endurer les sévices maintenant. Elle se saisit d’une des paires de menottes sélectionnées par Julie et s approche du jeune couple. La main tendue vers les cheveux légèrement humides de transpiration de Baptiste elle se penche un peu
« bien ,bien, à genoux le chien, voyons si ces bracelets te vont bien et peuvent te rendre plus beau » et elle s empare brutalement du poignet droit du jeune homme pour l emprisonner dans l anneau de métal brillant. Déséquilibré, un cri de surprise échappe au p’tit soumis vite interrompu par une tape brutale sur la tête accompagnée d’un « silence le chien !» péremptoire. Les yeux humides de douleur et de honte, le nez coulant de morve, la bouche baveuse, juste vêtu de sa culotte de dentelle rouge, Baptiste n’a vraiment plus rien du cadre Supérieur dont il revêt le costume pour se rendre à son travail. Il est heureux maintenant, heureux d obéir, heureux de subir, heureux du plaisir qu’il offre à sa domina et à son amie. Il ressent de la honte aussi, mais cela lui procure du plaisir, plaisir intense de n être plus qu’un jouet, un sextoy , un corps dévoué au plaisir des dominants.
Le contact du métal froid sur son poignet fait remonter un frisson tout le long du bras qui ensuite envahit son corps. Obéissant il se pose sur ses genoux et présente son poignet gauche pour qu’il soit inséré dans le deuxième anneau relié par une chaîne plutôt courte. Puis Dame Méphista tire un peu sur les bras du soumis pour qu’il se retrouve à quatre pattes. Elle se relève et regarde le résultat « Mmm, pas trop mal, voyons les pieds maintenant ». Elle se redresse et se saisit de la deuxième paire de menottes choisie par Julie ainsi que du rosebud qu’elle caresse avec un regard vicieux. Elle tourne autour de Baptiste dont Julie s’est un peu éloignée et le tapote du pied sur ses testicules emprisonnées. Un début d érection affole les sens de Baptiste, et Julie sourit derrière sa main. Elle suçote le rosebud métallique pour l humidifier. Le contact du métal sur sa langue lui rappelle l’époque pas si lointaine de sa soumission avec Maitre Trépuissant. Un petit sourire tendre étire ses lèvres. Son regard croise celui de son amie et elles s’enlacent tendrement, se bécotent et commencent à se caresser un peu. Baptiste ose encore moins bouger. Les deux dominas sont chacune d un côté de l’homme à quatre pattes. Leurs mollets le frôlent lorsqu’elles se rapprochent et il en frémit de plaisir. Puis il les sent s éloigner et une grande main fine appuie sur sa hanche au moment où il sent des doigts forcer avec une certaine douceur son anneau rectal. Il retient son souffle, il retient sa respiration, il retient un cri. Les doigts s éloignent, appuient sur sa raie et il sent un objet froid prendre leur place. Méphista crache sur ses fesses , et introduit le rosebud dans son trou. Le premier anneau se dilate, l’objet est enfoncé, le deuxième anneau se dilate et le sexe de Baptiste lui envoie un signal de douleur, douleur de ne pas pouvoir s’étirer de plaisir. Marc a bien serré les liens qui le retiennent en position de repos, Baptiste sent des larmes de frustration perler au coin de ses paupières, et son nez coule de plus belle.
Julie se penche et insère une cheville dans un anneau métallique, puis la deuxième dans l anneau au bout de la chaine. Le froid du métal fait frissonner encore le pauvre soumis dont les sens s’affolent à cause de toutes ces sensations de froid : anus, chevilles, poignets, et une boule buccale introduite d’un seul coup dans la bouche qui a provoqué une sécrétion de bave intense. Les dominas se relèvent et il reste entre elles. Elles reculent pour l admirer et se moquer un peu « qu’est-ce donc que nous avons là ? – est ce ton p’tit soumis belle Julie ?—non non voyons, mon soumis n’est pas aussi sage ! – alors est-ce ton chien Julie jolie ? – mon chien ? Chère Méphista ? Non non, ce n’est pas mon chien, il est chez toi, il est a toi, ne t-a-t-il pas bien léché ? Les pieds ?la minette ?n’as-tu pas bien joué ?N’as-tu pas bien joui ? Non non il n’est pas à moi en cet instant. –Tu as raison, peu importe, l essentiel c’est qu’il soit sage ce p’tit soumis. » et un double éclat de rire joyeux éclate dans ce salon bourgeois de la banlieue de Versailles. Maître Trépuissant sourit tout en continuant à caresser la tête crépue de sa petite chienne. Puis sa main glisse le long du dos dans une ferme caresse non dénuée de tendresse. Ses doigts glissent vers la croupe cambrée et son majeur commence à jouer avec l’anus de la jeune femme imperturbable. Elle sait quelle ne doit surtout pas manifester la moindre émotion. C’est un calvaire car le plaisir irradie vers son sexe, mais elle se retient. Un long entraînement lui a été nécessaire, elle a reçu des fessées et des coups de martinet, elle a été privée de jouissance souvent, mais maintenant elle peut être fière de maitriser ses expressions et son plaisir. Son Maître l a félicitée une ou deux fois. Elle ne va pas le décevoir en présence de ce débutant ! Et peut-être aura-t-elle sa récompense ? Le droit de sucer le membre de son Maître ? De recueillir sa semence ?Ce jus sacré dont la pensée lui procure un frisson de plaisir mental qu’elle s empresse de censurer de peur que son corps ne la trahisse. Bianca rêve éveillée, essayant de contrôler encore et encore le plaisir que son Maitre a la bonté de lui octroyer. Maître Trépuissant connaît son pouvoir, et secrètement il admire le contrôle de la jeune soumise, bien que son statut l empêche de le montrer !
Le p’tit soumis de Julie ne se comporte pas si mal pour une deuxième séance. Sa bouche a été douce à son sexe, mais le plus jouissif, c’est quand même le regard peureux et plein de honte de ce jeune homme au moment de la gorge profonde ! Mais il a tenu le bougre !On en fera un bon jouet ! Saisi d’une envie subite, Trépuissant repousse la petite chienne , qui de surprise tombe sur le côté et s empresse de reprendre une position humble, le front au sol, les jambes bien pliées ,la croupe tendue vers le ciel et les mains croisées sur la nuque. Un imperceptible haussement de sourcil trahit seul sa surprise. Ce n’est pas dans les habitudes de son Maître ce type d attitude, il a toujours une profonde maîtrise de ses actes pendant les séances et sa spontanéité apparaît rarement.
Trépuissant jaillit de son fauteuil tel le diablotin de sa boite et se dirige vers la table. Les deux femmes se sont immobilisées en silence de surprise : c’est sans doute la première fois qu’elles le voient s agiter ainsi. Il saisit entre ses mains musclées deux chaînes métalliques et les jette sur le dos de Baptiste. Celui-ci ne peut retenir un cri. Les chaînes ont atterri brusquement sur son dos, elles sont très lourdes et très froides. Elles glissent en partie au sol puis trouvent leurs places et se stabilisent. Un curieux silence s installe. Maître Trépuissant retourne vers son fauteuil, d’une petite tape sur le fessier de Bianca il la fait se relever et il recommence à lui masser son petit trou arrière comme si rien n avait eu lieu.
Baptiste tremble de froid et de peur. Ce petit intermède rapide et violent l’a effrayé. Julie ressent son désarroi et se met à genoux près de lui. Elle prend sa tête dans ses bras et le presse contre ses seins si doux. Méphista lui donne une petite tape réconfortante sur la fesse et s éloigne. Julie ramasse les chaînes et les positionne de nouveau sur le dos de son p’tit soumis qui tremble encore : peur, froid, soulagement, frustration , tous ces sentiments se mêlent, il est perdu, il lâche prise, et , contre le sein de Julie, redevient petit garçon. Il se souvient des câlins de sa mère après ses chutes et se met à rêver. Il revoit son tablier en grosse toile bleue, ses mains rugueuses des travaux d aiguilles et son sourire si doux. Il ressent ses caresses dans les cheveux qu’il a porté longs toute son enfance, il respire de nouveau cette douce odeur d huile d olives dont elle nourrissait sa peau.
Sur un geste du majeur de Maitre Trépuissant, Marc toujours agenouillé mains sur la tête dans sa tenue de soubrette se relève vivement pour servir un verre de jus de poires à son Maître. Et sur un deuxième geste il se faufile entre les jambes de la petite chienne Bianca, lui écarte les grandes lèvres cachées et commence un long et doux cuni. La jeune femme lève les yeux vers son Maître qui, dans un sourire ,l autorise à exprimer son plaisir. Celui-ci explose en petits cris ininterrompus. Julie continue de caresser Baptiste. C’est un instant de paix et de plaisir pour les soumis qui s emble s éterniser .
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J’aime ton sexe, ton membre viril, ta façon de me posséder.
J’aime quand tu passes d’un de mes trous à l’autre,
de ma bouche à mon cul puis à mon con
avant de recommencer à me chevaucher,
tel un cavalier domptant une pouliche rétive.
J’aime l’ardeur juvénile que tu mets à me défoncer
jusqu’à ce que je plie sous tes assauts
et que mon corps soumis vibre à l’unisson de ta queue.
J’aime le moment où ta semence jaillit,
se déverse en moi là où tu l’as décidé,
le moment où nos tensions accumulées se libèrent
quand tu exploses et me fécondes.
avant de t’écrouler sur moi
écrasant mon corps sous le poids du tien
nous laissant tous deux épuisés mais comblés.
Toi d’avoir exercé tes prérogatives de Mâle,
moi fière d’avoir été possédée par toi
de t’avoir fait jouir et d’avoir joui de toi.
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Non loin d’un pigeonnier, aux derniers jours de l’été 1716.
Les dernières chaleurs de l’été commençaient à tirer leur révérence, abandonnant progressivement aux fines brumes remontant de l’estuaire, les vignes jouxtant les logements des ouvriers. La pièce des socs baignait, ce matin-là, dans ses légères nuées grisâtres lardées de passées plus claires, laissant à peine entrevoir les pointes vertes parées de leurs premières brisures orangées. A peine un peu plus haut, la pièce du Château rayonnait encore d’une fraicheur verdoyante, encore juvénile, d’où jaillissait l’imposant pigeonnier circulaire, qu’une des lubies du Comte avait entreprit d’affubler d’un toit comme s’il voulait le promouvoir au rang de dépendance de la grande maison.
Élisabeth aimait à déambuler dans les allées, aux premières lueurs du jour, profitant de ce moment de répit, ces quelques semaines où il ne s’agissait plus que d’attendre. Monsieur l’Intendant lui aussi, courait presque tout le jour à travers les règes, inquiet. Trop tôt et le vin décevrait, trop tard et il manquerait. L’anxiété se répandait comme une peste à tous les gens du Château, perfide, elle commençait à poindre aux veillées, dès les orages de l’Assomption, la peur rongeait alors les esprits, celle d’avoir tant souffert pour rien, celle de manquer. Rien pourtant n’aurait pu entamer la sérénité de la jeune vigneronne, sans doute plus sage, malgré son jeune âge, elle savait que la nature seule avait pouvoir de décider de leur avenir. Et que ni leur sueur, qui avait nourrit de son sel les petites lianes empaquetées, ni les prières au moindre saint, ne sauraient infléchir le sort. Débarrassée de ces encombrements, et bercée de l’optimisme du chaud été qui venait de s’écouler, elle pouvait mieux que tous, jouir de ces chères vignes, les longer, les contourner, virevolter autour de chaque cep, comme une danseuse, caressant nonchalamment les grosses feuilles à la peau tannée par le soleil, soulevant guillerette les plus petites, au vert encore franc de leur jeunesse, cajolant respectueusement les petites grappes au noir bleuté, inquiète du terrible sort qui leur était promis.
Pour les femmes, la fin de l’été était dorée comme le soleil qui se décidait enfin à mordre un peu moins fort. On leur demandait encore de couper de leur faucille, quelques branches récalcitrantes, pour préparer le passage ou l’accès aux précieuses grappes lors des vendanges, mais on leur épargnait les affres des préparatifs. Les hommes seuls avaient la lourde tâche de sortir des remises, tombereaux et pressoirs, de les récurer à grande eau, quant aux chais n’en parlons pas. Ces mystérieux antres où les pauvres petites grappes allaient achever leur vie, leur étaient prohibés. Élisabeth s’affligeait autant qu’elle s’amusait de ces usages iniques, comme si la moindre de leurs humeurs eût eu le quelconque pouvoir de compromettre la santé de leurs précieux vins. Quel désespoir que les hommes ne fussent capables de substituer l’observation et la raison à leur satanées croyances et superstitions.
Même cet amer constat ne parvenait à entamer l’enthousiasme de la jeune femme, humant encore un peu ses vignes dont l’odeur soufrée commençant déjà à baisser pavillon, et qui se mêlait parfois à la subtile odeur butyrique des derniers foins oubliés, dans les près adjacents.
Une ombre peut-être, une seule. Un étrange manque, qu’il s’avérait pourtant essentiel de taire, une présence dont elle se languissait depuis des semaines déjà. Élisabeth tentait bien d’oublier cette nuit étrange, lors de la fête au début de l’été, mais sortir l’image du jeune héritier de son esprit lui était impossible, pire elle l’obsédait. Elle n’avait eu l’occasion de le revoir, Monsieur le Comte l’ayant entrainé dès le lendemain dans une tournée des domaines de leur possession. Salvatrice prémonition, le retour du Comte que l’on avait annoncé pour le début des vendanges, allait s’avérer bien différent de ce qu’elle pouvait imaginer.
Les autres vigneronnes commençaient à remonter le long du château, bordant le Grand Enclos, jusque vers le Grand Faure, formant progressivement le petit essaim. Le murmure de leur conversation se muait en bourdonnement plus agité qu’à l’accoutumée, comme si un évènement troublait et remuait la troupe de soubresauts inhabituels. Élisabeth pouvait presque sentir son odeur nauséabonde, celle de la rumeur et des racontars, elle détestait ce plaisir visqueux que les femmes du domaine semblaient prendre, à relayer la moindre nouvelle brisant l’ordinaire. Pourvu qu’en plus elle soit mauvaise, le plaisir n’en était que plus grand.
Élisabeth n’attendit pas l’arrivée de sa cohorte pour pénétrer entre les règes et saisir sa faucille, lançant avant toutes les autres, sa lame étincelante aux lueurs de l’astre renaissant, et l’abattant fermement sur les repousses incongrues. Elle fut rejointe par Marie, de deux ans son ainée et déjà mariée à un solide laboureur, répondant au surnom de Guitou et dont elle avait dû maintes fois repousser les avances, avant qu’il ne jetât son dévolu sur la pulpeuse petite brune. En arrivant à sa hauteur dans la rège voisine, elle lui adressa un murmure.
— Babé, tu connais la nouvelle ?
— Non, opposa-t-elle d’un ton morne et dénué d’intérêt pour la fameuse nouvelle.
— Monsieur le Comte est mort d’une apoplexie, il y a de cela deux semaines, il a été inhumé à Bordeaux, et Monsieur Nicolas a bien-sûr hérité. Son arrivée est d’ailleurs prévue cette semaine. On dit qu’il n’a pas eu le temps de souffrir, qu’en un instant il n’était plus. Monsieur Nicolas a tout vu, pauvre homme.
— Tu racontes cela comme si tu y étais, Marie. Crois-tu qu’il soit très chrétien de colporter la façon dont on meure ?
La petite vigneronne aux formes généreuses, se renfrogna et se remit silencieusement à son labeur, vexée de s’être ainsi faite rabrouer.
Élisabeth n’en avait rien montré, mais son cœur s’était serré à cette annonce. Elle revoyait le regard émerveillé de son jeune héritier, sous la lumière lunaire. Quelle pitié, lui qui avait encore une chance d’échapper à la médiocrité humaine, se voyait si tôt projeté en son sein, abandonné aux tracas de finance et de cour. Le voilà désormais Comte, à son tour, condamné à sa charge et à son rang. Un affreux gout de poussière s’emparait de sa bouche. Tout lui semblait vain et perdu, tant qu’elle dut retenir ses larmes, se protéger du regard des autres, se penchant un peu plus bas, auprès des si jolies petites grappes bleutées, elles aussi condamnées, et qui profitaient encore innocemment des derniers jours de leur sursit.
***
Une solide soupe avalée à la hâte, Élisabeth avait quitté les demeures des ouvriers, à la recherche d’un peu de fraicheur. Un joli mois de septembre commençait à étirer ses derniers jours, et peu à peu, les nuits devenaient plus respirables, bercées du souffle frais que l’estuaire conduisait patiemment depuis la mer, comme on promène un jeune enfant pour le laisser s’ébattre au grand air. Quelques rafales en tourbillon se mêlaient à la chaleur qui rayonnait des galets ronds, encore brulants de la lumière absorbée tout le jour. Un calme apaisant, pourtant annonciateur du tumulte des prochains jours. Une autre rumeur s’était élevée des conversations ce soir, alors que tout le monde retrouvait peu à peu l’ombre des chaumières. Le retour du nouveau Comte coïnciderait avec l’ouverture du ban des vendanges, il le décrèterait à son arrivée. N’avait-il rien compris, ce soir là entre les règes des Sarmentiers ? La nature et ses états ne se décrètent pas, elle ne répond pas aux lois des hommes. Elle s’observe, s’appréhende, se laisse doucement dévisager, apprivoiser parfois, et nul ne peut s’arroger son contrôle.
Élisabeth leva les yeux sur les échafaudages qui enserraient l’imposant pigeonnier : tant d’énergies consacrées à de si futiles choses, se disait-elle.
— Bonsoir Élisabeth. La rénovation vous plait-elle ?
La jeune vigneronne n’avait pas perçu l’intrusion qui venait troubler ce soir de rêverie, mais son cœur s’emballa instantanément. Elle aurait pu reconnaitre cette voix au milieu de mille. Comme elle reconnaissait certains ceps remarquables, perdus dans la multitude de leurs congénères. Comment connaissait-il son nom ? Elle ne le lui avait pas donné.
— Bonsoir Monsieur le Comte. Ne vous avais-je pas dit que vous le seriez ? Je ne pensais pas que cela serait aussi vite, soupira-t-elle.
— Je ne l’espérais pas non plus, sembla-t-il se désoler. Mon père était bien plus à même de présider aux destinées de nos domaines que je ne le suis.
— En effet, il vous reste beaucoup à apprendre, comme à propos de ce pigeonnier.
— Il ne vous plait pas ?
— Non. On lui accorde bien plus d’attentions qu’il n’en mérite, d’autres choses plus subtiles sont bien trop ignorées ici, je croyais pourtant vous en avoir dit quelques mots, déjà.
Interloqué, le jeune Comte qui n’était toujours pas parvenu à attirer le regard de la femme, au port altier et à la fine silhouette, peina à opposer une répartie digne de son rang et de ses nouvelles responsabilités.
— Les petites fleurs ? avança-t-il timidement.
— Entre autres.
— Mais elles ont disparu ?
— En êtes-vous certain, monsieur le Comte ?
Sans même le laisser prendre la mesure de son incompréhension et ne lui adressant pas même un regard, Élisabeth tourna le dos à l’édifice engoncé dans ses entrelacs de bois et de cordes, et pénétra les règes de la pièce de la Tour. Machinalement, le jeune homme lui emboita le pas sans mot dire. Elle s’accroupit devant un cep, souleva négligemment quelques feuilles, pour laisser la lumière rasante du soir dévoiler une longue grappe, juteuse et rebondie, si gourmande qu’on eût sans doute voulu la mordre à pleine dents et se laisser inonder de son jus tout sucré et si fraichement acidulé. Les baies étaient si joufflues qu’on eût dit qu’elles se bousculaient pour paraitre la plus ronde, la plus belle et passer devant leurs voisines, étalant leurs charmes indécents.
— Vous ne les reconnaissez pas ? Je vous les ai pourtant faites sentir, il n’y a pas si longtemps.
— Elles ont tellement changé depuis. Elles sont devenues superbes, pensez-vous qu’elles feront de bons vins ?
Élisabeth réserva sa réponse, arrachant délicatement une des baies les plus dodues à sa rafle, un plumeau de chaire blanche accroché à son pédicelle comme unique souvenir de son appartenance révolue. Enfin, elle pivota et présenta l’offrande rouge et suintant son jus luisant au creux de sa paume près du visage du jeune Comte. Elle le scrutait, attentive à ses plus infimes réactions, à un seul léger mouvement de paupière, au moindre de ses rictus. Il observa longuement la jolie sphère grenat aux reflets noirs, presque déjà lavée de sa pellicule poudreuse de pruine par son propre jus. Il chercha le regard de la jeune femme, interrogatif. Elle ne lui céda qu’un léger hochement de tête, avançant son menton pointu dans sa direction. Il inclina la tête, révélant à la lumière qui commençait à se peindre d’orange, la blondeur de sa chevelure tirée, puis goba la baie. Élisabeth sentit le frisson qui venait de parcourir l’échine du Comte, comme si un fil invisible les reliait, comme si en posant ses lèvres sur sa paume rugueuse et légèrement terreuse, il venait de les unir dans une étrange étreinte, pourtant si pudique.
— Il est très sucré ! s’enthousiasma-t-il en souriant, fier de sa découverte.
La vigneronne ne lui opposa qu’une moue énigmatique.
— Connaissez-vous l’origine de ce plant, Monsieur le Comte ? le sonda Élisabeth. Son regard s’était fait plus dur, plus inquisiteur, comme si elle n’était pas disposée à pardonner la moindre approximation, ni la moindre inattention.
Mobilisant la somme des informations reçues ces derniers jours, il prit le temps de construire sa réponse. Dès son arrivée au domaine le matin même, il s’était longuement entretenu avec son Intendant, qui lui avait conté par le menu l’histoire de chacune des parcelles, assortissant son récit de commentaires et jugements sur chacune d’elles.
— Elle date du temps de Madame de Gasq, ma grand-mère, je crois savoir que ces plants ont été rapportés de retour du mariage de feu notre roi, Louis le quatorzième. Monsieur l’Intendant dit qu’il s’agit de notre meilleure parcelle.
— Monsieur l’Intendant est un sot, il n’entend rien à la vigne. Il ne sait que compter et peser, coupa-t-elle sèchement.
Sans pour autant exprimer son courroux, la frêle vigneronne se releva, sortit de la rège et traversa l’allée pavée, jusque vers la pièce des Sarmentiers, entrainant dans son sillage le jeune Comte, presque désorienté, comme perdu au sein de ce labyrinthe de rangées verdoyantes
Élisabeth, elle, semblait parfaitement savoir où se rendre, comme si elle connaissait intimement chacun des pieds de la parcelle. Elle stoppa soudainement sa marche et reprit sa mise en scène, identique à celle qu’elle avait improvisée au cœur de la pièce de la Tour. Les grappes qu’elle révélait, étaient bien plus petites, d’un bleu intense confinant au noir brut et à peine atténué par le poudrage de leur pruine, les grains se jouxtaient tous en rangs serrés, compacts comme une armée en ordre de marche, aucun ne cherchant à prendre le pas sur son voisin, empreints d’une austère et respectueuse discipline. Les feuilles, elles aussi plus petites, affichaient un vert plus profond, presque comme les épines des hauts pins des bois à l’entrée du domaine, elles se ciselaient en fines dentelures d’ogives, découpant leurs lobes se chevauchant l’un sur l’autre, offrant à leur sinus un léger espace vide, tout rond.
— Monsieur l’Intendant a sûrement dû oublier de vous parler de cette parcelle, signifia-t-elle en tendant une petite baie bleutée, au jeune noble captivé.
— C’est très acide ! grimaça-t-il en dégustant le petit fruit rempli de pépins.
— Mais encore ? Goutez mieux, intima-t-elle à nouveau.
— Cela râpe la langue, comme si elle se chargeait, mais c’est doux, très fin, presque semblable à de la farine, presque soyeux. On dirait aussi qu’il a comme un gout de réglisse.
Enfin Elisabeth sourit, retenant des larmes inattendues, absorbée par l’étincelle qui brillait au fond des yeux du Comte.
— C’est de cette farine, de ce grain unique que viendra la renommée de vos vins, Monsieur le Comte, de la profondeur et de la rareté de ses senteurs, pas du vulgaire sucre facile et sans âme des Côts de la pièce de la Tour. On la nomme Petite Vidure, un marchand charentais en porta quelques boutures il y a de cela des années, mon père en avait planté quelques-uns ici. Comme quoi, le prestige des origines n’est pas toujours le meilleur des alliés, quand il s’agit de traduire la vérité.
Abandonnant son élève à sa fascination, la jeune vigneronne tira sa faucille de sa ceinture, souleva délicatement quelques rameaux pour dégager le tronc pelucheux du petit arbuste. Elle suivit un sillon sur le bois puis un autre, incisant profondément l’écorce, l’ornant d’une magnifique croix.
— Pourquoi faites-vous cela ? demanda le jeune homme surpris.
— Pour les distinguer. Ceux qui ont bien travaillé ont droit à leur décoration, et si l’année prochaine ils ne se résignent pas, alors je la leur renouvellerai. Les meilleurs devront être conservés et remplacer les médiocres.
Interdit et plein de déférence, il observa la jeune vigneronne avancer de pied en pied, attribuant les précieuses distinctions aux plus méritants. Il la suivait plus que du regard, osant à peine mettre ses pas dans les siens et poursuivre à distance respectueuse, ses déambulations de cep en cep, de rège en rège.
Se relevant un instant, elle fit mine de l’attendre, le contraignant à s’approcher sans qu’elle s’obligeât à le lui réclamer. Elle saisit fermement le poignet du jeune noble, releva la manche de sa chemise, dégageant ainsi une peau blanche, reflétant avec pureté les derniers rayons violacés soleil couchant. Elle passa doucement la lame de sa faucille, le long de sa peau, l’incisant à peine, juste à faire perler une gouttelette de sang. Il serrait les dents, refusant d’avouer sa souffrance, mais incapable de retirer son bras. Un deuxième trait, plus ferme, plus profond, sans doute plus douloureux, mais aucun cri ne jaillit, pas même la moindre plainte, à peine un brillant supplémentaire au creux de ses paupières. Elle ne perdait rien de ce regard brûlant, comme si elle le dévorait et s’en nourrissait, se gavant de puissance.
— Pourquoi ? murmura-t-il
— Je pense que je vais vous conserver également.
Elle relâcha son emprise sur l’avant-bras ainsi marqué, puis s’éloigna, s’en retournant vers les demeures des ouvriers, recouverte de la pénombre naissante.
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Juin 1716 : Quelque part au cœur d’une presqu’île.
Un soleil de plomb abattait sa lourde lumière blanche sur la petite troupe de femmes au cœur des vignes. L’air n’était que poussières, presque irrespirable, immobile et chargé des embruns de l’estuaire. La lumière brûlant leurs peaux halées et tannées, elles luisaient de l’opiniâtreté qu’elles donnaient à leur tâche. Un peu derrière cet essaim chamarré de pourpres, de noirs et de bleus, avançant sans relâche et naviguant inéluctablement de rège en rège, la jeune Élisabeth saisissait presque mécaniquement chaque brin de raphias, enserrait et soulevait les lourdes branches ployant sous leur propre poids, elle nouait fermement, puis un pas de plus et la mécanique reprenait, sans cesse, presque dénuée de conscience. Du haut de ses dix-sept ans, pas question de s’en laisser conter par ces grosses femmes robustes et puissantes qui donnaient le tempo et entraînaient la bande de cep en cep, vers une éphémère destination, là où l’air circulerait à nouveau, là où l’on pourrait enfin respirer. Ces allées salvatrices où les tombereaux prenaient plaisir à déambuler, un jour chargés de fumier, le lendemain de foin ou parfois, lorsque l’été tirait sa révérence, croulant sous le poids des grappes bleutées. Un fugace espace de répit pour ces marcheuses effrénées. Encore quelques règes et l’ombre du vieux chêne vert apparaîtrait. Peut-être l’une des matriarches décrèterait-elle que l’on puisse s’y assoir, et boire un peu d’eau, enfin.
De bouquets de branches en bouquets de branches, Élisabeth s’émerveillait d’enfin révéler à la lumière ces petites grappes, ces multitudes de boules vertes émettant leurs quatre élégants filaments blancs à l’extrémité jaune comme le cœur d’un œuf. Elle s’enivrait de leur subtil parfum, presque acidulé et légèrement soufré, à peine perceptible, si fin et délicat, comme le sont chacune de ces minuscules fleurs rassemblées en essaim. Étrange comme elle se trouvait, elle aussi, attachée à sa troupe. Qu’elles sont belles ! Qu’elles sentent bon ! Personne ne semblait leur prêter attention pourtant, comme une terrible indifférence.
Ces deux derniers jours, leurs tâches aux vignes avaient été suspendues pour fleurir le château en vue de la fête. Par brassées, par gerbes, comme aujourd’hui elles avaient porté les cueillettes depuis les jardins jusque dans de grands vases, sous les fenêtres de la demeure des maîtres. Une distraction qu’affectionnaient toutes les autres vigneronnes du domaine. Contraintes à la pudeur de bavardages chuchotés, elles partageaient leurs rêves de taffetas, de tulles et de bals au bras de beaux nobliaux.
Rien de tout cela n’inspirait la moindre émotion à la jeune vigneronne, pire ces incursions sous les dorures de la maison de maître lui semblaient ineptes. Elle n’éprouvait que mépris pour ces gens qui se croyaient tellement supérieurs qu’ils ne connaissaient même pas leur propre propriété, ignorant naïvement la beauté dont il leur suffisait de jouir. Si elle avait eu le pouvoir de le dire, Élisabeth le leur aurait hurlé : « A quoi bon les couper pour les voir se faner ? Il n’y a que cela des fleurs autour de vous, pauvres aveugles. Vous n’avez qu’à soulever un seul petit rameau pour vous en émerveiller, les admirer, les humer. ».
Monsieur l’intendant, peut-être, semblait le seul être humain à leur porter le moindre intérêt réel. Elle l’apercevait parfois, parcourant les rangées, plume et calepin à la main, les comptant et les mesurant du doigt, comme un banquier méticuleux. En percevait-il seulement la beauté, la réelle valeur ?
Les souffrances, dans son dos, ses épaules dénudées qui la brûlaient plus encore que les ardents rayons de l’astre solaire en ce mois de Juin. Ses rêveries ne les lui avaient pas ôtées. Un des plus chauds qu’on ait connu, tous les anciens le disaient le soir lors des veillées. Heureusement, elles étaient là, partout autour d’elle, ces chères petites fleurs, si discrètes, si élégantes. Pitié qu’elles ne fussent condamnées à grossir, rosir puis bleuir avant de finir broyées dans les énormes cuves de bois. La nature se montrait si injuste, jamais elle ne devrait permettre à la beauté de disparaitre aussi vite.
Un soupir lui échappa.
— Allez Babé, on y est presque, on va se mettre à l’ombre, dépêche-toi !
Plus que trois bouquets, deux, un … Enfin ses sabots pouvaient se poser sur l’allée pavée et rejoindre le groupe de femmes qui venaient de s’installer sous le vieux chêne vert. A l’ombre de ses branches tortueuses, à l’écorce burinée par le temps, de ses petites feuilles huileuses et dentelées s’agitant par rafales, elles offraient aux travailleuses un havre de paix à l’obscurité ajourée et ce souffle d’air frais leur permettant enfin de respirer. Même les embruns de l’estuaire semblaient vouloir s’estomper, pour ne plus laisser s’exprimer que le subtil parfum des fleurs de vignes et la verte saveur sucrée des pelouses fraîchement coupées.
A peine Élisabeth se fut-elle adossée au large tronc à l’écorce rugueuse et parcourue de ses profondes stries grises, qu’une agitation se fit entendre à quelques dizaines de pas derrière elle, autour du grand portail du domaine. Un équipage en nombre faisait son entrée. La salve des carrosses et des laquais endimanchés, risquait de s’égrener à allure régulière jusqu’à la tombée du jour. Sans doute ignoreraient-ils tous la beauté du spectacle qui leur était offert, elle l’aurait juré.
Le grincement et les cliquetis des roues ferrées ne s’étaient pas encore fait entendre, que déjà toutes les vigneronnes avaient bondi pour se redresser et s’aligner, afin de présenter leurs hommages aux invités de marque qui s’apprêtaient à rejoindre le château. Toutes sauf Élisabeth, qui caressait encore nonchalamment la mousse du vieux tronc, du dos de la main. Elle était si douce, malgré cette chaude journée d’un été qui se précipitait, comme le pelage d’un vieux chat qu’on aime à caresser lorsqu’il vient se blottir contre vous à la veillée. Une des matriarches, saisit la jeune vigneronne par le bras, pour la ramener enfin dans le rang.
— Viens Babé, secoue-toi c’est Monsieur Nicolas.
Qu’avait-elle donc à faire de cet héritier sans intérêt ? Elle se souvenait pourtant l’avoir vu s’amuser avec les autres enfants du domaine, il y a quelques années. Au fond il n’avait pas l’air si différent, en dépit de ses culottes de satin et de ses chemises immaculées. De ce dont elle se souvenait, il était même assez joli garçon, mais aucune illusion ne demeurait, son départ pour la cour avait dû achever de le corrompre à la médiocrité humaine, il ne pouvait en être autrement.
Au passage de l’équipage, les vigneronnes abaissèrent la tête, se fendant pour certaines de révérences improvisées et à la désolante maladresse. Élisabeth, elle, n’abaissa pas les yeux, se repaissant narquoise de ce balai de dupe au cœur de son vignoble. Enfermé dans son carrosse rouge, paré de dorures et affublé de ses laquais en grands habits de cour, l’héritier semblait se prêter, lui aussi contraint, aux usages iniques de l’étiquette, dispensant la mendicité de ses salutations à un personnel dont il ignorait tout.
L’espace d’un instant leurs regards se croisèrent. Un léger voile sembla passer devant ses yeux. S’était-il senti offensé par cette fierté brute et possessive, osant lui tenir tête ? Ou autre chose de moins intelligible venait-il de se jouer, dans cet instant éphémère où la perfide senteur de sueur de l’équipage harassé osait venir troubler la délicatesse du parfum des chères fleurs d’Élisabeth ?
Délaissant cet affligeant spectacle, elle fut la première à reprendre le chemin de l’infinité des règes verdoyantes et scintillantes, la première à tirer son fil de raphia. Muettes, toutes les autres vigneronnes suivirent la marche, reconstituant leur grappe homogène et indissoluble.
***
La nuit était tombée, écrasant les eaux troubles de l’estuaire à une large nuée noire sans reflets. Élisabeth s’était extirpée de l’interminable veillée, plus pudique encore que les autres soirs, comme si par dévotion, il avait encore fallu se montrer plus humbles, plus silencieux, et abandonner cette nuit à l’amusement des maitres, dans leur demeure illuminée vomissant leur musique et leurs indécents brouhahas de conversations futiles, sans le moindre respect pour la quiétude de ses pauvres fleurs, épuisées de s’être tant gorgées de lumière. De toute évidence, elle ne goutait guère ces soirées au coin de l’âtre qui nécessitait parfois de subir les assauts de jeunes vignerons exaltés. Au grand désespoir de sa mère, aucun des garçons du domaine ne trouvait la moindre grâce à ses yeux, pas qu’elle se sente incommodée par la sueur et la poussière laborieuse qui leur collaient à la peau, mais elle se désespérait du vide de leur regard, de leur résignation à leur condition et de leur étroitesse. Peu lui importait après-tout, elle s’était convaincue qu’aucune affection de la part d’un ces fougueux travailleurs ne justifiât le moindre infléchissement.
Comme elle aimait à le faire, Élisabeth venait de s’allonger entre deux règes de la pièce des Sarmentiers, les yeux dans les étoiles, auprès de ses chères fleurs à peine éclairées par la pâle lueur lunaire. Les graves rayonnaient encore de tout ce soul de chaleur qu’elles avaient avalé tout le jour, réchauffant et apaisant son dos de tous ses maux. La terre argileuse qui couvait ses galets, suintait encore les orages de l’avant-veille, exhalant son doux parfum de silice, semblable à celui d’une pluie d’été. Que la fête qui battait son plein quelques centaines de pas en contrebas lui paraissait pathétique.
Des pas dans une allée arrachèrent Élisabeth à sa douce torpeur. Qui osait s’aventurer au cœur de ses précieuses vignes endormies, et venir troubler leur repos ? La fête au château ne leur suffisait donc pas ? La jeune vigneronne ne pouvait imaginer une seconde qu’un autre s’octroie ainsi le droit de venir s’enivrer de l’incomparable odeur de ces précieuses vignes, là où se mêlaient finement la pierre, l’humus et le soufre, aucun ne les méritait.
D’un bond, elle se redressa, s’élevant subitement au-dessus du rideau des règes de vignes, bien plus soucieuse de les protéger d’un importun, que de se plier à la moindre bienséance. Le promeneur nocturne, égaré loin de sa troupe n’était autre que le jeune héritier. Surpris par cette bête sauvage bondissant de sa cachette, il stoppa net sa déambulation, contraint de bredouiller une parade maladroite.
— Excusez-moi, Mademoiselle je ne voulais pas vous déranger.
Sa veste satinée repliée sur le bras laissait apparaitre sa chemise négligemment entrouverte, et décravatée. L’obscurité aurait presque pu le faire passer pour n’importe lequel des gens du domaine. Serait-il différent de ce qu’elle imaginait ? Cette courtoisie contraire aux sens de l’étiquette décontenança la vigneronne, ignorante de la grâce et de la justice que l’obscurité, à peine baignée de quelques rayons de lune, rendait à sa beauté. Sûre de son droit de résider là, et de protéger son précieux vignoble, elle ne répondit pas, dressée dans ses sabots, exhalant sa fierté et son aplomb, autant qu’elle affichait sa féminité resplendissante. Le jeune homme visiblement troublé, tant par cette apparition sauvage que par quelques vapeurs d’alcool, rapportées de l’indécente et bruyante demeure des maîtres, resta comme interdit avant d’oser ajouter un mot de plus.
— Je n’en peux plus de cette horrible réception, bredouilla-t-il comme pour se justifier devant la vigneronne, d’ores et déjà reconnue comme Maîtresse des lieux.
Adoucie par l’humilité de son hôte, la jeune femme s’assit contre un solide piquet d’acacia, retrouvant un peu de la quiétude de son refuge nocturne.
— Me permettez-vous de m’assoir un instant également ? demanda timidement le jeune seigneur étrangement devenu ignorant de son rang.
D’un signe de tête, à peine suffisant pour qu’il lui soit perceptible dans la pénombre, elle accéda à sa requête, l’autorisant à prendre place face à elle et à s’adosser lui aussi contre un piquet de bois. Ils écoutèrent respectueusement durant de longues minutes, le silence à peine troublé par les émanations de la fête, s’étirant avec sensualité entre les règes immobiles, comme protégés du monde par ses paravents au feuillage sombre.
— On dirait qu’elles dorment, finit par murmurer le jeune héritier.
Élisabeth se troubla instantanément. Se pourrait-il ? Un autre qu’elle se verrait-il éclairé de la capacité de voir l’évidente réalité ? Elle relava les yeux pour dévisager cet étrange visiteur. Il lui paraissait bien différent, le regard débordant d’une improbable innocence.
— Les fleurs se reposent, finit par lâcher la jeune vigneronne, enfin décidée à partager un peu de ses vignes avec leur futur maître. Elles ont eu une dure journée avec tout ce soleil.
Le jeune homme semblait émerveillé par les mots de la jeune femme, par sa voix sans doute plus encore, son timbre, son aplomb. Il digéra lentement ce premier acte d’enseignement pourtant encore si peu perceptible, mais la curiosité le gagnait.
— Approchez, lui signifia-t-elle calmement, certaine qu’aucun refus ne lui serait opposé. La docilité du jeune héritier perçait à travers sa chemise de soie entrouverte, Élisabeth la percevait comme une évidence, et l’indécent désir d’en user revêtait d’ores et déjà les atours d’une absolue nécessité, une irrépressible pulsion qui tambourinait dans sa poitrine.
Le jeune homme se leva et vint s’accroupir près de la vigneronne. Elle passa délicatement sa main sous l’une des grappes, comme si elle osait à peine la caresser, emprunte d’un incommensurable respect pour cette si petite chose, insignifiante aux regards de tous.
— Sentez.
Il se pencha et huma profondément les fleurs pelotonnées les unes contre les autres, sur la paume rugueuse de la jeune femme.
— Ça ne sent rien, osa-t-il tout juste confesser, se fendant d’un regard presque craintif à la Maitresse des vignes.
— Sentez mieux ! intima-t-elle.
— C’est subtil, à peine perceptible, légèrement sucré ? C’est si discret.
Un sourire naquit sur le visage de la jeune femme, perçant un peu l’obscurité qui les nimbait.
— Il n’existe rien de semblable à la cour, et je ne vous parle même pas de cette fête.
— C’est ici que se trouve la vérité de votre terre Monsieur le Comte, pas dans vos fêtes ou votre cour.
— Je ne suis pas encore Comte, s’offusqua-t-il, presque intimidé d’être ainsi nommé.
— Vous le serez ! insista-t-elle. Imprégnez-vous de cette odeur, elle est fugace, elle ne fait que passer, pour mieux être oubliée, ignorée. Elle est pourtant la source de tout ici, et aucun de vos vins ne traduira jamais assez bien la pureté et la vérité qu’elle exprime. Connaissez chacune d’elles, la saveur de chaque poignée de cette terre qui la nourrit, ressentez les rayons qui la réchauffent, et alors peut-être saurez-vous, peut-être pourrez-vous tenter de la traduire.
A ces mots, elle saisit une poignée de terre argileuse parsemée de quelques-unes de ces petites graves encore chaudes, et la plaça dans la main du jeune noble. Accompagnant sa main jusque devant son nez, elle le poussa à humer encore, à chercher à se rendre intelligible la saveur de sa terre, de leur terre. Cette inestimable valeur, qu’aucun document de propriété ne saurait jamais réduire à la médiocrité des affaires. Il s’exécuta, sans un mot, emprunt de respect, peut-être même ému par une autre odeur, plus troublante encore, un effluve de poussière et de sueur qui ne parvenait pourtant pas à masquer le sucre de la peau de cette étrange initiatrice.
Il chercha timidement son regard, elle ne le lui refusa pas, le fixant profondément comme si elle voulait s’assurer qu’il comprenait. Il comprenait, elle le savait.
Heureuse et emportée par une inexplicable pulsion, elle approcha sa bouche et pressa ses lèvres contre celles du jeune Comte, abandonné au savoir et à la sensualité de son enseignante. Elle immisça discrètement sa langue rose et puissante à travers ces renflements charnus et gourmands, les privant de leur pouvoir d’obstruction, de résistance. Le jeune homme ne put s’opposer à cet acte de possession transgressif, avait-il seulement imaginé s’y soustraire ? Un profond désir ne le contraignait-il pas déjà ?
Le cœur d’Élisabeth battait d’une puissance inédite, impossible à contenir, sa menue poitrine semblait prête à embraser sa chemise de lin, à faire exploser les lacets de son corset. Elle se sentait comme submergée par ce flot de désir pour cet autre, ses yeux, l’éclat de son regard, sa peau blanche, presque tremblante sous ses doigts.
Le baiser se fit plus langoureux encore, plus intense, tant que le jeune noble se retrouva assis adossé à son piquet, Élisabeth le chevauchant presque et décidée à ne pas relâcher sa proie. Elle n’avait jamais embrassé un homme, mais ses instincts lui commandaient chaque mouvement, chaque caresse du bout de ses lèvres, de sa langue ou de ses dents mordillantes. Il lui semblait qu’elle avait toujours su.
A sa ceinture, le bouquet de raphia se balançait au gré des ondulations de son corps, contre celui du jeune héritier docile, en élève assidu, il répondait à chaque sollicitation de la sensualité de la jeune femme avec douceur et prestance, comme s’il allait jusqu’à lui faire don de lui-même au cœur de cette étrange étreinte.
Irrépressiblement entrainée par les émotions qui la débordaient, elle tira plusieurs brins de raphia de sa ceinture, saisit les poignets de l’homme, les releva au-dessus de sa tête et les noua fermement au robuste piquet d’acacia. Il ne s’y opposa pas. L’ivresse incommensurable, inintelligible envahissait tout le corps de la jeune vigneronne, elle brulait et frissonnait à chaque contact avec la peau blanche ou les lèvres charnues du jeune héritier.
Plus indécente encore, elle dégrafa son veston, puis entrouvrit sa chemise immaculée, parcourant de sa paume ce torse encore juvénile mais rempli de puissance. La pâleur lunaire ne pouvait rien cacher de la douceur de sa peau, si pure, si délicate. Exaltée par sa vision, elle plongea sa chevelure jusque dans le creux de son cou, elle huma, fort. Était-ce possible ? Il sentait la fleur de vigne !
Une incompréhensible frénésie semblait vouloir la gagner, un désir incontrôlable ruisselant en un liquide chaud le long de ses cuisses. Ses baisers se faisaient sauvages, féroces et le jeune noble ne s’y soustrayait toujours pas, plus encore il y répondait avec une délicatesse et une incroyable subtilité, lui aussi parcouru de spasmes et de frisons, comme les soubresauts d’un cheval qu’on éperonne. Élisabeth exultait, de plaisir mais bien plus. Une sensation inconnue s’emparait d’elle et la gagnait comme une fièvre, la rongeant de sa brulure, un sentiment de puissance, de contrôle. Elle aurait voulu le hurler, son corps cherchait à crier, envers et contre tout, la transe qui la dévorait. Elle ne pouvait pas, elle ne pouvait réveiller les vignes endormies.
Alors, pourtant au comble d’un inexplicable trouble gagnant jusqu’à son âme, haletante et folle d’un indicible désir, Élisabeth se leva soudainement, le perfora une dernière fois d’un regard brûlant, et sortit des règes de la pièce des Sarmentiers, pour s’en retourner en contre-bas vers les demeures des ouvriers, là où l’attendait sa place et un repos mérité. Abandonnant l’héritier à son indécente posture, elle longea la pièce de la tour, puis se faufila entre deux règes de celle des socs, songeant qu’il fut pitié qu’il ne fusse condamné à grossir, rougir puis bleuir avant de finir broyées dans les énormes cuves de bois, semblables aux éphémères petites fleurs vertes aux élégants filaments blancs et aux extrémités jaunes comme le cœur d’un œuf.
La mécanique de la hiérarchie humaine s’avère chose bien étrange.
Imaginez qu’un jour, un roi le nommerait Prince et qu’à cet instant il fut son esclave.
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Lorsque le général Kios a demandé des volontaires, Dania et Sania ont fait un pas en avant, main dans la main, un joli sourire aux lèvres. Enfin de l'action après tous ces longs mois d'entrainement.
-L'hiver est là, dit le général Kios. Nous allons frapper nos ennemis chez eux, au moment où ils nous attendent le moins. Soyez comme des guèpes. Brûlez leurs villages, leurs réserves, coupez leurs routes, leurs ponts. Détruisez tout ce que vous pouvez. Mais rendez vous invisibles. Fuyez lorsque l'ennemi voudra vous saisir et revenez sans cesse à l'attaque dès qu'il tournera les talons. Soyez pire que les gros frelons. Frappez pour tuer!
Dania et Sania, ne disent rien. Elles bouclent leurs sacs et partent vers le Royaume du Nord, leurs pires ennemis, ceux qui ont juré de les réduire en esclavage. Ils sont moins d'une centaine à partir ainsi par tout petits groupes, que des gays ou des lesbiennes, , pour se fondre dans la nuit, les forets, les hautes herbes, pour se rendre invisibles et aller frapper l'ennemi.
Arrivées dans le Royaume du Nord, Dania et Sania se cherchent un refuge pour les nuits glaciales, elles trouvent une grotte dans une foret obscure, s'installent. Elles commencent par des razzias et des sabotages, brouillent les traces et les pistes. Puis elles ont une idée. Elle créent une terrifiante bête imaginaire. Elles fabriquent des crocs d'acier, un pelage avec des fourrures, un cri avec vieille cornemuse. Désormais c'est leur signature. Une bête qui frappe dans le villages et les hameaux, une bête qui attaque les isolés, les lacère de coups de griffes mortelles. La rumeur propage la peur.
Le Roi du Nord, s'inquiète. Il envoie ses meilleurs soldats. la bête reste introuvable.
Tous les soirs, dans leur grotte, Dania et Sania font l'amour, tendrement, en paix, sous les épaisses fourrures. Le Royaume du Nord se lamente. La peur a changé de camp.
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Elles roulèrent sans se parler vers le centre ville. Juliette conduisait sa voiture à travers
la circulation avec son autorité naturelle. À coté d'elle, Charlotte ne savait pas comment
se tenir et gardait le visage tourné vers la vitre. Où allaient-elles ? Juliette n'avait même
pas répondu à la question. Elle flottait entre inquiètude et excitation, ivresse et émoi.
À l'extérieur ne défilaient que des silhouettes floues, échappées d'un mirage. Cette fois,
elle savait que l'univers parallèle qu'elle s'était tant de fois décrit en secret était tout
proche, enfin accessible. La réalité peu à peu s'effaçait. À tout moment, elle s'attendait
à ce que la main de Juliette se pose sur sa cuisse. Une main douce glissant sa caresse
sur le satin de sa peau. Ou une main dure au contraire, aggripée à son corps. N'importe
quel contact lui aurait plu, mais rien ne passait. Indifférente à la tension de Charlotte, aux
imperceptibles mouvements que faisaient celle-ci pour l'inviter à violer son territoire, à ces
cuisses bronzées que découvraient hardiment une minijupe soigneusement choisie, Juliette
ne semblait absorbée que par les embarras du trafic. Enfin, elle gara sa voiture devant la
devanture d'une boutique de lingerie urtra-chic. Luxe, calme et volupté, commenta-t-elle.
Sur les murs couleur pêche, des strings, des tangas et des soutiens-gorge tendus entre des cadres dorés
dessinaient dans le vide des silhouettes raffinées. Regroupées par couleur, mises en lumière avec un soin
maniaque, des centaines de dentelles arachnéennes et de satins précieux reposaient sur des rayonnages
d'acajou, telles de prestigieuses pièces de collection. Charlotte sentit un léger frisson la parcourir de l'échine
aux reins. L'élégance extrême de ce temple dédié aux dessous féminins ne la mettait pas à l'aise. Juliette
s'en moquait. Déjà, elle se penchait sur les étagères pour y pêcher des articles froufroutants. Elle lui jetait
des coups d'œil malicieux. Et elle l'entraîna jusqu'à l'une des cabines d'essayage.
Dans cet établissement ultra-chic, les cabines d'essayage n'avaient rien à voir avec les vulgaires isoloirs des
autres magasins. C'étaient de véritables salons: une porte de verre dépoli s'ouvrait sur un espace de deux
mètres sur deux tapissé d'acajou et d'une profonde moquette noire. Au fond, un large tryptique permettait de
se voir sous toutes les coutures. Juliette poussa Charlotte à l'intérieur et s'y engouffra à son tour. Bientôt, elle
lui demanda de se déshabiller. Cet ordre excita Charlotte, non seulement parce qu'il lui avait été donné par sa
Maîtresse, mais aussi à cause du lieu où elles se trouvaient. La présence de Juliette observant tout près d'elle
son strip-tease acheva bien sûr de l'émouvoir. Se retrouver totalement nue pour essayer un string et un bustier
de satin abricot assorti la troublait encore davantage.
Charlotte respira un peu plus vite en regardant dans le miroir les mains de Juliette se poser sur ses hanches
sur l'échancrure du string. Elle lui fit faire un demi-tour, passant et repassant les doigts sur ses fesses à travers
le satin. Le souffle court, Charlotte ferma les yeux et entrouvit légèrement les cuisses. Elle craignait de tâcher
le fond de la culotte, tant les doigts de sa Maîtresse frôlaient déjà son sexe depuis l'entrejambe jusqu'au nombril,
sans s'attarder, comme distraits. Elle posa une main sur celle de son amante dans l'espoir de la guider mieux,
mais sans oser la forcer à pousser plus loin ses investigations sensuelles.
- Je pourrais te plaquer à plat ventre contre la cloison. Imagine le contact lisse de l'acajou contre tes seins pressés.
Tu sentirais la pointe des miens contre ton dos et mon sexe brûlant contre tes fesses. Je te mordillerais le cou,
ici même avec toutes les clientes autour de nous. Je suis sûre que cela te plairait.
À cet instant, une vendeuse entrouvit la porte.
- Est-ce que ça lui plait ? demanda-t-elle avec un large sourire.
- C'est tout à fait charmant sur vous, pousuivit la vendeuse. Voyez comme les bonnets pigeonnants valorisent
votre poitrine. Prenez-vous celui-ci ou souhaitez-vous essayer autre chose ?
- Non, elle prend celui-ci, annonça Juliette.
La vendeuse emmaillota avec mille précautions la lingerie dans du papier de soie.
- Vous constaterez d'ailleurs que ce modèle est aussi confortable que sophistiqué. Monsieur trouvera lui aussi cet
ensemble tout à fait charmant.
- Pas Monsieur, Madame, rectifia Juliette en s'emparant du sac de papier rose. Elle passa son bras sous celui de
Charlotte et sortit du magasin en riant, ravie de son impertinence et de la stupéfaction de la vendeuse.
- Maintenant, on va au Dépot, annonça-t-elle en se remettant au volant.
Le Dépot était un café-brasserie sans âme, uniquement fréquenté par une clientèle masculine. Elles s'installèrent
à l'opposé du bar et Juliette commanda deux salades. Les hommes parlaient mais ne s'écoutaient plus. Ils n'avaient
plus d'attention que pour les nouvelles venues, pour leur jambes et leurs seins, pour leurs jupes si courtes.
- Écarte un peu les cuisses, chuchota Juliette à l'oreille de Charlotte.
- Quoi ? Mais tu es folle ?
- C'est un ordre.
- Maintenant, passe la main sur une de tes cuisses, et arrange-toi pour relever les jambes un peu plus haut.
Un coup d'œil lui permit de constater qu'elle avait obéit à son ordre avec beaucoup d'application: sa jupe remontait si
haut qu'elle pouvait voir l'amorce blanche de sa culoltte. Juliette souriait, les yeux droits dans les siens, et elle eut la
sensation qu'enfin elle lui plaisait vraiment. Son zèle la bluffait.
- Je vais faire tomber la salière et tu vas la ramasser, annonça Juliette. Mais d'abord, ouvre ton chemisier de deux
boutons de plus. Tu as compris ?
Charlotte hocha la tête, fit mine se s'essuyer la bouche avec sa serviette et en profita pour échancrer un peu plus son
corsage.
- Embrasse-moi dit Juliette.
Elle avait brusquement rapproché son visage et ne souriait plus du tout. Elle passa sa main dans le cou de Charlotte
et attira d'autorité ses lèvres vers les siennes. N'eut été le délicat parfum Miss Dior, elle aurait pu croire que c'était un
homme qui était en train de l'embrasser, tant Juliette mettait de fougue à posséder sa bouche. Dans la brasserie, les
conversations s'étaient tues brusquement. Lorsqu'elle rouvrit les yeux, Charlotte découvrit autour d'elle des hommes
pétrifiés dans leur attitude.
- Maintenant, écoute-moi attentivement, le brun aux cheveux presque rasés qui porte un jean s'appelle Xavier.
Il habite à deux pas d'ici. Il va partir avant toi et tu vas le rejoindre. Voilà son adresse. Dans le hall de l'entrée
de son immeuble, appuie sur le bouton marqué au nom de Monsieur de Saint-Avit. Prends l'ascenseur jusqu'au
deuxième étage, c'est la porte de droite. Une jolie jeune femme t'ouvrira, elle s'appelle Valérie. tu te déshabilleras
et lui feras l'amour sans la déshabiller. Ensuite tu dégraferas le pantalon de Xavier et tu donneras l'ordre à Valérie
de se dévêtir. Elle le masturbera à ta demande et lorsque son sexe sera en érection tu le prendras dans ta bouche.
Charlotte, ébahie, écoutait religieusement Juliette, mais sans oser ni intervenir encore moins protester.
Tu t'allongeras ensuite sur le lit, en prenant soin de tenir tes jambes bien écartées. Allongée sur le lit, tu t'offriras
à lui pour qu'il te prenne. Une fois qu'il t'aura prise, Valérie te léchera jusqu'à ce que tu jouisses dans sa bouche.
Puis vous irez toutes les deux dans la cabine de douche où l'homme urinera sur vous. C'est son fantasme. Tu
accepteras. Ensuite, tu urineras sur Valérie et elle en fera autant sur toi. Accepte cela et accomplis ta tâche.
Elle appuya sur le bouton de l'interphone, sans rien ne pouvait commencer. Ses mains tremblaient, sentant son
corps plus vulnérable encore. Aucune voix ne répondit. Elle frappa à la porte, une très belle jeune femme apparût.
Elle commit sa première faute; elle oublia de se déshabiller. Valérie le fit pour elle, avec grâce et naturel. Il lui fallait
réagir, si elle ne voulait pas commettre une seconde erreur. Elle commença à embrasser son ventre doux et moite,
délicatement parfumé, lorsqu'on frappa à la porte. Valérie ne parut pas étonnée de cette visite. Xavier entra. Elle lui
dégrafa la ceinture de son pantalon. La jeune femme acheva de le déshabiller avec élégance et prit le sexe de
l'homme entre ses doigts effilés. Elle le masturba lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair.
La verge était maintenant massive et congestionnée, d'une parfaite obscénité. Après avoir ordonné sèchement
à Valérie de cesser de le masturber, il demanda à Charlotte de s'allonger sur le lit, sur le ventre, en cambrant ses
reins au maximum. Sans qu'elle y soit préparée, il la sodomisa sans le moindre égard. Ensuite, il demanda à Valérie
de se mettre dans la même position, il la prit à son tour tout aussi brutalement. Xavier somma d'une voix autoritaire:
- Laquelle veut me recevoir ?
Charlotte répondit spontanément qu'elle le désirait. Il lui ordonna de le prendre dans sa bouche pendant que Valérie
caresserait la partie de son sexe qu'elle pouvait atteindre. Elle suça avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait
sous sa langue. Le membre devint si volumineux qu'elle eut quelques difficultés à le conduire au terme de sa jouissance.
Avec violence, il se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres. Il éjacula brusquement, inondant sa gorge d'un
liquide qu'elle prit à coeur à avaler avec dévotion. Juliette lui avait appris à se délecter de sperme, à plus soif.
Xavier les envoya se laver. La salle de bain était vaste et claire. Avant qu'elles n'eurent le temps de se mettre sous la
douche, il urina sur elles en les éclaboussant d'un jet dru et tiède. Elles tournèrent sur elles-mêmes afin que chaque
parcelle de leurs corps reçoive son ondée. L'excitation qui en résulta leur donnèrent l'envie de lui offrir une dernière
scène. Elles refirent l'amour presque tendrement.
Quand Charlotte rentra chez elle, épuisée mais heureuse d'avoir franchi une nouvelle étape dans son abnégation,
elle reçut un appel de Juliette. Froidemement, elle lui annonça qu'elle serait offerte prochainement lors d'une soirée
privée. Elle s'endormit presque aussitôt après avoir pris un bain.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ma vie de soumise
Chapitre 7 : Samedi 3
Samedi après-midi.
J’arrive chez mon Maître. Il m’accueille. Il est nu. Il m’ordonne de me déshabiller. Il prend ma laisse et m’entraîne dans la chambre. La femme que j’avais vue lors d’une précédente visite est couchée, elle est nue.
Mon Maître s’adresse à elle :
- Chérie, je te l’offre. Elle est à toi.
- Merci.
La femme s’adresse à moi :
- Bonjour, je suis Carole. Viens me rejoindre chérie.
- Oui, madame.
- Appelle-moi Carole.
- Oui, Carole.
Mon Maître s’est assis dans un fauteuil. Il nous observe. Je rejoins Carole dans le lit. Ses lèvres prennent possession des miennes puis ce sont nos langues qui se rejoignent. Ses mains viennent palper mes seins. Elle prend mes mains qu’elle place sur ses seins. Ce sont des gestes pleins de douceur. Ses seins sont très fermes. Elle me chuchote à l’oreille :
- Ne sois pas timide. On va se donner du plaisir. Jérôme va se contenter de regarder et de filmer. C’est la première fois que tu couches avec une femme ?
- Oui.
- Alors, laisses-toi guider, ma chérie.
- Mon Maître m’a interdit de jouir.
- Dans ce lit, c’est moi qui commande. Tu feras ce que tu veux.
Elle me fait allonger sur le dos. Ses mains enveloppent mes seins. Je frémis sous les caresses. Puis ses mains descendent vers mon ventre. Que c’est bon ! Mon Maître a commencé à filmer. J’observe son sexe tendu. Les mains de Carole se font plus précises. Une main atteint mon sexe et je sens un doigt s’immiscer dans mon vagin et titiller mon clitoris. Je gigote dans le lit, j’ai tendance à serrer les cuisses. Carole s’adresse à moi :
- Détends-toi, ouvre tes cuisses.
Je desserre mes cuisses et Carole peut continuer à me caresser. Elle vient m’embrasser, nous sommes langue contre langue. Je sens monter un orgasme. Carole me dit :
- Jouis, ma chérie.
Et j’explose ! Carole a maintenant sa bouche à l’entrée de mon sexe et commence un cunnilingus. Je n’ai connu cela qu’avec des hommes mais avec Carole c’est féérique. J’ai un second orgasme. Elle vient m’embrasser et je peux goûter sur sa langue ma propre liqueur. Elle s’adresse à moi :
- À ton tour, ma chérie, si tu en as envie.
Bien sûr que j’en ai envie. J’ai peur de ne pas savoir m’y prendre avec mes doigts. J’approche ma bouche de son sexe et je goûte le fruit. Son vagin est très humide, je me délecte en buvant sa cyprine. Elle me tient la tête avec ses mains et insiste pour que je continue ce que j’ai timidement commencer. Je la sens gigoter. Elle est agitée de spasmes. Puis elle jouit dans un cri. C’est la première fois que je fais jouir une femme. Carole me fait mettre sur elle, nos poitrines se joignent. Elle me caresse les dos puis ses mains descendent jusqu’à mes fesses. Elle s’adresse à moi :
- Couches-sur le ventre et écarte bien tes cuisses.
Elle descend le long de mon corps. Ses mains écartent mes fesses et sa langue s’insère dans mon cul. Cela provoque une sorte de décharge, j’ai un orgasme mais sa langue continue à s’insérer dans mon anus. C’est beaucoup plus doux qu’une sodomie, en fait ça n’a rien à voir.
Je veux rendre la pareille à Carole. Nous échangeons nos positions, je recopie les gestes de Carole. Ma langue pénètre dans son cul. Elle ne tarde pas à avoir un orgasme. Puis nous unissons nos langues pour goûter un mélange de saveurs. Épuisées, nous nous couchons sur le dos côte à côte. Mon Maître a dû faire de bonnes vidéos.
Carole se redresse à moitié appuyée sur son coude et s’adresse à mon Maître :
- Chéri, peux-tu m’apporter un grand verre d’eau ?
Mon Maître de lève et revient avec une chope qui me rappelle des souvenirs. Il n’y a pas si longtemps, j’ai dégusté l’urine de mon Maître dans cette chope. Carole prend la chope en main, en prend une gorgée et se penche vers moi pour me verser cette gorgée dans la bouche. J’avale cette gorgée et c’est à mon tour de faire passer de ma bouche à la sienne une gorgée d’eau. Nous vidons ainsi la chope.
Carole vient à nouveau sur moi, sa bouche près de mon sexe, ma bouche près de son sexe. Nous entamons un soixante-neuf. Mes mains ont agrippé les cuisses de Carole. Nos langues sont très actives. Que c’est bon de lécher et de se faire lécher en même temps ! Nous avons toutes deux un orgasme et nous recouchons sur le dos. Carole s’adresse à moi :
- Tu as vu Jérôme ? Il va exploser.
En effet, mon Maître a le sexe tendu à l’extrême. Carole s’adresse à lui :
- Chéri, viens, nous allons te sucer.
Je m’adresse à Carole :
- Mais je n’ai pas le droit, je vais me faire punir.
- Lâche-toi, c’est moi qui dirige.
Mon Maître s’allonge sur le dos entre ses deux femmes. Nos bouches se rapprochent du sexe de l’homme. Carole comment par lécher le gland et fais entrer le sexe dans sa bouche, elle arrête sa pipe et m’invite à sucer la queue. J’engloutis le sexe de mon Maître puis je repasse le sexe à Carole. Il y a une qui suce et l’autre qui lèche les couilles. Mais, manifestement, mon Maître ne veut pas jouir dans une des bouches. Il se redresse et fait coucher Carole sur le dos et sa verge pénètre le vagin de Carole. Aujourd’hui, j’ai le droit de prendre des initiatives. Je me place derrière mon Maître, lui saisis les deux fesses que j’écarte et ma langue part découvrir son cul. Mais mon Maître n’est pas immobile avec ses coups de boutoir dans Carole. Je suis tant bien que mal, ma langue ne quitte pas l’anus. Je déguste un cul que je ne connaissais pas. Je sens mon Maître se raidir, il vient de jouir. Il bascule sur le côté et embrasse Carole. Je me glisse vers le sexe de Carole que mes lèvres atteignent. Je veux récupérer le sperme de mon Maître. Dans ma bouche, les goûts se mélangent, la liqueur de Carole, le sperme de mon Maître et le goût de son cul.
Nous nous étendons tous les trois sur le dos. Carole est entre son amant et moi. Elle vient m’embrasser, nous sommes langue contre langue. Je suis comblée après cet après-midi d’amour.
Mon Maître se lève et brandit sa cravache qu’il tend à Carole. Celle-ci refuse et me dit :
- Viens sur moi pour te faire cravacher !
Je m’allonge sur elle buste contre buste. Nous nous embrassons et je sens arriver le premier coup sur les fesses. Ayant la bouche occupée, je ne peux ni décompter ni remercier. Mon Maître continue de me frapper les fesses puis le dos et les cuisses.
Carole me retourne. J’ai mon dos accolé à sa poitrine. Mon Maître continue ses coups sur les seins et le ventre. Cette fois, je peux décompter et remercier. J’ai un orgasme.
Je m’allonge à côté de Carole qui me dit :
- Ma chérie, tu dois partir.
Je me relève, vais baiser les paumes de mon Maître qui me dit :
- Demain à quatorze heures tu iras chez mon père, Pierre.
- Bien, Maître.
Il me donne l’adresse de son père. Je me rhabille et je m’en vais.
Je pars enchantée de ma rencontre avec Carole. Je ne connaissais pas l’amour saphique, c’est une révélation. Quelle douceur entre femmes mais j’avoue que je ne pourrai pas me passer d’un Maître et de la violence qui va avec. Demain, je vais faire la connaissance de Pierre. Quel âge a-t-il ? Au moins soixante ans. J’ai souvent rêvé de faire l’amour avec un papy. Je m’endors en essayant de l’imaginer.
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Malgré le retour du beau temps, le retour à une vie plus ou moins normale, je sens que je ne suis plus moi même. Cette partie de moi qui m’a été arrachée a tout bouleversé.
Ton regard, ta voix, ton odeur et ton corps hantent mes pensées dès mon réveil depuis bien trop longtemps. J’ai débuté une relation avec une femme, nous avons prit le temps de mettre les choses au clair, aucun engagement à long terme, de simples rencontres occasionnelles. C’est une femme splendide aux cheveux roux, très cultivée, de très bonne compagnie et je ne puis dire que nous ne partageons pas des moments fantastiques sous les draps. Hélas, au delà du plaisir physique de nos ébats, je ressens un manque de l’ordre du plaisir psychologique. En effet, nos partageons une relation plus traditionnelle elle et moi et je sens qu’au fond de moi la naturel revient au galop.
Notre complicité, nos discussions, notre façon de nous amuser dans la chambre ou dans quelconque autre pièce ou lieu me manque. Tu voulais que je fasse de toi ma chose et j’y prenais un plaisir sur lequel je ne pourrais pas mettre de mot. Il me manque de ressentir ce frisson lorsque je commençais à mettre de côté qui nous étions au quotidien pour devenir le dominant qui est en moi et faire de toi ma chienne. Il me manque de te mettre ton collier, ta laisse et ton plug, de te voir à mes pieds, dans l’attente de mes ordres. Tu te livrais à moi, corps et âme. Nous avions tout deux envies de repousser nos limites un peu plus loin chaque jour, d’un simple regard on arrivait à se comprendre.
Les marques laissées sur ton corps par le fouet ou bien ma paume, ton visage commençant à rougir lorsque je te saisissait par la gorge, ce regard défiant de soumise qui en veut toujours plus ou bien t’attacher et te voir à ma merci.. Tant de choses qui manquent à ma relation actuelle. Je suis déboussolé. Devrais-je essayer d’introduire le sujet malgré le fait que je trouve ma partenaire très (trop) rangée pour vouloir s’y prêter ? Après tout, lors de notre dernière rencontre elle m’a avoué avoir apprécié les débuts d’étranglements que j’ai réalisés lors de notre moment d’intimité. Mais je ne puis dire que je pense qu’elle ait envie de se traîner hors de la masse et de s’initier au rôle de soumise..
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Les secondes défilaient dans son esprit. Combien ?... Combien de temps était passé depuis ? Elle n’en avait plus conscience. Mais chaque instant, chaque souffle, faisait battre un peu plus fort son cœur.
Elle savait pourquoi elle était là. Pourquoi le parquet si froid et dur lui meurtrissait les genoux.
Un cliquetis perça le silence ambiant. Son cœur manqua un battement, puis deux. Était-ce réel ? Les yeux ainsi bandés elle ne pouvait en être sûre. Elle restait néanmoins fière. À genoux, nue, mais fière. Le dos dressé, droit ; les mains au niveau des cuisses, la bouche close, interdite. Et quand de nouveau plusieurs cliquetis retentirent à la suite, elle comprit qu’il était temps. Elle ne tourna pas la tête pour l’accueillir mais entendit ses pas s’avancer vers elle. Sa poigne fut directe. Un peu douloureuse, mais bienveillante. Elle le savait, elle le sentait. Elle se mit debout car il la poussait à le faire, et s’avança au rythme de l’homme qui la possédait.
Très vite, sa peau frôla le bois du lit. Elle s’arrêta et tâta tant bien que mal, c’était le pied du meuble. Un autre cliquetis retentit, elle comprit. C’était ici et maintenant. D’un geste craintif mais fier, elle courba le haut du corps et s’offrit. Les fesses postées en arrière, la face vers le bas et les mains loin.
Elle agrippa le rebord du lit et la ceinture fendit l’air.
À deux reprises elle frémit et son cœur bondit, tandis qu’aucun coup ne l’atteignait en réalité. La troisième fois fut la bonne. Vive, marquante. La frappe suivante s'abattit dans l’instant, puis une autre, et encore une prochaine. Elle souffla. Que pouvait-elle faire d’autre ?
Un toucher délicat caressa sa fesse droite. Quelques doigts s'y attardèrent un instant, quelques vas-et-vient qui, semblant réconforter sa peau, préparaient en réalité un second assaut. La gifle suivante fut plus sèche, plus cinglante. La ceinture frappa et, alors même que le son interdit s'échappait de ses lèvres supérieures, la main s'aventurait vers celles du bas.
Allait-il ? Elle ne le savait pas, mais il pouvait. Il pouvait tout. Elle était à lui. Et quand il frappa délicatement l'intérieur de ses cuisses, elle les écarta pour qu'il aille là où il le voulait. Il s'attarda sur sa fente, à certains endroits plus que d'autres, puis la pénétra de ses doigts. Elle poussa un doux cri lui échappa. Une plainte ? Non, un appel, une supplication qu'il ignora bien vite. Une verge durcit contre ses fesses, puis elle les sentit s'ouvrir, forcées.
Le liquide glacé enduit son anus, puis son maître entra. Comme il le voulait, où il le voulait.
Une gifle atteignit sa joue et elle ouvrit la bouche. Lentement, une salive étrangère s’y glissa. Son entrejambe en mouillait. Avait-elle le droit ? Elle n’en pouvait autrement. Les longs cheveux tenus d’une ferme poigne, son anus ne cessait de recevoir l’assaut. Tantôt doux, tantôt sec, tantôt, lui rappelant qu’elle lui appartenait, et que ce soir, chaque pénétration n’avait lieu que pour lui.
Son anus se contracta, involontairement, la fessée fut immédiate, elle le “rouvrit”. Le claquement contre ses fesses ralentit, une main se glissa dans son entrejambe. Lea gémit à travers le bâillon. La main qui se baladait sur son dos prit position autour de son cou, les doigts qui caressaient son temple remontèrent au niveau de sa hanche. Elle sentit son maître se courber. Il posa sa tête sur son épaule et elle tourna sa face vers la sienne.
Un baiser, pitié, un contact. N’importe quoi aurait fait l’affaire.
Un son étouffé lui parvint aux oreilles. C’était pour bientôt. Son anus chauffa, la cadence aussi, les pénétrations pourtant plus lentes étaient plus profondes. Et quand la main qui tenait son épaule atteignit sa hanche, qu’un long souffle chaud effleura sa joue ; elle ne put se réprimer un gémissement étouffant celui de son Maître.
Lentement, comme à chaque fois, elle sentit son anus se vider. Le bâillon entourant ses lèvres fut retiré. C’était inhabituel. Confuse, son pouls accéléra. Lea paniqua et fouilla l’air, tomba sur une verge ; et la saisit avec toute la délicatesse dont ses doigts pouvaient faire preuve. Que devait-elle faire ? Pouvait-elle parler ? Elle hésitait. Et alors que désireuse de toujours plaire, elle s’apprêtait tout de même à ouvrir la bouche... un baiser furtif se posa sur ses lèvres. Elle frémit, désirant plus. Mais elle ne fit rien. Elle ne pouvait pas. Pas aujourd’hui. Pas cette fois. Ce soir, elle était interdite...
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Oui, je me promène. Tous les jours. Sur le même parcours. Un jour dans un sens, le lendemain dans l’autre. On m’a demandé de prendre mon mal en patience, alors que j’aurais préféré prendre mon bien en urgence. Alors je marche, je prends l’air, l’air du temps… Ce parcours longe un torrent, sur une digue, où est aménagé un chemin piétonnier : c’est bucolique, champêtre, bercé par le chant des oiseaux, le virevoltement des insectes couvert par le bruit de l’eau… Une route enjambe ce torrent, et mon chemin passe sous le pont de cette route. C’est un peu sinueux, une légère pente m’oriente vers le bord de l’eau : c’est encore une eau de fonte, il y a du jus, me dis-je, perdu dans mes pensées… C’est alors que, calé contre le massif de la voute du pont, je tombe nez à nez sur un couple en train de se bécoter. Toujours dans mes pensées, je m’aperçois que la distanciation n’est pas réglementaire, sans port de masque. Se sont-ils lavés les mains ??? Je poursuis dans leur direction quand mon regard tombe sur leurs hanches en mouvement, dénudées, vêtements aux chevilles…. J’ose espérer ne pas avoir déranger outre mesure l’exploration d’un con, finement, ce déconfinement ayant été mis à profit pour ces expériences et découvertes d’adolescents : déjà, à cet âge, une tendance à l’exhibitionnisme… La relève semble assurée, voyeuriste impromptu, témoin de leur découverte réciproque… J’entrepris un demi-tour contrôlé, la baille n’étant pas loin. Un jour dans un sens, le même jour dans l’autre sens... C’est le printemps, c’est vanille, c’est chaud, c’est suave, "Bah, c’est la nature!!", comme dirait Mr Jacques VILLERET dans « L’été en pente douce »… Cette rencontre s’est déroulée voilà une heure. Je voulais l’écrire, et partager ce petit évènement de vie.
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Le général Kios se lamente. A force de guerres incessantes contre ses puissantes cités voisines, son peuple s'épuise. Trop d'hommes sont morts aux combats. Il a du mobiliser des trop vieux, des trop jeunes, mais le compte n'y est plus. Sa petite armée est sans cesse sur le repli, la défensive, les retraites amères. Il a beau multiplier les artifices de stratège, faire preuve d'une grande science, il sait que c'est bientôt la fin de la liberté pour sa petite cité. Elle devra se plier à un puissant voisin, payer les impôts, fournir biens et ressources dans le meilleur des cas. Au pire, ce sera l'esclavage.
Il se lamente de cela et l'exprime devant l'assemblée des anciens et devant la Reine. Celle ci se courrouce et dit:
-Mobilisons nos femmes. La liberté a un prix. Il faut accepter de le payer comme l'ont déjà fait tous nos hommes qui sont morts. pour la Patrie. Allons général Kios, à vous de préparer nos femmes à devenir des soldats et d'écraser enfin ces ennemis qui frappent à nos portes.
Le général Kios se met aussitôt au travail. C'est vrai que les femmes sont nombreuses et qu'elles peuvent tenir la lance ou le glaive. Mais il n'est pas d'armée sans discipline. Et ses troupes papopent, s'amusent de porter le bouclier, et trouvent toujours à redire et palabrer.
Le général Kios ne crie pas, il fait arrêter les dix papoteuses en chef et les fait fouetter, culs nus devant la troupe, jusqu'au sang. Aussitôt les femmes se taisent. Les ordres commencent à être respectés. Marches aux pas cadencés, boucliers contre boucliers, formations de combats. Les femmes soldats apprennent vite et bien.
La nouvelle armée du général Kios commence à prendre forme. En bon stratège Il a des idées....hum...hum...se dit le général Kios....Il faut adapter les armes, les stratégies. Enfin un sourire sur ses lèvres. Il décide d'incorporer ce qui lui reste d'hommes dans de nouvelles formations mixtes ce qui lui fait un homme pour 4 ou 5 femmes. Il sélectionne des femmes pour en faire des officiers et sous officiers. Puis il prend une décision surprenante, il isole tous les homosexuels hommes ou femmes pour en faire un corps d’élite séparé. L'hiver approche. Les premières neiges. Hum...hum... se dit le général Kios.
Il réunit son petit corps d'élite de Gays et lesbiennes, à,peine une centaine de combattants, et leur expose son projet un peu fou. Il leur dit:
-que ceux qui sont volontaires fassent un pas en avant.
Et tous, sans exception avancent, parfois mains dans la main, amants ou amantes ensembles.
La morale de cette histoire, c'est que pour se faire bien obéir d'une femme, il faut d'abord bien la cravacher. Discuter ne sert à rien. Une femme qui a le cul bien claqué comprend vite les ordres qui cinglent comme un fouet. C'est ainsi. Elles comprennent très vite cela et se réjouissent même d'obéir. Rires.
A bientôt pour la suite des aventures du général Kios et de son corps d'élite de gays et lesbiennes.
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Caenée, en grec ancien, ???????, nymphe, fille du roi Elatos, héros réputé invincible,
fut le premier travesti connu de la mythologie. Lors de la naissance de son fils Coronos,
issu de sa liaison avec Poséidon, celui-ci lui demanda quel cadeau, elle désirait. Elle
souhaita être transformée en guerrier invulnérable, parce qu'elle ne voulait plus être
une femme. Elle devint Caenis, combattit avec tant d'ardeur que les Lapithes firent d'elle
leur roi. Grisé par le succès, Caenis exigea qu'on lui offrît les sacrifices mérités par un
dieu. Tant d'outrecuidance irrita Zeus qui ordonna aux Centaures de tuer le prétentieux
Caenis. Mais comme il portait une cuirasse magique, les armes ne l'atteignaient pas.
Alors ses assaillants le frappèrent sur la tête avec des troncs d'arbre pour l'enfoncer
sous terre et il mourut étouffé. Peu après, un oiseau sortit de terre et s'envola; lorsqu'on
enleva son cadavre, Caenis était redevenu une femme.
Ce mythe se réfère, d'une part, à une antique coutume des Albanais consistant à introduire des femmes habillées
en hommes parmi les soldats, afin de tromper l'ennemi sur ses effectifs, d'autre part à un rituel pratiqué à une époque
oubliée: des hommes nus frappaient avec des maillets sur la tête d'une effigie de la Terre-Mère pour libérer Perséphone.
Cénée ou Caenos était, selon les uns, le fils d'Atrax ou bien le fils du Lapithe Elatus et Hippea; selon d'autres, celui
d'Atrax et Elatus. Il était né fille sous le nom de Caenis, et sa grande beauté la rendait l'objet des vœux de tous les
princes de la Thessalie; mais la fière Caenis rebutait tous ses soupirants à ne pas vouloir entendre parler de mariage.
Un jour qu'elle se promenait sur le rivage de la mer, Poséidon la surprit et lui fit violence; ensuite il lui promit de lui
accorder tout ce qu'elle demanderait. Caenis lui répondit que, pour n'être plus exposée à l'outrage qu'elle venait de
recevoir, elle demandait, pour toute grâce, de changer de sexe. Ses vœux furent exaucés sur-le-champ, Caenis devint
homme, et à cette faveur, le dieu en joignit une autre, le privilège d'être invulnérable. Dès ce temps-là, Cénée n'aimait
rien d'autre que les exercices violents qui conviennent aux hommes. Il avait aussi, selon quelques auteurs, assisté à
l'expédition des Argonautes et à la chasse du sanglier de Calydon.
Il acquit une belle réputation lors de la guerre contre les Centaures. Il fut un des Lapithes qui combattirent les Centaures
aux noces de Pirithoüs. Après en avoir tué plusieurs ennemis, sans jamais être blessé, il fut enseveli sous un amas de
troncs d'arbres que ses ennemis lui jetèrent dessus, et comme il allait étouffer sous ce terrible poids, on vit tout d'un coup
sortir de dessous les arbres un oiseau couvert de plumes jaunes; il s'envola; c'était Cénée que Poséidon avait ainsi
métamorphosé. Aux enfers, Enée rencontra Cénée qui avait repris son sexe initial.
Il arrive à Zeus, devenu le plus puissant des dieux, de crainte d’être un jour supplanté, dépassé en puissance par sa
progéniture, de la réintégrer en son sein, comme l’a fait la mère originelle, Gaïa. L’enjeu de cette opération est double,
car il s’agit pour lui, au-delà de la lutte à l’encontre d’une possible rivalité, de se doter des qualités et attributs spécifiques
de ses enfants, en les gardant un temps en lui afin d’en acquérir aussi le bénéfice.
Pandora, fabriquée et parée, à l’image d’une vierge chaste, pour séduire et fasciner les hommes est le départ de la race
des femmes féminines qui font souffrir les hommes. Voilà bien une version culturelle antique de misogynie et d’immaturité
affective masculine: hommes incapables de supporter la propension de certaines femmes, les vierges paraissent en
l’espèce en bonne position, à réveiller en eux le vide constitutif. La boîte qui renferme les maux est aussi délivrée aux
hommes, par l’entremise de cette funeste messagère. Désormais la destinée humaine, séparée de celle des dieux, sera
divisée selon les lois du sexe et de la passion.
Cette cosmogonie fait surgir du néant une divinité créatrice, d’essence féminine, pour donner naissance au principe
masculin, parmi les dieux ouraniens, futurs créateurs de l’humanité. Nous disposons de la sorte d’une figure imaginaire
qui répond d’une géométrie fantasmatique où la virginité maternelle est une nécessité : l’essence masculine est issue de
la toute-puissance procréatrice de la mère archaïque. Ainsi vient à se concevoir une éviction radicale de la sexualité.
De façon générale, la conception grecque antique a ramené le féminin à l’animalité et au domaine de la sensation.
Platon dans le mythe de la caverne décrit l’assomption d’un masculin: l’homme quittant les profondeurs, cheminant vers
la lumière, une fois séparé du pôle féminin parviendrait au fait d’une sexuation. Il serait ainsi mu par la quête illusoire
d’une complétude perdue. L’androgynie est une tierce condition humaine, dans cette famille de fables. Elle doit être
considérée comme plus proche de l’origine divine. C’est une colère de Zeus qui condamnera les puissants et véloces
Androgynes à une réduction, une coupure selon l’ordre du sexe.
La virginité est intéressée par le substrat bisexuel que constitue l’androgynie primordiale de leur espèce. Ainsi dans
les "Métamorphoses" du latin Ovide, la vierge Caenis est outragée par le dieu Neptune qui, au titre d’une réparation,
exauce son vœu de devenir homme, Cénée, pour ne plus jamais avoir à subir cette violence. Elle est dotée d’une grâce
qui rend invincible, la met à l’abri du viol, et qui consiste en outre à rendre sa chair impénétrable au fer des armes.
Ce don place Cénis devenue Caenée en position de pouvoir résister à la puissance des Centaures et à subir, pour avoir
infligé cette vexation, la vengeance des dieux offensés; il périt écrasé sous le poids de troncs abattus. N’est-on pas ici
face à la symbolisation d’une déchéance de la force phallique représentée par la honte des Centaures, redoublée dans
la métaphore du meurtre par des arbres mais pourtant objets d’une castration par leur arrachement ou leur abattage.
On remarquera que cette construction, à l’inverse de la simultanéité, décrite par les fables d’Aristophane et de Platon,
affiche l’alternance des polarités sexuées.
Les vierges se trouvent confirmées dans leur statut féminin par la soumission à la loi de leur sexe au regard de la
force et de la virilité masculine. Ici le rapport sexuel est encore envisagé comme dévirilisant pour la femme. La puissance
phallique est relativisée dans la mythologie: elle peut y être mise en échec, qu’elle soit l’apanage de femmes ou assumée
par des hommes. Elle risque de déchoir, d’être vaincue ou de conduire à la mort. La résistance à la pénétration masculine
est dans la pensée grecque liée à un pouvoir d’origine divine.
Bibliographie et références:
- Apollodore, "Épitome"
- Apollonios ,"Argonautiques"
- Euripide, "Danaïdes"
- Hésiode, "Théogonie"
- Homère, "Iliade"
- Hygin, "Fables"
- Ovide,"Métamorphoses"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- Pindare, "Odes"
- Platon, "Les Lois"
- Virgile, "Enéide"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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La partie est terminée
Qui donc a gagné?
Aucune importance
Sent début de jouissance
Quand il s approche d elle
Elle se sent pousser des ailes
En ce soir d'été
À Mazamet.
Tout le monde est en réjouissance
Vraiment bonne est l'ambiance
Elle se retrouve enlacee
Tendrement serrée
"avez-vous gagné?
Non pas voulu les énerver
Pas d'importance allons manger!
Ils sont gentils les petits parisiens
Et vous les filles êtes bien jolies."
Je me suis retrouvée
À ses côtés
À flots l alcool coulait
Du Sud un petit rosé
Du blanc ou du rouge à partager
Un petit peu emechee
Il m'a embrassee
Nous avons ri et mangé
Mon amie se faisait peloter
Par le sien à côté
La table à été désertée
Dans le verger réfugiés
Sous le pommier enlacés
Quelques mots j'ai murmuré
" pourquoi moi? D autres sont plus belles
--tu as un truc en plus, si sensuelle. ..."
Sa main a exploré mon corps
J'en frémis encore
Ses doigts ont exploré
Mon intimité
Et je lui demande tout bas
"Que faire pour toi?"
Doucement m'a poussée
La tête vers son sexe dressé
A forcé un peu ma bouche
De sa main m'a guidée
Puis s'est déplacé
Son souffle entre mes cuisses écartées
J'ai gémi puis crié
Ma bouche bougeait
Par son rythme imposé
C'est lui qui guidait
Mes vas et vient
Avec ses doigts dans mon vagin
Le plaisir est monté
J'ai tout avalé
Fière d'être presque femme
Fière de ce plaisir partagé
Heureuse à sentir des larmes
Sur mes joues couler
Ses tendres baisers
Les ont essuyees
Blottie dans des bras
Il m'a remercié
La lune m observait
Elle souriait.
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Juliette m'avait préparée à vivre des évènements importants au cours de ce week-end.
J'étais terriblement anxieuse de me retrouver face à un couple de dominateurs chevronnés,
qui pratiquaient les rites du sadomasochisme depuis plus d'années que j'en avais moi-même
vécu. Ils seraient accompagnés de plusieurs invités auxquels je m'offrirais. Une fois encore,
ma principale crainte était de ne pas avoir la force et la volonté de me montrer à la hauteur
des épreuves sur lesquelles on allait me juger, et à travers moi, ma Maîtresse. En tout état de
cause, j'allais devoir donner le meilleur de moi-même, et considérer, dans les pires situations
auxquelles je serais peut-être confrontée, l'honneur qui m'était accordé.
Lorsque la porte d'entrée se referma sur moi, ma déception fut vive. Mes yeux s'équarquillèrent et je passai
en revue l'espace des pièces où l'on me conduisait sans y déceler la moindre trace de matériel, d'accessoires,
ni même l'ombre d'une ambiance SM. Cette première soirée dura environ trois heures. Selon le rite cher aux
initiés, c'est la Maîtresse qui présente son esclave, afin que ses hôtes puissent se rendre compte de ses
limites réelles et ainsi l'utiliser au mieux par la suite.
Selon le désir de Juliette, je relevai ma robe puis j'écartai mes jambes en me cambrant. Cela accentue la courbe
de mes reins et met en valeur le galbe de mes fesses musclées. Se présenter ainsi oblige l'esclave mise à nu à
mettre son corps en offrande quels que soient ses défauts, à mieux se connaître et à mieux s'assumer. Par cette
mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié sans concession. L'être ainsi exhibé
apprend le pouvoir de son corps et l'esclave tire sa force de la fascination qu'il exerce sur la Maîtresse.
Dans la salle plongée dans la pénombre, j'entendais des gémissements, où maintenant des corps s'entremêlaient.
Une grande femme brune, aux seins fermes, à peine dissimulés sous un chemisier transparent, chaussée d'escarpins
Louboutin, aux jambes interminables, galbées dans des bas à couture noirs, s'offrait à trois hommes qui la prenaient,
allant et venant, dans les trois voies qui leur étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche. Plus loin,
une soumise à la tête rasée, les cuisses renversées, criait sous les caresses d'une jeune fille, raidie sous sa langue.
Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante blonde aux cheveux courts, commençait à se déshabiller;
sa jupe flottait au gré de ses mouvements; par moments, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une
cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine; elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes
au regard de l’assistance; elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans
un balancement lascif; un homme s'enhardissant lui ôta; le soutien-gorge descendu fit apparaitre l'aréoles de ses seins;
Elle s’exhibait sans retenue; deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient
déjà fièrement dressés; il les caressa et les malaxa sans douceur; le second attoucha ses fesses; elle était maintenant nue.
De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée; les doigts fouillèrent son
vagin et son anus; elle demanda à être prise; un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença
des mouvements de va-et-vient; un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge.
Un cercle se forma bientôt autour de l'alcôve, avec autant de verges tendues que de participants, n’attendant plus que sa
langue et sa bouche pour les enjôler; elle voletait de l’un à l’autre, au gré de leur ardeur; le premier à se libérer maintint
fortement sa tête, jusqu’à que la source ne fut tarie; elle avala la précieuse semence qui inondait sa gorge; l’un après
l’autre se délivrèrent; le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton; l'un des
invités se coucha sur le dos et la fit l’allonger sur lui, il la bloqua aux épaules et la pénétra en la forçant à se cambrer.
Pendant qu’il la prenait, un autre s’intéressa à son orifice le plus étroit et y introduisit alors un doigt; approchant sa virilité
de ses reins offerts, il la sodomisa brutalement avant de se retirer libéré; un autre, stimulé par la facilité à laquelle elle se
prêtait à cette double pénétration, prit rapidement la place et éjacula en longues saccades; ils furent trois à choisir cette
voie exiguë, à mêler leur foutre dans les entrailles de la jeune femme masquée qui n'était plus qu'un réceptacle béant.
Ma peau subit assitôt le contact de mains froides posées au creux de mes reins puis entre mes fesses. Ces mains
inconnues, redoutées et tant attendues, me palpèrent, me flattèrent, comme si elles voulaient à la fois découvrir mes
formes et mes pensées; j'ouvris davantage mes cuisses afin que les doigts attentifs puissent m'explorer en totalité.
Lorsque ma Maîtresse qui me testait fut parfaitement convaincue de mon absolue docilité, les Maîtres entreprirent
d'autres jeux. Une cravache noire me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un rugissement.
Il est connu que l'alternance de la douceur et de la violence contribue à dresser les esclaves réticents: mais moi,
pauvre débutante désireuse de bien faire pour le bonheur de ma Maîtresse, je ne savais rien de tout cela et crus être
punie pour une faute commise à mon insu. Aurais-je déplu par ma position ? Mon regard, malgré moi, se serait-il
montré insolent ? La rigidité de la cravache enflammait mes reins et mon dos. Les coups lacéraient ma chair, me
procurant de lancinantes sensations de brûlure. J'avais perdu l'habitude du fouet, dont j'avais été privée depuis un
bon mois. Juliette me promettait parfois de me fouetter, comme s'il s'agissait d'une récompense
Insensiblement, la douleur parut s'atténuer pour laisser place à une sensation de plaisir diffus. Les coups devenant
plus légers, plus dirigés, je compris soudain que j'allais jouir. Lorsque la tige de la cravache m'atteignit exactement
entre les cuisses, sur le renflement du pubis, j'éprouvais la délicieuse honte de me laisser aller à gémir, en fléchissant
légèrement les jambes pour serrer mes cuisses, et je connus un orgasme qui enchanta ma Maîtresse et ses hôtes.
Une fois la fulgurante jouissance dissipée, je sentis revenir la douleur me tenailler et, avec une inconscience rare,
j'osai imporer leur pitié. Les invités se regardèrent, déçus et interloqués. Ils décidèrent de me faire payer ma faiblesse.
Ce fut ma Maitresse qui me conduisit. Je fus placée face à un mur comportant un trou en son milieu de telle façon que
ma tête dépassait d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche en même
temps. Juliette m'installa. J'étais en position, jambes écartées, la croupe exagérément offerte, la bouche déjà ouverte,
prête à être investie selon le bon vouloir des invités. À me voir ainsi soumise, leur colère s'apaisa. Qu'importait dès lors
qu'un homme se servît de ma bouche comme celle d'un esclave docile. Qu'il me malmenât et m'abreuvât de son plaisir.
Impatient de se satisfaire à son tour, un autre homme prit la place du précédent. Il me baisa la bouche, ma langue lui
servant d'écrin. J'accomplis cette fellation avec un recueillement mystique. Pendant ce temps, un troisième utilisait mon
vagin sans ménagement. Excité par le spectacle de la fellation que je pratiquais, il décida brusquement d'utiliser mes
reins, qui, comme la totalité de mon corps, étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal et je
trouvai le courage de ne pas gémir dans le regard de ma maîtresse qui m'observait intensément; je comprimai sa verge
avec mes deux mains au même rythme que les coups qui me projetaient en avant.
Je croyais l'épreuve terminée, mais un troisième sexe plus épais que le précédent força les lèvres de mon vagin. Je ne
comprenais plus. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qu'il se passait autour de moi. J'étais
prise, on me pénétrait, j'étais aveugle, je ne reconnaissais aucun des invités. Je compris enfin que le membre qui me
pénétrait était un olisbos à ceinture dont ma Maîtresse s'était ceint la taille. Cette audace m'excita. Je me sentis fondre,
mon ventre se liquéfia. Avec un vocabulaire outragieusement vicieux, elle exigea de moi que je me cambre davantage,
que je m'offre afin qu'elle puisse me remplir jusqu'au fond. Je cédai à l'impétuosité d'un ogasme que j'aurais voulu
pouvoir contrôler, tout simplement parce que c'était la première fois qu'une femme me pénétrait ainsi.
Je jouis avec la certitude que ma Maîtresse connaissait elle-même le plaisir en m'empalant comme si elle avait été un
mâle, un de ces mâles qu'elle aime dresser pour les humilier dans leur machisme. Epuisée, quelques gouttes de sueur
étaient venues éclater sur mes épaules, Juliette se décolla de moi comme l'animal après l'accouplement et m'aida à
sortir de mon carcan. Après m'avoir conduite à la salle de bain, où elle me doucha, elle m'ordonna d'aller rejoindre les
hommes. Ainsi, j'étais l'objet de plaisir de ces trois hommes et de cette femme. Juliette parut subitement échauffée: elle
s'approcha de moi, me coucha sur le sol, écarta ses jambes et exigea avec humeur que je la lèche comme une chienne.
Je lapai son intimité avec une docilité absolue. Elle était douce, et ce contact nouveau me transporta.
Ses cuisses musclées s'écartaient sous la pression de ma langue et de mes dents. Elle ouvrit davantage son sexe et se
libéra violemment dans ma bouche; surprise par cette véritable éjaculation, je connus un nouvel orgasme qui me tétanisa,
lorsque je pris brutalement conscience que je jouissais sous l'autorisation de ma Maîtresse. Un homme plaqua mon ventre
contre la table et m'ordonna d'écarter les cuisses. D'un coup de rein brusque, après avoir observé le spectacle impudique
que je lui offrais malgré moi, il pénétra mes reins en criant avec fureur. Je me laissai sodomiser par cet homme auquel
Juliette m'avait prêtée, car tel était mon devoir. Une jeune femme, intégralement nue, soumise également, me rejoignit.
Elle prit le sexe de l'homme qui venait de me sodomiser entre ses doigts effilés. Elle le masturbait lentement, en roulant
sa paume tout autour du cylindre de chair. La verge était maintenant massive et congestionnée, d'une parfaite obscénité.
Après lui avoir ordonné sèchement de cesser de le masturber, il lui demanda de s'allonger sur le sol et après avoir écarté
et levé bien haut ses jambes, sans qu'elle soit préparée, il la pénétra sans le moindre égard. Ensuite, il me demanda de
me mettre en position et me reprit tout aussi brutalement. Il demanda d'une voix autoritaire:
- Laquelle veut me recevoir ?
Je répondis spontanément que je le désirais. Il m'ordonna de le prendre dans sa bouche pendant qu'elle caressait la
partie de son sexe qu'elle pouvait atteindre. Je suçai avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous ma langue.
Le membre devint si volumineux que j'eus quelques difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il
se contracta, manquant de ressortir de mes lèvres. Il éjacula brusquement, inondant ma gorge d'un liquide que je pris à
coeur de boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte.
Il nous envoya nous laver. La salle de bain était vaste et claire. Avant que nous ayons eu le temps de nous mettre sous la
douche, il urina sur nous en nous éclaboussant d'un jet dru et tiède. Nous tournions sur nous même afin que chaque
parcelle de notre peau reçoive son ondée. L'excitation qui en résulta me donna l'envie de lui offrir une scène d'amour
entre la jeune femme et moi. Nous fîmes l'amour presque tendrement.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ma vie de soummise Chapitre 6 : Dimanche 2 Dimanche après-midi. Je sonne à la porte de mon Maître. Il est habillé. Il me prend par la laisse et m’entraîne jusqu’à son garage. Il m’ordonne de me déshabiller puis m’invite à me mettre dans son coffre heureusement assez vaste. Je suis recroquevillée. La voiture démarre, je suis ballotée. Le coffre possède une aération ce qui me fait penser que je ne dois pas être la première à l’utiliser. Puis la voiture s’arrête, le coffre s’ouvre et mon Maître m’ordonne de descendre et de m’habiller. Nous sommes à l’orée d’un bois. Mon Maître porte un sac-à-dos. Nous commençons notre promenade. Mon Maître n’utilise pas la laisse mais me tient par la main. C’est une nouvelle sensation, j’ai l’impression de me promener avec mon amoureux. Nous nous enfonçons dans le bois et atteignons une clairière. Mon Maître me lâche la main et m’ordonne de me déshabiller. Il sort une corde son sac et entreprend de me fixer à un tronc d’arbre. J’ai le dos et les fesses plaquées sur le tronc d’arbre, mes seins et mon sexe sont ainsi exposés. Mon Maître m’avertit que j’aurai le droit de jouir. Dans cette clairière il ne passe que des hommes seuls, j’en déduis que c’est un lieu connu et réputé. Quelques-uns passent seulement en me regardant, d’autres s’enhardissent en venant me caresser les seins. Mon Maître est assis à côté sur un tronc d’arbre. Un homme arrive. Mon Maître l’invite à se rapprocher. Ce monsieur commence à me caresser les seins. Il consulte mon Maître du regard. Ce dernier opine. Alors, le monsieur ouvre sa braguette et sort son sexe. Il s’approche de moi et me pénètre d’un coup. Je regarde mon Maître, il m’encourage. Je ne peux pas bouger, l’homme me laboure. Devant l’étrangeté de la situation, j’ai un orgasme. L’homme éjacule en moi, il fait un signe de connivence à mon Maître puis s’éloigne. Il se passe un bon moment, je vois un couple s’approcher, c’est la première femme que j’aperçois dans les parages. L’homme et la femme vont discuter avec mon Maître, je n’entends pas ce qu’ils disent. Ils s’approchent de moi, la femme s’agenouille devant l’homme, lui ouvre sa braguette et commence à le sucer. Puis, quand la queue de l’homme prend une belle dimension, elle se relève et l’amène vers moi et c’est elle qui introduit la verge de l’homme dans mon vagin. La femme vient embrasser l’homme. Ils s’embrassent tout le temps que dure le coït. Enfin, l’homme se libère en moi, la femme s’agenouille à nouveau et se remet à sucer l’homme. Cette scène insolite m’excite et j’ai un orgasme. L’homme se rajuste et le couple s’éloigne. Au bout d’un long moment, un autre homme s’approche, il dégage son sexe et, très rapidement, me pénètre et éjacule rapidement. Puis il s’en va. Mon Maitre qui n’avait pas bougé depuis notre arrivée, se lève. Il vient vers moi, ouvre sa braguette, dégage son sexe et l’enfonce rapidement dans mon vagin. Je suis aux anges. Mon Maître me prend comme un homme prend le plus souvent une femme. Je ne peux pas bouger, j’aimerais entourer mon Maître de mes cuisses. Ses mouvements de bassin me font rapidement jouir. Je suis tellement heureuse de me faire prendre par mon Maître. Il est très résistant, il obtient de moi un nouvel orgasme. Mon corps immobilisé bénéficie des coups de boutoir de mon Maître. Que c’est bon ! J’ai enfin sa queue en moi, dans mon vagin. Mon Maître doit s’apercevoir de mon émoi mais je ne veux surtout pas le lui cacher. Enfin, il jouit en moi, je reçois son foutre dans mon intimité, je suis heureuse. - Merci, Maître. Mon Maître me détache et m’ordonne de m’habiller et nous repartons main dans la main. Ma main doit traduire tout mon émoi, celui de la femelle qui vient de se faire prendre. Nous rejoignons la voiture, je me déshabille et me place dans le coffre. La nuit commence à tomber. Le voyage me semble agréable. Je suis une chienne comblée. En arrivant, mon Maître me libère et m’ordonne de rester nue. Nous regagnons alors son appartement. Mon Maître prend son fouet en main et j’ai le droit à ma dose habituelle soit vingt-cinq coups. Ensuite, mon Maître me renvoie. Je vais lui baiser les paumes de ses mains, me rhabille et m’en vais. Je suis dans un état second. On m’a fait l’amour quatre fois. Et surtout, mon Maître me l’a fait. J’ai de la chance d’avoir un tel Maître. J’ai aimé être exhibée exposée à des hommes inconnus. Que sera la prochaine étape ? Je décide de me coucher sans me laver, je désire garder la semence de mon Maître dans mon ventre.
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Le Roi Zia est le pire à l'ouest du grand fleuve doré. Il ne respecte ni les dieux, ni les hommes, il frappe au cœur avec sa sagaie tous ses ennemis. Il les dépèce, réduit les familles en esclavage, boit l'alcool qui rend fou dans le crane de ses ennemis. le Roi Zia n'aime que la guerre et ses guerriers font régner la terreur du désert de dunes jusqu'au grand fleuve. A force de guerre et de rapines, le Roi Zia et ses guerriers sont devenus fort riches, avec de belles terres, des esclaves pour les cultiver et des femmes pour réjouir leurs nuits.
Pour le butin, le Roi Zia est toujours le premier à se servir. Un jour, après avoir détruit le royaume du roi Huq, il assiste sur son trône à la présentation du butin et découvre l'incroyable beauté de la femme du roi Huq. Ce dernier, est attaché et fait partie du lot des esclaves. Il assiste à la distribution de ses femmes et de ses filles. Aia, la femme aux pieds agiles, plait aussitôt au roi Zia. Bien que vaincue et dépossédée de tout, elle garde sa fierté et son port de reine.
Le Roi Zia la fait sienne et la prend, comme il aime, sans préliminaires, sauvagement, dans sa tente, devant les yeux de son époux encagé, enchainé et impuissant. Aia jouit très fort dans les bras de son vainqueur, elle aime être brutalisée, prise de force. Le roi Huq se désespère. Voir sa femme si belle se faire baiser par un autre et jouir devant lui est pire que sa défaite militaire. Là il comprend qu'il n'est plus rien, qu'il a vraiment tout perdu.
Le lendemain le Roi Zia émascule son rival devant tout son peuple enchainé. Il le laisse mourir et se vider de son sang, Tuer un roi rival c'est faire disparaitre son peuple. Il donne la verge molle et sanguinolente du défunt roi Huq aux chiens féroces de combat qui se la disputent et s'en régalent.
Aia ne dit rien. Elle regarde presque indifférente. Elle trône à coté du Roi Zia, son nouvel époux Elle est plus riche et plus puissante qu'avant. Ce que ses guerriers ont perdu avec leurs glaives elle vient de le gagner avec sa chatte. Le Roi Zia, ....elle en fait son affaire. Un fin sourire sur ses lèvres....
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La salle de bain était vaste et comprenait outre une douche, une baignoire et deux vasques en marbre blanc,
une coiffeuse, et une table de massage, ce qui n’empêchait nullement deux femmes d'utiliser ces commodités
sans se gêner. Juliette se déshabilla et invita Charlotte à faire de même. En se dévêtant, elle se fit la réflexion
qu’elle n’avait jamais vue Juliette nue. Sans ses talons hauts, elle paraissait toujours aussi grande; sa poitrine
parfaite faisait oublier sa sihouette un peu androgyne, accentuée par sa coupe de cheveux à la garçonne.
Sa peau parsemée de taches de rousseur accentuait le hâle de son corps élancé. Elle avait les cuisses et des
fesses musclées, les reins cambrés et le pubis nu, intégralement rasé, aussi lisse qu'à sa naissance.
– Allonge-toi sur la table, je vais te masser. Charlotte se déshabilla à son tour et prit place, la tête calée dans
l’appuie-tête et attendit.
Juliette prit un flacon d’huile qui reposait dans un des lavabos rempli d’eau chaude et versa un peu de liquide
au creux de sa main. L’huile coulait par petites touches le long de la colonne vertébrale de son amie. les deux
mains se posèrent sur les épaules et commencèrent à masser. Charlotte ferma les yeux, ce n’était pas la
première fois qu’elle se faisait masser par une femme, mais elle savait qu’à partir de maintenant, à un moment
ou à un autre, la séance allait basculer pour son plus grand plaisir.
Juliette abandonna les épaules et descendit jusqu’aux reins en massant également les flancs puis abaissa
encore et posa ses mains sur les deux globes charnus mais fermes. Juliette résistait pour ne pas brûler les
étapes. Elle voulait que ce massage soit lent et progressif pour que sa partenaire ait le temps de s’abandonner
complètement à ses doigts à la fois doux et audacieux. Elle s’aventura dans le sillon des reins de Charlotte
en passant son pouce à l'entrée de son anus.
Elle frissonna retrouvant ainsi les quelques sensations ressenties le jour de leur première rencontre;
le cœur qui bat un peu plus vite, les fourmillements dans le bas du ventre, le délicieux courant d’air frais
parcourant l’épine dorsale, et surtout l'humidification de son sexe. Juliette massait les fesses de Charlotte
avec application, et faisait glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand
elle s'arrêta et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile.
Juliette présenta le bout du tube sur l’anus et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres.
Charlotte releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et reposa sa tête. Juliette vida la moitié de l'huile
dans le rectum de sa complice qui lui présentait sa croupe.
– Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal; elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation.
Elle enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait
que Charlotte n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise.
De son côté, Charlotte avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche, elle était dans cet état second
où l’appréhension des gestes de Juliette conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais
nullement insensible. Juliette avait retiré ses doigts en les remplaçant par un large olisbos en verre transparent
avec une nervure qui s'enroulait autour, telle une liane sur un arbre.
Charlotte avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés
de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque le godemichet força son anus, elle serra les dents
avec un faible gémissement de douleur. Elle n’avait jamais reçu d’objet dur dans cette partie secrète, jusqu’à ce jour.
Ensuite, ce fut l’équivalent de quatre doigts de son amie qui affola son anus; la chair autour des phalanges s’épousait
parfaitement.
Juliette enfonçait toujours l’olisbos puis arrêta la progression et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois.
Charlotte se faisait sodomiser en douceur et sentait toujours cette vibration tapie au plus profond d’elle-même,
grandissant inéluctablement. Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore
un peu plus loin à chaque fois. Charlotte avait l’anus bien dilaté et Juliette écartait ses fesses pour mieux évaluer
l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant
que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de
son corps. Il reflétait la lumière dorée du plafonnier.
Juliette caressa le dos de son amie avec tendresse.
- Ça va ? Charlotte fit un signe affirmatif de la tête, Tu peux te mettre sur le dos ?
Charlotte se mit d’abord sur les genoux avant de s’allonger. Cette suite de mouvements eut pour effets de faire
légèrement sortir le sextoy et de contracter l’anus, de façon naturelle. Juliette se pencha et l’embrassa.
Sa langue n’eut pas besoin de forcer, la bouche de Charlotte vint à la rencontre de la sienne pour un baiser aussi doux
qu’intense, leurs mains se cherchaient et elle enserra les doigts de son amie pour les amener sur le pubis puis sur les
grandes lèvres en lui demandant à l’oreille de se caresser. Charlotte rougit une fois de plus à cette demande qu’elle
n’avait même pas imaginée, se demandant si elle allait vraiment le faire. Elle se masturbait depuis longtemps,
mais elle ne l’avait jamais fait devant une autre personne. Elle ouvrit ses yeux brillants et fixa son amie. Sans un mot,
elle passa un doigt sur son clitoris d’un mouvement circulaire en appuyant sur le renflement qui grossissait suivant la
cadence de la caresse.
Elle ne put s’empêcher de descendre sa main pour toucher l'olisbos fiché entre ses fesses; il ressortait un peu et tira
dessus pour le faire aller et venir. Juliette regardait le spectacle que lui offrait Charlotte, superbe avec sa peau claire,
son corps parfait, et ses seins dressés. Elle écarta ses jambes juste au dessus de son visage et lui demanda qu'elle
la lèche. Charlotte lapa son intimité avec une docilité absolue. Subitement, Juliette ouvrit davantage son sexe et se
libèra violemment dans la bouche de sa partenaire.
Aidant à relever son amie de la table de massage, ne voulant pas l'abandonner à ses rêveries, elle lui proposa de passer
à l'étape ultime. La posséder par la seule voie qu'elle avait de commun avec un homme. Lui faire accepter une étreinte
anale. Quittant la salle de de bain, Juliette s’hanarcha hors de la vue de Charlotte. Une ceinture faisait le tour de sa taille
et deux lanières partaient du ventre pour se rejoindre sur ses reins. L'olisbos en forme de sexe dressé semblait d'un
diamètre effrayant. Quand elle entra dans le séjour, elle vit que son amie était toujours à moitié assoupie sur le ventre,
sur la table de massage. Juliette s’allongea vite sur elle. Les préliminaires ne durèrent pas très longtemps; dans l'action
Charlotte se retrouva forcée de s'agenouiller tandis que derrière elle, Juliette dardant sa langue, préparait l'anneau de
chair offert.
Elle se positionna en présentant le gode sur l’anus et le força, Charlotte avait retenu la leçon et poussait également.
Le gode franchit assez facilement les deux sphincters anaux et Juliette posa ses mains sur les hanches de son amie
qui n’avait encore jamais eu cette sensation de possession; elle s’offrait naturellement, se sentait remplie, labourée.
Elle paraissait fondre, son ventre se liquéfier, se cambrant davantage pour se faire pénétrer jusqu'au fond. Elle était
profanée, anéantie mais en même temps délivrée.
Plus tard, Juliette se retira et demanda à Charlotte de se mettre sur le dos, les jambes pliées, bien relevées.
Le gode entra aisément et elles s’embrassèrent, les langues tournaient; le bassin de Juliette allait au-devant de celui
de Charlotte qui butait contre ses fesses avec un bruit résonnant. Charlotte mis ses bras autour du cou de son amie,
la serrant de toutes ses forces et elle hurla, sa jouissance fut si forte que son cœur battait à se rompre,
le ventre inondé au point qu'elle crut un instant que la cyprine coulait le long de ses cuisses.
Juliette se décolla de Charlotte, la laissant vaincue, les reins dévastés, mais heureuse.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ma vie de soumise Chapitre 5 : Samedi 2 Samedi après-midi. Je sonne à la porte de mon Maître. Il est nu. Je lui prends les mains et dépose un baiser sur chaque paume. Il m’ordonne de me déshabiller. Je n’ai plus sur moi que le collier de chienne et la laisse. Il va chercher une chope à bière dans lequel il urine. Il me tend la chope et me dit : - Régale-toi, n’en perds pas une goutte. - Bien Maître. Je n’ai jamais eu à boire de l’urine. Mon Maître m’observe, je ne dois pas lui montrer mon hésitation. Je porte la chope à mes lèvres et prend une gorgée. Mon Maître m’a dit de me régaler, je fais donc tourner le liquide dans ma bouche, je suis surprise, c’est assez bon. Puis j’avale. Ensuite, je bois gorgée par gorgée et déguste. Quand j’ai fini la chope je la tends à mon Maître. - Merci, Maître. Je suis satisfaite de ma prestation, je suis fière d’avoir servi mon Maître, j’ai goûté à son sperme et à son urine. Mon Maître m’ordonne une pipe. Il m’enfourne sa queue dans la bouche. Son pénis grossit. Mon Maître m’entraîne jusqu’à la table de la salle à manger et m’ordonne de m’y étendre sur le ventre. Mes fesses sont au bord de la table et mes jambes pendent. Il se place derrière moi, je suis impatiente de le recevoir. Quel orifice va-t-il choisir ? Il guide son sexe et l’enfonce entre mes fesses. J’ai toujours eu une réticence à me faire sodomiser mais, ici, je n’ai pas le choix. Mon Maître m’agrippe par les hanches et effectue des mouvements pour me pénétrer plus profondément. La douleur de l’intromission a fait place à du plaisir. Mais je ne dois pas jouir. Je me suis entraînée à ne pas jouir quand je me caresse, il s’agit cette fois de le réaliser avec mon Maître. Mon Maître est résistant. Il me laboure l’anus, me pénètre de plus en plus profondément. Je ne connaissais pas trop ce plaisir. Mon Maître me le fait connaître et apprécier. J’entends mon Maître grogner, il vient de jouir en moi. Il se retire. - Merci, Maître. - Tu me nettoies la queue avec ta langue. - Oui, Maître. Je me lève de la table et m’agenouille devant mon Maître. Ma bouche happe son sexe. Je passe ma langue pour le nettoyer. Je ressens un goût dans ma bouche, mélange de sperme et de mes sécrétions. Mon Maître aura beaucoup utilisé ma bouche. Je sens le sperme de mon Maître me dégouliner sur les cuisses. Je suis devenue encore plus chienne. Il m’a enculée et m’a obligée à lui nettoyer le sexe. Je suis humiliée mais, en même temps, heureuse de ce que je suis en train de devenir. Mon Maître m’ordonne de m’accroupir fesses sur les talons, les bras ballants et de l’attendre. J’attends de savoir ce que mon Maître voudra de moi. Mon Maître s’éloigne et regagne une autre pièce. Mon attente commence à durer mais je n’ai pas le droit de bouger. J’attends un très long moment. Je m’engourdis. Mon Maître revient enfin. - Lève-toi. Il m’entraîne dans la chambre. - Couches-toi sur le dos. - Bien, Maître. Mon Maître vient au-dessus de moi, il introduit sa queue dans ma bouche et commence des mouvements de va-et-vient que j’accompagne du mieux que je peux. Je constate une fois de plus qu’il est très résistant. Je pense qu’il arrête ses mouvements quand il sent qu’il va jouir. Va-t-il jouir dans ma bouche ? Brusquement, il se dégage de ma bouche et jouis sur mon visage. Je reçois du sperme sur les joues, les yeux et dans les cheveux. Je ne connaissais pas cette pratique qui m’a vraiment surprise. Mon Maître m’a inondé la tête. Mon Maître m’ordonne de me lever. Puis il va chercher un fouet. J’ai droit comme dimanche passé à vingt-cinq coups répartis sur le corps. Je décompte et remercie mon Maître. - Maintenant, tu t’en vas. Tu reviens demain à quatorze heures. - Oui, Maître. Je vais baiser les paumes de mon Maître. Je me rhabille et m’en vais. Je n’ai pas nettoyé mon visage et mes cheveux. On doit pouvoir voir les traces de sperme de mon Maître. Aujourd’hui, j’ai été à la hauteur dans la dégustation d’urine, pour me faire enculer, le nettoyage de sexe, l’attente accroupie, la pipe, la réception du sperme sur mon visage et pour les coups reçus. Mon Maître me fait progresser, je suis de plus en plus motivée. Je suis maintenant une chienne. Il m’a fait goûter à son sperme et à son urine. Je suis impatiente de les savourer à nouveau. Quand va-t-il me baiser ? Je ne me lave pas. Je dois avoir du sperme dans le cul. En me regardant dans une glace, je constate les traces de sperme sur ma figure et dans mes cheveux. Je décide de ne pas me laver et vais me coucher en étant imprégnée de mon Maître.
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Le partage d'intimité
Est une forme de reconnaissance
Qui sait se contrôler
Pour éprouver des jouissances
Le partage est une communion
Qui se fait en pensant à l'autre, d'abord
En actes, limites et conversations
Pour tenir compte des accords
L'un et l'autre doivent apprendre à se guider
En réglant intensités et cadences
Avec des vocabulaires institués
C'est un acte d'humains
Qui respectent chacun
D'intimes, dans ses soins
Une preuve d'amour
Qui soit communiée
Où, tout est fait pour
Le 26 05 2020
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Le samedi qui suivit le départ de Paul, Juliette la sauva d'un après-midi de jardinage en lui
proposant d'aller faire quelques courses. Charlotte aimait ces escapades entre filles. Elle
aimait l'autorité tranquille avec laquelle Juliette la poussait à essayer des vêtements que
jamais elle n'aurait osé porter, les remarques élogieuses qu'elle ne manquait pas de faire
sur quelque détail de son anatomie et la façon qu'elle avait parfois de poser les mains sur
elle sous prétexte de cintrer le haut d'une robe ou de juger du tombant d'un pantalon. Le
soir, elle s'invita à dîner. Lorsqu'elle la quitta, elle embrassa Charlotte d'une façon plus
appuyée. La jeune femme rougit. Cela la fit sourire. Le lendemain, Juliette s'annonça à
nouveau. À son regard tendu, Charlotte supposa que quelque chose n'allait pas. Elle lui
offrit un café que l'autre refusa.
- Quelque chose ne va pas ? s'inquièta Charlotte.
- Oh non ... Tout va bien pour moi mais c'est toi qui ne vas pas. Commença Juliette.
- Moi ? Mais je vais très bien.
- Dans ton tiroir à lingerie, je suis tombée sur tes photos ... Bon sang, ça m'a fichu un drôle de coup,
on te reconnait bien là-dessus.
L'aveu de son indiscrétion la détendit. Elle s'assit sur le canapé et croisa les jambes avec
une nonchalence retrouvée.
- En revanche, on voit bien que ce n'est pas Paul ... Je me demande comment il réagirait s'il les voyait,
ces photos ... Tu les avais bien planquées: tu ne voulais pas qu'il les trouve ...
- Tu me les as pas volées quand même. Bredouilla Charlotte.
Juliette la regarda par-dessous et sourit. La situation tournait à son avantage.
- Qu'est-ce que t'en as fait ?
- Ne t'inquiète pas, poursuivit-elle sur un ton protecteur. Je ne les ai encore montrées à personne, mais.
- Mais je pourrais le faire. À moins que ...
- À moins que ?
Cette fois, c'était Charlotte qui se sentait glacée. Juliette était venue pour la faire chanter. Jamais elle ne
l'aurait crue capable d'une chose pareille.
- Que tu deviennes ma soumise, ma chérie et que tu te montres docile et obéissante.
- Mais, tu es une véritable salope, chuchota Charlotte. Vraiment une salope.
- N'inverse pas les rôles, protesta Juliette. Ce n'est pas moi qui m'envoie en l'air attachée à un lit.
- Soulève ta jupe.
Cet ordre était tellement inattendu que pendant quelques instants, Charlotte crut qu'elle l'avait imaginé.
- Qu'est-ce que tu as dit ? articula-t-elle.
- Tu n'as pas compris ? soulève ta jupe ... répéta Juliette avec froideur.
Charlotte posa les mains sur les bords de sa jupe plissée, la remonta en tremblant jusque sur son ventre.
- Voilà, tu es contente ?
- Juste une culotte en coton ? Feignit de s'étonner Juliette. Je m'attendais à quelque chose de plus sexy de
ta part. Tourne-toi un peu pour voir ...
Charlotte obéit, les lèvres serrées.
- Tu as vraiment un beau petit cul, maintenant baisse ta culotte ...
Elle retourna d'elle-même au milieu du salon, descendit sa culotte sur ses cuisses et releva sa jupe. Dans son
dos, elle entendit Juliette s'étendre sur le divan. De longues minutes passèrent ainsi sans que ni l'une, ni l'autre
ne dise un mot.
- Tourne-toi
- Super ! Tu es totalement épilée ... C'est parfait.
- Ces photos, c'est vraiment pas bien. Tu as été une vilaine fille, une véritable salope. D'ailleurs dis-le.
- Tu veux que je dise quoi ? marmonna Charlotte.
- Dis que tu as été une salope et que tu mérites une correction.
- J'ai été une vilaine fille, une véritable salope et je serai punie .. sanglota-t-elle.
- Tu vas être sage et obéissante ?
- Oui...
- Alors dis-le.
- Je vais être sage et obéissante...
- Voilà, c'est mon adresse et mes clés, tu prépareras le dîner, je reviendrai vers 20h, tu porteras une courte robe noire et
tu auras ôté ton soutien-gorge et ta culotte, en dessous, une paire de bas noire tenue par un porte-jarretelles de la même
couleur.
Charlotte, livide, acquiesça sans dire un mot.
Le soir, un peu nerveuse, je sonnais à sa porte et au lieu de Juliette, ce fut une belle inconnue qui m'ouvrit.
- Enchantée, Charlotte, je m'appelle Laurence.
- Regarde ma chérie, comme elle s’est habillée pour toi la salope.
- Déshabille-la, elle adore ça, dit en réponse Juliette. Alors Laurence fit glisser la fermeture de ma robe qui glissa le long
de mon corps, dévoilant mes cuisses et mon intimité.
- Elle est très excitante, on va bien s'amuser, il faut tout lui faire, absolument tout, rajouta-t-elle.
Je ne pouvais pas nier que la lingerie La Perla devait faire son effet.
Laurence me fit tourner sur moi-même pour permettre à Juliette de me voir en entier. Au bout de quelques instants, celle-ci
se leva du canapé, vint vers moi et m’arrêta face à elle et posa ses lèvres sur les miennes, m’en faisant partager le goût; je
me laissai griser par le plaisir quand je sentis Laurence se coller dans mon dos. J’étais prise entre les bouches de ses deux
femmes, désirant me soumettre. Puis les deux bouches glissèrent vers le bas, l’une dans mon dos, l’autre passant de mes
seins à mon ventre; leurs lèvres sur mes fesses pour l’une et sur mon pubis rasé pour l’autre, me goûtant en totalité, me
faisant pivoter, explorant l'intégralité de mon corps pris en étau, de leurs langues intrusives et de leurs doigts gourmands.
Je jouis une première fois, bien incapable de savoir sous la langue de laquelle cela se produisit. Puis elles me prirent par
la main, et on se retrouva dans la chambre; je m’allongeais docilement sur le lit, elles se déshabillèrent devant moi. Je
découvris le corps de Laurence, sportif, très sculpté qui vint s’allonger contre moi. Je pus le caresser, l’embrasser, le goûter,
pétrir ses seins, leurs aréoles et les pointes très sensibles, en érection déjà, et son ventre parfaitement lisse.
Juliette m’encourageait en me caressant, tout en intoduisant un doigt dans mon rectum, puis elle s’arrêta, me laissant au
plaisir et à la merci de Laurence qui me surprit, dans mon dos, par la dureté de l'olisbos dont elle s'était ceint à la taille.
M'ordonnant de me mettre en levrette sans que ma langue ne perde les lèvres de Juliette et pour la première fois, alors
qu’on ne me l’avait jamais imposé, elle frotta son gode sur mon ventre innondé de cyprine et d’un coup, me sodomisa.
Les mains sur mes hanches, la jeune fille poussa des reins, et le cône se prêta aux replis de mon étroite bouche; l'anus
plissé s'ouvrit sous la poussée continue en se distendant; l'olisbos disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière
ses rebords saillants; elles eurent toutes deux le spectacle de mon corps arqué dans un spasme délirant de volupté.
- Ça te plaît ma chérie ? Tu vois comme elle aime çà.
Je ne pus dissimuler mon émoi car Laurence glissa ses doigts dans mon sexe qui était inondé.
- Oh oui tu aimes la voir se faire sodomiser, ma chérie.. tiens met çà. Tu vas la prendre à ton tour.
Laurence tendit le gode ceinture à Juliette; il était très épais avec un gland fort marqué, des aspérités simulant les veines,
et d'une longueur impressionnante. Je regardai Juliette, un peu interloquée. Mais bientôt, elle me pénètra à grands coups
de reins, me soutirant des cris déchirants, mélange de jouissance et de souffrance. La douleur fut brève et remplacée par
une vague de plaisir qui me fit trembler de tout mon être. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea de moi
que je cambre davantage, que je m'offre afin qu'elle puisse me remplir jusqu'au fond. Je cédai à l'impétuosité d'un orgasme
que j'aurais voulu pouvoir contrôler parce que c'était la seconde fois qu'une femme me pénétrait ainsi. Je jouis avec la
certitude que Juliette connaissait elle même le plaisir en m'empalant comme si elle avait été un mâle.
Quelques gouttes de sueur étaient venues éclater sur mes épaules, épuisée, Juliette se décolla de moi comme l'animal
après la saillie.
- Tu aimes çà te faire malmener salope.. dis-le que tu aimes.
- Dis moi que tu es une salope, une chienne et que tu m'appartiens.
- Je suis une salope, une chienne et je t'appartiens.
- J'aimerais te fouetter jusqu'au sang.
- Je t'appartiens.
- J'ai remis les photos à leur place.
Juliette s'empara d'un martinet et Laurence m'allongea sur le ventre en m'interdisant tout mouvement. Elle commença par
me travailler le corps en l'échauffant lentement, alternant les caresses des lanières avec des coups cruels et violents.
Plus elle frappait fort, plus je m'offrais. Pour étouffer mes hurlements, je mordis violemment mes lèvres, jusqu'à ce que le
goût de mon propre sang m'eût empli la bouche. Ainsi, je ressentis ma première jouissance cérébrale de femme soumise.
Juliette exigea que je la lèche longuement avant de la faire jouir. Je dardai ma langue sur son clitoris et elle ne tarda pas
à pousser des gémissements et des râles de plaisir. La fin de soirée dura un long moment, prenant du plaisir plusieurs
fois chacune jusqu’à ce que la faim ne nous ramène nues à table et pendant que je finissais le dessert, Laurence glissa
sous la table avec sa flûte de champagne, écarta mes cuisses et me força à uriner dedans, à la porter à mes lèvres et
à en déguster jusqu'à la dernière goutte le nectar encore tiède. Cela me plongea dans un état d'excitation tel que je me
sentis prête à faire tout ce qu'on pourrait me demander pour le plaisir de ma Maîtresse. À cet instant, je l'aimais à la folie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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-Avance pétasse, bouge ton gros cul.
le fouet cingle les fesses ensanglantées d'Amélie qui se traine à quatre pattes sur des graviers, les genoux et les mains meurtris. Elle pleure.
-Mais tu vas arrêter de pleurnicher la pouffiasse. Allez encore un bon coup dans le cul et file plus vite. A la niche, la chienne.
Amélie se précipite dans la niche, c'est étroit, cela pue la pisse des femmes qui se sont fait dessus de peur dedans, c'est très inconfortable mais au moins elle ne risque plus le fouet.
Le Maitre attache sa chaine avec un cadenas. Amélie va passer la nuit dehors, nue dans sa petite niche en bois, terrorisée, avec toutes ces petites bêtes qui se baladent la nuit. Elle n'aura droit qu'à un seau d'eau et un quignon de pain sec comme repas.
-tu vas maigrir salope. Encore quelques jours et tu auras la ligne.
Le Maitre rentre chez lui et se sert un bon verre de vin. Il n'a aucun problème pour dresser les femmes pour une raison simple, il n'a aucun sentiment pour elles. Ce sont des chiennes. elles doivent obéir en tout et pour tout et elles n'ont pas droit à la parole. Laisser parler une femme c'est laisser un venin se répandre. Non, deux baffes, et silence les sans pénis. La deuxième chose qui fait qu'il est un excellent dresseur c'est qu'il se fout de la chatte des femmes, de leurs culs. Aucune femme n'est jolie pour lui, c'est juste une chienne qui doit obéir et écarter sur ordres.
Le Maitre entend la chienne couiner dehors.
-Ta gueule la pouffiasse ou je sort avec la cane anglaise.
Silence.
Le Maitre peut déguster son bon vin en paix.
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Magiciennes ou mantes religieuses, les cinquantes filles de Danaos, roi d'Argos, les Danaïdes,
en grec ancien ????????, parvinrent, grâce à leur beauté resplendissante, à charmer leurs cousins
dans le but de les tuer. Après s'être querellé avec son frère Egyptos et avoir fui l'Egypte, Danaos
feignit de se reconcilier avec lui et organisa une rencontre entre ses filles et ses cinquante neveux.
Ces derniers, envoûtés par la séduction qui émanait des jeunes filles, les épousèrent. Mais leur nuit
de noces fut fatale aux maris que, sur l'ordre de leur père, les belles Danaïdes poignardèrent en
plein cœur.
Ce destin sanglant fut épargné à Lyncée, époux d'Hypermnestre, qui parvient à la ville de Lyncée. Quant aux meutrières,
elles furent purifièes par Hermès et Athéna dans les eaux du lac de Lerne, puis se remarièrent à des Pélasges, donnant
naissance à la race des Danéens. La légende ajoute que plus tard, Lyncée tua le père-tyran Danaos, régna à sa place
puis extermina toutes les criminelles Danaïdes qui furent expédiées au Tartare et condamnées à remplir éternellement
un tonneau sans fond. On dit qu'elles étaient les ancètres prêtresses de l'eau à Lerne et que trois d'entre elles appelées
"Telchines" (magiciennes) donnèrent leur nom aux trois principales villes de l'île de Rhodes. Au temps de la guerre de
Troie, toutes les populations grecques portaient le nom générique de Danéens, descendant de Danaos.
Le supplice des Danaïdes, qu'on retrouve dans la mythologie aryenne, symbolise un travail à la fois pénible et inutile,
la prodigalité menant à la pauvreté, bref, l'insatisfaction perpétuelle. Il a inspiré une très ancienne épopée, Danïs, sur
laquelle se sont basés les poètes postérieurs: Archiloque, Eschyle. En 1784, un opéra en cinq actes de Salieri obtint un
très grand succès. Peintre et sculpteurs ont représenté ces magiciennes; leur statue ornait le temple d'Apollon Palatin;
on doit à Hector Leroux et Tnony Robert-Fleury, peintres de la Renaissance, les "Danaïdes aux enfers".
Le mythe s’appuie sur la légende d’Io, dont une autre tragédie d’Eschyle, le Prométhée enchaîné, nous rappelle les
tribulations. On se souvient que la jeune Io, transformée en vache, parcourt l’Europe et l’Asie poursuivie par la jalousie
d’Héra, et par le taon que la déesse a lancé à sa suite. Au terme d’une douloureuse équipée, elle parvient finalement en
Égypte où la main de Zeus l’atteint, apaise ses souffrances et la féconde. De cette divine caresse, notre tremblante
génisse va concevoir Épaphos. Apollodore fait de celui-ci le père de Libyè qui concevra à son tour Bélos, futur père
de jumeaux: Danaos et Egyptos. Danaos va régner sur la Libye et son frère, Egyptos, gouvernera l’Égypte.
Mais Danaos a cinquante filles, les Danaïdes, que convoitent les cinquante fils d’Egyptos, les Égyptiades. Ces derniers
demandent leurs cousines en mariage, mais elles refusent cette union et s’enfuient d’Égypte avec Danaos, poursuivis
par l’essaim des prétendants. Les fuyards finissent par débarquer sur la terre natale de leur aïeule Io, à Argos. C’est ici
que la légende finit et que la tragédie commence. C’est sur les rives argiennes, qu’Eschyle campe la voie des Danaïdes,
fraîchement débarquées du vaisseau à bord duquel elles avaient trouvé refuge et cherchant asile et réconfort auprès
des citoyens d’Argos.
Dans le deuxième récit de la trilogie, Les Égyptiens, Danaos, selon la légende rapportée par Apollodore, il est entre-temps
devenu roi d’Argos a fait la paix avec les Égyptiades et leur a accordé la main de ses filles. Mais cette réconciliation n’est
qu’apparente et il ordonne à celles-ci d’égorger leurs époux au cours de leur nuit de noces. Dans Les Danaïdes enfin,
qui concluait la trilogie, Hypermnestre, l’aînée des filles, la seule qui ait désobéi à la sanglante injonction paternelle et
épargné Lyncée son mari, se justifie de son acte avec à ses côtés, pour la défendre, Aphrodite, qui pour ce faire invoque
une loi supérieure au respect dû aux ordres d’un père, celle de l’Amour.
À quoi le refus obstiné des Danaïdes de l’hymen avec leurs cousins tient-il ? Pourquoi le souverain et les citoyens d’Argos
se rangent-t-ils aussi aisément aux arguments des Danaïdes ? De toutes les interprétations possibles de leurs refus, la
question du conflit politique supposé entre Danaos et ses neveux est de toute évidence, la moins plausible. La seule et
unique raison est le refus catégorique du mariage. À ce titre, le lien de parenté existant entre Danaïdes et Égyptiades
n’est pas tant un obstacle qu’il ne constitue une circonstance aggravante. C’est cette violence, d’autant moins tolérable
qu’elle vient d’un parent. Les Danaïdes, comme les Amazones sont des farouches ennemies des nœuds de l’hyménée.
Après leur mort, les Danaïdes arrivèrent aux Enfers, où elle furent jugées et précipitées dans le Tartare, ce lieu terrible où
les plus grands criminels expient leurs fautes en subissant des tortures physiques et psychologiques. Le supplice imposé
aux Danaïdes fut le suivant: elle furent condamnées à remplir éternellement des jarres percées. Ce mythe des Danaïdes
a donné naissance à l’expression "le tonneau des Danaïdes" qui désigne une tâche absurde, sans fin et impossible à
mener à son terme. La danseuse Isadora Duncan s'inspira du mythe dans une de ses chorégraphies. Apollinaire dans
dans son recueil de poèmes "Alcools", fait référence aux Danaïdes.
Suivant le mythe rapporté par Apollodore, les Danaïdes étant purifiées de leur crime devaient être exemptes désormais
de toute punition; mais la mythologie les représente comme condamnées dans les enfers à remplir éternellement
un tonneau sans fond. On leur rendait des honneurs divins à Argos, on on leur avait consacré quatre puits, dont elles
avaient pourvu cette ville. Suivant Hérodote, elles avaient transporté les mystères de Déméter Thesmophore d'Égypte
dans le Péloponnèse, où elles les avaient enseignés aux femmes. Elles portaient aussi le nom de Bélides, de leur
grand-père Bélos. Les anciens les appelaient également proverbialement, "filles de Danaüs".
Bibliographie et références:
- Apollodore, "Bibliothèque"
- Apollodore, "Épitome"
- Eschyle, "L'Orestie"
- Eschyle, "Les Suppliantes"
- Euripide, "Danaïdes"
- Hésiode, "Théogonie"
- Nonnos de Panopolis, "Dionysiaques"
- Ovide, "Héroïdes"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- Pindare, "Odes"
- Stésichore,"Odes"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Jai 16 ans, je suis allée garder Francois-Xavier, ce petit bonhomme de sept ans a les oreillons. Son petit visage est tout gonflé sur le côté gauche, difforme. Il est très fatigué, et , pour une fois, va se coucher sans discuter. Ce n’est pas moi qui aurais dû venir le garder ce soir, mais maman n'a pas voulu que mon frère Pascal, qui a un an de plus que moi, risque d attraper les oreillons. Il ne les a jamais eus et à son âge ce peut être dangereux pour sa virilité, ou sa fertilité, vu que cela se déplace des oreilles vers les testicules, ou qu’elles sont aussi touchées. Je ne sais plus, je ne me rappelle plus les conséquences pour un jeune adulte mâle s'il est en contact avec cette maladie. Plus tard il y aura un vaccin, le ROR, mais ce sera pour la génération suivante. Il faudrait que je demande à un médecin maintenant que j’en ai dans mes relations.
Je suis au lycée, en première scientifique au lycée pilote de Sèvres . Il a changé plusieurs fois d’appellation . Il est particulier, expérimental, international, certains cours sont donnés en anglais. Pour moi c’est juste le lycée du secteur. Je m’y rends avec mon deux-roues, 103 Peugeot orange. Rien de très original. Mais j’ai mon autonomie. C’est pour ça que je peux faire des baby-sittings dans ma commune.
J’ai donc emporté mes devoirs à faire, probablement des maths, mais la soirée va être longue. Une fois terminés, je n’ai pas de livres et me dirige vers la bibliothèque en chêne aux lourdes portes vitrées. J’ai libre accès à la maison. Les propriétaires me connaissent, ainsi que mon frère, ce n’est pas la première fois que je viens, ils ont confiance et ne ferment rien à clef. J’aime lire. Je lis tout ce qui me tombe sous la main. Ma surprenante mémoire m empêche de lire plusieurs fois le même livre, contrairement à mes amies. Je me souviens déjà de toute l histoire dès les premières lignes relues. Cela se vérifiera tout au long de ma vie. Ce souvenir, j’ai 58 ans quand je le couche cette nuit sur le papier, ou plutôt sur l’écran de ma tablette. Et j’ai l’impression d’avoir lu cette histoire il y a quelques mois a peine. Je dois reconnaître que je me la suis ressassée bien des fois. Elle a été mon premier support masturbatoire et le seul pendant longtemps, toujours mon préféré, celui qui m’a révélé mon souhait le plus profond que je peux enfin vivre. Celui qui me montrai que j'étais soumise.
Dans la bibliothèque, bien serrée entre d’autres livres, une petite revue en papier de moyenne qualité, format A5, semble m appeler . D’après plusieurs dominants à qui j’en ai parlé il s'agit de L’Union, mais le titre ne m’a pas marqué, contrairement au contenu.
C’est l’histoire d’un couple. Maintenant je sais qu’il s agit dune relation DS, mais à l’époque, j’étais encore très innocente . Mon expérience se limitait à des baisers profonds et quelques caresses plus poussées. Je n’ai pas encore couché avec un garçon, ma mère me met une telle pression sur ma virginité, les risque de grossesse, les problèmes de la pilule. Bref, pas de relations sexuelles uniquement des flirts. La définition en est très simple « la main dans le machin, le machin dans la main , mais pas le machin dans le machin » .Oh j’ai vu, touché, palpé, et même sucé et léché, sans connaitre le nom de cette caresse buccale approfondie. Fellation et gorge profonde ne font pas partie de mon vocabulaire.
Donc Monsieur a passé une annonce pour expliquer qu’il souhaite livrer son épouse à un couple pour le week-end, en sa présence mais au service de leurs hôtes. Ou il répond à une annonce qui demande une esclave.Il reçoit un appel téléphonique qui lui donne les premières consignes.
--pas de douches ni de bains ni de toilettes intimes , Monsieur essuiera délicatement sa femme après ses passages aux toilettes, mais pas d eau ni de savon,
--ce sera monsieur qui lui fera sa toilette au gant et savon sur le reste du corps mais ni douche ni bain
-- pas de toilette non plus après les rapports sexuels, elle restera couchée de manière à garder le foutre dans sa chatte
--on ne changera pas de culotte pendant la semaine qui précédera le rendez-vous, et il s agira d’une grande culotte en coton blanc , pas de culotte basse
-- interdiction de se masturber mais bien évidemment Monsieur la prendra autant de fois que désirées
--le vêtement porté le jour de la rencontre sera ample pour laisser accessible les fesses
La date et le lieu sont fixés, les consignes répétées et la semaine passe ainsi. L esclave sent le foutre et la transpiration, sa culotte présente des tâches de différentes couleurs mêlées. Le rendez-vous est dans le parking d’une de ces nouvelles grandes surfaces qui commencent à s’ouvrir un peu partout en périphérie des villes. Il est très facile de se retrouver à l’ouverture ce samedi matin à 10h. Les deux couples sortent de la voiture. L’esclave porte une grande jupe rouge à ceinture élastique et un corsage bleu marine dont les deux boutons du haut ouverts laissent apparaître la dentelle du soutien-gorge de coton blanc. Les couples se rapprochent , les hommes se serrent la main , l’esclave baisse la tête et n’ose relever les yeux. L’autre femme s approche et glisse sa main dans la ceinture de la jupe, puis dans la culotte et va tripoter l’intimité de l’esclave qui rougit. C’est la première fois qu’une femme fouille dans sa culotte. L’odeur qui se dégage la fait rougir de honte. La domina lèche son doigt avec un sourire approbateur, et sort de sa poche un beau saucisson.
--bien , dit-elle, assieds toi sur ce banc, remonte ta jupe, dégage ta culotte sur le côté, je vais introduire ce saucisson entre tes jambes ». L’esclave rougit encore, mais, après un regard inquiet vers son mari qui fronce les sourcils, elle s’empresse d’obéir. La domina la doigte un peu et introduit le saucisson puis remonte la culotte. Le vagin est tellement humide que le saucisson glisse vers le bas et fait une bosse dans la culotte.
--nous allons faire quelques courses toutes les deux pendant que ces messieurs fument leurs cigarettes »
Elle prend le bras de l’esclave et se dirige vers les boutiques. La marche n’est pas aisée. Le saucisson gêne quelque peu .A la pharmacie elle lui fait demander des préservatifs masculins et de la vaseline. A cette époque ce n’était pas en libre service, il fallait demander aux pharmaciens . Malgré la honte et ses joues rouges, les achats sont faits. Puis les quatre adultes montent dans la voiture du couple dominant pour rejoindre leur domicile pas vraiment éloigné.
Ils arrivent devant une maison tout à fait ordinaire de banlieue. Une de celles de la reconstruction d’après-guerre qu’on retrouve partout France. Carrée, avec un petit jardin devant et un plus grand à l’arrière. On y entre après avoir monté un escalier d’un demi-étage qui donne sur un petit balcon. La porte franchie, tout le monde ôte la veste et se dirige vers le salon , sur la droite dans le couloir traversant.
Et l’esclave se déshabille pendant que les autres la regardent. Des phrases moqueuses jaillissent , des sourires étirent les lèvres, les dominants semblent satisfaits. En culotte , le saucisson lui fait une drôle de bosse qui amuse la Maitresse. Elle croise ses mains pour cacher et maintenir sa lourde poitrine, mais un coup de badine surgi de nulle part lui fait rapidement étendre les bras le long du corps. Sur un claquement de doigts de son mari elle se précipite vers lui à quatre pattes, ses seins pendant telles de lourdes mamelles, et pose sa tête au sol, les mains croisées sur sa nuque. Elle redresse sa croupe et son mari se met accroupi sur ses talons pour lui ôter sa culotte et ainsi bien présenter l’intimité de son épouse au couple dominant, puis il s’éloigne pour s’assoir sur le tabouret que lui indique son hôte.
Celui-ci se lève du canapé dans lequel il s’était assis et commence à tourner autour de l’esclave en la tapotant du pied. Elle ne bouge pas et reste silencieuse. Sa femme s’approche de lui et lui caresse l’entrejambe. Une belle érection tend la toile du pantalon et l’homme défait sa ceinture et ouvre sa braguette. L’esclave tirée par les cheveux se redresse et se retrouve à genoux devant lui . Elle ouvre la bouche et s’empare du sexe tendu pour une première fellation . Il tient sa femme par la taille et lui caresse la poitrine en l’embrassant.
Il jouit assez vite et la femme agenouillée avale promptement le nectar qui jaillit. Puis il retourne se vautrer dans le canapé et laisse sa femme jouer . Elle utilise le saucisson dégoulinant de cyprine comme un gode dans tous les orifices de la femme qu’elle a fait remettre à quatre pattes. Elle prend une laisse et un collier et la fait déambuler dans le salon comme une chienne.
Mes souvenirs sont un peu flous pour la suite.
Assise dans le canapé du salon , ma main droite fouille dans ma culotte et j’ai du mal à tenir la revue de la gauche. Mes jambes se sont tout naturellement écartées et mon majeur joue avec mon clitoris. Je le connais bien bien que je ne sache pas son nom. Je sais les sensations qu’il m’offre quand je suis sur mon deux-roues. Il y a bien longtemps que j’ai découvert son pouvoir quand j’appuie dessus, ou que je le pince , ou avec l’eau de la douche que je règle assez fort quand je m’allonge les cuisses écartées au fond de la baignoire.
Mais une scène remonte toujours à ma mémoire, ce sera elle mon principal support pour mes séances de plaisir solitaire.
Le dominant est retourné sur le canapé, l’esclave à quatre pattes le suce de nouveau. Elle est nue , sa culotte a servi plusieurs fois pour la bâillonner et sa salive s’est mélangée aux autres sécrétions. Puis l’autre femme la fait se lever et la guide pour qu’elle vienne s’empaler sur le sexe tendu de l’homme assis. Elle lui tourne le dos et , les genoux pliés, on la penche en avant. Sa tête appuie sur le sol , ses mains s’agrippent à celles de son mari qui s’est approché. Ses cuisses sont manipulées pour être écartées au maximum. Sa rondelle est ainsi bien exposée.
La domina attrape une baguette et donne un petit coup sec sur l’anus bien ouvert après les nombreuses sodomies subies. Par réflexe, tous les muscles se contractent. Puis elle se penche pour bien inspecter l’anneau. Elle observe le visage de son époux et redonne un petit coup sec. L’opération se répète, le rythme change, l’esclave pleure non de douleur mais de honte à cette inspection répétée. Le mari veut intervenir mais un coup de baguette sur sa tête le stoppe dans son élan. La jouissance du Maitre explose dans un cri. L’esclave est épuisée et glisse au sol. Son mari la prend pour aller l allonger sur une couverture près du radiateur. Elle ne pourra resservir de jouet qu’après un temps de repos et une collation.
C’est comme une pompe à plaisir, le résultat de ces coups sur l’anus est fabuleux. Le vagin se contracte et se resserre sur le sexe du mâle qui la pénètre et il en retire un plaisir très fort. Mais cela épuise les esclaves, et il doit renouveler ses contacts. C’est pour ça qu’il passe des annonces régulièrement. Il trouve toujours de nouveaux hommes qui veulent prêter leurs femmes et regarder.
J’entends la voiture arriver et m’empresse de ranger la revue à sa place . Mon grand pull tiré sur mon pantalon ne me trahira pas. Ce fût la toute première fois que je fus en contact avec un récit bdsm. Je le pris pour histoire vraie. Je lus d’autres témoignages dans d’autres numéros car ce n’était pas le seul que je trouvai chez ce couple de catholiques pratiquants dont je gardai l’enfant a plusieurs reprises . Jai lu par la suite de nombreux ouvrages, mais aucun n’a su retenir aussi longtemps mon attention.
Ce récit peut vous paraître naïf mais il est sincère.
Merci de m’avoir lue.
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Charlotte passa une nuit agitée, et maintes fois la jeune fille se réveilla en sursaut.
L'aube fraîche apaisa son énervement; elle en conclut qu'elle n'avait plus l'habitude
d'être fouettée et quelques traces douloureuses sur ses reins la confirmèrent dans
cette idée. Étendue nue sur son lit, elle se remémora la soirée et seulement toute
l'horreur de son abandon lui apparut. Elle frémit à l'idée qu'elle avait pu s'offrir et se
laisser ainsi sodomiser dans des poses d'une lubricité atroce par des inconnus; puis,
peu à peu, le souvenir de certaines émotions charnelles supplanta la vague de pudeur
qui déferlait en elle; elle repensa à l'ardente virilité de Paul et trouva la vie plus belle
que jamais. Elle se caressa dans la douce lumière du jour tamisée par les volets.
L'après-midi, elle retrouva Juliette et l'emmena chez Paul; vêtues toutes les deux de blanc, elles avaient
l'air de deux sœurs et le miroir éclairé renvoya bientôt aux yeux de l'homme leurs intimités lisses et moites.
Bientôt, les deux corps dénudés se roulèrent sur le lit en une étreinte sauvage où Juliette exhala non sans
passion sa volupté toujours puissante. Alors Charlotte abandonna son corps aux désirs sadiques de Paul.
Il l'entraîna sur une table haute en bois et l'allongea à plat-ventre, jambes et bras écartés en lui liant les
chevilles et les poignets fermement avec des cordes en prenant soin d'étirer ses membres en position
d'écartèlement extrême. Paul se saisit d'un martinet aux lanières en cuir et commença avec art à
flageller les reins qui s'offraient à lui; il commença doucement, visant le sommet des fesses tendues.
Charlotte n'avait pas très mal; chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses
muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irridia sa croupe, se propageant à son vagin. Une
torsion légère des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la
soumise contrainte sortirent de longs soupirs. Paul, excité, commença à frapper plus fort par le travers
et les gémissements de Charlotte furent plus profonds et la danse de la croupe s'accentua.
En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure dans les reins et hurla; l'homme la
flagellait à toute volée. Il n'attendit pas qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Charlotte crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à la tête. Alors Juliette s'accroupit près des
épaules de Charlotte et lui caressa la tête, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise
éplorée. Paul frappa encore plus fort et les fines lanières claquèrent dans un bruit mat les fesses musclées.
La suppliciée se mit à gémir en hoquetant et en tordant son buste que sa Maîtresse maintenait tout en le
caressant; elle lui promit toutes les joies charnelles qu'elle voudrait sur son propre corps, mais lui demanda de
résister encore; parfois Charlotte se tournait vers Paul dénudé, qui, tel un démon, les yeux fous de luxure, le
ventre tendu, la verge en érection, la flagellait avec une force inouïe. Alors les lanières léchèrent le sexe entre
les cuisses écartées et un long cri s'échappa des lèvres de la soumise douloureusement atteinte; elle voulut
fermer les jambes mais des cinglements plus vifs l'atteignirent sur leur coté. Mais la douleur devint trop vive.
Charlotte laissa couler quelques larmes sur la main de Juliette qui fit signe à Paul de cesser la flagellation.
On la détacha de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que peu de
temps; penchée sur le ventre ouvert de la soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide
et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité; mais elle même, sentit monter en elle la plus violente
des jouissances sous la caresse précise de Paul qui, glissant sa langue entre ses reins, lapait la peau
satinée de sa voie étroite, tandis que des lèvres de Charlotte s'échappait la plainte d'amour, s'éleva le
gémissement étouffé de la chair humide et palpitante de Juliette, jouissant de toutes ses forces. Paul dut
maintenir les hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et inintérrompus.
Quand Charlotte eut repris ses sens, tous trois revinrent sur le lit; Paul fit prendre à la jeune soumise les
positions les plus indécentes, puis à son tour, il lui tendit sa verge en érection. Elle s'agenouilla et le masturba
lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair avant de le prendre en bouche; avec violence le
phallus se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres qui l'aspiraient pour le retenir. Il éjacula brusquement,
innondant sa gorge de sperme qu'elle avala mystiquement jusqu'à la dernière goutte.
Juliette posa son index sur l'anus de Charlotte, et lentement l'enfonça dans les entrailles chaudes, jusqu'au bout.
Les yeux fermés, elle cherchait à imaginer, en sentant les contractions des sphincters intimes, la volupté ressentie
par un homme dont le membre était pris dans cette voie exiguë; doucement, elle agita son doigt dans l'orifice offert,
tandis que sa soumise redonnait de la vigueur à Paul, par le mouvement de sa bouche refermée et resserrée sur
le membre gonflé; elle comprit simplement qu'à son tour, il souhaitait frayer un chemin au plus étroit.
Il se dégagea, se leva et, attirant par les reins Charlotte, laissa son sexe se caresser au sillon des reins, que Juliette
avait laissé à regret; alors avec force, sans préliminaire, il enfonça son phallus, remontant et allant frapper au fond de la
cavité de l'orifice naturellement étroit. Dans un long gémissement, elle accepta cette chair qui distendait ses reins non
sans se débattre et sans être comblée de honte, mais à laquelle, elle ne se déroberait pas, même si cela lui semblait
sacrilège; elle gémit encore plus fort, quand elle sentit le membre caché, buter au fond de ses entrailles offensées.
Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté
nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Paul, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland
amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche; l'anus plissé s'ouvrit sous la poussée
continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau.
Paul sodomisa profondément ce jeune corps soumis, se regardant glisser hors de l'étui intime, se contracter et
distendre les bords plissés de l'anneau anal. Bientôt, l'excitation fut trop forte et il accentua la cadence, secouant la
croupe empalée. Charlotte, elle même avivée par ce frottement intense dans ses entrailles forcées, s'abandonna
à son tour, tandis que l'homme lançait en elle, par saccades quatre jets de sperme visqueux et âcre. Elle se tordit de
jouissance et, dans une longue plainte, soupira, s'écroula, vaincue par un orgasme dont l'intensité la bouleversa.
Paul se retira, la libérant; Charlotte voulut le prendre dans sa bouche pour le laver, mais dédaigneusement, il refusa.
Semi-consciente, elle pensa seulement qu'aucun orifice de son corps ne serait épargné, qu'elle devrait aussi accepter
d'être prise au plus étroit et savait que cette humiliation lui serait infligée par la volonté de la maîtresse qu'elle aimait.
Elle était là pour que Juliette assouvisse ses plus bas instincts, ses plus vils fantasmes; au fond d'elle même, elle était
décidée à ne pas la décevoir. En fut-elle délivrée ? Chaque jour et pour ainsi dire rituellement salie de sueur, de salive,
et de sperme, elle se sentait comme un réceptacle d'impureté. Cependant les parties de son corps les plus souvent
offensées lui paraissaient, malgré elle, plus belles, comme anoblies. Sa liberté serait pire que n'importe quelle chaîne.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Myriam n'aime que les femmes, elle ne supporte pas les hommes, elle les a même en horreur. Depuis toute petite elle sait qu'elle est lesbienne et qu'elle n'aimera faire l'amour qu'avec des femmes.C'est ainsi, elle l'assume et le vit très bien. Mais accepter d'être lesbienne n'est pas un but en soi, encore faut il trouver des partenaires sexuelles. C'est à ce moment là que Myriam s'est rendue compte qu'elle était lesbienne active et pénétrante, bref, elle adorait jouer au mec. Pantalon, cheveux courts, brassière pour diminuer un peu l'effet poitrine, elle a vite eu du succès. C'est fou le nombre de femmes qui sont bi en fait et qui adorent se faire prendre par une femme.
Le plus dur c'est de commencer, après c'est un plaisir, comme un jeu de mecano où il faut assembler des pièces pour que l'ensemble soit réussit. Dans un Harem, il faut des règles pour que les membres puissent se sentir bien, en sécurité, comme protégés par cette sorte de clan. Cela rejoint cette dernière idée, un clan avec des pratiques et des goûts communs. Myriam la pénétrante a donc commencé à chercher des chattes ouvertes uniquement, une autre pénétrante aurait été une concurrente. Elle est devenue le mec de son harem, la seule à pouvoir disposer d'une panoplie de gods en tous genres.
Myriam est une jalouse. Ses soumises ont été cadenassées et marquées au fer rouge. Ce point est important pour bien fidéliser le harem. L'assouvissement des besoins sexuels ne peut se faire qu'à l'intérieur du harem. Les soumises n'ont doit qu'à se brouter le minou entre elles, à se caresser, tant qu'il leur plaira. Pour la pénétration vaginale, ou anale, c’est le domaine réservé de la dominante.
Finalement, Myriam a réussi son harem lesbien et solidaire, pour le plus grand plaisir de ses membres.
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Didon en latin, Dido, Elisha, Elysha ou Hélissa, fille du roi de Tyr, Bel ou de Mutto, sœur de Pymalion,
était une princesse phénicienne, fondatrice et première reine de Carthage qui succéda à son père.
Pygmalion fit tuer son époux Sibarchas ou Sichée, prêtre d'Héraklès, dans le but de s'emparer de ses
trésors. Mais Didon les emporta en s'enfuyant en compagnie de nombreux Troyens. Ils abordèrent à
Chypre, puis en Afrique, sur la côte de Zeugitane où le roi Jarbas consentit à leur accorder un territoire
aussi grand que la peau d'un bœuf. L'astucieuse Didon fit découper en lanières très étroites cette peau
qui couvrit un espace assez grand pour construire une citadelle. Elle y bâtit Byrsa, l'acropole de Carthage.
Jarbas proposa de l'épouser pour assurer la sécurité des Troyens; elle fit mine d'accepter, mais le moment venu,
elle prépara un bûcher, y monta et se poignarda. Didon fut honorée à Carthage comme la fondatrice de la cité.
Après les guerres puniques, on prétendit qu'Enée, poussé par les vents sur la côte africaine, avait rencontré Didon,
l'avait séduite puis abandonnée. Cette légende forme la quatrième partie de l'Enéide de Virgile. Élissa est la fille
de Mutgo, roi de Tyr, et la sœur de Pygmalion. Ce dernier succéda à son père, et Elissa épousa son oncle Acerbas,
prêtre d'Hercule, qui, possédant de grands biens, fut égorgé par Pygmalion. La veuve dissimula sa haine et, pour
se donner le temps de fuir, feignit de vouloir se rendre auprès de lui avec les trésors de son mari.
Les serviteurs que le roi avait envoyés pour porter les richesses d'Acerbas dans son palais embarquèrent sur un
vaisseau toutes les richesses, et de lourds sacs remplis de sable que Didon les força de jeter dans la mer. Croyant
que les sacs qu'ils venaient de jeter contenaient les trésors qui avaient si fortement excité l'avidité de leur maître,
et craignant sa colère, ils résolurent de s'enfuir avec Élissa. Elle aborda d'abord à l'île de Chypre, où, par ordre de
l'oracle, le prêtre de Jupiter se joignit à elle, après s'être réservé le pontificat à perpétuité pour lui et ses descendants.
Elle fit aussi enlever quatre-vingts jeunes filles qui étaient au service de Vénus, et qui, d'après l'usage de cette île,
s'étaient présentées sur le rivage, et les fit épouser aux compagnons de sa fuite.
Les vents portèrent les émigrants sur la côte d'Afrique, où elle acheta autant de terrain qu'elle en pourrait entourer
de la peau d'un bœuf. Élissa découpa le cuir en lanières très minces, et en entoura un espace assez considérable,
qu'elle appela Byrsa (cuir de bœuf). Les peuplades voisines y affluèrent de tous côtés, pour entretenir de bonnes
relations avec les étrangers, et Élissa résolut d'y fonder une ville. Mais y ayant trouvé une tête de bœuf, qu'elle
regarda comme d'un mauvais augure et comme signe que le sol était difficile à labourer et demanderait une culture
continuelle, elle choisit un autre lieu.
Là, elle trouva la tête d'un cheval, qu'on interpréta comme signe de la puissance et de l'esprit guerrier de la ville
future. Ainsi fut fondée la ville de Carthage. Quand elle fut achevée, Iarbas demanda Didon en mariage, et sur son
refus, il la menaça de la guerre. La princesse, trahie et trompée par ses propres sujets, consentit à lui donner sa
main. Mais, feignant de vouloir apaiser par un sacrifice les mânes de son premier époux, elle éleva un magnifique
bûcher, y monta, et se tua d'un coup de poignard. Après sa mort, les Carthaginois lui rendirent des honneurs divins.
Suivant Virgile, Didon, fille de Bélos, s'étant dérobée avec sa sœur Anne à la cruauté de son frère, fonda la ville
de Carthage sur la côte d'Afrique, et y épousa Sichée, qui était mort lorsque les vents poussèrent Énée sur cette
plage. L'Amour, qui, suivant le désir de sa mère, avait pris les formes d'Ascagne, fils d'Énée, excita dans le cœur
de Didon une passion violente pour le héros. Sur l'avis de sa sœur Anne, elle fit tous ses efforts pour l'attirer à elle.
Ne pouvant plus vaincre sa passion, elle s'abandonna à lui, lorsque, surpris à la chasse par une tempête que Junon
avait envoyée, ils se trouvaient seuls dans une caverne.
Énée retarda son départ jusqu'à ce que Jupiter, sur les plaintes du roi Iarbas, qui en était jaloux, lui eût envoyé
Mercure, pour lui ordonner de quitter l'Afrique, et de se rendre en Italie. Didon, s'apercevant des préparatifs secrets
qu'Énée fit pour son départ, chercha vainement à le retenir par ses reproches, ses prières et ses larmes. Il résista,
et, après un second message de Mercure, s'embarqua et quitta ces rivages hospitaliers. Alors la malheureuse
reine fit élever un bûcher, sous prétexte de se guérir de sa passion par un feu magique, et se tua d'un coup de
poignard, sur le bûcher. Énée la rencontra aux enfers, réunie à Sichée, son premier mari. En rapprochant Énée
et Didon, Virgile fait un anachronisme de trois siècles, car Didon quitta la Phénicie bien après la guerre de Troie.
Dans? tous? les? cas? donc,? d'après? les? sources? grecques,? Didon? ne? peut? avoir? été? la stricte? contemporaine? d'Énée.?
La? rencontre? entre? les? deux? héros? fondateurs? de ?Rome ?et? de ?Carthage? dans? l'Énéide? s'inscrit? dans ?la ?perspective?
des ?luttes ?entre? les? deux? cités? lors? des ?guerres ?puniques, ?ce? qui ?n'est ?évidemment? pas ?une? perspective ?grecque.
Certains ?éléments? semblent? également? renvoyer? à? une? réalité? phénicienne, comme? l'autosacrifice? du? souverain
?ou ?de ?la ?souveraine ?en ?cas ?de ?crise ?grave. ?Le ?mythe? n'est ?donc pas? seulement une? construction? étiologique?
grecque? résultant? de? la? transformation? d'un mythe? phénicien,? mais? historiens? et? archéologues? plaident? pour? un?
substrat? historique. Cependant,? cette? histoire? a? été? réinterprétée? en? fonction? des? critères? grecs.
D'où? le? fait, ?que? la ?reine ?correspond ?à ?un ?certain ?nombre? de? stéréotypes? féminins ?grecs ?et ?entre ?dans ?un? catalogue
?de ?femmes ?célèbres, ?genre? déjà ?ancien ?dans ?le ?monde ?grec.? Élissa ?est ?reine,? mais ?en? tant ?que? femme, elle ne
?peut ?exercer ?le ?pouvoir ?et ?se ?trouve ?confrontée ?au ?nécessaire? mariage, ?pour? assurer la succession. En ce sens?,
?le ?suicide? de ?la ?reine ?peut ?se ?comprendre ?comme? le ?seul ?acte? de liberté dont elle dispose, bien plus que comme?
une? preuve? de? fidélité? conjugale.?
Bibliographie et références:
- Hérodote, "Histoire"
- Hésiode, "La Théogonie"
- Hygin, "Fables"
- Ovide, "Fastes"
- Ovide, "Métamorphoses"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- P. Chantraine, "Dictionnaire étymologique de la langue grecque"
- Sophocle, "Didon"
- Timée de Tauroménion, "Histoire de Sicile et de Grande Grèce"
- Virgile, "Enéides"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé…
Seul le bruit de ses talons aiguilles sur le parquet et sa robe frottant sur ses hanches rompt le silence.
Elle tournoie autour du fauteuil sur lequel je suis attaché les yeux bandés à attendre.
Elle s’est fixée devant moi. Plus de pas. Plus de mouvements.
De ses genoux, elle écarte un peu mes jambes me découvrant et lui laissant une pleine vue sur ma nudité et mon sexe déjà tendu par la situation. Elle sourit ? Sans doute..un petit sourire narquois, je l’imagine aisément.
Je sursaute. Je n’avais pas anticipé son mouvement.
Un doigt ganté effleure mon gland et descends le long de ma verge. Douce sensation en appelant plus mais rien ne vint. Juste encore une attente de quelques minutes qui semblèrent être des heures.
Elle se déplace de nouveau relançant le balais des claquement de talons sur le sol et la mélodie du vêtement sur les hanches. Un baiser se pose sur mes lèvres auquel je répond tendrement. Nos lèvres se séparent et c’est sa langue qui prends le relais, léchant sensuellement mais fougueusement mes lèvres comme pour indiquer que c’est elle qui mène la danse. Un passeport à la luxure dont elle seule pourrait valider le voyage.
Le fauteuil tremble. Je devine qu’elle vient de prendre une position d’où elle me surplombe. La chaleur de son corps emplit mon visage. Elle écrase ses fesses sur celui-ci me demandant prestement d’user de ma langue. Quelle diable de position doit-elle avoir pour être ainsi ? Je meurs d’envie d’avoir les yeux libérés de cette étoffe et profiter de cette vue osée et imprenable. Elle le sait et en joue, balançant son cul de gauche à droite en me cognant le visage comme pour me narguer.
Lire la suite : http://comtedenoirceuil.com/le-supplice-de-tentale/
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Il ne faut pas écouter les femmes, ce n'est que perte de temps, ce ne sont qu'embrouilles et complications. Aussi pour résoudre la question, William a décidé de s'en choper quelques unes pour son service et de les réduire au silence. Une femme qui ne connait qu'un mot expression: "oui, mon chéri", "d'accord mon amour", "tout ce que tu voudras William" , sait tout ce qu'il faut savoir. Le reste est bien inutile.
La première femme qu'il a chopé c'est la jolie Yasmine. Un vrai petit moineau toujours en train piailler. Cela ne pouvait pas faire. Il lui a imposé le voile de sa religion avec un bâillon dessous. Le silence. Quel plaisir en compagnie d'une femme. Yasmine est douée au lit, elle écarte facilement et adore se faire labourer le sillon humide. Aussi il lui a imposé la totale, la tenue complète de sa religion, des pieds à la tête pour tout cacher mais avec rien dessous, c'est plus pratique. Et Yasmine a été heureuse de le servir. Elle tend elle même le bâton pour être bien corrigée sept fois par jour. Ne pas l'utiliser est une insulte. Alors William fait son devoir conjugal comme il convient, il bat sa femme sept fois par jours, elle seule sait pourquoi il doit faire cela, et l'honore après.
La deuxième femme qu'il a péecho c'est la belle Laura, une hippiss partout, plus droguée qu'un labo de la french connection. William a mis six mois pour la sevrer complètement. Le toubib qui ne donnait plus que quelques mois à vivre à Laura est incapable de la reconnaitre à présent. Elle est devenue une femme splendide avec un cul d'enfer, de belles joues. William adore la bourrer par tous les trous. Les hippies savent faire l'amour et Yasmine est aussi venue chercher son compte. Une très bonne brouteuse de minou cette Yasmine et une gourmande d'exquise cyprine.
La troisième femme qu'il a chopé pour son harem c'est la très jolie Brit, une teutonne à la peau blanche et aux gros seins. Yasmine et Laura sont vite venue lui bouffer la chatte et ont été d'accord pour que Brit deviennent la troisième épouse. Une chatte qui sent bon, cela ne se refuse pas.
William a estimé que c'était assez avec trois femmes. Il a édité sa loi.
l'homme a tous les droits, les épouses n'ont que des devoirs, dire oui , en tout et pour tout, à l'époux et se taire ensuite. Voilà le premier commandement.
Les épouses doivent être propres et d'une fidélité absolue, elles peuvent toutefois se brouter le minou, entre elles, cela ne regarde pas l'époux. c'est le deuxième commandement.
les femmes doivent dire merci à leur homme chaque fois que celui ci les corrige pour leur bien,y compris par le fouet. Voilà pour leur troisième injonction. William a estimé qu'il n'en fallait pas plus. Trop compliqué, les femmes ne comprennent plus rien si l'homme parle trop. . Elles savent compter jusqu'à trois, c'est déjà cela.
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N'Golo a du quitter la brousse car il crevait de faim. N'Golo a du quitter son pays car il crevait de faim. Il s'est embarqué comme passager clandestin sur un gros bateau en partance. Il est arrivé dans une grande ville bruyante. N'Golo n'a ni papier ni argent mais c'est un malin qui sait se rendre invisible. Il s'est très vite intégré. Après des petits boulots il a monté sa propre affaire.
Un jour il assiste à une rixte de rue. Trois loubards tabassent une vieille chinoise qui semble fort riche.
-tes quatre fils n'ont pas payé la "protection". Vous savez bien que cette rue est à nous. Alors vous êtes à l'amende, il faut payer le double pour cette semaine.
N'Golo est intervenu, les trois loubards se font exploser la tronche en quelques coups. Personne ne comprend comment il fait cela. Cela va si vite. Le premier surpri est N'Golo lui même. Il ignore tout de ce don exceptionnel au pire combat qui soit, celui de rue, où il n'existe aucune autre règle que celle de gagner.
Les trois loubards se ressaisissent, sortent des armes mais il n'ont pas le temps d'en faire usage. Ils sont de nouveau fracassés par les poings et pieds redoutables de N'Golo. Il trouve de quoi fabriquer des liens solides et des lattes en bois dans le marché de cette rue du quartier chinois. Il immobilise les trois loubards, met leurs culs à nu et commence à les latter jusqu'au sang. La foule les entoure et leur crache dessus. Pour un temps les commerçants chinois n'ont plus peur.
C'est là que N'Golo montre son sens des affaires. il se penche à l'oreille du chef des loubards et lui dit:
- soit tu me payes dix fois l'amende de protection de la vieille et je vous évacue de cette rue, soit je vous y laisse et vous connaissez les chinois. Ils savent faire disparaître les choses....
Le chef a vite compris, les trois loubards ont été évacué et ils ont payé N'Golo grassement. Le bruit s'est répandu de l'existence d'un prodige en bastons. Des bandes rivales ont envoyé leurs champions. Aucun n'a résisté. N'Golo est insaisissable et plus rapide que le sirocco. Il n'a pas trouvé d'adversaire à sa mesure et les chinois du quartier l'ont payé fort cher pour qu'il assure la "protection".des rues et des commerces.
L'ambassadeur de Chine a vent de cette affaire et ses services veulent recruter N'Golo. Ce dernier va voir le vieux sage de la communauté chinoise pour lui demander conseil. Une sage décision qui va lui rapporter beaucoup. C'est N'Golo qui pose ses conditions à son prix et il a obtient tout ce qu'il demande. Il va faire un long stage en chine est en revient avec le titre de "Dragon d'acier en feu".
De retour dans la communauté chinoise, il rencontre liu, une vendeuse de nouilles et de soupes, orpheline et fort jolie. A présent qu'il a une identité et un passeport diplomatique, il décide de l'épouser. Liu accepte en baissant les yeux. N'Golo décide de marquer sa femme sur la fesse droite au fer rouge avec son emblème, celui du Dragon d'acier en feu. Ils sont très heureux.
Liu se rend compte de l'incroyable vitalité de son époux au lit. Elle comprend qu'elle ne pourra pas le satisfaire. Elle lui cherche une deuxième épouse. Ce sera la belle libanaise Samira, aux gros seins fermes. N'Golo la marque au fer et en fait sa deuxième épouse.
L'ambassadeur de Chine, lui dit que la polygamie n'est pas autorisée, mais....il existe une ancienne loi qui autorise jusqu'à onze épouse, et que....pour services rendus....une dérogation pourrait être accordée. Il n'en suffit pas plus pour que N'Golo parte à la recherche des neuf femmes qui lui manquent pour compléter son harem. Il choisit ce qu'il y a de mieux, que des femmes saines, soumises et bandantes.
liu comme première épouse règne sur le Harem. Toutes doivent lui obéir. N'Golo recycle régulièrement ses épouses. De bonnes flagellations devant le harem avec des lattes en bois. cela fait horriblement mal mais si les coups sont bien portés cela ne laisse pas de traces. Toutes ses épouses filent au doigt et à l’œil. Mais allez savoir pourquoi? Elle craignent plus Liu qui parle si doucement que N'Golo et ses lattes.
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(Réédition du 24/05/2020 -> 06/04/2024 - 1026 Vues)
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"Je me présente ; Stéphanie.
Je suis une femme assez élancée et svelte (174 pour 62kg), mes cheveux sont châtains et mi longs.
Actuellement dans une relation vanille qui ne me convient pas, je me sens frustrée.
Je me suis pris d'excitation à exprimer mes pulsions refoulées, que je pense BDSM.
J'ai envie d'en parler, de comprendre, d'être initiée, dans la confiance et la discrétion."
Depuis approximativement 1 an, certains profils particuliers fleurissent en ces lieux. Profils spécialement créés pour contrer le nombre de bannissements effectués "à la racine" par les modérateurs du site BDSM.fr (Ou la dénonciation par ses membres).
Dans un esprit de clarté, ainsi que de savoir s'adapter à la "menace" de ressembler à d'autres sites payants lambda, où ces profils pilulent, et sont créés par les instigateurs/modérateurs eux mêmes, je me propose de vous l'énoncer en détails.
A qui s'adresse cet article ?
Principalement, à celles et ceux pratiquant le BDSM.
Le titre et le visuel de cet article favorisant la vue par des éléments masculins, sa lecture permet cependant et surtout à la gente féminine de comprendre en partie, la recrudescence des hommes "non-Dominants" sur les sites liés au BDSM.
Mais qu'elle est cette technique particulière de création de profils ?
Elle se passe en 3 temps ;
Étape Numéro 1 : La création d'un profil de Soumis(e) évoquant un désir de s'exprimer, de dialoguer, avec une certaine évocation d'ouverture à l'autre.
Ces profils sont généralement dans l'orientation sexuelle "bi" pour toucher un maximum de public.
Et là où se caractérise cette technique, c'est que dans leurs premières créations de comptes, ces individus ne mettent pas de photos d'avatar, et n'ajoutent en aucun cas de membres en favoris. (Pour éviter le sus nommé bannissement d'être découvert trop vite d'une photo falsifiée/en inéquation/récupérée sur le net)
Ces créations de profils peuvent se cumuler jusqu'à 5 à 10 par semaine, et sont essentiellement créés entre 23h00 et 6h00 du matin en dehors de l'affluence du site.
Étape Numéro 2 : Entre 12h et 24h plus tard, ces individus ajoutent une première vague de membres (Entre 5 à 15 généralement pour la première fournée)
Ce temps de déconnexion ayant servi à laisser le temps au "pingouin" de "faire une demande d'ami" ou d'écrire un commentaire sur son mur.
(Les membres masculins étant "rapides" à vouloir tchatter dès la demande d'ami acceptée, c'est une autre source de communication à se trahir, se faire dénoncer et bannir. Tandis que si ceux-ci sont ajoutés en masse d'une seule fournée, cela suggère que l'on est accaparée/occupée ailleurs et que l'on ne peut répondre)
Les pulsions et le noviciat se faisant, en résulte qu'il est plus facile de voir ce que l'on veut croire, et par défaut de cliquer, parce que l'on ne sait jamais. Une sensation donnant vie et matière à une "concurrence" virtuelle, et une potentialité à pouvoir être le "premier".
Étape Numéro 3 : L'ajout d'une photo d'avatar la plus part du temps recadrée et l'ajout d'une "phrasette" sur leur mur ou en complément de leurs profils (Cela peut correspondre à leurs "âge", ou plus informel.) Qu'importe, du moment que cette petite touche légitime leur existence, et ne peut être affilié à un faux profil fait à la volée.
Quel est l'objectif de la création de ces profils ?
La fidélisation d'un public :
En premier lieu, et "je vais mettre cela sur les crédits d'autres sites", ce n'est pas tant les femmes désireuses de se lancer dans le domaine du BDSM qu'intéressent les individus mal intentionnés, mais Ceux/celles capables de débourser de l'argent pour les atteindre.
Et se faisant, pour fidéliser le "pingouin", il faut lui donner une voie à se dire dans sa petite tête d’écervelée qu'il/elle puisse avoir une chance ne serait ce que d'échanger avec l'une d'entre elles/lui.
Car après tout, donner vie à un personnage, c'est le faire exister de par ses "faire valoir" qui l'entourent, par leurs volontés de se démarquer dans leurs mots, ou dans leurs photos.
Une sensation galvanisante qui accoutumera le "pingouin" en question, qui n'aura de cesse de se connecter, ne serait-ce que par l’appât à pouvoir concrétiser du jour au lendemain.
L'Utilisation frauduleuse :
En deuxième lieu, l'utilisation de photos, de vidéos, voir de textes du "pingouin".
Car dans son égo surdimensionné à vouloir se positionner, le "pingouin" pourra ne pas hésiter à évoquer son expérience de par ses prouesses en terme BDSM.
Se donnant sous forme d'images/photos, vidéos, voir textes... Il s'en trouve qu'il est plus intéressant pour l'individu malicieux, d'obtenir de l'autre un groupe hétérogène d'éléments visuels. Pour les réutiliser dans la conception d'un profil plus complet et crédible sur un autre site, où dans l'intimité d'un échange sur une autre plateforme commune de tchat (Lorsque les choses sérieuses commencent, et qu'il faut ferrer l'animal).
En clair, de par ces "donations" créer une identité, donnant l'illusion que l'on échange avec une personne qui "existe", laissant libre court à générer une égérie virtuelle.
Troisième étape : Le cheminement académique des rabatteurs/rabatteuses... Soit dans un vol de données liés à des jeux en ligne, l'orientation vers des sites frauduleux lui donnant accès à vos informations etc. etc.
Ou tout autant, au vue de la pression du "pingouin" à vouloir l'obtenir, des offrandes d'achats en ligne.
Ce qu'il faut retenir, dans cette technique qui se démocratise, ce n'est plus le simple rabatteur en ligne qui essai de vous voler qui est à l'ordre du jour, mais le "geek" se croyant malin parmi des "pingouins", qui vous fidélise et vous oriente.
(On va dire que c'est l'étape au dessus, du simple nom d'avatar crée spécialement pour faire ressortir ses commentaires et générer des "vues" vers son site, par le référencement Google :b)
Dans un ordre personnel, ce genre de pratiques est facilement "contrable", déjà à savoir l'objectif de l'individu.
Si ses informations d'ajouts sont visibles par toutes et tous, c'est que c'est un "faux-profil" pour toucher un maximum de public et faire jouer la concurrence (Visibilité).
A contrario, pour un "faux-profil", créé par des Masochistes essentiellement Brat, ou femmes en berne... à un moment donné, elles ferment ce genre d'informations au regard du public, de peur justement d'être grillées dans leurs objectifs d'espionnage ou de foutage de gueule (Le bannissement étant pour elles, beaucoup plus préjudiciable).
Quelles sont les répercussions à ce genre de pratiques ?
Il n'en sort pas que du négative ou du suspicieux.
Toujours dans un ordre personnel, les "pingouins" sont donc facilement identifiables, puisqu'il suffit juste de visualiser leurs listes d'amis. (L'intérêt de ce genre d'information, à proprement dit, est d'avoir un son de cloche sur les "professionnels" tous domaines confondus arpentant le site, et les "baltringues")
Car maintenir ce genre de profils dans ses "amis", c'est une preuve de laxisme ou d'espérance, qui n'est pas en adéquation avec la Domination/Soumission tout du moins.
Les "crises" contribuent-elles à l'expansion de ce genre de pratiques ?
Assurément oui.
A la base, les comportements Dominants/Sadiques et Masochistes/Débauchées ont toujours su s'exprimer clairement sur le terrain, pendant les "crises" qui ont traversés l'humanité dans son histoire, qu'elles soient guerrières, virales ou monétaires.
Ce qui fait qu'entre la peur des uns, et la galvanisation d'exister et de survivre des autres, il n'y a que très peu d'intérêt à côtoyer des plateformes liés aux plaisirs ! Une perte drastique de dépendant(e)s au sexe entrainant une surabondance de "tape à l’œil" pour de nouveau fidéliser le moindre "pingouins" courant dans tous les sens.
Deux vérités seront toujours à prendre en compte :
L'homme sera toujours prêt à payer pour du sexe.
La femme sera toujours prête à payer pour de l'amour.
Et si certain(e)s s'y prennent l'idée à s'ouvrir à la prostitution virtuelle, à travers l'évocation qu'on leurs fasses des donations parce que c'est la mode, d'autres en profitent pour sortir leurs nouveaux livres romancés au possible.
Le rabattage étant de le réaliser à la chaine, ces pratiques s'épanouissent sans modération (Vous saisissez le véritable sens de "sans modération" ?! :b ).
Les prétendantes Soumises/Switch, sont-elles concernées par cet article ?
Au vu que ces profils ont tendance à passer sous les radars des modérateurs, avoir "Un Dominant ou un ex-Dominant" s'affilier à ce genre de profils, c'est bien-sûr s'exposer à qu'il donne de ce qu'il a fait, et non sur ce qu'il est.
Peut être un jour, si vous ne leur remontez pas leurs bretelles avant, que vous aurez le plaisir de faire Bien Bander des inconnus dans d'autres contrées. (Et c'est du même acabit pour les hommes se retrouvant sur des sites Bi/Gay)
Ceci dit, il est très rare que les Soumises/Dominants consultent les profils de leurs Consœurs/Collègues. Et même si démocratisée actuellement, cette technique ne date pas d'hier.
Inutile donc de paniquer sur mes propos, puisqu'à l'origine ce qui est invisible à vos yeux ne vous atteignaient pas par le passé, donc aucune raison que cela ne le soit également maintenant.
En conclusion :
Prônant la sélection naturelle, et sachant que la sociabilité étant de mise pour ne pas que l'anarchie règne, les "pingouins" sont ce qu'ils sont ; Une alimentation comme une autre.
Comme les "moutons", il faut juste réduire leurs nombres sous peine de ne plus s'entendre parler, et transformer ce site spécialisé en une bétaillère de plus.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/4500/lamour-brat-lamour-fendu-en-deux -> L'Amour Brat ; L'Amour fendu en deux.
https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant.
https://www.bdsm.fr/blog/4265/toujours-plus-vite-toujours-plus-haut -> Toujours plus vite. Toujours plus haut.
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Aujourd'hui, dans les films érotiques, le BDSM sert de support à l'expression de fantasme de puissance.
Sa mise en scène frise souvent le grand guignol. Pourtant, loin d'être une pratique fantaisiste, il traduit
dans la sexualité une tendance du psychisme à osciller entre domination et soumission. Histoire d’O
a certes défrayé la chronique de façon admirable, mais ce n’est qu’une œuvre littéraire, aucunement
un manuel BDSM. Le SM dont nous abreuvent les médias n’existe pas ailleurs que dans l’imagination
collective, sous la forme d’une pathologie hallucinatoire à laquelle aucun malade ne pourra jamais
s’identifier. Et cette farce universelle, pour avoir le mérite d’alimenter les fantasmes populaires des
deuxièmes parties de soirées télévisuelles, continuera longtemps à culpabiliser des individus normaux
qui ressentent en eux un instinct proche de ce SM que les foules diabolisent. Loin de toute caricature,
dans certains contextes, ce n’est pas tant la perception du statut immoral ou condamnable des pratiques
BDSM qui est réprouvée ou qui serait perçue comme anormale, mais bien le fait d’étaler sa vie intime dans
un contexte qui ne s’y prêterait pas. En somme, il est possible d’affirmer que le BDSM est plus acceptable
qu’auparavant comme en témoigne son infiltration dans la culture populaire. Désormais ce n'est plus le
caractère violent des pratiques qui est au cœur des débats mais bien plutôt la question du consentement.
À l’intérieur de la culture BDSM, il semble que les discours se soient adaptés aux changements dans la normativité
contemporaine où l’idéal de la communication, du consentement et du sujet libéral maître de ses choix se soit répandu.
Dans cette optique, le SM est désormais pensé comme une activité sexuelle favorisant le bien-être des adeptes et
l’atteinte du plaisir, ce qui entre dans la logique de la santé sexuelle. Cette vision s’appuie sur une conception libérale
du sujet contemporain que l’on imagine capable de prendre conscience de son état ou de ses processus émotionnels
dans le but d’exprimer ouvertement ses désirs sexuels pour les vivre avec un partenaire.
L’accent mis par les protagonistes unis dans une relation sur la négociation des pratiques et la démonstration d’une
compréhension raffinée du consentement qui demeure l’objet de perpétuelles réflexions, pourrait nous conduire à affirmer
que les adeptes de BDSM se positionnent non pas dans le spectre de la déviance, mais dans celui d’une hypernormalité,
au sens où ce sont bien eux qui correspondent à une figure avant-gardiste des idéaux contemporains de communication,
de rationalisme et de quête de plaisir fondée sur les désirs réciproques de chacun. Le sexe sous tension libère du sexe.
Douleur et plaisir sont des sensations. Elles s'incarnent et permettent très tôt dans l'enfance de donner un espace
au corps. Celui-ci se construit comme espace sensible traversé de perceptions tantôt déplaisantes, tantôt plaisantes.
Le corps que nous sommes est initialement délimité par ces expériences. Le plaisir est tiré de la satisfaction des
besoins tandis que le déplaisir provient de leur frustration. Au départ, le plaisir est lié à la survie tandis que le déplaisir
indique une situation de danger vital. Il précède une possible disparition du sujet. Il se rattache donc à la mort. Plaisir
et déplaisir sont donc respectivement articulés aux pulsions de vie et pulsions de mort. Le plaisir lorsqu'il survient
recouvre la sensation désagréable précédente. C'est l'expérience d'une tension déplaisante qui indique quel est le
besoin à satisfaire. La résolution procure du plaisir. L'expérience désagréable est donc nécessaire à l'avènement
du plaisir. Il est donc possible d'érotiser la douleur en prévision du plaisir qui viendra lors de son apaisement.
De plus, le sentiment d'indignité à l'œuvre dans le masochisme rend possible l'émergence d'un partenaire qui viendra
le contredire. Le masochiste appelle donc un objet qui, en l'avalisant dans cette position, lui permet de prendre du plaisir.
C'est le masochiste qui crée le sadique, attirant sur lui ses foudres, le masochiste est en situation d'être porté et secouru.
Ce secours peut prendre la forme d'une punition. L'autre, même s'il punit, s'occupe du masochiste, il répond à une tension.
Cette structuration est explicite dans le troublant film de Michael Hanecke: " La Pianiste." Quel qu’en soient les origines,
apparaît l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse
l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des
détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister.
Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Clairement exprimé, la flagellation
permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires,
à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation
sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de
flagellation. Elle ou il offre à sa Maîtresse ou à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à elle ou à
lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler.
Les yeux bandés, et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur un carcan, un cheval d'arçon,
le plus souvent, une croix de Saint-André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines,
hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes
peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou
sexuelles, d'excitation, de douleur, et d'orgasme. Posséder la douleur, c'est s'autoriser à la transformer, à la renverser en
jouissance. Lors de pratiques SM, nous percevons un passage à l'acte sexuel des tendances psychiques. Elles renvoient
à des représentations du corps qui touchent aux couples propre/sale, bien/mal. Certaines parties du corps sont ainsi
honteuses et attirantes (sexe, anus). Toutes pratiques sexuelles oscillent alors entre attirance et dégoût, douleur et plaisir.
L'anticipation, l'imagination, sont les portes de la volupté sexuelle. La soumise éprouve le bonheur d'être le centre d'intérêt,
l’objet de tous les honneurs; félicité délicatement épicée par son imagination et l'appréhension qu'elle peut y puiser, tandis
que l'excitation monte. Le dominant découvre avec surprise que ses pulsions sont finalement très complémentaires des
attentes de sa compagne; les deux partenaires ont, en fin de compte, des goûts très en accord et des fantasmes communs.
Le jeu BDSM a cela de libérateur qu'il crée un contexte où chaque protagoniste va pouvoir se décharger sans honte de ces
tabous, pour jouir librement de sa libido, tout en se délectant du plaisir de l'autre. Le sexe, s’il ne rend pas aveugle, a cela
en commun avec les occupations physiques intenses, comme les compétitions sportives, qu’il possède les facultés de
désinhiber, et d’occulter magiquement l’environnement. Il en va de même en SM, lors d'une séance pour les partenaires.
Ce sont des leviers connus dans la sexualité, qui décuplent l'excitation et le plaisir qui en découle. Pour quelles raisons ?
Du côté du soumis (ou de la soumise), ces leviers jouent sur l'abandon à l'autre; il ou elle est à la merci de celui., celle qui
pourrait tout lui infliger, et qui contrôle son plaisir. Un jeu qui simule l'exposition au danger. Du côté du (de) la dominant (e),
il ou elle obtient la toute-puissance sur son (sa) partenaire, avec la possibilité de faire mal ou de faire jouir. En dehors du
SM, il s'agit de fantasmes et d'imaginaire, pas de violence infligée chez la plupart des couples. Pour certain(e)s, c'est parfois
tout simplement faire une fellation, assis (e) aux pieds de l'autre debout; qui est soumis(e) et qui domine ? Celui, celle qui
est aux pieds de l'autre ? Ou celui, celle qui domine en étant maître ou maîtresse du plaisir de l'autre ?
En psychiatrie, le sadomasochisme fait partie de ce que l'on appelle les paraphilies, baptisées autrefois les perversions,
comme l'exhibitionnisme, le fétichisme, ou la zoophilie. Ce sont des pratiques qui n'utilisent pas les ressorts sexuels jugés
"normaux" par la société. Le masochiste ne jouira que dans la souffrance et l'humilation ; il n'aura pas d'orgasme dans un
rapport classique. Son cerveau produit des endorphines, des antidouleurs naturels, qui sont sécrétés lors du plaisir, de
l'orgasme et de la souffrance. Celle-ci est transformée en plaisir sexuel dans le cadre du masochisme. Le sadique, lui,
prendra un plaisir à la fois psychologique et physique dans la douleur qu'il impose. Il frappe ou humilie pour blesser son
partenaire de jeux érotiques. Le pouvoir dont il dispose devant sa ou son partenaire, décuple son excitation et son plaisir.
Il se confronte au pouvoir dont elle dispose sur un autre être humain et à sa toute-puissance.
Les sadomasochistes utilisent exactement les mêmes ressorts que les adeptes de domination et de soumission, pour
augmenter leur plaisir. Car le plaisir est mutuel et partagé, c'est là tout l'enjeu du rapport SM. Il apporte un apaisement
et un épanouissement sexuel aux couples qui le pratiquent. La confiance, l'écoute, la discussion et la connaissance
de l'autre sont les vrais points à rechercher dans toute relation, et c'est d'eux que naîtra, parmi mille autres plaisirs,
ce doux sentiment d'abandon que d'aucun appelle allégoriquement le subspace.
Le SM n'est pas une perversion mais l'expression dans la vie sexuelle de mouvements inconscients ordinaires.
Dans une certaine mesure en mettant en jeu les désirs les plus profonds, ces pratiques pimentent la sexualité
et ne posent généralement aucun souci puisqu'elles sont fondées sur un profond respect et une écoute soutenue
de l'autre. Le SM sain et modéré actualise et réalise une part des désirs inconscients informulés des partenaires.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir
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Après cette agréable après-midi en forêt, Dame Blanche avait bien mérité un peu de repos. Dans la cour pavée du château le Duc tire sur les mors des chevaux qui cessent aussitôt leur course effrénée. Il tend les rênes à Jannot et descend puis ouvre la portière et regarde à l’intérieur les deux femmes qui se sont endormies malgré les secousses de la course endiablée. Faut-il quelles aient été fatiguées. Blotties dans les bras l’une de l’autre le tableau est charmant à regarder. La jeune duchesse et sa servante sont couvertes de leurs vêtements tout froissés, et leurs coiffures défaites ont laissé beaucoup de mèches s échapper des coiffes. Blonds et bruns cheveux se mêlent sur les épaules de Dame Blanche, Babette s’est endormie dans ses bras, contre son épaule. Le Duc attend un peu que l’absence de secousses les réveillent. Il admire ce doux tableau de son cheptel féminin si agréable à conduire sur les chemins du plaisir. Babette ouvre les yeux, et , effarée de la présence du duc s’empresse de descendre de la voiture pour se vautrer à ses pieds. Il lui caresse la tête doucement et dit « Va donc te reposer chez Jannot, tu m’as bien servi. Je suis content de toi ! » et la jeune femme dans une révérence s'enfuit en courant rejoindre son nouvel amant qui loge dans une belle mansarde au dessus de l’écurie . A cet instant Blanche ouvre les yeux et croise le regard tendre de son époux. Très dignement elle glisse deux mèches de cheveux derrière ses petites oreilles si finement ourlées, étire ses jambes ankylosées et tend sa petite main fine vers son Maître. Celui-ci la saisit entre deux doigts, l’approche de sa bouche et telles un papillon de printemps ses lèvres viennent en effleurer la paume dans un sourire tendre et doux. Il aide son épouse à descendre du véhicule en la laissant s appuyer sur son épaule musclée. Il glisse un bras sous son épaule et c’est ainsi que tendrement enlacés ils entrent au château et traversent le hall jusqu’au grand escalier. Il la soutient jusqu’à leur chambre et la fait asseoir sur le petit tabouret au coin de la cheminée pour la déshabiller. Il joue avec ses mèches qui se sont de nouveau échappées de la coiffe. En parfait homme à femmes, il connait les subtilités des vêtements féminins et Blanche se retrouve très vite avec uniquement sa petite chemise de baptiste. Il se saisit de la brosse à cheveux qu’il sait trouver dans un petit panier d’osier sur le côté du renfoncement. C’est sans même tourner la tête que ses doigts trouvent ce dont il a besoin tant Babette est ordonnée. Certes il a fallu plusieurs essais et coups de badine sur son jeune corps pour que le duc soit satisfait mais maintenant c’est chose faite, tout est bien rangé comme il le souhaite. Il peut ainsi brosser la longue chevelure de sa femme jusqu’à la disparition de tous les nœuds. Les derniers reflets du soleil brillent dans l’or de la blondeur de Blanche qui sourit, détendue. Ce rituel de brossage, lorsque le duc s’y adonne , lui procure un grand bien-être. Il l’aide à se lever et la laisse se diriger vers la petite tour ronde sise dans un angle de la pièce. Derrière l’épaisse porte en bois se dissimule une petite pièce réservée aux ablutions de la duchesse. C’est un endroit où le duc lui laisse son intimité ,il à compris des le départ que c’était une limite que la jeune duchesse n’était pas encore prête à franchir. Mais un jour cela viendra, le Duc est un homme très patient parfois. En attendant, Blanche seule dans la tourelle , accroupie au dessus du trou d aisance du plancher qui donne directement dans les douves se soulage tranquillement. Elle connaît le souhait du duc qui voudrait pouvoir la regarder dans ces moments d intimité mais ne peut s’y résoudre, un dernier vernis de pudeur l’empêche de satisfaire son époux. Alors que l’exposition de son corps lorsqu’elle se conduit en chienne ne lui pose aucun problème elle est consciente de son blocage par rapport à la scatologie et aux excrétions des déchets de son corps. Peut-être un jour y parviendra-t-elle mais ce n’est pas le moment. Une fois ses petites affaires terminées elle prend la douce éponge naturelle en mousse posée dans un petit panier à côté d’une bassine en terre cuite dans laquelle elle verse l’eau du pichet et procède à une toilette intime approfondie . Dame Gertrude lui a bien expliqué l’importance de la propreté pour ne pas dégager d’odeurs nauséabondes toujours signes d’infection. Même si les connaissances des apothicaires sont très limitées , les femmes connaissent des secrets pour retarder la venue des bébés et soigner cette partie du corps si méprisée et si mal connue. Beaucoup d’informations circulent quand les oreilles masculines se sont éloignées. La vieille Marie est un peu sorcière, elle connaît les plantes, et instruit Blanche sur leurs bienfaits.
Prête pour la nuit elle rejoint son époux. Un sourire, un claquement de doigts, et elle s’installe sur le bord du lit, à quatre pattes, la croupe dressée, les cuisses bien écartées. Elle appuie son front sur l’édredon soyeux, les mains bien à plat encadrent son visage et ses longs cheveux lui font un mantel d’or. Le duc caresse cette belle croupe musclée en admirant la petite chatte parfaite et si mignonne de son épouse. Le temps semble s’arrêter. Blanche est immobile, seul un frisson de plaisir invisible la parcourt sous les mains expertes qui la caressent. Une main tire doucement les cheveux pour redresser la tête puis vient appuyer sur son menton pour lui faire ouvrir la bouche. Tout naturellement sa langue sort et elle se met à haleter comme la petite chienne qu’elle est redevenue par le claquement de doigts autoritaire de son époux. Il continue ses caresses qui deviennent de plus en plus fermes, et dose en fonction du souffle de sa femme. Il sait entendre son plaisir dans les changements de rythme du halètement qui se modifie avec ses mouvements. Et subitement une fessée claque, puis plusieurs très rapprochées. Blanche se concentre sur sa respiration pour ne pas bouger ni manifester de plaisir. Elle a appris à se contrôler à coups de trique qui ont laissé quelques marques sur son fessier parfait. Maintenant elle se contente de respirer mais elle se trahit malgré elle. Le plaisir monte à chaque claque et son contrôle s’en ressent. Alors les coups cessent et de belles caresses sur tout son corps la font frissonner et gémir. Puis les claques reprennent partout, alternées avec des caresses fermes qui sont dignes de celles donc le duc gratifie son alezan. La peau fine rougit, le sourire du duc s’élargit, le cerveau de la petite duchesse commence à lâcher prise, elle se sent bien, son corps de plus en plus malmené lui envoie des signaux contradictoires. Le duc le ressent et commence à caresser d’un doigt expert le petit didi turgescent de la belle qui laisse jaillir un petit couinement. « Tu peux crier duchesse ! Tu l’as bien mérité par ta docilité. » Alors un « Merci Monsieur » semble transparaître dans le cri inarticulé de la belle. Elle s’est légèrement redressée et ses seins bien ronds pendent entre ses bras qui se sont tendus tout seuls. La main gauche ducale s’en empare et les palpe en alternance pendant que la droite explore la vulve. La petite chienne redresse la tête, cambre son corps , tend ses membres et laisse échapper des cris inarticulés tant le plaisir est fort. Sa croupe tendue vers le plafond elle sent tous ses muscles dorsaux se contracter. La main du duc joue avec ses grandes lèvres inférieures. Il les pince, les tourne , les remet en contact entre ses pouces et les frottent l’une contre l’autre . La paume presse sur le mont de Venus pendant que ses doigts s’agitent comme sur un clavecin, et pénètrent l’entrée de la grotte qui suinte. Blanche se met à hurler comme une louve montée par le mâle alpha au fin fond des forêts du Morvan. Elle gémit et se met à supplier son Maître dans des parcelles de mots incompréhensibles . Le sourire du duc s’élargit tant il est heureux de jouer avec ce corps si sensible qui réagit si bien sous ses doigts. Son majeur tout trempé de mouille part explorer la voie étroite qui semble l’aspirer, aussi l’index le rejoint et ils commencent à danser ensemble pour dilater ce petit trou qui adore se faire prendre après préparation. L’annulaire les rejoints et c’est une sarabande de plaisir qu’il procure à sa petite chérie qui bave et gémit et crie et grince et hurle. Que de sons différents pour exprimer l’intensité de la jouissance reçue. La main gauche lâche les seins pour se débattre avec la ceinture croisée qui retient le pantalon très tendu par sa virilité. Le membre jaillit et va cogner sur la blanche cuisse de la jeune duchesse dont le cri se modifie aussitôt pour tendre vers un oui plaintif. Alors le sexe s’introduit sans difficulté dans la petite chatte si bien ouverte qui dégouline de cyprine. Après plusieurs pénétrations successives il est couvert des glaires blanches de la jouissance féminine et peut donc changer d’orifice sans souci. Le duc sen saisit de sa grande main virile et le dirige vers le petit trou de madame. Il semble vibrer d’une vie autonome dans sa splendeur d’érection. Il est à peine besoin de forcer tant l’anneau est dilaté, habitué de cette voie qu’il pénètre doucement jusqu’aux bourses gonflées. Blanche se sent prise par derrière et gémis de plaisir. Aucune honte à cette pratique sodomite tant décriée par le prêtre lors de certains sermons. Dans le secret du confessionnal elle sent bien l’intérêt de l’homme de dieu aux questions précises qu’il lui pose et elle s interroge parfois sur la réalité de sa chasteté. Ou bien l’écoute de ses paroissiennes lui permet de se satisfaire dans un désir malsain de voyeurisme ? Dame Blanche n’a jamais posé de questions la dessus aux autres femmes quelle fréquente si peu mais ce sujet lui fait s’interroger beaucoup sur la religion et sa toute-puissance .
