La rubrique "Articles" regroupe vos histoires BDSM, vos confessions érotiques, vos partages d'expériences SM. Vos publications sur cette sortie de blog collectif peuvent aborder autant les sujets de la soumission, de la domination, du sado-masochisme, de fétichisme, de manière très générale ou en se contentrant très précisément sur certaines des pratiques quu vous connaissez en tant que dominatrice/dominateur ou soumise/soumis. Partager vos récits BDSM, vécus ou fantames est un moyen de partager vos pratiques et envies et à ce titre peut être un excellent moyen de trouver sur le site des partenaires dans vos lecteurs/lectrices. Nous vous rappelons que les histoires et confessions doivent être des écrits personnels. Il est interdit de copier/coller des articles sur d'autres sites pour se les approprier.
Par : le 13/06/22
Ce jour là, nous nous sommes donnés rendez-vous sur une route calme et forestière. Pique nique au fond du sac, je vous rejoins en lisière de forêt. Quelques jours plus tôt, vous m'aviez demandé de trouver un coin tranquille pour nous retrouver. Les roches d'Angennes s'offrent à nous, vous me tendez un sac assez lourd qui pèse un peu sur mes épaules. J'imagine des jouets bdsm en pagaille, mon sexe s'affole dans sa cage. Vous sentez mon trouble, sourire avant de m'embrasser avec fougue. Je sens votre main descendre sur ma cage, caresser le conduit de métal et descendre jusqu'à mes bourses. Sans prévenir, vous frappez doucement mes testicules tendues dans leur cage chromée. Doucement je gemis et reste debout jambes écartées, offrant mon sexe à cette première punition. Comme pour me tester, vous portez un coup plus appuyé qui me courbe en 2. Satisfaite, vous m'invitez à démarrer notre balade de 30 minutes. Nous parlons de tout et de rien, de bdsm, de cette envie qui ensemble nous lie. Enfin, nous cheminons vers un promontoire. Les cimes des arbres en contrebas dessinent une mer ondulante sous la brise légère. Le temps est beau, la vue superbe. J installe la nappe et dresse notre rapidement notre déjeuner. Je vous vois sourire devant ma maladresse. Assise sur un transat, vous interrompez votre lecture. " enlève tes habits, tu n'en as plus besoin " me lancez vous espiègle. Je rougis, un sentiment de honte me gagne . Si quelqu'un nous découvrait, je serai non seulement nu mais aussi encagé. Ma soumission serait visible de tous... Pourtant je m'exécute. Rouge pivoine. Comme pour me féliciter, vous me faites allonger sur le ventre et m'enduisez le dos de crème solaire. Pourtant, vous ne passez pas partout et je n'ose faire une remarque de peur d'une sanction. ( je verrai la surprise que vous m'avez réservé quelques heures plus tard ) Le soleil est maintenant au zénith. Tandis que vous vaquer dans les bois, j'installe le déjeuner. Une salade composée, quelques toasts accompagnent un bloc de foie gras. La bouteille de champagne est encore fraiche lorsque vous sortez de l'ombre des bois de jeunes branches de noisettiers à la main. Nous trinquons à cette belle journée. Les bulles pétillent, le paysage s'offre à nous, un sentiment de bien être m'envahit. Je me sers un peu de salade lorsque soudain vous m interrompez. "As tu oublié avec qui tu es ?" Je souris, gêné, cherchant ma faute. "Non maitresse " dis je un peu confus " Tu n'es pas avec une amie, tu es avec moi, ta maitresse..."Dites vous en fixant mon assiette déjà pleine. "A genoux " lancez vous d'un ton sévère. Vous me toisez nu et à genoux, prenant le temps de finir votre coupe. Mes genoux me font mal mais je n'ose me plaindre de cette juste punition. Pourtant, mon tourment ne fait que débuter. Vous m'attachez un collier autour du cou et tirez sans ménagement sur la laisse qui me lie à vous. Je suis comme je peux mais ce supplice est de courte durée. Rapidement vous m'attachez les mains et les chevilles à un pin. Les liens sont serrés, presque douloureux. D'un geste impérieux vous m ordonnée d ouvrir la bouche pour y fourrer un tissu soyeux. "Jespere que tu apprecies ma culotte d'hier. Je savais qu'elle aurait son utilité. " Vos odeurs imprègnent ma bouche, j'essaie une excuse tardive qui se perd dans ce bâillon improvisé. Soudain, l'air vibre non loin de moi. Puis une morsure brûlante s'abat sur ma fesse droite. Mon corps se cambre, surpris par la douleur mais déjà le fouet marque ma fesse gauche. Une chaleur envahit mon cul, une chaleur mêlée de douleur. Les morsures du fouet dessinent des courbes, des traits, des boursouflures sur mon postérieur. Mes liens sont si serrés qu'il n y a aucune échappatoire. La punition cesse aussi brutalement qu'elle avait débutée. Je sens vos mains caresser mon cul, admirer le travail. Frôlant mon oreille vous murmurez "As tu compris la leçon simon?" Ne pouvant parler, j'opine du che, je devine alors un sourire s'esquisser. Rapidement vous me détachez pour poursuivre ce charmant déjeuner soleil darde ses rayons sur notre déjeuner improvisé. Demain, j'aurais quelques coups de soleil me dis je en débarrassant les restes de notre repas. Dépêche toi lancez vous en me cinglant les fesses d'une jeune branche de noisetiers alors que je passe à votre portée. Le dos tourné, jambes écartées, je sens vos doigts descendre sur mes fesses. Un doigt se glisse dans le repli et s'insinue doucement dans mon intimité. Votre âtre main, agile, caresse mes bourses. Mon sexe lutte contre les barreaux de sa cage sans pour autant pouvoir bander. Un filet de sperme s'échappe mollement de mon meat. Le plaisir me fait mouiller, je me cambre davantage pour sentir votre doigt jouer en moi. Hmmm, qu il est bon de vous appartenir. Mais soudain, vous cessez le va et viens de vos caresses et saisissez mes coquilles pour les étirer. Surpris, je me cambre et reçois une volet de claques sur les bourses. Bâillonné par votre culotte, je ne peux crier et me tortille essayant, en vain, d'échapper à vos coups. "C'était trop tentant" dites vous de votre plus beau sourire. "Finis de débarrasser et met moi de la crème solaire " Je m'exécute rapidement en prenant soin de vous servir une nouvelle coupe de champagne. Mes gestes sont doux, rapidement, je vous vois soupirer d'aise. Après m'avoir remercier, vous retirez votre culotte et m'ordonnez de me coucher. Vous placez le transat au dessus de ma tête mais celui-ci est d'un genre particulier... Largement découpé, le tissu permet un accès direct à votre sexe, à votre cul. " Lèche moi, maintenant " Je titille vos lèvres, joue avec votre clito qui rapidement se gonfle de désirs. La branche de noisetier cingle l'intérieur de mes cuisses pour m'inciter à enfoncer ma langue en vous. Je vous bois, je vous pénètre. Sensation douce de vous appartenir totalement. Vous vous crispez aux accoudoirs tandis que vos mains caressent votre bouton. Votre sexe se contracte lorsque votre jouissance m'envahit. Je suis,à ce moment précis, le plus heureux des soumis L'horizon azur est troublée par l'ascension d'un rapace qui profite des colonnes d'air chaud. Vous vous perdez un moment dans sa contemplation profitant de ses vagues successives de plaisir qui tel le ressac se rappellent à vous. Ma langue caresse votre sexe doucement pour prolonger cet instant. Le temps se cristallise en cet instant. Après un moment, votre esprit joueur s éveille. Vous descendez le transat et après un repositionnement vos fesses s'imposent à ma vue. "Embrasse moi " Je tente quelques chastes baisers sur vos globes d'albatre mais soudainement vous me pincer les tetons. "Ne fais pas ta fillette, n'as tu pas dit que tu aimerais tout ce que je t'ordonnerai de faire?" Je sens deux tubes se plaquer sur mes tetons et aspirer, la douleur est soutenable mais déjà envahissante. "Lèche ou ..." sans terminer votre phrase vous accentuez la pression sur mes aréoles. La douleur est plus lancinante, j'imagine 2 ecchymoses se dessiner sur mon torse. Je tente un baiser sur votre rondelle. Je vous sens vous caler sur le transat comme pour m'inciter à continuer. Je lèche et embrasse votre bouton de rose lorsque vous m'ordonnez d'y mettre ma langue. Pour m'inciter, vous accentuez la pression sur mes seins avant de cingler l'air d'une branche trouvée plus tôt. "C est un honneur de pouvoir me lécher, quand tu y auras pris goût, tu ne pourras plus t'en passer " dites vous d'un ton coquin. Écartant légèrement vos fesses, vous m'engager à une nouvelle expérience. Ma langue s'insinue en vous...lèche, lappe, longuement votre croupe tendue. Je vous sens prendre un réel plaisir à ces caresses. Vos mains agrippent un objet oblong qui vibre au contact de votre sexe. Je me tortille jusqu'à votre con et tente de le lécher. Une volée de coups viennent rougir mes cuisses. "Occupe toi de mon cul, c'est tout ce que tu auras pour aujourd'hui." Tandis que le vibro vous pénètre, je joue avec votre rondelle. La pénétration de ma langue, celle du vibro, vos caresses intimes bous font jouir une seconde fois. J'embrasse vos fesses adorées pendant un moment délicieux. Je vous imagine le feu aux joues savourant ce second plaisir avec volupté. Mais l'humiliation est une condition nécessaire à mon devoir de soumis. Après ce moment de plaisir, vous ouvrez ma cage de chasteté. Monsexe ainsi libéré s'érige en quête de plaisir. D'un air joueur, vous m'ordonnez de me branler. " Tu n auras que 3 minutes pour jouir et tu ne le feras que sur mon ordre sinon..." Aussitôt je m'active sous votre regard impassible. Pour m'aider, vous vous mettez au dessus de moi. Votre sexe gonflé de désir, votre cul que j'ai apprivoisé me font rapidement mouiller. Mes mains jouent sur ma queue, mes doigts parcourent mon gland mais le temps file...Au bord de l'extase, je parviens à vous demander la permission de jouir et là... Sur le point de partir, vous couvrez mon sexe d'une douche dorée abondante. Mon foutre se mêle à votre nectar généreux qui cascade et inonde maintenant mon corps. Plus tard, nous reprendrons nos esprits ravis de ces jeux improvisés. Je vous demanderai une serviette et vous me repondrez qu'ainsi, je garderai votre odeur Rentré chez moi, nos jeux tumultent encore dans ma tête. Je vous revois m'innondant de votre champagne, je revis vos orgasmes et vos délicieuses punitions. Fatigué de nos jeux et le fessier douloureux, je me vautre devant la télé. Ma cage de chasteté, directement réinstallée après ma jouissance, gêne un peu mes mouvements comme pour me rappeler ma nouvelle condition de soumis. Peu à peu, une torpeur me gagne. Je suis brutalement réveillé par ma fille réclamant son émission préférée. "Ça sent bizarre" dit elle en fronçant sa jolie frimousse. Je réalise soudain que je porte encore l'odeur de nos ébats. Le goût de votre sexe imprègne mes lèvres, mon nez. Je file aussitôt dans la salle de bain. Nu, je constate les marques qui zebrent mes fesses. Elles partiront d'ici 2 jours mais pour le moment, elles me chauffent le postérieur. Après une telle promenade, je scrute les empreintes de nos ébats passés comme on chercherait à remonter un fil d'Ariane. Soudain, mon regard s'attarde sur mon dos. Il est rouge écrevisse car ce midi, le soleil dardait. Mais, au centre, un K magistral de peau blanche est tracé. Je me rappelle alors la crème solaire que vous m'aviez passé sur le dos dès le début de nos jeux. Intérieurement, je souris de cette ultime perversité.
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Par : le 10/06/22
1 - L’ascenseur. *** Je devais avoir cinq ou six ans quand j'ai vu un film à la télé, genre « Les mille et une nuits ». On y menaçait une esclave du fouet. Ça m'a tellement impressionnée que j'ai voulu "garder" ce mot. Je savais écrire un S, alors j'ai demandé à mon grand-père : — Comment on écrit "clave" ? Il m'a répondu : — Ça n'existe pas. Je repensais très souvent aux esclaves. Dans les jeux avec les copains, j’étais la voleuse arrêtée par des policiers ou l'Indienne attachée à un arbre. Plus tard, mes petits amis étaient toujours des garçons... décidés. Durant mes études, j'ai été obligée de faire des petits boulots. J'ai travaillé "en cuisine" et dans des grandes surfaces. Un jour, alors que je devais mettre des boîtes de conserve dans un rayon, un jeune employé est passé et il m'a dit : — Faites des piles bien droites, Mademoiselle. J'ai un peu rectifié les piles de boîtes, mais il a ajouté : — Enlevez toutes les boîtes et recommencez. Je veux voir des piles impeccables. J'ai obéi. Par la suite, il est souvent venu vérifier ce que je faisais. Quand il m'a invitée à aller boire un verre chez lui, j'ai accepté et quand il m'a dit de me déshabiller... j'ai obéi. Ensuite... on s'est mariés. Sexuellement, c'est très bien mais dans la vie de tous les jours, nettement moins. Je ne peux m'en prendre qu'à moi-même et à ma fascination pour le mot "esclave". Comme à l'époque du magasin, il me contrôle. Il ordonne et j'obéis... Je sais, ce n'est pas glorieux. C'est un maniaque de l'ordre et je suis bordélique. Il est très économe et je suis très dépensière, je le reconnais. Il y a environ un mois, j'ai fait une folie... non, deux folies. J'ai acheté une paire d'escarpins rouges à très hauts talons, trop beaux, très chers. Ensuite, j'ai craqué pour de la lingerie La Perla. Je savais que j'allais avoir droit à une scène et je serrais les fesses en attendant le relevé de la banque. Quand il est arrivé, je me suis retrouvée devant lui, comme une écolière qui a fait une grosse bêtise. Il n'y a pas eu d'engueulade, il m’a prise par le poignet et il m’a couché sur ses cuisses. C’est une position que connais hélas, trop bien. Même si la soumission me plaît, la douleur physique, je déteste ! Il a relevé ma jupe et comme je n’avais pas de culotte, j’ai reçu une vingtaine de claques sur les fesses, j’ai crié, pleuré… en vain. J’avais les fesses en feu. Il m’a dit : — Donne-moi ta carte Visa et ta carte de banque. J’ai été les chercher je lui ai données et il les a mises dans sa poche en disant : — Confisquées. — Mais, euh... comment, je vais faire pour... — Je te donnerai de l'argent de poche. Il m'a remis une petite somme d'argent, pas beaucoup. À partir de ce moment-la, le dimanche, il me donne de l'argent pour la semaine... Le gros problème, c'est qu'il prend un malin plaisir à le faire devant quelqu'un, des copines à moi, des amis à lui, sa mère... Il y a 15 jours, il m'a donné mon argent de poche devant sa sœur et ses deux enfants. L'aînée a dit : — Ah, c'est comme chez nous, Papa nous donne notre argent de poche si on a été sages. La plus jeune a ajouté : — Tu as été sage, Tante Mia ? Ça a fait rire tout le monde... sauf moi. Par contre, j'étais toute rouge. Alors, j'ai imaginé une petite vengeance. Dans mes rêveries, je m'imaginais le tromper. C'est une revanche excitante. Je dois ajouter deux petites choses à mon sujet. D'abord, je ne suis pas farouche. Ensuite, d'après mon mari, j'ai huit ans d'âge mental, car j'ai peur du noir, des araignées, des serpents et des ascenseurs.... Un jour, quand j’étais petite, je me suis retrouvée bloquée dans un ascenseur et de peur, j’ai fait pipi dans ma culotte. Depuis, je ne prends plus les ascenseurs. Manque de pot, notre appartement est au quatrième étage. Moi, j’aurais voulu habiter un rez-de-chaussée, mais quand mon mari a su que c’était à cause de ma peur des ascenseurs, il m’a simplement dit : — Prends les escaliers, c’est bon pour tes cuisses fesses. C’est ce que je fais, sauf quand je reviens des "grosses courses" et que mon caddy est rempli. Il m’arrive alors de le prendre, la peur au ventre... Ce samedi après-midi, je rapporte une tonne de nourritures et de boissons. Dans l’entrée de l’immeuble, un voisin attend l’ascenseur. On se salue et il me tient la porte pour que j’entre. C'est un homme d'une quarantaine d'années, assez grand, pas mal. Je le remercie et on se retrouve à trois dans la cabine d’ascenseur : lui, moi et mes courses. Je lui demande : — Ce n'est pas trop lourd pour l'ascenseur ? — Mais non, on peut être quatre. Aucune raison d'avoir peur. Il a à peine dit ça que l’ascenseur s’arrête et la lumière s’éteint. Je pousse un grand cri, car même dans mes pires cauchemars, je ne me retrouve jamais dans un ascenseur en panne plongé dans le noir. Avec en plus des araignées, si ça se trouve. Le voisin essaie de me calmer en disant : — C’est juste une coupure de courant, il va repartir. — On va tombeeeerrr !!! — Mais non... D’ailleurs, on se trouve presque au premier étage, on ne tomberait pas de très haut. Je m’accroche à lui en expliquant d'une voix tremblante ce qui m’est arrivé dans mon enfance : — J’ai failli avoir un accident d’ascenseur... quand j’étais petite. J’ai peur... — Première chose à faire, pousser sur le bouton « alarme ». Il allume son briquet. La flamme éclaire notre prison, il pousse sur le bouton et... rien ne se passe. Je dis : — Je vais appeler pour qu’on nous sorte de là. — D’accord. Je crie de toutes mes forces : — Au secours ! On est bloqués dans l’ascenseuuuuur ! On entend une porte s’ouvrir et quelqu’un demande : — L'ascenseur est en panne ? — Ouiii, c’est Mia du quatrième... S’il vous plaît, appelez la concierge ! — Mia, celle qui met des jupes tellement courtes qu’on voit la moitié de son derrière ? Merde, ça doit être la bigote du troisième ! Je mets des jupes courtes, c'est vrai, mais on ne voit pas mes fesses ! Je crie à nouveau : — Au secouuuuurs !! L'homme me serre contre lui. Ça me rassure, je lève la tête pour le remercier et là, on se retrouve bouche à bouche. Que faire ? S'embrasser... Je me colle à lui tandis que ses mains vérifient la longueur de ma jupe. Oooooh.... Il vérifie bien ! — Tu es coincée dans l'ascenseur, Mia ? C'est la voix de mon mari. Je réponds : — Oui... et j'ai peur. Plus trop en fait... Il ajoute : — Tu es seule ? Mon compagnon de galère répond : — Non, je suis le locataire du cinquième et j'ai rassuré votre femme. — C'est gentil, c’est la reine des trouillardes. Je vais prévenir la concierge et je reviens. — Oh oui, j'ai peur. En fait, nettement moins parce que le voisin m'embrasse à nouveau. Mon mari remonte avec le concierge et un couple qui vient d'arriver. Ils parlent tous ensemble, mon mari plus fort que les autres. Une femme dit : — Il faut faire réviser complètement cet ascenseur ! Plus personne ne s'occupe de moi... sauf mon nouvel ami. Il me dit à l'oreille : — Tu veux que je te rassure encore ? — Oh ouuuiiiii.... Il glisse sa main sous ma jupe, qui est courte comme vous savez. Et là, tout en entendant mon mari et les autres râler au sujet de la gestion de l'immeuble, il me caresse jusqu’à ce que je jouisse... C'est la première fois que je trompe mon mari. Mais, jouir sous la main d'un inconnu, est ce que c’est tromper ? *** Mes livres sont ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44%3Fref=dbs_a_mng_rwt_scns_share et ici : https://lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 05/06/22
Je devais attendre mon Maître à quatre pattes, dos à la porte, les jambes bien écartées et les fesses cambrées, bien en évidence. A côté de moi, toutes mes culottes étaient étendues sur le sol, les propres et les sales, dont une sur mon dos, la plus sale. Les accessoires étaient devant moi, prêts à être utilisés par mon Maître. Il n’était pas encore là que je me sentais déjà sous son entière domination, excitée, apeurée, réduite à l’état de chienne soumise prête à prendre très très cher. Ma chatte était déjà toute trempée, je pouvais le sentir sans la toucher. J’étais attentive au moindre son que j’entendais, toujours persuadée que c’était lui qui arrivait. Quand j’ai entendu la clé dans la serrure, je me suis redressée, tendue et impatiente qu’il ouvre enfin la porte. Je savais qu’il aurait une vue imprenable sur mon anus qui était tout offert à lui. Je l’ai senti s’approcher de moi, et j’ai senti la tension se faire de plus en plus forte. Il m’a tout de suite bandé les yeux, m’empêchant de voir ce qu’il se passait. La moindre de ses paroles me mettait dans un état indéfinissable. Je savais qu’il allait regarder de près mes culottes sales, et vérifier si j’avais bien mis en évidence la plus sale. Mon intimité entière était sous ses yeux, je n’étais plus qu’un objet, j’étais sa propriété, et il allait disposer de moi comme bon lui semblait. Très rapidement, je me suis retrouvée avec ma culotte sale dans la bouche. Je pouvais sentir mon odeur, l’odeur de ma chatte qui avait imprégné ma culotte et qui me remplissait maintenant la bouche. C’était très humiliant, et je me suis surprise à aimer ça. Quand il m’a enfermé dans les toilettes et attachée très fermement pour ensuite m’abandonner, avec ordre de ne pas bouger ni faire de bruit, l’humiliation était encore bien présente, et l’excitation encore plus. Je ne savais pas combien de temps j’allais rester plantée là, dans l’incapacité de bouger et de parler, et plus le temps passait, plus j’oubliais où j’étais. Je n’existais plus que pour satisfaire mon Maître je n’avais qu’une hâte : qu’il vienne me chercher. Je savais qu’il n’y avait aucune issue, aucune possibilité de me détacher. J’étais à lui, et j’allais devoir le satisfaire. Et j’en avais tellement envie ! Quand j’ai dû l’attendre face à la porte, les jambes écartées et la langue tirée, ayant à peine eu le temps de me préparer, j’étais extrêmement nerveuse. Encore sous le coup de l’adrénaline, mes jambes tremblaient et j’avais beaucoup de mal à les maintenir écartées, comme il me l’avait demandé. Je devais garder les fesses bien ouvertes pour que l’objet que je m’étais insérée dans l’anus reste bien à sa place. J’avais encore passé un cap dans l’humiliation, tant la position me semblait dégradante. J’avais envie de rentrer ma langue dans ma bouche, mais je m’efforçais de la garder tirer, comme une chienne qui réclame son maître. Quand il est enfin arrivé, j’ai dû lécher ma culotte sale. Encore une humiliation, je pouvais sentir l’odeur de ma mouille dans ma bouche, et cette odeur est restée très longtemps en moi. J’étais sa chienne, et il avait bien l’intention de me le rappeler. Interdite de me lever et obligée de le suivre à quatre pattes, tirée en laisse ou par les cheveux, tendant les joues pour recevoir ses gifles, cambrant les fesses pour prendre ses fessées, ses coups de cravache ou ses coups de bâtons, chaque minute, chaque seconde, me rappelait mon statut de soumise, et son entière domination sur moi. Mon excitation était à son paroxysme, et je le sentais également très excité. Dans sa voix, dans sa manière de me toucher, de me prendre, quand je sentais sa bite au fond de ma gorge et qu’il me donnait l’ordre de la garder toujours plus au fond de ma gorge et toujours plus longtemps. Quand il m’a baisée, brutalement et sans ménagement, récompense ultime de la soumise, j’étais dans un autre monde, incapable de savoir qui j’étais, juste bonne à recevoir son sexe au fond du mien et à le sentir bien profondément en moi, à me faire baiser comme une bonne chienne que j’étais. C’était tellement bon…
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Par : le 04/06/22
1 Je suis sur le canapé à regarder la TV. Tu arrives seins nus et petit tanga. Je ne te remarque même pas. Déçue et pour attirer mon attention. Tu t’approches à quatre pattes en miaulant comme une petite chatte en chaleur. Je ne bronche pas. Tu frottes ta tête sur mon caleçon, lentement, en insistant bien sur mon entrejambe. Ton regard cherche à capter le mien. Quelques coups de langue sur le tissu pour montrer ton envie de pomper ma bite ! Je daigne enfin poser un regard sur toi. Tu souris. Moi, je reste très sérieux. Me sucer n’est pas un jeu... Tu le sais. Tu prends le risque et tout en souriant, tu baisses mon caleçon pour dégager mon pénis. L’objet de ton désir apparaît enfin et tu le prends en main. Ma queue est à moitié bandée. Tu la branles lentement. Moi, je ne dis toujours rien. Tu es hypnotisée par mon gland et mon dard qui, au fil, de ta branlette se tend petit à petit. Elle est superbe et luisante, tu en salives... Tu as envie ! Mais en as-tu l’autorisation ? Tu me regardes suppliante, la bave aux lèvres ! Moi je suis imperturbable. Je te fixe, sévère...D’une main, je pousse légèrement mon gland vers toi. C’est le signal ! Sans hésiter, tu gobes alors mon champignon. Il est doux. Tu fais rouler ta langue autour. Tu le suces tout en continuant à me branler. Tu me tètes littéralement le prépuce. D’un œil, tu guettes mes réactions. Tu donnes des coups de langue sur le méa de mon gland. Un peu de pré-cum en sort. Tu le lèches avec application. Alors commence les choses sérieuses. Tu lâches ma queue et tu l’enfonces intégralement dans ta gorge. Tu pousses jusqu’à quasiment vomir ! Tu as mes couilles sur ton menton. Lentement, tu remontes tes lèvres le long de ma tige puis tu retombes sur mes couilles. Ma queue racle ton palais ! J’écrase ta glotte avec mon gland. Tu suces avec ardeur. Toujours plus fort, aspirant et salivant comme une chienne ! Ta bave coule sur mes couilles et tes nichons. Tu es souillée de tes sécrétions buccales ! Je prends les choses en main. Je te saisis par la nuque et je commence à donner de grands coups de reins. Ma queue viole ta bouche, tu étouffes, tu râles, tu recraches des coulées de baves ! Tu en as partout sur le visage. Je baise ta gorge comme si c’était un cul. Je tape fort ! Tes lèvres brûlent, tu n’en peux plus, mais en bonne soumise, tu tiens le coup. Je plante alors ma queue au fond de ta gorge et tout en te maintenant bien la nuque, je me vide par saccade dans ton gosier ! Péniblement, tu tentes de tout avaler, mais il y en a trop ! Tu tousses, le sperme sort sous pression des coins de tes lèvres et remonte par ton nez !Tu étouffes... Je me retire et je te laisse t’effondrer par terre. Les yeux rouges, du sperme qui ressort de partout. Il coule de tes lèvres pendant que tu reprends ton souffle ! Tu me regardes heureuse de m’avoir comblé. Je te laisse au sol et je me remets dans le canapé et je rallume la TV. Je zappe une peu... Pas grand-chose ce soir au programme...
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Par : le 03/06/22
L'après séance... Ce temps où les émotions flottent tout autour... Un état , chez Mes soumis qui perdure... Puis , par le biais des photos, ce temps continu... Bien au-delà des maux qui parfois marquent la peau et des sensations qui restent à l'esprit, il y a ce plaisir figé en image... Après... Encore bien après une séance, il y a ce temps de partage qu'apporte les souvenirs. Les mots ravivent l' incandescence du moment vécu où tous les sens étaient à l' affût. Une photo revient illustrer l'émotion , des "Humm! " s'écrivent via le chat. C'est bon de se rappeler... Et puis il y a cet après séance, après que les Miens soient rentrés chez eux, quand Je leur transmets les photos prises un peu avant. Ce moment où ils découvrent leur soumission à travers mon regard. Des instants choisi pour immortaliser une pulsion ou une contrainte. Le plaisir de les voir entre mes cordes, à mes pieds ou entre mes griffes. Les prendre en photo juste parce que Je les trouve beaux et Je veux qu'ils puissent le voir aussi. Cet après là, chacun d'eux le vie à sa façon. Parfois ils ne verront que leur corps sans ressentir d'autres émois que le souvenir de ma jouissance lors de cette séance. D'autre fois, ils arriveront même à se trouver beaux dans leur abandon ou encore fier d'y voir leur dévotion. Ce sont des clichés de partage entre eux et Moi avant tout. Un échange pour faire vivre l' après. Et pour qu'ils soient encore plus intense pour eux, J'y mets un petit bout de Moi des fois . Je sais qu'ils aiment ça et vu tout ce qu'ils me donnent d'eux en une séance, c'est avec plaisir que Je prends quelques minutes pour saisir cet instant ... Chacun de son coté, à sa façon de vivre son après... Chacun à sa façon de faire avec ses photos... Chacun à sa façon de faire perdurer le plaisir de ce temps qui s'est suspendu tout le long de la séance... Et vient ce après... Celui qui vient bien après le après... Ce après plein de plaisir que m'offrent les Miens... J'aime ce plaisir. Celui de la découverte d'une photo ,postée sur un mur à mon intention , agrémentée de mots plein de concupiscence ... Celui du plaisir renouvelé d'une photo délicieusement magnifiée par les soins de Ma soumise aux teintes explosives... Celui du retour des Miens...
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Par : le 03/06/22
Libertin perdu en son siècle, le marquis Donatien de Sade (1740-1814) fait figure d'extraterrestre. Aristocrate riche et égocentrique, évidemment athée, sujet à des accès de colère et de violence, il lui arrivait de maltraiter prostituées et domestiques à une époque où la montée des idéaux démocratiques rendait ces comportements de moins en moins acceptables. Cela lui valut d'être incarcéré vingt-sept années au total, notamment à Vincennes et à la Bastille. Il mit à profit son oisiveté forcée pour écrire des romans érotiques qui ont fait de lui l'archétype du pervers sexuel au point que l'on a forgé dès 1834 un néologisme pour désigner la cruauté associée au sexe : le sadisme. IL FAUT QUE JEUNESSE SE PASSE Le futur écrivain est né le 2 juin 1740 à l'hôtel parisien de la famille de Condé, à Paris. Élevé au château familial de Saumane, près d'Avignon, il a une première approche du libertinage auprès de son père et de son oncle, un abbé lettré qui vit en galante compagnie avec une mère et sa fille. Le 17 mai 1763, il épouse une riche héritière, Renée-Pélagie, fille d'un magistrat, le président de Montreuil. Malgré les frasques de Donatien, ou à cause d'elles, le couple s'entend plutôt bien et donne le jour à trois enfants. Leur ménage est une alternance de déclarations passionnées et d'insultes. Les ennuis commencent la même année, le 29 octobre 1763, avec l'incarcération du jeune homme à Vincennes sur une accusation de comportements violents et blasphématoires dans un bordel. Il est libéré dès le 13 novembre sur intervention de son père ! Plus grave est l'affaire qui suit. Le 3 avril 1768, une veuve de 36 ans, Rose Keller, l'accuse de l'avoir entraînée dans un bordel, ligotée sur un lit et soumise à différents sévices. Tout cela le jour de Pâques. Le scandale est immense. Il faut dire que, quelques mois plus tôt, pour bien moins que ça, on a exécuté à Abbeville le malheureux chevalier de la Barre. Mais le marquis, qui a succédé à son père dans ses charges officielles de son père, a l'avantage, lui, d'appartenir à la haute société. Il est libéré dès le mois de novembre. Son inconduite est notoire, conforme au demeurant à celle de nombreux aristocrates de sa génération, sans parler du vieux roi lui-même qui cherche le plaisir dans l'hôtel du Parc-aux-Cerfs. Mais une nouvelle affaire vient corser son dossier : quatre filles accusent le marquis et son valet d'avoir tenté de les droguer et les sodomiser dans un hôtel de passe de Marseille, le 25 juin 1772. Condamné à mort par contumace, il échappe à l'exécution mais sa réputation est brisée. Dans l'intérêt de la famille mais aussi pour le protéger contre lui-même, sa belle-mère le fait interner à Vincennes par lettre de cachet le 13 février 1777. ÉCRIVAIN RATE EN QUÊTE DE GLOIRE En prison à 37 ans, le marquis de Sade se pique d'écrire et se rêve en auteur de théâtre mais on lui fait comprendre qu'il n'a aucun avenir dans ce genre. Qu'à cela ne tienne, écrit-il, à défaut de s'illustrer dans le théâtre, il s'illustrera par ses écrits érotiques... Le 29 février 1784, il est transféré à la Bastille. Dans la crainte que ses manuscrits ne soient saisis, il met au net celui auquel il attache le plus de prix, Les Cent-Vingt journées de Sodome. Il le recopie sur d'étroits feuillets collés bout à bout et cache le tout entre deux pierres. Quand il est expulsé de sa cellule, le manuscrit disparaît. Il sera néanmoins publié au XXe siècle. Libéré le 2 avril 1790, à la faveur des événements révolutionnaires, obèse et quelque peu usé, coupé de sa famille, le marquis fait publier l'année suivante son roman Justine ou les malheurs de la vertu, qui le classe définitivement parmi les auteurs libertins. Soucieux de respectabilité, il prend le train de la Révolution en marche. Cela n'empêche qu'il demeure attaché au roi et surtout aux privilèges de l'aristocratie : « Je veux qu'on rende à la noblesse son lustre parce que de le lui avoir ôté n'avance à rien ; je veux que le roi soit le chef de la Nation », écrit-il en décembre 1791 ! Il se fait remarquer le 9 octobre 1793 par un Discours aux mânes de Marat et de Le Peletier dans lequel il dénonce le christianisme mais aussi toute forme de religiosité. Ses outrances ont l'heur de déplaire au pudibond Robespierre, qui voit la morale et la religion comme des nécessités sociales. Le 5 décembre 1793, Sade, à nouveau incarcéré, échappe à la guillotine d'extrême justesse grâce à la chute de Robespierre, le 9 thermidor... Sous le Directoire, enfin, bénéficiant de l'extrême déliquescence des moeurs, il multiplie les publications à caractère pornographique. Mais le vent tourne. Le 6 mars 1801, ses manuscrits sont saisis sur ordre du Premier Consul, qui a le souci de se réconcilier avec l'Église et d'établir un ordre moral respectueux de son autorité. Il est à nouveau enfermé à l'asile de Charenton, près de Paris, où il finira sa vie. AU DIABLE LA MORALE Ses romans vont circuler sous le manteau tout au long du XIXe siècle et distraire quelques happy few tels Stendhal, Flaubert, Baudelaire, Verlaine... Publiés dans la prestigieuse édition de la Pléiade en 1990 et aujourd'hui accessibles à tous sur internet, de même que Les Cent-Vingt Journées de Sodome, ils dégagent surtout un profond ennui par la froide répétition de descriptions scatologiques. Le marquis de Sade considère, à l'opposé de Jean-Jacques Rousseau, que l'homme est foncièrement mauvais par nature et que le mal est voulu par cette même nature. La morale et la religion, en freinant ses penchants naturels, contrarient la nature : « C'est de la nature que je les ai reçus, ces penchants, et je l'irriterais en y résistant ; si elle me les a donnés mauvais, c'est qu'ils devenaient ainsi nécessaires à ses vues. Je ne suis dans ses mains qu'une machine qu'elle meut à son gré, et il n'est pas un de mes crimes qui ne la serve; plus elle m'en conseille, plus elle en a besoin : je serais un sot de lui résister. Je n'ai donc contre moi que les lois, mais je les brave ; mon or et mon crédit me mettent au-dessus de ces fléaux vulgaires qui ne doivent frapper que le peuple ».
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Par : le 31/05/22
Une drôle de sensation. L'envie de pleurer mais des larmes qui ne sortent pas. Triste, déçue et sereine à la fois. Comme si j'étais arrivée au bout d'une étape. Mais pas dans l'angoisse pour une fois. Pas de hurlement, pas de panique. Comme si j avais commencé à faire la paix avec moi. Ce n'est pas de ma faute si mon Maître ne me donne aucune de nouvelle depuis plusieurs jours. Je ne suis pas responsable du fait qu'on ne se soit pas vu depuis presque 2 mois. IL sait que j ai du mal avec ses silences. On en a déjà discuté. IL le fait. C'est son choix . Je sais aussi qu IL va me recontacter, pas avant lundi, mais IL finira par me rappeler...... et cette fois, le silence viendra de moi. Je ne veux plus m'oublier. J ai besoin d une présence, plus ou moins régulière, en rien envahissante, mais savoir que Mon Maître est lié à moi comme je le suis à LUI est important à mes yeux. 2 mois sans physique , des nouvelles ; d ordinaires pas nombreuses ; de plus en plus espacées.... je sens que je commence à prendre de la distance. On ne laisse pas ses clients sans les tenir informés des délais, des avancées, des objectifs... pourquoi le faire avec sa soumise ? On en a déjà parlé. IL sait. Je ne veux pas lui faire un procès. Mais je ne peux plus. Je deviens consciente de ce que je voulais lui donner, de la valeur de ma soumission, du don de soi. Je n'ai plus envie de la brader au motif que j'ai tout à apprendre. J'ai plus envie de continuer à attendre un hypothétique "demain est un autre jour". Je sais que sa situation n'est pas simple. La mienne non plus. Et puis c'est lui qui m'a dit "une soumise ça demande du temps, encore plus une novice". Il est conscient. Du temps IL n'en n'a pas. Pourtant j'étais pas gourmande et savait me contenter de ce qu'il pouvait le donner. Je crois qu IL a été un bon Maître avec ses précédentes soumises, et qu il le sera avec les suivantes. Je crois qu'il voulait l'être avec moi aussi. Mais ce n'était pas le bon moment. Dommage. Est ce qu'il ne s'est pas donné les moyens ? Est ce qu'il s'est laissé prendre dans son propre tourbillon de sa vie ? ou tout simplement n'était pas en capacité ces derniers mois à pouvoir être Maitre et n'a pas su le voir. Je peux comprendre. Je suis trop "débutante " comme novice , sans guide, cette relation est trop récente (6 mois à peine dont 2 d'absence), sans régularité..... je n'y arrive plus. Mais je n'ai pas à m en vouloir et je ne lui en veut pas non plus. J'ai appris, avancé. Avec son aide des fois, seule souvent. Et dans ces moments seule, je me disais "IL me dirait quoi LUI" ... et j appliquais le conseil que j imaginais qu'IL me donnait . IL m a fait découvrir le BDSM et cette relation particulière entre un Maître et une soumise. Une bien belle forêt le BDSM. On avait commencé à s y balader ensemble. J'ai cru y voir un petit chemin, j'ai cru sentir sa main dans la mienne m'y accompagner. J'ai bu ses paroles qui étaient sincère je pense au moment où les mots sortaient de sa bouche. J'avais tellement envie d'y croire et lui aussi j'imagine. J'y ai cru, j'ai avancé.... Et je me suis retournée. Mon Maître n est pas là, ce n'était pas sa voix mais le chant des sirènes. Il n'y a pas de chemin sous mes pieds. Pas grave, la forêt est belle quand même. Je suis au milieu d'une toute petite clairière. Je m'allonge sur le sol. Le ciel est bleu. La cime des arbres danse dans le vent. Ils se tiennent les uns les autres tout en gardant chacun son propre espace. Je m'y sens bien. J 'écoute les sons , cela m'appaise. Je ne suis pas inquiète, je ne me sens pas perdu. Juste besoin de faire une pause. Prendre le temps. Fixer les choses : Ses paroles à LUI, rare, belles, sincères mais rarement concrètes. La dernière fois qu'on s'est vu c'etait pour une punition, normal, faut bien qu un chiot apprenne. Et elle était justifiée. Depuis j'ai carrément progressé, IL n'a pas vu, pas encouragé. A sa décharge, IL ne pouvait pas voir, trop la tête dans le guidon. Et je réalise, IL n'est pas là, n'a pas le temps, ne peut m'encourager. Je me gère seule....mais à quoi bon alors. Que m apporte cette relation ? J'attends en fantasmant sur la vie des autres en souriant en me disant "un jour ca sera mon tour", quand IL pourra. "Il n a pas répondu à mon dernier message. Et je n'en n ai pas renvoyé. J'ai voulu trouver une reponse. Et maintenant je réalise que je n'ai pas besoin de demander. Parceque quand je regarde en arrière, chaque détail est une reponse" (l'auteur m'est inconu) Flash back, j'ai 11 ans, je viens de rentrer au collège. Je ne suis pas dans la même classe que Céline ma grande copine de CM2. Ca la rend triste. "Mais non, on se verra à la récré." Un mois passe, je me suis faite plein de nouvelles copines. Et le rythme est tres différent de l école de village. Tant de nouveautés. Où est Céline ? Ce temps que j'ai passé avec les autres, à prendre mes marques , je ne l'ai pas passé avec elle. Elle boude, ne veux pas entendre parler de moi. Je l'ai abandonnée. Ca me fait mal mais je comprend. Je l'ai négligée , je lui ai fait mal sans le vouloir. Je m'en veux. Je l'aimais bien mais je l'ai perdu, bêtement. J'essaye de rattraper le coup, mais c'est déjà trop tard. Merci à Céline de m'avoir donné une grande leçon à 11 ans. On est responsable de ce qu'on apprivoise. Allez je résiste pas, voici un passage de mon livre préféré : "- C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante. - C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... fit le petit prince, afin de se souvenir. - Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose... - Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir." Saint Exupery Je ne peux plus. Je vais me préparer à sortir de ma clairière. J'ai un bon sens de l'orientation. Si je reviens juste sur mes pas, je vais retrouver le chemin de départ et en reprendre un autre, un vrai qui va serpenter ailleurs. Qui sait je vais peut-être arriver nez à nez avec un bûcheron canadien ou un gas de l ONF 😄. Aussi bien je me fais charger par un sanglier. 🤣 ou Benoit Poelvoorde hurlant " tu vas pas rester tout seul dans ce bois gamin ?!". Si je pouvais juste voir le loup (elle etait facile celle là). Mais il me faut rester encore un peu dans ma clairière le temps d'oublier mon Guide fantôme. Restera LE collier. Je ne lui rendrais pas, mais impossible de le garder non plus.... Une vallée avec une route qui tortille. En bas de la route, une rivière. L'eau, mon élément. C'est ici que je vais le laisser, dans un super paysage parceque MON collier, ma soumission le mérite. Et LUI qui aime la moto , pourra se dire quand IL passera au dessus "c est peut être dans cette eau, que la soumise qui devait etre mienne a laissé son collier" Merci Maître grâce à vous je suis entrée dans la forêt.
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Par : le 31/05/22
À quel point vos soumis, dans votre histoire personnelle, ont-ils été semblables les uns aux autres? J'ai eu mon ''soumis type'' expressif, gentil, doux, serviable à souhait, frêle, intellectuel, idéaliste et musicien. Là, je me retrouve face à un soumis (qui se veut dominant, mais... C'est un soumis de nature alors...) qui est peu expressif, indépendant, insubordonné, concret, macho, très ouvrier. Alors que je me surpris à me plaindre en pensées de comment mon 2e soumis n'avait pas les caractéristiques de mon premier, je réalisai que je commettais une erreur qui nous ferait perdre du temps et de l'énergie à moi comme à lui. Je dû me demander; « Quel sont les attributs chez cet homme qui feraient de lui un bon soumis? Comment profiter de son unicité? » J'en vins à ce raisonnement suite à une amie qui disait détester la façon qu'a l'homme de ''casser'' un cheval pour le calquer au modèle unique désiré. Ça m'a fait réfléchir. J'essayais de casser cet homme comme on casse un cheval. Je ne crois pas que ce soit mal. Mais, j'ai réalisé que c'était COÛTEUX! Alors, changement de stratégie! Là où, précédemment était encouragé une petite compétitivité vis-à-vis des montures plus dressées et dociles, j'ai cessé de nourrir cette compétitivité chez lui face à des mâles auxquels ils ne ressemblaient pas vraiment. Je voulais voir en quoi ses caractéristiques à lui pouvaient être développées et comment, lui, gagnerait du panache à ses yeux et aux miens... Il aime rire, danser, être dans son élément, m'apprendre des choses, me rendre service et surtout: relever les petits défis qu'il croit qui pourrait impressionner. Au fond, c'est surtout son égo qu'il aime. Et c'est très bien ainsi. On ne se cachera pas que cette façon de fonctionner est bien plus coûteuse en énergie mentale et énergie tout court. Je comprends donc à 100% celles/ceux qui ont leur modèle établi et ne change pas de méthodologie chaque fois! Vraiment! Ça reste important cependant de considérer cette autre façon de fonctionner et aborder le training d'un soumis ou d'un esclave.
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Par : le 29/05/22
Voici la derniere partie du texte appelé " l appel de la forêt " , merveilleusement ecrit par une ex merveilleuse soumise qui reste dans mon coeur et pensées.. Bonne lecture Il dirigea une main vers son sexe, la caressa, elle était toujours aussi mouillée, Il chercha et trouva rapidement son petit bouton et joua avec. Instantanément, elle se dirigea autant que possible vers ses doigts... De l'autre main, Il jouait un peu avec une des pinces qu'Il avait mis sur ses tétons... Il tirait, vrillait... et fit de même avec l'autre... Il n’insistât pas trop longtemps... Il voulait la voir et l'entendre jouir, là debout attachée, entièrement livrée à Ses moindres envies ... L'entendre oui, mais pas trop fort tout de même... Il en profita pour la gêner un peu, Il aimait ça... - étant donné que tu es moins discrète quand tu jouis que quand tu souffres, je suis obligé de te bâillonner ma petite chienne, sinon tu vas ameuter tous les promeneurs du coin... quoi que ça pourrait peut être satisfaire tes nouvelles envies d’exhibition....lui dit il taquin . Elle ne répondit pas - alors qu'est ce que tu en penses? je te bâillonne ou je te laisse libre de t'époumoner avec le risque d'attirer des voyeurs ? - je préfère le bâillon, Maître - je pensais bien.... Il s'éloigna pour aller chercher le bâillon boule dans son sac. Elle n'aimait pas ne plus Le sentir près d'elle, pourtant Il n'était pas loin, mais c'était tout de même trop pour elle quand elle était dans le noir en extérieur... Elle tendait l'oreille, elle écoutait le moindre bruit qu'Il faisait.. . Il ne revint pas tout de suite, vers elle, Il avait repris son appareil photo et la photographiait... Une fois fait, il vint lui mettre le bâillon dans la bouche... Lui caressa le visage, l'embrassa... Il était doux avec elle... Puis, Il tira sur les pinces, elle ne s'y attendait pas, elle mordit dans la boule de son bâillon... Il continua, elle sentait Son regard rivé sur elle.... Elle sera les dents.... Il continua jusqu’à ce que les pinces lâchent prise... Il lui caressa un sein et pris l'autre en bouche, titilla son téton douloureux avec la langue, mordilla doucement, puis passa à l'autre....c'était bon.... Elle se tendait vers lui... Il lâcha ses seins pour descendre vers son petit bouton qu'Il se mit à lécher, tout en la pénétrant avec ses doigts d'une main, lui malaxant les fesses et jouant avec son petit trou de l'autre... plus ça allait, plus elle gémissait, se trémoussait, sa respiration s’accélérait... jusqu'à ce que la déferlante la submerge... Les cris de son plaisir furent atténués par le bâillon ... Elle était emportée en dehors du temps, de l'espace, il n'y avait plus que le plaisir que lui procurait son Maître.... Elle finit par se laisser pendre par les poignets, n'ayant plus de force pour se tenir debout... Il se releva, lui enleva le bâillon, la soutint et lui détacha les mains, elle Le prit dans ses bras, se laissa aller contre Lui jusqu’à ce qu'Il lui dise : - a genoux un sourire se dessina sur son visage... huumm ce ton.... elle savait ... elle attendait ce moment avec impatience... Elle ne se fit pas prier pour se mettre à genoux.... Il appuya sa tête contre Sa verge dressée, elle l'embrassa à travers Son pantalon... Elle défit le rempart qui la séparait de ce qu'elle voulait.... A elle, enfin, de jouer de la bouche et de la langue.... Elle adorait ça.... Elle adorait Lui donner du plaisir, entendre Sa respiration changer, Ses soupirs de plaisirs... tout ça l'excitait, lui donnait envie de Lui donner encore plus... alors elle s'appliquait à être à l'écoute de Son plaisir et à Lui faire ce qu'Il aimait le plus... des décharges de plaisir continuaient à remonter dans son bas ventre pendant qu'elle suçait et léchait son Maître... son bassin ondulait au même rythme que les décharges qui arrivaient.... Il se retira de sa bouche, comme toujours c'était une frustration pour elle... mais celle ci disparu quand Il lui dit de se mettre à quatre pattes... Il vint se positionner derrière elle et la prit comme Il aimait le plus et elle aussi d'ailleurs... là c'était parfait... Il était en elle... Elle se cambrait le plus qu'elle pouvait pour bien Le recevoir... Et ce fut une nouvelle vague qui monta en elle et explosa, elle finit par s’écrouler sur le sol, elle était comblée, heureuse que son Maître est aussi prit Son plaisir... Il se retira, se rajusta et vint la prendre une nouvelle fois dans Ses bras.... pas besoin de parler, juste être là ensemble pour savourer la présence de l'autre... Il lui retira son bandeau et l'autorisa à Le regarder, Il l'embrassa.... Elle aurait voulu que le temps s'arrête pour rester là dans Ses bras... Elle avait complètement oublié où elle se trouvait et le risque d'être surprise nue au milieu de la forêt... Il finit par se relever, Il lui détacha les chevilles, lui rapporta ses vêtements. Il était temps de se préparer à rentrer, de sortir de cette bulle qu'ils avaient partagé, retourner dans le monde réel.... Elle se rhabilla et retourna à sa gamelle boire un peu avant de ranger, elle entendit son Maître la prendre de nouveau en photo... et ils retournèrent à la voiture. -- Soumise Lildya
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Par : le 29/05/22
En couple, nous avons un ami Male plutot Dominateur. Il est attiré par ma Femme que j'aime d'amour. Je leur ai donné carte blanche pour du plaisir, mais ma femme ne le souhaite pas. En tout cas ça ne le dérange pas puisqu'il fait un transfert sur moi. Avec la complicité de ma femme et mon accord, Il m'a ordonné d'acheter un string blanc que je dois mettre selon ses désirs. Il m'éduque à la soumission, l'humiliation verbale (salope, pétasse, petite pute...). Autoritaire, il m'ordonne de baisser mon pantalon, me mettre a quatres pattes et m'a déjà fessé deux fois. Pour l'instant sans ma Femme . Elle le laisse faire sans y assister, sans y participer. Seulement après, avec sa douceur elle me rassure, me caresse , me protege. J'aime sa douceur et la sévérité de notre ami. C'est un super équilibre à trois. Pourvu que ça dure.
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Par : le 24/05/22
"On peut dire cinquante fois une chose, ce n'est pas pour autant qu'elle sera vrai x50" Je serai donc Maître Untel, anonyme et donc mystérieux. Puisqu'elles ne s'assument pas, je resterai évasif. Comme le doigt caresse le bord du verre, JE saurais attendre le meilleur moment. Parce que de mon doigt, je sais produire les sons les plus exquis et les plus affreux. Je suis le chant du cristal ET la fourchette sur le tableau noir. Pas évident mais je suis satisfait du résultat. Aller hop, c'est en ligne. JE commence par les basiques si longtemps négligés. Ma présentation sur le forum, puis quelques interactions par ci par là, toujours très distantes, impersonnelles. J'y prends même goût. Je parle de moi à la troisième personne dans mon appartement. Seul. Je commence à me prendre pour un personnage de fiction dont le narrateur guide la vie comme il lui chante. Et puis bon... Quand tu t'inventes une vie, des expériences, une attitude, t'en es pas si loin. Reste plus qu'à savoir si je tiens plus de la fin heureuse ou du drame. Mais le pire... Le pire.... C'est que ça marche !!!!! JE n'ai jamais discuté avec autant de monde. Eu autant d'amis. Je me suis même pris à planifier un munch avec d'autres avant de me souvenir que, et bien non, je n'ai pas de soumise, je ne suis pas pratiquant, je suis juste un pauvre tocard derrière son écran qui passe ses journées à guetter la moindre interaction... J'en viens à m'énerver !!! A maudire, à insulter ce dieu, cet écrivain de malheur qui donne ce que je veux aux autres !!!! Mais côté cour, je reste stoïque. Félicitant qui de rigueur, saluant qui je "connaissais". Sauf que... sauf que... le plan prenait forme. C'est en forgeant comme consomme du charbon et à me retrouver interagissant avec les autres, les vrais, je gagnais en expérience. En intelligence de jeu aussi. Je ne partais plus perdant. Les derniers échanges se passaient bien puis, il semblait toujours me manquer quelque chose... De l'authenticité peut-être? Non! Conneries. Il fallait que je trouve. JE m'en plaignais aux autres. La bonne, la bonne. Mais ce n'est pas d'une domestique que j'ai besoin ! (quoi que) JE veux ma chienne. Wouf-wouf. Toutes celles qui me font remuer la queue sont déjà prises. Y'en a même qui trouvent sans chercher et qui s'en orgueillisent sur le forum dans des récits sirupeux à souhait. Faudrait peut-être voir à faire revenir le dominant que je suis. Mâle Alpha !!! Mal alpha et bien d'autres maux d'ailleurs. Ces mots, ces mots qui sortent tout seul.
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Par : le 20/05/22
Où fixer les limites de mes envies d'obéissance totale? Ma soumise a son vécu, ses souffrances enfantines, ses abandons cruels exacerbés par sa sensibilité hors norme. Cette sensibilité justement qui m'a rapproché d'elle, irrésistiblement, gage d'une soumission épanouie et solide, au delà du moment ludique, du désir instantané ou éphémère. Cette intelligence de l'âme dont les voluptueuses courbes harmonieuses résonnent en écho à sa féminité. Nos débuts furent difficiles, très même! Une bonne dizaine de brouilles en peu de temps, des explosions violentes, suppressions de lien, annulation de projets, révoltes nucléaires à des motifs si futiles que j'en fus ébranlé de longues heures, ne comprenant pas le "mode d'emploi" de cette soumise remarquable mais si rétive. Parfois si proches et la seconde d'après devenue agressive sur un mot mal compris, preuves d'une construction de la confiance inachevée et perturbée comme une chatte échaudée. Conscient que cette confiance définitive ne peut exister sans efforts, j'ai ferraillé avec elle, contre elle, tout contre parfois. La laissant se calmer, réfléchir un peu, atterrir, renifler ma main; et continue encore cette prudence de ne pas la heurter, tout en la heurtant justement aussi. Désormais c'est elle qui me précède. Nos innombrables textos résonnent tous de douceur et bdsm mélés intimement. Tous ses vétos que j'ai patiemment intégrés, acquis comme des thèmes à fuir, les voilà peu à peu avancés par elle. Elle me les offre, les surmonte pour moi, pour nous, parce que c'est moi son Maître et qu'elle veut me le prouver encore et encore, confiante, amoureuse et dévouée, face à moi, timoré désormais, plus qu'elle! Mais nous avançons, sans stress. Nous avons encore tant de marge de choses à vivre ensemble, de cheminer main dans la main, simplement, heureux ensemble et languissants séparés. Un jour elle m'a annoncé que dans d'autres circonstances elle aurait aimé être ma compagne du quotidien! Nous sommes en phase et savons que cela ne sera pas, mais du tac au tac je lui ai répondu qu'il en est de même pour moi, elle aurait été une excellente épouse! Mais nous ne détestons pas nos conjoints respectifs, et les aimons, différemment mais largement de quoi ne pas les quitter par égoisme. Une autre fois elle m'a écrit que tout ce que je pouvais avoir envie de réaliser et jamais encore fait avec mes précédentes soumises, je pouvais le faire avec elle! Sachant tous les vetos de sa pudeur, de ses brisures d'enfance, de ses peurs diverses, cette phrase résonne comme un cri d'amour si puissant que je l'ai gravée dans mon coeur à jamais! Que j'use ou pas de cette invitation sublime n'est pas le propos, cette simple phrase et la sincérité totale qui la caractérise comme toujours suffisent à me transporter, émoi bien visible sous ma ceinture qui plus est.... La distance? La vie de couple adultère? Mon travail et ses nombreuses occupations? Fi de tout ça: nous nous organisons, nous nous voyons plutôt souvent tant l'absence de l'autre mine. Le virtuel n'est pas notre crédo, peu de rituel D/s entre nous. Juste son vouvoiement, ses salutations matinales et de bonne nuit, respectueuses. J'ai tenté au début quelques demandes magistrales à réaliser seule mais sans passion ressentie, des refus et meme quelques crises réveillées par des échos dans sa mémoire d'actes ou postures vulgaires. Ces mésaventures ont clos ce jeu là entre nous, qui me semblait alors nécessaire pour entretenir une relation à distance, mais au final très superflus. Rien n'étant exclus, peut-être y reviendrons nous plus tard, au fil des nombreuses et si agréables surprises qu'elle me fait et de son lacher prise qui me rend si fier et heureux pour tous les deux. Donc fixer des limites devient peu à peu hors sujet entre nous, et c'est ainsi que j'espérais sans trop y croire une relation bdsm épanouie, une union plutôt devrais-je dire... Aucun intérêt de détailler tel ou tel acte, en biffer de rouge certains autres, nous avançons main dans la main à notre rythme. Parfois elle propose, et je dispose, parfois j'impose et elle compose ou se décompose! Qu'est-ce donc qu'une limite?
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Par : le 09/05/22
Mes souvenirs de cette période ne se dessinent qu'en nuances floues, une mosaïque d'instants fragmentés, imprégnée du parfum doux-amer de l'enfance. C'est à travers le prisme de mes poupées Barbie que j'ai pris conscience des jeux de pouvoir, ces ombres qui se dessinaient d’ailleurs au sein de ma propre famille, pourtant aisée, voire bourgeoise pour la branche principale. L'oncle qui, d'un simple ordre, commandait à sa jeune épouse, quinze ans sa cadette, de lui obéir servilement. Le beau-père, maestro des cris et des sautes d'humeur, une mère qui, au fil du temps, avait fini par banaliser ses accès de colère, les intégrant à sa routine comme une trame invisible. La tante, libérée par l'alcool, s'amusant à humilier son mari lors des réunions familiales, démontrant ainsi à tous qu'elle avait la mainmise sur lui, et jamais l'inverse. Longtemps, j'ai cru que cette volonté obsessionnelle de dominer, de soumettre, était une maladie réservée aux adultes. Deux côtés d'une même médaille, la face obscure de l'un et l'obligation d'accomplir ce qui était attendu de l'autre. Le choix, une chimère inatteignable, sauf à avoir suffisamment de fierté pour ne pas se dissoudre complètement dans l'ombre. C'est à l'aube de mes treize ans, alors que je faisais mon entrée dans un lycée privé non mixte avec quelques années d’avance, que j'ai réalisé que ce désir malsain de régner en maître n'était pas le monopole des adultes. Les filles les plus en vue de l'école étaient aussi les plus autoritaires, une puissance naturelle qui leur conférait reconnaissance et respect. Mon amie fidèle, Nathalie, et moi les observions inlassablement durant les récréations, un mélange de désir, au point de vouloir les imiter, sinon une fascination pour leur pouvoir, je ne saurais le dire. Elles, en revanche, semblaient déterminées à nous persécuter, Nathalie perdant ses affaires de manière mystérieuse, sa trousse jetée au milieu de la cour ou son gilet accroché à un arbre, et moi subissant des « assauts capillaires », sans doute parce que mes cheveux étaient particulièrement longs, trop à leurs yeux. Elles avaient décelé nos vulnérabilités et, sans se concerter, avaient décidé tacitement de faire de nous leurs souffre-douleurs. Nous avons bien sûr résisté du mieux que nous pouvions, mais rien ne pouvait nous préparer à cette forme de cruauté. Les brimades ont rapidement dégénéré en violences mineures, les gifles n'étaient pas rares, nous étions devenues leurs marionnettes utiles, une garantie supplémentaire de leur supériorité. Les personnalités fortes ont cette rare capacité à rassembler les autres pour atteindre leurs objectifs. Lorsque cet objectif consiste à humilier les deux seules filles qui résistent encore à leur domination, la situation vire à un combat inéquitable, à huit contre deux. Après les vacances d'hiver, à mon retour en classe, Nathalie n'était pas à l'entrée de l'école comme à son habitude. J'ai attendu quelques minutes, espérant être la première à arriver. Mais c'est seulement en pénétrant dans la salle de classe que j'ai découvert la vérité amère : Nathalie avait rejoint le groupe des pestes qui nous harcelaient depuis la rentrée. Il était inenvisageable de m'asseoir seule à ma table sans m'assurer que ma meilleure amie ne subissait aucune pression pour m'ignorer, comme elle le faisait. J'ai donc pris position devant ce petit gang d'adolescentes, face à Nathalie, mais elle n'a ni répondu ni même croisé mon regard. L'une d'entre elles, un soupçon plus gênée que les autres par l'humiliation que j'endurais, m'a lâché un simple : "Je crois bien qu'elle n'a pas envie de te parler !" avant d'éclater de rire, entraînant tout le groupe dans son hilarité, y compris Nathalie. J'ai essayé à maintes reprises de la contacter par téléphone ou de lui rendre visite, mais elle n'a jamais accepté de me voir ni de me parler, et même sa mère n'a pas daigné m’expliquer son choix. Je comprenais alors que j'étais désormais seule, triste mais aussi effrayée à par cette idée et la perspective de retourner en cours. Le harcèlement s'est poursuivi, mais de manière plus sporadique. Nathalie n'y participait jamais activement, se contentant de nous observer de loin. C'était comme une forme de rappel, ou peut-être que cela découlait de ma réussite scolaire, des félicitations d'un professeur pour un devoir bien fait ou d'une bonne note à un contrôle. Leur jeu préféré consistait à me coincer dos à un mur, à l'abri des regards indiscrets, m'empêchant de fuir, pour ensuite se moquer de moi, de mon étiquette de "petite intello". Parfois, elles vidaient mon cartable par terre, volaient mes stylos, me tiraient les cheveux, d’autres fois, tout cela en même temps. Un moment désagréable, certes, mais la véritable punition était l'isolement quasi-permanent que je subissais en classe et le désir paradoxal qui grandissait en moi : devenir l'une d'entre elles pour échapper à cette solitude. Un soir de février au moment de quitter la classe pour rentrer à la maison, j’ai réalisé que mon écharpe avait disparue. Je l’avais pourtant pliée sur le dossier de ma chaise, comme à mon habitude. C'était un tournant, elles allaient désormais me voler mes affaires en plus de tout le reste. J'avais encore beaucoup à apprendre sur le harcèlement scolaire, et à cette époque, personne n'en parlait. C'était un tabou. Néanmoins, je pressentais que les choses allaient s'aggraver. Ma mère, qui commençait à remarquer les changements dans mon comportement, s'étonnait de ne plus voir Nathalie à la maison, alors que nous étions inséparables. Elle notait également que je n'étais plus invitée à sortir avec mes camarades en fin de semaine et que je me repliais sur moi-même peu à peu. Elle m'a proposé de discuter de ces problèmes à maintes reprises, mais j'avais tellement honte. Comme toutes les victimes, je n'ai pas réussi à lui dire ce que je vivais à l'école, de peur que cela ne s'ébruite. À la place, j'ai simplement évoqué une dispute avec ma meilleure amie et son rapprochement avec un autre groupe d'amies. J'ai gagné du temps. Un matin de la même semaine, en pénétrant dans la cour, je fus témoin d'une scène qui fit naître en moi un mélange dévorant de colère et d'impuissance. Nathalie se tenait près du bâtiment principal, arborant mon écharpe autour de son cou, tel un trophée ostensible. Elle ne cherchait nullement à dissimuler son geste, bien au contraire. Tout autour d'elle, mes persécutrices l'entouraient, faisant des signes de la main pour s'assurer que j'avais été le témoin de leur cruelle petite mascarade. Une écharpe, rien de plus qu'une simple écharpe, et pourtant, elle symbolisait davantage que cela. J'en possédais d'autres, bien sûr, mais l'acte de Nathalie, son audace à l'afficher ainsi, avait un goût amer. Dans cette situation, je n'osais pas intervenir, craignant de leur offrir une opportunité de me faire du mal en représailles. Aussi, je restai immobile, impuissante, à observer silencieusement leur jeu sadique. Et elles continuèrent, se moquant ouvertement en demandant à haute voix, à quelques centimètres de moi, où Nathalie avait bien pu acquérir cette écharpe, tout en lui faisant des compliments sur son apparence. Tout cela était destiné à me torturer davantage. J’étais à bout, mais je m'efforçais de dissimuler toute émotion, convaincue que l'ignorance était ma meilleure défense. Hélas, ma façade impassible allait les inciter à pousser les limites de la cruauté encore plus loin. Le jeudi, en fin d'après-midi, je me rendis en cours de Latin, ce qui me contraignait à quitter l'école une heure et demie après mes autres camarades de classe. À mon retour, ma mère m'attendait, comme à son habitude, juste avant de partir accomplir sa garde à l'hôpital. Les jeudis soirs étaient également des moments que je partageais régulièrement avec Nathalie. Nous étions seules dans cette vaste demeure, à regarder des films, à discuter des garçons, des filles qui nous tourmentaient, ou à jouer à des jeux vidéo. Ce jeudi-là, en entrant chez moi, j'ai vu l'écharpe qui m'avait été volée quelques jours auparavant, accrochée nonchalamment au portemanteau de l'entrée. J'ai immédiatement compris que Nathalie était venue me la rendre. Plusieurs pensées se sont bousculées dans mon esprit. Avait-elle des remords ? Était-ce un geste de réconciliation ? Elle recherchait mon pardon ? Ou bien, voulait-elle que nous redevenions meilleures amies, allait-elle enfin m'ouvrir la porte de son groupe de filles ? Ma mère m'a tirée de mes réflexions en m'expliquant qu'il s'agissait d'une petite surprise organisée avec la mère de Nathalie pour sceller notre réconciliation. Déçue que la surprise n'en soit plus tout à fait une mais fière de sa démarche, elle termina en me disant « Nat est venue avec des amies, elles t’attendent dans ta chambre, il y a des pizzas surgelées dans le réfrigérateur, ne vous couchez pas trop tard et surtout amuse toi bien ma chérie ! » puis elle claqua la porte d’entrée et partit. Avec le recul, j’imagine, sans mal, qu’elle a dû assimiler mon visage déconfit à celui de la surprise. J’ai été comme paralysée durant quelques instants, le temps d’assimiler ce qui était en train de se jouer. Je me retrouvais piégée avec mes oppresseuses chez moi, avec la complicité involontaire de ma propre mère, un comble. J’ai monté les escaliers qui menaient à ma chambre très lentement en envisageant le meilleur comme le pire, plusieurs fois. Aujourd’hui encore, je ne sais pas si c’est la naissance de mon masochisme cérébral qui m’a poussé à les confronter en sachant que c’était perdu d’avance ou bien si c’est mon optimisme qui me chuchotait à l’oreille qu’elles ne pouvaient pas être venues chez moi sans volonté d’apaisement. J'ai ouvert la porte de ma chambre, et elles ont crié d'une seule voix, "Surprise !" avant de me sauter dessus. La plus âgée a refermé la porte derrière moi, et elles m'ont encerclée comme d'habitude. J'ai résisté du mieux que j'ai pu, lorsque leurs critiques ont fusées, sur la décoration de ma chambre ou sur les sous-vêtements qu'elles avaient découverts dans mon armoire. C’est seulement lorsque les claques ont commencé à pleuvoir que j’ai perdu tout espoir d’inverser la situation et de les chasser de chez moi de force. Puis vint ce moment décisif, Nathalie qui participait timidement à mon calvaire s’interposa soudainement considérant, enfin, que l’injustice dont j’étais victime avait dépassé les limites du tolérable. Cela a été immédiatement considéré comme un acte de haute trahison par les autres. Nous étions désormais deux à nous faire molester et humilier verbalement. L’une des leaders m’a alors imposé un choix sadique. Pour que mes tourments prennent fin, il fallait que je gifle Nathalie…Ses brimades à elle ne prendraient pas fin, son infidélité méritait une sanction, il était sous-entendu qu’elle prendrait ma place et moi la sienne. La possibilité m’était offerte de prendre ma revanche sur elle, de ne plus être harcelée et plus que tout, de faire partie de ce groupe de filles soudées qui me rejetait jusqu’ici. Alors qu’elles lui tenait le visage levé en tirant ses cheveux en arrière, ma main est partie avec autant de force que mon petit corps pouvait en produire. Plus vexante que violente, cette gifle a été un choc pour toutes les filles présentes, moi la première. Ce fût une véritable révélation pour moi. Je venais de comprendre qu’il pouvait être plaisant de céder à la domination et de n’avoir qu’à obéir, cela pouvait même m’amener à être récompensée. Cette illusion de choix avait remis en cause ma loyauté et ce n’était pas aussi désagréable que je l’imaginais, je me suis même surprise à éprouver une forme de plaisir rare à la voir à ma place, humiliée ainsi par ses propres amies sous mes yeux, un moment dégradant pour elle et un spectacle jouissif pour moi… Nous portons tous en nous un démon silencieux, qui émerge lorsque les conditions sont réunies, un démon que j'ai découvert ce jour-là. Les vipères qui avaient fait de nos vies un enfer jouaient constamment à des jeux de domination entre elles, une danse complexe de soumission et de supériorité, une manière de s'apprivoiser, manifestement de s'aimer, autrement. Le harcèlement a pris fin, Nathalie n'a jamais été exclue du groupe, elle avait désormais un statut similaire au mien. Nos nouvelles amies se réservaient, bien entendu, le droit de nous taquiner, de nous faire porter leurs sacs, d'aller leur chercher des boissons fraiches ou de faire certains de leurs devoirs. Malgré ce déséquilibre criant, j'avais l'impression de partager une forme d'amitié alternative. Moi, à ma place, elles, à la leur. J'ai apprécié cette relation spéciale dans laquelle je devais me faire petite, parfois m'effacer pour laisser la place à celles dont je dépendais, celles qui me donnaient ce dont j'avais tant besoin, la garantie d'avoir une place et d’être protégée, à condition que ma docilité ne soit jamais remise en cause. À cette époque, je ne mesurais pas encore l'impact profond que cette expérience aurait sur ma vie.
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Par : le 06/05/22
Il y a parfois des moments forts qui marquent un tournant dans une vie, voire qui peuvent être perçus comme fondateurs. En voici un qui a posé un jalon dans ma propre histoire et dans celle de la relation qui nous unit avec ma Maîtresse Messaline. En quelques mots, la conséquence de cette aventure a été qu'une petite croix a changé de case dans mon profil, passant de bi-curieux à bi. En détails, cette expérience est la suivante... Ma Maîtresse et moi avions rendez-vous de longue date, pour nous retrouver vers midi en centre-ville afin de partager un repas et passer l'après-midi ensemble. J'avais choisi le restaurant, dépaysant et sans prétention mais qui me tenait particulièrement à cœur. Quant au reste du programme, il me restait mystérieux. Je savais juste que nous quitterions le centre-ville dans le courant de l'après-midi. Ma Maîtresse tenait à conserver la surprise intacte, et moi, tout confiant en elle, je n'ai besoin de ne rien savoir de plus que ce qu'elle estime bon de me communiquer spontanément. Les retrouvailles furent pour moi mêlées du plaisir de revoir ma Maîtresse et de cette puissante sensation d'être à ma place près d'elle, à l'occasion rare de cette sortie en public. Une fois installés à table, elle me commanda de passer aux toilettes mettre mon collier, recouvert d'un foulard. Le repas se passa en discussions en tous genres. Nos deux voisines, proches mais derrière un petit écran de plexiglas (gestes barrière obligent), entendaient-elles nos échanges et mes phrases ponctuées régulièrement de mes précieux "Maîtresse" ? Peut-être bien... Vers la fin du repas, ma Maîtresse me tendit une petite boule de tissu blanc et me dit d'aller le mettre aux toilettes. C'était une culotte de dentelle blanche. Je ne portais rien sous mon pantalon, donc je l'enfilai sans tarder. Je ne voulais rien anticiper, aussi je n'ai pas cherché à imaginer ce que le port de cette tenue virginale pouvait signifier aux yeux de ma Maîtresse...  Sortis du restaurant, nous achetâmes un petit présent pour notre hôte (il y aurait donc un hôte dans l'affaire...) et nous quittâmes la ville en voiture. Ma Maîtresse m'avait confié le volant pour la route et je n'avais qu'à suivre le GPS pendant qu'elle arrangeait certaines affaires sur son téléphone. Ma conduite d'ordinaire prudente et modérée (et c'est un euphémisme !) prenait un virage plus ératique... Intérieurement je commençais à m'interroger sur le but de notre virée et je gagnais en fébrilité. Notre destination, un centre-ville d'une petite commune, écartait certaines hypothèses que j'avais pu avoir mais que j'avais remisées dans un coin de ma tête. Elles s'invitaient à nouveau en moi en profitant de mon moment d'interrogation. Mais nous arrivâmes à destination. Je me garai sur une petite place d'où il n'y aurait qu'une ou deux minutes de marche ensuite. Une fois sorti et debout au bras de ma Maîtresse, tout devenait à nouveau simple et limpide en moi : en avant ! Nous trouvâmes la petite maison dans une rue très calme... Devant la porte, ma Maîtresse s'adressa à moi : " Tu vas mettre cela tout de suite et tu ne l'enleveras qu'une fois ressorti." Et alliant le geste à la parole, elle dégaina de son sac une cagoule noire intégrant un épais bandeau pour les yeux. Je l'enfilai rapidement en baissant un peu la tête pour ne pas choquer les éventuels voisins curieux. Maîtresse ouvrit la porte et je la suivis en aveugle, accroché à son bras. Ainsi donc je ne verrais rien de ce qui allait suivre... Après quelques pas guidés, un homme à la petite voix chantante nous accueillit, et Maîtresse et lui échangèrent quelques mots cordiaux : ils se connaissaient et avaient visiblement bien préparé notre rencontre. Je fus mis assis un instant sur un canapé, puis déplacé dans la salle de bains où Maîtresse m'aida à me dévêtir toujours sans rien voir, jusqu'à ne garder plus que la petite culotte de dentelle blanche. Maîtresse me ramena sur le canapé dans cette tenue virginale. Elle me demanda de sortir divers matériels de mon sac, ce que je fis à tâtons et plutôt efficacement, y compris pour assembler le gode ceinture (une scène de Full metal jacket me revint d'ailleurs en mémoire, où il est montré qu'un bon marine peut assembler son fusil les yeux bandés. En l'espèce, il s'agissait ici de tirer autrement, bien plus pacifiquement...). Pendant ce temps, j'entendais que les esprits et les corps commençaient à s'échauffer près de moi. Cela ne dura pas longtemps car on me fit me lever et, toujours guidé par ma Maîtresse, je marchais quelques pas, descendis un petit escalier et entrai dans la chambre chaude et parfumée. Un grand lit semblait occuper tout l'espace. Ma Maîtresse me demanda de me mettre en position au milieu du lit, c'est-à-dire à quatre pattes et croupe tendue. Maîtresse et notre hôte commencèrent à jouer sur le lit également, sur mon côté gauche, tout prêt de moi. Je les entendais pendant que Monsieur offrait à ma Maîtresse quelques plaisirs de sa bouche. Je les sentais bouger sur le lit, et je commençais à bouillir, mais sans oser bouger. Il me semblait, à l'écouter, que ma Maîtresse surjouait légèrement, pour stimuler son partenaire ou pour m'accrocher moi. Au bout de quelques instants, je murmurai tout bas à son adresse : "Maîtresse, je suis jaloux...".  Oui, je ne supportais pas que l'on touche à ma Maîtresse sans avoir la possibilité de le faire également. C'est une chose qui s'est confirmée par la suite. Maîtresse m'a alors laissé accéder à sa poitrine, à laquelle je m'accrochais dans une belle contorsion sans pour autant bouger de ma position et de ses quatre appuis solides. Après quelques instants de cette belle mise en bouche, Maîtresse et Monsieur bougèrent dans un geste coordonné, l'une pour se placer à ma droite, près de ma tête, l'autre pour s'asseoir jambes écartées face à moi. Je sentais les choses se préciser... Puis ma Maîtresse guida ma tête vers l'avant. Le sexe de Monsieur, au premier contact, toucha mon visage, et au second vint trouver ma bouche. Je l'ouvris spontanément et j'accueillis notre hôte dans ma bouche. Il y eut en moi une fraction de seconde de chamboulement, puis la certitude absolue d'être enfin là où j'avais si hâte et naturellement besoin de me trouver. Le gland doux et moelleux sur ma langue, la hampe glissante sur mes lèvres... Toutes ces choses nouvelles m'apparaissaient si familières qu'elles devaient dormir en moi, jusqu'à attendre ce jour de réveil. Alors je ne réfléchis plus et je me mis à sucer avec un appétit et une fougue témoignant de la longueur de cette attente. Toute la puissance de ma soumission trouvait en cette poignée de centimètres dressés un nouvel objet auquel témoigner de ma dévotion. Maîtresse et Monsieur commentèrent gentiment cette scène, me félicitant pour l'une et m'encourageant pour l'autre. Puis, voyant les choses bien engagées, Maîtresse s'équipa de son gode ceinture, se plaça derrière moi et retira la culotte virginale. Quelques secondes plus tard, j'étais pris dans un délicieux sandwich entre ma croupe dressée et investiguée d'un côté, et ma bouche dévorant Monsieur de l'autre. Puis les rôles s'inversèrent lorsque Maîtresse et Monsieur échangèrent leur place. Honorant ma Maîtresse, j'accueillis Monsieur en moi et subis ses assauts virils mais bienveillants. Cette fois, plus de doute : mon baptême du feu était officiellement consommé. Quant à la suite des jeux, sans rentrer dans tous les détails de ce qui se passa, soulignons-en simplement quelques moments mémorables. Ma Maîtresse qui, alors que je devais me positionner sur Monsieur allongé, le guida en moi. Je pris ce geste pour une offrande de sa part, un symbole de son pur désintérêt, et je compris alors toute la générosité qui débordait naturellement d'elle. Ce moment où, souhaitant quitter la pièce pour aller boire dans la pièce voisine, nous nous retrouvâmes tous trois debout au bord du lit, moi au milieu, et où notre soif de caresses a rapproché à nouveau nos corps. Une main pour Monsieur derrière moi, et une autre pour ma Maîtresse face à moi. Et ce jusqu'à être à nouveau enflammés et devoir replonger ensemble sur le lit. Tous ces petits instants où ma Maîtresse murmura quelques consignes qu'aussitôt j'exécutais, stoppant ce que je pratiquais alors et goûtant ce plaisir de l'obéissance renouvellée. Les mots de compliments adressés à ma Maîtresse au sujet de son soumis, et qui m'emplissaient de fierté et de désir de mieux faire encore. Et ce final merveilleux où, en à peine quelques secondes d'intervalle, Monsieur jouit en moi par derrière et Maîtresse sous ma bouche. Quelle apothéose pour un soumis... Le temps passa vite, et l'heure de fin de notre aventure approcha. Maîtresse me guida alors jusqu'à la salle de bain pour nous doucher. Je commençais alors à ressentir ce que je ressens parfois, mais heureusement rarement : un feu intérieur dans mon ventre assoiffé de plaisir, qui se contracte et cherche ce qui lui manque en lui. Un sentiment qui devenait très désagréable voire douloureux. Je dus me poser un instant sur les toilettes, pour laisser passer le plus dur de cette crise. Puis ma Maîtresse me guida sous la douche. La cagoule glissa un bref instant et j'aperçus malgré moi un coin de lavabo.  Une fois propres tous les deux, Maîtresse me ramena jusqu'au canapé, où je pus me rhabiller à l'aveugle, boire un verre d'eau puis ranger mes affaires. Mon ventre se calmait progressivement. Notre hôte se montra à nouveau très courtois, jusqu'à notre départ qui s'en suivit rapidement. Je remerciais alors Monsieur, puis Maîtresse m'emmena vers la porte. Je dus, par discrétion, ôter ma cagoule avant de la franchir. Et sur cette première et dernière vue du couloir d'entrée de la maison, nous sortîmes dans la rue calme. Sur le court chemin vers la voiture, je m'accrochais à ma Maîtresse, heureux et fier de la voir à mes côtés. Nous nous installâmes dans la voiture, Maîtresse au volant, puis nous démarrâmes.  A peine en route, Maîtresse m'annonça une nouvelle délicate, qui nous chamboula tous les deux. A peine sortis de notre moment magique, les montagnes russes nous emmenèrent dans un creux imprévu. Maîtresse, courageuse, avait choisi de ne pas m'en parler plus tôt pour ne pas compromettre notre rencontre de l'après-midi.  Finalement, les discussions durant le temps du retour nous permirent de faire retomber la pression. Un peu avant l'arrivée, je demandai à Maîtresse s'il était possible de s'arrêter un instant dans un endroit tranquille, pour nous retrouver tous deux posément. Nous nous arrêtâmes dans une aire tranquille et nous prîmes le temps de refermer notre bulle, ouverte le temps de la rencontre, et de passer sur cette nouvelle pour repartir de l'avant. S'en suivirent le retour et la séparation, jusqu'à la prochaine aventure... Avec le recul, que retenir de cet après-midi ?  Le réveil d'une part endormie en moi, qui s'est poursuivi depuis et trouve encore à se prolonger.  La rencontre masquée d'un hôte remarquable. Les trésors de bienveillance de ma Maîtresse qui me font constamment sentir combien je peux avoir confiance en elle.  Et la joie intense de découvrir à ses côtés.
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Par : le 05/05/22
Au bout d'un moment qui me paru interminable, Maitresse Sylvie revient et allume la lumière. Habitué à l'obscurité, je ferme les yeux plusieures secondes. J'entends la porte d'une cage s'ouvrir près de moi. En ouvrant les yeux, je m'aperçois que ma cage est ouverte et que Maitresse Sylvie m'attend. Elle me sort de ma cage, me met un collier et une laisse et m'emmène à 4 pattes vers une nouvelle partie du château. Je suis heureux de pouvoir me dégourdir un peu les muscles même si mes genoux me font mal à taper contre les carreaux du sol, mais je me garde bien de dire quoi que soit. Elle me fait entrer dans une pièce à la lumière tamisée. Dans un coin, je distingue une silhouette féminine. - "Je vous le laisse. Amusez-vous bien" La nouvelle maîtresse prend la laisse que lui tend maitresse Sylvie et m'amène vers une table d'environ 1m de hauteur. Elle est entourée d'un tissu noir, de sorte qu'il soit impossible de voir dessous. Après avoir retiré ma cage de chasteté, ma nouvelle maîtresse m'allonge sur le ventre et m'attache les poignets et mes chevilles avec des liens en cuir aux coins de la table. Ainsi immobilisé, je suis totalement à sa merci. - "Je m'appelle Maitresse Julia. Il paraît que tu as été très vilain avec Lucy. Elle n'a même pas voulue s'occuper de toi lorsqu'elle a appris que tu allais revenir. C'est dire sa colère. Elle pensait que tu n'aurais jamais le courage de revenir. En tous cas, en lui désobéissant, tu désobéit à nous toutes. Je vais donc te faire regretter ca," - "Je vous en prie, ne soyez pas trop dure. C'était un accident avec Lu...avec Maitresse Lucy". - "Je n'ai que faire de tes explications. Tu n'as pas suivie ses ordres, tu es puni. C'est tout". Maitresse Julia se dirige vers le mur où sont suspendue plusieurs fouets, cravaches, martinets et autres accessoires pour frapper les infortunés soumis amenés ici. Elle observe les accessoires avant de revenir vers moi. -"J'oublie quelque chose." Me dit elle en posant un bandeau sur mes yeux. - "Voila, maintenant, je vais pouvoir m'amuser"... A suivre...
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Par : le 05/05/22
Comment résumer ce sourire ? sans expliquer ce moment suspendu à ces delires a son art créatif cette peur furtive mon corps en apparence passif mon âme en expectative tel un condamné héroïquef ace à ces envies sadiques Puis la fin du martyr. prendre conscience de son corps qui tire se plaindre et la voir reprendre Reprendre le temps d' un instant . Puis cet éclat de rire fière de votre art fière de votre soumis parachever et signer avec votre cravache Pour faire gicler ce corps Tel un feux d'artifice fait d'aiguilles et de sang Melés pour votre plus grand sourire
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Par : le 05/05/22
Poeme de mon ex soumise ... VOUS APPARTENIR TOUJOURS PLUS ....... Bientôt mes chaines vont s'alourdir selon votre désir et pour mon plaisir. Le don que je vous fais, se fera plus présent. Je vous sentirais, en tous lieux, en tout temps. Autour de mes hanches, viendra bientôt se poser votre sceau, sous la forme d'une ceinture de chasteté. Longtemps, chacun de notre coté, nous y avions pensé. De temps en temps, nous en avions parlé... Dans quelques jours, la mise sous clé de mon intimité sera enfin une réalité. Et ce n'est pas sans fierté, que cette 2ème marque de ma soumission, je porterais. Elle sera le symbole de ma sincère dévotion, de mon appartenance, de mon plus en plus total abandon.... Je mentirais en disant que je n'appréhende pas mais pour vous, pour nous, je veux faire ce nouveau pas. Vous êtes mon Maître bien aimé et je suis heureuse que vous déteniez toutes mes clés...
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Par : le 01/05/22
Nous voici donc seuls dans la chambre d’hôtel, moi assise dans ce fauteuil, Sextoy couché à mes pieds. J’ai besoin de récupérer un peu, et de mettre mes idées au clair pour la suite du programme. Je connais vos consignes, Monsieur, j’espère simplement avoir le temps nécessaire. Après quelques instants, je me relève puis vais chercher dans un sac quelques objets que je pose sur le lit : une cravache, un collier, une laisse et un jouet en plastique pour chien, ainsi qu’un sachet de biscuits. Puis, tout en claquant des doigts et en pointant l’index vers le sol, j’intime « au pied ! ». Sextoy comprend assez rapidement. Il se relève et vient me rejoindre, à quatre pattes. Une caresse sur la tête pour le féliciter. - bien, à partir de maintenant, et jusqu’à ce que les invités de Monsieur soient repartis, tu seras un bon petit chien, et devras te comporter en tant que tel, compris ? - oui Duchesse Vlan, un petit coup de cravache sur les fesses : « a-t-on jamais entendu un chien parler ? » Il baisse la tête, légèrement penaud. « Je sais que tu as des chiennes chez toi, tâche de t’inspirer de leur comportement. Pour commencer, la posture. Lorsque tu es à quatre pattes, en position d’attente, ou que tu marches, tu dois être cambré, ton petit cul bien offert à qui voudra. Allez, avance un peu, que je te voie ». La posture n’étant pas habituelle, il a du mal à la conserver longtemps… du moins au début. Chaque erreur est sanctionnée d’un coup de cravache. Les coups, fréquents les premiers temps, se sont espacés jusqu’à disparaître. Il faut dire qu’ils étaient de plus en plus appuyés… En même temps, je l’appelais régulièrement « au pied ! », avec claquement de doigts et index pointé vers le bas, jusqu’à ne plus prononcer et un mot et qu’il obéisse au claquement de doigts. Cette première phase terminée, je suis allée m’asseoir sur le lit pour commencer la seconde. Après lui avoir retiré la laisse : « assis ! », le tout accompagné d’un claquement de doigt suivi du poing fermé ; puis « couché ! », claquement de doigt et main à plat. Chaque séquence correctement exécutée est suivie soit d’une caresse sur la tête, soit récompensée d’un biscuit, que je lui fais manger dans le creux de la main. Ces exercices sont répétés plusieurs fois, jusqu’à ce qu’il les ait acquis uniquement par le claquement des doigts et le geste, comme pour la première phase. Comme il fait chaud, je bois un peu d’eau, avant de lui en verser dans une gamelle prévue dans le sac à cet effet. Il n’a pas encore l’habitude de laper, mais, la soif aidant, il s’y met rapidement. Comme il a été bien attentif à ses leçons, il a le droit de jouer un peu. Je vais donc prendre le jouet et le lui lance. Premier réflexe de sa part, tendre la main pour l’attraper… mauvaise option. Un coup de cravache sur la main pour le ramener à la réalité. Il comprend vite, mon petit chien. Il va donc s’amuser avec son jouet, me l’apportant de temps en temps pour que je le lui lance. Pendant ce temps, je me repose un peu dans le fauteuil, car je me doute que je n’en n’aurais plus l’occasion avant un bon moment. J’allais oublier une dernière chose… Claquement de doigts et index pointé vers le sol, il accourt aussitôt. - c’est bien… Tu as bien appris toutes tes leçons ; il manque cependant un petit quelque chose… Il te manque un élément pour pouvoir montrer que tu es content, puisque tu n’as pas droit à la parole… Et tu vas pouvoir le faire comme un bon petit chien, avec ta queue. Je vais donc te retirer ta cage, on va voir si tu aimes ça, d’être un bon toutou. Et, tout en parlant, je lui retirai sa cage en plastique, pour me rendre compte très rapidement qu’il était heureux de sa condition. Il était temps. Un sms venait d’arriver sur mon portable, par lequel vous m’annonciez que vous seriez là avec vos invités dans quelques instants. Je me dépêche de faire place nette sur le lit et de mettre un peu d’ordre dans la chambre. Il nous fallait nous mettre en position. Je me plaçais face au mur libre, jambes écartées. Puis, après avoir ordonné à Sextoy de se tenir tranquille à mes pieds, lui aussi face à ce mur, je croisais les mains dans le dos, bien droite, poitrine en avant, mais regard baissé. Bruits de voix dans le couloir. Je vous sais proche, Monsieur, mon cœur bat un peu plus vite. Après quelques instants, les deux panneaux coulissant qui formaient le mur s’ouvrent sur une suite, dont nous n’avions occupé jusque là qu’une petite partie. C’est une surprise pour Sextoy, mais non pour moi. Il y a un coin salon, avec un canapé convertible, en mode lit, un petit coin cuisine, une grande salle de bain et, plus loin, le coin chambre, pour l’instant isolé du reste grâce à des panneaux coulissants Vous êtes accompagné de trois personnes. Une grande femme blonde, aux formes légèrement pulpeuses, qui porte un corset noir et une longue jupe aérienne en voile noir, chaussée d’escarpins ouverts noir vernis dont les talons sont rouges. Vous me la présentez comme étant Lady Venus. A ses côtés, regard baissé comme le mien, Bijou, sa soumise, petite brunette qui me semble assez jeune ; elle est vêtue d’une courte robe moulante en latex blanc, chaussée d’escarpins noirs. La troisième personne est un homme, très grand, bien proportionné, cheveux noirs coiffés en brosse. Maître Sévère. Il porte son nom sur son visage mais, curieusement, je n’en n’ai pas peur. Puis vous nous présentez : Duchesse, et notre chien Sextoy…. J’espère que ce dernier va réagir, et aller saluer son Maître. Mais je le sens un peu interdit. Comme je baisse la tête, je le vois qui me regarde, m’adressant un regard interrogatif. Je lui fais signe discrètement de bouger un peu. Mais, ce qui le motive le plus, est de vous entendre dire à vos amis, d’un ton légèrement menaçant : « nous allons voir si Duchesse a bien dressé ce chien ». S’il ne réagit pas, c’est moi qui serais punie. Mais il m’évite cela, en rejoindre vous rejoindre et lécher la main que vous lui tendez. Une caresse sur la tête est sa récompense. - « brave chien. Va saluer mes invités, maintenant » Je ne lui ai pas donné de consignes à ce sujet, et ne sais pas comment il va réagir. Il se dirige vers chacun d’eux… et leur lèche les chaussures. Je suis rassurée… Puis un claquement de doigts se fait entendre. Aussitôt il regarde vers moi, pour voir de quel ordre il s’agit, mais j’ai toujours les mains croisées dans le dos. Nouveau claquement de doigts. Il tourne alors la tête et s’aperçoit que c’est vous qui l’appelez ainsi, à venir à vos pieds. Il s’exécute aussitôt, ce qui me fait obtenir vos félicitations. J’en suis heureuse. Après cette brève démonstration, vous invitez Lady Venus et Maître Sévère à s’asseoir autour d’une petite table basse. C’est le signal pour que j’aille servir des rafraîchissements, bienvenus par cette chaude journée. Tandis que je me dirige vers le coin cuisine, Bijou, pour obéir à sa Maîtresse, retire sa robe et s’agenouille à sa droite. J’apporte un plateau avec boissons et verres. Du thé glacé pour Lady Venus, un pastis bien frais pour vous et Maître Sévère. Bijou et moi prendrons un verre d’eau. Pendant ce temps, Sextoy, qui commence à prendre son rôle au sérieux, est allé chercher son jouet et commence à tourner autour de la table, le déposant au pied des uns ou des autres pour qu’on le lui lance. Amusant au début, ce petit jeu finit par vous lasser. Claquement de doigts et main à plat, Sextoy vient se coucher derrière votre siège, tandis que je m’agenouille à votre droite après avoir fait le service. Vous discutez entre Maîtres, nous attendons sagement. Sextoy, qui a soif lui aussi après avoir joué, finit par se lever pour aller boire à sa gamelle, dans la petite chambre, puis revient se coucher à côté de moi, la tête sur mes genoux. Je le caresse, il l’a bien mérité. Puis vous m’informez que Bijou n’a jamais connu de contact masculin ; c’est pourquoi Lady Venus vous a demandé de l’initier. Je connais votre douceur et ne me fais pas de soucis pour Bijou, je sais qu’avec vous elle est entre de bonnes mains. Mais, continuez-vous, elle aura peut-être besoin de moi pour la rassurer. Je hoche la tête. « Oui Monsieur ». Je redresse la tête pour adresser à Bijou un sourire rassurant, et je sens alors qu’elle va en avoir besoin, elle a l’air terrorisée. Vous vous levez et donnez ainsi le signal pour commencer les « festivités ». Tandis que Maître Sévère se dirige vers la chambre, Lady Venus va s’asseoir dans un fauteuil à côté du canapé-lit et demande à Bijou de rester debout face à celui-ci, tandis que vous vous déshabillez. C’est toujours un plaisir de vous voir nu, Monsieur, j’aime votre corps, que vous êtes beau…. Je reste en retrait, jambes écartées, mains dans le dos. Vous vous asseyez sur le lit et attirez doucement Bijou à vous. Vous commencez par prendre ses seins dans vos mains, à les caresser, avant de les prendre en bouche. Je la regarde, avec envie. Je ressens presque la sensation de votre bouche sur ma poitrine tandis que vous vous occupez d’elle. Puis vous vous relevez et vous écartez du canapé-lit, avant de la faire s’agenouiller devant vous. Vous invitez Bijou à regarder, puis toucher votre sexe déjà en érection. Elle vous regarde, mais n’ose pas vous toucher. Vous vous tournez alors vers moi et, sur un signe de vous, je vais m’agenouiller à côté d’elle. Je lui prends alors la main et, délicatement, la pose sur vous. Nos deux mains, devenues siamoises, vous caressent le sexe, doucement, lentement. Sa Maîtresse l’encourage de la voix, lui caressant parfois la tête, le visage. Lorsque je la sens un peu plus assurée, je la lâche, l’invitant d’un sourire à avancer seule à votre découverte. Elle regarde, compare les différentes textures du gland, de la verge, et ose même descendre jusqu’à vos testicules. Vient le moment où vous l’invitez à vous goûter. Léger mouvement de recul ; de nouveau je viens à son aide. D’abord je l’embrasse, doucement puis plus intensément. Ses lèvres sont douces. Tout en l’embrassant, j’attire sa tête vers votre sexe, jusqu’à ce que nos lèvres se posent sur votre gland. C’est alors une bouche à quatre lèvres qui vous prend le sexe. C’est ce moment que choisit Maître Sévère pour faire son apparition à vos côtés. Lui aussi est nu, et son sexe dressé ne demande qu’à être honoré. Je vous regarde, et, sur un signe de confirmation de votre part, je vais m’occuper de Maître Sévère. Je commence par le lécher sur toute sa longueur, faisant ainsi doucement connaissance de ce sexe. Mes lèvres s’emparent ensuite du gland, que j’aime particulièrement téter, aspirer, tandis que d’une main je lui caresse les testicules. Vous en profitez pour inviter doucement Bijou à regarder pour apprendre. Je m’applique : non seulement je dois montrer l’exemple, mais je souhaite également vous faire honneur vis-à-vis de Maître Sévère. Et, de plus, j’ai enfin une queue pour moi seule, même si ce n’est pas la vôtre. Je m’en délecte donc, la suce, l’aspire, la lèche. Tout ceci ne m’empêche pas d’entendre Lady Venus vous demander de lui prêter Sextoy. Etant quelque peu inoccupée, elle demande alors à ce dernier de s’occuper d’elle, en lui faisant subir un face-sitting. Je jette un coup d’œil rapide : Lady Venus assise sur le visage de Sextoy, Bijou qui s’est décidée à franchir le pas pour vous sucer. La scène m’excite au plus haut point, et je passe discrètement une main entre mes cuisses ; je dégouline. Mon geste ne vous a pas échappé, ce qui me rend confuse. Mais vous aimez cela, me savoir ainsi dégoulinante d’excitation, n’est-ce pas, Mon Seigneur ? Je n’ai cependant pas le plaisir d’honorer Maître Sévère jusqu’au bout car, après quelques instants, il m’invite à me relever et m’entraîne à sa suite, vers le grand lit. Avant d’ouvrir les panneaux coulissants, il me met un bandeau sur les yeux. Je frisonne légèrement. D’habitude, lorsque vous me prêtez à un autre dominant, c’est avec les yeux que je communique avec vous pour vous faire savoir si tout va bien ou si j’ai besoin de vous. Mais là je ne vais pas pouvoir. Vous devez le sentir, car vous tentez de me rassurer en me disant que vous restez là, attentif. Je n’ai pas le choix. Le fait de n’être pas bâillonnée est également un gage pour moi, signe que je ne serais pas totalement à la merci des angoisses qui pourraient surgir… Ce que vous ne m’aviez pas dit, c’est que Maître Sévère excelle dans l’art du bondage, et, sachant que j’aime cela, vous avez souhaité m’offrir à ses cordes expertes. C’est pour ne pas que je voie ses cordes, et autres matériels, qu’il a sortis et posés sur le lit, que j’ai les yeux bandés. Il commence par prendre une longue corde noire, pliée en deux, d’une quinzaine de mètres, à laquelle il a déjà fait deux nœuds, avec une petite boucle et une plus grande. Il me passe la plus grande autour du cou, en laissant pendre la petite dans le dos. J’ai ainsi les deux brins de la corde qui pendent devant moi. Nouveau nœud, sous les seins, puis un autre, au niveau du pubis, avant de passer les deux brins entre mes lèvres. Nœud au niveau du périnée, cordes entre les fesses puis deux nœuds dans le dos avant de passer les brins dans la petite boucle et d’y faire un nœud. Chaque brin est ensuite passé sur le devant, entre les nœuds, puis repassé en arrière. Il réalise ainsi ce qu’on appelle un diamant Kikkou. Chaque nouvelle tension par les brins horizontaux sur les brins verticaux fait se tendre de plus en plus ces derniers. Le nœud sur le pubis appuie désormais sur le clitoris, et le suivant sur l’anus, ce qui est très excitant. C’est une version quelque peu améliorée qu’il exécute sur moi : après avoir terminé ses allers-retours horizontaux, il descend sur chaque jambe, y exécutant des motifs du plus bel effet visuel. Il prend ensuite une corde, plus petite et rouge, et entreprend de m’attacher les mains dans le dos, bras le long du corps, avant-bras à l’horizontale, mains relevées à la verticale. Puis, avec de fines cordelettes noires, il entreprend de bien resserrer à la base les cordes qui entourent mes seins, afin de bien faire ressortir ces derniers. Il prend enfin deux fines cordelettes blanches pour entourer serré mes tétons, sous les piercings. Tirant sur les extrémités de ces dernières, il me mena à vous pour que vous puissiez admirer son ouvrage. Marcher ainsi attachée, les yeux bandés, avec des nœuds excitant entre les cuisses, n’est pas la plus aisée des choses… C’est vous qui me retirez mon bandeau, avant de tendre un peu, de votre main, les cordes, pour m’exciter encore plus. Je vous murmure un merci pour ce joli cadeau que vous me faites. Puis Maître Sévère me ramène vers le lit, et prend quelques photos, avant d’attacher une barre d’écartement entre mes chevilles. L’équilibre devient précaire. Quelques coups de badine là sur les cuisses, entre les cordes, sur les fesses, sur les seins biens tendus. Je dois veiller à ne pas tomber, et pour cela ne rien chercher à esquiver, mais ce n’est pas trop dans ma nature. Le temps ensuite pour Maître Sévère de prendre quelques photos, à votre demande, et il faut déjà dénouer tous ces liens pour éviter des blessures qui pourraient être graves. Mais je n’en n’ai pas terminé pour autant, car ma peau conserve la marque de ces cordes. Je secoue un peu mes bras pour les dégourdir, le sang afflue de nouveau un peu partout, cela picote légèrement. Bien qu’étant resté concentré sur son travail, Maître Sévère n’en n’est pas pour autant moins excité que tout à l’heure. J’entreprends donc de le remercier comme il se doit, à genoux devant lui, cette fois jusqu’au bout. Durant tout ce temps, non seulement du fait du bandeau, mais aussi de l’examen de mes propres impressions, je n’ai prêté attention à ce qui pouvait se passer ailleurs. Je n’ai pas vu Sextoy faire jouir Lady Venus après qu’elle a longtemps joué avec son visage. Je n’ai pas vu Bijou se lancer à vous sucer, mais n’osant pas encore aller jusqu’à vous avaler, et vous ne l’avez pas forcée. Mais sa Maîtresse voulait qu’elle goûte tout de même à votre nectar. Je ne vous ai donc pas vu jouir dans la bouche de Sextoy, et lui avez demandé de partager un peu avec Bijou. Je n’ai pas vu non plus Bijou être autorisée à jouir par Lady Venus, de la bouche de Sextoy. Non, de tout cela je n’ai pas eu conscience. C’est Sextoy qui me racontera plus tard ce qui s’est passé tandis que j’étais dans mon monde de cordes... (Texte écrit il y a très longtemps, dans une autre vie.)
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Par : le 28/04/22
Ecrit par un soumis qui a compris le sens réel de la soumission : vassaldeReine Pas besoin de cuir ou d'un fouet pour être une Dame et/ou une Maîtresse. Ce n'est pas la tenue cuir , latex ou autres, ni la main qui tient le fouet et encore moins le fouet lui-même qui font la Dominante. Ce n'est pas les insultes, ni les ordres, encore moins l'autoritarisme qui font la Dame. C'est encore moins les pratiques qui font la Maîtresse. Tenir un fouet, s'habiller de cuir, insulter, faire preuve d'autoritarisme, avoir des pratiques est à la porté de tout le monde et de n'importe qui, même des soumis. La nature et la personnalité font la Dominante. L'intelligence, la culture, l'instruction, la philosophie, le savoir vivre, l'humour, le sens de l'observation, la psychologie, son équilibre, etc., font la Dame. Le savoir faire, la Maîtrise de son art, et la signature de sa domination font la Maîtresse. On peut naître dominante ou le devenir, la vie vanille vous apprend à être Dame, l'apprentissage et la formation feront de vous une Maîtresse, car l'on ne naît pas Dame ni Maîtresse sans apprendre. Idem pour les soumis. On peut naître avec une nature soumise ou pas, mais dans tous les cas servir une Dame ou une Maîtresse s'apprend. Ce n'est pas non plus la tenue qui fait le soumis, ni les pratiques ou leurs absences, ni l'art de ramper (s'il y en a un), ni dire "oui Maîtresse" à toutes les sauces alors qu'on ne le pense pas et qu'on ne le ressent pas, ni d'obéir pour "jouer le jeu", etc. La soumission est dans la motivation et le besoin de servir une Dame qui sait nous montrer avec intelligence, lucidité, et raison où est notre place. J'insiste sur "avec raison".
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Par : le 26/04/22
Deux semaines passèrent avant que Gabrielle n’ait de nouveau des nouvelles de Max. Elle était toujours distraite avec ses amis et devait leur avouer qu’elle fréquentait quelqu’un. Le genre de relation qu’ils avaient, elle garda le silence bien sûr. Lorsque Max lui a envoyé un texto l’invitant à dîner, elle a immédiatement répondu qu’elle pouvait. D’une certaine manière, elle était reconnaissante qu’il l’ait invitée chez lui. Le sien était un peu en désordre et elle savait d’après ses histoires qu’il considérait cela comme une raison suffisante pour donner à une jeune femme un derrière très rouge. Le soir de son rendez-vous, elle a fait de son mieux pour s’habiller aussi sexy que possible.  Elle portait une courte robe jaune, sachant que Max adorerait les bas qu’elle portait en dessous. Elle a choisi de la lingerie noire, sachant qu’elle contrastait joliment avec la robe claire. Se préparant ainsi, elle se rappela qu’ils avaient accepté d’avoir des relations sexuelles lors de leur deuxième rendez-vous.  C’était un peu bizarre d’aller à un rendez-vous en ayant déjà accepté cela ;  mais pas aussi bizarre que d’être fessée pour l’avoir voulu le premier. Quand elle est arrivée, Max portait un jean à la coupe nette et une chemise propre.  En plus de cela, il portait un tablier.  “Bonsoir madame, entrez s’il vous plait.”  Il a dit. Gaby rougit, se sentant trop habillé pour l’occasion.  Max préparait évidemment le dîner pour elle lui-même et n’avait pas l’intention de l’emmener. “Veuillez m’excuser un instant.”  dit Max après l’avoir guidée jusqu’à son salon.  « Le repas a besoin de quelques retouches supplémentaires, puis je vous rejoindrai. Seule dans la pièce, Gaby regarda autour d’elle pour voir ce qu’elle pouvait découvrir sur lui.  La chambre était propre et le mobilier était moderne.  Il y avait beaucoup de livres, ce qui signifiait que Max n’écrivait pas seulement, mais lisait aussi.  Aucun de ceux-ci n’était érotique du tout. Elle pouvait l’entendre dans la cuisine et plus tard quelque part plus loin dans la maison monter des escaliers.  À son retour, le tablier avait disparu et le jean et la chemise avaient été remplacés par un costume. “Excusez mon apparition plus tôt.”  dit Max.  “Je ne vous avais pas attendu si tôt.” Gaby rougit.  “Non Monsieur, excusez-moi de vous avoir embarrassé en arrivant tôt.”  Elle avait pratiqué une attitude de soumission appropriée en lisant autant de ses histoires qu’elle le pouvait. Max sourit largement.  « Je vous pardonnerai, jeune fille, mais seulement cette fois.  Maintenant, s’il vous plaît, rejoignez-moi à table pour le dîner. Gaby sourit largement en laissant Max l’aider avec sa chaise.  Elle nota mentalement de ne pas arriver trop tôt la prochaine fois ;  car Max pouvait sembler enjoué, rien ne disait qu’elle ne finirait pas sur ses genoux la prochaine fois qu’elle le surprendrait pas prêt pour leur rendez-vous. Max lui a servi un steak parfaitement préparé avec des légumes cuits à la vapeur et des pommes de terre au four.  C’était un repas simple mais délicieux.  Il lui a également offert un verre de vin, mais lui a fait promettre de ne pas en boire plus d’un afin qu’elle soit suffisamment sobre pour consentir à ses souhaits lorsqu’il l’a emmenée dans sa chambre. Gaby n’a bu que la moitié de son verre et a dû se forcer à toucher le repas.  Elle était trop distraite par l’anticipation des choses qu’il pourrait lui faire. Quand elle a finalement débarrassé son assiette, elle a lancé à Max un regard provocateur.  “Assez de préliminaires.”  Dit-elle. Max se leva de sa chaise et se déplaça vivement autour de la table. Il la saisit par les poignets et la souleva si brusquement que sa chaise tomba à la renverse. Gaby haleta de surprise quand Max l’attira contre lui. Son désir pour elle était immense et elle réalisa qu’il le voulait autant qu’elle. “Un tel sourire déviant pour une dame.”  dit Max. “Je pensais que vous seriez plus doux, comme le gentleman que vous êtes.”  taquina Gaby. “Alors je vais te montrer à quel point je peux être doux.”  dit Max. Sa main qui la tenait par la nuque lâcha ses cheveux et glissa le long de son dos.  Il reposait juste au-dessus de ses fesses. « Voudriez-vous me suivre en haut, ma dame ?  Max lui a demandé. “Oui monsieur.”  Gaby respira. Il la guida jusqu’à sa chambre.  C’était aussi propre que le reste de sa maison et le lit soigneusement fait.  Il l’a arrêtée quand elle a voulu s’allonger dessus. Lentement, Max défit la fermeture éclair de son dos.  Ses mains massaient ses épaules alors qu’il écartait sa robe.  Il tomba jusqu’à ses hanches.  Le doigt de Max a tracé sa colonne vertébrale, puis a doucement baissé sa robe jusqu’à ce que ses fesses sortent par l’ouverture confortable. Il laissa ses doigts errer sur son corps, la caressant doucement le long de ses sous-vêtements.  Lentement, prudemment, il la déshabilla, jusqu’à ce qu’elle se retrouve nue dans sa chambre. Gabrielle n’a pas parlé ni discuté.  Même en étant aussi doux, il était indéniable que Max était en charge.  Lorsqu’elle fut complètement nue, elle suivit ses instructions muettes de s’allonger sur le lit. Elle croisa les jambes et plaça sa main sur ses seins, sentant que sa nudité en laiton ne correspondait pas aux actions douces de Max. Lentement, il se déshabilla.  Gaby aimait le regarder dénuder son corps pour elle.  Quand elle vit enfin sa grande érection lancinante, elle eut envie de le sentir en elle. Max s’agenouilla à côté d’elle sur le lit.  Doucement, ses doigts sondèrent l’intérieur de ses cuisses, lui faisant écarter les jambes.  Il se déplaça vers ses pieds, plaçant sa tête près de sa chatte gonflée et humide.  Sa langue la lécha sur toute la longueur de ses lèvres. Gaby gémit profondément. Doux et sans aucune force, Max la lécha.  Sa langue fit lentement son chemin entre ses lèvres et sur son clitoris. Gaby arqua le dos, aspirant à plus, mais Max n’offrit pas plus de force qu’il n’en avait déjà. Atrocement lent, sa langue la rendait folle. Son corps en demandait plus, mais quand Gaby attrapa ses propres seins, les serrant brutalement, Max s’arrêta.  Il lui prit les poignets et poussa ses mains sous l’oreiller sous sa tête. « Gardez-les là.  Il a dit.  « Tu voulais que je sois gentil, tu te souviens ? Gaby gémit profondément mais garda ses mains derrière sa tête. Max a continué son jeu lent et tortueux avec sa langue.  Il a semblé prendre une éternité à Gaby pour atteindre un point culminant et encore une fois, elle a utilisé ses mains pour l’aider un peu. “Les mains derrière la tête.”  dit Max, arrêtant son plaisir une fois de plus.  “Ne m’oblige pas à t’attacher.” Gaby rougit et plaça ses mains derrière sa tête une fois de plus.  Il ferait si chaud d’être ligoté ;  mais pour une raison quelconque, elle se sentait encore plus excitée d’être retenue uniquement par ses paroles. Max s’est déplacé sur le lit, n’utilisant plus sa langue pour lui faire plaisir, mais juste un doigt.  Il le plaça entre ses lèvres, juste au-dessus de son clitoris, et poussa doucement. “Est-ce assez doux, Gabrielle?”  demanda-t-il alors qu’elle gémissait. “Oui monsieur.”  Elle répondit. “Et ça?”  demanda-t-il en se penchant en avant pour lécher son mamelon. “Hnng-oui.”  dit Gaby. “Voulez-vous jouir?”  Max a demandé, pressant un peu plus son clitoris. “Oui s’il vous plaît.”  dit Gaby.  Son corps a commencé à convulser.  Elle avait pensé qu’elle était encore loin de l’orgasme après ce jeu doux, mais ses paroles l’avaient poussée jusqu’au bout. “Pas encore.”  dit Max en relâchant la pression.  “Demande-moi d’abord et gentiment cette fois.” Gaby rougit, mais Max n’allait plus la toucher jusqu’à ce qu’elle le lui demande.  “S’il vous plaît monsieur, puis-je jouir?”  Elle l’a supplié. “Bonne fille.”  dit Max, son doigt jouant à nouveau avec son clitoris.  “Tu peux jouir maintenant.” Le corps de Gaby tremblait de façon incontrôlable, elle gémissait et haletait alors que l’orgasme arrivait dès qu’elle en avait la permission. Quand ça s’est arrêté et qu’elle a vu Max la regarder, elle a rougi profondément.  Elle vit son érection à côté de sa cuisse et ne put plus attendre.  Elle retira ses mains de derrière l’oreiller et l’attrapa doucement. “S’il vous plaît, baisez-moi, monsieur.”  Dit-elle. Max prit ses mains par les poignets et les poussa sur le lit à côté de l’oreiller.  “Je pensais t’avoir dit de garder ça pour toi.”  Il a dit.  Il se pencha en avant, son attente sur ses bras épinglés et l’embrassa rudement, mordant sa lèvre inférieure avant de lâcher prise. “Oww, Monsieur, ce n’était pas très gentil.”  protesta Gaby. “J’ai été assez doux.”  dit Max.  “Si tu ne peux pas faire ce qu’on te dit, je vais juste devoir être un peu brutal.” Gaby gémit profondément.  Oui, rude était exactement ce qu’elle voulait en ce moment. Max se pencha sur elle alors qu’il l’embrassait à nouveau, la gardant coincée contre le lit. Les poignets de Gaby lui faisaient mal sous sa prise ferme, mais elle adorait la douleur. « Reste ici, je vais chercher un préservatif.  Max a dit Il se retourna pour attraper une boîte sur la table de chevet.  Pendant qu’il le mettait, Gaby s’agenouilla derrière lui, enroulant ses bras autour de lui pour presser ses seins contre son dos et frotter sa poitrine avec ses bras. Avec le préservatif bien en place, Max se retourna.  “Je t’ai dit de rester en bas.”  Il a dit. Gaby sourit malicieusement. Max attrapa brutalement ses épaules et la retourna, la poussant face contre terre sur le lit.  De sa main ouverte, il lui frappa brutalement les fesses. Gaby gémit profondément. Après quelques bons coups et un cul rose, Max l’a attrapée par les hanches et l’a tirée sur ses genoux.  Il a poussé son érection contre sa chatte et l’a glissée à l’intérieur. Max l’a baisée brutalement par derrière, utilisant une main sur le bas de son dos pour la pousser vers le bas et l’autre pour lui donner quelques bonnes claques. Quand il vint enfin, il s’accrocha à ses hanches à deux mains, ses doigts s’enfonçant profondément dans sa peau.  Puis, il l’a attrapée par les cheveux et l’a tirée vers le haut.  Il posa une main sur sa poitrine, l’autre sur sa gorge juste en dessous de son menton. “Alors.”  Il murmura.  « Qu’est-ce qui t’as le plus plu, doux ou brutal ? » “Je ne suis pas sûr.”  Gaby a répondu.  « Pouvons-nous recommencer pour que je puisse décider ? » Max grogna et la lâcha. “Ne sois pas gourmand.” Dit-il en nettoyant le préservatif usagé. « Ou je devrais peut-être te donner une fessée. “Cela pourrait être amusant aussi.” Gaby a répondu. “Gardons ça pour une autre fois.” dit Max. “De cette façon, t’as encore quelque chose à espérer.” Gaby fit la moue, mais réalisa que Max avait peut-être besoin d’une pause. Elle n’irait nulle part, ils pourraient encore s’amuser plus tard ce soir. Après que Max se soit levé du lit, Gaby est resté derrière, fixant le plafond de sa chambre. Même si elle en voulait plus, elle s’était vraiment sentie satisfaite. En vouloir plus prouvait à quel point cela avait été bon. Son sentiment de vouloir s’envoyer en l’air était certainement satisfait. Quand elle s’est levée et a suivi Max en bas, elle s’est sentie vraiment satisfaite de ne pas s’être contentée d’une aventure d’un soir pour satisfaire ses envies. Ce n’était que leur deuxième rendez-vous, mais elle se sentait déjà comme Max et elle pourrait être bien plus. Max, vêtu d’un peignoir, se reposait dans le canapé de son salon. “Pas encore habillé?” Il lui a demandé. Gaby rougit, se balançant légèrement alors qu’elle se dirigeait vers lui, montrant son corps nu. « Je pensais que je resterais la nuit. Si ce n’est pas trop présumer. “Pas du tout.” Max a répondu. « En fait, j’insiste pour que tu restes. Il est beaucoup trop tard pour qu’une jeune fille comme toi soit seule dans le noir. Gaby sourit. « Dans ce cas, je ne pensais pas avoir besoin de mes vêtements. À moins bien sûr que tu pensais que ce ne serait pas très féminin de ma part de me promener ainsi déshabillée. Elle a fait un clin d’œil. “Au contraire.”  dit Max.  « Tu devrais porter quelque chose de sexy ou rien du tout quand tu es ici.  Une gentille fille ne voudrait pas priver son petit ami de la vue de son corps magnifique. “Eh bien, je suppose que je vais me déshabiller dès que j’aurai franchi ta porte d’entrée, la prochaine fois que je serai là.”  dit Gaby d’un ton taquin. Elle s’assit à côté de lui sur le canapé, posant ses pieds sur ses genoux.  Distraitement, Max a commencé à les masser pendant qu’ils parlaient d’autres sujets de tous les jours. Après s’être lavé, Gaby retourna dans la chambre de Max.  Après le sexe sauvage qu’ils avaient eu auparavant, le rejoindre au lit comme ça était un peu étrange;  comme un couple qui est ensemble depuis un moment, partageant un lit comme ils le font tous les jours. Max était déjà sous les draps quand elle est arrivée.  Elle supposa qu’il était nu, comme elle l’était toujours. « Puis-je vous rejoindre dans votre lit, Monsieur ?  Elle a demandé. “Vous pouvez.”  Max a répondu. Gaby rampa sous les couvertures et rougit d’avoir demandé la permission de le faire.  Elle l’avait lu dans l’une de ses histoires et c’était aussi sexy de le faire pour de vrai que de lire à ce sujet. Une fois sous les couvertures, elle a atteint le corps de Max et a senti qu’il était en effet nu.  Elle attrapa son entrejambe. “Hmm, fille gourmande.”  dit Max. Gaby rougit, mais sentit qu’il avait déjà mis un préservatif, il était prêt pour elle.  Elle rampa sur lui, à cheval sur ses jambes.  Elle pouvait sentir son érection entre eux, le bout de son pénis contre son clitoris.  C’était incroyable de se frotter contre lui. Max plaça ses mains sur ses hanches et guida ses mouvements, l’exhortant à le chevaucher lentement, augmentant la chaleur entre eux. Quand Gaby gémit bruyamment, il se pencha et l’aida à mettre sa queue en elle. Il plaça son pouce entre ses lèvres et pressa son clitoris pendant qu’elle le chevauchait. Sa main libre lâcha sa hanche et frappa une fois ses fesses. Libéré de son contrôle, Gaby prit de la vitesse. Elle le chevaucha fort et vite, sa bite au fond d’elle et son pouce appuyant sur son point le plus sensible. Avec un gémissement bruyant, Max est venu; mais Gaby ne pouvait pas s’arrêter. Max lui a claqué les fesses, l’encourageant à jouir pendant qu’elle le chevauchait, son pouce appuyant fort, jusqu’à ce qu’elle atteigne également son orgasme, son corps tremblant, gémissant profondément alors qu’elle s’effondrait sur lui. « Dors bien, ma fille gourmande. dit Max en la repoussant. Gaby n’avait pas encore fini cependant. Alors qu’elle dormait au début, elle se réveillait souvent, distraite par le corps masculin à côté d’elle dans le lit. Elle n’avait pas eu à partager un matelas depuis longtemps. Un peu après minuit, elle était réveillée et elle ne pouvait pas s’en empêcher. Elle tâta le corps de Max et découvrit qu’il dormait sur le dos. Elle se pencha et trouva sa queue, elle était molle dans ses mains. Au fur et à mesure qu’elle jouait avec, il s’animait lentement. C’était une sensation étrange, comment elle devenait lentement plus grosse et plus dure, résistant à sa force jusqu’à ce qu’elle soit incapable de la plier comme la première. “Si tu continues à jouer avec ça, je vais te faire finir ce que tu as commencé.” dit soudain Max. Gaby rougit, se sentant pris en flagrant délit. « Cela ne me dérange pas de le finir pour vous, monsieur. Dit-elle timidement, avant de rouler sur lui. “Attends, nous avons besoin d’un autre préservatif.” dit Max alors qu’elle le chevauchait déjà. Gaby pouvait le sentir atteindre sa table de chevet, tâtonnant dans le noir.  “Attends.”  dit-elle, roulant à nouveau sur lui.  “Viens t’allonger contre mon dos.”  Elle ne voulait pas perdre de temps ou allumer la lumière au milieu de la nuit. Max se retourna, se pressant contre elle.  Elle pouvait sentir son érection presser contre ses fesses. Gaby a tordu ses hanches, attrapant sa queue entre ses fesses, quand Max a poussé en avant, il a été poussé fermement entre elles. Elle gémit profondément alors que Max lui baisait les fesses, sans la pénétrer.  Il a atteint autour d’elle avec sa main libre, trouvant sa chatte humide et attendant. Coincé entre sa queue entre ses fesses et ses doigts entre ses lèvres, Gaby frissonna alors que les doigts de Max provoquaient un autre orgasme.  Elle poussa contre ses hanches poussées, jusqu’à ce qu’il jouisse également, son jus chaud se répandant dans le bas de son dos. Quand Gaby s’est réveillé le lendemain matin.  Elle pouvait encore sentir le désordre collant sur son dos, ils n’avaient pas pris la peine de nettoyer au milieu de la nuit.  Elle tendit la main vers Max et, à sa grande surprise, découvrit qu’il était toujours dur.  Ou encore dur, avec le matin, supposa-t-elle. En repensant à ses histoires, elle se demanda comment une fille vraiment soumise réveillerait son petit ami.  La réponse était évidente, alors elle rampa sous les draps et le prit dans sa bouche. Max ne s’est réveillé que juste avant de venir. Gaby était fière de la rapidité avec laquelle elle avait réussi à le faire jouir en utilisant uniquement sa bouche. Elle avala tout ce qu’il lui offrait, ne pensant qu’un instant que cette fois elle avait oublié le préservatif. Max écarta les couvertures et la regarda avec un sourire. “Une petite amie si gourmande.” Il a dit. Gaby rougit. Comment avait-elle été gourmande ? Elle avait fait ça pour lui, n’est-ce pas ? “Je veux nous faire tester tous les deux pour les MST.” Dit-elle. “Pas la salutation matinale la plus romantique.” Max a répondu. “Je ne veux tout simplement pas continuer à m’embêter avec ces préservatifs à chaque fois.” dit Gaby. “Je prends la pilule, donc si nous sommes tous les deux propres, nous pouvons nous amuser davantage sans ces choses.” Max hocha la tête. « Je pensais la même chose hier soir, même si je ne savais pas trop comment te le dire. Je suppose que te donner l’oral en premier aurait peut-être marché. Gaby gloussa. A la table du petit déjeuner, ils parlaient peu. Ils ne pouvaient pas prolonger ce deuxième rendez-vous beaucoup plus longtemps; mais pendant que Gaby prenait une douche, elle sentait qu’elle pouvait le séduire une fois de plus. Elle n’avait pas encore reçu la fessée de cette gentille fille après tout. De retour en bas, Max ne portait toujours qu’une robe de chambre, alors qu’elle portait la lingerie et les bas d’hier. Elle portait sa robe, pliée dans ses bras. “Tu sais que tu ne peux pas sortir comme ça.” dit Max. “Je pensais juste que tu voulais me dire au revoir comme il faut.” dit Gaby. Max soupira. “Qu’est-ce que je t’ai dit sur le fait d’être cupide, Gabrielle ?” Il a demandé Gaby rougit. Il n’avait pas semblé s’en soucier quand elle le réveillait au milieu de la nuit, ou le matin avec sa bouche. “Mais je n’ai pas eu de fessée.” Elle a fait la moue. “J’avais tellement hâte d’y être.” « Je t’ai dit hier que tu devrais attendre encore un peu. Tu n’es pas obligé de tout obtenir en même temps dit Max. Gaby fit la moue et mit ses plus beaux yeux de chiot. “Je vais compter jusqu’à cinq et ensuite tu vas mettre cette robe, jeune fille.” dit Max. “Une.” Gaby lécha ses lèvres. “Deux.” Il était hors de question qu’elle le laisse lui faire peur pour qu’elle le mette. “Trois.” De plus, s’il allait lui donner une fessée, elle obtiendrait exactement ce qu’elle voulait. “Quatre”. Bien que… Ce premier rendez-vous fessé n’était pas quelque chose qu’elle voulait voir répété, n’est-ce pas ? “Cinq!” Merde!  Trop tard. « C’est ça jeune fille.  Tu as été une bonne fille pendant tout ce rendez-vous ;  mais maintenant je vais devoir te renvoyer chez toi avec un derrière rouge.  dit Max. Gaby rougit, mais ne protesta pas. Max lui prit le poignet et la guida vers le canapé.  Il lui prit sa robe et la posa sur la table basse avant de la mettre sur ses genoux. Sa main atterrit violemment sur son derrière. Gaby gémit doucement.  “Attends.”  Dit-elle.  « Je suis désolé, je ne voulais pas être méchant.  Je pensais que tu me donnerais une fessée amusante. Max lui a encore donné une fessée.  « Je t’ai dit deux fois que je n’allais pas le faire.  Ne prétend pas que tu ne savais pas que tu allais avoir des ennuis si tu continuais à désobéir. Gaby se mordit la lèvre.  Elle avait su, alors pourquoi avait-elle continué à agir comme elle l’avait fait ? Max lui frappa les fesses à nouveau.  “Si tu vas agir comme un gosse cupide, c’est comme ça que je vais te traiter, Gabrielle.”  Il a dit. Gabt rougit.  Elle ne s’était jamais considérée comme une gamine ;  mais la façon dont elle l’avait défié pendant son compte à rebours était un comportement évident de bratty. Elle couina quand Max la frappa fort et vite.  “Eh bien, as-tu autre chose à dire?”  Il a demandé. Gaby secoua la tête.  “Non monsieur.”  Elle a répondu, en s’avouant qu’elle avait ceci à venir. La main de Max se posa encore et encore sur ses fesses.  Envoyant des chocs de douleur à travers sa peau et ses fesses.  Il a baissé sa culotte à mi-chemin et a décroché la prochaine volée de claques sur ses fesses nues. Gaby gémit et se tortilla.  Cela ne ressemblait en rien à la fessée sensuelle qu’elle voulait, mais elle se sentait toujours excitée d’être fessée. Lorsque Max s’est arrêté pour lui frotter les fesses, elle a su que l’échauffement était terminé.  Ses fesses lui piquaient déjà.  Quand il leva à nouveau la main, elle sut qu’il était sérieux au sujet de cette fessée. Ses fesses rebondirent sous sa main.  Gaby donna des coups de pied et couina, ses fesses étaient en feu.  Elle a promis de bien se comporter, l’a supplié d’arrêter et a juré de ne pas être aussi gourmande lors de leur prochain rendez-vous. Max ne s’est pas arrêté jusqu’à ce qu’elle sanglote et gémisse, les larmes sur son visage et son corps flasque après que tout le combat soit sorti d’elle. Quand il la laissa se lever, il la serra fort contre lui. “Merci Monsieur, je suis désolé d’avoir été un gamin si gourmand.”  dit Gaby. « J’espère que tu feras mieux la prochaine fois, Gabrielle.  C’est deux rendez-vous d’affilée que tu te retrouve avec des fesses rouges et douloureuses.  Maintenant, mets ta robe.  dit Max. Gaby rougit en enfilant sa robe.  Quand elle a remonté sa culotte, elle était douloureusement serrée autour de ses fesses. Lorsque Max lui a montré la porte, elle s’est demandée pourquoi elle attendait déjà avec impatience leur prochain rendez-vous.  Certes, elle s’était amusée aux deux rendez-vous, jusqu’à ce qu’elle ait mérité cette fessée vers la fin.  Elle réalisa alors qu’elle voulait ces fessées disciplinaires strictes autant qu’elle avait voulu le sexe auparavant.  Elle n’est pas sortie avec cet homme malgré sa fessée, elle est sortie avec lui à cause de cela. “Je suis désolé d’être une si mauvaise fille, monsieur.”  dit-elle à la porte.  “J’essaierai plus fort la prochaine fois.” Max l’a embrassée au revoir.  “Assure-toi de le faire, tes fesses auront besoin de repos après ces deux premiers rendez-vous.” Gaby fit un signe de la main et s’éloigna.  Désolé monsieur.  Elle pensait.  Mais tu vas juste devoir me fesser encore.  Je suis ton sale gosse après tout
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Par : le 22/04/22
Texte ecrit par une merveilleuse ex soumis.. Un bouquet pour sa soumise Elle était à quatre pattes en position d'attente... Il arriva, l'observa comme à Son habitude, silencieux... puis Il s'approcha d'elle... elle Le salua, tête baissée, elle ne voyait que Ses pieds... Ses pieds.... comme elle aimait y être... Il la salua aussi. Puis Il lui dit - tiens regarde, j'ai une surprise pour toi... elle leva les yeux toute souriante, elle était ravie qu'Il lui fasse une surprise, impatiente de savoir ce que c'était... mais son sourire disparu et elle ne dit rien... - tu ne dis rien? je t'ai cueilli un beau bouquet et on dirait que ça ne te fait pas plaisir... lui dit Il taquin - oh, euh, si si Maître, je suis... ravie que vous pensiez à moi...Elle cherchait quoi dire, sans être désobligeante... je vais aller le mettre dans l'eau si vous voulez bien et à l'abris des poilus dans une autre pièce... je ne voudrais pas qu'ils abîment un bouquet si ... particulier... - toujours aussi maligne ma petite chienne, mais non, tu ne le mettras pas dans une autre pièce... lui dit Il en souriant - qui ne tente rien, n'a rien... - tenter, tu peux oui... même si ça ne sert pas à grand chose... Il posa son bouquet sur la table, alla chercher son collier qu'il lui passa autour du cou, y accrocha la laisse... Il commença à la toucher, elle Lui appartenait, Il le montrait dans Ses gestes... Ses doigts fouillèrent son intimité, elle allait à leur rencontre, se trémoussait dessus.... Il enfonça bien ses doigts - avance... Il la dirigeait par son intimité, elle avait du mal à avancer, elle aurait préféré se faire du bien sur Ses doigts... elle avançait, faisait quelques pas, marquait une pause, elle voulait qu'Il bouge Ses doigts, mais Il ne le faisait pas... - avance je t'ai dit Elle repartit... Il la dirigea jusqu’à la table... - lève toi et penche toi sur la table Elle se leva, il avait toujours ses doigts en elle, elle se coucha sur la table, écarta bien les cuisses, se cambra, ondula sur Ses doigts, elle en voulait encore.... - pas encore ma petite salope.... elle soupira.... Il enleva Ses doigts et alla chercher Ses cordes, lui attacha les chevilles aux pieds de la table, lui mit les bracelets aux poignets qu'Il attacha ensuite au collier... et lui banda les yeux - bon comme la beauté de ton bouquet ne te parle pas, on va l'utiliser autrement qu'en décoration... quoi que ça va bien décorer quand même.... mettre de la couleur.... sur ta belle croupe Il s'écarta d'elle un instant, revint, lui caressa les fesses, lui mit une bonne claque sur chaque fesse, elle tendit tout de suite son postérieur pour en avoir encore.... mais ce n'est pas Sa main qui s'abattit sur ses rondeurs mais le bouquet.... d'orties... Instantanément, ça piqua, brûla, gratta, elle n'aimait pas du tout, mais il continuait.... elle prit sur elle et se retient de faire le moindre bruit... Elle essayait d'oublier... s'accrochait à son collier... Il s’arrêtât quand la couleur fut à Son gout... Son fessier était en feu... c'était infernal... et ça allait durer... Il reposa le bouquet défraîchi sur la table... Il la détacha... la prit dans Ses bras... la calina... elle avait résisté pour Son plaisir... (Après je bloque... avec les fesses en feu, je ne vois rien d'envisageable de plus... sourire) -- petite soumise Lildya
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Par : le 20/04/22
Bonjour Voici le chapitre 8 de mon histoire. J'attends vos retours avec impatience ! —————————————————————————————— Nous sommes 3 semaines après cette folle expérience. Je me réveille avec l'envie de reprendre une séance. La menace de Maitresse Lucy est toujours présente mais je ne peux résister à l'idée d'y retourner. Je me connecte de nouveau sur le site et réserve une nouvelle séance. Apres m'avoir authentifié, je remarque que je ne peux prendre qu'une séance de 1jour/1nuit. Je me demande pourquoi la séance est aussi longue. Une demande importante sans doute. Le jour venu, je me rend au château, comme la première fois. A l'entrée, Maitresse Sylvie ne me jete qu'un rapide coup d'oeil avant d'ajouter : -"Tu connais le processus. A poil, en cage, Maintenant". Bonne ambiance. Sagement, je m'exécute et me déshabille complètement, enfile ma cage de chasteté et me met à genoux en attendant Maitresse Sylvie. - "Tu as été une vraie pute la dernière fois. Tu as as désobéi à une maitresse volontairement. Il va falloir qu'on règle ça." Je veux répondre que je n'avais pas fait exprès et que j'étais prêt à obéir mais je me retint. Pas la peine de provoquer Maitresse Sylvie. Elle me passe un collier au cou, y accroche une laisse et ajoute : - " Maintenant, tu n'es plus qu'un puceau soumis, une petite pute a dresser, un chien de merde à éduquer. A 4 pattes !" J'obéit immédiatement. Elle me met un baillon en forme d'os dans la bouche et me tire dans le même couloir que la première fois mais s'arrête avant la cellule collective. Je comprend où je vais aller. La fameuse pièce "Animaux de compagnie". Maitresse Sylvie ouvre la porte. La pièce est noire. Elle me tire à l'interieur et allume la lumière. A suivre...