Son époux est actif dans ses orifices et un pur plaisir la parcourt. Une claque résonne et son anus se contracte, pour le plus grand plaisir masculin. Il alterne sur les fesses bien rouges caresses et claques. Une main pour guider parfois son membre qui semble vibrer d’une vie autonome il joue de l’autre dans le sexe humide . Ses doigts fouillent, caressent , pincent , griffent même toutes les muqueuses gonflées de plaisir. La danse des mains se poursuit ,le sexe entre et ressort, les cris alternent avec les gémissements et de brefs instants de silence quand le plaisir est si intense que la respiration s’interrompt. Les longs cheveux d’or semblent vibrer d’une vie autonome et sauvage .Ils volent au gré des va et vient du Duc. Les corps des deux amants ne font plus qu’un et les mouvements s’harmonisent dans une danse lascive. Leur entente est telle qu’ils arrivent ensemble à la jouissance suprême et expulsent leur plaisir en même temps. Il a fallu a chacun apprendre à connaître l’autre et la petite duchesse a reçu de nombreuses fessées qui l’ont conduite aux larmes avant de se maîtriser suffisamment pour un résultat somme toute sublime.
Le grand corps du duc s affaisse sur le dos de son épouse, son sexe se flétrit et sort tout doucement pour pendre de nouveau entre ses cuisses. Il caresse la tête de la duchesse et la laisse sombrer dans le sommeil après quelques mouvements de reptation vers le haut du lit. Il tire l’édredon si gonflé sur son dos et la regarde un court instant. Le souffle régulier, le corps apaisé lui font comprendre qu’ils viennent de vivre un instant parfait. Il se dirige vers la porte et repart tranquillement rejoindre son cheval pour s’assurer qu’il a bien été bouchonné à la paille fraîche et que son avoine est accessible. Un dernier regard sur son épouse endormie qui ronfle légèrement fait remonter les coins de ses lèvres pour éclairer son visage de ce sourire charmeur qui lui vient de sa mère.
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Polo est un extraordinaire chasseur de jolies femmes. Pourtant il est plutôt gringalet. Ce n'est pas un Apollon, loin s'en faut, mais il a de l'humour. il sait faire rire les femmes et bien leur dérider les fesses. Il est inépuisable au lit. Un minou de femme bien odorant le rend fou et si en plus elle a le cul pneumatique, alors il se transforme en marteau niqueur inépuisable.
Elisa, avec son gros fessier et ses seins lourds comme des pastèques, est devenue sa première femme. Puis Polo a essayé le ménage à trois avec la jolie Lou, souple et pleine de charme. C'est à ce moment là qu'Elisa s'est imposée comme la dominante du Harem. Polo est trop gringalet pour faire le poids et lou est une soumise. Elle a facilement écarté les cuisses devant sa maitresse de préférence à la pénétration par polo. Cela fonctionne très bien ce ménage à trois. Tous y trouvent leur compte.
Elisa a la lubie des recyclages. Elle arrive parfois le matin avec son gros cul à l'air et sa chatte poilue en avant, histoire de faire comprendre à Polo la suprématie du vagin. Elle sort le fouet. Elle attache ses deux soumis, les baiillone, fait bien rougir les fesses et les dos,puis boit son café en écoutant les suppliciés gémir. Elle se sent mieux. Les couinements des soumis lui font dresser le clito et donc ils doivent venir lécher à quatre pattes, sous la table.
Elisa estime que lou c'est pas assez. Alors elle a posé une cage de chasteté à Polo, pour le mettre en forme. C'est un très bon chien de chasse pour débusquer une jolie femelle à dresser. Au bout de huit jour elle lui enlève la cage.
-allez cours, va chasser, bon chien chien, va chasser! Mais pas touche au gibier, c'est pour ta maitresse d'abord!
Et polo a fait son travail de chien. Il est allé renifler les culs des femelles de la ville. Il a posé sa truffe partout. Il a reçu bien des baffes, bien des invitations à aller plus loin. Il a cherché, cherché et finalement il est tombé sur le cul de Rosie. Un cul ébene bien galbé qui sent si bon la canelle et les épices. Polo a japé et marqué l'arret. Maitresse Elisa s'est pointée et à chopé Rosie. Toutes deux sont tombées sous le charme dès les premières caresses.
Du ménage à trois on est passé au ménage à quatre. Polo n'arrête pas. Elisa peut commander tant qu'elle veut, lui il a trois chattes à disposition et il baise comme un fou. A chacun son boulot après tout.
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*Normalement je ne publie mes textes plus que sur fetlife mais celui la est important pour moi donc je fais une exception*
Coucou sam,
Je me permet de vous appeler sam, juste sam, car comme ça je peux vous imaginer femme. J'avoue que j'ai une pensée tendre à l'idée qu'on soit encore un duo de sales pédales. Vous savez que ça m'a fait peur toute ma vie mais maintenant j'en viens presque à le regretter. Etre perçue comme hétérosexuelle quand je suis avec mon copain dans la rue par exemple provoque chez moi un agacement immodéré. Je ne veux pas être des leurs, jamais. Enfin je veux dire, j'adore les garçons comme vous le savez mais être hétéro, jouer leur jeu, c'est un degré de masochisme trop fort pour moi. J'aurais pu vous écrire pour de vrai, sans lâcheté, mais encore aujourd'hui je ne me sens pas capable de vous désobéir. Vous avez signé la fin de notre relation et quelque part je dois m'y faire. Alors j'écris dans le vide dans l'espoir d'arriver à donner du sens à mes mots. Et puis parfois c'est plus facile de parler à des fantômes : ils ne peuvent pas vous répondre.
C'est tellement étrange de me remettre à vouvoyer comme ça. En le faisant j'ai comme des souvenirs fugaces de choses étranges, comme des souvenirs rouillés qui grincent, qui casse un peu parfois, s'effritent... Comme des éclairs de brume qui forment des images, des images monstrueuses et inquiétantes, des images magnifiques... J'ai tellement de mal à raconter notre histoire, à vous raconter, à nous raconter. Je décris les événements mais tout est vide, je n'arrive pas donner du sens à tout ça. Peut être parce ce que nous étions chaos et que le chaos ne se raconte pas, c'est lui qui nous raconte.
J'ai encore du mal à imaginer que tout ait pu se finir aussi vite. Aussi brutalement. Mais quelque part c'est pour ça que je suis venu vous voir, pour du brutal. Dans "la ligne verte" de stephen king il y a un personnage qui s'appelle "brutal", il est trés doux... Je n'ai jamais réussi à me faire dominer par des grands mecs virils. C'est con mais j'ai envie de les casser et de voir éclater leurs fragilités tellement leur numéro me semble ridicule. Non ce sont les gens fragiles qui arrivent à me broyer, il n'y a que les plus fin rouage qui arrivent à broyer les plus petits morceaux.
Mais pourquoi écrire cette lettre ? Je pense qu'on écrit des lettres quand nos mots restent bloqué au fond de la gorge et que ça arrive pas à sortir. Quand ce sont des mots trop dur à prononcer. Donc écrire c'est intéressant, ça permet d'évoquer l’imprononçable. En bonne fan de lovecraft ce n'est guère étonnant de ma part. Oui je sais c'étais un gros connard raciste et antisémite mais je me soigne. Un jour j’arrêterais d'être attirée par des saletés. Et puis de toute façon c'est un peu comme ça qu'on s'est rencontré non ?
Vous avez été ma saleté ? Ou on a été la saleté l'un.e de l'autre ? Je ne sais plus. Mais y'avais un truc sale dans nos interactions. Comme un vieux truc oublié derrière un meuble et qui n’arrêtais pas de pourrir. J'aimais bien notre pourriture. Elle sentait très fort et n'étais pas vraiment socialement acceptable. Et parfois vous me mettiez la tête dedans "pour abîmer mon si joli visage". "Lacérons le vide dans un borborygme de visages".
J'imagine que vous avez une autre personne maintenant. Je me demande parfois à quoi elle ressemble. Comment elle respire. Est-ce qu'elle a un sourire inquiétant ? Est-ce qu'elle rêve de quelque chose de terrible ? Est-ce qu'elle tremble à votre approche ? Qu'est qu'elle vous a poussé à faire ? Qu'est-ce que vous lui avait forcé à hurler ? Est-ce que vous l'avez amené au pied du peuplier ?
"Vous pliez mais vous ne pouvez pas me plier. Alors amenez moi au peuplier. Attachez moi comme une bagnarde et abandonnez moi à la nuit et aux monstres." Y'a toujours eu une telle poésie entre nous.Je n'avais pas le droit de parler la plupart du temps alors chaque mot devait être très évocateur. Il devait y avoir une galaxie dans chacun d'eux prête à imploser. J’espère avoir été à la hauteur. A la hauteur de vos bassesses...
Mes pensées se bousculent... Ou en étais je ? Oui. Je voulais exprimer ma reconnaissance. J'ai toujours été fan d'épouvante et je me nourris du monde qu'une fois assaillie par une profonde terreur. Alors, vraiment, toute ma reconnaissance pour ce joli voyage. Aujourd’hui j'en suis certaine : je ne suis pas monogame. J'ai besoin de me nourrir de trop choses, de trop de monde pour arriver à l'être. Mais vraiment toute ma gratitude pour ce joli voyage.
Votre petite tapette préférée.
Lettre à adresser aux vent et à l'oubli.
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Le terme BDSM est généralement employé pour décrire les comportements d'échange de pouvoir
et l'utilisation de douleur dans un contexte sexuel. Antérieurement appelé simplement SM, le sigle
BDSM est plus couramment utilisé aujourd'hui pour une meilleure représentativité de la diversité des
pratiques. Ce dernier inclut trois composantes distinctes du jeu de pouvoir: le bondage/discipline
(BD), la domination/soumission et le sadomasochisme (SM). Le BD représente une combinaison entre
la restriction de mouvement et la punition ou encore le contrôle du partenaire. Le jeu de Ds renvoie
à la domination et à la soumission et représente l'échange de pouvoir ou de contrôle érotique d'un
partenaire à un autre, sans nécessairement inclure la douleur physique. La composante SM,
c'est-à-dire sadomasochiste, fait référence à l'érotisation de la douleur. Même si peu de chercheurs
ont étudié la communauté BDSM, ceux qui l'ont fait, sont unanimes: un peu partout dans le monde se
trouvent des communautés dynamiques et structurées qui regroupent des centaines de personnes
pratiquant le BDSM.
La communauté BDSM est un lieu de rassemblement pour les personnes ayant un intérêt pour le BDSM, mais peu
d'auteurs s'entendent sur une définition claire de ces pratiques. On identifie généralement cinq composantes qui
sont essentielles à tout ce qui réfère au BDSM: l' apparence d'une relation de domination et de soumission; un
jeu de rôle; un consentement à participer au jeu; un contexte sexuel; une définition mutuelle que l'activité constitue
une pratique BDSM. De très nombreux discours présentent le BDSM comme une simple variation à la sexualité et
établissent des normes pour rendre les pratiques saines, sécuritaires et consensuelles, tandis que d'autres écrits
tentent d'opposer le BDSM à la sexualité non-BDSM (qualifiée de vanille dans le milieu BDSM) et le présentent
comme une identité transgressive. Les auteurs comparent cette vague d'écrits à une étape de transgression
essentielle dans l'acquisition d'une citoyenneté sexuelle.
Les évènements sociaux seraient une occasion d'afficher son propre style de comportements BDSM devant autrui;
les soirées ont également une fonction sociale, c' est-à-dire qu'elles permettent aux personnes ayant des intérêts
similaires de se rejoindre pour interagir sur des sujets liés au BDSM. Le statut d'un membre dans la communauté
est tributaire de son expérience, son niveau de sécurité. Son implication dans le groupe et sa pratique des jeux
nécessitant de l'entraînement, du talent et de la pratique. Il semble que les communautés soient autosuffisantes
en termes d'éducation et de prévention. Les membres des communautés BDSM à travers le monde basent leurs
pratiques sur le crédo "Sane, safe and consensual", qui signifie que toutes les pratiques se doivent d'êtres saines,
d'être sécuritaires, saines et consensuelles.
L'accent est mis sur la communication, la négociation et le consentement égalitaires et honnêtes, puisque dans tout
jeu, la confiance mutuelle est fondamentale et les limites et préférences des partenaires doivent être respectées.
La participation forcée n'est pas acceptée dans la culture BDSM; seule l'illusion que les individus sont victimes de
coercition est permise. L'accord sur les différentes normes et valeurs de la communauté serait un moyen de diminuer
les risques liés aux pratiques. La notion de sécurité dans la communauté BDSM n'est pas seulement une question de
technique, mais aussi de principe. Ce principe est le socle de toute relation BDSM, qui l'utilise pour se dissocier de la
criminalité et de la maladie mentale.
Dans les relations et mises en scène BDSM, la négociation est à la base du consentement. Les partenaires s'entendent
sur les pratiques qui auront lieu pendant une séance et discutent des limites de chacun. Ils utilisent un mot de sécurité
en anglais, le safeword, pour aviser le partenaire dominant qu'il approche ou a dépassé une limite. Certaines personnes
dominantes testent les limites de la personne soumise et se permettent occasionnellement de repousser la limite qui
avait été négociée lorsqu'ils connaissent l'autre personne. Cette transgression n'est pas perçue comme une violation;
le fait de repousser les limites ajoute alors un sentiment d'authenticité et de réalisme à la scène et plusieurs soumis
apprécient cette incartade. Dans de telles circonstances, la négociation des mots de sécurité, par exemple "jaune" pour
ralentir et "rouge" pour arrêter, devient primordiale. Le respect de la sécurité est fondamental.
Les pratiques BDSM expriment la volonté de présenter une alternative à la sexualité traditionnelle dans une exploration
des différentes dimensions du corps humain en termes de sensualité et d'émotions, l'occasion d'une opportunité pour
une forme de spiritualité en utilisant le corps. Lors d'une séance, le but est de débuter le jeu de manière douce pour
ensuite augmenter graduellement la fréquence et la force des coups donnés, entrecoupé de massages ou de caresses.
Certaines séances revêtent un caractère exclusivement physique tandis que d'autres incluent un aspect psychologique,
mais l'orgasme n'en est pas nécessairement la finalité.
Selon l'opininon générale, les pratiques BDSM devienent sexuellement excitantes pour les partenaires ou éveillent leur
désir de s'engager dans de telles relations. Il y a aussi une motivation exhibitionniste à jouer en public; certains trouvent
que le regard des autres augmente leur excitation, tandis que d'autres apprécient la reconnaissance et les compliments
qui suivent une séance. Même si la plupart des donjons ne présentent pas de règlements contre l'activité sexuelle, l'activité
coïtale ou la recherche d'orgasme exclusivement sexuel est rare. Le coït est trop personnel pour être effectué en public ou
parfois, il consiste principalement en la culmination de la soirée.
Souvent, le lieu n'est pas approprié ou structuré pour permettre de telles pratiques, mais lorsque ces dernières surviennent,
elles se font normalement dans un couple établi et rarement entre deux personnes qui viennent de se rencontrer. Que ce
soit en public ou en privé, le coït ou la stimulation sexuelle menant à l'orgasme ne fait pas régulièrement partie de la vie
sexuelle des partenaires, en particulier chez le couple Dominante/soumis. Toutefois, la recherche de la jouissance sexuelle
reste ultimement présente dans ce type de relation.
Sommes-nous fous, pervers, au moins irresponsables ? En fait, pas vraiment: les personnes qui pratiquent le BDSM sont
plus extraverties, moins névrosées, plus ouvertes aux expériences nouvelles, plus conscientes, plus épanouies intimement
que les autres. Ces désirs ne sont d’ailleurs aujourd’hui plus considérés, médicalement, comme des pathologies. Et si
certains adeptes trouvent leur satisfaction dans l’abandon d’une partie de leur contrôle, quitte à se transformer en véritables
jouets sexuels, d’autres apprécient l’aspect élitiste de ces fantasmes. Pour d’autres encore, le monde du BDSM permet
l’expression d’un amour sans faille et d’une confiance totale.
C’est paradoxalement en usant de masques, en ritualisant et en théâtralisant l’échange, que deux partenaires ont la
possibilité, dans une relation SM saine, de pimenter leur sexualité, en réalisant une part de leurs désirs inconscients
informulés et de s’affirmer comme personnes à part entière, consentantes et responsables.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je t'imagine dormir
Et mon esprit s'égare
Aux limites interdites
L'envie de te respirer
De mon fondre en toi
Me tiraille l'âme
Sentir tes sens
S'éveiller à la douceur
De mes caresses
Découvrir ton corps
Avec émerveillement
Du bout de mes doigts
Lentement, timidement
Tout en effleurement
Ne pas t'effaroucher
Goûter ta féminité
Avec le recueillement
D'un acte sacré
T'offrir dans un écrin
Des sensations divines
Extases indicibles
Seulement t'aimer
Tout en volupté
Face à toi, abdiquer
Je t'imagine dormir
Et mon esprit s'égare
En ce doux fantasme.
Le 21 05 2020
Fiction
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Voilà, nous y sommes, l'histoire N° 100 sur bdsm.fr. Je ne pensais pas arriver jusque là. Écrire est un plaisir. Il suffit de commencer, une première histoire, un premier personnage, et cela vient seul, c'est magique. Ce qui est intéressant, c'est de poser un thème, une question et de laisser une sorte d'alchimie opérer seule.
Pour cette histoire N° 100, la question que je me pose c'est le mystère des affinités. reprenons nos personnages. Pam et Joe. Pourquoi ont ils eu ces affinités depuis le début et ce pour aller jusqu'au mariage. Écrire c'est regarder vivre les personnages générés par le récit. Ils vivent leurs vies, indépendantes de l'auteur qui ne fait que prêter ses doigts pour les retranscrire du mieux qu'il peut.
Pam et Joe ont rejoint leur base dans un coin de désert perdu. Ils ont repri leurs recherches pour l'armée sur les implants cérébraux. Pam fait toujours l'amour à califourchon, bien fichée sur la bite tendue de son homme et c'est toujours elle qui conduit l'acte. Elle pisse toujours debout. Ado, elle croyait être une FTM. Une garçonne manquée? L'exploration de ses mémoires akashiques vient de lui donner un nouvel éclairage. Son époux a eu une très bonne idée de lui offrir comme cadeau de mariage ces plongées, avec Akhor comme guide expérimenté, dans ses vies antérieures. Elle comprend mieux pourquoi elle est amoureuse de Joe. il se connaissaient déjà, avant même de naitre.
.Dans grand nombre de ses vies antérieures, Pam a été dans l'armée, souvent comme officier, souvent mort(e) très jeune au combat et presque toujours en homme. Elle appartient à la caste des guerriers.Le sacrifice de sa vie ne lui pose jamais de problèmes, elle fonce tête la première. Elle est de ceux ou celles qui, lorsqu'on demande des volontaires, avancent toujours d'un pas.
Elle a rencontré Joe depuis longtemps, très longtemps. Il se sont aimés déjà. Joe appartient à la caste des princes, des nobles, ceux qui ne respectent rien et doivent subir les conséquences au niveau du karma. Ce qui explique son handicap de départ dans cette vie actuelle. Joe a souvent été en femme dans ses vies passées. C'est comme cela qu'il se sont aimés. Le jeune officier qui devient l'amant d'une noble sensuelle et passionnée. Le jeune officier qui joute avec panache pour se faire remarquer de sa belle.
-Tu sais, Pam, cette étrange impression de déjà vu ressentie par tous les deux , à notre première rencontre., c'est vraiment comme si nous nous sommes toujours connu. C'est si simple et naturel entre nous.
-Oui, comme un très vieux couple, répond Pam, un vieux couple sur des millénaires. Sauf que, dans nos vies antérieures, nos retrouvailles, c'était toujours moi l'homme et toi la femme, à l'inverse d'aujourd'hui. J'ai du mal à ne pas avoir un beau pénis entre les jambes. J'en ai beaucoup souffert quand j'étais ado et que ma poitrine poussait.
-Être une femme c'est ta récompense, c'est pour que cette vie ci soit plaisir et jouissance pour toi. Tu n'as pas pu t'empêcher d’être de nouveau militaire et tu es vraiment magnifique en femme officier. Moi j'ai du faire le con et je dois payer. Je suis presque né estropié.
'
-La belle et la bête, dit Pam en riant. Et avec tes recherches c 'est reparti pour de nouvelles emmerdes avec ton karma. Le dernier Terminator est vraiment effrayant.
-Oui, un monstre avec neuf ogives nucléaires tactiques, un 20mm rotatif à munitions conventionnelles explosives, un laser hyper fréquence, le vol dronique longue distance, la furtivité...il peut raser Beijing ou Teheran en quelques secondes. Tu as raison, en coopérant à la réalisation de ce Terminator, j'arrange vraiment pas mon karma. Mais bon, nous sommes des militaires.
-Je me suis fait très souvent trouer la peau dans mes vies antérieures, mais cela semble avoir bonifié mon karma, dit Pam. Cela me donne envie, de me faire trouer autre chose de plus ludique. Elle éclate de rire.
Joe regarde sa femme et l'empoigne d'un coup sec.Il l'embrasse..lui aussi a une grosse envie. Pam se laisse faire et se retourne.C'est toujours elle qui prend les initiatives en amour. Elle se cambre et frotte ses fesses contre la bosse du pantalon de son homme.
Joe la déculotte aussitôt et lui administre une féssée monumentale. Pam en bon soldat ne bronche pas. Elle a le cul bien rouge et visiblement elle adore.
-Tu sais, dès que je t'ai vue, j'ai eu envie de te sodomiser. Tu as des fesses incroyablement fermes et bombées. Il se baisse et lui lèche la rondelle. Il la mouille bien avec sa langue. Puis il l'embroche d'un coup.
Pam hurle. Joe est au fond et ne bouge plus. Il sait qu'il faut laisser passer la douleur. Puis il commence le va et vient. Pam se cambre. Elle ne tarde pas à jouir. Joe lui empoigne la chatte sans ménagement. Sa femme ruisselle, elle couine, elle se tortille puis s'embroche d'elle même jusqu'à la garde.
-Mais tu y prend goût ma chérie. Tu crois pas que tu était un peu gay dans tes vies passées pour baiser aussi bien par derrière. C'est ta première sodomie et tu es déjà experte.
Pam ne dit plus rien. Elle explose un superbe orgasme anal dans un long râle. Son corps se tétanise. son anus se contracte. Joe est prit au piège. Ils sont de nouveau soudés.Cela fait rire Joe. Il embrasse sa femme dans le cou.
-Cool bébé, relax. Profite de ta vie de femme. D'après Tirésias tu as 9 fois plus de plaisir que moi. Détends toi, j'ai encore envie. Et Pam se détend, elle s'ouvre de nouveau et Joe reprend sa séance de marteau niqueur. C'est beau l'amour conjugal sur des millénaires. Je comprends mieux en écrivant cette histoire pourquoi les Dieux envient nos existences de mortels.
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Maître Trépuissant n’a pas laissé très longtemps son sexe en érection au fond de la gorge de p’tit soumis, juste le temps pour lui de bien assimiler que son corps ne lui appartient plus. Baptiste, rouge de honte baisse les yeux devant le curieux regard de Maîtresse Julie, mais il en ressent la force sur son crâne baissé. Sa langue continue à pousser vers le fond de sa bouche la salive que sa domina a laissé couler à l’intérieur. C’est curieux, analyse le cerveau de Baptiste, sa salive n’a pas le même goût que l’autre jour quand elle m’a embrassé dans le salon. Je me demande quelle est cette boisson légèrement citronnée, sans alcool apparemment , dont elle a bu un verre ou deux. Je sens un petit quelque chose en plus, du sucre de canne probablement. « stop cerveau ! Arrête ! Pas besoin de savoir ! » et Baptiste relève les yeux légèrement. Julie a tourné la tête vers son amie Dame Méphista qui caresse distraitement la tête crépue de sa soumise. Elles échangent sourires et petits gestes affectueux dans une belle complicité. Les pinces sur ses testicules ne lui font plus mal, à peine une légère gêne quand il bouge un peu. Son entrainement avec sa compagne en province porte ses fruits, ou le temps s’étire à une autre vitesse lorsque ce n’est plus à lui de prendre des décisions. Peu importe les causes, p’tit soumis se sent bien aux pieds de sa domina.
Méphista étire son bras jusqu’à lui et commence à lui frotter vigoureusement le crâne, comme lorsque son frère aîné lui passait un savon pour l’embêter. Des sensations étranges se mélangent, frissons de douleur et plaisir, relents d’odeurs qui remontent, sentiment de fraternité. Puis tout ces souvenirs sont chassés quand la domina tire très fort ses cheveux pour le faire se redresser. Tout son corps se tend dans l’espoir de réduire la douleur. C’est si brutal , mais où se croyait-il ce p’tit soumis ? Avec son grand frère ? Réveille toi ! Tu es adulte, et là, tout de suite, juste le bon toutou de ce trio , juste un jouet sexuel, juste un corps dont on usera et abusera, juste rien !
Les bras en arrière maintenus par la barre commencent à s’ankyloser et Baptiste ressent un fourmillement désagréable, mais il s’efforce de ne rien montrer. Pour atténuer la douleur, il relève un peu la tête. Mauvaise idée ! Une claque lui fait vite comprendre qu’il doit rester tête baissée. Maitresse Julie se penche un peu pour le libérer et l’aide à se lever, mais toujours tête baissée. Les deux femmes jouent à faire bouger les pinces en leur faisant des pichenettes, ce qui leur déclenche de petits rires heureux. Baptise sent des larmes de douleur lui monter aux yeux . Puis une par une chaque pince est desserrée et ôtée. Un courant de douleur parcourt tout le corps du soumis, mais il est de suite remplacé par une onde de plaisir. Quel phénomène étrange ce plaisir de douleur, cette douleur de plaisir, les sensations se mélangent, se succèdent ,et il sent son sexe essayer de se tendre, mais la soubrette Marc a bien serré les sangles, et la bandaison est entravée. De nouveau plaisir et douleur se mêlent, et le corps de Baptiste exulte.
Le supplice est tel que les sources des sensations sont bien distinctes dans le temps et Baptiste comprend qu’il n’a pas affaire à des dominants débutants, une longue expérience est nécessaire pour maîtriser aussi bien le corps d’une autre personne. Ses yeux se tournent vers la jeune Bianca toujours à genoux, son jeune corps musclé ne tremble pas sous la tension du maintien de la position. Les yeux baissés, la bouche ouverte qui laisse couler la bave le long de la langue pendante jusqu’aux jeunes seins fermes dont les tétons se rient de la pesanteur, on dirait une statue. Elle attend les ordres et son visage reflète une grande sérénité. Baptiste envie ce calme et espère l’atteindre un jour lui aussi s’il se soumet bien à Julie.
Un murmure arrive à son oreille. Il revient au présent inquiet de ne pas avoir tout saisi des ordres de Julie. Mais non , pas d’expression de contrariété sur son beau visage. « à quatre pattes le chien, tu vas venir rendre hommage à notre hôtesse à présent » . Baptiste pose ses mains aux sols, les bras bien tendus, les doigts repliés et il cambre bien son dos afin de faire ressortir son petit trou et ses testicules rougies sur lesquelles on peut voir les endroits où les pinces à linge ont été mises. Il baisse la tête et attend de sentir que sa domina tire sur la laisse qu’elle a fixé de nouveau au collier de cuir, symbole de sa soumission totale.
La maîtresse des lieux s’est éloignée. Elle a pris la place de son époux sur la méridienne. Allongée sur le côté, sa tête légèrement appuyée sur sa main droite, elle tapote le bord du siège de la gauche d’un air impatient. Julie tire sur la laisse et Baptiste avance tête baissée d’une allure un peu rapide. Ses genoux et ses phalanges le brûlent un peu mais il ne dit rien, de crainte de recevoir une claque méritée. Arrivés au pied de Dame Méphista un coup sec le fait stopper net. Une haute botte noire de cuir à talon très fin de dix centimètres se précipite vers son visage et la semelle vient appuyer sur sa langue pendante luisante de salive. Sans attendre il lèche le cuir et enroule sa langue autour du fin talon. Une caresse ferme sur son dos lui fait comprendre qu’il a bien agi. Puis sa langue se dirige vers le dessus de la botte, contourne la boucle brillante et vient lécher le dessus de la botte. Il goûte le cuir, le suce, étale sa bave, en ressent toutes les petites aspérités. Sa langue le noie d’informations et il savoure cet instant, cette odeur lui fait encore remonter des souvenirs d’enfance, lorsqu’il regardait son père graisser les chaussures de cuir de toute la famille le samedi en fin de journée pour bien montrer que tout le monde était bien chaussé. Fierté d’ouvriers qui prend soin de ses enfants.
« Enlève ma botte et lèche mon pied maintenant ! » l’ordre a claqué, très sec, d’une belle voix grave d’alto . P’tit soumis avance et se met à genoux afin de déchausser Dame Méphista. Il a peur que ses mains tremblent et se concentre sur ses mouvements car jamais il n’a eu entre les mains des bottes d’un cuir si fin d’une si belle qualité. Il fait délicatement glisser la fermeture éclair vers le bas, écarte les deux côtés et tire un peu, doucement. Aucun cri ne l’interrompt, il continue en silence avec beaucoup d’application et un grand respect de manipuler un si belle matière. La botte enlevée il hésite un instant, ne sachant où la poser. Julie lui enlève des mains en ricanant
« Belle qualité n’est-ce pas le chien ?il doit y en avoir peu comme ça dans ta province de bouseux ! Allons lâche le chien, pas toucher ! Ce n’est pas un jouet ! » Ces mots sévères et méprisants lui font comme une caresse mentale, l’humiliation et l’injustice de ces propos l’excitent réellement. Curieuse sensation cérébrale d’être ainsi traite avec ce mépris manifeste ! Mais sa réflexion est interrompue par un deuxième talon qui s’enfonce dans sa joue. Il tourne un peu la tête et sa langue vient s’enrouler autour du cuir. Le même manège recommence et p’tit soumis prend un peu d’assurance, il a moins peur d’abîmer la botte, et la présente à sa domina qui ne laisse aucune expression modifier son visage hermétique. Baptiste est en admiration d’une telle maîtrise des muscles faciaux. Il ne voit plus les indices qui lui permettent habituellement de connaître l’humeur des personnes qu’il observe. Il comprend que c’est nécessaire pour que les soumis ne sachent pas s’ils ont donné satisfaction et soient dans un état d’incertitude permanent.
Baptiste a enlevé les deux bottes de Dame Méphista. Il approche sa langue tendue vers le pied cambré de la femme allongée. Ce pied est fin, avec des orteils plutôt longs , mais le port continue de chaussures à talons hauts les a légèrement déformés et ils ont tendance à se chevaucher quelque peu. Un vernis sombre en fait briller les ongles. Baptiste avance ses lèvres vers le talon un peu rugueux qu’il se met à lécher délicatement du bout de la langue. Puis il remonte au milieu de la plante du pied et la glisse entre les orteils. Un mouvement brusque projette toute la largeur dans sa bouche. Le voilà à s’étouffer par le pied de Méphista et un haut le cœur le fait recracher de la salive. Julie éclate de rire et p’tit soumis rougit de honte, il n’a pas su se maîtriser, un filet de bave coule sur son menton. Julie tire sur la laisse pour l’éloigner de la méridienne qu’il est en train de tacher de sa bave. Il sent qu’il va être puni de sa maladresse. Et cette pensée a à peine le temps de parcourir son cerveau qu’une douleur cinglante traverse son dos : Maîtresse Julie lui a donné un coup de laisse sur les épaules. Puis elle pousse sa tête vers le pied tendu et Méphista enfourne de nouveau son pied dans sa bouche. Il recule légèrement sa tête et se met à téter tout en bavant copieusement. Il sent la jambe se détendre et continue de plus belle. Une caresse brusque le conforte dans son action, il suce et aspire encore et encore . Ses yeux se ferment et tout son esprit se concentre sur sa bouche, son corps n’existe plus, il se réduit à ses lèvres et à sa langue qui s’agitent, à son souffle qu’il contrôle. Il sent venir une profonde satisfaction à n’être plus rien qu’un objet sexuel dont on use à volonté.
Dame Méphista sent un courant de bien-être remonter le long de son pied vers son mollet qui se détend. Sa cuisse tremble un peu, son bassin frémit, son sexe tremble, les battements de son cœur accélèrent, son souffle change de rythme, elle se sent si bien que ses paupières se baissent sur ses yeux brillants, sa bouche s’est légèrement ouverte et un petit bout de langue rose pointe, brillant de salive. Julie observe son amie se détendre et sourit, c’est son soumis qui est l’auteur de ce bien-être tant recherché.
Assis dans un fauteuil Voltaire en face de son épouse Maître Trépuissant observe la scène. Il a rarement vu son épouse ainsi et il pense qu’il a bien fait d’inviter Julie et Baptiste. Il claque des doigts doucement pour que Bianca se précipite à ses pieds. Décidément cette petite esclave est bien dressée. Elle s’agenouille et pose servilement sa tête sur les genoux de son maître qui se met à jouer avec ses boucles. Son membre se raidit à ce contact, mais il préfère ne pas bouger pour ne pas troubler cet instant de quiétude exceptionnel.
Marc toujours habillé en soubrette entre silencieusement dans le salon, surpris du silence qui y règne. Il dépose sur la table un plateau où reposent différents instruments bien alignés puis il s agenouille et croise ses mains sur sa nuque en baissant la tête. Ces quelques mouvements perçus par l’œil de Dame Méphista brise son état de béatitude. Elle sourit et repousse Baptiste du pied jusqu’à ce qu’il se mette à genoux au pied de Julie.
Elle se relève un peu pour se mettre en position assise. Dun geste elle indique le plateau à Julie pour que celle-ci y choisisse un rosebud pour son soumis. Il en a de plusieurs formes et de plusieurs tailles mis à disposition. À côté, de petites pinces pour les seins peuvent être utilisées seules ou avec les chaînettes assorties. Julie choisit deux pinces et la chaînette pour les relier à l anneau du collier. Plusieurs paires de menottes sont aussi disponibles reliées par des chaines plus grosses. Julie en choisit pour maintenir les poignets et les chevilles de Baptiste lorsque cela sera nécessaire. En attendant elle voit Méphista se cambrer sur le bord de la méridienne et elle pousse Baptiste vers l’entrecuisses de son amie. Celui-ci comprend de suite qu’il va effectuer un cuni sur cette belle et grande femme qui a la bonté de le recevoir chez elle. Il avance sa tête, sort sa langue et commence à donner de petits coups sur le bouton dressé de la domina. Elle attrape ses cheveux des deux mains et appuie fort sur sa tête, visiblement elle préfère quelque chose de moins délicat. Il ouvre grand sa bouche et ses lèvres rejoignent la paire normalement cachée qui se présente à lui dans toute sa splendeur, elles sont larges et un peu épaisses, bien souples toutefois et s ajustent très bien à sa bouche. Il pousse son nez et souffle tout en introduisant sa langue dans le sexe béant. Le corps se cambre et il suit le mouvement. Ses doigts fouillent tout autour et , comme il constate que le plaisir monte chez la femme, il se permet une exploration du majeur vers l’arrière. Nulle réaction négative ne lui laisse penser qu’il doit cesser, aussi ose-t-il introduire son doigt bien humide dans le petit trou de la dame. Un mouvement d ondulation du bassin lui indique qu’il peut continuer. Sa langue et ses doigts s agitent, sa salive se mélangent à la cyprine qui coule, son index a rejoint le majeur et masse l’anneau. Il perçoit de petits gémissements de satisfaction et sent son sexe tenter de se dresser dans son étui de cuir. Soudain un jet lui jaillit dans la bouche et il comprend que Madame a joui. Il se recule un peu mais d’une forte pression les mains lui indiquent qu’il se doit de continuer. Il lèche, suce, absorbe tout le liquide qu’il perçoit. Puis il se sent repoussé et s’empresse de reculer pour se coller aux jambes de sa domina.
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Navrée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue je suis partie mettre mes gants.
Pour être dans l'ambiance .. j'ai écrit sur Hooverphonic, mad About you, la version philarmonique
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« Monsieur, je vous convie demain soir, une demoiselle qui souhaite s’occuper de vous ».
Le message envoyé, je n’attendais plus que sa réponse en espérant qu’il soit disponible. A mon tour de le surprendre."
« Avec Grand plaisir Ma Demoiselle ».
J’étais toute guillerette. L’orage allait éclater. J’aimais cette sensation quand les nuages s’assombrissent, que le vent commencent à se lever. D’aller me détendre sur le lit à laisser mon esprit s’égarer.
La pluie commençait alors à s’abattre. Le bruit sur le velux légèrement entre-ouvert , la brise venait jusqu’à mon visage m’apporter les odeurs humides de la verdure. Cette puissante déferlante. Je pensais alors à notre dernière soirée. Je passais ma main sur mon cou,
m’imaginant les siennes.
Je dansais de désir, à l’avoir, le ressentir, le respirer. Il me rendait complètement folle. Je saisissais mes seins en imaginant ses mains sur moi. J’avais encore sa chemise qu’il avait laissé la dernière fois imprégnée de son odeur. J’étais folle de lui. Je fermais les yeux pour apercevoir son sourire. Ma main se dirigeait alors vers mon entre-jambe. Mon sexe était alors tout humide. Je passais délicatement la pulpe de mon majeur sur mon clitoris, telle la légèreté d’une plume.
L’orage grondait comme mon désir pour lui. Je me caressais, me disant de ne pas céder à cette tentation. Créer cette frustration pour attendre de plus haut sommet, mais là, non je me masturbais. J’introduisais quelques doigts dans ma chatte déjà si humide. La mouille recouvrait mes doigts. J’en avais de partout. Je pinçais mes lèvres en pensant à nos ébats les plus interdits. Quand il me disait des mots crus, quand il m’embrassait, quand il me souriait, quand il me sodomisait, quand il m’attachait. Une symbiose inexplicable.
Cette relation ne pouvait exister sans sentiment.
Avant je cherchais un homme pour être dans les conventions. Cela ne m’avait pas réussi. Je voulais écouter mes désirs si longtemps refoulés. Rien n’est simple. Le libertinage est pour moi, la liberté de vivre sa vie comme on l’entend, de s’extraire des conventions. Je ne voulais pas de ce carcan qu’on nous impose en tant que femme. Le chemin tracé de vivre à deux, se marier, à acheter une maison avoir des enfants et tout ce qui va avec. J
e n’ai jamais ressenti tout cela je me sentais toujours différente.
Je ne supportais plus ces questions.. êtes vous mariée ? des enfants ? que faites vous dans la vie ? tous ces stérotypes pour entrer dans des cases comme si cela nous résumait. Dire qu’on ne veut pas d’enfant, qu’on ne recherche pas le mariage mais qu’on veut une relation avec juste sincérité et transparence ? Je vois toujours autours de moi tant que personnes emprisonnées dans une vie qui ne leur convient pas. La dure réalité. J’ai cette chance d’avoir cette liberté.
Lui, avait su m’apprivoiser. J’avais tant eu l’habitude de faire fuir les hommes pour voir jusqu’où ils tiennent à vouloir me connaître et non me posséder. L’homme de mes rêves.. l’homme de mes réalités.
Il était mon élixir de plaisir.
Nous étions heureux avant de nous rencontrer, ensemble nous avons la création de cette alchimie ne peut exister sans les éléments.. Comme l’eau .. hydrogène et oxygène.
Mon cœur battait de plus en plus, je sentais le sang affluant au niveau de mon clitoris. Mes doigts se frayaient un chemin de haut en bas sur mes lèvres, caressant ensuite ma douce auréole. Je planais de ma masturbation. La jouissance montait. J’étais sur le dos, les jambes pliées. J’avais un mal terrible à me caresser même devant lui. Mais seule, j’arrivais à me donner du plaisir. J’imaginais ses mots au creux de mon oreille. J’aimais être ce tout à la fois, femme-enfant, femme-fatale, chienne, amante.
« Monsieur, le plaisir que je viens de prendre à me caresser en pensant à vous à été si intense, que je vous le rendrai demain. »
« Petite coquine, j’espère bien que vous me rendrez ce plaisir.. je vais peut être vous punir d’avoir oser prendre ce plaisir sans m’avoir demandé d’y participer . J’ai hâte de vous voir demain. »
Je préparais une soirée sous le signe de la détente, une ambiance sensuelle, érotique. J’avais pris soin d’éclairer la maison avec des bougies de partout. De nombreux photophores disposés un peu partout, dans les escaliers, dans la chambre.. partout.
Sur le sol j’avais déposé un chemin de pétales de roses pour lui indiquer le chemin jusqu’à ma chambre, là où il me trouverait.
J’étais alors en train de choisir ce que je porterais ce soir. Je décidais de mettre un loup noir en dentelle. Je mis alors une culotte ouverte donnant l’accès à mes parties les plus intimes, toute de dentelle. Je mis un harnais léger encadrant mes seins avec une légère dentelle.
J’avais préparé mon lit. J’avais déposé des draps de satin bordeaux d’une douceur incomparable.
J’avais préparé tout ce qu’il fallait pour que Monsieur soit au petit soin. Du champagne, des framboises.. tout ce qu’il faut ensuite pour que je m’occupe de lui.
J’avais jeté sur le lit des roses blanches. J’adorais les pétales de roses. J’aimais les passer sur mes lèvres. C’était si sensuel si doux.
J’avais préparer mon vase avec mes plumes d’autruche. Une était verte olive. Elle s’était cassée de mon éventail géant que j’utilisais pour mes effeuillages.
Je préparais alors l’huile de massage. Ce soir je voulais le rendre .. fou…
Quand il arriva, j’entendais ses pas. J’étais alors en position à genou sur le lit, les bras en avant, telle une chatte prête à bondir. Masquée de mon loup et gantée.
Il était là à l’entrée de ma chambre.
- Quelle délicieuse surprise vous me faîtes, ma panthère ».
Je mis alors un doigt sur ma bouche pour lui dire de se taire. Et je lui indiquais le fauteuil crapaud bleu de ma chambre. Je descendais du lit très félinement à quatre pattes. M’approchant de lui.
Je lui ecartais alors les jambes pour m’introduire entre elle. Je remontais vers sa bouche en frottant mon buste contre lui.
- Bonsoir Monsieur, dis je en lui souriant.
- Bonsoir.. Mademoiselle.
- Comment s’est passée votre journée ?
- Elle a été des plus fatiguantes, plein de soucis et de litiges à gérer.
- Oh je vois..
Je prie alors possession de ses lèvre. Il se laissait faire tout en ayant ce sourire qui en disait long.
- Puis- je vous servir un verre ?
- Humm avec grand plaisir j’en ai besoin.
J’allais lui chercher une coupe de champagne que je lui tendis.
Je m’agenouillais à ses pieds. Puis avec un regard espiègle je saisis alors la coupe de champagne de sa main pour en boire une gorgée.
- Laissez moi vous déchausser.
Je le regardais alors droit dans les yeux avec ce sourire en coin. Il me dévorait alors du regard. Il caressa alors ma joue.
- Petite vilaine ! me souriait il.
Une à une je lui enlevais les chaussures. Je le regardais pour enlever avec élégance mes gants.
J’avais préparé une bassine d’eau chaude. Je lui enlevais alors son pantalon en lin beige. J’entrepris alors de lui faire un bain de pied. Un moment de détente pour ce qui allait suivre.
- Hum, c’est si divin… de voir ma petite chatte s’occupait si bien de moi.
- C’est que vous m’avez inspiré, lui répondais-je avec sensualité.
J’essuyais méticuleusement en étant à genou ses pieds. Je déposais alors la bassine sur le coté.
Avec tendresse, je lui baissais les pieds. Je les léchais ensuite sur les mollets tout en le massant, l’embrassant pour marquer mon territoire. J’arrivais à hauteur de son entrejambe… Avec mes dents je me saisis alors de son caleçon tout en le regardant félinement.
- Hum.. non pas maintenant je crois Monsieur..
Je remontais encore, un à un en commençant par le bas, je défis les boutons de ma chemise. Quand soudain, il saisit mes poignets. Il les tenait fermement et embrassa mes mains les portant contre son visage. Puis il me laissa continuer.
J’arrivais à hauteur de son cou. Je posais alors mes mains sur son torse. Je le griffais légèrement pour ensuite le débarrasser de sa chemise. Je saisis alors sa bouche avec une de mes mains et je l’embrassais.
Je me relevais alors d’un seul cou. Je lui saisis alors la main.
- Venez. Mettez vous nu sur le ventre Ici.
Je lui indiquai alors le milieu du lit.
Une ambiance Hooverphonic de Mad About , la version philarmonique. oui je vous la recommande là maintenant.. Elle allait le bercer, tout comme mes mains et mon corps.
Je lui bandais alors les yeux.
Je commençais alors par jouer de mes plumes sur le corps. Je voyais sa peau réagir, frissonner. D’abord par les jambes, les cuisses pour remonter sur le dos
Je pris alors l’huile que j’avais chauffée pour la faire perler sur son peau. Je commençais alors mon massage par les pieds pour remonter ainsi les jambes et les cuisses. Chaque jambe l’une après l’autre. J’aimais masser au son de la musique, mes mains dansaient sur son corps. J’aimais sentir ses tensions s’apaiser sous mes doigts
Entendre ses gémissements.
Quand j’arrivais à ses fesses. J’en pris pleine possession. Je restais alors très professionnelle dans mon massage. J’avais appris à masser. Je savais comment faire.
- Tu es une déesse ! j’en avais besoin.
Je le sentais se détendre, lâcher prise, comme il savait aussi me faire lâcher prise.
Je remontais alors jusqu’à la tête passant mes doigts dans mes cheveux et utilisant savamment les points de pressions. Il prenait ce moment de détente. J’aimais le ressentir aussi ainsi, apaisé.
Puis, doucement le massage se transforma en quelque chose de plus érotique à aller vers le tantrisme. Je le massais alors avec mes seins, je jouais avec la douceur de ma joue contre son dos. Ma bouche s’emparait de ses épaules partant à la conquête de son coup.
Je retournais alors ma chevelure pour la mettre contre lui puis descendre jusqu’à ses fesses. Une danse de sensualité, de désir qu’il m’avait inspiré. Je sentais alors doucement son désir pointé quand il bougeait alors ses fesses. Il ne tenait plus.
C’est là qu’il se retourna. Je lui saisit alors les poignets
- Non Monsieur, laissez vous faire !
Je le vis sourire.
- Soit Mademoiselle, je vous laisse les rennes encore un peu..
Je prie alors une rose. Je m’amusais à la mettre en pétale que je fis tomber telle une pluie sur son torse. A sa réaction il devait se demandait ce que je faisais. Je me plaquais alors contre lui. J’étais à califourchon.
- Vous me rendez folle, le savez-vous ?
- Non.. dites le moi encore.. et encore…
- Vous me rendez folle mon cher.. Hier soir je me caressais en pensant à votre imagination, vos doigts en moi, à votre queue, à mon envie d’être à vos pieds, à être votre essence et que vous soyez mon élixir de plaisir..
Je descendais alors ma langue sur son torse pour aller vers son sexe. Je le pris alors dans ma main. Je le caressais. Il était déjà dur, vigoureux. Doucement je le branlais.
-Hum.. petite chatte…. Petite chienne.
Je m’apparais alors avec ma bouche de son sexe. Tout doucement je commençais à lécher tout autours pour le rendre fou comme il s’amusait parfois avec moi. Puis je léchais ses couilles.. je passais ma langue entre son anus et elles.. ça le rendait complètement fou, et moi il me faisait perdre pieds. J’adorais tant le sucer ! une telle friandise.
Puis le sentant prêt à être cueillis, je pris sa queue en entier dans ma bouche. Avec délectation, j’avais les commandes à le lécher comme si j’avais la meilleure des glaces. Je sortais ma langue pour bien l’apprécier.
Puis soudainement je sentis ses mains se poser sur ma tête.
- Voilà, garde la bien en bouche…
IL retira alors son bandeau et me regarda. Puis il commença doucement à donner des mouvements de vas et vient.
Je me relevais alors avec un grand sourire puis je le rejettais sur le lit.
- Non.. non Monsieur, dis je avec une pointe de défiance.
Je m’empalais alors sur lui comme une amazone qui voulait vaincre le guerrier.
Il prit alors possession de mes seins. Très fortement. Il les gifla plusieurs fois alors que je me baisais avec sa queue. Mes mains étaient sur l’arrière. Sa queue était au plus profond je faisais des mouvement d’avant en arrière puis je mis mes mains sur son torse.
C’est là qu’il m’agrippa le dos et pris le contrôle.
- Petite chienne.. hummm…
- Oh oui Monsieur, baisez moi !
On s’embrassait alors fougueusement. Il me prit et me jeta sur le flanc. IL releva ma cuisse et s’engouffra à nouveau dans ma chatte. Il tenait alors mon cou bien serré. Je défaillais. Il me baisait si fortement continuant à me gifler.
- Ma petite salope !
- Tiens.. tiens….
Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait tellement il me culbutait avec force et passion. Comme une poupée il me mit alors sur le ventre.
-Je me cambrais pour l'appeler.
Avec sa main, il introduisit alors un doigt dans mon cul. Puis un second.
- Ahhhhh… ahhhh… je pinçais mes lèvres.
Il mit sa queue pour m’enculer. Pour ne pas m’emtendre il mit sa main sur ma bouche. Je ne pouvais rien dire. Je sentais chaque coup, fort encore et encore.. si fort comme si il voulait me transpercer me montrer que seul lui pouvait me prendre ainsi.
Il claquait alors mes fesses
- Putain ce cul ! j’aime tant l’éclater. Tu aimes ça ?
- Oui.. j’adore quand vous m’enculez !
Il s’était mis alors debout sur le lit. Je mettais alors ma tête contre le lit et je lui exposais mon fion.
Je me sentais prise comme une petite putain, sauvagement et j’adorais ça. J’adorais qu’il soit animal. Tout en m’enculant il posa son pied sur mon cou. Il pouvait faire ce qu’il voulait, car aucun jugement, juste envie de se posséder l’un l’autre.
Il attrapa les attaches de mon lit et m’attacha les chevilles au lit pour les écarter. Il mis un oreiller ssous le ventre.
- Tu sais ce qui va se passer ?
- Non.. Monsieur.
- Je vais te doigter, t’écarter et puis je verrai tout ce qui rentre !
Je rougis.
- Allez dis moi que tu le veux.
- Oui.. Monsieur, mes trous sont à votre disposition.
Il saisit alors mon huile de massage. Il commença alors à m’enduire le corps . il me massait. Ses gestes laissaient aussi une empreinte je voulais qu’il s’occupe de mon entre-jambe.
Il me rendait la pareille !
Il me griffa tout le corps. J’étais ainsi huillée, glissante et bien sur toute trempée.
Il massa chacune de mes cuisses puis remonta vers mes feses. Là il commença par bien les claquer. Je me dandinais encore plus les fesses.
Il les malaxait pour ensuite mieux m’ouvrir et regarder mon sexe et mon fion.
Puis il me fessa encore et encore et s’amusa entre temps à prendre ma température.
- Hum.. êtes vous suffisamment chaude pour que j’enfourre un thermomètre ?
- Hum.. je crois oui Monsieur..
- Voyons ça.
Il mit alors ses doigts dans ma bouche.
- Allez mouille les bien !
Puis il commenca par mettre un doigt. Je gémis.. c’était si bon..
Il en introduisa un second… Puis de son autre main il en mit un troisième puis un quatrième. Il écartela ainsi mon petit trou.
- Je compte bien te découvrir de partout !
- Oh ce cul ouvert…
C’est là qu’il prit ma chatte tout en me doigtant le cul..
- Oh c’est si bon !!
Je gémissais encore plus. Cette sensation était si excitante. D’avoir le cul rempli, la chatte toute autant. Il introduisa alors 4 doigts d’une même main en la tenant bien droite.
- Cambre toi
Je n’y arrivais pas. Tout en prenant l’assaut de mon fion, il me caressait le clitoris.
- Voilà tout doux…
Je sentais mon fion céder doucement..
- Voilà, montre moi comment tu t’ouvres..
- Cinq doigts ma chienne.. cinq doigt.
Il commençait alors à faire des va et vient..
- J’ai hate d’y fourrer tout mon poing pour te baiser comme tu le mérites.
Je gémissais entre douleur et plaisir. Il continuait alors à me caressait le clitoris. Ca me rendait complètement folle, j’en pouvais plus !
- Je.. viens… je viens…
Je n’arrivais plus à me contenir…
Il mit sa main sur ma bouche
- Jouis ma petite chatte !
J’étais emportée par cette vague. Que d’étranges ressentis.
Il me détacha. Je me retournais. Je le regardais.
Il me prit les bras et les attacha au dessus de ma tête.
Il revient quelques instant plus tard. Il s’assit alors sur mon torse.
Il saisit alors mes seins et les pinça bien fortement. Il les tourna. Ca avait le don de m’exciter.
Il prit alors une rose et la passa alors sur mon visage, il jouait avec moi comme j’avais joué avec lui.
Il prit alors sa main et me serra la bouche. Il m’embrasse, je lui souriais.. il me gifla.. Puis me gifla de l’autre.
Il serra mes seins, sa queue était entre. Il avait ses mains sur mon coup il m’étranglait sensuellement.
Il me pénétra la bouche avec sa queue. Il s’était relevé ne me laissant aucune possibilité à me baiser, à me faire une gorge profonde. Je bougeais tellement son assaut était virulant.
Puis il s’assit sur moi.
- Leche !!!
- Leche moi bien.
Il jouait avec ses fesses pour que je passe ma langues entre ses couilles et son petit anus.
Il s’amusa à me le poser sur la bouche pour que je le lèche comme il se doit. Ce que j’avais pu trouver répugnant dans le passé avec lui, il me rendait folle à faire des choses que je n’aurai imaginer et à prendre un plaisir parce que c’était lui Plus rien n’était vulgaire avec lui car je savais que j’étais sa princesse.
- Humm… qu’est ce que j’aime quand tu me lèches ainsi !
Il s’était posé alors sur ma bouche, il me tenait par les cheveux.
- Regarde moi !
- Que tu es bandante comme ça !
Il se releva et éjacula alors sur mes seins. Il posa ensuite sa tête sur mon bas ventre, me laissant ainsi attachée. Il était encore comme moi sur mon nuage.
Il se leva pour aller se laver .
- A mon tour de te nettoyer, mais ne compte pas pour que je te détache.
Il avait pris un gant de toilette. Il nettoya mes seins ainsi que mon entrejambe.
- Hum prête pour une future utilisation.
Je dansais allongée sur la musique pour appeler mon loup. Ma poitrine se soulevait, imprégner par mon désir brulant à son égard. J’en voulais encore et encore. J’aimais être à sa merci ainsi.
Il ouvrit mon armoire chinoise où se trouve nos objets de jeux. Il en sortit le gag ball. Il me le fixa.
- Hum, te voilà complètement prise aux pièges !
- Tu es sublime avec ce loup, ma louve… ce regard cerclé de noir.. ton regard est des plus intenses.
Il m’embrassait alors tout le corps. Il me léchait, me massait, me mordaient. Ma tête se renversait à étouffer mes gémissements dans le bâillon. Quand il malaxait mes seins tout en me doigtant, j’étais aux anges.
Quand il m’enserrait le cou, je ne m’appartenais plus. L’abandon.. encore et encore. Se sentir dans une telle confiance pour aller toujours plus loin. Ce soir là il ne cessait de partir à l’assaut de mon désir.. et du sien.
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La beauté de l'endroit semblait subjuger Charlotte. C'était une vaste cave voûtée
aux murs de pierres apparentes. Des cierges ornaient chacun des angles, pendant que
les flammes des longues bougies blanches tremblaient sur l'or des pierres centenaires
en faisant surgir des ombres sinueuses et menaçantes; l'endroit paraissait avoir été
conçu depuis la nuit des temps pour le plaisir et la souffrance, pour les rites les plus
secrets, les messes noires et autres rituels sataniques. La lumière mordorée teintait
sa peau, son corps nu se colorant de poudre d'or. Juliette lui lia les chevilles avec des
lanières de cuir reliées par des chaînes aux murs de pierre. Elle saisit ensuite ses poignets,
qu'elle écarta en croix, comme ses cuisses, les emprisonnant dans des bracelets d'argent
pendus à des fers fixés exactement à la clé de voûte. Charlotte désirait être fouettée,
s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave, à une autre
femme de surcroît, sa Maîtresse.
Juliette commença par me caresser. Elle savait qu'en faisant cela, elle me donnait une chance de me faire
oublier ma faute. Elle s'empara d'un martinet et commença à me travailler le corps en l'échauffant lentement,
alternant les caresses des lanières avec des coups cruels et violents. Plus elle frappait fort et plus je m'offrais.
Je n'éprouvais qu'un pincement aigu au moment où mes seins furent brutalement saisis par des pinces, puis je
sentis les pointes broyées par l'étau de métal qui les tirait vers le sol en s'y suspendant. Chacun des mouvements
que je faisais alors amplifait le balancement des pinces, provoquant une sensation effrayante d'arrachement.
Je me souviens de ce moment précis où je fus mise à quatre pattes sur le sol au milieu de la cave. Juliette dont
j'étais désormais l'esclave d'un soir fixa d'autres pinces sur les lèvres de mon sexe, en dessous de mon clitoris.
Tout mon corps se balançait de façon obscène, tenaillé entre deux douleurs, partagée entre le désir de faire cesser
mes souffrances et celui d'en augmenter l'intensité par mes balancements, pour satisfaire Juliette et mériter son
pardon. J'observais avec orgueil la rotation des poids suspendus aux pinces attachées à mes seins, de droite à
gauche et de gauche à droite. La douleur devenait intolérable, mais je devenais la spectatrice de cette douleur.
Je souffrais, mais je dominais cette souffrance: le plaisir qui naissait en moi la dépassait, la stigmatisait.
Pour marquer sa satisfaction, Juliette me désigna la croix de saint André où je fus attachée dans une position
d'extrème écartèlement. Un inconnu s'approcha de moi, comme si je devenais digne de son intérêt. Ils saisirent
chacun un long fouet et commencèrent à me flageller avec une vigueur et un rythme qui me firent écarquiller les
yeux. Pour étouffer mes hurlements, je mordis violemment mes lèvres, jusquà ce que le goût de mon propre sang
m'eût empli la bouche. Je me livrai au châtiment avec une joie quasi mystique, avec la foi de l'être consacré.
Juliette me dit soudainement:
- J'aimerais te fouetter jusqu'au sang.
Je lui répondis que je lui appartenais. Dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient celles d'une tombe,
l'inconnu me contemplait silencieusement et je m'aperçus qu'il tenait à la main deux longues et fines aiguilles;
Il s'empara d'un sein qu'il se mit à pétrir, à caresser, puis à pincer pour en faire jaillir la pointe granuleuse. Lorsque la
pointe fut excitée, il y planta la première aiguille, puis presque aussitôt après, la seconde dans le mamelon du sein qui
n'avait pas été caressé. D'autres aiguilles furent plantées tout autour des aréoles, quelques gouttes de sang vinrent ternir
le métal que la lueur d'une ampoule faisait jusque-là scintiller. Mon martyre devint délicieux.
Ainsi, j'étais devenue l'objet de plaisir de cette femme et de cet homme. Juliette parut subitement échauffée:
elle s'approcha de moi et de me libéra de la croix de saint André. Avant même que je puisse savourer ce répit, on me
porta sur une table où je fus allongée et solidement attachée. Je fus alors fouillée, saccagée, malmenée, sodomisée
comme une chose muette et offerte. L'inconnu qui violentait mes reins se retira brusquement pour forcer ma bouche.
L'homme semblait apprécier et s'enfonçait dans ma gorge pendant que je le couvrais de salive; Juliette se plaça derrière
moi et plongea ses doigts dans mon vagin déjà humide de désir. Elle explora longuement ma vulve, remonta sur mon anus,
le caressa du bout des doigts, puis se redressa: “Enfile-toi un doigt dans le cul!”; sa cravache siffla dans les airs et s’abattit
sur ma croupe: “Allez chienne, doigte-toi le cul!”.
Les lèvres forcées par le glaive charnel, je dus me cambrer pour atteindre la raie de mes fesses. J’introduisis tant bien
que mal un doigt dans la moiteur de ma voie la plus étroite pendant que Juliette continuait de me fouetter: “Tu aimes ça,
chienne, te doigter l'anus devant des inconnus"; je répondis d'un “oui” chevrotant en écho aux coups de cravache mordant
maintenant l'intérieur de mes cuisses, espérant ainsi mettre fin à mon supplice.
Elle laissa tomber sa cravache et s’agenouilla derrière moi: “Enfile tes autres doigts, chienne !”. Je m’exécutais docilement
alors qu’elle forçait mon anus en écartant mes fesses de ses doigts pour faciliter mon intoduction. Les invités semblaient
goûter à la scène, se regroupant pour regarder. La situation était des plus humiliantes; j'étais partagée entre le sentiment
de honte et l’étrange plaisir d’être utilisée comme un vulgaire objet sexuel, humilié et gémissant.
Mais ce ne furent que les préliminaires. Juliette me relèva en tirant sur mon collier comme on le ferait pour rappeler un
chien à l’ordre: “Ça ira comme ça, salope. Maintenant assieds-toi sur sa queue!”; encouragée par ses coups de cravache,
j’enjambai maladroitement l'inconnu et m’accroupis dos à lui, tout en me demandant comment accueillir un sexe aussi
monstrueux. Impatiente, Juliette maintint le sexe à la verticale et me força à descendre dessus en tirant sur mon collier.
Ma croupe s’écrasa sur la pointe saillante; tous les invités se regroupèrent autour de la scène et je pus voir distinctement
leurs regards lubriques et cruels briller derrière leurs masques dans la lueur des torches; alors que je m'efforçai de garder
l’équilibre, l'homme força à m’empaler sur son sexe; je tentai de résister, mais en vain; son membre surdimensionné
défonça mes reins, distendant lentement mon anus. Une bouffée de chaleur m’envahit, tout mon corps était perlé de sueur.
Je luttais pour ne pas jouir; les invités nous regardaient dans un silence quasi religieux; le spectacle que j'offrais, haletante,
empalée sur ce sexe monstrueux agissait sur l’assemblée comme un puissant aphrodisiaque. Juliette se dénuda alors et
commença à se caresser tout en me fixant, les yeux brillants de désir. Non loin de moi, une femme s’était accroupie aux
pieds de son compagnon et le gratifiait d’une fellation des plus passionnées; juste à côté, deux hommes encerclaient une
ravissante brune aux cheveux courts qui s'abandonnait, basculée à la renverse, à leurs doigts qui la fouillaient.
Une boule de chaleur explosa dans mon ventre et irradia tout mon corps; parcourue de spasmes, je jouis en silence tout
en éjaculant au visage de Juliette; mes jambes vacillèrent mais l'inconnu me tenait toujours fermement embrochée au
sommet de son sexe. Il ne s'était pas encore libéré mais mon anus qui se contractait nerveusement le mettait au supplice.
L’assemblée demeurait silencieuse; on entendait juste les sons de gorge profonds de la femme accroupie, étouffée par le
sexe de son son compagnon qui lui tenait la tête des deux mains et déversait son sperme en elle. Les deux hommes qui
étaient masqués, s'immobilisèrent pour me regarder, délaissant pour un instant la jeune femme brune, maintenant nue à
leur merci, pour mieux l'envahir; plus loin un homme qui se masturbait en m'observant n’arriva plus à se retenir et éjacula.
Juliette, s’essuya le visage du revers de la main et lècha ma cyprine sur ses doigts en m’adressant un sourire narquois.
On m'ordonna de me mettre à quatre pattes, dans la position la plus humiliante pour l'esclave; une cravache noir me
cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un véritable rugissement; la rigidité du cuir enflammait mes
reins et mon dos; les coups lacéraient ma chair, me procurant de lancinantes sensations de brûlure.
Lorsque la tige m'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, je compris soudain que j'allais jouir;
une fois la fulgurante jouissance dissipée, j'osai implorer leur pitié; je venais de rompre le charme. Ils décidèrent de me
faire payer chèrement cette inqualifiable faiblesse. Je fus à nouveau placée dans le mur comportant un trou en son milieu,
de façon à ce que ma tête dépasse d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la
bouche. Ce fut Juliette qui m'installa. J'étais en position, jambes docilement écartées, la bouche déjà ouverte, la croupe
exagérément offerte, prête à être investie.
Ce fut l'abattage. Impatient de se satisfaire, un homme prit la place de l'autre, ma bouche servant d'écrin; au
même moment, un autre utilisait mon vagin sans ménagement, avant de forcer brusquement mes reins, qui
comme la totalité de mon corps étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal. Le silence
soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qui se passait autour de moi. Espérant le fouet comme
une délivrance, un troisième sexe plus dur encore pénétra ma croupe; mon ventre se liquéfia.
J'étais prise, on ravageait mes reins meurtris; épuisée, quelques gouttes de sueur étaient venues éclater sur
mes épaules, l'homme se décolla de moi comme l'animal après la saillie. Après m'avoir conduite à la salle de
bain où l'on me doucha, on me conduisit dans la chambre tapissée de toile de Jouy où je m'endormis.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Polo aime les femmes. Il a commencé à les niquer à douze ans et depuis, il arrête pas. Il tringle tout ce qui passe et porte une jupe. Il aime pas les femmes en pantalons. Les jupes c'est mieux. Pas de jupe encore mieux et pas de culotte c'est le top. C'est plus rapide pour baiser n'importe où, n'importe quand. Polo faut qu'il tringle.
Ce qu'il préfère ce sont les femmes pneumatiques, celles qui rebondissent un peu sous la pénétration. Ce sont les plus jouissives, surtout avec une chatte bien tonique. il adore tringler des cyclistes aux culs bien bombés. C'est comme cela qu'il a rencontré Elisa, la plus pneumatique de toutes. Et il a fini par épouser Elisa pour l'avoir dans son lit tous les soirs.
Sauf que Polo, dès qu'un joli cul de meuf passe, faut qu'il tourne la tête. Si en plus elle est en jupe courte et jambes nues, il faut qu'il piste, comme un chien de chasse. Et les meufs aiment montrer leurs culs aux bons pisteurs, aux fins connaisseurs, qui savent apprécier les jolies choses. Et polo a fait de Lou sa maîtresse. Un petit cul bien pneumatique et bien serré. Et Polo a découché.
Elisa a râlé:
-tu découches Polo. Tu as une Maîtresse.
-Non, non, juste je bosse beaucoup.
Elisa n'a eu aucun mal a piéger son Polo. Elle a débarqué dans le petit appart de Lou et foutu des baffes à la pelle. Polo ne savait plus où se mettre. C'est que quand Elisa cogne, il sait qu'il ne fait pas le poids.
-Toi tu files à la maison, il y a la vaisselle et la lessive qui t'attendent. Et pense à frotter les sols.
Et polo a vite filé de peur de s'en prendre d'autres en pleine poire.
Elisa est restée avec lou qui ne la menait pas large.
-C'est vrai que tu as un joli petit cul et de beaux seins, toi.
Et Elisa s'est déshabillée et a fait l'amour à Lou qui a jouit bien plus fort qu'avec Polo.
Elles sont rentrées toutes les deux bras dessus bras dessous, amoureuses. Polo lavait les sols. Elisa lui a foutu un coup de pied dans le cul en visant bien juste. Il a couiné fort.
-là, tu as oublié, c'est encore sale! Et Polo s'est vite activité. Il a quand même reçu une torgnole bien liftée pour ne pas se bouger assez vite.
Elisa et Lou sont montées dans la chambre et elles ont baisé toute la nuit. Polo lui a du se contenter du canapé.
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Maître Trépuissant n’a pas laissé très longtemps son sexe en érection au fond de la gorge de p’tit soumis, juste le temps pour lui de bien assimiler que son corps ne lui appartient plus. Baptiste, rouge de honte baisse les yeux devant le curieux regard de Maîtresse Julie, mais il en ressent la force sur son crâne baissé. Sa langue continue à pousser vers le fond de sa bouche la salive que sa domina a laissé couler à l’intérieur. C’est curieux, analyse le cerveau de Baptiste, sa salive n’a pas le même goût que l’autre jour quand elle m’a embrassé dans le salon. Je me demande quelle est cette boisson légèrement citronnée, sans alcool apparemment , dont elle a bu un verre ou deux. Je sens un petit quelque chose en plus, du sucre de canne probablement. « stop cerveau ! Arrête ! Pas besoin de savoir ! » et Baptiste relève les yeux légèrement. Julie a tourné la tête vers son amie Dame Méphista qui caresse distraitement la tête crépue de sa soumise. Elles échangent sourires et petits gestes affectueux dans une belle complicité. Les pinces sur ses testicules ne lui font plus mal, à peine une légère gêne quand il bouge un peu. Son entrainement avec sa compagne en province porte ses fruits, ou le temps s’étire à une autre vitesse lorsque ce n’est plus à lui de prendre des décisions. Peu importe les causes, p’tit soumis se sent bien aux pieds de sa domina.
Méphista étire son bras jusqu’à lui et commence à lui frotter vigoureusement le crâne, comme lorsque son frère aîné lui passait un savon pour l’embêter. Des sensations étranges se mélangent, frissons de douleur et plaisir, relents d’odeurs qui remontent, sentiment de fraternité. Puis tout ces souvenirs sont chassés quand la domina tire très fort ses cheveux pour le faire se redresser. Tout son corps se tend dans l’espoir de réduire la douleur. C’est si brutal , mais où se croyait-il ce p’tit soumis ? Avec son grand frère ? Réveille toi ! Tu es adulte, et là, tout de suite, juste le bon toutou de ce trio , juste un jouet sexuel, juste un corps dont on use et abuse, juste rien !
Les bras en arrière maintenus par la barre commencent à s’ankyloser et Baptiste ressent un fourmillement désagréable, mais il s’efforce de ne rien montrer. Pour atténuer la douleur, il relève un peu la tête. Mauvaise idée ! Une claque lui fait vite comprendre qu’il doit rester tête baissée. Maitresse Julie se penche un peu pour le libérer et l’aide à se lever, mais toujours tête baissée. Les deux femmes jouent à faire bouger les pinces en leur faisant des pichenettes, ce qui leur déclenche de petits rires heureux. Baptise sent des larmes de douleur lui monter aux yeux . Puis une par une chaque pince est desserrée et ôtée. Un courant de douleur parcourt tout le corps du soumis, mais il est de suite remplacé par une onde de plaisir. Quel phénomène étrange ce plaisir de douleur, cette douleur de plaisir, les sensations se mélangent, se succèdent ,et il sent sont sexe essayer de se tendre, mais la soubrette Marc a bien serré les sangles, et la bandaison est entravée. De nouveau plaisir et douleur se mêlent, et le corps de Baptiste exulte.
Le supplice est tel que les sources des sensations sont bien distinctes dans le temps et Baptiste comprend qu’il n’a pas affaire à des dominants débutants, une longue expérience est nécessaire pour maîtriser aussi bien le corps d’une autre personne. Ses yeux se tournent vers la jeune Bianca toujours à genoux, son jeune corps musclé ne tremble pas sous la tension du maintien de la position. Les yeux baissés, la bouche ouverte qui laisse couler la bave le long de la langue pendante jusqu’aux jeunes seins fermes dont les tétons se rient de la pesanteur, on dirait une statue. Elle attend les ordres et son visage reflète une grande sérénité. Baptiste envie ce calme et espère l’atteindre un jour lui aussi s’il se soumet bien à Julie.
Un murmure arrive à son oreille. Il revient au présent inquiet de ne pas avoir tout saisi des ordres de Julie. Mais non , pas d’expression de contrariété sur son beau visage. « à quatre pattes le chien, tu vas venir rendre hommage à notre hôtesse à présent » . Baptiste pose ses mains aux sols, les bras bien tendus, les doigts repliés et il cambre bien son dos afin de faire ressortir son petit trou et ses testicules rougies sur lesquelles on peut voir les endroits où les pinces à linge ont été mises. Il baisse la tête et attend de sentir que sa domina tire sur la laisse qu’elle a fixé de nouveau au collier de cuir, symbole de sa soumission totale.
La maîtresse des lieux s’est éloignée. Elle a pris la place de son époux sur la méridienne. Allongée sur le côté, sa tête légèrement appuyée sur sa main droite, elle tapote le bord du siège de la gauche d’un air impatient. Julie tire sur la laisse et Baptiste avance tête baissée d’une allure un peu rapide. Ses genoux et ses phalanges le brûlent un peu mais il ne dit rien, de crainte de recevoir une claque méritée. Arrivés au pied de Dame Méphista un coup sec le fait stopper net. Une haute botte noire de cuir à talon très fin de dix centimètres se précipite vers son visage et la semelle vient appuyer sur sa langue pendante luisante de salive. Sans attendre il lèche le cuir et enroule sa langue autour du fin talon. Une caresse ferme sur son dos lui fait comprendre qu’il a bien agi. Puis sa langue se dirige vers le dessus de la botte, contourne la boucle brillante et vient lécher le dessus de la botte. Il goûte le cuir, le suce, étale sa bave, en ressent toutes les petites aspérités. Sa langue le noie d’informations et il savoure cet instant, cette odeur lui fait encore remonter des souvenirs d’enfance, lorsqu’il regardait son père graisser les chaussures de cuir de toute la famille le samedi en fin de journée pour bien montrer que tout le monde était bien chaussé. Fierté d’ouvriers qui prend soin de ses enfants.
« Enlève ma botte et lèche mon pied maintenant ! » l’ordre a claqué, très sec, d’une belle voix grave d’alto . P’tit soumis avance et se met à genoux afin de déchausser Dame Méphista. Il a peur que ses mains tremblent et se concentre sur ses mouvements car jamais il n’a eu entre les mains des bottes d’un cuir si fin d’une si belle qualité. Il fait délicatement glisser la fermeture éclair vers le bas, écarte les deux côtés et tire un peu, doucement. Aucun cri ne l’interrompt, il continue en silence avec beaucoup d’application et un grand respect de manipuler un si belle matière. La botte enlevée il hésite un instant, ne sachant où la poser. Julie lui enlève des mains en ricanant
« Belle qualité n’est-ce pas le chien ?il doit y en avoir peu comme ça dans ta province de bouseux ! Allons lâche le chien, pas toucher ! Ce n’est pas un jouet ! » Ces mots sévères et méprisants lui font comme une caresse mentale, l’humiliation et l’injustice de ces propos l’excitent réellement. Curieuse sensation cérébrale d’être ainsi traité avec ce mépris manifeste ! Mais sa réflexion est interrompue par un deuxième talon qui s’enfonce dans sa joue. Il tourne un peu la tête et sa langue vient s’enrouler autour du cuir. Le même manège recommence et p’tit soumis prend un peu d’assurance, il a moins peur d’abîmer la botte, et la présente à sa domina qui ne laisse aucune expression modifier son visage hermétique. Baptiste est en admiration d’une telle maîtrise des muscles faciaux. Il ne voit plus les indices qui lui permettent habituellement de connaître l’humeur des personnes qu’il observe. Il comprend que c’est nécessaire pour que les soumis ne sachent pas s’ils ont donné satisfaction et soient dans un état d’incertitude permanent.
Baptiste a enlevé les deux bottes de Dame Méphista. Il approche sa langue tendue vers le pied cambré de la femme allongée. Ce pied est fin, avec des orteils plutôt longs , mais le port continue de chaussures à talons hauts les a légèrement déformés et ils ont tendance à se chevaucher quelque peu. Un vernis sombre en fait briller les ongles. Baptiste avance ses lèvres vers le talon un peu rugueux qu’il se met à lécher délicatement du bout de la langue. Puis il remonte au milieu de la plante du pied et la glisse entre les orteils. Un mouvement brusque projette toute la largeur dans sa bouche. Le voilà à s’étouffer par le pied de Méphista et un haut le cœur le fait recracher de la salive. Julie éclate de rire et p’tit soumis rougit de honte, il n’a pas su se maîtriser, un filet de bave coule sur son menton. Julie tire sur la laisse pour l’éloigner de la méridienne qu’il est en train de tacher de sa bave. Il sent qu’il va être puni de sa maladresse. Et cette pensée a à peine le temps de parcourir son cerveau qu’une douleur cinglante traverse son dos : Maîtresse Julie lui a donné un coup de laisse sur les épaules. Puis elle pousse sa tête vers le pied tendu et Méphista enfourne de nouveau son pied dans sa bouche. Il recule légèrement sa tête et se met à téter tout en bavant copieusement. Il sent la jambe se détendre et continue de plus belle. Une caresse brusque le conforte dans son action, il suce et aspire encore et encore . Ses yeux se ferment et tout son esprit se concentre sur sa bouche, son corps n’existe plus, il se réduit à ses lèvres et à sa langue qui s’agitent, à son souffle qu’il contrôle. Il sent venir une profonde satisfaction à n’être plus rien qu’un objet sexuel dont on use à volonté.
Dame Méphista sent un courant de bien-être remonter le long de son pied vers son mollet qui se détend. Sa cuisse tremble un peu, son bassin frémit, son sexe tremble, les battements de son cœur accélèrent, son souffle change de rythme, elle se sent si bien que ses paupières se baissent sur ses yeux brillants, sa bouche s’est légèrement ouverte et un petit bout de langue rose pointe, brillant de salive. Julie observe son amie se détendre et sourit, c’est son soumis qui est l’auteur de ce bien-être tant recherché.
Assis dans un fauteuil Voltaire en face de son épouse Maître Trépuissant observe la scène. Il a rarement vu son épouse ainsi et il pense qu’il a bien fait d’inviter Julie et Baptiste. Il claque des doigts doucement pour que Bianca se précipite à ses pieds. Décidément cette petite esclave est bien dressée. Elle s’agenouille et pose servilement sa tête sur les genoux de son maître qui se met à jouer avec ses boucles. Son membre se raidit à ce contact, mais il préfère ne pas bouger pour ne pas troubler cet instant de quiétude exceptionnel.
Marc toujours habillé en soubrette entre silencieusement dans le salon, surpris du silence qui y règne. Il dépose sur la table un plateau où reposent différents instruments bien alignés puis il s agenouille et croise ses mains sur sa nuque en baissant la tête. Ces quelques mouvements perçus par l’œil de Dame Méphista brise son état de béatitude. Elle sourit et repousse Baptiste du pied jusqu’à ce qu’il se mette à genoux au pied de Julie.
Elle se relève un peu pour se mettre en position assise. Dun geste elle indique le plateau à Julie pour que celle-ci y choisisse un rosebud pour son soumis. Il en a de plusieurs formes et de plusieurs tailles mis à disposition. À côté, de petites pinces pour les seins peuvent être utilisées seules ou avec les chaînettes assorties. Julie choisit deux pinces et la chaînette pour les relier à l anneau du collier. Plusieurs paires de menottes sont aussi disponibles reliées par des chaines plus grosses. Julie en choisit pour maintenir les poignets et les chevilles de Baptiste lorsque cela sera nécessaire. En attendant elle voit Méphista se cambrer sur le bord de la méridienne et elle pousse Baptiste vers l’entrecuisses de son amie. Celui-ci comprend de suite qu’il va effectuer un cuni sur cette belle et grande femme qui a la bonté de le recevoir chez elle. Il avance sa tête, sort sa langue et commence à donner de petits coups sur le bouton dressé de la domina. Elle attrape ses cheveux des deux mains et appuie fort sur sa tête, visiblement elle préfère quelque chose de moins délicat. Il ouvre grand sa bouche et ses lèvres rejoignent la paire normalement cachée qui se présente à lui dans toute sa splendeur, elles sont larges et un peu épaisses, bien souples toutefois et s ajustent très bien à sa bouche. Il pousse son nez et souffle tout en introduisant sa langue dans le sexe béant. Le corps se cambre et il suit le mouvement. Ses doigts fouillent tout autour et , comme il constate que le plaisir monte chez la femme, il se permet une exploration du majeur vers l’arrière. Nulle réaction négative ne lui laisse penser qu’il doit cesser, aussi ose-t-il introduire son doigt bien humide dans le petit trou de la dame. Un mouvement d ondulation du bassin lui indique qu’il peut continuer. Sa langue et ses doigts s agitent, sa salive se mélangent à la cyprine qui coule, son index a rejoint le majeur et masse l’anneau. Il perçoit de petits gémissements de satisfaction et sent son sexe tenter de se dresser dans son étui de cuir. Soudain un jet lui jaillit dans la bouche et il comprend que Madame a joui. Il se recule un peu mais d’une forte pression les mains lui indiquent qu’il se doit de continuer. Il lèche, suce, absorbe tout le liquide qu’il perçoit. Puis il se sent repoussé et s’empresse de reculer pour se coller aux jambes de sa domina.
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-Paré pour le vol dronique mon Général?
-Oui, tout est ok, ceintures bouclées, commandes activées. Go. Destiination, le Poteau Mitan d'Aghor.
-Voilà, c'est paramétré. Go
Le 4x4 transformers décolle doucement, puis il accélère d'un coup en direction du nord ouest, dans les lueurs fauves du soleil couchant. Le jeune couple part pour sa première nuit de noces vers une destination pour le moins étrange.
-c'est mon cadeau de noces Pam, j'espère que cela te fera plaisir.
Pam ne répond pas, elle rêve en regardant le soleil disparaitre derrières les montagnes enneigées du Wyoming..
-Aghor c'est le nom de code d'un sorcier aux pouvoirs étranges. Au début on croyait que c'était du bluff, qu'il y avait un truc, mais non, Aghor a des dons spéciaux. La CIA, la Nasa, le NSD, tous ont eu recours à ses services pour résoudre des cas complètement hors normes. Et Aghor a trouvé des solutions. Depuis qu'il a été pris au sérieux, il vit dans une vallée reculée, il est ouvertement polygame et chasse librement. Tout le monde autour a pour consignes de lui foutre la paix, à commencer par le shérif et tous les politiques locaux. Il est au paradis, avec ses 4 épouses et ses 6 bambins. C'est lui que nous allons voir ce soir. Il nous attend. Tiens, regarde, c'est la bas, sur la gauche.
le 4x4 transformé en drone se pose facilement sur une esplanade réservée. Ce qui saute de suite aux yeux, c'est le Poteau Mitan, un splendide totem entouré de quelques tentes colorées. Aghor et ses 4 splendides épouses viennent les accueillir. Pam est heureuse de se trouver là, entourée de montagnes enneigées, sur cette colline isolée au milieu d'une vallée verdoyante. Une tente confortable pour leur nuit de noce, un excellent repas et un feu de bois. Tout est parfait, trop parfait? Cela a dérapé après avoir fumé cet infect calumet bien chargé.
-Putain vous y avez mis quoi dans ce calumet, des crottes de bison séchées? Pam s'est mise à tousser et à recracher cette horrible fumée.
-Ben moi, je le trouve bon ce calumet, a dit Joe.
Aghor lui n'a rien dit, pour cause, il est déjà en transe, les yeux révulsés.
- C'est une séance de shoot, c'est cela ton cadeau de noce a dit Pam encore en train de tousser.
- patience bébé, cela arrive, prépare toi à la plongée dans tes mémoires akashiques.
C'est venu d'un coup. Pam s'est allongée, détendue, apaisée. Joe a posé une couverture sur elle. Elle a glissé, glissé, un gouffre sans fin. Je ne vais pas raconter la suite de cette histoire, je préfère vous laisser l'imaginer.
Lorsque Pam s'est reveillée le lendemain, le soleil était déjà haut dans le ciel. Une des épouse d'Aghor lui a apporté un grand bol de café en souriant. Joe a prit sa femme dans ses bras.
-Alors bébé, on part explorer ses vies antérieures.
Pam caresse son front encore brûlant.
-C'est complètement fou ce ....comment dire....voyage? Mais où est Aghor?
-Il est déjà parti chasser. Il a dit qu'il te fallait une bonne viande rôtie pour te remettre, avec des herbes amères dont il a le secret.
-Génial, c'est vrai que j'ai faim. Je n'avais vraiment aucune idée de l'existence de ces anales où tout est conservé. Mais tu sais....le présent c'est bien.
Joe et Pam sont resté plus d'une semaine chez Aghor et ses femmes. Pam est devenue une experte en plongée. ce n'est pas du subspace mais bien autre chose de plus mystérieux encore, où il faut un bon guide pour s'aventurer et Aghor est bien le meilleur.
Et lorsque Pam "voyage", de retour, elle n'a qu'une envie c'est de coucher joe sur le dos, lui baisser le pantalon et s'embrocher à califourchon sur son sexe tendu. Et de faire venir les vagues de plaisir jusqu'au tsunami final.
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Je suis navrée pour les fautes commises non corrigées. Le violoncelle est si difficile comme instrument, il m'a complètement ensorcellée…
J'ai trouvé cette photo sur ce site, j'avoue l'avoir piquée mais elle reste une des plus belles que j'ai pu voir. Le violoncelle étant mon instrument de musique favori.. J'ai été très inspirée aujourd'hui.
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Me voilà assiste sur mon canapé, j’écoute Nicola Porpula, Salve Regina in fa maggiore.
Les musiques sacrées ont toujours eu cette grâce divine dont la voix des anges me transpercent. Je suis en train d’écrire comme la frénésie que ces notes me procurent un peu comme sur un clavier de piano. Je ne m’appartiens plus.. J’écris.. encore et encore.
Il y a toujours eu ce compositeur qui pour moi a été touché par la grâce. Un prête un peu défroqué. Un homme capable de vous faire vibrer sur les quatre saisons tout au long de l’année. Vivaldi était un génie.
La musique baroque a toujours fait partie de ma vie. Elle m’apaise tant. Voulez-vous me toucher un peu? je m'expose. Là, maintenant.
J’en écoute, mon cœur s’envole, mon esprit s’égare, divague un peu comme une mélodie dont le flot traverse mon âme pour me cueillir à son passage. Elle peut me faire pleurer de beauté, de bonheur. J’en frisonne.
La musique est comme un vêtement. La choisir en fonction de notre envie, de notre humeur. De la même manière que vous choisissez votre vêtement, le parfum, un éclairage.. tout a son importance. Le sens du détail. Certains n’y voient rien, dépourvue de toute intelligence émotionnelle, sans aucune saveur à vivre dans la simplicité. Parfois je les envies. Parfois, je me dis que mon hypersensibilité est ma bénédiction comme ma croix.
Voir, ressentir ce que d’autres ne peuvent ressentir. Cette sensation pour les autres que je passe la barre haute. Il faut apprendre à jouer, à étudier, à comprendre, à vibrer et à respecter.
La musique est un art impalpable capable de nous toucher et d’être partager dans tout le monde sans avoir à bouger ou à être dans un musée. Une seule musique et le lieu où vous êtes change. La vie c’est la manière dont on regarde les choses.
Je me préparais pour le week end à ses côtés. La musique m’accompagnait. Je courais dans l’escalier de son immeuble. Mon cœur battait, j’étais essoufflée. Je voulais me jeter dans ses bras, me perdre, me retrouver.
Quand il ouvrit la porte, j’entrais. Tout de suite, je tombais à ses pieds.
Je lui avais demandé pour aujourd’hui s’il était possible d’être dans une ambiance baroque, j’en avais besoin. Il m’avait écouté. Philippe Jarousky.. mon chanteur favori. Un homme que j’ai eu la chance de rencontrer. Sa musique forcement me touche quand on se rend compte que l’artiste dégage tant de choses.
Je l’avais rencontre à deux reprises. La première fois où je l’avais écouté. A baden Baden. Il a l’art de rendre la musique accessible, à même provoquer du rire sur scène. Oui la musique classique est aussi de la joie et du rire loin des carcans que certains se donnent.
J’étais là à ses genoux. Je posais ma tête contre sa main.
- C’est si bon de vous voir. Je n’en pouvais plus.
- Il est bon de vous voir ma muse.
- Puis-je aller me changer ?
- Oui bien sur.
J’avais décidé pour notre soirée de porter un sublime déshabillé de soie violette dont les manches longues arrivaient jusqu’à mes genoux. Il y avait de la dentelle noire. Il se fermait à la taille avec une ceinture intégrée. J’aimais le contact de la soie sur ma peau.
Je sortais alors de la chambre. L’ambiance était feutrée. Le son du clavecin, du violoncelle donnait une ambiance impalpable, comme si nous étions transportés dans un autre temps.
Je me plaçais alors à genoux sur mon cousin au centre de son salon. Je disposais mon déshabillé en corolle.
Ma tête était baissée. Mes mais dans le dos. Je l’attendais.
Je sentis alors le son de ses bas. Il était derrière moi, il effleura ma chevelure. Il tournait autour de moi. Il posa sa main sous mon menton et ma tête vers lui. On se regardait droit dans les yeux. Il descendait alors son autre mains sur mon sein droit. Il franchissait la douceur de la soie. Je vibrais. Quand il en prenait possession avec cette fermeté.
Il m’embrassait en même temps, faisant ensuite de même avec le second.
J’étais alors contre lui. Il travaillait mes seins à travers le tissus. Les malaxant, les sous pesant, tirant sur mes tétons avec ce que la soie lui permettait comme mouvement.
Puis il rebaissa ma tête. Il partit se servir un verre et s’asseoir face à moi. Il m’observait.
- Le violet est une couleur qui vous va à ravir. Vous êtes intemporelle. Vous me surprenez à chaque fois.
- Levez vous et venez vers moi.
Avec délicatesse je me levais pour aller à lui. J’étais debout face à lui. Il effleura alors mes jambes comme s’il touchait une toile dans la plus grande douceur voulant s’imprégner de mon essence. Il arriva jusqu’à la ceinture de mon déshabillé. Il me regardait dans les yeux tout en tirant dessus. Le nœud cédait.
- Voilà qui est mieux… Mettez vos seins dehors.
- Asseyez vous à mes pieds, je vous prie.
- Tendez vos mains.
Il prit une gorgée de son verre et le déposa dans mes mains.
- Baissez votre tête et tenez mieux mon verre !
- Quand je vous vois ainsi, j’ai terriblement envie de vous punir.
- Je..
- Ne dites rien je vous prie. Je ne vous pas vous entendre aujourd’hui. Vous allez subir, je vais vous donner, vous punir, vous prendre.
Il se leva et défit mon déshabillé pour le faire tomber à mes fesses. Il parcourait ainsi ma cicatrice, elle faisait toute la longueur de mon dos. Il commença par me mordre dans le cou puis à m’embrasser avec passion tout en m’étranglant.
Je gémissais.
Il s’était levé. Je ne bougeais pas.
Il me saisit les cheveux. Les peigna de ses mains. Il m’attacha alors les cheveux. Je sentais que notre séance, si je puis dire allait être différente. Quand je sentis alors le bout de la cravache sur mon dos, je sentis qu’il avait été sérieux. J’avais besoin que mes tensions soient apaisées.
Il commença a cravacher mon dos. Les coups me faisaient du bien. La sensation n’était pas comme d’habitude. J’en avais envie. Ce besoin d’être punie comme il le disait. Il alternait douceur et fermeté. Je sentais les coups de cravache m’apportait cette douleur. Quand il stoppa, l’apaisement.
- Vous voir ainsi tout à moi, à ma disposition. Vous aurez quelques marques. Celle de mon affection.
Le bois du plancher craquait sur ses pas. Il était revenu avec un collier.
- Il est tant ma chère, de vous sertir d’un collier. Votre cou est si délicat. J’aime votre port de tête. Vous serez sublime avec, quand je vous tiendrez à la laisse, vous faisant la plus belle des chiennes.
Je me sentais si réservée quand il me complimentait ainsi.
Une fois le collier mis en place, je le touchais. Il saisit alors les poignets.
- A moi.. vous êtes à moi..
J’entendis alors le cliquetis du mousquetons de la laisse. Il alla s’asseoir et m’attira alors à lui.
- Défaites moi je vous prie dit il en tenant la cravache.
Doucement, j’enlevais ses chaussures, ses chaussettes., sa ceinture. Je déboutonnais son pantalon. Il m’aida à le glisser tout comme son caleçon. Il tenait fermement sa queue dans sa main.
IL m’approcha alors en tirant sur la laisse à l’orée de son gland.
Je le regardais avec dévotion.
- Sortez votre langue.
J’allais commencer à lécher.
- Non.. je ne vous ai pas autoriser à lécher.
Il tira alors sur la laisse et me maintenait la tête ainsi. Il mit alors ses deux mains sur ma tête et me pénétra sauvagement la bouche.
- Hum.. ma petite chienne.
Puis il me rejeta la tête au sol. Mes jambes étaient contre mes cuisses. Il posa alors son pied sur mon cou.
- Qu’est ce que vous êtes ?
- Je suis.. votre chienne.. Monsieur.
- Oui, ma chienne.
Il me fit alors marcher pour monter sur sa table.
- Redressez vous.
J’étais assise à genou face à lui.
La chaine de ma laisse tomber entre mes seins. J’étais nue.
Il me saisit alors par la bouche me forçant à ouvrir la bouche. IL y mis ses doigts. Il me scrutait l’intérieur de ma bouche. Il faisait des va et vient jusqu’au fond de ma gorge. Je le regardait avec des yeux soumis à ses envies.
Dès que je l’ai regardé, il me gifla. Il recaressa ma joue.. je fermais les yeux. En les ouvrant et le regardant il me gifla une seconde fois. Je soupirais. Il me ressaisit par la gorge.
- Tenez vous droite petite putain.
- Donnez moi un chiffre entre 1 et 5.
- 3, monsieur.
Je souriais il me regarda à nouveau.
Il me gifla sur la joue gauche.
- 1. Commença t il à compter
- 2
- 3.
- Humm.. murmurai je.
- Cela vous pose un problème.
- Non.. Monsieur.
- 4.. pour votre insolence.
Avec sa main animale à me tenir le visage il me maintenait droite. Il s’approcha pour prendre possession de ma bouche.
Je pinçais mes lèvres. Je le regardais droit dans les yeux comme une bonne petite chienne soumise attendant encore plus d’affection.
Il saisit alors mes tétons . Il les pinça et les tourna.
Je râlais de plaisir. Il tournait encore plus fort. Je baisais les yeux.
- Regardez moi.
Je soulevais ma poitrine encore plus fort tout en le regardant. Je supportais ses supplices pour mon éducation. Il les relacha puis recommenca. Tout en me regardant il gifla mon sein gauche.. Je prenais une respiration. Je haletai. Puis il gifla le sein droit. Il recommença. Je pinçais mes lèvres. Il y allais de plus en plus fort.
- Taisez vous !
Puis il ressaisit mes tétons pour à nouveau les tourner.
- Vous avez un problème dit il en tirant sur mes seins.
- Non.. Monsieur murmurai je.
Je le regardais apeurée mais demandeuse.
- Qu’est ce que vous êtes ?
- Je suis votre chienne Monsieur.
- Mais encore !
- Je suis bonne à me faire fourrer la chatte, le cul et la bouche Monsieur. J’ai besoin d’être éduquée, dressée pour mon bien être. Je mérite tout ce que vous m’apportez.
Il me gifla alors la joue et m’embrassa. Il saisit le gag ball.
- Ouvrez votre bouche de putain.
- Serrez.
Une fois mis en place, Il se remit sur le canapé. il tira sur la laisse pour m’amener à lui.
- Aimez vous la queue ?
- Oui.. répondais je maladroitement, ma voix étouffée par le gag ball.
- Ah oui vous aimez la queue.
- Hum hum..
- Celle là ? me montra t il en tenant la sienne entre ses mains.
- Hum hum
- A quatre pattes !
- Donnez moi la cravache, dépêchez vous !
C’est là qu’il commença a me fesser les fesses. Il se leva et appuya sur ma tête. Je mettais mes avant bras contre la table.
La cravache s’abattait encore et encore. Parfois il me caressait pour stopper le feu. Il tenait en même temps la laisse dans sa main. Il l’avait bien enroulé pour me faire comprendre combien il me tenait en laisse. Comment il était le Maître. IL passait la cravache entre mes fesses
- Hum des fesses bien rouges !
- Avancez d’un pas
- Allez..
Il tapotait alors sur ma petite chatte.
Il posa alors devant moi un gode.
- Maintenant vous allez sucer comme une bonne pute.
Il appuya sur mon dos pour me faire comprendre que je devais bien l’avaler.
- Je veux que vous le preniez bien profondément comme vous le faites avec ma queue.
- Voilà C’est ça…
Il tourna autours de moi et alla s’asseoir.
- Regardez moi !
- Appliquez vous !
Il appuya sur ma tête pour me faire comprendre le rythme à avoir
- Sucez !!
- Voilà.. gardez là au fond de votre gorge de putain.
- Humm.. vous bavez …
Il releva ma tête et me regarda. Il me caressa la joue. Me gifla. Il tira sur ma queue de cheval et me remit en position.
- Sucez !
Il me redressa nouveau en tirant par la queue de cheval et m’embrassa.
- Déplacez le gode et mettez le dans votre chatte.
Il se leva et me tenait bien fermement.
- En haut.
- En bas..
- En Haut
- En bas
Je suivais le rythme qui m’imposait.
- Quelle bonne petite putain.
Il se rassit en tenant la laisse et la cravache entre ses mains. Il me motivait en cravachant mes seins.
- Voilà au fond maintenant.
- Hummm…
- Baisez vous.. allez.. baisez vous.
- Oh… oh…
- Baissez vous plus ! bien au fond !!
Il me cravachait…
- Cambrez vous.
Il saisit ma gorge et me parlait.
- Humm.. il est bon de vous voir ainsi empalez à vous baisez comme une chienne en chaleur.
- Ohhhhhh… ohhhhhh….
Il me dévorait des yeux
J’avais mes mains sur mes chevilles, je jouais avec le gode qui était dans ma chatte. Il veillait, m’éduquait. IL observait.
Il me laissait alors ainsi en train de me baiser.
- Je n’ai pas dit de vous arrêter !
- - Ohhhh… ohhh….
- Bonne chienne !
Il me gifla.
- Vous faîtes trop de bruit.
Il glissa alors sa queue dans ma bouche..
- Voilà qui est bien mieux.
Il aimait posséder ma bouche. A nouveau avec frénésie il empoignait ma tête pour me prendre.
Il glissait sa main sous ma gorge comme pour mieux m’utiliser. Quand il se retira, il me fit descendre de la table. Je marchais a ses cotés à quatre pattes. Il corrigeait ma démarche pour que je me cambre plus.
Avec la cravache il me montra le cousin.
- Ici.
- Plus vite allez !
Je me retrouvais là à attendre ses ordres, haletante.
Il s’agenouilla face à moi. Il prit ma tête entre ses mains et m’embrassa si tendrement. Il me fit comprendre de baisser ma tête puis il me fit comprendre que je devais me mettre sur le dos.
- Relevez vos jambes je vous pris et écartez les biens.
Il se mit au dessus de moi. Il saisit alors mes fesses et les releva. J’étais ainsi en chandelle.
- Votre cul est une invitation au crime. Vous êtes une sublime chandelle qui apporte la chaleur à cette pièce.
Il saisit alors une bougie. Doucement, il faisait couler la cire sur ma chatte mes fesses et mon auréole. Il le faisait en étant debout. Je ne ressentais alors que chaleur et plaisir. Tout était des plus supportable.
Avec douceur avec la pulpe de ses doigts, il retirait la cire qui moulaient les lèvres de mon sexe.
Il lécha ensuite ma chatte et commença à me doigter. Il allait profondément, à me rendre complètement folle..
-Ahhhhhhh… ahhhhh.
Il y a allait frénétiquement, je n’arrivais à me contenir. Il m’achevait en aspirant mon clitoris.
Puis il inséra un doigt dans mon cul et l’autre dans ma chatte. Un savant cocktail pour me faire défaillir.
- Ohh.. Monsieur.. Encore .. Encore.
- Vous aimez en avoir de partout petite catin.
- Oui.. Monsieur j’aime quand vous me doigter de partout.
- Je veux vous voir jouir, en mettre partout, douce fontaine à laquelle j’ai envie de m’abreuver.
- Qu’est ce que vous mouillez. Regardez, j’en ai plein les doigts !
- Vous me rendez folle Monsieur. Vous me rendez si chienne.
Il enfonça a nouveau ses doigts pour me faire couler fortement. Je sentis alors le liquide jaillir de ma chatte.
- Humm.. voilà…
- Tenez ! prenez bien ça…. Petite pute ! allez lâchez vous.
Je jouissais au son de cette musique interne qui me faisait voyager dans les chemins pervers. J’entendis alors à nouveau les doux sons de la musique baroque quand il prit possession de mon cul sans aucun ménagement. Il était assis sur moi à me besogner comme la petite catin que j’étais.
J’adorais cela. Me sentir prise de cette manière avec tant d’intensité. Mon loup était comme un fauve à lâcher les rennes, à conquérir mon cul.
Il écarta alors mes fesses pour entrer tout doucement et ressortir. Je sentais la pression de ses mains sur mon fessiers. IL en profitait pour me claquer les fesses.
Il m’enculait comme j’aimais. IL écartelait mon petit anus. Je le sentais serré, tenir sa queue comme pour le garder en moi.
Ma jouissance m’avait rendue complètement docile et malléable à tout ce qu’il voulait. Il était le musicien j’étais sa partition. C’était lui qui me lisait, me jouait, me faisait jouer, me faisait chanter.
Il jouit en me regardant sur mon anus.
- Merci Monsieur de m’honorer autant.
- Ne bougez pas, rester ainsi que je vous admire , vous ainsi si chiennement installée.
Quand il revint, il me mit un bandeau sur les yeux.
- Ecoutez juste la musique, laissez vous transporter me chuchota il .
Il avait mis du Bach.. La Dolce Fiamma.. la douce Flamme.. tout un symbole.
Je reconnais Philippe Jarrousky. Il savait comment non pas m’emmener au sommet mais vers ce paradis perdu qu’est le notre.
Il s’était accroupi pour me murmurer cela au creux de l’oreille en tenant ma tête. Il avait son visage face au mien, tête à l’envers.
Il déposa un baiser. Il fit glisser un bandeau en satin sur mes yeux pour m’ôter la vue.
- Vous m’inspirez tant de choses m’avoua t il.
- J’ai tellement envie de prendre soin de vous, comme ensuite vous faire subir les pires sévices. Votre regard, votre bouche.. vous tout simplement. Vous méritez tout cela.
Avec soin, il fit la toilette de mon petit anus qu’il avait souillé.
- Voilà ma petite chienne toute propre.
Il mis mon déshabillé autours de ma taille afin qu’il tombe de manière négligé autours de moi.
- Ma chienne dans la soie.
- Ouvrez votre bouche.
Il y glissa quelque chose de rond et métallique. Je reconnu ce que c’était.
- Voilà, trempez le bien. Gardez le bien en bouche.
Puis avec douceur, il me releva en le laissant dans ma bouche.
- A genou… voilà… parfait.
- De la tenue ! écartez moi vos cuisses.
Je corrigeai naturellement ma posture. Je sentis alors qu’il passait des cordes au niveau de mes cuisses.
- Relevez votre taille, sil vous plait.
Je sentais alors son torse contre mon dos. J’aimais ce contact, cette chaleur. Je devinais durant quelques secondes qu'il me respirait.
Il m’encordait alors les cuisses et les jambes ensemble . Sa passion artistique pour le Shibari lui donnait une vision esthétique à faire des tableaux. Ensuite il passait la corde au niveau de ma taille pour me faire comme une culotte en corde. Il serra bien.
- Ecartez bien vos fesses pour me présenter votre anus.
J’agrippais alors mes fesses et j’écartais au mieux mes fesses.
Il prit alors le crochet anal et le mit à l’entrée de mon auréole. Naturelllement, je sentis que je devais alors m’empaler dessus. Je devinais qu’il le regardait disparaître dans mon anus.
Il l’attacha alors à mon collier pour tendre la corde.
- Votre anus est si délicat. On a envie qu’il reste si serré et j’ai tellement envie de le défoncer, de l’agrandir pour qu’il soit si béant. Ma douce chienne.
Je souris en pinçant mes lèvres. J’aimais quand il pouvait faire preuve de douceur et à la fois être aussi cru. Je ne prenais pas cela pour de la vulgarité. Dans ces moments là, pas du tout. Il me respectait. Nous nous étions simplement trouvé.
- Donnez moi votre main je vous prie.
Il était face à moi. Il la saisit. Il l’encordait. Il avait saisi je devinais un petit escabeau. Il montait dessus et fixa alors ma main à un crochet fixé au plafond.
Ma main était tendu au dessus de ma tête, attachée. Il saisit alors les cordes de ma taille. Ils fit partir les bout pour les attacher à ma main.. Je me demandais ce qu’il était en train de faire.
Je ne faisais que ressentir. Ma poitrine se soulevait .
Toujours aucun mot échangé. Soudain il me parcourait avec quelque chose de si doux dans le dos. J’en avais la cher de poule. Au bout de quelques minutes, cette douceur s’était transformée en quelque chose d’humide.
IL dessinait alors sur ma peau au creux de mon dos juste au dessus de mes salières de vénus. Il m’était compliqué de deviner ce qu’il faisait, je me laissais complètement oublier, à vivre ce érotisme si intense. On ne se parlait pas on ressentait. La musique me transportait. La manière dont il m’encordait me berçait. Et là il me dessinait comme un compositeur écrit sa musique sur sa partition.
Il m’abandonna ainsi. Je me sentais complètement à nue. Impuissante. Et pourtant je le sentais il était là.
Soudain, il prit ma main libre. Il la tendait. Nos doigts s’entrecroisaient. Il était devant moi. Je sentais son souffle dans le creux de mon épaule. Il ôta alors mon bandeau.
La pièce était éclairée uniquement à la bougie. Il prit alors sa télécommande de musique et choisi une musique. Je reconnais Brookyn Duo.. la musique de Nothing Else Matter.
J’entendis alors les premières notes du son du piano.. des notes graves, simples. Il prit alors la badine dans sa main…
Il jouait de mon corps sur les sons de la musique quand le violoncelle jouait.. Puis il mis alors la badine dans ma main. Il la plaça.
- J’ai trouvé mon instrument de musique pour jouer ma partition.
Je le regardais alors en pleurant. Comment pouvons nous appelez cela ? un état d’esprit fusionnel ?
Il commença alors à me photographier Il me servit un verre.
- Je veux t’immortaliser. Tu es juste si magnifique.
Il reposa ensuite l’appareil à mes pieds pour se blottir contre moi puis posa alors sa tête sur mes jambes, enveloppé à moité dans mon déshabillé de soie. Abandonné.
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L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur
ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Juliette la poussa en avant, pour
pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et
sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite
qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte; il lui semblait sacrilège que sa maîtresse
fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas.
Elle gémit quand les lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure,
l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage; elle gémit plus fort
quand les lèvres la reprirent; elle sentit durcir et se dresser le membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres,
une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu la quitta d'un brusque arrachement et lui aussi cria. Dans un
éclair, Charlotte se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique.
Le silence soudain l'exaspéra. Elle était prise.
Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Juliette s'était ceint la taile. Avec un vocabulaire
outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse
être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler; c'était la première
fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Juliette parut subitement échauffée;
elle s'approcha d'elle, la coucha sur un lit, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche.
Ses cuisses musclées s'écartèrent sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra violemment dans
sa bouche. Charlotte ne sentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne, son corps partait à la dérive.
Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit
avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues
assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve
en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. Elle fut mise à nue et attachée sur la croix de Saint
André. Elle reconnut immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse.
Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache
ou du martinet avant le claquement sec, toujours imprévisible et judicieusement dosé. Juliette sait mieux que quiconque
la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette simple marque de tendresse
lui donna le désir d'endurer encore davantage pour la satisfaire.
On lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi
la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux.
Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté,
elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Juliette mania longtemps et
avec lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage.
On lui débanda les yeux et elle put connaître le visage des autres invités de cette soirée mémorable. Elle découvrit
ainsi que Laurence était une superbe jeune femme brune aux yeux clairs, avec un visage d'une étonnante douceur
dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une
dominatrice telle qu'elle l'imaginait; elle fut mise à nouveau dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été
contrainte la veille. Pendant que l'on usait de ses orifices ouverts, Xavier exhibait devant elle son sexe congestionné
qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum.
Mais Xavier, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre
sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit quelques commentaires
humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu; ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient
son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra.
Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder.
Ayant été prise d'un besoin pressant et ayant demandé avec humilité à sa Maîtresse l'autorisation de se rendre aux
toilettes, on lui opposa un refus bref et sévère. Confuse, elle vit qu'on apportait au milieu du salon une cuvette et
elle reçut de Juliette l'ordre de satisfaire son besoin devant les invités rassemblés. Une panique irrépressible la
submergea. Autant elle était prête à exhiber son corps et à l'offrir au bon plaisir de Juliette ou à apprivoiser la douleur
pour être digne d'elle, autant la perspective de se livrer à un besoin aussi intime lui parut inacceptable.
La légère impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Juliette parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement.
Elle réussit à faire abstraction de tous les témoins dont les yeux étaient fixés à la jointure de ses cuisses. Lorsque
elle eut fini d'uriner, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Bouleversée par cette nouvelle
épreuve, elle se sentit au bord des larmes, mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper en avalant le liquide encore
tiède et à sa vive surprise, elle éprouva une indéniable délectation à ce jeu inattendu.
Après avoir subi les regards des invités, elle fut amenée devant Laurence dont elle dut lécher les bottes vernies du bout
de sa langue. La jeune femme séduisante la récompensa par une caresse très douce, qui ressemblait au geste que l'on
fait pour flatter le col d'un animal soumis, d'une chienne docile. Le dîner fut annoncé à son grand soulagement.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Pam est toujours plantée à califourchon sur le sexe gonflé de désir de Joe qui a croisé ses mains derrière sa tête. Il est bien détendu, allongé sur les très confortables fauteuils couchettes du 4x4 transformers. Il allume un havane et fume paisiblement par les fenêtres grandes ouvertes. Il connait Pam, il sait qu'il faut lui laisser le temps de savourer tranquillement son dépucelage. La Capitaine possède un extraordinaire cerveau algorithmique. Alors Joe sait que cela va être long, très long. Mais il est bien, avec cette femme divinement belle enfoncée sur sa bite tendue. Il respire en tirant sur son gros cigare.
Pam est en train d'effectuer une première mondiale. Pratiquer un coït hétérosexuel avec des implants nanocellulaires qui permettent d'explorer les deux sexualités, celle de l'homme et celle de la femme. Elle a un accès direct aux deux. Elle peut être les deux. Et donc elle aussi, prend tout son temps. Elle laisse les orgasmes qui se succèdent passer comme de grosses vagues. Son cerveau tourne à une vitesse stupéfiante. Les implants sont des multiplicateurs vertigineux de ses capacités intellectuelles.
Elle explore le protocole de Tirésias. Dans la mythologie grecque Tirésias (en grec ancien ????????? / Teiresías) est un devin aveugle, un des plus célèbres. Une des "versions sur l'origine des dons de Tirésias nous vient d'Ovide. Alors que Tirésias se promenait en forêt, il troubla de son bâton l'accouplement de deux serpents. Aussitôt, il fut transformé en femme. Tirésias resta sous cette apparence pendant sept ans. La huitième année, il revit les mêmes serpents s'accoupler. "Si quand on vous blesse, votre pouvoir est assez grand pour changer la nature de votre ennemi, je vais vous frapper une seconde fois." Et, ainsi, Tirésias redevint un homme..
Quand Zeus prétendit que la femme prenait plus de plaisir que l'homme à l'acte sexuel et que son épouse Héra prétendit le contraire, les dieux demandèrent l'avis de Tirésias qui avait l'expérience des deux sexes. Tirésias se rangea de l'avis de Zeus. Il expliqua que si le plaisir de l'acte sexuel était divisé en dix parts, la femme en prendrait neuf alors que l'homme n'en prendrait qu'une. Et Héra, « plus offensée qu'il ne convenait de l'être pour un sujet aussi léger, condamna les yeux de son juge à des ténèbres éternelles ». Zeus ne pouvait aller à l'encontre de la décision d'Héra, alors, pour compenser sa cécité, il offrit à Tirésias le don de divination et une vie longue de sept générations".
Et Pam confirme tout cela, son sexe est bien plus complexe et innervé, bien plus capable de plaisir que celui, plus rustique et primaire de Joe. Oui, les femmes peuvent avoir bien plus de plaisir que les hommes en faisant l'amour. Là pour l'instant elle bloque complètement l'éjaculation de Joe, pour lui garder la bite bien tendue et explorer toutes les formes de plaisirs par la pénétration. Joe fume toujours paisiblement. Il semble comme absent. Pam se sent vraiment libre de faire comme elle veut. Putain que c'est bon tous ces orgasmes qui se suivent. Allez, à présent qu'elle a tout assimilé, elle veut déclencher le big one, le méga tsunami. Joe a arrêté de fumer. Il s'accroche des deux mains aux deux seins en obus de sa femme, cela va exploser sous peu. Les contractions vaginales s'accèlerent. Joe lâche son foutre. Pam se tétanise. La vague est si intense qu'elle ne peut plus bouger. Une onde choc qui fait vibrer le 4x4 transformers qui pèse plus de deux tonnes. Une chose incroyable. Des milliardaires vont être prêts à payer des sommes colossales pour essayer le cyberorgasme. Mais l'armée n'en aura rien à foutre.
Pam s'effondre sur Joe et s'endort d'un coup, comme un mec. Et Joe fait de même. Son sexe reste toutefois tendu à l'intérieur du vagin tétanisé de sa femme. Il est "collé". Il va falloir laisser du temps pour que tout se détende et s'appaise, qu'il puisse sortir.
C'est le soir, ils sont toujours au milieu du champs de Maïs. Joe a préparé un bon café et ils le dégustent sans un mot. Puis Pam dit:
-C'est Ok, tu es le meilleur baiseur de l'Arizona. J’accepte de t'épouser. Tu sais que l'armée nous permet de le faire sans tarder et comme tu es le plus gradé, c'est à toi de présider.
Joe sort deux belles alliances en acier.
-Tout juste sorties des forges d'Alan, un des bricos de génie de la base. Elles sont pleines de gadgets utiles et invisibles. tu as la notice dans ton cerveau. Allez je commence. Bla Bla, les voeux, bla bla les promesses, je vous déclare unis par les liens du mariage, bla bla bisous bisous. Le droïde du 4x4 vient de tout enregistrer, c'est un témoin officiel. J'envoie le PV de mariage au commandant de la base. C'est fait. Madame la Générale a quelque chose à dire?
-Oui, j'ai une putain d'envie de pisser.
-Moi aussi.
Et ils sortent arroser les maïs. Pam pisse debout, comme les égyptiennes de l'antiquité. C'est très amusant et très érotique.
-Tu sais quoi, dit Joe. On va partir en vol dronique et on enverra une photo au canard du coin. Avec la mention: "encore des crops circles dans des champs de maîs."
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"Mes porteurs se sont écartés du mur et je me suis trouvée soulevée par deux puissants
vérins en même temps. Un fantasme actif, qui alimentait depuis longtemps mes séances de
masturbation, à savoir que j’était entraînée par deux inconnus dans un hall d’immeuble obscur
et que, me prenant en sandwich, ils m’empalaient ensemble, l’un par le con, l’autre par le cul,
trouvait ainsi une consistance dans une ambiance opaque où les images fabriquées dans mon
cerveau et la réalité s’interpénétraient mollement."
Catherine Millet. "La vie sexuelle."
On a amplement décrit le "nouvel ordre sexuel" qui nous gouverne, des ouvrages documentés, font bien le point
sur l’invasion inédite du sexe dans notre société de consommation: de l’érotisation soft de l’environnement quotidien
aux expressions pornographiques les plus hard en passant par la publicité sexy envahissante et les reality shows
télévisés racoleurs. Le caractère banalisé, surexposé du sexe, inséparable de l’escalade de la représentation de la
violence est un phénomène inédit qui tient d’abord au système médiatique tout-puissant dans lequel nous vivons.
Bien daté, le temps des obscurités fascinantes de l’univers libertin clandestin aux relents de soufre, avec ses mises en
scène sophistiquées marquant la proximité du plaisir, du secret dans les orgies où corps souillés et orgasmes mystiques
exigeaient pseudonymes et autres masques. L’érotisme de masse, dans sa caractéristique majeure de jouissance à
montrer, s’avère désormais un mode d’expression privilégié pour aborder la littérature érotique. Au diable Casanova,
Laclos, Mirabeau ou Sade et tous les autres, qu'ils reposent en paix. La pornographie a dépouillé l’érotisme de son
contenu artistique en privilégiant l’organique et le spirituel sur le mental et la chair sur l'Éros.
L’exploration du domaine du sexuel est revendiquée par des auteurs féminins comme un instrument d’émancipation
majeur avec, souvent, une visée sociale, voire même des effets purificateurs d’autothérapie; pour plusieurs de ces
femmes écrivains, le thème de la sexualité, constituant la matière des récits, touche l’essence même de la littérature dans
son ambition de cerner la vérité d’un réel au-delà des apparences; il s’agit d’écrire un texte destiné à établir une vérité,
la vérité d’un être singulier bien sûr.
Cette érotique féminine s’exprime évidemment dans des tonalités très singulières: intellectuelle et distancée avec Catherine
Millet; cérébrale avec Anne F. Garréta; passionnelle, mais résolument sans lyrisme avec Annie Ernaux; hyperlibérée avec
Catherine Cusset; sensuelle avec Alina Reyes; dépressive avec Catherine Breillat ; exaltée avec Christine Angot.
Qu’ont en commun, ces textes qui définissent un érotisme nouveau ? Foncièrement d’exposer, sans états d’âme et sans
fioritures, ce qui relève du plus intime de l’univers sexuel: un vif antiromantisme, un antisentimentalisme s’imposent comme
traits dominants; si, pour Bataille, l’interdit et la transgression sont la condition même de l’érotisme, la recherche du plaisir
s’affiche ici dans un univers mental et social où les limites tendent à être abolies.
Une sexualité affranchie des tabous, c’est le moins à quoi on puisse s’attendre venant d’une littérature érotique; il n’est pas
surprenant que toute la panoplie des pratiques inventées depuis la nuit des temps et soutenues par des fantasmes éternels
se trouve convoquée; avec, certes, des configurations dominantes et exposées au grand jour, compte tenu de l’évolution
structurale que connaît notre univers plus pervers que névrotique.
Mais, encore une fois, ce qui sollicite le questionnement est d’abord le traitement collectif de ces discours; la médiatisation
de l’éros, phénomène jusqu’ici jamais rencontré, s’accompagne d’une certaine désaffectivation, comme si le même sillon
que creusaient tous ces écrits consistait à faire une littérature démystifiant le sexe, en le banalisant, en le désacralisant,
en le naturalisant ou en le simplifiant.
D'autant plus que l’érotisme apparaît désormais comme un terme marchand et consumériste; la sexualité se réduit à une
simple gymnastique, alors que le cerveau demeure le principal organe érotique et orgasmique; cette évolution le prive
de sa force originelle, de son histoire culturelle, de sa capacité à rendre compte de la richesse imaginative de l’être humain,
enfin de son inventivité concernant ses désirs, ses plaisirs, son rapport au corps.
L’obsession du nombre pour Catherine Millet est en soi un indicateur de la logique propre à la société de consommation:
multiplicité des partenaires et enchaînement des étreintes; la rationalité appliquée à l’éros conduit à mettre sur le même
plan, plaisir et travail bien fait; tandis qu’A. Garréta, qui s’impose d’écrire ses souvenirs comme un exercice, par ordre
alphabétique, se définit elle-même comme un fonctionnaire du désir conceptualisé en douze "nuits."
L’intérêt de ces écrits n’est pas tant en effet de montrer comment l’érotisme triomphe de la répression sociale que
de suggérer une illustration du fonctionnement de l’être-objet pour chacun des partenaires, ce qui suppose une véritable
subversion de la conception de l’objet; Catherine Millet décrit là, l’expérience intérieure de l’érotisme selon Bataille, où la
dimension d’abjection de la jouissance est saisie sans récupération romantique, sans la moindre idéalisation.
C’est un fond déshumanisé, opaque et angoissant, où s’articulent le non-sens et le sexuel dans certains écrits féminins
contemporains dans la filiation de Sade et de Bataille; leur vérité cynique permet de dépasser tout moralisme, y compris
un certain préjugé humaniste qui voudrait maintenir une réserve de subjectivité en ce point ultime où le sexe n’est plus
qu'une matière aveuglante; c'est là le cœur de la dénonciation de la pornographie.
L’érotisme doit se distinguer de la pornographie qui recherche davantage l’excitation immédiate; l’érotisme comporte une
dimension poétique, artistique, mais aussi affective et psychologique; l’érotisme littéraire féminin devrait s’attacher à relier
le plaisir et les sentiments amoureux avec leur pouvoir aphrodisiaque.
La jouissance et l’imaginaire érotique des femmes semblent occultés; l’évocation de la sexualité féminine provoque
le scandale. "Le Deuxième sexe" de Simone de Beauvoir ouvrit une brèche, suivie par Pauline Réage; Histoire d’O narre
le parcours d’une femme consentant à la soumission et au masochisme avec torture, esclavage; O devint un modèle
repoussoir qui incarna la servitude volontaire à travers la soumission amoureuse.
L’érotisme féminin s’attaque au mythe de l’amour passionnel, à celui de la femme objet; l’amour doit être délivré de
sa pesanteur tragique et de sa valeur sacré; le mythe de Grisélidis symbolise la soumission féminine au sein du mariage.
l’épanouissement érotique devient un enjeu central; c’est sous les draps que les femmes doivent s’émanciper, conquérir
leur dignité de sujet, acquérir une maîtrise de leurs désirs; un rapport de réciprocité doit s’instaurer dans la sensualité.
La littérature érotique présente progressivement des femmes qui assument leurs désirs en dehors de tout attachement
amoureux; le langage des auteures se libère contre les précautions chastes et leurs illusions; on est loin de Casanova
pour qui "le seul homme est susceptible du vrai plaisir, car doué de la faculté de raisonner, il le prévoit, il le cherche, il le
compose, et il raisonne dessus après en avoir joui."
L'érotisme se focalise maintenant vers des modalités de satisfaction prévalentes comme la sodomisation ou la fellation.
La pure pulsionnalité se trouve absolutisée dans le sens des pratiques qui visent une satisfaction de comblement sur le
mode compulsif de la drogue; elles répondraient à un érotisme rudimentaire, marqué par une dégradation de la sensualité.
On ne parle même plus de pulsion, mais d’instinct sexuel, négligeant tout ce qu’implique la sexualité de vie représentative,
imaginative, fantasmatique, ou relationnelle; Catherine Millet parvient à choquer; sa description semble froide et clinique,
sans la moindre sensualité; la réalité prime sur l’obscénité; en revanche, elle valorise la sexualité multiple et ouverte à tous
les possibles, avec le plus grand nombre de partenaires; le faire l’emporte sur le dire, le descriptif sur le narratif; le sexe
constitue le ressort de l’action, son principe et sa finalité; le récit se rapproche alors de la pornographie.
L’appel à la jouissance n’attaque pas toujours l’ordre existant; un hédonisme consumériste incite surtout à acheter
de nouvelles marchandises pour satisfaire des désirs qui ne font que renforcer la logique capitaliste; dans les magazines,
la jouissance devient même une injonction; pourtant, notre époque se caractérise surtout par une grande misère sexuelle
et affective; la pornographie réduit la sexualité à une froide mécanique sans inventivité, répétitive et bestiale.
La volupté, les caresses, la sensualité permettent de réinventer le plaisir sexuel en dehors des normes sexistes,
pornographiques dominantes, une littérature érotique féminine insiste sur l’imagination et le désir pour créer un climat
sensuel, contre le plaisir immédiate; cette conception de la sexualité semble aussi plus réaliste que les scénarios
érotiques qui occultent les relations humaines, avec leurs frustrations et leurs contrariétés; dans la pornographie
traditionnelle, les individus se livrent au plaisir sexuel sans même se rencontrer et se connaître.
Que l’amour soit un chef-d’œuvre, que l’éros soit poésie, nul n’en disconviendra; non pas au prix toutefois du rejet de
la négativité, ce noyau de réel au cœur de l’expérience érotique; pourtant, cette part maudite, tous ces auteurs l’affirment
diversement est inséparable du travail littéraire dont elle est la source.
Ce n’est plus la digue de la pudeur qui est abattue, mais celle de la répulsion, voire de l’insoutenable; il semble bien loin
le temps des risques de poursuite pour "outrage aux bonnes mœurs"; daté le temps des obscurités fascinantes de l’univers
libertin clandestin aux relents de soufre, avec ses mises en scène sophistiquées marquant la proximité du plaisir, du secret
et du danger dans les orgies où corps souillés et orgasmes mystiques exigeaient pseudonymes et autres masques.
L’emploi du terme érotisme n’est-il pas inadapté, face à un tel contexte socioculturel à bien des égards inédit ? L’érotisme
a une histoire spécifique dans notre culture et dans notre littérature; des choses ont bougé dans le paysage de l’érotisme
classique, que ce soit sous l’angle du libertinage du XVIII ème siècle, ou sous celui de la créativité dans ses expressions
picturales et littéraires les plus accomplies, par exemple dans le surréalisme, et jusqu’à "Histoire d’O".
La pornographie a dépouillé l’érotisme de son contenu littéraire, en privilégiant la chair sur le mental, comme si le désir
et le plaisir avaient pour protagonistes des phallus et des vulves et que ces appendices n’étaient que de purs serviteurs
des fantasmes qui gouvernaient notre âme, séparant l’amour physique des autres expériences humaines.
Un voile de pudeur, sa transgression, une aura de secret, un frisson de beauté, est à la frange du dénudement sentimental,
liant amour et sexe pour accéder à l’érotisme. Éros, fils de Mars et Vénus, ou de Poros et Pénia paraît être définitivement
castré par son frère, l’obscène Priape. S’agit-il d’éros, s’il ne reste qu’une chair proche du trash ou du gore ?
Sans que nous nous en rendions compte, le début du XXI ème siècle coïncide avec de profondes mutations dans les
mentalités: peut-on parler de la fin de l'érotisme ? Á force d'être obligatoires dans tous les récits, les écritures érotiques ont
perdu leur grâce littéraire, pour n'être plus que des répétitions anatomiques vulgaires; crudité sans complexe, violence
militante, c’est la face terrible du dieu Éros. Le texte écrit avec le projet d’exercer une suggestion, un entraînement au désir,
tend à disparaître au profit de l’image. L'écriture féminine saura-t-elle relever le défi ?
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue. Je me suis mise à ressentir ces émotions quand je finis d'écrire qui m'emmènent dans les abymes de mon cœur.
Vers la fin de ma nouvelle, Lana Del Rey, dans sa version longue de Ride m'a happé.
Le pouvoir de la musique est si intense. Chaque nouvelle est ressentie, vécue dans ma tête. Je me sens si libre de vivre ma sensibilité dans mes écrits.
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« Vous devriez recevoir aujourd’hui un petit cadeau pour notre prochaine entrevue. Je sais combien vous êtes joueuse. Jusqu’où iriez-vous ? »
Je souris en lisant son message Whatsapp.. Je me demandais à quoi il faisait allusion. Telle une gamine, j’allais ouvrir ma boite aux lettres à peine le facteur passé. En effet un colis à mon attention.
Il était relativement petit.. Vous imaginez bien ma réaction à l’ouvrir sans aucune patience. Je me disais toujours combien ces petits colis étaient emballés à croire qu’il faut utiliser de pleins d’ustensiles pour les ouvrir.. Enfin.. arrivant à mes fins, je découvris dans le colis un string avec des franges et des perles.. Ces perles étant cette ficelle qui passeraient sur mon sexe et entre mes fesses.
« Hum cher Monsieur, merci pour ce délicieux cadeaux. Vous savez combien j’adore les perles.. »
« Oui, je le sais ma belle demoiselle. RDV avec ce soir. Venez parer de vos plus belles perles et soyez fatale et glamour, comme toujours ».
Mes perles.. J’adorais les perles.
J’aimais celles qui avaient une histoire une vie. L’année dernière, j’avais acheté des boucles d’oreilles en perles anciennes. Je n'avais pas d'argent sur moi. e. Elles n’étaient pas totalement blanches mais légèrement nacrées or.
Malheureusement je n'avais pas d'argent sur moi. Nous échangions toutes les deux pour la première et elle me dit : Prenez les et envoyez moi un chèque". Une telle confiance. Puis elle m'invita à découvrir ses créations unique.
En voyant l’exposition de cette artiste lorraine, reconnue pour son talent, je vis un collier, ce collier.Il s’appelait « Le collier d’Emilie du Châtelet aux trois perles en forme de poires ».
Rapidement, avec Joëlle Capdevieille, nous nous rendions compte que notre rencontre était une simple évidence, comme ce collier qui était fait pour moi. Elle avait façonnée ce collier à partir de perles anciennes dans le prolongement des brodeuses perleuses de Luneville et d’éléments anciens. J’aimais l’histoire, l’art.. et en m’intéressant à Emilie du Châtelet, l’évidence était là… Un sublime cadeau pour mes 40 ans
Ce soir là pour rencontrer Monsieur, j'étais prise d'une certaine nostalgie.
Je me parais d’un corset bleu avec des éclats de strass et de la dentelle. Je mettais une jupe que j’utilisais pour mes effeuillages. Il n’y a aucune fermeture éclair. Elle était fixée au dos par un nœud savant où il suffisait juste de le défaire. L’avant arrivait sous le genoux et l’arrière en forme au niveau de mes chevilles donnant un look à la Dita Von Teese. D’ailleurs je souriais souvent car c’est le surnom que l’on me donne souvent. Il paraît que je lui ressemble.. ou plutôt qu’elle me ressemble.
Je me sentais belle, il me rendait belle. La beauté pour moi réside dans le fait de se sentir bien. Nous passons notre vie à vouloir paraître alors qu’au fond notre beauté vient de nos actes et dans le fait de se sentir bien, libre et en accord avec soi.
Une partie de moi a toujours eu cette ambivalence entre me sentir sure de moi et belle et de l’autre être ma pire ennemie. Cette qui s’affable des pires mots pour mes maux. Le poids sociétal nous obligeant à vivre dans des carcans.
Au fond, plus j’avance en âge et plus je me dis que l’on attache de l’importance aux choses sur lesquelles nous n’avons pas forcement de pouvoir. Celle de ce que pensent les autre. Au fond.. quoi que ce que l’on peut faire, on ne plaira jamais à tout le monde.
Avec lui, je lâchais prise car il m’amenait cette vibration, cette odeur de printemps, cette douce brise qui me caresse et me rend encore plus heureuse de ces moments parfaits.
Lorsqu’il me vit, il se tue. Puis se reprenant il me dit
- Vous êtes juste.. renversante !
- Je vous remercie, vous aussi mon cher
Il connaissait mon goût pour les années 1900/1920. Il était habillé dans ce style chic des hommes à la peaky Blinder. J’adorais ! J’aurai pu lui sauter dessus et le dévorer… un moment d’égarement me direz vous ? Où était ma place.. simplement avec lui.
Il me tendait alors sa main. Je la lui donnais. Il m’amena à lui pour m’étreindre.
- Alors prête pour le jeu ma chère ?
- Hum.. Oui, d’ailleurs vous m’avez bien rendu curieuse. Quel jeu ?
- Allez vous asseoir sur le canapé je vous prie.
Il passa dernière le canapé en effleurant mes épaules. Je me tenais droite, le corset me contraignant à un maintien. Il se dirigea vers son bar.
Il saisit alors un verre à Martini. Je reconnu alors la bouteille d’un alcool que j’apprécie. Du Vermouth Antica Carpano. Je salivais déjà.
- Vous m’honorez lui dis-je ?
- Je voulais vous faire plaisir dit-il avec son plus gros sourire. Je veux vous saouler. Vous allez perdre ma chère..
- Vous voulez me saouler ? moi ? alors à quoi allons-nous jouer ?
- Au strip poker !
- Ah, je vois, dans tous les cas je suis gagnante.
Il me tendit mon verre de Vermouth Antica Carpano, servit frais avec une rondelle d’orange. La perfection !
Les perles de mon string me faisait mouiller terriblement. Parfois elles me pinçaient. C’était terrible ! J’imaginais qu’il savait tout cela. J’avais du mal à tenir en place car c’était presque incommodant
En fond sonore, ces musiques que nous affectionnons très jazzy. Cette fois il m’avait laissé les commandes de l’ambiance sonore..Kovacs…
La voix de cette chanteuse me faisait penser à ces chanteuses qui font les musiques de James Bond dont je suis fan.
Je Buvais mon verre. Je me levais, prenant mes aises. La tension s’installait doucement.
Je posais alors mon verre sur la table basse. Je lui tendais ma main.
‘- Dansons.
Ma main dans la sienne, mon visage au creux de son cou.
- Ce n’est pas l’alcool qui va m’enivrer, c’est Vous Monsieur.
- Vous allez me faire perdre toute décence en allant sur les chemins de perditions.
Il passait sa main dans mes cheveux et les tira en arrière. Je lui offrais mon cou. Je déposa un baiser à hauteur de mon entre-sein puis avec sa langue remonta, en passant sur ma glotte, mon menton et pour enfin venir me mordre la lèvre.
- Je vous interdis de me troubler ainsi !
- Prenez votre verre, allons jouer.
Il avait préparé une table avec un chandelier avec au moins une 20aines de chandelles. Il était magnifique de couleur or. Un tapis de jeux.. des jetons de poker et bien sur le jeu.
Je suis tout sauf une bonne joueuse. Peut être aurai je la chance de la débutante. Au fond de moi de toute manière, je ne voulais pas gagner pour qu’il s’occupe de moi mais de l’autre, je ne voulais pas le laisser gagner. J’avais ce côté femme enfant que j’aimais ressortir par moment.
- Prêt pour votre défaite lui dis-je sous le ton de la plaisanterie.
- Je pense ma chère que vous allez bientôt payer votre insolence affichée depuis tout à l’heure. Regardez ce qu’il vous attend.
Il m’indiquait du regard la commode sur laquelle je voyais tant de choses déposées… Un silence s’installa.
Le jeu débuta. Il m’expliquait à nouveau brièvement les règles. A vrai dire, je n’allais en faire à ma tête.
- Perdu ma chère.. comme c’est bien triste.
Tout en me regardant…
- Enlevez moi corset je vous prie et buvez !
Je me levais. Je lui tournais le dos. Doucement je saisis les lacets de mon corsets pour défaire le nœuds. Habillement, je desserrais les liens. Je m’approchais alors de lui.
Un à un j’otais les rivets à l’avant de mon corset. IL n’en ratait pas une miette. Je fis tomber le corset à mes pieds.
- Restez ici.
- Hum ces marques de votre corset sur votre peau..
- Allez vous rasseoir.
A la seconde partie, contre toute attente, je remportais la partie ! J’allais commencer à choisir ce que j’allais lui demander quand il me regarda…
- Non non, petite chienne… Il faut rester à votre place ma chère.. Je vous laisse choisir quel vêtement ôter.Je souris.
- Quel homme vil vous faîtes.
Je décidais alors d’ôter la jupe. Tout doucement. Je voulais qu’il voit combien son cadeau me faisait de l’effet.
- Mains sur la table, cambrez vous.
Il s’était levé. Il passa ses mains sur mes fesses puis ensuite sur mes seins. Il les prit bien fermement.
Je sentis ses doigts passer sur ma chatte.
- Hum ces perles… vous les portez divinement. Vous êtes si ruisselante.. Je vois qu’elles vous en font de l’effet.
Soudain il baissa le string. Il saisit la badine.
- Je ne veux pas vous entendre ! 5 coups. Vous allez les compter. Vous pensiez que j’allais laisser passer vos prises de liberté, aussi agréable soient elles.
- Non.. Monsieur, je suis désolée..
- Ne le soyez pas, j’aime quand vous êtes ainsi, mais je dois vous punir quand même.
Je tendais alors mes fesses. Il me donna le premier coup.
- Wouahh.. criai-je de stupéfaction. Merci… Monsieur..
Il plaça ensuite la badine pour choisir où il allait frapper.
- Merci.. Monsieur
C’était au même endroit. Chaque coup avec eu son effet. Je sentais mes fesses bien chaudes. Il glissa à nouveau ses doigts.
- Je vois que ça ne vous a pas calmé.. vous êtes encore bien trempée.
Il me servit un autre verre.
- Pour calmer votre douleur.
A la partie suivante, je me concentrais alors pour gagner même si les règles c’était lui qui les fixait.
A ma grande surprise je gagnais encore.
- Vous avez la main chanceuse. Maintenant que vous êtes sans vêtement, vous devez choisir un accessoire.
Je lui montrais alors un gode.
- Bon choix Mademoiselle Lane. Vous allez vous empalez dessus sur la chaise.
Il s’agissait d’un gode avec ventouse.
- Vous allez me mettre dans votre petite chatte. Pendant la prochaine partie vous vous baiserez dessus tout en jouant. Je vous veux concentrée.
Comment être concentrée dans ce moment là.
J’essayai tant bien que mal de me concentrer mais c’était impossible. Je perdis la partie suivante.
- Mettez vous les pinces à seins je vous prie.
Je les prenais dans les mains. Il avaient mis de nouvelles avec des petites clochettes.
- Allez serrez les bien fort !
Je le regardais. Je serrais. Il était pervers.
- Encore !
- Allez faîtes de la musique en vous baisant.
Il me regardait alors le gode dans ma chatte à regarder tout en entendant les clochettes faire leur petits sons.
- Suffit maintenant !
Son sourire charmant melé à son regard pervers, je sentais que les choses allaient s’intensifier.
Il stoppa alors la partie.
- Mains dans le dos maintenant.
Il prit alors une bougie. Il commença doucement à faire couler la cire sur mes seins. Il avait mis une certaine hauteur ce qui rendait la chose pas trop brulante.
- Baisez vous maintenant.
Je sentais la différence de chaleur de la cire avec les vas et vient.
- Hummm… Que de doux sons.. vous aimez ?
- Oui.. Monsieur…
Il reposa alors la bougie. Il alla se servir un nouveau verre et se rassit.
- Venez me sucer maintenant.
Il ouvrit sa braguette, puis sortie son sexe.
- Non sous la table, comme une bonne chienne.
J’allais alors sous la table. Je prenais son sexe dans ma bouche. Je le dégustais comme il dégustait alors son verre. Il tapota alors sur ma tête.
- Brave chienne ! c’est bien continue.
Je m’appliquais à ma tâche. J’aimais son sexe. J’aimais le manger, l’engoutir. Soudain il appuya ma tête pour prendre les rennes.
- Pas bouger.. gardez la bien en bouche quitte à vous étouffer.
Je bavais.
- Une petite bourgeoise soumise… Dépravée.. j’aime ça ! vous avec vos petits bijoux et votre air de sainte nitouche qui demande qu’à se faire baiser.
- Oui.. Monsieur j’ai envie de me faire baiser.
- Ah oui vous voulez vous faire baiser ?
Il me saisit par les cheveux. Il était face à moi. Il me força à m’empaler sur sa queue.
- Avec vos perles de putain, vous êtes une chienne de luxe.
Il prit alors mes fesses bien en main et me força a bien m’empaler sur lui, à ce que je sente sa queue au fond de la chatte à bien sentir ses coups de bite.
Mes seins valsaient, les pinces sonnaient..
Il me défoncait si fortement. Soudain il mit un doigt de chacun de ses mains dans mon cul..
-Oh…. Oh…
Il me gifla et serrra ma gueule avec sa main.. Puis reviens tout en me claquant les fesses. Je n’arrivais plus à penser, je ne pensais qu’à m’empaler sur sa queue.
- Hum… Hummm. Vous n’avez que ce que vous méritez.
Mes mains étaient dans le dos. Il les tenaient tout en continuant à me prendre ainsi.
Quand il arrêta, il me demanda d’aller à ma place.
J’allais alors sur mon cousin au milieu du salon.
Quand il revint, il m’attacha poignet et cheville ensemble. Je n’avais aucun échappatoire.
- Je ne veux pas vous entendre..
Il m’avait mise sur le dos. Je le vis saisir un martinet aux lanières longues.
Il le passait sur mon corps, il s’amusait à faire un peu de vent au dessus de moi. Mes yeux étaient apeurés… Il insista alors sur ma chatte. Je criai..
- Vous me voyez obligé de vous réduire au silence.
Il allait chercher le gag ball.
- Hum, à ma merci.. vous aimez être à ma merci, non ?
Il me regardait droit dans les yeux, agenouillé. Martinet en main. Il était doux.
Il retira alors mes pinces à seins. Il passait le martinet encore dessus. Je tentais d’échapper son coup. Il me retourna alors sur le ventre. Ma tête était au sol, mes fesses relevées prête à attendre.
Ils me fouettait le dos, les fesses et sans trop de force l’entrejambe. Je criais dans mon bâillon. Quand il stoppa, il me retira le bâillon.
- Je..
- Non non.. interdiction de parler. Si je vous l’enlève c’est pour combler votre trou à bite.
Il me remit alors sur le dos. Il s’assit sur moi. J’étais totalement à sa merci.
Il prenait ma tête dans ses mains. Il s’astiquait avec son jouet.. ma bouche. Je l’entendais râler son plaisir.
Il Dirigeait au mieux sa queue dans ma bouche, je ne pouvais rien faire.
- Bonne petite chienne.
Il me faisait manger ses couilles. Je ne voyais que cela. J’étais son petit objet sexuel.
Son membre était bien dressé. Il releva mes fesses et me pénétra le fion.
- Hum.. j’aime vous enculer ainsi à froid. Sentir votre petite rondelle céder et voir votre regard de stupéfaction me rend complètement fou.
J’allais répondre quand il me remis le gag ball.
Il me pilonnait encore et encore. Il me retourna et cette fois changea sa position. Il était debout écartant mes fesses, dos à moi. Cette position me rendait folle, complètement putain, chienne et j’adorais cela.
Doucement, il entra, puis ressorta. Il écartait deplus belles mes fesses. Et il resta là à regarder. A regarder mon trou ouvert après ses assauts.
Il prit alors mon string et s’amusa à introduire les perles dans mon cul..
- Oh je pense qu’il faut plus pour vous fourrer au mieux.
Il revena avec un gode qui se gonflait.
- Je veux que votre cul soit bien ouvert. On va y travailler.
Je me sentais si excitée. Il me mit en place et commença par le gonfler une première fois, puis une seconde. Il s’amusait à me fourrer au mieux avec. Il continuait à le faire grossir au point qu’il n’arrivait plus trop à le rentrer et le sortir.
- Votre chatte est si trempée ma chère… Je ne vais pas la laisser délaisser ains. Il me caressa le clitoris tout en y fourrant 3 doigts.
- J’aime vous voir ainsi contrainte, fourrée et doigtée.
Il s’arrêta d’un seul coup.
Il admirait alors son travail. Allongée et gondée, contrainte.
- Je vais vous laisser un peu, votre cul ainsi.
Il faisait un peu de rangement, en ne prêtant que peu d’attention. Il reçu alors un appel téléphonique. Je me sentais vexée.
Il m’observait en étant assis. Je me dandinais de cette position qui commençaient à se faire longue. Mon regard se faisait suppliant.
- Hum, oui ce soir, on peut dire que je suis veinard. Depuis peu j’ai un nouvel animal de compagnie. Je suis en plein dressage…
Il se releva et sortit de la pièce. Quand il revient, il m’ôta les liens et le gode. Il me tira alors par les cheveux. Et me fît marcher à quatre pattes contre lui.
- Allez montez comme une bonne petite chienne.
Il me fit mettre à genou sur le canapé, les bras sur le dossier.
- Cambrez vous mieux que ça.
Il caressait mon dos, mes cheveux. Il les rassembla pour les prendre en main.
- Vous êtes si belle, si princesse et chienne à la fois. J’ai tellement envie de vous faire de choses bien vilaines et perverses.
Il me relevait en tenant mes cheveux pour mettre son bras contre ma gorge. Son souffle si chaud. Il m’embrassait passionnément le cou jusqu’à le mordre. Il me pénétra alors doucement.
A ce moment là c’était si bestial et sensuel. Nous étions alors àl’unission. IL me faisait l’amour avec passion sauvage. Le loup était sorti, il possédait sa louve. Tout mon corps frémissait.
Il ne bougeait plus, me laissons prendre le contrôle à aller et venir contre lui, son sexe appelant si chaudement ma chatte. J’aimais longuement, entrer et sortir. M’empaler ensuite pour l’engouffrer au fond de mon sexe. Je bougeais les fesses, me déhanchais. Il m’agrippait les cheveux, les seins. Le temps s’était complètement arrêté.
Il me jeta alors la tête contre l’assise du canapé. Il lécha mon anus. Il y introduisit un doigt puis un autre.
- Encore, Monsieur, Encore..
J’avais si soif de lui. Il me rendait si chienne.
Il me doigtait avec quatre doigts.
- Humm .. hum.. je soupirais encore et encore.
Je sentais son souffle d’excitation. Je devinais son sexe fièrement dressé attendant de prendre la place de ses doigts.
- Prenez moi.. je ne tiens plus..
Il ne fit rien. Il me caressait le clitoris. Cela me rendait complètement folle. Je m’ouvrais encore et encore. Je me sentais à vouloir plus, tout naturellement. IL ne fit rien.
Il me prit à nouveau par mon petit trou. Il tenait mes fesses de chaque côté. J’aimais quand il me baisait ainsi. Je sentais doucement aussi son abandon dans le contrôle qu’il a tout le temps dans ces moments là.
C’est dans cet abandon où nous existons, il est nu, prêt à jouir. Il ne se retenait plus.
Je sentis ses coups se saccader annonçant son plaisir. Il se jeta ensuite sur moi.
A ce moment, j’entendis Lana Del Rey, ride dans sa version longue.. Cette musique me plongea alors dans une atmosphère de ce moment parfait.
Il me protégeait avec son corps de cette chaleur. Je voulais rester ainsi lovée. Son sexe était encore en moi. Son cœur battait contre mon dos.. Boum Boum.. Boum Boum..
je le sentais fort.
je voulais que ce moment ne s’arrête jamais.
Doucement je sentis son cœur ralentir.. ralentir. Il me tenait par les poignets me faisant sentir sienne.
Il ne disait aucun mot. Nous étions nus sur le canapé, allongés.
Lui sur moi m'enveloppant.
Jamais je n’avais ressenti une si belle symbiose.
Il était mon loup,. Avec lui je pouvais me sentir tout affronter, tout subir, tout ressentir..
Peut être suis-je folle d’éprouver cela cela mais au fond, l’instant présent il faut savoir le savourer.
La louve était réveillée, lui était là à se reposer sur elle. Je prendrais soin de lui comme il prend soin de moi.
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Joe et Pam ont pris la route dans un 4x4 transformers de l'armée, équipé de 4 rotors intégrés et pouvant se déplacer au besoin comme un drone. Enfin des vacances. Fini pour quelques jours les recherches interminables, les lignes de codes, les heures à corriger des erreurs ou à les débusquer. C'est Pam qui conduit, enfin, qui tient le volant, car cet engin se conduit seul si besoin. il suffit de lui dire où l'on veut aller et il fait le reste.
C'est Joe qui a voulu y aller de cette façon, en voiture, sur les interminables autoroutes où il ne faut pas dépasser le 80. Cela pourrait sembler d'un triste mais cela repose les cerveaux de nos deux chercheurs en implants cérébraux
-Alors, c'était bien l'enterrement de ta vie de garçon avec Louisa?
Joe ne répond pas de suite. Il regarde Pam.
-tu as trouvé l'accès. C'est bien. J'ai les mêmes implants que toi dans la tête. C'est d'ailleurs par moi que j'ai commencé pour tester. Donc essayons....nous n'avons plus besoin de parler....tu me reçois?
-parfaitement. Nous sommes les deux premiers humains connectés directement par nos implants cerebraux. Nous n'avons plus besoin de mots ni de paroles, je peux suivre tes pensées et toi les miennes.
-Je vois que tu as compris et que je blaguais avec ma demande en mariage à Las Végas. Nous sommes déjà unis comme jamais des humains ne l'ont été. C'est pour cela que j'ai voulu que l'on parte de la base, pour explorer les possibilités incroyables qui s'offrent à nous au grand air.
- C'est fou, j'arrive à voir à travers tes yeux. Je peux presque être toi....
-juste la partie mécanique....le reste est impossible à connecter pour l'instant. Je n'ai pas encore accès à tes mémoires akashiques par exemple.
-Cela me donne envie de baiser ce truc. Viens on s’arrête pour faire l'amour. j'en ai besoin.
- Moi aussi Pam, j'ai envie de baiser mais c'est pas d'aujourd'hui, c'est depuis le premier jour que je t'ai vu.
-Et tu n'as pas osé te déclarer? Tu as préféré te taper Louisa. Bon, je m'en fou, je ne suis pas jalouse et je crois que je n'étais pas prête. Tu sais, je suis encore vierge.
-Pas pour longtemps, sort de cette autoroute et arrêtons nous où tu voudras. Déclenche le vol dronique cela ira plus vite.
Le 4X4 transformers s'est élevé doucement dans le ciel porté par ses 4 rotors. Pam s'est dirigé au milieu d'un champ de mais et s'est posée en douceur. Elle a été prise d'une frénésie. Elle a viré sa jupe et sa culotte, dégraffé le pantalon de Joe, sorti son membre au garde à vous et s'est embrochée d'un coup, elle dessus, à califourchon, sans le moindre préliminaire. Puis elle est restée fichée. Du sang coule sur ses cuisses. Elle n'a pas mal.
-Viens on échange nos ressentis. Là, j'y suis. Je sens ta bite tendue et gonflée, ton envie de me bourrer et d'éjaculer. Tu es amusant Joe. Oui, je t'aime. Tu es le savant le plus fou de l'Arizona. Je t'aime.
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Originaires de Thrace, région considérée par les Grecs comme le pays de la lumière:
ce nom avait un sens symbolique signifiant le pays de la pure doctrine et de la poésie
sacrée qui en procède. Dès l'origine, elles étaient trois déesses de la montagne sans
attributions définies, qui se contentaient d'inspirer les chants, guidées par leur coryphée,
Apollon. Ce sont ces Trois Muses qui apprirent au Sphinx installé sur le mont Phicion la
devinette qu'il posait à tous les voyageurs. Les Muses, du grec ancien ?????? / Moûsai,
devinrent plus tard les filles de Zeus et de Mnémosyne, déesse de la Mémoire, ou
d'Ouranos et de Gaïa, magnifiques jeunes femmes dont la beauté enchantait les dieux
de l'Olympe. Bienveillantes et compatissantes, elles consolaient ceux qui souffraient:
ce sont elles qui recueillirent les membres d'Orphée et les enterrèrent au pied du mont
Olympe. Sur la terre, ces déesses du rythme et des nombres présidaient aux arts,
procuraient l'inspiration poétique aux poètes qui venaient se rafraîchir dans les fontaines
situées près de leurs sanctuaires, sur le mont Hélicon, à Sparte, et à travers la Grèce.
Au moment des batailles, les Doriens les invoquaient parce qu'elles présidaient aux
mouvements mesurés des troupes de soldats.
Vers le IX ème siècle, Hésiode en comptait neuf, présidant chacune à un art spécifique sous la houlette
d'Apollon nommé alors "Musagète." Les neufs Muses classiques sont: Calliope, "à la belle voix" ou "celle
qui dit bien", la Muse de la Poésie épique, qui célèbre les événements historiques plus ou moins légendaires
et magnifie la grandeur et la force des héros, ses attributs sont l’éloquence pour les récits de combats et
d’exploits, un stylet et une tablette de cire. Clio, "la célèbre", la Muse de l’Histoire, ses attributs sont une
couronne de laurier, la trompette de la renommée et un rouleau de papyrus. Erato, "l’aimable", la Muse de
la Poésie lyrique qui traduit les émotions, les sentiments, les amours, la mort et parfois galante, ses attributs
sont la lyre et le plectre, petit instrument pour pincer les cordes. Euterpe, "la bien plaisante", la Muse de la
Musique a pour attribut la flute et le hautbois. Melpomène, "la chanteuse", la Muse de la Tragédie, son
attribut est le masque tragique. Polymnie, "aux chants multiples", la Muse du Chant sacré et de la
pantomime, de la Rhétorique, de l’art oratoire, du discours et de l’éloquence. Elle est représentée dans une
attitude pensive accoudée sur un appui ou parfois la main droite en action comme pour haranguer et la main
gauche tient un sceptre ou un rouleau. Elle inspire les poètes. Terpsichore, dont la danse séduit", la Muse de
la Danse, son attribut est la lyre. Thalie, "la florissante", la Muse de la Comédie et de la poésie pastorale, des
amours de bergers, ode à la nature, ses attributs sont le masque comique et la houlette, bâton de berger.
Uranie, "la céleste", la Muse de l’Astronomie et de l’Astrologie, ses attributs sont un globe terrestre et des
instruments mathématiques (compas…).
Les premiers textes de la littérature grecque commencent souvent par une invocation aux Muses qui permet de
situer un poète dans le contexte de son poème. À ce titre, les deux incipit homériques sont des modèles célèbres
que les auteurs ultérieurs n’hésitèrent pas à reprendre et à commenter. Par-delà le caractère conventionnel de
l’exercice, c’est une conception spécifique de la création poétique que l’invocation homérique des Muses nous
invite à méditer. Le mot "muse" vient du grec mousa, la parole chantée, la parole rythmée. Le sens originel du
terme grec est cependant mal défini et son étymologie obscure. Quant aux Muses, déesses de la musique, de
la poésie et du savoir, elles sont ainsi présentées dans la Théogonie d’Hésiode, qui est l’un des premiers
témoignages littéraires: "Les neuf sœurs issues du grand Zeus se nomment Clio, Euterpe, Thalie et Melpomène,
Terpsichore, Érato, Polymnie, Uranie, et Calliope enfin, la première de toutes."
Dans leur généalogie la plus couramment admise, celle qu’Hésiode reprend, les divines chanteuses sont issues
de l’union de Mnémosyne, déesse de la mémoire, avec Zeus, pendant neuf nuits: "C’est en Piérie qu’unie au
Cronide, leur père, les enfanta Mnémosyne, reine des coteaux d’Éleuthère, à elle, neuf nuits durant, s’unissait le
prudent Zeus, monté, loin des Immortels, dans sa couche sainte. Et quand vint la fin d’une année et le retour
des saisons, elle enfanta neuf filles, aux cœurs pareils, qui n’ont en leur poitrine souci que de chant et gardent
leur âme libre de chagrin, près de la plus haute cime de l’Olympe neigeux."
Dès leur naissance, elles vont vers l’Olympe et chantent le triomphe de Zeus; leur chant, organisé autour de
l’histoire des dieux, éveille la vocation d’Hésiode au pied de l’Hélicon. Ces deux massifs montagneux sont associés
aux Muses, ce qui explique la présence fréquente d’un décor rocheux dans les représentations figurées. En
permettant cette vocation, les Muses transforment le poète en voyant d’un genre particulier. Voici comment elles
s’adressent à lui: "Pâtres gîtés aux champs, tristes opprobres de la terre qui n’êtes rien que ventres ! Nous savons
conter des mensonges tout pareils aux réalités; mais nous savons aussi, lorsque nous le voulons, proclamer des
vérités."
D’après certains commentateurs, Hésiode pourrait reprendre ici un vers de l’Odyssée, qui dépeint la force persuasive
d’Ulysse: "Tous ces mensonges, il leur donnait l’apparence de vérités." L’allusion possible à l’épopée homérique lui
permettrait de se démarquer des propos mensongers d’Ulysse en affirmant le caractère sacré et véridique de sa propre
poésie, qui n’est plus seulement humaine, mais divine, car inspirée. Hésiode ne naît donc pas poète, mais plutôt berger:
pour devenir poète, encore faut-il être élu par les Muses et recevoir leur éducation.
Par ailleurs, si le nombre de Muses est variable selon les témoignages, chacune semble avoir un rôle relativement bien
établi. Quatre Muses veillent à l’évolution de l’épopée et du chant, marquant la primauté de la musique dans l’univers.
Calliope, mère du poète Orphée, épouse d’Apollon, préside à la poésie épique ; on la représente souvent entourée de
l’Iliade et de l’Odyssée. C’est elle qui est le plus souvent citée par les poètes. Muse de l’histoire, Clio chante la gloire
des guerriers et la renommée d’un peuple, à l’aide de la trompette ou de la cithare. La lyre, instrument fréquemment cité
chez Homère, accompagne Érato, la Muse de la poésie lyrique. Lyre encore, mais aussi cithare et trompette, autant
d’instruments qui entourent Euterpe, déesse de la musique.
Plutôt que les noms précis des Muses, c’est le terme générique qui apparaît chez Homère, souvent au singulier. Dans
l’incipit de l’Odyssée, "la Muse" est l’inspiratrice du Poète, puis, dans le chant VIII, de l’aède Démodocos. De façon
générale, dans les invocations comme dans les représentations figurées, une seule Muse suffit à représenter ses
sœurs. Sa présence est cependant nécessaire pour garantir la beauté et la vérité de la parole poétique.
En un temps où l’idée d’auteur est moins nettement définie qu’aujourd’hui, la Muse joue un rôle essentiel. Née d’une
oralité secrète, l’inspiration est la seule notion qui vaille. Soufflée par la Muse, elle régit un poète qui ignore le désir
de création. Une chaîne se déploie, reliant la Muse, l’aède, l’auditoire:
"De tous les hommes de la terre, les aèdes méritent les honneurs et le respect, car c’est la Muse, aimant la race des
chanteurs, qui les inspire." (Odyssée, VIII, 479-481)
La Muse, de son côté, fait connaître les événements passés. Il ne s’agit peut-être pas d’un passé historique, au sens
moderne du terme, mais plutôt d’"un temps originel, un temps poétique" : c’est le temps des héros. Pour qu’elle devienne
vérité, la parole poétique est indissociable de la Muse et de la mémoire, et l’aède ne peut opposer à la Muse son propre
savoir. Il est inspiré par les voix des Muses "à l’unisson", celles qui, échappant à la temporalité humaine, voient "ce qui
est, ce qui sera, ce qui fut".
La Muse propose une mémoire omnisciente, non sélective, elle permet au Poète d’avoir accès aux événements qu’il
raconte et de déchiffrer l’invisible. " "Et maintenant, dites-moi, Muses, habitantes de l’Olympe, car vous êtes, vous, des
déesses: partout présentes, vous savez tout, nous n’entendons qu’un bruit, nous, et ne savons rien." (Iliade, II, 485-486.)
Dans l’Iliade, les Muses voient de manière directe les événements que l’aède souhaite narrer; cette "autopsie" des Muses,
selon le sens étymologique du terme, est opposée au savoir indirect, "par ouï-dire", des poètes qui se contentent de
reproduire ce qui leur est indiqué. Le poète entend la voix des Muses et l’inspiration surgit. Ainsi l’Iliade se déploie par le
recours à la personne du Poète, instrument aux mains de la Muse.
La parole du Poète permet d’échapper au silence et à la mort. Elle lutte contre l'oubli que représentent par exemple les
Sirènes, figures antithétiques des Muses mais qui, comme elles, savent "tout ce qui advient sur la terre féconde"
(Odyssée, XII, 191). Parfois considérées comme les filles de Melpomène, de Terpsichore ou de Calliope, les Sirènes,
remarquables musiciennes, auraient perdu leurs ailes à la suite d’un concours de chant avec les Muses: ces dernières
auraient arraché leurs plumes pour s’en faire des couronnes.
Honteuses de leur déchéance, elles se seraient alors réfugiées dans les rochers de la côte méridionale de l’Italie, d’où
elles attirent les navigateurs. Ainsi chantent-elles, en promettant au marin Ulysse de lui donner le pouvoir de connaître
à l’avance tous les événements à venir. Le héros résiste, car il sait par Circé que leur chant est signe de mort. Son désir
est pourtant immense. En luttant contre les voix ensorcelantes de ces Muses maléfiques que sont les Sirènes, Ulysse
refuse l’oubli de soi; son choix éclaire l’acte de l’aède qui se fait le servant des véritables Muses: la Muse maintient la
mémoire des hommes et crée l’épopée. Le chant de l’aède porte une identité et insuffle la vie.
Le culte des Muses est originaire de Piérie en Thrace. Il s’est répandu ensuite en Béotie autour de l’Hélicon.
Il eut pour centres, les villes d’Ascra et de Thespies. Athènes leur consacra une colline voisine de l’Acropole.
Delphes les honora aux côtés d’Apollon. Leur ancien caractère de nymphes des sources explique que de nombreuses
fontaines étaient consacrées aux Muses. Les représentations des Muses sont nombreuses, sur les vases peints, les
monnaies, les bas-reliefs, les fresques de Pompéi, de nombreuses statues. Un bas-relief au Louvre décorait autrefois
les trois faces apparentes d’un sarcophage dit "le sarcophage des muses" du Louvre représente les neuf Muses.
En peinture, par le Tintoret, "L’assemblée des Muses sur le Parnasse" présidée par Apollon, par Eustache Le Sueur,
les neuf Muses, dans cinq tableaux aujourd’hui au Louvre, par Ingres "la Naissance des Muses" et par Gustave
Moreau, "Hésiode et les Muses" (1860).
Dans l'inconscient masculin, les Muses incarnent l'image nostalgique de la fée qui console dans les heures
douloureuses, panse les plaies psychiques ou qui inspire les grandes œuvres. Cette image souvent magnifiée,
idéalisée est celle de la vierge, terrain inexploré, tabou qui hantâ les rêves de maint séducteurs ou de la femme
idéale et inaccessible.
Bibliographie et références:
- Apollodore, "Bibliothèque"
- Apollonios de Rhodes, "Argonautiques"
- Hérodote, "Histoires"
- Hésiode, "Théogonie"
- Homère, "Iliade"
- Ovide, "Fastes"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- Pindare, "Pythiques"
- Pindare, "Odes et Fragments"
- Platon, "Phèdre"
- Théophraste, "Histoire
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Maitresse Isabelle et son époux et esclave le dévoué Ben, n'ont pas vu le temps passer. Entre le job à l'agence gouvernementale, la synagogue pour femmes et les missions pour le Mossad, les jours se sont écoulés comme dans un rêve tourbillon. Maitresse Isabelle a estimé qu'il était venu le temps pour elle de procréer et donc de se donner à Ben.
-il est temps de consommer ce mariage, mon époux chéri, il est temps pour moi de perdre ma virginité et toi ton pucelage. Nous avons passé la trentaine, nous avons su attendre de façon chaste dans la foi. Dieu va bénir notre union.
Ben ne comprend pas vraiment. Il émerge du subspace et commence à bander. Il a peur du fouet cinglant. Maitresse Isabelle le regarde et sourit:
-Non, je ne vais pas te fouetter jusqu'au sang. Cette fois tu peux bander librement pour m'honorer et me donner le meilleur de ta semence.
Maitresse Isabelle se déshabille et enlève son pagne traditionnel en coton. Elle montre son sexe pour la première fois en huit ans de mariage à son époux. Ce dernier l’observe et ne dit rien. Il s'approche et commence par sentir le sexe de sa femme qui est d'une odeur extatique. Il ne peut résister à l'envie de l'embrasser de le déguster. Sa femme écarte les jambes et s'offre complètement. La langue de Ben devient fébrile. Il explore tous les coins et recoins humides, s'enfonce partout où il peut. Ses lèvres aspirent le clitoris qui s'est dressé et Maitresse Isabelle ne peut retenir un orgasme violent.
Ben s'allonge sur sa femme. Il veut la pénétrer.Mais c'est impossible. Elle est complètement fermée, comme si son vagin était soudé. Rien à faire. Chaque fois Ben éjacule en surface, sur la douce toison de sa femme.
-C'est pas grave mon chéri, dit Maitresse Isabelle. Nous devons insister et réessayer, encore et encore. Mon sexe finira bien par s'ouvrir comme la mer rouge frappée par le bâton de Moïse.
Ben imagine cela. Il a le bâton de Moïse entre les jambes. Il frappe à l'entrée du sexe de sa femme. Et cette fois cela s'ouvre d'un coup. Il est au fond, le pénis enserré dans un fourreau d'une volupté incroyable. Il veut y rester, se retenir....faire durer....il ne bouge plus....c'est trop bon.
La sève monte, monte. Il essaie de la retenir. Impossible. Il explose tout son foutre. Il hurle. C'est divin.
Maitresse Isabelle et Ben ont baisé sans arrêt pendant 21 jours, sauf pendant les jours de Sabbat. La bénédiction attendue est arrivée. Maitresse Isabelle a commencé à attendre son enfant dans la joie.
Cela réussi, Ben est retourné dans son chaste subspace. Ses bandaisons ont disparu en quelques jours. Il a eu de nouveau droit à ses traites hebdomadaires pour rester en forme. Maitresse Isabelle s'est arrondie et est devenue d'une beauté incroyable, celle de la femme comblée et épanouie.
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Maitresse Isabelle et son esclave dévoué, le beau Ben, vivent heureux et discrets. Mais l'étude des lettres hébraïques et de la Torah par Maitresse Isabelle est très mal vue dans sa communauté, du moins en apparence. il est des agences de renseignements qui observent tout et savent faire pression. Les rabbins qui voient d'un oeil torve les progrès de Maitresse Isabelle dans l'étude des Saintes Écritures, viennent de recevoir la visite d'un agent du Mossad. Ils doivent vite faire des courbettes. il est des menaces et des ordres qu'il est préférable de ne pas ignorer.
Ces mêmes rabbins sont vite allé voir Maitresse Isabelle et se sont aplatis en excuses. Ils lui ont décerné le titre spécial de Rabbouna. Ils lui ont en outre remis des fonds pour qu'elle parte habiter dans un beau pavillon de banlieue avec une synagogue intégrée, uniquement réservée aux femmes de la communauté.
Ceci fait, l'agent du Mossad est allé trouver Maitresse Isabelle et il n'a eu aucun mal à la recruter ainsi que son esclave Ben. De toute façon, eux aussi n'avaient pas le choix
Ben, le toutou docile à sa maitresse a reçu une formation spéciale, pour devenir une bête de guerre. Krav Maga, tirs, usage de toutes sortes d'armes, bref , il est méconnaissable. Pourtant il est toujours puceau et complètement l'esclave de sa Maitresse. Une sorte de moine qui vit dans un subspace, connu de lui seul..
-Tu auras le droit de me faire l'amour, uniquement pour procréer et nous nous devons une fidélité absolue dans le mariage, n'oublie pas!
Maitresse Isabelle, plus elle étudie la Torah, et plus elle devient d'une orthodoxie à faire peur.
Leurs vacances, ils les passent en Terre Sainte. Ben est placé de force dans un camp des forces spéciales où il n'a guère le temps de bronzer. Maitresse Isabelle a droit à un accès à la meilleure université de Jérusalem et elle passe son temps à se disputer avec les docteurs de la Loi.
Une vie bien sage. Il faut se méfier des vies trop sages. L'orage n'est pas loin. Le Mossad va vouloir des missions.
Ben vient passer le Sabbat aux pieds de sa Maitresse. Avant que le Sabbat ne commence il a droit à sa traite hebdomadaire. Histoire de maintenir en bon état son appareil reproductif. Il n'a toujours pas vu la chatte de sa femme mais il n'est pas en manque. Dans son subspace il a passé la fosse des Mariannes depuis longtemps. IL vit dans une sorte de béatitude. Obéir à sa Maitresse lui va si bien.
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Désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue, je déguste de succulents fruits rouges..
Chapitres précédents : Première ( Acte 1) / Ceinture (Acte 2)
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Acte 3
Il était totalement dans mon esprit avec ces deux moments intenses avec lui.
Cela faisait deux semaines qu’on ne s’était pas vu mais il gardait ce lien entre nous. Il voulait savoir ce que je faisais, il trouvait toujours un moment pour m’accorder quelques minutes ou un message envoyé via Whatsapp. Ce sentiment de compter est si doux. Celui de se sentir respecter.
On devait se voir ce soir. J’avais hâte.
« Je ne veux pas que vous vous caresseriez pendant nos absences. Si vous le faîtes, vous m’en avertirez ».
Au départ, je me suis prise à jouer le jeu. J’avoue que j’aime me caresser très régulièrement. Là, c’était divinement cruel que de résister. Je lui faisais mes aveux, mes difficultés à résister, à lui faire part de mon excitation.
Il voulait avoir ce contrôle à savoir ce que je faisais, non pas par jalousie ou ce côté malveillant. Il avait un tel degré d’empathie. Je pouvais lui parler petits soucis existentiels genre chiffons, shopping, comme des problèmes plus intimes ou des causes que j’affectionne. Je pouvais être moi avec mes états d ‘humeur.
Être Zèbre.. une découverte. Durant des années, je m’étais sentie si à part. Cela avait était une révélation à me dire au fond, pourquoi lutter contre qui je suis. L’hypersensibilité de mes sens, ce besoin de respect des valeurs, ce sens de la justice.. Être dans le détail de tout.. Toujours cette recherche de la perfection.
Cela m’avait permis de comprendre mes coups de fatigue soudain, mes changements d’humeur quand un de mes sens était mis à rude épreuve..Par exemple, une lumière trop forte ou une musique qui me tape sur le système. J’aime me retrouver dans le calme, être solitaire, méditer tout en ayant ce besoin aussi d’interactions sociales. J’ai envie trouver mon bonheur seule. Alors le choix de mon partenaire se fait non par parce que j’ai besoin de quelqu’un mais parce qu’avec lui je partage un lien que nous seuls pouvant partager.
Majorité d’hommes me trouve complexes, à faire peur. Lui avait creusé, il avait compris ce qu’il y avait entre les lignes. Et je le suspectais aussi d’être un zèbre comme moi. Mais au fond, ce n’est pas le plus important. Ce qui l’est c’est cette franchise et cette sincérité que nous avons. Pas de tricheries. Nous étions nous-mêmes.
Je sonnais à sa porte.
Il ouvrit. Il avait ce charisme où je me retrouvais toute timide, où il me faisait sentir femme et soumise naturellement.
Je pénétrais dans son antre. Je déposais mes affaires.
Il me prit alors dans ses bras. Il m’enlaçait. Je sentais toute cette chaleur me réconforter. Il m’embrassa avec une telle douceur pour ensuite prendre possession de mes lèvres avec passion.
Ses mains passaient dans mes cheveux.
- Hum votre parfum… je crains qu’il m’ait capturé.. à moins que ce ne soit vous ma chère Demoiselle.
Je le regardais en lui souriant lui rendant son baiser.
Quand il posa sa main sur ma joue, je la penchais encore plus pour profiter de cet instant où je m’abandonnais.
- Allez prendre votre place, je vous prie.
Comme il me l’avait demandé lors de notre dernière entrevue, je me mis au milieu de son séjour. IL avait déposé un grand cousin au sol. J’allais alors m’installer sur cette place si confortable à genou.
Je baissais alors la tête.
A ce moment là, tous mes sens étaient complètement décuplés. Il me faisait vibrer dans cette pièce où je peux tout libérer.
Je voulais qu’il me touche, qu’il me possède, qu’il me pénètre. Ressentir cette appartenance, cette passion dévorante à être à ses pieds pour qu’il me donne atteindre ces sommets de plaisirs qu’on s’apporte. L’un sans l’autre ne pouvons exister.
Il avait mis en bruit de fin une musique Massive Attack.. Angel… J'adorais cette musique si possédante.
Soudain, je sentis sa main se poser dans le creux de mon dos et remonter doucement vers ma nuque.
Il me dit à l’oreille
- Je crois Mademoiselle Lane, que vous soyez trop habillée à mon goût
Avec sensualité il défaisait mon chemisier. Bouton par bouton… C’était si érotique.. IL prenait son temps. La température montait.
Il enlevait doucement mon chemisier. Mes seins étaient nus. Doucement il les effleura pour ensuite s’en emparer. Il m’embrassait le cou, il me léchait. Il était félin.
Je sentis alors la douceur d’un tissu partir du creux de mon dos pour ensuite s’égarer sur mes épaules. Je frissonnais.
Il plaça alors un bandeau en satin sur mes yeux.
Il continua alors encore à me caresser les seins. La douceur de ses mains sur ma peau me rendait complètement folle . IL m’éffleurait. Il déscendit sur ma jupe. Il descendit alors la fermeture éclair.
Je la sentis me libérer la taille. Il m’empoigna sensuellement les cheveux pour me jeter en avant, à quatre pattes.
D’un geste animale il me l’enleva. Je l’aidais à cette tache. J’étais alors à quatre pattes.
Durant quelque instant, je le sentis debout à me regarder.
Je n’avais pas mis de culotte comme il me l’avait demandé.
Il posa sa main à la naissance de mon anus. Il appuya légèrement pour me faire ressentir dans mon petit cul le rosebud qu’il m’avait demandé d’y placer.
Il tenait dans sa main sa cravache. Il me releva le menton.
- Redressez- vous je vous prie.
Il inspecta ma posture. Il tapa mes mains.
- Paume vers le haut !
L’intérieur des cuisses aussi fût corriger. Il les écarta davantage.
Il caressa mon dos avec. Il claqua mes fesses. Je fus surprise. Il me sortait de ma torpeur.
- Voilà qui est bien dressée maintenant. Mains dans le dos, et ouvrez votre bouche je vous prie.
Il y plaça la cravache.
- Vos seins ma chère, je vais prendre plaisir eux aussi à les dresser.
Il commença par les gifler plusieurs fois. Je trésaillais. Puis il alterna avec des caresses pour ensuite s’en emparer à nouveau. Je le sentis ensuite dans mon dos.
Je m’abandonnais contre lui. Il saisit mes tétons et les tira.
- Vous me direz stop… quand ou si cela est trop sensible pour vos petits seins.
- Je… Oui.. Monsieur, je vous remercie.
Il commença par bien les pressés. Je me mordais la cravache. Cette douleur qui laissait place à un soulagement quand il stoppait la pression. Quand il recommençait cette fois il les tira en avant.
- Chut…. Je ne veux rien entendre.
Je mordais encore cette cravache pour contenir mon plaisir, ma douleur.
- Vos tétons dressés sont parfaits ainsi.
Soudain, je sentis la douceur d’une corde. Je savais qu’il allait tisser sa toile pour m’emprisonner dedans. La corde passait autours de mes seins, de mon cou, de mon dos, de mes bras. IL m’emprisonna les mains dans le dos. Mes avants bras était attachés, mes mains touchant presque mes coudes de part et d’autres.
- Hum, sublime. Vous devriez vous voir ainsi. Emprisonnée, à disposition..
Il saisit alors la cravache.
Il la passa sur mes seins qui était quelque peu comprimé, comme gonflés. Il y donna quelques coups.
Je pinçais alors mes lèvres.
- Levez vous.
Je tentais de me lever, ce qui n’était pas chose facile attachée ainsi. J’avais perdue de ma superbe, me sentant malhabile. Je sentais qu’il était tout proche à veiller. Je ne risquais au pire que de tomber sur ce cousin énorme si confortable.
Une fois redressée, il me prit alors par les cheveux.
- Prête, petite chienne ?
Quand il m’appelait ainsi, cela me rendait toute chose..
- Oui.. Monsieur, prête à être votre petite chienne.
- Humm…
Il me tirait par les cheveux qu’il tenait contre ma nuque. IL me faisait avancer. Je ne savais pas où j’allais. Je tatonais des pieds.
- Ne vous inquiétez pas, je suis là, vous n’allez pas vous cogner.
Puis d’un seul coup, il m’agenouilla au sol pour m’asseoir sur les fesses.
Je sentis alors que j’étais au sol, dos au canapé.
- Ecartez bien vos jambes de chienne, que j’admire votre chatte déjà bien trempée.
Il me domptait. Je voulais obéir. Pourquoi résister ?
Sans aucun ménagement, il mit des doigts dans ma bouche. Je léchais, je suçais..
- Bonne petite bouche suceuse.
- Ouvrez la bien. Sortez votre langue.
- La voulez-vous ?
- Oui.. Monsieur, je la veux.
Il me pénétra ainsi avec sauvagerie. Il plaça ses mains derrière ma tête. Il prenait le contrôle . Je n’avais pas le temps de reprendre mon souffle tellement ses va et vient étaient si rapides.
Soudain il bloqua sa queue bien au fond.
- Humm…..
Puis il reprenait.. je reprenais alors mon souffle. Il m’assaillait littéralement. Je pleurais presque. IL me dépravait ou plutôt il révélait ma dépravation.
Quand il s’arreta, je sentis sa main sur mon cou pour me faire mettre la tête contre l’assise du canapé.
- Sortez votre langue.
Il s’assit alors sur mon visage afin de me faire lécher ses couilles. Elles étaient douces, lisses. C’était si agréable à lécher.
- Restez ainsi en attente, petite putain.
Je me demandais ce qu’il faisait je restais ainsi. Soudain, je sentis quelque chose au bout de ma langue.. Un fruit… Il s’amusait à l’entrer, le sortir… je voulais croquer.. cette cerise. Je sentais la queue de la cerise céder. C’était si bon.
Je plaçais alors le noyau sur le bout de ma langue pour qu’il me l’ote..
Il me fit déguster ainsi un de mes fruits préférés…
Il me saisit par les cheveux et me redressa.
- Buvez…
Humm.. un délicieux champagne qui allait probablement me rendre des plus pétillantes.
Il me caressait alors la lèvre avec un autre fruit, cette fois je devinais une framboise… Quoi que plus divin que des framboises…
- Vous êtes si sensuelle quand vous vous délectez..
Puis il continua sa dégustation alternant les fruits et le champagne.
- Hum.. Maras des bois dis-je.. ma fraise préférée.
Je souris…
- Hum.. Merci Monsieur.
J’aime les fruits rouge.. rouge comme vos lèvres.. qui donne envie d’être croquées, malmenées, dévorées…
Cette alternance de sensualité et de bestialité sauvage me rendaient complètement addict.
L’alcool me montait légèrement à la tête. J’adorais cette sensation.
- Encore Monsieur.. encore…
- Que voulez-vous.
- Encore du champagne s’il vous plait.
Il me donnait encore à boire.
- Vous savez que cette faveur va vous coûter..
Je souris… Je souris un peu moins que je sentis le métal des pinces sur mes seins.
- Pas de bruit. Je vais les serrer un peu plus que la dernière fois.
Il prit alors les tétons pour les tirer à lui. Instinctivement je me redressais.
Il positionna alors la première pince. Il serra en effet un peu plus que la dernière fois, mais cela était supportable.
- Voilà votre champagne, petite chienne de luxe.
Je me délectais.
J’avalais ce nectar quand il la seconde pince sur mon téton gauche. Je pinçais alors mes lèvres.
- Voilà, vous êtes bien ornés maintenant. Cette chaîne est parfaite pour le maintien.
Il tira dessus. Je criais alors. J’étais bien droite.
Il me redonna du champagne.
- Vous voyez, je vous récompense.
Je souris. Il me laissa ensuite ainsi au sol. Quand je ne sentais pas sa présence, je me sentais abandonnais. La privation de la vue me rendait encore plus sensible au son et aux odeurs. Quand il se rapprochait, je sentais son parfum me cueillir, quand j’entendais ses pas, je trésaillais à vouloir être contre lui tout en ayant cette peur de l’inconnu. J’adorais cette excitation.
Il me releva. Il caressa mes fesses. Il s’était alors assis. Il commença à les claquer…
- Penchez vous en avant.
Il écarta alors mes fesses… Il vérifia encore le rosebud.
- Hum il tient bien en place. Je compte bien vous ouvrir davantage après.
Je sentis qu’il s’assit confortablement.
- Baissez vous.
Je butais alors contre quelque chose de dur au niveau de mon entre-jambe.
- Empalez vous.
- Voilà, doucement, remplissez votre chatte.
C’est là que je sentis qu’il me glissa à nouveau sa ceinture autours de mon cou. Un de ses accessoires fétiches il semblerait.. comme le mien aussi.
- Maintenant, baisez vous.
Il me contrôlait en tenant la ceinture. En remontant, elle m’enserrait la gorge, augmentant ainsi mon excitation.
Je me laissais aller à ce qu’il m’offrait. Je me baisais alors choisissant mon rythme.
Il avait placé j’imagine un gode rattaché à sa cuisse.
Soudain il appuyait sur mes épaules pour me forcer a avoir le gode bien au fond.
- Déhanchez vous..
- Voilà… hum voilà..
Il prit à ce moment là la chaine et tira dessus… Je criais.
A ce moment là il me bâillonna avec sa main. Il prenait le contrôle. Il joua avec sa cuisse et commença à me baiser. J’étais contre lui impuissante. Cet abandon. De ne penser à rien, de subir, d’être libérée de ce besoin de contrôler, de réfléchir. De vivre l’instant présent.
- Debout et penchez vous.
Il se releva et me prit par les cheveux me forçant à me mettre le ventre contre la table basse. Les jambes contre le col.
Il m’écarta bien les fesses. Il saisit alors le rosebud.. Il commença à le sortir. Doucement .. puis le remetta à sa place.. Puis il sortait.
- Votre fion.. hum.. voir cette petite auréole cédée.. puis se refermer pour l’emprisonner..
- Je pense qu’il va vouloir bien plus gros.
Il commença par faire des petits cercles avec son doigt sur mon auréole. Puis il enfourra son pouce..
- Oh oui bien plus gros.
- Voulez-vous que votre fion soit comblé, élargi, écartelé.. doigté ?
Humm.. il voulait m’entendre le dire… je n’osai pas. Dans une voir murmurante.. je lui avouai :
- Oui, Monsieur, j’ai envie que mon petit fion soit comblé.
- Elargi et bien écartelé en vous doigtant ?
- Oui Monsieur…
Il s’approcha. Il claqua mes fesses
- Parfait petit chienne.
Il passa sa main sur ma chatte bien mouillée. Il humidifiant ses doigts.
- Combien de doigts vais-je vous fourrer ?
- Je ne sais pas Monsieur, autant que vous pourrez en mettre.
- Hum… voyons voir…
Il commença tout d’abord par m’en mettre un suivi rapidement d’un second.
- Hum… encore Monsieur…
J’aimais me sentir fouiller ainsi.. Il enfourna un troisième doigt.
- Hum vous vous ouvrez.. c’est si bon. Vous aimez ?
- Oui.. j’aime cela.
Je sentais alors qu’il rajoutait un quatrième doigt, son petit doigt. Il s’amusait à bien tendre ses doigts pour les aligner. Il entrait et sortait, les resserraient, les retendaient.
- Bonne petite chienne dit il en me tenant par les cheveux.
Hum… hum… je ne cessais de gémir comme la petite chienne en chaleur que j’étais.
Il sortit ses doigts tout en écartant mes fesses.
- Quel trou de salope !
Il me redressa en m’agrippant par mes avants bras qui était attachés dans le dos.
- Voilà, tout doux.
Une fois redressée, il écarta mes fesses tout en plaçant le gode sur mon fion.
Il mit sa main sur ma bouche tout en me tirant par les cheveux. D’une fermeté sévère il m’encula avec le gode.
- Je vais t’en mettre plein votre petit cul de salope, qui a envie de se faire défoncer. N’est ce pas ?
Je ne pouvais répondre. Frénétiquement il me baisait en jouant sa cuisse tout en me maintenant bien pour que je le sente au plus profond de mon fondement.
- Allez empalez vous bien petite putain… Voilà…
Je devinais qu’il me regardait. Il saisit alors la ceinture. Il serra bien fort et me força à m’encula j’avais vers le gode avec des vas et vient et lui venait avec sa cuisse me l’enfoncer .
- Petite salope !
Il me bâillonnait encore, il enfonçait alors son doigt dans ma bouche. Je le mordais , je le léchais, je lui montrais tout le plaisir qu’il me donnait.
Jetant sur le sol un cousin assez épais, il me balança dessus. Mes fesses étaient alors surélevées.
Frénétiquement il passa alors sa langue sur mon anus plusieurs fois. Il introduit deux doigts dans ma chatte et deux dans mon anus. Il jouait avec mes petits trous si trempés.
- Hum … oui…. Oui..
- Vous aimez ?
- Oui.. Monsieur j’aime ça…
- Voulez vous que je vous défonce bien comme une chienne ?
- Oui.. Monsieur défoncez moi je vous en prie.
- Ëtes vous ma putain ?
- Oui.. Monsieur, je suis votre putain.
Il ota alors ses doigts. Il m’encula sans prévenir. Il me tenait par les épaules pour bien me pénétrer. Je sentais sa queue me tenir, me saisir les entrailles.
Je hurlais façe a ses coups.
- Fermez votre gueule de putain !
Il me tira les cheveux et me chevaucha avec sa queue à me faire galoper le cul.
- Regardez mo ce trou béant.. je pourrai y fourrer bien plus que ma bite.
Il repris de plus belle.
Il me retourna ensuite sur le dos, soulevant bien mes fesses.
- Maintenant je vais avoir le choix.. Chatte ou cul.. ou bouche de salope.
- Prenez ce que vous voulez, je suis toute à vous.
Il se mit sur moi et me saisit la bouche avec sa main.
- Oh oui, vous êtes toute à moi et m’embrassa.
Il tourna mon visage avec sa main et appuya dessus pour que je ne le bouge plus.
Il posséda alors à nouveau mon petit fion. IL ne lui laissait aucun répit. Il agrippa mes cuisses pour accélérer au mieux sa cadence.
J’aimais quand il m’enculait ainsi. L’animal qu’il était. Cette fougue. Soudain il saisit ma chaine à téton. Je hurlais.
Il me gifla.
J’étais surprise. Il se pencha alors sur moi. Son souffle contre moi.
- J’aime me sentir en vous… C’est si chaud.. si bon..
Je soupirais de plaisir, de désir.. Il me bâillonna encore…
- Chut….
Et là il me donna trois grands coups si intenses que je m’en étais cambrée.
Il restait en moi. Il passait sa main sur mes seins. Il retira alors la première pince. Je ne pue retenir un cri. Doucement il les embrassa, les lécha… Il fit de même à l’autre.
Libérée de cette contrainte, la sensibilité de mes seins s’en trouvait encore accrue. Doucement il repris avec douceur sa sodomie.
Je sentis alors ses doigts s’introduire dans ma chatte en même temps.
- HUmmmmmmmmm… hummmm…
- Petite gourmande…
Je souriais. Comment pouvait il être aussi sensuel, doux et animal à la fois.
- J’aime voir ma petite chienne jouir…
Il enleva alors mon bandeau. Il plongeait son regard dans le mien.et me sourit.
Il était dressé fièrement à me prendre le cul, à posséder de ses doigts ma chatte si dégoulinante..
Il s’attardait aussi à caresser mon clitoris. Mes lèvres étaient gonflées. Je les pinçais. Je commençais à ne plus me tenir… Il avait une telle manière de me toucher, de me doigter, à caresser mon petit clitoris… Doucement je fermais les yeux.
- Ouvre tes yeux… je veux voir l’abandon dans votre regard
Je le regardais. J’avais presque envie de pleurer. Je contractais mes cuisses..
- Oh oui.. jouis ma belle.. jouis…
Je criais ma jouissance tout en le regardant. Je m’abandonnais totalement…
- Comme tu es belle…
Cette jouissance avait été si forte…
Il s’allongea contre moi. Pour me mettre dans ses bras. Il me mit sur le coté, lui derrière moi. Il me caressait les seins tout en m’embrassant dans le cou.
- Ce parfum me rend capable de toute les folies.. enfin pas que le parfum…
Je souris… J’étais encore sur mon petit nuage. Il le savait. IL me laissait savourer.
Au bout de quelques instants il se releva. Il pris le bandeau. Cette fois ci.. il le mit entre mes dents pour me bâillonner..
- Je n’ai pas fini de t’utiliser petite chienne.
Il me laissa là.. ligotée au milieu de son salon sur mon cousin de petite chienne…
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Le terme anal a traversé les siècles en conservant une connotation toujours péjorative. Au début du XXème
siècle, Freud fut le premier à prendre positon en faveur de l’érotisme anal (réflexions limitées au développement
de l’enfant cependant: "stade anal") affirmant ouvertement que l’attraction entre deux personnes du même sexe
était naturelle et que la bisexualité était innée. Mais nous étions au début du siècle précédent, il ne put explorer
plus profondément le sujet, encore moins défendre les homosexuels. Prendre une telle position aurait présenté
quelques risques sur le fond car la sodomie était encore considérée comme anormale, voire pathologique.
La libération sexuelle a permis de faire évoluer les mœurs. Malgré tout, certains actes sexuels, comme la sodomie,
restent controversés. Même si aujourd'hui, le coït anal est en voie de démystification, on est encore loin de lever
tous les tabous qui pèsent sur cette pratique. Le sexe anal a donc longtemps été proscrit car historiquement assimilé
à l’homosexualité. Double peine pour les homosexuels qui ont le droit de vivre pleinement leur sexualité. En France,
la dernière condamnation pour crime de sodomie date de 1750. Finalement l’abolition du crime de sodomie en 1791
a consacré une évolution faisant passer la sodomie d’un acte prohibé à un personnage injustement stigmatisé.
Pourtant, est-il complètement pertinent d’établir un amalgame entre ces deux termes ? Ne renvoient-ils pas à des notions
divergentes au plan épistémologique ? Ou peut-on observer une évolution du concept de sodomie et sodomite ? De plus,
l’abolition du crime de sodomie signifie t-il vraiment une indifférence vis-à-vis des relations homosexuelles masculines ?
Ne se situe t-il pas plutôt dans le basculement progressif de la vision d’un acte interdit à un personnage progressivement
identifiable par son comportement ? Le terme de sodomie est chargé de symbole, celui de la destruction de la ville de
Sodome. Au départ le terme de sodomie englobait toutes les pratiques n’aboutissant pas à la génération. C’est ainsi, que
dans les procès intentés à des hommes pour crime de sodomie, on pouvait trouver des hommes accusés de bestialités.
Le terme homosexualité est né à la fin du XIXème siècle. Il fut créé par le médecin hongrois Karoly Maria Kertbeny
en 1869. Il désignait des sentiments sexuels contraires et doit être replacé dans le cadre de la médicalisation des
pratiques sexuelles, dites perverses. Il ne désignait plus un acte, mais une catégorie de personne identifiable. Alors
qu'il était jeune apprenti chez un libraire, un de ses amis, homosexuel, se suicida, suite à un chantage exercé sur lui.
Kertbeny expliqua plus tard que ce fut à la suite de cet épisode tragique qu'il avait ressenti l'impérieuse nécessité de
combattre cette forme d'injustice et qu'il s'intéressa de près dans des études universitaires à l'homosexualité.
L’homosexuel du XIXème siècle était devenu un personnage, un passé, une histoire. À partir du XVIIIème siècle, on a
assisté à une profonde mutation des discours sur la sodomie. Le plaisir sexuel entre hommes a commencé à être perçu
comme un comportement spécifique. Globalement, on a basculé de l’idée d’un acte transgressif à un comportement
distinct et identifiable. L’objectif de la répression policière n’était pas d’éradiquer les sodomites ou de condamner les
homosexuels mais visait à protéger la jeunesse et la famille. Le but était de limiter la propagation du vice aristocratique
comme on le nommait à l'époque, héritage du libertinage du siècle précédent. Dans le domaine pénal, il s'agissait de
de limiter ces comportements pour qu’ils ne portent pas atteintes à l’ordre social. Progressive avancée législative.
Le sexe anal a donc longtemps été honteux. Injustement, il a stigmatisé la population homosexuelle. À noter que la
pénétration anale ne représente pourtant pas l’essentiel de l’activité sexuelle des homosexuels. Selon une enquête
ACSF (analyse des comportements sexuels en France), 72 à 80 % des homosexuels ou des bisexuels disent avoir
pratiqué la fellation et ou la masturbation durant leur dernier rapport; 42 % disent avoir sodomisé leur partenaire et
28% disent avoir été sodomisés. Les hommes hétérosexuels sont de plus en plus nombreux à recourir à une
stimulation anale, la prostate toute proche jouant un rôle dans la capacité à obtenir des orgasmes très souvent
ressentis comme étant plus forts, plus puissants. De leur coté, selon la même enquête, 41 % des femmes déclarent
accepter et apprécier la sodomie pratiquée par leurs partenaires masculins.
Ce n'est pas forcément l’homme qui pénètre, on ne parle pas toujours de sodomie. Cela signifie que la plupart de nos
réticences sont fondées sur une mauvaise image. À force de répéter que l’anal est sale et dangereux, on finit par y croire.
Bien que la fonction principale de l’anus et du rectum soit de retenir et d’éliminer les déjections, le sexe anal peut procurer
d’intenses plaisirs. En effet, cette zone est richement innervée, donc très sensible, se transformant en capteur de volupté.
Comme toujours, le consentement mutuel, est le point incontournable pour débuter. Si l’envie n’est pas là, que l’on ait déjà
pratiqué ou non, il ne faut pas se forcer pour faire plaisir à son/sa partenaire, cela risque d’être douloureux. Cependant,
vous pouvez découvrir seul(e) cette zone de plaisir. La masturbation solitaire peut vous permettre d’appréhender la suite.
Pour une première fois, il est utile de commencer par des préliminaires bien choisis. La zone anale reste intime et sensible.
Il est donc important de la ménager. Le massage de l'anus peut représenter une bonne entrée en matière, dans la mesure
où cette zone du corps très innervée, bien stimulée, peut être à l'origine d'un plaisir sexuel incitateur. Cette étape permet en
outre de dilater l'anus pour faciliter la pénétration qui s'en suit. La femme peut aussi stimuler la prostate de son partenaire.
En partageant l'expérience de pénétration anale, les amants se retrouvent sur un pied d'égalité qui favorise éventuellement
le coït anal qui s'en suit. Les plus audacieux tentent aussi l'anulingus, également source d'extase lorsqu'il est réalisé dans
de bonnes conditions d'hygiène.
Jeu de langue. On l’appelle aussi l’anilingus, l’anulingus, l’anilinctus ou la feuille de rose, pratique qui consiste à lécher,
embrasser l’anus de son/sa partenaire. Quand on ne connaît pas l’état de santé de son/sa partenaire, il est nécessaire
d'utiliser une digue dentaire, ou préservatif buccal, c’est un rectangle de latex qui permet de protéger contre les bactéries.
Si vous n’avez pas de digue, vous pouvez dans ce cas couper un préservatif dans sa longueur afin d’obtenir un rectangle,
un moyen tout aussi efficace. Cette pratique peut-être une bonne entrée en matière ou une pratique à part entière.
La plus grande concentration de terminaisons nerveuses de la zone anale se trouve dans l’anus. Pour débuter, une
pénétration peu profonde sera bienvenue, avec un doigt par exemple. Appréciez les sensations que cela vous procure.
Détendez-vous, respirez profondément, cela peut paraître superflu mais au contraire cela vous aidera à accueillir ce que
vous ressentez. Votre partenaire doit vous laissez le temps d’éprouver les effets en restant immobile quelques minutes.
Les sphincters anaux vont alors se relâcher. Une fois que vous sentez les parois se relâcher, votre partenaire peut
commencer à aller plus profond et atteindre le rectum. Guidez-le, ainsi, il ou elle ira à votre rythme. Plus l’excitation
montera, plus les sphincters s’assoupliront. Pour les femmes, la sodomie peut être accompagnée d’une stimulation
clitoridienne ou vaginale pour des plaisirs encore plus intenses.
Mais pour une première expérience, et la possibilité de la réitérer, les partenaires doivent se préparer en amont.
Pour pallier aux obstacles d'ordre hygiénique, il est important de se laver avant, du moins de passer aux toilettes.
La zone propre, pas de risque de débordement et donc de honte. Utiliser des préservatifs sur les pénis, doigts et
divers outillages peut limiter initialement aussi l’angoisse. Pour que les choses soient faites dans les règles de l’art, un
lavement préalable est idéal. Ne jamais passer de l’anus au vagin. Si le danger de la sodomie non protégée ne réside
pas dans une grossesse non désirée, il existe néanmoins. Le rectum véhicule des bactéries qui peuvent être sources
d'infections. D'autre part, les MST se transmettent par coït anal. Il est utile de porter un préservatif lors de la pénétration
anale. Ce qui entre ne ressort pas. Le sphincter anal interne est un muscle travaillant indépendamment de notre volonté.
Si vous insérez un objet qui n’est pas destiné à la stimulation anale, cela risque de poser problème pour le ressortir.
La zone anale est un terrain propice aux infections. La muqueuse est fragile et poreuse aux virus et aux bactéries. Il est
donc indispensable de se protéger quand vous ne connaissez pas encore le statut sérologique de votre partenaire. Aussi,
il est très important lorsque vous pratiquez le sexe anal, de ne pas passer de la zone anale au vagin, sans avoir
préalablement lavé vos parties intimes ou vos jouets. L’équilibre de la flore vaginale est extrêmement sensible, d'où le
risque d'un déséquilibre en y introduisant des bactéries provenant de l’anus et du rectum. Certaines pratiques extrêmes
sont risquées: le fist fucking, comme l’introduction d’objets disproportionnés peuvent entraîner des fissures, des abcès,
des lésions musculaires, avec une possible évolution vers une incontinence anale. Ensuite place aux plaisir anal.
Après avoir pris toutes les précautions hygiéniques nécessaires, on peut s'adonner, entre adultes consentants,
au plaisir anal, et inventer de nouveaux jeux sexuels complices, tout en appréciant des sensations délicieuses.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Avant de se marier avec Pam, la bombe atomique sexuelle, celle qui si elle va dans le cimetière d'Arlington est capable de faire bander tous les héros morts aux combat, Le général Joe a décidé de rendre sa liberté à Louisa, sa pute attitrée. Dans ce labo si spécial de l'armée américaine en plein désert aride, on a compris que les cerveaux les plus géniaux étaient souvent les plus fantasques. Seule la sécurité compte. Après qui baise qui ou quoi, l'armée s'en fout pourvu que les recherches avancent. Et celles du général Joe et de son équipe sont excellentes car vraiment terrifiantes.
Pam dort sagement sur sa banquette après sa série de cyberorgasmes. Parfois elle tremble, encore secouée par des restes de vagues de plaisir. Joe la regarde. Il adore voir la petite lèvre supérieure de Pam frémir légèrement quand elle expire. Bon, la nuit ne fait que commencer et il décide d'enterrer sa vie de garçon.
Il file dans son bureau, ouvre une bouteille de Brandy aux plantes suivant une recette Tibétaine, allume un énorme havane, pose les pieds sur son bureau et se détend. L'alcool aidant, il a envie de baiser et appelle sa pute attitrée Louisa, le plus beau cul de la base après celui hors catégories de Pam.
-Louisa magne ton cul de pouffiasse et viens me pomper le dard.
C'est de cette façon qu'il faut parler à Louisa. Les langages trop polis ou trop policés, ne peuvent pas atteindre ses neurones. Et Quand le général Joe appelle, il faut qu'elle arrive en courant. C'est son job, écarter et se faire sauter.
_Bon Louisa, tu sais que j'adore baiser avec toi, mais j'ai fait une demande en mariage au Capitaine Pam, alors ce soir c'est la dernière fois. Après je vais te rendre ta liberté.
-J'avais remarqué dès que Madame la Captain est arrivée, comme vous vous matiez pas tous les deux.Pam a intérêt à vous rendre heureux mon général sans quoi je l'excise avec les dents.
- Tu en auras pas besoin. Viens plutôt t'embrocher, j'ai besoin de me vider la tête.
-et la queue rajoute Louisa en riant.
Son job effectué avec une conscience professionnelle sans égale. Louisa est la meilleure pute de tout l'Arizona., elle prend congé en Douce. Le général Joe dort lui aussi, les couilles complètement vidées.
Elle décide de rejoindre Black Jack, celui qui a la plus grosse pine de toute la base. Enfin libre de se faire vraiment éclater le cul par qui elle veut et comme elle veut. Elle a envie de se mettre en couple avec Black Jack. Il l'a tellement grosse qu'il fait peur à toutes les femmes, mais pas à Louisa. Rien que d'y penser elle jouit déjà.
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Je me plais bien ici... On va rester, mais je ne veux plus rien avoir à faire avec la bande des « Flots bleus »?! Ce soir, on va dans un bon restaurant et demain, on avisera. Depuis mon arrivée, j'ai envie d'un loup grillé au fenouil. Maintenant, je peux me le payer. Pour Julien, ce sera des raviolis ou une pizza, ça lui apprendra à sucer la bite des hommes sans que je lui en donne l'ordre. Moi, injuste?? Bah... oui.
Première chose, je ne suis plus fraîche du tout?! On s'arrête le long de la plage, de l'autre côté du village. On va se laver dans la mer... L'eau froide me fait toujours le même effet : je fais pipi?! Toutes les femmes font ça dès qu'elles ont les fesses dans l'eau froide.
Je suis fatiguée mais j'ai envie de me changer les idées. On marche le long de la mer sur la bande de sable dur que les vagues viennent lécher. Pour une fois, j'ai envie de donner une explication à Julien :
— Ton cul est à moi, je déciderai quand il faudra te dépuceler.
— Oui Samia.
— Tu as aimé le sucer ce mec??
— Euh...
— Réponds?!
— J'aurais préféré lécher celui qui t'a pénétrée...
Voilà... ça, c'est normal?!
Je sens les regards des hommes sur moi. J'aime ça. Quand je suis bien sèche, on laisse les vélos attachés et on part dans le village. Je sais qu'il y a un très bon restaurant un peu plus loin. Je vais lire la carte. Un couple s'apprête à entrer dans le restaurant. Lui a l'air d'un Lord anglais : grand, mince, une cinquantaine, d'années, une belle chevelure poivre et sel et une moustache assortie. Il a un bermuda et un polo. Elle a la quarantaine, plutôt forte, rousse et séduisante. Elle est vêtue de voiles transparents. Le Lord me dit :
— Je vous conseille le loup grillé, c'est un délice.
Oh putain, j'en veux un?! Je prends la tête de la petite marchande d'allumettes qui attend vainement un client et il neige, en plus. Je réponds :
— Je n'en ai jamais mangé et hélas, c'est au-dessus de nos moyens.
Je lui montre ma main et j'ajoute :
— Regardez, je me suis brûlé la main quand toutes mes allumettes ont pris feu.
Il reste un moment interloqué et puis il éclate de rire. Quand il est calmé, il me dit :
— J'ai compris : tu es dans le conte d'Andersen « La petite marchande d'allumettes »... Tu t'appelles comment??
— Samia et mon frère, Julien.
— Vous êtes en vacances??
— Oui, mais on travaille aussi, je suis serveuse et mon frère vend des glaces.
Il regarde mon tatouage et demande :
— Tu es danseuse??
— On est des Roms?!
Là, je l'intéresse?! Il flashe sur les filles roms?? Il me dit :
— Je vous invite tous les deux. Pour nos amis, tu dis comme moi.
La femme ressort du restaurant et lui dit :
— Tu viens, Jibi??
Jibi?? Alors, soit il s'appelle Jean-Baptiste, soit c'est un amateur de whisky. Sans doute les deux?! Il répond :
— Quel hasard, c'est la petite manucure qui s'occupe de moi chez le coiffeur ! Elle est en vacances avec son frère. Je les ai invités à manger avec nous.
— Les Dupont-Jourlieu vont être surpris de manger avec ta manucure.
Jibi se met à rire, il est cool?! Je m'adresse à la femme :
— On ne veut pas s'imposer, d'autant plus qu'on a pas de vêtements.
Elle me sourit et répond :
— C'est parce que nos amis sont un peu snobs. Pas de problème pour la nudité, on est dans le village naturiste. La nudité te va très bien.
C'est gentil... On entre. Jibi me présente à leurs amis :
— Samia, artiste ongulaire (!) et Julien, son petit frère. Nos amis Léopold et Marie Catherine.
Artiste ongulaire, il est farce, Jibi?! Mais, bon, ça a l'air de convenir aux Dupont-Jourlieu, qui ont l'air d'avoir pas mal picolé. Une jolie serveuse apporte des chaises et ajoute des couverts pour Julien et moi. Elle nous donne aussi des serviettes... pour nous asseoir dessus?! Jibi me dit :
— Je te recommande la poutine, ce sont des alevins de poisson – un délice ! – et ensuite le loup.
— D'accord.
Je salive... On parle un peu, j'explique à quel point c'est valorisant de transformer des ongles en œuvres d'art. Je bois du Sauternes pour la première fois, j'adore ça?! Julien me regarde avec son air suppliant habituel. Je fais un signe de tête, qui signifie "tu peux, exceptionnellement". Oui, je suis trop bonne avec lui...
La poutine et le loup, j'adore... Je ne parle pas beaucoup, trop occupée à manger et boire.
Comme dessert, il y a un chariot de dessert. Je me goinfre de moelleux au chocolat, avec glace vanille, crème fraîche et coulis de framboise. Sous mes nichons, je vois mon ventre gonfler. Je participe d’autant moins à la conversation que les hommes parlent de l'indice Dow Jones, que je connais très mal, et les femmes d'un nouveau beau professeur de yoga.
Le repas se termine. Les Dupont-Machin prennent congé. On sort et je remercie chaleureusement Jibi : j'ai enfin goûté au loup?! Version poisson, bien sûr. Il me demande :
— Vous venez jouer avec nous??
Jouer ou plutôt baiser?? Eh oh?! Il est pas marqué "pute" sur mes fesses?! Il ajoute :
— Pour 1000 francs (un peu moins de 200 euros).
— D'accord.
En fait, je crois qu'il est écrit pute sur mes fesses?!
On se dirige vers leur hôtel et Cynthia, la femme de Jibi, me prend par la taille en disant :
— Vous êtes charmants tous les deux.
Ah, c'est gentil. Leur hôtel est tout prêt et il est vraiment classe. Le personnel est habillé, je continue à trouver particulièrement excitant d'être nue au milieu de gens habillés. Ils occupent une belle chambre au dernier étage avec une grande terrasse et "vue mer". Bon, il faut gagner nos 1000 francs... Je dois avouer que suite à l'après-midi au cours de laquelle, je suis passée un court moment du côté obscur, je n'ai plus du tout envie de lécher une chatte?! Jibi nous dit :
— Un peu de champagne, les enfants??
— Oui, volontiers.
Ce soir, j'ai laissé Julien boire de l'alcool, mais c'est exceptionnel. À partir de demain, régime sec pour lui. Je dis à Jibi :
— Je passe à la salle de bain...
— Non, attends. Tu vois, ma femme et moi, nous sommes des adeptes de l'urinothérapie, donc j'aimerais que tu nous pisses dans la bouche.
Urinothérapie, ça existe, ça?? Je crois plutôt que ce sont des gros vicelards comme tous les gens de la haute société. Jibi et Cynthia qui sont si classe, genre châtelains, polo club, Rotary et autres truc de riches, il faut leur pisser dessus?? Ça me plaît?! Ça compensera mon attitude avec Kriss, je dois oublier ça?! Allez, pfff : oublié?!!
Et comment qu’on va leur pisser dessus ! Si on peut faire plaisir tout en se soulageant et en gagnant du fric : c'est le pied. Oui, je suis moins "classe" qu'eux.
Cynthia me dit :
— Voilà ce qu'on aimerait, tu pisses dans la bouche de Jibi et puis dans la mienne. Ensuite ton frère fait la même chose.
— Vous voulez que mon frère participe?? C'est que....
— Combien Jibi t'a-t-il proposé??
— Mille francs.
— Mille francs de plus avec ton frère, ça va??
Le prix de la pisse augmente?! On a du fric dans nos vessies?!
— D'accord, mais il ne faut pas traîner, ça presse.
— Viens sur la terrasse, ma chérie.
Voilà que je suis devenue sa chérie, est-ce grâce à ma vessie?? On va sur la terrasse, ils se déshabillent et se couchent l'un à côté de l'autre. Jibi m’explique :
— Tu pisses dans ma bouche, mais tu t'arrêtes avant que ce soit fini et tu termines dans la bouche de ma femme.
Je vous donne un truc : si vous avez envie de jouer "douche dorée" ou "champagne tiède" en étant allongé sur le sol, votre partenaire doit tourner le dos à vos pieds pour que le jet arrive bien dans votre bouche. Si votre femme a un patron un peu vicieux, elle doit être au courant. Oui, j'adore parler des femmes de mes lecteurs, mais je vous ferais remarquer que je ne parle ni de leurs mères, ni de leurs sœurs, ni de leurs filles, ni de...
— SAMIA?! Continue?!
Oui, oui... Je me place au-dessus de la belle tête aristocratique de Jibi et je m'accroupis de façon à avoir la chatte au-dessus de sa bouche. De la main droite, j'écarte mes grandes lèvres et je pousse. Putain?! Ça m'excite de faire ça. Je pousse et je fais d'abord quelques gouttes, qu'il avale goulûment. Et puis mon jet jaillit vraiment, dru, jaune, et il avale. Comme il doit fermer la bouche pour déglutir, il a de la pisse plein le visage et les cheveux. Cynthia qui est à genoux, me dit :
— Ne m'oublie pas?!
Merde, c'est vrai. Je change de pot de chambre?! Je veux dire de bouche et je vais vite l'abreuver. Elle aime?! Je pousse et, bon, ça arrive à toutes les filles, même si elles sont des princesses, je pète un peu. Quand j'ai presque fini, elle me lèche la chatte, elle est assoiffée?!
Ça m'a vraiment excitée, leur petit jeu. Deux gadjos qui boivent ma pisse, quel pied?! Je vais faire un article pour «?La voix des Roms?» et «?Tous les chemins mènent aux Roms?». J'imagine le chemin parcouru par le Sauternes et le champagne : ma bouche, mon estomac, mes reins, ma vessie, mon urètre, mon méat et puis leurs bouches.
Je me relève, eux se mettent à genoux. Ils sont là, bouche ouverte comme deux gargouilles de Notre Dame. Si, si, il y a des gargouilles qui ont vraiment l'air d'attendre la pisse d'Esmeralda ! Ou peut-être la pluie...
Esmeralda est d'ailleurs une gitane, comme moi.
À Julien, maintenant. D'accord, il a un tout petit robinet, mais il doit sûrement pisser, lui aussi. Je lui donne une claque sur les fesses en disant :
— Allez, pousse !
Il pousse un petit cri et fait un bond en avant, manquant de peu de mettre sa petite bite dans l'œil de Jibi. Quelle moule?! Oui, mais bon, on ne va y passer des heures, alors aux grands maux les grands remèdes, je lui fais :
— Psssssiiiiiiiii...
Aah?! Un jet de Sauternes devenu urine vient glouglouter dans la bouche de Jibi puis de Cynthia. Ils avalent le plus possible, les goulus?!
En résumé, on a bu du Sauternes et du champagne, qui a ensuite été recyclé en pissant dans leurs bouches. La suite est logique, enfin presque, puisque Cynthia nous demande :
— Vous voulez qu'on vous fasse jouir, les enfants??
Je pourrais discuter pour essayer d'avoir plus, mais je ne suis pas ce genre de fille. Enfin, surtout quand je suis excitée. Et puis, c'est offert de bon cœur?! Julien et moi, on se couche sur les lits de plage et le couple nous lèche. C'est-à-dire, Cynthia me lèche et Jibi suce le petit sexe de Jibi. Son sperme va faire "plouf" dans l'estomac du Lord.
Cynthia lèche très bien ce qui ne m'étonne pas vu ses tendances. Elle me fait jouir et puis elle lèche soigneusement le plan de travail. Julien jouit dans la bouche de Jibi. On dort là....
Fin de la première partie.
A suivre
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-Pam, voulez vous m'épouser?
Pam croit être devenue schizophrène. Voilà qu'elle entend des voix dans sa tête à présent. Pourtant elle connait cette voix....
-Mon général?
-Oui, capitaine, garde à vous ! Cool capitaine, je blague. Vous me connaissez....
-Mais comment faites vous pour me parler dans ma tête? Cela m'a fait presque peur au début.
-On va se tutoyer Pam, tu n'es plus mon capitaine mais bientôt ma femme si tu acceptes. Mais te presse pas pour répondre. Je t'invite à Las Végas. Là je te ferais ma déclaration officielle et si cela te dis de partager ta vie avec un rat de laboratoires, on pourra se marier sur place sans perdre de temps.
-bien Joe, je vais réfléchir. Mais ai je encore le choix?
-Bien sûr que tu as le choix. Je vais quand même pas toucher à ton libre arbitre et à ta libre conscience. J'en ai trop besoin.
-J'ai confiance en toi Joe. Explique moi tout.
-Voilà, j'ai implanté des nanos puces dans ton cerveau et je peux prendre le contrôle. Nous allons faire quelques expériences pour commencer. regarde ton écran devant toi, je vais déjà te montrer ce que tes yeux voient. Incroyable non, je peux voir grace à tes yeux.
-Impressionnant, surtout avec cet effet de renvois à l'infini.
-Voilà, j'affiche les battements de ton coeur. Mets ta main sur ta poitrinne et écoute. Là, je l’accélère jusqu'à 140.. Tu l'entends?
-Oui.
-Bon, allez on redescend doucement à 50. Tu entend comme il s'est ralenti.
-Oui
-Tu es prête pour tenter une autre expérience? La catalepsie! De toute façon capitaine, c'est un ordre!
Tout le corps de Pam se fige. Elle ne peut plus bouger un orteil, même sa langue est figée. Il lui reste juste la pensée.
-C'est absolument terrifiant! Une tétanie complète. Ce n'est pas douloureux, mais je ne peux plus rien bouger. Pourtant mon corps existe toujours. A ça y est, merci, tu me rends ma liberté de mouvement.
-Bon Pam, cela marche. J'ai envie de déconner un peu. Tu veux pas essayer le cyberorgasme?
-Si tu veux, voyons si tu es capable de faire jouir ta femme.
Pauvre Pam, elle n'a pas finit de dire cela que déjà les contractions sont là, dans son vagin. son clitoris se dresse, Elle mouille et coule. Elle a chaud, sa respiration se saccade et toujours ces contractions qui innondent de plaisir tout son être. Là, putain que c'est bon, elle ne peut rien retenir. Un premier orgasme, soudain, violent, sans jamais s'etre touchée, sans avoir été pénétrée. C'est magique, c'est divin.
-Bisous Pam, tient bon. Ce n'est que le début.
Et voilà, Pam a enchainé les délicieux orgasmes en cascades. Elle a laissé Joe jouer avec son plaisir. Elle a complètement lâché prise. A présent elle dort. Joe est venu la prendre dans ses bras et l'a allongé sur une couchette, a mis une couverture dessus.
-Dors bébé. Demain nous allons à Las Végas.
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J’ai découvert ma vraie nature grâce à un ami de mes parents 30 ans mon aîné. J’avais à l’époque 22 ans. Il était homo et ne s’en cachait pas et il avait de nombreuses aventures.
Nous avons entretenu une relation épisodique pendant 3 ans. Il suffisait de se téléphoner pour convenir d’un rendez-vous. Cela se passait chez lui. Au début, c’était une relation classique, vanille.
Très vite il a pris les choses en main et a commencé à me donner des claques sur les fesses, me pincer les tétons, me forcer à lui pratiquer une fellation sitôt sortie de mon conduit anal. J’étais partagé entre dégoût et peur de le décevoir. Puis vint le jour ou son sexe dans ma bouche il se mit à uriner. Surpris je me dégageais en essayant de recracher le liquide âpre qui m’envahissait la bouche, qui dégoulinait sur mon corp. la punition fut rapide. Une gifle, puis il prit mes cheveux à pleine main et me forçât à le reprendre en bouche pour le sucer et sentir son plaisir se répandre au fond de ma gorge. J’en avais les larmes aux yeux. Ensuite j’ai nettoyé le sol puis il m’obligea à m’habiller sans prendre de douche. J’ai dû rentrer chez moi le corps souillé de son urine et le goût de son sperme en bouche. À ma grande surprise, j’étais heureux d’avoir pu le satisfaire. Heureux de rentrer souillé.
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Maitresse Isabelle a finalement épousé toutou Ben, son esclave. Elle a fait cela par plaisir, pour se poser. C'est vrai que toutou Ben est fort bel homme, musclé, bien monté, pas trop poilu, un beau visage avec une fine barbe. Il parait presque viril mais Maitresse Isabelle le castre complètement. Elle n'a pas besoin de cage. Son fouet lui suffit. Toutou Ben n'a pas le droit d'avoir d'érection sans quoi il reçoit le fouet jusqu'au sang. L'envie de bander lui est vite passée.
Maitresse Isabelle est d'une beauté a couper le souffle. On se retourne pour la regarder mais ses yeux bleu-vert sont glaciaux. Son regard intimide. On devine aussitôt la cérébrale implacable. Elle impose le respect.
Avec Ben elle partage le même bureau, celui des vérifications, dans une agence gouvernementale. C'est Ben qui fait le boulot pour deux. Maitresse Isabelle occupe son temps de travail à étudier la Torah. Elle veut devenir Rabbin et Docteur de la Loi, bref tout ce qui ne convient pas à une femme.
A la maison, Ben doit vivre nu et s'occuper de toutes les taches ménagères. Maitresse Isabelle se fait servir. Ben dort nu en bon toutou dans un grand panier d'osier. Il a juste droit à quelques couvertures pour la nuit. Il est sévèrement corrigé chaque fois que Maitresse Isabelle estime que c'est nécessaire et il doit remercier. Ben est un esclave, pas un soumis et donc il doit obéir en tout et pour tout et n'a d'autre but dans la vie que de faire plaisir à sa Maitresse.
Il n'a jamais vu sa chatte et comme Ben est puceau, il n'a jamais vu de chatte. Maitresse Isabelle ne porte pas de culottes mais des pagnes traditionnels en pur coton. Le soir, Ben, s'il a été un bon esclave, a droit au pagne porté par sa maitresse pendant la journée. Il peut respirer les odeurs intimes et dormir avec, mais avec interdiction de bander et encore moins de se branler. Même les pollutions nocturnes lui sont interdites. Il vit dans son subspace chaste et dévoué.
Une fois par semaine Ben a droit à une traite. Maitresse Isabelle utilise une trayeuse pour chèvres. Elle attache ben aux quatre pieds de la table de la cuisine et place l'appareil derrière lui. Les succions provoquent vite des éjaculations en série. Ben se vide de tout son sperme qui est précieusement récolté pour en faire une crème de soins suivant une recette alchimique. Maitresse Isabelle adore se faire masser le dos et les jambes par son esclave avec cette crème aux pouvoirs magiques. Sa peau est incroyablement douce et belle.
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Fille d'Hypsée, et de la Naïade Chlidanopé, petite fille du dieu-fleuve Pénée et de Créüse, Cyrène, du grec ancien
?????? / Kur?nê, "reine souveraine" , était une nymphe chasseresse d'une beauté extraordinaire qui préfèrait la
chasse aux animaux sauvages sur le mont Pélion. Un jour, Apollon ayant assisté à sa lutte victorieuse contre un
lion, l'enleva et la transporta sur son char d'or en Libye, dans la région qui fut plus tard appelée la Cyrénaïque.
Accueillis par Aphrodite, ils couchèrent dans une chambre d'or et Apollon promit à Cyrène un règne sur un pays
prospère. Confiée aux Nymphes du Myrte, elle donna naissance à un fils, Aristée, puis à Idmon le devin.
Aristée, surnommé Agréus par les nymphes, apprit à cultiver l'olivier, à fabriquer du fromage et à construire des
ruches, arts qu'il intoduisit en Grèce. C'est pourquoi le myrte, originellement associé à la mort, devint le symbole de
la colonisation et les émigrants apportaient avec eux des branches de myrte pour montrer qu'ils avaient mis fin à
une certaine période. Mais une nuit, Cyrène s'unit aussi à Arès et eut de lui également, Diomède de Thrace.
Cyrène fut pour son fils Aristée une conseillère avisée: lorsque toutes ses chèvres moururent, elle l'envoya voir
Protée qui lui révéla qu'il avait offensé les dieux en provoquant la mort d'Eurydice. En effet, Aristée l'avait courtisée
et elle s'était enfuie, se faisant mordre par un serpent. C'est encore Cyrène qui lui indiqua le moyen de se rendre
favorable l'ombre d'Orphée qui avait suivi Eurydice dans le monde souterrain. Suivant ses conseils, il laissa les
cadavres d'animaux sacrifiés pendant huit jours et lorsqu'il revint le matin du neuvième jour, un essaim d'abeilles
s'envola de ces cadavres et se rassembla dans un arbre. Aristée n'eut plus qu'à les capturer.
Il est plus logique que l'essaim sorte du cadavre du lion et la légende semble avoir été racontée de façon inexacte
par Virgile. Ce mythe est inspiré par une représentation primitive de la femme nue luttant amoureusement avec un
lion, tandis qu'une abeille vole au-dessus du cadavre d'un autre lion. La femme nue est la déesse-Lion Cyrène, ou
Hépattu la Hittite, ou Anathe de Syrie. Pindare commence l'éloge de Télésicrate par celui de Cyrène, patrie du
vainqueur. Dans les Pythiques, il célébre la fondation d'une colonie de Spartiates, transportée de l'île de Théra,
à Cyrène, par Battus. Il raconte tous les détails de l'enlèvement de cette nymphe par Apollon, qui s'unit à elle dans
les vallées de la Thessalie, et qui enfanta de lui Aristée, connu par des inventions utiles.
"La jeune nymphe ne se plut ni à promener de part en part la trame qui ourdit les toiles, ni à s'égayer parmi ses
compagnes au milieu des festins domestiques: mais armée de ses flèches d'airain et d'un glaive meurtrier, elle aima
combattre et détruire les hôtes féroces des bois. Elle assurait ainsi pendant les ténèbres de la nuit aux troupeaux de
ses pères une douce et longue tranquillité; mais auprès d'elle, en son lit de repos, le sommeil réparateur demeurait
à peine jusqu'à l'aurore."
Cyrène au ciel percé, Cyrène et ses trois récoltes annuelles de fruits, Cyrène nourricière de troupeaux en ses riches
pâturages. Poètes et historiographes ont rivalisé d'invention pour faire de la fertile et prospère colonie grecque de
Libye une terre de l'Âge d'or. Mais Cyrène, c'est aussi le nom de la jeune nymphe tueuse de lions qu'Apollon,
amoureux, emmène de Thessalie en Libye pour s'unir à elle sur le site de la future cité grecque, autour de l'eau
jaillissante qui porte le même nom.
C'est encore une terre lointaine qu’il faut relier à la mythologie par un autre récit métaphorique, animé par les
Argonautes. C’est enfin ce territoire civique dont le balbutiant Battos, conduit par la voix oraculaire d’Apollon Pythien,
trace le plan en forme de nef, pour être héroïsé à sa poupe. Dans plusieurs entrelacs narratifs et métaphoriques
d’une extraordinaire richesse les Grecs ont tissé la mémoire poétique d'un acte de fondation essentiel, consacré
par un culte héroïque.
"Voici la nymphe que, dans ses vallons, tu viens chercher pour épouse, et qu'à travers les flots, tu dois emmener avec
toi dans les délicieux jardins de Jupiter. Par ta puissance, elle régnera sur une ville entourée de superbes plaines et
que tu peuplera de braves insulaires. Oui, la divine et fertile Libye va, de ta main, recevoir dans ses palais dorés, la
nymphe destinée à donner des lois à cette belle portion de la terre, qui abondante en produits de tout genre."
Odes de Pindare, "Neuvième ode pythique"
Cyrène, l’ancienne ville grecque, en actuelle Libye, est l’une des plus anciennes cité de l’antiquité.
Ancien évêché, elle se situe dans la vallée de Djebel Akhdar. C'est aujourd’hui un site archéologique
près du village de Shahat. Il abrite le temple d'Apollon qui fut construit dès le VII ème siècle av. J.-C.
Bibliographie et références:
- Apollonios de Rhodes, "Argonautiques"
- Bacchylide, "Dithyrambes"
- Hérodote, "Histoires"
- Hésiode, "Théogonie"
- Homère, "Iliade"
- Ovide, "Fastes"
- Pindare, "Pythiques"
- Pindare, "Odes et Fragments"
- Théophraste, "Histoire"
- Virgile, "La nymphe Cyrène"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Pardonnez mes éventuelles fautes, je n'ai pas pu me relire.. Sacrée ceinture..
(suite de la nouvelle Première)
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Cette première soirée me donnait qu’une envie.. encore.. encore.
J’étais repartie en ayant son parfum sur moi. J’avais besoin de me retrouver seule. Il l’avait compris.
« Quelle sublime soirée Mademoiselle. J’espère que vous aurez l’envie de se revoir ce soir pour poursuivre votre éducation. Le voulez vous ? ».
Je souris, il connaissait la réponse. Il y a de ces choses qui n’ont pas besoin d’être dite car nous les comprenons. Toutefois, j’aimais le fait qu’il l’écrive avec ce charme très désuet que j’affectionne.
« Cher Monsieur, vous connaissez l’émoi que vous me provoquez. Quand on visite le septième ciel, on souhaite toujours y revenir. Pour ce soir.. Je vais y réfléchir ( sourire)… Bien sur que oui je vous veux. ».
« Voilà qui est parfait. RDV ce soir à 18h chez moi. J’aimerai bien vous voir en robe courte moulante. ».
Le temps me paraissait si long. J’avais très peu dormi avec une certaine tension. Fatiguée mais heureuse de le voir. Je sonnais.
Il ouvrit la porte. Habillé dans ce style chic et cool dont il avait le secret il était si séduisant. Il affichait un ton relativement sérieux. J’avais compris.
Je pénétrais dans son appartement.
- Stop m’ordonna t il.
- Hum, je vois que mes souhaits ont été exaucés.
Il était derrière moi. J’étais debout. Je sentis son souffle derrière au creux de mon cou. Il déposa un baiser tendre. Soudains je sentis ses crocs se planter dedans tel un vampire. Il saisit mes cheveux pour plaquer l’arrière de ma tête contre lui, lui offrir plus mon cou.
- Alors ma petite chienne, avez-vous toujours envie d’être dressée à subir mes sévices ?
- Humm.. Oui Monsieur, votre petite chienne a bien besoin d’être dressée.
- Je vais bien m’occuper de vous.
Il plaqua son sexe contre mes fesses. Je le sentais déjà gonflé. J’entendais sa bouche de ceinture volé. Il la retira. Sans ménagement il m’empoigna pour m’immobiliser les mains dans le dos. Il m’attacha avec.
Il claqua des doigts afin que je m’agenouille. Il baissa ma tête.
- Restez bien ainsi.
Il releva mon visage.
- Je crois que le concept jambes écartées vous échappe. Déjà tout à l’heure, vous ne l’avez pas fait.. et là.. encore serées. Vilaine petite chienne.
- Je suis désolée Monsieur…
- Oh oui vous allez l’être. Je vais être dans l’obligation de vous punir.. mais vous n’attendez que ça dit il dans un murmure si sensuel.
IL rejetta ma tête.
- Je vous laisse un peu méditée.
J’entendais ses pas.. il était en train d’ouvrir une bouteille de vin.
Quand il revint il me releva.
- Suivez moi.
Je marchais sur mes hauts escarpins rouges. Je portais cette petite robe noire moulante. J’avais pris soin de mettre des sous vêtements ultra sexy..
Il me conduisit alors dans le salon.
Face à moi, il plaçait son doigt sur ma bouche. Doucement, je l’entre-ouvrais. Avec sensualité il me mis son majeur . Je me délectais de le savourer, de le sucer.
Il me prit pleinement possession de mes fesses pour m’attirer à lui.
- Ce parfum me rend fou…
Il remontait ma jupe sur ma taille. Il caressait alors mes jambes, embrassant mes cuisses. Sa langue me parcouraient. Il sentis alors sa main me caresser juste à l’orée de mon entrejambe, sans y toucher. Il me chauffait.. terriblement. J’étais à nouveau dans un état d’excitation terrible.
Il me caressait avec une telle sensualité. Il découvrait chaque zone sensible.. Il abaissa doucement ma culotte, sans pour autant l’enlever.. Il y déposa un baiser bien mordant.
La pièce se faisant alors de plus en plus chaude. Il saisit alors ma culotte par l’arrière pour la prendre de pleine main. Il tira dessus pour maintenir une pression sur mon sexe. J’avais envie de me frotter comme la petite chienne en chaleur que j’étais.
Il avait passer son bras autours de mon cou.
- Hum déjà si chaude.. Je vois que vous vous dandinez à vouloir.. plus…
- Humm Oui Monsieur.. vous me rendez complètement folle…
Il relacha la pression. Puis se saisit d’une cravache. Il la passait alors sur mon corps, il me caressait avec comme il m’avait léché avec sa langue.
- Savez vous que vous avez un fessier qui appelle la cravache ma chère ?
- Non.. Monsieur..
Ma tête était baissée. Il mit la cravache sous mon menton et la releva en me regardant droit dans les yeux..
- Eh bien je vous le dis.. la cravache pour une belle jument à dresser..
Il m’excitait encore… Je sentais la cravache se diriger vers mon entrejambe. Il frottait la tige contre mon sexe. J’avais envie de lui si intensement…
- Savez vous ce qui va se passer ?
- Non.. Monsieur ?
- Vous allez vers cette table. Vous poserez vos mains sur la table. Vous me cambrerez bien.
Il me détacha puis utilisa à nouveau sa ceinture pour la mettre autours de mon cou. Je trouvais cela tellement intense. Je me sentais complètement possédée. Il avait une telle poigne à me faire faire ce qu’il voulait.
Il me regardait marcher vers la table. Je m’amusais à faire une démarche des plus sexy., la robe toujours relevée sur la taille. Je me sentais si désirée. Ce sentiment que j’avais perdu. Il l’avait raviver dès le premier regard. Il me désirait pour qui j’étais.
Il voulait posséder mon esprit et mon corps.
Je me cambrais attendant sa venue. Je ne le regardais pas. Je baissais ma tête.
Il me laissa encore patienter. Une attente cruelle, interminable. Il jouait avec mon désir. Je lui rendrais la pareille… Il ne payait rien pour attendre.
Quand je sentis le bruit de son pas, je me cambrais encore plus. Quand sa main se posa sur mes fesses, il me murmura.
- Baissez votre culotte sur vos chevilles. Gardez la bien tendue.
Avec finesse, sensualité, j’enlevais doucement la culotte. Je passais mes doigts sur le coté pour l’enlever. Je voulais le faire languir comme il m’avait fait languir.
Arrivée sur mes cuisses, je jouais de mes jambes pour la faire glisser à mes chevilles. J’écartais bien mes jambes pour tendre la culotte puis je me remis en place à tendre mon fessier. Je m’accoudais sur la table.
La cravache passait sur mes fesses quand il frappa un premier coup relativement intense. Je compris alors que la punition allait être à la hauteur de l’éducation que je méritais.
Il tapotait légèrement pour ensuite mieux frapper.
- Je vous invite fortement à me remercier de vous donner une leçon.. sans cela vous augmenterez la cadence et la force de votre punition. Vous avez le choix.
- Je.. vous .. remercie Monsieur de me punir ainsi.
Il frappa bien fortement sur mes fesses.
- Ecartez moi vos fesses je vous prie.
Ainsi cambrée, les fesses présentées il passa le bout de la cravache sur ma chatte pour remonter sur le haut de ma raie.
- Vous ferez un très bon porte cravache ma chère…
- Vous semblez bien trempée.
- Oui.. Monsieur, je le suis.
Il me donna un coup sur la chatte qui me surpris. Je fermais alors mes jambes. Je m’étais redressée comme pour ne plus en recevoir.
- En place, tout de suite ! Vous avez le choix ma chère.. vous choisissez l’intensité de votre punition.. Ah obéir et être punie.. ou désobéir et être punie très sévèrement…
Je n’avais pas envie de désobéir tellement j’appréciais ce moment. Il m’apprivoisait. Je me remis en position.
Il replaça alors a nouveau la cravache sur mon sexe. Il tapotait. J’attendais le coup qui allait venir, pour me contenir.. au lieu de ça il y passa sa main.
- Bonne petite chienne. Reste ainsi.
Il m’abandonna encore. Il alla s’asseoir dans le salon, avec son verre.
- Tête baissée !
- Oui.. Monsieur.
Je tenais la poste à attendre et attendre. L’excitation passait par tout ses états.. Cette frustration intensifiait mon désir. Les coups de cravache chauffait mon corps, et aussi mon désir. L’Alternance de douceur, de fermeté m’amenait aux anges.
- Revenez à quatre pattes..
Telle une panthère je m’avançais alors vers lui. On se regardait droit dans les yeux. Je voyais son désir. Rien que son regard me faisait frissonner.
- Stop.
- Levez-vous.
J’étais là debout.
- Remettez bien vos vêtements.
Je redescendais ma robe sur mes cuisses. Presque déçue.
- Allumez moi.
IL avait saisit la télécommande de son poste musical.. Digital Versicolor – Glass Candy…
Hum, il me donnait cette liberté d’être cette femme sensuelle qui fait tout pour séduire son mâle. A le rendre fou de désir. Je pinçais les lèvres.
Cette musique était ce que j’appelle une musique sexuelle. De celle qui vous donne envie d’être baisée.
Dans cette robe, je me sentais si sexy. Je pouvais danser comme ces femmes qui se lâchent en dansant, en se déhanchant, en se caressant le corps. J’allais lui faire un show privé.
Doucement, je saisis le verre. Je m’amusai à me mettre à califourchons sur lui. Je buvais une gorgée en le regardant droit dans les yeux. Prenant le pouvoir. Je me déhanchais sur son sexe comme si je le chevauchais. Il ne bougeait pas, presque impassible.
Il plongea son regard dans le mien, observant sa chose, sa chienne se pavaner pour lui.
.
Je décidais alors de me relever. Je saisis son verre pour lui mettre dans sa main.
Je remontais ma robe juste finement pour laisser entrevoir ma culotte puis je la redescendais. Il commençait tout doucement à bouger.
Je montais alors sur la table pour prendre encore plus de hauteur.
Il se lova dans le canapé. Il sirotait son verre avec ce léger sourire, même s’il voulait se montrer impassible. Je tirai sur la fermeture éclair de ma robe. Je jouais à me dévoiler.. me réhabiller.. pour ensuite, devant lui faire tomber la robe en le regardant droit dans les yeux.
Je me mis alors sur les genoux et je me dandinais les fesses de gauche à droite pour l’allumer comme une putain le ferai.
Je me redressai. Je jouais avec mes mains en la passant sur mes fesses, sur mes seins, sur mon sexe. Je voulais le rendre.. passible.
Je vis sur la table un bandeau.. Avec langueur, je le mis sur mes yeux. Je m’étais remise à quatre pattes à bouger mes petites fesses pour l’inviter à s’occuper de sa petite chienne…
Je sentis alors ses mains se poser sur le bas de mon dos m’indiquant qu’il reprenait la main.
Il passa sa main sous ma culotte. Il la descendit alors douceur.
Une tension sexuelle si intense.
Il me saisit alors par la ceinture, me forçant à descendre de la table basse. Je le suivais, aveuglais mais en confiance. Je ne savais pas où nous allions. Il me plaqua contre une table assez haute, froide. J’en avais la chair de poule. Il plaça mes mains à l’avant et les lia ensemble avec une corde.
Mes jambes étaient alors écartées fièrement dressées sur les escarpins. En bas et portejartelles.. Mes seins libres.
Il ne parlait pas.
Je sentis alors un liquide tomber sur mon dos. Je me redressais, il léchait. Il s’abreuvait à mon corps. Il me mordait. Il empoigna la ceinture autours de sa main et me redressa.
Je sentis quelque chose de plus dur parcourir mon corps. Je devinais alors que c’était un gode. Il le dirigeait vers mon enjambe.
J’étais complètement trempée, je sentais des filets de mouille. Il glissa ses doigts que je devinais recouvert de mouille. Il frotta le gode contre ma chatte. Je me déhanchais. J’étais frustée. J’avais envie de me faire prendre.. Je n’en pouvais plus.
Quand il plaça le gode à l’orée de ma chatte, je m’empalais directement. Il me tenait bien redressée, serrant la sangle de la ceinture autours de mon cou. IL me possédait. Il relacha la pression en me caressant le dos puis s’aventura sur mon sein droit. Il s’était penché sur moi. Je sentais son souffle. Il me mordait le cou..
Je murmurais mon désir, je me consumai. Il mis sa main sur ma bouche. Il activa le gode plus fortement dans ma chatte.
- Prenez le bien au fond de votre petite chatte de chienne… Humm..
Sa main ensuite se posa sur ma gorge au dessus de la ceinture. J’adorais cette sensation si animale alors qu’il me pénétrait la chatte avec le gode.
Il me redressa . Il laissa le gode contre sa cuisse. Je m’amusais avec. Il sous-pesait mes seins. Il pointaient tellement. Il s’amusa à les tirer encore plus.
- La prochaine fois je vous ornerais de chaînes.. Allez baisez vous encore !
Il me poussa alors sur la table.
Il était derrière moi.-
- Continuez à vous branler.
Pendant que je jouais avec le gode à le glisser sur ma chatte, à le faire passer sur mon clitoris ou à le ré-introduire, il caressait mes seins les malaxant.
Sa voix me guidait. Il me parlait. Il me metta dans un état de transe. Cette voix si importante. J’aimais qu’il me parle.
- Humm ma petite chienne qui se branle. Allez y plus fortement.
- Voilà….
Il mit ses doigts dans ma bouche. Je lui suçais..
- Quelle suceuse, cette bouche..
Il serra la ceinture..
- Allez petite salope, mieux que ça.. voilà. Je veux vous entendre prendre votre pied.
Ahhh… ahhh.. c’était si bon.. hummmm.. je me lâchais.
- C’est ça.. Voilà…
D’un mouvement plus brutal, il me tourna et me fit glisser sur cette table. Il mit mes fesses bien au bord.
Toujours attachée, je continuais à me goder. Je sentis alors sa langue s’aventurer sur mon anus.
Il le lécha puis écarta comme il le pouvait pour y avoir un accès. Il y mis un doigt.. Il commençait doucement à jouer avec, à faire des aller et retour… pour m’ouvrir doucement…
Je gémissais… presque plus de force à force de me goder ainsi.
- Continuez..
Il me mit un second doigt dans le cul. Il s’était relever. Il me baisa l’anus de ses doigts. Je sentais son regard sur moi à la frénésie qu’il avait en m’insérant ses doigts.
Il y mis un troisième doigt. Je criais…
- Chut..
Il prit alors la ceinture et me baisa ainsi avec ses doigts. Je laissais alors tomber le gode. J’étais perdue dans les tourments de ce désir hardent. Il ota ses doigts.
- Enculez moi Monsieur, je vous en prie.. Prenez moi.. J’en brule d’envie.
Je me faisais suppliante. Je le voulais si fortement.
- Je vous en supplie, ne me laissez pas dans cet émoi.
Ma voix se perdit quand je sentis sa queue commencer doucement à me prendre. Il y allait doucement.
Je m’étais redressée. Je passais mes mains attachées autours de son cou. IL fut doux au début. Il m’embrassait le cou, le léchait.
- Vous vouliez être enculée ? baisée ?
- Oui.. Monsieur, je voulais être enculée. Baisez moi maintenant je vous en prie.. s’il vous plait.
Il ota mes mains de son cou. Il me jeta sur la table. Il remonta alors mes cuisses. Et là d’un coup profond de rein, je le sentis.. son sexe dur me prendre bien au fond. Ses coups étaient si précis, lent. J’entendais son corps butter contre le mien.
Puis dans une danse langoureuse entre sa queue et mon anus, il faisait voler mes seins. Il les stoppa dans leur valse en les gifla, les griffant. Il était devenu très animal. J’étais sa chienne.
Il agrippa mes seins si fortement quand il jouit que je me sentis marquer par l’empreinte de ses doigts tout comme je sentais cette emprunte dans mon anus.
- Restez ainsi petite putain.
Je restais allongée sur la table les jambes écartées. Il ôta alors mon bandeau pour me regarder droit dans les yeux. Il me détachait. Pas un mot entre nous deux, des sourires. Il revint vers moi avec nos verres de vins…
Ma gorge était sèche. Je buvais nue comme exposée sur cette table. Il me regardait.. Je le regardais.
Je me mis à quatre pattes pour me mettre face à lui Je me sentais comme une reine avec lui.
Il posa alors ma tête contre le marbre de cette table un peu haute. Je levais mon fessier à l’appel de ses attentes, ses désirs, ses caresses…
Il nétait pas revenu qu’avec les verres. Il plaça dans ma bouche la cravache.
Cet objet remplit de temps de délices et supplices.. jeux, punitions, caresses…
- Ne bougez pas.
Il s’était éloigné. Pendant quelques minutes.
Il était dans le salon. Ma tête était retournée contre la table vers lui.
- Quelle belle position.. Les fesses relevées ainsi.
Je sentis alors du métal au niveau de ma chatte… Puis cela s’engouffra dans mon anus..
- Humm.. voilà.. un beau bijou pour votre anus. Pour qu’il soit toujours ouvert. J’aimerai que vous en portiez un quand je vous le demandrai.
Je hôchais de la tête en disant oui.
- Bien.. cela me plaît. De vous savoir disposée à avoir le cul ouvert.
- Redressez vous maintenant.
- Venez avec moi… Je vous aide à descendre.
Je commençai à marcher avec lui.
- Non, non à quatre pattes cravache en bouche.. En chienne racée que vous êtes.
Il me tenait par la ceinture. Je marchais à l’unisson à ses côtés. Il me déposa a nouveau au milieu du salon.
- Je vous veux dans cette position et ici quand vous serez ici. Les mains sur les cuisses ouvertes ou dans le dos quand je vous l’ordonnerai. Droite, bien dressée.
Il ajustait ma posture. Il avait déposer un oreiller sous mes genoux.
Il me caressait le visage. Naturellement, je me blotissais contre sa cuisse. Je sentais alors sa main me caresser les cheveux.
Il s’absenta. Quand il revint il s’agenouilla devant moi.
- J’aimerai vous orner de ces pinces à tétons. Elles sont ajustables. Au fur et à mesures je les serrerais de plus en plus forts. Vous serez magnifiée avec.
- Vous allez être ma reine.
Je baissais la tête.
Il posa la pince sur mon premier téton.. il serra doucement.. puis il déposa la seconde.
- Je vais encore serrer.
Je sentais son sourire. Il y avait cette sensation de plaisir et douleur supportable.
- Je vous ai posé votre verre à coté.
- Continuons ainsi nos échanges. Je vais m’asseoir à admirer ma petite chienne.
Vous pouvez poser la cravache devant vous quand vous buvez, mais après je vous veux l’avoir dans les mains en présentation ou dans votre bouche quand je vous ordonne de vous taire.
Je lâchais complètement prise. Je ne m’étais jamais sentie autant désirée. Il m’avait marqué par cette prise en main comparable à la douceur de la soie et si animale comme l’odeur du cuir.
- Ce soir, je vous attacherai à mon lit avec un bandeau. Je vais vous utiliser à ma guise…
- Je…
- Cela m’excite terriblement Monsieur d’être à votre disposition.
Il sourit.
- J’aime votre spontanéité. Mais parfois vous parlez trop. Je ne sais pas encore si je vais vous bâillonner ou non …
- Allez au pied petite chienne, je vous veux à mes côtés..
Je m’avançais vers lui. IL m’avait fait m’allonger sur le canapé, nue, la tête posée sur ses cuisses. Il me cajolait..
Quand vint le moment d’aller au lit, il me prit dans ses bras.
- Tendez vous bras je vous prie.
Il m’attacha les poignets et les fixa au barreau de son lit. Il me regarda et mis un bandeau sur mes yeux.
- Pour une douce nuit de princesse.. ou de salope…
La nuit commençait à peine…
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La salle de bain était vaste et comprenait outre une douche, une baignoire et deux vasques en marbre blanc, une coiffeuse, et une table de massage, ce qui n’empêchait nullement deux femmes d'utiliser ces commodités sans se gêner. Juliette se déshabilla et invita Charlotte à faire de même. En se dévêtant, elle se fit la réflexion qu’elle n’avait jamais vue Juliette nue. Sans ses talons hauts, elle paraissait toujours aussi grande; sa poitrine parfaite faisait oublier sa sihouette un peu androgyne, accentuée par sa coupe de cheveux à la garçonne. Sa peau parsemée de taches de rousseur accentuait le hâle de son corps élancé. Elle avait les cuisses et des fesses musclées, les reins cambrés et le pubis nu, intégralement rasé, aussi lisse qu'à sa naissance. Juliette prit un flacon d’huile qui reposait dans un des lavabos rempli d’eau chaude et versa un peu de liquide au creux de sa main. L’huile coulait par petites touches le long de la colonne vertébrale de son amie. les deux mains se posèrent sur les épaules et commencèrent à masser. Charlotte ferma les yeux, ce n’était pas la première fois qu’elle se faisait masser par une femme, mais elle savait qu’à partir de maintenant, à un moment ou à un autre, la séance allait basculer pour son plus grand plaisir. Elle s'abandonna sensuellement à cette idée. – Allonge-toi sur la table, je vais te masser. Charlotte se déshabilla à son tour et prit place, la tête calée dans l’appuie-tête et attendit. Juliette abandonna les épaules et descendit jusqu’aux reins en massant également les flancs puis abaissa encore et posa ses mains sur les deux globes charnus mais fermes. Juliette résistait pour ne pas brûler les étapes. Elle voulait que ce massage soit lent et progressif pour que sa partenaire ait le temps de s’abandonner complètement à ses doigts à la fois doux et audacieux. Elle s’aventura dans le sillon des reins de Charlotte en passant son pouce à l'entrée de son anus. Elle frissonna retrouvant ainsi les quelques sensations ressenties le jour de leur première rencontre; le cœur qui bat un peu plus vite, les fourmillements dans le bas du ventre, le délicieux courant d’air frais parcourant l’épine dorsale, et surtout l'humidification de son sexe. Juliette massait les fesses de Charlotte avec application, et faisait glisser ses doigts sur les lèvres intimes et l’anus depuis plusieurs minutes quand elle s'arrêta et se saisit d'une petite seringue à bout arrondi remplie d'huile. Juliette présenta le bout du tube sur l’anus et appuya, la seringue entra de trois ou quatre centimètres. Charlotte releva sa tête surprise, un pli entre les deux yeux et reposa sa tête. Juliette vida la moitié de l'huile dans le rectum de sa complice qui lui présentait sa croupe. – Ça va t’aider, et dis-moi si je te fais mal; elle fit un petit geste de la main en guise d’approbation. Elle enfonça son pouce dans l’anus bien lubrifié, elle le sentait à la fois récalcitrant et souple et elle savait que Charlotte n’était pas encore bien détendue et luttait inconsciemment contre cette intrusion exquise. De son côté, Charlotte avait la respiration saccadée et rauque, la bouche sèche, elle était dans cet état second où l’appréhension des gestes de Juliette conjuguée au désir de l’interdit la laissaient totalement passive mais nullement insensible. Bientôt, l'autre main alla s’aventurer dans l'autre voie déjà abandonnante, les lèvres acceptèrent la double caresse forçant délicatement le périnée, les doigts s'attardant sur le clitoris impatient. Charlotte se laissa aller à ces doubles caresses en retenant son désir de jouissance, en s'interdisant des mouvements du bassin qui l'auraient trop rapidement extasiée. Juliette le devina et s'arrêta, puis s'éloigna. Charlotte s'accouda et la chercha du regard. Elle était dos à elle, face à sa table. Lorsqu'elle se retourna, elle lui sourit et dans ses yeux, Juliette devina qu'elle était prête à rendre les armes en acceptant de se livrer totalement. C'était la première fois mais de toutes leurs forces, son corps et ses reins l'imploraient. Elle fit courir une main sur ses fesses et lui caressa les épaules. Charlotte avait posé les bras le long de son corps et avait l’impression d’entendre tous les bruits amplifiés de la pièce, jusqu’au moindre petit froissement de tissu. Lorsque trois doigts forcèrent son anus, elle serra les dents avec un faible gémissement de douleur. Elle n'avait jamais accepté de pénétration dans sa partie secrète, jusqu’à ce jour. Bientôt, ce furent quatre doigts délicats qui pénétrèrent son anus; la chair autour des phalanges s’épousait parfaitement, l'anneau acceptait l'intrusion. Juliette admirait Charlotte qui acceptait langoureusement en se détendant. Elle se saisit d'une paire de gants et en passa un à sa main droite, puis elle retira ses doigts pour les remplacer par un large olisbos en verre transparent avec une nervure qui s’enroulait autour, telle une liane sur un arbre. Juliette enfonça alors l’olisbos puis arrêta la progression et tira dans l’autre sens pour pousser une autre fois. Charlotte se laissait sodomiser en douceur et sentait toujours cette vibration tapie au plus profond d’elle-même, grandissant inéluctablement. Elle pouvait maintenant retirer entièrement le sextoy pour mieux le réintroduire encore un peu plus loin à chaque fois. Charlotte avait l’anus bien dilaté et Juliette écartait ses fesses pour mieux évaluer l’élargissement, son rectum avait toujours la forme d’un cercle. Le godemichet était intégralement entré ne laissant que le rebord évasé pour qu'on fût certain, que même au fond de ses entrailles, il ne remonterait pas à l'intérieur de son corps. Il reflétait la lumière dorée du plafonnier dévoilant la nudité des deux jeunes femmes. Le corps de Charlotte réclamait toujours davantage; le devinant, Juliette ôta lentement l'olisbos de son fourreau charnel, pour bientôt le remplacer délicatement par ses doigts gantés; deux, trois, quatre et enfin cinq, les sphincters anaux étaient étirés et le pertuis lubrifié s'élargit, acceptant l'introduction conique lente jusqu'au fin poignet de Juliette. Alors Charlotte, détendue, se laissa aller à des va-et-vient lascifs de son bassin en se cambrant; la décharge fut intense et l'orgasme violent. Charlotte mis ses bras autour du cou de son amie, la serrant de toutes ses forces et elle hurla, sa jouissance fut si forte que son cœur battait à se rompre, son ventre était inondé au point qu'elle crut un instant que la cyprine coulait le long de ses cuisses. Alors, Juliette retira lentement son poignet et elles s’embrassèrent fiévreusement en mêlant leurs langues. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Nous sommes restés un long moment ainsi, lui sur moi, moi à ma place, sous lui.
Puis Maxime s’est relevé, m’a libérée de mes liens.
Il m’a retiré les pinces, les aiguilles, jouant avec les pointes de mes tétons, pour y faire re-circuler le sang. Le réveil de mes terminaisons nerveuses a fait revenir la douleur, et le plaisir.
Il ne m’a pas enlevé mon collier, mais ordonné de le suivre.
Nous nous sommes rendus dans la pièce dédiée à « l’usage intensif de mon corps ».
Là, il m’a suspendue par les poignets, écarté les chevilles au maximum au moyen de la barre, avant de s’éloigner de quelques pas, pour contempler son œuvre, moi, totalement à sa merci.
Je savais déjà ce qui allait suivre, avant même qu’il ne prenne le fouet que je lui avait offert et qu’il m’avait fait découvrir.
Il est ensuite revenu vers moi, approchant le fouet de mes lèvres, pour que je l’embrasse, avant d’en subir la morsure dans mes chairs.
Après m’être conformée à ce rituel que nous avions institué, il m’a souri, caressé le visage, me rappelant comme à chaque fois qu’à tout moment je pourrais mettre fin à mon supplice, en prononçant les mots convenus, mais que tant que je ne le prononcerai pas, il serait seul juge de continuer ou d’arrêter.
J’ai acquiescé de la tête.
Il s’est éloigné de quelques pas, a fait claquer le fouet, histoire de bien le prendre en mains.
Sa queue était à nouveau raide.
J’ai serré les dents.
Les premiers coups ont été pour mes seins.
Je n’ai pu m’empêcher de gémir, et les larmes ont coulé.
Puis ça a été mes cuisses, mon ventre, mes seins à nouveau, en alternance, pour finir par mon sexe.
Chaque coup m’arrachait un cri, mais je tenais bon.
Et nous savions tous deux que je ne prononcerais pas les mots qui l’obligeraient à arrêter.
Après une dizaine de coups, les endorphines ont fait leur effet. Maxime continuait de frapper, mais je ne ressentais plus la douleur. Et je mouillais de ces coups qui me lacéraient les chairs, jouissant d’offrir à mon Maitre la souffrance de ce corps qui lui appartenait.
Quand Maxime s’est arrêté, il m’a fallu plusieurs minutes pour reprendre mes esprits, redevenir moi-même.
Il m’a détaché, soutenant mon corps douloureux, strié des marques du fouet.
Sa queue raide ne laissait aucun doute quant à son excitation.
Je me suis agenouillée pour l’embrasser, lui témoigner moi aussi de ce désir que j’éprouvais, cette envie qu’il jouisse à nouveau de moi.
Il m’a ordonné de me retourner, de lui présenter ma croupe, m’a prise par les épaules et s’est enfoncé en moi.
Son excitation cette fois-ci était telle qu’il n’a pu se retenir longtemps avant de se vider dans mes reins.
Comme je peinais à me tenir debout, il m’a prise dans ses bras, m’a portée jusqu’au lit pour m’y allonger doucement puis il a été chercher un baume cicatrisant pour l’appliquer sur mon corps douloureux.
Il m’a embrassée tendrement, avant que nous ne nous endormions ainsi, moi lovée dans ses bras, calmée, heureuse de sentir la chaleur de son corps pendant que dehors la pluie continuait de tomber.
_________________
Près d’un semaine s’est écoulée depuis. Les marques sur mon corps commencent à s’estomper. Mais chaque fois que je les contemple je suis fière de lui avoir prouvé que je lui appartenais, que j’étais son esclave.
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Dans la mythologie grecque, Atalante, du grec ancien ( ???????? / Atalántê), fille de Schoenée, roi de Scyros
d'après les Arcadiens, est une héroïne légendaire qui fut exposée à sa naissance par son père qui ne voulait
que des fils. Nourrie de lait d'ourse par des chasseurs qui la recueillirent, elle devint une parfaite chasseresse.
Lorsque Méléagre organisa une partie de chasse pour détruire le sanglier qui, sur ordre d'Aphrodite, ravageait
le territoire de Calydon, elle abattit d'abord les centaures Rhoecos et Hylaeos qui avaient décidé de la violer à
tour de rôle, puis porta le premier coup mortel à l'animal sauvage que Mélagre acheva, écorcha, et dont il lui
offrit la peau, provoquant la jalousie de ses compagnons; le sanglier étant l'emblème de Calydon et il était
consacré à Arès dont on disait qu'il était le père de Méléagre.
Atalante qui passait pour la plus rapide des cavalières, avait promis d'épouser le prétendant qui parviendrait à la
vaincre à la course. S'il perdait, il était condamné à avoir la tête tranchée. Alors, elle se laissa devancer, puis
poursuivant le cavalier, le rattrapait et lui portait le coup fatal. Nombreux furent ceux qui périrent sous ses flèches,
jusqu'au jour où Hippomène, Mélanion selon la tradition arcadienne, conseillé par Aphrodite, laissa tomber trois
pommes d'or pendant la course. Pendant qu'Atalante se penchait pour les ramasser, il la dépassa et atteignit le
but. Ils se marièrent et visitèrent un sanctuaire consacré à Cybèle ou à Zeus qu'ils profanèrent en s'y livrant à de
chaudes effusions. La diviniité offensée les transforma en lions et les attela à son char.
Atalante est une une figure féminine aux qualités surnaturelles, et fabuleuses, d’une incommensurable durée et
appartient à la tradition hellénique dès le VII ème siècle. Très présente dans la culture gréco-romaine, elle s’est
perpétuée en filigrane jusqu’à notre époque. Lorsqu’elle est fille d’Iasos, Atalante, bannie par son père qui voulait
un fils, est allaitée par une ourse. Farouche, elle refuse le mariage pour se consacrer à la chasse. Elle participe à
la chasse de Calydon avec de nombreux héros (Thésée, Méléagre…) et est la première à frapper le monstrueux
sanglier envoyé par Artémis.
Elle prend part au voyage des Argonautes, tue deux centaures qui allaient la violer et est la mère du grand héros
Parthénopée de l’expédition des Sept contre Thèbes. Lorsqu’elle est fille de Schoenée, Atalante est donnée en
mariage au prétendant qui pourra la vaincre à la course. Hippoménès (ou Mélanion) remporte l’épreuve grâce aux
pommes d’or données par la déesse de l’amour Aphrodite. Après le mariage, les amants accomplirent un acte impie:
ils s’unissent dans un sanctuaire et sont métamorphosés en lions, des animaux frigides. Les lions, croyait-on alors,
ne s'unissaient pas entre eux, mais avec des léopards. La punition infligée aux amants semble se rapporter à une
ancienne loi exogamique, selon laquelle les membres d'un même clan ne pouvaient pas se marier entre eux.
Le récit fictionnel se lit en ces deux versions dès son apparition au VII et VI ème siècle avant notre ère dans les
sources textuelles comme dans les sources figurées. Atalante est aux prises avec Hippoménès dans Le catalogue
des femmes attribué à Hésiode et participe à la chasse de Calydon sur le vase François. Une cinquantaine de textes
et quatre-vingts œuvres iconographiques se sont emparées des exploits d’Atalante et les traitent toujours en métopes
bien séparées: Atalante chasse, lutte, court, fait un fils. Le mythe d’Atalante a été mis en doute et cela dès son
apparition; Atalante court devant Hippoménès/Mélanion depuis Hésiode jusqu’à la fin de l’Antiquité tardive, mais cela
n’implique pas que sa course ait le même sens.
L’héroïsme au féminin en pays grec, dont beaucoup de spécialistes au départ ont mis en doute l’existence, est un
thème vivifié par l’histoire du genre, et les publications sur les héroïnes dans les mythes et les cultes helléniques ont
commencé très tôt. L’héroïsme au féminin, a de nombreuses formes et il s’avère différent de l’héroïsme masculin.
Mais faut-il en conclure qu’il est "genré" ? Atalante est une héroïne parce qu’elle est née, qu’elle vit et qu’elle meurt
dans un monde mythique définitivement autre, inaccessible, différent et éclatant.
Mortelle dotée d’une généalogie prestigieuse qui remonte aux immortels, l’héroïne croise continuellement deux
immortelles, Artémis, sa virginale compagne de chasse, et Aphrodite dont elle repousse les doux présents. La jeune
fille aux pieds agiles refuse d’accomplir ce qui constitue pour une femme le passage de l’enfance à l’âge adulte, le
mariage. Aussi, lorsqu’elle succombe aux pommes d’or d’Aphrodite et perd sa virginité, Artémis se venge en lui
faisant commettre un acte impie qui lui vaut d’être métamorphosée en lionne. La métamorphose, qui est une façon
d’échapper au destin des mortels, suffit à faire d’Atalante une figure de l’âge héroïque mais elle n’implique pas
l’élaboration d’un culte. Aucune inscription n’en mentionne explicitement l’existence.
Le mythe d’Atalante est celui de l’amour, du désir et de la mort. C’est sans doute ce qui explique son extraordinaire
longévité. Le désir que fait naître la beauté du corps d’Atalante amène ses soupirants à mettre leur vie en jeu.
Atalante est régulièrement représentée dans les arts, de l'Antiquité jusqu'à nos jours. Elle inspira Rubens, Guido Reni,
Nicolas Poussin et le peintre flamand, Jacob Jordaens. En Musique, François Couperin et Georg Friedrich Haendel
composèrent des pièces musicales s'inspirant du mythe. Atalante apparaît en tant que personnage secondaire dans
différentes bande dessinées américaines, également au cinéma dans plusieurs péplums.
Bibliographie et références:
- Hérodote, "Histoire"
- Hésiode, "La Théogonie"
- Homère, "Odyssée"
- Homère, "L’Iliade"
- Hygin, "Fables"
- Ovide, "Métamorphoses"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- P. Chantraine, "Dictionnaire étymologique de la langue grecque"
- Platon, "République"
- Platon, "Le Banquet"
- Virgile, "Enéides"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Dans la mythologie grecque, Séléné, en grec ancien ?????? / Sel?nê, "lune", est la déesse de la Lune.
Fille de Théia et d'Hypérion, sœur d'Hélios, qui personnifiait la lune, illuminait chaque nuit de sa chevelure
argentée. Parfois un dragon tentait de la dévorer: alors, elle se cachait, provoquant une éclipse, et les
magiciennes qui la protégaient faisaient fuir le monstre. Elle fut convoitée par Zeus qui lui donna quatre
filles: Erse, la rosée; Néméa et Pandia et, selon certaines traditions, le célèbre "Lion de Némée" qui fut
abattu par Héraklès. Le dieu-bouc "Pan" dissimula ses poils noirs et rudes sous une magnifique toison,
l'attira dans une forêt. Elle monta sur son dos et se laissa séduire par lui; légende évoquant les orgies
qui avaient lieu au début du mois de mai, pendant lesquelles, la reine de Mai montait sur le dos de son
homme dressé avant de célébrer avec lui son mariage dans la forêt nouvelle, à l'époque où le cerf avait
remplacé le culte du bouc en Arcadie.
Mais son grand amour fut le beau berger Endymion (sommeil imposé), fils de Zeus et de la nymphe Calycé,
qui, refusant de vieillir, avait demandé aux dieux de lui accorder une éternelle jeunesse. Zeus y consentit, à
condition qu'il soit plongé dans un sommeil éternel. Une nuit, Séléné le surprit endormi dans une caverne du
mont Latmos. Charmée, elle se coucha à coté de lui, l'embrassa tendrement et revint chaque nuit le caresser.
On raconte qu'elle lui donna cinquante filles.
Comme son frère Hélios, dieu du Soleil, conduisant un char solaire à travers le ciel chaque jour, la légende veut
que Séléné conduisait elle même un char. L'Hymne à Séléné nous livre cette description: "Ses rayons se répandent
dans l'air, quand, ayant lavé son beau corps dans l'Océan, et vêtue de ses habits brillants, la divine Séléné lie au
joug ses chevaux aux têtes hautes et pousse rapidement ses chevaux lumineux aux belles crinières, le soir, au milieu
du mois, quand son orbe est plein, et quand ses plus éblouissants rayons se sont accrus dans l'Ouranos, en signe
et en présage pour les mortels" (Hymnes homériques: À Séléné).
Le sanctuaire (hiéron) est un enclos qui a été taillé dans la terre des hommes pour devenir la propriété d’un dieu. Il
porte aussi le nom de téménos, "emplacement découpé". Il est délimité par une clôture ou péribole. Le sanctuaire ne
comporte pas nécessairement de temple. Il subsiste, à Agrigente notamment, des enclos à ciel ouvert avec des autels,
hérités de la civilisation sicano-sicule, mais sans doute semblables à ceux de la Grèce primitive. Toujours à Agrigente,
Déméter et Coré sont adorées également dans des grottes . Mais bien vite on prend l’habitude de construire dans le
sanctuaire un temple et un autel.
Le temple (naos) est la demeure du dieu, qui y réside sous forme d’une statue. Ce n’est normalement pas la maison du
fidèle, qui n’y pénètre pas et qui aperçoit seulement le dieu de loin par la porte ouverte. Toutefois les fidèles semblent
bien avoir eu accès aux deux temples colossaux de la Sicile méridionale: le temple G de Sélinonte et l’Olympieion
d’Agrigente, où se célébraient des liturgies mystiques. Des figures lunaires furent retrouvées sur des pierres et des
bijoux crétois, indiquant sans doute un culte de Séléné dans la civilisation minoenne, mais en dehors du rôle que jouait
la Lune dans la magie et la poésie, et malgré le culte tardif du dieu phrygien Men, Séléné fut malgré tout peu vénérée.
Séléné, sœur d’Hélios, le soleil et d’Eos, l’aurore, prend les traits d’une jolie femme au visage étincelant. Elle est très
souvent représentée portant des robes longues couleur d’argent ou blanches. Elle porte sur son dos un croissant de
lune et peut parfois posséder une torche ou même avoir des ailes. Elle illumine le ciel dans lequel, elle se déplace sur
un cheval, un taureau ou bien encore dans un char argenté. La terre endormie reçoit alors son éclat au fil de ses
pérégrinations.
Dans la mythologie grecque, Séléné, assimilée à Artémis, même si elle personnifie plutôt l’astre lunaire lui-même. Cette
déesse a été romanisée sous le nom de Luna. Elle est généralement décrite comme une belle femme au visage d'une
blancheur étincelante, vêtue de longues robes fluides blanches ou argentées et portant une lune en croissant retournée
sur sa tête. D’autres sources racontent qu’elle porte également une torche et d’autres encore lui prêtent deux grandes
ailes blanches dans le dos.
Après s’être baignée dans l’océan, elle mène un char argenté à travers le ciel obscur, tiré par des chevaux blancs dans
certains contes et par des bœufs blancs dans d’autres. Elle est également souvent dépeinte montant un cheval ou un
taureau. Elle luit d’une douce lumière argentée pendant qu’elle voyage à travers les cieux, renvoyant sa douce lumière
sur la terre ensommeillée.
Sur le plan scientifique, elle a laissé son nom au sélénium (symbole Se, numéro atomique 34), à la sélénologie
ou étude scientifique de la Lune, au sélénite: minéral translucide voire transparent, se présentant sous une forme
cristallisée et aux séléniens et sélénites, habitants imaginaires de la Lune. On les rencontre notamment dans le
roman "Autour de la Lune" de Jules Verne et dans le livre, "Les Premiers Hommes dans la Lune" de H.G.Wells.
Bibliographie et références:
- Apollodore, "Bibliothèque"
- Apollonios de Rhodes, "Argonautiques"
- Bacchylide, "Dithyrambes"
- Euripide, "Les Bacchantes"
- Hérodote, "Histoires"
- Hésiode, "Théogonie"
- Homère, "Iliade"
- Ovide, "Fastes"
- Pindare, "Pythiques"
- Pindare, "Odes et Fragments"
- Platon, "Phèdre"
- Théophraste, "Histoire"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Désolée pour les fautes. je n'ai pas pu me relire, j'étais en compagnie de Beth Harth qui m'a transporté vers des plaisirs interdits
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« Demande d’ami » . Voici la notification que je recevais. Une, parmi tant d’autres. Naturellement je clique « voir le profil ». Oh un profil divinement rempli. Quel plaisir de lecture ! .
Je suis souvent sciée par les personnes qui recherchent à vivre des choses spécifiques et qui se resume à : « homme dominant recherche soumise »…. Aucune photo si ce n’est celle souvent de se cacher des avatars loin de la réalité. Là, je devinais un homme mystérieux qui teasait. Cette envie justement d’en savoir plus. Le choix des mots, des photos.. Mon intérêt ne pouvait qu’être.
« Accepter l’invitation ». Je ne pouvais en faire autrement. Comme à mon habitude, je n’écris jamais la première. J’ai toujours eu dans mon côté désuet ce besoin qu’un homme se présente et vienne à moi.
Combien d’invitations acceptées qui me font pensées à ce côté facebook pour avoir un maximum d’amis sans aucune interraction. Aucun intérêt !.
« Bonjour Mademoiselle Lane,
Quel plaisir d’avoir lu votre profil. Vous y mettez une sincérité. Vous semblez être dotée d’une finesse d’esprit et de sensibilité. Permettez moi de me présenter. Monsieur E. Je suis un homme libre de tout engagement, recherchant ma perle rare. Une femme intelligente, raffinée et féminine aimant les jeux D/S.
Même si le physique,ne fait pas tout, il est important de savoir avec qui on échange. Je vous prie de trouver une photo afin d’être sur un pied d’égalité.
J’espère que ce message vous donnera l’envie de poursuivre.
Bien à vous.
Monsieur E. »
A la lecture de ce message… Je ne pouvais être qu’intéressée à poursuivre ! Un homme sachant se présenter faisant preuve d’un certain équilibre et empathie.
« Cher Monsieur E.
Je vous remercie pour votre bienveillance. Il est agréable que vous sachiez lire entre les lignes. Comme vous, j’ai ressenti finesse d’esprit et sensibilité. Je suis également de mon côté libre de tout engagement et comme vous l’avez lu, je recherche un homme recherchant une relation suivie exclusive. Je suis de nature franche , directe afin d’éviter tout malentendu. Je peux parfois paraître cavalière parfois à cause de cela.
Vous êtes un homme bien charmant. Ce sera un plaisir de faire votre connaissance.
Bien à vous,
Mademoiselle Lane ».
Nos échanges se firent très naturellement. Rapidement, nous passions sur un autre support. J’aimais ce côté où il se montrait direct, franc et surtout simple ! Beaucoup de personnes restent dans des carcans où ils se disent dominant sans s’intéresser réellement à la personne avec qui ils échangent. Je sentais avec lui un dominant naturel. Un alpha.
Je sentais son intelligence, sa sensibilité son empathie et sa poigne. Il me posait réellement des questions sur ma vie, sur mes passions, mes combats, mes blessures. Un des rares à ne pas parler tout de suite de désirs BDSM.
On peut en parler autant qu’on veut, chaque histoire, chaque rencontre est unique. J’avais hâte de passer à une rencontre. J’aimais cette tension qui se faisait mais je ne voulais pas que ça dure de trop. Je me méfie des ascenseurs émotionnels.
« Chère Mademoiselle Lane,
Je souhaite vous inviter à un dîner ce samedi pour voir si ce feeling se poursuit en réalité. Samedi 19h30. Acceptez vous ? »
Je n’attendais que cela, comme une adolescente. Ma réponse en fut presque instantanée !
« Cher Monsieur E,
Ce sera avec grand plaisir ! ».
Il m’avait demandé d’être à l’heure . J’allais compter les jours et me poser mille questions sur ce que j’allais porter, mettre comme parfum, comme bijou.. Complètement superficielle me direz vous. Mais être coquette et féminine c’est prendre soin de soi.
J’étais en train de patienter Place Gutenberg. Il faisait très bon ce soir là. Une soirée d’été où la chaleur tombait enfin.
J’avais mis une robe bordeau avec un décolleté plongeant sans aucune vulgarité, sans soutien gorge et des escarpins. Quand je le vis arriver, j’étais saisie par l’élégance qu’il dégageait. J’y était très sensible. Un homme qui aime les femmes féminines se doit aussi de prendre soin de lui et avoir du goût. Il portait un pantalon bleu et une chemise blanche.
- Bonsoir Mademoiselle Lane..
- Bonsoir cher Ethan…
Il saisit ma main pour la baiser avec une telle légèreté.
- Vous êtes magnifique, au-delà de mes espérance. Ravi de vous rencontrer enfin.
La chaleur montait. Quel homme galant..
- Je suis également ravie. Lui répondis-je en le regardant droit dans les yeux.
Son regard était si intense. Il était de ces hommes qui s’imposait naturellement. Ce charisme indescriptible. Je me suis sentie naturellement protégée et bien à ses côtés.
- J’ai réservé un restaurant aux abords de Strasbourg. Soit nous prenons votre véhicule, soit le mien. Je vous laisse choisir. »
J’avais envie de me laisser guider.
- Je vous laisse conduire.
- Parfait.
Nous marchions jusqu’au parking où il était garé.
- Ah je vois que nous avons la même marque de voiture, disais je en souriant.
- C’est que vous avez bon goût.
- Ahh.. oui.. j’aime beaucoup l’histoire de cette marque. Savez-vous que le logo représente les hélices d’un avion en marche ?
- Oui..
- J’aime connaître l’histoire des choses, des entreprises. C’est très intéressant.
- Je suis comme vous.
Nous discutions de choses et d’autres. Sa voiture était des plus agréables.
J’étais complètement intimidée. Dans ces moments là, je me sens si cruche, si sotte, un vrai moulin à paroles. Avec un bon verre, j’allais me détendre. Je devinais que la soirée allait être superbe quoi qu’il arrive.
Il avait réservé un restaurant spécialisé dans les fruits de mer. J’étais aux anges. Même si à chaque fois j’ai envie d’acheter tout ces pauvres petits homards pour les remettre à l’eau…
- Vous êtes si élégante ce soir. Pourriez vous vous redresser s’il vous plaît.
Naturellement, je l’écoutais.
- J’aime qu’une femme ait de l’allure et qu’elle se tienne convenablement.
- Oui je comprend. Avec mon opération au dos, je ne peux même pas m’affaler. J’ai deux broches le long de ma colonne vertébrale.
- Vous m’en voyez désolée pour vous. Je comprend mieux votre maintien depuis tout à l’heure. Là, je voulais juste vous corriger car vous vous êtes mise trop à l’aise au fond de votre chaise.
Nous échangions avec cette tension dans l’air. Il posa alors sa main sur la mienne. Avec ses doigts il mit une pression sur mon poignet.
- Pourriez vous écarter vos jambes s’il vous plait.
- Je…
Soudain, il se leva et murmura à mon oreille :
- C’est un souhait. Vous n’êtes pas obligée.. Vous choisissez.
Il revint au bout de quelques minutes. J’avais ouvert mes cuisses comme il me l’avait demandé.
- Votre parfum est divin et si envoutant.
- Je vous remercie.
- Je pourrais m’enivrer de vous durant des heures.
Je rougissais.. Même si je voulais affichée mon indépendance, la femme sûre d’elle, en quelques secondes il faisait tout volé en éclat.
- Trinquons à notre rencontre dit il en souriant.
Je me noyais dans son regard. J’étais si sensible à son regard. Tout comme sa voix. Elle était profonde, grave. Si la voix ne passait pas, je ne pourrais aller au-delà.
- Veuillez m’excuser. Je vais aux toilettes.
- Puis-je vous demander une faveur ?
- Je vous en prie.
- Encore une fois, vous êtes libre de choisir. Si vous voulez qu’on poursuivre la soirée dans le sens que nous affectionnons, vous me donnerez votre culotte à votre retour. Dans le cas contraire, nous poursuivrons notre soirée de manière tout aussi charmante.
Je me sentais complètement étourdie. Que faire. Suivre mon désir, ma raison. Pourquoi se poser tant de question. Nous sommes des adultes après tout et je me sens bien.
A mon retour des toilettes, je m’assis, droite. Jambes entre-ouvertes.
Je glissais ma main vers lui pour lui tendre ma culotte.
- Qu’est ce dit il en me regardant ?
Il feignait de ne pas comprendre. Il voulait m’indisposer, me tester.
- Ma.. Culotte Monsieur.
- Bien. Mademoiselle. Voilà une bonne chose.
- Est elle trempée ?
- Je… vous n’avez qu’à vérifier !
- Oh une petite insolence de votre part souriait il.. Est elle trempée ? Question simple…
IL me regardait droit dans les yeux en souriant. Je le regardais à mon tour et avec une fierté je lui dit.
- Oui Monsieur elle est bien trempée !
Il prit la culotte et la mit dans sa poche.
- Je vous propose que nous allons poursuivre nos soirées sur d’autres sentiers.
Je souriais. J’étais toute excitée. Il était si bon de se laisser aller ainsi.
- Ecartez bien vos cuisses je vous prie.
- Pardonnez moi.
- Ca viendra jusqu’au moment où je serai obligée de vous punir.
La chaleur montait.
On montait les escaliers du vieil immeuble où il habitait. Il y avait cet âme ancienne.
Arrivés sur le palier il me bloqua la tête face à la porte tout en introduisant la clé dans la serrure.
- Une fois que nous franchirons cette porte. Vous m’écouterez. A tout moment, vous pouvez stopper le jeu si cela ne vous convient pas. Il n’y a que du plaisir à prendre. Suis-je clair ?
- Oui.. Monsieur, répondis je dans un soupir.
La porte s’ouvrait il me poussa à l’intérieur. Il me plaqua alors contre le mur tout en bloquant mes mains au dessus de ma tête. Il plongea son regard dans mes yeux.
- Quelle belle petite chienne… vos mains, votre poitrine, votre parfum.. vous me mettez dans un de ces états.. je vais devoir vous punir pour tout ça…
Il enserra mon cou.
- J’ai une envie de vous posséder, toute entière. De vous voir défaillir, jouir, punie.
Il me rendait complètement folle. Puis il souleva ma robe et commença à caresser ma chatte.
- Oh toute lisse, si douce, si glissante. On pourrait y glisser j’en suis certains tant de choses pour vous combler.
Je me dandinais. Il me tenait fermement.
- Ecartez vos cuisses ! je ne le répéterai plus.
- Pardonnez moi Monsieur..
Il bloqua contre lui, mains dans le dos. Fermement maintenue. Il tenait mes cheveux par une poigne certaine et douce à la fois.
- Quelle crinière si douce. Maintenant, je veux vous découvrir. Restez ici.
Il alluma quelques bougies et mis une ambiance bien cosy. En fond sonore Beth Harth… Un moment très érotique. Il servit alors deux verres de champagne puis alla s’asseoir sur le canapé face à moi.
- Enlevez votre robe je vous prie, avec douceur.
- Parfait. Mains dans votre dos.
J’écoutais. J’étais si excitée de me laisser enfin aller. Cette soif de m’abreuver.
Il commença par effleurer mes épaules mon dos.. il tournait autours de moi.
- Redressez vous.
- Hum voilà.. quel maintien vos petits seins.
Il les prit dans ses mains avec douceurs par le dessous.
- J’aime vos mamelons me dit il en me regardant dans les yeux.
Tout en continuant à me regarder il prit mes tétons et les pinça. Je pinçais de mon côté mes lèvres.
Il serrait de plus en plus fort et tirait bien dessus. Je me retenais de ne rien dire tout en le regardant comme par défiance.
- Hum… bien dressés… comme j’aime. J’aime quand ils pointent ainsi.
Il prit mon verre de champagne et me donna à boire.
- Merci…
- Hum… Merci Monsieur est préférable…
- Merci.. Monsieur.
Il retourna s’asseoir face à moi.
- A genou, marchez jusqu’à moi.
- Hum.. a travailler votre démarche de chienne.
- Tournez vous et présentez moi vos deux orifices.
Je me sentais.. si .. genée mais si bien à la fois.
Lentement, j’écoutais.
- Tête au sol voyons ! fesses écartées par vos mains.
- Humm Divine posture..
Il posa ses mains sur les miennes et écarta encore plus mes fesses. Il m’inspectait visuellement sans me toucher.
- Vous êtes dégoulinante ma chère.
- Un petit orifice ici, il semble si étroit. Il va me demander une attention bien particulière. Voyez vous, j’aime cet orifice et l’honorer comme il se doit. Il y passa sa langue.
Je murmurais mon plaisir. Puis il écarta alors les lèvres de ma chatte en les pinçant. Il me la caressait tout en jouant avec mon clitoris. Il jouait avec moi. Je n’avais envie que d’une chose.. sentir ses doigts me prendre mais il ne fit rien.
Il mit un doigt dans sa bouche.
- Oh cette cyprine.. si abondante.
Il prit son verre et continua à me regarder en restant ainsi.
- J’aime vous savoir à mes pieds.
Il m’observa ainsi.
- Vous êtes si belle ainsi. Levez- vous. Mettez vous assise face à moi.
On se regardait c’était intense. Il me prit les cheveux et me força à mettre la tête en arrière.
- Avez-vous envie d’être une bonne chienne ?
Il me tenait fermement la bouche..
- Je.. Oui.. Monsieur, je veux être une bonne chienne.
Il me caressa alors le visage puis me donna une petite gifle…
- Voulez-vous que je m’occupe de votre éducation ?
- Oui, Monsieur j’aimerai. Nos échanges m’ont fait comprendre que nous avons les mêmes attentes.
- Oui ma chère. Vous êtes pleine de promesses.
- Mettez vous alors en position de chienne en chaleur.
- Que voulez vous dire.. ? je me sentais toute chose.
- A quatre pattes le cul qui se frotte à mes jambes.
- Voilà.. C’est parfait. Allez frottez vous petite chiennes.
Il saisit alors un carnet.. et le mit sous mes yeux.
- Ceci, sera votre carnet de notes. J’y notera tout, vos manquements, vos punitions, vos récompenses. Mais commençons par le début.
- Je vous en prie Monsieur.
- Nous allons fixer ensuite, les possibilités, les envies, les interdits, les limites.. Je vous pose des questions, vous répondez. Sachez qu’il n’y aura jamais de jugement, que de la bienveillance. Vous pouvez tout me dire.
- Très bien Monsieur.
- Acceptez vous qu’on vous impose des choix dans vos tenues ?
- En partie Monsieur, tout dépend des circonstances. Mais oui.
- Avec votre bouche, je suis certain que vous aimez sucer. Mais que peut on faire avec votre bouche ? dites moi….
Je n’osais pas parler. Je m’étais toujours exprimer par mes nouvelles jamais en avouant ainsi..
- Eh bien j’aime en effet la fellation, prendre le temps de déguster une queue, qu’on me prenne de force la bouche, la gorge profonde..( en le disant presque timidement), j’aime lécher aussi.
- Vous aimez lécher ? Qu’aimez vous lécher ? des couilles, des anus ? des chattes ? des pieds ?
Je n’osais pas répondre.
- Allez assumez vous, assumez la chienne.
- J’aime lécher des couilles, des anus, des pieds.. Pour les chattes, je ne me sens pas l’âme à cela même s’il y a toujours eu une curiosité Monsieur..
- Bien.. j’en prend bonne note petite chienne.
- Passons maintenant à votre chatte. Aimez vous être doigter ? fister ? Aimez vous être godée ?
- J’adore être doigtée et fouillée Monsieur.. Fister, je crains que ma chatte ne puisse le supporter. Je suis bien étroite. Sachez aussi que je souffre de ce qu’on appelle un utérus retroversé.
- Ah oui je vois, donc il faut faire attention avec certaines positions à mon grand dam.
- Oui Monsieur.
- Gode ?
- Oui Monsieur.
- Votre anus maintenant ? même question.
- J’aime tout autant que pour ma chatte cher Monsieur.
- Aimez vous êtes prise en double ? comblée par vos trois trous ?
- Je ne sais pas Monsieur. J’aimerai essayer.
- Acceptez vous les inspections de vos trous : Speculum ? lavement ?
- Oui.. Monsieur.
- Au niveau des ornements ? pinces ? ecarteur bucal ? gag ball ? Crochet anal ?
- Vous pouvez, juste les pinces où je suis sensible au niveau des seins et de mes lèvres.
- Question correction, jusqu’où puis je aller ?
- J’aime être corrigée Monsieur, être marquée sur des zones non visibles Monsieur. Toutefois j’aime les jeux qui restent dans le soft avec une maitrise légère de la douleur.
- Très bien petite chienne.
- Justement parlons contrainte..
- J’adore être attachée, contrainte à subir Monsieur.
- Humm intéressant tout ça.. enfermée ?
- Oui Monsieur.. enfermée aussi.
- Très intéressant tout cela.
- Avez-vous des limites, des choses que vous ne voulez pas franchir ou que vous ne supportez pas ?
- Oui Monsieur.. plusieurs choses. Je ne supportes pas le sperme sur mon visage ni dans ma bouche.
- Oh moi qui adore tant cela mais je peux comprendre. C’est noté.
- Je vous demande de faire attention à mon dos qui souvent peut m’handicaper.
- Je le sais, n’ayez crainte la dessus dit il en me caressant le dos.
- Et aussi je souhaite que notre relation soit exclusive mais vous le savez.
- Oui, je le sais. Même si je vous imagine vous faire déjà baiser par d’autres, nous n’en sommes pas encore là… mais oui vous avez ma parole.
- Je pense que nous avons là un bon début… j’ai déjà matière à un bon début pour ton éducation.
Il posa alors sa main sur mon sexe. Je brulais complètement de désir face à cet interrogatoire.
- Oh si trempée… prête à se faire cueillir
Il me saisit alors par les cheveux pour ensuite me faire monter sur la table table du salon.
- Ne bougez pas.
Il revint alors avec une mallette que je devinais pleins de jouets. Il m’orna de bracelets poignets et chevilles. Il sangla mes cuisses et y attacha mes mains.
Il attacha mes cuisses de façon à mettre en avant ma chatte et mon cul.. prêt à utilisation.
- Je vais vous bander les yeux. Je ne vous autorise pas encore à voir ma queue mais vous allez la sentir.
Il passa une ceinture autours de mon cou et joua avec pour me tenir.
- Vous savez, je vais vous dire ce que j’aime.
- J’aime prendre profondément par la bouche les petites chiennes insolences. J’aime les corriger et les remettre à leur place. J’aime sodomiser, j’aime écarter les petites chattes étroites et les fions. Y fourrer doigts et poings s’il le faut. J’aime contraindre, cravacher, baiser. J’aime travailler les seins. J’aime voir ma chienne jouir de plaisir, j’aime la voir perverse et abandonnée à supplier que je la fourre comme il se doit. Etes vous une chienne ?
- Oui.. Monsieur je suis une chienne.
- Je ne vois pas votre langue…
- Voilà qui est mieux. Il mit alors son gland sur ma langue.. vous la sentez ? mais la voulez vous ?
- Oui.. Je la veux..
- Demandez mieux que ça !
- Monsieur, je vous en prie, prenez moi par la bouche, baisez la comme elle le mérite.
- Oh oui bonne chienne.
Il mis alors sa queue dans ma bouche. Elle était si dure. Il fit des mouvements de va et vient si doux au départ..
- Humm quelle douce langue.. quelle petite suceuse.
Il tenait fermement la ceinture pour me montrer qu’il savait me tenir comme il fallait.
Il prit possession de mes deux seins et commença doucement à me baiser..
- Voilà tout doux.. Prenez là bien au fond et gardez.
Sa voix était bien douce. Au moment où il restait doucement installé au fond de ma gorge, il tirait sur mes tétons… Il m’entendait râler étouffée par sa bite.
Quelle bonne vue.. Dommage que vous ne puissiez vous voir.
- Votre bouche est des plus agréables …
- Testons maintenant cette chatte.
Il commença par me doigter. J’étais si trempée… Je sentis alors ses lèvres se poser sur mon clitoris.. J’avais du mal à me retenir tellement c’était bon. Je sentais la puissance de ses doigts chercher dans mes entrailles à vouloir faire jaillir la fontaine.
- Hum, je me régale..
Puis il cessa en me tapant sur le chatte.
- Bonne chienne !!
Il me laissa ainsi durant quelques minutes.
- Voulez vous être baisée ?
- Oui.. Monsieur, je vous en conjure baisez moi.
Il s’engouffra dans ma chatte.. au départ il se montrait doux mais rapidement ses coups se faisait de plus en plus fort et intense.
Ne tenant plus, il me dit fermement :
- Maintenant je vais vous enculer. A sec. Je ne veux rien entendre. Compris ?
- Oui.. Monsieur.
Sans aucun ménagement ni préparation, il se mit à l’orée de mon fion. Cela faisait si longtemps qu’il n’avait pas été visité.
- Il est si étroit.. Ne vous inquiétez pas, je le travaillerai comme il se doit.
J’avais envie de crier..
- Chut… dit il en mettant sa main sur ma bouche
Il relevait davantage mes fesses pour mieux me prendre.
- Hum.. j’aime sentir ce petit cul serré cédé..
Il me pillona encore et encore. Il posa alors ses mains sur mes fesses et sortait sa queue..
- Oh ça s’ouvre déjà… ça reste presque ouvert.
Il replonga doucement sa queue et regardait sa queue partir dans mes entrailles.
Tout en me prenant il glissa un doigt dans ma chatte. J’étais au paradis..
Il se retira puis rajouta des doigts dans ma chatte et dans mon fion…
- Oh… quelle fontaine !!! Tiens petite salope… jute .. allez jute…
Puis il posa ses lèvres sur mon clitoris jusqu’à sentir ma jouissance arriver.
Je criais de ce plaisir si intense … J’étais complètement vidée. Ma poitrine se soulevait. J’étais épuisée.
Il me détacha..
- Viens, reste à mes pieds. Pose ta tête sur ma cuisse.
Je m’endormais alors doucement dans cette positions. Cette première séance laissait présagée de douces choses.. Je me sentais si bien..
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Il n'y a que le miroir qui me voit toute nue
Que le fond de ma baignoire qui épouse mon cul
La caresse rapeuse d'un gant de crin
Massage aux huiles pour peau de satin
Le peigne lisse mes cheveux fins
La goutte glisse au creux de mes reins
Immobile et sage
Contentant leurs orages
Le peignoir entrouvert
Je me sers un verre
Lait d'ivoire pour hydrater
Mes lèvres privées de baisers
Mon confinement
Me lasse de mes fantasmes fous
Mon con finement
Ne se passe de tes mains et bisous
Moja milosc
Tu me manques tant là et maintenant
Ecrit le 07 05 2020
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J'ai étouffé mes sentiments
Pour ne plus souffrir
Sur mes émotions
J'ai posé l'oreiller
Pour pouvoir dormir
Tu es devenu Moja milosc
Pour du bonheur et plaisir
De nos corps
De plus en plus ardents
Qui se désirent
Ma passion devenue addiction
Est une descente aux enfers
Transformée en calvaire
Un poison délicieux
Qui tue à petit feu
Mais dans la chambre close
Je sais que tu ne viendras pas
J'ai les sens en éveil
Les jambes gainées de bas
Dans une tenue qui te plaira
Qui peut-être te titillera
Je rêve que tu m'embrasses
Que nos deux corps s'enlacent
Le temps est suspendu
De nos futurs ébats brûlants
Dans des jeux de soumission
Ou je suis ta petite chienne
Ce n'est qu'un songe
Une rencontre manquée
La distance, le silence
Tant de regrets, de mots dits
D'un Flash-back, un repli
Pour les sensibles que nous sommes
Le 13 05 2020
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6 aime
Juliette portait un tailleur gris anthracite croisé, une jupe au dessus des genoux, un
chemisier blanc classique et des chaussures à talons hauts; la quarantaine passée,
elle avait su conserver une silhouette jeune car mince de taille, les fesses musclées
et une poitrine ferme, elle faisait beaucoup de sport mais son chignon et son regard
sévère trahissaient sa maturité. Dirigeant une agence de publicité, en femme d'affaires
avertie, elle était très exigeante avec son entourage professionnel. Elle vivait dans le
luxe, mais elle ressentait au fond d'elle-même, un profond vide affectif. Peut-être que
le hasard de cette rencontre avec Laurence lui permettrait-il d'égayer son quotidien, et
de réaliser un fantasme secret et prégnant, jusqu'à ce jour irréalisé.
Ses bureaux se trouvaient au premier étage d'un ancien immeuble rénové qui lui appartenait, elle avait trois
employés, un comptable, Xavier, une secrétaire, Marion et une jeune stagiaire Chloé. Tous trois travaillaient
silencieusement, dans leur bureau. L'ambiance était studieuse et feutrée. Dans son bureau, Juliette, malgré
la charge de travail, de nombreux contrats à finaliser, était songeuse. Aucune nouvelle de son amie, elles
avaient pourtant échangé leurs numéros de portable, mais celui de Laurence ne répondait jamais, alors elle
s'était résignée à tourner la page sans pour autant selon ses consignes avoir eu de relations avec un homme.
Mais ce jour là, il était près de midi, lorsque son téléphone sonna, elle le saisit et lu le nom de l'appelant,
de l'appelante plutôt, car l'écran affichait Laurence. Un délicieux frisson mêlé d'appréhension l'envahit.
- Laurence, enfin... Je désespérais que tu m'appelles.
- Eh bien, tu vois, tout arrive.
- Je t'ai téléphoné je ne sais combien de fois, pourquoi ne répondais-tu pas ?
- Ai-je des comptes à te rendre ?
- Heu... Non.
- Te souviens-tu de notre dernière conversation ?
- Oui parfaitement, j'ai chaque mot en tête.
- Tu es toujours dans les mêmes dispositions ?
Juliette avala sa salive avec difficulté, avant de répondre timidement:
- Oui.
- Alors redis-moi ce que tu m'a dis.
Juliette se mit à trembler de façon nerveuse, elle savait qu'elle jouait gros maintenant, il lui aurait été facile
de couper court à cette conversation et plutôt que de s'engager dans une aventure tordue, elle était tentée
de poursuivre sa vie de femme à laquelle rien ne résistait, mais son estomac se serra, la chaleur du désir
l'envahissait, l'irrésistible envie de découvrir un univers totalement inconnu pour elle, celui de la soumission.
- Je t'ai dit que je t'appartenais et que je ne voulais que toi, que j'étais disponible pour toi seule.
- Ok, alors tu te prépares et tu viens au 18, rue Bouquet, troisième étage, la porte sera ouverte.
- Tout de suite ?
- Tu es complètement folle ou quoi ?
La rue Bouquet se trouvait dans le vieux quartier, l'immeuble était vétuste mais correct sans plus, elle monta
les étages, la porte était ouverte, elle pénétra dans la pièce sombre. Laurence était assise sur un canapé, les
jambes croisées, elle avait changé de coiffure, ses cheveux étaient très courts maintenant, elle portait une jupe
courte noire en cuir; sa tenue, la lumière tamisée, on ne distinguait que ses yeux lumineux comme ceux d'une
chatte dans la nuit.
- Assieds toi.
Sans un mot, Juliette s'exécuta.
- Je t'avais dit de ne pas te faire baiser par un homme, tu l'as fait ?
- Oui, je te le promets.
- C'est bien, mais je me renseignerai, à partir de maintenant, ce jour et cette heure tu m'appartiens on est d'accord ?
- Oui.
- Attention, si tu te rebelles, je saurais te remettre au pli, c'est à prendre ou à laisser, tu as réfléchi à tout ça ?
Juliette tremblait tellement maintenant qu'elle ne pouvait empêcher le saccadement de ses mains.
- Je ne changerai pas d'avis.
- Je veux l'obéissance, la fidélité, tu devras satisfaire tous mes désirs et mes caprices sexuels, as-tu compris ?
- Euh... Oui.
Laurence resta assise et écarta les cuisses, sous sa jupe en cuir, elle était nue.
- Bon, maintenant, tu vas me bouffer la chatte et tu te casses sans rien dire.
Juliette s'approcha silencieusement, se mit à quatre pattes et fourra sa langue dans son sexe la tournant
consciencieusement puis la rentrant au plus profond, le nez enfoncé dans le fin duvet, ça dura peu de temps,
Laurence poussa un cri puissant, puis elle la repoussa vivement du revers de la main.
- C'est bon, je crois que je vais faire de toi une vraie salope. Maintenant, va-t'en.
Sans dire un mot car respectant son ordre elle prit son sac et s'éclipsa à pas feutrés. Dés qu'elle fut chez elle,
elle prit une douche et se caressa, elle fermait les yeux en levant la tête. Elle sentit un orgasme arriver. Elle avait
accepté une soumission totale. Trois jours passèrent sans que Laurence ne se manifeste. Juliette était occupée,
en rendez-vous, quand le lundi matin, le téléphone de son bureau sonna, il était 11h15, énervée, elle prit l'appel.
- Donne-moi ton adresse, je vais te rendre visite.
- Mais, c'est que je suis très occupée.
- Tu discutes ?
- Pardon, 51 avenue Victor Hugo.
- OK j'arrive.
Lorsqu'on lui annonça son arrivée, Juliette se dirigea avec angoisse vers la porte d'entrée, Laurence était là,
un sourire malicieux aux lèvres, la main appuyée sur la cloison. Étonnamment, elle était plutôt classe avec cette
petite robe courte et légère aux couleurs vives, elle avait mit des talons hauts et portait un trois-quarts bleu marine.
Cette jeune femme sombre dégageait à ce moment là un charme certain, ces habits masquaient sa grande minceur.
Le hall d'entrée moderne possédait une grande baie vitrée; au bureau d'accueil, Marion tenait le standard, puis elles
pénétrèrent dans le bureau général ou travaillaient Chloé et Xavier, enfin elle lui fit visiter son bureau extrêmement
luxueux, fauteuils et canapé Knoll en cuir, et meubles contemporains.
-Tu me présentes à ton personnel ?
C'est ce qu'elle fit. Laurence, enfin partie, Juliette fut rassurée car avec elle on ne savait jamais ce qui pouvait arriver.
Une heure plus tard, elle reçu un texto.
"Viens chez moi ce soir à 20 heures, pas à 20h01 ou à 19h59. Tu amèneras un gode pas trop gros."
Elle arriva devant la porte de Laurence à 19h50 mais resta sur le palier, attendant qu'il soit 20 heures pile pour sonner.
Avant cela, gênée, elle avait trouvé un sex-shop et acheté ce gode sous les regards narquois et amusés des clients
car elle portait des lunettes de soleil.
À 20 heures pile, elle sonna. C'est ouvert entendit-elle. Doucement elle pénétra dans l'appartement, Laurence était assise
sur le canapé, détendue, souriante, une cigarette à la main, elle lui dit:
- C'est classe chez toi mais ton argent, je m'en moque, ce qui m'intéresse, c'est de te transformer en véritable salope,
et que tu deviennes ma pute, mon esclave sexuel.
Juliette demeura muette, ne sachant quoi répondre, elle avait envie de partir en courant mais, déjà, elle mouillait.
- Déshabilles-toi totalement.
Elle se déshabilla rapidement puis se tint debout, les mains croisées sur son pubis, attendant de nouvelles directives.
Laurence se leva, se dirigea vers elle en la fixant du regard, Juliette baissa les yeux devant celle qui aurait pu être sa
fille mais qui la dominait. Arrivée près d'elle, Laurence brusquement la gifla violemment, Laurence recula protégeant
son visage rougi de ses mains.
- Mais pourquoi ? Je n'ai rien fait.
- Non, mais c'est juste pour te montrer qui commande, ici, comprends-tu ?
- Oui.
- Maintenant, enfonce-toi bien le gode dans le cul, mais à sec, sans préparation.
- Mais, c'est impossible.
Elle leva la main faisant mine de la gifler à nouveau.
- Oui, oui ne t'énerve pas.
Elle s'accroupit et fit pénétrer le gode doucement, c'était très douloureux, pourtant, elle n'en n'avait pas choisi un gros.
Il avait un bout évasé, de façon, à ce qu'il puisse pénétrer complètement et profondément, tout en restant fixé en elle.
-OK viens t'asseoir près de moi.
- Ne t'inquiètes pas, tu vas t'habituer, chaque fois que tu viendras me voir, je veux que tu le portes en toi pour t'élargir.
Il faudra que tu apprennes à marcher avec sans te faire remarquer, tu verras tu t'y habitueras. Bon, tu vas commencer
par me faire un cunnilingus, comme une salope en t'appliquant, tu es devenue une experte maintenant. Après, ce sera
au tour de mon anus.
Juliette s'exécuta et pendant qu'elle avait la tête fourrée entre les cuisses de la Domina, elle trembla en écoutant:
- Maintenant relève toi, écoute ce que je vais te dire, je veux que tu séduises ta stagiaire, comment s'appelle-t-elle déjà ?
- Chloé.
- Ah oui, c'est ça, Chloé, alors tu vas la séduire, je te donne une semaine, je vais revenir te voir mercredi prochain,
quand je reviendrai, je veux que cela soit fait et je veux que tu te montres obéissante avec elle comme avec moi,
sinon tu prendras la raclée de ta vie.
Juliette avait les yeux baissés, des larmes commençaient à couler sur ses joues, elle n'osa pas répondre mais acquiesça
de la tête. Le lendemain à 14 heures puisque Chloé ne travaillait que les après-midi, gênée, elle lui demanda de la suivre
dans son bureau.
- Chloé, j'ai décidé de vous donner une prime.
- Ah bon ? Je ne m'attendais pas à cela, mais merci beaucoup, Madame.
Elle était étonnée car sa patronne était du style à n'être jamais satisfaite de son personnel.
- Oui, je trouve votre travail excellent et je veux vous remercier, heu... Vous êtes heureuse de travailler ici ?
- Oui, Madame.
- Je vous en pris, Chloé, appelez moi, Juliette, j'aimerais que nous devenions amies.
Le lendemain, la stagiaire gênée au début, était maintenant détendue.
- Chloé, j'aimerais vous inviter à dîner ce soir, votre mari accepterait ?
- Je ne suis pas mariée, Madame.
- Appelez moi Juliette, je vous en prie.
Le soir même elle vint la chercher chez elle à vingt-heures, comme convenu, elle l'attendait en bas dans la voiture;
quand Chloé arriva vêtue d'une robe bleu ciel très sage, une veste bleue marine sur les épaules car la nuit était fraîche,
Juliette sortit pour lui ouvrir la portière, la stagiaire la regardait décidément de plus en plus interloquée. Elle avait choisi
un restaurant réputé, étoilé au guide Michelin; la soirée se passa agréablement, elle était pleine de petites attentions,
lui servant le vin, étant à l'écoute de sa conversation, la complimentant pour diverses raisons. Chloé, qui sous ses
aspects réservés, était une jeune fille très fine d'esprit; elle avait bien compris le jeu de sa patronne, pourquoi du jour
au lendemain celle qui était si désagréable, s'efforçait de lui être sympathique et devenait si attentionnée, c'était plus
qu'étrange, d'autant que Juliette n'avait rien à attendre d'elle, comme stagiaire elle n'avait pas de compétences
particulières et avait une vie somme toute banale, la seule chose qui pouvait expliquer ce comportement, c'est qu'elle
devait être lesbienne et qu'elle la draguait tout simplement.
Sa réflexion fut rapide, Chloé ne se sentait pas spécialement attirée par les femmes mais c'était une fille qui avait
eu de nombreuses aventures malgré qu'elle n'ait que dix-neuf ans, elle était plutôt libertine, elle décida donc de profiter
de la situation qui s'offrait à elle car elle voulait avoir un vrai contrat de travail après son stage et sans aucun doute
beaucoup d'autres avantages.
- Je ne suis pas mariée, Juliette
Elles étaient en voiture sur le chemin du retour quand Chloé aventura sa main sur la cuisse de sa patronne; troublée,
Juliette ne réagit pas, alors elle la laissa durant tout le trajet, lui caresser doucement la cuisse, puis arrivées en bas de
son immeuble elle la tutoya.
-Tu viens prendre un verre ?
- Euh... Oui, avec plaisir.
Pendant qu'elles montaient l'escalier les idées tourbillonnaient dans la tête de Juliette; que faisait-elle encore ? Elle avait
le sentiment de s'enfoncer dans un jeu qu'elle estimait pervers. Ne serait-elle pas accusée à tort d'harcèlement sexuel ?
Jusqu'où tout cela la mènerait-elle ?
- Tu prends un whisky ?
- Oui merci.
- Cinq minutes je reviens.
Lorsque Chloé revint, elle avait passé un peignoir en soie noir, elle s'assit à côté de Juliette et sans lui demander
la permission, l'embrassa sur la bouche, Juliette se laissa faire passivement, puis Chloé se leva et fit tomber son
peignoir dévoilant sa nudité, elle était mate de peau, fine et grande, une poitrine de statue grecque, de taille moyenne
et très ferme; elle avait défait sa queue de cheval et ses cheveux châtain clair couraient sur ses épaules. Elle éteignit
la lumière puis entreprit de la déshabiller lentement comme si elle n'avait jamais fait que ça puis elle lui prit la main et
l'amena dans la chambre, elles se mirent en position de soixante-neuf. Juliette était maintenant experte de sa langue
et la fit jouir trois fois alors qu'elle même n'arriva pas à l'orgasme.
- Tu n'as pas joui, ça me gène mais tu sais pour moi, c'est la première fois, alors je ne m'y prends pas très bien.
- Non, ne t'inquiètes pas, je jouis rarement mais le plus important pour moi, c'est de te satisfaire.
Une idée traversa la tête de Chloé, Juliette ne voulait que faire jouir sa partenaire sans s'occuper de son plaisir à elle ?
Non seulement, c'était une lesbienne, se dit-elle, mais en plus elle aimait être dominée, elle eu un léger sourire au coin
des lèvres, elle aimait ça, elle allait être servie. Et puis de toute façon que risquait-elle ? Rien.
- Va dans ma chambre, tu prends le gode dans le tiroir de la table de nuit que je viens d'acheter, fais vite.
Le désarroi de Juliette était visible, comment lui parlait-elle, cette petite stagiaire qui hier encore tremblait devant elle;
elle ruminait intérieurement mais était obligée de respecter les consignes de Laurence. Elle alla donc sans rien dire
dans la chambre et ramena ce gode qui était de grosse taille.
- Maintenant, accroupis-toi, mets-toi le gode dans la bouche et tu le suces, pendant ce temps tu te masturbes, on va voir
si tu jouis.
Sans dire un mot elle s'exécuta, Chloé s'était assise sur le bord du lit et jouissait du spectacle, le regard amusé; cette
aventure commençait à lui plaire.
- Plus profond le gode, je vais t'apprendre à bien sucer toi, au fond tu es une sacrée salope.
Contre son gré, Juliette, sentit monter en elle un orgasme puissant, elle ne put contenir un râle profond et long qui se
termina par un petit cri aigu. Chloé eut un petit rire moqueur.
- Et bien toi dis donc, sous tes airs de mijaurée, tu es une vraie salope.
Le lendemain matin, lorsqu'elle arriva au bureau, elle était vêtue de son tailleur bleu-marine très classique, jupe au dessus
des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons. Chloé, quand elle la vit arriver lui fit un clin d'œil, elle lui répondit par un
petit sourire gêné. Cinq minutes plus tard on tapait à son bureau, sans attendre de réponse, Chloé entra et referma la porte
puis vint s'asseoir sur le coin du bureau.
- Tu as mis une jupe c'est bien, mais tu es trop sérieuse, tu dois être un peu plus sexy, dégrafe un bouton de ton chemisier,
il est fermé trop haut.
Sans répondre, Juliette s’exécuta, essayant d'afficher un sourire complice de circonstance mais n'arrivant pas à dissimuler
son embarras.
- Fais voir ? Ouais c'est mieux... Bof.
Elle s'approcha d'elle, lui dégrafa elle-même un bouton de plus et écarta son col, laissant apparaître les larges aréoles de
de ses seins, à la limite supérieure de son soutien-gorge en dentelles blanches.
- Voilà, c'est beaucoup mieux, reste comme ça toute la journée même pour tes rendez-vous, compris ? Je te surveille.
Demain je veux que tu viennes encore plus sexy; tu mettras un soutien-gorge balconnet transparent, et dorénavant
tu ne porteras plus jamais de tanga ou de string. Je veux te savoir nue et offerte à tout moment. Derrière ton bureau,
tu ne croiseras plus jamais les jambes, non plus.
Juliette décida avec honte mais secrètement avec bonheur de se soumettre totalement à Chloé et à Laurence.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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J’aime les orages, la pluie qui tambourine sur les toits, la terrasse.
C’est comme si la violence des éléments résonnait en moi, renforçait encore cette tension animale que je porte en moi, interagissait avec mon désir de subir cette autre violence, celle de mon Maitre.
Maxime le sait, il l’a découvert il y a longtemps déjà.
Samedi soir, après le dîner, une fois que tous deux nous ayons vidés nos verres, il m’a dit de me préparer et de mettre mon collier d’acier.
Lorsque je l’ai rejoint, après m’être douchée, le collier autour du cou, nue, le corps encore humide et parfaitement lisse, à l’exception de cette toison sombre sur mon pubis qu’il a toujours voulu que je préserve, il avait débarrassé la table et se tenait debout dans la pièce, attendant son esclave.
Sans un mot, je suis venue m’agenouiller à ses pieds.
J’ai caressé, embrassé, reniflé, léché l’emplacement de son sexe, pour faire ce que j’ai appris, lui prouver ma dévotion, mon désir de lui et faire monter son désir à lui.
Il n’a pas fallu longtemps pour que je sente sa queue se raidir, durcir, se tendre sous l’étoffe de son pantalon.
Il m’a prise par les cheveux, me forçant à me relever. Instinctivement, je me suis collée contre lui, frottant mon sexe déjà humide contre son entrejambe, femelle en chaleur, tremblante de désir pour son Mâle.
Il m’a forcée à relever la tête, à croiser son regard, m’a longuement embrassée, avant de m’ordonner de le déshabiller à son tour.
J’ai commencé par lui retirer sa chemise, embrassant, léchant son torse viril, faisant durcir ses tétons avec ma bouche, tout en continuant cette danse lascive qui l’excite tant, jouant de mon bas ventre pour me frotter à lui.
Je me suis laissée glisser le long de lui, jusqu’à être à nouveau à ses pieds, pour dégrafer sa ceinture, faire tomber son pantalon, embrasser, lécher, renifler son boxer, exciter du bout de la langue son gland humide.
Quand il a jugé que je lui avais suffisamment prouvé mon désir de lui, il m’a entraînée dans la chambre, pour m’attacher sur le lit.
Comme toujours, avant de soumettre mon corps à sa violence, il a commencé par m’embrasser longuement, me caresser, me parcourir de sa bouche.
Le calme avant la tempête, comme pour me rassurer, me dire avec son corps de ne pas m’inquiéter.
Il a allumé des bougies.
Puis ça a été la douleur, celle de mes tétons transpercés d’une aiguille, des pinces qu’il y a fixées, de la cravache qui s’est abattue sur eux, sur mon ventre, sur mon sexe.
Ensuite, se sont rajoutées d’autres pinces encore, fixées cette fois à mes grandes lèvres, reliées par une chaînette à celles qui ornaient déjà mes seins, et la cravache à nouveau.
Et pour finir la brûlure de la cire, répandue sur mon corps, ma poitrine, mon sexe, pendant que le sien se dressait, fier, arrogant, triomphant au dessus de moi.
Maxime s’est ensuite installé à califourchon sur mes seins douloureux.
Il m’a relevé la tête. Il a approché sa queue de ma bouche. Le moment que j’espérais, que j’attendais.
Je n’avais envie que d’une chose, lui. Son sexe.
Je lui ai léché les couilles, je les ai prises en bouche. Elles étaient dure, comme le reste.
J’ai parcouru sa queue de ma langue, j’ai longuement léché son gland humide, avant qu’il ne m’enfonce son membre dans la bouche.
Tout en me maintenant la tête à demi relevée, il a commencé à me défoncer la gorge, s’interrompant parfois l’espace d’un instant, le temps pour moi de reprendre mon souffle, de me permettre de lécher cette queue qui me pilonnait sans pitié. Avant de recommencer.
Jusqu’au moment où il n’a plus pu se retenir et où le foutre à giclé, me remplissant la bouche de sa liqueur sacrée pour que je la boive jusqu’à la dernière goutte.
Maxime est ensuite ressorti de moi, me laissant nettoyer de la langue son sexe encore raide, avant de s’allonger, écrasant mon corps sous le poids du sien.
Pour l’homme, jouir d’une femme est une activité physique à part entière.
Elle le laisse généralement épuisé quand la tension portée à son paroxysme lorsque le foutre jaillit retombe brusquement.
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Comme à mon habitude, désolée pour les éventuelles fautes. Je n'ai pu me relire.. je suis en plein service :)
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- Hum tu es parfaite.
Il avait inspecté ma tenue de soubrette.
- Relève tes cheveux.
Tenant mes cheveux dans mes mains il me mit alors mon collier. Je me tenais à genou tandis qu’il était derrière moi. Il ferma mon collier avec le cadenas, puis il me caressa le visage tout en me faisant basculer la tête en arrière.
Il glissa son pouce dans ma bouche pour l’entre-ouvrir. Naturellement j’ouvrais ma bouche pour lécher son doigt. J’aimais sentir ses mains sur mon visage, toute cette douceur qu’il me donnait.
- Relève toi.
Il se mit face à moi.
- Ce soir, tu seras la domestique qui est à mon service. Je reçois des amis. Tu répondras à chacune de leurs envies. J’autoriserai au non. Compris ?
- Oui Monsieur.
- Si quelque chose ne va pas, tu sais quoi faire ou dire.
Je hochais la tête. Il m’excitait. Il se montrait si bienveillant. Me sentir si protéger, qu’il avait le parfait contrôle me rassurait complètement pour lâcher prise.
Pour en arriver là, nous avons pris notre temps. Le temps de s’apprivoiser, de se construire. Ce nous où chacun est tout entier avec ses multiples visages. J’avais tant aimé quand nous échangions sur ce site internet qu’il prenne le temps.. le temps de savoir qui je suis.
A l’instar de tous ces hommes qui veulent sans rien donner, pensant que cela vient tout seul, il s’intéressait à qui j’étais. Comprendre mon parcours, mes blessures, mes joies. Il voulait connaître tous les contours de mon esprit. C’était sa vision de la domination. Comprendre, Contrôler, Maîtriser, S’élever. Combien d’hommes avant lui ont voulu m’avoir juste parce qu’il lisait le mot soumise.
Ëtre soumise par désir est une force de caractère. C’est de donner, d’offrir à un homme ce que j’ai de plus précieux et de lui dire.. prend soin de moi.
Se mettre à nu sans artifice, avouer qui nous sommes avec nos envies des plus douces au plus perverses, d’ôter le poids de notre éducation, de notre culture où l’on donne le pouvoir à ces chaînes invisible d’être libre. La soumission me donne ma liberté d’être. L’homme a qui j’offre ma soumission me traite comme l’humain que je suis au plus profond. Quelle bonheur que d’être totalement moi.
Ce n’est pas juste des plans de baise facile comme certains se pensent à croire. A s’improviser pseudo-dominant alors qu’ils ne connaissent même pas le mot respect. A renoncer si facilement quand tout se passe pas comme il veut.
Je suis fatiguée de tout cela. Les vrais dominants sont rares.
La sonnette retentit. J’allais ouvrir.
- Bonjour Madame, Monsieur.
Monsieur s’était rapproché. Ah bonjour Carla, bonjour David.
- Vous pouvez donné vos affaires à ma domestique. Elle est là pour que vous soyez au mieux ce soir. N’hésitez pas à me faire part de ce que vous souhaitez.
- Oh voilà qui est parfait.
Ils me tendaient leurs vestes.
Ils s’installèrent au salon. Une autre sonnette retentit.
Cette fois c’est lui qui ouvrit la porte.
- Oh Fred ! bienvenue je t’en prie. Donne tes affaires à ma domestique. Et rejoins nous dans le salon. Carla et David son déjà là. Nous attendons encore Isabelle. Elle ne devrait tarder.
A peine eut il dit cela que l’on sonna nouveau. J’ouvris.
- Bonjour Madame X…
- Bonjour ma belle petite chienne.
En entra en mettant sa main sur mon entrejambe.
- Débarasse moi s il te plaît.
- Oui Madame.
Elle se dirigeait dans le salon, je la suivais. A ma grande surprise, tous les convives étaient masqués.
Ils était tous assis. Monsieur sur son fauteuil chesterfield, Carla et David sur le canapé et Madame X sur un pouf en cuir.
- Lane, servez nous quelque rafraichissement.
- Oui, Monsieur.
Je m’amusais à jouer ce rôle.
- Parlez nous un peu de votre domestique dit alors Fred.
- Eh bien, elle est sous mes ordres depuis quelques mois déjà. Elle a son caractère. Elle peut être bornée, fière. Son esprit est vif, ce que j’adore. Comme toute bonne domestique, elle répond à tous mes désirs. Elle prend un grand plaisir à m’obéir. Quand elle ne l’est pas, obéissante je veux dire, je sévis.
- ON te jalouse E. Nous aimerions bien en avoir une comme ça mais à vrai dire, on n’a jamais eu de domestique.
- Oh mais c’est quelque chose à tester dit Madame X.. Un homme ou une femme qui vous obéit, qui répond à la moindre de vos exigences. Faut juste savoir les rendre bien docile. Il faut les éduquer. C’est un travail, une responsabilité.
- Oui, ça en est une dit Monsieur. Nous avons fixé des règles et des limites à ne pas franchir. C’est indispensable.
- Et donc elle fait tout ce que tu lui demandes dit Fred ?
- Oui.
- Va y montre nous.
- Lane, venez vous mettre à mes pieds je vous prie.
Je m’avançais alors vers lui. Tous les regards étaient braqués sur moi. Je vis le regard de Carla, une femme blonde, pulpeuse, me regarder tout en se pinçant les lèvres. Elle semblait timide.
Je me mis alors à ses pieds. Il claqua alors des doigts. Je baissais ma tête.
- Waouh quelle éducation dit Fred.
- Carla aussi, je l’éduque dit David.
- C’est bon Lane, relève toi.
- J’aimerai bien voir son petit fessier dit Fred.
- Lane, allez contre la cheminée. Cambrez vous et lever votre jupe s’il vous plaît.
- Oui.. Monsieur.
Mon cœur palpitait. Je m’exécutais. J’étais ainsi contre la cheminée, jupe relevée.
- Puis je dit Fred ?
- Oui, bien sur.
Il passa alors sa main sur mes fesses comme s’il caressait la porcelaine d’un vase.
- Quel putain de cul !
Il claqua alors mes fesses et me dit à l’oreille.
- Hum, je vais bien te tringler après dit il en prenant de pleine main mes seins.
Il alla se rassoir.
- Je peux dit David ?
- Oui, je t’en prie.
- Carla, lève toi et va la toucher je te prie.
Elle se leva et se dirigea alors vers moi.
- Baise lui ses pieds s’il te plait.
Je la vis se mettre à mes pieds et me les embrasser. Je me sentais si gênée..
- Hum quelle brave petite chienne dit alors Madame X.
- Retire lui sa culotte.
Elle saisit alors ma culotte et l’abaissa.
- Comment est elle ? sa culotte ?
- Elle est trempée.. Monsieur.
- En voilà une soirée prometteuse.
- Tout le monde sourit.
- Passons à table dit Monsieur.
Je servais les plats de chaque convive. Je sentais leur main s’attarder sur moi. Des petites mains baladeuses.
Au milieu du dîner Carla avait disparu. Son Maitre lui avait ordonné d’etre sous la table.
Elle était en train de lécher Madame X.
- Quelle chanceuse Isabelle.. Je suis jaloux dit Fred.
- Lane, venez astiquer Fred sous la table je vous prie.
- Bien Monsieur.
Je me glissais alors à mon tour sous la table. Je le vis alors défaire son pantalon. Son sexe était en érection. Je m’approchais pour le prendre dans ma bouche.
- Hummm.. waouh…
Il me caressait les cheveux. Malgré son audace verbale, il était doux. Il me regardait assis de sa chaine..
- Quelle suceuse.
- Oui je sais dit Monsieur.. Elle a un talent inné pour ça.
- Suffit dit Alors Madame X à Carla.
- Lane, viens là.
Je passais sous la table pour aller vers Madame X. Je me frayais un passage à travers les pieds des convives. Madame X était en bout de table. Monsieur a sa doite.
- Tiens bois.
Elle me tendit alors un verre de champagne. Hum du champagne. Elle me prit alors par les cheveux et me força à me relever.
- Pousse les assiettes.
Elle me jeta alors sur le table et introduisit alors deux doigts dans ma chatte tout en me maintenant les cheveux fermement.
Je prenais alors un plaisir immense. J’étais en confiance Monsieur a mes cotés.
C’est là que lui aussi me tendait un verre de champagne.
- Allez buvez Mademoiselle Lane.
- Quel charmant spectacle dit alors Fred.
Puis elle me releva et me claqua les fesses.
- Débarassez maintenant Mademoiselle Lane.
Je commençais à enlever les assiettes quand soudain David me saisit par les poignets pour me mettre sur ses genoux. IL me maintenait droite en mettant son bras autours de mon cou.
- Carla, ote lui son chemisier je te prie.
Je sentais la poigne dans son bras. La pression sur ma gorge m’excitait. Elle ouvrait un à un mes boutons. Elle libéra alors mes seins.
- Caresse lui les seins.
Elle commença avec ses mains douces à me caresser les seins.
Il prit alors de mains fermes mes seins pour les lui présenter.
- Dévore les, aspire les.
Je le voyais frémir à cette idée. Sa langue douce sur mes seins. Une réelle douceur. Lui sa fermeté me rendait docile.
Puis il me jeta au sol. Je me relevais pour ensuite terminer ma tache.
La table était presque vide. Il ne restait que les verres.
- Montez sur la table ma chère Mademoiselle Lane dit Monsieur.
- - Voici notre désert Mesdames et Messieurs. Vous pouvez la baiser, la doigter, faire ce qui vous plait.
J’étais alors sur la table, à quatre pattes. Madame X face à moi.
Elle me saisit à nouveau par les cheveux et enfonça quelques doigts dans ma bouche. Je sentis quelqu’un me tirer les tétons. Je sentais d’autres mains me parcourirent le corps.
- Oohhhh… hummm..
Je hâletais comme une petite chienne en chaleur. Je sentis des doigts s’enfoncer dans mon cul.
- Humm quel petit fion de salope.
Quand soudain, je sentis quelque chose s’intérer dans ma chatte. C’était un gode fixée à un balai.
Monsieur avait détourné l’objet.
Il s’amusait ainsi à me pénétrer la chatte avec.
- Hum vous aimez ça Mademoiselle Lane..
- Oui.. Monsieur J’aime ça.
- Qu’aimez vous ?
- Que vous me fourrez la chatte, Merci Monsieur.
- Juste ça ?
- Que vous m’offrez tant de plaisir Monsieur.
Il se montrait alors encore plus frénétiques à me baiser la chatte avec.
Soudain, David m’ordonna de me mettre sur le dos, jambes écartées.
Carla s’était empalé sur lui.
- Va y prends ton dessert.
Elle plaça ses mains sur mon entrecuisse. Elle ecarta mes lèvres . Doucement elle commença à aspirer mon petit clitoris. Elle avait une langue terrible. Je sentais sa langue mettre une certaine pression quand son maitre lui donnait un coup dans sa chatte.
C’est là que Fred me saisit les bras pour les placer au dessus de ma tête. Il les maintenait ainsi.
- Allez petite pute, fais toi bien lécher… oui… oui… me murmerait il à l’oreille.
J’aimais être contrainte, retenue par des bras puissants.
- A mon tour dit Madame X.
- Tiens la bien fermement cette petite chienne.
- David, tiens moi sa jambe bien en l’air.. Carla tiens l’autre s’il te plait.
- Voyons où tu en es dans ton éducation anale.
Je me tortillais. David me tenait bien solidement. Je sentais qu’il aimait que je me débatte.
Monsieur s’était assis. Je tournais alors la tête pour le regarder droit dans les yeux. Il me souriait avec douceur, ce sourire qui signifiait, prends du plaisir.
David et Carla me caressait l’entre cuisse puis ensuite les saisit bien fermement afin que je ne puisse plus bouger.
- Tenez la bien cette pouliche.. L’autre fois, elle a adoré se faire mettre par un étalon.
- Ta gueule petite trainée.
Fred me mit alors sa main sur ma bouche.
- Humm tu es si excitante et ta peau si douce.. Quel plaisir de voir une chienne dépravée. Ne t’inquiète pas, tu ne peux pas t’échapper, j’y vaille.
Elle enfonça alors un doigt dans mon petit fion. Doucement elle le tourna. Puis doucement un second.. Elle prenait son temps, si douce, tout en me caressant le clitoris… Quand elle mit le troisième doigt., je commençais à bouger. Etais ce du plaisir de la douleur ? un peu des deux je dois dire.
- Regarde toi, tu t’ouvres, doucement.
Elle commença un travail de va et vient pour ensuite me chercher toujours plus loin en profondeur.
- C’est bon hein ?
Je ne pouvais répondre, mes bruits me plaisir se perdant dans la main de Fred.
- Fourrez lui un quatrième doigt Madame X dit alors Monsieur.
Je sentis alors un quatrième doigt me pénétrer. Elle tourna avec sa main pour m’élargie. Que le petit cercle de mon cul s’écartèle.
- Voila ma belle regarde quatre doigts.. Petite chienne.
Elle s’amusait à les sortir et à les rentrer. En long, en large, en travers. Elle me fouillait.
- Elle est bien ouverte Monsieur, prête pour être baiser.
- Oh Parfait Madame X. Fred je t’en prie..
Monsieur avait remplacé Fred. J’aimais sentir sa chaleur, sa respiration. Fred souleva alors mon fessier pour me mettre bien au rebord. Carla et David m’avait laché les cuisses. J’étais l’objet de toutes les attentions.
C’est là qu’il me prit sechement. Il râlait son plaisir avec des sons qui étaient très bestial. Tel un conquérant savourant sa prise.
J’entendais ses couilles buter contre moi. Mon Maitre me parlait à l’oreille.
- Alors tu as aimé qu’on te fouille le cul.
- Oui, Monsieur, j’ai adoré ça.
- Tu aimes que Madame X s’occupe de toi ainsi.
- Oui Monsieur..
- Humm ma petite chienne. J’aime te voir tringler ainsi, si comblée. J’aime quand tu t’abandonnes ainsi.
Il me caressait alors la joue et continuait à me parler avec douceur.
Fred,quand à lui n’était pas dans la douceur. Il me baisait tout simplement. Mes seins volaient très fortement, tellement ses coups était violent.
- Tiens…
- Tiens…
Rapidement, il ota son préservatif. David offrait bouche de Carla. Il la tenait bien par les cheveux.
- C’est ça ouvre ta bouche bien grande..
Il éjacula dans sa bouche. Elle n’en ratait pas une lampée.
Puis il lui caressa la tête en lui disant que c’était une bonne chienne nettoyeuse.
Monsieur me libéra les bras. Madame X était retourné dans le salon.
- Viens Ici ma petite chienne. Viens t’empaler.
Je m’avançais alors vers elle. Je m’empalais alors la chatte sur son gode ceinture.
Elle prenait mes seins dans ses mains et les embrassait.
- Allez mieux que ça. Elle me gifla puis me pinça les seins.
Pendant que je me baisa avec le gode, elle me pinçait fortement mes tétons.
- Hum que quel tableau dit Fred…
- Oui j’ai de la chance, elle est une vraie chienne dans l’âme.
Mon Maitre s’était relevé. Il relevait alors mes cheveux pour les tenir.
Il me leva et me força à poser ma chatte sur les lèvres de Carla. Elle sortait déjà sa langue.
Elle me bouffait complètement la chatte. Elle était toute frénétique.
Elle lapait, attrapait, pénétrait ma chatte et mon anus.
Mon maitre me poussa en avant. Il regardait Carla s’occuper de moi, tout comme Madame X d’ailleurs.
Mon maitre s’était mis au dessus et me prit alors par le cul.
- Oh mais quel tableau dit Madame X, je regrette d’être venue sans ma petite licorne ( voir nouvelle La sellerie).
Quand il en eut marre mon Maitre me releva. Il me mit à ses genoux, tête contre ses cuisses.
- Regarde là.. regarde là comme elle se fait bien prendre.
David l’avait remonté un peu, sa tête était dans le vide. Fred lui prenait la bouche. IL s’enfonçait encore et encore. David éjacula alors sur sa petite chatte. Quelques minutes après Fred éjacula encore… dans sa bouche.
Madame X se leva. Elle prit une cuillère à soupe et ramassa le sperme.
Elle nourrissait à la cuillère Carla.
Je sentais mon Maitre attentif à mes réactions. Il savait que c’était là ma limite que je n’arrivais pas à franchir. C’est là qu’il me dit .
- Tu es la plus parfaite à mes yeux.
Monsieur servit du champagne à tout le monde. J’étais à ses pieds, choyée. Carla, elle était en train de lécher Madame X.
Ne pas parler, ne pas réfléchir, juste prendre, apprécier et être entre ses mains.. libre à travers lui.. la plus belle des sensations.
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Pam est une jeune capitaine, juste sortie major de sa promo. Un canon sur pattes. Des seins en obus. Un corps athlétique et pourtant hyper sexe. Une vraie bombe atomique. Les propositions ne manquent pas. Même l'amiral veut l'épouser et la mettre dans son lit. Mais Pam pense à sa carrière et préfère se caresser le clito que de se faire embrocher par des mâles en rut. En tant que première de sa promo, elle avait le choix de son affectation et comme elle est d'une intelligence hors norme, elle a opté pour les labos de recherche de l'armée. C'esr de cette façon qu'elle s'est retrouvée dans le labo de Joe.
Là, il crée des implants pour transformer des macaques en pilotes incroyables de jets de combat. Le pire c'est que cela marche très bien. Le macaque ne fournit que les doigts pour les commandes, pieds inclus. Tout le reste c'est des programmes informatiques pour envoyer des impulsions dans ses nerfs et conduire ainsi le jet au maximum de ses capacités. Tout cela reste secret bien sûr.
Joe s'est implanté lui même avec l'aide de ses robots ses propres implants pour augmenter de façon colossale et c'est peu dire, les capacités de son propre cerveau. A même pas 35 ans, il en est à son dixième doctorat, il s'amuse à tester ses implants et programmes d'intelligence artificielle. Et puis Joe a vite compris qu'il ne doit donner que 0,1% de ses recherches à l'armée. Le reste, il le garde pour lui et c'est top secret dans ses mémoires artificielles connectées. Les macaques dopés, mi singes, mi robots, ses supérieurs comprennent, le reste, ils peuvent même pas imaginer.
Et la bombe atomique Pam a débarqué! Joe est passé du statut de monstre hideux, difforme, à faire peur même à une chauve souris, à celui d'un humain présentable, à peu près normal, grace à ses reprogrammations cellulaires. Comme tous les autres, il veut enfoncer sa queue dans la chatte serrée et tonique de Pam. Il veut même la troncher par tous les trous. Sauf que Pam reste froide comme un iceberg. Elle préfère se branler seule sous la couette.
Et cela rend Joe fou amoureux. Il a remarqué que Pam emmène toujours une bouteille d'eau minérale à son bureau....hum hum....Joe y glisse des nano puces invisibles. Et chaque fois que Pam boit une gorgée, elle s'injecte sans le savoir des dizaines de milliers de ces nanos puces qui vont se fixer sur ses neurones. Et dans son bureau Joe dresse une carte d'invasion du cerveau de Pam. Au début il écoute le chant des neurones. Au bout de trois mois, il peut lire les pensées. Au bout de six mois, il peut dissocier l'état de conscience de Pam. Au bout de neufs mois, il prend un contrôle total de Pam. Celle ci ne se doute de rien jusqu'au jour où:
-Bonjour Pam. Voulez vous m'épouser ?
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Il n'y a qu'une heure qu'elles sont couchées, chacune dans une chambre, quand Charlotte
perçoit du mouvement dans le couloir, puis dans sa chambre. Le clair de lune jette son halo
fantomatique dans la pièce. Bien qu'elle tourne le dos à la porte, Charlotte aperçoit dans la
glace Juliette qui s'avance vers son lit. Elle est nue, ses seins fermes et hauts placés ainsi
que ses jambes galbées et bronzées lui confèrent une silhouette indéniablement désirable.
Elle soulève le drap et se glisse dessous. Une légère brise tiède agite le rideau à la fenêtre.
Juliette se blottit dans le dos de son amie, telle une amante. Charlotte peut sentir ses cuisses
brûlantes et ses mamelons durs contre sa peau.
- Tu voulais enfin que je te l'avoue ? J'ai très envie de te faire l'amour.
Charlotte se retourne brusquement, Elle porte juste un tanga en soie noir.
- Juliette !
- Quoi ? Ne me dis pas que tu ne t'en doutais pas, quand même !
Charlotte s'allonge dans le lit en ramenant le drap sur sa poitrine.
- Je croyais que c'était un jeu, Juliette.
- Eh, bien non, je n'ai jamais été aussi sérieuse de ma vie.
Charlotte examine Juliette pour s'assurer qu'elle est sincère.
- Je ne suis pas lesbienne, affirme-t-elle au bout d'un moment.
- Comment tu le sais ?
- J'ai un amant.
- Et alors ? Tu as déjà essayé ? s'amuse Juliette.
- Tu sais bien que non.
- Alors, laisse-moi faire .. Après, tu prendras ta décision.
Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le
baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette
faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité
de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites
et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement
rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses
doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle.
Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme.
Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque.
L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant
avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire
légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte.
Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir.
Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller.
Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée
maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande
que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésitible; j’entends son souffle.
Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine.
Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie
que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre.
J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous
ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce.
Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant:
- Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi.
Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis.
- Tu apprendras à me connaître.
Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de
mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis.
Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras.
Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur
la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche
et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact.
Un affectueux sourire se dessine sur sa figure.
- Tu es toujours trop pressée.
Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent.
Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma
langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle.
- J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ?
Son rire mélodieux me répond.
Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir,
de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inépanchable de plaisir et de passion. Son bras me
décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles.
Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille.
Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision
m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher.
Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu.
Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les
contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin.
Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual
remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille.
D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une
longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne.
Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements.
Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me
soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant
avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu.
Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent.
Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et
ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite.
Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit
ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton
tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente.
Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes
doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des
délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but:
le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser
ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et
retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée
chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis; elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs.
Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je
la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant
une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi.
Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque
contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés.
Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale.
Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes.
Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et
m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps
amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise
à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon
clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle,
me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever.
D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage.
L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa
poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac
de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos
et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma
langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance.
Je me relève pour l’embrasser tendrement. Une bien belle nuit, en somme.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Il fallait bien qu’un jour, le cours de notre vie simple et heureuse heurte un écueil.
Au début de l’été, je reçus coup sur coups trois lettres recommandées de clients qui mettaient un terme à leurs contrats.
Devant mes difficultés financières, Cléo prit l’initiative de rechercher un emploi. Grâce à mon carnet d’adresses, elle trouva vite à se faire embaucher comme serveuse dans un bar de nuit de Montparnasse. Elle ne s’absentait que trois nuits par semaine, du vendredi au dimanche, mais ce petit salaire supplémentaire arrangeait considérablement les choses.
Un mois plus tard, au coeur de l’été, à la recherche de nouveau clients, je pris rendez-vous avec le patron de ce bar de nuit. Je connaissais ce garçon depuis le lycée et j’avais entièrement confiance en lui. Il hésitait à me confier sa comptabilité, en raison de la santé financière fragile de son établissement mais il était débordé par des contraintes bureaucratiques auxquelles il ne comprenait pas grand-chose.
Je montais à Paris en milieu d’après-midi et nous passâmes deux bonnes heures, dans son bureau au dessus-du bar, à examiner ses comptes. Je lui proposais le forfait le plus ridiculement bas que j’étais en mesure de lui offrir sans perdre moi-même de l’argent. Paul - c’était son prénom - ne voulut pas s’engager sans consulter son associé mais il me laissa de bons espoirs. J’allais le saluer quand il m’arrêta.
- Elle est mignonne, la petite que tu m’as envoyé…
- Cléo ? Oui, elle est charmante.
- Comment la connais-tu ?
- C’est l’amie d’une amie…
- Ah !…
- Qu’y a-t-il ?
- Rien de particulier sinon qu’elle a débauché mon autre serveuse et qu’à elles deux, elles forment un joli couple mais pas vraiment une équipe de collègues. Le travail s’en ressent.
- Ah !
- Il est quelle heure ?… Elles doivent être arrivées pour préparer la salle. Tiens, regarde.
Paul me fit signe de le suivre jusqu’à une ouverture qui donnait au-dessus de la salle du bar. Le temps que je m’accoutume à la pénombre et je distinguai, blotties dans un angle, deux jeunes femmes enlacées. Cléo était parfaitement reconnaissable, de dos, avec ses longs cheveux et ses jolies fesses bombées. L’autre serveuse, au style garçonne, était également délicieuse. Cléo avait une main glissée dans son jean’s et la besognait avec ardeur. L’effet de ses caresses se lisait dans l’attitude de son amie dont les yeux clos et les ondulations du bassin ne pouvaient faire illusion.
- Moi, je m’en fiche, il n’y a pas encore de client, mais quand le bar est plein, j’aime bien que ça tourne ! maugréa Paul.
- Je vais m’occuper du problème, fais-moi confiance, lui répondis-je en lui serrant a main.
Le retour fut particulièrement pénible. Le dilemme qui m’attendait se posait en termes simples : raconter à Sarah ce que j’avais appris, ou ne pas le faire afin de préserver la paix de notre petit trio. Je pris le parti d’amener Cléo à se confesser plutôt que de la dénoncer.
Je conservai donc mon secret jusqu’à tard, le lendemain matin. Sarah s’occupait des plantations, dans le jardin, lorsque je pus prendre à part la jolie cachottière, toute ensommeillée encore, qui sortait de sa chambre seulement vêtue d'un de mes vieux hauts de pyjama.
- Cléo, pourrais-je te dire un mot ?
- Bien sûr, monsieur.
Elle me suivit dans mon bureau, une expression inquiète au visage.
- Ah, Cléo. Dis-moi… quand comptais-tu parler à Sarah de ta petite amie ?
- Comment cela ?
- Je vous ai vues toutes les deux hier, vous embrasser. C’était dans le bar où tu travailles, avant l’ouverture.
Son visage s’empourpra. Elle chercha ses mots, commença certainement à inventer un mensonge, je ne lui en laissai pas le temps :
- Tu trompes Sarah. Je n’ai aucune raison de ne pas l'informer, mais je détesterai d’avoir à jouer ce rôle. Aussi, je te donne cinq minutes pour aller lui avouer toi-même ce que tu lui caches.
- Merci, monsieur, fit Cléo en esquissant une génuflexion.
Je la vis descendre dans le jardin et approcher sa maîtresse d’un pas mal assuré. Je devinai le début de la conversation à leurs gestes et leurs attitudes. Sarah était choquée, Cléo minorait vraisemblablement les faits ou les dépeignait d’une façon qui atténuait sa responsabilité. J’avais imaginé que Sarah se mettrait en colère. Cela n’arriva pas. À ma grande surprise, au contraire, elle caressa longuement les cheveux de Cléo et versa une larme. Puis repoussant Cléo qui voulait l’embrasser, elle la laissa sur place et se réfugia dans ma chambre. C’est là que je la retrouvai.
- Cléo me trompe ! lança-t-elle avec rage.
- Es-tu certaine ?
- Elle vient de me l’avouer la petite catin !
- Viens là…
Sarah se blottit dans mes bras et cacha son visage pour que je ne la voie pas pleurer.
- Pourquoi a-t-elle fait cela ?
- Il n’y a jamais de raison à ce genre de situation. Les choses arrivent parce qu’elles arrivent.
- Que me conseillez-vous de faire, monsieur ?
- Aime-la… et punis-la, pour elle, les deux vont de pair.
Cléo s’était cloîtrée dans la chambre qu’elle partageait avec Sarah tandis que celle-ci vaquait dans le jardin. Je la vis démonter les deux balançoires pour ne conserver que les montants auquel elle fixa des chaînes. Lorsque cela fût en place, elle s’installa dans un transat pour admirer son oeuvre. Son calme laissait deviner sa détermination. Je n’avais aucune idée de ses projets mais elle n’en varierait pas.
Le dîner achevé et sans dire le moindre mot, Sarah passa une laisse au collier de Cléo et l’entraîna dehors. Elle l’attacha par des menottes et des chevillères aux chaînes installées un peu plus tôt aux montants de l’ancienne balançoire, de façon à ce qu’elle y soit retenue, bras et les jambes largement écartés mais sans que la position soit immédiatement inconfortable. Elle lui banda les yeux et l’abandonna ainsi, sans un mot, à la nuit qui tombait.
Je ne lui posai aucune question. Elle s’enferma à clef dans sa chambre.
Avant de gagner la mienne je fis un tour le jardin. L’air était encore chaud. Le corps pâle de Cléo se découpait dans l’obscurité, à peine éclairé par la lueur de la véranda. Elle ne bougeait pas. Je contournais le portique pour observer son visage. Le yeux masqués par le bandeau, elle respirait doucement, ses lèvres entrouvertes semblaient dans l'attente d'un baiser. J’avais évidemment pitié d’elle mais ce sentiment ne se distinguait pas complètement de l’envie que provoquait ce corps si naturellement désirable et dont l’attrait était singulièrement accru par les entraves qui l’offraient sans résistance.
- Monsieur ? demanda Cloé.
- Oui ?
- Pourriez-vous ne pas me regarder ?
- Et pourquoi donc ?
- Il faut que… que j’urine…
- Si Sarah avait voulu préserver ton intimité, tu ne serais pas pendue là !
Une succession de râles et de froissements de broussailles attira mon attention vers le fond du jardin. Une bagarre de chats sans doute.
Un filet d’urine claire jaillit du bas-ventre de Cléo. Elle fit des efforts inutiles pour contrôler le jet mais, en écartant les genoux, elle parvint à ne pas se trop se souiller. Cette situation, tout à fait humiliante pour elle, me parut au contraire touchante.
Surmontant mon envie de la prendre, je rentrai aussitôt me coucher.
Cléo passa ainsi toute la nuit à la clarté des étoiles.
Ce furent ses petits cris qui me tirèrent du lit, au matin. Imaginant qu’elle devait être frigorifiée ou blessée d’une quelconque façon, je dégringolais l’escalier. Le spectacle qui m’attendait était bien loin de cela. Sarah était simplement en train d’asperger au jet d’eau froide une Cléo toujours solidement tenue écartée aux portique.
Lasse de se tordre en tous sens pour éviter l’eau froide, Cléo finit par abandonner tout résistance et se livra à ce lavage rigoureux qui, bien évidement, s’attarda sur ses parties intimes. Sarah s’empara ensuite d’un gros savon de Marseille et d’une brosse de crin dont elle usa pour récurer sans ménagement la belle. Celle-ci se contorsionnait sous la rugosité du brossage et sa peau rougissait des griffures du crin. Sarah épargna néanmoins son entrejambe à laquelle elle se contenta d’administrer de solides claques qui arrachèrent des hoquets à sa victime.
Lorsqu'elle se fut lassée, Sarah arracha le bandeau qui aveuglait Cloé et l’embrassa à pleine bouche avant de la délivrer.
Plus tard, lorsque je lui demandais ce qu’elle comptait faire de Cloé, elle posa sur moi son regard le plus impassible pour me répondre d'un ton froid :
- Je ne sais pas… la vendre, sans doute.
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Joe est né difforme, hydrocéphale, handicapé, moche à faire peur, bossu et marchant en crabe. Depuis tout petit il est la risée mais cela n'a pas duré longtemps. Très vite il a su se défendre en faisant peur. Son arme, une intelligence hors normes, insondable, mystérieuse. Un génie. Aucune fille n'a voulu de lui, alors il a bossé et obtenu très vite plusieurs doctorats. Les labos des grandes multinationales ont voulu se l'arracher, mais finalement c'est l'armée qui a fait la meilleure offre. Dès ce choix, il a disparu définitivement de tous les écrans. Son labo hyper sécurisé est dans une oasis de verdure au milieu d'un désert rocailleux infesté de serpents et brulé de soleil. Là Joe est bien et il adore son job. Il est directeur de recherche en implants cérébraux.
L'armée a vite vu que Joe a un problème sexuel, mais l'armée à l'habitude avec tous les estropiés de guerre. L'armée à ses putes psychologues pour les cas lourds et elle s'y sont mis à plusieurs pour traiter le cas Joe. Elles sont payées pour baiser avec des blessés graves, des handicapés et la bite de Joe est tout sauf handicapée. Il adore les séances psys spéciales offertes.
Les implants cérébraux...joe a voulu essayer sur lui même et il a réussi à gommer certains handicaps de naissance. Il s'est redressé. Il a perdu sa bosse difforme dans le dos. Comment cela fonctionne? L'implant reprogramme les cellules, envoie les bons messages pour corriger les erreurs. Cela se fait suivant des programmes qu'il faut envoyer à l'implant et mettre à jour.
Comme Joe est un génie, il a tous les défauts du génie. Les putes de cette base secrète commencent à avoir un peu peur des fantasmes délires et autres exigences de Joe. il doit payer pour des extras spéciaux, ce qui ne le satisfait pas pleinement. Un jour il a chopé Louisa et une fois bien attachée, une cohorte de robots sont venus lui implanter une puce dans le cerveau. Louisa ne s'est rendue compte de rien. Elle a cru avoir rêvé.
Depuis Joe la baise et l'écartèle comme il veut. C'est sans supplément et Louisa est toujours heureuse. Les autres putes râles et l'accusent de "casser" le métier. Mais elles ont peur de Joe.
-Tu crois qu'il a lobotomisé Louisa?
-En tout cas elle obéit au doigt et à la queue de son maitre
-le pire c'est qu'elle aime cela.
-Ben quoi, on peut etre pute et aimer la baise. Non, ce qui est louche c'est qu'elle ne se plaint jamais.
-Ouais...c'est louche. Avant on l'appelait Louisa la raleuse.
-Et ce con de Joe se tape le plus joli cul de la base avec tous les extras gratos. C'est pas juste.
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Je l'attends. Comme tous les jeudis, je l'attends. Un air doux remplit ma chambre.
Comme je l'aime cette chambre. Elle est le lieu de toutes les libertés, de toutes les
expressions. Spatieuse, blanche, elle abrite des meubles en bois naturel. Ceux-ci
sont peu nombreux, limités au nécesaire: un grand lit au centre, encadré de voiles
blancs qui accompagnent le moindre vent, une commode aux formes arrondies,
deux grands fauteuils blancs au cadre en bois. Aujourd'hui, le temps est magnifique.
Il est au même diapason de mon attente. Je l'attends et pourtant je ne l'ai jamais vu.
Il vient tous les jeudis et je ne connais pas son visage. Ce mystère m'excite, m'enivre.
Il change mon quotidien. À chaque rencontre, je me dis: c'est peut-être lui; je regarde chaque homme avec un
regard particulier, essaie de retrouver dans ses gestes le souvenir de mon plaisir. Cet homme me fait voyager
au-delà du possible. À chaque passage, il maquille ses repères, tantôt imberbe, tantôt mal rasé, tantôt barbu.
Ses parfums ne sont jamais les mêmes. Il joue avec ses cheveux, emprunte perruques diverses pour me
confronter au lisse, au crépu, au court, au long. Il fait de même avec ses poils qu'il épile. Il dessine ainsi sur son
corps une véritable carte sensorielle. Je l'ai rencontré par le biais d'une amie, il y a trois mois.
Nous étions à un cocktail pour les prix de communication destinées aux agences de publicité. Ne l'ayant pas vu
depuis quelque temps, je lui trouvais un éclat particulier.
- Bonjour, Juliette, tu vas bien ? Tu es vraiment lumineuse. Il faudra que tu me donnes ton truc.
Elle me regarda avec un regard encore tout chaviré de sa rencontre avec lui, mais cela je ne le savais pas.
- J'ai une recette incroyable, que nous nous passons d'amies en amies, je t'en parlerai quand tu voudras.
Notre conversation dériva sur notre domaine d'activité et la soirée fut un moment très agréable. Deux jours plus
tard, au cours d'une réunion plus qu'ennuyeuse, le visage de Juliette réapparut dans mes pensées vagabondes.
Avec le recul, elle m'apparut encore lumineuse. Dès qu'un moment libre se présenta, je décidai de l'appeler.
Après le bonjour rituel, j'osai aborder le sujet directement.
- Écoute, ma recette, c'est un homme, mais pas n'importe quel homme. Je ne le connais pas, il vient chez moi
une fois par semaine. Je l'attends, les yeux bandés. Il a les clès et dès qu'il arrive, il mène le jeu. Il m'a fait
découvrir un plaisir incoyable, basé uniquement sur le sexe. Il n'y a pas d'amour, pas de partage. Il ne parle pas.
Ses mains, son corps, son pénis: il met tout en œuvre pour que j'explose. Un homme que pour jouir.
- Tu te laisses baiser par quelqu'un que tu ne connais pas, mais c'est fou.
- Au départ, j'étais comme toi. Plutôt réservée et méfiante. Mais l'idée a fait son chemin. Un jour, j'ai franchi le pas.
J'ai donné mes clés. Le jour X est arrivé. J'éprouvais de l'appréhension. Je ne te parlerai pas de la suite, mais tout
ce que je peux te dire, c'est qu'aujourd'hui, je ne peux plus m'en passer. Si tu veux profiter de ses visites, c'est très
simple, tu m'envoies un trousseau de clés avec une étiquette où tu précises ton adresse, ton téléphone, et quel jour
de la semaine tu veux baiser avec lui.
J'ai reposé le combiné, troublée. Ouvrir ses jambes, se laisser pénétrer par le sexe d'un homme que je verrai jamais:
incroyable; moi si classique, si traditionnelle, j'ai un amant certes créatif mais dont je connais toutes les fantaisies.
Baiser avec lui est un havre de bien-être, de complicité. Nos sexes se connaissent et se reconnaissent. Un passage
au toilette m'a fait découvrir l'effet de cette conversation. Un jus clair, tiède s'écoulait de mon chatte, déjà en éveil à
l'idée d'une telle rencontre. Je l'ai caressée doucement; je lui reconnaissais son attente. Je l'apaisai d'un plaisir au
singulier, entraînant une délicieuse vague de chaleur partout dans mon corps.
Me faire pénétrer par un homme que je ne connaîtrai jamai; le désir était né. Dès le soir, dans les bras de mon amant,
je lui ai demandé de me bander les yeux; j'ai pensé à lui, lui que j'attends déjà. Tout mon corps, mon esprit se sont
centrès sur son sexe, un membre superbe, tendu, turgescent, allant et venant. Le plaisir a envahi tout mon être. J'ai
hurlé comme sous ses coups, j'a joui avec une telle intensité jusqu'alors jamais ressentie.
Le lendemain, l'envie était toujours là, pensée permanente trottant dans mon esprit. Toute la journée, j'ai essayé en
vain de chasser son désir. Mais tous mes sens s'opposaient vivement. L'idée semée au cours de la soirée avait grandi
et elle se défendait vigoureusement. Trois, quatre jours passèrent ainsi. Je restais dans une dualité qui ne m'apportait
aucun répit. Un désir de plus en plus fort s'imposait au fil des jours, qui profitait à mon fiancé tout surpris de retrouver
une dynamique dans notre couple. Demandant une explication, je lui ai dit que je venais de gagner un très important
contrat face à une agence concurrente. En réalité, je ne me sentais pas bien; j'avais rompu l'équilibre que j'avais si
soigneusement réussi à construire. Le sixième jour, n'y tenant plus, je courus faire un double de mon trousseau de clé.
Je mis le trousseau dans une enveloppe et l'envoyai à Juliette. Un frisson incroyable me parcourut quand je la glissai
dans la fente de la boîte aux lettres, un avant-goût du plaisir animal qui prit place désormais dans ma vie. Je décidai
le jour même de ne plus porter de sous-vêtements sous mes robes, délaissant ma lingerie La Perla. Ce soir-là, je fis
l'amour avec un lâcher-prise qui laissa mon partenaire de jeu épuisé mais émerveillé. J'avais consenti à accepter l'un
de ses plus grands fantasmes, un triolisme érotique avec une très jeune fille désirable et infatigable.
Le premier jeudi arriva. Il fut au-delà de mes attentes; un moment rare. Depuis, ma vie a changé de couleurs: hier dans
les couleurs pastel, aujourd'hui, jaune, rouge, verte: elle brille aux éclats comme un arc en ciel après la pluie. Je l'attends.
Dès que je suis rentrée du bureau, j'ai pris une douche pour me détendre et chasser toute pensée professionnelle. Je me
suis massée afin d'assouplir mon corps, le rendre plus animal, plus félin. Je l'ai parfumé délicatement, nappant mon sexe
d'un voile odorant. Depuis que je le connais, j'ai rasé son duvet pour qu'il soit encore plus doux, pour que l'éclat de ma
fleur ne soit aucunement ternie. Enfin, j'ai mis en place au creux de mes reins, le rosebud anal pour m'élargir et m'exciter.
Je suis là allongée sur le lit, mes sens en alerte. Le plaisir est là qui tient en éveil mon bas-ventre; les pointes de mes seins
dardent dans l'attente de ses morsures. Mes yeux masqués ne voient plus le soleil ambiant. Soudain, j'entends la clé dans
la serrure, qui la pénètre aussi efficacement que son sexe pénètre le mien. Il se déshabille sur le chemin qui mène à ma
chambre, lançant ses chaussures sur son passage. Le frottement de sa chemise et de son jean sur sa peau est la plus
douce musique, prélude à notre étreinte. Pour le reste, je suis incapable de savoir s'il porte un slip ou non.
Il ne vient jamais directement dans le lit. Je sens son regard qui, centimètre après centimètre, prend possession de mon
corps. Il ne me touche pas et pourtant déjà celui-ci se rend sous le coup de l'émotion. Qu'attent-il pour me prendre, je suis
en manque de lui depuis une semaine. Il reste là à brûler ma peau. Je reste là à attendre, le sexe moite et impatient. Il se
lève, il rejoint le lit d'un pas tranquille et monte avec la souplesse d'un félin. Aujourd'hui, son odeur rapelle une ambiance
boisée, presque un peu lourde par rapport à l'esprit printanier de la journée.
Je ne peux toujours pas le toucher, car c'est lui qui mène le jeu. Il commence par mordiller les pointes de mes seins, en
suçant les larges aréoles brunes, puis d'un coup me retourne exposant mes fesses à la lumière. Il attrape mes mains, et
avec des menottes, me les attache dans le dos. Sa langue reprend sa douce promenade, découvre mollets, cuisses.
Son trajet décrit des courbes ne pouvant me laisser prévoir aucune logique. Sa langue se glisse entre mes fesses, vient
forcer mon intimité, ôtant lentement avec une délicatesse infinie le rosebud qui lui interdisait l'accès à ma voie la plus
étroite. Je dilate et je cambre pour mieux l'accompagner. Il la déflore avec un doigt, l'éveille d'un va-et-vient progressif,
un deuxième, bientôt un troisième viennent rejoindre le premier. Je commence à partir, mes mains emprisonnées ne
peuvent partir à sa découverte et me saisir de son sexe entre mes doigts.
Il ose me prendre comme peu d'hommes ont osé. Il ne tient pas compte de mes cris, de mes suplliques: il fouille, prend,
envahit, me fait mal, me libère pour mieux me reprendre. Quand il me sent au bord de l'extase, il me retourne. Sa langue
reprend mon sexe, le suce avec avidité. Je hurle, j'aime sa douceur, sa force, sa violence, la chaleur de sa langue tonique.
Je m'ouvre, impudique pour que ma chatte béante capte chacun de ses coups de langue, pour qu'il me pénètre au plus
profond. J'ose lâcher tout l'animal qui est en moi, être pute, offerte, libre dans mon plaisir. À aucun moment, je ne me sens
menacée ni jugée, je suis libre au pays d'Éros; une liberté qui me rend aussi dépendante de lui que d'une drogue.
Je suis accro de sa peau, de sa bouche, de ses mains, de sa queue qui me délivre d'une attente d'être. Je le supllie de
me pénétrer. Enfin, il répond à mon impatience et entreprend la découverte de mon sexe avec ses doigts. Quel plaisir de
m'ouvrir, coulant sous le désir de ses caresses sur mon clitoris, mes petites et grandes lèvres. Mon corps se déchaîne; mes
reins se cambrent pour mieux me livrer. Je brûle. Je perds toute pudeur. Mon vagin, mon anus, ma bouche, mes plis, ma
chair veulent être pénétrés. Je le supplie. Esclave, je lâche prise. Son gland rosé, gonflé caresse le sillon de mes fesses.
Il entre, je m'offre, je me laisse envahir, je suis pleine, je le guide, je rythme ses va-et-vient. Je suis lui, il est moi. J'aime
d'être enfournée de sa queue si dure, campée, enfilée. Son plaisir est rapide, mais il se retient. Quand je le sens prêt, je
l'appelle par mes parois et ma voix. Il crie, longtemps, au même rythme qu'il se vide en moi. Je happe ses jets, les suce,
les conserve. Il s'effondre sur moi. Je suis dans l'entre-deux, espace intemporel, le voyage s'achève et la vie reprend.
La trêve est terminée. Il me retire mes menottes. Il s'écarte de moi. Puis laisse ma peau abandonnée de son contact.
Je l'attends et pourtant, je ne le connais pas.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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-Dans une heure. Tenue 21. Position 14. Maitre Pal raccroche sans un mot de plus.
Marion tremble déjà. Elle regarde sa montre. Elle n'y sera jamais à temps. Elle se met nue et enfile un imper vert avec des bottes caoutchouc rose. Elle saute dans sa petite auto et fonce tremblante dans les rues endormies.
Maitre Pal habite à la campagne, une maison isolée. Elle aura beau crier, personne pour l'entendre, à part les corbeaux qui volent bas. Elle a la peur au ventre. Elle aime sentir cette peur. Elle commence à mouiller.
Elle arrive enfin et fait crisser les graviers de la cour. Elle se précipite et sonne. Maitre Pal ne répond pas. Marion a la trouille. Elle n'ose pas sonner une deuxième fois. Avec la peur, elle a envie de pisser. Elle va dans le jardin et pisse comme une chienne au pied du marronnier. la porte s'ouvre. Maitre Pal, sort, torse nu, un jean et ses bottes cuir . Une montagne de muscles et de poils. Une véritable bête. Il est terrifiant. Marion baisse les yeux et se rapproche tremblante.
-Tu pisses dans mon jardin? Qui t'as donné la permission?
Marion ne répond pas, nouée par la peur. Une série de baffes partent. elle doit tendre les joues. Maitre Pal l'empoigne par les cheveux.
-Tu es en retard?
Des larmes coulent sur les joues en feu de Marion. Elle mouille et coule. Une bonne chienne docile.
Maitre Pal l'attache sur une chaise et sort sa cane anglaise. Les coups pleuvent. Elle saigne mais ne se plaint pas.
Maitre Pal la laisse et va boire un bourbon. Elle reste le cul sanglant bien à l'air. Sa douleur se transforme en plaisir. Oui elle adore recevoir et être martyrisée. Et cette trouille dans le ventre devient orgasme. Elle aime Maitre Pal. Lui, l'ignore, la traite en pisseuse. Marion est une loque, un chiffon mouillé, une serpillère. Elle obéit en tout et pour tout. Ce n'est plus une soumise, c'est une esclave. Elle a renoncé à tout. Maitre Pal est son Seigneur. Sa seule peur véritable, c'est qu'il vienne à se lasser d'elle.
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Isabelle aime ses seins. Elle adore les caresser. C'est si doux, si relaxant. Elle trouve toujours un moment pour se caresser la poitrine et se faire du bien. Sauf que parfois elle s'oublie et Ben son collègue de bureau a remarqué. Il adore la regarder .....Mais cette allumeuse d'Isabelle a remarqué aussi que Ben en pince pour elle. Alors elle joue et le nargue. Elle aime bien Ben, c'est un beau gosse, un peu timide, craquant. Mais elle aime se faire désirer. Elle croise ses cuisses bien musclées et se fait jouir. Elle joue à la sainte nitouche. Ben est rouge, il transpire. Cela suffit pour déclencher un premier orgasme. C'est si facile pour isabelle en croisant bien les jambes sur son clito.
-Ben, tu veux pas aller me chercher un café?
-Oui Madame.
Un vrai soumis ce Ben, et Isabelle a envie de jouer à la Maitresse avec lui. Ben rapporte le café en bon toutou.
-Dis moi Ben, tu es encore puceau?
Le pauvre ne sait plus ou se mettre. Il est géné et mets ses mains devant son sexe comme pour se protéger. Il n'ose pas répondre.
-Tu sais Ben, tu es un vilain petit garçon à me regarder quand je me masse les seins.
-Pardon Madame Isabelle. Je ne le ferais plus.
il reçoit une bonne gifle.
-Dire pardon ne suffit pas. Il faut dire Pardon Maitresse Isabelle.
-Pardon Maitresse Isabelle.
-Bon, tu sais quoi, tu vas finir pour moi le dossier Duval. Et fait le bien, moi je vais faire des courses. Je reviens dans une heure.
-Oui Maitresse Isabelle.
Une heure trente après, Maitresse Isabelle revient. Le Dossier Duval est bouclé. Son bureau est rangé, nettoyé, propret.
-C'est bien toutou Ben. Tu as droit à un sucre. Viens ici.
Ben se rapproche regard baissé. Il est rentré dans son rôle de soumis. Maitresse Isabelle l'empoigne, le retourne et lui baisse son pantalon sur son bureau. Elle lui administre une fessée. Mais ben n'a pas assez mal. Elle prend un cable de secours et se fabrique un fouet. Pauvre Ben, il est vite rouge sang. il gémit et pleure.
-Te voilà marqué toutou Ben. Tu veux etre mon esclave?
-Oui Maitresse Isabelle.
Tu sais ce que cela veut dire ?
-Oui Maitresse Isabelle.
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Suite de ma nouvelle Tiraillement.
Je suis désolée pour les éventuelles fautes, je ne me suis pas relue, j'étais prise par les démons de mon passé.
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J’étais là enchainée à l’attendre. A attendre qu’il s’occupe de moi, à attendre ses doigts sur ma peau, à sentir sa bouche gourmande, à attendre le son de sa voix.. à attendre sa présence.
Sa punition a été à la hauteur de mon insolence. Il savait me remettre à ma place et j’aimais cela. J’aimais cette force qu’il avait à gérer toute situation, à me sentir protégée.
Quel si doux sentiment que de pouvoir s’en remettre à quelqu’un. La vie est si difficile à devoir tout gérer. Mon intelligence émotionnelle est ma force. Quand il a su par ses actes me montrer ce qu’il était je savais que je pouvais m’abandonner complètement une personne saine, équilibrée.
J’avais fait quelques rencontres avec des personnes ne me convenant pas ou d’autres malsaines qui cachaient bien leur jeu. Mais lui.. c’était dans sa nature, son intelligence et son éducation. Il était bienveillant.
Allongée sur le lit je soupirais. IL entra. Je faisais mine de dormir.
Je sentis sa main passée sur mes cheveux. Il me frôlait avec la pulpe de ses doigts.. Doucement il descendait sur mon cou. Je commençais à faire entendre le plaisir de cette caresse. IL continuait sa route sur mon flanc. Quand il arriva sur mes fesses il les pris de pleine main.
- A moi…
Je ne disais aucun mot. Je savourais ce moment. Mon cœur battait si fort.
Il embrassa alors en même temps mes fesses.
Il se plaça face au lit et pris en main mes chevilles. Il ota ma chaine qui me liait au lit dont il avait la clé. IL me tira alors à lui.
Je me cambrai. Il mit alors sa main sur ma bouche.
- Maintenant, tu vas me demander pardon me chuchota t il à l’oreille.
- Ta bouche a dit tellement de vilaines choses qu’elle va me montrer comment elle sait se faire pardonner.
Il prit alors mon visage entre sa main et me força à le regarder. Il était très sévère à ce moment là.
- Tu as compris petite chienne.
Mon visage avait dû traduire l’émoi qu’il me provoquait. Je hochais de la tête pour dire.. oui
- C’est bien, dit il en appuyant sa main sur mon visage.
- Allez a mes pieds.
Je descendais alors du lit pour me mettre à ses pieds. Je lui tenais la jambe en le regardant de manière imploreuse. Il me fit marcher à ses côtés jusqu’au salon.
- Au pied.
Il avait préparé sur la table quelques douceurs. Je mourrais de faim. Je le regardais en souriant.
Il me gifla.
- Qui t’a permis de sourire ! tu souris alors que tu es une vilaine chienne. Tu ne mérites même pas que je te donne à manger.
- Pardon, Monsieur. Je suis désolée.
Je baissais alors le regard.
- Expose moi ton cul.
Il s’était assis sur son canapé. Il tenait alors un verre de vin dans sa main.
- Quelle belle posture de petite chienne… Quelle œuvre d'art tu es.
Il passait sa main sur ma croupe. C’est là que je sentis quelque chose de métallique sur mon anus.
Sans aucune préparation il posa cette boule pour insister à le faire entrer dans mon fion.
- Chut.. regarde ma belle. Ca rentre doucement.. tout doucement… Hum…
Il posa son verre sur la table. Avec douceur il me caressait les cheveux. Il prit la brosse à cheveux qu’il avait visiblement préparé . Il m’attacha les cheveux.
- Vois tu, dans mon indulgence, je vais te donner à manger. Mais comme tu manques de réelle éducation, je suis obligé de bien ajuster ta posture.
- Voilà.. parfait.
Il tira alors sur la corde pour m’enfoncer au mieux la boule.
- Allez retourne toi.
Je marchais à quatre pattes pour me retourner. Ma tête était dressée hautement. Je ne pouvais la baisser sans que je m’étrangle.
- En voilà une belle chienne dit il en vérifiant encore son installation.
Il prit mon menton dans sa main.
- Ouvre ta bouche et sors ta petite langue.
Il me tendait alors la cuillère. JE devinais ce qu’il avait préparé un bon risotto aux champignons.
- Allez viens chercher…
- Non non reste à ta place.
J’allongeais alors ma tête appliquant moi-même la torture à mon petit anus.
- Voilà c’est bien…
- Allez encore.
- Hum.. mais quelle bonne petite chienne toute sage.
- Merci… Monsieur.
- De rien petite chienne.
Il m’offrait également un doux verre de vin. Sa clémence présageait une soirée des plus délicieuses. Quoi que.. sa douceur était comme le velours mais cachait une main de fer.
Il s’était avancé sur le canapé. Il se levait. Ma tête était alors a hauteur de ses cuisses. Il ôta sa ceinture en cuir.
- Sens son odeur ma belle… Sens l’odeur de la punition qui va s’abattre sur ton cul de salope.
Je trésaillais. Je sentis le premier coup s’abattre.
- Merci.. Monsieur…
Un second.. un troisième..
- Merci Monsieur.
- Je te l’ai dit la peau pale n’est pas admise sur un cul.
Il prenait un plaisir à me faire rougir tout en calmant le feu. Je me devais de rester stoïque. Parfois son assaut était si cinglant que je baissais la tête, me rappelant aussitôt de me remettre en position.
Puis il se rassit. Il me passa sa ceinture autours du cou pour me maintenir.
- Tu vois je suis obligée de te tenir bien serrée.. si tu avais été sage…
Oui si j’avais été sage, il ne me punirait pas.. mais j’adorais ça qu’il me punisse.
Il defit son pantalon et ôta également son calençon.
Il se rassit.
- Allez viens la sentir.
Il me faisait alors sentir sa queue. J’ouvrais alors ma bouche.
- Non, non .. renifle !
Puis sans aucun ménagement il l’enfonça dans ma bouche. Il me tenait par la queue de cheval. Naturellement je me redressais. Il mit alors sa main sous la gorge. Il commença a me baiser la bouche.
Il ne se retenait plus. IL ne me laissait aucun répit. Il me besognait tant que j’en bavais. Puis quand il appuya de ses deux mains sur ma tête il me força à la garder en bouche.
- Hum quelle salope…
- Tiens…. Tiens..
Je n’étais plus que son petit trou à bites. Il me faisait faire des va et vient si rapide avec ma tête pour avoir la cadence qu’il souhaitait. J’étais sa bouche à masturbation. Puis encore une fois il me la mit dans ma bouche pour la garder.
Il tira alors sur la corde de mon crochet. Il me caressait la tête en même temps.
- Allez sage… tout doux..
Je bavais et je voulais qu’il cesse cette douce torture. C’est là qu’il enfonça encore plus sa queue dans ma gorge. J’avais envie de vomir. Je commençais à tousser. IL se retira.
Il me tapa sur chaque joue.. et repris possession de ma bouche. De nouveau avec cette frénésie il appuya ma tête contre lui pour me baiser fortement comme il baise ma chatte ou mon cul.
- Bonne chiennasse ! quel trou à bites..
Il replaca sa main sous ma gorge.
- Mais comme tu baves petite chienne.
Là doucement il entrait sa queue jusqu’au bout me faisant encore presque vomir puis la ressortait.
- Hum regarde comme tu la prends bien..
Une fois encore au fond, il me pinca alors le nez tout en tenant ma tête. Doucement j’avais qu’une envie c’est respirer. Je me dandinais pour me défaire de cette emprise, pour juste respirer.
- Voilà respire !
Il s’amusa à me gifler avec sa queue.
Il me redressa et se leva. Ma tête était penchée en arrière.
Il passa alors derrière moi et me donna des coups de pieds leger dans les fesses.
- Alors tu ne remercies même pas ton Maître de te faire gouter à sa queue.
C’est là qu’il tira à nouveau sur la corde.
- Petite pute ingrate.
- Pardon.. Monsieur.. je..
- Ta gueule.
Il saisit alors un écarteur et le mit dans ma bouche.
- Je ne te demande même pas de répondre. Juste d’être un trois trous à baiser.
Il me banda les yeux.
Il me redressa. Ma position était des plus inconfortables pour marcher ainsi. Il me guidait.
Sans ménagement il me jeta, ventre contre le lit.
Il saisit sangla mes bras ensemble puis m’attacha les mains.
Il prit possession de la ceinture et serra bien fortement. Il me prit alors par la chatte.
- Tiens petite pute.
Il me redressait en me tenant par la ceinture. Je ne pouvais rien faire si ce n’est que subir ses assauts.
Il relacha la pression sur la ceinture et mis ses mains sur mon dos. Ma tête était maintenue droite, bien ouverte et baveuse.
- Regarde toi ! il te manque juste encore une bite pour te prendre par la bouche. Ta chatte est si trempée… quel bonheur… Tu baves encore de partout petite pute.
Il me chevauchait, encore et encore. Il s’amusait alors la corde.
Il se retira à nouveau et me claqua les fesses
- Hummm brave chienne.
Il me leva la tête et y plaça sa queue…
Ma mâchoire était un peu douleureuse.
- Un bon trou sans dent.. c’est parfait. En plus tu fermes en même temps ta gueule de pute.
Il baisait encore et encore ne me laissant aucun repis.
Quand il eu finit de me besogner, il ota la corde attachée à mes cheveux et retira le crochet anal.
Il me releva par la queue de cheval puis me jeta sur le sol.
- Allez présente moi ton fion mieux que ça. Je ne devrais même pas à avoir à te le dire.
Je mis alors ma tête au sol tout en relevant mon postérieur. Il faisait le tour de moi. Il mis ses orteils dans ma bouche.
- Tiens lèche…
Je ne pouvais même pas râler ni protester, ni même bouger. Mes contraintes était si bien faites que je ne pouvais faire qu’obéir.
Il s’amusa encore à me donner des coups de pieds sur le cul . Il s’assit. Il passa alors son pied sur ma chatte et mon fion.
- Je vois que ton petit cul est déjà ouvert.
Il me pris par les bras et le leva à nouveau. Dressée droite face à lui il retira mon écarteur bucal.
- Merci.. Monsieur.
Il me retourna contre lui et serra la ceinture tout en maintenant sa main sur ma bouche.
- Je vais te casser le fion. Je ne veux pas t’entendre. Compris.
- Remonte bien ton cul de chienne.
Il se positionna. Les pieds de chaque coté me tournant le dos.
Il écarta mes fesses et y planta son dard. Il était presque assis sur moi. Cette position était terrible. Je le sentais terriblement me prendre.
Il me tenait les fesses bien écartées.
- Hum tu es légèrement serrée.
Il prenait son temps dans cette position à faire des allers et venues.
Il se retourna. Il mit un pied sur mon cou et me sodomisa cette fois ci avec force.
Il ne me laissait aucune seconde. Il me tringlait si fortement.
Il se retira. Tout en écartant encore mes fesses.
- Oh.. ce trou..
- Demande moi de t’enculer.
- Monsieur, je vous en prie, enculez moi.
- Dis moi que tu es une bonne chienne
- Monsieur, je suis votre petite chienne. Je vous en prie prenez moi encore par tous les trous.
- Oh oui petite pute..
- iens prends ça salope de chienne.
Il me posa au sol. J’étais complètement allongée. Il ouvrit mes fesses et à nouveau me pilonna le fion.
Il me tenait par le cou me forçant à mettre ma tête en arrière. Il pouvait me la mettre ainsi plus profond.
Je couinais.
- Ta gueule !
Ses coups étaient si fort.. je ne pouvais m’en empêcher.
Il me prit alors la gueule avec ses mains et pilonna, encore et encore.
- Oh mais regarde moi ça…
Il regardait mon fion restant ouvert après son passage.
Il me tira à nouveau par la queue de cheval.
- Alors petite effrontée.
- Tu aimes ta punition ?
Je ne savais que répondre il me faisait passer par tant de sensations. Entre douleurs et plaisirs. Il se saisit alors de ma gueule.
- Alors.. ?
Il me gifla..
- Petite catin dévergondée.
Je souriais.. il me gifla à nouveau.
Il me jeta sur le lit. Il me releva les cuisses et m’attacha les mains derrière elle.
- En voilà un petit cul à disposition.
Il inséra 3 doigts dans mon petit cul et tourna encore et encore.
- Je pense qu’un jour je pourrais peut être me masturber dans ton cul de salope.
Je frémissais à cette idée. Mais je savais que dans sa bouche ce n’était que pour me faire mouiller davantage.Il me sodomisa encore et cette fois, il ecartela ma chatte.
- Gourmande. Tu aimes ?
- Oui Monsieur.. j’aime quand vous me fourrez par le fion et la chatte.
- Prise par le cul et fistée par le chatte.. hummm.. voilà ce qu’il te faudrait.. ne t’en fait pas on va faire de toi la meilleure des salopes pour y arriver.
Il éjacula sur ma petite chatte. Il défit alors mes liens.
- Ecarte ta chatte.
- Humm , tu es si dégouillinante.. ta mouille, mon sperme.
- Ramasse un peu de sperme avec tes doigts.
- Non.. je.. ne peux pas.. Monsieur.
- J’ai dit , ramasse du sperme avec tes doigts.
Il savait mon aversion pour le sperme. C’était lié à un traumatisme subi plus jeune. Au fil des années, j’avais réussi à chasser ces démons mais pas complètement. Il le savait. Il savait que c’était une de mes limites.
- Je te laisse deux choix.. soit tu le gouttes.. et tu en prends un peu… soit tu te caresses avec.
J’avais tellement envie de me dépasser, d’aller de l’avant..
Il s’était rapprochée de moi.
- Quoi que tu choisisses, sache que je suis fière de toi.
Je posais alors mes doigts sur mon sexe. Je sentais alors son sperme encore chaud sur le bout de mes doigts. Comme une enfant, j’en mis juste un peu sur mes doigts. Il me caressait alors la joue.
- Tu es si belle ma belle Nina.
Je portais alors mes doigts dans la bouche. L’odeur du sperme me donnait une envie de vomir. IL m’avait fallu tant d’années pour accepter d’en avoir sur moi et en moi. Là il me faisait franchir une étape.
Doucement je mis le sperme dans ma bouche tout en le regardant dans les yeux. IL me regardait avec tant de tendresse. Je léchais alors doucement mes doigts.
Je n’aurai pas pu faire plus mais c’était une victoire pour moi aussi petite soit elle car il y avait encore du chemin.
- Je suis très fière de tes progrès tu sais. Il me tenait par le menton et me prit contre son torse.
- Caresse toi maintenant.
Je sentais son souffle contre moi. J’aventurai mes mains vers mon clitoris. Je me caressais toujours avec ma main droite. J’avais besoin d’un stimuli pour cela.. sa voix… A chaque fois que je me caresse, j’ai besoin d’imagination être prise de manière si animale, si bestial.
J’aime entendre mon partenaire m’insulter. Cela n’est pas pour moi des insultes dans ce contexte là. C’est ma liberté d’être qui je suis. Pourquoi est ce que j’aime autant les mots crus. Peut être parce que lorsqu’on se regarde dans un miroir et si on se met à nu, on connait l’animal qui est en soi. On le libère, il se déchaine de pouvoir simplement être.
Il me parlait au creux de l’oreille ..
- Petite salope, tu aimes te caresser.. tu aimerais que pleins de mâles soient là à te regarder te branler.. Tu voudrais qu’ils te touchent partout, qu’ils te prennent par ta petite chatte de pute, par ton fion de salope.. et pendant ce temps , je te prendrais par la bouche tout en les regardant te baiser bien fort.. tu aimes ?
- Oh oui.. Monsieur..
- Tu aimes quen je fourre mes doigts dans ta petite chatte ou ton petit fion pour que je t’écartèle.
- Oh oui Monsieur j’adore tant ça..
- Que j’engouffre ma main dans ta chatte et que je te baise avec..
- Oh.. Monsieur.. encore.. encore..
- Que je commence ensuite à travailler ton petit cul,.. n’est ce pas sac à foutre ?
- Dis moi ce que tu es ?
- Je suis votre chienne Monsieur, votre putain..
- Et qu’ est ce qu’on fait au petite putain.
- On les éduque, on les baise..
- Oui on les baise car elle ne sont ..
Je sentais les spasmes venir..
- Elles ne sont bonnes qu’à ça.
Il sentait mes contractions. Il mit alors sa main sur ma bouche
- Allez jouis salope… jouis…
- Ma petite chienne, allez je t’ordonne de jouir comme une bonne putain.
Il me maintenant fermement. Les spasmes étaient si intenses.
Il enleva la pression de sa main. Doucement une larme coula… je pleurais de plaisir.
- Tu es merveilleuse. J’aime te voir prendre ton plaisir. Tu es comme un ange. Je te vois t’envoler pour m’échapper quand tu t’abandonnes ainsi. J’aime te voir retomber et te retenir dans mes bras..
Je me lovais alors contre lui.
- Merci à vous .. de me permettre d’être…
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Charlotte était allongée près de moi et je ne pouvais penser à meilleure occupation
que de la dévorer des yeux. Le soleil du matin qui entrait par raies obliques entre les
lamelles du store rehaussait le brun luisant de son corps. Elle était assoupie sur le
ventre; le haut de ses bras étirés au dessus de sa tête était bronzé et ses aisselles
blanches. Je glissai un doigt sur la courbe sinueuse de son dos et sa peau satinée
se couvra d'un frisson. Elle était grande et très brune. Une femme idéalement belle.
Bientôt, mon regard s'attarda sur ses cuisses écartées et immanquablement, une
tension sourde s'empara de moi. La mer et le soleil l'avaient déjà dorée davantage.
Ses cheveux, ses sourcils, et ses reins semblaient poudrés d'or, et comme elle
n'était pas maquillée, sa bouche était du même rose que la chair rose au creux de
son ventre. De mes lèvres, je léchai sa peau en dessinant ses omoplates avant de
laisser glisser le majeur jusqu'au creux de ses reins. Je frôlai l'oeillet secret qui déjà
cèdait aux effleurements. Fugacement, la tension se relâcha, les chairs se distendirent,
pour se raffermir aussitôt, comme brusquées.
Mes doigts contournaient les formes plissées qui sertissaient l'anus. Ils lissèrent les veinules lentement, les unes
après les autres, consciencieusement. Je la vis qui aprouva d'un mouvement de reins, une cambrure pour l'instant
étudiée, maîtrisée. Rien du domaine de l'abandon. Ils se confinaient encore dans la séduction. Ou en tout cas,
le crut-elle. L'amante ne trichait pas. Elle était. Sexuelle. Mais je l'imaginai elle, bien trop jeune pour le savoir.
Bientôt l'anus ne se défendit plus. Il rougit en acceptant, s'humidifia, larmoya une liqueur d'acquiescement, frémit au
moindre toucher et enfin sursauta. Je ressentis la naissance d'une jouissance s'inscrire dans les va-et-vient de ce
ce trou qui appellait. La sève s'écoula et lubrifia l'orifice pour permettre le passage. Voilà, elle ne joue plus, elle le sait;
elle peut maintenant tout imposer, froidement, à ce corps qui ordonnait l'intromission. Je supposais qu'elle aimerait être
capable de hurler les mots et les actes qu'elle attendait.
- Un doigt. Enfonce. Juste là. Non pas si vite. Ressors. Reviens lentement. Un doigt. Au bord. Juste un peu plus loin
que l'extrémité. Arrête lorsque tu sens ton doigt happé. Là. Oui. Voilà. Pas plus loin. Elle marqua un temps parce
que le plaisir surgit, intense. Je l'entendis s'essoufler.
- Caresse l'intérieur du pourtour comme si tu voulais dessiner un cercle. Elle mouilla ses lèvres, en prononçant
ces mots.
- Ressors maintenant et ose deux doigts. Doucement. Non. Laisse-le t'accepter, pourquoi forcer ?
Elle se rembrunit, chercha à dégager son visage d'entre les draps. L'amante s'irritait parce qu'elle ne supportait pas
l'affront d'un quelconque échec. Elle savait. Elle voulait savoir, ne rien apprendre de sa partenaire.
La douleur vive s'était évanouie alors je la vis qui hésitait: devait-elle reprendre le fil de ses paroles sussurées ?
Allait-t-elle l'accepter ? Elle désirait de la faire oser pour elle, pour qu'elle puisse dérouler le fantasme d'une femme.
Une femme objet. Bien sûr, il est à craindre que pour une autre, cela ne se passerait pas comme cela.
Elle se tairait. Mais Juliette la voulait obscène, pour mieux la prêter. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses doigts.
Elle reprit:
- Enfonce le doigt et viens forcer l'anneau en faisant rouler l'index sur le majeur. Oui. Comme ça. Doucement.
Sens-tu ? Il s'ouvre.
Il courtisait ses hôtes, il les choyait, savoureusement. Le giclement séminal accompagna les mots venus se fracasser
comme une éclaboussure. Le coeur s'était déplaçé au fondement du corps. Il battit, se contracta et se rétracta comme
l'aorte qui donne vie. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux.
Je sentais la jouissance envahir Charlotte peu à peu. Le désir brûlait, et retombait, suspendu à la prochaine salve.
L'amante fut à cet instant forcément animale. Elle exigea tout, tout de suite. Elle écarta les doigts et en introduisit
subrepticement un troisième. Là, la femme soumise s'attenda à ce qu'elle eut exigé un quatrième puis un cinquième.
Elle se trompait. Mesurait-t-elle seulement combien, elle se trompait ? L'amante est toujours dans la force.
La prouesse n'est bien souvent qu'un détail. Elle l'empala d'un mouvement violent pour se caler en terrain conquis,
profondément. Le cri résonna en écho venant lécher les parois d'une chambre que l'on imaginait forcément sombre.
Les murs étaient d'un blanc clinique; un matelas flanqué à même le sol pliait sous les corps nus, brunis par le
soleil, soudés et parfaitement imberbes.
Maintenant, elle allait supplier.
- Oui. Enfonce encore. Plus. Je voudrais tout. Non, tout. La main, le poignet, le bras. J'aimerais connaître cela.
Les chairs résistèrent, se plaignirent, s'insurgèrent puis craquèrent, obéissantes. Elle desserra les dents
de son index meurtri, bleui par la morsure. La jouissance sourde venait de loin, d'un tréfonds dont elle ne
soupçonnait pas l'existence. Elle hurla. Qu'elle voulait le poignet. Qu'elle voulait plus encore. Qu'elle irait le
chercher, elle même si Juliette ne cèdait pas. Je vis la fureur s'emparer du corps, et le vriller, l'hystérie libérer
toute l'énergie de l'organisme. D'un mouvement brusque, le poignet venait d'écarteler ses reins, elle avait joui.
Elle était suppliciée, anéantie mais extasiée, épanouie et heureuse.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Juliette dirigeait la galerie "Obadia" à Paris, consacrée aux seules œuvres de son mari,
l'illustre Xavier Obadia. Il avait su flairer la demande, saisir l'air du temps, anticiper la
tendance; son entregent et son goût des mondanité enrubannées l'avaient intronisé
peintre idéal et à la mode. Il gagnait beaucoup d'argent, en dépensait plus encore,
suffisamment intelligent pour s'avouer l'éphèmère de la gloire et savourer les aubaines
de cette notoriété de circonstance. Lorsque Juliette l'avait épousé, dix ans plus tôt, elle
s'en rappelait une insolence ébouriffée, un regard fièvreux, une naïve ambition au
charme inattendu. Leur amour échappait aux conventions. Il était silence, patience
et observation. Il était une couleur particulière, de celles que son pinceau traquait.
Ses infidélités permanentes, et pas du tout discrètes, Juliette les étudiait par le regard
de l'artiste. Leur maison s'émouvait du passage d'éphèbes graciles, d'étranges vestales,
de rieuses ingénues, de corps fébriles du plaisir à venir. Son corps n'en était pas laisé.
Xavier jouait en virtuose de l'alphabet de ses sens. Et Juliette retenait longtemps la
fièvre lancinante de ses reins, de sa vulve et de son ventre, les couleurs de la femme,
comme elle les appelait.
Ce soir, Juliette était trop lasse. Elle prétexta une indisposition et s'épargna la vingtième réception de la
semaine, ballets d'entrechats indispensables à la carrière de son mari. Elle décida de flâner dans Paris.
Elle quitta le quartier des Halles et ses vitrines serties de vieille pierre. Elle remonta vers le sixième
arrondissement, traversa les boulevards animés et factices de l'habillement bon marché. Bientôt ses pas
la guidèrent place Saint Sulpice. Devant une galerie, elle s'arrêta, agressée par une toile, une charge
injurieuse en ce lieu. Un couple était représenté, nu, très flou, et leurs reins, leurs jambes, indiciblement
liés, si amoureusement mêlés, impossible à attribuer. Ils étaient la fusion, leurs miracle d'amour. Ce n'était
plus l'ennui qui oppressait Juliette, mais la beauté, la vérité étalée. Sa courageuse indécence. La lucidité du
trait appurait les couleurs, servait comme si elle l'avait rêvé l'irisé, le sombre et le lumineux de chaque ton,
la gamme des sentiments.
- Ça vous plait ?
Une voix féminine, retenue, aux inflexions inquiètes. Juliette posa le visage sur le son; une jeune fille dans les
vingt ans, des cheveux blonds, étonnaments courts, des yeux dilués d'être si bleus. C'était Jean Seberg dans
"À bout de souffle" vendant le Herald Tribune sur les Champs-Élysées. La passivité de Juliette s'évanouit devant
cette fragile silhouette génitrice d'un monstrueux talent. Immédiatement, elle décida que Xavier ne l'aurait pas.
Cette fille serait à elle. Elle ne concéderait pas cette pureté-là.
- Vous vous appelez ? Je ne vois pas de nom sur cette toile.
La jeune fille sourit, s'excusa presque:
- Non, non ... je n'étais pas sure, je m'appelle Charlotte.
- Tu as un fabuleux talent, tu es le talent. Je t'emmène. Juliette s'illumina. Elle était née pour être prise en charge.
C'était inscrit. Elle était marquée du sceau de la servilité, d'une soumission juvénile et sauvage. Elle était le
contrepoint d'un flamboyant tyran. Celui que se découvrait Juliette. Elle trouva une chambre dans un hôtel coquet.
Elle rassura le réceptionniste, alarmé par le bric-à-brac et l'absence de bagages, en réglant une semaine d'avance.
La pièce était sobre, tendrement nimbée du soleil en fuite. Juliette prit le tableau, le posa en évidence sur une tablette,
tira les rideaux, s'installa sur le lit et affronta la toile.
- Déshabille-toi et rejoins-moi.
Charlotte s'agenouilla devant Juliette, déboutonna tranquillement ses vêtements, plus experte à ces maniements qu'au
rangement de ses outils. Ses cheveux courts frôlaient les cuisses hâlées et désirables de Juliette. Tout était évident. Elle
était maintenant allongée. Elle précisait l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. La caresse était légère presque
rêvée. Le réveil de Juliette était, lui, réel. Envahissant. Elle écoutait les lèvres de son sexe, l'émergence de sa pointe, la
moiteur en ses plis, les battements de sa matrice.Lorsque le feu innonda ses reins, que la jouissance s'avança, Juliette
se redressa brusquement, saisit le mince visage, le plaqua contre ses seins, affamés par cette nuit des temps abstinents.
Docile, Charlotte mordilla la pointe érigée du sein, la lècha de son souffle. Un orgasme la saisit par surprise. Elle était trop
attentive aux infimes sensations oubliées et rameutées pour anticiper la vague qui la submergeait. Bientôt, elle se cambra
rageusement, cria ses silences amassés, colla ses mains sur sa vulve. Les eaux débordèrent, elle les recueillit. L'orage
s'apaisa. Elle se leva, alla vers les boîtes de peinture dispersées sur le sol. Elle en prit une, l'ouvrit et parcourut de ses
doigts mouillés les poudres que l'humidité délayait. Les mains badigeonnées de couleur, elle se tourna vers Charlotte.
Elle sillonna de ses doigts les courbes de la jeune fille, imprima de son miel teinté le chemin vers le plaisir. Charlotte était
barbouillée de jaune, de bleu, et de rouge. Sauf le délicat pubis, presque imberbe, tant le duvet était fin et doré. Ce n'était
plus Jean Seberg mais Jeanne Hébuterne, la compagne de Modigliani.
Juliette dessinait le corps de la jeune fille. Elle enlaçait la vulve d'évitements redoublés. Elle se redressa, le corps entier
était fêté de couleur. Charlotte gémissait, se tordait, réclamait une caresse plus appuyée, une accélération qui libérerait
cette jouissance insupportable d'imminence. Quand la soie fut nappée de sang, elle s'approcha du clitoris, en coloria le
bout, trophée de guerre ou d'amour. Le modèle pleurait ce plaisir douloureusement retenu, cet ouragan aliéné. Peinture
terminée, Juliette récompensa la toile humaine d'une profonde succion de la rose pyramide. Elle l'enserra de ses lèvres
assoiffées de jeunesse, savoura la madeleine de ces gouaches tants aimées jadis.
Charlotte fut foudroyée. Elle gicla au visage des flots de plaisir. Pour la soulager, l'exciter et la rejoindre à la fois, Juliette
se coucha sur elle, frotta ses chairs qui perdaient le désir à celles qui en poussaient les portes, mêla son duvet brun à la
mousse vénitienne d'une vie à peine croquée. Le vagin qui avait avalé une partie de sa main l’appella de nouveau. Elle
la pénètra, de sa langue, de ses doigts, suivant la respiration de son amante. Quittant ce lieu humide pour continuer le
chemin des délicieuses découvertes, non sans laisser son index au chaud, touchant enfin son but, le petit orifice.
- Qu’est ce que vous faites ? questionna Charlotte, la voix rauque et tremblante.
- Laisse toi faire, chérie.
La basculant sur le ventre en écartant son genou pour lui dispenser une caresse buccale. Juliette la lècha
consciencieusement. Passa et repassa sur l’anus qui se détendit peu à peu. Tourna, contourna et retourna.
Son doigt pénètra bientôt son intimité, jouant avec la pulpe de l’index contre son petit anneau. L'orgasme
était à nouveau proche, d'enfler son ventre elle croyait pénétrer la jeune fille. Leur friction frénétique l'armait
d'une verge spirituelle et lui ouvrait un sombre royaume. Elle colla ses mains sous les fesses de Charlotte
pour la fouiller encore plus loin, pour l'empêcher de se dérober à l'extase qui les unirait.
Leurs cris moururent en un baiser de leurs bouches, un baiser sauvage et cannibale, brutal et dévorant
comme la secousse qui les avaient basculées. Un baiser qui ne conciliait pas mais exacerbait encore chaque
projectile d'orgasme. Juliette roula à coté de la jeune fille, rassemblant ses sensations après cette confusion.
La tête en arrière, perdue dans la symphonie des sens, elle leva les paupières. Le tableau l'attendait. C'étaient
elles sur la toile. L'imbrication des sexes et des jambes, c'étaient leur chahut renversé. Le nouage animal des
jouissances, la guerre des bustes, leur haine révoltée crachaient sa répulsion soudaine. La sienne pour la
jeune fille. Juliette pressa l'oreiller sur le visage de Charlotte, solidement aggrippée aux montants du lit.
Les élans s'espacèrent. Quelques spasmes l'agitèrent encore. Et tout devint calme. Comme avant. Elles
s'endormirent. Quand elles ouvrirent les yeux, la nuit était installée sur la ville. Elle écarta les rideaux, saluée par
une lune pleine qui innonda la chambre. Juliette se rhabilla, couvrit la frêle silhouette du drap, l'abandonna en
compagnie de l'astre blanc pour cette nuit sans fond. Elle ne croisa personne. Accourut à l'air libre. Savoura la
paix des rues étroites qui enlaçaient Saint Sulpice. Elle rentra chez elle, heureuse. À l'autre bout de la ville, un
clair de lune berçait la pâleur d'une jeune fille à qui la vie ne volerait pas sa pureté, puisque volée à la vie.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je suis à nouveau désolée pour ces éventuelles fautes que j'ai commise. Je ne me suis pas relue.. J'étais retenue attachée au lit.
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Voilà plus d’une demi heure qu’il m’avait contrainte à rester dans le salon avec interdiction de venir le déranger. A peine rentrée dans son appartement, il avait m’avait collée contre le mur et me serrant la gorge.
Il m’avait relevée la jupe pour y fourrer sa main à travers ma petite culotte.
- Hum.. je voulais voir si e fait de voir ton dominant te faisait mouillée ma petite chienne..
Il inséra quelques doigts pour me fouiller
- Tu aimes ça que je te doigte.
Je prenais tellement de plaisir quand il était ainsi que j’en fermais les yeux.
- Regarde moi petite chienne.
J’ouvrai les yeux, il me regardait droit dans les yeux. Il me pénétrait de plus en plus fort.
- A genou.
- Dis bonjour à ton Maître comme il se doit.
Il appuyait sur ma tête pour m’inviter à lui baiser les pieds. Assiste sur mes jambes, je me recroquevillais pour honorer mon maitre. Je lui baisais alors les pieds
- C’est bien ma petite.. continue. Sors moi ta petite langue.
Je léchais alors ses pieds. Je sentais son regard sur moi à observer tous mes faits et mes gestes. Cela me rendait folle d’être ainsi à ses pieds. Il me stoppa en appuyant son pied sur mes cervicales.
- Brave chienne. Suffit.
Il s’abaissa. Il me prit par les cheveux et me releva la tête en arrière.
- Tu as été bien vilaine tout à l’heure quand je t’ai appelé. Je n’apprécie pas le ton que tu as pris avec moi.
Il me tira alors par les cheveux et me jeta sur le canapé. Il me saisi la gueule avec sa main et la serra bien fermement.
- Tu sais que je vais devoir te punir.
- Je.. Oui Monsieur.
- Baisse tes yeux, je ne t’autorise plus à me regarder. Je ne veux même pas t’entendre.
Il saisit le gag ball.
- Ouvre ta gueule.
Une fois bien positionné il le sangla bien serré.
Il me caressait alors le visage puis me gifla tout en me resaisissant à nouveau par la gorge. Il serra, serra.
- Oui tu vas être bien punie ma petite.
Je souriais. Il me retourna comme une poupée de chiffon. Il déboutonna ma robe pour me la mettre sur la taille et ôta mon soutien gorge. IL me para de bracelets à mes poignets et à mes chevilles. . Il tira alors fermement sur les tétons
- Voilà de quoi te maintenir comme il faut.
Il me sangla un collier de maintien si serrait qu’il m’étranglait doucement.
Il attacha mes poignets dans le dos. Il me releva en me tirant par le bras.
Il me força a être sur mes jambes, le dos courbé. IL appuyait bien fermement dessus.
- Interdiction de bouger de là.
Il me claqua les fesses et me laissa ainsi. Le temps passait. Mes jambes commençaient à être bien douloureuses. Je me sentais alors délaissée. Je changeais alors de position pour me soulager. Il était dans sa chambre. J’entendais parfois ses pas pour me remettre ensuite en position.
Je savais que j’allais être punie pour mon ton désinvolte de cette après midi. J’étais relativement énervée. Je lui ai répondu en haussant le ton sans réussir à me calmer.
Le temps passait. Quand je l'entendis au loin.
- Viens maintenant.
Mes genoux étaient en souffrance. un peu endoloris. Je me relevais avec difficultés les bras attachées. En arrivant à sa chambre. Je toquais alors à sa porte. Un long silence.. puis une seconde fois.
- Entre.
J’ouvrai la porte avec mes mains en me tournant. Sans trop faire de bruit, je pénétrais dans la chambre. Il était posé sur son lit avec son ordinateur.
Je me mis à genou devant lui.
Il m’ignorait pendant quelques secondes.
- Tiens voilà mon petit trou à bites qui rentre.
- Tu sais ce que cela signifie ?
Je le regardais en baissant les yeux. Il se leva de son lit et retira mon gag ball. Il me caressait le visage.
- Brave petite chienne.
J’aimais sa caresse. Je me disais qu’il était d’une telle clémence.
- Releve toi…Viens par ici..
- Viens là…
Je m’étais rapprochée du lit. Il était assis face a moi. Il me caressa mes seins, les gifla.. puis à nouveau les caressa. Il prit mes tétons entre ses doigts et les pressa.
- Tu sais ce qui arrive aux filles qui sont très vilaines.
- On.. les punit Monsieur.
- Oui, on les punit.. et je vais te punir comme il se doit.
Il ouvrit le tiroir de son chevet et sortie des pinces à tétons. Il prit en premier mon téton droit.
- Je ne veux rien entendre compris !
Je montrais en silence mon mécontentement.. Puis il fit de même avec mon téton droit..
Il sous pesa mes seins et s’amusa un peu avec. Mes tétons étaient reliées pour une chaine.
- Je ne sais pas encore quel poids je vais mettre sur cette chaine.
Je le regardais d’un regard suppliant. Mais je méritais cette punition… J’étais des plus dociles.
- Allez bouge moi un peu tes seins..
Je me dandinais pour faire valser un peu mes seins. Je sentais les poids des pinces sur mes tétons.. IL ne ratait pas une pointe du spectacle.
- Non non, on ne grimace pas..
J’essayais de ne pas faire de grimaces malgré ma douleur.
Il mis sa main sur mon ventre pour me stopper.
- Prête mon petit trou à bites ?
- Oui.. Monsieur.
- Tourne toi.
Il détacha mes poignets tout en les tenant bien serrés dans ma main.
- Voilà.. respire maintenant.
Il avait enlevé le collier de maintien. Je respirais à nouveau correctement. Cela m’avait rendu bien docile, bien calmée. Puis il détacha mes poignets.
- Voila.. dit il en me massant les bras.
- Merci.. Monsieur.
- Mains dans le dos !!
Il me caressa la gorge et me recoiffa ave douceur. Puis il me gifla.
- Tu as aimé m’attendre petite chienne ?
- Oui.. Monsieur.
Il dirigea sa main vers ma culotte .
- Oh mais quelle humidité.
- Pas autorisée a bouger… ?
- Oui, Monsieur..
- Obligée d’attendre ?
Il continue à caresser mon entrejambe.
- Oui, Monsieur,
- A être punie ?
- Oui Monsieur.
- A avoir ta petite culotte bien trempée.
- Oui.. Monsieur.
- Ta petite chatte parle pour toi.. Mes doigts sont remplis de ta mouille.
- Ta petite chatte est aussi contente que toi de me retrouver, on dirait.
- Oui.. monsieur.
- Attendant d’être utilisée toute la journée ?
Dans un souffle je répondais.
- Oui Monsieur.
- C’est ça ta réponse ?
Il me gifla tout en m’enfonçant un doigt dans la chatte
- Oui Monsieur, j’ai attendu toute la journée pour que Monsieur m’utilise et utilise ma chatte et mes autres trous.
Il me caressa doucement la joue.
- Voilà C’est bien mieux. Une réponse bien formulée.
- Allez ouvre ta bouche.
Il passa ses doigts dans ma bouche pour que je les lui nettoie. Il mit un doigt dedans.
- Allez suce bien petite salope.
Je suçais alors avec délectation son doigt. Puis il fit ainsi l’ensemble de ses doigts.
- Bien… voilà Doucement !!!
- Allez sur les genou, ventre contre le lit.. que je puisse regarder ton petit cul précieux de princesse..
Il prit alors la culotte en une seule main pour bien me la mettre au niveau de la raie. Il s’amusait ensuite à tirer sur le tissu..
- Oh.. si humide.
Je talais de plaisir.
- Tu aimes ça ?
- Oh oui Monsieur….
Il descendit soudainement ma culotte pour la faire tomber à mes genoux..
- Garde bien tes cuisses ouvertes pour qu’elle tienne ainsi..
Il prit de pleine main mes fesses avec ses mains. Il les caressait, les palpait, les griffait.
- On va travailler à l’amélioration de ton comportement de putain.
- Humm Oui Monsieur…
- Tu vas être parfaite pour me satisfaire ?
- Oh .. hum.. oui monsieur, répondais je alors qu’il me caressait les cheveux.
J’appréciais toutes ces attentions.. c’était si délicat.
- Pour devenir bien éduquée ?
- Hum.. Oui Monsieur..
- Bien docile ?
- Hum.. Ouiii Monsieur .
Ma voix était comme un murmure sensuel.
- Juste comme j’aime ?
- Oui.. Monsieur..
Il me caressait à nouveau les fesses. Quand soudain il me les claqua si fortement.
Puis il les malaxaient à nouveau pour ensuite mieux me fesser.
- Tu sais des fesses si blanches c’est interdit ?
Il me fessa à nouveau, encore et encore puis pour me soulageait me malaxait encore fortement les fesses, puis il les écartait..
- Oh regarde moi ça.. qu’’est ce donc ?
- Le fion de votre petite chienne Monsieur.
- Oui.. le fion de ma petite chienne.
- Oh mais qu’est ce que cette chatte dégoulinante..
- Petite gloutonne.. tu veux te faire fourrer aussi bien le cul que la chatte…
- Hum.. oui Monsieur…
Il me caressa à nouveau doucement le dos, le visage, les cheveux. J’étais aux anges.
Puis soudain il me fessait à nouveau de plus belle.
- Allez sur le lit. Mets toi bien au fond.
Il me calla dans des coussins.