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Par : le 09/04/22
Les autres jours, Gaby n’aurait pas réfléchi à deux fois à la rencontre. C’était une journée normale au printemps et tôt le matin. La ville faisait la promotion d’une journée sans voiture en faveur de l’environnement et Gaby avait décidé de participer et de prendre le train pour se rendre au travail. Une amie lui avait donné un billet de dix trajets, il lui suffisait de renseigner la date, son lieu de départ et sa destination. Ayant oublié d’apporter un stylo, Gaby dut en demander un à l’un des autres qui attendaient sur le quai. L’homme qui lui a donné le sien était un peu plus âgé qu’elle ; Gaby avait une trentaine d’années et il devait en avoir une quarantaine. Elle l’aurait normalement considéré comme trop vieux pour capter son intérêt même s’il était assez beau. Les autres jours, elle l’aurait immédiatement oublié. Gaby n’avait jamais pris le train pour se rendre au travail auparavant et n’avait pas prévu à quel point le trajet d’une demi-heure serait ennuyeux sans rien pour la divertir. Devant elle et dans l’autre allée, l’homme qui lui avait prêté son stylo tapait quelque chose sur un ordinateur portable. Elle essaya de lire en même temps, mais le texte était trop petit à cette distance. Curieuse comme elle l’était, elle envisagea un instant de s’asseoir à côté de lui, mais elle ne voulait pas qu’il pense qu’elle était intéressée par une conversation. De plus, elle le dérangerait probablement dans son travail. C’était à cause de cette curiosité insatisfaite, que Gaby était incapable d’oublier leur rencontre, aussi brève fût-elle. Les jours passèrent sans que Gaby ne revoie l’homme, mais elle ne l’avait pas oublié. Son esprit avait transformé ce qui aurait dû être un simple souvenir en un mystère intrigant. Finalement, quand elle ne put plus supporter ses pensées émerveillées, elle décida de le chercher ; ne serait-ce que pour se prouver qu’elle rêvait de lui était ridicule. Elle ne savait pas si c’était de la chance, ou si cet homme se rendait au travail en train tous les jours, mais elle l’a retrouvé dès le lendemain lorsqu’elle a pris le train pour se rendre au travail. Gaby se sentit un peu stupide quand elle le vit. Elle avait traversé tous ces ennuis juste pour voir un homme à qui elle avait à peine dit cinq mots. Pourtant, elle savait qu’elle devrait passer par là maintenant ou les choses ne feraient qu’empirer. Elle attendit que l’homme s’asseye puis se déplaça pour s’asseoir dans l’allée en face de lui. Lorsqu’il a sorti son ordinateur portable, Gaby s’est tourné vers lui et lui a demandé : « Je suis désolé, j’espère que je ne vous dérange pas, mais puis-je vous demander ce que vous écrivez ? Je t’ai déjà vu dans ce train et il semble que tu travailles souvent sur quelque chose. L’homme se tourna vers elle avec un sourire conquérant.  « Juste quelques histoires », dit-il. Gaby ne voulait pas trop le déranger ;  elle ne s’adressait généralement pas à un étranger sans raison apparente.  Mais sa curiosité n’était pas si facilement satisfaite.  “Quel genre d’histoires?”  Elle a demandé. L’homme hésita, une légère couleur – cela aurait pu être un rougissement – apparut sur son visage.  “Ce sont des histoires érotiques.”  Il a fini par admettre. En rougissant, Gaby chercha ses mots, mais ne trouva rien à dire.  “Oh.”  Elle a réussi.  Après avoir regardé devant elle pendant un moment, elle a remarqué que l’homme avait rangé son ordinateur portable et prenait des notes dans un petit carnet.  Il supposa probablement qu’il l’avait chassée avec sa réponse.  Qui dans son bon sens a écrit des histoires érotiques dans le train de toute façon ?  pensa Gaby.  Trop gênée pour relancer la conversation, elle l’ignora pendant le reste du trajet. Rencontrer l’homme n’avait fait qu’empirer les choses.  La curiosité de Gaby n’était pas satisfaite de savoir le genre d’histoires qu’il écrivait;  il voulait maintenant savoir exactement ce qui s’était passé dans ces histoires.  Elle rêvait toujours de l’homme, et maintenant plus souvent ces fantasmes s’accompagnaient d’une touche érotique, tout comme elle imaginait ses histoires.  Gaby n’avait pas lu beaucoup d’érotisme, bien qu’elle en ait essayé quelques-uns.  Elle avait une bonne idée de ce que pourraient être ses histoires.  Elle n’a pas trouvé qu’il y avait quoi que ce soit d’inapproprié ou de mal dans la fiction érotique et il était logique que quelqu’un l’écrive.  Si elle était normale pour le lire, la personne qui l’écrivait n’était pas moins normale qu’elle.  Alors la prochaine fois que Gaby a pris le train pour se rendre au travail, elle s’est dit que ce n’était pas parce qu’elle était curieuse, mais parce qu’elle souhaitait s’excuser pour sa réaction à sa découverte. Comme elle l’avait espéré, ce n’était pas la chance qui les avait réunis la dernière fois.  L’homme et son ordinateur portable étaient présents lors de son trajet vers le travail, comme il l’était probablement tous les jours.  Il leva les yeux et sourit quand Gaby s’assit à nouveau dans l’allée à côté de lui.  “Bonjour.”  dit Gaby.  “Nous nous sommes déjà rencontrés une fois.”  Parce qu’elle ne pensait pas qu’il se souviendrait de lui avoir prêté son stylo il y a quelques semaines. “Deux fois en fait.”  L’homme répondit.  “Tu avais besoin d’un stylo et je n’oublie jamais un joli visage.” Gaby rougit.  Elle n’avait pas prévu son ton coquin.  Cela n’aurait pas dû la surprendre, sinon, comment aurait-il dû réagir quand elle continuait à l’approcher comme ça ?  Surtout après le sujet de leur dernière conversation rabougrie.  “Je voulais juste m’excuser pour la façon abrupte dont notre dernière conversation s’est terminée.”  Dit-elle.  “J’étais un peu surpris.” L’homme sourit à nouveau, c’était le genre de sourire qui faisait oublier ces années qu’il avait sur toi.  “Je comprends.  Nous pouvons continuer là où nous nous sommes arrêtés si vous le souhaitez. Gabrielle rougit légèrement, elle n’avait pas vraiment pensé à s’excuser. “Oh, je ne voudrais plus te déranger pendant que tu travailles sur tes histoires.” “Pas du tout.” L’homme a dit. “Je n’écris ceux-là que lorsqu’il n’y a rien de plus intéressant à faire.” Gabrielle se mordit la lèvre, mais elle ne pouvait pas nier le sentiment heureux qu’elle ressentait d’être considérée comme plus intéressante que tout ce sur quoi il travaillait. Elle a décidé de vaincre sa timidité. Un trajet en train, une demi-heure de maladresse ou d’embarras possible, puis sa curiosité serait satisfaite et ils ne se reverraient jamais si elle ne le voulait pas. « Alors, de quoi parlent exactement vos histoires ? » Elle a demandé. L’homme sourit, mais il y avait aussi un peu de surprise dans ses yeux. Comme s’il ne s’était pas attendu à ce qu’elle approfondisse le sujet. “Plusieurs choses.” Il a dit. « Je m’appelle Max, au fait. Quel est ton?” Gaby rougit profondément, réalisant à quel point sa curiosité devait être évidente puisqu’elle ne s’était même pas présentée. “Je suis Gabrielle.” Dit-elle. “Mais mes amis m’appellent Gaby.” “Eh bien, Gabrielle.” L’homme a dit, comme s’il essayait le son de son nom complet. « La plupart de mes histoires parlent de BDSM. Sais-tu ce que c’est?” Gaby hocha la tête. “Maintenant, n’imaginez pas des dominatrices en cuir, des combinaisons intégrales en latex ou ces pauvres femmes fouettées en sang. Mes histoires sont érotiques, des rencontres entre des gens normaux comme nous, avec juste une touche de perversité en plus. Gabrielle devait admettre qu’elle avait imaginé de telles images à la mention du BDSM, mais elle comprenait qu’il y avait bien plus que cela. Certaines des histoires qu’elle avait lues dans le passé étaient en fait exactement le genre qu’il voulait dire, érotiques, sensuelles parfois même sur l’amour. “Quel genre de choses coquines se produisent dans vos histoires alors?” Elle lui a demandé. Heureusement, il n’y avait pas beaucoup d’autres voyageurs dans le train, car Gaby n’aurait pas pu avoir cette conversation si elle craignait que quelqu’un ne l’entende. Elle avait encore du mal à croire qu’elle avouait sa curiosité à cet étranger. C’était seulement à cause de son propre intérêt évident pour la question qu’elle sentait qu’elle le pouvait. “La plupart d’entre eux contiennent une forme de fessée.” Max lui a dit. “Généralement sous la forme d’une expérience sur le genou pour la femme qui se conduit mal avec rien de plus que la main de l’homme ou un seul outil. Cela procure à la coquine autant de plaisir que de douleur. J’inclus parfois du bondage, des simples menottes aux cordes et aux bandeaux. Et enfin, j’inclus souvent un thème d’exhibitionnisme, soit la nudité intentionnelle, soit la peur d’être vu ou attrapé. Gaby était assise sur le bord de son siège, craignant de paraître agitée. Elle ne savait pas pourquoi la simple description du contenu de ses histoires l’avait autant excitée. Elle n’avait jamais rien fait de vraiment pervers dans son passé et tout ce qu’elle savait venait de ces quelques histoires qu’elle avait lues. “Vous devez avoir beaucoup d’expérience avec de telles choses, pour pouvoir écrire à leur sujet.” Dit-elle. L’homme éclata de rire. “Pas vraiment.” Il a dit. “Je veux dire, j’ai eu quelques femmes prêtes à expérimenter, mais je me qualifierais à peine d’expérimentée. La plupart d’entre elles me viennent directement à l’esprit. Il fit une pause pour un moment. “Alors et toi? Des anecdotes qui ne vous dérangeraient pas de se retrouver dans l’une de mes histoires ? » Gaby rougit. “Non, pas du tout.” Dit-elle. La conversation s’interrompit un instant. L’homme semblait vouloir lui demander quelque chose. Peut-être si elle était intéressée à créer une telle anecdote. Gaby rougit à nouveau, mais l’homme se contenta de dire : « Eh bien, c’était un plaisir de te rencontrer Gabrielle. J’espère que nous pourrons nous reparler un jour. Le train ralentissait pour le prochain arrêt. “Ravi de te rencontrer également.” dit Gaby, puis sa curiosité lui donna ce dernier petit coup de pouce. “Peut-être que je pourrais lire une de vos histoires un jour.” En réponse, l’homme sortit le carnet de sa valise et nota rapidement quelque chose. “J’ai un site web.” Il a dit. “Vous pouvez les lire là-bas.” Il arracha la page sur laquelle il avait écrit l’adresse et la lui tendit juste au moment où le train s’arrêtait. Il lui dit au revoir et descendit. Gaby avait laissé la note dans sa poche toute la journée, mais à la maison après le travail, elle a déplié le morceau de papier et s’est demandé quoi faire. C’était un peu comme visiter un site porno, pensa-t-elle, sauf qu’au lieu de vidéos, il y aurait des histoires. Gaby n’était pas le genre de fille qui méprisait le porno, mais les quelques fois où elle avait essayé d’en regarder un, elle n’avait pas vraiment compris l’attrait. Les histoires érotiques seraient bien sûr très différentes. Lorsqu’elle a démarré son ordinateur et surfé sur le site Web, elle a été surprise de voir beaucoup d’images et de photographies érotiques. Elle rougit et regarda par-dessus son épaule, même si elle savait qu’elle était seule. Chaque histoire avait un titre et une image correspondante, probablement pour vous inciter à la lire et attirer plus de visiteurs. Les photos étaient très sensuelles, mais pas aussi explicites que sur un vrai site porno, plus érotiques et moins basiques. L’histoire la plus récente, affichée en haut, montrait une femme dans une gare, un train passait en arrière-plan et le vent soulevait sa jupe pour découvrir ses fesses. Il s’intitulait: “Le trajet en train”. Ayant rencontré l’auteur dans le train elle-même, Gabrielle a décidé qu’il convenait de lire celui-ci. L’histoire raconte l’histoire d’une jeune femme attendant son train. Il la décrivait en détail, de ses longs cheveux bruns, ses yeux sombres et sa peau pâle. Gaby se demanda si c’était le genre de fille que Max – l’auteur de l’histoire – aimait. Elle réalisa que la fille lui ressemblait un peu, même la robe qu’elle portait et les sous-vêtements décrits en détail ressemblaient à ce qu’elle-même aimait porter. Dans cette histoire, le train était presque vide d’autres voyageurs et la jeune femme avait un wagon à elle toute seule, le décor parfait pour une histoire érotique semi-publique. L’intrigue est rapidement apparue lorsque le conducteur du train est venu vérifier son billet. La femme en avait apporté un, mais elle avait omis de le remplir, ayant oublié un stylo. Ceci, combiné aux similitudes dans leur apparence, fit rougir profondément Gaby, car elle était sûre d’avoir elle-même été l’inspiration de cette histoire lorsqu’elle avait emprunté la plume de l’auteur. Son rythme cardiaque a augmenté et son excitation a augmenté au fur et à mesure qu’elle lisait. Elle a découvert comment l’homme qu’elle avait rencontré avait fantasmé qu’elle réagirait s’il ne lui avait pas donné ce stylo. La femme – qui était elle – a été confrontée à la réaction froide et stricte du chef de train et à une amende qu’elle ne pouvait pas payer car elle n’avait pas assez d’argent sur elle. La sécurité serait contactée et les attendrait dans la station suivante, à moins que… la jeune femme ne paye son amende d’une autre manière ? Le rougissement de Gaby a été remplacé par une excitation profonde et nostalgique alors qu’elle lisait comment elle – la fille – se déshabillait dans le wagon de train vide jusqu’à ce qu’il ne reste plus que ses sous-vêtements. L’histoire décrivait son corps en détail et comment l’auteur avait imaginé qu’elle aurait l’air nue. Même ses sous-vêtements étaient étrangement précis, même s’il n’y avait aucun moyen qu’il ait pu savoir de telles choses. Lorsque la fille de l’histoire a été penchée sur l’un des sièges du train et que ses fesses ont été écrasées par la main ferme et inflexible du conducteur, la propre robe de Gaby a été soulevée et sa main a frotté le tissu de sa culotte. Elle ne s’était jamais masturbée devant le porno auparavant, mais lorsque la fille de l’histoire a baissé sa culotte pour que sa fessée continue sur un fond nu, Gaby a baissé la sienne pour laisser ses doigts atteindre sa chatte humide et gonflée. L’histoire s’est terminée avant qu’elle ne puisse se terminer, avec une fin atrocement ouverte où la fille à fond rouge et cruellement punie a dû se demander comment elle devrait montrer sa gratitude pour avoir reçu cette punition alternative au lieu d’une amende. Forcée d’utiliser sa propre imagination à la fin, Gaby s’imagina elle-même – la fille – à genoux d’abord dans une position de soumission appropriée, puis recula, penchée sur les sièges pour prendre la bite dure du chef d’orchestre par derrière. Sauf que le chef d’orchestre était désormais Max, l’homme qu’elle avait rencontré et qui avait écrit cette histoire
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Par : le 06/04/22
Maîtresse m’avait demandé de venir pour midi. La pression était montée la veille quand elle m’informa qu’elle recevrait son amant après notre séance.
Elle me précisait « innocemment » qu’elle envisageait de lui faire passer quelques photos de notre première séance : lors de celle-ci Maîtresse avait commencé mon éducation de soumis pour m’entraîner notamment à être pris par des hommes. Étant hétérosexuel cette hypothèse me mettait particulièrement mal à l’aise. Je restais toutefois persuadé qu’il s’agissait avant tout de bluff de sa part pour jouer avec mes nerfs. Comment imaginer qu’après seulement une séance elle puisse oser m’offrir sans réel travail anal d’élargissement au préalable. Pour cette raison, je restais convaincu qu’il s’agissait d’un jeu pervers de sa part. Mon appréhension augmenta le matin quand elle m'imforma que son amant serait présent. Elle me demandait donc de veiller à être bien à l’heure pour la séance. A midi je sonnais à sa porte. Elle m’ouvrit en peignoir. Rapidement je me retrouvais nu. Je compris rapidement que j’avais sous-estimé sa perversité. «Suis-moi dans le salon », « Installe-toi sur ton coussin ! ». Je me retrouvais aux pieds de ma Maîtresse. Contrairement à notre précédente séance, celle-ci n’avait pas revêtu ses habits de Dominatrice. Elle avait enfilé des bas coutures sous une jupe longue et mis un chemisier fermé jusqu’au cou. Naturellement elle avait chaussée des talons impressionnants. Elle me faisait penser à une Gouvernante anglaise chic mais stricte. Il m’est apparu évident que le choix de ses vêtements ne m’était en aucun cas destiné. Je fus donc réduit à honorer ses pieds que je pris soin de lécher et masser pour m’éviter toute remontrance.
Elle ne fit aucun commentaire sur ma prestation. La qualité de celle-ci devant être une évidence. Un manquement de ma part n’aurait par contre pas manqué de déclencher une punition. 13h approchait. Maîtresse me fit mettre à 4 pattes afin de me plugger. « Il faut que tu sois prête si mon amant décidait de profiter de toi. » Elle m’entrava également les poignets, me mis une perruque blonde avant de m’enfiler un masque et de m’intimer l’ordre d’aller attendre au coin. L’interphone sonna et je me retrouvais fébrile, dans l’entrée, aux pieds de ma Maîtresse à attendre son invité. « Je te présente mon soumis » furent ses premiers mots quand il pénétra dans l’appartement. « Mignonne » dit-il sans plus de commentaires. J’essayais de faire de mon mieux, mais entre ma honte d’être mis en présence d’un tiers, nu coiffé de cette perruque et les cliquetis générés par mes entraves aux poignets j’étais particulièrement gauche. L’ordre claqua : « Si tu n’as rien à faire, occupes-toi de mes pieds ! ».
Aussitôt je m’empressais d’honorer les pieds de ma Maîtresse. Ce fut ma seule occupation, pendant que Maîtresse discutait avec son amant.
Elle lui expliqua combien j’étais docile même s’il y avait encore du travail de dressage à effectuer, notamment pour pallier à ma virginité anale avec de vraies bites même si elle me godait, tandis que ma langue passait et repassait sur les pieds de Maîtresse. Maîtresse s’était dévêtu et mis à l’aise dans le canapé. Maîtresse me positionna à genoux entre ses jambes, m’entrava les poignets et relia le tout à mon collier. Je me retrouvais ainsi dans une sorte de position de prière particulièrement humiliante. En m’enfilant mon bandeau elle me chuchota à l’oreille : « Occupe-toi de mon amant, tu commenceras par le caresser. Je ne veux pas t’entendre ». Je tâtonnais pour saisir son membre. Malgré mes mains entravées je parvins à le masser. Il gémit de satisfaction. « Remonte lui les couilles quand tu le caresse » m’intima ma Maîtresse. « Elle ne sait pas, il faut lui apprendre » dit-elle à l’intention de son amant. Je fis de mon mieux et pu sentir le membre durcir sensiblement. « Prends le dans ta bouche, mais garde tes mains sur ses couilles ! Continu à les caresser ! ». Maîtresse était clairement en train d’essayer de parfaire mon éducation. Je m’appliquais à le sucer au mieux afin d’éviter de m’attirer une punition de Maîtresse. Celle-ci n’aurait pas manquée d’être particulièrement sévère si j’avais déçu son amant. « Une bonne petite pute que tu as trouvée. » dit-il. « Oui, elle est particulièrement appliquée ». « Bon ça suffit, personne ne s’occupe de moi ». Maîtresse me remit ma laisse et me traina dans un coin où je fus laissé entravé. Elle ne prit même pas la peine de me préciser de ne pas bouger. Consciente de m’avoir parfaitement conditionnée et mise dans une bulle de soumission, je n’étais plus qu’un objet pour elle. Je demeurais parfaitement immobile, à quelques mètres de moi je pouvais entendre leurs gémissements tandis qu’ils se donnaient mutuellement du plaisir. Entravé, aveugle et frustré je n’avais qu’à attendre. La seule source de plaisir éventuelle aurait pu venir du plug toujours en place. Mais celui-ci était avant tout source d’inconfort. Je fus particulièrement soulagé quand enfin je senti des mains libérer mon anus. Leurs plaisir pris, je pensais que Maîtresse était comblé, mais celle-ci avait visiblement décidée de me faire subir un stage de vrai soumis. À peine le plug retiré je sentis son amant se positionner derrière moi. La panique me gagna. Elle allait me faire enculer par un homme et cela l'exciterait de me soumettre à ce point, de faire de moi une vraie lopette.
Nul doute que le conditionnement dans lequel m’avait mis Maîtresse joua. Je parvins à me maîtriser tandis que, ses jambes de chaque côté de mes fesses, je sentais le sexe de son homme se positionner contre mon anus.
Par réflexe je cherchais à résister mais entravé comme j’étais naturellement offerte. Son sexe pénétra en moi. Il s’introduisait et je me senti littéralement défoncé.
Il commença par des mouvements de va et vient lents et peu appuyés. Soucieux sans doute de travailler à m’élargir avant de commencer le vrai travail de pilonnage. La sensation était extrêmement désagréable, j'avais très mal au cul d’autant plus qu’il avait négligé de mettre du lubrifiant. Je pense que c'était ce que Maîtresse voulait, me faire sodomiser violemment pour augmenter mon masochisme afin que j'apprécie de me faire prendre dans la douleur pour les prochaines fois.
Chaque mouvement en arrière me laissait la sensation de me faire défoncer l’anus. Tandis que ses mouvements avant m’arrachaient des gémissements incontrôlables. Sentant que son travail marchait il modifia sa position. M’écartant les cuisses il se positionna entre mes jambes, raffermi sa prise sur mes hanches et s’enfonça au maximum en moi. Je creusais les reins et tentais de m’élargir au maximum pour limiter la douleur.
Il accéléra son mouvement tout en me traitant de petite pute. Il me possédait complètement et je ne parvenais pas à contrôler mes gémissements à chaque fois qu’il atteignait le fond. Maîtresse glissa un gode dans ma bouche et je me mis à le sucer. Elle le retira et pris ma tête entre ses mains pour me guider. Elle appuya mon visage contre son sexe. Son amant m’assaillait désormais avec des petits coups très vifs, s’enfonçant à chaque fois au maximum. Je me concentrais sur ma Maîtresse et me mis à la lécher frénétiquement dans le seul but de lui procurer un maximum de plaisir. Tout à cet objectif je ne saurais dire quand son amant cessa ses assauts : je ne faisais plus qu’un avec le sexe de ma Maîtresse et mon anus écartelé me faisait souffrir mais en même temps jouir. Maîtresse avait réussi à faire de moi un enculé bisexuel et elle ne se priverait pas à l'avenir de me faire enculer par des hommes.
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Par : le 27/03/22
P. dit « Tu n’es pas autorisé à le mettre et l’ôter comme un vulgaire caleçon ! Tu utiliseras toujours les crochets à ces fins en prenant soin de bien plaquer la bande arrière contre ton anus » « Tiens toi toujours très cambré, le cul en arrière, pense à ton dos et au plaisir de nos yeux » rajouta elle mi sévère, mi-amusée. « Sache que je vérifierai fréquemment si mes instructions sont suivis » Elle rajouta « Mais rassure toi. Le plus souvent ce n’est pas toi qui aura à le manipuler… ». Je n’imaginais pas ô combien ces paroles caractériseraient les années de délicieuses relations qui allaient suivre. En effet si P. se livrait fréquemment à ces manipulations lors de « vérifications » selon son propre vocabulaire, elle déléguait aussi souvent la tâche aux partenaires de rencontres à qui elles me confiait et me confie encore. C’est devenu pour moi la prise de contact habituelle avec nos partenaires, à tel point que cela me semble à présent parfaitement naturel. J'y reviendrai plus en détails. Elle répéta : « Tiens toi toujours très cambré, le cul en arrière" cela est dorénavant ta seule façon de te tenir. Tandis que je portais le poids sur mes talons afin de reculer mon cul au maximum elle dit : "Regarde ces poils qui dépassent du string, c'est laid" "Tu auras dorénavant le sexe épilé, mais pas glabre comme ces tous ces vulgaires hommes qui, singeant désespéramment le porno, n'ont plus un poil visible. Tu seras à présent épilé en ticket de métro, comme une femme parfaitement tenue, ce sera la marque de ta soumission à ce mode de vie. Es-tu d'accord ?" Un "Oui" mal assuré sorti machinalement de ma gorge. "Toute personne qui te verras en sous vêtement pourra ainsi subodorer tes pratiques. Connais-tu beaucoup d'homme ainsi épilé ?". Je ne répondis pas. "Tu dois pouvoir le mettre et l'enlever rapidement et de manière gracieuse et toute circonstance. Bien calé au fond du cul, bien ajusté, les crochets doivent arrivés dans le bon sens à la première tentative. Je ne tolérerai pas que tu sois gauche, quand j'exposerai ton savoir faire, mon savoir éduquer". P. me banda les yeux et me fit travailler cela pendant vingt longues minutes.Mes doigts gagnaient en précision et je finis par ajuster le string avec rapidité.
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Par : le 26/03/22
Humble Moi qui me croyais soumise, je me battais, je ne lachais pas prise. Moi qui me croyais dévouée, je me laissais gouverner par ma fierté. Ce temps là est dépassé ou en voie de l'être... Ma fierté , mon égo vont maintenant se repaître d'une autre nourriture... la fierté viendra de l'humilité, de la dévotion, de l'obéissance qui vous sont dues mon Maître. Tête baissée, humble, je regarderai vos pieds et si tel est votre désir, j'y déposerai de doux baisers.
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Par : le 26/03/22
L appele de la Forêt ..3 ème partie Il la regardait, elle ne bougeait pas, ne savait si elle devait faire quelque chose et si oui, quoi... elle était toujours mal à l'aise dans ses moments là... surement en jouait- Il d'ailleurs... Il s'agenouilla devant elle, la prie dans ses bras, elle lui rendit son étreinte, elle se laissa aller contre son torse, elle respira son parfum... parfum qui resterait sur ses cheveux et qu'elle prendrait plaisir à sentir quand elle serait séparée de Lui.... Il lui fit un petit bisous et se releva... - retourne contre l'arbre et reprend la position Le sang quitta son visage... la punition n'était elle pas finie? Il l'avait pourtant câlinée et embrassée... elle ne comprenait pas... Il vit son inquiétude... et la rassura - je vais juste prendre des photos de ta belle croupe bien rougie, ma petite chienne... elle se rendit, soulagée, jusqu’à l'arbre à 4 pattes, elle entendait l'appareil photo se déclencher... Arrivée à l'arbre, elle se leva et repris la position, cambra bien pour s'exposer le mieux possible au regard de son Maître... Il prit des photos sous plusieurs angles, elle l'entendait se déplacer - ne bouge pas Il posa son appareil photo, fouilla dans les sacs... Il revint vers elle et lui banda les yeux... Il tira sur la laisse pour qu'elle se redresse et marcha... Il la dirigeait, elle avançait d'un pas bien incertain, elle avait peur de tomber, de se prendre les pieds dans une racine... Il la fit s’arrêter... elle ne savait plus où elle se trouvait, elle avait perdu tous ses repères avec le bandeau. Le seul repère qu'elle avait était son Maître qui était à l'autre bout de la laisse, Il était vraiment son tout... Il la déshabilla complètement, elle se retrouva nue à l'exception de ses bas qui avaient bien souffert de la balade à 4 pattes, de ses petites chaussures et de son collier... Elle ne pu s’empêcher de tendre l'oreille pour écouter les bruits environnants, toujours personne dans le coin, à moins que les voyeurs soient silencieux... c'était encore possible... Il commença a jouer avec ses cordes... elle adorait quand il faisait ça.... c'était un moment très calme, très doux, serein, mais cette fois ci elle ne pourrait pas le voir travailler, le voir concentré sur elle, les cordes... elle sentait les cordes se placer, l'habiller, la mettre en valeur, appuyer où il fallait.... Il tournait autour d'elle, la frôlait... quand une corde passait entre ses jambes, un doigt perdait un peu son chemin et allait titiller son intimité, juste de quoi lui donner envie de plus... plus, qu'elle n'aurait pas de suite... elle devrait prendre son mal en patience... quand Il eu fini, Il la caressa encore, l'embrassa, la complimenta.... elle était bien... mais Il n'avait pas fini son travail de cordes - lève les bras au dessus de la tête Elle leva les bras, Il fit passer la corde par dessus une branche, Il lui attacha les mains, et tira sur la corde pour la tendre . Il lui attacha aussi les chevilles à des troncs à proximité surement.... Elle ne pouvait plus bouger... Il pouvait lui faire tout ce qu'il voulait.... du bien... du mal... elle le savait et ça l'excitait..... être ainsi à Sa merci était très grisant pour elle. Il lui tourna autour... - comme je te sais frileuse, je vais te réchauffer ma chienne.... tu ne pourras pas dire que ton Maître ne s'inquiète pas de ton confort... dit il un petit sourire dans la voix - oh mais je n'oserais jamais sous entendre une telle chose, Maître... qu'allait Il faire? la réponse ne se fit pas attendre bien longtemps... un coup de martinet lui tomba sur la poitrine.... décidément c'était la journée des 1eres fois... sa poitrine n'avait encore jamais connu le martinet... Il continua à s'occuper de sa poitrine un petit moment, puis recommença à tourner autour d'elle.... Il fit danser le martinet sur tout son corps, dos, ventre, cuisse, poitrine, fesses ... Il laissa son sexe en paix, Il estimait peut être que la ceinture suffisait pour aujourd'hui... Elle eu rapidement bien chaud... Bientôt Ses mains remplacèrent le martinet, Il aimait caresser Sa soumise, Il ne s'en lassait pas... Il se plaça dans son dos, elle sentit l'excitation de son Maître, elle se cambra encore plus, se frotta à Lui... Il lui tritura les tétons, elle lui offrit sa poitrine, posa la tête sur son épaule.... Il lâcha un sein quelques instant, puis l'autre, pour pouvoir prendre dans sa poche des pinces qu'il mit à ses tétons.... - tu excites ton Maître, ma petite salope... Ses mains se dirigèrent vers l'intimité de Sa soumise... -- Lildya
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Par : le 16/03/22
L Appel de la Forêt . 2 ème partie Il tira la ceinture des passants de Son pantalon. Elle appréhendait, elle connaissait la ceinture de son Maître , mais ne l'avait jamais eu en punition... Elle savait que ce serait plus dur à supporter... beaucoup plus dur. Il lui en avait déjà parlé à plusieurs reprises... Il lui avait dit qu'elle s'en souviendrait le jour où Il la punirait... - je ne veux pas t'entendre à part pour compter les coups et tu gardes la position... 10 pour avoir baisser ta jupe sans autorisation, si ton Maître veut t'exhiber, Il t'exhibe, est ce bien clair? - oui, Maître, c'est clair... Il lui retira le rosebud qui ornait son petit trou. Elle respira amplement, essaya de bien se détendre, la douleur serait bien plus forte si elle se crispait. Il ne lui caressa pas les fesses comme Il l'aurait fait d'habitude, Il ne cherchait pas du tout à la rassurer... Elle avait fauté, elle allait être punie... - tu vas devoir raser les murs, ma petite chienne Le 1er coup tomba, elle commença à compter, un , mais ne dit rien d'autre, ne gémit pas, Il n'avait pas commencé trop fortement même si c'était déjà plus fort que les autres fois et qu'elle se savait déjà marquée. Elle se demanda si la suite allait être sur le même ton... si c'était le cas, elle tiendrait.... si c'était un échauffement, par contre.. Les 2 coups suivant furent donnés l'un après l'autre et plus fortement, elle avait la réponse à sa question, ce n'était qu'un échauffement, elle doutait de pouvoir tenir.... elle eu du mal à se taire... deux , trois .... Il passa la ceinture sur sa fesse gauche, elle s'attendait à ce qu'Il frappe là mais Il frappa la droite fortement ... les dents serrées après une pause pour reprendre sa respiration qui s'était coupée, elle dit difficilement quatre .... Pour ne pas rompre l'équilibre au niveau couleur surement, le coup suivant s'abattit sur la fesse gauche avec la même intensité... ciiinnqq ... dans sa tête, les jurons défilaient.... mais elle les gardait pour elle, Il ne voulait pas l'entendre et Il ne supportait pas la vulgarité, pourtant là, ça lui aurait fait un bien fou de se lâcher... Les coups suivant furent donnés avec la même intensité, il lui fut très difficile de garder la position et de se taire mise à part pour compter, c'est dans un souffle qu'elle dit six, sept, huit .... Il restait 2 coups encore et ce serait fini... elle avait chaud, très chaud et pas qu'aux fesses... elle commençait à trembler, elle aurait voulu pouvoir changer de position, même si elle ne savait pas si elle aurait préféré se mettre debout ou se mettre à genoux, elle avait du mal à réfléchir... le 9ème coup alla trouver son intimité, et là, elle ne put se taire et lâcha un cri... ses jambes avaient fléchies et elle avait porté une main sur sa chatte douloureuse - je croyais t'avoir dit que je ne voulais pas t'entendre et que tu devais garder la position? a bout de souffle et au bord des larmes, elle se remit prestement en position et s'excusa - le coup ne compte pas , je recommence... - non Maître s'il vous plait, je vais me taire... elle ne supportait pas les coups sur son intimité, c'était trop dur pour elle - non? tu contredis ton Maître maintenant? - s'il vous plait.... - en position et tu comptes, on reprend à 9... Il ne se laissa pas attendrir. Le coup s'abattit de nouveau sur son intimité déjà en feu du coup précédent mais Il y avait mis un peu moins de force, la douleur fut tout de même terrible... ses jambes commencèrent à fléchir mais elle reprit position, elle lâcha neeeuuuff... ça tenait plus du cri que du nombre mais Il accepta... Il restait un coup.... il fallait tenir coûte que coûte... elle est maso mais pas à ce point là... Le 10ème coup cingla ses 2 fesses en même temps, il fut donné fortement, mais comparé aux coups sur le sexe, c'était une promenade de santé... diiiix .... elle resta en position, à reprendre sa respiration.... Il remit Sa ceinture... Il lui caressa les fesses, l'intimité .... Il la fit se redresser, la prit dans Ses bras, lui caressa le dos, les fesses, elle s'abandonnait complètement dans Ses bras... Il lui prit le menton, lui leva la tête et l'embrassa. - qu'est ce qu'on dit à son Maître? - merci Maître - par contre, ne me contredit plus, ma petite chienne... la prochaine fois, je reprendrais au début... tu as compris? - oui, Maître, j'ai compris Il s'écarta d'elle, et retourna jusqu'aux sacs, Il en sortit une bouteille d'eau et sa gamelle. Il y versa de l'eau. - tu dois avoir soif ma petite chienne, viens ici Elle se mit à 4 pattes et alla rejoindre son Maître, elle se frotta contre sa jambe au passage, elle avait besoin de Le toucher, de se sentir proche de Lui et alla laper de l'eau... elle ne s'était pas rendu compte mais elle avait effectivement très soif... elle lapa un moment et quand elle eu fini, se mit à genoux aux pieds de son Maître et attendit son bon vouloir. Lyldia.. Bébé soumise dévouée à son Maitre
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Par : le 13/03/22
Il faisait beau ce jour là, elle portait sous une longue veste, une petite jupe sexy avec une fermeture éclair sur toute la hauteur et qui ne laissait pas grand chose à l'imagination et le petit haut bien décolleté qui allait avec, des bas maintenus par un porte jarretelles et des ballerines... Il ne voulait pas qu'elle se torde une cheville pendant leur périple... Ils avaient fixé un point de rendez vous, elle L'y rejoignit impatiente et un peu inquiète... Elle savait qu'ils allaient jouer dehors, c'était une 1ere pour elle... Elle était en avance, elle attendit dans sa voiture en écoutant de la musique, vérifia une dernière fois qu'elle n'avait rien oublié de ce que son Maitre lui avait demandé de prendre... Elle alla Le retrouver quand il fut garé sur une place de parking qui se trouvait du coté passager, bien que pas d'une nature exhibitionniste, elle était d'humeur joueuse, alors en se relevant, elle fit en sorte qu'Il aie une vue imprenable sur son fessier puis se dirigea vers la voiture de son Maître en souriant... Elle monta dans la voiture de son Maître, ils se dirent bonjour, Il la caressa un peu avant de mettre le contact et ils partirent... Ils parlaient... Mais à aucun moment, Il ne fit référence à ce qu'elle avait fait en sortant de sa voiture.... Sa main se baladait sur Sa soumise... Il se dirigeait vers la voie express... Quand ils y arrivèrent, Il lui demanda d'enlever sa veste... elle remarqua un petit quelque chose chez son Maître... ça l'amusait... - Alors tu aimes t’exhiber pour ton Maître à ce que j'ai vu.... Là, elle comprit que son petit jeu se retournait contre elle, elle sourit intérieurement, en se disant qu'elle aurait peut être du éviter son petit manège en sortant de la voiture... voilà ce que c'est de vouloir faire la maligne... - oui, Maître, j'aime m'exhiber devant vous... - ouvre ton haut... Elle blêmit... elle hésita, se battit avec elle même... - je t'ai dit d'ouvrir ton haut... Son ton avait durci... elle ne devait pas perdre plus de temps pour obéir... mais c'était dur... elle prit une grande inspiration et descendit la fermeture éclair - je t'ai demandé d'ouvrir ton haut, pas juste de descendre la fermeture éclair... je croyais que tu aimais t'exhiber pour ton Maître... Elle n'arrivait plus à parler... elle se maudissait d'avoir jouer comme elle l'avait fait... mais en même temps, quelque part... elle n'était pas tout à fait indifférente... le ton qu'Il employait la faisait vibrer, l'excitait... elle était mal à l'aise mais quelque part aimait ça.... tout ça était bon et perturbant à la fois... elle ouvrit son haut en grand... sur le coin de l’œil, elle vit qu'Il souriait... mais elle n'aurait pas pu soutenir Son regard même si elle avait pu Le regarder dans les yeux... A ce moment là, elle était bien contente de ne pas avoir le droit de le faire... - tu restes comme ça tant que je ne te dis pas de te rajuster - oui, Maître Pendant qu'il conduisait, Il continuait à la toucher, Sa main se posa sur sa jambe, elle ouvrit les cuisses plus grand instantanément... Il remonta jusqu’à son intimité.... - p'tite salope va, dit il un sourire dans la voix... regarde moi ça... ça t'excite.... Il lui montrait Ses doigts mouillée de son excitation... elle était gênée... elle détourna la tête... Il lui porta les doigts à la bouche pour qu'elle les Lui nettoie, elle n'aimait pas son gout, Il le savait... Ils continuèrent leur route, avant de sortir de la voie express, Il lui dit de se rajuster, elle se sentit mieux... Elle était fière d'elle, elle avait réussi mais était soulagée d’être de nouveau couverte.... Ils arrivèrent rapidement à une forêt, Il se gara... Elle allait enfiler sa veste quand il l’arrêta... - tu n'en as pas besoin, il fait chaud... Elle se dit qu'il allait vraiment la pousser à bout aujourd'hui, Il savait à quel point c'est dur pour elle de se montrer même habillée en tenue sexy, courte.... et Il poussa le vice jusqu’à remonter la fermeture éclair de la jupe... Il adorait la voir gênée, honteuse, et obéir malgré tout... Elle prit son sac et lui le sien... elle ne savait ce qu'Il avait emporté avec Lui... Ils s'enfoncèrent dans la forêt un moment puis Il s’arrêtât, lui demanda le sac qui contenait les accessoires qu'Il lui avait demandé d'apporter... Il y prit son collier et la laisse... Il le lui passa autour du cou et y attacha la laisse... - à 4 pattes... Elle regarda partout, cherchant à voir si quelqu'un se promenait aussi, écoutant tous les bruits et cherchant ceux qui pourraient trahir une présence humaine dans le coin... Elle ne vit et n'entendit rien de suspect... Il tirait sur la laisse pour la faire se baisser ... Elle était trop lente à Son gout... Elle se mit à 4 pattes... Pour enfoncer le clou, Il remonta sa jupe qui de toute façon ne cachait pas grand chose de son intimité dans cette position... Ils avancèrent comme ça sur quelques mètres. Il promenait sa chienne... petit à petit, elle oublia les risques d’être surprise, et puis se dit qu'il était peu probable que ce soit par quelqu'un qu'elle pourrait connaitre si cela devait se produire, elle se détendait, et rentrait dans la bulle qu'elle partageait avec son Maître, Lui ferait attention pour 2... tout s'effaçait autour d'elle, tout sauf Lui... Il la promena encore un peu et jeta son dévolu sur un arbre, Il tira sur la laisse pour lui faire comprendre de se lever, ce qu'elle fit et une fois debout, baissa sa jupe machinalement... erreur... Il lui tapa sur les mains... - qui t'a autorisé à baisser ta jupe? - personne Maître, je vous prie de m'excuser - penche toi et prend appuie contre l'arbre Elle pris position, écarta les cuisses, se cambra pour bien offrir son postérieur à son Maître .... -- Lildya Bébé soumise, chienne dévouée et Salope en herbe
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Par : le 13/03/22
Quand je marche lentement Le long de ce rivage Sous un ciel azuré sans nuage Où, le temps est clément Écoutant les vagues déferlées Je garde le sourire Face à ce soleil perçant le zéphyr Douce sueur sur ma peau que je laisse perler Respirer l'air pur Seulement rêver Mettre tout mon cœur dans cet apaisement que je peux éprouver Grâce à cette belle nature Celle-ci vient me chercher Telle une évidence Tout me semble intense Que l'on pourrait en frôler le péché Pourvu que m'atteigne cette bise Avec elle, je suis à l'unisson Malgré ces doux frissons Mon âme y est soumise​ Le 11 03 2022 ​ ​
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Par : le 03/03/22
Je suis debout, face au soumis de Maîtresse Rachelle. Les Reines de la soirée sont assises autour de nous et ont fait silence. Ennia et la soumise s'activent pour remplir les verres vides. Je ne sais pourquoi, mais cela me soulage qu'Ennia ait autre chose à faire que d'assister à mon supplice. Je me sens meurtri, ce soir. Je ne me l'explique pas. Particulièrement humilié, comme s'il restait en moi une part de mâle, fier, dominant. Une part qui refuse encore son état, sa soumission. Et cette part masculine rebute à donner du plaisir à un homme, à devenir sa femelle. Je croyais cette part effacée, à jamais. Enterrée sous le plaisir d'obéir, de servir mes Déesses, de vivre mes fantasmes aussi, aussi loin que possible. Mais ce soir, cette part se réveille et Maîtresse Caroline le perçoit. Je ne sais comment. Peut-être possède t-elle un sixième sens ou bien me connaît-elle bien mieux que je ne me connais. Ma divine Maîtresse se lève, empoigne ma cage de chasteté et me tire vers mon "amant" avant de me murmurer à l'oreille "excite moi, je veux être fière de toi ma chienne... laisse une fois de plus la femelle s'exprimer, se libérer... je sais qu'elle est en toi. Et je veux la voir se déchaîner". Ses mots ont un effet immédiat. Je me sens libéré, libre d'être ce que ma Reine désire. Une femelle amoureuse, avide de plaisir, avide de se donner, avide de se sentir un instrument de plaisir pour le mâle qui me fait face. La honte que je ressentais s'évanoui. Je sais qu'Ennia s'est agenouillée aux pieds de Maîtresse Caroline et qu'elle me regarde. Je sais qu'elle sera fière elle aussi. Je sais que me voir me donner, être prise par ce soumis va la rendre folle de désir. Et je me sens protégé derrière ma tenue de latex, ma cagoule qui me rend anonyme et m'affranchit de devoir assumer à visage découvert. Cette sensation de protection achève de briser mes barrières, mes derniers tabous. Maîtresse Rachelle se lève à son tour et vient murmurer à l'oreille de son serviteur "Baise la, c'est ta pute, ton esclave sexuelle. Amuse-toi... et amuse-nous !" Mon mâle m'attire à lui et me plaque contre son torse. Je sens sa queue, dure, contre mon ventre. Sa bouche vient à rencontre de la mienne et sa langue ouvre mes lèvres. Je lui rends son baiser, profond, et nous nous embrassons à pleine bouche. Ses mains pétrissent mes fesses, les ouvrent, un doigt vient caresser mon anneau. Je caresse son corps, comme je ne l'ai jamais encore fait avec un homme. Je lui offre ma bouche sans retenue, ma langue, je l'embrasse dans le cou, je lèche... ma bouche descend sur ses tétons et mon mâle semble apprécier ma caresse. Il m'encourage même. "hmmmm vas-y, occupe toi de me seins j'adore ça... montre moi que tu en as envie...je vais te baiser, te faire hurler ma petite pute...". Je continue ma descente, embrasse, lèche son ventre plat et musclé, sans cesser de le regarder. Je tombe à genoux et mon regard se fixe sur sa hampe. Grosse, dure... je l'avoue, j'ai envie de cette queue. Envie de lui donner du plaisir, de la sentir vibrer sous mes doigts, sous ma langue. Envie qu'elle me prenne aussi. Oui, en cet instant, je suis une femelle amoureuse, dévouée au plaisir de son mâle. Baisers le long de sa hampe, effleurements de mes lèvres sur son gland, mes doigts qui l'enserrent doucement, caressent ses couilles... j'entends mes Maîtresses commenter, sans vraiment comprendre leurs mots, je les entends applaudir et rire. Je suis ailleurs, dans un autre monde, où seul le plaisir et la jouissance de la queue qui coulisse entre mes lèvres m'importe. La jouissance de mon mâle. Celui-ci a posé une main sur ma nuque, et me presse contre lui. Il me pilonne de plus en plus fort, s'enfonçant au maximum ce qui m'arrache des hauts le coeur mais semble beaucoup faire rire mes Déesses qui l'encouragent : "Vas-y, gave le bien... baise lui la bouche plus fort... allez la chienne, avale-le...". J'ai les yeux noyés de larmes, et je ne suis plus qu'un instrument de plaisir, totalement déshumanisé. J'avais envie de prendre mon temps, de montrer mon désir de faire jouir cette queue, lui montrer ma dévotion de femelle amoureuse. J'avais juste oubliée que je suis sa femelle, sa soumise, son esclave... et que lui est mon Dominant. Et il est déterminé à me le faire sentir. Il se retire de ma bouche et me gifle "Petite pute, c'est tout ce que tu sais faire ???" Je ressens une profonde humiliation, incontrôlable. Mais je n'ai pas le temps de m'y appesantir. Lécher ses couilles, sucer, le masturber, le sentir de nouveau pilonner le fond de ma gorge... le temps n'existe plus. Il quitte ma bouche pour me forcer de nouveau à l'embrasser, pendant qu'il claque mon cul et m'ouvre avec ses doigts, sans aucun ménagement. Il me retourne et me pousse à quatre pattes avant de s'enfoncer d'un coup dans mes reins ce qui m'arrache un hurlement, aussitôt puni par une fessée musclée. Je le sens se retirer plus replonger en moi, m'ouvrir. Mes Maîtresses rythment ses coups de reins en tapant dans leurs mains. Je subis ses assauts, sans aucun plaisir. Je ne suis qu'un objet, un instrument qu'on utilise. Position différente, pénétration brutale, sa langue dans ma bouche, ses seins sous ma langue. Puis mon mâle s'allonge et m'ordonne de venir m'empaler sur sa hampe. Je me sens vulnérable à le chevaucher ainsi. D'ailleurs je le suis. Et Maîtresse Christelle ne se prive de jouer avec sa cravache sur mes reins. Je gémis de douleur à chaque coup, mais je me surprends aussi à gémir de plaisir en m'empalant sur cette queue toujours aussi dure et grosse. Maîtresse Rachelle a dû lui faire prendre du viagra pour qu'il soit aussi endurant. Je me sens observé, totalement nu malgré ma peau de latex rose. Je traverse ce moment comme une épreuve supplémentaire, presque un défi que je dois relever pour l'honneur de Maîtresse Caroline. Je veux qu'elle soit fière, et je me lâche totalement. Le rythme s'accélère, et mes gémissements, mes suppliques de plaisir redoublent. Je stimule mon amant pour qu'il me baise encore plus fort...Je ressens son plaisir qui monte, sa queue qui vibre de désir.. ses halètements me grisent. Il est prêt à jouir, je le sens. Sa Maîtresse aussi le sait. "Retire toi, je veux que tu te vides dans sa bouche, que ta petite salope puisse te déguster... nourris la ! " Je suis à genoux. Mon mâle se masturbe frénétiquement pendant que je lèche ses couilles. Râles de plaisir, langue sortie, il se vide dans ma bouche, me nourrit de son fluide, épais, abondant. Mes Maîtresses se sont levées et nous entourent. Maîtresse Caroline s'adresse à moi : "N'avale pas ! Garde le bien en bouche.... Ennia ma pute, approche ! Un nectar pareil, ça se partage ! Allez, on déguste !" J'échange un long baiser gluant avec mon amour, nous jouons avec son sperme, elle l'aspire dans sa bouche avec de le faire de nouveau couler sur ma langue puis de m'embrasser profondément. Je presse son corps contre moi. Enfin, enfin je peux de nouveau la prendre dans mes bras, caresser ses courbes, me nourrir de sa chaleur. Elle me fait tout oublier. Comme elle l'a toujours fait. Dans ses bras plus rien ne peut m'atteindre. J'y suis heureux, simplement. Nous jouons ainsi de longues minutes, puis nous nettoyons la hampe de mon mâle, toujours dressée. Sa jouissance ne l'a pas fait débander et Maîtresse Caroline a encore envie de jouer... "Puisque tu bandes encore, tu peux encore baiser. Mon autre pute aime la queue elle aussi, tu vas voir ! Et elle adore être enculée ! Vas-y, fais la souffrir un peu... ça m'excite !" "Toi viens là, j'ai envie". C'est Maîtresse Chloé qui a parlé. Elle plaque ma bouche contre son sexe et ne me donne qu'un ordre : "Avale !" Et elle se soulage dans ma bouche. Son champagne est abondant, et je manque de m'étouffer. J'avale comme je le peux, en laissant une partie s'écouler sur moi. "Tiens, moi aussi j'ai envie !" Maîtresse Christelle prend aussitôt sa place pour continuer à m'abreuver. Je n'arrive plus à avaler. Maîtresse Sophie s'est approchée et patiente jusqu'à ce que Maîtresse Christelle est fini de se soulager. "Moi aussi j'ai envie.... mais de jouir ! Ce spectacle m'a fait mouiller comme une folle ! Allonge toi le chien !" Je m'exécute et Maîtresse Sophie vient aussitôt s'asseoir sur mon visage. Elle coule littéralement et se frotte sans ménagement sur ma bouche. Je lèche, aspire, respire son parfum, goûte son divin nectar. Elle jouit rapidement, remplacée aussitôt par Maîtresse Céline. "Moi aussi je veux jouir ! Allez, on lèche bien sa Maîtresse !" La tête enserrée entre les cuisses de Maîtresse Sophie, j'entends vaguement des gémissements. Plus de douleur que de plaisir. Et des voix qui haranguent : "défonce-la, fais rougir son cul, encule-la plus fort, fais-la hurler !" Maîtresse Cécile met plus de temps à jouir. Elle a envie de faire durer le jeu du plaisir. M'ordonne de me consacrer à son anneau, avant de m'offrir à nouveau son calice délicieux, puis de m'abreuver de sa liqueur. Je sens des mains qui me redressent, et je suis à genoux. Devant mes yeux, mon amour se fait prendre, violemment. La queue du soumis enfoncée dans sa bouche, et Maîtresse Rachelle, harnachée d'un énorme god-ceinture, ouvrant ses reins au rythme de la cravache qui vient frapper le cul d'Ennia. Je vois les marques rouges qui se croisent. J'entends les cris d'Ennia, étouffés par la colonne de chair qui la bâillonne. J'entends le cri de libération, de jouissance du mâle qui se vide dans sa bouche. Et le god qui se retire de ses reins. Mon amour s'effondre au sol, ravagée. Je ne sais si c'est de douleur ou de plaisir. Mais le doute ne subsiste pas longtemps. Le sourire de bonheur qui irradie son visage et son regard qui accroche le mien répondent à mon interrogation. Je l'aime. Et ce soir, nous sommes fiancés.
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Par : le 01/03/22
C’est un syndrome qui n’existe pas réellement. Je me suis permis de le crée afin de visualiser au mieux ce qui se passe de nos jours avec ceux qui intègrent le BDSM pour la première fois. En Intégrant le BDSM souvent les soumis(e) se perdent à force d’être courtiser mais aussi de voir les diffèrent pratique que le BDSM englobe. Tel un enfant qui part pour la première fois à la fête foraine, dès le premier instant on remarque ses yeux qui brillent et pétille voulant essayer et jouer à tous les jeux sans pour autant savoir par quoi commencer ce qui le rend à force indécis. Il commence à partir dans tous les sens tellement il est content d’être venu puis il se perd. C’est exactement ce qui arrive au novice. A force de vouloir pratiquer tous les pratiques existant, à vouloir tenter avec tous les maître(sse), ils se perdent et l’indécision plane dans leurs cerveau. Ils font de moins en moins attention ce qui laisse une brèche pour ces loups et chiens qui n’attendent que le bon moment pour sauter sur l’occasion. Le BDSM fait que la personne se sent courtisé et c’est un besoin pour chacune mais souvent elle ne sait pas dire stop, elle ne sait pas se positionner. Bien au contraire, elle veut jouer à tous les jeux comme la métaphore utilisée précédemment, ce qui fait que dans sa manière de réfléchir elle pense plus pratique qu’affinité. Au lieu de se focaliser à se dire je dois connaître la personne à qui je vais offrir ma soumission elle se focalise sur les pratiques qu’elle peut ou pas réaliser. Les pratiques ne sont pas le cœur du BDSM mais un moyen qui amène à la finalité d’éduquer. Le bdsm n’est pas faire jouir une personne mais lui offrir éducation, protection, écoute, sécurité et liberté tous en étant sous les ordres. Il faut faire attention et ne pas tomber dans ce syndrome sinon la personne n’aura pas tous les capacités pour se rendre compte de ce qui lui arrive et le moment où elle s’en aperçoit c’est déjà trop tard. Prenez le temps de vous isoler pour réfléchir. Prenez le temps de prendre le recul pour décider. Choisissez une personne pour ce qu’elle est, ce qu’elle peut vous apporter et offrir. Ne choisissez jamais une personne pour ses pratiques, ni car elle va vous offrir un collier dès le premier jour (car le collier ça se mérite) Réfléchissez avant de tomber de très haut
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Par : le 22/02/22
De la Bienveillance, naît l'Espoir, De l'Espoir, naît la Vie. Avant de Vivre, il faut savoir se trouver soi-même, de nos envies, de nos aspirations, de nos désirs, conscient de nos failles, afin d'être en harmonie avec ce Je, pour s'offrir à l'autre, avec transparence. Vivre, c'est aussi savoir s'entourer des bonnes personnes, savoir patienter, savoir les veiller, savoir s'en nourrir en retour, savoir aller vers elles lorsqu'on en ressent le besoin, sans jugement, avec bienveillance, et parfois, avec Amour. Ce soir, au terme d'une semaine, initiée le 12 Février dernier, inattendue, qui semble avoir chamboulée à nouveau ma vie, insoupçonnée dont je n'avais ni l'envie, ni l'espoir, faisant mon deuil, déconstruisant un lien précédent, total, j'ai compris. La nommé âme-sœur, serait prématuré, et je n'en ferais pas ici l'exercice, néanmoins, lorsque je la regarde, lorsque je regarde en Elle, de cette Femme, n'étant séparée de moi que par 2 petites années, et 30km, j'y vois des choses, que je n'avais pas vu depuis 13 mois, et bien au delà. Avant ce mois de Janvier 2021 (je rédige cet écrit en Février 2022), en cette femme qui m'a vu enfin Vivre, trouver ma place, avec Elle à mes pieds, en savourant chaque instant, qui m'a aidé à me construire, m'a forgé, plus qu'aucune autre en tant que Maître, qui m'a façonné, dans mon désir d'apporter à l'autre, dans mon désir de la nourrir, de l'abreuver, de l'éveiller, de la révéler. De la distance, de ces 800kms, de nos différences d'âges, s'avérant bien plus âgée que moi, l'union de nos vies se révéla impossible, fissurant notre lien, au terme de 2 années et demi, sans réussir à le briser, car notre amour fut total, mais nos vies, surent briser nos âmes, individuellement, ainsi que notre tanière, de ce Oni's Den, dont nous surent rayonner, ensemble. Ce soir, j'écris ces mots, accompagnés d'une tisane au Thym, témointe d'un acte de bienveillance, ayant indiqué plus tôt dans la semaine que j'avais eu une nuit difficile, à cette Femme récemment arrivée dans ma vie, d'une nuit de 4h, la gorge prise. La voyant le lendemain au déjeuner, cette Femme, cette Animale, cette Renarde, su m'offrir de quoi guérir. Je le sent, Elle sera celle qui saura me veiller, panser mes plaies, et m'accompagner dans la découverte du monde, construisant le Notre, si patient, dans la communication, je le souhaite, nous réussirons à nous servir, car elle consciente de la rareté, ainsi que du caractère précieux de cette place, nourrie ces expériences passées. Ainsi, je sais, je sent, que jamais elle ne me lâchera... que jamais, elle ne m'abandonnera... Elle est le miroir de mon âme, car lorsque je la regarde, je me vois. Dans des fonctions naturellement différentes, mais je sais, je sent que c'est Elle, qui saura guider mon dernier souffle, pourquoi me direz-vous, parce que je suis un être d'émotions, de sentiments, d'amour, qui se donne, sans retenu, de manière exclusive, à celle sachant le faire vibrer, même si pour la première fois de ma vie, de ces fêlures récentes, je me retient, hélas. Alors que j'écrivais ces mots, je su recevoir un message, innocent : "Voudriez-vous que je passe en coup de vent pour vous embrasser et vous dire bonne nuit ?". La ou ce matin même, j'avais su rouler 30min, me rendant a son domicile afin de la croiser, me saisissant d'un livre oublié la veille, "Le Petit Prince", pour que celui-ci guide ma semaine de vacances, en présence de ma famille, d'une présence plus discrète qu'un lecture liée à ce milieu, plus sage, lui faisant la surprise en retour, de lui offrir, une lecture ayant guidée mon adolescence, d'un échantillon de mon gel douche, ainsi que d'un "rabou" de mes cordes de Shibari, afin que durant cette semaine, elle me sente prêt d'Elle. Je ne saurais dire les sentiments qui me traversent en cet instant, mais la ou par le passé, mon amour, bienveillant et transparent, su en retour me meurtrir d'une décision prise de celle que je pensais être la Femme de ma Vie, d'un acte dont j'ai demandé l'explication, mais qui me parait toujours aussi fou. Parmi ces derniers mots, me faisant face, elle su me dire de manière apaisée : "La meilleur des histoires, c'est celle que l'on a pas encore vécu", à quoi je répondis, que pour moi, "La meilleur des histoires, c'est celle pour laquelle on est prêt à se battre". J'ai enfin compris le sens de ces mots, et je tenais à la remercier, sincèrement, de m'avoir rendu ma liberté. J'ai chuté comme jamais, mais sans cela, je n'aurais pu être la ou je suis aujourd'hui, m'amenant bien plus loin dans mon cheminement de vie, que jamais par le passé. J'ai l'espoir que cette Femme, soit la dernière, et je souhaite me battre pour cela, ne m'offrant plus dans un amour inconditionnel, mais apprenant déjà à l'aimer, Elle, l'apprivoiser, en douceur, pour l'être merveilleux, la Femme, la Soumise, la Mère, et bien d'autres encore, qu'elle ne soupçonne pas encore, car dans les mains l'un de l'autre, un monde saurait s'ouvrir à nous, si nous prenons, ensemble, l'engagement solennel, de ne jamais détourner le regard, ni de museler nos paroles, afin que derrière ce lien, une Famille puisse naître. A vous tous, protégez-vous, mais n'oubliez jamais de vous aimez, encore et encore, car une vie sans amour, ce n 'est pas une vie, Aujourd'hui, je crois, je l'espère, avoir su trouver ce dernier Amour. A Vous, qui n'êtes pas encore mienne, mais qu'il me plait de nommer, ma Protégée. NB : A l'heure de ces écrits, ce lien en devenir n'a toujours pas été consommé, n'en ayant personnellement pas la force.
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Par : le 20/02/22
Nous ne prêtons pas attention à la dernière phrase de Maîtresse Caroline. Et ma queue dure a déjà trouvé le chemin de son ventre. Nous sommes collés l'un à l'autre, nous fusionnons, nous sommes l'un et l'autre à la fois. Notre bulle est indestructible, enfin c'est sans compter la puissance de notre Maîtresse et de ses invitées. Il nous faut à Ennia et moi de longues minutes avant de réaliser que le silence nous entoure. Nos Reines font cercle autour de nous et nous regardent sans un mot. Maîtresse Caroline a convié Chloé, Christelle, Sophie et Cécile. Et je découvre avec effroi trois autres invités. Une Maîtresse d'une quarantaine d'années, très élégante, hautaine au regard glacial, et visiblement un couple de soumis. Une femelle et un mâle, tous deux harnachés de cuir noir, sexe nu. Le soumis est particulièrement bien membrés. Ils sont jeunes me semble-t-il. 25, peut-être 30 ans maximum. Bien faits. Ils sont agenouillés au pied de la Maîtresse hautaine, tenus en laisse. Nous stoppons nos ébats mais restons nos corps soudés. Maîtresse Caroline a le regard dur, mais j'y décèle cependant une grande tendresse. "Mes putes.... vous avez entendu ce que j'ai dit ???? On ne baise pas avant le mariage !!! Christelle, s'il te plaît, débrouille toi comme tu veux mais fais le rentrer dans sa cage. Si on continue à le laisser en liberté, la queue à l'air et dressée, il va finir par vouloir nous baiser toutes !!! Je suis terrorisé. Non seulement ne ne désire plus qu'une chose, faire l'amour à Ennia, encore et encore, mais je sais aussi que la crème dont m'a enduit Maîtresse Caroline me fait bander malgré moi. Et je ne vois pas comment Maîtresse Christelle va pouvoir me poser ma cage de chasteté... "Toi, ma salope, pendant que Chris s'occupe de ton futur mari, tu va nous servir. J'ai soif !!! Et j'ai faim ! Allez la chienne, au boulot, tes Maîtresses s'impatientent" dit Maîtresse Caroline en riant. "Mes amies, que la fête commence vraiment. Célébrons leur union. Mes deux esclaves sont à vous, sans restriction. Que cette nuit soit une nuit de luxure, de jouissance, de douleur, de perversion... Je suis heureuse que vous soyez là. Alors profitez de tout, et profitez de mes deux salopes comme il vous plaira !" Pendant qu'Ennia s'affaire pour servir ces dames, Maîtresse Christelle m'empoigne par la queue et me tire sans ménagement dans la cuisine. "Enfile ça" m'ordonne-t-elle en me jetant un shorty de cuir très moulant. Elle se dirige ensuite vers la partie congélateur du frigo et en sort un sac en plastique rempli de glaçons. "Voyons voir si c'est efficace.... Dans ton état, c'est vraiment impossible de te remettre ta cage. Et je crains que la cravache ne soit pas suffisante. Je risquerais de te l'abîmer sérieusement avant d'obtenir un résultat. Approche petit obsédé ! " Je m'exécute et Maîtresse Christelle empoigne mon shorty pour y fourrer le sac de glaçons, directement sur ma queue tendue. "Bien.... maintenant tu ne bouges plus. Ecarte un peu plus tes cuisses, mains sur la tête !". J'obéis, mais je commence à me trémousser. Le froid est saisissant, et l'effet ne tarde pas à devenir douloureux. Très douloureux même. Rapidement, j'ai l'impression de ne plus sentir ma queue. Remplacée par une douleur sourde, qui s'accentue au fil des minutes. J'ai de plus en plus de mal à tenir la position imposée par Maîtresse Christelle. Et cette dernière est tout sourire en me regardant lutter. Un coup de cravache vient cingler mes reins... "Je t'ai dit de ne pas bouger !" Au bout de 15 minutes, je ne tiens plus, j'ai trop mal. Je tremble en essayant maladroitement de garder ma pose. Maîtresse Christelle s'approche et retire les glaçons. "Et bien, je savais que le froid faisait rétrécir les couilles et la queue, mais je ne pensais pas que c'était aussi efficace". En effet, je ne bande plus. Ma queue, très pâle sous l'effet du froid, pend lamentablement. Maîtresse fait glisser mon shorty le long de mes cuisses et me remet sans difficulté ma cage de chasteté. Les larmes coulent sur mon visage quand j'entends le "clic" du cadenas. "Et voilà ! Plus question de bander ou de baiser ta promise ! Maintenant, tu es juste bon à te faire baiser ! N'est-ce pas ma petite chienne ? Dis moi que tu en as envie..." Je lui réponds, résigné : "Oui Maîtresse Christelle. J'ai envie de me faire baiser". "Bien, allez, retour au salon, je crois que tu as des prétendantes, et un beau prétendant, qui ont très envie de te prendre... Allez petite femelle !" J'ai pourtant une certaine habitude de ces remarques, de ces humiliations. Souvent même, elles m'excitent. Mais là, je me sens meurtris, rabaissé. Et cela me touche bien plus qu'à l'accoutumé. Je me sens brisé... alors que je rêvais de n'être qu'avec Ennia. avec elle, en elle. Ne plus jamais la laisser s'échapper de mes bras, et ne plus quitter les siens. Dans le salon, c'est une scène surréaliste qui s'offre à moi. Les Maîtresses entourent Ennia et la soumise, imbriquées dans un magnifique 69. Maîtresse Sophie et Maîtresse Cécile ont un cravache à la main, et frappent ici et là, pour ponctuer les invectives des autres spectatrices "Allez les putes, on se lèche, on se doigte.... de bonnes petites gouines.... On veut du spectacle !!! " Les cris peinent à couvrir les gémissements de plaisir qui s'échappent des deux corps. Ennia est au dessus, et encaisse la majorité des coups de cravache sur son cul ouvert par les doigts de la soumise qui lui bouffe littéralement la chatte. Elles ne tardent pas, l'une comme l'autre, à atteindre leur plaisir et à jouir bruyamment. "Stop, assez joui !!! A genoux, en offrande ! " Maîtresse Caroline adore cette position. Lorsque sa soumise et son soumis sont ainsi, à genoux, cuisses écartées, mains posées paumes vers le ciel sur chaque cuisse, regard baissé et reins cambrés.... Ma Reine et ses invitées se tournent vers nous. "Voilà, cette chienne lubrique est retournée dans sa cage" clame Maîtresse Christelle. "La glace, il n'y a que ça d'efficace !" "Merci Christelle, bien joué ! Redonne moi la clé.... que je la remette là où elle est en sécurité, entre mes seins.... Elle n'en sortira que le jour du mariage ! A ces mots, je fonds en larmes....des sanglots incontrôlables. Tout, n'importe quoi, mais pas ça.... J'implore en silence ma Maîtresse. Je prie le ciel est l'enfer pour que ce ne soit qu'un jeu de sa part, et non sa réelle intention. Mais je n'ai pas le temps de me perdre en conjectures... "Allez, après les gouines, place aux salopes mâles ! Enfin, mâle et femelle devrais-je dire...car il y en a une qui a très envie de se faire prendre, n'est-ce pas ? " Je prends une gifle car je tarde à répondre ..." oui, Maîtresse Caroline. Votre chienne a très envie de se faire saillir". "Bien..... il te faut une tenue adéquate.... approche et fous toi à poil". J'obéis, et je me dévêts rapidement de mes atours de latex noir. "Pour une femelle, il faut du rose, hein les filles ??!!" Leurs rires achèvent de me meurtrir. Maîtresse Caroline me tend ma nouvelle tenue. Cagoule en vinyle rose, serre-taille en satin rose, très large, bas rose, longs gants. Plus une nuisette, en satin de même couleur, pour parfaire ma tenue. J'aime le contact de cette matière. Et j'aime être habillée en dessous sexy, je l'avoue. Cela m'excite. Mais ce qui m'attend, et la cage qui m'empêche de bander, atténuent considérablement mon excitation. "Hmmm approche, pute !" C'est la Maîtresse la plus âgée, dont je ne connais pas encore le nom, qui a parlé. Je me tourne vers elle et je lui obéis. Maîtresse Caroline fait les présentations : "Voici Maîtresse Rachelle. C'est à son côté que j'ai fait mes premières armes de Domina. Elle m'a appris les bases, et nous sommes restées amies. Considère, bien sûr, que tu lui dois obéissance, une obéissance totale. Ce soir, tu lui appartiens autant qu'à moi". Maîtresse Rachelle dégage un magnétisme rare. Une assurance qui force l'obéissance. Elle tourne autour de moi, m'observe, joue à m'effleurer de sa cravache. "Nous avons là une belle femelle.... Mon soumis a de la chance. Il va se régaler. Petite pute, je veux que tu te comporte comme son amoureuse. Tu n'as qu'un objectif : son excitation, son plaisir, sa satisfaction.... C'est ton mâle, et tu vas l'honorer comme il se doit. Allez les filles, asseyez vous ! Le spectacle va vous plaire, j'en suis sûre !"
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Par : le 20/02/22
Je pensais que ça allait me détruire... Après tout, selon ses mots que j’eus repris, je ne pouvais pas faire machine arrière. Pas après être entrée en lien avec lui. Pas après avoir été en couple avec lui. Je pensais que ça allait me détruire... Et pourtant, ce fut comme une grande bouffée d'air frais. Enfin, je réussissais de nouveau à vivre ma vie, à être vraiment présente dans ma vie. À ne plus être constamment hantée par le prochain devoir, la prochaine échéance, le prochain appel, le prochain visio... Tant de moyens de communication, et tant d'incompréhension. J'ai eu mon rôle à jouer dans cela, et je ne m'en cache pas. Mon incapacité à déterminer et à exprimer mes envies, mes besoins, a été source de nombre de nos problèmes. N'étant ainsi pas force de proposition, j'ai suivi son rythme, acquiescé à ses propositions, fais les choses pour lui. Et telle a été ma plus grande erreur, celle de m’être lancée, d'avoir accepté des devoirs, des rituels, dans réellement penser aux implications, sans me demander si ce serait quelque chose qu'il me ferait plaisir d'accomplir pour lui, pour le servir. Nous nous étions pourtant trouvés. Éperdument amoureux, partageant les mêmes intérêts pour le BDSM, et plutôt compatibles de ce regard-ci. Ainsi, jamais je n'aurais pensé qu'après aussi peu de temps... Trois semaines depuis notre rupture. Deux semaines depuis qu'il s'est présenté chez moi sans me prévenir et en se faisant passé pour le facteur. Une semaine depuis que j'ai finalement accepté de décroché alors qu'il avait accepté de nous accorder du temps sans contacts. Ainsi, je n'aurais jamais imaginé que j'allais être soulagée d'être partie, de m'être échappée de cette relation qui n'était pas saine pour moi. Après tout, il m'avait bien dit, après que je l’eus quitté,qu'il espérait que jamais je ne réalise ce que je perdais en le quittant. Lui, l'Homme de ma vie. Comme j'étais la Femme de sa vie, sa licorne. Une femme et une soumise, deux facettes d'une même personne, toutes deux attirées par lui. Enfin, ça c'était avant... Avant qu'il ne fasse un étalage publique de la réalisation de nos rituels, de nos projets, avec une autre. Nous guérissons tous à notre manière, mais dans ces actes, il ne m'a provoqué que déception. Je savais bien que nous n’avions pas du tout le même rapport au monde. Je sais que je suis bien plus spectatrice, tandis qu'il est bien plus acteur, dans beaucoup d'aspects. Ainsi, je ne fus pas surprise par cet étalage publique de notre vie intime. Un récit, comme sur tous les réseaux, romancé, biaisé par la douleur du moment. J'en fus seulement heurtée, indignée... Dans un tel moment, alors que nous venions de nous dire adieu, ne pouvait-il pas faire preuve de respect pour ce que nous avions été, au lieu de faire un post sur Instagram dans le train. Mais comme bien trop souvent, je me suis tue. Je n'ai rien dit et j'ai laissé coulé. Nous avions enfin convenu de ne pas échanger pendant quelques temps, et j'avais accepté de prendre le temps de revenir sur les raisons qui m'avaient poussée à partir puisqu'il ne semblait pas comprendre pourquoi. Je n'épiloguerai pas trop longtemps. Après tout, quel intérêt y a-t-il à lire la débâcle de ma vie. Toujours est-il que je me suis trouvée à un point où, poussée dans mes derniers retranchements, j'avais besoin de faire entendre ma vois. Un démarche sincèrement puérile. J'aurais ailé être au dessus de cela, j'aurais aimé pouvoir simplement regardé ailleurs et ne pas voir toute la cruauté de ses actes, bien qu'il ne semble pas s'en apercevoir. Ainsi s'achève notre histoire. Un adieu peut-être, il y en a déjà eu tant. Ou bien un dernier caprice, celui d'avoir le dernier mot, celui de mettre un point final. Car il est temps pour moi de me détacher de cette emprise que je lui ai donné sur moi. À présent, il est temps que j'apprenne à vivre pour moi.
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Par : le 20/02/22
Je sens de plus en plus d'agitation autour de nous. Des voix, des rires étouffés. Oui, il y a des invités. Mais qui ? Je suis toujours privé de la vue, et j'ai toujours le casque sur mes oreilles. Plus de bande son, plus de cris de jouissance, mais je n'entends pratiquement rien. Ma queue est toujours dressée, dure. Je la sens ultra-sensible, brûlante. Une demi-heure plus tôt, Maîtresse Caroline, enfin je suppose que c'était elle, m'a enduit de crème ou quelque chose comme ça. L'effet a été immédiat : une sensation de feu et l'impression que ma queue gonflait encore, comme si c'était possible. La sensation de brûlure m'a fait ruer et crier à travers mon bâillon. La cravache a aussitôt cinglé mes reins. Un rappel à l'ordre douloureux, que j'ai eu toutes les peines du monde à respecter. 30 minutes plus tard, le feu s'est atténué mais je suis toujours dur à éclaté, et le moindre courant d'air me fait l'effet d'une caresse. Je n'ai qu'une envie, jouir ! Mais je sais bien que je vais devoir attendre, peut-être attendre longtemps. Maîtresse Caroline sait se montrer particulièrement perverse et elle est tout à fait capable de me priver d'orgasme pour toute la soirée. Je sens des mouvements autour de moi, mais je n'entends plus aucune voix lointaine. On me frôle, on effleure ma queue, puis on me détache pour me lier aussitôt les mains dans le dos et on retire mon casque et mon bandeau sur les yeux. "A genoux !" L'ordre vient de Maîtresse Caroline. Je garde le regard baissé, tout en essayant de deviner qui est dans la pièce. Je sens Ennia à mon côté, mais je n'ose la regarder de peur d'une punition immédiate. Plusieurs personnes nous font face, assises dans le canapé et les fauteuils. Je distingue la lumière chaude de nombreuses bougies. Maîtresse Caroline semble avoir préparé le salon avec soin pour cet événement mystérieux, cette annonce que nous allons enfin découvrir... "Mes esclaves... je vous l'ai dit, ce soir est à marquer d'une pierre blanche. Vous ne l'oublierez jamais. Cette décision, je l'ai prise il y a quelques mois. Elle a longuement murie. Je vous ai observés, épiés... et c'est devenu une évidence. Sachez cependant une chose : c'est vous qui allez, au final, décider. Je ne peux m'engager pour vous. J'espère, et j'en serai la plus heureuse, que vous suivrez mon jugement, que vous ferez le choix qui est pour moi évident. Ce soir, j'ai réuni nos plus proches amies. Celles qui connaissent tout de vous deux, celles qui vous ont vu évoluer, qui ont abusé de vous, vous ont fait souffrir et jouir... Elles seront les témoins de cet instant". Je me sens à la fois rempli d'espoir et totalement perdu... Je n'ai qu'une envie, qu'un besoin impérieux, qui concentre toute mon énergie et mes pensées... serrer Ennia contre moi. J'ai besoin d'elle, tellement besoin que j'en ai mal. Une douleur totale, qui me serre le cœur, me coupe la respiration et me maintient au bord des larmes. Je la veux contre moi, je veux la sentir et la ressentir. Me perdre en elle. Je veux ses baisers, son odeur, sa chaleur, ses mots. Je tremble de désir, un désir d'elle plus absolu que simplement sexuel. Maîtresse Caroline reprend la parole, et le moment se fait plus solennel... "Honorables membres de l'assistance, il est temps de vous révéler le pourquoi de votre présence ici ce soir. Les deux esclaves qui nous font face s'aiment. Intensément et profondément. J'ai vu leur amour évoluer, grandir et devenir si évident que je ne vois aucune raison de ne pas... les unir par le mariage !!!" Je suis atomisé, incapable de réfléchir... j'ose lever les yeux vers ma Reine et les larmes se mettent à couler sur mon visage. Puis je me tourne vers Ennia. Mon amour me regarde, pleure elle aussi, et elle semble dans le même état d'hébétude que moi. Totalement bouleversée. Une boule d'angoisse explose dans ma gorge... "Chloé, veux-tu bien les détacher s'il te plaît ? " Maîtresse Chloé se précipite et nous rend l'usage de nos mains. Ennia ne cesse de me regarder. Nos regards sont comme soudés et l'intensité que je lis dans le sien me fait tomber dans un puit insondable de désir et d'amour. "Levez-vous ! " Nous nous redressons, péniblement, et nous nous rapprochons. Nous sommes tous les deux dans un état second, déchirés entre l'envie de nous précipiter l'un sur l'autre et une envie inconsciente de lenteur. Comme si le temps avait suspendu son vol. "Victor, acceptes-tu de t'unir à Ennia, de devenir la moitié d'elle, son mari, son soumis et son amour absolu ?" Je me sentais comme hors de moi. Comme si je voyais cette scène, d'une beauté et d'une intensité irréelle, de l'extérieur. Et je m'entendis répondre, d'une voix assurée dont je ne me serais jamais senti capable en cet instant : "Oui Maîtresse Caroline, je le désire, je le veux. Plus que tout". "Ennia, acceptes-tu de t'unir à Victor, de devenir la moitié de lui, sa femme, sa Maîtresse et son amour absolu ? Oui, Maîtresse Caroline. Je le veux ! " Ennia avait presque crié, sans détacher son regard du mien. Nul besoin de mots. Il n'y avait rien à ajouter. Juste à ressentir. J'explosais. D'amour, de désir, d'absolu, de quelque chose qui me dépassait, que je n'avais jamais ressenti. Pleurer, rire, m'évanouir de trop d'émotion, j'hésitais... "Ennia, Victor, je vous déclare officiellement fiancés !!!". Les applaudissements avaient fusés immédiatement... nous étions Ennia et moi, comme tétanisés. Attirés inexorablement, mais n'osant pas.... pas sans l'autorisation de notre Déesse commune. "Allez mes esclaves.... vous pouvez vous embrasser... je vous laisse un moment pour vous savourer. Après, place à la fête ! C'est de nous dont vous allez nous occuper !!! Lentement, nous nous rapprochons. Nos corps se touchent, nos courbes s'épousent, nos chaleurs se mêlent. Pas un mot. Nos bouches se soudent. Nous nous serrons l'un contre l'autre comme jamais nous ne l'avons fait. Si fort à nous briser les os. Je ne veux plus jamais la lâcher, plus jamais la perdre, ne serait-ce du regard. A jamais être à elle. Je l'aime d'un amour totalement dingue. Enfin, au milieu des étreintes, des baisers, des caresses, des sanglots libérateurs... les mots sortent, explosent, un flot qui ne se tarit pas et qui puise sa source à nos deux bouches, nos deux cœurs. "Je t'aime, je suis à toi, je t'aime, mon amour, mon désir, mon absolu... ne me quitte plus jamais, aime-moi, baise-moi, ma femme, mon homme, je t'aime, je t'aime, je t'aime....." Autour de nous, le champagne coule, il y a des rires, des discussions, la vie.... mais notre bulle est trop intense pour y laisser pénétrer l'extérieur. Nous ne sommes qu'émotion, besoin, manque... soudés l'un à l'autre mais cela ne nous suffit pas, cela ne nous suffira jamais. Nous sommes un tout, désormais réuni. "N'oubliez pas, vous êtes fiancés, pas encore mariés..... et on ne baise pas avant le mariage, hein mes putes ?!!!"
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Par : le 15/02/22
Depuis quelques jours ça me démange, un munch à Strasbourg… Vithéa a prévu d’y aller, elle va rencontrer madame Spencer, je sais que je la verrais fin de ce mois, mais je suis pressée, je ne tiens plus en place et puis, il y a Vithéa que j’ai déjà rencontrée, Une fille adorable qui se déplace et s’habille avec beaucoup de finesse, tout comme sa façon de s’exprimer. Elle sent bon, une odeur discrète qui me titille la truffe à chacun de ses mouvements… Je lui envoie un message -coucou, grosse pensée pour toi. Si j’avais pu, je serais venue moi aussi, mais je suis incapable de rouler jusqu’à Strasbourg --Coucou ! Merciiiiii ! Tu aurais du me le dire ! J’y vais en voiture, Je t’aurais emmenée avec plaisir !! Regardes sur Fet si il y a encore de la place ! Je pars vers 15h !! -Avec mon téléphone ce n’est pas évident d’aller sur Fet -Je suis au travail là, tu peux demander à Lady Spencer ? Elle a déjà envoyé des messages aux organisateurs ! Elle peut les contacter !! Je ne voulais rien lui dire. Lui faire la surprise -Oui mais je vais chez elle à 16h, il vaudrait mieux qu’elle soit au courant que tu m’accompagne -oui, tu as raison Sitôt dit, sitôt fait Il est déjà 13 heures, je dois me préparer, vite… Donner à manger aux chiens, les sortir, mes cheveux aïe, le gris ressort des racines, je ne peux pas me présenter ainsi, une couleur, vite, puis la mèche à couper, Grrrrr je l’ai loupée, tant pis, 30 minutes d’attente, maman au téléphone, je lui dis que je vais à Strasbourg, bien sur elle est curieuse d’en connaître la raison, je lui dis que je vais à une rencontre BDSM elle me répond « ah ? Chez des échangistes ? » Non maman, chez les sado/maso tu sais la où je fais mais en douceur « Ah oui, alors amuse toi bien, bisous » à savoir qu’elle a 85 ans hé hé La demi heure est passée, je rince abondamment mes cheveux, puis les sèche avec une serviette et les coiffe,Grrrrrr, c’est plein de nœuds c’est quoi cette m… bordel de m… à queue Je réfléchi, du moins j’essaie, eh m…. j’ai oublié le produit qui adouci et démêle les cheveux, bon, retour sous la douche Je prépare mes affaires, ma queue, pas oublier ma queue, elle a un petit défaut que je n’ai pas rectifié, au centre je l’ai un peu rafistolée, mais pas assez, bon, ça va tenir je l'attache avec le ruban (non, je la porte pas en plug)… Ben non, j'ai perdu la moitié de ma queue au restaurant devant tout le monde, grand moment de solitude… Allez, en voiture, on passe chez mon Maître qui me met mon collier et on prend la route vers Strasbourg Et voilà, une fois sur place, catastrophe, on a vu une femme au loin, tenant un croisé terrier au bout d’une corde avec une dégaine !!! Elle portait des énormes cuissardes très mal polie, nous obligeant à saluer son chien avant elle, puis, nous a fait rentrer chez elle. Nous sommes restées plus de deux heures chez elle à papoter, enfin, si l’on puis dire, on a pas pu en placer une, même pas elle nous a servi à boire, mais j’ai quand même réussi à la mordre na !!! j’étais contente d’arriver au resto, j’avais grande soif, durant le trajet elle nous a pris pour un taxi, s’est installée à l’arrière et n’a cessé de critiquer la conduite de ma pauvre amie, quand je voulais la défendre elle m’a rétorquée de me taire, les soumises n’ont rien à dire, au resto, pareil, elle était infecte, j’avais hâte de retourner chez moi, elle nous traitait de mauvaises soumises alors que nous étions des anges, puis, revenant près de la voiture, l’horreur, son chien qu’elle nous a imposé, a bouffé une partie de la banquette arrière, ça puait la pisse, j’ai halluciné quand elle l’a pris dans ses bras et félicité d’avoir été sage. On l’a ramenée chez elle, par politesse on a pas refusé de l’accompagner dans son appart, en même temps, elle était bancale, malgré qu'elle n'a bu aucune goutte d'alcool, ne tenait plus sur ses jambes, le coca ne lui réussi pas la pauvre. Avant de reprendre la route, je suis allée aux toilettes, un miroir placé derrière la cuvette « elle m’a avoué que c’était pour voir ses fesses » sur ma droite jonché au sol, un livre « Martine en vacance » tsssss même pas cultivée…. J’en garde malgré tout un bon souvenir, au restaurant j’ai fait la connaissance de gens charmants, j’ai retrouvé des personnes que j’apprécie, ainsi qu’une personne qui m’est très chère, Thémis, (qui a reversé son verre en voulant se précipiter vers moi) un vrai rayon de soleil. Nous sommes rentrées très tard, ou, très tôt avec plein de souvenirs trottant dans la tête Vous vous en doutez que quelques mots ne correspondent pas à la description que je donne envers cette grande dame qu’est Lady Spencer, à vous de deviner le vrai du faux Pour terminer mon histoire, si j’étais un soumis célibataire je saurais séduire madame Spencer. Je serais fier de voir ses yeux se poser sur moi, car je sais qu’à travers, et par elle, je serais quelqu’un. Merci à mon Maître m’avoir accordé cette sortie Je t'aime mon Maître à moi …Retourne sagement dans son terrier…..
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Par : le 01/02/22
Charlotte n'avait pas l'habitude de passer la nuit avec Juliette et de se réveiller seule, sans explication. Étrange. Les ciels du Berry servaient de paysage à une campagne sauvage. Le relief des nuages dessinait des vallées bleues et les soirs d'été teintaient l'horizon de toutes les couleurs qui manquaient à la plaine couverte de chaumes gris, brûlés par le soleil. Elles descendirent le long du lac. Quelques fiancés se promenaient sur le sentier qui le longeait. Elles les croisaient et s'embrassaient quand elles étaient seules. Une fine brume froide et blanche les enveloppait. Partout, le calme et l'absence, un paysage lunaire, une vie désertique, des branches mortes, des lumières glacées dans la nuit qui commençait à venir. Juliette tournait son visage vers le sien. D'elle, elle voulait savoir quelque chose et n'apprenait rien. Charlotte demeurait silencieuse. Quelle peur des êtres ou quel ennui l'enfermait à l'intérieur de cette armure. Qu'avait-elle fait ? Elle serra les lèvres, demeura une seconde immobile. Elle ne voyait rien, mais elle souriait. Quand elle avait le courage, ou plutôt le cœur, d'accepter cette insensibilité, elle lui parlait tendrement, comme on parle à un fantôme. Elle avait toujours envie de lui demander: "Pourquoi acceptes-tu de souffrir ? Pourquoi aimes-tu être fouettée ?" Elle disait seulement: "Cela n'a pas d'importance, je t'aime." Charlotte avouait son amour dans la soumission et la douleur. Juliette la croyait. La brume l'aidait alors à supporter cette idée. Dans la brume, parfois tout parait étonnament vrai. Il y avait des reflets brouillés sur le lac. La nuit avait été la nuit la plus érotique qu'elle ait connue, mais elle n'avait pas réussie à dissiper ses soupçons. Le plus frappant était l'air de bonheur qui illuminait leur visage. Elles regardaient tout autour d'elles, très loin et intensément, comme si elles eussent douté d'être bien rentrées dans leur terroir. Il n'y avait plus de trace en elles des tumultes que produisent les désirs inassouvis ou les ambitions perdues. On sentait que la plénitude de leurs vie, y compris la chute qu'elles avaient subie, libérait l'instant présent de toute inquiétude et de toute frustration. Les yeux extasiés de Charlotte, sa voix douce, chavirée, son air de marcher sur les nuages, en apesanteur, son succès, tout montrait la vérité. Comme les traces nettes que laissait le fouet sur son corps de bronze. Elle n'avait pas le droit de se plaindre, elle avait parfois l'autorisation de jouir. Sur un lit blanc, elle avait rencontré sa maîtresse. Juliette avait pris ce visage entre les mains, elle l'avait regardé de toutes ses forces. Elle s'était allongée sur elle. Quel plaisir nouveau ce fut quand Charlotte la remercia de l'avoir fouettée. Sa bouche refermée sur son sexe, les pointes de ses seins constamment froissées, les cuisses écartelées sur le chemin de son ventre, labouré à plaisir quand à sa fantaisie, Juliette imitait l'homme, ceinte d'un olisbos, chaque jour, de plus en plus épais, la déchirait. Le spectacle constant de son corps toujours offert, mais aussi la conscience de son propre corps. Charlotte en était éclairée comme par le dedans, et l'on contemplait en sa démarche le calme, et sur son visage l'impalpable sourire intérieur que l'on devine dans les yeux des soumises. Tu as commencé à te taire. Tu as voulu m'aimer. Sans doute la vie n'est-elle pas faite pour les adolescentes. Elles lui demandent la lune, elle ne peut offrir que la juste densité de la terre. La vie, elle la supporte. Les outrages et les châtiments corporels, aussi. Elle les aime tant, que parfois, elle ne se reconnaît plus, elle s'invente pour se rendre semblable à l'autre, mais l'illusion est brève. Charlotte rêvait. Charlotte s'était montrée sexy en diable. Elle était star jusqu'au bout des ongles et pourtant Juliette s'inquiétait. Des êtres juvéniles étaient partis et c'étaient des adolescentes qui revenaient. Quelque chose d'apaisé, de doux, d'accompli émanait d'elles. Pendant ces trois semaines, elles purent prendre conscience de cette transformation. Mais lorsque elle s'apercevra que sa vie rêvée est en rupture de réalité, pour la plupart des dons qu'elle réclame d'elle, elle sombrera dans la mélancolie. Il n'est ni plaisant de changer de peau, d'autant moins que la mue des femmes s'accomplit à contresens, du papillon à la chenille, et que la perspective de perdre ses ailes et d'apprendre à ramper sous le fouet n'est pas exaltante. Alors on refuse, on se cogne contre les barreaux de sa cellule. Tu te heurtes depuis trop longtemps aux contours aigus de la réalité, il fallait qu'enfin, tu te résignes car rien n'est plus triste que le regard d'une recluse. Ah, comment l'aurait-elle oublié ? Elle était la main qui lui bandait les yeux, le cuir qui lui tannait la peau, la chaîne au-dessus de son lit, et parfois des inconnues qui lui mordaient les seins, et toutes les voix qui lui donnaient des ordres étaient sa voix. Se lassa t-elle ? Non, à force d'être offensée, elle aurait dû s'accoutumer aux outrages, à force d'être caressée, aux caresses, sinon au martinet à force d'être flagellée. En même temps, il y avait en elle la passion pour Juliette, sa sauvage origine, la force et la gravité qu'elle mettait. Une ignoble satiété de la douleur et de la volupté dût la rejeter peu à peu dans un monde irréel. Mais au contraire, le harnais qui la tenait droite, les liens qui la gardaient soumise, le bijou anal qu'elle portait, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose, comme le spectacle fréquent des très jeunes femmes livrées comme elle. Si elle ne l'avait pas envoûté avec son numéro de charme, Charlotte se serait montrée alors plus circonspecte. S'y ajoutaient bien d'autres griefs liés à ses souvenirs d'enfance. Avec le temps, elle avait fini par la comprendre et lui pardonner. Elle avait été roulée par un destin terrible, comme un nageur dans une vague, et elle avait fait de son mieux pour ne pas couler, accomplir ce à quoi sa nature l'avait préparée, en épargnant ainsi ses proches. Je t'approuve d'avoir voulu rester de l'autre côté de cette muraille mais c'était une mauvaise idée de tenter de m'entraîner avec toi. cela s'appelle de la désobéissance. La soumission heureuse est une invention d'intellectuels. Aucune soumise adolescente n'a exprimé autre chose que l'incertitude, la difficulté d'être, le trouble et le désespoir et c'est seulement à partir d'un certain niveau d'abnégation, qu'elles se font les poétesses du fouet, comme du charme du blé en herbe. La même réflexion vaut pour les amours passées. C'est vrai qu'elle était si belle et sans doute bouleversante avec son corps inachevé et la simplicité peureuse qui donne tant de velouté aux âmes à fleur de peau des adolescentes. C'est vrai que le premier soupir arraché l'une à l'autre est inoubliable. Tu l'as oubliée. Mais dès cet instant où elle s'était mise alors à la séduire, elle avait su ce qu'elle voulait: la dominer totalement. Le lac, au loin, était comme un bouclier d'argent sur lequel le soleil couchant plaquait le dessin des nuages et d'aveuglantes flaques de lumières. Elle comprenait mieux qu'en en un tel endroit la joie la plus éclatante pouvait succéder à la mortelle nostalgie que provoquait la tempête. Derrière ses faiblesses perçait un respect un peu naïf et au-delà, une sensibilité extrême qu'elle cherchait à faire partager, sans avoir les moyens pour y parvenir. Alors, tu veux ça, tu veux vraiment ce que je t'ai promis ? Ton visage se retourne vers mon sourire. Te taire, tu dois te taire. Nous en avons convenu ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas crier quand je te fouetterai jusqu'au sang. C'est la règle du jeu. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible du jeu. Tes longs cils recourbés de siamoise, la fente de tes pupilles. Tes yeux rieurs. Juliette sait ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût. Comme la semence des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque glisse le harnais en cuir. Ton corps supplie. Toujours de dos, nue à mes genoux. Bientôt, mes doigts simultanément, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de ton sexe. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Mon souffle effleurant le profil de tes seins érigés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par le cou. Je te renverse sur le grand lit. Je te mords. Tu te rebelles. Tu me supplies. Charlotte n'a pas de honte à exposer son corps asséché de plaisirs. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. Ton désir est envahissant. Tu écoutes les lèvres de ton sexe. Tu cèdes enfin, je ranime les flammes. Tes mains renversées, abandonnées, la paume en l'air, haletante de bonheur. En cet instant précis, tous ses sens s'étaient alors mis en alerte. Elle sentait encore son parfum dans la chambre. Elle se rappelait que, dans le long calvaire que fut sa vie, elle n'avait jamais exprimé ni plaintes, ni désespoir. Au plus noir des jours, elle cueillait des fleurs pour en faire un bouquet et elle respirait son parfum, les yeux fermés. Il n'y avait plus ni cabales à affronter, ni critiques à redouter. L'écho de ce bonheur passé se répandait bientôt en elle. Le feu envahit tes reins. Tu es foudroyée. Tu me fuses au visage les vagues de ton plaisir. L'orgasme est à nouveau proche d'enfler ton ventre. Il te pénètre. Mes doigts profondément en toi pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller encore plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser sauvage et cannibale, brutal comme la secousse qui nous bascule. Un baiser fou qui exacerba chaque gouttelette de jouissance. Bienheureuse soirée pareille à nulle autre, jamais Charlotte ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans le fouet. Le temps cessa d'être immobile. Juliette lui défit les bracelets et le collier qui la tenaient captive. La nuit tomba sur elles. Charlotte craignit de subir une nouvelle colère. Mais Juliette se détourna, reprit sa marche, les yeux fixés loin devant elle. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 31/01/22
Je ne suis pas du genre à fermer les yeux ni à baisser le regard. J’aime regarder la réalité en face, quand bien même elle n’est pas toujours ce que je voudrais qu'elle fût. J’ai besoin de croiser mon regard avec celui des autres. Et celui de mon mec/Maître en particulier. _____ J’ai aimé ce que j’y ai vu dès son premier regard. Son désir. La certitude que je correspondais à ce qu’il espérait. Son envie de me posséder. J’ai aussi aimé ce que je voyais. Son corps, son allure, son style. Sa façon d’être, de bouger, d’occuper l’espace. Et aussi cette bosse que je distinguais au niveau de son entrejambe :smile:. _____ J’aime ce qui est beau. Et c’est beau, un mec. Alors, je continue de les regarder quand je croise un spécimen intéressant. Et ça ne me gêne pas de susciter non plus leur intérêt. Quand bien même il ne se passera rien entre nous. Rien d’autre que deux regards qui se seront croisés, l’espace d’un instant. Comme une manière de nous reconnaître, de nous dire que nous sommes semblables. Il ne me déplaît pas non plus que les mecs me matent. Après tout, je fais pareil les concernant. Et, lorsqu'avec mon mec nous sortons ensemble, au restau, au ciné, au théâtre, j’aime sentir sur moi le regard envieux des autres mâles. Pas par exhibitionnisme, encore moins pour le rendre jaloux. Puisque même lui a fini par comprendre qu’il n’y avait pas de risque :smile:. Mais bien pour montrer à tous ma fierté d’être à lui. _______________ Mais c'est surtout lui que j'aime à regarder. Maxime, mon mec/Maître. Le contempler quand je me réveille la nuit ou au petit matin, alors qu’il dort encore. Admirer ses formes, son corps nu, sa queue au repos. Le regarder aussi dans les yeux, lorsqu’il décide de n'être plus mon mec mais mon Maître. Pour m’agenouiller certes devant lui, mais le regard tourné vers lui. Fière de lui prouver ma soumission. C’est pour cela que je n’aime pas trop quand il me bande les yeux. Parce que cela me prive du plaisir de le voir lui. _____ Alors, non. Fermer les yeux ou baisser le regard, ce ne sera jamais mon style. Puisque c'est d’abord par le regard que nous construisons notre vision du monde. Celle que j'aime partager désormais avec lui.
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Par : le 30/01/22
#MMM, vous connaissez peut-être. Le hashtag créer par Charline Vermont autrice du compte Instragram @orgasme_et_moi. A l'origine, ce hashtag indiquait "Meufs Mecs Merveilleux.ses", qui s'est mué, dans un souci d'une plus grande inclusivité à "Mixed Marvelous Minds". Faut-il aujourd'hui en regretter l'anglicisation alors que le processus initial portait sur l'expression d'une pensée en français ? je l'ignore. Fait est que le hashtag #MMM est largement adopté et se croise régulièrement dans les profils d'appli de dating et les sites de rencontres, les personnes qui souhaitent indiquer qu'elles sont ouvertes à une sexualité décomplexée et bienveillante. Ce que d'autres ont nommé de longue date sexualités alternatives (notez les pluriels). Le glissement progressif d'un monde de sexualités aux nombreuses formes d'expressions, avec ou sans pouvoir qui s'exerce lors des jeux sensuels (D/s, soumission, shibari, discipline érotique, contrôle sensuel du partenaire...) pour une sexualité décomplexée et bienveillante, nouvelle dénomination pour des pratiques qui demeurent dans l'exécution, les mêmes que celles de nos aïeux. C'est dans la forme, dans la communication qu'il est signifié des attentes avec une précaution importante quant aux exigences de formulations explicites, modalité inclusive et soucieuse de ne pas créer d'incertitude pour les partenaires. Les générations antérieures aux années 1990 ont connu le consentement implicite, non sans avoir préalablement négocié les actes à venir, aujourd'hui il se doit d'y avoir une permanence dans l'acquiescement des partenaires à agir dans l'instant. Nouveau protocole d'expression et de sa permanence, avec pour corollaire de s'assurer de ne pas outrepasser l'accord des participants afin de ne pas créer de traumatisme, de violence. La généralisation du questionnement permanent du consentement dans l'action interroge sur la faculté à pouvoir lâcher-prise, et cela même dans l'espace/temps de déconnexion et d'envole vers les EMC (état modifié de conscience) propres à la libération de l'orgasme de quelque genre fusse-t-il. L'enthousiasme du consentement initial doit avoir pour préalable la préoccupation des protagonistes à interroger la validité de la responsabilité de chacun à formaliser ce consentement aux actes à venir, il ne faut jamais sous-estimer la phase où il va devenir plus incertain (EMC) de pouvoir s'exprimer sans avoir à garder les pieds sur terre. Cette quadrature du cercle doit faire autant réfléchir les plus matures comme les plus jeunes, si d'un côté, les quadras et plus doivent s'approprier ces nouveaux protocoles de dialogue et de communication, il ne faut pas que les moins de quarante ans oublient qu'il n'est pas acquis d'avoir une permanence de conscience et de capacité à exprimer en toute lucidité, sa responsabilité au travers du consentement à l'action en cours. Comme pour l'ensemble des résonances #SexPo, les approches positives et enthousiastes des rencontres et relations amoureuses n'échappent pas aux opportunismes des prédateurs et prédatrices, aujourd'hui désignés "wokefishers". A vous de cerner la sincérité et l'éthique de vos correspondants. Je ne doute pas qu'il soit heureux de pouvoir mieux communiquer, exprimer de façon formelle ses actions à venir, les accompagner de paroles, de mots qui permettent une douce mélodie sensuelle. Que les "Meufs Mecs Merveilleux.ses" puissent se rencontrer et s'épanouir, c'est toute la délicatesse que je leur souhaite.
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Par : le 25/01/22
« Du premier contact à la symbolique du collier. » < Cet article a pour vocation d’aider les dominants et les dociles à gérer au mieux leurs intérêts communs et respectifs dans le processus de prise en main propre au BDSM. > < Il est regrettable que trop souvent les uns comme les autres lorsqu’ils sont à la recherche du partenaire idéal agissent de manière opportuniste et sont même dépasser par les événements or la moindre erreur peut s’avérer fort préjudiciable. Il faut le savoir et avoir conscience en premier lieu qu’une relation bdsm ne né pas du tout de la même façon qu’une relation vanille en fait elle obéit à une logique. > < Elles ressemblent quant à elle à ces mariages arrangés d’autrefois, on se recherche activement et systématiquement, on étudie ensuite l’opportunité de former un couple de manières réfléchies puis lorsque l’on s’est accordé sur l’essentiel, on s’engage formellement et l’on apprend peu à peu à s’apprécier et à s’aimer.> < Mais pour faire suite, il était logique que je vous parle de ce Graal à ce qui motive le fond de mon article, c’est-à-dire la Symbolique profonde du collier. Du premier contact à la remise de l’objet, le processus de prise en mains est long complexe et rigoureux même s’il est vrai que c’est la soumise qui choisit son futur maître, c’est au dominant de diriger la relation dés le premier jour, il doit garder le contrôle des événements et gérer correctement le timing ce qui lui permet de démontrer sa capacité à structuré les rapports du couple. L’empressement est à proscrire d’un côté comme de l’autre. Le laxisme est tout aussi néfaste, il entache la relation pour toujours. L’expérience démontre qu’une docile incapable de se comporter comme une vraie bonne soumise avant même d’avoir été prise en main ne pourra que très difficilement changer du tout au tout une fois qu’elle portera le collier de son nouveau propriétaire. De même un dom qui a l’égard d’une soumise potentielle se montrerait faible ou même incapable de garder la maîtrise dès ses envies et de ses émotions ne pourra jamais devenir un maître à la poigne de fer dans un gant de velours ... Évidemment, mais en pratique rien n’est simple et facile.> < On peut énumérer 2 étapes dans le processus de prise en mains. Règle numéro un les échanges et la validation de la recherche de chacun, une fois le contact établi entre le dom et la docile ceux-ci procèdent alors au premier échange par écrit, chat, messagerie instantanée, la première des priorités est de s’assurer de la nature du sérieux, de chacun, les annonces sont elles limpides aucun terme ne vous pose problème?? Comparé à ce que vous-même désirez est ce que tout vous semble compatible ?? Les réponses obtenues vous permettent de jauger le sérieux de votre interlocuteur. Presque toujours négligé, c’est échanges sont pourtant fort utile aux deux parties puisqu’il permet de cerner la personnalité les aptitudes et les attentes de chacun et qu’il évite toute négociation inutile pour cause d’incompatibilités première. C’est un formidable moyen de mieux se connaître et de prendre conscience de toutes les dimensions qui compose une relation BDSM et tout particulièrement le D/s . Et si le feeling passe le dominant doit étudier avec la plus grande attention chaque réponse donnée il y a toujours des compléments d’information à obtenir pour ne laisser subsister le moindre doute. Ces informations se fondent sous forme d’écrit ou verbaux cordiaux respectueux et constructifs. Au terme de cette phase de découverte mutuelle les deux parties s’accordent alors pour dire s’ils sont à priori compatibles ou pas et s’il est opportun de poursuivre la discussion afin d’envisager ensemble une relation BDSM. >   < L’étape suivante, règle numéro deux, c’est l’envoi par le dominant à sa soumise potentielle de sa check-list cet outil est plus connu que le questionnaire, il n’est cependant pas toujours très bien compris et utilisé notamment par ce que la plupart du temps, il manque à la docile les explications nécessaires à la bonne réalisation du travail qui est attendu d’elle.> < c’est pourquoi je conseille à tout dominant de prendre le temps de rédiger une petite annexe visant à faciliter la compréhension des différents termes et points listés dans la check-list, de donner des indications utiles pour que les évaluations soient les plus précises possibles et pour lever toute ambiguïté éventuelle. Pour le premier, il s’agira de savoir s’il aime faire telle ou telle chose à sa soumise pour la seconde, il sera question d’évaluer son acceptation à vivre telle ou telle pratique voulue par son dom. Il est indispensable que la docile demande des éclaircissements au dominant. Que les soumises ne s’étonnent pas que la check-list soit excessivement détaillée et crue !! Il s’agit très clairement de faire étalage au grand jour de ses pratiques BDSM et sexuels d’évaluer avec précision ses goûts et ses aversions, de révéler ou sans manque d’expériences justement. Il ne faut ni mentir ni exagérer dans un sens comme dans l’autre, ni omettre. > < Si tout a été compléter sérieusement et qu’elle est analysée avec rigueur et intelligence en regroupant et en recroisant les réponses le dominant obtient une idée précise du potentiel de la docile.> < Pour les personnes de nature soumise et novice encline à accepter beaucoup de nouveautés ou de pratiques qui ne les enthousiasment pourtant pas car elles estiment que c’est insupportable du point de vue morale, c’est personnes partent du principe que l’on doit se mettre en couple pour ensuite élaborer à deux une sexualité et des jeux qui tiennent compte des limites de chacun sachant que la personne docile sait à quoi s’attendre dés le départ, il est impensable qu’un dominant se prive de pratiques qui lui sont indispensables pour être satisfait et être heureux, et il doit savoir dés le début ce que la personne docile est capable de lui apporter dans le domaine sexuel ou des activités BDSM. > < Quant à la soumise sa nature intrinsèque la pousse tout naturellement à s’adapter aux exigences du maître ou de sa maîtresse, étant elle-même en quête de nouvelles sensations de nouveaux plaisirs de nouvelles expériences pouvant la faire évoluer voilà le moment tant attendu l’heure aux négociations… Les choses deviennent alors vraiment sérieuses puisqu’il est entendu que les parties envisagent de manière concrète de développer leur relation en tant que maître et soumise.> < Lorsque arriver au terme de leurs négociations le dominant et la docile sont parvenus à un accord global et détaillé que tout est bien clair pour eux deux, ils sont alors sur le point de s’unir dans le respect des principes de BDSM, c’est le temps des promesses et des serments le moment où il est enfin possible de taire sa raison pour laisser s’exprimer ses sentiments ! < Après le temps de noviciat, ou le début de l’histoire sans fin, qui varie extrêmement d'une personne à l'autre, les deux protagonistes vont décider de s'engager l'un avec l'autre d'une façon encore plus complète. La personne Dominante va estimer que la personne soumise est arrivé au terme de la base de son éducation (protocole, positions, découvertes des pratiques, connaissances théoriques, connaissance d'elle-même, de sa/son Dom, etc...). Tout ce qui fera qu'elle se sera révélée à elle même et pourra désormais se consacrer à l'éducation donné par son Maître pour la faire évoluer dans ce qu'elle est.> < C'est un acte fort, vous l'aurez compris, qui ne peut donc se faire après quelques semaines de lien, quelques jours, voir pire, comme je l'ai déjà lu, dès la prise de contact si la personne Dominante s'est déjà beaucoup investi dans le noviciat de celui ou celle dont il veut faire son/sa soumis(e), et lui faire porter son coller implique d'autres devoirs pour ce/cette Dom. Celui de toujours faire évoluer pour son bien-être son/sa soum, et non pour son plaisir personnel de Dom. Et devra tirer satisfaction et plaisir de cette évolution. > < Pour autant, est ce qu'un(e) Dom va poser un collier de suite à une personne soumise bien sur que non !!! Il va donc mettre d'autres « conditions » pour que la personne soumise soit digne de porter son collier et atteindre cet objectif prendra aussi du temps. > < Vous comprenez donc bien qu’un collier ne se donne pas à la légère. Ni ne s'accepte à la légère. Car la personne soumise s'engage aussi à tout mettre en œuvre pour que son Dominant soit fier de son attitude en toute circonstance. Faire honneur à son/sa Dom, et à l'éducation qu'il lui inculque, doit être sa priorité.> < Le/la Dom pose son collier comme il/elle l'entend et quand il estimera que le moment est venu pour que la personne soumise porte son collier, Il montre ainsi qu'il est son/sa Maître(se). Cette pose à lieu au choix, soit en public lors de la cérémonies des roses, soit en privé (c’est ma préférence) mais quel que soit le choix de la cérémonie, ce sera un moment fort un moment d'intense communion entre la personne Dominante et sa personne soumise.> < Un moment qui se veut le départ d'un lien que chacun s'appliquera à rendre le plus solide possible. Et qui les mènera tous les deux, enfin, je le souhaite à tous ceux qui s'engage dans cette voix, vers un accomplissement total de vos personnes dans cette osmose des âmes, des corps, et parfois aussi des cœurs. > < Et maintenant passons aux derniers chapitres un événement majeur dans la relation en BDSM qui correspond à la remise du collier. A cette occasion, le maître prépare suffisamment longtemps à l’avance une soirée généralement intime ou en publique et organisera les choses à sa convenance une cérémonie avec tous les rituels que cela implique et les mots-clés sont alors complicités amour offrande respect honneur dignité responsabilités noblesse solennité.> < Car la société a ses rites, mais en BDSM, c’est pareil. Il existe des cérémonies pour récompenser et souligner la réussite d’un (e) soumis (se). Lors de remise de collier, un passage de niveau, la réussite d’un défi, pour avoir vaincu ses limites, et marquer un engagement. Cela souligne un passage, une réussite, et développe l’estime de soi de la/le soumis (se) et sa fierté de servir son dominant.> < PS : on ne pratique les cérémonies, et rituels qu’avec une soumise qui s’engage à suivre une éducation complète (novice puis soumise) ou esclave. A déconseiller avec des soumises invitées sauf exception.> < Pour ma part je vais procéder ainsi avec Irène bientôt, comme me la si gentiment appris ma guide autrefois. La cérémonie va se passer dans une pièce décorée pour la circonstance, en soirée des bougies seront disposées au sol pour former un triangle à l’intérieur duquel il y a un cercle. On appelle cela le Pentaclion. Il y a trois sortes de Pentaclion selon le stade d’évolution : novice, soumise, esclave.> < Vêtu de noir, je serai, à la pointe supérieure du triangle.> < Ma novice sera totalement nue si elle le désire ou elle pourra choisir des vêtements cérémoniels selon les circonstances. Elle se mettra dans le cercle en entrant par la base du triangle tête baissée, agenouillé au sol en disant.> « Maître, je m’offre nue, je ne vous cache rien, je veux vous appartenir, apprendre et progresser et être digne de devenir votre soumise ». < Pour ceux qui souhaitent officialiser leurs unions en public lors d’une soirée BDSM, il existe Les cérémonies des roses comme j’ai précisé avant.> Symbolique de la rose : La fleur de la rose, son parfum, symbolisent la beauté, l’harmonie, le plaisir, les valeurs du BDSM. La tige couverte d’épine les difficultés à affronter, les limites à repousser, les dépassements de soi, la volonté qu’il faut avoir pour réussir.> < Sa couleur définie la signification de la cérémonie. > < Les Cérémonies des Roses> < Cérémonie de la rose Blanche qui symbolise la virginité, la pureté, l’innocence et la recherche de perfection. Cérémonie destinée à la Postulante qui va par l’initiation devenir une meilleure personne. Une soumise qui veut renaître plus pure et qui veut se laver de ses erreurs passées pour renaître innocente, vierge et pure pour son Maître.> < Cérémonie des roses, c’est le Mariage BDSM.> < Cérémonie de la rose Noire qui symbolise une régression, un regret, une trahison. Cérémonie ou la soumise va être rétrogradée à un rang inférieur. Elle peut aussi marquer la fin de leurs relation.> < Cérémonie des épines - pour s’engager à réussir à franchir une étape importante (vaincre un tabou, une peur, suivre une résolution, prendre une décision difficile.> < Cérémonie des fleurs - chaque cérémonie est symbolisée par une fleur différente qui est offerte en bijou et symbolise une qualité acquise, un tabou, une peur que tu as vaincu, franchi des limites. L’orchidée par exemple est offerte lorsque tu as atteint le Subspace trois fois.> < Cérémonie BDSM du Phoenix est une cérémonie spéciale car réclamée par la soumise elle marque un renouveau dans la vie de la soumise, un changement de cap, une épreuve difficile surmontée.> < Mais revenons à nos moutons, qu’est ce que Le Pentaclion > < Il est utilisé lors des cérémonies, matérialisé par des bougies qui forment au sol le cercle et le triangle et dans lequel la soumise entre. Il représente les trois stades d’évolution de la soumise > < Symbolisme du Pentaclion> < Le Cercle > < Le cercle symbolise la soumise. Un cercle peut rouler, être instable. Le cercle va petit à petit pénétrer le triangle pour symboliser la stabilité qu’apportent les valeurs du Maître par le LIEN SACRÉ et la fusion Maître/soumise ou esclave. Le cercle dans la vie est partout, la terre, les étoiles, la roue du temps qui passe, les cycles de la vie, les saisons, tout est cercle. Il n’y a pas de début, pas de fin, il représente l’infini, l’éternité, la protection et la perfection. Il symbolise aussi la féminité. La soumise qui veut s'approprier ses valeurs prendra place dans le cercle.> < Le Triangle > < Le triangle symbolise le Maître, sa force, ses qualités. Le triangle est utilisé dans la formation des Maîtres pour symboliser l’équilibre des valeurs qu’il doit respecter. Il est symbole de stabilité. Avec la pointe vers le haut il représente la masculinité, la puissance, la virilité. Le triangle apporte au cercle (c’est à dire à la soumise et la je m’adresse à iréne) stabilité et équilibre, il empêche le cercle de rouler.> < Le Pentaclion de novice> < La femme, la féminité est symbolisée par un cercle. En entrant en soumission, la novice désire acquérir de nouvelles valeurs, une stabilité, développer un lien fort avec un guide, un mentor qui va l’éduquer, la dresser, l’épanouir.> Le triangle symbolise le Dominant, le Maître et les valeurs de la soumission. Le Pentaclion de novice symbolise le chemin que la novice doit faire pour acquérir par l’éducation et le dressage les qualités pour devenir une parfaite soumise en entrant dans le triangle, qui représente le Maître et ses valeurs.> < Pentaclion de Novice > < Le Pentaclion de Soumise Le cercle est en partie entré dans le triangle. Il utilise la base du triangle pour sa stabilité. Il symbolise la stabilité et la force de la relation Maître/soumise qui offre un équilibre parfait. La soumise est entrée partiellement dans le triangle, la soumission lui apporte épanouissement, plaisir, la relation, le lien est stable mais les deux parties droite et gauche du cercle qui dépassent du triangle symbolise le libre arbitre qu’elle garde et le respect de ses désirs, de sa liberté. Sa soumission est offerte au Maître mais selon ses conditions car la soumise garde toujours son libre arbitre et son droit de véto.> < Pentaclion de soumise > < Le Pentaclion d’esclave ou de soumise Céleste Le cercle est totalement entré dans le triangle. C’est un symbole fort. La soumise fusionne avec le Maître pour devenir esclave ou soumise Céleste. C’est à dire qu'elle lui voue une confiance totale, elle renonce à son libre arbitre et à son droit de véto.> < Elle se laisse guider et fusionne totalement avec son mentor abandonnant son égo pour se laisser porter totalement par la vague de bonheur qu’elle ressent à son service. Bien-sur à tout moment, elle peut reprendre sa liberté, Le Maître doit se montrer digne de ce cadeau divin et se donner corps et âme également pour mériter cette confiance.> < Pentaclion d’esclave > < L’après Cérémonie L’après cérémonie est différente selon le type de cérémonie. Pour certaines Cérémonies (allégeance, accueil, vœux, remise de collier…) La soumise reconnaissante va s’offrir au Maître pour le remercier de cet honneur. Pour d’autres le Maître va récompenser la soumise pour ses efforts et sa progression par un repas, une soirée spéciale, un cadeau.> < Pour conclure voyons rapidement les différents types de colliers BDSM.> < Il existe 3 types qui s’utilisent selon un cadre bien précis : < A. Le collier de dressage ou de posture Le premier est le collier de dressage. Il est restrictif, contraignant et, avant tout, fonctionnel. Il est équipé d’un ou plusieurs anneaux dans le but d’y attacher chaînes et autres accessoires pour le jeu ou le dressage. Cet accessoire peut être agrémenté de clous pour garder le menton haut et la tête droite. Il peut aussi être large, comme un corset une minerve de cou pour contraindre tous mouvements de la tête. Il est souvent fait de cuir et/ou de métal et n’est pas spécialement agréable à porter longtemps. Il est souvent choisi par le dominant.> < B. Collier d’appartenance Le second est démonstratif, il souligne l’appartenance à un/une Maîtresse. Il est porté tous les jours, selon les règles instaurées. Ce collier d’appartenance est un rappel de la hiérarchie imposée. Il sert alors d’accessoires souvent choisi mutuellement et porté dans le cadre intime. Il est léger et agréable à porter pour le/la soumise.> < C. Le collier d’appartenance en public Le troisième type de collier est à but esthétique et de discrétion. Il a pour but d’être porté en public. Il ne souligne pas l’appartenance au monde BDSM clairement, seuls les pratiquants pourraient en reconnaître le sens. Il s’agit souvent d’un simple ras-de-cou (aussi appelé “Chocker”) et au goût de le/la soumis/e. Ce dernier signe d’appartenance n’est pas forcément un collier, et, selon les désirs du couple, il peut être un bijoux, un tatouage ou un vêtement. Les partenaires peuvent tout aussi bien décider de porter un collier d’appartenance ou de dressage même en public, ou rien du tout. C’est le consentement mutuel qui prévaut.> < II. La signification pour le/la Maître/sse Le collier est à la fois un accessoire de discipline, de dressage mais aussi un signe d’appartenance. Le/La Maître/sse est totalement libre d’y apposer ses initiales ou sa marque pour insister sur la possession de l’autre Le/La Maître/sse voit en sa/son soumis/e portant cet accessoire comme un signe d’acceptation de sa soumission et signale qu’il est prêt à recevoir sa domination. Ce qui est, la plupart du temps, source de satisfaction-plaisir pour lui/elle. Le collier rappelle indéniablement qui dirige et qui exécute. Il est un point d’accroche et de saisie pour exercer une domination physique (traîner, attacher, conduire…) mais le collier est avant tout une domination psychologique.> THE END  
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Par : le 25/01/22
Juliette convint que la séance de flagellation endurée par Charlotte la veille suffisait. Non pas qu'elle le regrettât, au contraire, mais il fallait que tout ne lui soit pas infligé à la fois, pour qu'elle ne s'habituât pas à en tirer du plaisir. Elle recommencerait pour juger du résultat, non pas de ses cris ou de ses larmes, plutôt des traces, plus ou moins mordantes et durables, que les lanières de cuir laisseraient sur sa peau. Et surtout, il lui paraissait sage d'alterner les tourments et les languissements, les supplices et les délices, afin que la confiance qui les unirait, conditionne à l'avenir tous les excès, c'est à dire tous les bonheurs. Le devoir de Charlotte serait de s'abandonner toujours au premier mot de Juliette ou de qui l'enjoindrait. Lorsque Juliette eût pris le soin de diriger le rayon de la lampe de façon que la clarté tombât d'aplomb sur son visage et sur le sexe de sa soumise, qui en était tout près, elle le fourrât brutalement. Elle gémit quand les doigts, qui appuyaient sur le renflement de la chair d'où part la corolle intérieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe de la langue l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentait durcir l'aiguille cachée, qu'entre les dents et les lèvres une longue meurtrissure aspirait et ne lâchait plus, une longue et douce meurtrissure, sous laquelle elle haletait. Comme dans un rêve, on entendait le feulement de Charlotte monter peu à peu vers l'aigu et un parfum déjà familier s'exhala de sa chair sur laquelle les lèvres de Juliette s'étaient posées. La source qui naissait de son ventre devenait ruisseau, à l'instant précédant la jouissance, quand Juliette prit la perle qui se cachait entre les nymphes que sa soumise lui offrait. Se cambrant alors de tous ses muscles, sa main droite balaya inconsciemment la table de massage sur laquelle elle était allongée nue et plusieurs objets tombèrent sur le sol. Ses cuisses se resserrèrent alors autour de la tête de Juliette puis s'écartèrent de nouveau dans un mouvement d'abandon exquis. Elle était délicieusement impudique, ainsi couchée devant Juliette, les seins dressés vers le plafond, les cuisses ouvertes et écartées dans une position d'offrande exhibant les moindres replis de ses intimités les plus secrètes. Elle commença à trembler de tout son être quand Juliette viola d'un doigt précis l'entrée de ses reins et l'orgasme s'abattit sur elle avec une intensité inouïe. Pendant tout le temps que le feu coula dans ses veines, Juliette but les sucs délicieux que son plaisir libérait et quand la source en fut tarie, elle se releva lentement. Charlotte était inerte, les yeux clos, les bras en croix. Juliette lui caressa doucement les cheveux, lui lissa les sourcils du bout des doigts, lui baisa furtivement les lèvres. Elle lui dit qu'elle l'aimait. Charlotte, encore tremblante, lui répondit: "-Je vous aime", et que c'était vrai. Venant d'un autre monde, sa Maîtresse entendit sa voix lui dire qu'elle était heureuse et qu'elle voulait que cela ne finisse jamais. Juliette s'agenouilla entre les jambes de Charlotte, faisant alors onduler ses cheveux clairs au-dessus de la vulve alors prisonnière du plus doux et du plus chaud des fourreaux qui lui prodiguait la plus divine des caresses. Un court instant, elle s'interrompit pour lui dire qu'elle n'aurait jamais pensé qu'il était aussi bon de la dominer sans la violenter puis brusquement, ses doigts vinrent se joindre à ses lèvres et à sa langue pour la fouiller. Mille flèches s'enfoncèrent dans le sexe de Charlotte. Elle sentit qu'elle allait jouir de nouveau. Elle voulut l'arrêter mais bientôt les dents de Juliette se resserrèrent sur la crête rosée. Un plaisir violent et doux s'abattit sur les deux amantes et le silence envahit la pièce. Le plafond était haut, les moulures riches, toutes dorées à la feuille. Juliette invita Charlotte à pénétrer dans la salle de bains où elle fit immédiatement couler l'eau dans une baignoire digne d'être présentée dans un musée, un bassin en marbre gris à veinures rouges, remontant à l'avant en volute, à la façon d'une barque. Un nuage de vapeur emplissait le monument. Elle se glissa dans l'eau, avant même que la baignoire ne fut pleine. La chaleur est une étreinte délicieuse. Une impression d'aisance l'emplit. Voluptueuse, Charlotte s'abandonna à ce bien-être nouveau sans bouger. Le fond de la baignoire était modelé de façon à offrir un confort maximum, les bords comportaient des accoudoirs sculptés dans le marbre. Comment ne pas éprouver un plaisir sensuel ? L'eau montait sur ses flancs, recouvrait son ventre pour atteindre ses seins en une onde caressante. Juliette ferma les robinets, releva les manches de son tailleur et commença à lui masser les épaules avec vigueur, presque rudesse. Ses mains furent soudain moins douces sur son dos. Puis à nouveau, elle la massa avec force, bousculant son torse, ramollissant ses muscles. Ses doigts plongèrent jusqu'à la naissance de son ventre, effleurant la pointe de ses seins. Charlotte ferma les yeux pour jouir du plaisir qui montait en elle, animé par ces mains fines et caressantes qui jouaient à émouvoir sa sensibilité. Une émotion la parcourut. L'eau était tiède à présent. Juliette ouvrit le robinet d'eau chaude et posa ensuite sa main droite sur les doigts humides de Charlotte, l'obligeant à explorer la cavité de son sexe, la poussant à des aventures audacieuses. Ses phalanges pénétrèrent profondément son ventre. Juliette, que Charlotte n'osait plus regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Elle avait saisi et lentement ouvert, les lèvres qui protégeait le creux de son ventre. Juliette la tira vers elle, afin qu'elle fût mieux à portée et son bras droit glissa autour de sa taille. Cette humiliation qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, lui semblait sacrilège. Que sa Maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens. Elle se vit alors fourvoyée. Juliette perdit l'équilibre et bascula sur le bord de la baignoire. Son tailleur trempé devint une invitation à la découverte, et la soie blanche de son corsage fit un voile transparent révélant l'éclat de ses sous-vêtements. Elle dégrafa sa jupe et se débarassa de son corsage. Dessous, elle portait un caraco vaporeux et une culotte de soie, un porte-jarretelle assorti soutenant des bas fins qui, mouillés, lui faisaient une peau légèrement hâlée. Les pointes durcies de ses seins pointaient sous le caraco. Elle le retira délicatement dénudant ainsi sa poitrine. Bientôt, les mains de Charlotte se posèrent langoureusement sur ses épaules, glissèrent aussitôt sous les bras pour rencontrer les courbes gracieuses de la gorge. Il était rare que sa Maîtresse lui accorde un tel privilège. Elle aima cette pensée. Enhardie, ses doigts fins s'écartèrent du buste pour glisser jusqu'à la ceinture élastique de la culotte. La caresse se prolongea sous le tissu. Juliette pencha la tête en arrière et s'abandonna au plaisir simple qui l'envahit. Alors, rien n'exista plus pour elle que ce bien-être animé par le voyage rituel de ces doigts dans la cavité de sa féminité. L'attouchement fut très audacieux. Combien de temps restèrent-elles ainsi, à se caresser et à frissonner, ne fut-ce pas un songe, l'ombre d'un fantasme ? Elles n'oseraient sans doute jamais l'évoquer. Mais Juliette se rhabilla et abandonna Charlotte sans même la regarder. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/01/22
J'étais heureux ce matin de mai . J'avais réussi , à réserver un voyage pour deux personnes pour l'Ile de la Réunion . Depuis notre voyage de noce , Lady Gabrielle et moi rêvions de retourner sur cette île merveilleuse . Nous rêvions de retourner manger des samoussas sur les marchés colorés de Saint Paul ou de Saint Denis , revoir le Piton de la Fournaise , nager avec les poissons aux couleurs de tropique , déguster la cuisine créole et profiter de tout ce que cette île propose . Je n'avais plus qu'à appuyer sur « enter » . Ce que je fis avec prudence craignant la « fausse manip » . Mais tout c'est bien passé . Les quatre feuilles de ma « résa » étaient imprimées . J'avais bien mérité le grand bol de thé que je me préparais ainsi que le pain au chocolat de la veille que je réchauffais pour qu'il redevienne croustillant . Je dégustais mon petit déjeuner quand Lady Gabrielle me rejoignit encore ensommeillée . J'avais placé les feuilles entre son énorme bol à p'tit dèj qu'elle affectionne tant et le petit vase où règnait en majesté une rose « Queen Elysabeth » » cueillie dans notre jardin . Quand elle découvrit l'objet de ces feuilles son visage s'éclaira comme la terre lorsque le soleil apparaît à l'horizon . La date de notre départ arrivait . Chaque jour nous voyait nous occuper d'une nouvelle préparation . Je dois avouer que la joie de retourner sur cette terre de prédilection était troublée par l'appréhension que j'ai des voyages en avion . Non pas que j'ai peur mais le fait de passer 12 heures coincé dans un siège trop petit pour moi ne m'enchante pas du tout . L'attitude blasée et l'état d'irritation permanent du personnel de cabine participaient pour beaucoup à mon appréhension . La veille de notre départ nos préparatifs étaient terminés . Nous profitions d'une journée calme avant d'affronter ce petit chamboulement qu'est un voyage en avion . Il était onze heure du matin quand Lady Gabrielle m'ordonna de me dévêtir . Elle avait envie de me flageller . J'étais à mille lieues de partager la même envie à ce moment là mais je m'exécutais. Je suis sont soumis , mari aussi, mais surtout soumis . Je pensais que Lady Gabrielle le pensait aussi . Après la flagellation elle me fit assoir , me menotta poignets et chevilles aux barreaux et montants de la chaise . Je ne pouvais pas me libérer . me dit-elle . Je ne voyais pas du tout où elle voulait en venir . En outre j'étais étonné , elle n'avait jamais commencé une séance BDSM , juste avant le repas de midi . Quand je sus la raison de son comportement , j'étais complètement abasourdi . Lady Gabrielle n'avait jamais laissé apparaître le moindre signe ni le moindre indice qui aurait pu me faire soupçonner ce qu'elle m'annonça ce matin là , veille de notre départ . > Tout d'abord j'avais pensé à une plaisanterie . Il lui fallut faire preuve de beaucoup de persuasion pour me convaincre . Quand enfin mon cerveau me fit admettre le sérieux du projet de Lady Gabrielle , la stupéfaction et le rejet m'envahirent . > J'étais stupéfait . > > J'acquiesçais du bout des lèvres . > A ce moment là , je décidais de ne plus récalcitrer . Mais j'avais du mal à cacher mon désappointement . > Revenus à de meilleurs sentiments ? Tout était relatif mais je n'avais pas le choix . N'avais-je pas , au début de notre relation , fais serment d'obéissance à Lady Gabrielle ? Ne m'étais-je pas offert à Elle ? Allais-je en quelques mots détruire cette relation Domination/soumission ? Certainement pas , je ravalais ma déception et tâchais de faire bonne figure . Quelle ironie de la part de Lady Gabrielle . L'après-midi elle me conduisit , effectivement , chez le couple de dominateurs propriétaires d'une ancienne ferme fortifiée transformée en gîte rurale , un gîte spécialisé BDSM qui a pour nom '' Le Domaine de H&K ''. L'établissement était géré par eux même , Maîtresse Karole et Maître Hadès et entretenu par un couple travaillant à demeure . J'apprendrais plus tard qu'ils étaient tous deux soumis mais rémunérés et qu'ils participaient parfois , aussi à la domination des soumises et soumis clients de l'établissement tout en subissant celle de leurs Maîtres . Certains de ces soumis étaient envoyés là par leur dominant comme c'était mon cas . D'autres venaient ici de leur propre chef pour assouvir leurs fantasmes . La durée du séjour était au choix des clients . Nous étions arrivés vers quinze heures . J'avais voyagé à l'arrière de la voiture yeux bandés et poignets menottés . Lady Gabrielle m'avait ordonné de mettre les vêtements les plus vieux que je possédais . Cet ordre m'avait intrigué , à juste titre . Bien sûr je portais ma cage , je ne devais plus la quitter jusqu'à la fin de mon stage . La deuxième chose que je dû faire après avoir salué , à genoux , les propriétaires du lieu fût de retirer tous mes vêtements , sauf mes baskets , et de les jeter dans un fût en métal où ils furent brûlés par l'homme du couple de soumis .A ce moment là je réalisais que Lady Gabrielle reprenait le contrôle sur notre relation de manière très sévère . La Propriétaire des lieux m'ordonna de faire mes adieux à ma Maîtresse . Lady Gabrielle me regardait avec un sourire quelque peu narquois et avec une autre lueur indéfinissable .Je lui embrassais les pieds , je savais qu'il aurait été malvenue de lui faire un baiser de mari ( sur la bouche ) ou de copain ( sur les joues) . Elle partit sans plus de commentaire à mon grand désarroi . Elle ne me donnait même pas une parole de réconfort . > Je m'étais étonné de la relative indulgence de Maître Hadès , ce que je subissais , je l'avais fantasmé de nombreuses fois mais dans mes rêves les poids étaient plus lourd . Cinq kilos au moins pour mes testicules et mes poignets . Je marchais depuis une éternité et je comprenais que l'indulgence n'avait rien à voir avec mon supplice , c'était du réalisme . Je n'aurais certainement pas tenu longtemps avec des poids de cinq kilos . Quand j'avais commencé à marcher en rond, j'avais ressenti le bonheur '' d'une première fois '' et l'excitation de l'accomplissement d'un fantasme . Je m'étais senti à ma place , une place que j'avais rêvée et j'y étais placé par ma Maîtresse , même si elle n'était pas à mes côtés j'étais connecté à Elle . Je savais qu'Elle pensait à moi dans son manque de sommeil dû à la fébrilité l'accompagnant , dans cette veille de départ pour la Réunion . A ce moment là je ne lui en voulais plus du tout , Elle m'avait offert le plus beau des cadeaux qu'un soumis puisse recevoir . Je n'allais pas toujours penser cela au cours de mon séjour . Je marchais depuis longtemps . Maintenant la souffrance était bien présente . La fatigue et les crampes provoquées par les poids étaient insupportables . Les pinces irradiaient une douleur intense dans mes seins . Mais j'avais peur du fouet . Je me cramponnais à mon rêve : je subissais ce que j'avais rêvé . . . Non? De nombreuses minutes plus tard j'étais à un stade où j'avais dépassé toutes prudences . Plus rien ne comptait que de me reposer et de soulager la douleur de mes seins et de mes bras , je m'accroupissais . J'oubliais de faire tintinnabuler les grelots de mes seins . Erreur funeste , Maître Hadès vint me rappeler à l'ordre par un coup de fouet qui n'avait rien de bienveillant . J'essayais de me relever mais mes jambes me trahirent .> L'apprentissage de cet exercice fut relativement facile . Nous nous sommes assez bien habitués à tirer le sulky avec nos couilles . Une heure d'adaptation nous fut quand même nécessaire pour y arriver. Maîtresse Karole n'eut pas beaucoup de raisons de nous fouetter avec sa chambrière mais Elle le fît quand même , gratuitement , pour assouvir son sadisme . Elle fît tourner ainsi son manège original durant une heure et demi ne se privant pas de nous stimuler dans l'effort en fouettant aussi nos testicules . Elle nous libéra au début de la soirée . Gérôme nous reconduisit dans nos cellule tandis Tandis que Maîtresse allait se rafraîchir dans sa piscine . J'étais à nouveau enfermé et je ne connaissais pas la suite du protocole prévu . Je prenais une douche à l'eau froide me séchais tant bien que mal dans une petite serviette . Personne ne vînt me chercher jusqu'au lendemain mais je restais dans l'angoisse de l'incertitude . Cela faisait quatre jours maintenant que je suivais ou plutôt subissais ce stage de redressement D/S . Je n'avais droit qu'à un repas par jour et toute l'eau que je souhaitais au pommeau de la douche. J 'étais affamé , moi qui faisais trois repas par jour . La veille ,tous les soumis présents au gîte , avaient été réveillés à six heures du matin . Nous avions été conduits dans le petits bois du parc et attachés à un arbre . Nous étions positionnés à intervalle d'une cinquantaine de mètres des uns des autres et nous sommes restés ainsi sans explication . L'attente dans l'interrogation de ce que l'on va subir est extrêmement stressante . Mon stress augmentait au fil des minutes . J'attendis deux heures attaché à cet arbre la suite de mon protocole . Maître Hadès et Maîtresse Karole apparurent enfin sur le chemin du sous-bois en tenue de jogging . Ils s'arrêtèrent devant moi pour souffler . Quand Maîtresse Karole eut exécuté ses exercices de respiration , elle s'approcha de moi , saisit mes bouts de seins entre index et pouces pour les pincer avec une force que je ne soupçonnais pas puis me donna une série de coups de genoux dans les testicules . J'étais solidement attaché à mon arbre je ne pouvais donc pas tomber ni même me plier en deux comme mon corps l'aurait fait impulsivement sous cette douleur atroce . Je criais instinctivement mais cela ne retenait aucunement Maîtresse Karole , elle continuait de plus bel . Quand elle fut satisfaite du supplice qu'elle m'avait infligé elle céda la place à Maître Hadès . Il se montra moins violent , craignant peut être l'accident . Heureusement lors de ce supplice , la douleur provoquée par les coups dans les testicules est atténuée par le fait que le genoux frappe aussi l'entre cuisse , ce qui freine sa vélocité . A l'écoute des cris des autres soumis , je sais qu'ils ont tous subit le même sort que moi . Nous avons été reconduit dans nos cellules à midi complètement épuisés , les testicules endoloris . Je ne devais plus rien subir avant le lendemain . Ce ne fut pas le cas de certains de mes co suppliciés . Je restais seul à me morfondre en pensant à Lady Gabrielle qui devait déguster des samoussas et faire tout ce que nous avions imaginé . Léonie m'apporta mon repas dans une gamelle qu'elle posa sur le sol , s'accroupi au dessus et urina dedans . Elle me souhaita un bon appétit et me donna l'ordre de manger devant elle . J'avais tellement faim que je me jetais sur la nourriture . L'urine de Léonie ne me gênait pas étant habitué à déguster le nectar de ma Maîtresse . Quand j'eut terminé mon '' repas '' elle me fit coucher sur le sol , s'assit sur ma bouche et m'ordonna de la faire jouir . Elle me quitta dans l'après midi comblée , moi étais épuisé . Le lendemain , au sixième jours de ma présence ici , Gérôme vint me chercher à huit heures . > Il me laissait là sans plus de commentaire . De nombreuses minutes plus tard , j'entendis enfin Maîtresse arriver . Sans dire un mot elle me donna vingt coups hargneux de cravache sur les fesses et sur le dos témoignant de sa mauvaise humeur . Elle monta sur son cheval et parti sans plus prêter attention à moi . Je tentais tant bien que mal de garder mon équilibre au bout de la longe . Chose extrêmement malaisée en raison de la vitesse du cheval , qui pourtant était mené au pas et du mauvais entretien du chemin semé de trous de sabot . Durant la promenade de Maîtresse je tombais trois fois mais jamais elle ne dit mot . De retour à l'écurie , c'est Gérôme qui comptabilisa les coups de la sanction . Je reçus les soixante coups de cravache mais je ne reconnaissais pas la dextérité du dominant qui me punissait . Je ne percevais pourtant pas d'autre personne présente dans l'écurie . Ce n'était pas Maîtresse Karole qui me cravachait ni Maître Hadès ni même Gérôme ou Léonie , tous m'avaient m'avaient abondamment fouetté tout au long de la semaine . Qui cela pouvait bien être . Les soixante coups assenés Gérôme m'enleva la cagoule . Quand mes yeux furent réadaptés à la lumière je reçus un tsunami d'étonnement et d'émotion . Lady Gabrielle se tenait devant moi , souriante . >
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Par : le 21/01/22
Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 1 - Les outils : a - Pour communiquer : On vit à l'ère du téléphone portable. Tout le monde est joignable 24/7. Et là, c'est une question de choix personnel. J'ai testé presque toutes les applications et au final, c'est une question de choix personnel : Skype, Messenger ou autre, elles fonctionnent toutes très bien et il n'y a pas vraiment de différence. D'un point de vue sécurité informatique, on dit que Signal est la plus populaire chez les terroristes. Comme c'est l'un des rares cas où ils peuvent vous faire une bonne publicité. b - Pour le plaisir : Herbert Léonard n'en a pas parlé dans sa chanson, mais il existe quelques jouets connectés qui en valent vraiment la peine. Je citerai sans hésiter "Lovesense" qui fait vibrer des milliers de camgirls tout autour du monde. Le principe est simple : un oeuf vibrant dont la télécommande est dans les mains de votre Maître, où qu'il soit sur la planète du moment qu'il y a internet. c - Pour soumettre : Des menottes, un collier, un bâillon, un sex-toy et c'est parti. Il n'en faut pas plus pour débuter. Ce n'est pas une relation en présentiel, on ne cherche pas à immobiliser la personne soumise ! Ici, la contrainte est dans la tête, on joue à se ligoter. Et heureusement d'ailleurs car le dominant n'est pas là pour détacher sa victime. Du coup, il faut pouvoir tout faire soi-même : s'attacher, se bâillonner, se libérer, etc. d - Pour contrôler : Il existe une multitude de systèmes de cadenas et cages de chasteté sur le web. Comme le fameux CellMate de Qiui. Pourquoi célèbre ? Parce qu'en janvier 2021, un pirate informatique a pris le contrôle de l'application et a demandé une rançon avec le message suivant : "Your cock is mine" ("Ton gland est à moi"). 0,02 BTC soit 600 € pour être libéré. Il a dû se faire des "couilles en or" ;-) e - Pour ne pas se ruiner : Le quotidien regorge d'objets tous plus utiles les uns que les autres. Les collants font de très bonnes cordes, les chaussettes et culottes de très bons bâillons. Régalez-vous avec des pinces à linge et mon accessoire préféré : un sac de riz ! Le riz, c'est magique ;-) On peut en faire compter une poignée, faire des carrés, des ronds, les peindre, les mettre dans sa culotte ou dans sa chatte, etc. Et bien entendu, on peut en faire deux petits tas et faire s'agenouiller sa soumise dessus.
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Par : le 17/01/22
200 C'est le nombre de pinces à linge que j' ai accrochées sur Mon soumis . Rangées serrées tout autour du dos, des fesses et l' entre cuisses... Retirées plus ou moins lentement, brutalement, délicatement parfois par poignée. D'autres judicieusement laissées... Virées à la cravache, à la main ou au pied. Il faut bien les enlever... Un long moment fun et intense et des traces... Humm! Ces traces... Une multitude de petites morsures qui sillonnent son corps... C'est aussi le plaisir de les mettre. Une à une les placer soigneusement... Chercher ce filon de peau qui accueillera mes pinces pour dessiner sur son dos... C'est le croquer à petit feu à travers mes belles qui se fixent à ma volonté... Je veux qu'elles tiennent, qu'elles tendent, qu'elles soient le prolongement de mes phalanges... Des centaines de doigts pressent sa chaire pour moi. Pour me procurer ce plaisir que je sens monter en moi... Déjà une centaine solidement ancrées en rangs serrés... Une autre tourbillonne à pleine dents sur son cul et glisse sur ses cuisses... Les rebelles refusant de prendre part à ma perversité voleront loin de moi. Je refuse que l' on vienne troubler mon plaisir. Je veux les 200 sur lui... 150 Mon plaisir se précise... Mes envies se précipitent... 180 Mon excitation m' enivre... Mon corps s'agite... 190 Je vibre... Mon pouls s'accélère... J'y suis presque... CLIC... CLAC.. 2 se détachent... Non! Reviens par là! Plus que 5. Plus de place... Sa peau est si tendue, Il commence à gémir... Hum! Attends un peu que je les retire... Oh oui tu vas gémir.... Plus que deux. Vache! Je suis en train de jouir. Non! Pas encore! Vite une place... Là, sur la peau du cou, une... La dernière sur l' aisselle. Humm! Oui 200! Les voilà mes belles carnivores qui te sucent lentement... Humm! que tu es beau ma bête à pinces... Que tu m' excites ainsi.... Tant d'attente pour arriver à tout placer , tant de plaisir à venir à tout enlever. Tant de jouissance déjà présente qu'une pulsion me vient: Comme on sabrerait de champagne une victoire bien méritée, J' arrose Ma chose de son champagne préféré avant d'ouvrir les festivités... CLAC!
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Par : le 14/01/22
Voilà que cela recommence, le printemps chinois approche et mes hormones agissent. J'ai le clito qui suinte, la chatte qui mouille et se dilate. C'est la nature. Je suis une trans domi, c'est à dire une femme qui n'est pas née dans le bon corps et qui doit faire avec. Alors quand les jours commencent à rallonger je ressens les effets jusqu'au bout des tétons de mes jolis petits seins naturels. Et pour le dire plus simplement, je suis en chaleur et j'ai envie de me faire sauter. Et c'est très agréable de ressentir cela au fond de soi. Je suis aussi une dominatrice qui adore faire très mal, qui adore entendre hurler et implorer ma pitié que je n'accorde jamais. Non ce serait trop facile. Par contre je déteste laisser des traces de mes sévices. l:es canes anglaises par exemple créent des lésions et je n'aime pas cela. J'aime rougir et bien faire circuler le sang. Au bout d'un moment cela devient insupportable. Un raffinement d'extrême orient. Le goret hurle comme si le supplice allait être fatal. Il a peur, il se fait souvent dessus. Il faut aller au bout, bien le faire hurler, l'entendre supplier et supplier encore. Cela me fait vraiment mouiller le clito. Après il faut le laisser. C'est à ce moment là que cela devient un délice pour lui. Attaché, bien rouge de partout, la douleur se dissipe et se transforme en plaisir. Il faut lui laisser le temps de redescendre. Par contre je déteste sodomiser un soumis ou une soumise, même avec un god. le pegging c'est pas mon truc. Je déteste donner la pénétration. Je ne suis pas du tout phallique. Alors je m'imagine en belle romaine avec un bel esclave bien monté sur lequel j'ai tous les droits. J'aime qu'il me fasse bien l'amour, longtemps et souvent. Après, pour le remercier de m'avoir bien fait jouir comme femme, je le corrige sévèrement, le rougit bien de partout. Je lui fait très mal histoire qu'il reste bien en forme pour me servir. Le fantasme de la belle romaine avec son esclave me fait toujours suinter du clito. Il suffit de le caresser légèrement pour obtenir un délicieux orgasme au féminin. je ne suis pas contre prendre pour époux un homme piégé dans un corps de femme. Faut il aller au bout des transitions? Je crois qu'il n'existe aucune règles. C'est juste une proportion de yin et de yang. Dans l'idée de mariage il existe la notion de couple qui dure et pour cela c'est un mystère. Je n'ai pas de réponses et que des questions. Faut il l'amour? Faut il s'unir avec un similaire, un complémentaire? Comment savoir lorsque l'on est en présence de celui ou celle qui convient? Pour bien dominer, il ne faut pas aimer, juste respecter. Pour bien dominer il faut bien observer et faire preuve de psychologie. Mais pour aimer que faut il? Nul ne le sait vraiment. C'est une alchimie du mystère. Un jour, il ou elle est là, et l'on sait que c'est l'époux ou l'épouse.