- Enleve ta culotte
Il attacha mes poignets de chaque coté à une chaine qui elle était reliée à un anneau fixée sur une longue barre au mur faisant la largeur du lit. Puis il positionna mon cul pour ensuite m’ouvrir les cuisses comme une barre d’écartement et les enchaina de la même manière a chaque anneau de cette barre.
Maintenant, il est temps de te corriger comme il se doit. Il mis dans ma bouche un bâillon relativement épais et mou.
Mes jambes ainsi écartées, mes poignets attachés également de chaque coté. Il avait un accès à tout mon corps. Ma chatte était exposée tout comme mon petit fion.
Il prit alors sa cravache.
Il commença par mettre quelques petits coups dessus. Je criais tout en serrant des dents le bâillon. Je ne pouvais pas fermer mes jambes. J’étais là faite pour subir ma punition si méritée.
- Oh regarde moi ces petites lèvres qui sont déjà si gonflées…
Il la cravachait encore ainsi que mon entrecuisse. Puis pour calmer le feu il me caressa…
J’étais alors toute trempée.
- Laisse moi te décorer un peu.
Il prit alors des pinces à linge. Il commença à en mettre une au niveau intérieur de mes bras. Puis une seconde juste à coté. Il fit de même à l’autre bras.
- Hum si j’en mettais sur tes seins.
Je grossissais des yeux. Ils sont déjà si fragiles..
Il prit alors la pince pour la diriger sur mes seins tout en me regardant. Je râlais en faisant non de la tête. C’est là qui la fixait au dessus de mon sein a la jonction avec mon aisselle.
- La nature aime l’équilibre.
Il fit de même de l’autre coté. Je commençais à lever les yeux au ciel pour contrôler ma douleur. Mes yeux commençaient à s’humidifier.
Me surprenant il plaça alors une pince sous chacun de mes tétons. Je hurlais.
- Crois tu que je puisse en remettre quelque part ?
Je ne pouvais répondre mais mon regard suppliait non.. Après tout avais je le choix ? il me punissait.
Il reprit la cravache et me donna encore un coup sur la chatte me faisant pleurer.
- Tout doux… il me caressait alors le visage et cessa mes larmes avec ses doigts.
Il mit à ma hauteur une autre pince.
Il me dit au creux de mon cou..
- Je t’avais dit qu’un jour nous travaillerons les pinces.. sur ta chatte. Je vais commencer par les grosses lèvres.
Il saisit une de mes grosses lèvres et y plaça doucement la pince. De même de l’autre.
Puis il écarta les pinces pour mieux écartées ma petite chatte.
- Hum comme tu es bien décorée…
- La prochaine fois, je t'écarterai la chatte avec les pinces que j'attacherais. et je te doigterais ainsi puis te prendrait la chatte.
Il reprit sa cravache en la passant sur les pinces pour les bouger. J’avais mal, mes yeux étaient toujours larmoyant et sa voix douce me rassurait.
- Alors où dois je concentrer ma cravache ?
Il tapotait doucement avec sur chacun des endroits où il avait mis des pinces ?
- Les seins je crois c’est ce que tu préfères.
Je pleurais, je faisais non de la tête. Je mettais ma tête en arrière pour me concentrer sur autre chose et ne plus penser à cette douleur que je voulais maitriser. Je pensai à ses caresses.
- Je veux te voir couiner comme une petite chienne ce soir. Ce sera la plus douces des musiques pour mes oreilles me dit il d’une infinie tendresse en cessant à nouveau mes larmes.
Il me torturait ainsi avec sa cravache. Je mordais de plus en plus dans mon bâillon.
- Allez repire.. inspire.. calme toi.
Sa voix me guidait m’amenant sur les chemins du plaisir. Je savais que la douleur allait être un réel plaisir. Je ne m’attendais pas à cette fermeté qu’il avait ce soir.
- Tu vois où t’as conduite ton insubordination. Tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même.
Puis il continua de plus belles a faire semblant aussi à me donner des coups forts qui se terminaient par des caresses de cravaches.
Puis il reprenait sa torture. Comment pouvait il être si pervers et sadique et un visage si doux et une voix si angélique.
Il me caressait à nouveau les cheveux.
- Humm tu es si belle quand tu es punie..
Je le regardais droit dans les yeux avec ce regard invoquant son indulgence.
- Crois tu que tu peux m’adoucir avec ce regard de chienne implorante ?
Il me remit alors un coup sur une de mes pinces à sein.
- Ne crois pas ça ! bien au contraire, je serais pire.
- Mais j’adore car ça te rend encore plus sexy et désirable.
Puis avec douceur il enleva chacune de mes pinces en commençant par les bras. J’en avais oublié leur pincement. Les enlever laissa place à un picotement qu’il calma en me caressant . Il était redevenue tout doux…
- J’y suis allée fort. C’était pour ton bien. Que tu comprennes. Comprends tu ?
Je hochais de la tête… une affirmation.
Je sais que ma punition était bien méritée. C’était la pire punition qu’il m’avait donné.
Chaque pince enlevée était un soulagement, mais je craignais toujours les tétons et ma petite chatte. Quand il les enleva au niveau de mes tétons, il y déposa sa bouche pour les cajoler de sa bouche. Je chavirais.
Quand il se pencha sur la chatte, il les retira rapidement. Je hurlais.
Encore une fois, il me replaçait à ma place.
Il prit un miroir qu’il plaçait face a mon sexe.
- Je veux que tu puisses voir..
Je voyais ma chatte complètement trempée. Malgré tout ce par quoi je suis passée. La douleur a laissé l’excitation me pénétrait comme si je voulais qu’on m’absoudre de mes péchés..
- Je veux que tu regarde comment je te doigte, comment je te fais juter petite fontaine.
Il commençait par mettre un doigt. Il s’amusait à le tourner.
- Un doigt, ce n’est rien pour ta gourmande de chatte.
Il en rajouta un second à son majeur déjà enfoncé.
- Humm comme tu es trempée.. c’est si bon..
De l’autre il me caressait le clitoris.
Il en rajouta un troisième. Je sentais à l’intérieur de ma chatte le mouvement de ses doigts.
- Je t’interdis de jouir petite putain.
Il me torturait à contrôler ainsi mon désir.
Oh quatre doigts.. regarde ça.
Je voyais dans le miroir ses doigts s’engouffrer dans mon intimité. Il tournait sa main paume vers le lit, puis paume vers le plafond. Soudain, il tentait d’engouffrer son pouce.
- Tu es un peu étroite ma petite chienne.
Il poussa aussi fort que possible.
- Regarde .. regarde on y est presque !!!
Je hurlais.. puis il retira alors son petit doigt et son pouce et entreprit de me baiser avec.
- Allez lâche toi.. petite chienne.. lâche toi.
Il me dit cela en me giflant si fortement. Puis quand je commençais à gicler, il me serra le cou.
Je giclais de partout. Je me sentais toujours honteuse.
- Oui allez.. tiens prends ça..
- Allez putainnnnnnn…
Il me tenait par la chattte bien fermement.
Il passa sur mon visage ses doigts bien trempés.
- T’es qu’une putain
Il me détacha. Et m’ôta le bâillon.
- Allez va retourner faire ta pénitence petite chienne. Tu ne mérites pas que je t’honore de ma queue. Mais sache que tu es déjà sur le bon chemin de ta repentance.
- Je vous remercie.. Monsieur.
Il me tira par les cheveux pour me sortir de sa chambre. Je comprenais que je ne dormirais pas avec lui. Il me jeta dans la pièce où il aimait me jetait quand je n'étais pas sage.
Il m'enchaina alors à mon lit pour éviter que je ne m'aventure dans d'autres pièces…
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Dans la mythologie grecque, Dionysos, en grec ancien ???????? / Di?nusos ou ????????,
Diónysos est le dieu de la vigne, du vin et de ses excès, de la folie et de la démesure. Ce fils
de Zeus et de Sémélé eut une naissance peu ordinaire; sa mère fut foudroyée pour avoir
voulu admirer son amant dans toute sa splendeur. Zeus arracha des entrailles de sa mère
le corps du bébé et le cacha dans sa cuisse pendant trois mois, d'où l'expression, "sortir de
la cuisse de Jupiter", nom latin de Zeus, et il en sortit le jour prévu pour sa venue au monde.
C'est pourquoi on le dit né deux fois et selon la légende, cornu et la tête couronnée de
serpents. Zeus confia alors Dionysos à Perséphone, qui l'emmena chez le roi Athamas
d'Orchomène et sa femme Ino, qui lui firent porter des vêtements féminins pour échapper
à la fureur de la déesse. Hélas, la trop rusée Héra frappa de démence ses deux parents
nourriciers et, dans un excès de folie, Athamas confondit son fils Léarchos avec un cerf
et le tua. Alors Zeus transforma Dionysos en chevreau et le transporta sur le mont Hélicon,
où les nymphes prirent soin de lui. Il vécut heureux en pleine nature, en compagnie des
Ménades, des Satyres et des Silènes. On dit que c'est là qu'il découvrit la vigne et l'art de
fabriquer du vin. Quand il devint adulte, Héra le reconnut et, par un de ses maléfices, le
rendit fou. Il se rendit à Dodone consulter l'oracle dans l'espoir de trouver un miracle à
son mal, traversant la montagne à dos d'âne. Guéri, Dionysos parcourut le monde pour
faire connaître la vigne et le vin, accompagné de sa suite. Il ensigna aux Egyptiens la
culture de la vigne, fut reçut à Pharos par le roi Protée.
Là, il emporta son premier succès militaire contre les Titans d'Héra: il rétablit sur son trône le roi Amon en
s'alliant avec les Amazones établies chez les lybiens, en face de Pharos, petite île au large du delta du Nil.
Quant à la haine de la déesse et l'hostilité rencontrée par Dionysos tout au long de ses voyages, elles sont
le reflet de l'opposition des conservateurs à l'emploi rituel du vin ainsi qu'aux coutumes extravagantes des
Ménades qui, de la Thrace, avaient gagné Athènes, Corynthe, Sicyone, Delphes et d'autres cités évoluées
avant que le culte du dieu soit approuvé et que des fêtes officielles soient instituées en son honneur.
De là, il fit route vers l'Inde en passant par la Syrie où il affronta Damascus, le roi de Damas, qui avait détruit
ses vignes, et l'écorcha vif; il traversa l'Euphrate sur le dos d'un tigre envoyé par son père; il rencontra Adonis
et Aphrodite au Liban; il régna au Caucase, sur le chemin du retour, il dut combattre les Amazones qu'il repoussa
vers Ephèse; toujours accompagné des Ménades et des Satyres, il revint en Europe en passant par la Phrygie, où
Rhéa le purifia des meutres qu'il avait commis durant la période de démence, et l'initia aux mystères de Cybèle.
Dionysos rentra en Grèce sous l'aspect d'un bel adolescent. En Etolie à Calydon, il tomba amoureux d'Althéa,
fille du roi Œnée à laquelle il donna une fille, Déjanire.
En Béotie, Dioysos incita les femmes de Thèbes à participer à ses orgies sur le mont Cithéron, se fit arrêter et
enchaîner à un taureau par le roi de Thèbes, Penthée, qui enferma les Ménades. Celle-ci s'échappèrent et, en
état d'ivresse et de transe religieuse, déchiquetèrent le roi sous la conduite de sa mère, Agavé, qui rendue folle
et transformée en Ménade, lui arracha la tête. Mais certaines femmes refusèrent de se plier aux rite orgiaques:
ce fut le cas des filles de Minyas, Leucippé, Arsippé et Alcathoé. Dionysos les effraya tellement qu'elles perdirent
la raison. Les Béotiens finirent par reconnaître la divinité de Dionysos et le dieu s'embarqua pour Naxos.
Finalement, Dionysos se retrouva sur l'Olympe, assis à la droite de Zeus, Hestia lui ayant cédé sa place à la table
divine. Il ne lui restait plus qu'à descendre aux enfers, enlever sa mère Sémélé et la transporter au ciel où elle
devint immortelle sous le nom de Thyoné. Héra dut se soumettre et accepter en silence la présence de son gendre
qu'elle avait pourtant poursuivi de sa haine vengeresse. Dans l'Olympe, il participa au combat des dieux et des
Géants, tuant ses ennemis avec son thyrse.
Pour les Grecs de l’Antiquité, Dionysos a été le dieu par excellence de l’extase, le dieu du délire sous toutes ses
formes et dans tous ses effets, positifs aussi bien que négatifs. Si le concept du dionysiaque devient, à l’époque
moderne, un synonyme universel de l’extatique, du délire séduisant et dangereux dans tous les sens du terme,
ceci n’est donc pas sans relation avec la tradition antique. Or, si les écrivains postérieurs et plus particulièrement
les écrivains modernes ont tâché, dans des créations libres, de mesurer l’écart entre les spécificités de l’extase
dionysiaque et sa généralisation, les historiens modernes de la religion grecque ancienne furent confrontés au
problème suivant: tenir compte non seulement des particularités de l’extase dionysiaque, mais aussi du fait que
l’extase est une expérience humaine universelle qui ne se restreint pas à des cultures, des époques ou des
sphères géographiques données.
Quant à Dionysos, il est présenté, dans le premier passage de la tradition littéraire où il figure, dans le chant VI de
l’Iliade d’Homère, comme le "délirant". Ce qui est significatif, c’est non seulement qu’il apparaît ainsi, dès le début
de la tradition, comme dieu de l’extase, mais surtout que c’est lui-même qui est dans le délire. Or, dans l’Iliade
homérique, ceci n’est pas, en soi, une épithète au sens strict du terme ou une marque distinctive de Dionysos,
mais le relie au moins à un autre dieu, au dieu de la guerre, Arès, qui, dans la même épopée, est caractérisé
également comme "délirant."
Mais dans le cas de Dionysos, son état délirant est intégré dans un scénario où on le voit entouré de femmes,
désignées comme ses nourrices et décrites comme exécutrices d’un rite auquel le dieu délirant participe en
personne. Par rapport à toutes les autres présentations de divinités, chez Homère et dans la tradition ultérieure,
ce fait est exceptionnel. C’est comme si l’état exceptionnel de Dionysos, son extase, sanctionnait un statut
exceptionnel, sa proximité extrême par rapport aux humains et plus particulièrement aux femmes, et sa
participation en personne à leurs activités rituelles.
Déjà, le fait que le mot "ménade" soit utilisé à des fins comparatives montre bien que l’épopée homérique
présuppose la familiarité du public contemporain avec son usage technique, de sorte qu’il n’est pas nécessaire
d’expliquer en détail comment il faut se représenter un comportement de "ménade". Andromaque s’élance
comme une ménade, Il n’est pas nécessaire ici de mentionner Dionysos, bien que ce soit son culte dans lequel
on voit des femmes s’élancer en "ménades". L’extase dionysiaque est d’abord l’affaire du dieu lui-même, et
peut être transférée par lui à des humains. Cette extase est, tout comme Dionysos lui-même, un phénomène
spécifiquement grec qui est attesté dès le premier témoignage littéraire grec du VII ème siècle av. J.-C.
Le culte de Dionysos fut pratiqué dans la Grèce toute entière dès le VI ème siècle avant notre ère, sous une
multitude de surnoms. Certaines Dionysiaques revêtaient un caractère champêtre ou populaire: processions,
banquets, phallophories. On exécutait des rondes sacrées en l'honneur du dieu. Ces fêtes ont très largement
contribué au développement du théatre et joué un rôle prépondérant dans la poésie lyrique. Les chefs-d'œuvre
du théatre grec ont été présentés aux grandes dionysies et aux lénéennes. La folie atteignait son paroxysme,
les participants déchiraient, lacéraient tout ce qui ce trouvait à leur portée: animaux, êtres humains. Après la
folle excitation, succédait la prostration et tous sombraient dans un sommeil profond. Les orgies étaient
réservées aux initiés et tout particulèrment à des associations de femmes, les "Klodones" et les "Mimallones."
Dionysos fut identifié avec Zagreus, dieu d'origine phrygienne, thrace ou crétoise, dont on faisiait le fils de Zeus
et de Perséphone, qui fut élevé par les Curètes crétois, et enlevé par les Titans. Zagreus jouait un rôle important
dans les rites orphiques et dans les mystères d'Eleusis. On y représentait le drame de sa passion, et de sa mort
suivie de sa résurrection miraculeuse. L'idée dionysienne fut plus tard dégragée par les cultes populaires,
notamment à Rome où le culte de Bacchus, l'équivalent latin du dieu, finissait dans des orgies délirantes au II ème
siècle avant notre ère.
Dionysos a été représenté par de nombreux artistes: Boucher et Poussin. Ses amours avec Ariane ont inspiré
Le Titien, Jules Romains, Carrache, Michel-Ange, Rubens et Van Dyck.
Bibliographie et références:
- Apollodore, "Bibliothèque"
- Bacchylide, "Dithyrambes"
- Euripide, "Les Bacchantes"
- Hérodote, "Histoires"
- Hésiode, "Théogonie"
- Homère, "Iliade"
- Ovide, "Fastes"
- Pindare, "Pythiques"
- Platon, "Phèdre"
- Théophraste, "Histoire"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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C'est le déconfinement. Julie mouille déjà. Il est 00h01. Elle en peut plus. Elle enlève sa petite culotte trempée, passe une mini jupe raz la moule et enfile des bottines sexy. Un bon rouge à lèvre provoc, elle se sent prête pour aller retrouver ses amants. Dans un rayon de 100 km, sa chatte en feu n'est pas en manque.
Elle commence par bob, un gros cretin mais une pine d'enfer. Dès qu'il voit Julie, il bande comme un Grizzly. Au moins Bob est pas compliqué. Et comme il a les couilles pleines, il se décharge d'un coup dans le petit cul de Julie. Bob a du bide. Il sait pas viser. Là il a sodomisé Julie qui a hurlé de plaisir et de douleur. Bob n'aime pas les préliminaires. Il baise d'abord et discute après.
Julie reprend sa virée. Elle sent le sperme chaud de bob qui coule le long de ses jambes nues et elle adore suinter du cul. A présent il 00h 35 et c'est Jeannot qui l'attend avec impatience. Plus con que Bob , ce Jeannot. Lui veut toujours l'épouser et en faire sa femme au foyer. Beurk. Heureusement, il est tellement amoureux qu'il baise bien. C'est un excellent lécheur de minou, un buveur de cyprine. Et Julie est style chutes du Niagara quand elle jouit. Jeannot se soule avec. Son défaut c'est qu'il éjacule trop vite. Heureusement, c'est une mitraillette à dix coups. Julie adore contracter son yoni sur la pine en feu de Jeannot. Elle sait lui pomper tout son foutre et le laisser sombrer dans un sommeil profond. Julie peut s'éclipser, sans quoi il parlerait encore de mariage.
01 17. Julie remonte dans son cabriolet. Cette fois elle suinte par devant et par derrière. Son siège en cuir est trempé. Merde des poulets ! Ah ce sont Albert et Nico, deux potes. Elle se gare. Ils saluent en souriant.
-Julie! tu nous a manqué !
Julie leur met la main sur les braguettes bien gonflées.
-Vous dites ça, mais je demande qu'à voir.
Par chance les deux poulets ont leur estafette...Ils se font pomper le dard à l'abri. Julie adore les déguster. Du bon sperme, c'est excellent pour la santé. Les flics veulent la sodomiser.
-Non, non, une autre fois. Je suis pressée.promis.
Elle a donné rendez vous a Seb, pour 02 00, mais Julie en bonne garce aime arriver en retard....Seb est à point. Il en peut plus.
-Mais tu as encore trainé où salope ! tu dégoulines de sperme .
Julie ne réponds pas. Elle adore les mots crus. Elle débraguette Seb et s'empale debout. Seb explose vite son sperme. Il retourne Julie et lui donne une fessée monumentale.
-Salope, pouffiasse, guenon, pute à pas cher, gouine crado, pétasse....
Plus Julie se fait botter le cul et insulter et plus elle jouit. Elle décide de finir sa nuit avec Seb. Au moins lui sait parler aux femmes et ne la demanderas pas en mariage.
La morale de cette histoire c'est que les femmes sont toujours plus salopes qu'on ne croit.
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Elle serrait de plus en plus fort chaque côté de la table.
La nappe blanche se froissait à mesure de ses crispations.
Elle avait les yeux fermés…un léger pincement de sa lèvre, retenait les sons de plaisirs qui ne demandaient qu’à en sortir…
Elle se tortillait lentement, langoureusement …
Je la regardais ainsi profiter de cet instant….
Nous ne disions rien, le brouhaha du restaurent couvrait tout juste son souffle haletant…et de ce plaisir subtil ..Invisible aux yeux autres…mais dont je me délectais avec un vil plaisir
« Vous n’allez pas bien, Madame ? Vous vous sentez bien ?» Dit le serveur, qui venait d’arriver à notre table…
D’un coup, elle ouvrit les yeux.
Se cambra en arrière pour affronter, en silence, ce délicieux tourment…
Ses joues se parèrent d’un parme délicieux…
Et me jeta un regard entre détresse, désespoir et gène…et presque rage…
Je souris, je lui souris de façon taquine…
Elle cligna des yeux en esquissant un sourire et tournant lentement sa tête de droite à gauche, comme pour dire « Mon Salop, quel vicieux tu fais là »
« Non, ce n’est rien…Elle a simplement pris, on va dire un choque…un peu fort » répondis-je au serveur, en le regard dans les yeux, tout en continuant de sourire…
J’approchais ma main dans le même instant de celle de S. Qui s’empressa de me la prendre, presque à me la broyer…Je faisais mine de ne rien sentir…Mais la Garce, elle se vengeait dans cette pression…
« L’alcool était un peu fort, peut-être, dans ce… Colonelle ? »
« Certainement…Je pense que nous allons prendre, tout deux un café…Gourmand..Histoire qu’elle éponge un peu… », répondis-je…
Elle me fusilla du regard, tout en faisant non-non de la tête…Mais un mouvement qui voulait surtout dire « Tu m’as bien eu… »
Nous nous étions rencontrés quelques mois plutôt dans le train. A cette époque, je faisais quasi quotidiennement l’aller-retour vers Paris, prenant le premier et le dernier train.
On rencontre souvent les mêmes personnes à ces horaires sur ces trajets longs et les habitudes s’encrent rapidement.
D’un café au bar, ou d’une pause clope à l’arrêt le plus long ou encore, lorsque le train reste immobilisé sur un quai. Les discussions se font plus aisément de fait.
Elle travaillait entre Paris et Niort, où elle demeurait, dans un poste à haute responsabilité.
Ce qui m’amusait d’elle, c’était ses tenues, certes toujours très élégantes, mais toujours en pantalon.
Arf ..et pourtant, d’une petite blonde aux yeux gris, un bel ensemble robe, chemise…lui aurait valu plus de « regards », surtout qu’elle avait les arguments pour…et cela lui aurait été d’une arme fatale dans certaines négociations…
Mais, ce n’était pas vraiment son style…Et, comme elle me disait, cela évite aussi les mains baladeuses dans le métro…
Je l’avais plus revue pendant un temps, ne prenant plus le train avec la même régularité…
Je l’avais recroisé dans Niort, en faisant les boutiques…d’un café prit, s’en suivit d’autres puis des restaurants…Et ce qui devait arriver…Arriva.
Ce jour-là, nous nous étions donné rendez-vous sur La Rochelle de bon matin. Et comme, un couple tout beau tout neuf, vous y allions pour faire les boutiques et passer du temps ensembles…
Profitant de l’été et des simples plaisirs de la vie et d’une ville au bord de Mer.
Je lui avais dit :
« Nous allons faire les boutiques ensemble et on va te choisir quelques tenues plus…féminine à mon goût pour toi »..Et elle avait acquiescée avec plaisir cette proposition. D’autant que je ne m’étais pas caché de mes goûts à ses yeux en ce Monde des Sens et celui de l’élégance des femmes.
(Je crois d’ailleurs, c’est en partie de la manière dont je lui avais parlé de ce Monde qui l’avait incitée à aller plus loin dans notre relation assez fraîche…)
Je fais partie de ces hommes qui adorent faire les boutiques à deux, et même seul…
Je trouve cela tellement plaisant et cela lie vraiment les deux personnes.
D’autant que je ne suis pas homme à rester les bras ballants attendant que Madame choisisse et ne faire que portier…Loin de là…Je vais fouiller, farfouiller, alpaguer les vendeurs/vendeuses pour débusquer l’objet qui pourrait lui plaire et me plaire.
De plus, mon vil plaisir est dans ces boutiques de lingerie, où je vais, sans honte aucune, discuter « chiffons » avec les vendeuses pour trouver une belle pièce. Cherchant le confort, en l’objet de convoitise, pour le corps de la Belle qui m’accompagne et pour qui sera cette pièce.
C’est amusant de voir combien cela déconcerte au départ les vendeuses…mais après, cela devient un plaisir véritable que de parler d’une pièce où, par exemple, une couture serait désagréable au sein, car trop prohiminant ou de baleines trop débordantes pouvant « blesser » l’entre-seines…
Dans l’une des boutiques, nous avions trouvé une belle robe longue, légèrement échancrée sur le côté jusqu’au genou…Taillant sa taille avec délice et mettant ses « Arguments », bien tenus par un serrage du genre Corset, pour le haut, en valeur juste de façon provocatrice, pouvant laisser entrevoir ses beaux arrondies…
Nous prenions un café sur le Vieux port, à l’heure du quatre heure…
« Ce soir, j’ai envie de dîner au Domaine, à Niort. Tu as une belle robe…c’est le moment de la mettre… »
J’aime bien ce restaurant à la sortie de la ville, niché dans une maison de pierre ou parfois l’été, on peut trouver une place en extérieur pour y manger des plus agréablement...
Un peu guindé certes, mais j’aime son atmosphère feutrée et puis, on y mange bien…ce qui ne gâche rien…
« Ok » me dit-elle
« Bien je te prose que l’on s’y retrouve vers 21h, je vais appeler pour réserver et je te confirme cela… Vu l’heure, cela te laissera le temps de rentrer chez toi et te préparer…mais faut pas tarder quand même »
Elle sourit
« Toi, tu as une idée derrière la tête…Ce n’est pas que le dîner qui t’intéresse »…Me dit-elle
Je lui souris en retour
« Déjà, de profiter de toi avec cette belle robe…Le reste…ben c’est le reste…on verra comment le vent tourne »
Elle rit…
Nous nous séparâmes après ce café pour que chacun s’en retourne chez lui. Et se prépare pour le dîner…
Je lui envoyai un SMS pour lui confirmer l'heure, après avoir pris soin de réserver une table.
A l'heure dite, j'étais sur le parking.
Attendant son arrivée...
Elle ne tarda pas...
Lorsque je la vis descendre de sa voiture, je voyais un peu la gène qu'elle en avait de cette robe, dont elle n'avait l'habitude.
je me rapprocha d'Elle...
Lui tendis mon bras, pour qu'elle s'y accroche.
Elle le prit.
Et s'en aida pour mieux descendre de sa voiture.
Je m'amusai de la voir mal à l'aise ainsi vêtue..
Je la réconfortai d'un doux baiser...pendant qu'elle réajustait cette étoffe qui lui allait vraiment bien...
Un couple de clients, nous voyant, enfin la voyant ainsi...lui envoyait un sourire envieux...enfin surtout la Damoiselle..Le Monsieur avait plus la langue pendante..Ce que d'ailleurs lui fit remarquer sa Damoiselle...
Nous leurs sourions en retour...d'un sourire voulant dire "Merci, c'est gentil"
On se regarda alors...Et on éclatât de rire..
"Allez, ma chère S...Allons dîner"
....
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Autour de la grande table de chêne de l’auberge, toute la joyeuse compagnie se régale. Les soumis ont eu l’autorisation de se rhabiller un peu. Les parties viriles de Guillaume ont été prestement immobilisées avec une lanière de cuir. Il restera ainsi jusqu’à ce que son épouse l’autorise à les libérer. Dame Blanche a remis sa robe longue sur son jupon, mais garde les jambes soigneusement écartées au côté de son époux le Duc. Les servantes soumises Fanchon et Mariette portent juste leurs chemises de dessous en coton blanc et sont accessibles aux mains baladeuses des amis du duc. Leur cyprine continue de suinter sur le banc .Marcelin et Jehan se font un plaisir de les exciter alors qu’elles se sustentent en tentant de ne pas montrer leur plaisir. Babette et Jannot aident Martin au service tout en grignotant au passage. Des éclats de rire jaillissent, des sourires fendent les visages, tout le monde est très heureux de cette sortie au bois . Dame Blanche sort de sa réserve après que le duc lui ait murmuré quelques mots à l’oreille « Cette après-midi sylvestre m’a apporté beaucoup de plaisir ma belle duchesse. » et sa grande main se glisse sous sa robe et explore son entrejambe « ainsi qu’à vous me semble-t-il ? ». Dame Blanche sourit aux anges et le duc la regarde avec beaucoup de tendresse . Nul besoin de réponse, le visage de la jeune femme ne sait pas mentir.
Après un dernier verre de vin tout le monde se lève et se réajuste. Babette et Jannot ramassent les sacs et les vêtements épars et rejoignent les autres dans la cour. Le duc monte dans le cabriolet et tend les rênes de son cheval à Guillaume. Chaque couple enfourche un cheval, et la compagnie s’éloigne avec force cris. De la poussière s’envole et virevolte dans la cour, les poules se sont réfugiées sur le tas de fumier et Martin à la porte salue tout le monde bien bas. Jannot fait tourner lentement la voiture et Babette s’installe sur le plancher dans la cabine. Le duc toujours souriant lui caresse un peu la tête d’une main tandis que l’autre joue avec la pointe d’un sein de son épouse. Celle-ci commence à respirer de plus en plus vite. Le sourire moqueur du duc l’empêche de se laisser aller à exprimer son plaisir trop bruyamment. Elle sait qu’elle doit rester silencieuse. C’est la douce torture qui lui est imposée à chaque fois, cela ne cessera que lorsque son seigneur et Maître l’autorisera. Elle se retient et serre les lèvres en souriant à son époux. Babette sent qu’on lui tire les cheveux et relève la tête, les yeux baissés , la bouche ouverte et la langue pendant à l’extérieur. La salive qu’elle n’a pas le droit d’avaler coule le long de son menton sur la jambe du duc qui sourit de sentir son pantalon s’humidifier. Il regarde Babette et la félicite de sa bonne tenue. La jeune femme en bave encore plus, les compliments de son Maître sont si précieux car si rares que de les entendre la fait baver encore plus. Un filet de salive pend que le duc recueille du bout des doigts. Il le remonte jusqu’au visage de sa jeune esclave et en enduit ses joues. Le nez de Babette se fronce un peu mais un pincement de joue lui fait cesser toute expression de dégoût. Elle baisse un peu la tête dans un signe de soumission repentante. Une caresse la réconforte très vite. Le duc n’est pas fâché. Il pince alors plus fort le sein et Dame Blanche laisse échapper un cri de surprise et de douleur mêlées. Les sourcils du duc se froncent mais il garde son petit sourire narquois et ses lèvres se rapprochent de la bouche de la jeune duchesse « Chut, voyons, tais toi. » et avec avidité ses dents saisissent les lèvres entrouvertes et sa langue va chercher celle de son épouse dans sa bouche. Les deux muscles baveux s’enroulent l’un dans l’autre et le plaisir jaillit en même temps pour les deux amoureux. Il tire les cheveux de son esclave qui baisse la ceinture de son seigneur et sort son sexe déjà raide quelle s’empresse d’avaler. Les bras de l’homme enserrent le torse de la duchesse sans cesser de l’embrasser. Ses mains descendent vers ses reins puis ses doigts remontent lentement au centre. Il appuie doucement sur chaque petite bosse osseuse dans un léger mouvement rotatif, de chaque côté de la colonne. Blanche sent un courant la parcourir. Immobilisée par les bras puissants elle ne peut bouger et subit cette jouissance passivement. Arrivés en haut du dos les doigts se déplient et vont masser les omoplates avec des petits cercles. Le corps de Dame Blanche se tortille sous les vagues de plaisir, ses pupilles se dilatent et son souffle se fait plus rapide. Elle atteint un orgasme très rapidement, et ce premier est suivi d’une cascade d’autres. Le duc jubile. Son sexe sucé par Babette lui fait presque mal tant il retient son plaisir. Il connaît son épouse et sait qu’il doit se garder pour elle s’il veut vraiment la conduire au sommet. Très habilement il remonte robe et jupon sur la banquette. Dame Blanche l’aide en se soulevant un peu. Puis il repousse Babette, se redresse et pénètre sa femme d’un grand coup. Après quelques va-et-vient profond il jouit très vite. Son esclave glisse sa bouche sur le sexe plein de sperme ducal et à petits coups de langue le recueille. Le duc embrasse encore sa femme en la caressant dans les moindres recoins de sa peau. La langue de Babette se faufile dans l’intimité du petit trou avant qui dégouline d’un mélange équilibré de sperme et de cyprine. Elle mordille le petit bout de chair gonflé de plaisir, l’aspire et le relâche. Son nez souffle sur le mont de Vénus et ses doigts explorent la cavité arrière de sa maîtresse, ils forcent un peu l’anus de Dame Blanche qui , malgré la bouche de son seigneur sur la sienne , arrive à émettre des sons de plaisir. Les orgasmes se succèdent et le duc sent son sexe se redresser, alors la petite esclave s’en saisit et le pompe avidement. Elle avale le foutre qui en jaillit et sent sa grotte s’inonder de plaisir puis elle retourne s’occuper du sexe féminin qui semble haleter.
Apres ces instants de plaisir partagé, le duc tape sur le côté de l’habitacle et la voiture s’arrête. Il sort prestement et se hisse à côté de Jannot qui lui tend les rênes. La voiture redémarre vivement dans une secousse qui le fait éclater d’un rire joyeux.
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Je suis désolée pour les éventuelles fautes, .. je ne suis pas relue... J'étais en selle.
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ll posa sa main sur ma cuisse.
- Je suis si heureux de t’emmener en sortie.
Il agrippa ma cuisse puis remonter sa main sur ma chatte pour la pincer.
- Hum tu mouilles déjà, petite coquine que tu es.
Je souris avec ce regard intense qui en disait long.
- Je t’emmène dans un endroit que tu vas apprécier. Je sais que tu aimes les animaux.
- Vous savez toujours me faire plaisir je me réjouis. Un indice sur le lieu.
- Eh bien, tu pourras faire une belle promenade avec eux..
- Je ne vois vraiment pas.
Il mit le clignotant pour prendre une toute petite route . Nous arrivions vers un sublime lieu. Un petit château que j’en perdais mes mots.
- Waouh comme c’est magnifique.
- Ca l’est. J’ai trouvé le bon moment pour t’emmener ici. C’est un lieu qui est dédié aux jeux. Le propriétaire est une connaissance qui peut mettre à disposition certaines parties pour s’adonner aux sévices les plus…
Il ne termina pas sa phrase. Je trépignais de découvrir ce lieu.
A son habitude, il avait toujours cette galanterie à me traiter comme une princesse ( qu’il adorait ensuite dépravée comme il se doit bien sûr). Il m’ouvrit la porte.
L’entrée se faisait par une porte sompteuse en bois sculpté où une tête de lion tenait un heurtoir.
La porte s’ouvrit.
- Bienvenu cher Monsieur.
Un homme d’une cinquantaine d’année ouvrit la porte. Il était relativement petit et simple.
- Monsieur S. J’ai une réservation pour cette après midi.
- Ah oui, je vois. L’autre convive est déjà arrivé. Je vous demande de mettre vos téléphones dans cette boite. Nous souhaitons une discrétion totale sur notre lieu. Nous mettons à votre disposition tout le nécessaire pour la protection des éventuels accessoires que vous souhaiterez utiliser.
- Oui bien sur, cela va de soi. Je vous remercie pour votre agréable accueil cher Monsieur.
Je le regardais dans les yeux.
- L’autre convive ?
- Tu n’as pas besoin d’en savoir plus, juste à te taire à partir de maintenant et écouter. Tu vas passer j’en suis certain un agréable moment ma petite chienne dit il en me tenant par les fesses.
- Par ici, cher Monsieur. L’homme lui indiqua le chemin vers une petite pièce pour déposer nos affaires.
- Parfait.
Monsieur s’entretenait avec l’homme loin de mes oreilles indiscrètes.
- Allez viens, faisons un tour. Le parc a l’air superbe.
- Oh oui j’adore merci Monsieur.
Il me prit par la main et nous faisons un tour dans le parc de ce sublime château. Non loin je vis une dépendance. Nous nous dirigions vers elle.
Une écurie. Il me dirigea vers elle. En voyant le premier box, je ne pue m’empêcher de caresser le premier cheval.. il y avait une rangée de 6/7 box.
En passant au troisième, je vis ce dernier bien différent des autres.
- Entre.
Je le regardais, surprise.
C’est là qu’il décrocha des bracelets pour ensuite me lier les mains.. Puis il me les attacha à un système de poulie me les faisant remonter au dessus de ma tête. J’étais presque sur la pointe des pieds.
Il s’était mis derrière moi me tenant par le cou, me le faisant basculer en arrière.
- Hum.. ma douce petite pouliche. Je crois que tu n’auras plus besoin de tes vêtements.
Il tira sur la fermeture éclaire arrière de ma robe bustier. Elle tomba au sol.
Il s’amusait à me faire tournoyer tout en me claqua bien les fesses. Sans aucun ménagement il descendit ma culotte et la laisser à mes chevilles.
- Commençons ton débourrage ma petite pouliche.
Je souriais jusqu’au moment où je le vis avec un long fouet. Il vit mes yeux grandir en me le passant devant les yeux. Je me débattais. Je criais, je ne voulais pas de ça. Mes jambes tentaient une évasion impossible.
Soudain j’entendis le son du fouet claquer dans le vide. Je sursautais. Puis une seconde… et une troisième. Il me saisit par les cheveux en les tirant en arrière.
- Tout doux ma belle… Crois tu que j’allais te fouetter malgré mon envie terrible de te marquer.. Mais j’aime te voir sursauter sur le fil. Le son du fouet éveille les sens. A réveiller les tensions nerveuses. Maintenant je sais que j’ai toute ton attention.
Ma respiration était forte.
- Oh Monsieur, bonjour !
La voix d’une femme, celle de Madame X.
- Bonjour à vous Madame X.
- Je suis ravie que nous nous retrouvions dans ce lieu plein de vices. Je vois que votre pouliche est presque prête à se faire débourrer. Mon étalon lui est fin prêt.
Elle était habillée en tenue de cavalière. Elle avait un pantalon, des bottes, une cravache. Elle était très belle ainsi. Elle tenait un homme avec une longue. IL était habillée avec un pantalon noir moulant et par le haut un harnais en cuir mettant en avant son torse complètement épilée. Au niveau de son sexe, un gode ceinture avait été rajouté. Il était énorme.
- Je connais votre expérience en matière d’éducation d’équidés. Je vous laisse vous occuper de cette jeune pouliche. Elle n’a bien sur jamais été monter.
Elle pénétra dans le box. Elle attacha son soumis à un anneau. Il était à quatre pattes. Je voyais que ce gode qui le membrait comme un étalon. Elle l’avait mis également une queue de cheval ainsi que des mords.
Elle lui caressa le dos et lui tapota le cul en partant.
- Sage !
Elle se dirigea vers moi avec un sourire très vicieux.
- Regardons cette belle pouliche. Tu m’avais manqué. J’ai fait part à mon propriétaire de toutes mes envies à ton sujet. Je lui ai dis que mon étalon recherchait une pouliche. Faisons toi belle pour lui…
Elle me caressa avec sa cravache pour me faire redresser la tête. Elle parcourra ensuite mon corps.
- Ecarte tes jambes.
Elle frotta la cravache sur ma chatte puis y donner un coup. Je ne pue m’empêcher de les refermer.
Elle commença ensuite à bien me cravacher sur le corps un peu partout. J’étais en train de danser sous ses coups.
Soudain, elle s’était mise face à moi et avais pris les tétons. Elle les pressa tout en les tira à elle. Naturellement j’avançais vers elle.. Je couinais doucement..
- Allons te parer.
Elle me mit un gode dans la bouche.
- Humidifie ça bien.
- Mieux que ça !!
Elle l’enfonça bien au fond de ma gorge.
- Cambre ta croupe.
J’essayais tant bien que mal de me cambrer.
- Monsieur, pourriez vous écarter les fesses de votre pouliche.
- Mais avec plaisir Madame X.
Il écartait mon cul sans aucun ménagement. Elle introduisait alors le gode dans mon cul. Une queue de cheval bien fournie en sortait.
- Tu es très belle ainsi Lane.
Elle avait apporté un harnais splendide. Elle me le fit passer par la tête. Les lanières en cuir faisait ressortir mes seins. Il y avait différents anneaux d’où partaient des lanières mettant en avant le corps. ?
Elle passa ensuite le harnais au niveau de mon sexe. La lanière était réglable et se divisait en deux parties. Mes lèvres lisses étaient alors encerclées. Le harnais devait se fermer par l’arrière.
Elle passa alors la queue de cheval ce qui le fit se relever. Puis avec délectation, elle s’amusa à bien relever le tout pour augmenter la tension au niveau de mon sexe et de mon petit cul.
- Hum, elle pourra bientôt concourir pour le prix élégance mon cher..
- Oui, je crois..en effet.
Elle me tira les cheveux en arrière puis me mis un mors dans la bouche.
- Tout doux.. tout doux.
- Les pouliches n’aiment pas qu’on leur mette des mords et bien ajuster ensuite ton licole.. Il faudra bien le serré sinon elles s’amusent parfois à l’enlever.
Elle le serra en effet bien fermement.. Il y avait de part et d’autres des anneaux. Une seconde partie au mort était une lanière passant autours de mon front et au niveau de mes yeux des œillères.
- Voilà faisons passer sa crinière par là. Voilà je peux le fermer. Reste ensuite le collier de maintien. Voilà..
Elle s’éloigna satisfaite. Mon maitre me sourit.
Elle tata l’enjambe de son soumis.
- Hum alors on est excité. Oh ca bande bien. Puis elle le cravacha. Tu as envie de monter cette pouliche hein ?
Il hénissait comme pour montrer son intérêt.
Nous allons pouvoir l’emmener au manège. Ah j’oublais de quoi faire marcher notre pouliche.
- Monsieur, je vous prie de la détacher.
- Allez met ces chaussures.
Il s’agissait de cuissardes vernies noires.
- Je vais vous montrer comment on dresse. Vous pourrez ainsi répéter ces mouvements régulièrement pour la préparer à un concours.
Elle me sangla les bras dans le dos ainsi que les poignets.
Il me saisit par le licole. Je ne pouvais plus parler. Elle avait pris son soumis également par le licole. Il marchait droit. Il était relativement grand. Je dirais 1m85, pas trop fin. On devinait qu’il prenait soin de lui. Je ne pouvais voir son visage qui était cagoulé.
Nous arrivions dans la manège.
Elle nous attachons son soumis et moi à une longue . Elle tenait dans sa main un fouet léger destiné au dressage des cheveux.
Elle nous ordonna de marcher en levant bien les jambes.
- Je vous veux coordonner. Aller en avant.
- C’est bien.. continuez…
Elle s’amusait à donner des coups en l’air avec sa perche.
- Maintenant au trot allez..
Elle fouetta mes fesses.. Elle faisait ce petit son de bouche qu’on fait quand on voit les chevaux ou qu’on veut les faires avancer.
Son soumis lui ne suivait pas trop le mouvement. Elle le fouetta avec une telle force qu’il se mit bien au trop comme il le fallait.
Nous faisions plusieurs exercices pour travailler à notre démarche. J’apercevais mon maitre assis en train d’observer mon dressage.
- Lane, plus de grâce.
- Voilà c’est bien.
Elle tira sur les longes pour les raccourir et nous rapprocher.
- Allez suivez-moi.. il faut vous trouver la bonne selle.
Nous nous dirigions vers une salle de donjon revisitée avec un univers équestre. Sur le mur était accrochée des selles décoratives. Ca sentait le cuir. Au mur était accrochait plusieurs martinets, des fouets et autres ustensiles. Au milieu de cette place deux chevalets, destiné à y mettre des selles ou ce que vous voulez bien imaginer. Ici on pouvait s’autoriser toute
fantaisie. On voyait également des anneaux au sol. Des chaines , des barres d’écartements.
C’était un réel paradis que d’avoir l’honneur d’être dans un lieu comme celui-ci.
Il y avait un banc relativement haut. Elle ordonna a son soumis de s’y allonger sur le dos.
- Je vais faire de toi une jolie licorne. Je suis certaine que tu vas apprécier. Un animal si rare.
- Merci Maitresse essaya t il de dire.
Elle enleva son mords et lui mis un baillon avec une queue dessus.
Elle me fixa alors des rennes à mon baillon au niveau des anneaux.
- Toi, viens ici. Empale toi dessus.
Elle me tira et me forca a bien m’empaler.
- Baise toi allez.
Je ne pouvais pas parler, je bavais doucement. Elle s’amusait à cravacher les couilles de son soumis pendant ce temps là..
- Allez à quatre pattes Pouliche.
Elle sorta le mors de ma bouche.
- Prends le sexe dans la bouche.
Elle me tendit alors le gode relativement volumineux afin que je le prenne en bouche.
Elle m’empoigna par les cheveux et me força a bien le prendre..
- Allez applique toi, mouille le bien.
J’avais du mal tellement il était gros. Elle releva alors ma queue de cheval au niveau de mes fesses et me cravacha à mon tour.
- Encercle la bien fort avec tes pattes ma licorne et baise lui bien sa chatte avec ton dard.
- Il va te montrer comment on baise bien. C’est un excellent étalon. Putain mais applique toi avec ce gode. T’es qu’une pétasse.
Elle me maintenait la tête dessus. Je bavais à presque ne plus respirer ensuite. Elle me releva ; Je sentais la licorne me pilonner avec sa bouche. Il me maintenait bien fermement.
Madame releva a nouveau ma queue de cheval et écarta mon fessier.
- Allez active toi ma licorne.. Hummm cette pouliche remplit par le cul et par chatte.. un gode dans la bouche… T’es une bonne petite putain dit elle en me tapotant bravement sur les fesses.
- Suffit Licorne.
Elle me redressa par les cheveux et tant bien que m’avança vers la queue de l’étalon.
- Tourne toi.
Elle tena le gode dans sa main. Allez.. Dans ta chatte.
Je faisais les gros yeux.
- Je ne te demande pas ton avis.
Elle avait saisi un martinet. J’obtempérais. Avec mon gode dans le cul, il m’était difficile de mettre ce gode dans la chatte. Il m’écartelait.
Elle écarta bien mon entrecuisse.
- Tu vois ça rentre.
Elle me gifla et me remis le mords en bouche.
- Allez chevauche
Elle retira le gode du soumis.
- Sors ta langue Licorne.
- Lèche, nettoie ta maitresse.
Elle saisit alors les rennes pour me rapprocher d’elle. Elle me gifla les seins, elle les pinçait.
- Leche mieux que ça Licorne si tu veux une belle récompense.
J’entendais sa langue laper le sexe et le cul de Madame. Elle bougeait son bassin de manière à se faire plaisir.
- Suffit…
Elle redescendit.
- Range ta langue. Plus bougé.
Elle m’aida à descendre et me fit mettre à quatre pattes.
- Bon choisissons la bonne selle.
Elle fit mine de réfléchir.. Ah voila..
Elle prit alors une selle qui était accrochée au mur et la posa sur mon dos et la sangla. Je sentais les étrier tomber de coté.
- Alors Monsieur, comment trouvez vous votre pouliche ? elle s’est déjà fait fourré sans trop objecter et là, elle accepte la selle sans rechigner..
- Humm.. cela donne envie de se saisir des rennes et de bien la chevaucher. Mais je vous en prie, c’est vous l’éducatrice. Je vous laisse le soin de vous en occuper.
- Je vous remercie cher Monsieur. Avec un tel spécimen croyez moi, je m’en occupe avec douceur et fermeté.
Elle grimpa alors sur la selle, prit les rennes en main.
- Allez hum.. avance..
Elle fit mine de me chevaucher avec ma selle. J’avançais alors à quatre pattes, elle sur mon dos.
- Stop ! Reste bien comme ça, bien cambrer.
Elle saisit son soumis par le licole. Elle fit de même avec lui. Une bonne selle également pour lui.
Elle se promena avec lui le chevauchant sans aucun état d’ame et le cravachant si fortement. Il semblait avoir besoin d’une grande discipline. Quand il arrivait à ma hauteur elle descendit de sa selle.
- Oh mais regarde qui nous retrouvons… Va y sens la.
Il venait alors vers moi pour me sentir de partout, il se frottait contre moi.
- Je vais vous laisser. Toi Galope bien sa chatte. Je veux l’entendre bien hennir. Ne lui accorde aucun répit. Tu as le droit de la maltraiter si besoin.
Elle se retira et alla s’asseoir à coté de mon Maitre.
- Il est toujours plaisant de voir comment les animaux baisent entre eux dit elle à Monsieur.
- Allez Lane, Cambre toi bien, me dit mon Maitre avec une voix rieuse.
Je sentis alors le soumis commencer à mettre le gode dans ma chatte. Il l’enfonçait doucement puis le retirer doucement. Il écartait bien mes fesses pour j’imagine regarder comme il rentrait dedans. Puis soudainement il m’agrippa par les seins et me chevaucha si fortement.
- Allez prend les rennes, bien au fond je t’ai dit !
Il prit alors les rennes pour me cambrer. Je bavais. Je le sentais si fermement dans ma chatte… Il y avait une telle frénésie.
- Lane, fais toi bien baiser comme une bonne pouliche. J’aime te regarder te faire prendre ainsi. Une pouliche de compétition..
Il s’était approché de moi.. Il me caressait le dos, comme pour me rassurer. Il prit alors mon sein droit dans ses mains..
- Hum regarde comme il valse au rythme de ta cavalcade..
Il s’approcha alors de mon cul. Le soumis se stoppa. Il retira alors le gode de mon cul.
- Leche son cul dit sa Maitresse.
Mon Maitre écarta mes fesses et ne ratait pas une miette de ce soumis en train de me lécher le cul.
- Je t’autorise à la pénétrer avec ta langue et à te nourrir de sa cyprine. Vu comme elle bave. Ce sera ta récompense.
Je sentais sa langue rentrer doucement dans mon anus. IL se délectait. Il me bouffait littéralement la chatte et le cul.
- Hum, c’est un excelllent nettoyeur ma chère. Il la lave correctement.
- Oui en effet c’est un bon nettoyeur et un excellent cireur de pompe. Vous savez combien j’aime l’hygiène et la propreté.
- Voyez ce que ça donne deux chevaux qui se retrouvent.. intenable.. ils ne pensent qu’à baiser.
- Continuons à profiter de ce spectacle.
- J’aime quand ma pouliche exhibe ses attribus. Je pense qu’il faudrait travailler sa chatte et son fion davantage pour accueillir au mieux la queue de votre étalon.
- Oui je conviens. Elle avait du mal tout à l’heure.
- Suffit maintenant.
Elle écarta l’étalon de mon cul. Elle nous enleva la selle.
Elle retira alors le code ceinture de son soumis et ouvrit la braguette. Elle le branla doucement.
JE voyais les yeux du soumis s’égarer avec cette caresse. Tu as bien mérité ta récompense. Elle va aussi te nettoyer…
Elle me releva et me mit le ventre contre le chevalet. Elle m’attacha les chevilles avec les anneaux au sol tout comme mes poignets. Elle attacha ensuite ma queue de cheval a ma taille.
Ma bouche était ainsi bien maintenu relevé.
- Ouvre ta bouche, sors la langue..
Elle inspecta l’intérieur de ma bouche.
- Viens là toi.
- Mets ta queue dans sa bouche.
- Allez baise moi sa bouche. Tu peux lui faire ce qu’il te plait.
IL mit alors sa main au niveau de ma gorge. Avec mes oeilleres, j’avais une vue imprenable sur ses couilles et queue. Il avait un sexe d’une si grande taille.
Il m’enfourna puis saisit les rennes et les ramenait vers lui pour me donner le rythme.. Je l’entendais râler de plaisir.
Quand je sentis les doigts de Madame pénétrer mon petit fion, je fondis de bonheur. C’était si.. intense. Elle y metta deux doigts de chaque mains pour écarter mon fion.
Mon maître s’était rapproché.
- Lane, tu n’es pas encore assez ouverte…
Il me morda la fesse et inséra un doigt entre les doigts de Madame.
- Oh j’ai une idée Monsieur.. si nous la doigtions ensemble ?
Elle décida de s’occuper alors de ma petite chatte. D’abord elle la lécha..
- Hum quelle cyprine délicieuse. Je suis sure que mon étalon l’a bien apprécié.
Avec son savoir faire elle me caressait tout en commençant à me pénéter la chatte. Elle faisait des mouvement circulaires..
- Tu es déjà bien ouverte petite pute. Elle tournoyait doucement.
Mon maitre observait Madame qui allait probablement me fister la chatte.
- HUmmm… Quatre doigts.. petite gourmande…. Comme tu mouilles…
- Bite en bouche dit elle… ne bouge plus.
C’est là qu’elle commença à me fister. Elle commençait à bien enfoncer sa main et à me marteller la chatte. Je sentais la queue pénétrer jusqu’à ma gorge. J’avais tant de mal à me contenir. Je voulais me défaire de cette queue.
- Laisse la respirer et replonge à nouveau sans bouger.
- Tu n’as pas intérêt à le mordre.
Elle s’était redressé et me baiser avec son petit poing dans ma chatte.
- Prends bien ça dans ta putain de chatte de salope
Elle faisait des va et vient si fort..
Je sentis alors mon maitre me mettre des doigts dans mon cul. Je n’aurai pu dire combien. Je me sentais comme cette jument qui est fatiguée après une longue chevauchée.
Quand elle ressortit son poing, je pleurais. Je ne savais même pas pourquoi.
- Arrête de sucer maintenant.
- Détache là dit elle au soumis.
Le soumis me détacha.
- Retourne toi. Allez plus vite.. C’est bien de prendre son plaisir pour se faire baiser mais un peu d’écoute serait la meilleure des reconnaissances.
Elle me tira par les cheveux.
- Ecarte des cuisses.
J’étais a moitié allongée sur le chevalet. Mon maitre était derrière moi. Il ne tenait dans ses bras. Il me mordait le cou.
- Hum j’espère que tu prends du plaisir ma belle. Tu es si belle ainsi.
- Toi mets toi à genou.
Il s’était mis à genou.
- Ouvre ta gueule et sors ta langue.
Elle prit possession alors de ma chatte et avec un doigté merveilleux me rendait complètement folle.
Mon maitre me baillonna la bouche de sa main tout en pressant contre lui avec son bras plié autours de mon cou.
- Allez jute petite salope. Tiens.. regarde moi ça…
- Regarde comme tu gicles ma petite pute.
Tout mon corps tremblait. J’avais des spasmes. Le soumis ne perdit aucune goutte de ma jouissance.
Allez leche bien le sol, je ne veux pas que tu laisses le nectar perdu.
- Oh merci Maitresse…
- Tu le mérites tu as été bien sage.
- Allons remettre la pouliche au box.
Mon maitre me prit alors par la longue tout en me caressant le dos. Madame était si stricte.
- Petite ingrate, tu as pris du plaisir, sans que mon étalon ne puisse lui en prendre.
Elle me jeta alors dans le box. Elle enleva alors mon harnais. J’étais complètement nue. Elle me prit par la gueule et me jeta sur le ventre au sol sur la paille.
- Etalon, je te laisse cette pouliche. Tu peux en faire ce que tu veux durant 10 Min.
- Oh merci Maitresse pour ce présent.
- Je te laisse avec ta queue de cheval qui te gode si bien ton fion.
Il s’était mis à ses pieds pour les embrasser.
- C’est bon arrête.
Elle le rejeta à coup de cravache. Elle posa son pied sur mon dos.
- Tu la prendras uniquement par le cul ou la bouche. Sa chatte est bien sensible maintenant.
Ils sortaient tous les deux du box et le refermait. Ils étaient là à observer.
- Oh regardez mon cher. L’étalon semble vouloir prendre la pouliche.
- On dirait qu’elle n’est pas d’accord.
Je me débattais mais le soumis me pris les mais dans le dos. Il les attacha. IIl se saissit d’une sangle accrochée et la passa sous ma taille.
L écarta mon cul et y glissa sa queue. Il s’empara de la sangle de sa coté. Il réhaussa ainsi mon cul.
Il ne me parlait pas, je sentais juste son souffle d’étalon en chaleur.
Il me martelait fortement le fion.. Il avait une telle endurance. Il ne tenue pas longtemps.
Il éjacula sur mes fesses.
Il se releva. Je le vis aller vers l’entrée du box à quatre box.
- Releve toi.
- Hum tu l’as bien baisé..
- Lane, tu es une sacrée pouliche. Je pense que dans le monde équestre, tu vas faire une entrée fracassante. Trouver des étalons à ta hauteur.. Mais il y a encore du travail…
Il me laissa ainsi dans la paille. Je sentis des personnes passées pour me regarder étendue nue dans le box.
- Est elle à disposition ?
- Non elle ne l’est pas pour le moment.
- Ah vous en êtes le propriétaire ?
- Oui en effet.
- Pourriez nous avoir vos coordonnées, j’organise prochainement un concours..
- Avec plaisir…
Il revint me chercher au bout d’un moment. J’étais si fatiguée, si écartelée…
Je remis ma robe avec bien des difficultés, mes bras endoloris. Chatte à l’air et salie par ce sperme sur mes fesses.
- Demain, nous reprendrons ces exercices. Nous allons avoir un concours à préparer…
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La sodomie, étonnant à quel point cette pratique présente depuis la nuit des temps dans l'histoire
de l’homme, laisse encore à l’heure de l’hypersexualisation, planer un voile de mystère sur elle.
Sans doute, à cause des nombreuses idées reçues à connotation négative: avilissante, violente,
douloureuse, ou encore sale, elle ne tentait que peu de couples. Aujourd'hui, le coït anal est en
voie de démystification. Il intrigue, il excite, il repousse et dégoûte, de moins en moins; dans tous
les cas, la sodomie laisse rarement indifférent. Fantasme récurrent chez l'homme, pratique prisée
par de plus en plus de femmes, la pénétration anale n'est plus taboue. Aucune pratique n’est
dégradante en soi: des corps interagissent, c’est tout. On peut avoir l’intention de dégrader sans
passer par la sodomie. Quand on connaît sa ou son partenaire, il est facile de savoir si l'anal est
utilisé pour humilier, ou au contraire procurer un plaisir sexuel intense. La pénétration anale peut
alors devenir un moment de partage égalitaire et de complicité extatique. Elle est ce que nous en
faisons, ce que nous y projetons, en conciliant consentement, échange mutuel et hygiène.
Plus les couples sont épanouis sexuellement, plus ils considèrent le corps de leur partenaire comme sacré et
sensuel dans son ensemble. Certains ont appelé cela l’âge d’or sexuel. Chaque partie du corps devient alors
source de volupté, rendue érogène par le partage et le désir mutuel. Pourquoi dès lors ignorer la région anale ?
Il s’avère que cette dernière est pourvue de très nombreuses terminaisons nerveuses. Pour les hommes, la prostate
toute proche joue un rôle dans la capacité à obtenir des orgasmes souvent ressentis comme étant plus forts, plus
puissants. Pour les femmes, la région vaginale peut aussi se retrouver stimulée de manière indirecte lors d’une
pénétration anale. Outre la charge émotive et érotique particulière liée à la pratique, le partenaire peut aussi en
profiter pour stimuler le vagin et/ou le clitoris qui se trouvent entièrement dégagés. Certaines femmes ressentent
également de véritables orgasmes anaux, qu’elles décrivent généralement comme particulièrement puissants.
Dès l'antiquité, la sodomie était bien présente mais relevait chez les Grecs d'un moyen très codifié d'assurer
l'éducation d'adolescents mâles. Rappelons qu'un individu n’avait pas de "sexualité", il se livrait à des pratiques.
En Grèce, on parlait des "aphrodisia", qui relèvait du "domaine d’Aphrodite", mais simplement pour se référer aux
choses du sexe et non à un ensemble de discours qui aurait formé un champ de sexualité.
L’idée de relation sexuelle où les partenaires étaient égaux, où une pratique pouvait être le fait de l’un ou de l'autre
partenaire, n’existait pas. Par ailleurs, il n’existait pas non plus de pratique bonne ou mauvaise, louable ou condamnable
en soi, comme ce fut le cas, un temps, de la sodomie, entendue au sens de pénétration anale. Dès lors, il n'est pas
étonnant que les Grecs n’aient pas élaboré ni construit une catégorie hétérosexualité. Dans la majorité des cas, ils étaient
bisexuels. Mais cette norme était beaucoup plus admise pour le sexe masculin que féminin. Dans le milieu aristocratique
de la Grèce archaïque, les hommes vivaient la pédérastie, tout en étant hétérosexuels, dans le cadre du mariage.
Malgré la tolérance des peuples germaniques, les lois barbares du Haut Moyen Âge ne font aucune référence à la
sodomie; dans la société chrétienne du Moyen Âge et jusqu'à la fin de l'Ancien Régime, elle entraîne la peine de mort
dans la plupart des États européens. Au VI ème siècle, de crime contre la dignité, elle devient un crime contre l'ordre
naturel défini par Dieu et pouvant mener jusqu'au bûcher. Durant tout le Moyen Âge, elle est considérée comme une
hérésie, et est combattue, notamment par l'Inquisition, sous le nom de "bougrerie."
De nombreux personnages historiques, monarques, princes et ducs en France et à l’étranger furent à tort ou à raison
soupçonnés d’être sodomites comme Henri III et ses mignons, Louis XIII et le Régent pour n'en citer que quelques uns.
Au siècle des Lumières, Montesquieu, puis Voltaire et Cesare Beccaria se sont interrogés sur la sévérité de la peine
mais ne semblent pas avoir contesté un caractère anormal à cette pratique. En Angleterre, Jeremy Bentham, dans son
"Essai sur la pédérastie", qui parut à titre posthume, suit une argumentation utilitariste et défend une dépénalisation
de la pédérastie en général et de la sodomie en particulier.
L’abolition du crime de sodomie en 1791 résulte d’un long processus social et répressif. D’abord, on observe un
glissement dans la définition de sodomie, qui vers la fin du XVIII ème siècle désigne globalement l’homosexuel masculin.
D'autre part, on observe au cours de cette période une mutation des discours sur les pratiques sexuelles et affectives.
Celles-ci sont analysées dans le cadre d’un débat sur la nature. De même, l’apparition de la sodomie masculine dans la
littérature licencieuse semble bien avoir pour motivation de distinguer des plaisirs ressentis particuliers. D’autre part, le
crime de sodomie est très rarement appliqué: pour sodomie pure, la dernière fois en 1750.
La répression policière prend le dessus, dans un contexte de visibilité des subcultures sodomites. Finalement l’abolition du
du crime de sodomie en 1791 consacre une évolution faisant passer la sodomie d’un acte interdit à un personnage blâmé.
En 1791, la France est le premier pays à dépénaliser complètement l'homosexualité, l’Assemblée constituante de 1789 ne
retenant pas le "crime de sodomie" dans le code pénal. La peine de mort pour sodomie est remplacée par les travaux forcés
en Autriche en 1787 et en Pennsylvanie en 1786. Elle est décriminalisée en 1962 dans l'Illinois; en 1967 au Royaume-Uni,
enfin en 1969, en Allemagne de l'Ouest.
Pourquoi l’attirance pour l’anal est-elle mal jugée et courante à la fois ? L’équation est simple, le tabou représente l'interdit.
Dès lors, quoi de plus excitant que de transgresser un interdit ? Pour beaucoup d’hommes, sodomiser, c’est très souvent un
symbole de puissance phallique. C’est être puissant, fort, et surtout, faire quelque chose que tout le monde ne fait pas. C'est
excitant et crée une complicité avec la partenaire. De la même manière, en sens inverse, pour d'autres, c'est un bon moyen
de stimuler la prostate et d'atteindre un orgasme. Ce n'est pas forcément l’homme qui pénètre, et on ne parle pas toujours
de sodomie. Cela signifie que la plupart de nos réticences sont fondées sur une mauvaise image, à force de répéter que
l’anal est sale et dangereux, on finit par y croire.
Lorsqu'il s'agit d'une pratique sexuelle inédite pour l'un des partenaires, l'autre peut échanger sur sa propre expérience.
Lorsqu'aucun des deux amants ne s'y est jamais essayé, ils peuvent en parler ensemble. En tout état de cause, il est
déconseillé d'initier une sodomie sans en avoir parlé au préalable. En communiquant sur la pénétration anale, l'homme et
la femme, ou l'homme et l'homme démystifient le sujet en mettant des mots sur ce tabou. Si certains restent hermétiques
au coït anal, d'autres au contraire peuvent s'y laisser aller plus facilement.
Pour une première fois, il est utile de commencer par des préliminaires bien choisis. La zone anale reste intime et sensible,
il est donc important de la ménager. Le massage de l'anus peut représenter une bonne entrée en matière, dans la mesure
où cette zone du corps très innervée, bien stimulée, peut être à l'origine d'un plaisir sexuel incitateur. Cette étape permet en
outre de dilater l'anus pour faciliter la pénétration qui s'en suit. La femme peut aussi stimuler la prostate de son partenaire:
en partageant l'expérience de pénétration anale, les amants se retrouvent sur un pied d'égalité qui favorise éventuellement
le coït anal qui s'en suit. Les plus audacieux tentent aussi l'anulingus, également source d'extase lorsqu'il est réalisé dans
de bonnes conditions d'hygiène.
Les préliminaires exécutés, le couple peut entrer dans le vif du sujet. Mais pour une bonne première expérience, et la
possibilité de la réitérer, les partenaires doivent se préparer en amont. Pour pallier aux obstacles d'ordre hygiénique, il est
important de se laver avant, du moins de passer aux toilettes. Une fois la zone propre, pas de risque de débordement et
donc de honte. Utiliser des préservatifs sur les pénis, doigts et outillages peut limiter initialement aussi l’angoisse. Pour
que les choses soient faites dans les règles de l’art, un lavement préalable est idéal. Ne jamais passer de l’anus au vagin.
Si le danger de la sodomie non protégée ne réside pas dans une grossesse non désirée, il existe néanmoins: le rectum
véhicule des bactéries qui peuvent être sources d'infections. D'autre part, les MST se transmettent par coït anal. Dans
ces conditions, il est utile de porter un préservatif lors de la pénétration anale.
Dans tous les cas, la sodomie demande un peu de douceur, de patience ou tout au moins du tact. En effet, l’anus est un
sphincter qui n’a pas pour but premier d’accueillir un pénis en mouvement. Naturellement, cet orifice fait en sorte de retenir
ce qu’il contient car sinon, ce serait l’incontinence. Si on brusque le passage, ça peut être extrêmement douloureux. De
plus, la sensation n’est pas agréable pour tous, surtout quand on reste dans la partie inférieure de la cavité anale, qui est
particulièrement innervée. Dans cette optique, il paraît de toute façon indispensable d'utiliser un lubrifiant.
Dans les faits, comment maximiser vos chances de réussir une sodomie ? On ne le répètera jamais assez mais en matière
de sexualité, l’envie et le partage sont primordiaux. Rien ne sert de tenter l’approche si votre partenaire est contre. Cette
pratique demande une vraie détente corporelle si elle se veut agréable et bien vécue. Outre le fait de se mettre dans les
bonnes conditions mentales, les préliminaires sont essentiels. Même dans le cadre d'un jeu SM, où la simulation rituelle
de la violence consentie est le point d'orgue d'une séance entre adultes responsables et majeurs.
Le bienfait de la sodomie va parfois jusqu'à rebooster la libido en berne d'un couple. Parce que le coït anal représente
un fantasme de l'homme ou de la femme, parce que les partenaires sont enfermés dans une routine sexuelle ennuyeuse
ou lorsque le couple ressent le besoin d'aller voir ailleurs pour explorer de nouvelles voies du plaisir, la pénétration anale
peut venir au secours des amants pour un renouveau bénéfique, engendrant parfois des orgasmes encore plus puissants.
La pénétration anale peut relever de l’humiliation ou de la rédemption, du profane ou du sacré, du don ou de l'égoïsme,
de l’amour ou de l'acharnement, du plaisir ou de la douleur. Elle est ce que nous en faisons, ce que nous y projetons.
Justement, parce que nous manquons parfois d'imagination ou de références, pourquoi ne pas créer les nôtres ?
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ils s'agit là bien sur d'une fiction. Je suis navrée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. je suis assise sur mon canapé quand j'ai entendu sonner.
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Il m’avait dit que des amis devaient passer à la maison et que je devais les accueillir. IL venait récupérer un colis qu’il avait chez lui.
J’étais tranquillement posé sur le canapé en mode cocooning. Je profitais de mon après midi cool pour me détendre sur son sofa. J’étais en train d’écrire comme à mon habitude.
La sonnette retentit, me sortant de la tête de mon ordinateur. Je pestais. Quand j’écris tout s’enchaine. Je n’aime pas être stoppé dans mon élan.
C’est là que j’ouvrrai la porte.
- Bonjour Mademoiselle. Je suis l’amie de M.
- Ah oui il m’a dit que vous passeriez. Par contre il ne m’a pas dit où il a laissé le colis.
- Ne vous inquiétez pas, il m’a dit où il était.
- Ah c’est parfait. Je vous en prie entrer.
Sans que je puisse l’apercevoir, je vis un autre homme sur le coté rentré également.
Il avait un style qui me mettait un peu mal à l’aise mais si Monsieur leur faisait confiance.
J’appelais Monsieur. Mais il ne décrocha pas.
Soudainement, pendant que j’étais concentré sur le téléphone, je sentis l’homme m’agripper en me baillonant par la main.
- Tout doux petite chienne. Plus tu te débats, plus que je ferais mal. Est-ce cela que tu veux.
Je hochais de la tête que non.
Il m’attrapa les bras et les mis dans mon dos. Avec une manœuvre de son pied il me fit me mettre au sol.
Son compagnon s’avança et me maintenant le cou avec son pied au sol. J’étais alors à plat ventre ne pouvant réagir.
Je me débattais mais il était bien trop fort. Un des hommes me mit du ruban sur la bouche et l’autre fit de même autours de mes poignets. Puis on me mis une cagoule.
Puis il m’attacha également les cheviles. Je me retrouvais contrainte, à leur disposition. Dans ma tête Je n’avais pas le choix. Je devinais que Monsieur avait préparé quelque chose pour moi. C’est ce que je me disais pour me rassurer.
- Tu as trouve entendais-je ?
- Oui c’est bon, là où il m’a dit.
L’homme me souleva pour me redresser. Il me maintenait ferment pour ne pas que je tombe.
- On va bien s’amuser je crois.
Je ralais à travers mon baillon.
- N’est ce pas trésor. On va bien s’amuser me dit il me pelotant les seins.
L’homme me souleva et je sentis qu’on me mit dans une sorte de coffre. Je sentais au fond de ce coffre une couverture. J’étais ainsi recroquiviller dans cette boite. Puis je sentis un cadenas la refermé. JE hurlais même si je personne ne pouvait m’entendtre. J’essayais de taper contre la boite.
- Calme toi petite salope. Tu n’as pas d’échappatoire. Je te conseille de te calmer.
Au bout de quelques minutes l’homme s’adressa à moi.
- Nous allons te sortir d’ici. Si tu bouges, que tu manifestes ta présence, je te garantis cela va très mal se passer. Vas-tu rester sage ?
Je fis un oui à travers mon baillon.
Je sentis alors la boite se soulever. Pour être mise sur un truc à roulette. Tous les sons était décupler.
J’entendis alors la voisine dire.
- Bonjour Messieurs.
- Bonjour Madame.. bonne journée à vous.
Ils se montraient d’une telle politesse. Nous devions être dans le sous sol du garage. Monsieur avait du leur donner le code. Ce qui me rassurait au fond.
Je compris que la porte d’un van s’ouvrait et qu’on me transportait quelque part.
Je m’étais calmée avec le dent. Mais mon dos me faisait mal tellement j’étais mal installée dans cette boite.
La voiture s’arrêta. La porte s’ouvra et là encore on me traina dans ma boite.
- Mets là là c’est parfait.
On ouvrait le cadenas. On me releva.
- Je vais te détacher. Je vais enlever ta cagoule. Ne tente rien compris ?
Je hochais à nouveau la tête.
Il découpa le ruban.
- Va y ote ta cagoule.
EN otant la cagoule, je vis que j’étais dans une sorte de lieu presque desafecté aménagement en forme de loft garage. Des poutres métalliques et des chaines de partout.
- Tiens bois.
Je pris le verre avec bonheur. Ma gorge s’était assechée.
Un des hommes s’approcha de moi et m’emprisonna de ses bras ;
Il me reniflait
.
- Hum _elle sent si bon.. elle sent la petite fleur de campagne qu’on a envie de cueillir.
- De l’autre, il saisit mon sein et le pressa.
Il me rejeta contre une table. Je me retournais. Je mis mes mains contre la table. Il portait tous un masque. Je ne pouvais pas les distinguer sauf leur regard.
Un des hommes vena vers moi et me bouscula sur la table afin de me mettre sur le dos.
- Tiens moi cette pute.
IL me tenait les mains fermement au dessus de la tête. Il tenait à sa main une paire de ciseau.
C’est là qu’il commença à découper mes vêtements.
Je commençais à crier. L’autre me gifla.
- Bouge pas petite salope.
Sa gifle était si forte que j’étais presque sonné. Les bras maintenus, je n’offrais plus aucune résistance. IL commença à découper mon t shirt.
- Va – coupe ce soutien gorge. Je veux voir ses mamelles de chienne.
IL m’immobilisa la tete en me tenant le menton si fort puis il me lecha la bouche.
- Tu vas être notre petite esclave sexuelle. Allez avoue que cela t’excite..
Il commença à découper mon pantalon.
Mes yeux étais apeurée.
- J’aime voir les petites chiennes apeurées qui après quémande auprès de la main qui les bats davantage. Tu nous en redemanderas.
Il me tapotait le visage.
JE me retrouvais ainsi nue dans cet endroit lugubre à la merci de ces hommes.
L’homme pris mes tétons et les pressa bien fermemant.
Je voulais hurlais.
- Ta gueule pouffiasse.
Il me gifla à plusieurs reprises
L’homme qui me maintenait, je sentais son souffle au niveau de mon cou. Il me dit.
- Je vais prendre un plaisir à te faire fermer ta petite gueule avec ma bite.
- Je te propose qu’on la prenne à tout de rôle histoire de la calmer.
Il m’avait attaché les mains qu’il avait relié au pied de la table.
- Tu vas pouvoir hurler autant que tu veux. Personne ne va t’entendre à part nous.
Il s’approcha et me prit par le cul.
- Oh mais regardez cette putain. Allez prends ça
…
Je sentais chaque coup si fort. Je fermais les yeux…
C’est là que l’autre homme me força a ouvrir les paupières.
- Laissez moi .. je vous en prie laissez moi.
Puis il me mit sa bite dans ma gueule.
- Hum quelle bonne disposition à se faire prendre. Quelle pute. Ferme ta gueule.
IL m’avait pris tous les deux à tours de rôles. Il m’avait aspergé de leur sperme. J’étais écoeurée, salie, souillée.
Un des hommes me releva. Je titubais. Il me prie par les cheveux et me traina au sol. Epuisée par leur abus sexuel, il me déposa comme une poupée dans la boite et referma le couvercle.
Je cogita au traitement qui allait venir. J’entedis alors des sons. Le couvercle s’ouvrait.
Tout en regardant avec mon regard de petite chienne terrifiée, il me caressa le visage avec une certaine douceur. La lumière du néon m’aveuglait. Je clignais des yeux.
- Alors petite chienne de quoi as-tu envie ? on est là pour toi.. tu as le choix.. sodomie, gorge profonde, double pénétrations.. On peut appeler d’autres potes pour faire une tournante. Je suis sûr que tu aimerais ça.
Il s’amusait à taper contre la boite pour augmenter la tension régnante.. Je devinais son sourire sadique et pervers.
IL me sorta de là toujours en me tirant par les cheveux.
SA poigne était si forte que je me soumettais naturellement. Il me tenait en même temps par la gorge.
- Avance..
Il me jeta sur un banc sur le dos. Il plaça ma tête. L’autre surveillait tous les gestes. J’étais relativement dociles Il s’agissait d’un meuble où de chaque coté il y avait des trous destinés à des poignets. Il m’emprisonnait les poignets dedans.. J’étais ainsi bloquée. Allongée sur le dos, la tête légèrement en arrière. Il avait attaché mon cou au meuble afin que je ne bouge pas.
Ensuite, il s’occupa de mes chevilles. Il les attacha pour qu’elles restent bien entière mettant à disposition chacun de mes trous.
Un des hommes vint tout de suite me mettre sa queue dans ma bouche. IL me tenait bien la gorge comme pour m’inciter à m’appliquer. Il s’amusa à butter sa bite contre ma joue.
Je sentis alors l’autre me doigter.
- Je vais te faire juter petite salope. Tu mouilles déjà tellement.
Il passait ses doigts sur ma chatte.
Sans aucun ménagement il inséra plusieurs doigts avec des va et viens si intense . je n’arrivais pas à me retenir. Je râlais face à ce stimuli si intense.
- Oh mas regarder moi ça… mais qu’est ce que tu jutes…
- Ferme lui bien la gueule quitte à y mettre tes couilles dit son ami.
Il prit possession de ma chatte. J’avais mal. Il m’avait déjà pas mal pilonnée avant. Je bougeais comme je pouvais. C’est là qu’il me donna un coup de jus avec son appareil sur le ventre, mais je continuais à me débattre.
Il se retira.
- Ah oui tu veux la jouer comme ça.
- - Garde bien ta queue dans sa bouche.
- - Si jamais tu le mords, je vais te déchirer tellement le cul. Tu ne marcheras pas pendant plusieurs jours.
Je me souvenais de la grosseur de son membre. Au son de sa voix, je savais qu’il ne plaisantait pas.
Il commença à mettre quelques petits coups sur ma chatte. Je ne supportais pas cela. Je faisais attention de ne pas mordre la bite que j’avais dans ma bouche. Il riait.
- Ne bouge pas..
J’essayais d’esquiver cela mais rien n’y faisait. Il riait d’un rire assez sadique.
Puis il repris sa place et me besogna bien profondément. Il éjacula sur ma chatte et s’amusa à l’étaler.
Il me laissa là salie.
Au fil du temps à autre il repassait et me prenait parfois par la bouche, le cul ou la chatte. J’étais entièrement à leur disposition. Je n’avais plus la notion du temps.
J’entendais leur voix se demandant ce qu’il allait faire avec moi.
- Je t’avoue que moi ce qui me fait tripper c’est de voir ses yeux apeurés quand je la baise. J’ai envie de lui détruire son petit cul. Je pense que je vais m’amuser à l’élargir après. Tu veux regarder.
- Ah oui clairement ! elle a l’air sacrément chiennasse.
- Et toi qu’est ce que t’aimerai bien lui faire ?
- Que dirais tu si on la labourait bien ensemble ?
- Ah oui excellente idée..
- SI on appelait M et D.. Je suis certain qu’il aimerait profiter d’une si bonne chienne.
Je le vis sortir son téléphone.
- Eh Salut M. Que fais tu de beau ? J’ai une super proposition à te faire. J’ai une bonne chiennasse qui a envie de bien se faire baiser . Ca te tente ?
La conversation dura quelques minutes.
Je me demandais ce qu’il allait faire de moi. J’avais envie que Monsieur soit là. Je commençais tout doucement à pleurer.
- Salut D. Ca te dit de venir baiser ? j’ai pour toi une bonne petite chienne. Si tu voyais son petit cul..
Il se rapprocha de moi. Il se mit à ma hauteur.
- Oh pas besoin de pleurer petite chienne. On va te donner plein de bonheur. Sache qu’on va être 4 à s’occuper de toi. Quelle femme n’aimerait pas ça..
Il mima alors avec son bassin un mouvement de va et vient pour me montrer ce qui allait m’attendre.
Il me libéra alors de ce meuble. Il m’attacha les poignets bien fermement et m’enchaina le cou. Puis il me dirigea vers le fond de la pièce. Je vis un vieux matelas. Il me jeta dessus. Puis attacha la chaine au mur.
Il me recouvra la tête avec une toile de jute.
- Hey Salut M.. salut D.. ravis que vous soyez à notre petite sauterie.
- Nous ne pouvions que dire oui..
- Viens je vais te montrer la chiennasse. Je te dis pas les trous qu’elle a. Elle a une de ces bouches ! Bon elle a du mal avec nos grands membres mais ça se voir qu’elle aime la bite.
Je commençais alors à bouger, consciente de ce qui allait se passer.
- Je vous en prie arrêter.
- Ferme ta gueule de pute.
Au bout de quelques minutes il revint. Il enleva la toile et me regarda dans les yeux
- Je vais te rendre bien docile.
C’est là que je le vis avec un sac en plastique. Il le mit sur ma tête.
- Non non..
Il serra bien le sachet avec ses mains autours de mon cou. IL m’embrassa à travers le plastique. J’étais écourée.
Je haletais. Je sentais que l’air commençait a se rariver. Le plastique se collait à mon visage.
Soudain, il releva le plastique tout en étant sur moi.
- Allez respire salope.
Je pris une bonne bouffer d’air puis me il renouvella l’opération.
Cette fois là il commençait à le garder un peu plus longtemps.
Quand il m’accorda à nouveau de l’air, je reprenais mon souffle. Il s’amusa ainsi à contrôler mon air. Je me sentais doucement partir, sans force.
- Messieurs. Regardez moi cette chienne bien docile.
Je sentis différente mains me peloter de partout sans trop retenir ce qui se passait. On me tirait sur le matelas pour me mettre dans différentes positions. On me claquait les fesses, on me baisa par la bouche. Je me retrouvais à genou. Un des hommes me faisait sucer un autre tout en me donnant le rythme.
- Allez enfonce bien cette queue dans ta gueule de pute.
- Tiens.. voilà bouffe…dit l'autre.
Ma bouche s'ouvrait naturellement. J'ouvrais ma bouche comme une bonne chienne. Je sortais ma langue.
Tandis qu’on me forçait à m’appliquer un autre me doigtait le cul. Tout en me tirant par les cheveux il me redressa. J’avais encore de la salive qui bavait de ma gueule. IL me jeta la tête au sol et releva bien mon cul. Tout en étant debout, il écarta mes fesses et enfonça en étant fièrement dressée sa bite dans mon cul.
- Putain de salope. Je vais te donner.
IL tenait mes fesses en même temps qu’il me prenait le cul. Tout doucement il sortait sa queue pour mieux ensuite l’enfoncer. Il y prenait un plaisir.
- Messieurs regarder moi ce trou du cul.
Un des hommes s’était saisi de ma main pour que je le branle avec. Je sentais aussi des doigts s’attarder sur ma chatte. J’étais là sans être là a subir cet assaut de queues.
A tout de rôle, il me prenait le fion.
- Voilà, tu es parfaitement élargi. On croirait que ton petit fion va parler tellement il est ouvert.
Ils s’amusaient à me baiser comme leur petit jouet.
Je me sentais complètement perdue avec ce besoin d’être réconfortée en me demandant quand tout ça allait se terminer.
Ils me recouvraient de leurs spermes. Je me sentais si sale. Je ne rêvais que d’une chose. Une douche chaude et les bras de mon Maître.
- Vous avez vu Blanche Neige.. Sa peau si blanche et laiteuse.
Je les entendais rire. Ils m’avaient bien utilisée. Une fois leur œuvre accomplie, on me détacha. On me rejeta dans la boite comme si on se débarrassait après l’utilisation d’un produit
J'J'étais nue, attachée et baillonnée. L’homme referma le couvercle.
- Bye bye petite salope. A bientôt. Sache qu'on garde un œil sur toi.
Je me sentais presque heureuse d’etre remisée ainsi. Je pouvais reprendre mon souffre. J’entendais à nouveau la porte d’un van s’ouvrir. On me déplaçait. Je compris que c’était la fin.
J’entendais la sonnette.
- Nous avons un colis pour Monsieur.
Je reconnais la voix de Monsieur. JE me sentais pleine de joie à l’idée d’etre avec lui.
- Je vous en prie déposer le ici.
Voici la clef pour l’ouvrir.
- Bien. A bientôt Messieurs.
J’entendis le cadenas cédé. Il ouvrait la boite. Il ota mon bandeau. Il me regardait droit dans les yeux avec son sentiment de fierté. Il me caressait le visage. IL me libéra la bouche qui était douloureuse.
Il me souleva de la boite. En étant toute attachée, il me conduisait vers la salle de bain. Il m’avait préparé un bain aux huiles essentielles. Il me déposa dedans.
Chaque mouvement m’était si pénible. J’avais mal partout. Mes muscles étaient endoloris.
, ma chatte irritée, mon fion me faisait aussi mal. Ma mâchoire m’était aussi douloureuse.
C’est dans le bain qu’il ota mes liens. IL s’était accroupi et me regarda dans les yeux.
- Tu ne me remercie pas ?
Dans un souffle.. je hochais la tête.
- Tu sais, j’étais là, je te regardais te faire prendre, malmenée, insultée et baisée. Tu as été une bonne petite chienne bien brave. Tu es ma fierté.
Je n’arrivais pas dire un mot. Tellement j’étais fatiguée.
Il m’embrassa sur le front.
- Je vais m’occuper de toi ma douce Nina. Tu le mérites terriblement !.
Il me sorta du bain. Il me secha et m’enveloppa dans la serviette. Je titubais. Ma tête partait en arrière. Il me borda au lit. Il me prit dans ses bras et m’embrassait d’une infinie douceur.
Je me retournais pour me blottir contre lui. Je ressentais cette intensité de lui appartenir. C’était toujours de plus en plus fort.
- Demain, tu m’écriras tout ce que tu as subi et comment tu as ressenti les choses.
Je m’endormis ainsi dans ses bras.
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Une fois n’est pas coutume, cet article nous l’avons écrit à deux. Certains passages ne concernent que moi. Pour d’autres, Maxime a souhaité s’associer à mon propos. Mais il considère, contrairement à moi, que ses sentiments, sa relation avec moi, ne concernent que nous. Je n’ai pas sa pudeur mais je respecte ses choix.
(Laure)
Je mesure au terme de ces deux mois de confinement combien je suis privilégiée.
Je n’ai pas choisi d’être ce que suis, d’avoir eu la chance de naître dans un milieu favorisé, d’avoir pu faire les études que je voulais, de faire un métier qui me passionne et me permet d’être indépendante.
Je sais surtout la chance qui a été la mienne de rencontrer celui dont je partage aujourd’hui la vie, mon compagnon, mon Maître, Maxime, brillant, charismatique, amoureux de la vie, exigeant et sensible, tendre ou bestial selon les moments, qui m’a rendue accro à lui et permis de rentrer dans sa vie.
Mais je ne suis pas naïve, ni vivant dans ma bulle.
(Laure et Maxime). Nous savons combien ce confinement a été dur pour beaucoup, interdits de sortir, confinés à plusieurs dans quelques m2 dans des hlm de banlieue.
Nous savons l’explosion des violences conjugales (non désirées ????), l’aggravation du chômage, les débuts de mois avec les comptes dans le rouge, la crainte du lendemain.
Nous savons le sort des anciens livrés à eux-mêmes, les morts en masse dans les EHPAD, la tristesse de ces vies qui s'achèvent dans la solitude.
Nous savons surtout ce que nous devons, ce que nous devons tous, à tous ceux qui nous ont permis de tenir, les soignants épuisés, les salariés des supermarchés, les éboueurs, les livreurs et tous ceux que nous oublions.
(Laure) J’ai honte d’avouer que jusqu’alors j’étais comme beaucoup, je les ignorais, je ne les voyais pas ou plus, profitant de cette vie de privilégiée qui était la mienne.
Désormais, mon regard sur eux a changé, et je sais que c’est à eux que nous devons le respect et l’admiration. Parce qu’ils ont tenu. Parce qu’ils étaient là, debout, pour nous.
Cette leçon, je ne suis pas prête de l’oublier.
(Laure et Maxime) Nous ne savons pas quel sera notre monde après le déconfinement.
Nous ne pouvons qu'espérer que ceux qui nous gouvernent sauront tirer les leçons de ce qui s’est passé, même si au vu de ces deux mois, on peut rester sceptique.
(Laure) Ce que je sais par contre, c’est que ces deux mois que nous venons de passer auront définitivement changé beaucoup de choses dans ma vision du monde et que me concernant la leçon aura été salutaire.
(Maxime) ce que je sais moi, c’est que ces deux mois que nous avons passé ensemble ont été pour moi deux mois de pur bonheur. Sans toi, sans ta présence, je ne sais pas comment j'aurais tenu. Merci à toi, d’être ce que tu es.
Prenez soin de vous.
Laure et Maxime
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Cela fait deux mois que nous sommes confinés, que je vis chez « lui », Maxime, mon mec, mon Maître.
Lorsqu’il m’a proposé de venir m’installer chez lui, quelques jours avant l’annonce officielle du confinement, j’ai hésité.
Jusqu’ici, j’avais toujours vécu seule, profitant de mes amants et désormais de lui mais sans jamais cohabiter, oser franchir le pas de la vie à deux. Mes seules expériences avaient été avec Maxime, pendant les vacances, mais dans un cadre différent, à l’hôtel, passant l’essentiel de notre temps dehors et ne profitant que la nuit de nos corps et de la chambre que nous partagions.
J’ai hésité, toujours cette peur de m’engager, de sortir de ce confort que je m’étais construit, la peur de ne pas être à la hauteur, que nous devenions un « couple normal », englué dans le quotidien.
Mais j’ai quand même dit oui, prête à tenter l’aventure, parce que c'était lui.
Ce qui ne devait durer que quelques semaines à finalement duré deux mois, à quasiment ne pas sortir, si ce n’est pour faire les courses, repasser chez moi le temps prendre d’autres vêtements, au cabinet récupérer des dossiers.
Et je ne regrette rien, au contraire.
Maxime a été comme à son accoutumée, compréhensif, tolérant, aimant, me laissant prendre mes marques dans cet environnement qui était le sien, empiéter dans sa vie et la bouleverser.
Et mon Maitre a joui de moi chaque nuit, et souvent dans la journée, pour « décompresser », soumettant mon corps à ses désirs, me laissant épuisée mais comblée de lui.
A l’heure du déconfinement, même s’il demeure « progressif », nous avons fait ensemble le bilan de ces deux mois.
Je lui ai dit que pour moi ça avait été une période comme hors du temps, que j’avais vécue comme une parenthèse magique, que j’avais apprécié chaque instant passe à ses côtés, à le découvrir dans son environnement, à prendre davantage encore conscience de ce qu’il représentait pour moi.
J’avais apprécié nos nuits de sexe tout autant que nos échanges, nos discussions après la baise, sa tendresse, nos moments de fou rires, la manière dont il m’avait laissée libre de m’organiser comme je le souhaitais.
De son côté il m’a dit que pour lui, ça n’avait pas été simple au début que de laisser entrer dans sa vie un tourbillon tel que moi, qu’il ne s’imaginait pas qu’une femme puisse prendre autant de place, être à ce point bordélique mais qu’il lui avait bien fallu s’adapter et assumer.
Qu’il m’avait lui aussi découverte différente, lorsque j’étais en télétravail, au téléphone ou en visio, professionnelle, efficace, ne mâchant pas ses mots.
Et, dans le même temps vis à vis de lui, drôle, aimante, pétillante et soumise chaque fois qu’il me voulait ainsi.
Mais que lui aussi avait pris goût à cette vie à deux, à cet enrichissement réciproque de que nous étions chacun grâce à nos différences et nos désirs partagés.
Il m’a proposé de continuer l’aventure avec lui, de continuer de partager sa vie, cette vie à deux, dans la proximité de nos corps et de nos sentiments.
En me laissant le choix.
Cette fois-ci je n’ai pas hésité à lui répondre oui.
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Juliette avait cru, ou voulu croire, pour se faire pardonner, que Charlotte serait
farouche. Elle fut détrompée aussitôt qu'elle voulut l'être. Les airs pudiques
que prenaient son amie, fermant la porte du boudoir où elle mettait et ôtait ses
jupes, étaient précisemment destinés à l'aguicher. Quand l'aidant à s'habiller,
elle la laissait saisir ses seins, fermes et hauts placés, l'embrasser et la
caresser, les yeux fermés, encore moite de son bain, en gémissant. Elle se
réveilla, la tête pleine d'images, elle revoyait Charlotte, attachée, fouettée,
sodomisée, râlant de plaisir sous les coups de cravache de Xavier. Sous la
douche, glissant le pommeau entre ses cuisses, elle se besogna, en
s’imaginant baisée et flagellée par des inconnus.
Elle ne se doutait pas que son fantasme allait se réaliser le soir même au Cercle. Lorsqu'elles entrèrent dans le
salon, un homme, assis dans un canapé, jouait avec le sexe d'une nymphette. Du pommeau de sa cravache, il
la masturbait à travers sa culotte de coton blanc.
Charlotte glissa à l'oreille de Juliette:
- C'est Chloé, une nouvelle. Je soupçonne Xavier de vouloir en faire son esclave, une vicieuse de prédilection.
La fille semblait sortie tout droit du pensionnat. Brune, les cheveux courts, de grands yeux bleus, la lèvre boudeuse.
- Chers amis, je vous présente Chloé, une petite perverse qui va découvrir les délices de la condition de soumise.
Aujourd'hui, elle va faire connaissance avec la cravache.
Xavier fit signe à Chloé de s‘approcher. Elle resta debout devant lui, les yeux baissés. Après un long silence, il dit le
plus naturellement du monde:
- Tu es une gamine vicieuse. Et les vicieuses méritent une correction.
Une Maîtresse apporta une boîte de godes, un foulard et une cordelette. Chloé fit mine de se déshabiller.
- Garde ta culotte.
Chloé obéit avec un frisson d’angoisse. Cependant, ce n’était pas désagréable, au fond, d’avoir peur. En tout
cas, cela ne l’empêchait pas de mouiller. La Maîtresse lui banda les yeux. Elle lui attacha les poignets, l’amena
sous une poutre, fixa la cordelette à un crochet.
Chloé se retrouva les bras en l’air. Elle dut se dresser pour que ses pieds reposent sur le sol. La position faisait
saillir ses fesses musclées et ses seins haut perchés. Après l’avoir attachée, ni la Maîtresse, ni Xavier ne donnèrent
signe de vie. N’y tenant plus, la petite demanda au bout d’un moment:
- Maîtresse, Maître, s’il vous plaît, où êtes-vous ?
Elle cria. Un objet métallique froid vint se poser sur sa nuque. Elle réalisa qu’il s’agissait du pommeau de la cravache.
Xavier le glissa le long de son dos en épousant les arêtes de la colonne vertébrale. Il jouait avec les nerfs de la fille.
Arrivé aux creux des reins, il fit le tour de la taille et se retrouva devant elle. Le pommeau de la cravache s’attarda sur
le nombril avant de remonter entre les seins. Chloé s’efforça de demeurer impassible, mais comment dissimuler son
excitation, quand on a les mamelons tendus, et que l'on devine une tache humide s’élargir dans sa culotte ?
Xavier jouait, il lui tapota la pointe des seins et lui caressa les aréoles avec le pommeau de la cravache. Ensuite, il
redescendit au nombril, et de là dans l’entrecuisse de Chloé. Elle écarta les jambes autant que le lui permettait sa posture.
Le pommeau s’introduisit dans la fourche. Il appuya sur le fond de la culotte comme s’il voulait la pénétrer avec la
cravache. Le tissu épousa les contours de la chatte et chaque attouchement provoquait un bruit mouillé.
- Tu es trempée, petite salope. Tu as vraiment le feu au cul.
Xavier poursuivit son jeu un moment avant de se reculer. Maintenant Chloé implora:
- Encore, Monsieur. C’est bon.
Pour toute réponse, elle reçut un coup de cravache sur le haut de la cuisse. Il n’avait pas frappé fort. Assez, cependant,
pour arracher un cri à Chloé et lui faire redouter la suite. Il passa derrière elle, glissa la tige de la cravache entre les
cuisses et entama un va-et-vient. Elle se démèna au bout de la corde en se mordant les lèvres pour ne pas gémir de
plaisir. Ce n’était pas de l’orgueil. Elle craignait seulement de recevoir un nouveau coup de cravache.
Il la branla ainsi un long moment. Xavier jouait avec tous les endroits sensibles du corps de sa victime: les seins, les
fesses, le bas-ventre. Même à travers la culotte, il parvint à la rendre folle en caressant son clitoris, ses petites lèvres,
les bords de son vagin. Chloé n’en pouvait plus. Au fond, il lui sembla qu'elle préfèrait être fouettée. Elle se mit à geindre
et immédiatement la cravache s‘abattit sur sa cuisse. Plus fort cette fois. Elle poussa une plainte. La cravache striait ses
fesses, lui arrachant un cri strident. Alors les coups se mirent à pleuvoir, ou plus haut, ou plus bas pour laisser des traces.
La cravache s‘abattit sur ses cuisses, ses fesses et son ventre. Chloé se tordait au bout de la cordelette. Elle ne criait
plus, elle sanglotait, une sourde plainte s‘échappa de sa bouche, à la fois de douleur, mais surtout de plaisir.
À plusieurs reprises, Chloé crut s‘évanouir mais Xavier s’arrêta au dernier moment. Il cessa de la fouetter et s’agenouilla
devant elle. Il baissa sa culotte et lècha les grandes lèvres. Chloé se tortillait au bout de la cordelette. Il dut l’immobiliser
en la prenant par les fesses. Il se livra à un long et cruel travail de sape. La chatte en feu, elle n’avait plus peur de crier,
à présent, quand la langue de Xavier s’attaqua à son clitoris et à ses petites lèvres.
Chloé était à demi-évanouie quand il lui enfonça un gode dans le vagin. Elle cria et eut un orgasme d’une violence
inouïe. Au point qu’elle l'urina. Xavier se plaça derrière elle. De ses doigts , il sépara les fesses et plaça l’extrémité du
gode sur l’anus. Encore secouée par les frissons de sa jouissance, elle gémit de douleur et de plaisir pendant que ses
deux sphincters anaux cèdaient. Bientôt, le gode fut enfoncé jusqu'à la garde. Les muscles l'empêchèrent de sortir
de l’anus. Xavier le lâcha et en prit un autre, plus gros, en métal, qu’il introduisit dans le vagin. Il le fit aller d’avant en
arrière, comme une verge. Chloé eut un second orgasme presque aussi violent que le premier.
Il lui retira les godes et la détacha. Il lui ôta son bandeau et la conduisit jusqu’au canapé où il l’allongea. Chloé eut du mal
à reprendre ses esprits. Les muscles de ses bras et de ses jambes étaient douloureux et ses jouissances semblaient l'avoir
anéantie. N’empêche, elle était contente d’échapper à la fessée, bien qu'au fond, une part d’elle-même se sentit frustrée.
- Messieurs, je souhaiterais que vous complétiez mes premiers enseignements. Elle est à vous.
Aussitôt, des mains se précipitèrent sur Chloé, palpèrent chaque recoin de son corps. On lui écarta les cuisses. Des
doigts inquisiteurs forcèrent son intimité, pincèrent ses seins, s'attardèrent sur les marques de fouet laissées sur sa peau.
Un homme sollicita l'autorisation de Xavier pour forcer la bouche de sa soumise. Il y consentit. Elle fut contrainte d'accepter
le membre qui se présenta avec violence à ses lèvres, et qui s'enfonça très vite au plus profond de sa gorge. Suffoquant,
respirant à peine, elle suçait la verge sous les insultes, pendant que les mains d'autres hommes la fouillaient sans relâche.
Spectatrice de la scène, Juliette n'en pouvait plus, son excitation était parvenue à son paroxysme. Elle n’avait qu’un désir:
être prise, pénétrée, saccagée par des hommes en rut. Une ravissante blonde aux cheveux courts, assise à côté d'elle sur
le canapé, lui caressait l’intérieur des cuisses, effleurant son sexe déjà moite. Elle sentait la cyprine couler dans son intimité.
La main posée sur celle de la blonde, Juliette écarta les jambes, guidant les doigts de la femme sous son string. Elle se
laissait branler langoureusement. Un homme sortit son sexe, le donna à sucer à sa compagne, puis força de sa verge raide
la bouche de Juliette pendant que la blonde se lèchait les doigts avant de les plonger profondément dans le vagin innondé.
Xavier intervint:
- Juliette, je constate que cette séance t'a plu, je dirais même excitée.
Et s'adressant à la responsable du Cercle:
- Béatrice, déshabillez notre amie.
La maîtresse des lieux lui ôta sa robe, lui laissant seulement des bas noirs tenus par un porte-jaretelle, puis la
débarassa de son string , qu'elle tendit à Xavier. Il le porta à ses narines, et le renifla:
- Tu n'es qu'une femelle en chaleur, Juliette. Béatrice, emmenez cette chienne au salon bleu, elle n'attend que cela.
Juliette sentit cette tension voluptueuse, cette lourdeur lui tordre le ventre lorsque elle pénètra dans le petit salon, où
des participants, tous masqués, une vingtaine, masculins surtout, cinq ou six femmes, déambulaient dans la pièce.
Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante brune aux cheveux courts, commençait à se déshabiller;
sa jupe flottait au gré de ses mouvements; par moments, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une
cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine; elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes
au regard de l’assistance; elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans
un balancement lascif; un homme s'enhardissant lui ôta; le soutien-gorge descendu fit apparaitre l'aréoles de ses seins.
Elle s’exhibait sans retenue; deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient
déjà fièrement dressés; il les caressa et les malaxa sans douceur; le second attoucha ses fesses; elle était maintenant nue.
De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée; les doigts fouillèrent son
vagin et son anus; elle demanda à être prise; un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença
des mouvements de va-et-vient; un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge.
On attacha Juliette à une croix de Saint-André. Des lanières en cuir maintenaient ses poignets et ses chevilles au bois,
ainsi que ses aisselles et le haut de ses cuisses. Le point de jonction se trouvait juste au-dessus de ses épaules nues.
Sa tête était libre, elle pouvait regarder autour d'elle. Elle savait que les participants pouvaient tous voir sa vulve offerte.
Béatrice examina longuement les seins insolents, elle posa ses mains sur les globes fermes et de douces caresses les
parcoururent. Juliette ferma les yeux, se laissant griser par le reflet du miroir de l'intimité qu'elle offrait impudiquement
aux invités. Alors la maîtresse des lieux prit un martinet au poil soyeux et, doucement, effleura un mamelon d'une lente
caresse sur la pointe extrême; une sensation délicieuse envahit le corps de Juliette, parcouru de frissons.
Alors bientôt, Béatrice leva le bras et une méthodique flagellation commença. Les coups étaient dosés, mesurés pour ne
pas blesser Juliette qui, les yeux clos, sentait monter en elle une chaleur intense; sa poitrine était secouée par des coups
de plus en plus secs, comme une caresse de feu qui irradiait sa chair. Les seins devenaient de plus en plus marqués.
Une chaleur intense innonda la poitrine de Juliette comme une boule de feu; ses seins, plus violemment heurtés, se
choquèrent dans un bruit mat, les lanières s'entouraient autour d'eux, giflaient la chair, écrasaient les pointes en cinglant
les aréoles. La maîtresse des lieux, après trois derniers coups, cessa de la flageller pour écarter ses cuisses. Elle plongea
ses doigts humides dans l'intimité moite, constatant non sans fierté, que Juliette avait réellement joui. Les portant à sa
bouche après, elle les lècha longtemps entre ses lèvres, se délectant de l'éjaculat mêlé à la cyprine.
Deux femmes ayant assisté au spectacle de la flagellation, s'approchèrent de Juliette. Elles commencèrent par la caresser
puis la pénétrèrent à l'aide de godes de plus en plus épais. Fesses tendues, bouche tordue par la jouissance impérieuse,
Juliette râlait doucement, goûtant avec ferveur le cruel supplice raffiné; mais le gode, plus gros encore, distendait la chair,
tandis que la main de l'invitée appuyait à peine pour faire pénétrer le phallus en elle. Et un autre prit la place dans la gaine
gluante, distentue mais docile et souple; l'anus plissé disparaissait derrière le renflement émergeant au milieu de l'olisbos.
Bientôt, les deux femmes se déshabillèrent, et se ceignirent chacune d'un gode-ceinture. Elles s'approchèrent de Juliette,
les hommes formèrent un cercle autour des trois. La croix de Saint André fut alors mise en position horizontale. les deux
femmes sodomisèrent Juliette avec force dans un intense bruit mat de succion. Sur un signe, tous les invités se levèrent
en silence et vinrent contempler le spectacle. Ce fut une dizaine d'hommes qui se succédèrent, remontant et frappant au
fond de ses reins. Charlotte, éberluée, assistait pour la première fois à une séance de soumission de sa propre Maîtresse.
Pour Juliette, la douleur ressentie lors de la double pénétration se transforma en jouissance. Le corps marqué par de
longues estafilades, elle avait gémi sous les coups de Béatrice comme jamais une femme ne l'avait fait gémir, crié sous
le choc des membres des invités, comme jamais elle avait crié; elle devait leur être soumise et les accueillir avec le même
respect avec lequel elle accueillait une Domina; elle était là dans la soirée pour servir de réceptacle à la semence des
hommes qu'elle devait recevoir par tous les orifices, sans jamais protester ni même trahir un quelconque sentiment.
Sur le chemin du retour, épuisée mais heureuse, Juliette s'endormit sur l'épaule de Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'ai préféré ouvrir une bouteille de champagne..
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Cheveux au vent, je conduisais mon cabriolet. Une Z3 couleur vert anglais. J’adorais le coté rétro qu’elle avait. Il aimait me voir conduire. Main sur le volant. Un accès parfait à toutes ses caresses. Nous partions en week end au Luxembourg pour son anniversaire.
J’avais pris le soin de tout organiser pour le surprendre, que nous passions du bon temps. Il ne faisait pas trop chaud c’était si agréable. Nous empruntions toutes les petites routes. J’avais réservé un hôtel spa en pleine nature, invitant à une détente totale.
Cela faisait 1h30 que nous roulions. Nous étions partis en fin de matinée de Strasbourg.
Au feeling de mon humeur, en passant dans cette forêt, je me suis dis voilà un endroit parfait pour mon pique nique.
J’humais cet air si agréable sentant la nature. C’était si agréable. Seul les oiseaux se faisaient entendre. Je lui souriais.
- Ne bougez pas dis-je d’un regard bien complice.
- Non, je ne bouge pas, je te laisse faire.
J’allais lui ouvrir la portière avec mon coté espiègle.
- Après vous Monsieur.
En sortant de la voiture, il me claqua avec affection mes petites fesses.
J’ouvrais alors le coffre. J’avais tout préparé avec minutie.. Le vieux panier en osier, de vrais couverts, des assiettes en porcelaine, mes verres à vins et mes coupes de champagne. Il m’était d’ailleurs inconcevable, comme lui d’ailleurs, de boire de si bonnes choses dans des verres de merde.
J’étalais alors la nappe blanche rayée de bleue, j’y déposais de cousins. J’installait une petite table que je recouvrais également d’une nappe blanche. Un Pique nique chic !
Je voyais son regard amusé.
- As-tu besoin d’aide ?
- Non , je vous remercie. C’est très gentil à vous mais vous me connaissez dans ces moments là. Je veux que tout soit parfait, surtout quand il s’agit de vous.
- Tu es adorable ma petite Nina.
C’était le diminutif qu’il m’avait donné. Celui de mon véritable prénom.
J’étais à quatre pattes en train de bien tout disposer pour ne mettre aucune saleté. J’avais oté mes petites chaussures. Ma petite robe légère se retrouva sur mes fesses. La brise s’était amusée à la faire valsée. D’un d’air timide je la rabattais.
- Oh, tu étais très bien avec ta robe sur la taille riait il
Il me taquinait toujours car j’étais tellement concentrée et maladroite quand je voulais tout mettre en place. Il comprenait que c’était un exécutoire pour moi.
Lui indiquant par la main sa place.
- Monsieur.. votre table est prête. Me permettez vous de vous servir du champagne ?
- Oui, bien volontiers.
Je me saisis de la bouteille que j’avais mis bien au frais dans un sac prévu à cet effet et les bons pains de glaces. Champenoise d’origine, on va dire que j’ai une aisance naturelle à les ouvrir.
Je laissais le bouchon cédé. Nous le regardions ensemble s’envoler. Je le servais puis j’en profitais pour me servir aussi.
C’était dans ces moments où j’aimais ces instants où nous échangions de tout, nous débattions.. et le coté soumise était en général mis de coté. Même si.. je ne pouvais m’empêcher de le vouvoyer.
J’avais préparé un bons plateaux de charcuteries et de fromages que j’avais sélectionné avec soin. IL méritait ce qu’il y avait de mieux.
- Je te félicite pour tout ce que tu as préparé. Tu es vraiment douée ! J’adore. Merci.
Il m’avait rapproché de lui pour m’embrasser tendrement tout en maintenant une petite tension en s’agrippant par mes cheveux.
Ce champagne était si bon.. un repas au champagne. Voilà que la bouteille se finissait.
- Viens là…
IL tenait la bouteille dans ses mains et la posa à coté de lui.
J’aimerai qu’on mémorise au mieux cette délicieuse bouteille. Il commença à mettre la bouteille à nue.
- Empale toi dessus, je te prie.
Je le regardais, tout en rougissant.
- Par le cul, je précise ! Pas besoin de lever ta petite robe.
Je me retrouvais alors debout. IL tenait la bouteille pour ne pas qu’elle tombe. J’installais mon anus sur le goulot de la bouteille. Je poussais un petit cri.
- Allez enfonce le bien.
Je sentais doucement le bout de la bouteille s’insérer en moi.
- Hum tu peux mieux faire.. allez encore.
Je l’écoutais, je forçais davantage la bouteille.
- Maintenant baise toi avec.
Il me regardait alors faire des va et viens.
- Stop ! plus bougé.
IL souleva ma robe pour s’assurer que la bouteille était bien au fond.
- Garde ta robe sur la taille et caresse toi.
Tout en le fixant, j’aventurai mes doigts sur mon clitoris. Je n’aimais pas me caresser devant qui que ce soit. IL le savait. Je pense qu’il me punaisait des libertés que j’avais prise .
- En voilà une bonne petite chienne. Tu aimes avoir le cul bien rempli.. Regarde moi !
J’avais baissé les yeux. Je les relevai
- Oui, monsieur j’aime avoir le cul bien rempli.
Allez à quatre pattes, bouteille au cul.
Il s’était alors relevé.
- Hum quel magnifique porte bouteille.
Avec son pied, il appuyait la bouteille par le culot pour mieux me l’enfoncer.
- Allez continue de te baiser..
Je continuais les va et va. A chaque fois il poussait davantage. J’avais du mal.
- Tête au sol.
Il tenait son verre de champagne dans les mains.. c’était un détail que j’avais retenu.
J’entendais qu’il le posa sur la table.
Il prit la bouteille entre les mains. Il commença a la sortir..
- Hum, j’aime quand tu t’ouvres ainsi… Ecarte bien tes fesses.
J’obtempérais pour lui présenter mon cul. Il me glissa à nouveau la bouteille dans le fion.
- Tu aimes te faire prendre ainsi ?
- Oui .. Monsieur.
- Je me doute bien. Regarde moi tu bas de mouille.
Il retira la bouteille et la présenta à ma tête. Il posa le doigt en me regarda :
- Voilà jusqu’où elle est rentrée petite salope. J’espère que nous pourrons mieux faire la prochaine fois. Hum en voilà un bon début de week end. Il replaça la bouteille. Reste comme ça !
Au bout de quelques temps.
- Relève toi et range tout. Ensuite tu iras te cambrer sur le capot de ta voiture.
Je m’exécutais.
Une fois en place, il défit sa ceinture.
- Pas un bruit, compris.
Je baissais la tête..
- Oui Monsieur.
Il me donna la fessée avec sa ceinture. Elle avait le don de laisser de sacrées marques. Ces coups étaient parfois des plus doux, parfois des plus cinglants. Il m’apaisait aussi en passant sa main pour me les cajoler.
Il me passa la ceinture autours de mon cou et s’assura de bien le serré pour me dresser comme il le faut.
Je sentais son souffle et son excitation. Sa queue était son gonfler. En pleine frénésie IL jeta mon ventre contre le capot. Il avait pris mes bras et s’en servi pour me prendre encore plus profondément. Il râlait de prendre son pied. C’était si animal. Il repris alors la ceinture et m’étrangla avec pendant qu’il jouissait bien au fond de mon cul.
- Petite putain. Tu rouleras ainsi… Allez en voiture.
J’étais complètement sonné par l’assaut qu’il avait eu à l’égard de mon cul. J’avais perdu de ma superbe.
- Donne moi les clés. Je vais conduire.
A l’arrivée à l’hotel, notre chambre était assez spacieuse avec des poutres apparentes. J’aimais sélectionner des hotels laissant place aux jeux.. Il avait toute une valise avec ce qu’il faut pour nous adonner à nos jeux.
- Va te laver m’ordonna t il.
J’allais à la douche. Je le sentis alors venir derrière moi. Je me déshabillais.
Il me saisit par les cheveux et me poussa sous la douche me forçant à m’agenouiller.
Il avait enclenché la douche. IL me plaqua alors contre le mur en me tenant les bras au dessus de la tête. IL me baisa la bouche. Il aimait me la faire garder bien au fond. Il pinça alors mon nez pour me faire ouvrir mieux la bouche.
Soudain, il me prit par la gorge et y aller sans aucun ménagement. Il me releva. Je le regardais droit dans les yeux avec un sourire satisfaite.
Il me gifla.
- Baisse tes yeux.
Je remis alors ma tête en place et je le regardais
- Baisse tes yeux, petite salope.
Il me regifla. Il me tena la gueule avec sa main. Il me redressait j’étais sur la pointe des pieds.
- Tu sais ce qu’on fait aux petites putains ?
Il introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Il me doigtait bien intensément.
- Tu en as besoin, n’est ce pas. Tu aimes être doigtée ?
Je baissais le regard.
- Réponds moi.
Il tenait toujours fermement ma bouche..
- Oui Monsieur j’aime être doigtée..
- Bien…
Il s’était alors agenouillée. Il plaça au mieux son bras en dessous.
- Allez empale bien.
Il m’avait présenté 4 doigts ; J’adorais le sentir ainsi ça me rendait complèment folle.
Il repris rapidement le contrôle. Savamment doigtée il jouait avec ma chatte puis il commença à la fistée.
Je ne pue m’empêcher d’hurler..
J’étais alors empalée sur son bras..
- Regarde ça… sale putain..
Quand il ressortit sa main. J’étais alors vidée..
- Allez lave toi. Prépare toi pour le diner.
Je prenais ma bouche. Quand je ressortis, je vis alors des boules de geischa posées sur le lavabo.
Je m’employais à les mettre dans ma chatte. Cela me stressait déjà car quand je mouille déjà tant, j’avais peur de les perdre en marchant.
Nous allions au restaurant de l’hôtel. L’ambiance était bien feutrée c’était si agréable.
- Tu nous a organisé un superbe week end.
- Je vous remercie.
- Maintenant tu vas aller à la chambre. Tu vas faire couler un bain chaud et tu m’attendras nue comme il se doit.
- Oui Monsieur.
Je sortais alors de table pour me diriger vers la chambre.
Il y avait une sublime baignoire avec pattes de lion. Je tournais les robinet. Je testais l’eau pour m’assurer que la température était agréable.
Il revenait après 20 min. Je me demandais ce qu’il avait fait. J’étais à coté du lit a genou, les mains ouvertes. L’attendant.
- Enlève moi les chaussures je te prie.
Il s’était assis sur le lit. Avec mes mains je m’avançais pour retirer les lacets.
- Non défaits les avec ta bouche .
- Oui.. monsieur..
Avec mes dents je me saisis des lacets pour tenter de les défaire, mais je n’y arrivais pas.
- Espèce de conne, incapable d’enlever correctement un lacet…
- Lèche les chaussures je te prie dit il en claquant des doigts.
Je me baisais pour bien lui lécher les chaussures. Il observait pour s’assurer que j’effectue au mieux ma table.
- Bien , retire les chaussures et mes chaussettes.
- Défais mon pantalon.
- Déboutonne ma chemise.
- Enlève mon boxer.
Une fois ma tache accomplie, je me remise à genou à attendre ce qu’il voulait.
Il s’était levée en allant vers ses affaires. Il me montra mon collier. Il me le mit. Comme a son habitude il le serra bien fortement. Il y mis la laisse puis me tenant à court il se rapprocha de moi pour me pincer à nouveau les lèvres.
Il me posa des bracelets au niveau de mes poignets, de mes chevilles.
- Mets tes bras au dessus de ta tête.
Je m’exécutais quand je vis qu’il sortait les pinces à tétons. Il me vit alors faire les gros yeux.
- Oh oui je vais bien m’occuper du travail de tes seins et de tes petits tétons fragiles.
Il y déposa des pinces et s’amusa à y attacher des petites sonnettes.
- Allez petit quatre pattes, on avance.
Il me faisait alors marcher dans la chambre pour ensuite me conduire jusqu’à la salle de bain.
- Bouge pas.
Il revint alors avec un gode ventouse et un gros plug. C’est à ce moment là que je perdis mes boules de geisha ; J’étais honteuse.
- Je reconnais bien ma petite chienne qui ne sait pas se contenir.
Il posa l’énorme plug au sol et colla l'autre au carrelage un peu plus loin.
Il mit alors la laisse dans mes mains.
- Garde la bien ainsi en présentation. Tu resteras à genou le plug dans ton cul.
- Oui, Maitre.
Il se glissa alors dans le bain avec le verre qu’il s’était préparé. Il saisit la laisse pour ne pas que je parte.
- Allez baise toi comme tu sais si bien le faire. Encore une fois je m’éxécutais.
- Tu n’es pas assez bruyante, mets y plus de puissance, de force que tes sonnettes
montre combien tu t’atèles à ta tache.
- Voilà c’est mieux…
Il souriait et profiter de son bain.
- Suffit maintenant.
- Retourne toi, gode toi la bouche et présente moi ton petit cul élargi.
- Humm .. tu es très belle tu sais, ainsi.
Il me tenait toujours par la laisse.
- Merci.. Monsieur..
- De rien petite putain.
Au bout d’un moment, il sortit de son bain.
- Viens me sécher.
Je le séchais aussi bien que je pouvais profitant de son corps que j’adorais. Je m’étais alors agenouillée tenant par mes mains sa cuisse. JE me blottissais contre lui.
IL me caressait les cheveux.. en signe d’affection..
Il ressaisit ma laisse.
- Allez gode en bouche. Suce le comme si c’était ma bite. Quand je reviens, je veux quetu les toujours en gueule tu penses que c’est possible ?
Je bougeais de la tête en faisait une affirmation.
Il ressortit me laissant ainsi.
- Bien, tu n’as pas bougé. C’est parfait. Je n’ai pas entendu tes petites clochettes. Allez viens.
Il avait installé des cordes. Il m’attacha les bras dans le dos à hauteur des coudes puis des poignets. Il la tendit en la passant sur la poutre. J’étais alors ainsi mains et bras attachés partant par l’arrière. Une position relativement inconfortable qui me faisait me pencher en avant.
- Mords.
IL me présenta le gag ball.
- Voilà.. une belle posture. Prête à se faire enculer.
Il passa sa main sur ma chatte.. Ah oui.. bien trempée…
Il avait dans ma main sa badine. Il la passa entre mes jambes pour me forcer à les écarter.
- Tu vas compter.
1… difficilement prononçable.
Le premier coup s’abattit sur mes cuisses.
2..
Toujours sur mes cuisses mais un peu plus haut.
Il faisait monter la tension me caressant avec ou parfois faisant mine de me frapper.
3… ..
Sur la naissance de mon cul.
4..
Sur mes fesses
5..
Sur mes fesses.
6..
Sur mes fesses.
Je hurlais à travers le gagball ..
Ils s’approcha pour me calmer.
- Chut… ce n’est que le début.
7.. sur mes cuisses.
Je les refermais.
- Ecarte tes cuisses de putain.
8…
Il me remit un coup au même endroit.
- Voilà de jolies petites marques bien rouges. Tu es ma petite œuvre d’art.
- Regarde ce que j’ai pour toi.. IL me montra des pinces pour mes lèvres..
Je me dandinais.. jamais il ne m’en avait posé. J’étais sensible.
- Je vais te laisser le choix.. Soit c’est les pinces sur ta chatte ou du poids sur des seins.. Je te laisse réfléchir.
Je ne savais pas quoi choisir.. sensible de partout.
- Je vois que tu n’arrives pas. D’accord.. Tes petites lèvres.
Je fis mine que non…
- Be voilà, ce n’est pas compliqué de faire un choix. Tu devrais me remercier d’être si indulgent avec toi.
- Merci.. Monsieur.
IL retira les petites clochettes et y fixa des poids.
- Ne t’inquiète pas, ils ne sont pas lourds me murmura t il.
Je mordais dans mon gag ball à en baver. De sa main, il m’enleva ce filet.
- Et ça bave. Bon maintenant que vais-je faire ? Est-ce que je te laisse ainsi ? Est-ce que je te baise ? ou est ce que je te doigte..
- Hum je vais te baisser. Je crois que c’est ça qui va te faire bouger au mieux tes seins histoire que tu ne prennes pas des aises par rapport à mon indulgence.
Il me prit alors par la taille et me baissa en premier lieu ma chatte. Mes seins bougeaient tant. Je voyais les poids se balader. Tout en me baissant il me claqua les fesses.
- Mais je crois que le trou que je préfère c’est ton fion de salope.
Il plaça son gland dans mon cul et me pilonna. Un coup.. puis un autre.. puis encore un autre bien au fond. Il prenait totalement possession de mon cul. Il éjacula . IL se retira.
Il écarta mes fesses.
- Je veux te voir suinter du cul avec mon foutre. Mon petit sac à foutre.
Il s’installait alors sur le fauteuil et me laissa ainsi… Mon cul allait se remplir au fil de la soirée.
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(Réédition du 09/05/2020 -> 20/04/2024 - 1352 Vues)
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Parce qu'il est plus facile de se mettre à 4 pattes pour son plaisir, que de s'agenouiller devant un homme pour son bien être, la vision du BDSM est souvent abstraite ou au mieux exotique dans le regard d'une femme mariée.
04 - Qu'est-ce qui pourrait révéler le potentiel de Soumission d'une femme mariée ?
En prenant en compte les réactions pulsionnels inhérentes à toutes les femmes (Mariées ou non) dans leurs désirs à se Soumettre, 3 principaux points sont à identifier :
Leurs rapports aux notions de "feeling", de "respect", "d'exclusivité".
- "Feeling" : Si une femme se base sur la notion de "feeling" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle ne veut absolument pas se Soumettre, mais se mettre en appétit.
Elle revendique son droit d'entamer ou de cesser toutes relations à sa guise, non pas par exigence et "instincts naturels" à la porter en avant et vers le haut, mais symbolise en ce mot son manque d'intellect à savoir véritablement ce qu'elle fait et où elle va.
Couramment utilisé par les Masochistes dites "brat" ; Elles vous attisent autant qu'elles vous protègent à vous signifier que votre relation ne sera pas perenne, car ce n'est assurément pas dans leurs désirs.
- "Respect" : Si une femme se base sur la notion de "respect" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est qu'elle se cherche en tant que femme dans le regard de l'autre, pas à se Soumettre.
Une imposition qui revendique son droit à être sacralisé par rapport au travail accompli dans ses actes, mais symbolise sa méconnaissance d'elle même, et souhaite qu'on lui décerne une médaille en chocolat pour ses bons et loyaux services.
Souvent hors-sujet, sèche, voir flétrie dans ses propos, elle n'aura de cesse de vouloir se trouver des raisons à continuer et à justifier son parcours de vie dans son couloir de principes, plutôt qu'avoir la volonté d'évoluer dans la Soumission.
- "Exclusivité" : Si une femme se base sur la notion "d'exclusivité" à la création d'une quelconque relation BDSM, c'est que c'est la peur qui la motive dans la plupart de ses décisions, pas la Soumission.
Principalement adepte du développement personnel, la stabilité d'une relation est pour elle un confort propice à ne plus se justifier de son manque d'assurance à enfin être "casée".
Ce n'est pas dans ses objectifs de se donner les moyens d'introspection à trouver sa place dans sa vie, et d'enfin pouvoir évoluer. Son désir est à se cacher dans des attroupements superficiels pouvant la soutenir dans ses désirs enfantins.
Il est important de garder en tête que garder le "contrôle" (Notamment de l'image) pour une femme est devenu au fil du temps, un fer de lance et une plaie, qu'elles ne peuvent se défaire librement dans leurs plaisirs.
Et si celles-ci n'admettent en rien leurs incapacités à déposer les armes d'elles mêmes, alors que c'est le premier pas vers la Soumission, leurs causes est à profiter, s'évader, et se justifier... Pas à évoluer dans l'extrême.
Il n'est pas nécessaire de posséder de Soumise(s) pour être Dominant, comme il n'y a pas besoin d'être possédée par un/des Dominant(s) pour être Soumise.
L'homme Dominant n'est pas un exutoire pour femmes véloces dans leurs propos, et se révélant paresseuse dans leurs parcours de vie.
La Soumission anoblie, mais n’absout jamais.
05 - Que recherche une femme mariée dans une relation extraconjugale ?
Se sentir Chienne. Un point d'entrée à arpenter un site de rencontres.
Se sentir Acceptée. Un point d'entrée dans leurs exhibitions.
Se sentir Exister. S'ouvrir ouvertement et physiquement dans leur sexualité.
"Ressentir que l'on vous trouve équilibrée sous tous rapports, alors qu'un aspect de vous primitif et vorace à juste besoin de se faire défoncer sans aucune vergogne, à en crier de douleur et de plaisir."
Il est beaucoup plus aisé de se familiariser avec cette formule pour les femmes mariées, que les femmes en roues libre voulant se garder de cette image, dans leurs utopies d'unions qu'elles désirent parfaite.
Sachant cette notion, il est d'autant plus plaisant pour la femme mariée de pouvoir solliciter les faveurs des hommes de par son accessibilité et son ouverture d'esprit, tout en ayant le plaisir d'agacer et de coiffer sur le poteau leurs concurrentes.
Alors que les femmes célibataires transpirent leurs idéologies d'exclusivité, comme si le plaisir qu'elles pouvaient donner était leur bien le plus précieux à délivrer dans l'intimité..
Les femmes mariées s'éjectent de leurs responsabilités, avec comme seul argument qu'elles l'ont bien méritées.
Arborer fièrement de porter à bout de bras une famille, et se sentant vitale à sa pérennité.
Un contraste avec leurs craintes, de ne plus pouvoir assurer leurs activités et obligations personnelles et professionnelles.
Une destinée à se donner bonne conscience dans un acte de plaisir extrême et salvateur, à pouvoir endurer leurs routines qu'elles se sont elles-même imposées.
06 - Quelles sont les ressources déployées par une femme mariée pour son plaisir BDSM ?
Se servant habituellement de la vanité et de la faiblesse de ses prétendants pour plaire, elle se trouve un renouveau dans un désir de jouissance frontale avec les Hommes Dominants.
Un cadre BDSM posé, elle sera ouverte à l'expérimentation, aux échanges et pratiques aussi bien virtuelles que réelles.
Et c'est d'ailleurs à ce stade que l'on s'aperçoit bien vite qu'une femme mariée n'a jamais le temps dans ses obligations, mais le trouvera toujours dans son excitation.
Elle sera disposée à suivre vos directives vous enviant votre indépendance, votre liberté d'action et vos choix de vie, lui octroyant une bouffée d'air frais supplémentaire à vous déléguer sa libido.
Sujet à des contrariétés dans son cocon familiale, elle oscillera aussi bien entre sa passion de vous séduire et vous fidéliser, qu'à vous exprimer sa colère, sa déception et son amertume pour ses proches.
Un moment clef qui déterminera l'orientation de votre relation, à qu'elle vous voit en amant confident, ou en Dominant sachant garder ses distances.
Par causalité, la force "par défaut" des femmes mariées n'est pas de se livrer dans un travail de Soumission, mais à s'abandonner dans leurs pulsions.
Se voulant contraintes de nature, leurs capacités à se mouvoir vers le BDSM, n'a d'égale que le lestage de leurs mariages qu'elles lustrent à leurs pieds.
Un boulet qui les rendent "canons" et accessibles aux regards des un(e)s, comme clairement superflues et handicapées aux regards des autres.
La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5419/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-3) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 3)
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/5075/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-1) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 1)
https://www.bdsm.fr/blog/5033/Les-joies-de-l'exhibition-virtuelle -> Les joies de l'exhibition virtuelle.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/Un-Ma%C3%AEtre,-Des-Soumises -> Un Maître, Des Soumises.
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« Ce n'est pas ce qui entre dans votre bouche qui est mauvais, mais ce qui en sort ». Ainsi parle le pasteur Ron à ses brebis, dans son splendide ranch de l'Utah. Les lois fédérérales et d'état s'arrêtent aux barrières de son ranch. Chez lui, la loi, c'est lui. Il est ouvertement polygame avec quatre épouses superbes, qui en tout, lui ont donné douze enfants robustes. Là il vient d'inviter les familles des ranchs amis, qui tous font partie de la même secte que lui, à une Covid Party.
Ils ont été les premiers à s'opposer en armes aux mesures de confinement contraires à la constitution. Ils défendent le droit de porter des armes, de travailler et circuler librement et de mourir comme bon leur semble, y compris du Covid 19.
Le pasteur Ron a la voix très forte et il est écouté par ses brebis qui reconnaissent sa voix.
-Ce monde est infesté de démons. Ils sont partout et fort rusés pour se dissimuler. Pouvez vous m'en citer ?
-Oui, nos fonctionnaires, tous infestés de démons qui nous rackettent d'impôts pour se faire des vies peinardes à répandre leur mal. C'est un cancer qui peut gangrener des états comme la Russie de soviets ou la France de Napoléon ou De Gaulle.
-Oui, nos militaires, tous à vouloir nos soutirer des impôts pour nous protéger soit disant.
-A quoi les reconnaît on alors, s'exclame le Pasteur Ron.
-C'est toujours pareil, nous taxer et réduire nos libertés pour nous « protéger ».
Sur ce ils célèbrent une petite messe suivant les coutumes de leur secte et partagent une collation frugale faite d'eau fraiche, de galettes de céréales et de fruits, tous produits par le ranch du pasteur Ron.
Après vient le temps de la Covid Party. Tous s'embrassent sur la bouche. Un vrai baiser, avec les langues qui se frottent.
-Nous te rendons grâce Seigneur tout puissant. Voici que par ces baisers nous venons de te montrer que nous respectons ton commandement. Nous nous aimons les uns les autres. Nous ne craignons, ni virus, ni rien. Notre foi nous protège. Bénie soit ta volonté.
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Il avait fait moins chaud que de coutume. Xavier, qui avait nagé une partie de
la matinée, dormait sur le divan d'une pièce fraîche au rez de chaussée de la
villa. Charlotte, piquée de voir qu'il préférait dormir, avait rejoint Juliette dans
son alcôve. La mer et le soleil l'avaient déjà dorée davantage: ses sourcils,
ses cuisses, ses seins et son pubis semblaient poudrés d'or, et comme elle
n'était pas maquillée, sa bouche était du même rose que la chair rose au
creux de son ventre. Pour qu'elle pût totalement la contempler, Juliette eut soin
à plusieurs reprises de lui renverser les jambes en les maintenant ouvertes en
pleine lumière. Les volets étaient tirés, la chambre obscure, malgré des rais de
clarté à travers les bois mal jointés. Charlotte gémit plus d'une heure sous les
caresses de Juliette, et enfin les seins dressés, les bras rejetés en arrière,
serrant à pleine mains les barreaux de bois qui formaient la tête de lit à la
grecque, commença à crier lorsque Juliette se mit à mordre lentement la crête
de chair où se rejoignaient, entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres.
Juliette la sentait brûlante et raidie sous sa langue, et la fit crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendît d'un
seul coup, moite de plaisir. Puis elle la renvoya dans sa chambre, où elle s'endormit, sans penser au lendemain.
Elle était réveillée, quand Xavier vint la chercher. Il lui rappela, mais il lui paraissait peu probable qu’elle sût, en
toute connaissance de cause, à quoi elle s'était engagée, lorsqu’elle l’aurait compris, il serait trop tard pour qu’elle
échappât. Après une route interminable, Juliette arrêta la voiture devant le portail d'un manoir Régence où un
homme nous attendait; le temps de reprimer son angoisse, Charlotte se retrouva les yeux bandés; elle portait une
une robe droite noire, avec une fente arrière arrivant jusqu'à mi-cuisse; en dessous, un corset rigide rehaussait
ses seins, révélant les aréoles brunes, et la naissance des pointes, en faisant saillir le ventre, des bas fins et noirs
tenus par un porte-jarretelles; elle était chaussée de talons hauts; sa Maîtresse lui attacha les mains derrière le dos.
Le temps de réprimer son angoisse, une poigne énergique et brutale enserra ses bras frêles et la conduisit dans une pièce
qu'elle imagina minuscule, sorte d'antichambre où elle attendit un long moment; nous fûmes conduites dans un petit salon;
je me glissai derrière elle, et soulevai sa chevelure, en faisant glisser la fermeture éclair de sa robe, de la nuque, jusqu'au
bas du dos, le vêtement tombait à ses pieds, tandis que je dégraffai ses bas en les faisant glisser le long de ses jambes.
Le serre-taille rejoignit le reste de sa parure à ses chevilles, dénudant totalement Charlotte; elle conservait, fixée au centre
de ses reins par trois chaînettes d'or tendues à une ceinture de cuir autour de ses hanches, un bijou imitant un sexe dressé,
destiné à distendre le cercle de chair, et à rendre encore plus aisé l'usage de cette voie; jugée trop étroite, pour la prêter, sa
Maîtresse avait cru bon de l'élargir afin qu'elle fut doublement ouverte; ainsi forcée, elle en portait un chaque jour plus épais.
Une présence se manifesta soudain l'arrachant de sa torpeur; on la poussa pour descendre les marches d'un escalier
tortueux; l'odeur de la terre humide emplissait ses narines; au bas de l'escalier, se trouvait une cave avec son odeur
caractéristique de moisissure; une véritable cave comme une esclave doit l'aimer; on retira la ceinture de cuir et on la fit
asseoir sur une chaise en bois hérissée d'un volumineux godemichet de sorte qu'il la pénétre profondément entre ses reins.
Empalée dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient l'odeur des anciennes prisons, on glissa sur sa
tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée
au niveau de la bouche; elle ne fut pas fouettée tout de suite; les seins et la bouche offerts, dans cette froide pénombre
où ne pénétrait aucun bruit, tremblant de froid, elle ne vit jamais les deux hommes qui entraient ni la jeune fille soumise.
Quelqu'un l'appela "Numéro 2" et s'adressa à elle en la traitant de "sac à foutre"; Charlotte apprit qu'elle était là pour
servir de réceptacle à la semence des Maîtres, qu'elle devait recevoir par tous les orifices prévus par la nature, sans
jamais protester ni même trahir une quelconque émotion; c'était une femme ravalée au rang d'objet muet et servile;
un homme s'approcha de la chaise; Charlotte devina qu'il tenait au poignet, un martinet aux lanières en cuir.
On la porta sur une table où elle fut allongée sur le dos et solidement ligotée; elle attendit quelques minutes dans la
position infamante de l'esclave offerte et consentante; les hommes s'approchèrent d'elle et brusquement elle sentit
des dizaines de doigts la palper, la fouiller, la dilater avant que les sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer;
elle fut malmenée, saccagée, sodomisée; mais Juliette interrompit brutalement la séance qui lui parut trop douce.
Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui
chauffer le corps avant d'autres impacts plus sévères. Du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle reconnut la
morsure particulière au creux de mes reins. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un
aspect presque rassurant. Maniée avec nuance et précision, chaque coup reçu lui semblait différent du précédent,
selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire, sur toute la longueur de la tige.
Le Maître la flagellait avec une rigueur impitoyable et elle oublia toutes ses bonnes résolutions pour se mettre
à crier sous la morsure impitoyable du cuir. Son corps se tendait en une supplication muette, mais éminemment
éloquente. Bientôt, comme elle le pressentait, la douleur qui la tenaillait se mua en plaisir, alors elle ne put se
retenir davantage, ses reins se cambrèrent, propulsant ses cuisses et son ventre en avant, dans un orgasme si
violent qu'elle crut défoncer la croix qui la retenait prisonnière. Honteuse et fière, elle avait joui.
On détacha Charlotte de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que le temps de
préparer l'épreuve suivante; on lui lia les chevilles avec des lanières de cuir reliées par des chaînes au murs de pierre et
on emprisonna ses poignets dans des bracelets d'argent pendus que l'on écarta en croix, comme les cuisses; elle était
ainsi offerte dans cette position humiliante, que la lumière ne parvenait pas à rendre impudique.
Les seins et le ventre offerts, et le lugubre silence; rien qui lui était d'autant de secours que le silence et les chaînes; se
lassait-elle ? Non; à force d'être outragée, il semble qu'elle aurait dû s'habituer aux outrages, sinon au fouet à force d'être
fouettée; on lui ôta la cagoule; Charlotte parut fascinée par la noblesse des lieux; c'était une cave voûtée splendide, aux
murs de pierres apparentes; des cierges ornaient chacun des angles dont les flammes tremblaient sur l'or des pierres.
Pendue aux bracelets qui lui sciaient les poignets, écartelée à en sentir les jointures de ses cuisses endolories, elle ne
pouvait faire un mouvement, ni tourner la tête pour voir la jeune soumise; "Numéro 2" s'approcha de Charlotte; après un
moment, on retira la cagoule qui l'aveuglait; elle aperçu la jeune fille, à peine plus âgée qu'elle; elle avait un corps parfait
et un visage délicat; un homme lui murmura à l'oreille qu'elle devait se servir d'elle comme bon lui semblerait.
Flattée, "Numéro 2" entendait amener Charlotte à merci; elle commença par lui caresser l'intérieur des cuisses; la jeune
soumise semblait sûre d'elle, faisant preuve d'une tranquille détermination; elle ne ressemblait plus en rien à une esclave
sinon sa nudité; au contraire, elle avait le port du visage fier; aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, Charlotte gémit.
"Numéro 2" passait de la droite à la gauche, s'arrêtait, reprenait; la suppliciée se débattait de toutes ses forces.
Charlotte crut que les liens la déchireraient; elle ne voulait pas supplier; qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable
qu'un homme, elle n'en avait jamais douté, mais elle pensait que la jeune soumise cherchait moins à manifester son autorité
qu'à établir une complicité; de fait,"Numéro 2" arrêta la flagellation pour s'amuser avec son sexe, écarter les chairs, agacer
le clitoris, et la pénétrer avec le manche de la cravache; enfin, elle fit le tour du corps écartelé et détacha Charlotte épuisée.
Souillée de sperme et de sueur, Juliette décida qu'elle devait être reconduite au premier étage pour qu'elle fût douchée;
après une minutieuse toilette, elle lui ordonna d'uriner à même le sol dans une coupelle, de renifler son urine et de la boire;
bouleversée par cette épreuve, au bord des larmes, mais n'osant se rebeller, elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas,
elle se mit à laper le liquide tiède et clair et à l'avaler, prenant soin de ne laisser aucune goutte, sans être comblée de honte.
Elle fut conduite dans la chambre qu'elle devait occuper, où nue et enchaînée, elle s'endormit.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je suis désolée pour les fautes éventuelles, je ne me suis pas relue. J'avais une envie folle de chamallow..
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Je sortais d’une bonne douche bien chaude. Mes muscles étaient tout dépendu. Cela m’a fait fait un bien énorme après cette longue journée. En ouvrant la porte de la salle de bain, il était là face à moi. Le regard tout rêveur, un petit sourire. Il mis sa main sur ma joue et me caressa.
Je lovais mon visage contre lui.
Il me tira par la main et me conduisait dans sa chambre.
- Mets toi sur le lit ma petite renarde.
Je le regardais, j’aimais quand il m’appelait ainsi. Cela laissait présager de doux moments quand il employait ce surnom.
Je laissais tomber ma serviette au sol. Je m’avançais alors vers le lit. Je montais dessus. Une fois bien installée, je me dandinais les fesses comme pour une invitation. J’avais mis ma tête contre le lit tout en le regardant avec grand désir. Je l’invitais à vouloir jouer avec moi.. presque suppliante. J’esquissai ce sourire sur mes lèvres..
- Je vois que tu es d’humeur joueuse.. cela tombe bien. J’ai un petit cadeau pour toi.
Je souriais.
- Mets toi à quatre pattes..
Il s’avança vers le lit et s’assit à coté de moi. Il posa le paquet devant moi. C’était une boite fermée par un ruban.
- Je veux que tu l’ouvres avec tes dents ou ta bouche. Applique toi !
Presque félinement, je me cambrais pour m’amuser avec ce ruban. Je le saisissais d’une extrémité avec ma bouche. Et je tirait doucement dessus. Il me restait à faire de même de l’autre. Je me déplaçais alors sur le lit et je défis l’autre extrémité. Avec mes dents, je tentais de défaire le nœud. Je le regardais alors avec ce regard qui nécessite de l’aide.
- Oh tu as besoin d’aide.
Je hochais la tête en faisant mine d’avoir l’intellect proche de celui d’un enfant qui a besoin de soutien.
- Attend je vais t’aider. .. voilà. Allez continue.
Avec le bout de mon nez je tentais d’ouvrir la boite, le couvercle tomba légèrement. Je le poussais alors tout doucement à nouveau avec mon nez.
- Brave petite fit-il en me caressant la tête.. C’est bien. Voyons un peu ce que cache ce petit papier.. Attend je te le défais.
C’est là que je vis une sublime queue de renard. Mes yeux brillaient.
Il tapait sur ses genoux m’invitant à m’y installer. Tout en marchant à quatre pattes sur le lit, je passais au dessus de ses jambes pour lui présenter mes fesses.
Il commença par me caresser les fesses. Il aimait un plaisir à les griffer, les mordre . C’était pour moi mon loup Alpha. Je continuai à bouger mes petites fesses quémandant encore davantage..
- Tout doux ma belle…
IL écarta doucement mes fesses puis commença à balader ses doigts avec douceur sur ma chatte.
- Redresse toi.
Il me tenait alors par le coup et appuya sur mon dos afin que je me cambre.
Naturellement j’avais ouvert ma bouche pour en sortir ma langue.
- Hum bonne petite salope.. dit il en me fouillant avec un doigt la chatte.
Il avait saisit le rosebud surlequel était fixée la queue de renard. Il l’humidifia en l’introduisant dans ma bouche.
- Descends au pied.. Présente moi ton cul..allez.
Je ne disais rien, j’étais excitée à l’idée de jouer à la petite renarde en essayant d’en prendre toute l’attitude.
Je pris cette position où je présente mon cul à Monsieur. Tête au sol, cul relevé.
- Humm que tu es excitante ainsi.. On va bien jouer ensemble.. ma petite renarde.
IL placa le rosebud au début de mon anus. Il le poussa doucement jusqu’à ce que mon fion cède.
Il s’assura qu’il était bien en place. Le jeu allait commencer.
- Allez redresse toi que je te mette tes petites oreilles de renarde…
Je savais quel était mon rôle ce soir. C’était tellement amusant et plaisant de jouer ce rôle de renarde. Ce coté intelligent, craintif, joueur.. c’est un animal que j’ai toujours aimé.
- Voilà…. dit il d'une voix satisfait.
Puis il me mit mon collier.
Je commençais alors à marcher avec fierté avec ma queue de renard tout en me dandinant et le regardant. Il m’observait à l’affut de mes réactions. Je fis mine de vouloir sortir de la chambre.
- Stop, viens là…
Mais je n’écoutais pas je jouais à ce petit animal sauvage à apprivoiser. Il se leva et à ma hauteur, attacha la laisse.
- Voilà, maintenant tu ne peux plus partir.
Je forçais à vouloir marcher dans la direction inverse de la sienne en tirant sur ma laisse. J’éméttais un petit son d’animal appeuré qui a été mis en captivité.
- Viens là, regarde la petite friandise que j’ai pour toi..
Je me fis alors un peu plus docile à dresser mes petites oreilles, si intéressée par la nourriture qu’il me montrait. Fièrement à quatre pattes, tête droite pour être belle et recevoir ma récompense.
- Pas bougé.
Il approchait avec sa main cette friandise… je devinais que c’était un Chamallow… j’adorais les bonbons, un péché mignon très utile pour attraper les petites renardes fuyardes.
C’est alors que je commençais à tourner sur moi, à poser mes mains sur ses jambes en jouant de mes bras comme si c’était les pattes d’un renard.
- Sage dit il en levant la main.
Je le regardais droit dans les yeux continuant mon manège. Il me parlait avec un ton rassurant pour que j’obeisse.
Puis doucement, je me calmais. Je m’étais assise sur les genoux, les deux mains sur ses jambes. Je ne bougeais plus je le regardais.
Doucement il approchait le chamallow vers ma bouche. J’ouvrais ma gueule pour le saisir. Je sautais pour le récupérer. Il le retira avec rapidité.
- Je vois que tu n’as pas encore les bonnes manières. On recommence. Doucement !
Je voyais le chamallow à nouveau revenir vers moi et à nouveau je fis mine de vouloir le voler de sa main. Une petite renarde bien joueuse que je suis.
A nouveau il retira sa main.
- Tu attends dit il en levant le doigt.
Cette fois il rapprochait le chamallow de ma bouche. J’attendais. Je louchais dessus.
- Maintenant !
Je mordis à pleine dent, dévorant cette friandise qu’il m’offrait. Il s’agenouilla et me caressa les cheveux.
- C’est bien.. C’est bien, tu vois.. tu apprends vite… Allez viens.
IL me fit marcher à la laisse. J’avançais quand il stoppa. Je continuais.. Je m’étranglais. Je revenais alors dans sa direction. Il le fit à plusieurs reprises. C’est alors que je compris que je devais marcher à son pied.
Dès que je le voyais s’arrêter je m’assayais, le regardant dans les yeux. Il me tendait alors un autre chamallow
- C’est bien.. brave petite.
Il se dirigea alors sur le lit. Il me fit monter dessus. Je me mettais bien au milieu, je sautillais avec mes deux bras avant, faisant mine d’etre heureuse de voir mon maitre. Je venais me frotter contre lui. Assis sur le lit, il le laissait cette liberté c’est là que je posa ma tête sur ses cuisses. On se regardait si intensément. C’était si sensuel, si érotique. J’étais sur le dos, ma tête sur ses cuisses.
Je faisais mine de bouger ma tête comme le ferait un animal qui apprécie les caresses.
Il me caressait les cheveux, mes petites oreilles. Puis commença par me caresser les seins. Ses mains se balladaient. Je souriais de bonheur. Mes bras étaient à moitié replié. Parfois j’en tendais un pour lui toucher la joue et y laisser ma patte.
Il me saisit alors le poignet.
- Non.. non…
C’est là que je sortis ma langue pour lui montrer mon envie de jouer. Je me blottissais contre lui. Ce jeu était ce qui me fallait à ce moment présent. Il me retourna puis à nouveau je sentais qu’il voulait s’attarder sur le cul de son petit animal.
- Voyons ça… quelle douce petite fourrure.
Encore une fois, je faisais ces petits sons comme pour simuler celui d’un animal qui attendait plus.
Il souleva alors ma queue. Il tapota alors ma petite chatte. C’est alors que je voulu descendre.
Il me remis à quatre pattes et enchaina la laisse au lit.
Il releva à nouveau ma petite queue de renarde qu’il déposa sur mon dos. Quelle douceur sur la peau. J’en frissonnais. Il se leva et alla à son tiroir. Il en sorti la cravache. Je couinais tout doucement en le regardant avec ce regard de petit animal effrayé. Je tentais de me défaire de l’emprise de ma laisse en tirant dessus.
Quand soudain, le premier coup de cravache arriva sur ma croupe. Je couinais. Il avait saisi la queue de renard maintenant en main pour me maintenir par le cul. IL plaçait la cravache pour me la faire sentir. Il l’éloignait et frappa à nouveau. Je tirais à nouveau. Puis il faisait plusieurs petits coups sur la crache au niveau de ma chatte. Cela me calma directement..
Il repris alors les rênnes de la laisse. IL plaça la cravache dans ma bouche.
- Voilà. Garde ! tu gardes !
D’une main pleine de désir, il souleva ma queue et fourra la sienne dans ma chatte. Il attrapa alors les extrémités de la cravache pour me redresser. Il me chevauchait la chatte. La chatte de cette petite renarde qui couinait ne comprenant pas ce qui lui arrive. Elle s’accouplait se laissant aller à la frénésie de cette queue qui la remplissait, la pilonnait, la bourrait si profondément.
Cette renarde compris toute l’attention que son propriétaire avait à son égard.
Je couinais, émettant toujours plus de son… Il tenait la cravache comme si c’était les mords d’un cheval. Chaque coup de queue était de plus en plus violent. Puis il me prit alors par l’oreille et dans un état complètement sauvage releva bien mon cul. IL était debout et me prenait ainsi à nouveau par la chatte.
Une renarde bonne à la baise. Il me tenait par les mamelles. Il me poussa alors contre le sol pour me mettre ensuite sur le dos.
Naturellement, je mis mes bras comme celle d’un chien qui se met sur le dos.
Il me tendit alors un nouveau chamallow.. Je sortais ma langue pour en profiter. Je commençais à savourer cette friandise quand il engouffra sa queue sans que j’ai finis de le manger.
Il exaltait.
- Quelle bonne petite renarde.. allez bouffe la bien..
- - Sors ta petite langue.
Il me fit alors lecher ses couilles. Je lapais… je lapais .. heureuse de tous ces sévices, supplices ou plaisirs.. je le désirais tant. J’aimais sa perversité. Des deux je ne savais pas lequel l’était le plus ;. Mais au fond ? on s’en fout !
Je le regardais, il me regardait. J’avais ce regard lubrique qui disait ;. Encore.. encore…
Il m’arreta dans mon élan puis me laissa ainsi au sol. Je me remis alors naturellement sur mes pattes à attendre quoi faire. Il avait sorti une chaine qu’il fixa autours de ma taille et m’enchaina au lit.
- Repose toi maintenant !
Je le haïssais à ce moment là de me laisser dans ma frustration. J’avais couru à quatre pattes vers lui, stoppée dans mon élan par la chaîne. Je tirai dessus, jouant le jeu d’un animal voyant son maitre partir. Je commençais à pleurer à la mort comme un animal abandonné le ferait.
Quand il revint, quelques minutes après. Je le voyais qu’il avait cédé.. Je lui faisais la fête en me dandinant le cul. Je me mettais bien fièrement pour avoir ma friandise. Sauf qu’au lieu d’avoir ma friandise il me musela la gueule avec un gag ball.
La petite renarde était alors obligée d’attendre ainsi enchainée au lit, ne pouvant émettre le moindre son.
IL était sorti de la chambre.
Je tournais en rond, puis naturellement je m’étais allongée. JE m’étais mise en boule comme à mon habitude. Je m’étais endormie.
EN me réveillant, je le vis qu’il me regardait. Il m’avait découverte. C’était probablement cela qui m’avait réveillé. J’en avais la chair de poule. IL me tira alors vers le pied pour m’amener au bout du lit tout en empoignant le second. J’étais alors sur le ventre les pieds posés au sol.
Il retira alors la queue de renard.
- J’ai une bien meilleure queue pour toi.
Toujours sans pouvoir dire mot, je sentis sa bite s’engouffrer dans l’antre de mon anus. Il m’empoigna les cheveux les tournant autours de sa main.
- Petite… putainnnn…
Il m’arrachait presque les cheveux. Tant de sauvagerie à me prendre d’assaut ainsi. J’étais encore sous le poids de mon réveil.
- Allez glappis.. glappis
Je glapissais à travers mon baillon. Puis il m’avança sur le lit.
- Ecarte ton cul.
J’écartais mon cul. A nouveau il s’enfouissait dedans. Il plongea ma tête contre le matelas.
- Mais regardez moi ce cul.. comme il est bien ouvert !
Il me tenait les fesses bien écartée pour voir comment mon fion était élargie. IL aimait le voir bien ouvert. Il replonga dedans. Il saisit ma tete qu’il martelait avec force contre le matelas.
- Voilà comment on baise une renarde.
A nouveau il me tourna sur mon flanc. Passa son bras autours de ma gorge pour me plaquer contre lui. Il prit sa queue et me la fourra dans ma chatte. Je me prenais des gifles, entre deux moments où il me malmenait les seins. Ma jambe était levée pour mieux me faire prendre.
Je criais alors mon plaisir d’être prise ainsi. IL m’embrassa.
Puis il repassa sa queue dans mon cul. Il serra fortement son bras sur ma gorge. Je ne m’appartenais plus tellement cela me rendait folle.
Il éjacula dans mon cul. Une fois qu’il se retira il y mis la queue de renard.
Je m’endormais alors dans ses bras. Epuisée.
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Dans la mythologie grecque, Pénélope, chez Homère ?????????? / Pênelopeia,
chez les auteurs postérieurs ???????? / Pênelópê), fille d'Icarios, est l'épouse fidèle
d'Ulysse dont elle eut un fils, Télémaque, exemple le plus cité de la fidélité conjugale
et de la vertu. On raconte qu'à sa naissance, on l'avait appelée Arnacia, qu'elle fut
jetée à la mer sur l'ordre de son père et sauvée par une bande de canards qui la
nourrirent et la ramenèrent sur le rivage. On la rebaptisa alors Pénélope, signifiant
canard. Dans sa jeunesse, à cause de sa grande beauté, elle fut demandée par
plusieurs princes grecs. Son père, pour éviter les querelles qui auraient pu éclater
entre les prétendants, les obligea à en disputer la possession dans des jeux qu'il fit
célébrer. Ulysse sortit vainqueur, Pénélope lui fut accordée.
Pendant les vingt années d'absence d'Ulysse, durant et après la guerre de Troie, Pénélope lui garda une fidélité
à l'épreuve de toutes les sollicitations. Sa beauté et le trône d'Ulysse attirèrent à Ithaque cent huit prétendants.
Elle sut toujours éluder leur poursuite et les déconcerter par de nouvelles ruses. La première fut de s'attacher
à faire sur le métier un grand voile, en déclarant aux prétendants qu'elle ne pouvait contracter un nouveau mariage
avant d'avoir achevé cette tapisserie destinée à envelopper le corps de son beau-père Laërte, quand il viendrait à
mourir. Ainsi, pendant trois ans, elle allégua cet ingénieux prétexte, sans que sa tapisserie s'achevât jamais ; car elle
défaisait la nuit ce qu'elle avait fait le jour; de là est venue l'expression "la toile de Pénélope", désignant un ouvrage
auquel on travaille sans cesse et que l'on ne termine jamais.
Ulysse et Pénélope ont pu bâtir leur palais, l’habiter et s’y aimer. Ils ont eu un fils, Télémaque. Mais Télémaque n’a que
quelques mois quand Ulysse part pour Troie et ving ans lorsqu’il revient. Quel peut être le sens du départ d’Ulysse ?
Peut-être signifie-t-il la fin de la lune de miel et du rêve de fusion, ce rêve de retour au paradis perdu ? le voyage d’Ulysse
serait comme un voyage intérieur initiatique qui, par la séparation d’avec sa terre et sa famille, mène à la différenciation.
Les nombreuses épreuves qu’il traverse le mettent à nu, seul, face à lui-même. Elles le confrontent aussi à ses propres
conflits et démons intérieurs qu’il devra affronter les uns après les autres afin de pouvoir ensuite découvrir et s’approprier
ses émotions, ses désirs, son identité et faire le choix de ses appartenances.
Ainsi s’agirait-il de faire le deuil de la première maison maternelle et familiale, assumer sa perte pour pouvoir l’intérioriser,
et alors seulement, pouvoir s’habiter soi-même. À ce moment-là, le souvenir et la reconnaissance de soi et de l’autre
deviennent possibles, le désir peut exister, et habiter ensemble devient possible. Alors seulement, Ulysse peut répondre à
Calypso qui voudrait le garder encore auprès d’elle et s’inquiète de savoir Pénélope plus belle qu’elle:
"Mais non, je sais qu’auprès de toi Pénélope serait sans grandeur ni beauté, tu ne connaîtras ni l’âge ni la mort, elle n’est
qu’une mortelle, et pourtant le seul vœu que chaque jour je fais est de rentrer là-bas et de voir en mon logis la journée du
retour" (Homère). Alors, Ulysse, acceptant sa condition d’homme mortel et seul, peut rentrer et retrouver sa femme.
Pénélope elle aussi, à sa manière, en repoussant les prétendants et en élevant son fils entourée de ses servantes, fait son
propre voyage intérieur: elle pleure l’objet de son amour parti, perdu peut-être, mais aussi elle le conserve en elle.
Elle refuse les prétendants, mais s’en protège mal, puisqu’ils envahissent le palais, dévorent les réserves, boivent le vin
d’Ulysse. Elle élève Télémaque, mais sans le père entre eux, Télémaque est faible: il se range tout un temps aux côtés
des prétendants. Cependant, Pénélope ne doute pas d’elle, ni de son amour, ni de son désir; c’est le retour d’Ulysse.
Il a débarqué à Ithaque et, déguisé en vieux mendiant, il s’est présenté au vieux berger et à Télémaque. Il a été reconnu
par eux et par son chien et la servante qui lui lavait les pieds.
Aidé de son fils, il a tué tous les prétendants. Il lui reste à être reconnu de Pénélope. Il l’attend dans la salle du palais.
La vieille nourrice prévient Pénélope: "De l’étage, à ces mots, la reine descendit. Quel trouble dans son cœur ! Elle se
demandait si, de loin, elle allait interroger l’époux ou s’approcher de lui et, lui prenant la tête et les mains, les baiser.
Elle entra, elle avait franchi le seuil de pierre: dans la lueur du feu, contre l’autre muraille, juste en face d’Ulysse, elle vint
prendre un siège; assis, les yeux baissés, sous la haute colonne, il attendait le mot que sa vaillante épouse, en le voyant,
dirait; mais elle se taisait, de surprise accablée. Elle resta à le considérer, et ses yeux tour à tour reconnaissaient les traits
d’Ulysse en ce visage, ou ne pouvaient plus voir que ces mauvais haillons." (Homère)
Pénélope doute. Elle ne veut pas de n’importe qui, elle veut Ulysse et aucun des signes qui l’ont fait reconnaître par les
autres ne lui suffisent. D’autres hommes pourraient présenter les mêmes signes et la tromper: bander l’arc, avoir la même
cicatrice au genou. Pénélope veut l’Ulysse qu’elle aimait, il y a vingt ans, celui qui est parti, son mari avec qui elle pourra
combler le trou de ces vingt années d’absence. Alors Ulysse sourit. Il pense que son apparence de vieux mendiant la
trouble et que la présence de Télémaque et des autres la retient. Il confie à son fils une mission hors du palais et
demande qu’on lui prépare un bain.
Athéna répand sur Ulysse la beauté et la grâce, et c’est pareil à un dieu qu’il reprend sa place, face à Pénélope qui se tient
toujours là, immobile. Ulysse laisse alors exploser sa colère: "Malheureuse ! Jamais, en une faible femme, les dieux, les
habitants des manoirs de l’Olympe, n’ont mis un cœur plus sec. S’éloigner de l’époux, quand, après vingt années de longs
maux et d’épreuves, il revient au pays. C’est bien. Nourrice, à toi de me dresser un lit; j’irai dormir tout seul, car en place de
cœur, elle n’a que du fer." (Homère)
"Ulysse, à ces mots, pris d’un plus vif besoin de sangloter, pleurait. Il tenait dans ses bras la femme de son cœur, sa fidèle
compagne. Elle est douce, la terre, aux vœux des naufragés. L’aurore aux doigts de rose les eût trouvés pleurants, sans
l’idée qu’Athéna, la déesse aux yeux pers, eut d’allonger la nuit qui recouvrait le monde." (Homère) Le tronc d’olivier,
fondement du lit construit par Ulysse pour Pénélope et lui représente le fondement de leur couple, tant dans sa réalité que
dans sa dimension mythique. Il est leur secret et leur mythe, miroir du lien qui les unit et les fait couple. Ce mythe fondateur
confirme leur identité et leur légitimité.
Et dans le présent de cette nuit où ils se retrouvent, ils se rejoignent à travers le souvenir du passé qui permet le retour
aux racines et le souvenir du futur qui permet le passage vers l’avenir. Il aura fallu qu’Ulysse quitte sa maison, son couple,
sa famille, se retrouve seul, simple mortel dans les épreuves pour qu’enfin il puisse se trouver, s’unifier et revenir et gagner
sa place à Ithaque. Face à Pénélope, Ulysse se conduit en époux et doit lui rappeler leur mythe commun pour qu’ils
puissent à nouveau partager leur vie. Vis-à-vis de Télémaque, il agit en père; il le reconnaît comme son fils et lui confie
certaines missions qui lui permettront de devenir un homme.
Pénélope et Antigone, deux faces indissociables du féminin. À partir du poème d'Homère (850 av. J. C. ), et de la tragédie
de Sophocle (entre 496 et 494-406 av. J. C. ), ces deux figures mythiques et exemplaires rencontrent la psychanalyse.
L'histoire dénoue les incompréhensions et les impasses, à la fois originelles et actuelles de notre temps: de la dissociation
entre notre pensée et action, entre le pouvoir et la responsabilité, de la rencontre problématique de l'homme et de la
femme à cause du non rapport sexuel. Pénélope par sa ruse interroge la texture féminine de l'attente, et par son tissage,
la forme féminine de la parole. Trame et drame de sa vie, la seule certitude de la femme, est que son attente peut être
sans objet. À ce point d'assurance se fixe le refus. C'est un choix qui implique la mort.
Fantasme d'un tissage infini, tissage sans chiffrage, la femme sait moins d'un temps chronologique que d'un temps
logique. Antigone fascine les hommes et parle aux femmes. Sa fascination tient à son acte et à la limite où elle se
campe, entre la vie et la mort. Antigone, la femme l'éprouve, comme elle éprouve les lois non écrites. Elle se révolte
lorsque les lois humaines dérivent au nom du souverain confondu avec le désir criminel. S'il n'y a pas de signifiant
universel pour L? femme, Antigone se présente comme signifiant du pur désir, qui est un désir de mort. Antigone et
Pénélope affirment une vérité individuelle contre le pouvoir humain où l'oubli semble constitutif du politique. Ayant en
commun, l'excès, la solitude, elles sont garantes d'une mémoire infaillible.
En littérature, Le roman de l'écrivain irlandais, James Joyce "Ulysse", paru en 1922, renvoie au couple mythologique de
Pénélope et d'Ulysse. Dans son ouvrage, "Naissance de l'Odyssée", édité en 1930, Jean Giono imagine le retour d'un
Ulysse peu glorieux. Le personnage de Pénélope donna aussi lieu à des réécritures d'inspiration féministe.
Bibliographie et références:
- Callimaque, "Hymnes"
- Déméter, "Les Hymnes homériques"
- Hérodote, "Enquête"
- Homère, "Odyssée"
- Hygin, "Fables"
- Homère, "L’Iliade"
- Pausanias, "Périégèse"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- Hérodote, "Enquête"
- Chantraine, "Dictionnaire étymologique de la langue grecque"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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’ai écrit ce texte sur Portishead – Over. Je suis naturellement désolée pour les fautes qui doivent se faire présente au fil de mon excitation quand j’écris.
Je ne me relis pas, je suis désolée, je suis en salle d’attente.
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- Deshabille toi.
Son regard était sévère mais ses gestes m’indiquaient aussi que j’étais entre de bonnes mains. Je portais ce collier qu’il avait gravé et que je chérissais.
J’étais nue. Nous étions dans un club en Allemagne où des pièces dédiées à des fantasmes permettaient les extravagances pervers d’être réalisées. Je ne savais pas ce qui m’attendais. Son imagination était débordante. Il pouvait être sensuelle, doux puis parfois bien plus intransigeant. J’aimais cette alternance dans notre vision de cet univers qui nous est si cher.
Savoir se mettre à nue, oser tout dire, tout ce que nous avons dans la tête.
AU fond n’est ce pas ce qui fait qu’une relation fonctionne ? La sincérité et la franchise sont les maîtres mot. Naturellement, il s’était imposé à moi. Je sentais cette maîtrise, cette bienveillance et son infini respect pour le don que je lui faisais. Ma soumission.
IL y avait cette femme forte, têtue et très fière. Elle avait un coté fleur bleue et romantique. Celle qui aime être rassurée, cajolée, désirée et aimée. De l’autre, il y avait cette femme plus sombre qui depuis son adolescence ressentait au fond de ces entrailles ce besoin d’abandon.
Très jeune, j’ai du affronté, comme tout le monde, des moments compliquées. C’est ce qui nous construit. J’ai rapidement su que je ne pouvais compter que sur moi-même.
M’abandonner à un homme, complètement à nue et à ses pieds, c’est l’ultime quête. La forteresse que j’ai construite est forte. J’attendais qu’il vienne simplement y pénétrer en étant lui, en me respectant sans à avoir à utiliser mes armes pour me protéger.
Parfois j’allais vers les mauvaises personnes, parfois je voulais sincèrement accordée ma confiance. Mais les actes parlent toujours plus que les mots. Combien d’hommes (comme de femmes aussi) mentent et se mentent à eux même. La franchise c’est laisser l’autre libre de ses choix. Malheureusement, le besoin de posséder l’autre au détriment de ses sentiments est malheureusement légion. Ne parlons pas de ces fantasmeurs pendant qu’une femme soumise c’est un peu celle qui accepte tout avec n’importe qui. Ca me fait sourire.
Messieurs, être dominant c’est un état d’esprit, c’est en vous. Alors à ceux qui s’improvise dominant en se disant qu’une soumise va tout accepter juste comme ça par improvisation me fait simplement.. rire. Manquant le plus souvent de charisme, d’imagination. Mais je l’ai rencontré.. enfin. Le temps a été un tel luxe qui m’a apporté mon Saint Graal.
IL était à mon service et moi au sien. L’un sans l’autre ne peut exister.
Ce soir, il m’impressionnait encore une fois par cette aura qu’il dégageait . Celui qui me traitait comme sa princesse et sa chienne. Être chienne c’est pour moi révéler ce coté animal loin des codification sociétale, c’est pousser ses retranchements et s’assumer pleinement. Quoi de plus merveilleux que d’avoir ce guide qui m’épaule, me cajole, me corrige, me caresse et me rassure. Un lien si fort.
Il me tenait par ma laisse. Fièrement dressée sur mes talons.
- Viens me dit-il.
Nous dehambulions dans ce couloir pour arriver à cette porte.
- A genou, ma belle.
Il toqua.
La porte s’ouvrit. Un homme habillé en blouse et avec un masque ouvra.
- Bonsoir Docteur. Je vous amène en consultation ma petite chienne. Je souhaite faire une vérification complète de son état.
- Comment s’appelle votre chienne ?
- Lane.
- Des antécédents ?
- Oui des problèmes de dos. IL faut donc être prudent.
- D’accord, donnez la moi, je vais la mettre en cage en attendant.
- Voilà je vous la confie.
- Merci, je vous appelle quand la consultation commence.
L’homme me caressa les cheveux.
- Voilà tout doux ma belle. Nous allons te mettre en cage pour éviter que tu ailles fouiner partout.
Il ouvrir la porte d’une cage.
- Allez rentre.. n’ai pas peur..
Il m’avait retiré la laisse qu’il posa au dessus de la cage. Je passais mon premier bras, puis le second. Ma tête pénétrait dans cette cage. Je mettais alors ma main sur celle-ci comme pour chercher quelque chose qui allait me rassurer.
Il était sorti de la pièce et avait tout refermé, me laissant ainsi dans le noir.
Je perdais la notion du temps
La lumière s’alluma. J’étais un peu aveuglée. Je prenais mon regard de petite chienne apeurée. Je vis les ombres s’approcher de moi. Je reconnu distinctement mon Maître puis l’autre homme, que j’appellerai Le Docteur.
Le docteur ouvrit la cage. IL tenait dans sa main la laisse. Je ne voulais pas sortir, peur de savoir ce qui allait se passer.
- Allez sors, viens dit il.
- Allez sors Lane.. dit Monsieur.
Je sortais alors ma gueule dehors. IL m’attacha à la laisse.
- Venez me suivre Monsieur, allons examiner cette petite chienne.
Je marchais à quatre patte, le docteur marchait relativement vite. La laisse était bien tendue. Mon Maitre me donna un coup de pied aux fesses.
- Arrête de trainer la patte.
J’adorais me fondre dans mon personnage de petite chienne. Je commençais à lâcher prise, excitée par l’inconnu, par ce moment présent.
Le docteur tapota sur la table qui se présentait devant moi.
- Allez grimpe.. viens.
- Avec mon attitude de chienne racée je montais alors sur la table.
- Voila la laisse, tenez la bien fermement que je l’examine. Nous allons déjà voir l’état générale du corps et vérifier que ses mamelles sont biens.
Mon maitre enroula la laisse autours de sa main. Il maintenait cette tension pour que je sois bien présentable, dressée.
Je sentais la main de ce docteur se poser sur le bas de mon dos en appuyant légèrement dessus afin que je me cambre.
- Bon inspectons ces mamelles.
Il commençait par palper mon sein droit et gauche, imitant les gestes techniques.
- Petits mais bien en forme. Je vais procéder à la palpation afin de m’assurer que nous n’avons pas de tumeurs.
Il compressait mes seins, les malaxait.
- Hum parfait, rien à dire. Je vais maintenant m’assurer que ses mamelles sont disponibles à la suscion en cas d’une éventuelle utilisation à venir.
Il plaça alors des titres tétons de manière mécanique. Des gestes bien précis, sans aucun état d’âme.
- Voilà parfait.
J’émettais un son d’inconfort.
Le docteur me caressait à nouveau la tête, mon maitre me tenait encore plus fermement.
- Calme toi, me douce chienne. Laisse toi osculter.
Sa voix douce et chaude me rassurait. Le fait qu’il soit là me rassurer.
Je vis alors le docteur s’approcher avec un écarteur buccal. Je rechignais ne voulant me laisser faire.
Monsieur me prit alors par la gueule pour me maintenir la tête. Le docteur plaça alors l’appareil dans ma bouche. Je ne bougeais pas. Doucement il ecarta, puis écarta encore pour ouvrir bien grand ma bouche. Ma mâchoire me faisait mal. Je n’aimais pas cela mais d’être ainsi exposée me rendait malgré moi folle.
Devant moi le docteur mis des gants qu’il fit claquer devant moi. IL prit une lampe et regarda l’intérieur de ma bouche. Il jouait son rôle à la perfection.
Il introduisa son doigt dans ma gueule puis regarda ma gorge.
- Hum parfait tout ça. Un bon degré d’ouverture, pas de problème à signaler.
- Hum j’en suis ravie docteur répondit Monsieur.
- Oh vous avez une bien belle race de chienne. Elle semble plein de tempérament mais elle est un bon modèle pour l’accouplement. Enfin de ce que je peux voir.
- Oui, j’avoue. Elle a de très bonne pré-dispositions.
- Bon maintenant, allons vérifier que tout est bon au niveau de ses orifices génitaux.
Pouvez vous lui tenir la tête contre la plaque s’il vous plait. En général elles n’apprécient pas.
Mon maitre appuya sur mon cou pour que je colle mon visage contre la place. IL tenait fermement mon cou avec sa main pour m’immobiliser mais aussi ma laisse. La chaleur de ses mains contre cette table d’examen était d’un doux réconfort.
- Je vais procéder à un lavement anal Cela lui fera le plus grand bien. Parfois les propriétaires oublie d’en pratiquer. Cela évite de mauvaises surprises dit il en riant.
Il avait saisit une sorte de sonde qui était rattaché à une poche sur une tige métallique.
- Tenez bien votre chienne. JE vais maintenant lui insérer cette sonde dans son anus.
IL écartait bien mes fesses de manière médical puis y introduisa la sonde.
- Voilà.
IL s’arrangeait ensuite pour que le produit pénétre bien. Cette sensation était bizzare. Dans ma tête, je me disais mais comment il va faire après pour retirer tout cela. J’allais me sentir complètement humiliée. J’avais du mal au bout d’un moment de ressentir mon cul aussi rempli.
- Parfait. Monsieur pouvez-vous me tendre la bassine.
- Volontiers. Tenez.
- Maintenant tu vas pisser par le cul petite chienne. Soulage toi. Rejette bien tout.
- Vous pouvez la redresser pour l’accompagner à cet exercice.
Le docteur tenait la bassine attendant que je libère le liquide. Mon maitre me faisait tenir a quatre pattes.
- Allez pisse me dit il au creux de l’oreille. Soulage toi.
Soudain, je sentis le liquide sortir par mon anus. J’entendais le son du jet atterrir dans la bassine.
- Allez encore.. voilà.. continue dit le docteur.
Il saisit alors une serviette et me sécha les fesses.
- Voila, notre premier phase d’examen est maintenant terminé. Pour la seconde phase, je vais appeler mon assistante. Elle a l’art et la manière de faire les examens plus profond que moi.
IL avait rabaissé la table pour me faire descendre. On me dirigea alors vers un fauteuil de gynécoloque.
Mon maitre m’avait redressé afin que je puisse y prendre place.
- Placez ses pattes de part et d’autres. Nous allons l’immobiliser pour la suite.
Je me retrouvais ainsi attachée les jambes écartées. On m’avait également sanglées les bras afin que je ne puisse plus bouger. Le docteur m’avait parfaitement positionnée les fesses bien au bord. Vulve exposée pour l’étude comme mon petit anus.
- Nous allons la museler, vous comprenez.
- Oui parfaitement, allez y.
- Pouvez vous aller vous asseoir Monsieur et laisser mon assistante faire.
Je vis alors l’assistante entrer. Vetue tout en blanc, elle portait également un masque. Je ne voyais que son regard bleu. Elle avait quelques rondeurs. Elle me faisait à toutes ces infirmières qui ont ce coté rude.
- Helena, pouvez vous faire les examens profonds.
- Oui bien sur Docteur.
Mon maitre était assis sur le coté à quelques metres. Je le regardais. IL me regardait. J’imaginais son excitation à me voir ainsi attachée pour subir cette examination.
Elle me mit un baton dans la bouche rattacher par des fers au bout et le serra.
Elle fit rouler un tabouret. Saisis des gants.
- Bon examinons cette chatte.
Elle mis un doigt.
- Aucune sensibilité ni douleur. Bonne réaction au stimuli Docteur. Je vais maintenant m’assurer que tout va bien.
- Speculum.
- Voilà ma chère.
Avec un savoir faire, elle plaça le speculum dans ma chatte. Puis comme une orfèvre, elle le faisait s’ouvrir. Ce n’était pas agréable.
- Lane, calme toi, dit mon maitre au loin.
Je la vis avec une lampe regarder l’intérieur de ma vulve.
- Vulve en parfait état. Rien à signaler. Toujours bonne pour utilisation.
- Voulez vous voir Monsieur ?
Je le vis sourire.
- Oui avec plaisir.
- Regardez tout est parfait.
Il s’était abaisée pour me regarder bien en profondeur. J’étais complètement excitée.
- Bonne réaction au stimuli. La chienne mouille correctement.
Elle retira le speculum. Elle humidifia correctement mon sexe en utilisant ma mouille. C’est là que je la vis se saisir d’un appareil à ventouse qu’elle colla sur mon clitoris et ma chatte.
Elle commença a presser la pompe. Je sentais mes lèvres, comme pour mes tétons grossir, être aspirer.
- Voila. Parfait. Les lèvres sont parfaitement collé.
J’étais ainsi avec les seins aspirés et la chatte également. C’était une sensation qui me rendait folle. Celle où mon maitre me laissait à des mains expertes. J’étais qu’il me regarde, qu’il m’exhibe ainsi.
Je me sentais complètement défaillir. C’était si bon.
Le docteur s’avança vers moi et me retira alors les tire-tétons puis me pris par les tétons et les tira bien fermement.
- Ces tétons sont maintenant bien sensibles à la stimulation. Voilà .. C’est parfait.
L’assistante commença doucement à appuyer sur la pompe pour libérer ma chatte de cette pression divine, pour me libérer.
Je sentais les lèvres énormes gonflées aussi par le désir. C’était divin. Elle me caressait avec un savoir faire le clitoris et les lèvres. C’était si bon de se faire caresser ainsi.
Elle commença alors à y fourrer ses doigts.
- Tout doux petite chienne, nous allons bien te stimuler pour ta saillie.
Je mordais alors dans mon baillon. Je regardais mon maitre. Il s’était levée.
- Puis-je vous regarder comment vous la stimuler ?
- Oui, bien sur Monsieur.
- J’introduis en premier lieu un ou plusieurs doigts. Cela dépend de la chienne. Ensuite, je tourne doucement ma main. Nos examens précédent favorise la dilatation.
Je ralais, les yeux complètement apeurés.
Je sentais sa main en effet voulant me pénétrer. Elle plaça sa main sur mon ventre puis descendit pour me caresser le clitoris.
- Calme toi.. calme toi..
Mon maitre s’était approchée de moi. Il me parlait à l’oreille.
- Tu es une bonne petite chienne. Tu es des plus excitantes ainsi. J’aime savoir qu’on va bien te dilater. Je sais que tu adores ça.
Je fermais les yeux comme si j’avais cette honte de l’avouer mais il le savait, il me connaissait.
Il me caressait pendant qu’elle me fistait la chatte.
- Voilà j’y suis. Encore un petit effort. Voilà… va y ma belle. Dilate toi..
- Cher Monsieur elle se dilate parfaitement. ON pourrait presque encore en ajouter ?
- Ah oui dit il ?
- Oui, elle a de bonnes dispositions même si elle est un peu étroite.
- Alors faites, poursuivez l’exercice.
Elle retira son poing. Je la vis joindre ses mains et intoduits 8 doigs dans ma chatte.Puis doucement elle est ecarta.
- La chatte de votre chienne est à présent bien béante.
Le docteur était là, il regarda.
- Allez y, lechez pour la soulager. Je vous y autorise.
- Oh merci Monsieur, répondit elle au docteur.
C’est là qu’elle commença un cunnilingus si intense tout en me doigtant.
- Hum, elle est si dégoullinante cette chienne.
Elle m’aspira de partout. Mon maitre était à coté de moi.
- C’est bon hein ?
- Je fermais les yeux en guiche de réponse..
- Je t’autorise à jouir si jamais cela venait.
Je commençais à trembler submerger par tous ces stimulis.
Le docteur regardait aussi.
Elle commença aussi en même temps à me doigter le cul et l’honora aussi en le lécher. C’était si bon. J’en m’enivrais de cette situation.
Il était bon de ne pouvoir rien controlé. Soudain la oix du docteur m’arracha à ma torpeur.
- Vas y tu peux aussi la baiser par
la chatte si tu le désires.
- Oh merci Maitre, lui dit elle.
Elle s’empara du gode ceinture et me pénétra la chatte. Elle me baisait comme un homme.
Mon Maitre n’en ratait pas une miette. Il adora me voir prise par d’autres.
- Voilà. Elle est maintenant prête pour la saillie comme vous l’avez demandé Monsieur.
C’est là qu’il s’adressa à nouveau à moi.
- Je ne vais pas bouger, je vais te regarder te faire prendre par la chatte et le cul. Il va y en avoir un certain nombre d’hommes mais aussi des femmes.
Cette idée m’effrayait, m’excitait, je ne savais pas quoi dire. Une fois de plus il y mettait la juste dose en restant à mes cotés. A ne pas sentir honteuse de prendre ce plaisir sans lui.
- Nous allons bander les yeux de la chienne. Cela va la stimuler .
ON m’ota la vue. Il était toujours là. Je sentais sa présence et leurs présences. A regarder.
Je sentis alors un sexe s’introduire en moi par la chatte. Il y allait avec une certaine douceur, tout en me caressant les seins. Rapidement, je sentis qu’il avait éjaculer.
Puis un second.. cette fois, Il commença par m’introduire des doigts dans ma chatte tout en y tenant ensuite sa queue. C’était une sensation étrange.
- Par le cul, entendis-je. Baisez la par le cul dit mon maitre.
Je sentis alors une queue rentrée par mon anus, avec une douceur.. tout en me caressant le clitoris. Je compris alors que c’était une femme. Puis d’un sec elle commença un long va et vient.
- Tiens prends ça dans ton cul, sale chienne entendis-je.
Elle me tenait par les jambes comme un homme ferait pour me baiser. Puis avec ses mains elle claqua mes seins, puis s’en empara les serrant fermement pour me donner un coup bien profond et y rester.
Je serrais les dents. J’étais dans un état à ne plus vouloir compter, juste à être utilisée. Ma chatte ne cessait de couler de mouille.
Puis je sentis une langue me lécher tout en jouant de doigts dans mon cul..
- Hum quelle bonne mouille dit elle..
Je sentis en même temps des doigts me tirer les tétons mais pas ceux de mon Maitre.
IL m’avait offerte à me repousser complètement. Je sentais chaque coups de queue, de langues, dans ma chatte, dans mon cul.. je ne m’appartenais plus.
J’étais alors épuisée. C’est là qu’il retira le baillon. Il m’embrasse avec une infinie tendresse. Je sentais les lèvres de ma chatte complètement irritée. ON me désangla.
Je retrouvais alors une forme de liberté. IL m’avait prise dans ses bras. Je m’y réfugié comme pour y retrouver une chaleur réconfortante. La chienne avait laissé place à la princesse.
- As-tu aimé ?
Dans un murmure, j’osai à peine affirmer que j’avais totalement adoré.
J'entendis alors le docteur dire.
Voilà mes préconisations post saillie : du repos en cage.
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Antigone, en grec ancien ???????? / Antigónê, est la fille d'Œdipe, roi de Thèbes,
et de la reine Jocaste. Ses parents régnèrent sur Thèbes jusqu'au moment où ils
prirent conscience de leur inceste. Jocaste se pendit et Œdipe se creva les yeux.
Créon, le frère de Jocaste, le chassa de la ville, mais avant de partir il maudit
Etéocle et Polynice, à la fois ses fils et ses frères qui, en partageant la dépouille
d'un animal sacrifié, lui avaient octroyé la cuisse au lieu de l'épaule royale. Aussi
le virent-ils partir sur les routes de Grèce sans verser une larme. Seule, Antigone
eut pitié de son père, abandonnant Hémon, son fiancé, fils de Créon, l'accompagna,
lui servant de guide, mendiant pour survivre et lui apportant le réconfort de sa
présence et de sa tendresse.
Après la mort de son père, Antigone revint à Thèbes où ses frères se disputaient le pouvoir. Polynice attaqua
Etéocle, avec l'aide d'Adraste, roi d'Argos; mais les frères ennemis trouvèrent la mort au cours de la bataille.
Devenu roi, Créon leur fit des funérailles grandioses, mais Etéocle ayant fait appel à des étrangers contre son
pays, n'eut pas droit à une sépulture. Antigone, ne tenant pas compte des ordres de Créon, fit élever un bûcher
où fut placé le corps de Polynice, fut prise sur le fait par le tyrannique Créon qui ordonna à son fiancé de
l'enterrer vivante dans la tombe de Polynice. Hémon fit mine d'y consentir, mais s'enfuit avec Antigone, l'épousa
en secret et la cacha chez des bergers. Elle lui donna un fils qui, bien des années plus tard, revint à Thèbes,
prit part à des jeux funèbres où son grand-père le reconnut à la marque du dragon que portaient sur le corps
tous les descendants de Casmos. Créon le condamna à mort et, de chagrin, Antigone et Hémon se suicidèrent.
Héroïne de la mythologie grecque, Antigone est la fille du mariage incestueux d’Œdipe et de Jocaste. Le mythe
d’Antigone nous a été transmis par les tragiques grecs Sophocle, Eschyle et Euripide, au V ème siècle avant J.-C.
Lorsque Œdipe, objet de la réprobation et de la répulsion de tous, se crève les yeux et quitte Thèbes, c’est
Antigone qui le guide jusqu’à Athènes. Ainsi incarne- t-elle une figure hautement morale: la fidélité sans faille, la
piété filiale. Mais l’époque moderne a surtout retenu un autre épisode du mythe; Antigone défie ensuite son oncle
Créon, lequel a interdit d’enterrer Polynice, frère d’Antigone, coupable de s’être levé contre Thèbes.
Dans la faiblesse de sa jeunesse et de sa féminité, la fille d’Œdipe représente alors la légitime révolte. Elle dénonce
la démesure (hubris) de Créon. Nul en effet n’a le droit, affirme Antigone, de se substituer aux dieux, d’interdire à un
humain de se présenter au jugement des Enfers. Antigone se fait le champion de la loi divine, laquelle l’emporte sur
la loi des hommes. Antigone est condamnée à être enterrée vivante. Les Erinyes punissent Créon: son fils Hémon,
amoureux d’Antigone, se tue après avoir découvert sa fiancée pendue dans son tombeau; alors Eurydice, sa mère,
femme de Créon, le suit dans la mort. Créon reste seul.
Bien avant que Freud ne développe la notion de complexe d’Œdipe comme aboutissant à l’établissement du système
symbolique destiné à transmettre la loi fondamentale dans les rapports sociaux, le mythe d’Œdipe nous a offert une
vision à la fois spectaculaire et catastrophique de la relation père-fils et des liens fraternels. En effet, la descendance
d’Œdipe n’est guère épargnée par les haines fratricides et parricides comme l’a chanté le tragédien Sophocle.
"Je vois les antiques malheurs de la maison des Labdacides s’ajouter aux malheurs des deux princes, que la mort a
ravi, une génération frappée n’affranchit pas celle qui la suit, mais un dieu la précipite et ne lui laisse aucun repos."
Œdipe, après avoir appris de l’oracle qu’il a tué son père Laïos et épousé sa propre mère Jocaste, renonce au pouvoir
sur Thèbes. Il se crève les yeux pour ne plus voir l’horreur de la réalité dans lequel le destin l’a plongé, et part mener
une vie de mendiant, loin du lieu de son infamie. De l’union d’Œdipe et Jocaste sont nés deux filles, Antigone et
Ismène, et deux fils, Étéocle et Polynice.
Suite au départ d’Œdipe, les deux frères se retrouvent à régner en alternance sur le royaume, mais Étéocle l’aîné
refuse de laisser la place à son frère. Polynice lui tend une attaque aux abords des sept portes de Thèbes et le destin
veut que les deux frères se retrouvent face à face et s’entretuent, laissant le spectacle de leurs cadavres enlacés dans
la mort. Ironie du sort, les deux frères opposés dans la vie, sont unis et liés dans une ultime et funeste accolade
fraternelle, leurs bras brandissant avec fureur le glaive pour se tuer l’un l’autre et devenant le berceau qui les porte
vers une mort violente et sanglante.
Suite à ces événements, Créon, l’oncle d’Œdipe, devient le roi de Thèbes, donne les honneurs funéraires à Étéocle
et les refuse à Polynice. À titre d’exemple, il laisse gésir hors de la cité son corps à la merci des charognards, avec
interdiction absolue de l’ensevelir. Le laissant sans sépulture, il est condamné à errer loin du séjour des morts, le
salut et le repos lui est interdit. Par fidélité fraternelle, Antigone brave l’interdit et dans une douleur infinie, déclare:
"Après la perte d’un époux, j’en pourrais trouver un autre; et si je perdais un fils, j’en puis avoir d’un autre époux;
mais quand ma mère et mon père sont descendus chez Pluton, la perte d’un frère n’est plus réparable."
Antigone sera condamnée à être enfermée dans un tombeau où elle se pendra. Hémon, fils de Créon et à la fois
cousin germain et fiancé d’Antigone, désespéré par la perte de son amour, se suicidera peu de temps après.
À l’annonce de cette nouvelle, Eurydice, mère d’Hémon et femme de Créon, se tranche la gorge. Créon pleure seul
ses deux pertes. Le sacrifice d’Antigone épargne Ismène qui devient l’unique héritière.
Les enfants nés de l’inceste d’Œdipe, Étéocle, Polynice, Ismène et Antigone, répètent ce qui s’est noué à la génération
précédente. Les fils s’entretuent dans le conflit de la légitimité d’une filiation adelphique incestueuse. Antigone, elle,
brave l’interdit de Créon et rejoint dans la tombe son frère Polynice qu’elle a enterré dans le respect de la dignité
humaine au prix de sa vie.
Dans son opposition à Créon, Antigone se range du côté de l’amour fraternel en dépit de la raison d’état, pour
défendre des principes sacrés au détriment de la loi de la cité. Antigone inaugure la rivalité homme/femme, de par la
jalousie qu’elle nourrit à l’encontre de la différence des sexes et du destin dont les hommes de sa famille la privent.
Cette jalousie l’aliène à son destin narcissique. Se sentant investie d’une toute-puissance, elle souhaite à tout prix
réparer l’honneur perdu de sa famille. La mort apparait comme l’aboutissement de sa quête de l’amour fraternel
absolu et le don de soi par excellence vient pallier l’épreuve du deuil.
En l’absence des parents, la fratrie rencontrée dans ce mythe s’inscrit dans une lutte acharnée contre le temps,
exprimant l’impossibilité d’Antigone d’être séparée de ses frères dans le réel. La mort revêt ici deux dimensions dont la
première serait une tentative de solution pour résoudre le conflit œdipien réactualisé par l’annonce de l’inceste d’Œdipe.
Le voile levé sur l’origine de la famille ébranle fortement la fratrie dans ses liens de filiation et de génération. Il provoque
une crise identitaire du statut et de la place de chacun des membres de la famille. La configuration de la fratrie composée
de deux couples de sexe différent implique qu’ils s’opposent ou s’unissent dans l’amour et la haine fraternelle.
Dès lors, les processus d’identification et de différenciation sont altérés. En reniant sa place de père et frère, Œdipe place
ses filles et demi-sœurs à la place de membres idéalisés de la fratrie et de la cohésion de la famille. La double identité du
père et de la mère suggère la transmission de l’inceste dans la fratrie et introduit le déplacement des investissements
préœdipiens pour les parents sur la fratrie, ouvrant le champ possible à l’expression des pulsions libidinales dans la relation
frère-sœur. La seconde dimension considérerait la mort comme la trace symbolique de la culpabilité parentale rejaillissant
dans le réel. Ainsi, les conflits intrapsychiques hérités des parents se rejouent dans les liens fraternels.
Ainsi, Antigone trouve dans le décès de son frère Polynice le moyen de mettre en terre à jamais leur cruel destin.
En rendant les hommages funéraires à son frère, il se peut que par ce geste symbolique elle vienne rendre ses derniers
hommages à son père Œdipe, qui bien que vivant dans l’exil, erre à jamais tel un revenant ne pouvant trouver le repos
de l’âme. On peut interpréter ce geste d’Antigone comme une réparation de la déception œdipienne éprouvée dans
l’enfance. Aussi, le choix de l’amour fraternel lui permet d’éviter l’inceste avec le père au coût de sa propre vie.
La mort d’Antigone, motivée par l’amour incestueux, mène à son union avec le mort.
Dans son "Introduction à la psychanalyse", Freud a mis en évidence que le déplacement des sentiments d’amour
ressentis dans la fusion mère-enfant peut laisser place à l’apparition de l’amour tendre entre une sœur et son frère.
A contrario, il peut aussi générer une compétition entre frères pour le gain de l’amour exclusif de l’être aimé, ou par
substitution, le remplacement affectif du père par le frère ainé pour la fille. Antigone semble préférer Polynice au reste
de sa famille, et c’est par amour fraternel qu’elle brave la mort pour le rejoindre.
Selon l’approche transgénérationnelle, Antigone paye sa loyauté au père et s’acquitte de sa dette symbolique en y
mettant fin. Elle refuse ainsi de devenir une femme et de donner naissance à une autre génération, afin de ne pas
transmettre le secret honteux de sa naissance et de mettre fin à l’héritage funeste qui pèse sur sa famille. Si elle refuse
de s’unir au père et de porter l’enfant de l’inceste à son tour, elle s’unit pourtant à son frère Polynice dans la mort.
La mort apporte donc à Antigone une solution à l’inceste paternel et témoigne du retour possible de l’unité fraternelle.
La mort s’incarne dans le corps d’Antigone comme son inscription de la filiation.
L’héritage commun d’Œdipe que partagent Antigone et Ismène les unit tandis que les maux de chacune les distinguent
et les séparent. Antigone délaisse sa sœur vivante pour son frère mort. Si l’une veut jouir de la vie, l’autre veut jouir de la
mort. Les deux sœurs incarnent le combat entre la pulsion de vie et de mort. Quand l’une en appelle au principe de plaisir,
l’autre lui répond par le principe de réalité.
Antigone meurt donc seule. Comme son prénom en témoigne, étant composé du préfixe anti signifiant "contre", et "gone",
du grec ancien gonos, signifiant "procréation", elle ne donne pas la vie. Antigone demeure dans le mystère de ses origines
et ne retrouvera jamais la mère d’avant l’inceste, celle qu’elle n’a jamais connue. Dans ce mythe, les figures du frère et de
la sœur sont bien les objets pulsionnels et les représentations inconscientes de la transmission des conflits parentaux au
sein même de la fratrie.
Antigone est demeurée le symbole de la piété filiale et fraternelle, du dévouement sans partage. Voilà l’histoire d’une
femme. C’est aussi l’histoire d’une culture demeurée à peu près inchangée.
Le mythe d'Antigone est mentionné pour la première fois dans la tragédie "Les Sept contre Thèbes" d'Eschyle
représentée au V ème siècle avant J.-C.; Sophocle, dans son "Antigone", donne la première version détaillée connue
de la mort héroïque d'Antigone. Euripide, le grand tragédien athénien, reprend le thème des "Sept contre Thèbes" dans
"Les Phéniciennes", où Antigone intervient aussi. Dans la littérature latine, le philosophe et dramaturge Sénèque
compose une tragédie "Les Phéniciennes" en prenant pour modèle celle d'Euripide.
En 1638, Jean de Rotrou compose à son tour une tragédie "Antigone", puis c'est au tour de Jean Racine en 1664, de
mettre en scène Antigone dans la tragédie "La Thébaïde". L'héroïne connaît un regain d'intérêt dans la littérature du
XIX ème siècle, par les réécritures de Sophocle. Le poète allemand Friedrich Hölderlin traduit Antigone en 1804, le
dramaturge français Jean Anouilh propose une réécriture en 1944, dans laquelle Antigone représente l'esprit de
résistance. Le dramaturge allemand Bertolt Brecht l'adapte en 1947, en s'appuyant sur le texte de Hölderlin.
En Musique, de nombreux opéras ont été composés sur Antigone. Dans les arts plastiques et la Peinture,
ainsi qu'au cinéma et à la télévision, elle inspira également de nombreux artistes.
Bibliographie et références:
- Sophocle, "Antigone"
- Sophocle, "Œdipe à Colone"
- Euripide, "Les Phéniciennes"
- Philostrate, "Galerie de tableaux"
- Sénèque, "Les Phéniciennes"
- Hygin, "Les Fables"
- Jean de Rotrou, "Antigone"
- Jean Racine, " La Thébaïde"
- Jean Cocteau, "Antigone"
- Jean Anouilh, "Antigone"
- Bertolt Brecht, "Antigone"
- Pierre Brunel, "Dictionnaire des mythes littéraires"
- George Steiner, "Les Antigones"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ma vie de soumise
Chapitre 2 : Vendredi 1
Vendredi soir.
Nous reprenons contact. Je suis fébrile.
- Comment es-tu habillée ?
- Jupe et teeshirt.
- Déshabille-toi. À l’avenir, tu devras être nue pour me parler.
- Oui.
Je me déshabille. Il veut savoir si je me suis caressée. Je réponds par l’affirmative. Nous discutons de choses et d’autres.
- J’aimerais te rencontrer.
- Pourquoi pas ?
- Tu es libre demain après-midi ?
- Oui.
- On va se rencontrer dans un café pour discuter.
- Oui.
Il m’indique le lieu et l’heure du rendez-vous.
- Comment seras-tu habillée ?
- Je ne sais pas.
- Tu dois porter un teeshirt et une jupe. J’ai horreur des pantalons.
- Très bien.
- Alors, à demain.
Nous nous disons au revoir.
Chapitre 3 : Samedi 1
Samedi après-midi.
J’arrive au café choisi par mon correspondant. Il est assis à une table, sur une banquette, je me dirige vers lui. Il me fait signe de m’asseoir sur la chaise en face de lui. Il est tel que je l’ai vu sur la photo. Il me dévisage. Sous son regard, j’ai l’impression d’être nue. Le garçon s’approche. Jérôme, sans me consulter, commande deux cafés. Il s’adresse à moi :
- Enlève ton soutien-gorge.
Je rougis.
- Ici ?
- Non, tu vas dans les toilettes. En revenant, tu porteras ton soutien-gorge dans la main et tu me l’apporteras.
- Oui.
- Oui, qui ?
- ?
- Maître.
- Oui, Maître.
Je me rends aux toilettes, retire mon soutien-gorge. L’épreuve commence, je traverse la salle mon soutien-gorge à la main et l’apporte à mon Maître qui le place sur la banquette à côté de lui. Je suis rouge de honte. Nous buvons notre café.
- Tu portes une culotte ?
- Oui, Maître.
- Va l’enlever.
- Oui, Maître.
Et une seconde épreuve commence. Je vais aux toilettes, quitte ma culotte et revient l’apporter à mon Maître qui le dépose à côté de mon soutien-gorge. Je sens les regards des consommateurs converger vers moi, je suis honteuse.
- Viens t’asseoir à côté de moi.
- Oui, Maître.
Je viens m’asseoir à côté de lui. Il relève ma jupe, me palpe les cuisses. Sa main vient se plaquer sur mon sexe, il doit s’apercevoir que je suis mouillée.
Quand il retire sa main je rabats ma jupe et croise les jambes. Il rectifie aussitôt :
- Tu ne dois jamais rabattre ta jupe et tu dois tenir tes cuisses écartées.
- Mais on va voir que je n’ai pas de culotte.
- Et alors ? Tu n’as pas à t’en préoccuper.
- Oui, Maître.
Il règle l’écartement de mes cuisses. Il m’ordonne de me pencher en avant, ce que je fais.
- Tu as retenu ton teeshirt avec une main. Tu ne dois pas le faire.
- Mais on va voir mes seins.
- Et alors ? Tu dois perdre ta pudeur.
- Oui, Maître.
Mon Maître pose une main sur ma cuisse. Et il me donne ses instructions :
- Tu ne dois plus porter de sous-vêtements.
- Mais on va voir que je n’ai pas de soutien-gorge.
- Tu assumeras. Tu dois porter une jupe ou une robe. S’il fait frais, tu pourras porter des bas à auto maintien. Tu dois retenir qu’en toute circonstance tu dois porter le moins d’habits possible. J’ai constaté que ton sexe porte des poils. Tu devras t’épiler ou te raser.
- Oui, Maître.
- Tu m’as dit que tu n’avales pas. Si je choisis une pipe, tu dois accepter que je jouisse dans ta bouche et tu dois avaler. Quand tu as avalé, tu dois me remercier.
- Oui, Maître.
- Tu dois m’être fidèle. Je garderai ma liberté.
- Oui, Maître.
- As-tu des tabous ?
- Non, Maître.
- Alors, je pourrai tout exiger de toi.
- Oui, Maître.
Mon Maître sort un contrat d’appartenance en deux exemplaires. Nous signons tous les deux. Ce contrat stipule les conditions de la relation Dominant / soumise. À la rubrique des restrictions que je pourrais émettre j’ai écrit "néant". J’appartiens donc à mon Maître, je n’ai plus aucune liberté de pensée, mon corps est sa propriété exclusive. J’accepterai toutes les pratiques même dégradantes ou humiliantes.
Mon Maître me fixe rendez-vous chez lui pour demain dimanche à quinze heures. Il me rappelle que je ne devrai pas m’être maquillée, ne pas porter de bijou et ne pas m’être parfumée.
- On va aller aux toilettes et tu me suceras.
- Oui, Maître.
Mon maître empoche mon soutien-gorge et ma culotte. Nous allons aux toilettes hommes. Mon Maître ouvre sa braguette et dégage la queue de son caleçon. Son sexe est complètement épilé.
- Mets-toi à genoux. Tu commences par lécher et gober mes couilles.
- Oui, Maître.
Je m’agenouille et ma bouche s’occupe de ses bourses. Son sexe grossit.
- Lèche-moi le gland.
Ma langue va et vient sur le gland de mon Maître. Son sexe grossit encore.
- Prend ma queue en bouche.