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Par : le 14/01/22
Voici venu le temps de nos traditionnelles retrouvailles pour changer d’année côte à côte. Après les préparatifs puis les incontournables, quoi que raisonnables, agapes, nous passons ces premiers jours de 2022 à prendre quelques plaisirs. Pendant ma douche dominicale, je t’aperçois changer quelque chose sur le rebord du lavabo. En sortant de la cabine, je découvre un shorty noir qui m’attend, le wetlook percé de trous. Le message est assez clair : je l’enfile … Dans la chambre, c’est un collier et un corset qui m’attendent sur le lit … On dirait bien que tu as préparé le « jeu de piste » que nous avions évoqué. Malgré tout, je n’ai rien vu venir, mes sens seraient-ils au ralenti ? Ou bien anesthésiés ? … au palier intermédiaire de l’escalier, c’est une paire de bas qui a pris place sur la colonne. Pas pratique de les enfiler en faisant le pied de grue. Tant bien que mal, je parviens à les enfiler sans tomber. Mais je dois reconnaitre que la situation se révèle « stimulante » … Enfin, au pied de l’escalier, je tombe sur une tenue un peu plus « couvrante » : un sweat-shirt. Il faut atteindre le salon pour dénicher la dernière étape de ta piste : tu y as laissé à mon intention un pantalon de survêtement et des chaussettes. Vanille à l’extérieur, mais dissimulant des atours plus adaptés à ma condition de soumis. Je suis donc probablement parti pour porter cette tenue toute la journée. Pourquoi n’y a-t-il donc pas de jarretelles sur le shorty ? Les bas n’ont cessé de tomber toute la journée. Dure, dure la vie de porteur de bas ! Le soir venu, il est temps de préparer notre présentation de vœux. Dans l’absolu, je suis presque déjà prêt: il suffit de changer la paire de bas pour une plus photogénique, chausser mes talons et le tour est joué. Enfin presque ! C’était sans compter la touche spéciale que tu avais imaginée depuis plusieurs mois déjà pour ce jour particulier. Tu as imaginé agrémenter mon popotin d’une série de plumes d’autruches, de quoi réaliser la toile de fond idéale pour commencer à souhaiter tes vœux. Mon dos et mes fesses reçoivent donc tes écrits. Mais ceci n’était qu’une première version. Une fois n’est pas coutume, tu décides de recommencer avec une légère adaptation, après avoir toi-même effacer tes traces. Pour la deuxième tenue, tu me fais changer de shorty. Cette fois, tu me demandes de mettre celui qui laisse visible mon postérieur, et d’enfiler la cagoule en cuir. Tu peux alors recommencer mon plumage, bien évidemment tout autour de mon arrière-train mais aussi quelques plumes dans ma bouche. Il ne te reste qu’à écrire sur ta nouvelle toile pour une seconde salve de vœux. A nouveau tu te charges de me laver les fesses : il ne faudrait pas que j’en prenne l’habitude. Une fois « propre », tu me fais étendre sur le drap en vinyle pour terminer avec une des toutes dernières cordelettes que tu as dénichées. Ces brins rouges à liseré noir viennent rehausser à merveille mes jambes parées de bas noirs. Simple mais diablement efficace. Le lendemain soir, il est temps de passer aux choses plus sérieuses, ou pour l’exprimer plus précisément, aux choses plus marquantes, plus impactantes. Après un dimanche plutôt couvert, assez éloigné des standards que tu m’imposes habituellement, ce lundi soir me voit simplement paré du collier, de la cagoule et des bracelets aux poignets et chevilles. Difficile de faire plus minimaliste. Un peu plus et je pourrais avoir froid … Si tu as opté pour si peu, c’est peut être parce que tu as prévu d’essayer les sangles que tu avais acquises il y a quelques semaines déjà. Tu commences par les chevilles que tu souhaites relier aux pieds du lit. Je crois que tu avais légèrement surestimé mes capacités de grand écart, ma souplesse légendaire n’est pas totalement d’accord avec tes attentes. Malgré tout, moyennant quelques adaptations, tu parviens à tes fins. Tout comme tu réussis beaucoup plus aisément à mettre en place de nouvelles sangles au niveau des cuisses, grâce auxquelles tu viens immobiliser les poignets. Je me trouve soudainement plus restreint malgré les apparences. Surtout, je ne risque ni de m’échapper, ni de tenter de me protéger ; au mieux, je pourrais éventuellement me plier dans une vaine tentative d’échapper à un impact. Le simple fait de penser à ma situation a tendance à faire monter l’excitation que la suite va petit à petit faire retomber ;-) Quand au risque de prendre froid, tu as déjà pensé à ta façon comment m’en préserver … A priori tu commences doucement avec la mini tapette souple, autant elle n’a presque pas d’effet sur mon postérieur, autant elle se révèle stimulante sur la poitrine histoire de faire monter la tension, et que dire au niveau de mon intimité où sa taille réduite lui permet de s’immiscer sans contrainte pour me tirer les premiers couinements. Si ce n’était pas elle, c’est assurément une cravache que je subis juste après : l’insistance sous et sur mon intimité, mélange de frôlements et d’impacts, me rappelle quelque chose de connu. Et les morsures qui suivent au niveau de mes globes fessiers ne laissent plus le moindre doute. Après quelques années de faible utilisation, tu as trouvé un regain d’intérêt certain pour ce grand classique ! En guise d’interlude, tu gratifies tout mon dos et mes épaules d’une petite séance de griffes : premiers frissons de satisfaction. Même en 2022, je reste encore et toujours réceptif à ce traitement. Je ne suis pas près de me défaire de cette plaisante addiction. Trop de douceur serait une faute de goût … C’est donc la lourde tapette à clous que je crois reconnaitre à la fois sur mes épaules et sur mes fesses, et encore je pense que tu ne l’appliques que du côté lisse … Néanmoins la température est désormais à un niveau raisonnable. J’ai la sensation que mon postérieur commence à chauffer. Le martinet clair vient se joindre à la danse ciblant plus particulièrement la partie supérieure de mon dos. Si ses lanières sont individuellement assez peu mordantes, réunies, elles infligent un caractéristique impact lourd à souhait, de quoi bien stimuler les chairs réceptrices. Je dois probablement être prêt pour les suites plus mordantes encore. Du moins c’est la déduction que je fais en reconnaissant la morsure de ta langue de dragon qui vient à plusieurs reprises claquer au creux de mon dos, de quoi me faire creuser l’échine quand bien même cela n’apaise en rien l’impact. En revanche, les verticales rouges commencent à s’aligner derrière moi. Pour des traces plus horizontales, et plus enveloppantes, tu termines avec un des fouets … qui s’égare parfois sur mon ventre … ouch. Mais dans l’immense majorité des cas, il atteint a priori sa cible. Après ces tourments accessoirisés, tu t’attardes longuement sur mon intimité que tu taquines d’abord avec la cravache vite remplacée par tes mains. Tu ne résistes pas à mes réactions dès que cette zone qui m’est si chère est approchée. D’ailleurs, tu insistes lourdement en attaquant directement et longuement à coups de griffes. Je ne peux que gigoter, gémir, rire, … Comment puis je rester insensible à un tel assaut de tes serres. On dirait une rapace qui s’attaque à sa proie. J’ai l’impression que tu ne vas pas cesser et y passer toute la nuit. Par moment, je me demande même si tu ne serais pas en train d’essayer d’arracher tout ça. Mais quelle furie tu es ce soir ! Accessoirement, tous ces traitements et les effets qu’ils produisent sur moi finissent par me faire glisser : j’ai de plus en plus le sentiment de m’étirer dangereusement. Nous n’avions pas songé à prévoir des cales. Tu m’aides à plusieurs reprises à reprendre un écartement acceptable et supportable avant de reprendre ton œuvre. Tu termines avec une fessée à mains nues de quelques minutes avant de me libérer de ma contrainte. Cela fait du bien de reprendre une position plus naturelle. Avant que mon séjour se termine, nous terminons par une touche bien plus contraignante pour toi que moi. Car finalement, une fois paré, je suis confortablement étendu sur le lit tandis que tu ne comptes pas ton temps à compléter les tableaux du soir. La combinaison est ressortie du placard où elle était enfermée depuis un bon moment. Je reconnais qu’elle restreint grandement les accès. Par-dessus, tu me fais enfiler le corset, a priori pour mieux souligner mon buste. Tant que j’arrive encore à me mouvoir, tu me fais installer sur le drap violet pour mettre en place les derniers éléments de ma parure, en l’occurrence les cuissardes. Sans ton aide, j’aurais difficilement pu les mettre et lacer correctement. Il ne te reste qu’à me fixer le gros collier histoire de bien marquer le côté contraignant de ma situation nocturne. On dirait bien que tout cela ne laisse déjà pas insensible, ce qui va devenir « perturbant » par la suite. J’allais presque oublier la cagoule en cuir qui est venu finir de recouvrir les dernières parcelles de peau encore à l’air libre. Tiens, il semblerait que quelque chose manquait : je sens que tu viens rajouter un bâillon par-dessus. Par élimination, cela doit sûrement être le rose en forme d’os. Désormais, je crois que tu as fini les préparatifs. Tu me demandes de bien écarter jambes et bras, en croix, histoire de pouvoir fixer chacun de mes membres à un pied du lit. Désormais, je ne fais plus qu’un avec lui. Elle est pas belle la vie de nounours de Maitresse Samantha ? Même elle n’abuse de la situation, respectueuse encore et toujours. Une fois libéré de la cagoule et du corset, non sans difficulté pour ce dernier, tu entreprends de te lancer dans un dernier exercice de cordes sur fond noir. Je sens bien que tu galères à me ficeler allongé. Mais fidèle à tes principes, tu tiens à finir ce que tu as commencé, quitte à adapter partiellement ton idée d’origine. C’est là que je ne t’aide pas, la combi ne canalisant pas vraiment mes tensions naturelles, il faut intervenir pour caser la « marchandise » au bon endroit parmi tes liens …La touche finale se révèle une étoffe rouge en guise de masque, tout juste sortie de ton tiroir de sous-vêtements ….
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Par : le 10/01/22
(illustration: photo du net... forcément ; ) ) Quand je suis arrivé ici il y a presque 2 ans, ce qui était singulier est que l'on trouvait tant des photos personnelles inspirantes - il est toujours utile de montrer que oui, ce que nous faisons existe, est possible... - que des photos du net choisies avec justesse pour illustrer des textes ou des idées intéressantes. Ou encore permettant à des gens voulant faire des rencontres de montrer ce que serait leurs univers, leurs références. Nombre de personnes ici perpétuent cet usage de nous livrer des textes vivants, inspirés, personnels, illustrés par des images trouvées sur internet, majoritairement élégantes, dont ils ou elles ont d'ailleurs souvent l'élégance de rappeler qu'elles sont issues du net. Au fond, ce forum n'était pas un univers lamba ou une page de simples fantasmeurs fans de la pratique BDSM heureux de s'exciter en postant du "n'importe quoi" qui aurait été immédiatement censuré sur Facebook ou Twitter. Après tout, sur la page d'accueil, on peut lire "Véritable site de rencontres communautaire dédié aux annonces liées à la soumission/domination, au sado-masochisme et au fétichisme...". Le MurGé était la première traduction de cette réalité. Et images personnelles ou issues du net y cohabitaient sans peine, car elles étaient au fond les deux faces de la même pièce : une façon par delà l'image d'exprimer des situations ou des envies réelles, d'engager des échanges plus intéressants que le simple "oh, elle a du prendre cher", "oh les belles marques". Bref, de faire vivre de façon singulière cet endroit si singulier. Pour le dire simplement, toute image du net illustrant un propos, une démarche, une envie, participe à la vie de ce site au même titre que des publications plus personnelles. Mais hélas, depuis quelques temps, une autre tendance s'est développée, jusqu'à devenir majoritaire quand certains évènements réguliers n'animent pas le mur : le partage compulsif d'images sans commentaires ou intention, un torrent souvent médiocre et laid de publications d'autant moins intéressantes qu'elles sont des productions commerciales effectuées par des professionnelles payées pour les faire. Puis vint le partage de photos de corsets, de tatouages, de petits chats, ou que sais-je. Et peut-être prochainement, si une soumise est amatrice de fromage ou de macramé, un post quotidien du dernier roquefort ou du dernier napperon tissé de ses petites mains. Le plus triste, de mon point de vue, est que cela ne rend pas hommage à l'engagement sincère de celles et ceux qui partagent ici des contenus personnels pour inspirer les autres. Je fais partie de ceux-là, soucieux que je suis pour encore quelques jours de rendre à ce formum un peu à ce forum qui m'a permis de rencontrer olympe-TK-. D'offrir des bribes de notre réalité pour inspirer celles et ci qui attendent, qui désirent, et qui peuvent à la longue être découragés par les affabulatrices ou fantasmeurs médiocres qui errent aussi ici. Une telle démarche demande bien plus qu'un clic / sauvegarder / poster sur la première image venue trouvée sur Google. Elle représente, pour nombre de soumises notamment, un effort, un moment où l'on passe le cap important de se livrer un peu "pour de vrai". La chose est plus simple pour un dominant, tant il serait contradictoire de s'affirmer comme tel pour ensuite se cacher derrière son clavier et se draper derrière un "je ne partage jamais de photos personnelles" tout simplement surréaliste. Une tentation naturelle est bien sur d'invoquer la tolérance, la liberté d'expression, l'égalité ou que sais-je pour mettre sur le même plan l'exception d'un moment de vie partagé par un membre avec cette communauté et la banalité d'une photo piquée sur le net. Mais alors la suite est alors connue. Le nivellement se fait par le bas. Il est à l'oeuvre depuis plusieurs semaines. Et celles et ceux qui soutiennent le flot de posts inutiles qui l'alimente participent souvent involontairement mais toujours activement à cette situation. Comme le disait Lady Oriane dans un message qui a motivé cet article : "Le forum est ce que nous en faisons." Certes. Mais un tel endroit ne devrait pas, du fait de la conduite d'une minorité envahissante, conduire les gens à devoir en bloquer d'autres pour éviter la nausée de leur publications sans intérêt. Et à terme, pour nombre des plus intéressants et impliqués dans de réelles relations à s'en désintéresser.
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Par : le 10/01/22
La sélection touche à sa fin et déjà six soumis ont été renvoyés manu militari lors d’une présélection stressante. Nous restons six soumis à choisir par ces dames. Nous sommes amenés en laisse le long d’un mur gris, agenouillés,mains sur la tête. C’est Maîtresse Célia qui supervise la présentation de ses objets. Elle en profite pour faire claquer un long fouet près de nos oreilles, s’égarant quelquefois adroitement sur nos peaux nues. «Vos Maîtresses vont bientôt arrivées, baissez les yeux car il vous est interdit de les regarder. Je veillerais personnellement à ce que Toute erreur soit sévèrement punie» Nous n’en menons pas large et je surprends même mon voisin à trembler comme une feuille. Il faut dire que le fouet de Maîtresse Célia ne l’a pas épargné pour avoir eu justement l’imprudence de lever les yeux vers Elle. Nos trois Maîtresses arrivent rapidement . Elles sont très belles et en imposent par leur démarche élégante. Maîtresse Célia nous les présente car il nous faudra les appeler par leur nom sous peine de punition. La première est Maîtresse Félina, vous savez Maîtresse Furie, mais à ma grande surprise, elle est magnifique de prestance. Suit Maîtresse Zara, la rousse et Maîtresse Galia qui semble être la moins expérimenté. Maîtresse Félina ne perd pas de temps pour prendre le leadership de cette séance un peu spéciale. Elle souffle quelques mots à l’oreille de Allan qui court immédiatement hors de la pièce. En attendant , Maîtresse Félina nous passe en revue. Elle nous fait lever la tête avec sa cravache en nous intimant de garder les yeux fermés. Chaque tête est manipulée avec la cravache comme pour apprécier notre chair. Mon voisin qui tremble encore un peu plus se voit gratifier d’un crachat orageux. La foudre ne semble plus très loin ! Allan revient rapidement et lui tend une sorte de badine métallique équipée d’un encreur avec un grand «F» à son extrémité. Maîtresse Félina s’en saisit et marque au front trois d’entre nous. A ma grande surprise, j’en fait partie. C’est clair, Maîtresse Zara et Maîtresse Galia devront se contenter du reste du troupeaux. Maîtresse Félina se tourne vers ses deux consœurs qui l’écoutent sans broncher. Elle leur chuchote quelques mots puis les trois reines viennent devant mon voisin trembleur qui est presque en décomposition. Maîtresse Félina le traite de lopette et l’amène brutalement au sol. Ces deux collègues se régalent de le piétiner avec leur talon bien pointue. Il gémie comme un animal qu’on égorge. Maîtresse Félina n’y tenant plus, Elle le tire par les cheveux et le jette sans ménagement contre la porte. Elle lui crie d’aller gémir ailleurs et le pousse dehors à grands coups de cravache. La porte devient son seul bouclier et il ne lui faut que quelques secondes pour disparaître, humilié comme pas possible par les trois Maîtresses. Maîtresse Félina est bien consciente de l’effet de sa colère sur les autres soumis. Aucun de nous n’a levé les yeux. Retenant notre souffle en attendant que Maîtresse Félina retrouve son calme. Il ne lui faut que quelques instants pour cela. Après quelques minutes de discussion entre elles, Maîtresse Zara et Maîtresse Galia viennent prendre chacun un des soumis restant avec leur laisse pour les tirer vers la sortie. Tout était prévu par Maîtresse Félina et probablement arrangé entre elles pour s’approprier le soumis qui leur convenait. Nous ne les reverrons plus. Maîtresse Félina a fait le vide et reste seule avec ses trois soumis. Elle arpente majestueusement la pièce en se demandant sans doute à quelle sauce nous accommoder. Avec sa cravache, Elle nous amène au centre de la pièce. Toujours à genoux, dos à dos, Elle nous fait un savant bondage qui nous bloque ensemble, bras à bras, dos à dos. Allan approche un appareil que j’identifie comme un poste d’électro-simulation avec de nombreux branchements. Maîtresse Félina demande à Allan de nous installer une électrode sur nos bites et sur nos tétons. Elle s’installe au pupitre et lance la 5ème symphonie de Beethoven sur la sono de la pièce. Dès les premières notes, Elle envoie les décharges sur nos pauvres organes dans un mouvement de rotation qui nous fait sursauter à tour de rôle. L’intensité augmente proportionnellement à l’emballement de Maîtresse Félina porté par la musique. Son plaisir est palpable à la vue de nos tremblements et de nos cris. La sueur aidant, les décharges se propagent d’électrode en électrode, passant même d’un corps à l’autre. Nos cris écrivent les paroles sur la musiques et Seule Sa jouissance semble pouvoir arrêter Notre Maîtresse du jour. Nos bites, nos peaux se tendent et frémissent sous les impulsions de plus en plus continues dont l’intensité ne cesse de croitre. Maîtresse Félina nous arrache des gémissements de plus en plus aigus pour son plus grand plaisir. Elle finit par lâcher un cri de jouissance au bout d’une décharge intense qui s’arrête d’un coup au bord de la dernière note de la symphonie. A bout de résistance, nous sommes liquéfiés. Seul le bondage des cordes nous tient encore droit pendant que Maîtresse Félina exulte. Sur son ordre, Allan nous libère de nos cordes et des électrodes qui nous laissent une trace rougie sur la peau. Nous sommes complètement affalés au sol et Maîtresse Félina nous ordonne de ramper jusqu’à Ses Pieds pour La remercier et L’honorer. Elle joue encore un peu en se reculant dès que nous arrivons à Sa portée ; Elle en rit de bon cœur. Je ne suis pas le dernier et j’arrive à déposer quelques baisers sur Ses hauts talons. Elle apprécie mon empressement et me gratifie de quelques coups de cravache sur mes fesses qui les accueillent comme une friandise lancée à son chien pour avoir bien travaillé. J’articule un «Merci Maîtresse Félina» qui semble la satisfaire car je reçois de grands coups de cravache sur la plante de mes pieds qu’Elle a amenée à portée de mains. C’est douloureux. Je m’abstiens de crier car elle me l’a interdit par un ordre sec. Nous aurons tous droit à un traitement particulier qui nous arrachera quelques rictus supplémentaires de douleur. Cette séance a eu l’air de la satisfaire pleinement car Elle nous affuble chacun d’une queue de renard et d’un masque de chien. Marque de propriété, Elle nous met en laisse et nous attire vers la sortie. Nous sommes à quatre pattes légèrement en retrait, tenue en respect par sa cravache. Elle nous emmène à son rythme, sans précipitation. Sa sortie est si classe que Maîtresse Célia et Allan l’applaudissent avant qu’Elle ne disparaisse avec son équipage de toutous. PS. Il fallait une fin à cette fiction. Merci à Ma Maîtresse de m'avoir habilement suggéré de belles idées. J'ai cherché à les décrire au mieux pour La faire sourire ; Ai-je réussi ? :pray:
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Par : le 10/01/22
Amélie adore pratiquer les lavements internes sur ses soumises et soumis. Elle dispose de sa propre table d'examen gynécos, celles qui permettent de bien mettre les jambes en l'air et de ligoter pour garder sexes et anus bien ouverts. Elle adore se servir de grosses seringues pour injecter des lavements avec des mixtures de sa composition. Elle ne supporte pas une chatte ou un cul qui ne soit pas bien propres à l'intérieur. C'est une experte. Elle sait faire jouir de la sorte. On se bouscule pour venir se faire nettoyer bien profond. C'est sans risques car les mixtures d'Amélie sont douces, légèrement désinfectantes et lubrifiantes. C'est son secret, avec des plantes qu'elle va cueillir elle même. C'est une maniaque de l'hygiène. En ces temps de pandémie elle pratique aussi les lavements nasaux au pur jus de citron. Cela fait bien mal et ses soumis ou soumises adorent avoir mal. Aussi ils reviennent souvent. La morale de cette histoire c'est qu'il ne suffit pas de se laver la peau si l'intérieur est sale.
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Par : le 07/01/22
A défaut de pratiquer à nouveau et d'être en attente, voici ce qui m'est arrivé lors d'une soirée. Surement banal mais vécu intensément. Je suis aussi somme toute banal, agréable, début cinquantaine, comportement toujours correct. Jai des relations "vanilles" avec les femmes, bon amant, et parfois des fessées données et des exib imposées, car j aime dominer dans les ébats si la partenaire est demandeuse. Donc j arrive à une soirée, qui se dit libertine sans définir de limite ni de thèmes. Je connais l'hôte et la propriété est grande. De la musique, des femmes superbes, souriantes et accessibles, le tout dans la bonne humeur, une trentaine de personnes, une dizaines d hommes. Des couples s'embrassent, des femmes entres elles, quelques hommes aussi et du cuir dans une partie de la pièce principale. Je flâne dans cette partie et là je vois une femme plus jeune que moi, assise sur un fauteuil, en cuissarde, cravache à la ceinture, elle me regarde et me sourit. Je suis attiré comme un aimant. C est la première fois que j ai une érection à la simple vue d'une personne et j approche en sentant mes mains devenir moite. Je suis debout près d'elle, elle me regarde puis jette son regard sur ses pieds et me regarde à nouveau sans le sourire. J ai toujours été excité à l idée de ponctuellement me soumettre sans avoir osé passé à l acte. Je ne me sent plus maitre de moi et me jette à ces pieds, le sexe plus dur que jamais et mon palpitant qui bat des records. Une sensation nouvelle. Elle m ignore puis met sa main sur ma tête, s'approche de mon oreille et me dit "novice?". Je dit oui. Elle me dit qu'elle adore les novices, qu'elle est soft, dominante, humiliante, sexuelle et prend son pied à dresser les débutants. Elle m attire dans un coin plus intime en m amenant par les cheveux mais sans me faire mal, cela devant l assemblée qui regarde, et seule son amie qui était à coté d'elle nous suit. Je dois marcher à quatre pattes autour d'elle . Puis, elle me plaque contre le mur, me demande de me mettre nu et de cambrer mes fesses. Je reçois une fessée magistrale, je suis en érection nu face au mur et son amie s'est assise et à rapprocher la chaise près de moi. Puis elle me retourne et me cravache légèrement sur le corps et le sexe. Elle me retourne à nouveau, mets ses gants me masturbe. je sent que son amie mets du lubrifiant sur mon anus, elle aussi gantée. Elle me pénètre avec un, puis deux, puis trois doigts. Je n aurai jamais pensé aimé cela. Je vais imploser,exploser de désir. Je suis bien dilaté. Ma soumission dure depuis plus d'une heure, j'en suis sûr. Elle me retourne. Je dois me mettre à genou et lécher les pieds de son amie qui rit. Un jeune homme de leur connaissance arrive. Il embrasse son amie. Elle lui ôte son pantalon et son slip. Je ne suis pas Bi et n ai jamais eu ce genre de situation et je me demande inquiet mais excité ce qui va m arriver. Elle me relève et me branle, puis me demande de branler le jeune homme qui embrasse et caresse toujours son amie. C est la première fois que je touche une queue, je suis conquis par cette maitresse, douce, sensuelle mais perverse et autoritaire dominatrice. Je branle le jeune homme et je sent un sexe chaud entre mes mains. 10 minutes de râles, de cris étouffés, puis elle dit" laissez nous" et je me retrouve seul avec elle. Elle me gifle, me pince les tétons, se doigte et enfonce durement ses mains souillées et mouillées dans ma bouche. Elle me dit " j ai aimé, tu te branlera à l idée que j aurai pu te faire sucer la queue que tu as branlé, j aurai pu te travailler au god ceinture aussi". Elle me tire la tête en arrière par les cheveux et me gifle à plusieurs reprises, puis m emballe en m'écrasant le sexe. Elle me dit pour finir," tu repart nu avec tes habits à la main et te rhabille dehors". Ce que je fis, toujours en érection. Voilà, il était tard, plutôt tôt dans la matinée et je prenais mon service professionnel tôt. Je suis directement allé au travail, me suis branler dans la douche de service, douché puis pris mon service. La soumission n est pas un mode de vie pour moi, mais ponctuellement j ai pris un plaisir jamais égalé à ce jour, j ai branlé un mec, incroyable, et j attend comme jamais, de rencontrer à nouveau une femme aimant dominer pour revivre, poursuivre et découvrir. Je me suis branlé chaque soir pendant deux semaines revivant les scènes. De récrire mon aventure m' a excité, j'espère que vous prendrez plaisir à lire. Bien à vous.
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Par : le 03/01/22
Ma Maîtresse m’a fait un grand honneur. Elle me convoque à Ses Pieds pour ce réveillon façon Munch and Play. Elle m’annonce également un cadeau ; la pression monte d’un cran ! La place que m’accorde Ma Maîtresse est déjà un cadeau que j’apprécie à sa juste valeur alors qu’a-t-Elle pu imaginer de plus ? Le timing de Maîtresse est parfait. Elle me fait composer le code de la porte à pile 20 heures. Elle entre parfaitement à l’aise avec nos hôtes et les convives déjà présents. Il faut dire que la plupart sont les habitués des Munchs de l’année et que c’est un plaisir de se retrouver. C’est là que Ma Maîtresse m’annonce mon cadeau avec un grand sourire : "Rnby, pour ce dernier jour de l’année, je t’autorise à manger à table avec tous le monde" Pas de gamelle, de regards baissés, d’interdiction de parler, rien de ma condition de soumis …. Waouh, c’est un vrai cadeau ! Malgré ma petite liberté, je réussis à enchaîner les erreurs qui ont le don d’excéder Ma Maîtresse. J’ai un peu progressé, compris ma place et pourtant, je gaffe toujours beaucoup trop. Ma liberté du jour devrait me rassurer mais je suis complètement déstabilisé. Je met un temps fou à profiter du beau buffet préparé par nos hôtes. Assez parlé de mes états d’âme qui ne sont qu’accessoires. L’ambiance est détendue tout le long de cette première partie et les rires vont bon train. Pas de jugement, que du partage sans arrière pensée. Chaque convive apporte sa pierre à l’édifice de la convivialité. Il faut dire que c’est la première fois que je suis à hauteur des participants. Merci Maîtresse, par Votre bienveillance, de me faire participer à ces moments festifs. Je reste attentif aux besoins de Ma Maîtresse et je suis heureux de pouvoir lui donner satisfaction. La nuit s’avance et V-----, soumise enthousiaste, ne manque pas de chauffer l’ambiance par sa spontanéité. Aucun tabou et son sourire communicatif lance la soirée «jeux». Le temps s’accélère seulement interrompu par les cris, les jouissances… Il y aura des fessées, des cordes, des badines, des fouets, des aiguilles, des marques dans des scènes toutes plus passionnantes les unes que les autres. Ma Maîtresse a une présence toujours aussi impressionnante. Je redeviens son assistant l’espace de quelques jeux avant qu’Elle me rappelle à Ses Pieds pour la satisfaire. Elle prend une badine et me demande d’en choisir une autre ainsi que la zone du corps à fouetter. Elle choisira la sienne. Je dois présenter tour à tour la partie de mon corps qu’Elle me dicte pour recevoir les badines. C’est de plus en plus fort de plus en plus rapide. J’avais déjà repoussé mes limites à ce qui me paraissait être un butoir infranchissable mais Ma Maîtresse me pousse encore plus loin. Son Sadisme assumé la pousse à aller chercher Sa jouissance sur mon corps, au plus profond de mon âme. Rien ne saurait l’arrêter sur ce chemin et surtout pas mes peu convaincants «Pitié Maîtresse» qui se perdent sous les claquements des badines. Ses ordres font passer la douleur au second plan. Priorité au plaisir de Ma Maîtresse. L’environnement m’échappe, je suis exclusivement la chose de Ma Maîtresse. J’aime ressentir Son plaisir, Ses vibrations. Au bout du bout, Elle me console, des larmes ont mouillées mes yeux, Elle me fait rire et je quitte à regret son emprise. Cet épisode m’a fortement marqué aussi bien sur la peau que dans ma tête; Je suis Sa marionnette et je n’ai qu’un but, suivre Ses fils imaginaires qui me dirigent. Je ne suis plus moi, seulement Le prolongement de Ma Maîtresse. Le don de moi est largement dépassé. Elle est venue tout simplement prendre ce qui lui appartient. Il y aura encore beaucoup de moments intenses qui laisseront de beaux souvenirs dans toutes les têtes. La nuit s’est écoulée hors du temps et nous fêtons la nouvelle année au dessert. Je prépare deux assiettes des délicieux gâteaux de S----- que j’apporte à Ma Maîtresse. Nous sommes le premier jour de l’année et Son Sourire me ramène à ma place. C’est à terre, mes mains sous Ses Pieds, que je lape le dessert. Je retrouve cette place avec soulagement, indescriptible bonheur qui s’amplifie quand Ma Maîtresse me gratifie de Ses restes. J’ai apprécié Son cadeau car j’ai pu plus facilement échanger avec tout le monde. Et pourtant je reviens à la place que m’accorde généreusement Ma Maîtresse comme le plongeur en apnée qui viens reprendre sa respiration après une longue plongée. Je revis ! Ma Maîtresse décide de terminer ce beau réveillon. Saluer les invités m’est de nouveau interdit, C’est Ma Maîtresse qui s’en charge. V----- a quand même profité d’un moment d’inattention de Ma Maîtresse pour contourner l’interdiction dans un grand sourire ! Chut, surtout ne le répétez pas, hi, hi. La parenthèse est bien refermée. Je fini la soirée par une belle bêtise en regagnant la voiture. J’ai tellement honte que je vais la garder en moi pour qu’elle soit l’ortie qui viennent me rappeler mes obligations vis à vis de Ma Merveilleuse Maîtresse.
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Par : le 31/12/21
Madeleine 9 : Sidonie paye sa trahison et les derniers jouets sont dressés. Comment ça à vendre demande Hakim. Igor répond : Ce sont deux esclaves que j’ai acheté. Le plus intéressant c’est qu’ils n’ont jamais demandés à être transformés ainsi. Ils ont été bien dressés mais à la moindre occasion ils chercheront à s’enfuir. C’est pour ça qu’ils portent un collier en permanence. Celui-ci sonne s’ils sortent des zones où ils peuvent demeurer et s’ils s’éloignent trop le collier déclenche une alarme et électrocute le sissy qui ne peut plus bouger jusqu’à mon arrivée. Ils ont déjà essayé de se faire la belle et ils ont été sévèrement punis. Ils savent que la prochaine fois ils pourront dire adieu à leurs services trois pièces. Bien sûr le collier est offert en cas de vente. Ils ne vous intéressent plus demande Fred. Si mais j‘ai déjà une idée pour les remplacer et je ne voudrais pas avoir un trop gros harem sur les bras. En entendant la conversation Leo est consterné. Il va encore être vendu comme du bétail. Sa vie est un enfer. Il n’a pas tiré un coup depuis une éternité et se prend des bites en permanence. Il est affublé d’une paire de seins et d’une bouche de pute. Lui qui voyait en la femme une créature qui devait être dressée pour satisfaire les hommes est en plein dedans. Le pire c’est qu’il a l’impression que son macho de frère commence à prendre son rôle un peu trop au sérieux. Il n’aurait jamais du rencontrer cette Sidonie de malheur. Deux heures plus tard il a changé de propriétaire et appartient désormais à Hakim. Igor est content. Il a fait une belle plus-value avec les sissys même si ceux-ci lui donnaient entière satisfaction. Mais il a une petite idée pour les remplacer. Deux petits dealers font leurs affaires dans le quartier juste derrière un de ses entrepôts. Il les a déjà croisés. Ils ont à peine la vingtaine et ont des silhouettes plutôt androgynes. Il a fantasmé sur eux qu’il verrait bien comme esclaves. Son amie Brigitte semble être la bonne personne pour s’occuper du dressage. La première chose à faire c’est de les kidnapper. Il prévient Brigitte qui en parle à madeleine et Monique. Celles-ci ne sont pas chaudes au départ mais comme il s’agit de rayer de la circulation deux ordures elles se laissent convaincre. Le plus dur c’est le rapt. Comme ils sont dealers ils se méfient de tout. Cependant ils ont un point faible c’est le sexe car ils font des prix d’amis aux filles qui sont bien foutues et qui acceptent de faire une partie à trois avec les deux dealers. Les femmes orientent leur stratégie la dessus. L’appât sera Sidonie. Celle-ci sert toujours d’animal de compagnie à Anna qui ne la laisse pas tranquille. Maintenant Anna a décidé de promener Sidonie en laisse dans la maison et cette dernière passe le plus clair de son temps à quatre pattes derrière Anna. Celle-ci a en permanence un petite cravache et s’en sert avec ou sans raison sur Sidonie qui n’a pas le droit de se plaindre. Les deux énormes anneaux qu’Anna a trouvés pour les piercings de mamelons de Sidonie touchent le sol lorsque celle-ci déambule aux côtés d’Anna. Anna a trouvé un plug de bonne taille avec une queue de cheval et Sidonie le porte en permanence. Sa tête rasée en permanence est ornée de perruques ou reste nue au bon vouloir d’Anna. Cela fait deux mois que Sidonie n’a pas mis un seul vêtement. Lorsqu’elle est de voyage pour aller chez madeleine et Monique elle voyage dans le coffre de la voiture. Madeleine parle à Vanessa et Anna de son idée pour attirer les deux dealers. Anna est ravie. Sidonie va prendre des risques et ça fait kiffer Anna. Sidonie n’est pas chaude mais n’a pas le choix. Pour la première fois depuis deux mois Sidonie est habillée. En fait elle ne porte qu’une robe légère avec rien en dessous. Ses énormes seins semblent vouloir crever le tissu de la robe qui est une taille en dessous de ce qui conviendrai. Maquillée à outrance Sidonie fait vraiment pute et ça donne des idées à Anna pour la suite. Vanessa la dépose près de l’entrepôt d’Igor et Sidonie se dirige vers le point de deal. Elle est sifflée par les quelques zonards qui trainent dans le coin et les deux dealers en la voyant ont les yeux qui sortent des orbites. Elle se dirige vers eux et demande s’ils ont des choses valables. Après quelques secondes ils s’aperçoivent que c’est une fille facile qui semble ne pas avoir assez d’argent pour sa dose. L’un d’eux dit on peut s’arranger si tu n’as pas la thune. Dans sa tête il voit déjà la fille dans une cave pour lui rapporter du blé. Sidonie fait l’innocente. Si tu viens passer un peu de temps avec nous dans un coin derrière on peut te faire 50% ou plus si tu te débrouilles bien. Sidonie fait semblant d’hésiter et fini par accepter. Ils lui disent d’attendre dans le coin car ils terminent leur taf dans 10 mn. Sidonie va patienter et ils la hèlent quelques minutes plus tard. Elle les suit derrière l’entrepôt d’Igor et ils l’emmènent dans une fourgonnette stationnée là. Les trois pénètrent à l’arrière du véhicule. Et les garçons sautent sur Sidonie mais au lieu de la sauter ils la ligotent comme un saucisson heureux d’avoir trouvé une super pute à cave. Ils sortent pour passer à l’avant de la voiture et sont touchés en même temps par deux fléchettes en pleine poitrine. Ils se plaquent au sol et sortent deux calibres près à faire feu mais ils ne voient pas d’où sont venus les coups de feu. Depuis l’entrepôt d’Igor quelques mètres plus haut les femmes se sont reculées sur le toit où elles avaient une position idéale pour faire un tir parfait. Elles attendent quelques minutes et risquent u œil depuis le toit. Les deux dealers sont couchés aux pieds des portières de la fourgonnette. La suite est rapide. Madeleine et Monique chargent les deux dealers dans la voiture de Monique et Vanessa et Anna récupèrent Sidonie qui est encore sonnée. Igor referme les portes de son entrepôt et mets le feu à la fourgonnette. L’enfer commence pour les deux dealers. La première partie de leur transformation en jouets se passe avec Brigitte. Elle actionne son réseau et deux semaines plus tard elle livre les jouets à madeleine. Ceux-ci ont subis des transformations radicales. Ils ont été épilé de façon définitive tètes incluses. Ils ont subi une chirurgie esthétique bassin élargi, seins proéminents et visages adoucis. Ils sont affublés d’un maquillage permanent très évocateur et s’ils souriaient ils feraient des belles nanas. La chirurgie ne s’arrête pas là. Ils ont aussi eu une ablation des cordes vocales. Ils sont muets définitivement. Ils suivent aussi un régime adapté afin qu’ils restent particulièrement sveltes. Enfin leur prépuce a été ôté et ils arborent des glands percés et ornés d’anneaux qui sont identiques à ceux de leurs mamelons. Maintenant le travail psychologique va commencer. Pour sa part Sidonie est remontée d’un petit cran dans l’estime d’Anna. Malgré tout elle est toujours au service d’Anna. Elle dort toujours au pied du lit de sa maitresse. Lorsque le réveil d’Anna sonne Sidonie doit se lever, aller préparer le petit déjeuner d’Anna et revenir la réveiller complétement par des caresses buccales qui ne s’arrêtent que lorsqu’Anna le décide. Ensuite Sidonie met la robe de chambre et les pantoufles à Anna et la suit docilement jusqu’à la cuisine. Le petit déjeuner de Sidonie consiste à manger ce qu’Anna lui met directement dans la bouche. Pour le solide et le café passe directement de la bouche d’Anna à Sidonie. Une fois el petit déjeuner d’Anna terminé Sidonie l’accompagne jusqu’à la salle de bains et la frotte sous la douche. Invariablement ça se termine par un cunnilingus sou sa douche ou Sidonie à genou fait en sorte de faire jouir sa maitresse. Ensuite après avoir sécher Anna Sidonie doit l’habiller. Elle accompagne Anna jusqu’à la porte de la maison ou elle l’attendra le soir à genou la laisse dans les mains tendue en signe de soumission. Le dressage des deux dealers est difficile. Ils sont habitués à se droguer et la potion de madeleine doit être concentrée pour faire de l’effet. Néanmoins même si ça dure beaucoup plus longtemps que pour les autres jouets le dressage porte peu à peu ses fruits. Malgré tout il est nécessaire de les garder toujours fermement attachés. Lorsqu’Igor vient faite un point de situation avec les dresseuses et voit ses deux jouets. Il est conquis par leur beauté. Les deux jouets sont bien ligotés et portent un écarteur de mâchoire. Il est nécessaire de les fouetter durement pour qu’ils se mettent enfin à sucer le sexe de leur futur maitre. Mais ils se mettent à coopérer plus facilement lorsqu’Igor leur dit qu’il est prêt à les castrer s’il faut ça pour les rendre plus dociles. Après cette visite les deux jouets sont définitivement soumis. Ils réalisent tout ce qu’on leur demande et Kevin comme Jonathan sont mis à contribution pour fournir les organes masculins que doivent connaitre particulièrement bien les deux nouveaux jouets. La livraison des deux jouets à Igor se passe bien. Il décide de leur donner un nouveau prénom. L’un des deux s’appellera désormais Claudine et l’autre Charline. Comme ils sont quand même relativement dangereux Igor décide de les mettre cage sauf lorsqu’il a besoin d’eux. Les deux cages sont installées dans une pièce annexe du bureau d’Igor. Il les sort pour les attacher aux accoudoirs de son bureau lorsqu’il reçoit des hôtes de marque. Claudine et Charline sont toujours nus et font toujours un effet incroyable sur les visiteurs qui s’aperçoivent que les deux superbes femmes enchainées au bureau d’Igor arborent un sexe masculin en érection. Igor prenant bien soin de leur faire boire la potion de madeleine avant l’arrivée des visiteurs. Lorsque l’entretien entre Igor et les visiteurs de passe bien pour les affaires ces derniers ont le droit d’utiliser les jouets comme bon leur semble. Très peu refusent l’offre et Claudine et Charline se montrent toujours à la hauteur car désormais ils ont cessé de lutter et sont fait à l’idée de servir d’esclave bisexuel à vie. Pour finir, la punition de Sidonie durera une année pile avant qu’Anna ne lui rende sa liberté.
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Par : le 31/12/21
Chap 8 Sidonie efface une rivale mais payera les conséquences. La vente s’est bien passée. Brigitte assure que son mari et elle sont comblés par les jouets qui leur apportent un réel bonheur. Elle avoue que parfois le couple échange les jouets car ceux-ci sont très efficaces quelque soit ce qu’on leur ordonne. Sidonie, depuis qu’elle est rentrée chez elle, pense nuit et jour à Vanessa et à la relation de celle-ci avec Anna. Sidonie en ressent une grande jalousie envers Anna qui est le jouet indéfectible de Vanessa. Sidonie estime qu’elle ferait un meilleur jouet pour Vanessa et ronge son frein. La semaine passée à être dressée par Vanessa lui laisse un merveilleux souvenir. Un peu douloureux lors des piercings mais obéir à tous les ordres de Vanessa pour lui plaire était un vrai bonheur pour Sidonie. Elle a aimé être couchée aux pieds du lit de Vanessa, la servir dans une tenue de soubrette, la laver sous la douche et prendre son de son corps. Elle a particulièrement aimé être à genou près de Vanessa à lui lécher le sexe en présence des amies de Vanessa. Maintenant elle voudrait qu’Anna disparaisse afin qu’el prenne sa place. Elle sort avec Léo, un garçon macho qui est très directif et elle se console avec ça faute de servir de jouet à Vanessa. Un jour il l’invite chez lui. Il vit avec son frère plus âgé qui est encore plus dur que lui. Pour lui les femmes sont des objets qui ne sont là que pour servir les hommes sans poser de question. Bien sûr il n’a pas de petite amie car les rares qui l’ont côtoyés se sont sauvées rapidement devant son caractère. Ils vivent dans une grande maison. Leo lui fait visiter la maison et son frère les accompagne donnant des frissons à Sidonie surtout quand il s’agit de visiter la cave. Celle-ci est immense et forme une grande pièce sans ouverture vers l’extérieur sommairement aménagée. Le frère de Leo dit à Sidonie que s’il avait une femme sa place serait dans cette pièce ou elle passerait sa vie à assouvir les besoins des hommes de la maison. Leo rit et propose à Sidonie de devenir cette femme-là. Celle-ci commence à flipper et rit mais plutôt jaune. Puis alors qu’ils remontent au rez de chaussée une idée perverse lui vient. Et si je vous trouvais une telle femme vous me donneriez combien ? Les deux frères intéressés avancent un prix dérisoire et Sidonie leur dit qu’ils ne sont pas assez généreux pour qu’elle leur donne un tuyau. Les deux frères se concertent et ce coup-ci font une offre beaucoup plus alléchante. Sidonie leur dit alors. Le problème c’est qu’elle ne sera pas d’accord et qu’il faudra la garder de force. Les deux frères se rengorgent et lui disent que des qu’elle aura passé le seuil de la maison el en pourra plus sortir sans leur aval. Sidonie promet de leur montrer la photo d’une femme qui pourrait les intéresser. Trois jours après elle leur montre une des copies des photos réalisées par martine. Les deux frères sont comme fous et lui demandent ce qu’ils doivent faire. Elle leur répond d’attendre deux jours plus tard et qu’elle piégera la fille qui viendra sans se douter du piège mais qu’ils devront la maitriser une fois qu’elle sera là. Deux jours plus tard Sidonie attend Anna à la sortie de son travail. Elle lui dit que Vanessa a des problèmes avec un futur jouet et qu’il faut qu’elles aillent toutes les deux lui prêter main forte immédiatement. Anna craint pour Vanessa et suit Sidonie en voiture jusqu’à une maison isolée. Les deux femmes font le tour de la maison et ont chacune dans la main une seringue qui rassure Anna. La porte arrière est entrouverte et elles pénètrent dans l’arrière cuisine en silence. A peine entrées elles sont agressées par deux hommes qui les plaquent au sol. Anna utilise sa seringue mais celle-ci n’a aucun effet. Sidonie lui a donné une seringue vide. Rapidement Anna est ceinturée ligotée et un sac est posé sur sa tête. Elle est portée en bas en se demandant ce que devient Sidonie et dans quel état doit se trouver Vanessa. Sidonie se laisse plaquer au sol sans résistance. Elle joue le jeu pour qu’Anna ne voie pas qu’elle la conduit dans un traquenard. Le frère de Leo qui se charge d’elle joue bien son rôle et lui met un sac sur la tête comme pour Anna. Elle est portée en bas et se demande s’il n’en fait pas trop. Elle comprend qu’elle a aussi été piégée lorsqu’un collier se verrouille autour de son cou. Ses mains sont attachées par un zip derrière le dos et elle crie à travers le sac mais le son est étouffé. Elle est jetée par terre et se reçoit durement. On s’assoie sur elle et le sac est enlevé. Elle voit avec horreur le sourire satanique de Léo qui finit de déshabiller Anna qui est dans le même état que Sidonie avec un bâillon boule en plus. Le frère de Leo lui met le même bâillon et entreprend à son tour de la déshabiller. Une fois les deux filles nues chaque garçon se baisse son pantalon et viole la fille qu’il détient. Ils son hilares en voyant la tête désespérée d’Anna mais surtout de Sidonie. Une fois qu’ils ont terminés les garçons se reculent et les filles peuvent se relever. Leur collier est relié par une chaine à un anneau au mur et elles n’ont que quelques pas de liberté au sein de la pièce ou deux matelas ont été disposés. On vous laisse les filles on doit s’occuper de vos voitures et de vos téléphones. Vanessa en rentrant ne trouve pas Anna à l’attendre. Elle l’appelé au téléphone mais la ligne est occupée. Inquiète elle appelle madeleine et Monique qui ne l’ont as vues. Elle veut appeler Sidonie et martine mais elle tombe sur la messagerie de Sidonie et martine n’a aucune idée de l’endroit où se trouve Enna. Trois mois ont passés. Vanessa est toujours effondrée et le moral ne revient pas. Madeleine et Monique pensant qu’Anna s’était enfuie volontairement essayent de remonter le moral de Vanessa et de la brancher sur d’autres captures de jouets mais celle-ci n’a plus de gout à ça. Martine finit sa journée et se rend vers sa voiture. Au moment où elle quitte le parking ses yeux se posent sur le conducteur de la voiture et elle reconnait le petit ami de Sidonie qu’elle avait complétement oublié. Par acquis de conscience elle le suit discrètement. Il roule quelques minutes et se gare près d’une grande maison isolée. Elle se gare un peu plus loin et le regarde sortir de sa voiture. Quelque chose dans son attitude interpelle martine. Il jette un œil à droit à gauche comme s’il craignait d’être suivi. Elle note l’adresse et rentre chez elle. Elle en fait part à Vanessa par téléphone. Vanessa qui est toujours persuade qu’il est arrivé quelque chose à Anna se raccroche à ce petit espoir même si Anna ne connaissait pas ce type. Elle en parle à madeleine et Monique qui sont septiques mais qui acceptent de faire quelques planques avec elle. Au bout d’une semaine elles savent que la maison est occupée par deux hommes mais qu’il y en a toujours un qui reste à la maison quand l’autre sort. Cette attitude est suspecte et elles décident de pénétrer dans la maison quand il n’y aura qu’un individu. Deux jours plus tard Vanessa sonne à la porte de la maison. L’un des individus est parti et il ne doit en rester qu’un dans la maison. Celui-ci finit par arriver, entrouvre la porte et d’une voix peu loquace demande ce qui se passe. Vanessa lui dit qu’elle a percuté une voiture devant la maison et demande si c’est la sienne pour faire un constat. Elle montre la voiture de l’homme qui se met à gueuler en la traitant de connasse. Elle fait front, s’excuse et lui demande de venir pour le constat ou éventuellement le prix du dédommagement qu’elle pourrait lui donner pour l’éraflure. En colère il se décide quand même à sortir de la maison et se diriger vers la voiture. Il y a une éraflure sur l’arrière de la voiture. Il râle et exige 200€ pour le dédommagement car il ne veut pas de constat. Vanessa lui demande de l’attendre une minute le temps qu’elle aille chercher la somme dans sa propre voiture garée à quelques mètres. Pendant ce temps madeleine et Monique cassent une vitre de la porte arrière et pénètrent dans la maison. Elles font fissa. L’une grimpe à l’étage et l’autre descend à la cave. Bingo. Une porte de la cave est blindée et verrouillée avec une grosse serrure de sécurité. Le cœur battant madeleine appelé en espérant être entendue. Sidonie Anna vous êtes là ? Un faible cri se fait entendre. Elle colle son oreille à la porte et recommence l’appel elle entend clairement la réponse. Oui on est prisonnières de deux malades fait attention à toi. Madeleine leur dit de tenir encore un peu et remonte rapidement rejoindre Monique. Les deux femmes vont jusqu’à l’entrée de la maison et se dissimulent comme elles peuvent et attendent l’homme chacune avec une seringue dans une main et un tazer dans l’autre. L’homme a failli gifler Vanessa quand elle lui a remis l’argent. Il retourne en vociférant vers la maison. Le téléphone de Vanessa bip. Un simple texto qui dit « Bingo ». Elle reste sur place et suit des yeux l’homme qui pénètre dans la maison. Quelques secondes plus tard un autre texto. « Ok tu peux venir ». Elle se précipite et entre dans la maison ou les deux femmes finissent de ligoter un homme inconscient. Elles sont là toutes les deux dit madeleine. A la cave. Vanessa se précipite et tombe sur la porte blindée qu’elle essaye d’ouvrir en vain. Monique et madeleine la rejoignent et lui tendent une clé. Tu y arriveras mieux avec ça. Une fois la porte ouverte elles voient avec rage Anna et Sidonie amaigries crasseuses l’air abattu qui les regardent avec crainte et espoir. Elles sont attachées au mur par des chaines reliées à des colliers. Les femmes les prennent dans les bras et s’acharnent pour les libérer. Impossible sans les clés. Elles retournent en haut et descendent l’homme qui est ligoté comme un saucisson. Après une volée de coups non retenus il finit par dire ou sont les clés et les filles son libérées. Vanessa veut tuer l’homme mais madeleine la retient. On va se venger autrement. Pour l’instant il faut préparer un piège pour le retour du deuxième. Lorsque Leo rentre chez lui il est étonné de ne pas voir son frère. Il se dit qu’il doit sauter une des poufs du bas. Il descend tranquillement et effectivement la porte est entrouverte et une des deux filles gémit avec force. Désirant se mêler à l’orgie il entre dans la pièce et tombe sur trois furies qui le tazent et lui administrent une piqure. Quelques minutes plus tard il est ligoté à côté de son frère. Madeleine qui garde son sang-froid organise le transport des deux hommes dans le coffre d’une des deux voitures qu’elles ont prises et la remontée des deux ex prisonnières. Une demi-heure plus tard tout le monde se retrouve chez Vanessa. Rapidement les femmes comprennent la traitrise de Sidonie qui se fait toute petite. Madeleine dit alors. He bien on a trois jouets à dresser très durement et on les vendra. Je pense que c’est tout ce qu’ils méritent. Tout le monde est d’accord. Sidonie est effondrée. Les deux frères subissent un dressage particulièrement difficile. Ils passent le plus clair de leur temps dans une cage exiguë qui les force à se serrer l’un contre l’autre en permanence. Is son installés en 69 et Comme ils sont abreuvés à la potion de madeleine ils sont toujours en érection. Malgré le dégout initial ils passent une partie du temps à se sucer l’un l’autre. Ils ne peuvent recracher le sperme car alors les coups de fouets pleuvent. L’autre partie du temps ils sont dressés comme les jouets précédents et sont piercés partout où c’est possible. Sidonie pour sa part n’a pas droit à la cage mais lorsqu’elle n’est pas en atelier de dressage elle doit suivre à quatre pattes Anna ou que celle-ci aille et dès qu’Anna s’arrête Sidonie doit lui lécher les pieds ou ailleurs si Anna lui ordonne. Anna garde une dent contre Sidonie et se demande si elle ne la garderait pas comme chienne plutôt que de la revendre. Les autres femmes lui laissent le champ libre avec Sidonie et selon les désirs d’Anna Sidonie a la tête rasée en permanence. Elle met des perruques différentes aux gouts d’Anna. Après deux mois de dressage les deux jouets males sont présentés à Brigitte. Sidonie souffle car Anna n’a pas souhaiter la vendre. Pour remercier Anna de ce geste Sidonie doit subir une énorme augmentation mammaire. D’un 90C initial, progressivement, à la suite de trois opérations elle est passée à un 130D. Ses énormes seins la forcent, quand elle en a le droit à marcher en rejetant les épaules en arrière pour ne pas être déséquilibrée ce qui les rend encore plus impressionnants. Brigitte veut acheter les deux jouets mais elle a une commande spéciale. Il s’agit de lui fournir deux sissys bien dressées. Elle propose aux filles de prendre les jouets une semaine, le temps de leur faire subir un peu de chirurgie puis de les ramener pour le dressage en sissy accompagné d’un traitement hormonal. Madeleine Monique et Vanessa acceptent le deal car le prix est conséquent et leur vengeance sur les deux frères pourra continuer encore un peu. Deux semaines plus tard les deux jouets sont ramenés par Brigitte. Ils ont subi une épilation définitive totale cheveux inclus et une chirurgie de la face qui adouci leurs traits adoucit le nez et gonfle exagérément les lèvres. Le plus important se situe au niveau de la poitrine ou ils affichent chacun un bonnet C qui d’après Brigitte passera à D ou E après traitement hormonal. Les deux frères sont désespérés. Les trois filles les mettent sur des croix de saint André pour examiner avec attention les modifications. Le sexe n’a pas été touché. Puisqu’ils sont destinés à devenir des sissys, les femmes leurs posent chacun une cage de chasteté scellée définitivement. Ils n’auront plus le droit de se servir de leurs bites. Et pour les entrainer à leur futur quotidien ils sont plugués en permanence et tous les trois jours la taille du plug augmente afin qu’ils puissent recevoir tout calibre sans rechigner. C’est la fête pour Kevin et Jonathan qui sont mis à contribution pour visiter les orifices des apprentis sissys. Au moins une fois par jour chacun des frères est pris simultanément dans la bouche et dans le cul par les deux jouets males qui s’en donnent à cœur joie. Les deux sissys doivent être près en permanence à s’occuper de la moindre queue qui passe à leur portée. Ils sont entrainés pour cela. L’un des jeux favoris d’Anna est de les mettre à genou les mains menottées dans le dos et un bandeau sur les yeux. Kevin ou Jonathan passe au milieu d’eux et les touche en même temps. Dès que le sissy sent le contact il doit se jeter sur sa queue et la prendre à pleine bouche. Celui qui arrive deuxième est sévèrement réprimander par des coups de fouets. Au bout de quelques jours de mise en condition ils deviennent habiles et, n’aillant plus aucune dignité, ils gobent immédiatement et sans hésiter la moindre queue qui passe. C’est le jeu favori de Kevin et Jonathan. Brigitte prévient les femmes que l’acheteur potentiel des sissys passera voir ou en est le dressage chez madeleine. Lorsque celui-ci arrive il trouve les deux sissys à genou dans le salon les mains menottées dans le dos maquillés à outrance et attendant sagement qu’on leur donne des ordres. En le voyant l’acheteur est pris d’une érection massive. Madeleine lui propose d’ouvrir son pantalon et des qu’il a le sexe sorti les deux sissys rivalisent de vitesse pour venir lui donner une somptueuse fellation. Il se fait sucer alternativement par l’un et l’autre et leur dit de se mettre en position pour l’autre orifice. Les deux sissys se retournent et baissent la tête en relevant la croupe. L’acheteur touche les cages de chasteté et voit qu’elles ne peuvent plus s’ouvrir sauf à utiliser une scie. Ça lui convient parfaitement car les sissys ne devront que s’occuper du plaisir des autres sans qu’eux puissent jouir. L’acheteur, après avoir bien testé les culs, ressort extrêmement satisfait de sa visite. Quelques jours plus tard les deux sissys jouets sont emmenés vers de nouveaux horizons. Les deux frères macho sont désespérés car ils savent que leur destinée est tout autre que ce qu’ils avaient imaginés. Sidonie n’a pas repris le travail et vit désormais comme jouet au domicile de Vanessa. Lorsque martine est appelée pour une séance photo elle a la surprise de reconnaitre Sidonie dans la femme blonde platine aux énormes seins et couverte de piercings. Sidonie n’a pas le droit de parler et martine ne saura jamais si Sidonie est là volontairement ou pas. La vie de Vanessa et Anna a repris un cours normal et elles filent le parfait amour avec leur deux jouets, Jonathan et Sidonie qui leurs sont entièrement soumis. Madeleine et Monique cessent le dressage et la revente de jouets mais gardent précieusement Kevin et Magalie à leur botte. Fin. Pour info : La nouvelle vie des sissys Hakim et Fred sont invités chez Igor celui a dit à Hakim qu’il avait des surprises à leur montrer qui valaient le coup. Hakim et Fred sont des riches importateurs de produits exotiques et font souvent affaire avec Igor. Ces derniers temps ils ont un peu délaissé Igor et certainement qu’il veut leur faire passer une soirée avec des putes le truc traditionnel pour renouer les liens. Ils se rendent néanmoins à la demeure d’Igor même si les putes ne sont pas leur truc préféré. Il faut quand même garder de liens avec Igor on ne sait jamais comment marcheront les affaires. Ils sont reçus par Igor et pénètrent dans la salle de réception ou deux femmes voilées attendent de chaque côté du fauteuil d’Igor. Celui-ci ne les présente pas mais offre du champagne aux deux invités qui s’assoient dans un vaste canapé. Les deux femmes n’ont pas bougé d’un poil. Elles sont grandes ont une belle paire de sein mais leur visage et une grande partie de leur corps est masquée par des voiles. Is trinquent puis Igor tape dans ses mains et une musique orientale envahit la salle. Dès les premières mesures les femmes bougent et ondulant du postérieur vont se mettre à trois mètres face aux invités et commencent une danse du ventre très suggestive. Les deux hommes regardent d’un air distrait les femmes qui enlèvent le voile qui recouvre leurs seins. Elles ont des beaux seins bien fermes qui sont certainement siliconés. Bien que normalement pas intéressés les deux hommes sont un peu hypnotisés par ces femmes qui ont quelque chose d’inhabituel sans qu’on puisse dire quoi. L’effeuillage continu et les ventres plats des femmes ondulent maintenant face aux hommes. Les foulards cachant les visages s’envolent et il ne reste plus qu’un voile sur les hanches des femmes qui extrêmement maquillées on toujours quelque chose qui intrigue les deux hommes. Soudain en même temps elles ôtent leurs derniers voiles et les deux hommes voient qu’en fait ce sont des hommes ou plutôt des sissys avec une cage de chasteté. Elles continuent à danser en se rapprochant des deux hommes. Là ceux-ci sont subjugués et leur imagination commence à les travailler et à les faire bander. Les femmes sont à moins d’un mètre et se mettent à genou face aux hommes qui ne peuvent plus cacher leur érection. Igor a fait mouche. Il s’est discrètement éclipsé quand les femmes se sont mises à genou. Celles-ci tendent les mains et entreprennent d’ôter les ceintures de deux hommes qui abasourdis ne bougent plus. Les deux pénis gonflés sont mis à l’air libre et les deux sissys entament simultanément une fellation. Hakim est le premier à reprendre ses esprits et il pelote avec vigueur la sissy qui le suce avec un talent incroyable. Il doit repousser son visage pour ne pas jouir. Il la retourne et elle se met tout de suite en position de soumission avec la croupe levée. Un plug verrouille son cul. Hakim retire le plug et plonge sa bite dans le cul ouvert et lubrifié. Il se met à genou derrière la sissy et lui attrape un sein d’une main et le sexe encagé dans l’autre. Fred s’est aussi mis à l’ouvrage et perfore l’autre sissy. Experts, les sissys devinent le moment ou le male va jouir et se retirent juste avant pour kuî faire reprendre son souffle. Hakim et Fred pilotent tâtent sodomisent et se font sucer par les deux sissys. Ils changent à un moment de partenaires et finissent par jouir dans un orgasme intense. Les deux sissys se lèvent alors et disparaissent de la pièce. Hakim et Fred se rhabillent et quelque minutes plus star Igor tout sourire rentre dans la pièce. Il dit j’espère que le spectacle vous a plus. Il s’assoit sur son fauteuil et ressert du champagne frais aux deux hommes. Ceux-ci ne savent pas quoi dire. Ils sont encore en train de fantasmer sur les sissys. Ceux-ci reviennent ils sont nus et ont les mains menottées dans le dos. Ils se mettent chacun à genou de chaque coté du fauteuil et Igor fixe une chainette accrochée au bras du fauteuil au collier que portent les deux sissys. Ceux-ci baissent la tête jusqu’au sol et restent figés dans la position. La discussion commence sur les affaires et Hakim et Fred lâchent beaucoup de lest en promettant de nombreuses associations avec Igor. Celui-ci est satisfait. Il fait relever les deux sissys qui jettent leurs épaules en arrière pour faire ressortir leur poitrine et leur cage de chasteté. Les deux hommes ont du mal à avaler leur salive. Igor désigne les deux sissys et dit : ils sont beaux n’est-ce pas. Si vous êtes intéressés ils sont à vendre. Fin ?
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Par : le 31/12/21
Chap 7 trois nouveaux jouets sont dressés pour être revendus. Avant que Vanessa ne soit libérée par madeleine celle-ci se demandait comment la revendre car elle n’était pas certaine de la garder. Une des clientes de la pharmacie de madeleine, Brigitte, est une femme mure d’origine incertaine qui est particulièrement loquace sur le sexe et qui se plaint souvent en aparté avec madeleine de ne pas avoir comme au Pays la possibilité d’acheter et de posséder des esclaves. Madeleine fait semblant d’être offusquée mais la femme lui rétorque que ce serait surtout pour que son mari insatiable la laisse un peu tranquille mais qu’elle-même ne cracherait pas sur un male bien monté entièrement à sa merci. Madeleine la corrige en lui disant ce n’est pas d’un esclave que vous avez besoin c’est d’un jouet sexuel. Brigitte acquiesce et lui dit qu’elle serait prête à payer cher pour un tel jouet. Elles en rigolent mais madeleine lui dit en passant si je trouve un tel jouet je vous en parlerais en premier. Elle pense à Vanessa qui désormais a rejoint le cheptel. Brigitte lui dit qu’elle est prête à payer un chiffre avec cinq zéros. Madeleine est estomaquée. Un tel prix ça fait réfléchir. Quelque temps plus tard Brigitte se présente à la pharmacie et discute avec madeleine en lui demandant si elle a trouvé un jouet pour elle. Madeleine lui dit qu’elle a peut-être une piste. Brigitte est immédiatement intéressée. Finalement madeleine décide d’inviter Brigitte chez elle pour lui montrer ses jouets. Brigitte croit au gag mais accepte l’invitation. Le samedi soir Brigitte sonne chez madeleine qui va lui ouvrir. Elles se rendent dans le salon ou Monique les attends. Brigitte jette des regards partout en cherchant des indices mais rien ne parait. Elle finit par demander où se trouve la fameuse piste de madeleine pour acheter un jouet sexuel. Madeleine et Monique sont évasives mais elles font comprendre à Brigitte que la piste est sérieuse. Vanessa ayant été finalement libérée par les deux femmes celles-ci ne pensent plus à Brigitte jusqu’au jour où celle-ci frappe à leur porte. Brigitte est venue avec un énorme sac à main l’ouvre et sort une énorme liasse. Il y a 10000 € Elle dit ceci pour vous prouver que je suis bien à la recherche d’un jouet et je peux rajouter dix liasses identiques si le jouet vaut le coup. Madeleine et Monique se concertent et finalement invitent Brigitte à les suivre. Elles se rendent dans la pièce des jouets. Les deux jouets sont ligotés sur une croix de saint André avec une cagoule sur la tête. Brigitte et ébahie mais reprend rapidement ses esprits. Ils sont magnifiques. Ils sont à vous ? Madeleine et Monique acquiescent. Voua pouvez m’en dire plus demande Brigitte. Non dit madeleine. Ce qu’on peut vous dire c’est qu’ils sont rusés et cherchent à s’évader à la première occasion. Pas de problème pour ça dit Brigitte notre maison est une véritable forteresse et une fois entré il ne pourra plus en sortir sans mon autorisation. Et vous pouvez en faire ce que vous voulez demande Brigitte. Tout ce qu’on veut répond Monique en frôlant Kevin ce qui le fait immédiatement bander à la grande satisfaction de Brigitte. Ils sont toujours prêts sexuellement et on peut les positionner comme on veut sous réserve de bien veiller à ne leur laisser aucune chance de se libérer. Joignant le geste la parole madeleine et Monique détachent Kevin et le font mettre sur le dos couché sur la table basse. Son bâillon est enlevé et sa bouche et son sexe tendu sont exposés et utilisables à loisir. Il est très endurant et repart rapidement après coup déclare madeleine. Puis elles détachent Magalie et la font mettre à genoux face à Brigitte qui est assise sur le canapé. Elle est docile et sa langue et sa bouche sont démoniaques. Brigitte est toute tourneboulée mais n’ose pas en profiter devant Monique et madeleine. Celles-ci font alors chevaucher Kevin par Magalie. Les deux jouets ne demandent pas mieux et un véritable rodéo se déroule devant Brigitte qui a les yeux brillants. Je vous en offre 80000€. Madeleine et Monique répondent que ces deux-là ne sont pas à vendre mais qu’elles pourraient prendre une commande au cas où à condition d’être sure que les jouets seront bien traités. Brigitte leur assure qu’elle achètera des jouets comme ceux-là mâle ou femelle. Et que madeleine et Monique pourront à tout moment venir voir les conditions de vie des jouets. Le deal est conclu. Les 10000€ changent de main pour la commande. Maintenant que le command est prise madeleine et Monique sont dans le pétrin elles avaient un jouet en rab avec Vanessa mais maintenant elles n’ont plus que Kevin et Magalie qu’elles veulent conserver. Vanessa les a d’ailleurs invitées pour leur montrer sa toys room. Vanessa leur a dit qu’elle vivait le parfait amour avec Anna et qu’elles avaient désormais une grande maison avec une pièce réservée aux jouets. Elle les a invités pour visiter la pièce. Madeleine et Monique désirent en profiter pour y emmener les jouets pour voir leur comportement à l’extérieur. Ce matin-là les jouets ont juste les mains menottées dans le dos et un collier anti aboiement. Ils voyagent allongés dans le break de Monique dont les sièges arrière ont été rabaissés. Les jouets sont calmes mais madeleine et Monique ont toutes les deux une seringue au cas où. Arrivés chez Vanessa les jouets suivent docilement leurs maitresses et Vanessa accueille tout le petit monde. Anna n’est pas là pour les accueillir mais les deux femmes ne sont qu’à moitié étonnées. Vanessa les invite à la suivre pour visiter la pièce. Les deux femmes sont épatées de voir les photos grandeur nature d’Anna qui habillent les murs de la pièce. Certaines sont en couleur et d’autres en noir et blanc. Le rendu est formidable et Vanessa jubile en voyant le regard envieux et les compliments dithyrambiques des deux femmes. Anna qui est accrochée à la croix de saint André est dépitée. Elle porte comme à chaque fois qu’elle pénètre dans cette pièce son bandeau et n’a toujours pas pu voir la pièce et encore moins les photos qui font la fierté de Vanessa. Elle enrage et les compliments accompagnés de caresses de madeleine et Monique la désespèrent. Enfin Vanessa est heureuse c’est déjà ça. Madeleine et Monique enlèvent les gabardines qui sont sur les épaules des jouets et cachaient leurs nudités. Ils regardent avec attention les photos et Kevin commence à bander rapidement. Les deux jouets sont mis à genou près du canapé et les trois femmes peuvent faire le tour de la pièce tranquillement. Madeleine et Monique demandent qui a fait les photos et Vanessa raconte la soirée shooting et propose de demander à martine si elle veut en refaire avec les jouets. Les deux femmes sont ravies et plus encore lorsque martine répond favorablement en indiquant qu’elle pourra passer un soir sans problème. Le reste de la journée se passe dans de bonnes conditions. Les trois jouets sont mis dans diverses positions en vue d’une future séance photo et la température monte rapidement. Après quelques débauches ou les jouets sont mis à contribution les trois femmes se retrouvent côte à côte sur le canapé avec chacune un jouet pour s’occuper de son entrejambe. Puis madeleine aborde le sujet de Brigitte. Vanessa comprend qu’elle a échappée à la vente à une inconnue et remercie en aparté Anna qui lui a donné l’occasion de se racheter auprès des deux femmes. Elle leur dit qu’il faudrait capturer des garçons ou des filles et les dresser comme pour Kevin et Magalie. Elle ne parle pas d’Anna qui a accepté sa situation en connaissance de cause. Capturer des jouets n’est pas facile il faudrait qu’ils soient mignons, qu’ils viennent dans la maison sans que personne ne le sache et qu’il n’y a pas de monde qui les recherchent en cas de disparition. Elles pensent à Kevin mais il faudrait un miracle pour que ce genre de situation se reproduise. Elles pensent alors à Magalie que personne n’a recherchée et qui est venue de son plein gré chez Monique. C’est de se coté là qu’elles cherchent. Finalement Vanessa dit que dans la grande ville d’à côté il y a pas mal de sans-abris jeunes qui squattent un quartier à l’abandon. Peut-être qu’il y aurait des ouvertures de ce coté-là. Ce soir-là les trois femmes se quittent en décidant de vérifier cette piste. Quelques jours plus tard Vanessa et Anna se promènent dans le quartier à l’abandon. Effectivement il y a pas mal de zonards et parmi les nombreuses épaves humaines il y a des jeunes qui ont l’air dans la rue depuis peu. A un feu rouge un jeune zonard fait la manche. Il est pas mal malgré la crasse et il tend sa main pour quelques pièces. Vanessa engage la conversation il s’appelé Rodolphe et a été viré de chez lui par un père ivrogne qui n’a pas supporté que son fils abandonne l’école et devienne un petit délinquant. Rodolphe a les yeux fixés sur Anna qui est vêtue du strict minimum et lui sourit poliment. Vanessa demande à Rodolphe s’il a des amis et des contacts avec sa famille dans les deux cas la réponse est négative. Il tend la porte de la voiture comme un naufragé tient une planche flottante. Vanessa joue la bonne samaritaine et lui dit que chez elle il y a des habits en bon état venant de son père décédé et que si Rodolphe veut il peut venir les voir et en même temps les filles lui paieront un bon repas. Quelques secondes plus tard Rodolphe est assis sur la banquette arrière certain que sa bonne étoile l’a enfin aidé. Lorsqu’elles arrivent à la maison Vanessa et Anna font entrer discrètement Rodolphe et lui proposent de commencer par un encas. Il est aux anges et mange avec avidité ce qu’elles lui présentent, d’autant plus qu’il y a de la bière en quantité pour faire passer ça. Il ignore que Vanessa a soigneusement mis la dose de produit que lui a donné madeleine. () Vanessa excitée veut repartir en chasse. Elles reprennent la voiture et errent dans le quartier. En vain. Au moment où elles vont repartir bredouilles elles tombent sur un couple du genre punk à chien très jeune qui les hèle dans leur voiture de bourges. Vanessa s’arrête et engage la conversation. Rapidement les deux jeunes persuadés qu’il y a de la thune à se faire montent dans la voiture et sont emmenés chez Vanessa. Là pas question de manger mais ils ne crachent pas sur de l’alcool et vident le bar de Vanessa. Très excités Ils deviennent agressifs et Vanessa à toutes les peines du monde à les calmer mais ceux-ci veulent faire main basse sur les choses de valeur de la maison. Au moment où ils vont en venir aux mains Anna et Vanessa font usage des seringues que madeleine leur a donné en cas de problème. Le couple en rage se calme en quelque secondes et Vanessa et Anna les emmènent dans la toys room afin de les préparer à la suite des opérations. Anna peut enfin voir l’intérieur de la toys room et est ébahie des photos qui parsèment les murs de la pièce. Si l’heure n’était pas au travail elle sauterait au cou de Vanessa. Enfin les trois nouveaux jouets sont solidement attachés nus comme des vers. Vanessa jubile. Elle a décidé de garder un jouet male pour elle et de revendre les deux autres à madeleine et Monique. Le choix n’est pas évident entre les deux garçons qui ont à peu près le même age et sont crasseux et trop poilus. Finalement elle se dit qu’elle va attendre de les voir propres et imberbes. Emilie a ressenti la piqure au moment où elle donnait une baffe à l’une de filles qui ont eu la mauvaise idée de les faire entrer dans la maison. Elle a bien l’intention de leur mettre une raclée et de piquer tout ce qui peut de revendre facilement. Jonathan s’est rué sur l’autre fille. Ça ne devrait pas être compliqué. Puis une espèce de brouillard commence à la gêner. Ses gestes ont l’air ralentis et la fille la regarde d’un drôle d’air. Puis ses jambes ne la soutiennent plus et elle tombe comme une feuille. En tombant elle peut voir que Jonathan titube en tenant l’autre fille. Puis elle est par terre bien consciente mais incapable de faire le moindre geste. La fille qu’elle a frappé la regarde intensément. Puis la fille commence à la déshabiller entièrement. C’est quoi cette gouine se dit-elle. La fille s’éloigne et revient quelques temps après avec un sac. Elle sort du sac des menottes et d’autres accessoires bizarres. En quelques instants Emilie est ligotée comme un saucisson. La fille lui met un collier pour chien et un bâillon dans la bouche. Puis une cagoule qui la rend aveugle. Elle ressent une deuxième piqure. Peu à peu elle redevient maitresse de son corps. Malheureusement elle ne peut pas bouger. Elle insulte la fille mais au premier mot une puissante décharge la secoue. On dirait que ça vient du collier. Elle veut recommencer à crier mais de nouveau elle reçoit une puissante décharge. Elle comprend qu’il doit s’agir d’un collier anti aboiement comme sa mère mettait à ses chiens. Elle retente une fois mais le résultat est le même. Elle est à moitié groggy. Elle décide de taire et d’attendre tout en essayant de se défaire de ses liens. Elle se dit que les filles ont dû appeler les flics et que ces derniers ne vont plus tarder. Les flics semblent tarder. Emilie commence à trouver ça bizarre. Elle commence même à craindre un peu. Elle ressent un contact sur elle. On est en train de libérer ses jambes. Enfin. Elle est relevée et se tient debout sans savoir où elle est et avec les mains menottées dans le dos. Le collier la tire en avant. Il doit y avoir une laisse ou un truc comme ça. Elle se bloque et refuse d’avancer. Un coup de martinet la surprend. Elle reste figée un deuxième coup plus appuyé la fait sursauter et elle sent les larmes lui venir. Un troisième coup. Ce coup-ci vaincue elle avance. Les filles lui paieront ça quand elle sera libre. Elle est arrêtée sur du carrelage. Soudain une pluie d’eau froide lui tombe dessus. Elle crie de surprise mais prend une décharge par le collier. Elle se tient coite. L’eau se réchauffe un peu et elle sent des mains la savonner entièrement. La douche dure cinq bonnes minutes et elle est allongée à même le carrelage. Elle sent une odeur bizarre. Une crème lui est appliquée sur les jambes et sur le pubis. Elle se rappelle de l’odeur c’est de la crème dépilatoire. Une demi-heure plus tard elle sent que sa chatte et son cul son entièrement glabres. Elle est relevée et de nouveau la laisse la tire en avant. Elle suit ne voulant pas recevoir de coups de martinet. Après un petit déplacement elle est reculée contre une espèce de poutre en bois. Puis elle est ligotée en croix sur la poutre ou plutôt les deux poutres qui se croisent. Elle panique. Elle est tombée chez des sataniques qui vont la sacrifier. Puis elle se retrouve seule pendant quelques temps. Des pas se font entendre et quelqu’un passe près d’elle elle a juste le temps d’entraide un cri vite ravalé à ses côtés. Elle se dit que c’est Jonathan qui subit le même sort qu’elle. Vanessa et Anna ont enfin terminé le récurage et l’épilation des trois jouets. La fille est sur la croix de saint André et les deux garçons accrochés à des anneaux fixés au plafond. Des barres d’écartement leur maintiennent les jambes grand ouvertes et ils ont chacun un chocking bien serré qui sépare bien le sexe du corps. Satisfaite Vanessa va appeler madeleine pour lui dire que la marchandise est prête. Elle veut se garder un male et comme ils sont à peu près pareil elle décide de leur faire boire de la potion de madeleine pour voir lequel à la plus belle érection. Les garçons essayent de ne pas boire mais avec le nez pincé ils sont obligés d’ingurgiter le liquide. Vanessa en profite pour faire boire la potion pour femme à Emilie. Une demi-heure après les deux garçons bandent comme des taureaux. C’est difficile de choisir. Ils semblent un peu moins bien montés que Kevin mais c’est quand même pas mal. Elle veut tester leur endurance et dit à Anna de les sucer pour voir ce que ça donne. Anna n’est pas chaude mais ne refuse rien à Vanessa. Lorsque madeleine et Monique débarquent les deux garçons ont déjà giclé deux fois et ils recommencent à bander. Rodolphe ne comprends pas ce qui lui arrive. Il passait un super moment avec deux canons et maintenant il est ligoté comme un saucisson nu à priori lavé et épilé et il est accroché au plafond. Cerise sur le gâteau on lui a fait boire un truc qui le fait bander sans arrêt et on le suce super bien. C’est moitié l’enfer moitié le paradis. Le pire c’est qu’aucune parole n’a été prononcée depuis qu’il s’est réveillé. Le silence est soudainement rompu. Voilà le travail dit Vanessa. Trois d’un coup. Deux sont pour vous la fille et un garçon. Moi je me garde celui-là. Madeleine et Monique sont épatées. Les trois jeunes sont beaux et visiblement les garçons sont en pleine forme. Vanessa les a bien attaché et ils ne peuvent ni parler ni voir ce qui se passe. Madeleine prend la parole. Bon on va les dresser ici comme prévu. Il faudra faire très attention car il y en a trois et ils vont tenter de s’échapper. Les trois nouveaux jouets écoutent avec attention ces paroles et commencent à flipper. Apparemment c’est d’eux dont on parle. Tu leur as mis un collier c’est impeccable. Ils ne vont pas nous casser les oreilles et il faut qu’ils comprennent que désormais ils n’ont plus besoin de parler. Ils ont juste besoin d’exécuter sans rechigner tous nos ordres. Les trois jouets ruent dans leurs liens en signe de protestation. Vanessa Monique et madeleine prennent chacune un martinet et s’en servent pour calmer les ardeurs des jouets. Après une douzaine de coups chacun ils finissent par se tenir cois. Bien on peut commencer dit madeleine. On va déjà voir si la fille suce bien. Elle a bu ? demande-t-elle à Vanessa. Oui elle a pris une bonne dose. Répond celle-ci. Quelques minutes plus tard Emilie est à genou avec un écarteur de bouche l’empêchant de refermer celle-ci. Elle est tirée en avant par sa laisse et sa bouche tombe sur le sexe d’une femme elle a un mouvement de recul mais la laisse est maintenue fermement et des coups de martinet lui font comprendre qu’elle doit rester au contact. Soudain elle sent qu’un objet cogne contre son propre sexe. Un énorme gode vibrant est inséré et mis en route. Elle rue un peu mais se calme après quelques coups. Le pire c’est qu’avec la potion qu’elle a pris le gode commence à lui faire un effet maximum. Un orgasme la surprend à sa plus grande honte et déjà elle sent qu’elle repart. Bien elle a l’air d’apprécier dit une voix. Elle réagit bien au gode. Maintenant à toi de bosser dit la voix. Et sa tête est poussée contre le sexe féminin. Elle rechigne reçoit deux coups de martinet et on lui pince férocement les seins. En larme elle commence à lécher le sexe. Puis petit à petit après quelques pinçons supplémentaires elle y met plus de fougue et lèche avec vigueur le sexe humide. Ce qui la désespère c’est qu’elle y prend peu à peu du plaisir en même temps que le gode l’envoie au septième ciel. Après quelque minute elle est retirée en arrière et elle croit que c’est fini quand on lui pousse la tête vers un autre sexe. Elle recommença trois fois, les trois femmes ayant décidé de voir ce que ça donnait. Puis ses mains sont attachées à ses chevilles et elle reste à genou sans qu’on s’occupe d’elle. Il reste juste le gode bien inseré qui continue à la secouer de temps en temps. Bon elle a encore des progrès à faire mais ça devrait finir par donner un jouet efficace dit une voix. Maintenant on va voir comment se débrouillent les males. Une heure plus tard vaincus Rodolphe et Jonathan après avoir lécher plus que dans toute leur vie se retrouvent dans la même position qu’Emilie avec un plug bien ancré dans le cul. Bon c’est l’heure de l’apéritif dit Monique. Vanessa dit à Anna de les servir en tenue de soubrette. Quelques minutes plus tard les trois dominantes sont assises sur le canapé et contemplent les trois nouveaux jouets. Tu as fait un bon choix en gardant celui-ci dit madeleine à Vanessa. Il a l’air revêche et tu vas devoir le traiter avec sévérité car il va t’en faire baver. Vanessa sourit au compliment et assure qu’elle va bien gérer le dressage de ce jouet. Les deux garçons sont sidérés ils sont traités comme du bétail. Bon on va passer à table dit Vanessa et ensuite on va offrir des cadeaux aux jouets. Ça tombe bien j‘ai acheté trois kits pour cela et maintenant j’ai la technique n’est-ce pas Anna. Celle-ci à genou aux pieds de Vanessa opine du chef. Le repas est expédié et le premier jouet est installé très serré sur la croix de saint André. C’est Jonathan qui fait ce qu’il peut mais n’arrive pas à se libérer ni même à gêner les trois femmes qui l’ont garroté comme un poulet. Il ne peut s’empêcher de pousser un cri vite refréné par le collier lorsque son mamelon est transpercé par une aiguille provoquant une douleur intense. Le deuxième mamelon, le nez le gland et les deux couilles subissent le même sort. Il est tétanisé par la douleur et n’hésite pas à boire ce que madeleine lui propose en lui indiquant qu’il s’agit d’anesthésiant pour la douleur. Il est surpris de bander comme un âne un quart d’heure plus tard mais la douleur a légèrement diminué. Puis c’est le tour de Rodolphe et enfin d’Emilie. Les trois jouets sont prostrés par terre couché sur le côté avec les mains liés aux chevilles et une cagoule aveuglante sur la tête. Les trois femmes leur souhaitent une bonne nuit et quittent la pièce laissant les trois jeunes dans le pire des désarrois. Ils ont faim soif et souffrent de leurs multiples piercings. Ils ne dorment pas de la nuit. Le plus gênant c’est qu’ils ont une envie folle de baiser ils se tortillent pour espérer toucher quelque chose afin de se frotter le sexe contre. En se tortillant Emilie finit par toucher le corps de Rodolphe. Ils se tortillent ensembles et finissent par réussir à bouche à sexe. Heureusement qu’ils n’ont pas de bâillon. Ils se bouffent mutuellement et passent une bonne partie de la nuit à se faire jouir. Emilie n’a jamais reçu autant de sperme dans sa bouche mais ne peut s’empêcher de sucer. Jonathan a beau se tortiller cela ne le mène à rien et il doit attendre le lendemain avec une nuit peuplée d’érections massives. Le lendemain Anna qui est la première à entrer dans la salle trouvent les deux en position de 69 visiblement repus et le troisième avec une érection monstrueuse. Les autres femmes ne sont pas réveillées elle se prend de pitié pour lui et le branle vigoureusement. Il explose rapidement et peut enfin se calmer un peu. Ce que ne sait pas Anna c’est que Vanessa a tout vu et s’apprête à punir sévèrement cette dernière. Les trois femmes finissent par arriver dans la pièce pour continuer le dressage des jouets. D’abord la toilette. Les trois jouets sont emmenés à la douche et aux toilettes ou ils sont humiliés d’être torchés lavés étrillés récurés et frottés vigoureusement avec des serviettes rêches. Puis ils sont ramenés dans la toys room ou ils sont mis à genou en face du canapé. là Vanessa prend enfin la parole et leur dit. Maintenant on va voir si vous savez retenus la leçon d’hier et si c’est le cas vous aurez un petit déjeuner sinon rien à manger aujourd’hui et on recommence la leçon. Rodolphe résigné se met aussitôt à l’œuvre et lèche consciencieusement le sexe qui lui est présenté. Emilie et Jonathan se rebiffent et ont droit au martinet comme la veille jusqu’à ce qu’ils cèdent. Quelques minutes après la leçon ils entendent à côté d’eux Rodolphe qui mange comme un chien dans une gamelle au contenu émettant une odeur qui fait gronder l’estomac des deux rebelles. Le reste de la journée est consacré à l’apprentissage de nouvelles positions. Emilie est la plus rétives mais à la fin de la journée elle ouvre la bouche, tire la langue, arque ses épaules pour faire ressortir sa poitrine, se prosterne jusqu’au sol, écarte les cuisses en projetant son bassin en avant pour faire admirer son sexe qui exhibe ses anneaux de piercings. Elle est extenuée et ne cherche plus à résister. La seule chose qu’il lui compte c’est de faire ce qu’on lui demande en espérant en retour être caressée car elle a toujours le corps en feu avec ce que les femmes lui ont fait boire. Rodolphe et Jonathan ont cédés bien avant elle au grand bonheur des trois femmes. Enfin ils sont nourris et peuvent boire dans des gamelles ce qu’ils font sans demander leur reste. Pour l’instant aucun des trois n’a trouvé de moyen de s’échapper ou d’enlever ses liens mais ils ne désespèrent pas. Ils passent la nuit dans la même position que la veille mais ils sont accrochés à des anneaux ce qui les empêchent de se rejoindre pour se satisfaire mutuellement. A leur coté Anna passe la nuit sur la croix de saint André après avoir dû boire une double dose de stimulant. Elle passe une très désagréable nuit réveillée tous les quarts d’heure par le gode vibrant programmé par Vanessa. Il provoque systématiquement un orgasme bruyant qui énerve encore plus les trois jouets qui entendent les halètements qui reviennent tous les quarts d’heure. Trois semaines plus tard les trois jouets sont dressés et obéissent au doigt et à l’œil. Les deux garçons ont été sodomisés de nombreuses fois par Kevin ou par l’autre jouet et ont apprit à faire des fellations sans rechigner mais avec beaucoup de classe. Emilie lèche suce caresse embrasse sans se poser de question et elle finit par aimer se mettre dans des positions extrêmement excitantes. Martine est venue prendre des photos des nouveaux jouets et des deux anciens. Sidonie l’accompagne systématiquement et se lâche de plus en plus finissant systématiquement nue après avoir usé et abusé des jouets. Enfin les deux jouets à vendre sont emmenés chez madeleine pour être présentés à l’acheteuse et seul Jonathan qui a eu la faveur de Vanessa reste chez elle. Vanessa propose une dernière séance photos ou Sidonie sera la vedette. Celle-ci accepte volontiers et teste avec un entrain qui donne des idées sérieuses à Vanessa les positions et bondages des jouets. Finalement quand martine remballe ses appareils Sidonie est toujours nue sur la croix de saint André avec un bâillon et ouvre des yeux exorbités lorsque Vanessa dit à martine. Tu peux rentrer seule je garde Sidonie en stage pour une semaine. Je sais qu’elle est en congé cette semaine et elle va passer ses congés avec nous. Martine hésite puis se dit que ça n’est pas son problème et laisse Sidonie entre les mains de Vanessa. Vanessa dresse Sidonie avec la même sévérité qu’Anna. Sidonie a droit aux piercings sans anesthésie et à la fin de la semaine elle est aussi soumise à Vanessa qu’Anna qui voit cette concurrence d’un mauvais œil. Heureusement pour Anna et Sidonie la toys room de Vanessa est momentanément trop pleine et Sidonie est libérée en fin de semaine. Brigitte a rapidement pris rendez-vous pour venir voir les nouveaux jouets et les acheter s’ils conviennent. Elle en profite pour annoncer que si les filles ont d’autres jouets elle connait des acheteurs et acheteuses très intéressés. A suivre.
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Par : le 30/12/21
24/12/2021 J'ai vécu cette année un Noel des plus obscène, mon premier au sein d'une relation BDSM, une soirée de dépravée que j'ai envie de partager tant je prends goût a être la soumise d'un tel pervers. Je vous livre un témoignage long, complet, sincère qui j'espère vous plaira et vous excitera autant que cette soirée m'excite a chaque fois que j'y repense ! Bonne lecture :kissing_closed_eyes: ______________________________________________ Tout commença lorsque mon Maitre sonda le 22 décembre mes projets pour le 24 au soir, je me demandais s'il se renseignait pour le passer en ma compagnie ce qui me surprenait le sachant en couple et pas intéressé par le sentimentalisme entre nous deux ... Je l'informa donc en toute franchise (ce dont je fais toujours preuve quand je m'adresse a lui) de mon programme : "Je sors du taff a 18h, je rentre chez moi pour me doucher et m'habiller pour l'occasion puis je prends la route pour fêter Noel en famille chez mon grand-père qui habite a 45min de Nantes" Il me posa ensuite quelques questions sur les membres de ma famille qui seront présents et si je restais dormir là-bas (je garderais certains éléments confidentiels sur tout ça mais je peux vous confier que je restais bien tout le week-end). "Je passerais rapidement chez toi avant 19h pour t'offrir ton cadeau, me vider les couilles et te donner quelques consignes pour la soirée, on fera ça vite car ma femme m'attends pour 19h30" voilà le texto qui clôtura notre échange et m'annonçait la couleur … ______________________________________________ Nous y sommes, le 24 décembre, j'attends Monsieur patiemment chez moi après m'être préparée, je commence a bouillonner de peur qu'il me mette en retard, je stresse légèrement de ce qu'il m'a réservée pour avoir envie de venir a tout prix ce jour-là et qui plus est avant que l'on parte chacun de notre coté en famille, je crains également qu'il ne ruine mon maquillage ou salisse ma tenue ... Il sonne enfin a la porte, a peine ai-je ouvert qu'il se rue sur moi pour me plaquer sur la table du salon en relevant ma jupe de soirée "on fait ça vite, on a tous les deux pas trop le temps" dit-il en baissant mes collants et enfonçant sa queue déjà bien raide en moi ! La baise fut bonne et bestiale comme je l'aime, il ne fit pas dans la dentelle, des coups de queues puissants, profonds et rapides, il ne se souciait pas de ce que j'en pensais, il était là pour taper dans ma chatte et se vider les couilles dans les plus brefs délais et je n'avais pas besoin de plus que cela pour prendre mon pied ! Je me mis a jouir et gémir de sa fougue presque instantanément ce qui décupla sa bestialité, j'étais là, le visage contre ma table, le fessier relevé avec les collants en dessous des genoux, j'étais en train de subir ses assauts, mon cul entre ses mains recevait des coups de reins a faire crier la plus frigide des femmes ! Je ne tarda pas a sentir son jus chaud m'inonder et son pieu se planter au plus profond de moi dans un râle de plaisir, il se retira alors lentement en me demandant de ne pas bouger ! Là je compris qu'il allait faire quelque-chose lié a nos statuts, un doigt humide entra alors dans mon cul pendant qu'il fouillait dans la poche de son manteau, son doigt quitta mon petit trou mais je sentis immédiatement un objet froid et plus imposant le remplacer, il enfonçait un plug ... "Tu le porteras toute la soirée, remets d'ailleurs vite ta culotte, je t'interdis d'aller te vider avant de partir, tu passeras toute la soirée avec la chatte crémeuse, ta famille ne se doutera pas un instant que tu es une salope aux trous sales mais toi tu le sauras !" J'acquiesçai en me rhabillant lorsqu'il sorti un marqueur de la poche de son manteau et souleva mon pull, il se mit a écrire "Pute" sur mon sein gauche puis dégrafa mon soutif en me disant que je n'en porterais pas ! Il m'embrassa tendrement avant de me dire qu'il était temps qu'on file et que je devais prendre mes affaires pour le suivre à sa voiture où il me remettrait mon cadeau tout en s'assurant que je prenne bien la route dans cet état ! Je m'offusqua intérieurement qu'il doute de moi en rassemblant mon sac a main et mes cadeaux pour la famille, je ferma derrière nous et le suivi docilement a sa voiture la chatte dégoulinante de foutre ... Je chargea toutes mes affaires dans ma voiture pendant qu'il allait a la sienne chercher son cadeau, le plug ne me dérangeait pas mais le sperme qui commençait a couler entre mes lèvres rendait mes mouvements désagréables, il revint vers moi avec une enveloppe et un paquet cadeau, me souhaita un joyeux Noel en m'ordonnant d'ouvrir mon cadeau que si je remplissais au minimum 2 des 3 objectifs qu'il avait écrit dans la lettre. Il me fit promettre de tout faire pour mériter ce cadeau, de ne pas retirer le plug tant qu'il ne m'envoyait pas un message pour m'en notifier et surtout de tout donner pour ne pas le décevoir ! Il répondit a ma promesse en me souhaitant une bonne soirée et en me claquant les fesses en pleine rue a la vue de tous ... Je pris la route légèrement en retard pour rejoindre ma famille mais lui savait qu'il ne me quitterait pas vraiment ce soir et que sa folie accompagnerait ma nuit ! ______________________________________________ En me garant devant chez mon grand-père, je prends la peine de glisser ma main dans ma culotte pour me gratter l'entrejambe, son sperme me gratte, il sèche en moi, sur mes lèvres et a complétement souillé ma culotte ... Cela m'a démangé tout le trajet et même si je constate que ma chatte est toute visqueuse et qu'elle rougit sous le passage de mes ongles agacés, cela soulage ! A cet instant je pense a Femto qui, s'il lit cette histoire, appréciera sans doute la dédicace (lui qui avait éjaculé a la pause du midi dans la culotte de sa petite amie le jour du Baccalauréat pour qu'elle passe l'après-midi la chatte en contact avec son foutre) il m'avait dit qu'au moins il savait qu'elle s'en rappellerait toute sa vie, je lui confirme que ce n'est pas une situation que l'on oublie ! J'ai pris conscience de la situation a cet instant, en me grattant dans ma voiture, toute ma vie j'allais me souvenir d'être arrivée pour fêter Noel dans ma famille avec la chatte visqueuse et un plug dans le cul ... Mon cœur accéléra au moment d'ouvrir l'enveloppe, quels ordres contenait-t-elle ? Je remarqua en la prenant plus concrètement entre les mains qu'elle contenait quelque-chose avec la fameuse lettre, je décacheta l'enveloppe et découvris avec étonnement qu'un préservatif accompagnait le courrier. " Ma petite pute, Voilà maintenant bientôt une année que tu me sers, me comble et me rends fier d'être ton Maitre ! Tu n'as cessée au fil de cette année de me prouver ton dévouement, ton appétit sexuel et ta capacité a te dévergonder alors je souhaite que tu termines l'année aussi chaudement que tu l'as vécue, qu'en ce jour symbolique de Noel, tu confirmes ne faire plus qu'un avec ton statut de soumise et me montre encore a quel point tu es une bonne salope obéissante ! Si tu lis cette lettre, a l'heure qu'il est, mon sperme coule en toi et ton cul de chienne porte un bijou qui te sied a merveille ! Tu pourras ouvrir ton cadeau que si tu accomplis deux des trois défis que je te lance a savoir : - Te faire baiser par n'importe qui ce soir et m'envoyer une preuve photo/vidéo - M'envoyer une photo de toi seins nus avec un membre de ta famille dans le cadre de la photo - Te filmer en train de te masturber dans le lit de ton grand-père avec l'un de ses sous-vêtements dans la bouche (1min minimum) Je sais que ces défis ne sont pas faciles, que ce n'est pas la soirée pour cela et qu'ils sont très pervers mais n'est-ce pas là une occasion en or de te tester et prouver ce que tu es devenue ? Joyeux Noel " Mon cœur s'emballe, le stress s'empare de moi instantanément après la lecture de cette lettre, comment-vais-je réussir a obéir a ça ? Je range la lettre et le préservatif dans mon sac a main en tentant de me calmer, je suis pour l'une des premières fois acculée dans ma soumission pourtant j'en ai vécu des situations humiliantes, obscènes, avilissantes ou difficiles mais la contrainte de temps, le lieu, le fait qu'il sollicite ma nature de soumise alors que je suis au plus proche de ma famille rends tout cela immoral et assez surréaliste pourtant mon envie d'à tout prix lui donner satisfaction après une année aussi réussie me laisse présager que je vais devoir trouver une manière de réussir ces foutus défis ! Je reprends petit a petit mes esprits en rassemblant mes affaires et sonne a la porte de chez mon grand-père, j'enfouis Lady Bitch en moi bien que je ne porte pas de soutien-gorge, que le mot "Pute" soit écrit sur ma peau ce soir, que ma culotte soit souillée par du sperme et que mon cul porte un plug ! Commençons par ne pas penser a tout ça et voir comment la soirée évolue ! ______________________________________________ La soirée suit son cours, je n'étais pas a l'aise au début quand on s'adressait a moi, un peu gênée par l'état dans lequel j'étais J'avais l'impression qu'ils pouvaient découvrir la perversion sous mes habits, qu'ils pouvaient sentir que je n'étais pas comme d'habitude ... Je me mets à boire plus qu'à l'accoutumée comme pour me donner du courage, les verres et la bonne ambiance faisant effet, je commence a force de ressasser ses consignes a me dire que j''en suis capable. Je me surprends finalement a être excitée qu'il aille aussi loin dans ses directives et me mette autant a l'épreuve, la soumise en moi entendit l'appel du défi et bien que cela soit a retardement, elle s'excita de devoir une fois de plus repousser ses limites ! J'aime chez lui qu'il cherche a me faire échouer et m'offre l'occasion de toujours le surprendre a ne pas craquer et réussir a combler ses pulsions les plus folles. Une heure plus tard, ma décision était prise, j'allais conquérir ce cadeau de Noel et lui prouver que je n'ai pas de limites ! Je commença a réfléchir sur la manière de valider mes défis ... - La photo avec un membre de ma famille dans le cadre me paraissait faisable entre les étapes du repas quand nous allions aider en cuisine notamment ou débarrasser la table, c'était le défi le moins compliqué a mettre en œuvre sur l'ensemble de la soirée ... - La masturbation dans le lit de mon grand-père me dérangeait éthiquement et l'idée de prendre un de ses sous-vêtements en bouche me repoussait, c'était le défi le plus cruel mais aussi par la configuration des lieux (chambre a coté de la cuisine sans possibilité de fermer a clé) le plus risqué vis a vis de mon entourage. - Le fait de me faire baiser n'était pas simple a mettre en œuvre non plus, je soupçonnait mon maitre de sous-entendre par ce défi que je devrais essayer de faire des avances a l'un des mecs de mes cousines mais il connaissait aussi ma capacité à "chasser" le mâle ... Je me sentais assez éméchée par l'alcool pour accoster un parfait inconnu et lui offrir un gros cadeau de Noel ! ______________________________________________ Nous sommes entre le repas et le dessert, je dispose d'une demi-heure avant l'heure de la remise des cadeaux, c'est maintenant ou jamais, j'attrape mon manteau prétextant avoir un appel a passer et je pars a toute allure m'enfoncer dans le bourg du village en quête d'un homme a qui me donner ! Pas de chance, le bourg est désert, certaines maisons ont l'airs d'accueillir des hôtes, je déambule depuis bientôt 10 minutes sans avoir croisé quelqu'un, il fait froid et ma témérité refroidit à grands pas, j'hésite a sonner à une maison au hasard pour demander à un illustre inconnu s'il peut m'indiquer une adresse bidon pour si l'occasion s'en présente lui dire de me prendre dans l'allée a coté de chez lui dans deux minutes ... Mon cerveau va trop loin, j'envisage des situations improbables et je me résous a rentrer frustrée, déçue, un brin honteuse ... Sur le chemin du retour, j'entends soudainement du bruit, une assemblée qui parle bien trop fort l'espace d'un instant, une porte qui se referme puis je vois les clignotants d'une voiture derrière moi qui s'allume en entendant un "BIP" ! J'ai cru faire un arrêt cardiaque, c'est le destin me dis-je en voyant soudainement un homme traverser la rue pour ouvrir le coffre de sa voiture ! Je reste plantée là, bouche bée, les jambes tremblantes, il me dévisage en prenant quelque-chose dans son coffre, mon cœur s'accélère, je sais qu'il m'a vu et que j'ai l'air bizarre a le regarder sans bouger alors que je suis a quelques mètres de lui ... Il referme son coffre du coude avec quelques paquets cadeaux et boites de chocolats dans les bras, mes jambes bougent enfin et je m'élance vers lui en bégayant "Monsieur, monsieur ... une seconde s'il vous-plait ..." Il s'arrête net sur le trottoir devant la maison d'où il vient, me regarde avec étonnement, il est beaucoup plus âgé que moi, je dirais la quarantaine/cinquantaine, je constate qu'il n'est pas particulièrement attirant, plutôt gras, le teint rougit et il n'a pas l'air très aimable ... ______________________________________________ Pour information, je vais tenter de vous retranscrire la conversation telle que je m'en souviens, j'étais assez intimidée au début puis plus aguicheuse sur la fin, notre échange a dû a quelques mots prêts être le suivant : " Je peux vous aider ? - Eh bien, oui, cela va vous paraitre bizarre mais je souhaiterais vous parler un instant, vous avez une minute ? ai-je répondu fébrilement en m'avançant vers lui - Euh oui, vous pouvez mais qu'est-ce que vous faites toute seule dans la rue a cette heure-ci ? - Merci Monsieur, je vais être directe ... Je suis libertine et mon copain est candauliste, je sais pas si vous voyez ce que c'est ? (a l'écoute du mot "libertine' il écarquilla ses yeux et recula d'un pas, ce qui me perturba dans mon approche), ce soir c'est Noel et il le fête dans sa famille et moi la mienne, je voulais lui envoyer une petite photo de moi en train de coucher avec un parfait inconnu, est-ce que ... - Non, non, c'est quoi vos conneries, vous avez que ça a foutre ce soir ? Bonne soirée Mademoiselle ! dit-il strictement en me tournant le dos - Monsieur, Monsieur, un instant s'il vous-plait ! j'agrippa sans m'en rendre compte le bras de cet homme par réflexe ce qui l'arrêta - Non mais dis-donc, lâchez moi ! s'énervait-t-il en se tournant de nouveau vers moi l'air agacé - C'est sérieux Monsieur, je suis vraiment désolée de vous accoster de la sorte mais y'a personne dans le ... - Mademoiselle, je vous connais pas mais vous m'avez l'air d'avoir un souci, j'ai deux fois votre âge, je suis marié, j'ai les cadeaux de mes gosses dans les bras et vous me racontez des obscénités alors que je suis en famille pour les fêtes ... Y'a rien de drôle là, c'est quoi qui vous ... - Je suis désolée pour ça Monsieur mais juste un instant, regardez, je vous prouve que c'est réel ! coupai-je l'homme qui me sermonnait tout en ouvrant mon manteau ... - Non mais c'est pas vrai, dit-il en reculant de deux pas et détournant le regard - C'est réel Monsieur, vous voyez ... dis-je en soulevant mon pull ! L'homme posa son regard sur ma poitrine, il le détourna aussitôt avec une certaine panique, "ça va vraiment pas hein !" dit-il en tournant la tête, "je vous prouve que je suis sérieuse" répondis-je alors qu'il regarda de nouveau vers moi, il ne détourna pas les yeux la seconde fois ... " Ils vous plaisent ? demandais-je - J'y crois pas, y'a carrément écrit "pute", tu sors d'où toi ? dit-il plus sereinement - Je suis juste une salope qui cherche a emprunter une bite 5 minutes pour rendre fou son mec ! - Ohlala mais comment-tu parles en plus ! dit-il en rigolant (je le pris comme un bon signe c'était la première fois qu'il souriait et son soudain tutoiement me laissa penser qu'il commençait à se faire a ma présence) - Tu me baises, vite fait, bien fait et tu retournes a l'intérieur comme si de rien n'était ! Y'a pas d'arnaque ... - Non, non, je peux pas ... dit-il en rigolant de nouveau mal a l'aise - Je suis un peu ton cadeau de Noel, une occasion comme ça t'en auras pas deux, rends-moi service, tout le monde sera content ! C'est que du sexe entre adultes consentants, détends-toi ! - On va surtout se faire cramer et tu vas foutre en l'air le Noel de toute ma famille, déjà je te parle depuis trop longtemps .." Sentant que ma brève ouverture se refermait, je lâcha mon pull pour sortir la capote de mon sac a main, il la fixa en rigolant nerveusement alors que je l'exhibais comme une invitation ! " Prétends que tu as un coup de fil a passer et on se mets quelques mètres plus loin dans une allée ou derrière un buisson sinon tu me donnes une heure a laquelle te retrouver ici dans la nuit et je repasse mais je suis très sérieuse, ta bite, ma chatte, rapide, simple, efficace !" proposai-je une énième fois tout en relevant mon pull ... Il me reluqua de la tête au pied en hésitant mais déclinant tout de même une ultime fois avant de tourner les talons en s'excusant ! "Je reste-là encore 5 minutes si tu changes d'avis et trouve un moyen de t'échapper" lançais-je dépitée alors qu'il s'éloignait sous le porche de la maison, la porte se referma derrière-lui sans qu'il me réponde davantage, je resta sur le trottoir comme la pathétique pute que j'étais ... Recalée, gênée mais surtout congelée par la température, j'attendais désespérée qu'il porte ses couilles et revienne, je misais sur ma connaissance des hommes et particulièrement dans cette tranche d'âge où l'occasion de se taper une "petite jeune" n'arrive plus pour qu'il craque et saisisse cette ultime chance ... La porte s'ouvrit de nouveau après ce qui me sembla une éternité, il jeta un œil pour voir si j'étais encore-là, je lui fis un signe comme si c'était le père Noel, je devais avoir l'air débilement heureuse de le voir ! Il s'approcha de moi en chuchotant "Pas de coups-fourrés je te préviens, tu me fais du chantage ou tu déballes ça, je te jure que je te tue ! J'ai des gosses et une femme, va pas niquer ma vie pour un coup de bite car tu m'as allumé ! - Promis, tu me rends service pourquoi je te ferais un plan comme ça ! - Je sais pas tu me parles de faire une photo et tout, je suis pas chaud du tout pour ça, a la rigueur je te baise et c'est tout ! - Non, non, tu me baises parce-que je veux le montrer a mon mec, si je peux pas lui envoyer de preuves y'a aucun intérêt pour moi ! - Je te jure, t'as été envoyée pour causer ma perte et je suis trop con pour décliner ! Fais chier, t'es trop bonne ... J'ai dit que j'avais trop envie de pisser et me griller une clope alors qu'ils voulaient filer les cadeaux aux petits, on fait comme tu veux mais on se magne ... - Promis, viens, j'ai repéré un petit coin discret" ______________________________________________ J'entraine ma proie dans un chemin de campagne a proximité d'un carrefour du bourg, il fait totalement noir, je nous éclaire dorénavant le chemin avec la lampe torche de mon portable, il me complimente sur mon physique et mon audace, je lui explique que j'ai l'habitude de faire ce genre de choses, que j'ai des heures de vols, il rigole en me disant que ça se voit (cela m'excite). Nous nous sommes suffisamment éloignés, je me mets a genoux, déboutonne son pantalon et baisse son caleçon, mon flash éclaire alors une petite bite plutôt vilaine et en plus Monsieur est poilu, il ne se rase pas les boules, son pubis n'est pas entretenu, sa queue n'a rien de charmante, il est très négligé ! Je plains sa femme mais je n'aurais pas mieux ce soir de toute façon, je n'ai que lui sous la main et une salope n'a pas besoin d'être attirée par un homme pour s'occuper de sa queue. Je commence par le branler, il se plaint de la température de mes doigts (de mon coté j'apprécie me les réchauffer en entourant son petit sexe tout chaud), j'active mon appareil photo et lui passe en lui demandant de faire des photos de temps en temps. Mon portable ne faisant plus lampe torche, je lui demande alors d'activer la sienne sur son portable pour qu'on y voit quelque-chose ... Il s'exécute et a maintenant un portable dans chaque main, il a l'air débile avec ses deux téléphones qu'il tient a hauteur de menton pour avoir un bon angle (lui qui me disait non il y'a quelques minutes, je le trouve étrangement motivé maintenant, cela me plait). Je prends son sexe encore mou dans ma bouche, le décalotte et le branle tendrement entre mes lèvres pendant que ma langue le goûte, je lèche chaque recoin de son gland et cherche a le faire durcir ! Soudain, un flash m'éblouit, je comprends qu'il prends la première photo, cela me motive ! Sa queue ne me plait pas mais je lui suis reconnaissante de me l'avoir offerte, j'ai à cœur de bien faire pour l'en remercier et je pense a mon Maitre qui va halluciner devant les photos donc je veux tout faire pour qu'il en prenne des cochonnes, du genre qui feront bander mon Maitre ! J'ai pompé mon photographe de fortune comme une vorace, la gorge profonde cela me connait et avec une si petite verge il n'y avait aucun défi pour la gober jusqu'aux couilles, mon partenaire gémissait de plus en plus et me gratifiait de doux sobriquets alors que je trempais sa queue de ma salive et qu'il me photographiait ! Le sentant chaud bouillant et maintenant totalement dur, je me redressa et déchira l'emballage de la capote pour la lui mettre, il s'enthousiasma en me disant que j'allais ramasser, je releva ma jupe au dessus du nombril, baissa mes collants sous les genoux et me mit a quatre pattes sur le sentier (mes genoux sont a l'heure où je rédige ce témoignage encore mutilés par le gravier) ... Le male en rut compris tout naturellement la suite, il baissa ma culotte et partagea son étonnement en découvrant mon plug "T'es vraiment qu'une salope" me dit-il en me claquant très (trop) fort le cul ! A cet instant, je paniquais un peu qu'il remarque l'état de ma culotte ou qu'il trouve des traces suspectes sur ma chatte, je ne savais pas a quoi cela ressemblait en bas ni comment il réagirait s'il savait que je m'étais faites remplir par un autre en début de soirée ... Cet imbécile avait posé mon portable sur le bas de mon dos et me palpait tantôt les fesses, tantôt il frottait mon clito du pouce alors qu'il éclairait mon postérieur de sa lampe torche pour bien se rincer l'œil ! "Je croyais qu'on avait pas le temps, tu vas me baiser ce soir ou demain ?" lançais-je avec insolence de peur qu'il ne voit que je n'étais pas de première fraicheur ! A peine avais-je prononcer ces mots que sa bite pénétra en moi, cela m'en coupa le souffle, l'excitation monta d'un coup ... Alors qu'il débutait sa besogne et accélérait ses vas et viens, je prenais pleinement la mesure de l'instant, j'étais dans le village de mon grand-père le 24/25 décembre en train de me faire prendre comme une chienne en levrette sur un sentier en pleine nuit d'hiver par un homme ayant le double de mon âge dont je ne sais rien si ce n'est que sa famille l'attends a quelques mètres d'ici et moi la mienne. Sa petite bite était étonnamment efficace, la situation m'excitant grandement cela y était sans doute pour beaucoup mais il me baisait convenablement, son rythme ne faiblissait pas et de mon coté, je me concentrais sur cette queue en moi qui frottait mes parois et raclais le trou souillé par mon Maitre, quand il m'insultait cela me donnait envie de lui crier qu'il n'avait pas idée d'a quel point j'étais pire que cela ! "Prends-bien en photo la chienne que je suis", "Filme-donc comment tu me défonces", "Vide-bien tes couilles dans la capote" telle une actrice porno cherchant a produire un bon contenu je restais concentrée sur mon défi tout en livrant divers encouragements a mon père de famille bien de trop déconnecté de la réalité, comme si je voulais abréger les choses ayant le contenu pour lequel je m'étais offerte a lui et ne voulant pas que nos absences deviennent trop suspectes au sein de nos soirées respectives ! L'animal en rut vida ses deux boules de Noel assez rapidement, il se retira immédiatement et je lui réclama le préservatif plein. Il me tendit la capote, du sperme épais et chaud en quantité généreuse remplissait le contraceptif "Eh bah mon salaud, pour quelqu'un qui voulait pas me sauter, je trouve que tu t'es bien lâché !" plaisantai-je en nouant le préservatif et remontant mon collant. Il me complimenta en disant qu'il avait jamais baisé une telle salope et qu'a son âge un petit cul comme le mien c'était incroyable. Nous nous rhabillâmes, je regarda rapidement les photos et un court extrait de la vidéo pour voir s'il avait géré, cela était pas incroyable mais suffisait a largement prouver la validation du défi, je lui réclama une dernière photo en revenant sous un lampadaire du bourg. Je releva mon pull et lui demanda de tenir mon sein où il y'avait écrit "Pute" pour une ultime photo souvenir, il accepta, je tenais la capote pleine a coté de mon autre sein et faisait mon plus beau sourire pour l'investigateur d'une telle folie ! ______________________________________________ Je le laissa a quelques-mètres de notre lieu de rencontre, je fis une photo de la capote pleine dans la paume de ma main et la lança dans un ravin puis je rentra chez mon grand-père au pas de course ! A peine rentrée, ma cousine me demanda où j'étais passée ? Elle m'avait appelée dehors plusieurs fois mais je n'avais jamais daigné répondre, je mentis alors a tout le monde en disant qu'une amie m'avait appelée en larmes car son enfoiré de mec l'avait plaquée le soir de Noel donc j'avais fait quelques pas en la réconfortant ... Mon excuse attendris tout le monde, ils plaignirent ma copine fictive tout en insultant ce goujat imaginaire ! Sauvée, j'espère que mon vilain père de famille s'en était aussi bien tiré de son coté sur les bobards ... Le reste de la soirée fut paisible, j'avais la sensation d'avoir fait le plus dur. C'est au moment du coucher que je choisis de passer à l'action pour le selfie, ma cousine se lavait les dents et je faisais mine de me brosser les cheveux dans son dos en étant sur les réseaux-sociaux ... Je la laissa cracher dans l'évier une fois, deux fois et me jeta a l'eau sur un timing où elle rinçait sa bouche au goulot de l'évier ! Je souleva assez discrètement mon pull en lui tournant le dos pour découvrir mon sein marqué par mon Maitre, j'appuya sur le bouton de capture et rebaissa instantanément le tout avant qu'elle ne redresse la tête, je vérifia la photo, par miracle elle était réussie. ______________________________________________ Seule dans ma chambre, j'ai enfin pu relâcher la pression, j'ai cru fondre en larmes tellement j'étais soulagée et fière d'avoir réussie, je m'empressa de me mettre en pyjama puis d'aller déballer mon cadeau que j'avais si durement mérité ! Une boite blanche et rectangulaire était entre mes mains, elle semblait assez luxueuse, je compris a la lecture de la marque a quoi j'avais affaire "Womanizer" ... Je connaissais de nom, de réputation cette marque de sextoys mais jamais néanmoins je n'en avais fait mention a mon Maitre ou n'avais même pensé un jour m'en acheté un. En ouvrant la boite pour voir l'objet en question, je découvris une autre lettre : " Si tu lis ceci c'est que tu as validé tes défis, félicitations ! Je t'ordonne maintenant d'essayer mon cadeau et de m'envoyer un snap/vidéo où tu me remercies pendant que tu l'utilises, j'ai préalablement chargé l'appareil au complet pour que tu t'amuses toute la nuit si besoin ! Apprivoise bien ton nouveau jouet, tu m'en feras une démonstration a notre prochaine séance, j'espère qu'il comblera tes besoins quand je ne peux être présent pour toi, Joyeux Noel petite pute" Après un rapide tour dans la salle de bain pour me faire un brin de toilettes après toutes ces péripéties, je me glissa sous la couette avec mon nouveau jouet pour l'essayer, j'envoya un premier snap a mon Maitre en écrivant dans le chat "Défis réussis, je suis au lit avec mon cadeau", j'alluma le Womanizer et le positionna sur mon clitoris prête a me laisser-aller a la découverte. Les aspirations débutèrent et je n'étais pas plus convaincue que cela, je m'étais trop imaginée que cela ressemblerait a un vrai cunni/une vraie langue mais la fonction intelligente du sextoy qui variait automatiquement et aléatoirement entre les différents modes et intensités commençait a me séduire, je rêvassais épuisée sur l'oreiller alors que mon partenaire virtuel s'occupait de mon clitoris a son rythme et sa convenance entre mes cuisses sans que je n'ai rien a faire ! Je repensais a la visite sans finesse de mon Maitre qui était venu me remplir, a mon inconnu et ce qu'on avait fait sur ce sentier, a sa bedaine que je sentais sur mes fesses pendant qu'il tapait en moi, a sa vilaine bite que j'avais dévoré comme une affamée pour le faire bander, a tout ce foutre qu'il avait évacué dans la capote de mon Maitre, a son refus initial et le résultat final, a la salope que j'étais, a la chaleur qui emplissait mon bas-ventre a cet instant ! Je commençais a jouir, je mordais dans l'oreiller alors que je remuais du bassin sur cette petite ventouse qui me titillait de plus en plus intensément le clito, je regardait les photos de mon amant éphémère, la courte vidéo de son sexe qui me lime, la photo de dépravée sous le lampadaire, la photo de sa capote bien remplie, son foutre épais dont j'avais maintenant envie de l'avaler pour rendre fière mon propriétaire ... L'orgasme montait, j'étais en transe, je retourna vite sur Snapchat pour filmer, je remercia mon Maitre pour son cadeau en me touchant la poitrine alors que la jouissance approchait, je n'avais pas effacée son tatouage de Noel et lui montrait, j'avais encore mon plug alors je filma sans tabous le bijou et je termina mon snap par un beau plan sur mon sexe qui était recouvert par son cadeau qui ne me lâchait plus ! Je mordit a pleines dents dans l'oreiller et étouffa mon orgasme sous les draps, éteignit mon nouvel ami et repris mon souffle totalement perchée sur un nuage de plaisir ... Un premier snap tomba : "Content que ça te plaise, passe une bonne nuit" Un second arriva dans la foulée "PS : tu peux maintenant évidemment retirer ton plug, tu me le ramèneras la semaine prochaine. J'attends toutes les preuves par mail d'ici Lundi soir avec ton compte-rendu, t'es une bonne fille". Je m'endormie en étant épanouie et comblée tant sexuellement que spirituellement, je suis une pute immorale, une trainée sans tabous, une salope irrécupérable mais avant tout une chienne docile fière d'avoir été dressée par un pervers qui me stimule et me déprave toujours davantage ! ______________________________________________ Ce premier Noel BDSM fut inoubliable pour moi, il clôtura une année intense et me força a accepter de laisser Lady Bitch exister davantage en dehors de mes séances avec mon Maitre, je n'existe que pour le servir et le satisfaire, merci a lui d'avoir su faire de moi celle que je suis aujourd'hui ! A chaque fois que j'utiliserais mon Womanizer, je me rappellerais de ce Noel, de ce que j'ai du faire pour l'obtenir, de ce que j'ai été cette soirée là et j'imagine que je reviendrais de temps en temps ici pour relire ce récit afin de me souvenir et revivre cette soirée ... un womanizer entre les cuisses :stuck_out_tongue_winking_eye:
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Par : le 27/12/21
La Checklist BDSM est un outil d’expression pour connaître les possibilités du dominé Accessoire indispensable au Maitre ou à la Domina, la Checklist BDSM est un outil de travail à mettre en place dans toutes relations sexuelles SM et BDSM. Elle permet de se connaître mutuellement et de jouer en respectant les envies, les désirs et les limites de chacun. Chaque protagoniste a des fantasmes et des possibilités qui lui sont propres. Il a également des devoirs et obligations afin que la relation D/s soit aussi enivrante qu’enrichissante. Plus qu’une lecture coquine, cette check list est le recueil des envies et possibilités de l’esclave. C’est le seul moyen connu pour laisser libre expression à la soumise ou au soumis en ce qui concerne ses goûts et dégoûts pour toutes les activités sexuelles qui peuvent entrer dans une relation Dominant /soumis. Aussi indispensable que le contrat BDSM, cette liste non exhaustive est mise en place simultannément au modèle de contrat BDSM afin d’asseoir toutes les pratiques pouvant être effectuées avec la personne dominée. En cas de pluralité d’esclave, chacun a la sienne qui lui reste propre. La future partenaire s‘oblige à remplir le plus honnêtement possible chacune des colonnes en gardant l’esprit libre de ses réponses. Le Maitre n’est pas autorisé à juger, il prend simplement note des indications pour concrétiser les jeux érotiques en fonction de celles-ci. Parfaite pour mettre à nu les sentiments profonds vis-à-vis de certaines pratiques SM et sexuelles, le partenaire répond au questionnaire avec franchise et rigueur en ayant pleine conscience de ce qui lui est demandé. Checklist BDSM, un accessoire intime évolutif et ludique Essentielle, la Checklist BDSM reste un pilier majeur de la relation erotique liant la Maitresse et son esclave. Souvent, le Dominant remplit lui aussi le même document pour dévoiler ses envies et attentes, mais certaines soumises attestent que cela enlève parfois un peu de piment et de mystère à la relation. Associée à un univers sexuel empli de confiance, elle n’a de reste d’être en constante évolution avec l’âge, les mœurs et la pratique. Bien entendu, une fois remplie, la checklist BDSM ne doit pas être prise comme une liste de pratiques à faire immédiatement, les unes après les autres. Elle ponctue plutôt le chemin de l'évolution de la personne dominée. Une soumise peut toujours, avec l’accord de son Dom, ajouter ou exclure des agissements contenus dans la liste initialement mise en place. Celle-ci n'est jamais figée ou statique mais évolutive pour le plaisir des partenaires. La Checklist BDSM doit être mise à l’étude pendant des moments de repos où l’élève prend son temps pour répondre et analyser. Une fois terminée, elle est relue autant que nécessaire pour s’assurer de ses choix et apporter les corrections voulues. Une fois dans les mains du Dominant, elle lui ouvre cérébralement toutes les portes du désir pour mettre en place lors de séances ou de jeux extrêmes propices à la satisfaction de la soumise. La Checklist BDSM est le lien direct entre la soumise et son Maitre La Checklist BDSM se doit d’être simple et compréhensible de tous. Si un doute survient, le soumis doit demander conseil à sa Maitresse. La check est bien entendu rédigée dans la langue de l’esclave. Elle est le lien direct entre les participants et sa présence rassure afin que les pratiques choisies par le Dom soient en adéquation avec le plaisir du dominé. Un document unique et personnel qui vous suit dans toute votre sexualité BDSM. Une façon de se dévoiler qui à prendre au sérieux et qu’il faut éditer avec attention. Le Maître et la Maîtresse sont guidés par cette liste dans toute approche, démarche et choix BDSM. Pour vous aider dans votre démarche notre magasin, vous propose une checklist BDSM et son mode d'emploi. Il va de soi que chacun doit l'adapter en fonction du contexte. Pour un BDSM soft certains paragraphes sont à supprimer. Pour des jeux plus extrêmes, chaque ligne à son importance. L'usage et toute utilisation de cette checklist BDSM gratuite ne saurait en aucun cas relever de la responsabilité du sexshop ilxelle. Elle s'adresse à des personnes majeures, responsables et consentantes qui peuvent l'utiliser en usage privé. Checklist BDSM mode d’emploi Pour remplir votre check-list, notre sexshop BDSM vous conseille d’apporter les annotations nécessaires à chaque colonne. 1. Dans la première colonne, se trouve la mention "Essayé". Vous annotez : • O comme Oui si vous avez déjà essayé • N comme Non si vous n’avez jamais essayé • SO comme Sans Objet si vous estimez ne pas être concerné. 2. La seconde colonne de la Checklist BDSM est une ressource pour connaître votre degré d’envie. Une notation de 0 à 5 permet à votre Maitre ou Domina de vous situer dans votre désir. Vous annotez : • 0 - vous n’en avez pas envie • 1 - la pratique vous indiffère • 2 – vous avez une envie faible • 3 – vous aimez • 4- vous aimez beaucoup • 5 – vous ne pouvez vous en passer 3. La troisième colonne est un indicateur de difficultés. La graduation de 0 à 5 permet à la Maitresse ou au Maître de connaître votre réticence à effectuer une pratique sexuelle. Vous annotez pour cette colonne : • 0 – trop difficile. Impossibilité pour l’instant. A revoir ultérieurement avec plus de pratique ou jamais. • 1 – très difficile mais faisable avec progression, pas d’un seul coup • 2 – difficile mais réalisable • 3 – assez facile • 4 – facile • 5 – ne pose aucun problème Prévoyez un long moment de tranquilité avant de commencer et bonne analyse de vos désirs ! ;) Exemple de checlist BDSM Essayé Envie Difficulté Observations Abrasion de la peau Adoration de la chatte Adoration des bottes Adoration des mains Adoration des pieds Adoration des talons hauts Adoration du pénis Agacement sexuel ou teasing Anuslingus Asphyxie Attache bras dans le dos levés Attache debout bras écartés Attache debout bras levés Attache sur tréteau Baguette ou badine Bâillon Bâillon avec tape bondage Bâillon Ball Gag ou harnais Bâillon en tissus (linge ou sous vetement) Bandeau sur les yeux Barre d'écartement Bestialité Bondage avec barre Bondage avec cordes Bondage avec sangles Bondage difficile Bondage léger Bondage Shibari Bondage sur longue période Boule Quiès Brosse à cheveux Brûlure au fer rouge Cage Cage de chasteté Cagoule Camisole de force Canne rigide Canne souple Carcan stocks Ceinture de chasteté Chaîne Changement de nom Chatouilles Chiot humain Cire chaude Claques au visage Claques aux seins Collier en cercle privé Collier porté en public Contrôle orgasmique Correction douce Correction dure Corset Corvée domestique Cravache Crochet anal Dilatation Domestique ou bonniche Dormir attaché Échangisme Égratignures Electrosexe Emprisonnement Enfantilisme Épilation à la cire Épilation complète Épingle à linge Etirement des testicules ou ball stretching Étouffement Étranglement Examens medicaux Exercice physique forcé et obligé Exhibitionnisme Exhibitionnisme avec des amis Fantasme de viol Fantasme de viol par un groupe Féminisation forcée Fessée Fessée avec accessoires Fessée avec martinet Fessée sur les genoux Fétichisme Fisting Fouet à lanière Fouet de dressage Fouet single tail Fouettage de la chatte Fouettage des seins Fouetter le corps entier Fouetter le dos Fouetter le penis Fouetter le ventre Fouetter les cuisses Fouetter les fesses Fouetter les mollets Gifle Glaçon Gode ceinture Harems servitude avec d'autres soumises Harnais cuir Harnais d'orgasme forcé Harnais en corde Hommage avec la langue Homosexualité forcée Huiles érotiques Humiliation Humiliation en privé Humiliation en public Humiliation verbale Injection Interrogatoire Jeu de groupe Jeu de rôle Jeu d'urine Kidnapping Lavement anal Ligotage des seins Ligotage japonais Ligotage léger Ligotage par Sarah wrap Lutte Marquage au fer rouge Massage Masturbation avec les seins Masturbation forcée Menottes cuir Menottes en sangle Menottes métal Menottes pour pouces Mise au coin Mise aux enchères Model pour photo érotique Mors de cheval Morsure Nudité forcée Nudité partielle ou complète imposée Obéir aux ordres Orgie Pénétration double Pénétration triple Perçage temporaire Piercing Pilori Pinces à linge sur le corps Pinces aux seins Plug anal Poids pour seins Pose de cathéters Position à genou Privation de sommeil Privation sensorielle Privation sexuelle Prostitution fantaisiste ou réelle Rasage Restriction de parole Restriction des contacts visuels Rites d'initiations Scarification Scatophilie Scène de prison Scène extérieure Scène filmée Scène médicale Scène religieuse Se faire battre doucement Se faire battre durement Se faire battre par une canne Se faire choisir la nourriture Se faire choisir les vêtements Se faire donner à une autre personne dominante Se faire donner la morale Se faire imposer de la nourriture Se faire imposer des vêtements/sous-vêtements Se faire mordre Se faire servir sexuellement Se faire vendre à une autre personne dominante Sermon, leçon en cas de mauvaise conduite Servir comme mobilier, pièce d'art Servir comme toilette Servir comme un poney servir oralement Servitude forcée Servitude imposée Sexe anal Sexe génital Sexe par téléphone Spéculum Strapping Suspension Suspension bras attachés derrière Suspension en position debout Tatouage Tenue en laisse en cercle restreint Tenue en laisse en privé Tirer les cheveux Tirer ou tordre les parties génitales Tirer ou tordre les tétons Uniforme Vêtement de latex Vêtement de lycra Vêtement érotique Vêtements osés en cercle restreint Vêtements osés en privé Voyeurisme
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Par : le 26/12/21
Aimer, amour, sont des mots que longtemps j'ai refusé de prononcer. Trop galvaudés, mis à toutes les sauces. Que tout le monde prononce, sans en comprendre (ou vouloir en comprendre) le sens. Sans se les approprier. J'aime le sexe, les mecs. Me soumettre à eux quand ils me baisent. Mais je m'étais toujours refusée à ce que ça aille plus loin. _______________ Nous vivons dans une société de consommation où l’individu est roi. Et il n’y a pas de mal à mes yeux à « consommer du sexe ». Les mecs peut-être d’ailleurs plus facilement que nous :smile: (sans jugement de valeur, évidemment). Mais certaines femmes aussi. Dont moi pendant longtemps. Je n’y ai jamais rien vu quoi que soit de choquant. J'étais dans une relation d’échange. J’ai envie de jouir de toi, et je te donne du plaisir en échange. Après, on se quitte. La « transaction » est parfaitement loyale. En plus, ce type de fonctionnement a des avantages certains : ça permet de comparer les différents « produits ». _______________ Et puis, un jour, une nuit, l’improbable survient. Qui fait qu'on se dit que tout ça, ce fonctionnement centré sur nous-mêmes uniquement, finalement, il est creux, vide. Que certes le plaisir était là, et que ça a fait du bien. Mais qu'après, quand on se quitte au petit matin, on en ressent la vanité. Parce qu'on a rencontré quelqu'un qui nous fait comprendre que la vie, ce n'est peut-être pas seulement ça. Coucher. Baiser. Jouir égoïstement des autres. Parce qu'on a envie de partager autre chose avec cet "autre". Qu'on a compris enfin que « l'instrument » était moins important que celui qui s'en sert. Quand bien même « l'instrument » est essentiel :smile:. Et surtout qu’un homme, ce n'est pas seulement une queue dont on se sert pour jouir. Alors, ce mot, aimer, j’ai commencé à l'apprivoiser. D’abord, en le susurrant doucement, pour que surtout "il" ne l'entende pas. Parce que ça voulait dire sortir de ma zone de confort, pour entrer en zone de risque. Jusqu'au moment où j’ai fini par le lâcher, à voix haute et intelligible. Et que j’ai compris, à son regard, à son sourire, combien ce mot, il l'attendait, il l'espérait. Et ça m’a fait du bien. Au point que je le crie désormais. _______________ Alors, oui. J’aime Maxime, mon mec, mon Maître. Et aussi la poularde de Bresse au vin jaune :smile:. J’aime Maxime. Caresser son corps, le parcourir de ma bouche, de ma langue et m'agenouiller à ses pieds. Et aussi la symphonie du nouveau monde. J’aime Maxime. Sucer sa bite et boire ce qui en sort. Et aussi les paysages de la baie d’Ha-long. Mais pas pareil. Et si j’aime être dominée, ce que j’aime aujourd'hui dans la soumission, c’est d’être dominée par lui.
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Par : le 26/12/21
J’ai trouvé un nouveau jouet pour ma soumise alors ce soir ça va être un peu trash. Je l’ai conviée à me rejoindre dans la salle de jeu, j’ai fait un peu de place, les mômes sont couchés nous avons tout le temps de nous amuser. Elle entre dans la pièce, nue comme demandé. Je me place derrière elle, une corde à la main. J’attache ses poignets dans son dos et monte un harnais de poitrine (gote), très sévère, très restrictif. - Mets toi à genoux. Elle s’exécute. J’attache alors ses chevilles et monte deux harnais jambes repliées (futomomo) Je me penche sur elle et l’oblige à se pencher en avant, le buste entre les genoux. Je reprends une corde sur un harnais de jambe, l’enroule autour de sa taille, noue l’ensemble et me reprend sur l’autre jambe. J’attache une dernière corde dans le dos du gote, me reprend sur l’ anneau au plafond et suspend son buste. Attachée ainsi, elle ne peut plus se relever et reste parfaitement cambrée. Elle offre son cul, son anus à mon regard et à mes jeux. Elle commence à gémir un peu, la position est très inconfortable. Je lui pose un bâillon, ses gémissements étouffés m’excitent. Je l’embrasse un moment, caresse son dos, ses fesses, ses seins. Je l’encourage un peu, c’est difficile mais le plaisir, l’orgasme n’en sera que plus fort, plus jouissif. J’enduis mes doigts de lubrifiant et caresse son anus, me glisse doucement en elle, un doigt, puis deux, je la dilate et la lubrifie doucement. Elle gémit encore, elle tente d’ouvrir un peu plus ses cuisses. J’ai un «crochet» en acier, avec une boule de trois centimètres et demi de diamètre à son extrémité et un anneau à l’autre bout, je la fais pénétrer dans son anus doucement, la fais tourner sur lui même, pousse un peu, elle s’ouvre et laisse entrer l’objet en elle. Je le pousse bien au fond, plaque la tige en acier sur ses reins et la noue sur la corde autour de sa taille. Paf,Paf. Deux petites claques sur les fesses, un gémissement je la laisse ainsi un petit moment, l’incite à bouger un peu son bassin, aller chercher son plaisir. Paf,Paf….Paf,Paf,Paf… Quelques claques bien posées sur les fesses. Elle se tortille encore. Paf,Paf… Encore quelques unes, elle continue à tortiller du cul. Elle adore ça (putain si ça me plais, plus elle prend son pied et plus j’aime ça). Avec une petite cordelette, j’attache le vibro magique sur sa taille et le plaque sur son clitoris. Je tourne la molette et monte très vite en régime (avec ça ma chérie, tu vas jouir comme jamais) j’enlève mon caleçon et lui retire le bâillon, j’ai une érection canon. - Prends moi dans ta bouche. - Oui, viens. Elle ouvre la bouche et je m’enfonce doucement en elle, sa langue s’active, elle me pompe , elle me suce, elle la veut (putain si c’est bon) - Vas-y ma belle, suce moi bien, à fond, avale moi. Elle ouvre sa gorge et m’avale tout entier. (ça lui à pris des années avant d’y arriver, mais c’est magique et elle adore ça) Le vibro fait son petit effet, elle gémit, elle jouit, elle m’avale, me suce, s’étouffe avec ma queue et jouit encore plus. Je me retire, je ne veux pas jouir maintenant et j’avoue qu’avec une pipe pareille, il est très difficile de se contenir. Je passe derrière elle, défais le nœud qui maintient le crochet en place et retire doucement la boule de son anus. Je décroche la corde au plafond et la laisse reposer les épaules au sol. J’appuie mon gland sur son anus et la laisse s’ouvrir, elle m’accueille en elle en gémissant. Mon va-et-vient devient rapidement pressant, en plus le vribro envoie tout ce qu’il peut, c’est dément.. Je me calme un peu en dénouant le gote pour libérer ses bras, lui permettre de prendre appui au sol et retrouver le contrôle (partiel) de son corps. Je m’active à nouveau en elle, elle m’offre ses fesses, se tend, gémit encore et encore, je n’en peux plus, ce petit jeu était vraiment trop excitant. - Je vais jouir ma belle, rejoints moi. - Oui, viens, jouis en moi. Il n’en fallait pas plus, pour me faire jouir, j’éjacule, j’explose en elle, le plaisir m’envahit tout entier, les spasmes de ma queue sont puissants. Je suis repus, épuisé. Je me retire, arrête le vibro et commence à dénouer les cordes pour la libérer complètement. Elle étant ses membres doucement et me sourit. -Merci mon amour. - Merci à toi ma belle. Ça t‘a plus? -Oui, c’était vraiment spéciale. - Oui, très. Je l’embrasse, me relève et range un peu tout ça, il ne faudrait pas que les enfants tombent sur nos jouets demain matin.
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Par : le 18/12/21
Mur de commentaires Severazur 14/11/2021 16:27:56 Une page se tourne... Les jours ont des couleurs. Certains sont jaunes comme le soleil, roses comme l'amour, rouges comme la passion, gris comme la tristesse. Aujourd'hui est un jour bien gris. La décision que je me suis résolu à prendre m'arrache le cœur tant je sais qui je perds et tant je sais combien je la fais souffrir. Il m'était cependant impossible d'envisager une autre issue pour des raisons qui ne regardent qu'elle et moi. Déchiré et triste, je ne peux cependant que me résoudre à rendre à ma si Précieuse sa liberté dont elle ne voulait pas. Devant toutes et tous ici, je veux rendre grâce à sa sincérité, son engagement, son honnêteté sans faille. Jamais il ne m'a été permis de posséder pareille soumise, dont la force et la fragilité forcent mon respect et mon admiration. Jamais ma précieuse n'aura failli, démérité, n'ayant de cesse que de devancer mes désirs avec une passion incroyable. Je lui rends grâce et je demande aux nombreuses personnes qui nous ont témoigné leur bienveillance ici de prendre grand soin d'elle et de l'accompagner dans ce moment compliqué. Pour ma part, je ne chercherai pas à la remplacer, elle est de toute manière irremplaçable. Je remercie les personnes qui ici par leurs messages, leur humour et leur bienveillance nous ont accompagnés et je souhaite à chacune et chacun d'éprouver la connexion que ma précieuse et moi avons connu. Bon vent à toutes et tous. Quelques uns de nos commentaires Merci mon arc, ma précieuse pour vos mots ici et pour garder le lien. Vous m'êtes et me resterez toujours précieuse 14/11/21 arc en ciel Vive émotion Mon Maitre à vous lire, je reste votre précieuse, vous restez précieux pour moi. Mon choix est de garder le lien entre nous ailleurs, cette décision vous sied. Je n'ai aucun reproche à vous faire, sachez le. Votre décision, je l'ai accepté avec déception et tristesse, ne pouvant faire autrement. La vie continue, je sais me relever... Vous me voulez forte, je le suis et serai. 1 15/11/21 Je le mets ici pour garder le lien/souvenir de notre relation. Le 15 12 2021
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Par : le 13/12/21
Marine et Valérie, les deux championnes des hauts alpages s'affrontent pour le combat final. Il ne doit en rester qu'une. Le peuple s'est assemblé, c'est jour de grande fête. La bière coule à flot. Les deux rivales se toisent, se lancent des regards de feu. Leurs pieds rageurs raclent la terre. Voilà, elles se foncent dessus, cherchent de suite à s'empaler. Les cornes se choquent avec grand bruit. Leurs narines lâchent un air brûlant de rage. Marine est une costaude, toute en masse, puissante. Valérie, plus fine est toute en finesse et esquives, mais elle sait cogner dur. Un combat impitoyable. Finalement, avec ses frappes de précision Valérie prend vite le dessus. Marine ne met pas genou à terre, mais se retire. Elle est la perdante mais c'est une fière qui refuse toute soumission. L'assemblée du peuple exulte et célèbre la victoire de Valérie. Chante peuple, réjouis toi. Au final c'est encore toi qui l'aura dans le cul.
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Par : le 08/12/21
Je n’ai jamais été attirée ni fascinée par les chattes. La mienne, je la voyais comme un simple trou à l’usage des hommes. Pas spécialement esthétique. Mais que je leur offrais volontiers s’ils souhaitaient l’utliser. Pour la cravacher, la munir de pinces, la fouiller. Avant de la défoncer. _______________ Longtemps, je la considérais comme un orifice « vanille ». Puisque c’est celui qu’utilisent les gens « normaux ». C’était l’époque où je me faisais baiser. Parce que je refusais qu’on me « fasse l’amour ». A cause de ce mot, amour, qui me faisait peur. Que je ne me sentais pas de jamais prononcer. Pas plus que les mecs avec qui je couchais. ________________ C’est toi qui m’en a fait comprendre le sens. En me faisant découvrir ce que ce pouvait être pour un homme de faire l’amour à une femme. Qui ne consiste pas seulement à la baiser. Mais à s’occuper d’elle, de son plaisir à elle. En le faisant passer avant le sien. Tu m’as appris aussi que ma chatte pouvait ne pas être qu’un trou. Et qu’une queue, fût-elle raide, ce pouvait être tendre aussi. Et fait découvrir le vertige de jouir de ta bouche, de ta langue, de tes doigts. À mouiller sous tes caresses pour mieux m’ouvrir à toi. Les autres, avant toi, ne pratiquaient pas le cunnilingus. Parce qu'un Mâle ne bouffe pas la chatte d’une salope. Et encore moins sa mouille. Tu m'as de même appris à te chevaucher. Contre tous les usages, qui veulent que position de la soumise, ce soit « sous l'homme ». Parce que ce n’est pas elle de contrôler son plaisir à lui. Ni à décider de son rythme. En jouant de son sexe pour le lui imposer. Au début, j'avais du mal. Mais j'y ai pris goût. Parce qu'avec toi, j’ai appris qu’une chatte ça n’a pas qu’un usage « vanille ». Que faire l’amour ce n’est pas seulement baiser mais une complicité, une fusion des corps et des esprits. Que tu pouvais être tout à la fois mon Maître et le plus merveilleux des amants. Et aussi que me faire l'amour ne remettait pas en cause ta virilité. Que nous pouvions être égaux dans le plaisir, pas seulement le tien ni le mien, mais bien le nôtre. Alors, j’ai appris à t’aimer en retour. Et pas uniquement pour ta queue :smile:. _______________ J’aime toujours autant ta queue. Que tu me baises comme une pute, une salope, une chienne. Et je demeurerai toujours ton esclave, Puisque c’est ce que j’ai voulu être. Mais j’aime tout autant quand tu me fais l’amour 😀 Parce que si tu m'as donné envie d'explorer le monde avec toi. j’apprécie aussi les voyages que l’on fait en chambre. Alors malgré toutes les positions que nous avons déjà expérimentées ensemble, je fais confiance à ta créativité pour continuer de découvrir ensemble nos corps et nos désirs. En continuant de me faire rêver de nos voyages à venir.:smile:
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Par : le 06/12/21
Je donne rarement une heure de rendez-vous à mon jeune soumis car sa route est longue pour venir à mes pieds et je ne veux pas l'inciter à commettre des imprudences pour être à l' heure. Une fois, il s'aventure lui même à préciser un horaire. _ " Je serai là à 20H30 Maîtresse. " m'écrit-il. Sachant à l' heure où il termine son job, c'est risqué de sa part. Moi j'aurais dis 21H mais laissons le faire. _ Parfait! A ce soir P---y J'avais vu juste, 20 H 30 personne. 20 H 38. Je monte dans sa voiture, en route pour mon petit coin dans les bois tout en lui expliquant que comme annoncé, chaque minute de retard vaut 20 coups du fouets de mon choix. Ce soir j' ai décidé que ce serait avec le martinet bleu aux larges et longues franges. celui qui claque bien fort... _ " Mais vous ne l' avez pas pris Maîtresse, me dit-il en regardant d'un air rassuré mon petit sac à main. Presque rassuré et pas pour longtemps. Mon sourire en coin le fait douter... Pour qu'il garde les yeux sur la route, je sors de mon petit sac magique mon plus grand martinet plié en 3 et l' étale de tout son long sur le tableau de bord. _ " Ha mais si, vous l' avez vraiment pris! S'exclame mon insouciant soumis. _ Bien sure si je te le dis , c'est que je l'ai. Maintenant faisons le compte! " J'ai le regard qui pétille... " 8 mn ça fait que tu me dois 160 coups. Ça tombe bien car comme je te l'ai dit cet après-midi, j'ai très envie de te faire mal..." Il sourit, amusé de de voir mon enthousiasme et content d'être là pour Sa Domina. L'heure est au plaisir , la punition son prélude... La nuit est tombée, sous les bois il fait trop noir pour que j'en profite bien, je le fais donc se garer plus proche des habitations, à la lueur d'un réverbère. Je veux qu'il tienne sa position seul alors pas de lien. Juste un arbre pour prendre appui. Je lui fait quitter son haut, je veux son dos... Je veux ses maux... Je veux ce qu'il y a au bout de ces 160 coups... Il me connait bien et sait déjà que tout va aller vite... Les premiers coups réchauffent sa peau... Ce martinet claque vraiment fort... J'entends sa résonance dans le calme de la nuit se mêler aux gémissements de mon soumis. Je le guide , lui ordonne de reprendre place, frappe, le laisse fléchir, lui parle du sentiment de volupté que je ressens... Les feux des voitures qui passent l' éclairent brièvement. Juste le temps de voir la nudité de son dos entre les arbres. A peine le temps pour lui laisser un peu de répit. Les lanières sont denses, elles lui recouvrent le dos en masse épaisse qui s'écrase sur sa peau... Je veux sa douleur, Je veux tout, tout de suite... Tout assez vite... Il essaie de tenir... Faiblit... Puise en lui la force de se redresser ... J'aime le voir ainsi... Je lui inflige tout assez fort pour qu'il s'effondre à mes pieds... J'irais jusqu'à se qu'il ne puisse plus... Il le sait... Il supplie... Il fait mon plaisir... A quel moment j' ai arrêté de compter? Quand ses genoux ont commencés à toucher terre , je crois... C'était si bon de le voir faiblir que Je ne sais plus trop... Le nombre n'était pas le plus important. Si j' ai dépassé les 160 ? Oui surement un peu... Voir un peu plus ... Je voulais sa limite. Son lâcher-prise... Je le voulais vite et ne lui ai laissé que peu de répit ce que je lui savais plus dur à tenir... Si j' ai aimé? Oui! Oh oui j' ai aimé. Surtout le moment qui suit, où ,la punition finie laisse place au réconfort... Ce moment où il s'abandonne à genoux dans la terre, à mes pieds , sa tête contre moi, mes mains caressantes... Où le reste n'a plus d'importance... Instant où je l'accueille avec tendresse et bienveillance , le temps de faire redescendre l'intensité et reprendre ses esprits. J'aime ce moment... Est-ce que lui a aimé? Il revient en sautillant gaiement à chaque fois donc Je dirais que oui, il a aimé... Il sait quand j'ai envie de lui faire mal... Quand j' ai envie d'autre chose... Les choses sont dîtes, acceptées, consenties... S'en est suivi une bonne soirée dans un restau à papoter devant un verre. ( ça date d'avant le covid ) Prendre le temps de mieux se connaître. Partager un temps différent... Puis , dans un autre temps encore différent, j' emmène Mon p' tit 4 heure faire un tour dans un recoin de ma ville pour assouvir quelques pulsions plus sexe. Ho rien de bien terrible non plus, juste de quoi me faire jouir. J'ai toujours un bout de corde dans mon sac, mais ça c'est une partie de l' histoire que je garde pour moi...
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Par : le 06/12/21
En chaque femme sommeille une guerrière. J’en ai connu des douces, des aventurières. Des louves insoumises, ayant vécu l’enfer. Souvent incomprises, avec leurs parts de mystères. Femmes fatales aux regards de braise. L’esprit vengeur contre ces arnaqueurs qui les baisent. Cœurs brisés cherchant cette tendresse qui les apaise. Cachant leurs larmes, faisant de l’amour une foutaise. Femmes qui ne s’attachent plus, plaisirs éphémères. De peur de souffrir, mais qui un peu espèrent. Croyant sans y croire à celui qui les mettra tous à terre. Mais criant que les hommes sont tous les mêmes, triste transfert. Femmes meurtries, ayant dû fuir à l’anglaise. De cette emprise, de tous ces malaises. Dites vous qu’il y a encore de l’amour sans parenthèses. Qu’il suffit d’une âme pour redonner goût à toutes les hypothèses... le 085 12 2021
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Par : le 05/12/21
Un soir ma compagne après une petite séance très agréable me dit : -tu veux toujours m’attacher mais tu ne te rend pas compte à quel point c’est contraignant. ( ma belle si tu savais) Si tu étais à ma place peut-être que tu arrêterais de vouloir faire ça. -Si tu tiens vraiment à ce que je sache ce que tu ressent, tu n’a qu’a m’attacher, ça me va. -non, je ne saurais pas faire ça et en plus je ne saurais pas quoi faire de toi. -Ce n’ai pas un problème je vais te montrer comment monté un harnais et ensuite si vraiment tu ne sait pas quoi faire de mon corps je te dirigerai, te dirai quoi faire. -Non, je te l’ai dit, je ne saurai pas faire ça et je ne me sentirai pas à ma place. -Peut m’importe, je vais te montrer, je suis sûr que tu va adorer ça, de plus, après ça, tu ne pourra plus me dire que je ne sait pas ce que c‘est d’être dans le cordes. -Comme tu voudras. J’ai donc passer quelques heures à lui apprendre à faire un single et à monter un gote simple,histoire d’être bien verrouillé quand même, pour qu’elle ne puisse pas me dire que je n’étais pas attaché comme elle l’est habituellement, c’est une maligne, je la connaît bien ma petite soumise. Nous voici donc prêt pour un session très spéciale, j’en frémis de plaisir.Je commence donc par me dévêtir entièrement et lui ordonne de faire de même ( je tiens absolument à ce quelle voie ma réactions aux divers actions qu’elle sera amenée à faire sur moi) mais elle hésite, je le vois bien, il n’est pas dans sa nature de diriger l’action. Je la rassure et lui dit qu’elle n’a qu’a m’obéir comme elle le fait si bien habituellement. -Maintenant attache moi. -Oui Elle est intimidée, je le sens, mais elle s’exécute et me voilà pris dans les cordes. -Maintenant fais de moi ce que tu désir, contraint moi, donne moi tes ordres. -Tu veux que je fasse quoi ? -A toi de décider, tu dois bien avoir une petite idée. -Non, je ne sais pas, enfin je n’ose pas. Bon, ça va être plus compliqué que prévu. -Fais moi mettre à genoux. -D’accord Elle m’attrape par le harnais et tente de me tirer vers le bas. -J’ai 3 fois plus de force que toi, ce n’ai pas comme ça que tu y arrivera. Ordonne moi et oblige moi. PAF une grande claque sur la fesse droite -Met toi à genou (hmm, putain c’est bon, j’adore ça, elle commence à comprendre) -Merci maîtresse. -Non, ne dit pas ça. -Et pourquoi pas ? PAF( toujours la droite) -Parce que je n’aime pas ça. -Comme tu voudras, je ne suis toujours pas à genoux. PAF,PAF -A genoux (C’est bon elle a compris cette fois, et moi je commence sérieusement à monté) -Je le crois pas, t’es déjà tous tendu ! -Oui, alors ne me laisse pas retomber. PAF -Alors met toi à genoux. Cette fois je m’exécute, je ne voudrais pas lui casser son élan. -Et maintenant, je fais quoi ( bon sang,elle recommence) -Approche. -Encore. -Met ta main derrière ma tête et tire moi entre tes cuisses. Elle s’approche encore, ouvre légèrement les cuisses et me tire vers elle.Putain! j’adore . Je me cambre un peu, penche la tête en arrière et glisse ma langue entre ses lèvres, je la lèche, je la suce, je joue avec ses lèvres, avec son clitoris. J’entends son souffle qui s’accélère, elle retient des petits gémissement, mais je sens que ça l’excite. J’accentue mes caresses, je sens ses cuisses qui commencent à trembler. Je tend ma langue, la durcit au maximum et me glisse en elle. -Oh, oui, comme ça. Humm, elle en veux encore, je sens sa main qui tire sur ma nuque pour me faire entrer encore. J’accélère le jeu de ma langue, ses cuisses tremblent de plus en plus.Je suis de plus en plus dur, la tension va commencer à devenir douloureuse. Elle me lâche soudain, m’attrape par le harnais. -Lève toi. Elle me pousse en arrière, je tombe assis sur le lit. Elle me pousse encore, monte sur le lit, à genoux, et pose sa vulve sur ma bouche, Je suis aux anges, elle se lâche enfin complètement. Je lui offre ma langue avide de son plaisir. -Encore. Je la suce je la lèche encore et encore, elle se met sur ses pieds, s’accroupit, ses lèvres s’ouvrent, ses fesses s’écartent. -Oui comme ça, met ta langue, oh oui, vas-y. Je la pénètre avec ma langue, me glisse en elle, encore, je me tortille un peu, je descend pour faire glisser ma langue vers son anus. Petit cri de surprise. -Oui. Je titille son anus, je le sens se dilaté doucement. Je durcit la langue et la pénètre légèrement. -Oh mon dieu, oui. Attend. Elle se retire et me laisse, pantelant, Je suis tendu comme un dingue, cette fois c’est vraiment douloureux.Elle s’approche à nouveau, m’enjambe prend mon sexe dans sa main. -Dit donc t’es dans un bel état. Elle pose son sexe sur mon gland et s’assoie sur moi, m’enfonce en elle.Putain comme c’est bon. Elle bouge les hanches, elle se frotte contre mon ventre, je sens son plaisir monté rapidement. J’aimerais l’attraper par les fesses, lui donner le rythme, prendre ses seins dans mes mains, mais je suis coincé dans les cordes. Sa me rend dingue mais en même temps ça fait monté mon plaisir, je suis tendu c’est dément. Son rythme s’accélère, son souffle également, ses gémissements deviennent des plaintes, son plaisir la submerge complètement, je sens ses ongles qui griffe, qui s’enfoncent dans mes abdominaux (la vache, vas-y doucement) mais je ne dit rien, je sens qu’elle viens, je me retient, pas question qu’on en reste là, après ça je vais avoir besoin de la prendre, de la posséder, la sentir s’abandonner encore. Je la sens qu’y s’appuie sur moi de ton son poids, elle m’enfonce en elle aussi loin que possible appuis son clitoris sur mon bas ventre. -Oui, oh oui. Han. Je sens son orgasme, sa jouissance, son corps se tend, ses reins se cabre sur moi, ses cuisses à nouveau se mettent à tremblées. Et subitement, le relâchement, les derniers gémissements. -Détache moi. -Tu as mal ? -Non, je veux te posséder maintenant. Elle me tire vers elle pour m’asseoir, je suis toujours en elle, tendu de désir. Elle décroche le harnais. Mes muscles son tout endoloris, mais ça ne va pas m’empêcher de la baiser comme elle le mérite. Je l’attrape par les bras, la fait pivoter pour la mettre sur le dos. Je m’allonge sur elle, elle m’ouvre ses cuisses, m’attrape par les fesses. Elle s’approche de mon oreille -Viens, prend moi, baise moi. Bon sang, je deviens dingue, c’est la première fois qu’elle le dit spontanément.Je l’attrape par les hanches, la soulève légèrement , mes reins donnent la cadences, ses hanches mes suivent, nous entrons dans une danse infernale, je me perd entre ses cuisses, son plaisir me submerge, le mien également, je ne vais plus me retenir très longtemps. Je lâche ses hanches, je l’attrape par les poignets, lui bloque les mains au dessus de la tête, je la possède totalement, je m’enfonce en elle, mes coup de reins sont de plus rapides, de plus en plus puissants, ses cris, ses gémissement n’en finissent plus, je ne contrôle plus mon plaisir, je veux m’abandonner, mes perdre en elle. Ma langue remonte le long de sa nuque, je suce le lobe de son oreille, je sait que sa la rend dingue elle va jouir à nouveau et je vais la rejoindre. Lorsque son plaisir éclate, je sens ma queue qui enfle en elle, mon plaisir me submerge complètement, j’explose en elle, je sens les parois de son vagins qui enserrent ma queue, ma semence qui se déverse en elle. Je suis terrassé, repus, épuiser. Je me retire, doucement. Je m’allonge auprès d’elle et la prend dans mes bras, elle me souris et m’embrasse. -Merci Monsieur.(enfin elle accepte le jeu complètement) -Merci ma belle. -Les cordes ne vous ont pas fais mal? -Non, je me sens bien, c’est inconfortable mais pas insupportable, ni franchement douloureux. -Je sais. -C’était un stratagème, n’est-ce pas ? -Oui, je voulais juste voir si vous le feriez. -Tu ne me fera plus de reproche au sujet des cordes ? -Non Monsieur Voilà pour ma petite histoire, le début d’une relation, un apprentissage commun, une histoire très agréable, des souvenirs inoubliables. Je ne suis pas un très bon écrivain ( voir pas douer du tout), mais j’espère malgré tout que ma petite histoire vous à plus, même si c’est plus « vanille » que DS, l’expérience était super agréable.
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Par : le 04/12/21
Suite de l'article suivant : De pervers narcissique à soumis IV Ma reine au plus profond de moi Plusieurs jours après avoir joué avec mon anus ma reine me donna sa carte d'identité. Tu dois récupérer un colis après le travail me dit-elle sans rentrer dans les détails. Elle a pour habitude étant tous les deux au travail en journée de faire livrer ses colis en points relais donc rien d'inhabituel. Une fois ma journée de travail terminé je m'exécute récupère le colis et rentre immédiatement retrouver ma reine. Une fois rentrée, ma reine était plongée sur son ordinateur pour répondre à ses mails, je dépose le colis à l'entrée me rend à ses pieds pour les embrasser tendrement tout en attendant qu'elle m'autorise de disposer à mes tâches domestiques. Quelques minutes plus tard en se redressant sur la chaine elle me demande de lui apporter le colis et de préparer le diner du soir. je m'attelle à la tâche, pendant ce temps ma reine déballa le colis et m'ordonna de venir. Je vis un énorme gode, une vingtaine de centimètres et d'une largeur incroyable mes yeux sont immédiatement remontés vers le visage tout sourire de ma reine. -Il était temps d'inverser les rôles dit-elle Je reste sans voix, il était accompagné d'un harnais qui avait l'air extrêmement solide. Ma reine me tenda cette réplique d'un sex que je n'avais vu que dans des films porno, il était lourd, pas très élastique mais maniable à souhait. Ma reine n'avait qu'une idée en tête le tester, après le diner elle alla s'installer dans le lit il ne fallut que 5 minutes pour l'entendre m'appeler. Je rentre dans la pièce en me faisant tout petit tout était prêt le harnais était solidement attaché à sa taille, le gode pointait comme un sex en erection prêt à transpercer mes orifices. Elle me fit monter sur le lit, allongé sur le ventre, elle s'allonger sur moi et je sentis la lourdeur de son sex posé sur mon derrière. Elle me demanda si j'allais être sage, je ne veux pas avoir à t'attacher et te punir me dit-elle. Je n'avais qu'une seule solution dire oui ma reine remonter mes fesses et lui offrir ma virginité anale. Une fois mon anus enduit de gel je l'ai senti s'enfoncer légèrement tentant de casser ma virginité . J'avais à présent une forte douleur de pincement, par reflexe ma main a bloqué son bassin pour qu'elle ne s'enfonce pas un millimètre de plus. Elle m'attrapa par les cheveux immédiatement pour m'ordonner de laisser mes deux mains dans le dos, elle reprena son mouvement de bassin ses deux mains bloquant mes bras dans le bas de mon dos. J'étais totalement à sa merci, je me faisais baiser de plus en plus fort on entendait ses cuisses claquer contre mes fesses cela a duré une bonne quinzaine de minutes avant que ma reine ne s'effondre sur mon dos. Elle releva légèrement son bassin pour m'embrasser le cou me mordre l'oreille je l'ai senti terriblement excitée, elle s'amusait à me pénétrer totalement d'un coup sec de façon cruelle parfois même restant totalement au plus profond de moi pour remuer de gauche à droite et de bas en haut pour me montrer que les rôles étaient désormais changé. Une fois retiré mon érection était si puissante qu'elle m'en faisait mal, il était hors de question pour ma reine de me voir me vider ce soir. Une fois le harnais retiré je pris place entre ses cuisses laissant apparaitre son sex trempé et bouillant. L'excitation me fit plonger ma bouche sur son sex pour me délecter immédiatement de ma reine, ma seule obsession l'entendre jouir je plongeais ma langue, je l'embrassais, sa main sur ma nuque me maintenait si fort et si fermement que je me sentais emprisonné entre ses cuisses. Après plusieurs orgames ma reine était s'est totalement relâchée je sentais ses caresses sur le haut de ma tête, elle se redressa et me fit comprendre de prendre cette habitude de me donner corps et âme. V Recadrage strict et humiliant En dehors de notre intimité ma reine est discrète sur nos rapports de soumis à maitresse. Que ça soit entre amis en famille en public il lui arrive de me recadrer discrètement, avec une remarque un regard, je comprends assez vite que je dois me remettre à ma place. Un soir d'anniversaire d'un ami en commun, je fis l'erreur de lui répondre sèchement à une remarque désobligeante à mon encontre. Son regard changea immédiatement et tout le long de la soirée, je sentis la correction arriver de loin. En rantrant tout était calme, il était tard nous nous sommes mis au lit et endormi immédiatement mais je savais qu'elle n'allait pas en rester là, elle aime me faire réfléchir à mes erreurs me faire maronner et préparer sa punition sur la durée. Au petit matin comme tous les dimanches je prépare le petit déjeuner pour servire ma reine au lit, mais aujourd'hui elle préféra se mettre à table. Les deux plateaux étaient servis, au moment de nous mettre à table elle me fit un geste de l'index me demandant de venir à elle puis saisi mes poignets et m'attache les mains dans le dos la seule consigne était de me mettre à quatre pattes de ne pas bouger et de me taire. Elle prit son petit déjeuner tout en mignorant, de longues minutes s'écoulent puis elle se leva sans rien dire pour revenir 30 secondes plus tard je ne comprenais pas tout se passa dans mon dos. J'entendis ma reine se saisir de mon assiette et y mettre son contenu en petits morceaux dans un récipient métallique. Elle se leva et saisit mon oreille et me releva fermement, je me retrouve à genoux droit devant elle j'aperçois de suite la badine dans l'autre main tenue fermement. Droit dans les yeux elle m'annonça ma punition qui durera jusqu'au dimanche suivant : -puisque tu m'as parlé comme à un chien, je vais te considérer comme tel. -Retournes-toi et rampe. Je sens la badine s'écraser contre mes fesses à chaque pas, je ne savais pas ou aller la douleur était puissante. Cette ronde était menée au rythme de ses talons qui claquaient sur le carrelage et au son que faisait la badine avant la rencontre avec mes fesses. Il ne me faut pas longtemps pour tomber de coté et supplier ma reine de stopper cette douleur brûlante. La punition n'était pas terminée elle m'ordonna de me redresser et placer mes mains derrière la tête, il était temps pour elle de s'occuper de mes cuisses de mon dos la douleur était à la hauteur de sa colère. Après un énième coup je vis la badine tomber au sol, nul besoin de dire que je devais m'en emparer pour la ranger à sa place comme un bon soumis. Je n'ai que quelques secondes pour ranger cet instrument de torture et reprendre mes esprits, je rentre dans la salle à manger à quatre pattes les yeux baissés pour y retrouver ma divine reine. À peine entré dans la pièce j'entendis "au pied" d'un ton sec, je m'exécute lèche le bout de sa chaussure et la remercie de la correction reçut quelques minutes auparavant. Elle déposa devant moi une gamelle, les restes de son petit déjeuner, je reste bloqué quelques secondes devant ce geste humiliant mais je m'exécute. Je penche ma tête pour prendre ma première bouchée, elle m'annonça comme à son habitude les tâches du jour, je relève la tête la gamelle est vide. Fais le beau dit-elle avec un petit sourire, assis debout va chercher, elle joua avec moi de longues minutes puis me laissa reprendre ma journée de domestique. Après le diner mangé dans les mêmes conditions que le petit déjeuner et le déjeuner, ma reine m'emmena dans le couloir de notre entrée elle m'attacha au radiateur et s'en alla chercher une couverture et un oreiller. Elle installa ma place pour les nuits de la semaine à venir. Avant de repartir à ses occupations elle ria en me disant de bien monter la garde et d'aboyer en cas de danger. Ce fut la première longue journée d'une semaine d'humiliation que j'avais bien cherchée. Merci ma reine.
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Par : le 04/12/21
LE PETPLAY Le BDSM comporte une myriade de pratique, allant du plus soft jusqu'à l'extrême, de l'ordinaire en passant par l'exotique. Parmi les pratiques les plus anciennes de l'homme, il y en a une qui a su se démocratiser au cours des années 90 / 2000 : Le Pet Play, le fait d'incarner plus ou moins un animal que l'on a au fond de nous. Le Pet Play généralement se découpe en plusieurs archétypes d'animaux récurrent, mais rien empêche la personne d'en choisir un qui n'est pas dans la liste (mais qui sera en contrepartie forcément moins documentée, voir inexistant en termes de communauté). Les Canidés [Chiot / Chien / Loup] Félins [Chat / Chaton / Lion] Équidés [Poney / Cheval] ========================================================= DIVERSES ORIGINES Le PetPlay à beau paraitre neuf au regard de beaucoup de personne, elle est pourtant une des pratiques les plus vieilles du monde au sein de l'humanité. Les premières tribus humaines possédaient toujours un shaman qui incarné le croisement de la vie sur terre, faisant le lien entre le terrestre (la faune et la flore) et le Divin (aspect céleste / spirituel immatériel), ne faisant qu'un avec l'ensemble et formant ainsi un tout réunie en son sein. Si la figure du Shaman c'est quelque peu perdu au fil des siècles en Occident, elle perdura du côté de l'Afrique et de l'Amérique Amérindienne (Animisme). Le PetPlay peut se retrouver aussi dans une commune mesure dans l'antiquité, que cela sois à travers la figure des Amazones, femme farouche comme des "lionnes", ou encore et surtout, de par la figure du Minotaure revêtant à la perfection la notion de (demi) Dieu Homme - Animal. L'histoire de sa conception fait elle-même écho à sa propre nature. Puisque la légende raconte que Minos pour obtenir le trône, fit intervenir Poséidon en personne qui lui envoya un taureau ayant son nul autre pareille au monde. Plutôt que d'honoré sa promesse, Minos se moqua de Poséidon en sacrifiant non pas le taureau envoyer par ses soins, mais un vieil animal malade. Le Dieu rentra par la suite dans une colère noire lorsqu'il se rendit compte du vulgaire subterfuge. Il decida d'échafauder un stratagème pour punir Minos de son inconduite : Envouter sa femme Pasiphaé pour la faire tomber amoureuse du taureau. Avec l'aide de l'architecte Dédale, elle conçut un costume sous forme d'habitacle afin qu'elle puisse être en phase totale avec son nouveau rôle et enfin assouvir sa passion dévorante... 9 mois plus tard je vous laisse devinez la surprise. En dehors de l'aspect historique, c'est bien entendu dans l'art que l'on peut retrouver une certaine représentation de Petplay et ce, jusque dans la pop culture. On pourrait parler des Fury, sans l'aspect sexuel voir comportemental mais avec une simple projection d'eux même en animal virtuel, tout autant que l'aspect filmique, à l'instar de long métrage comme Cat People. Dans le film en question une femme a le pouvoir de se changer en Panthère, entrainant tout un tas de situation allant du plus burlesque au plus dramatique. Je vous épargnerai bien entendu la figure du Loup Garou, la synthèse parfaite entre un homme et un loup. Mais, cela serait oublié que dés notre enfance nous sommes aussi exposé à ce genre de représentation : Les Comics en simple exemple. Et la ce n'est pas ce qui manque niveau diversité, entre Spiderman, Le Fauve, Wolverine, Catwoman, Stargod (l'homme loup), Black Cat, Batman... Difficile de faire la fine bouche ou, de ne pas trouver chaussure à son pied lorsqu'on est un tant sois peu sensible au sujet. ========================================================= LES DIFFÉRENTS PROFILS Le PetPlay dans le BDSM compte comme adepte les PetGirl (femme) et, PetBoy (Homme), il se découpe généralement en 3 catégories : Chien, Chat, Cheval généralement. En termes de proportion, difficile d'établir une base de donné en l'absence de chiffre, mais de mon expérience personnelle, je découperai cela ainsi: 60% de Chien / 30 % de Chat / 9 % de cheval / 1% de autre. Ressentir le fait d'être un animal n'est pas anodin, et il est rare que quelqu'un décide d'en incarner plusieurs à la fois. Le PetPlay permet de se rapprocher d'une animalité que l'homme a perdu avec le temps, à chaque animal son tempérament et sa nature qui correspond à un adepte en qui cela résonnera. Dog Play: Il est ici question de comportements canins ou, plus communément appeler "chien" ou "chienne". On lui associe souvent le cuir mais ce n'est pas un impératif, loin de là. Le PetPlay est loin d'être uniforme, on pourrait associer cela à des paliers d'animalité. Certaines personnes se contenteront d'être promener en laisse, tandis que d'autre iront un cran au dessus en mangeant en gamelle, voir en faisant ses besoins en litière ou dehors. On peut encore aller plus loin pour les plus investies, en faisant en sorte que la personne adopte totalement et entièrement le rôle d'un chien. Celui-ci fonctionne en attachement avec son Maitre certes, mais il doit aussi pouvoir s'inclure dans un groupe de Petplay, avec une attitude à avoir selon le profil du ou, de la soumise (Alpha / Bêta / Omega) au sein de la meute. Quelque sois le niveau du pratiquant : Le dressage est de mise pour pouvoir parfaire ou, évoluer dans sa pratique. Un os peut être fourni, une niche de construit, seule vos limites et votre imagination mettront un frein à tout cela (et peut être aussi votre portefeuille ;) Cat Play: Nos amis les chats sont à l'honneur ici, et même si une large partie des personnes joue le rôle d'une chienne, certain préfère celui d'une petite chatte... Avec ses différences de comportements à noter. Un chat par nature est bien plus indépendant qu'un chien qui restera la plupart du temps aux pieds de son Maitre. Le PetPlay en incarnant / dirigeant un chat, est bien plus observateur qu'acteur. On intervient mais peu en tant que Maitre, le chat fait sa vie, viendra se blottir à vous ou non. Vous pouvez bien entendu tenter de dresser votre chat comme un chien, mais rappeler vous avant tout de son caractère et surtout, de la nature de son rôle choisie. Pour les plus rigoureux, les gamelle d'eau et de nourriture sont à prévoir, ainsi qu'une litière et, peut être, si vous avez de la chance : une chatière afin de bien faire les choses jusqu'au bout (ainsi que quelque bout de carton, les chats adorent s'amuser avec). Pony Play: Cas plus rare mais on ne peut plus intéressant : Le Pony Play. Assez différent du Dog et du Cat Play, le Pony Play s'accentue davantage comme un faire-valoir d'usage pour son Maitre (on peut en tout logique chevaucher son cheval ou sa jument). L'adepte au niveau de sa pratique peut rester soft (léger accoutrement, quelque tour dans la nature en galopant), voir aller plus loin en recevant des coups de cravache ou,en ayant une grange aménager voir, un charriot tiré pour son Maitre pour les plus engagés. ========================================================= VIE QUOTIDIENNE : Comme pour toute pratique lier au BDSM, cela rentre dans le contrat qui lie le ou, la soumise à son Maitre / Maitresse. En d'autre terme : il n'y a pas d'obligation à respecter pour dire que votre pratique est valable ou non (c'est plus votre engagement lorsque vous décidez de l'incarner qui fera la différence). Vous pouvez très bien définir avec votre Maitre / Maitresse que vous ne ferez cela uniquement que le week-end, quand d'autre demanderons quelque chose de plus soutenu et donc, déborderont sur la semaine... Sans oublier ceux pour qui tout cela est une évidence, désirant vivre cela H24 en dehors de leur obligation (pro, ami, famille etc...). Le plus important, est votre bien être, prenez le temps de réfléchir si cela vous parle et, si c'est le cas : jusqu'à quels degrés ? En faisant cela vous éviterez les déconvenues avec votre Dominant, tout en profitant de ce que vous aimez vraiment sans retenu. Giovanni Scaletta *Le dessin fut réalisé par mes soins pour illustré l'article, afin qu'aucune ressource artistique ne soit volé.
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Par : le 25/11/21
Ma première sodomie... avec un trans je décide de sauter le pas et me faire enculer... Mais pas par un mec, je cherche donc un trans. Je tombe sur des sites spécialisés. Je trouve une belle blonde, très grande, belle poitrine généreuse, et bite de 22 cm, autant commencer gros. Finalement je franchis le pas... c’ est une première, et pour en plus me faire enculer... La porte est entrouverte, elle m'ouvre nue, je la suis dans la chambre, regarde son cul nu... Aucun effet je commence à avoir peur...Elle est divine pour le reste, visage tres féminin, longs cheveux blonde belle poitrine, le sexe à l'air pas mal mais encore mou. Elle Me met nue et m'allonge sur le lit... Elle commence à jouer avec ma bite... Puis me demande si je suis passif ou actif, tout comme j'ai demandé de faire .Je lui dis donc passif et là elle me dit "tu attends quoi viens me sucer" je me jette sur sa bite, la branle, le sens grossi, elle m'insulte et me disant suce-moi salope! Je m'exécute, sa bite grossis dans ma bouche, elle est énorme, dure, son gland est énorme , je suis allongé nu, elle me doigte le cul. Elle me tient la tête et me force à prendre sa bite en entier dans la bouche, je ne peux plus respirer, je suis sa pute soumise, je me dégage, elle m'enfonce à nouveau sa bite énorme, elle est assise sur mo torse je ne peux absolument rien faire, je veux me branler mais elle m'en empêche. Elle baise littéralement ma bouche, je suis excité comme jamais, j'en veux encore, elle sort sa bite pleine de bave, et étale ma bave sur mon visage, elle me retourne, me bloque la tête, je sens
sa bite dans mon dos, les fesses, elle se frotte contre mon cul... Et d’un coup je sens son gland rentrer en moi... Doucement... Énorme gland qui me défonce le cul... Puis elle accélère, me baise comme si j’étais une pute, me dis des choses crues "je baise bien ta chatte anale salope, tu es une bonne enculée" je lui dis que j'ai mal. “Je suis entrain de te dépuceler le cul, j’ai une grosse bite pour t’enculer à fond comme tu dois être un peu maso, je te dresse pour que tu aimes avoir mal à chaque fois que je t’encule je veux faire de toi une vraie salope soumise qui aime se faire défoncer le cul. Elle me met en levrette et me donne des coups de reins énormes, mon anus est complètement dilaté et douloureux mais je prends quand même un plaisir monstre, elle sort, m’ allonge sur le dos, et là sa bite rentre tout seul dans mon cul grand ouvert. Maintenant tu es ma pute un véritable enculé qui aime ça et je j’enculerai à chaque fois que j’en ai envie.
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Par : le 23/11/21
Bonjour, voici le récit de mon expérience. Il faut savoir qu'il s'agit d'un condensé de plusieurs années de vie dans quelques paragraphes. La première année a été plutôt soft et tout est monté crescendo. Ce premier article résume 2 ans de vie commune avec ma reine. La suite arrivera assez vite, j'espère que cela vous plaira. Bonne lecture. I Rencontre Nous étions dans les mêmes classes tout le lycée, on se connaissait, elle était très discrète on se voyait tous les jours mais nous ne faisions pas partie du même groupe d'amis, elle me plaisait et sans même se parler j'avais l'impression d'être tombé amoureux au premier regard. Elle c'est Anais et moi Florian, nous avons le même âge. Au fil des années j'ai continué mes études de commerce et nous nous sommes perdus de vu sans jamais avoir eu l'occasion de réellement se connaitre. je me rendais régulièrement sur les comptes de ses réseaux sociaux par curiosité. Un beau jour alors âgé de 24 ans j'ai décidé de prendre mon courage à deux mains et de lui envoyer un message des plus banals - Salut tu te souviens de moi ? tu deviens quoi? Je n'ai jamais été à l'aise pour aborder une femme. Plusieurs jours sans réponse à regarder si elle avait daigné lire mon message je me suis dit tant-pis en voyant que non. Puis un beau jour je reçois une notification il s'était écoulé plus d'un mois, j'ai à peine eu le temps d'ouvrir mon téléphone que j'ai compris qu'elle avait enfin vu et répondu à mon message. Mon coeur s'est mis à battre très vite, que pense-t-elle de mon message ? Est-ce qu'elle répond uniquement par politesse ? Puis je me suis vite rendu compte qu'elle avait l'air agréablement surprise. S'en est suivi des échanges de messages à n'en plus finir des jours durant. J'avais l'impression de revivre mes flirts d'adolescents, nous n'avions pas pu nous revoir les premières semaines de discussions car nos agendas ne nous le permettaient pas mais c'était un mal pour un bien, il est toujours plus facile de se livrer virtuellement puis ce n'était que partie remise et nous vivions pas très loin l'un de l'autre. Notre première rencontre a eu lieu au marché de Noël de notre ville. Dès que je l'ai aperçue j'étais sous le charme rien n'avait changé si ce n'est qu'elle était devenue une femme, nous avions longuement marché et discuté puis nous avions décidé de diner dans un restaurant non loin du marché. À la fin du diner nous nous sommes quittés, le lendemain elle se réveillait tôt et je ne voulais pas paraître trop entreprenant. À peine installé dans la voiture je reçois un SMS d'Anaïs me remerciant de l'avoir invité à diner et de lui avoir changé les idées. Cela m'a provoqué un déclic il fallait que je lui dise que je lui avoue j'ai donc décidé de lui dire que j'avais eu un coup de foudre pour elle depuis le lycée et que cette soirée m'a permis de me rendre compte que ça n'avait jamais changé. Dans les minutes qui ont suivi je me suis dit mais qu'est-ce que tu as fait pourquoi avoir tout déballé par SMS c'est ringard bref la panique. Une panique qui s'est vite transformée en soulagement puis qu'elle m'a proposé de la revoir cette fois-ci chez moi. Nous nous sommes revu deux jours plus tard pour ne plus jamais nous quitter, le coup de foudre absolu, plus les jours les semaines et les mois passés plus nous étions fou amoureux. II Disputes réconciliations et vie sexuelle Comme dans le cas de beaucoup de couples, nous avions nos défauts, nos désaccords, qui se sont vite transformés en disputes parfois même au bord de la séparation mais notre amour reprenait le dessus toujours, se séparer était hors de question.Mais malgré ça les disputes étaient de plus en plus fréquentes, de plus en plus fortes et au fil du temps je me suis renfermé et je n'extériorisais plus rien, ni mes sentiments ni mes envies. je l'a faisait culpabiliser de nos disputes,je n'étais jamais la base du problème de nos désaccords et je me rendais pas compte de ce comportement destructeur. J'étais dans une sorte de revanche sur le fait d'avoir du attendre toutes ces années pour que cette femme s'intéresse à moi. Malgré ça elle restait toujours très directive, l'un comme l'autre essayait de prendre le dessus dans nos prises de décisions dans nos discutions etc.. et parallèlement à tout ça, nous avions une vie sexuelle très épanouie. Nous étions ouverts à essayer des choses à pimenter notre couple et très vite la domination a pris le pas dans nos jeux au lit. On aimait se rendre jaloux, parler de nos anciennes relations se provoquer s'attacher mais nous restions toujours soft. Nous avons également envisagé l'échangisme les plans à trois mais nous n'avions jamais franchi le pas. Elle aimait prendre le dessus, elle me faisait plus ou moins comprendre que le rôle de maitresse c'est quelque chose qui lui fait envie, qu'elle a sa en elle. A ce moment la je ne comprenais pas trop ce que cela signifiait, qu'elles sont ses intentions ses envies, ses limites, puis elle s'est mise à m'envoyer des articles sur l'art de la domination le BDSM. J'ai assez vite compris que j'avais fait des erreurs qu'elle voulait me les faire payer et me façonner à sa façon, tout contrôler, décider être le seul centre de ma vie et me rendre parfait à ses yeux. III Premiers ordres premières restrictions premières punitions Les jours qui ont suivi ont été assez soft, je devais l'appeler ma reine, la prévenir de chaque faits et gestes lorsque nous n'étions pas ensemble (travail, rdv etc.) je me voyais assez tranquille sans me soucier de ce qui allait arriver, elle continuait secrètement de se documenter sans cesse sur comment dominer, comment faire de moi l'homme idéal. La suite a été plus restrictive pour moi, elle s'est mise à vouloir gérer entièrement l'administratif, mes rendez-vous, à chaque ligne ajouté à celui-ci je devais passer par ma reine. S'en sont également suivi des restrictions et des ordres plutôt softs facilement gérables individuellement mais l'accumulation me donnait des journées bien remplies. A ce moment la elle a voulu également gérer mon temps libre, les tâches étaient écrites sur un post-it ou une feuille sur le frigo, je devais lui dire combien de temps me prenait chaque étape de cette liste. Au bout de quelques semaines, je gérais la maison, les repas, le ménage, le linge son service, j'étais en assez peu de temps devenu son domestique. Toutes ses premières bribes d'ordre et de restrictions ont également amené les premières punitions. Des mises au coin pouvant durer plusieurs heures, un nettoyage de sol à la brosse à dents, des punitions physiques comme des séries de gifles, de fouet de ceinture etc. Mon dressage prenait forme au fil du temps et j'aimais ça tout autant que ma reine. Nous faisions toujours autant l'amour, cette fois je ne prenais plus le dessus elle aimait m'utiliser comme esclave sexuel elle pouvait m'attacher me mordre me griffer. Un soir elle m'avait attaché les mains et les chevilles choses qu'elle n'avait jamais faite j'ai senti qu'elle préparait quelque chose. Elle m'a d'abord demandé de me mettre sur le ventre j'ai senti des caresses dans le bas de mon dos et ses doigts se sont vite retrouvé entre mes fesses, il n'a pas fallu longtemps pour les sentir s'insérer l'humiliation était à son maximum moi l'ancien macho égoïste me retrouvant pénétré. C'était ma hantise la pénétration anale je ne voyais pas comment cela était possible d'accepter et pire d'aimer ça, elle savait et dans un ton très pervers elle m'a averti que les rôles allaient bientôt être inversé et que je n'étais pas au bout de mes surprises… A suivre très vite.
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Par : le 23/11/21
Ma première sodomie... avec un trans je décide de sauter le pas et me faire enculer... Mais pas par un mec, je cherche donc un trans. Je tombe sur des sites spécialisés. Je trouve une belle blonde, très grande, belle poitrine généreuse, et bite de 22 cm, autant commencer gros. Finalement je franchis le pas... c’ est une première, et pour en plus me faire enculer... La porte est entrouverte, elle m'ouvre nue, je la suis dans la chambre, regarde son cul nu... Aucun effet je commence à avoir peur...Elle est divine pour le reste, visage tres féminin, longs cheveux blonde belle poitrine, le sexe à l'air pas mal mais encore mou. Elle Me met nue et m'allonge sur le lit... Elle commence à jouer avec ma bite... Puis me demande si je suis passif ou actif, tout comme j'ai demandé de faire .Je lui dis donc passif et là elle me dit "tu attends quoi viens me sucer" je me jette sur sa bite, la branle, le sens grossi, elle m'insulte et me disant suce-moi salope! Je m'exécute, sa bite grossis dans ma bouche, elle est énorme, dure, son gland est énorme , je suis allongé nu, elle me doigte le cul. Elle me tient la tête et me force à prendre sa bite en entier dans la bouche, je ne peux plus respirer, je suis sa pute soumise, je me dégage, elle m'enfonce à nouveau sa bite énorme, elle est assise sur mo torse je ne peux absolument rien faire, je veux me branler mais elle m'en empêche. Elle baise littéralement ma bouche, je suis excité comme jamais, j'en veux encore, elle sort sa bite pleine de bave, et étale ma bave sur mon visage, elle me retourne, me bloque la tête, je sens
sa bite dans mon dos, les fesses, elle se frotte contre mon cul... Et d’un coup je sens son gland rentrer en moi... Doucement... Énorme gland qui me défonce le cul... Puis elle accélère, me baise comme si j’étais une pute, me dis des choses crues "je baise bien ta chatte anale salope, tu es une bonne enculée" je lui dis que j'ai mal. “Je suis entrain de te dépuceler le cul, j’ai une grosse bite pour t’enculer à fond comme tu dois être un peu maso, je te dresse pour que tu aimes avoir mal à chaque fois que je t’encule je veux faire de toi une vraie salope soumise qui aime se faire défoncer le cul. Elle me met en levrette et me donne des coups de reins énormes, mon anus est complètement dilaté et douloureux mais je prends quand même un plaisir monstre, elle sort, m’ allonge sur le dos, et là sa bite rentre tout seul dans mon cul grand ouvert. Maintenant tu es ma pute un véritable enculé qui aime ça et je j’enculerai à chaque fois que j’en ai envie.
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Par : le 18/11/21
Je sonne chez ma soumise, qui m'ouvre vêtue seulement de son collier et d'un élastique qui tient ses cheveux en queue de cheval. J'entre et commence par accrocher une laisse à son collier, avant de lui peloter les seins puis de les lui claquer, et enfin de l'embrasser en pinçant fermement ses tétons. Je l'emmène ensuite à la cuisine par sa laisse, et reviens préparer le reste pour la séance à venir. Quand le repas est prêt, elle apporte la poêle et la pose sur la table. Elle se met ensuite à genoux à côté de moi, les seins sur la table et les mains derrière le dos. Je me sers et commence à manger. Je joue également avec ma fourchette et mon couteau sur ses seins, et particulièrement ses tétons, pendant tout le temps de mon repas. A la fin, je me ressers et coupe tout très finement. Je prends la canne anglaise à côté de moi et assène un coup sur les seins de ma soumise, qui comprend que mon repas est fini et qu'elle peut se mettre à 4 pattes. D'une main, je tiens sa laisse et la canne, de l'autre l'assiette. Je l'emmène de l'autre côté de la table, où l'attendent deux gamelles, l'une remplie d'eau et l'autre vide. Je la stoppe devant les deux gamelles et remplis la vide avec le contenu de l'assiette. Je lui donne un coup de canne sur les fesses pour l'autoriser à commencer à manger, et vais m'asseoir en face d'elle pour profiter du spectacle. Je bande rapidement. Je sors mon sexe et commence à me branler. Elle n'en a rien perdu, tout en continuant à manger le contenu de sa gamelle. Je finis par me lever et me replace derrière elle. Je lui donne quelques coups de canne anglaise pendant qu'elle essaye de continuer à manger. Sa position et les marques qui naissent sur son cul m'excitent, je finis par la prendre en levrette le temps de quelques va-et-vient, avant de la sodomiser. J'arrête après quelques mouvements et viens me replacer devant elle. Je reprends ma branlette en la regardant faire. Avant qu'elle aie fini, je m'agenouille devant elle et lui fais prendre mon sexe en bouche. Je gicle rapidement, dans sa bouche d'abord, puis sur ses joues, avant de vme vider complètement dans sa gamelle de nourriture. Je lui permets de terminer son repas agrémenté de ma sauce blanche. La suite de la séance se passera ailleurs, de nouveaux coups de canne sur son cul puis ses seins me referont bander. Mais c'est une autre histoire...
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Par : le 18/11/21
un soir comme un autre. Je m’ennuie et je suis sur un site de rencontre pour passer le temps, discuter. Soudain je reçois un message qui attire mon attention. — Salut, tu veux t’amuser ? Curieux mais suspicieux je visite son profil. Des photos d’une femme plutôt ronde, pas moche en petites tenues qui n’est visiblement pas là pour une relation sérieuse. Un peu excité je réponds dans le vague pour évaluer le sérieux. — Ça dépend de ce que tu appelles s’amuser ?... — Je suis une Trans seul dans ma chambre d’hôtel je m’ennuie et j’ai envie de sexe. — Tu veux te faire prendre ou … ? demande ai-je — On fera ce que tu veux , c’est direct et ça m’excite. J’ai toujours fantasmé sur la bite mais j’ai de l’appréhension avec un homme. Une Trans c’est un de mes fantasmes ultimes. J’hésite un peu avant de répondre et je me lance finalement. — Je n’ai jamais eu l’occasion de rencontrer un Trans et… j’ai envie d’essayer de nouvelle chose... Sa réponse est on ne peut plus claire. — Haha je vois, on va bien s’amuser je pense... j’arrive au motel. Je bande comme un dingue en cherchant la chambre. Je frappe à la porte et la…. Elle m’ouvre la porte en petite tenue, bas résille noir, corset noir et string noir. Elle me fait entrer. J’ai à peine le temps de dire quoique ce soit elle commence en me caressant à travers mon pantalon. Elle s’arrête soudainement fait un pas en arrière et me dit : . Déshabille toi je veux voir ce qu’il y a la dessous. Son ton autoritaire contraste avec le léger sourire en coin. Je m’exécute sans dire un mot et me retrouve donc nu au milieu de cette chambre, ma bite dressé devant cette Trans. — Bien… Pas mal... Je pensais que ça serait petit mais non. Puis elle s’approche. Elle me branle plutôt fort cette fois et me plaque contre le mur. Je commence à gémir un peu. Elle se colle à moi et je sens sa queue frotter contre ma cuisse. Je commence à la toucher fébrilement puis un peu plus énergiquement. A ce moment elle s’arrête et me regarde dans les yeux. — Met toi à genoux Voyant mon hésitation elle appuie sur mes épaules et me fait descendre, je ne réagis pas et me laisse faire. Je me retrouve alors dos au mur, face à ce string gonflé quand elle ajoute 
 — Maintenant fait ce pourquoi tu es là Je fais descendre son string et découvre une belle bite. Avec hésitation je la saisi et commence à branler cette queue. Elle m’arrête. Je suis surpris puis elle me dit : — Non je ne crois pas que tu aies compris. Pourquoi est tu la ? — Pour avoir du sexe avec vous. Elle adopte un ton beaucoup plus sévère. — Ce n’est pas ce que tu m’as dit. POURQUOI ES-TU-LA ?? — Pour… me faire baiser... pour être soumis… Je comprends que la deuxième phrase est de trop lorsque qu’elle affiche un large sourire sur son visage et répond d’un air moqueur : — Moi qui pensais avoir à faire a un petit curieux en fait c’est une petite salope qui est à mes pieds. Tu veux être soumis ? Alors tu vas commencer par t’occuper de ma queue ma salope. J’acquiesce d’un geste de la tête pour dire oui et en baissant les yeux en signe de soumission. J’ouvre la bouche et d’un geste du bassin elle pousse en avant me forçant à engloutir la queue qui se trouve devant ma bouche, je suce et lèche, puis je la sens grossir, se durcir. Ce membre dur et chaud dans ma bouche me donne envie de pomper de plus en plus vite. Je m’applique à sucer, à lécher et à branler cette bite sous les insultes de ma nouvelle maîtresse qui fait ce qu’elle veut de moi. Les grosses putes, aiment ça sucer ma bite hein ? T’était qu’une petite chienne en manque et maintenant tu nevas plus t’en passer. Cela me stimule et me font bander comme jamais. Je me lâche petit à petit, je pompe goulûment cette queue et je me surprends à dire des choses comme « j’aime votre bite maîtresse » ou encore « baiser moi la bouche je suis une pute ». Autant dire qu’elle ne se fait pas prier et me prend la bouche. Apres avoir été accroupi pendant une dizaine de minutes elle m’ordonne de m’allonger sur le dos, jambes écartées. — Maintenant je vais m’amuser avec mon nouveau jouet me dit-elle. Elle me surprend alors quand elle commence à me sucer. Apres quelques secondes je suis complètement dur et je sens ses doigts à l’entrée de mon cul, elle ajoute alors : — Tu ne pensais quand même pas que je faisais ça juste par plaisir ? Et m’enfonce directement un doigt… puis deux… puis trois… Je n’en peux plus, je me fais doigter le cul et sucer en même temps. Je pousse des gémissements qui en disent long sur mon état et mes envies. Elle me bourre le cul avec ses doigts, je couine de plus en plus et mon cul est complètement ouvert quand elle s’arrête, s’approche de moi et me dit dans l’oreille : — Maintenant je vais te baiser. Je vais te défoncer comme une pute et tu sais pourquoi ? Parce que j’ai tout de suite su quand je t’ai vue que t’étais une vraie salope qui voulais se faire prendre par une queue. Alors maintenant mes toi à quatre pattes et supplies moi — S’il vous plait maîtresse prenez moi le cul Je sens sa bite toucher ma rondelle, pousser un peu puis elle arrête et ajoute. — Tu ne croyais quand même pas que ça suffisait ? Je suis sûr qu’une traînée comme toi peux faire beaucoup mieux. — Pitié maîtresse, enculez moi. Je suis une vraie petite pédale qui a envie de se faire défoncer par une grosse bite. Défoncez moi le cul je suis votre jouet. Je la sens alors pousser un grand coup en avant. Sa bite rentre complètement et m’arrache un petit cri de surprise. Ça y est, je me fais baiser. Elle commence son va et viens dans mon cul et je la remercie lorsqu’elle m’insulte de tous les noms. — Merci maîtresse de me dépuceler le cul, baisez moi plus fort Sous mon excitation elle fait de qu’elle veut de moi. Elle me démonte le cul de plus en plus vite, de plus en plus profond. Elle s’amuse à me fesser. Je suis devenue ce à quoi j’aspirai depuis longtemps. Je suis devenu une petite pute, une suceuse de bite, une chienne… Elle change de position et me fait m’allonger sur le dos. — J’ai envie de voir ta gueule de chienne honteuse quand je te baise. Elle me démonte ainsi le cul pendant plusieurs minutes en me branlant. Elle s’amuse à me cracher de la salive au visage et me met des claques en m’insultant de catin, de pute et de grosse chienne. Elle me défonce toujours à un rythme soutenu quand elle commence à gémir et m’ordonne de me mettre à genoux. après tu vas jouir dans ta bouche me dit-elle. Elle m’a mis le cul en l’air pour me baiser à nouveau pendant que je me branlais, la bite au-dessus de mon visage. J’ai joui dans ma bouche et sur mon visage.
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Par : le 13/11/21
Invariablement, ma gamelle est remplie de la même bouillie fade depuis le début de la sélection. J’en absorbe une petite quantité puis je m’écroule de fatigue sur ma couche. Toujours aussi tôt, Allan vient me chercher. J’ai intérêt d’être éveillé sinon le seau d’eau froide me sort brutalement de mes rêves. Allan m’annonce qu’aujourd’hui une présélection va être faite et qu’il fallait mieux que je sois présentable. Le petit déjeuner fût vite expédié et Allan me rinça vigoureusement avec son jet. Il m’insère un nouveau plug bien volumineux dans l’anus et accroche la laisse à l’anneau qui le termine. Enfin, mes mains sont menottées dans le dos et mes bracelets de cheville sont reliés par une chaîne qui me laissent suffisamment de liberté pour me mouvoir facilement. Prenant la chaîne, Allan me tire jusqu’à une grande pièce avec un large mur où quelques soumis sont déjà alignés, à genoux, la lanière de la laisse entre les dents. Chacun a un panneau où est inscrit un numéro et tenu par une cordelette passant derrière leur cou. Je les rejoins bien vite dans la même position et je porterais le numéro 4. De nouveaux soumis sont alignés contre le mur. Cela fait vente aux esclaves. Nous sommes bientôt une douzaine quand entrent dans la pièce Maîtresse Célia et les trois Maîtresses qui nous ont testé. C’est Maîtresse Célia qui prend la parole. -«Chers soumis, vous avez enduré de doux supplices et vos Maîtresses ont eu tout loisir de se faire plaisir. Comme vous êtes plus nombreux que nécessaire, nous avons fait un premier tri et les soumis éliminés disposeront de 30 mn pour reprendre leurs affaires et disparaître de notre vue. Pour les autres, Vos Maîtresses vous accorderons le bouquet final. Voyez, il y a 6 cages. Ceux qui seront retenus seront enfermés là. Pour les autres, c’est la porte au fond où vous serez conduit vers la sortie.» -«Que la sélection commence» C’est la Maîtresse aux cheveux rouges qui lance les hostilités. -«N°…. 8 ….éliminé, N°…. 11…... éliminé». Les pauvres soumis sont vite éconduits et les coups de cravache pleuvent pour accélérer le mouvement. A chaque annonce, mon cœur s’emballe C’est au tour de ma première Maîtresse de continuer. -«N°….2 ….dehors, N° ….7 …...dehors» Aïe, ne reste plus que 2 pestiférés. Je commence à croire en mes chances. Et maintenant, au tour de Maîtresse «Furie», de couper les têtes. -«N°…. 4…...», je suis au bord des larmes d’être éliminé si près du but et puis après un long silence, Maîtresse lance : -«Retenu, vite dans la cage» en m’accompagnant de son fouet que soudain je trouve bien doux. Très fier de son effet, Maîtresse Furie continue avec un grand sourire. -«N° ….1» un silence pesant s’installe.... «Éliminé». Ah le pauvre, j’ai bien cru qu’il allait s’évanouir, persuadé qu’elle allait l’envoyer dans une cage. -«N°…..10» Ambiance lourde, le 10 ne sait plus à quoi s’attendre -«Dans la cage et vite» Il ne se fait pas prier et s’effondre en pleurs après être passé par tous les états de stress. Les Maîtresses sont hilares. Maîtresse Furie passe le flambeau à Maîtresse Célia qui aura le plaisir d’annoncer le dernier éliminé. Recroquevillé dans ma cage et soulagé d’avoir été rapidement fixé, je plains les derniers candidats. Que va-t-elle inventer pour les maintenir sous pression ? -«N°….. 3». Il est prêt à s’élancer vers la sortie quand Maîtresse Célia lui lance «Joker» Elle le place sur le coté et lui dit -«Tu as encore une chance, je vais appeler les derniers soumis pour les envoyer vers leur cage. Si une des Maîtresses juge que tu vaux mieux que lui, elle criera «Joker» et tu prendras sa place» Terrible, Maîtresse Célia a trouvé la pire des situations pour ce pauvre soumis suspendu à un secours improbable et elle enchaîne : -«N°….5» Pas de joker des autres Maîtresses alors N° 5 s’empresse de gagner sa cage. -«N° ….6» Toujours pas de joker et il s’engouffre dans la cage sans demander son reste. -«N°…..12» Il atteint si vite la cage que je me demande si une Maîtresse aurait eu le temps de crier «Joker» avant qu’il n’arrive dans la cage ! -«N° ….9» et immédiatement un «joker» retendit comme un coup de poignard pour le 9 qui quitte la pièce complètement abasourdi. C’est Maîtresse Furie qui a choisi, plus sans doute pour les détruire moralement que pour un choix de raison. Toujours est-il que N° 3 se retrouve dans une cage alors qu’il avait pratiquement perdu tout espoir. Nos Maîtresses ont fait fort pour anéantir notre volonté. Maîtresse Célia reprend vite la parole. -«C’est vous les derniers élus. La finale sera dure. Pour aujourd’hui, vous allez subir l’épreuve de la canne anglaise. Le classement sera fait en fonction de votre degré de résistance avant que vous demandiez pitié.» -«Vous ne vous verrez pas et donc vous n’aurez aucune idée de votre place. Mais nous sommes gentilles, vous vous entendrez crier de douleur» Un premier soumis est emmené dans une pièce voisine et commence une interminable litanie de coups et de gémissements. Aucune idée de sa résistance mais nous avons aussi mal que lui. Les râles cessent et nous comprenons qu’il est arrivé au bout de sa résistance. Un deuxième, puis un troisième soumis est littéralement traîné vers la pièce à supplice car la douleur des uns use la résistance des autres comme s’ils recevaient eux mêmes les coups. Nous ne pouvons même pas nous boucher les oreilles avec nos mains menottées. Enfin vient mon tour. A peine dans la pièce, mes bras sont tirées vers le haut et je suis tout offert à mes fouetteuses. La canne est terrible car la douleur s’irradie dans le corps comme une balle de fusil. Les trois maîtresses sont là avec chacune une canne alors les coups pleuvent à une vitesse vertigineuse sans que la douleur ne se soit estompée avant le coup suivant. Je résiste autant que je peux sans même pouvoir compter le nombre de coups et c’est pratiquement désarticulé, les larmes dégoulinantes de mes yeux que je finie par crier «pitié» L’on me détache, j’en suis à peine conscient et c’est entre deux bras costauds que je serais traîné vers ma cellule et jeté sur ma couche. Malgré la douleur, je ne tarde pas à m’endormir tant la séance m’a vidé. A suivre
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Par : le 12/11/21
« ORDONNEZ et J'OBEIRAI… » Ces 4 mots, résument incontestablement ce que ma complice soumise tient pour devise intime et personnelle dans l’expression de sa condition ! Des mots à la portée déclarative percutante, que des femmes et des hommes rêvent de pouvoir prononcer à l’attention d’une compétence choisie et reconnue, car ils cristallisent et symbolisent l’essence même d’une condition à laquelle elles/ils aspirent volontairement, dont les motivations et les fondements sont propres à chacun. Des mots que d’autres en revanche, jugeront obscènes et asservissants…s’imaginent par facilité ou par étroitesse d’esprit, qu’ils ne peuvent être prononcés que sous la contrainte et l’asservissement mental… C’est pourquoi, il me semble judicieux de rappeler ici publiquement, dans une logique de témoignage, que bien avant d’introduire l’idée d’une soumission assumée, dont mon obligée fait de moi l’heureux dépositaire, comme d’autres de ses congénères (masculins et féminins), font la fierté et la satisfaction de leur Dominant, ces 4 mots peuvent laisser entrevoir ou supposer au premier abord, dans l’esprit de non-initiés, les applications d’une obéissance aveugle, déraisonnable, irréfléchie… à la faveur d’une servitude dirigée, qu’ils imaginent nécessairement mal saine, voire, manipulatrice, destructrice, si ce n’est auto destructrice. Ces 4 mots qui me sont consacrés et dédiés pourtant, sont avant tout évocateurs du choix délibéré, réfléchi, conscient et consciencieux, et j’y veille, comme d’autres y sont attentifs, afin qu’ils soient le reflet fidèle ce que ma complice entreprend et accompli avec détermination et courage, au service de sa nature de femme, de son épanouissement, de sa quête de liberté et d’accomplissement identitaire, sous la gouvernance d’un homme qu’elle a choisi et qu’elle reconnait aussi compétent que méritant à les entendre. Au même titre que notre univers souffre aujourd’hui encore de clichés et de préjugés souvent associés aux pratiques les plus extrêmes, à des représentations imagées très connotées donnant le sentiment d’assister à des situations subies, le plus souvent jugées dégradantes, non enviables, annihilantes, aussi surement que parfois, lorsque notre intérêt « pour la chose » et nos activités si rapportant sont connus de tiers, nous serons jugés et qualifiés de personnes déviantes, tordues, dévoyées et perverses, ou que parfois, des esprits vindicatifs et dénonciateurs aux motivations variées, à la critique acerbe, jalouse, invasive et inquisitrice, et pour le coup, aux agissements lâches et vicieux, sont parfois tentés de nous discréditer, de porter atteinte à notre image, à notre réputation, à notre probité, à notre intégrité sociale, à notre liberté, en pointant du doigt et en dénonçant notre intérêt de pratiquant, pour en faire un jugement de valeur visant à nous dénigrer, à nous isoler. Des individus d’une pauvreté abyssale, qui s’appuient sur nos aspirations intimes envers cet univers, qui leur échappent le plus souvent, mais auxquelles ils aspirent parfois secrètement, dans la frustration et le refoulement de leurs sombre nature, pour établir, en s’appuyant sur la base du socialement correct et moral, « la preuve » sensée attester que nous sommes des sociopathes déviants, des irresponsables, des pervers narcissiques obsédés par le sexe ou notre propre personne...et ce, très souvent pour mieux détourner l’attention de leur propre et réelle dépravation et assoir l’idée de leur normalité… Si légitimes et bienveillantes soient nos aspirations et l’expression de notre liberté individuelle et quand bien même, nous évoluons dans la discrétion, dans un infini respect du genre humain, de nous-même et dans celui de la légalité juridique, il est en effet bien commode, pour certains individus qui trouverons nos activités « déplaisantes », ou qui chercheraient à assoir l’illusion de leur propre valeur en écrasant la nôtre, de s’emparer de ce que nous faisons de notre liberté, pour l’exposer à l’opinion publique (à nos proches parfois), afin de nous fustiger et nous discréditer socialement. Si la richesse, la complexité (au sens positif du terme) ainsi que la profondeur de notre « petit monde », n’est pas la dimension la plus facilement reconnaissable de l’extérieur, ce dernier a malgré tout tendance à se démocratiser, contrairement peut être à celui des libertins. Bien qu’il soit en effet de plus en plus visible et acceptable socialement et même étudié, notamment depuis que des intérêts commerciaux s’en sont emparés pour en livrer une version vulgarisée, ludique et édulcorée, attirant de plus en plus de curieux, de pratiquants récréatifs, mais aussi d’adeptes, de ce que l’on appelle désormais des pratiques sexuelles alternatives, nous restons donc exposés à la critique et au jugement d’une certaine hypocrisie sociétale et morale, le plus souvent par ignorance, mais aussi parfois, par jalousie, ou plus radicalement par malveillance. J’en profite pour glisser ici une petite citation de Georges Bernard Shaw qui m’est précieuse : Lorsque l’on fait quelque chose, on a contre soi, ceux qui veulent le faire à notre place, ceux qui font précisément le contraire et l’armée des gens d’autant plus sévères, qu’ils voudraient que l’on ne fasse rien du tout… » Mais dans le sillage de cette petite « révolution des mœurs », s’il n’est pas étonnant de voir se multiplier des intérêts et des vocations, il ne faut pas s’étonner davantage que dans le cortège de ses pratiquants, viennent dans le même temps s’immiscer des opportunistes, des fantasmeurs, des imposteurs, des prédateurs et tout ce que la nature humaine peut engendrer de personnages plus ou moins tourmentés et toxiques, lesquels considèrent notre univers comme un vivier dans lequel il suffit sans effort aucun, de plonger la main pour en ressortir « du prêt à consommer volontaire »… Certains se conduiront en « Charmeurs de Sssserpents »…considérant leur interlocutrice comme une « Salope Sexuellement Servile à Soumettre » ! Mais la morsure fatale….ce sont eux qui cherchent à l’infliger ! D’autres, seront dans l’attitude du « Bonimenteur »…Le produit idéal qu’il vous faut, du rêve, des promesses, une grande gueule sympathique aimable et blagueuse, quelques formules magiques, la petite ristourne spécialement pour vous madame…emballé c’est pesé ! Quand d’autres encore, les 3M…les « Menteurs Manipulateurs Mégalomanes », des individus foncièrement obsédés par eux même et leur soif d’exercer un contrôle annihilant, sont tellement persuadés d’être omnipotents, compétents et légitimes, qu’ils en deviennent très convaincants, car ils savent vous endormir et prendre le visage que vous voulez voir ! Mais ensuite… ! A ce propos, pour celles et ceux qui n’auraient pas lu la première partie de ce petit traité, vous retrouverez quelques ficèles pour vous permettre de les identifier dans l’article « Petit Guide Introductif du Noviciat (Part 2) ». Un article qui n’a pas plu à certains concernés, dont l’obscurantisme et la lâcheté sont à l’image de leur véritable nature (évidemment dissimulée) et qui sur ce Forum par exemple, m’a valu d’être la cible d’une alliance sournoise. Un article qui m’a également valu la réaction épidermique et vengeresse d’une personne dont je ne connais que trop bien les travers, les déviances comme les traumatismes et leurs origines, qui font d’elle, ma lectrice la plus assidue, mais aussi la plus discrète et la plus camouflée au sein de notre paysage communautaire. A vouloir porter un peu de lumière là où d’autres ne survivent que dans l’ombre et la noirceur, je ne peux m’étonner d’être la cible d’une cabale et de détracteurs se donnant pour objectif de me faire avaler ma chique, ma bite, mon couteau et mon stylo…en déployant une véritable campagne de diffamation calomnieuse visant à me discréditer, à m’isoler, démultipliant les faux profils, pour m’épier, diffuser de fausses informations et saloper ma réputation, de Dominant bien entendu, mais aussi d’homme et de père, s’agissant de ma lectrice la plus attentive et fidèle, qui n’est pas la plus passive et inactive quant à ce qu’elle fait de mes publications... Quelle énergie et qu’elle « intelligence » déployée, pour s’assurer de pouvoir continuer à vous/nous exploiter à nous contrôler, à cultiver l’illusion de leur normalité et surtout, pour continuer à vivre et jouir de leurs obsessions perverses au sens négatif et sadique du terme !!! Si je partage avec ces gens-là un intérêt pour l’exploration d’une certaine idée de « la perversité », la comparaison s’arrête ici ! Puisqu’en ce qui me concerne, j’en observe et j’en exploite les mécanismes et les méandres sinueux au service de votre plénitude et de votre accomplissement. Mon BDSM, ma démarche, j’en fais un domaine d’exploration philosophique, sociologique et même artistique, considérant ce qui se rapporte au domaine sexuel comme « un moyen » d’exaltation et non « une finalité ». Tandis que le leur, d’intérêt, il est centré et mobilisé par des intentions manipulatrices obsessionnelles et compulsives. Ils cherchent à se nourrir, à se gargariser, à jubiler et à jouir des conséquences destructrices et toxiques de leur influence, de leur emprise sur votre/notre existence, dont ils cherchent à obtenir le contrôle, non pas dans la perspective de vous révéler à vous-même, mais dans celle impérieuse pour eux/elles, de vous déposséder de vous-même !!! Si cette finalité de vous « déposséder de vous-même » constitue le principal mobil d’une certaine catégorie d’individus marqués du statut de Dominant, (que l’on appellera « des contrôlants » en société), elle est aussi très souvent révélatrice du fait que ces personnages, sont tout simplement dans le déni de leur propres traumatismes d’enfance. Un traumatisme qui repose sur le fait d’avoir justement été dépossédés d’eux-mêmes ! Ils chercheront donc inlassablement à obtenir le contrôle sur une vie, reproduisant ce qu’ils ont vécu… Ce qui en fait de dangereux prédateurs inconscients qui surnagent dans le bain trouble d’une démence qu’ils s’évertuent à rendre invisible, et dans laquelle ils flottent dans l’illusion et le déni de leur propre souffrance, ainsi que dans celles qu’ils infligent… C’est pourquoi ils excellent dans l’art du « paraître », de la « mystification », du « mensonge » et des « faux semblants » et très souvent, dans celui de la « victimisation ». Le mensonge sous toutes ses formes n’est pas pour eux un mal nécessaire ni même une religion, c’est un mode de vie…une constante ! Outre le fait de se donner le droit et la légitimité permanente et totalement décomplexée de vous mentir, ils s’agit surtout pour eux de maintenir l’eau du bain à bonne température, pour rester dans la vapeur illusoire qui dissimule l’insupportable réalité…Autrement dit, il se mentent à eux-même…car il en font une question de survie ! C’est ainsi que leur alcoolisme, leur anorexie, leurs phobies, que leurs déviances et autres troubles du comportement disparaissent dans une mystification quotidienne du réel. Ce sont des fossoyeurs du réel ! Ainsi, bien au-delà de chercher à « nous faire croire », à « nous donner à voir et à penser que », de bien des manières, ce sont des pratiquants de « l’auto suggestion », de « l’auto conviction » etc…ils sont donc d’autant plus capables de vous convaincre, de rendre leurs discours plausibles, qu’ils sont convaincus eux même de la véracité de leurs propos, du bien fondé de leurs initiatives, de leurs intentions et de leurs élans destructueurs. Ce qu’ils veulent, leur but ultime, c’est vous voir à terre…dépossédé de vous-même, incapable de réagir ! Ils n’en font pas un simple plaisir pervers, mais une quête, un besoin, dont ils tirent une véritable jouissance sadique et jubilatoire. Ils utilisent contre vous ce dont ils sont dépourvus…votre empathie, votre générosité, vos émotions, votre amour… De manière générale, ils utilisent les autres, qui ne sont que des pions à déplacer sur l’échiquier et qu’ils gèrent sans considération, sans émotivité, comme on gère des biens de consommation ou de simples objets inanimés. J’ajoute que ce sont des individus extrêmement susceptibles, orgueilleux et paranoïaques… Lorsqu’ils en arrivent à constater votre déchéance, ils vont s’assurer que vous restiez dans cet état d’incapacité et d’emprise léthargique. Ils vont vous piétiner, vous harceler et vous dénigrer, avant de vous ignorer, de vous rejeter et de vous abandonner à votre sort. Et là, le paroxysme de leur perversité les conduira à se tourner vers des tiers pour leur faire constater votre état de merditude et d’inadaptation sociale, motivant ainsi leur décision de s’être détourné de vous, en se victimisant !! Pour ça, rien de plus facile…il leur suffira de pointer le doigt vers vous là encore et de vous attribuer « leurs propres mérites », si j’ose dire de manière sarcastique. C’est ainsi que vous deviendrez soudainement « une personne à problèmes », « un alcoolique dépressif », « un pervers narcissique », « un manipulateur », « une personne déviante, violente et harcelante », « un irresponsable intéressé », « un obsédé sexuel » allant jusqu’à suggérer de manière insidieuse que vous avez abusé de sa personne, de sa confiance, de ses ressources, de son intégrité, de son corps et bien entendu, de sa volonté etc… Autant d’accusations dont ils feront une véritable dénonciation calomnieuse et diffamatoire et qui seront la liste exacte et précise de ce qu’il sont, de ce qu’ils font et de ce qu’ils vous auront infligés ! Parallèlement, et déjà depuis un moment, ils seront à nouveau en chasse…sous votre nez, pour mieux vous affecter ! Ils/elles se projetteront dans un nouveau cycle relationnel pour étancher leur insatiable soif vampirisante. Si vous êtes encore dans leur paysage à ce moment-là et que vous avez encore l’énergie de réagir et de survivre, ils pourront vous pousser jusqu’à espérer votre mort physique et quoi qu’il en soit, ils organiseront votre mort sociale. Et dans ce domaine, leur imagination, leur ingéniosité et leurs capacités de nuisance dépassent l’entendement…elles sont à la hauteur de leur détermination obsessionnelle et maladive. Je pense (peut-être à tort), qu’au sein des pratiquants de notre communauté, le ou la plus masochiste d’entre nous ne rêve pas de se soumettre à ça volontairement… Pour conclure ce volet, un candidat masculin à la soumission m’a dernièrement interpellé suite à sa lecture de mon premier article. Celui-ci m’a questionné comme suit : Dans quelle mesure peut-on transposer cela à des Dominas ? Est-ce que ces archétypes de dominateurs se retrouvent dans la domination au féminin, ou y en a-t-il des spécifiques ? Voici la réponse que je lui ai apportée : Question fort judicieuse et vous faites bien, au motif de dissocier les sexes, de nommer ces archétypes "dominateurs" et non pas Dominants... Je suis fort bien placé à titre personnel, pour vous assurer que la gente féminine comprend son lot d'individus narcissiques, mégalomanes, manipulateurs et toxiques.... A ce titre, il me semble donc que vous puissiez considérer comme étant très probable qu'au sein de notre communauté siègent des femmes occupant le statut de Domina, dont certaines sont animées de caractéristiques très semblables à celles que je décris ici de manière très résumée et quasi caricaturale. Quant à la question portant sur les éventuelles spécificités (ou subtilités) qui les distingueraient, je serais tenté de vous répondre que dans le cadre stricte de l'individu qui se présente comme Dominant et qui serait un pervers narcissique et manipulateur, au sens pathologique du terme, les mécanismes de la perversité et de la manipulation obsessionnelle sont les mêmes au féminin et au masculin... J'ai observé qu'une femme de cette nature n'a rien à envier à un homme s'agissant d'instaurer et d'exercer son emprise mentale et toute forme de cruauté ! Je dirais même qu’elle jouit d’atouts et de pouvoirs supplémentaires qui rendent son attitude plus insoupçonnable, son discours plus audible et par voie de conséquence, qui rendent ses aptitudes au machiavélisme pervers plus « efficaces » et prégnants encore. Parmi ces atouts, il y a cette idée communément admise dans la représentation collective, qu’une femme ne peut être foncièrement mauvaise…(Heuuu….si si si….elle peut !) Fort heureusement, il y a dans notre "petit monde" plus de fantasmeurs, de maladroits(tes) et d'incompétents(tes) autoproclamés(ées) que de malades narcissiques qui s'ignorent, obsédés par eux même et leur besoin de contrôle... Mais sortons de ce focus pour reprendre un peu de hauteur chers lecteurs… Indépendamment de quelques comportements extrêmes qui sont à la recherche de proies candides, placides et de cobayes (ici même comme dans la vie), beaucoup s’imaginent par méconnaissance et préjugés, qu’un rapport de nature D/s implique exclusivement (par logique induite, dogmatique et nécessaire), une relation foncièrement unilatérale, faite d’iniquités, d’obligations et de devoirs pour l’un, de privilèges et d’un pouvoir autocratique, omnipotent et incontestable pour l’autre… Ou encore, cette idée préconçue que « le sexe » et « l’humiliation » sont des vecteurs systématiques et omniprésents dans les pratiques BDSM, impliquant pour celles et ceux qui aspirent à se soumettre, de n’avoir que la possibilité de ramper, de se cambrer, d’ouvrir les cuisses et de dire « OUI Maître », même malgré eux, à toutes sollicitations émanent d’un individu se présentant comme Dominant assermenté !!! Nombre de femmes présentes sur des sites BDSM dédiés et qui affichent un statut de soumise, sont régulièrement amenées à en faire le constat, lorsqu’elles sont interpellées par des attitudes masculines qui se réclament de fait, d’une autorité et d’un pouvoir eu égard au rang et au statut qu’ils arborent, tel un passeport diplomatique ou une belle étoile de Sheriff, qui leur accorderait pouvoir et privilèges, en particulier celui de les soumettre à leur volonté et de les baiser, parfois dans tous les sens du terme. Et ce, en avançant l’argument que si elles ne se plient pas à leurs exigences, c’est qu’elles ne sont pas à leur place, ou qu’elles sont de piètres soumises ! Et oui…Puisque vous semblez rechigner à leur laisser la possibilité de faire de vous des merdes à leur service…ils vous convaincront que vous étés d’ores et déjà de belles fientes inutiles… Mais dans notre domaine, comme en société, un statut et un rang n’ont bien entendu jamais légitimé et justifié la moindre compétence…à plus forte raison si celles et ceux qui s’en réclament sont des individus autoproclamés qui ne s’appuient sur aucune démarche construite et structurée, aucun engagement, et souvent, aucune expérience antérieure justifiée et probante, tout en se prétendant légitimes à soumettre et disposer d’une âme et d’un corps, au motif que leur statut leur en accorde incontestablement le droit et l’autorité ! Or, au même titre que la dimension sexuelle ne constitue pas une constante, « une pratique attendue » dans le cadre de la variété des pratiques BDSM et préfigurant de ce qui caractérise « une bonne et vraie soumise », il en est de même concernant les notions de « relation suivie et durable », « d’appartenance » ou encore « d’exclusivité », qui ne représentent pas le Saint Graal de toute personne cherchant à faire l’expérience de la soumission. Rappelons, ou informons les plus novices d’entre nous qu’en effet, au sein de notre communauté, des Dominants exercent sans pour autant inclure le sexe dans leurs pratiques. Leurs motivations ou raisons peuvent être variées (choix idéologique, moral, éthique, blocages, absence de désir, complexes, impuissance, culpabilité, volonté de dissociation et de cloisonnement avec la vie vanille, etc). Cette logique et leurs motifs me semblent tout aussi valables et légitimes en ce qui concerne les aspirants et aspirantes à la soumission ! Le domaine du sexe nous offre donc de considérer la pluralité des pratiques au sein du cadre BDSM dans toutes leurs nuances, puisque par exemple, une vraie distinction est à faire entre l’absence totale de pratiques à caractère sexuelle et le fait d’encorder, d’entraver, de suspendre un corps partiellement ou totalement dénudé, de fesser un cul nu, de travailler et malmener une pointe de sein, de cravacher, d’entraver, d’épiler, d’exposer, de malmener un appareil génital etc…avec au bout du paradigme en objet, des pratiques impliquant des attentes et une disponibilité de nature sexuelle consenties, laissant place à la stimulation, à l’intromission et à toutes formes d’interactions et de pénétrations à caractère sexuelle. Dans le même ordre d’idée, pour illustrer que l’univers BDSM offre autant de pratiques nuancées, qu’il contient de pratiquants mobilisés par une expérience, une culture et des motivations différenciées, sans doute faut-il mentionner que tout aspirant(e) à la condition de soumis(e), ne cherche pas à se projeter dans une relation d’appartenance et de considérer son partenaire Dominant comme « son Maître à faire et à penser » ! À ce propos, selon mon interprétation personnelle, un Maître n‘est pas tant « celui qui dirige et possède une soumise », qu’une figure référente, reconnue par des tiers, des pairs et des soumis(ses), pour son expertise concrète et appliquée, comme l’art des cordes par exemple, la photographie, ou bien encore celui d’être un guide spirituel, un éducateur à la pédagogie efficiente…mais aussi et presque surtout, pour ses capacités et son expertise à transmettre son savoir et ses connaissances en vue de les perpétuer…et ce, qu’il le fasse en conscience avec cet objectif, ou qu’il soit devenu une sorte d’influenceur inspirant. Que cela implique ou non le concept d’appartenance et celui de propriété, si l’on s’accorde à penser que le principe d’une certaine iniquité fonde « grossièrement » le socle d’une relation dite D/s, dans le sens où cela constitue une sorte de déterminisme conditionnant non pas nécessairement le principe d’une hiérarchie, mais peut-être plus encore, l’articulation efficiente et fonctionnelle d’une interdépendance relationnelle qui vient faciliter l’expression de nos fonctions respectives, il n’en reste pas moins qu’il appartient à chacune et chacun d’en faire son interprétation et d’aménager son cadre d’expression, pour vivre le BDSM qui lui correspond, en lien étroit avec sa personnalité, ses aspirations et ses limites du moment. Pour ma part, j’estime que je ne suis Dominant et légitime à l’être, que dans la mesure où celle qui me confie son appartenance me reconnaît comme tel. C’est donc ma complice et protégée @Txoria swann, qui me confère actuellement, et depuis plusieurs années maintenant, le statut, le rôle, la responsabilité et le privilège, d’être reconnu comme Dominant légitime à jouir de son appartenance et de sa dévotion. Mais sur quelle base précisément ? Sans doute moins sur mes déclarations d’intentions que sur mes actes !!! Swann et ses congénères pourront peut-être apporter leur contribution sur ce point dans le fil d’actualité de ce post !?? Pour aller un peu plus loin, toujours est-il que dans le cadre de ma fonction, j’assume et je revendique même ma propre servitude…, car ma fonction, je considère qu’elle m’oblige, qu’elle m’engage et me contraint. Je me soumets à ses exigences, plus précisément, je me soumets aux exigences que j’estime inhérentes à ma fonction de Dominant. J’en fais donc une interprétation personnelle, en lui donnant une dimension de « mission », dans laquelle je m’impose des obligations de résultats, des objectifs, une méthode, des règles, une éthique et autant de devoirs). Le tout étant régulièrement réinterrogé ! En tant que Dominant résolument cérébral, déployant une démarche à vocation clairement éducative, il m’est impensable, impossible, d’envisager mon rôle comme celui d’un « jouisseur autocratique et consumériste d’une volonté sans droits, décérébrée, ou plus franchement aliénée » ! Quand bien même celle-ci n’aspire qu’à se montrer servile, obéissante et respectueuse de mes attentes comme de mon enseignement. Quand bien même celle-ci soit animée par le désir d’être traitée comme une véritable chienne dépravée ou une vraie petite pute. Rien ne m’est plus inspirant, gratifiant et jouissif, que de me savoir considéré et reconnu par un esprit aspirant au lâcher prise et à l’abandon, qui soit à la fois équilibré, instruit, bien formé, animé de de profondes valeurs, se montrant curieux, éclairé et exigeant par nature. Au-delà de m’obliger à me dépasser, cela donne à sa soumission une saveur bien plus intense qui pose le défi permanent d’être cohérent, structurant et pertinent, ce qui augure une relation au combien plus enrichissante et satisfaisante. Personnellement, j’ai besoin de me dépasser et de m’estimer exemplaire et méritant à jouir d’une servitude ! J’ai besoin de donner du sens à ma mission et d’être reconnu compétent, en premier lieu par celle que je tiens en laisse ! Depuis mes premiers pas de Dominant, je suis porté par cette idéologie qui consiste à viser l’excellence et qui implique de me l’imposer (sans jamais omettre de me savoir limité, perfectible et faillible) et ce, avant l’attendre et de l’exiger de ma complice. Cela n’est d’ailleurs pas sans conséquences, car si je me sens relativement cohérent, en accord avec moi-même, j’ai pour autant bien du mal à m’auto évaluer compétent, ou à prendre pleinement conscience de ce que ma démarche et mon attitude peuvent inspirer en termes d’exigence. Pourtant, il me suffit d’observer ma protégée, pour constater combien elle doute et redoute, parfois avec angoisse et tiraillement, de « ne pas se sentir à la hauteur de mes attentes ». Pourtant il n’en n’est rien bien au contraire, car au-delà du tâtonnement, des erreurs, des rares manquements et des échecs, au-delà même des contraintes qui limitent sa disponibilité et qui l’obligent à de véritables contorsions organisationnelles et psychologiques pour s’extraire de sa vie vanille et professionnelle, afin de se tenir à ma disposition, je regarde et considère avant tout les efforts, la pugnacité, la détermination, les batailles successives qu’elle livre avec elle-même, tout ce qu’elle entreprend, manifestes et déploie afin de m’offrir absolument tout d’elle-même, pour s’en remettre humblement à moi dans la perspective d’évoluer, de progresser, de performer, de jouir de sa condition de soumise et de femme, tout en cherchant à faire de ma satisfaction, de ma fierté et de mon plaisir, une priorité quasi existentielle. C’est juste aussi impressionnant que colossal ! J’en profite pour saluer le courage et les efforts de toutes celles et ceux qui se reconnaîtront dans cette quête et dans leur quotidien ! Aussi, qu’il s’agisse d’Éros, de Vénus, d’Aphrodite ou de toutes autres références divines, réputées compétentes à faire rayonner une certaine idée de l’érotisme, d’une beauté pure, tantôt exaltée et débridée, de l’Amour et de la dévotion inconditionnelle aussi, je suis persuadé que le comportement de ma dévouée swann n’inspire pas que de l’admiration, de l’envie, certaines convoitises et autres érections terrestres…que si celle-ci parvient à faire aussi bien bander les hommes qu’à faire parfois couler les femmes ici-bas, je suis certain qu’elle attire aussi sur elle le regard contemplatif et bienveillant de certains anges, qu’ils soient de confession masculine ou féminine… Je parle ici de quelques rares élu(e)s célestes, qui ont atteint une hauteur de vue suffisante, tels les gardiens du Temple, pour insuffler et inspirer des vocations, apprécier et reconnaitre tous les efforts entrepris et concédés par celles et ceux qui à travers le sens et la force qu’ils donnent à leur engagement de Dominant et de soumis(se), font d’une apparente dépravation, une invitation à l’élévation de soi, une véritable ascension spirituelle… Cette idéologie de l’excellence, je n’en suis pas le seul aspirant au sein de notre communauté, puisque poursuivie, cultivée et brillamment mise en application sur ce seul forum, par certains confrères tels que @TK-o-, @Miangel ou encore @Parloire, pour ne citer qu’eux. Chacun officiant avec son interprétation, son domaine d’expertise, ses particularismes et sa singularité. Cette quête d’excellence n’étant pas la seule préoccupation de quelques-uns de mes pairs, masculins comme féminins, avec lesquels je partage certaines valeurs et concepts, je souhaite saluer celles et ceux, avec ou sans collier, qui à travers leur vœu de soumission, ont le désir de s’inscrire avec dévouement dans la recherche d’une telle ambition et qui contribuent à donner ses lettres de noblesse à notre « petit monde », quand d’autres n’en seront que les consommateurs. Très loin de considérer ma démarche comme supérieure ou plus valable qu’une autre, je ne néglige ni ne dénigre par ailleurs, en aucune façon, toute autre forme de gouvernance et de soumission, de la plus soft à la plus rugueuse, qui s’en éloignerait, si ce n’est, celles qui mobilisent ces esprits sournois et manipulateurs, qui à défaut d’avoir l’honnêteté et parfois la conscience d’eux même, mettent intentionnellement à l’œuvre des forces malveillantes à vocation destructrice… De cette reconnaissance à être légitime par la démonstration et l’exemplarité, par l’observation du plaisir, du bien-être, de la détermination et des efforts de celle qui se met à mon service, c’est la fermeté et la vigueur de mes érections spirituelles, émotionnelles et même physiques qui en dépendent ! Je jouis avant tout du cerveau…Comme la majorité des femmes !!! Ainsi que celle de mon égo…car il existe, bien que je tente de le faire taire le plus souvent possible, pour limiter son influence sur ma perception, mes analyses, mes initiatives et sur ce qui en découle dans le cadre de ma fonction de Dominant à savoir…mon attitude, mes orientations, mes choix et mes directives !!! De fait, je me considère comme « un instrument au service d’une volonté d’abandon ». Un moyen humain se proposant de poser les conditions de l’accomplissement d’une volonté féminine consciente, dans l’expression de sa soumission, en incluant (pour ce qui concerne ma démarche), le parti pris de cultiver son libre arbitre, son esprit critique, veillant à la rendre attentive, capable de discernement, lucide et expressive, en lui transmettant les clefs de compréhension des enjeux et des mécanismes qui se jouent en elle, comme dans notre relation, laquelle par conséquent, ne s’inscrit pas dans un rapport unilatérale, mais au contraire, dans une véritable interdépendance relationnelle. C’est ce que j’appelle dans ma démarche « Vous rendre actrice de votre soumission » ! Progressivement, en m’appuyant sur la notion fondamentale de « Lâcher prise », il s’agit pour moi d’accompagner une femme aspirant à s’éveiller, à se trouver, à se réaliser, de la guider sur la voie de son épanouissement, de lui faire sonder son animalité pour lui permettre de se rapprocher de son humanité… À terme, au-delà de m’engager à vous faire éprouver un sentiment d’accomplissement, de quiétude et de liberté, l’enjeu repose sur un gain de conscience et d’estime de vous-même. Autrement dit, je m’autorise à croire que je conduis une démarche qui dans sa finalité, comme dans sa méthode de mise en œuvre, se trouve être précisément l’exact inverse de toute posture gouvernante portée par des velléités de prédation et d’asservissement mental. Mais une fois encore, je ne me sens ni omnipotent, ni infaillible et il m’arrive régulièrement de me demander si, au motif de poursuivre ce qui me semble être un louable dessein, je ne commets pas malgré moi, des impairs et des cicatrices. Peut-être que ma swann pourra venir ici pour en témoigner librement et à cœur ouvert ?! Je n’expose pas tant ici mes convictions personnelles, que ma manière d’entrevoir mon rôle et de déployer ma gouvernance, en lien étroit avec mon identité, mes singularités et mes aspirations. Par ailleurs, il n’est jamais vain de se rappeler qu’il n’y a pas qu’une façon d’exprimer sa condition, que chacun est légitime (mais aussi responsable) à explorer et poursuivre sa voie et qu’à ce titre, si l’on ôte de l’équation « la comparaison », « les jugement de valeur », « les idées préconçues et les préjugés », mais également « les imposteurs, les faux profils, les fantasmeurs, les opportunistes, les affabulateurs, les dominants et soumis(ses) auto proclamés », ainsi que « les manipulateurs toxiques, obsessionnels et narcissiques… », il n’y a pas de soumises ou de Dominants plus ou moins valables que d’autres…il n’y a qu’un phénomène de microcosme social (ou communautaire), dans lequel se pose à chacun de nous « la problématique de la bonne adéquation relationnelle », en particulier si l’on est dans la recherche d’une relation D/s suivie et durable incluant le concept de développement personnel et de transmission éducative sous collier (c’est-à-dire sous appartenance), ce qui ne correspond pas aux aspirations de tous et de chacun, faut-il le rappeler et en informer les plus novices d’entre nous. « Ordonnez et j’obéirai… » Ma très attentive et méritante complice en conviendra certainement, il en est d’autres, des mots, plus explicites et prégnants encore qui l'accompagnent et bordent son cheminement, que je lui demande parfois de prononcer devant moi, ou qu’elle me fait la joie de déclamer à mon intention exclusive, sur sa propre initiative, dans une posture toujours appropriée ! N’est-ce pas ma jolie brune ?! Ces mots qu’elle connait par cœur, ils expriment sa condition, sa volonté de soumission, le socle de son appartenance. Ils orientent, justifient et guident le sens de ses actions quotidiennes sous ma gouvernance... Des mots que j’ai certes rédigés moi-même jadis, mais non sans avoir pris soin de m’assurer qu’ils lui parlent et résonnent en elle, prenant parti de lui en faire valider le sens et la portée, avant de l’en imprégner, jusqu'à ce qu'ils transpirent et coulent d'évidence pour elle...aussi surement et naturellement que ses épanchements incontrôlés de cyprine traduisent son excitation de mouilleuse docile, servile et dépravée ! Des mots désormais intégrés, gravés dans son esprit, presque tatoués dans sa chair, qui s’inscrivent, palpitent et vivent en elle tel « un repère philosophique, une guidance spirituelle ». Des mots et rien que des mots, savamment semés, patiemment cultivés, renvoyant aux racines de son appartenance ! Des mots qui lui ont été transmis, qui l’encadrent, l’engagent, l’obligent et l’enlacent fermement, mais qu’elle chérit et vénères religieusement, qu’elle honore et glorifie dans une forme de devoir passionnel qui vient paradoxalement supplanter toute notion de contrainte et d’obligation foncièrement aliénante. Ces mots choisis, indépendamment de ma propre volonté à en solliciter parfois l’écho profond et retentissant, je lui ai offerts plus qu’imposé, afin que qu’elle puisse alternativement, en fonction des circonstances de son existence, de ses besoins, de ses élans émotionnels et de ses propres désirs, « exprimer et rappeler toute la détermination de son vœu pieux d’obédience », « Donner vie à sa condition, Honorer son statut et celui de son Guide et Maître », « Répandre à ses pieds son infini respect, sa confiance et sa reconnaissance, m’Exposer le résultat de son éducation », mais aussi pour « l’Aider à basculer endosser sa fonction », à « Signifier sa disponibilité », « Invoquer l’exercice de l’emprise…Introduire la pose de son collier, Appeler sa condition et Convoquer la mienne », et surtout, pour que dans les moments de doute, dans la difficulté, elle puisse « s’y référer, s’y réfugier », « y puiser sa substance nourricière, se ressourcer et le cas échéant, y trouver des appuis pour se recentrer »… Bien au-delà d’être ta devise ma jolie brune…ces mots constituent dorénavant un emblème, notre emblème, ton Serment de soumise confirmée ! Je te demande ma belle, au titre d’un témoignage à verser au domaine public, de venir ici même, déclamer ce Serment, tel un exercice d’exhibition illustrant ta condition et de considérer cette demande comme une directive.
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Par : le 12/11/21
Maitresse Sylvie m'a conduit vers une grande porte. Elle l'a ouverte et m'a forcé à entrer. Dans cette pièce se trouvait, contre le mur, une grande cage, comme une cellule, toute en longueur. Elle devait bien faire 7 mètres de long mais seulement 2 mètres de large. A l'intérieur se trouvaient plusieurs personnes, debout, nues pour la plupart. Maitresse Sylvie me tira vers la porte de cette cage collective. - "Rentre là dedans !" m'a-t-elle ordonné en décrochant la laisse du collier et me poussant à l'interieur. "Ici, interdiction de s'asseoir ou de parler à qui que ce soit. Baisse la tête et attends qu'on vienne te chercher." Elle a refermé la porte derrière moi et s'en ai aller sans se retourner. Je me suis retrouvé donc dans cette cage avec d'autres personnes. Je pris un moment pour observer mes compagnons de cellule. Il y a avait des hommes et femmes nus, en harnais noir pour certains, en combinaison latex pour d'autres. Ils regardaient tous le sol sans prêter attention à mon arrivée. J'avançais lentement dans la cellule, mes menottes me gênaient et faisaient du bruit à chaque mouvement. Au fond de la cellule se trouvait une soumise menottée aux barreaux, le dos rouge, marqué par de nombreuses marques sans doutes faites par un outil particulièrement douloureux. Je me suis collé contre le mur en me demandant comment j'avais pu en arriver là et surtout ce qui allait arriver ensuite... A suivre...
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Par : le 09/11/21
J'ai toujours été fascinée par la période de l'entre deux guerres, ce bref interlude d'à peine 20 ans, entre boucherie et barbarie, où tout semblait possible. Comme si les hommes et les femmes de ce temps savaient déjà qu'ils dansaient sur un volcan. C'était l'époque où Paris découvrait le surréalisme, autour du pape André Breton, aux alentours de Montparnasse, de la Rotonde ou de la Closerie qui n’étaient pas encore le lieu de prédilection chic de certains de nos politiques. Une époque où la bohème n’était pas encore bourgeoise 😀. Mon quartier, puisque c’est là où je vis désormais, aux côtés de mon mec/Maître. Et où j'aime, lorsque nous y flânons, du coté des rues du Château, Blomet ou Campagne Première découvrir parfois sur un mur d'immeuble une plaque souvenir de ce passé. _______________ Man Ray ( de son vrai nom Emmanuel Radnitsky) était né en 1890 à Philadelphie. En s'installant à Paris, en 1921, il avait eu cette formule « Il n’y a pas place à New York pour dada ». D'origine juive, et sur les conseils pressants de sa muse/amante de l'époque, Ady Fidelin, il s'exila à nouveau, à Hollywood cette fois, durant la guerre, pour revenir à Paris en 1951 où il mourût, des années plus tard, en 1976. A l’époque, le surréalisme n’était plus déjà depuis longtemps ce petit groupe d’hommes et de femmes qui tiraient le diable par la queue en proposant une autre vision de la démarche artistique. Et les bohèmes du début étaient devenus à la mode, coqueluches d’une nouvelle bourgeoisie désormais « éclairée ». Rapidement après son arrivée, il se lia d'amitié avec Eluard. Ce qui les conduisit à commettre sous le titre "Les Mains Libres" un opuscule pour une large part dédié à la femme, avec des dessins de Man Ray complétés de poèmes d'Eluard dont l'idée avait germé quand ils partirent ensemble à Mougins, avec leurs compagnes de l'époque, Nusch et Adrienne. _______________ Ce qui m'a toujours attirée chez les surréalistes, c'est leur liberté. Y compris (surtout ?) dans leurs rapports aux femmes. Et aux hommes, pour ce qui est des femmes. Ces femmes, artistes à part égale des hommes, telles que Marie Čermínová « Toyen », Dora Maar, la maîtresse de Georges Bataille avant de devenir celle de Picasso, Léonor Fini, qui illustrât la Juliette de Sade en 1932, ou simplement muses et amantes, toujours libres, qui tournaient autour d'eux, que les hommes se prêtaient entre eux parfois à moins que ce ne soient elles qui décidaient de changer de bras. Autour de la figure centrale de Kiki de Montparnasse, née Alice Augustine Prin, cosette moderne posant nue pour Modigliani avant de devenir l’amante de Soutine et d’autres puis la compagne de Man Ray. Tour à tour apprentie boulangère, chanteuse, danseuse, gérante de cabaret, peintre, actrice mais surtout la reine du Montparnasse d’alors. _______________ Dans le rapport des surréalistes au sexe et aux femmes, le SM tient une large part, chez certains du moins. Bataille en explora les territoires. Entre goût du blasphème et recherche du sacré. Pour Man Ray et Eluard, j’en suis moins sûre. Peut-être, sans doute s’en tinrent-ils, comme Léonor Fini, à ses confins. C’est pourtant dans Les Mains Libres que l’on trouve deux dessins de Man Ray représentant Sade. Le premier, avec un court texte d'Eluard, "On ne connaît aucun portrait du marquis de Sade, écrivain fantastique et révolutionnaire" et le second, à propos de son œuvre, "presqu'entièrement écrite en prison, l'œuvre de Sade semble à jamais honnie et interdite. Son apparition au grand jour est au prix de la disparition d'un monde où la bêtise et la lâcheté entrainent toutes les misères"'. On pense aussi à ses photos aux connotations clairement sadomaso, les Mr and Mrs Woodman de 1927 et surtout la série des William Seabrook avec comme modèle Laura Miller, sa maîtresse à l'époque. Et à son "monument à D.A.F de Sade" de 1933, une croix renversée sur un cul de femme, sublime symbole phallique de révolte contre toutes les bien-pensances. _______________ Le premier texte d'Eluard sur Sade, date 1927, publié dans la revue Clarté. Il y revint ensuite, notamment dans une conférence donnée à Londres reprise dans l'Evidence poétique de 1937. Avec ces mots, qui contribuèrent plus jeune, à me conforter dans l’acceptation de ce désir étrange de mêler la liberté du sexe à la soumission aux hommes : "Sade a voulu redonner à l'homme civilisé la force de ses instincts primitifs, il a voulu délivrer l'imagination amoureuse de ses propres objets. Il a cru que de là, et de là seulement, naîtrait la véritable égalité". _______________ Alors, quand Maxime a dégotté je ne sais où l'édition de 1947 des Mains Libres, j'ai tout de suite compris qu'en me l'offrant c'est à tout cela que lui aussi pensait. Et nous nous la sommes dédicacée l'un à l'autre, en nous inspirant d'Eluard "parce que nous ne voulons pas de barrières à notre liberté".
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Par : le 06/11/21
J'aime ressentir ta main qui se referme sur mon identité virile … C'est d’abord à peine perceptible, les sphères intimes sont presque insensibles au contacte léger de tes doigts, c'est comme un murmure d'érotisme au milieu du corps. Comme un souffle léger qui me dit que j'existe dans ta main,. Cela se passe avant tout dans l'esprit, je me sens exister pour toi. C'est une brise osée et tendre … Mon cœur s'ébroue, et ma fine peau bien épilée frissonne sous ton préambule. Tu te blottis contre moi … mes fesses s'arrondissent vers toi, ta prise se fait plus ferme, tes doigts prennent possession de moi, tu ressens mes rondes chaires fragiles qui glissent entre tes doigts … Tu t'amuses à les rencontrer , à les malaxer , à te les approprier. Tu souris de l'impudeur .. Je sens maintenant ta pression dans ma vulnérabilité :) … je prend conscience de mon intimité incarcérée, je frissonne de ton exploration éhontée, je sens le partage chatoyant naitre depuis mes rotondités … Mon corps frémit et commence à onduler, un murmure ému s'échappe de mes lèvres, ma respiration reflète mon émoi, je creuse les reins, mes fesses musclées se tendent, elles veulent s'encastrer en toi, mon chibre se déploie et se raidit, il se dresse pour honorer ta présence, et te dire qu'il est là pour toi et qu'il est fière !!! En dessous de l’obélisque à la dureté ostentatoire, tu sens la fragilité de ma chair double si tendre dans ta main, tu sens la puissance de ta capture.... tu en ressens ma vulnérabilité à ta disposition , l'eau monte à ta bouche, l'eau descend à tes lèvres profondes, ton pouvoir frappe à ta conscience, et ta cruauté te pousse à l'exercer !!! Ta prise de mes sphères fertiles devient forte, elle devient maintenant de plus en plus serrée, mes muscles se contractent, mon souffle s’accélère, tu vois mon cœur battre, Tu ressens les effets de ton pouvoir, ta main devient cruelle, mes premiers soubresauts apparaissent et secouent ma carcasse. Ton émotion caracole et te stimule, c'est si simple de faire déferler la cruauté, que ta main n'y résiste pas … Ma chair soudain suffoque sous ta pression, la boule de feu envahit mes entrailles … elle ondule, elle enfle pendant que l’étau se referme … Je sens ma chair transpercée à l'endroit où jaillit la douleur. Ce torrent enfle et envahit tout mon corps, tout mon être ... Elle carillonne et me remplit entièrement de mon identité virile, son langage est le cri muet de la chair qui ne ment jamais. Bien loin de la négation de la virilité , c'est un torrent qui me hurle que je suis un homme. .... Mon être bascule dans un autre monde. Je suis dépouillé de tout ce qui n'est pas la virilité torturée et irradiante. J’atteins l'essence de moi-même.... L'érotisme et la puissance féminine transforment la peine en délice, c'est une drogue qui laisse exprimer la douleur et en même temps me submerge de plaisir érotique , un cocktail d'acide et de miel qui me fait ressentir entièrement la vie.... Ma tortionnaire joue de ce langage, elle tient dans sa main ma sincérité, ma soumission, ma virilité, mon fondamental … Lorsque qu'elle les explore, elle fait chatoyer la communication indécente, cela me touche dans le partage intime, je me sens exister pour elle, je me sens à sa merci, elle jouit de sa liberté dévastatrice. Je lui donne en cadeau le plaisir de bousiller la fragilité ; Elle jouit de la puissance du sacrilège. Dans ma folie érotique j'écarte encore l’accès à mon intimité … Elle serre de toute la puissance de sa cruauté. La douleur me transperce, me pénètre sans orifice, écarte les profondeurs de ma chair close, et saccage l'intérieur de mon être dans le flamboiement de la tempête que nul bouclier ne peut arrêter. Mes couilles sont les prunes sans noyau dans le pressoir … Elle vibre du plaisir de les comprimer pour en extraire tout le suc de ma nature essorée ! Je gigote et cela la fait rire, mes soubresauts sont son festin. Mes muscles tétanisés sous ma peau, les veines saillantes à mon cou de taureau, le rictus de ma bouche, ma tête rejetée en arrière dans une transe de détresse … tout mon être lui donne le délicieux spectacle de sa puissance dominatrice fulgurante ! J'aime cela ... j'aime être sur la ligne de crête, à la limite du trop loin, les yeux aveugles, et le corps hoquetant à la frontière de son dépassement. Elle est mon bourreau, elle est mon guide, elle broie ma virilité, et elle aime mon cœur. Elle jouit de ma chaire d'homme qu'elle possède entièrement.et se délecte de son ignominie. Elle me serre sur le fil du rasoir de sa cruauté, je crois que je vais basculer dans le gouffre, mais elle me retient, elle fait battre mes ailes qui surmontent ma douleur, je vibre à la limite extrême. Mes boules écrasées suffoquent de virilité extrudée, ma bite déployée lui rend hommage. Je sens le précipice, le bonheur est tel que je ne sais plus si je veux encore avancer dans la fournaise de mon ventre. La volonté n'a plus de socle. les arguments de la raison flottent au vent de l'exaltation … Je suis à sa merci … ...et c'est elle qui me rattrape, qui me ramène du bord du gouffre, qui ouvre doucement sa main, qui passe une caresse sur ma joue, qui pose un baiser sur mon intimité, qui libère la tendresse, … Une vague d'amour me submerge !
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Par : le 03/11/21
Révision du monde, sous le signe du "patriarcat". En lieu et place de proposer des études et des connaissances qui se fondent sur les cadres scientifiques, de plus en plus de publications sociologiques, ethnologiques et cramouille sur le paternalisme, en phénoménologie. Ainsi, pour déconstruire le concept du "mâle alpha" créer de toute pièce par un incertain Schenkel tout juste après la Seconde Guerre mondiale. A-t-on la nécessité, en ce début de troisième décade du XXIe siècle, de forger des arguments à la sauce woke afin de ne pas sombrer dans un propos qui ne serait pas compatible avec la déconstruction et le féminisme politique extrêmes. Autant en résumé la connaissance contemporaine : —— Le mâle alpha n'existe pas chez le loup. Pas plus qu'il n'existe dans la nature animale mammifère, la moindre démonstration d'une prévalence d'un mâle sur la communauté. Voilà-voilà. Un monde devrait s'écrouler, non pas pour les kéké-alpha, ceux-là ont depuis toujours brillé par la niaiserie de leurs besoins de faire plus que le voisin, sans se soucier de la viande à l'étalage, de la grasse qui accepte volontiers d'exposer ses bourrelets à la cadavérique qui n'a plus de peau sur les os, quiconque à jeter un oeil distrait sur l'iconographie BDSM, à largement de quoi prendre du cliché le plus anorexique aux bottérines silhouettes, que le corps soit mâle ou femelle, cela ne se genre pas ces choses-là, Môssieur ! Qu'ont-ils donc besoin de justifier par des biais méandreux, des sophistications malsaines, dans le but d'acculer le quidam qui n'est en rien responsable de la situation induite par ces sophismes? En quoi, la terreur, les harcèlements des intersectionnels se légitimeraient du fait qu'un ethnologue à la petite semaine ait un jour cru voir (dans un zoo) un loup qui castagnait les autres et en fit une déduction hasardeuse et oisive. Qu'est-ce qui pourrait justifier les violences scripturales en bande organisée, lorsque les amateurs de rôles de pouvoir, questionnent les degrés de responsabilité? Par quelle tricherie, les sectaires de la wokosphère, peuvent-ils détruire les échanges que certaines spécialistes de la philosophie ou de la sociologie des sexualités alternatives et plus particulièrement le BDSM, considèrent comme un des environnements particulièrement conscients des principes de consentements de l'équité des rapports de pouvoir dans le couple, dans les rapports de genre ? Force est de constater que nous vivons, dans le péribole BDSM, un encerclement par une armée de colons qui s'en prennent aux groupes les plus progressistes de la relation humaine dans ses aspects sensuels, sexuels, sentimentaux, un environnement qui est probablement des plus sensibles aux abus, aux excès, aux dépassements des responsabilités communément engagées. Comment les acteurs du BDSM peuvent-ils tolérer ces assauts quotidiens, cette pollution des débats, ces attaques jusque dans les plus infimes espaces des relations de pouvoir. Comment, celles et ceux qui s'inclinent, se soumettent, aspirent à être sous le joug d'une amante, car il est notoire que la demande de lien asymétrique est d'abord et avant tout recherché par des individus du genre mâles, loin des salamalecs patriarcaux des porteuses de lances ultra-féministes. En niant ici, dans le cénacle BDSM, le fait que les personnes qui s'intéressent aux relations de pouvoir, qui s'éveillent aux sensualités atypiques, aux sexualités alternatives, sont soucieuses du bien être psychique, physique de leurs partenaires. Que les notions de genre sur ici, des plus fluides et des mieux partagées, de la soumise phallique à la prêtresse enculeuse, du Totor réac et sectaire à Monsieur Switch for ever, qu'icelle se réveille en icelui, que celui qui dort au pied du lit se réveille perclus de saines douleurs qui font son bonheur d'être sous le joug d'une amante intraitable. Toutes ces variations amoureuses, sensuelles, sexuelles, démontrent que les attaques dans le domaine du BDSM sont le fruit de personnes ayant ostensiblement le désir de créer de la difficulté, de perturber les débats, de parasiter les progrès et les consciences prudentielles, en détournant du fond, par des artifices, des sophismes pervers, les êtres en désir de sensualité, de plaisir, de jouissances, sont harcelés, poursuivis par quelques intrus véhéments dont la santé mentale est à questionner. Pour s'en convaincre, il nous suffit de regarder quelques mois, quelques années en arrière, pour nous rendre compte que les vindicatifs, les intégristes déterminés qui ont promu ces idées, qui ont violenté par le verbe de nombreuses personnes nouvellement venues, sans connaissance ou conscience de la présence de ces régiments de forcenés du devoir de culpabilisation de tout homme blanc hétérosexuel. Il est interdit de nommer ici, fait est. Il n'en est pas moins vrai que nous pouvons regarder vers l'Est et ses quelques crânes rasés au genre diffus et à la personnalité définitivement troublé. Nous pouvons sans aucun doute mettre en évidence les propos délétères de personnes transitionné, qui par leurs maux, n'ont de cesse de diffuser une haine des personnes à la vie sociale ordinaire. Il est frappant que des "alliés" des intersectionnels, nous prouvent quotidiennement, qu'à 45, 50, 60 ans et plus, les "grandes révélations" du non-binaire et de la fluidité de genre ou des affres du patriarcat justifie leurs agressions perpétuelles à l'endroit de quiconque s'exprime dans les normes sociales en vigueur aujourd'hui. Aucune volonté de ces bandes organisées pour instruire toute présence nouvelle, d'y apporter peu à peu une bienveillante instruction, les "éveillés" (comme ils se définissent) agissent comme une secte ou celles et ceux qui ne sont pas dans leurs extrémismes, dans leurs volontés de dresser les femmes contre les hommes, les indéterminés contre le mâle-cis, dans l'unique but de pourrir, de brûler les terres d'un espace que sociologues et philosophes considèrent, à la lumière de leurs études, comme un univers avant-gardiste, précurseur, sensible aux notions de pouvoir et à ce qui en découle tant sur les champs intimes que dans les domaines sociaux. Les sexualités alternatives ont le bénéfice d'éduquer à la prudence. Les sensualités atypiques permettent de stimuler les consciences à la responsabilité de soi, conséquences de ses choix, de ses actes pour soi comme sur autrui. Les amours différentes offrent à celles et ceux qui s'en approchent, le pouvoir de cheminer dans des pratiques qui s'accompagnent de réflexions dont la qualité dépasse le cadre du pret-à-penser, il n'y a que de très rares comportements marginaux, qui sont rapidement mis en lumière, pour démontrer combien ces d'explorations de soi sont propices à la recherche d'un épanouissement intime et non une zone borgne, de non-doit, de prédation hors norme. Je sais, simplement, que mes pairs dans cet environnement sont largement instruits sur les devoirs de prudences, sur les examens de responsabilités, sur les consciences de la qualité de la communication, qu'ils sont attachés à la qualité de leurs paroles, à la sincérité de leurs émotions, à la vigueur de leurs désirs. Tout ce dont les miliciennes et la soldatesque woke abhorrent. Par delà de ces êtres acariâtres et malséants, il est un fait : l'amour, le désir, les jouissances seront plus grands, indéniablement riches d'universalités. ➖ /V\✗✗ ————————————— • Science : Les meutes de loups n'ont pas réellement de mâles alpha et de femelles alpha, l'idée est basée sur un malentendu.https://phys.org/news/2021-04-wolf-dont-alpha-males-females.html • Clichés : « Mâles alpha », « violence naturelle », « exclus du sexe » : ces mythes d’extrême droite qui grignotent le discours sur la sexualité. https://www.nouvelobs.com/idees/20210504.OBS43637/males-alpha-violence-naturelle-exclus-du-sexe-ces-mythes-d-extreme-droite-qui-grignotent-le-discours-sur-la-sexualite.html
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Par : le 03/11/21
Que faire lorsqu'on est loin de l'objet de son désir ? Comment pratiquer une relation D/s à distance ? Dans cet article, je vais répondre à quelques questions que vous vous posez certainement. Je vais commencer par analyser les besoins de chacun et comment y répondre au mieux. Et oui, dans une relation D/s chacun a un rôle à jouer. Accepter ce rôle, c'est s'engager dans une relation qui apporte bien plus que du plaisir sexuel. Je ne vais pas vous livrer un guide pratique à suivre pas-à-pas vu que chaque relation est différente. Par contre, je vais vous aider à comprendre ce qu'il se passe dans la tête et le corps des protagonistes. Et cela vous permettra de mieux vivre votre relation à distance. 1 - Chacun ses besoins ! Que l'on soit le D ou le s de la relation D/s, le S ou le M du mot SM, l'exhibitionniste ou le voyeur, chacun a des désirs différents. On en connaît la plupart, on s'imagine les autres mais quoi qu'il en soit, les voir en vidéo sur le net ou imaginer la scène nous met en émoi. Si certains signes physiques sont immédiatement reconnaissables (bander ou mouiller), c'est parfois plus discret et subtil, comme le fait de se mordre la lèvre inférieure. Mais attention, une excitation ne signifie pas forcément que l'on a le désir de concrétiser cette pratique. On peut être excité à regarder une personne attachée, suspendue dans le vide alors qu'on est soi-même sujet au vertige. On peut se masturber devant des vidéos de couples "jouant" avec des aiguilles et en avoir un peur bleue au point de s'évanouir à la vue d'un vaccin anti-CoVid. Il ne faut pas confondre fantasme, désir et envie. Je vais simplifier à l'extrême alors inutile de venir lancer un troll sur l'emploi que je fais de ces trois mots, on s'en fout, ce n'est pas le sujet de l'article. Et comme je n'ai pas la prétention de savoir parler français mieux que vous, je vais utiliser des gros copier-coller du dictionnaire de l'Académie Française. - Le fantasme : Issu de la psychanalyse de Freud, c'est une construction imaginaire, consciente ou inconsciente, permettant au sujet qui s'y met en scène, d'exprimer et de satisfaire un désir plus ou moins refoulé, de surmonter une angoisse. Le mot clé, c'est imaginaire. Ce n'est pas réel ! C'est comme un rêve, éveillé ou pas. On s'imagine dans une situation et le cerveau sachant très mal faire la différence entre le réel et l'imaginaire, prend son pied comme si on vivait vraiment la situation. Et comme ça vient de Freud, le fantasme a forcément une connotation sexuelle. Le fantasme : c'est sexuel et dans la tête. (Non, c'est pas une fellation !!!) - Le désir : C'est l'aspiration profonde de l'homme vers un objet qui réponde à une attente. L'aspiration instinctive de l'être à combler le sentiment d'un manque, d'une incomplétude. Tendance consciente de l'être vers un objet ou un acte déterminé qui comble une aspiration profonde (bonne ou mauvaise) de l'âme, du cœur ou de l'esprit. Instinct physique qui pousse l'homme au plaisir sexuel, aux satisfactions des ardeurs de l'amour; convoitise qui pousse à la possession charnelle. Ici, on se rend compte que l'on sort de l'imaginaire pour y associer la notion de manque et surtout le besoin de le combler. Le désir : c'est le besoin de combler un manque sexuel. - L'envie : Petit filet de peau à la racine des ongles (si, si, c'est dans le dico). Plus sérieusement, l'envie est un besoin, désir plus ou moins violent. C'est éprouver le désir sexuel pour une personne. Le désir naturel de posséder le bien qui appartient à autrui. Dans l'envie apparaît la notion d'appropriation, de propriété et aussi une notion péjorative, celle de faire du mal à quelqu'un. L'envie : c'est le besoin de prendre du plaisir. Au final, une relation D/s, ce sont d'abord des fantasmes. Quelque chose qu'on a en soi et qui demande à s'exprimer. Puis on se focalise sur ses désirs, on cherche à combler un manque et on finit par éprouver du plaisir et avoir l'envie d'en avoir toujours plus. Et cette définition s'applique pour les deux parties, que l'on donne ou reçoive, que l'on prenne ou subisse, que l'on s'offre ou reçoive. Nous n'avons pas les mêmes besoins que les vanilles. Nous avons d'autres fantasmes, d'autres désirs et d'autres envies. Nous cherchons à répondre à d'autres besoins. Et pourtant il y a un besoin commun dans tout ça : celui d'être en accord avec soi-même. 2 - Les inconvénients de la distance Il y a plein de choses totalement impossibles à distance : attacher, fesser et tout simplement, le contact physique. C'est particulièrement ennuyeux pour une soumise qui aime se laisser aller. Elle peut attendre tant qu'elle veut à côté de sa corde, elle ne va pas s'attacher toute seule ! Mais le pire reste tout de même le manque de proximité. La seule présence de son Maître rend la soumise docile. Son aura se manifeste par sa présence physique à proximité de sa soumise. Il est là et occupe un espace, à une distance socialement inacceptable pour toute autre personne. Il est là à portée de main, il est visible, son odeur est perceptible, sa voix relaie ses ordres. Ce n'est pas un fantasme, il est là, en chair et en os. Où est le plaisir de la caresse sensuelle, du claquement sec du fouet contre la peau, le contact de la peau, la souplesse d'une paire de fesses qu'une main raide vient frapper ? Où est la chaleur du ventre de ma partenaire, qui réchauffe mes cuisses quand je lui donne une fessée ? Où est la joie d'être chatouillée par une plume et de ne pas savoir la direction qu'elle va prendre ? Et puis, c'est affreusement impersonnel. Il manque le regard. Les yeux en disent bien plus long que n'importe quel roman quand on parle des choses du cœur. Ils sont le reflet de l'âme, dit-on. Une larme chaude fait basculer le monde durant une session intense. Bref, la distance, c'est nul, on ne peut rien faire. Il manque tout ce qui fait une relation D/s. Il n'y a ni proximité ni toucher. L'abandon et la surprise sont aux abonnés absents, quand c'est pas les parties prenantes qui ont toujours la mauvaise idée de passer sous un tunnel au mauvais moment (surtout avec l'internet fixe de la maison). Et pourtant malgré tous ces inconvénients, on peut initier une relation à distance avant de la concrétiser par une rencontre. Ou maintenir une relation en cas d'éloignement temporaire pour raison professionnelle, par exemple. Ou même s'en contenter car elle apporte juste ce qu'il faut à notre vie. 3 - Faire de la distance un atout J'ai déjà entendu que "de nos jours, dominer à distance, c'est facile : une application d'appel vidéo et c'est parti, mon kiki !" C'est con, mais c'est vrai. Ce n'est pas la distance qui va faire qu'une relation est pourrie, c'est le manque de communication. Et de nos jours, grâce à internet, la communication est immédiate. Vous vous rappelez que dans ma première partie, je vous ai dit que le cerveau avait du mal à faire la différence entre le réel et l'imaginaire ? Et si on en faisait un as dans notre manche ? a - Démarrer ou poursuivre une relation à distance Quand on débute, la distance, c'est super sécurisant ! On peut rester anonyme, ne jamais montrer sa tête, se cacher derrière un pseudo : "Maître Dominant" ou "Soumise Obéissante". C'est très pratique pour changer de sexe sans avoir à subir ni l'opération ni les frais qui en découlent. Et c'est ultra sécurisant, vu qu'une simple pression sur le bouton off met fin à toute conversation un peu trop chiante. Ca permet de discuter avec des fous ou des gens biens et d'avoir le temps de se rendre compte s'ils sont de la 1ère ou 2ème catégorie avant de penser caresser l'espoir d'une hypothétique rencontre. Et oui, la distance : c'est la sécurité ultime ! Et c'est aussi le meilleur moyen de découvrir quelque chose de nouveau. Que l'on soit dans une relation depuis 30 ans ou complétement novice, il y a toujours une pratique que l'on ne connaît pas, mais que l'on désire essayer. On a fantasmé beaucoup dessus et maintenant, il est temps de passer à l'acte. Ou plutôt de se renseigner avant de prendre une telle décision et ne pas la prendre à la légère. La distance, ça permet d'aller à son rythme, de s'apprivoiser et de se rassurer. Attention, il faut savoir ce que votre partenaire désire profondément. En apparence, c'est facile, surtout quand on lit un profil ou une annonce. Mais en fait pas du tout. Examinons un échange de message avec une soumise qui aime être insultée et humiliée : - "Salut sale chienne, prosterne-toi devant ton Maître" - "Va chier connard, chuis pas ta pute !" Et oui, elles sont loin mes premières expériences, mais je m'en rappelle encore ;-) Pendant longtemps, j'ai ressassé cet échec cuisant sans comprendre : je l'ai insultée et humiliée direct ! Qu'est-ce qu'elle voulait de plus ? Simplement qu'elle légitime la personne qui la rabaisse. b - La valeur variable de l'engagement La distance permet la consommation de masse et éviter l'attachement. On peut se trouver un partenaire pour une session rapide en quelques minutes sur certains sites de chat spécialisés. Deux ou trois ordres et deux orgasmes plus tard, on se quitte bons amis et on se promet de recommencer, en sachant pertinemment que non. Ben ouais, physiquement c'est pas mon genre mais pour dépanner, ça le fait. Et bien entendu, une relation à distance, ça permet d'éviter l'adultère tout en ayant une vie sexuelle épanouie ! Obéir à quelqu'un qui n'est pas là, c'est avoir la volonté de lui obéir. Car il ne faut pas se leurrer : la soumise est bien consciente que le dominant ne peut pas se lever, l'attraper par les cheveux et la forcer à quoi que ce soit. La soumise obéit donc à son besoin de soumission. C'est la réponse à un désir. Cela vient combler un manque. Dès lors, il n'est pas étonnant qu'elle accepte de faire des choses aussi dégradantes ou aussi douloureuses pour son Maître. Qui lui assouvit son envie de dominer. La fessée a distance c'est complètement absurde quand on y pense. Se taper dessus, soi-même, pour se punir de n'avoir pas respectée une règle édictée par quelqu'un qui n'est pas présent... bienvenue dans le monde de Pierre Dac (ou des Monty Python pour ceux qui ne connaissent pas leur mentor). Et pourtant, dans presque toutes les religions, il y a des exemples d'auto flagellation pour expier ses fautes devant sa divinité. Serait-ce une marque de soumission ultime ? c - Comment faire durer une relation à distance : Parlez-vous ! Dans notre monde de télécommunication instantanée, on a la possibilité de se parler à l'autre bout de la planète... et pourtant, les échanges sont souvent stériles. Un D ou un s, c'est une personne ! Et il n'y en n'a pas deux identiques sur la planète. Même les jumeaux ont des goûts différents ! Dès lors, on ne doit avoir aucune certitude envers sa partenaire. Et puis les gens ont des humeurs en fonction du pied par lequel on se lève. Je peux avoir une envie terrible de fellation le lundi mais pas le mardi. La communication, c'est la base. Il faut se comprendre mutuellement pour que ça marche. Prendre des décisions pour sa soumise, c'est bien mais prendre de bonnes décisions qui vont la faire progresser, c'est mieux. Par exemple : la priver de dessert, c'est utile. Elle déteste le fait de ne pas pouvoir manger son délicieux gâteau mais dans le fond, elle sait que c'est pour son bien et le fera avec plaisir et surtout avec fierté. Et l'obliger à faire des choses qu'elle affectionne particulièrement, c'est la cerise sur le gâteau. Imaginez maintenant l'effet d'un ordre comme : obligée de se masturber tous les soirs à 22h17 ! Pour que ça marche, il faut pouvoir apporter à l'autre ce que personne d'autre ne lui apporte. Et pour cela il n'y a pas de secret, il faut connaître l'autre comme sa poche, mieux que cette personne ne se connaît elle-même. La communication est le seul moyen d'apprendre à se connaître, de s'apprivoiser et de gagner sa confiance. Cette analyse de la relation D/s à distance m'a permis de montrer qu'elle répond essentiellement aux besoins des protagonistes, aussi différents soient-ils. Et que si la distance peut-être vue comme un inconvénient majeur, elle peut également devenir un atout par la sécurité qu'elle apporte, par l'intensité de l'engagement qu'elle engendre et par les infinies possibilités de communiquer qui existent aujourd'hui.
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Par : le 31/10/21
1- je viens d'une famille catholique croyante. 2- très jeune ma maman au fort caractère avait un malin plaisir à me rabaisser et m'humilier aussi bien devant la famille que des inconnus elle fait une différence entre moi et mon frère, je l'ai très mal vécu j'ai une jeunesse compliqué. 3- quand j'étais enfant j'étais hyperactif agité , je ne pouvais pas tenir en place toujours à faire des bêtises 😂😂. 4- j'étais un enfant timide caché dans l'ombre discret j'observai ce qui se passait autour de moi sans un mot. 5- j'avais également un pépé qui avait un comportement inapproprié dans ces mots dans ces gestes c'était un homme qui me faisait très peur ,alcoolique infidèle et je pense même pédophile, mais je n'ai jamais pu le prouver verbalement. 6- après avoir passé mon CAP/ BEP dans la restauration je me suis engagé à 18 ans dans l'armée de terre où j'ai servi mon pays pendant 11 ans, j'ai également participer au conflit au Kosovo principalement dans l'est lugoslavie pendant un an avec les casques bleus. 7- je n'ai jamais été dans les relations dit vanille pour ma part j'ai toujours eu une forte attirance pour le BDSM et les relations DS , ma première partenaire je l'ai rencontré au sein de l'armée de terre elle était sergent-chef et moi un simple caporal , c'est elle qui m'a fait découvrir ce milieu si particulier et si envoûtant une fois qu'on y rentre ,elle était ma soumise pendant 2 ans nous avons vécu un moment appréciable où je l'ai apprivoisé de jour en jour, c'est elle qui me commandait au travail et pas dans l'intimité sourire ... 8- pour moi les relations DS ont toujours été des moments de partage de complicité de respect pour avancer main dans la main ensemble dans la même direction, j'ai toujours été très respectueux de la gent féminine. 9- je suis un homme plein de qualités drôle attentionné fidèle sincère d'une grande franchise et une grande sincérité je suis également une personne avec qui on peut discuter de tout et de rien ouvert à beaucoup de choses mais également serviable gentil avec un très grand cœur . 10- j'aime la nature, les animaux les balades, mais galement les repas entre amis le bowling le billard ou simplement aller boire un verre dans un bar ou bien au restaurant . 11 - je m'intègre facilement dans les discussions et les dialogues qui peuvent être intéressante sur tout sujet, je reste ouvert au dialogue même si j'ai ce petit côté timide par moment je me livre pas facilement mais une fois que la confiance d'installer les choses sont plus simple et plus fluide. 12- je suis un homme têtu, j'ai également du caractère je dis ce que je pense mais toujours avec raffinement, j'ai un sale caractère que j'assume pleinement mais je sais me remettre en question quand c'est nécessaire et reconnaître mes torts quand je me trompe, mets dame si vous savez me prendreme je serai doux comme un agneau ou alors une tornade 😂😂😂. 13- j'aime l'autodérision la simplicité dès mots avec raffinement et élégance. 14 - par la suite j'ai rencontré ma compagne ma partenaire mon tous dans une relation DS , nous étions ensemble 6 ans, mais malheureusement la vie a fait que je lui ai repris mon collier tout simplement, parce que elle était tombée enceinte et que elle a avorter derrière mon dos et m'a trompé à plusieurs reprises avec d'autres dominants , cela je l'ai appris bien plus tard par la suite j'ai été brisé mon cœur détruit il m'a fallu du temps pour me remettre et passer à autre chose. 15- à 40 ans j'ai perdu ma chienne suite à un accident de voiture là aussi j'ai été meurtri accabler de la perte de ma chienne fana que j'aimais énormément là aussi je m'en suis voulu pendant longtemps aujourd'hui ça va mieux mais je pense toujours beaucoup à elle. 16- j'ai beau être un dominant je reste avant toute chose un homme avec des valeurs qui sont importante à mes yeux je suis connu par ma prestance et mon respect de la gente féminine mais également de ma droiture. 17- je déteste l'injustice le manque de respect qu'on peut apporter à toute personne ,les jugements et la méchanceté gratuite. 18 - je suis très sensible aux mots et aux échanges que je peux avoir avec des personnes sur le site... 19 - les demoiselles et les dames qui sont sur le site reste avant toute chose à mes yeux des personnes avant d'avoir un certain statut ,il est important de bien comprendre que le BDSM n'est pas juste un milieu particulier mais bien des relations humaine avant toute chose, ce n'est pas juste une histoire de fesses c'est bien plus fort que ça ,les liens qui se tissent dans la relation entre un homme et une femme se rejoigne comme deux âmes perdues et qui ne font qu'un dans la relation l'amour le partage est essentiel pour pouvoir avancer main dans la main dans la même direction... 20- j'aime sentir ma partenaire entre mes mains nos regards plongeant dans le désir la complicité et le partage, si vous avez l'occasion de regarder mon profil avec attention vous verrez que j'aime la sensualité l'élégance et le raffinement dans ce type de relation . 23 - le dominant a un rôle primordial pour la sécurité et le bien-être de sa partenaire, avoir la capacité de réaliser avec elle tous ses envies et ses fantasmes les plus fous, qu'elle puisse se sentir en sécurité avec un homme bienveillant qui pourra lui donner l'envie de se livrer entièrement et offrir sa dévotion, parce que il ne faut pas oublier une femme qui offre sa dévotion c'est un cadeau qu'elle nous font et sans elle nous sommes rien il faut pas oublier aussi que c'est la soumise qui choisit son dominant et non le contraire. 24 - la soumise exécute les ordres de son homme pour lui faire plaisir en tout lieu et à n'importe quel moment mais reste libre d'accepter ou refuser, elles ne sont pas comme les esclaves elles ont leur libre arbitre c'est pour ça que le dialogue et l'échange est très important. 25 - le dominant ne doit pas être égoïste il doit apporter beaucoup de choses à sa partenaire et son plaisir et aussi importante que celui de son homme . 26 - on pourrait penser par ce portrait que je ne suis pas un vrai dominant ne vous fiez pas aux apparences ce n'est pas parce que nous sommes bienveillant à l'écoute avec nos soumise que je ne peux pas être ferme et directive une main de fer dans un gant de velours tout simplement.. 27 j'aime sentir le désir et l'envie de pouvoir se livrer entièrement entre mes mains avec un regard malicieux coquin qui nous donneront tous les deux envie d'approfondir les choses... 28 après cette séparation qui a duré 6 ans j'ai fait des rencontres fort sympathique aussi bien des soumises que des switch et même une fois une dominatrice quand j'étais beaucoup plus jeune, j'ai également lier d'amitié avec des personnes des couples très intéressantes aussi bien.dans la vie de tous les jours que sur le site avec des affinités appréciable et très agréable je pense qu'il se reconnaîtront sourire . 29 - voilà esclave x défi relevé j'espère que tu prendras plaisir à me lire en vous souhaitant à toutes et à tous une belle soirée....