J’ouvre ma bouche et absorbe sa queue. Ma bouche est remplie. Je manque d’étouffer, le sexe venant buter au fond de ma gorge.
- Caresse-moi les couilles.
Ma main commence une caresse. Mon Maître a une main derrière ma nuque m’obligeant à lui gober entièrement le sexe. Mon Maître est résistant. La pipe semble durer une éternité. Enfin, il éjacule dans ma gorge.
- Ouvre ta bouche, je veux voir mon sperme sur ta langue.
J’ouvre la bouche et tire la langue.
- C’est bien. Fais tourner ma semence dans ta bouche, régale-toi et avale.
Je garde le sperme dans ma bouche, c’est une première pour moi. J’en apprécie le goût et j’avale. Je vais me relever mais mon Maître arrête mon mouvement de la main gauche et m’administre une paire de gifles de sa main droite. Je suis étonnée.
- Tu as oublié quelque chose.
Et, soudain, je me rappelle une de ses instructions.
- Merci, Maître.
Je peux enfin me relever. Mon Maître s’adresse à moi.
- Maintenant, dégage. À demain.
Nous sortons des toilettes. J’ai encore le goût de sperme dans la bouche, je sens encore la paire de gifles. Mon Maître m’a humiliée. Mais c’est ce que j’étais venue chercher. Je vais me préparer pour demain. Je désire vraiment satisfaire pleinement mon Maître.
Chapitre 4 : Dimanche 1
Dimanche après-midi.
Je me rends chez mon Maître. J’espère ne rien avoir oublié dans ma préparation. Je me suis rasée la veille devant et derrière. Pas de parfum, pas de maquillage, pas de bijou. Je suis vêtue d’un teeshirt et d’une jupe, je n’ai pas de sous-vêtement. Quant aux chaussures, j’hésite, je n’ai pas d’instruction.
Je sonne à la porte. Mon Maître vient m’ouvrir. Je ne sais quelle attitude adopter. Il s’adresse à moi :
- Quand tu arrives tu me prends les mains, tu donnes un baiser dans chaque paume. Tu fais de même quand tu repars.
- Bien, Maître.
Je lui prends les mains et applique un baiser sur chaque paume.
- Déshabille-toi.
- Oui, Maître.
Je m’exécute. Mon Maître tourne autour de moi. Il m’examine.
- Belle bête.
- Merci, Maître.
Il me touche le bas-ventre puis écarte mes fesses.
- Plus de poil, c’est bien.
- Merci, Maître.
Mon Maître me passe un collier autour du cou. Ce collier est prolongé par une laisse.
- Voilà, tu es ma chienne.
- Oui, Maître.
Mon Maître m’indique ses dernières recommandations. Je n’ai le droit de parler que pour répondre à ses questions, décompter les coups et le remercier à chaque coup ou à chaque éjaculation ou jet d’urine. Mon Maître m’interdit tout orgasme sauf autorisation spéciale de sa part.
Mon Maître prend la laisse dans sa main, il m’emmène et je le suis. Nous arrivons dans sa chambre. Une femme nue est allongée sur le lit. Mon Maître me fait asseoir sur le sol au pied du lit. Il saisit une chaîne qu’il passe autour du pied du lit. Les menottes qu’il me passe sont attachées à la chaine. Puis mon Maître me lie les chevilles. Je ne peux plus bouger.
Mon Maître se déshabille et rejoint la femme sur le lit. Ils s’enlacent et d’embrassent. La main de la femme atteint le sexe de l’homme qu’elle commence à caresser puis sa bouche remplace sa main. Elle s’active, j’entends des bruits de succion. Mon Maître attrape la femme par les hanches et la fait le chevaucher sur ses épaules. Les lèvres de mon Maître atteignent le sexe de la femme et il commence un cunnilingus. La femme émet des gémissements, son corps est animé de soubresauts, elle a un orgasme puis un autre.
Je suis humiliée, mon Maître fait l’amour avec une femme mais ne s’occupe pas de moi. J’étais venue pour qu’il m’accorde son attention et je n’ai rien. Mais les mouvements des deux amants à côté de moi me mettent en émoi. Je fais attention à ne faire aucun bruit et surtout à ne pas jouir. Mon sexe est trempé.
Maintenant, mon Maître a placé la femme à califourchon sur lui, sa queue a investi le sexe de la femme. Celle-ci monte et descend autour de la verge qui l’investit. Mon Maître fait bien l’amour, j’imagine que je suis à la place de la femme. Je reviens à la réalité. Jusqu’à maintenant mon Maître ne s’est introduit que dans ma bouche. Quand me fera-t-il l’amour ?
La femme a un orgasme. Je crois que mon Maître vient de jouir. La femme vient aussitôt placer sa bouche sur le sexe de mon Maître et l’engloutit. Mon Maître caresse les cheveux de la femme. Est-elle son épouse ? Mon Maître m’avait pourtant assuré être célibataire. Où est-ce une conquête ? Dans tous les cas, ils ont l’air de s’aimer, leurs gestes sont tendres, cette femme n’est pas sa soumise.
Mon Maître s’approche de moi et vient me détacher. Il me fait mettre debout. Il passe sa main sur mon sexe et a l’air d’être satisfait de l’avoir trouvé trempé. La femme ne me quitte pas des yeux. Mon Maître ouvre le placard et en ressort une cravache. Il me fait appuyer les mains sur un montant du lit, je suis ainsi penchée. Il m’assène cinq coups sur les fesses. Je pense à compter chaque coup et à le remercier. J’ai ensuite cinq coups sur les cuisses puis cinq coups dans le dos. Je dois maintenant me tenir debout face à lui. Cinq coups sur les seins, cinq coups sur le ventre. J’ai donc compté jusqu’à vingt-cinq et autant de remerciements.
Il m’a vraiment fait mal mais il s’est quand même occupé de moi.
- Tu vas garder le collier et la laisse.
- Tout le temps, Maître ?
- Le plus souvent possible. Tu peux t’en dispenser au travail ou quand ça peut te gêner. Mais tu devras porter collier et laisse quand on aura rendez-vous.
- Bien, Maître.
- Maintenant tu te rhabilles et tu t’en vas.
Je m’approche de mon Maître et dépose un baiser sur chacune de ses paumes.
Je me rhabille et m’en vais. Mon Maître n’a encore honorée que ma bouche. Il s’intéresse à moi, sa cravache en est le témoin. Je suis quand même déçue puis je me souviens de ce qu’il m’avait dit, une soumise n’a rien à attendre de son Maître, un Maître peut tout exiger de sa soumise. La soumise doit penser uniquement au plaisir de son Maître. Alors, si cet après-midi, il a fait l’amour devant moi avec une autre femme et s’il m’a battue, c’était pour son plaisir et pour m’humilier. Je commence à comprendre les mécanismes de la soumission. Je suis soumise, je l’ai choisi, je dois donc assumer. En rentrant chez moi, je décide de garder le collier autour du cou et de rester nue. Je resterai ainsi fidèle à l’esprit de mon Maître. J’enlèverai le collier demain pour aller travailler.
Quand je me couche je suis hantée par mon Maître. Je me caresse en pensant à lui. Je lui dédie mes orgasmes.
mence à sucer le sexe, une main palpant les couilles. Je gobe de plus en plus profondément la queue de mon Maître, ma main descend vers ses fesses, il a compris ma manœuvre, il fait basculer son bassin. Mon majeur que j’ai pris le soin d’humifier prend position vers son cul. Puis j’enfonce progressivement mon doigt. J’ai envie de jouir mais je me retiens, je ne veux déplaire une fois de plus à mon Maître. Ma bouche est maintenant complètement investie. Je tiens doublement mon Maître, sa queue dans ma bouche et un doigt dans son cul. Mon Maître me caresse tendrement la tête, ça me donne des frissons ! Puis, dans une sorte de feulement, mon Maître se libère à longs jets tout au fond de ma gorge. Je retire mon doigt. Je fais naviguer le délicieux sperme dans ma bouche, je me régale puis j’avale.
- Merci, Maître.
Puis je porte le doigt qui a enculé mon Maître à la bouche pour en goûter toute la saveur. Je sais que mon Maître a été satisfait de ma prestation. Il m’a caressé les cheveux, c’est un signe !
- Maintenant, tu t’en vas. À samedi.
- Oui, Maître.
Je baise ses paumes, me relève, je me rhabille et m’en vais.
Je pense à tout ce qui m’est arrivé ce weekend. Mon Maître a concocté un scénario sensationnel. J’ai cru être enlevée et violée mais il n’en était rien puisque mes pseudo-violeurs n’ont agi que pour le plaisir de mon Maître. Je me suis encore rapprochée de lui et suis plus que jamais prête à le servir.
À suivre ….
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Je suis désolée pour les éventuelles fautes, Je suis désolée de ne pas me relire, je suis allée accueillir l'invitée.
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La nuit tombait. Ce soir, nous recevions. Il ne voulait pas m’en dire davantage. Il m’avait ordonné de préparer l’apéritif afin de recevoir comme il se doit.
Il m’avait imposé de porter un serre taille et ce rehausse sein. Il avait pris ce plaisir a bien le serré pour galber au mieux ma taille.
- Ce soir, tu ne te changes pas. Tu restes ainsi. Viens ici. Au pied.
Je m’étais naturellement mise à ces pieds. Il mis mes cheveux de coté
- Regarde, j’ai fait gravé ton collier..
Cette attention délicate faisait que c’était mon collier. J’y était très sensible. J’étais à lui et il me le montrait. Il me le mit comme un homme offre parfois un bijou à une femme. Il me releva et me retourna. Nous étions face au miroir lui dans mon dos.
Sa main s’aventura sur mon cou pour ensuite caresser mes seins.
- Humm tu ne peux t’empêcher de pointer, petite cochonne.. me murmura t il..
Je le regardais à travers ce miroir d’un sourire complice.
- Non.. Monsieur, en effet..
- Voyons l’état de ta petite chatte… Oh mais elle est toute en émoi.. c’est parfait. File au salon et met toi à genou à coté de mon fauteuil. Tête baissée, bien droite et tes jambes écartées.
Je me faisais une joie de lui obéir. A chaque fois qu’il préparait une soirée, il savait toujours repousser mes limites. Je me demandais qui allait venir ce soir.
IL passa dans le salon à coté de moi. Il m’appuya à nouveau la tête.
- Bonne chienne.
Soudainement, la sonnette retenti.
- Bonsoir mon cher ami.
- Bonsoir Madame X. Quel plaisir de vous recevoir après tout ce temps. Laissez moi vous débarrasser.
- Merci à vous.
- Je vous en prie par ici.
- Quel magnifique appartement vous avez et toujours un goût exquis. Oh mais que vois-je ici ? votre animal domestique ?
Au son de la voix de cette femme, je n’avais qu’une envie relever la tête pour la voir. C’était la première fois de ma vie que je voyais une Maîtresse. Cette envie m’avait toujours fait fantasmer, sans pour autant me sentir bisexuelle. Je n’avais jamais désirée une femme bien que parfois je trouvais certaines femmes avec ce coté très sensuelle. Je sentais qu’il allait me pousser dans mes retranchements.
C’est là que je sentis sa main passée dans mes cheveux.
- Quelle douce chevelure de chienne.
- Eh bien alors, Lane, on ne dit pas merci ?
- Merci.. Madame..
- De rien, petite chienne.
Mes cheveux tombaient sur mon visage, je ne pouvais l’apercevoir mais j’aperçu ses chaussures. Elle portait de sublimes escarpins fins avec une plateforme légère. Je devinais une femme de goût . Sa voir était presque douce et très agréable.
- Je vous en prie prendez place.
Visiblement il avait indiqué la destination du fauteuil là où il m’avait fait m’asseoir.
Elle s’installa confortablement. Il lui offrit un verre. Je les entendais échanger des banalités. Au bout de quelques minutes, elle s’amusa à me caresser à nouveau les cheveux.
- C’est tellement agréable d’avoir un animal de compagnie.. Puis-je ?
- Oh mais bien sur Madame X, elle est à votre entière disposition. Attention parfois ma chienne a un peu de mordant, elle est un peu effrontée, mais elle reste bien obéissante à son maître.
- Mets toi face à moi me dit il.
J’avançais alors à quatre pattes pour me mettre face à elle pour me mettre à nouveau à genou, tête baissée.
- As-tu un elastique ? tu es bien négligée d’avoir tes cheveux détachées. J’aime voir les regards des petites chiennes.
- Je… Non Madame, je n’en ai pas.
- Voilà qui est bien fâcheux.
- Attentez, tenez.
- Retourne toi.
- Bien…. Petite chienne.
Elle me caressait les cheveux. Elle avait les mains si douces. Elle m’attacha les cheveux avec une queue de cheval.
Elle portait une tenue stricte . Un chemisée avec une jupe fendue. des bas coutures. Elle était magnifique.
- Allez retourne toi.
Elle me leva le menton.
- Ah mais que tu es toute jolie… Des yeux noisettes qu’on a envie de dévorer. Une bouche pulpeuse pleine de promesse.
- Ouvre ta bouche et sors moi ta petite langue.
Elle inséra son doigt mais toute sa main.
- Oh mais je vois que tu as de l’entrainement .
Elle stoppa direct puis commenca à aller vers mes seins.
- Oh une petite poitrine en forme de pomme. Et ces tétons si délicats.. des auréoles superbes.. Monsieur votre chienne est exquise. Je vais me faire un plaisir de la soumettre comme il se doit.
- Cela me ravit et cela ravit ma chienne.
- - je la trouve bien insolence. Je lui fais des compliments, je viens à elle, et elle daigne nous remercier…
Elle me tenait par la queue de cheval me mettant la tête en arrière.
- Petite ingrate que tu es !
- Merci.. Madame.. Je vous remercie d’être venue vous occuper de moi. Je vous remercie pour vos compliments à mon égard.
- Au sol, petite salope !
- Nettoie mes chaussures avec ta langue.
J’y allais doucement. Je sortais le bout de ma langue pour commencer ma tache.
- Je t’ai dis sors ta putain de langue et nettoie correctement.
Je sentais sa voix si autoritaire que naturellement je me mis à lecher ses escparins.
- Bien..
Elle se leva en tenant bien ma laisse. Elle appuya son talon sur mon dos tout en tirant bien sur ma lêve pour me redresser la tête.
- Allez viens sur moi.
Elle m’amena au centre du salon pour me placer face à mon maitre. Il me regardait droit dans les yeux avec ce sourire pervers.
J’étais ainsi à quatre pattes au centre du salon. Elle passa ses jambes de par et d’autres de ma tête pour la coincer avec sévérité. Elle s’était alors penchée pour me claquer le fessier.
- Brave petite chienne.
Elle écarta mes fesses et passa son doigts avec délicatesse sur mon fion.
- Oh mais quel petit trou qui se présente à moi.. Je me demande bien ce que ce trou peut engouffrer.
Puis elle s’ota, me remise bien droite…
Mon maitre avait disposée sur la table un grand nombre d’objets source de plaisirs, de punitions.
Elle s’était saisi de deux martinets aux lanières longues.
- A quatre pattes, jambes bien écartées.
- Tu appelles cela bien écartées ?
Elle me fouetta sur les cuisses. J’’ouvrais bien mes jambes je me cambrai aussi afin qu’elle soit des plus douces mais aussi pour montrer mes petits trous de chienne.
Comme une danse, elle me fouttait les fesses, le dos, les cuisses. Je regardais mon maitre droit dans les yeux. Il souriait à me voir subir ces flagellations pendant que je retenais mes cris.
Elle caressa mon entrejambe en faisant plusieurs aller retour.
- Brave petite chienne qui mouille. Va sur la table, mets toi sur le dos. Nous allons inspecter la capacités de tes orifices.. de tous tes orifices.
Elle m’attacha mes poignets. Puis avec des contraintes, m’attacha les cuisses et les chevilles pour avoir un meilleur accès à mes trous de salope, comme elle le disait.
Elle s’était installé au dessus de moi, j’avais une vue sur son sexe. Jamais de ma vie je n’avais été aussi proche du sexe d’une femme.
- Allez sors ta petite langue lapeuse.
Elle me forçait à la regarder dans les yeux tout en me tenant par la tête. Elle releva sa jupe à la taille laissant dévoilé son porte jaretelle. Elle ne portait aucune culotte.
- Regarde moi je t’ai dit.
Elle commençait des mouvements de va et vient au niveau de son anus.
- J’aime qu’une chienne me nettoie. Allez applique toi..
Ma langue sortie, elle l’utilisait pour nettoyer au mieux son anus quand elle s’assit complètement sur moi en en regardant.
- En voilà une charmante vue.
Elle me tenait fortement la tete pour m’utiliser comme son petit jouet de plaisir.
- Suffit maintenant ! tu en as eu assez.
Elle saisit alors un baîllon dont sortis un gode. Je ne m’étais jamais sentie aussi humilié de ma vie. Je lançais un regard à mon maître qui s’était rapproché . Il était juste derrière moi. Il s’était accroupie.
- Tu es un superbe sextoy…
J’avais envie de râler ou de protester mais il fallait reconnaître que j’étais complètement excitée d’être à la merci de cette femme et de voir mon maître me regardait. Je voulais être sa fierté, la meilleure des chiennes.
Elle me caressait le corps de ces douces mains. Elle avait saisi des pinces à tétons. Elle s’amusait à les triturer entre ses doigts, puis à les prendre en bouche. Elle les mordiallait, les aspirait. Puis de ses deux mains elle les faisait se grandir.
Elle y mettait une force malgré ces mains toute petite. Je voyais dans son regard cette maîtrise et son intransigeance. Probablement ce qui plaisait à mon maitre pour m’offrir à elle.
- Regarde moi.
Je la voyais mettre les pinces japonaises. J’étais si sensible de mes tétons. Je sentais la douleur m’envahir et je faisais tout pour me concentrer sur ce qui allait se passer.
Elle s’était agenouillée…
- Allons te préparer, regardons ce que nous allons entrer là-dessus.
Elle commença par me lécher la chatte en écartant bien mes lèvres et en sucant mon clitoris. C’était la première fois qu’une femme me léchait. C’était si etrange, si doux avec cette petite langue. Je prenais ce plaisir qu’elle me donnait . Mon maitre ne ratait pas une miette.
- Alors, petite chienne, c’est bon de se faire lécher ainsi.
- … oui, Monsieur. Un oui monsieur difficilement audible avec mon baillon.
Il m’avait relevé la tête en tirant sur mes cheveux.
- Regarde toi, petite putain.
- Oui regarde, je vais y insérer ma petite main dans ta chatte de chienne en chaleur.
Je sentis alors le dos de sa main s’humidifier contre ma chatte pleine de mouille. Il fallait reconnaître que j’étais dans un tel état. J’avais oui, envie de me faire prendre de partout.
C’est là que je sentis ses doigts me chercher comme mon maitre le faisait. Sa main était bien plus fine.
- Voilà petite trainée. Regarde moi ça !!! regarde comme tu vas te faire baiser par un poing.
Sa main était rentrée. Je sentais ses va et viens. C’était une sensation si particulière. Elle y allait doucement. Elle me baisa en allant bien au fond… C’est là qu’elle inséra de son autre main un doigt dans mon cul.
- Ton Maître m’a fait la confidence qu’il t’avait déjà bien travaillé le fion. Je veux le voir bien béant. Je veux t evoir ouverte. Tu comprends, petite chienne.
Je la regardais…
Je hochais la tête avec une certaine crainte.
Tout en ayant sa main dans mon con, elle commença le travail de mon fion. Elle y mis un second doigts…
- Oh mais quelle gourmande. Ça rentre.. si facilement.
Je ne tenais plus, je ne pouvais crier. Mon maitre me tenait dans ses bras, forçant à regarder cette maitresse me faire un traitement adapté à ma condition.
IL me tenait par le cou pour bien me maintenir.
- Voilà.. humm.. quelle putain… quel gouffre… on sent que tu t’es fais souvent fourré, écartelé. Regardez moi ça…
- Tu vois ma petite chienne, fister par tes deux trous de salope ! me dit mon maitre.
Elle me regardait droit dans les yeux et y mettait toutes son énergie pour me baiser de ses poings. Elle y mettait une telle frénésie comme pour me punir d’être une vraie trainée. JE tentais de me débattre. Mon maitre serra davantage mon cou. J’étais au paradis. Je défaillais. Je sentais des tremblement au niveau de mes cuisses. Je ne répondais plus de rien.
Elle sorta sa main de ma chatte et la tapota..
- Voilà… hummm.. ce petit trou… qui va garder la trace du passage de ma main…
Elle ota doucement sa main.
- Oh quelle ouverture… son fion est aussi béant de sa chatte de pute cher Monsieur. Voulez vous regarder ?
- Mais je compte ne pas en rater une miette.
C’est là qu’il s’était dégagé de moi et se mit face à moi, observant mes trous.
- Quel beau travail ma chère. Ouverte comme j’aime.
- C’est une bonne chienne que vous avez. Nous pourrons, je pense travailler davantage ses capacités si cela vous tente.
Elle s’approcha de moi et me parla à l’oreille.
- Tu es faite pour être punie d’etre une chienne. Regarde ce que tu nous obliges à te faire..
Elle souleva les pinces à tétons et les tira vers les hauts. Mon cri s’étouffa dans le baillon. Puis doucement elle me caressa le visage, les cheveux..
Elle me déposa un baiser sur la joue. C’est là qu’elle se releva et s’installa sur ma bouche. Elle s’empala sur le gode. Elle se sodomisa. Je sentais alors sa frénésie. De l’autre, mon maitre me sodomisa aussi. C’était une situation si particulière pour moi. J’aimais être à leur disposition, leur objet sexuel dont il pouvait abuser. Je sentais mon maitre me prendre le cul tout en insérant des doigts dans ma chatte.
Madame x prenez son pied tout en tournant aussi sur le gode inséré bien au fond. Elle chevauchait. Elle s’amusait avec la chaine à tétons. Tout valsait en moi. Mes seins, ma tête, mon cul. Je sentais des coups de par et d’autres.
- Salope ! petite pute.. dis mon maitre.
- Baisez la bien Monsieur, elle est maintenu si béante de ses trous. Il va falloir s’occuper de sa petite gueule. J’y ai décelé un certain potentiel.
D’un grand râle il s’arreta. Elle continuait. Je me sentais si honteuse d’être dans cette situation.
Quand elle s’arrêta, elle me claqua la joue..
- Quel bon petit jouet.
Elle me retira alors le baillon puis m’embrassa en me mordant la lèvre. Elle me libéra les cuisses. Elle me releva et en jeta au sol.
- A genou. Allez plus vite. Baisse la tête.
Elle marcha vers la taille. Elle se mit à ma hauteur et me montra un gode d’une taille certaine.. Un gode ceinture.
- Regarde ce que tu vas te prendre dans ta chatte et dans ton petit cul, dans ta gueule de pute. J’ai bien travaillé ces petits trous. Demande moi de te baiser.
Mon maitre avait saisi la cravache. Il releva mon menton voyant que je tardais à répondre.
Elle s’était mise à ma hauteur et me serra de sa main ma gueule.
- Allez réponds petite salope.
- Madame, je vous en prie, baisez-moi..
- Tu veux que je te baise ? tu veux que je te baise par où ?
- Madame, baisez moi par la chatte.
- Humm, je ne sais pas.. je crois que je vais surtout m’occuper de ton fion de salope.
Un moment de silence, je baisais le regard pour ensuite la regarder dans les yeux.
- Merci Madame….
Doucement, elle retira les pinces. Je hurlais de douleurs. Puis d’une douceur apaisante elle les pris dans ses mains et les lécha.
Ce redresse sein te va à ravir petite chienne. Présentée, je m’en suis délectée mais je préfère une chienne nue.
- Ote moi ça.
J’otais alors mon redresse sein puis doucement mon corset.
- Oh quelle belle marque.. Je vois qu’il était bien serrée pour te contenir.
- Oui.. Madame…
Elle appuya ma tête pour la jeter au sol.
- Cambre bien ton cul merde !
Elle me griffa les fesses.
- Voilà une bonne position de petite trainée.. Dis moi ce que tu es ?
- Madame, je suis une petite trainée.
- Et que fait on aux petites trainées ?
- On les baise Madame.. on les baise.
- Oh pas que cela petite chienne. ON les bourre, on les utilise, on les punit…
- Ecarte ton cul !
- Ecarte le bien..
- Oui.. Madame.
J’étais tête au sol, de mes mains j’écartais bien mes fesses pour lui offrir mon fion.
- Parfaite position de pute.
- Oui, une bonne pute dit mon Maitre.
- Lane, je veux t’entendre couiner comme une chienne.
- Oui.. Monsieur…
La taille du code m’avait fait frémir. Elle le mit à l’orée de mon cul.
- Oh mon dieu.. ça rentre, ça rentre.. regardez moi ça. Je vais te démonter petite pute.
- Merci madame de vouloir me démonter comme je le mérite.
- Elle mit le gode bien profondément puis commença sa chevauchée. Elle me montait si fermement..
- Petite pute.. allez cherche à bien te la mettre bien au fond..
- Voilà..
Je vis alors la chaussures de mon maitre face à moi.
- Sors ta petite langue de putain dit elle;
Je m’exécutais.. Il se mit à se servir de ma langue pour nettoyer ses chaussures.
- Elle est multiusage..
Je sentais Madame me labourer les entrailles. J’étais réduite à être un objet ce soir. Mon maitre était d’une telle intransigeance. Cela m’attristait mais de l’autre, je me surpassais, j’éprouvais de nouvelles sensations. Il savait me sortir de ma zone de confort.
- Une bonne cireuse de pompe dit elle.
Mon maître se saisit de ma queue de cheval et me mit à quatre pattes.
- Ouvre ta gueule.
Jamais on m’avait bourrée de cette manière. Elle me saisit les extrémités de ma bouche avec ces doigts. Elle était plus exigeante.
- Monsieur, que diriez vous de lui fourrer cette bouche ?
- En voilà une excellente idée mais demandons à notre petite chienne..
Je n’osais plus rien faire, mes yeux se baissait faisant office de réponse.
Elle lui offrait ma gueule. Il mis son sexe dans ma bouche. Elle me tenait alors par la laisse, mon maitre par la queue de cheval. J’étais soumise à leurs tentations les plus perverses.
Elle me claquait les jambes. Elle s’amusa de la cravache pour me chevaucher comme si j’étais une jument.
- Suce correctement petite pute.
Il me donnait la marche à suivre par la tête. Il me tenait la gorge et s’était enfoncé bien au fond. Je bavais…
- Oh mais regardez moi cette salope. Elle bave de partout ! par la chatte, par la gueule. Dit elle.
Il se retira d’un seul coup. J’étais alletante voulant reprendre mon souffle. Elle sortit le gode de mon cul. Et chacun se stoppa.
Mon maitre était allé s’asseoir le fauteuil et elle sur le canapé.
Elle tenait le gode comme une bite. Elle me l’exbitait au loin. Elle en retira le préservatif qu’elle avait mis dessus.
- Allez viens chercher ton jouet petite chienne…
Avec ma démarche de petite chienne, je m’avancais vers elle.
- Leche mon anus .
Elle tenait le gode dans sa main pour me donner un meilleur accès à son anus. Ma langue tournait autours de son auréole.
- Allez viens t’empaler dessus.
Je m’étais alors levée, mise à califourchon sur elle. Elle ecarta mes fesses.
- Voilà.. C’est bien petite putain… Allez chevauche ! Hu Dada !
Elle me forçait à l’avoir bien profondément tout en me claquant les fesses afin que je bouge mon bassin d’avant en arrière.. Elle s’agrippa ensuite par mes seins. Elle les pressait si fortement, les gilait, elle le giflla aussi fortement.
- Petite pute. Dis moi que tu es une petite pute.
- Oui.. Madame je suis une petite pute.
Elle continua a me gifler de partout. Puis elle remis ses mains sur mes fesses et me demanda d’aller de haut en bas.
- Allez bouge mieux que ça.
- Stoppe maintenant. Ecarte ton cul.
C’est là que je sentis mon maitre derrière moi. Il me saisit par la gorge me forçant à me cambrer. Elle écartait bien mes fesses.
- Allez quémande !
- Monsieur.. je vous en supplie, enculez moi.
Il me prit avec violence. Prise en double pénétrations, c’était d’une telle intensité.
Je sentais mon maitre frénétique. Je reconnaissais ses coups de queue qui prédissent sa jouissance.
IL juta alors dans mon cul.
- Garde cette semence petite pute, me dit il.
Madame se stoppa .
- Au pied.
Elle retira alors son gode ceinture.
- Allez viens me finir petite catin. Déboutonne mon chemisier.
Je me sentais interdite. Je sentais le foutre de mon maitre couler par mon fion si détendu.
Avec douceur, j'enlevais les boutons de son chemisier.
- Belle gueule de pute tu as.. Allez suce, tête!
- hum voilà petite chienne.. encore.. Ta bouche est un réel délice…
Je la sentais soupirer de plaisir. Je prenais ses seins dans mes mains pour mieux ensuite porter ses tétons à ma bouche.
Elle mis sa main sur ma tête et me força à aller à son entrejambe;
- Lèche et Doigte moi. Allez !
Je n’avais jamais fait cela de ma vie. Je sentais mon maitre en train de m’oberser. Je le faisais pour lui, pour lui montrer ma gratitude.
- Humm que tu lèches bien petite pute. C’est une première il parait ? dit elle comme un murmure d'abandon
- Oui.. Madame..
Elle sentait ma timidité.
- Tu ne vas pouvoir que progresser mais c’est déjà bien prometteur.
Elle sera ma tête entre ses jambes. Je la sentis se contracter… prise d’un spasme..
- Humm bonne petite chienne. Allez au panier…
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Encore une fois, désolée pour les fautes, je ne me suis pas relue. Une envie folle de chantilly.
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Je consultais mon téléphone. J’attendais de ces nouvelles. Je ne quittais pas mon téléphone telle une adolescente. Quand soudain je vis sur son message Whattsapp :
« RDV ce soir 21h. Je serai devant chez toi. TU porteras ta longue robe noire sans fermeture éclair et escarpins haut noirs vernis les plus hauts que tu as. Tu porteras tes longs gants noirs. Tu mettras en haut cet harnais que je t’ai offert pour te mettre en valeur. Je veux que tu portes aussi une culotte ouverte au niveau de tes trous. Tu porteras ce porte jarretelle harnais également. Je te veux en bois noirs résille couture. Rouge à lèvre rouge et un maquillage outrancier. Sois élégante ».
Les dernières semaines ont été assez longues. Il était pas mal en déplacement.
Notre relation était si intense que je ressentais ce manque. Le manque de sa peau, de son odeur, de sa présence, de ses mains sur moi.. mais il veillait toujours à ne jamais me laisser sans nouvelle. Il me disait qu’un homme qui respecte une femme, une soumise, ne la laisse jamais sans laisser ne serait qu’un message. D’autant que cela s’écrit en peu de temps.
J’aimais les défis qu’il me lançait. On aimait se nourrir l’un de l’autre. J’aimais ressentir sa présence, obéir à ses requêtes. Parfois elle me font râler, parfois me donne le sourire.. et parfois je prend cette initiative l’imaginant au travail à recevoir des photos des plus coquines que j’aime prendre avec tout le sens artistique dont je sais faire preuve.
Comme je n’avais pas eu de ses nouvelles hier soir, je m’étais amusée à mettre en valeur une photo de ma petite chatte dont les perles de mon string disparaissaient doucement entre mes lèvres.. D’ailleurs quel string, à vous faire mouiller comme une chienne ! pour lui rappeler le dernier défi qu’il m’avait demandé. C’était du Lundi à Mercredi de jouer à la cam girl.
Il aimait mon côté à aimer m’exhiber à vouloir chauffer ces messieurs qu’il aurait choisi sans avoir à les voir. J’aimais ne pas les voir mais exciter comme si je l’éxcitais lui. IL m’avait crée un compte skype qu’il contrôlait. Il me disait quand me connecter, quelle tenue, quoi faire tout en restant à chaque fois masquée.
La première fois où je me suis mise devant la webcam de mon ordinateur mon cœur battait. J’avais mis ce masque en dentelle, mes lèvres rouges.
Il m’avait ordonné :
« tu porteras ton rehausse sein, un nœud papillon en cristal, celui que j’aime bien. Tu porteras ton string en perle dont les petites grandes tombent sur tes fesses. Tu te connecteras à 22h30 précise. Je te laisse jouer sans montrer tes trous de putain. Tu auras 10 min pour la session. Tu m’enverras une photo de ta tenue pour validation ».
Comme convenu je lui envoyais une photo de moi avec ce regard de petite chienne innocente.
« Tu es parfaite. Amuse toi bien. »
A l’heure précise j’avais accepté cet appel vidéo où je pouvais me voir sans voir mon interlocuteur. Il avait la possibilité de m’écrire pour me demander ce qu’il voulait. Le bouton vert de la webcam s’alluma. Je savais que quelqu’un me matait. C’est là que je prie des positions des plus glamour à jouer avec cette plume d’autruche verte que j’avais eu en plus de mes éventails géants. Je jouais avec elle sur mon corps, sur mon cou et sur mes seins. Cela les faisait pointer. Je prenais ces poses sensuelles sans jamais tomber dans la vulgarité.
Le voyeur ne me fit aucun commentaire, j’étais presque limite déçue. .
Le lendemain, même horaire, il m’avait ordonné de mettre ma guépière Noir et blanche inspirée par Louboutin avec porte jaretelle, avec mon deshabillé noir transparent et aux manches en plumes d’autruches avec des escarpins vernis noirs. Je devais bien me coiffer et obéir à ses demandes sans avoir à montrer comme toujours mes petits trous. Bien sur je serais comme toujours masquée.
J’envoyais encore la photo demandée et il m’avait dit : « Humm tu es juste bonne à être baisée, tu es sublime ».
J’acceptais à nouveau l’appel. Toujours sans voir mon interlocuteur qu’il avait sélectionné, ce dernier me donna des ordres.
- Mets toi à quatre pattes et avance vers la caméra. Joue avec ta petite langue.
Je m’amusais à faire la petite chatte qui avance à quatre pattes. Je fis mine de passer ma langue sur mes lèvres avec une certaine langueur.. puis je prie la mousse chantilly que j’avais mis à coté. Je glissais mon doigt dessus que j’apportais à ma bouche. Je donnais des coups de langue.
- Humm, encore… écrit il.
- Je te lécherai bien la chatte avec cette chantilly.. humm…
Les 10 min passaient relativement vite.
Le lendemain, il m’avait demandé de mettre un corset avec mon porte jarretelle à franche. Tu porteras un collier bien serré. Interdiction de montrer ta chatte et ton cul.
Je mis alors mon sublime corset bleu et mis le porte jarretelle qu’il voulait. Je mis ce collier à strass. Je cherchais un accessoire inspirant et je prie alors ma cravache à strass. IL valida ma tenue.
La webcam s’alluma dès que j’avais accepté la mise en ligne. Je me tenais assise sur mon fauteuil crapaud les jambes écartées. Avec la cravache je m’amusais à la passer sur mon corps.
Je m’amusai à la mettre à ma bouche et d’avancer vers la webcam et de la lâcher, faisons mine de l’apporter à mon maitre pour qu’il me cravache.
- Quelle belle petite chienne. Monte sur le fauteuil et montre moi tes petite fesse. Dandine toi !
Je m’attelais à ces désirs comme s’il venait de mon Maître. Je ne voulais pas le décevoir. Je revenais doucement pour voir ce qu’il avait écrit.
- Suce le manche de ta crache…
Je m’exécutais.. Puis je vis les 10 min passer.. je coupais.
Le lendemains je reçus les félications de mon Maître.
« tu as été parfaite.. tu les as parfaitement bien chauffé. Je suis fière de ta créativité et de toi. »
Je me préparais pour la soirée. J’avais suivi l’ensemble de ces instructions à la lettre.
Il était arrivé à l’heure, il m’avait demandé de ne pas sortir, il voulait m’inspecter.
- Bonsoir Mademoiselle Lane. Quel bonheur de vous voir.
- Humm c’est si bon de vous voir Monsieur.
Il mit sa main sur ma joue et je ne pouvais m’empêcher d’embrasser la paume de sa main. Il me prit par la main pour m’emmener dans le salon.
- Agenouille toi.
J’étais devant lui à genou. Le regardant. J’étais très excitée.
- Approche.
Je me mis à quatre pattes pour avancer vers lui. C’est là qu’il me mit le collier. Il le serra fortement. Il tira sur l’anneau où il comptait attacher la laisse.
- Tu es ma merveilleuse putain. Ce soir, je te veux docile. Je n’accepterais aucune effronterie. Me comprends tu ?
- Je le regardais et je hochais de la tête.
- Retourne toi.
IL me tenait par la laisse bien fermement.
- Oh tu sais mieux te cambrer que cela !.
Il remonta ma robe sur ma taille et passa à califourchon au dessus de moi. Ses deux mains s’abattirent sur chacune de mes fesses.
- Humm Ce cul … il lui manque quelque chose…
Soudainement, je sentis qu’il m’enfonçait un rosebud assez gros dans mon cul.
- Voila, un peu de rouge à ce petit cul pour être raccord avec tes lèvres pour donner l’illusion de savoir que ta bouche et ton petit cul soit prêt pour te remplir.
Je me sentais rougissante.
- Allez relève toi. Il me prit par la laisse, j’étais derrière lui. J’avais peur qu’on me voit ainsi parer.
Il me fit monter à l’arrière de sa voiture.
- Je vais te bander les yeux. Tu vas rester allonger sur la banquette.
J’aimais quand il me faisait perdre tout sens d’orientation. Il mit de la musique classique qui avait le don de me mettre dans ces ambiances chics que j’affectionnais.
- Ce soir je t’amène à une soirée très select. Sache que tu ne risques rien. Si tu ne te sens pas bien, tu n’auras qu’à utiliser notre saveword. Compris.
- Oui.. Monsieur.
La voiture se gara. Le moteur se coupa. Je n’avais aucune idée d’où nous étions. Il ouvrit la portière arrière. Mes mains cherchait sa main. Je me remettais totalement à lui. Je m’offrait à lui littéralement.
- Doucement, je te guide, tu ne risques rien. Nous allons pas marcher bien longtemps. Tiens toi à moi. Tu ne vas pas tomber..
Sa voix me rassurait tant. Je n’avais pas peur avec lui. Je me sentais tant en sécurité.
C’est là que j’entendis une sonnette retentir. La porte s’ouvrait. Il me tenait par la laisse. J’essayais d’etre droite en marchant derrière lui. J’entendais une musique très sensuelle portishead, massive attaque, une musique si inspirante.
- Je vous présente Mademoiselle Lane. J’imagine que vous la reconnaissez. Elle vous a bien chauffé cette semaine. Je vous remercie d’avoir suivi mes directives. Ce soir, vous pourrez disposez d’elle. Je travaille depuis quelques temps ces petits trous que je vous présenterai d’ici quelques instants. C’est une vraie petite salope, une chienne en chaleur.
Il serra la laisse bien courte et murmura au creux de mon oreille :
- Ote ta robe, tu n’en auras plus besoin. Sache que tout ce qui se passera se fera en rapport protégé.
Je me sentais si excitée et à la fois peureuse. Il allait m’offrir à ces hommes. Cela m’avait toujours excitée mais jamais de mon coté je ne voudrais le partager. Plusieurs fois des hommes que j’avais connu avait envie de me voir faire prendre par d’autres hommes..
- Allez exécute toi.
C’est là que je commençais à enlever ma robe tout d’abord en défaisant une bretelle puis l’autre. Elle tomba rapidement à mes pieds. Il me fit avancer d’un pas en sentant la cravache sur mes fesses.
- A genou !
- Puis-je, entendais-je.
- Mais oui, je vous la laisse la promener. Tenez la cravache, parfois elle est rebelle.
Je sentais qu’il passait ma laisse. L’homme me tenait bien fermement et me fit faire un tour dans cette pièce où je ne vovais pas faire grand-chose. Pour m'encourager il me cravachait.
- Messieurs, je vous laisse tâter ma chienne.
On me redressa. J’étais ainsi debout. Je sentis la cravache sous mon menton.
- Ecarte tes jambes, entendis-je.. tout en tapant sur l'intérieur de mes cuisses avec la cravache.
- Ecoute Lane., écoute ces messieurs et obéis leur comme si ces ordres étaient de moi.
- Oui… oui Monsieur.
J’écartais alors mes jambes. Je sentis alors un homme me saisir les seins, tout en étant derrière moi pour me redresser. Il dirigea ensuite ses doigts dans ma bouche
- Allez suce, tu m’as bien chauffé avec cette cravache que tu suçais divinement. Voyons voir ce que tu fais avec mes doigts.
Un autre s’était saisi de mes tétons et les tiraient pour les dresser.
C’est là que je sentis des mains s’attarder sur ma petite chatte pour y introduire un doigt..
- Oh Messieurs, regardez, elle mouille déjà cette petite salope.
Il me tira par la laisse et me fit monter sur une table tasse.
Il appuya sur ma taille pour bien me cambrer et offrir, j’imagine une vie obcène sur mes attributs.
Un des hommes plaça plusieurs doigts dans ma bouche. Il me tenait par la gorge.
- Rohhh, elle tousse… ce n’est pas ce qu’on m’a dit.. sur tes talents bucals. IL paraient que tu aimes sucer. Est-ce le cas.
J’étais honteuse…
- Oui.. Monsieur, j’aime sucer..
- Oh Messieurs, regarder cette petite chatte !
On me fouillaient déjà la chatte. Je mouillais déjà. Cette situation à la fois humiliante me rendait folle. Je savais qu’il surveillait, qu’il regarfait.
- Je vous en prie Messieurs, n’hésitez pas à l’utilisation, elle est à vous. Elle adore se faire prendre. D’ailleurs laissez moi vous présenter une chose dont je suis fière. Son fion.
Je sentis alors que ces mains se posaient sur moi. Cela me calmait, me rassurait.
- Tête au sol !
- Je vous présente un sublime garage à bites. Cela quelques temps que je le travaille. Je vous conseille de bien vous occuper de ses orifices, vous avez le droit de la fesser, de la baiser par la chatte, par le cul, par la bouche.. un, deux ou trois trous à la fois.
Je vous guiderai pour l’honorer comme elle me mérite. Avant toute envie, merci de m’en faire part afin que j’organise notre séance au mieux. Tout ce qu’elle subira devra passer avec mon approbation. Suis clair Messieurs ?
Ils les avaient laisser un peu faire au début mais il prenait comme toujours le contrôle de la situation. Cela m’avait encore une fois de plus bien rassurée.
Il écartait alors mes fesses
- Messieurs, qui veut avoir l’honneur de lui retirer son bijou ?
Tous crièrent en même temps..
- Vous.
Je commençais tout doucement à faire des distinctions sur ces partenaires inconnus .
Je sentis alors une main saisir le rosebud et prendre un plaisir à le retirer.
- Hum, regarder ce petit fion qui cède…
- Puis y introduire mon doigt, Monsieur ?
- Oui, vous pouvez la fouiller, pour cela pas besoin de mon autorisation. Elle aime être doigter, fouiller. Je suis sure que Mademoiselle le confirmera..
Je baissais alors la tête..
- Allez réponds !
- Oui.. Messieurs, j’aime quand on me fouille la chatte le fion et la bouche.
C’est là, que je sentis une main me prendre la bouche, et deux mains distinctes me fouiller la chatte et mon petit anus.
- Hum ça rentre comme dans du beurre.
J’étais muselée par ces doigts inquisiteur.
- Présentez votre queue à l’entrée de sa bouche.
C'est là que j'entendis un bruit qui me faisait penser à une bombe chantilly.
- Lane, sors ta langue pour honorer le présent que je te fais.
Je m’exécutais à sortir ma petite langue de chienne. C’est là que je sentis le bout du gland de cet inconnu de la chantilly dessus. Soudain, j’entendis la voix de mon Maître.
- Mademoiselle est une grande gourmande, aimant la chantilly régalons la.
- Introduisez bien votre gland au fond.
C’est là que je sentis mon Maitre me saisir la gorge comme pour faire passer la pilulle.
- Allez y,bien profondément. Baisez moi ça correctement.
Je me sentais interdite.. Je subissais l’assaut de mon Maitre, de ses mains, de ces queues.
C’est là, qu’il appuya ma tête afin d’englober totalement cette queue à m’étouffer.
- Brave petite pute, me dit il.
De l’autre, je sentais ses doigts me baiser. Un des hommes étaient là en train de me tenir les seins.
- Hum Monsieur, son cul a l’air son bon. Puis-je ?
- Non pas maintenant mais baissez là par la chatte. Tenez sa laisse.
J’étais alors pilonner par la chatte. Les mains de mon maitre ont été alors remplacer par celle de l’homme qui dirigeait ma tête comme une poupée masturbatrice de queue.
Je sentais chaque buttée. Chaque coup.
Je sentis alors des mains écarter mes fesses.
- Allez y, mettez y quelques doigts qu’elle ressentent la sensation d’être prise d’un peu partout.
Je vous laisse deviner le tableau.
C’est là que tout se stoppa. Un des hommes me tira pour les cheveux pour me jeta sur le canapé.
Mon maitre me dit
- Allonge toi sur le dos, écarte bien tes jambes en l’air. Ecarte bien ta chatte et ton cul qu’on puisse bien voir ce qu’on va pénétrer.
La position n’était pas des plus confortable je commençais à protester. C’est là qu’il me gifla.
On saisit mes bras par l’arrière et on m’attacha les bras. J’imagine qu’on les avait attacher à l’arrière du canapé.
Je sentais alors mes chevilles encerclés par des liens. J’étais ainsi complètement écartée.
- Regardez messieurs comme ça dégouille.. Je sentis alors une langue parcourir ma chatte.
- Messieurs, je vous propose de l’ouvrir davantage, de travailler chacun de ses orifices. Qu’en pensez-vous.
Je sentis alors un jouet me pénétrer. Cela devait être un jouet dont chacun des bouts étaient destinés à entrer dans chacun de mes orifices.
Je commençais à crier. Un des hommes me baillonna de sa main.
- Humm quelle bonne pute.
- Elle est magnifique cher Monsieur votre chienne.
- Oui, je sais, mais elle est aussi bien lubrique.
Mon maitre libéra mes trous..
- Tu n’est pas encore assez ouverte pour te faire bien baiser.
- Vous, écartelez là.
Je sentis alors des doigts me fourrer. Il n’avait pas le tact de mon maitre. Je me dandinais. Il me gifla.
- Allez pousse, prends ces doigts, petite putain.
Mon maitre était venu probablement derrière moi et me parler au creux de l’oreille
- Si tu voyais comment tu es si belle. Une si belle chienne qui va se faire sauter comme une putain. Maintenant tu vas demander, non supplier qu’on me sodomise.
Je ravalais la salive.
- Messieurs, je vous en prie, prenez moi par le cul.
- Messieurs, voyons qui a le meilleur des attributs pour comber ma chienne…
- Vous.
- Pendant ce temps là, Lane tu branleras de chacune de tes mains ces queues.
Rapidement, je sentis les deux queues se mettre dans ma main. Je sentais leur main maltraiter aussi mes seins. L’autre qui allait prendre possession de mon cul l’avait bien avancer. Je sentais qu’il plaçait son gland.
- Allez Lane, quémande !
- Je vous en prie, Monsieur, Sodomisez moi maintenant.
Il passa alors sa queue sur ma chatte, puis je sentis sa va tomber sur mon fion. IL pressa alors son gland et me pénétra d’un coup sec me faisant couiner. Je pensais à caresser les queues. J’entendais leur rale de plaisirs.
- Plus vite petite chienne
- Voilà, prends bien ça dans ton cul.
- Petite salope.
Je ne savais plus quoi penser. Je savais juste que j’étais offerte, offerte aux plaisirs de ces hommes venus pour me baiser.
L’homme me tenait bien par les cuisses. Je sentais sa puissance me buter encore et encore. Je sentais mes seins valser dans tous les sens.. enfin ce n’était pas quand les deux autres ne les malaxaient pas.
- Défonce la bien, fais la bien couiner..
- Messieurs, je vous propose de la détacher, allons vers le lit . Qu’en pensez vous ?
- Hum excellente idée..
Je sentais leurs bites gonflées par le désir.
ON me détacha. Puis mon maitre me prit par la laisse.
- Allez à quatre pattes, petite chienne. Remercie ces messieurs de s’occuper de toi.
- Messieurs, je vous remercie de vous occuper de moi.
J’avançais à tâtons avec une démarche féline. C’est là que je sentis un matelas posé au sol.
Il me fit monter dessus.
- Relève bien ton cul.
Mon maitre avait mis son pied sur mon cou pour m’immobiliser.
- Demande à ce qu’on baise.
Je ne répondais pas assez fortement qu’il me claqua les fesses.
- Messieurs, je vous en prie, baisez moi.
- Allez y messieurs, baisez la correctement.
Je les sentis à tour me rôle me prendre comme une chienne, uniquement par le fion. Le dernier écarta bien mon fion avec de part et d’autres deux doigts puis me pénétra avec sa queue.
J’imagine que mon maitre n’en rater pas une miette.
- Allez bourrez la.. bourrez la bien cette chienne.
Je hurlais, je ne me retenais plus.. C’était d’une telle intensité.
- Elle prend chette putain.
- Régale toi ma petite chienne.. fais toi bien prendre le cul..
Il ota son pied et me releva en souleva la laisse. J’étais à quatre patte.
- Vous, allongez- vous.
- Allez empale toi Lane sur ce dard.
- Bouge mieux que ça aller !!
Brutalement, l’homme saisit mes fesses me souleva et me baisa ainsi. Je criais, je hurlais.
- Vous , baisez lui la bouche.
C’est là qu’avec une frénésie ma bouche fut alors remplie. C’était fort
- Mais quelle putain…
- Maintenant Lane, tu vas découvrir ce que c’est que de se faire prendre par une bite
dans la chatte et l’autre dans le cul… Chacun bougeant.. Te voir museler par une autre bite dans ta bouche à pipre.
J’étais là prise de partout. Je profitais d’une accalmie buccale pour hurler de plaisir.
- Allez prend ton pied petite pute.
Celui sur qui j’étais me serrais fortement. L’autre me claquait les fesses. Je sentais à nouveau cette bite me baiser la bouche.
J’étais une poupée complètement épuisée. Je me sentais dilatée de partout et humiliée d’avoir pris ce plaisir.
- Hum petite chienne, tu as aimé te faire fourrer comme ca.
Dans un soupir, je hochais la tête. Mes lèvres commençaient à être gonflées, presque douloureuses. Mon fion était douloureux.
- Couche toi sur le sol.
- Messieurs, je vous autorise à vous branler et à éjaculer sur ces seins .
Je fermais les yeux complètement épuisée. A tour de rôle, il me tenait par la laisse à se mastuber au dessus de moi et à jouir sur mes seins.
- Quelle putain ! Petite chienne, tu as aimé ça te faire défoncer. Tu peux remercier ton maitre d’avoir organiser cela pour toi.
- Allez remercie-le.
- Merci.. Monsieur, d’avoir organiser cela pour moi.
- Messieurs pensez-vous qu’elle soit assez méritante pour qu’on la fasse jouir ?
C’est là qu’on des hommes me releva. J’étais un peu sonné. Je titubais tellement j’avais été assaillis. Ne pas voir me désorientais complètement. On me fit m’asseoir sur un des hommes. Il me tenait bien fermement par la gorge tout en mettant sa main sur la bouche. Cela m’excitait.
J’étais souillée de leurs spermes. Qu’allaient ils faire ?
Un des hommes tenait mes jambes tendues vers le haut. C’est là que je sentis des doigts me prendre la chatte à faire des va et vient. C’était mon Maitre..
- Lane, je veux te voir jouir, je veux que tu nous inonde de ton plaisir.
J’étais aux anges. Entravée ainsi, à la merci de ces hommes mais c’est lui qui avait le droit sur mon plaisir. Il savait comment me faire jouir. L’homme qui me maintenant me disait :
- Allez jouis petite pute.. jouis..
- Oh mais c’est qu’elle en met partout cette chienne.
Il caressait en même temps mon clitoris.. Une vague m’envahit. Mon corps ne répondait plus de rien.
L’homme me maintenait fermement, il m’étranglait. Cela avait le don de me rendre encore plus folle.
Une fois ma jouissance eu, ils me jettèrent sur le canapé, comme une poupée usagée.
Ils me laissaient ainsi.
- Allez messieurs allons prendre un verre.
Je les entendais parler à mon sujet.
- Quelle bonne putain, vous avez . A recommencer quand vous voulez ;
- Sa bouche est un réelle enchantement.. vraiment. Vous l’avez bien dressée.
- Son fion est des plus agréable.
Au bout d’un moment, j’entendis des pas revenir vers moi. J’étais là, usée, abusée.
- Allez, Lane, remercie encore des messieurs avant qu’on parte.
- Messieurs, je vous remercie de m’avoir baiser par tous les trous.
- Brave petite chienne dit l’un en tapotant ma joue
- A une prochaine fois. Dit un autre en me claquant la fesse
- Bonne putain dit un autre en tirant sur ma laisse et en me rejetant .
Doucement au bout de quelques minutes, je sentis une main douce se poser sur ma joue. Il me releva et me guida. J’entendis le doux bruit d’une douche.
- Rien ne vaut une douche pour se détendre. Il me jeta sous la douche avec ma lingerie et m’enchaina. Il savonna fermement en insistant sur mes seins , ma chatte et mon cul.
J’étais alors épuisée. Je me jetais alors dans ses bras. IL me retira alors le bandeau. J’avais du mal à les ouvrir, légèrement aveuglée. La douche était des plus fabuleuses, elle était à l’italienne. L’eau perlait comme si c’était de la pluie. C’était une bénédiction sur chacune des parties de mon corps.
Il me serrait alors contre lui en me caressant le dos. Tu as été merveilleuse ce soir. J’ai tant aimé te voir prendre ton pied ainsi. Tu étais belle. Nous nous caressions mutuellement sous l’eau. Il était d’une telle douceur. Il enleva ma lingerie qui était toute trempée mais j’en avais que faire. Il sorta puis me pris la main.
- Ne bouge pas, je vais te sécher
Il ouvrit le draps de bain, je mis mon dos contre lui. Il rabattait les pans du draps sur moi et me sécha. Puis doucement, il s’attarda ensuite sur mes mollets et pris un à un mes pieds pour les sécher.
Mes cheveux étaient encore trempée. Il me mit un peignoir qui était à disposition, bien trop grand pour moi. Je mettais mes cheveux dans une serviette. Je profitais des produits à dispositions pour me démaquiller.
Il me prit par la main.
- Viens ma princesse.
J’entendais la pluie dehors, cela me berçait.
- Je t’ai apporté quelques affaires pour que tu sois à ton aise.
Je me mis alors sur le lit avec le peignoir, il me parlait tout en caressant mon visage, je fermais les yeux doucement. A moitié endormie, je le sentais s’occuper de moi, je le laissais faire. J’étais sur mon flanc droit, il s’était mis derrière moi m’enveloppant de tout son corps et posant sa main sur la mienne en entrelaçant nos doigts fermement …
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Conversations :
Cléo est revenue toute agacée du Père Lachaise. À la fois de ne pas avoir été satisfaite - ce dont elle a pourtant l’habitude - et d’avoir touché le Mur des Fédérés. Elle veut se faire tatouer un A dans un cercle, sur l’épaule. Je lui demande en plaisantant :
- A-t-on déjà vu une soumise révolutionnaire ?
- Monsieur, je suis bien consciente de mes contradictions. Mais il y a en moi celle qui pense et celle qui désire, ce ne sont pas les mêmes.
- Mais tout de même, ta maîtresse ne te laisse pas beaucoup de choix.
- Qui vous dit que les rôles sont aussi clairement séparés entre maîtresses et soumises ? Ou plutôt qu’elles ne se les échangent pas secrètement ? Vous n’êtes pas très doué en psychologie, sauf votre respect…
- Alors explique-moi !
- C’est trop compliqué. Vous ne comprendriez pas. un langage que l’autre saisit inconsciemment et sans que les apparences en soient changées ?
- C’est ainsi que tu le penses ?
- C’est un dialogue.
- Je te crois.
- Vous savez, ce n’est pas difficile pour moi d’être fouettée quand l’envie me vient.
Sarah et moi, seuls, dans ma chambre. Sarah se masturbe sur le lit, à mes côtés.
- Sarah, tu sais comment j’aime te prendre ?
- Oui, je crois avoir compris.
- Et toi, dis-moi ?
- Vous êtes le Maître, ma satisfaction est la vôtre.
- Bien sûr. Mais la réponse ne me suffit pas.
Ses doigts accélèrent leur manège en haut de sa fente.
- Monsieur, puisque vous tenez tant à savoir, lorsque vous me pénétrez ainsi, je me sens remplie, comblée. Il n’y a plus rien d’autre pour moi que la verge avec laquelle vous m’empalez. Je ressens chaque pulsion de sang dans votre sexe, chaque claque de votre bas-ventre contre mes fesses, toute la force que vous mettez à forcer votre passage. Je me soumets à votre organe brutal, je l’apaise, je le dompte et je lui réclame humblement ce qu’il finit toujours par m’accorder. Voilà mon rôle, Monsieur.
Elle halète. Son autre main glisse jusqu’à sa vulve et deux de ses doigts s’enfoncent dans son intimité.
- Pardon, je ne voulais pas dire « dompter »…
- Quoi qu’il en soit, je préfèrerai ne plus te prendre qu’ainsi. Et moi seul. Comprends-tu ?
- Oui, Monsieur. Vous ne m’avez jamais prise autrement. Me sodomiser est votre privilège.
- Il est possible que tu aies à servir des hommes. En ce cas, tu n’useras que de ta bouche. Et aux femmes, à commencer par Cléo, tu donneras ta chatte en plus de ta bouche. Je t’offre ce plug, dis-je en déposant un petit paquet à ses côtés, il n’est pas fait pour t’élargir, ce qui serait idiot, mais pour marquer que cette limite que je mets.
Sarah dépose un baiser furtif sur ma joue, déballe son petit cadeau puis, s’étant assurée qu’il est parfaitement propre et l’ayant humecté de ses humeurs vaginales, elle se l’introduit dans le rectum. Ceci fait, dans un élan de coquetterie inattendu, elle me tourne le dos afin que je la contemple.
Quelques pas dans le jardin pour se dégourdir les jambes après trop d’heures assis à mon bureau. À l’anneau de Sarah, je lui ai fait accrocher trois courtes chaînettes garnies de perles qui rebondissent contre sa fente à chacun de ses pas. Elles dit qu’à présent elle ne peut plus marcher sans être excitée.
- Monsieur ?
- Oui ? Qu’avez-vous éprouvé, lorsque vous m’avez gagné ?
- J’étais abasourdi.
- Je vous ai plu ?
- Je ne sais pas… C’est autre chose. Quelque chose de bien plus profond et puissant. Quand une idée devient quelque chose de réel, de concret, par exemple, le corps d’un autre, ton corps, ton corps vivant, avec une voix, un regard, une tiédeur, l’idée meurt à l’instant. Tant que tu n’étais que la mise d’une partie de poker, tu n’étais qu’une idée. À l’instant où je t’ai remportée, plus rien n’a existé que ta présence. Tu as pris toute la place. Et je ne m’y attendais pas…
Sarah sourit, songeuse.
- Et toi ? Nous n’en avons jamais parlé… Qu’as-tu ressenti ?
- Moi ? J’ai été humiliée comme jamais je ne l’ai été. Devant tous ces hommes, gros, vulgaires, laids, puant le tabac froid et l’alcool, je n’étais plus qu’un simple objet, un animal domestique que l’on vend. Et même un chien aurait été traité avec plus de sympathie.
- Je suis désolé, j’aurais dû te demander bien avant.
- Les hommes sont comme ça. Il n’y a que leur pénis qui compte.
- Non, enfin… oui, c’est vrai, ils sont comme ça. Je te demande pardon.
- Non, vous êtes le Maître, vous n’avez pas besoin de vous faire pardonner. Moi, j’ai appris. Et puis, c’était vous. Quelque chose s’est passé que vous n’avez pas perçu mais que moi, j’ai ressenti jusqu’au creux de mon ventre. Si le prix à payer était d’être ainsi humiliée, alors j’étais d’accord. Cela m’a rendue plus forte.
À table. Cléo fait le service, à demi-nue. Soudain Sarah la saisit par le poignet pour l’immobiliser. Elle joue en tirant sur les anneaux de ses seins.
- Monsieur, aimeriez-vous profiter de cette petite putain cette nuit ? Vous n’y avez pas encore goûté…
Cléo retient son souffle.
- Savez-vous qu’elle n’a jamais connu l’homme ? Je suis convaincue que cela lui ferait un bien immense.
Cléo frémit et se contracte. Je me lève et prends sa main.
- Je pense que nous allons faire beaucoup mieux. Nous allons la prendre ensemble…
- Excellente idée ! Cléo, tu peux débarrasser maintenant. Nous prendrons le café sous la véranda.
Claque sur les fesses. Pour la ponctuation.
Actes
Sarah enfile un harnais muni d’un épais et long godemiché. Cléo est étendue sur le dos, les yeux grand ouverts, cuisses écartées. Sans entrave, ni bâillon. Sarah empoigne sa chevelure pour amener les lèvres au contact du godemiché. Cléo ouvre la bouche, le lèche et le suce, jusqu’à ce qu’il luise de salive. Replacée entre les jambes de Cléo, Sarah introduit le substitut masculin. À mon tour, je me poste derrière Sarah. L’ayant fait se raidir, je pointe ma verge entre ses fesses écartées. Sa position la contrarie, elle résiste, je lui administre deux grandes claques, elle se cambre docilement et ma verge aussitôt s’enfonce.
Nos trois corps roulent, soudés dans un même rythme, peau contre peau, muscles synchronisés, démultipliés par une même énergie, puissante machinerie de corps huilée de sueurs, de salive et de cyprine, dont l’épuisement fusionnera trois sexes en un seul orgasme. Cléo râle de douleur et de plaisir à la fois. Sarah propulse mes à-coups jusqu’au fond de son vagin. Je claque durement ses fesses. Cléo résiste, se bat, répond par de briques heurts du bassin, avalant l’engin tout entier. Elle Jusqu’à ce qu’exténuée, la machine agonise dans un concert de râles et de plaintes, éjaculant son trop plein parmi les draps.
Après vient l’apaisement des corps et le réveil des âmes. L’immense soif d’aimer et de se donner à l’autre. J’embrasse Sarah, Sarah embrasse Cléo, Cléo m’embrasse.
- Merci monsieur, me murmure-t-elle à l’oreille.
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Comme à mon habitude, désolée pour les éventuelles fautes, je suis allée écouter Chopin…
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Nous quittions ce restaurant indien du centre ville que j’affectionne. J’aime les plats relevés, pimentés.. un peu comme je souhaite mener ma vie. Nous étions dans le centre ville de Strasbourg. Après ce repas divin se terminant par un thé indien, il me proposa de faire une promenade le long des quais. L’air était doux, il y avait une légère brise. Nous marchions côte à côte, lui me tenant par la nuque où je sentais cette douce pression bienveillante. J’aimais quand il me caressait du bout de ses doigts. Parfois, il serra plus fort pour me montrer de ne pas oublier qui il était. Il était dominant de nature.
Je me sentais légèrement chipée ce soir là, les verres de vin me faisant tournoyer. Je me laissais complètement allée. Je souriais, je riais. Ce sentiment de bien être qu’on peut avoir quand on est simplement heureux.
Il nous dirigea vers son appartement. Je l’aimais.Il avait comme moi ce goût pour tout ce qui a une âme. Je jalousais son appartement. J’aime le vieux parquet, les hauts plafonds, les vieux meubles…
Il me faisait monter les escaliers en me mettant une claque sur les fesses.
- Allez monte !
Il avait ce regard taquin que j’aimais. Arrivée à l’étage, je posai ma tête contre lui ne montrant légèrement aguicheuse . je me sentais à vrai dire un brin fatiguée.
Il posa son doigt sur ma bouche.
- Chut…
Il caressa mon visage et me pris dans ses bras. Il ne prit même pas la peine d’allumer la lumière. Celle de l’extérieure nous laissait dans une certaine pénombre.
Toujours dans la chaleur de ses bras, il me dirigeait vers sa chambre. Cette chambre avec son lit si unique. Un grand lit où sur chaque coin se trouvait des bois en hauteurs sculptés. Il m’avait dit qu’il l’avait chiné en Allemagne. C’était une pièce si unique. Je n’avais vu que ce genre de lit que dans des films où parfois on jalouse cette sublime décoration de rêve. Devant ce lit, se trouvait un coffre relativement grand qui me rappelait bien des souvenirs. Il y avait cette armoire qui comme chez moi cachet ses jouets favoris dédiés au délices et aux supplices.
Il me déposa avec une tendresse infinie sur le lit. Ma tête tournoyait, l’alcool avait cet effet de m’endormir et de me rendre bien docile. Il me caressait le visage les cheveux. Je me lovais sur ses oreillers, sur son lit si confortable. J’avais quelques difficultés à même parler. L’alcool et ses ravages me direz-vous ?.
- Ma petite chienne semble bien fatiguée, mais je ne vais pas Morphée me la kidnapper.
Je souriais me laisser aller à cet état de plénitude où je me laissais complètement aller.
Je sentais sa main remettre mes cheveux, passer sur mon visage. Il me saisit le cou pour prendre possession de ce qui lui appartenait. Je sentais son souffle au creux de mon cou. Son parfum me rendait complètement folle. De son autre main, il fit glisser la fermeture éclair avec lenteur comme s’il déballait un cadeau.
Je gémissais, je me pinçais les lèvres. Je fermais les yeux appréciant ce moment d’intensité et de sensualité.
Je m’étais mise sur le flanc comme pour l’aider à continuer.
La bretelle de ma robe glissait le long de mon bras. Avec langueur, je me défis de cette bretelle. Il libérait ainsi mon sein où il le saisit pour dire.. C’est à moi..
Il me pris alors par le bras pour me redresser. Il s’était mis derrière moi, j’étais assise devant lui. Il ota la robe au dessus de ma tête. Il glissa sa tête au creux de mon épaule pour l’embrasser puis pris de pleine main mes seins. Il les sous-pesait, les remontant, les enveloppant, les serrant. Ma tête basculait contre son torse. Je chavirais. Il me caressait du bout de ses doigts. J’avais la chair de poule. Mes tétons s’étaient dressés comme il avait cet art à me dresser naturellement.
Sa main descendait sur mon ventre, sur l’extérieur de mes cuisses, il me caressait.
D’un geste vif comme un tigre, il se retira pour me forcer à me rallonger. Il s’était mis face à moi, mes jambes était pliées sur le lit. Avec une sauvage douceur il me retira.
Il saisit mon bras droit pour l’orner d’un bracelet en cuir, il fit de même de l’autre. Je sentis le bruit d’un mousqueton qui m’attacha aux liens qu’ils avait mis au niveau du lit. J’étais ainsi les bras écartés, attachée.. à sa merci.
Il ne parlait pas, je me laissais faire. Il plaça un bandeau sur mes yeux. J’étais ainsi dans le noir, à ne pas savoir ce qui allait se passer. J’adorais être privée de la vue, cela exacerbe les sens à vous faire frissonner, à décupler lous les ressentis, ne sachant pas ce qui va arriver.
Il avait écarté mes jambes.
Il effleura du bout de ses doits mon corps puis se releva.
J’entendais ses pas, j’essayai de deviner ce qu’il faisait.
- Maintenant, je vais te mettre un casque avec la musique que tu affectionnes. Tu vas être une gentille, gentille petite chienne.
Hum j’étais aux anges. C’est la première fois qu’il me mettait un casque. J’allais découvrir que c’était d’une intensité. J’étais ainsi privée de ma vue et des sons environnement, comme dans une bulle.
Je ne sentais que la douceur de la pulpe de ses doigts m’honorant de voluptueuses caresses.
Il s’était absenté durant quelques minutes. En entendant ses pas resonnant de plus en plus fort, Ma poitrine se soulevaient, je me sentais éveillée à tout ce qui allait se passer malgré mon état.
Il saisit alors ma bouche de ses doigts pour y déposer un baiser bien mordant.
Je sentis soudainement une chaleur à mon entrejambe. C’était la chaleur d’une flamme. Qu’avait il déposé. Une bougie ? allait il mettre de la cire comme il aimait à le faire ?
Je n’osais plus bouger gardant les jambes bien écartées. Il écartait les lèvres de mon sexe. J’imaginais comment ils les regardaient à la lueur de cette flamme. Il les écartelaient comme pour voir mon intérieur.
Au bout de quelques secondes, je sentis mon sexe se refroidir. Il s’était emparé de cette bougie. J’étais toute en haleine. C’est là que je sentis la première goutte chaude s’abattre sur mon ventre, puis une seconde, une troisième.. il jouait avec mes seins, mon ventre puis il commença à s’attarder avec la cire sur mon sexe. Il jouait de la hauteur d’où tomber la cire.
J’entre-ouvrais mes lèves, laissant échapper le cri de mon désir, de mon doux supplice.
J’étais ainsi recouverte de cire. Je devinais alors qu’il s’était amusé à jouer d’une bougie, et celle d’une bougie de massage. Il jouait avec les matières. Cette sensation agréable où il otait ensuite la cire tout en commençant à me masser avec langueur. Il me rendait complètement folle, sur le chemin de la perdition.
La musique dans mon casque me transcendait. Du chopin. Je tourbillonnais, je me perdais dans ses mains expertes. Je sentais la force de ses mains me masser, s’attarder sur mes seins. Il les massait, il prenait possession de ces monts en les malaxant puis de ses dents il me mordait les tétons.
Il est aspirait. Il me tourmentait. Je soupirais, encore et encore. Je perdais pied. Je devais probablement émettre des sons de plaisirs à la hauteur de ce qu’il m’infligeait.
Mon corps était bien huileux. Il n’oublait aucune partie de mon corps. Il s’occupait divinement de mes pieds, effleurait mes mollets, embrassait mes cuisses. Ses doigts était un appel à en demander toujours plus.
D’une main bien plus ferme il écarta davantage mes cuisses. Je le devinais face à moi, observant mon sexe. Je sentis alors une goutte de cire s’abattre sur mon clitoris si sensible. Je me dandinais, ne tenant plus, tellement il faisait de moi une petite chienne en chaleur, voulant être comblée de partout.
Je sentais ses doigts glisser le longs de mes lèvres. Je ruisselais. Il jouait.. me frustrait. Je me cherchais en bougeant ma petite chatte à en avoir plus. Il écarta alors de deux doigt mes lèvres et je sentis sa bouche prendre possession de mon clitoris. Il l’aspirait avec intensité. Il me voyait bouger. Il me tenait fermement . Je me débattais face à ce plaisir qui faisait que je n’arrivais pas à me contenir.
Pour m’abattre, il mit à l’entrée du trou de ma petite chatte un doigt. Il caressait, sans me pénétrer. Je ne tenais plus. Je voulais qu’il me doigte, qu’il me fourre. Ma chatte appelait ses doigts
Il ne mit qu’un seul doigt à mon grand dam. Mais il m’enfourra si profondément pour me faire comprendre que c’était lui qui décidait. Il me baissa avec son doigt si fortement.. tout en me suçant le clitoris. Puis ressortant son doigt, il me caressait à nouveau de cette pulpe imbibé de ma mouille le clitoris.
Je soupirais encore et encore.
Il m’emmenait à chaque fois au bord de la jouissance s’arrêtant juste avant. Ma tête s’engouffrait davantage dans les oreillers. Je couinais telle une petite chienne en chaleur. Il me releva bien les jambes et caressa mes lèvres gonflées. C’est là qu’il me fourra de plusieurs doigt. Avec douceur, il inspectait en profondeur comme si il voulait me transperçait en sondant mon intérieur. Je bougeais mon bassin l’invitant à me combler encore en encore. J’aimais quand il me sondait ainsi.
Soudainement, je sentis alors bien plus que quelques doigts. J’étais si ouverte. Il bougeait sa main dans tous les sens. J’avais quatre doigts qui m’honorait. Je ressentis alors son pouce tentant de se frayait un chemin. Il avait posé sa main sur mon ventre pour me calmer. Je soufflais, de désir, de plaisir mais aussi de douleur. J’étais dans une excitation qui faisait mal.
Je sentais la force de son bras, cette main de velours, son intransigeance à vouloir m’écarteler.
Il commençait des mouvements de va et vient avec son poing. Je criais..
il ressortais son poing, s’impregnant de ma mouille et probablement d’un gel. C’était intense. De se sentir prise ainsi. De s’ouvrir à ces plaisirs fous. Il me pénétrait avec sa main comme pour pénétrer les entrailles de mon désir. Je me cambrai.
Quand il ressortit son poing, il me caressa doucement l’entrejambe comme pour calmer le feu ardent. Ma bouche s’était assechée ,comlètement consumer par la chaleur de mes envies les plus pervers dont il était le brasier.
Soudainement, je sentis une goute froide s’abattre sur ma bouche. Je voulais m’abreuver de cette eau. Il passait le glaçon sur ma bouche puis le glissa le long de mon cou. Je me délectais.. mon corps réclamait encore et encore. Il me mettait à ce point de rupture.
Il traçait un chemin sinueux jusqu’à mon entrejambe. Il passait autours le glaçon autours de l’auréole de mon sein gauche. De l’autre il avait inséré son pouce dans ma bouche. Je prenais un plaisir à l’honorer, le sucer, le lecher.
J’étais soumise à toutes ces caresses et je me laissais complètement aller à cette frénésie qui sortait de l’ordinaire. Il faisait de la sensualité un art, la sexualité en était également un. Il connaissait chaque parcelle de mon corps. C’est cela que j’aimais dans notre relation.
Combien de fois, avant lui j’avais tenté des relations plus légères qui n’avait aucune saveur, où ces hommes se prenaient pour des dieux du sexe, à croire que quelques coups de queue provoquaient une jouissance. A ces hommes qui ne savent même pas comment stimuler un clitoris, où à ces hommes qui une fois leur plaisir pris.. nous regardent en disant.. mais « caresse toi ».
Lui , il découvrait, scrutait, il dominait naturellement. Il aimait maitriser tout ce qu’il faisait et cela passait par la maitrise de mon esprit et de mon corps. Les deux étaient liés.
Toujours avec douceur, il caressait mon sexe avec un glaçon… J’en avais la chair de poule. Il l’introduisait dans ma petite chatte si brulante. Mon corps le réclamait. Il me mettait au supplice. J ouvrais ma bouche, espérant qu’il insère encore ses doigt.
Je sentais le glaçon fondre dans ma chatte qui inondait le matelas. Il engouffra dans ma chette un gode pour me combler.Il faisait quelque va et vient puis viens s’asseoir à califourchon sur ma poitrine.
Il pinça mon nez. Naturellement j’ouvrais ma bouche. Il introduisait son gland à l’orée de son écrin. Avec calme, il s’engouffra doucement. Une fois arrivée bien au fond, il y resta quelques instant.. puis ressorta.. puis encore à nouveau il me fourra bien au fond ma bouche. Je sentais au fil de la montée de son désir son corps faire cette danse pour aller.. revenir.. aller et revenir.
Puis pour jouer avec moi il restait encore en me pinçant le nez. Il me rappelait ma condition de chienne voulant se faire étouffer de son gland .
Puis il me tapotait la joue, me faisant sous entendre que j’étais une brave petite chienne.
J’aimais cette sensation où tout passait par les ressentis, bien que sa voir me manquait.
D’un coup vil, il me détacha les bras et me retourna . Il me maintenait par le cou. La tête appuyée dans les oreillers. Il me rattachait cette fois ventre contre le matelas. Il glissa sous mon ventre, un cousin conçu pour maintenant mon cul telle une montagne à prendre d’assaut, pour faciliter l’accès mon cul.. et surtout cela soulageait mon dos quand il me baisait avec violence.
Il me tirait alors par les cheveux pour me redresser puis me jeter alors comme une petite poupée. Il me faisait comprendre que j’allais prendre… subir le fruit de son affection.
Il avait quitté le lit. La musique masquait tout, je ne savais pas ce qui allait se passer. Le temps paraissait long.
Quand soudain, je sentis les lanières du martinet sur mon dos. Il me caressait avec.. jusqu’aux fesses, à s’amuser de faire passer les lanières entre mes fesses. Le premier coup s’abattait sur mes fesses. Il y mettait le même degré que cela de mon désir. Je criais de surprise. Puis un second… Je m’enfonçais dans les oreillers pour retenir mon cri…
Puis avec soin il s’attela à s’occuper de mon dos en croisant ses coups. Il faisait tourner le martinet à le faire passer en coup de vent ou alors en y mettant plus d’aplomb. Il en faisait de même au niveau de mes cuises. Il prit un malin plaisir à s’occuper de mes pieds. Me voyant trop bouger, il décida alors de me les attacher avec une barre d’écartement.
Je sentais alors ses mains sur chacune de mes fesses. Il les griffait, les malaxait. J’avais toujours le gode dans le fond de ma petite chatte. Il s’amusa encore à s’assurer qu’il était bien au fond. IL écartait cette faille pour avoir une vue imprenable sur mon petit trou du cul.
J’étais dans un tel état. J’étais sa putain. J’aimais être son amante. Celle où il pouvait m’utiliser comme bon lui semble.
En engouffrant deux doigts dans mon cul, il s’amusait à faire ressortir cette petite peau qui le sépare de ma chatte. Je ressentis son désir pour mon petit fion. Il aimait le conquérir, l’élargir, le baiser, le fourrer. Je sentis alors qu’il introduisait deux autres doigts de sa main. Il m’élargissait de part et autres. Je râlais.
Puis allant chercher ma mouille, il caressa ma petite auréole en pris possession comme il avait fait avec ma chatte de mon fion. Il le tournait, s’amusant avec.. puis introduisait un second. Il regardait probablement comment bien l’’élargir.. C’est là que je sentis l’écouteur droit être soulevé.
- Je vais te fister ma petite putain.
Puis il remit le casque. Cette annonce m’avait fait peur mais à la fois m’avait rendu complètement folle. Il y travaillait depuis quelques temps. Il voulait me voir le fion béant. Le gode était tombée, tellement j’étais trempée.
Il comprend à mes sons que je l’invitais à continuer. J’étais dans un état..
Je sentis alors un troisième doigt s’introduire. Il tournait.. il tournait. Il me préparait à recevoir ce qui devait me combler. Il faisait trembler ses doigts me faisant défaillir. Je produisais probablement des sons de plaisirs intenses. J’aimais la manière dont il me doigter à fouiller mes entrailles.
Le quatrième.. Là sa main était presque droite. Il faisait des vas et des viens un peu comme les vagues qui s’abattent sur la plage la laissant humide.. tout comme ma chatte qui s’emplissait de mouille.
Quand il ressortait ses doigts c’était pour mieux s’en imprégner, bien mouillée, bien huiler pour bien me prendre par la main.
Je sentais la pression qu’il y mettait. Je croyais. Je m’étais naturellement relevé comme pour m’aider, l’aider à aller au bout. Je ne creusais plus mon dos, je sentais qu’il était sur le point de passer le plus difficile. Il me maintenant par la taille et m’invitait à chercher plus.
Ensemble, je sentis alors son poing entré.. Pendant quelques secondes, il le laissa ainsi, sans bouger. Il caressait ma croupe. Puis doucement il commença à me baiser avec. Tout doucement. Il s’amusait aussi à tourner légèrement pour parfaire son travail. Je sentais son excitation. C’est là qu’il tira mes cheveux. Son poing était comme la queue d’un étalon, il voulait que je me comporte comme une petite jument qui se fait mettre comme il se doit.
J’avais cette douleur qui commençait à disparaître. Il retira alors mon casque.
- Quelle petite salope tu fais..
Aucun mot ne sortait. Il m’épuisait. Je me laissais totalement faire, attachée ainsi et maintenu par le poing dans mon cul.
- Je me demande si je ne vais pas mettre ma queue dans cette petite chatte de salope…
Je me sentais presque honteuse mais excitée à cette idée.
- Allez, demande moi ! Je veux t’entendre le dire.
- Monsieur, je vous en supplie, prenez moi aussi la chatte..
- Plus fort ! je n’entend pas suffisamment !
- Monsieur.. je vous en supplie, prenez moi par la chatte.
- Voilà, c’est mieux. Je vais excauser ton désir de putain.
- Je ne veux pas t’entendre, tu as compris !
- Hummm.. oui.. Monsieur.
Il me jetta la tête à nouveau contre l’oreiller pour étouffer mes cris de chienne couinante.
Il introduisait lebout de son gland à l’entrée de ma chatte.
- Allez viens la chercher.
- Doucement , je m’empalais sur sa queue avec je dois le reconnaitre bien grande difficulté.
Puis une fois prise ainsi, il me dirigea par le poing de mon cul. Il y allait avec une certaine douceur. Je le sentais râler de plaisir.
- Je vais presque pouvoir me caresser la bîte avec mon poing, petite pute.
J’avais mal. Il sortit rapidement de ma chatte.
Il s’appuyait sur mon dos pour que je m’étale à nouveau sur le cousin. Doucement il retira son poing de mon fion meurtri.
- Regarde moi ce trou.. Un vrai petit garage à bîtes, dis -moi. Plus d’un y aimerai s’y engouffrer et te prendre comme la trainée que tu es.. Je vais peut-être devoir y songer..
Je me sentais humilée à cette idée, bien que cela m’excitait. Je ne sais pas si cela était une bonne chose à faire car entre fantasme et réalité ; cela peut casser beaucoup de choses. Mais j’étais attirée par cette pluralité de me faire fourrer et prendre par plusieurs hommes, et il le savait.
Il écarta mes fesses, il voyait les réactions de mon fion ouvert, légèrement se refermer. Puis il remplaça se vide par sa queue. Elle rentrait comme dans du beurre. IL me besogna. Pour mieux me prendre bien au fond, il avait mis de chaque coté ses jambes. Je le sentais bien profondément.
Puis dans son excitation, il me tira les cheveux pour me redresser puis mis sa main sur sa bouche pour ne pas entendre crier à chacun de ses assauts. Je sentais sa frénésie, il me traitait comme la petite chienne que j’étais. Il me rejeta la tête sur l’oreiller et la bloqua en y mettant son pied.
- Dis moi que tu aimes que je te baise ainsi..
Encore une fois, interdite, mais je devais lui avouer.
- Oui monsieur, j’aime quand vous faîtes de moi votre chienne.
- Oh oui, c’est tout ce que tu mérites. Regarde moi comme tu es ouverte.
Il me claquait les fesses, et m’honorait des mots qui me représentaient bien.. Chienne en chaleur, putain, catin.. salope. Cela avait le don de me rendre complètement humide.
Il enleva les mousquetons de mes attaches et me retourna, mon cul posé sur le cousin, il était surelevé.
Il était au dessus de moi. Il retira alors mon bandeau et plongea son regard dans le mien. J’étais dans le paradis de la luxure. J’étais à lui. J’aimais cette intensité quand nous nous regardons ainsi.
- Baisse tes yeux !
Je n’obeissais pas, continuant à le regarder.
- Baisse tes yeux !
Je me refusais.. à obéir avec un sourire dont je savais qu’une punition allait venir. IL saisit brutalement ma bouche avec sa main. Puis me dit
- B..A..I..S..S..E T.E.S Y..E..U…X
Je souriais à ne pas vouloir l’écouter. C’est là qu’il me gifla sur la joue droite, puis la gauche.
- Petite salope insoumise !
Je vais te punir ne t’inquiète pas pour ton insolence.
Il m’encercla le cou avec sa main tout en me possédant la chatte. Il me besognait. Il prenait l’assaut de ma forteresse. Il me pilonnait tout en m’étranglant. Je me sentais vidée et pleine à la fois. IL avait eu raison de moi. Je fermais alors les yeux.
Il saissait mes cuisses et replaça mes fesses bien à l’orée du cousin. Il se releva mes jambes en tenant la barre d’écartement vers le haut.
Il était si vigoureux.. Mes deux trous étaient alors si facile d’accès à être pénétrer. C’est là qu’il changea de trou pour entrer comme dans du beurre dans mon fion.
J aimais quand il était des plus pervers, autant que ma perversité de petite chienne. Il en était le chef d’orchestre.
Tout en me sodomisant il introduit plusieurs doigts dans ma chatte. Il aimait quand j’étais pleine.
- Regarde toi.. ma petite fontaine.
J’avais des larmes de plaisirs qui coulaient. Je n’arrivais plus à me contenir. Je sentais sa jouissance arrivée. Il aimait me remplir de son foutre et me laisser être souillée ainsi.
Il me libéra de la barre d’écartement puis me prit dans ses bras. Il me caressait doucement la chevelure, j’adorais cela. J’étais complètement épuisée..
Il me murmurait à l’oreille :
- Tu es ma petite chienne.. Aimerais-tu que je te fasse prendre par plusieurs hommes la prochaine fois ?
J’enfouissais ma tête contre son torse. J’en avais envie mais cela me faisait peur.. je ne lui donnais pas ma réponse..
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Mamoud est un précoce comme le sont où l'ont été ceux qui génèrent par leur seule présence la peur et même la terreur. On ne sait pas s'il est mongol, turc, persan ou descendant direct d'Attila, ou de la bête du Gévaudan. La seule chose que l'on sait c'est qu'à douze ans, il était déjà bien formé et à la besogne. On l'appelait le décapsuleur. Il se tapait tous les petits culs des files ou des garçons de sa classe et du bahut et personne pour broncher, tous étaient terrorisés. Heureusement qu'il se contentait des petits culs et de la sodomie sans quoi il aurait finit par engrosser toutes les filles du coin.
Mamoud en a seize et demi à présent. Tout le monde sait mais personne n'ose rien dire, à cause de cette peur qui colle au ventre et tord les boyaux. Mamoud est la "bête" du quartier. Même les flics marchent à l'ombre. Il continue a décapsuler quand et comme il lui plait.
Il est des gens comme cela qui inspirent la terreur noire. Il est des femmes qui pissent dans leurs culottes rien qu'en voyant Mamoud de loin. Une angoisse terrible, les force à se vider. Il ne faut surtout pas regarder Mamoud dans les yeux, cela peut le rendre fou.
Une jolie petite poupée a été mutée comme chef du petit poste de police du quartier. Une qui se la pétait avec une décoration de première de sa promo. Ses collègues ne lui ont pas dit. Elle est allé se faire décapsuler dans la rue. La pauvre! Mamoud est monté comme un âne. En plus un petit cul de flikette nouvelle et bien rose. Tout le monde a cru qu'il allait l'éventrer. Ben non, Mamoud a prit son temps pour bien la décapsuler, cette petite vierge des fesses.
Il a finalement prit son pied et a mit la flikette a l'amende.
-ce sera tous les soirs à 18 h. et t'as intérêt à être à l'heure ou je viens te chercher dans ton poste de police ou ailleurs.
Personne pour résister aux ordres de Mamoud à cause de cette trouille qui ronge le cerveau. Et tous les soirs la flikette est là, sans culotte, le cul enduit de graisse, terrorisée, ouverte, à disposition. Et tous les soirs Mamoud la décapsule et la laisse le cul bien béant. Après il va bouffer chez Irma, la restauratrice, qui doit aussi se faire décapsuler et servir de bons plats. Puis il va dormir chez Irène qui y passe à son tour. Son mari, lui dort sur le paillasson, devant la porte avec une chaine cadenassée autour du cou.
La morale de cette histoire c'est que le décapsulage ça creuse.
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Les clients arrivent déjà. J’ai droit à quelques plaisanteries au sujet de mes fesses, je dis que je suis tombée... jusqu’à ce que Kriss explique aux clients qu’elle m’a donné une fessée, parce que je n'avais pas obéi !?!
À 14 h 30', on fait la caisse. Je dis à Madame Simone :
— Je suis contente de ne pas avoir vu Kristos.
— C’est un filou?! Je n’en veux plus.
Filou?! Un mot passé de mode mais qui lui va bien. Kriss arrive et me dit :
— Viens, on va chez les clients.
Oh?! Elle aussi?? Elle sort son vélo du garage et on part le long du chenal. On arrive devant une belle maison. Kriss entre dans le jardin en disant :
— On est là?!
De loin, on entend quelqu’un répondre :
— Par ici?!
On contourne la maison. Deux hommes arrivent à notre rencontre. Ouah ! Belles bêtes?! Grands, baraqués, avec des bites de guerriers (!) qui se balancent quand ils marchent. Ils nous embrassent sur la bouche, tandis que leurs mains se baladent de mes seins à mes fesses. Ils ne regardent même pas Julien. Ils sont secs et musclés et ils ont bien 15 cm de plus que moi. On va s’installer près d’une petite piscine. Il y a une table, des chaises et des lits de plage. Kriss leur dit :
— Voilà Samia, que vous avez vue en photos et son frère. Pas trop déçus??
Le blond répond :
— Non, pas du tout, elle est très mignonne. Presque aussi jolie que toi.
Eh, Machin ! Faut acheter des lunettes?!
Ils se présentent à leur tour. Le blond, c’est Speed et le brun, c’est Black. Vous ne saviez pas que c’est très dangereux, de donner son vrai prénom?? Je dirais bien, moi, c’est Angel et l'autre, c’est Devil. Mais, je ne sais pas si ça va les amuser. Speed nous demande :
— Qu’est-ce que vous voulez boire?? Il y a du rosé...
Je réponds :
— Volontiers. Si vous voulez, mon frère peut s’occuper du service, il fait ça très bien et...
Kriss me coupe :
— C’est toi qui vas faire le service, Samia?!
Elle explique aux deux autres :
— Je la dresse un peu cette petite.
Mais, qu’elle me foute la paix, cette conne, je suis ici pour gagner de l’argent et baiser avec ces deux mecs?! Je vais faire comme si elle n’existait pas. D’ailleurs, je lui dis :
— Je n’ai pas l’intention de...
Elle me coupe sèchement :
— Aux pieds !
Elle est folle... et... et je vais me mettre à genoux devant elle.
— Embrasse mes chevilles.
Je... j’embrasse ses chevilles. Les deux hommes rigolent, Speed me dit :
— Samia, tu vas chercher le rosé qui est dans le frigo, tu l’ouvres, tu cherches des verres puis tu ramènes tout ici. Fais ça vite et bien, car je crois que ta maîtresse n’attend qu’une occasion pour te mettre une 2e couche sur les fesses.
Ils rigolent tous les trois à cette phrase stupide?! Je vais faire ça et puis.. Je vais aller sur les genoux d’un mec et je ne ferai plus attention à Kriss. Je débouche la bouteille et je prends cinq verres dans l’armoire. Ensuite, je retourne près de la piscine avec mon plateau. Ils sont installés sur des lits de plage, même Julien. Quand j’arrive, Kriss me dit :
— Pourquoi cinq verres??
— Parce qu’on est cinq, Mademoiselle.
— Toi, tu boiras quand je le déciderai. Allez, sers-nous.
Je remplis les verres et les leur donne. Kriss cherche de la musique sur une petite radio. Elle trouve une musique de flamenco et me dit :
— Danse?!
— Mais... pour le flamenco, il faut une robe et...
— Je compte jusqu’à cinq. 1, 2...
Je danse, car... je m’en fous de danser. J’aime danser. Je fais ça depuis que j’ai cinq ans quand il y a une occasion. Nue, c’est la première fois, mais puisque j’ai commencé à lui obéir... Je danse, tape du talon sur le sol, lève les bras pour faire les mouvements du flamenco. Je me cambre aussi en regardant les deux hommes dans les yeux. Ils ont l’air très intéressés. Kriss se lève et vient danser avec moi. Oh?!!! Elle sait danser en plus?!! Elle fait l’homme en me prenant par la taille, me courbe, nos seins se touchent... Tout en dansant, elle me prévient :
— Si tu ne veux pas une nouvelle fessée, il va falloir bien m’obéir.
Mes fesses se serrent d’appréhension tandis que je réponds :
— Oui, Mademoiselle.
Je ne me reconnais pas?! Qu’est ce qu’il m’arrive?? C’est une fille?! Je n’ai jamais été spécialement attiré par une femme, sauf quelques exceptions, comme une jeune nonne, il y a longtemps... On danse le flamenco, nues, en agitant une robe imaginaire, c’est ridicule. Enfin, je trouve ça ridicule, mais les deux hommes et Julien ont l’air de beaucoup apprécier. Il fait chaud et on transpire. Le corps moite de Kriss se colle au mien par moment et je respire son odeur. Elle m’a humiliée en public et m’a fessée avec une sandale... mais sa peau contre la mienne m’excite et son odeur me plaît... C’est dingue... On termine notre flamenco. Kriss me prend contre elle en disant :
— Ça te plaît de danser avec moi??
— Oui Mademoiselle
— Dans ce cas, on va voir comment tu te débrouilles avec une chatte.
Mais... non?! Une odeur de transpiration, ça va, mais sa chatte, non, pas question?! Avec Sœur Marie... c’était différent. Kriss, c’est mon ennemie. Ça, c’est mon cerveau qui parle mais... mes hormones, ces sales petites garces ont pris le contrôle de mon cerveau?! Kriss se couche sur un des lits de plage. Elle écarte les cuisses et me désigne du doigt, sa chatte qui brille au soleil. Elle me dit :
— Quelques claques sur les fesses, ça t’aiderait??
Je me glisse entre ses cuisses et je colle ma bouche à sa chatte. Je suis bouche à con avec mon ennemie et ça m’excite affreusement. Comme je ne bouge pas, elle me donne un petit coup de talon sur la nuque. Message reçu : je commence à lécher. C’est mouillé et son odeur est forte, genre fin de matinée sur le marché aux poissons un jour de canicule. En fait, non, car il n’y a aucune note ammoniaquée, c’est sauvage, acidulé, musqué, en réalité c’est délicieux. Je regrette de ne pas avoir fourré mon nez plus tôt dans les chattes de mes copines.
Bien sûr, je sais comment fonctionne une chatte et les cunnis, je connais bien mais c’est à moi qu’on les fait. Je glisse ma langue entre ses lèvres et je lèche en faisant une incursion dans le vagin. Ensuite, je me concentre sur le clito. Là, l’odeur me rappelle celle de ma culotte quand je suis en panne de papier. Ben oui, les filles sentent leur culotte le soir, quand elles l’enlèvent. Demandez à votre femme.
Quand on suce un homme, il bouge, il se fait aller et venir, vous attrape par la nuque ou les oreilles... Kriss ne bouge pas ou à peine, elle se contente de me caresser le dos avec un de ses pieds tandis que ma langue tourne autour de son clito.... Je ne sais pas si je fais ce qu’elle aime, car elle ne réagit pas. Ah si?! Une de ses cuisses tressaille contre ma joue et puis l’autre cuisse. Ensuite son bassin vient au-devant de ma langue...
Un des deux hommes me caresse les fesses pendant que je lèche. Puis, il enfonce négligemment un doigt dans ma chatte. Je sais que je mouille, mais c’est personnel, ça, non?? Non, car il dit :
— Elle mouille bien, la petite salope
Kriss répond :
— Elle a le feu au cul. T’as pas envie de la baiser??
Eh, oh?! On demande?! Je relève la tête pour le dire, mais Kriss me repousse contre sa chatte... S’en fout le mec de mon consentement, il se positionne derrière moi et m’enfonce son sexe dans la chatte.
Bien que je suis très mouillée, je le sens bien. Depuis la chatte de Kriss, je crie :
— Aiiieee?! Faites doucement?!
Je commence à les trouver tous un peu... sans gêne?! Je lèche et je suce le clito de Kriss... Ça dure longtemps, j’en ai mal à la mâchoire. Enfin, elle jouit en plaquant mon visage contre son sexe. Ça va être à mon tour d’avoir le visage qui sent la chatte?!
Le gars qui me baise accélère et il jouit aussi... Moi, pas. Il se retire et dit à son copain :
— Tu veux prendre ma place?? Mais je te conseille de l’enculer, parce que j’ai inondé sa chatte.
L’autre répond :
— Non, venez me sucer à deux les filles.
Kriss lui dit :
— Tu n’as pas envie de te faire lécher par le frère et la sœur??
— Ils font ça??
— Bien sûr.
Kriss se tourne vers moi en disant :
— Allez !
Je n’ai pas demandé combien on était payés et je n’ai pas l’intention de faire ça pour rien. Mais c’est difficile de le demander maintenant...
Julien s’est déjà mis à genou par terre d’un côté du gars, moi je me mets de l’autre côté. Entre nous, un sexe se dresse agressivement, une goutte perle du méat. Julien me regarde, genre «?Qu’est-ce que je dois faire Maîtresse???» Je commence par l’embrasser, une sœur qui embrasse son frère... ça devrait plaire au mec. Le troisième personnage de la pièce, la bite du mec, fait un petit bond.
Je fais coulisser la peau qui recouvre le gland en disant à Julien :
— Tu fais comme moi.
On s’embrasse à nouveau, mais avec un gland entre nos bouches. Ensuite on le suce à tour de rôle. Quand je sens qu’il va jouir, je dis à Julien :
— Tu avales?!
Il prend le sexe en bouche pendant que je mordille les couilles. Quelques grognements plus tard, je vois Julien déglutir. Il devient bon, Julien. Il pourrait même me rapporter de l’argent.
J’entends l’autre homme dire :
— Il est mignon, le petit. J’ai envie de l’enculer?!
Et, là, mon cerveau se réveille enfin et il file un grand coup de pied dans le cul de mes salopes d’hormones?! Ça piaille sec, je vous jure?! Le "petit" il est à moi?! Il se fera enculer quand et comme je le déciderai?! C’est comme si je me réveillais d’un mauvais rêve. Qu’est-ce que je fais là, à ramper devant une salope et à lécher une chatte qui n’est même pas propre ! Je leur dis :
— Il faut d’abord que j’en discute à Julien.
Kriss répond :
— Non, tu dois obéir.
— Après lui avoir parlé?!
Un de mecs lui dit :
— Laisse-la faire.
Je ramasse mon sac, puis je prends Julien par la main et on contourne la maison. Quand ils ne nous voient plus, je lui dis :
— On court?!
On sort du jardin et on saute sur nos vélos, je manque tomber de ma selle tellement ma chatte est glissante... On s’enfuit?! Mon cerveau me souffle, «?comme des voleurs...?» Je réponds «?ta gueule?!?» C’est vrai quoi, qu’est ce qu’il a besoin de se laisser manipuler par mes hormones??
A suivre.
Si vous voulez me joindre, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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Ma vie de soumise
Chapitre 1 : Jeudi 1.
Jeudi soir.
Habituée d’un site de discussions, j’ai eu de nombreux contacts avec des hommes pour la plupart inintéressants. Et, puis, un jour …. Ou plutôt un soir.
Son pseudo est Jérôme. Nous nous présentons. Il a quarante ans, un mètre quatre-vingt-un, quatre-vingt-un kilos. Il est brun, yeux marrons. Il me dit être célibataire. Je me présente : Florence, vingt-deux ans, blonde, yeux bleus, un mètre soixante-quatorze, cinquante-quatre kilos. Nous habitons la même ville. Il me demande une photo. Je refuse. Puis la discussion devient plus intime et, je ne sais pas pourquoi, je réponds à ses questions. Il a su me mettre en confiance.
- Es-tu célibataire ?
- Oui
- As-tu un copain ?
- Pas actuellement.
- Depuis quand n’as-tu plus de copain ?
- Trois mois.
- Et tu n’as pas fait l’amour depuis quand ?
- Trois mois.
- Tu te caresses ?
- Oui.
- Sexuellement tu acceptes tout ?
- Tout ?
- Tu suces ?
- Oui.
- Tu avales ?
- Non.
- Sodomie ?
- Quelquefois.
- Tu es épilée ?
- Un petit duvet.
- Tu es jalouse ?
- Un peu.
- Tu es pudique ?
- Oui.
Il me redemande une photo que je lui envoie. Il me dit que je lui plais. Il m’en demande une autre plus déshabillée que je n’ai pas. Il m’envoie une photo. Très séduisant mais je suis méfiante. Il se dit dominateur. J’avoue ne pas bien savoir ce que ça signifie. Il commence à m’expliquer. Il me demande si j’ai déjà été soumise. Je lui demande de préciser. Je lui avoue que, pendant l’amour, je me laisse diriger par mon partenaire.
- As-tu déjà fait l’amour avec une femme ?
- Non.t
- As-tu une webcam ?
- Non.
- Où es-tu en ce moment ?
- Chez moi.
- Seule ?
- Oui.
- Comment es-tu habillée ?
- Jupe et teeshirt.
- Déshabille-toi.
- Complètement ?
- Oui.
Curieusement, j’obéis et me retrouve complètement nue devant mon ordinateur.
- C’est fait ?
- Oui.
- C’est bien.
Nous continuons la conversation, nous parlons de notre travail, il est directeur des ressources humaines, je suis secrétaire. Il me dit devoir couper. Nous nous disons au revoir. Je vais me coucher, je décide de rester nue. Jérôme m’a chauffée, je me caresse en pensant à lui.
À suivre ….
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Désolée pour les fautes, je suis partie jouer..
Il y a toujours en nous cette petite fille qui sommeille. Celle qui se dit.. oh zut suis adulte.. pfff.
Au-delà de la femme indépendante que je suis, j’ai ce coté femme-enfant qui aime régresser. Peut être pour oublier les soucis. A vouloir faire une bataille d’oreiller, à rejouer à ces jeux de notre enfance.
J’aime toujours user, abuser de ce regard innocent, à faire qui ne comprend pas… mais qui a besoin d’apprendre. Ce côté petite sotte qui a besoin de recevoir une petite leçon.. Vous voyez très bien de quoi je parle, n’est ce pas ?. Cette petite qui a envie de se faire corriger comme une petite fille fautive qui voulait cacher ses bêtises, et qui pour se faire pardonner affichait ce petit regard, tout innocent lui aussi.. Mais qu’ai-je fait de mal ?
Lors de notre dernière entrevue, il m’avait laissé une boite à ouvrir dès qu’il me le demanderait.
La curiosité est un vilain défaut n’est ce pas. Vous aussi vous auriez voulu savoir ce qu’il y avait dans cette boite, si belle, blanche perlé fermé à l’aide d’un magnifique ruban rouge rubis… Si je regarde qu’en saura t il ? mais si je regarde pas, mon excitation ne fera qu’augmenter… Je l’avais posé sur la table juste à coté de mon canapé en velours rouge opéra de mon dressing.
Mon dressing dispose d’un choix incroyable de tenues, robes, lingeries, chaussures et accessoires me permettant à la fois d’avoir un look BCBG, plus bohème , plus années folles ou ce look hollywoodien des actrices des années 40/50. D’ailleurs il parait que je ressemble à Dita Von Teese… ou plutôt c’est elle qui me ressemble.
Donc j’étais assise sur mon canapé à regarder cette boite. Je me mordais les lèvres. Un petit démon me disait.. ouvre là… l’autre… non regarde ton entrejambe.. il est tout émoustillé.
Je prenais sur moi… J’envoyais un message à Monsieur.
- Monsieur, je suis sur le point de fauter.. ouvrir cette boite… puis-je ?
Il me faisait languir.. je voyais qu’il avait lu le message sur Whattsapp. Arghh je le maudissais.
Une heure après :
- Non je te l’interdit. Tu auras le droit de l’ouvrir demain-matin.
Après tout, je me disais demain matin.. il n’en saura rien si je l’ouvre maintenant. Mon coté chipie ressortait. J’attrapais cette boite que je posais sur mes cuisses. Avec une délectation enfantine, je défis le nœud. J’ôtais le couvercle. Et là je vis.. une peluche.
Une peluche, il m’offrait une peluche.. Ah moi ? qui aime plutôt être très femme. J’y voyais une pointe d’humour mais peut être un indice pour notre prochaine rencontre ?
Message Whattsapp reçu : Je suis certain que vous avez ouvert la boite ? Je vous connais…
Je souriais, il me connaissait par cœur.. Je répondais instantamment.
- Oui Monsieur, je n’ai pas pu résister… et puis avec une peluche à la main et mon regard mutin.. vous allez me pardonner ?
- Oh.. mais vous vous trompez lourdement ma chère. Je suis en train de prendre note sur votre carnet. Je passe vous chercher demain à 20h. La peluche est un indice sur ce que vous devez porter demain. Ne me décevez pas et n’oubliez pas d’emmener votre peluche.
Je levais les yeux en l’air.. Une peluche… forcement j’imaginais ce jeu de rôle où je serais une jeune fille bien innocente. C’est alors que je réfléchissais à ma garde robe, et à ce que je pourrais mettre.
Eh bien j’allais la jouer bien sur femme très innocente. La nuit porte conseil.
Le lendemain, j’étais passée chez l’esthéticienne afin d’avoir mon entrejambe le plus lisse possible. Je déteste les poils. Puis en rentrant, je décidais de me faire ce soin éclair « coup d’éclat » jouer les jeunes filles à mon âge.. même s’il paraît que je ne le fais pas.. mais j’adore jouer ces jeux de rôle dans lesquels il m’emmène par jeux. Il se donne toujours les moyens.
Je mis cette petite robe légère qui me donnait ce coté sage avec un col claudine. J’avais mis en dessous une lingerie dans les tons blanc / rosé. Ma culotte était légèrement bouffante comme pour rappeler ces culottes des années 1900… j’avais également mis des bas blanc. Et pour agrémenter le tout.. j’avais fait des couettes… En me regardant dans le miroir, je m’étais amusé à voir le résultat.
Je me disais. J’espère que nous n’allons pas en ville..
Il était venu à l’heure précise. Je sortais en faisant attention à ce que les voisins ne me voient pas. IL m’avait envoyé un message comme d’habitude.
Ma peluche à la main, je ressemblais à cette petite sainte nitouche.. sexy qui cherche les regards en faignant son innocence.
Je montais rapidement dans sa voiture.
- Oh en voilà une bien jolie jeune fille..
- Vous.. êtes…
Il souriait..
- Oui je suis ?
C’est là qu’il se pencha vers moi. De son pouce, il entreouvrait ma bouche pour le faire pénétrer..
- Une jeune fille suce t elle encore son pouce à son âge ? et se balade t elle encore avec une peluche ?
Il écarta mes jambes et me deshabilla du regard.
- Je t’emmène dans un lieu spécial où l’on pourra bien s’amuser ensemble. C’est en Allemagne. Nous allons rouler une petite heure. C’est dans un club mais nous serons que tous les deux. J’ai réservé une pièce bien spéciale pour nous deux.
C’est là qu’il me tendit une sucette..
- Tiens, je me souviens que tu aimes les sucettes ? rappelle toi une de tes punitions. Là je veux que tu la suces, que tu te délectes, que tu la lèches.
J’adorai faire la petite allumeuse.
Nous arrivions dans ce club, qui était dans un petit village. C’était assez étrange à vrai dire. Mais bon, tant que j’étais avec lui, je me sentais en sécurité.
Il sortit de la voiture un sac.
Nous rentions dans ce club. IL maitrisait parfaitement l’allemand. Nous allions au vestiaire.
- Mets toi en sous vêtement et prends ta peluche, petite allumeuse.
Il me prit par la main. Le responsable du club nous montra le chemin jusqu’à une pièce au fond d’un couloir.
- Ce soir, tu seras une petite fille qui a besoin de recevoir une petite éducation comme il se doit. Attends moi. Je reviens.
Il était rentré dans la pièce avec son sac. Puis il me dit de rentrer. Il était installé sur le lit.
Il s’agissait d’une centre d’environ 20m2 avec un lit de jeune fille en fer forgé. Plein de peluches adossées à une commode et au mur des images très enfantines avec des jeux. Une pièce très colorées avec un grand tapis circulaires, des poufs et des oreillers de partout.
- Viens t’asseoir à coté de moi..
IL tapotait le lit. Il me faisait tout de suite entrer dans ce personnage.
Prenant une démarche coquine et un peu à la légère, je m’approchais de lui, peluche à la main.
- Je vois que tu n’as pas pu tenir pour ouvrir cette boite. Sais-tu ce qui arrive aux jeunes filles qui n’écoutent pas ?
- Humm.. non Monsieur ? je ne sais pas… dis-je avec une voix légèrement d’idiote.
- Eh bien on leur met la fessée cul nu. Alors tu vas baisser ta petite culotte sur des cuisses et tu vas me les présenter.
Avec insolence, je passais au dessus de lui pour me mettre en position. Quand tout à coup, il me fit m’allonger en me poussant avec sa main sur mon dos.
Il me caressait les cuisses puis se dirigea vers mes fesses. Il commença à me fesser avec fermeté..
- Tu ne me remercies pas ?
- Pardon.. monsieur… Mer.. aie.. merci… Monsieur.
Sa main s’abattait encore.. et encore.. parfois plusieurs fois au même endroit. J’étais ainsi allongée sur lui à lui tendre mes fesses qui étaient probablement devenues écarlates.
- Voilà comment on corrige les vilaines.. les vilaines petites filles qui ne sont pas obéissantes. Humm quelles belles fesses bien rouges.
IL les caressa, les serra… Puis il écarta mes fesses pour regarder mon entrejambe.. Il y passa sa main..
- Ah je vois l’effet que cela provoque à cette innocente jeune fille… un état d’émoi de petite chienne en chaleur..
- Oh Monsieur, je ne sais pas ce qui m’arrive.. Dites le moi..
- Oh je vais te donner quelques leçons pour comprendre une nouvelle matière physique.
- Ah oui Monsieur, qu’allons nous apprendre.
- Tout d’abord, nous allons apprendre en jouant. Est-ce que cela te convient ?
- Ohh.. oui Monsieur.. dis-je avec cette voix enfantine à me triturer les couettes..
- Alors on va jouer. Va à cette sublime boite à jouet. Prends celui qui te fait plaisir.. Je te montrerai des exercices pratiques. Allez remonte ta culotte, ce n’est pas une tenue de s’exhiber ainsi.
Je me rendis à quatre pattes en dandinant mon derrière pour aller jusqu’à cette boite qui était sur le tapis. J’ouvrais la boite avec cette mine complètement surprise ( eh oui j’aimais jouer mon personnage).
- Oh mais monsieur.. je ne sais pas à quoi servent tous ces objets.
- Choisis en un.. je t’expliquerai.
C’est là que je sortis un gode ventouse. Je m’empressais de revenir vers lui à genou et à lui tendre.
- Hum cher Monsieur voilà ce que je choisis.
- Hum.. je vois que tu as de bonnes prédispositions.
Il se leva et se dirigea vers le miroir. Il y faisait adhérer le gode ventouse.
- Nous allons faire un petit exercice pratique avec ta bouche et ta langue. Tu vas prendre cet objet et tu vas le lécher, te l’introduire dans ta bouche, quitte à aller jusqu’à ta gorge. Je vais te regarder faire. Si je ne suis pas satisfait, je te corrigerais..
- Ohh merci Monsieur.
Toujours à quatre pattes en dandinant mon cul, et prenant une démarche que je savais sensuelle pour le rendre fou, j’allais vers le gode. Doucement j’ouvrai ma bouche pour commencer à le lécher, comme ci je découvrais cet objet.
- Allez, dans ta bouche
Je commençais à sucer ce gode.
- Allez, va y plus profondément, tu en es capable.
De moi-même je forçais ma gorge à en baver. C’est là que je sentis le coup de la badine s’abattre sur mon cul.
- Cambre -toi, tiens toi bien et continue de sucer.
Au bout d’un moment il me dit de le garder bien dans ma bouche.
- Voilà une bonne petite suceuse.
Il maintenait ma tête pour que je la garde bien en bouche. Puis en me tirant par les couettes il me redressa. J’avais de la bave qui dégoulinait.
- Maintenant nous allons passé à l’exercice en réel.
Il me releva en me tenant pour le cou et mis sa main dans ma petite culotte de jeune fille.
- Oh mais cette innocente demoiselle est bien lubrique. T’es toute trempée…
Il me poussa vers le lit, puis avec son savoir faire me retourna afin que j’ai la tête à l’envers.
- Avec sa main, il ouvrait ma gueule et y fourra un doigt.
Je me délectais de le lécher..
Puis avec une certaine fougue, il prit son sexe en main et le dirigea vers ma bouche ouverte qui n’attendait qu’à passer à cet exercice pratique.
Il me baise bien comme j’aimais. Il adorait me faire des gorges profondes. Il m’imposait son rythme effrainé. Tout en me prenant ainsi, il avait sortie mes seins de mon petit soutien gorge. Il jouait aussi avec mes tétons. Je bougeais alors mon corps pour me défaire de cette emprise. C’est là qu’il me prit le cou.. et serra. Il stoppa sa frénésie et laissa son sexe en moi.
- Brave petite fille.
Il me tapotait la joue..
- Allez sors ta langue, lèche moi les couilles, lèche bien partout.
Ma langue passait dans tous les endroits de son entrejambe. Il me rendait folle. Puis c’est là qu’il se retourna et s’assit sur moi.
- Regarde moi .
- Je t’ai dit regarde moi. Je veux te voir me bouffer les couilles, petite salope.
- Tu les veux hein ?
De mon regard naïvement pervers, il comprenait..
- Oh oui.. Monsieur merci..
Je l’entendais râler de plaisir. Il me saisit par les couettes et m’utilisa à son bout vouloir à faire des va et vient puis stoppa net.
- Bonne petite elève
- Oh merci Monsieur.. c’était si bon.
- Allez va choisir un autre jouet..
- OH Monsieur, qu’est ce que ce fil avec plein de boules attachées.
- Apporte le.
Comme une enfant qui découvre un trésor, je m’avançais vers lui.
- Allez reviens sur mes genoux.
- Qu’aillez vous faire, Monsieur ?
- Chut… Laisse toi faire, tu vas aimer.
- Oh mais monsieur, que faites vous ?
Il écartait mes fesses,
- Oh, regarde moi ce petit trou.. Tu vois je vais introduire ces 3 boules dans ton petit cul.
- Ah oui Monsieur ? et vous pensez que cela va rentrer ?
- Nous allons le voir.
- Ouvre ta petite bouche et mouille moi cela.
Avec sa main il me présentait le jouet que je me devais d’humidifier.
- Cambre toi et remonte des fesses.
Il plaça la première boule à l’entrée de mon orifice..
- Allez pousse ma belle.
Mon fion céda rapidement. Puis il opéra lopération une seconde fois.. puis une troisième.
- Oh regarde comme tout est rentré. Tu es une petite magicienne.
Je le regardais en souriant avec ce regard malicieux.
- Allez va sur le tapis, je vais te regarder jouer.
- Oh oui à quoi voulez vous jouer ?
- A la petite chienne qui va m’aguicher avec son petit cul.
- Oh Monsieur.. non…
- Allez fais ce que je te dis..
Je descendis du lit. Je baisais alors ma tête au sol puis je dandinais mon cul pour lui.
- Allez bouge le encore mieux que ça. Je sais que tu aimes ça.
- Oh oui.. monsieur
- Tu ne sais vraiment pas te tenir..
C’est là qu’il saisit le petit anneau à mon petit cul..
Oh mais regarde ce que je tiens en main.. Tout doucement il tira dessus.. Il sortit la première balle puis la rentra une seconde fois. J’étais complètement excitée.
- Oh oui, tu avais besoin de te sentir combler, n’est ce pas..
- Oh oui.. monsieur, je vous en prie.. combler moi encore.
Il sorti ces boules avec délectation. Je devinais son regard qu’il avait. A voir mon petit trou s’ouvrir, se grossir..
- Oh mais je vois que ma petite chienne est bien trempée.. Je vais te prendre la température ma belle.
Il se plaça debout au dessus de moi. Sa queue prenait la direction de mon trou. Il s’y fraya un chemin.. à sec. Il y allait doucement.
- Tu vas voir tu vas aimer, petite allumeuse.
- Je commençais à crier.
Puis il commença à me culbuter . Je sentais ses couilles me frapper. Il tenait mes fesses pour les écarter et admirer son œuvre entrer et sortir. Parfois il prenait de la hauteur et admirer mon trou bien ouvert, bien offert.
- Oh regarde comme tu es ouverte..
Il me pris par les poignets et repris sa chevauchée.
Puis dans un mouvement de fougue, il me releva et me jeta sur le lit.
- Garde tes jambes bien ecartées.
Il saisit des liens pour m’attacher les jambes afin que je les garde bien ouvertes. IL fit de même avec mes bras.. Attachés de part et d’autres.
- Sais tu ce qu’on fait aux petites chattes qui s’exhibent ainsi ?
Son regard était si. Intense.
Il tapotait ma chatte, puis commença à la claquer.. Je voulais refermer mes cuisses mais je ne pouvais pas le faire. Il se leva vers la boite et sortit un gode gonflable ainsi qu’un baillon. IL aimait m’entendre gémir ainsi.
- Oh mais regardons cette chatte si douce..
Il aimer me doigter, et j’adorais cela. Je mouillais tellement qu’il en entra directement 4… Puis il commença à vouloir introduire son poing.
Je me débattais, j’écarquillais les yeux.. mais il n’y arrivais pas. Cela ne l’empechait pas d’aller au plus profond pour me stimuler …
Il mis le gode dans mon petit fion . Je poussais des cris en feignant de ne pas vouloir plus.. Mais au fond mon corps réclamait bien sur davantage.
Il pressa une première fois la pompe… Je bougeais.. Puis une seconde.. Il le gonflait encore et encore.
IL connaissait mes limites. C’est là qu’il me prit par la chatte tout en ayant le gode dans le cul.
- Alors petite vicieuse.. C’est bon d’’avoir ses deux trous bien remplis ?
Je faisais oui de la tête. Il ota mon baillon et dit..
- Va y je t’écoute.
- Oh .. que dire que de sentir votre queue me prendre tout en ayant le fion rempli.. Merci. Monsieur.
Tout en me besognant il me gifla, probablement pour être si chienne. J’aimais cette frénésie où au fond j’aimais qu’il me déprava à faire une petite chienne à son image. Elle est là mais il arrive toujours à me rendre encore plus.. chienne.
Il s’arreta en remplaça sa queue par ses doigts si magiques. Il me doigtait tout en maintenant la pression au fond de ma chatte. Je ne tenais plus.
Il me caressait en même temps le clitoris.. Je n’en pouvais plus. J’étais au bord de la jouissance.
- Monsieur.. Monsieur.. je vais.. jouir..
- Va y.. Jouis..
Je me laissais aller à cette déferlente. J’essayai de me soustraire à la magie de son savoir faire. J’en mettais partout. Je jouissais avec une telle force.
Puis il continuait à vouloir me rendre encore fontaine jusqu’à ce que je sois vidée.
Il me tira par les couettes pour me forcer à regarder.
- Regarde petite cochonne, regarde tout ce que tu as. Quelle innocente putain..
Puis ma tête partie en arrière. J’étais épuisée.
Je sentis alors qu’il retira le gode de mon cul.. Je ne sentais plus rien à vrai dire . J’étais encore dans mon paradis. Il me sodomisa à nouveau. Il prit mes seins avec force et les pressait comme des oranges. IL aimait les presser, les faire se dresser. Il m’utilisait comme une petite poupée.
Je le regardais prendre aussi son pied. J’aimais cet instant où il perdait lui aussi pied… Ses coups se faisaient plus rythmés plus violent. Il me tenaient par les cuisses.
Il se déchainait jusqu’à la libération.
Il s’assit sur le sol à me regarder ainsi… la chatte exposée, mon fion dégoullinant de son foutre.
Il se rapprocha pour m’embrasser la cuisse gauche.
Je vais te laisser ainsi, je crois que je vais avoir encore envie de jouer avec mon petit jouet...
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Mes mains, ma bouche, ma chatte et mon cul : tous occupés.
Branleuse.
Suceuse.
Baiseuse.
Je suis son projet de chair, éduquée salope comme il aime.
Chaque soupir échappé est un hymne à notre relation.
Les queues qui jutent dans mes paumes sont sans équivoque :
Voilà une salope formée par son professeur.
Une chienne avérée.
J’arrête mes caresses.
Mes mains sont pleines de foutre.
Je me sens presque gauche de ne plus avoir de chibre à branler.
Je l’interroge du regard, il retire doucement sa queue de ma bouche et approche un foulard. Ses sourcils froncés sont la dernière chose que je vois.
Mes genoux rencontrent une surface de cuir, puis des jambes d’homme.
Je ne sais pas qui je baise.
« Tout doucement. Tu fais comme j’aime. Baise-toi comme une grande-fille » me murmure-t-il
Alors je masse ce membre, contracte ma chatte tout autour, impose à l’inconnu un rythme lancinant
« Putain ! »
Je ne peux qu’entendre et sentir.
Le qualificatif qui tonne. Le claquement de mes fesses sur ses cuisses.
Et la bite qui s’enfonce.
Loin. Et fort.
Ce qui se passe autour ? Je ne peux que l’imaginer.
Les peaux se mélangent.
Les bouches lèchent et sucent.
Ça nique dans tous les coins.
Je ne sens plus M. près de moi. Et je panique.
Juste à côté, des gémissements de femme. Un corps que l’on secoue. Et des râles de pâmoisons que je ne reconnais que trop.
Déchirée.
L’inconnu continue d’aller-et-venir en moi sans s’occuper de mes atermoiements.
Il m’utilise.
Je veux partir mais d’autres mains me retiennent. Combien ? Je ne sais pas. Mes seins sont empoignés. On serre ma gorge.
Mon corps ne m’appartient plus.
Ma voisine a joui. En jappant de petits cris aigus.
La même qui a présent me retire le plug, écarte les globes de mes fesses, et crache en leur centre.
Une queue s’enfonce. Sèchement. Elle me fait mal. Forcément : l’autre me comprime déjà.
Mon cri s’étouffe dans une poigne.
« Inspire... Fort » m’intime-t-elle.
L’odeur distinctive du poppers envahit mes narines. J’ai chaud et la tête me tourne subitement. Mon corps vibre et mon cul s’ouvre.
Puis je me rappelle.
Je me rappelle pourquoi je pourrais passer des heures à me faire enculer. Pourquoi il a fait de moi sa salope anale. Pour ça : ce kiffe d’être remplie jusqu’aux entrailles. Me baiser du cul jusqu’à la tête : que mes pensées ne soient que foutre, bite, queue, sperme, mouille. Un travail consciencieux et méthodique pour me rendre addict.
Ça monte.
« À qui est ton cul ? »
On le sait tous les deux et c’est clair comme de l’eau de roche.
« À vous Monsieur »
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Récit complet :
Partie I : https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com/2020/04/mise-nu.html
Partie II : https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com/2020/04/mise-nu-partie-ii.html
Partie III : https://ellow-zero-de-conduite.blogspot.com/2020/04/mise-nu-partie-iii.html
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Djamila est la femme la plus laide de toute l'aride Arabie brûlée de soleil. Son père est fort riche, mais la dot n'y fait rien, Djamila est trop laide et personne pour l'épouser. Son père se désespère et invoque Allah.
-Oh toi le grand et le miséricordieux, voilà que je me lamente et t'implore. Envoie moi un bon et brave époux pour ma Djamila. Elle est capable de dérouler le tapis, de préparer la couche et de bons repas. Elle est habile pour compter avec le boulier. Ah ma Djamila, je t'implore, envoie moi un époux pour elle. Ton fidèle serviteur.
Allah entendit la prière. Il est celui qui exhausse ceux qui se lamentent et osent demander. Il envoya Ahmed, un orphelin sans le sous, un vagabond sous les étoiles. C'est qu'Ahmed aime se retirer seul dans le désert, dans les grottes obscures, sur les roches escarpées, dans les lieux où il n'a pas à subir les sarcasmes et les coups de pied des riches.
Lui aussi invoque Allah le grand;
-Donne moi abondance et richesse que je puisse moi aussi me moquer de mes ennemis.
C'est dans le désert qu'il rencontre un jour le père de Djamila qui chasse l'antilope des sables. Ce dernier se perd dans les dunes sans fin et tombe sur Ahmed qui prie sur une roche isolée.
-Que fait tu sur ce caillou mon brave?
-J'invoque le Seigneur pour qu'il m'envoie la richesse.
Cela fait rire le père de Djamila. Il comprend qu'Allah vient de lui faire rencontrer l'époux.
Dès que Djamila voit Ahmed, elle est comme transfigurée.Elle sait que c'est l'homme de sa vie.Ses yeux brillent, un fin sourire illumine ses lèvres et Ahmed la trouve belle. Le mariage est vite scellé et Ahmed et Djamila s'enferment 15 jours sous la tente, sans plus sortir. Ils ne font que baiser. Un long coït interminable. Un feu d'artifice avec des milliers d'orgasmes. Et plus Djamila baise et jouit et plus elle devient belle et rayonnante.
Lorsqu'ils sortent enfin de leur tente d'amour, personne ne les reconnait. Ahmed se comporte comme un Prince et Djamila comme une parfaite épouse comblée. Son père offre des dattes, du lait de chamelle et des galettes à Allah le grand pour le remercier. Un vrai miracle.
La morale de cette histoire, c'est que la pierre rejetée est celle qui consolide une maison.
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Fille d'Anou ou de Sin, sœur de Shamash et d'Ereshkigal, la reine du monde
souterrain, Isthar était la grande divinité du Proche-Orient, la parèdre des dieux
ou leur courtisane, la déesse de la reproduction. Primitivement divinité agraire,
liée au rite des saisons, elle remplissait une fonction identique à celle des déesses
mères des dieux de la fertilité, dont la descente dans le monde souterrain symbolisait
le sommeil hivernal de la végétation. On la considérait aussi comme la maîtresse de
ces régions infernales, qui provoquait disputes et querelles parmi les humains.
Amoureuse du dieu des moissons Tammuz, à l'origine son fils, dieu de la végétation et des moissons,
elle provoque sa mort, comme l'Aphrodite grecque celle d'Adonis, puis descend aux enfers supplier sa
sœur Ereshkigal de lui rendre son amant. Mais celle-ci l'emprisonne et la frappe des soixantes maladies
infernales. Ea, à la demande de Shamash et de Sin, envoie Asushu-Namir, l'hermaphrodite la délivrer à
l'aide de paroles magiques et d'une aspersion d'eau de vie, que l'on retrouvera plus tard dans le rite du
baptême. Elle repasse les sept portes du monde souterrain et revient sur terre. Cette légende, racontée
sur un document cunéiforme, est commune aux Grecs, Perséphone et aux Mexicains, Quetzalcoatl.
Par analogie, elle devint la déesse de l'amour et de la mort, à l'instar des plantes se reproduisant par la
graine, qui meurent pour renaître. Particulièrement vénérée dans toute l'Assyrie et à Babylone, en Phénicie
sous le nom d'Astarté, en Akkadie sous celui d'Innanna, elle reparaît chez les Grecs sous les traits d'Aphrodite.
À Ninive, elle était considérée comme la déesse de la guerre, figurée debout dans un charriot tiré par sept lions,
tenant un arc, tandis qu'à Erech, elle était la déesse de l'amour, voluptueuse et tendre, mais capricieuse et
irascible. À Sumer, où elle personnifiait la planète Vénus en tant qu'étoile du matin, elle était considérée aussi
comme une déesse guerrière représentée armée d'un arc, et étoile du soir, incarnation de l'amour et du désir.
On a vu en elle le prototype de la femme fatale, capricieuse et capable des pires violences envers les dieux qui
bénéficièrent de ses faveurs. En Occident, on la représentait portant un anneau à la main gauche et tenant un
calice dans la main droite, parfois armée comme Minerve, attributs symbolisant la continuité de la vie, la
puissance de l'eau, du lait, du sang ou du soma, telle la boisson donnée à Tristan par Iseult.
Les sources mésopotamiennes nous présentent une image déconcertante et apparemment contradictoire de la
déesse Ishtar. D'un côté, elle était l'auguste Reine des Cieux assise sur un trône avec une bordure d'étoiles et était
appelée “Ishtar des Étoiles", la Reine des reines, la Dame des dames, la Déesse des déesses, la Très-Haute, et la
Maîtresse des pays. Elle était la Créatrice des dieux et de l'humanité, la Mère des hommes, la Mère compatissante
de celles qui donnent naissance. Elle était la Pure, la Sainte, l'Innocente, la Sage et la Fille vierge de la Lune ou
“Ishtar de la Sagesse", une épousée voilée, dont la caractéristique primaire était la pureté, la chasteté, la prudence,
la sagesse et la très grande beauté.
Depuis les temps les plus anciens, ses épithètes constantes étaient "Sacro-sainte" et "Vierge". Elle était associée à
la planète Vénus et sa représentation symbolique la plus courante était l'étoile à huit branches. Dans l'iconographie
assyrienne, elle est souvent représentée comme une figure féminine entourée par une forte luminosité. Par ailleurs,
elle apparaît aussi comme une sorcière, une prostituée et une maquerelle à la tête d'un troquet ou d'un bordel.
Dans la VI ème tablette de l'Épopée de Gilgamesh, elle est à la tête d'une armée de prostituées et approche Gilgamesh
en femme séductrice, charnelle, brûlant pour le beau héros. Ailleurs, elle est comparée à la démone Lilith.
On doit souligner, cependant, qu'une image aussi négative de la déesse est totalement absente des inscriptions royales
assyriennes, qui soulignent chaque fois sa sainteté, son caractère noble et ses aspects maternels, en nous la présentant
comme une vierge belliqueuse qui court sus aux ennemis du roi assyrien. Ses symboles et attributs étaient multiples et
incluaient la tourterelle, l'arc, la conque, l'utérus, la tour-ziggourat, l'arc en ciel, l'étoile à huit branches, le croissant et la
pleine lune, la vache qui allaite, la vache sauvage à cornes, le cerf, le lion, le palmier, la grenade et plusieurs autres.
À la période impériale, toutes les déesses étaient mises en équivalence avec elle, et elle recevait de nombreux noms et
avait un culte dans de nombreux endroits. Ses nombreux noms étaient des appellatifs qui évoquaient des aspects ou des
variétés de cette déesse universelle. La multiplicité et la nature controversée d'Ishtar était déjà complètement réalisée dans
l'Antiquité et était partie intégrale et intentionnelle de son image. La clef de l'essence de la Déesse se trouve dans le petit
corpus des oracles prophétiques assyriens, où on lui voit jouer deux rôles, en apparence distincts mais en relation étroite:
celui de la mère céleste du roi assyrien et celui de la déesse oraculaire assyrienne par excellence.
La relation mère-enfant entre la déesse et le roi, implicite dans chaque oracle du corpus, est élaborée à travers un
ensemble d'images et de métaphores qui soulignent la totale dépendance du roi de sa mère divine et l'ardent désir
de cette dernière pour son enfant. De façon plus banale, le roi est représenté comme un enfant, élevé, et protégé
par la déesse, qui tantôt apparaît comme sa mère, tantôt comme sa nourrice, et qui l'appelle tendrement "mon petit
veau" ou "mon roi", tandis qu'elle attaque férocement ses ennemis. Il y a toutes raisons pour croire que cette imagerie
de mère/enfant n'était pas que simple métaphore. Nous savons que les princes assyriens étaient confiés, encore
enfants, aux temples d'Ishtar, presque certainement pour être allaités et élevés par des hiérodules qui incarnaient les
aspects maternels de la Déesse.
La Mère divine du roi, Mullissu, était Ishtar sous son aspect de Reine des Cieux, la Créatrice des Dieux et des êtres
vivants. Son nom signifie à l'origine "Enlil-femelle" mais, à l'époque impériale, elle a certainement été réinterprétée
comme "Celle qui sanctifie". Dans beaucoup d'inscriptions royales assyriennes, Mullissu porte l'épithète de "Vache
sauvage". Cette épithète la marque comme la mère du roi assyrien attaquant férocement les ennemis de son fils,
mais l'associait aussi avec la mère de Gilgamesh, la sage et sainte Ninsun, qui portait la même épithète. Au même
moment il la mettait en relation, du fait des cornes de la vache avec le croissant lunaire, et l'identifiait ainsi avec la
chaste et virginale "Fille de la Lune", "l'aspect lunaire d'Ishtar aussi connue comme "Ishtar de la Sagesse".
Reconnaître en Mullissu/Ishtar l'équivalent assyrien du Saint-Esprit aide à comprendre son rôle éminent comme
déesse oraculaire dans la prophétie assyrienne; comme le Souffle de Dieu donnant vie à la création et animant tous
les êtres vivants; elle était l'Esprit de Dieu résidant dans les prophètes et autres personnes sacrées et parlant par
leur bouche. Le rôle central joué par la prophétie extatique dans le culte d'Ishtar rend en fin de compte possible de
comprendre pourquoi elle était représentée comme une prostituée, un rôle diamétralement opposé à celui de la Reine
des Cieux. Ces deux rôles contradictoires de la déesse étaient fondamentaux pour le culte d'Ishtar et son fondement
doctrinal, le mythe de La Descente d'Ishtar aux Enfers.
Dans son essence, le culte d'Ishtar peut être défini comme un culte ésotérique à mystères promettant à ses dévots un
salut par transcendance et une vie éternelle. Comme le Tantrisme de Shakta, le culte extatique de la déesse mère
hindoue, il a une cosmogonie sophistiquée, une théosophie, une sotériologie et une théorie de l'âme, qui étaient cachés
aux gens exotériques par le voile des symboles, métaphores et énigmes qui n'étaient expliqués qu'aux initiés, lesquels
étaient astreints au secret par serment.
Mais Ishtar ne faisait pas que subsumer toutes les déesses. Sous son aspect céleste de Reine du Ciel et progénitrice
des Dieux, elle englobait aussi tous les dieux mâles et leurs pouvoirs. L'idée sous-tend tout le récit métaphorique du
déshabillage et du rhabillage de La Descente d'Ishtar et elle se présente dans d'autres symboles centraux de la Déesse,
tel l'Arc-enciel, qui la décrivait comme la convergence des couleurs des sept dieux planétaires, et l'Arbre sacré,
symbolisant l'Âme Parfaite comme une somme des pouvoirs de l'Arbre.
Issu du Dieu transcendant, il était partie de son ineffable essence divine, comme les rayons du soleil issus de leur source
inépuisable. Ishtar était Assur lui-même, manifesté sous son aspect de divin Amour sous-tendant toute existence.
Cela explique les nombreux points de contact de la religion assyrienne avec le Christianisme, le Judaïsme, la Gnose et le
Néoplatonisme. Ces systèmes religieux et philosophiques ont perpétué les idées théologiques fondamentales qui ont pris
forme dans l'empire assyrien et ont été propagées vers l'ensemble du Proche-Orient pendant plus de sept-cents ans.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Come, awaken and consenting
Take a seat, now my affair
I'm driving you elsewhere
Forget about Prince charming
Firmly tied to your armchair
Sadness, poorness and ill being
Under my strokes, cheerfully leaving
Exhale those darken odd smoke
Wrists, chest, ankles are heaving throat
Enjoying tight ring around your spot
Beyond subside, you're denied firm pressure
Live your role, worship my pleasure
Under firm control my beloved beggar
Pervasive scents, intrusive fluid glisten
From your overwhelmed body, tighten
Falter proudly to your idolized love burglar
Sweat, wet it more, yawn and lick
Drip tray, ashtray, bring it unique
Feel it sting, knelt to sadistic Eternity
MarquiSadistic aka MarquiSadik
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Désolée pour les fautes, je pose aujourd'hui des maux avec des mots.
Cela faisait quelques jours que mon dos ne me faisait plus souffrir. La vie est parfois étrange quand on est vit avec un corps qui ne nous correspond pas. Après avoir perdu prêt de 17 kg cette dernière année, me voilà en train de subir les menaces d’une maladie congénitale qui m’handicape parfois le dos. Ma féminité est mise à mal. Ce sentiment d’être simplement femme a cédé la place à ce sentiment de ne plus se sentir désirable. Mon mental combattante m’a toujours servi. Mais là j’ai le sentiment de perdre un combat que je ne peux gagner.
Je l’appelais quand j’avais ces moments de blues. J’avais besoin de son épaule, de son réconfort. De lui faire part de mes peurs, de mes craintes. Je lui avais fait part de mon sentiment de me sentir un poids, à avoir toujours des douleurs. Ma sexualité en est forcement impactée . D’un naturel si féminine, adorant les escarpins, marchant avec une noble démarche que je dois à la danse, je me retrouve ainsi diminuée. Des petites futilités me direz-vous ?.
Il m’avait rassuré. Il me disait que le plus important était qui j’étais. Il était fière de la femme que je suis. Il avait toujours ce magnétisme, cette bienveillance à mon égard pour me réconforter. J’adorais tant nos jeux, cette envie d’être chienne, cette passion, cette violence animale.
Mais voilà que depuis plusieurs jours, je suis un peu dans l’œil du cyclone où tout est calme. Je suis légère. Il m’avait téléphoné pour aller prendre un verre.
Le temps s’y prêtait. IL m’avait donné rendez vous pour prendre le thé à la maison au fond du jardin. Ce salon de thé à coté de la cathédrale de Strasbourg. J’aimais ce côté jardin anglais. J’adore les fleurs. J’avais le sourire à l’idée de le voir et de passer une après-midi à ses côtés.
J’avais mis ma petite robe fétiche de couleur framboise. Elle était longue. Elle était décolleté à l’avant et dans le dos. J’avais la porter avec de longues bouches d’oreilles et un maquillage naturel. J’avais particulièrement besoin de son attention aujourd’hui et il le savait.
Un dominant sait cela. Quand je lis majorité de ces hommes qui se disent dominant et qui n’en comprennent même pas l’essence. Avoir une soumise, c’est avoir du temps à lui consacrer, c’est d’être à son écoute. Même si je suis très indépendante de nature, il est comme ce chêne solide sur lequel je peux me reposer.
Je hâtais le pas. Mon cœur battait à l’idée de sentir ses mains sur moi, d’entendre sa voix, de sentir son parfum. Je voulais m’enivrer de lui.
Il avait un tel goût pour s’habiller. Ce jour là il portait son magnifique pantalon bleue marine que j’adorais avec une chemine blanche, parfaitement taillé. Il appréciait les chaussures et les montres.
Cela m’a toujours fait sourire, car quand je regarde un homme, je regarde aussi ses chaussures. C’est ridicule non ? mais je me dis un homme soigné à toujours de belles chaussures. Il portait une oméga speedmaster. J’adorais cette montre distrète mais juste sublime. Elle lui allait très bien.
- Bonjour ma reine.
- Bonjour à vous, cher Monsieur, dis-je avec ce petit sourire.
Il avait réservé une table sur la terrasse. Le temps le permettait. J’avais aperçu sur une table un sublime bouquet de fleurs qui provenait de mon fleuriste préféré. Celui qui est en pleine rue à Strasbourg, rue des arcades. Il avait ce coté bouquet campagard négligé.
- Tu es sublime comme à ton habitude. Je vais bien m’occuper de toi comme tu le mérites après.
Je m’attendais à recevoir ces sublimes fleurs, mais il ne disait pas un seul mot à ce sujet ou me l’offrait. Un sentiment de déception que je ne laissais en rien transparaître.
- Comment te sens-tu ?
- Eh bien je revis, voilà bien quelques jours que je n’ai mal nulle part.
- Tu m’en vois ravi.
- Je sais que vous êtes toujours attentionné, à mon écoute.
- Ce qui t’arrive n’enlève en rien ce que je peux penser de toi ou du désir que j’ai pour toi. Sache le. C’est qui tu es qui fait la soumise que tu es. Sans toi, je ne peux pas laisser aller mon imagination perverse. Tu le sais bien.
- Je rougissais.
Après une bonne heure à profiter de ce petit havre de paix, il décida qu’on aille chez lui.
Il habitait dans un viel immeuble du centre ville où l’on rentrait par une cour intérieur propice à la plénitude et au calme. A peine on entrait dans le hall de l’escalier, qu’on sentait cette odeur de vieux. L’escalier était en bois où l’on devinait le poids des années et des chaussures passées. La rambarde était en fer forgé. Nous montions au second étage. J’adorais au premier étage cette fenêtre vitale que j’aurai bien aimé avoir dans mon chez moi.
Il était dernière moi. Toute amusée, je remontais ma robe sur mon postérieur pour le provoquer. Il pouvait constater que ma petite chatte était à l’air libre, prête à être cueillie comme ces fleurs.
- Vous ne payez rien pour attendre…. Vous allez le payer, vous le savez.
Arrivés à sa porte d’entrée, il se saisit de mes poignets pour les maintenir contre la porte au dessus de ma tête.
Il laissa tomber le bouquet au sol. Puis de son autre main releva ma robe puis insérer deux doigts dans ma petite chatte.
- Petite catin juste bonne à provoquer pour se faire fourrer.. Comme t’es humide. C’est cela que tu voulais.
- Humm.. oui monsieur.. j’ai envie d’être prise et de sentir votre queue me remplir bien profondément .
Il réintroduit un troisième doigts, un cri s’échappa.
Il mit sa main sur ma bouche et continua à me pénétrer de ses doigts. C’est là que nous entendions une porte s’ouvrir. Il reprit son attitude sereine comme si de rien n’était.
Pour me part, j’avais encore en tête ses doigts me fourrant pleinement. Mon regard était un peu agard à en vouloir encore et encore.
- Ramasse moi le bouquet et rentre !
Son appartement était décoré avec goût. Un vieux parquet dont les années s’entendent au son des pas. A peine entrer il me plaqua contre le mur.
Je ne pouvais m’empêcher de couiner d’envie, de soupirer. IL me saisit par la gorge, et serra mon cou comme pour marquer son empreinte
- Tu vois, regarde combien tu es une bonne chienne ! Prête à être utiliser. D’ailleurs aujourd’hui, me susurra til, je vais abuser de ton corps. Tu vas être mon œuvre d’art.
- Acceptes-tu d’être ma toile ? tu peux refuser. Je ferai des nœuds pour te sublimer et ne pas abîmer mon petit jouet.
J’étais comme interdite. J’ai toujours voulu être encordée. Je savais qu’il maîtrisait cet art qu’il pratiquait parfois durant nos séances. Mais c’était la première fois qu’il me parlait de faire du Shibari sur l’ensemble de mon corps.
Son regard plongeait dans le mien. Sa concentration me rassurait. J’avais peur et en même temps tellement envie.
- Oui.. Je l’accepte.
Il avait disposé sur le sol un long drap d’un violet profond. Je me sentais un brin intimidée, heureuse, et honorer.
- Enlève ta robe et mets toi toute nue.
La lumière du soleil transperçaient la pièce.
Ma respiration se faisaient forte excitée par mon désir. Il posa alors ses deux mains sur mes épaules. Cela m’avait rassurée de me sentir enveloppée par la chaleur de son corps derrière moi.
Il mit de la musique, une musique douce qui calme les sens. Du chopin..
Il se saisit d’une corde et plongea son regard dans le mien. Je me sentais si unique à ce moment là.
Je frissonnais. J’aime son regard à ce moment là. Il est comme un artiste qui s’apprêtre à peindre sa toile blanche. Il commence par poser la première corde, il m’enlace, me frôle. IL est dans cette force créative. Le silence plane. Je l’observe, il peut faire ce qu’il veut. J’ai confiance. Ma respiration s’est calmée. Le toucher de ses doigts qui me frole, ses accoups où il fait glisser les cordes me font sentir comme cette marionnette à laquelle on va donner une vie. Les cordes me serrent contre ses bras quand il me contraint à pleins de délices. Se frayant un chemin autours de mes seins, de mes bras, des ma taille. Un vêtement sur mesure. Entourée, entravée, encordée, il place chaque nœud a sa place où cette impression oppressante laisse place à un réconfort, à ce lâcher prise. Je me laisse aller à ce voyage envoûtant où il tourne, me retourne un peu comme une valse.
Mon esprit tounoyait. C’est là qu’il passait les cordes au niveau de mes lèvres puis remonta au niveau de ma taille. En me regardant droit dans les yeux, je le vis sourire.
Puis viens le moment où il tisse sa toile au niveau de mes jambes… Je perds la notion du temps.
Il passait sa main sur mon visage . J’étais à sa merci.
Il s’éloigna et revint.
J’en avais oubliée ce qui m’entoure.
Il defit le bouquet et commença à m’ornementer de ses fleurs. Jamais de ma vie, je ne m’étais sentie si femme, si désirable. Un de ces moments des plus érotiques. Il avait cet âme d’artiste.
L’odeur des fleurs mêler à son odeur m’emmenaient vers un paradis défendu.
Je ne pouvais plus me mouvoir, plus parler par les cordes passant sur ma bouche. Il ajusta ma coiffure qu’il ornementa d’une pivoine.
- Ma plus belle fleur c’est toi ! J’aime cultiver mon jardin.
La sensation de cette contrainte était intense. Des sentiments contradictoires. Liée mais libérée de tensions.
Puis il ota le drap qu’il avait mis sur son grand miroir.
- Regarde cette sublime œuvre d’art.
Il s’était mis derrière moi. Il saisit alors les tétons et les pinça. Chaque caresse était alors intense. Il jouait avec la dernière rose qu’il n’avait pas utilisé sur mon corps. La douceur des pétales me faisaient encore plus frissonnée.
Puis il m’allongea au sol. Je me dandinais un peu pour avoir un peu de mouvement. Ce n’était pas habituel comme situation.
- Je vais te prendre en photo.
Comment ne pas se sentir femme à ce moment là. Une fois la séance terminé, il s’était accroupie. Il tira un peu sur les cordes au niveau de mon sexe pour me faire râler.
- Tout va bien ?
- Je hochais de la tête que oui.
Il avait fait en sorte a éviter les contraintes au niveau de mon dos. C’était donc supportable. Il me laissa là sur ce drap violet au centre de la pièce.
Il vaquait alors à ses occupations, moi essayant de me défaire avec jeu.
- Ma petite insolente ne pouvait rien faire..
J’avais envie de lui répondre mais bien sur je ne pouvais pas, alors je ralais.
Il avait allumé quelques bougies.
- Je pense que je peux encore travailler mon chef d’œuvre.
J’étais alors sur le dos, au sol. Lui debout au dessus de moi, les jambes de par et d’autres de ma taille.
- J’aime me balader dans mon jardin…
La première goute s’abattu sur mon nombril. La sensation était agréable. Tout doucement il s’abaisse. Il s’attarde sur mes seins.. il aime les recouvrir de cire.
Je me dandine, tentant une fuite inutile. Une ivresse s’emparait de moi. Je me sentais si forte. Je ne voulais pas qu’il me libère. Il avait réussi à me redonner cette confiance dont j’avais besoin.
Le moment d’enlever cette œuvre éphémère arriva. J’étais addict. Les cordes défilaient, mes membres retrouvaient leur liberté de mouvement. Les marques sur mon corps sont des plus délicieuses. Je voulais qu’elles durent plusieurs jours pour me remémorer, revivre en les touchant ces instants. Les fleurs jonchaient le draps. D’une main baladeuse il me caressait les seins puis retira la cire. Il se posa au dessus de moi. Il pris ma tête dans ses mains.
- Ne doute jamais de ta féminité !
J’enfouissais ma tête contre lui, je pleurais. Je pleurais du bonheur qu’il m’apportait.
Je tirai une belle leçon de notre moment, de cette parenthèse intime où la confiance est importante. L’aspect psychologique est primordial. Il me respectait et surtout, il savait par ses mots, ses actes me mettre sur le bon chemin. Il était mon guide pour atteindre les meilleurs des sommets.
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l redescendit. Il ota me donna quelques bonnes fessées. Je ralais à travers mon baillon.
- Va y parle.. Je t’écoute..
- Je suis désolée Monsieur avec une voix quelque peu masquée.
- Il me gifla de plus belle.
- Tu vas m’écouter petite garce ?
- OUii Monsieur..
Il me detacha. Je me mis sur les genou et me prosternait à ses pieds. Je tentais une démarche pour attirer ses douces faveurs. Mais je sentais à son attitude que j’allais être encore punie.
Il posa alors son pied sur ma nuque.
- Tu vois, j’avais prévu d’être plus doux avec toi, mais au vu de ce que tu fais, tu comprends bien que je vais devoir te punir. Le comprends-tu ?
- Oui .. Monsieur.
- Allez relève moi ton cul de chienne.
Il se retourna vivement. Puis des deux mains me fessa lourdement. J’en avais des fourmillements. Je refreina mon envie de crier.. mais je ne voulais pas.
- Je t’ai amené ton repas. Mais tu comprendras qu’au vu de ta situation, tu vas manger comme une brave petite chienne de luxe.
IL m’avait rapporté mon collier, ainsi que ma laisse.
- Voilà, ma petite chienne prêt à prendre son repas.
Il tira sur la chaine pour me ramener à lui.
C’est là qu’il me tendit dans sa main une gamelle. J’étais à genoux.
- Tu vois, je vais être indulgent, je vais te donner à manger. Tiens toi bien droite et mange avec finesse et raffinement.
Je souriais car parfois je donnais à mon chien à manger à la fourchette.
- Tire la langue pour réclamer.. allez.
Je sortais alors ma langue et avec douceur, il me faisait déguster, me délecter de différents mets raffinés. Bouchées par petites bouchées. Toujours en position d’attente que mon Maître me nourrisse, à quémander comme je quémanderais sa queue, à avoir ce regard de désir pour qu’il continue à s’occuper de moi.
Mon repas terminé, il déposa l’assiette au sol.
- J’ai soif, Monsieur.
Il tira sur la laisse, la mise bien courte pour maintenir mon cou bien droit. Il m’incita à marcher à quatre pattes jusqu’à la gamelle déposée face au lit. Devant la gamelle que je constatais vide, il me dit.
Il s’agenouilla à ma hauteur. Il plongea son doux regard dans le mien. Tira à nouveau sur la laisse pour me susurer à l’oreille.
- Je te laisse le choix petite chienne. Que préfères tu ?
- Eau.. ou Champagne.
Je ne pue m’empecher de sourire..
- Champagne, Monsieur.
- Ne bouge pas, cambre toi bien… je reviens.
Il savait toujours montrer sa bienveillance que j’aimais tant. Il revint avec une bouteille de Joseph Perrier, chamapgne que j’affectionne. Il versa le chamapgne dans ma gamelle.
- Allez, bois.
Tout en le regardant je m’abaissais avec ce regard fougueux, plein de désir.. Je voulais le rendre fou autant qu’il me rendait folle. Je lapais ce doux nectar qui allait me rendre encore plus pétillante.
- Regarde ce que j’ai pour toi.. dans ma main..
Je regardais ces framboises avec des yeux gourmands. En général j’aime les plonger dans le champagne.. une expérience que je vous recommande afin de faire pétiller ce dernier davantage.
Je m’avançais vers ces fruits des plus tentants. J’ouvrai ma bouche pour me servir avec le plus de sensualité animale possible. Je souriais. Ces moments complices me rendaient heureuse.
C’est là qu’il me rejetta au sol pour me faire reprendre ma place. Il me griffa alors le dos puis me redressa. Derrière moi, il tenait mes poignets ferment dans le dos d’une main forte. De l’autre il me maintenait droite laisse courte. Sans douceur il me faisait marcher vers le lit où il me jetta dessus telle une poupée. Il se saisit d’une corde puis m’encorda les bras, puis les mains attachés dans le dos. Mes seins étaient magnifiés par les cordes qui les enlaçaient.
J’aimais ces moments érotiques hors du temps. Il me redressa. J’étais complètement à sa merci. Mon torse était posée contre le matelas, mes jambes, elle était au sol. Mon cul offert.
C’est là qu’il me fouilla de ces doigts experts à nouveau, comme il aime le faire. Puis sèchement il me pénétra. Je sentais mon petit fion céder rapidement. Ses doigts ayant préparé le terrain. Il relava au mieux mon fessier pour me prendre comme il se faut, avec profondeur, comme s’il voulait me transpercer. Je criai, je hurlai. Plus il me possédait, plus il me fessa en même temps.
- Voilà ce qu’il te fallait ! Un coup de bite dans ton cul de chienne. Regarde moi ça..
Il me saisit par la queue de cheval pour me redresser.
- Alors, tu aimes ça ? te faire prendre comme ça ? tu en veux plus ?
- Oh.. oui Mon.. Monsieur , répondais je complètement haletante.
Incapable de parler correcterment à chaque butée. Je sentais ma taille s’engouffrer contre le matelas.
Puis il me rejeta en maintenant ma tête appuyée contre le matelas. Je sentais ses gouttes de transpiration tomber comme la pluie sur moi. C’était si intense, si sauvage, mais que dire..
Puis soudainement il s’alongea sur moi..
- Ton corps appelle à tous ces vices. Que vais-je faire de toi ?
Il me fit tourner sur mon flanc. Il se saisit de mes seins fermement. Il me griffait, me giflait, parfois mettait ma main sur ma bouche où mes cris de bonheur s’évanouissaient dans le silence.
Nous nous possédions l’un l’autre.
- Je veux te remplir de tout le bonheur que tu me donnes. Te montrer combien je suis fière d’être avec la chienne que tu es.
Son souffle était fort, je sentais son cœur battre si rapidement. L’homme avait laisser place à cet animal que j’aimais. Celui qui prendrait, qui possédait.. simplement. Son autorité était naturelle.
Il éjacula en moi avec une telle force. Je sentais son abandon.. autant que le mien. Après cette jouissance, je le sentais trembler.
Il reprit alors rapidement ses esprits au bout de quelques minutes.
Il m’attachait assise, les bras dans la longueur contre les barreaux du lit. Il m’encorda le cou également au barreau. Je ne pouvais pas me mouvoir.
C’est là qu’il me banda à nouveau les yeux et me rebaillonna. Il partit sans dire un seul mot, me laissant ainsi interdite. J’aimais quand il était dans son rôle dominant à me laisser ainsi.. mais pour combien de temps. Le désir montant.. toujours et encore avec l’absence.
Je tentais alors de me libérer, mais les liens étaient si bien fait. Je m’étais résolu à attendre.
Quand je sentis soudainement une main saisir mon menton, puis d’un revers mettre une gentille gifle, puis une seconde..
- Brave petite fille…
Je le sentis monter sur le lit. Il s’était agenouillé de part et d’autres de mes cuisses.
Il s’était emparé de chacun de mes tétons. Il les pressait, les tiraient vers lui. Les cordes mettaient en valeurs mes seins triomphants.
- Aie.. criai- je, complètement surprise.
Il commença alors à s’en occuper, à les travailler… Je ne pouvais le voir ni savoir ce qui allait m’attendre. C’est là que je sentis la morsure du paddle s’abattre sur moi. D’abord sur mes seins puis sur mes cuisses, puis ensuite sur mes jambes. Il s’était retiré me voyant me dandiner. Cela l’amusait.
Je laissais échapper quelques cris. Il alternait entre douceur et fermeté. Parfois il m’effrayait à mettre des coups dans le vide. Mes sens étaient totalement en éveil. Il enleva le gag ball et y introduisit un gode que je devais sucer comme ci c’était son sexe.
Il me faisait baver litterallement. Il y mettait une intensité, un certain cœur à l’ouvrage. A regarder le fruit de son éducation.
Soudain il remplaça le gode pour me fourrer de ses doigts. Il ouvrait ma gueule pour voir si sa chienne était bonne à sucer.
Ma poitrine se soulevait. Tout était si intense. La fatigue me gagnait, lui était je le sentais en pleine frénésie. JE ne pouvais lutter.. je ne pouvais que me laisser faire. N’étais ce pas ce que j’aimais au fond. Être cette petite poupée.
C’est là qu’il me détacha. Avait il senti ma fatigue rien qu’en m’observant.
- Je vois que tu es bien fatiguée. Je vais te mettre au lit petite servante. Va faire un brin de toilette avant de te coucher.
Je me levais, les jambes en coton après les différents assauts que j’avais subis, mes bras étaient un peu douloureux. Je me regardais à travers le miroir. J’avais une mise bien fatiguée.
- Pose tes mains sur l’armoire, écarte moi tes jambes.
Il prie alors le gant de toilettes, le trempa et d’une douceur infinie commença à nettoyer mon intimité. Je le voyais derrière moi à travers le miroir. Mon cœur battait. J’avais qu’une envie, me retourner, le serrer dans mes bras.. Mais je voulais savourer ce moment si … si.. longs soupirs…
Il me faisait la toilette, même si cela était rudimentaire.
- Maintenant, va t’asseoir sur le lit.
Il se saisit de ma creme pour le corps que j’avais sorti de mon sac puis commença par me masser en premier les pieds.. il était à mes pieds. Son regard intense plonger dans le mien. Je ronronnais de plaisirs, de détente. Puis doucement il passait ses mains sur mes mollets, toujours en remontant avec cette douce fermeté il s’attardait sur le creux de mes genoux. Je ne pouvais que chavirer. Il remontait encore et encore… Puis il s’assit alors derrière moi, pour s’occuper de mon dos. Il prenait son temps pour me masser, passer ses doigts sur ma cicatrice, celle qui parcourait tout ma colonne vertébrale.
Puis il s’attarda sur mes petites cervicales. Je penchais alors ma tête en arrière, la posant contre son épaule. Il passa alors sa main sur ma gorge. Je me sentais complètement à nue face à lui. Complètement nue.. mise à nue. Cette sensation de ne pas à avoir se cacher, à se montrer juste soi.
Puis d’un main coquine, il s’occupa de mettre de la creme sur mes seins, en les pinçant légèrement. Il devinait alors mon sourire de plaisir.
C’est là que d’une infinie douceur il prit mon elastique des cheveux pour le faire glisser avec tendresse afin de les libérer. Il y passer ses doigts pour les démeler.
- Attends, ne bouge pas.
Il avait saisi ma brosse à cheveux et me peigna les cheveux.
C’est là qu’il me borda. J’avais qu’une envie c’est qu’il vienne avec moi dans le lit.. pour me réchauffer, me réconforter.
Il laissa une bougie allumée. Je regardais les ombres dansées sur le mur. J'étais bien emitouflée;
- Bonne nuit petite chienne.
Il monta les escaliers, me laissant seule, à mes songes et mes pensées les plus douces. Cette journée aller se mêler à mes rêves et à mes futurs écrits. J’étais épuisée. Je m’endormais comme un bébé.
Allait il me rejoindre ? je vous laisse imaginer la suite …. Qu’auriez vous voulu… qu’il fasse ?
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Il ne me fallut que quelques secondes pour réaliser à quel point j’avais vraiment des ennuis. Je ne m’étais pas vraiment inquiété quand Elle m’avait tendu le bracelet en métal. Pas même quand j’avais senti les dents cruelles à l'intérieur. Elle n’allait pas me le faire porter, j’en étais sûr ! C'était bien trop vicieux ! Elle ne le ferait pas ! Mon esprit n'arrêtait pas de me le répéter ; même quand je la voyais ramasser la petite clé avec son verrou intégré et marcher lentement vers moi.
« Alors. C’est pour MAINTENANT ou demain. Fais attention, je vais te le mettre moi-même et crois-moi, je ne ferai pas dans la dentelle ! »
Sa voix était sévère, dominante, presque brutale dans son intensité. J’ouvris la bouche pour lui répondre mais mon téton droit explosa d'agonie, chauffé à blanc.
« Quand je dis maintenant, c’est maintenant. Aucun argument. »
J’hésitais toujours. Les pointes avaient l'air très vives, vicieuses et cruelles. Et il avait l'air si petit, si étroit ... ce serait sûrement une agonie d'essayer de le fermer. Encore une fois, j’ai essayé de protester. Une autre explosion brutale de douleur, cette fois sur mon pénis.
« Je vois que tu n'es pas très bon pour suivre un ordre. Tu vas apprendre. Lève-toi, les bras levés ! »
Soulagé de ce qui semblait être un changement d'avis, je me levais rapidement, tendant les bras. Ce n'est qu'alors que je vis la camisole de force dans ses mains, mais il était déjà trop tard. Elle la glissa sur mes bras de manière experte, la repliant autour de mon corps et bouclant les sangles en quelques secondes. Je sentis mes bras se resserrer contre son corps. Je tentais de résister mais c'était sans espoir. Elle sécurisa la camisole en quelques secondes. Je voyais toujours le bracelet. Il était toujours posé sur la table là où je l'avais laissé. Pendant ce temps, Elle attacha rapidement les sangles entre mes jambes et acheva mon confinement.
« Maintenant, tu vas le porter, que ça te plaise ou non. »
Elle tendit la main vers le dispositif métallique, l'ouvrit et l’enfila par le bout de ma queue. Sans un mot, Elle ferma le bracelet juste derrière mon gland, forçant les pointes contre mon sexe. Je poussais un cri ! Cela ressemblait à une centaine d'aiguilles perçant ma queue, pénétrant en moi alors qu’Elle pressait plus fort. La serrure glissa et la clé tourna... il était en place. Quand la douleur commença à s'atténuer, je me rendis compte que je débandais. Mais quoi que je fasse, le bracelet était bien trop étroit pour tomber. Je ne pouvais pas m’en débarrasser sans lacérer mon gland à son passage, même si mes mains étaient libres.
« Voilà ! tu m’as supplié de te laisser sortir de ta ceinture de chasteté depuis des semaines. J'en ai marre de t’entendre. Je m'en fiche si tu as besoin de jouir. Je m'en fiche si tu es excité ! Et je ne me soucie pas du fait que tes érections dans ta ceinture te font mal. Il est clair que nous devons travailler sur ce lien que tu sembles avoir entre érection et plaisir. Tu as déjà remarqué la douleur que le bracelet provoque lorsque tu bandes. Eh bien, ce n'est que le début. Plus tu deviens dur, plus ça te fait mal. Je te fais la promesse que je ne vais pas l'enlever, peu importe tes jérémiades et tes pleurs. »
Elle me poussa sur une chaise et attacha rapidement mes chevilles aux pieds. Une chaîne passa autour de ma taille et le dossier de la chaise. Je n’avais plus aucun moyen de me lever. Elle ouvrit quelques fermetures éclair sur la camisole de force, exposant ses tétons. Des pinces y furent fixées.
« Maintenant, juste pour être sûr que la leçon commence… » Elle me mit fermement un bâillon, l’anneau passait derrière les dents forçant ma bouche à rester grande ouverte. Me prenant par les cheveux, Elle tira ma tête en arrière. Elle laissa alors tomber un comprimé de viagra dans le trou béant, l'observant alors que je tentais de lutter sans succès contre l'envie d'avaler.
« Je serai de retour... plus tard. D’ici là, je pense que tu aura terminé la première de tes futures leçons. »
lulu (souvenir de chez ma 1ère Dame)
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A genou, nu sur le carrelage de son salon. Il s'est assis sur ses talons pour reposer ses muscles tendus.
Un bâillon constitué d'un petit gode, lui remplit la bouche. Sa langue ainsi contrainte par cet objet intrusif, il peut à peine émettre quelques sons guturaux.
Son regard bleu est tourné vers la grande fenêtre derrière laquelle s'étendent à perte de vue les champs de cultures qui entourent la maison.
Le jour décline en colorant le ciel d'un panel de couleurs pastelles, avant l'arrivée inexorable de la nuit.
Ses mains sont liés dans son dos, par une corde serrée qui lui rentre dans la peau, lui semble t'il à chaque mouvement.
Que fait-il ici, dans son propre salon dans cette position inconfortable, à attendre dans ce silence insupportable.
D'ailleurs, depuis combien de temps est-il ainsi? Quelques minutes, une heure, il ne saurait le dire.
Là où il est, aucune pendule ne lui permet de se raccrocher au temps. Mesure si précieuse, de l'homme qui attend, il essaie de se fier au crépuscule qui devient son seul repère.
Son esprit s'agite sans qu'il puisse arrêter le flot de ses pensées.
Il repense à ce moment durant lequel il a osé, sans retenu, exprimer une envie.
Une intime confidence qui l'a surpris lui-même mais que sa solitude forcée l'avait poussé à faire, subitement dans leur correspondance épistolaire.
Il dirige sa vie sans y laisser le moindre vide. Il contrôle chaque minute de ses jours et de ses nuits.
Le temps est pour lui un ennemi à défier en permanence pour ne jamais laisser les fêlures de son passé reprendre le dessus de son destin.
Jamais il ne laissera plus personne décider à sa place ce qu'il doit faire et ce qu'il doit dire.
Alors à cet instant précis, il ne comprend plus pourquoi il est là, comment a t'il cédé à cette idée saugrenue. Comment et pourquoi en est-il arrivé là ...
Sa fierté semble mener un combat avec sa propre raison.
Il voudrait se relever, se retourner et exiger d'être détaché et puis mettre fin à ce jeu ridicule qu'il a pourtant lui-même initié.
Et pourtant, il n'en fait rien, il ne bouge pas, comme si son corps refusait d'obéir à sa propre volonté.
Imperceptiblement, sa respiration se fait l'écho de la vague de pensées qui submerge son esprit. Son torse se gonfle d'air qu'il expire dans un souffle aussi bruyant que possible, accompagné d'un râle animal tel un rappel de sa présence et l'expression de son impatience.
Il pense à tourner la tête, regarder en arrière, pour s'assurer de la présence de l'autre, tenter d'apercevoir une silhouette, de savoir ce qu'il se passe derrière lui. Mais encore une fois, il ne bouge pas, son corps reste figé, engourdi dans l'immobilisme.
Ses pensées sont soudainement interrompues. La conscience d'un contact sur sa peau a ramené son esprit dans l'instant. Tous ses sens sont à l'affût, il n'a pourtant rien entendu.
Il frissonne, deux mains légères et douces se sont posées sur le haut de son dos et descendent en l'effleurant le long de son échine.
Il ferme les yeux, cette présence derrière lui, lui fait oublier immédiatement les doutes qu'il avait, il y a encore quelques secondes.
Le corps nu de l'autre se plaque contre son dos, il sent ses seins s'appuyer contre lui, son ventre tout contre ses reins, le sexe de l'autre touche ses mains liées, qu'il n'ose plus bouger.
Les mains de l'autre suivent la courbe de ses hanches puis remontent le long de son ventre, son buste et s'attardent sur sa toison masculine.
Sans qu'il puisse rien n'y faire, son sexe durcit à ce contact physique, trahissant son impuissance à contrôler son émotion.
Une bouche se glisse près de son oreille, il devine le sourire qui apparaît sur ce visage qu'il ne voit pas encore.
Dans un murmure, elle lui glisse une remontrance.
"Mon ami s'impatiente, on dirait ?
Nous avons tout notre temps. Inutile de grogner, mon ami. "
Et alors qu'il s'apprête à pivoter la tête pour capter son regard, un voile noir se pose sur ses yeux et le plonge dans une obscurité encore plus profonde que la nuit qui vient désormais d'envahir la pièce dans laquelle ils se trouvent, tous les deux dans une communion intime de leurs envies.
(...)
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LA servante.
- Je te prépare un week end intensif petite chienne.
- Ah oui, Monsieur ?
- Oui, j’espère que ton éducation saura me montrer combien tu as bien compris où était ta place.
Il avait son sourire complice mais sérieux. Je me demandais ce qu’il avait prévu.
Nous avions pris la route, je ne savais pas où nous allions. J’avais préparé quelques affaires pour le week end avec ce les indications qu’il m’avait donné.
Nous étions en pleine campagne, loin de tout. Il avait mis le GPS, nous en avions pour 2h de route.
- Puis-je savoir où nous allons ?
- Non..
- Même pas un indice ?
- Ta curiosité est un vilain défaut. Ecarte moi tes jambes.
Il mis sa main sur mon sexe. Je commençais déjà à ne plus me contenir.
Pendant le temps de la route il m’avait interdit de parler, juste d’écouter. Il me trouvait insolente ces derniers jours. Après tout, c’est mon tempérament. J’aime être effrontée.
Nous étions arrivé à destination.
- Ne bouge pas, je viens t’ouvrir la porte.
Il descendit de la voiture, pris sa veste légère située à l’arrière puis viens m’ouvrir la porte.
- C’est la maison d’un ami qui nous la prête pour le week end. Tourne- toi.
Il me plaqua contre la voiture. Je sentais son corps chaud contre moi. J’aimais quand il me faisait tomber le visage en pressant sur ma gorge. Je me sentais posséder de tout mon être, à être dévouée. J’étais esclave de mon désir pour lui.
Il me banda alors les yeux avec un masque en cuir. Cette odeur si particulière et si excitante.
Il me prenait toujours par la gorge et me forçait à avancer. J’entendis le claquetis de la clé s’insérer dans la serrure.
- Attention à la petite marche. Ne bouge pas et reste debout ici.
Je sentais ses vas et vient. Je bouillais à l’idée de regarder où nous étions. Profitant alors de le savoir dehors, comme un enfant, je soulevais légèrement le masque.
C’est là qu’il me plaqua contre le mur . Il tenait ma gueule de sa main menaçante.
- T’ai-je autorisé à ôter ton masque ? Je crois bien que non. Vu que tu ne sembles pas comprendre ses mots simples, je vais te donner l’occasion de voir.
Il m’avait bien remis le masque à sa place et sans aucune délicatesse me faisait marcher. La perte de la vue sans repère, nous fait marcher à taton, avec cette crainte de tomber , prendre un mur ou un meuble. Mais à quoi bon, puisqu’il me tient. Que pouvait -il arriver.
J’entendis une porte s’ouvrir .
- On va descendre des escaliers. Je te tiens. Tu ne risques rien.
Sa voix m’apaisait. La voix est si importante. Une voix peut en un instant provoqué un tel émoi, un frisson ou parfois aussi un dégoût. Je ne pouvais envisager une relation sans que la voix de Monsieur me provoque cet émoi. Je suis certaine que vous comprenez ?
J’étais en confiance. Il me tenait d’une main ferme.
- A genou !
- J’allais te mettre dans ta chambre, à l’aise. Mais tu mérites une petite leçon. Je vais te laisser dans l’ignorance. Tes mains !
Il m’attacha les mains. Puis, j’entendis des bruits de chaînes. Je commençais légèrement à trembler.
Les mains attachées, il les releva. Il les avait rattaché à une chaine et probablement à un anneau que je devinais au plafond. La corse était bien tendue. J’étais à la limite sur la pointe des pieds.
Ensuite, il saisit ma cheville droite et m’enchaina. Il opéra cette opération avec l’autre cheville. Mes jambes étaient écartées.
- Humm voilà… petite chienne.
Il releva ma robe et me fessa avec fermeté. Je ne pouvais me soustraire.
- Tu pourras crier autant que tu veux ici… personne ne t’entendra. Je te laisse maintenant méditer à ta condition petite insolente.
Il partit. J’étais ainsi enchainée, privée de la vue, probablement dans une cave. Cette situation m’excitait au plus haut point. Cette sensation de ne pouvoir m’échapper, de lui obéir, d’être à sa merci. Il savait jouer à la perfection avec moi. A me rendre folle. Folle d’impatience, folle de désir, follement curieuse…
Je perdais la notion du temps. Quand j’entendis à nouveau le son de ses pas, j’étais assez engourdie, calme et obéissante. Il s’approcha de moi. Encore un long silence Il prit à nouveau mon menton entre ses doigts bien ferme. Il m’immobilisa bien à tel point que j’imaginais parfaitement son regard à travers mon masque. Ce regard profond, pénétrant qui a fait que je l’avais choisi pour prendre possession de mon être.
- Je t’ai préparé quelques affaires à porter. Je vais te laisser le temps pour te préparer. Sache que je vérifierai que tu sois bien habillée. Tu t’attacheras les cheveux avec une queue de cheval. Tu comprendras rapidement ton rôle durant ce week end. Hoche de la tête pour me dire que tu comprends.
J’hochais de la tête. Il me détacha en premier les jambes. Puis les bras. Il n’avait aucun geste d’affection à mon égard pour me soulager. J’attendais cela. Il me punissait de ma petite insolence. Mais après tout, je le cherchais aussi.. Me faire punir, souffrir et avoir du plaisir.
Sans ménagement il m’ota le masque qu’il avait bien serré. Ma vue avait du mal à se faire à la lumière. J’étais dans une cave aménagée. De la pierre au mur, c’était très brut. Le sol était également en pierre. La pièce devait faire 20m2. Il y avait quelques anneaux disposés, laissant devinés de nombreux jeux interdits. Cette pièce disposait d’un lit avec des barreaux. Un miroir ainsi qu’une vasque et un pot.. Je devinais alors que c’était un pot de nuit.
Je commençais à deviner son envie de ce week end.
C’est là que j’aperçus mon sac avec mes affaires, puis sur le lit, je vis une tenue. Elle était noire et blanche. Des vêtements de soubrette. Ainsi j’allais être sa servante durant le week-end.
Je commençais à perdre la notion du temps je ne savais même pas quelle heure il pouvait être. Et après tout était-ce le plus important. Dans ces moments là, on a envie que cela dure et pourtant c’est là que le temps passe si vite.
Il revint. Il était là face à moi. J’avais baissé naturellement mes yeux.
- Bien. Petite soubrette. Je vois que tu as bien suivi mes instructions. Leve moi cette jupe.
Je levais ma jupe, qui était particulièrement courte. Ce genre de jupe où si vous vous baissez, on voit tout. Elle était légèrement bouffante.
- Parfait. Je ne veux aucune culotte. Tu seras à mes ordres, cela va de soi. Interdiction de parler sauf si je te l’autorise. Si tu as besoin de me dire quelque chose, tu t’agenouilleras à mes pieds. Suis-je clair ? Hoche de la tête.
J’hochais de la tête.
- Maintenant tourne-toi.
Il me mit un gag-ball. Il était certain que je n’allais pas parlé.. j’avais envie de sourire. Pourquoi me dire ne pas dire un mot si c’est pour ensuite me baillonnée. J’étais effrontée dans ma tête.
- Comme toute bonne petite servante, je vais te mettre tes attributs. Vu que tu as des problèmes avec la compréhension de mes ordres, à prendre souvent quelques libertés, je vais t’aider.
Il mis alors autours de mon cou un collier en acier. Le contact froid me surpris. Il le ferma avec un cadenas. Sauf que de chaque coté du collier, il y avait deux barres auxquelles étaient attachés des bracelets aussi en acier.
Il pris sans ménagement mon poignet droit et le mis dans le bracelet.. Il le referma avec un cadenas également, de même pour l’autre poignet. Il me retourna. Je croisais son regard complètement satisfait.
Il mit devant mes yeux les clés des cadenas afin que je les regarde bien. Puis il les imbriquas dans un anneaux qu’il fixa ensuite à son pantalon.
- Voilà, tu es parfaite, sale petite chienne insolente. Maintenant on va monter et je vais t’expliquer tes taches.
Je montais alors les escaliers en me mettant sur le coté. Je n’étais pas à l’aise. Je n’étais pas fière, mais je ne voulais pas lui laisser ce plaisir.
- Voilà. Tu trouveras de quoi faire les poussières.
Mes yeux s’écarquillaient ! Mais il rêvait !
- Aucune objection. Active toi allez.
Je me demandais comment avec ces bras coincés comment j’allais opérer. IL s’était installé sur la table en bois. La pièce était sublime je devais le reconnaitre. Un âtre ouvert sublime, un canapé chesterfield vert anglais. La pièce avait une réelle âme avec des poutres apparentes. J’aimais ce mobilier qui avait une âme.
Je me pris le plumeau et je commençais à faire les poussières. Il s’était assis sur la table avec son ordinateur. Je l’imaginais à travailler sur un de ces dossiers professionnels. Je savais qu’il me regardait mais il ne voulait pas que je le regarde faire.
J’avais une très forte envie de faire pipi. Quelle nouille. J’aurai dû y aller bien avant quand j’avais la possibilité. C’est alors que j’essayais de trouver les toilettes.
- Revenez ici. Qui vous a autorisé à sortir de la pièce. Servante.
C’est alors que je m’avançais vers lui, le regard fautif avec cet air faussement innocente. Espérant échappée à sa sévérité.
C’est alors que je me mise à genou avec grande peine, tête baissée.
Il me releva alors la tête et me libéra du gag-ball.
- De voulez-vous.
- Je.. (je n’avais pas envie de lui dire que je voulais aller aux toilettes, mais je n’avais pas le choix). J’ai besoin d’aller aux toilettes Monsieur.
- Très bien. Je comprends que ma servante a besoin de soulager des besoins naturels. Je t’accompagne à ta chambre.
On descendait les escaliers. Il baissa alors ma culotte jusqu’à mes chevilles.
- Allez, va pisser petite chienne.
J’avais les yeux râleurs. Il me regardait marcher avec difficulté la culotte au niveau des chevilles.
Il s’était retourné, mais il aimait tout contrôlé. Une fois soulagée, il revint vers moi.
- Cambre toi et écarte tes jambes.
Il prit un gant de toilettes qu’il trempa dans une bassine d’eau qui était posé sur un petit meuble. Puis il me nettoya la chatte. Il frottait bien. Puis il prit la serviette et me secha bien l’entrejambe
- Je veux que tu sois propre. D’ailleurs tu peux laisser ta culotte ici. Je te veux à ma disposition à n’importe quel moment. Je vais ôter le gag-ball. A la moindre insolence de ta part, je te descends et je te laisse ici. Compris ?
Je savais qu’il ne plaisantait aucunement. Je hochais la tête à l’affirmative.
- EN tout cas je vois que tu as bien compris le mot disposition. Tu es déjà bien trempée, petite trainée.
Que pouvais-je ? oui j’étais sa petite trainée, à l’affut de chacun de ses supplices.
- Allez va monte et va me préparer un café.
Nous remontions ensemble. Il me montra la cuisine. Je m’appliquais à ma tâche. IL avait tant pris soin de m’organiser tout cela que j’allais laissée ce coté brat de coté.
J’aimais ces instants où je suis sa chienne. Celle où je peux me libérer totalement. Il est là pour mon bien, pour son bien. Pour notre bien.
Avez-vous déjà tenté€) de faire un café en ayant quelques contraintes ? je vous l’assure c’est comme de la contorsion, demandant ingéniosité et aussi à essayer de faire les choses avec une élégance certaine pour ne pas paraître ridicule.
Je revenais dans la salle à manger. Je m’abaissais afin de poser sur la table la tasse de café, et de l’autre main le sucre.
- Sers moi le sucre et touille.
J’obtempérais. J’essayais d’y mettre une certaine grâce, mais cela était bien compliqué. Il était penché sur un tableau excel mais au fond de moi je savais qu’il n’en ratait pas une seule miette.
- Agenouille toi à coté de moi maintenant. Je te veux proche.
De temps à autre, il me jetta un œil et me caressait les cheveux.
- Douce petite chienne bien docile. Regarde toi. Tu n’attends qu’une chose que je te remarque. Que je te regarde.
Quand il me tendit sa main, je n’ai pas pu m’empecher de la lécher, de l’embrasser. Je le remerciais.
Je voulais qu’il soit fière de ma dévotion. J’avais totalement lâcher prise.
Mon regard avait tellement faim de lui. Il me caressa encore.
- Quel regard de putain. Faut apprendre à se tenir. Mais je suis heureux de voir que tu as cette bonne attitude. Je vais te libérer. Tu vas monter sur cette table. Tu vas ensuite mettre ton fessier fasse à moi. Je veux qu’avec tes mains tu me présentes tes orifices. Et tu ne bougeras pas.
C’est alors que je m’exécutais. Mes bras étaient heureux de retrouver leur liberté. Je m’installais alors comme Monsieur me l’avait demandé. J’étais outrageusement obscène. Habillée ainsi en soubrette, le cul bien relevé. Mes mains écartant mes fesses. J’exposai ainsi au regarde de Monsieur ma vulve ainsi que mon fion.
- Parfait petite soubrette. Tu es un magnifique centre de table ! A me demander si je ne vais pas te recycler comme tel ! Ecarte moi mieux ces fesses ! Tu es magnifique ainsi. Attendant patiemment d’être fouerée par tous ces trous. Je t’autorise à le dire..
- Oui, Monsieur, j’aime exposer ainsi mes attributs. La petite soubrette qui se présente devant vous, n’attends qu’être à votre disposition et à être utilisée comme il se doit.
- Ah oui ? continue.
- Je souhaite que Monsieur me fasse subir ce que je mérite pour parfaire mon éducation. J’ai envie d’être baisée, sodomisée, fouillée, fessée.. ou tout autre chose que Monsieur juge important à faire.
- Oui en effet, seul moi décide de comment je vais disposer de tes trous de salope, ou de ton corps. Oh mais que vois-je ? Ta chatte est bien luisante dis moi..
Il y passa un doigt.
- Tourne toi.
Avec langueur, je me tournais vers lui. Il me tendait son doigt.
- Lèche.
Je sortais alors ma langue afin de goûter à ma excitation.
- J’ai dit.. LECHE.. pas SUCE.
Je léchais alors son doigts, ou plutôt je lappais comme une chienne en chaleur. Il me rendait complètement folle. A ce moment là j’étais totalement chienne.
Il s’était levé. Il avait poussé son ordinateur.
- Sur le dos !
Une fois sur le dos, il me poussa afin que ma tête soit dans le vide. Il défit son pantalon.
- Sors ta langue. Une bonne soubrette est faite pour nettoyer. Alors tu vas lécher.
Ma tête était relativement basse dans le vide. Ma langue était sortie.
C’est alors qu’il se retourna puis mis ma tête entre ses jambes. J’allais presque me sentir étouffer par ses couilles. Heureusement il était grand.
Il me tira par les cheveux pour m’obliger à encore plus m’étouffer.
- Ouvre tes yeux et regarde moi. Je veux voir ma chienne s’étouffer avec ma queue et mes couilles.
Il utilisait ma bouche comme une serpillère pour nettoyer les sols. Je rafolais de la lécher ainsi. J’aimais quand il rajoutait cette violence animale qui faisait que j’étais complètement folle.
Il tenait bien ma tête et faisait ses mouvemens de va et vient comme si j’étais une poupée gonflable. Quand il forca le passage de ma bouche pour enfoncer son gland, il reserra alors ses cuisses.
- Quelle bonne petite suceuse.
J’osais imaginer le tableau loin de l’image de princesse que je peux avoir. Celle où j’étais presque étouffée par une queue et des couilles.
Il me tenait alors par la gorge pour faire passer.. la pilulle. La gorge profonde dont il m’assaillait me faisait baver de partout.
D’un coup sec, il s’arrêta, se retourna et me retourna. Il me saisit par le haut de mes cuisses. IL inserra brutalement quelques doigts dans ma chatte.
- Déjà bien ouverte, petite salope.
D’un coup de rien il me pénétra. Tout en me culbitant, il me serrait le cou.. J’adorais ça, cela me rendait folle de lui appartenir. Parfois il me giflait… Je ne culpabilisais pas d’être sa chienne lubrique. Il avait sauvagement défait mon chemisier. Il avait sorti mon sein droit qu’il tenait très fermement. Je prenais de partout. Ma chatte prise d’assaut, j’étais giflée, parfois il me pénétrait aussi de quelques doigts dans ma bouche. Dans sa frénésie il me baillonait de sa main.
Puis il me susurrait à l’oreille.
- Petite pute. Tu mérites d’être prise ainsi. Dépravée, baisée.. tu as besoin de tout cela.
- Oui,..Monsieur
Il me gifla.
- Ta gueule putain !
De plus belle il me besognait. Sur un dernier rale, il se retira sans avoir joui.
- Suffit maintenant. Mets de l’ordre. Je ne veux plus te voir descends dans ta chambre. Je viendrais te voir plus tard. Je te veux nue !
Je n’avais envie que d’une chose, que cela continue. J’étais encore plus excitée à ce qui allait se passer. Je redescendais alors dans cette chambre qu’il m’avait attrituée.
Une fois la porte passée, c’est là que j’entendais qu’il m’avait enfermée à clef.
J’étais totalement impatiente. Le temps encore filait. La faim commençait aussi à me gagner.
J’avais fait ma toilette et comme il me l’avait demandé, je m’étais mise nue. Heureusement que sur le lit il y avait de douces couvertures et douces fourrures (je précise.. fausses).
Quand il revint, je m’étais endormie sur le lit.
Il me réveilla en ayant mis sa main sur ma bouche.
- Un véritable ange quand tu dors.
Puis il se mit sur moi en tenant fermemant mes poignets au dessus de ma tête. Puis, il me mit des bracelets en cuir et m’attacher bras écartés au lit et fit de même pour mes chevilles.
Il s’assit sur moi à hauteur de poitrine. Il aimait me regarder ainsi quand il me baisait par la bouche. Il aimait engouffrer profondément son sexe dans ma bouche, à tester les limites
- Je vois que la petite chienne se réveille. Honore moi encore avec ta langue et ta bouche.
C’est là qu’il resta dans ma bouche, sans bouger. IL tapottait mes joues.
- Brave pute.
Puis il me pinça le nez. Je ne pouvais plus respirer, presque étoufée à nouveau par son gland.
Il avait la maitrise, je ne pouvais rien faire. J’avais de la bave partout.
- Maintenant que tu en as bien partout, sors bien ta langue.
C’est là qu’il s’assit directement sur ma bouche m’offrant alors son anus à lécher.
- Quelle bonne petite bouche nettoyeuse.
J’étais son objet. Il pouvait faire ce qu’il voulait. J’adorais cela.
J’étais comme possédée dans ce moment là. Au bout d’un moment il se releva puis partit à l’assaut de mes autres petits trous. Il mis alors sur mes cuisses des attaches pour les relier à mes chevilles ou mes poignets. Il aimait me contraindre et après tout j’adorais cela.
IL me détacha les chevilles du lit pour les rattacher à mes cuisses. Mes jambes étaient alors pliées montrant bien mes deux trous à mon maître. C’est alors qu’il me gifla le con. A plusieurs reprise.
Je lâchais alors plusieurs cris. Il mis sa main sur ma bouche et introduisa sa ménagement Trois doigts dans mon petit trous. Il s’amusa a les regarder aller et venir comme pour les sortir par ma chatte.
- Plus ?
- Je disais oui du regard. Je prenais ce regard qui disait non.. mais oui quand même ????.
Il tournait savamment ses doigts pour élargir au mieux mon fion. Il introduisait un quatrième doigts.
Mon trou n’était pas encore assez travaillé comme il le désirait.
- Hum, regarde.. quatre doigts dans le cul de ma putain..
Il y allait avec douceur, il jouait, il tournait sa main. Il y mettait une dévotion particulière à m’élargir.
Il regardait la réaction de mon fion quand il sortait ses doigts. A regarder la trace de son passage. A voir s’il se refermait ou s’il restait béant comme pour réclamer plus.
C’est là que de l’autre mois, il introduisait aussi des doigts dans ma petite chausse. Il était maintenant à s’afférer à bien me remplir.
- Quatre doigts dans le cul, deux dans la chatte..
C’est là qu’il força le passage de ma chatte avec un troisième doigt.
- Comme tu en mets partout.. regarde le lit est plein de mouille de petite salope…
Ainsi il me fouilla de ses doigts, jouant avec mes orifices. Tout glissait.. naturellement tellement j’étais trempée.
Je sentais mon corps frémir surtout quand il caressait en plus mon clitoris. Je n’arrivais pas à résister que je jouis.
- Petite salope. Jouir sans me le dire… Quelle égoïste tu es.
D’un geste sec, il me détacha. Les chevilles des cuisses. Il serra mon bras et m’attacha à nouveau comme à mon arrivée les bras au dessus de la tête.
Je vis alors le martinet.. Mes yeux grossissaient.
Il me flagellait alors de haut en bas. Les cuisses, les fesses, le dos. Il avait tellement rehausser mes mains, que j’en étais sur la pointe des pieds.
Je voulais me dédouaner de cette punition méritée.
J’étais bien rouge. Rouge de honte.
Il me baillonna de mon gag ball, me remit le bandeau et me laissa ainsi…
Qu’allait il ensuite faire de moi….
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Le 2 décembre 1814, au soir, Sade expirait. De son vivant pourchassé, maudit,
persécuté, engeôlé durant près de trois décennies, le marquis et son œuvre
furent-ils mieux traités depuis deux siècles? Censuré, psychanalysé, biographié,
disséqué, théâtralisé, pléiadisé, le voilà désormais produit-dérivé. Un descendant,
mercantile, peu scrupuleux de la postérité de la création littéraire de son aïeul,
écoule un brandy "Divin marquis". L’époque est à la vulgarité; l’obscénité tient sa
part. Quant à lire Sade, c’est suranné, trop long, fastidieux. Et cette manie aussi
de tout mélanger, sexe et pensée, au prétexte de littérature. Jean-Jacques Pauvert
fut le premier à oser publier Sade sous son nom d’éditeur. Grâce lui soit rendue.
Balançant entre le clair et l'obscur, désormais, il faut faire avec l'écrivain.
Il a maintes fois été écrit que Sade, poussant la fureur à son point d’incandescence, déchiquetant les corps
à coups de plume, au risque d’effacer les âmes, prophétisait l’Holocauste. Ce que Dante a décrit dans son
terrible poème, l’auteur des 120 Journées de Sodome savait que l’homme le réaliserait. Sade a pensé et a
commis les plus atroces supplices que l’esprit puisse engendrer. Il s’est livré à l’autopsie du mal. Sans doute
est-il vain de spéculer pour déterminer si Sade voulait prévenir du malheur ou l’appelait de ses vœux. Il faut
avoir le cynisme de Céline pour prétendre, a posteriori, qu’il ne voulait, dans "Bagatelles pour un massacre"
(1937), "qu’éviter aux hommes les horreurs de la guerre." Qu’importe les intentions de Sade. Annie Le Brun,
exploratrice de l’homme et de son œuvre a établi le constat: "La pensée de Sade a son origine dans l’énergie
des pulsions". Les objections sont connues: "fumisterie anachronique", "délire d’interprétation."
Sade a poussé le libertinage aux extrêmes de la légalité en commettant d'odieux actes sur mineurs naïfs ou "achetés."
Prétendre le contraire serait une contre-vérité historique. Mais fallait-il pour cela censurer son œuvre ? De Louis XV
à Napoléon, il fut incarcéré sous tous les régimes. Le blasphémateur, le dépravé, le révolutionnaire, le politique, toutes
les figures qu’il incarna furent opprimées. Dans ses écrits, Sade n’a cessé de revendiquer avec passion la primauté
de la Raison, au sens du XVIII ème siècle. L’athée, auteur du "Dialogue entre un prêtre et un moribond" taille la religion
en pièces, appelle à la sédition anticléricale. Robespierre voudra le lui faire payer de sa vie avant, tout juste, de perdre
lui-même la tête. Sade, libérateur, dans ses discours en damnés devant la section des Piques, la plus virulente de la
Révolution, réclame l’abolition de la monarchie.
Il le répète, encore, dans le fameux appel public, "Français, encore un effort si vous voulez être républicains", de même
qu’il y prône la liberté des mœurs et la dissolution de la famille comme institution. Trop vite, certains réduisent le
programme au discours d’un anarchiste. Rien n’est plus faux. Sade milite pour le bien commun, au sein d’une société
respectueuse de chacun éclose dans un État digne. Tôt, il embrasse et théorise ce projet politique. Novembre 1783,
emprisonné au donjon de Vincennes, Sade écrit à son épouse Renée Pélagie:
"Ce ne sont pas les opinions ou les vices des particuliers qui nuisent à l’État; ce sont les mœurs de l’homme public qui
seules influent sur l’administration générale. Qu’un particulier croie en Dieu ou qu’il n’y croie pas, qu’il honore et vénère
un putaine ou qu’il lui donne cent coups de pied dans le ventre, l’une ou l’autre de ces conduites ne maintiendra ni
n’ébranlera la constitution d’un État." La corruption des puissants, voilà l’ennemie: "Que le roi corrige les vices du
gouvernement, qu’il en réforme les abus, qu’il fasse pendre les ministres qui le trompent ou qui le volent, avant que de
réprimer les opinions ou les goûts de ses sujets!". Et Sade met en garde, à défaut, ces sont "les indignités de ceux qui
approchent le Roi qui le culbuteront tôt ou tard." Faut- il, là encore, attendre passivement que la prophétie sadienne se
réalise? Elle semble en passe de l’être.
de Sade. La réduire à une lettre "dégoutante" est une erreur. L’ignorer est une faute. Il n’est pas trop tard. Dès 1909, le
poète, qui avait bien lu, nous livrait le message d’espoir, évoquant deux emblématiques personnages sadiens: "Justine,
c'est l’ancienne femme, asservie, misérable et moins qu’humaine; Juliette, au contraire, représente la femme nouvelle
que Sade entrevoyait, un être dont on n’a pas encore idée, qui se dégage de l’humanité, qui aura des ailes et qui
renouvellera l’univers."
Sade a rédigé son œuvre à un rythme impressionnant, écrivant cinq à six pages par jour, comme le suggèrent les dates
de début et de fin de rédaction de ses textes présentes en marge. De nombreuses ratures, des passages entièrement
repris, des ajouts en interligne montrent un travail de réécriture constant du texte. Dans le dernier cahier, après trois
années de travail, il rédigea le "catalogue" de ses œuvres. Si les plus subversives, à commencer par le manuscrit
clandestin des 120 Journées n’y apparaissent pas, il recense tout de même, au feuillet 451, pas moins de cinquante
nouvelles, écrites sur vingt portefeuilles cartonnés.
Relâché le 2 avril 1790, Sade emporta avec lui ses papiers de prison, mais il oublia ou perdit deux de ses portefeuilles
dans son déménagement. Il n’hésita pas à écrire au lieutenant général de police pour se plaindre de cette perte. Sade
pensait probablement déjà à faire publier ces œuvres, et il envisagea différents titres: "Contes et fabliaux du XVIII ème
siècle par un troubadour provençal" puis "Portefeuille d’un homme de goût." En juillet ou août 1800, plusieurs de ces récits
rédigés par Sade en prison, ainsi que quelques nouvelles compositions, parurent finalement en quatre volumes sous le
titre des" Crimes de l’amour", chez l’imprimeur-libraire Massé.
Entre sa publication et son entrée dans les collections patrimoniales de la Bibliothèque nationale, le destin de ce manuscrit
demeure mystérieux. Fut-il, comme ses autres papiers, confisqué par la police au moment de son arrestation, en 1801 ?
Est-il passé entre les mains d’un admirateur lettré qui aurait pu désirer s’approprier ou collectionner les papiers du
marquis ? La date de son arrivée au département des Manuscrits reste énigmatique. Son identité demeure inconnue.
De nombreux textes ont été, à un moment ou à un autre, saisis par la police, et ont échappé de peu à la destruction, sous le
Consulat, la Restauration et la monarchie de Juillet. La Police obéissait scrupuleusement aux ordres politiques.
Louis Philippe ordonna la destruction du manuscrit du "Délassement du libertin". Le fils du marquis de Sade, Armand
(1769-1847), ayant appris l’acquisition faite par la bibliothèque, avait tenté d’atteindre le roi Louis-Philippe. La demande,
ou supplique, adressée au très puritain roi des Français devait certainement invoquer des notions d’honneur et de morale,
le fils du marquis étant prêt à tout pour faire détruire les écrits de son père et tenter d’échapper à la mauvaise réputation
paternelle. Protège-moi de ma famille, mes ennemis, je m'en charge. La décision radicale de brûler cette œuvre, qui avait
été prise par le roi lui-même, devait finaliser tout un processus de censure de l’œuvre de Sade, le manuscrit ayant déjà été
acheté dans le but avoué de le soustraire aux regards.
C’est à Champollion-Figeac que l’on doit le sauvetage in extremis des "Crimes de l'Amour." Le dernier cahier des Journées
de Florbelle, dérobé en 1825, échappa ainsi au triste sort que connut le reste du manuscrit, lui aussi détruit à la demande
d’Armand de Sade, et qui faillit, comme le raconte plaisamment Jean Tulard, mettre le feu à la préfecture de police lors de
son autodafé. Les cahiers des "Délassements du libertin" et des "Crimes de l’amour" furent peut-être eux aussi volés à ce
moment, comme, les cahiers manuscrits de "Juliette." D'abord réservé à quelques amateurs proches du préfet de police,
puis réputé détruit durant près d’un siècle, le cahier des Journées de Florbelle resta caché jusqu’à la fin du XIX ème siècle.
Les membres du gouvernement, qu’il s’agisse de Fouché, voire de Bonaparte, étaient donc parfaitement informés des
agissements de Sade, connu comme délinquant littéraire depuis des années. La police savait qu’il venait tout juste de finir
l’impression de Juliette, et qu’il travaillait déjà à une nouvelle version de Justine. Le jour de son arrestation, Sade espéra
sans doute, en se faisant passer pour un copiste travaillant à recopier les récits des autres, calmer le zèle de la police,
voire peut-être éviter la saisie de ses papiers. C’était sans compter sur l’imprimeur-libraire Massé, qui révéla à la police
l’emplacement où avaient été dissimulés les volumes fraîchement imprimés de Juliette en échange de la liberté.
Aujourd’hui encore, les éditions complètes des dix volumes de "l'Histoire de Justine", de "l’Histoire de Juliette", avec leurs
cent gravures, sont excessivement rares.
S’il ne consulta sans doute pas le manuscrit confisqué, Napoléon eut probablement un exemplaire imprimé entre les mains.
À Sainte-Hélène, il raconta en effet avoir un jour parcouru "le livre le plus abominable qu’ait enfanté l’imagination la plus
dépravée", sans pouvoir pour autant se souvenir du nom de son auteur. ?Il finit par entrer dans la collection Rothschild,
et fut relié dans un recueil d’échantillons d’écriture et d’autographes des plus grands écrivains du XVIII ème siècle:
entre Rousseau, Voltaire et Choderlos de Laclos, Sade a finalement trouvé sa place parmi les auteurs de son temps,
avant de rejoindre les collections de la BNF, en 1933.
Écrivain libertin talentueux, ou fieffé scélérat débauché, Sade brille, dans sa tentative désespérée, de mettre à bas,
en tant qu'esprit libre et vagabond, un ordre social et religieux, en déclin à la fin du XVIII ème siècle. Son œuvre,
inspirée d'une conscience matérialiste de l'infini, déshumanisant les corps, explore les abîmes sombres de l'âme.
Il demeure un grand auteur, capable de nouveauté et d’audace, plaçant la littérature à la hauteur de son exigence.
Bibliographie et références:
- Henri d’Alméras, " Le marquis de Sade, l'homme et l'écrivain."
- Donatien-Alphonse-François de Sade, "L’Œuvre du marquis de Sade."
- Emmanuel de Las Cases, "Mémorial de Sainte-Hélène."
- Annie Le Brun, "Les Châteaux de la subversion, suivi de Soudain un bloc d'abîme."
- Annie Le Brun, "Sade: "Attaquer le soleil."
- Annie Le Brun, "Préface à Jean-Louis Debauve, D.A.F. de Sade, lettres inédites et documents."
- Annie Le Brun, "Sade, aller et détours"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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L’ér?s entre femmes était-il différent de l’ér?s entre hommes en Grèce antique ? Hors de
la nécessité de domination typique des sociétés patriarcales, les femmes grecques
auraient connu des rapports érotiques où la réciprocité était absolue et l’affection véritable.
Alcman, poète spartiate du VII siècle, composait des poèmes destinés à des chœurs de
jeunes filles. Celles-ci chantaient leur admiration et leur élan érotique pour plusieurs figures
féminines. L’élan érotique se formulait selon une situation exactement inverse à ce que l’on
trouve dans les poèmes érotiques dits pédérastiques. La personne qui occupait une position
supérieure était représentée comme l’objet du désir de celles qui lui étaient inférieures. Au
yeux des hommes, la jeune fille était toujours objet du désir.
Le cas des poèmes de Sappho est différent, car certains d’entre eux supposaient un auditoire complétement féminin.
L’existence d’une asymétrie dans l’ér?s est essentielle pour comprendre les strophes où Sappho n’est pas protagoniste
du rapport érotique, mais simplement assiste à un lien entre deux femmes. Il est essentiel d’utiliser ici le terme de
"femmes", car l’idée que les amies, les "phílai" de Sappho étaient toutes des jeunes filles est un préjugé contemporain
ou une surinterprétation littéraire.
L’interprétation qui va dans le sens d’une réciprocité totale n’implique cependant pas la symétrie: la philót?s est un type de
relation qui suppose une réciprocité souvent asymétrique. Si un paîs masculin ou féminin peut non seulement recevoir les
dons de l’amant mais aussi donner sa cháris, si un paîs peut chercher son amant et le désirer, un rapprochement entre la
philót?s érotique et le rapport de compagnonnage, l’hetaireía, pourrait être significatif: l’hetaireía, en effet, n’est rien d’autre
qu’une déclinaison de la relation de philót?s. L'hétaïre étant une compagne ayant reçu une éducation supérieure.
Or, un des rapports considéré comme paradigmatique du compagnonnage guerrier, celui entre Achille et Patrocle, montre
que la réciprocité entre les deux partenaires ne se base pas sur une égalité d’âge ou de statut social: Patrocle, qui est le
serviteur d’Achille et a même peur de lui, est plus âgé qu’Achille, mais inférieur en ce qui concerne la force. La condition
de supériorité, pourtant, n’empêche pas Achille de faire cesser sa colère pour venger la mort de son compagnon Patrocle,
lui qui émet le souhait d’un tombeau commun avec son phílos hetaîros.