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Par : le 30/10/21
Pearl est restée au même endroit, les mains croisées et les yeux baissés. Elle est belle : beaux seins, beau cul, longues cuisses, chatte épilée. Alan la rappelle à l’ordre : — Demande à Mademoiselle Ashley ce qu’elle veut. Elle se lève vient aussitôt s’incliner devant moi, en disant : — Que désirez-vous, Mademoiselle ? — Des œufs au bacon, du pain, du beurre et du café. — Certainement Mademoiselle, je vais tout préparer. Elle entre dans la maison. Je dis aux autres : — Je ne sais pas s’il y a tout ça... Wendy, la plus jeune des femmes, répond : — S’il manque quelque chose, elle sera punie. Oh, putain ! Une esclave qu’on peut punir sans raison, je trouve ça... trop injuste. Mais en même temps, c’est très troublant. Alan me dit : — Tu as le droit de la punir et même de la fouetter, mais on ne laisse pas de marques qui durent longtemps ni de blessures. C’est contre-productif et puis je veux pouvoir la revendre un bon prix, si j’ai besoin d’argent. Puis il explique aux trois autres, à mon sujet : — Ruby et Enzo trouvent qu’elle est spécialement belle. Il se tourne vers moi en disant : — Déshabille-toi, qu’ils puissent juger. Je ne demande pas mieux, je suis la seule habillée ici avec le jeune homme. L’instant d’après, je suis toute nue, tournant sur moi-même. Ils me font tous des compliments, trop belle, sublime.... À ce moment-là, Pearl arrive avec un plateau. Elle attend qu’on lui dise quelque chose. Ce n’est sans doute pas ce qu’elle devrait faire, parce qu’Emily lui dit sèchement : — Pose ça sur la table, espèce de gourde ! — Oui, pardon Madame. Elle dépose le plateau. Il y a du café et deux œufs, ce qui est conforme à ce que j’ai demandé, mais avec ça, seulement des beignets et des biscuits. Je m’assieds à la table. Pearl vient se mettre à genoux à côté de moi, en disant : — Pardon pour le pain et le bacon, Mademoiselle Ashley. Elle se baisse et embrasse mes chevilles. J’adore... Alan me dit : — Si tu veux, tu peux l’envoyer chercher le fouet pour la punir. Même si j’ai vraiment envie de... sentir ce que ça fait, j’attendrai qu’elle ait fait une véritable bêtise pour la punir. Sa peur et sa soumission me suffisent... pour le moment. Je lui dis : — C’est bon, je ne te punirai pas cette fois-ci. Elle bredouille des : — Merci, merci Mademoiselle Ashley. Les autres me regardent en souriant... Emily me dit : — Quand tu en as envie, ce n’est pas nécessaire d’avoir un motif. — Oui, j’essaierai, je ne l’ai jamais fait — Tu as raison... Elle sait que tu le feras, mais ni quand, ni comment. C’est comme ça qu’on rend les esclaves soumises. Ma chatte a un... spasme. J’adore ces nouvelles lois. Alan me dit : — Je dois te déposer chez le coiffeur et l’esthéticienne. — Je voudrais d’abord me laver... — Ils le feront au salon de beauté. J’embrasse les filles, puis Bobby. Il me tend un dessin en disant : — C’est pour toi. Oh ! C’est moi toute nue à cheval sur Pearl... C’est super bien fait, je suis trop belle en dessin. Bon, dans la vie aussi... Je lui dis : — Tu dessines trop bien... Si tu pouvais le scanner et me l’imprimer... — Non, tu peux l’avoir. — Merci, c’est super gentil ! Je l’embrasse à nouveau, mais sur la bouche cette fois. Alan me montre les toilettes... Ensuite, je vais vite dans la chambre, glisser le dessin dans mes affaires. Je passe mon jean et un tee-shirt avant de le rejoindre dehors. Comme il fait plus de 30°, pas besoin de mettre une veste. Je monte sur la moto et colle mes seins contre son dos, les bras autour de sa taille. Je me demande pourquoi il ne m’a pas encore baisée... Il ne serait pas gay, des fois ? Je glisse mes mains plus bas pour vérifier s’il y a du matos. Ah oui, il a l’air bien pourvu. Il me demande : — Tu as l’intention de t’agripper à ma bite ? — Je peux ? Il rigole avant de répondre : — T’as tellement envie de te faire baiser ? — Par vous, oui... — Je m’occuperai de toi, ma belle. J’ai hâte de le sentir en moi. Les baisers de Pearl sur mes chevilles m’ont vraiment émoustillée. Il démarre... Je regarde autour de nous. Arrivés en ville, je suis surprise de voir l’animation, au fur et à mesure qu’on s’approche du Centre. On ne passe pas inaperçus, les gens admirent ce costaud et sa gracieuse compagne collée à lui. Il me dépose chez le coiffeur. C’est un beau salon en plein centre. Dans ce cadre très élégant, je suis vêtue d’un jean déchiré et pas très propre et d’un tee-shirt qui ne vaut guère mieux. Aux pieds, j’ai des sandales. Je me sens comme une souillon au bal de la cour. Je dis à la fille qui vient à ma rencontre : — Je viens de la part de Ruby du club... euh... Difficile de dire "House of pussies". Elle me répond aussitôt : — On vous attendait, suivez-moi, mademoiselle. Elle m’installe dans un fauteuil et rapidement, je suis entourée de trois filles. Une pour les cheveux, les deux autres pour les mains et les pieds. Celle qui s’occupe de mes pieds amène un bassin avec de l’eau tiède en disant : — Si vous voulez tremper vos pieds, Mademoiselle... Oui, ça vaut mieux. Il est classe, le salon, je n’ai droit à aucune réflexion, parce que... comment dire ? À Notasulga, je n’avais pas le droit de me doucher tous les jours. À partir d’aujourd’hui, je serai plus soignée. C’est super agréable, ces filles qui s’occupent de moi. Après avoir lavé mes cheveux, la fille me demande : — Vous venez d’arriver à Atlanta ? — Oui, depuis quelques jours. Je viens de Notasulga. — Moi de Calhoun, pas loin de chez vous. Elle est sympa et on est du même coin. Je lui dis : — Vous avez sans doute entendu parler des esclaves. — Oui, c’est nouveau. La patronne va en acheter pour faire le sale boulot. Ça va nous soulager. Les deux autres filles sont d’accord. On est enfin revenu au temps de l’esclavage. On discute, je suis bien... Au bout d’une bonne demi-heure, mes ongles des mains et des pieds sont impeccables et recouverts d’un joli vernis. Je félicite les filles. Deux heures plus tard, celle qui m’a coiffée retourne mon fauteuil et je me retrouve en face d’une fille ravissante : moi ! Je sais, on ne peut pas dire ça de soi-même. Mais si c’est vrai ? La preuve ? Les filles du salon et même les clientes me le disent : « Qu’est-ce que vous êtes belle ! » Celle qui m’a coiffée me donne l’adresse du salon de beauté, c’est dans le quartier. Je vais jusque-là en me faisant draguer encore plus que d’habitude. Là aussi, on m’attend. Une jeune femme se présente : — Bonjour Mademoiselle Ashley. Je m’appelle Éva, c’est moi qui vais m’occuper de vous. Nous allons dans une cabine, elle me dit : — Déshabillez-vous et allongez-vous sur la table. C’est vite fait et je me sens mieux, sans mes vêtements. Je m’allonge sur la table. La fille me dit : — Vous pourriez lever les bras ? Elle rit un peu avant de dire : — Oh ! mais c’est la jungle là ! Je lui répondrais bien : « Le Seigneur a fait les femmes comme ça », mais bon, c’est un argument qui est devenu difficile à défendre. Elle ajoute : — On va arranger ça. Elle m’épile les aisselles, puis les jambes. Ce n’est pas une partie de plaisir, je dois serrer les dents pour ne pas crier. Elle me dit : — Ce sera moins douloureux la prochaine fois. Tant mieux ! Dès que mes aisselles et mes jambes sont aussi lisses que des savons mouillés, elle me fait un toilettage de la chatte, en épilant même les poils qui tentent de s’évader vers les cuisses et le nombril. Pauvres petits poils... Elle me fait une belle chatte toilettée. Lorsque c’est fini, elle me dit : — Mademoiselle Ruby a apporté ces vêtements pour vous. Aah ? Il s’agit d’une jupe assez courte, d’un chemisier, d’un string et d’une paire de chaussures, pointure 38. Ce sont de jolis vêtements blancs, même les chaussures. Je remercie toutes les filles avant de sortir de l’institut de beauté. J’ai un peu de mal à marcher avec des chaussures à hauts talons.... Je reviendrai me faire coiffer et épiler, surtout si ça fait moins mal la deuxième fois, comme elle me l’a promis. Dans le centre, je pensais m’y retrouver facilement, mais ce n’est pas le cas. Voyant un policer, je lui demande : — Pardon Monsieur, je dois aller avenue Ponce de quelque chose... — Ponce de Leon ? — Oui, c’est ça. — Tu travailles au club "House of pussies" ? Après avoir un peu hésité, je réponds : — Oui, depuis deux jours. — Je viendrai te voir, tu es super belle... — C’est gentil. Il m’explique le trajet. Je me rends compte que mes rapports avec les hommes se simplifient de plus en plus. J’arrive tard au club. Ce n’est pas encore ouvert, mais toutes les filles sont déjà là en petites tenues. Je toque à la porte, Johnny vient me dire : — On ouvre dans 10 minutes, ma jolie. — C’est moi Johnny, Ashley. — Oh mon Dieu, qu’est-ce que ça te change ! J’entre... Au début, les filles ne me reconnaissent pas non plus, puis l’une d’elles dit : — C’est Ashley ? J’entends une autre dire : — Elle est vraiment belle... À suivre. Nos livres sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search
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Par : le 30/10/21
Tes yeux fulminent, les tendons de ton cou saillent tant ils sont contractés et ta bouche est tordue en un rictus tandis que les insultent fusent en dehors d’elle. « Connasse » est la pire insulte pour ma sensibilité personnelle. La connasse, celle qui fait chier, pas celle qui excite comme la salope. La connasse ne peut pas être aimée d’aucune façon. Et ce ton qui profère ces insultes, qui hante et réveille en sursaut mes assoupissements le soir encore. Chaque onde haïssante de ce son me traverse comme des pointes sous ton regard glacé de haine. Tétanisée par la peur et l’incompréhension, le cerveau complétement vide, mes yeux te contemplent hébétés ce qui attise ta colère, ta violence. Je tente de me recroqueviller, baisse les yeux, voudrais disparaitre, juste me rouler en boule sur un coin du carrelage et poser mon visage sur sa surface glacée et y laisser couler mes larmes. Je n’attends que le temps béni où je pourrais enfin le faire quand tu te seras lassé de mon absence de réaction. Mais loin de te lasser, tu es bien lancé, tu t’approches brutalement et m’arrache le bras droit, que je tords nerveusement dans mon bras gauche, en le tirant vers toi et en m’invectivant. « Réagis au moins ! J’en peux plus... T’aimes ça hein me faire monter, tu veux me faire péter la pile c’est ça !? T’es une CONNASSE. » Je pleurs, je supplie : « mais non, je t’assure, j’ai pas fait exprès… » Lui : « tu le comprends au moins que je suis pas méchant, que c’est pour ton bien. C’est toi qui me pousse à me comporter comme un tyran en agissant comme une gamine. Tu le comprends ? » Et en martelant ces 3 derniers mots il secoue violemment mon bras qu’il serre toujours. Le rappel de la sensation de ce bras bloqué et douloureux me fait reprendre un peu mes esprits et dans un vain espoir puéril je me débats pour tenter de récupérer difficilement mon bras de cet étau avec un reniflement de colère. Mais il le maintient serré et m’oblige à le regarder dans les yeux en agrippant mon menton de son autre main : « Est-ce que tu comprends, [E-li-sa-beth] ? » prononce t-il lentement les yeux rivés au fond des miens. Au fond de moi l’excitation se répand sous son regard qui me remplit. [Mon vrai prénom me fend comme un long fouet qui s’abat. Il ne l’utilise jamais au quotidien, nous avons nos surnoms. Je me sens pétrifiée par ce son inentendu depuis longtemps. Mes yeux deviennent ceux de mes 8 ans, la voix qui prononce ce prénom devient celle de ma mère. Je suis glacée de honte.] Je ne suis pas d’accord, je n’ai rien fait, c’est pas de ma faute, tout mon cerveau rationnel se révolte comme un poulain qui se cabre mais, calmée, je m’exécute, mon corps tendu se relâchant avec mollesse : « oui je comprends. » « Regarde-moi ! -il agrippe plus fermement mon menton- Qu’est-ce que tu comprends, E-li-za-beth ? » Je répète bêtement et docilement les arguments qu’il m’a présentés furieux peu avant, tandis que mon cerveau continue à refuser de se plier. Que ne voudrais-je être fessée solidement rivée à tes genoux, que tu m’assènes les gifles que je mérite, sentir tes mains m’étrangler et ton souffle emplir ma gorge dans un baiser haineux. Que n’aimerais-je sentir une torture physique accompagner les douleurs de l’âme et de l’esprit, conforter celles du cœur ? Pour qu’il y ait le double dialogue, verbe et acte, qui conduit à la jouissance et à l’apaisement des corps et des esprits. Mais la sensation de devoir plier, admettre, sans même passer par un débat des corps, est si dégradante intellectuellement que je commence à me sentir excitée malgré ma détresse. Foulant ma révolte de mes propres pieds, je la brise du mieux que je peux pour tenter de te calmer. Mon excitation me rappelle que non, je resterais frustrée comme toutes ces années, comme si je ne méritais même pas d’être une chienne à ton service, et la honte que j’en ressens m’inonde le bas ventre de plus belle dans une onde d’excitation fulgurante. Tu t’éloignes dans une autre pièce pour tenter de te calmer et je profite de ce moment où tu ne me vois pas pour enfin me laisser tomber en boule sur le carrelage. La sensation d’être à ma place me réconforte tandis que l’onde de chaleur dans mon bassin grossit et que celui-ci commence à onduler instinctivement. Mais me rappelant ma condition de celle qui ne suscite même pas l’envie d’être utilisée, je cesse de moi-même pour me priver de ce soulagement que je ne mérite pas. Une vague de honte m’enveloppe, accentuant mon excitation. Je ferme les yeux et m’endors dedans. Moralité : Est-ce que, THEORIQUEMENT, une abstinence totale (AUCUN contact) et prolongée (sur plusieurs mois/années), qui serait forcée, non désirée, est-elle l’archétype du fantasme ultime pour une soumise obsédée par la frustration, le tease and deny, le contrôle des orgasmes… ?
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Par : le 30/10/21
Je dois passer ma rage. Je suis carrément une vraie coincée intransigeante et sans pitié en matière de consentement. Je bouillonne de rage concernant beaucoup de stéréotypes sur la virilité et les relations hommes-femmes. Je viens de visionner ''pour relaxer'' Book Club. C'est un film qui se veut léger et qui a peut-être réussi. Cependant j'ai fait l'erreur de l'écouter en compagnie d'un apprenti Dominant. Je préfère en général savourer mes plaisirs seules ou avec mes soumis et je me souviens, maintenant, froidement pourquoi... Voyez-vous je serais normalement passée facilement par-dessus le personnage joué par Andy Garcia. C'est un film. Quand on regarde un film seule avec soi-même on sait pertinemment nos propres opinions. Un film qui n'y adhère pas ne nous fait pas hérisser. Parfois le film nous sert à affiner nos opinions ou les découvrir. Cependant, quand on est avec d'autres... Leurs opinions peuvent entrer en collision avec les nôtres. Voyez-vous, seule, je me serais dit que je trouvais ce personnage comme étant un exemple d'une génération où le consentement n'est pas central. Et c'est tout. J'aurais apprécié ce film. Il n'y a pas d'abus à proprement parler. Rien de criminel. Autres générations, autres moeurs, les choses évoluent. Mais....Ce qui fait que je suis en rage c'est quand... quelqu'un qui occupe ma position auprès d'une jeune femme que justement j'aime suffisamment pour m'en inquiéter, éprouve presqu'une admiration pour ce comportement qui me semble d'un autre temps! Il y a là ce qui devrait être considéré comme à la limite d'être un chacal, il me semble. Alors, mes chers, je suis désolée, avec les confinements et le covid, je n'ai pas de soumis sous la main. Je passes sur (mais j'espère davantage avec) vous mes nerfs! (après une absence prolongée qui plus est!) Chose qui me fâche: Que la culture d'être un vrai homme à la Harrison Ford ait réussi à conquérir des Doms qui, même une fois dans notre communauté, ne réalisent pas le sacré du consentement et de l'espace personnel. Le vrai triomphe est celui d'avoir une femme qui tend d'elle-même vers soi, que l'on a inspiré à venir vers nos inclinaisons. N'est-ce pas ça que fait un artiste qui plus est? Ce n'est pas de la convaincre assez pour entrer dans la pièce, puis refermer la porte derrière elle pour qu'elle ne quitte pas notre initiative. Inspirer le mouvement chez l'autre, pas le limiter... (Du moins hihi! pas tout de suite! :wink: ) Pardon, je m'emporte. J'avoues me servir de cet article à deux fins qui peut-être, ne sont pas les plus nobles: Pour me défouler. Pour quérir des gens qui eux valorisent es valeurs qui sont mes fondements afin de rétablir ma foi qui vient d'être égratignée (et pas dans le bon sens :unamused: ) Pour partager ces valeurs. (tiens il y avait 3 raisons. :smile: ) Bon! J'ai fini! Bonne nuit merveilleuse communauté! :innocent::heartpulse::sparkles:
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Par : le 28/10/21
C'était en 2012. j'ai rencontre un Maitre sur le net qui proposait de rencontrer sa copine soumise. je lui envoie un mail et sans hesitation il accepte ! RDV dans 15jours je lui envoie mon envie: rencontrer sa soumise, les yeux bandés alors qu'il est a qqes metres de nous. le RDV est fixé dans le parc de Vaugrenier, pres d'antibes un soir vers 19h30 le soir venu, je me gare au fond d'une allée et j'attend. qqes minutes plus tard, un gros 4x4 se gare derriere mois et en sort un homme. on se salue et rapidement me dit que sa soumise m'attend. je rentre dans son 4x4: sa soumise est assise les yx bandés et porte un long manteau. je lui demande d'ouvrir son manteau pour la voir :elle est nue sous le manteau. juste des bas et talons aiguilles. je lui caresse les seins, la chatte. elle ne se refuse pas et mordille ses lèvres. En accord avec son maitre, celui-ci lui a laisse une lettre. je lui enleve son bandeau mais elle n'a pas le droit de me regarder. elle lit la lettre: elle doit se donner a moi sans retenue, obeir a mes ordres. je lui remet son bandeau et comme convenu avec son maitre, je lui enfile sa laisse et je l'entraine dehors pour qu'il puisse prendre des photos. Il mitraille. je la balade dans le parc et ensuite l'appuie sur le capot du 4x4: je la fesse, lui caresse les fesses, la doigte et ensuite je la fouette. son maitre prend les photos puis apres qqes minutes, je la ramene a l'arriere de la voiture tjrs yx bandés (balade un peu perilleuse, ne pouvant pas voir et en talons). Je lui donne l'ordre d'enlever son manteau. elle se deshabille completement, et s'allonge. Je la regarde, tellement féminine , sexy ainsi. Je lui dis à quel point elle est belle. Elle sourit gênée. Je pose mes mains sur ses cuisses, ses bas, remonte sur son ventre et ses seins qui pointent fièrement. Sa peau est douce.  Elle sent bon... Doucement je reviens vers sa charte lisse, parfaite. Et je m'y introduis : un doigt, deux doigts, trois doigts.  je la doigte de plus en plus vite pour qu'elle prenne son plaisir: j'aime entendre les femmes gémir, se tortiller... Après qqes minutes ainsi, elle est entièrement trempée.  Sa ciprine coule entre ses jambes. Doucement je remonte ma main humide le long de son corps jusqu'à sa bouche. Et lui donne mes doigts humides à lécher. Elle les avale sans hésiter,  sans perdre un instant. Je la regarde sucer, lécher mes doigts... Je me penche vers elle et je gobe ses seins. Je lèche son corps, sa peau... puis je lui ordonne de se retourner, et je joue avec son plug: elle aime visiblement. qqes fessees lui coupent la respiration mais elle aime, moi aussi. Je lui retire tout doucement ce bijou de soumission et ses fesses sont libérées... Elle sursaute à l'extraction de celui-ci. Je lui écarte ses deux belles fesses et admire le spectacle. Puis je lui ordonne de remettre son plug. Je veux la voir s'introduire ce bijou devant moi. Je n'ai pas le droit de la pénétrer en accord avec son maître,  mais qu'elle le fasse pour moi n'est pas interdit ;-) Enfin je la remets devant moi. je deboutonne mon pantalon et lui ordonne de me sucer: elle obeit avec appetit. elle garde mon sexe en bouche, quelle douce langue ! Elle s'active entre profondeur et baiser de ses lèvres. Au bout de qqes minutes  je jouis mais pas dans sa bouche (volonté de son maitre). puis je lui ordonne de me sucer les couilles: elle a du mal a rester sur mes couilles car elle remonte pour prendre les dernieres gouttes de sperme. visiblement elle en raffole alors que je ne lui ai pas demande !! puis je la redresse et continue de la caresser. enfin son maitre vient frapper a la porte du 4x4 pour finir la seance. Je sors et discute avec lui: un homme charmant. puis je remonte dans ma voiture et pars. elle ne m'aura pas vu une seule fois: j'adore savoir qu'elle se demandera toujours qui a pu profiter d'elle et quel homme elle a sucé. Une superbe seance avec une femme a la peau douce, une bouche humide et accueillante et un maitre fort sympathique. J'apprendrai plus tard de sa part qu'elle fut surexcitée ensuite...
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Par : le 18/10/21
Bonjour la communauté ! J'ai décidé de me mettre à écrire, je ne sais pas ce que ça vaut, j'attends vos retours pour savoir si je continue à publier. Ce récit est fictionnel. Toute ressemblance avec les fantasmes de l'auteur seraient totalement fortuites. Quoique... Bonne lecture ! CHAPITRE 1 Attiré depuis bientôt 5 ans par le BDSM et spécialement par la soumission, j'ai décidé de m'y investir un peu plus intensément. Jusqu'à présent, je n'avais fait qu'un peu de selfbondage avec ce que j'avais sous la main comme du scotch pour remplacer le baillon, ou un tee-shirt en guise de bandeau. Il me fallait passer au niveau superieur. J'ai donc cherché un endroit pour une séance de soumission. J'ai fini par trouver ce que je cherchais : un hôtel qui propose des séances de soumission. J'ai envoyé un mail pour prendre rendez-vous. En guise de réponse, j'ai reçu un questionnaire à remplir. Allons-y. Nom : Xavier Age : 23 ans Situation sentimentale : célibataire Nombre de visites au donjon : 1ère fois Experience BDSM : Aucune Experience sexuelle : Aucune Un vrai puceau quoi. Suivaient d'autres questions sur les pratiques, les limites, un rappel sur le consentement... Quelques heures après avoir renvoyé mon questionnaire, j'ai reçu un message me donnant les indications pour me rendre sur place ainsi que quelques informations comme le fait de ne pas prendre d'affaires personnelles, excepté la cage de chasteté qui n'est pas fournie. La date était également mentionnée : le mercredi de la semaine suivante. L'attente allait être longue. Le mercredi suivant, au matin, j'ai décidé  de passer la journée avec ma cage de chasteté afin d'éviter une excitation trop précoce. Comment dire que la journée a été longue ? Je ne cessais de me demander comment allait se passer la soirée. Vers 20 heures, j'arrivais à destination. De l'extérieur, cela ressemblait à un petit château ou une grande maison d'hôtes. Un mélange d'excitation et d'appréhension s'est emparé de moi. J'hésitais à entrer... A suivre...
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Par : le 16/10/21
Vous m’aviez demandé Maîtresse de trouver des bogues lors de mes randonnées Alors, avec ce sac plein d’enveloppes piquantes de châtaignes Vous arborez un large sourire. A peine arrivé, Vous me faites déverser ces belles châtaignes dans un grand bac plastique qui devient ma niche. Vous m’intimez l’ordre de m’asseoir sur ce tapis digne d’une planche de fakir et c’est douloureusement, dès les premiers contacts, que je pose mes pieds et mes fesses dessus. Les genoux recroquevillés contre mon ventre, Vous m’attachez les chevilles, puis les poignets que Vous passez derrière ma tête avant de me fermer la bouche avec un bâillon boule. Vous m’expliquez attendre de la visite et c’est ainsi que je patienterais. Les bogues me pénètrent de plus en plus les fesses et même l’anus. Le moindre mouvement est une souffrance. Vous accueillez et discutez avec Votre invité qui ne semble pas surpris de voir au milieu de votre salon un homme assis nu, ligoté dans une boite en plastique remplie de bogues ! Je suis tellement concentré sur ma position épineuse que votre discussion m’échappe. J’attends seulement qu’elle s’achève. Ma posture est des plus inconfortables; les cervicales contraintes par mes bras me font souffrir, les bogues attaquent la peau tendue de mes fesses. Je serre la boule du bâillon avec mes dents comme si cela pouvait améliorer ma situation. Avez-vous remarqué comme l’attente est longue quand vous en ignorez l’issue ? Et bien là, c’est l’éternité qui défile. C’est avec soulagement que je Vous entends raccompagner Votre visiteur. Quelle soulagement d’avoir Votre sourire devant moi même si Votre main tient fermement une cravache que Vous baladez sur mon corps offert. Les bogues Vous inspirent et Vous construisez un petit château entre mon sexe et ma Mâchoire. Elles tiennent difficilement. Vous arrivez quand même à Vos fins et c’est avec la cravache que Vous les expulserez sans ménagement de mon entre-cuisses, m’arrachant quelques rictus de douleur. Vous prolongez Votre jeu avec un plaisir évident Vous servant de Votre cravache pour placer idéalement les bogues sous mes fesses meurtries. J’ai bien bavé sur mon ventre avant que Vous retiriez mon bâillon et que Vous libériez mes membres entravés. Vous me rendez un semblant de liberté pour ouvrir toutes les bogues avec mes pieds puis avec mes fesses. Ma douleur vous fait sourire. Malgré cela j’accélère le mouvement comme Vous me l’intimez. Je tente timidement d’en ouvrir quelques unes avec mes mains, Votre cravache m’en dissuade instantanément ; aïe mes doigts ! Je maudis ces bogues bien vertes qui refusent désespérément de s’ouvrir malgré les coups que je leur porte avec mes fesses. Elles me répondent du tac au tac en enfonçant leurs piquants dans ma peau meurtrie. L’envie d’en finir et Vos sourires quand je me tortille sur les bogues décuplent mon énergie. Je me hâte autant que faire se peut pour toutes les ouvrir. Encore une ou deux qui tentaient d’échapper à mes fesses. Enfin j’arrive au bout de mon supplice. Le moment du verdict est arrivé. Après m’avoir demandé si j’avais bien tout ouvert les fruits, Vous vérifiez avec la cravache qu’aucune châtaigne n’ait résisté à mes fesses. Vous me punirez pour chacune d’entre elle restée figée dans leur bogue. Finalement, je m’en sort plutôt bien et Votre main ne récupère que trois bogues encore fermées. Vous me les faites ouvrir avec mes fesses. Les aller retour sur les fruits sont encore plus douloureux car ma peau avait eu le temps de se détendre. Enfin elles cèdent. Énorme soulagement car j’étais à bout, prêt à verser les larmes de l’impuissance. Vous me demander de me relever et je verrais plus tard que mes fesses ont des airs de surfaces lunaires. En attendant un simple contact de mes mains me fait deviner un beau champ de labour et une sensitivité à fleur de peau. Je pensais être sorti d'affaire avec ces maudites châtaignes en me retrouvant attaché, les yeux bandés à me faire fouetter. Mais ce n’était qu’un intermède. Vous me ramenez finalement à ma niche piquante. Vous me guidez car Vous m’avez maintenu aveugle, et je me retrouve assis sur ce matelas de douleur que Vous avez soigneusement étalé au fond de ma niche. Elles sont bien plus résistantes que mes fesses car ma peau est de nouveau soumis à leurs pics dévastateurs. Je suis tendu comme un arc, leur offrant un terrain de jeu propice à leur agression. La nature est impitoyable surtout quand Vous la détournez à vos fins. Vous en extrayez habilement la quintessence pour Votre unique et immense plaisir. Je me cramponne, mon équilibre est instable et la douleur toujours aussi intense. Vous passez discrètement au-dessus de moi et je suis surpris de sentir un filet chaud qui me coule sur les épaules, le long du dos, me noyant de Votre urine. - Qu’est que j’aime t’utiliser comme chiotte Mon soumis. Ma place est là et je m’en contente malgré l’humiliation. - Merci Maîtresse Vous me libérez de mon bandeau et voir Votre sourire épanoui me réjouit après cette dure épreuve. Il est à la fois mon soulagement et ma récompense Maîtresse. Je comprends mieux pourquoi je repousse sans cesse mes limites en voyant Votre sincère satisfaction. J’ai enfin découvert ma raison de vivre même si Vous appartenir Maîtresse n’est pas de tout repos. Maudites châtaignes !!!
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Par : le 15/10/21
*Je recommence à rapatrier mes textes de fetlife enfin celleux que je préfére* C'est toujours tellement touchy une relation D/s enfin moi j'ai toujours trouvé ça tellement touchy. Surement parce que toute ma vie, j'ai du obéir à des ordres. Des ordres genrés, des ordres religieux, des ordres d'attirances, des ordres de respectabilité, des ordres d'avenirs... Il fallait se respecter et envisager l'avenir. Mais que fais t-on quand aucun avenir ne nous intéresse ? Que fait-on quand on a pas envie de se respecter ? Que fais t-on quand on a en nous juste une colère sourde et indistincte qui nous tenaille le ventre. On désobéit je suppose. On apprend à désobéir jusque que ça en devienne absurde. Juste comme ça, par principe, par ténacité, par habitude. Alors oui les jeux d'obéissance ont toujours été difficile pour moi. Je ne suis pas venue au bdsm pour ça de toute façon. C'est juste un accident de parcours la soumission. "J'ai vu de la lumière" comme dirait l'autre... Il y a deux ans et demi après un événement traumatique j'ai choisi de me trouver un maitre et je le voulais plus violent que les autres, plus impitoyable. Parce que je voulais arrêter de sentir les choses, parce que je voulais que mes émotions soient étouffés dans une gaine de douleur, parce que je voulais que quelqu'un décide à ma place et n'être qu'une poupée entre ses bras. Juste en définitive parce que je me sentais pas la force de faire les choses et qu'à part gober des cachets je ne voyais pas bien quoi faire de ma vie. C'est comme ça que j'ai rencontré sam, qui sa mysogynie et sa transphobie mis à part est quelqu'un que j'ai toujours trouvé assez fascinant. Il cherchait quelqu'un qui n'avait pas peur de perdre et j'ai toujours eu un grand amour pour la tragédie alors on s'est assez rapidement bien entendu. Récemment on m'a demandé quels étaient mes meilleurs souvenirs avec lui et je me suis rappelée de ce banc. Un lieu rituel qu'on avait instauré sur ma demande pour quand j'avais besoin de faire un point ou juste faire une pause dans le type de relation qu'on avait instauré ensemble, pour quand ça devenait un peu trop étouffant. C'étais juste en face de chez lui, entre deux rues désertes dévoré par le silence et l'ennui. Le lieu idéal pour parler de nous. Sans règles, sans protocole, juste deux personnes queer paumés qui cherchaient à donner du sens aux choses. Je me souviens de ce jour, il me tenait par la main car j'étais pas capable de marcher toute seule. Il tapait toujours assez fort mais en même temps j'avais besoin de ça pour encaisser ma semaine, un nuage de douleurs pour dessiner un azur qui nous aurait donné envie de rêver. Et ce sentiment que t'es tellement défonce que tu pourrais t'évanouir la maintenant et peut être ne plus jamais te réveiller. Ce sentiment extatique d'être au bord du gouffre et de sentir le vide sous tes pieds. Je sens le contact du banc sur mes blessures, c'est frais et apaisant. Il gèle. Après la chaleur de son sous sol, le froid a quelque chose de doux. C'est toujours moi qui commence à parler, une maniére pour moi de reprendre le controle et d'être à l'initiative des choses : Merci pour la pause, j'en avais besoin. Oh c'est le deal trésor. Et puis je t'ai fais suffisamment morflé pour t'accorder ça sans soucis je pense. Il a la voix chaude, étrangement douce. Cela contraste tellement avec le reste. Parfois j'ai le sentiment que je pourrais tomber amoureuse de lui mais... Mais j'ai trop peur. Jamais je pourrais vivre ça h24. Pour le coté punk ça va mais mon coté walt dysney me manquerait trop. J'ai toujours eu un coté culcul la praline et c'est un coté qu'il n'aime pas. Sam...? Oui lilas je t'écoute (Je souris) J'aime bien quand tu m'appelle comme ça. Ca fait bizarre c'est sur mais je t'avais dis que je respecterais ça. Même si je comprend pas, je respecte. Tu m'avais dis la dernière fois que tu me dirais comment tu es devenu dom ? Il brossa sa barbe de trois jours d'un revers de la main l'air un peu embarrassé. C'étais rare qu'il manifeste une gène quel qu'elle soit et ça me rendait "avide" d'assister à ça. Il finit par dire en tendant les mains vers le lointain. Je pensais que tu avais deviné depuis longtemps. Ca semble évident non ? En fait je sais pas, on a rarement l'occasion de parler tu sais. Même si je te suis très reconnaissante pour chaque moment d'intimité que tu m'accordes. Une bouche ça peut mentir tu sais ? C'est simple en fait, suffit de parler et d'aligner les mots. Mais un corps ça s'est différent. Je préfère laisser parler les corps. Il avait en lui une espèce de douleur contenue en permanence. Comme quelque chose qui menaçait d'imploser d'une minute à l'autre. Au final c'étais la tout le problème de notre relation : on se ressemblait trop. Sa poésie sauvage faisait beaucoup trop écho à la mienne. Oui mais en l'occurrence mon corps communique beaucoup plus que le tien. Je ne suis pas vraiment pas à mon avantage à ce niveau la... Mais tu n'es pas venue me voir pour être à ton avantage non ? Oui touché en effet. Carrément pas pour ça. Je suis séropositif lilas. C'étais pas le genre à faire des blagues et en même temps il avait dit ça d'un ton extrêmement calme. Son ex était décédé du vih, l'une des rares choses qu'il m'avait dit sur lui, ceci expliquait cela... Je suis vraiment désolée. J'aurais du m'en douter oui et vraiment si j'ai été blessante par rapport à ça... Il se mit à rire. A rire assez fort en fait, le genre de rire qui désarme, un rire qui vous donne envie de pleurer tellement on y sens la rage. Tu vois c'est ce que j'adore avec toi. N'importe qui se serait mis en colère en entendant ces mots. Et toi tu es désolée ? C'est moi qui devrait être désolé... Quoi parce que tu m'a pas dis quand on s'est rencontré ? Tu n'avais pas à me le dire c'est ta vie pas la mienne. Si les autres abrutis sont pas capable de se protéger c'est leur problème. C'est pas ce qu'ils disent quand tu leur annonce. Souvent je me faisait insulter voir menacer tellement les gens étaient furax. Qu'ils aillent se faire foutre avec leur "t'es safe" à tout bout de champ. C'est qu'un ramassis de classiste/raciste/validiste et j'en passe et des meilleurs. Eux safe ? Fais moi rire. En fait être "maitre" ça éludait le problème. Je pouvais imposer mes règles du jeu. Et si ça plaisais pas ? Basta tu dégage ! Je comprend... Je pense que dans ces moments la ou au final j'étais le plus à lui. Quand je sentais quels douleurs le traversaient. Mon masochisme ne s'est jamais limité à ces moments de jeu qu'on appelle bdsm, c'est aussi chaque fois que je sens une douleur me percuter, que je la reçois, que je l'écoute. Que je sens à quel point elle vit la quelque part et à quel point elle est jolie. Il y eu un long silence après ça et peut être que ce jour la j'ai crié plus que d'habitude, j'ai encaissé plus qu'il n'aurait fallu, je me suis poussé plus loin que la raison ne voudrait. Pas pour se la jouer compétitive non, juste pour lui dire "Moi je te désire comme tu es et je te trouve joli comme tu es. Avec moi tu ne sentiras pas ce regard qui dit "ah désolée je savais pas..." et ce mouvement de recul, horrible et ignoble que certains se permettent." Oui surement que ce jour la je lui ai dis je t'aime. Mais à ma manière avec la discrétion d'un corps qui gémis. Son langage à lui en somme.
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Par : le 10/10/21
C’est LadySpencer, à l’occasion d’une conversation semi publique dans laquelle elle est intervenue, qui m’a fait réfléchir autour de ce thème. Mon contradicteur n’ayant pas relevé le challenge, je me lance. En même temps, je le comprends. Pour un mec, il y a surtout des coups à prendre, compte tenu de nos exigences contradictoires concernant les hommes 😀. _______________ Dans le monde en général, et le bdsm en particulier, y-a-t-il seulement encore place pour cette approche surannée des relations entre les hommes et les femmes ? Celui qui prétend dominer une femme peut-il, peut-il, doit-il se montrer galant envers elle? N’est ce pas en contradiction avec son statut de dominant, qui décide, impose ? Quant aux féministes nouvelle version, dans leur étrange inversion du sens des mots et des choses, la galanterie ne serait pour elles qu'une survivance haïssable du modèle patriarcal. Ou au mieux une forme de sexisme "bienveillant", pire encore que le sexisme ordinaire, puisque insidieux. Qui traduirait la volonté des mecs de nous maintenir dans une position d'infériorité, de nous infantiliser pour mieux asseoir leur domination, sous le couvert des attentions qu'ils nous témoignent. Comme si l’égalité des sexes qu’elles revendiquent (moi aussi, mais pas toujours ni en toutes circonstances 😀) était antinomique avec la courtoisie désuète qui a longtemps prévalu dans les relations hommes femmes. Beauvoir déjà s'inscrivait dans cette logique qui écrivait à ce propos dans Le Deuxième Sexe "au lieu de leur faire porter les fardeaux comme dans les sociétés primitives, on s’empresse de les décharger de toute tâche pénible et de tout souci : c’est les délivrer du même coup de toute responsabilité. On espère qu’ainsi dupées, séduites par la facilité de leur condition, elles accepteront le rôle de mère et de ménagère dans lequel on veut les confiner". Gisèle Halimi également, que j'appréciais pourtant pour d'autres de ses combats, quand elle disait rejeter la galanterie comme une forme de domination masculine "parce qu’elle est dissymétrique, inégalitaire". _______________ Mon éducation « bourgeoise » (que je ne vois pas comme une tare, la connerie existe dans toutes les classes sociales et au global je ne me trouve pas plus conne que certain(e)s autres 😀) fait que que pour ma part je demeure sensible à ces attentions du quotidien. Sans y voir ce que certaines abhorrent. Une « infériorisation » de la femme. Qui devrait être « protégée » par l’homme, en contrepartie de sa soumission et de la reconnaissance par elle de son rôle prééminent. Je n’ai nul besoin d’être « protégée » par quiconque. J’ai appris à me défendre seule. Mais j’ai toujours apprécié que mes copains de facs, et mon mec désormais se sentent obligés de me défendre quant on m’importune. Même si je n'ai jamais dupe déjà à l’époque qu'ils poursuivaient parfois un autre objectif que celui de voler à mon secours 😀. Auquel il m’est arrivé de réserver une suite favorable. Et agréable pour chacun de nous 😀. Aujourd’hui, je suis soumise à mon Maître. Et je le revendique. Comme je revendique d’être son égale dans la vie. Mais j’apprécie aussi que dans les gestes du quotidien, il se comporte en « galant homme ». Que ce soit toujours lui qui ouvre et referme pour moi la portière de la voiture. Même si je conduis aussi bien que lui (enfin, presque, l'essentiel des rayure et des bosses à sa bagnole étant quand même de mon fait 😀.) Qu’il porte systématiquement mes bagages, et sans même se plaindre de tout ce que j'emporte à chaque fois 😀. Que quand nous sortons, c’est toujours lui qui le premier entre dans le resto. Quand bien même nous ne fréquentons pas habituellement de bouges justifiant qu’il s’assure avant de me laisser entrer que je ne risque rien. Que s’il nous arrive de prendre un escalier, il l'emprunte toujours en premier. Pour que son regard ne soit pas attiré par ce qu’il pourrait voir de mes hanches ou d'autres parties de corps. Et ce bien que ma nudité lui soit plus que familière 😀. Qu’il m’offre sa veste chaque fois que j’ai froid et des fleurs sans raison particulière. Alors, oui, j'apprécie que mon mec se montre galant en toutes circonstances. Son comportement vis à vis de moi fait sourire certaines de mes copines, mais je ne suis pas dupe. Puisque ce que je sens surtout de leur part, c'est une forme d’envie, de jalousie 😀. Parce que moi j'y vois non du sexisme de sa part, mais une acceptation et une appréciation de nos différences. Qui traduit quelque chose de plus profond chez lui. Une élégance innée. Identique à celle dont il fait preuve quand il manie la cravache. L’élégance de ses sentiments vis à vis de moi :smile:
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Par : le 07/10/21
Quand j’ai cherché ma serviette dans la cuisine, j'ai vu l'heure : deux heures. J’ai espéré qu’on allait s’arrêter, ce qui n’a pas eu lieu. Je me suis demandée pourquoi on continuait, j’étais fatiguée, en manque de sommeil. Ensuite, bandeau sur les yeux et pinces sur les seins, déjà tellement malmenés que la douleur a encore augmenté. Des pinces sur les grandes et les petites lèvres, je ne savais pas ce que vous faisiez, ça faisait hyper mal. et vous me disiez que c’était les pinces qui pincent le moins. Est-ce que c’était votre première utilisation ? Ca faisait mal, très très mal, je ne me souviens plus quand j’ai eu une douleur physique aussi intense, il y a des années surement. Vous avez commencé à retirer les pinces à ma demande. Heureusement. En me disant que j’étais hypersensible. Et là .....Enorme crise de larmes, poumons bloqués par la douleur, je ne pouvais plus respirer, plus reprendre mon souffle. J’ai commencé à paniquer de ne pas respirer, je suis entrée en moi, me suis calmée seule, et ma respiration est revenue. Je ne voulais plus rien, juste m’en aller, et certainement pas vous approcher. Puisque vous êtes celui qui fait mal. La seule raison qui m’a fait rester est que j’étais épuisée, et vous, le seul être humain à la ronde. Je vous en ai voulu beaucoup, de ce peu de compassion et d’humanité apparente, pas de petite phrase « viens dans mes bras, tu as été courageuse ». Non, des ordres, juste « viens là, calme toi ». Votre explication : la jouissance d’après cette douleur devrait être encore plus forte. Ça n’a pas été le cas, je n’ai pas joui plus fort, j’ai subi cette douleur très vive pour peu de plaisir supplémentaire. Trop fatiguée pour aller plus loin dans la recherche de plaisir ? sûrement. Ou trop de force pour vraiment lâcher prise ….. Ensuite, du shibari que j’apprécie toujours autant. Une fessée avec un chausse-pieds en métal, froid, agréable, et aussi comme une menace de l’endroit à frapper. Après …. Les coups fatiguent. Les marques sont encore là, quatre jours après, elles partiront sûrement. Sur les pieds aussi, douloureux, aussi. Vous m’avez laissée un petit temps encordée, agréable pour me reposer, j'en profitais pour me remettre, et respirer longuement en attendant la suite. J’avais atteint le stade de capitulation, je n’osais plus rien faire, et plus rien dire non plus, de peur de me faire pincer les seins, ou avoir mal, encore et encore : ce n’était plus drôle depuis un bon moment, tard dans la nuit aussi, et vous n’aviez apparemment pas l’intention d’arrêter. Et pourtant, je continuais. C'était peut-être ce que vous souhaitez : me "mater" Je continuais, pour voir, pour savoir ce que cette découverte pouvait comporter. J’étais là pour apprendre, sur moi, c’est mon souhait. L’envie de savoir était plus forte que l’inconfort, la douleur ou la fatigue. MON envie de savoir, d'apprendre, d'expérimenter. MA volonté aussi, qui a été largement testée. Et je savais aussi que je pouvais m’en aller à tout moment. Une grosse sécurité pour moi. Quand vous avez mis une pince sur ma langue, je l’ai enlevée. Quand vous avez parlé de l'appliquer à mes narines, la phrase est sortie toute seule « si vous faîtes ça, je m’en vais ». J’ai rassemblé mes forces 3 secondes pour faire ça, mon instinct de survie probablement. Le silence est tombé dans la chambre, éloquent. Je vous ai senti déçu. Et surpris. De quoi ? Pour autant, vous avez respecté mon souhait et m’avez désencordée. Ouf. Ensuite je vous ai donné du plaisir avec ma bouche, j’ai entendu « ma douce soumise », à moitié endormi, sur le dos, tranquille. Un peu bougon, vous restez au lit, le temps que j’aille prendre une douche. Pas de douche ensemble, d'aftercare si précieux pour moi, l'eau c’est mon élément, je profite de ce moment seule, dommage. Ça m’aurait donné une occasion de vous voir nu. Une fois douchée, en guise de bonne nuit, c’était « fais moins de bruit », charmant ! Vais-je dormir dans cette chambre, ou dans la chambre à côté ? De fatigue, je suis restée. Dormi deux heures, réveillée avant vous, vers 5-6 heures à cause des ronflements, malgré les bouchons d’oreille et l’huile essentielle …... Une prochaine fois, je ferai autrement. Réveil presque câlin, fellation et sodomie. J’ai échappé à une nouvelle torture de mes seins, je ne sais pas si j’aurai supporté. J’aime entendre les hommes jouir, c’est mon plaisir, c’est gratifiant pour moi. Petit déjeuner calme, vous debout tout le temps, vous mangez, parlez et buvez debout. Allez-vous continuer à me pincer les seins, le jeu est-il fini ? Dans le doute, je reste en semi-alerte, je n'ai pas ou plus confiance. Mais vous ne me touchez pas, ça me détend. En tous cas, 3 petites heures de sommeil n’ont pas l’air de vous déranger, vous ne semblez pas fatigué, un homme solide. Un bisou sur la bouche en partant, une des rares récompenses accordée à ses soumises. Probablement un signe positif pour moi. Vous m’avez dit aussi que j’étais une bonne soumise. Retour chez moi, boulot le matin et 2 heures de sieste pour me remettre, vu qu’une longue soirée m’attendait. Criblée de courbatures le vendredi, le frottement de ma robe est douloureux devant. Du mal à dormir sur le ventre, les seins douloureux, bleuis et les tétons un peu écorchés. Pas trop de mal du côté des fesses, à part les traces violettes. Avec le recul, je me suis aussi demandée quand vous aviez prévu de vous arrêter pour cette première rencontre. Si je ne vous avais pas stoppé, aviez-vous prévu une nuit blanche ? Pourquoi trop fort, trop long, trop douloureux, sadique, peu voire pas sensuel ? Quelle aurait été votre limite ? Est-ce que vous n'en avez pas du tout ? (ce qui serait effrayant) Je me le demande encore. Je suis venue, j'ai vu, j'ai perdu (veni, vici, perdidi) ******************************************************************************************* Edit 2021 Avec le recul, deux années après, je me rends compte à quel point je voulais tester des choses. Et à quel point j'ai une très forte volonté. Cela n'aurait pas pu se faire sans. Et de la patience. Capable de me faire passer 7h avec une personne qui ne me correspond pas. Et à quel point mon instinct de survie s'enclenche. Quand il le faut. A bon escient. Ca me rassure, aussi de savoir que j'ai cette ceinture de sécurité personnelle. Et enfin, comment je sais entrer en moi, avec quelques respirations, comment je peux m'isoler du monde par la simple force de mon souffle. Pour ceux qui liraient mal entre les lignes, ce n'est PAS du masochisme. C'est une expérience. Sévère, abrupte, mais c'est ainsi. ****************************************************************************************** Quelle a été la suite de cette fameuse soirée ? Ce dom, d'une vieille famille bordelaise très connue, n' avait pas souhaité que l'on se rencontre dans un café à Bordeaux avant cette soirée, car il était marié. Et plutôt connu. Donc difficile pour lui de se promener avec une femme qui n'est pas son épouse. Et je ne me voyais pas l'inviter chez moi. Ensuite, il habitait en Normandie et je savais que ce ne serait pas une relation intense, vue la distance. Suite à mon courrier, il a été effaré par le retour que je lui en ai fait, la description précise. Et a signalé que ça le calmait bien de recommencer. Preuve qu'il n'avait pas observé/compris ce qui se passait durant la séance. Que sa limite était ...... la mienne : drôle de dom qui délègue la limite à sa soumise, sait-il lire mes signaux ?  Et pour la petite histoire, ce monsieur a vécu un sévère "retour de boomerang". Découvert par son épouse, son téléphone surveillé par ses fils, il a totalement disparu des réseaux sociaux. Et ses ex-soumises n'ont plus entendu parler de lui. C'était donc un dom ...... pas si dom que ça :-)
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Par : le 05/10/21
A lire sur Massive Attack - Everywhen. Cher(e)s Lecteurs/rices. Prenez le temps de me dire ce que vous en avez pensez, ce que vous avez ressentis, faites moi part de suggestions ******************************************************************************** Chapitre 3 : Asylum Mickael saisit ma laisse. - Ote tes chaussures et suis moi. Il m’emporta avec lui dans le couloir vers cette lumière sombre rouge et dorée. Des sons derrière des portes. Je n’avais jamais vu un tel endroit. Je tournais ma tête tentant de voir s- IL était là. Il me laissait à lui. Mon cœur en avait pris un coup. Comment ai-je pu aimer à ce point ce moment et là de me sentir abandonner? je me sentais coupable. Ma connexion a lui était si forte. Ce lien je l’avais tout de suite senti, sans chercher à comprendre pourquoi. Ses actes parlaient. Il ne cessait de me rappeler combien il serait toujours là, bienveillant à me protéger, me punir, m’élever, m’accompagner. C’était la première fois qu’il me laissait à un autre homme. En avait-je envie s’il n’était pas là ? Mickael me fit pénétrer dans une pièce sublime, une grande salle de bain avec une baignoire ronde au centre où la douche fixée au plafond laisser perler une pluie chaude et fine. Le choix des matériaux nobles. Qui était derrière la conception de ce lieu ? - Va te détendre maintenant. Prends un bon bain. Cassandra va venir te voir. - Mais vous ne restez pas ? - Je peux faire de toi ce que bon me semble, je veux que tu reposes. Crois-moi tu vas en avoir besoin. - Que voulez-vous dire ? - Chut et détends toi. Je restais interrogative. Nue avec mon collier, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir me laver correctement. Je me glissais alors dans ce bain chaud qui m’avait été préparer. Mes muscles en avaient besoin. J’avais été mise à rude épreuve. Une femme entra, celle de l’entrée. - Mademoiselle Lane, un moment de détente pour vous soulager. Votre maitre a prévu qu’on vous chouchoute maintenant. - Vous êtes Cassandra ? - Oui, je suis Madame Cassandra. - Quand pourrais-je le voir ? - C’est lui qui décide quand il souhaite voir son esclave et non l’inverse. Vous êtes à sa disposition me rembarrait-t-elle. Un sentiment de tristesse m’envahit. Je repensais à ce qu’il me disait. Qu’il sera toujours présent, même s’il n’était pas là. - Je laisse une chemise de nuit, on viendra vous chercher pour vous conduire à votre chambre. Une esclave viendra vous prodiguer un massage. Je n’en revenais pas, ce lieu était si déconcertant. Comme un rêve où tout est permis. Cassandra semblait être la maitresse des lieux. Tout était sous contrôle. Je fermais les yeux, doucement, je somnolente. Le bruit me réveilla. Une jeune femme était entrée. - Habillez-vous et veuillez me suivre, Mademoiselle. En sortant de l’eau, elle me donna une serviette, m’aidant à m’essuyer, c’était si troublant. Une femme un peu corpulente, le teint clair et toujours ce rouge à lèvre rouge. Elle portait une tenue presque médicale. Je voyais dans son regard qu’elle prenait un plaisir à m’essuyer. Elle s’agenouillait même pour sécher mes pieds. J’en étais gênée. Elle me tendit ma chemise de nuit. A vrai dire je la trouvais affreuse. Simple, verte. on aurait dit une blouse d'hôpital. Elle me guida jusqu’à ma chambre. J’étais complètement désorientée dans ce labyrinthe. Quand je la découvris, elle était très grande, un papier de velours noir baroque au mur ; de nombreuses pièces dorées, un mobilier plein d'âme et une coiffeuse. - Vos affaires ont été rangés dans ce dressing, ici vous avez vos produits de maquillage. Votre repas vous sera apports à 20h. Il est temps de vous mettre nue et de profiter du massage. J’avançais vers la table de massage. J’en avais temps besoin. Elle avait la main masseuse, cela semblait bien prometteur. L’eau du bain avait mis mes muscles à bonne température. Je savourais. Une fois qu’elle eut terminé, elle m’aida à m’habiller, me coiffa et me laissa, seule dans ma chambre. Mon premier moment, seule. Il me manquait. Je pensais à lui. Je fis le tour de la pièce. Ma curiosité me poussant à vouloir sortir. Je ne le pouvais , la porte était fermée à clé. Les battements de mon cœur accéléraient. Je vis dans le coin de la chambre, une caméra. Etait-il en train de me surveiller ? de veiller sur moi ?. Je trouvais cela excitant. Je tentais de profiter de ce moment pour moi. - Ta musique est sur le chevet entendis-je. Mais… je tournais la tête pour voir d’où sa voix provenait. J’étais si heureuse de voir mon vieux téléphone portable qui avait temps vécu qui contenait toute ma musique. La musique me canalise. Il avait eu cette attention avec ma petite enceinte qui me suit partout. Juste avant de partir je ne l’avais pas retrouvé. Cela m’avait tant ennuyée. - Maintenant il est l’heure de manger. Je te regarde, je t’observe. Bon appétit mon ange. Le repas qu’on m’apporta était divin. Je devais rester dans cette pièce. La musique me transportait. Mon esprit repensait à ce que j’avais vécu, mes ressentis. Tout était en désordre, même mes certitudes. Il me faisait sortir de ma zone de confort. Que pouvait-il ressentir à m’avoir offerte ainsi ? Il savait que j’en rêvais mais je ne voulais jamais allé plus loin car cela voulait dire aussi accepter que lui aussi puisse profiter d’autres femmes. Mon esprit ne tolérait pas cela. J’avais cette peur de l’abandon terrible. J’en avais conscience et c’était mon démon. J’avais fait un travail sur moi pour devenir la femme que je suis. J’avais une tendance à me couper des gens pour me pas souffrir. Mon éducation stricte avec une mère dépressive, une père autoritaire avait semé cette graine en moi. « Avec le caractère que tu as-tu ne trouveras personne ? qui voudrait de toi ? Tu es grosse, il faut faire quelque chose ? et j’en passe. Le coup de grâce fut ma mère qui me laissa à mon père pour partir et s’occuper de « ses enfants ». Et qui étais-je moi ? Cela est une de mes grandes blessures. Je cogitais toujours et encore, parfois enfermée dans ma logique. Il m'en faisais sortir. Je ressens tout à 200%, et lui, savait me canaliser, me rassurer quand il le fallait. Il me faisait me questionner, avancer mais il était toujours là. Bienveillant. Je me sentais égoïste de vouloir tant de choses, et à l’inverse de toujours vouloir garder le contrôle, à penser à ce que les autres pensent. Avec lui, j’avais dû apprendre à lâcher prise. Une relation qui s’est construite sur le temps. Il me testait, je le testais, toujours à le défier jusqu’à ce que je m’abandonne totalement à lui. Je me couchais avec différents sentiments. Me regardait-il ? Je m’endormais avec la sensation de sa présence. J’aimais savoir qu’il veillait sur moi. - Laissez moi, laissez moi. On m’extirpa du lit, je me débattais. On m’avait sorti du sommeil. - Lâchez moi. Lâchez moi !!! Deux hommes m’avaient saisi par les bras, c’est là que je vis Mickael. - Tu es à moi pour la nuit.. tu sembles l’avoir vite oublier. Telle une furie je luttais. Pour éviter de me débattre, on m’enfila une camisole. J’étais complètement désorientée. On m’amena dans une pièce vide, avec une chaise et une table. Les murs étaient capitonnés comme dans un hôpital. On me força à m’asseoir sur une chaise. Mickael appuyait sa main sur mon épaule. - Ne bouge pas ! le médecin va arriver, dit-il d’une voix autoritaire. La lumière blanche m’aveuglait, je détestais cette atmosphère. - Mademoiselle Lane! Au loin je vis un homme entrer, vêtu de blanc habillé comme un médecin. La mise en situation était incroyable. Le regard pénétrant de Monsieur me réchauffa. - Monsieur, c’est si bon de vous voir. - Taisez-vous, vous êtes ici pour qu’on vous soigne de vos maux. - Mes maux.. je souriais. Laissez moi venir avec vous, je vous en prie quémandais-je suppliante. - Non non… Nous devons soulager cette perversion qui vous habite, de vos doutes qui vous empêchent d'avancer. - Je… - Bâillonnez là. Je me débattais, le regard suppliant. - Cessez de toujours répondre quand on ne vous demande rien! Je préconise une nuit en observation. Attachée fermement au lit afin qu'elle réfléchisse. Mickaël, veillera sur vous me dit-il . - Emmenez là Mickael Je me débattais, ne voulant me laissez faire. Il m’observait pendant qu’on m’emmenait je ne sais où. - Allez arrête de te débattre! ça ne sert à rien. On va bien s’occuper de toi. Crois-moi! me dit-il avec autorité. Je vis son sourire. Je regardais une ultime fois en arrière pensant qu’il me reprendrait. Mickaël me poussa sur le lit. - Laisse toi faire, j’en ai maté plus d’une qui voulait résister. Plus tu résistes, plus je sévirais. Il défit ma camisole. Je ne pouvais lutter contre lsa force malgré ma résistance. - Sage! sois docile!. Je me retrouvais attachée, sanglée au lit. Mickaël se pencha sur moi. Il caressa mon visage. - Je vais bien m’occuper de toi, ne t’inquiète pas. Tes yeux apeurés sont si excitant. Il embrassa mon front. - Dors maintenant petite chienne. Je voulais lui répondre d’aller se faire voir mais impossible avec ce bâillon qui était si serré que j'en salivais. Dans ma tête, je cogitais, encore et encore. Je tentais de me défaire mais impossible. Je cessais de combattre, prenant de grande respiration pour me calmer. Je m’endormais tout doucement. C’est à ce moment que je sentis une forme de décharge électrique me réveiller. Je tentais de me défaire de cela. Je vis Mickael au dessus de moi, s’amuser sur mon corps. - C’est ça excite- moi davantage. Sa main parcourait mon corps, insistant à travers la chemise de nuit sur ma poitrine. Il descendait vers mon ventre, puis , mes cuisses, mes jambes. - Humm ta peau est si douce. - Quel beau pied vernis. Tu sais que je raffole des pieds. Il commença par me chatouiller. J’avais horreur de ça. - Non non tentais-je de dire. Puis il déposa un baiser sur mon pied, commençant à les embrasser, les lécher, les masser. - Laisse-toi faire où je te donne encore quelques décharges pour te rendre docile. Je ne pouvais rien faire, j’étais à sa disposition comme mon maitre le souhaitait. - Quel plaisir de te déguster. Tes pieds sont sublimes, ta peau si douce. Plus tu vas te débattre et plus je serai exciter tu sais. Il s’était relevé, assis sur le coin du lit, il plongea son regard dans le mien. Il me saisit par la mâchoire et me lécha la joue, les lèvres. - Bonne petite chienne obéissante. Je vais te donner ton traitement. Il me donna une gifle puis une autre. Je me débattais. Il ôta les liens u de mes pieds. - Va-y débats toi que je rigole un peu. Tu ne peux pas m’échapper. Il sangla mes pieds ensemble. Il sortit sa queue et la plaça entre mes pieds. Il se masturba avec. Il les tenait bien fermement. - Hummm putain.. c’est bon… Il s’amusait encore à me donner quelques coups électriques. Je voyais son excitation. - Oh putain tu vas me faire juter petite salope. Il avait pris sa queue dans sa main. Il me tourna sur le ventre, me contorsionnant. Je sentis son sperme sur mes fesses. - Merci ma belle de t’être si bien occupé de moi me murmura-t-il à l’oreille. Il revint quelques minutes plus tard avec une bassine et une éponge. - Je vais te nettoyer ne t’inquiète pas. Il passa l’éponge rugeuse froide sur mon corps. Je frissonai. - Hum ta peau rougit.. Je tentais de me défaire toujours et encore. Cette éponge était si rugueuse, elle me faisait mal. Il y prenait plaisir. Son regard pervers me donnait l’envie de me soustraire à lui e de l'autre, t je repensais à comment il m’avait prise hier soir. - Je veux aller aux toilettes.. tentais-je de dire - Je ne comprend pas ma chérie.. que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes… Le son de ma voix était étouffé par le bâillon. Il l’ôta. Ses lèvre proches des miennes puis il tendit son oreille. - Répète ma chérie, que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes. - Ohhh c’est si mal demandé…. - Je veux aller aux toilettes, s’il vous plait.. Monsieur. - Humm voilà qui est mieux… Il me détacha. - Allez lève toi dit-il en me saisissant par le bras. Il me fit marcher une dizaine de mettre. Quel bonheur de pouvoir se soulager. Mickael pénétra avec moi dans les toilettes et y resta. - Puis-je avoir un peu d'intimité. - non! pisse. - Retournez vous! - tu n'as pas à me donner d'ordre. Je me soulageais, il me regardait. Je me sentais humiliée. Quand j'eusse tirer la chasse d'eau, il m'empoigna par le cou et me plaqua contre le rebord du meuble du lavabo. Il plaqua sa queue contre mes fesses. Je sentais à nouveau son désir. - Lave toi les mains. Il mis sa main sur ma chatte. - Si trempée, petite chienne. - Non je vous en prie, laissez moi. - Te laisser.. trempée ainsi… Il tira mes cheveux pour plaquer ma tête contre la porte. Il ferma à clé la porte des toilettes. - On va passer un bon moment toi et moi… - S’il vous plait Monsieur, je ne veux pas. Il me retourna avec brutalité mettant ses bras de part et d’autres de ma tête. - Encore un refus, et je serai moins gentil. Tu vas être très gentille et obéissante. Je ne pouvais me soustraire à lui. Il plaqua sa main sur ma bouche. - Pas un son, pas un bruit, compris ? sinon après je vais devoir te punir que tu ne pourras plus d’asseoir après. Et que dirait ton Maitre si je lui disais que tu n’as pas exécuté ses ordres ? Celui de m'obéir comme si c'était lui?. Je hochais la tête pour dire oui. Il plongea son regard dans le mien. - Bonne chienne… dit-il en possédant ma bouche. Il me tenait au mur par la gorger. Je mettais les main dessus pour m’en libérer. Il serra si fort, que j'en devenais docile. Il me gifla et pris mes cheveux avec vigueur. - Montre moi tes seins ! Comme je n’obéissais pas, il me gifla à nouveau - Montre moi tes seins. Sa gifle fut intense. Je soulevais ma robe de nuit pour lui exhiber mes seins. - Tu sais que j’ai aimé les martyriser, et je vais encore les martyriser. Voyons ton degré de résistance. Si tu cris, je pince encore plus fort. Le premier, sa pression était vive, il observait ma réaction. Je fermais les yeux pour soutenir la douleur à mon téton gauche. - Hummm regarde ça… dressé…. Parlait-il de moi? de mon téton? Il s’occupa alors de l’autre.. Relâchant mes cheveux pour prendre mes seins en main, il les malaxait si rudement. Je tentais de me soustraire. Il serra ma gorge, plongea son regard à nouveau dans le mien. Il les gifla encore et encore. - C’est ça que tu voulais petite putain… Je gémissais doucement. - Avoue que tu es excitée.. Je n’osais rien dire, il est vrai que cette situation était excitante. J’aimais la contrainte. Je ne voulais pas céder mais mon coeur, mes désirs le voulaient. - Regarde comme t’es mouillée. Il mis son doigt mouillé dans ma bouche… - Déshabille toi ! Je me faisais doucement obéissante. Je ne pouvais nier mon désir. Il serra encore davantage. Je mis mes mains par dessus. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… oui Monsieur j’aime ça. - Tu aimes avoir des doigts dans ta bouche. Hum hum tentais je de dire alors qu’il pénétrait ma bouche. - Tu veux que je te saute sauvagement. Hum hum… Il mit sa main sur ma chatte et commença à me caresser. - Hum tu aimes ça.. ta chatte réclame qu’on s’occupe d’elle. Ecarte mieux ! Sa main puissante faisait que j’écartais naturellement mes cuisses. Il remonta sa main et me gifla. - Voilà le traitement qu’on donne aux chiennes. Il ôta sa ceinture et lia mes poignets. Il m’attacha au crochet de la porte avec sa ceinture. - Tout doux ma belle. Ca ne sert à rien de larmoyer. Tu ne renforces que mon excitation. Il remit mon bâillon en place. - Avec ton bâillon tu es à croquer.. cette vulnérabilité, cette pauvre petite chienne prise au piège murmura-t-il à mon oreille. Il me retourna et souleva ma jambe. Il plaça sa queue dans ma chatte sans aucun ménagement. - Sens ma queue qui va te prendre petite salope. Tu aimes? Je ne pouvais répondre. - Oui tu aimes ça se voit, que tu aimes ça. Ses coups de queues étaient intenses. Je remis ma jambe au sol. - Cambre toi ! Il me saisit les hanches pour me pilonner sauvagement. A un moment il empoigna mes cheveux, je me cambrais d’avantage. Mes gémissements étaient étouffés. Il claqua mes fesses. - Hum… si chaude… Il mis ses mains sur ma gorge et continua de me baiser. Son sexe était si dur. Quand il me lâcha, je me retournais, avec un regard apeuré qui sembla l’exciter au plus haut point. Il me détacha du crochet et me força à m’agenouiller. Il ota le bâillon qui tomba autours de mon cou. Tenant son sexe dans sa main, il le plongea sans ménagement dans ma bouche tout en agrippant mes cheveux. - Allez suce moi ! Comme je ne le laissais pas faire, il prit le contrôle. Sa main sur ma tête. Il effectuait des vas et viens avec fermeté. - Regarde moi ! Je levais les yeux vers lui. - Hummm… râlait-il te plaisir. Oh ouiiiiii, t’es si bandante Il l’engouffra bien au fond de ma gorge, tout en tenant ma tête d’une main et de l’autre mes cheveux. Cette étreinte forcée me fit baver. - C’est ça.. oui.. prends la bien au fond de ta gorge de petite pute. Je bavais. Il se retira de ma bouche. Toujours en tenant mes cheveux, - C'est ça mets ta salive sur ma queue. Puis, il me força à mettre ma bouche sur ses couilles. - Lèche mes couilles ! Voilà c’est ça. Lui se masturbait. Il caressa mon visage avec sa queue - C’est ça continue de bien lécher… humm J’étais à genou, les cuisses posées sur mes jambes, offerte à ses envies. Je pensais à mon maitre. - Ouvre tes yeux, regarde moi… Je le regardais, je me sentis si soumise à ce moment là. Excitée aussi d’avoir été prise ainsi. - Joins tes mains devant toi et mets les devants ta bouche. Allez sors ta petite langue de pute. J’appréhendais. Il serra son emprise au niveau de mes cheveux pour me faire comprendre d'arrêter de vouloir prendre le contrôle. Je sortais alors ma langue. Il plongea une dernière fois sa queue et éjacula dans mes mains. Il me gifla ensuite avec sa queue. - Humm tu m'as bien vidé. Allez va t’essuyer ! Il m’aida à me relever. Il ôta sa ceinture de mes poignets. Je commençais à laver mes mains quand je sentis la morsure de la ceinture. - Je vais te punir maintenant ! tu vas compter jusqu’à 20. - Je…mais ? - Quelle chienne résiste, riposte! prends ses aises, souhaite garder le contrôle. Et ne remercie pas son Maitre? - Prête ? Allez 1… je te laisse suivre le décompte. Mademoiselle Lane. Je le regardais à travers le miroir. Son regard était impitoyable. Je tentais de faire un regard suppliant. - Tu les mérites. Tu vas me regarder te corriger dans le miroir et tu me remercier pour chaque coup. - Embrasse la ceinture maintenant. - Cambre bien tes fesses. Je respirais fortement. Je le regardais, sa main partant en arrière. - Je vais devoir recommencer, tu ne m'as pas remercier pour le premier. La ceinture frappa.. - 1... merci.. Monsieur.. Je sentais chaque coup arriver. C’était pervers. J'avais de plus en plus de mal à partlr. Je tentais au fur et mesure de me soustraire à lui, je me vidais, acceptant les coups si mérités. - 16… Merci... Monsieur Mon corps battait la chamade, la douleur était présente. Ma résistance hautaine me quittait. - 17…Merci... Monsieur Il me claque si fortement que mon cri s’entendait à travers mon bâillon.. - 18…m...mer..merc.. merci M... mo..monnsieur tentait-je de dire, épuisée. Je bégayais presque. Il savourait ce moment, me laissant aussi le temps de reprendre mon courage, mon esprit mais frappant au juste moment. une larme perlait. - 19... Me..merci.. Mon... monsieur Je sanglotais, je laissais faire, je m’abandonnais. Je tombais presque au sol. - le dernier ma chère.. le dernier. - 20.. Je tombais sans force contre le meuble, je ne regardais plus. - M...me...merci .. Il caressa mes cheveux, j'étais le buste allongé sur le meuble.. - Monsieur J’étais épuisée, sans force tellement il m’avait poussé dans mes retranchements. Il me releva avec douceur. Il me soutenait et m'enlaça. J’étais docile. Il essuya mes larmes. La chaleur de son corps me réconforta. Je sentais son coeur, je me laissais aller. Il s’empara de ma chemise de nuit pour me la remettre. Je frissonnais. Ce moment là de tension, de lâcher prise. Je ne pensais plus à rien si ce n'est à mes fesses. Je me laissais reconduire à mon lit après ce traitement intense. Délicatement, il me dit de m’allonger sur le ventre. Il prit une main pour l’attacher puis l’autre. Il fit de mêmes avec mes chevilles, attachées et écartées. Il écarta mes mèches de cheveux tombant sur mon visage, il se montrait si doux. - Repose toi maintenant tu en as besoin. Je vais t’apporter une couverture, le docteur passera demain. Il m’embrassa sur la joue. Mes fesses étaient douloureuses, je revivais cet instant où il m’avait corrigé me forçant à le regarder, à me regarder. Cela m’avait terriblement excitée. Je m’endormais épuisée et sans plus réfléchir. Je sentis une main caresser mes fesses… de l’huile sentant divinement bon. - Je vois que votre traitement a été efficace Mademoiselle. Il était là.. enfin… Je n'arrivais plus à parler. - Vous... - Je vais vous détacher maintenant. Je vais vous porter jusqu'à ma chambre. Je vais maintenant prendre soin de vous et vous aurez le temps de me parler de tous vos ressentis, vos doutes, vos sentiments. Mon fantasme (mardi 05 octobre 2021 12:55) : Deadalus- Chapitre 3 - Asylum MODIFIER SUPPRIMER A lire sur Massive Attack - Everywhen. Cher(e)s Lecteurs/rices. Prenez le temps de me dire ce que vous en avez pensez, ce que vous avez ressentis, faites moi part de suggestions ******************************************************************************** Chapitre 3 : Asylum Mickael saisit ma laisse. - Ote tes chaussures et suis moi. Il m’emporta avec lui dans le couloir vers cette lumière sombre rouge et dorée. Des sons derrière des portes. Je n’avais jamais vu un tel endroit. Je tournais ma tête tentant de voir s- IL était là. Il me laissait à lui. Mon cœur en avait pris un coup. Comment ai-je pu aimer à ce point ce moment et là de me sentir abandonner? je me sentais coupable. Ma connexion a lui était si forte. Ce lien je l’avais tout de suite senti, sans chercher à comprendre pourquoi. Ses actes parlaient. Il ne cessait de me rappeler combien il serait toujours là, bienveillant à me protéger, me punir, m’élever, m’accompagner. C’était la première fois qu’il me laissait à un autre homme. En avait-je envie s’il n’était pas là ? Mickael me fit pénétrer dans une pièce sublime, une grande salle de bain avec une baignoire ronde au centre où la douche fixée au plafond laisser perler une pluie chaude et fine. Le choix des matériaux nobles. Qui était derrière la conception de ce lieu ? - Va te détendre maintenant. Prends un bon bain. Cassandra va venir te voir. - Mais vous ne restez pas ? - Je peux faire de toi ce que bon me semble, je veux que tu reposes. Crois-moi tu vas en avoir besoin. - Que voulez-vous dire ? - Chut et détends toi. Je restais interrogative. Nue avec mon collier, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir me laver correctement. Je me glissais alors dans ce bain chaud qui m’avait été préparer. Mes muscles en avaient besoin. J’avais été mise à rude épreuve. Une femme entra, celle de l’entrée. - Mademoiselle Lane, un moment de détente pour vous soulager. Votre maitre a prévu qu’on vous chouchoute maintenant. - Vous êtes Cassandra ? - Oui, je suis Madame Cassandra. - Quand pourrais-je le voir ? - C’est lui qui décide quand il souhaite voir son esclave et non l’inverse. Vous êtes à sa disposition me rembarrait-t-elle. Un sentiment de tristesse m’envahit. Je repensais à ce qu’il me disait. Qu’il sera toujours présent, même s’il n’était pas là. - Je laisse une chemise de nuit, on viendra vous chercher pour vous conduire à votre chambre. Une esclave viendra vous prodiguer un massage. Je n’en revenais pas, ce lieu était si déconcertant. Comme un rêve où tout est permis. Cassandra semblait être la maitresse des lieux. Tout était sous contrôle. Je fermais les yeux, doucement, je somnolente. Le bruit me réveilla. Une jeune femme était entrée. - Habillez-vous et veuillez me suivre, Mademoiselle. En sortant de l’eau, elle me donna une serviette, m’aidant à m’essuyer, c’était si troublant. Une femme un peu corpulente, le teint clair et toujours ce rouge à lèvre rouge. Elle portait une tenue presque médicale. Je voyais dans son regard qu’elle prenait un plaisir à m’essuyer. Elle s’agenouillait même pour sécher mes pieds. J’en étais gênée. Elle me tendit ma chemise de nuit. A vrai dire je la trouvais affreuse. Simple, verte. on aurait dit une blouse d'hôpital. Elle me guida jusqu’à ma chambre. J’étais complètement désorientée dans ce labyrinthe. Quand je la découvris, elle était très grande, un papier de velours noir baroque au mur ; de nombreuses pièces dorées, un mobilier plein d'âme et une coiffeuse. - Vos affaires ont été rangés dans ce dressing, ici vous avez vos produits de maquillage. Votre repas vous sera apports à 20h. Il est temps de vous mettre nue et de profiter du massage. J’avançais vers la table de massage. J’en avais temps besoin. Elle avait la main masseuse, cela semblait bien prometteur. L’eau du bain avait mis mes muscles à bonne température. Je savourais. Une fois qu’elle eut terminé, elle m’aida à m’habiller, me coiffa et me laissa, seule dans ma chambre. Mon premier moment, seule. Il me manquait. Je pensais à lui. Je fis le tour de la pièce. Ma curiosité me poussant à vouloir sortir. Je ne le pouvais , la porte était fermée à clé. Les battements de mon cœur accéléraient. Je vis dans le coin de la chambre, une caméra. Etait-il en train de me surveiller ? de veiller sur moi ?. Je trouvais cela excitant. Je tentais de profiter de ce moment pour moi. - Ta musique est sur le chevet entendis-je. Mais… je tournais la tête pour voir d’où sa voix provenait. J’étais si heureuse de voir mon vieux téléphone portable qui avait temps vécu qui contenait toute ma musique. La musique me canalise. Il avait eu cette attention avec ma petite enceinte qui me suit partout. Juste avant de partir je ne l’avais pas retrouvé. Cela m’avait tant ennuyée. - Maintenant il est l’heure de manger. Je te regarde, je t’observe. Bon appétit mon ange. Le repas qu’on m’apporta était divin. Je devais rester dans cette pièce. La musique me transportait. Mon esprit repensait à ce que j’avais vécu, mes ressentis. Tout était en désordre, même mes certitudes. Il me faisait sortir de ma zone de confort. Que pouvait-il ressentir à m’avoir offerte ainsi ? Il savait que j’en rêvais mais je ne voulais jamais allé plus loin car cela voulait dire aussi accepter que lui aussi puisse profiter d’autres femmes. Mon esprit ne tolérait pas cela. J’avais cette peur de l’abandon terrible. J’en avais conscience et c’était mon démon. J’avais fait un travail sur moi pour devenir la femme que je suis. J’avais une tendance à me couper des gens pour me pas souffrir. Mon éducation stricte avec une mère dépressive, une père autoritaire avait semé cette graine en moi. « Avec le caractère que tu as-tu ne trouveras personne ? qui voudrait de toi ? Tu es grosse, il faut faire quelque chose ? et j’en passe. Le coup de grâce fut ma mère qui me laissa à mon père pour partir et s’occuper de « ses enfants ». Et qui étais-je moi ? Cela est une de mes grandes blessures. Je cogitais toujours et encore, parfois enfermée dans ma logique. Il m'en faisais sortir. Je ressens tout à 200%, et lui, savait me canaliser, me rassurer quand il le fallait. Il me faisait me questionner, avancer mais il était toujours là. Bienveillant. Je me sentais égoïste de vouloir tant de choses, et à l’inverse de toujours vouloir garder le contrôle, à penser à ce que les autres pensent. Avec lui, j’avais dû apprendre à lâcher prise. Une relation qui s’est construite sur le temps. Il me testait, je le testais, toujours à le défier jusqu’à ce que je m’abandonne totalement à lui. Je me couchais avec différents sentiments. Me regardait-il ? Je m’endormais avec la sensation de sa présence. J’aimais savoir qu’il veillait sur moi. - Laissez moi, laissez moi. On m’extirpa du lit, je me débattais. On m’avait sorti du sommeil. - Lâchez moi. Lâchez moi !!! Deux hommes m’avaient saisi par les bras, c’est là que je vis Mickael. - Tu es à moi pour la nuit.. tu sembles l’avoir vite oublier. Telle une furie je luttais. Pour éviter de me débattre, on m’enfila une camisole. J’étais complètement désorientée. On m’amena dans une pièce vide, avec une chaise et une table. Les murs étaient capitonnés comme dans un hôpital. On me força à m’asseoir sur une chaise. Mickael appuyait sa main sur mon épaule. - Ne bouge pas ! le médecin va arriver, dit-il d’une voix autoritaire. La lumière blanche m’aveuglait, je détestais cette atmosphère. - Mademoiselle Lane! Au loin je vis un homme entrer, vêtu de blanc habillé comme un médecin. La mise en situation était incroyable. Le regard pénétrant de Monsieur me réchauffa. - Monsieur, c’est si bon de vous voir. - Taisez-vous, vous êtes ici pour qu’on vous soigne de vos maux. - Mes maux.. je souriais. Laissez moi venir avec vous, je vous en prie quémandais-je suppliante. - Non non… Nous devons soulager cette perversion qui vous habite, de vos doutes qui vous empêchent d'avancer. - Je… - Bâillonnez là. Je me débattais, le regard suppliant. - Cessez de toujours répondre quand on ne vous demande rien! Je préconise une nuit en observation. Attachée fermement au lit afin qu'elle réfléchisse. Mickaël, veillera sur vous me dit-il . - Emmenez là Mickael Je me débattais, ne voulant me laissez faire. Il m’observait pendant qu’on m’emmenait je ne sais où. - Allez arrête de te débattre! ça ne sert à rien. On va bien s’occuper de toi. Crois-moi! me dit-il avec autorité. Je vis son sourire. Je regardais une ultime fois en arrière pensant qu’il me reprendrait. Mickaël me poussa sur le lit. - Laisse toi faire, j’en ai maté plus d’une qui voulait résister. Plus tu résistes, plus je sévirais. Il défit ma camisole. Je ne pouvais lutter contre lsa force malgré ma résistance. - Sage! sois docile!. Je me retrouvais attachée, sanglée au lit. Mickaël se pencha sur moi. Il caressa mon visage. - Je vais bien m’occuper de toi, ne t’inquiète pas. Tes yeux apeurés sont si excitant. Il embrassa mon front. - Dors maintenant petite chienne. Je voulais lui répondre d’aller se faire voir mais impossible avec ce bâillon qui était si serré que j'en salivais. Dans ma tête, je cogitais, encore et encore. Je tentais de me défaire mais impossible. Je cessais de combattre, prenant de grande respiration pour me calmer. Je m’endormais tout doucement. C’est à ce moment que je sentis une forme de décharge électrique me réveiller. Je tentais de me défaire de cela. Je vis Mickael au dessus de moi, s’amuser sur mon corps. - C’est ça excite- moi davantage. Sa main parcourait mon corps, insistant à travers la chemise de nuit sur ma poitrine. Il descendait vers mon ventre, puis , mes cuisses, mes jambes. - Humm ta peau est si douce. - Quel beau pied vernis. Tu sais que je raffole des pieds. Il commença par me chatouiller. J’avais horreur de ça. - Non non tentais-je de dire. Puis il déposa un baiser sur mon pied, commençant à les embrasser, les lécher, les masser. - Laisse-toi faire où je te donne encore quelques décharges pour te rendre docile. Je ne pouvais rien faire, j’étais à sa disposition comme mon maitre le souhaitait. - Quel plaisir de te déguster. Tes pieds sont sublimes, ta peau si douce. Plus tu vas te débattre et plus je serai exciter tu sais. Il s’était relevé, assis sur le coin du lit, il plongea son regard dans le mien. Il me saisit par la mâchoire et me lécha la joue, les lèvres. - Bonne petite chienne obéissante. Je vais te donner ton traitement. Il me donna une gifle puis une autre. Je me débattais. Il ôta les liens u de mes pieds. - Va-y débats toi que je rigole un peu. Tu ne peux pas m’échapper. Il sangla mes pieds ensemble. Il sortit sa queue et la plaça entre mes pieds. Il se masturba avec. Il les tenait bien fermement. - Hummm putain.. c’est bon… Il s’amusait encore à me donner quelques coups électriques. Je voyais son excitation. - Oh putain tu vas me faire juter petite salope. Il avait pris sa queue dans sa main. Il me tourna sur le ventre, me contorsionnant. Je sentis son sperme sur mes fesses. - Merci ma belle de t’être si bien occupé de moi me murmura-t-il à l’oreille. Il revint quelques minutes plus tard avec une bassine et une éponge. - Je vais te nettoyer ne t’inquiète pas. Il passa l’éponge rugeuse froide sur mon corps. Je frissonai. - Hum ta peau rougit.. Je tentais de me défaire toujours et encore. Cette éponge était si rugueuse, elle me faisait mal. Il y prenait plaisir. Son regard pervers me donnait l’envie de me soustraire à lui e de l'autre, t je repensais à comment il m’avait prise hier soir. - Je veux aller aux toilettes.. tentais-je de dire - Je ne comprend pas ma chérie.. que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes… Le son de ma voix était étouffé par le bâillon. Il l’ôta. Ses lèvre proches des miennes puis il tendit son oreille. - Répète ma chérie, que veux tu ? - Je veux aller aux toilettes. - Ohhh c’est si mal demandé…. - Je veux aller aux toilettes, s’il vous plait.. Monsieur. - Humm voilà qui est mieux… Il me détacha. - Allez lève toi dit-il en me saisissant par le bras. Il me fit marcher une dizaine de mettre. Quel bonheur de pouvoir se soulager. Mickael pénétra avec moi dans les toilettes et y resta. - Puis-je avoir un peu d'intimité. - non! pisse. - Retournez vous! - tu n'as pas à me donner d'ordre. Je me soulageais, il me regardait. Je me sentais humiliée. Quand j'eusse tirer la chasse d'eau, il m'empoigna par le cou et me plaqua contre le rebord du meuble du lavabo. Il plaqua sa queue contre mes fesses. Je sentais à nouveau son désir. - Lave toi les mains. Il mis sa main sur ma chatte. - Si trempée, petite chienne. - Non je vous en prie, laissez moi. - Te laisser.. trempée ainsi… Il tira mes cheveux pour plaquer ma tête contre la porte. Il ferma à clé la porte des toilettes. - On va passer un bon moment toi et moi… - S’il vous plait Monsieur, je ne veux pas. Il me retourna avec brutalité mettant ses bras de part et d’autres de ma tête. - Encore un refus, et je serai moins gentil. Tu vas être très gentille et obéissante. Je ne pouvais me soustraire à lui. Il plaqua sa main sur ma bouche. - Pas un son, pas un bruit, compris ? sinon après je vais devoir te punir que tu ne pourras plus d’asseoir après. Et que dirait ton Maitre si je lui disais que tu n’as pas exécuté ses ordres ? Celui de m'obéir comme si c'était lui?. Je hochais la tête pour dire oui. Il plongea son regard dans le mien. - Bonne chienne… dit-il en possédant ma bouche. Il me tenait au mur par la gorger. Je mettais les main dessus pour m’en libérer. Il serra si fort, que j'en devenais docile. Il me gifla et pris mes cheveux avec vigueur. - Montre moi tes seins ! Comme je n’obéissais pas, il me gifla à nouveau - Montre moi tes seins. Sa gifle fut intense. Je soulevais ma robe de nuit pour lui exhiber mes seins. - Tu sais que j’ai aimé les martyriser, et je vais encore les martyriser. Voyons ton degré de résistance. Si tu cris, je pince encore plus fort. Le premier, sa pression était vive, il observait ma réaction. Je fermais les yeux pour soutenir la douleur à mon téton gauche. - Hummm regarde ça… dressé…. Parlait-il de moi? de mon téton? Il s’occupa alors de l’autre.. Relâchant mes cheveux pour prendre mes seins en main, il les malaxait si rudement. Je tentais de me soustraire. Il serra ma gorge, plongea son regard à nouveau dans le mien. Il les gifla encore et encore. - C’est ça que tu voulais petite putain… Je gémissais doucement. - Avoue que tu es excitée.. Je n’osais rien dire, il est vrai que cette situation était excitante. J’aimais la contrainte. Je ne voulais pas céder mais mon coeur, mes désirs le voulaient. - Regarde comme t’es mouillée. Il mis son doigt mouillé dans ma bouche… - Déshabille toi ! Je me faisais doucement obéissante. Je ne pouvais nier mon désir. Il serra encore davantage. Je mis mes mains par dessus. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… oui Monsieur j’aime ça. - Tu aimes avoir des doigts dans ta bouche. Hum hum tentais je de dire alors qu’il pénétrait ma bouche. - Tu veux que je te saute sauvagement. Hum hum… Il mit sa main sur ma chatte et commença à me caresser. - Hum tu aimes ça.. ta chatte réclame qu’on s’occupe d’elle. Ecarte mieux ! Sa main puissante faisait que j’écartais naturellement mes cuisses. Il remonta sa main et me gifla. - Voilà le traitement qu’on donne aux chiennes. Il ôta sa ceinture et lia mes poignets. Il m’attacha au crochet de la porte avec sa ceinture. - Tout doux ma belle. Ca ne sert à rien de larmoyer. Tu ne renforces que mon excitation. Il remit mon bâillon en place. - Avec ton bâillon tu es à croquer.. cette vulnérabilité, cette pauvre petite chienne prise au piège murmura-t-il à mon oreille. Il me retourna et souleva ma jambe. Il plaça sa queue dans ma chatte sans aucun ménagement. - Sens ma queue qui va te prendre petite salope. Tu aimes? Je ne pouvais répondre. - Oui tu aimes ça se voit, que tu aimes ça. Ses coups de queues étaient intenses. Je remis ma jambe au sol. - Cambre toi ! Il me saisit les hanches pour me pilonner sauvagement. A un moment il empoigna mes cheveux, je me cambrais d’avantage. Mes gémissements étaient étouffés. Il claqua mes fesses. - Hum… si chaude… Il mis ses mains sur ma gorge et continua de me baiser. Son sexe était si dur. Quand il me lâcha, je me retournais, avec un regard apeuré qui sembla l’exciter au plus haut point. Il me détacha du crochet et me força à m’agenouiller. Il ota le bâillon qui tomba autours de mon cou. Tenant son sexe dans sa main, il le plongea sans ménagement dans ma bouche tout en agrippant mes cheveux. - Allez suce moi ! Comme je ne le laissais pas faire, il prit le contrôle. Sa main sur ma tête. Il effectuait des vas et viens avec fermeté. - Regarde moi ! Je levais les yeux vers lui. - Hummm… râlait-il te plaisir. Oh ouiiiiii, t’es si bandante Il l’engouffra bien au fond de ma gorge, tout en tenant ma tête d’une main et de l’autre mes cheveux. Cette étreinte forcée me fit baver. - C’est ça.. oui.. prends la bien au fond de ta gorge de petite pute. Je bavais. Il se retira de ma bouche. Toujours en tenant mes cheveux, - C'est ça mets ta salive sur ma queue. Puis, il me força à mettre ma bouche sur ses couilles. - Lèche mes couilles ! Voilà c’est ça. Lui se masturbait. Il caressa mon visage avec sa queue - C’est ça continue de bien lécher… humm J’étais à genou, les cuisses posées sur mes jambes, offerte à ses envies. Je pensais à mon maitre. - Ouvre tes yeux, regarde moi… Je le regardais, je me sentis si soumise à ce moment là. Excitée aussi d’avoir été prise ainsi. - Joins tes mains devant toi et mets les devants ta bouche. Allez sors ta petite langue de pute. J’appréhendais. Il serra son emprise au niveau de mes cheveux pour me faire comprendre d'arrêter de vouloir prendre le contrôle. Je sortais alors ma langue. Il plongea une dernière fois sa queue et éjacula dans mes mains. Il me gifla ensuite avec sa queue. - Humm tu m'as bien vidé. Allez va t’essuyer ! Il m’aida à me relever. Il ôta sa ceinture de mes poignets. Je commençais à laver mes mains quand je sentis la morsure de la ceinture. - Je vais te punir maintenant ! tu vas compter jusqu’à 20. - Je…mais ? - Quelle chienne résiste, riposte! prends ses aises, souhaite garder le contrôle. Et ne remercie pas son Maitre? - Prête ? Allez 1… je te laisse suivre le décompte. Mademoiselle Lane. Je le regardais à travers le miroir. Son regard était impitoyable. Je tentais de faire un regard suppliant. - Tu les mérites. Tu vas me regarder te corriger dans le miroir et tu me remercier pour chaque coup. - Embrasse la ceinture maintenant. - Cambre bien tes fesses. Je respirais fortement. Je le regardais, sa main partant en arrière. - Je vais devoir recommencer, tu ne m'as pas remercier pour le premier. La ceinture frappa.. - 1... merci.. Monsieur.. Je sentais chaque coup arriver. C’était pervers. J'avais de plus en plus de mal à partlr. Je tentais au fur et mesure de me soustraire à lui, je me vidais, acceptant les coups si mérités. - 16… Merci... Monsieur Mon corps battait la chamade, la douleur était présente. Ma résistance hautaine me quittait. - 17…Merci... Monsieur Il me claque si fortement que mon cri s’entendait à travers mon bâillon.. - 18…m...mer..merc.. merci M... mo..monnsieur tentait-je de dire, épuisée. Je bégayais presque. Il savourait ce moment, me laissant aussi le temps de reprendre mon courage, mon esprit mais frappant au juste moment. une larme perlait. - 19... Me..merci.. Mon... monsieur Je sanglotais, je laissais faire, je m’abandonnais. Je tombais presque au sol. - le dernier ma chère.. le dernier. - 20.. Je tombais sans force contre le meuble, je ne regardais plus. - M...me...merci .. Il caressa mes cheveux, j'étais le buste allongé sur le meuble.. - Monsieur J’étais épuisée, sans force tellement il m’avait poussé dans mes retranchements. Il me releva avec douceur. Il me soutenait et m'enlaça. J’étais docile. Il essuya mes larmes. La chaleur de son corps me réconforta. Je sentais son coeur, je me laissais aller. Il s’empara de ma chemise de nuit pour me la remettre. Je frissonnais. Ce moment là de tension, de lâcher prise. Je ne pensais plus à rien si ce n'est à mes fesses. Je me laissais reconduire à mon lit après ce traitement intense. Délicatement, il me dit de m’allonger sur le ventre. Il prit une main pour l’attacher puis l’autre. Il fit de mêmes avec mes chevilles, attachées et écartées. Il écarta mes mèches de cheveux tombant sur mon visage, il se montrait si doux. - Repose toi maintenant tu en as besoin. Je vais t’apporter une couverture, le docteur passera demain. Il m’embrassa sur la joue. Mes fesses étaient douloureuses, je revivais cet instant où il m’avait corrigé me forçant à le regarder, à me regarder. Cela m’avait terriblement excitée. Je m’endormais épuisée et sans plus réfléchir. Je sentis une main caresser mes fesses… de l’huile sentant divinement bon. - Je vois que votre traitement a été efficace Mademoiselle. Il était là.. enfin… Je n'arrivais plus à parler. - Vous... - Je vais vous détacher maintenant. Je vais vous porter jusqu'à ma chambre. Je vais maintenant prendre soin de vous et vous aurez le temps de me parler de tous vos ressentis, vos doutes, vos sentiments.
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Par : le 05/10/21
A lire sur Massive Attack - Azekel - RItual spirtit :https://youtu.be/fhI5T_NKYxc A vous qui lisez mes textes, que je prends le temps d'écrire, soyez adorable de laisser un avis, un commentaire, une suggestion... ******************************************************************************** Je fermais les yeux, je pensais à ce gode me pénétrant, à mon corps à sa disposition. Je ne pouvais bouger. Où était-il? Je sentis ce courant d’air. La pulpe de ses doigts caressant mon visage s’aventurant sur mon cou. Il sera son étreinte, je lâchais prise fermant les yeux pour savourer chaque seconde. Il serra mon visage et m’embrassa la joue avec une infinie tendresse. Les doigts de son autre main pénétraient outrageusement ma bouche. - C’est bon n’est ce pas ma petite chienne ? - Oui, monsieur, empêchée de parler par mon bâillon. Il ôta ce dernier puis avec langueur, défit mes liens. Je sentais son odeur, sa peau me frôler. attisant les sensations. Il stoppa la pénétration que je subissais au niveau de ma chatte. - Relevez-vous. Il me soutenait Mes talons hauts me donnaient de l'élégance mais la réalité me rattrapait. J’en profitais pour me blottir à lui malgré sa froideur apparente, j’aimais chacune de ses facettes. Il avait toujours ce geste doux au bon moment. Ce sentiment que rien ne pouvait m’arriver de mal en sa présence. Il m’accompagna pour me mettre à califourchon sur un meuble que je devinais être une sorte de cheval d’arçon, qui avait sur les cotés des rebords pour y déposer mes jambes. Je sentais le cuir sur mon sexe, mees genoux étaient au bord, tout comme mes fesses. Fermement il prit mes poignets et les attacha dans le dos. Il ne parlait pas, mais toujours le jeu des sens, le toucher, les odeurs. Tout était en éveil, comme jamais. - Redressez vos épaules s’il vous plait, tenez vous droite ! Durant cette semaine où vous serez ici, je veux que vous vous rappeliez ce que je vais vous dire. - Oui.. Monsieur. - Premièrement, le code d’urgence : RED. - Oui, Monsieur. Merci. - La seconde - De me faire confiance, je serai toujours à vos cotés. Tout est sous mon contrôle. - Oui... Monsieur. - Troisièmement, vos sens. - Mes sens ? Il caressa ma joue. - Oui vos sens. Vos sens vous conduiront au lâcher prise. Ressentez. Les odeurs, les sons, regardez, imaginez, gouter. Libérez vous de votre morale qui n’a lieu d’être ici. Aucun jugement alors ressentez et libérez vous! Puis marquant une pause, il continua - Quatrièmement, ne fuyez pas vos envies. - Que voulez-vous dire ? - Vous verrez bien. Acceptez vos envies, vos désirs. Ne les freinez pas à réfléchir, à vous tourmenter comme vous savez si bien le faire. Soyez vous! Ne pensez pas, ne pensez pas à ce que je peux penser de vous. Vous savez combien vous m'êtes précieuse, unique et mienne. - Hummmm… - Maintenant nous allons jouer à un petit jeu. - Messieurs entrez. Soudainement je sursautais, que faisait-il ? - Nous allons voir si ma chienne sait me reconnaitre. Nous sommes 3 ma chère. A vous de me choisir pour votre soirée ou non? - Je suis attachée Monsieur, comment pourrais-je vous reconnaitre sans pouvoir utiliser mes mains. - Utilisez vos sens ma chère. Pourquoi me choisir? Mais pour rendre le jeu plus pimenté, nous portons tous le même parfum. Je connais votre attrait à mon odeur. - Que se passe-t-il, si je ne vous choisis pas ? - Eh bien je vous regarderai avec cet homme, comment il s’occupe de vous. Je rougissais, coupable presque en avance si je choisissais mal. Il caressait délicatement mes seins. - Profitez ma chère. Laissez vous aller. Découvrez ce dont vous êtes capable. Je serai toujours là. - Mais, je - Arrêtez maintenant de vouloir contrôler ! Soyez soumise. Je prends le contrôle sur vous. Profitez ! - Messieurs, elle est à nous. Je sentis une première main venir me caresser. Ma bouche s’entreouvrait, des mains d’une douceur caressant mon sein gauche. J’en frissonnais. Cette main parcourait avec légèreté ma poitrine puis la fermeté saisissait mes seins. De l’autre, je sentis soudainement une plume effleurer ma peau au creux de mes reins, remonter sur mon omoplate. Cette zone qui était si érogène et qui me rendait folle. Cela ne pouvait être que lui ! Je tentais de deviner, démêler qui était qui. Puis au bout de quelques secondes, je sentis la morsure du martinet s’abattre sur mes seins, mon ventre, mes cuisses. Surprise. Je gémissais., la brulure s’emparant de moi. Elle laissa la place à une sensation que je n’avais jamais ressentie. Les griffes. Les doigts portaient une bague avec des griffes au bout des doigts. Elle passait sur mon pubis remontant sur mes seins, les griffant légèrement. Je sentais l’homme derrière moi me tenir de son autre main pour me plaquer à lui. C’était d’une telle sensualité. Ma poitrine de soulever, symptôme de mon désir. Au bout de quelques secondes, je sentis une chose froide effleurer ma joue, s’introduire dans ma bouche. Je compris que c’était un plug. Il s’amusait à le mettre au niveau des lèvres de mon sexe, à faire des petits va et viens. Je gémissais de plaisir. Il saisit ma queue de cheval pour me redresser, puis avec dureté, prit mon téton en main pour les pincer bien fermement. Encore une fois, je gémissais encore et encore. Ma surprise fut quand je sentis la froideur du glaçon remplacer le pincement. Je ne savais plus à quel saint me vouer, mes sens étaient perdus, tout se mélanger. Je tentais de trouver une logique, mais je ne devais pas. C’est ce que je compris à ce moment là. Je ne distinguait plus rien. Je ne devais pas penser à mon choix mais à mes envies et me laisser aller. Quand une main saisit mon menton pour m’ouvrir la bouche, je sursautai. Naturellement, je sortis ma langue. Drôle de sensation, cette roue à pic roulant et roulant avec la juste mesure., descendante sur mon corps. Je pinçais mes lèvres quand je sentis une mains se poser sur ma cuisse gauche à deux doigts de mon sexe. Je voulais plus. Il aventura un doigt dans ma bouche pour que je le suce. J’ouvrais ma bouche à ces plaisirs, demandeuse et soupirante. Ma langue attendant, je sentis un liquide se déposer, c’était le goût velours du miel. Puis le coup de grâce fut de sentir la douceur de ces deux mains caressant le contour de mon visage. - Je vous veux. Je veux celui-ci. - Tu as bien choisi ma chienne. - Je… J’ai bien choisi vous Monsieur ? - Quoi que vous auriez choisi, vous auriez fait le bon choix. Je vais vous garder les yeux bandés. Vous ne saurez qu’à la fin qui vous avez choisi. Nous allons expérimentés des choses , vous poussez à vous dépassez, à faire des choses que nous n'avons jamais expérimentées. Etes vous prête ? - Oui Monsieur.. Je sentis à nouveau ses mains douces sur mon visage plaquant son front contre le mien. - Qu’allons nous faire Monsieur ? - Nous allons jouer avec votre corps dit il en s'emparant de mon téton gauche puis en caressant de ses mains ma poitrine, prenant de pleine main mes seins pour mes malaxer. - Vous allez être docile ? m’écouter ? - Oui.. Monsieur. Son doigt releva mon menton. - C’est bien ma petite chienne. Nous allons voir ça. Il murmura à mon oreille. - Si vous ne m’appelez pas Monsieur, vous serez puni dit-il en claquant fermement ma fesse gauche. - Si vous n’obéissez pas, vous serez punie dit il en claquant l’autre tout aussi fermement - Oui Monsieur c’est clair. Il passa à nouveau son doigt sous mon menton pour redresser mon visage et m’embrasser. Il saisit ma queue de cheval et tira mes cheveux en arrière. Sa bouche prit possession de mon cou, de mes seins. C’était si intense. Je chavirais. De nouvelles sensations. Etait-ce lui ? Je me devais d’arrêter de penser, de culpabiliser. Je sentais que ce n'était pas sa manière de s'occuper de moi et pourtant il me parlait. Il lécha mon sein gauche, le susurra tout en caressant l’autre. Je gémissais. - Oui c’est bon petite chienne. Puis il claqua mon sein pour me faire comprendre ma condition. Il s’occupa du second en alternant douceur, coups de langue, baisers et malmenage de mes seins. Il les gifla doucement, puis plus rudement pour mieux les embrasser pour les apaiser. - Quelle belle poitrine ! Encore ? - Oui Monsieur, encore. Il continuait à s’occuper de mes seins. Il frôla mon pubis avec le bout de ces doigts. Je me dandinais sur ce cheval d’arçon, je ne tenais plus en place. Je voulais qu’il me touche de partout. Je sentais ma mouille baver sur le cuir. - S’il vous plait Monsieur, S’il vous plait, touchez -moi. - Non non.. pas si vite ma belle dit il en posant son doigt sur ma bouche. Avant que j’aille plus bas, je vais vous préparer davantage. Je sentais ses pas puis ce fût les lanières du martinet caresant mon sein gauche de bas en haut, passer derrière ma nuque pour faire la même chose avec mon sein droit. Je soupirais, presque souriante, reconnaissante. Il s’approcha de mon cou l'embrassant, le mordant, sa langue aspirant ma peau. Je sentais son souffle plein de désir et d’excitation. Tout en continuant à me rendre folle , il commença à me donner des coups légers de martinet sur les seins tout en passant parfois sa main pour les réconforter, les sous peser. Il se plaça juste derrière moi et redressa ma tête en me maitrisant avec ses doigts sous la mâchoire pour la plaquer contre son ventre. - Encore Monsieur, Encore, je vous en prie. Il me rendait complètement folle. Il me flagella encore… - Comme ça ? - Ohhhh…ohhhh.. Oui monsieur. Son visage rester collé au mien à me tenir fermement le visage contre lui. Sa main serrait mon cou. Je me sentais littéralement possédée à accepter tout ce qu’il voulait faire de moi. Il relâcha son étreinte et commença à me flageller les cuisses, le ventre le dos, mes jambes. Je tentais de me défaire de cela, mais rien à faire, ses coups étaient bien intenses. Reprenant sa place derrière moi. Il passa les lanières du martinet autours de mon cou et m’étrangla doucement pour me redresser. - Droite, tenez vous droite au lieu de vous dandiner comme une petite chienne sans prestance! Je hochais la tête à l’affirmative ; - C’est mieux ma petite chienne, beaucoup mieux. Il passa ses doigts sur mon pubis . Je mouillais terriblement. - Vous voulez plus ? - Oui. Monsieur, quémandais-je dans un souffle d’excitation. - Bonne petite chienne. - J’ai quelque chose pour toi. J'entendis qu'il ôtait son pantalon. Il me poussa vers l’avant. Mon cul était au bord et ma tête à l'autre bout. J’ouvrais ma bouche, sortait ma langue. Je sentis alors le bout de son gland sur mes lèvres, les caresser, s'engouffrer puis repartir, revenir, repartir. Il se jouait de moi. A me voir salivante à l’idée de m’occuper de sa queue. - Croyez-vous la mériter ? - Je… ouiii Monsieur, s’il vous plait. - Demandez moi mieux que cela. - Je vous en prie Monsieur, je veux votre queue. Je veux l’honorer. - Tellement mieux dit-il en appuyant sur ma tête pour me baisser et me mettre à hauteur de sa queue. Je ne tenais plus. Il me retenait par la queue de cheval. En attente. - Ouvrez votre bouche, sortez votre langue comme une petite salope sait le faire. Puis il s’engouffra dans ma bouche, me tenant par la tête, m’imposant son rythme, me baisant la bouche profondément et en douceur. - Gardez la bien au fond. Soudainement, je sentis un doigt saisir mon anus. Je sursautais. Je compris… Je compris qu’il était peut être deux.. ou trois et qu’aucun était parti. Seul mon maitre me parlait depuis le début. Il sortait de ma bouche, je salivais. - Donnez moi plus, s’il vous plait. A nouveau il appuya sur ma tête , me baisant cette fois ci fermement puis à nouveau garda ma tête appuyer fermement contre lui. C’est à ce moment là qu’il ôta mon bandeau. Le doigt dans mon anus se faisait inquisiteur, je mouillais tellement. Je n’osais pas ouvrir les yeux. Je sentis alors deux autres doigts me prendre le cul et commencer à me dilater pendant que je suçais. Mais qui me dilatait? qui suçais-je? Tout ce que je sais c’est que j’étais au nirvana du plaisir. Il m’avait dit de ne pas réfléchir. Pas de jugement et pourquoi j'osais pas ouvrir mes yeux? ce poids de toujours vouloir réfléchir. Les coups de doigts dans mon cul donnait le rythme. tenant mes mains ligotées. Il écartait bien mon inter-fessier pour mieux me dilater et faire que la queue de cet homme s'engouffre bien au fond. - Bonne petite putain… c’est si bon de te dilater et de te voir être prise par la bouche…. Défoncez lui bien sa bouche, elle ne mérite que ça et ne veut que ça ! N'est ce pas ma petite chienne? Je ne pouvais même pas répondre. Je ne pouvais même plus réfléchir. Je n’avais toujours pas ouvert mes yeux pour savoir qui était qui. - Retournons la sur le dos. Il me détachait les mains. Monsieur me saisit les mains pour les maintenir au dessus de ma tête fermement. . - Ouvrez-vos yeux ! Son regard était plongé dans le mien. Je sentis alors une paire de main écarter mes cuisses. - Ecartez mieux vos cuisses voyons ! Je le regardais, presque pudique. - Arrêtez de faire votre timide, comportez vous en chienne que vous êtes. Vous la voulez cette queue ? cette langue dans votre chatte ! - Je.. Oui Monsieur. Oui je la veux. - Mieux que ça. - Oui Monsieur, je veux cette langue, cette queue dans ma chatte. - Hummmmm… Il m’embrassa, tout en me tenant fermement. L’autre homme ne disait rien. Il releva ma tête par ma queue de cheval. - Je veux que vous regardiez comment il vous prend, comment il va vous lécher, vous baisez. Je vous l’ai dit.. de nouvelles sensations ! Libérez-vous. REGARDEZ LE! L’homme positionna sa queue sur ma chatte et me giflait avec, tout en s'amusant à l’enduire avec ma mouille. - Mes trous sont à vous Monsieur, prenez moi, s’il vous plait. - Allez-y prenez là ! maintenant. Il plongea son regard dans le mien tant que je sentais cette queue m’envahir. Il saisit mes cuisses pour me rapprocher à lui et me prendre plus profondément. - Vos pupilles, vous adorez ça ! n’est ce pas me dit Monsieur. - Je… - Avouez !!! - Oui.. Monsieur, j’adore ça. - Qu’adorez vous ? - Être prise, ainsi, d’avoir d’autres partenaires. - D’être baisée, gâtée de cette manière. - Oui.. Monsieur.. - Maintenant regardez le vous prendre . Mon regard se plongea dans le regard bleu de cet homme. Il avait un corps magnifique, des yeux bleus pénétrant. Une forme d’intransigeance. Il se déchaina à gifler mes seins, les prendre de pleine main. Il me dominait. Monsieur me dit à l’oreille - Nous allons devoir vous punir la chatte maintenant ! debout - Mais pourquoi ? - Pourquoi ? parce vous avez résisté à lâcher prise. - Debout, allez ! Je me relevais, j’étais assise sur le cheval d’arçon. Monsieur tendit une cravache à cet homme. - Je vous laisse la laisse, faite en bonne usage. - Mademoiselle, obéissez lui ! Il partit s’asseoir. Je le suivais du regard. J’étais relevée, toujours assise sur le cheval d’arçon. - Ouvrez votre bouche dit la voix suave de cet homme. Il introduisit plusieurs doigts dans ma bouche, allant au plus profond, à me faire tousser. Il plaça la cravache sous mon mento et de l’autre mis sa main sur mon sexe. - Ta chatte mérite plus de punitions… - Oui… Monsieur répondais-je soupirante - Allez lève toi, lève toi, plus vite. - Oui.. monsieur. - Tourne toi ! - Mains sur le cheval d’arçon, et tends tes fesses. Il donna un coup de cravache sec sur mon postérieur. - Mieux que ça ! Je regardais mon maitre avec son sourire satisfait. Il commença à me cravacher. Il força à écarter mes cuisses avec le bout de la cravache. Ses coups était parfait secs, violents, souvent au même endroits; Ses mains soulageait aussi la brûlure. Parfois il me faisait attendre la peur du coup suivant qui ne venait pas. - Ecartez vos fesses maintenant ! Je mis mes mains sur mes fesses pour lui exhiber mon petit trou. Mon maitre me regarder ainsi, punie par un autre. Je prenais du plaisir, presque honteusement. Je culpabilisais, car je ne supportais pas qu’une autre femme l’approche, et là , je faisais ce que je ne voulais pas qu’il me fasse subir. Je sentis alors sa langue passer sur mon petit trou puis donner ensuite un bon coup de cravache, qui me fit me redresser. Il appuya sur mon dos pour me remettre en place. Il replaça sa queue à l’entrée de ma chatte. - Merci.. Monsieur.. merci. Il caressa mon dos avec la cravache faisant de doux va et viens. Sa main prenant à chaque fois le plaisir de saisir ma queue de cheval pour mieux me cambrer. Il me pénétra. - HUmmm hummm c’est si bon, encore encore murmurai-je. Cette fois ci, sa main se mit autours de mon cou, me redressant davantage .Il m’embrassa si sensuellement, son souffle noyé par le désir. - Je n’en ai pas fini de m’occuper de toi !... Il me claqua les fesses. - Reste ainsi. . Je vis qu’il prit quelque chose en main sans voir ce que c’était. - Ouvrez ta bouche. Il y plaça comme un mors de cheval avec deux rennes sur les cotés. Il me redressa tout en me tenant fermement par la bouche contre lui. Je sentais tout son corps derrière moi. Il me redressa pour me présenter à nouveau à mon maitre. J’étais leur objet. - Voici votre chienne Monsieur. Regardez combien elle est docile. - Oui je le vois. J’aime la voir ainsi. Il s’assit sur le bord du cheval d’arçon là . Cela faisait comme une chaise, un fauteuil. - Allez viens t’asseoir sur ma queue. Choisis ton trou. Ma chatte souffrait d’avoir été si prise. Je n’avais pas le choix, que de choisir mon petit trou. - Prenez-moi s’il vous plait par le cul, Monsieur. J’étais face à mon Maitre, Ce dernier rapprocha sa chaise pour se placer face à moi, plus près encore. Je le regardais tandis que cet homme me prenait par le cul. Tout doucement. - Allez tout doux, belle jument.. Empale toi.. voilà.. doucement. Je pleurnichais à l’idée d’être vue ainsi, de sentir cette queue ouvrir mon cul. Mon maitre s’était redressé. Il caressait ma poitrine. Il se releva et me caressa le visage. Puis, il me murmura. - Fais toi bien prendre le cul ma chienne. Je suis fière de toi. L’homme me laissa prendre mon rythme pour ma sodomie. Je montais, descendais, montait descendait. Lui me tenait par les rennes. Au bout de quelques minutes, il les lâcha pour mettre sa main sur mes hanches et me guider, à ce que je m’empale plus profondément. Il appuyait sur mes épaules pour ensuite me garder bien au fond. Il jouait avec sa queue en étant assis. . - Allez déhanche toi, montre moi comment tu es chienne. Je ne m’appartenait plus quand il mit sa main sur mon clitoris pour m’exciter davantage. Son autre main, sur mes seins, puis prenant fermement mon sein gauche. - Tu aimes ça être baisée ainsi ? - Oui… Monsieur tentai- je de répondre. Il me redressa pour me plaquer contre lui et soulever mes jambes. Il reprenait le contrôle. Ses coups de queues étaient si violent. Je ne cessais de gémir encore et encore. - Redresse toi. Mes seins virvoltaient. - Regarde moi m'ordonna mon Maitre - Quelle bonne petite putain vous faites. L’homme saisit mes poignets et mis mes bras en arrière me forçant à me pencher en avant vers mon maitre. Il me pilonnait fortement. Mes seins valsaient encore et encore. Il plongea son regard dans le mien. - Défoncez lui bien son petit fion. - Je prends mon pieds avec les bonnes petites salopes comme elle lui répondait-il. - Allez relève toi m’ordonna-il. Il était épuisé, je sentais son souffle. Il ôta mes mors. Il me saisit par le cou avec sa main, j'étais sa poupée. Il plaquait mon visage contre le sien, tout en m’embrassant avec une infinie sensualité. - Tu as aimé que je te baise ? - Oui.. Monsieur… - Tu en veux encore ? - Oui.. Monsieur.. Je relevais mes mains pour le caresser. Lui en profita pour s’attarder sur mes seins. - Assieds toi ! m'ordonna t-il en caressant mon sexe. J’obéissais laissant mon fessier sur le cheval d’arçon et les pieds sur le repose jambes. - Oh oui Monsieur, j’aime vos doigts.. - Oui me murmura-t-il au creux de l’oreille. Oui je sais que tu les aimes. Il activa la masturbation sur mon clitoris tout en me tenant fermement le cou. Je n’en pouvais plus. Je m’abandonnais complètement. Sans ménagement, il écarta davantage mes cuisses et pris possession de ma chatte en me pénétrant de plusieurs doigts. - Regarde ton Maitre, pendant que je te doigte. Je défaillais complètement, j’étais au bord des larmes tellement ses doigts savaient parfaitement ce qu’il fallait faire. Je n’arrivais plus à me retenir. Il me prit dans ses bras au moment où je jouissais. Je hurlais ma délivrance. J’étais épuisée. - Chut… voilà… viens contre moi… Mon maitre se releva et s’approcha de moi. Il m’embrassa. - Tu es si belle dans la jouissance, dans l’abandon. - Je… Je… vous remercie.. Monsieur de me faire vivre tout cela confessais-je. J’étais épuisée, je n’arrivais presque plus à parler. - Je vous la laisse pour la nuit dit -il à l'homme. - Quant à vous, Vous me rapporterez tout demain par écrit de votre nuit Il m’embrassa sur le front et me laissa entre ses mains…
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Par : le 05/10/21
Je m’appelle Caro la domina, mon ami a toujours aimé que je lui mettre un doigt dans le cul pendant la fellation et nous avons testé le gode ceinture. C’est quelque chose qui lui plaît énormément et qui me donne également du plaisir. Ce que je ne savais pas, c’est qu’il avait envie d’essayer avec une vraie bite. Il me l’a confié il y a peu de temps après avoir lu une histoire sur le net. Alors j’ai décidé de lui faire une petite surprise. C’était un mardi. Je lui ai envoyé un texto en lui disant de rentrer tôt ce soir et que j’avais une surprise pour lui. Il a essayé de savoir, mais je ne lui ai rien dit. Jusque-là il n’a toujours pas eu de soupçon, car c’est ce que je lui demande de faire lorsque j’ai prévu une soirée avec le gode ceinture. Sauf que ce soir-là allait être différent ! Il était dans le lit et de se préparer lorsqu’on a sonné à la porte. Il était très déçu et a voulu y aller, mais c’est moi qui me suis levée. J’ai accueilli un homme avec lequel j’avais discuté au téléphone et en ligne. Je lui ai expliqué que c’était uniquement pour mon ami et pas pour moi. Je lui ai demandé d’être direct et de l’enculer. Une fois qu’il avait terminé, il jetait sa capote et partait. Tout était prévu. Je suis arrivée dans la chambre et mon ami était en train de se masturber. Il a vu l’homme débarquer et s’est senti très mal. Je lui ai expliqué que cet homme était venu exprès pour lui faire le cul. Alors je me suis allongée sur le lit en position demie assise les cuisses écartées. J’ai demandé à mon mari de venir me bouffer la chatte en position de levrette. L’homme s’est déshabillé et a commencé à se mettre en érection. Il a branlé mon mari et lui a sucé la bite tout en lui malaxant l’anus. Mon ami me regardait en gémissant. Puis l’homme a enfilé un préservatif et a présenté son gland devant le petit trou de mon ami. Il s’est enfoncé en lui et il a été ainsi dépucelé du cul. Le mec est allé très profondément en lui ! Il limait la rondelle pendant un bon moment avant de jouir. Comme convenu, il est parti en mettant une claque sur les fesses mon mari. Mon mari continuait de me bouffer la chatte et je suis passée derrière lui avec le gode ceinture pour prendre le relais et le faire jouir du cul. Comme tout ça lui a plu, je lui ai proposé d’aller plus loin en invitant plus d’hommes. C’est exactement ce qui s’est passé trois semaines plus tard. J’ai réussi à trouver deux hommes prêts à faire le cul de mon ami sans s’occuper de moi. Nous avons adopté la même technique, ils sont passés l’un après l’autre dans son trou du cul. Il y a un moment où je me suis même mise sur la chaise pour les regarder faire. Le premier homme était allongé sur le dos et mon mari était en position de 69. Ils se suçaient la bite tous les deux pendant que le deuxième lui défonçait le cul. Ils ont changé de position, mais au final, c’est toujours mon soumis qui se faisait défoncer la rondelle. Je me caressais en même temps. Depuis ce jour, de temps en temps, sans qu’il ne s’y attende, des inconnus passent à la maison pour l’enculer. Je n’ai plus besoin de lui demander de se préparer, il le fait tous les jours dans l’espoir que moi ou des inconnus venons l’enculer.
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Par : le 05/10/21
Vous voulez entrer dans l'ambiance de ma nouvelle. Voici sur quoi j'ai écris : Massive Attack - Butterfly caught. https://youtu.be/g45PgMJMqLY ********************************************************************** Deadalus - Signature - Chapitre 1 Je n’attendais qu’une chose. Mes vacances ! J’étais chargée émotionnellement. Un trop plein où je vis tout intensément. Le bonheur à 200%, la joie à 200%, le désir à 200%... mais la mélancolie, la tristesse de manière identique. Ce mode de vie où tout est sinusoïdale. Monsieur, lui savait me canaliser, il acceptait de me prendre comme j’étais. Il savait me rassurer, me booster, me recadrer, ce dont j’avais besoin. Cet alpha avait une telle exigence mais surtout avec lui-même. Aujourd’hui, je suis fatiguée. J’avais toujours cette peur incroyable de l’abandon. A toujours tester des limites pour voir si je comptais. Je pouvais lâcher prise en étant totalement moi. Cette connexion unique et magique. Il avait organisé mes vacances, tout en restant mystérieux. Je ne savais pas ce que nous allions faire. Je rentrais du travail. Je relevais mon courrier. Une lettre bien atypique. D’un papier noir légèrement satiné, si doux au toucher avec juste mon adresse et un logo D. . J’étais bien intriguée. Avec hâte, je rentrais dans ma maison pour m’empresser de l’ouvrir. Coupe-papier en main, je sortais le carton d’invitation que je devinais. Le papier également doux au toucher semblait bien précieux. Toujours ce Logo en en filigrane composé d’une forme de labyrinthe de couleur Or. Et le nom. Deadalus. Qu’étais-ce ? « Vous êtes conviée à venir vous perdre dans le labyrinthe des plaisirs ».. Samedi 02 Octobre à 17h. Des coordonnées GPS, un plan, et un numéro de téléphone à appeler en cas de besoin. Aucune autre explication. C’était bien étrange. J’étais curieuse, comme une enfant voulant découvrir son cadeau avant l’heure. Lui.. il ne me disait rien sur nos vacances. « Tu verras ». Malgré mon insistance, il arrivait à tout contrôler, maitre du jeu. Je regardais sur google, je ne trouvais rien sur ce lieu, sauf les informations mythologiques ou d’artistiques. Je ne pourrais le voir que demain, ce samedi 02 Octobre. Il était dans l’impossibilité de partir avec moi. J’avais réceptionné un colis directement au travail. Un sublime carton blanc satiné, avec un nœud, avait intrigué mes collègues de travail. Il savait que cela allait provoquer des bavardages. - Mais qu’est ce que c’est ? ouvre le… ne cessaient de me demander mes collègues voulant satisfaire leur vilaine curiosité, mais j’avais gardé les choses pour moi. L’heure de partir était arrivée, à peine dans la voiture, je prenais sur moi pour savourer le moment où j’ouvrirais ce colis si précieux. Doucement, je défis le nœud rouge, je descellais les points de colle pour découvrir une lettre.. Je me sentais gâtée. Une lettre. J’aimais cette manière d’antan à écrire encore des lettres. Ce temps qu’on s’accordait, à éviter cette routine, cette immédiateté des SMS ou autre échange whatsapp, qui enlevait souvent bien la saveur du désir. Là il ne faisait que le rendre exponentiel. Prenant la lettre dans mes mains je lisais : « Mademoiselle Lane » Il est temps pour vous de vous libérer de votre quotidien. Je vous emmène dans un lieu où vices et plaisirs seront là pour vous faire lâcher prise. Vous avez reçu le carton d’invitation de Deadalus. Vous allez suivre toutes les instructions suivantes : vous porterez uniquement ce qu’il y a dans ce carton. Vous n’aurez que comme seul choix un manteau long pour vous couvrir, rien d’autre. Vous vous parerez de magnifiques talons rouge vernis que j’affectionne. Rouge à lèvre rouge, cheveux attachés en queue de cheval haute. Vous serez sublime. Laissez vous surprendre. La sonnette marquera le début de votre abandon. Monsieur. Je sentis une vague de désir m’envahir à ce moment précis. Je n’osais imaginer ce qu’il avait prévu. Il avait une telle capacité à orchestrer des choses d’une main de maître. Jamais de faux pas. Il me protégeait, il veillait sur moi mais savait aussi me sortir de ma zone de confort pour m’assumer et nous faire plaisir à tous les deux. Dans le carton, un ensemble de lingerie fait de dentelle, de lacets, un harnais. Un sublime porte jarretelle avec des petites franges tombant sur mes fesses, une culotte fendue laissant un accès libre à ma chatte, à mon petit cul. Je savais ce qu’il allait m’attendre, mais pour une semaine, qu’allais-je être ? qu’avez-vous prévu de faire de moi ?. Vous vous demandez, moi aussi. Je ne pouvais rien contrôler. J’étais destabilisée. Je prie la direction de l’adresse, à 3h de route de chez moi. J’avais peur de me faire arrêter ou contrôler. Même si je portais ce manteau, je sentais les frissons me parcourir. Je sentais sa présence, son emprise. Je ne pensais qu’à lui, à ses mains sur moi, sa voix, son souffle dans mon cou. Ce besoin terrible de m’abandonner à lui. Je ne pouvais lutter. Pouvez-vous lutter à qui vous êtes ? Je me retrouvais dans une zone industrielle. Pour des raisons confidentielles, je ne peux indiquer aucune informations sur le lieu. Le lieu était quelque peu lugubre, il semblait presque abandonné. On devinait la période de faste de ce lieu passé. Un des bâtiments avait des carreaux cassés, le chemin de fer semblait passer ici Jadis. La pleine période industrielle. J’avais indiqué les coordonnées GPS. Un sentiment de peur, d’excitation. Et si je faisais une mauvaise rencontre ?. Mon cœur palpitait terriblement. Je respirais fortement. Je ne me sentais pas rassurée. Au loin je vis une maison faisant presque peur, cette sensation où vous allez vous faire dévorer si vous entrez dedans. Une porte noire, deux lampadaires. Etait- ce là ? Pas de voitures aux alentours. C’était bien étrange. Je décidais de me garer. Sortant d’un pas craintif, je m’avançais vers cette porte. C’est là que je vis une sonnette avec l’inscription : D. Je compris alors que j’étais au bon endroit. Ma main tremblante, je sonnais. J’entendis des mouvements métalliques. La porte s’ouvrait. La porte était si épaisse, je n’en revenais pas. On aurait dit une porte de coffre fort. Je vis une femme sublime ouvrir. Une grande femme élancée, fine, cheveux noirs habillée d’une robe fourreau noire stricte laissant apparaitre son soutien gorge. Elle avait une poitrine généreuse. Des yeux de biches.. Elle arborait un rouge à lèvre rouge. La nature l’avait bien gâtée. - Bienvenue à Deadalus. Vous devez être Mademoiselle Lane. - Je.. oui Je suis Mademoiselle Lane. - Parfait ! Vous allez me donner vos affaires, vos clés de voiture et téléphone. - Je… - Ce n’est pas une requête, mais un ordre. Sans broncher, je tentais mes affaires et mes clés de voiture. - Nous allons nous charger d’installer vos affaires dans votre chambre. Mickaël va enlever votre voiture et la mettre en sécurité. - D’accord. Je me sentais quelque peu déconcertée par ce lieu. L’entrée où une lumière rouge feutrait l'atmophère. Il y avait une sorte d’alcôve , sorte de préambule. La jeune femme se tourna et m’indiqua : - Veillez me suivre je vous prie. Elle avait une allure incroyable inspirant une forme de respect. Ses longues jambes, ses bas coutures et des talons vertigineux. Le lieu était éclairé par des torches laissant planés une forme de mystère. Je devinais des portes cachées, j’entendais des soupirs, des cris et parfois du calme. Au bout du couloirs, un ascenseur. Au mur des cages pour humain. Nous passions devant un homme emprisonné, nu et bâillonné. Plus loin, les jambes écartées d’une femme sortant du mur, chevilles attachées au mur, laissant à disposition sa chatte et son cul. L’inscription : « A disposition ». Je n’osais pas parler, intimidée. Nous descendions dans un sous-sol. Le silence planait. En sortant de l’ascenseur un dédale de tunnels, sombre, de canalisation. Je devinais différentes pièces en marchant. Une lumière vive cette fois-ci m’aveugler. - Entrez. Je m’avançais dans une pièce incroyable. Le sol était couvert d’une moquette rouge opéra. Un sublime bureau en bois de rose, un canapé chesterfield, une cheminée. Il y régnait une atmosphère incroyable. On entendit une musique où le son n’était ni trop fort, ni pas assez. Au mur différentes objets : martinets, gode, cagoule, cravache et des accessoires dont je ne connaissais pas l’utilité. Elle se dirigea derrière le bureau. - Mademoiselle Lane. Deadalus est un lieu confidentiel accessible uniquement à nos membres. Je vais vous faire signer un contrat avec une close où vous ne devrez jamais parler de ce lieu à qui que ce soit. Est-ce bien compris ? - Je… oui je comprends. Je suis juste encore surprise par ce lieu. - Je comprends me dit-elle froidement. - Nous prenons ici votre sécurité et la notre très au sérieux. Vous vous abandonnez à nous sous la bienveillance de votre propriétaire Monsieur. A ces mots là, je sentis le désir m’envahir. Qu’avait-il programmé? Quand le verrai-je ? - Merci de votre collaboration. Maintenant nous avons des instructions à votre sujet. Ôtez votre manteau je vous prie. - Quoi ? maintenant ? - vous devez comprendre que je me substitue à votre Maître, mes ordres émanent de lui. Vous ne devez parler que si je vous y autorise. Est-ce clair Mademoiselle Lane? Je hôchais la tête par l’affirmative, intimidée. Je laissais alors glisser mon manteau au sol me dévoilant à cette femme. Elle tourna autours de son bureau pour se mettre face à moi. - Tenez-vous droite ! Je me redressais. Je lui obéissais naturellement malgré moi. Elle inspirait tant cette autorité. Ses mains parcouraient mon visage, ses doigts me caressait. - Sublimes lèvres. Ce rouge donnent envie qu’on s’en occupe. Parfaite.. vous êtes. Elle tournaient autours de moi. - Je vous invite à bien redresser vos épaules pour mieux exhiber vos seins. D’une main ferme elle tira sur mes épaules . - Voilà qui est bien mieux Mademoiselle Lane! Tournoyant toujours autours de moi, elle plongeait son regard dans le mien. Elle défit mon soutien gorge, elle caressa mes seins puis mes tétons. Elle les saisit fermement, les pinça. - Hum parfaitement dressés. Puis elle les gifla alternant pincement et giflfes à me faire gémir. - Chut.... Baissez votre culotte et maintenait à hauteur de vos genoux. Je m'exécutais, laissant la culotte à hauteur de mes genoux. J'écartais mes jambes pour accéder à sa demande. Elle passa alors sa main sur mon pubis. - Hum Lisse, parfait. Voilà j’ai terminé l’inventaire. Je vais maintenant vous faire signer un second contrat. Restez ainsi petite chienne. Elle se posa dans le fauteuil du bureau et composa un numéro. - Oui elle est face à moi. Je vous confirme que votre chienne s’est présentée comme convenu. Elle a bien suivi vos instructions. Je lui ai ôté son soutien gorge et sa culotte. Son sexe est doux et lisse. Elle est juste face à moi la culotte baissée sur ces genoux. Voulez-vous une photo.? Pendant qu'elle parlait elle avait saisi son téléphone pour me prendre en photo. - Oui Monsieur, elle semble bien excitée. Je vais lui faire signer le contrat maintenant. Je n’entendais pas sa voix.. mais je devinais l’issue de cette conversation.. Elle me tendit un questionnaire à remplir. - Vous allez indiquer ce qui convient, ce qui ne convient pas. Vous trouverez les informations liées à l’inconfort, aux urgences. Sachez que quoi qu’ils arrivent nous disposons des ressources nécessaires à votre bien être. Médecin, Kiné, dentiste. Nous avons un vaste réseau pour que votre séjour parmi nous se passe au mieux. A partir du moment où vous signez, nous sommes en charge de vous pour une semaine. - D’accord.. Je commençais à lire le début du questionnaire. Il y avait différentes questions avec les mentions : déjà vécu, a aimé, pas aimé, souhaite vivre cela, l’intensité du choix de la douleurs.. cela allait de la pratique de la sodomie, au fist, au doigtage, à l’utilisation d’appareils godes, fouet, cravaches, en passant si je voulais avoir plusieurs partenaires ou non.. je n’en revenais pas. 10 pages à remplir. Une introspection où je me livrais totalement. Je ne pouvais qu’y répondre honnêtement. Je savais qu’il était ici, qu’il m’attendait. - Vous avez terminé ? - Presque oui. Je n’ai pas encore rempli le dernier item. - Ce n’est pas bien grave. Vous allez maintenant me lire à haute voix chaque chose écrite. Je vais vous enregistrer. Je salivais de peur. Elle me regardait. Je tenais mes feuilles devant moi à dire à une inconnue tout sur ma sexualité. Mais n’étais-je pas dans le bon lieu ? Deadalus.. le labyrinthe pour arriver à lâcher prise. J’avais toujours eu du mal à assumer de dire les choses, l’écrit était plus simple pour moi. Une grande réserve, honte à m’assumer. Mais là pas de jugement, je le sentais. Partie 1 : les accessoires : Il s’agissait de faire le point sur tout ce que j’aimais, ce qui m’effraient, ce que j’avais testé ou non … Elle me regardait me faisait répéter. Où j'aimais être cravachée par exemple, si j'aimais être plugée ou si j'aimais qu'on me pompe les tétons et pleins d'autres possiblités... Partie 2 : les sens. Je lui faisais part que j’étais très sensible aux sons, aux odeurs, à la voix. En même temps pour une hypersensible. J’adorais qu’on m’occulte la vue. Cela me permettait bizzaremment d’assumer qui j’étais. Je ne saurais l’expliquer. J'aimais qu'on me parle, j'avais besoin de cela. Partie 3 : la gestion de la douleur. Nous parlions de l’intensité. Jusqu’au je voulais aller. Monsieur savait que j’aimais la douleur mais pas à haute dose comme certain(e)s pouvaient aimer.. Tout était surtout cérébral, et cet état de transe où on lâcher prise nous fait accepter plus de choses qu’en temps normal. Partie 4 Les mises en situations. Je devais dévoiler ce qui m’excitait, mes désirs les plus sombres. Je lui faisais part aussi de ma peur de réaliser certains fantasmes de peur de ne pas les assumer. Que certains doivent rester à l’état de fantasme. Nous passions en revue, la pluralité, le fantasme de la petite écolière, le kidnapping, le viol simulé, l’exhibition, le partage, le gang-bang… et ce n’était que le début. Partie 5 Mes limites. Mon dos, mon opération me limitaient dans certains mouvements positions. Pas de sperme dans ma bouche. Pas de scatophilie, de sang, urophilie, zoophilie. Tout était clair. Son interrogatoire avait duré plus de 2 heures. Elles prenaient des notes, ne disaient rien. - Maintenant vous allez signer ce document. Si vous ne souhaitez pas le signer, nous arrêtons là et vous repartez chez vous. Je, soussignée, Mademoiselle Lane, offre ma soumission à Monsieur et accepte que Deadalus m’amène dans un labyrinthe de plaisirs. J’accepte d’être esclave, de subir les châtiments, punissions et jouissances. Durant 7 jours, je serai une esclave de Deadalus. J’avalais ma salive prenant le temps d’une seconde de réflexion. Mon excitation était au plus fort. Je signais. Elle prit alors le contrat dans ses mains et le plaça dans un porte document. - Allez cherchez le plateau qui se trouve sur la table là bas sans faire tomber votre culotte. Je m’avançais ainsi, frissonnante. Je prie dans mes mains la plateau en argent. - Revenez ici. Présentez moi ce plateau comme une bonne esclave sait le faire. Je baissais le regard me replaçant au milieu de la pièce face au bureau. Elle avait les fesses posées sur le bureau. - Redressez vos épaules. Soyez fière de qui vous êtes ! Faites que votre poitrine soit bien dressée ! Regardez devant vous ! Elle se leva vers moi. Je la regardais. - Regardez devant vous. Nous allons vous parer maintenant. Sur la plateau, des bracelets, un collier, un cadenas, une laisse, un bandeau. Un à un elle prit les bracelets en cuir pour les positionner autours de mes chevilles, de mes poignets. Elle prenait soin à prendre son temps, effleurer ma peau. Elle était dans mon dos. Je sentais son souffle au niveau de mon épaule droite. Elle prit en main mes deux seins puis s’aventura sur le plateau pour saisir le collier. Elle s’amusa à mettre le collier à hauteur de mes yeux, pour que je puisse lire une inscription. - Esclave LANE, propriété de Monsieur G. Mon cœur battait à la chamade. Je sentis sa rudesse quand elle entoura mon cou fermement. Elle saisit ensuite le cadenas. J’entendis la cliquetis. J’étais maintenant son esclave. Elle se plaça face à moi. - Parfaite. Elle plaça alors mon contrat signé sur le plateau. Elle me montra la clé du cadenas et la posa dans un écrin de velours sur mon plateau. Je suivais chacun de ses mouvements du regard. - Regardez devant vous ! Dois je vous reprendre avec fermeté ? - Je… non .. Madame. - Parfait. Elle saisit le bandeau en dentelle. Le plaçait sur mes yeux. Je pouvais légèrement entrevoir les formes, mais sans tout voir correctement. - Maintenant je vais m’assurer que vous êtes prête à la présentation. - Entre-ouvrez vos lèvres. Elle me remaquilla les lèvres. Me repoudra le visage et s’assura que j’étais présentable à Monsieur. Elle passa sa main au niveau de ma chatte. - Humm légèrement humide. Laisser tomber votre culotte. Je vais maintenant vous emmener. Je ferai le point à votre Maitre pour savoir ce qu’on va faire de vous. Si vous faites tomber votre plateau, vous serez punie. Elle accrocha la laisse au collier. J’avançais avec un pas peu certain lentement. - Allez pressez vous! J’entendis une porte s’ouvrir. Elle m’avança, je devinais uniquement quelques lumières rouge et dorée. Ma poitrine se soulevait d’appréhension et d’excitation mêlée. - Ne bougez plus ! Elle replaça ma queue de cheval dans le dos et s’éclipsait. Ma laisse pendante entre mes seins. Je n’osais pas bouger pour être curieuse. Je me laissais doucement aller à me faire surprendre. Il avait organisé cela pour moi. J’avais du mal à tenir la position sans bouger. Je sentais mon dos avoir quelques douleurs. Soudainement, je le sentis. Il avait passé pris ma queue de cheval pour la placer sur le côté. Je sentis alors son souffle pendant qu’il plaçait ses mains autours de mon bras. Il ne disait pas un seul mot. Doucement ses mains montaient vers ma nuque. Sa respiration me canalisait. Je devinais son envie de m’embrasser sans le faire. D’une main ferme il saisit ma queue de cheval tirant ma tête en arrière. Elle se posa contre son torse. Ce contact me rendit folle, sereine. Sentir sa chaleur, son contact était mon repère. - Que me présentez-vous sur ce plateau ? Sa voix était ferme, intransigeante. - Je vous présente, mon contrat Monsieur, ainsi que la clé de mon collier.. Monsieur. - Humm votre contrat ? dites moi en plus. - Je.. je vous offre ma soumission Monsieur. J’ai répondu au questionnaire. - Humm je vais me faire un plaisir de le lire pour voir ce que ma petite chienne a écrit. Il saisit alors la boite contenant la clé. Toujours en me tenant fermement par les cheveux, il passa sa main sur mon cou pour l’enlacer. - Prête à être mon esclave ? - Oui… Monsieur. Sans crier garde, il me donna un coup derrière les genoux pour me mettre à genoux, tout en m’aidant à ne pas me faire mal. - Voici la position que je préfère, vous, à mes pieds !. La plateau était tombé. Au bout de quelques secondes, il revint. Il saisit alors la laisse, la tenant courte. Je sentais qu’il me regardait. - Ouvrez votre bouche. Je sentis qu’il y plaça un bâton. Il me fit marcher ainsi à côté de lui. Je ne sais pas où nous allions. Mes mains sentirent comme une sorte de coussin. Il me positionna dessus. Il me força à me redresser par la laisse pour me rendre droite. - Ecartez vos cuisses et placer vos mains dessus, paume vers le haut. Je m’exécutais. - Voilà qui est parfait. Je sentis alors son corps derrière moi. Sa main plongeante au creux de ma poitrine, prenant possession de ce qui lui appartenait. Ses deux mains s’en occupait fermement. Il remontait ses mains à nouveau vers mon visage. Je cherchais son affection, je tendais mon visage dans sa main, comme une chatte recherchant ses câlins. Il repassa devant moi, je sentais alors sa jambe et son pied se positionner sur la chatte. Il tira ma tête vers lui pour plaquer mon visage sur son entrejambe. Je sentais son désir. - Ouvrez votre bouche. Il prit avec douceur le bâton. Il s’amusa à le passer sur mon ventre, remontant ainsi et relevant mes seins, puis les écrasant fermement. Un léger cri de douleur s’échappa, puis il remonta jusqu’à ma gorge. - Vous êtes à moi. Il saisit mon cou et me posa vers l’avant sans ménagement. Ma joue collée au sol. La laisse tomba au sol, il marcha dessus pour me faire rester ainsi. Son autre main m’encourageant avec ce bâton qui n’était rien d’autres qu’une cravache. - Bonne petite chienne. Montrez- moi comment une esclave exprime son affection ? Je savais ce qui m’attendait, ce qu’il voulait. Je résistais. - Vous ne savez pas ? dit il en tirant avec son pied sur la laisse me ramener devant son autre pied. La cravache parcourait mon dos terminant sa course sur ma joue, mes lèvres. Avec rébellion, je mordais le bout de la cravache. - Humm rebelle.. D’accord. Votre punition ne sera que plus rude et vous le savez. Mes fesses tendues, mon cul offert à ses caprices, il assena un coup de cravache sur mon fessier, puis un autre. Mes fesses se dandinaient pour tenter de se dérober. Rien n’y faisait il continuait. Je sentis la chaleur m’envahir. Il passait alors le manche de la cravache au niveau de mon inter fessier pour atteindre la chatte. Il donna un coup ni trop fort ni pas assez. - Le prochain sera rude pour vous. Je vous laisse le choix . Il se replaça à nouveau face à moi. Lâchant la laisse de son pied. Je me redressais naturellement pour commencer à embrasser ses chaussures. - Hummm… Je continuai à embrasser l’autre également. - Parfait. Maintenant, vous allez les cirer avec votre mouille. Redressez vous. J’obéissais. Il prit alors la laisse et l’enroula autours de sa main pour me tenir fermement. Je sentis sa chaussure se placer contre mon sexe par l’arrière. - Allez y frottez vous ! Je faisais des vas et vient avec mon sexe sur sa chaussure. Indéniablement je mouillais terriblement. Il changea ensuite de chaussure. - Bonne chienne ! dit-il en me caressant la tête. Il s’arrêta. - Suffit maintenant. Il me promena à nouveau en laisse. - Tendez vos mains. Il me guida jusqu'à ce que je sente un gode. . J'en sentis la fraicheur dans mes mains. - Maintenant vous allez vous entrainez à bien sucer. Allez prenez le en bouche et sucez comme si c'était moi. Il appuya sur ma tête pour que ma bouche s'empale dessus. Il me fit faire des mouvements de va et vient. - Voilà comme ça bonne petite chienne. Appliquez vous! Il me laissait ainsi à sucer ce gode. Je sentais qu'il m'observait. Au bout de quelques minutes il me dit - Je veux que vous vous empaliez correctement sur ce gode maintenant que vous l'avez bien réchauffer. Il m'aida à m'asseoir sur ce que je devinais être une chaise. - Introduisez le dans votre con je vous prie. Doucement je m’empalais dessus. - C’est bon n’est ce pas ? - Humm.. oui Monsieur… - Je m'en doutais. Je vais vous mettre un bâillon. Ouvrez votre bouche. Il me mit ce bâillon sans aucun ménagement. Il y avait un anneau, offrant ma gueule à ses doigts, sa queue. . Il me poussa contre le dos de la chaise sans ménagement. Il enchaina mon collier à la chaise. Il prit mes mains pour en faire de même et les tenir écarter en croix. Au bout de quelques minutes je sentis les vas et viens du gode me prendre. Il semblait avoir une télécommande pour s’amuser. La bave commençait à parler de ma bouche. Il me laissa ainsi dans l'inconnu ne sachant pas où j'allais. Je venais juste d’arriver..