Les Grecs anciens ne se définissaient pas personnellement en fonction d’une sexualité, le sexe de la personne désirée
n'était pas un critère pour définir et catégoriser un individu. Ils n’ont jamais considéré que pouvaient être regroupées dans
une même catégorie d’individus des personnes, hommes et femmes, de tous statuts (citoyens, étrangers, esclaves), de
toutes origines et de tous milieux sur le simple critère qu’ils étaient attirés par des personnes de l’autre sexe, ou sur le
critère d’une attirance pour des personnes du même sexe.
L’étude des textes montre clairement que la première distinction perçue par les Anciens n’est pas celle du sexe mais celle
qui oppose les individus libres à ceux qui ne le sont pas, ceux qui disposent de leur corps et ceux dont le corps appartient à
un maître, à savoir une très importante proportion de la population, la population servile. De façon générale, quand les
Grecs évoquaient les "ándres" ou "gynaîkes", ils désignaienr uniquement la population citoyenne, ou au mieux les individus
libres (citoyens, affranchis, métèques, étrangers): de ce fait, ces termes n’ont pas le même sens qu’ont, aujourd’hui, les
mots, hommes et femmes. l’hétérosexualité et l’homosexualité, en tant que telles, n’existaient pas dans l’Antiquité.
En Grèce ancienne, le caractère désirable d’un corps n’était pas lié à son sexe mais à son statut.
Solon, poète et législateur athénien du vie siècle, apporte des indications sur les perceptions grecques des âges de la vie
d’un homme libre. Malgré la subdivision arbitraire de la vie humaine en périodes de sept ans, on y peut distinguer cinq
moments: l’enfance, quand le paîs n’est pas pubère; l’adolescence, caractérisée par une condition éphémère, car la
"fleur" de la peau change et les joues se couvrent de poils; la jeunesse adulte, quand l’homme de vingt et un ans devient
néos et n’est plus n??pios, car il est au sommet de sa force et vertu; la maturité, quand l’homme est formé, qu’il se marie
autour des trente ans et qu’il a acquis la prudence; enfin, la vieillesse, quand la personne a perdu sa force, mais se trouve
au sommet de la sagesse.
Cette subdivision ne s’adapte pas aux femmes: chez elles, en effet, on trouve l’enfance; la nubilité (parthenía), qui dure plus
ou moins quatre ans et qui est caractérisée par le désir érotique que la jeune fille suscite; la condition, très brève de jeune
épouse (nýmph?), qui n’a pas encore enfanté; celle de femme adulte (gyn??), qui est désormais devenu mère; la vieillesse,
quand la femme a perdu la possibilité d’enfanter. La future épouse, ainsi, est donnée en mariage par son père ou son tuteur,
parfois promise très tôt et avant même que la cérémonie du mariage (le gámos) ne soit célébrée. Enfin, les jeunes filles
pouvaient être mariées avant d’avoir leurs premières menstruations.
Une question se pose alors: cette asymétrie dans l’âge du mariage fait-elle des hommes mariés des individus aux
penchants pédophiles ? Tout le monde percevra l’anachronisme de cette question. Pourtant son équivalent pour les
relations sexuelles entre hommes a souvent circulé, preuve que les regards vers le passé sont toujours informés de
codes moraux du présent. L’âge du jeune homme n’est pas un critère qui le constituerait comme un partenaire sexuel
interdit, car vulnérable; au contraire, sa jeunesse en fait un partenaire privilégié.
Le consentement du paîs à la relation est recevable et son amant n’est de ce fait pas un violeur ni un pervers mû par
des désirs inavouables. Si, par ailleurs, cette personne joue un rôle dans la formation du jeune homme et s’il est de
noble famille, et de bonne réputation, la relation n’en est que plus valorisée. Ainsi, dans le Banquet de Xénophon,
le riche Callias, amoureux du jeune Autolycos, invite son aimé et son père à la soirée qu’il organise dans sa maison
du Pirée, qui accepte bien volontiers. Nous voilà loin des cadres contemporains de la sexualité surveillée des mineurs.
Dans les représentations des historiens, les femmes incarnent aussi le sexe faible par excellence. Faibles parce que
sans aucune force physique: Cyrus promet de rendre le fleuve Gyndès si faible que même les femmes pourraient le
traverser aisément sans se mouiller les genoux (Hérodote). Le féminin est aussi associé dans les représentations
historiographiques à des caractéristiques physiques précises: peau claire, épilation, vêtements, bijoux, maquillage.
La lubricité et la recherche excessive des plaisirs du corps ne conviennent donc pas à l'homme viril, l'historiographie
comme l'ensemble de la littérature grecque montrent bien que ces vices sont bel et bien féminins.
Selon la tradition misogyne grecque, remontant à J'époque archaïque et représentée notamment par les poètes Hésiode
et Sémonide d' Amorgos, la femme est un être insatiable, un "ventre creux", constamment affamé de nourriture et de sexe.
C'est pourquoi, d'une part, avoiIr une femme à la maIson, c'est cohabiter avec Faim ou Famine. Ces femmes soumises à
une libido démesurée se retrouvent de même dans la comédie ancienne, qui regorge de ces représentations de femmes
lubriques et ivrognes. Celles qui par exemple, chez Aristophane, planifient de faire la grève du sexe pour rétablir la paix
dans la cité, ont peine à s'imaginer devoir vivre en se "privant de verges."
La liste des malheurs subis par les femmes, quel que soit l'historien et quelle que soit l'époque, met en lumière la
position objectivée de toutes ces femmes face aux entreprises des hommes, quel que soit leur niveau social.
Le féminin considéré comme genre ou symbole évoque, en accord avec la vulgate littéraire, mythique ou philosophique,
l'idée de lâcheté, de faiblesse, de démesure ou de violence incontrôlée. Enfin, si les vices associés au féminin semblent
permanents d'un historien à l'autre, il en va de même pour les vertus dites féminines. Les historiens attribuent tous aux
femmes des qualités qui leur sont propres. Mais cet idéal fait de modestie, de dévouement et de soumission impliquait
que les femmes ne sortent pas de la sphère d'activité qui leur est dédiée, de l'univers domestique et familial.
La femme était considérée vertueuse si elle possèdait ces qualités et si elle se conformait au rôle qui lui était attribuée.
Bibliographie et références:
- Callimaque, "Hymnes"
- Déméter, "Les Hymnes homériques"
- Foucault M, "L’invention de l’hétérosexualité"
- Hérodote, "Histoire"
- Hésiode, "La Théogonie"
- Homère, "Odyssée"
- Homère, "L’Iliade"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- P. Chantraine, "Dictionnaire étymologique de la langue grecque"
- Platon, "République"
- Platon, "Le Banquet"
- Plutarque, "Vie de Sappho"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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À quatre pattes, Baptiste un peu inquiet, voit la porte s’ouvrir devant lui. Maitresse Julie , dans sa tenue de petite diablesse rouge qui met en valeur ses longues jambes , approche avec un petit sourire narquois aux lèvres. Ses talons compensés claquent sur le parquet de chêne ancien. Elle lui caresse la tête et s’empare de la poignée de la laisse que Marc lui présente avec déférence. Sans un regard pour la soubrette elle s’adresse à son soumis : « Nous sommes chez Madame Méphista et Monsieur Trépuissant. Tu vas venir leur rendre tes hommages. Marche fièrement et cambre toi bien, que tout le monde voit bien que tes parties sont bien retenues dans le cuir et que tu as un bel arrière-train .» Tout en écoutant sa domina, Baptiste sent la main libre de celle-ci se glisser à l’arrière et vérifier les sangles qui compriment son sexe d’une manière inconfortable. La culotte en dentelle rouge l’irrite et les sangles le compriment. Mais il relève la tête et tend fièrement son dos et ses fesses vers le haut. Julie le fait se diriger vers le côté droit du salon. Il aperçoit un homme en costume sombre allongé nonchalamment sur une superbe méridienne en velours bordeaux , devant lui Madame, une badine entre les doigts, est assise sur un tabouret de cuir ébène . En s’approchant Baptiste se rend compte de son erreur, ce qu’il a pris pour un tabouret est en fait une magnifique jeune femme métisse à quatre pattes, la tête baissée, qui sert de siège à sa domina. À la même hauteur qu’elle, il aperçoit un objet brillant qui lui écarte les fesses ainsi que des menottes reliées par des chaînes aux poignets et aux chevilles. Ses seins sont comprimés par plusieurs rangs d’une corde soigneusement tendue et de petits anneaux brillent au bout de ses tétons. Dans sa bouche une boule brillante maintenue par une lanière de cuir l’empêche de la refermer. De la bave coule au sol et forme une flaque à la verticale . Baptiste comprend que la boule l’empêche de déglutir et il se souvient en avoir porté une aussi. Vue sur cette jeune femme l’effet est saisissant. La salive fait luire la peau noire de son menton. Les yeux baissés la soumise glisse un regard en coin vers Baptiste.
La laisse qui tire sur son collier et une claque sur les fesses interrompent ses observations. Il entend Maitresse Julie demander à ses amis d’être indulgent, c’est la première fois qu’il voit une femme-meuble. L’homme glisse son pied sous la laisse et relève le menton de Baptiste avec un petit sourire moqueur. « C’est bien parce que c’est vous chère Julie. » Puis il s’empare de la laisse tout au bord du collier et tire un coup sec « Regarde moi bien jeune soumis car ce sera la seule et unique fois où tu en auras le droit ! »
Baptiste déséquilibré lève les yeux vers l’homme qui s’est redressé : de type méditerranéen, celui-ci est très brun de peau, bien rasé de près à l’exception d'une fine moustache qui met en valeur sa bouche sévère et souligne son nez grec , ses yeux très bleus ressortent derrière des lunettes à la fine monture dorée et rectangulaire . Il appuie sur la tête du jeune soumis jusqu’à ce que sa bouche se heurte à la fermeture éclair du pantalon du costume bleu nuit dont il est vêtu. La pression est très forte et Baptiste sent sa bouche s’ouvrir sous la douleur, honteux il sent de la bave couler sur l’entrejambe du dominant. Une rude main virile attrape ses cheveux et tire vivement sa tête vers le haut. Surpris Baptiste laisse échapper un gémissement vite interrompu par la claque que sa maîtresse lui assène sur la fesse droite. « Veuillez me pardonner cher ami, il a encore du mal à maitriser sa gueule de chien ! Je m’efforce de le dresser mais c’est seulement notre deuxième journée. Le bâillon va lui apprendre, du moins j’espère..
--- Oui je comprends, ne vous inquiétez pas jeune Dame, nous sommes là pour vous aider par notre expérience.
--- Merci beaucoup, votre magnanimité vous honore », répond Julie d’une voix toute timide.
Puis il voit Madame Méphista ouvrir délicatement la braguette de Monsieur, sortir le membre viril déjà légèrement dressé , et il sent sa tête poussée vers le sexe de cet inconnu. Un ordre claque :« Lèche chien ! Ou il t’en cuira ! Ici tu n’es qu’un animal à notre disposition ! Tu me dois obéissance ! » Et comme malgré lui, Baptiste sort sa langue et donne de petits coups timides sur le gland décalotté qui lui est présenté. Les trois dominants échangent un regard complice et un léger clin d’œil de Trépuissant à Julie la rassure sur son intégration à ce petit groupe bdsm dirigé par le couple propriétaire de cette demeure bourgeoise aménagée pour recevoir ces visiteurs si particuliers. Baptiste sent le sexe frémir sous la caresse buccale et en ressent curieusement une certaine fierté. Il a passé l’épreuve et semble bien être le soumis de Maîtresse Julie à partir de cet instant. Une vague de soulagement le traverse et sa bouche se tend pour saisir le gland de Trépuissant. Il entend rire Julie , les deux autres se joignent à elle « Beau p’tit soumis ça ! Bon chien ! Bon, Fini de jouer ! » Un coup de badine sec et puissant sur son dos, un coup vers l’arrière à hauteur du front et ses cheveux tirés en arrière par sa domina lui rappelle que son corps ne lui appartient plus. Un claquement de doigts lui enjoint de poser sa tête sur les pieds de l’homme assis pendant que celui-ci se réajuste, ses bras se plient et ses mains vont tout naturellement se nouer sur sa nuque. Il abaisse sa croupe et se replie du mieux possible dans une belle position de soumission totale. Il sent plus qu’il ne voit l’homme déplier ses longues jambes et se lever. Méphista dont les mains torturent impatiemment la badine se lève et se dirige vers la grande table rectangulaire en chêne massif et ses deux bancs. La jeune soumise ne bouge pas, sa salive continue à couler le long de son menton et la flaque entre ses bras tendus s’étale lentement .
Julie joue machinalement avec la laisse que Trépuissant lui a rendue. Elle observe la femme-meuble et un petit sourire étire sa bouche à l’idée d’imposer cela à Baptiste bientôt. Des idées surgissent dans son esprit et un franc sourire éclaire son visage.
« Julie, vous semblez rêveuse ? Des idées neuves ?
-Oh oui chers amis, mais ce sera pour plus tard.
Trépuissant claque des doigts et la jeune soumise s’étire lentement. Son Maître caresse ses cheveux presque crépus, et la fait se lever à genoux. P’tit soumis ne bouge pas, les yeux rivés au sol , seules ses oreilles lui donnent quelques informations sur ce qui se passe autour de lui. Toujours bâillonnée, les yeux baissés, la jeune Bianca ne bouge pas à l’exception de ses mains qui vont rapidement et sans ordre donné se nouer derrière sa nuque. Le Maître caresse distraitement la tête de sa soumise tout en prenant Julie par la taille. Baptiste ne bouge pas et malgré l’inconfort de sa joue sur les lacets du dominant il attend patiemment comme Maitresse Julie lui a expliqué dans la voiture. Puis il sent que l’on tire sur sa laisse, sa tête se redresse, ses membres se déplient et il se retrouve à quatre pattes, le dos bien cambré, le sexe coincé. De petits courants de douleur traversent son corps, mais il en ressent un plaisir sombre. Cette position humble le comble. Jamais ces collègues ne l’imagineraient dans cette tenue, ni dans cette position animale. Et surtout comment comprendraient-ils le plaisir qu’il ressent à ne plus penser, ne plus décider, juste obéir à cette si belle versaillaise ou à ses amis, lui, celui qui paraît si sûr de tout , lui dont l’expression est toujours si péremptoire, lui qui a toujours réponse à tout ? Mais voilà, c’est ce cerveau si dynamique qui le fatigue, ces décisions toujours à prendre qui l’épuisent, ces responsabilités qui le rongent. Il envie souvent ses subalternes qui le jalousent de sa mutation récente et qui vivent sans ces questions incessantes qui tournent dans sa tête depuis toujours. Il n’y a que depuis qu’il a découvert ces jeux de soumission avec son ancienne compagne qu’il arrive à se sentir mieux.
Un coup sec de sa laisse le ramène à l’instant présent. Il suit le mouvement initié par sa domina et se retrouve au pied de la table en chêne. Ses poignets sont tirés brutalement par Madame Méphista qui est accroupie face à lui et, bien qu’il ait les yeux baissés, il ne peut s’empêcher d’apercevoir sa fente largement écartée par sa position. En effet sous la courte jupe en cuir, l’absence de sous-vêtement révèle au p’tit soumis toute l’intimité de la domina. Sa position légèrement déséquilibrée fait se mouvoir de haut en bas une charmante minette bien épilée. Une érection brutale à cette vue se bloque dans les nœuds de cuir que Marc a soigneusement serrés tout à l’heure et Baptiste a du mal à retenir un petit gémissement. Heureusement celui-ci est couvert par les bruits de la chaine et de la barre d’écartement que manipule Julie qui s’est baissée. Les yeux du soumis s’écarquillent à cette vue. Maitresse Julie se penche encore un peu et lui murmure à l’oreille : « c’est seulement pour tenir tes bras bien écartés et pour empêcher tes mains de venir te branler. Cela ne te fera pas mal, en principe », ajoute-t-elle avec un petit sourire narquois. Et pendant que la barre est glissée sur ses épaules et que ses poignets sont attachés à des anneaux, Méphista tire sur ses chevilles pour les attacher aux pieds de la table. Baptiste ainsi immobilisé ne peut plus guère bouger.
La jeune soumise est de nouveau à quatre pattes. Baptiste voit bien son sexe épilé entre ses cuisses écartées et son membre tente encore une fois de se redresser dans sa prison de cuir. La petite soumise recule vers lui, et bien qu’il baisse les yeux, il ne rate aucun des roulements de ses grandes lèvres sombres. Il sent qu’il se met à baver mais il ne déglutit pas.
Marc lui a bien expliqué que cela lui est interdit : un chien ça bave ! Il ne doit surtout pas avaler sa salive ni fermer sa bouche, ni rentrer sa langue : les chiens ont toujours la langue pendante. Il est un chien et doit se comporte comme tel ! Sinon ses fesse lui en cuiront ! Les maitres ont la badine facile, et pour preuve Marc a retroussé son tablier de soubrette pour exhiber les cicatrices sur ses propres fesses. Et même si l’accord entre Julie et Baptiste interdit les cicatrices, quelques marques provisoires sont acceptables. Baptiste vit seul et ne craint pas les regards indiscrets mais il ne tient pas à marquer son corps. Il l’entretient régulièrement à la salle de sport et en est fier.
Julie approche alors sa main gauche de ses parties intimes, elle l’ouvre et des pinces à linge de bois apparaissent bien à plat sur ses doigts tendus. Baptiste sent son cœur accélérer de plaisir anticipé : son amie Marie lui en faisait mettre régulièrement. Le pincement au moment de la pose est désagréable, mais ce n’est rien par rapport au courant de plaisir douloureux qui le parcourt quand on les ôte ! Julie saisit une pince entre son pouce et son index droit, elle la fait s’ouvrir et vient la frotter sur la langue baveuse de son soumis. Puis elle la fait claquer et l’approche de son testicule droit dont elle saisit de la peau. Elle installe la pince et sourit de la grimace de son soumis. Elle prend une deuxième pince et recommence son manège mais cette fois elle l’installe sur le testicule gauche. Elle recommence plusieurs fois jusqu’à être satisfaite du résultat : quatre pinces de chaque côté qui forment un arc de cercle du plus bel effet. Puis en s’appuyant sur la tête de Baptiste elle se relève et la lui caresse doucement. Il se sent heureux du sourire satisfait qu’elle lui a accordé à chaque pince posée.
Entretemps le dom s’est approché, il ouvre sa braguette et après avoir demandé à Julie l’autorisation, il force la bouche de Baptiste jusqu’au fond. Le pauvre soumis a un haut le cœur de surprise. Sa salive abondante coule en un jet au sol. Trépuissant maintient fermement sa nuque et il ne peut bouger. « Première gorge profonde on dirait chère Julia. Ce n’est pas toi qui peut faire cela ! » Julia rougit et Baptiste prend de nouveau conscience de la hiérarchie de ce petit groupe. Il ne connait pas la relation réelle entre les protagonistes mais il est clair que l’homme est un pur dominant qui a l’ascendant sur les deux femmes présentes.
Madame Méphista s’est installée devant sa soumise et lui tire la tête en arrière. Le dos cambré, la bouche baveuse toujours obstruée par la boule brillante, la belle brune échange un long regard avec sa domina. Puis elle sent les mains de Julie ôter le bâillon mais sa bouche reste ouverte, et avec un curieux petit bruit Madame Méphista laisse couler un filet de salive dans sa bouche déjà bien pleine. La bave coule et d’un coup sec sous le menton la domina referme cette bouche béante. Heureusement ce n’est pas la première fois qu’elle se livre à ce petit jeu et Bianca sait quelle doit rentrer sa langue pour ne pas se mordre. Quelques morsures malencontreuses le lui ont appris et elle sait anticiper.
L’ordre sec suit «Avale chiennasse ! ». Baptiste sursaute en entendant cette insulte et bien qu’elle ne soit pas à lui adressée, il rougit de honte par empathie. Alors Maitresse Julie se place devant lui et il pressent qu’il va avoir droit à un traitement identique. Effectivement Julie le regarde et laisse couler un filet de salive de sa bouche vers celle de Baptiste. Et pour être certaine que son but soit atteint elle maintient ouverte la mâchoire de Baptiste de sa petite main si forte. Puis elle lui referme la bouche et murmure « Avale petit chien ! »Il s’empresse d’obéir avec un certain dégoût qu’il n’arrive pas complètement à dissimuler aux yeux inquisiteurs de sa domina. Un regard sévère le scrute longuement et il commence à rougir de honte.
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C’était le grand jour. Sarah et Cléo avaient revêtu leurs tenues les plus innocentes pour affronter Paris, il faut de la ruse pour survivre dans une grande ville. Robes de printemps, légères comme des pétales mais assez cintrées pour joliment rebondir sur leurs croupes, seins libres, sandales blanches et pieds nus, elles étaient ravissantes. Suite à une remarque de ma part, Sarah avait tout de même enfilé une culotte de coton, mais elle avait interdit à Cléo d’en mettre une. Elle tenait à sa prééminence. L’excitation du jeune couple au moment de se lancer à l’assaut des boutiques parisiennes était à la fois charmante et inquiétante eu égard à mes ressources…
Je proposai la voiture, elles exigèrent les transports en commun. Elles ne se lâchaient pas la main et riaient aux éclats de plaisanteries qui n’appartenaient qu’à elles. Je me sentis dans la peau d’un garde du corps et chaque paire d’yeux trop insistante sur leurs poitrines ou leurs jambes était instantanément découragée. Mon anxiété s’accrut quand il s’agit de se mêler à la foule compacte du métro.
Mais, sans plus de difficulté, nous fîmes retentir quelques dizaines de minutes plus tard le grelot d’une boutique de piercing du XIème arrondissement à l’heure précise du rendez-vous. L’établissement était clair et propre comme une clinique. Un jeune femme aux bras tatoués nous accueillit et dirigea Sarah vers une cabine où elle put se dévêtir. J’insistai pour assister à l’opération, Cléo me fit écho. L’employée consulta Sarah avant d'accepter de nous faire entrer, en nous recommandant de nous tenir un peu à distance.
Le pierceur était un costaud taciturne et assez peu souriant. Il fit allonger Sarah sur la table et lui demanda sans plus de politesses d’écarter les cuisses afin d’examiner l’anneau qu’il devait découper. Il lui fallut plusieurs minutes pour venir à bout du métal à l’aide d’une simple pince coupante mais une fois l’opération faite, ce fut soulagement pour tous. Pour Sarah, en premier, dont le corps enfin se détendit. En dépit de la lumière clinique que dispensait la grosse lampe au-dessus du fauteuil, c'était le plus voluptueux des corps, le plus harmonieusement dessiné et le plus désirable. Cléo et moi, sans doute pénétrés par la même idée, échangeâmes un sourire de complicité, non dépourvu d'ambiguïtés.
Le pierceur dut ensuite poser le nouvel anneau, le mien, celui qui portait gravées mes initiales. Il était beaucoup plus large et épais que le précédent et je le voulais le faire poser autrement, au travers des grandes lèvres. Il m’importait qu’on le voie, que Sarah ait les cuisses ouvertes ou fermées. Le pierceur ausculta Sarah puis lui demanda si l’anneau est bien celui qui avait été commandé. Sarah ayant confirmé, il l’avertit qu’il devrait forcer un peu le passage au travers des grandes lèvres compte tenu de l’épaisseur de l’anneau. Sarah acquiesça avec une petite grimace. L’homme procéda avec dextérité après avoir largement enduit l’anneau et les lèvres intimes de vaseline. Pour terminer, il souda à froid au moyen d’une résine dont la couleur ne se distinguait pas de celle de l’acier chirurgical.
Lorsque le perceur eut épandu tout le désinfectant nécessaire et répété les consignes d’hygiène indispensables, Sarah se leva et vint à moi, plus digne et fière dans sa nudité qu’une princesse en robe d’apparat. Son anneau luisait fièrement à la jonction de ses cuisses et de son bas-ventre. Elle prit ma main et la baisa en effectuant une gracieuse génuflexion. Lui saisissant délicatement le menton, je la relevai pour lui offrir mes lèvres et nous échangeâmes enfin notre premier baiser, un baiser qui comblait le temps perdu, effaçait les incompréhensions et scellait sa soumission.
Au sortir de l’officine, le boulevard s’offrit avec son tintamarre et son inlassable cohue. Tandis que les deux amies se fondaient parmi les passants et qu’à regret je voyais disparaître le gracieux ballet de leurs robes sur leurs fesses rebondies, me revint cette phrase de Victor Hugo : « Dieu les a fait belles, cela ne leur suffit pas, elles se font jolies. »
Nous nous retrouverions dans l’après-midi pour nous promener au Père-Lachaise avant de dîner dans une brasserie du quartier. Il me fallait maintenant effectuer mes propres emplettes pour avoir un peu de temps à consacrer aux bouquinistes. Il existait alors une excellente boutique spécialisée, au fond d’une impasse, en remontant la colline de Ménilmontant. J’y fis un très long séjour, hésitant entre les fouets, les plugs, les harnais, les pinces et autres godemichés. Bien évidemment, j’excédai largement mon budget.
Du magasin je gagnai la rue des Pyrénées où un bouquiniste m’offrit l’occasion de perdre mon temps dans son labyrinthe de papier et d’encre, avant de m’installer dans la première brasserie venue avec l’espoir d’y retrouver un peu de sérénité.
L’image de Sarah nue, son anneau au sexe, s’approchant lentement de moi en me fixant dans les yeux, ne m’avait pas abandonné une seule seconde. Depuis mon passage dans le sex-shop, une sorte de fébrilité me brouillait l'esprit. Par tempérament, toute situation heureuse me faisait habituellement appréhender un désastre ultérieur. Le bonheur me stressait, en quelque sorte. Ma nouvelle vie, née une nuit de partie de poker, ne pouvait, pour un esprit aussi fataliste que le mien, que s’achever par une déception proportionnelle au bonheur qu’elle m’accordait provisoirement.
Il était déjà 16 heures lorsque je vis se profiler au travers de la vitrine de la brasserie les deux silhouettes espérées. Joyeuses et un peu essoufflées, elles s’installèrent à ma table et commandèrent deux verres de vin blanc. La conversation partit un peu dans tous les sens, comme doit être une conversation agréable entre des personnes qui ne se sont pas vues depuis trois heures.
Se penchant sur la table, Sarah me glissa dans son poing fermé une boule de tissu..
- Tenez, Monsieur, je n’ai pu la garder sur moi… elle frottait contre ce que vous m’avez fait le bonheur de me poser…
Cléo conclut d’un clin d’oeil. Tout en fourrant la culotte dans ma poche et plus discrètement possible et en m’apercevant, d’ailleurs, qu’elle était en partie humide, je réglai l’addition et proposai de ne pas attendre que le cimetière ferme.
De tout Paris, c’est certainement le Père-Lachaise que je privilégie. En cette fin de printemps, il embaumait de pollens et d’arômes. Nous nous promenâmes longtemps, d’un pas égal, sans but précis, veillant à nous perdre plutôt qu’à nous retrouver.
Cléo tenait à voir le Mur des Fédérés, parce qu’elle était révolutionnaire, Sarah, elle, voulait rendre hommage à Victor Noir parce qu’elle était superstitieuse. Elle s’y frotta même beaucoup plus que nécessaire, enfin bref, chacune eut ce qu’elle voulait et nous nous dirigions vers la sortie lorsqu’au détour d’un sentier se présenta un hameau de petites chapelles et de caveaux rassemblés autour d’une pyramide. Le lieu était si romantique que Sarah, prise d'une inspiration subite, nous saisit par la main, à Cléo et moi, pour nous entraîner à l’arrière de la plus haute des chapelles. Il régnait là un parfum de seringat, de mousses et de fleurs fanées. S’étant assurée que nous ne pourrions être vus, Sarah plaqua Cléo contre le calcaire froid et déboutonna sa robe en un tour de main. Cléo, se laissant faire, lui offrit ses seins et écarta déjà les cuisses... Disponibilité admirable apprise d’un dressage que j’avais, à tort, jugé trop rigoureux. Tout en me faisant signe de m’approcher et profitant de la position de sa maîtresse qui se penchait sur son bas-ventre, Cléo lui écarta délicatement les fesses. Ma verge était déjà raide et mon pantalon entre-ouvert, je m’enfonçais avec une lenteur calculée dans l’orifice le plus étroit de Sarah. Celle-ci gémit de plaisir et, tout en creusant les reins pour m'offrir plus de facilité, elle parvint à lécher la fente gracieuse que Cléo lui offrait en écartant des deux mains.
J’avais à peine éjaculé que retentit la cloche d’un gardien qui effectuait la tournée de fermeture. Sarah et Cléo voulurent achever de se besogner mais j’insistai pour abandonner les lieux au plus vite. C’est donc déçues et frustrées que mes deux compagnes obéirent à la consigne.
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Par avance désolée pour les fautes.. j'ai besoin de me repentir…
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A mon tour de le surprendre. Il savait tant faire preuve d’imagination. Je lui avais demandé à le voir. Il me manquait. Malgré sa longue journée, il avait accepté. Pour cette soirée, je voulais créer une atmosphère comme il se doit. Je vais vous faire pénétrer dans mon boudoir.
L’an passé j’ai décoré l’ensemble de ma chambre. Très douée, paraît il pour la création d’ambiance pour des événements, je voulais cette fois ci essayer de faire une chambre avec mes moyens. Il m’était inconcevable de refaire ma chambre sans mobilier qui a du vécu, de l’âme.
Tout avait commencé après une longue période difficile. Refaire son intérieur c’est un peu comme faire le ménage dans sa tête.
J’avais tout chiner. Le lustre mongolfière en crital de baccarat qui donnait une sublime atmosphère au plafond quand il était allumé, une sorte de ciel étoilé artistique. Au fond, j’avais tapissé le mur d’un papier peint en velours noir avec des imprimés baroques argentés. Le reste des murs était dans un bleu canard que j’affectionne tant. Sur la doite, j’avais disposé un manteau de cheminée en bois pour apporter une touche chaleureuse où dans l’antre, j’avais disposé plusieurs bougies dans des écrins métalliques. Sur cette dernière, un vase plein de plumes d’autruche. Face à ce manteau de cheminée, de l’autre coté du mur, une armoire chinoise avec des sculptures représentant les fleurs des cerisiers jouant avec le vent, ainsi que des oiseaux exotiques. J’aimais ouvrir les portes de cette armoire laissant présagés milles objets interdits. Sur la partie supérieure, mes plus beaux corsets, sur sur la partie inférieure, je vous laisse deviner .. une sorte de chasse aux trésors.
Face à mon lit, un sublime miroir chiné dans une brocante dans un style art nouveau que j’affectionne tant. 165 cm par 125 cm. Légèrement tiqué pour regarder dans le miroir des scènes probablement interdites que vous pouvez vous imaginer. Un peu plus loin, des crochets porte vêtement avec cette forme de coquille St Jacques, complètement dorés. A coté de ce dernier, un fauteuil crapaud invitant à s’y reposer.
Pour cette soirée spéciale où Monsieur me faisait l’honneur de venir, j’avais pris soin d’allumer lumières chaleureuses tamisées ainsi que des bougies. Il y régnait une atmosphère particulière.
Tout en préparant avec soin tout ce que mon maître mérite, j’avais mis en toile de fond de la musique baroque qui me transporte. Le pouvoir de la musique est incroyable, voyageant dans nos esprits égarés, voulant jouer ces personnages passés où on s’imagine tant d’intrigues, le libertinage loin des conventions religieuses imposées. Vous êtes-vous déjà intéressé€) à la naissance du mot libertinage ? .
J’avais pour cette soirée mis mes rajouts de cheveux noirs pour ressembler à la vénus de Boticelli mais en version bien sur moins angélique. Sur ma peau, la douceur de la soie me caressait. Un déshabillé de soie violette, avec de longues manches japonaises, où la dentelle noire apportaient une douce d’élégance fine. Ce deshabillé se refermait à la taille avec un nœud.
J’avais pris soin d’appliquer une huile dorée sur mon corps, j’appliquais quelques paillettes dorées que j’aimais utiliser lors de mes effeuillages, et pour parfaire le tout des notes parfumées rappelant l’ambiance des jardins italiens où la fleur d’orangers et des citronniers nous exalter. Escale à Portifino. Un parfum qui porte bien son nom..
Je prie alors mon papier à lettre. J’aime écrire avec ma plume.
Cher Monsieur,
Je vous attend à l’étage. Je dois faire preuve de repentance. J’espère que Monsieur saura m’absoudre de mes pensées pour me remettre sur le bon chemin.
Bien à vous.
Mademoiselle Lane
J'avais placé le mot à la porte d'entrée.
J’entendis sa voiture se garer, je vérifier que tout était parfait. C’est alors que je m’installais sur le prie-Dieu que j’avais acheté dans cette petite brocante. Je l’avais mis juste face au miroir. Je m’étais agenouillée, prenant bien le soin de placer mon deshabillé, mes cheveux et ma position pour en faire un tableau. Dans mes mains, ce petit chapelet se frayant un chemin parmi mes doigts pour m’enchainer sur le chemin de ma repentance.
J’entendis ses pas monter les escaliers. Mon cœur battait si fort. Je baissais ma tête. Il avait ouvert la porte. Je ne bougeais pas. Il régnait une atmosphère presque irréelle. En musique de fond, Vivaldi. Staber Mater.
C’est là que je le sentis face à moi. Je ne bougeais pas. Je sentis alors ses doigts effleurer ma joie, une si douce caresse. Je me laissais aller à la poser contre eux. Puis il rapprocha sa main vers ma bouche. Je la baisais naturellement pour lui montrer ma reconnaissance, ma passion et ma dévotion.
- Vous m’appelez Monseigneur, ce soir. Ainsi, vous semblez prise dans des prières qui semblent bien vous tourmenter ma chère. Que vous arrive-t-il bel enfant ?
- C’est que.. je.. je laissais échapper un soupir hésitant.. c’est que voyons-vous Monseigneur, depuis notre dernière entrevue, je ne cesse d’avoir des pensées charnelles. Je pense à vous, à vos mains sur mon corps. Tout mon être vous réclame. Je ne peux lutter Monseigneur.
- Je vois. Quelle pécheresse vous êtes. Une femme si pure que vous, pêcher dans la luxure. Nous allons travailler à votre vertue afin de vous rendre la plus parfaite des servantes.
Rougissante car je voulais que cela, je ne bougeais toujours pas. C’est là qu’il caressa mes cheveux.
- Veuillez mettre à nue votre dos et restez agenouiller tout en pensant à votre repentance.
- Oui, Monseigneur.
Je laissais tomber la soie sur mes fesses. Avec douceur, il mis mes cheveux sur le coté.
Doucement, il se dirigea vers mon armoire à secrets.
- Il vous faut expier ma chère. Je pense que 10 coups de fouet sur votre dos vous feront le plus grand bien. Vous allez les compter et je veux que vous réclamiez le suivant avec gratitude.
- Oui.. Monseigneur.
Je sentis alors le premier coup ..
- 1 – Monseigneur. Je vous remercie.. Continer à me flageller comme je le mérite.
- 2 – Merci Monseigneur, encore je vous prie…
- 3 – Mon souffle s’est retenu, il avait frappé fort.. Merci Monseigneur.. je vous.. en prie… encore
- 4… pour aller jusqu’à 10…
IL ne disait aucun mot. Quand sa main vint sur mon dos pour me cajoler j’oubliais tout.
- Redressez-vous je vous prie. Et otez moi de tout ce superflu. Tenez vous bien droite, soyez fièrement dressée. Les bras derrière votre tête.
Il s’était emparé des pinces à sein. Je ressentis cette douleur excitante.
- J’aime quand vous êtes ainsi, sur le point de rupture ma chère. Il est tant de vous réchauffer.
Il avait allumé une bougie. Il la passa devant mes yeux.
- Pas un bruit, pas un mot. Prenez votre chaine qui rattache vos seins dans la bouche.
- Je vous prie de bien relever votre tête pour tirer au mieux votre chaine, sinon je me chargerai de tirer dessus moi-même.
Je vis la cire de la bougie couler sur mon sein droit.. Une première goute, juste pour prendre la température.. Puis une seconde, une troisième. Il la rapprochait. Je sentais cette chaleur, cette sensation de brulure qui laissait place à cette parure éphémère.
- Voilà une belle œuvre ma chère. Sentez vous la chaleur de ce désir ?. Je suis certain que votre con est en émoi. Une créature comme vous ne peut se contenir.
Il vérifia l’état de mon excitation.
- Hum, je n’ai même pas à y mettre mes doigts que vous êtes déjà dégoulinante Mademoiselle. Laissez tomber votre chaine de votre bouche.
Il s’en empara et tira vers lui. Je sortis un cri vif.
- Chut.. Pecheresse ! vous méritez tout cela. Levez vous.
Il m’empoigna par les cheveux et me mit face au miroir.
- Regardez vous ? Que voyez-vous ?
- Je…
- Alors que voyez-vous ?
- Je vois une femme incapable de se contenir Monseigneur. Une femme qui a des pensées bien peu chastes.
- Hum.. en effet c’est bien le cas. Quand on voit tous ces atouts. Ces seins, ses fesses ( il me les malaxait), cette bouche, vous êtes fait pour cela. Vous êtes un succube. Allez assumez ce que vous êtes.. Une chienne lubrique.
Je le regardais à travers le miroir avec un sourire pervers.
- Oui Monseigneur, je suis une chienne lubrique. Votre chienne lubrique.
- Allez venez.
Il me poussa sans ménagement vers les portes vêtements.
Il prit ma main droite et l’attacha au premier puis ma main gauche au second.
- Voilà. On a va calmer vos ardeurs. Quelques coups de badine, et un moment pour réfléchir à votre condition, à ce que vous voulez.
Je pense que cette soirée va vous laisser les marques de mon affection. Vous me comblez par votre imagination ma chère. Toutefois, vous en payez les conséquences.
Je sentais chaque coup de badine sur mon postérieur. Je ne pouvais m’y soustraire. IL m’avait parfaitement bien attaché.
- Voilà qui est mieux ce rouge à vos fesses. Je vois que vous m’avez préparé mon verre à Whisky… Parfait. Je vais vous plugger le cul, vous muselez.. et je m’occuperai peut être de vous après. Après tout, la patience est une vertue, ma douce pecheresse..
Il sortit de sa veste un écrin.
- Voici votre nouveau chapelet..
Il s’agissait d’un rosebud certi d’une pierre rouge. Votre fion sera le meilleur des écrins.
- Ouvrez votre bouche ma chère.
Bien sur je n’aspirais qu’ à cela.. Elle était déjà ouverte comme pour laisser échapper mon désir.
Il s’amusa à me faire entrer et sortir dans ma bouche.
- Je vois que votre vertue est complètement perdue ma chère.
- Baissez votre tête !.
C’est alors qu’il se leva et quitta la pièce. Il était allé prendre une douche.
Quand il pénétra dans la chambre, j’avais envie de sentir la chaleur de ses mains sur moi. La chair de poule s’était emparée de moi.
Il me détacha m’attacha les poignets, puis me tira à lui. Il me chuchota à l’oreille.
- Sers moi un verre de Whisky comme j’aime.
- Oui Monsieur.
Les mains attachés, tout était moins simples. Il s’était assis sur le fauteuil à regarder, à m’observer, à me déshabiller du regard même si j’étais nue. J’aimais le regarder droit dans les yeux. Son sourire en coin, son sourire pouvait en une fraction de seconde laissée place à cette intransigeance où aucune de mes suppliques pouvaient lui faire entendre raison.
Je m’avançais vers lui, puis naturellement je prie ma place devant lui. Il avait pris soin de placer un cousin pour mes genoux. Je m’agenouillais, tenant le verre entre mes mains, comme si c’était une offrande.
- Baissez les yeux ! Ne me regardez pas et tenez donc le verre plus haut !
- Oui.. Monseigneur.
Il tenait son verre tout en le reposant sur l’accoudoir.
- Pour se repentir, il faut savoir se courber ma chère.
- Allez, prosternez vous !
Je me mis à ses pieds ainsi, fière de toute son attention, d’être à ma place, le centre de son attention.
- Léchez et baisez mes pieds. Je veux sentir votre langue de chienne me servir comme il se doit.
Je me rapprochais de lui, de ses pieds.. Je sortis ma langue et je commençais la tâche que Monseigneur m’avait demandé. Après tout, lé vénération fait partie du chemin de la repentance non ?. J’aime me sentir à ses pieds, ainsi,
Une fois qu’il eut satisfaction il me releva pour me prendre dans ses bras. J’aimais m’abandonner ainsi. J’aimais la liberté de lui donner son pouvoir sur moi. Ce lâcher prise qui faisait que notre relation était si forte si complice.
Toujours assis, moi agenouillée, il me caressait le dos, les cheveux comme on caresserait une brave chienne.
- Retournez donc à vos prières maintenant.
J’allais me réinstaller sur le prie-Dieu. Je crois que je n’ai jamais été autant agenouillée que ce soir là.
- Gardez bien votre bouche ouverte pour recevoir votre pénitance .
Il s’était mis face à moi. Je voyais son sexe dressé prendre la direction de ma bouche.
J’aimais me délecter de sa queue. La lécher, la prendre totalement ou juste m’occuper du bout de son gland. IL me laissait prendre parfois le contrôle mais cela ne durait jamais bien longtemps.
Il rentrai sa queue bien au fond, mis sa main sous ma gorge. Puis de l’autre me maintenant par la tête. Je ne pouvais plus bouger. J’étais presque sur le point de vouloir vomir. Il était rentré dans cette frénésie où ma bouche était à son service, et utilisée comme ma chatte ou mon cul.
Pour mieux me prendre avec profondeur, il me tenait par la tête et y mis un rythme si infernal que je bavais avec une telle difficulté à respirer. J’étais abasourdie.
- Tu vois ce qu’on fait aux petites pécheresses sans vertus. Je vais te montrer comment on se met dans le droit chemin. Toute une éducation pour satisfaire son Maitre. La catin de son Maitre. Regarde toi.. en train de baver à manger cette queue. Gourmande en plus.. encore un pêché de plus ! Paresseuse aussi, car je fais tout le travail !
Puis dans une certaine frénésie, il me leva. Déplaça le prie dieu et me remit en position. .Il mit sa queue dans ma chatte bien baveuse de mouille, le rosebud toujours en place.
- Je veux que tu me regardes à chaque coup que je t’offre. Que tu me supplies, de t’en donner davantage. Que tu me dises ce que tu es.
- Monseigneur. Je vous en supplie. Baisez moi bien fortement comme je le mérite. Je veux vous sentir me remplir complètement.
- Continue !
J’entendais ses couilles claquées. C’était violent intense. Il me claquait les fesses, me forçant à bouger mon petit cul comme pour le rendre encore plus fou.
- Allez remue mieux ton cul que ça ! Cherche ma queue, implore…
- En même temps il mis ses bras autours de mon cou me cambra.
- Tu es ma chienne, ma pute.
- Oui, Monsieur, je suis votre chienne, votre putain. J’aime que vous m’utilisiez comme bon vous semble. J’aime être à vos pieds. Mon cul, ma chatte et ma bouche ainsi que mon âme vous sont dévoués.
- Fermez là maintenant !
On se regardait à travers le miroir.
- Quelle petite vicieuse si innocente. J’espère que votre repentance est à la hauteur de vos attentes, mais je crois qu’il vous faudrait bien d’autres séances.
Il m’avait prise avec une telle frénésie.. il avait joui fortement.
- Ce soir tu dormiras attacher contre moi. Je songe même à t’attacher jambes écartées prête à subir tous les assauts.
Il me releva et me jeta sur le dos sur le lit. Il leva alors mes deux jambes pour avoir accès à mes fesses et me put s’empêcher de me corriger. D’un coup sec, il m’écarta les jambes.
- Ne bouge pas !
Il commença à passer ses doigts sur mon petit clitoris qui était bien sensible.
- Hum tes lèvres sont si enflées. Hum mes doigts y rentrent comme dans beurre.
Il commença alors à placer sa langue sur mon sexe. Je defaillais par cette délicate attention. Quand il entamait cette danse avec sa langue si légère et ses doigts bien épais au plus profond de moi.. bien profondément. Je ne pouvais m’empecher de me dandiner comme la bonne petite putain que je suis. A prendre cette jouissance qu’il m’offrait.
Il me maintenait maintenant fermement les jambes. Je sentais la jouissance me gagner tout doucement.
- Monsieur, je vais jouir, c’est si..
- Prends tout le plaisir que tu mérites.
La vague qui arriva me submergea d’une telle intensité, d’un telle bonheur. J’étais épuisée. Au bout de quelques secondes, je sentis les larmes monter, les traces de mon plaisir coulaient de partout..
Il m’avait choyé en me bordant puis se coucha contre moi. J’étais aux anges contre celui qui provoquait ce désir si intense.
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Viky est une nana superbe sauf que c'est un mec à l'intérieur. Un mec macho et bagarreur, un mec qui cogne d'abord et discute après. En charabia moderne on dit une FTM. Et viky depuis toute petite doit vivre avec tous les problèmes des personnes transgenres. C'est un bilame qui va vers le plus ou le moins, le yin ou le yang, la droite ou la gauche, un bilame qui met du temps à se trouver et puis qui finalement un jour s'accepte et s'assume.
Viky a fait le choix de vivre dans son superbe corps de femme et de rester un mec à l'intérieur. Elle est bien batie, tout en muscles, épaules larges, petite poitrine bien ferme et chatte bien poilue. Elle est vraiment canon pour ceux ou celles qui aiment les femmes sportives et charpentées. Elle bosse dans une banque et aime porter le costard cravate des mecs, ce qui la rend encore plus sexy. Avec des lunettes noires ont dirait James Bond. Dans sa jeunesse, quand elle se cherchait, elle a pris de la testostérone et cela se voit. C'est surtout son clito qui a gonflé, presque un petit pénis lorsqu'il entre en érection et c'est souvent car elle aime se branler et se faire jouir.
Viky, aucun mec n'a pu la pénétrer. Par contre, elle en a sodomisé à la pelle avec son god spécial qu'elle s'est fait faire par un artiste en moulages silicone. Inutile de vous dire comment elle l'a remercié pour son beau travail. Un god double qu'elle enfonce dans sa chatte, qui tient bien sans ceinture ou harnais et qui se dresse bien à l'extérieur. Une belle et bonne grosse bite. Celle qu'elle avait toujours voulu avoir.
C'est fou son succès avec les filles. Elle adore les saillir. C'est une vrai bonne macho sans pitié pour les chattes et les culs des femelles qu'elle adore claquer et rendre bien rouges avant ses pénétrations à la cosaque.
Niky lui est un gringalet, avec un pénis minuscule. Un petit homme en tout sauf en égo.Comme tous les petits, il veut toujours commander et se faire obéir. Dès qu'il a vu Viky, il a su que c'était la femme de sa vie et n'a eu de cesse de vouloir l'épouser. Et Viky a accepté.
Un couple étrange et pourtant un couple très heureux. Niky n'a pas le droit de pénétrer sa femme. C'est dans leur accord, mais elle aime le sucer pour lui prendre son sperme qu'il a en abondance et bien le milker. Pourtant la nature suit des chemins bizarres. Cela a du se passer une nuit, peut être en rêves, mais le tout petit pénis de Niky a réussi a féconder sa femme. Le drame au début, surtout lorsque les hormones se sont bousculées chez Viky qui a fini par accepter sa grossesse. Un beau couple et un bel enfant pour sceller un bel amour.
La morale de cette histoire c'est que la nature trouve toujours un chemin sans qu'il soit besoin d'une volonté.
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Je n’ai pas eu beaucoup de temps pour reprendre mes esprits.
Maxime n’en avait pas terminé avec moi.
J’ai compris ses intentions quand il a remis le vibromasseur en marche et me l’a introduit dans la chatte, après avoir rajouté sur sa tête un stimulateur de point g.
Compte tenu de ce je venais de subir, encore chaude de mes orgasmes précédents, je suis repartie au quart de tour.
Les picots du wand m’ont mis le clitoris en feu, et au fur et à mesure que Maxime augmentait la puissance de l’engin, je me mettais à vibrer de l'intérieur en gémissant de plaisir.
A nouveau, j’ai perdu toute notion du temps, jouissant et jouissant encore, suppliant en vain mon bourreau d'arrêter.
Tout en continuant à me fouiller la chatte avec son engin diabolique, Maxime me maintenait fermement de l’autre main, alors même que mon corps tout entier était secoué de spasmes de plus en plus en plus violents. J’étais littéralement en transe tout en ressentant comme une envie de plus en plus forte d’uriner.
Il s’en est rendu compte, à ma manière de gémir en me tordant dans mes liens, et à fini par me libérer du wand en l’extirpant de ma chatte. Là, dans une ultime explosion, incapable de me contrôler, j’ai joui à nouveau, tout en laissant jaillir de mon sexe en feu ce jet d’éjaculat femelle que je ne pouvais plus contrôler.
Je desteste squirter. Je trouve obscène ce liquide féminin jaillissant de mon sexe. Pour moi, l’éjaculation appartient au Mâle et une femelle n’a pas à jouir ainsi. Mais je n’y pouvais rien.
C’est lui, mon Maitre, qui me l’avait imposé et, attachée comme je l’étais, il m’était impossible de rien contrôler.
Enfin Maxime m’a libérée de mes liens.
J’étais totalement épuisée, les poignets et les chevilles douloureux d’avoir été entravés pendant tout ce temps où je m’étais tordue de plaisir sur le lit.
Il m’a embrassée longuement, sur les lèvres, les seins, le ventre, la chatte, pendant que je reprenais progressivement mes esprits.
Quand j’ai voulu aller me rafraîchir pour me libérer de l’odeur de stupre que je portais sur moi, il a refusé, préférant au contraire s’ allonger sur moi, me laissant spontanément écarter les cuisses pour qu’il enfonce en moi sa queue raide.
Il m’a prise longuement, brutalement.
Chaque fois que son désir était a son paroxysme, il s’interrompait, s’extirpant quelques instants hors de moi pour faire retomber sa tension, avant de me pénétrer à nouveau, s’enfonçant chaque fois plus profondément en moi.
Le plaisir que j’ai ressenti pendant qu’il me baisait était sans commune mesure avec celui qu’il m’avait fait subir avant, plus profond, plus intense que celui purement mécanique provoqué par le vibromasseur.
C’est de lui, de mon Maitre, de son sexe que je jouissais désormais. Et cela n’avait rien à voir.
C’est ensemble que nous avons explosé dans une déferlante de plaisir, qui nous a laissés épuisés et il s’est effondré sur moi, écrasant mon corps sous le poids du sien, pendant que se mélangeait en moi sa semence de Mâle et le reliquat obscène de mes orgasmes précédents.
Maxime n’a pas voulu que je change les draps.
Quand je me suis réveillée, le lendemain matin, ils étaient encore humides de mes éjaculats femelles et il continuait de régner dans la pièce l’odeur diffuse de nos ébats de la nuit.
J’ai été me doucher avant de lui faire l’offrande de ma bouche.
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L'ombre peu à peu avait envahit la cave. Charlotte n'arrivait plus à distinguer la fissure
dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était
elle-même figée depuis près d'une heure commençait à la faire souffrir. Passaient encore
les fourmillements dans les jambes et les bras attachés. Elle en avait l'habitude maintenant.
En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle arrivait toujours à relancer la circulation
du sang. Le plus insupportable, c'était cette douleur, à l'articulation des cuisses. Elle avait
fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait
l'écartement de se ses jambes. De part et d'autre de son visage, ses genoux touchaient
presque les barreaux. Elle avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme
le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour
soulager ses bras de la tension dans laquelle ils étaient soumis.
Que faisait donc Xavier ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée
innonda la cave. Le cœur de Charlotte s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui
jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et
enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Charlotte se sentait en danger constant, tant la curiosité des
visages la dévorerait, et qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais
sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder.
Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Charlotte avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces
cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Xavier voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient
là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la
résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement
l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte
s'ouvrit. Charlotte distingua une silhouette dans l'ambrasure. La lumière l'aveuglait. C'était Xavier mais il n'était pas
seul. Celle qui l'accompagnait, les mains sur las hanches, la considérait d'un oeil narquois.
C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son bustier en lamé noir, son short ultracourt sur des bas résilles et
des cuissardes à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une pute. Xavier avait amené une putain. Hébétée,
Charlotte portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avac soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la
fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée.
Toisant Charlotte, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses. Elle avait des jambes
longues et musclées; en bas de son ventre, son pubis lisse se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée.
Lorsqu'elle dégrafa son étroit bustier, ses seins comprimés en jaillirent comme des fauves. Tout en elle dégageait
une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa machoire figée en un rictus menaçant
contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la
tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque.
- Tu viens, mon chéri ? minauda-t-elle.
Xavier se débarassa de ses vêtements. Lorqu'il s'approcha du lit, Charlotte remarqua qu'il ne bandait presque pas.
- Fais ton job, dit-il à la putain.
Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids.
- Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi m'en foutre partout.
Abasoudie de surprise, Charlotte regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter avec adresse le sexe de
Xavier dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Xavier, les yeux clos,
serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le
cliquetis des chaînes dans lesquelles Charlotte commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Xavier
enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir.
Même en se tordant le cou, Charlotte ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques,
mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écoeurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Xavier
lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se
bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts
venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête,
elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle.
D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient
ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Xavier ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de
défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu
au fond du ventre de Charlotte. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle aimait s'acharner sur une
inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Xavier enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna
aussitôt Charlotte et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelotte de ficelle et alla prendre une
chaise qu'il disposa près du lit.
- Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton job et casse-toi.
Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses
seins dans son bustier. Charlotte cherchait en vain à capter le regard de Xavier. Elle essayait de comprendre. Quel
job la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son
visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer
les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant,
celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la
même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement
immobilisé, comme soudé à la chaise, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes.
Charlotte vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage. Bientôt,
elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air
d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur
inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il
demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec soin. Charlotte
ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à
tout prix réussir à jouir. La putain passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les
approcha du sexe humide de Charlotte. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procèda à de longues succions.
Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des
dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Charlotte survolait
la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une putain, également nue, la suçait. Un homme, bronzé
et nu, liè à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, la pute enroba le clitoris de Charlotte,
l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors.
Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua
dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles
ondes électriques. Charlotte creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses
caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue.
Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Charlotte et l'enfonça lentement,
de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa
main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain
plongea sa main plus profondément dans le sexe de Charlotte, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile
cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus.
Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Charlotte
se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains.
Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant
ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes
l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais
les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Xavier dormait-il lui aussi ? Elle n'osait
se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ?
Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humilainte. Cela n'était donc pas un
jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ?
Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Xavier. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se
précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses
épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son
menton mal rasé. Charlotte sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Depuis déjà des mois j’occupe la maison de par une activité professionnelle néant. Ce temps de recherche d’emploi me laisse aussi beaucoup de temps pour développer mon imaginaire sexuel et imaginer de nouveaux fantasmes dont je sais, certains ne caresseront pas son esprit que j’aimerais plus audacieux et pervers.
Pourtant je soulage ma conscience de son énergie sexuelle en remplissant quelques articles sur mon blog à caractère informatif avec une touche de pornographie. Cela m’occupe et me donne l’impression de faire une thérapie ou je me révèle à elle comme si elle lisait régulièrement ces pages qui livrent parfois entre un article futile traitant d’un incident sexuel ou d’une loi ayant comme sujet le sexe ; un fantasme que je glisse aux yeux des quelques internautes curieux qui passent par ici juste attirés par une image tirée d’un film X.
Lire la suite : http://comtedenoirceuil.com/tous-ces-midis-perdus/
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Esclave des désirs
Allez comprendre pourquoi on est parfois scotché par un visage ou une personne que l’on croise sur son chemin.
Un jour j’ai regardé une passagère dans une rame de train qui voyageait avec son vélo.
Il ressortait de sa personne une lumière et un calme intérieur qui m’a fasciné. J’en serais tombé raide amoureux pour le coup ! Je n’osais pas trop la regarder et posais avec discrétion mon regard sur elle de temps en temps en décortiquant le contour de se yeux amandes et de son visage ovale, puis mon regard glissait sur ses mains qui pianotaient doucement l’une sur l’autre au dessus de ses genoux en attendant de descendre à la bonne station.
Oui j’en étais paralysé de bonheur de contempler cette femme qui m’avait déjà englobée dans son aura de bonté et de douceur sans que je n’y ait pris garde… Elle rayonnait et sa lumière m’apprivoisait…
Si elle m’avait demandé de la suivre comme esclave, j’en aurait été comblé de bonheur et l’aurait suivi…
Oui j’aurai eu plaisir à devenir esclave de mes désirs en m’enchainant à ses souhaits et ses caprices…
Pour sûr j’aurai eu plaisir à tout découvrir de sa sagesse tranquille qui diffusait autour d’elle une auréole de douceur ferme et déterminée…
Son élève aurait été docile et appliqué pour la combler dans son extase désirée, apprivoisé que j’étais déjà par son regard intemporel…
Une merveille des merveilles qu’une vie n’aurait suffi à satisfaire de ses désirs inassouvis…
Je suis perdu depuis par ce désir qui m’englobe et m’emporte dans ce souhait virtuel de lui appartenir… Ne serait-ce que par un seul regard de sa part…
La porte du wagon s’est ouverte à la station et elle est descendue du train en enfourchant son vélo… Mon regard l’a suivi sans qu’elle ait même détourné son visage pour m’abandonner à la piqure de mon cœur soudain solitaire de cette apparition déjà évanouie dans la multitude…
La recroiserai-je un jour si notre destin s’en mêle que j’accepterais d’en suivre son ombre si elle me le demandait…
Serais-je déjà enfin presque devenu le petit toutou à sa mémère ? C’est bien possible…
Bon en même temps je me dis que ce n’est pas possible de devenir le toutou à sa mémère, car je me souviens de la phrase de Khalil Gibran : « Combien noble est celui qui ne veut être ni maître, ni esclave ! »
Ah que ce monde est déroutant parfois surtout quand vos désirs profonds vous rendent esclaves !
Texte trouvé sur le net sans signature
L.H
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Désolée pour mes fautes.. J'écris instantanément… si quelqu'un est prêt pour me corriger :)?
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C’était un samedi soir, il faisait bon dehors. Cela faisait déjà quelques jours que je n’avais pas vu Monsieur. Il était en déplacement. J’aime avoir ces moments d’indépendance où Monsieur sait montrer sa présence, sa bienveillance.. parce qu’il pense à moi. Cette pensée me fait sourire, il alimente toujours ce lien, tout comme je le fais.
J’avais eu une envie folle de Shopping. Je suis allée faire un tour dans celle que j’affectionne à Strasbourg. Une amie qui tient une boutique avec de la lingerie et des robes sexy à souhait, sans vulgarité. Elle me connaît par cœur.. Si vous la cherchez elle est rue de la Madeleine…
A chaque fois que j’y vais c’est papotage, essayage et craquage ! J’avais envie de me faire belle pour lui. Le surprendre. Cela doit aller dans les deux sens. Nous voulons être surprise.. mais nous devons aussi surprendre. C’est là que j’ai vu.. The robe ! Celle qui est juste sexy à souhait mais sans aucune vulgarité. J’ai toujours aimé avoir mon look et à fuir les enseignes de vêtements qui font de nous des petits moutons.
Je regardais mon amie.. et elle sourit. Elle comprit. Je passais donc à l’essayage. Une envie folle de montrer à Monsieur. Il aime savoir ce que je fais. Mais de l’autre j’avais envie de le surprendre. C’est alors que je lui envoyais par Whatsapp un message vocal. Il aime encore ma voix.. Douce, suave et apaisante.
« Cher Monsieur, je suis en pleine essayage dans la boutique d’une amie.. Puis-je la prochaine fois que nous nous voyons choisir ma tenue ? Bien à vous. Votre petite chienne. »
Même si je n’attendais pas sa réponse, je me décidais à prendre cette robe. Elle était faîte pour moi. Je venais de perdre plus de 15 kg. Je devais me réapproprier mon corps. J’avais encore du mal. Il n’est pas parfait. J’aimerai me sculpter, faire plus hélas mes problèmes de dos m’empêchent d’être totalement celle que je suis dans ma tête. Au fond ce qui compte c’est d’être bien dans sa tête.
Après cette frénésie acheteuse, je rentrais chez moi en profitant du soleil, cheveux au vent avec cette excitation dans mon entrejambe. Au feu.. je regardais mon portable.. toujours pas de réponse. On devait se voir ce soir. Une soirée privée à la villa Sturm.
La soirée du soir était sous le thème de la sensualité et du Glamour. Je pense que cela allait coller parfaitement…
Soudain, je vis sa réponse.
« Je t’autorise pour ce soir à t’habiller comme il te plait. Je vérifirai que tout est parfait. Je passe te récupérer à 21h30 ».
Cheveux attachés, détachés… rouge à lèvre rouge ou lèvre naturelle ? que de choix cornélien. Je me dis toujours Less is more. Avoir juste les bons accessoires sans en faire de trop.
21h15.. Enfin prête. J’avais hâte de savoir s’il allait apprécier ma tenue…
Il était toujours d’une ponctualité exemplaire. J’appréciais cette attention et ce respect.
Je vis sa voiture arriver. Je sortais. Je descendis les escaliers avec cette petite démarche fière car je me sentais particulièrement belle. Ce sentiment de s’aimer est si bon.. C’est celui qui fait que vous dégagez ce bien être et cette beauté. Je dis cela sans vouloir être prétentieuse, mais vous comprenez ? la beauté n’est pas dans le physique mais dans notre attitude aussi.
J’ouvrai la portière de la voiture et m’y installait confortablement. IL faut dire que je trouve cela d’une galanterie.
- Vous êtes magnifique, ma chère Mademoiselle Lane .
C’est là qu’il mis sa main sur ma cuisse en y mettant une certaine pression qui indiquait clairement.. « Tu es à moi ». J’aimais ce coté animal.
- Je t’inspecterai plus tard.
Sur un fond très jazzy, nous allions en ville pour commencer par prendre un verre dans un bar feutrée de Strasbourg. Les cocktails sont relativement bons sans être non plus à la hauteur des meilleurs bars que je connais à Londres.
Il me tenait par le poignet, je le suivais. Arrivée au bar, il décida d’aller au sous-sol éclairé de lumières rouges et de lanternes. Il s’assit sur le tabouret haut.
IL m’attira à lui par la taille. A l’oreille, dans un ton confidentiel il me dit :
- Tu es une petite putain que je vais me faire un plaisir d’exhiber. J’aime que les hommes te regardent. »
Je souris, je baissais la tête à la fois excitée et gênée. Deux sentiments contradictoires comme nous pouvons tous l’être. J’étais avec lui cette femme indépendante et de l’autre, celle qui se sent protéger sous sa protection.
Il commença à me caresser avec une réelle délicatesse, son regard me dévorant. J’aimais le pouvoir qu’il avait sur moi.
Alors regardons cette robe de plus prêt…
- Hum.. une robe avec une fermeture éclaire dans le dos qui donne accès si facilement à tant de délices. Tous ces mâles vont être en rute. Remarque chienne que tu es, c’est ce que tu veux.
Doucement il me mis dos à lui. Puis s’empara de la fermeture éclaire de la robe et la remonta relativement haut. J’avais peur qu’on nous voit. Ce côté petite fille qui veut toujours respecter les règles.
- Je t’ai dit que je t’inspecterai.
C’est alors qu’il monta sa main jusqu’à mon entrejambe tout en restant d’une discrétion et en continuant à me parler comme si de rien n’était mais ses mots me mettaient en un réel émoi.
- Alors petite catin.. comment se fait-il que tu portes une culotte ? Nous allons l’enlever.. là maintenant. Non mieux.. tu vas l’enlever.
Je me sentais complètement interdite. Il me saisit le poignet et me dit..
- Tout de suite, Obeis.
J’avais la sensation que tout le monde me regardait. Je me sentais honteuse et si excitée. Je me dandinais pour faire en sorte de retirer cette culotte.. J’avoue avoir fait exprès de la mettre.. Je voulais le titiller bien sur.. mais je ne m’attendais pas à faire cela .. là maintenant.
La robe était relativement moulante. Mes fesses presque à l’air. Je m’étais mise dans le coin où nous étions.. afin qu’on ne m’apercoive pas. Curieux non ? Mon attitude devait paraître bien étrange pour arriver à enlever une culotte d’une robe moulante.
C’est là qu’elle était arrivée à hauteur de mes cuisses. Je me bougeais pour la faire arriver à mes genoux. Je fis mine ensuite de faire tomber mon sac au sol tout en contrôlant ce que les autres pourraient voir. La culotte était dans ma main. Je me releverai et je le regardais droit dans les yeux.
- Voilà Monsieur, ma culotte comme vous me l’aviez demandé.
Je lui tendais.
- C’était un plaisir de te voir ainsi à braver tes convenances.
Il prit la culotte.
- Hum.. je devine ton état rien qu’à son toucher. Petite chienne.
Il s’amusa encore à toucher mes cuisses mes fesses mais ne s’aventura pas plus loin. Je n’avais envie que de cela. J’étais en transe. J’avais oublié où nous étions. J’étais dans notre bulle.
D’un coup sec, il redescenda la fermeture éclair.
- Bon allons à cette soirée.
A notre arrivée à la villa sturm, nous empruntions les escaliers magnifiques de cette demeure. Il me faisait marcher devant lui. Bien sur allait il rater une miette de ma démarche afin de profiter de la vue de mon postérieure et de mes jambes.
- Quels sublimes escarpins tu as choisi. Tu as toujours bon goût. Peut être vais-je t’autoriser à me surprendre plus avec tes choix vestimentaires.
Je portais cette petite paire dénicher dans une friperie. Des Nina Ricci avec un talon fin.. Ils étaient rouge vernis, le bout légèrement pointu et arrondi, comme les ongles d’une main vernie d’un sublime rouge. Ils étaient originaux par la forme mais simples.
Dans la pièce à l’étage, Deux grandes salles avec des lustres en cristal. De grandes baies vitrées.
Tout le monde avait joué le jeu de cette soirée. Une ambiance ultra glamour et feutrée. Pour une fois la musique était très sympa avec un mixe très jazzy, soul de bon goût. Cela changeait de ces soirées aux musiques électros sans saveur que je déteste.
- Regarde comme on te regarde..
J’étais complètement aveugle aux personnes qui me regardaient. Une partie de moi était prête à affronter le monde et l’autre… complètement timide, réservée et peu sûre de moi.
C’est là qu’il croisa des connaissances. J’avais de mon envie une envie folle de danser et de ne pas écouter. La musique de Feeling Good reprise par Aviinci m’incita à aller sur la piste.
- Puis je aller danser ? lui demandais-je ?
- Oui va y, je te rejoins.
Cela ne me dérangeait pas de danser seule, mais je ne le quittais pas du regard. Je voyais qu’il me jetait ses regards de surveillance.
En dansant seule, rapidement quelques hommes s’aglutinaient autours de moi avec ce sourire et cette nonchalance qui laissait planer qu’ils voulaient faire connaissance. D’un naturel sociable, j’entamais des échanges relativement simples.
- Bonsoir Mademoiselle. Sympa cette soirée.
- Oui en effet, ça change de ce qu’on a l’habitude de voir à Strasbourg..
- Vous êtes très jolie, et vous dansez super bien !
Je devinais bien sur où il voulait en venir mais ils n’avaient bien sur aucune chance. La place était prise dans mon esprit. Mais mon coté petite allumeuse parfois pouvaient prendre le dessus. Après tout je n’avais rien demandé.. C’était eux qui étaient venus.
Je me laissais porter par la musique à me déhancher. C’est l’un d’un charmant homme blond, assez grand se rapprocha de moi pour danser à deux. Il mis son bras autours de ma taille.. Bien sur.. il se prenait des libertés d’un homme respectueux ne ferait pas.
- Puis-je t’offrir un verre ?
- Non c’est très gentil.
La fille timide reprenait vite le dessus. Lassée par ces techniques de drague très ennuyeuse, je rejoignais Monsieur.
- Alors petite salope, tu ne peux pas t’empêcher d’aguicher !
- Mais non.. je n’ai rien fait cher Monsieur, répondais-je avec un léger sourire complice.
Je reviens, je vais aux toilettes, si vous le permettez.
Les toilettes étaient très grandes. C’est en refermant la porte que je sentis une main forcée la porte.
Il me tira alors par les cheveux et me poussa vers le lavabo. Je me retrouvais les mains posées sur ce dernier à me regarder face à ce grand miroir.
D’une main animale il remonta la fermeture éclaire de ma robe puis mis sa main sur ma bouche.
Sans aucun ménagement il me sodomisa. Ses coups étaient si fort et intenses. Mes cris se perdaient dans sa main. Cela n’avait pas durer très longtemps. IL m’avait prise sauvagement comme une putain. Il avait joui et laissé son foutre dans mon cul. Une fois son affaire terminée, il me releva en tirant mes cheveux puis me rejeta vers le lavabo et prenait la direction de la porte.
- Allez nettoie toi ! Tu vas en reprendre encore. Tu n’attends que ça. Je te laisse quelques minutes et rejoins moi à l’entrée.
Son assaut avait été féroce. J’étais totalement chipée. J’aimais quand il était fougueux à me baiser comme une pute. Je resaissais mon esprit. Je faisais tant bien que mal pour nettoyer mon anus.
- Où allons nous ? demandais-je ?
- T’exhiber.
Je ne savais pas quoi répondre. Je baissais le regard. Maintenant il savait où étaient mes limites et ce que je ne voulais pas. Je me sentais donc en sécurité malgré tout.
Il avait perdu ce côté chaleureux pour laisser place à cet homme intransigeant.
EN arrivant à destination, nous étions dans un bar libertin. Je détestais ce genre de lieu à Strasbourg où il manque tant de finesse, de glamour et il le savait.
C’est là que je vis cet homme blond avec lequel j’avais dansé et ces connaissances auxquelles je ne m’étais pas intéressée.
- Et si nous faisions de toi, une petite chienne de concours. Tu vas nous montrer tes atouts et nous jugerons si tu en es une..
- Je.. Oui Monsieur..
- Brave petite chienne.
Nous étions installés dans un coin canapé. Ils s’étaient installés sur les canapé. N’étant pas à mon aise dans ce lieu que je qualifierai de glauque, je m’apprêtai à m’asseoir.
- T’ai-je permis de t’asseoir comme nous ?
- Euh.. non ..
- Pardon ? je pense qu’il manque un peu d’éducation.
Il voulait que j’assume mon statut de chienne. Il savait que j’étais tout autant effrontée.
C’est là que je m’avançais vers lui et je quittais ce tempérament à me sentir vulnérable.
- Non, Monsieur. Vous ne me l’avez pas permis.
- Allez, à quatre pattes sur la table !
Je pris alors ma démarche féline tout en le regardant, comme pour montrer à qui j’étais.
C’est là qu’il se leva puis me banda les yeux. Je me demandais encore s’il avait préméditer tout cela. Puis il me dit à l’oreille
- Tu es sublime, me murmurait il. Tu connais le mot si jamais cela va trop loin pour toi. Comme pour me rassurer.
- Oui, Monsieur.
C’est là qu’il remonta encore la fermeture éclair jusqu’à ma taille, dévoilant ainsi à la vue de ses connaissances mon fessier. Mon cœur palpitait.
‘- Messieurs, vous avez le droit de regarder, de toucher mais pas de pénétrer. Est-ce bien clair, sauf si je vous y autorise. Je vous présente Mademoiselle Lane.
C’est là que je sentis une main me prendre par le menton. Je devinais que la personne était celle assise face à moi. Elle commença passer son doigt sur ma bouche.
- Ouvre ta bouche, petite chienne et lèche le doigt.
J’ouvrais alors ma bouche et je sortais ma langue afin de lécher ce doigt. Quand tout à coup, je sentais plusieurs mains s’attarder sur mon fessier. Certains me pinçaient, d’autres écartaient mes jambes.
- Humm elle a la chatte bien lisse, on aimerait bien y gouter. Quelle chienne que tu as là. Je suis très envieux entendais-je.
- Puis-je voir ses mamelles ? dit un autre ?
J’étais complètement outrée par la manière dont il me décrivait. Ce mots qui ne venaient pas de mon maître.
-Redresse -toi.
- Oui.. Monsieur.
C’est là que je le sentais devant moi. Il se saisit de ma robe et passa ma poitrine par-dessus. J’étais présentée, ainsi défaite. Je perdais encore plus de mon assurance.
- Allez y Messieurs. Je vous laisse profiter de cette poitrine.
J’étais touchée de partout mais aucun geste déplacé sur mes trous de chienne. Il y avait veiller. Ils s’amusaient à les triturer, à les malaxer. Je sentais un homme me saisir par les hanches à mimer un acte sexuel. Une poigne certaine.
Je sentais leur désir à mon égard à me prendre, à vouloir me baiser sans frénésie.
- Qu’elle est bonne à être baisée.
C’est là que Monsieur me releva et me dirigea en me tenant par le bras. Je ne sais pas où nous allions. C’est là qu’il retira mon bandeau.
Nous étions seul dans cette pièce qui ressemblait plus à une cage. Il y avait des barreaux. Je voyais la silhouette d’hommes derrière ces barreaux.
- Maintenant , je vais te baiser, et tu vas t’offrir. Tu vas offrir un très beau spectacle. Je veux que toutes ces queues soient bien dressés. Montre leur qu’il n’y a qu’à moi que tu t’offres petite chienne. Qu’il n’y a que moi qui décide ce que je fais de toi ! T’es une vraie petite salope. Dis-le !
- Oui Monsieur, je suis votre petite salope.
Il m’avait plaqué les mains contre le mur. Avec son pied, il m’avait fait écarter les jambes.
- Cambre toi mieux que ça. Crois tu que je puisse te prendre bien à fond en étant ainsi !
Je me cambrais davantage en me baissant un peu.
- Ecarte ton cul qu’on le voit bien ! Tu t’es fait belle, autant le montrer.
J’étais complètement génée mais j’oubliais tout tant qu’il était avec moi.
J’obeissais.
Je tournais la tête. Je voyais ces ombres s’agglutiner à profiter de ce spectacle.
Il commença par vérifier mon excitation. J’étais littéralement trempée ! Il avait l’air de me pousser dans mes retranchements, à assumer cette partie de moi.
Il me saisit les bras, les mis en arrière et me maintenait les poignets dans le dos.
- Je vais te tringler comme jamais. Tu ne mérites que ça. D’etre comblée par une queue si dure. Sens tu tout ce que tu provoques.
- Oui.. Monsieur. Je ne mérite que ça
Il prenait possession de ce qui lui appartenait. Cette fois il pénétra ma chatte encore et encore, il me labourait bien profondément en levrette.
- Bonne petite pute. Regarde… regarde comment on regarde comment on prend une bonne chienne. Toi en train d’exciter tous ces mâles.
C’est là que l’homme blond entra… Je me sentais interdite.
- Il voulait te regarder de prêt en train de te faire sauter. C’est un voyeur. Ne t’inquiète pas.
Il se plaça juste face à moi. Il avait son verre à la main et me regardait droit dans les yeux. C’est là qu’il se rapprocha de moi et me dit.
- Tu es véritablement une bonne petite chienne de concours. Cette manière que tu as quand tu te cabres pour te faire prendre si profondément. Ces cris que tu émets quand tu te fais fourrer. Un vrai délice. Une vraie salope.
- Je vous remercie mon cher. dit mon Maître. En effet c’est une vraie Salope. J’aime révéler cette nature et la montrer.
- Elle est faite pour cela.
C’est là qu’il m’ordonna de me mettre à quatre pattes. Puis il jetta mon visage contre le sol.
- Voilà une excellente position pour bien la remplir. Je l’ai fait tout l’heure. J’aime me perdre dans ce petit garage.
- Puis-je entendais-je ? l’homme avait demandé visiblement quelque chose à mon Maitre.
L’homme s’était accroupi et dégageait mes cheveux pour mieux voir mon visage.
-Qu’elle est belle quand elle se fait baiser. Il aura été dommage de nous priver de ce spectacle. Puis il se rapprocha à nouveau de moi. Je sentais sa respiration forte prêt de moi.
- Allez, fais toi bien bourrer comme tu le mérites. Je vais me caresser en te regardant prendre ton plaisir. Regarde ce que tu provoques.
Il s’était éloigné. Mon Maitre écartait à nouveau mes fesses pour observer sa queue s’engouffrer dans mon petit fion. Il la rentrait, la sortait parfois doucement. Il la réintroduisait parfois avec une telle profondeur…
J’avais tout oublié, même où j’étais.. il me rendait complètement folle…
Il tapissait encore de son foutre mon fion. Il se redressa et m’ordonna de rester un peu ainsi à la vue de tout le monde.
Au bout de quelque minutes, il me releva et me remis le bandeau, comme s’il avait compris mes ressentis.
Il me remis ma robe avec une telle délicatesse bien qu’il avait été moins avec mon cul.
- Tu m’as rendu fière de toi ce soir ! Dormons ensemble ce soir.
Puis juste avant de sortir, il ota le bandeau. Nous allions vers la voiture.. Je me rejouissais de dormir dans ses bras. Une si belle récompense.
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Par avance, navrée pour les fautes. J'écris instantanément. J'aurai peut être besoin.. d'une correction.
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« Habille toi comme une petite écolière quand tu viens. Je te veux en chaussettes hautes, une petite jupe d’écolière et un chemisier. Mets des sous vêtement simples, de jeune fille. Tu t’attacheras les cheveux avec un joli nœud. Tu viendras avec un cartable, un cahier de note et tout ce qu’il te faudra pour prendre ta leçon du jour. Je t’attend pour 16h30. Soit à l’heure.
A le lecture de son message, un sourire me prit. Je me demandais encore ce qu’il avait pu imaginer. Je regardais dans mon dressing ce qui ferait bien l’affaire pour sa demande précise. C’est là que je trouvais une paire de chaussettes hautes noires arrivant au genou, décorées sur l’une, d’une rose brodée. Je mis cette petite jupe de motif écossais en carreau Rouge, Noir et vert. Je pris un chemisier blanc des plus simple. Je pris alors en sous vêtement ce petit shorty noir et un soutien gorge adapté à mon chemisier blanc.
Tout doucement, je me regardais dans le miroir. Soigneusement je mis peu de maquillage mais juste ce qu’il faut pour avoir un teint éclatant, le tout réhaussé d’un gloss à cette couleur légèrement rouge orangé.. Je redressais mes cheveux en une belle queue de cheval auquel j’ajoutais comme Monsieur me l’avait demandé un ruban rouge que j’ai détourné. Me voilà replonger dans ma jeunesse. Il ne me manquait plus que le nécessaire pour écrire ma leçon d’école.
Arrivant chez Monsieur, je vérifiai ma tenue afin de lui plaire. Mon cœur battait à la chamade.
Par jeu, j’avais sorti une de ces petites sucettes au goût pomme, pour me montrer un brin provocatrice comme il aime que je sois. Et puis, les adolescentes n’aiment-elles pas sucer.. des sucettes ?
La porte s’ouvrit. Il était tout de suite dans son rôle de maitre d’école, sévère. Il était habillé avec élégance, un pantalon de toile bleu marine, une chemise blanc-perle, le tout réhaussé de belles bretelles. Il avait un goût parfait pour savoir se vêtir selon les circonstances.
Je sentais l’odeur de son parfum m’envouter. Je me souviens la première fois que je l’avais rencontré. J’étais comme hypnotisée car cela lui collait à la peau… La nuit de l’homme.
Sa voix était assurée, grave, d’une telle douceur même dans les jeux.
Il me conduisait à son garage qu’il avait pris soin d’arranger. Il avait réussi à placer un tableau blanc, une table d’écolier et il avait placé un bureau en bois qui me faisait réellement penser à mes années de lycée à Châlons en Champagne, un ancien couvent.. avec ce vieux mobilier et le vieux parquet au sol.
Bien sur on en était loin ici mais je devais reconnaître l’’art qu’il avait à mettre des scénarii en place.
- Prenez place, Mademoiselle Lane.
Tout en le regardant je profitais de sucer langoureusement ma sucette et de jouer avec comme une adolescente qui cherche à attirer l’attention de son professeur, je m’installais sur le banc de la table d’école. Et je sortais mes affaires de mon cartable.
Il me regarda alors droit dans les yeux d’un regard sévère.
- Veuillez immédiatement enlever cette sucette. Vous ai-je autorisé à venir en classe avec ?
- Non, Monsieur, je l’avoue, dis-je avec une moue pleine de défiance.
- Ah ainsi, vous voulez prendre mes dires par-dessus l’épaule, je vais donc vous donner une leçon bien éducative et inscructive.
- Levez- vous et placer vos mains devant-vous, paume vers le haut.
Il s’était muni de la règle que j’avais sortie de mon cartable.
- Eh bien vue que la discipline ne soit pas votre fort, nous allons y remédier. Je vais vous donner trois coups sur chaque main. Je ne veux pas vous voir ôter vos mains, ni crier.
- Je (baissant alors mon regard à la peur de subir cette première punition), je.. oui, Monsieur.
Il se mit à ma hauteur et ôter de ma bouche cette sucette.
Il plaça la badine sur ma main droite. Il tapotait tout doucement augmentant alors mon stress, ma respiration. Le premier coup s’abattu. C’était si.. vil de sa part. Mais ma fierté prenait le dessus comme lorsque j’étais jeune et que j’étais dans cette déviance, voulant dire.. même pas mal, mais je bouillais pour me retenir de ne pas crier en voulant même faire ce petit sourire en coin, le regarder dans les yeux.
- Merci, Monsieur… avec un ton provocateur.
Il fit alors de même à deux autres reprises. Il avait ce coté un peu sadique à frapper au même endroit. Au dernier coup, j’avais ravalé ma fierté. Je me pinçais les lèvres.
Il faisait la même opération sur ma main gauche. J’étais calmée.
- Donc où en étais-je ? me dit-il
Vous avez été convoqué Mademoiselle Lane pour deux heures de colle. J’ai ici un carnet de notes à votre égard sur vos manquements qui semblent s’accumuler ces derniers temps. Vous comprenez bien que je ne peux pas tolérer tout cela est que vous allez être punie. Le comprenez-vous, Mademoiselle Lane ?
Je souriais intérieurement car il avait réellement pris des notes sur les petites libertés que j’avais prises ces derniers jours avec les dates et les horaires !
Lisez- moi à haute voix cette page. Il me tendit alors son carnet de note.
- Lundi 19h : non envoi de la photo de sa chatte trempée.
- Mercredi 15h : Echange téléphonique - Oubli de m’appeler Monsieur à 3 reprises.
- Jeudi 17h : avoue s’être caressée malgré mon interdiction.
Je me disais qu’il n’avait rien relevé. Il est vrai que lundi, il m’avait mis dans un tel état d’excitation mais je n’avais pas forcément envie de lui envoyer ma photo de mon sexe brulant puisque je ne la jugeais pas présentable. Je n’étais pas encore aller chez l’esthécienne.. Mercredi, je devais être tête en l’air et guillerette. C’est probablement la raison pour laquelle il ne m’a pas corrigé.. Quand à Jeudi, c’est pas très sympa car j’ai avoué ma faute. Je n’en pouvais plus. La voix de la petite chienne que je suis a pris le dessus… mais j’avais avoué.
C’est là que j’arrêtais la lecture. Je voulais m’expliquer et je commençais à lui répondre
- Cher Monsieur, je suis navrée m..
- Vous ai-je donner le droit de répondre ? Taisez-vous maintenant. Vous allez me faire une lettre d’excuse pour votre mauvais comportement ! Vous avez 15 min.
Je m’installais alors sur le banc. Je pris mon vieux stylo plume. Le silence s’était installé et était à la limite stressante. Il s’était assis sur sa chaise, à son bureau, face à moi. IL m’observait. Le regard inquisiteur. Le rouge me monta au joue. IL avait cette prestance, ce regard, cette voix.. toutes ces petites choses inexplicables qui sont si importantes. Vous le comprenez j’en suis certaine, surtout vous Mesdames.
Je commençais alors ma lettre
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Cher Monsieur,
Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo.
Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur.
Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable.
J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous.
Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon.
Mademoiselle Lane
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- Avez-vous terminé, Mademoiselle Lane ?
- Oui, Monsieur.
- Parfait, me dit-il. Maintenant venez ici à mon bureau, avec votre lettre d’excuse avec une voix autoritaire.
Je me levais et je me dirigeais vers lui.
- Bien, maintenant que vous vous êtes penchée sur votre mauvaise attitude, vous allez vous allonger sur mes genoux. Maintenant !
Je m’installais sur ses genoux. Je sentais à travers mon bas entre son sexe.
Toujours dans ce silence, il soulevait avec délicatesse ma petite jupe. Il caressa mes cuisses, puis les empoigna de manière plus ferme. Il remonta ma jupe sur mes fesses.
- Quelle croupe chère Mademoiselle.
D’une main ferme, il baissa ma culotte sur mes cuisses.
- Maintenant Mademoiselle Lane, vous allez me lire votre lettre d’excuse, tout doucement pendant que je vous fesse. Vous allez me remercier pour chaque coup que je mettrai.
- Je… Oui, Monsieur, j’ai saisi.
Je prie alors ma lettre à deux mains et je commençais à lire ma lettre.
- Cher Monsieur,
Une première claque s’abaissa sur ma fesse droite.
- Merci Monsieur. Je tenais à vous présenter mes excuses les plus sincères pour mon mauvais comportement de ces derniers jours
Puis une autre… bien plus forte celle-ci qu’elle m’arracha un cri.
- Merci Monsieur. J’ai négligé mon rôle et je ne vous ai pas traité avec le respect qui se doit. Je suis désolée de ne pas vous avoir envoyé la photo de ma petite chatte prise d’émotion quand vous me mettez dans des émois si intenses
Deux autres d’affilées s’abattirent au même endroit. Ma fesse droite commençait à chauffer.
- Merci Monsieur. Je suis bien ingrate de ne pas vous avoir fourni la preuve de l’œuvre que vous faîtes de moi. Je trouvais simplement que ma chatte n’était pas dans un état présentable pour être prise en photo.
Ma fesse gauche ne resta pas en reste quand il m’en mis une.. puis une.. puis encore une.. J’avais du mal à me concentrer à ma lecture, à ne rien laisser transparaître. Ma correction était bien méritée. Il avait une telle poigne..
- Merci… Monsieur, dis-je avec une voix troublée et douloureuse. Concernant l’oubli de vous appeler Monsieur, je l’ai fait sans m’en rendre compte. Je sais que je dois me ressaisir et être plus vigilance à vous appeler avec le mérite que je vous dois. Je sais que je mérite punition pour ce manquement.
Il continua.. Mes fesses commençaient à me gratter. Je commençais à vouloir me défiler de cette punition.
- Me.. hésitante.. Merci Monsieur. Je suis certaine que vous trouverez la punition à la hauteur de mon impertinence, Monsieur.
Il me fessa pour cette dernière d’une telle force que je m’en souviendra je pense.. Un cri s’échappa. J’avais envie de me soustraire, de ne pas être sur ses genoux.
Puis me voyant ainsi, il me laissa le temps de me ressaisir tout en caressant doucement mes fesses qui devaient être écarlates.
- Merci.. merci Monsieur.
- Continuez je vous prie Mademoiselle Lane.
- Je suis une vilaine petite chienne sans éducation puisque je n’ai pas tenu la promesse de ne pas me caresser depuis lundi, comme vous me l’aviez ordonné.
Je sentis sa main se soulever à nouveau, et contre tout attente, au lieu de me fesser il malaxait mes fesses. Certes c’était douloureux, mais quelques part cela apaiser le brasier qu’il avait mis à mes fesses.
- Je vous remercie Monsieur. Ma chatte était tellement en émoi cette semaine, c’était une torture insoutenable. Mes doigts se sont posés sur ma petite chatte fraichement épilée à la cire. Elle était si douce. Mes lèvres étaient toutes gonflées. J’avais envie d’être comblée, remplie.. Je sais que je mérite la colère de Monsieur . Je suis impardonnable.
Il me remit une fessée. J’avais envie de pleurer cette fois. Faire tomber ma fierté. Lâcher prise.
Merci.. Monsieur, en laissant perler les larmes de mes yeux. J’espère que Monsieur acceptera ma lettre d’excuse. Je ne doute pas que Monsieur saura me donner la leçon éducative adapté à sa chienne qui n’a pas su restée sage. Vous, seul, pouvez me remettre dans le droit chemin. Je vous en prie, Monsieur, éduquez-moi davantage. Je suis à vous.
C’est là qu’il me caressa d’une infinie douceur, pour me soulager.
- Merci Monsieur pour l’attention que vous m’accordez. Votre chienne qui se met à vos pieds et implore votre pardon.
- Vos excuses sont acceptées Mademoiselle Lane. J’espère que vous en avez tirez les conséquences. Asseyez vous devant moi, les jambes bien ecartées, les paumes posées vers le haut, sur vos cuisses.
Je m’exécutais. Une fois assise à ses pieds devant lui, j’avais stoppé mon attitude insolente. Il m’avait bien remise à ma place. Mes yeux étaient naturellement baissés. Je n’osais plus croisé son regard. Honteuse petite chienne que j’étais. J’avais cedée à la facilité. Je sais que ce qu’il me demande c’est autant d’attention qu’il m’en donne. J’avais regretté de mettre caresser car au fond, il voulait me faire jouir avec encore plus de violence. Je comprenais qu’il ne voulait que mon bien.
De sa main droite, il me releva le menton afin de me regarder et que je puisse plonger mon regard dans ses yeux bleus. Puis il secha mes larmes avec la pulpe de ses doigts. Naturellement je plaçais ma joue contre sa main si réconfortante. J’aimais ce moment de relâchement, cette parenthèse de douceur entre différents.. Mots.. maux.
- Vous savez que j’accorde une importance au maintien chère Mademoiselle Lane. J’aime vous voir dans cette position d’attente à mes pieds. C’est là qu’il prit entre ces doigts ma bouche puis me gifla. Bonne petite chienne. Je vous interdis de me regarder ainsi.
Je savais jouer de mon regard, je savais qu’il l’adorait. J’aimais quand il me punissait parce que je le regardais. En même temps j’adorais qu’il me traite ainsi. Lui seul savait, lui seul avait ce droit sur moi.
Il me releva en me tenant par la queue de cheval. Il se tenait derrière moi.
J’aimais sentir son souffle au creux de mon oreille, quand il me parlait doucement. Cela me rendait toute folle, à obéir. Ma tête était maintenant en arrière, il me disait comment j’étais sa petite putain, voulant me faire dire tout ce que je suis , tout ce que je mérite. Il saisit à travers mon chemisier mon sein droit. Avec force il me malaxa.
- Tu es à moi. Rien qu’à moi petite catin.
C’est là qu’il déboutonna un à un les boutons de mon chemisier tout en me maintenant fermement.
- Regarde moi comment tu es, petite trainée. Tu n’attends que cela.. d’être comblée, prise, doigtée, fouillée, enculée, bourrée, labourée.. Mais comme tu es dégouillante. Mais doigts sont trempés de ta cyprine. Quelle chienne tu es !
D’un seul coup il me poussa vers son bureau. J’avais les deux mains dessus.
D’un geste très viril, il souleva ma jupe et déchira ma culotte. C’était un moment si.. érotique, si bestial. Je gémissais de désir. Je lui résistais, ne voulant pas succomber, ne voulant pas céder si rapidement à cet état qu’il me provoquait. Mais peut on raisonner une chienne qui ne demande que cela ? non..
Il me retourna avec cette violence virile puis mis ma culotte trempée dans ma bouche. Puis il mis sa main sur ma gorge et la serra. Il me possédait avec cette force ; J’aimais sentir sa poigne sur ma gorge. Je me sentais encore plus lui appartenir.
- Je ne veux même pas t’entendre ! Je vais te prendre et abuser de toi. Prendre mon plaisir. Tu vas être ma putain. Tu as osé te caresse sans mon autorisation.
C’est là qu’il mis plusieurs doigts dans ma chatte. Elle était si trempée qu’elle aura pu engloutir bien plus que ces deux doigts qu’il avait mis… C’est alors qu’il en mis quatre.. A faire des va et vient si fort. A me stimuler. J’étais là.. Muselée par ma culotte, je sentais sa main sur mon cou. Je sentais son regard sur moi.
Je me sentais toujours honteuse quand il faisait cela. Je ne pouvais plus rien contrôler. J’étais si fontaine. Il aimer me vider, m’épuiser…
- Petite garce, regarde tout ce que tu fais jaillir…
Des larmes de joies coulaient de mes joues. Je tremblais de désir, j’avais tant envie de l’honorer comme il m’honore. Je n’attendais qu’une chose, et vous devinez bien quoi… ?
- Tu ne mérites pas ma queue ! Il me gifla un coup puis un autre.. Puis il me laissa là.. interdite, sans aucune force.
-
- Allez debout ! qu’elle est cette manière de se dandiner ? A coté de ta table.
J’avançais à ma table avec cette démarche incertaine. Mon entrejambe lui aussi se dandinait à l’envie de sentir une queue y entrer.. ou tout autre chose. Il m’avait juste mis l’excitation à un tel point.
Il s’avança vers moi et plaça un livre sur ma tête..
- Chère Mademoiselle Lane.. reprenons notre leçon.. de maintien. Ce livre ne doit pas tomber. Est-ce bien clair ?
- Oui.. cher Monsieur.
- Bien… Maintenant je vais m’occuper du maintien de vos seins.
Il aimait jouer des corses. C’est là qu’il entreprit d’utiliser mon corps pour sa toile. Aucun mot ne sortait même si on se disait tout.. Ces moments là où tout est parlant dans le silence. Cette concentration qu’il mettait à faire chaque passage de corde, chaque nœud pour mettre en valeur mon corps. C’était une fierté d’avoir toute cette attention à mon égard. Il me fascinait. Mais avec ce livre sur la tête, je ne pouvais le regarder. Il m’en avait privé.
Il avait particulièrement fait passé les cordes autours de mes seins, les maintenant fermement, les faisant ressortir. Il s’éloigna de quelques pas pour admirer son œuvre.
Il faisait le tour de moi, m’effleurait.. La posture a tenir n’était pas aisé avec ce maudit livre.
C’est là qu’il prit la paire de ciseaux de ma trousse et entrepris de couper.. couper la chemise, couper le soutien gorge..
- Voila je préfère… Je vois que vous avez su faire preuve de tenue. Je vous en félicite,dit -il en me regardant dans les yeux et en tenant dans chacune de ses mains mes tétons
Il les tira pour les amener à lui. J’avais envie de pousser un tri mais je pensai à ce livre sur ma tête à ne pas faire tomber.
- Ne bougez pas. Vous êtes très belle ainsi. Je vais vous ornementer.
Il se dirigea vers le tiroir de son bureau. Je devinais ce qu’il sorta…
- Vos seins, Mademoiselle Lane sont si magnifiques. Vos tétons si.. doux.. une invitation à s’en occuper. Je sentis le métal de la pince. Il avait choisit une pince qui s’adaptait. J’étais très sensible et il le savait. Mais je savais que j’allais devoir me surpasser.
Malgré ce qu’on pense, cette douce douleur amène ensuite un tel plaisir, une libération, un lâcher prise comme lorsqu’on gravit cette montagne et qu’on a souffert mais on est si heureux après.
Me voilà avec des pinces sur mes seins reliés par une chaine. Il tira la chaine à lui. Je ralais.. Puis il tira à nouveau. Le livre tomba.
- Vilaine petite écolière incapable de se tenir. A genou sur votre table !
- Voyons l’état de ma petite chienne. Ah oui je vois que ça mouille toujours autant.
C’est là qu’il passa entre mes lèvres quelque chose de rond et métallique.
- Voila, je pense que cela va rentrer comme dans du beurre.. dans votre petit fion de salope innoncente.
Je sentis mon petit anus céder sous la pression de cette boule. Cette dernière a été engloutit rapidement. Il me l’avait enfoncé avec force et sans réel ménagement.
Il attacha le crochet anal à ma queue de cheval en laissant un léger mot pour préserver mon dos.
Je me retrouvais ainsi tel une chienne cambrée à exposer ses attribus et en ayant la tête maintenu fièrement dressée.
- Voilà ce qu’est avoir du maintien Mademoiselle Lane.. Un cul prêt à recevoir, des seins dressés et un port de tête altier. Une chienne muselée..Le cours de maintien débute si bien. Il ne vous manque que votre collier.. mais vous n’êtes pas digne aujourd’hui…
Il était derrière moi à regarder mon sexe offert à sa vue. Il effleurait mes cuisses, mon entrejambe.. Je n’attendais moi qu’une chose..mais je ne pouvais bouger.
Il prie chacune de mes lèvres entre ses doigts, les pinça, les écarta… Il m’inspectait.
- Je vois que votre chatte est bien douce et lisse. Votre cyprine coule dessus c’est divin à regarder.
Il plaça alors un gode rattacher à un manche dans ma chatte.
- Ne pensez pas que je vais vous faire le plaisir de vous baiser avec. J’ai juste envie de vous voir remplie comme une bonne petite pute qui n’attend que ça.
Il retira ensuite de ma bouche ma culotte. Il prie à nouveau un objet de son bureau… un baillon avec un anneau. Il me plaça afin que je garde la bouche bien ouverte, attendant d’être à la disposition de la queue de mon Maître.
Puis pour terminer son œuvre, il mis une corde autours de mon cou qu’il fixa à un anneau. Ainsi j’étais à sa merci, à ne plus pouvoir rien faire si ce n’est.. attendre.
Voilà, vous allez terminer votre colle ainsi.. Mademoiselle Lane. Je vous laisse méditer, petite chienne.
C’est là que je sentis une frustration immense. La punition était à la hauteur de mes manquements.
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Au fond du cachot…
Attendre sans aucune raison que de tuer le temps est difficile et parfois, par rapport au temps qui passe, respectivement à sa durée de vie, peut être compris comme étant du gaspillage.
Je n’aime pas cela!
Je suis quelqu’un d’actif et plein de ressources avec une imagination très riche. L’attente pour elle-même m’est donc pénible.
Pour attendre, il faut entrer dans le monde BDSM. Là, la vie change de couleur. Attendre, aussi longtemps que la Maîtresse le décide, c’est autre chose. Alors ces moments provoquent chez moi un afflux absolument débordant de réflexions, de pensées, d’idées. Un mélange tout à fait au hasard de situations vécues, de films visionnés, de lectures, de conversations, toute une série d’images et de situations qui défilent dans la tête.
Attendre comme je l’ai déjà fait avec vous, Maîtresse. Vous vous en souvenez certainement alors que j’étais entravé avec ce carcan qui vous enserre le cou et les poignets. A plusieurs reprises, vous vous êtes placée au-dessus de moi et vous m’avez inondé avec votre liquide doré. Je devais lutter contre l’inconfort, j’étais trempé de votre liquide divin, j’en avais autant que je pouvais d’ailleurs. Et après, j’ai attendu. Une attente tout au contraire captant ces images et ces sensations, pour un soumis, c’est un véritable délice. Ces moments mettent d’ailleurs en relief toute la relation.
Dans mon parcours, je crois vous avoir expliqué que, j’avais attendu dans cette oubliette, nu, complètement souillé de poussière et d’urine, les mains menottées dans le dos. C’était dans cette prison de Grossenhain près de Dresde.
Ou encore cette attente dans le cachot, où je posais ma tête sur le boulet de prisonnier. Reposer ainsi sur le sol, se transformant en un véritable supplice car rester sur une épaule devient difficile et je devais donc me retourner pour m’appuyer sur l’autre épaule, souillant du coup tout mon corps d’un mélange de poussière de petits gravats et d’urine. En fait pour moi, ce fut absolument délicieux et je m’en souviens comme si c’était à peine fini.
Je me souviens aussi de ce terrible supplice qu’est d’être enfermé dans une cravate. Attendre, en souffrant l’horreur, j’ai crié de douleurs à cause des crampes dans mes jambes, je tremblais de froid après avoir été aspergé d’urine par mes deux « gardiens ». En plus, j’avais le goût délicieux d’une abondante giclée de sperme encore en bouche d’une fellation faite sur la queue du soumis que le gardien avait amené. Cette attente était aussi merveilleuse. Je sais que je tremblerai de peur d’être encore bloqué dans cet innocent instrument de torture (mon mal au dos étant sauf…). J'y suis resté 4 heures 48 minutes d'ailleurs.
Attendre nu, couché sur le sol, dans le noir, entravé, la bouche occupée par un bâillon qui fait baver. Une belle épreuve surtout quand on sait que bientôt je vais être, à nouveau, torturé et supplicié.
Attendre, complètement attaché, incapable de bouger, après avoir été giflé et boxé, le visage couvert de crachats qui coulent lentement le long du visage. Attendre jusqu’à ce que ces crachats, justement, sèchent, probablement une attente interrompue par un petit arrosage « champagnesque »… suivi d’une nouvelle attente.
Autant de souvenirs et de moments qui font bouillir le cerveau de choses absolument indescriptibles.
Vous savez, Maîtresse, que dans mes rêves, je m’imagine être enfermé, nu, souillé, dans un cachot. Je l’ai déjà été pendant 5 ou 6 heures. C’était bien. Mais mon rêve donc, c’est l’attente pendant 24 heures au moins, sans être abreuvé ou juste arrosé de temps à autre, pas nourri, juste prisonnier. Peut être interrompu par des visites de vous ou de vos amies, pour rire et commenter cet objet que je suis ou, si l’envie vous en prenait, de me sortir, de me faire subir une flagellation, une séance de kick-boxing assez dure pour tout de suite après me remettre dans la cage ou le cachot. Peut être, juste avant de fermer la porte, de me cracher sur le visage histoire de me dire, « hi hi, t’as soif? eh bien voilà, je te donne un peu de ma salive car je prends soin de toi ». Moisir dans la cage exposé aux visiteurs et initiés qui mangent ou boivent devant, viennent vous pincer le corps entre deux conversations, vous tirer par les cheveux et se moquer de vous…
Etre enfermé, avec un autre soumis mais la bouche entravée avec une bride-bavarde ou la bouche cousue pour m’empêcher de pouvoir communiquer avec l’autre et attendre, nu, sur le sol poussiéreux.
Evidemment, Maîtresse, une attente avec tout le décorum que l’on peut imaginer, chaînes, fers, plugs insérés dans l’anus et reliés à une chaîne, cages, oubliettes, cellule sale, participe à rendre l’attente comparable à une session. L’attente consécutive à une explication de ce qui attend le soumis, lui expliquer qu’il va affronter une dure session, un échange oral ou s’échangent aussi caresses, gifles, coups de genoux ou de pieds, plonger la main dans la bouche, où le soumis dit son désir de montrer sa dévotion, son désir de souffrir pour prouver, pour aimer aussi. Cette longue préparation qui va « potentialiser » toute la relation. Cela permet aussi à la dominante ou au dominant de disposer du temps pour elle, pour lui, de préparer la session suivante, de manger, de boire, de se reposer, de lire ou de regarder la TV, de s’occuper d’un autre esclave.
Les conséquences de ces attentes sont évidemment une montée en puissance de l’effet des tourments et des supplices. Probablement aussi une meilleure performance et de résistance aux supplices qui arrivent par une préparation des décharges d’endorphines. L’attente est donc, si vous voulez, une sorte de potentiomètre agissant sur le cérébral du soumis dans la relation et les actions qui suivent.
Avant de conclure, j’aimerais mentionner les moments d’attente qui précèdent une session. Les temps consacrés à la préparation, la manipulation des fers, des chaînes, des cordes, le temps de fixation, les explications ou les mots prononcés par l’opérant au soumis. Je pense par exemple aux sessions sur les croix de St.-André (j’en parle car je l’ai pas souvent vécu) où l’on attache, lentement, vérifiant la solidité, où on en rajoute pour bien fixer tout le corps, où l’on glisse le bâillon dans la bouche. Tout ces moments qui préparent le soumis à la torture pour votre plaisir et votre joie de posséder et de faire toutes les choses qui vous passent par la tête.
Finalement l’attente met en relief tout ce qui est avant et après une session et cela joue en moi un effet important.
Je suis reconnaissant à Maîtresse Gabrielle de me permettre d’évoquer cela dans le détail. Cela aide à la compréhension mutuelle et apporte aussi aux autres lecteurs des éclairages qui parfois manquent.
Maîtresse, j’attends la fin de se satané confinement car, ça, c’est devenu une attente intolérable!
Kaji, SLNR 386-312-138
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Baptiste s’est redressé sur les genoux. Les yeux baissés il n’ose plus bouger, il savoure cet instant hors du temps. Puis Maîtresse Julie le repousse brutalement, il perd l’équilibre et heurte le sol. Un petit sourire ironique soulève les coins de ses lèvres. Ce fût une belle petite séance en plein air. Et ce n’est que le début du week-end. Julie laisse Baptiste au sol et s’étire en ajustant sa jupe et son petit top, puis elle pose son pied sur la tête de son soumis, attrape son téléphone et prend une photo. Par respect pour elle et lui les visages n'apparaissent pas mais on voit bien qu’elle le domine. Puis elle se penche, saisit la laisse et tire dessus. L’homme ou plutôt le chien se relève un peu et se met à quatre pattes tête baissée. Sa maîtresse le regarde et lui caresse la tête «Bien le chien, réajuste toi un peu ! Tu ne ressembles à rien ainsi. »Baptiste se redresse un peu, remonte la culotte de dentelle sur ses fesses, puis glisse la chemise dans le short et resserre sa ceinture. « Plus serré la ceinture ! Encore ! Je veux qu’elle te gêne !.—Oui Maîtresse Julie, » souffle Baptiste de nouveau à quatre pattes.
Elle lui fait faire le tour du bosquet, lui ordonnant de se baisser, passer sous le banc de pierre, puis ramper. Elle ramasse un bâton et force sa bouche pour qu’il le prenne, puis tire et il résiste en souriant à la douleur. « Bien le chien !Ça te plaît de faire le chien !N’est-ce pas ?Allez , vas-tu lâcher Sale Bête ! » Mais dans un curieux sursaut de quelque peu chose qui ressemble à de l’honneur, Baptiste ne lâche pas et défie sa domina. Alors d’un grand coup de laisse sur les cuisses , elle lui impose sa volonté « Tiens et maintenant lâche ce bâton c’est un ordre ! Espèce de sale petit bâtard ! Vas-tu apprendre à obéir ? Sinon je vais te laisser attaché ici ! Sais-tu que ce bosquet reste désert toute la nuit ? » À ces mots, les mâchoires du soumis se relâchent , le bâton plein de bave glisse vers ses lèvres et les yeux baissés sur les bottes de Julie, il rougit de honte. L’idée de rester attaché toute la nuit dans le parc le terrorise. Il ne sait pas qu’une domina ne ferait jamais cela, que c’est contraire à l’honneur du bdsm qui exige que les soumis soient toujours en sécurité. Mais Baptiste a vraiment peur car il ignore la plupart des règles. Il est nouveau dans le milieu. Et arrivé depuis peu dans la région il ne connaît pas non plus les habitudes des habitants qui pourraient le surprendre attaché comme un animal abandonné et le mettre dans une situation encore plus inconfortable.
Mais Julie éclate de rire en voyant son expression et d’une caresse et de quelques mots gentils le rassure : « Tu as l’air inquiet pour de vrai dis donc ?Mais non, voyons, on ne fait pas ça ! Je suis responsable de toi, jamais je ne te mettrai en danger volontairement ! Bon marchons un peu puis nous irons chercher la voiture. Nous allons rejoindre quelques amis pour une soirée privée ce soir. Je te présenterai. Et tu m’obéiras !Compris ? – Oui Maîtresse Julie ,» murmure le pauvre Baptiste un peu perdu devant cette volte-face. Elle tire sur la laisse et ils avancent tranquillement jusqu’à la grande allée. « Debout ! Mais tu vas garder le collier ! Compris le chien ? – Oui Maîtresse Julie» . D’un geste presque tendre Julie relève les cheveux de la nuque de son soumis et détache le mousqueton. Elle entoure le poignet du jeune homme de la chaîne et leurs doigts se mêlent naturellement. D’un pas rapide ils se dirigent vers la ferme de Marie-Antoinette, passent le ruisseau presque à sec où quelques truites japonaises lèvent une tête amorphe vers eux. Après avoir traversé la cour, Julie le conduit vers la grande grille non loin de la place de la Loi. Les abords du parc sont saturés de voitures en stationnement, mais la jeune femme habite le quartier depuis quelques années et sait trouver les places improbables. Toujours enchaîné Baptiste suit et écarquille les yeux devant le luxe des bâtiments et des véhicules aperçus. L’ombre des arbres commence à s’allonger et la fraîcheur va vite tomber, après quelques minutes à l’ombre il sent les poils de ses bras se hérisser. D’une tape affectueuse Julie le fait accélérer vers sa petite voiture cachée derrière un camion. Elle lâche sa main et sort les clés de son sac. D’un doigt elle lui montre le siège arrière. Elle sait pertinemment qu’il ne pourra s’y glisser qu’en se contorsionner. Ces petites voitures ne sont pas adaptées à ses longues jambes. Elle se glisse à la place du conducteur et recule le siège passager pour lui laisser encore moins de place. Il baisse la tête mais ne dit rien. Elle se tourne vers lui, tend son bras et lui écarte les jambes. Puis elle saisit son entrejambe entre ses doigts petits mais vigoureux et pince fort. Un petit cri échappe à Baptiste et il se mord les lèvres aussitôt, conscient de son mauvais comportement. La main serre plus fort encore. Il se met à pleurer en silence en mordant encore ses lèvres. De l’autre main elle claque sa cuisse. Puis elle lui tend sa badine. « Tape tes cuisses le chien. Je veux entendre claquer ! Compris ?Et tu comptes en disant Merci Maitresse comme l’autre jour !» Julie s’installe correctement pour conduire et très habilement elle leur fait quitter la rue.
Elle retourne vers le château et la grande Place d'Armes pour le contourner et se diriger vers Saint Cyr l’École. Au feu elle tourne la tête, son soumis a les cuisses bien rouges, ses yeux pleurent de se frapper lui-même, de honte et de douleur. Elle le fait cesser « C’est bien. Prend dans le vide-poche de quoi te désaltérer, il y a de l’eau et des fruits secs si tu as faim-- Merci Maitresse Julie » répond le p’tit soumis en tendant le bras. Il se rend compte à ce moment là qu’il commence à avoir faim et ce petit grignotage le comble d’aise. La circulation est assez dense et Julie ne va pas très vite. Il a le temps d admirer la Pièce d’eau des Suisses qui doit son nom à la Garde Suisse de Louis le quatorzième ou Roi Soleil. En effet les travaux d assainissement du marécage avait décimé les ouvriers et on fit appel aux valeureux Suisses, ceux dont il est dit qu’ils meurent et ne se rendent pas, pour finir le chantier. De l’autre côté il aperçoit le parc du château, qui court presque jusqu’à St Cyr. Julie lui explique que l'INRA, installé dans les anciens dépendances, fait des lâchers de coccinelles tous les ans pour lutter contre les pucerons des rosiers dont elles se nourrissent. Puis ils traversent la ville en direction de Bailly, petite ville très bourgeoise où se déroulent des rencontres intimes de bdsm dans de belles villas privées cachées pas de hauts murs. Pour la rejoindre ils longent les travaux de la future ligne de tram et, de l’autre côté, la Ferme de Gally qui s étend sur plusieurs hectares et où les habitants de l’agglomération du Grand Versailles viennent satisfaire leurs désirs d’écologie.. Au carrefour de la Grille de Maintenon, du nom de la favorite du roi, ils tournent à gauche .Aprèsavoir quitté la grande rue et aperçu l’Hôtel de Ville au milieu d’un espace vert dégagé, Julie se faufile dans une petite rue sur la droite et après quelques changements de direction que Baptiste cesse de compter elle s arrête devant une majestueuse grille en fer forgé noir.
« Descend sonner et dis que Maîtresse Julie est arrivée, puis passe le portail et suis la voiture à quatre pattes. Compris le chien ? --- Oui Maîtresse », murmure Baptiste en descendant de voiture. Il peut enfin déplier ses longues jambes qui commençaient à s'ankyloser. Il appuie sur le bouton de l’interphone pour annoncer sa maîtresse et le portail s’ouvre sans un bruit. Derrière, une belle allée en gravier conduit jusqu’à une grande demeure en meulière. La voiture entre et roule au pas pour ne pas trop bouleverser l’ordre du gravier et Baptiste se met à quatre pattes et suit la voiture. Il sent les gravillons à chaque mouvement lui griffer un peu la peau des genoux qui n’est pas vraiment habituée à ce traitement. Au bout d’une trentaine de mètres, il se retrouve au bas d’un bel escalier en pierre grise de quelques marches et attend. Julie descend de sa petite voiture qu’elle a garée à côté d’une grosse berline noire.
De son pas dansant elle s’approche de son soumis en faisant tourner la laisse et la fixe au collier avec le mousqueton. D’une caresse un peu rude sur sa tête elle le guide pour monter l’escalier. La grande porte en chêne massif sculptée s’ouvre et une magnifique femme toute de noir vêtue apparaît. Les bras largement ouvert elle prodigue à Julie une accolade sincère et chaleureuse puis elle baisse les yeux vers Baptiste et tend un pied botté vers lui. « Lèche le chien ! Ainsi tu seras autorisé à pénétrer dans ma demeure !—Obéis ! » ordonne Julie , et Baptiste lèche d’un bout de langue récalcitrant le talon qui s’est posé sur ses lèvres. Une caresse le récompense. Il se sent heureux d’être accepté par cette grande et belle femme. Il ose un regard et aperçoit de hautes bottes à talons compensés, dans lesquelles se sont glissées de longues jambes fines au mollet un peu fort recouvertes de bas résille noirs. Il ne fait qu’apercevoir le bas d’une jupe de cuir qui descend à peine sur le haut des cuisses. Sa laisse est tirée brutalement pour lui rappeler qu’il doit baisser la tête. Les deux femmes s’embrassent sur les lèvres puis se dirigent vers la vaste entrée dont le sol est recouvert de tomettes à l’ancienne. Elles font une halte et un soumis habillé en soubrette présente à Julie une tenue de diablesse rouge. La domina sans pudeur quitte sa longue jupe ainsi que son top et revêt la jupette rouge sans sous-vêtements. Puis la soubrette l’aide à enfiler le corset rouge aux larges lacets noirs. Un bibi de dentelle rouge complète la tenue. « Merci mon amie, c’est le genre dont je raffole !Et rouge, tu me combles de joie ! » et voilà Maîtresse Julie qui se met à tourner sur elle-même pour se faire admirer ! »
Elle confie la laisse à la soubrette en lui disant « Trouve une tenue correcte mais laisse lui sa culotte rouge, elle ira bien avec la mienne » et un joyeux éclat de rire raisonne dans l’entrée.
Le soumis de la maison tire sur ma laisse et me fait franchir une porte. Je me retrouve dans une cuisine où une lirette devant un bol d’eau attend . Là le soumis m’informe que dans cette pièce, si les maitres ne sont pas là, il m’est autorisé de me lever et de m’asseoir sur le tabouret de bar en bois si je le souhaite. Je déplie mes jambes aussi sec et tend la main vers la sienne « Baptiste, enchanté. –Marc » répond-il en saisissant ma main d’une poigne vigoureuse. « Voyons voir ce que tu vas mettre à la place de cette tenue qui est franchement ridicule mais tout à fait adaptée ». Je rougis, conscient de l’exactitude de ses propos « J’ai suivi les ordres de Maîtresse Julie » murmuré-je en rougissant et sans oser le regarder en face. Il hausse les épaules, sourit gentiment et sort d’un sac de sport un ensemble de lanières de cuir et de boucles de métal. « Je sais, ne t’excuse pas, mais déshabille toi que je puisse t’équiper , et garde ta culotte rouge, il semble qu’elle y tienne». Je m’exécute et me retrouve en culotte très vite. Avec une grande dextérité il relie mon collier à des lanières qui compriment mes cuisses et mon torse . Il me met des genouillères, des chevillières et des poignets de cuir avec des anneaux d’où pendent des mousquetons et commence à me guider vers une deuxième porte qui donne sur la salle de réception. Juste avant de l’ouvrir il me fait comprendre d’une pression sur les épaules que je dois me remettre à quatre pattes.
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Je rentrais complètement énervée. Dans ces moments là, je suis plutôt expéditive à vouloir m’isoler. Un rien peut me rendre comme une panthère, prête à sortir les crocs, à griffer.
J’allais le rejoindre. Il m’avait ordonné de venir dans son antre. Vêtue d’une robe légère framboise laissant apparaître un décolleté léger qui arrivait sous mes genoux avec des petites sandales printanières, je toquais à sa porte.
Sa maison était située à la campagne, une maison faîte de pierre décorée avec goût et des matières naturelles. J’aimais beaucoup me rendre dans cet espace où je pouvais me libérer de toute tension.
C’est là qu’il ouvrit la porte. Habillé d’un Jean bleu foncé tenu par une ceinture marron clair et une boucle élégante, il portait une chemise légère qui le rendait tellement sexy. C’est là qu’en arrivant je manquais à tous mes devoirs. Je rentrais sans répondre à son bonjour, et en parlant de mon énervement. C’est là que d’un seul geste, il se rapprocha de moi, m’empoigna les cheveux et se mit derrière moi.
- Tout doux… Respire… Je crois que tu en as oublié tes belles manières.
C’est là que je voulais répondre pour m’expliquer.
Il mis sa main sur ma bouche tout en mettant son bras autours de mon cou
- A partir de maintenant, je vais t’apprendre à te contrôler, à gérer ta colère et surtout à ne pas jeter ta mauvaise humeur sur moi. Je t’interdis de me parler, sauf si je te l’autorise. Je vais te traiter comme une poupée, ma petite poupée, dévouée. Je vais devoir te punir comme une enfant. C’est tout ce que tu mérites. Suis-je clair ?
Je hochais de la tête un oui avec une certaine crainte ce qui allait venir. IL savait tout de suite prendre les rennes. Au fond, il savait baisser mes tensions, me rassurer.
- Enlève moi cette robe.
C’est là qu’il me jeta au sol, le visage plaqué contre le parquet qu’il maintenait avec son pied.
- Tu n’es qu’une bonne petite chienne. Tes mains dans le dos puis ne bouge pas.
C’est là qu’il se mit sur mon dos. IL me mis un gag ball et le serra très fortement.
- Voilà qui va être parfait. Ne pas t’entendre râler.
-
Puis il me mis des bracelets en cuir aux poignets, puis à mes chevilles.
- Allez à quatre pattes, petite chienne.
Je m’executais. J’étais ainsi les seins dénudés, avec une petite culotte fine. Il me botta les fesses avec son pied pour me faire avancer.
- Allez marche un peu, je vais te remettre à la place qu’il se doit. Tu vas méditer à ton comportement. Allez avance vers là bas..
Le là bas était son bureau / boudoir où parfois il me recevait. Je savais que cette pièce était relativement petite, sans fenêtre où l’on trouvait un bureau avec un fauteuil voltaire, un canapé. Elle était relativement froide et rustique. Il alluma la lumière et sans ménagement, je découvris une couche au sol.
- Allez sur ton tapis.
Je me refusais à ce traitement. Je n’aimais pas cela. C’est là qu’il me traina par les cheveux. Il entreprit alors de m’encorder afin de m’immobiliser complètement. Quand il est dans cet état, j’aime le regarder. Il est comme posséder. Je ressens une certaine froideur malgré sa bienveillance. Je souris intérieurement.
Il prit un malin plaisir à jouer des cordes pour que je sois à sa merci, toute offerte, de manière à être inconfortable pour me voir me mouvoir. Je devinais que cela le rendait fou, de me voir ainsi à sa merci. Le regardant droit dans les yeux, comme pour le supplier de me libérer.
- Il te manque ton collier de chienne. Et ne me regarde pas. Tu baisses le regard sinon je vais être obligée de bien te corriger. Est-ce cela que tu veux ? Des coups de cravache ? hum.. non le martinet serait plus appropriées aux petites chiennes dévergondées.
Une fois le collier mis, il prit la laisse qu’il serra court contre le radiateur. Puis il sorti en éteignant la lumière.
J’étais ainsi dans le noir, offerte à ses moindres désirs, enchaînée. J’étais quelque part énervée de me retrouver ainsi alors que je voulais être contre lui et de l’autre je sentais l’excitation me gagner. Son imagination était toujours incroyable. Il savait me surprendre, il savait de quoi j’avais besoin. J’essayais de me détendre, de respirer calmement. Tout doucement, cet immobilisme me conduisit à ne plus penser à mon état de l’après midi, mais je n’avais qu’une envie, qu’il s’occupe de moi.
J’entendais à travers la porte ses pas, je devinais dans quelle pièce il était. Il avait mis une musique de fond, une musique classique. Il était dans un contrôle incroyable, sachant ce qu’il fallait pour me détendre malgré tout. Je notais ce geste d’attention à mon égard.
Je commençais à perdre la notion du temps. Je tremblais un peu de froid.
La porte s’ouvrit, il alluma la lumière. J’étais aveuglé. Il me regardait en train de supplier en bouger de me défaire de cette place. Mais je sentais que ce n’était pas dans sa volonté.. IL avait le regard rude. Il se rapprocha puis caressa mes cuisses, remonta sur mes fesses. Il se saisit de ma culotte qu’il resserra dans sa main. Il s’amusa à jouer avec le tissu afin qu’il fasse comme une corde passant sur mes lèvres et mon petit anus. Je me dandinais..
- Humm.. je vois que tu ne peux pas te contrôler. Il faut que tu te déhanches.
Il placa alors sa main sur mon entrejambe puis m’assena une claque dessus. Puis je senti un effleurement de ses doigts sur mes lèvres. Un filet de mouille s’en dégageait.
IL enleva mon gag ball et introduisit ses doigts dans ma bouche.
- Allez lèche moi ça… Je ne voudrais pas en mettre partout puis te faire nettoyer les sols.
J’ai un petit cadeau pour toi… Regarde.
Il sortit alors un plug d’une taille certaine. Mes yeux s’écarquillaient.
- Ouvre ta bouche de petite putain. On va s’occuper que tu sois bonne de partout. J’ai une envie de faire de ton petit fion une chatte, un petit garage à bite.
- Il tira mes cheveux en arrière pour me redresser et me mit le plug dans la bouche.
- Allez lèche le comme si c’était ma bite. Tu es si douée pour ça. Montre moi ton talent. Je veux voir jusqu’où tu es capable de l’engloutir.
Il était en train de m’humilier. Je hais quand il fait cela mais au fond, peut être une partie sombre mais cela me met dans un tel état. Etais ce au final une punition ? ou une récompense ?.
Je suçais ce plug parfois avec difficulté. Le rythme qu’il donnait me laissait aucun répis, j’en bavais.
- Voilà, je pense qu’il est parfaitement humide et préparé pour le mettre dans ton cul. Je te préviens, je ne rien entendre. Compris.
- Oui Monsieur.
Il me tira à nouveau par les cheveux..
- Je t’ai dit que je ne voulais pas t’entendre.
Il remit mon gang ball. Il descendit ma culotte sur mes cuisses. Je me sentie ainsi humilée.
J’étais ainsi face contre le sol, les fesses relevées avec cette culotte baissée et trempée. Victime de toute mon excitation.
- Tu garderas toute la soirée ta culotte sur les cuisses.
Puis je sentie le bout du plug qui commençait à s’engouffrait doucement dans mon anus. Il me demandait de pousser, de travailler à son ouverture.
- Allez va-y petite pute. Tu vas y arriver. Je veux que tu sois bien ouverte. Ouverte à ce plug, à ma queue, à mes doigts ou à ma main.. On verra tout ce qui peut y passer. Suis- je clair ?
Je hochais la tête avec un léger son timide. Malgré cette situation, j’était toute excitée.
- Humm, voila.. tu es parée, ornée.. Je vais maintenant te laisser encore un peu méditer à ton comportement quand tu es arrivée. Je me devais te rappeler qui est ton Maître.
Oh oui il était mon Maître, par là je voulais dire mon guide.. Il me connaissait, il me faisait sortir des sentiers battus, en pensant à moi, à lui. Je me sentais lui appartenir, j’avais une telle confiance. Je fermais les yeux en pensant à tout cela.. à ce qui allait aussi se passer.
Je soupirais.. Le temps se faisait long. Je l’entendais. Je me sentais délaissée. Je commençais à m’exciter à vouloir bouger, me dégourdir.
Quand il revint j’étais presque heureuse. J’étais à nouveau ébloui. Me voyant calme il me caressa la joue puis je sentie sa main ferme me maintenir par le cou. Il détacha ma laisse du radiateur, puis libéra mes mains et mes jambes. Il me tenait haut et court, à maintenir un petit étranglement très excitant.
- Cambre toi. Je veux une chienne noble qui expose son cul.
Il me faisait marcher à coté de lui, avec fermeté jusqu’à son salon. J’avais ma culotte à ne pas faire tomber davantage
Il avait une table- fauteuil posé juste devant la cheminée.
- Allez monte dit il en papotant dessus.
Ma démarche de chienne était assurée et je montais dessus comme le ferait un chien. A quatre pattes, il appuya sur mon dos pour me faire cambrer. Il maintenant ma laisse courte pour bien me redresser, me dresser. Il se saisit alors de la cravache pour bien corriger ma posture.
- Je vais te donner des coups de crache, 10. Tu vas les compter un à un.. et tu vas me remercie par .. Merci Monsieur.
Je sentais la cravache parcourir mon corps, je ne savais pas où elle allait s’abattre. Il aimait m’effleurer avec, comme pour détourner mon attention.
Le premier coup fut sur ma fesse droite.. et le second aussi et le troisième. IL se montrait particulièrement rude avec moi ce soir. Est-ce don j’avais besoin. Je voulais me dédouaner de la cravache. C’est là qu’il me réprimanda.
- Je vois que cela ne semble pas suffisant à t’éduquer comme il se doit. Très bien.
Il lâcha ma laisse. Il mit la cravache dans ma bouche puis se saisit du martinet.
- Ma blanche neige va comprendre comment une belle pomme rougit…
Aucune partie de mon corps n’était épargner. Il commença par mon dos, mes fesses puis mes seins.
- Allez cambre toi, écarte bien tes jambes.. que je m’occupe de ton entrejambe de chienne.
Là je commençais à trembler. Je n’aimais pas cela. J’avais peur. Je ne voulais pas. Mais ses coups de martinet se faisait de plus en plus fort. Je compris que je devais céder.
Il me mit un seul coup sur ma chatte qui me faisait crier et tomber la cravache de ma bouche.
Je m’attendais à ce qu’il soit rude mais au contraire, il me caressait doucement sur les parties sur lesquelles il avait adoré mettre des couleurs. J’aimais ce moment là, plein de douceur, où je devais quand même rester sur mes gardes, puisqu’il avait toujours le martinet en main.
Alors que je m’attendais à recevoir d’autres coups, il me me redressa. Sors ta petite langue qui n’attend qu’une chose.
Il enleva la boucle de sa ceinture.
- Enlève là avec ta bouche, puis met là autours de ton cou.
- Je veux que tu sortes ta langue de chienne. Je sais que tu la veux ma queue. TU n’as pas le droit de la toucher. Compris ?
Il défit son jean et en sorta son membre. Il bandait.
- Regarde ce que tu provoques..
Puis il plaça son sexe devant moi, ma langue étant dehors. Je ne voulais qu’une chose, l’honorer, le lecher, le sucer.
- Renifle la.
Il passa ensuite son sexe sur ma langue et ma bouche. Puis il entra son membre dans ma bouche. Il bloqua alors ma tête en l’amenant vers lui. J’étais là, sans l’incapacité de bouger, ma bouche empaler sur son gland. Il forçait le passa pour atteindre ma gorge à m’en faire baver comme une petite putain.
- Regarde moi.
Je le regardais droit dans les yeux. Il avait ce regard si intense. Je sentais que j’allais être la victime de son désir.
C’est là qu’il saisit la ceinture et serra mon cou avec tout en me baisant la bouche. Je n’avais même pas le temps de comprendre ce qui se passait. J’étais à son service, l’esclave de son plaisir, l’esclave de mon plaisir.
Ma bave dégoulinait sur le sol, sur sa queue, je peinais à respirer.
- Garde ta putain de bouche bien ouverte ! Je ne veux pas sentir tes dents.
Il me gifla.
- Brave petite pute.
Sa queue était toute dure, je sentais le gland au fond de ma gorge, puis contre ma joue. J’étais dans un tel état. J’adorais quand il m’utilisait comme cela.
- T’es la bonne chienne à ton maître. Allez descend et nettoie moi cette bave que tu as mis partout.
Je refusais cette tache qui me demandait. Il en était hors de question.
- Ah tu rechignes à cette tache… Il me prie par le cou et m’obligea a mettre mon visage contre le sol mouillé.
- Nettoie !
Je me refusais à nettoyer. C’est là qu’il prie la cravache..
- Nettoie !
J’aimais ne pas me laisser faire quand je ne voulais pas faire quelque chose.
- Je ne le répéterais pas. Nettoie ou tu te souviendras de cette correction. Et crois moi, les coups de cravache de tout à l’heure ne seront rien comparer à ce qui t’attend. Je vais peut être m’amuser avec tes seins. Je sais que tu adores ça. Alors ?
Je me refusais toujours.
- Très bien, c’est ton choix. Mets toi à genou, les mains dans le dos.
Je vois que tu as repris ton tempérament rebelle. Serais ce mes sévices qui te donnent le droit de me défier ?
Je souris intérieurement. Mais je ne voulais pas que tout soit facile.
- Tu sais très bien que je ne vais pas te soumettre par la force. Je pense que le plus simple, serait de t’abandonner à nouveau dans le bureau.. Est-ce ce que tu veux ?
Il savait utiliser les mots justes.. Je m’executais.. je me mis sur les genoux, les jambes ecartées.
- Mets des bras derrière la tête.
Cela mettait en avant ma poitrine. Je savais ce qui m’attendait. Je devinais dans son regard que mes seins allaient être l’objet de son attention.
Il se saisit de deux tires tétons.
- Alors voyons voir ce qu’on peut tirer de tes mamelles de chienne.
Il positionna le premier. Je sentais alors l’aspiration. C’était une première pour moi. J’étais relativement surprise par à la fois la douleur et le plaisir. Allez encore un peu.
- Regarde comme tout est aspirer, penses tu qu’on puisse le mesurer ?
- Tais toi, je ne veux pas de réponse.
Il fit de même avec le second.
J’avoue que je sentie l’inconfort. Il me laissa ainsi, à ma méditation au milieu de la pièce. IL était aller se servir un verre. Il s’était assis face à moi sur le canapé. Je commençais à avoir mal au genou. Mes bras commençaient à s’engourdir.
Puis au bout d’un moment.
- Alors tu es calmée ?
Je fis un signe par l’affirmative. Il s’approcha et retira les tire tétons. Je sentis un soulagement mais qui fut de courte durée. Il se saisit de chacun de mes tétons et les serra fortement. Les tritura. Je le regardais droit dans les yeux. Ma fierté me poussa à refreiner le moindre bruit. Je ne voulais rien montrer, un peu comme une adolescente recevant une fessée pour mauvaise conduite et qui répond .. même pas mal.
Voila, tes petits tétons bien dressés, à la différence de toi.
Il me releva. Il passa son bras autours de mon cou, et le serra. Cette étreinte me permettait de sentir son souffle. J’aimais quand il me parlait avec murmure au creux de mon oreille
- La soirée ne fait que commencer ma petite. Tu es ma fierté, sache-le.
Il me caressait le visage, mes fesses. Je n’arrivais plus à me tenir. J’ondulais contre lui. J’aimais son odeur, la douceur de ses mains, sa fermeté aussi. Ce tout qui fait que je sais que quoi qu’il arrive, je suis incapable de lui résister.
Toujours en me tenant ainsi, il mit sa main sur mon sexe et me caressa.
- Que tu es trempée… je vais me délecter de toi. Regarde mes doigts remplis de ta mouille…
Il lecha ensuite ses doigts.
Hum ta mouille est exquise, divine. Un si bon nectar.
Je veux te voir dégouillanante.
C’est là qu’il me relacha, s’accroupit et commença à me fouiller la chatte.
Je sentais ses doigts en prendre possession. Il voulait me rendre fontaine. Et il savait y faire.
- Regarde moi quelle petite salope que tu fais. Tu ne sais pas te retenir hein ? regarde tout ce que tu as mis par terre… Tout est trempé. Dis moi ce que tu es ?
- Je suis votre chienne, Monsieur.
- Et que fais la chienne de Monsieur ?
- Elle est à sa disposition, à son service, tout comme sa bouche, sa chatte et son cul qui ne demanda qu’à être utiliser. Monsieur.
- C’est bien. On va continuer ton éducation anale. Je n’ai aucune envie d’honorer ta petite chatte avec ma queue. Tu ne le mérites pas.
Remonte moi ta culotte ! et marche à quatre patte jusqu’à la table. Ensuite je veux que tu te cambres au dessus de la table du salon et que tu écartes tes fesses avec tes mains.
Je remontais ainsi ma culotte et j’entrepris de marcher jusqu’à la table. J’avais la sensation que j’allais perdre le plug qu’il avait incéré dans mon petit fion, tellement j’étais trempée.
Arrivée à la table, je me remettais debout. Je mis mes mains sur mes fesses avant de les écarter. Je sentis le tissu humide de ma culotte entre elles.
- Ecarte moi bien tes jambes.
Il s’approcha de moi puis me forca à mettre mon ventre contre la table. C’est là qu’il m’attacha les chevilles de part et d’autres aux pieds de la table. Ensuite il attache mes poignets ensemble et les attacha à l’avant.
C’est là qu’il déchira ma culotte avec une telle force que j’en fus surprise. Il claqua ensuite mes fesses, les malaxa et s’amusa à les ouvrir et voir le plug qu’il avait placé. Il appuyait dessus, il passait aussi sa cuisse à hauteur de mon entrejambe. Je me sentais si chaude, prêt à être cueillie. Je n’opposais plus aucune résistance.
- Je vais m’occuper de ton fion. Je vais l’élargir. Je vais enfoncer plusieurs doigts, je vais t’écarteler, de fouiller, te baiser peut être avec .. ou peut être avec ma main.. ou peut être avec ma queue. Je veux t’entendre dire que tu es une chienne en chaleur, que tu veux que je t’écartèle le fion pour qu’il soit aussi ouvert que ta chatte de putain.
Il releva alors ma tête en tirant mes cheveux. Je sentais à nouveau son souffle.
- Allez je t’écoute.
- D’une voix, presque un murmure.. Monsieur, je veux être votre chienne que vous l’art de mettre en chaleur, je veux que vous m’écartelez mon fion afin qu’il soit ouvert comme ma chatte de putain. J’en serai honorée Monsieur.
- Hum… tu es parfaite me murmurait il. IL jetta ensuite ma tête contre la table.
Doucement, il sorta le plug de mon cul. Il regardait mon fion céder. Une fois enlevé, il regarda ce trou dans lequel il voulait se perdre. Il passa sa langue dessus puis commença a m’honorer avec sa bouche sur mon sexe également. Je me sentais complètement défaillir. Il introduisait savamment un premier doigt dans mon fion.
- Oh c’est comme dans du beurre… Oh le second aussi…
C’est là que de son autre main, il introduisit aussi deux autres doigts..
- Humm quatre doigts dans le cul de ma chienne.
Il écartela alors mon fion.
- Tu es encore bien étroite.. Il va falloir travailler tout ça.
De là il me caressa tout doucement puis il commença à vouloir frayer un chemin avec sa main. J’étais effrayer.
- Regarde comment tu te montres.. Montre moi comment tu as envie de ma main en toi, combien tu es faite pour ça.
Je soupirais de désir, un fantasme, une envie, mais en suis-je capable ?
Il commença par me fouiller, à tourner avec ses doigts jusqu’à en mettre 4…
- On va voir si tu es capable de te faire baiser par mon poing, petite salope.
- Mon dieu, quelle pute tu fais…
Je me dandinais pour aller chercher ses doigts, à faire comme si on me baisait. La douleur était relativement saississante que je ne faisais plus la belle afin de trouver la bonne posture pour me faire baiser avec son poing. Il se faisait doux pour se frayer le passage. IL n’y arriva pas totalement, il ne força pas. IL ne voulait pas casser son petit jouet sexuel.
- Regarde moi comme tu es trempée, ta mouille coule au sol. Supplie moi de te baiser maintenant.
- Monsieur je vous en supplie, baisez- moi.
Il retira alors la ceinture de mon cou et la passa sous mes hanches. Il me mit ensuite mon gag ball
Il trempa sa queue avec ma mouille et me sodomisa sans ménagement. Il pris de part et d’autre la ceinture pour coller encore plus mes fesses et me prendre bien profondément comme une chienne le mérite.
Je sentais son souffle saccadé, ses coups de queue me heurter. Il me baisa avec une telle violence. Des coups si forts, encore et encore.
Il s’était déchainé. J’étais épuisé. Il jouit sur mes fesses.
Il me laissa ainsi sa semence sur moi. J’étais les jambes écartées, attachées, muselée.. à subir les désirs de mon maitre. J’étais sa chienne, sa putain..
Il revint, me banda les yeux…
J’étais épuisée.. Il vint tel un félin me murmurer à l’oreille
- Ma douce panthère, je vais te détacher.
C’est là qu’il me prit ensuite dans ses bras. Toujours les yeux bandés, il me fit marcher jusqu’à une pièce.. me demanda ensuite de lever ma jambe.. d’avancer.. IL m’avait préparé un bain.
Je sentais la chaleur de ce bain me réchauffer.
- Non, n’enlève pas le bandeau.. j’ai plein de surprises pour toi…
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Le sadomasochisme est une relation particulière dans laquelle deux partenaires
s’engagent dans une relation dominant/dominé, de façon adulte et consentante
et qui n'engendre aucun préjudice physique ou moral pour les pratiquants ou le
public. C'est un choix individuel et libre. L'activité existe uniquement par celui qui
le conçoit et par celle qui va le faire vivre, ou inversement. Aucune loi ne la régit,
à part des règles de sécurité. Il y a autant de BDSM différents que d'individus qui
le pratiquent. L'important est de se connaître afin de vivre au mieux ses fantasmes.
Aucune pratique n'implique obligatoirement le passage à l'acte sexuel. Toutefois,
il est fréquent de la voir interprétée par les participants comme un prélude érotique.
Les pratiques BDSM ont un poids psychologique essentiel, voire fondamental. C'est le cas dans celles qui
ont une forte dimension de soumission ou de domination liée à un statut ou une situation. Les partenaires
pratiquent ces jeux afin d'obtenir, par l'exacerbation de leurs sens et de leurs fantasmes, un désir sexuel
plus intense. La douleur psychologique, humiliation ou physique peut devenir souffrance. Mais la douleur
devient plaisir lorsque la charge d'endorphine couvre le choc de la douleur. Ceux qui le découvrent seront
toujours en quête, car dans ce cas, le désir est accru.
Il ne faut pas confondre BDSM avec sadomasochisme, la dimension de douleur est nettement moins présente
dans le BDSM qui se centre principalement sur l'aspect domination et la dimension psychologique. Pour certains
adeptes, le plaisir sexuel se double d’une décharge d’endorphine, et la douleur plonge l’individu dans un état
d’euphorie très intense. Depuis l’origine de l’homme, douleurs et plaisirs ont entretenu des rapports extrêmement
ambigus. La douleur et le plaisir sont les deux faces opposées d’un même corps , tel Janus le dieu romain aux deux
visages, complémentaires et sans doute indissociables des comportements humains.
De nombreuses règles peuvent régir les comportements, les autorisations et interdictions des deux personnes, sous la
la forme d'un contrat généralement écrit. Un journal peut aussi être tenu à jour quotidiennement. Ces engagements font
partie de ce qui peut structurer une relation BDSM sans incorporer encore une fois, nécessairement des actes sexuels.
Le plus célèbre des contrats est sans nul doute celui qui lie Sacher-Masoch à Mme Dunajew: ainsi Séverin s’engage-t-il,
sur sa parole d’honneur, à être l’esclave de Mme Wanda Dunajew aux conditions qu’elle demande et à se soumettre sans
résistance à tout ce qu’elle lui imposera. Les pratiquants BDSM affectionnent ce type de contrat qui stipule des règles
précises à respecter, énonce les statuts des uns et des autres. À titre d’exemple, dans le roman "La Vénus à la fourrure":
"L’esclave, anciennement libre de sa propre personne, accepte et établit qu’il veut et a l’intention de se livrer complètement
entre les mains de son Maître. Le Maître accepte et établit qu’Il veut et a l’intention de prendre possession de l’esclave.
Par signature de ce contrat d’esclavage, il est convenu que l’esclave donne tous les droits sur sa propre personne, et que le
Maître prend entièrement possession de l’esclave comme propriété."
Dans ce contexte, l’individu devient soumis, non pas parce que cet état est inscrit dans sa nature, mais parce qu’il le désire.
En outre, il le devient, non pas parce qu’il n’a pas de biens propres, de nom ou de corps: il le devient justement parce qu'il
a un corps et que ce corps lui appartient. Le dominant prend possession de lui et il devient sa propriété. Dès lors, le rôle
de la soumise ou du soumis est défini. En ce sens, les pratiques BDSM sont transgressives car elles remettent en cause la
notion juridique de personne en tant que fait fondamental du droit, c’est-à-dire qu’elles remettent en cause la liberté de jouir
de sa propre personne.
Cependant, c’est oublier que nous sommes dans le cadre d’un jeu de rôle et plus exactement, dans une modalisation.
C’est-à-dire que la relation BDSM prend pour modèle la soumission mais lui accorde un sens tout à fait différent. Ainsi,
si le contrat stipule que la Maîtresse ou le Maître prend entièrement possession de la soumise comme propriété, il précise
également que, si elle sent qu’un ordre ou une punition va nettement au-delà de ses limites, elle peut faire usage d’un
mot de passe convenu avec le Maître pour stopper immédiatement une action ou une punition. De même, la soumise
ou le soumis peut user d’un mot de veto convenu avec son Maître pour refuser un ordre qui mettrait en péril sa vie
professionnelle ou son intégrité physique.
Lors d'une séance, c'est le fameux safeword qui, utilisé par la personne qui se soumet, indique au partenaire qu'il doit
immédiatement et sans discussion interrompre l'action en cours, et la délivrer de toutes contraintes éventuelles aussi
rapidement et prudemment que possible. La négociation des fantasmes permet donc toujours de fixer des limites, des
frontières à ne pas dépasser. On ne le répétera jamais assez aux novices en soumission, le safeword est toujours à
considérer comme appelant une réaction de la plus haute urgence, quelle que soit la situation, et aussi anodine
puisse-t-elle paraître aux yeux de celui qui contrôle les événements.
Le contrat BDSM a pour fonction de préciser que l’on ne se situe surtout pas dans une véritable relation de
sadomasochisme au sens classique du terme. Dans l’univers BDSM, le contrat de soumission n’est qu’un simulacre
dans le sens où masochisme et sadisme ne s’y rencontrent jamais à l’ état pur. Des individus acceptent néanmoins,
pour un temps donné, d’endosser le rôle du sadique ou celui du masochiste. Le véritable sadisme n’est-il pas
d'infliger une douleur non souhaitée, non espérée, non désirée ? Le véritable sadisme n’est-il pas dans l’authenticité
de la souffrance ? C’est la raison pour laquelle le véritable sadisme ne fait pas en principe partie de l’univers SM.
Le BDSM n’est jamais négateur de l’autre. Ni le désir ni le plaisir de l’autre ne sont ignorés. Il s’agit bien plus de trouver
un consensus, de délimiter un territoire où chacun des protagonistes trouvera plaisir et satisfaction. Dès lors, de quelle
manière le dominant prend-il véritablement possession du dominé ? Le contrat BDSM, formel ou tacite, est nécessaire
pour amorcer la relation; il crée une rupture avec le quotidien et instaure un espace de jeu. Celui-ci n’est pas fixe mais
au contraire peut varier dans le temps et dans l'espace. Il peut s’agir d’un donjon, d’un lieu privé, voire d’un lieu public.
Toutefois, au-delà des décors et des situations, l’espace du jeu se focalise avant tout sur le corps de la personne dominée.
Le corps devient le lieu même de l’action puisque le dominant l’utilise tel un objet et exerce une action sur lui. La Maîtresse
ou le Maître accepte la responsabilité du corps et de l’esprit de la personne dominée et, tout en ne mettant pas en danger
la vie de la soumise, ou du soumis, édicte des règles de comportement, comme par exemple, d'exiger d'elle ou de lui, de
vivre en permanence avec des signes de soumission, ou de se faire tatouer, de percer ou de se faire percer le corps.
En d’autres termes, prendre possession de la soumise ou du soumis, c’est prendre possession de ses territoires,
et surtout de ses territoires les plus intimes: le corps et l’esprit. Dès lors, l’espace du jeu se décline n’importe où, n’importe
quand. Même si les décors ont une importance, parce qu’ils véhiculent une certaine atmosphère, le jeu peut se dérouler
dans n’importe quel lieu public, à l’insu des autres. La domination consiste alors à choisir pour l’autre, à décider de ses
attitudes ou de son comportement. Le jeu sadomasochiste est également signifié dans le langage lorsque les individus
conviennent d’un certain nombre de rites d’usage.
Le consentement, la négociation des désirs qui précède tout contrat, mais aussi souvent l’échange des rôles entre
partenaires, indiquent combien le caractère dramatique du contrat n’est qu’illusoire. En quelque sorte, la soumise ou le
soumis conserve toujours la maîtrise de son corps, puisque à tout moment il peut arrêter le jeu, et nous sommes ici bien
plus dans un jeu de rôle ou de masque, que dans le tragique d’une relation humaine. Les pratiques BDSM n’ont donc en
principe, aucun caractère violent, tout au plus s’agit-il d’une violence canalisée, voire symbolique et toujours encadrée.
Elles ne font que mettre en scène une relation de pouvoir qui ne peut être, par définition, une relation de soumission,
encore moins d'esclavage. En outre, dans les relations BDSM, le pouvoir est mobile et instable. En d’autres termes,
la relation de pouvoir ne peut exister que dans la mesure où les sujets sont libres. Dès lors, il importe de déterminer jusqu’à
quel point les individus, dans ce contexte, sont libres et consentants et jusqu’à quel point il s’agit de relations de pouvoir
jouées et non pas d’une manifestation masquée de domination masculine ou d’une intériorisation des normes caractérisant
le féminin et le masculin, qui emprisonnent l’individu dans un rapport de domination sans issue.
Les jeux de rôle BDSM nous interpellent, trop souvent, à plus d’un titre, par leur caractère stéréotypé. Les histoires que
se racontent et que jouent les pratiquants empruntent, en effet, aux rôles traditionnels, notamment féminins et masculins,
et à la représentation classique, des rôles de sexe mais en les exacerbant et en les caricaturant. Voilà pourquoi seule
l'imagination de la Maîtresse ou du Maître, sans cesse renouvelée, peut assurer la pérénnité et l'épanouissement d'une
relation SM.
La comparaison des romans d’"Histoire d’O" de Pauline Réage et de "La Vénus à la fourrure" de Sacher-Masoch est à
ce titre tout à fait significative. Dans le premier, bien que O soit une femme autonome et active, sa soumission paraît
naturelle et se passe de justification. La manière dont elle vit et dont elle ressent sa soumission est exprimée, mais jamais
son désir de l’être. La soumission est ici féminine. Dans "La Vénus à la fourrure", la soumission est masculine et n’a aucun
caractère naturel. À l’inverse d’O, Séverin est celui qui construit sa soumission, choisit celle qui le dominera et à qui il
impose un contrat qui stipule sa servitude. Ici, le soumis est celui qui dicte les règles.
Si nous nous en tenons à la représentation des catégories de sexe, il est possible d’observer une reconduction de la
domination masculine. Il y a une affirmation de la domination lorsqu’un homme domine et une affirmation de la soumission
lorsqu’une femme se fait dominer. Il y a très souvent une illusion de la domination lorsqu’une femme domine. Ce qui ne
signifie pas pour autant qu’il y ait une perpétuation de la domination masculine. Les relations BDSM ont ceci de paradoxal
qu’elles sont l’endroit où cette domination peut être reconduite tout comme elle peut s’évanouir. Par ailleurs, il existe de
véritables et authentiques cas de relation de domination féminine sur des hommes soumis.
Alors que le rôle féminin et masculin ne cessent de se redéfinir l’un par rapport à l’autre, il semble que les relations
sadomasochistes ne fassent que théâtraliser des rôles traditionnels figés, en les appliquant ou en les inversant.
Cependant, bien que les rôles soient prédéfinis et stéréotypés, il est toujours possible de les réinventer, de composer, de
créer son masque et renouer avec les jeux de l’enfance. L’individu se projette et trouve des réponses aux questions qu’il se
pose inconsciemment. Il choisit d’être homme ou femme, sadique ou masochiste, dominant ou soumis. Il s’identifie et
expérimente. Il peut laisser libre cours à son imagination puisqu’il est entendu qu’il s’agit d’un jeu et que les limites de
chacun seront bien heureusement respectées.
Il n’importe pas de chercher une explication de type pathologique à un désir de soumission ou de domination mais d’être
sous le charme d’un érotisme qui peut faire exploser les rôles habituels. Toutefois, la difficulté de l’analyse des relations
BDSM réside dans le fait que la relation sadomasochiste ne saurait se réduire à un jeu sexuel basé sur un contrat qui
énonce les rôles et les statuts de chacun. Les individus établissent un lien avec l’autre, lien qui implique une relation
humaine, source d’émotions et d’affects. Avant d’être une relation BDSM, il s’agit d’une relation entre deux individus.
Lorsque l’on connaît le mode de fonctionnement de ce type (consentement mutuel, négociation des désirs, contrat),
la relation BDSM laisse d’abord apparaître la complicité, la réciprocité, la connaissance de soi et de l’autre. Et, en effet,
beaucoup de pratiquants évoquent un épanouissement possible dans cet univers qu’ils ne trouvent pas ailleurs, basé sur
une connivence mutuelle. C'est toute la richesse du lien de domination ou de soumission. Mais parce que les pratiques
BDSM sont aussi des pratiques sociales, on y trouve les mêmes travers que ceux observés dans la société, et la même
hétérogénéité. Certains individus ne cherchent qu’à satisfaire leur désir sans tenir compte des désirs de l’autre.
Il en va ainsi des pseudo Maîtres dominateurs qui trop souvent contactent des soumises pour assouvir un classique désir
sexuel tarifié, comme des soumis qui consultent des dominatrices professionnelles pour vivre leur fantasme. Le corps de
l’autre n’est alors utilisé que comme objet et ne nécessite aucune relation authentique de complicité. Comme les pratiques
BDSM sont aujourd’hui plus visibles et pénètrent dans l’univers du sexe en général, certains prétendent vouloir engager ce
genre de relations alors qu’ils cherchent tout à fait autre chose. Le jeu sensualiste et érotique devient alors pornographique.
Les relations BDSM sont hétérogènes et ne diffèrent en rien de n’importe quel autre type de relation. On y trouve, comme
partout ailleurs, des mécanismes de domination et d’appropriation de l’autre. Cependant, elles sont aussi l’endroit où un
véritable échange peut s’observer. Ainsi, elles ne constituent pas plus que d’autres une entorse au respect des personnes.
Comme toute relation, elles peuvent reconduire des rapports de force ou bien participer à la construction des identités.
Les pratiques BDSM ne remettent donc pas en cause les principes fondamentaux du droit. Il n’y a pas un individu qui
s’approprie le corps ou l’esprit d’un autre. Deux partenaires, dont l’identité est en perpétuelle construction, s’investissent
dans un univers où les règles sont fixées, non seulement par le contrat, mais aussi, plus profondément, par le jeu social
lui-même. C’est pourquoi ces pratiques, qui ne sont transgressives qu’en apparence, se donnent pour principe de
fonctionnement, le respect mutuel et la négociation. Loin d’être sauvages, elles sont bien au contraire socialisantes.
C’est paradoxalement en usant de masques, en ritualisant et en théâtralisant l’échange, que deux partenaires
ont la possibilité, dans une relation SM saine, de pimenter leur sexualité, en réalisant une part de leurs désirs
inconscients informulés et de s’affirmer comme personnes à part entière, consentantes et responsables.
Bonne lecture à toutes et à tous. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Maxime a commencé par s’allonger à mes côtés, pour m’embrasser longuement, comme pour me témoigner que ce qui allait suivre ne changeait rien à la tendresse qu’il éprouvait pour moi, qu’il restait conscient que même esclave je demeurais aussi femme et qu’il me respectait pour cela.
Puis il a continué de me caresser et de m’embrasser, les seins, le ventre, le sexe, lentement, doucement, jusqu’à ce que, n’en pouvant plus de m’abandonner à son désir, ma chatte se retrouve trempée de mouille.
Après une dernière caresse buccale, il s’est relevé, et quelques instants plus tard, la cravache cinglait ma poitrine, mon ventre, mon sexe. Attachée, les yeux bandés, je ne pouvais rien anticiper, ni savoir où son prochain coup allait s’abattre. Je n’avais d’autre choix que de subir, et de l’imaginer, nu, jambes écartées, la queue raide du plaisir de m’entendre gémir, de me voir essayer en vain d'échapper à mon supplice.
Les larmes coulaient sous le bandeau, mais en même temps je jouissais de cette impuissance qui était la mienne et comme toujours, après une dizaine de coups, le plaisir a pris le pas sur la douleur, jusqu’à un premier orgasme qui m’a fait me cambrer en dépit de mes liens.
Mais ce n’étaient que les prémisses de ce qui allait suivre, la cravache n’étant qu’une entrée en matière, somme toute classique, de ce qu’il avait prévu pour moi.
Je n’ai jamais été fan des sextoys, qu’il s’agisse de plug, godes ou vibromasseurs.
Je préfère de loin les originaux aux copies, la queue de Maxime à ses substituts.
Mais ce n’est pas à moi de décider de la manière dont mon Maitre use de mon corps et de mes trous.
Et dans les divers instruments dont il se sert pour abuser de moi, jouir de moi et me faire jouir, nous avons un « fairy wand ». J’ignorais que ce soir là, il avait décidé d’en faire usage. Je l’ai su lorsque j’ai entendu le bruit du moteur qui se mettait en marche.
Il a commencé doucement, à mi-puissance, par l'intérieur de mes cuisses, mon pubis, en augmentant progressivement au fur et à mesure qu’il approchait l’instrument de ma vulve, où il a envoyé la pleine puissance, jusqu’à ce que je cambre sous l’effet des vibrations. La première explosion n’a pas tardé et j’ai joui. Le temps que je me ressaisisse, il avait à nouveau diminué l’intensité des vibrations et était repassé au pubis. Quelques instants d’une excitation différente, et il revenait à mon sexe, introduisant cette fois le vibromasseur dans ma chatte, stimulant mon clitoris jusqu’à ce que je me cambre à nouveau et reparte pour un second orgasme.
Il a continué à jouer ainsi avec moi un long moment, en alternant intérieur des cuisses, pubis, vulve, clito, s’interrompant parfois pour me stimuler les tétons, avant de repartir vers mon sexe.
J’avais perdu toute notion du temps et les orgasmes, purement mécaniques, se succédaient, me laissant épuisée quand il a fini par s'arrêter.
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La voiture quitta la route pour s'arrêter en contrebas d'un bouquet d'arbres
jouxtant une grange délabrée. Hormis quelques chants d'oiseaux et le
bruissement du vent entre les feuilles, l'endroit était parfaitement silencieux.
Le soleil était chaud, et l'endroit désert. Pourquoi, ne pas se laisser aller ?
D'un geste, Charlotte dégrafa sa minijupe et la fit glisser le long de ses jambes en même temps que son string.
Puis elle ôta son chemisier, son soutien gorge, et jeta le tout sur la banquette arrière.
- Est-ce que je plais comme ça ? Minauda-t-elle.
Juliette ne répondit pas, comme si elle n'avait même pas remarqué le rapide effeuillage de son amie.
Pourtant, Charlotte la vit serrer les dents et presser un peu plus fort le volant entre ses poings.
Enhardie par cette réaction, elle se pencha un peu et déboutonna le short de Juliette, juste assez pour que sa
main puisse se frayer un passage jusqu'en bas de son ventre. Elle découvrit à tâtons un pubis parfaitement lisse,
un peu plus bas encore, le léger relief intime des lèvres moites.
Juliette se laissa faire quelques instants sans réagir.
Brusquement, elle aggripa les cheveux de Charlotte et lui colla violemment la joue contre sa cuisse.
- Ecoute-moi bien Charlotte, gronda-t-elle sur un ton abrupt, Il faut que tu saches que je n'aime pas beaucoup
que l'on prenne les initiatives à ma place, tu as compris ?
Charlotte acquiesça sans mot dire. Elle qui, quelques instants plus tôt, était persuadée d'avoir gagné le cœur
de son amie, subissait à nouveau sa violence. Elle se sentait anéantie, ridicule ainsi contrainte et nue, mais
en même temps, elle éprouvait un étrange plaisir qui l'empêchait de tenter de se dégager ou de fondre en
larmes. Le sexe de Juliette était là, tout près de son visage. Elle en devinait le parfum intime. Elle l'avait touché
du doigt. Elle l'avait senti humide et cela ne pouvait pas la tromper: Juliette était excitée elle aussi.
Son amie relâcha sa pression qui devient caresse. Elle releva jusqu'à sa bouche les lèvres de Charlotte
et l'embrassa à nouveau, plus tendrement cette fois.
- Xavier ne t'a jamais emmenée ici ? Demanda-t-elle d'une voix de miel. Cet endroit appartient à l'un
de mes cousins. Tu ne trouves pas cet endroit magique ?
Elle demeura songeuse, appuyée contre le volant à observer les alentours. La grange, dont une partie
de la toiture s'était effondrée depuis longtemps était dévorée de lierre et de chèvrefeuille. Un doux parfum
de liberté et de sensualité flolttait dans l'air, enveloppant les deux jeunes corps d'un irrépréssible désir.
Seul, un chemin serpentait entre les coquelicots et les fougères jusqu'aux ventaux vermoulus du portail.
On le distinguait à peine derrière un groupe de jeunes sureaux indisciplinés qui en gardaient l'entrée.
- Sors de la voiture, Charlotte, j'ai envie de te regarder.
Charlotte obéit à nouveau. Dehors, sous les arbres, le sol moussu dégageait une odeur puissante d'humus.
Elle demeura quelques instants immobile à sentir le parfum du vent tiède glissant sur sa peau.
Être nue sous le feuillage, au bord d'une route de campagne, ne lui semblait en rien extravagant à cause
du regard de son amie posé sur elle.
Elle s'aventura de quelques pas dans la futaie. Sous la plante de ses pieds, les brindilles sèches craquelaient,
tandis qu'à l'odeur fraîche de l'humus se mêlaient celles, plus entêtantes encore, des herbes chaudes et des
fleurs gorgées de soleil. Tout éveillait en elle son animalité.
Elle se retourna. Juliette avançait vers la grange d'un pas lent, à l'élasticité féline. Charlotte eut tout à coup
le désir de posséder son amie. La prendre par les hanches et l'attirer vers elle. Caresser ses fesses, en découvrir
les formes, embrasser ses seins fermes, en mordiller les aréoles brunes.Toucher son ventre chaud et lisse.
Elle marcha à son tour vers la grange.
Dans le fond du bâtiment, une échelle en bois menait à l'étage, une sorte de mezzanine sombre.
Charlotte adora aussitôt cet endroit. Elle aimait le bruissement tranquille des arbres tout proches,
la lumière dorée du soleil filtrant à travers le toit éventré, et le suave parfum d'été qui se dégageait de la paille.
- J'aime bien te voir nue dans ce lieu.
Elle roulèrent sans un mot sur le sol paillé. Leur envie réciproque de se posséder les transforma en
lutteuses. Elles s'encastrèrent l'une contre l'autre en s'embrassant, se mordant et se griffant, seins
contre seins, ventre contre ventre, en un jaillissement furieux.
- Raconte-moi ce que tu ressens quand Xavier commence à nouer des cordes autour de toi
demanda Juliette. Quelle sensation cela procure de se retrouver nue et vulnérable ?
- J'ai peur. Et en même temps, je suis impatiente.
- Il te caresse en t'attachant ?
- Non, il est comme absent, On dirait un peintre occupé à préparer ses pinceaux.
- Il t'a déjà fouettée ?
- Non, jamais.
Juliette marqua une légère pause avant de reprendre:
- Et tu le regrettes ?
- Peut-être, oui.
Charlotte fut surprise de sa propre réponse, comme si ce n'était pas elle qui avait répondu mais une autre.
Sans attendre, Juliette dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une épaisse corde de chanvre
qu'elle attacha à une poutre, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds.
Elle entendit le cliquetis de la boucle de la ceinture tandis que Juliette l'ôtait de son short.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je répare un oubli, répondit Juliette.
- Tu veux que je te bâillonne ?
Charlotte secoua la tête. Non, elle ne voulait pas être bâillonnée. Elle voulait sentir la douleur lui monter
jusqu'à la gorge pour y exploser. Cela devait faire partie du rituel. Il fallait que quelque chose sorte d'elle.
Elle osa un regard par dessus son épaule. Indifférente, bien campée sur ses jambes fuselées, ses seins
dressés tressautant au rythme de ses larges mouvements.
Juliette éprouvait la souplesse du ceinturon en en fouettant l'air.
Ainsi nue et armée, elle ressemblait à une déesse antique.
Charlotte ferma les yeux. Elle désirait être fouettée et Juliette seule pouvait lui faire subir cette épreuve.
Ce serait non seulement s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave,
à une autre femme de surcroît. Accepter ses coups, encaisser à travers elle, la fureur de toutes les femmes
du monde, devenir leur proie et se griser à l'idée de payer par le fouet, le fait dêtre leur plus dangereuse concurrente.
Le premier coup claqua séchement contre ses fesses. Juliette n'était pas du style à y aller progressivement.
Elle avait frappé fort avec l'assurance qui lui était coutumière et Charlotte sentit sa peau d'abord insensible,
réagir rapidement à la brûlure du cuir. Le deuxième coup tomba, plus assuré encore, et elle gémit de douleur
en contractant les muscles de ses fesses.
Sa réaction sembla plaire à Juliette. Elle leva le bras encore plus haut, abbatit le ceinturon avec plus de force
et cette fois, Charlotte poussa un cri bref en se cramponnant à la corde qui la tenait étirée.
Juliette la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement
une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Trente, quarante, cinquante coups
Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées s'était substituée une sensation d'intense
chaleur, comme si elle avait exposé son dos à un âtre crépitant. Le supplice était le prix à payer pour que sa
Maîtresse continuât à l'aimer, elle souhaitait seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi et attendait muette.
- Retourne-toi, dit Juliette d'une voix calme.
Aggripée à sa corde, ruisselante de sueur, Charlotte était épuisée.
- Non, pas devant Juliette, haleta-t-elle, Pas devant.
-Tu dois aller jusqu'au bout de ton désir, Chalotte, Allons retourne-toi vers moi.
Charlotte pivota lentement sur elle-même. Elle avait gardé les yeux baissés mais elle aperçut quand même
le ceinturon s'élever dans l'air et s'abattre sur elle, au sommet de ses cuisses. Elle hurla à nouveau et releva
la jambe pour se protéger du coup suivant. Elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas et se vit perdue.
Juliette ne refrappa pas immédiatement. Elle attendit que Charlotte ne puisse plus se tenir ainsi sur la pointe du
pied et qu'épuisée, elle s'offre à nouveau au fouet.
Au coup suivant, elle ne tenta plus d'esquiver. N'avait-elle pas désiré cette correction ? Juliette avait raison;
elle devait savoir ce qu'il y avait au-delà de cette douleur qui lui arrachait des cris et des larmes. Par dépit,
elle plongea son regard dans celui de son amie et elles ne se lachèrent plus des yeux tout le temps que
dura la flagellation. Elle se voyait onduler au bout de sa corde, en sentant ses seins frétiller, ses cuisses tendues,
son ventre creusé. Elle se voyait brûler sous les coups, s'enflammer toute entière.
Juliette continuait à la fouetter méthodiquement sur les hanches et sur les seins.
Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une
fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme
une boule de feu.
La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois.
Juliette cessa aussitôt de la frapper et tomba à genoux devant elle. Posant avec une infinie délicatesse les doigts
sur ses reins meurtris, elle attira jusqu'à sa bouche la peau empourprée des cuisses et du ventre qu'elle couvrit
de baisers. Elle aspira entre ses lèvres, les lèvres de son sexe, les lécha avec douceur.
Se suspendant à sa corde, Charlotte jeta le bassin en avant, enroula ses jambes autour du cou de son amie
pour emprisonner son visage contre son sexe ouvert. Juliette réagit en dardant une langue aussi droite et rigide
qu'un membre d'homme sur son clitoris. À ce seul contact, Charlotte jouit aussitôt.
Enfin Juliette se détacha d'elle. la corde à laquelle elle était suspendue fut coupée et Charlotte se laissa tomber
sur le sol, savourant l'étrange bonheur de sa soumission. Les parties de son corps offensées, devenues douloureuses,
lui apparaissèrent plus belles, comme anoblies par les marques fraîches, stigmates de la flagellation. Elle se perdait
dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à l'amour.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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(Réédition du 28/04/2020 -> 20/04/2024 - 1438 Vues)
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Les femmes mariées ont-elles des prédispositions dans la Soumission ?
Qu'est-ce qu'une Femme Mariée dans son désir de sérénité, ses pulsions extrêmes, et sa volonté à s'épanouir dans une relation BDSM ?
Entre illusion et idéalisme, frustration et désir de consommation à outrance, à l'éveil de leurs pulsions, les femmes mariées convergent toutes vers les sites où la lubricité est Reine.
"Vers un dernier regain d'énergie, pour une jouissance se voulant libératrice" pourrait-on dire de celles-ci.
A travers un dossier décryptant certains profils de femmes, leurs façons de penser et de réagir par leurs pulsions qui les étreignent, et les répercussions de leurs actes sur leurs environnements..
Plongez dans un sujet des plus captivants, où le rêve a plus d'importance que l'objectivité, la débauche a plus d'importance que les responsabilités.
Et d'une vérité qui ne peut qu'éclater ; Leurs besoins de vouloir respirer à tout prix.
01 - A qui s'adresse cet article ?
Ironiquement, moins pour les femmes mariées que pour leurs partenaires de vie, ou d'un soir..
Cet article pouvant se révéler dur et anxiogène pour les femmes n'ayant jamais effectué un travail d'introspection (Voir nuisible dans leurs désirs de spontanéité à se donner pour le plaisir).
Il est plutôt recommandé pour les hommes en devenir, les "cocufiés", ou simplement les Dominants à la petite semaine ne comprenant pas les raisons de leurs ruptures avec ce type de femmes.
Même si il est extrêmement difficile de se définir en tant qu'être humain dans une société pré-établie, seul les travailleurs/ses y trouveront leurs comptes dans ces écrits et conserveront une certaine excitation dans leurs lectures.
Le but de celui-ci n'étant pas de se donner bonne conscience, mais de se donner les "clés" indispensables à la compréhension de ces femmes, afin d'identifier leurs bien être de leurs plaisirs, et leurs besoins de leurs envies.
02 - Quels sont les principaux profils de femmes mariées arpentant un site de BDSM ?
- La femme dite "Vanille".
- La femme dite "Débauchée".
- La femme dite "Masochiste".
- La femme dite "En relation BDSM".
- La femme dite "Vanille".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme dite "Vanille" a généralement une attitude constructive de communication dans son couple.
Mais ne sachant pas comment fonctionne l'homme, elle sera d'une nature à vouloir régler sa frustration sexuelle et émotionnelle de façon factuelle (Rationnelle) sans connaitre la façon de l’appréhender de par ses pulsions de femme qu'elle décidera sciemment d'ignorer.
Les échanges se révélant souvent infructueux avec leurs conjoints, elle aura d'autant plus de justification à rejoindre des groupes (Notamment créée par des ami(e)s extravertis), ou des communautés de sites "d'informations" sur les relations de couples.
Profitant de ces escapades sous le couvert de vouloir faire évoluer leur couple, c'est souvent dans ce cadre que les femmes "vanille" se découvrent le temps et l'excitation à explorer des pratiques jamais réalisées auparavant (Voir refoulées).
Il sera très difficile de faire la part des choses pour elle par la suite, oscillant entre son désir et son "travail" de faire revivre une continuité dans son couple, et l'ivresse de son appétit récemment découvert.
Elle échouera de façon ponctuelle sur des sites BDSM de part ses rêves d'un amant fougueux et charismatique, ou d'un homme façonné de toute pièce estampillé "50 nuances de Grey" (Personnage créé et commercialisé pour satisfaire les désirs utopique des femmes sans expérience, et ayant bien sûr un pouvoir d'achat).
- La femme dite "Débauchée".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme débauchée se veut sportive, créative et originale.
A la fois synonyme de sa volonté de dépenser son énergie, que pour sa capacité à vouloir "leurrer" l'autre de ses besoins constants hors-normes.
Ayant un fort désir sexuel et de fraicheur de vivre, sa relation de couple se sera basée essentiellement sur des hommes simples ayant eu juste le courage de les aborder.
Cependant, sachant sa lubricité latente, et prônant les concessions envers leurs conjoints pour contrebalancer sa libido se rapprochant à l'apogée de la Nymphomanie, elle n'aura aucune stratégie à long terme pour contrecarrer l'épuisement moral et physique de leurs partenaires.
Une routine s'installant de leurs "sens du service" contribuant à l’oisiveté de leurs conjoints, "qu'eux" attribueront à une "stabilité" de couple.
Un mensonge éhonté sur ses besoins extrêmes dès la création de leurs relations, qui l'a feront chavirer à 180 degrés, l’obsession et la satisfaction sexuelle d'un mâle passant maintenant avant toutes choses.
- La femme dite "Masochiste".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme Masochiste se veut cultivée, distinguée et marginale.
Ayant une approche emplie de volontariat et d'initiative envers son partenaire, ses pulsions l'a porteront vers un tempérament caractériel lorsque la moindre stabilité se fera sentir.
Comptant sur sa capacité à maintenir cette souffrance intérieure, elle n'aura de cesse pourtant de vouloir repousser les limites de leurs conjoints pour qu'il l'a stoppe, ou qu'il l'a touche de nouveau par les sentiments.
Cependant, il devient impossible pour son conjoint de la contenter, de son incapacité à appréhender le masochisme en elle, qu'il avait pris pour une forte personnalité dans les débuts de leurs idylles.
Sans-gène, et sachant pertinemment ses besoins perpétuels, elle n'hésitera pas à cumuler plusieurs partenaires pour se sustenter. L'excitation des actes étant plus important pour elles, que ceux qui les prodiguent.
- La femme dite "En relation BDSM".
Lorsque ses pulsions se manifestent, la femme "En relation BDSM" s'évertue à légitimer ses choix.
Se voulant concrètement épanouie, elle voudra s'afficher auprès de son Dominant dans un tourbillon d'esthétisme et d'osmose véritable.
Libre d’apparence dans ses choix de vie, elle n'en n'est pas moins prisonnière d'une relation peu hétéroclite, où seul les sites extrêmes et un environnement averti, sont dans la capacité de témoigner de leurs complicités dans leurs pulsions.
Si la relation avec ce type de femmes est basé et limité à la préservation de leurs plaisirs extrêmes, elle en est aussi la fondation et le réconfort dans leurs couples.
Gravitant entre une désuétude à se renouveler, et l'obsession croissante à pouvoir se faire concurrencer/détrôner dans leurs idylles, elles se cherchent plus une voie à "immortaliser" leurs relations, qu'à la faire évoluer.
03 - D'où provient l'excitation d'une femme mariée ?
Une femme traverse plusieurs étapes naturelles dans son existence, qu'importe la société où elle évolue.
Elles les amènent à se confronter entre leurs choix d'évolution de femme, et leurs fonctions imposées (empiriques) par leurs corps.
En fonction de son éducation, de son environnement et de ses aspirations, elle sera amenée très tôt à faire d'elle-même des concessions de vie, plus ou moins bien vécues.
Cette limite définie sera précurseure de ses premières frustrations, et déterminera assurément dans le même temps son niveau d'excitation et de plaisir dans ses futures relations.
Sachant cela, il convient qu'il devient difficile et usant, à vouloir se tracer une "route" bien droite en tant que femme, mariée et mère, qu'importe sa volonté et ses actes.
(La citation que "La vie trouve toujours son chemin" suggère que celle-ci est d'ailleurs sinueuse, et qu'il est peut être une gageure de vouloir la rendre droite de son égo, à vouloir garder le contrôle de sa vie.)
Clairement, la femme compense plus pour son plaisir, qu'elle n'a d'exigence envers lui.
Ce qui me fait dire que plus elle travaillera à se donner un sens à sa vie, plus elle se donnera au plaisir pour lui échapper.
Une logique et non un paradoxe d'un corps adapté prêt à épouser la vie, et non un homme.
La Suite : https://www.bdsm.fr/blog/5144/Femmes-mari%C3%A9es-et-BDSM-;-Un-m%C3%A9nage-%C3%A0-trois-(Partie-2) -> Femmes mariées et BDSM ; Un ménage à trois. (Partie 2)
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/3754/lhomme-enfant -> L'Homme Enfant.
https://www.bdsm.fr/blog/4897/o-nanisme-je-men-branle-donc-je-suis -> "O"nanisme ; Je m'en branle, donc je suis.
https://www.bdsm.fr/blog/4212/mentalit%C3%A9-cum-slave-notions -> Mentalité : Cum-Slave. (Notions)
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Les jours suivants se déroulèrent dans une atmosphère de joyeuse complicité. Cléo aimait s’amuser et jouissait d’un authentique talent d’actrice. Son entrain naturel faisait un opportun contrepoint à la gravité habituelle de Sarah. Sans doute cette dernière conservait-elle en elle trop de blessures secrètes pour se laisser aller facilement à la légèreté. Il me revanait désormais de les lui faire oublier.
Observer les deux filles ensemble était un pur bonheur et chacun de leurs gestes amoureux me réchauffait l’âme. Et si je toussotais lorsque l’une glissait la main sous la robe de l’autre, ce n’était que par jeu.
Il y avait aussi les baies à ramasser au fond du jardin, les fleurs à arroser, les repas à préparer, un peu de couture, de ménage ou de bricolage à faire. Il fallait aussi que je me remette au travail et que je consacre impérativement mes matinées à la comptabilité, sous peine de faillite. C’est pourquoi, tandis que je m’enfermais dans mon bureau sitôt après le petit déjeuner, les deux jeunes femmes avaient tout loisir de se livrer à la grande cérémonie de la toilette, à laquelle elles consacraient une bonne heure. Ensuite, si la toilette n’était pas suivie du rite sacré de l’épilation, Cléo allait chercher le journal, qu’elles lisaient ensemble, serrées l’une contre l’autre, sous la véranda, accompagné d’un troisième ou quatrième café. La lecture achevée, elles sortaient dans le jardin en tee-shirt et culottes sages pour s’adonner à leurs sports : badminton, gymnastique improvisée, lutte ou, plus calmement, yoga. Mais les jours d’épilation, plus rien ne comptait d’autre que la cire chaude et les bandelettes.
Un temps suspendu par l’orage, le printemps retrouvait ses transparences. Une tiédeur s’installa, hachurée du bourdonnement des insectes. Une sorte de paresse sensuelle s’installa.
Cléo préparait les repas et servait à table. Il arrivait que Sarah propose qu’elle nous rejoigne mais la plupart du temps, elle restait debout, à légère distance, mains sagement croisées dans le dos et prenait son repas plus tard, seule dans la cuisine. Est-il besoin de dire qu’elle n’était vêtue que du minimum ? Jupe courte à volants et simple bandeau de tulle sur la poitrine le midi, corset noir avec seins apparents et bas de la même couleur pour le dîner. Sarah, cependant, avait le souci d’agrémenter chaque jour cette semi-nudité d’un ornement différent, qu’il s’agisse de cristaux, de pierreries ou de chaînettes à ses anneaux, de façon à ce que le regard sur son corps en soit chaque jour renouvelé.
Un soir sur trois, Cléo nous offrait une petite représentation ou une lecture, selon ce qu’elle avait préparé. Une tenture de velours rouge sang dénichée au grenier, une douzaine bougies, l’amplificateur de la chaîne stéréo… et le spectacle commençait. C’était pour des imitations de Liza Minnelli, de Marlène Dietrich ou de Greta Garbo, dans le style burlesque. Le maquillage et la coiffure étaient saisissants de véracité, la voix et les pauses d’une ressemblance parfaite, mais la tenue, bien évidement, s’affranchissait des pudeurs de l’époque. Pour ses simples lectures, Cléo s’étendait sur le canapé, appuyée sur un coude, les jambes rassemblées en fuseau, et aux lèvres un rouge si pétulant que le mouvement des mots prenait vie. Ses choix portaient sur des affaires scandaleuses comme celle du couvent de Sant’Ambrogio, dont les novices étaient contraintes au cunnilingus sur l’abbesse, laquelle sécrétait « une sainte liqueur » dont Dieu faisait « don » aux jeunes filles, ou celle de la criminelle Comtesse Bàthory. Ces saynètes ou ces contes pour grandes personnes mettaient chaque fois Sarah dans un état de fascination tel qu’elle semblait totalement s’abstraire de la réalité et que je surpris bien des fois sa main glisser sous le tissu jusqu’à ses seins.
La représentation achevée, elle invitait notre artiste à venir l’embrasser. Ce baiser, qui n’était qu’un défi à mon égard, avait ses justifications. Je n’avais pas touché Sarah depuis le jour où je l’avais prise dans le jardin, juste avant l’averse. Son dépit était compréhensible, mais il n’était pas question que je la prenne tant qu’elle serait annelée au nom d’un autre. Rendez-vous avait été pris, je m’assurais que tout soit fait et bien fait. Les comptes seraient soldés ultérieurement. Il fallait encore un peu de temps.
Sarah et Cléo partageaient le même lit mais Sarah avait fait le choix de laisser dorénavant leur porte grande ouverte. Dans son esprit, elle n’avait plus rien à me dissimuler de son intimité, puisque j’étais désormais son maître. Cléo avait bien protesté de cette intrusion dans leur vie amoureuse mais Sarah était restée ferme et lui avait promis de limiter ma présence de telle façon qu’elle ne s’en rendrait pas compte. C’est du moins ce que je les entendis négocier dans mon dos, Cléo concluant : « me faire baiser devant l’homme invisible, si je m’attendais à ça ! »
Grimpant dans ma chambre beaucoup plus tard qu’elles, il m’arriva en effet de passer quelques minutes à les contempler endormies, enlacées l’une à l’autre, partageant leurs parfums et leurs sueurs. En son temps, Courbet sut traduire cette volupté…
Et puisque l’on parle des nuits, il faut s’arrêter sur celles où elle regagnaient leur chambre en se donnant la main, geste de tendresse qui faisait comprendre que Sarah avait envie de profiter de son amie. Je ne les suivais qu’un peu plus tard, pour ne pas gâcher leurs préliminaires, et lorsque j’assistai à leurs ébats, c’était avec une parfaite discrétion, assis dans le coin le plus obscur. Elles me savaient là, quelque part, et j’imaginais qu’elles finissaient pas m’oublier.
Sarah menait le bal sans qu’il y ait de règle ou de constance dans leurs ébats.
La première nuit fut celle qui m’initia aux ressorts de leur relation. Sarah commença par bâillonner Cléo avant de lui attacher les mains dans les reins et les pieds aux montants du lit à l’aide de menottes de cuirs. Les cuisses largement ouvertes, Cléo était ainsi exposée sans défense à ses caprices et, accessoirement, à mon regard. Elle se laissa faire avec une docilité extrême. Sarah commença par lui mordiller longuement les seins, les pinçant, les étirant et les pressant aussi des doigts, avant de descendre tous ongles dehors jusqu’à sa chatte, où, remontant et descendant le sillon de ses doigts habiles, elle insista alternativement sur le clitoris et sur l’orée du vagin. Lorsque l’excitation de Cléo devint plus évidente, que son bassin commença à onduler, Sarah abandonna ses caresses pour s’agenouiller au dessus du visage de son amie. Avec une lenteur millimétrique, elle approcha sa vulve de la bouche de sa compagne.
Tout n’est alors qu’un défilement d’images qui se superposent : lèvres intimes contre lèvres, baiser ardent, langue agaçante, dents mordillantes, fente avide, bouche dévorante, bouton tumescent, humeurs, nectar, jus, coulures, bavures, cyprine diluée de salive, puis dans un ultime coup de rein, ce petit éjaculat au visage tandis qu’elle basculait de son côté, la main pressée contre son sexe qu’elle l’apaisa à renfort de caresses. Cléo, abandonnée, ne cessait, elle, de se tortiller sur le draps, grognant au travers de la boule qui lui obstruant la bouche. J’eus pitié d’elle, de son sexe gonflé et luisant d’humidité.
Le lendemain matin, Cléo apparut toute défaite. Pâle et les larmes aux yeux, elle traversa le salon à grandes enjambées pour se lover en boule dans l’un des fauteuils, sa robe de chambre rassemblée autour de ses jambes. Sarah arriva sur ces entrefaites, impeccablement maquillée, les yeux luisants de colère. Le martinet à longues lanières pendait à son poignet. D'un ton sec, elle intima à Cléo de se lever. Je voulus intervenir, mais pourquoi l’aurais-je fait ? Cléo ne m’appartenait pas. Sarah l’attrapa par les cheveux et la tira jusque sous la véranda. À cette heure, le soleil frappait droit au travers du toit vitré et la chaleur était déjà vive. Au travers de la fenêtre, je vis Sarah arracher sa robe de chambre de Cléo, basculer celle-ci contre la table, sur le ventre, puis, d’un large mouvement du bras, lui asséner un premier coup de martinet. Cléo ne hurla pas de douleur, à peine supplia-t-elle. Elle ne chercha pas à éviter la punition, elle s’agrippa seulement aux rebords de la table. Son corps luisant de sueur était plus désirable que jamais et ses larmes plus émouvantes encore. Un second puis un troisième coup s’abattirent sur ses fesses. Les marques rouges devinrent visibles. Quelques autres frappes sur le dos et Sarah la fit se retourner. Elle cingla les seins à coups redoublés puis le ventre, les cuisses et enfin, après lui voir ordonné d’ouvrir les jambes, elle visa son pubis. Cléo se contractait sous la morsure du cuir mais jamais elle ne chercha à se protéger et encore moins, à s'échapper. Ses yeux étaient clos, sa respiration haletante, ses lèvres entrouvertes, elle acceptait la souffrance, peut-être même comme un bienfait. Son corps, enfin se relâcha.
Sarah, enfin, s’essuya le front, épuisée. Elle laissa tomber le martinet au sol, déposa un long baiser sur les lèvres de Cléo et revint au salon.
- Pourquoi cette punition ? lui demandais-je aussitôt, bouleversé par la scène.
- Auriez-vous un verre d’eau ? Il fait une chaleur sous la véranda…
Je renouvelai ma question en lui rapportant son verre.
- Cette petite vicieuse s’est masturbée une partie de la nuit.
- Elle était restée insatisfaite, c’était un supplice…
- Et alors ? Croyez-vous Monsieur qu’une simple fille doive être satisfaite ? répondit Sarah, laissez un seul interstice et elle vous échappera.
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Je n'avais pas été parfaite, loin de là: je m'étais laissé aller à un moment de
faiblesse, et elle ne me le pardonnait sans doute pas. Je devais maintenant
affronter une nouvelle étape initiatique bien plus éprouvante encore; ses
reproches et les humiliations qu'elle allait inventer pour me punir. Juliette me
traita de petite salope incapable, prétentieuse et sans honneur. J'avais failli à
la parole donnée. Elle m'injuriait et cela me rendait triste. Sa colère était
injuste, tout autant que ma dérobade était indigne de l'amour que j'éprouvais
pour elle.
M'ayant entraînée au fond de la cave, là où la pénombre était la plus dense, elle fit pivoter mon corps contre
la paroi humide. Je sentis le salpêtre se dissoudre sous mes doigts qui s'accrochaient. Pour me racheter,
j'aurais voulu être attachée, là, dans cette position, le ventre nu contre ce mur poisseux, le dos, les reins,
offerts aux hommes qui auraient eu la libre disposition de moi, sans conditions. Sentir mes mains prises
dans la pierre et enchaînée pour ne plus pouvoir bouger et tout endurer pour devenir une parfaite esclave.
Un Maître commença à me caresser. Il savait qu'en faisant cela, il me donnait une chance de faire oublier
ma faute. Il s'empara d'un martinet et me travailla le corps en l'échauffant lentement, alternant les caresses
des lanières avec les cinglements cruels et violents. Plus il frappait fort et plus je m'offrais. Je n'éprouvais
qu'un pincement aigu au moment où mes seins furent brutalement saisis par des pinces puis je sentis les
pointes broyées par l'étau de métal qui les tirait vers le sol en s'y suspendant douloureusement.
Chacun des mouvements que je faisais alors amplifiait le balancement des pinces, provoquant une sensation
effrrayante d'arrachement. Je me souviens de ce moment où je fus mise à quatre pattes au milieu de la cave.
Le Maître dont j'étais l'esclave d'un soir fixa d'autres pinces sur les lèvres de mon sexe, juste en dessous du
clitoris. Tout mon corps se balançait d'une façon obcène, tenaillé entre deux douleurs, partagée entre le désir
de faire cesser mes souffrances et celui d'en augmenter l'intensité par ses balancements pour satisfaire ma
Maitresse et mériter son pardon. J'observais avec orgueil la rotation pendulaire des poids suspendus aux
pinces attachées à mes seins, de droite à gauche, de gauche à droite. Bientôt, la douleur devint intolérable.
Ainsi, je ressentis ma première jouissance cérébrale de femme soumise et esclave à un homme qui l'oblige à
souffrir. Quelque chose d'indéfinissable semblait avoir pris le contrôle de mon cerveau et commandait à mon
corps de jouir de cette souffrance fulgurante magnifiée par mon obéissance servile. Ce fut une révélation plus
que prodigieuse pour moi que de parvenir à me libérer et à jouir de la douleur imposée et voulue par le Maître
à qui j'étais prêté, comme un objet sans importance, sans valeur, que j'étais devenue en refusant l'épreuve.
Pour marquer sa satisfaction, ma Maîtresse me désigna la croix de saint André où je fus attachée dans une
position d'écartèlement extrème. Un inconnu s'approcha alors de moi, comme si je redevenais digne de son
intérêt, et je crus lire dans son regard l'amour que l'on me donne parfois un peu maladroitement mais qui me
rassure tant et qui est ma raison d'être. Ils saisirent chacun un long fouet et commencèrent à me flageller avec
une vigueur et un rythme qui me firent écarquiller les yeux. Pour étouffer mes hurlements, je mordis violemment
mes lèvres, jusqu'à ce que le goût de mon propre sang m'eût empli la bouche.
Je me livrais au châtiment avec une joie quasi mystique, avec la foi de l'être consacré. Des images fulgurantes
de sacrifices déferlaient en moi. Je me surprenais à souhaiter que ma chair se déchire et que mon sang coule.
J'avais retrouvé la considération de ma Maîtresse, j'étais devenue esclave, digne de ce nom et digne d'elle. Et
il n'est pas pour moi plus grand bonheur que de me savoir appréciée. C'était de l'amour avec le vertige en plus.
Dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient celles d'une tombe, un homme s'approcha de moi. Il
me contempla silencieusement, nue et enchaînée; bientôt, je m'aperçus qu'il tenait à la main deux longues et fines
aiguilles. Il s'empara d'un sein qu'il se mit à pétrir, à malmener, puis à presser pour en faire jaillir la pointe granuleuse.
Lorsque le mamelon fut excité, il y planta sa première aiguille, puis presque aussitôt, la seconde dans le mamelon
du sein qui n'avait pas été caressé et qui réagit de tout autre façon. J'aimais l'idée du supplice douloureux et long.
D'autre aiguilles furent plantées tout autour des aréoles, quelques gouttes de sang vinrent ternir le métal que la lueur
du faible éclairage faisait jusqu'à-là scintiller. Afin sans doute d'accentuer ma douleur, il me transperça la chair sur mon
ventre. Je me consumais, j'avais les entrailles en feu. Ma Maîtresse, penchée au dessus de moi, tenait à la main une
bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina, la cire brûlante perla sur ma peau. Mon martyre devenait délicieux.
Qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable qu'un homme, je n'en avais jamais douté. Le pire restait à venir.
Les coups de fouet me cinglèrent avec une violence terrifiante. Je devinais que ces cinglements abominablement cruels
étaient destinés à faire éclater les croûtes de cire qui constellaient mon ventre et mes seins. Hélas, je ne pus me retenir
davantage, mes reins se cambrèrent, propulsèrent mes cuisses et mon ventre en avant, dans un orgasme si violent que
je crus démanteler la croix qui me tenait contrainte. Ruisselante et fière, j'avais joui par la seule volonté de ma Maîtresse.
Lorsque j'eus retrouvé la maîtrise de mes nerfs, je demandai à ma Maîtresse de me ramener dans le salon où les
hommes attendaient mon retour. Je fis mon apparition, les yeux de nouveau bandés, nue, droite et fière, guidée par
Juliette qui me dirigea vers le cercle des hommes excités et ce fut moi qui m'agenouillai pour prendre leur verge
dans ma bouche, l'une après l'autre, jusqu'à ce qu'ils soient tous parvenus à la jouissance et se soient déversés sur
mon visage ou ma poitrine offerte. L'un deux s'approcha de moi, me palpa, s'insinua, me fouilla et me sodomisa.
La pensée du sacrifice procure à certaines femmes un sombre plaisir.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Elle savait. Elle avait été prévenue. Ils avaient longuement discuté. Elle avait accepté. Formellement, elle avait même signé son engagement, dont elle se rappelait encore chaque mot qu'elle avait écrit au moyen d'une plume d'oie trempée dans un encrier d'encre de Chine noire comme du charbon au fond d'une mine profonde et sans lumière :
"Moi, Artémis, me constitue prisonnière auprès de mon maître Hector. Il sera mon geôlier, et aura la libre et totale disposition de mon corps. Je lui abandonne ma liberté, et le contrôle de tous mes mouvements pour la durée qu'il lui plaira."
Et surtout, elle se rappelait ce qui avait suivi ce moment. Il était venu avec une petite aiguille, et lui avait demandé de lui présenter sa main tendue, paume ouverte vers le haut, et lui avait demandé : « Tu peux encore refuser. Il est encore temps de rester libre. Si tu confirmes ton engagement, dis simplement "Je le veux, qu'il en soit ainsi" » et il l'avait regardé au fond des yeux.
Elle n'avait pas hésité un instant et avait répété d'une vois basse et sensuelle la formule suggérée : « Je le veux, qu'il en soit ainsi », et avait abaissé ses yeux.
Alors il avait piqué le bout de son index, dans la pulpe du doigt, et avait fait couler un peu de son sang dans une petite coupelle de verre, et lui avait dit : « Maintenant, signe de ton sang ton engagement, et il sera irréversible. »
Elle avait trempé le penne de la plume d'oie, taillé en bec et fendu, dans la petite coupelle, et signé de son sang. il avait alors apposé un seau de cire rouge au bas du document.
C'était le 21 février 2020.
Alors il lui avait dit : « Désormais, tu es ma captive. Commence par te mettre nue. »
Elle l'avait regardée, hésitant un instant. Elle le connaissait si bien, depuis qu'ils échangeaient et dialoguaient ensemble. Mais elle le connaissait si peu, aussi : il lui inspirait confiance, elle savait qu'elle voulait vivre cette expérience... mais c'était leur première rencontre ! Une petite appréhension l'avait subitement saisie et elle ressentait comme une petite boule au ventre.
« Entièrement nue », avait-il précisé, d'un ton autoritaire et sec mais empreint simultanément d'une grande tendresse, sentant son hésitation, et coupant court à ses tergiversations.
Alors elle avait débuté son déshabillage. Elle avait commencé par se pencher, pour défaire le fermoir de ses chaussures. C'était des stilettos noires à bout très pointu, perchées sur un talon en acier brut de 14 cms, et retenues à la cheville par une fine lanière de cuir qui s'enroulait jusqu'au bas du mollet, au-dessus de la malléole externe, telle une liane sauvage. Elle avait avisé un beau fauteuil club de cuir fauve, et était venue les déposer délicatement aux pieds de celui-ci. Puis elle avait ouvert son chemisier, bouton par bouton, de haut en bas : elle connaissait l'effet qu'elle produisait ainsi, et ressentait le regard acéré et brillant d'Hector qui l'observait, debout face à elle, sans prononcer un mot. Arrivée au dernier bouton, elle en avait écarté les pans, découvrant sa poitrine nue, sans soutien-gorge, conformément aux instructions qu'elle avait reçue avant de se rendre à ce rendez-vous : deux beaux globes de chair ferme et opulente, qui ne pouvaient laisser aucun homme indifférent, elle le savait. Elle avait alors laissé glisser les deux manches du chemisier le long de ses bras sur l'assise du fauteuil derrière elle. Elle n'était plus vêtue que d'une courte jupe étroite et moulante en cuir noir et de ses bas noirs, dont on devinait les jarretelles dépassant tout juste du bas de la jupe, ce qui n'était en aucun cas un hasard. Elle avait alors effectué une demie-torsion de son buste pour attraper la tirette de la fermeture éclair située dans son dos, recouvrant le sillon de ses fesses. Elle s'était alors retournée, pour qu'il puisse jouir du spectacle lorsqu'elle avait commencé à dézipper sa jupe, écartant les deux pans de la jupe, dévoilant en écho deux autres globes non moins charnus et voluptueux. Elle avait alors laissé glisser la jupe à ses pieds : là encore, conformément aux directives reçues, il pouvait se rendre compte qu'elle ne portait ni culotte ni string ni quoi que ce soit qui puisse cacher la moindre parcelle de son intimité, qui avait été soigneusement et intégralement épilée. Toujours de dos, elle s'était alors penchée en avant, tout en gardant les jambes bien droites, pour ramasser sa jupe, faisant ressortir les muscles de ses mollets, de ses cuisses et de son fessier dans ce mouvement qu'elle avait su rendre gracieux mais aussi très érotique. Et la jupe avait virevolté d'un geste rapide et ample vers le dossier du fauteuil, avant de retomber sur l'assise aux côtés du chemisier. Restant dos à Hector, elle avait à ce moment commencé à dégrafer les jarretelles de ses bas, mais elle avait alors entendu une injonction sèche et concise, prononcée de la voix chaude et profonde d'Hector :
« Retourne toi, je veux te voir de face. »
Elle s'était donc retournée, lentement, incapable de résister : elle n'en avait d'ailleurs pas envie, elle voulait se montrer à la hauteur des attentes de son dominant, celui qu'elle avait choisi pour vivre cette expérience, pour se révéler à elle-même, pour vivre en harmonie avec ses désirs profonds de soumission. Et elle avait dégrafé les dernières jarretelles, fait glisser les bas jusqu'à ses genoux, puis relevé ses jambes pour les retirer, ainsi que le porte-jarretelles, et les lancer derrière elle rejoindre le reste de ses habits.
Elle était maintenant entièrement nue, comme il le lui avait demandé. Elle se tenait debout, un peu maladroitement, un peu honteuse mais très excitée par la situation aussi, les bras ballants le long du corps, la tête de côté regardant dans la vague, se laissant admirer, sans savoir ce qu'il attendait d'elle maintenant.
C'était une belle femme. Il avait dit simplement : « Tu vas prendre une position d'inspection, maintenant, qu'il te faudra bien retenir : debout, le corps bien droit, ta poitrine projetée vers l'avant et tes fesses vers l'arrière, les jambes légèrement écartées, sur la pointe de tes pieds, les mains derrière la tête. » Elle avait adopté la position indiquée sans sourciller. Il avait corrigé quelques défauts de postures par de petits coups secs de sa cravache, lui faisant rentrer le ventre, tenir ses bras bien écartés et en arrière, ajustant l'écartement des jambes. Elle était maintenant dans l'attente, en équilibre instable sur ses orteils. Il avait tourné autour d'elle, observant chaque détail de son corps, tâtant ici un sein, ici une cuisse, là une fesse, ou caressant une joue, le ventre ou le bas de ses reins. Puis il avait introduit son majeur dans sa bouche, et elle avait eu le réflexe de succion qu'il attendait. « Tu es une bonne suceuse, je crois », avait-il décrété abruptement et un peu vulgairement, mais cela l'avait excitée, et elle se sentait presque fière d'avoir entendu cela ! Elle avait alors senti les doigts d'Hector descendre le long du sillon de ses fesses, puis caresser son périnée, et revenir sur l'avant effleurer ses lèvres vaginales. Elle avait ressenti des fluides intimes s'écouler le long de ses jambes, mais en même temps elle avait fléchi les pieds, ce qui lui avait immédiatement attiré une claque sonore et percutante sur ses fesses. Elle avait compris instantanément, et s'était redressée sur la pointe de ses pieds.
« Garde la position. Tu vas maintenant mettre ta tenue de prisonnière. »
Et il s'était retourné pour ouvrir le tiroir d'un petit meuble derrière lui, dont il avait retiré un vêtement. Il lui dit « Repos, maintenant. Enfile cela. », et lui tendit le vêtement. Elle s'était exécuté. C'était une tunique de tissu semi-transparent d'organdi et tulle "eye-catcher" de couleur beige chair, constituée de deux pans verticaux au droit du corps et retenus par des lacets de coton bruns tabac sur les épaules et le long du corps sur les deux côtés qui restaient ainsi ouverts à la vue. La tunique s'arrêtait évidement très haut sur les cuisses, presque à la commissure de la hanche et du bas des fesses.
Il s'était à nouveau retourné, avait ouvert le second tiroir, et elle avait entendu un tintement métallique lourd lorsqu'il avait retiré d'autres objets qu'elle distinguait maintenant. C'était des fers. De lourds fers épais en acier inoxydable chromés et rutilants, munis de gros anneaux de la même matière. Il y en avait cinq en tout, tous reliés entre eux par des morceaux de chaîne à gros maillons. Hector fixa d'abord les fers à ses pieds. Elle avait ressenti instantanément la sensation aigüe d'être prisonnière, à l'image de ces bagnards condamnés à l'exil que l'on voit dans les films. Mais là, ce n'était pas un film : les deux pièces d'acier venaient de se refermer autour de ses chevilles. Ils pesaient lourd, la chaîne qui les reliait était courte, elle avait compris qu'elle ne pourrait plus marcher à grands pas, et encore moins courir pour s'échapper, si d'aventure l'envie lui en prenait ! Il souleva alors deux autres fers d'acier qui vinrent enserrer ses poignets. Les chaînes qui les reliaient aux chevilles ne lui permettaient plus de soulever ses poignets au-dessus de la taille. Puis il s'était saisi du dernier fer, qui était venu se verrouiller autour de son cou. Elle s'était ainsi retrouvée entièrement harnachée d'acier qui entravait et limitait ses mouvements. Et elle se rappelait ses sensations étranges à ce moment-là. Un mélange de sentiment d'impuissance totale, de se retrouver à la merci d'Hector, en danger, sans défense possible, exposée à toutes ses perversions dans sa semi-nudité lubrique. Mais aussi de calme, d'apaisement et d'oubli de tout souci, d'abandon et de lâcher-prise confiant, comme dans un cocon protecteur et ouaté. Elle frémissait d'une angoisse diffuse, mais aussi d'une sensualité trouble et rassurante.