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Par : le 05/10/21
Chapitre Premier Mon enfance Je suis né fils unique d'une mère vendeuse et d'un père arbitre. Mon père est décédé lorsque j'étais bébé. J'ai grandi seul. Je n'ai pas été à l'école maternelle mais je savais déjà lire à mon entrée en CP. Dès le premier jour des brutes m'ont pris pour cible. Coups, humiliations, brimades. Leur harcèlement est vite devenu quotidien. Ils m'ont par exemple interdit les toilettes. Du coup je me suis fait dessus en pleine classe. Je n'avais pas d'ami. Personne ne voulant être pris pour cible. Le personnel scolaire n'a rien fait, même alerté, trop soucieux de maintenir l'ordre apparent. Un élève en tape un autre, mais les deux doivent s'excuser. Ces violences "scolaires" ont duré des années... En parallèle je passais mon temps dans la nature, car j'avais la chance de vivre au bord d'une rivière, mais dans un logement en préfabriqué. Ma mère a adopté une minette qui s'est avérée être enceinte. Un jour, après une journée au parc j'ai assisté à la naissance des petits chatons. Blanco le petit blanc et tigré, Florette la tigrée, Pépette avec sa tâche orange sur le front, et Néné le petit dernier, typé main coon. Mais on ne pouvait pas tous les garder. Il a fallut faire un choix. J'ai gardé Néné. Je crois que sans lui, sans mes moments seuls dans la nature, je me serai tué. J'ai fuis l'école par tout les moyens. Éteindre le réveil de ma mère, feindre d'être malade, jeter mon cartable dans la rivière... À force d'absentéisme, j'ai eu droit aux éducateurs, aux psys, car bien sûr le problème venait de moi n'est-ce pas. Je ne parlais pas, je ne voulais pas en parler. À quoi bon. Chaque fois que j'avais parlé c'était pire, j'étais une balance. Le ce1, la visite au parc zoologique, être poussé sur les cages ou les enclos des animaux... Ah la classe de mer du ce2, les randonnées à vélo, l'animateur pédophile venant vérifier sous les douches qu'on se lavait bien, qui nous faisait nous décalotter devant lui tout en gardant une main dans sa poche... La violence sans échappatoire. Même la nuit dans le dortoir. J'ai craqué. De nouveau les psys. Tout les vendredi, un vsl m'emmenait au cmp du coin pour voir une psy... J'étais content car je quittait la classe plus tôt. Cm1. Les choses se passaient un peu mieux grâce au changement de cour, les brutes ayant redoublé (classe de rattrapage mais on s'en fout) . Classe de nature. Séjour en forêt de Tronçais. Les violences reprennent. Un autre animateur (pédophile lui aussi ?) s'amuse à nous surveiller sous les douches. Sinon comment saurait-il que je l'ai prise en maillot de bain ?! Cm2 collection des cartes dragon ball, j'arrive à me faire des amis par ce biais mais les brutes reviennent à la charge. Je tiens bon. Premier de la classe toute l'année avec une moyenne toujours au dessus de 9/10. 6eme. Les brutes se donnent-elles le mot ? Les violences et les brimades reprennent malgré le passage au collège. Ils me renversent des poubelles dessus et me disent que je pue. Je craque. Je refuse de retourner en classe. Le "cap ados" youpi, encore des éducateurs à la con. Un gamin est victime de violences, soyons durs avec lui, ça va l'aider. Je passe en 5eme malgré mon absentéisme en partie grâce à mes évaluations à l'entrée en 6eme qui faisaient partie des meilleurs du collège. Je change de collège. St Joseph. Un collège de culs bénis où certains profs ouvrent la classe par un "je vous salut Marie" collectif. On m'assaille de questions. Je viens d'où ? Je connais machin ou bidule ? Pourquoi j'ai changé de collège ? Les brutes se parlent c'est obligé. Je reste seul dans la cour. Il faut dire que je suis le chouchou de la prof de maths dure et sévère que tout le monde déteste, depuis que j'ai trouvé une solution alternative à un problème de maths que personne n'a trouvé. Je ne l'ai pas fait exprès, je n'ai juste pas vu la solution la plus simple. Brutalités, "jeux" du "tu sursautes je te frappe", jeu du foulard mais sans foulard, juste l'étranglement... Absentéisme encore. J'ai raté plus de la moitié de l'année. Mais j'ai le niveau pour passer en 4eme. Youpi. Meilleur classe. Je me fais quelques copains mais je n'arrive pas à leur parler de mes problèmes avec les brutes... Mais au moins, on partage le trajet du matin et du soir. C'est déjà ça. Un groupe se moque de moi en utilisant une fille, on me sert la main à coup de mollars... Absentéisme de nouveau. Cette fois, on m'envoie en HP. Je découvre la captivité. J'ai une chambre à moi, mais pas mes affaires ni mon chat. Je suis seul parmi des inconnus. Le premier repas du soir, on a glissé des aiguilles dans mon orange. Super. Le soir on me force à me coucher en pyjama, j'avais l'habitude de me coucher tout habillé... Le lendemain je découvre la routine des douches, du petit déjeuner, et des activités... Je reste seul autant que je peux. Je me réfugie dans des livres pour échapper aux activités de groupe. Seul point positif du séjour, ma première petite amie. "Mélissa" (faux prénom) Là bas pour une tentative de suicide après un viol... Elle aussi plutôt solitaire et plus intelligente que la moyenne. J'arrive à décrocher une permission de sortie, on peut donc aller se promener dans le parc et en ville... Et se tripoter quelque peu. Cela dure un temps. Mais elle quitte les lieux, moi pas. Fin de l'histoire. Merde. "Appartement thérapeutique" et classe de 3eme. Je ne peux toujours pas rentrer chez moi, même si j'ai quelques permissions... Je vais à "la villa" en dehors de l'hôpital et au collège du coin... Je ne connais personne. Je reste isolé. Je deviens victime de ceux avec qui j'essaie de me lier. Moqueries diverses. Je tiens bon. Mais je finis par craquer après un déjeuner à la cantine où l'on s'est moqué de moi tout en me piquant toute ma nourriture. Heureusement c'est le week-end. Je rentre. Le lundi matin, le vsl vient me chercher. Une fois à la villa où je dois récupérer quelques affaires laissées dans le cagibi arrière (les résidants n'ont pas les clés et il n'y a personne le lundi matin, on dépose nos affaires et récupère nos sacs de cours dans un cagibi.) je vais en cours normalement. On me claque volontairement une grosse porte à ressort en plein visage. Direction l'infirmerie. En fin de journée, j'apprends que je ne pourrai pas passer Noël chez moi. Je retournerai donc au pavillon de soin. Je trouve cela injuste. J'ai fait tout ce qu'on m'a demandé, j'ai encaissé, et là on m'annonce ça comme si c'était normal. J'ai l'impression d'avoir été roulé. Le week-end suivant, je refuse d'y retourner... Négociations, allers et retours... Je me retrouve au pavillon. Prisonnier. Sans droit de sortie. Je m'enfuis une première fois. On vient me chercher chez moi. Hôpital, sédatif. Je m'enfuis une seconde fois, toujours en passant par la fenêtre pour aller prendre le train sans ticket. On me rattrape une fois, une autre non. Une autre fois je décide de faire du stop et de partir plus tôt pour éviter d'être rattrapé. Je pète également le boitier du store en arrachant les câbles pour le garder ouvert. J'ai volé une poignée pour ouvrir la fenêtre dont les butées en plastique que j'avais fait sauter avaient été remplacées par des butées en métal. On m'a pris mes vêtements, mais j'en avais caché au cas où. Un t-shirt dans le traversin, un pantalon et des chaussures dans le radiateur, mon manteau derrière l'armoire... Ce sera la dernière fois. Plus question d'être prisonnier. Les psys sont super compétents quand-même... Un gamin victime de violences s'isole ? Menaces et contraintes le convaincront d'être plus sociable ! Cette fois on me fout la paix. Le juge décide d'une mesure en milieu ouvert. J'irai donc voir un éducateur de la pjj... Et un psy... Une fois par semaine jusqu'à mes 18ans. Vous ne m'en voudrez pas, j'ai pris quelques raccourcis et laissé de côté certains détails: les assistantes sociales, mon partage de chambre double avec un pote que je m'étais fait au pavillon, les "diagnostics" des psys, les tests de personnalité, le séjour en montagne, les penchants de "Mélissa", le fait d'avoir dit merde au directeur de l'école primaire le jour de l'inscription, les résidents de la villa, les médocs,...etc Mais vous avez les grandes lignes. Je fais encore des cauchemars de cette captivité... J'ai toujours encaissé la violence. Je ne l'ai jamais rendue. J'aurais pu. J'aurais dû. Mais je ne l'ai jamais fait. Je trouvais plus important de rester moi-même, quitte à encaisser. D'une certaine manière je n'ai pas varié d'un iota. Je continue à agir ainsi lorsque je me prends des tsunamis de merde dans les commentaires... Mais passons. Si je livre cela c'est juste dans l'espoir d'être mieux compris. Pour celles et ceux qui seraient tentés de mettre ma parole en doute, je possède une copie de mon dossier médical de l'époque et je n'hésiterai pas à en publier quelques pages si nécessaire pour vous remettre à votre place. Donc vos commentaires de merde vous pouvez vous les carrer bien profond jusqu'à ce qu'ils vous ressortent par la bouche. ___________________________________________________________________________________________________ Chapitre deux. "Mes blessures" Ce que j'ai vécu n'a pas été sans conséquences sur moi, ma vie, mon rapport aux autres. Que l'on appelle cela agoraphobie, phobie sociale, ou plus simplement peur des autres, peu importe, j'en souffrais. Je me suis socialisé seul, par les vide-greniers. Au début je n'étais même plus capable de demander un prix sans angoisse. Même dire bonjour me demandait un effort, un calcul. La solitude était devenu autant un refuge qu'une prison... D'ailleurs même aujourd'hui j'ai toujours du mal à me lier aux autres, à me laisser approcher. Parloire peut en témoigner, lui et linsoumise ayant fait un pas vers moi à un moment, j'ai, par réflexe, fait un pas en arrière... D'ailleurs linsoumise a été perspicace lorsqu'elle m'a demandé si le portrait que je faisais d'une soumise sur une publication n'était pas le mien... Il le fut. Les vide-greniers m'ont offert un cadre pour amorcer des conversations. Négocier m'a permis de m'affirmer, et chaque fois que je faisais bien les choses, j'obtenais une récompense pour ancrer ces efforts en moi en termes positifs de plaisir. Cela m'a permis d'avancer quelque peu dans ma vie. J'ai fait des stages, des formations, des petits boulots, de vendeur de jouets (histoire de me forcer aux contacts humains), à céramiste... Avant de trouver ma voie. Parallèlement j'ai troqué la pratique du jeet kun do du temps de "la villa" pour celle du qi-gong. Je n'ai jamais aimé la violence, mais les arts martiaux m'ont toujours plu. La maîtrise des gestes, des rythmes, des mouvements synchronisés, des réflexes, trouver la force dans la maîtrise de soi et de l'adversaire, garder ce contrôle en permanence... Longtemps j'ai aimé les femmes de loin, sans oser m'approcher d'elles, par peur du rejet, peur de devoir raconter mon histoire, confier mes failles, être incompris, être blessé de nouveau... J'ai connu quelques déboires sentimentaux, des râteaux, des trahisons, des mensonges, des incompréhensions, des espoirs déçus. J'ai perdu le peu d'amis que j'avais réussi à me faire, à cause d'une manipulatrice qui a cherché à m'isoler pour mieux se jouer de moi. J'ai vu clair dans son jeu mais pas eux... Un jour j'ai rencontré "Lucie" (encore un faux prénom). On s'est cogné la tête en ramassant le doudou d'un bébé qui était tombé d'une poussette... Une personne que j'ai perdu, trop vite et brutalement. Elle avait su m'apprivoiser, elle l'avait voulu, souhaité, avait lutté pour être avec moi, s'acharnant à être toujours présente et aux petits soins pour moi... Comme si elle avait lu en moi les souffrances de mon passé et essayait de les effacer... Mais la vie est une saloperie qui ne dure pas. C'était fini. Un putain d'accident et c'était fini. Plus de rire, plus de joie, plus de regard dans lequel me perdre, plus de souffle doux et chaud, plus de mains délicates s'agrippant à moi comme pour ne jamais me lâcher. Rien que l'absence. Et les tours que nous joue notre cerveau en pareil cas. On s'attend à la voir, à la trouver, on croit l'entendre, mais non. Elle n'est plus là. Nos automatismes nous crient qu'elle est là, qu'elle doit être là, mais elle n'y est plus. On le sait. Il ne reste qu'un parfum, le souvenir d'une caresse qui nous hante, la solitude et les larmes. Elle m'a sauvé. Lorsque peu de temps après, Néné, mon chat, est lui aussi décédé, à vingt et un ans, et dans mes bras, j'ai failli sombrer définitivement. Ce petit chou, qui avait perdu une patte suite à la consultation de vétérinaires incompétents ayant pris une tumeur pour un hématome avant de daigner l'opérer, plusieurs semaines plus tard... une convalescence difficile où j'ai vu l'état de sa patte se dégrader... Et ces connards qui me disaient de suivre le traitement jusqu'au bout... Comme si leur pommade allait ramener sa patte à la vie... Car je le sentais qu'elle était morte... Amputation à l'épaule. Il ne pouvait plus me grimper sur le dos comme avant mais il était toujours là, toujours égal à lui-même... Il est resté avec moi autant qu'il a pu. Je l'ai enterré moi-même, et je suis resté planté là comme un con. Ce n'était pas un chat, c'était mon ami, mon frère. "Lucie" m'a encore sauvé. C'est elle qui m'a offert le premier livre de Michel Onfray que j'ai lu. Le traité d'Athéologie. Sans ces lectures, je n'aurais jamais pu supporter leur disparition à tout les deux, je n'aurais pas pu mettre des mots sur mes souffrances, ni m'assumer complètement et me reconstruire... J'aurais voulu développé davantage certains points mais je n'en ai pas la force, alors vous me pardonnerez d'avoir quelque peu survolé. J'ai déjà assez versé de larmes en rédigeant ces deux premières parties, j'essaierais d'être plus joyeux pour la suite. _______________________________________________________________________________________________________ Chapitre trois. Ma reconstruction. Plusieurs ouvrages m'ont soutenus au fil du temps... Mais aucun ne m'a autant marqué et n'a constitué un tournant dans ma vie autant que le traité d'Athéologie de Michel Onfray. Ce livre ainsi que la contre-histoire de la philosophie du même auteur, m'ont permis de me reconstruire. Ce penseur m'a rendu à moi-même, à la vérité qui était la mienne lorsque j'étais enfant, en effaçant toutes les conneries auxquelles j'avais pu adhérer par désespoir. (ésotérisme, religion, spiritualismes divers) Il m'a remis les pieds sur terre, ramené à la raison et d'une certaine manière je lui dois d'être l'homme que je suis. Au sens où la force qui me permet de m'exprimer ainsi, je la lui dois. Il m'a appris à être un homme, à rester debout, fier, droit, fidèle à la raison, à la vérité, à la transparence, fort jusque dans la faiblesse, et conscient de l'être. Lorsque j'ai découvert sa pensée, j'ai d'abord rongé mon frein. Je voyais bien qu'il avait raison mais je ne comprenais pas vraiment pourquoi ni comment. Et ça m'agaçait qu'il n'explique pas tout, qu'il manque quelque chose et qu'il soit si bienveillant alors qu'il me donnait tort sur toute la ligne... Je n'avais pas encore compris que c'était nécessaire pour engendrer des disciples autonomes et laisser les gens libres de choisir la vérité par eux-mêmes, sans chercher à leur imposer. Bref, j'ai fait un choix. Et ce choix était une promesse. Celle qu'en le suivant, en mettant mes pas dans les siens, je finirai par comprendre. Il m'a fallu être patient, prendre le temps de bien faire la part des choses. J'ai répété sans comprendre, comme on répète un mouvement d'art martial, pour l'intégrer jusqu'à ce qu'il devienne un réflexe, et puis j'ai cherché à comprendre ce réflexe, à le décrire, et j'ai tout compris. C'était si simple. Ce fut comme une seconde enfance, j'ai redécouvert le monde, tout me semblant neuf et resplendissant. Plus un non-dit ne m'échappait, plus un silence, pas le moindre soupçon d'une bribe de sous-entendu... C'est comme si mon cerveau était devenu un feu d'artifice. Comme si il tournait enfin avec le bon logiciel. Je me suis affirmé. Et j'ai bientôt constaté à quel point j'avais évolué en me confrontant aux autres... Le temps des souffrances est revenu. Celui de l'incompréhension et du rejet aussi mais je m'en foutais. Je n'étais plus seul... Et j'appartenais désormais à une lignée philosophique, historiquement minoritaire mais plus nécessaire que jamais. Je savais qui j'étais, le pourquoi et le comment... Je pouvais enfin être heureux, épanoui, libéré d'un combat que je n'avais plus à mener seul... Ironie du sort, j'ai digéré notre mortalité pleine et entière avant que la mort ne frappe, mais cela n'enlève rien à la douleur. Cette nouvelle vitalité, cette vivacité mentale s'est étiolée. Je suis de nouveau resté seul avec moi-même. Jusqu'à ce que l'envie de revivre ce bonheur ne prenne le dessus sur la peine. J'ai décidé de me reprendre en main physiquement. Je me suis mis à la musculation, au régime, et j'ai perdu 45 kg dont 10 le premier mois où j'avais supprimé tout les sucres et produits transformés... J'étais mentalement et physiquement apte. J'ai donc commencé mes recherches... _____________________________________________________________________________________________________ Chapitre 4. Ma recherche. Si vous m'avez lu jusque ici, vous comprenez mieux à présent les raisons de ma recherche, mes besoins, mes lacunes et mes déceptions. L'inconditionnalité, l'asymétrie, la subordination, le contrôle, l'aspect formel de la relation, la distance dans l'intimité, tout cela relève pour moi du besoin de rendre la confiance inutile, de construire une sécurité affective sur des certitudes dépassant les affects. Car j'ai beau avoir bien évolué, il reste en moi une difficulté à me croire digne d'être aimé, en paradoxe avec une certaine idée de ma valeur personnelle, le tout sur fond de peur du rejet... Je cherche également la facilité, car j'ai connu assez de difficultés à mon goût. Certaines personnes trouveront peut-être que je n'ai pas l'étoffe d'un dominant, que je ne suis pas un "mâle alpha", pas assez "viril" ou je ne sais quoi, en fait je m'en fouts complètement. La force de caractère n'a pas besoin d'être ostentatoire pour exister, et encore moins de se plier à une reconnaissance extérieure. De fait, les relations vanilles ne peuvent pas m'apporter ce dont j'ai besoin. Le cadre, la certitude, le contrôle... Certains m'ont "invité" à la soumission. Chose impossible. Pas question pour moi de revivre les humiliations et douleurs de mon passé sous quelque forme que ce soit. J'en parle justement pour ne plus avoir à en parler... La domination est faite pour moi, dans sa forme la plus radicale. D'une certaine façon, je dois aux mauvais comportements que j'ai croisé d'en avoir pris pleinement conscience... C'est une esclave qu'il me faut. Une femme à l'appartenance INCONDITIONNELLE, à la soumission absolue, à la présence permanente, à la subordination sans faille, une relation asymétrique pleinement consentie et assumée. Une femme qui accepte de ne jamais me juger, de toujours être mienne, de toujours me servir, de toujours se plier à ma volonté... D'aucun(e)s pourraient croire que je recherche une vengeance, mais il n'en est rien. Je réponds simplement aux besoins qui sont les miens, la possession, le pouvoir, la mise à l'épreuve de cette possession et de ce pouvoir... Est-ce un simple fantasme ? Non. La seule chose qui fait de ma recherche un fantasme est de ne pas encore avoir trouvé celle qui en fera une réalité... Les sentiments sont pour beaucoup une idée que l'on se fait sur les choses. Aimer quelqu'un c'est parfois croire le connaître, le comprendre, l'apprécier... Mais il suffit de se tromper sur la personne pour que la relation ne soit que du vent. Ce n'est pas le cas d'une relation de servitude formelle, les choses sont claires, définies, les certitudes sont établies. Dans ce type de relation, il n'y a pas de place pour les affects sinon comme conséquence de la satisfaction que la relation nous apporte. Car cet engagement dépasse la variabilité d'une émotion. S'attacher à l'autre pour ce que cette personne nous apporte est sain. S'attacher à crédit et réclamer son dû présumé ensuite ne l'est pas. Si la relation que je cherche relève du fantasme, alors combien de relations, pourtant vécues, relèvent-elles de la fabulation partagée ?! Je souhaite une appartenance clairement définie, entière, absolue, idéalement définitive. Je ne m'attarde pas sur les notions de respect, de consentement et autres bases implicites, justement parce qu'elles sont implicitement contenues dans ma proposition. De même que le fait de contracter d'égal à égale. Quel besoin de constamment réinventer la roue ? Je cherche une volontaire pour m'appartenir, m'abdiquer toute liberté, toute volonté, tout amour-propre, toute souveraineté individuelle. Je ne force personne. Je cherche une femme qui veut cela, qui désire cette vie, cette sécurité de n'être plus qu'une chose entre mes mains, ce plaisir d'être asservie et sans liberté, sans responsabilité. Je cherche une femme qui prenne cette décision de s'offrir à moi, de m'appartenir, volontairement, de manière lucide, cérébrale et viscérale, pour satisfaire son propre besoin. En cela il ne s'agit pas d'une négociation, ni d'un jeu de séduction impliquant des masques et des simulacres, soit elle le veut, soit elle ne le veut pas. Cette approche formelle exclue les émotions versatiles, les revirements, l'instabilité. Elle suppose un choix entier et réfléchi, intellectuellement posé. Car c'est un choix sans condition, un choix entier. Il ne s'agit pas d'une soumission aveugle, de confiance, d'amour, d'emprise affective abolissant le discernement mais bien d'une décision pure et simple, prise en conscience. Car une fois cette décision prise, on ne revient pas en arrière. Il n'est pas question de se rendre compte que la personne est différente de ce que l'on croyait, que ses exigences différent d'un cahier des charges préétabli et d'en venir à un changement affectif qui annulerait tout sous prétexte que la personne serait une personne réelle, avec ses défauts, ses failles, ses lacunes et non le fantasme que l'on avait construit dessus. Le sérieux que cela implique dépasse le sérieux des sentiments amoureux. Ce n'est clairement pas fait pour des personnes émotionnellement immatures. On ne change pas d'avis, on ne se soumet pas selon son bon vouloir de l'instant, on décide d'être une esclave, on renonce donc à l'égalité, à la symétrie, à la réciprocité, à la liberté. On troque tout cela contre la certitude de sa condition, l'appartenance, la fin de toute responsabilité, l'épanouissement dans la servitude pleine et entière. Une esclave ne peut pas jouer, ne peut pas tricher, ne peut pas faire semblant. Elle peut aimer son maître mais ne peut pas se soumettre par amour car alors elle serait soumise à ses affectes et non à son maître. Une esclave s'offre en pleine et entière servitude à son maître. C'est lui qui est le centre de leur relation, sa satisfaction, sa volonté, ses caprices, ses affects à lui et à lui seul. L'esclave n'a pas l'arrogance de se prendre pour le centre de leur relation, elle n'a pas l'orgueil de réclamer quoi que ce soit en échange de sa servitude. Sa nature l'appelle. Elle la veut. Elle est reconnaissante envers son maître de lui offrir cette place à ses pieds qui satisfait à tout ses besoins. L'esclave n'est pas une enfant capricieuse. L'esclave ne veut pas être courtisée, elle veut être asservie... C'est après plusieurs mauvaises réactions irl, dont un incident roccambolesque impliquant une jeune femme trop curieuse, un coffre à jouets ouvert dans mon dos, un délire paranoïaque et des fonctionnaires au demeurant fort sympathiques, que j'ai entrepris mes recherches en ligne. Hors la plupart des femmes que j'ai croisé sur le net ne veulent pas se soumettre réellement et sans réserve. Elles veulent seulement jouer les soumises ou les esclaves, mais toujours garder le contrôle, conserver le pouvoir, et semblent ne rechercher qu'un dominant de façade, simple perroquet de leurs propres désirs. "Je veux ça, dis moi de vouloir ça." Il s'agit au mieux d'une théâtralité érotique, au pire d'une hypocrisie maladive. Car elles se placent au centre de la relation, comme du moindre échange, ne manifestant aucune humilité, aucune modestie, ni même une quelconque réciprocité... J'ai donc assez mal vécu ces années de recherches... Et ne parlons pas des commentaires moisis et autres procès d'intentions laissés sur mes différentes publications, qui n'ont pas manqué de me rappeler de mauvais souvenirs... Enfin bref. J'essaierai dans la prochaine et dernière partie de résumer mes griefs contre ces personnes de manière claire et mesurée, je pense l'avoir déjà fait, mais je conçois que mes propos aient pu être mal compris. _________________________________ Chapitre 5 Mes griefs. Commençons par définir ce qu'est une généralisation. Je propose ici une vue d'ensemble de mauvais comportements et l'analyse que j'en fais. Il s'agit d'une description ciblée de ces mauvais comportements. Il ne s'agit pas d'une description normative. Donc si tu ne te reconnais pas dans cette description, c'est qu'elle ne te concerne pas, que tu fais partie des exceptions. Je part du principe que tu es intelligente et que tu peux comprendre que je ne vais pas préciser à chaque fois qu'il s'agit de certaines femmes, donc pas de toutes, qu'il y a des exceptions etc... Je ne suis pas un politicien, on est pas au pays des bisounours, tu n'es pas une enfant, je n'ai pas de compte à te rendre donc je m'exprime librement. Ce que je reproche à la majorité des femmes que j'ai croisé en ligne, est finalement très simple. Au nom de ce qu'il existe des délinquants relationnels, elles le deviennent à leur tour. Au nom de l'existence de ces délinquants, elles piétinent toutes les valeurs qu'elles défendent ou utilisent pour se défendre. Le respect, l'égalité... Tout se retrouve inversé au nom d'une présomption de culpabilité des hommes, y compris l'asymétrie recherchée dans une relation D/s... Ces femmes agissent comme si elles avaient tout les droits et les hommes tout les devoirs, suivant une définition de la soumission à géométrie variable. Un coup les efforts reviennent à la personne soumise, un autre, ils reviennent à la personne dominante, selon ce qui avantage ou non ces femmes. Qu'elles soient vanilles, dominas ou "soumises"/"esclaves", elles agissent ainsi de la même façon. Les vanilles vont prétendre être dans une relation d'égaux, mais on sait que le plus souvent il n'en est rien. Le premier pas et les efforts de séduction revenant plutôt aux hommes... Les dominas veulent que les efforts reviennent aux soumis, là c'est cohérent. Les "soumises"/"esclaves" veulent que les efforts reviennent aux dominants, transformés en courtisans... Mais le pire c'est que l'on se retrouve très vite accusé de tout ce que nous serions en droit de leur reprocher. Une inversion accusatoire généralisée qui ressemble à une stratégie de victimisation préméditée, une manipulation destinée à resquiller sur l'égalité pour obtenir des privilèges et refuser d'échanger d'égale à égal, de désir à désir, de payer le prix des plaisirs de la soumission à un maître, la soumission effective. _Refus de l'égalité: face à la discussion, à la complexité, au vécu, à la morale (victimisation, présomption de culpabilité des hommes, procès d'intentions, présomption d'une supériorité morale des femmes, morale moralisatrice moralisée (incapacité éthique, refus de toute mise en perspective de la morale présumée morale), aux conditions réciproques (on a droit au minimum alors qu'elles les multiplient), à la cohérence, aux contradictions, aux sentiments (mélodrame permanent, scènes pour un rien, pour un mot, pour un silence, pour quelque chose que l'on a pas deviné. pathos. Sentimentalisme mièvre, niais, naïf, puéril et démesuré), aux mots (à leur surinterprétation), aux droits et devoirs (tout les efforts sont pour nous), à la responsabilité, à l'individualité, à l'altérité sexuée (moralisation de la masculinité, devoir de se plier aux fonctionnements "féminins"), à la sexualité, aux désirs (une femme peut déclarer ses désirs d'asservir un homme, un homme ne peut pas ouvertement désirer asservir une femme, pourtant là pour ça, sans se prendre des jugements moralisateurs, car son approche serait trop sexuelle.), à la critique (si on les critique on est un méchant, bouh pas bien ! On a pas le droit de les mettre en cause.), à l'éthique, à la réflexion, aux préjugés (elles ont le droit d'en avoir et l'on doit s'y plier, s'en défendre sans s'y opposer, montrer pattes blanches, mais pas l'inverse...), au respect (on doit tout accepter et la fermer alors qu'elles se permettent tout), à la domination, à la soumission, à l'insatisfaction (elles ne tolèrent aucune frustration émotionnelle, aucune vexation de leur égo, mais refusent qu'on ne tolèrent guère notre frustration sexuelle), à la rencontre, à la relation, à la rupture, au temps et moyens investis, à l'erreur, à la faute présumée, à la possibilité laissée de s'expliquer, à la perfection (comparé à un idéal ou aux autres, l'abondance de prétendants leur montant à la tête)... Nous serions tous atteint du même "mâle", le manque de sérieux... Mais pas elles, même si on constate l'inverse... Car si les hommes les quittent ce n'est évidemment pas leur faute... En gagner un par leur soumission pleine et entière ? Non, à leur yeux leur soumission est une récompense qui se gagne, se mérite et non possiblement le prix d'un homme... Si elles sont seules ce n'est pas leur faute non plus. Même lorsque des dizaines d'hommes ne demandent qu'à faire leur bonheur... Elles ne font pas les difficiles, ne sont pas "chiantes", incohérentes, indécises, tatillonnes, susceptibles, narcissiques, puériles... Non, sûrement pas. C'est la faute des hommes. Des méchants et vilains hommes aux vilains désirs, tous hargneux et frustrés par magie... Sauf que même si elles ont raison sur la frustration de certains hommes, et ses conséquences, cette frustration ne tombe pas du ciel. La responsabilité de ces femmes dans cette frustration est clairement en cause. Ce qui est pour le moins absurde si l'on considère qu'elles se frustrent souvent elles-mêmes au passage... Ce qui explique certains de leurs comportements. Paranoïa: Tout les hommes ont des désirs sexuels et sont donc des prédateurs en puissance... Mais pas question de les satisfaire pour autant, ah ben non, ça les calmerait et du coup elles n'auraient plus d'excuse pour être aussi coincées... Oh surprise, la résolution de ce qu'elles définissent comme un problème, la frustration des hommes et ses conséquences, se trouve entre leurs mains... ou cuisses. Sans leur peur du sexe, on serait tous et toutes plus épanoui(e)s. Les faits divers ? Sérieusement, imaginez un violeur, hypothétiquement embusqué ici, qui tomberait sur une femme volontaire pour lui obéir, totalement et radicalement, comment ferait-il pour la violer ?! Cette peur ne tient que sur la réserve portée sur la soumission. Tu ne refuses pas la soumission par peur de te faire violer, tu as peur de te faire violer parce que tu refuses la soumission pleine et entière. Bon nombre de ces femmes finissent elles-mêmes frustrées, avec toutes les conséquences psychologiques bien connues... Dépit, mépris, déni... D'où peut-être les idéologies sexistes se cachant derrière un féminisme d'apparat pour mieux criminaliser les hommes dans leur être et désirs... Et la réclamation d'un nouveau traitement différencié car sexiste. Les nouveaux privilèges allant aux femmes coincées n'ayant pas intégré la libération sexuelle sinon comme liberté amoureuse... Renoncement à une sexualité épanouie par dépit, mépris envers celles et ceux qui l'ont ou la veulent encore, déni de cette perspective libidinale via une "objectivation" idéologique salissant l'épanouissement sexuel et toute sexualité pleinement jubilatoire, toute satisfaction libidinale individuelle, déculpabilisée, sereine et heureuse... Incapacité à envisager la sexualité autrement que sous l'angle hypocrite de la romance vanille religieuse... Sont-elles donc amoureuses de leurs vibromasseurs ? Il faut le croire. Pourtant un homme ne mérite-t-il pas plus de partager leurs plaisirs qu'un morceau de plastique ? Mais ces femmes parient toujours sur le pire, comme si il était toujours certains... Je me focalise sur les femmes mais j'ai perçu les mêmes problèmes avec la sexualité chez des hommes au travers de leurs commentaires... _______________ Bref, je pense avoir suffisamment démontré mon sérieux. J'ai fais tout mon possible. J'ai défini ma recherche au travers de multiples publications, j'ai montré mon visage, j'ai publié mon numéro de téléphone, investit des milliers d'euros dans du matériel neuf pour des questions d'hygiène, j'ai raconté ma vie... Que puis-je faire de plus ? Que devrais-je faire de plus ? Mériter votre soumission ? Mériter de vous satisfaire ? Asymétrie ! Pourquoi penses-tu mériter ma domination sans avoir rien fait ? Pourquoi penses-tu mériter de me satisfaire ? Pourquoi penses-tu une relation sur le thème du mérite ? Pourquoi te prendre pour une récompense ? Tu viens chercher ta satisfaction, comme moi je viens chercher la mienne. Pourquoi devrais-je t'offrir autre chose que la tienne en échange de la mienne ? Pourquoi opposer une résistance à ta propre satisfaction ? Pourquoi ne pas gagner un homme, sa fidélité, son attachement, par ta soumission si c'est ce qu'il recherche, si c'est le prix de son cœur ? J'ai mis mon vécu de côté, mes mauvaises expériences de recherches, mes analyses, j'ai donné une véritable chance à chacune de mes interlocutrices, certaines sont devenues des amies avec qui je discute de temps à autre, parce qu'on ne voulait pas la même chose. Dans ces cas là c'est normal que ça ne fonctionne pas. Mais trop souvent l'hypocrisie triomphe, les mots perdent leur sens et l'on ne peut plus se fier à ce qui est exprimé. C'est là l'origine de ma colère, le temps que j'ai donné pour "construire la confiance" n'a jamais servi à construire quoi que ce soit. Il m'a été volé, je n'ai rien reçu en retour. Si je m'attarde sur le négatif, c'est dans un soucis de comprendre, d'expliquer, de digérer ces déceptions, mais également de produire un tri préalable en exprimant ce qui m'exaspère. Voilà, j'espère ne pas avoir été trop long. Je vous remercie de m'avoir lu jusqu'ici. Peut-être à bientôt sur une autre publication.
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Par : le 02/10/21
Le jour de la rencontre est là Je descends l’escalier de la demeure medievale lilloise pour ouvrir la porte en bois massif Tu t’avances légèrement maquillee souriante et je devine dans tes yeux la surprise : alors qu’enfin tu pensais me voir cette fois c’est moi qui porte un masque de cuir ! ( ma soumise: je suis prête et ne pense rien avoir oubliée. Je veux contenter mon Maitre de toutes les manières possibles… Je suis devant le 50… mon Maitre viens m’ouvrir. Quelques secondes d’attente qui me paraissent être des heures. Enfin! Je le découvre, légèrement masqué mais quand même! J’aime ce que je vois: un homme grisonnant, souriant et directif, de très beaux yeux et un charme a en faire pâlir plus d’une! ) Tu ne dis rien et me suis dans l’ escalier qui mène à l’appartement (Ma soumise: je découvre ce lieu cet accès grandiose, puis la porte… j’entre, curieuse et intimidée. ) Une fois entrés je te débarrasse de tes affaires Je caresse ton visage puis place le collier en cuir ainsi que les menottes séparées à tes poignets Je t’attache debout lentement les bras et jambes en croix Ainsi immobilisée tu es à ma merci ! (Ma soumise : mon Maître m’equipe d’accessoires, collier menottes…) Mes mains courent sur ton corps quand soudain elles s’agrippent à ta robe légère Fermement j’arrache méthodiquement le tissu Puis dégrafe ton soutien-gorge Mes doigts glissent des seins le long de tes flancs pour descendre ta culotte à mi cuisses Ton excitation est telle qu’un filet de mouille s’étire de ta chatte jusqu’à l’entrejambe de ta culotte (Mon Maitre m’attache, écartelée…. Puis me déshabille d’un coup sec: tous les boutons de ma robe volent en éclats! Ma culotte sur les genoux, je mouille et sent mon fluide qui dégouline entre mes cuisses.. ) j’opte pour le paddle qui s’abat méthodiquement sur la chair nue de tes fesses de tes cuisses te faisant pousser un cri pour chaque coup qui marque de rouge ton épiderme (Ma soumise : J’ai chaud et me sens pleine…. J’ai le cerveau en fusion et les fesses rougies. Je me laisse guider et diriger par mon Maitre. Mon corps lui appartient) Tu n’invoques pas « citron » le safeword mais au contraire me remercie Je glisse deux doigts dans ta chatte ruisselante et j’accompagne la montée du plaisir de frappes avec le paddle jusqu’à ton premier orgasme violent (Ma soumise : la chaleur et les picotements m’envahissent. Je jouis si fort qu’un coup de fatigue me saisit)
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Par : le 29/09/21
Mia O. Propriété de Maitre G. Carnet de soumise. Extrait J 402 - Séance XX Sujet : Digréssion - Voyage à Madrid. Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - photo du net Ce voyage à Madrid 🤩🤩🤩🤩🤩 C’est le voyage le plus excitant et ludique que nous avons fait. Envie de me toucher à chaque relecture. Couleurs, maître, larmes, vanille, émotions… un « Nous » Parfait ! … Tu avais programmé cette date depuis longtemps. J’attendais sur l’aire d’autoroute. Ce samedi, en fin de matinée. Comme prévu. Mon enfant entre de bonnes mains. Libre comme l’air. Et chaude surtout. Très chaude. L’heure des retrouvailles avec mon maitre avait sonnée. Au début pourtant, j’avais très mal vécu ce long mois d'abstinence. Mais comme tu l’avais dit, finalement beaucoup de bénéfices pour mon corps et mes esprits. Pour ma vie aussi. Je comprends désormais les bienfaits de la frustration. J’ai reposé les pieds sur terre. Je savoure pleinement la réalité extraordinaire et précieuse de ce que je vis grâce à toi. De t’avoir dans ma vie aussi.:heart_eyes: ... C'est le jour J. Je suis excitée comme jamais. Putain ! Le manque de mon maitre est à son paroxysme. Mes entrailles cuisent à feu vif. Depuis la confirmation de notre rendez-vous, mon ventre subit de violents spasmes de désir. Des pensées lubriques m’habitent en permanence. Mon visage a besoin de ta main. De tes caresses. De tes gifles aussi. Et surtout. Il me manque quelques coups. Quelques traces de toi. Quelques marques de mon appartenance. Mon vagin est incontrôlable et appelle ta queue. Mon anus aussi. Ma bouche aussi. Tous mes trous. Et je fais les cent pas sur le parking. A chaque pas, le simple frottement de mes dessous me torture. Avec plaisir. Avec mon sac à dos. Plus l’habitude de faire le Backpaker à mon âge ! Tu me surprendras toujours !? Je ne connais rien de tes projets. Sauf pour la culotte que tu m’as demandé de porter. Chose curieuse et rare. Les dessous me sont habituellement interdits en ta présence. A moins que ce soit pour me les faire abandonner à la table d’un café avec un petit mot. :smile: J’attends. Mon téléphone sonne. Tu es déjà là. Tu m’observes me tortiller. Dans le bus, là-bas. Tu m’ordonnes de monter. Tu as pris place au fond. Les deux derniers rangs sont inoccupés. Destination Madrid ! Madrid ? En bus ?! Huit heures de route ! Sérieux ? Huit heures avec toi… :stuck_out_tongue: Long voyage ! Bon !? Plus je m’approche de toi, plus je suis paralysé par l’émotion. Je m’assois à tes côtés. Ou je m’effondre. Je ne sais pas. Retournée. Ton bras s’ouvre à moi. En silence. Tu m’accueilles. Tu m’enlaces. Étreinte, je pose ma joue sur le haut de ton torse. Te respire. Quel bonheur ! … Nous restons comme ça un long moment. Sans mots. Puis ma tête se relève. Nos lèvres s’embrassent comme les adolescents sur les bancs publics. … Plus tard les enlacements ont apaisé nos corps et nos âmes. Nous discutons beaucoup sur le bonheur d’être ensemble à cet instant. Tout au moins, j’essaie... Mon corps est bouillant, et mon langage troublé. Tu es vraiment là ! Je te touche pour être sûre. « Nous avons rendez-vous à Madrid ce soir. Je veux te présenter un grand maitre, que l’on ne voit pas souvent dans sa vie » A chaque remarque de ce genre, mes entrailles se nouent et mon souffle se coupe. Nouveau défi. Nouvelle étape dans mon éducation. Je grimpe dans les tours. Zone rouge ! Évidement je mouille… … À deux heures de la destination, pause pour tout le monde ! Nous descendons à la station grignoter un bout. Mes yeux te dévorent. J’ai as faim. Je meurs de faim. Tu le sais. Tu le vois. J’agonise. Attendre si longtemps. Mes yeux disent : « Ce n’est pas humain ! Je suis D/S pas SM ! Je suis soumise, mais pas masochiste… ! » Toi, ton sandwich à la main. Impassible et compatissant. « Hum…Tu veux ton dessert, c’est ça… ? » Spontanément : « Oui mon Chéri ! » Puis « Oui Monsieur. S’il vous plait Monsieur » Tu me regardes encore. Plus de compassion. Les yeux qui me font peur. Quand je vais prendre. Les yeux du lion. Que j’adore. Quel regard. Putain. Tu vas prendre Mia ! Je le lis dans tes yeux. Tu finis ton sandwich tranquillement. Lentement. Puis d’un geste, tu me traines avec fermeté derrière un gros camion. Me plaques sur sa remorque. Saisis mes cheveux, lèves ma jupe, écartes ma culotte et me pénètres profondément. D’un coup. Putain que c’est bon ! Inattendu. Suspect. Tu appuis fort ton bassin sur mes fesses pour toucher le fond et tape. Je gémis longuement. Puis sors. Je geins. Snif. Snif. Snif. Putain !…Triste ! Je savais bien que c’était louche. Tu me retournes et te branles devant moi. Je salive. Je m’agenouille, naturellement. A peine ma bouche effleure ton gland. Tes doigts pincent mon téton et me relèvent contre mon grès. J’adore que tu tires sur mes tétons. Tu m’interdis de m’agenouiller et me force à regarder ta queue la bave aux lèvres. « Ouvres le garde-manger !» L’œil espiègle, je souris. Je baisse ma culotte en tenant ma robe relevée. Tu l’inondes de ton sperme. Je me nourris de l’expression de ton visage alors que tu salis ma culotte. …..Hummmm…c’est bon ça. Délicieux de te voir jouir. T’entendre respirer. Je la remonte vite sur ma chatte. Surtout ne rien perdre. Je sens ta chaleur. Je suis trempée et salie de toi. …..Hummmm… ! Cela a beaucoup, beaucoup d’effet sur mon coquillage. Personne ne lui a donné de chaleur depuis si longtemps. Tes doigts claquent et montrent le sol. Je m’agenouille. Enfin à ma place. Tu laisses ma bouche remplir sa fonction et te nettoyer parfaitement. Le chauffeur du camion nous regarde dans son rétro. Il semble aimer le spectacle. Pas vu celui-là ! Toi tu l’as vu. Je le sais. Tes yeux me disent que cela t’a plu de te faire nettoyer la queue devant lui. Moi aussi ! « Vite...le bus !» Merci maitre. Et merci pour ma chatte. En partant, je salue le chauffeur. Lui fais un très grand sourire. Une goutte de sperme au creux de mes lèvres que je lèche avec ma langue en le regardant. Je ris. L’arrière-gout de ton sperme commence à me transporter. … Je te sentirai sur mon sexe jusqu’à Madrid. Et ce fut bon. Tellement bon. Quel bonheur de sentir mon clitoris nager dans ton liquide. D’abord chaud, puis tiède, puis froid. C’est déjà ça. Je respire. Mais cette compassion ne te ressemble pas. Soit la présence du chauffeur t’a donné envie exhiber ta petite chienne, soit ce soir je vais en prendre pour mon compte. J’ai un peu peur. De temps en temps, je glisse ma main dans ma culotte, pour me nourrir. Porte mes doigts à ma bouche. Garder le gout de ton sperme…. Me rassurer. En te regardant, les yeux souriants et coquins. Cette indécence que tu adores et qui te fait bander. Je suis heureuse quand je te fais bander. Je me sens bien quand je vois la bosse sur ton pantalon. …. Nous arrivons à Madrid. Nous sommes déposés à l’entrée d’une zone périphérique, mi- hôtelière, mi- industrielle. « Mi Quérida, aujourd’hui, il n’y aura de maitre que moi et un autre, plus grand que moi, et beaucoup de spectateurs » Mes yeux se perdent au milieu de rien. Loin des choses qui me rassurent. Je suis aussi anxieuse qu’excitée par ce qui m’attends. « Soit rassurée, je suis là et le resterai, contre toi. Au moment où tu jouiras sous son doigt, je serai là aussi. Fais-moi confiance et laisse-toi être. Laisse-nous être, et tu t’en souviendras toute ta vie. » J’ai encore plus peur. Je suis terrorisée. Au milieu d’une zone industrielle. Mon cou nu. Il ne saurait rester nu. Pitié. Vite. Tu l’as senti. Je reçois mon collier. Enfin. Dans la rue. L’anxiété disparaît. Ma tête se relève. Mes épaules et ma poitrine aussi. Je me sens fière. Porter mon collier dans la rue ! …Hummmmmm…. Seule l’excitation reste. Toi, me regardant dans les yeux : « Me fais tu confiance Mia ?» « Oui maitre, je vous fais confiance » Tu souris de l’effet magique que le port du collier à sur moi. « Alors porte ce collier avec toutes la distinction et la fierté dont tu es capable et que tu me dois. Moi, je ne serai fier de toi que si tu te laisses être-là, dans toute ton entièreté. Saches qu’il me fut très difficile d’obtenir l’entrée au temple. Et que j’ai dû m’organiser à la dernière minute pour la logistique. C’est pourquoi le voyage en bus. Maintenant, nous n’avons pas une minute à perdre. Il va de soi que tu devras écouter et obéir sans discuter. » « Oui monsieur » … A pieds, nous nous rendons à notre hôtel. Prenons possession de notre chambre. « Je dois te préparer, douche-toi et Pronto ! » Je suis un peu essoufflée. Déboussolée. Ce scenario ne nous ressemble tellement pas. Ne te ressemble pas du tout. Rencontrer un grand maitre non plus. Ai-je trop grandi ? Es-tu dans le doute ? J’ai peur. As-tu besoin d’aide pour m’éduquer ? T’ai-je mis en difficulté ? Qu’est-ce que c’est un grand maitre d’abord ? Toi : « J’attends ! » Moi : « Oui monsieur. » J’obéis et m’exécute sans réfléchir. Me douche à la vitesse de l’éclair. Juste le temps de soupirer de ne plus avoir ton sperme sur ma chatte. Je sors nue et toute propre. Mon regard : Mes trous sont à votre disposition monsieur ! Je vais enfin être utile. Utilisée. Usée. Comme vous savez si bien le faire. M’user longuement par tous les trous. Les papillons dans le ventre. Je me trémousse comme c’est mon devoir. Curieuse sensation. Depuis ton fauteuil, tes yeux ne me regardent pas comme d’habitude. Tu m’admires sans artifice. M’admires mais je ne vois pas ton désir. Pourtant ma posture et parfaite. Ai-je fait une bêtise ? Pourtant je sens la fierté que je sois tienne. Ton état émotionnel aussi. Je porte avec attention le nom et le collier que tu m’as donné. Ton regard est différent. Quelque cloche vraiment. Je te connais inébranlable. Le grand maitre te bouscule à ce point ? Qu’est-ce que ça va être pour moi ? Je suis nue, les tripes serrées. Dans l’attente de tes mots. Tu m’admires encore un peu. Puis tu reprends tes esprits. « Respires Mia» Je m’exécute. Tu m’assois sur le lit et t’agenouilles. Écartes mes cuisses en grand. Et jette ta bouche sur mon sexe. Me dégustes avec appétit. Puis me dévores. Je m’accroche aux draps. Tu me bouffes. Longtemps. Je ne jouis pas. Pas sans ta permission. C’est dur…C’est bon. C’est trop dur… C’est trop bon. Mais ta permission ne vient pas. Ta langue arrête de me torturer. Ouf. Monsieur peut jouir quand il le souhaite, mais moi je dois attendre sa permission. C’est la chose la plus excitante...rester dans le désir...pour toi…toujours prête. Mon clitoris est prêt à exploser. Je respire profondément. Je suis en feu. Ma chatte « est » le feu. Prête à être forgée. A servir d’enclume. Comme tu veux. … Une boule s’enfonce lentement. Ma chatte s’ouvre. La boule glisse. …hummm... Puis une deuxième. Elles ne sont pas trop lourdes. Puis le Plug. La sensation du métal. Il m’ouvre le cul pour toi. La ficelle est plus longue qu’à l’habitude. Tu me montres la plaque métallique gravée à ton nom. Au bout de la ficelle. Ficelle que tu glisses entre mes fesses. Avec un tour sur le plug. Tu me passes une nouvelle culotte. Une culotte ? Pourquoi renfermer ma chatte ? Danger ! Incendie possible ! Il ne faut pas faire ça ! Grrr. Mon visage reste impassible. La plaque dépasse sur l’arrière, par-dessus la ceinture de ma culotte. Au-dessus de la raie de mes fesses. « Mets ta robe et ces baskets, nous sommes pile à l’heure » Je suis surprise. Dans la penderie, la robe, courte, décolletée avec le dos nu. Des baskets ? Et pourquoi cette culotte ? Surement les instructions du grand maitre !? Pas de question. Je passe la robe. Je te sens tendu. Au bout de la ficelle, la plaque pendouille au bas de l’échancrure, à l’extérieur de ma robe. Dans le miroir je me vois porter ton nom. Profond sentiment de fierté. Puis un joli bracelet orné d’un triskèle acier. Ce n’est pas bon. Trop d’attention. Trop vite. Dans tes gestes. Dans tes yeux. Ça cloche. J’ai très très très peur. "Elle est en retard...Il faut que ton maitre se détende..." Qui ça elle ? On attend une « elle » ? Tripes nouées. Gros nœud. Mon regard profond sur ta bosse. Pas d’instructions. Je tente. Cherchant ta permission du regard, je m’agenouille timidement. Tu te places naturellement dans le fauteuil. Et acquiesces. Enfin ! Un mois et huit heures ! Mes genoux se posent au sol. Je défais rapidement ta braguette, et enveloppe ton sexe d’un geste avec ma bouche. Mon refuge. Ça va mieux. Mon ventre s’apaise. Puis je corrige ma posture pour tes yeux. Générosité improbable. Pourquoi ? Jusqu’à ce que ton gland me caresse le fond de la gorge. Je suis bien. A genoux. La bouche remplie. A ma place. J’attends. Quelques secondes. Que tu respires profondément. Pour nous deux. Je me sens en sécurité. « Toc toc » …une voie sexy et festive... « Hola ! estoy aqui ! » Et merde. J’ai faim moi. J’ai faim tout de suite. Faut que je bouffe ta queue bien plus que ça ! Maintenant ! Que je me nourrisse. Toi : « Ouvre la porte à Esméralda, en tenant ta robe pour que l’on voit bien ta chatte, puis accueilles la comme il se doit, et reviens à ta place » J’adore recevoir tes ordres. Obéir en silence. Hummm … je suis super excitée 🤩 ! Enfin, je suis capable de faire quelque chose d’excitant avec plaisirs. Mais comment je vais vivre de te partager ? J’ai peur. Je suis excitée. J’ai peur. Je suis excitée. Je bug. Redémarrage du système : Obeir. « Oui Monsieur » J’ouvre. Ça me retourne. On se regarde. On se sourit 😉. Pas besoin de mots. « Entra por favor !», Esméralda rentre. Elle porte aussi un joli collier. Arc en ciel dans les vêtements, à moitié hippie. A moitié diablesse aussi, dans la coiffure avec ses cornes réalistes mais très sexy. ??? Un gros sac dans une main et une cravache dans l’autre. Un personnage de manga Sm. Toi, avenant avec elle : « Bonjour Esmeralada. Asseyez-vous. Ma soumise va d’abord finir ce qu’elle a commencé, puis je la mettrai à votre disposition. » Elle, avec le sourire : « Prenez votre temps monsieur, je prépare mes instruments » Et me revoilà à genoux. Je tremble. J’ai peur. Ma chatte coule. Vite, ton sexe, pour me calmer. Et non. Tu mets d’abord tes doigts dans ma bouche. Au fond, jusqu’à provoquer des nausées. C’est rassurant ce viol de ma bouche. Puis ta queue bien raide qui rentre jusqu’à m’étouffer. Je ressens ta domination. J’oublie « l’autre » et tout le reste. Je sens que je dégouline… je me touche … uhmmm effectivement ça mouille… Je me penche en te suçant et baisse ma culotte. Me touche. « Suce ! Cesse de te toucher ! » J’adore vraiment quand tu me donne des ordres. En public en plus ! ...hummmmm… J’écarte un peu plus mes jambes pour m’exhiber. Mes reins se cambrent. Mes fesses s’ouvrent. Montrer à quel point je suis excitée. Pour la rendre jalouse ? Pour l’exciter… ? Je sens mon plug à chaque mouvement. Je sens aussi ton sexe se contracter. Trop rapide. Tu maitrises parfaitement tes orgasmes et choisi les moments où ils doivent être. Elle ne peut pas te faire cet effet. Quelque chose cloche et recloche. Ça me bouscule à l’intérieur. Tu as « choisi » de jouir maintenant. Pourquoi ? Tu exploses dans ma bouche. Grâce à tes saccades, une bonne giclée s’échappe sur ma joue. Génial ! Que c’est bonnnn ! Te sentir sur mon visage. …hummmm… Je te regarde, les yeux remplis de joie. Je recule mon visage et te branle pour t’apaiser. Ma bouche pleine de ton jus grande ouverte. Le regard en coin vers Esméralda. Elle nous regarde. Elle est en appétit, je le sens. Elle se tortille sur sa chaise. Les jambes serrées. On ne me la fait pas à moi ! Je vois bien qu’elle a faim ! Peur. Toi : « Avales » Ouf. Je me redresse en veillant à ma posture pour tes yeux. Ma bouche se ferme. Mon regard droit dans les yeux d’Esméralda. Le bruit de ma déglutition. En plusieurs fois pour te déguster. Mes yeux narquois, moqueurs et malicieux. Les siens envieux. Mon soupir coca-cola frais. Mon sourire de satisfaction. Toi : « Ce n’est pas très avenant ce regard Mia. Presque irrespectueux envers notre invité. Cela ne se fait pas ». Je prends conscience. Effectivement. Peut-être ai-je été cruelle. Alors qu’elle est seule avec son collier. Irrespectueuse. Moi : « Oui monsieur, je mérite d’être punie » Toi : « Baisses ta culotte jusqu’aux genoux, tiens ta jupe relevée et penches toi » Tu regardes d’Esméralda dans les yeux, puis fixe sa cravache. « Donnez-lui ce qu’elle mérite ». Tu prends ton livre et détournes le regard. Le bruit de ses talons. Les caresses du cuir. Sa main qui malaxe mes fesses. Puis les coups. Les fesses qui piquent. Mon cul qui chauffe. Ma sensation d’appartenance à mon maitre. Pas un bruit ne sort de ma bouche, comme je l’ai appris. Douleurs et silence. Juste quelques gémissements. Mon anus et mon vagin se contractent. Appellent à être remplis. Toi : « Merci. Vérifiez que son éducation a porté ses fruits, que ses orifices sont bien à disposition. Si tel est le cas, disposez d’elle à votre convenance et faites ce pourquoi vous êtes venue » Pas prévu ça ! Je suis en orbite, dans l’espace. Entre peur, excitations, désir et inquiétude. Je re-bug. Je sens la rougeur chauffer mes fesses. Pas le temps de réfléchir. Deux doigts fins s’enfoncent dans ma chatte. Poussent mes boules au fond et me fouillent. La ficelle accrochée au plug le fait aussi bouger dans mon cul. Je suis trempée. Ça coule. Ma chatte bave. Deux autres astiquent mon clitoris avec la délicatesse d’une femme. Puis la main se retire et se présente à mon maitre. Gluante de moi. Tu approuves d’un hochement de tête et détournes à nouveau les yeux sur ton livre. Esméralda me regarde du haut de ses talons. Me souris d’un air narquois. A son tour. Présente ses doigts devant ma bouche que j’ouvre en grand. Elle y met ses doigts salis de moi. Je les nettoie consciencieusement avec ma langue. Ses yeux dans les miens. Je ne sens pas sa vengeance. Mais je me sens quand même un peu humiliée. Bon, je l’ai bien mérité. Je sens le pardon dans ses yeux. Elle écarte un peu les jambes, puis baisse le haut de son corps vers moi. D’un geste d’une élégance rare. Ses fesses à portée de ta main. Sa cambrure à portée de tes yeux. Elle pose ses lèvres sur les miennes puis m’embrasse. Tendrement. J’aime le baiser des femmes. Longuement. Je mouille. Je ne sais pas pourquoi. Tu passes ta main sous sa robe et caresses négligemment ses fesses. Puis torture son clitoris. Elle continu de m’embrasser. Langoureusement. Putain ! Je sens ta main sur sa chatte dans ses baisers. Tes doigts qui la fouille. Elle me mange la bouche. Ta voix : « N’oubliez pas l’heure mademoiselle. » Elle retire ses lèvres et regarde sa montre. « Oui monsieur. » Elle se baisse à nouveau et me saisit le visage par le menton. Puis tourne ma tête, et d’un geste lape la giclée de ton sperme sur ma joue. Me fais un sourire en coin. La salope ! Puta ! Tu sais quelle punition cela est pour moi. Son regard dans le mien. Elle me fait un clin d’œil. J’ai bien senti sa vengeance ! Pile là ou ça fait mal ! Arrrrrrrrrrrrrrrg ! Je la deteste ! Grosse pulsion de lui sauter dessus et de fourrer ma langue dans sa bouche pour récupérer mon bien ! Mais dans ton regard … « Tu fais moins la maline maintenant ! Que cela te serve de leçon !» Dans le mien… « Oui monsieur… » Elle me tend la main, prend la mienne et m’amène au petit bureau. M’assois et ouvre sa mallette. Pleine de …pinceaux… ! ? "Esméralda va te préparer pour le grand maitre. Laisse-toi faire et aide là". Esméralda s'affaire à mon maquillage et commence par mes lèvres. Aux couleurs de l’arc-en-ciel. Puis mes yeux, violet et rose. Une demi-heure. Mes joues grisées. Une perruque…Bleue… Bleue… ! ? Des diamants et paillettes brillantes collés sur mon visage. Un vrai plaisir que de me laisser maquiller par Esméralda... pour toi... pour lui... ? Pour vous... je ne sais pas... Je me laisse faire pour Toi... tu décides toujours le bien pour moi. Le grand maitre doit être quelqu’un de très important. Une heure. Je m’occupe discrètement. Je te regarde lire en contractant ma chatte pour jouer avec mes boules. Quelques déhanchés discrets pour sentir mon plug. Tu es beau dans ton fauteuil. Dans le miroir le travail d’Esméralda est un chef d’œuvre. Mais je ne suis plus humaine. Je ne suis pas maquillée comme une femme. Je suis peinte. Je suis un objet. Un bel objet. Notre grand maître appréciera surement. Je remercie chaleureusement Esméralda. Tu ôtes mon collier. Nooooon ! Pourquoi ! J’ai déjà été suffisamment punie… ? Puis un autre arrive autour de mon cou. Pas de cuir, un tissu avec des Leds qui clignotent … !!?! ? Une laisse fluo ? Accordé à mon maquillage, ma perruque, ma robe et mes baskets. Trippes nouée, chatte trempée, laché de vachettes dans mes entrailles ! Défis Gogo Danseuse en club BDSM ? Tes instructions tombent : « Tu garderas ces lunettes noires enveloppantes et ce casque avec de la musique à fond jusqu'à ce que j’en décide autrement. En sortant de l'hôtel, dans la voiture et à l'accueil de la soirée. Jusqu'à ce que j’en décide autrement. » Tu t'habilles avec un pantalon en cuir noir, une chemise blanche entrouverte. Un collier croix et bois, un canotier sur la tête. Pourquoi ce collier ? Cette croix...? Gothique... Jamais je ne t’ai vu comme ça. Cela me déstabilise beaucoup. Je ne comprend pas. Je suis complètement perdue. Complètement. Lâcher prise. Il me faut lâcher prise. Je respire. Je regarde mon tatouage avec mon numéro de série et le nom de mon propriétaire. J’essaie de me rassurer. Je te sens ému et excité. Que t’arrive-il ? « Les rencontres avec les grands maitres me déstabilisent toujours un peu, dis-tu en souriant » Tu n’imagines pas pour moi qui n’en est jamais rencontré ! Ça bouillonne fort dans mon ventre. Les vachettes me piétinent l’intérieur. Toi, d’une voix douce : « Tu « n’est » pas encore avec moi ...mais c’est pour bientôt ...ne sois pas inquiète tu es sanguine ...il ne te faudra qu’une seconde. » Esméralda nous presse, nous sommes en retard. Nous partons. Je n’ai d’autre choix que de suivre. Dans l’ascenseur ces lunettes noir affreuses se posent sur moi. Suis dans le noir, je ne vois plus rien du tout. Puis le casque. La musique forte dans les oreilles. Pas facile de marcher comme ça. Heureusement ta main autour de ma taille. Qui me guide, comme toujours. Une petite tension sur la ficelle me rappelle à l’ordre par moment. Je relève mes épaules. Ma posture… je sais… Ce n’est pas facile. Tu es exigeant ! Mais je te dois d’être parfaite. A travers le mouvement, coupée de la vue et de l’ouïe, je commence à « lâcher prise ». Perdre pieds. Complètement. Je ne sens même plus les boules. Ni mon plug Ma respiration s’accélère. Mon cœur se serre. Sortir de l'hôtel. Des pas jusqu'à la voiture. La voiture qui roule vite. Qui tourne, retourne et me brusque. Descendre. Marcher encore. Je m'accroche à ton bras. Marcher encore. Nous entrons quelque part. De l’écho. Des sensations de métal partout autour de toi. Il résonne même dans mes pas. Des corps qui se serrent contre nous. J’attends. J’avance. J’attends. J’avance. Je suis à nouveau bousculée par des corps. Marcher encore. S’arrêter. Repartir. Une odeur collective de sueur. Un peu glauque. Très glauque. Sordide. Une discothèque échangiste ? Bizarre. Ce n’est pas nous. Je marche. Je m'arrête. Enfin. On ne bouge plus. Je sens que le parcours est terminé. Mon cœur cogne dans ma poitrine. Je ne suis pas sûr qu’il va tenir. Les gens tout autour de moi qui nous oppresse. Comme une esclave avant la vente, dans le chariot. Je me souviens ta lecture des chroniques de Gor. Tu m’avais déjà parler du marché aux esclaves. Très très peur. Ma ficelle se tend. Je sens que tu l’accroches à ta ceinture. Quelle fierté et quelle excitation d’être accrochée à ta ceinture. Je suis ligotée à mon maitre. Par la chatte. Et par le cul. J’adore ! Tes bras m’enlacent. Tu Serres mon dos contre ton torse. Tu respires profondément sur ma nuque. Un verre en plastique se pose sur mes lèvres. Ça c’est encore moins toi. Du plastique !? Ça craint ! J’avale une gorgée. Du champagne ! Hummm…. Loin dans le casque « Avales tout » Je bois tout le verre. Tu fais exprès de lever trop vite. Le champagne coule sur mon décolleté. Ou suis-je pour que tu m’exhibes et gaspille le champagne sur mon corps si vite ? C’est bon. J’ai trop chaud. Ça me fait du bien. A travers mon casque à peine entrouvert … fort : ..."Et tu là Mia ?" "Si Senior" De profondes basses à l’extérieur se mélangent à la musique de mon casque. Cognent sur ma poitrine. Je sens mon petit corps sous tension. Étreinte par mon maitre en public. Objet d’art. Je me sens belle comme dans un rêve. Comme Alice au pays des merveilles. Ton Alice...mais là, Alice… elle arrive plus à respirer ! Et soudain, plus de musique à l’extérieur. Le silence. Plus de basses qui vibrent. Un long silence. Aucune vibration. Juste des corps autour de moi. « ... je tremble Monsieur...prenez moi la main ». Je ne contrôle plus rien..🙃...mon cœur va bien finir par exploser...😬….tu me tues… Loin dans mon casque : « Je suis là. Mia, maintenant tu dois être mienne sans compromis ». Je sens ton bassin descendre un petit peu. Ta queue bien raide qui se cale entre mes fesses à travers nos vêtements et me rassure. Je ne sais pas ce qui se passe mais ça t’excite. Je me cambre et sors ma poitrine. Être parfaite pour toi. A l’aveugle. Ma ficelle se tend. La boule force sur ma chatte et le plug sur mon cul. Humm..que c’est bon. Dans mon casque entrouvert, ta voie me transperce : « Je vais libérer tes sens. Ton ouïe et tes yeux. Tu accepteras le plaisir du grand maitre parce que je te l’ordonne. Il te fera jouir alors que tu seras contre moi. … Il arrive … Il est là. Respires profondément et « Laisse le nous "être" » Si j’avais assez envie je crois que je me ferais pipi dessus ! Je vais me laisser faire...tu vas être fier de moi, promis... Obéissance totale des maintenant 😌🙏. Tu retires totalement mon casque. Un violon acoustique joue fort. Ma musique. Ma musique ? Tu me serres un peu plus. Des corps me touchent. Mes lunettes disparaissent. « Ouvre les yeux » J’ouvre les yeux. Le noir complet dans cette salle. Quelques secondes pendant lesquelles mon cœur se serre. Se serre et se serre encore…le temps que je comprenne. Lumières éblouissantes dans les yeux. Putain ! « Hiro de puta » … Tu avais raison … Une seconde ! ... pas plus ! Mes larmes coulent à flot. Ta bouche les boit. S’en délecte. Sur ma joue. Je ne peux que t’aimer 💕. L’amour si puissant de ma soumission. L’amour si puissant de ta domination. L'amour BDSM que rien n'égale. Cette foule autour de nous. D’autres femmes aussi belles que moi. D’autres garçons aussi. Je ne me l’attendais pas celui-là... !!! Les basses se réveillent, cognent fort et m’achèvent. Me tuent. Les 10 premières minutes nous seront trop émus. Sans mots. Sans mouvement. Être ici. « Être » ensemble. Comme nous l’avions rêvé Juste les basses qui raisonnent dans nos corps. Puis les dix suivantes, la transe du « nous » dominera et nous ne descendrons plus. Nos corps se frotterons dans un orgasme frénétique infini. Je te sentirai ton emprise dans ma chatte et dans mon cul à chaque mouvement. Quand j’entendrai "résistance de l'amour", mes yeux couleront encore. Rien n’a pu me ramener à la réalité. « L’étant » de nous ce soir, comme l’une des plus hautes émotions jamais ressenties. Ma musique préférée, un peu d’alcool, du sexe et surtout un concert ensemble. Lâché prise totale. Intégral. Téléportation sur mars. « Hijo de puta ! » Tu avais dit… « La récompense de mon travail pendant ce long mois et le reste » ! Je croyais simplement à une petite soirée ! Mais là ! Putain ! J’ai le cœur qui va exploser ! Pour moi, pour toi, pour nous. Un concert ensemble 💕 💕 💕. Putain. 🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩🤩 Merci Maitre. Vous savez ce que vous m’avez fait vivre ce jour-là. J’ai envie de vous demander comment vous faite pour m’amener toujours plus haut. Je ne veux pas savoir. Continuez. Dirigez-moi. Menez-moi. Emmenez-moi. Je vous remercie. Infiniment, infiniment, merci. Je vous dois tout ce que je suis et sachez que j’en ai conscience. Merci. J’en ai le ventre qui explose, rien qu’à l’écrire.
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Par : le 29/09/21
Lorsque l’on a une nature foncièrement soumise, cela n’exclut pas d’avoir d’autres compétences et de les exploiter… Certaines représentantes de la noble condition de soumise ignorent en effet qu’elles disposent parfois de réelles prédispositions pouvant s’avérer fort utiles pour parfaire leur fonction d’obligée docile et dévouée auprès de leur guide et Maître et bien au-delà encore ! Ainsi, en acceptant de sortir de leur zone de confort, et sans pour autant avoir pour ambition de devenir Switch, elles peuvent développer leurs capacités à devenir l’assistante plus ou moins active/passive et autonome au service de celui qui régis et gouverne leur cheminement personnel dans l’exercice de leur soumission. Une compétence appréciable, ouvrant à de nouvelles perspectives, lorsqu’il s’agit de sonder les profondeurs de l’intime, d’expérimenter de nouvelles pratiques s’appuyant sur l’élargissement du cercle social et l’ouverture aux relations interpersonnelles d’un duo D/s. En termes de scénarisation, cette assistance peut revêtir divers apparats et autant de postures plus ou moins nuancées et affirmées ! Certains d’entre vous seront surpris de découvrir ici ma dévouée swann, dans une attitude évocatrice très assumée ! Mais il lui est bien plus facile d’endosser le rôle de l’assistante domestique, administrative, médicale ou technique, restant en retrait, à l’écoute, discrète et néanmoins réactive aux directives et autres injonctions de son guide et Maître… Encore une fois, il ne s’agit pas de transformer une soumise en Domina, ou de la convaincre de franchir le pas du statut de Switch…mais de déceler et d’exploiter les éventuelles prédispositions à devenir « une bonne assistante contextuelle », par extension de sa fonction de soumise, en lien avec sa personnalité, ses singularités, dans le cadre d’objectifs qui feront sens pour elle, pour son accomplissement et sa/ses relations interpersonnelles… Par ailleurs, dans le cas où cette soumise « apprentie assistante » exprime sa condition en marge de sa relation vanille (comme c’est le cas pour ma vénérable et dévouée Txoria swann) et que le compagnon de celle-ci soit ignorant, informé mais fermé, ou incompétent à souscrire aux aspirations de sa chère et tendre, et qu’en outre, ce dernier montre à contrario des signes, voire plus franchement, des appétences pour « jouer les maris passifs et soumis » dans leur intimité, alors cette compétence acquise peut être investie au service de la dynamique du couple vanille en question et devenir le levier d’un équilibre relationnel. Par extension, ce contexte sera alors à considérer soit comme une opportunité, offrant d’être totalement ou partiellement intégrée et rattachée au duo D/s établi, laissant la possibilité au Dominant d’élargir le périmètre de sa gouvernance jusqu’au domaine de la vie vanille de sa protégée en termes de conseils et/ou de directives appliquées, (ce qui nécessitera alors d’en déterminer les objectifs, les contours et leurs limites)…offrant aussi à la dite soumise, d’accroitre son sentiment d’appartenance et le phénomène unique de fierté qui lui est généralement associé… Soit, au contraire, il peut être convenu que la sphère vanille de la soumise soit expressément déconnectée du champ d’investigation et de compétence du Dominant, laissant la soumise seule juge, actrice et témoin de l’usage qu’elle fait ou non de cette compétence au sein de sa vie vanille. Mais…Les connaisseurs de MARVEL et DC Comics savent que lorsque l’on dispose d’un pouvoir légitime et bien acquis, il devient irresponsable de le refuser et de ne pas en faire bon usage…Sourire ! MyWay
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Par : le 28/09/21
Hum Isabelle et Jean nous invitent ce week end à nouveau.. Je sens qu’on va bien s’amuser ma chérie. Je le regardais entre l’envie folle d’y aller et celle à appréhender ce qui va se passer.. ou pas. Il m’enlaça et me serra fort dans ses bras. - Laisse toi aller ! il n’y a pas de problèmes. - Tu sais très bien que je ne veux pas que ça aille trop loin. - Ecoute, laisse Isa faire, Jean ne te touchera pas. Je serais là donc ne t’inquiète pas. Il me réconforta. Je sentais son sexe se durcir à l’idée de ce week-end mais j'étais aussi dans cet état. - Hum je vois ce que cela te procure. - Humm tu n’as pas idée combien j’étais dans un état l’autre jour, alors là je veux te voir avec Isa. - Tu sais bien que je ne suis pas bi et que je ne veux pas lécher une chatte, ça ne m’intéresse pas. - Calme toi, rien n’est écrit, rien n’est forcé, ce n’est que partage et plaisir. Tu ne feras jamais quelque chose que tu n’as pas envie de faire. Mais avoue, tu as adoré son massage, qu’elle te caresse… - Je.. oui j’avoue. - Bon sujet clos ! - Viens ici ma chérie. Il me poussa sur la table. - Tends moi ton ptit cul. Je m’exécutais. Il releva ma robe et descendit ma culotte. - Je crois que tu n’auras pas besoin de la porter. Nue en talon c'est parfait! - Ouvre ta bouche et sort ta langue. Il mouilla le plug et le mis en place dans mon petit cul. - Il faut rendre à César ce qui lui appartient. Il tapota sur mes fesses. - Voilà, tu es parfaite et si sexy humm… Suce moi là - Mais on est déjà en retard ! - Suce moi. Je m’agenouillais et le pris dans ma bouche. Sa cadence était à la hauteur de son désir. - Bonne petite suceuse hummm. Suffit, on y va. Le porte s’ouvra. - Hum si bon de vous voir ! Entrez. Nous avions rapporté une bonne bouteille de Joseph Perrier. - Comment allez vous c’était bon de vous accueillir l’autre fois. J’imagine que Véronika a bien dormi.. non ? Elle me fixait du regard tout en passant devant moi. Cette fois-ci elle assumait et était à l’aise. Nous savions parfaitement pourquoi nous étions là. Pour ma part, c’était la grande inconnue. M. contrôlait la situation. Jean se rapprocha d’Isabelle et lui dit : - Voilà ton petit bonbon ma petite chienne. M. me claqua les fesses et me poussa contre la table de la cuisine américaine. IL leva ma robe. - Tout est bien en place. Je rougissais. - Deux bonnes chiennes avec leurs Maitres. Humm dit Jean. - Isabelle a pris soin de tout préparé au sous-sol. Ma chienne a dévoré la tienne l’autre jour et ne nous a même pas conviés à les regarder. - Oui, il est vrai, mais j’ai dû punir Véronika durement. Elle a pris cher, dit il en prenant fermement mes fesses. - Véronika, accompagne Isabelle et écoute là ! Isabelle me prit par la main et m’attira au sous sol. J’avançais d’un pas timide. Nous retournions dans cette pièce où ils avaient installés un sofa et un grand lit. La table de massage avait changé de place. Je vis, interloquée sur la table de nombreux jouets sexuels.. - Oui ma chérie, tu vois bien dit-elle. On va bien s’amuser ce soir. Elle s’approcha de moi. - A genou belle chienne. Naturellement je lui obeissais. Elle coiffa mes cheveux avec douceur. M. m’a donné ton collier à te mettre. Il m’a dit que tu étais bien obéissante. Je compte sur toi pour l’être. Elle sera fortement mon collier. - Voilà, tiens toi bien droite. Tu es magnifique et si racée. j'adore. Je baissais la tête, honteuse de lui obéir ainsi et d’être nouveau soumise à ses caresses que j'aimais malgrémoi. Soudain, j’entendis la voix de Jean et M. - Hum quelle belle pièce ! - N’est ce pas, je l’ai aménagé spécialement pour nos petites soirées. - Ta chienne est superbe M. Isabelle adore les mater. Il semblerait que la tienne soit très sensible au doigté et à la prise en main ferme d’Isabelle. - Eh bien laissons le soin à Isabelle de la mater, avec les règles que nous nous sommes fixées. J’ai toujours voulu voir ma chienne dressée par une autre femme. - Oh Voilà qui est parfait, nous pouvons toujours reprendre les rennes quand bon nous sommes. Isabelle m’agrippa les cheveux et me tourna vers la table de massage. Elle tenait une cravache en main. Elle me fit mettre à plat ventre, les jambes sur le sol. - Relève ta robe m’ordonna t-elle en me claquant les fesses avec la cravache - Hum parfait, tu t'éxécutes à la perfection. Elle caressa mes fesses. Je sentais ses cuisses contres moi. - Humm si douce.. Ce plug a sa place. As-tu aimé ce que j’ai fait l’autre fois ? J'hésitais à répondre... Elle me cravacha avec force. -Oui.. j’ai beaucoup aimé, répondais-je à peine audible. - Je m’en doutais petite chienne. Tu es déjà là toute trempée à l’idée que je m’occupe de toi. - Tiens ma cravache en bouche! Elle écarta alors mes fesses et donna de gros coups de langue partout. - Hum ma mouille est un réel nectar. Tu mouilles tant. Nous n’aurons aucune résistance à te prendre je crois. Elle glissa ses doigts sur ma chatte… - Mais regardez moi cette cochonne !!! J’en ai plein ma main. Je tentais de me relever. - Qui t’a permis de te relever ma chérie ? Elle appuya sur mon dos. - Couchée ! - Je vais te bâillonner avec ce gag-ball pour éviter de t’entendre gémir. Ouvre ta bouche et rends moi ma cravache. - Je vais la mettre sur ta croupe, ne la fais pas tomber sinon je devrais te punir. Voilà, tu es parfaite ainsi. Elle repris la cravache en main - Relève toi maintenant. Sans ménagement elle me retourna. Je regardais M. dans les yeux. Son regard était des plus tendres et à la fois des plus pervers. Elle était juste derrière moi, caressant mes bras, mon cou. Je sentais son souffle dans mon cou, sa langue me lécher. Elle passait la cravache sur mon entrejambe. Avec douceur, elle ota ma robe. Tombant au sol, elle dévoila ma nudité. Je me laissait faire, mes bras long du corps, je regardais toujours M. dans les yeux. Elle tourna ma tête vers elle et donna un coup de langues sur le gag-balle et mes lèvres. Elle passa la cravache sur mes seins et les écrasa avec, contre moi. - Mets tes bras devant toi et tiens la cravache! Elle la déposa sur le revers de ma main. - Je ne veux pas voir descendre tes bras, ni la faire tomber. Est ce bien clair? même quand je te doigte. Sans prévenir, elle saisit brutalement mes seins, jouant avec les malmenant avec une certaine fougue. Elle mit sa main sur mon cou pour me maintenir et descendit l’autre vers mon sexe. Elle s’accroupit, et me fit comprendre avec ses mains d’écarter mes pieds. Je sentis alors sa main passer par l’arrière au niveau de mon sexe. Elle l’englobait. Passant de l’arrière à l’avant. M. demanda : Est-elle bien humide ? - Oui Monsieur, elle l’est. Elle continua de me caresser allant toujours d’avant en arrière, jouant avec mon petit clitoris. Je voyais M. avoir le sexe dur, tentant de se contrôler pour me pas se caresser. Jean semblait plus lui dans le contrôle. M. prit alors ma laisse et m’attira à lui. Je me retrouvais pencher en avant, les fesses tendues avec la cravache ne devant toujours pas la faire tomber. - A genou m'ordonna M. IL sortait sa queue de son pantalon, la caressant. Il prit la cravache en main. Il tirait sur la laisse pour que je sois courte et colla mon visage à ses couilles. - Sens le désir que j’ai pour toi… sens la. Isabelle s’était redressée et appuya ma tête contre la queue de M. - Bonne chienne qui veut ronger son os. M. s’amusa de la situation. Il bloqua ma tête ainsi contre sa queue. - Cambre toi mieux que ça ! dit-il en claquant mes fesses. Je sentais Isabelle à quatre pattes en train de me lécher la chatte comme une belle minette qui lèche son lait. Je vis Jean s’approcher pour admirer sa chienne à l’œuvre. Elle écarta mes fesses offrant mes orifices à la vue de ce dernier. Cela me rendait excitée d’être ainsi exhibée. Jean appuya sur la tête d’Isabelle pour qu’elle enfonce sa langue dans ma chatte. - C’est ça.. lèche mieux que ça ! Elle me dévorait littéralement sous l’emprise de Jean. M. me tenait toujours fermement la tête, m’empêchant de me mouvoir. M se leva. Il tira sur la laisse me forçant à marcher à quatre pattes à ses cotés. Il me conduisit vers la table de massage. Au milieu de la table, il me força à me mettre sur le dos dans la largueur de la table. Ma tête était dans le vide. - Humm une barre d’écartement. Puis je ? Il m’attacha ainsi et remonta les jambes vers un système de poulie au plafond. M. positionna au mieux ma tête pour qu’elle soit à hauteur de sa queue et si l’envie lui prenai de me prendre ains par n'importe lequel de mes trous, tout était à bonne hauteur. - Isabelle, maintenant, peux tu me montrer comment tu dilates ma petite putain ? - Hum oui avec grand plaisir. La sienne est particulièrement étroite. En plus avec un plug dans son petit cul, humm… Elle commençait par s’amuser avec le plug. De mon coté je salivais, la bave coulant de ma bouche. Je sentis Isabelle me caresser avec douceur, puis insistance. Sa bouche se posa sur mon clitoris, l’aspirant, encore et encore. Elle jouait avec le contour de ma chatte afin que je me dandine à l’implorer de me doigter. Je voulais qu’on me fourre maintenant. M. s’était agenouillé pour me parler. - Humm tu es divine ma chienne. Te voir ainsi me comble. Ma petite pute. Il se releva et alla s’asseoir et admirer en live sa chienne. Elle glissa un doigt dans ma chatte, un seul. J’étais frustrée.. Elle savourait. Elle récoltait avec son doigt ma mouille. Je la devinais en train de le lécher tout en regardant Jean. - Doigte la entendis-je. Elle glissa alors un autre doigt dans ma chatte. - Tu en veux plus n’est ce pas ? me questionna Isabelle. Je fis oui de la tête. - Oui bien sur que tu en veux plus, petite chienne en chaleur. Elle enfonça un troisième doigt, au plus profond comme pour m’arracher un cri de plaisir. Elle s’était redressée me toisant de haut. Elle caressait en même temps mon clitoris avec son pouce. Je me dilatais doucement.. - TU es si accueillante, si ouverte… le quatrième va passer sans souci. Elle me donnait de sacrés coups à son poignets. Puis sans prévenir, elle me doigta si forcement, si vivement. - Allez ... montre nous la fontaine que tu es! petite pute. - Messieurs regardez moi ça!! elle en met partout, incapable de se retenir. Mes cris de gémissements se terminait dans mon gag-ball. Elle avait complètement pris possession de ma chatte, j'étais si trempée. Je sentis alors son pouce vouloir franchir mon tunnel. - Hummmm… hummmmmm…… Hhhhhhhhhhhhhhummmmmmmmmmmm - Cesse de crier… voilà ça passe…. Regarde comment ma main va te baiser. M. s’était levé. Il avait redressé ma tête pour forcer à regarder ma chatte avec le poing d’Isabelle. Il était frénétique. - Oh oui c’est bon.. je sais…me dit Isabelle. De l’autre, je sentis la main d’Isabelle prendre un certain rythme. Alain était en train de la prendre alors qu’elle me fistait. Ne tenant plus, M. ôta le gag ball pour le mettre sur mon cou. Il enfonça sa queue dans ma bouche. Ma tête à l’envers, que de sensation. Il avait mis sa main sur ma gorge, j’adorais cela. Il tenait alors mes seins bien fermement. Je prenais des coups de partout. Ma bouche, ma chatte. J’étais leur jouet sexuel ce soir. Alain tenait Isabelle par les épaules. Elle se redressa . Elle ôta sa main. IL l'attrapa par les cheveu et appuya son visage contre la chatte - Lèche la bien. Prends toute sa mouille !!! bonne chienne que tu es lui lança t il. Au bout de quelques minutes il lui ordonna: - Allez file, va chercher un gode ceinture. tu meurs d'envie de te la faire. Il lui claqua les fesses. M. savoura la bave qui coulait de ma bouche, ne me laissant aucun répit. Il était comme possédé. j'adorai sa perversion. Il tourna autours de la table et admira ma chatte écartée, offerte. Il donna un claque dessus puis un bon coup de langue.. Pendant que M. avait donné son coup de langue, isabelle empala le gode dans ma bouche. - Petite salope….ça se sent que tu aimes sucer des queues. Elle étrangla mon cou et me donna des tapes sur le visage. Elle agrippa ensuite mes seins, et tritura mes tétons comme il se doit. J’étouffais mes cris. Elle me torturait. - Suffit maintenant, lache ton nonos. Elle planta le gode dans ma chatte et commença à me baiser* - Voilà petite chienne… on y est. Je vais prendre un plaisir à te prendre ainsi.. Elle encercla mes cuisses de ses mains et me culbutait ainsi. Je sentais chacun de ses coups. M. était venu à nouveau prêt de moi, me planter à nouveau son sexe dans sa bouche. - Quel joli tableau dit Alain. J’adore quand ma femme en baise une autre… - Tu en as eu assez Isabelle, vient t’occuper de ton Maitre. Elle se retira. - Que diriez vous d’aller sur le lit ? M. me détacha de mes contraintes. Isabelle reprit ma laisse en main. Nous nous disposions l’une en face de l’autre sur le lit à quatre pattes. - Ne bougez pas mesdemoiselles, vous êtes sublimes. Isabelle me regardait droit dans les yeux. Alain se plaça derrière elle et commença par la prendre. M. me força à la regarder ainsi en tenant ma tête face à elle. Il me tira par les cheveux pour qu’Isabelle puisse disposer de ma chatte. Alain lui força sa tête contre ma chatte. - Léche ! leche moi cette salope. Il lui claqua les fesses avec une telle rudesse. Je sentais sa langue jouer encore et encore sur mon sexe. M. lui malaxait mes seins et regardait Isabelle s’occuper de mon con. Il me disait combien j’étais une belle salope. Alain était frénétique. Je sentais combien il la possédait violemment. Sans aucun ménagement il lui enfonça des doigts dans son fion alors qu’il l’a prenait. Elle se redressa, criant.. oh ouii encore, défonce moi bien !!! Il lui tirait les cheveux, exposant alors sa poitrine à notre regard. Ses seins volaient. Il la baisait rudement. Sa tête était à présent contre le lit. Il avait saisi ses mains qui était le long du corps e M. me parlait. - Ca t’excie hein ma chienne ? de voir qu’elle est prise ainsi ? - Je.. - REgarde la bien.. ouvre tes yeux. J’hochais la tete par l’affirmative. IL la jeta sur le lit. Il n’avait pas fini son affaire, mais il avait besoin de faire tomber la tension. Isabelle était haletante, elle restait en position. Jean lui avait interdit de bouger. Quant à moi, M. m’avait demandé de me mettre sur ses genoux et de lui présenter mes trous en écartant mes fesses. Il s’assura que mon gag ball soit à nouveau bien à sa place à me bâillonner. -Isabelle ? viens récupérer ton plug qui est dans le fion de Véronika. Alain était assis à côté de M. Mes jambes étaient sur les cuisses d’Alain. Je sentais ses mains me maintenir fermement les chevilles et profiter de la vue sur mon anatomie. M. écarta mon inter fessier. Il regardait Isabelle enlever mon plug. Elle passa ensuite sa langue sur mon anus. Je lâchais un cri malgré moi de soulagement, de désir. Elle continua a se délecter autours de mon petit anus. M. lui offrant un accès illimité. - Humm elle est si bonne. - Elle est toute à toi, fais en ce que tu veux Isabelle lui lança M. Elle prit la place des mains de M. Elle écarta au mieux mes fesses. Elle glissa sa main. 4 doigts et son pouce qui se baladait autours de mon anus. - C’est bon ma chienne ? Je hochais toujours la tête.. oui… Elle entreprit alors de me fouiller l’anus. - J’adore aussi élargir les petits fions étroits. Je couinais. Ses doigts rentraient comme si c’était du beurre fondu.. Mon maitre récolta ma salive pour m’enduire l’anus. Isabelle quant à elle avait tout préparé.. elle huila sa main. - En douceur ma belle, en douceur. Elle me pénétra d’abord avec deux doigts . - Hummm j’adore voir quand ça cède.. Regardez moi cette petite cochonne… encore un troisième… Tu peux couiner autant que tu veux, si tu voyais ta mouille. Je me dandinais.. hummmm.. hummmm… - Juste quatre doigts, la prochaine fois on travaillera encore plus ton anus.. ne t’inquiète pas. M. me parlait et me complimentait en me disant combien je suis une belle perverse. - VIens sur moi m'ordonna M. Je vais t'enculer maintenant que tu es dilaté. - Prends ma queue et empale toi.. - Hummm Oui comme cela. bien au fond. Il m'attira à lui, mon dos contre son torse. Il m'embrassa le cou. Alain ordonna à Isabelle de se mettre à quatre pattes devant nous et de m'observer quand j'étais sodomisée. De sortir la langue. M. me giflait les seins, parfois la joue. Il m’agrippa par le cou et serra aussi fort qu’il avait jouis… Il me plaqua à lui et resta ainsi. Epuisé. - C'est bon tu peux lui lécher la chatte ! Isabelle venait me lécher la chatte, la queue de M. toujours en moi. Elle me caressait le clitoris. J'étais si trempée. Elle s'amusait en meme temps qu'elle aspirait mon clitoris à me doigter.. - C'est ça ma chienne, fais toi bien léchée.. après avec été fistée et défoncée de partout. regarde toi!!! une bonne putain... - Hummm hummmm.... Mon corps tremblait par la jouissance et les coups de langue d'isabelle. Son doigté... - Isa, viens t'occuper de ton Maitre, maintenant; Elle se plaça a quatre pattes devant lui. Ouvrant sa bouche, sortant sa langue. - Leche moi les couilles , et nettoie mon anus! Elle le dévorait. Il éjacula dans sa bouche. Elle avala tout ne laissant rien. Nous étions épuisés par ce début de soirée. Isa… allez va laver ta chienne ! Allez vous au lit, on vous rejoint...
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Par : le 28/09/21
C'est la première fois que je propose un texte ici, j'espère qu'il ne vous paraitra pas trop mièvre. Un Noël bien spécial Comme chaque année, Sabrina et Gabriel avaient organisé le réveillon familial chez eux. La fête se terminait, quelques uns de leurs invités étaient déjà partis, mais le plus grand nombre s’était retardé et se préparait maintenant à prendre la route. Les enfants de Sab allaient passer quelques jours de vacances chez leur grand-Mère maternelle et partaient avec elle. Le couple avait accompagné tous ces gens jusqu’aux voitures et après les dernières embrassades, les véhicules prenaient la route. Sur le parking, Sabrina un peu émue saluait de la main les véhicules jusqu’à leur disparition, quand soudain, elle réalisa que Gabriel n’était plus près d’elle. Surprise elle regardait autour d’elle mais ne voyait rien. Elle l’appela, sans recevoir de réponse. Un peu inquiète, elle rejoignit l’appartement pensant que peut-être il avait été saisi d’un besoin pressant et avait regagné leurs pénates sans la prévenir. Rentrant dans l’appartement, elle l’appela sans recevoir de réponses. Elle ouvrit les portes des toilettes puis de la salle de bain… Personne. Très inquiète, elle tournait comme un lion en cage, fit le tour de toutes les pièces, appelant, suppliant, rien ne lui répondait et Gabriel était introuvable. Soudain sur la table du séjour, une grande enveloppe rouge attira son attention. Rouge ?... ça n’était donc, à coup sur, pas une lettre de rupture, la couleur laissait même à penser qu’il s’agissait d’une surprise agréable. Il n’avait tout de même pas changé de voiture sans rien lui dire… Non, il lui en aurait parlé… et d’ailleurs leurs finances du moment ne permettaient pas cet achat. Fébrile, elle ouvrit l’enveloppe et en tira un petit carton, rouge également et lut le petit texte qui y était écrit : « Veux tu jouer ?, si ta réponse est positive, allume les lumières de la chambre et celle de la salle de bain ». Immédiatement, son sexe s’humidifia et ses petits seins se tendirent. Chaque fois qu’il lui disait ou lui écrivait une phrase qui ressemble à ça, il lui proposait ensuite des jeux sexuels et il faut reconnaître que jusqu’ici, il avait tapé juste, lui proposant des choses inhabituelles, mais qui toujours avaient déclenché en elle des plaisirs phénoménaux. Par contre, il était très tard… ou plutôt très tôt. Un peu lasse après la soirée, mais très tentée de suivre Gabriel dans sa folie, elle glissa sans y réfléchir vers la chambre et alluma la lumière. Elle fit ensuite la même chose dans la salle de bains. Tout de suite, la tonalité des notifications de son téléphone retentit. Elle vit qu’elle avait un nouveau message de Gabriel et lut le SMS, « Tu as as accepté le jeu, tu es maintenant en mon pouvoir et tu m’appartiens. C’est le dernier message écrit de moi, mon téléphone va être coupé. Tu recevras des instructions au fur et à mesure, par écrit, Pour le moment, regarde dans le dernier  tiroir de la commode, celui ou tu met ta lingerie.» Bon dieu, qu’est ce qu’elle avait accepté. Elle était à présent très inquiète. Elle tenta d’appeler Gabriel, mais tomba immédiatement sur son répondeur. Elle refit plusieurs tentatives sans plus de succès. Elle était à présent coupée de Gabriel. Elle n’avait aucun moyen de le contacter. Les seuls liens qu’elle allait avoir étaient les messages qu’il lui laisserait, dieu sait ou. Quelle folie avait il inventé cette fois. Jamais elle n’avait été aussi inquiète… et tout ça, la nuit de Noël en plus. - Bon, focalisons sur ce qui est concret se dit elle, le dernier tiroir de la commode. Elle ouvrit et resta bouche bée devant son contenu, dans une jolie boite, était exposé un ravissant mini boléro de dentelle rouge, pouvant être fermé par un petit lien en bas. Enfin si on peut qualifier ça de fermé… en tout cas, très sexy.Le soulevant pour mieux le regarder, elle découvrit un string de la même couleur. L’ensemble, elle devait se l’avouer avait été bien choisi, sexy à souhait, le petit haut était tout à fait ce qu’il fallait pour sa poitrine menue, ce que n’aurait pas fait correctement un soutiens-gorge. Pour ce qui est du string, certes elle n’aimait pas ce genre de sous-vêtement, mais si c’était pour passer une soirée voluptueuse, ma fois pourquoi pas. Mais quel était son but ? que lui préparait il ? pourquoi tous ces mystères ? Décidément Gabriel était tombé sur la tête. A côté de la boite, une autre enveloppe rouge. Elle l’ouvrit pleine d’appréhension. Le texte la laissa interloquée, - je veux que tu mettes cette tenue, par dessus, tu pourras enfiler les vêtements de ton choix, je te fais confiance et que tu te rendes au bar de nuit « L’alouette ». tu t’adressera au barman nommé Maurice et tu lui donnera ton prénom et tu lui dira que tu viens chercher quelque chose qui t’est destiné, il saura ce qu’il doit faire. Un bar de nuit à cette heure? ... Cette idée la laissait perplexe. Quelle mouche avait donc piquée Gabriel pour qu'il lui fasse prendre de tels risques? Fallait il qu'elle obéisse? Elle était dans une totale panique. Certes, elle avait confiance en lui, mais cette manière d'agir lui ressemblait si peux. Elle avait compris, au vu de la lingerie, le caractère sexuel de son souhait, mais était elle prête pour réaliser ce qu’il allait lui demander. En même temps, c’était la tempête dans sa culotte, son excitation était à son comble. Elle mouillait abondamment et l’attrait de l’inconnu, doublé du stress la mettait dans un état de fébrilité qu’elle n’avait jamais connu. et ce Maurice, qu’est ce qu’il venait faire la dedans ?, il Elle ne savait plus... elle était perdue… Elle savait, il le lui avait dit, qu’il n’était pas prêt à la prêter à d’autres hommes. Elle se rappelait parfaitement de ce jour, avec une certaine émotion d’ailleurs. Les enfants n’étaient pas la, elle préparait leur repas, dans la cuisine, habillée seulement d’une nuisette. Il était passé derrière elle, avait embrassé sa nuque, puis il avait glissé ses mains sous sa nuisette et avait empoigné ses seins. Elle avait penché sa tête en arrière, l’avait appuyée contre son épaule abandonnée à ses caresses. Ses mains avaient glissées sur son corps l’amenant progressivement à une lascivité délicieuse. Puis il avait soulevé la légère lingerie, avait embrassé ses seins, sucé doucement ses tétons, sa bouche était descendue doucement vers son ventre, son pubis, suscitant en elle l’envie qu’il descende encore. Mais la traîtresse bouche était remontée la laissant quelque peux déçue. Il reprit ses doux baisers en direction de son aine restaurant ses espoirs et finit par insinuer sa langue entre ses tendres nymphes lui arrachant des soupirs d’extase. Son plaisir était monté en intensité, au fur et à mesure de la progression du cunni avant l’explosion finale. C’est à ce moment, elle s’en rappelait parfaitement qu’elle lui avait dit , - j’accepterais tout de toi, de te sucer dans un lieu public, que tu me baise dans un endroit insolite, que tu m’offre à d’autres hommes. Plus tard, quand elle eut recouvré ses esprits, il lui avait demandé, - tu pensais sérieusement ce que tu m’as dit, tu as réellement envie que je te prête à d’autres hommes ? Et elle avait répondu oui. A ce moment il lui avait dit qu’il n’était pas encore prêt à ça. Ça n’était donc pas un autre homme… mais quoi ? Que vient faire cet inconnu, ce Maurice, dans son plan ? Gabriel savait aussi, ils en avaient parlé qu’elle ne souhaitait pas de relations sexuelles avec d’autres femmes. Donc quoi ? Certes il lui avait toujours dit que s’il lui demandait quelque chose qui dépasse ce qu’elle pouvait accepter, elle n’avait qu’un mot à dire pour mettre fin au jeu, mais tout de même. Un peu rassurée sur les limites du jeu, elle se dit qu’il s’agissait de quelque chose avec lui seul… de l’exhibitionnisme peut être… ou un scénario fantaisiste pour la promener un peu. elle ne savait pas, mais elle avait cerné les possibles. - Bon… on joue, se dit elle. Elle enfila la jolie lingerie, se regardant - Pas mal… le choix est judicieux, se dit elle en souriant. Elle enfila une robe courte et des jolis escarpins et quitta leur appartement. Devant l’alouette, elle hésitait. Entrer seule, la nuit, dans un pareil lieu la perturbait. Pourquoi avait il choisi ce lieux ? Cette solution ? Avait il voulu la guérir de son désir d’être offerte à d’autres hommes ? Après maintes tergiversations, elle se décida à entrer. Elle s’approcha du bar et demanda Maurice. On la dirigeas vers lui et elle l’aborda pour lui demander ce dont Gabriel lui avait parlé. Elle avait les jambes qui flageolaient, la tête qui tournait, elle avait besoin de s’asseoir. Elle demanda à Maurice s’il pouvait lui amener un café et rapidement, elle s’assit à une table. Les pensées tournaient dans sa tête, c’était la première fois qu’elle se trouvait devant une telle situation. C’était fou, complètement fou… Un homme s’approcha, lui demanda l’autorisation de s’asseoir à sa table. Elle éluda. Il se permit d’insister et elle refusa avec plus d’autorité. Voyant sa pâleur, il lui demanda si elle allait bien, si elle n’était pas malade. Elle lui répondit que non, qu’elle allait parfaitement bien, qu’elle voulait juste qu’on la laisse en paix. Maurice revint avec son café et déposa à coté une enveloppe rouge. Encore une enveloppe rouge… Elle hésitait à l’ouvrir. Même si elle s’était rassurée en faisant tourner dans sa tête les scénarios possibles, réfuté les plus inquiétants, même si certains faisaient partie de ses fantasmes, voire de ses désirs.Elle était toujours tiraillée entre l’appréhension et l’excitation. Elle se demandait même si cette dernière n’était pas aiguillonnée par la peur. Elle se reprochait à présent d’avoir accepté le jeu. Elle ouvrit en tremblant l’enveloppe et découvrit un nouveau message, lui demandant de se rendre à une adresse ou de nouvelles instructions lui seraient données. Elle avait l’ordre de rentrer sans frapper. Wahouou ! Certainement la dernière étape de son périple. La diffusion d’adrénaline était à son comble. Elle fit signe à Maurice pour payer et par la même occasion lui demanda ou elle pouvait joindre Gabriel. Il lui répondit qu’il ne connaissait pas de Gabriel. Elle lui demanda qui avait déposé la lettre. C’était un homme que Maurice ne connaissait pas. Elle lui demanda une description physique, même sommaire. Le portrait qu’il fit ne correspondait pas du tout à Gabriel. Ce fut un véritable choc… Elle était dans la confusion la plus totale. Au minimum, Gabriel avait utilisé une organisation très complexe, dans quelle mesure en avait il la maîtrise ? Elle était à la fois admirative et inquiète. Elle ressentait un vide intense en elle, elle était dépassée par les évènements. Ses jambes ne la portaient pas d’une manière plus efficace qu’à son arrivée, peut être moins même. Légèrement titubante, elle sortit du bar. Elle s’installa au volant et dut attendre un moment avant de démarrer, le temps de reprendre ses esprits. La tête dans les mains, elle essaya de remettre de l’ordre dans ses pensées. - Gabriel, Gabriel, pourquoi me fais tu ça ? Un peu remise, elle démarra et se rendit à l’adresse. Ça faisait un bon quart d’heure qu’elle était devant la porte et ne se décidait pas à entrer. Elle cherchait mentalement à se donner du courage mais n’y parvenait pas. Cette soirée, décidément riche en émotions la perturbait au plus haut point. Puisant dans ses dernières ressources de courage, elle poussa la porte. Aucun bruit, il ne semblait y avoir personne. Il faisait noir, elle chercha l’interrupteur en s’aidant de l’éclairage de son téléphone, elle le trouva et alluma. Elle était dans une entrée, très accueillante, ensuite s’ouvrait un séjour. Beaucoup de livres, des couleurs qu’elle aimait, elle fit le tour, regarda partout. En évidence sur la table, une autre enveloppe rouge. Elle se mit à rire, complètement rassurée maintenant. Tout simplement Gabriel avait loué un appartement pour la soirée, juste pour la dépayser. D’ailleurs si elle y regardait bien, la logistique déployée, et qui l’avait initialement impressionnée n’était pas si extraordinaire. Il lui avait suffi de soudoyer un barman, en lui demandant de faire l’ignorant sur son identité. Elle avait fantasmé sur finalement pas grand-chose. Elle se détendait, ses nerfs mis à vif depuis la disparition de Gabriel se relâchaient dans un fou rire. Quelle sotte ! Négligeant l’enveloppe, elle fit le tour de l’appartement. Deux chambres meublées avec goût, une salle de bains agréable, avec une grande baignoire. Elle était tentée, faisant fi des instructions de Gabriel, de se mettre dans un bon bain chaud. Oh ! Elle allait tout de même jouer le jeu, elle allait prendre connaissance du contenu de l’enveloppe. De retour dans le séjour et maintenant complètement détendue, elle prit la lettre et se jeta dans le canapé.Il lui était demandé de quitter ses vêtements, gardant juste la lingerie, de se mettre à genoux sur la carpette du salon, un bandeau sur ses yeux, (cette pièce de tissus se trouvait, dans le deuxième tiroir de la bibliothèque) et d’attendre. Elle fouilla dans le meuble et trouva un bandeau de soie rouge, en riant, elle suivit les instructions de la lettre. Elle sourit. Beaucoup de mise en scène pour pas grand-chose. Un petit scénario de domination/soumission. Elle attendait depuis quelques minutes, lorsqu’elle entendit le bruit de la porte. Gabriel avait, sans aucun doute, mis une caméra et surveillait le moment ou elle serait prête. Elle sentit des mains tirer les siennes derrière son dos et les attacher. Elle était maintenant à la merci de Gabriel, elle sourit - C’est bien, tu as parfaitement suivi les instructions qui t’étaient données, dit une voix d’homme qu’elle ne connaissait pas. D’un coup, son affolement reprit… pas possible… Gabriel n’était pas prêt à l’offrir !... - Qui êtes vous ? - Aucun intérêt, tu as décidé d’accepter un jeu. - Je croyais que c’était juste avec Gabriel . - J’ai pourtant entendu dire que tu souhaitais plus. - J’ai dit ça dans un moment d’excitation. - Il me semble qu’ensuite la question t’a été posée dans un moment ou tu avais retrouvé tes esprits. Décidément, ce personnage était au courant de tout… Elle était affolée et en même temps, sa fébrilité avait repris. Son string était mouillé. Elle avait un nœud au ventre, mais ses sens étaient en ébullition. - Pourtant, reprit la voix, tu sais que tu as juste un mot à dire, pour si tu le souhaite, mettre fin au jeu. Ah ! Gabriel lui laissait donc une porte de sortie, mais elle n’avait pas envie de l’utiliser . - Gabriel m’a chargé de vérifier pour commencer si tu mouillait déjà, dit il en lui massant une fesse. La caresse fit glisser un frisson le long de sa colonne vertébrale. Un nouveau jet de mouille humecta son string. La main se glissa entre ses jambes sans ménagement excessif. L’homme ne cherchait pas à convaincre, mais prenait possession d’un territoire qui lui revenait de droit. C’était déstabilisant au possible. Il glissa son doigt sous le string et massa sa chatte, provoquant un gémissement. - Hummm ! Tu aimes ça hein ! lui dit il… tu vas en avoir pour tes désirs. Je suis sur que tu vas apprécier. Le ton était calme, la diction plutôt lente ne permettait pas de dénoter d’émotion. Il avait fait glisser le string sur le coté et massait ses lèvres intimes avec une douceur qui contrastait avec le ton de sa voix. Sabrina oubliait de plus en plus ses appréhensions et sa sensualité affleurait crescendo. La montée en gamme de son désir était palpable. Euh ! Palpable, ben on est en plein dedans… Sab coulait littéralement, sa mouille débordant largement à l’intérieur de ses cuisses pourtant très ouvertes par la main. Il passa devant elle et titilla doucement son petit bouton tout en lui pinçant les tétons. En même temps il proférait des mots grivois, voire insultants : « tu aimes ça hein ! Petite salope », « tu aimes faire la pute », « tu as envie que je te baise », « tu es un garage à bites ». Ces mots avaient sur son esprit une influence terrible, son excitation était à son comble, à chacune de ses allusions elle répondait oui tout en poussant des feulements de femelle en chaleur. Il lui donnait ensuite l’ordre de répondre« Dis moi que tu aimes ça », « oh oui ! J’aime ça », « dis moi que tu es ma pute préférée », « Je suis ta pute préférée », « qui t’as dit de me tutoyer… je suis votre pute préférée, s’il te plaît », « je suis votre pute préférée », « dis moi que tu es mon garage à bites », « je suis votre garage à bites ». Jamais elle n’avait été traitée de cette manière. Cette terminologie, qu’elle n’aurait jamais acceptée dans la vie courante, la mettait dans un état de sensualité indescriptible. Mentalement, elle avait fait sienne chacune de ces allusions et elle y souscrivait complètement. Jamais, même dans ses moments les plus intenses, elle n’avait été excitée de façon aussi complète.elle n’avait plus aucune appréhension, aucune inhibition. Devant cet étranger, elle était bien la chienne en chaleur qu’il décrivait. Soudain, elle sentit deux mains lui masser les fesses, tandis que l’homme qui s’occupait de son coté pile continuait sa litanie de récits obscènes. Sa griserie fit un bond en avant. Deux hommes pour s ‘occuper d’elle. Elle n’était plus en état de réfléchir, elle se laissait bercer par les rogations qu’on lui récitait et qu’elle répétait inlassablement comme un catéchumène récite son credo tandis que quatre mains s’occupaient de ses intimes attraits. Les mains de derrière se glissèrent dans son sillon inter fessier, ce qui lui fit immédiatement reconnaître Gabriel. Elle eut une hésitation, un peu honte de ce qu’elle faisait, un peu peur de son jugement, mais elle n’était plus en état de réfléchir et elle se laissait aller à la volupté de ce moment si intense qu’elle n’en avait jamais connu de tel. Gabriel connaissait ce qu’elle aimait et savait parfaitement mettre son plaisir en évidence. Il caressait ses deux globes postérieurs, glissait ses mains entre ses fesses, remontait le long de sa colonne vertébrale jusqu’à sa nuque qu’il caressait longuement. Enroulait ses cheveux autour de sa main, grattait son cuir chevelu, puis redescendait, elle était bercée par les psalmodies de l’homme qui était devant elle. « dis que tu es la pute de deux hommes », « je suis la pute de deux hommes », « dis que tu es leur garage à bite », « je suis leur garage à bites », « dis que tu aimes baiser avec deux hommes », « j’aime baiser avec deux hommes », dis que tu as envie de prendre une bite dans ta bouche », « j’ai envie de prendre une bite dans ma bouche » elle sentit une main vigoureuse la retourner et en la saisissant par les cheveux la courber en avant. Elle sentit au contact de ses lèvres une bite. La bite de Gabriel. Elle se mit à en sucer doucement le bout, se laissant envahir par le plaisir que lui procurait toujours cette entrée en matière. Elle se mit à lui titiller le gland du bout de la langue. Elle poussait en même temps de petits gémissements qui se mêlaient à ceux de Gabriel. Brusquement, elle empala littéralement le pénis dans une gorge profonde arrachant à son compagnon un cri de plaisir surpris par la rapidité de son mouvement. Elle conserva la bite quelques secondes au fond de sa bouche avant de remonter doucement. Elle sentit un doigt s’infiltrer entre ses lèvres intimes et pénétrer dans son vagin, appuyer sur les parois, les masser doucement. Puis le doigt sortit et fut remplacé par une bite emmaillotée de latex. La matière était parfaitement perceptible, le gars avait bien un préservatif. D’ailleurs, elle ne doutait pas que Gabriel ait défini ses exigences et pris soin de sa sécurité, elle avait en cela complètement confiance. Elle était emplie dans la bouche et dans le vagin, tandis que le chapelet de motivations grivoises continuait, « Dis que tu aimes bouffer une bite », « j’aime bouffer une bite » tenta t’elle de dire d’une manière complètement inaudible. - C’est bon, dit Gabriel à son comparse, je crois que ça n’est pas le bon moment. L’homme cessa, mais finalement, elle n’était pas sure que ça ne soit pas le bon moment, malgré tout, la situation la motivait. Il poursuivit sans la faire répéter « tu aimes ça salope », « tu es notre pute », « tu aimes être remplie par deux bites ». Elle avait envie de la répétition, ça l’excitait encore plus malgré l’inconfort généré par la fellation. « J’aime être remplie par deux bites » répétât elle. « Tu es une grosse salope », « je suis une grosse salope », inaudible, mais peu importe, ça l’excitait. Gabriel l’avait saisie par les cheveux et forçait sur sa queue, elle poussait des « han ! » de plaisir à chaque va et viens. Lui même avait besoin maintenant de la conclusion, son plaisir était croissant, il n’était pas loin de perdre pied. Elle le sentait et accompagnait de sa tête les contraintes sur les cheveux. La tension de la verge qu’elle sentait de plus en plus importante, ainsi que celle de l’homme qui limait sa chatte faisaient monter son plaisir qui arrivait à son paroxysme. L’orgasme de Gabriel se déclencha d’un coup, provoquant le sien. Des cris qui auraient été des hurlements si elle n’avait pas la bouche emplie s’échappaient. Presque de suite, l’homme éjacula à son tour, régalant sa chatte de spasmes voluptueux. Tous trois roulèrent sur le dos, Sab dans les bras de Gabriel.
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Par : le 28/09/21
Mon premier dominant a rapidement prononcé une phrase au début de nos échanges qui ne m'a jamais quittée. Et qui constitue le socle de la réflexion que j'ai envie de vous proposer aujourd'hui. De cette fenêtre que j'ai envie de vous inviter à observer sur votre rapport à la domination et/ou la soumission. Qu'il s'agisse aujourd'hui pour vous d'une meurtrière, d'une lucarne, d'une fenêtre standardisée, d'une baie vitrée ou de l’hôtel des courants d'airs. Cette phrase c'est : "La soumission se vit en conscience". Et j'ai envie de vous proposer de faire le parallèle avec la domination : "La domination se fait en conscience". Cette phrase a résonné en moi, un peu la à manière des 4 Accords Toltèques de Miguel Ruiz. Pas au sens d'un accord en tant que tel, quoi que... Mais plutôt dans le sens où, comme ce livre, selon que notre expérience de vie évolue, lorsqu'on relit cet ouvrage (ou cette phrase), notre niveau de compréhension s'approfondit et s'élargit un peu plus à chaque fois. Aussi, j'ai eu l'occasion de décliner ma compréhension de cette phrase issue d'un début d'éducation à plusieurs reprises, à différents niveaux, en les expérimentant ou en les observants au cours de discussions. Le premier niveau de conscience que j'ai à la fois expérimenté et observé est un niveau plutôt instinctif, primal, et assez réducteur car basé uniquement sur l'hédonisme. Bien qu'en soit, savoir que l'on aime ou pas se soumettre ou dominer, c'est déjà un premier pas important et difficile pour certains. Et cela est sans jugement, chacun met le temps qui lui est propre et juste à poser ses compréhensions sur lui même, compréhensions qui évoluent avec le temps. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime dominer/me soumettre mais je ne sais pas pourquoi. J'apprécie les sensations physiques et cérébrales que ça me procure, mais je n'identifie pas clairement les stimuli en cause, ni pourquoi." Nous sommes dans la dimension du corps, peut-être commençons nous à entrer dans celle du mentale. A ce stade, nos désirs sont encore assez inconscients. Les limites peuvent être assez floues et difficiles à définir, ce qui peut impliquer une éventuelle mise en danger involontaire de soi ou son partenaire à différents niveaux. J'observe ensuite un second niveau de conscience, là encore basé sur l'hédonisme, mais qui permet de valider ou d'écarter les pratiques qui nous attirent ou non, et une première approche des limites qui s'y réfèrent. L'esprit critique s'allume, notre système de valeur commence à venir s'intégrer dans notre rapport à la domination/soumission et dans le choix de nos partenaires. La pratique et les expérimentations permettent d'ajuster les lignes et les contours de ce qui nous plait ou non, ainsi que de ce que l'on est prêt à accepter ou non. Cela pourrait s'exprimer par exemple ainsi : "J'aime donner/recevoir la fessée, attacher/être attaché, etc." On est plus uniquement dans le corps, la dimension mentale s'intègre, et l'on peut même commencer à conscientiser un "pourquoi de surface" de ce qui nous plait ou non dans telle ou telle pratique. Par exemple : "J'aime être promené en laisse en extérieur car cela renforce mon sentiment d'humiliation/d'appartenance, etc." Il est intéressant de noter à ce stade que tout le monde ne met pas le même ressenti derrière une pratique commune. Là ou certains se sentent humiliés, d'autres peuvent ressentir une forme de fierté, voire de l'indifférence. Ce qui nous emmène au prochain stade de prise de conscience que j'ai pu observer. Celui où l'émotionnel commence à entrer en ligne de compte. Je ne parle pas ici de l'émotionnel au sens "du lien" entre partie dominante et soumise, même si cela en fait partie ; mais plutôt de l'émotionnel au sens strict des émotions ressenties. Ici la personne mesure l'impacte de sa psyché dans l'expérience qu'elle vit et partage avec son partenaire. A ce niveau, il est possible d'établir des "liens logiques" entre les émotions ressenties et des souvenirs d'expériences passées. Ou de faire le lien avec des besoins que la pratique vient combler ou équilibrer en nous. Par exemple : "J'aime dominer car j'aime la sensation de contrôle que cela me procure, et que je ne peux peut-être pas exprimer dans certains autres domaines de ma vie." "La soumission m'apporte un moment de décompression, une soupape, un lâcher prise, dans mon quotidien ou je dois sans cesse prendre des décisions". On commence à toucher aux motivations plus profondes que l'on porte en nous. Il y a une forme plus ou moins poussée de lucidité sur ce que la pratique nous apporte, en quoi elle peut venir équilibrer un autre domaine de notre vie, ou sur ce que l'on y recherche. Je discute régulièrement avec des personnes qui me disent que le bdsm, la domination, la soumission, ne sont qu'un aspect récréatif de leur vie. J'avoue avoir un peu de mal à le concevoir strictement, car pour moi, nous avons toujours d'excellentes raisons de choisir telle ou telle activité/loisir/compensation. Simplement nous n'avons pas toujours conscience de ces raisons car nous nous portons un jugement négatif (consciemment ou non) qui n'a pas lieu d'être. Mais ça, ce n'est que mon opinion très personnelle, subjective, et fort heureusement discutable ;) C'est aussi à ce niveau qu'une relation profonde peut commencer à s'établir entre les deux partenaires, et qui sera fonction de la vision que ces partenaire en ont, de la direction et du contenu affectif qu'ils choisissent d'y impliquer. Enfin un autre niveau de lecture, peut-être plus "spirituel", porte à la conscience le sens de ce que nous expérimentons à travers l'exploration du bdsm, de la domination et de la soumission. Qu'il s'agisse de revisiter nos archétypes blessés pour mettre en lumière les parties de nous qui ont besoin d'être apaisées (effet "thérapeutique" de la pratique, permettant une reprise de confiance en soi par exemple que certaines personnes relatent), de se connecter/libérer les mémoires du collectif qui s'y rattachent, ou encore de prendre conscience de schémas répétitifs de notre existence un peu à la manière d'une pièce de théâtre dans le grand jeu de l'incarnation. Ces dernières propositions parleront à certains, sembleront perchées pour d'autre, c'est bien normal, nous parlons ici de nos systèmes de croyance. Ceci étant, selon le caractère et l'expérience de vie de chacun, je remarque que ces différents niveaux de conscience peuvent s'acquérir ou se croiser dans un autre ordre, s'imbriquer les uns dans les autres, voire se contre-dire. Dans la description de ces différents niveaux de conscience, j'ai fait le choix de ne pas parler de la dualité qui peut-être ressentie vis à vis des pratiques bdsm. Qu'elle se matérialise sous la forme d'une culpabilité plus ou moins appuyée, témoin bruyant ou silencieux des conflits intérieurs que nous portons ; ou qu'elle ne se matérialise pas du tout, car on se sent dans son alignement. Ce point est propre à chacun, encore plus propice à la fluctuation que les prises de conscience évoquées précédemment et fait l'objet de nombreux écrits déjà en ces murs ;) Voilà là réflexion que je souhaitais ouvrir ici. Merci à tous d'être ce que vous êtes
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Par : le 28/09/21
C'est une pure fiction abordant la thématique du viol et du harcèlement. Un sujet tabou, qui laisse des traces, des blessures ouvertes, des séquelles. j'aborde un sujet que j'ai malheureusement connu et où je me suis tue. J'avais 21 ans. Ne restez jamais silencieuse face à cette situation! Aujourd'hui je vis pleinement ma sexualité et malgré ce que j'affectionne, je ne fais pas d'amalgame.. mes envies sont les miennes et le bdsm est si méconnu. Quand on est avec la bonne personne, on est justement protégé et sincèrement désiré. Tout n'est que partage et sentiments. Ceux qui prennent la soumission domination pour assouvir des pulsions ont malheureusement bien tort. C'est pour moi la relation la plus fusionnelle qui existe! ******************************************************************************* Je sentais chacun de ses coups de rein. Il me pilonnait fermement, avec passion. Il agrippait mes fesses. Je sens encore l’empreinte de ses doigts dans ma chair. Il me prenait si sauvagement. La seconde d’après je sentais ses baisers dans mon dos, ses caresses. L’œil du cyclone, puis la tempête reprenait vigueur. Il empoigna mes cheveux, me forçant à me relever. Je me redressais lui offrant ma poitrine. Ses mains prenaient un réelle plaisir à les malaxer fortement. alors que sa queue se frayait son chemin dans ma vulve. Il passa sa main sous ma gorge me forçant à me cambrer, de l’autre il plaça son bras derrière mes deux coudes qui était dans mon dos. Sa frénésie me faisait défaillir. Ses couilles battaient mes fesses. - Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. Ces derniers coups furent si violent que la table en avait bouger. Il claqua une dernière fois mes fesses puis me retourna pour me mettre sur le dos. Il agrippa mes jambes les refermant contre lui et continua de me prendre. Je sentais sa verge si dure en main. Il me regardait. Soudainement il écarta mes jambes et observa sa queue entrer et venir dans ma chatte. - Hum du beurre. Puis il posa son pouce sur mon clitoris et le caressa en même temps qu’il me prenait. - Ahhhhh.. ahhhhh - C’est bon.. ma belle, prends ton plaisir… - Je….. - Ahhhhhhhh.. je vais… - Jouir ? jouis, je veux te voir t’abandonner.. jouis ! Il augmenta ses coups tout en me caressant. Mes seins valsaient. La vague de plaisir qui m’envahit fut si intense. Lui continuait de me posséder. Il se pencha sur moi et me bâillonna de sa main. Je sentais tout le poids de son corps. J’aimais ce contact, la chaleur de sa peau. Il me murmura. - Tu est ma petite putain. Tu es si bonne. Je voulais protester - Tais toi ! Il me tringlait encore et encore. Il se releva et me gifla avec une certaine douceur jusqu’à ce qu’il explose. Il m’avait saisi sous les cuisses pour mieux me prendre. Puis au moment de jouir il se retira et éjacula sur mon ventre. Il se retira, épuisé, transpirant et vidée. - Tu es sensationnnelle ma belle. - Viens dans mes bras. Il me releva et me prit dans ses bras. Il m’invita sur son canapé. Je me lovais contre lui. Il caressa doucement mes cheveux, m’embrassait tendrement. - Je suis navré d’avoir était si brutal.. mais vous me rendiez si fou. - J’ai aimé que vous me preniez ainsi. Je ne me suis jamais sentie autant possédée, désirée. C’était si intense. - Hum.. laissez moi vous initier à ces plaisirs. Laissez moi faire de vous mon égérie, mon tout. Je me sentais complètement surprise par la tournure des événéments. - Maintenant taisez-vous et venez vous blottir contre moi. J’entendais les battements de son cœur, je m’endormais doucement. Il m’avait porté jusqu’à sa chambre. Le lendemain matin, il n’était plus là. Je voulais sortir, mais impossible, j’étais toujours enfermée. Les larmes me montaient. Je ne voulais pas rester prisonnière. - Pourquoi cette porte est elle fermée entendais-je ? J’entendis la voix de Peter, c’est la chambre d’Herr Ludwig, elle est toujours fermée car elle contient des dossiers confidentiels. - Ils ferment sa propre chambre à clé ? vous rigolez, ouvrez ! Je reconnus la voix de Lintzer. J’allais me cacher tout de suite sous le lit. La porte s’ouvrit. Je vis les bottes de cet horrible homme. Il semblait fouiller la chambre. Quand soudain il pris en main la robe que j’avais que j’avais laissé dans la salle de bain, celle que je portais au bal. Je la vis retombée au sol. - Intéressant… Puis il quitta la pièce. Je n’osais plus faire de bruit. Peter vint m’ouvrir la porte - Comment allez-vous Mademoiselle Lane ? - Je vais bien mais cet homme, que faisait-il ici ? - Je ne le sais pas mais il est clair qu’il cherche quelque chose ou quelq’un. - Quand revient Herr Ludwig ? - Pas avant demain. Il m’a dit de m’occuper de vous, de vous faire apporter quelques toilettes et en aucun cas de vous faire sortir de la chambre. - Très bien, je ne bougerai pas. Un peu plus tard dans la journée, j’entendis du grabuge plus bas. Je n’ai pas eu le temps de me mettre sous le lit, que la porte fût défoncée. - Je le savais ! je savais que ma Prinzess était ici. Face à moi Herr Lintzer. Son regard était menaçant. Il s’approcha de moi, je reculais dans le coin de la chambre. - Nous n’avions pas fini notre entrevue la dernière fois. Il agrippa mon bras si fermement. - Suivez-moi ! - Lâchez moi connard ! lâchez moi ! Je me débattais. Il me força à descendre les escaliers. Arrivés au rez de chaussée, il me regarda. - Amenez là dans mes appartements privés et attachez là fermement. C’est une sacrée sauvage ! - Lâchez moi !!!!! - Taisez-vous sinon vous aurez la mort du majordome sur la conscience. Je tentais de me calmer. Je vivais un réel cauchemar. - Peter, Peter… - Hans… je suis navré, il l’a trouvé ! Il l’a emmenée - Quoi ? il l’a emmené ? où ça ? il a parlé de ses appartements privés. - Le salaud, je vais le tuer. On me jeta dans une voiture comme un vulgaire paquet. On me mit un tissu sur le visage. Je ne savais pas où j’étais. Je sentais des bras vigoureux me diriger puis au final m’attacher fermement à une chaise. J’attendais, tremblante. Soudain, je sentis une main appuyée sur mon épaule. Puis une gifle s’abattre à travers le tissu. Elle me sonna par sa puissance. Je compris qu’il était là. Je sentais alors sa matraque parcourir mon corps. - Je dois reconnaitre que tu es une sacrée belle putain. Cela fait des semaines que tu m’as échappé. Et on ne m’échappe pas et tu n’aurais jamais dû tenter de t’échapper. Il ôta le tissu sur mon visage. - Je t’avais repéré à la soirée, tu pensais que tu allais passer inapercue ! Ton amie Claudia a été coriace mais j’ai réussi à lui délier la langue. - Claudia, que lui avez-vous fait ? - Oh rien, ne t’inquiète pas, elle est bien au chaud, elle réconforte mes collègues. Je lui ai montré comment elle doit être, elle est devenue bien obéissante maintenant, comme toi tu vas l’être. Je le regardais et je lui crachais au visage. - Vous êtes un fou ! Il ôta mon cracha avec ses doigts et les mis dans sa bouche. - Hummm… - J’aime les sauvageonnes comme toi. Je vais te faire manger dans ma main. - Allez vous faire voir ! - Amenez moi Claudia, tout de suite ! Je vis ma Claudia quelques minutes plus tard. Elle portait une robe rouge de soirée, un maquillage outranciel. - Messieurs, baisez moi ça de suite. Je voyais Claudia, comme droguée, elle se laissait faire. - Non arrêtez je vous en prie, ne faites pas ça.. Je.. - Oui vous ? - Que voulez-vous de moi ? - Que tu sois ma petite chose obéissante. Tant que tu seras gentille et que tu obéiras, Claudia sera épargnée. Un seul faux geste de ta part… - C’est bon j’ai compris… - Ramenez là dans sa chambre ! et détachez notre invitée Messieurs. Je vous convie à une petite séance de dressage ce soir. Je vais vous montrer comment on mate les pouliches. Un des gardes me détacha. Je mettais ma main sur ma joue, sa gifle m’avait sonnée. - Deshabillez-vous ! - Je…. Non je vous en prie. - Deshabillez-vous ! - Messieurs, arrachez lui ses vêtements ! - Non c’est bon, je vais me déshabiller. Vous êtes abject ! - Toutes vos rébellions, je les note. Je punirais Claudia personnellement. Je me retrouvais ainsi nue, face à ses hommes. Je tentais plus bien que mal de cacher mes seins et mon sexe. - Ne te cache pas. La beauté ne se cache pas voyons ! Il se leva de sa chaise et se mit à ma hauteur. Il était plus petit que moi mais vous compreniez à son regard qu’il ne plaisantait pas. J’aurai tout fait pour lui prendre sa matraque. Il releva ma tête avec sa matraque. - Très très jolie… Il passa sa matraque sur l’ensemble de mon corps. Il me força à écarter les jambes en tapotant sur l’intérieur de mes cuisses. - Mains sur la tête. - Voilà une belle position de présentation. - Messieurs, voici Mademoiselle Véronika. Espionne française, complice de Claudia. Une belle femelle blanche avec des seins en pomme parfait. Elle sera parfaite pour la baise. Quand je sentis sa matraque passer sur mon sexe, je refusais de céder à qu’ils voient mes pleurs. - A genou ! Je ne voulais pas céder, je me souviens de la dernière fois. Il m’agrippa le cou et me força à me mettre au sol, à genou. Il me donnait quelques coups dans les reins avec ses chaussures puis il alla s’asseoir. - Viens jusqu’à moi maintenant à quatre pattes. - C’est ça.. applique toi, j’aime que l’on soit racée et digne. Dans ma tête je voulais le tuer. Je pensais à mes moments avec Hans. Il devait me chercher, je l’esperais. - Maintenant, nettoie mes bottes. Je me relevais. - Allez vous faire… - Tssss… pas de rébellion, n’oublie pas. - Allez y tuez nous toutes les deux maintenant ! Ma réaction l’avait surprise. - Allez y tuez moi maintenant ! n’est ce pas ce que vous allez faire de toute façon, c’est bien ce que vous voulez non ? Vouloir soumettre une femme car vous n’êtes pas capable d’attirer une femme et de vous faire aimer autrement qu’en la torturant ? Il sortit son pistolet et le braqua sur moi. - Ouvre ta bouche, sale petite pute. Il m’enfonça le pistolet dans ma bouche. Je ne faisais que penser à des moments heureux, je faisais tout pour ne pas sangloter. Ne pas lui donner se plaisir de lui supplier. - Suce le… - J’ai dit suce le ! Voyant que je n’obéissais pas, il faisait des vas et viens avec le canon. - Maintenant LECHE MES PUTAINS DE BOTTES ! Je tremblais si fort, mon corps trahissait mes émotions. Je commençais alors à m’exécuter. Léchant ses bottes. - Vous voyez messieurs, comme elles deviennent rapidement dociles. Elles ne demandent que ça. - Suffit maintenant. Retourne toi, mets toi en boule, que je vois tes jolis orifices. - Quel sublime objet d’art, ne trouvez-vous pas messieurs ? C’est là que j’entendis une porte claquer et je reconnus la voix d’Hans, il était venus me chercher. - Eh bien voilà ! je savais bien qu’il était aussi un espion. D’ailleurs il est sous surveillance lui aussi. Je vais me faire un plaisir de me débarrasser de lui devant toi ma belle. - Arrêtez, je vous en prie.. faites de moi ce que vous voulez mais laissez le ! Il m’agrippa par les cheveux et me plaça devant lui. Hans pénétra dans la pièce avec ses hommes. - Lâchez La Lintzer. - Vous êtes une honte pour notre pays Ludwig. Lâchez vous arme où je lui colle une balle dans la tête. C’est ce que vous voulez ? - Hans, ne l’écoute pas tue le ! Je vis Hans, rendre les armes, mes yeux commencèrent alors à se mouiller. - Humm, je crois qu’avant de le tuer, je vais d’abord abuser de toi devant lui et lui comment on possède une putain. - Messieurs attachez le. Enfermés les autres. Hans se retrouva attaché à une chaise. - Je suis si désolée…lui répondis je - C’est moi qui le suis de ne pas t’avoir protégé de lui… Nous voilà en pleine fête ! Champagne !!!! je veux du champagne. - Lintzer, laissez la partir ! elle n’a rien à voir dans notre affaire d’égo. - Oh que si, vous me l’avez enlevée Vous l’avez laissé s’échapper. Depuis on vous surveille. Je vais m’occuper d’elle personnellement. Elle ne craint rien avec moi. Je la sauterai quand je le voudrais, sinon elle sera baisée tous les soirs par mes hommes, elle avec sa copine Claudia. Et quand je me serai lassée d’elle, je lui collerai une balle dans la tête. Il venait de me glacer. Il venait de me faire perdre le dernier espoir qui me restait. Je venais de trouver un homme, des sentiments naissants et tout était piétiner, en une fraction de seconde. - Veronika, allez viens me sucer maintenant. Il défit sa braguette et en sorti sa queue. - Si je sens tes dents, je lui colle une balle, compris. Il fourra sa queue dans ma bouche et tenait ma tête. Il me for(cait ainsi à prendre un rythme soutenu. - Oui prends la bien au fond… rohh mais quelle suceuse ! - Ludwig, regarde ta putain comme elle est douée ! je comprends ce que tu lui trouves. - Ne t’arrête surtout pas.. Continue, allez applique toi ! De ses deux mains collés à la tête il me forçait vigoureusement. Quand il fut sur le point d’éjaculer dans ma bouche, j’ai profité de ce moment là pour le mordre si férocement qu’il n’avait pas son pistolet pointé sur Hans. Il hurlait pissait le sang. Je me retrouvais la bouche avec son sperme, l’envie de vomir. Juste une demi seconde pour me saisir de son pistolet. Les deux autres soldats ne bronchèrent pas. Je mis le pistolet sur la tempe de ce connard. - Détachez le ! tout de suite. - Jetez vous armes aux sols. J’étais en crise de nerf. Je pleurais comme il n’était pas possible de pleurer. Comment un homme pouvait détester à ce point les femmes ! Il m’avait poussé à bout. J’attrapais la bouteille de champagne pour enlever le gout répugnant de son sperme dans ma bouche. J’étais si écoeurée. L’odeur reste, le gout aussi. Je me suis mise à vomir sur le sol. Hans avait pris ma place. - Tourne toi Véronika, je ne veux pas que tu vois ça. J’entendis une détonation. Lintzer tomba sur le sol. Mort. Il me prit alors dans ses bras et m’enlaça si fortement. - Tu es une femme forte ! je suis là ! Je n’arrivais plus à réfléchir. J’étais en état de choc… Je criais juste. Claudia… - Claudia.. claudia, ton amie est ici ? Je fais un hochement de la tête. Ses hommes libérés, ils firent le tour de la maison. Ils trouvèrent Claudia enfermée dans une chambre, complètement droguée. Homme me prit dans ses bras et m’emporta loin de ce lieu atroce. La suite : Chapitre 5
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Par : le 21/09/21
J’attends patiemment ma pâtée étant sans doute le seul à ne plus sentir la puanteur de ma couche. Après quelques heures Allan m’apporte mon repas qui devient mon réconfort. Pour la boisson, je travaille en autarcie complète ; je pisse, je bois, je pisse, encore et encore. «Je vais te débarrasser de cette couche immonde, allez lève-toi» me dit Allan Il la prends et la jette prestement dehors tant elle pue. «Voilà ce sera mieux, tu seras plus facile à laver demain. Désolé, mais je n’en ai pas d’autre» Je me retrouve donc directement sur la planche. C’est dur mais enroulé dans ma couverture, c’est plus agréable que sur ce matelas immonde. Je m’endors vite. Le réveil sera très matinal. Allan vient me chercher comme d’habitude pour un petit déjeuner toujours exclusivement uro. Après cela, c’est le traditionnel décrassage au jet d’eau bien froide. Il me remplace mon rosebud par un plug avec une grande queue de renard. Il m’attache les mains dans le dos avec une paire de menottes métalliques et m’emmène en laisse jusqu’à un bel appartement. Il me laisse au milieu d’un grand salon plus aménagé pour le SM que pour la détente. C’est avec surprise que je vois entrer Maîtresse Célia. Elle congédie rapidement Allan et s’adresse à moi sur un ton courtois. «Aujourd’hui, j’avais envie de me détendre alors j’ai voulu voir si tu mérites d’être ici. Pour moi, tu n’es rien et tu n’as aucune chance de devenir mon soumis. Tu sera mon objet toute la journée et je te demande respect et soumission» Je suis au milieu de la pièce, tête baissée et je l’écoute sans broncher. Je m’apprête à lui répondre mais je reçois une gifle dans la seconde. «Je ne t’ai pas autorisé à parler alors tu évites de m’interrompre. Je veux que ton seul horizon soient tes pieds. Maintenant tu vas au coin, tête contre le mur» Son ton est posé, ferme et je m’empresse de lui obéir. Elle me fait écarter le jambes pour me fixer un écarteur au chevilles. Penché , la tête contre le mur. Ma position n’est pas des plus confortable. J’entends Maîtresse Célia s’éloigner et me lancer : «Je vais appeler quelques amies, alors SILENCE. Ta punition durera le temps de mes appels et mes amies sont assez bavardes» Je souffre déjà et l’avertissement de Maîtresse Célia ne m’annonce pas une fin prochaine de mon supplice. Elle passe un 1ère appel assez court et mon moral remonte. Elle enchaîne malheureusement un deuxième appel qui dure une éternité. J’ai le front écrasé, les cervicales de plus en plus douloureuses. Le silence qui suit la fin de son appel me rassure et encore plus quand je l’entends dire : «Approche» «Oui Maîtresse» .Avec les menottes et la barre d’écartement, c’est plus facile à dire qu’à faire. J’arrive à me redresser douloureusement et je la rejoins en dandinant. Arrivé à ces pieds, elle me libère les chevilles et les poignets. Son sourire est encourageant et je ressens son envie de prendre du plaisir. «Met-toi ici, écarte les jambes et lève les bras» Ainsi présenté, elle m’attache les chevilles et les poignets à des sangles qu’elle tend très fort pour m’écarteler. Maîtresse Célia a en main une canne anglaise très fine avec laquelle elle me fouette sèchement. Ces coups sont précis et les traces de la canne dessine bientôt un beau motif écossais. Je suis nu mais elle ne tarde pas à m’habiller de cette fresque géométrique qui vire du violet au rouge. Maîtresse Célia jubile et cela transpire sur son visage. Elle m’a gravé un body coloré des pieds aux épaules. Les traces que j’aperçois sont profondes et quelques gouttes de sang en suinte légèrement. Ma peau est chauffée à blanc. Contente de son œuvre, Maîtresse Célia me détache précautionneusement comme pour ne pas casser son objet. D’un geste autoritaire, elle me montre le sol m’intimant de me mettre à genoux, les mains sur la tête, le regard vissé au sol. « tu as bien sali le salon, alors il va falloir faire le ménage Ma Renarde» Elle sort d’un tiroir une jupette et un soutien-gorge de soubrette que j’enfile prestement. Elle me trouve également des escarpins avec talons de bonne hauteur. Maîtresse Célia m’humilie habilement avec ce costume et ma queue de renard. Pour accroître encore ma soumission, elle me demande d’aller chercher une balayette, une pelle, un seau plein d’eau chaude, une brosse et une serpillière. «Aller, à quatre pattes et frotte» C’est avec ces outils dérisoires que je dépoussière et que je lave le salon sous le regard de Maîtresse Célia qui me tangue régulièrement, «plus vite, c’est pas propre, frotte plus fort et puis regarde tout ce qui reste» après avoir donné un petit coup de pied dans ma pelle que je venais juste de remplir… Elle me chevauche, me cravache toujours plus sèchement. Elle rit de bon cœur en précipitant ma maladresse naturelle. Son rire est communicatif mais un coup sec de la canne anglaise me remet vite à ma place. Ouf ! malgré tous les efforts de Maîtresse pour que je n’arrive pas à laisser le sol nickel, je termine tant bien que mal mon épreuve de Sissi. «Bien, tu vas préparer le repas» Après avoir chauffé son déjeuner, je lui sers son repas sur la table de la salle à manger. Maîtresse exige que je me déplace exclusivement à quatre pattes. Entre les plats, je suis à genoux à côté d’elle. Je suis attentif à ce qu’elle ne manque de rien. C’est seulement par mon service impeccable que Maîtresse me fait l’honneur de ses restes dans une gamelle de chien. Je lape avec difficulté cette gamelle qu’elle a posé à ces pieds, la poussant subrepticement pour me rendre la tâche encore un peu plus ardue. A la moindre faute, Maîtresse me retire la gamelle tant que je ne lui ai pas donné satisfaction. Maîtresse est juste. Elle me caresse les cheveux pour me montrer sa satisfaction. «Bon toutou, tu peux débarrasser maintenant et faire la vaisselle» Je ne perds pas de temps pour lui obéir car à quatre pattes, c’est nettement plus lent ce qui exaspère vite Maîtresse Célia. La canne anglaise me le fait bien comprendre et j’accélère autant que possible. «Bien, dès que tu as fini, aux pieds dans le salon, je suis sur le divan» Je ne tarde pas à me prosterner à ces pieds. «Ôte moi mon escarpin et tend ta main» Elle me déverse une noisette de crème de massage au creux de la paume. Je commence à lui masser les pieds puis les mollets avant de prolonger avec l’autre pied de Maîtresse. «Tu es plus doué pour les massages que pour enlever les chaussures» Je baisse la tête à la fois flatté et honteux. Ma journée aux pieds de Maîtresse Célia continue, je vous la raconterais bientôt A suivre ….
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Par : le 21/09/21
LA rencontre Comment expliquer ma rencontre avec ma nouvelle esclave (Kate) à nos familles ? La question me taraudait (oui même un Serial Dom peut dans des circonstances certes exceptionnelles être taraudé cher lecteur et surtout... trice) depuis quelques temps. En effet il est nécessaire de se coordonner afin de présenter la même histoire au monde vanille. Franchement vous me voyez lors d'une réception princière (forcément) chez Monsieur et Madame Kate répondre à la question : _ alors comment avez vous rencontré notre fille ? _ Bah c'est simple sur un site BDSM ; je cherchais comme toujours un nouveau cul à déglinguer et comme votre fille est folle de la bite, on avait tout pour s'entendre. J'ai toujours eu du flair pour repérer les chaudasses. Même si c'est évidemment la stricte vérité, une petite voix intérieure me disait que je devais édulcorer l'historique véracité. Kate proposa une version qui me sembla cohérente (pour une fois). _ Et bien par un de ces heureux hasards de l'existence, qui parfois fait bien les choses : un banal mini accrochage sur un parking alors que je reculais pourtant doucement et prudemment, un constat sur la terrasse du café voisin devant un verre, et me voilà follement éprise du plus merveilleux homme que cette terre ait porté. Le constat ne fut jamais signé, mais un infini bail commun si. Bon même si je n'étais pas totalement reconnu à ma juste valeur (notamment concernant mes performances sexuelles tout comme ceux de dom impitoyable), cela me convenait peu ou prou. Et puis tout n'était pas faux dans cette histoire. Surtout la seconde partie. Pour autant, ma haute conception de la déontologie me pousse à révéler à un public averti la stricte vérité. Légèrement différente. Que voici : par une belle journée marseillaise près des calanques, je reprenais le chemin de la ville dans ma super 5 plus âgée que moi mais formidablement conservée (point commun avec votre serviteur soit dit en passant), quand une folle furieuse pressée sortit comme à son habitude de sa place de parking tous pneus fumants. Me percutant par le travers, ma limousine (j'avais acheté mon carrosse près de Limoges) versa dans le ravin attenant : stoppant sa course folle après quelques tonneaux; j'eus la chance inouïe que les pompiers me désincarcèrent relativement rapidement. Il faut dire que quand on a ma tête coincée entre les genoux le temps peut rapidement paraître long. Transformant au passage ma berline en décapotable, ce qui lui conférait un aspect sport indéniable. Comme les nouvelles bosses sur la carrosserie ne se voyaient pas plus que les anciennes, j'étais assez satisfait, pour une fois que mon tuning, toujours de bon goût, était gratuit... Emmené inconscient en réanimation dans un état d'urgence absolue, je ne pus même pas profiter de mon baptême d'hélicoptère dont je me vanterai néanmoins évidemment à la première occasion. Rongée par le remords autant qu'émerveillée par ma beauté, celle qui fut cause de mon initial malheur, infirmière de son état, m'accompagnait pendant ce court vol. Ce fut le premier visage que je vis à mon réveil. Pas trop mal ma foi... Par la suite elle montra une dextérité certaine à s'occuper de moi ce qui lui fit marquer pas mal de points (être d'une beauté exceptionnelle ne suffit évidemment pas avec un serial dominateur). Evidemment comme tant d'autres elle tomba folle amoureuse de moi. Comment faire autrement? Je donnai le change flairant le bon coup... Pas si loin d'une sorte de variante du syndrome de Stockhlom ceci dit . Elle m'expliqua que j'étais amnésique suite au choc, ne me rappelant rien de "l'incident" et bien entendu elle se garda bien de m'avouer l'épouvantable vérité. Sans aucun doute rongée par le remord, elle est depuis une soumise ex-brat (mon dressage d'une efficacité qui contribua largement à ma légende étant passé par là) exemplaire, certainement pour se faire pardonner. Après 14 mois de rééducation intensive (oui même les sportif de très haut niveau peuvent mettre du temps à récupérer l'intégralité de leurs exceptionnels moyens), sa laisse l'attendait: elle devint donc mon esclave éternelle, juste retour des choses pour sa faute originelle. La justice divine était passée. NB: désormais assise à la droite de son Dieu, elle n'est plus jamais en face du volant.