Un nouvel ordre était tombé : « Avance, maintenant. Tu vas faire connaissance de ta nouvelle demeure. »
Alors elle avait fait un premier pas, et avait failli trébucher : le pas qu'elle avait voulu faire était trop long, et la chaîne à ses chevilles s'était tendue brusquement dans un cliquetis métallique, retenant l'avancée du pied, tandis que le haut du corps était entraîné vers l'avant par l'impulsion donnée. Mais elle avait su se rétablir, et avait remarqué qu'Hector avait veillé, et l'aurait retenue si elle avait vraiment basculée. Cette prévenance l'avait rassurée, et elle avait avancé dans la direction indiquée , à pas mesurés. Par un coup de cravache sur les poignets, il lui avait fait comprendre de tenir ceux-ci élevés, de façon à ce que la chaîne qui les reliait aux chevilles soit tendue vers le haut, et ne racle pas le sol. Il lui avait fait suivre un long couloir, puis descendre un escalier de pierre qui descendait dans un sous-sol éclairé par de faibles ampoules à incandescence à la lumière jaune. C'était un vaste sous-sol, aussi grand que toute la surface de la maison, qu'il lui avait fait traverser entièrement. Au fond, une ouverture dans le mur de pierre était munie d'un grille ouverte. Il lui avait intimé de passer cette ouverture, et elle découvrit un étroit réduit aux murs de pierre d'environ deux mètres sur trois. Au fond, une paillasse cimentée sur lequel était disposé un simple matelas. Sur le côté gauche, un WC et un lavabo ainsi qu'un simple tuyau de douche flexible sortant du mur. Aux murs, plusieurs anneaux en fer forgé noir étaient scellés dans les pierres. Il lui avait demandé de s'asseoir sur le "lit" (si l'on pouvait appeler ainsi cette simple paillasse cimentée) et s'était emparé d'une chaîne fixée au mur au-dessus du lit, qu'il avait fixée au fer de son cou au moyen d'un gros cadenas. La chaîne faisait environ 2,50m de long, et lui permettait ainsi d'aller du lit jusqu'au WC ou au lavabo, mais en aucun cas de passer la grille de la porte, même si celle-ci restait ouverte. La cellule - puisqu'il fallait bien l'appeler ainsi - était assez haute de plafond, et était éclairée d'une unique ampoule incandescente jaune. Elle avait aussi remarqué dans un coin du côté de la porte une caméra, et avait compris que l'angle de prise de vue de celle-ci lui permettait de distinguer tout ce qui se passait : il n'y avait pas d'angle mort, elle serait sous la surveillance permanente de cet œil électronique...
Elle se remémorait tout cela avec précision. Elle ne regrettait rien. Ses journées étaient rythmés par les repas que lui apportait son geôlier, qui étaient simples mais toujours bons et suffisamment copieux. Malgré sa tenue légère, elle n'avait pas froid, la cellule était bien chauffée. Il n'y avait pas de lumière du jour. Et elle ne pouvait pas commander l'allumage de l'ampoule. Celle-ci s'allumait ou s'éteignait à des heures dont elle n'avait pas la maîtrise. Aussi ne savait-elle plus depuis combien de temps elle était là. Elle avait perdu toute notion du temps. Elle n'avait pas de nouvelles du dehors.
Son seul contact humain était lorsque Hector venait lui apporter ses repas, ou aussi lorsqu'il venait pour une "séance". Souvent. Chaque fois qu'il en avait envie. Il l'attachait à l'un des anneaux du mur, et la fouettait, la cravachait, la tourmentait de mille manières, puis la prenait brutalement et sauvagement, ou bien parfois avec douceur, lenteur et volupté. Elle devait le sucer goulument, et se délecter de son sperme, ou bien se laisser sodomiser sans ménagement. Elle n'avait rien à dire, pas de choix autre que celui de subir chaque fois qu'il le désirait les envies d'Hector... Mais elle était heureuse, elle jouissait aussi le plus souvent, et elle ressentait la plénitude de sa condition de soumise, de prisonnière asservie, d'esclave sexuelle au service des désirs pervers du maître des lieux et maître de son cœur comme de son corps.
Une certaine forme de routine s'était installée, même si aucune séance ne ressemblait à la précédente. Elle ne savait pas quand il mettrait fin à cette expérience ; lui seul avait le loisir d'en décider.
Un jour, plongée dans le noir total, elle entendit le bruit caractéristique et si familier maintenant de la porte du sous-sol qui s'ouvrait, annonçant la venue d'Hector. Le plafonnier s'alluma, éclairant la cellule de sa lumière blafarde. Quand il entra, elle sentit que ce n'était pas un jour comme les autres... Il avait un air légèrement soucieux.
Et, en effet, il lui dit : « Sais-tu quel jour nous sommes ? »
Elle ne savait pas, mais elle s'étonnait qu'il lui pose cette question. C'était la première fois.
- Non, je ne sais pas.
- Nous sommes le mardi 17 mars.
Elle ne savait pas où il voulait en venir.
- D'accord. Mais, euh... pourquoi me dites-vous cela ?
Il attendit un moment, puis dit :
- Il y a une mauvaise nouvelle...
Elle se demanda ce que cela pouvait être. Allait-il devoir partir, et l'abandonner seule quelques jours ? Était-il mécontent d'elle, et voulait-il la renvoyer ? Une sourde angoisse l'envahit.
- Quelle est cette mauvaise nouvelle ? parvint-elle à prononcer en déglutissant pour évacuer son angoisse.
- Eh bien, il y a un virus, qui vient de Chine, et qui est assez dangereux...
- Ah, d'accord, et alors ?
Elle était presque soulagée par rapport à ce qu'elle avait imaginé, ce n'était donc que cela !
- Et alors ? Nous allons devoir être confinés, pour une durée indéterminée !
Il avait pris un air renfrogné. Alors elle l'entoura de ses bras, et l'embrassa tendrement, pour le consoler. Elle était ravie de cette nouvelle !
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Dimanche soir, après le dîner, Maxime m’a ordonné d’aller me rafraîchir et de lui rapporter mon collier d’acier, signe qu’il avait l’intention de faire pleinement usage de ses prérogatives de Mâle.
Apres une douche rapide, tremblante du désir de ce qui allait suivre, j’ai pris le collier et suis revenue m’agenouiller à ses pieds. Le temps qu’il me le mette autour du cou, toujours à genoux, je caressais, embrassais, reniflais, léchais l’emplacement de son sexe, pour lui prouver mon désir et ma soumission.
Très vite, j’ai senti monter le sien, sa queue durcir sous son pantalon, se tendre sous mes caresses.
Il m’a prise par les cheveux, me forçant à me relever, pour que je le dévête à son tour.
La chatte humide, je lui ai retiré sa chemise, avant de me frotter contre lui, pour embrasser, sucer, mordiller doucement ses tétons et les faire durcir.
Puis, toujours lovée contre lui, je me suis laissée glisser le long de son corps, pour revenir à ses pieds, retirer ses chaussures, ses chaussettes, embrasser, lécher ses pieds avant de dégrafer sa ceinture, lui retirer son pantalon et découvrir, jaillissant de son boxer noir, l’objet de mon désir, cet arrogant symbole de sa virilité triomphante.
J’ai relevé la tête, croisant son regard, attendant ses ordres pour aller plus loin.
Parce que si mes trous appartiennent à mon Maitre, cela ne me donne aucun droit sur ce qu’il a entre les jambes.
Le sexe du Maître ne m’appartient pas, il est une récompense, que je peux désirer, adorer mais que je dois mériter et dont lui seul peut décider de l’usage qu’il en fait.
Finalement, l’ordre est tombé, « continue », me permettant enfin de vénérer pleinement son corps nu, d’embrasser, de lécher ses couilles, de les prendre en bouche, de les sucer doucement, avant de parcourir avec la langue son phallus tout puissant pour goûter aux prémisses humides de son désir en léchant son gland.
Il m’a entraînée dans la chambre, m’a ordonné de m’allonger sur le lit, avant de m’attacher, bras et jambes en croix, les membres tendus à l’extrême pour m’immobiliser totalement. Puis, il m’a bandé les yeux.
Immobilisée, entravée, incapable de bouger et au surplus dans l’impossibilité d’anticiper, de me préparer à la suite puisque ne voyant rien, j’étais totalement offerte, sans autre possibilité que de supporter ce qu’il déciderait.
Mais je savais en même temps que quoi qu’il décide, m’impose, je n’avais rien à craindre.
J’étais à ma place, dans la fonction qui est la mienne, celle d’une esclave, son esclave, offerte à son plaisir. Et je mouillais d’être à sa merci.
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Ulrich, vit dans un canton reculé de la Suisse profonde où les femmes n'ont toujours pas le droit de vote. Pourquoi faire? La politique, elles y comprennent rien. Pour Ulrich, les femmes c'est à peine un peu plus que les vaches de son étable, mais vraiment à peine plus. Des fois Ulrich se demande même si ses vaches ne sont pas plus intelligentes que les femmes. Moins casse couilles c'est sûr. La seule femelle qu'aime Ulrich, c'est Maïke, la reine de son troupeau. Celle là, il la vendrait pas contre toutes les femmes du canton. Sa Maïke est vraiment la reine. Faut voir comme elle marche avant d'aller au combat. Elle gagne toujours. Un rival du hameau voisin lui a proposé ses deux filles, deux jolies vierges, en échange. Ulrich a répondu:
- Mais qu'est ce que tu veux que j'en foute de tes filles. Tu veux me ruiner ou quoi?
la femme d'Ulrich est une soumise totale, non seulement elle n'a pas le droit de vote, mais elle a en plus un devoir, c'est de la fermer. Ulrich aime manger sa soupe au calme. Sa femme se tient derrière lui et doit le servir en silence, debout, regard baissé. Non mais, c'est la moindre des politesses. Les femmes mangent après les hommes dans son canton, juste avant les chiens qui finissent les restes. Et le soir, elles doivent écarter et se laisser saillir. Ulrich a tous les droits sur sa femme, il l'a baise quand il veut et comme il veut. L'autre doit écarter s'ouvrir et se taire. Et quand Ulrich se libère, il beugle dans son patois. La jouissance de sa femme ? Pour Ulrich les femmes n'ont d'autre jouissance que de faire plaisir à leur propriétaire. On ne se marie pas à une femme, on en fait sa propriété. D'ailleurs Ulrich a marqué le cul de sa femme au fer rouge, comme ses vaches. Au moins elle sait où est sa place.
Sa femme n'a pas de nom, ni même de petit nom. Il l'appelle "ma pisseuse". Elle ne doit jamais porter de culottes sous son épaisse longue jupe fleurie et brodée. La pisseuse d'Ulrich a de bonnes grosses mamelles bien laiteuses et un gros cul bien blanc. Il adore la trousser quand elle retourne les foins dans l'étable. Il lui a fabriqué une muselière en cuir épais avec un mors en bois. Il l'attache solidement par les mains à une traverse en bois, l'oblige à bien se cambrer. Une bonne pisseuse doit être bien fouettée avant l'amour. Cela lui détend les fesses et la chatte. Ce n'est qu'une fois qu'elle a le cul bien rouge qu'il faut la saillir d'un coup. Les pisseuses adorent se faire violer la chatte et le cul, dans une étable. C'est bien connu. Et Hercule, le gros taureau noir adore mater, pour voir comment Ulrich fait avec ses femelles. Cela doit lui donner des idées car il va aussitôt se taper lui aussi de belles vaches. C'est vrai que la pisseuse a un cul superbe, bien bombé et tonique. L'air frais des montagnes, l'eau de source, de bonne fessées bien méritées, de bonnes giclées de sperme. la pisseuse d'Ulrich respire la santé.
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Nymphe et reine de l'île d'Ogygie, la presqu'île de Ceuta en face de Gibraltar, Calypso
du grec ancien, ??????, était la fille d'Oceanos et de Téthys. Sa légende s'intègre
dans le récit du retour d'Odysseus, Ulysse. Lorsqu'il quitta Troie, après une traversée
périlleuse durant laquelle il résista au chant des Sirènes, le héros et son équipage
essuyèrent une tempête envoyée par le Titan Hypérion. Il fut le seul survivant et,
accroché à un radeau de fortune, s'échoua sur l'île d'Ortygie où la fille de Théthys
et d'Océanos, Calypso, vivait dans une grotte. La séduisante jeune fille accueillit
le naufragé, le ranima avec du vin fort et de la nourriture, puis le coucha dans son
lit. S'étant éprise de ce héros venu de la mer, elle parvint à lui faire oublier sa
patrie et sa famille. Pendant sept ans, ils vécurent heureux, sur l'île des peupliers
noirs, et donnèrent le jour à trois fils: Latinos et les jumeaux Nausithoos et Nausinoos.
Le navire, pris dans une énorme tempête déchainée par Poséidon, dériva jusqu 'à Charybde où tout
l'équipage fut englouti. Seul Ulysse survécut, accroché à un arbre. Il put enfin s'agripper à une épave,
dériva neuf jours pour atteindre finalement l'île d'Ogygie où il fut accueilli très gentiment par Calypso.
Très rapidement, elle tomba amoureuse du héros et lui demanda de rester auprès d'elle.
Elle lui offrit même l'immortalité et l'éternelle jeunesse. Mais rien n'y fit: l'amour d'Ithaque et de Pénélope
demeurait toujours le plus fort dans le cœur d'Ulysse, qui passait ses journées sur le rivage à contempler
la mer, les yeux mouillés de larmes. Conseillé par Athéna, Zeus en fut ému et dépêcha Hermès auprès de
Calypso pour lui donner l'ordre de laisser partir Ulysse de son l'île. Calypso fut étonnée de voir Hermès
dans ces parages, elle lui offrit un repas d'ambroisie et de rouge nectar et lui demanda ce qu'il désirait.
Dans un petit discours Hermès expliqua qu'il n'était pas ici de sa propre volonté et que traverser des
étendues infinies d'eaux salées ne lui plaisait pas, mais Zeus lui avait ordonné de venir la voir:
"Maintenant, Zeus t'ordonne de renvoyer Ulysse très promptement, car sa destinée n'est point de mourir
loin de ses amis, mais de les revoir et de rentrer dans sa haute demeure et dans la terre de la patrie."
Homère, "Odyssée" V, 112
Malgré sa douleur et l'enfant qui venait de naître, Calypso obéit. Elle vint avertir le héros qu'il pouvait partir
et qu'elle l'aiderait à construire un radeau. Toujours aussi soupçonneux, Ulysse ne voulut pas la croire et il lui
demanda de jurer par un serment solennel qu'elle ne cherchait pas son malheur et sa perte sur les flots amers.
La nostalgie de sa chère Ithaque et l'absence de son épouse Pénélope devenaient insupportables. Ulysse ou
Odysseus se lassa des caresses et des baisers de la jeune femme. Calypso, qui souffrait en silence, lui promit
l'immortalité s'il restait avec elle, mais il languissait, assis sur la plage, le regard fixé sur l'horizon, jusqu'au jour
où Hermès, envoyé par Zeus, ordonna à Calypso de laisser partir son amant.
La mort dans l'âme, elle l'aida à construire, avec des écorces d'arbres, un radeau qu'elle chargea de provisions.
Elle y ajouta les outils nécessaires pour survivre et se défendre, le cas échéant, puis Ulysse le mit à la mer sur
des rouleaux et se laissa pousser par le vent. La nymphe Calypso demeura seule, attristée sur la plage.
Alors Calypso jura sur le Styx, le plus sacré des serments, qu'elle aiderait le héros à construire un radeau, elle lui
fournirait du vin du pain et de l'eau nécessaires à sa traversée. Une dernière fois elle lui proposa de rester sur son
île au lieu de courir vers de nouveaux dangers et une nouvelle fois, il souhaita revoir son épouse et sa patrie.
En quatre jours le radeau fut prêt; le cinquième jour la divine Calypso, après l'avoir baigné et habillé de vêtements
parfumés le renvoya de l'île et elle lui donna un vent doux et propice.
Calypso ne pouvait se consoler du départ d'Ulysse. Sa grotte ne résonnait plus de son chant; les nymphes qui la
servaient n'osaient lui parler. Calypso mourut de chagrin quelques temps plus tard bien que cette version soit peu
conciliable avec le fait qu'elle fût quasi immortelle. Suivant une autre légende, l'aventure se reproduisit lors du
passage de Télémaque qui aima puis abandonna la nymphe.
Dans la version de Fénelon c'est elle qui accueillit Télémaque et Mentor, en fait Minerve, partis à la recherche
d'Ulysse. Télémaque est jeté par une tempête dans l'île de Calypso. Cette nymphe, inconsolable depuis le départ
d'Ulysse, fit au fils de ce héros l'accueil le plus favorable, et, concevant aussitôt pour lui une violente passion,
elle lui offrit l'immortalité, s'il voulait demeurer avec elle. Télémaque refusa mais en revanche, il tomba amoureux
d'Eucharis, une suivante de Calypso, dont il n'est nulle part question dans la mythologie grecque classique.
Chacun a en mémoire les figures féminines qui guettent les voyageurs sur l’immensité marine si pleine de dangers
et d’écueils redoutables aux Grecs. Barbares des rivages asiates, nymphes insulaires en des rivages proches de ceux
de la mort et de la nuit, descendantes de l’Océan, elles semblent encore plus terrifiantes souvent que gouffres ou rochers.
Leurs crinières ensauvagées de jeunes filles disent les vents qui bouleversent en tout sens l’itinéraire du voyageur et
comment elles le guettent, prêtes à l’agripper avec leurs griffes pointues, leurs mains de magiciennes chargées de
philtres, de poisons ou de tissus inquiétants.
Qu’elles s’appellent Sirènes, Gorgones, Grées, ces vieilles jeunes filles qui portent en plein visage les rides de la mer
ou Harpyes, semblables au vent de l’orage. Ou bien encore Médée, Circé, Calypso, pour ne retenir que quelques-unes de
celles qui jalonnent le périple des voyageurs; Ulysse, Jason, Persée. Car, finalement, ce sont ces figures inoubliables
apprises dans les livres, qu’ils devaient affronter lors de gestes héroïques, ou dans leur quête d’une réintégration, d’une
reconnaissance au cœur de la société des hommes.
Et la question ne pouvait que se poser; à quoi correspondaient leurs attributs aussi sauvages que terrifiants ? De quoi,
si angoissant pour l’homme, pouvaient-ils être signes chez ces femmes ainsi placées en marge, bien à l’écart même
souvent, du monde policé, constituant en même temps, pour les plus grands des héros, d’ultimes épreuves ?
Dans l’Antiquité déjà, Cicéron, et d’autres avec lui, s’étonnait de l’attirance du si avisé Ulysse pour les "petits chants"
des Sirènes, n’y trouvant qu’une explication: le désir effréné de connaissance que leurs voix faisaient vibrer. Car il
s’agit bien, aux yeux du philosophe latin, d’un savoir possédé par elles et promis par leurs chants. C’est aussi la
Gorgone qui hante Les Palmiers Sauvages. L’évocation à intervalles réguliers de son visage gris, de ses cheveux gris
aussi, "tout hérissés de papillotes", suffit à inscrire son omniscience des destins.
Devant leur réalisation, ici la naissance avortée de l’enfant du couple adultère, elle n’est nullement surprise,
n’entendant que ce qu’elle savait, s’attendait à entendre. Pour qui est pris par les figures mythologiques et sait les
destins recroquevillés dans leurs noms, ces derniers constituent une réserve inépuisable pour l’imaginaire, mais
aussi un support pour mettre au jour ce qui semble n’attendre que de se déployer. Et, par delà leur apparente aridité,
la fascination suscitée par les dictionnaires mythologiques, tient, pour nous, à leur aptitude à faire trembler certitudes
et idées reçues, en multipliant questions et solutions fluctuantes, à dire par un autre biais la marge de liberté prête
à réaffleurer dans les inflexions des destins écrits ou désignés à chacun.
Car elles sont faucons qui emportent, comme le signifient les syllabes des Harpyes rencontrées par Jason,
femmes qui attachent par des liens, les Sirènes, en passant sur la route du retour d’Œdipe, hors de la ville de Thèbes
par le sphinx. C’est de cette double forme que le destin dévoilé par les noms tient sa force inquiétante. Ainsi en est-il de
Calypso, la terrible déesse qui file les voiles de l’embarcation d’Ulysse, et qui est tout à la fois, la cachée, et celle qui
cache; ainsi de Circé, qui dérobe les autres à la vue comme le suggérait déjà Homère.
De Méduse, la farouche, dont le regard est synonyme de mort pour qui s’approche trop près de son antre écarté et la
contemple, ou encore de Médée, qui multiplie les crimes, par son caractère rusé, si l’on s’en tient à cette traduction
ambiguë à qui ne connaît pas les subtilités de la métis grecque. Ainsi encore d’Hélène, non plus barbare mais grecque,
c’est vrai, magicienne pourtant, à sa façon, et devenue troyenne durant dix ans. Son nom dit tout à la fois le rapt dont
elle est l’objet par Pâris et celui dont elle est actrice, ravisseuse, pour les envoyer à la mort, de tant de vies d’hommes.
Si les destins sont dessinés par avance dans les noms, ils le sont aussi par les mains de toutes celles, déjà rencontrées
ici, qui jalonnent les grands retours: celui d’Ulysse vers sa sage épouse, la tisserande que chacun sait. Sage ? Pas si
simple à dire. On a déjà pu rappeler comment des écrivains-femmes modernes se plaçaient sous la bannière de
Cassandre, sous sa parole porteuse d’une vérité inaudible aux hommes.
Peut-être s’étonnera-t-on davantage de les voir enrôlées sous le nom de Pénélope, attendant si longtemps celui qui
séjourne plus qu’il ne devrait aux bords de rivages féminins. On s’en étonnera moins si l’on se penche sur les liens qui
l’unissent par delà la mer, à Circé, à Calypso; sur ces tissages qui occupent les jeunes filles et femmes depuis Hélène,
dans sa première apparition chez Homère. ?Eclairé par les reconstructions modernes, l’espace qui leur est concédé
est toujours dans ce qui échappe aux mots, ou ne pourrait se dire que dans un langage nouveau, en rupture.
On ne saurait assimiler hâtivement les places assignées aux femmes dans la cité ancienne et la nôtre, relativement à la
reproduction. Mais, sous cet angle aussi, par delà ces figures mythologiques féminines telles qu’elles arrivent jusqu’à
nous, un champ immense continue d’être ouvert à l’exploration. Car c’est toujours, à nos yeux, de légitimité qu’il est
question avec ces visages féminins aux paroles nomades, sans lieu pour s’enraciner, si ce n’est dans les marges de
ténèbres toujours renouvelées qu’elles font entrevoir, tendant leurs questions éternellement actuelles aux hommes
soucieux de planifier la vie, sa propre histoire, pour les maîtriser mieux.
Si, dans des perspectives poétiques masculines, leurs rivages, relégués au loin, se sont fait lieux de projection de
leurs peurs, celles-ci leur offraient, du même mouvement, la possibilité de récupération d’un pouvoir infiniment plus
grand que l’effroi de leurs doigts crochus ou de leurs voix stridentes: celui de faire trembler les certitudes ou d’en
montrer les limites, de décliner les doutes de l’être humain sur sa place dans le monde, ses tentatives de planification
de la vie, de la mort, de l’Histoire, sur les formes de barbarie à l’œuvre dans le siècle qui aurait dû être le plus civilisé.
Si les œuvres représentant Calypso ne sont pas fréquentes chez les grecs, en revanche les artistes du XVII ème
et XVIII ème siècle lui ont témoigné beaucoup plus d'intérêt. C'est le nom du bateau du célèbre océanographe
Jacques-Yves Cousteau.
Bibliographie et références:
- Callimaque, "Hymnes"
- Déméter, "Les Hymnes homériques"
- Fènelon, "Aventures de Télémaque"
- Hésiode, "La Théogonie" 1017
- Hygin, "Fables" 125
- Homère, "Odyssée"
- Homère, "L’Iliade"
- Pausanias, "Description de la Grèce"
- P. Chantraine, "Dictionnaire étymologique de la langue grecque"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Lorsque je reçus le premier coup de fouet, je compris qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé
de façon à me chauffer le corps avant d'autres impacts plus sévères. Du martinet, Juliette passa
à la cravache. J'en reconnus la morsure particulière au creux de mes reins. C'était une cravache
longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec nuance
et précision, chaque coup reçu me semblait différent du précédent, selon que la mèche de cuir me
frappait à plat, ou au contraire, sur toute la longueur de la tige.
Juliette me flagellait avec une rigueur impitoyable et j'oubliais toutes mes bonnes résolutions pour me
mettre à crier sous la morsure impitoyable du cuir. Mon corps se tendait en une supplication muette,
mais éminemment éloquente. Bientôt, comme je le pressentais, la douleur qui me tenaillait se mua en
plaisir, alors je ne pus me retenir davantage, mes reins se cambrèrent, propulsant mes cuisses et mon
ventre en avant, dans un orgasme si violent que je crus défoncer la croix qui me retenait prisonnière.
Honteuse et fière, j'avais joui des traitements infligés par la seule volonté de ma Maîtresse.
Comme s'ils avaient deviné l'intensité de mon plaisir, que j'avais dissimulé de mon mieux sous des râles
et des sursauts, Clothilde et Juliette accrochèrent soudain sur la pointe de mes seins et les petites lèvres
de mon sexe, des pinces dont le poids entraînait la chair vers le sol. J'apprécie de porter des pinces aux
seins, ma Maîtresse dit que je suis une jouisseuse des seins; me faire pincer les seins, parfois d'une façon
très douloureuse me procure maintenant presque autant de plaisir que de me faire fouetter.
En revanche, mes lèvres sont très sensibles et les pinces me font toujours beaucoup souffrir, et quels que
soient mes efforts, j'ai bien du mal à surmonter ce genre de douleur. Lorsque Juliette installa l'une après
l'autre les pinces dont le poids étirait douloureusement ma peau, je crus ne pouvoir jamais les supporter.
Mais cette farouche volonté de ne décevoir ma Maîtresse, en aucun cas, m'a permis d'assumer bien des
sévices. Je me concentrais de toutes mes forces sur un autre sujet susceptible de me faire oublier mes
souffrances et je parvenais ainsi à oublier la douleur lorsque, brisant la tension nerveuse qui me faisait
trembler au bout de mes chaînes, Juliette m'annonça la venue de Béatrice.
Pendue aux menottes qui me sciaient les poignets, écartelée à en sentir les muscles de mes cuisses
douloureuses, je ne pouvais faire un mouvement, ni tourner la tête pour contempler la belle femme qui
était entrée dans la cave. Je sentis seulement sa présence, puis l'odeur envoutante de son parfum.
Une main douce caressa mes fesses endolories et flatta mes seins meurtris par la flagellation.
Je ressentis un apaisement qui n'était pas seulement dû aux caresses, mais à la présence de cette femme
superbe que je n'avais pas le droit de regarder, même lorsque Juliette eut ôté le bandeau qui aveuglait mes
yeux, puis libéré ma poitrine et mon sexe du carcan des pinces. Pour que je ne puisse avoir la tentation de
me retourner vers la belle inconnue, Juliette plaça une cravache en travers de ma bouche, que je me mis à
mordre instinctivement très fort entre mes dents.
Je mourais d'envie de la voir; c'est un véritable supplice, de ne pas avoir le droit de regarder ceux qui vous
frappent lors d'une séance de dressage. Cette frustration est à la fois blessante, car alors on a la preuve de
ne pas exister, et terriblement excitante, car la curiosité est un trait dominant chez les esclaves. Enfin, elle
fit le tour de mon corps écartelé et se plaça devant moi. Je la découvris, plus belle encore que je n'avais pu
l'imaginer. Elle était grande, élancée, d'une finesse et d'une classe folle; la forme de ses lèvres sensuelles,
la longueur de ses cuisses, la musculature de son corps de sportive. Béatrice semblait sûre d'elle et faisait
preuve d'une tranquille détermination qui m'impressionnait. Juliette m'avait appris qu'elle avait été soumise,
mais je ne décelai rien qui pût me conforter dans cette idée.
Elle n'avait rien d'une esclave. Au contraire, elle avait le port du visage fier, comme celui d'une princesse
dédaigneuse venue examiner ses sujets. Je ne pouvais l'imaginer agenouillée ou rampante, mais au
contraire apte à dominer les femmes autant que les hommes. Ce soir-là, elle était nue, à part un mince
string en voile noir qui mettait en valeur une chûte de reins magnifique et bronzée. Ses cheveux bouclés
roux, son visage mince, ses yeux verts étincelants la métamorphosaient dans mon esprit d'esclave soumise
en proie aux fantasmes d'une lionne qui allait me dévorer.
Elle me détacha pour me placer face à un mur comportant un trou en son milieu de telle façon que ma tête
dépasse d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche en même
temps. La véritable humiliation était là: me montrer dans cette position dégradante, alors qu'exhibée ou fouettée,
prise ou sodomisée, ma vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. Juliette commença à me flageller en
insistant sur mes fesses, auxquelles elle vouait un véritable culte. Puis ce fut au tour de Clothilde et de Béatrice
de me faire l'honneur de me battre. Je me tordis en gémissant sous le fouet, demandant grâce.
Puis je sentis des doigts gainés de latex écarter mes lèvres, s'intoduire dans mon intimité, évaluer l'humidité
involontaire que le contact de l'appareil avait suscité. Mes fesses furent écartées; je compris que j'étais inspectée
plus intimement avec les doigts de latex, ensuite avec un speculum dont l'acier froid affola mon anus qui s'ouvrit
lentement au gré de l'écartement de l'instrument qui le dilata jusqu'à la douleur. Comme je l'avais redouté, Juliette
saisit un instrument de latex gonflable dont elle vérifia le fonctionnement sous mes yeux apeurés. Avec douceur et
détermination, elle installa l'appareil en moi et commença à procéder au gonflage qui me dilatait inexorablement.
La sensation devenait réellement insupportable. J'avais l'impression que mon anus se distendait sous l'envahissement
de l'énorme cylindre conique qui semblait s'être fiché à jamais au plus profond de mes reins. Je ressentis un véritable
dégoût à ne pouvoir contrôler l'orgasme lancinant qui montait en moi, me prouvant si besoin est que je devenais ce que
Juliette voulait, un animal servile à la merci des jouissances les plus révoltantes. Après que Béatrice m'eut pénétrée les
reins avec un nouvel objet plus épais mais très court, que l'on décida de laisser en place jusquà la fin de la soirée, une
véritable terreur me submergea. Le feu crépitait dans la cheminée ancestrale, rendant l'atmosphère encore plus torride.
Le supplice terminé, prise d'un besoin pressant, et ayant demandé à ma Maîtresse l'autorisation de me rendre aux
toilettes, on m'opposa un refus bref et sévère. Confuse, je vis qu'on apportait au milieu de la cave une cuvette et je
reçus de Juliette, l'ordre de satisfaire mon besoin devant les trois femmes. Une honte irrépressible me submergea.
Autant j'étais prête à exhiber mon corps et à l'offrir à son bon vouloir, autant la perspective de me livrer à un besoin aussi
intime me parut inacceptable. La véritable humiliation était là. L'impatience que je lus dans son regard parut agir sur ma
vessie qui se libéra instinctivement. Lorsque j'eus fini d'uriner, ma Maîtresse m'ordonna de renifler mon urine, puis de
la boire. N'osant me rebeller, je me mis à laper, comme une chienne, en avalant le liquide clair et encore tiède.
Quelques instruments rituels étaient disposés à proximité de l'âtre: il s'agissait de véritables fers de marquage.
Béatrice s'approcha de moi en brandissant un fer qui avait rougi dans les braises. Le regard de Juliette ne répondit pas
à ma supplication. Béatrice se pencha sur mes reins offerts, que Clothilde maintenait immobiles. On me lia les mains et
les pieds. Perdue dans mon épouvante, je sentais la main de Béatrice sur le bas de mon dos, qui indiquait où poser le fer.
J'entendis un sifflement d'une flamme, et dans un silence total, une seule douleur abominable me transperça, me jetant
hurlante et raidie dans mes liens. Je ne pus retenir un cri d'épouvante lorsque je crus sentir la brûlure sur ma chair.
Je perçus une lègére pression, un pincement aigu très sec, et ce fut tout. J'étais bel et bien marquée, mais seulement
à l'encre rouge. Le but était de provoquer ma peur, non de me marquer réellement. Je fus à la fois soulagée par ce
dénouement inattendu, et secrètement déçue peut-être, de n'avoir pu donner ainsi une preuve d'amour définitive.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Justement, à propos de boire…
J’en ai peu dormi, cette nuit…, ma Maîtresse m’a demandé d’écrire sur la boisson. Pourquoi donc ce nom m’a-t-il empêché de m’endormir? Oh, tout simplement parce que venant d’elle, toute une série d’idées sont venues se bousculer dans ma tête. Sa présence, ses possibles idées…
Tout d’abord, la boisson fait penser à l’eau et évidemment à son histoire. Je veux parler d’histoire d’O, ce roman écrit et surtout réalisé sous la forme d’un film qui a illuminé mes fantasmes et m’a préparé, il y a longtemps, à vivre ce que je suis devenu maintenant. Un soumis sensible à la théâtralisation, à l’adoration d’une Maîtresse, à l’accomplissement d’un être inférieur par rapport à la femme qui plus est, est soumis à une Maîtresse. Le parcours de Corinne Cléry, je l’avais pris pour moi et encore plus en y repensant justement cette dernière nuit.
Histoire d’O met en lumière le parcours d’une soumise (évidemment la soumise peut aussi être un soumis) qui suit un parcours initiatique pimenté de flagellations, d’emprisonnement, de prêt, de bisexualité, d’épreuves couronnées par le débarquement de cette esclave fière d’appartenir. Cette esclave qui, à la fin, montre le chemin à une soumise suivante. Peut être que mon présent écrit a cette vertu, je l’espère, de guider les lecteurs qu’ils soient dominants ou soumis, sur ces parcours merveilleux de sensualité, de sensibilité, d’émotion aussi.
De cette histoire découle évidemment la présence des liquides dans les pratiques, us et coutumes qui prévalent dans le monde BDSM. Etant donné que l’eau est la première boisson à laquelle on pense, évoquons ici, quelques chemins et expériences. L’eau que l’on boit dans un verre et qui souvent se révèle nécessaire au cours d’une épreuve un peu « hot ». L’eau que l’on donne dans un verre mais qu’une Maîtresse peut aussi cracher sur le visage du soumis ou gicler depuis sa bouche dans celle, ouverte de celui qui subit ses envies sadiques. L’eau qui peut passer d’une bouche à l’autre quand, dans le cadre d’un enfermement dans une cellule ou un cachot, l’un des deux soumis est incapable, à cause de son carcan, par exemple, de se désaltérer: une belle situation d’entraide. L’eau que l’on peut placer en dehors de la cage et dans laquelle se tient un soumis qui justement est en cours d’assoiffement, que l’on titille en lui montrant une écuelle d’eau qu’il ne peut atteindre. Petit moment de sadisme que je vais encore évoquer plus bas.
Les jeux avec l’eau sont multiples et variés car si, à l’évidence, on peut faire couler la boisson dans la bouche, il est aussi possible de la faire couler au travers d’une canule fixée dans l’anus. Un lavement qui, en règle générale, selon la constitution des personne, peut ingurgiter 1 à 2 litres d’eau (notons ici que certains font des lavements avec des produits savonneux, voire même avec du vin ou du champagne, c’est dangereux et à proscrire!). L’eau donc que l’on peut garder malgré des contractions et des crampes qu’un bon bouchon peut retenir durablement. Ce lavement qui peut s’éjecter sur une cuvette des toilettes ou, par exemple, si le sujet est suspendu par les pieds, sortir par saccades… (Pour ceux qui n’aiment pas, et j’en suis, un petit prélavage est requis de telle façon que l’eau circule facilement dans les entrailles et que rien de trop sale vienne troubler une session).
Après l’eau, les boissons peuvent être évidemment multiples et variées. J’ai souvent fait de mauvaises expériences quand, dans le donjon coulait le champagne ou d’autres boissons alcoolisées. Les sessions dérapent en général car l’alcool ne fait pas du tout bon ménage avec les bonnes pratiques BDSM.
On parle champagne? venons-en alors, maintenant, à la boisson qui établit entre la dominatrice et le soumis une relations particulière et étroite, je veux parler de l’urolagnie, ou autrement dit celle de boire l’urine. Bien sûr que l’eau mentionnée ci-dessus et les descriptions de pratiques, peut avantageusement être remplacée par l’urine. Importée des USA, la technique fort sadique qui consiste à ficeler le soumis bien serré et de lui recouvrir le visage avec un linge sur lequel la dominatrice fait gicler sa petite fontaine dorée. L’effet de suffocation ne tarde pas à faire son effet que le soulèvement de ce bout de tissus permet de stopper. Pour le soumis c’est une délicieuse façon d’être entre les mains de sa domina, l’effet physique est doublé par une excitation cérébrale intense.
La boisson « naturelle », chaude, est agréable et a un goût parfois assez sympa. Je me souviens de ce stage, écourté, à cause justement de l’alcool et la drogue (!!!). Je fus reçu, juste après le déjeuner. « On va te laver » me dit la dame. Nu, complètement ligoté, elle me fit subir le supplice de la baignoire. Je bus quelques mémorables tasses… entre deux étouffements, puis, en fin d’après-midi, alors que je commençais à avoir envie de boire quelque chose d’agréable, la dame me dit « hein, t’as soif? » elle baissa son leggings noir et pissa dans un verre qu’elle me tendit, la boisson avait un très bon goût de whisky!
Je me souviens aussi de cette soirée en donjon où la dominatrice me tendant l’écuelle avec le repas du soir, la repris, écarta son slip pour pisser dans l’écuelle. « Comme ça tu aura ta boisson en même temps que ta pitance » me dit-elle, en riant.
Il m’est aussi arrivé de boire l’urine froide du matin qui a elle un goût plus prononcé et parfois âcre. Mais quand on aime on ne chipote pas. Lors d’une préparation à une session uro, je me souviens de cet ami, propriétaire et gardien de prison, tatoué de partout d’ailleurs (avec une queue « insuçable » tellement elle était percée et gonflée par des implants sous la peau) qui avait pissé dans un verre avec l’intention de me le faire boire. En voyant, dans le verre, des « épaisseurs » comme de l’albumine, pas très catholiques; je lui dis que son urine devait contenir des éléments plutôt pathologiques et nous avions donc renoncé à la boisson. (Par contre l’arrosage, sans ingestion, ne me posa pas de soucis autre que celui de trembler de froid avant que l’urine n’ait séché alors que j’étais enfermé dans une cravate dans un sous-sol poussiéreux et assez frais).
Il va sans dire donc que cette pratique suppose que les participants soient en bonne santé (pas de diabète, de cystite, d’infection).
Il m’est aussi arrivé de boire des liquides (du lait en l’espèce) qui avaient été préalablement injectés dans le vagin d’une soumise, petit exercice souvent drôle, car il était toujours difficile de garder l’étanchéité de la « bouteille » improvisée… chose qui arrive notamment avec des pseudo-boissons du genre crème vanille, à la fraise ou au chocolat… (je ne parle pas ici, mais j’y pense quand même, des possibles petits « mélanges périodiques »…) on s’en met partout, souvent sous les rires et commentaires des spectateurs et des opérateurs avec pour finir le léchage de la soumise pour bien finir le « travail ».
Les beaux moments sont aussi ceux de recevoir la boisson en étant enfermé dans un cachot, la « fontaine » coulant au travers de la grille du dessus. Ces nuits passées dans des cages superposées où celles, occupées au dessus, « alimentent » le ou les soumis placé en-dessous. Après une telle nuit dans ces conditions, il règne une petite odeur bien sui-generis qu’en bon soumis maso on apprécie toujours un peu, surtout quand les opérateurs viennent laver ça à grande eau bien froide.
Evoqué et réalisé aussi, la boisson en circuit fermé. Oui, je l’avoue, ce fut une session un peu spéciale (mais bon ça peut se faire…). Insertion d’une sonde urinaire avec un tuyau qui va de la sortie de cette sonde à une sonde gastrique insérée dans le nez pour descendre jusqu’à l’estomac… le soumis s’hydrate tout seul sans rien faire notamment quand il est complètement momifié avec un tuyau dans la bouche pour respirer.
Il va sans dire que venir se désaltérer à la source reste un privilège précédant ou suivant un délicieux cuni ou une belle pipe. En fonction de la situation, après, sous forme d’une délicieuse liqueur que l’on sert après un repas, les humeurs féminines ou le sperme viennent vous remplir la bouche que probablement, une dominatrice un peu perverse, viendra boucher avec un bâillon. Ce goût de liqueur et d’urine embaumera les papilles gustatives pendant une longue période pour le plus grand bonheur du soumis ou de la soumise d’ailleurs.
Une façon possible de précéder la mise en sevrage qui pourrait durer, par exemple 24 heures, d’un soumis portant une bride-bavarde, enfermé dans une cage, exposé, titillé par des invités se promenant le verre à la main, crachant sur l’envieux en commentant et riant de sa soif. L’antithèse de l’action de boire en quelque sorte.
A ma Maîtresse Gabrielle! Maîtresse, je suis la bouche ouverte pour recevoir votre divin liquide!
Kaji (esclave SLNR: n° 386-312-138)
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Aujourd'hui, je vous apporte un sujet peu commun: le soi-disant Geisha mâle ou Taikomochi ou h?kan , qui était la façon courante de les appeler.
Son origine remonte au Japon féodal du s. XIII. Ils faisaient partie de l'assistance personnelle du Seigneur féodal en matière de connaissance de la musique, de la poésie et du rituel du thé. Ils devinrent plutôt des bouffons (daimyo) encouragés à divertir les banquets majestueux.
Plus tard, avec l'arrivée des Samouraïs, ces "geishos" ont été rebaptisés Otogishu , des conteurs de style jongleurs, plutôt humoristiques, bien qu'ils se soient concentrés davantage sur des conversations confidentielles avec le Seigneur, même de nature militaire. qui étaient de vrais conseillers et une partie importante dans les décisions finales sur les stratégies, allant même jusqu'à se battre au coude à coude dans les batailles dans lesquelles leur Seigneur était impliqué. Leur niveau était de haute confidentialité étant considéré comme des camarades, c'est-à-dire doboshu.
Avec l'unification du pouvoir politique et militaire sous la domination du dernier Shogun (Tokugawa Ieyasu), ils ont acquis de nouveaux pouvoirs et un nouveau statut, devenant des courtisans d'une éducation délicate et d'une connaissance approfondie des divers arts, en particulier des histoires érotiques.
C'est quand on leur a donné le nom de Taikomochi.
C'était dès l'apparition de la première geisha (onna geisha), Kikuya, de retour dans l'art. XVIII, lorsque les Taikomochi ont commencé à jouer un rôle encore plus secondaire. Certains étaient de simples compagnons ou assistants de la geisha lors de réunions importantes. D'autres ont profité de l'occasion qui s'est présentée à la suite de l'expulsion de femmes des arts du spectacle pendant le shogunat de Tokugawa. Ainsi, aujourd'hui, seuls les artistes du théâtre Kabuki sont des hommes.
Ils peuvent trouver une infinité d'informations sur le net. Je n'ai fait qu'un bref examen, de nombreux détails ont donc été omis.
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Le lendemain de cette nuit où fut suppliciée la jeune soumise, Xavier avait été
absent une partie de la journée. Charlotte était restée seule avec Juliette à
s'ennuyer, mais après dîner, elle était montée dans la chambre de sa Maîtresse
qui faisait sa toilette; la nudité aidant, d'attouchements en attouchements, elle
avait dû s'avouer vaincue et cèder à son désir de soumission. Bénéficiant des
ardeurs de Juliette, elle se remémora la soirée et seulement toute l'horreur de
son abandon lui apparut. Elle frémit à l'idée qu'elle avait pu s'offrir et se laisser
ainsi sodomiser par des inconnus dans des poses d'une lubricité atroce. puis
peu à peu, le souvenir de certaines émotions charnelles supplanta la vague de
pudeur qui déferlait en elle; elle repensa à l'ardente virilité de Xavier et trouva
la vie plus belle que jamais. Elle se caressa dans la douce lumière du jour
tamisée par les volets.
L'après-midi, elle retrouva Juliette et l'emmena chez Xavier; vêtues toutes les deux de blanc, elles avaient
l'air de deux sœurs et le miroir éclairé renvoya bientôt aux yeux de l'homme leurs intimités lisses et moites.
Bientôt, les deux corps dénudés se roulèrent sur le lit en une étreinte sauvage où Juliette exhala non sans
passion sa volupté toujours puissante. Alors Charlotte abandonna son corps aux désirs sadiques de Xavier.
Il l'entraîna sur une table haute en bois et l'allongea à plat-ventre, jambes et bras écartés en lui liant les
chevilles et les poignets fermement avec des cordes en prenant soin d'étirer ses membres en position
d'écartèlement extrême. Xavier se saisit d'un martinet aux lanières en cuir et commença avec art à
flageller les reins qui s'offraient à lui; il commença doucement, visant le sommet des fesses tendues.
Charlotte n'avait pas très mal; chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses
muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irridia sa croupe, se propageant à son vagin. Une
torsion légère des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la
soumise contrainte sortirent de longs soupirs. Xavier, excité, commença à frapper plus fort par le travers
et les gémissements de Charlotte furent plus profonds et la danse de la croupe s'accentua.
En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure dans les reins et hurla; l'homme la
flagellait à toute volée. Il n'attendit pas qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque
fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Charlotte crispa ses
poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à la tête. Alors Juliette s'accroupit près des
épaules de Charlotte et lui caressa la tête, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise
éplorée. Xavier frappa encore plus fort et les fines lanières claquèrent dans un bruit mat les fesses musclées.
La suppliciée se mit à gémir en hoquetant et en tordant son buste que sa Maîtresse maintenait tout en le
caressant; elle lui promit toutes les joies charnelles qu'elle voudrait sur son propre corps, mais lui demanda de
résister encore; parfois Charlotte se tournait vers Xavier dénudé, qui, tel un démon, les yeux fous de luxure, le
ventre tendu, la verge en érection, la flagellait avec une force inouïe. Alors les lanières léchèrent le sexe entre
les cuisses écartées et un long cri s'échappa des lèvres de la soumise douloureusement atteinte; elle voulut
fermer les jambes mais des cinglements plus vifs l'atteignirent sur leur coté. Mais la douleur devint trop vive.
Charlotte laissa couler quelques larmes sur la main de Juliette qui fit signe à Xavier de cesser la flagellation.
On la détacha de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que peu de
temps; penchée sur le ventre ouvert de la soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide
et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité; mais elle même, sentit monter en elle la plus violente
des jouissances sous la caresse précise de Vincent qui, glissant sa langue entre ses reins, lapait la peau
satinée de sa voie étroite, tandis que des lèvres de Charlotte s'échappait la plainte d'amour, s'éleva le
gémissement étouffé de la chair humide et palpitante de Juliette, jouissant de toutes ses forces. Xavier dut
maintenir les hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et inintérrompus.
Quand Charlotte eut repris ses sens, tous trois revinrent sur le lit; Xavier fit prendre à la jeune soumise les
positions les plus indécentes, puis à son tour, il lui tendit sa verge en érection. Elle s'agenouilla et le masturba
lentement, en roulant sa paume tout autour du cylindre de chair avant de le prendre en bouche; avec violence le
phallus se contracta, manquant de ressortir de ses lèvres qui l'aspiraient pour le retenir. Il éjacula brusquement,
innondant sa gorge de sperme qu'elle avala mystiquement jusqu'à la dernière goutte.
Juliette posa son index sur l'anus de Charlotte, et lentement l'enfonça dans les entrailles chaudes, jusqu'au bout.
Les yeux fermés, elle cherchait à imaginer, en sentant les contractions des sphincters intimes, la volupté ressentie
par un homme dont le membre était pris dans cette voie exiguë; doucement, elle agita son doigt dans l'orifice offert,
tandis que sa soumise redonnait de la vigueur à Xavier, par le mouvement de sa bouche refermée et resserrée sur
le membre gonflé; elle comprit simplement qu'à son tour, il souhaitait frayer un chemin au plus étroit.
Il se dégagea, se leva et, attirant par les reins Charlotte, laissa son sexe se caresser au sillon des reins, que Juliette
avait laissé à regret; alors avec force, sans préliminaire, il enfonça son phallus, remontant et allant frapper au fond de la
cavité de l'orifice naturellement étroit. Dans un long gémissement, elle accepta cette chair qui distendait ses reins non
sans se débattre et sans être comblée de honte, mais à laquelle, elle ne se déroberait pas, même si cela lui semblait
sacrilège; elle gémit encore plus fort, quand elle sentit le membre caché, buter au fond de ses entrailles offensées.
Vincent sodomisa profondément ce jeune corps soumis, se regardant glisser hors de l'étui intime, se contracter et
distendre les bords plissés de l'anneau anal. Bientôt, l'excitation fut trop forte et il accentua la cadence, secouant la
croupe empalée. Charlotte, elle même avivée par ce frottement intense dans ses entrailles forcées, s'abandonna
à son tour, tandis que l'homme lançait en elle, par saccades quatre jets de sperme visqueux et âcre. Elle se tordit de
jouissance et, dans une longue plainte, soupira, s'écroula, vaincue par un orgasme dont l'intensité la bouleversa.
Xavier se retira, la libérant; Charlotte voulut le prendre dans sa bouche pour le laver, mais dédaigneusement, il refusa.
Semi-consciente, elle pensa seulement qu'aucun orifice de son corps ne serait épargné, qu'elle devrait aussi accepter
d'être prise au plus étroit et savait que cette humiliation lui serait infligée par la volonté de la maîtresse qu'elle aimait.
Elle était là pour que Juliette assouvisse ses plus bas instincts, ses plus vils fantasmes; au fond d'elle même, elle était
décidée à ne pas la décevoir. En fut-elle délivrée ? Chaque jour et pour ainsi dire rituellement salie de sueur, de salive,
et de sperme, elle se sentait comme un réceptacle d'impureté. Cependant les parties de son corps les plus souvent
offensées lui paraissaient, malgré elle, plus belles, comme anoblies. Sa liberté serait pire que n'importe quelle chaîne.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Je pris la fuite avant l’aube, plus misérable que jamais.
Abruti par une nuit blanche et l’excès d’alcool, rongé par la culpabilité, je vis défiler l’autoroute jusqu’à Paris plongé dans une torpeur hantée par les images de la nuit. Je revoyais ces scènes obsédantes de jouissance et de douleur mêlés, je ressentais encore la main de Maurice étreignant mon sexe ou le désir fou que j’avais éprouvé de cette esclave enchaînée à sa maîtresse. S’associaient contradictoirement le désir de retrouver au plus vite une telle jouissance et un profond dégoût de moi-même. Mon sexe, plutôt que de se tendre, maculait mon pantalon.
Ce ne fut qu’aux abords de Paris que je recouvrais mes esprits. La familiarité du paysage urbain et le ciel gris me ramenèrent à une réalité plus prosaïque. Bientôt, sans même m’en rendre compte, j’arrivais dans ma rue puis devant la porte de mon pavillon. J’ignorais si je retrouverais Sarah ou si ce joli fantôme s’était évanoui dans la nature. Au fond, j’aurais pareillement accepté les deux hypothèses.
Il était encore tôt, je pénétrai dans la maison sans bruit et me glissai jusqu’à la cuisine. Les pièces étaient plongées dans la pénombre, à l’exception de la cuisine. C’est là, soudain, que je découvris ébahi une jeune femme entièrement nue, une paire d’écouteurs sur les oreilles, et qui se dandinait d’un pied sur l’autre en attendant que le four à micro-ondes ait fini de tourner. Je toussotais assez bruyamment pour qu’elle se rende compte de ma présence mais sans l’effrayer. Elle se retourna avec un petit cri d’effroi, laissa tomber la tasse qu’elle tenait à la main et plaqua une main sur son bas-ventre tandis que son autre avant-bras masquait son peu de poitrine.
Joliment brune, avec des yeux très noirs, elle avait encore quelque chose de l’adolescente. Si ses traits plus nets n’attestaient de sa maturité, on lui aurait donné seize ans. Sans doute sa poitrine trop menue y était-elle pour quelque chose d’autant que les deux anneaux qui traversaient les mamelons attiraient inévitablement le regard. Son pubis glabre rappelait également l’innocence pré-pubère, mais il suffisait de s’attarder sur le modelé des épaules et des hanches pour constater sa pleine féminité.
Tout en lui interdisant d’un geste de bouger pour ne pas se couper la plante des pieds, je saisis un torchon et une pelle et, à genoux, j’entrepris de ramasser les morceaux de porcelaine. Mon geste eut pour première fonction de la calmer.
C’est alors que retentit dans mon dos la voix de Sarah.
- Je vois que vous avez déjà fait connaissance !
Je me relevais péniblement tandis que, profitant de ma position, la jeune inconnue contournait la table et se réfugiait dans les bras de Sarah.
Je devais avoir un aspect assez minable pour que Sarah m’inspecte avec une expression aussi dubitative que la sienne. Elle, en revanche, dans un peignoir qui m’appartenait et qu’elle portait largement ouvert, apparaissait aussi gracieuse et désirable que d’ordinaire. Avec, en plus, un petit air de supériorité dont je compris la raison lorsqu’elle s’adressa à son amie.
- Cléo, as-tu présenté tes excuses à Monsieur pour t’être exhibée dans sa maison sans que l’on te l’ait demandé ? Et pour avoir cassé cette tasse ? je suppose également que tu ne l’as pas salué…
Se redressant et croisant les mains dans son dos, Cléo s’approcha assez près de moi pour que je perçoive le parfum de son corps. Les yeux baissés, elle prononça d’une voix maladroite :
- Monsieur, je vous demande pardon.
- File t’habiller maintenant et tu redescendras nous servir le petit déjeuner dans le salon.
Je ne sais d’où Sarah tira cette lanière qui apparut dans sa main mais elle claqua farouchement sur les fesses de la jeune femme au moment où elle quittait la pièce.
- Je suis désolé, me fit Sarah je me sentais seule, je lui ai demandé de me rejoindre. J’ignorais quand votre retour était prévu.
- Qui est-elle ?
- Mon amour.
Je manquais de m’étrangler.
Venez, ajouta-t-elle avec une douceur mesurée. Venez, j’ai à vous parler.
Nous sortîmes dans le jardin. Le temps était à l’orage. Tout au fond du ciel, de gros nuages noirs roulaient sur un fond gris. Les chants d’oiseaux s’étaient suspendus, l’attente de la colère des cieux avait bâillonné le monde. J’étais fourbu et n’espérais qu’une douche et une journée entière au lit. Je déposai mon manteau sur la balançoire et m’adossait au tilleul, Sarah tira l’un des fauteuils d’osier et s’installa tout près.
- Votre voyage s’est bien déroulé ?
- Non. Oui et non.
Je lui racontais mon entretien professionnel à Lyon, mes soucis d’argent qui s’éloignaient, la possibilité d’un contrat plus rémunérateur.
- Ce n’est pas tout, conclut elle lorsque j’en eus fini.
- Comment cela ?
- Vous ne me dites pas tout. Cela se lit sur votre figure.
- Non, je vous promets….
- Tututut ! Faites moi confiance, dites-moi… dit-elle d’un air faussement détaché.
Je cédais. J’avais besoin d’évacuer le trop plein d’images et de sensations de la veille. Je lui expliquais comme j’aurais expliqué à un psychologue ou un prêtre. C’était une confession, un aveu, non pas à Sarah en particulier mais à un être humain qui, je ne sais pour quelle raison, m’apparaissait à cet instant être le seul à pouvoir me comprendre. Les mots sortaient en vrac, sans ordre précis mais le tableau à défaut d’être exact, était juste.
Mon récit achevé, Sarah plongea ses prunelles grises au fond de mes yeux. Elles luisaient avec une dureté métallique.
- Il n’y avait là rien de sordide, Monsieur. Et je crois que vous savez parfaitement ce qui vous taraude.
- Je ne tiens pas à en parler…
- Si, justement, nous allons en parler ! ordonna-t-elle, parce que tout est en rapport avec tout. Vous avez aimé que cet homme vous branle. Ne le niez pas. C’est cela et rien d’autre qui produit en vous cette confusion. Vous vous débattez entre deux sentiments. Ne soyez pas aussi lâche !
Cléo réapparu sur ces entrefaites, coiffée, légèrement maquillée et vêtu d’une légère robe printanière qui ne couvrait que le haut de ses cuisses. Je priai qu’elle n’ait rien saisi de notre échange.
- Viens ici, ma chérie, fit Sarah en changeant diamétralement de ton.
Me saisissant par le bras et prenant Cléo par la main, elle nous entraîna autour du jardin.
- Je vous ai avoué, Monsieur, que j’aimais Cléo. C’est la vérité et vous l’avez probablement mal pris. Nous nous sommes connues à l’université, nous partagions la même chambre d’étudiantes, trop pauvres pour en louer une chacune. À force de réviser ensemble, de dîner ensemble, de sortir ensemble et de dormir ensemble nous avons fini par nous aimer. Mais cet amour, l’amour d’une femme envers une autre femme n’a rien à voir avec l’amour d’une femme envers un homme. C’est autre chose, un autre univers. Il y a des femmes qui n’ont jamais aimé que les femmes parce qu’elles sont ainsi. Il y en a d’autres qui s’aperçoivent au cours de leur vie que ce sont les femmes qu’elles aiment plutôt que les hommes avec lesquels elles ont vécu. Il y a aussi des femmes qui décident de ne plus aimer que des femmes parce qu’elle ne supportent plus les hommes. Sans doute les trouvent-elles trop bornés, trop violents, trop obsédés par le sexe et je les comprends. Chaque femme, chaque homme est unique. Moi, je prends ce que chaque côté m’offre et je le fais avec la même sincérité et la même loyauté. J’aime Cloé et je crois que je commence aussi à vous aimer. Ce n’est pas la même nature d’amour mais l’un et l’autre sont aussi importants à mes yeux.
Ces mots, d’une admirable franchise, dispersèrent les contradictions qui depuis notre rencontre m’embrouillaient l’âme. Décrits avec cette limpidité, nos rapports prenaient toute leur évidence. Il n’y avait plus de drame, ni de bien ou de mal, plus de culpabilité.
Et moi commençais-je aussi à l’aimer, Sarah ?
Une petite tape sur les fesses suffit à renvoyer Cléo vers la cuisine. Il restait tout de même certaines choses à régler entre nous, ne serait-ce que pour le bien de la vie commune.
- Et Cléo ? demandais-je.
- Cléo ? Pourquoi ?
- Pour rien…
Sarah sourit énigmatiquement.
- Cléo m’appartient. Depuis toujours. Elle m’est parfaitement soumise et m’obéit sans récriminer ni même hésiter. Je suis responsable d’elle, de sa sécurité, de son intégrité et de sa docilité. Il m’est arrivé de la prêter à d’autres hommes ou femmes, contre de l’argent, pour qu’elle ait consciente d’être ce qu’elle est : guère mieux qu’une petite prostituée que j’accepte dans mon lit et à laquelle j’accorde mon coeur.
Cléo était déjà revenue les bras chargés d’un plateau avec les tasses, le café et les biscuits qu’elle déposa sur la table de jardin. Sarah lui fit signe de s’installer sur ses genoux, dans le fauteuil. L’ayant orientée de façon à ce qu’elle soit tournée vers moi, elle releva ce qui restait de tissu pour masquer sa pudeur puis d’un léger coup de griffe sur l’intérieur de ses cuisses, lui commanda de les ouvrir. J’eus la vision d’un mont de Vénus lisse comme l’albâtre et délicatement bombé au dessus d’une vulve aux grandes lèvres pleines et tendrement ourlées où affleuraient en vaguelettes les chairs plus foncées des petites lèvres. Elle portait elle aussi un anneau d’acier de bonne taille au clitoris. Sarah commença à jouer avec le métal, le faisant pivoter entre ses doigts ou rouler sous sa paume.
Elle est belle, n’est-ce pas, ma petite putain ? demanda-t-elle en lui déposant un baiser dans le cou. Elle manque seulement de tout sens moral… Cette petite fente délicieuse qu’elle cache là, entre ses jambes, lui fait perdre trop vite la tête.
Sarah tira d’un coup sec sur l’anneau, arrachant une plainte à son amante. Puis, élevant légèrement la voix afin d’être certaine d’être comprise, elle expliqua :
-Je voudrais pourtant qu’elle soit témoin de ce que je vais vous avouer, à mon tour.
Alors, elle redressa, laissa tomber sa robe et se présenta nue. Ses gestes avaient une élégance particulière. Certaines personnes ont plus de noblesse dans leur simple nudité que dissimulés sous leurs plus précieux habits. Je l’avais déjà vue nue, mais il me sembla pourtant que je redécouvrais son corps. Comme je l’ai déjà dit, la grâce qui en émanait tenait à ses proportions inhabituelles. La rondeur de ses épaules et ses bras fermes donnaient une impression de force sereine. Ses hanches étroites comme celles d’un garçon faisaient un étonnant contraste avec des seins lourds mais ronds et portés hauts. De son ventre où scintillait une perle incrustée au creux du nombril toutes les lignes convergeaient vers un pubis lisse et fendu particulièrement haut.
Ses doigts jouaient à se croiser et se décroiser, trahissant la nervosité qui l’agitait. Au terme d’un très long silence, au cours duquel elle chercha probablement les mots les plus justes, elle releva le visage. Des larmes brouillaient ses prunelles.
- Vous m’avez témoigné votre confiance en vous confessant à moi. Je vous ai avoué mes désirs les plus intimes. Nous nous sommes battus trop longtemps, pour résister à ce que nous éprouvions. Je ne suis pas une femme parfaite et je mérite sans doute mille fois d’être punie pour mon insolence, mon agressivité, mon égoïsme et tous les défauts que vous connaissez trop bien.
Elle rayonnait d’une beauté secrète que j’eus le sentiment d’être le seul à percevoir. Chaque mot que ses lèvres prononçait s’incrustait au plus profond de moi. Dans un souffle, elle me fit l’aveu que j’attendais depuis tant de jours :
- Monsieur, je vous désire pour maître.
Sa poitrine se soulevait rapidement. Deux larmes glissèrent tout au long de son visage.
- Je n’exige pas que vous m’aimiez, je n’exigerai jamais rien de vous. Prenez-moi comme il vous plaira.
Soudain dégrisé, je réalisai qu’elle m’offrait son amour, qu’elle se donnait à moi, sans réserve ni condition, dans un élan de passion.
L’empoignant par les cheveux, mais sans brutalité, je l’entraînais vers la table du jardin. Tout en la faisant ployer la buste sur la surface froide du métal, je l’incitais du bout de la chaussure à écarter les jambes. Quelques gouttes de pluie s’écrasèrent dans l’herbe.
Cléo s’était approchée. Je lui indiquais par geste de maintenir solidement les poignets de sa maîtresse au-dessus de sa tête. Ainsi offerte, Sarah sembla se détendre, elle tourna le visage de façon à poser sa joue contre la table et accentua légèrement la cambrure de ses reins. Son anus, petite étoile de chairs resserrées, s’offrit dans l’entrebâillement de ses fesses.
Libérant ma verge de mon pantalon, je la posais à l’entrée de son orifice étroit puis, d’un seul coup de reins, la forçai au plus profond. Sarah laissa échapper un long feulement de douleur.
La pluie commença à tomber. Je me reboutonnai et abandonnai Sarah à l’averse.
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Ca ne se voit pas souvent mais il est vrai que les séjours prolongés montrent toujours les petits soucis de la vie... Satisfaire des besoins naturels, manger, s'abreuver font partie de ces détentions qui dépassent largement les soirées en donjon tout comme d'ailleurs le rasage, la prise éventuelle de médicaments et autres petits problèmes analogues.
Toutes ces choses là sont en main de la dominatrice (ou du dominateur) qui règle les choses selon sa convenance d'abord. Nous aurons l'occasion, probablement de revenir sur la plupart de ces sujets, je veux maintenant, à l'invitation de ma Maîtresse Gabrielle, vous exposer le sujet "manger".
Tout d'abord vous dire que j'espère une prochaine fois être mis à l'épreuve en ce qui concerne la subsistance et la boisson: être enfermé ou du moins contraint (car l'enfermement peut très bien connaître des interruptions consacrées à des supplices et épreuves) et être affamé et assoiffé. Au besoin, de temps à autre, lécher un queue, un doigt enduit d'humeurs féminines, que sais-je, mais pendant 24 heures au moins ne plus être nourri. J'ai connu pas mal d'épreuves mais celle-là, encore jamais.... peut être que selon le bon vouloir de ma dominatrice... qui sait...
En période de subsistance, l'écuelle paraît être l'un des récipients que l'on met à disposition du soumis qui, les mains attachées, le plus souvent dans le dos, vient laper sa pitance. Je dis écuelle car parfois on peut jeter la nourriture sur le sol, peut être piétinée au auparavant pour étaler ou attendrir les morceaux. Evidemment le nettoyage soigneux du pied ou de la chaussure étant requis juste après.
Dans les genres de nourriture que l'on peut placer, il y a bien sûr toutes sortes de choses comestibles parmi lesquelles les pâtes avec de la sauce tomate par exemple, de la soupe, que sais-je encore qui tache bien. Toujours sympathique, l'écrasement de la figure du soumis dans l’écuelle, par un pied sadique qui provoque la souillure de tout le visage. Après l’exercice, il est ainsi possible d'ordonner à l’autre soumis de « laver » le visage de l’autre, petit exercice qui peut s’accompagner d’une séance de crachats qui prolonge ainsi ce tableau de soumission et d’humiliation. Une façon aussi de mettre les soumis ensemble dans leur épreuve.
Parfois, quand on voit qu’il manque de fluidité dans le menu, un arrosage de « champagne » du « Château de la Maîtresse » permet d’améliorer le plat.
On peut évidemment aussi prévoir que le dessert consiste en la prise d’une banane glissée dans la vagin d’une soumise qui, probablement n’en demanderait pas tant de faire partie du menu de fête (pour autant évidemment que la sujette soit disposée à cela. Et justement si, par pur hasard, elle est indisposée et que les participants acquiescent à cette pratique, teinter le dessert… enfin vous voyez ce que je veux dire? sinon contactez-moi, je vous expliquerai dans le détail).
Une autre variante de ces moments de repas, et en relation avec un rationnement choisi, il y a celle du soumis, emprisonné ou enfermé dans un carcan, placé à côté de la table où se restaurent les dominants, qui reçoit, de temps à autre une bouchée recrachée par la Maîtresse. Un délice à n’en pas douter pour le soumis qui est très intimement lié à la bonne volonté de sa dominatrice. Un don aussi fort précieux que celui d’être directement nourri par sa propriétaire. Un tableau qui pourrait avantageusement faire partie d’un de ces repas protocolaire pendant lequel le plaisir se partage entre dominants avec bonne humeur, joies, rires et petits commentaires sadiques.
Comme vous pouvez le voir sur la photo sous lequel s’abrite ce texte, boire avec les mains attachées dans le dos est un exercice pas très facile d’autant plus qu’il faut se tortiller pour atteindre le bol et de ce fait se salir le corps, ce qui n’est bien entendu pas bien du tout… (comme vous pourrez, assurément bien comprendre).
Et encore vous dire que dans le domaine de la nourriture, je peux témoigner une session où, nu bien sûr, on balance le soumis entravé, dans un container rempli de déchets de repas de restaurant (attention pour la profondeur du container et surtout de la façon dont vous le retirez…). Transporté dans un espace ouvert, l’exposer, les 4 membres attachés à 4 pieux, sur une prairie pour que les insectes, mouches, guêpes et abeilles, viennent butiner pendant quelques heures. Pendant ce temps vous pouvez pique-niquer non loin, profitant de ce fait du spectacle du soumis qui se débat et chasse par ses mouvements les petites bêtes trop heureuses de ce gâteau inespéré…
Ne manquons pas d’évoquer les concours qui voient le soumis ou la soumise suspendu sous un arbre et servir de cible avec des pommes bien mûres, des tomates, des oeufs…
On le voit, tellement de possibilités de se faire plaisir avec finalement pas trop d’instruments ou de moyens.
Au plaisir de vous servir Maîtresse. C’est le destin d’un soumis, objet de plaisir qui s’offre, humblement et très volontairement à toutes vos idées et pratiques.
Kaji
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À l'heure dite, Juliette retrouva Charlotte, qui avait revêtu une jupe blanche un peu courte
pour son âge et un chemisier blanc sous lequel elle était nue; ses jambes étaient bronzées.
Sa Maîtresse portait également une jupe et un corsage blancs et avait aussi les jambes
nues et des chaussures à talons hauts. Xavier les attendait dans le salon plongé dans
l'ombre. Le grand miroir était posé à terre, près d'un canapé. Il les salua aimablement,
ferma la porte et vint s'asseoir dans le canapé, laissant les jeunes femmes debout sur
le miroir. Alors que Juliette, cuisses ouvertes, câlinait Charlotte dont les seins pointaient
sous le chemisier, Xavier admira dans le miroir les reflets des dessous de ces deux êtres
exquis. Charlotte, cuisses serrées, encore pleine de pudeur, s'abandonnait aux caresses
de Juliette; ses fesses musclées galbaient sous sa jupe et son ventre lisse proéminait,
très prometteur. Juliette laissa Charlotte dégrafer son corsage et faire jaillir ses seins.
Charlotte tournait le dos à Xavier légèrement penché en avant, et ainsi dans le miroir, il voyait les prémices
de ses intimités. Il ne l'avait pas encore touchée. Peu à peu, cèdant à l'ordre de Juliette, Charlotte écarta les
pieds et, dans ce compas de chair, apparut le sexe déjà à demi ouvert et frémissant de désir. Longuement,
Xavier se reput de ce spectacle rare, comparant les deux intimités, celle de la femme épanouie, celle de la
jeune fille prometteuse. Juliette se libéra de la succion voluptueuse et obligea la soumise à regarder dans le
miroir. La honte empourpra le visage de Charlotte qui voulut fermer les jambes, mais bientôt sa Maîtresse l'en
dissuada sous des caresses. Juliette ôta son corsage et en fit autant à Charlotte, dont la jeune poitrine darda
ses deux seins durs aux pointes érectiles et aux larges aréoles brunes.
Xavier admira, soupesa les deux poitrines, en les pétrissant, puis à son tour, leur prodigua d'intenses succions
et de nombreuses caresses. Juliette se dénuda et lentement fit tomber la jupe de Charlotte dont le corps gracile
et musclé se colla au sien. Xavier frôla du doigt le pubis de la jeune soumise qui tendait sa vulve au-dessus des
cuisses écartées dans un gémissment de honte. Alors, Juliette l'entraîna vers le divan, se renversa sur le dos,
cuisses béantes, et laissa Charlotte s'allonger sur elle entre ses cuisses, lui suçoter les seins. Xavier, à genoux,
baisait les fesses offertes, enfouissant son visage entre les globes encore serrés. Puis il se dénuda et son corps
athlétique apparut avec son membre raide et long, saillant au dessus du pubis recouvert d'un léger duvet brun.
Juliette redressa Charlotte, lui fit admirer la beauté du sexe mâle dans sa vigueur, en lui donnant elle-même de
longs baisers, lui montra ce qu'elle désirait la voir accomplir. La soumise se pencha sur le ventre tendu de Xavier;
dans un soupir de contentement, il sentit la jeune bouche s'ouvrir et sa verge glisser entre les lèvres, sur la langue,
jusqu'à la gorge. Alors, Charlotte prodigua à cette colonne de chair la succion tant désirée; dans le silence, s'éleva
le bruissement humide de la fellation voluptueuse. Juliette se leva et, près de Xavier, lui offrit ses seins pour qu'il
les pétrisse entre ses mains nerveuses. Mais le désir de Xavier était violent. Elle le sentit et caressa la tête de sa
soumise pour qu'elle accentue la succion ardente. Bientôt, Xavier posa ses mains sur la tête de Charlotte.
Interrogateur, son regard se posa sur celui de Juliette qui vit son trouble; elle fit signe que oui et Xavier s'abandonna.
Des soupirs profonds, un frémissement de corps et un hoquet de Charlotte qui sentit dans sa gorge jaillir la semence
chaude et âcre. Le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton; elle se
redressa et se coucha, honteuse, sur le divan, la tête entre les mains. Juliette s'allongea près d'elle, lui écartant les
cuisses, et Xavier, à genoux, se glissa entre les jeunes cuisses béantes et sa bouche se riva au sexe moite pour une
succion onctueuse des chairs juvéniles et prometteuses. Juliette baisa doucement les seins arrogants de la soumise
et, quand elle sentit la jouissance qui montait dans ce corps gracile, elle colla ses lèvres à celles de Charlotte, lui
insufflant son propre désir et dans un spasme, elle exhala dans un soupir, dans sa bouche, sa volupté contentée.
Ils laissèrent Charlotte se reprendre, et Juliette, étendue sur le dos, s'offrit à elle qui plongea entre les cuisses hâlées,
colla sa bouche sur le clitoris dardant entre les lèvres humides, et brûlantes de désir. Xavier, penché sur Juliette, lui
caressait les seins puis, quand il la sentit dans les transes de la volupté, se leva dans l'ombre et enduisit sa virilité de
vaseline. Il redressa Charlotte agenouillée qui, comprenant l'intention impérieuse de l'homme, écarta les jambes,
tendit ses reins sans cesser de lécher la fente de sa Maîtresse. Elle sentit la verge de Xavier qui se glissait entre ses
fesses, la fraîcheur du gland sur la voie étroite et contractée par l'anxiété et la lubricité. Juliette serra les cuisses sur
les joues de Charlotte et lui prit les mains. Ses yeux voyaient le visage de Xavier penché sur le dos de sa soumise.
Le membre lui sembla colossal. Elle frémit à l'idée de cette virilité qui s'enfonçait dans ses entrailles et une volupté
nouvelle vint s'ajouter à celle qui montait en elle. Xavier, les mains aux hanches, poussa bientôt des reins, et le gland
amolli par la précédente jouissance se prêta aux replis de l'exiguë bouche; l'anus plissé s'ouvrit sous la poussée
continue, lente, inexorable, se distendit suivant le cône de chair qui s'infiltrait en lui comme l'épée dans son fourreau.
De la bouche de Charlotte s'échappa un sourd gémissement, perdu dans la moiteur du sexe de sa Maîtresse. Ce cri
excita Juliette qui, les yeux embués de désir, regardait le ventre tendu de l'homme derrière les reins de sa soumise.
Charlotte cessa de la sucer, sa bouche ouverte déformée par la souffrance, sentant glisser en elle le phallus épais.
Xavier poussa doucement, mais avec vigueur, et sa chair peu à peu, s'enfonça dans les entrailles. Bientôt, le gland
disparut dans l'étroit orifice qui se referma derrière ses rebords saillants. Il s'arrêta de pousser, laissant Charlotte
s'habituer à sa virilité, palpant les flancs frémissants et chauds. Juliette plaqua la tête de la jeune soumise sur son sexe
béant et celle-ci recommença à la sucer; mais bientôt, des gémissements, dans un souffle lourd, frolèrent ses chairs
exacerbées. Xavier continua la lente pénétration et peu à peu, le renflement de la verge disparut dans le mystère des
reins. Charlotte tendant ses fesses, riva ses lèvres soupirantes au sexe humide, suça voracement le clitoris érectile,
sentit les cuisses musclées serrer ses joues. Une chaleur intense irradia sa tête enfoncée dans le désir chaud et doux,
tandis qu'elle sentait le ventre de l'homme se plaquer à ses fesses distendues et les mains qui lui pétrissaient les seins.
Xavier s'arrêta, fébrile, frémissant tout entier par le membre dans les entrailles étroites et souples; alors, il sodomisa la
jeune soumise, faisant attention à ne pas lui faire mal, prévoyant de l'avenir. L'épais phallus allait et venait dans la gaine
qui se pliait, s'habituait à sa grosseur. Charlotte ne ressentait plus de souffrance vive. Il lui semblait seulement qu'une
colonne monstrueuse distendait son anus, battait dans son ventre, frôlait sa grande voie; la chaleur montait à sa tête déjà
chavirée; ses mains libérées s'aggripèrent aux cuisses de Juliette, sa bouche aspira avec plus de violence la vulve offerte
et sa Maîtresse, surprise, ne put freiner sa volupté. Xavier eut devant les yeux le corps de la jeune fille secoué de frissons
de jouissance, arqué dans un spasme délirant, et il entendit ce grand cri, terrible de bonheur orgasmique que seules les
femmes satisfaites savent faire entendre. Les cuisses s'élargirent, tandis que Charlotte s'emplissait la bouche de cyprine.
Xavier sentit la jouissance monter dans son corps, dans cette sodomie lubrique, une chaleur voluptueuse irrésistible. Il
accéléra le coït dans les reins offerts; de la bouche de Charlotte sortirent alors de doux soupirs tant attendus; elle sombra
dans la jouissance la plus effrénée. La sodomisation s'accéléra, transportant les corps dans une irréelle jouissance. Son
ventre frémit sous les secousses, alors dans un sursaut, elle écarta les cuisses, souleva ses fesses, laissa éclater un
orgasme et savoura dans son ventre heureux, gicler les saccades de sperme de l'homme, profondément empalé en elle.
Hommage à Charlotte
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Le duc observe sa femme avec une expression de profonde satisfaction. "C'est vraiment une adorable petite chienne bien obéissante. Elle a un beau physique mais surtout une tête bien faite . Sa façon de traiter les conflits latents m'aide beaucoup. Et puis ce corps, qu'il réagit donc bien aux sévices ! Quel plaisir de contrôler sa jouissance ! De la faire monter jusqu'au ciel pour la ramener brutalement plus bas que terre !De caresser sa blanche peau si fine ! De la strier de coups de badine pour la faire rougir !De palper si fort ses seins et son ventre que des traces de doigt apparaissent ! De l'empêcher d'exprimer son plaisir puis de le lui autoriser ! De l'entendre hurler à la lune comme une louve en chaleur !Et quand je le veux, la laisser se tordre de plaisir sous mes doigt ! Que de satisfaction elle m'apporte !Babette la prépare bien et elles y trouvent toutes deux du plaisir. Il faudrait que je la récompense cette petite esclave. Je ne lui dois rien, c'est certain, mais son dévouement n'en sera que plus sincère. Qui travaille mieux qu'une esclave comblée? Puis sa p'tite chatte est douce à ma queue. Et sa longue langue pénètre bien mon anus quand je ramone mon épouse. Mon plaisir en est amplifié grandement. Elle est avec mon valet qui va la punir un peu et elle ne s'attend sûrement pas à jouir dans l'écurie. Puis il sera plus tendre.
J'ai senti l'attirance qu'il n'ose lui déclarer. Il me sert bien et s'il se marie avec elle je les aurais encore plus près de moi. Il n'ira pas chercher une autre calèche à conduire. Babette sait bien obéir. Elle devrait lui convenir. Bon fini de rêver. Que fait ma duchesse aux pieds nus? Son repas est presque fini . Je vais la laisser dormir un peu . Holà Martin. Viens donc par ici! »
L'aubergiste approche, un pichet de vin à la main. "Oui Monseigneur?
---Trouve une couche moelleuse pour mon épouse. La matinée a été difficile pour elle au château. Elle a besoin de dormir au calme et au chaud. Fais la marcher en laisse compris?
---Oui Monseigneur. Nous avons une nouvelle couche dans l'alcôve de l'autre côté du mur. Elle jouxte la cheminée et la chaleur se diffuse doucement. Je pense que Madame y sera bien.
---Parfait. Et je compte sur toi pour t'assurer qu' elle ne soit pas dérangée. Elle est très fatiguée.
---Oui Monseigneur, je veillerai sur elle. "
Martin s'approche de Dame Blanche qui somnole près de sa gamelle, il saisit doucement la poignée de la laisse et fait cliqueter celle-ci. Entendant ce signal bien connu Blanche se redresse promptement sur ses genoux. Elle se laisse guider après un petit regard inquiet vers le duc. D'un geste désinvolte de la main et d'un sourire il la rassure. Confiante, la jolie petite chienne suit Martin jusqu'à l'alcôve cachée derrière le mur. Elle grimpe sur la couche et s'installe en chien de fusil. Avec tendresse Martin étale sur son corps une douce fourrure. Épuisée, Dame Blanche s'endort.
Dans l'écurie Babette craignait d'être violentée , mais c'est avec douceur que le domestique l'a prise sur la paille. Il a même étalé une couverture ramassée sur la demie-porte d'une stalle vide. Elle s'est laissée faire puis son corps s'est éveillé au plaisir. De doux frissons ont commencé à la parcourir . Son sexe s’est ouvert sous des doigts agiles, les pointes de ses seins se sont dressées sous une bouche gourmande et son moulin à miel a inondé sa chatte de cyprine. L'homme à défait sa ceinture de toile et a pénétré d'un coup sec la femme offerte. Les mouvements des bassins se sont très vite accordés et une jouissance rapide a explosé en eux. Les regards se sont croisés, les bouches ont souri et ils ont partagé un vrai et long baiser. Se tenant par la main, les deux nouveaux amants ont quitté l'écurie pour se rendre au verger, certains d'entendre les appels du duc .
Les autres invités ont fini de manger et s éloignent en marchant un moment. C'est un instant de détente et de repos pour tous. Les deux soumises sont attachées sous un banc, à l'ombre. L'homme quant à lui a été installé au piloris extérieur .
Son sexe piqué par un crochet présente un angle curieux avec son corps. Des cordes dessinent des formes sur son dos. La position tire sur ses muscles mais il peut bouger un peu. C’est un moment de détente pour tous, ce temps de la sieste de la duchesse. Les deux dominants et la maîtresse discutent taxes et récoltes. Le duc s'est levé, appuyé au chambranle de la porte arrière de l'auberge , son corps chauffé par le soleil de ce radieux début d'après-midi de printemps, il observe tel un félin son petit monde complice de ces moments de débauche. Ils se connaissent depuis longtemps et leur amitié a grandi en même temps qu'eux. Malgré les sermons des prêtres et de l'évêque d'Etampes, ils n'ont jamais arrêté leurs jeux sexuels. Ils ont tous tentés de mener une vie plus ordinaire, sans ses pratiques particulières, mais ils n'étaient pas heureux. Les soumis les provoquaient trop souvent car eux aussi connaissent les affres du manque et de la chasteté relative. Alors le Duc avait instauré ces rencontres certains dimanches. Cela n'avait provoqué ni intempéries ni maladies ni catastrophes comme il l'appréhendait un peu au tout début. Et il ressentait un vrai bien-être après. Sa première épouse était morte en mettant au monde un bébé difforme qui n'avait pas vécu. Il s'était demandé s'il existait un lien avec ses activités sexuelles. Mais il l'avait traitée avec respect et douceur, pas en soumise ni chienne. Ceci était une autre partie de sa vie, une partie secrète . Cette année-là il y avait eu plusieurs décès de femmes en couches dans toute la région. La rebouteuse n'avait rien pu faire. Les familles avaient pleuré les mortes et payé des messes. Mais le duc ne croyait pas à l'efficacité de cette protection . Il avait commencé à rechercher une nouvelle épouse très vite. La petite Damoiselle Blanche avait présenté de nombreuses qualités qui avait amplifié avec le temps. Il ne regrettait pas son choix. La dot avait été chiche mais la belle était vraiment à son goût. Il avait ressenti son désir de plaire et son goût de la soumission dès les premières rencontres. Il avait patienté plusieurs années afin qu'elle ait grandi un peu. La loi l'aurait autorisé à l'épouser à quatorze ans à peine mais il avait préféré la laisser mûrir un peu. Il n'était pas certain que sa jeunesse ait été très heureuse d'après les rares confidences reçues. Bien sûr il était ravi de sa soumission mais il se demande encore si son "père" et dame Gertrude n'avait pas forcé un peu. Son épouse parle peu . Elle aime son collier d'une manière surprenante pour une aussi jeune femme. Il doit l'accepter telle qu'elle est. Son plaisir est extraordinaire, comme beaucoup plus intense que les autres soumises qu'il a éduquées. Son esprit est d'une grande finesse. Elle est brillante dans ses raisonnements et curieuse de tout pour une femme. Son habileté à broder montre une grande concentration et un vrai goût artistique. Elle aime les moments calmes, comme si un grand feu éclairait son cerveau ou si un grand vent l'agitait. Elle peut rester assise à écouter le vent comme s'il lui parlait.
----"C'est une jeune femme un peu étrange mais elle semble se plaire au château, même attachée sur le lit, le gode de bois bien enfoncé dans l'attente de ma venue. J'aime jouer avec son corps. Il est si réceptif.
Bon fini de rêvasser, je lui ai promis une promenade en forêt. Allons la réveiller. "
Et le duc siffle un grand coup les deux doigts dans la bouche. Babette et le valet arrivent en courant main dans la main. Le duc retourne dans l'auberge et regarde tendrement son épouse encore à moitié endormie. Il caresse sa tête doucement, se penche et murmure :" Prête pour une promenade en forêt petite chienne?" Blanche ouvre vivement ses yeux et se positionne puis frotte sa tête sur l'entrejambe et provoque une rapide érection. "Tourne toi donc." À peine le demi-tour effectué et après quelques claques assenées sur la croupe tendue il la prend rapidement en levrette et jouit très vite. "Ta chatte n'attendait que cela Jolie puterrelle." Blanche gémit « Oui Maître »
Le duc caresse ma tête, je sens sa main descendre le long de mon cou, masser mes épaules puis mes côtes. Je gémis de plaisir. Puis je me mords les lèvres et mes yeux cherchent son regard. Ses sourcils froncés me montrent son déplaisir face à mon gémissement. Aussitôt je m'aplatis et noue mes mains sur ma nuque. Il caresse ma tête et murmure : « Ne recommence pas. Tu sais que tu dois être la reine de silence. Tu pourras hurler ton plaisir de louve en forêt tout à l'heure. Enfin peut-être. Si tu es sage et silencieuse..... » Cette demi-promesse me comble de plaisir anticipé. J'aime tellement communier avec la nature quand mon plaisir est si intense que je ne sais plus si je suis femme ou louve, terre ou feu, plante ou air. Toute ma peau ressent l'air autour de moi, tout mon intérieur vibre au contact des mains de mon seigneur, mes genoux et la paume de mes mains ne font plus qu'un avec ma mère la Terre, mon nez aspire tous les parfums du monde et quand la virilité de mon homme entre en moi je meurs et revis plusieurs fois. Mon hurlement de louve vient du fond des âges. À travers moi s'exprime la jouissance des femmes du passé. Je ne suis plus moi. Je me demande parfois si les autres femmes ressentent la même chose? Le peu que j'ai perçu de leurs discussions ne le montrent pas. Mais elles ne savent pas être chiennes et retourner à l'état primitif et animal.
« Stop Blanche! Silence la tête de chienne! Ton maître est là. Profite de ces instants. »
Et Blanche relève un peu sa tête. Le duc lui sourit : « Viens, allons en forêt jolie petite chienne »
Blanche descend souplement de la couche et s'assoit près de son maître. Il saisit la poignée de la laisse, glisse sa main dedans et avance doucement. Dans l'arrière-cour ses amis l'attendent , les soumises à leurs pieds. Le soumis à été détaché après plusieurs coups de baguette sur ses parties viriles et ses cuisses. Il attend au sol, sa maitresse debout sur le dos. Celle-ci écarte bien ses jambes et d'un coup de martinet sur les fesses lui ordonne de se mettre à quatre pattes, puis elle l'enfourche et se fait porter. La compagnie avance de concert vers le portail du fond qui ouvre sur un sentier de la forêt. Derrière sa fenêtre l'aubergiste les suit des yeux. Il trouve ses couples curieux mais qui est-il pour juger? Puis il finit de ranger avant d'aller s'étendre sur la couche où Dame Blanche a dormi et il s'endort très vite en pensant à elle.
La compagnie se dirige vers le fond du jardin. Blanche et les deux autres soumises marchent au pied de leurs maîtres et la troisième jeune femme se fait porter sur le dos de son soumis à quatre pattes. Au bout de quelques pas elle descend gracieusement et prend le duc par le bras. « Savez-vous mon frère, que je me délecte de ces dimanches dans cet endroit si agréable ? Mon cher et tendre Guillaume en revient ravi et le plus attentionné des époux dont on peut rêver. » Avec une légère tape sur les fesses nues de son époux elle lui provoque une légère érection. L’odeur de l’herbe fraîchement coupée et ce léger contact lui rappelle sa première rencontre avec Dame Isabelle, la sœur du duc. Âgé d’environ huit ans il venait d’être placé comme page au château ducal et avait rejoint les autres enfants dans la prairie pour une des premières leçons de sa formation. Le duc et sa sœur étaient là, un franc sourire éclaira leurs visages en le voyant arriver. Une amitié étroite s’installa rapidement dans le trio. Ils devinrent vite inséparables et grandirent ensemble. Guillaume était en admiration pour la jeune Isabelle qui manifesta dès le plus jeune âge une grande force de caractère. Elle était l’égale des garçons dans bien des épreuves, sa force physique légèrement inférieure était compensée par une grande persévérance et une intelligence hors du commun. Petit à petit Guillaume se fit son chevalier servant, devançant ses souhaits pour la satisfaire. Et ce fût tout naturellement qu’elle devint sa maîtresse exigeante lorsqu’à l’adolescence ils découvrirent ensemble les jeux interdits. Sous le regard complice du duc une belle histoire commune commença. Deux autres écuyers avec leurs servantes ont complété le groupe. Les différents rôles se mirent très vite en place et chacun y trouvant un épanouissement personnel, se retrouvaient-ils dans cette auberge de manière régulière depuis de longues années. Quand ils furent en âge des épousailles c’est sans se poser la moindre question qu’Isabelle et son galant convolèrent en justes noces et s’établirent non loin du château dans une belle demeure appartenant au duc.
Ils arrivèrent au bout de quelques minutes à la clairière sommairement aménagée pour leurs ébats. Au centre une grande table et ses deux bancs, à côté un piloris et des chaines, et de l’autre côté un cheval d’arçon, puis un vaisselier rustique, qui permet de poser les sacs, complète le mobilier de bois. Jeanne, une des servantes est installée sur le chevalet de bois. Les jambes bien écartées mettent ses orifices à hauteur de l’entrejambe des hommes. Babette ceint son front d’une large bande de cuir pour lui retenir la tête bien droite et sa bouche est maintenue ouverte par des mors de cheval adaptés à son anatomie de femelle humaine. Mariette, la deuxième, est déjà en position d’attente, à genoux, cuisses écartées, tête baissée, elle fixe l’herbe tendre, les doigts croisés derrière sa nuque penchée. Dame Blanche à genoux elle aussi frotte sa tête sur la cuisse du duc. Celui-ci la caresse d’un air distrait. Son beau-frère s’installe de lui-même au pilori et Jannot, le nouvel amant de Babette, resserre les sangles qui le maintiendront en place. Dame Isabelle sort un fouet d’un sac et caresse le dos de son époux silencieux. Puis elle lève un bras et le fouet claque. Guillaume sursaute et laisse un léger cri lui échapper. D’un claquement de doigts Dame Isabelle donne l’ordre à Jannot de bâillonner son soumis puis elle lui montre ses parties viriles que le serviteur s’empresse de comprimer avec une corde de chanvre. Son érection devient impossible et ses yeux se mouillent de frustration et de plaisir mêlés. De nouveaux coups de fouet claquent sur son dos vite marqué. Une pause lui est généreusement octroyée par son épouse qui vient l’embrasser puis le mordre avec tendresse. Jean et Marcelin ,les complices du duc depuis l’adolescence, arrachent des orties qui poussent au pied de la table. Ils ne se piquent pas car une longue expérience leur a appris à tenir ces plantes par les feuilles. Ils les posent sur la table et Babette s’empresse de les assembler avec un ruban en un petit fouet vert tendre.
Jehan se place devant Mariette qui relève un peu la tête pour saisir la virilité de son maitre qui sort de son pantalon ouvert sur le devant. Il avait soigneusement choisi ce vêtement pour être bien à l’aise sans devoir se dévêtir. Il sort son sexe tendu et l’enfonce dans la gorge de la jeune femme qui s’étouffe un peu. Puis leurs mouvements s’accordent en un rythme sauvage. Jehan empoigne les cheveux de Mariette et lui impose sa volonté. Elle lève les yeux vers lui et lit dans son regard sa satisfaction. Malgré l’inconfort de la terre dure qui meurtrit ses genoux nus, la bave qui coule de sa bouche, ses yeux qui pleurent et son nez qui commence à couler, son crâne qui lui donne l’impression de se faire scalper, et le sexe de son amant qui pilonne sa glotte, elle retient ses haut-le-cœur et sent un frisson de plaisir rayonner de sa bouche malmenée. La main de Jehan se fait moins brutale, ferme mais plus tendre et Mariette sent son plaire jaillir en même temps que celui de son amant quelle avale goulûment.
Derrière Fanchon écartelée sur le chevalet Marcelin tend la main et lui enfonce délicatement deux doigts dans la fente puis les agite tranquillement d’un air distrait. Il échange un sourire complice avec le duc lorsqu’il voit Dame Blanche frémir de plaisir en regardant sa servante se faire doigter ainsi. Il y a un certain temps déjà que les amis ont compris l’empathie de la jeune duchesse et qu’ils savent lui donner un plaisir rare sans la toucher. La petite chienne se tortille aux pieds du duc qui tire un peu sur la laisse pour l’immobiliser. Le plaisir ressenti fait pointer ses tétons en avant et la fait se redresser un peu, une petites tape sur la tête lui fait comprendre qu’elle doit se rabaisser très vite. Elle obtempère car elle ne veut pas indisposer le duc.
Aux pieds de mon époux, les yeux fixés sur l’arrière-train de Fanchon je sens ma grotte commencer à s’humidifier et je ne peux m’empêcher de gémir. Sur un claquement de doigts Babette s’approche et me bâillonne avec un grand foulard de soie douce. Je bouge tout doucement pour frotter mon entrejambe et ainsi mon didi me procure de doux frissons. Je tente de rester discrète mais mon sourire me trahit. Mon Maître tire sur mon collier et je me redresse à genoux. « Cesse donc petite chienne ou tu vas être punie. Je suis maître de ton plaisir, ne l’oublie pas ! » Je baisse les yeux mais sous mes paupières mon regard se glisse vers les fesses tendues de Fanchon et je frémis encore. Marcelin sourit de plus en plus et claque vivement sa servante qui pousse un cri de surprise. Je ne peux contrôler mon corps qu’un spasme parcourt. Le visage de mon époux est rayonnant et il me caresse tendrement le crâne. Marcelin continue de fesser Fanchon qui crie de plaisir en se mordant les lèvres. Moi je me balance au rythme du son dans un mouvement hypnotique. Le duc me soulève et dans ses bras je me sens fondre. Ses doigts glissent sur mon dos et je peux compter mes os du dos, un courant de chaleur me traverse, j’ai envie de crier mais me retiens : je n’en ai pas l’autorisation et ne souhaite surtout pas interrompre ce moment parfait, surtout que je sais que le duc mon époux va me donner beaucoup de plaisir si je suis une petite chienne bien obéissante. Toujours debout il positionne mes mains sur la table et m’écarte doucement les cuisses. J’entends le froissement des vêtements de Babette qu’elle enlève et lance sur le vaisselier à côté des sacs. Puis elle se glisse sous la table pour me lécher. Marcelin passe devant Fanchon et introduit son sexe turgescent dans la bouche de sa soumise qui bave en souriant. Jannot saisit le bouquet d’orties et lui caresse les cuisses puis il sort une badine du sac pour la frapper de quelques coups secs sur la vulve gonflée. Mon corps se cambre par solidarité, et la langue de Babette s’active pour me donner encore plus de plaisir. Mon époux pose la laisse sur la table à côté de moi et vient s’asseoir en face. Il soulève mon menton, descend le bâillon et m’embrasse langoureusement les lèvres. Sa langue écarte avec douceur mes dents et touche la mienne. Tels deux rubans dans le vent elles s’enroulent et j’ai l’impression que nous ne sommes plus qu’un seul être, comme dans les légendes des dieux romains dont les baisers et les ébats déclenchaient tremblements de terre et éruptions de volcans. Mes yeux dans ses yeux couleur du ciel d’été j’ai l’impression de me noyer, tout mon corps frémit. Babette enroule mon didi de sa langue puis celle-ci se crée un chemin dans mon sexe . Je ne peux rien exprimer mais mes narines soufflent comme celles du taureau sous le plaisir diffusé de partout. Les mains du duc avancent vers mes mamelles si lourdes de désir. Il en saisit les pointes et tire délicatement en tournant. Le plaisir et la douleur mêlés font mouiller mes yeux et mon souffle s’accélère. Ses lèvres quittent les miennes et dans un sourire moqueur il murmure : « Exprime-toi belle louve Blanche , tu peux faire du bruit, dans ma grande bonté je t'y autorise ». Et un son rauque jaillit, au rythme du plaisir provoqué par la langue de Babeth. Le duc se déplace pour venir derrière moi. Babeth s’empresse de se baisser et je sens les doigts du duc si habiles à tailler des flèches s’agiter dans mes orifices. Puis son membre tendu pénétré mon petit trou arrière et je gémis de plaisir et douleur mélangés. Il en est ainsi à chaque fois, comme si c’était une première fois. Pourtant il y a longtemps que j’ai découvert le plaisir de ce côté-là ! Les vas-et-vient du duc dans mon fondement et ses mains qui massent mon dos, la langue de Babette qui s’agite, la rudesse du bois de la table sur lequel frotte la peau si fine de mon ventre me procurent un tel mélange de sensations que je me sens partir, je gémis, je crie, je grince comme une vieille porte mal fermée, et dans un son rauque mon hurlement de louve jaillit et se répand dans la clairière et au-delà. »
Dame Isabelle avait détaché son époux et blotti sous sa jupe, sa langue habile et ses doigts si fins la font jouir. Marcelin pilonne sa belle Fanchon dont les cris moindres accompagnent ceux de Dame Blanche et Mariette offerte à Jehan qui lui tient le corps cambré en tirant sur ses cheveux a un plaisir plus discret mais tout aussi intense. Le pauvre Jannot debout contre la table ne peut que contenir son envie. Un serviteur ne prend pas son plaisir sans autorisation et le regard du Maître est sans appel. La tête baissée, le regard vers Babette il serre les dents de frustration.
Ses besoins de plaisir assouvis, le duc claque des doigts et les dominants ajustent leurs vêtements. Puis il indique à Babette de libérer Fanchon et de prendre sa place. Il fait ensuite signe à ses amis qu’ils peuvent aller se faire toiletter par son esclave. Celle-ci lèche les sécrétions avec applications. Et Jannot agenouillé voit défiler devant lui les chattes des servantes qu’il s’empresse de nettoyer. Puis le duc l’autorise à se soulager sur le dos de Babette qu’il léchera ensuite pour la nettoyer.
Ce dernier acte terminé, les soumis à quatre pattes, les Maitres et la Maîtresse devant, Jannot et Babette portant les sacs, toute la compagnie reprend le chemin de l’auberge pour aller partager un en-cas bien mérité. Le soleil se cache derrière la forêt, la fraîcheur tombe et les peaux nues frissonnent. L’aubergiste a préparé du vin chaud et de la viande grillée qu’ils vont partager autour de la grande table de chêne.
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À mon arrivée, je demande à Madame Simone :
— Kristos n’est pas là??
— On fait d’abord nos comptes.
Elle pourrait me répondre?! Je lui dis :
— Voici 1000 francs, Madame.
Elle me regarde, surprise, puis elle s’approche de moi et... me renifle. Elle me dit :
— Tu sens le clebs?!
En rougissant bêtement, je réponds :
— Oui, j’ai fait des photos avec son chien.
Elle lève les yeux au ciel, mais empoche les 1 000 francs. en m’annonçant :
— Ils sont tous dans la dernière villa, celle qui donne sur la plage.
— Julien aussi, Madame??
— Sans doute.
J’ai déjà dit « salope », non?? Je confirme. J’en ai marre d’elle et de sa putain de fille?! Le photographe m’a proposé de loger dans sa villa. Je serais bien là avec Julien et mon nouvel ami. Je me gratte?! Ça, c’est le seul défaut du chien jaune : il a des puces. Si j’allais loger là, il me faudrait un collier anti-puce.
Je préfère imaginer ce genre de trucs, plutôt que penser à Kristos et Kriss en train de discuter. Hélas, je l’ai dans la peau... oui, aussi vite?!
Je roule le long du chenal, qui clôt le village naturiste. De l’autre côté, ce sont les "textiles". Il y en a qui viennent en nageant.
La dernière villa est beaucoup plus petite que celle du chien jaune. Sur la plage, juste devant la villa, quelqu'un a fait un feu, ce qui n’est certainement pas autorisé. Une douzaine de personnes sont assises autour du foyer. On dirait une bande de scouts... sauf qu’ils sont à poil, qu’ils boivent de la bière et que leur musique n’est pas un chant scout, mais Hôtel California. Kristos et Kriss dansent... Je me dirige vers eux. Dès qu’elle me voit, Kriss dit :
— Tiens, Samia. Alors, on s’est fait des nouveaux amis??
— ... euh ...
— Si tu te fais monter par un chien, tu vas attraper des puces.
Ils rient tous les deux ! Merde, comment elle sait ça?? Sa mère a dû téléphoner à la villa?! Tout le monde me regarde, il y en a que ça amuse mais d’autres sont franchement dégoûtés. Je lui réponds :
— C’est pas vrai ! Menteuse !
— Ton client a téléphoné à ma mère parce que tu as oublié ton collier. Il était ravi que tu aies posé avec son chien, ou plus exactement avec le chien en toi?! Ma mère a demandé quelques photos... On va faire ta pub dans les chenils?!
Là, je pète un plomb, et mon poing lui arrive droit sur le nez et l’œil. Elle pousse un cri et me repousse avec tant de force que je m’étale sur le sable.
Elle crie :
— Maintenez-la par terre, sur le ventre?!
Plusieurs garçons me retournent et me tiennent par les chevilles et les poignets. Je crie à mon tour :
— Kristos, au secours, défends-moi?!
Il répond calmement :
— Tu ne dois pas frapper les gens, ça mérite une punition.
Ils sont tous d’accord, j’entends « Cette fille est cinglée », « C’est une Rom?! », « Punis-la, Kriss ! » et enfin la voix de Kristos :
— Tiens, prends ma sandale.
Je suis couchée sur le ventre bras et jambes écartées maintenues par plusieurs garçons. Je crie :
— Je vais porter plainte, vous ne pouvez pas me frapper !
Kriss répond :
— Et toi, tu as le droit?de me frapper ? Tiens?!
PAF?! Je reçois un méchant coup de sandale en cuir en travers des fesses. Ça fait un mal de... chien?! Je pousse un cri, et aussitôt, "PAF?!" elle me frappe à nouveau. Elle me donne une dizaine de coups de sandale. Je crie à chaque coup le visage plein de larmes. Quand elle s’arrête enfin, une fille lui dit :
— À moi, s’il te plaît Kriss.
Et quelques secondes plus tard :
— Tiens?!
PAF, c’est reparti. Je crie et je pleure dans le sable. Une autre prend sa place, je reçois des dizaines de coups de sandale depuis la pliure des genoux jusqu’en haut des fesses. Je finis par supplier, honteusement :
— Pitiééé... aïe... Mademoiselle... aïe... Kriss... aïe?!
Autour de moi, on rit et on encourage les filles qui me frappent. Enfin, ça s’arrête?! Mes fesses sont dans un volcan en éruption. Je reprends mon souffle et je me lève péniblement, tenant à peine sur mes jambes.
Je ne pense qu’à une chose : foutre le camp?! Je dois passer par le jardin pour déguerpir. En passant, je ramasse une serviette éponge qui traîne par terre. Je la mets autour de la taille. Je me demande où est passé Julien, quand je le vois arriver sur son vélo. Il me demande :
— Ça va, Samia ? Tu as pleuré ?
— Tu étais où??
— Mademoiselle Kriss m’a envoyé faire des courses...
— Va les lui donner et puis on rentre.
Je piquerais volontiers ce qu’il a acheté mais je n’ai pas envie qu’ils viennent le récupérer au camping. Je ne veux plus jamais voir ces gens, de toute ma vie. Quand il revient, je vois à sa tête qu’on lui a dit ce qui s’était passé. Je lui demande :
— Tu as vu Kriss??
— Oui... elle a le nez tout gonflé et un œil au beurre noir.
Merci Sainte Sara... Je prends l’essuie et le plie en quatre. Julien qui voit mes fesses me dit :
— Tu veux qu’on passe dans une pharmacie??
Je m’imagine montrant mes fesses à un pharmacien... Je lui réponds :
— C’est pas tes affaires?!
— Pardon, Samia.
Faire du vélo avec un derrière incandescent, c’est pas le pied. J’aurais dû être plus subtile, me venger en douce. La frapper devant témoins, c’est stupide. Elle a beau jeu de dire « C’est elle qui m’a frappé en premier », comme dans une cour de récréation.
Je ne vais pas mentir, il n’y a pas que mes fesses qui me font souffrir... Disons qu’une autre souffrance se situe derrière mon nichon gauche. On va dormir au camping. Julien a bien compris qu’il ne devait surtout pas me poser des questions.
***
J’ai dormi sur le ventre et ce matin, je ne suis pas en pleine forme. J’espère que je n’ai pas cassé le nez de Kriss, étant donné que Madame Simone a des amis et des parents qui font partie du milieu marseillais. De plus, je ne veux à aucun prix revoir Kristos. Mes fesses gardent les traces de la semelle d’une de ses sandales... Celle qu'il a passée à Kriss?!
Ce n’est pas que j’en ai marre du Cap d’Agde, je me sens bien ici, mais... pour le moment, on va redevenir des "textiles".
On va se doucher et on s’habille pour de vrai. Je mets ma jolie robe rouge, des espadrilles compensées et même une culotte ! On va prendre le petit déjeuner. Julien se tait. Quoi qu’il dise, ça ne me plaira pas. Ensuite, on va à la réception pour payer l’emplacement. Le patron me dit :
— Tu dois appeler ce numéro.
C’est celui de Madame Simone. Autant savoir ce qu’elle prépare et puis, je ne vais pas me dégonfler. J’appelle, madame Simone répond. Je lui dis :
— J’ai eu votre message.
— Je suis contente que tu appelles, Samia. Ma fille est une garce. Le photographe d’hier ne va jamais donner tes photos à personne. D’ailleurs, je regrette d’en avoir parlé à ma fille. Viens travailler, Kriss s’excusera.
— Sérieux??
— Oui. Il y a aussi deux garçons, vraiment pas mal, qui ont vu des photos de toi et qui te proposent 2 000 francs. Viens travailler.
— J’ai des marques... c’est gênant.
Elle se marre en répondant :
— Je te mettrai du fond de teint sur les fesses.
Je ris aussi...
— D’accord, on sera là à 11 h.
Ce n’est pas la première fessée que je reçois, on s’en remet. Par contre, mon amour propre a pris une raclée nettement plus douloureuse.
Je sais que Madame Simone ne fait pas ça par altruisme, mais par intérêt et parce qu’elle a besoin d’une serveuse. Moi aussi, j’ai envie de cet argent. Bientôt, je pourrai faire du shopping à Cannes, dormir dans un bel hôtel et puis retrouver mes futurs beaux parents dans le Nord?! On sort, j’annonce à Julien :
— On se déshabille.
J’enlève ma robe et ma culotte avec grand plaisir. On remonte à vélo... Ça, c’est un mauvais moment à passer, mes fesses me font toujours franchement mal. Mais ce n’est pas grave. On arrive aux Flots Bleus. Je vois Kriss, qui a un joli cerne sous l’œil droit, mais, son nez est à peine gonflé. Dès qu’elle me voit, elle vient me dire :
— Excuse-moi Samia, je n’aurais pas dû te dire ça. On oublie??
Elle me tend la main. Je la serre. De loin, Madame Simone apprécie :
— C’est bien les filles.
Kriss m’embrasse, ses seins écrasent les miens et elle me tient fermement contre elle par la taille en me disant assez bas pour que sa mère n’entende pas :
— Je m’excuse pour faire plaisir à ma mère, mais j’ai beaucoup aimé frapper tes grosses fesses et entendre tes couinements.
Sale garce?! On est les yeux dans les yeux et là... ça dérape. Je veux dire que mes hormones me font un croche-patte. Comme avec Kristos, il y a quelques jours... Kriss est tellement sûre d’elle et d’une telle désinvolture que... je baisse les yeux. Je reconnais qu’elle est la plus forte. D’ailleurs, quand elle me dit :
— Tu vas m’obéir??
Je réponds :
— Oui Mademoiselle. Mais vous ne me frapperez plus ?
— Qui a commencé??
— Oui, pardon Mademoiselle.
C’est moi qui m’excuse?! Saloperie d’hormones?! Madame Simone est un peu plus loin, mais elle a bien compris ce qui se passait. Elle soupire en levant les yeux au ciel. Kriss m’annonce :
— Maintenant au travail.
— Oui Mademoiselle Kriss. Mais... euh... Madame m’a dit qu’elle me mettrait du fond de teint sur les fesses pour cacher les marques.
— Tu rêves?! Allez au travail.
— Oui Mademoiselle.
Je vous imagine : vous soupirez en levant les yeux au ciel, comme Madame Simone?! Tant pis, c’est plus fort que moi.
Je rejoins Anaïs, on s’embrasse, puis on dresse les tables avec Julien. Je lui demande :
— Tu sais ce qui s’est passé??
— Oui, tu as bien fait de lui casser la gueule à cette garce.
A suivre.
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Elle écoute ses mots. Le temps se distend et son corps s’assouplit. Petit à petit, elle rentre dans l’état attendu par son Propriétaire, elle se conforme à ses exigences et adapte ses gestes à ses paroles. Son observance est complète et totale. Elle acquiesce à toutes ses directives.
Elle a trouvé dans cette matrice un tissu brodé avec finesse, qui caresse avec douceur, protège avec bienveillance et serre avec rigueur. Elle grandit et s’épanouit au sein de ce territoire où règnent ses aiguilles. Face au métier à tisser, il guide ses gestes d’abord, entoure ses poignets d’étoffe et les fait évoluer de sa hauteur. Il lui souffle à l’oreille ses projections et sa langue glisse sur sa nuque comme un chemin tracé vers la fusion de son imaginaire avec les fils de couleur qui se mêlent aux doigts de sa petite chose.
Un défaut apparaît, qui n’échappe pas au regard du Tuteur. Il en informe la brodeuse qui s’arrête net dans sa tâche, le rouge aux joues. Elle ferme les yeux et patiente, assise sur le banc, les bras bien écartés, les mains posées sur la structure boisée face à elle, les jambes ouvertes. Il se saisit de deux passettes aux extrémités crochetées et les installe dans les anneaux qui ornent chacun des seins de la novice tisserande. La douleur qu’elle ressent au moment où il tire sur les boucles lui rappelle sa condition et les conséquences de chaque geste. Un simple avertissement. Les larmes aux yeux, elle reprend son ouvrage après que le Maître des lieux ait pris le soin et surtout le plaisir de faire glisser ses doigts entre ses jambes et de déposer sur ses lèvres la moiteur de son ravissement inavoué.
Le chemin est encore long mais l’Artisan est confiant. Il a hâte de pouvoir accrocher au mur de son atelier une nouvelle tapisserie à contempler. Il n’a qu’une envie : que son élève admire tout autant le fruit de son travail que les Préceptes qui sont les siens.
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Les hommes en face de Charlotte regardaient les jambes gainées de soie, et de chaque
coté des cuisses, sous la jupe, le reflet voluptueux des jarretelles. Insensiblement, elle
écarta les genoux, leur laissant voir leur face intime et leur reflet. Elle suivait derrière les
cils baissés leur impatience, attendant que le compas de ses cuisses soit assez ouvert pour
dévoiler le pubis et, au-dessous, son sexe dans toute sa splendeur, bouche fermée et rose,
au fond du sillon ombré du mont de Vénus. À peine dans l'escalier, elle sentit deux mains
se plaquer sur ses reins, la presser, soulever sa jupe et des lèvres se coller à sa chair, tandis
que deux autres caressaient ses seins avec ardeur, érigeant leurs pointes douloureusement.
À nouveau, sa jupe fut troussée, ses fesses subirent l'ardeur caresse de mains nerveuses, son anus fut
frôlé par un doigt inquisiteur, son sexe fut caressé par un index pénétrant. Soudain, sous sa main qui pendait
le long de ses cuisses, elle sentit un phallus raidi et palpitant. Elle le prit et, tandis que l'homme caressait son
sexe avec passion, elle lui prodigua quelques douces caresses de ses doigts effilés. Le désir s'empara de lui.
Il se plaqua contre son ventre et chercha, debout contre le mur, à glisser sa verge entre ses cuisses ouvertes.
Subitement, elle se dégagea, se tourna; il la plaqua face au mur, affolée, elle sentit le membre glisser entre ses
reins, comme une épée dans son fourreau; elle goûta la sensation de cette chair palpitante et mafflue; lui, la
bouche à son oreille, lui ordonna de s'ouvrir, en lui prenant un sein d'une main, l'autre fouillant les fesses et son
ventre. Brûlante, un désir tenace la tenaillait d'être sodomisée par cet inconnu qui semblait si maître de lui. Mais
il se redressa et lui glissa son sexe entre les doigts tandis qu'il lui pinçait les mamelons. Charlotte se complut
à caresser le membre au gland turgescent, la verge nerveuse et renflée dont elle sentait les veines saillantes.
Puis, il lui ordonna de s'agenouiller et de le prendre dans sa bouche; elle suça avec ferveur la verge enflammée
qui se cabrait sous sa langue. Le phallus était long et épais. Elle ouvrit la bouche et engloutit le sexe jusqu'à la
gorge; elle eut un hoquet tant il avait été enfoncé loin. Alors, dans la pièce silencieuse, s'éleva le bruit de la
succion. Charlotte n'était pas très experte, elle préférait sucer les femmes, mais c'était peut-être un charme de
plus. Avec effroi, elle pensa soudain à la déchéance de se retrouver ainsi agenouillée devant ce ventre nu, à
sucer cette virilité inconnue. Elle releva la tête, mais il la saisit par les cheveux et la força à engloutir le phallus
entre ses lèvre sensuelles, sous le regard lascif des invités.
Alors, au contact de cette main dominatrice, elle oublia tout, et ce fut une profusion de caresses instinctives qui
enveloppèrent la colonne de chair; les lèvres sucèrent les moindres recoins de ce vit. Le phallus devint si
volumineux qu'elle eut des difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il se contracta,
manquant de ressortir de ses lèvres. Il éjacula brusquement, innondant sa gorge d'un liquide qu'elle prit à coeur
à boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte. Elle vit la pièce tourner autour d'elle et se retrouva à plat ventre
sur un lit de fer. On la déshabilla totalement. On lui lia les chevilles avec des lanières de cuir, puis ses poignets
que l'on écarta en croix, comme ses cuisses. Ainsi écartelée, elle était offerte à des inconnus. Charlotte allait être
fouettée dans cette position humiliante, bras et cuisses écartés, sous la lumière qui rendait son corps impudique.
On la cingla brusquement avec une cravache. L'homme ne voulait pas lui faire mal, il voulait l'amener à ce degré
d'excitation qu'il savait procurer, pour en faire après son esclave et celle de ses invités. Il savait que cette croupe
consentirait à se laisser forcer par des verges inconnues, mais il voulait que tous profitassent cérébralement de
cette Vénus callipyge. Et les cinglements résonnèrent dans le silence, couvrant les soupirs de désir des hommes
penchés sur ce corps dans l'étreinte puissante du cuir. Les reins furent vite rouges et une chaleur intense irradia la
chair de Charlotte, amenant une intense excitation à ses intimités déjà exacerbées.
Sa tête était en feu, tenaillée de douleur, elle gémissait de douces souffrances. Elle résista longuement à son
ordre quand il voulut qu'elle écartât davantage les cuisses, et quand elle ne put plus résister, elle céda; tel un
pantin désarticulé, elle offrit le spectacle du sillon sombre de ses reins qui allait être forcé. Le silence retomba
et Charlotte, les yeux clos, goûtait la sensation de ces regards sur ses intimités secrètes, comme une caresse
imperceptible frôlant ses chairs, béantes. Elle ne sentit que la caresse du phallus qui s'insinua soudainement.
Il fut violent, poussant de ses reins, il força sous son gland compressible et humide, l'étroite bouche à s'ouvrir.
Et ce fut l'acte délicieux tant espéré de Sodome. Un long cri strident; elle s'y attendait pourtant, haletante, les
tempes battantes. Elle réalisait lentement la pénétration forcée de ce membre en elle. D'un seul coup, il s'était
enfoncé; sa voie étroite dilatée, distendue, lui faisait mal, mais en elle, était le priape enflammé, elle le devinait
fouiller ses reins. L'inconnu avait poussé dur. Oubliant la souffrance du viol, et fermant les yeux, elle laissa
échapper un cri, mais au fur et à mesure que l'homme sentait venir la volupté, le bruit de son intimité exigüe
déchirée par le membre, s'amplifia, devint plus précipité; il y eut quelques râles chez l'homme auxquels se
mêlèrent les plaintes de la jeune fille, puis ce fut le spasme exquis et le silence, coupé de soupirs exténués.
Elle reçut la semence saccadée puis l'homme se retira, libérant Charlotte. Il venait de jeter dans ses entrailles
sa sève gluante et chaude. Son anus, tout empreint de sperme accepta sans peine un second membre qui la
pénétra profondément entre ses reins; le membre lui sembla colossal mais elle se laissa sodomiser par cet
inconnu car tel était son devoir. Un troisième voulant se frayer également un chemin au plus étroit la fit hurler.
Elle cria, comme sous le fouet. Quand il la lâcha, gémissante, dans un éclair, elle se vit délivrée, anéantie,
maudite. Elle avait crié sous le choc du phallus de l'homme comme jamais elle avait crié. Elle était profanée et
coupable. Sous les regards, sous les mains, sous les sexes qui l'outrageaient, sous les fouets qui la déchiraient,
elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à la soumission mais aussi à la délivrance.
Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans sa chambre et on l’étendit sur un lit.
Souillée de sperme et de sueur, chancelante et presque évanouie, seule dans le noir, elle s'endormit.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Comme disait Gainsbourg....besoin de personne en Harley....Effectivement Vanessa n'a besoin de personne. Quand elle veut jouir, elle monte sur sa belle moto, frotte sa chatte contre le cuir et met en route.Vroom vroom, elle dégouline.Vroom vroom, c'est l'extase.vroom vroom, elle explose l'orgasme sur le cuir trempé qui vibre. Besoin de personne. pas de mec, ni de nana. Juste sa moto.
Courbe à droite, courbe à gauche, pour bien frotter le clito et puis manettes à fond. Putain que c'est bon tous ces chevaux qui poussent, qui obligent à serrer les fesses. Un petit coup de freins et là le clito s écrase sur le cuir. Il faut freiner en plusieurs fois, c'est plus jouissif. Et de nouveau les gaz. Les vibrations montent dans la chatte en feu. Trop bon.
Vanessa sait qu'elle fait bander les autres motards, mais elle s'en fout. ils n'ont qu'à se palucher en pensant à son cul qu'ils n'auront jamais. Elle adore même bien les frustrer et les faire souffrir.Les jouissances sont ensuite plus fortes sur sa moto, avec ces petits cons qui essaient de la suivre. Plus elle est intouchable et plus elle a de succès.
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Pour Jos, il n'existe qu'une catégorie d'hommes, ceux qui ont un flingue et n'hésitent pas à s'en servir, et puis c'est tout. Les autres, c'est pas des humains, peut être des morpions, des punaises, bref que des parasites. Alors il vit à l'écart, dans une belle cabane tout en bois, près d'un petit lac rempli de truites, au calme, avec un gros molosse d’Anatolie, un chien capable d’émasculer un intrus d'un simple coup sec de mâchoire, et sa femme, la belle Pamela. Cette dernière est énorme, une américaine 100% middle west, un cul gros comme une base aéronavale, des seins qui pèsent si lourds qu'il faut des soutifs à triples armatures acier pour les dresser comme des missiles thermonucléaires.
Putain pour jos, sa Pamela est la femme la plus bandante au monde! Il a en horreur les maigrelettes françaises, les raffinées italiennes, les trop polies asiatiques. Non, lui il a besoin de son confort au plumard. Quand il s'enfonce dans Pamela, il ne sait jamais dans quoi il s'enfonce mais pour sur, il jouit très fort et elle aussi. Après l'amour, ils se sifflent toujours un pack entier de bières et ils remettent cela. Le sexe,ils adorent, surtout à répétition.
Le problème c'est que leur Etat, dans les grandes plaines, est composée de punaises qui votent démocrates. Alors Jos et Pamela vivent loin de ces parasites. Ils tiennent un commerce d'armes qui va du bazooka à la mitrailleuse lourde. Faut pas les emmerder. Même le shérif sait qu'il faut rester prudent avec ces républicains à la gachette facile. Alors quand la gouverneur de l'Etat, une punaise féministe, le comble, a dit qu'il fallait confiner la population à cause du covid 19.Jos et Pamela ont sorti l'artillerie et sont allé canarder dans les ruies de la capitale sous ses fenêtres.
-Salope, sors de là. Pas touche à notre droit au travail.Pas touche aux amendements de la constitution qui défendent nos droits fondamentaux.
-pétasse de fonctionnaire, reste dans ton placard de merde et fait pas chier à rajouté Pamela en tirant une bonne rafale en l'air.
Leurs potes républicains sont arrivés de partout, tous armés jusqu'aux dents. Le Shérif s'est vite planqué. Les balles perdues....
-C'est vraiment des saloperie ces fonctionnaires.Ils ont l'emploi à vie et veulent nous empêcher de bosser pour ensuite nous piquer nos maisons. Ces saloperies ne prennent aucun risque dans la vie, ils vivent avec le pognon des autres. C'est le gros Mike qui parle ainsi. Et lui aussi lâche une longue rafale de M16 dans les airs pour se calmer.
Après leur manif, ils sont allé boire une bonne bière chez Jos, histoire de niquer le Covid 19. Le magasin d'armes de jos est bien resté ouvert, l’arrêté de confinement n'est pas conforme à la constitution des Etats Unis. La gouverneur peut se torcher le cul avec, eux votent Trump.
Le soir Jos et Pamela ont baisé comme des fous. Tirer des bonnes rafales de fusil d'assault avec les odeurs de poudre, cela excite bien. A présent, il est temps de bien tirer de bonnes rafales de sperme chaud made in USA dans la chatte ou les plis de graisse de Pamela. Peu importe, cela aussi c'est un droit constitutionnel.
Les libertés ne s'usent que si on ne s'en sert pas où si on ne les défend pas..
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Juliette m'avait préparée à vivre des évènements importants au cours de ce week-end.
J'étais terriblement anxieuse de me retrouver face à un couple de dominateurs chevronnés,
qui pratiquaient les rites du sadomasochisme depuis plus d'années que j'en avais moi-même
vécu. Une fois encore, ma principale crainte était de ne pas avoir la force et la volonté de me
montrer à la hauteur des épreuves sur lesquelles on allait me juger, et à travers moi, ma
Maîtresse. En tout état de cause, je devais donner le meilleur de moi-même, et considérer,
dans les pires situations auxquelles je serais peut-être confrontée, la chance qui m'était offerte.
Lorsque la porte d'entrée se referma sur moi, ma déception fut vive. Mes yeux s'équarquillèrent et je passai
en revue l'espace des pièces où l'on me conduisait sans y déceler la moindre trace de matériel, d'accessoires,
ni même l'ombre d'une ambiance SM. Cette première soirée dura environ trois heures. Selon le rite cher aux
initiés, c'est la Maîtresse qui présente son esclave, afin que ses hôtes puissent se rendre compte de ses
limites réelles et ainsi l'utiliser au mieux par la suite.
Selon le désir de Juliette, je relevai ma robe puis j'écartai mes jambes en me cambrant. Cela accentue la courbe
de mes reins et met en valeur le galbe de mes fesses musclées. Se présenter ainsi oblige l'esclave mise à nu à
mettre son corps en offrande quels que soient ses défauts, à mieux se connaître et à mieux s'assumer. Par cette
mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié sans concession. L'être ainsi exhibé
apprend le pouvoir de son corps et l'esclave tire sa force de la fascination qu'il exerce sur la Maîtresse.
Ma peau subit assitôt le contact de mains froides posées au creux de mes reins puis entre mes fesses. Ces mains
inconnues, redoutées et tant attendues, me palpèrent, me flattèrent, comme si elles voulaient à la fois découvrir mes
formes et mes pensées; j'ouvris davantage mes cuisses afin que les doigts attentifs puissent m'explorer en totalité.
Lorsque ma Maîtresse qui me testait fut parfaitement convaincue de mon absolue docilité, les Maîtres entreprirent
d'autres jeux. Une cravache noire me cingla brusquement avec une telle violence que je poussai un rugissement.
Il est connu que l'alternance de la douceur et de la violence contribue à dresser les esclaves réticents: mais moi,
pauvre débutante désireuse de bien faire pour le bonheur de ma Maîtresse, je ne savais rien de tout cela et crus être
punie pour une faute commise à mon insu. Aurais-je déplu par ma position ? Mon regard, malgré moi, se serait-il
montré insolent ? La rigidité de la cravache enflammait mes reins et mon dos. Les coups lacéraient ma chair, me
procurant de lancinantes sensations de brûlure. J'avais perdu l'habitude du fouet, dont j'avais été privée depuis un
bon mois. Juliette me promettait parfois de me fouetter, comme s'il s'agissait d'une récompense.
Insensiblement, la douleur parut s'atténuer pour laisser place à une sensation de plaisir diffus. Les coups devenant
plus légers, plus dirigés, je compris soudain que j'allais jouir. Lorsque la tige de la cravache m'atteignit exactement
entre les cuisses, sur le renflement du pubis, j'éprouvais la délicieuse honte de me laisser aller à gémir, en fléchissant
légèrement les jambes pour serrer mes cuisses, et je connus un orgasme qui enchanta ma Maîtresse et ses hôtes.
Une fois la fulgurante jouissance dissipée, je sentis revenir la douleur me tenailler et, avec une inconscience rare,
j'osai imporer leur pitié. Les invités se regardèrent, déçus et interloqués. Ils décidèrent de me faire payer ma faiblesse.
Ce fut ma Maitresse qui me conduisit. Je fus placée face à un mur comportant un trou en son milieu de telle façon que
ma tête dépassait d'un coté et mes reins de l'autre. J'allais être prise par l'arrière et contrainte par la bouche en même
temps. Juliette m'installa. J'étais en position, jambes écartées, la croupe exagérément offerte, la bouche déjà ouverte,
prête à être investie selon le bon vouloir des invités. À me voir ainsi soumise, leur colère s'apaisa. Qu'importait dès lors
qu'un homme se servît de ma bouche comme celle d'un esclave docile. Qu'il me malmenât et m'abreuvât de son plaisir.
Impatient de se satisfaire à son tour, un autre homme prit la place du précédent. Il me baisa la bouche, ma langue lui
servant d'écrin. J'accomplis cette fellation avec un recueillement mystique. Pendant ce temps, un troisième utilisait mon
vagin sans ménagement. Excité par le spectacle de la fellation que je pratiquais, il décida brusquement d'utiliser mes
reins, qui, comme la totalité de mon corps, étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour me faire mal et je
trouvai le courage de ne pas gémir dans le regard de ma maîtresse qui m'observait intensément; je comprimai sa verge
avec mes deux mains au même rythme que les coups qui me projetaient en avant.
Je croyais l'épreuve terminée, mais un troisième sexe plus épais que le précédent força les lèvres de mon vagin. Je ne
comprenais plus. Le silence soudain m'exaspéra, car je ne pouvais rien voir de ce qu'il se passait autour de moi. J'étais
prise, on me pénétrait, j'étais aveugle, je ne reconnaissais aucun des invités. Je compris enfin que le membre qui me
pénétrait était un olisbos à ceinture dont ma Maîtresse s'était ceint la taille. Cette audace m'excita. Je me sentis fondre,
mon ventre se liquéfia. Avec un vocabulaire outragieusement vicieux, elle exigea de moi que je me cambre davantage,
que je m'offre afin qu'elle puisse me remplir jusqu'au fond. Je cédai à l'impétuosité d'un ogasme que j'aurais voulu
pouvoir contrôler, tout simplement parce que c'était la première fois qu'une femme me pénétrait ainsi.
Je jouis avec la certitude que ma Maîtresse connaissait elle-même le plaisir en m'empalant comme si elle avait été un
mâle, un de ces mâles qu'elle aime dresser pour les humilier dans leur machisme. Epuisée, quelques gouttes de sueur
étaient venues éclater sur mes épaules, Juliette se décolla de moi comme l'animal après l'accouplement et m'aida à
sortir de mon carcan. Après m'avoir conduite à la salle de bain, où elle me doucha, elle m'ordonna d'aller rejoindre les
hommes. Ainsi, j'étais l'objet de plaisir de ces trois hommes et de cette femme. Juliette parut subitement échauffée: elle
s'approcha de moi, me coucha sur le sol, écarta ses jambes et exigea avec humeur que je la lèche comme une chienne.
Je lapai son intimité avec une docilité absolue. Elle était douce, et ce contact nouveau me transporta.
Ses cuisses musclées s'écartaient sous la pression de ma langue et de mes dents. Elle ouvrit davantage son sexe et se
libéra violemment dans ma bouche; surprise par cette véritable éjaculation, je connus un nouvel orgasme qui me tétanisa,
lorsque je pris brutalement conscience que je jouissais sous l'autorisation de ma Maîtresse. Un homme plaqua mon ventre
contre la table et m'ordonna d'écarter les cuisses. D'un coup de rein brusque, après avoir observé le spectacle impudique
que je lui offrais malgré moi, il pénétra mes reins en criant avec fureur. Je me laissai sodomiser par cet homme auquel
Juliette m'avait prêtée, car tel était mon devoir. Une jeune femme, intégralement nue, soumise également, me rejoignit.
Elle prit le sexe de l'homme qui venait de me sodomiser entre ses doigts effilés. Elle le masturbait lentement, en roulant
sa paume tout autour du cylindre de chair. La verge était maintenant massive et congestionnée, d'une parfaite obscénité.
Après lui avoir ordonné sèchement de cesser de le masturber, il lui demanda de s'allonger sur le sol et après avoir écarté
et levé bien haut ses jambes, sans qu'elle soit préparée, il la pénétra sans le moindre égard. Ensuite, il me demanda de
me mettre en position et me reprit tout aussi brutalement. Il demanda d'une voix autoritaire:
- Laquelle veut me recevoir ?
Je répondis spontanément que je le désirais. Il m'ordonna de le prendre dans sa bouche pendant qu'elle caressait la
partie de son sexe qu'elle pouvait atteindre. Je suçai avec ferveur la verge enflammée qui se cabrait sous ma langue.
Le membre devint si volumineux que j'eus quelques difficultés à le conduire au terme de sa jouissance. Avec violence, il
se contracta, manquant de ressortir de mes lèvres. Il éjacula brusquement, inondant ma gorge d'un liquide que je pris à
coeur de boire mystiquement, jusqu'à la dernière goutte.
Il nous envoya nous laver. La salle de bain était vaste et claire. Avant que nous ayons eu le temps de nous mettre sous la
douche, il urina sur nous en nous éclaboussant d'un jet dru et tiède. Nous tournions sur nous même afin que chaque
parcelle de notre peau reçoive son ondée. L'excitation qui en résulta me donna l'envie de lui offrir une scène d'amour
entre la jeune femme et moi. Nous fîmes l'amour presque tendrement.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Ivana n'aime que les femmes, les hommes cela pue, elle les a en horreur. Elle a facilement trouvé un poste de prof de lettres modernes, n'a eu aucun mal à réussir l'agreg, et à être une des mieux notées. Plus elle méprise les mâles et plus ils sont près à se jeter aux pieds de ses longues jambes sublimes. Elle adore s'habiller très classe pour faire baver les hommes comme des limaces. Ses yeux verts et or restent toujours glaciaux et implacables devant ces sous merdes, C'est ce qu'elle pense d'eux. Les plus riches et les plus puissants ont voulu l'épouser...c'est bien une idée d'hommes...penser la mettre sous cloche. Elle a joué à les rendre fous d'amour, mais ils n'ont pas eu droit même à lécher ses bottes. beurk des baves de mollusques mâles.
Elle est devenue syndicaliste, militante, mlf, féministe, bref engagée en apparence. C'est dans ces milieux là qu'elle drague et chasse avec un succès fou. C'est une tueuse, les avocates enlèvent facile leur robe et plus devant elle. Elle claque des doigts et toutes ses conquêtes féminines obéissent. C'est fou même comme elles sont dévouées, amoureuses, serviables et corvéables à merci. La jalousie n'existe pas dans son harem de femelles. Toutes ont trop peur des griffes et des crocs, d'Ivana, la panthère.
Dans l'Education Nationale elle est devenue hors cadre, hors de tout, sauf pour les rémunérations et avantages dus et plus. Tous ses supérieurs mâles sont terrorisés, tous savent qu'Ivana peut les faire castrer définitivement, réduire leurs coucougnettes en pâtée pour chat. Elle a fait plusieurs exemples. Depuis les mâles rasent le murs et changent de couloirs.
Dominer est une passion pour la sublime ivana. Son MLF à elle est devenue une sorte de Mafia des Femmes Libres, une organisation secrète très efficace pour le bonheur de ses membres. En faire partie, être sous la protection d'ivana, c'est l'assurance d'une belle vie facile, c'est l'assurance de respect.
Maitresse Ivana crée sa secte, uniquement des femmes libres, des lesbiennes pures et dures. Les spartiates s'appelaient eux même les Homoio, « les Égaux ». Les membres de sa secte sont les Femoio, les égales. Egales oui, mais dans une obéissance totale à maitresse Ivana. Elles ont acheté un très joli domaine, au calme et vivent nues le plus souvent possible. Elles cultivent bio légumes et céréales, le verger est luxuriant. Aucun homme, aucun enfant. Pourquoi faire ? Les hommes sont sales et les enfants sont trop nombreux de par le vaste monde. La secte glisse vers la spiritualité, la méditation, les exercices et arts. Les femoio sont les plus belles femmes, les plus saines et surtout les plus libres.
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(Réédition du 17/04/2020 -> 26/05/2024 - 1646 Vues)
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Aussi bien synonyme de chaos dans une société s'évertuant à prôner des valeurs morales, que symbolisant un acte de libération de l'être et d'un retour à sa véritable nature, l'exhibition ne cesse de faire parler d'elle.
Loin de décrier l'existence de multiples approches et ferveur à traiter cette thématique, l'exhibition physique comme virtuelle consentie, reste un élément et une pratique incontournable du BDSM.
Et de par cet article, je vous propose d'en découvrir ses principaux tenants et aboutissants.
01 - Mais en fait, l'exhibition virtuelle, qu'est-ce que c'est ?
L'exhibition n'est pas liée directement à un plaisir qu'il soit cérébral ou physique, mais une volonté par intérêt ou un bien être à devenir visible au yeux de tous, ou dans un contexte en particulier (Personne et/ou environnement).
c'est pourquoi l'on peut s'exhiber sans même s'en rendre compte.
Ceci dit, l'acte d'exhibition se fait principalement ressentir lorsque le sujet est mis sur le devant de la scène, dans une satisfaction de son égo, ou à contrario sa perdition.
A une époque pas si éloignée que cela, un mollet apparent pouvait soulever les foules.
La perception que l'on a de l'exhibition exacerbe nos pulsions, et c'est pour cela qu'il est difficile de pouvoir s'exprimer des plus objectivement sur le sujet.
Elle reflète une connotation d'influence, de gêne face à ses rapports à sa propre libido.
02 - Pourquoi n'est ton jamais insensible à l'exhibition quelle qu'elle soit ?
La perception de l’ostentatoire :
Le tabou ; Les règles générées par un comportement de masse, et l'excitation de ne pas s'y plier.
L'expérimentation ; La définition de son identité dans le regard de l'autre.
L'affranchissement ; D'exister dans sa simplicité ou dans ses potentiels atouts.
03 - Quelles joies, comportements et émotions, je procure à m'exhiber ?
La fascination, la provocation, l'accessibilité, l'excitation, l'ivresse, l'addiction, le plaisir, le confort, l’opulence, la vénération, l'imagination, l'aveuglement..
Savoir pourquoi l'on s'exhibe et s'y plier, est la réponse et le plaisir en soi :
1 - J’éprouve le désir d'être désiré(e), exploité(e) ou dirigé(e).
2 - J’éprouve le désir d'être visible, d'être reconnu(e) dans une pratique ou dans mon expérience.
3 - J’éprouve le désir d'exhiber pour un intérêt personnel et précis, de manipulation, pour en retirer des informations qui me soient utiles, ou simplement par égocentrisme.
4 - J’éprouve le désir d'expérimenter, me donner à l'inconnu dans la parfaite insouciance pour une sensation intense.
5 - J’éprouve le désir de montrer mon visage, de dévoiler mon identité, de me compléter dans mes pulsions.
6 - J’éprouve le désir de me donner corps et âme sans y réfléchir.
Le plaisir et le bien être que l'on retire de séances d'exhibition sont propices à des excitations profondes, pour des jouissances stimulantes.
Littéralement : "Une joie de l'impensable à s'exhiber il y a quelques minutes auparavant, et un corps qui réagit au quart de tour".
C'est idéalement un regain de libido à se trouver désirable, convoité(e) par le regard de l'autre, et se rassurer à que tout fonctionne dans son corps et dans sa tête.
Pour beaucoup, "l'autorisation de" et "la liberté de" ne suffisent pas à s'abandonner dans leurs pulsions.
Adopter le dirigisme pour s'exhiber à la satisfaction de l'autre, c'est s'acquitter de sa responsabilité, de ses principes ou de sa vertu pour déverrouiller son obsession BDSM et son éveil sexuel hors norme.
04 - Qu'en est il de l'exhibition virtuelle dans le BDSM ?
Elle se traduit par l'image (Photos et vidéos), par l'oral (Les conversations vocales étroitement liées au numérique ou au téléphonique), les textes (Articles, écrits et commentaires).
Elle se caractérise dans un but d'aller à l'essentiel :
- De visibilité (Désir de légitimité dans le "milieu" onirique du BDSM).
- D'excitation (Voyeurisme, défouloir, évasion).
- De bien être (Thérapie,comparatif, identitaire).
- Dans un contexte commercial (Vouloir vendre ses charmes dans une prostitution virtuelle, ou indirectement pour rendre visible des produits ou services).
- Et enfin dans des centres d'intérêt purement BDSM (Créer un auditoire nécessaire à une bonne pratique particulière).
Loin des politiques de confidentialité, de protection, et de moral, il se révèle que se livrer à un autre en restant chez soi, procure excitation, plaisir et bien être.
Alors pourquoi a t'elle une connotation "négative" même sur un site de BDSM ?
Et bien il se trouve que celles ou ceux qui la pratiquent font fi de certaines convenances pour un plaisir et une libération totale de leurs corps et de leurs pulsions, et que ceux/celles qui sont imposés par leurs visions, perdent leur objectivité dans une morale ou dans un désir de protection mal placé.
Le fait de s'exhiber génère assurément une joie et une répercussion dans le même temps, pour ceux/celles qui n'ont aucune connaissance de cette pratique :
Le but étant de profiter d'un public pour se permettre de s'exciter dessus, et non par une docilité mal avisée.
Il est légitime que tous le monde se sente concerné à la vue d'un cul bien exposé, et la morale est en ce cas nécessaire, sinon l'excitation de l'exhibition serait inexistante ou se rapprocherait plus de la pratique du naturisme.
05 - A quoi suis-je exposé(e) à m'exhiber ?
Considérez que toutes données que vous diffusez sur le net peuvent être interceptées, sauvegardées, et utilisées.
Encore faut il que celles-ci soient intéressantes, et se démarquent dans le flot continu d'images/textes à connotation sexuelle sur la toile... Ce qui n'est pas du tout aisé.
Également, il est important à considérer que celles ou ceux vous informant et vous incitant à vous rediriger vers un plaisir autre que l'exhibition, ne sont pas pour autant légitime dans leurs intentions.
En effet, la protection informatique est un marché commercial en soi, mais elle ne doit pas servir comme argument à réorienter votre libido, pour le compte d'autrui dans un élan "de générosité et d'altruisme" (Manipulation 1 vérité, pour deux mensonges).
Le meilleur exemple étant la visibilité sur les propositions en commentaires de "Munchs"/"Soirées", qui ne sont pas adaptés à tous arrivant(e)s, et propice justement à un plus fort embrigadement.
Réunions se voulant de bouches à oreilles comme "sympathoche", limite réunions "Tupperware".
Mais cette information se transmettant allégrement parce que personne n'y voit d'objection, et que l'on pourrait y voir une expérience BDSM à citer ce genre d'événements... Alors qu'en fait, ceux qui dévoilent cette information n'y vont jamais ou au contraire ont tous intérêts à vous pousser dedans, voulant vous accaparer en bonne et due forme :b
Les sites liés au BDSM sont les parfaits endroits à s'exprimer à cette pratique qu'est l'exhibition virtuelle, et il est indispensable à comprendre que tous jugements à votre encontre évoque une étroitesse d'esprit ou une peur liée à la maitrise consciente de cette pratique (Le fait de ne pouvoir s'exhiber soi même, provoquant un rejet du à la frustration ou la méconnaissance).
06 - L'exhibition virtuelle ; Synonyme de relations qu'à distance ?
L'exhibition virtuelle peut être un apport de rapprochement, un outil au service d'une libido (Rituels, scénarios...) , mais n'est pas ancrée dans une durée.
C'est un moyen de communication différent des relations physiques, elle sollicite d'autant plus le "langage non verbal" et la capacité à s'exprimer.
On ne connaitra jamais aussi bien Son/Sa Dominant/Domina de par sa posture et ses actes face à l’accessibilité et la satisfaction de ses pulsions.
L'exhibition virtuelle est d'ailleurs le moyen le plus efficace à savoir à qui l'on a à faire ; Un(e) Dominant/Domina se délectant simplement à vous diriger OU un/une homme/femme enfant avide à vous dire que vous aimez cela, parce qu'il/elle ne sait pas quoi dire d'autre quand son plaisir à "mater" survient.
07 - Quelles sont les pratiques courantes de l’exhibition virtuelle, d'un point de vue Domination, sur un site de BDSM ?
Il est très difficile d'être et de se sentir original sur un site BDSM, c'est pour cela que la formule "pratiques courantes" est bien ancrée en ces lieux.
A trop vouloir s'exposer, on se complet dans Une Soumission de visibilité (Donc Dominants/Dominas compris), ce qui trahit également votre niveau d'expérience en terme de BDSM.
En voici quelques exemples :
1 - Si vous montrez votre cul ou votre torse (Un bout de chair dans vos photos/avatar) dès l'arrivée en ces lieux, c'est que votre joie est à plaire, pas à faire du BDSM.
Car il n'y a aucun intérêt à vouloir se faire posséder/chasser par une femme ou un homme qui se donne déjà à tout le monde. Vous devenez le produit de consommation générique et jetable que vous méritez.
2 - Vous exposez votre Soumise/Soumis dans des postures de Soumission, ou dans leur actes infligés. Vous avez la joie de générer une excitation à un auditoire, pour que l'on voit en vous un individu expérimenté.
Alors qu'au final, vous vous faite passer pour un(e) Dominant/Domina "Leader Price" puisque le jour véritable ou vous gagnerez en respectabilité et notoriété, est lorsque vous vous investirez à l'habiller en terme BDSM (Ce qui n'est pas du tout le même budget et investissement moral).
3 - Vous avez la joie d'avoir plus de 200 membres dans votre liste "d'ami(e)s", une performance qui vous donne des ailes à vous sentir exister et avoir du poids dans vos propos, votre profil étant de notoriété publique. Vous vous ramasserez du jour au lendemain d'avoir accumulé(e) simplement un cheptel, après avoir ouvert votre bouche malta-propos, dans un manque avéré d'exigence qui vous fait cruellement défaut.
4 - Vous avez la joie de vous mettre en avant en écrivant directement sur le profil des Soumis(e)s/Switchs de votre attrait envers elles/lui et pour leurs charmes. Vous polluez systématiquement les lieux dans des actes qui se révèlent vains, puisque si la/le dite Soumis(e)/Switch ne lave pas son mur de vos impuretés, ce n'est pas dans son objectif de se Soumettre.
La Soumission exigeant du travail, une personne ne balayant pas devant sa porte ne sera pas en capacité de s'investir de quelques manières que ce soient. Révélant finalement votre manque de discernement et de compréhension face à la gente féminine/masculine dite "vanille".
5 - Vous aimez et avez la joie de mener votre nez partout, sur chaque commentaires, sur chaque photos, et adorez poster à votre tour. Pour rivaliser à dénicher les images les plus provocantes, bordées d'émotions, ou de phrasés valorisant une harmonie BDSM.
Vous n’appréhendez jamais que les photos BDSM d'artistes photographes ou de récits grand public existent parce cela leurs offres de la visibilité et une légitimité dans leurs milieux, à sublimer des scéniques et des modèles. Alors qu'ils n'y comprennent strictement rien en terme de BDSM puisqu'ils/elles ont simplement autre chose à faire (S'y intéresser, ce n'est ni comprendre, ni pratiquer. Une belle image peut faire juste oublier le fait que l'on retranscrit un domaine que l'on ne connait pas).
Reprendre ces images/récits, c'est faire perdurer un idéalisme baignée d'utopie, qui sert de marchandises ou de monnaies d'échanges dans d'autres domaines d'activités.
Il n'y a pas d'avenir "harmonieux" dans le BDSM, il n'y a qu'un présent se révélant peut être cru, mais non porté par les illusions. La science amène plus à vivre une relation saine dite BDSM, et vous dira que vos jours sont comptés d'un point de vue plaisir physique, et plus court encore d'un point de vue cérébral, si vous ne travaillez pas vos méninges ! :b
Il est bien clair que l'exhibition est liée à la sensation grisante ou déroutante de pouvoir posséder sans travailler pour.
De ce fait, tous les articles romancés vous berçant d'espérance, les photos vous prenant aux tripes, les belles paroles idéalistes emplis du respect que vous ne méritez en rien, les échanges ou rencontres vous permettant d'exister dans un plaisir fugace, ne sont présentes que pour faire contraste avec votre oisiveté à vous rendre libre d'entreprendre, d'imaginer, de créer, d'évoluer, de transmettre..
Quand ceux/celles pratiquant le BDSM y voit une pratique concrète à s'exprimer dans leurs pulsions parce que c'est dans leurs natures, le "reste" y voit une occasion de s'évader de plus, loin de leurs vies qu'ils/elles jugent routinières.
En conclusion :
L'exhibition virtuelle est un moyen de communication et d'éveil BDSM.
A trop s'exhiber vous n'êtes rien, à ne jamais le faire vous êtes déconnecté(e).
L'excitation intense à pouvoir être démasqué(e) dans ses pulsions ou dans ses intérêts propres à l'exercer, en donne toute sa valeur.
Sa principale alliée est la frustration, sa principale contrainte son égo.
Elle éprouve votre vulnérabilité et votre désir à vous dépasser.
Et si je ne devais vous donner qu'un seul conseil avisé, cela serait celui-ci : Si vous vous exhibez, faites le bien !
Spéciale Dédicace : Pour Daphné.
Article du même auteur :
https://www.bdsm.fr/blog/4291/%C2%AB%C3%AAtre%C2%BB-ou-%C2%ABavoir%C2%BB -> "être" ou avoir
https://www.bdsm.fr/blog/2669/ma-premi%C3%A8re-correction -> Ma première correction.
https://www.bdsm.fr/blog/4723/un-ma%C3%AEtre-des-soumises -> Un Maître, Des Soumises.
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Jules César l'avait remarqué, en Gaules, il n'existe que deux catégories, les vraiment riches, qui ont tous les pouvoirs, baisent les plus belles femmes et les autres qui n'ont rien ou pas grand chose et qui obéissent de façon servile. Rien n'a changé 2000 ans plus tard. C'est juste à peine un plus caché. Un petit général, qui s'était planqué pendant la dernière guerre a réussi son coup d'état avec ses groupes mafieux. Depuis ils se gavent et les gaulois sont le pays du monde qui croule sous le plus d'impôts. C'est incroyable tout ce qu'on arrive à leur faire gober à ces gaulois.
La fraude fiscale, sociale et les détournements divers dans les seules administrations publiques dépasse les cent milliards d'euros par an. Peu importe ce sera toujours la masse qui paiera l'addition au final, certainement pas ceux qui en profitent.
Hervé est greffier dans un petit tribunal de province, petite auto, petite vie en apparence ....sauf qu'il fait partie du premier cercle et qu'il gagne quatre fois plus que le Président de façade de la Ripoublique dont on fait croire au peuple qu'il dirige.On mettrait un pot de fleur ce serait presque pareil. Et encore je ne parle pas des cadeaux, Hervé ne les comptabilise plus..
Hervé s'occupe des liquidations d'entreprises, le poste le plus juteux, celui où il existe le plus de magouilles et de dessous de table. Mais chut, cela n'existe pas. Il n'est qu' un modeste greffier , qui manque de moyens, qui bosse trop, qui est surchargé, d'une conscience professionnelle d’incorruptible, même le célèbre Eliot Ness serait un malfrat à coté, etc... etc...vous connaissez comme moi les rengaines et la propagande.
Et là super ce Covid 19. Tous les réseaux secrets sont activés et en chasse des bonnes affaires. Avec tous ceux que ce confinement magouillé va ruiner.... Et dans le premier cercle, Hervé est au courant de tout.
Depuis un moment il se lorgne une propriété superbe dans le Var. Cette fois il va coincer son propriétaire, bien le ruiner et racheter en douce via des sociétés écrans pour rien. C'est pas Hervé qui prend des risques. Non, lui c'est emploi à vie, avec salaire mirobolant et tous les avantages. Un réseau secret s'active. Ce con de proprio est pris au piège. tout une vie de travail. Une belle ruine pour finir. C'est le moment qu'Hervé préfère, les mises à mort. Comme une belle corrida.Il aime que le taureau se défende un peu. C'est plus rigolo, même s'il n'a aucune chance.
Ah ces pyramides de pouvoir si bien décrites par le marquis de Sade en son temps qui lui valurent des décennies en prison. Ce sont des choses dont il ne faut pas parler. Le pire c'est que de nos jours, on peut en parler, cela ne changera rien. Et même si les choses changent, ce sera pour redevenir comme avant.
Décidément depuis jules César et sa conquête des Gaules les gaulois sont restés les mêmes, un tout petit nombre à tout, les autres croulent sous les impôts, les dettes et les illusions. Et ceux qui ont tout sont aussi ceux qui se baisent les plus belles femmes.
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« Tu respecteras bien évidemment le protocole habituel. » Ce dernier est simple: n’échanger aucune parole et le prendre directement en bouche. Ce jour-là, les règles changent un peu.
[15:06] M:« Tu viens sans culotte. Je veux pouvoir te travailler pendant que tu avales ma queue. »
[15:07] E: « Très bien. »
[15:51] M: « Jusqu’à ce que j’autorise à cesser, tu me donnes du Monsieur, aujourd’hui. »
Comme à chaque fois, pour dissimuler mon trouble, mon sourcil s’arque et mes lèvres s’étirent en un sourire que je veux moqueur. « Pour qui se prend-il ? » me dis-je en passant mes bas qui s’arrêtent juste en dessous de la lisière de ma jupe.
[16:01] M: « Chaque minute de retard te vaudra un coup de ceinture sur tes petites fesses. »
Le « La » est donné… et mes consignes aussi.
Le Rituel commence alors : une fois le numéro de la chambre connu, je monte le rejoindre. J’aime cet hôtel que j’aime appeler "le nôtre".
L’agent d’accueil ne me propose plus son aide : je connais les couloirs par coeur. Un dernier regard dans la glace de l’ascenseur…et puis, la porte de la chambre. Un jour, qui sait, nous les connaîtrons toutes.
La suite ? Frapper trois coups et attendre qu’il m’ouvre. S’il m’arrive d’avoir des doutes sur ce qui va suivre. Le claquement de la porte les transforme en certitudes. Même si aucun mot n’est prononcé, nos yeux se les échangent : ceux du désir.
Je profite, comme à chaque fois, des quelques secondes qu’il me faut pour retirer mon manteau qui dissimule ma tenue de jolie petite salope que je veux être pour lui. Je trouve à ses pieds le coussin qu’il a pris soin de déposer pour épargner mes genoux. Je rejoins ma place, en silence. Je savoure l’expression de son envie qui déforme son pantalon. Sur le jean, d’abord, puis au travers le tissu de son boxer.
Je lèche toujours de bas en haut, au début. Goûtant cette peau qui m’a manqué avant de plonger et me retrouver la bouche pleine. Il est déjà dur… et très large.
« Plus loin », me souffle-t-il, je sonde alors mes capacités.
« Mieux que ça », il continue.
« Regarde tout ce qu’il te reste » dit-il en me faisant regarder à droite : un miroir très justement posé à côté du lit.
« Les hôteliers sont des pervers » pensé-je alors quand une douleur vive me saisit. Et pour cause ! M. me tord le bout des seins :
« Je ne m’arrête pas tant que tu ne vas pas jusqu’au bout. »
Un nouveau jeu commence.
La pression exercée s’apaise au fur et à mesure de sa progression dans ma bouche. Je me surprends à enfin toucher des lèvres son bas ventre. Son membre au fond de ma gorge, ses doigts se font alors caresses sur ma poitrine. Je profite, m’enorgueillis de son soupir, avant de manquer d’air. Chaque respiration salutaire me vaut le même tarif : mes tétons mis au martyr.
Parfois ses mains quittent le galbe de mes seins pour apprécier celui de mes fesses. Il me flatte, ses paumes claquent et me font rougir.
Un doigt fouille l’anneau de mon cul. Son membre investit toujours ma bouche et recueille ma salive la plus épaisse ; j’en suis d’ailleurs recouverte.
C’est là qu’il me fait une nouvelle fois tourner la tête (à plus d’un titre) vers ce miroir pour me dire
« Regarde comme tu es jolie quand tu es comme ça, à ta place. »
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La nymphe Daphné, en grec ????? / Dáphnê, signifiant "laurier", fille de Pénée, dieu fleuve de Thessalie et de GaÏa,
était une de ces jeunes chasseresses indépendantes et réfractaires au mariage et à l'amour que nous rencontrons si
souvent dans les récits mythologiques. Si la couronne de laurier symbolise encore de nos jours la victoire, notamment
dans les concours, les prix intellectuels, son origine est plutôt l’histoire d’une défaite: celle d’Apollon à la séduire.
Son histoire est celle d’une jeune vierge dévouée à sa déesse Artémis, qui préfère mourir plutôt que d’appartenir à un
homme. Ce mythe est la symbolique de la femme grecque désirant s’émanciper. Dans cette société où la femme est
encore considérée comme un être inférieur, les hommes ont pris l’habitude de malmener ces femmes ivres de liberté.
Apollon, Dieu solaire Grec de la poésie de la musique et du chant possède également des pouvoirs de guérison. Il est
le Dieu de la jeunesse éternelle et l’une des douze grandes divinités de l’Olympe. Fils de Zeus, et frère jumeau d’Artémis,
il passe la première partie de sa vie voyageant à l’aide de son char tiré par des cygnes. Connu pour son courage et sa
beauté, il est cependant paradoxalement assez souvent rejeté dans ses amours pour des nymphes ou des mortels.
Après sa victoire sur le Python, Apollon se moque de Cupidon et de son arc. Celui-ci, vexé et pour se venger, tire de son
carquois deux flèches, l’une a le pouvoir de chasser l’amour, l’autre de le faire naître. De la première flèche, Cupidon atteint
Daphnée la chasseresse. De l’autre, le cœur d’Apollon est touché. Ainsi lorsqu’il croise la nymphe Daphnée lors d’un exil
dans le monde des humains, Apollon en tombe éperdument amoureux bien malgré lui.
La nymphe solitaire parcourt les terres dans les forêts du Péloponnèse. Passionnée par la chasse, elle s’est vu offrir
le don de viser juste par Artémis. Très belle et courtisée elle fuit ses prétendants, au grand désespoir de son père qui la
voudrait mariée. Notamment l'acharné Leucippe qui va jusqu’à se déguiser en femme pour la suivre partout jusqu’à ce que
la supercherie soit découverte. Indépendante, elle doit faire face à l’obsession amoureuse d’Apollon pour elle.
Apollon l’admire, la pourchasse de ses désirs et l’épie. Guerrier, il veut s’unir à elle et ne comprend pas qu’elle s’éloigne
et le repousse. Le peuple de Delphes obéit à ses lois, mais il est impuissant à séduire la jeune nymphe. Il lui déclame son
amour, mais Daphnée n’entend pas ses discours, elle fuit toujours plus loin. Il la poursuit, aidé par les ailes de l’amour.
Sentant le souffle du Dieu dans sa nuque, effrayée, elle voit les arbres s’écarter devant elle et apparaître son père.
Elle l'exhorte de lui ôter la beauté qui lui devient funeste et de la protéger de ce prétendant trop pressant, Apollon.
À peine a-t-elle achevée cette prière, ses membres s’engourdissent, ses cheveux verdissent en feuillages, ses bras
s’étendent en rameaux, ses pieds se changent en racine et s’attachent à la terre. Elle s’est métamorphosée en laurier
pour échapper à la passion d’Apollon. De ce jour, le laurier sera l’arbre sacré d’Apollon et la couronne de laurier parera
le front des guerriers. Ses feuilles procureront le don de divination et l'arbuste ne pourra être atteint par la foudre.
Le mythe de Daphné est à peine évoqué dans les textes grecs comme latins avant le premier siècle avant J.C. Ni Homère,
ni Hésiode ne le mentionnent, ni les auteurs tragiques, ni les poètes ultérieurs, rien avant le premier siècle avant J.-C.
Il fait l'objet de deux légendes. Le prince Leucippe, fils d’Oemanos, roi de Pise en Élide, tombe également amoureux d'elle.
Il imagine la ruse suivant: il se déguisera en jeune fille et accompagnera son aimée à la chasse. Apollon, jaloux, inspire à
celle-ci l’idée de se baigner dans la rivière Ladon. Lorsqu’elles constatent qu’elles ont été trompées, Daphné et ses amies
transpercent Leucippe de leurs lances. Ce carnage peut rappeler la cruelle mise à mort d’Orphée par les femmes thraces.
La seconde légende parle seulement de l’amour malheureux d’Apollon pour la nymphe, qui préfère de loin la chasse à la
compagnie des mâles, qu’ils soient divins ou humains. Lorsque le dieu commença à la poursuivre, elle s’enfuit, demandant
protection à la Terre-Mère. Alors, la terre l’accueillit et la jeune fille se transforma en laurier. Apollon, en souvenir, coupa une
branche de l’arbre et la posa sur sa tête en guise de couronne. L'amour se transformant en reconnaissance éternelle.
C’est Parthénios de Nicée, poète du 1er siècle av. J.-C et tuteur du poète latin Virgile, qui nous conta, le premier l’histoire
de Daphné, dans son seul ouvrage qui nous reste, les "Erotica Pathemata", ou "passions amoureuses", recueil de quelques
amours malheureuses de la mythologie. Hygin, un auteur latin contemporain de Parthénios, cite également Daphné dans
l'une de ses fables:
"Quand Apollon poursuivit Daphné, fille du fleuve Pénée, elle demanda la protection de la Terre Mère, qui la reçut, et qui la
changea en laurier. Apollon en coupa une branche et la plaça sur sa tête."
C’est ainsi que l’on représente ordinairement Apollon coiffé d’une couronne de laurier, couronne qui reste encore aujourd’hui
symbole de victoire. Dans les "Histoires incroyables" de Palaiphatos, il est écrit que Gaia tomba enceinte du fleuve Ladon.
Leur fille fut nommée Daphné. Elle préférait rester vierge et prit donc la fuite pour échapper aux avances d’Apollon. La jeune
fille, lasse et à bout de souffle, demanda à Gaia de la faire retourner dans ses entrailles, en prenant racine dans la terre.
Parthénios dans ses "Aventures d’Amour" donne le nom de Daphné à son chapitre XV. Cette courte référence serait extraite
de Diodore d’Élée dans les élégies et du quinzième livre de Phylarque. Le mythe est mentionné dans plusieurs ouvrages de
Plutarque dans "La vie des hommes illustres" et dans le "Dialogue sur l’amour". Pausanias dans "Description de la Grèce",
dans le chapitre XX du livre VIII, Arcadie, nous relate, également la légende en reprenant la version de Parthénios de Nicée.
Mais c'est le poète latin Ovide (43 av. J.-C. – 17 ap. J.-C.) qui popularisa les amours malheureuses d’Apollon et de Daphné,
dans son recueil d’histoires mythologiques, les "Métamorphoses". Dans le premier chant, peu après l’histoire de Deucalion
et Pyhrra, on apprend que l’amour premier d’Apollon pour Daphné proviendrait d’une rivalité entre Cupidon et Apollon. La
fameuse nymphe y est présentée comme fille du fleuve Pénée.
Suite à une querelle trahissant la jalousie du vainqueur de Python, Cupidon atteignit Daphné de sa flèche qui repousse
l’amour, puis le dieu ailé toucha Apollon de son autre flèche, celle qui fait aimer. Ainsi épris il pourchassa donc Daphné qui
prenait la fuite. Il affirmait ne pas lui vouloir de mal. Ovide explique ensuite que la nymphe suivait l’exemple d'Artémis,
chassant les animaux et fuyant les hommes qui l’aimaient.
Cette fuite finit par épuiser Daphné qui supplia son père de lui ouvrir la Terre ou de lui faire perdre sa beauté lui attirant un
prétendant effroyablement motivé. Pénée sembla avoir écouté la prière de sa fille car la nymphe se retrouva alors changée
en laurier. Appolon continua toutefois de l’aimer en faisant de l'arbuste, son arbre emblématique et un symbole de triomphe.
Daphné pencha alors ses branches, donnant ainsi l’impression de manifester de la reconnaissance envers Apollon.
"S’il est vrai, dit-elle, que les fleuves participent à la puissance des dieux, ô mon père, secourez-moi ! ô terre, ouvre-moi ton
sein, ou détruis cette beauté qui me devient si funeste" ! À peine elle achevait cette prière, ses membres s’engourdissent;
une écorce légère presse son corps délicat; ses cheveux verdissent en feuillages; ses bras s’étendent en rameaux;
ses pieds, naguère si rapides, se changent en racines, et s’attachent à la terre: enfin la cime d’un arbre couronne sa tête et
en conserve tout l’éclat; Apollon l’aime encore; il serre la tige de sa main, sous sa nouvelle écorce il sent palpiter un cœur.
Il embrasse ses rameaux; il les couvre de baisers, que l’arbre paraît refuser encore."
Extrait des de l’épisode de Daphné des "Métamorphoses" d'Ovide
La version d'Ovide offre donc une toute autre version du mythe de Daphné et Apollon de celle de Parthénios de Nicée en
faisant disparaitre le personnage de Leucippe, avec lui l’intrigue du travestissement; seule la description de Daphné que fait
Ovide se rapproche de celle du poète grec: une jeune fille indépendante, dont la beauté attire de nombreux poursuivants
qu'elle repousse un à un, disciple de Diane la Déesse de la chasse. Sa simple description physique annonce son caractère
sauvage: elle se vêt de dépouilles d’animaux qu’elle a tués, ses cheveux sont désordonnés lui donnant un aspect négligé.
On retrouve des figures très similaires à la nymphe-laurier, telle que Syrinx, une nymphe d’Arcadie, transformée en roseau
après avoir fui le dieu Pan, dieu des bergers et des troupeaux. Leurs histoires se ressemblent à ceci près; à la différence
d’Apollon, Pan, était particulièrement laid, il avait notamment des pattes de bouc.
Ce récit à l'épisode décevant évoque la recherche éperdue de l'âme-sœur, seule capable d'apporter le bonheur. Dès qu'on
croit l'atteindre, il disparaît. Il symbolise la fixation au moi infantile, aux parents et aux émotions liées à l'amour parental,
et par voie de conséquence, l'incapacité d'affronter les réalités de l'existence. La métamorphose en laurier est une forme
d'ensorcellement rappelant les psychoses ou névroses menaçant ceux qui refusent obstinément de sortir de l'enfance.
Les évocations artistiques du mythe de Daphné sont nombreuses, en peinture chez Véronèse, Rubens, et Poussin. En
musique, Haendel a composé la cantate "Apollon et Daphné". Richard Strauss en 1938 a écrit l'opéra "Daphné".
" Eh bien ! dit le dieu, puisque tu ne peux plus être mon épouse, tu seras du moins l’arbre d’Apollon. Le laurier ornera
désormais mes cheveux et mon carquois: il parera le front des guerriers du Latium, lorsque des chants d’allégresse
célébreront leur triomphe et les suivront en pompe au Capitole: tes rameaux, unis à ceux du chêne, protégeront l’entrée
du palais des Césars; et, comme mes cheveux ne doivent sentir les outrages du temps, tes feuilles aussi conserveront
une éternelle verdure."
Bibliographie et références:
Pausanias le Périégète, "Description de la Grèce", livre X, chapitre VII.
Ovide, "Métamorphoses", 1.456.
Ovide, "Métamorphoses", 1.504 – 505.
Ovide, "Métamorphoses", 1.557 – 559.
Parthénios de Nicée," Aventures d'Amour", chapitre XV.
Hygin, "Chants d'amour"
Palaiphatos, "Histoires incroyables"
Plutarque, "La vie des hommes illustres"
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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-Quelle bande de cons ! C'est par les mots célèbres de Daladier lorsqu'il était applaudit à Paris, de retour de Munich, que Loïc fulmine, tous les soirs à 20 h, lorsqu'on applaudit les soignants des hôpitaux.
-non mais quelle bande de cons ! C'est 15 000 morts de trop, 200 milliards de dettes en plus et ils applaudissent ! Ils viennent de se faire mettre profond et ils sont contents !
-calme toi, Loïc , dit Eva, sa sublime compagne. T'y changera rien. 99, 99% de la population sont fait pour se faire enculer et ils aiment cela.
-T'as raison, je m’énerve pour rien et il va bien y avoir un con de voisin pour me dénoncer.
-ceux qui se font enculer aiment bien parler, répond Eva en écartant légèrement les cuisses. Elle enlace Loïc.
-Viens, baise moi au lieu de te rendre malade. Heureusement qu'on a ni la télé, ni internet, sans quoi...
Et Loïc ne se fait pas prier. Il adore baiser Eva, 100%naturelle, jamais de produits chimiques sur la peau, aucun vaccin ni médicaments chimiques de merde. Une femme qui sent bon.
Il la baise et la rebaise, là au moins il ne paie pas d'impôts à ce régime pourri infesté d'escrocs publics.
-Tu sais quoi, on va se barrer, j'en peux plus. Faut qu'on se trouve une Haute Terre à nous. Pourquoi pas au Greenland ou au Vinland, le paradis des vikings.
Eva toute pleine de bon sperme et dégoulinant de mouille et jouissance ne répond pas. Ah son Loïc. Heureusement qu'il l'a baise bien. C'est fou le nombre de ripoux qui ont voulu sa main, le nombre de notables qui voulaient se jeter à ses pieds. Non, elle a choisi ce timbré de Loïc. C'est vrai, il a une très grosse queue et il sait lui exploser les orgasmes.
-Oui, le Vinland si tu veux. Pour l'instant, attaches moi, donne moi une bonne féssée, je suis pas sage et encule moi profond. Penses que tu te venges de ces escrocs qui nous dirigent.
Et loïc n'a jamais su dire non à Eva. Diable qu'elle est bandante avec ce cul bombé qui s'offre.
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j'aime la femme que tu es, j'aime que tu sois la femme que j'aime, telle que je l'aime
belle est celle qui se révèle
pute à modeler que ma main réchauffe
poupée écartelée prête à jouir par ma queue
jouet de plaisir dont les joues s'empourprent dans nos joutes
autant que le cul sous mes mains
pony de mes transports de joie sous l'éperon du désir
chienne, douce peluche qui dit non de la tête
tandis que sa fente, elle, ruisselle
pantin contraint, les fils qui la meuvent sont les cordes
qui m'émeuvent et l'attachent à moi
puzzle, à la fois amante, savante, émouvante, bandante, tentante, inspirante...vivante, enfin.
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tu ne convoiteras pas la femme de ton voisin....
Sauf qu'Ahmed, n'a que cela en tête, se troncher la boulangère, avec ses gros nichons bien lourds au balcon, son cul énorme. Ahmed adore les grosses, et sa boulangère est trop belle pour lui, avec tous ses bijoux en or, ses longs cheveux blonds. Elle est à la caisse et fait marcher le tiroir ou les biftons s'entassent. Jamais un regard pour Ahmed et ses yeux amoureux. Un petit con de flic de quartier, avec une paye de sous of, bref, pas assez pour la boulangère. Une belle garce qui tue son mari à la tache. Le pauvre, toujours à marner aux fourneaux, il doit plus bander beaucoup, trop épuisé.
Et voilà le covid 19 est arrivé et Ahmed a de suite compris que c'était sa chance. Il s'est posté devant la boulangerie et a sorti son carnet de contredanses.
-une seule baguette de pain, c'est pas conforme madame. 135 euros pour ne pas respecter la règlementation.
-Mais c'est ma seule sortie de la journée, j'aime le pain frais;
-circulez ou je vous verbalise encore, et directement pour rentrer chez vous.
La boulangère sort outrée.
-Mais à ce rythme nous allons crever de misère pas du covid 19.
-adressez vous à votre député, moi j'applique la loi.
La boulangère et son mari sont brisés, ils ont peur du lendemain. les charges s’accumulent. La propagande dans les médias fait croire qu'ils vont être aidés. Que de l'intox.
C'est le moment pour ceux qui ne prennent aucun risques de se mettre en chasse aux bonnes affaires. La belle boulangère a du ravaler sa morgue et venir sucer Ahmed, puis se faire sodomiser. Et finalement elle a aimé cela et compris que c'est Ahmed qui tenait le bâton. Elle est devenue sa poule et le mari cocu, croulant sous les dettes a du fermer les yeux de crainte de contrôles à répétition.
Ahmed a même poussé le bouchon jusqu'au ménage à trois. Il saute la boulangère chez elle où il a pris ses quartiers. Le mari a du se contenter d'une chambre de bonne sous l'escalier. Sa femme lui donne la fessée s'il ne bosse pas assez pour bien l'entretenir. Et finalement la boulangère prend son pied.
Ne cherchez pas la morale de l'histoire, il n'y en a aucune, comme bien souvent.
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Il m’a demandé d’écrire une envie, ce qui m’excite en secret « sans certitude » qu'il accède à ma demande … « il faudra mériter . »
Alors je lui raconte.
Qu’il m’arrive d’imaginer une journée, deux… de totale servitude.
Une chambre aurait été louée pour l’occasion. Près de son travail.
Sitôt arrivée, j’aurais laissé toutes mes affaires dans un placard gardé fermé.
Je me fantasme nue jusqu’à nouvel ordre. Seulement parée d’un collier et une laisse, grâce à laquelle il me traînerait un peu partout. A mes chevilles et poignets : des liens à utiliser à sa guise.
Il me baiserait. Ou pas.
Je le sucerai comme il aime. Quand il le demandera.
Ma journée serait rythmée ainsi : selon son bon vouloir.
Bouger si et où il le demande.
Parler s'il m’y invite.
Manger ce qu'il me donne.
Etre à sa suite. N‘avoir d’autre choix que d’obéir.
Il partirait. Sans me dire l’heure de son retour.
Il aurait laissé des consignes. A respecter scrupuleusement ou la correction serait inévitablement sévère.
Il reviendrait.
Une heure ou deux… ou même quelques minutes.
S’occuper de moi.
S’amuser de moi.
Il pourrait même m’ignorer : passer sans me regarder et repartir aussitôt.
Répéter ces allées et venues de façon aléatoire, jusqu’à me faire perdre conscience du temps.
Il serait maître en ces quatre murs.
Et moi, un objet de plus laissé là pour lui.
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Nous sommes en Février, le 14 pour être précis. Ce soir la, c'est la sacro-sainte saint-Valentin.
Je suis soumis, féminisé, chaste et cocu. Tout un programme.
Pourtant, depuis 1 semaine, je suis hors cage de chasteté. Mais cette belle période hors cage n'a servi qu'une fois. A une seule reprise, j'ai eu l'immense joie d’honorer Maîtresse, ma femme. Et encore, port du préservatif obligatoire. On ne salit pas sa Maîtresse.
Puis vient cette soirée. Il est 17h et Maîtresse se fait belle, désirable. Quand elle vient vers moi, je suis en feu. Mais, c'est dans ma cage de chasteté que je vais me retrouver pour la soirée. A l'aide d'eau froide et de glaçons, elle va mettre fin a mon érection pour un retour en cage de chasteté. Puis vient mon tour de me faire "belle" selon la tenue prévue par Maîtresse. Une fois prête, Maîtresse m'introduis un plug d'un gros calibre.
Nous sortons. J'ouvre les portes (Maison et voiture) à Maîtresse puis je la conduis a l'adresse qu'elle m'a indiqué. La voiture stationnée, j'ouvre la porte a maîtresse pour qu'elle sorte a son tour. Sur le trottoir, elle m'équipe de mon collier de soumise puis nous marchons, je suis derrière elle a quelques mètres. Nous marchons vers un lieu que j'ignore.
Arrivées devant un restaurant, j'ouvre la porte a Maîtresse puis je rentre après elle. L'établissement est de bonne réputation et de grande qualité. Maîtresse s'annonce auprès d'une femme d’accueil. Nous sommes dans un sas hors salle.
"Je suis Madame .... je suis attendue".
Après la consultation de son registre, la femme d'accueil confirme.
"En effet, mais il me semblait que vous deviez être seule?
- C'est le cas. (Puis s'adressant a moi). Je n'ai plus besoin de toi, tu peux rentrer. Je t'interdis de te changer ou d'enlever ton plug. Tu attends mon retour avant de te coucher."
J'ai compris qu'il me fallait réagir aux paroles de ma Maîtresse et ainsi valider l'ordre quitte a augmenter mon humiliation. Je sentais tout le poids du regard de cette inconnue sur moi. j'avais chaud puis j'ai pris la direction de la porte.
J'ai vaguement compris un début d'échange entre Maîtresse et cette femme sur moi. Maîtresse a répondue que je suis son mari a la question "sans paraitre indiscrète" sur qui j'étais.
De retour a la maison, j'ai mangé....seul. Des restes de repas qui n'attendaient que moi.
Il est plus de 23h30 quand Maîtresse rentre.
"Maîtresse a passée une bonne soirée?
- Je ne suis pas seule, mon amant arrive. Vient avec moi!"
Dans la chambre d'amis, je dois me déshabiller, me démaquiller puis Maîtresse m'attache au lit pour y passer la nuit, munie d'une couche pour adulte, de mon plug toujours en moi et de ma cage de chasteté.
"Je te souhaite une bonne nuit le cocu et surtout, ne me dérange pas !".
La chambre d'amis est juste a coté de la chambre conjugal et Maîtresse, dans sa grande générosité a prit soin de ne surtout pas fermer les portes des chambres.
Durant une très longue partie de la nuit, j'ai été le témoin sonore de mon cocufiage.
J'ai vite compris pourquoi je devais être en vacances sur cette semaine.
Je n'ai été libéré par Maîtresse que le lendemain en début d'après-midi. Maîtresse avait cette belle odeur du plaisir. Direction la douche pour enlever mes odeurs, moins attrayantes, moins sexy.
Ce n'est pas toujours facile d’être a ce point soumis, mais que c'est excitant.
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Cela fait plus d’un an déjà que je me suis inscrite sur ce site, découvert par hasard au fil de mes pérégrinations su le net, un soir où j'étais seule, sans Maxime.
Par le passé, j’avais beaucoup fréquenté, sous divers pseudos, des sites de rencontre, la plupart axés bdsm, pour y trouver des amants d’un soir, à même de satisfaire mes pulsions masochistes, ce besoin que j'éprouvais depuis l’adolescence d’être « dominée » au lit, mais jamais dans la vie.
A cette époque, au début de l’an dernier, j’étais déjà avec Maxime, « à » Maxime.
Mais en pleine quête de moi-même.
Pour la première fois de ma vie, il ne s’agissait plus seulement de sexe, d’assouvir mes désirs en «consommant » des mecs, mais de quelque chose d’autre, ce besoin non pas d’un mec, mais de lui, d’un Homme, de « mon Maitre », de Maxime.
Ce que je ressentais pour lui me faisait peur, à cause de ce désir que j'éprouvais pour lui, qui allait très au delà du sexe, du désir purement physique, de la jouissance d'être dominée.
Jusqu’alors, j’avais toujours cloisonné ma vie.
Le sexe avec des inconnus, des amants d’un soir ou de quelques semaines, les sentiments, l’amitié, les échanges, la complicité avec mes proches, les gens que j’aimais.
Ma rencontre avec Maxime a fait exploser ce cadre confortable autour duquel j’avais construit ma «sexualité atypique ». Et cela me faisait peur.
Peur de m’engager et plus seulement de baiser, peur de ne pas être à la hauteur, à sa hauteur.
Même s’ils avaient été nombreux à me baiser avant lui, les mecs restaient pour moi un mystère. Leur fonctionnement, en dehors du sexe, leur psychologie, leurs attentes vis à vis de moi, en dehors de la vidange de leurs couilles ...
Ce n’était pas Maxime qui était en cause, mais moi.
Au fil des mois, j’avais appris à le connaître, à apprécier sa droiture, sa rectitude morale, j’avais découvert ses qualités d’homme, son intelligence des situations, des choses et des êtres, et même lors de nos séances les plus dures, son profond respect des autres et de sa soumise.
Mais cette peur était toujours là, prégnante en moi, celle de mes sentiments pour lui et de ma capacité à réaliser ce saut dans l’inconnu que représentait une relation durable avec un homme.
Ici, j’ai eu l’occasion de confronter ma vision des choses, mes désirs, mes attentes avec celles d’autres dom ou soumis(e)s, de dialoguer, d’échanger.
Nos approches, nos parcours, nos visions du bdsm et des relations hommes/femmes, dom/soum, maitre(ses)/esclaves divergeaient parfois, mais cette confrontation de points de vues différents m’a aidé à mûrir, à grandir.
Évidemment, Maxime a été le déclencheur, celui qui depuis nos premiers échanges m’a aidé, guidé dans ce travail sur moi-même, m’obligeant à me livrer comme jamais je ne l’avais fait avec d’autres. Mais les échanges que j’ai eu ici m’ont permis d’enrichir ma relation avec lui, nos échanges à nous, nos moments de partage et de contribuer ainsi à cette « co-construction » de ce nous que nous sommes désormais, sans dépendre exclusivement de lui.
Jusqu’à ce moment, en début d’année, où j’ai osé lui crier ces mots que je n’avais jamais prononcés pour un homme, ou alors il y très longtemps, « je vous aime, Maitre », « je t’aime Maxime ».
De tout cela, je voulais vous remercier.
Grâce à lui, grâce à vous, j’ai compris que le bdsm ce n’était pas, pour reprendre les mots de Tomy74 « une relation violente, déviante, parfois barbare ou deux personnes se livrent à des pratiques sexuelles extrêmes ». Mais au contraire, « un univers, vaste, riche, varié, dans lequel on avance et qui se révèle petit à petit ».
Cet univers, grâce à lui, et aussi grâce à vous, ceux/celles qui m’ont fait l’amitié de me stimuler dans mes réflexions, cette quête de moi-même, j’ai aujourd’hui la chance de le partager avec un homme, mon Maitre dans l’intimité, mais aussi mon compagnon, mon ami, mon amant, celui sur qui je sais que je peux m’appuyer pour continuer d’avancer, ensemble.
Je suis consciente que je suis une privilégiée, que d’autres n’ont pas ou n’ont pas eu ma chance. Mais je sais aussi pour avoir échangé avec eux/elles ici même que des Maîtres comme Maxime et des Maîtresses qui partagent les mêmes valeurs, ça existe. Alors, vivez, profitez, jouissez. Et prenez soin de vous.
Post scriptum : cet article n’est pas un au revoir.
Je n’envisage pas de me désabonner de ce site, mais bien de continuer d'échanger, d'écrire, d’interagir, de grandir.
Parce que rien n’est jamais acquis dans la vie et que lorsqu’on a comme moi la chance d’être comblée en tant que femme et esclave, on se doit de continuer d’évoluer pour aller au bout des désirs de nos Maîtres et des nôtres.
Ce week end encore, j’ai joui de sa maîtrise du fouet.
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Le soleil qui brille à travers les fenêtres fermées vient chauffer le ventre nue de Dame Blanche. Son mari le Duc lui a fait tendrement l'amour hier au soir. Babette l'avait bien apprêtée en début de soirée : une longue toilette où ses doigts si fins avaient pénétré ses orifices afin de bien les assouplir, un onguent acheté chez l'apothicaire de la grande ville d'Etampes pour assouplir sa peau et le si doux parfum aux pétales de rose . Le seul moment désagréable avait été lorsqu'elle avait introduit dans sa croupe toute cette eau. L'anus maintenu écarté de sa main gauche, Babette avait vidé trois carafes d'eau tiède. Dame Blanche avait senti son ventre gonfler sur le tabouret de bois près de la cheminée . Entièrement nue des frissons parcouraient son corps.
Mes mains au sol, bras pliés et jambes tendues,je sens les doigts de Babette s introduire dans mon petit trou arrière. Elle agit avec délicatesse et un frisson de plaisir anticipé parcourt mon ventre. Je suis entièrement nue, mes cheveux tirés sur le sommet de mon crâne me font un peu mal. Je m'attends à des coups de badine mais ne sens que les doigts de ma servante. Puis l'eau pénètre mon corps. Mon mari et Maître aime cet endroit pour y fourrer son membre rigide que souvent je suce bien au préalable. Mais il me veut propre et donne des consignes que Babette suit avec délectation. Je sais qu'elle aime me remplir puis m'empêcher de laisser couler l'eau trop vite. Elle jubile de fermer mon trou de son poing serré. Et la pression me fait gémir de douleur. Mais je ne crie pas sinon je serais muselée avec cette boule de chiffons au fond de la gorge qui me fait toujours pleurer tellement j'ai du mal à respirer. Et cette douleur n'est point si terrible. Je l'ai apprivoisée depuis le temps, mais ne le montre pas. Je ne sais combien de temps dure ce supplice, mais mon ventre gargouille et j'ai honte. Enfin elle enlève son poing et l'eau puante jaillit par à coups vers le grand bol creux dédié à cette opération. Mon didi se frotte au bois rugueux, ma chatte s'écrase contre le tabouret et un frisson de plaisir se déroule du creux de mon ventre vers le haut de mon dos. Involontairement je me tortille mais une grande claque sur ma croupe tendue interrompt vite mon plaisir. Je sens le poing de Babette boucher de nouveau violemment mon anus et je pousse un cri de plaisir pur. Elle recommence une deuxième fois et mon cri jaillit. Heureusement que les murs sont épais et absorbent les sons, ce cri reste enfermé dans la chambre . Mon corps arc-bouté se détend et s'affaisse, un doigt joue avec mon didi. Je me sens bien.
Madame a encore joui. Monsieur sera content. Je finis de la laver et vais la laisser. J'ai des frissons moi aussi et mon majeur joue avec mon sexe pendant que je titille Madame. J'espère que Monsieur le Duc prendra un peu de temps pour moi.
Dame Blanche se relève lentement et sa main appuie tendrement sur l'épaule de Babette. Il faut peu de temps pour finir les préparatifs de la nuit tant elles sont habituées à ce rituel. Avec un tissu doux et humide les sanies de madame sont essuyées. Le parfum est tapoté sur tout son corps avec brutalité. La peau sera déjà un peu rouge comme le maître aime. Les cheveux rapidement fixés de quelques épingles pourront couler librement en cascades dès que le maître tirera dessus. Il aime les caresser mais aussi saisir violemment cette tignasse pour guider Dame Blanche quand elle aspire sa pine tout au fond de sa gorge et qu'elle se délecte de son jus.
Dame Blanche s'est offerte à son seigneur dès la porte ouverte : à peine recouvert d'un voile léger , en position au bord du lit telle la chienne en chaleur qu'elle est, son corps tendu vers le maître, Messire le Duc peut disposer de moi selon son bon vouloir. Hier j'ai attendu longtemps, je l'entendais marcher dans la pièce, de la fenêtre à la cheminée, puis sa main frôlait mon arrière-train ou le bruit d'une claque me surprenait. Puis il s'est assis près de ma tête et l'a caressée en défaisant ma coiffure. Il a tiré sur une mèche et l'a fourrée dans ma bouche pour me baillonner.
Sa main m'a caressée longtemps, il connaît les parcours à suivre pour faire monter mon plaisir. Deux de ses doigts parcourent tous les os de mon dos un par un, puis ils dessinent des spirales sur mes épaules détendues et redescendent vers mon cou. Je ne dois rien exprimer. Le silence doit régner. Je ne dois pas bouger non plus et je suis très concentrée pour rester immobile. Les premières fois je ne savais pas répondre à son souhait . Mais quelques coups de fouet m'ont vite fait comprendre : Pas bouger la chienne! Pas bouger! Dame Gertrude avait omis cette leçon. J'ai appris vite et je crois que le Duc est satisfait maintenant. Puis un claquement de doigts fait sortir Babette de son coffre déjà ouvert. À quatre pattes et nue aussi, elle vient sous mon ventre me lécher. Me retenir de manifester mon plaisir est un vrai supplice. Puis il repousse son esclave, me dispose doucement sur le dos,écarte mes jambes frémissantes et les relève. Babette suce son sexe tendu puis le guide dans ma chatte. Elle se faufile derrière lui pour prendre en bouche ses boules. Il se penche vers moi, sa langue force mes lèvres qui ne demandent que ça et s'enroule autour de la mienne. Nos salives se mélangent , son sexe entre et sort doucement du mien , ses grandes mains rugueuses d'archer palpent mes seins fermement. Le plaisir monte de mon ventre en feu ,je sens les doigts de Babette jouer avec mon didi qui se redresse le plus qu'il peut. Je ne dois pas bouger ni gémir. Seul un halètement sourd me trahit. Mon seigneur mord mes lèvres pour stopper cette manifestation. Ses yeux dans les miens il se soulève et me sourit. Ses dents si blanches brillent de salive. "Vas-y crie ton plaisir petite louve sauvage. Je t'y autorise! " murmure-t-il tendrement près de mon oreille. Et telle la louve dans la forêt montée par le mâle dominant de la meute, un hurlement jaillit du plus profond de ma gorge. " Oui jouis belle louve sauvage, demain nous irons en forêt. .." Un torrent de lave parcourt mon corps, je ne sais plus qui je suis. Mon cri s'arrête un instant et reprend plus fort encore. Mon Maître bouge à l'entrée de mon sexe puis il senfonce et se heurte au fond de ma grotte. Après de puissants va-et-vient qui me font glisser vers le haut du lit. je sens jaillir ce liquide doux et chaud de mon corps au même instant où mon aimé lâche son foutre. Il s'écrase sur moi dans le spasme de cette petite mort si appréciée mais ses bras tendus l'empêchent de m'écraser. Il souffle dans mon cou et laisse échapper : " Merci ma jolie petite louve sauvage de partager mon plaisir. Tu seras récompensée. "Puis il se relève, fourre son sexe ramolli dans la bouche de son esclave. Le moment parfait est terminé : " Toilette esclave!" Celle-ci s'empresse d'obéir et le maître satisfait s'éloigne pour rejoindre ses hommes. Il reviendra dans la nuit. ..ou pas. Il n'a pas usé de ma croupe pourtant il sait que j'aime ça et qu'elle est prête pour son plaisir. Cela me laisse bon espoir qu'il me rejoigne dans la nuit. J'aime être réveillée par ses doigts qui me fouillent et m'écartent pour préparer le chemin à son sexe dressé. Le plaisir me saisit très vite et il s'en aperçoit. Ce soir il visitera sûrement l'arrière et me comblera.
Au milieu de la nuit le léger grincement de la porte me réveille mais je ne dois pas le montrer. Mon Maître soulève la couverture en laine si douce qui me couvre. Ses mains me mettent dans la position qu'il préfère, sur le ventre,les fesses redressées. Je me laisse faire comme poupée de chiffon. Il me pénètre d'un coup lent et je sens des doigts pincer mon didi. Je gémis, plaisir et douleur mélangés en écartant encore plus les cuisses. Ses bras vigoureux me retiennent et nous jouissons rapidement ensemble. Il se laisse tomber sur le côté, sa main caresse mes seins. Épuisée, comblée, je me rendors.
Le soleil qui brille à travers les fenêtres fermées vient réchauffer le corps nu de Dame Blanche. Elle s'étire et tape de joie dans ses mains. Des sécrétions coulent de son sexe ouvert par sa position. Babette s'empresse de venir toiletter sa maîtresse.
Nous sommes dimanche. C'est le jour convenu lors des fiançailles où Dame Blanche enlève son collier de servitude que Babette lui met tous les lundis. C'est le jour où Babette lui obéit. C'est le jour où son mari la traite en duchesse. C'est le jour qu'elle trouve parfois long car ce rôle lui pèse. Elle préfère être chienne. C'est inscrit dans le fond de son âme depuis sa plus tendre enfance. Elle s'arrange même parfois pour contrarier son époux afin que la trêve soit rompue et qu'elle retrouve sa place préférée, à quatre pattes à ses pieds, loin des regards.
Son corps quasi parfait habillé d'une robe sobre de laine bordeaux, elle descend royalement le grand escalier pour aller se sustanter dans la salle à manger. La cour du Duc l'admire pour son esprit. Les dames lui demandent parfois de régler certains petits litiges qui leur empoisonnent la vie. Malgré son jeune âge, Dame Blanche analyse très vite la situation. Elle ressent fortement les jeux de pouvoir qui règlent la vie de toutes ces personnes à qui l'hérédité, la chance,ou les qualités personnelles avérées ont donné fortune et pouvoir. Avec son intuition elle saisit les non-dits et les allusions. Elle perçoit dans les attitudes beaucoup d'informations qui contredisent les mots entendus.
Alors tous les dimanches elle se prête à la comédie que joue la société. Mais cela l'épuise, toute son énergie est aspirée par trop de personnes cotoyées dans un espace restreint et un si court laps de temps. Au bout d'un moment elle aspire à retrouver sa solitude et les bras énergiques de son maître qui savent si bien lui redonner de la force. Mais c'est important pour lui, et elle joue son rôle à la perfection. Si cela n'était pas aussi fatigant elle prolongerait cette activité. D'autant plus qu'elle sait si bien dénouer des situations et des relations toxiques et complexes. Son mari perçoit la fatigue qu'elle ressent et qui ternit son regard si bleu. Alors pour le repas qui suit la messe de onze heure il l'emmène se ressourcer dans une auberge en forêt où ils passeront ensemble l'après-midi. Le tavernier est un véritable ami du couple. Il connaît et sait garder le secret de son seigneur. Son auberge est réservée tous les dimanches pour le Duc et un petit groupe d'invités triés parmi le premier cercle de la cour. Dame Blanche y retrouve celui qu'elle a longtemps tenu pour son père.
Pour aller à la chapelle du château en partant des appartements privés, on doit traverser un petit salon. Seuls le Duc et son épouse passent par là. L'aménagement est particulier et ressemble plus à celui d'une salle de torture qu'à celui d'un boudoir pour nobles dames. Babette seule s'occupe de son entretien. Le Duc apprécie le côté provocateur de la situation de ce donjon dans le château. Cette pièce dédiée à son plaisir que certains qualifiraient de pervers est située derrière la porte de la loge privée de la chapelle. Il aime franchir cette lourde porte de chêne ornée des armoiries de ses ancêtres qui sépare matériellement les deux aspects de sa vie, comme si elle représentait dans le mode matériel la frontière de son monde onirique. Une fois cette porte franchie de la maison de Dieu vers le château, il quitte mentalement son vêtement de noble français pour dévoiler cette personnalité un peu sombre d'homme dominateur qui prend son plaisir à humilier sa femelle réduite à son animalité. Il lui fait révéler son potentiel de soumission volontaire qui la conduit dans un état second qui comble son corps et son âme. Il avait demandé sa main après leur première rencontre au cours de la grande messe de Pâques à Etampes. Son regard perdu au milieu de la foule, collée à son beau-père et à sa servante lui avait révélé ce potentiel. Obtenir sa main fut un jeu d'enfant. La promesse de rejoindre son premier cercle avait suffi à séduire le petit noble désargenté. Quelques explications sur le prédressage et une invitation à l'auberge avait éclairé le petit comte et sa Dame Gertrude sur l'éducation qu'il souhaitait pour sa fiancée. Il était satisfait du résultat obtenu.La jeune Dame Blanche s'était révélée une soumise de premier choix. Son esprit différent l'aidait aussi beaucoup dans de nombreux domaines. Il avait vite compris que ces moments de soumission nourrissaient son âme d'un très grand plaisir cérébral et qu'il partageait avec elle des moments parfaits de communion physique et intellectuelle. Il lui confiait de nombreux détails de sa vie de Duc, responsable de nombreuses âmes et terres. Sa façon rafraîchissante de voir les choses le comblait. Aussi mesurait-il la force de ses coups et la durée des sévices qu'il lui infligeait. Il avait appris à lire son corps pour diriger et maitriser son plaisir. Son sourire radieux et ses yeux bleus si brillants dans la jouissance, parfois dans la souffrance, lui montraient qu'il ne se trompait pas. Elle rayonnait telle la sainte vierge Marie des vitraux quand le soleil couchant la traversait .
Ainsi ce dimanche matin avait été usant pour son épouse. Il avait vu sa tête se redresser plusieurs fois, et sa bouche se pincer de fatigue. Il était conscient de lui en demander beaucoup. Il ne devait pas oublier qu'elle n'avait pas encore vingt ans. Ils iraient à l'auberge de la forêt très vite après la messe pour y manger le repas spécialement préparé pour eux par son ami Martin. Mais il fallait suivre la messe d'abord.
La matinée a été éprouvante pour Dame Blanche. Elle est épuisée de ces jeux de pouvoir qu'elle doit réguler. Elle cherche le regard de son époux qui lui sourit. Il s'approche, pose sa grande main sur sa taille, et murmure à son oreille :"Nous irons en forêt si tu es d'accord pour rompre la trêve " Il sent son corps se redresser, il aperçoit du coin de l'oeil son sourire radieux revitaliser son visage et chasser la fatigue. Elle se tourne vers lui rayonnante et donne son accord dans un murmure :"Qu'il en soit ainsi doux seigneur. Votre servante vous remercie de cette belle proposition. " Il a gagné, elle a accepté. Elle a gagné, il lui a proposé de remettre son collier. Et tendrement enlacés, le Duc annonce que la messe va commencer. La noble compagnie se dirige vers les grandes portes qui donnent sur la cour d'honneur du Château pendant que le duc entraîne sa douce vers le petit salon. Il prend sa main et la guide. Ils traversent le grand hall d'entrée puis la bibliothèque. Le duc est instruit. Il aime les livres et permet à Dame Blanche de se réfugier dans cette grande pièce quand elle a besoin de solitude. Puis ils franchissent la porte du petit salon. Dame Blanche sourit aux souvenirs de sa première séance dans cette pièce. Le duc sourit de la voir ainsi. Il caresse la badine et le fouet accrochés à portée de main dès la porte franchie. Il fait cliqueter les chaînes négligemment suspendues au plafond. Il entraîne sa soumise vers le piloris et ouvre celui-ci d'un air gourmand. Dame Blanche le caresse, un petit bout de langue rose pointe entre ses lèvres closes. Mais non, une autre fois, aujourd'hui nous allons en forêt. À cette idée elle ressent un plaisir anticipé, sa grotte commence à mouiller, son clitoris se redresse, ses lèvres inférieures semblent vouloir s'ouvrir, la point de ses seins défient la gravité, ses yeux brillants croisent ceux de son maître et tout son corps se tend vers lui dans un soupir. Il la serre dans ses bras musclés, sa main appuie la tête de Dame Blanche sur son torse viril et caresse ses cheveux. Il sent ce petit corps si féminin frémir et se détendre , au contraire de son sexe qui se tend à ce contact. Sa main monte et descend le long de ce doux corps confiant qui se laisse aller. Il entend un petit gémissement de plaisir et sourit. D'une légère tape sur les fesses de sa dame le seigneur obtient le silence complet. Elle n'ose plus bouger. Mais elle ne maitrise pas les mouvements involontaires que le plaisir provoque. Et telle une chatte heureuse on dirait qu'elle va ronronner. Cet instant parfait est interrompu par les cloches de la chapelle. Le seigneur éloigne sa dame de lui en murmurant :" Plus tard, plus tard je vous le promets. "Je souris de cette promesse qui sera tenue. Je connais mon seigneur.
La messe est enfin terminée. Je me suis levée et assise quand il le fallait. J'ai chanté les psaumes en latin sans comprendre un seul mot. Je dois penser à demander au duc l'autorisation d'apprendre le latin avec ce jeune moine chargé des enluminures des livres anciens et sacrés. Je suis certaine que cela me permettra de lire tous ces si beaux livres de la bibliothèque du château. Ah! voici le moment de la communion. Comment mon époux peut-il ne pas rougir en acceptant l'ostie des mains du prêtre? Je ne suis pas sûre que son âme sera sauvée vu ce qu'il me fait subir. Non je ne dois pas penser cela . J'aime cette soumission que je vis avec ce si bel homme puissant et noble. Cet amour qu'il me porte est sincère et me donne grande satisfaction. Je peux vivre en réel tous ces rêves sulfureux que les coups de badine de Dame Gertrude m'ont appris à aimer. Mon cerveau s'arrête enfin et je retourne à cet état primitif, animal même durant lequel mon corps toujours affamé de sensations exulte de jouissance. Il croit m'humilier en me traitant comme une chienne mais c'est un état de béatitude totale auquel j'aspire en permanence.
Nous allons sortir dignement. Je ne dois pas oublier de saluer les amis de mon maître et ces péronnelles qui les accompagnent. Non ce n'est pas bien de penser ainsi. Heureusement que mes pensées ne se voient pas, sinon je serais très fort punie, même si certaines ne verraient pas un cheval dans un troupeau de vaches. On ne le leur demande pas d'ailleurs.
Un sourire étire la bouche de Dame Blanche à la sortie de la chapelle. Sa main dans celle de son seigneur et maître elle se dirige vers la calèche ducale tirée par quatre beaux chevaux à la robe brune. Un vallet maintient la porte ouvert, Dame Blanche monte dignement, et Babette se faufile à ses pieds. Monsieur le duc lui sourit et monte sur son alezan qu'un de ses compagnons lui présente avec déférence.
La calèche démarre lentement puis accélère un peu une fois les grilles du parc franchies. Babette s'est glissée sous les jupons de la duchesse. Ses doigts fébriles dénouent les lacets qui maintiennent les deux jupons à la robe. D'une main agile elle dévêt Dame Blanche. Celle-ci se retrouve en calicot blanc à dentelle et ses cheveux dénoués remplacent joliment le grand châle rouge qui a glissé sur la banquette. Un frisson de froid la parcourt. Ou est-ce de l'anticipation de ce qui va se passer après le déjeuner? Babette ramasse le châle et le replace sur les épaules dénudées de sa maîtresse. Puis elle reprend sa position à quatre pattes, la tête sur les petits pieds de Dame Blanche, ses genoux vite rougis par le sol rugueux de la calèche. Celle-ci s'arrête brusquement. Les deux femmes surprises se regardent. Le duc ouvre la portière et pose un collier de cuir et une laisse métallique sur la banquette. " Babette tu as oublié ceci! Attends toi à une punition! Et prépare bien ma chienne! " dit-il en souriant d'un air mi-cruel mi-tendre à Dame Blanche. Celle-ci baisse les yeux devant son seigneur mais un petit sourire relève les coins de sa bouche parfaite et ses lèvres qui savent s'écarter suffisamment pour que le membre de son maître entre jusqu'au fond de sa gorge quand elle se tient à genoux devant lui s'étirent. Elle craint de s'étouffer à chaque fois. Mais monsieur le duc maitrise parfaitement la situation comme toujours et le plaisir, tant donné que reçu, est très intense pour le couple. Les yeux dans les yeux, elle à ses pieds et lui si droit, sa domination avérée procure frissons et jouissance à son esclave consentante. S'il tire sur sa tignasse décoiffée en appuyant sur le front tendu vers lui, la jeune duchesse Blanche ne sait plus où elle est tant le plaisir ressenti est intense, ses gémissements étouffés et ses yeux brillant de larmes contenues montrent au duc sa force et sa puissance et celui-ci apprécie ce grand pouvoir à lui accordé.
Babette ramasse le collier et s'empresse de le disposer sur le long cou gracile de sa maîtresse qui soulève un peu sa chevelure pour lui faciliter la tâche.