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Par : le 15/09/21
Il me semble être le matin mais ce n’est pas une certitude. Je me réveille dans une horrible puanteur qui ferait fuir un putois. Allan vient me chercher et me passe au jet bien plus longtemps que d’habitude. Malgré l’eau froide, j’ai l’impression de revivre. J’ai toujours mon collier, mes bracelets de poignets et de chevilles et maintenant un plug de bonne taille. Je reste à 4 pattes et Allan me traîne littéralement dans une grande pièce un peu dépourvu de tout et assez sombre. «Aujourd’hui, je ne voudrais pas être à ta place» me lance Allan qui est pourtant d’un naturel peu bavard. Agenouilles toi vite et prends ta position d’attente mains derrière la tête» J’ai à peine fini que rentre une nouvelle Maîtresse. Toute habillée de vinyl noir avec une crinière rousse, elle en impose. J’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche, " Bonj….» que je reçois un grand coup de pieds dans les couilles qui me fais me rouler à terre " Elle se précipite sur moi, m’immobilise avec son genou sur les côtes et me saisit les cheveux à me les arracher. Elle me fixe et sur un ton furieux me lance : «Tu n’est qu’une merde, une larve et je ne t’ai pas autoriser à parler. Et puis je n’ai pas envie d’être salué par une merde. Moi les merdes je les jettes dans les chiottes...» Aïe, aïe, aïe, ça commence mal ! M’agrippant toujours par les cheveux, elle m’oblige à diriger mon regard vers elle et me crache au visage. « Ne te permet même pas de lever les yeux sur moi, sinon je te démonte » Et sur ce elle me jette vers le sol que je heurte violemment du front. A moitié abasourdi, elle me met à nouveau, un grand coup dans les parties avec la pointe de ces escarpins. Je crie de douleur ce qui ne la calme pas vraiment. « Une merde ça ne crie pas, alors ferme la ou je t’assomme. Joignant le geste à la parole, je reçois une gifle qui m’envoie encore au sol. » Me relevant par les cheveux elle me fait agenouiller en me frappant l’arrière des genoux qui se retrouve bientôt en compression sur un cintre. « Mains sur la tête et baisse les yeux avant que je ne me fâche » Ah bon, cela devait être son côté gentillet jusqu’à maintenant ! Je l’entends appeler Allan. « Allan, dépêche toi va chercher les autres soumis comme je te l’ai demandé. J’espère que tu les as bien préparé. Oui Maîtresse » s’empresse-t-il de répondre Il fait d’abord rentrer quatre soumis et les met à genoux, mains à plat sur le sol aux 4 coins de la pièce. Maîtresse Furie, comme je l’ai surnommé dans ma tête en fait le tour pour vérifier si leur position lui convient. Elle trouve à redire à chacun et leur assène des coups d’escarpin sur les couilles, côtes, cuisses selon ce qui lui tombe sous …. le pied. J’ai une position presque enviable, la tête tournée vers le centre de la pièce mais n’est ce pas un piège pour mieux me punir ? Enfin sur un signe, Allan fait rentrer presque solennellement le dernier soumis. Maîtresse Furie se saisit de sa laisse et l’amène au centre de la pièce, lui attache les bras en les tirant vers le plafond et lui impose une barre d’écartement aux chevilles. Elle n’a d’yeux que pour lui et tourne autour en le dévisageant avec envie. Un petit sourire narquois au coin des lèvres lui donne presque un visage accueillant. Elle a maintenant saisi une cravache qu’elle promène sur tout le corps sportif de son soumis. Et puis, l’orage arrive et une déferlante de coups de cravache commence à le marquer sérieusement. Je l’entends demander pitié mais rien ne l'arrête et, épuisé, il pend au bout de ces cordes. Le cintre fait son effet et la douleur devient lancinante. Je n’ose ni me plaindre, ni la regarder. Un silence pesant règne. Elle s’est sans doute mis en pause pour que son soumis récupère. Ne semblant pas être du genre à rester inactive, elle fait vite un tour des autres petites merdes selon ses termes avec un gros paddle qui marque nos fesses sans exception. Étant le seul à avoir une vue sur son activité, je me prends un gros crachat en pleine figure et deux gifles en aller retour qui me font vaciller. «mais…» tente-ai je de dire Et nouvelle grosse gifle avant de terminer ma phrase « Ferme la, tu ne m’intéresse pas, tu n’est qu’une merde qui pue » Ce fut ma dernière tentative de dialogue, si l’on peut dire cela d’un mot inachevé mais pas ma dernière gifle. Maîtresse Furie s’est ouverte une petite parenthèse mais repart bien vite vers le soumis qu’elle a semble-t-il adopté. Elle est sévère, bien sadique alors il faut avoir une sacrée santé pour la satisfaire. Elle s’en approche à petit pas et vient se frotter langoureusement contre lui mais rien ne dure avec Maîtresse Furie. Elle le détache et le plaque au sol sur le ventre. Elle lui monte dessus le dos et les fesses. Avec ses talons bien fins, elle lui pénètre la chair jusqu’au sang et le pauvre gémie de plus en plus fort. Dérangé par ce bruit, elle lui passe un bâillon boule qu’elle serre avec sa délicatesse habituelle. Reprenant le fil de son activité, elle lui griffe le dos comme pour marquer un chemin sous les traces de ses talons. On entend «Humm, Humm» malgré le bâillon Pas rassasié, Maîtresse Furie le retourne et le chevauche sur le ventre d’abord vers le torse, puis vers le sexe où elle lui écrase les couilles avec le plat de ses escarpins. Satisfaite, elle en descend et le relève sans ménagement, elle lui prend les tétons entre les ongles et serre si fort que son soumis sortira quand même un cri de douleur étouffé. Je ne peux deviner les sentiments de son soumis mais Maîtresse Furie ne cache pas son plaisir en poussant son soumis aussi loin hors de ses limites. Elle est constamment active et nous prenons quelques coups de paddle au passage comme des balles perdues. Vu son intérêt, elle ne nous sélectionnera probablement pas, nous autres les moins que rien qu’elle ignore de plus en plus. A tel point qu’elle rappelle bruyamment Allan pour qu’il nous enlève de sa vue. « Allan, ramènes ces merdes dans leur chiotte, il n’y a rien à faire avec de telles épaves » Nous faisons profil bas, honteux d'être ramené à des merdes. Allan s’exécute sans mot dire, et nous ramène en laisse à nos cellules. Le cintre a laissé des traces et c’est en rampant que je m’exécute, humilié encore un peu plus, incapable d'adopter une posture humaine. Maîtresse Furie en profite pour me lancer quelques coups d’escarpins dans les côtes et les bourses. Je rampe de plus en plus vite afin de lui échapper. Elle a su nous rabaissé plus bas que terre et c’est profondément humilié que je me remet sur ma couche puante en attendant la bouillie du soir. A suivre.... La fiction continue
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Par : le 15/09/21
Avec application, le voile de l’illusion, le tenir. Fermement, pas que des mains, retenir. Augmenter la pression, chercher le point de rupture, Infléchir, faire céder ta fierté de cette cambrure. Imaginer la chute, celle dans laquelle je te précipite, Ma porte de sortie, ma fuite, mon exit. M’assurer de quitter la scène, sinon moins en héros, Te laisser croire que tu le décides, que nous sommes égaux. Dans l’agitation de l’action ton bandeau se soulève, je me précipite. Te garder aveugle, à tout prix, te laisser croire que tu m’excites. Il sera bien assez tôt là, le temps ou je ne serais plus, Pour cette hypocrisie du soir, me détesteras-tu ? Dès le départ, tu me les as confiées, les clés de ta soumission. Ces détonateurs, ces alertes, ces voyants qui te pousseraient à mettre fin à cette relation. Ces boutons sur lesquels je sais donc désormais appuyer, Les leviers, les manœuvres, pour te pousser à me repousser. Progressivement, communication, confiance, les déliter. Ces incohérences que tu exècres, les arborer, les exulter. Écarts insupportables entre paroles et gestes, Quant à l’expression de ma domination sur toi, peu à peu, lâcher du lest. Ce soir c’est mon bouquet final, mon ultime jeu théâtral, En bon chef d’orchestre, je sublime et magnifie mes fausses notes, Il est temps que la grenouille se brûle, sorte de mon bocal, Dépasser les bornes, juste ce qu’il faut, cette fois il faut que ça dénote. Tu avais été prévenue, tu venais pour mon plaisir, pas pour le tien, Promptement faire mon affaire, m’assurer du minimum te faire endurer, Chancelante, comme toujours, mais cette fois l’issue qu’importe, Tu n’es que le sujet d’expérience de mes doutes inavoués. Ruisselante de mon foutre, aussitôt te congédier. Sans un regard, tu reprends ton sac, de chez moi referme la porte. Comme un clap de fin l’écho irrégulier de tes talons désorientés dans l’escalier. Ton attitude sans équivoque m’en rassure, le message est passé.
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Par : le 11/09/21
De tous les « instruments » dont tu uses pour marquer ton pouvoir, ton «  territoire » (moi 😀), le fouet est celui dont le sens pour moi est le plus fort. Parce qu’il est le symbole de ce que j'ai voulu, de ce que je suis et veux être pour toi. Pas seulement ta soumise. Mais bien ton esclave. Et aussi parce que tu es le premier qui m'ait jamais fouettée. Puisque c'est moi qui ai voulu que tu me le fasses découvrir. Pas pour me" punir", pour cela la cravache faisait parfaitement l’affaire, que pour te prouver que je suis pleinement à toi. Que mon corps t’appartient. Que tu as tous les droits sur moi. Malgré tes réticences. Parce que même si tu en maîtrisais l’usage, tu ne voulais pas t’en servir sur moi. Parce que j’avais toujours refusé d’être fouettée avant toi. Parce que ça me faisait peur. Parce que tu savais que ça fait mal. Et que tu ne voulais pas me faire de mal. En dépit du plaisir que ça te procurerait de me l’infliger. Alors, je t’ai forcé la main. J’ai insisté. Malgré mes craintes. De ne pas parvenir à résister jusqu’au bout à la douleur. Parce que je voulais te laisser à toi et à toi seul l'initiative d'arrêter. Quand tu le jugerais nécessaire. J’ai pleuré, crié, supplié, mais j’ai tenu, serrant les dents. Sans prononcer à aucun moment le mot qui pouvait tout arrêter. Et j’ai joui. Comme jamais un homme ne m’avait fait jouir. De cette douleur que j’avais voulu t’offrir. Pour te prouver que j’étais désormais totalement à toi. ________________ Je « pratiquais » le (bd)sm bien avant de rencontrer mon Maitre. J’avais déjà connu la badine, le ceinturon, la cravache et d’autres instruments encore. Mais je n’avais jamais osé franchir cette ultime limite. Par peur, crainte de la douleur, mais aussi sans doute parce que je ressentais le fait de subir le fouet comme le cadeau ultime que je pourrais faire à un homme. Et que je jugeais que mes amants de l’époque ne le méritaient pas ou que je n’étais pas prête, moi, à le leur offrir. Bon, depuis, les choses ont évolué et je pense à un autre "cadeau" désormais. Mais chaque chose en son temps :smile: Mon Maître quant à lui en maîtrisait l’usage, pour l’avoir utilisé sur d’autres avant moi. Mais il s’y était toujours refusé avec moi. Alors, je lui ai forcé la main, en lui offrant un fouet, un single tail australien, pour s’en servir sur moi. Ça a été douloureux, très même, jusqu’à ce que les endorphines et ce que je ressentais, cette jouissance de m’offrir totalement à lui, m’emportent dans cet ailleurs qu’on appelle le lâché prise, le subspace. Plus loin que je n’avais jamais été. Par contre, si cette première fois (mais pas la seule, même s'il continue d'en user avec modération :smile:) où j’ai connu cette jouissance/souffrance à nulle autre pareille restera toujours un moment très fort dans la construction de ce que nous sommes désormais l’un pour l’autre, il n’en demeure pas moins que le fouet reste un instrument dangereux, à manier avec prudence. D’autres que moi ont déjà écrit sur le sujet, et je renvoie à leurs articles. Et notamment : https://www.bdsm.fr/groups/519/ https://www.bdsm.fr/forum/thread/917/Le-fouet-en-SM/ Je recommande en particulier le premier, de ma chère Lady, le plus complet que j'ai jamais lu sur le sujet (après que j'ai "découvert" le fouet et ses effets sur moi), tant sur les volets "techniques" que psychologiques. Même si nous nous plaçons l'une et l'autre du côté différent du manche, ses mots expriment parfaitement ce que nous avons ressenti, mon Maître et moi, et le sens que nous avons donné à ma première flagellation (et que nous continuons de partager quand il décide de se servir à nouveau de ce fouet qu’il aime d’autant plus que c’est le nôtre, celui que je lui ai offert, réservé à mon usage). _______________ Les points clés pour moi sont d’abord que celui qui s’en sert en connaisse le maniement, et se soit entrainé avant sur des objets inanimés. Dans mon cas, mon Maitre avait en outre fait le choix de m’attacher « serrée », pour éviter tout mouvement involontaire de ma part, susceptible d’entraîner un coup mal placé. Il avait aussi longuement insisté, avant et pendant, sur son exigence que j’use du safeword convenu à n’importe quel moment, si je jugeais que les choses allaient trop loin à mon goût. Et surtout, en dépit de l’excitation que provoquait chez lui ce sentiment de pouvoir, de me savoir ainsi totalement à sa merci, parce que j’avais voulu qu’il en soit ainsi, il a été tout au long de la séance d’une attention extrême à mes réactions. Et je sais que ce n'était pas évident pour lui à ce stade d'excitation. Il est aussi de tradition de recommander d'éviter de fouetter certaines parties du corps, les seins, le ventre, le sexe en particulier. Je lui avais demandé de passer outre et même si j’ai «morflé », il a su doser les coups de sorte à m’éviter de prononcer le mot que je ne voulais surtout pas dire. Un dernier point, qu’il me semble nécessaire de souligner pour ceux/celles qui seraient tentés par l’expérience, c’est l’importance de l’aftercare. Je sais qu’il n’est pas toujours simple pour les mecs après avoir joui de se rappeler à quel point la «soumise » a besoin d’eux à ce moment là. Pourtant, ce sont ces moments là qui légitiment et justifient tout ce qui a précédé et suivra. L'attention, le soin, physique et psychologique qu'on porte à la soumise. La laisser « se dire ». L’écouter. La tendresse qu'on lui manifeste. Et puis il y la le plus important, la raison qui m’a poussée à briser mes derniers tabous, la confiance absolue que l’on porte à l’autre, parce qu’on sait, qu'on sent sans le moindre doute, qu’il saura s'en montrer digne.
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Par : le 10/09/21
Ma drogue, mon héroïne, je sais qu'avec Vous, il n'y a aucun risque d'overdose. Alors je vous respire, envoûtée par vos effluves, mon corps en transe implose. Dans les nuages, je suis, Vous êtes ma dépendance. En votre absence, je compose. Rien n'est aussi bon que d'être accroc sans devoir surveiller la dose. Offrons-nous une petite évasion qu'il est bon de voir la vie en rose. Gonflés à bloc, on se consomme, on se consume ; érotique symbiose. Une étincelle m'embrase, dans mes veines, c'est l'apothéose. Effets instantanés. Ma drogue à moi, c'est Vous et pas autre chose. Même s'il y a souvent cet état de manque, ce vide Obscurs moments de solitude, de noirceur insipide Nos retrouvailles sont toujours merveilleuses, et tout redevient limpide. Heureux dans notre bulle sans penser à la piqûre de rappel Eviter le temps qui passe, planer et profiter de l'essentiel. Ravageuse, Vous êtes mon crack, mon héroïne, comme un éclair dans le ciel Ombre devient alors lumière, qui me foudroie d'une voix sensuelle Inondé de bonheur, ma délicieuse, ma délicieuse, ma belle Nos "trips" n'ont nul besoin de substances hallucinogènes, mon don me donne des ailes. Et je ne suis dealer que pour Vous offrir ma soumission cérébrale et bien réelle. Le 26 07 2021
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Par : le 10/09/21
Apres cette journée bien rempli, j’avais le droit de souffler un peu. Histoire de digérer le fait d’avoir perdu une journée de congé à faire de l’administratif, je me suis décidé à m’offrir ce petit cadeau qui me faisait de l’œil depuis quelques temps. Sur la route du supermarché, se trouve le sexshop du coin. Etant donnée qu’il n’est que 16h, j’ose m’y aventurer, me disant qu’il n’y aura personne a cette heure ci en pleine semaine, et que je ne risque pas de croisé le regard jugeur d’un autre client, ou même d’une connaissance. D’un naturel très timide, l’une de mes craintes est d’exposer aux yeux des autres ma sexualité que certains qualifierait de décalé, ou étrange. A peine le moteur coupé, je sens une sorte d’anxiété monté en moi. Rapidement, je me rend compte que ce sentiment est accompagné d’excitations. Je respire profondément et prend mon courage a deux mains. Je sors de ma voiture et me dirige vers l’entré du magasin. « C’est une recherche tout a fait normal, tu n’es pas bizarre » me dit une petite voix dans ma tête. A l’intérieur, l’espace est immense, le plafond très haut. Les murs sont peint en rose sur la moitié haute, tandis que le bas est en noir. A l’entrée sur la gauche se trouve les premiers rayons de sextoys. Des modèles assez « classe » et discret, pour éviter d’effrayer la clientèle, j’imagine. Au milieu se trouve le comptoir de vente avec les caisses. Je suis accueilli avec deux « bonjour » léger et enjoué. Ces mots viennent de deux femmes se tenant à côté du comptoir. A ce moment la un homme sort d’une pièce sur la droite, dont l’entrée est fermée par un rideau. Il s’approche des caisses 2 boites de DVD en mains, le regard fixé sur le sol, fuyant mon regard, de la même manière que j’aurais fuis le sien dans sa position. Je rejette un coup d’œil au rideau et vois le panneau qui surplombe l’encadrure indiquant le rayon de film pour adultes. « Allez, tout va bien ce passer. Détends-toi ! ». Je commence à faire le tour des rayons, en quête de ce qui m’a amené ici. Bien que pressé d’en arriver au but, je prend le temps d’observer avec grande attention tout les rayons. Les godes du plus petits des vibros au gros machins qui semble impossible de s’enfiler, des dessous sexy d’infirmière aux tenues intégrales en latex, il y en a pour tout les gouts et tout les besoins. Je prends un plus mon temps au rayons plug anal. J’essais d’imaginer l’insertion de chacun d’entre eux dans un anus, ce qui a tendance a faire monter l’excitation que j’ai en moi. Je passe lentement, l’ère de rien, devant les accessoires SM, notamment les martinets, cravaches et autres outils permettant de fouetter. J’imagine, là aussi, l’effet de chaque objet sur une paire de fesses ou sur quelque autre endroit d’un corps. Voilà déjà 20 minutes que j’ère dans les allées de ce sexshop. Je fini enfin par tomber sur ce que je cherche. Il s’agit maintenant de trouver le bon modèle. Là encore, il y a en pour tout les gout, de toutes tailles, en différentes matières, etc. Un peu perdu devant autant de choix, j’observe, et essaye d’esquisser un semblant de réflexion pour orienter mon choix. Apres quelques minutes planté devant se rayon, une douce voix me dit : « Puis-je vous aider ? ». Mon petit sursaut témoigne de ma surprise. Malgré la légèreté de sa voix, je n’ai pas pu m’empêcher de tressaillir de peur. « Toutes mes excuses, je ne voulais pas vous faire peur » me dit l’une des deux vendeuses. « Non, non pas de soucis, c’est moi qui m’excuse, j’étais perdu dans mes pensées ». « Je comprends. Alors dites-moi, comment puis-je vous aider ? » Sa voix était extrêmes poser. Bien sûr, travaillant ici, elle avait l’habitude de conseiller des clients sur des objets intimes, et ne ressentait donc aucune gêne pour en parler. Cela avait quand même le don de me surprendre. « Est-ce que vous avez déjà des modèles qui vous intéressent ? » « Oui… non… a vrai dire, je n’en ai aucune idée. J’ai regardé chaque modèles sous toutes ces coutures, mais j’arrive pas a m’orienté vers l’un ou l’autre ». « De les avoirs tous regardé est déjà un bon début, pour trouver le bon modèle ». « On peut le voir de cette manière… » « Est-ce que c’est pour offrir ou est-ce que c’est pour vous ? » Je senti le stress faire son retour. « C’est… euh.. c’est pour of.. c’est pour offrir à moi-même. » ma voix était tremblante. « Très bien » me dit la vendeuse, d’un ton toujours aussi léger. Cependant, je vis, avec ces mots, quelques étincelles illuminer son regard. Elle laissa un court instant de silence avant de reprendre : « On progresse ». Sa bouche esquissait un discret sourire bienveillant. « Est-ce la première fois que vous acheter ce genre d’outil, si j’ose dire ? » « Oui » « Alors, si c'est pour découvrir la sensation que ca procure, je vous conseil ce modèle ou celui-ci. Ils sont assez facile d’utilisation. Le premier est en plastique dure, alors que le second est souple. Il sera plus doux avec votre intimité, la ou le premier dictera un peu plus son jeux. Avant de choisir la taille, il faut, je pense, vous décider sur le type que vous souhaitez prendre. » « Le premier me semble peut-être plus adapté à ce que je cherche. Et je dois avouer que cet anneau rigide me plait plus que sa version souple. » Je m’étonnais moi d’être parvenu a sortir ces quelques mots du premier coup, tant j’étais intimidé de discuter de cela avec la vendeuse. Celle-ci vit dans mon regard fuyant, que je n’étais pas à l’aise avec la situation. « Si vous voulez, on peut prendre quelque modèles et aller dans mon bureau, afin de poursuivre cette discussion dans un endroit discret. Je vous sens pas forcement a l’aise avec ce sujet, je pense qu’il peut être pas mal de démystifier tout ça ensemble. Qu’en dites-vous ? » J’étais tétanisé. Mon pouls c’était accéléré, de terreur, mais aussi d’excitation. L’espace d’une fraction de seconde, je m’étais imaginé une session d’essayage privée avec cette femme, dans son bureau. Essayant de paraitre tout à fait serein, je dis, sur ton maladroit : « et bin pourquoi pas ?!» Elle prit quelques modèles, 2 en plastiques souples, et 4 rigides, et me proposa de la suivre. Son bureau était situé au premier étage. Apres avoir passé une première porte sur la droite de la salle principale du magasin, un escalier mené a une grande pièce rectangulaire. La porte se situait au milieu de celle-ci. Face a l’entrée, le mur était couvert de fenêtre donnant sur l’extérieur du bâtiment. A chaque extrémité de la pièce ce trouvait un bureau, un pour chacune des vendeuses j’imagine. Entre ces bureau ce trouvait, contre les fenêtres un coin détente, composé d’un canapé et de deux fauteuils. « Asseyez-vous, je vous en prie » me dit-elle. « Est-ce que je peux vous offrir un café, un thé, ou un verre d’eau ? » « Je veux bien un verre d’eau, s’il vous plait . » Elle se dirigea vers son bureau, a côté duquel se trouvait un petit frigo. Je ne pu m’empêcher de la regarder lorsqu’elle eu le dos tournais. C’était une femme ravissante d’une trentaine d’années, 35 peut-être. Elle faisait a peu près ma taille, avec ses talons. Ses cheveux étaient d’un noir brillant, et tombaient sur ces épaules. Elle portait une jupe en jean, qui s’arrêtait juste au-dessus du genoux, ainsi qu’un t-shirt blanc. Sa silhouette était fine et élancé. Son allure était franche mais légère. Elle sortie une bouteille d’eau du frigo, pris un verre qui était posé retourné sur un plateau, et revint vers le canapé. Durant son retour vers le canapé, mon regard se tourna vers les murs, cherchant quelques chose d’intéressant a regarder autre que la vendeuse. Elle pris place sur le canapé face a moi. « Tenez. » « Merci. » « Alors, voyons ce que nous avons là. » me dit-elle en étalant ce qu’elle avait ramené de la salle sur la table. J’avais la sensation d’être a une soirée Tupperware pour adulte. J’étais toujours aussi terrifié et excité a la fois. « Comme je vous est dis tout a l’heure, les souples sont plus doux, plus « abordable », là où le rigide procure plus de sensations, bonne et mauvaise. Ici on a trois modèle différents et j’ai pris deux tailles de chacun. Vous m’avez dis être plus attiré par un modèle rigide. J’imagine que vous êtes plutôt à la recherche de sensations. » « Oui effectivement. Les rigides me semble plus sympa. » Son visage était toujours illuminé un sourire bienveillant. Elle baissa les yeux vers la table, avant de les relever, et me dire en me regardant droit dans les yeux : « Enfin que vous sentiez plus à l’aise, j’aimerai vous dire que je suis là pour vous aider à trouver le produit qui correspondra le mieux a vos attentes. J’ai l’habitude de conseiller et de vendre ce genre de chose. C’est mon métier. En plus de ça, pour tout vous dire, il m’arrive assez régulièrement d’en utiliser avec des hommes dans ma vie. » Mon cœur fit trois tours sur lui-même. Je ne sais pas si ses paroles avaient apaisées ma peur, ou si c’est l’excitation qu’elles provoquaient en moi qui avait confiné la peur. J’ouvris la bouche, mais aucun mots n’en sorti. « Pourriez-vous me dire ce qui vous amènes a vouloir faire cet achat ? » « euh… et bien… » Je pris une grande respiration, histoire de regrouper un peu de courage. « Je… disons que je cherche… enfin, je suis… disons que j’explore différents aspect de ma sexualité. Je... Je m’intéresse depuis quelques temps au milieu BDSM, sans trop savoir précisément ce qui m’attire la dedans. Et... » « Ca y est, j’ai mis les pieds dans le plat !! » me dis-je intérieurement. La vendeuse me regardait fixement. Elle semblait comme pendu à me lèvre, dans l’attente de la suite. Un simple « ok » accompagné d’un hochement de tête, me signifiait de continuer. « Ce qui est sûr, c’est que j’ai plutôt une tendance à être attiré par la soumissions. Cependant, il y a une partie de moi, qui souhaiterai dominer. Mais c’est une domination plutôt perverse, et j’ai du mal a voir claire en elle. J’ai déjà eu des expérience de pseudo SM, lors d’ébat sexuelles. Et ils m’ont plutôt conforté dans cette attirance pour la soumissions. Le fait est que je n’ai pas de partenaire, en ce moment, mais que j’ai envi de m' enfoncé un peu dans le BDSM. Afin d’approfondir mes envies. » Je ne sais par quelle sortilège, elle était parvenu, à me faire dire tout ça, mais j’étais fier de moi, d’avoir surmonté ma timidité. « Je comprends, pratiquant moi-même, le BDSM, je sais a quelle point la découverte de ce monde est à la fois perturbante et excitante. Cependant, vous ne m’avez pas clairement exprimé quelle était la motivation de votre achat, me semble-t-il ? » Son sourire était devenu un peu plus prononcé, et semblait exprimer une certaine perversité. Comme si elle se faisait un malin plaisir de me pousser dans mes retranchements, jouant avec ma timidité pour me torturer. « Il est vrai. En fait, je… Comment dire ça. Comme je vous l’ai dit, je cherche a explorer comme je peux, avec les moyens du bord, certaines sensations. Notamment, la soumissions. La partie perverse de moi-même, à suggérer qu’il pourrait être intéressant, de… d’utiliser ce genre d’objet de temps en temps, chez moi, pour… me… enfin… pour me soumettre à moi-même. » « Intéressant. Donc votre achat n’est pas motivé par une tiers personne ? » « Non. » « Et vous êtes a la recherche d’expériences me dites-vous ? » « Oui. » Le silence rempli la pièce durant quelques seconde. Je ne savais pas ou me mettre. L’absence de parole fit remonter la timidité. Je tenta de briser le silence, avant d’être aussitôt interrompu. « Je. » « Non ! » Elle avait placé sont index sur sa bouche, me signifiant de me taire. « Si je comprends bien, vous êtes en pleine découverte de votre sexualité. Vous vous sentez plutôt soumis, et chercher à confirmer ceci. Pour ce faire, vous voulez vous offrir ça, et le porter chez vous afin de vivre une sorte d’expérience de soumission ? » « Oui c’est bien ça. » Elle laissa un long silence, avant de reprendre : « Si je vous demandais de vous mettre à quatre pates devant moi, le feriez-vous ? » Mon corps se raidis. Est-ce que j’avais bien compris ce qu’elle m’avait dit ? « Je… c’est-à-dire ? Je ne suis pas sûr de bien comprendre. » « Vous avez parfaitement compris. Mais pour ôtez tout doute persistant, je vais me répéter. Si je vous demandais de vous mettre à quatre pattes devant moi, maintenant, le feriez-vous ? » Je restais sans voix. Je n’osais pas assumer ce que j’avais compris. Par curiosité, je répondis, balbutiant : « Oui » « Intéressant, faite le. » Je m’exécutas. « Bien. Maintenant, si je vous demandais de vous lever, de marcher jusqu’au bureau, de revenir et vous remettre a quatre pates devant moi, le feriez-vous ? Je ne dis mot, et effectuât ce qui m’avait été demandé. « Bien. » J’étais devant elle, a quatre pate, dans l’attente de la suite. Je sentais son regard posait sur moi. « Si je vous demandais d’embrasser mes chaussures, le feriez-vous ? » Une fois encore, elle dictat, je fis. J’embrassas délicatement chacune de ses chaussures, sur le dessus. « Très bien. Debout, maintenant ». Sa voix avez légèrement changer. « J’ai comme l’impression que vous êtes extrêmement volontaire pour essayer de nouvelle choses. » me dit-elle d’un air sérieux. « Je dois avouer qu’en effet, cela tendance à aiguiser ma curiosité. » « hmmm…. Bien bien bien. Que diriez-vous de jouer a un petit jeu avec moi ? » « Quelle genre de jeu ? » « Le genre qui fait découvrir des choses ! Disons, que j’aime m’amuser avec les hommes. Particulièrement, ce qui débutent dans le BDSM. Et vous me semblez particulièrement prometteur. Je vous propose de vous soumettre a moi le temps d’une heure ou deux aujourd’hui. Si l’expérience est concluante, soit je vous prendrais sous mes ordres de manière plus régulières, soit je vous enverrais vers des collègues. Qu’en dites-vous ? » J'étais sous le choque. « wow. Je ne m’attendais vraiment pas à ca en venant ici. Je ne sais pas quoi dire… je. » « C’est oui ou c’est non ? » « Euh, c’est oui, je pense. » « J’ai besoin d’un peu plus d’entrain ! » « C’est oui Madame ». « Bien. Alors pour commencer tu dois m’appeler Mademoiselle. C’est une manière de signifier que tu ne m’appartiens pas encore. » « Oui Mademoiselle ». « Tu comprends vite, c'est bien. Que dirais-tu, pour commencer, d’essayer un des jouet qu’il y a sur la table ? » « Avec plaisir Mademoiselle. » « Enlève tes chaussures, chaussettes, pantalons et caleçon. Pose le tout, plié correctement sur mon bureau. On va voir quelle taille de va le mieux. » Suite au prochain épisode.
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Par : le 08/09/21
En juillet je navigue sur un site BDSM - bien sûr :-) - et je tombe sur une annonce: un couple étranger de passage sur Cannes en août pour leurs vacances cherchait une rencontre. Je regarde le profil, les photos, les commentaires... Et j'ai envie de répondre: Ils semblaient complices, kinky (comme ils aiment à le dire), les commentaires sont bien écrits et sans fautes. Madame est séduisante et soumise à Monsieur. J'envoie un message sans grande espérance. Ils doivent en recevoir des dizaines et d'hommes libres célibataires donc dispo 24/7. Le lendemain, il répond et on échange. RDV est pris avec lui pour nous rencontrer en premier. Et si le courant passe, on se retrouve tous les 3. Ce n'est pas ma recherche première, un trio, mais ce couple semble sympa et j'ai besoin de voir du monde :-) Bref on se rencontre sur le bord de mer à Cannes pour un café matinal. Le courant passe super bien.  Il est vraiment sympa. On discute une bonne heure en anglais. Et avant de partir me dit qu'il me recontactera. Je croise les doigts pour que ce soit vrai... Une heure après,  je reçois un message avec un RDV dans ses jours. Et on se mets d'accord sur un scénario... Le jour J Il est 8h30 sur Cannes. Je reçois un message: tout est prêt. Il m'accueille au portail. Nous ne faisons pas de bruit. J'entre, enlève mes chaussures et mon cuir (motard). Il me précède dans la chambre. Elle est attachée, mains et pieds, au lit. Cagoule pour l'empêcher de voir et une sucette de bébé dans la bouche. Elle se tortille : Son maître lui a installé un vibro avant que j'arrive. Elle ne sait pas que je suis là,  qu'un autre homme est présent. Il lui parle et la caresse.  Il m'invite à faire de même de l'autre côté du lit, sans bruit. Ma main passe sur un sein et glisse vers son cou. Je tire son collier pour lui faire sentir sa soumission. Elle semble perturbée. Nous continuons tous les deux: je passe sur son ventre, sa charte, ses cuisses, j'empoigne sa cheville. Et soudain elle tourne la tête dans les draps comme pour se cacher. Elle a compris :-) Il me fait signe de parler. Je me penche et lui glisse qques mots prêt de sa tête. Elle se tord pour s'enfoncer dans les draps encore plus. Si elle pouvait se glisser sous les draps pour se cacher, elle l'aurait fait. Son maître lui parle, et lui enlève son vibro tjrs en action. Il me fait signe de la doigter. Je m'applique à lui faire prendre du plaisir. Elle est humide et commence à gémir. Nous continuons encore qques instants et il me fait signe de sortir. La suite du scénario nous attend. Comme prévu,  je ramasse mon sac et les attends qqes instants sur la terrasse. Il revient avec le sourire. Il a donné ses instructions. Nous discutons tous les deux: elle ne s'attendait pas du tout à cette rencontre. Elle n'avait pas compris tt de suite qu'un autre homme était présent. Et être ainsi, nue attachée et avec une sucette de bébé dans la bouche l'a déstabilisée. Elle ne sait tjrs pas à quoi je ressemble, qui je suis. Elle est maintenant surexcitée, me dit-il. Elle tarde à nous rejoindre: elle doit porter, à la demande de son maître, sa plus courte jupette, sans culotte bien sûr,  un croptop transparent le plus court possible, talons hauts et son doudou qu'elle ne quitte pas. C'est un daddy's girl. Son maître s'impatiente et ramène deux cafés. Je sors les croissants que j'ai ramené et nous commençons le petit-déjeuner tous les deux. Discutant d'elle. La voici enfin. Elle est super sexy habillée ainsi. Elle porte Son doudou comme une enfant pour cacher son visage et son sourire gênée. Elle me reconnait: avant ce RDV, elle et moi avions échangé des messages et photos. Elle m'avait invité à un apéritif la veille au soir même. Mais le scénario était qu'ellene devait pas être au courant avant. Lui jubile. Moi aussi d'ailleurs. 'Tu m'as invité hier soir, mais me voici pour le petit-déjeuner' lui dis-je Elle rougit. C'est un vrai plaisir. Son maître mets une chaise entre lui et moi. Elle s'assoit. Il lui écarte les cuisses pour qu'elle ne nous cache rien. Elle enfouit sa tête dans son doudou. Je lui repousse son doudou aussitôt pour qu'elle me regarde.  Elle est jolie, ses yeux sont magnifiques. Elle rougit, me sourit gênée. Je prends ma tasse de café et la regarde.  Son maître est partie lui ramener une tasse de thé. Je prend un morceau de croissant et lui tend. Elle va pour le prendre avec les mains. Je recule, elle comprend et mange le croissant directement de ma main. Je lui donne un autre petit morceau dans la paume de ma main. Ses lèvres et sa langue lèchent ma paume. Son geste est plus important qu'il aurait dû être : elle aime ce moment. C'est une certitude. Elle me sourit en mangeant. Son maitre revient, elle prend une gorgée de thé. Je me rapproche encore plus et tire sur la boucle de son collier. Je la regarde droit dans les yeux, tjrs. Et je descends sur ses seins, son maître soulève son croptop pour la pincer et m'invite à faire de même. Elle se pince les lèvres mais nous ne forçons pas plus. Je descends encore et je glisse ma main dans son entrejambe. Elle est humide me dit son maître qui m'avait précèdé de qqes secondes. Il a raison: elle est excitée. Je le suis tout autant: je bande pour elle. 'Debout' elle se lève et écarte plus ses jambes, mets ses mains dans le dos. Visiblement elle a été éduquée... Elle me facilite l'accès à son intimité. Je glisse un doigt, deux doigts, trois doigts et j'accelere le va-et-vient. Elle penche sa tête en arrière et commence à gémir. Elle accompagne mes caresses de son bassin.  Elle se branle sur mes doigts. Je n'ai quasiment plus à bouger. Je la regarde prendre son plaisir. Son souffle s'accélère. Elle gémit.  Elle est si sexy ainsi... Je ralentis. Nos têtes se touchent. Sa bouche est à qqes centimètres de la mienne. Elle s'appuie sur moi. Et après qqes instants, je me retire.  Son maître la tire vers lui et l'embrasse à pleine bouche. Il la tire vers le bas et la voici agenouillée face à lui en une seconde. Il sort son sexe et sans attendre lui baise littéralement la bouche. Je suis derrière elle. Je vois sa tête entre les mains de son maître forcée à lui apporter du plaisir. Elle suce, elle gobe, sa gorge est baisée sans retenue. Il me fait signe de la doigter encore pendant qu'elle s'active. Avec plaisir, je lui prête main forte. Et mes doigts s'introduisent dans sa chatte humide, son cul est à ma merci. Je glisse un doigt. Elle suce. Puis il s'arrête.  Et aussitôt elle se retourne vers moi, toujours à genoux. Elle a été éduquée à satisfaire ses invités, c'est certain. Elle n'a pas hésité un instant. Je prend mon temps alors qu'elle est devant moi, à genoux, dans l'attente de mon bon vouloir. Je regarde son maître. Il me sourit. Elle a les yeux baissés. Je prend mon temps et ouvre mon pantalon. Je sors mon sexe. Elle se jette dessus. Vraiment. Je n'ai pas eu une seconde de répit :-) Elle me suce au plus profond de sa gorge. Sa langue glisse sur mon sexe. Elle suce et lèche en même temps.  C'est divin. Je prend sa tête dans mes mains et je lui donne le rythme que je souhaite. Ses mains sont sur mes bourses à les caresser.  Je m'arrête pour rester dans sa bouche immobile qqes instants. Je lui ordonne de me regarder. Elle lève ses yeux bleus: son regard est si beau. Je m'extrait de sa bouche et lui présente mes bourses.  Elle les lèche, les gobe une puis l'autre. Je force les deux en même temps dans sa bouche. 'Regarde-moi' . Ces yeux.... Et je reprends mon va-et-vient entre ses lèvres. C'est si bon de la voir à genoux, possédée par mon sexe. Offerte à cet inconnu que je suis encore il y a qqes minutes. Ses yeux bleus vers moi. Je n'en peux plus. Je me sens venir. Je m'arrête. Mon sexe turgescent est face à elle, humide de sa salive. Elle ouvre la bouche, m'offre sa langue et attend immobile. Je regarde son maître et je lui demande comment je peux finir. Il me fait signe de faire comme je souhaite. Je la regarde et je le pénètre de nouveau. Qqes secondes de plus ont suffit à me faire jouir. Elle ralentit et ma semence envahit sa bouche, glisse sur sa langue et enfin sa gorge. Je suis au 7e ciel. Je retiens mon râle de plaisir tout en regardant,  si belle soumise. Elle continue tjrs à me nettoyer. Elle n'arrêtera que lorsque je lui dirai. Mon sexe humide du mélange de ma semence et de sa salive est l'objet de toute son attention. Elle est douce, lente, fait durer notre plaisir... Je profite du moment encore un peu et me retire tout doucement. Elle me regarde et avec un doigt essuie la commissure de ses lèvres. Elle me sourit coquine pendant que je me rhabille. J'aurais dû la laisser faire me dis-je. Je l'aide à se relever et elle se rassoit sur sa chaise,  jambes écartées.  Il n'y a pas de mécanisme dans ses gestes. Elle le fait par plaisir de nous exciter. Je me sens à l'aise avec eux. Elle semble heureuse de ce moment et c'est ce qui compte le plus. Nous partageons un moment ensemble : je ne suis pas juste un homme de plus. J'apprécie vraiment. Nous finissons nos tasses respectives de thé ou café. Son maître lui demande si elle apprécie son thé avec ce nuage de lait. Elle sourit coquine: J'imagine à leur regard complice des jeux sur ce sujet. Et nous discutons lui et moi encore un peu. Il est temps pour moi d'aller travailler. Pas facile pour moi de me concentrer dans la journée leur dis-je. Mais avant de partir, je me tourne vers elle et je sors de mon sac une peluche pour chienne. Tu l'as bien mérité lui dis-je. Cela faisait partie du scénario : elle aime être traitée en petite fille et jouet en même temps. Elle me sourit très largement et serré ce doudou contre elle comme une enfant.  Elle me remercie 10 fois. Je suis content: ce geste l'a touché. J'en tire une certaine fierté même. Il me demande de revenir vers lui plus tard avec mes impressions sur ce RDV. Ils feront de même. S'il y a des choses qui ne nous ont pas plu, nous devons nous les dire. Je me rapproche de la porte, remets mes chaussures. Je me relève: elle est devant moi, mains sur les murs et jambes écartées. Son maître la fouille sans vergogne. Elle gémit, se tortille de plaisir. Je la regarde. Son maître m'offre un joli spectacle. Puis il la relâche.  Elle reprend ses esprits, me sourit gênée et m'embrasse sur la joue. Et nous laisse lui et moi. Je la vois partir doucement, attendant peut-être une suite. Mais je dois partir. Il m'accompagne dans le couloir et on se quitte. Avec un sourire complice. Je repars mais je ne suis plus quelle heure il est, où je suis... un moment hors du quotidien... Plus tard je lui écrirai pour lui dire à quel point j'ai apprécié leur présence, la complicité du moment. Ils me diront la même chose. Depuis ils sont repartis mais nous sommes tjrs en contact. Le maître m'envoie des photos d'elle. Elle me nargue :-) Mais je suis dejà invité à leur prochaine venue, et ça elle ne le sait pas ... Photo prise sur le net
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Par : le 07/09/21
L' emission de téléréalité sur la Lune vient de faire un énorme carton sur Terre. Erika, la superbe naturiste allemande de l'espace et sa sissy Mattie se sont mariés à bord du starship posé sur la lune. C'est le commandant Besov qui a organisé le premier mariage civil interplanétaire. Erika a décidé de changer d'état civil, surtout pas de sexe, et c'est elle qui est devenu le mari et l'époux. Mathews devenu Mattie est lui déclaré comme épouse. La sublime Erika a jugé qu'une simple cravate noire entre ses lourds seins en obus suffisait. Une naturiste a ce don de toujours être à l'aise et donc, c'est comme un écran protecteur, cela na choqué personne ou presque sur Terre. Mattie est toute mignonne dans sa robe blanche. Un peu plate mais si resplendissante. Une bonne sissy soumise et encagée, toujours le regard baissé et qui file droit au moindre yeux sombres de son "homme". Une très belle cérémonie qui a révulsé tous les coincés de la Terre mais qui a plu aussi bien aux hommes qu'aux femmes. Je passe sous silence tous les commentaires salaces envoyés. Un tabac monstrueux et un grand souffle de liberté qui a surtout beaucoup fait rire. Après une nuit de noces bien agitée ou Mattie s'est faite bien tringler sa chatte anale, le commandant Besov a chargé ce jeune couple d'une mission spéciale vers un cratère repéré depuis l'espace. Vous n'êtes pas sans ignorer que la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter est probablement le résultat de la collision de deux planètes telluriques. lorsque ces corps célestes tombent sur terre, une bonne partie est brûlée dans l'atmosphère, pas toujours, surtout s'ils sont trop gros. Les dinosaures s'en sont hélas rendu compte. Par contre sur la lune, qui n'a pas d'atmosphère, ils frappent direct. L'idée est que certains astéroîdes sont constitués par des éléments du cœur métallique des deux planètes entrées en collision. Et donc probablement de fer et de bien d'autres métaux, certains précieux comme l'or ou le platine. Avec les cratères plus ou moins gros, il est facile de faire des recherches et c'est ainsi aussi pour essayer de trouver de la glace d'eau. Le voyage dans le rover conçu par le milliardaire des big fucking rockets est un enchantement. Erika qui est le mécano de la mission lunaire est au commandes. Mattie, bien sage, en tenue sexy et mini jupe, sert de navigatrice. Cela fait des heures qu'ils roulent et qu'ils admirent ce paysage désertique fabuleux. Erika a envie de pisser. Elle prend Mattie l'allonge dans la cabine et se sert de sa bouche comme d'un urinoir avec interdiction d'en perdre une goutte. Sa sissy se délecte et lui nettoie ensuite la chatte. l'époux se sent mieux. "putain que c'est bon de pisser ainsi et de se faire nettoyer après par sa femme". Il atteignent enfin le cratère qu'ils doivent explorer et le gros rover descend sans problèmes. C'est vrai que sur la lune il faut diviser tous les poids par six. lls campent dans le Rover. Le repas est vite expédié. Il est temps de dormir. Mattie , l'épouse, se love dans les bras musclé de son homme. Elle est bien. Erika lui caresse sa cage bien serrée, ses petites fesses bien rebondies. Ensuite elle prend son gros god sans harnais et commence par se masser le fond de sa chatte. lorsqu'il est bien en place, elle relève les jambes de Mattie et elle l'empale d'un coup. Pas de préliminaires pour une sissy. De toute façon cette dernière s'enduit toujours de crème pour pouvoir être prise partout chaque fois que son époux la désire. Erika en a vraiment rien à foutre de la jouissance de sa femme! C'est un mec mécano et macho et qui jure. Elle cherche juste à se faire bien jouir en massant son point G avec la partie du god qui est en elle. Et quand l'orgasme est là, elle hurle comme un mec et mord les lèvres de son épouse au cul trempé de jouissance, au clito encagé qui coule en abondance. "Putain que c'est bon de troncher sa femme sur la lune" dit elle. Après elle va se servir une bonne bière et elle s'endort d'un coup. Mattie brûle d'amour pour son homme. Le lendemain, Erika se résout à passer une combinaison spatiale. Mattie reste à bord pour la sécurité. Avec des appareils elle sonde et tout à coup elle hurle: "putain, ca y est j'ai trouvé!". Il faudra plusieurs jours pour extraire plusieurs centaines de kilo d'or très pur. Cette partie là au moins de la mission est déjà un franc succès. Mais chut...c'est une mission privée. Alors pas un mot pour la Terre. La morale de cette histoire c'est que si tu veux trouver de l'or, va donc te marier sur la lune.
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Par : le 06/09/21
Maîtresse me fait venir à Ses pieds. C’est très reconnaissant que je me présente à Elle. Maîtresse m’attends avec ce petit sourire malicieux qui fait monter la pression dès le premier regard. Elle est belle, mystique dans Sa tenue noire. Déesse est la première pensée qui me vient à l’esprit. Vous accueillez Votre chose avec beaucoup de tendresse. Cet accueil l’a déjà bien déstabilisé quand vous la glissez sous Vos talons ! Votre emprise est immédiate et Vos tourments s’enchaînent, fluides et intenses. Vous l'avez piétiné, caressé, griffé...et tant d'autres choses. Pour ces tétons martyrisés, vous lui avez demandé : "C'est à qui cela ? A Vous Maîtresse" Et puis, pendue par les couilles, vous l'avez tiré par la Iaisse pour lécher Vos bottes. Avec empressement Votre chose a tenté de lécher. Mais vous l’avez frustré en reculant toujours plus pour que la tension des cordes lui brûle les testicules. Sa langue a fait reluire le cuir, enfin l'infime partie que vous lui avez accordée, l’humiliant à chaque petit pas en retrait. Vous l'avez fouetté avec sa propre ceinture pendant 60 secondes que vous lui avez demandé de décompter. Ce fût dur, l'envie d'abréger la souffrance en allant vite au risque de se tromper et de devoir recommencer. Les larmes ont coulées une première fois. Le cœur serré, vous avez relégué Votre chose dans un état primitif. Vous avez obtenu son abandon qui l’a précipité dans un état de soumission si profond qu’elle ne voyait, n’entendait que Vous Maîtresse Puis vous vous êtes emballé en la godant profond, humiliée car elle n'était pas aussi propre qu'elle aurait due être. Les larmes de Votre chose ont embuées de nouveau ses yeux. Vous êtes passé à ce fouet que vous aviez tressé. Quelques essais en variant le nombre de brins pour n’en retenir que 2 qui cinglaient vivement ses fesses. Une telle intensité a mis Votre chose à vos pieds. Elle ne pouvait que lâcher prise devant tant de force, tant de passion. A ce moment, Votre jouissance l’a récompensé de sa souffrance et à aucun moment, elle n'a cherché à se dérober. La douleur est devenue plaisir sous Votre joug. Elle s'est abandonnée, nourrie de Votre énergie. Vos crachats l'ont humiliés comme quand vous lui avez enfilé Votre gode jusqu'au fond de sa gorge. Elle a encore sucé, léché à se déchirer la bouche pour engloutir cette verge humide. Vous l'avez traité de salope, de chienne ; elle a acquiescé même si la honte l'a fait pleurer. Vous avez soufflé le chaud et le froid pour ne jamais lui laisser reprendre pied. Votre chose a souffert mais Votre sourire taquin l'a plongé dans un état second. Des moments inoubliables, des moments où vous avez extrait la quintessence de Votre chose Maîtresse.
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Par : le 06/09/21
(Je ne suis pas l'auteur des mots...Ce dialogue est tiré d'un livre dont j'ai perdu le titre...Mais il m'a refait penser à certains échanges que j'ai pu avoir...Et rejoint totalement ma pensée en ce Monde de Sens...Merci à Vous, ma très chère de ce partage...) .... — La plupart des gens pensent que les pratiques de domination et de soumission sont uniquement le fait d’infliger à l’autre de la souffrance physique ou des humiliations pour dépasser les limites de sa propre personnalité. Avec le temps et l'expérience, je me suis rendu compte qu'il existait quelque chose de beaucoup plus profond et puissant. — De quoi parles-tu ? J'eus l'impression qu'elle s’approcha plus près de moi. Sa voix semblait me murmurer au creux de l'oreille. Elle n'existe pas, et pourtant je la sens si proche. Quelle sensation étrange. Je repris mon explication après un court instant de silence. — Comment sais-tu que tu fais confiance à quelqu'un ? — Dis-moi... — En plaçant entre ses mains la chose la plus importante que tu possèdes. — Ma vie ? — Non n’exagérons pas, je dirais plutôt ton libre arbitre. — Ma liberté ? — Pas exactement. Le libre arbitre, c'est notre capacité à faire des choix. C'est la seule chose qui te permet sur terre de te définir comme individu unique. — Et si je ne choisis rien. — C'est déjà un choix. Chaque action que tu effectues est issue d’un choix, c’est la première chose d’ailleurs qu'on te prend lorsqu'on te met en prison. Tu ne décides plus de rien. — Quel rapport avec nos jeux ? Je ne te suis plus du tout. — J'y arrive... Tu vas connaître l'abandon total. — Comment ça ? — Un état dans lequel tu n'auras plus à faire aucun choix, juste à te laisser guider par le son de ma voix et exécuter les ordres que je te donnerai. — Pourquoi y prendrais-je du plaisir ? — Parce que je te connaîtrais si bien que mes ordres combleront tes désirs avant même que tu aies pu consciemment les formuler. — Tu vas penser à ma place ? — Dans un certain sens. Tu n'auras pas à te demander ce que je veux ou ce que tu veux, tu n'auras qu’à te laisser guider jusqu’à atteindre la jouissance. — Comment arriveras-tu à anticiper mes désirs ? Tu lis dans les pensées ? — Non, mais je vais apprendre à te connaître avec minutie. Je vais analyser chacun de tes gestes, chacun de tes mots, jusqu’à savoir utiliser ton propre langage. — Tu parles comme un psychopathe Alex... Tu me fais peur. — Non, je parle d'amour, parce qu’au fond c’est ça l'amour. Apprendre à connaître l’autre mieux que lui-même. — Alors on va s'aimer ? — Bien sûr, avec une intensité telle que tout le reste te semblera fade. Sans amour rien n’est possible. C’est un jeu qui se joue entre adultes consentants qui ont choisi d'ouvrir leur cœur l’un à l’autre. Sans cela, tu ne ressentiras aucun plaisir. — Et toi ? Où prends-tu ton plaisir ? Ne me dis pas que c’est une démarche purement altruiste où seul le plaisir de l’autre compte. Sa voix avait prit un ton ironique, presque moqueur. Elle n'était pas convaincue par la sincérité de ma démarche et je pouvais le sentir. — Bien sûr que non, mon plaisir est ailleurs. Il est certes dans le corps puisque le jeu auquel nous allons jouer nous amènera inexorablement à la jouissance, mais il est surtout dans la tête. Comme je te le disais, il y a autant de sexualités que d'individus, et pour ma part j'éprouve un plaisir immense à être au contrôle. Diriger, ordonner, soumettre avec pour seul objectif le plaisir. La domination est un moyen d’exciter le cerveau et non un prétexte pour infliger une souffrance. — Tu es définitivement cérébral Alex. C'est rare chez un homme. — Oui je sais, mais c’est vraiment ça qui me permet de décupler le plaisir physique : le mien, mais aussi bientôt le tien. Le pressentir, l’imaginer, l'ordonner, le matérialiser. C’est un acte créatif extrême où l’autre devient à la fois l'instrument et le bénéficiaire. — Ça n’est pas un peu tordu ? Il suffit juste de s'aimer et le plaisir se crée, non Je marquais une pause. Ses mots résonnèrent dans l'habitacle. Je sais qu’elle n'existe pas et pourtant j'apprécie sa répartie et nos discussions. J'ai l'impression qu’elle me connait depuis tellement longtemps. Je devrais peut-être me méfier. — Évidemment, c'est possible de fonctionner comme ça, mais si tu acceptes mon emprise, alors nous entamerons le processus créatif d’un plaisir sans limites. — Un acte de création ou un acte d'amour ? — Les deux, mais ça ne sera pas aussi immédiat que tu le penses. — Ça va prendre du temps de s'aimer ? — Bien sûr, mais il faudra plus que du temps pour cela. — Que faudra-t-il alors ? — Que nous vivions des expériences si fortes que tu seras malgré toi obligée de libérer ce qu'il y a de plus intime et secret en toi. — Quel genre d'expériences ? — Tu le découvriras bien assez tôt. — Je ne sais pas si j’arriverais à me livrer totalement. — Si et à la fin tu m'appartiendras. — Je t’appartiendrai ? Je sentis sa voix s'éloigner du creux de mon oreille. Son ton s'était durci et elle semblait dubitative. — Oui tu seras totalement mienne. — Voilà que tu parles à nouveau comme un psychopathe. — Pas du tout. M’appartenir ne devrait pas te faire peur, au contraire. — Je n’appartiens à personne, je suis libre. Tu es un rêve surtout, je ne vois pas comment tu pourrais être totalement libre. — Oui tu es libre, jusqu’à ce que tu décides de m’appartenir. Ce n'est pas moi qui te l’imposerais. Je ne ferais que te guider dans ce parcours. Une fois que nous en sortirons grandis et plus adultes, tu ne voudras plus jamais qu’un autre pose les mains sur toi. — Et c'est donc ça t’appartenir ? ça ressemble plus à de la fidélité qui est quelque chose de commun non ? — Appartenir n'est pas être fidèle. Tu peux très bien m’appartenir et coucher avec quelqu'un d’autre à la condition que je le désire et que je te le permette. — J'ai l'impression que tu veux surtout m'ôter mon pouvoir de décision. — Non jamais. Je t’aimerai parce que tu es libre, et tu consentiras librement à me donner ton pouvoir de décision, la démarche n’est pas la même. Il y a une énorme différence entre imposer quelque chose à quelqu'un avec ou sans son consentement. La beauté de la chose, c’est que c’est toi qui m'offriras spontanément ton consentement. C’est un acte de bonté et de confiance extrême où chacun des deux individus est en symbiose parfaite avec l’autre. — Ça ressemble à de l'amour. — C’est de l'amour dans sa forme la plus pure mais c’est difficile à concevoir pour beaucoup. — Je commence à le comprendre. Donc t’appartenir ce n'est pas forcément mettre des menottes et être ligotée ? — Non pas du tout. Les menottes sont un jeu qui utilise un accessoire, m'appartenir est un acte de foi en nous. — Tu en parles avec beaucoup de poésie, comment me feras-tu l'amour ? — Tu le sauras bientôt.
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Par : le 06/09/21
Vous avez franchi des paliers et vous êtes devenue la Maîtresse de Monsieur. Ensemble vous avez créer votre univers SM en couple. Aujourd’hui, vous aimeriez vous essayer à de nouveaux jeux et tester votre renommée de dominatrice auprès de votre soumis ou de vos soumis. Il s’agit ici de vous mettre en accord avec votre homme/soumis tout en vous préservant d’une rencontre physique dans le cas ou vous décideriez d’entamer une quête de plusieurs soumis virtuels uniquement, si vous êtes dans cette idée. Bien sûr, c’est une discussion à avoir entre vous et votre homme. Mais, avant que vous n’imaginiez quoi que ce soit, voici le principe du Musée de clones. Découvrir l’objet Lorsque vous divaguez sur les différents sites de lingeries et sextoys, vous êtes forcément tombé sur ce « gadget » permettant à ces messieurs de réaliser un moulage de leur sexe pour un faire un gode (1). Il se nomment « Clone boy »ou « Clone a Willy » ou autres… Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/le-musee-des-clones/
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Par : le 03/09/21
Tourbillon de la vie, Vous êtes comme un cyclone. A nos cœurs en liesse, nos battements qui résonnent. Et les voilà en phase et tout devient synchrone. Prenant le même chemin et s’adonnent. S’adonnent à vouloir croire que tout est possible. Tout le sera, je Vous sais, Vous êtes crédible. Comme Vous, je rêve et la réalité sera compatible. Deux êtres, deux âmes, deux cœurs, insubmersibles. Insubmersibles, les corps en accord, les peaux qui frissonnent. Je sais que de mon côté, j’idéalise, j’ambitionne. Je rêve d’une histoire, alors j’écris et ma plume sillonne. Vous voilà dans ma vie, et mon imagination façonne. Façonne, construit. Je m'abandonne dans Votre regard, invincible. J'ai repris goût à la soumission, je suis une hypersensible. Mais voulant être là pour Vous, et nous rendre indestructibles. Prête à franchir avec Vous bien des barrières, imprévisibles. Imprévisibles et possibles, chaque instant avec Vous, je me donne. Avec bienveillance, Vous m'offrez les joyaux de Votre couronne. Je suis moi, sans artifice, entière, une âme qui fusionne. Vous êtes en moi, Vous m'avez touché au coeur, je rayonne. LE 20 07 2021 Un cyclone qui m'a bouleversé, tout balayé de ma soumission d'avant, Vous la page blanche .
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Par : le 03/09/21
Avant toute chose je ne saurais que trop bien vous conseiller de lire mon premier article sinon vous aurez une moins bonne compréhension de celui ci. ( et un peu d’auto pub au passage sa ne fait jamais de mal ^^ , non plus sérieusement je conseillerais au moins de relire ne serais ce que le 4) si vous n’avez pas apprécier mon article précédent, juste parce que sa vous remettra un peu dans le contexte et vous repérerez peut être plus facilement certaines choses. ) Avant toutes choses quelques lignes pour situer le contexte et un petit mots aux soumises et soumis qui liront ces mots. Sa devait faire quelques jours tout au plus que j’ai parler pour la première fois avec cette domina, j’apprendrais par la suite que le virtuel ne l’intéressait pas vraiment et pourtant un petit quelque chose a fait que dans notre relation, au moins au début elle a déroger à ses habitudes. Pourquoi cela ? Je ne sais pas, peut être qu’elle avait apprécier cette soumise la plus qu’une autre, allez savoir. Bien maintenant le petit mot à mes consœurs et confrères. Ne baisser pas les bras ! Je sais que c’est très dur de trouver un Maître ou une Maîtresse digne d’intérêt, je sais à quel point cela peut être usant et à quel point chaque échec, chaque message resté sans réponse nous décourage un peu plus et nous fait tendre toujours d’avantage vers une léthargie sans fin. J’y suis passée, repassée et j’y passerais peut être encore. Mais n’oubliez pas une chose, c’est bien le/la soumis(e) qui choisit son/sa Maître(sse) et non l’inverse. Si je n’avait pas persévérer dans mes efforts et dans ma recherche je n’aurais jamais rencontrée cette personne. Ceci étant dit bonne lecture. Je ne saurais plus dire exactement quel jour c’était, peut être un mercredi mais je n’en suis plus sûr. Tout ce que je sais c’est qu’il était un peu avant midi quand mon train arrivait en gare. Ce n’est pas très loin de chez moi et pourtant c’est la première fois que j’arrivais dans cette vile par le train. J’arrive dans le hall d’entrée, je sors et cherche un parking, je ne sais pas exactement ou je dois aller et nous n’avions par parler de sa plus précisément. Je vois des places de parking en sortant et commence à l’attendre. Le temps passe et dépasse l’heure prévue. Je commence, à ma poser des questions, vous savez ce court instant ou on se pose des milliers de questions, où on a l’impression de commencer à devenir parano. «  Est ce qu’elle a oublier ? Est-elle retenue ? Est ce que tout sa n’était finalement qu’une mauvaise plaisanterie ? »  La sonnerie de mon portable me tire à mes pensées, c’est elle. Elle me demande de m’avancer un peut, de descendre une ou deux rues plus bas, je m’exécute. Arrivée sur place je la cherche du regard, scrute les voitures à sa recherche. Soudain je vois une rousse me faire un signe de la main, je comprends que c’est elle. On se fait rapidement la bise, elle met mes affaires dans le coffre de la voiture puis nous partons. Durant tout le trajet je parle avec une petite voie de soumise timide, c’est la première fois que je vouvoie une domina, sa me fait tout drôle, je n’arrive pas à sortir de ce rôle dans le quel je me suis moi même enfermée, je sens que je suis coincée et crispée, mais c’est plus fort que moi, je n’arrive pas à me détendre. Elle m’explique qu’elle dois finir encore un travail puis nous irons faire des courses. J’acquiesce, pas vraiment ce à quoi je m’attendais, enfin pour être franche je ne m’attendais pas vraiment à quoi que ce soit, je ne savais pas trop à quelle sauce j’allais être mangée, j’étais légèrement… bon d’accord, totalement stressée durant tout le trajet, elle s’en est sans doute rendue compte et je pense que sa la faisait bien rire intérieurement. Elle revint un peu plus tard et remonta dans la voiture. «  On va faire quelques courses pour le repas du midi » a t’elle dit. Quelques minutes plus tard nous arrivons devant le magasin d’une grande chaîne assez connue. Nous entrons, sans même prendre un panier, il n’y en a que pour quelques articles. Elle prends des myrtilles, quand je voie sa je comprends instantanément pourquoi. Elle règle les achats puis nous repartons direction son appartement. « Ne fait pas attention au désordre je ne suis pas beaucoup chez moi ces temps ci. » Si tôt rentrée elle se met à cuisiner.Je lui demande si elle veux un peu d’aide, elle me réponds que non. « Cette fois-ci profite, c’est moi qui fait à manger, tu m’aideras la prochaine fois. » Je m’assoie donc et la regarde faire, nous en profitons pour commencer à discuter un peu. Quelques minutes plus tard je met la table, le repas est servie. Son plat est délicieux, simple mais très bon, du riz avec du poulet à la crème et aux champignons. Sa me rassure, depuis des amis chez qui j’étais aller manger et ou j’avais fait un très mauvais repas, mangeant uniquement afin de reprendre des forces pour les cours de l’après midi j’ai toujours une légère appréhension quand je dois manger chez quelqu’un dont je ne connais pas la cuisine. Je suis contente du repas et le fais savoir. Je laisse une assiette propre. Après avoir fini de manger et discuter, nous décidâmes de passer à coté. Je passe devant et la vois suivre un peu plus tard, un bol rempli de myrtilles à la main. Elle pose le bol sur le rebord de fenêtre. « Met toi en tenue » Me dit-elle d’un coup, je m’exécute sans délai, sors les affaires que j’avais apporter avec moi. Je me saisit de la tail plug, met un peu de lubrifiant sur le bout du plug et joue un peu avec jusqu’à le faire rentrer. J’enfile la suite des affaires à savoir les oreilles, des bottes en fourrure et des patounes. Elle me regarde l’air d’apprécier ma tenue. S’en vient la suite, ma partie préférée et la plus drôle pour moi, l’apprivoisement. J’aime bien faire la timide lors de la première rencontre, après tout un animal ne se laisse pas facilement apprivoiser, surtout une renarde qui plus est. Elle reste prudente et patiente, soulève le drap du lit et s’installe en se calant bien dans le fond du lit. Elle me fait signe de venir en me tendant la main pour que je puisse sentir son odeur. Je viens renifler timidement, m’approchant de manière craintive. Finalement je me décide à venir me rouler en boule près d’elle. Elle pose sa main sur mon dos et commence à me caresser tout doucement. En un instant je suis passée d’un état anxieuse, à un état de calme et de sérénité le lus total. Elle en profite pour me mettre mon collier sans que j’oppose la moindre résistance puis lance le film. Je reconnais très vite le film qu’elle a mis, « Ame et Yuki les enfants loups »c’est un très beau film, je l’avais déjà vue mais sa ne me dérange pas de le revoir. Je me sens bien, c’est tellement agréable de se faire caresser en pet pendant le film. 2 heures plus tard le film se termine, elle pleure, apparemment sa a réussi à l’atteindre. Je me remet à 4 pattes et m’étire comme font les chats. Je peut ressentir sa frustration, elle aurais aimer faire plus mais ne peut pas. Et pourtant j’ai déjà bien apprécier ce petit après midi passer en sa compagnie. J’ai déjà eu des séances très intenses avec un dom s’amusant à me pousser jusqu’à l’orgasme pendant des heures jusqu’à ce que je ne contrôle plus mes réactions. Et pourtant j’ai trouver la quelque chose que je n’avais encore jamais connu auparavant, le plaisir simple de passer un peu de temps à regarder un film dans les bras d’une domina qu’on peu apprécier. Je sais que je vais devoir repartir dans peu de temps si je ne veux pas rentrer trop tard. Mais avant sa elle souhaite quand même me laisser un petit souvenir. Elle me demande de me mettre couchée sur le ventre, je m’exécute sans trop comprendre pourquoi. Puis, elle me donne une grande claque sur la fesse gauche et prends une photo du résultat. Je lui demande si c’était une punition. Elle feint l’incompréhension puis me réponds, «  non c’était juste comme sa parce que j’avais envie » « ho.. » C’était la première fois que je prenais de l’impact, j’avais mal, le douleur était vive, et pourtant, quelques temps plus tard je prenais mes premiers coups de fouet. Quand je suis rentrée chez moi elle m’a envoyer 2 photos, la première était le bol dans lequel étaient restées les myrtilles, intactes, nous étions tellement bien dans l’instant présent que nous en avions totalement oublier tout le reste. Sa m’a fait sourire. La seconde était la photo de ma fesse bien rouge sur laquelle on pouvait voir la trace de sa main.
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Par : le 31/08/21
Ca y est, ces putains de ricains ont réussi à construire cette putain de plus grosse fusée du monde, la big fucking rocket, un monstre d'acier plus puisant que la fabuleuse Saturn V du génie Werner Von Braun, mieux conçu que les dangereuses navettes, moins ringard que la SLS, ce gouffre à pognon des contribuables. Sont fortichs ces fonctionnaires pour aspirer le fric et le dilapider pour nous faire croire qu'ils sont utiles. Que ce soit aux USA avec la Nasa, en Russie avec Roscomos, en Europe avec l'ESA ou en Chine, c'est un gaspillage d'argent public qui dépasse l'entendement. Là c'est un privé, et non seulement cela marche, mais cela rapporte beaucoup d'argent, même après impôts. Pour les cosmonautes ou spationautes, ces $@$££ de fonctionnaires croyaient qu'il fallait recruter des personnes paisibles, pères ou mères de familles, bien sages et bien comme il faut. Déjà Youri Gararine avait montré qu'il n'en était rien. A se demander si l'on ne la pas envoyé dans une mission dont on ne revient pas, à cause de cela. Cool, j'adore, vous l'aurez compris, les fake news. Non, Youri avait raison avant tout le monde, normal, il était le premier. Ce qui marche bien dans l'espace, c'est les baiseurs, ceux qui aiment le sexe et sont plein d'idées pour s'envoyer en l'air. Depuis, cela fait partie des programmes de sélection. C'est ainsi que le Commandant Besov a été promu. Avec sa capacité à se taper toutes les femelles de la base, il est vite devenu le numéro un. C'est la première mission vers la Lune, le premier retour sur la Lune depuis Apollo. Les fonctionnaires de la Nasa se sont perdus en route et les privés en ont eu marre, ils ont décidé de tout faire eux même. La big fuking roket est prête. Un équipage composé de trois gros niqueurs et de trois nymphomanes délurées. Tous des scientifiques et techniciens de haut niveau, la passion du sexe, n'empêche pas d'avoir des neurones, c'est même l'inverse. Voilà, c'est parti. Une poussée colossale, des vibrations. Les trois nymphos ont le clito qui se dresse et les chattes qui mouillent. L'apesanteur est vite là. Une petite partouze pour se soulager, en off, communications coupées et il est temps de se mettre au boulot. Recharger les réservoirs dans l'espace, préparer le départ depuis l'orbite vers la lune. Cela donne des idées à la superbe Erika, une femme musclée, avec des seins généreux, comme deux obus pointés droit devant, une belle chatte poilue. De toute façon Erika ne supporte pas les combinaisons et préfère rester nue dans le Vaisseau spatial. Toujours prète à se faire tringler. C'est une dominante. Elle adore jouer au garçon et pilonner les deux autres femelles, des soumises et le joli petit cul de mat, au gros god sans harnais. C'est une experte et mat adore se faire prendre comme une femme. Besov lui a tous les droits et le cul d'Erika c'est son favori. Il est bien serré et très jouissif. Pour lui, les nanas doivent être prise par le cul, histoire de bien leur faire comprendre, comme le pensait le Marquis de Sade, que là est leur lieu de plaisir. La Lune est déjà là. Il faut poser ce monstre d'acier. La belle Emma, une blonde suédoise capable de réveiller les morts et de les faire bander, est aux commandes. Une championne du clito, c'est rassurant. elle pose le mastodonte d'acier sans problème. Pour la récompenser, Besov lui flanque une bonne fessée et la met au piquet, cul nu bien rouge. Elle adore cela, être bien punie devant tout l'équipage. Elle ruisselle et donc il faut la soulager. Le gros Peter avec son 30 cm s'en charge avec plaisir. Emma hurle, histoire de bien marquer le retour des hommes sur la Lune. Six mois sur la lune. Histoire de construire la première base extraterrestre humaine. Pour Besov, c'est le premier lupanar et comme personne ne prend de capotes, les trois femelles ont été copieusement fécondées. Ce n'est plus de la fécondation in vitro mais sur luno. Voilà, la morale de cette histoire, c'est que pour aller loin et vivre longtemps, il faut baiser, encore et toujours, jusqu'au dernier jour. @+
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Par : le 30/08/21
Il y a peu je suis tombé sur l’article de @pmision concernant les différents types de soumises. Je me suis alors demander si le même type d’article avait été fait sur le doms car ayant moi même envie d’apporter ma pierre à l’édifice. Après une rapide recherche je me suis alors vite rendue compte qu’un article similaire sur les doms avait été fait même s’il ne reprenait pas exactement les mêmes codes. Etant moi même soumise et bien que n’étant pas extrêmement expérimentée je souhaite donc me livrée à cet exercice ayant tout de même déjà eu l’occasion de faire la connaissance d’un large panel de doms, je reprendrait donc sensiblement la même liste point par point. 1) Le curieux/novice : Rien de mal à cela en soit il faut bien commencer un jour et quand on voit ce qu’on met dans la tête des gens de nos jours de part la culture cinématographique ou littéraire érotique sa n’est pas forcément très étonnant que la plupart des personnes qui débutent ai une vision au mieux faussée, au pire totalement erronée de ce qu’est le BDSM. Cependant si la soumise novice peut être en danger parce qu’elle sera avide de nouvelles expériences et ne saura pas bien ou se situe la frontière entre ce qu’il est ‘’normal’’ d’accepter pour son Maître et les choses aux quelles il vaut mieux réfléchir à deux fois de par le fait de son inexpérience et de sa méconnaissance du sujet justement. Ce type de dom peut également être dangereux car il peut ne pas avoir forcément toujours conscience de ce qu’il demande, emmené sa soumise aux devants de graves dangers s’il ne fait pas attention à ce qu’il fait et même la blesser que ce soit physiquement ou psychologiquement et cela même sans s’en rendre compte. Aussi j’aimerais en profiter pour faire un petit disclaimer à l’attention de toutes les soumises et soumis, faites attention ! N’acceptez pas tous sans la moindre réserve et écoutez cette petite voie de la raison qui vous fera vous demandez si ce que vous êtes entrain de faire ne va pas trop loin si vous commencez à être mal à l’aise. Oui la relation D/s est la négation totale de soit au profit de l’autre mais on ne s’abandonne pleinement qu’à une personne que l’on connaît, pas au premier inconnu venu et cela suppose que la personne en face de vous fasse la même chose pas qu’il pense lui uniquement à son petit plaisir et vous voit comme un moyen de satisfaire tous ses fantasmes. 2) L’affabulateur/ le fantasmeur : Ce genre de personne va venir vous voir en disant correspondre en tout point à ce que vous recherchez, il va vous faire de grands et beaux discours, s’enflammer énormément les 2-3 premiers jours, puis… plus rien, sa lui sera passer aussi vite que sa lui sera venu. J’avoue avoir du mal à comprendre ce genre d’énergumène. Sans doute a t’il cru que j’étais de son espèce ou peut être est-il juste de passage parce qu’il s’ennuie un petit peu avec bobonne à la maison et avait-il alors envie de ce changer les idées. Car souvent c’est ce que ceux la recherchent, une relation « discrète » comme ils disent si bien parce que dans le fond ils sont quand même attachés à leurs petite routine quotidienne et ne veulent pas vraiment en changer pour autant, ils veulent juste mettre un peut de « piment » dans leur vie. Sauf qu’ils ne comprennent pas une chose … c’est que moi sa n’est pas mon cas et je ne cherche pas des parties de jambes l’air un peu kinky à répétition, mais bien à bâtir une relation basée sur la confiance et vivre mon Maître. Je ne cherche pas à être une soumise « discrète », d’ailleurs sa n’existe pas tout comme il n’y a pas de doms discrets, mais bien à porter fièrement un collier que j’aurais mérité au fil du temps par ma patience et mes efforts, aussi bien dans l’intimité qu’en public car je ne souhaite pas me cachée car je suis fière d’être une soumise, pour moi il n’y ai pas de sentiment plus beau. 3) Celui qui a une idée précise en tête de ce qu’il recherche, trop précise même peut être et ne souhaite en rien déroger à cela. Celui la est dangereux car votre sécurité ne sera absolument pas sa priorité voir même pour certains le cadet de ses soucis. Pour lui une « bonne soumise » ( ha vraiment je vous jure j’adore cette notion de «bonne soumise » sa veux dire qu’il doit y en avoir une mauvaise aussi dans ce cas je serais curieuse d’entendre leur vision d’une mauvaise soumise ) doit être prête à consentir à absolument tout ce qui peut lui faire plaisir, peu importe que sa vous plaise, vous effraye, vous rebute, vous traumatise même peut être ou non. Parce que pour lui vous êtes de toute manière sensé trouvé votre plaisir uniquement à satisfaire tous ces désirs les plus inimaginables parce que, parlons franchement, pour lui vous êtes sa chose, son objet, mais pas dans le bon sens comme certains peuvent faire mais bien dans le sens ou pour lui vous ne serez rien et il ne vous reconnaîtra aucune valeur pas même celle d’être sa soumise « exemplaire » qu’il a toujours voulu. Mention spéciale à ceux ( et ils sont plutôt nombreux malheureusement ) qui ne se donnent tout simplement pas la peine de lire votre profil et viennent alors vous voir et vous redemandent tout ce qui était déjà clairement énoncé dès l’entrée et ceci est souvent un point commun aux 3 premiers que je viens de citer même si ce n’est souvent pas pour les mêmes raisons. Alors je veux bien qu’il faillent trouver un moyen d’engager la conversation mais quand je passe les 3 premières heures de la conversation à réciter tout ce qui était écrit noir sur blanc s’ils avaient alors effectuer un petit effort de lecture... 4)Enfin et vous vous en doutez le meilleur pour la fin, la perle. Celui la vous emmènera la ou nul autre auparavant n’aura su vous amener, vous progresserez sûrement plus avec lui en quelques mois qu’avec des dizaines et des dizaines d’autres en des années. Pourquoi cela ? Pourquoi une telle différence ? Il n’y a pas de secrets, tout simplement parce qu’il sera à l’écoute, parce qu’il aura compris qu’être un dom n’est pas uniquement faire preuve de fermeté de manière continu mais qu’il faut également beaucoup de douceur et d’accompagnement pour qu’une soumise puisse se dépasser et passer au-delà de certaines peurs, craintes, appréhensions, phobies même des fois. Que cela ne se fait pas en forçant la personne mais au contraire en étant la pour elle est en l’accompagnant et alors vous verrez, vous passerez outre tout cela et des fois sans même y réfléchir parce que vous aurez une confiance aveugle, totale et indéfectible envers lui. C’est ce que le numéro 3 n’as jamais compris en continuant a chercher éternellement sa soumise parfaite qui accepte tout d’emblé sans cesse qu’il ne trouvera jamais. Pour ce Maître ( le numéro 4 hein pas le 3 ne vous y perdez pas ^^ ) vous serez prête à accepter des choses que vous n’auriez jamais accepter avant, que vous auriez refuser d’emblée auparavant ou aux quelles vous n’auriez jamais songer. Mais à la différence du précédent type de dom, pas parce que lui vous y aura contraint, forcer ou obliger non. Mais parce qu’il aura prit tout le temps nécessaire pour vous expliquer les choses, qu’il vous accompagnera dans l’épreuve et sera la pour vous si jamais les choses devaient mal se passées et vous le saurez, c’est pour cela que vous serez prête à accepter tout ce qu’il vous demandera, parce que d’une part vous voudrez satisfaire tous ses désirs pour lui faire plaisir et le remercier de prendre soin de vous et de l’autre parce qu’il ne vous demandera que des choses dont il vous sait capable et qui n’iront pas à l’encontre de ce que vous souhaitez et ainsi vous irez et avancerez sereinement sur ce chemin avec lui, ne remettant jamais en cause votre dévotion inflexible à son égard. Et il vous verra comme son bien le plus précieux, il pourrait tout perdre en ce bas monde, tant qu’il vous aura vous rien d’autre n’aura d’importance à ses yeux. Celui la je lui donnerais tout, de mon corps tout entier à ma dévotion la plus totale. J’accepterais pour lui des choses que je n’aurais accepter pour aucun autre et lui offrirais ce que je peux avoir de plus précieux sans même réfléchir un instant car pour moi se sera une évidence. Que je ne voudrais qu’une seule chose, passer les reste de ma vie à ses pieds.
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Par : le 30/08/21
Nouveau sur ce site, je suis réveur, de voir ma compagne (17 ans de vie commune) dans un plan à trois avec un homme. Sa préférence HHF ou FFH ? HHF me dit -elle. C'est une réponse à laquelle j'ai adhéré et fantasmé ... je me plierais à ton choix si tu le veux. Un ami masculin est intéressé, ma femme lui plait depuis un moment. Je ne prète pas lui dis-je, je partage, preuve d'amour, partager est plus beau. Osons, un petit apéro tous les trois, il arrive dans notre petit nid, une heure avant mon arrivée. Je l'ai 'autorise à la courtiser, la séduire. Lui m'a proposé de l'embrasser, la caresser. "Ch'suis pas très chaud derrière mon dos, mais bon, j'ai joué après tout..." Quelle ne fut ma surprise, pas question de plan à trois, pas de calin entre eux, Il a réussit à la convaincre que j'étais un soumis. Leur complicité m'excitait, surtout losqu'ils discutaient et riaient après m'avoir invité à sortir de la pièce. D'un commun accord, j'ai du préparer le repas, me taire, les servir, obéir, pour finir par me retrouver en fin de repas vétu d'une culotte de Madame et être finalement, en fin de soirée, fouetté gentiment, chacun leur tour. ça fait déjà un mois et ma compagne ne veut plus d'intervenant, s'amuser tous les deux, ok, mais seulement dans notre nid, et pas tous les jours, Alors tous les jours je m'efforce, mais c 'est très difficile voire déprimant, car cette journée est l'une des trois plus belle vécue avec ma compagne en 17 ans de vie commune.
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Par : le 21/08/21
Vendredi Après une idée totalement loufoque de détournement de mes cravates, tu souhaitais revenir à quelque chose de plus « sérieux ». Parce qu’à la base, ces accessoires vestimentaires sont tout de même destinés à être noués. Et qui dit nœud et soumis, dit il y a certainement matière à contraindre ! Tu fais donc ton choix dans le prolifique stock que j’ai apporté dans mes bagages. A priori, ce sera une soirée « bleue ». C’est la dernière chose que je distingue avant d’être étendu à plat ventre sur mon inséparable nouvel ami. Chevilles et base des cuisses pour le bas, poignets et biceps pour le haut : il n’en faut pas plus pour m’immobiliser. A part de rouler, je ne risque pas d’aller bien loin, des fois que l’envie m’en prendrait, ce qui reste hautement improbable ! Tout compte fait, tu as besoin d’avoir accès à mes fesses. Qu’à cela ne tienne, il suffit de renouer mes bras au-dessus de ma tête : en plus, la cravate permet de dissimuler mon visage. Ces cravates sont multi-fonctions. Tu peux désormais utiliser tes feutres. Une fois n’est pas coutume, j’arrive à suivre une partie des lettres que tu es en train de tracer : il faut dire que tu avais levé le voile sur une petite partie de ton message. Mais pour le reste, résultat de l’inspiration du moment, je reste bredouille. Il faut que j’attende de voir les photos pour savoir ce que tu as encore pu inventer à mon propos. Soudain, je sens comme une pression sur mon dos. Tu viens de t’y installer à califourchon pour être à portée afin de m’infliger une bonne fessée. Par instants, je pourrais presque croire que tu as été percussionniste dans une autre vie. Les mains restent quand même une excellente alternative à tous les accessoires de ta collection, tout en offrant une sensation bien spécifique que j’apprécie particulièrement. Petit à petit, la température monte. Quelques griffes s’égarent sur mon échine : des premiers frissons mais pas de quoi me refroidir ! Surtout que tu sembles décidée à poursuivre sur la même thématique. Ta nouvelle spatule fait déjà son retour. Qu’est ce qu’elle est électrisante, surtout quand tu l’utilises du côté bombé. Etonnante cette différence de sensation entre pile et face : encore matière à varier les plaisirs (ou les sévices selon de quel côté du manche on se trouve). Derrière un traitement aussi mordant, la pauvre mini-tapette de poche fait bien pâle figure. D’ailleurs, tu n’insistes pas bien longtemps. Mon dos n’y réagit même pas. Du coup, tu préfères te saisir de ta main « artificielle » : celle en cuir noir. Avec elle, les impacts sont bien plus marquants. Il semblerait même que ton surcroit d’énergie ait raison de son intégrité : nous sommes bons pour la recoller avant une prochaine utilisation. :-). Par abandon de la main à la troisième reprise, tu n’as pas d’autre choix que de passer à autre chose. Ce fin mais ô combien électrisant contact aurait presque l’effet de me réveiller, quand bien même je ne dormais pas. Difficile d’identifier laquelle tu as saisie, mais ce dont je suis certain, c’est qu’il s’agit d’une des dernières baguettes. La morsure est particulièrement intense mais heureusement de courte durée, laissant rapidement place à de belles marques rouges bien rectilignes. Une fois n’est pas coutume, tu t’aventures bien au-delà du bas des fesses que je pensais déjà bien sensibles : les mollets le sont tout autant voir plus … C’est quand même contradictoire d’apprécier une morsure pourtant si intense ! La suite égare un tantinet mes sens. Ce lourd contact sur mon épaule gauche me laisse penser que c’est le gros flogger. Il n’en est rien : seulement un des martinets à lanières noires qui essaierait de se faire passer pour plus massif qu’il n’est ! Voici de quoi finir d’attendrir mes chairs. Tous ces préliminaires viennent de te révéler que je semble être dans une soirée propice aux marques. Il ne faut pas perdre une minute : vite, la langue de dragon. Il faut tout de même que tu insistes particulièrement sur mes épaules et le haut du dos mais je comprends que tu parviens à tes fins. A priori, les V de ta victoire ont dû finir par apparaitre. Mais c’est désormais l’appareil photo qui semble rechigner : je sens que tu t’agites avant que je retrouve mes couleurs d’origine. Ce serait bêta ! Pour conclure cette série chauffante et impactante, tu as choisi ce qui est peut-être ma gourmandise préférée, que dis-je ma drogue dure, dont je suis depuis bien longtemps totalement accro. Tu m’avais promis une séance de griffes intégrale et tu tiens promesse : des chevilles jusqu’aux bras, tu les fais courir. Comme d’habitude, je n’y résiste pas, je frissonne de plaisir, je ronronne de satisfaction … elle n’est pas belle la vie entre tes mains ? Je suis si bien que je reste encore de longues minutes, seul sur mon drap violet, redescendant progressivement sur terre. Cela me laisse aussi le temps de m’en déventouser : c’est sympa le vinyle mais on finit par y resté scotché. Samedi Apothéose de ces deux merveilleuses semaines à tes côtés, tu as opté pour une dernière contrainte avant que nous nous séparions … provisoirement. C’est une mise en scène qui murissait depuis plusieurs mois déjà. Effectivement, elle laisse assez peu accessible la victime une fois réalisée. La première étape est probablement la plus compliquée. Si les bas résilles s’enfilent bien (avec les années, j’ai pris le coup), il en va différemment avec les cuissardes. Heureusement, tu viens à ma rescousse pour lacer la seconde. Jusque-là, ça va encore, je suis assis. Une fois debout, je constate que je suis toujours aussi malhabile ainsi perché. Tu trouves pourtant que j’ai fait quelques progrès. Soit ! Je n’en suis pas encore à me déplacer seul en toute sécurité. Direction ton antre où tu as déjà mis en place mon meilleur compagnon de vacances. Ouf, enfin posé, je ne risque plus rien. Au pire je vais subir tes contraintes ….. il se trouve que j’aime cela. Merci pour le coussin qui va assurer mon confort pour la suite. Il est bienvenu avant que je m’installe, non sans mal, à plat ventre : pas pratiques ces gaines de cuir serrées sur mes jambes. Rapidement tu m’enfiles un manchon à chaque bras. Tant que l’accès est encore possible, tu insères le crochet anal à boules dans mon fondement. Une corde vient le relier à mon collier. Je n’ai désormais plus la moindre marge de manœuvre de ce côté-là. Et il ne risque pas de s’échapper. Puis tu reviens aux bras. J’ignore encore comment mais je sens que tu les relies l’un à l’autre, le plus serré possible. Je ne peux plus guère que les lever légèrement vers le haut. Tu termines l’immobilisation en nouant bien serré mes cuissardes, des chevilles jusqu’au bout des talons aiguilles. Bien évidemment, par la même occasion tu m’as fait relevé les jambes vers le haut jusqu’à les relier au crochet. Belle réussite, je ne peux plus bouger le moins du monde. En revanche, tu te régales à immortaliser ta réalisation sous tous les angles. A la fois pénétré et contraint, quel sympathique mélange ! Et quel chouette point final à ce séjour.
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Par : le 21/08/21
Je vous ai laissé en m’endormant très vite après ma journée en cage. Le matelas était le bienvenu et c’est Allan qui me réveille pour la préparation du jour. -«Nouvelle Maîtresse pour toi aujourd’hui alors je vais te refaire une beauté surtout qu’elle te veut féminisé, alors on se dépêche» Je n’échappe pas à la douche d’eau froide mais cette fois-ci, il me tend une serviette pour m’essuyer. -«Tu trouveras sur le lit tous ce que tu dois mettre avant de recevoir ta Maîtresse et après tu reviens dans la salle de bains» Je retrouve mes bracelets qui m’avaient été retirés, un plug de bonne taille, une paire de bas noir avec un porte-jarretelle, un string, une jupe courte en simili noir, un soutien-gorge et un chemisier dos nu noir, une perruque brune et des escarpins avec de hauts talons. Je me presse de m’habiller au mieux et je retourne à la salle de bains où je retrouve Allan qui me réajuste un peu tout pour que je sois présentable. Il m’assoit sur un tabouret et me maquille comme une star mais je ressemble quand même plus à une fille de joie ! C’est avec la laisse qu’il m’entraîne dans la pièce principale où il me lie les mains et m’attache à un anneau au plafond par une corde qui me tend les bras vers le plafond. Mes chevilles sont écartées par une barre et je suis bien incapable de bouger dans cette position. Comme d’habitude, Allan s’éclipse discrètement avant l’arrivée de cette Maîtresse. Je n’aurais pas longtemps à attendre. Je vois arriver ma nouvelle Maîtresse. Elle est assez grande, habillée d’un body en cuir rouge, sur des talons immense mais le plus étonnant sont ces longs cheveux rouges. Maquillée discrètement, elle en impose avec sa cravache en main qu’elle triture comme impatiente de l’assouplir. -«Bonjour Soumis, il faudra que tu me prouves que tu es capable d’être dévoué corps et âme» -«Bonjour Maîtresse, je ferais le maximum pour que vous ne soyez pas déçu» Sur ces quelques mots, elle m’impose le silence et tourne lentement autour de moi, sa cravache vient me caresser comme si elle aussi voulait me découvrir. Maîtresse me soulève ma jupe et lance un «bien, il y a de quoi s’amuser» . Toujours en tournoyant, elle continue à me découvrir écartant mon chemisier pour faire apparaître mes dessous. Sur le dos, le contact est plus dur. Il faut dire que le dos nu attire la cravache qui me cingle quelques fois mais sans insister. Maîtresse me détache poignets, chevilles et me tire vers un divan où elle s’assoit élégamment. Avec la laisse et la cravache, sans un mot, elle m’agenouille devant elle. Jambe croisée, elle me fait comprendre de lécher ces escarpins. Je lèche avec enthousiasme et le cuir brille de ma salive. M’intimant de le lui retirer, j’essaye de lui enlever avec douceur. Malheureusement, je ne suis pas très doué et je reçois vite un gros crachat en pleine figure comme signal de sa réprobation. C’est humiliant et je réussis à adoucir mes gestes. Je met sa chaussure de côté pour lui tendre la main où elle déposera une noisette de crème de massage. Je lui masse délicatement toute la cheville et le pied, puis les orteils un par un en les étirant pour les faire craquer légèrement. J’ai la tête basse mais je crois qu’elle apprécie. La preuve puisqu’elle me tend le deuxième pied pour un nouveau nettoyage de chaussure. Je réussis à lui retirer sa chaussure plus délicatement et j’entame un nouveau massage pour lequel je suis beaucoup plus doué. Maîtresse ne semble pas pressée et elle passe tranquillement quelques appels téléphonique à ses amies. Je commence à faiblir. Sans doute l’a-t-elle senti car je reçois l’ordre de la rechausser délicatement bien sûr comme je sais faire sous humiliation. Elle se relève et me fait faire le tour de la pièce à quatre pattes sans doute pour voir mon allure. Je reçois d’amples coups de cravache sur les fesses pour me faire avancer plus lestement. Satisfaite, elle me ramène au centre de la pièces pour s’asseoir sur mon dos. Je ne peux voir ce que Maîtresse fait mais je m’attache à rester immobile comme un vrai tabouret. Elle se relève prestement et me pousse avec son pied me retrouvant ainsi étalé sur le sol. Elle m’entraîne sur le ventre avec ces talons et grimpe sur mon dos en marchant tranquillement depuis mes épaules jusqu’à mes fesses. Je souffre car ces talons fins me rentrent dans les chairs, Je serre des dents mais je ne peux m’empêcher de gémir, la contrariant suffisamment pour qu’elle descende de mon dos pour aller chercher un bâillon boule qu’elle me met prestement en serrant fort la lanière. Elle refait quelques aller-retour sur mon dos avant de me retourner comme une crêpe et me monter sur le ventre. C’est largement aussi douloureux que l’autre face mais le bâillon boule fait son effet et je garde le silence. Finalement, elle redescend de son strapontin vivant et sors d’une armoire à supplice, un boîtier d’électro-simulation et les accessoires adéquats. Je n’en avais jamais vu de si imposant avec autant d’électrodes. Maîtresse me raccroche à l’anneau au plafond et me remet ma barre d’écartement. Je suis à sa merci. Elle me remplace le gros plug par un plug électro. Puis, elle dégage mon chemisier pour pincer des électrodes sur mes tétons relève ma jupe pour me sangler ma bite avec un autre accessoire. Une fois, toutes les électrodes raccordées, Maîtresse commence à s’amuser avec les différentes électrodes en passant du plug à mes tétons, puis mon sexe. Je me tord de douleur malgré que l’intensité ne soit pas excessive. Ah mince, elle m’a sans doute entendu car les frémissements augmentent. Mes tétons sont douloureux, puis mon anus, et je ne maîtrise plus rien. La douleur va de l’un à l’autre et même simultanément sur deux, voir les trois en même temps. Je suis à bout mais Maîtresse s’emballe et je finis par pendre lamentablement sur ma corde complètement vidé. Elle me détache et je m’étale au sol. Pas sûr que je puissent enchaîner d’autres misères, ce que Maîtresse a compris. Elle me libère de mes électrodes et fait appel à Allan qui me ramène à ma cellule complètement pantelant. Maîtresse s’est éclipsée sans avoir oublié de me rassurer sur cette première journée à ces pieds. -«Tu as été résistant mais demain, il faudra faire mieux et je te réserve une belle surprise. Alors repose toi bien, tu en auras besoin» A suivre …. Merci à Ma Maîtresse de m'autoriser à publier ces fictions.
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Par : le 21/08/21
Le début de matinée est consacré à la réalisation d’une surprenante idée. Comment en est on arrivé là, j’aimerais bien le savoir. Tu m’avais demandé d’apporter toutes les cravates que j’avais en stock (cela fait une sacrée quantité tout de même, presque une quarantaine). Tout cela avait pour but de me confectionner une jupe de cravates. Il n’y a que toi pour imaginer une chose pareille. Des fois, je me dis que c’est une bonne chose que tu ne partages pas tes loufoqueries ; je pourrais finir par m’inquiéter. Nous nous y mettons à deux pour les longs préparatifs nécessaires à me transformer en cravat_hitienne. Je me sens obligé d’onduler du croupion pour faire honneur à tous ces efforts créatifs. Après une pause bien méritée, et surtout indispensable à la survie de ma Maitresse (a minima un café…), c’est le retour du corset noir et de son string. On dirait qu’il te plait autant qu’à moi ;-) C’est l’écrin que tu m’as choisi pour user de ta langue de dragon : je suis plutôt étonné par les effets qu’elle produit. Elle se révèle être très progressive, d’abord relativement douce aux premiers impacts avant de virer au plus mordant. Mais il me semble qu’elle m’électrise uniquement en bordure de la langue. Elle ne donne pas l’impression de claquer de toute sa surface comme le font les fouets à langue de dragon. Cela offre des sensations différentes, selon les goûts et inspirations du moment. Changement de parure pour poursuivre l’après-midi. Ce mot est peut-être un peu excessif. De légèrement vêtu, je suis passé à simplement encordé, très légèrement même. Avec la corde rouge, tu me réalises un harnais de bassin et un second de torse. Finalement, c’est sûrement ma tête qui est la plus « couverte » : d’abord une culotte noire roulée en boule qui vient se loger dans ma bouche (comme quoi on se complique parfois la vie pour trouver des bâillons ;-) ) et ensuite une rouge posée sur mon visage en guise de masque (il faut bien changer de la cagoule, certes bien pratique). Je te l’ai déjà dit, et je te le redirai encore : tu trouves toujours la bonne combinaison pour parer au mieux ton nounours. Tu te réessaies à la langue de dragon, au cas où je remarquerais à nouveau, sur un malentendu. Décidément, je suis bien difficile à prévoir sur ce sujet  Hormis quelques légères marques rosées sur mon épaule, mon dos persiste à conserver sa couleur naturelle. Du coup, tu me fais étendre à plat ventre sur le lit. Nous allons finir par devenir inséparables, le drap en vinyle et moi ! L’autre jour, en rentrant des courses, tu m’as demandé de monter une nouvelle spatule en bois directement à l’étage. Il fallait bien vérifier qu’elle méritait de rejoindre ton arsenal. Rien à dire, bien au contraire. Elle mord allégrement les chairs rebondies de mon postérieur : à chaque contact, je suis électrisé. Si seulement la ménagère de moins de cinquante ans savait tout ce que peuvent produire certains de ces ustensiles de cuisine. Toi, il y a bien longtemps que tu as franchi le pas. Partisane du détournement à tout va, tu me fais tester ensuite une brosse de douche en plastique avec option massage à picots. Est-ce parce qu’il faut trouver la technique la plus appropriée ou parce qu’elle vient après la très efficace spatule ? Toujours est-il qu’elle me laisse une certaine impression de fadeur. Certes, l’impact est là mais il manquerait un effet de claquement. Mieux vaut revenir aux classiques aux résultats garantis. Sans hésitation j’associe immédiatement le lourd et mordant contact qui vient de s’abattre à ton paddle à clous. Tu le fais retentir et claquer sur presque l’intégralité de mon dos, depuis les épaules jusqu’au creux des cuisses, là où c’est le plus sensible. Ma température de surface commence à monter sérieusement. Vive le bâillon-culotte, je peux y mordre allègrement dedans, y gémir, marmonner même, sans déranger tes oreilles ! Le courant d’air qui survient juste après, à proximité immédiate de mes fesses, ne peut venir que de ta longue cravache. Légers effleurements de ma peau ici et là, parfois sur les cuisses. Mais pour la version impactante, tu te saisis du modèle court qui claque à merveille : moins lourd mais tout aussi efficace que le paddle. Dans tes bagages, de retour de notre escapade de la semaine dernière, tu as aussi ramené deux baguettes, une de noisetier, une de bambou. A priori, je n’ai pas su les différencier : toutes mordent énormément. Je devine déjà que mes fesses et que le haut de mes cuisses se strient à vue d’œil. C’est bien un des rares accessoires de ta panoplie qui est prévisible aussi vite dans l’action. Si j’aime bien le résultat bien rectiligne, n’empêche que ces petites choses toutes fines se font bien sentir là où elles flagellent. Etonnamment, pendant ton concert de percussions avec les deux à la fois, les morsures se volatilisent, laissant place à un agréable, presque délicat, martèlement. Je reconnais immédiatement le lourd contact du flogger qui commence à flatter mes épaules avant de poursuivre lentement son œuvre. C’est une sensation bien différente que j’apprécie volontiers en alternance avec des contacts plus mordants et électrisants, tout est une question d’équilibre, que tu gères à merveille. D’ailleurs, tu n’allais pas rester sur une touche trop « douce » ; ce n’est pas vraiment ton genre. Place à tes préférés, enfin non, il faut rester raisonnable, un seul d’entre eux. C’est parti pour une séance de fouet. Mes épaules sont les premières à recevoir son douloureux « baiser ». Du fait que je sois étendu sur le ventre, tu réussis à me strier jusqu’au creux du genou. Ouille, c’est encore plus sensible à cet endroit-là ! Et en plus, tu m’affirmes que tu n’y as pas touché. Heureusement que j’ai des photos comme preuve pour dépôt de plainte auprès des fouetteuses abusives ;-). Parce que je ne peux rien exprimer : il y a comme une boule d’étoffe qui m’en empêche toujours … A croire que tu essaies de laisser une marque sur la plus grande longueur possible ! Retour les pieds sur terre pour continuer cet après-midi déjà placée sous les meilleures auspices. Je savoure à fond ton regain d’énergie : cela me ravit pour de multiples raisons. Depuis longtemps maintenant, il était question de détourner une paire de collants. Il eut été trop simple de les utiliser de manière classique. D’autant plus que cela aurait été contraire à tes principes : je serais alors moins accessible ! Tu extrais non sans mal la culotte noire qui était fourrée dans ma bouche : elle en ressort gluante ……. de salive. Oups ! Ce en quoi, c’est la preuve qu’elle a parfaitement joué son rôle. Limite j’aurais presque soif. Mais ma bouche ne reste pas bien longtemps ouverte. Un nœud au milieu des collants et le tour est joué : le nouveau bâillon est tout aussi efficace. En plus, il peut être arrimé à ma tête en divers points pour une sécurité optimale. Ceci fait, la culotte rouge reprend vite sa place. J’adore que tu détournes ainsi tout ce qui te passe sous la main. Sur ce coup-là, tu en as même plusieurs en tête. Tu veux aussi vérifier si des collants peuvent avantageusement cohabiter avec la cagoule : c’est le cas. Une fois enfilés sur la tête, ils réduisent encore plus ma vision tout en te fournissant deux liens, juste à la bonne hauteur pour immobiliser mes poignets. Plus la journée avance, plus j’ai le sentiment d’être un pantin. Certes consentant et ravi, mais pantin tout de même. Comme si je devenais la cible soudaine de toute une série d’idées « bizarres ». Et ce n’est pas fini. Tu me transformes ensuite en porte-jouets. Un échantillon représentatif de tout ce que ta panoplie compte de lanières se retrouve suspendu à ton présentoir vivant. Je dois reconnaître que le résultat est visuellement sympa. De mon côté, j’essaie de rester le plus immobile possible. Heureusement, tu es restée raisonnable : tu ne m’as pas surchargé avec la totalité de tes « armes » ; sinon, j’aurais fini par crouler. Soudain tu te souviens que j’ai oublié une tâche hier. Qu’à cela ne tienne, même si je n’ai plus ma tenue de bonne soubrette, je n’échappe pas au lavage à la main de tes dessous, le tout sous ton contrôle strict et attentif. Je reconnais qu’il y a bien pire comme corvée pour un soumis ! Il ne faudrait pas que j’abîme quoi que ce soit. A priori, je me suis bien sorti de ma mission. Sinon, je n’aurais pas fini en composition florale. Quelle très belle journée ! Tu m’as comblé.
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Par : le 20/08/21
"La pauvre Julie fut traitée avec une fureur qui n'a pas d'exemple, fouettée, nue et écartelée avec des verges, puis avec des martinets, dont chaque cinglement faisait jaillir le sang dans la chambre. La mère fut à son tour placée sur le bord du canapé, les cuisses dans le plus grand écartement possible, et cinglée dans l'intérieur du vagin." "Histoire de Juliette ou les prospérités du vice" (marquis de Sade 1797) Emblématique des cuisantes corrections d'enfance, le martinet éveille désormais des instincts de soumission, délicieux instants de jouissance partagée, prélude à d'autres tourments ou de simples ébats amoureux. Instrument traditionnel de correction né et utilisé autrefois en France et plus généralement en Europe, l'usage du martinet pour fesser un enfant est cependant tombé en désuétude, assimilé désormais à de la maltraitance. Le faisceau de lanières qui le compose, échauffe le corps tout entier: le dos, les bras, les fesses, les seins, même les parties génitales (vulve, pénis). Plus d'un tiers de la population francophone, en quête de cinglantes séances de soumission pratiquerait la flagellation. Le tabou persistant, au moment d’avouer ces fantaisies érotiques, rares sont les langues qui se délient aisément. Paradoxalement, elle figure toujours au titre des "troubles paraphiliques" dans la très sérieuse étude médicale américaine, la DSM5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), comme diagnostiqués chez "des individus éprouvant une excitation sexuelle en réponse à une douleur extrême, à l'humiliation, à la servitude ou à la torture". En réalité, les nombreux adeptes peuvent se rassurer sur l'état de leur équilibre psychique car les critères de diagnostic, exigent que la personne éprouve une détresse, telle que la honte, la culpabilité ou l’anxiété liée à un fantasme sexuel, à des pulsions ou à des expériences sexuelles. Autant dire les choses clairement, les formes les plus légères de SM pratiquées entre adultes consentants, ne sont pas classées parmi les troubles étudiés. Le manuel exploité par l'armée de terre des Etats Unis fait en outre l'objet de vives critiques. Goûtons alors sans rougir (ou presque), aux délices épicés d’une séance de martinet bien administrée, en conservant à l'esprit, toutefois que le S/M est avant tout une jouissance mentale, un plaisir cérébral. Comme un jeu sexuel, un scénario érotique préalablement choisi, et consenti entre adultes consentants, mieux encore, consentants et enthousiastes. Exploration impétueuse d'émotions sensorielles inédites et saisissantes, la flagellation est l’occasion d’affirmer symboliquement les rôles au sein d'une relation S/M entre une soumise et son Maître, combinée à l'érotisme mental des jeux de pouvoir sexuel, elle apporte à leurs ébats une saveur nouvelle. Pratiquée de manière sûre, saine, consensuelle et ludique, la flagellation revigore une relation engourdie par la routine. Le martinet est un petit fouet, constitué d'un manche en bois d'environ vingt-cinq centimètres, équipé de lanières, au nombre, d'une dizaine en général, en cuir. Le martinet est similaire au chat à neuf queues, instrument à neuf lanières ou cordes longues, utilisé autrefois, par les forces armées, les institutions pénitentiaires dans l'empire britannique, et au knout de l'Empire russe. Au Moyen Age, jusqu'au XVIIème siècle, la peine de mort était prononcée et appliquée avec une extrême rigueur. Il fallut attendre le règne de Louis XIV pour qu’un certain officier supérieur nommé Martinet adoucisse les peines, léguant son nom au célèbre accessoire, instrument de nos plaisirs. C'est en effet un lieutenant-colonel, Jean Martinet qui, indigné des cruautés dont il avait été souvent témoin, eut la philanthropique idée de faire remplacer le fouet par de petites lanières fixées à un manche, plus inoffensives pour la peau, tout en imposant toutefois d' interminables exercices aux troupes, exigeant d'elles un respect absolu du règlement. Le nouvel instrument prit le nom de son inventeur, qu’il porte toujours aujourd’hui. Officier contemporain du célèbre Charles de Folard (1669-1752), l'officier supérieur Martinet, commandant sous l’armée de Louis XIV, mérite toute sa place à côté du stratège écrivain, par les changements révolutionnaires qu’il introduisit dans les manœuvres de l’armée, en modernisant le recrutement (suppression des mercenaires). Il est cependant fort probable que, sans quelques lignes de Voltaire, il serait à ce jour un illustre inconnu. L'armée du Roi Soleil ne comportait pas à l'époque d’inspecteurs d’infanterie et de cavalerie mais deux officiers de valeur, le chevalier de Fourille pour la cavalerie, et le colonel Martinet, pour l'infanterie. Précurseur également de la baïonnette, Il se distingua lors du fameux passage du Rhin chanté par Boileau. Ses inventions furent précieuses et décisives pour le monarque français lors de la partition de la Hollande. Utilisé jusque dans les années 1980, l'objet tant redouté des enfants, les tribunaux le considère désormais, au même titre que la fessée comme un instrument prohibé, de pratique répréhensible, punie par les tribunaux. La mégère Madame Mac'Miche l'infligeant sur le bon petit diable, Charles, de la moraliste Comtesse de Ségur, fait désormais partie des images d’Épinal. Tout comme la légende enfantine du Père Fouettard, dans le Nord de la France, et en Alsace (appelé Hans Trapp). Dans le sadomasochisme, on échappe toujours au plaisir, que pour être repris par le plaisir. Le martinet est un instrument de précision frappant de ses lanières la partie du corps décidée. Pour la Dominatrice, ou le Dominateur, il est primordial de prendre conscience de l'impact sur la peau. D'utilisation plus aisée que le fouet, indispensable est également d'apprendre à en contrôler le mouvement. Les lanières sont le plus souvent en cuir, en nylon, en tissus, en peau de daim ou de chamois, ou en crinière de cheval. La liste étant loin d'être exhaustive. Lors d'une séance de flagellation, il est conseillé de commencer par glisser doucement les lanières sur la peau. C'est l'indispensable période d'échauffement. Ensuite, les coups doivent être espacés et entrecoupés de caresses à l’endroit fouetté, en demeurant toujours attentive (if) aux réactions du partenaire soumis aux délices. L’injonction d’arrêter par l'emploi d'un safeword (verbal ou gestuel) mettant immédiatement fin à la séance. La personne soumise, ayant librement consentie, emportée par l'excitation de la séance, ou par le désir de satisfaire la ou le Dominatrice (eur), peut perdre elle-même le sens de ses limites. La dominatrice ou le dominateur, constatant que le seuil de tolérance est alors atteint, doit mettre un terme aussitôt à la flagellation, évitant blessures physiques ou mentales parfois irrémédiables. Rappelons que le safeword en amont est essentiel. Un simple code, visuel ou sonore permet de mettre fin aussitôt à la séance. les marques définitives ne sont acceptables que dans un processus ritualisé mûrement réfléchi, et consenti. Un onguent ou une crème analgésique font disparaître plus rapidement les traces, et calment la douleur. Sauf désir contraire de la soumise souhaitant les conserver comme marques fières d'appartenance. Quel qu'en soit le mode, rappelons avec force que frapper un corps humain n'est jamais anodin. La flagellation doit être considérée comme dangereuse. Il est indispensable, pour la soumise, ou le soumis, ayant librement consenti, de s'assurer de la technicité de la Dominatrice ou du Dominateur évitant ainsi désillusions ou blessures. Elle ou lui doit s'assurer que les lanières sont très fermement fixées à l'extrémité du manche. Pour la même énergie, plus la surface de la peau flagellée est concentrée, plus le dommage potentiel causé est important. Les lanières fines cinglent, alors que les lanières larges provoquent une sensation sourde. Concernant les techniques basiques de flagellation, quatre se distinguent généralement: - Le mouvement du poignet peut induire des coups par des lanières à plat. - Il peut provoquer un mouvement de balayage simple ou elliptique. - Il peut également entraîner des figures de rotation (attention aux risques d'enroulement). - Enfin conduire par un mouvement puissant, les lanières à frapper de manière sourde au même endroit. Le plaisir partagé tient tout autant de la ritualisation de la séance, de la mise à nu de la soumise, et de la posture choisie. La flagellation est un acte symbolique fort dans la soumission, comme l'union mystique de deux désirs par un instrument. Si l'expertise de la Maîtresse ou du Maître est requise, l'attention des deux partenaires l'est tout autant. "Une seule abominable douleur la transperça, la jeta hurlante et raidie dans ses liens, elle ne sut jamais qui avait enfoncé dans la chair de ses fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix avait compté jusqu’à cinq, ni sur le geste de qui ils avaient été retirés." (Histoire d'O) Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/08/21
Chapitre 4 Ma cage et mon masque retiré, Dame Anna m’attache à la croix de St André et fixe un petit micro à mon collier : « Tout le monde va t’entendre, soumis. Tes gémissements de douleur ou de plaisir seront pour nous tous. Et je pense qu’à travers tes feulements, chacun saura distinguer la douleur et le plaisir. Mon but est de montrer que pour nous, les adeptes du SM, les 2 sont indissociables. « Je suis face à la piscine, bras et jambes écartés sur la croix, le corps entièrement offerts, les tétons déjà excités à la perspective de mes jeux favoris, sexe en érection à la pensée de ce qui m’attend. Et cela commence par de douces caresses que je sais annonciatrice d’autres moins douces ; je ronronne de plaisir mais laisse échapper de petits cris lorsque sans me prévenir, Dame Anna enfoui un pincement net au milieu de ses caresses. Puis quand je suis « à point », elle prend mes mamelles à plein mains et les tord violement pour ensuite s’occuper de mes têtons pincés et tordus entre ses doigts experts. J’ignore d’où lui vient cet art, mais pour moi, c’est de l’art . A la différence d’autres Maitresses, Dame Anna exige que je la regarde dans les yeux et ses yeux plantés dans les miens, elle voit mon plaisir monter et le dirige à son gré. Je ne m’appartiens plus, je suis à elle et ne peux que le dire à voix haute. En pinçant mes têtons, Elle joue avec mon corps comme d’autres jouent du violon en caressant et en pinçant les cordes. Je lis son plaisir dans ses yeux comme elle doit lire le miens dans les miens. Mes tétons sont tirés et pincés à l’extrême et la douleur monte crescendo au rythme du plaisir que je hurle maintenant. C’est cette symbiose qui est génératrice de jouissance pour moi et apparemment aussi pour Elle.. Elle s’arrête, me laissant exsangue et frustré car j’aurais voulu que cela ne s’arrête jamais. Un groupe s’est formé autour de nous . Elle me bande maintenant les yeux et je sais qu’elle va me confier à d’autres mains mais qu’Elle ne veut pas que je les reconnaisse. Des mains néophytes qu’elle va diriger mais qui seront sans doute moins expertes que les sienne. Me voici maintenant un objet d’exercice pour les libertins qui nous entourent et qui vont pouvoir s’entrainer sur moi. Mais cela commence là aussi par des caresses et cette sensation de huit, dix mains sur moi est délicieuse. Toutes les parties de mon corps, sexe inclus ont droit à leurs caresses et je ronronne à nouveau de plaisir. Continuez comme cela, n’arrêtez pas ! Mais voici que des doigts s’intéressent à mes têtons, bien mis à mal par Dame Anna et qui n’ont pas encore récupérés. On les tire, on les tord avec une brutalité qui n’a rien à voir avec ce que j’ai connu quelques minutes plus tot. Puis plus rien et j’entends la voix de Dame Anna qui détaille la façon de faire en joignant bien dur le geste à la parole. Je l’entends recommander plus de doigté et je sens qu’elle montre l’exemple. Le bandeau est retiré mais l’apprentissage continue et le cobaye encaisse, le bon comme le mauvais. Je reconnais des voix entendue quand j’étais attaché au comptoir , j’entends les conseils de Dame Anna et je subis les assauts répétés des participants qui font de leur mieux . Et puis Dame Anna fait signifie que c’est assez et demande à 2 participants de me détacher.et d’aller me laver un peu plus loin au jet d’eau. Comme quoi le SM , ce n’est pas faire mal , c’est donner du plaisir sous la forme que l’autre peut le recevoir .