Babette se glisse sous le jupon blanc de fine toile brodée et écarte brutalement les cuisses de Blanche qui pousse un petit cri de surprise. "Allons Madame, vous avez le collier! Je sais ce que je dois faire. "Babette relève le jupon et expose ainsi le bas-ventre de Blanche à l'air. Les cuisses fortement écartées ouvrent la chatte de Blanche. Son clitoris se dresse et ses lèvres tremblent un peu au rythme des cahots du chemin empierré qui traverse la forêt et conduit à l'auberge de Martin. Babette crache sur ce sexe offert et laisse couler de sa bouche un long filet de salive tiède. Puis elle lèche doucement et mordille presqu'avec tendresse cette chair si tendre. Elle tire sur son propre jupon de coton épais et en fourre un morceau dans la bouche de Blanche. Celle-ci le mouille de sa salive abondante car elle connaît l'usage de ce bout de tissu. Il va servir à nettoyer son petit trou arrière et être forcé dedans pour que le maître daigne l'honorer. L'opération est renouvelée encore deux fois avant que le doigt enfoncé ne ressorte propre. Puis Babette monte sur la banquette et, à quatre pattes sur les genoux de Blanche , présente ses fesses. Elle sait qu'elle doit être punie et compte sur l'indulgence de la duchesse qui est moins sévère que son époux. La duchesse fesse sa croupe de plus en plus fort afin que sa rougeur prouve la réalité de la punition. Les doigts de l'esclave glissent sous le jupon et s'introduisent en douceur dans la chatte trempée de la soumise. C'est ainsi que le duc les trouve lorsque la calèche stoppe devant l'auberge. Son visage sévère et digne ne trahit aucun sentiment mais ses yeux brillent et les rides au coin des paupières s'étirent un peu, signe révélateur de sa satisfaction que peu de personnes savent décoder. Dame Blanche a les yeux baissés mais elle a surpris ce petit signal et un sourire heureux trahit son bonheur d'avoir déjà donné satisfaction à son seigneur.
Elle repousse Babette et présente la laisse au Duc. D'un mouvement souple elle descend de la calèche et se positionne la tête sur les bottes de son maître, les jambes et les bras repliés, blottie le plus possible au sol, seule sa brassiere fine l'habille. Le duc satisfait tire le bras de son esclave et la jette au sol sans trop de rudesse. Le jupon retroussé, la croupe est offerte. Il claque des doigts et le vallet approche. "Tu peux t'amuser avec elle mais n'oublie pas qu'elle m'appartient. Et nourris la convenablement. " Le domestique saisit la tresse de Babette et la tire jusqu'à l'écurie.
Blanche sent la botte seigneuriale appuyer sur son dos. Elle retient un gémissement de plaisir à se sentir ainsi traitée. Son dos se cambre et se baisse, ses cuisses s'écartent encore et son sexe humide s'offre à la vue de tous. Les amis du duc le complimentent de son obéissance mais personne ne se permet le moindre geste familier. D'une simple traction il dirige sa chienne consentante vers la porte de l'auberge. Les pavés de la cour sont douloureux aussi avance-t-il avec lenteur et noblesse pour qu'elle n'écorche pas sa peau si tendre. La porte franchie, le duc va s'asseoir à la table dressée et déjà servie. Il confie la laisse à Martin l'aubergiste qui a préparé une jolie gamelle en aulne, bois noble et de robe claire seul digne d'être léché par la petite duchesse. Il ne comprend pas très bien le comportement animal de celle-ci, mais il sait reconnaitre le rayonnement de bonheur qui émane de son visage lorsqu'elle admire son époux. Il la voit savourer avec volupté le moindre petit morceau d'aliments qu'elle a saisi avec ses dents dans la belle écuelle qu'il lui réserve tous les dimanches. Son attitude de chienne obéissante le choquait au début : "Une si jolie petite demoiselle ainsi réduite à ce rôle, devant Marie mère de notre seigneur, comment cela est-il possible? " mais il a senti le consentement réel, l'adhésion totale de la jeune femme et cela lui suffit. Le duc est juste, loyal envers ses administrés, il sait les récompenser de leur fidélité et Martin est heureux d'être celui qui abrite ses amusements dominicaux.
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L'avion perso de Billy survole l’Himalaya désert. Sous les ailes argentées de son super jet d'affaires privé, c'est un océan de cimes enneigées qui défile. Des milliards d'humains sont confinés pour soit disant les protéger d'un mal étrange. La nature reprend ses droits. Ce sera bientôt le domaine réservé des survivants de l'apocalypse. Les confinés sont eux en phase d'extermination douce. Ils ne le savent pas. Bientôt ils vont être marqués du signe de la bête, une puce liquide à l'intérieur d'un vaccin obligatoire pour les protéger. Une fois pucés et traçables, ...bah ils ne sentiront rien et ne s'en rendront même pas compte.
Billy savoure. C'est beau la vie, c'est beau ce monde qui retrouve toute sa splendeur. C'est lui qui a eu l'idée et il a presque tout fait seul avec son cerveau. Ah combien les humains sont bêtes et prêts à gober les mensonges.
Il boit un bourbon et admire les montagnes majestueuses. Il faudra qu'il vienne s'installer par là, une fois la dépopulation achevée. Amanda, s'est glissée à quatre pattes et commence à lui sucer la bite. Une jeune femme d'une beauté et d'une intelligence exceptionnelle. Amanda a bien compris que pour survivre elle devait obéir en tout et pour tout à son seigneur et maitre, Billy, l'homme au regard froid de serpent.
Et Amanda ne fait pas que lui sucer la bite, elle fait tout ce que demande Billy, vraiment tout. Et ce serpent à sonnettes en a des fantasmes dans son cerveau malade. Pourvu qu'elle ne donne pas naissance à des lézards. Des fois elle se demande si Billy n'est pas un alien. On dirait qu'il lit toutes ses pensées. Il prend même plus de plaisir à lui trifouiller le cerveau que la chatte.
Le serpent froid vient de gicler son sperme dans sa bouche. Amanda avale et finit d'astiquer le membre de son Maitre. Puis en bonne chienne elle se couche à ses pieds.
Le jet survole les hauts plateaux du Tibet. Il glisse dans l'air glacé au dessus des pics enneigés. Billy est heureux. La terre est vraiment à ses pieds.
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PS: c'est mon article 74, il est donc marqué du signe de la bête...9 fois 74 égale 666....Rires
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Un week-end tout en douceur
En ce samedi matin pluvieux, il est temps de jouer un peu avec ma soumise, me souvenant du retard que j’ai pris sur quelques punitions. Comme une bonne soumise, elle monte se préparer. Elle doit être parfaite. Obéissante, mon petit fourreau à bite porte son collier auquel j’accrocherai sa laisse. Un corset en cuir couvre son ventre et son dos mais ne cache aucunement ses seins. Ses bracelets de contraintes sont déjà sur ses chevilles et ses poignets. Je lui demande poliment et fermement de se mettre en position d’inspection. Debout, les jambes tendues mais écartées, les mains derrière la tête. Je tourne autour d’elle, elle m’est complètement offerte. Mes mains la caressent de temps en temps. Je pince légèrement le bout de ses seins. Elle garde bien ses mains derrière la tête, le regard parfois inquiet, parfois trahissant son désir d’obéissance et son excitation. J’obstrue sa vue d’un masque rouge. « Allez, mets-toi en position offerte » sur un ton ferme et autoritaire. Elle s’agenouille sur le sol et ses bras se tendent loin devant elle, le front posé sur le sol. Je prends le temps de la regarder, l’attente est aussi un doux châtiment. Je lui demande d’écarter un peu plus les cuisses pour que je puisse voir sa vulve et son cul… ou plutôt ma vulve et mon cul, devrais-je dire ! Le temps s’écoule pendant que je sors lentement des accessoires de la valise dédiée. Elle entend les bruits, les craquements, le son des douceurs et des douleurs que je sors lentement avant de les poser sur la table. Elle ne bouge pas d’un pouce, concentrée sur sa condition de femme offerte.
Je saisis ma cravache que je laisse traîner sur son dos, quelques coups partent en direction de ses fesses mais tout en douceur. Je chauffe un peu ses fesses en martelant doucement ce cul pour la préparer à recevoir sa punition. Je sens son excitation augmenter. Ma petite putain est prête ! j’intervertis ma cravache par un martinet avec lequel je fouette un peu ses fesses. Puis mon bras prend un peu plus d’élan et j’entends le son des lanières de cuir heurter ce cul. Elle a oublié de compter, ce sera donc un coup pour rien. Mon excitation perverse monte dans ma verge tandis que je l’entends compter chaque punition, m’en remerciant par un « merci Maître » à chacun des coups. Tandis que la douleur monte un peu plus à chaque fois, le ton de sa voix change, monte d’un cran et le « merci » se raccourcit en se perdant dans la douleur. Son cul est marqué de ce rouge qui est l’apanage des femmes bien éduquées.
Je m’assois sur le canapé. Elle est encore dans la même position, mes pieds entourent sa tête toujours posée sur le sol. Je la rassure en lui murmurant qu’elle a été une bonne petite chienne. Mes mains caressent également ses cheveux coiffés d’un chignon. Je vois et admire sa nuque que je trouve réellement magnifique. Le tintement du métal contre métal résonne à ses oreilles quand je lui fixe sa laisse. Je la caresse encore tel que je le ferai avec un chien.
Je prends le temps de penser un peu, m’apercevant qu’en très peu de séances et à mon grand étonnement, elle apprécie ou supporte de mieux en mieux la douleur. Le mot magique convenu entre nous pour arrêter l’action en cours, ne sort plus du tout de sa bouche.
Sous mes ordres, elle tient la position qu’on appelle « Tenir » et qui s’avère éreintante pour les cuisses. Cette position est certainement l’une de mes favorites. Accroupie, sur la pointe des pieds, bras derrière la tête, je claque des doigts. Elle s’exécute comprenant que ce son lui intime l’ordre d’ouvrir la bouche et de tirer la langue. Je me lève, elle entend le zip de ma braguette descendre. Je sors ma queue, la place dans sa bouche béante, tout en plaçant mes mains derrière sa nuque. Je commence doucement à pénétrer sa bouche, lui intimant l’ordre de lécher mon gland. Puis je l’enfonce entièrement jusqu’à entendre ce râle qui indique que je suis au fond de sa gorge. Je ressors pour mieux recommencer. Elle a gardé précieusement la position.
Lorsque je lui demande de se relever, je lis des tremblements musculaires involontaires sur ses cuisses. La position est rude quand elle est tenue un long moment.
Elle est debout, face à moi, les jambes écartées et les bras derrière la nuque. Je tire sur ses lèvres, les écarte, elle suinte de bonheur. Mes doigts pincent ses tétons, les tirant vers moi, puis de haut en bas. Je fixe sur ses tendres excroissances mammaires, ces tasses qui en tournant une vis, les aspirent et les font grossir, jusqu’à entendre de légers cris de douleurs sortir de la bouche de mon élève. Je me saisis de 2 pinces reliées par 2 élastiques à un seau, j’accroche ces pinces à ses lèvres que je vois se tendre vers le sol. Je pose dans le seau quelques éléments avant de le faire se balancer d’avant en arrière. Elle pince ses lèvres entre ses dents. Ses tétons sont tendus et la douleur a disparu et il est temps de les aspirer de nouveau, tant et si bien que je les vois toucher la paroi transparente de ces objets de torture.
Sublime, j’en fais le tour et ma main claque ses fesses rouges à plusieurs reprises faisant se balancer le seau, accentuant l’étirement sur ses lèvres. Je tourne toujours et mes doigts s’introduisent à mon bon vouloir dans le vagin, le cul et la bouche de ma petite chienne qui se régale de les laver. Ma petite soumise adore les odeurs, elle est très sensible aux phéromones.
J’inverse finalement les pinces que je vais clipser sur ses tétons qui ont triplé de volume. Ils sont devenus hypersensibles. Le seau pend maintenant et caresse son ventre. Je lui donne l’ordre de se remettre en position « Offerte » qu’elle prend immédiatement mais sans trop d’empressement. Le seau touche le sol et je lui demande de se poser sur ses mains pour qu’il puisse se balancer librement et voir ses seins attirés par la gravité. Je n’oublie pas de lui parler et chaque parole irrespectueuse lui procure un plaisir immense. Je finis souvent par une question à laquelle elle n’oublie jamais de répondre et de finir pas un « oui Maître » de respect qui m’indique que sa volonté est respectée.
Je tapote fermement sa chatte pour faire monter le sang avant de sortir de l’huile de pépin de raisin que j’ai pris soin de faire chauffer. La bouteille prend de la hauteur avant de laisser couler ce liquide chaud presque brûlant entre ses fesses ce qui lui extirpe quelques cris. Mes mains glissent sur son cul et sa chatte, j’adore la sensation que l’huile procure à mes caresses. Ma petite chienne est d’ouverture facile, ses orifices se dilatent rapidement, en quelques instants, ma main pénètre complètement son vagin. Une fois à l’intérieur, mon poing se ferme et je tourne lentement ou énergiquement en fonction de ses râles de bonheur. A chaque mouvement, je la sens apprécier cette main qui lui caresse les organes internes.Ma main ressort, blanchie. Elle se tait. Elle attend. Je prends la cravache pour finir mes punitions. Elle frappe de plus en plus rapidement et fortement sa croupe. Le dernier « merci Maître » sort en même temps que le son de douleur ce qui donne de charmantes vibrations à sa voix.
Je me place derrière elle, place mon sexe à l’entrée de son anus. Je m’y enfonce aisément, prenant plaisir à défoncer ce joli cul pour l’instant un peu étroit. Je ressors et la félicite pour son cul toujours bien propre.
Je m’assois tranquillement sur le canapé caressant sa vulve avec mon pied, le rentrant dans son vagin. Elle ne bouge pas et me laisse exécuter mes fantaisies. Quel pied de posséder ma belle petite putain ! je prends le temps de quelques caresses sur son dos et ses fesses pour la remercier d’être bien obéissante. Puis ma main comme souvent se dirige vers son cul que je dilate petit à petit. Un doigt, puis deux, trois et enfin quatre enfoncés jusqu’à la garde que représente le creux de mon pouce. De plaisir, elle gémit, jure, apprécie de sentir ma main s’enfoncer en va-et-vient rapides. Elle jouit parfois ainsi mais ce n’est pas encore le moment que j’ai choisi.
La position d’exposition est prise sous mon ordre. Genoux au sol, mains derrière la tête, l’allure fière, je lui demande de se caresser d’une main tandis que l’autre gardera la position. J’enlève son masque qui la rendait aveugle aux supplices. Je lui murmure que je vais bientôt la recouvrir de mon urine et je pars chercher quelques serviettes pour ne pas souiller le tapis. Quand je reviens, elle se caresse toujours, se donnant du plaisir tout en sachant qu’elle n’a pas le droit de jouir sans ma permission. Je place mon sexe au niveau de sa gorge et lui demande si elle veut recevoir mon urine. Elle me répond du fameux « oui Maître ». Son regard part en tous sens, cela va complétement à l’encontre de son éducation, de la morale mais je lis dans ses yeux qu’elle en a envie. Son regard est à la fois inquiet et suppliant. Mon jet commence à sortir de ma queue, lui chauffant le torse et le colorant d’un ton jaune. Elle bouge légèrement pour sentir le liquide couler sur ses seins, avant d’atteindre sa main caressante et enfin le sentir passer sur sa chatte, son sexe. Je m’arrête un instant pour lui demander de nettoyer ma queue avec sa langue. Je sens que c’est plus difficile pour elle mais elle me lèche le gland. Je reprends mon jet d’urine sur son corps offert. Elle se laisse aller à apprécier la chaleur et je lui laisse sans lui dire la liberté de choisir l’endroit où s’écoulera mon urine. Je la regarde, bougeant comme si elle prenait une douche, choisissant le chemin à emprunter.
Elle est sous excitation depuis plus de 2 heures et je décide de lui donner l’autorisation de se libérer par sa propre masturbation. Elle me dit « c’est vrai Maître ? j’ai le droit de jouir ? ». Je lui réponds affirmativement. Je me place derrière elle, assis. Elle se caresse dans la même position, le corps souillé, de plus en plus vite. Mes pieds se perdent sur ses reins, l’arrière de ses cuisses et je lui murmure qu’elle est une belle chienne, qu’elle est prête à être bien obéissante et que bientôt je l’emmènerai pour l’offrir à d ’autres hommes, peut-être confier la laisse qui lui passe entre les fesses, à un autre dominateur. Enfin sa libération arrive, elle crie, elle jouit longuement. La délivrance est belle comme un déchirement, les sons qui sortent sont puissants et je suis de mon regard, les tressautements musculaires de son bassin. Elle est belle ainsi, belle comme une fleur de printemps qui vient d’éclore.
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Je sens un frisson à mon réveil...comme une légère bise qui vient caresser mes jambes. Je passe ma main sur mon pantalon qui a dû descendre un peu...mais sens sous mes doigt la douceur d'une étoffe gaufrée. Mon esprit s'éveille d'un coup. Hier soir Maîtresse m'a interdit le pyjama et m'ordonna de garder pour la nuit la robe qu'elle m'avait fait porter toute la soirée... Le souvenir de cette nuit magique pendant laquelle son joujou, c'est ainsi qu'elle a nommé mon attribut masculin, était en liberté, navigait à droite, à gauche au gré de mes mouvements liés à cette situation particulière, cet inconfort inhabituel. Cette absence d'enfermement qui rassure à laisser place au vide, à l'inconnu des grands espaces... Ce sentiment de dormir au féminin. Quel plaisir d'offrir mon obéissance à ma Maîtresse d'amour, qui loin de moi, me contrôle pour obtenir le meilleur de son esclave. Le mot est dit :je suis son esclave sexuel. Je lui appartiens corps et âme. Je suis fier. Je suis sa propriété, je suis son bien, son objet du plaisir. Chaque ordre qu'elle me donne génère un plaisir qui m'envahit, d'un coup, dans une autre dimension. Obéir sans réserve est une douce chose que m'offre la vie de couplé. Si tu parviens jusqu'ici, saches que je t'aime Maîtresse d'amour. Je te suis soumis pour l'éternité pour ton bonheur exclusif..
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Putains de féministes de merde, c'est ce que pense Jacob, mais en fait il devrait dire merci. Grâce à ces connes, il se tape les plus belles femmes du coin. L'a vite compris le Jacob, un fut fut, que les femelles étaient devenues en gros manque de bonne baise avec leur manie à vouloir castrer les hommes, à les saigner et les laisser exsangues. Alors il en a fait son job. Enculeur de femelles en manque et il a un succès fou. Mais chut...il n'a pas trop besoin de pub.
Il a posé un vieux camping-car bien retapé, tout confort, très clean à l'intérieur, sur un bout de rue très calme, sous de grands arbres, il a sorti sa table pliante, son pastis bien frais, sa chaise, ses glaçons et il a attendu qu'elles se pointent. C'est curieux les femelles. Il n'a pas attendu longtemps. Elles sont venues avec petit toutou en laisse, mine de rien, histoire de le promener et de regarder ailleurs. Jacob leur a juste fait un sourire bien canaille et elles sont venues causer. Et Jacob les a toutes enculées dans son camping car tout mignon à l'intérieur. Jamais de préliminaires, de bonnes saillies à sec, bien profond dans les reins, pour leur donner les frissons du viol. Quelques bonnes tapes sur le cul pour faire circuler le sang, elles adorent.
Avec Jacob, l'orgasme est garanti. Pas contre, pas de chichis, de blas blas. Jacob n'embrasse pas, ne se fait pas sucer, ne pistonne pas les minous. Non, lui c'est fessée érotique et sodomie et qu'avec des femelles. Et ilse lave au savon de marseille avant et après. Par contre il n'utilise pas de préservatif. Il donne généreusement son sperme aux femelles qui en ont bien besoin par ces temps de pénuries. Cela doit leur faire beaucoup de bien car ce sont des fidèles.
Devant son succès, il s'est déclaré autoentrepreneur en soins ambulants aux personnes fragiles, tout un programme. C'est vrai que les femelles, surtout les féministes, sont bien fragiles de la tête. Avant Jacob, les meufs en manque devaient partir se faire troncher en Afrique. A présent les devises restent dans le pays d'origine. Les femelles doivent payer mais le tarif est libre. Il a mit une boite en fer avec une fente dessus pour glisser les biftons. D'après Jacob ce n'est pas de la prostitution de la sorte puisqu'il ne reçoit pas d'argent de la main à la main. Les femelles sont généreuses avec ceux qui les baisent bien, c'est pas un souci. De toute façon, Jacob vire les pingres en tout.
Des maris cocus l'ont bien dénoncé aux flics, mais comme la commissaire et la juge se font troncher par Jacob régulièrement, ce sont les cocus qui ont été emmerdés. Encore des crétins qui n'ont pas compris que ce sont les femmes qui ont les droits. Dans la vie courante, ce sont les hommes qui se font mettre profond par les femmes. On comprend mieux les envies secrètes de ces dernières.
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"Elle ne vit jamais les hommes qui entraient, parce qu'un valet entrait chaque fois avant eux
pour lui bander les yeux, et détachaient le bandeau seulement quand ils étaient partis. Elle
perdit aussi leur compte, et ses douces mains ni ses lèvres caressant à l'aveugle ne surent
jamais reconnaître qui elles touchaient. Parfois ils étaient plusieurs, et le plus souvent seuls,
mais chaque fois, avant qu'on s'approchât d'elle, elle était mise à genoux et fouettée."
Histoire d'O
Douleur et plaisir sont des sensations. Elles s'incarnent et permettent très tôt dans l'enfance de donner un espace
au corps. Celui-ci se construit comme espace sensible traversé de perceptions tantôt déplaisantes, tantôt plaisantes.
Le corps est initialement délimité par ces expériences. Le plaisir est tiré de la satisfaction des besoins tandis que le
déplaisir provient de leur frustration. Au départ, le plaisir est lié à la survie tandis que le déplaisir indique une situation
de danger vital. Il précède une possible disparition du sujet. Il se rattache donc à la mort. Plaisir et déplaisir sont donc
respectivement articulés autour des notions de pulsions de vie et pulsions de mort. L'analyste décrit ainsi cette dualité.
On considère habituellement le masochisme comme étant le fait de trouver du plaisir dans la souffrance, qu'elle soit
physique ou morale. Ce n'est pas exactement cela, car le plaisir provient aussi des conséquences de la douleur, après
la douleur ressentie. Le masochiste, lorsque son corps ou son âme est agressé, il souffre, il a mal, ce qui à l'instar
de chacun génère une excitation psychique. De cette excitation, il trouvera dans certaines conditions sa jouissance.
Le terme masochisme fut élaboré par le psychiatre austro-hongrois Richard Freiherr von Krafft-Ebing (1840 - 1902)
à partir du nom de Leopold Ritter von Sacher-Masoch (1836 - 1895) qui décrivit ses fantasmes désormais masochistes
dans un roman intitulé "La Vénus à la fourrure". D'ailleurs, Sacher-Masoch ne fut pas très heureux de cet honneur que
lui fit Krafft-Ebing de désigner à partir de son nom ce que l'on considèrerait dorénavant comme une perversion sexuelle.
Ne percevons-nous pas derrière l'appellation masochiste un jugement de valeur, une connotation morale qui, comme
l'homosexualité, se voit qualifiée de perversion, alors qu'il s'agit de trouver son plaisir différemment du commun. La
question est par conséquent de savoir s'il y a du mal à se faire du bien en se faisant mal ? Cela étant, comme dans le
roman de Sacher-Masoch, cette question n'a d'intérêt que dans le cadre d'un masochisme sexuel assumé, ce qui est
bien loin d'être toujours le cas, tant sur le versant sexuel qu'assumé, notamment pour ce qui est du masochisme moral.
Le sadisme, terme développé à partir du nom du Marquis de Sade consiste, pour une personne, à infliger des souffrances
à l’objet de son désir en vue d’accéder au plaisir. Le masochisme à l’inverse, consiste à recevoir, et à avoir besoin, de cette
souffrance pour atteindre ce même plaisir. Les partenaires vont donc établir une relation de dominant/dominé, où la mise en
œuvre de violences verbales, de sévices corporels va leur procurer une satisfaction intense pour le plaisir intense des deux.
Mais dans cette pratique longtemps considérée comme déviante et répréhensible, il faut faire une distinction entre violence
et agressivité. La violence est une pression que l’on exerce sur l’autre, une contrainte. Elle blesse et détruit. La violence
n’entraîne pas d’excitation, parce qu’elle nie l’existence de l’autre, elle ne lui accorde pas de liberté. Mais les personnes
adeptes de pratiques sadomasochistes encadrent, balisent, contrôlent leur violence qui, finalement, se résume à une
agressivité consentie. De nos jours, le sadomasochisme, longtemps condamné par la société, est beaucoup mieux toléré.
La médecine porte toujours au contraire un regard plutôt méfiant sur ce type de comportement, estimant que le sadisme
relève d’une pathologie psychiatrique sévère; toutefois, le risque de rencontrer un réel sadique est rare, car les règles du
jeu doivent être au départ définies par les partenaires. Il s’agit plus d’un comportement dominateur temporaire consenti,
que d’un réel penchant pervers qui n’aurait pas de limites. Des limites doivent être fixées pour éviter les dérapages.
Certaines pratiques sont dangereuses, car qui dit violence, dit blessures. Les partenaires auront donc établi un code
(safeword) qui, lorsque utilisé par la personne qui se soumet, commande l’arrêt immédiat, sans discussion de l’action en
cours. La sécurité est ici une condition non négociable, de la même manière qu’il faut bien mesurer l’impact de ces
pratiques sur l’équilibre psychologique de chacun, en particulier sur celui de la dominée ou de la soumise.
Dans les pays européens, le sadomasochisme n’est pas interdit par la loi tant qu’il se pratique entre deux adultes
consentants. Et c’est là que se situe la limite. Même si le sadomasochisme repose sur une relation dominant/dominé,
les sévices ne peuvent être infligés à l’autre sans son consentement. Sinon il s’agirait d’une agression caractérisée,
et la victime serait ainsi en droit de porter plainte pour atteinte à son intégrité physique et/ou agression sexuelle.
Les violences et humiliations que les partenaires s’autorisent ne sont pas indissociables du lien affectif qui les unit.
Au contraire. Les rituels sadomasochistes reposent d'abord sur la confiance mutuelle de chacun envers l’autre, c’est
pourquoi le sadomasochisme se pratique le plus souvent dans le cadre d’une relation de couple stable. S’adonner au
sadomasochisme se décide à deux, et comme tout comportement sexuel, il n’est pas indépendant des sentiments qui
existent entre les deux personnes. La dimension affective ou amoureuse est essentielle. Se retrouver sans préparation
dans l’une ou l’autre des situations peut conduire à un échec voire au pire à un traumatisme; le dialogue est nécessaire.
Le plaisir lorsqu'il survient recouvre la sensation désagréable précédente; c'est l'expérience d'une tension déplaisante qui
indique quel est le besoin à satisfaire (la faim, la soif,..). Leur résolution procure du plaisir. L'expérience désagréable est
donc nécessaire à l'avènement du plaisir. Il est donc possible d'érotiser la douleur en prévision du plaisir qui viendra lors
de son apaisement. De plus, le sentiment d'indignité dans le masochisme rend possible l'émergence d'un partenaire qui
viendra le contredire. Le masochiste appelle donc un objet qui, en l'avalisant dans cette position, lui permet de prendre du
plaisir; c'est le masochiste qui crée le sadique; en attirant sur lui ses foudres, le masochiste est en situation d'être porté
et secouru; ce secours peut prendre la forme d'une punition. L'autre, même s'il punit, répond à une tension à contrôler.
Lors des actions SM, nous percevons un passage à l'acte sexuel des tendances psychiques. La sexualité confronte à des
représentations du corps qui touchent aux couples propre/sale, bien/mal; certaines parties du corps sont ainsi honteuses et
attirantes (sexe, anus, …); toutes pratiques sexuelles oscillent alors entre attirance et dégoût, douleur et plaisir. Dans le SM,
cette alternance devient l'objet visé par la pulsion. La mise en œuvre sexuelle du masochisme réalise le fonctionnement
psychique inconscient. Cette tendance est universelle. Posséder la douleur, c'est s'autoriser à la transformer, à la renverser
en jouissance. Me concernant, de nature profondément masochiste, la douleur me grise et me plonge dans un état second.
Le sadisme a une connotation négative dans nos sociétés. Il réfère à un acte délictueux, là où le masochisme correspond
à une position de victime; hors des situations pénalement condamnables, le couple sadomasochiste est pourtant solidaire.
Le sadique est convoqué par le masochiste qui détient le pouvoir. Il est maître de l'acte; c'est lui ou elle qui fixe le début et
la fin des hostilités; le sadique n'est alors qu'un outil du masochiste. Il se plie au besoin de soumission et le rend possible.
Les rapports fondés sur le pouvoir voire la violence sont courants dans la vie quotidienne; nous les retrouvons dans de
nombreux systèmes hiérarchisés (entreprise, famille, …). Certains individus y sont dominés tandis que d'autres y sont
dominants. La position adoptée dépend de la structure névrotique des êtres. Celle-ci est toujours liée au pouvoir,
c'est-à-dire au rapport au phallus: le détenir, l'envier, le vouloir, le perdre, ou de la matrice pour une femme dominatrice.
Le SM n'est donc pas une perversion mais l'expression dans la vie sexuelle de mouvements inconscients ordinaires.
Dans une certaine mesure, en mettant en jeu les désirs les plus profonds, ces pratiques pimentant la sexualité, ne posent
généralement aucun souci puisqu'elles sont fondées sur un profond respect et une écoute soutenue de l'autre.
Le sadomasochisme actualise et réalise de façon positive une part des désirs inconscients informulés des partenaires.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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morsure de ceinture !
Morsure de ceinture vaut douleur et moiteur
Bientôt, je serai punie. Et pendant des heures.
Jambes écartées. Et mains à plat sur le mur.
Reins creusés. Cul relevé. Offerte en pâture.
Fil-de-feriste, entre excitation, inquiétude
Autour de nous, toujours le silence, la quiétude
Brisée par nos souffles, mes gémissements et mes cris
Ma respiration s’altère, ma raison aussi.
Il me bascule sur le lit. Me dit « Cambre-toi ». J’obéis.
« Et présente-moi donc ton petit cul »
Je lui obéis. Encore. Comme à chaque fois.
L’index sur mon anneau, sa queue bat contre mes fesses.
Mes fesses, elles, battent sur son bas-ventre. Il m’ouvre. Il entre.
« Est-ce-que tu me sens, là ? » me chuchote-t-il
« Oui, Monsieur. »
« Et qu’est-ce-que je fais ? » demande-t-il
« Vous m’enculez, Monsieur »
« Comment ? » il m’interrompt
« Comme une chienne. », je réponds.
Plus il m’appuie sur la tête, plus mon cul se donne
Je gémis, supplie. Rien à faire : il me pilonne.
Et ça dure jusqu’à ce : « Est-ce-que je peux jouir ? » Je demande..mal. La claque n’attend pas pour partir.
« Répète.»
« Est-ce-que je peux jouir, s’il-vous-plait, Monsieur ? »
« Vas-y » : avec M, les leçons se prennent au pieu.
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Il n’a même plus besoin de m’en donner l’ordre. Le coussin sur le sol me l’intime à chacune de nos rencontres. C’est devenu un acte de soumission profonde, et capital.
Depuis le début de ces séances, c’est le préliminaire indispensable, sans quoi, je pourrais rester frustrée, déconfite d’avoir été privée du goût de sa queue.
Le sucer, c’est aussi un fantasme qui accompagne mes caresses avant de m’endormir, celui qui s’impose quand je reçois une de ses photos.
J’aime m’activer lentement sur sa hampe pour commencer. Savourer…le temps de le faire durcir. Le prendre en entier tant que je le peux encore car plus il durcit, plus son sexe devient trop gros, trop long pour ma bouche. J’aime le faire bander même si c’est au prix de ma suffocation. Je marque des pauses avant de coulisser plus franchement. Je me focalise pour le sucer comme il le veut. Manquer d’air me rend ivre et de plus en plus avide.
Je m’étrangle souvent. Laisse couler des filets de salive qui défont tout le soin que j’avais pris à me faire jolie. Mon maquillage coule avec mes larmes. C’est humiliant et j’avoue aimer ça, justement. Ça me coûte de mettre à mal mon ego et pourtant j’aime qu'il s’en foute comme si c’était normal ; d’ailleurs ça l’est devenu au fil du temps. Ça participe à son plaisir, donc au mien.
Il est dur et excité maintenant. Il m’attrape par les cheveux et maintient ma tête de façon à le prendre au plus loin de mes capacités. Il me baise la gueule. Je perds le contrôle de ma nuque. Il a le contrôle et je tente de retenir ma nausée. Je m’efforce d’être ce qu'il veut : sa chose, sa poupée, un trou pour son chibre.
Je bave et ressemble à une loque. J’ai le regard perdu. Bave, larmes et morve se confondent sur mon visage. Je lui suis soumise et excitée à mort. Camée, je deviens cette junkie réclamant son shoot : sa queue.
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J'explique à Kristos ce qu'on a fait depuis son départ : poser pour des photos et servir le midi aux Flots bleus. J'ajoute :
— On pourrait poser ensemble, nous aurions du succès....
— On verra.
— Si tu veux viens dormir avec nous au camping, on se serrera.
— Vous êtes venus en stop??
— Non, à vélo. Tu verras, c'est cool d'être à poil.
— D'accord, ça m'amuserait de faire ça... Pour les photos, je ne suis pas sûr.
Il dit au revoir à ses copains. On met le sac de Kristos sur le porte-bagages de Julien. Heureusement qu'on n'a pas trop acheté. On passe par le petit bureau. Il dit à la fille de l'auberge :
— Je ne couche pas ici ce soir
La fille râle un peu mais elle doit être amoureuse de lui, vu qu'elle lui dit :
— Tu reviens, hein, Kriss??
— Je reviens toujours vers toi, ma belle, et je n'oublie pas notre projet.
Quel projet?? Grrr?! Au passage, il prend un vieux coussin et il le fixe sur le porte-bagages du vélo avec un sandow. C'est cool d'être aussi attentionné pour mes fesses. Ça peut vouloir dire qu'il a des projets les concernant. Je m'assieds sur le coussin et je me colle à Kristos. Il est sportif et on va vite... On doit attendre cette moule de Julien. On fait assez rapidement les 6 km qui nous séparent du village naturiste. Arrivés au parking, je dis à Kristos :
— Ici on doit se déshabiller.
Ce n'est pas tout à fait exact, la nudité n'est pas obligatoire, mais j'ai envie qu'ont soit nus, lui et moi, genre Adam et Ève... Et Julien fera le serpent, mais un tout petit, disons un orvet.
On se déshabille... vous voyez Julien physiquement?? Kristos c'est le contraire : grand, baraqué, des poils noirs sur la poitrine, le bas-ventre, les cuisses et un sexe à rendre rêveuse un pensionnat de jeunes filles (de plus de 18 ans, bien sûr). On forme un couple très séduisant : la belle, la bête et puis... le... la souris?!
On met nos vêtements dans le sac de Julien. On remonte sur le vélo, je mouille un peu le coussin qui est sur le porte-bagages. Je me colle à nouveau à Kristos, mes seins nus appuyés contre son large dos. Il me dit :
— Me colle pas, je vais bander?!
— Chouette.
Je veux lui montrer le village. On roule un peu et on gare les vélos en mettant l'antivol. On ne peut pas laisser le sac sur le porte-bagages. Je dis à Julien :
— Tu prends le sac et tu marches 5 pas derrière nous. Compris??
— Oui, Samia.
Kristos éclate de rire. Je lui montre la grand-rue, la plage. Derrière nous, il y a Julien, notre petit âne porte nos bagages. D'accord, le sac est lourd mais il a le spectacle de mes fesses qui se balancent juste devant lui?! C'est mieux que tous les couchers de soleil, non?? On se balade un peu sur la plage, Kristos regarde les filles, comme tous les nouveaux venus. Je ne sais pas si je ne vais pas être jalouse, moi. On achète quelques bières et on les boit en regardant la mer, en ce qui me concerne, les filles en ce qui concerne Kristos. Je voudrais qu'il ne regarde que moi?! Il me demande :
— J'ai la dalle, on va acheter des sandwichs??
— On peut aller dans un petit restaurant où ils font des sardines grillées.
Nous laissons nos vélos, le restaurant est tout près.
On mange, on boit, l'ambiance est sympa. On discute avec le patron. Vers 11 h, je paye. Kristos attend un mandat, il me remboursera.
On va au camping en vélo, mes seins sur le large dos de Kristos. Notre tente est du genre ringard, mais comme il "fait la route", ça ne le dérange pas.. Il s'occupe enfin de moi... Il me couche sur le dos pour me faire un cunni, c'est une grande preuve d'intérêt, car les hommes qui habitent autour de la Méditerranée ne font pas ça souvent. Il me lèche habilement, tandis que je caresse son dos de mon talon gauche... Il fait ça beaucoup mieux que Julien. J'ai l'impression de me faire lécher par un caméléon tellement sa langue est longue et s'immisce dans tous les recoins de ma... vulve. Un mot pas très classe, mais tellement excitant.
Quand il arrête de flirter du bout de la langue avec tous les recoins de ma chatte, il la fait tourner autour de mon clito. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps... Quelques minutes plus tard, je grimpe aux rideaux de la tente... Je vais finir par avoir la peau de ces putains de rideaux?! Heureusement que c'est une image. C'est bon?! Il est beau, il lèche bien et il est à moi. J'ai un amant et un esclave. Je lui demande :
— Tu veux que je te suce??
— Non, mets-toi sur le côté, j'ai envie de bien sentir tes fesses.
C'est gentil aussi, ça... Je me couche et il se met derrière moi... Plus besoin de préliminaires, ma chatte est devenue préhensile, elle attrape son sexe et l'enfonce en elle?! Il me remplit... de bite et de plaisir, je lève une de mes jambes en disant :
— Julien?!
Aussitôt, il vient coller sa bouche à ma chatte et au sexe de Kristos qui va et vient en elle. Je l'ai bien dressé. J'aime le savoir là, en dessous, la bouche collé à nos sexes. J'ai joui il y a seulement quelques minutes mais je suis de nouveau super excitée par ce sexe en moi et cette langue qui me lèche.
Kristos sait se retenir... longtemps. Il me fait jouir à nouveau, avant d'inonder ma vulve (excitant, non??) de son foutre (ça aussi?!)... Ensuite il reste en moi... et on s'endort, avec Julien à nos pieds.
***
Le lendemain, quand on se réveille, je montre à Kristos le cérémonial du matin. Julien embrasse et lèche ma chatte qui est à peine réveillée et toute collante de nos ébats de la veille. Ça excite Kristos et son sexe remplace rapidement la langue de Julien. C'est un "quickie" comme on dit à Buckingham Palace, une petite baise express, mais ça fait un bien fou pour commencer la journée.
On se douche et on va déjeuner. Ensuite nous partons aux Flots bleus. Je suis sûre qu'on demandera à Kristos de poser avec moi. On entre dans le bar. Je dis bonjour à Madame Simone et à Kriss. Je leur présente Kristos en disant :
— Il serait d'accord de poser avec moi.
Il me répond aussitôt :
— Ah non, sorry petite, j'ai réfléchi et comme je fais des études en histoire de l'Art à Barcelone, je ne veux pas poser nu.
Merde?! Histoire de l'art comme Kriss?! C'est quoi, cette connerie?? Kristos le routard, un étudiant??
Et, bien sûr, Kriss lui dit :
— Moi aussi, je fais Histoire de l'art, mais à Aix en Provence.
Ils commencent aussitôt à parler études, universités, Barcelone et ah, Gaudy et oh, la Sagrada Familia. Et ça dure... Madame Simone finit par me dire :
— Il est l'heure, va dresser les tables, Samia.
— Oui, Madame (grrrr?!)
Je me tourne vers Kristos et lui dis :
— Si tu as envie de faire un tour sur la plage, je finis à 2 h 30 '
Madame Simone intervient :
— Non, tu as des photos en début d'après-midi.
— Mais Madame, je voulais rester avec lui...
J'en ai les larmes aux yeux?! Madame Simone poursuit :
— C'est bien payé... et j'ai dit que tu le ferais.
C'est aussi l'avis de Kristos :
— Bien sûr, fais-le. Tu pourras m'aider en attendant mon mandat.
Mouais... Madame Simone clôt la conversation en disant :
— Allez, au travail, Samia?!
Je vais aider Anaïs et Julien qui ont déjà commencé. Madame Simone et Kriss continuent de discuter avec Kristos. Je les entends rire tous les trois, ça me fait râler. Et ce n'est pas fini. Vers midi, les premiers clients arrivent et je vois que Kriss fait asseoir Kristos dans la partie de la terrasse où Anaïs fait le service. Je vais lui dire :
— Tu ne voulais pas te balader sur la plage??
— Ta patronne m'a proposé de manger ici. Elle est vraiment sympa. Sa fille aussi, d'ailleurs.
Justement, cette salope fonce sur moi en disant bien haut :
— On ne te paye pas pour discuter.
Je lui arracherais bien une oreille avec les dents?! Je fais comme si tout ça était normal, mais intérieurement, je suis enragée... Je me concentre sur mon service. C'est interminable, ce midi et ça n'arrête pas, je cours plus que jamais pour servir ma moitié de terrasse. D'autant plus que Madame Simone a dit qu'elle avait besoin de Julien en cuisine. Le coup de grâce, c'est quand Kriss va s'asseoir en face de Kristos.
Enfin, il est 2 h 30. Kriss fait la caisse. Elle partage les pourboires. Madame Simone me fait un petit plan pour trouver le photographe. C'est dans la plus belle partie du village. J'appelle Julien, mais Madame Simone me dit :
— Il veut une fille seule. Julien peut rester ici, il me donnera un coup de main. Le client te veut à 3 h.
Bon... J'aurai toute la soirée avec Kristos. Il discute toujours avec Kriss. Je vais lui dire :
— Je serai de retour à 6 h, on ira manger, je connais...
— D'accord, bonnes photos.
Je veux l'embrasser mais il a repris sa discussion avec Kriss. Ce n'est pas mon jour. Seule chose positive, Julien me regarde d'un air suppliant, il veut rester avec sa maîtresse. Je vais lui dire :
— Je reviens à 6 h. Tu obéis à Madame Simone.
— Oui, Samia...
Voilà un homme comme je les aime. Non, ce n'est pas vrai, c'est Kristos, mon genre d'homme, bien sûr. Je prends mon vélo... Cet après-midi, la magie n'opère pas : ma chatte reste presque sèche sur la selle. Je vais montrer mon cul à un connard alors que j'espérais passer une après-midi en amoureux avec Kristos. Et Julien pour tenir la chandelle.
Le monde ne s'arrête pas de tourner parce que je ne serai dans ses bras que ce soir. Je me ressaisis et je termine le trajet en gigotant un peu sur mon vélo. Ça marche enfin : ma chatte me remercie silencieusement...
La villa est belle, le mec sympa, je dois me déshabiller... mais non, j'arrive toute nue. Un vicieux me demanderait de m'habiller. Je fais les photos qu'il veut, je me caresse même la chatte mais avec distinction, genre le petit doigt levé, toujours comme à Buckingham Palace, là où on fait des "quickie". Je joue avec son chien, un grand clebs jaune de marque indéterminée.
Il est très affectueux et il a une longue langue légèrement râpeuse. L'appareil crépite... Au début, j'ai Kristos en tête, mais rapidement la chienne en moi prend le dessus?!
À la fin de la séance tout le monde est content, moi qui ai reçu 1000 francs?! Le photographe qui a des super clichés et le chien jaune qui a l'impression de m'avoir fait plein de petits chiots. Mais ça s'peut pas, bien sûr... Enfin, j'espère.
Il m'embrasse, c'est mignon et... troublant...
Je repars vers les Flots bleus... Je colle à la selle, oui, à cause du chien jaune. Je vais vers la maison.
A suivre.
Un tout grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins.
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Il a reçu un nouveau message de Maîtresse Julie. Il doit aller dans le parc du Château de Versailles et la retrouver près du loueur de barques vendredi à 16h. Il fait chaud en ce mois de mai qui débute. Maîtresse Julie a demandé s'il faisait le pont du premier. C'est le cas et elle lui a proposé de passer le week-end avec elle. Sa verge s'est tendue d'anticipation à la lecture du sms. Heureusement sa collègue n'a rien vu bien qu'un afflux de sang l'ait fait rougir de honte. Il a plongé sous son bureau pour dissimuler ce curieux changement de teint que rien dans son travail ne pouvait justifier. Il n'a pas de relations suffisamment intimes avec ses collègues pour parler de sa sexualité marginale. Il est un homme soumis à une magnifique jeune versaillaise du Chesnay qui représente pour lui le summum de l'élégance. Il se souvient de son regard et de ses mains si fines qui l'ont branlé à quatre pattes comme le chien qu'il devient à ses pieds. Il n'a pas oublié le goût de sa mouille quand elle a joui dans sa bouche. Son visage rougit encore de la crainte d'être surpris quand il a pénétré à genoux mains sur la tête dans ce luxueux appartement de l'avenue de Paris au Chesnay. Son aine est resté irritée par la dentelle de la culotte rouge qu'il portait sur son ordre.
Il va la rejoindre au parc du Château. Il porte de nouveau cette culotte en dentelle à laquelle sa peau est sensible. Sous son short de coton blanc elle se devine au soleil. Sa chemise rayée bien glissée dans la ceinture ne la cache pas entièrement. Il craint les regards moqueurs des nombreux touristes qu'il croisera. Comble du ridicule il porte des sandales avec des chaussettes. C'est par obéissance qu'il s'est ainsi attifé car cette tenue n'est guère seyante. Sa grande taille le fait souvent remarquer et ses yeux clairs sous ses cheveux bruns attirent l'attention des femmes en général, mais aujourd'hui c'est son ridicule qui jouera ce rôle d'aimant et en sortant de son meublé la honte lui fait déjà baisser la tête. Il va devoir prendre le bus 171 et remonter l'avenue de Paris jusqu'au terminus. Il est préférable qu'il ne marche pas trop car il a le sentiment que le week-end va être fatigant. Deux jeunes filles le regardent et rigolent derrière leurs mains. Une vieille dame aux cheveux bleutés pousse un soupir et tourne la tête. Il surprend le sourire en coin du grand black qui conduit le bus. Le trajet va sembler long! Et il devra encore traverser la place d'armes remplie de cars de tourisme, puis emprunter le passage où les visiteurs attendent pour acheter les billets. Une fois de l'autre coté il n'empruntera pas les majestueux escaliers qui conduisent au canal, mais se faufilera plutôt entre les haies et les statues. Avec un peu d'imagination il les entend aussi se moquer, elles qui ont vu tant d'élégants se promener dans ces lieux historiques.
Ça y est , j'aperçois enfin la cabane du loueur de barques. Quelques-unes naviguent au loin mais la plupart sont attachées au ponton. Je n'ai que rarement ramé. Pourvu que je réussisse à mener Maîtresse Julie où elle le souhaite. Si je la fais chavirer elle ne voudra plus de moi. Si je l'arrose elle sera fâchée. Si je...non stop. Tout va bien se passer. Je vais obéir promptement à ses ordres et être un bon soumis. J'aimerais tant revoir son si beau visage lorsqu'un sourire éclatant illumine son regard. Ou quand elle jouit. Oh je dois arrêter de penser. Lâche prise Baptiste! Lâche prise! Tu vas bander et ça va se voir.Ce nest vraiment pas le moment. Concentre toi et trouve la. Elle est sûrement arrivée.
Tiens,tiens cette silhouette déguingandée ressemble à mon soumis. J'ai bien choisi sa tenue. Un bon point pour lui, il a respecté les consignes. Je me demande s'il a conscience de son ridicule? Allons Julie, ne sois pas si méchante. C'est un provincial, d'accord, mais il n'est pas idiot pour autant. Et ces bécasses qui ont ricané en le croisant ne savent pas combien il réussit les cuni. Oh zut, je dois me calmer, je mouille déjà à l'imaginer au fond de la barque à me donner du plaisir. ..
Julie attend assise à siroter un café crème à la terrasse devant le ponton où les barques sont attachées. Le cliquetis des chaînes la rend songeuse. Aurait-elle dû mettre une culotte? Sa robe est longue, le petit vent de printemps qui remonte de la plaine ne risque pas de la trahir. Mais il ne faudrait pas qu'il devienne plus fort car l'ampleur de la jupe pourrait se soulever et dévoiler son impudeur aux touristes. Cette tenue est adaptée : elle pourra cacher son soumis dessous dans le parc. Y penser déclenche déjà son moulin à miel. Belle image qu'elle a retenue d'un poème érotique de cet ami photographe. Moulin à miel....
"Bon assez rêvé. Je vais me manifester et dans ma grande générosité offrir un diabolo menthe à ce grand dadais".
Maîtresse Julie fait un geste du bras et Baptiste l'aperçoit . Il avance vers elle et se tient debout derrière la chaise de bistrot. Sur la table verte assortie la crème du café lui fait de l'oeil . C'est sa boisson préférée. Osera-t-il commander la même boisson que Maîtresse Julie? Ne serait-ce pas lui manquer de respect? Le serveur approche. D'un geste négligeant Maîtresse Julie fait signe à son soumis de s'asseoir. "Ce sera un diabolo menthe pour le jeune homme s'il vous plaît et soyez gentil d'apporter l'addition " Le serveur sourit d'une manière obséquieuse . Ce n'est pas la première fois que cette élégante femme vient louer une barque avec un jeune homme. Et ce n'est jamais le même. Il l'a repérée car il a un sixième sens pour deviner les relations qui sortent de l'ordinaire. " Et je suis sûr que c'est encore un nouveau gigolo. Il est beau gosse celui-ci. Il faudrait que j'ose lui parler à cette versaillaise. Bon ,et un diabolo un!. J'espère qu'il aime ça. "
Une fois servi, les deux mains sur ses genoux, peut-il ou non commencer à boire? Un petit regard vers Maîtresse Julie impassible ne lui donne aucune information. Le mieux est sûrement de baisser les yeux et d'attendre. Elle ne le regarde pas et sa main fine saisit l'anse de la tasse. La mousse glisse vers le bord. Et juste avant de boire un ordre claque. " Bois ! Et ne traine pas! Il est déjà tard!" En rougissant il attrape son verre d'une main que l'anxiété fait trembler. "Contrôle! Ne renverse pas! " Le verre est vidé sans incident. Un soupir lui échappe. Un sourire étire les lèvres de Maîtresse Julie et elle tourne la tête vers lui. "La classe ta tenue le chien ,murmure-t-elle dans un souffle, il ne te manque que le collier. Cela va attendre. Mais tu dois imaginer qu'il encercle déjà ton cou. Compris? " En rougissant il acquiesce. "Oui Maîtresse Julie " et ces trois mots, que seule une autre personne en dehors du couple devine, scelle le début d'une longue séance de dressage. Baptiste baisse humblement la tête alors que Julie relève la sienne avec un sourire triomphant . Le serveur aux abois garde un visage professionnel impassible mais un éclair brille dans ses yeux. Il a bien compris la relation qui existe dans ce couple qui sort de l'ordinaire. Il n'oubliera pas ces deux visages.
Julie se lève et de son pas dansant approche l'employé préposé aux barques. Elle lui tend le jeton et regarde l'heure . "Bien il est seize heure quinze, allons-y. Aide moi. Donne ta main. " Elle enjambe le rebord de la barque et va s'assoir à l'avant, les jambes écartées pour garder l'équilibre. Baptiste pose ses fesses sur le banc et sous le regard ironique des deux employés commence à ramer. Il se débrouille plutôt bien et la barque s'éloigne sur l'eau calme du canal. Julie remonte un peu sa jupe, et de plus en plus. Elle montre ses jambes parfaites à son soumis en récompense de sa bonne tenue. La barque avance vite et est déjà au milieu . " nous allons tourner dans ce bras et tu nous rapprocheras du bord" . Malgré la douleur qui commence à irradier ses mains, il répond de ces mots si doux à sa langue" oui Maîtresse Julie,il en sera comme vous le désirez . " Elle ferme les yeux de plaisir et remonte encore son ample jupe.
D'un claquement de doigts suivi d'un geste impérieux, elle lui montre son sexe dévoilé par l'absence de sous-vêtement.
Baptiste tire sur les rames pour les remonter afin qu'elles ne glissent pas dans l'eau. Il ne doit pas passer pour un idiot aux yeux de sa domina. Il a déjà peur de son mépris par rapport à sa méconnaissance du milieu bdsm. Il craint d'être repoussé et se concentre pour bien se comporter. La règle est simple : obéir, obéir, faire jouir et jouir après y avoir été autorisé. Ce contrôle est si doux à son âme. Pourtant il est plutôt meneur et autonome dans la vie. Il prend des décisions et des responsabilités, trop parfois peut-être. Mais obéir et ne plus réfléchir et lâcher prise dans la jouissance, quel bonheur si profond! Seuls les autres soumis rencontrés au hasard de discussions sur les sites spécifiques le comprennent . Et c'est ainsi qu'il baisse les yeux devant cette jolie femme et qu'il exécute ses ordres avec diligence. Le voici à genoux sur les planches du fond de la barque. Il se penche encore, pose ses mains au sol et sa tête sur des chaussures noires qui bougent lentement, dans une danse silencieuse. " N'as-tu pas oublié? Mains sur la tête bâtard! Et lèche mes chaussures! " il sursaute sous l'insulte criée à ses oreilles et s'empresse de mieux se positionner. Un pied frappe sa joue et le pousse un peu. De surprise un cri lui échappe. "Décidément, tu ne sais pas te taire. Tu me déçois beaucoup. Comment faire pour que tu comprennes que tu n'as pas le droit d'émettre le moindre son? Je ne peux pas te museler à l'extérieur, même si l'envie me démange. Tu vas être puni. Ça commence fort!" Elle agrippe ses cheveux et soulève la tête de ce chien desobeissant. Elle mord son oreille. Un gémissement lui échappe. Elle relâche ses dents et le regarde avec un gros soupir. Puis elle mord l'autre oreille. Il arrive à se contrôler. Elle caresse sa tête gentiment :" tu vois que tu peux te contrôler petit chien. " Elle l'attire vers lui et caresse sa queue qui se gonfle de plaisir. Mais l'élastique de la culotte coince le gland et des larmes perlent au coin de ses yeux. Honte et douleur, peur et envie, sentiments mêlés, cerveau perturbé. Baptiste ne sait plus où il en est et lève la tête vers Julie . Elle le serre dans ses bras et caresse encore sa tignasse brutalement. Douceur et brutalité, plaisir encore. Elle murmure :"tu es un bon chien, tu apprendras tu verras. Lèche moi bien et fais moi jouir, tu seras récompensé à l'appartement. " Elle pousse sa tête vers son sexe poilu et légèrement odorant. Sa cyprine le rend tout humide. Il saisit délicatement la petite excroissance de chair si sensible entre ses lèvres et suçotte en aspirant doucement. Les jambes de Julie s'écartent encore plus. Elle le pousse en gémissant. Il donne des petits coups de langue et souffle avec son nez. Puis il mordille délicatement et sent le plaisir de Maîtresse Julie couler sur son menton.
"Ohoh ne pas trop montrer sinon il va s'y croire ...ohoh wahou. Ça c'est un p'tit cuni! Il faudra le féliciter. Oui mais pas trop. Ohoh .allez je le repousse. L'heure tourne." Et dans un dernier soupir Maîtresse Julie repousse Baptiste tout doucement afin qu'il retourne ramer. Et sans un mot , dans un claquement de doigts, elle lui montre les rames. Puis elle défait sa chaussure et étire tout son corps pour poser son pied nu sur l'entrejambe de son rameur. Ses orteils entament de petits mouvements de rotation, son talon appuie sur ses testicules, la verge se gonfle et les rames s'immobilisent sous la puissance du ressenti. Il mord sa lèvre inférieure pour ne pas exprimer son bien-être. Elle le fixe dans les yeux d'un air sévère. Et appuie de plus en plus. Une douleur lancinante commence à irradier son bas-ventre. Il mord encore plus sa lèvre. Elle sourit, commence à relâcher la pression, et une caresse de son pied allégé parcourt toute cette verge gonflée. D'un lent va-et-vient elle monte et descend son pied. Il cesse de se mordre et la fixe dun air béat. Elle le regarde baver et son sourire s'élargit. Ses orteils pianotent doucement sur le short. Puis elle replie sa jambe et remet sa chaussure.
"Dépêche toi! Nous allons avoir du retard. Tu traines! Tu traines! Je n'ai pas envie de payer encore à cause de toi!." La barque avance vite. Il sent que c'est une fausse colère mais s'applique à bien ramer. Il ne veut pas décevoir sa domina. Ils rejoignent le ponton et il lui offre sa main pour descendre. Elle s'éloigne très vite. Il se sent abandonné et la suit des yeux . Les employés sourient mais un lui claque le dos:" Ne traîne pas mon canard. Ou tu la perdras. Le parc est grand. " Il accélère le pas dans la grande allée si droite. Ce n'est pas celle qu'il connaît et il craint de se perdre. Il aperçoit Maîtresse Julie qui l'attend impatiemment à un embranchement. Elle s'éloigne dès qu'il s approche et se dirige vers un bosquet. Bien caché par les arbustes, un banc de pierre moussue sur lequel Julie est assise apparaît. D'un air narquois elle tient un collier relié à une laisse métallique en anneaux .Baptiste rougit, envie et honte, peur et désir, inquiétude et plaisir mêlés, cerveau perturbé. "À genoux devant ta Domina le chien, mains sur la tête " À entendre cet ordre tant attendu, il sent son coeur accélérer, ses paupières cacher son regard, son cou plier vers l'avant , ses genoux ployer vers le sol , ses bras partir vers l'arrière et ses doigts se croiser. Il sent un collier de cuir encercler son cou et un doigt griffer sa peau. Un léger cliquetis accompagne un mouvement qui tire sa tête vers le bas. Elle se retrouve sur les pieds de Julie. Il se sent bien. Cette position si souvent rêvée est devenue réalité. Une petite brise caresse ses jambes nues. La laisse dirige sa tête vers l'entrejambe de Julie dont les cuisses se resserrent. La jupe relevée retombe sur le soumis agenouillé et le dissimulera entièrement aux regards indiscrets de visiteurs qui se seraient égarés. Plus un mouvement ne perturbe cette scène irréelle. Julie prend son téléphone dans son sac , appuie sur une touche et écrit un message à son amant : Vous aviez raison Maître. Il est prêt". Puis elle range son téléphone et sourit d'un air mi-rêveur,mi-inquiet. " Tout va bien se passer. Tout va bien se passer. Je vais le récompenser et j'aurais ma récompense aussi. Le Maître n'a qu'une parole ".
Elle appuie sur la tête de Baptiste et ,exprimant son anxiété d'une voix forte elle crie:" Chien! Lèche ta maîtresse! Fais moi jouir! Et utilise tes doigts! Je veux te sentir partout! Devant et derrière! Je veux savoir si tu es un bon chien qui lèche comme il faut! " elle sent des doigts fébriles explorer ses orifices. Elle sent une langue agile s agiter sur et dans son sexe. Elle sent un souffle animal sur son intimité. Elle perçoit des grognements mais décide de ne pas les réprimer. Ses jambes s'écartent à lui faire mal. Son bassin bascule vers l'arrière et glisse jusqu'au bord du banc si froid à sa peau. Elle s'agrippe au dossier du banc et rejette sa tête en arrière. La jouissance se diffuse de son bas-ventre à tout son corps. Des vagues de plaisir irradient son corps. Des doigts longs et souples explorent son vagin et son arrière-train. Cette double pénétration la fait gémir, puis grincer, puis se taire en apnée. Enfin le hurlement d'une louve comblée perturbe le silence du parc. Près des barques les employés lèvent le pouce de la victoire. Le gardien à la grille sursaute puis sourit, une jeune femme sourit à son bébé dans sa poussette. Le parc du Château tout entier sent un courant de plaisir le traverser. Les branches s'agitent, les oiseaux se posent, les chiens s'assoient et frottent la base de leur queue au sol. La marchande de glace sourit aux anges. Et les énormes poissons du canal pointent leurs têtes à la surface. Un moment parfait hors de la réalité , le ciel semble plus bleu.
Dans le petit bosquet, Julie, en complet lâcher prise , sent qu'elle a communié avec la Terre. Baptiste à ses pieds commence à souffrir de son sexe gonflé. A travers l'épaisseur de tissu sur sa tête il sent la main de sa domina le caresser tendrement. " Je vais te donner ton plaisir petit chien, tu le mérites. "
Julie se penche en avant et ,repoussant doucement son soumis, elle défait sa ceinture et glisse sa main pour saisir le pénis tendu de Baptiste. Ses doigts forment un anneau qui monte et descend plus ou moins serré. De l'autre main elle remonte sa jupe et dénude ses fesses. La robe sur le banc elle se penche encore et ordonne dans un souffle :" À genoux chien, mains sur la tête! " D'un mouvement souple elle s'éloigne juste un peu et continue de branler cette pine gonflée. Le short a glissé jusqu'aux genoux et seule la petite culotte de dentelle rouge protège encore si peu les fesses de Baptiste. Julie la fait glisser à mi-cuisses. Les jambes tremblantes , le soumis retient un gémissement et se penche vers le banc. La domina attrape les mains sur la tête et tire les bras vers l'arrière. La tête vient heurter le banc sur la robe et sans bruit car la chute maîtrisée se fait en douceur. Puis l'anneau des doigts sur la verge accélère son mouvement et la semence se répand dans un râle contenu. L'extase du lâcher prise se lit dans le sourire béat et dans les yeux brillants de Baptiste. Julie caresse son front tendrement et le laisse récupérer. Son majeur mouillé de sperme va masser l'anus de son soumis et le pénètre delicatement . Il laisse échapper un petit cri de souris et rougit. Son plaisir prolongé provoque une légère érection. Le doigt se fait plus intrusif, un deuxième puis un troisième le rejoignent. Ils entrent et sortent. Une vague de plaisir sauvage parcourt tout le corps de l'homme agenouillé . Il retient son cri mais s'écroule en avant. Maîtresse Julie se rajuste et pose son pied sur la tête de Baptiste. Celui-ci est en extase devant la prestance de sa domina. Malgré l'inconfort de sa position, le risque d'être surpris et le vent qui fraichit , il vit un moment parfait qui restera pour toujours dans sa mémoire. Sa domina est satisfaite, il semble être un bon soumis. Son coeur se gonfle de joie.
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C’est une grande maison isolée dans les bois loin de tout et comme se plaît à dire le Maître des lieux : « Tu peux toujours chialer et crier, personne ne t’attendra ». Là, il reçoit des hommes en quête de servitude et de dégradation. Il les reçoit seul ou en troupeau et les fait à sa main le temps qu’ils s’offrent à lui. Ces hommes, si on peut encore les appeler ainsi, qui errent à la recherche de leur abaissement, se vouent à lui comme des chiens fidèles obéissants à la voix de leur Maître. Durant tout le temps qu’ils passent chez lui, ils sont à lui, il en fait ce qu’il veut selon sa fantaisie et comme ces êtres recherchent plus que tout l’avilissement ils sont servis. Ils sont durant tout le temps qu’ils passent entre ses griffes à sa merci. Il fait d’eux des esclaves à tous les sens du terme, ils obéissent et subissent. Ils sont enfermés, utilisés, martyrisés, dégradés... Tout ce que les lieux de nature offrent comme opportunités de pratiques sadiques est mis à contribution.Le soumis est parfois lâché dans les bois avant d’être traqué à l’aide de chiens avec la menace d’être ensuite montés par la bête qui l’aura reniflé; il est jeté attaché dans la boue où c’est tout juste s’il réussit à surnager ou encore il est presque enterré vivant et doit se débattre dans la fosse dans laquelle on l’a poussé nu et ligoté et où on le couvre avec des pelletés de terre. Parfois, certains sont cloués au sol sur une fourmilière, le Maître leur badigeonne le sexe d’une fine couche de miel et leur en fourre aussi le cul qu’il prend soin auparavant d’élargir pour permettre aux fourmis de s’y frayer un passage. Ensuite le Maître abandonne le soumis ainsi exposé et laisse grouiller sur lui les bêtes qui se régalent. Il ne revient qu’aux cris et aux gémissements du soumis que les animaux torturent. Ou alors, quand les soumis sont nombreux, il les enchaîne dans une carrière où ils doivent casser des pierres destinées à la construction d’un muret qu’ils doivent réaliser ensuite, nus sous les coups de fouet...
Autre avantage de posséder une propriété, les soumis sont enfermés au soir venu dans une cave. Le Maître en choisit toujours un dont il va s’amuser avant de dormir. Il lui donne sa ration d’humiliation et de souffrance et prend pour lui-même toutes les jouissances sadiques à sa fantaisie. Pendant ce temps, dans la cave, le troupeau des soumis a droit aussi à un certain délassement pour faire retomber la pression du jour. Un seul d’entre eux, toujours le même, est enchaîné à un mur et le Maître lui a posé une cage sur le sexe; les autres ont l’autorisation de l’utiliser toute la nuit à leur convenance, il est le jouet avec lequel ils ont doit de s’amuser tant qu’il veulent... et ce soumis des soumis chaque nuit en a plein la bouche et le cul.
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Pas facile d'être au chomdu de nos jours. Bob, voulait des allocations, La femme de Pole Emploi, lui a dit:
-non, non,et non. Vous passez votre temps au chômage, il faudrait être sérieux et bosser un peu. Vous n'avez plus de droits. Pourquoi ne pas créer une autoentreprise? Vous savez bien faire quelque chose de vos mains.
Bob a bien regardé la poule de Pole Emploi, avec son tailleur strict, ses grosses lunettes, son alliance de femme mariée. Une coincée du cul? Non, Bob est un observateur. Le coin de ses lèvres à cette poule à lunettes trahit son secret, encore une belle garce qui ne demande qu'à être forcée un peu. Et bob sait lire les secrets.
-Ouais, c'est pas con. Je vais créer une autoentreprise de laveur de chattes. Ya bien des laveurs de carreaux, des laveurs d'autos, pourquoi pas un laveur de chattes.
Et la poule de Pole Emploi a enfin levé les yeux sur lui. Ils brillent. Bob a vu juste.
-Vous voulez pas que je vous montre mon idée? Et il n'a pas laissé le temps à la poule à lunettes de répondre. Il a fait le tour du bureau et Bob l'a chopée par les hanches et soulevée comme si elle ne pèse rien. Un gros costaud ce bob. Dans la rue personne pour lui casser les burnes.
Il assoit la poule à lunettes sur le bureau et pose sa main sur sa bouche pour la faire taire. Il connait bien les femmes mariées qui disent non non et perdent du temps, alors qu'elles n'ont qu'une envie brûlante, se faire troncher. . Il lui enlève sa culotte et il l'enfile dans sa belle bouche. Elle pourrait essayer de recracher...mais non, elle se laisse faire.
Bob, commence à lui caresser la chatte et à lui lisser les poils, doucement. La poule s'offre et mouille.
-Tu bouges pas, je vais chercher de quoi te laver la chatte.
La poule obéit avec sa petite culotte dans la bouche, les jambes écartées, le minou rose bien ouvert. Elle est vraiment très belle comme cela, bien ouverte et offerte.
Bob trouve ce dont il a besoin dans le local technique et revient avec un seau d'eau chaude, des produits détergents, des gants. Il se met au travail aussitôt. Bob, aime son nouveau job. Il fait cela bien. La poule voudrait jouir, se faire prendre. Mais non, Bob est un pro désormais, il refuse les avances et continue son lavage de minou expert.
La poule n'en peut vraiment plus. Elle explose un orgasme terrible, inonde le bureau et hurle son plaisir. Tout pôle emploi est secoué par ses spasmes sonores. Une attaque terroriste? appeler le samu ou la gendarmerie? Une secrétaire se pointe et assiste au lavage de chatte. Toutes viennent voir leur collègue qui se fait laver le minou et jouit à répétition.
-C'est trop bon dit elle. bien mieux que la petite baise avec mon mari le samedi soir.
Toutes les autres secrétaires de pôle emploi veulent essayer mais Bob les refroidit vite.
- heu mesdames, c'est mon job de laveur de chattes. Il faudra prendre rendez vous. Pour l'instant occupez vous bien de mon dossier d'autoentreprise.
La poule à lunettes, toute rouge et transpirante renfile sa petite culotte sur sa chatte toute propre et qui sent bon la jouissance.
-Bon, bon, monsieur . Je m'en occupe de suite.
Bob, pince sans rire est parti en disant:
-la démonstration était gratuite mais la prochaine fois....Ah faudra me dire le taux le tva pour les lavages de chatte. Histoire de faire les choses en règle. Et trouvez la bonne catégorie, soins à la personne, entretien des pelouses, toilettage d'animaux....? Vous me direz.
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Elle lui avait téléphoné la veille :" Demain 16h au xx Avenue de Paris au Chesnay appartement 42" puis il avait reçu un message précisant " Tu porteras une culotte en dentelle rouge et un corset assorti bien serré et tu monteras rapidement par l'escalier "
Ansi vêtu sous sa veste et son pantalon en jean,il craignait le regard des passants, et surtout celui de ces belles versaillaises si élégantes avec leurs petites jupes écossaises et leurs chemises blanches. Allaient-elles imaginer qu'il avait rendez-vous avec l'une d'entre elles pour sa première séance de dressage? Oui il était un homme soumis. Cela avait été long pour l accepter, mais depuis que c'était chose faite, il se sentait mieux. Il se souvenait des sensations si agréables quand ses potes de karaté lui touchaient le sexe à plusieurs, impressionnés par sa taille . Il se souvenait la première fois qu'une amie l'avait obligé à se mettre à genoux sous sa jupe pour un cuni rapide
après un pari stupide. Son sexe avait gonflé de plaisir de cette humiliation. Alors il s'était inscrit là, sur ce site de rencontres un peu particulières. Oh cela ne s'était pas fait sans hésitation. Mais ce déménagement en Île de France lui avait fait perdre sa partenaire. Et ces moments de soumission lui manquaient, c'était un réel besoin viscéral. Alors quand Maitresse Julie l'avait contacté pour lui proposer un rendez-vous chez elle, il avait de suite accepté avec enthousiasme....
Et me voilà tout intimidé devant ce bel immeuble de type Mansart à la grande porte en chaîne sculptée aux armes d'un quelconque noble disparu. Je tape le numéro 42 sur le digicode et j'entends le déclenchement de l'ouverture de la porte. Mon coeur rate un battement d émotion et je sens un frémissement dans mon ventre. Je cherche l escalier des yeux. Où est-il? Derrière cette porte? Non! Ah , suis-je nerveux, une flèche cuivrée dans un cadre de chêne indique sa direction.
Je me précipite et monte deux par deux les marches en faux marbre de cet escalier majestueux. Une corde rouge court sur le mur tout du long, glissée régulièrement dans des anneaux de cuivre. Au troisième palier mon allure ralentit un peu. J'arrive tremblant et troublé au quatrième étage. Un carrelage blanc très chic s'éloigne des deux côtés. Mes yeux cherchent et trouvent rapidement la bonne porte. Elle s'ouvre devant moi et ma Maitresse apparaît. La silhouette de sa longue robe du soir se profile à contrejour, encadrée du montant de la porte et j aperçois derrière elle un couloir recouvert de moquette qui semble filer jusqu'à l'horizon. Le bras gauche tendu, une longue main fine couverte de bagues brillantes se pose sur mon sternum. Je suis pétrifié et ose à peine respirer. Son autre main vient se poser sur ma tête et appuie fermement. Mon cou se courbe,mon menton vient s'appuyer sur mon col . Instinctivement mes yeux se baissent sur la poitrine opulente de Maitresse Julie. Je rougis. La pression s'accentue et les deux mains s'emparent de mes épaules. Un murmure parvient à mes oreilles : " À genoux le chien! Devant moi."
Mes jambes se plient sans que ma volonté intervienne.
"Mains sur la tête! " . Heureux d'obéir, mes bras se plient et mes mains se croisent sur ma nuque. " Mmmm bien . Gentil chien " . Elle se penche vers moi et je sens son souffle dans mes cheveux. Malgré le plaisir éprouvé, j'ai très peur qu'un de ses voisins n'ouvre sa porte et ne me surprenne dans cette position humiliante. En même temps, le risque décuple les sensations, ma respiration accélère et je sens mon sexe gonfler.
Elle saisit mon menton entre son pouce et son index et je sens son majeur forcer ma bouche. Mes dents s'écartent et son doigt se replie sur mes incisives inférieures. Elle tire sur ma mâchoire et murmure "Avance... ". Mes genoux progressent chacun leur tour sur le paillasson. La barre de seuil appuie fortement et je gémis. Une claque me fait retenir le gémissement suivant. J'entre dans cet appartement luxueux dans une position très humiliante et mon âme de soumis se réjouit.
Après avoir passé la porte je vois sur ma gauche un fauteuil Voltaire habillé de toile de Jouy. Le doigt sort très lentement de ma bouche et je comprends que la porte se referme. Maîtresse Julie relève légèrement sa robe et s'assoit dignement sur le fauteuil. Elle saisit une badine accrochée au bras du fauteuil et soulève mon menton : " As-tu bien suivi mes consignes? " Je hoche la tête et murmure :" Oui Maitresse Julie" je savoure ces mots enfin prononcés à haute voix. Ma tête penchée en arrière je m'efforce de garder les yeux baissés. Elle sort sa langue et lèche ma joue. " Mmm tu transpires. Voyons voir. Ôte ta veste que je vérifie " . Mes doigts fébriles déboutonnent les fausses pressions de ma veste difficilement. Pourquoi les boutonnières sont-elles donc si petites? La crainte de faire attendre ma domina rendent mes mouvements encore plus maladroits. Elle ressent mon anxiété et caresse doucement ma tête. " Cool. On a le temps. Calme toi donc sale petit chien. " Ce mélange d'insultes et de douceur me perturbent encore plus. Mes yeux s' humidifient d'angoisse. Elle prend mes mains entre les siennes , les écarte et je me retrouve les bras ballants, la tête basse, les yeux humides de honte . Elle finit en murmurant :" Petit chien, il va falloir apprendre à mieux obéir. Tu vas être puni. " Et d'un coup sec elle m'arrache ma veste. Je perds un peu l'équilibre et me retrouve le front au sol. " Joli déshabillé, il te va très bien. L'as-tu volé à ton ancienne domina? Ou est-ce un cadeau? "Elle rit "Non tu l'as acheté exprès sur internet? Ou dans une boutique en disant que c'était pour ta petite amie? " Je murmure :" Sur Internet Maîtresse Julie " un franc sourire éclaire son visage " Au moins tu as du goût , même sur toi c'est très mignon " Heureux je frotte ma tête à ses chevilles et les entoure de mes mains.
Elle se penche et caresse mon crâne . Mes cheveux ne sont pas si courts et elle tire un peu dessus pour relever ma tête ." Bien. Reste à terre et ôte ton pantalon et tes chaussures " Et pour être certaine que je ne me relève pas ,sa botte se pose sur ma joue et appuie de plus en plus. Je me contorsionne en tous sens et arrive à me dévêtir . " Mignonne petite culotte" s esclaffe-t-elle! Je rougis. La dentelle m'irrite . Des rougeurs sont apparues au creux de l'aine. Mon sexe est compressé, le gland coincé sous l'élastique me fait un peu mal. L'excitation tente de le redresser . Douleur et plaisir, honte et fierté, que de sentiments mélangés.
"Bien, dit-elle en se relevant, nous n'allons pas passer la journée dans l'entrée! " Elle me tire les cheveux pour me faire avancer à quatre pattes sur la moquette qui brûle mes genoux nus.
Nous arrivons dans un grand salon. Je ne vois que les bas des meubles mais il respire le luxe pour mes yeux de prolétaire provincial. L'assortiment des matières nobles indiquent un goût certain. Ma domina me dirige vers un canapé en peau de vachette et je vois une lirette qui dénote avec la décoration. "Vois ce petit tapis. Ce sera là ta place le chien quand tu m'entendras t'y envoyer . À genoux! Mains sur la tête! Et baisse les yeux! Tu vas te punir. Tu vas te fesser, compter, alterner les deux côtés, et dire après chaque : Merci Maîtresse . As-tu compris? Ou dois-je répéter? " Ces deux questions à la suite dont les réponses sont contraires me perturbent. Je me mets à bafouiller :" oui Maîtresse, non Maîtresse , heu....." Ma confusion la fait rire et je perds encore plus mes moyens. " Qu'attends-tu ? Commence " Rouge de honte je me penche un peu, me donne une claque sur la fesse droite et murmure :" Un Merci Maîtresse " Un coup de badine sur mes cuisses me déséquilibre et je l'entends me sussurer en se penchant sur moi : "Bien petit chien, mais je ne t'entends pas assez . Un peu plus fort s'il te plait. " Je me redresse et me fesse à gauche : "Deux, Merci Maîtresse " je perds de nouveau l'équilibre. Honteux de mon échec je tente de me relever. " Il va falloir t'entraîner chez toi d'ici la prochaine fois! Bon pour cette fois, allonge-toi sur le dos. "
Allongé sur le dos,je serre mes genoux relevés et claque à droite en criant presque "Trois! Merci Maîtresse! " Elle approuve de la tête et je continue jusqu'à huit. La paume de mes mains est douloureuse, mon sexe se dresse un peu plus à chaque coup malgré la culotte qui le comprime, mes fesses commencent à me faire mal. "Stop! À quatre pattes! Tête au sol! Mains sur la tête! Pieds croisés! "Les ordres retentissent dans la pièce. Je m' efforce d'obéir rapidement. Une caresse me réconforte. Ma Maitresse est satisfaite. Je laisse échapper un petit soupir de satisfaction. Je sens un doigt se glisser sous l'élastique de la culotte et la glisser à mi-cuisses. Il me griffe l intérieur de la raie et vient appuyer sur mon anus . Malgré moi je me redresse un peu mais mon mouvement est vite interrompu quand je reçois un coup de badine sur mes fesses dressées. " Pas bouger le chien! Au sol!" Je replie mes jambes et mes fesses s'écartent un peu. Je sens un doigt s'immiscer dans mon orifice et je gémis, honte et plaisir, douleur et fierté, tout se mélange. Elle me masse doucement. Le plaisir monte en moi. Je commence à baver par terre. De l'autre main elle redresse ma tête pour savourer mon plaisir. D'un petit coup de langue elle remonte ma bave dans la bouche, lèche mes lèvres et mon menton,puis me mordille l'oreille. Son doigt s'agite de plus en plus et un deuxième le rejoint. Elle tire sur mon sphincter qui se dilate. Mon corps se souvient des doigtés de mon amie de province et un peu de sperme coule au sol. Les yeux de Maitresse Julie brillent de plaisir mais elle fronce les sourcils. Ses doigts quittent mon trou et je gémis de frustration." À genoux! Mains sur la tête " Elle s'assoit devant moi, remonte sa robe sur ses cuisses, écarte des jambes parfaites et j'aperçois son sexe délicatement poilu bien ouvert. " C'est bien petit chien, je t'autorise à te masturber, Mais Interdit De Jouir!! Une seule main! Et regarde moi! "
Ma main s'agite, mon sexe grandit. Maîtresse Julie me regarde et je ne sais interpréter son expression. Ma deuxième main descend vers mon sexe et un coup de pied me fait rouler sur le côté. " Tu vas devoir apprendre à obéir! Une seule main! Qu'est ce que tu n'as pas compris? Allez sur le dos et tu te fesses comme tout à l'heure! Compris? " Frustré, honteux, je murmure :" Oui Maîtresse Julie " je me repositionne sur le dos et me fesse de nouveau. Mes mains et mes fesses me brûlent et je pleure. Mon nez coule et je bave. Mon décompte ne s'entend pas. Un pied bloque mon bras dès la deuxième claque assenée. Ma domina se baisse à croupeton sur mon visage, sa robe du soir est relevée et coincée dans son soutien gorge de dentelle rouge. Je comprends son exigence de couleur. Sa chatte s'écarte devant mes yeux éblouis. Elle suinte de mouille et vient se positionner sur ma bouche qui s'ouvre . Je tends ma langue et suçotte son clitoris.
Enfin! Ça y est! J'ai enfin un soumis obéissant! Un peu maladroit certes, mais c'est notre première séance, je dois le ménager. Sinon il ne reviendra pas et ce serait fort dommage. Je lui pressens un fort potentiel à ce gars. Il n'en est même pas conscient. Il n'a sûrement jamais vu un tel logement dans sa province miteuse. Et bon sang, ce corps, wahou, je ne suis pas déçue. Beau cul belle gueule comme on dit. Langue agile en plus. Ma kundalini libérée s'enroule le long de ma colonne. Oh la vache! Plusieurs orgasmes d affilée. Trop bon. Allons, je dois être raisonnable, mais ce courant partout! Il a eu une bonne domina! Je vais me le mijoter aux petits oignons celui-ci. Mmmm
Je sens le plaisir de Maitresse Julie couler dans ma bouche. Mon sexe se tend à me faire mal. Elle se redresse , se met à genoux à côté de moi et griffe doucement ma verge en pleine érection. Son regard capture le mien. Un sourire étire ses lèvres. Elle s'assoit à nouveau sur le canapé. Je trouve que son plaisir visible lui fait perdre un peu de dignité. Mais cela m'excite encore plus. " À genoux, branle toi et je t'autorise à jouir sur mes bottes gentil petit chien !"
Ma main s'agite tout du long de mon sexe. Elle monte et descend, serre et se relâche. C'est si bon. Mais je crains que Maîtresse Julie ne m'interrompe et cela freine mon plaisir. " Stop! " Je lâche ma verge tendue en gémissant. Je mords ma lèvre d'angoisse. Une main relève ma tête. Maitresse Julie avance au bord du canapé, les cuisses écartées. Elle attire ma tête vers son sexe ouvert et glisse une jambe entre mes cuisses. " Tu vas lécher ma chatte petit chien. Tu as le droit de te branler mais donne moi du plaisir sinon gare à toi. " Son pied se dresse et remonte mes testicules vers mon scrotum. Je bande si fort que j'ai presque mal. Ce plaisir mélangé à la douleur et à l humiliation me réjouit. Je suis si bien là, aux pieds de ma Maitresse." Pourvu qu'elle accepte de me recevoir de nouveau. Pourvu que cette séance lui ait plu...Pourvu...Non , arrête de penser! Tu dois bien la faire jouir! ..." Je glisse ma tête vers ce moulin à miel offert. Ma langue titille le clitoris dressé. Mon nez souffle doucement sur sa vulve. Puis ma langue pénètre son intimité et je sens son plaisir jaillir. J'éjacule au même instant sur les bottes de cuir. Une boucle griffe ma fesse et un dernier courant de plaisir me parcourt. Je me tends et pousse un petit cri retenu. Ma tête est fermement maintenue et je continue à lécher ma Maitresse. Elle me pousse vers son anus et ma langue agile le pénètre délicatement. Ses cris sont indignes d'une domina mais je suis certain qu'elle ne simule pas. Elle crie:" je veux sentir tes doigts! " Je m'exécute fébrilement. Je n'ai jamais rencontré une femme qui réagisse de manière si intense, pourtant j'ai une certaine expérience. Je doigte m'a maîtresse tout en agitant ma langue. Ses mains tirent mes cheveux. Elle a lâché prise. Je suis si heureux.
Puis brutalement elle me repousse d'un coup de pied au sternum, tire sa robe sur ses genoux et étend ses jambes. "Nettoie mes bottes! Lèche! Chien! " Le moment est passé, elle reprend un air sévère. À ses pieds je lèche ma semence répandue sur ses bottes. Mon hésitation me vaut des coups de badine : " Les femmes le font! C'est ton jus! Te crois-tu supérieur à une femme? Nettoie et plus vite! Ta langue est agile! Prouve le encore! " J obéis et sens une érection tendre mon sexe. Le cuir des bottes brillent de ma salive. Maîtresse Julie se penche en avant ,saisit mes couilles et leur inflige une violente torsion. La douleur parcourt tout mon corps en un instant. Je pleure et tremble, douleur et plaisir, je ne sais plus où j'en suis. De douces mains enserrent mon torse, je m'étire légèrement vers le haut. Ma Maitresse me caresse, m'embrasse doucement, et murmure tout bas, ma tête blottie entre ses seins généreux :" je suis contente de toi petit chien. Ta domina t'a bien éduqué. Je vais te faire dépasser tes limites. " Puis elle me fait asseoir sur mon tapis , me caresse gentiment, et m'autorise à me branler en la regardant. Elle se lève et revient vite, un bol plein d'eau à la main posé sur un plateau métallique . Sa main interrompt de nouveau mon plaisir. "As-tu soif petit chien? " Je lève un regard douloureux vers elle et hoche la tête. Elle désigne le bol d'un claquement de doigts. Je me remets à quatre pattes et commence à laper. Une caresse sur mes reins m'assure que j'ai bien interprété son souhait. L'eau coule le long de mon menton sur mon torse. Un frisson me parcourt. Maîtresse va ranger le bol mais laisse le plateau. Puis d'un geste moqueur elle m'ordonne de reprendre ma masturbation. Son regard glacial limite mon érection. Je gémis de douleur et reçoit plusieurs coups de badine. " À quatre pattes le chien! " je m'exécute vivement et elle commence à me branler violemment. Je serre les dents de honte et de douleur. Mais le plaisir monte, il irradie de mon bas-ventre, parcourt tout mon corps. Et au moment où son majeur me pénètre j'éjacule royalement dans le plateau avec un râle d'agonie. Je reste tremblant sur mes bras tendus. Mon bassin s'affaisse. Je sens des bras m'enserrer la taille, des lèvres lécher mon oreille gauche et j'entends dans un murmure .
" C'est bien petit chien, je crois que nous nous reverrons ". Elle me laisse ainsi reprendre mon souffle puis revient avec des fruits secs dans une gamelle pour chien. Elle fait couler mon sperme dessus, attrape mes cheveux, pousse ma tête vers l'assiette. Sans rien dire j'attrape les fruits du bout des dents, lève les yeux vers Maîtresse Julie et croque le mélange. Je recommence jusqu'à vider l'assiette . Un froncement de sourcils me fait comprendre que je dois nettoyer l'assiette avec ma langue. Honteux du plaisir ressenti, je lèche jusqu'à la disparition de toute trace. Maîtresse Julie s'est redressée. Elle tapote l'intérieur de mes cuisses de sa badine de plus en plus fort. Un mélange de douleur et de plaisir électrise mon corps. Elle pousse la gamelle du pied et l'envoie rouler loin de moi. Puis avec un petit sourire en coin elle m'ordonne dans un claquement de doigts d'aller la chercher. Toujours à quatre pattes je me dirige vers le fauteuil sous lequel la gamelle a glissé. Je tends la main pour l'attraper mais un coup de badine brutal sur mes fesses stoppe de suite mon geste. "Un chien n'a pas de mains voyons. Aurais-tu oublié que tu n'es qu'un chien? " Je rougis, me colle au sol et rampe sous le fauteuil. Mon arrière-train dépasse . Une main appuie dessus et je me retrouve à plat ventre." Pas bouger le chien " Je me transforme en statue . Mes jambes sont violemment écartées, mon bassin soulevé, et je sens qu'un rouleau de plastique décoré de pointe est glissé sous mon ventre. La peur contracte mes muscles et me tétanise. Je ne vois rien. Le silence devient oppressant. Le bas de mon corps est à la merci de Maitresse Julie. Elle introduit alors un embout dans mon anus et de la vaseline en jaillit. Rassuré je me détends. Je sens des doigts me pénétrer. Je relache mon corps puis un gode les remplace. Le plaisir m'envahit. Il irradie. Je crie mon plaisir et le gode est ôté brutalement. Une tape me rappelle que je n'ai pas eu d'autorisation pour jouir. Mon sexe se replie. Maîtresse Julie pousse le fauteuil, se baisse et me muselle avec un torchon. Elle pose la gamelle sur ma tête. Puis elle me gode à fond en griffant mon dos. Penchée sur moi elle susurre: branle toi et jouis chien. Mes mains s'emparent fébrilement de mon sexe et leurs mouvements s'adaptent à celui de ma Maitresse. Je jouis de nouveau malgré l'inconfort de la situation . Mon ventre me brûle, mon fondement me brûle, mon sexe me brûle, mais je lâche prise et connais un moment d'extase. Des caresses sur mon dos permettent un retour en douceur dans mon corps. Mon sexe coule, mon nez coule, de la bave coule sur mon menton. Je plane encore. Maîtresse se lève et une douce couverture recouvre mon corps. Mes yeux se ferment de plénitude, je suis comblé et m'assoupit.
Il est beau au repos ce bougre, je vais améliorer ses cuni et il sera prêt pour le concours. Sa bandaison est belle, il récupère vite. J'ai bien fait de le contacter. Cela va être un vrai plaisir je pense.
Allongé au milieu du salon, le soumis rêve puis s'éveille. Une belle femme en robe du soir l observe. D'un claquement de doigts elle lui montre le couloir. Il tente de se relever mais le poids d'un pied sur son dos lui fait vite comprendre qu'il doit ramper. Il se déplace ainsi jusqu'à l'entrée. De la badine sa maitresse lui montre ses vêtements. Il se rhabille au sol. Un geste pour le mettre à genoux. La porte s'ouvre. Le couloir est vide. Il sort comme il est entré, il y a une éternité, à genoux les mains sur la tête.
La lourde porte sécurisée se referme sans un bruit. Il se relève et se dirige vers l'escalier. Les quatre étages lui offre le laps de temps nécessaire pour qu'il quitte son personnage . La brûlure à l'aine lui rappellera cette soirée pendant un moment. Il sort de l'immeuble et sourit à la vie. Un bus passe . Il décide de marcher,libre et heureux. Cette belle séance lui a permis d'évacuer le stress. Sa nouvelle vie en région parisienne commence sous d'heureux auspices. La lune qui brille entre deux bâtiments lui adresse un clin d'oeil complice.
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Merci à Coronavirus qui a amené le grand calme sur la ville et le feu dans mon membre. Avec le couvre feu justement, je sors le soir me taper mon harem. Je passe par les allées sombres, les cages oubliées d'escaliers. Mes femelles sont bien chaudes. C'est un devoir d'aller les astiquer. Elles peuvent se laver les mains, mais pas la chatte, c'est interdit. Je les aime bien poilues et parfumées à la cyprine naturelle. Le lavage de chatte au savon de Marseille c'est mon job, avant et après. Culottes interdites, cela va de soi. De belles chattes doivent pouvoir bien respirer.
C'est cette conne de Lorette qui a du me le refiler. Aussi qu'elle idée de bosser par ces temps où il fait bon rester chez soi et ne sortir que la nuit quand tous les chats sont gris. Putain de Lorette avec son cul d'enfer. Chaque fois que je vois Lorette, je bande et il faut que je la trousse et que je l'encule. Jamais de préliminaires, c'est pour les tapettes. Cette conne a voulu continuer de bosser. Cadre à la poste , cela aurait pu être une bonne planque. Mais non, Lorette faut qu'elle mouille le maillot et pas que et donc elle a chopé ce virus et en la baisant comme un sauvage, je l'ai chopé aussi. Pas grave, j'ai mon stock de plaquénil et d'azithromicine, suivant le protocole de l'expert marseillais qui l'avait dévoilé avant ....Une de mes meufs, la belle Aïcha des urgences m'avait averti pour que je puisse prendre mes précautions. Et cela a marché très vite. J'ai niqué ce coronavirus en quelques jours. J'avais en fait suivi le protocole d'Aïcha, Le choper, le niquer à la chloroquine, être immunisé.
Aussi, il faut bien remercier cette grosse salope d'Aïcha pour ce beau service, être immunisé. Une bombe sexuelle sur pattes, cette Aïcha, avec ses seins pointés comme des obus, ses lèvres de prédatrice sexuelle, ses longues jambes musclées. Faut être con pour mourir aux urgences entre les mains d'Aïcha. Surtout qu'elle ne dit jamais non et qu'elle ne porte jamais rien sous sa blouse.
Je me suis pointé ce soir, devant sa cage d'escalier. J'ai attendu qu'elle rentre de son boulot. La pauvre, elle est cassée avec tous ses patients en mal d'oxygène. J'ai posé mes grosses mains dessus. Elle a dit:
_ah c'est toi.
Une bonne femelle reconnait toujours son mâle. J'ai pas répondu, je l'ai embrochée d'un coup dans les reins. Aïcha a tellement aimé qu'elle s'est mise à me pisser dessus. Elle s'est vidée. Nous avons jouit très fort tous les deux. Nous avons fumé un pétard et je l'ai laissée avec son cul bien ouvert et bien rempli de sperme. Sa dose de vitamines en injection directe pour l'aider à tenir.
La nuit ne fait que commencer. Je n'aime pas laisser mes femelles hurler comme des chattes en chaleur. C'est un devoir d'aller les calmer.....
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"Viens ici ! viens à nous ! Ulysse tant vanté ! L’honneur de l’Achaïe !... Arrête ton navire;
viens écouter nos voix ! Jamais un vaisseau noir n’a doublé notre cap sans ouïr les doux
airs qui sortent de nos lèvres; puis on s’en va content et plus riche en savoir, car nous savons
les maux, tous les maux que les dieux, dans les champs de Troade, ont infligé aux gens et
d’Argos et de Troie, et nous savons aussi tout ce que voit passer la terre nourricière."
L’Odyssée d’Homère chant XII
Les Sirènes hantent les contes, légendes, récits oraux, écrits et audiovisuels du monde entier. Depuis l’Antiquité,
où elles apparaissent pour la première fois grâce à Homère, mais peut-être même depuis bien avant, elles ne
cessent de nous poursuivre dans toutes les eaux qu’elles habitent ou survolent.Toujours elles sont présentes,
périodiquement elles ressurgissent. Elles n’ont cessé de muter, de se mouvoir d’un récit à un autre, d’un pays
à l’autre, sous la plume de nombreux auteurs et par la voix de nombreux conteurs. Elles ont changé de forme,
de nombre, de nom, d’intentions et d’interprétation; du chant mortel au pouvoir de séduction d'enchanteresses.
Ce qui rend la Sirène si variable et si multiple, ce sont les yeux à travers lesquels elle est vue, les pensées par
lesquelles elle est imaginée, extrapolée, réinventée. C’est pourquoi on ne trouve pas une seule origine à la
naissance des Sirènes mais plusieurs racines, diverses suppositions. La Sirène est un être mythique qui peuple
paradoxalement notre monde et ce, depuis l’antiquité. On la retrouve partout, en musique chez Wagner en 1876,
dans "l’Anneau de Nibelungen", en peinture dans les œuvres de Rubens, Gustave Moreau, Paul Delvaux, et Edvard
Munch, en poésie chez Pétrarque et Bembo, au théâtre dans le "Songe d’une nuit d’été" de Shakespeare, dans le
roman avec "La petite Sirène" d’Andersen, dans le cinéma, depuis "Miranda" d'Annakin en passant par "Splash",
jusqu’à "La petite Sirène" de Walt Disney, sans oublier les travaux scientifiques, la presse ou la publicité.
Elle est pour les uns une métaphore extrêmement négative: il s’agit alors d’une femme adulte perverse et tentatrice,
dangereusement mortelle pour les hommes. Pour d’autres, il s’agit au contraire d’une innocente jeune fille, vertueuse,
fragile, et surtout amoureuse. C’est là le paradoxe d’une figure mythique, abondamment représentée et en même temps
dénaturée. Dès lors, la figure de la Sirène apparaît comme une figure ambivalente, voire kaléidoscopique. Face à ces
contradictions, le discours peut laisser place au silence, comme témoignage de l'incapacité à saisir ce mythe multiforme.
La Sirène, selon la version la plus diffusée de la légende, est un être fantastique, avec le buste d'une très jolie jeune
femme, et la queue d'un poisson; telle est la créature décrite dans les légendes marines, dans la grande majorité des
contes et aussi dans certains témoignages de découvertes ou captures de Sirènes. La version de la "femme-poisson",
d'origine nordique, est la plus diffusée, mais il y a aussi une version d'origine grecque; par ailleurs chez les peuples de la
Mésopotamie existaient déjà des descriptions d'êtres avec ces caractéristiques. La différence principale de la version
grecque réside dans le fait d'évoquer des créatures moitié femme et moitié oiseau, parfois simplement des femmes.
Le point commun à toutes les légendes est que la Sirène est décrite comme un être qui vit dans la mer, soit dans l'eau,
(version nordique) , soit sur des écueils ou îlots (version grecque). La Sirène, dans la plupart des récits est un être
maléfique qui attire les marins et cause leur ruine; grâce à son aspect de femme très belle ou à son chant irrésistible,
elle est capable de séduire les marins. Aussi le destin des marins varie selon les histoires légendaires; dans l'optimiste
hypothèse, les victimes vivent chez les Sirènes (en revanche ils demeurent éloignés du monde et de leurs familles).
Dans la destinée la plus néfaste, les Sirènes dévorent les marins; parfois, la Sirène et l'homme deviennent amoureux,
mais ne pouvant partager indéfiniment le même univers, ils sont condamnés tous les deux, pour toujours à l'infélicité.
Dans la mythologie de certains peuples antiques, Sumériens et Babyloniens, on isole des êtres qui ressemblent
beaucoup aux Sirènes, soit nordiques (femme-poisson) soit grecques (femme-oiseau); d'habitude il s'agit de dieux
ou de semi-dieux, ou d'êtres possédant un pouvoir magique; les dieux étaient souvent représentés en animal; on
trouve des représentations de dieux avec tête ou autres parties d'animal (comme certains dieux Egyptiens), de
dieux qui peuvent changer leur forme humaine en forme animale, enfin des dieux qui ont toujours la forme d'un
animal. Citons dans ce dernier cas, pour exemple le dieu Babylonien de la mer, qui a l'aspect d'un triton.
C’est dans l’Odyssée d’Homère, au chant XII pour être plus précis, qu’apparaît pour la première fois de l’histoire
littéraire la mention des Sirènes. L’Odyssée est en effet la plus ancienne source littéraire qui mentionne les Sirènes.
C’est à partir de l’Odyssée que va se développer la figure de la Sirène et que cette figure va prendre une telle
ampleur et qu’elle va s’élever au rang de mythe. Selon la mythologie, elles étaient filles du fleuve Achéloos et de
la Muse Calliope, la Muse du Chant, mais surtout des divinités redoutables qui ressemblaient à de grands oiseaux
à têtes de femmes. On raconte, pour expliquer ces formes étranges, qu'Aphrodite leur mit des pattes et des plumes
d'oiseaux tout en conservant leur visage de jeunes filles parce qu'elles avaient refusé de donner leur virginité.
Cette forme composite existait déjà en Egypte où l'âme était symbolisée par un oiseau à tête et à pied humains. Les
Germains avaient aussi leurs Sirènes engendrées par le malfaisant, les "Nixinnes", qui enjôlaient les hommes pour
les attirer dans les flots afin de satisfaire l'appétit de leur père. Au nombre de plusieurs, selon les auteurs, elles vivaient
sur une ou plusieurs îles vertes, situées à l'ouest de la Sicile: Anthemusa et les îles des Sirènes, près du cap Péloros,
aujourd'hui Faros; tandis que les latins les situaient à Capri, elles se montraient particulièrement redoutables, par temps
calme, à l'heure de la sieste. Musiciennes dotées d'un talent exceptionnel, elles séduisaient les navigateurs qui, attirés
irrésistiblement par l'accent magique de leurs voix, de leurs lyres et de leurs flûtes, perdaient le sens de l'orientation
et venaient se fracasser sur les récifs où ils étaient dévorés par ces fourbes enchanteresses.
On leur attribue des noms divers: Aglaopé (celle au beau visage); Aglaophonos (celle qui a une belle voix); Leucosia (la
blanche); Ligéia (celle qui a un cri perçant); Molpé (la musicienne); Parthénopé (celle qui a un visage de jeune fille);
Peisinoé (celle qui persuade); Raidné (l'amie du progrès); Télès (la parfaite); Thelxépéia ( l'enchanteresse); Thelxiopé
(celle qui ensorcelle). Mais l'oracle avait prédit qu'elles disparaîtraient si un seul navigateur résistait à leur envoûtement.
Un jour, les Argonautes, en quête de la Toison d'Or, passèrent près de leur île. Les chants mélodieux des Sirènes les
auraient ensorcelés ainsi que leurs belles promesses, car elles leur proposaient le don de voyance entre autre plaisir.
Odysseus, averti par la magicienne Circé du danger mortel qui le guettait ainsi que son équipage, ordonna à ses marins
de se boucher les oreilles avec de la cire, de l'attacher solidement au mât de son navire et de ne le détacher à aucun
prix, même s'il les menaçait de mort. Orphée le musicien, qui se trouvait à bord, se mit à jouer de la lyre et à chanter.
Le pouvoir extraordinaire de sa voix ne put être égalé ou surpassé par le chant des Sirènes et, selon la prédiction, ces
dernières perdirent tout pouvoir sur les hommes; vexée, l'une d'elles, Parthénopé, se jeta à l'eau; les vagues emportèrent
son corps sur la côte. Plus tard, on éleva un monument en son honneur à l'endroit où fut érigée la ville de Naples.
Le mythe des Sirènes est quasi indestructible. L'iconographie antique les représente comme des femmes à queue de
poisson tenant des instruments de musique ou des oiseaux à visage et seins de femme. Sur les monuments funéraires,
elles figuraient des anges de la mort chantant au son de la lyre tout en ayant des intentions érotiques à l'égard du héros
décédé. De nombreux auteurs anciens les ont citées: Aristote, Pline, Ovide; les bestiaires médiévaux les décrivent comme
des "femmes depuis la tête jusqu'aux cuisses", poissons " de la tête jusqu'en bas avec des ailes et des griffes." Elles ont
laissé à la postérité leur image gravée dans la pierre des stèles, des tombeaux, ou des églises romanes. En Inde, nommées
les Apsaras, elles n’étaient pas maléfiques comme leurs cousines grecques. Jolies et musiciennes douées, elles pouvaient
prédire l’avenir et prenaient plaisir à attirer les hommes, leur apportant bonheur et félicité.
Quand on évoque la version nordique de la légende, on utilise à la place du mot Sirène d'origine grecque, l'expression
"mermaid" (mot anglais pour "sirène"); "mermaid" est un terme en ancien anglais composé par "mer" (ou "meer") et "maid"
(jeune femme). Mermaid signifie donc "femme de la mer". Andersen dans son conte utilise le terme "havfrue" (le titre danois
est "Den Lille havfrue"), synonyme de mermaid ("hav" signifie mer et "frue" femme). La mermaid est une créature moitié
femme et moitié poisson. Elle est représentée avec un buste de femme et une queue de poisson, parfois à deux queues
qui se substituent aux jambes. Comme dans la version grecque, il s'agit d'une créature capable de séduire les marins, mais
sans volonté belliqueuse. Les marins vivent alors en leur compagnie des jours heureux.
Elles revivent dans le folklore nordique et breton, dans le language courant qui les évoque constamment: les expressions
"finir en queue de poisson" ou "écouter le chant des Sirènes", c'est à dire suivre des conseils attrayants mais dangereux.
Les femmes séduisantes qui savent jouer de leurs charmes sont des Sirènes. Beaucoup de marins et navigateurs
prétendirent avoir aperçu des Sirènes. Certaines de ces histoires sont liées aux phoques en Europe du Nord, d’autres aux
dauphins dans les mers du Sud. Ainsi, Christophe Colomb qui prétendait ne pas y croire, dit en avoir vu trois au large de la
Guinée. Henry Hudson, le navigateur anglais raconta également que l’un de ses marins en avait vu une et plongea même
dans la mer pour l’observer. On en mentionne entre autre en Russie, en Thaïlande, en Ecosse, à Tahiti, au Chili.
La liste des témoignages de l'existence des Sirènes est très longue; on parle de personnes qui en auraient vu, voire même
qui en auraient capturé. En 2006 il y eut la découverte du corps d'une Sirène au Venezuela: il s'agissait en réalité d'un faux,
réalisé par un artiste, Juan Cabana. Le dugong et le lamantin (mammifères) sont des animaux marins qui ressemblent aux
phoques, et qui souvent ont été l'origine de "rencontres" avec des Sirènes: ces animaux ont une forme qui rappelle celle
de la Sirène; en outre les femelles ont des mamelles sur la poitrine et nourrissent les petits en les saisissant par les pattes.
La sirénomélie (syndrome de la sirène) est une maladie fœtale rare (1/100 000), à origine inconnue, qui se traduit par un
développement anormal des membres inférieurs, qui sont partiellement ou complètement joints.
Sur le plan symbolique, les Sirènes, filles de l'Eau (abysses de l'inconscient) ou de l'air (le rêve) personnifiaient autrefois
les séductions et les dangers de la navigation. De nos jours, on les considère comme le symbole de la fascination mortelle
du désir, de l'attrait exercé par la femme fatale, la séductrice perfide et cruelle qui apporte la mort physique ou spirituelle,
reprenant ainsi l'image de la courtisane ou femme de mauvaise vie, inventée sur la triple volupté des sens, la musique, le
vin et l'amour, qui sont les attraits les plus puissants pour attacher les hommes sensuels; on a tiré l'étymologie de Sirène
du mot grec "seira" signifiant la chaîne, rappelant ainsi l'impossibilité d'échapper à leurs attraits. Leur souvenir hante
l'inconscient de l'homme qui, jusqu'à la fin des temps, gardera la nostalgie de la femme fatale, "l'anima négative."
Elles symbolisent également l'illusion, car en dépit de la volupté émanant de leurs formes sensuelles, de la douceur
de leur chant, ces nymphomanes qui poursuivaient sans répit les hommes qui pour leur malheur passaient à leur portée,
sont des figures paradoxales en raison de leur corps anormal, par conséquent incapables de satisfaire le désir et la passion.
Si on considère la mer comme l'inconscient et ses profondeurs, et la navigation comme le voyage qu'est la vie humaine,
les Sirènes sont l'image des tentations issues des forces inconscientes, rencontrées sur la route de l'évolution individuelle.
Mais en dehors de ces considérations, ne peut-on également voir en elles l'image de la femme captivante
par son mystère, capable de charmer et d'enchanter l'homme dont elle sait faire vibrer la corde sensible ?
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Mimétisme
Avec le confinement, l'effectif à demeure a connu une brutale inflation, inversement proportionnelle à ma tranquillité de vieil ours. Soit. Parmi les nouveaux arrivants une adorable petite chatte, en chaleur (me rappelle quelqu'un mais qui ...?). Ses chaleurs arrivant mon adorable (et adorée) panthère noire aux yeux verts que j'envie honteusement semet en devoir de répondre à l'appel de dame nature ; les matous ont une façon de faire bien à eux : ils mordent l'arrière du cou de la femelle, l'immobilisent pour la saillir en levrette, si je puis dire.
Et là une révélation : mais je ne serais donc pas seul ? Cette pratique est donc répandue dans la nature ! Peut-être en suis-je pas dramatiquement anormal ? Certes une perversion répandue n'en fait pas forcément une norme sociale acceptable, mais bon, il est toujours agréable de se sentir moins seul.
Et soudainement le doute m'assaille... Et si... Et si ma panthère noire ne faisait de répéter ce qu'il a vu mainte fois sur le canapé du séjour (oui j'ai toujours été un peu exhibitionniste, moins que mes soumises mais quand même un peu) ? Bon d'un autre côté, j'avoue que ça ne me mettait pas complètement à l'aise que mon matou m'observe dans ces moments tendancieux. Aurait-il, influencé par son Maître (oui Poppy, lui aussi, c'est comme ça ^^) et aurait versé dans le BDSM ? Alors, comportement naturel ou mimétisme ? Mais attendez, quand j'y pense, il serait aussi devenu voyeur, comme moi ??? Damned, je lui ai peut-être transmis ça aussi ! Mais au fait, il ne se gêne pas non plus pour copuler en public, il serait donc aussi devenu exhibitionniste comme moi ?
Oh putain...
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Dame Gertrude a été exigeante . Elle est entrée dans la chambre d'un pas vif . Je lisais assise à la fenêtre. " Déshabille-toi! Seule! " Je posai mon livre sur le banc, et d'un seul mouvement m'agenouillai en baissant la tête. Je défis fébrilement les lacets qui retenaient mon corsage. Enfin libres, mes seins jaillirent du corset. Je fis glisser les bretelles de ma chemise le long des bras. En très peu de temps, entourée de ma robe à terre ,je posai mes mains au sol ,fis un pas de côté , retenant d'un pied mon sous vêtement, je me retrouvai nue. Un frisson de plaisir anticipé parcourut mon corps et un gémissement s'échappa de mes lèvres, vite interrompu par une claque sonore sur mes fesses. " Lève donc un peu la tête petite chienne! " et d'une main rapide Dame Gertrude attrapa ma brune tignasse ,la tira vers le sommet de mon crâne et prestement entortillée la fixa de quelques épingles sorties de sa manche.
Puis elle caressa tendrement ma joue. Ce doux contact irradia tout mon corps de plaisir. "Assis! Pas bouger! Je reviens! " et je l'entendis s'éloigner, ses pas claquant sur le parquet. Je restai sans bouger, je sentis les fourmis parcourir mes jambes. Dans un état second ma chatte tentait de se refermer, mes lèvres voulaient se rejoindre, mais non,les cuisses ainsi écartées, ce n'était pas possible! Je n'osais les refermer de crainte de désobéir. De plus en plus ankylosee, mes bras fléchirent et je me tapis sur le sol en fermant les yeux. Une douce somnolence m'envahit . Le dos à la porte, celui qui entrerait verrait toute mon intimité offerte. Cette pensée m'excita et je sentis ma grotte s'humidifier et de petites contractions faire bouger ma vulve. Je ne sais combien de temps j'attendis mais je finis par entendre le pas de Dame Gertrude dans le couloir. Elle n'était pas seule,mon père venait assister à ma séance de dressage. La porte se referma et Dame Gertrude se retrouva devant moi. Je rougis de penser que celui que je prenais pour mon père me voyait ainsi avilie. Je sentis qu'on me tirait les cheveux pour me redresser." Tu vas être punie de t'être ainsi avachie sur le sol! Tiens toi bien sale bête! " Ces mots me firent le même effet qu'une claque. Je me redressai rapidement malgré les fourmis dans mes membres, redressai la tête, les yeux baissés et retins un gémissement de douleur. Puis le fouet claqua sur ma croupe et mon corps se cambra. "À genoux, une main sur la tête, et de l'autre tripote toi, tu es autorisée à t exciter petite chienne! "
À ces mots je me redressais, la main gauche sur la tête ,la droite se précipita vers mon sexe et mon majeur se mit à jouer avec ce petit bout de chair extérieur si sensible. Je ne connais pas le nom et l'ai appelé pour moi seule didi. Il me procure un grand plaisir quand je le touche ou qu'il est écrasé sur la selle de mon poney Roméo. Je n'ose en parler car je crains d'être punie.
"Compte et dis je ne suis qu'une chienne à chaque nombre! " Je m'empresse d'obéir et d'une petite voix murmure : " Un, je ne suis qu'une chienne " Mon majeur s'agite, malgré la honte ressentie le plaisir est grand. Un deuxième coup claque sur mes fesses . " Plus fort la chienne! Je n'entends pas! " Alors je tente d'obéir " Deux! Je ne suis qu'une chienne! " Je perds l'équilibre et heurte le sol de mon front. " Ah tu préfère ainsi, très bien, reste à terre , mais je veux t'entendre mieux. " Dans un sourire je crie " Merci Dame Gertrude" Le fouet claque de nouveau, mon corps se tortille sous la violence et je crie " Trois! Je ne suis qu'une chienne! ." Je reprends mon souffle ,parfaitement immobile à l'exception de mon majeur. Puis je sens une main sur ma tête qui me caresse :"Encore un peu petite chienne. " Et le fouet claque encore. Je crie :" Quatre! JE ne suis QU'UNE CHIENNE! , Pitié, Pitié. ..." Une main caresse mon dos doucement, le fouet frôle mon visage, des larmes mouillent mes yeux, de la morve sort de mon nez et suit les lignes de ma bouche jusqu'au menton. La main masse mes fesses endolories, un doigt s introduit dans ma fente humide. Mon corps exhulte de jouissance.
Je me sens animale, si bien, je suis dans l'instant et oublie presque la douleur tant le plaisir est grand. Il irradie de mon sexe vers mon dos et mon ventre. Il remonte le long de ma colonne vertébrale. Il tourne dans mon bassin tel un serpent qui va bondir. Mes lèvres s'étirent en un sourire ravi. Puis une claque sur mes fesses interrompt ce moment d'hébétude et je reviens brutalement sur terre. Je pleure de frustration. " continue de compter ! " Et le fouet claque de nouveau " Cinq! Je ne suis qu'une chienne! " et cela continue jusqu'à dix. Les coups sont moins forts, presque des caresses pour les deux derniers.
Puis Dame Gertrude me prend dans ses bras. Son doigt pénètre mon anus et bouge doucement. " C'est bien petite chienne. Le Maître est satisfait. Tu es très obéissante. Le Duc aura une belle jeune femme soumise à ses désirs. Et je vois bien que tu aimes cela. Ta chatte ne saurait mentir." Ces douces paroles et son doigt intrusif me rassurent et me bercent. Je sens le plaisir venir et mon corps se redresse dans les bras de mon bourreau. Elle introduit délicatement un deuxième doigt puis un troisième, me repousse pour me mettre à quatre pattes et continue cette pénétration arrière. Tout cesse. Puis je sens un objet oblong remplacer ses doigts. Les mouvements se font brusques. Une claque résonne. Je crie de surprise puis la douleur vient. Le gode en bois forcé mes muscles et je me laisse aller. Un doigt vient jouer avec mon didi qui s'étire de plaisir , je sens de la mouille couler et je jouis à plusieurs reprises. La douleur s'évanouit, remplacée par un plaisir étrange. Le gode est enlevé, remplacé par les doigts experts de Dame Gertrude et mon orifice s'élargit encore :" Je vais pouvoir bientôt y entrer toute la main " murmure-t-elle. Un frisson de crainte me fait trembler mais je ne dis rien car je viens de trouver cette expérience troublante et anticipe les sensations futures. Après encore quelques minutes je me retrouve seule, toujours au sol, tous mes orifices bien ouverts. Je tremble de froid et m'empresse de me rhabiller. Je vais me réfugier dans l'escalier de la tour, le regard perdu vers l'horizon....
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Aujourd'hui j'ai besoin de me confier, ce n'est même pas le mot adequat. J'ai envie de me vider d'expulser, de pleurer. Ici depuis longtemps mais je participe peu, au gré de mes expériences, mes relations, mes envies. La fuite du bdsm parfois par déception, pour y revenir au pas de charge par besoin.
Aujourd'hui je ne vais pas vous raconter ma vie entière et ce qui m'a emmené à tout cela et qui me pousse à l'instant à demander conseils, ou juste mots rassurants à des inconnus, qui pourtant me comprendrons plus que n'importe qui autour de moi. Mes frères et sœurs de bdsm.
Il y a 6 mois de cela j'ai rencontre via internet, sur un site tout à fait connoté bdsm mon compagnon actuel. Coup de foudre, coup de cœur je ne sais pas, mais coup de tête, à peine 2 mois après il me demandait de venir habiter chez lui, à 600 km de chez moi, dans sa demeure pour une relation '' bdsm '', il m'a demandé et sans trop réfléchir j'ai foncé. Qu'une hâte être prêt de lui chaque nuit, chaque matin, toute ma vie. L'homme que je cherchais tant était à première vue enfin à ma portée après milles déceptions sentimentales, bdsm ou vanille peu importe. Beau, intelligent, il me promettait une vie de famille stable car nous avons tout deux des enfants, une figure paternelle pour ma progeniture, la création d'une ferme, le rêve de ma vie. Tout y était. Surtout une chose etait sur, j'étais follement tombé amoureuse de lui. L'homme de ma vie.
Il est venu m'enlever chez moi peu avant Noël, nous sommes partis en voyage pour fêter cette période dans nos familles respectives, nous avons tout fait en grand, présentation et tutti quanti. Le rêve.
Il avait des le départ décidé que je le vouvouerais, même dans notre quotidien, réticente j'ai beaucoup résisté mais cela c'est fait naturellement le vous c'est installé, même devant notre entourage en choisissant mes mots parfois pour ne pas trop choquer. Encore une fois malgré mon peu d'envie de cela ça fonctionnait.
Mais... Arrivés enfin chez lui après notre périple tout à dérapé, habitant depuis 8 ans seul sa grande maison il n'a pas su m'accueillir comme il se doit. Étant de plus une femme de caractère mais émotionnellement très compliqué, peu de confiance en moi, et un passé difficile dont j'ai besoin de me soigner et que j'essaye de faire au quotidien mais la route est longue. J'ai besoin de quelqu'un de paternelle, un peu trop même. Me retrouver à être rouspèté à chaque action que je faisais est devenu si pesant que cela m'a eteind totalement, ne me donnant plus rien envie de faire pour la maison, pour lui faire plaisir, en off totalement. Me sentant imcomprise, méprisé, ne trouvant pas ma place, mes affaires étant au bout de 4 mois encore dans des valises. Je ne me sens pas chez moi. Sachant que j'ai quitté une vie confortable pour cela.
Tout ceci s'ajoutant au fait que maintenant il m'explique qu'avec des enfants nous ne pouvons pas accéder à notre envie d'une relation bdsm, ma vie s'écroule totalement. J'ai tout perdu pour du néant. Je suis en demande constante de '' sexe un peu plus hard '', de séances, mais toujours rien.. Je dois supplier pour avoir quelques moments où je fais boire mon côté maso, tout ceci toujours à ma demande.
J'aurais mille choses à dire mais je n'ai même plus la force d'écrire tout cela.
Toujours pas de collier, toujours pas de séances et tout ceci m'a fait devenir tres mauvaise, parano, triste, je m'en prend constamment à lui même quand il n'a rien fait. Car je me sens berné, frustrée totalement d'être ici, sans pouvoir en plus trouver une relation qui me comble réellement. Tout ceci est un peu meli mélo. Mais j'aimerais vos avis, c'est un vanille qui s'est menti ? que me conseillez vous pour recréer notre lien, m'apaiser. Je suis transparente avec lui donc je peux discuter de presque tout. Je ne sais pas comment nous emmener à enfin créer ce lien Maître soumise dont j'ai besoin.
Sachant qu'en plus j'ai perdu toute confiance en lui et qu'avec tout ce qui s'est passé j'ai dû mal à me soumettre à ses désirs maintenant. Alors qu'à mon arrivée j'étais toute apte à être une esclave rêvée.
Merci d'avance. Je sais qu'il n'y a pas de recette miracle, mais en vous lisant je trouverais peut être des solutions. Ou trouver des dominants avec qui il pourrait discuter. Que sais je. Je suis désespéré.
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À la meurtrière de l escalier de la tour un visage mélancolique apparaît. Damoiselle Blanche enserre les barreaux de ses fines mains.
Son derrière rougi et marqué des coups de fouet lui fait encore mal. La dernière leçon à été sévère. Dame Gertrude n'a guerre de pitié pour la jeune chatelaine.
Dame Blanche revoit son sourire heureux de la voir souffrir. Elle n'a personne à qui se confier. Comment avouer à son confesseur le plaisir qu'elle ressent à chaque fois que sa croupe est fessée ou fouettée? À qui décrire ce frisson qui parcourt son corps? Qui pourrait comprendre ce plaisir qu'elle ressent à chaque fois qu'elle se retrouve à quatre pattes, nue, ses jeunes seins fermes pointant vers le bas, sa croupe tendue, ses cuisses écartées, la tête baissée vers les pieds de Dame Gertrude, l'ourlet de la robe de sa suivante dans la bouche, telle une jeune chienne obeissante? Qui pourrait comprendre ce plaisir qu'elle ressent s'il n'a pas été vécu? Ce n'est pas humiliation pour elle, elle est fière de s'offrir ainsi. Elle sait que c'est pour plaire à son Duc, celui qui l'épousera et permettra à son père d'enfin accéder à son premier cercle. Ce n'est point sacrifier ses jeunes années, c'est si bon de lâcher prise entièrement. Qui pourrait comprendre que son cerveau enfin la laisse en paix et que son corps exhulte lorsqu'elle devient chienne?
Dame Gertrude a été exigeante . Elle est entrée dans la chambre d'un pas vif . Je lisais assise à la fenêtre. " Déshabille-toi! Seule! " Je posai mon livre sur le banc, et d'un seul mouvement m'agenouillai en baissant la tête. Je défis fébrilement les lacets qui retenaient mon corsage. Enfin libres, mes seins jaillirent du corset. Je fis glisser les bretelles de ma chemise le long des bras. En très peu de temps, entourée de ma robe à terre ,je posai mes mains au sol ,fis un pas de côté , retenant d'un pied mon sous vêtement, je me retrouvai nue. Un frisson de plaisir anticipé parcourut mon corps et un gémissement s'échappa de mes lèvres, vite interrompu par une claque sonore sur mes fesses. " Lève donc un peu la tête petite chienne! " et d'une main rapide Dame Gertrude attrapa ma brune tignasse ,la tira vers le sommet de mon crâne et prestement entortillée la fixa de quelques épingles sorties de sa manche.
Puis elle caressa tendrement ma joue. Ce doux contact irradia tout mon corps de plaisir. "Assis! Pas bouger! Je reviens! " et je l'entendis s'éloigner, ses pas claquant sur le parquet. Je restai sans bouger, je sentis les fourmis parcourir mes jambes. Dans un état second ma chatte tentait de se refermer, mes lèvres voulaient se rejoindre, mais non,les cuisses ainsi écartées, ce n'était pas possible! Je n'osais les refermer de crainte de désobéir. De plus en plus ankylosee, mes bras fléchirent et je me tapis sur le sol en fermant les yeux. Une douce somnolence m'envahit . Le dos à la porte, celui qui entrerait verrait toute mon intimité offerte. Cette pensée m'excita et je sentis ma grotte s'humidifier et de petites contractions faire bouger ma vulve. Je ne sais combien de temps j'attendis mais je finis par entendre le pas de Dame Gertrude dans le couloir. Elle n'était pas seule,mon père venait assister à ma séance de dressage. La porte se referma et Dame Gertrude se retrouva devant moi. Je rougis de penser que celui que je prenais pour mon père me voyait ainsi avilie. Je sentis qu'on me tirait les cheveux pour me redresser." Tu vas être punie de t'être ainsi avachie sur le sol! Tiens toi bien sale bête! " Ces mots me firent le même effet qu'une claque. Je me redressai rapidement malgré les fourmis dans mes membres, redressai la tête, les yeux baissés et retins un gémissement de douleur. Puis le fouet claqua sur ma croupe et mon corps se cambra. "À genoux, une main sur la tête, et de l'autre tripote toi, tu es autorisée à t exciter petite chienne! "
À ces mots je me redressais, la main gauche sur la tête ,la droite se précipita vers mon sexe et mon majeur se mit à jouer avec ce petit bout de chair extérieur si sensible. Je ne connais pas le nom et l'ai appelé pour moi seule didi. Il me procure un grand plaisir quand je le touche ou qu'il est écrasé sur la selle de mon poney Roméo. Je n'ose en parler car je crains d'être punie.
"Compte et dis je ne suis qu'une chienne à chaque nombre! " Je m'empresse d'obéir et d'une petite voix murmure : " Un, je ne suis qu'une chienne " Mon majeur s'agite, malgré la honte ressentie le plaisir est grand. Un deuxième coup claque sur mes fesses . " Plus fort la chienne! Je n'entends pas! " Alors je tente d'obéir " Deux! Je ne suis qu'une chienne! " Je perds l'équilibre et heurte le sol de mon front. " Ah tu préfère ainsi, très bien, reste à terre , mais je veux t'entendre mieux. " Dans un sourire je crie " Merci Dame Gertrude" Le fouet claque de nouveau, mon corps se tortille sous la violence et je crie " Trois! Je ne suis qu'une chienne! ." Je reprends mon souffle ,parfaitement immobile à l'exception de mon majeur. Puis je sens une main sur ma tête qui me caresse :"Encore un peu petite chienne. " Et le fouet claque encore. Je crie :" Quatre! JE ne suis QU'UNE CHIENNE! , Pitié, Pitié. ..." Une main caresse mon dos doucement, le fouet frôle mon visage, des larmes mouillent mes yeux, de la morve sort de mon nez et suit les lignes de ma bouche jusqu'au menton. La main masse mes fesses endolories, un doigt s'introduit dans ma fente humide. Mon corps exhulte de jouissance.
Je me sens animale, si bien, je suis dans l'instant et oublie presque la douleur tant le plaisir est grand. Il irradie de mon sexe vers mon dos et mon ventre. Il remonte le long de ma colonne vertébrale. Il tourne dans mon bassin tel un serpent qui va bondir. Mes lèvres s'étirent en un sourire ravi. Puis une claque sur mes fesses interrompt ce moment d'hébétude et je reviens brutalement sur terre. Je pleure de frustration. " continue de compter ! " Et le fouet claque de nouveau " Cinq! Je ne suis qu'une chienne! " et cela continue jusqu'à dix. Les coups sont moins forts, presque des caresses pour les deux derniers.
Puis Dame Gertrude me prend dans ses bras. Son doigt pénètre mon anus et bouge doucement. " C'est bien petite chienne. Le Maître est satisfait. Tu es très obéissante. Le Duc aura une belle jeune femme soumise à ses désirs. Et je vois bien que tu aimes cela. Ta chatte ne saurait mentir." Ces douces paroles et son doigt intrusif me rassurent et me bercent. Je sens le plaisir venir et mon corps se redresse dans les bras de mon bourreau. Elle introduit délicatement un deuxième doigt puis un troisième, me repousse pour me mettre à quatre pattes et continue cette pénétration arrière. Tout cesse. Puis je sens un objet oblong remplacer ses doigts. Les mouvements se font brusques. Une claque résonne. Je crie de surprise puis la douleur vient. Le gode en bois force mes muscles et je me laisse aller. Un doigt vient jouer avec mon didi qui s'étire de plaisir , je sens de la mouille couler et je jouis à plusieurs reprises. La douleur s'évanouit, remplacée par un plaisir étrange. Le gode est enlevé, les doigts experts de Dame Gertrude prennent sa place et mon orifice s'élargit encore :" Je vais pouvoir bientôt y entrer toute la main " murmure-t-elle. Un frisson de crainte me fait trembler mais je ne dis rien car je viens de trouver cette expérience troublante et anticipe les sensations futures. Après encore quelques minutes je me retrouve seule, toujours au sol, tous mes orifices bien ouverts. Je tremble de froid et m'empresse de me rhabiller. Je vais me réfugier dans l'escalier de la tour, le regard perdu vers l'horizon....
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On va vers le bar pour faire les comptes avec Madame Simone. Je me souviens bien de l'avertissement de Jo, le premier photographe : elle a de la famille dans le milieu. C'est la fin de l'après-midi et il y a déjà pas mal de monde sur la terrasse. Dès qu’on est entrés, Madame Simone me demande :
— Alors, ça s'est bien passé??
— Oui Madame. On a fait des photos... corsées.
Je mets tout l'argent sur le comptoir. Kriss, qui n'est pas loin, siffle en voyant les billets. Elle fait remarquer :
— Maman devient une maquerelle.
Connasse?! On a fait des photos et on a baisé parce que j'en avais envie et un peu pour l'argent. Madame Simone retient 20 %. C'est vite gagné pour elle.
On lui dit « à demain ». J'ignore Kriss.
J'ai encore un peu de sperme de Luigi qui coule le long de ma cuisse. On va un peu nager, puis on se sèche en marchant sur la plage. Lorsqu’on est sec, on récupère nos vélos. Ce soir, sardines grillées au menu, et là, au moins, on n'a pas besoin de vêtements. Le loup, ce sera pour plus tard.
***
Le lendemain, je me réveille vers 9 h. Je réveille Julien pour qu’il vienne embrasser ma chatte. C'est le rituel, la marque de soumission de l'esclave à sa Maîtresse. Je ne sais pas s'il aime ma chatte au réveil, collante de la nuit, mais moi j'aime sentir ses lèvres fraîches sur mes grandes lèvres.
Je traîne un peu, puis on déjeune. Ensuite, on se lave et on s'habille... ou pas?! D'avoir baisé avec le marin me donne des envies de bites en moi... Kristos devrait être revenu?! Cet après-midi, on va aller à Agde faire des courses.
À 10 h 30, on est aux Flots bleus. On range, on met les tables... Madame Simone est toujours aussi directive. Je gagne de l'argent grâce à elle, bien sûr, mais il faut aussi que je puisse m'amuser. Kriss donne également des ordres à Julien, et c'est normal, mais aussi à moi, genre : « Samia?! ça fait deux fois que la 7 demande l'addition, tu es sourde ou quoi ? » La 7 est de mon côté mais je ne peux pas tout faire en même temps.
Heureusement, on se fait toujours de bons pourboires. Quand on s'apprête à partir, Madame Simone me dit :
— J'ai une enveloppe pour toi.
Il s'agit de photos faites par Jo, le premier photographe. Elles sont super : on me voit gambader nue dans un peu d'eau. Qu'est-ce que je suis belle?! Il y en a une où je plonge et on ne voit dépasser de l'eau que mes fesses et ma chatte qui fait une moue boudeuse. Il y a une photo de Julien que j'adore : l'eau froide a encore fait rétrécir son petit sexe. Dans cet état, il pourrait baiser la fée Clochette, ça ne risquerait pas de lui faire du mal. Je remercie Madame Simone et on s'en va. Je suis pressée. On prend nos vélos et ensuite, direction camping. Là, je mets ma robe rouge et des sandales. Ça fait bizarre. Je dis à Julien de s'habiller aussi. Après avoir mis un jean et un polo, il me demande :
— Est-ce qu'on pourrait manger un peu??
— Non, tu mangeras plus tard.
Eh, oh, je ne suis pas sa bonne?! Il a faim?? C'est une bonne maladie. On reprend nos vélos. Direction Agde. Il y a environ 6 km.
Là, on va d'abord chez un tatoueur. Il n'y en a qu'un, j'ai trouvé son adresse dans l’annuaire téléphonique du camping. C'est un grand mec d'une quarantaine d'années qui a l'air d'un biker alcoolo. Il y a deux clients ou amis qui ont le même look. Le tatoueur me demande :
— Qu'est ce que tu veux comme tatouage, petite??
Je sors de mon sac un dessin sur un morceau de nappe en papier. C'est un gitan rencontré aux Sainte-Marie qui me l'a fait. J'avais dansé et il avait griffonné ça sur la nappe. Il représente une jolie gitane, moi, qui danse le flamenco. Ils viennent tous regarder. Je lui dis :
— Je voudrais juste le contour comme sur le dessin.
— Facile. Tu le veux où??
— J'hésite, j'avais d'abord pensé sur la fesse, je vais vous montrer.
Je me retourne, lève ma jupe et mets mon doigt un peu au-dessus de ma fesse gauche en disant :
— Ici, mais comme je pose pour le magazine "Belle et nue au soleil", ce serait mieux sur mon bras.
Je rabats ma jupe. Il demande :
— Et le jeune homme??
— Je voudrais une phrase à l'intérieur de son biceps "j'appartiens" et en dessous "à Samia".
Ils sont surpris, Julien aussi. Mais, oh?! Il m'appartient ou pas?? Le tatoueur me dit :
— Écoute, ça me serait utile de faire quelques photos pendant que je vous tatoue. Je pourrai faire de la pub dans le village naturiste. Si je peux te photographier nue et le jeune homme aussi, pendant que je vous tatoue, je ne te ferai rien payer.
— D'accord.
À partir de maintenant, je veux tout faire à poil et ne plus jamais payer?! Il se tourne vers Julien en disant :
— Toi aussi tu es d'accord??
C'est moi qui réponds :
— Je décide pour lui.
Un des clients dit :
— Normal, s'il t'appartient.
Il a tout compris?! Le tatoueur ferme le magasin pour une heure.
J'ôte ma robe et me retrouve en costume d'Ève. Ouf, mon corps respire?! Je vais m'asseoir dans un des deux fauteuils. Les tatouages, si vous passez parfois vos vacances à Berck, vous connaissez. Pour ceux qui vont plutôt en vacances au Touquet, j'explique rapidement comment ça se passe. Le tatoueur me met du désinfectant sur le bras. Ensuite il fait le dessin de la gitane, très fidèlement et enfin, il pique. On le sent, mais c'est très supportable, surtout parce qu'il ne s'agit que d'un contour.
Il faut environ 15 minutes pour me tatouer la gitane. C'est simple mais joli... comme moi?!
Un de ses copains a fait des photos pendant qu'il me piquait en s'assurant qu'on voie mes nichons. Je me lève et je montre mon touage sous tous les angles pour qu'il puisse photographier mon cul.
Au tour de Julien. Je le regarde et ça suffit. Il enlève son polo et son pantalon. Trois paires d'yeux regardent son sexe, puis moi. Vous voyez en deux temps sa bite puis moi-même. Je leur explique :
— Il n'a pas fini sa croissance... enfin, j'espère.
Ils se mettent à rire, mais bien, un rire gras de biker fumeur de Gauloises et de joints.
Au tour de Julien. Le tatoueur écrit à l'intérieur de son bras "j'appartiens" en petit, puis en dessous "à" et en grand "SAMIA". Julien couine un peu quand le tatoueur le pique. Je le prends par le menton et lui relève la tête pour le regarder dans les yeux, en demandant :
— Ça te plaît de montrer que tu m'appartiens??
— Ouiii Samia, mais ça fait mal...
— Tu veux une bonne raison de chouiner??
— Non Samia, pardon.
Un des gars me demande :
— C'est un peu comme ton esclave??
— Oui, c'est ça, je l'ai acheté... mais il était en solde?! Il a un défaut.
On rigole. Celui qui fait les photos nous demande de poser à deux en montrant nos tatouages. Je prends Julien contre moi et instantanément, il bande... C'est bien, un esclave réactif à sa Maîtresse.
Voilà, le tatoueur a ses photos, moi et mon esclave, nos tatouages. Ils me proposent de passer la soirée avec eux. C'est tentant, je leur dis :
— Ce serait avec plaisir mais demain ou après-demain. Ce soir, on a rendez-vous chez des amis à la sortie de la ville. Je téléphonerai.
On se rhabille, on s'embrasse, ils me pelotent les fesses... et on monte sur nos vélos, direction l'auberge de jeunesse. Oui parce que... euh... mon but, en venant à Agde, c’était voir si Kristos est revenu ou s'il y a un message pour moi.
On entre dans l'auberge, la gamine mal embouchée est là avec des jeunes qui louent une chambre, je veux dire un tout petit bout de dortoir. Je veux demander à la fille :
— Est-ce que...
Elle me coupe :
— Tu ne vois pas que je suis occupée??
Toujours aussi mal embouchée, la garce?! Je lui mettrais bien mon poing dans la figure, mais je me retiens, il faut qu'elle me renseigne sur Kristos.
Elle plaisante avec les deux types... Quand ils ont fini, elle se tourne vers moi et je lui demande :
— Tu as des nouvelles de Kristos??
— Il est là?!
— Mais je t'avais demandé de me prévenir
— Tu crois que je n'ai que ça à faire?? Il est arrivé ce matin et il est dans la cour, mais c'est réservé aux clients de l'hôtel.
Là, je lui rentre dedans?! Elle doit s'en rendre compte car elle ajoute :
— C'est bon, je t'autorise à y aller
C'est ce qui compte?! Dans la cour, Kristos boit une bière, assis sur une vieille banquette de camion. Il est avec des copains. Je lui dis :
— Kristos?! Oh, je suis contente que tu sois revenu.
— Mais moi aussi... euh... petite...
Ce salaud a oublié mon prénom?! Décidément, c'est pas mon jour. Heureusement, il ajoute :
— Samia, c'est ça, hein??
— Oui.
Il m'embrasse sur la bouche. Quand sa langue sort de ma bouche, il dit à ses copains :
— C'est la petite que j'ai tirée il y a une semaine.
Ils s'en foutent, les copains, puisqu’ils picolent. Kristos ajoute :
— Ton mari fait toujours faire le guet quand tu baises??
C'est vrai que je lui ai dit que Julien était mon mari. Je réponds :
— Bien obligé. Tu as vu qu'il est monté comme un canari?! Je ne sens absolument rien quand on baise. Tiens, je vais te montrer.
Je sors deux des photos de Jo, une de moi et l'autre de Julien et moi. Kristos les regarde en disant :
— ?? ????? ????... quel beau cul?!
Un de ses copains lui dit :
— Passe.
Kristos les lui tend et les photos passent de mains. D’accord, mais faut pas me les abîmer?! Je vais acheter des pochettes en plastique pour les protéger. Les exclamations des copains de Kristos sont de deux sortes, flatteuses pour moi, genre « mate le cul de cette salope » et nettement moins pour Julien. Pauvre... Non, je rigole. J'adore le voir humilié et lui, ça doit lui plaire aussi. D’ailleurs je ne l'ai pas attaché avec une chaîne, donc il est libre de partir quand il veut?!
A suivre.
Si vous aimez mes histoires, soyez gentil, dites le moi.
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Mes souvenirs de cet après-midi-là sont quelque peu flous, comme tronqués. Si j'ai oublié certains détails, perdus à ma mémoire dans les affres de la douleur et du plaisir, je me souviens parfaitement de tes caresses, de nos baisers. De la tendresse que tu m'as offerte et de tes compliments. De la douleur aussi, bien sûr, vibrante comme une vague, comme une flamme qui emporte tout.
Au-delà des sensations grisantes, si je devais conserver une unique facette de ce moment, c'est la suivante : le bien-être et la confiance profonde qui nous lient. Cela, même quand mon corps luttait, malgré moi, pour esquiver des coups ou un plaisir trop intenses. Bien-être et confiance en notre amour, qui accueille toutes ces parts de nous, et nous permet de nous lier dans la plénitude de nos êtres.
Il y a d'abord, cette légère appréhension, ou est-ce de l'excitation ? Ce tremblement qui me parcoure, l'anticipation, la crainte respectueuse de ce que je vais découvrir de moi. Je n'ai pas peur, j'ai désiré ce moment, je te l'ai demandé, mais le voir se concrétiser, c'est un tout autre monde.
Il y a ta beauté, chemise blanche qui épouse tes formes, pantalon kaki d'une simplicité stupéfiante, ta barbe taillée, ton parfum. Je frémis de désir et de fascination face à ce que tu dégages. Ton sourire est désarmant. Je te trouve splendide, tu irradies la confiance et la maîtrise de soi, la douceur aussi. L'amour, tout simplement. Je suis prête à ce que tu vas m'offrir, prête à m'abandonner.
Je ne porte qu'une robe légère à fleurs, décolletée dans le dos. Pas de sous-vêtements. Tu me fais m'allonger dans le bureau, devenu témoin de nos jeux. Ventre contre le matelas, jambes écartées, mains attachées l'une à l'autre. Mes chevilles et poignets sont maintenus par des sangles à l'armature du canapé-lit déployé.
Tu remontes ma robe pour découvrir mes fesses, les titille, joue avec. Tes mains parcourent mon corps, accompagnées de mots tendres. La conscience de chaque geste m'y rend plus sensible. Puis, entre deux caresses, tes mains s'abattent sur mes cuisses, mes fesses, presque doucement d'abord.
Le premier coup de cravache me surprend, il laisse une marque dans mon esprit bien plus que sur ma peau. J'avais oublié cette sensation. Alternant caresses et coups, tu migres autour de mon corps, mets à mal ma peau, celle des cuisses, mon cul offert, mes mollets aussi. Tu montes doucement en puissance, provoque des tremblements dans tout mon corps. Je me tords, malgré moi, pour éviter la morsure vive du cuir sur ma peau. Jusqu'à l'impact qui me fait te supplier de ne pas aller plus fort et marque ma limite.
Alors, tu recommences à jouer, plus doucement, avec les zones déjà malmenées. Ma peau à vif décuple mes sensations, chaque coup me semble plus cuisant, alors même que tu frappes moins fort. Tu parcoures mon corps de ces coups brefs et cinglants, t'amusant sur mes fesses déjà rouges, descendant sur mes cuisses, mes mollets. Chaque fois que tu quittes une partie de mon corps pour te concentrer sur une autre, une vague de soulagement me parcoure, bien vite effacée par la morsure qui suit.
Inconsciemment, je cherche à échapper aux impacts, mes muscles sont agités de tressaillements que je ne contrôle pas, cherchent à fuir les sensations. Cela devient un combat contre moi-même. Tout en priant pour que tu cesses, je ne veux, pour rien au monde, que cela s'arrête. Je sais que c'est ce que je désire, ce dont j'ai besoin, ce que je t'ai demandé. Alors je m'accroche à cette pensée. J'essaie de ne pas laisser mon souffle se couper, d'accueillir chaque impact.
Rupture de rythme. Tu délaisses la cravache, me laissant un court instant pour souffler. Après l'impression aiguë, la brûlure vive, tes mains qui s'abattent sur ma peau sont presque un soulagement. Par jeu, pour voir, tu maltraites à nouveau le bas de mon corps. Ma peau cuisante accueille les coups, les fuis encore.
Une première claque sur les bras. Ce n'est pas tant la douleur qui me surprend, mais l'idée même que tu attaques le haut de mon corps. À dire vrai, je suis même étonnée que ce ne soit pas plus douloureux. J'attends chaque coup avec attention, craintive, dans l'expectation pure. Pleinement consciente à nouveau de chaque sensation, je m'emplis d'un savant mélange d'anticipation et d'appréhension.
Ta main s'abat sur une omoplate, puis l'autre, je sens mon corps se tendre et lutter à nouveau. Si la douleur est supportable comparée aux précédentes, c'est plutôt la sensation de transgression qui me pousse dans mes retranchements. Cette limite floue qui était la mienne, tu m'offres de la dépasser. Tu frôles doucement cet inconcevable. La sensation frise l'insupportable mais je décide de suivre le courant, de te faire confiance. Je m'accroche sauvagement à la pensée que, si tu m'en crois capable, je peux l'encaisser et dépasser ma crainte.
Quand tu redescends sur mon corps et mes fesses, je m'autorise une respiration. J'ai tenu bon. Quelques derniers coups et griffures sur les fesses et les cuisses m'accompagnent dans ma redescente, apprivoisent ma résistance, m'apaisent. Les impacts se muent en caresses, les claques deviennent effleurements. Tu m'aides à revenir à moi, à atterrir. Tu cajoles mon corps, m'embrasses, me murmure ta fierté. J'ouvre les yeux et ton sourire resplendissant est la plus belle des récompenses.
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Ma peau est écarlate,
Mon corps est constellé de rouge,
Il est traversé de lignes carmin.
Mes mains en feu
Caressent mes jambes sensibles
Et soulagent l'intime.
J'ai le souvenir de la brûlure qui saisit,
De la chaleur étouffante,
Du plaisir sous cette pluie.
Décidément, elle était bien chaude...
...cette douche.
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Le chuintement de la douche se tut doucement, plongeant la pièce dans le silence, coupant court
à mes réflexions. Quelques minutes plus tard, elle sortit nue de la salle de bain, une serviette noire
enroulée sur la tête, la peau rosie par l'eau chaude. Les gouttes cascadant sur ses courbes, tombaient
silencieusement sur le parquet en bois blanc, coloré par la lumière pâle. Elle se déplaçait nue d'une
démarche féline, langoureuse, envoûtante; ses longues jambes brunes étaient terminées par des pieds
fins, aux ongles vernis de rouge.
Je me rappelle cet été quand je regardais ses sandales claquer sur ses talons nus, déjà envahie par un
désir brûlant, irrépressible; mes yeux s'étaient alors soudés aux siens, lourds d'envie; elle me souriait; ses
lèvres ourlées lui prêtaient un air sensuel et lascif. Elle lèva les bras et dénoua sa serviette en secouant la
tête. Une furie de cheveux noirs tomba sur ses épaules fines. Sous ses sourcils bien dessinés, ses grands
yeux noirs, très brillants, semblables à la surface d'un lac au crépuscule, me sondaient sans vergogne.
J'avais pressenti chez elle des promesses de sexe brutal, très primaire, mais il n'en fut rien; au contraire,
des deux, c'est moi qui me révèla la plus dépravée. Elle fut tout en tendresse et soucieuse de plaire.
Elle n'était pas à sa première expérience saphique mais elle me répèta que je surpassais de loin ses
précédentes conquêtes; je me plus à la croire, car mes expériences hétérosexuelles n'avaient jusqu'à
présent jamais été bienheureuses; avant elle, j'étais amoureuse d'aucune fille en particulier, mais seulement
des filles en tant que telles, comme on peut aimer sa propre image, trouvant toulours plus émouvantes et
plus belles les autres, que l'on se trouve soi-même, dans le plaisir à se voir abandonner sous leurs caresses.
Par dessus le drap, elle posa sa main sur ma cheville et mes seins durcissèrent aussitôt; juchée sur ses
genoux, elle écarta les jambes pour me laisser passer. Malgré la douche, son entrejambe diffusait encore
un parfum à l'arôme sensuel mêlé de ma salive et de son désir; une fois allongée sous elle et peinant à
contenir ma propre impatience, je commençai par lécher sa peau autour de ses lèvres odorantes. Il s'en
dégageait une douce chaleur; ma bouche fraya maintenant avec son aine, très près de sa vulve, et elle trembla
d'anticipation. Je glissai le bout de mon index sur le dessin plissé de son sexe moite qui s'ouvrit graduellement
sous mes yeux, la sentant se resserer autour de mes doigts, l'entendant gémir à me faire tourner la tête.
Peu à peu, rattrapée par mon impatience, je commençai à laper ses grandes lèvres, une à une, en faufilant
désormais le bout de mon index dans son ventre, avant d'oser ma langue, assez loin pour que mes dents
touchent la crête enflée. Elle se cabra, elle se tut, elle savoura le moment. Elle répandit son désir dans ma
bouche. Ses seins étaient pressés contre mes mollets; assise à califourchon sur mon visage, gémissante,
pendant que j'écartai ses fesses pour m'enivrer de sa saveur, glissant mes doigts sur ses jambes brunes.
Elle glissa sur moi, me permettant ainsi de voyager de sa vulve savoureuse au sillon de ses reins. Juste à la
crispation des muscles de ses cuisses, elle parut sur le point d'abdiquer sous le zèle de mes caresses. Elle
roula sur le coté, puis remonta vers la tête de lit. Les volets étaient tirés, la chambre presque obscure.
- Pas encore, halèta-t-elle.
Malgré son teint hâlé, je remarquai ses joues rougir par le désir. Ainsi étendue sur le dos, les bras au dessus de
la tête, elle exhibait ses seins en constante érection; je rampai vers elle pour mordiller leurs pointes, dures et foncées,
avant de lécher avidement les aréoles; elle m'enlaça, promèna ses ongles le long de mon épine dorsale. Constatant
son soudain avantage, elle me retourna sur le dos; les genoux écartés, je sentis son souffle chaud sur ma vulve. Elle
introduisit ses doigts dans mon logis profond et onctueux. Enhardi, son plaisir la guida entre mes reins, dans la vallée
chaude de mes fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis; je me cambrai pour aller à la rencontre de sa bouche affamée.
Gémissant plus d'une heure sous ses caresses, et enfin les seins dressés, les bras rejetés en arrière, empoignant les
barreaux du lit, je commençai à crier, lorsqu'elle se mit à mordre lentement la crête de chair où se rejoignaient, entre
les cuisses, mes petites lèvres; me sentant brûlante et raidie sous sa langue, elle me fit crier sans relâche, jusqu'à ce
que je me détendis d'un seul coup, moite de plaisir; je râlais alors que je jouissais pour la seconde fois de la journée.
Nous nous endormîmes, en mêlant nos rêves et nos corps, bouleversées d'amour et de désir.
Aujourd'hui, je pense à tout ce que j'aime en toi et qui s'éclaire parfois, à ton insu, comme un beau front de mer.
Parce que tu m'as fait, un instant, cette confiance, d'être pour moi, toute claire et transparente, je serai toujours là.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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On lui rappela, mais il lui paraissait peu probable qu’elle sût, en toute connaissance de cause, à quoi elle s'était engagée;
lorsqu’elle l’aurait compris, il serait trop tard pour qu’elle échappât; après une route interminable, Juliette arrêta la voiture
devant un portail austère où un homme nous attendait; le temps de reprimer son angoisse, Charlotte se retrouva les yeux
bandés; elle portait une robe droite noire, avec une fente arrière arrivant jusqu'à mi-cuisse; en dessous, un corset rigide
rehaussait ses seins, révélant les aréoles, et la naissance des pointes, en faisant saillir le ventre, des bas fins et noirs
tenus par un porte-jarretelles; elle était chaussée de talons hauts; sa Maîtresse lui attacha les mains derrière le dos.
Le temps de réprimer son angoisse, une poigne énergique et brutale enserra ses bras frêles et la conduisit dans une pièce
qu'elle imagina minuscule, sorte d'antichambre où elle attendit un long moment; nous fûmes conduites dans un petit salon;
je me glissai derrière elle, et soulevai sa chevelure, en faisant glisser la fermeture éclair de sa robe, de la nuque, jusqu'au
bas du dos, le vêtement tombait à ses pieds, tandis que je dégraffai ses bas en les faisant glisser le long de ses jambes.
Le serre-taille rejoignit le reste de sa parure à ses chevilles, dénudant totalement Charlotte; elle conservait, fixée au centre
de ses reins par trois chaînettes d'or tendues à une ceinture de cuir autour de ses hanches, un bijou imitant un sexe dressé,
destiné à distendre le cercle de chair, et à rendre encore plus aisé l'usage de cette voie; jugée trop étroite, pour la prêter, sa
Maîtresse avait cru bon de l'élargir afin qu'elle fut doublement ouverte; ainsi forcée, elle en portait un chaque jour plus épais.
Une présence se manifesta soudain l'arrachant de sa torpeur; on la poussa pour descendre les marches d'un escalier
tortueux; l'odeur de la terre humide emplissait ses narines; au bas de l'escalier, se trouvait une cave avec son odeur
caractéristique de moisissure; une véritable cave comme une esclave doit l'aimer; on retira la ceinture de cuir et on la fit
asseoir sur une chaise en bois hérissée d'un volumineux godemichet de sorte qu'il la pénétre profondément entre ses reins.
Empalée dans la cave déserte, où les effluves d'humidité évoquaient l'odeur des anciennes prisons, on glissa sur sa
tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée
au niveau de la bouche; elle ne fut pas fouettée tout de suite; les seins et la bouche offerts, dans cette froide pénombre
où ne pénétrait aucun bruit, tremblant de froid, elle ne vit jamais les deux hommes qui entraient ni la jeune fille soumise.
Quelqu'un l'appela "Numéro 2" et s'adressa à elle en la traitant de "sac à foutre"; Charlotte apprit qu'elle était là pour
servir de réceptacle à la semence des Maîtres, qu'elle devait recevoir par tous les orifices prévus par la nature, sans
jamais protester ni même trahir une quelconque émotion; c'était une femme ravalée au rang d'objet muet et servile;
un homme s'approcha de la chaise; Charlotte devina qu'il tenait à la main deux longues et fines aiguilles.
On la porta sur une table où elle fut allongée sur le dos et solidement ligotée; elle attendit quelques minutes dans la
position infamante de l'esclave offerte et consentante; les hommes s'approchèrent d'elle et brusquement elle sentit
des dizaines de doigts la palper, la fouiller, la dilater avant que les sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer;
elle fut malmenée, saccagée, sodomisée; mais un Maître interrompit brutalement la séance qui lui parut trop douce.
Il s'empara d'un sein qu'il se mit à pétrir, à caresser, puis à pincer pour en faire jaillir la pointe granuleuse; lorsque le
mamelon fut bien excité, il y planta la première aiguille, puis presque aussitôt, la seconde dans le mamelon du sein
qui n'avait pas été caressé et qui réagit par conséquent de toute autre façon; d'autres aiguilles furent plantées, tout
autour des aréoles, faisant perler quelques gouttes de sang, puis il transperça la peau endolorie des grandes lèvres.
L'homme força sa bouche alors que les lèvres osaient à peine effleurer la pointe du sexe, protégé encore par sa gaine
de douce chair; Juliette admirait les mouvement de la bouche refermée et resserrée sur le membre qu'elle avait saisi,
et le long duquel elle montait et descendait, le visage défait de larmes chaque fois que le sexe gonflé la frappait jusqu'au
fond de la gorge, repoussant la langue et lui arrachant une nausée; elle le reçut avec soulagement comme une offrande.
L'homme, penché au dessus d'elle, tenait à la main une bougie; d'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina, la cire brûlante
perla sur sa peau en cloques blanchâtres; l'idée d'être brulée vive la terrorisait; son martyre devenait malgré elle délicieux;
elle perdait la notion du temps et de la douleur; soudain des coups de fouet la cinglèrent avec une violence terrifiante; elle
compris que les cinglements étaient destinés à faire éclater les croûtes de cire qui constellaient son ventre et ses seins.
On détacha Charlotte de façon à lui permettre de pouvoir prendre du repos, mais cet intermède ne dura que le temps de
préparer l'épreuve suivante; on lui lia les chevilles avec des lanières de cuir reliées par des chaînes au murs de pierre et
on emprisonna ses poignets dans des bracelets d'argent pendus que l'on écarta en croix, comme les cuisses; elle était
ainsi offerte dans cette position humiliante, que la lumière ne parvenait pas à rendre impudique.
Les seins et le ventre offerts, et le lugubre silence; rien qui lui était d'autant de secours que le silence et les chaînes; se
lassait-elle ? Non; à force d'être outragée, il semble qu'elle aurait dû s'habituer aux outrages, sinon au fouet à force d'être
fouettée; on lui ôta la cagoule; Charlotte parut fascinée par la noblesse des lieux; c'était une cave voûtée splendide, aux
murs de pierres apparentes; des cierges ornaient chacun des angles dont les flammes tremblaient sur l'or des pierres.
Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le
corps avant d'autres cinglements plus agressifs; l'homme passa rapidement à la cravache; elle en reconnut la morsure
particulière; on la flagella avec une rigueur impitoyable, si bien que le ventre et le devant des cuisses avaient leur part
autant que les seins; l'homme voulait entendre Charlotte hurler au plus vite; il écouta ses gémissements devenir des cris.
Pendue aux bracelets qui lui sciaient les poignets, écartelée à en sentir les jointures de ses cuisses endolories, elle ne
pouvait faire un mouvement, ni tourner la tête pour voir la jeune soumise; "Numéro 2" s'approcha de Charlotte; après un
moment, on retira la cagoule qui l'aveuglait; elle aperçu la jeune fille, à peine plus âgée qu'elle; elle avait un corps parfait
et un visage délicat; un homme lui murmura à l'oreille qu'elle devait se servir d'elle comme bon lui semblerait.
Flattée, "Numéro 2" entendait amener Charlotte à merci; elle commença par lui caresser l'intérieur des cuisses; la jeune
soumise semblait sûre d'elle, faisant preuve d'une tranquille détermination; elle ne ressemblait plus en rien à une esclave
sinon sa nudité; au contraire, elle avait le port du visage fier; aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, Charlotte gémit.
"Numéro 2" passait de la droite à la gauche, s'arrêtait, reprenait; la suppliciée se débattait de toutes ses forces.
Charlotte crut que les liens la déchireraient; elle ne voulait pas supplier; qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable
qu'un homme, elle n'en avait jamais douté, mais elle pensait que la jeune soumise cherchait moins à manifester son autorité
qu'à établir une complicité; de fait,"Numéro 2" arrêta la flagellation pour s'amuser avec son sexe, écarter les chairs, agacer
le clitoris, et la pénétrer avec le manche de la cravache; enfin, elle fit le tour du corps écartelé et détacha Charlotte épuisée.
Souillée de sperme et de sueur, Juliette décida qu'elle devait être reconduite au premier étage pour qu'elle fût douchée;
après une minutieuse toilette, elle lui ordonna d'uriner à même le sol dans une coupelle, de renifler son urine et de la boire;
bouleversée par cette épreuve, au bord des larmes, mais n'osant se rebeller, elle sentit soudain qu'elle n'y échapperait pas,
elle se mit à laper le liquide tiède et clair et à l'avaler, prenant soin de ne laisser aucune goutte, sans être comblée de honte.
Elle fut conduite dans la chambre qu'elle devait occuper, où nue et attachée, elle s'endormit.
Hommage à Charlotte.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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Juste avant que la décision ne tombe (tu en étais informé en amont) et que nous soyons tenus de nous confiner, tu m’as proposé de venir m’installer chez toi, pour, selon tes mots, que j’assure la «continuité du service sexuel que je te dois ».
Jusqu’ici, nous nous étions toujours refusés à vivre ensemble, choisissant de conserver chacun notre appartement, même si, aux yeux des autres, de nos familles, de nos amis, nous étions, nous sommes « ensemble ».
Ce choix, nous l’avions fait d’un commun accord. Ce n’était ni le tien, ni le mien mais bien le nôtre. Parce que nous nous pensions tous deux trop libres, trop indépendants pour supporter une cohabitation au quotidien, une vie de couple « normal», craignant malgré tout ce que nous avons construit ensemble de finir par nous lasser l’un de l’autre, et de nous perdre l’un l’autre.
Malgré mon appréhension, j’ai accepté, sachant que le confinement était inévitable et je me suis installée chez toi.
Nous en sommes désormais à notre deuxième semaine de cohabitation forcée, « télé-travaillant » tous deux, passant l’essentiel de nos journées « confinés », même si, toi comme moi, de par nos métiers respectifs, nous pourrions continuer de nous déplacer comme avant pour vaquer à nos occupations respectives. Ce n’est pas le choix que nous avons fait. Par civisme, respect des autres sans doute davantage que des consignes, pour ne pas courir ou faire courir de risque à autrui.
D’entrée de jeu, tu m’as proposé de m’installer à ma guise. Je t’ai laissé ton bureau et j’ai choisi d’envahir le salon, installant mon pc, mon portable, mes dossiers.
Et nous, qui jusqu’alors passions notre temps à courir après le temps, nous avons appris à vivre selon un rythme différent. Ensemble.
Cette cohabitation, cette intrusion de chacun dans le quotidien de l’autre, qui jusqu’ici me faisait peur, non seulement je ne la crains plus, mais j’y prend goût chaque jour davantage.
Nous continuons de travailler, nos journée sont bien occupées, entre courriels, téléphone et visioconférences, mais j’apprécie de te savoir tout proche, à mes côtés et moi aux tiens, qu’à tout moment tu peux venir me rejoindre, m’apporter un café, un thé, échanger, parler, vivre.
Ni pour toi ni pour moi, télétravail ne signifie laisser aller. Nous nous respectons trop l’un l’autre pour cela. Même confinés, je m’habille comme si j’allais au cabinet et de ton côté la seule liberté que tu t’es offerte c’est de renoncer au port de la cravate.
Ta femme de ménage ne venant plus, tu m’as proposé de partager les tâches ménagères.
J’ai refusé.
Non que j’adhère à la vision traditionnelle des rôles respectifs de l’homme et de la femme.
Tu sais combien je hais les machos imbéciles pour qui la femme n’a d’utilité qu’au lit et comme domestique.
Mais, même si je demeure femme, je suis aussi ton esclave, et j’ai voulu te le prouver, au quotidien, en prenant à ma charge toutes ces tâches ingrates que bien souvent les femmes n’ont d’autre choix que d’assumer, n’ayant pas la chance d’avoir comme conjoint ou partenaire un mec comme toi.
Moi qui normalement emploie également quelqu’un pour ces « tâches subalterne », j’ai appris à faire les poussières, à passer l’aspirateur, à laver les sols, les toilettes, la salle de bains, à me servir du lave vaisselle et du lave linge, à repasser tes chemises, tes caleçons...
Et puisque j’accomplis ces tâches en tant qu’ «esclave », je me met nue pour ce faire. Ce qui te permet aussi, si tu en as l’envie (fréquemment, ce qui n’est pas pour me déplaire !) de m’utiliser autrement, toujours comme « esclave » mais à d’autres fins.
Nous cuisinons ensemble.
Ni toi ni moi ne sommes très doués (enfin toi encore moins que moi ????).
Mais j’aime ces moments partagés, nos rires, ce plaisir simple, aux résultats parfois surprenants quand tu t’essaies à des recettes élaborées et que nous finissons devant un plat surgelé compte tenu du produit final auquel tu es parvenu.
Le reste du temps, nous parlons, nous lisons, nous échangeons, nous confrontons nos points de vue.
C’était déjà le cas avant, mais désormais que le temps s’écoule autrement, nous en avons davantage pour « nous ».
Surtout, même si j’avais le sentiment de bien te connaître déjà, j’ai appris à te connaitre différemment, dans ton environnement quotidien, ta manière d’être, de réagir, de te comporter.
Et puis il y a nos nuits. Le bonheur de partager ta couche, corps et désirs entremêlés, ta violence et ta tendresse, cette envie qui nous habite de vivre, de profiter de ce temps que nous avons pour nous, de jouir l’un de l’autre, dans tous les sens de ce mot.
Je croyais te connaître, pourtant grâce à ce confinement imposé, je continue de te découvrir, avec des aspects de ta personnalité que je ne connaissais pas et d’explorer avec toi, grâce à toi des territoires inconnus.
Je ne sais pas ce qu’il adviendra demain. En tout cas, au terme de cette période étrange, de ce temps comme suspendu, je ne porterai plus le même regard sur la vie.
Et je n’aurai plus peur.
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On monte dans le zodiac avec Luigi, le marin/garde du corps. Je dis à Julien :
— Tu commences.
Comme ça, je vois comment ça se passe. Il est tout fluet, ça m'étonnerait qu'il y arrive. Luigi lui montre bien la position et Julien se retrouve dans l'eau avec des skis. Il n'est pas à l'aise du tout, on dirait qu'il va pleurer. Quelle petite moule?! Le marin met en route le moteur et accélère. Et, là... Julien sort de l'eau?! Je suis très étonnée. Gilou a un appareil avec un gros télé pour le photographier. Ensuite, c'est mon tour. Je chausse les skis et je vais aussi dans l'eau. Il ne faut pas que je me plante?! Le bateau accélère et je sors également de l'eau. J'adore cette sensation, j'ai presque l'impression de voler. Je vole au-dessus des vaguelettes, nue et mouillée.
C'est trop bien. Je demanderai à lui aussi d'avoir des photos.... Je ne tombe qu'une fois, mais je repars. Je skie encore un long moment, je fais un peu la conne en me tortillant et je tombe. Le zodiac vient près de moi. Gilou me dit :
— Remonte, on termine avec Moira et Luigi.
Oh??! ça sent la partouze marine, ça?! Oui, mais c'est plus de l'érotique. Gilou sort un billet de sa poche et me donne 1000 F de plus?! Bon, va pour la partouze marine. Il dit :
— Pour commencer, je voudrais que le petit se mette à genoux à hauteur des seins de ma femme pour qu'elle le suce. Luigi s'occupera de toi.
Moira est un peu descendue sur le lit de plage pour être à plat et elle a levé les bras, dévoilant les buissons roux de ses aisselles. Julien va délicatement se mettre à genoux au-dessus d'elle, manquant de l'éborgner avec sa bite. Je rigole?! Il met son tout petit engin sur les lèvres de la belle rousse, tandis que son mari mitraille. Elle ouvre la bouche et l'engloutit littéralement. Il est tellement menu qu'elle arrive à enfourner sa bite et ses couilles en même temps. Ce n'est plus un homme... mais entre nous, ça ne l'était pas beaucoup avant que sa virilité disparaisse dans la bouche de la dame?! Elle le ressort. Ouf?! il est redevenu un homme. Enfin, je veux dire un garçonnet.
Luigi s'est déshabillé et il vient se coller à mon dos. Oh?! c'est pas un garçonnet ou un lutin, lui, mais un vrai mâle. Son sexe est dressé sur mes reins (il est beaucoup plus grand que moi) et il me caresse les seins. Il tire sur mes tétons avec juste ce qu'il faut de brutalité pour que je me frotte à lui en gémissant. Son patron fait des photos, bien sûr. Quand il s'arrête, c’est pour dire à sa femme :
— Ne le laisse pas jouir.
Julien se retire, son petit service trois-pièces tout luisant de salive. Clic, clic, clic... Gilou me dit :
— Lèche ma femme, ma belle.
Moira me sourit et dit :
— Attention, je sens la ménagerie.
— Pas plus que je ne suis une voleuse, Madame.
Je me mets à genoux et je me penche pour lécher sa chatte, mais elle la couvre de sa main en disant :
— Demande.
— Euh...
— Demande la permission de me lécher !
Elle veut jouer... mais, bon, avec ce que je suis payée, on ne va pas discuter. Donc je lui dis :
— Je peux vous lécher la chatte??
— Mieux que ça.
— Je vous en prie, j'ai tellement envie de vous lécher, Madame.
Un hochement de tête. Le flirt avec Luigi et maintenant ce jeu avec elle, je commence à être vraiment excitée. Si un exocet ou poisson volant fait un bond hors de l'eau et atterrit sur ma chatte, je jouis?! Je pose ma bouche sur ses grandes lèvres tout en me cambrant pour présenter mes fesses aux éventuels marins qui passeraient par là. Allez-y les gars : à l'abordage?!
Moira a posé son pied sur le haut de mon dos tandis que je la lèche du vagin au clito. Difficile de décrire deux actions simultanées, mais tandis que je la lèche, Luigi pose son gland à l'entrée de mon vagin?! Si mon sexe avait des mains, il l'attraperait et se l'enfoncerait bien profond. Mais vas-y, merde?! T'as peur?? Ah non, il s'enfonce complètement dans ma chatte et ses couilles viennent même claquer sur mes cuisses. Voilà, on est en accord, ma langue dans une chatte et une bite dans la mienne. Je ne suis pas la seule à être très excitée, Moira caresse mon dos avec un pied tandis que de la main, elle m'ébouriffe les cheveux comme on fait à un chien. Je lèche et je suce son clito. Je me dis, « Attends petite snobinarde, je vais t'envoyer en l'air?! Tu vas griffer les mains de ta mère » (c'est une image?!). Ça y est, elle colle mon visage contre sa chatte et jouit comme la première Romanichelle venue.
Les clics clics n'ont pas cessé, tandis que Luigi continue à me baiser lentement... Je tortille un peu mon cul, en espérant qu'il accélère... Bobby dit à sa femme :
— Tu pourrais bouger, ma chérie??
Il prend sa place en me disant :
— Lèche ma bite sans la prendre en bouche.
Je fais coulisser sa peau — clic, clic — et sors bien la langue pour lécher son gland — clic, clic. Luigi commence à me baiser plus rapidement... Mon vagin se resserre tandis que dans mon cerveau, mon hypothalamus s'apprête à lâcher une bonne dose d'endorphines. On est en pleine mer, il y a peu de voisins, à part dans le ciel et dans la mer. Alors je peux me laisser aller à gueuler :
— Ohhhh oouiiiiii..... c'est boooooooonnnnnnn?!
Evidemment, j'affole un peu les mouettes, mais putain, ça fait du bien?!
Je sens que la bite de Luigi quitte ma chatte, qui lui fait plein de bisous au passage. Il a du self-control, le matelot?! Gilou demande :
— Pour terminer, tu as des idées Moira ?
Elle réfléchit... Je réponds à sa place :
— Moi j'ai une idée, c'est...
Moira me coupe :
— Tu t'appelles Moira??
— Non... pardon, mais...
— Allez, vas y. Crache-la, ton idée. Mais si elle n'est pas bonne, on te met aux fers dans la cale.
Elle plaisante, hein??
— C'est que des photos de Luigi et moi, ça pourrait être bien.
Elle répond :
— Dis plutôt que tu as envie d’encore te faire baiser par lui.
— Euh... oui... c'est vrai.
— Allez, montre ce que tu sais faire.
OK. Je me colle à lui comme une moule à son rocher, je l'embrasse tandis qu'il me caresse les fesses. Quand nos bouches se séparent, j'embrasse sa poitrine, le nez dans ses poils... Je descends jusqu'à me mettre à genoux à ses pieds. J'embrasse ses couilles, je les lèche, les mordille.. Ensuite j'embrasse son sexe de la base jusqu'au gland qui a si bien fouillé mon vagin... Quelle belle queue?! Je me relève et je mets mes bras autour de son cou en lui demandant :
— Tu veux bien me prendre par les fesses et m'asseoir sur ta bite, mon beau marin ?
Entendons-nous, je fais ça... pour que Gilou ait de belles photos, bien sûr. Luigi positionne son sexe sur ma chatte, la gravité fait le reste... Oh, je suis pleine de sa bite... Avant de me laisser au plaisir de me faire baiser, je dis vite à Bobby :
— Gardez quelques photos pour la fin.
— D'accord.
Luigi m'a solidement empoignée par les fesses et il me fait monter et descendre sur les 22 ou 23 cm de chair durs de sa bite. Je commence par gazouiller, puis je chante, genre :
— Oh oui... c'est boooon, défonce-moi?! Plus fort.... je sens rien?! Aaaiiieee?! Oui, comme ça, aaaahhhhhhhhhh....
Ça y est, je grimpe aux rideaux (il doit sûrement y en avoir dans les cabines)?! Et, foin de son self-control, Luigi jouit en moi...
J'imagine ses spermatozoïdes super costauds partir en bande pour aller violer un de mes ovules.. Enfin, violer, c'est un grand mot. Si mes ovules me ressemblent, elles doivent les accueillir, genre "welcome strangers"...
Voilà, c'est fini. Luigi me fait descendre... J’ordonne à Julien :
— Couche-toi sur les dos.
Dès que c'est fait, je m'accroupis au-dessus de son visage et j'ai la générosité de lui faire ce cadeau : des globules de sperme et de sécrétions qui tombent dans sa bouche. Il en sort 2, puis 3... Je m'assieds, la chatte sur sa bouche, en lui disant :
— Fais le ménage?!
J'adore l'idée... Quelques minutes de nettoyage plus tard, je me relève. N'allez pas dire « pôv' Julien », il aime ma chatte même pleine du foutre d'un autre. La preuve : il bande?! Enfin, il bande comme un ouistiti pygmée...
Quand je me relève, Moira me dit en souriant :
— T'es une vraie salope toi, de traiter ton petit frère comme ça.
— Enfin un mot gentil !
Luigi me dit :
— Très bonne séance de photos. Et avec Dennis, ça s'est bien passé ?
— Oui, il va même m'envoyer des photos, dont une ou deux signées.
— Garde-la précieusement, il devient de plus en plus célèbre.
Cool. Il va sûrement nous inviter à manger avec eux. Je regarde Gilou... Il parle avec Moira d'une invitation chez des amis. Ça me va aussi...
J'interromps leur conversation pour lui demander :
— Vous voudrez bien donner quelques photos à Simone des Flots bleus ?
— Oui, oui... si j'y pense.
Quel rat?! Pendant qu'on faisait des photos, il était tout miel?! Moira me dit :
— On est train de parler, là... Luigi va vous reconduire.
On ne mange pas ensemble, on ne s'embrasse pas, on ne se parle même plus?! Sales riches?! J'ai compris : n’étant pas du même monde, on est congédiés?! Je leur dirais bien : le père de Julien est aussi riche que vous. Qu'ils aillent se faire voir?! Luigi nous dit :
— Venez dans le zodiac, les enfants.
On s'installe. Je lui fais remarquer :
— En fin de compte, ils sont vraiment pas sympas.
— Qu'est-ce que tu veux, ce sont des riches.
Ah, qu'est-ce que je disais?! Il ajoute :
— Le principal pour toi, c'est que tu as été très bien payée.
— Oui, c'est vrai. On va se revoir??
— Pourquoi pas. Tu as une petite chatte... accueillante.
C'est tout?? J'aime pas les larbins des riches?! Il nous dépose devant « Les Flots bleus ». Je lui dis :
— Salut... et peut-être à un de ces jours.
— C'est ça, tu me liras les lignes de la main.
Bon, passons à autre chose.
A suivre.
Je suis ici mia.michael@hotmail.fr et je suis sympa.
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Toujours attachée aux montants du grand lit conjugal, la jeune dame Blanche attend son seigneur. Son bassin écartelé lui semble vouloir se séparer de ses jambes. Le gode en bois enfoncé dans son intimité et retenu par une ceinture de chasteté l empêche de bouger. Des fourmis parcourent ses membres, sa tête penche sur son torse, ses mains engourdies essaient de la retenir, elle gémit dans son bâillon de soie.
Elle voit la porte bouger et la tête de la jeune Babette , l'esclave de son époux apparaît. Sans un mot la petite entre et repousse la porte. Elle s approche du grand lit et sort la clef de la ceinture de chasteté de sa manche. Elle déverrouille l attache et ôte le gode de bois de l'intimité de dame Blanche. Elle va prendre une louche d'eau fraîche et la présente à la bouche de Dame Blanche. Puis avec un sourire méchant dans un mouvement fluide l éloigne : Le Maître ne veut pas. Vous devrez d'abord vous délecter de son jus. Puis elle s agenouille et mordille le clitoris de madame en bavant bien.
À ce moment là des pas précipités raisonnent dans le couloir. Babette s agenouille précipitamment au bord du lit,le jupon relevé, sa jeune croupe tendue et offerte.
Le maître apparaît à la porte fier et droit, il embrasse la chambre d'un seul regard hautain et avance vers le lit. Il doigte brutalement sa servante avant de glisser le doigt humide dans la bouche de sa femme : a-t-elle bon goût? Il baise le front de dame Blanche puis son majeur explore son sexe : Bien tu as bien mouillé. Tu es prête à me recevoir.
Il détache sa jeune épouse, la prend dans ses bras musclés, et la conduit jusqu'à la cheminée. Babette! Viens déshabiller cette puterrelle que je vois son corps.
La servante se précipite et ôte une à une toutes les couches de tissus qui protègent dame Blanche du froid.
Nue et tremblante, elle se retrouve à plat ventre sur le tabouret de bois .
Le seigneur sort un fouet de sa grande poche. Babette prend le sexe de son maître en bouche et le suce doucement. Le premier coup surprend la jeune femme nue. " Compte que je ne t'ai pas appris pour rien! .
" Un mon bon seigneur "
" Deux mon bon seigneur "
Les coups et les comptes continuent. Il repousse la servante et ordonne :
"Va donc lécher ta maitresse petasse , elle supportera mieux le fouet! "
La petite se glisse sous les cuisses de dame Blanche et d'une langue experte tiitille le clitoris. À chaque coup de fouet le ventre se rétracte, les lèvres se resserrent, et le clitoris se recroqueville.
À six le fouet cesse de claquer, le corps se détend tout se relâche. Le maître ecamine les traces sur le dos . Il repousse Babette qui s'empresse d'aller chercher l onguent pour soigner.
Il caresse tendrement les cheveux de sa femme puis la pénètre profondément. Tout humide de la salive de Babette le sexe s'ouvre aisément sous les coups de boutoir virils. Il prend son temps et jouit dans un râle profond.
" Tu as été une bonne fille, tu pourras sortir au jardin. Mais avant fais moi une toilette, dit il en se plaçant devant son épouse. Elle lèche le sexe humide à petits coups de langue délicats. La servante se précipite derrière son maître et lèche la fente entre les fesses. Puis dame Blanche écarte son mari de ses douces mains et Babette introduit sa langue dans l'orifice du maître.
"Quelle douce toilette mes salopes!
Merci. Je dois retourner à mes occupations. Habille Madame et allez au jardin.
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Amazone. Ce mot n'évoque pas seulement une cavalière de la belle époque ou le costume qu'elle portait. C'est le
souvenir d'antiques peuples de femmes guerrières. Filles d'Arès et de la naîade Harmonie, selon la légende, elles
vivaient en Cappadoce, sur les rives du Thermodon, au Nord-Est de la Turquie, et conquirent de vastes étendues
jusqu'en Asie Mineure; elles avaient l'habitude de se comprimer un sein dès l'enfance, afin de faciliter le tir à l'arc.
Portant casque et armure, arcs de bronze et boucliers en demi-lune, ce furent les premières femmes à utiliser la
cavalerie. Sans foi ni loi, vivant de pillage, elles constituaient des tribus matriarcales qui se perpétuaient par de brèves
relations, une fois l'an, avec des hommes des régions voisines auxquels elles renvoyaient les enfants mâles, ne gardant
que les filles qui étaient très tôt entraînées à la chasse et à la guerre. Leur pays était gouverné par une reine.
Les récits les plus connus sur des Amazones viennent de l'antiquité grecque. Les Amazones apparaissent dans les textes
au VIII ème siècle av. J.-C. chez Homère. Cependant, il est pratiquement certain que le mythe était transmis oralement bien
avant son évocation dans l’Iliade. Cette apparition au VIIIe siècle lui donne une nouvelle impulsion et les guerrières font leur
apparition sur des boucliers et des vases. Les plus anciennes représentations mises au jour datent de 700 av. J.-C.
Elles se disaient filles de Mars, le dieu de la guerre; sous la conduite de reines énergiques: Orythie, Marpésia, Lam-pedo,
Antiope, Hippolyte, Penthesilée, elles firent de vastes conquêtes en Asie; mais des expéditions conduites par les grands
héros grecs, Hercule et Thésée défirent les Amazones sur leur territoire d'origine; Achille aurait tué Penthesilée en combat
singulier pendant la guerre de Troie. Ainsi, disent les anciens, s'éteignit la nation des Amazones du Thermodon.
Des historiens d'Alexandre le Grand relatent qu'il rencontra au Sud-Est du Caucase certaines de leurs descendantes.
Accompagnée d'une escorte de trois cents guerrières, leur reine Thalestris vint au camp d'Alexandre et lui demanda de lui
faire un enfant, afin d'allier les sangs de la plus forte des femmes et du plus puissant des hommes; selon la légende, moins
ardent que Thalestris, Alexandre partagea son lit pendant treize nuits, au bout desquelles la reine rentra chez elle.
L'historien grec Diodore de Sicile conte aussi les exploits des Amazones de Libye, des guerrières d'Afrique du Nord vivant
avec des hommes et exerçant le pouvoir. On dit aussi qu'elles édifèrent le temple d'Ephèse qui fut l'une des sept merveilles
du monde, qu'elles s'emparèrent de Troie mais que pourchassées par des tribus barbares, elles perdirent au combat leur
reine Marpésia. Leur pays, gouverné par une reine, avait pour capitale, Themiscrya. Elles fondèrent Smyrne et Paphos.
Enfin plusieurs historiens grecs et latins parlent d'Amazones qui auraient vécu en Scythie, dans le Sud de l'actuelle Ukraine
près de l'embouchure du Don. Mais, ce ne sont pas à proprement parler des Amazones, car vivant avec des hommes, elles
jouissaient d'une certaine égalité avec eux. On retrouve des Amazones en Bohème vers 730. Des voyageurs portugais du
XVI ème siècle signalent des Amazones en Ethiopie; elles vivaient avec des hommes et avaient le pouvoir sur eux.
Les Amazones sur lesquelles nous avons les informations les plus directes sont celles que rencontra et combattit en
1542, sur les rives du fleuve brésilien, portant maintenant leur nom, l'expédition de l'explorateur espagnol Orellana.
Elles faisaient payer tribut aux peuplades voisines, et ramenaient de force de leurs expéditions, des prisonniers par
qui, elles se faisaient féconder; elles gardaient leurs filles avec elles et renvoyaient les fils à leurs pères.
Les Amazones du Dahomey étaient des guerrières de grande valeur qui disparurent lors de la colonisation française.
Elles se distinguaient par leur mépris des dangers et par leur férocité. Au sommet des montagnes bordant la Guyane,
un autre peuple d'Amazones n'obéissait qu'aux reines qu'il se donnait. Peu combatives, ces Amazones vivaient en
parfait voisinage avec les autres tribus. Ainsi chaque continent connut ses propres Amazones aux mœurs différentes.
Si certains historiens contemporains ont, dans leurs études, nié leur existence réelle, il parait difficile aujourd'hui de
se rallier à leur opinion alors que tant d'écrivains et d'artistes ont fait figurer certaines d'entre elles dans leurs œuvres:
Homère, Plutarque, Polyen, Pline, Isocrate, Lysias, Ptolémée, Hippocrate et que par ailleurs des fouilles archéologiques
ont permis de mettre au jour des tombes de femmes guerrières, enterrées avec leurs armes entre 600 et 200 av. J.-C.
Dans l'Antiquité gréco-romaine, Les Amazones formaient un groupe généralement indifférencié ou le collectif primait sur
l’individuel. Dans la céramique, elles sont ainsi rarement identifiées par des inscriptions. Cependant trois Amazones se
détachent du collectif et connurent des destins singuliers, abondamment contés par les auteurs anciens. Ces guerrières
jouissant d’une place privilégiée dans la mythologie amazonienne sont Penthésilée, Hippolyté et Antiopé.
Penthésilée, fille d'Arès et d'Otrera participe avec une dizaine d’autres amazones à la guerre de Troie afin de venir en
aide à Priam, roi de Troie, suite à la mort d’Hector. Elle prouve sa valeur en tuant de nombreux Grecs et grâce à elle
les Troyens reprennent le dessus. Mais Achille apparait, défie la reine des Amazones et la tue en combat singulier.
Après sa mort, il tombe amoureux d’elle et pleure sa mort. Il recueille son corps et l'enterre avec tous les honneurs.
Hippolyté, quant à elle, est la reine des Amazones et son père, Arès, lui a transmis une ceinture en reconnaissance de
ses aptitudes guerrières. Lors de son IX ème travail, Héraclès doit récupérer cette ceinture pour la fille d’Eurysthée qui lui
a commandé les travaux. Héraclès accoste à Thémiscyra, la capitale amazonienne, et combat les Amazones pour obtenir
la ceinture. Il tue finalement la reine pour la lui soutirer. On raconte aussi qu'Hippolyté s'éprit du héros et lui offrit.
Antiopé fut vaincue et enlevée par Thésée, qu'elle épousa et auquel elle donna un fils, Hippolyte qui fut aimé de Phèdre.
son rapt amena les Amazones à marcher sur Athènes en représailles, afin de délivrer leur sœur. Siphione vint féliciter
Jason après la capture de la Toison d'Or. Lysippé brisait les membres des garçons afin de les obliger à s'occuper des
corvées domestiques pendant que les femmes gouvernaient et faisaient la guerre. Elle institua le culte d'Artémis.
Les Amazones qui survécurent au massacre attribué à Héraklès se réfugièrent dans les montagnes d'Albanie, près
de Colchis; certaines s'établirent au pied du mont Caucase, tandis que leurs voisins, les Gargarensiens, montaient
vers le Nord; tous les ans, au printemps, les deux groupes se rencontraient sur la montagne, séparant leurs territoires,
pour une cohabitation de deux mois, et s'unissaient après un sacrifice rituel; dès qu'une Amazone se trouvait enceinte,
elle rentrait dans son pays; les garçons étaient confiés aux Gargarensiens.
Les Amazones du Thermodon qui vivaient en Asie Mineure accompagnèrent leurs maris à la conquête de la Sarmatie
asiatique. Impuissantes, elles assistèrent au massacre de leurs compagnons et durent, pour survivre, se revêtir des
armes des morts et se battre. Elles vainquirent. Encouragées par ce premier succès, elles rentrèrent en traînant dans
leur sillage des prisonniers. Elles constituèrent alors le premier royaume des Amazones et instituèrent des lois.
Marpésia reçut le commandement des armées et Lampetho la direction de l'État avec le titre de reine. Les Amazones
firent le serment solennel de renoncer au mariage mais, comme une présence mâle était indispensable à la reproduction,
elles établirent la paix avec les Etats voisins. Une clause scellait cette apparente générosité. Les hommes devaient se
trouver, chaque année, à époque fixe, sur la frontière du territoire.
Les Amazones de la mer Caspienne ne doivent pas être confondues avec les Amazones libyennes vêtues de peau de
serpent, qui vivaient sur une île du lac Tritonis qui s'allièrent à Dionysos. Leur reine Myrina, à la tête d'une puissante armée,
envahit le territoire des Atlantes, s'empara de la cité de Cerné, extermina les hommes, emporta les enfants comme esclaves
et rasa les murs de la ville. Lorsque le reste des habitants se rendirent, elle construisit la nouvelle cité de Myrina.
Après la bataille, alors que les Amazones et les habitants célébraient leur victoire, leurs ennemis les surprirent désarmés
et massacrèrent les troupes de la reine. Celle-ci s'échappa, traversa la Libye, se constitua une nouvelle armée, entra en
Egypte où elle rencontra le fils d'Isis, Horus, puis envahit l'Arabie, créant des villes: Cycmé, Pitané, Priène. Elle soumit
plusieurs îles égéennes, notamment Lesbos, y bâtit la cité de Mitylène. Elle fut enfin vaincue et tuée par le roi de Thrace.
Ces femmes guerrières ne sont pas uniquement des produits de l'imagination des mythographes; certaines traditions
confirment l'existence de femmes-soldats en Asie, en Afrique et en Amérique, voire en Europe. Au VIII ème siècle, il
existait en Bohème, des femmes formant une corporation militaire sous les ordres de Vlasta; après avoir construit des
fortifications, résisté au duc Przémyslas, elles exterminèrent tous les hommes ou les réduisirent en esclavage.
Leur dureté est surtout une dureté guerrière, comparable à celle de bien des peuples belliqueux, et les preuves d'autorité
qu'elles montrent sont comparables à celles de la plupart des groupes dominants. Si certains auteurs vantent leur virginité,
d'autres les dépeignent comme des amoureuses sensuelles et actives lors de leurs contacts annuels avec les hommes.
L'hypothétique ablation des seins est une mutilation volontaire que les Amazones, se seraient imposées à elles-mêmes.
En littérature, la reine des Amazones Hippolyte apparaît dans la comédie de Shakespeare "Le Songe d'une nuit d'été",
puis au siècle suivant, Houdar de la Motte met en scène Marpésia dans "Marthésie, première reine des Amazones."
L'allégorie des Amazones continue d’être questionné par les époques postérieures jusqu’à aujourd’hui où leur mythe a
été enrichi de nombreux nouveaux symboles. Les années 1970 marquent un tournant dans cette réception en raison
du développement des luttes sociales et particulièrement des mouvements féministes. Les Amazones connaissent un
écho particulièrement fort dans ces mouvements sociaux, en quête d’une légitimité. Source d'inspiration et de courage
ou abomination et désolation ? Entre féminisme et sexisme, priorité à la réalité historique.
En général, les Amazones sont très mal desservies par le cinéma, de Wonder Woman à Supernatural en passant par Xena,
en véhiculant l'image stéréotypée de la femme guerrière, indépendante et agressive. Ce nouveau personnage féminin
sert-elle un fantasme masculin de domination, ou introduit-elle une nouvelle liberté dans la conception du genre féminin ?
En tout état de cause, ces femmes-soldats méritent pour le moins une plus grande considération.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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"J’ai résisté aux prières du séducteur, son épée et ses menaces n'ont rien pu
sur mon cœur, mais mon corps a souffert violence ; et je veux par mon trépas
laver cet outrage fait à ma pudeur." Sénèque, tragédie "Phaedra."
Symbole de l’amour inavouable et de la difficulté d'aimer, Phèdre est une figure mythique qui n'a cessé d'inspirer à travers
les siècles. Fille du roi de Crète, Minos, et de sa femme Pasiphaé, sœur d'Ariane, elle épousa Thésée, père d'Hippolyte
par l'Amazone Antiope. Elle rencontra son beau-fils aux mystères d'Eleusis, conçut pour lui une folle passion et le suivit à
Trézène. Elle y érigea le temple d'Aphrodite Catascopia d'où elle pouvait apercevoir le jeune homme s'exercer au gymnase.
Phèdre, qui dépérissait à vue d'œil, finit par avouer son amour à Hippolyte qui, horrifié, l'accabla de reproches; l'amoureuse
bafouée déchira aussitôt ses vêtements et se mit à crier: "Au secours, on me viole !". Puis elle se pendit après avoir écrit
une lettre à Thésée accusant Hippolyte; ce dernier fut banni d'Athènes par son père, qui demanda à Poséidon de le punir.
À peine Hippolyte était-il sorti de la ville dans son char, qui roulait sur l'isthme, qu'il fut secoué par une gigantesque vague
sumontée d'un monstrueux chien de mer. Terrorisés, ses chevaux firent un brusque écart, son char fut projeté contre un
rocher, et son corps fut déchiqueté. Artémis le transporta, mourant à Trézène, où son père eut le temps de se réconcilier
avec lui; on dit que les dieux transportèrent son corps dans les cieux, où il est devenu la Constellation du charriot.
L’histoire d’Hippolyte et de Phèdre appartient au cycle mythologique de la fondation de la cité d’Athènes: elle est intimement
liée aux luttes livrées par les premiers rois légendaires, Érechtée, Cécrops, Pandion, Égée et Thésée pour asseoir leur
pouvoir et le transmettre à leur fils. Le grand-père d’Hippolyte, Égée, roi d’Athènes, avait eu deux femmes, dont aucune ne
lui donna d’enfants; la légende raconte que ce serait Aphrodite en colère qui pour se venger lui infligea cette peine.
Inquiet de mourir sans descendance mâle, Égée s’adresse à l’oracle de Delphes. En guise de réponse, celui-ci lui donne
une indication sur sa propre mort, à savoir qu’il risque de mourir de chagrin s’il délie le col de son outre de vin avant son
retour à Athènes. N’ayant pas réussi à déchiffrer l’oracle, Égée passe au retour par Corinthe pour rencontrer Médée, la
sorcière venue de la mer Noire. la sorcière s’arrange pour lui donner un fils en utilisant ses pouvoirs magiques.
Égée se rend enfin à Trézène, ville du Péloponnèse proche de Corinthe, pour saluer son ancien camarade Pitthée,
devenu roi de cette cité et partage la couche de la fille de son ami, Æthra, qui, la même nuit, s’unit également, de force,
avec Poséidon. C’est de cette union, de ces unions d’une même nuit, que naîtra Thésée, le père d’Hippolyte. Qui est le
père de l'enfant ? Tout au long de sa vie, Thésée saura tirer parti de cette double filiation paternelle, humaine et divine.
Entre-temps, Thésée aura d’autres aventures et connaîtra plusieurs amours, et ce n’est certainement pas contre lui
qu’Aphrodite risquerait de se mettre en colère, car il saura aussi bien aimer les femmes que les utiliser dans ses plans.
On se souvient qu’il a su s’attirer les grâces de la fille de Minos, Ariane, pour combattre contre le Minotaure, avant de
l’abandonner, endormie, sur l’île de Naxos.
Devenu roi, il s’oppose aux Amazones, et en sort vainqueur grâce à l’aide de leur reine, Antiopé, qui s’éprend de lui;
ils auront un enfant, qui est appelé Hippolyte, "celui qui délie les chevaux." Hippolyte grandit en futur roi de Trézène:
sa mère, l’amazone, meurt de la main de Thésée, selon certains récits; quant à son père, il cesse de penser à lui.
Car Thésée est déjà remarié, et la jeune épouse, Phèdre, n'est autre que la seconde fille du roi Minos de Crète.
Pallas, frère et prédécesseur d’Egée, avait de nombreux fils, les Pallantides. Neveux d'Egée et cousins de Thésée,
les Pallantides crurent que le pouvoir leur reviendrait puisque Egée ne semblait pas avoir de descendants. Ils furent
cruellement déçus lorsque Thésée fut reconnu par son père. A la mort d’Egée, ils revendiquèrent le trône mais les
Athéniens leur préférèrent Thésée.
Alors ils l’attaquèrent ouvertement. Thésée déjoua leur embuscade et les anéantit tous, y compris Pallas. Afin de se
purifier de leur mort sans doute politiquement justifiable, Thésée et son épouse Phèdre durent s’exiler pendant un an,
à Trézène. C’est ainsi que se déroula le drame de Phèdre: elle tombe amoureuse de son beau-fils, Hippolyte. C'est
est un bel athlète qui méprise les femmes et préfère ses compagnons de chasse.
Il refuse les faveurs de la déesse Aphrodite. Sa belle-mère Phèdre connaît une vive passion pour lui, se déclare.
Hippolyte refuse et affirme son dégoût des femmes. Il honore Artémis tandis qu'il méprise Aphrodite; cette dernière,
pour se venger, suscite chez Phèdre cette passion coupable. Elle n'osa pas révéler cette passion à son beau-fils
mais se confia à sa nourrice qui la conseilla d'envoyer une lettre à Hippolyte, dans laquelle elle lui avouait son amour.
Phèdre s'offrit à Hippolyte. Hippolyte, horrifié, repoussa les avances de Phèdre et vint l'accabler de reproches dans ses
appartements. Alors Phèdre, se voyant délaissée, accusa son beau-fils d'avoir cherché à la violer et se pendit, en prenant
soin de laisser une lettre dénonciatrice pour son époux. Par vengeance et craignant qu'Hippolyte ne révèle tout à son père,
elle accusa le jeune homme d'avoir cherché à la violenter. Furieux, Thésée appella sur son fils la malédiction de Poséidon.
Le mythe de Phèdre est une constante source d'inspiration pour les écrivains depuis l’Antiquité.
Pour Euripide, le personnage tragique de la pièce, c'est Hippolyte, mourant victime des mensonges de sa marâtre.
Phèdre se réduit chez lui à un pur moyen de vengeance utilisé par Aphrodite contre Hippolyte, qui s'est voué tout
entier au culte d'Artémis, la déesse vierge. Dès lors, chez Euripide, il n'est guère question de la faute de Phèdre:
elle n'est qu'un jouet des dieux. Elle n'a aucune indépendance, volonté propre. On ne saurait donc lui en vouloir.
Sénèque, dans "Phaedra", concentre en revanche l'action sur le personnage féminin. La pièce de Sénèque annonce
une nouvelle interprétation du mythe; ce n'est plus Hippolyte qui est au centre de la tragédie, mais bien le personnage
de Phèdre. Elle n'est guère ménagée. Elle déclare à son beau-fils sa passion: horrifié, il a la tentation de tuer Phèdre,
mais se ravise; son épée jetée au sol l'accuse lors du retour de son père; Thésée le maudit puis le jeune homme meurt.
Racine écrit sa tragédie, "Phèdre", en 1677. Sa pièce est une analyse et une dénonciation de la passion amoureuse
à travers le personnage de Phèdre. Phèdre avoue son amour "incestueux" qui la brûle et la déchire mais qui est plus
fort qu'elle. Face au rejet du jeune homme et découvrant l'amour d'Hippolyte pour Aricie, elle accuse Hippolyte à tort
devant son père, entraînant une double mort, celle de Phèdre et celle d'Hippolyte, suivie des tourments de Thésée.
Phèdre illustre la conception pessimiste de l'homme de Racine, une conception nourrie par le Jansénisme, conception
religieuse, selon laquelle seuls quelques élus choisis par Dieu seront sauvés. Chaque homme est prédestiné et aucune
bonne action ou comportement exemplaire ne saurait changer le fait initial d'avoir ou pas la grâce divine. Ainsi Phèdre met
en avant la croyance de Racine en la théorie de la prédestination, ainsi que la misère de l'homme sans la grâce divine.
Racine tend à nier la responsabilité de la faute de Phèdre. Mais il la rend coupable dans une autre partie de la pièce pour
rendre son œuvre plus intéressante sous tous les angles. Racine sous-entend que Phèdre est une personne destinée à
mourir. C’est pourquoi il dit qu'elle n’est pas coupable. Il est probable que Racine essaie d’innocenter Phèdre, mais d'une
manière péjorative. La malédiction familiale qui suit Phèdre montre comment l’homme n’a pas de choix face à son destin.
Euripide peint le personnage de Phèdre comme une personne malheureuse, affaiblie par les sentiments incontrôlés envers
le fils de son mari. La Phèdre d’Euripide lutte contre le mal qui la tue lentement car elle ne peut pas avouer qu’elle aime le
fils de son mari. C’est pourquoi elle garde un silence au fond de son cœur pour ne pas exposer ses sentiments honteux.
Même si elle n’est pas responsable de ces sentiments, elle se voit elle-même comme l’auteur de cette faute.
Chez Sénèque, Phèdre est une personne consciente de sa faute. Elle sait que l’inceste est défendu mais elle se laisse
emporter par cette passion. Elle profite de l’absence de son mari pour aborder son beau-fils et lui avouer les sentiments
qu’elle a pour lui. Le courage de Phèdre d’affronter Hippolyte pour lui faire part de ce qu’elle ressent pour lui prouve que
sa faute était préméditée. Donc, Phèdre a des remords à cause de la mort tragique de son beau-fils.
Il y a des ressemblances dans le personnage de Phèdre de Sénèque avec celui de Racine en ce qui concerne le remords.
Phèdre se qualifie elle-même de traitre et confesse à son mari toute la vérité avant de se suicider: "tes remords te suivront
comme autant de furies; tu croiras les calmer par d’autres barbaries." (Racine, Britannicus, acte V, scène VI, v .12-13).
La faute de Phèdre est plus lourde du fait qu’elle confirme indirectement les mensonges de sa nourrice envers son beau-fils.
Euripide innocente Phèdre et justifie la cause de tout ce qu’elle a fait. Mais Sénèque la culpabilise en mettant en évidence
sa volonté de commettre ses fautes. Pour Racine, le personnage de Phèdre est responsable de sa passion meutrière,
mais finalement, il l'innocente. L’homme a le libre choix d’accepter ou de refuser de faire une chose. Chaque personne
possède la capacité de poser le pour et le contre avant de commettre un acte afin d’éviter les conséquences néfastes.
Zola, dans son roman "La Curée", dans la série des Rougon-Macquard, imagine une histoire d'amour entre une jeune
femme, Renée Saccard, et son beau-fils Maxime; contrairement à Hippolyte, Maxime aime les femmes. Il épouse Louise.
Renée, issue de la noblesse, connaît la mésalliance en épousant Aristide Saccard. Elle est violentée par un homme plus
âgé, le jour même du coup d'état de Napoléon III: elle est déshonorée, symbolisant la France profanée par un usurpateur.
La mésalliance concrétise le matérialisme d'une société qui ignore la pureté des relations : l'amour entre Renée et son mari
n'existe pas, il est remplacé par l'argent. Renée connaît un destin tragique: elle est prise d'une passion frénétique pour
Maxime qui l'abandonne pour épouser la jeune fille qu'a choisie son père. Elle meurt dans la solitude alors que le roman se
termine sur le triomphe cynique de Saccard.
Le mythe de Phèdre continue à inspirer des écrivains contemporains, notamment le grand poète grec Yannis Ritsos.
La passion de Phèdre pour Hippolyte n’a peut-être jamais été chantée avec autant d’intensité que dans cette version
du mythe par le poète grec Yannis Ritsos. La Phèdre de Yannis Ritsos est une femme accomplie. Elle est touchée par
un amour soudain, sans préavis, amour qui changera sa vie de façon définitive.
Malgré la différence d’âge, malgré le lien presque filial qui les unit, cet amour pourrait être beau. La réponse est brutale.
Cette passion est coupable, impure, sale. Dans la bouche d’Hippolyte, les femmes sont en elles-mêmes coupables
d’impureté, bien avant d’avoir commis le moindre crime. Au-delà de la question de la féminité, se pose, simplement, celle
de la "pureté." Seule la mort peut résoudre la situation, mais, comme le dit Ritsos, elle survient toujours trop tard.
Phèdre serait victime de son hérédité: elle doit à sa mère Pasiphaé le dérèglement de ses sens, et sa passion "dépravée"
pour un taureau et la naissance d’un monstre, le Minotaure. Aphrodite poursuit Phèdre et sa famille de sa haine et œuvre
sans relâche à leur perte. Il y aurait sur Phèdre une malédiction divine, sous le signe des amours défendus et maudits.
La passion que Phèdre éprouve pour Hippolyte déclenche chez elle un dérèglement sensoriel.
Phèdre se sent coupable des sentiments incestueux qui l’habitent. Passionnée, c'est un personnage ambigu et complexe.
Racine disait que "Phèdre n’est ni tout à fait coupable, ni tout à fait innocente". La tragédie raconte la déchéance d’un être
souffrant d’un mal qui le ronge et sans lequel il ne peut vivre. Elle serait le symbole incarné du drame d’une humanité
écartelée par le combat de la chair et de l’esprit.
Peut-on faire du mythe de Phèdre un modèle d’inceste ? Chez Euripide, la réponse est négative. La "marâtre" amoureuse
pose problème et fait scandale. Le problème est celui du fonctionnement patriarcal de la société grecque. Elle perturbe la
domination paternelle sur les fils en risquant de dresser les enfants du premier lit contre le père. La femme adultère remet
en cause la domination masculine sur les femmes; l’ensemble du pouvoir patriarcal est ébranlé par la "marâtre" adultère.
Le scandale est celui de l’existence d’une femme amoureuse. Sans aller jusqu’à parler, comme Paul Valéry, à propos de la
Phèdre racinienne, de sa "rage de sexe", Euripide a choqué en mettant en scène le désir sexuel féminin. Avec Phèdre, la
femme cesse d’être un objet de plaisir pour devenir un sujet désirant. Par sa passion, Phèdre fait entrevoir au spectateur
grec un monde nouveau, où l’union du fils avec l’épouse du père renverserait l’ordre patriarcal en permettant l’alliance de
ses deux victimes, et une forme nouvelle d’amour dans lequel le don remplacerait la possession.
Phèdre incestueuse ? Non, Phèdre scandaleuse.
Bonne lecture à toutes et à tous.
Méridienne d'un soir.
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