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Par : le 20/08/21
"Il la cravacha à toute volée. Il n’attendit pas qu’elle se tût, et recommença quatre fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent nettes. Il avait cessé qu’elle criait encore, et que ses larmes coulaient dans sa bouche ouverte." Histoire d'O La flagellation, pratique prisée dans l'art du jouir, n’est pas seulement un adjuvant régulier des combinaisons sexuelles que la pornographie se plaît à inventorier. Elle est en réalité un moyen de mettre en mouvement, dans une relation S/M, la combinaison des vigueurs masochiste et sadique des partenaires en les unissant par un instrument. La ritualisation de la posture, la recherche de la douleur, de la cruauté font de la flagellation une discipline désormais autonome dans le BDSM. Les partenaires recherchant des sensations cinglantes et précises en raffolent. Elle fait partie intégrante de certains jeux érotiques, dits BDSM ou SM. Elle accompagne ou non, d’autres pratiques, bondage, soumissions diverses. Une personne flagellée devient beaucoup plus docile, et ouverte à d’autres expériences. Une femme qui aime dominer ressent une profonde excitation à la pratiquer. Là où d'aucuns recherchent la douleur, d'autres jouissent simplement du fait de subir et d'accepter l'humiliation. Certains optent uniquement pour des séances de flagellation, sans autre pratique érotique, d'autres considèrent fouet ou martinet comme un prélude (ou un intermède) à leurs divers jeux SM. Encore faut-il non seulement en posséder la technique, l'esprit, mais aussi en connaître les nuances et les dangers. Au début du XXème siècle, les adeptes de la fessée se sont pris de passion pour ces instruments faisant advenir la douleur et la cruauté dans la soumission. On parle alors de flagellomanie, de flagellophilie, de masochisme ou d’algolagnie (amour de la douleur). La présence du fouet, ou du martinet dans l’ordre des pratiques sexuelles n’a cependant rien d’une nouveauté. Leopold von Sacher-Masoch, auteur de "La Vénus à la fourrure" (1870) est loin d’être l’initiateur de la théorie. Cette doctrine de la jouissance dans la douleur a de tout temps existé, ayant des adeptes et des défenseurs. Parfois la douleur infligée ou subie est purement morale, c’est l’abnégation de soi-même envers l’être aimé. Mais le plus souvent cette abnégation va jusqu’à solliciter l'affliction de souffrances physiques. Cette forme d’érotisme n’est pas purement passive, elle est aussi active, car celle ou celui qui inflige la souffrance éprouve autant de jouissance que celle ou celui qui la subit. L’histoire ancienne et les mythologies abondent en exemples semblables. Bacchus et les Ménades, Hercule et Omphale, Circé et les compagnons d’Ulysse, Attis et Cybèle. Sacrifices à Moloch et à Baal, Thomyris la reine des Massagètes, Sémiramis fouettant les princes captifs devenus ses amants. Samson et Dalila, Salomon et ses nombreuses courtisanes réduites à le flageller pour exciter sa virilité. Phéroras, le frère d’Hérode, se faisait attacher et frapper par ses esclaves femelles. Le culte de Cybèle à qui Athènes, Sparte, Corinthe, Rome même, sur le mont Palatin, ont érigé des temples. Lors de ces orgies, le premier des devoirs était de se martyriser en honneur de la Déesse. Jetés dans une sorte d’extase par le recours à des danses frénétiques et autres stimulants, les fidèles s’emparaient de son glaive pour s'automutiler, au plus fort de leur délire. Les prêtresses de Milet s’armaient du fouet pour attiser le feu de volupté brûlant en elles. Les mêmes coutumes se retrouvent aux fêtes d’Isis, dont Hérode nous a laissé une peinture si frappante. Les fêtes des Lupercales semblables aux Bacchanales et aux Saturnales étaient l’occasion d'épouvantables orgies. Les prêtres, brandissant leurs fouets, hurlant et criant de joie, parcouraient les rues de la ville. Les femmes se précipitaient nues à leur rencontre, présentant leurs reins et leur seins, les invitant par leurs cris, à les flageller jusqu'au sang. Tacite, Suétone, Martial et Juvénal, révélant les secrets intimes des Néron et des Caligula ont fourni des détails égrillards et obscènes sur le raffinement de leurs débauches. Le christianisme, pour établir son influence, dut avoir recours à l’antique usage du fouet, non plus pour éveiller des désirs érotiques, mais au contraire pour maintenir l’homme dans la voie du devoir. Les cloîtres employèrent le fouet, pour mater les novices se révoltant contre les règles de leur ordre. Des congrégations se fondèrent imposant à leurs membres l’obligation d’une flagellation réciproque en vue de dompter les élans de leur chair. De même que le Christ avait été attaché à la colonne et frappé de verges avant d'être crucifié. Elles cessèrent avec le temps d’avoir un caractère disciplinaire et prirent la forme d’une obligation purement religieuse. Comme une expiation éminemment enviable des souffrances imméritées infligées à l’adorable corps du Maître. Tels les Flagellants et les Purificants, les Dominicains, pour les ordres masculins, et les Franciscaines et les Clarisses pour les ordres féminins. En littérature, Brantôme, Boccace, Pogge, l’Arétin, Restif de la Bretonne, citent fréquemment des cas de flagellation. Quant au trop fameux marquis de Sade, par nous étudié, son nom évoque le synonyme même de la pratique. La belle princesse Lubomirski faisait mettre à mort ses amants, après leur avoir fait subir les plus cruels tourments. Ils étaient empalés sur des pieux et fouettés jusqu'au sang, lorsque ces malheureux la laissaient insatisfaite. Pour autant, l'Histoire est trompeuse. Ce n’est pas du fait d’être ancienne ou anciennement admise parmi les manières d’user du sexe que la flagellation tire son implantation dans l’ordre des plaisirs. C’est tout le contraire, elle devient jouissance en s’arrachant à ces usages anciens. La volonté ramifiée de tout savoir sur le sexe, en ne laissant plus de place à l'imaginaire corporel, de traquer les perversions, d’en suivre obstinément les usages disparates et de susciter partout l’aveu des écarts, a eu pour effet de la faire proliférer, en lieu et place de la pudibonderie ou de l’interdit. Dans les sexualités disparates et les plaisirs spécifiques, la passion du fouet a pris sa place. Lieu d’une triple convergence, faisant d’elle à la fois une pratique S/M et une forme particulière du jouir. Dans le champ des perversions, forgeant la catégorie de masochisme, ou jouissance née de la douleur reçue, dans la littérature érotique, avec Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Pierre Mac Orlan, enfin, dans la volonté des adeptes revendiquant sans fard la puissance extatique de la pratique, dans la la ritualisation des postures de soumission. Nue et debout, seins et ventre offerts, bras levés sur la pointe des pieds, ou en position de crucifixion, chevilles et poignets entravés sur une croix de saint André, la soumise ravalée à un état d’infériorité, comme une proie. La femme ou l'homme se soumet, celui ou celle qui fouette et qui bat se tient au-dessus, le geste ample, dans l’attitude féroce et cruelle de celui qui domine. Ce que disent ces scènes, c’est l’institution d’une sexualité qui joue de la domination en outrant ce qu’elle est. Toutefois, la recherche du plaisir entre partenaires consentants, responsables et conscients, lors d'une séance, ne doit pas occulter la sécurité. La dominatrice ou le dominateur devrait tester le matériel sur lui/elle-même avant de flageller son/sa partenaire. De même, elle ou lui vérifie le matériel avant chaque utilisation. En général, plus le matériau est léger, plus la pratique est sans danger, plus la séance peut se prolonger et plus la sensation est douce. Le visage, la tête, le cou, les doigts et doigts de pieds, la peau en cours de cicatrisation ne doivent jamais être flagellés, pour des raisons évidentes de sécurité. Les paumes et le dos de la main, sur les jointures quelles qu'elles soient, sur la surface entre le bassin et le bas des côtes (présence d'organes internes) peuvent l'être avec une extrême prudence et extrême légèreté. Les seins, bras, avant bras, intérieur des bras, intérieur des cuisses, zones génitales (vulve, pénis) avec légèreté. Un impact sourd (par opposition à un impact cinglant) sur des seins est à éviter. Les fesses, le haut du dos de part et d'autres de la colonne, les cuisses, le bas des épaules constituées d'os épais protégés par des muscles et une couche de graisse avec énergie, voire très énergiquement. En frappant très fort des ecchymoses peuvent apparaître, la peau peut se déchirer entraînant des infections. Enfin, la position du corps flagellé conditionne celle de la peau et des muscles. Lorsque le partenaire est penché en avant, les muscles tendus ne sont plus aussi épais et offrent donc une protection moindre. De la même façon, si la peau est tendue elle va réagir de façon plus forte que si elle était relâchée. Flageller quelqu'un qui se tient debout sans maintien risque de le/la faire chuter. A l'inverse, la ou le flagellée (é) défaillante (t) maintenu debout par des liens, se retrouvera en suspension partielle. Placer la (le) soumise (e) en position de se voir flageller lui apportera en général plus de jouissance. Des marques peuvent apparaître tout de suite, ne pas apparaître du tout ou apparaître après un jour ou deux. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme DANGEREUX. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. "O, je vais te mettre un bâillon, parce que je voudrais te fouetter jusqu’au sang, lui dit-il. Me le permets-tu ? Je suis à vous" dit O." Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 18/08/21
La domination et l’amour… Ceci est un essai, des paroles vides de sens sans contexte. Chacun pourra, j’espère entendre un écho de lui résonner dans cette histoire. Je vous invite à vous détendre et vous installer confortablement pendant quelques minutes, à vous mettre à l’aise, car cela pourrait vous bousculer… un peu. Je vous poserai déjà cette question: qu’est ce que l’amour? La langue française utilise ce mot pour décrire bon nombre d'idées, de ressentis, de sentiments, mais reste flou et libre d’interprétation, quand d’autres langues utilisent différents mots(ex: love, like, etc). Pour ma part je le conçois comme le “oui”, le lien qui accueille, qui accepte. Pas étonnant dès lors que l’on puisse lui attribuer toutes les valeurs personnelles ou culturelles, changeant, évoluant inlassablement en même temps que l’individu qui aime. Maintenant la question serait alors: “qui aime quoi ?” Vous est-il déjà arrivé d’avoir des pensées contradictoires, ou des ressentis inversés à ce que vous devriez ressentir dans certaines situations? Quand on/vous vous dit(es) que telle ou telle chose est mal, et que vous ne comprenez pas pourquoi car vous y trouvez une forme de plaisir.... Ou à l’inverse. Si vous faites une action en y prenant plaisir, alors que l’autre subit, ce sentiment où vous pouvez jouir d’un sentiment de puissance, de pouvoir, ou de contrôle. La douce étreinte de la domination, que la soumission de l'autre vous autorise à vivre, à y prendre plaisir, de par son sacrifice volontaire (ne vous inquiétez pas, il y a aussi une joie dans la soumission et l’abandon de soi, ça s’appelle la Foi, et ça n’a rien de religieux). Allons plus dans le détail, la subtilité si vous voulez bien. Vous croyez être vous, mais comment savez vous qui vous êtes? Êtes vous ce que vous faites? Ce à quoi vous vous identifiez? Vos qualités? Vos défauts? Ou un tout, un amalgame indéfini de tout cela, et bien plus encore? Imaginez ceci, être un écosystème de croyances, de ressentis, d’émotions, incompréhensible et pourtant palpable, vivant. La dedans il existe une partie de vous qui aime dominer, qui aime être tout puissant(de ce que l’autre lui laisse faire, dans l’idéal). Et en même temps il peut y avoir une autre partie qui veut chérir, prendre soin de, protéger l’autre. Deux situations contradictoires, où l’on peut se perdre, car toutes les deux existent, sont légitimes mais ne peuvent communiquer entre elles, séparées par le gouffre béant de leur vision du bien, du mal, du bon, du mauvais, du plaisir et de la douleur. L’une éprouve le plaisir de dominer, l'autre la peur de blesser. L’une éprouve la joie à faire subir, l’autre souffre de voir l’impuissance chez le/a soumis/e. Choisir c’est renoncer… Au milieu du maelstrom de ces parties de nous, dansant inlassablement entre elles, il peut être difficil de communiquer avec elles, de tende l’oreille et les écouter, de nous écouter, de les voir, de nous voir, tel que nous sommes, au delà de l’apparence, de l’étiquette. C’est le jeu de l’égo. Voilà cette digression est maintenant terminée, n’hésitez pas à échanger et partager si ça vous à plus. Je pense que le prochain post dans ce genre concernera la projection(le fait de se reconnaître dans l’autre), l'ouroboros(le cycle qui se répète) et le triangle de karpman(le jeu du sauveur victime bourreau)
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Par : le 18/08/21
"O était heureuse que René la fit fouetter parce que sa soumission passionnée donnerait à son amant la preuve de son appartenance, mais aussi parce que la douleur et la honte du fouet, lui semblaient le rachat de sa faute." (Histoire d'O) Anne Cécile Desclos alias Pauline Réage. Un soupçon de plaisir dissimulé a toujours pesé sur la flagellation. Une lecture historique dénote une constante évolution, au cours des millénaires et des civilisations, de l'attrait pour la puissance symbolique et la beauté brutale d'une pratique devenue incontournable. Á la ritualisation du supplice, pratiquée à l'origine, par une caste aristocratique grecque, célébrant la pureté des sensations excessives, s'est jointe une volonté de transgresser des mœurs sexuels, l'imposant par sa force érotisante, comme une véritable discipline incontournable, autonome et idoine, dans la rhétorique du désir. Dans la Grèce antique, la vérité et le sexe étaient liés par la transmission d'une connaissance d'un corps à l'autre. Le sexe servant, avant tout d'initiation pédagogique et d'apprentissage à des enseignements sophistiqués et précieux. Le degré de complexité du savoir dépendait de la sagesse et de l'appartenance souvent à l'élite. Certaines relations étaient axées sur le rapport élève/enseignant, d'autres comme à Thèbes sur la survie. L'étude des comportements sexuels, dans l'Antiquité, s'est trop concentrée sur la comparaison avec la vision moderne. Les historiens ne se sont pas hélas suffisamment penchés sur la richesse du discours de ces éléments constitutifs. La flagellation se rattachait plus globalement à un art de vivre, ne se résumant pas à une simple pratique érotique. Plutarque a écrit de nombreux récits historiques et lyriques sur les compétitions sportives de fouet spartiates. "Les garçons de Sparte ont été fouettés pendant toute la journée à l'autel d'Artémis Orthia, souvent jusqu'à la mort, et ils l'ont courageusement enduré, joyeux et fier, se disputant la suprématie sur l'un d'entre eux, il pouvait supporter alors d'être battu plus longtemps et plus souvent, et celui qui était victorieux avait une réputation très particulière." Andromède, fille du roi Céphée et de la reine Cassiopée fut la première femme à entrer en servitude. Enchaînée nue à un rocher, ce fut Persée qui la sauva. Euripide décrit Aphrodite ordonnant à Thésée de supplicier son fils Hippolyte. Les auteurs grecs et romains comme, Theopompus de Chios et Platon, qualifiaient les Étrusques d'immoraux. Dans les cités d'Étrurie, les femmes esclaves, lubriquement extravagantes, attendaient alors les hommes, pour subir, en place publique, nues et enchaînées, le supplice du fouet, avant d'être possédées sauvagement. Tite-Live légitimait la prostitution et le viol de Lucrèce, idéalisant la fidèle et vertueuse romaine. Le mari avait des rapports sexuels avec sa femme, des courtisanes libérées, ou des prostituées avant de se livrer à des scènes de débauche avec de jeunes garçons, éphèbes qu'il sodomisait. Les Romains l'utilisaient comme châtiment corporel, comme sanction pour punir des actes criminels, à l'aide d'un fouet, le "flagrum", à l'encontre de suppliciés avant de les crucifier en place publique. La fonction sexuelle de la flagellation apparaît donc en filigrane tout au long de l'histoire, dès le Kâma-Sûtra. Elle constitue un phénomène sexuel, clairement assouvi et assumé historiquement depuis le XVIIème siècle. Au début du XIXème siècle, Sade fit de la flagellation son châtiment de prédilection, lors de scènes de tortures d'une extrême sauvagerie, mêlant cruauté et fantasmes sexuels, décrites dans "Justine", l'une de ses œuvres les plus célèbres. L'écrivain libertin ne se contentait pas hélas de son imagination. Frédéric II de Prusse fouettait avec vigueur de sa propre main les femmes de la cour, ses favorites, pendant que Marcel Proust fervent adepte, lui même, décrivait dans "À la recherche du temps perdu", un baron de Charlus, inverti cultivé et aux goûts raffinés, le postérieur souvent allègrement rougi. Chez les femmes de pouvoir, jetant hélas leur dévolu sur des sujets non-consentants, après Messaline et Cléopâtre, Marie de Médicis (Pierre de Brantôme l’évoque) fut une grande manieuse de fouet, de même que Catherine de Russie. L'Angleterre, avec le déclin de l'Eglise catholique au XVIIème siècle, laïcisa la pratique dans les maisons closes. Le Roi Georges VI appréciait tout particulièrement la chaise fessée en prêtant son siège aux délicieux tourments. De nombreuses conférences étaient consacrées sur l'utilité et l'agrément de la verge par de ferventes Ladies appartenant à la meilleure société de Londres, désirant s'instruire dans l'art de la flagellation, mais surtout s'adonner à ce piquant et aimable passe-temps, avec de très jeunes filles susceptibles de correction. Détaillant avec d'infinies précautions, les postures idéales promptes à déclencher la jouissance, lors de fustigations, avec une inclinaison naturelle pour la position gomorrhéenne, seule capable d'emporter la majorité des suffrages. La victime mise à nu, les pieds et les poignets liées, les yeux bandés, était meurtrie jusqu'au sang par une longue et fine verge. Les lanières de cuir se promenaient des épaules aux chevilles, cinglant les endroits intimes et sensibles, en s'arrangeant pour lacérer la chair sans la déchirer. Les contorsions voluptueuses sous l'ardente meurtrissure exacerbaient le plaisir de la fouetteuse la conduisant à un état extatique. On employait alors indifféremment le fouet, la canne, la cravache ou le fouet, exceptionnellement la main réservée à la seule fessée. Le mot fouet, du XIIIème siècle, vient du latin "fagus", le hêtre, et signifie verge de hêtre. Le fléau, instrument pour battre le blé, signifie également châtiment adressé par Dieu. La flagellation inclut l'idée d'instrument, de mouvement, et d'action. On peut donc flageller son partenaire avec toutes sortes d'instruments: fouet, verge, bâton, badine, canne, bambou, ceinture, ceinturon, lanière, courroie, martinet, chat à neuf queues, cravache, baguette, nerf de bœuf, chambrière, orties, chardons, épines, herbes, raquettes, câble électrique, paddles, battes, etc. La liste n'est jamais exhaustive laissant libre cours à l'imagination. Le fouet est constitué d'un manche de cuir tressé muni d'une ou de plusieurs lanières de cuir, de longueur différente selon les usages. Ses usages sont liés à sa composition. La longueur de la lanière permet de frapper le corps avec une redoutable précision en le meurtrissant. Mais manié avec prudence et dextérité, il peut lui apporter de chaudes voluptés, après une attention persévérante et soutenue. Dans les relations BDSM, la flagellation par le fouet, véritable rite initiatique, constitue un symbole fort de domination pour celui qui soumet. Elle est presque toujours pratiquée de façon légère, de manière à ne pas blesser gravement la personne qui reçoit les coups. Son maniement spectaculaire exige une très grande technicité, et une indispensable modération. Un fouet mal utilisé, ou en mauvais état, peut très rapidement cisailler la peau. Un entraînement préalable sur un objet inanimé est vivement conseillé. En claquant le fouet, le bout de la lanière émet un bruit caractéristique en dépassant le mur du son, le claquement. Il est craint car il procure une intense douleur et peut laisser des traces durables. L'objet provoque à sa simple vue, chez la (e) soumise (s), excitation, émotion avant même le début de la séance. Promené sur les parties sensibles ou génitales, il provoque un sentiment d'abandon total de la part de la soumise et d'adoration à la Maîtresse ou au Maître. La soumise n'est plus que corps et volonté abandonnés dans la soumission à l'être aimé. C'est un instrument de précision exigeant beaucoup d'espace car le porteur du fouet doit se tenir loin de l'esclave pour le frapper. La personne fouettée est nue et attachée sur un cheval d'arçon ou le plus souvent sur une croix de saint André. Les yeux bandés, elle ignore l'emplacement de l'impact suivant, de la caresse cinglante et mordante. L'ambiance faisant partie intégrante de la séance, surtout lors de la préparation et la mise à nu. Les coups de fouet placés et répétés peuvent conduire à l'orgasme. La flagellation par le fouet exige expérience et entraînement pour des personnes consentantes, conscientes et responsables. Conseils d'utilisation, de prévention, de mise en garde, de sécurité lors de son utilisation, seront étudiés lors d'un prochain article. Le martinet s'apparente au fouet d'une longueur plus courte, doté de multiples lanières, en général en cuir. Les sensations qu'il produit varient en fonction de la matière dont elles sont constituées, chameau, soie, nylon, de leurs nombres, de leurs dimensions et de l'usage qu'en fait le fesseur. La flagellation peut-être légère ou énergique selon les endroits caressés, mais doit toujours être précédée d'un échauffement. Appliquée avec vigueur sur une zone érogène de la soumise, la douleur dissipée peut faire place à une fulgurante jouissance. Elle s'adresse également à des partenaires consentants, conscients et responsables. La canne anglaise semble être l'instrument qui fascine le plus dans les séances de flagellation. Généralement en rotin et plus rarement en bambou, elle mesure entre un mètre et un mètre-vingt de longueur, pour des diamètres variables. Réminiscence d'un passé punitif, très utilisée dans l'Angleterre Victorienne du XIXème siècle, elle représentait l'autorité professorale ou directoriale. Facile à se procurer et discrète, entre les mains d'un fesseur expérimenté, elle devient un redoutable instrument de correction. Les vibrations enregistrées dans les organes sexuels, lorsque la canne s'abat sur la partie inférieure des fesses, peut de la douleur au plaisir, conduire à l'orgasme. La cravache plus ou moins longue, plus ou moins épaisse, de couleurs différentes, peut être décorée. Elle possède des formes variées de poignée et de claquettes. Elles est constituée soit de cuir soit d'un matériau synthétique. Sa flexibilité la rapproche de la canne, mais possède une boucle de cuir à l'extrémité du manche. Le dominateur peut choisir de n'utiliser que cette partie de l'instrument, ou de se servir du manche également. L'instrument est d'une redoutable efficacité sur les cuisses ou les fessiers nus. Rien n’est comparable à la cravache quand elle est bien utilisée. Indispensable de commencer doucement par échauffer afin de créer une sensation de brûlure profonde et sensuelle. Notons qu'Il ne faut jamais utiliser la cravache et le fouet au cours de la même session de soumission. Les coups de la cravache (ou du fouet) peuvent devenir de plus en plus forts, seuls alors les supplications de la soumise, son orgasme ou bien entendu le mot d'arrêt (verbal ou corporel) peuvent arrêter la séance. La chaleur progressive envahissant les fesses offertes de la femme soumise se transforme peu à peu en ondes bienfaisantes. Elle peut atteindre rapidement l'orgasme, voire plusieurs orgasmes consécutifs lorsqu'elle est prise immédiatement après. La flagellation peut devenir un acte d'amour, les deux partenaires n'étant pas séparés mais reliés par l'instrument. Le savoir-faire et la sensibilité sont bien entendu indispensables, mais l'attention portée à l'autre l'est tout autant. Quel qu'en soient les modalités, frapper le corps humain doit être considéré comme dangereux. La flagellation doit être pratiquée par des personnes consentantes, responsables et conscientes. La ou le soumise (s) disposant toujours de la possibilité de mettre fin à la séance par un safeword. Les techniques, les parties du corps à fouetter, à ne jamais fouetter, ainsi que des conseils de mise en garde et de sécurité, à respecter pour un plaisir partagé, au cours de chaque séance seront étudiés dans le prochain article. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir
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Par : le 17/08/21
Aux premiers coups qui la brûlèrent au ventre, elle gémit. Juliette passait de la droite à la gauche et reprenait. Elle se débattait de toutes ses forces, elle crut alors que les sangles la déchireraient. Elle ne voulait pas supplier, surtout ne pas demander grâce mais sa Maîtresse entendait l'amener à merci. Quand on la libéra enfin de la croix, aux premières heures de la nuit, chancelante et à demi endormie, Charlotte glissant dans les bras de Juliette, eut juste le temps, avant que tout eût tourné autour d'elle, et que toute émotion l'eût quittée, d'entendre la voix cruelle de Juliette, briser le silence régnant dans l'assemblée des couples masqués venus assister à son dressage, prononcer froidement la sentence: - Qu'on l'harnache fermement et qu'on l'élargisse; quand elle sera prête. Elle sera à vous. Elle sentit qu'on la tirait en avant, et marcha. Le contact de ses pieds nus qui se glaçaient sur le sol de pierre finit par la réveiller; la maîtresse des lieux, entièrement vêtue de cuir, traversa la salle en la tirant par une laisse puis monta sur une estrade surmontée d’un majestueux fauteuil. Là, elle la fit s’asseoir à ses pieds sur le sol, s’assit à son tour et fit signe à l’assemblée de reprendre les festivités. Il devait bien avoir une vingtaine d’invités, habillés en tenue de soirée, regroupés autour d'un grand lit en fer forgé noir, érigé en autel au centre de la salle. Il lui parut naturel de la préparer ainsi dans sa condition d'esclave marquée et annelée afin qu'elle fut prête. La maîtresse des lieux prit grand soin, rituellement de lui renverser les jambes pour qu'elle pût la voir en détail. Sur son ventre nu, le monogramme affichait son appartenance de soumission. Intégralement rasée, lisse, offerte, ouverte à ses désirs ou à ceux des inconnus à qui elle la destinait, ses grandes lèvres portaient deux anneaux d'or. Une jeune soumise nue, à la tête rasée, déploya à ses pieds un harnais en cuir noir, faisant luire l'acier des anneaux qui maintenaient les sangles entre elles; elle se glissa derrière elle et entoura le buste des bras pour le comprimer sur la poitrine de Charlotte; elle cercla chaque sein par les plus gros anneaux; ensuite, elle fixa une première boucle sur la nuque, vérifia le centrage des seins dans leur bonnet métallique et attacha fermement la seconde sur les reins. Il ne lui resta plus qu'à se baisser, à passer les doigts entre ses cuisses et à saisir la dernière sangle qui pendait à l'avant; elle la fit alors venir vers elle pour la remonter entre les fesses jusqu’à la boucle fixée sur l’anneau dorsal; la sangle se plaça ainsi d'elle-même dans l'axe du sexe, et le cuir, écartant les chairs, creusa un sillon sombre entre les grandes lèvres. Enfin, on glissa profondément entre ses reins un large rosebud anal afin d'élargir son anus Jamais son sexe ne fut autant mis en valeur; la sangle verticale, qui écartait douloureusement ses chairs intimes, accentuait la ligne de ses grandes lèvres, de sorte que l’ensemble de la vulve semblait avoir doublé de volume tant elle était comprimée; elle demeura interdite devant l’image que lui renvoyait le miroir. Jamais elle n'accueillit avec tant de joie, les bracelets qui joignaient ses poignets et le collier trop serré à son cou, annonçant son supplice. Sans qu'on l'interrogeât, on entendit des gémissements autour de l'autel, où maintenant des corps s'entremêlaient. Une grande femme brune, aux seins fermes, à peine dissimulés sous un chemisier transparent, chaussée d'escarpins Louboutin, aux jambes interminables, galbées dans des bas à couture noirs, s'offrait à trois hommes qui la prenaient, allant et venant, dans les trois voies qui leur étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche. Plus loin, la soumise à la tête rasée, les cuisses renversées, gémissait sous les caresses d'une jeune fille, raidie sous sa langue. Dans une alcôve plongée dans la pénombre, une ravissante blonde aux cheveux courts, commençait à se déshabiller; sa jupe flottait au gré de ses mouvements; par moments, elle s’ouvrait sur le côté laissant apparaître la blancheur d’une cuisse nue jusqu’au niveau de l'aine; elle attrapa le bas de la jupe et la fit voler, découvrant volontairement ses jambes au regard de l’assistance; elle défit les boutons de son chemisier dévoilant son ventre en ondulant des hanches dans un balancement lascif; un homme s'enhardissant lui ôta; le soutien-gorge descendu fit apparaître l'aréoles de ses seins. Elle s’exhibait sans retenue; deux autres invités s’approchèrent, un dégrafa le soutien-gorge, libérant les seins qui étaient déjà fièrement dressés; il les caressa et les malaxa sans douceur; le second attoucha ses fesses; elle était maintenant nue. De nombreuses mains prirent alors possession de son corps offert, aucune partie ne fut oubliée; les doigts fouillèrent son vagin et son anus; elle demanda à être prise; un homme s’allongea sur elle, la pénétra tout aussi rapidement et commença des mouvements de va-et-vient; un sexe s’approcha de sa bouche, elle happa le membre viril qui s'enfonça dans sa gorge. Un cercle se forma bientôt autour de l'alcôve, avec autant de verges tendues que de participants, n’attendant plus que sa langue et sa bouche pour les enjôler; elle voletait de l’un à l’autre, au gré de leur ardeur; le premier à se libérer maintint fortement sa tête, jusqu’à que la source ne fut tarie; elle avala la précieuse semence qui inondait sa gorge; l’un après l’autre se délivrèrent; le sperme coulait de ses lèvres, en filaments visqueux qui se balançaient sous son menton; l'un des invités se coucha sur le dos et la fit l’allonger sur lui, il la bloqua aux épaules et la pénétra en la forçant à se cambrer. Pendant qu’il la prenait, un autre s’intéressa à son orifice le plus étroit et y introduisit alors un doigt; approchant sa virilité de ses reins offerts, il la sodomisa brutalement avant de se retirer libéré; un autre, stimulé par la facilité à laquelle elle se prêtait à cette double pénétration, prit rapidement la place et éjacula en longues saccades; ils furent trois à choisir cette voie exiguë, à mêler leur foutre dans les entrailles de la jeune femme masquée qui n'était plus qu'un réceptacle béant. Du plafond pendaient des cordes. Le seul objet qui fût au plafond, à la même hauteur que la croix de saint André était un gros anneau brillant, où passait une longue chaîne d'acier. On attacha Charlotte par ses poignets, debout les bras écartés, face à l'assemblée, offrant son corps nu, au reflet d'or des flambeaux qui ornaient chaque angle de la cave. Juliette s'approcha, contempla les deux seins arrogants qui s'offraient à elle et étonnamment avec des gestes plein de délicatesse, dégrafa le harnais, après avoir passé la main sur le ventre, s'assura que son anus était forcé par l'épais rosebud. Un peu de rougeur monta au visage de la jeune femme, tandis qu'une douce chaleur envahissait son intimité. Les yeux de Charlotte regardaient la croix, mais ne virent pas la jeune esclave qui retirait un carré du tapis, libérant un miroir dans lequel étaient creusées, à une distance convenable, de chaque coté, deux encoches en forme de pied. La maîtresse des lieux attira Charlotte au dessus du large miroir que rien n'illuminait. Alors du plafond descendirent les deux cordes sur lesquelles étaient reliées deux bracelets en cuir. Béatrice en fixa un à chaque poignet de Charlotte et les cordes s'élevèrent, entraînant les mains de la jeune femme anxieuse; ses bras formaient un angle ouvert au dessus de ses épaules; les longes s'arrêtèrent de monter, une lueur douce et dorée s'éleva du miroir, illuminant les cuisses de la soumise; ainsi exhibée, face à l'assistance; l'ordre pour elle, était de se montrer obéissante tout au long de la soirée. Juliette examina longuement les seins insolents, elle posa ses mains sur les globes fermes et de douces caresses les parcoururent. Charlotte ferma les yeux, se laissant griser par le reflet du miroir de l'intimité qu'elle offrait impudiquement aux invités. Alors la maîtresse des lieux prit un martinet au poil soyeux et, doucement, effleura un mamelon d'une lente caresse sur la pointe extrême; une sensation délicieuse envahit le corps de Charlotte, parcouru de frissons. Cuisses serrées, Charlotte tordait doucement son bas-ventre que gagnait la jouissance, et Juliette suivait, penchée sur le miroir, la danse voluptueuse de la croupe soumise; de profonds soupirs s'échappaient de ses lèvres; elle comprit que loin de vouloir l'épargner, on échauffait son corps pour la battre ensuite. Elle regarda son bourreau, mais déjà le visage s'était revêtu d'un masque impassible et les lanières en cuir effleuraient ses seins frémissants; on éloigna ses chevilles pour que ses pieds se placent dans les encoches du miroir au sol; ainsi écartelée, Charlotte se tint aux cordes tendues. Alors sous l'excitation, elle ne se posséda plus; ses cuisses frémirent, son ventre se tendit, se recula et les contractions nerveuses, ouvrirent sa vulve au dessus du miroir. Charlotte râla de jouissance; dans un sursaut, elle referma ses cuisses, mais Juliette la saisit et la remit dans les encoches. Elle s'abandonna et ne refusa pas le spasme qui montait en elle. On emprisonna fermement ses chevilles dans deux bracelets scellés au sol pour tenir ses jambes immobiles. De nouveau, Juliette levait le bras et une méthodique flagellation commença. Les coups étaient dosés, mesurés pour ne pas blesser Charlotte qui, les yeux clos, sentait monter en elle une chaleur intense; sa poitrine était secouée par des coups de plus en plus secs, comme une caresse de feu qui irradiait sa chair. Les seins devenaient de plus en plus marqués. Soudain, Juliette frappa de bas en haut sous les globes, qui musclés et durs, frémirent à peine et parfois, sous un coup de coté, ils se choquaient entre eux. Puis on la cingla en tout sens de façon à l'entendre hurler et au plus vite. L'orgueil qu'elle mettait à résister ne dura pas longtemps; on l'entendit même supplier qu'on la détachât, qu'on arrêtât juste un seul instant; c'était comme une caresse de feu qui irradiait sa chair, la faisait frissonner tandis que des stries rougeâtres apparaissaient. Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières qu'elle tournoyait presque sur elle même, les bracelets enfermant ses chevilles devenant lâches; tout comme un pantin, elle s'agitait dans ses entraves; son ventre se tendait, son sexe contorsionné s'ouvrait, se fermait; son reflet dans le miroir attirait le regard lubrique des invités. Alors la maîtresse des lieux la frappa encore plus fort et dès cet instant, les coups ne s'égarèrent plus, sinon délibérément. Une chaleur intense inonda la poitrine de Charlotte comme une boule de feu; ses seins, plus violemment heurtés, se choquèrent dans un bruit mat, les lanières s'entouraient autour d'eux, giflaient la chair, écrasaient les pointes en cinglant les aréoles. La maîtresse des lieux, après trois derniers coups, cessa de la flageller pour écarter ses cuisses. Elle plongea ses doigts humides dans l'intimité moite, constatant non sans fierté, que la soumise avait réellement joui. Les portant à sa bouche après, elle les lècha longtemps entre ses lèvres, se délectant de l'éjaculat mêlé à la cyprine. Les invités l'observaient attentivement et commentaient chaque fois que la main qui la tenait, la fouillait, revenait, de plus en plus profondément, à la fois dans son ventre et dans ses reins qui s'enflammèrent. Le silence tomba; seuls s'élevaient de l'assemblée, les soupirs profonds de la suppliciée, les gémissements des femmes masquées se donnant aux hommes. On la détacha pour la conduire sur le lit en fer forgé qui trônait en autel au centre de la salle. La maîtresse des lieux fit alors venir un esclave mâle endurant et bien bâti, dont elle s'était assurée par une longue privation à toute satisfaction, de sa capacité à se raidir, avant d'être forcé à répandre son foutre là où elle exigerait qu'il le fut, avec la préférence qu'elle lui connaissait à toujours choisir l'orifice le plus étroit, commun aux hommes. Elle lui ordonna de rejoindre Charlotte. Elle trouva un coussin, y appuyât ses mains les bras tendus, les reins offerts. Alors, avec une angoisse folle, elle sentit derrière elle, un autre homme qui quitta l'assemblée pour rejoindre l'estrade. En quelques secondes, il lui lia les mains derrière le dos. Nue et écartelée, son sexe et ses intimités béants s'offraient à la vue des deux autres dont elle sentait le souffle chaud frôler son dos; elle voulut crier, mais la peur la paralysait. L'invité lui malaxait les seins, pressant les pointes avec force; des doigts s'infiltrèrent entre ses fesses, forcèrent l'étroit pertuis de ses entrailles; le sexe de l'esclave, nu et harnaché, était encagé dans une poche faite de lanières cloutées. Un trouble mélangé de honte, de volupté, de rébellion et d'impuissance à la fois la saisit. Cherchant le regard de l'invité, mais celui-ci, les yeux fixés sur l'anus, ne relevait pas les paupières jusqu'au visage de Charlotte; il força brusquement ses reins avec son doigt en la pénétrant avec violence; surprise par la douleur, elle tenta d'échapper à l'index qui continuait à vouloir s'insinuer en elle; elle se cambra de toutes ses forces; le doigt se retira aussi brutalement qu'il était entré et vint se promener sur ses lèvres, qui furent écartées et ouvertes pour que sa bouche fût imprégnée du goût âcre de sa cavité. Obéissant à la maîtresse des lieux, l'esclave mâle ôta le rosebud anal qui dilatait déjà l'anneau de chair de Charlotte pour le substituer par de plus épais afin de l'élargir davantage; un sourd gémissement marqua l'écartèlement de l'étroite voie, souillée par un braquement menaçant et oblong; fesses tendues, bouche tordue par la jouissance impérieuse, elle râlait doucement, goûtant avec ferveur le cruel supplice raffiné; mais le gode, plus gros encore, distendit la chair, tandis que la main de l'homme appuyait à peine pour faire pénétrer le phallus en elle. Et un autre prit la place dans la gaine gluante et chaude, distendue mais docile et souple; l'anus plissé disparaissait derrière le renflement émergeant au milieu de l'olisbos. Mais le gode saillant était énorme et noueux, zébré de veines saillantes; l'homme poussa avec force, avec un intense bruit de succion, tandis que les sphincters s'ouvraient et se fermaient aspirant l'olisbos sous les regards lubriques des invités; sa croupe s'infléchit, l'anus résista un peu tandis que Charlotte sentait une souffrance sourde monter dans ses reins, puis la voie céda; il lui sembla que ses muscles se déchiraient, que son cul s'emplissait totalement; la bouche ouverte, un râle s'arrêta au fond de sa gorge, les yeux hagards, elle demeura tendue, haletante, puis il y eut un cri, suivi d'un sursaut de mouvements convulsifs, le gode énorme fut aspiré. Elle s'affaissa sur le coté, les doigts crispés sur le coussin. Pour la maîtresse des lieux, le jeu avait assez duré; elle ordonna à l'esclave mâle d'ôter la cage de cuir qui emprisonnait son sexe; libéré, le membre monstrueux se tendit aussitôt; non sans impatience, il lâcha le factice. Sur un signe, tous les invités se levèrent en silence et vinrent en demi-cercle, autour du lit érigé en autel, pour contempler le spectacle. Le gland affleura, puis le membre tout entier s'enfonça, et l'étalon sodomisa Charlotte; un bruissement gras s'éleva, silencieuse, elle se laissa enculer et nul ne songea dans l'assemblée à faire cesser son sacrifice; il se retint une dizaine de minutes avant de se libérer en longues saccades dans les entrailles de la suppliciée; l'homme qui les avait rejoint ne tarda pas à le remplacer; il la plaqua sur le dos et écarta ses reins afin qu'un autre puisse s'introduire simultanément en elle, glissant dans le sperme. Ce fut une dizaine d'hommes qui se succédèrent, remontant et frappant au fond de la gaine de ses reins. Pour Charlotte, la douleur ressentie lors de la double pénétration se transforma en jouissance. Le corps marqué par de longues estafilades, elle avait gémi sous les coups de Clothilde comme jamais sa Maîtresse ne l'avait fait gémir, crié sous le choc des membres des invités, comme jamais elle avait crié; elle devait leur être soumise et les accueillir avec le même respect avec lequel elle accueillait Juliette; elle était là dans la soirée pour servir de réceptacle à la semence des hommes, qu'elle devait recevoir par tous les orifices prévus par la nature, sans bien entendu jamais protester ni même trahir un quelconque sentiment. Lorsque tous les invités furent assouvis, on la conduisit dans sa chambre et on l’étendit sur un lit. Souillée de sperme et de sueur, le corps labouré par le fouet, on lui donna un bain, et elle s'endormit. Hommage à Charlotte. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/08/21
Voici enfin arrivées ces deux semaines en ta compagnie. Depuis le temps que dure notre relation, c’est la première fois que nous allons pouvoir passer autant de temps ensemble. Je m’en délecte d’avance. Même si j’affirme depuis des semaines qu’en cette satanée année, ce ne sont pas de vraies vacances, ce séjour restera spécial quoi qu’il en soit. Signe d’un regain de forme notable doublé d’une certaine motivation, pour ne pas dire d’une motivation certaine, tu me proposes dès le deuxième soir de procéder à quelques essayages de tes dernières trouvailles. Je savais qu’elles existaient sans savoir à quoi elles pouvaient ressembler. Si pour la parure blanche, il faut remettre à plus tard, le temps d’adapter la taille, il en va, en revanche, différemment pour la noire. J’ai l’impression de ne pas encore avoir assez minci pour y rentrer. Pourtant tu as bien raison, le corset sombre avec ses motifs floraux blancs finit par bien s’ajuster sur mon corps de « mannequin ». J’ai de nouveau un doute lorsque tu me tends le string coordonné. C’est vraiment un petit modèle, surtout que ce genre de situation ne me laisse jamais de marbre. Pourtant, là encore, tout finit par se mettre en place. Et cette matière translucide souligne mon anatomie tout en ne dissimulant rien de mes sensations : quel lubrique et impudique nounours je deviens à cet instant précis. Tant qu’à y être, tu me fais chausser les talons avant de me faire prendre diverses positions lascives sous le regard curieux et attentif de ton objectif. La modiste semble ravie de son œuvre. En tout cas l’expression de ton visage l’exprime. Je reconnais, je le suis tout autant par cette mise en bouche. De toute façon, j’aurais peine à affirmer le contraire. C’est aussi l’occasion de me prélasser ainsi légèrement vêtu sur le nouveau drap en vinyle violet : protecteur, rehausseur de couleur, contact spécial. Je sens qu’il ne va avoir que des avantages. Validé malgré cet essai rapide ! Mercredi, le grand jour est arrivé ! Enfin, plutôt un jour spécial, et même deux pour être précis. Tu as organisé une visite pour nous permettre d’expérimenter des choses qui ne seraient pas (ou du moins pas encore) possible dans ton antre. Direction plein ouest, les pins, la chaleur, …, en cette chaude journée pour de nouvelles aventures. Sans surprise, l’accueil qui nous est réservé est des plus chaleureux et nous faisons alors la connaissance de la soumise de notre hôte. Passées les agapes du déjeuner, nous pouvons nous attaquer aux choses sérieuses, ou moins sérieuses (tous les points de vue sont possibles). Galanterie ou pas, il se trouve que ma « collègue » de soumission ouvre le bal sous les assauts des différents fouets de sortie, principalement ceux que tu as apportés. Il ne fait pourtant pas froid. Pourquoi donc vouloir directement faire monter autant la température. J’attends patiemment mon tour en profitant du spectacle et des marques roses et rouges qui commencent à joliment orner son dos et son postérieur. C’est troublant de se retrouver spectateur plutôt qu’acteur. Je suis totalement détendu et décontracté en attendant mon tour. La confiance aide beaucoup même si c’est une double première pour moi, à la fois dans la pratique et dans le fait ne pas être en ta seule présence. Visiblement, ma pudeur des débuts s’est bel et bien envolée. Depuis quelques années, tu as pris goût aux cordes pour mon plus grand plaisir. Oui mais voilà, tu n’avais pas la possibilité de me suspendre. Il faut dire que c’est loin d’être si simple : il faut la technique et un environnement adéquat. D’où l’intérêt de cette visite amicalement encordeuse … et plus. Tout est là : de solides poutres, une barre de suspension spécialement conçue pour cela et l’expertise qui va avec. Pour une première dégustation, nous choisissons tous ensemble de faire simple. Il ne s’agirait pas de tout gâcher en se lançant trop vite dans la difficulté. Ce sera donc tout simplement à l’horizontale sur le dos. Il n’y a, a priori, pas besoin de plus pour goûter à ces aériennes sensations, toutes nouvelles pour moi. Autant le levage au niveau des cuisses et des chevilles ne me gênent pas le moins du monde, autant la première tentative à hauteur du torse me donne une soudaine sensation d’oppression, comme un berceau de bois qui viendrait me broyer. Rapide retour sur une surface stable pour bien repositionner les cordes et l’ascension peut reprendre. Cette fois, je ressens l’inévitable emprise des cordes autour de mon corps, mais plus du tout cette première sensation gênante et désagréable. Grâce à la cagoule qui n’était pas prévue pour cela, j’ai l’impression de me concentrer encore plus sur l’instant présent, d’intérioriser à fond ce moment. Chaque seconde qui passe, la très légère appréhension des tous premiers instants se mue en un agréable instant. Illusion ou pas, j’ai l’impression de me balancer dans le vide. Ce n’est pas encore la sensation d’être un oiseau mais c’est clairement agréable de flotter ainsi, même contraint. De se sentir bercé, presque tout léger. Je ne te remercierai jamais assez de m’avoir permis de goûter à cette nouvelle sensation. Toutes les bonnes choses ont une fin : atterrissage en douceur avant de passer à une suite, cette fois partagée. Pour une fois, les marques sont au rendez-vous : tu ne manques pas l’occasion de les immortaliser. Comme quoi je marque … parfois. On a juste toujours pas l’explication du quand et du pourquoi ;-). Une soumise, un soumis, deux compagnons d’(in)fortune, deux cerveaux dominants, il eut été dommage de ne pas en profiter pour un tableau commun. Chacun avec notre bien légère tenue en vinyle noir, nous nous livrons à leurs cordes et à leur imagination fertile. Dos à dos, main dans la main, nous nous retrouvons partiellement suspendus, en presque parfaite symétrie, chacun faisant le pied de grue … ou de héron ;-). J’avoue que c’est une sensation nouvelle de sentir cette chaleur dans la main, d’entendre ma partenaire de cordes s’inquiéter de mon état. Tout compte fait, ce n’est pas désagréable du tout de partager ce genre de moments, quand bien même la contrainte des cordes reste quelque chose d’individuel. Je confirme aussi que l’humain n’est pas fait pour être un « monopède », pas plus que le nounours d’ailleurs. Il est quand même beaucoup mieux sur ses deux pattes … au moins. Faites vite les photographes, je fatigue ! Histoire de ne pas faire de jaloux, mon tour est venu d’être « réchauffé ». A mon plus grand regret (temporaire), le préchauffage avec ta toute nouvelle langue de dragon ne s’est même pas inscrit dans mon esprit, souvenir probablement submergé par le flot qui a suivi. En revanche, la longue tapette à clous a réussi à ne pas se faire oublier : il faut dire qu’elle a des arguments « percutants », tout à fait adaptés à un postérieur rebondi et avide. A priori, par la suite, il semblerait que j’expérimente surtout les dernières acquisitions de notre hôte. Si la queue de dragon du fouet court se révèle bien impactante lorsqu’elle vient atterrir tantôt sur mes épaules, tantôt sur mon dos ou encore sur mes fesses, le fouet arc-en-ciel me fait plus penser à un lourd flogger. A choisir je prendrais plutôt le « cracheur de flammes » ! Il semblerait que je sois dans un contexte favorable, mon endurance tout comme ma réceptivité se révèlent bien meilleures que la dernière fois, ce qui serait pour te satisfaire. Atmosphère décontractée de vacances ? Changement d’air ? Inconsciente volonté d’être à la hauteur devant nos hôtes pour que tu sois fière de moi? Un peu de tout cela probablement. Du coup, ce moment dure, dure, … s’étire en longueur. A tel point je suis presque surpris par toutes ces chaudes traces rouges et boursouflures sur mon dos lorsque je les découvre en photos. De l’intérieur, je ne soupçonnais pas une telle intensité. Disons que je me laissais aller à l’instant présent et profitais de ces nombreuses morsures, lâchant ici et là quelques grognements de satisfaction. Et dire qu’il est de notoriété publique que je ne me marque pas. A priori, quelque chose a dû changer. Et en bien ! Sinon, vive la cagoule ! Mon oreille gauche sifflerait presque encore de quelques claquements « proches ». La cravache qui t’est proposée n’est pas spécialement stimulante malgré sa tête en coeur, du moins tant que tu t’en tiens à son usage classique. Mais évidemment, tu ne résistes pas à montrer à un de tes « nombreux » petits plaisirs : la version ventilateur d’extrême proximité sur mon intimité avec un modèle plus standard. Impossible d’encaisser sans réagir, malgré les spectateurs : je ne peux pas faire autrement que me tortiller et couiner. Voici qui conclut à merveille cette première journée. Que demander de plus ? Des personnes sympathiques, un esprit décontracté. Il n’en faut pas plus pour que tout le monde s’amuse. Le petit-déjeuner est propice à phosphorer, bien évidemment pour produire des idées sadico-perverses. Pauvre soumise, c’est elle qui va pâtir de ces deux imaginaires démoniaques. Pour ma part, je suis simplement mis à contribution pour les préparatifs. Si seulement le barbecue n’était pas resté tout près de la terrasse… Il n’en fallait pas plus à nos deux esprits encordeurs pour envisager de la mettre à la broche au-dessus du grill. Je reconnais que le résultat final est plutôt visuellement réussi : je sais, c’est facile à dire quand on voit cela d’un œil extérieur et distant. Il était évident que je finirais par être mis à contribution. Ou plutôt que je finirais par être le centre des attentions. Il faut dire qu’un jardin tranquille et suffisamment dégagé se prête parfaitement à ce que tu espérais depuis longtemps déjà. Difficile d’exploiter tes plus longs fouets dans la quiétude protectrice et rassurante de ton antre. Quant à moi, je reconnais que le pépiement des petits oiseaux et la douce caresse sur ma peau des quelques souffles d’air matinaux offrent un environnement des plus emballants, déjà qu’il ne m’en fallait pas beaucoup pour être motivé par le programme esquissé. Simplement paré de ma cagoule en cuir, encore plus indispensable en ce jour, je me positionne au milieu de la pelouse, les orteils dans l’herbe. A partir de là, je suis bien incapable de dire ce qui se passe vraiment autour de moi. La seule certitude, c’est que je suis assailli de diverses manières : une langue de cuir vient me claquer régulièrement dans le dos, un bien long brin de cuir vient régulièrement enserrer mon torse … il y a même un fouet qui ose venir passer par-dessus mon épaule pour venir s’acharner sur ma main. Le fouet arc-en-ciel semble appliqué de manière légèrement différente : un ou deux brins viennent claquer avec un léger retard. Ca claque, ça mord, ça cingle, ça virevolte, mon esprit s’envole et se délecte … Pour autant, comme hier, je me sens particulièrement réceptif, et je me laisse bercer par cette vivifiante fouettée extérieure. J’ai l’impression qu’il y a un passage de relais dans mon dos. Les cibles visées et la façon d’impacter sont différentes, peut-être moins variées. Il faut dire que tu es plutôt du genre à ne pas faire de jalouses entre les diverses parties de mon corps. Ce que je n’aurais pas soupçonné, certainement plongé dans mes sensations, c’est que vous vous êtes mis à quatre mains pour vous occuper de moi pendant quelques minutes. Limite inattentif le nounours ! Il faut dire qu’à ce moment-là je suis plus dans l’intensité des impacts que sur leur fréquence. Effet chauffant efficace après de longues minutes offert à vos tourments respectifs, je suis en nage, mais ravi de l’être... La pause est la bienvenue, sous une bonne douche régénérante. Visiblement tout le monde en a bien profité, Maitresse comme moi.
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Par : le 16/08/21
"On ne vous bandera les yeux que pour vous maltraiter, pour vous fouetter. À ce propos, s’il convient que vous vous accoutumiez à recevoir le fouet, comme tant que vous serez ici vous le recevrez chaque jour, ce n’est pas tant pour notre plaisir que pour votre instruction" Histoire d'O Anne Cécile Desclos, dite Dominique Aury alias Pauline Réage. Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. Les antiques raffolaient déjà du fouet. Lors de cérémonies rituelles, ils l'utilisaient pour invoquer les divinités afin de rendre les femmes fertiles. Dans la Rome Antique, le culte de Junon, protectrice des femmes, leur commandait le fouet, afin de lutter contre la stérilité. Lors de la fête des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III , dernier Roi valoisien (1574 à 1589) , grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait à se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre , l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Selon Freud, le masochisme, est une perversion sexuelle suivant laquelle la satisfaction est liée à la souffrance, ou à l'humiliation subie par le sujet soumis. L'envie de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Désir de faire souffrir la (e) soumise (s) ou l'esclave sexuelle (el), ou le sentiment opposé, recherche de la douleur par la (e) flagellée (é) . L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de l'enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation D/S entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quel qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent, une croix de saint André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation, et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation ,de douleur, et d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Elle procure un plaisir à la fois corporel et mental, pour la (e) sadique ou dominatrice (eur),comme pour la (e) masochiste, ou soumise (e). Les sensations de morsures, brûlures, et de douleurs précèdent toujours plaisir et jouissance. La flagellée, par soumission et par volonté de se surpasser, atteint progressivement un état relatif de confort. Son corps mobilisé secrétant des analgésiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche l'orgasme. Le secret de l'alchimie résidant dans l'expérience du Maître, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur, s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique: Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant sa ritualisation. Citons "La Voluptueuse souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902), ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, dit Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons, avec force, que toute stimulation du corps par la flagellation, doit être librement consentie par des partenaires majeurs, idéalement expérimentés, utilisant du matériel sûr et révisé, avec le recours toujours possible à un safeword. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/08/21
LA HIEROPHILIE, qu'est-ce que c'est ?? Parmi toutes les, pratiques sexuelles, La Hiérophilie est probablement l’une des plus méconnues mais aussi l’une des plus taboues en France. C’est pour cela que j'ai rédigé cet Article. La hiérophilie (du grec hieros : sacré, et philia : amour de) Attirance érotique vers les choses sacrées. Le sexe et la religion entretiennent d’étroits rapports, ne serait-ce que par les positions sévères que certaines églises conservent face aux pratiques érotiques. Les conduites d’abstinence, d’ascèse, de mortification mènent souvent le religieux à une véritable obsession sexuelle négative. C’est souvent la cause d’un sadisme exacerbé, non ressenti comme pervers puisque justifié par la loi divine. C’est ainsi que de bons moines, fort charitables au demeurant, en vinrent à brûler des sorcières par haine de leurs propres désirs, considérés comme impurs. D’autres moines sublimaient leur instinct et le tournaient vers les dieux et les saints. On connaît, dans les hôpitaux psychiatriques, quelques malades qui se masturbent en récitant des ‘Ave Maria’ ou des ‘Pater Noster’. Moins douloureux est le goût de certains amants pour les cimetières, ou les églises : faire l’amour sur l’autel ou dans le confessionnal, jouer à la confession sont des pratiques sinon courantes, du moins attestées. Se frotter à la statue d’un saint, lui toucher les parties sexuelles sont des pratiques assez courantes. La légende veut que dans certaines églises, des statues présentent un pénis en érection. Les fidèles de sexe féminin s’y accrochent afin d’en être pénétrées. Certaines religions pratiquent une hiérophilie institutionnelle, femmes et hommes se servant d’une statue ou du sexe sculpté en forme de crucifix comme objet érotique. ( J'aurai pu rajouter d'autres Discipline (objet) En rapport avec la religion, mais c'est un autre sujet tout aussi vaste pourquoi pas par la suite ). Au XVIIIe siècle, le Marquis de Sade fut condamné à mort pour avoir, entre autres, sodomisé une prostituée avec un cierge et demandé à une autre de rendre son lavement anal sur une croix. Longtemps considérés comme de condamnables sacrilèges, les hiérophiles peuvent maintenant goûter au fruit défendu sans risquer la mort. Même par contumace. La hiérophilie est une attraction pour ce qui relève du sacré: elle regroupe des pratiques sexuelles aussi diverses que la masturbation avec des objets atyphiques. Kroll-religieuse La hiérophilie est une attraction pour ce qui relève du sacré: elle regroupe des pratiques sexuelles aussi diverses que la masturbation avec des objets de culte et le détournement sexuel de tous les rituels religieux. Au XIXè siècle, certains clients de maisons closes payent des sommes astronomique pour faire l’amour avec des prostituées déguisées en nonnes, répétant l’acte sacrilège de Don Juan qui par défi séduit de jeunes femmes entrées en religion et les enlève du couvent. Beaucoup de hiérophiles jouissent de jouer les diables tentateurs. Ils rêvent de salir les Saintes, d’induire les vierges en Faute et de transformer les messes en orgies. Pour les hiérophiles marqués par le monothéisme, rien de plus troublant que la confusion des valeurs… Dans les donjons de dominatrices , il n’est pas rare de trouver des Croix de St André sur lesquelles les masochistes se font littéralement crucifier (sans les clous)… Ce qui explique peut-être pourquoi les godemichés à l'effigie du Christ ou des saints, ces jouets pour adulte sont fabriqués «avec beaucoup de dévotion». «Je suis sûr que mes soumises les vénèrent avec toute la piété requise…». Le plus populaire à la forme d'un Jésus crucifié de 20 cm de long pour 5 cm de diamètre en rouge, il s'offre aussi comme un ironique objet d'idôlatrie. Car «Les voies du Seigneur sont pénétrables». ( Avis aux amatrices). "BEAST MASTER"
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Par : le 14/08/21
Un WE très spécial Chapitre 3 Le téléphone sonne : « Oui Madame, il est toujours là . - -Non , il n’a rien dit , et oui , il ‘est laissé faire même quand on lui a pissé dessus. . - -Mais rassurez vous , je l’ai lavé à grande eau pour que l’odeur ne vous incommode pas . -…… - A 4 Pattes ? Ce n’est pas un peu loin ? -…….. - Comme vous voulez Madame je vous l’amène tout de suite comme un gros toutou . Un employé me détache, me fait mettre à 4 pattes et m’emmène, les yeux toujours bandés, en tirant sur la laisse. Les couloirs s’enchainent,. Je sens que nous croisons des gens. Comment me regardent-ils et que pensent ils ? En grand exhibitionniste que je suis , je n’ai pas vraiment honte d’être ainsi baladé …tant que personne ne me reconnaît Après la moquette, nous arrivons sur du carrelage et aux bruits, je pense être proche de la piscine. « Voici votre chien, Madame » -a t’ Il a été très sage, -oui madame , il n’a pas dit un mot et a tout supporté ; même de se faire pisser dessus. - Encore heureux, sinon il aurait été puni. Vous voulez bien lui apporter une écuelle d’eau ? Il doit avoir soif, ce chien » Je reconnais la voix de Dame Anna et je suis tout heureux d’être maintenant à coté d’elle. Elle attrape ma laisse et me tire vers elle. Je me heurte à un bord et devine qu’elle doit être allongée sur une chaise longue. Elle me caresse la nuque et la croupe : « C’est bien mon noname , tu es un bon chien, je suis contente de toi ;-Fais le beau maintenant« Je m’agenouille et met les mains en offrande au niveau de ma poitrine. Elle enlève mon bandeau et mon museau et me fait laper l’eau que l’employé vient d’apporter. C’est moins bien que de boire au verre, mais cela fait beaucoup de bien quand même. Un chien doit se contenter de ce qu’il a . Je suis maintenant à genoux, assis sur les talons à coté de son fauteuil. les mains en position de soumission. Elle m’explique que nous sommes dans un gite libertin et que le SM est le thème du Week-end. Notre mission est de faire quelques démonstrations et d’apprendre à ceux qui le désirent ce que le SM peut leur apporter. Je devrais donc me plier à toutes leurs exigences et aux siennes aussi bien sur. Maintenant que je n’ai plus mon bandeau, et même si je dois garder les yeux baissés, j’ai remarqué qu’une croix de St André avait été dressée à un bout de la piscine, non loin de là où nous sommes. Mais avant de commencer à jouer tu vas danser pour ta Maitresse, soumis. - allez ! Debout !, Danse en te caressant devant mon fauteuil au rythme de cette musique. Mais pas touche à ton sexe ou à ta cage ! J’ai toujours ma cage qui ballote entre mes jambes et je me caresse le corps le plus langoureusement possible au rythme de la musique diffusée au bord de la piscine. Quelques morceaux plus tard elle me fait signe de m’agenouiller à coté d’elle et m’ordonne de boire, toujours dans l’écuelle bien sur. Couché sur le sol, j’ai apparemment droit à un peu de repos avant ????
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Par : le 11/08/21
« Lorsque nous monterons vers la pièce, sans un mot de notre part, tu te déshabilleras, lentement car je sais que tu porteras une jolie tenue. Nous te dirons ce que tu laisses et ce que tu enlèves. Tu te positionneras à genoux, face à nous, comme tu sais le faire. Et lorsque nous nous approcherons de toi, tu relèveras tes cheveux pour aider au passage de ton collier ».    Voici dont leurs mots avant notre échange, notre séance, notre moment… Mon moment de lâcher-prise.    Suivie de mes Dhoms, je monte ces marches une à une… en silence.  J’entre dans la pièce et me met à ma place, au milieu de celle-ci.  Une fois installés en face de moi, je commence à me déshabiller.  J’enlève cette petite robe en filet noire, elle est très sexy, j’aime la porter lorsque je me rends dans un club libertin.  Avec celle-ci je ne portais qu’un cache-sexe, des bas autoportants ainsi que mes bottes en cuir noires.  Ce que j’ai gardé.    Comme il me l’a été demandé, je me suis mise à genoux et j’ai relevé mes cheveux. Mon Dhom, m’a posé mon collier de notre séance et l’a cadenassé comme il a fait pour les attaches de mes chevilles et mes poignets.     Pendant ce temps ma Dom me regardait, assise dans le fauteuil face à moi, son beau sourire aux lèvres.  « Tu sais ce qu’on attend de toi ? » Je les regarde tous les deux, elle, avec ses magnifiques cuissardes, j’avais compris… Il y a un an, je refusais de le faire, il y a un an je ne comprenais pas, il y a un an je n’étais pas prête…  Toujours à genoux, les bras derrière le dos, je me penche et embrasse ses pieds, je veux me relever mon Dhom d’un ton sévère : « Tu peux mieux faire! » et j’ai recommencé, plus lentement et en m’attardant sur les deux pieds de ma Dom.    Au milieu de cette pièce, une chaine traverse le plafond, ils m’y attachent les bras et les cheveux à celles-ci et terminent par me relier les pieds ensemble.  Voilà…  Je suis leur…. Telle une soumise pour leurs Dhoms, prête à tous les sévices, prête à être malmenée pour leurs bons plaisirs… Pour mes bons plaisirs.    Ils connaissent mes doux travers et ne doutent pas de ce que j’aime.  Ils commencent doucement, des petits pincements, des coups de cravache, …  Mmm j’aime !   Ils continuent en me fouettant…  ensemble ! Elle derrière s’occupant de malmener mon dos et mes fesses avec ses accessoires et lui devant moi avec un martinet dans chaque main me fouettant les seins du bas vers le haut comme s’il jonglait avec des balles et que jamais il n’en perdait une !    Les claquements des martinets se font ressentir sur tout mon corps à chaque fois que ceux-ci atteignent ma peau, j’ai mal ! J’aime ça !   Douleur-plaisir, plaisir-douleur, mon cœur/corps sont partagés… Et puis, pourquoi choisir quand je peux avoir les deux !    Mon « SafeWord » est disponible à tout moment mais avec mes Dhoms, je n’en ai point besoin, ils me connaissent pour savoir quant arrêter. De toute façon, je ne l’utiliserai pas…     Ils me malmènent un peu, beaucoup, passionnant! Des gouttes perlent le long de mes joues, ils s’arrêtent, me prennent dans leurs bras…  Après quelques minutes des larmes, des rires, des sourires : « On continue ? ».  Moi : « oui » *sourire*  Et on recommence, encore et encore…  Pour en arriver au fouet…. le fouet ! Celui que je reconnais au son qu’il produit, à la douleur qu’il me procure et aux marques qu’il me laisse sur la peau, oui ce fouet… Je ne peux m’en passer et je ne veux m’en passer, ils le savent bien…    Le corps marqués et douloureux de plaisir, ils me détachent les bras et les cheveux.  « Mets-toi à genoux, penches toi en avant et lèves bien tes fesses ». J’obéis.  Sous le regard de ma Dom, mon Dhom prend la canne.  Ah là là cette canne, je m’en souviens lors de notre dernière séance… elle fait mal, très mal… mais je m’en sens capable.  Lors de nos derniers messages, je n’ai pas manqué d’être insolente avec mon Dhom, à se demander pour quelle raison… Ce, en quoi il m’a promis 35 coups de canne et où j’ai répondu : « Oui Monsieur ».  Le jour même, il en a rajouté 5 car j’ai manqué de politesse…  Me voilà dans cette position à attendre mes 40 coups de canne…  « Comptes les à voix haute ». « 1, 2, 3,….10 »… J’ai mal ! Il me demande : « On continue ? », je lui réponds : « Oui Monsieur ».  « 11, 12 , 13, 25 »… Je souffre, je sanglote mais c’est hors de question que je lâche! « On continue ? »   D’une petite voix : « Oui Monsieur, 26, 27, 28, 29, … » je pleure, la douleur est intense « 30, 31, …35 ».  Ils me relèvent pour enlever mes attachent et là je dis tout en reniflant : « Et les 5 coups de canne pour mon manque de politesse ?  « Ah tu les réclames en plus, mets-toi à genoux ! ».  J’obéis  « 36, 37, 38, 39, 40. » Je fonds en larme ! Le moment tant attendu, le voilà enfin ! MON lâcher-prise.   Me voilà couchée à terre, dans les bras bienveillants de mes Dhoms et moi en pleurs, en train de verser toutes les larmes de mon corps, mon corps malmené de plaisir. 
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Par : le 09/08/21
Mon seul repas fût quelques restes que me jeta Maîtresse directement sur le sol. Je m’empressais de les avaler. Un grand coup de cravache me rappela à l’ordre - «Doucement espèce de porc et puis tu nettoie mieux que ça avec ta langue» Il y eu une petite pose car Maîtresse attendait une cage que Allan lui apporte. Elle était munie de roulettes pour une mobilité parfaite. Je ne savais pas encore que ce serait ma principale demeure jusqu’au lendemain. En effet, après avoir pris place à l’intérieur, je dus m’accroupir, l’arrière des cuisses écartées contre les barreaux, mes mollets sortant de la cage. Dans cette position, elle me scotcha littéralement sur la cage. J’avais le cul bien offert et le torse incliné avec le front et les coudes sur le fond de la cage. Ma jeune Maîtresse prenait plaisir à varier les sévices, commençant par me fouetter les mollets. Après cela je sentis un liquide froid sur ma raie. Pas de doute possible, mon anus en prendra pour son grade. Elle commença par le dilater avec des plugs de plus en plus gros. Satisfaite de sa préparation, Maîtresse enfila un gant et commença à me pénétrer. Deux doigts tout d’abord qu’elle tournait dans l’orifice, puis trois, quatre et enfin toute sa main força mon entrée. Je la sentais maintenant profondément en moi. De douleur, je passais à un état de jouissance quand elle venais titiller ma prostate. Je ne maîtrisais plus grand-chose et Maîtresse se défoulait allègrement. J’avais l’impression qu’elle faisait le tour du propriétaire pour savoir si elle en ferait son bien. La dilatation dura longtemps et elle ne laissa jamais mon cul vide. Si elle se retirait, elle m’enfournait un gros plug. Elle ne l’enlevais que pour me fister à nouveau ou pour me sodomiser avec son gode ceinture qu’elle m’enfournait jusqu’au fond de la gorge entre deux pénétrations. Enfin rassasié, elle se détourna de mon orifice. Je n’avais plus de notion du temps mais Allan apporta une gamelle de bouillie qu’il me mis sous la gueule. Je n’ai eu que quelques minutes pour la vider. Pour la boisson, Maîtresse m’a servi une gamelle de son urine que je ne pouvais que difficilement laper. Tout cela toujours attaché dans ma cage. Je comprenais maintenant que ma position durera bien au-delà de la soirée surtout quand Allan m’emmena dans ma cage à roulettes jusqu’à ma cellule. Des coussins sous mes genoux rendaient la position supportable bien que particulièrement inconfortable. Maîtresse nous avait suivi à distance. Sans doute pour que je ne l’oublie pas, elle avait pris une roulette piquante qu’elle me passa sur toutes les parties de ma peau accessibles entre les barreaux de la cage. Entre la cravache, la roulette et autres petites réjouissantes, j’étais bien chaud et marqué de toute part. Maîtresse me souhaita une bonne nuit avec un sourire en coin car le mot «bonne» n’était pas le plus approprié. Ma position était très inconfortable. Je me calais au mieux la tête sur les avants bras en me demandant comment trouver le sommeil. Le temps passa lentement. Je m’assoupissais un peu quand quelqu’un se présenta à la porte de la cellule. Rapidement, je reconnaissais Maîtresse Célia qui m’avait accueillis. - «Bonsoir l’esclave» me dit-elle Elle avait mis un gode ceinture impressionnant. Je n’eus pas le temps de réfléchir. Maîtresse fit tourner la cage et m’enfonça son gode d’un coup sans la moindre préparation. J’en criai de douleur, sans pour autant ralentir son ardeur. Son gode envahissait mon bas ventre avant de se retirer et de revenir plus loin, plus fort. Enfin, elle se retire définitivement avant de me lancer : - «Désolé, je ne peux pas me retenir quand on me prépare aussi bien un soumis» Bien secoué par cet épisode surprise. Je finis par me rendormir. Un sommeil léger jusqu’à ce que je sente ma cage tourner une nouvelle fois et dans la seconde, un gode bien froid m’envahir l’anus. Cette fois-ci, c’est ma Maîtresse de la journée qui vient se rassasier. Mon anus est une nouvelle fois dilaté violemment. Il n’y a plus de plaisir mais une douleur lancinante. De nouveau abandonné après que Maîtresse aie pris son pied. J’ai de plus en plus de mal à trouver le sommeil mais la nuit s’écoule inexorablement sans de nouvelles surprises cette fois-ci. Au matin Allan reprends la cage et m’amène dans la la pièce principale. N’ayant pas mangé hier soir, il me gratifie à nouveau d’une bouillie que j’avale sans sourcilier. Il me lave de nouveau au jet d’eau froide, soit dit en passant, mon cul est bien offert à un grand nettoyage. Trempé et plus ou moins propre, Allan me laisse planté là sans la moindre explication. Un long moment après cela ma Maîtresse d’hier arrive. Elle tient en laisse un nouveau soumis, aussi nu que moi. Elle l’amène à l’arrière de la cage et lui intime l’ordre de me pénétrer. Elle l’excite par une forte masturbation. Je sens son gland contre ma rondelle. Il est bien monté et son gland me pénètre sans difficulté. Ses va-et-vient sont plus doux que le caoutchouc des godes et je prends plus de plaisir. Avant de jouir, Maîtresse l’arrache à mon cul, lui retire son préservatif et l’amène contre la cage pour que je le fasse jouir par ma bouche. Je m’applique à lui donner du plaisir pour le faire jouir. L’avantage de sucer un homme, c’est que je sais ce qui le fait craquer. J’arrive à lui aspirer les testicules que je lèche délicatement. Puis, j’avale sa bite à travers les barreaux contre lesquelles il est plaqué par notre Maîtresse. Je fais des aller retour jusqu’en gorge profonde, fais tourner ma langue autour de son gland. Il ne tarde pas à jouir dans ma gorge et me couvre le visage de son sperme abondant. Je ne suis pas particulièrement bi mais cette expérience me surprend agréablement. Le contact d’un sexe chaud après la froidure des godes est des plus agréable. Maîtresse reprend le contrôle de son soumis et l’éloigne de la cage. C’est maintenant Allan qui vient de nouveau rechercher la cage à roulettes. Finalement, il me libère de mes liens et me sort de la cage. Je tiens à peine debout après être resté bondé si longtemps contre les barreaux de la cage. Il me nettoie de mon foutre avec la lance d’eau froide et me ramène à la cellule où il m’attache à la chaîne qui cette fois-ci me permet d’atteindre ma couche. Je suis épuisé et je tombe dans un sommeil réparateur sans vraiment savoir quel jour et quelle heure il était. A suivre…. Un grand merci à Ma Maîtresse qui a semé ce petit grain de folie qui me permet d'imaginer cette fiction improbable.
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Par : le 09/08/21
< Célèbre maître dominateur parisien, Patrick Le Sage nous invite à travers ce reportage dans son monde en se prêtant au jeu de la confession. Artiste du sexe qui vit de son plaisir, il raconte tout : les soumises, leurs maris et amants, les grands patrons, les notables, les gens de tous bords et de tous milieux qui visitent son donjon. Il évoque les moments les plus forts de trente années de pratique. Un témoignage aussi fort qu’Histoire d’O, sauf qu’ici le récit est authentique. BIO auteurs : Patrick Le Sage est le maître d’un donjon très particulier, un monde à la sexualité sans tabou, à l’hédonisme presque sans limites. C’est un vrai dominateur qui officie au coeur de Paris, dans les soubassements d’un ancien château du XIIe siècle aménagés pour accueillir les jeux les plus raffinés. Il reçoit des femmes en quête de frissons troubles, de sensations extrêmes. Chez lui, c’est l’éducation anglaise, une étrange forme d’érotisme par procuration, où le maître agit comme un metteur en scène des désirs des soumises et de leurs époux. Son Journal d’un Maître défraya, en 2005, la chronique et est régulièrement réimprimé depuis. > https://youtu.be/-WGCpsk6dBI
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Par : le 09/08/21
Un air doux remplit sa chambre. Elle est le lieu de toutes les libertés, de toutes les expressions. Spacieuse, blanche, pour seuls meubles, en bois naturel, une commode ronde et une simple coiffeuse avec deux miroirs. Un grand lit au centre, encadré de voiles blancs qui accompagnent le moindre vent, deux grands fauteuils blancs au cadre en bois. La nuit est magnifique. Elle est au même diapason de son attente. Il n'y a qu'une heure qu'elles sont couchées, chacune dans une chambre, quand Charlotte perçoit du mouvement dans le couloir, puis dans sa chambre. Le clair de lune jette son halo fantomatique dans la pièce. Bien qu'elle tourne le dos à la porte, Charlotte aperçoit dans la glace Juliette qui s'avance vers son lit. Elle est nue, ses seins fermes et hauts placés ainsi que ses jambes galbées et bronzées lui confèrent une silhouette indéniablement désirable. Elle soulève le drap et se glisse dessous. Une légère brise tiède agite le rideau à la fenêtre. Juliette se blottit dans le dos de son amie, telle une amante. Charlotte peut sentir ses cuisses brûlantes et ses mamelons durs contre sa peau. Le désir comme tous les sens s'éveillent. - Tu voulais enfin que je te l'avoue ? J'ai très envie de te faire l'amour. Charlotte se retourne brusquement, Elle porte juste un tanga en soie noir. - Juliette ! - Quoi ? Ne me dis pas que tu ne t'en doutais pas, quand même ! Charlotte s'allonge dans le lit en ramenant le drap sur sa poitrine. - Je croyais que c'était un jeu, Juliette. - Eh, bien non, je n'ai jamais été aussi sérieuse de ma vie. Charlotte examine Juliette pour s'assurer qu'elle est sincère. - Je ne suis pas lesbienne, affirme-t-elle au bout d'un moment. - Comment tu le sais ? - J'ai un amant. - Et alors ? Tu as déjà essayé ? s'amuse Juliette. - Tu sais bien que non. - Alors, laisse-moi faire .. Après, tu prendras ta décision. Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle. Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme. Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque. L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte. Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir. Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller. Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésistible; j’entends son souffle. Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine. Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre. J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce. Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant: - Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi. Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis. - Tu apprendras à me connaître. Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis. Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras. Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact. Un affectueux sourire se dessine sur sa figure. - Tu es toujours trop pressée. Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent. Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle. - J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ? Son rire mélodieux me répond. Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir, de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inétanchable de plaisir et de passion. Son bras me décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles. Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille. Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher. Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu. Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin. Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille. D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne. Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements. Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu. Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent. Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite. Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente. Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but: le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis; elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs. Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi. Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale. Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes. Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle, me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever. D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage. L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance. Elle roulèrent sans un mot sur le sol carrelé de la salle de bain. Leur envie réciproque de se posséder les transforma en lutteuses. Elles s'encastrèrent l'une contre l'autre en s'embrassant et en se griffant, seins contre seins, ventre contre ventre, en un combat furieux. - Raconte-moi ce que tu ressens quand ton amant commence à nouer des cordes autour de toi demanda Juliette. Quelle sensation cela procure de se retrouver nue et vulnérable ? - J'ai peur. Et en même temps, je suis impatiente. - Il te caresse en t'attachant ? - Non, il est comme absent. - Il t'a déjà fouettée ? - Non, jamais. - Et tu le regrettes ? - Peut-être, oui. Charlotte fut surprise de sa propre réponse, comme si ce n'était pas elle qui avait répondu mais une autre. Sans attendre, Juliette dit à Charlotte de se lever pour lui lier les poignets d'une épaisse corde de chanvre qu'elle attacha à un anneau au plafond, bien tendue pour l'obliger à se tenir bras levés et sur la pointe des pieds. Elle entendit le sifflement des lanières en cuir d'un martinet. - Qu'est-ce que tu fais ? - Je répare un oubli, répondit Juliette. - Tu veux que je te bâillonne ? Charlotte secoua la tête. Non, elle ne voulait pas être bâillonnée. Elle voulait sentir la douleur lui monter jusqu'à la gorge pour y exploser. Cela devait faire partie du rituel. Il fallait que quelque chose sorte d'elle. Elle osa un regard par dessus son épaule. Indifférente, bien campée sur ses jambes fuselées, ses seins dressés tressautant au rythme de ses larges mouvements. Juliette éprouvait la souplesse du ceinturon en en fouettant l'air. Ainsi nue et armée, elle ressemblait à une déesse antique. Charlotte ferma les yeux. Elle désirait être fouettée et Juliette seule pouvait lui faire subir cette épreuve. Ce serait non seulement s'offrir en captive à l'amour, mais mieux encore, se donner en esclave, à une autre femme de surcroît. Accepter ses coups, encaisser à travers elle, la fureur de toutes les femmes. Juliette la fouetta avec application. Ses coups précis, parfaitement cadencés, atteignaient alternativement une fesse, puis l'autre, parfois le haut des cuisses, parfois le creux des reins. Trente, quarante, cinquante coups Charlotte ne comptait plus. Aux brûlures locales d'abord éprouvées s'était substituée une sensation d'intense chaleur, comme si elle avait exposé son dos à un âtre crépitant. Le supplice était le prix à payer pour que son amante continuât à l'aimer, elle souhaitait seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi et attendait muette. Quand le cuir atteignit le renflement de sa vulve, subitement son corps fut traversé de part en part par une fulgurante flamme de couleur rouge orangé. Elle en sentit la chaleur l'irradier et plonger dans son ventre comme une boule de feu. La douleur et le plaisir fusionnèrent ensemble. Elle hurla à nouveau mais de plaisir cette fois. Juliette cessa aussitôt de la frapper et tomba à genoux devant elle. Posant avec une infinie délicatesse les doigts sur ses reins meurtris, elle attira jusqu'à sa bouche la peau empourprée des cuisses et du ventre qu'elle couvrit de baisers. Elle aspira entre ses lèvres, les lèvres de son sexe, les lécha avec douceur. Charlotte s'abandonna. Charlotte avait accepté secrètement non sans abnégation de se soumettre définitivement à Juliette. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/08/21
Juliette n'était pas du genre à accepter l'échec dans quelque domaine que ce soit surtout auprès des femmes. Elle avait le sens de la compétition, exacerbé par la pratique de l'équitation qu'elle pratiquait encore régulièrement. Rien ne lui plaisait plus que l'odeur des écuries, monter et démonter des barres en carrière au petit matin, s'endormir dans le van au retour d'un concours de saut d'obstacles. Elle avait fait la connaissance de Sarah dans un club. Depuis, elle n'avait qu'une idée en tête, la pousser à se soumettre totalement à elle, corps et âme. Elle était déjà son amante attitrée depuis leur rencontre. Sarah s'était révélée chaque nuit de leur vie languissante toujours plus fougueuse dans leurs ébats d'alcôve. Toutes les femmes amoureuses ont le même âge, toutes deviennent des adolescentes exclusives, inquiètes, tourmentées. Sarah n'échappait pas à la règle. Mais cela ne déplaisait pas à Juliette. Elle était intelligente, sentimentale et charmante. Mais surtout, elle pressentait en elle, un réel potentiel de soumission. Guidée par la confiance qu'elle lui porterait, Juliette obtiendrait tout d'elle, la forcerait à concrétiser tout ce qu'elle désirerait, surtout ce qu'elle n'osait pas intimement s'avouer. Confiance aveugle indispensable pour Sarah lorsqu'un bandeau de velours ou un masque de cuir recouvrirait ses yeux, lors de séances de soumission, en des lieux et en présence d'inconnus. Les humiliations, les sévices sexuels et le fouet l'épanouiraient. Mais en respectant la sécurité. Tout être humain a ses limites, l'esclave a les siennes. Elles étaient devant une porte, à double battant, une antichambre étroite. Dans sa main, Juliette sentait les doigts anxieux de Sarah. Elle tremblait, non de froid, elle savait ce qui l'attendait de l'autre coté. Bientôt, elle connaitrait la révélation en pénétrant dans la cave du manoir. Un mélange de curiosité et d'angoisse surgissait en elle. L'inattendu est une arme de séduction. Le jeu des situations insolites l'excitait et le danger la grisait en la plongeant dans un état second où tout son être se sentait autoriser à se dédoubler, libérant ses pulsions refoulées. Elle portait une robe droite descendant sous le genou avec une fente arrière jusqu'aux reins, resserrée à la taille mais un peu lâche à la poitrine. Dessous, seulement une paire de bas noire tenue par un porte-jarretelle. Dans une des poches de sa Maîtresse, la laisse métallique qui lui était destinée lestait sa veste. Sarah frottait nerveusement ses cuisses et ses genoux les uns contre les autres faisant crisser ses bas. Elle semblait adorer l'appréhension qui précédait sa première mise à l'épreuve, excitée par la sensation d'être préparée ainsi à son sacrifice telle une vestale. Elle aurait seulement préféré être nue sous une longue cape. L’entrée passée, Juliette l'entraîna dans un petit salon dont l’un des murs était occupé par un grand miroir. Elle se glissa derrière elle, et souleva sa chevelure. Elle fit glisser la fermeture Éclair de sa robe de la nuque, jusqu’au bas de ses reins, dégageant ses épaules et sa poitrine. Son vêtement tomba à ses pieds. Elle ne portait plus que ses bas et une paire de talons hauts. Puis, elle dégrafa ses bas et les fit glisser le long de ses cuisses. Bientôt le porte-jarretelle rejoignit le reste de sa parure au sol. Juliette lui ôta ses chaussures. Elle était totalement nue. Juliette sortit de son sac un rosebud orné d'une couronne en rubis. Elle le prit dans ses doigts quelques instants pour le réchauffer. Sarah se pencha alors en avant en écartant ses fesses pour faciliter l'intromission. Il avait été décidé qu'elle serait privée de bâillon, pour l'entendre crier mais qu'en revanche un bandeau l'interdirait de voir ceux qui la fouetteraient ou ceux qui auraient envie de la posséder par tous les orifices naturels selon leur fantaisie. Sa Maîtresse lui enserra le cou d'un collier et lui passa à ses chevilles ainsi qu'à ses poignets des bracelets. Sarah se regarda furtivement dans le miroir avant que Juliette noue le bandeau sur son visage. Elle se trouva belle dans le secret de sa nudité et la noblesse du cuir. L'esclavage, c'est un peu comme l'amour, le vertige en plus. Le temps de réprimer son angoisse, la porte s'ouvrit. Elles reconnurent aussitôt Béatrice. Sa mince silhouette était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu’à ses bottes en cuir. Juliette lui tendit sans hésiter la dragonne de sa laisse. Elle s'en saisit de ses mains gantées de cuir. - La nudité te va bien. Tu as un corps superbe, fait pour le sexe et pour le fouet. - Merci Madame, répondit Sarah. Elle ouvrit les deux battants et la guida vers son sacrifice; le lien pendait entre elles deux. Elle ne la tira pas, comme on mène un animal. Elle marchait derrière elle, les mains liées dans le dos, en se cambrant au maximum, projetant sa poitrine en faisant saillir ses reins. Attachée, mais libre, elle s'offrait. Au fond de la salle, éclairée par des projecteurs, l’attendait une croix de saint André. À coté d'elle se tenait une jeune fille brune aux cheveux très courts. - Je m’appelle Claire. - Et moi, Sarah, lui répondit-elle d’une voix respectueuse. - Nous allons beaucoup te faire souffrir. - Je sais que Juliette vous l’a demandé. - Madame a décidé: nous irons au bout de ce qu’elle a choisi pour vous, mais vous connaissez le code du safeword. - Je le connais et je suis prête. Claire lui entrava les chevilles et les poignets en fixant aux bracelets des cordes maintenus à la croix par des chaînes. Elle était écartelée, face à la salle plongée dans l'obscurité. Sarah savait que des yeux l'observaient, imaginant les tortures qu’ils aimeraient faire subir à sa fière poitrine, ou à son sexe ouvert. Mais seul, le regard de sa Maîtresse lui importait, en espérant qu'elle la trouve digne de lui appartenir. Atteindrait-elle le niveau de perfection qui sublimerait leur relation périlleuse. Il était essentiel pour elle de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne susciter aucun reproche, ou plus simplement par orgueil ou par fierté. Donner cet immense bonheur à la femme qu'elle aimait était une préoccupation majeure, bien plus que la concrétisation de ses fantasmes masochistes. L'une comme l'autre ne devaient pas se décevoir mais en respectant les limites à ne pas franchir. Sarah avait ses limites, l'esclave qu'elle allait devenir aurait les siennes. Juliette ne l'ignorait pas. Sur une table basse, un martinet à longues lanières en cuir, un fouet dont la mèche est tressé de deux cuirs différents, et une fine cravache. Claire prit le fouet, et lança son bras. La lanière s’enroula autour de sa taille et le serpent la mordit au centre de son ventre. Le coup fut doublé au même endroit par le martinet. Bientôt, ce fut le haut des cuisses qui attira l'attention. Jamais auparavant, ces parties de son corps n'avaient été touchées même par Juliette. Et quand les lanières s'attaquèrent à ses seins en lacérant leurs pointes, elle comprit qu'elle serait intégralement fouettée sauf au visage. Puis c’est le haut de ses cuisses qui fut l’objet de leurs attentions. En écho, les lanières atteignirent son pubis mais avec plus de délicatesse. Elle cria sa douleur, comme la femme qu'elle avait entendue dans le couloir. Elle aussi avait souffert, nue et crucifiée comme elle. Plus Claire frappait fort et plus Sarah s'offrait. Elle souffrait, mais elle dominait sa souffrance: le plaisir qui naissait insidieusement en elle la dépassait, la stigmatisait. Elle ressentait sa première jouissance cérébrale. Claire recommença méthodiquement à la flageller, lentement, alternant fouet et martinet, descendant et montant de ses épaules à ses cuisses, en quadrillant tout son corps, afin que les traces fussent nettes. La tête penchée sur le coté, elle pendait au bout de ses bras crucifiés. Bientôt, la croix qui la soutenait fut basculée vers l'avant parfaitement à l'horizontale. On lui ôta le rosebud puis une large olive métallique pénétra sans préparation son anus lui arrachant un cri de douleur. C'était un crochet anal. Claire attrapa le lien de sa chevelure et le passa dans l’anneau de métal, elle tira, cabrant sa tête en arrière. Une main adroite malaxa les pointes de ses seins pour les durcir avant de les prendre en étau par des pinces dentelées. Les deux mâchoires mordirent sa chair. Tout cela était nouveau pour elle, mais elle se montrait courageuse. Pas un instant, elle n'eut l'idée d'arrêter la séance en prononçant le code du safeword. Elle se découvrait plus masochiste qu'elle ne le pensait. Pour Claire, il était grand temps de franchir une nouvelle étape dans la séance. Ce furent les brûlures par une bougie. Les premières perles de cire brûlantes s'écrasèrent sur ses épaules. Bientôt les larmes de feu atteignirent ses seins zébrés par le fouet. Enfin la brûlure gagna son périnée entre les deux voies intimes. Dans son esprit échauffé par cette succession de peurs, de douleurs et de plaisirs entremêlés, des images fulgurantes de sacrifice déferlèrent en elle. Elle se surprit à chuchoter "merci" à chaque nouveau coup alors même que sa chair se déchirait et que son sang coulait. Elle allait gagner la considération de Juliette. Devenir esclave, digne de ce nom. C'était pour elle comme l'amour avec une excitation vertigineuse en plus. La fin de la soirée s'écoula comme dans un rêve. Après avoir ôté le crochet anal, on rétablit la croix de saint André à la verticale, pour la libérer de ses liens. Honteuse mais fière, elle avait joui des traitements infligés par la seule volonté de sa Maîtresse. Juliette la rejoignit, recouvra ses épaules d'une cape et l'embrassa. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/08/21
Une voix qui répète qu'elle vous aime et, derrière cette voix, imaginez ce qu'il vous plaira, car elle dira rien d'autre. Les silences tendres, les mots échappés, tout cela vous importe peu. Cette voix vous accable. Vous voudriez la chasser. Hélas, Charlotte, avec ses belles mains fines, était là, toujours là. Elle se multipliait au long des semaines, monotone et identique. On ne se sauve que par l'excès, se disait-elle. Elle ne précisait pas devant quoi elle se sauvait. Elle avait entre les reins une terrible dureté, dont on abusait trop souvent. Elle n'avait pas besoin de bonheur. La souffrance, qu'elle savait parfaitement se procurer, l'avait rendue presque sensible à l'existence des autres filles qui comme elle étaient livrées. Dire que dès la seconde où sa Maîtresse l'eût quittée, elle commença de l'attendre, est peu dire. Elle ne fut plus qu'attente et que nuit dans l'abstinence de ses supplices. Tout le temps qu'elle demeura dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir, incapable de retenir l'eau qui s'échappait de son corps. Il faisait plus chaud que d'habitude. Le soleil et la mer l'avaient déjà dorée davantage, ses cheveux, ses sourcils et la très fine toison de son ventre. Il y aurait beaucoup de choses à lui dire, mais d'abord, celle-ci, que je crains de deviner en elle de la légèreté. Elle aimait la légèreté des choses, des actes, de la vie. Elle n'aimait pas la légèreté des êtres, tout ce qui était un peu au-dessus du niveau semblait heurter Charlotte. Elle ne recherchait pas à s'attribuer beaucoup de mérites en ce monde ni dans l'autre, celui de l'abandon. Un sentiment d'insécurité pour son corps sans cesse meurtri. Elle était bien jeune et ne savait même pas si elle possédait un peu de lumière. Juliette était arrivée quand elle était dans l'ombre, et maintenant, il fallait arranger les choses. Tant pis pour elle. Les souvenirs qui ont su être poètes de sa vie, c'est à dire dans le désordre, plaisir et enivrement de l'imagination. Mais dans la moindre de ses paroles, raisonnable douce-amère, ce cadeau impérieux du ciel, le lot avait oublié sa jeunesse, l'allégresse avec laquelle elle devait accepter l'insistance, la mauvaise grâce, et la maladresse. Comme le fouet et les doubles fenêtres pour que l'on ne l'entende pas hurler. Ses mains s'agrippaient aux colonnes du lit, où Juliette les assujettissait à l'aide de fines cordelettes qui lui sciaient les poignets. Des sangles passaient dans les bracelets de ses chevilles. Elle était allongée sur le dos, de telle façon que ses jambes surélevées et écartelées laisse à Juliette toute la fantaisie de la fouetter. Elle était debout à coté d'elle, un martinet à la main. Aux premières cinglades qui la brûlèrent aux cuisses, Charlotte gémit. Mais elle ne voulait pas demander grâce, même quand sa Maîtresse passa de la droite à la gauche. Elle crut seulement que les cordelettes déchireraient sa chair, tant elle se débattait. Mais Juliette entendait marquer sa peau de traces nobles et régulières et surtout qu'elles fussent nettes. Il fallut subir sans souffle, sans troubler l'attention de Juliette qui se porta bientôt sur ses seins. Elle allait retrouver sa considération en s'accommodant de son statut d'esclave et non pas de soumise. Et il n'était pour elle de plus grand bonheur que de se savoir appréciée. L'amour mais avec un arc-en-ciel d'émotions vertigineuses en plus rayonnait toujours chaque parcelle de son corps. Charlotte n'avait pas très mal. Chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'accroupit près des épaules de Charlotte et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée. Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins. Charlotte laissa couler quelques larmes. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. Penchée au-dessus d'elle, Juliette tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 07/08/21
Une soumise carpette, une bénie-oui-oui. Ta bonniche, une souillon à ton service. Une fille facile, une marie-couche-toi-là. _______________ Je persisterai toujours à te contredire. Si j’estime avoir raison. Pas pour le plaisir de m’opposer à toi. Mais pour faire valoir mon point de vue. Quitte à me ranger au tien, si tu parviens à me convaincre. A coups de cravache, si besoin :smile: Je déteste les tâches domestiques et suis une piètre ménagère. Mais j’aime m'occuper de tes sous vêtements. Les toucher, les caresser, les sentir. A cause de leur odeur. De ton odeur, dont j’aime à m’imprégner. J’ai couché avec nombre de mecs, parce que j’aime le sexe. Des mecs dont j’ai souvent oublié jusqu’aux prénoms, puisque leurs noms je ne les leur demandais pas. Parce qu’il n’étaient rien pour moi. Rien d'autre qu'un moment de plaisir fugace, immédiatement oublié à peine assouvi. Mais à toi, j’ai choisi de me donner. Tout le temps, tous les jours, toutes les nuit. Puisqu’il me suffit de te regarder, il suffit que tu me touches, pour me donner envie de toi. _______________ Je ne serais jamais une soumise carpette, une bénie-oui-oui. Ta bonniche, une souillon à ton service. Une fille facile, une marie-couche-toi-là. Mas bien cette femme, fière d’être tienne puisque tu la considères comme ton égale. Alors même qu'il te suffira toujours d’un mot, d’un regard, de mettre ta main entre mes cuisses pour que je passe du tu au vous, et que je m’agenouille devant toi. Redevenant cette femelle, qui te supplie de jouir d'elle, pour ton plaisir et mon plaisir à moi. Parce que si je me suis voulue ton esclave, ta chose, ta propriété, c’est pour que toi seul me possède jamais. _______________ Alors, merci à toi de me permettre d’être tout cela à la fois Ta femme. Ta femelle. Ton esclave. Pour toi. Pour moi. Pour nous. _______________ Je ne serais jamais une soumise carpette, une bénie-oui-oui. Ta bonniche, une souillon à ton service. Une fille facile, une marie-couche-toi-là. Puisque je ne le pourrais pas. Pas uniquement parce que je suis trop fière pour cela. Mais surtout parce toi tu ne le voudrais pas :smile:
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Par : le 07/08/21
Chapitre 2 : Présenté J’entends des voix, sans doute d’autres clients qui viennent au comptoir non loin de moi pour s’enregistrer et prendre leur clef. Ils s’étonnent de ce type nu qui est attaché au comptoir. Le réceptionniste leur dit que ce weekend, ils ont droit à un extra : un soumis à la disposition des clients pour tous les usages qu’il leur plaira. Ce chien qui est là devra se plier à toutes leurs demandes même les plus osées. Son corps tout entier est à leur disposition. Sur demande, sa propriétaire leur prêtera même la clef du cadenas qui tient la cage fermée entravant un sexe qu’on lui a dit être gros. « Intéressant » , dit madame , tandis que d’une main elle tire sur la cage et que d l’autre elle pince violemment mon têton . « Il est grassouillet mais cela lui permet d’avoir une solide poitrine » « Qu’en penses tu , mon chéri ? » elle me tient fermement par les couilles en agitante de plus en plus mon sexe enfermé dans sa cage de métal. « humm il faudra voir, peut être un petit massage pour s’échauffer ou une fellation » et il mets ses doigts dans ma bouche pour l’examiner. « On peut aussi l’enculer ? « « Mais bien sur Monsieur, quand et comme vous voulez, mais avec un préservatif bien sur »r « Bon, nous verrons cela plus tard, allons y maintenant » rajoute madame en tapotant ma cage Et je me retrouve seul, toujours enchainé au comptoir, entendant le bruit d’un employé qui semble taper sur un clavier. Puis de nouveaux arrivants dont l’homme apostrophe le réceptionniste - c’est quoi, ce gros chien tout nu , » - Un soumis à votre disposition et à celle de Madame , Monsieur » - Un tas de graisse vous voulez dire et il me palpe méchamment les seins après m’avoir frappé sur le ventre - un truc à me faire gerber, cela me donne envie de lui pisser dessus à ce tas de Merde - Cela doit pouvoir se faire , Monsieur » lui répond froidement le réceptionniste - tu es sur de vouloir faire cela mon chéri , lui dit sa femme » -Mais Oui , après la route , j’ai très envie de pisser , vous pouvez me l’emmener dehors pour ne pas salir le tapis ? Et je suis aussitôt emmené à la laisse dehors où je dois m’agenouiller pour que cet homme que je ne vois pas me pisse à la gueule : « enlevez lui cette fausse gueule pour qu’il prenne tout sur le visage -Ah , cela soulage !!! le jet violent balaye mon visage et l’urine chaude se répand sur mon ventre -Ça va peut être le faire maigrir et finalement, c’est marrant de pouvoir faire ce que l‘on veut avec un chien de ce type , même trop gros . Je sens que je vais m’amuser. -En attendant allons boire un cocktail dans notre chambre mon Amour et laissons ce souillon à ses délires » Je pue la pisse mais un seau d’eau froide versé sans ménagement diminue l’odeur et me voici ramené à ma position initiale dos au comptoir en rêvant aux cocktails que ce couple doit siroter. Et peut être aussi Dame Anna dont je n’ai aucune nouvelle Cela me fait furieusement envie, mais je suis soumis et je dois rester à ma place, obéir à Dame Anna qui m’a voulu ici offert à tous pour faire honneur à ma Maitresse. Je reste donc stoïque et ravale des rêves de cocktail bien frais. Avec la chaleur ambiante, je sèche rapidement même si le masque et le bandeau restent mouillés. J’entends à nouveau des pas qui se rapprochent et quelqu’un qui s’enregistre. « Et ça, c’est pourquoi faire ? » Je sens un doigt qui s’enfonce dans mon ventre ,, -Mais ce que vous voulez Messieurs . Ce chien est à votre disposition et à celle des autres clients pour le WE. Sa Maitresse vous le confirmera et vous prêtera même les clefs de sa cage si vous le lui demandez » Il a dit « Messieurs » , Un couple d’homos ? « Il suce, il encule et peut être enculé ? , dit l’un deux -Mais bien sur messieurs, tout ce que vous voudrez , comme vous voudrez -Sous la cage, elle est grosse ? Et son fond ? - Vous aurez le temps d’apprécier tout cela vous-mêmes Messieurs. N’oubliez pas de le réserver auprès de sa Maitresse Dame Anna, qui doit être au bar ou à la piscine » je n’ai jamais eu une expérience à 3 hommes, mais pourquoi pas ? Toujours cette référence au bar, alors que je suis exposé ici …à boire ma soumission
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Par : le 07/08/21
D'où vient l'opinion que la beauté est féminine ? Plus belles, je n'en suis pas sûre mais plus discrètes en tout cas, moins apparentes, c'est une forme de beauté. Je ne songe pas à la décence, un peu fade et fausse, qui se contente de dissimuler, qui s'enfuit devant la pierre et nie l'avoir vue bouger. Il est une autre sorte de décence, irréductible et prompte à châtier qui humilie la chair pour la rendre à sa première intégrité et la renvoie par la force aux jours où le désir ne s'était pas déclaré encore et le rocher n'avait pas chanté. Une décence entre les mains desquelles il est dangereux de tomber. Car il faut pour la satisfaire des mains liées derrière le dos, des corps écartelés et des larmes. Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait; mes cheveux étaient mouillés. Elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main, m'a attirée à elle, je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir. Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller. J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses. C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Juliette se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Charlotte se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves. La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 06/08/21
Elle n'avait nul besoin de travailler, elle avait su faire fructifier son héritage. Elle la dernière des O'Laren, Sandrine O'Laren, connu sous le nom de Ka-Sandra dans un monde dans lequel beaucoup de personnes fantasmaient d'entrer mais dont très peu osaient franchir le pas. Et encore moins la porte de son château. La cinquantaine assumée, elle se faisait régulièrement draguer par des inconnus de tout âge qui ne rêvaient que de la mettre dans leur lit, et par la même, de mettre la main sur sa fortune, il va sans dire. Elle préférait la compagnie des habitants de ses geôles, cellules et autres cages. Lorsque Chloé l'appela, elle était en train de promener son esclave du moment, un transsexuel prénommé Géraldine. Il etait là de son plein gré, sur les recommandations d'une bonne amie a elle a qui elle ne saurait rien refuser. Elle s'arrêta pour prendre l'appel, son IPod d'une main tandis que l'autre tenait la laisse en cuir tressé dont l'extrémité était fixée a la base de la minuscule cage de chasteté qui comprimait la verge de son propriétaire. Elle écouta en silence, fumant par à coups sa longue et fine cigarette, un plaisir qu'elle s'offrait une fois par jour. Elle jeta un regard agacé à sa cigarette, la tenant bien droite pour empêcher la cendre de tomber sur le sol. Géraldine a ouvert sa bouche La cendre se posa sur sa langue, qu'il n'avala pas, n'en ayant pas reçu l'ordre La conversation dura le temps pour sa cigarette de se consumer entièrement. Elle cracha sur la langue de son soumis et posa la cigarette dessus, qui s'éteignit dans un léger chuintement. Puis sans un regard pour l'être au bout de la laisse qui s'est tendu, elle reprit sa marche jusqu'à ses appartements. Elle portait une longue jupe rouge en cuir, fendue sur un coté, un chemisier en satin blanc au décolleté profond. Perchée sur des bottines en cuir noir, sa démarche chaloupée mettait en valeur sa croupe encore plus accentuée par le creux presque exagéré de ses reins. A chacun de ses pas, les bracelets qu'elle portait à ses poignets tintaient et faisaient écho aux clochettes fixées sur les pinces qui mordaient cruellement les tétons de Géraldine qui la suivait dans un sillage de parfum de luxe. Chloé est arrivée 2 heures après son coup de téléphone. Le temps de preparer la terrasse pour la recevoir. Elle était assise sur le dos de Géraldine qui s'était mise a quatre pattes pour recevoir sa maîtresse du moment. Elle portait toujours une cage de chasteté mais Ka-Sandra l'avait changée par une encore plus étroite et lui avait étranglé la base de ses testicules avec de fins bracelets eux même tendus par un poids en fonte reposant sur le sol carrelé. Elle aimait que ses "patients" se souviennent du pourquoi de leur présence dans son antre. Immobile Géraldine soutenait le poids de la dominatrice. Celle ci se tenait droite comme a son habitude, sa bottine droite reposant sur sa cuisse gauche, la droite parallèle au sol. -Qu'attends tu de moi Chloé demande t elle Entre elles deux, il y a une fascination réciproque. Pour qui, pourquoi, aucune ne saurait l'expliquer. Elle laisse Chloé lui expliquer le projet qu'elle mûrit pour sa patronne, l'écoute avec attention, l'interrompant de temps en temps pour se faire préciser un point. Lorsque Chloé eut fini, Ka-Sandra sourit. - Tu veux qu'elle soit prête pour ta soirée c'est bien çà, soirée au cours de laquelle elle doit d'elle même se comporter comme la dernière des traînées ? Elle bougea un peu, etira ses deux jambes, souleva legerement ses fesses avant de se rassoir sur le siège humain e Chloé acquiesce d'un hochement de tête - Tu me l'amenes ta patronne ou je vais la chercher ?
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Par : le 05/08/21
J'ai étouffé mes sentiments Pour ne plus souffrir Sur mes émotions J'ai posé l'oreiller Pour pouvoir dormir Tu es devenu Moja milosc Pour du bonheur et plaisir De nos corps De plus en plus ardents Qui se désirent Ma passion devenue addiction Est une descente aux enfers Transformée en calvaire Un poison délicieux Qui tue à petit feu Mais dans la chambre close Je sais que tu ne viendras pas J'ai les sens en éveil Les jambes gainées de bas Dans une tenue qui te plaira Qui peut être te titillera Je rêve que tu m'embrasses Que nos deux corps s'enlacent Le temps est suspendu De nos futurs ébats brûlants Ou jeux de soumission Ou je suis ta petite chienne Ce n'est qu'un songe Une rencontre manquée La distance, le silence Tant de regrets, de mots dits D'un second flashback, d'un repli Pour les sensibles que nous sommes Le 07 05 2020
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Par : le 05/08/21
LA LACTATION ÉROTIQUE, qu'est-ce que c'est ?? Parmi toutes les pratiques sexuelles, la lactation érotique est probablement l’une des plus méconnues, mais aussi l’une des plus taboues en France. C’est pour cela que j'ai rédigé cet Article. Effectivement, cette pratique est tellement restreinte en France que très peu de personnes en ont entendu parler ou savent exactement de quoi cela traite. Il a pour but d’expliquer aux membres de ce blog, ainsi qu’à tout lecteur qu’est-ce que la lactation érotique, mais aussi pourquoi certaines personnes s’y intéressent et quelles sont les pratiques.  I- Qu’est-ce que la lactation érotique ? La lactation érotique est une attirance ou une excitation sexuelle pour la lactation. Elle consiste à procéder à un allaitement d’un partenaire adulte (après accouchement ou par le biais d’une lactation induite ou d’une relactation) ou en exhibant son lait, toujours dans un but érotique ou sensuelle ou, encore, en regardant tout simplement la femme en train allaiter ou exhiber sa lactation. Médicalement parlant, on appelle souvent cela « fétichisme du lait » ou « lactophilie » (termes pouvant susciter la controverse). La lactation érotique serait née au Japon – et est encore beaucoup pratiqué dans ce pays de nos jours. La lactation induite consiste à produire du lait « artificiellement » par stimulation en l’absence de grossesse. La relation consiste à relancer la production de lait par stimulation après interruption sur une période plus ou moins longue. Dès le Moyen Âge, une multitude de créations artistiques (littéraires ou picturales) évoquent le rôle érotique de la lactation, le plus souvent imprégnées de religion, car représentant la charité (on parle alors de « Charité romaine » ou Carità romana). II-Pourquoi cet intérêt de la lactation érotique ? Les humains (surtout les femmes) sont les seuls primates à avoir des seins élargis en permanence après la puberté (chez les autres espèces de primates, c’est uniquement après la grossesse). Une théorie suppose qu’au cours de l’évolution, les seins de la femme ont évolués par répondre à la fois à l’allaitement ainsi qu’au plaisir physique de la meilleure façon possible. De ce fait, les seins, et plus spécifiquement les tétons, sont alors devenus des zones fortement érogènes. Leur stimulation est universellement liée à la sexualité humaine dans la culture occidentale ou nordique (médicalement, il semblerait que cette stimulation réduirait les risques du cancer du sein). Puisque les seins et les mamelons féminins sont si souvent érotisés, il est donc courant que des couples procèdent à une stimulation orale. Stimulation renforcée par la caractéristique érogène des lèvres qui « embrassent » les mamelons tout aussi érogènes. Il n’est donc pas surprenant que des baisers ou succions intensifs puissent aboutir à un allaitement. "Jeux de lactation ? Tout genre d’activité sexuelle qui inclut le lait de la femme. après qu’une femme a donné naissance et expérimente un réflexe lorsqu’elle est sexuellement stimulée (Variétés de lactation érotique). Ce type d’activité sexuel est très répandu parmi les pratiques de la lactation érotique. Beaucoup de femmes l’adoptent quelque temps après la naissance de leur enfant par réflexe émotionnel tout en étant excitées sexuellement. Il arrive qu’à force de stimuler le mamelon (pendant ou après la grossesse), le partenaire masculin déclenche un flux involontaire de lait chez sa partenaire féminin (Galactorrhée). "Lactation induite et relactation ? Si l’ANR est très répandue chez les femmes déjà allaitantes, elle est très souvent employée afin de pratiquer une lactation induite ou une relactation, constituant une alternative au pompage. De nombreuses femmes ou hommes stimulent la lactation en tétant régulièrement leur partenaire féminin (plusieurs fois par jour et à chaque fois pour un allaitement d’une vingtaine de minutes), en massant et en pressant leurs seins, ou parfois avec l’aide de médicaments (comme la dopamine ou le dompéridone), d’herbes ou de tisanes d’allaitement. Occasionnellement, la femme peut faire sa propre induction en suçant seule ses mamelons. Il n'existe aucun âge limite à partir du moment que les seins sont développés, n'importe quelle femme peut induire à tout âge. " Pompage ? Beaucoup de femmes ressentent un plaisir sensuel à pomper le lait de leurs seins avec un tire-lait, ou une pompe mécanique, dans ce cas, elles ont recours à une trayeuse électrique (Photo ci-dessous ) en exprimant manuellement le lait avec ou sans son partenaire. En pompant leur lait, les femmes éprouvent non seulement un plaisir sensuel, mais elles se sentent aussi encore plus femmes, encore plus féminins. Et ce grâce à la stimulation de leurs seins ainsi que la production de leur lait. Par conséquent, certaines femmes continuent d’allaiter, même après avoir sevré leur bébé, pour des raisons émotionnelles ou sensuelles. Il existe quatre variétés de BDSM dans la lactation érotique : 1. L’infantilisme : Dans ce jeu de rôle parfaitement sexuel, le partenaire masculin (ou féminin) assume le rôle du bébé allaité par sa mère (rôle joué par son partenaire féminin). L’allaitement peut jouer un rôle secondaire dans ce type de relation par le fait d’être choyé(e) par la « maman » ou de porter des couches. 2. La récompense (ou plaisir de substitution) : L’allaitement du partenaire soumis peut servir de récompense pour sa soumission, par exemple dans le cadre d’une relation adultérine. Dans ce cas, l’allaitement maternel peut remplacer les rapports sexuels « normaux » refusés par le partenaire trompeur. 3. La traite : Ici, le partenaire dominant (homme ou femme) trait la femme soumise, ou lui ordonne de se traire elle-même ou de lui donner son lait. 4. Le gavage forcé : Dans ce cas de figure, la femme dominatrice force ou commande son partenaire à recevoir son lait. Des claques contre le partenaire suivi d'une prise forcé d'un sein illustre parfaitement ce "jeu". Conclusion. Il est difficile de faire une conclusion sur un sujet aussi tabou que la lactation érotique. Si, comme nous l’avons vu, il y a des éléments négatifs, comme l’assimilation à l’inceste, il existe quand même des côtés positifs (une intimité, de la tendresse, de l’érotisme, un sentiment de féminité, etc.). On pourrait donc voir là le principe du verre à moitié vide et le verre à moitié plein. Selon la culture, l’expérience et les affinités de chacun d’entre vous, certains verront la partie vide de ce verre, d’autres peut-être la moitié pleine. Même si, à l’heure actuelle, elle est toujours restreinte en France en raison de la force du tabou, les débats sur Internet (par exemple, à travers des forums de discussions), semblent permettre d’alléger progressivement les réserves. Pourquoi les Français se sentiraient-ils coupables contrairement aux Britanniques et aux Américains (y compris les Québécois) ? Ainsi, la lactation érotique paraît lentement, mais sûrement ancrer de plus en plus au sein de l’intimité des couples qui y voient, pour une partie d’entre eux, certains bienfaits. Ceci n’est, en réalité, qu’un début de conclusion. Il ne tient plus qu’à vous de la terminer à partir de votre opinion sur la question. "BEAST MASTER"
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Par : le 04/08/21
La pièce est terriblement sombre. Seul une veilleuse au plafond diffuse une lumière blafarde. Je m’approche à 4 pattes de la gamelle d’Allan. La bouillie n’est pas très appétissante mais c’est mangeable et puis mon estomac vide crie famine. J’ai soif et je lape l’offrande de Maîtresse Célia avec réticence au début, puis le goût assez délicat aidant, je reviens boire avec plus d’entrain. Mieux vaut s’habituer rapidement si je ne veux pas me déshydrater avant la fin des jeux. Rassasié, je vais m’occuper de ma couche mais surprise, j’arrive bien à saisir la couverture laissée par Allan mais la chaîne trop courte m’interdit de m’allonger sur la couche. Je n’ai que la solution de m’envelopper dans la couverture et de m’allonger à même le sol. La nuit risque d’être longue ! Rapidement je suis éveillé par le froid du sol. Je ne peux que me lever et marcher pour me réchauffer. Le cliquetis de la chaîne rythme mon exercice. Après un petit quart d’heure, je tente un nouveau sommeil. C’est seulement une forte envie d’uriner qui vient interrompre mes rêves. Je ne peux uriner que dans cette gamelle comme l’a exigé Maîtresse Célia. Ma pisse vient se mélanger au reste de son urine. La gamelle est maintenant bien pleine. Plus grande envie de dormir. Le temps s’égrène lentement jusqu’à cinq heures. Je m’assoupis, le bruit de la porte me sort de ma torpeur. C’est toujours Allan qui me drive. Je lui montre qu’il m’est impossible de m’allonger sur la couche mais cela ne l’émeut pas plus que ça. Allan remplace vite la chaîne par une laisse à gros maillons argentés. Il me tend des bracelets de cuir que je m’empresse de mettre à mes poignets et mes chevilles. Les bracelets sont reliés par des chaînettes courtes qui me contraignent dans mes déplacements. Nous n’avons pas encore quitté la cellule. Allan en profite pour me faire un descriptif des lieux. C’est une ancienne champignonnière aux multiples tunnels. Ils en ont équipés quelques uns en logement avec donjon, cuisine, salon parfaitement équipés pour tous les petites misères de la pratique SM. Habituellement, ils les louent à des clients fortunés. C’est pour cela que je n’aurais que peu de contact avec les autres soumis. Je me retrouve sous la table de la cuisine et ma gamelle est déjà là. Aucun doute, c’est toujours l’urine de ma nuit agrémentée d’un pain qui a du être sec avant de tremper ici. - «Dépêche de finir ton petit déjeuner, il faut encore faire ta toilette et te préparer pour ta première Maîtresse. Si tu veux avoir une chance avec elle, il te faut être présentable» Allan me tire avec la laisse en me laissant à genoux et toujours entravé pieds et mains, alors c’est compliqué. Je me retrouve dans une sorte de grande douche à l’Italienne. Allan a saisi une lance et dirige un fort jet d’eau froide contre moi. Je suis saisi, grelottant et écraser dans l’angle de la douche tant le jet est puissant. Allan me relève brutalement. Je suis bleu et je tremble mais les serviettes sont en option ici et je sécherais sur place. Il me retourne et m’accroupis de force, le cul bien relevé. Il m’enfile un tuyau dans l’anus pour un lavement profond. Allan reprends le gros jet pour me nettoyer et évacuer mon lavement dans un petit caniveau. C’est toujours aussi froid. Allan me fait allonger sur une table métallique aussi froide que l’eau. Sur le dos il m’examine et malgré mon épilation, il me rasera encore un peu plus et m’installe une cage de chasteté avec des piquants qui ne m’annonce rien de bon en cas d’érection. Il me retourne sur la table, continue d’enlever tous les poils visibles. Après cela, il m’enfile un plug de bonne taille dans mon cul. La douleur est là car il ne s’embarrasse pas de lubrifier mon petit trou. Il se fait tard et Allan s’empresse de me tirer dans le salon où trône sur un mur une grande croix de Saint André. Il m’attache poignet s et chevilles, me passe un bâillon boule qu’il serre tellement qu’il m’est même difficile d’exprimer le moindre grognement. Allan s’en va en me souhaitant , sourire au lèvres, une bonne journée. - «Ta Maîtresse du jour va arriver» Il s’éclipse rapidement me laissant planté là sans pouvoir bouger. Le temps me semble une éternité. Mais bientôt, une jeune fille vêtue d’un vinyle rouge brillant et de talons qui prolonge de belle jambes très fines. Au premier regard elle m’apparaît fragile mais j’apprendrais vite que c’est moi qui casserais le premier. - «Humm, tu es le premier candidat alors je crois que je vais bien me défouler» me lance-t-elle» Je lui fais face sur la croix et je la vois prendre un fouet noir très fin. Elle me tourne autour en me passant le fouet sur mon corps pour une caresse d’échauffement. En s’éloignant un peu elle commence par quelques coups qui me cinglent le ventre, le pubis, les cuisses mais je la sens encore se retenir un peu. A chaque coup, un cri étouffé tente de traverser le bâillon boule. Abandonnant son fouet, elle prend une roulette et me laboure le ventre, passe sur ma cage en piquant mon sexe, mes testicules et l’intérieur de mes cuisses. Je me tortille pour lui échapper mais la croix me retiens fermement. Excédée par mes mouvements désordonnés, je reçois un grand coup de pied dans mes couilles. Je ne serais pas attaché, je me roulerais de douleur à ces pieds. Satisfaite de son effet, elle me détache, me fait me retourner et me rattache sur la croix face au mur. Je sens de nouveau la roulette me labourer le dos puis ces griffes m’arrachent des cris de douleurs qui restent prisonniers de mon bâillon. Maîtresse m’ayant arraché suffisamment de peau, elle reprend son fouet. Je reçois une vingtaine de coups partant du côté droit puis autant du côté gauche. Mon dos doit être bien zébré maintenant. Finalement, malgré sa jeunesse, cette jeune Maîtresse est déjà bien expérimentée et très sadique. Elle me détache de la croix et je glisse au sol comme une vulgaire serpillière. Le fouet m’a lessivé mais il a donné beaucoup d’entrain à Maîtresse et en plus, il lui a ouvert l’appétit. Elle m’indique où trouver une assiette de tapas et un tonic que je m’empresse de lui apporter. Je me retrouve à 4 pattes devant elle et c’est moi qui lui servirai de table. Je me tiens le plus droit possible et Maîtresse vient piquer fort ces tapas avec une fourchette qui me rentre dans la chair. Je sens bien son plaisir m’irriguer quand elle revient piquer un tapas et une bonne partie de mon dos. Je viens seulement de bouger un petit peu et je reçois une grosse gifle qui claque sur ma joue, et un crachat au visage pour rabattre ma fierté. Je resterais parfaitement immobile jusqu’à la fin de son repas malgré la tasse de café brûlante qu’elle se sert sur mes reins. Maîtresse allume une cigarette en consultant sa messagerie de téléphone. - «ouvre la bouche, relève la tête» Je suis maintenant son cendrier moi qui ne fume jamais. Le repas de Maîtresse s’achève. Elle étend ses fines jambe sur moi et se détend en appelant ces amies. - «J’ai une belle lope à mes pieds» dira-t-elle à l’une d’entre elles. Tu pourras l’utiliser si je retiens sa candidature mais je vais encore m’en occuper quelques jours avant de faire mon choix. Cela me promet donc encore d’intenses moments avec elle. L’après-midi risque d’être douloureux….. A suivre .... Tout est fiction, aucun fantasme, seulement le plaisir d’écrire en me servant de mon vécu et de mes lectures. Je le dédicace à ma Maîtresse qui nourrit mon inspiration de grands et beaux souvenirs
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Par : le 02/08/21
J'ai raconté ici ma première expérience avec Stéphanie, ma première domina. Une grande femme d'1m85, blonde, cheveux aux carré, dotée d'un corps magnifique. Depuis, nous avons joué de temps en temps et nous restons en contact. Mais depuis 2 mois, je vis une relation extrêmement troublande avec Claudia (Claude de son vrai nom). C'est un trans opéré en haut et en bas. Notre rencontre fût assez glauque, une plage échangiste de la région où elle m'a abordé au millieu des pins "pour me sucer". Claudia, ma trans domina, est un homme à la base de 38 ans. Il y a 10 ans elle s'est fait opérée et est devenue la femme d'aujourd'hui, sublime transsexuelle. C'est un petit bout de femme d'1m65, la poitrine "généreuse", un corps de Betty Boop, de belles fesses féminines, mais les hanches ne sont pas dessinées, ça reste un corps d'homme. L'ensemble reste trés féminin, c'est à s'y méprendre. Une jolie petite femme cheveux mi longs chatain clair aux yeux bleux et un visage d'ange, hyper féminin. Depuis 2 mois, nous nous voyons régullièrement, passons des semaines ensemble . Sexuellement, le seul problème, c'est sa chatte. Visuellement on est trés proche d'une chatte réelle, sauf qu'il n'y a aucune lubrification. Comme je suis un grand amateur du cunnilingus, il me manque ce goût unique qui fait mon bonheur, celui de la cyprine. Nectar ultime de la femme qui m'emporte telle une drogue quand mon visage s'innonde de ce met délicieux. Je suis bouleversé par Claudia, car nous avons des sentiments mutuels et partagés. Je ne me sens pas homo quand je lui fais l'amour ou quand je lui dit "je t'aime". A mes yeux , c'est une femme. Elle est pleine de tendresse, d'affection, d'intensité sexuelle ...bref, c'est pour moi la femme parfaite, mais c'est un homme. Et c'est ce qui la bouleverse à elle aussi. Elle me confiait que j'étais le premier homme à ne voir que la femme en elle. Le fait de la tenir par la main ou par la taille en public, elle se sent femme. Je l'ai présenté à mes amis, à ma famille, personne ne se doute de sa véritable identité. Je l'ai présenté à des collègues de travail (milieu trés masculin, brutal, plein de testostérone), et ça m'a fait sourire les commentaires aprés la première rencontre "elle est super bonne, tu dois bien t'amuser"..si ils savaient..LOL !. Sexuellement, avec Claudia, ma domina trans, c'est du "VANILLE, PLUS PLUS". Comme elle connaît parfaitement le corps de l'homme, autant dire que ce ne sont pas des fellations mais bel et bien l'hymne à l'amour d'une bouche sur le sexe d'un homme. Jamais rien connu de comparable. Des orgasmes de folies qu'elle m'offre à chaque fois. "je te suce comme je t'aime" voilà ses mots, et c'est grandiose. Parfois elle vient titiller ma prostate avec ses doigts de fée . Et comme elle est dotée d'une prostate aussi, elle sait me carresser comme aucune domina ne l'a jamais fait, un paradis. Je ne compte pas les orgasmes que j'ai connu rien qu'avec ses doigts, sans me toucher le sexe...pure folie. Mais Claudia n'a jamais voulu utiliser un gode ceinture avec moi . "je suis devenue une femme, c'est pour me comporter comme une femme, pas pour sodomiser un homme". Ce sont ses mots, et je les ai compris et acceptés. Il y a peu, Stephanie m'a recontacté, ma première Domina. J'en avais parlé à Claudia, je lui avais dit que je pratiquai le SM. Claudia a voulue rencontrer Stéphanie. Ce fût fait, elles se sont trés bien entendue, et elles connaissent toutes deux la réalité sur l'autre. Le jour de mon anniversaire, Claudia m'a organisé une soirée, avec Stéphanie, sans me prévenir. Nous étions en train de prendre l'apéritif, le soir avec Claudia, et la sonnerie a retentie. "Voilà ma surprise", et elle a ouvert la porte. Stéphanie est entrée, toujours aussi phénoménale physiquement, et elle portait la jolie robe moulante qu'elle avait lors de notre premier rendez vous. J'ai compris que j'allais être mangé tout cru par ces deux femmes. On a pris un apéritif, et elles m'ont annoncé la couleur. Comme je ne pratique plus la soumissions depuis que j'ai rencontré Claudia, elles m'ont annoncé que je serais " l'homme objet" de la soirée, qu'elles allaient s'occuper de moi . Pas de fouets, pas de violences, mais au programme, pince à tétons, pinces sur le corps, et beaucoup, beaucoup de tendresse. J'ai eu du mal à comprendre comment elles allaient procéder, mais je me suis laissé porté. Sur le canapé, je fût envahi de caresses, des gestes tendres, mais sans équivoque. l'une passait parfois derrière le canapé, me serrant doucement par le coup pour m'embrasser, pendant que l'autre me caressait le sexe à travers le pantalon. Plus d'une heure de ce petit jeu, puis Claudia bascula le canapé en lit. Là ce fût le début de l'aphotéose. Elles me déshabillèrent avec douceur, me prodiguant carresses et baisers pendant que l'autre me mettait les pinces à tétons. Elles échangèrent leurs places plusieurs fois, l'une dans la douceur pendant que l'autre me mettait des pinces sur tout le corps, chacune leur tour. J'étais à leur merci, l'homme objet parfait, complètement passif, je me laissais porter par le désir de ces deux femmes. Puis elle m'attachèrent les mains au canapé, j'étais sur le dos, je devenais le jouet . Là, Stéphanie s'assis sur mon visage. Claudia me dit "je t'offre ce breuvage, lêche la jusqu'à ce quelle jouisse, nourrit toi mon amour". Ce fût un vrai bonheur, Stéphanie frottait son hymen sur mon visage pendant que ma langue cherchait à s'abreuver de chaque goutte de sa cyprine délicieuse. En même temps, elle tirait sur les pinces un peu partout sur mon corps. Brûlures délicieuses qui faisaient tendre mon sexe avec une intensité peu commune. Puis j'ai senti les doigts de ma petite fée s'offrir la voie de mon anus. J'étais complètement déboussolé. Je me délectais de la chatte et de l'anus de Stéphanie, pendant que Claudia me pénétrait avec ses doigts pour me carresser ma prostate. Je n'ai pas tenu plus d'une minute, ce fût l'explosion, l'orgasme de folie. J'en avais mal à la tête tellement c'était puissant. Elle me détachèrent, et se sont collées contre moi, nue toutes les deux. Un vrai bonheur. Elles m'enlevaient les pinces en tirant un peu dessus... histoire de bien me faire monter en pression, mais m'innondaient de carresses et de baisers en même temps... A ma grande surprise, une deuxième érection arriva au bout de 15 mn de ce doux suplice. Elle se sont redressée toutes deux , se sont regardées d'un air malicieux et Claudia a dit " on recommence", elles ont éclatées de rires, se sont embrassées, se sont caressées leur poitrines et m'ont rattaché. Claudia a demandé à Stéphanie de se mettre sur moi, de se faire pénétrer pour qu'elle mouille sur mon sexe, elle voulait se faire pénetrer elle aussi aprés, connaître cette sensation de la cyprine sur ma bite dans sa chatte. Alors Stéphanie s'assis sur mon sexe, elle bougeait dans tout les sens. Sensation que j'avais oublié d'une chatte chaude et humide, un vrai délice. Pendant ce temps, Claudia me titillait la prostate avec douceur et fermeté. Puis Stéphanie se coucha complètement sur moi, cambrant ses fesses et demanda à Claudia de s'occuper aussi de son anus. Elle s'éxécuta avec plaisir. Je sentais Stéphanie apprécier la carresse anale. Sensation folle de prendre une femme et de sentir nos anus se faire carresser par une autre. Instant doux et délicieux. Je sentais la cyprine couler sur ma verge, j'avais oublié cette sensation merveilleuse. Stéphanie se releva doucement, elle se retourna vers Claudia et dit "à toi maintenant". Là, Claudia s'empalla sur mon sexe, et j'avoue que ce fût une sensation unique et trés agréable. Ce sexe qui d'habitude doit être lubrifié artificiellement, c'est empallé avec une naturelle douceur. Magnifique. Stépanie, pendant ce temps, s'est équipée d'un straponme. la fête allait commencer. Elle est revenue avec du lubrifiant. J'étais allongé, attaché par les mains, elle me releva les jambes, me mis du lubrifiant dans l'anus, et commença à me pénétrer. Ce ne fut pas trés facile car mon anus s'est un peu refermé depuis 2 mois de non pénétration, mais elle y arriva rapidement. Là mon souffle commençait à accélérer. J'avais un peu mal, mais j'ai connu bien pire (LOL). Stéphanie carressa l'anus de Claudia, lui mis du lubrifiant à elle aussi, et elle la pris par l'anus à elle aussi. La scène m'exitait tellement, voir la complicité entre les deux, que j'allais exploser. Mais j'ai réussi à contrôler à ma grande surprise. Claudia ne tardit pas à jouir (oui, elle ne jouit que par l'anus, ça ne surprendra personne). Elle s'écroula sur moi, en sueur, les yeux pleins d'extase, me serra contre elle , m'embrassa. Je sentais ses mains glisser entre ses cuisses. Elle repoussa le gode ceinture pour introduire mon sexe dans son anus; Elle demanda à Stéphanie de venir en moi avec le gode ceinture; Là ce fût terrible pour moi. Première fois que je sodomisais une femme (enfin disons ça comme ça) tout en me faisant sodomiser par une autre femme. ça n'a pas duré trés longtemps, tout au plus quelques minutes. l'orgasme fût tel que j'ai crié. Malgré ma réaction, elles ont continué à me pénétrer doucement, Claudia faisant de grand mouvement avec son bassin de manière à ce que mon gland soit complètement écrasé dans son anus, je n'en pouvais plus . A ce petit jeu qui n'a pas dû durer plus de trente secondes, j'ai eu un deuxième orgasme sans pour autant avoir éjaculé. Mon corps était raidit comme une planche, mes jambes tremblaient , comme tétanisées. Elles se sont retirées toutes les deux, m'ont détaché, essuyé mon corps plein de sueur. Elles m'ont essuyé le sexe avec des lingettes, j'étais complètement KO. je ne pouvais plus bouger, je voulais juste me mettre sur le coté et dormir tellement j'étais épuisé, tétanisé. Elles sont allé se doucher toutes les deux. J'entendais leur fou rires, et elles se carresaient sous la douche, mais je ne pouvais plus bouger. Au bout de 20 Mn elles sont revenues, toutes fraîches, m'ont pris par la main et m'ont mis sous la douche. j'ai eu droit à une douche à 4 mains, des caresses toutes douces, des baisers, beaucoup de tendresse. Nous avons repris un apéritif ensemble , avons mangé et discuté. Nous avons passé la nuit ensemble, à 3 dans le même lit. Ce fût magique. Depuis, je sais une chose. Au delà du fait que Claudia soit un trans, c'est une femme extraordinaire. Nous savons que notre relation ne durera pas. mais les sentiments sont vrais, réels, et nous nous apportons chacun quelque chose qui nous sera utile dans notre vie future. J'ai adoré être un homme objet, et je sais aujourd'hui que je ne serais plus jamais un soumis. C'est terminé pour moi les domina, par contre j'offrirai encore mon anus, ça c'est certain. Mais à une femme, pas une domina; Par contre, je dominerai encore, mais d'une manière plus douce, plus intense dans les carresses, ça je continuerai...Merci la vie , merci pour les rencontres que j'ai faites, merci pour cette rencontre bouleversante d'une femme-homme qui a plus de féminité en elle que la majorité des femmes que j'ai rencontré dans le passé.                
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Par : le 02/08/21
Mia O. Propriété de Maitre G. Carnet de soumise. Extrait J 002 - Séance 00 Sujet : Naissance - réponse: master's side Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - illustration du net … Mia. Je suis arrivé là. Sur les hauteurs. Au bord de la mer. Un détour dans mon voyage. Loin de toi. Ces terres sont d’anciens marécages. Édouard 1er, roi d’Angleterre, les a acheté en 1284 pour y bâtir un petit fort. J’y ai posé ma roulotte, juste à côté. Près d’autres voyageurs. Ma cigarette allumée, mon visage face au vent de la mer, les yeux fermés. Le vent a soufflé fort. Les yeux fermés, il m’a transporté au fond du campement. Dans la vielle roulotte. De bois et de fer. Celle de la diseuse de Bonne aventure. Un parchemin vierge et quelques crayons gras sur la table. Elle resta sans me regarder, sans me dire bonjour. Le regard absent. Elle dit : « Assieds-toi voyageur !» « Que veux-tu ? » Surpris. Sans dire un mot, je m’assis. Puis lui demandai : « La gitane andalouse…………..…que disait son regard ? » Elle prit une grande inspiration. Ferma les yeux. Longtemps. Les ouvrit et commença à dessiner. Elle me répondit : « Quand tu l’as croisé pour la première fois il était méfiant. Il était celui du jasmin qui voit des cactus partout ! La peur du Biznaga. Il était distant. Presque méprisant. Qu’est-ce que c’est que ce bonhomme ? Pour la protéger, Il cachait ce qu’il voyait à l’âme du corps qui le porte. Ensuite tu l’as servi. L’as respectée. Lui as montré l’attention que tu portes à l’autre. Il s’est senti en confiance. Il t’a montré à l’âme qui le porte. Lui et son âme ont accepté de jouer avec toi comme le chat joue avec la souris. Tu as excité sa curiosité. Puis il t’a vu vivre la musique. Comme on regarde le danseur de flamenco. Il a vu ton duende. Comme disait Federico Garcia Lorca, Il a vu celui qui chemine sur l’eau et à l’intérieur d’une flamme. Son âme lui a dit qu’elle voyait ton monde. Qu’elle voulait y rentrer. Mais ces yeux avaient peur. Ils ont fait confiance à l’âme. Son âme a lu en toi. Vous avez dansé. Alors Il se sont fermés, pour que l’âme te voit sans filtres. C’est là que tu as pu, à ton tour, lire son âme. Tu t’es glissé en elle. Tu l’as goûtée. Tu l’as trouvée bonne. Elle a eu peur. Ça faisait longtemps qu’on ne l’avait pas touchée cette âme ! Puis tu l’as respectée. Tu t’es écarté pour lui montrer que tes doigts n’était pas un geste charnel. Mais un geste d’amour. L’amour du maître. Que tu étais un fauve aussi. Mais que tu cherchais une lionne. Pas une proie. Que tu n’avais pas faim. Ses yeux se sont ouverts. Le regard a fait les yeux noirs. Il n’a pas compris. Mais l’âme du corps qui le porte, elle, a compris. Elle avait rencontré quelqu’un qui pouvait rentrer en elle. Avec amour et sincérité. Sans risque, et sans danger. Qui pouvait la comprendre et l’accepter sans la juger. Et l’aimer pour ce qu’elle était. La guider aussi. Avec sagesse. La sagesse du lion. Tu t’es assis à côté d’elle et lui as pris la main. Son âme a dit à son regard de ne pas avoir peur. Que cela paraissait impossible mais que c’était possible. Qu’il fallait absolument vivre ça. Elle a pris le contrôle du regard. Depuis ce moment-là son regard est l’expression de son âme. Il répète tout ce qu’elle dit. Depuis ce moment-là, lui et l’âme du corps qui les porte, disent qu’ils veulent que vos âmes se mêlent. Elle t’a suivi dehors pour ça. Tu l’as pénétrée. Là son regard disait à quel point elle ne comprenait pas. Mais aussi que c’était bon d’être mêlé à toi. Comme toi, elle aurait voulu que tu restes au fond d’elle. Pour l’éternité. Plus tard dans ton rêve tu étais à Malaga. Dans une cave. De pierre et de fer. Près d’une mecedora, elle s’est agenouillée. Son regard t’a dit que son âme veut t’appartenir. Que son âme veut que tu la possèdes. Qu’elle soit tienne. Dans ce rêve, tu l’as appelé « Mia ». Mais tu n’as pas encore fait ce rêve. Sois patient. Voilà ce que disait le regard de la gitane andalouse jeune homme. … En même temps qu’elle parlait, elle dessinait. Elle roula le parchemin et me le tendis. « Pars maintenant » L’embrun de la mer sur mon visage m’a ramené devant ma roulotte. Ma cigarette était terminée J’ai aimé fermer les yeux et penser à toi Mia.
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Par : le 01/08/21
Mia O. Propriété de Maitre G. Carnet de soumise. Extrait J 000 - Séance 00 Sujet : Naissance - submissive's side Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - Photo du net … Aujourd’hui je me rends là-bas autrement 😚 Grâce à lui. Mais ce jour-là. A contre cœur. Deux heures de route pour un anniversaire. Dans cette ville maudite pour moi. Les 50 ans d’une collègue de travail. Exceptionnellement mon « grand patron » sera là aussi. Venu de loin pour cette occasion. J’aime beaucoup mon grand patron. Il a toujours été présent pour moi. Amicalement. Ma copine est quelqu’un de sympa. Mais pas assez proche pour que je me désiste au dernier moment. Quelle Galère. Pourquoi j’ai dit oui ??? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pffffffff… Parce que c’était écrit…parce qu’on ne peut pas lutter contre le destin. Je suis vraiment trop gentille. Et le destin m’a fait un vrai cadeau. … Vingt-heures. Même pas envie d’être là. Que des inconnus. Pas encore assez forte pour affronter des gens. Être agréable comme le gens l’attendent de moi. Une bonne copine, c’est tout. Je ne connais pas vraiment les autres. A part un ou deux. Des collègues de travail qui gardent beaucoup de distance avec moi. Être veuve est très handicapant. Les gens ne savent pas comment vous aborder. C’est incroyable ! Et insupportable aussi. Je sens que je vais m’ennuyer sévère. Ça va être long, très long…je vais me coucher dès que je peux. Je suis trop gentille. J’aurais dû m’écouter et prendre un hôtel. Tout ça pour faire plaisir ! Je dois apprendre à dire non ! Mais qu’est-ce que je fais là ? Et puis c’est quoi ce type ? Première personne avec qui j’échange après le magicien. Un copain de la copine qui ne travaille pas avec nous. Un mec qui parle beaucoup. Trop sociable pour moi. Je n’ai pas envie de parler, ni de connaître personne. A part ma copine, lui ne connaît personne du tout. Comme moi. Un autre invité par compromis. Pourquoi il me parle ? Je vais être obligée de lui répondre… Non…tactique « je bouge » … changement de groupe. Je ne suis pas capable de rentrer dans une discussion, ni parler de moi. Je ne veux rien partager, je suis fermée au monde entier. Quelques mots. Quelques cigarettes. Encore lui ! On est plus de cinquante ce soir. Mais pourquoi il me parle ? Ma copine a dû lui dire de s’occuper de moi. Ça me fait chier grave. … Finalement il m’amuse. Je commence à le trouver sympa. Très sympa même. Je suis invitée et je dois bien me comporter. On va juste passer le temps avec diplomatie. Après tout, amusons-nous ! Qu’est-ce qui m’arrive ? Pourquoi envie de m’amuser ? Très longtemps que je ne me suis pas amusée. … Vingt-et-une heures. Et paf, assis à côté de moi. 😂😂😂 Tout le repas. Ça me fait rire comment il me tourne autour. Par fatalité ou stratagème, je ne sais pas. Stratagème c’est sur 😜 ! … Je suis transparente. Il est payé pour me parler, je ne peux intéresser personne. Un coup de ma copine !? … Finalement, il va rendre ma soirée agréable. Très agréable. À moi, mais aussi aux convives qui sont à table avec nous. Continuons de jouer alors. Ça m’occupe ! Puis il me prend ma bague et ma montre. D’un simple petit jeu, il ôte tous mes boucliers. Toutes mes armes. Je ne pourrais pas m’échapper. Une technique de lycéen, et qui marche toujours ! … Mon accent espagnol à l’air de lui faire de l’effet. Encore une fois. Ça me blase. Tout le monde me dit que je fais penser à Victoria Abril. Jamais su si c’était l’accent ou le sex-appeal. Je n’avais plus de sex-appeal. Totalement frigide. Pas grave. Tout se déroule normalement. Je comprends bien l’envie de me dire ça. Les français aiment beaucoup Victoria. Je ne peux rien faire avec mon accent. … Puis les petites attentions. Sa façon de me parler est gentille. La chaise qu’il glisse pour que je m’assois. Même si je ne veux pas l’avouer, j’adore profondément. Tous ce qui me plait arrive comme servi par un galant homme prévoyant. Il est génial. Son sourire, comme il bouge, comme il parle, c’est tellement bizarre… J’ai l’impression qu’il me plait depuis cet instant. Un vrai bon moment à table. Je ne pouvais pas manger. Lui oui. Il disait que j’étais un petit oiseau 😅. Il se lève plusieurs fois pour le vin. 😉👌 Il a vite compris que la petite bourgeoise voulait du vin blanc frais, alors on va la gâter… Pourquoi ? Pour me séduire ? En fait il ne cherche pas à me séduire. Il cherche quoi à ce moment ? Rien. Il est juste bien éduqué. Raffiné. Mais il est intouchable. Totalement. Les mots des autres ne changent absolument rien à ce qu’il est. Ricochent. Il « est » juste lui. Imposant. Il s’assure avec attention que le vin est à température pour moi. Parfait ! Ça fait vraiment plaisir. Ces attentions me touchent. Oui ça me touche beaucoup. Un petit sentiment de bien-être. Loin de ma vie, de ma vraie vie, loin de chez moi et de mes galères. Une belle parenthèse 😌. Bon, c’est quand même moi qui commande ! Eh oui, dans le sens ou ça commence là et ça s’arrête là, à la fin de la soirée. En plus il est marié. J’étais déçue quand il me l’a dit. Très clairement. Pourquoi être déçue ? Je croyais quoi moi? Un prince charmant, libre pour moi ? Je suis et serai toujours innocente et romantique. Tout va bien. Encore mieux. Pas de danger. Aucun risque de tomber amoureuse. Le seul risque est qu’il me vole ma montre et ma bague. Ma bague. Dernier cadeau de mon compagnon décédé. Elle finit par être perdue ce soir-là. Je ne lui ai rien dit. Je ne me suis jamais fâché. Comme si je voyais dans ce hasard un signe du destin. La fin d’une histoire. Le destin a utilisé cet homme pour perdre ma bague. Pour me faire comprendre quelque chose. … Vingt-deux heures trente. Spectacle de magie. Je suis appelée à participer avec le magicien 😅. Évidemment. Tout ce que je n’aime pas…peur du ridicule. Puis je m’assois pour regarder le spectacle. Ma chaise a été préparée par lui. J’espère l’avoir remercié et lui avoir donné un de mes meilleurs sourires. Je ne sais plus. Ma chaise à côté de la sienne. En sécurité. En temps normal j’aurais dit : «Oooh, il ne faudrait pas qu’il me colle trop celui-là ! » Et non. Ça me faisait plaisir d’être accompagnée par ce gentleman 🌟 On était bien ensemble. Comme d’hab. Nous sommes toujours bien ensemble. C’est comme ça. J’attrape une cigarette. Pas le temps de l’allumer. La flamme est devant moi. Le cendrier aussi. Une canette de coca vide. Tenue exactement où il faut pour que je m’en serve sans autre effort que déplier le bras. Pire que ça, il allumait les clopes par deux. Jusqu’au moment, plus tard dans la soirée, ou je lui ai dit que je ne pouvais pas le suivre. Pas fumer comme lui. Il est parfait. Comme s’il voyait l’avenir. Eh, peut-être le voyait-il déjà. Mais que pouvait-il voir ? C’est ma fragilité qui l’a séduit ? Moi je sentais sa protection. C’est lui qui a fait cette bulle autour de nous. … un vrai Ange gardien 😇 ? Plus tard je comprendrais que c’est là, dans sa bulle, sous sa coupe que je suis née. Me servir de cette façon gênante. Je ne suis plus habituée à être la princesse. Servir pour se faire servir ? Plus tard ? Dans le temps à venir ? Dans notre futur passé, dans notre futur présent et dans notre futur futur ? Aujourd’hui, j’espère bien le servir longtemps. Il aime ça et moi aussi. Quelle chance ☺️ ! Bizarre ? Non, simplement un mâle qui sent une femelle un peu faible, donc proie facile, pour une soirée ? Il a dû penser « celle-ci je vais me la faire ! » Un homme ça reste un homme, même si lui, c’est aussi un Ange 😜 Vingt-trois heures trente. Ça danse un peu. Heureusement les vins font leur effet. Carpe Diem alors 😜. Cela rend supportable cette mauvaise musique. Je ne me rappelle plus la musique. Juste lui existe. J’eu un regard très complice avec mon patron. Il ne comprenait pas notre proximité. Mais les personnes intelligentes comprennent vite. Il me sourit. « Cette musique m’ennuie, viens, nous allons écouter la mienne » J’ai adoré ce moment ! Partir derrière, tous les deux. Comme des adolescents. Seuls. Me voilà de l’autre côté de la maison, à écouter de la musique sur un smartphone. Tomorrowland en live… Armin… Il doit penser : très prévisible cette femme, une de plus dans ma collection ! Qu’est-ce que je fais là ? Pourquoi je l’ai suivi ? Parce que j’en ’avais envie. Vraiment. Envie d’échanger avec cet inconnu un peu plus tranquillement. Et paf. Premier son. La musique que j’aurais voulu entendre si on me l’avait demandé. Ma musique …il est mon mec idéal ! Sa musique Notre musique. Magique…il me montre ce que je veux voir ou écouter… sans rien lui avoir dit. Aujourd’hui c’est la même chose, ce que je rêvais il me l’apporte sur un plateau. Son regard fasciné par le son. Et le mien par l’ovni devant moi. Je ne voulais plus fermer les yeux. Pas perdre une seconde de sa compagnie. Et nous deux au milieu de rien, qui nous ne connaissions pas il y a 3 heures. A l’écart de la fête. Oubliant le reste des invités…rien à cirer. Je suis à l’abri dans sa bulle. Incroyable, mais il me plaisait déjà. Plus de patati patata. Un langage soutenu. Plus de superficialité. Juste de la sincérité, de la profondeur. Quelle merveilleuse soirée finalement. Et lui qui me parle de l’âme de notre musique. De son âme. Je ne comprends pas De la mienne. Encore moins. Je n’ai pas d’âme ! Qu’est-ce que c’est l’âme ? Pas de sentiments non plus. Je ne sais plus pleurer depuis longtemps et ça me fait de la peine. Pour moi les larmes, c’est de l’émotion. Si je ne pleure pas ce n’est pas un bon signe. L’âme ? Sérieusement ? N’importe quoi ce qu’il raconte. Je veux juste le regarder. L’écouter, entendre sa voix. Observer son sourire et sa personnalité. Il me demande si je le « sens ». En regardant son ventre. Je ne comprends pas. En regardant le mien. Encore moins. Ou je vais là ? Je ne sais pas, mais j’y vais. Je suis un peu effrayée. Amusée. Mais bousculée aussi. Je ne comprends pas ce qu’il me dit, mais ces mots raisonnent en moi. Indépendamment de ma volonté, il se passe quelque chose dans mon ventre. Pas de papillon non… Quelque chose me pénètre. Je ne comprends ce qu’il me dit. Je sens ce qu’il me dit dans mon ventre. J’arrive à m’approcher de son cou et à lui dire : « Tu es une bonne personne » Je ne risquais pas grand-chose avec cette phrase. Mais c’est la phrase qui est sortie. Sans réfléchir. Comment lui dire que j’avais envie de l’embrasser sur le cou. De de le mordre. De le bouffer. Je me sens lionne. Ça ne se fait pas… comment aurait-il réagit ? Ben non, il ne « va pas se la faire celle-là ». Il s’en fout. Mon appétit s’aiguise. Pourquoi je ne fuis pas le danger. Je n’ai jamais eu peur de personne. Je suis juste surprise qu’une étincelle ou un flirt puisse exister entre nous. Et pourtant je me serais marié avec lui ce jour-là si j’avais pu ! Je suis toute passion ❤️‍🔥😅 ! L’alcool m’aurait ôté toute forme d’instinct de survie ? Non, au contraire, je me suis accrochée à la vie. L’alcool aide à se détendre oui, mais pas à faire des choses à contrecœur. Je n’ai rien fait à contrecœur, je me rappelle de tout …ou presque 😅 . … Une heure du matin. … Deux heures du matin. … On ne voit pas le temps passer. Cinq ou six heures que nous sommes ensemble au milieu de cinquante personne. Dans sa bulle. A l’abri. C’est ça qui est vraiment magique. Je dois avouer que finalement, il m’a plût dès le début. Une aura puissante. Juste le son de sa voix, un regard et plus rien n’existe autour. Je veux que le temps s’arrête. Que cette soirée ne se termine jamais. … Puis nous revenons avec ce qui est devenu « les autres ». Nous dansons. Un homme qui danse ! Mon rêve !!! Il s’approche. Uhmmm …c’est bon ça, je me sens bien. J’adore être vivante ! Dans mon élément, la nuit, la piste de danse, et un petit peu d’alcool. De toute façon je suis dans ma combinaison pantalon intégrale inviolable hypersécu. Je pensais éventuellement à un bisou en partant…. Pas à ce qui allait m’arriver. Mais tous ses gestes me plaisent. Putain, il me plaît, ce con ! Au fond de moi « Hijo de puta !» En espagnol, cette expression n’est pas aussi péjorative qu’en France. Comme « Putain !», mais dirigé vers quelqu’un. Il me plait vraiment. En plus, pas de risque de main baladeuse grâce à ma combinaison de protection. Juste une petite fente dans le dos. Pas d’issue pour lui …hihihi ! J’ondule. J’ai hâte qu’il me touche. Au moins les cheveux. Les mains. Les bras. N’importe. Se toucher. J’ai envie de lui. Je vis la musique. Heureusement qu’elle m’apaise. Comme lui. Il est parfait. Comme lui ? Oui il aime la musique 😍. Ses yeux se ferment et s’ouvrent. Il ne s’est pas approché. Il danse ! Il ne me fait pas attention comme un homme le devrait ! Pas un homme ? Il me séduit comme ça. Je sais qu’il me regarde. Il ne prendrait pas son temps comme ça s’il voyait de la concurrence autour. Pas un chasseur celui-là ! Ou si… ? Un chasseur instinctif ? Un loup peut être…oui, surement un loup avec ce regard… ! Il attend. Il attend quoi ? Juste quelques sourires. On croise quelques regards profonds. Très profonds. Tellement fort le lien. Un inconnu se sent obligé de me prévenir du danger : « …Attention…il veut s’accoupler …» Moi pas répondu. Juste un sourire de remerciement. Au fond de moi je ne rêve pas. Au fond de moi, confirmation que peut être moi, j’ai envie, et que ça ne me fait pas peur. Quelques temps plus tard, à force d’attendre, je me mets dos à lui. Je me suis laissé aller…tant pis. Tant mieux ! Nos corps se rapprochent. Est-ce moi qui recule ? Oui. Est-ce lui qui se colle ? Oui (auto-déculpabilisation, si si, il se colle, j’en suis sûre…) Soudain son torse contre mes épaules. Mon Dieu… enfin 😛 ! Nos bassins s’accordent. C’est magique. Ses mains sur mes hanches. Je pourrais mourir, demain, après cette soirée 🤩. Je vais exploser. Je m’effondre sur lui. Et pourquoi pas ? Finalement je veux être dans ses bras plus que rien au monde ❤️. Pourquoi ce lâcher prise ? Parce que la nature est forte et que je suis un animal, tout simplement. Je suis basique, c’est comme ça. Nos âmes et nos corps veulent s’approcher. Pourquoi ma tête se pose sur son épaule ? Je veux être à lui. Je le sais. J’ai ce besoin en moi mais je ne sais pas comment ça s’appelle. La naissance de quelque chose ? J’ai envie de m’effondrer d’émotion dans ses bras. Mon front contre son cou. Je me love sur lui. Et je danse. La musique est le fils conducteur de notre jeu. Sa main se pose sur mon ventre. Mon dos posé sur son torse. Je ne veux plus bouger. « Montre-moi !» On doit être un peu ivre tous les deux ! Oui, sûrement. Que veut-il avec mon ventre ? Je ne comprends pas ce qu’il veut. Pas encore. Je m’en fous, je danse ! Depuis un moment je ne danse que pour lui... je veux le séduire…instinctivement. C’est moi la garce ;) Sa main rentre lentement par la fente arrière au dos de ma combinaison. Je sens cette sensation de bonheur…je me donne…je veux qu’il me possède. Elle fait le tour de moi, par l’intérieur, comme une couleuvre et se pose à nouveau sur mon ventre. Sur ma peau. Je suis paralysée de bonheur. Il me plaque contre lui. Mes yeux se ferment. Tendrement. Sa main caresse mon âme. Quelle douceur infinie. Pas un geste de défense ? Certainement pas ! Défendre de quoi ? De la gentillesse un peu coquine… ? Allons ! Je suis beaucoup plus ouverte que ça ! Je continu de me lover sur lui. C’est mon corps qui parle. Pourquoi ? Parce que son corps me parle aussi, et parce que j’ai laissé mon âme parler. Sa main sur mon ventre. C’est très charnel et romantique. Chose impossible, on dirait de l’amour. Nous sommes bien. Il n’y personne d’autre dans cette soirée. Nous, au milieu de tous les autres. Sa main est sous ma combinaison de protection ! Alerte ! Danger ! Danger ! Danger ! Danger ! J’ai bien entendu la sirène. 😂😂😂 Mais il ne se passe rien en moi. Si ! Je danse. On va faire languir le plaisir. Je ferme les yeux. J’ouvre les yeux. Trop tard. Le temps d’un battement de paupière sa main et dans ma culotte. Sur ma chatte. Je ferme les yeux. Moi au milieu de tous mes collègues de travail. Danser avec une main dans ma culotte. Malgré ma combinaison de sécurité. Et là, une seule envie. Qu’il continu. Exactement ! Qu’il continu ! Son doigt caresse mon clitoris. A peine le temps de quelques allers-retours. Je suis vivante ? Comment est-ce possible ? Quelques allers-retours, le temps que je me tortille. Que mon cul appui sur son bassin. Que mon cul cherche sa queue. Mes gestes sont juste ceux d’une femelle. Je me frotte comme une chienne. Pas longtemps. La seconde qui suit. Son doigt rentre dans ma chatte. … il va vite ! Avec délicatesse et fermeté. C’est bon ça ! C’est merveilleux. Bien profond. Je suis possédée. Il est sûr de lui. J’aime ça. Putain ! J’aime ça! N’importe quoi ! C’est quoi ce bordel ! Un éclair de lucidité. J’ai plus de quarante-cinq ans. Je suis au milieu de mes collègues à danser avec un doigt dans la chatte. Sérieux ! Même pas le temps de me demander ce que je dois faire. Cela n’a pas durer une minute. Sa main sort de ma combinaison puis se pose sur mon épaule. Il me retourne face à lui. Me repousse vers l’arrière. Me fixe profondément dans les yeux. Très profondément. Dominant. La morsure. Il me montre le doigt qu’il a mis dans ma chatte. Le porte à sa bouche et le suce. Le regard transperçant. Le regard du lion. En fait ce n’est pas moi qui m’amuse. Je ne l’ai pas vu venir. C’est lui le félin. Un félin calme. Posé. Puissant. En me regardant dans les yeux : « Vas discuter avec tes copines maintenant ! » Il me tue, je ne peux pas bouger. Je le laisse me tuer. C’est trop tard. La morsure du fauve. Je ne pourrais pas m’échapper. Je ne le veux pas non plus. Surtout pas. Je comprendrais plus tard qu’il m’imposa de donner le change à mes collègues. Que le « nous » ne nuise pas à mon image professionnelle. Sa bienveillance. Mais sur l’instant, je lui fis le pire regard. Totalement noir. Celui de l’andalouse en colère. Mon sang. « Hijo de puta !» « Hijo de puta !» « Hijo de puta !» Me rejeter vers l’arrière ! Moi ! Comme ça ! Après m’avoir mis la main dans la culotte ! Dans ma chatte ! Mais mon regard devant le sien. Mon regard devant le sien… Mon regard n’eut d’autre réaction que de plier. Plier. Plier est le mot juste. Instinctivement. Baisser les yeux. Et obéir. Vouloir cela. Obéir. Se soumettre à lui. Se soumettre comme le croyant devant dieu. M’humilier devant lui comme le croyant s’humilie devant dieu lorsqu’il s’agenouille. Instinctivement. … Moi. Et patati et patata avec les convives … avec le feu dans ma culotte et mes tripes qui font n’importe quoi. Lui. Qui danse seul, sans me regarder une seule fois. Et cela dure. Et je bouillonne. Ouragan à l' intérieur. … Quatre heures du matin. Fin de soirée. Discuter avec mon grand patron à six ou sept dans les canapés extérieurs. La musique s’arrête. Comme par magie, il réapparaît. Il s’assoit dans le fauteuil à côté de moi. Discrètement, caché par un grand accoudoir, sa main prend la mienne. Ses doigts croisent les miens. Je sens sa protection. Je ne suis plus désarmée. Il serre ma main. Fort. Mon cœur se serre. Longtemps. J’entends les collègues parler. Au loin. Qui s’éloignent. Je ne suis pas là. Longtemps. Il serre fort ma main. Jusqu'à ce que mon cœur s’arrête. Et je sens. Je sens. Le sien bat pour nous deux. Putain ! Je suis plus sur terre ! Je plane total ! Je suis en orbite ! … Six heures du mat. Tout le monde est parti. Reste moi, lui, et ma copine chez qui je dors. Impossible de se séparer. Je ne veux plus jamais me séparer de lui. Je le raccompagne à sa voiture. Je suis un pot de colle. J’aime être son pot de colle. Un dimanche matin. Personne. Le bruit des oiseaux. L’aube. Dans la rue. Je me glisse sur le siège arrière. Je présente mon arrière train en gémissant, comme une femelle. Généreusement, il me baise un peu sur les sièges arrière. Je veux être sienne. Qu’il me possède. Que c’est bon. Délicieux moment. Je le suce un peu. Je n’ai jamais eu envie sucer des queues. Cela n'a jamais fait partie de moi. Pourtant j’en ai envie. J’en ai besoin. Pourquoi ? Je le suce un peu plus. Plus tard je comprendrai que je ne savais pas faire. Quand il m’aurait appris. Mais c’était tellement bon. Je trouve du plaisir. Je veux qu’il aime que je le suce. Qu’est-ce qui me prend ? Je m’applique. Il jouit. Je lui fais du bien. Je suis contente Je suis salie de lui. Normalement je déteste ça. Vomitif. Mais non. Je suis contente d’être salie par lui. Et puis son arrière-gout salé.... Pourquoi ? J’ai lui ai servi à quelque chose. Pourquoi est-ce si important pour moi qu’il jouisse ? De lui être « utile » ? Qu’est-ce qui me prend là ? Je dois partir. J’ai la route à faire dans 3 heures. Fatiguée. Je retourne à la maison. Je me couche. Puis je l’entends revenir. Ça me fait rire, le petit voleur qui se faufile par-dessus le portail. Et là, il me baise. Pour de bon. Bien profond. Me rebaise. Je ne dirai pas le mot baiser. C’est trop tard. Une petite amitié, ou complicité s’est installée. C’est plus beau que baiser. Baiser quand même. Quand je me suis empalée sur lui. C’était une nécessité physique. Après l’excitation de l’avoir sucé de mon mieux. Il mérite ça et tout ce qu’il voudra !?!? Putain mais qu’est-ce qui m’arrive ? Au futur ??? Non pas de futur entre nous. Sans amour, donc baiser. Que peut-il y avoir d’autre ? Plus tard je comprendrais. Il me sert fort dans ses bras. Jeune homme ce n’est pas baiser ça !? C’est faire l’amour. Pourquoi me serres tu comme ça ? Et il continu. Vas-y ! Baises-moi encore. Baises-moi. « Hijo de puta ». Que c’est bon ... Pourquoi me serres tu comme ça ? « Hijo de puta ». C’est trop bon! C’est surtout trop. Je suis déstabilisée. Puis il part. Tremblements de terre dans mes entrailles ! Puis revient. Par la fenêtre. Me rebaise et me rebaise encore. M’use la chatte. Je suis une enclume. Être son objet. Utilises -moi ! Putain que c’est bon. Il rugit fort. Putain de lion ! … Neuf heures trente. Il part. Je lui donne mon portable. Comme on vend son âme au diable. Mon diable. Mon Maître. Il me regarde. Mon regard plie. D'instinct. Avec un soulagement. Un sentiment de satisfaction. De profonde fierté. De liberté aussi. Et surtout. Un sentiment d’appartenance. La morsure du lion. Ma soumission est née. Ce jour-là. Je l’aime depuis ce jour-là. Je suis sa lionne. Et je me donne à lui, je suis à lui, et je lui dois ma vie entière. Me sens à lui. Mon corps et mon âme. Depuis ce jour-là. Grâce à lui, je SUIS aujourd’hui ❤️
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Par : le 01/08/21
La discipline, ce n'est pas juste des coup et des punition. La discipline, c'est la construction d'un moule pour changer une personne. Mais attention, il ne s'agit pas de n'importe quel moule. C'est un moule de l'esprit. 1- Bien choisir les règles : Le choix des règle est essentiel, en choisissant les bonnes règles, on peut avoir un impacte considérable avec très peu de règles. Par exemple, si je veux amener quelqu'un à être de nature docile, je peux lui fixer comme règle de toujours baisser la tête. A la fin de la journée il aura mal au cou... Ce n'est pas une bonne règle car elle n'utilise pas la structure de l'esprit. Je pourrai aussi lui demander de ne jamais donner son avis sur rien. Ainsi, ne pouvant donner son avis, il ne pourrait plus que se laisser entraîner par celui des autres et s’habituerait à tout accepter et à suivre ce qu'on lui demande. Évidemment cela peut sembler très amorale, ce n'est qu'un exemple, tout dépend de ce que l'on cherche. 2- L'effet papillon : dans le point 1-, j'ai donner un exemple de règle négative. On enlève quelque chose. L’intérêt d'enlever quelque chose, c'est de libérer une pare de l'esprit de la personne pour qu'elle puisse la réinvestir autre pare. Seulement voila, il est très difficile de contrôler où cette pare de l'esprit sera réinvestie. Il faut donc bien connaître la personne pour estimer ce qui va se passer. La plupart du temps elle réinvesti cette pare là ou c'était prévue. D'autre fois, il faut faire des réajustements. 3- Les réajustements : on peut faire une succession de règle négatives pour peu à peu obliger la personne à se réinvestir dans la direction choisi. c'est la méthode la plus simple à mettre en place et aussi la moins bonne... On peut aussi placé la personne dans un environnement qui agira sur son subconscient pour la pousser à s'investir dans la direction voulue. Par exemple, une femme artiste danseuse que l'on voudrait sublimé dans son art. On l'enfermerai, on la forcerai à vivre nue et on la placerai dans une école de danse, pleine de référence sur les mures et avec un grand miroir, on lui donnerai un accès illimité à la musique... Il est aussi possible de créer des règles positives (c'est un peu comme ça que marche la politesse pour rechercher la vertus). En gros, on dirait à la personne de faire certaines choses à certains moment, cela la conduirait comme une plante sur un tuteur a grandir dans la direction voulu. 4- La crédibilité des règles : pour que ça marche, il faut que les règles soient crédibles. Pour qu'une règle soit crédible, on peut s'appuyer sur deux ressors. L'engagement et le behaviorisme. L'engagement, c'est avoir tellement fait d'effort pour suivre une règle qu'on aurait l'impression d'avoir fait tout ces efforts pour rien si on arrêtait de la respecter. Il faut donc pousser le(la) soumis(e) au début à fournir tout ces efforts sans jamais s'éloigner des règles, après, l'engagement prend le relais. Le behaviorisme est beaucoup plus archaïque et couteus, on punie les eccart, on récompense les succès. Pour qu'il fonctionne, la punission doit être suffisamment désagréable voir traumatisante pour que l'on préfère respecter les règles la fois d'après. C'est une méthode dure et destructive mais qui donne une discipline d'une autre nature. 5- Gérer la chute : en fonction de la méthode choisi en (4-), les chutes sont différentes. Si c'est l'engagement qui a était utilisé, une seule dérogation à la règle peut tout ruiner. La personne est déprimé, elle se culpabilise et renonce a sa discipline comme pour se punir elle même. Bref il faut réagir vite et la réimposer tout de suite. Si c'est la méthode behavioriste qui a été utilisé, le dérogement à la règle ne sera pas aussi catastrophique, la punission suffira. Bref, vous l'avez compris, la technique behavioriste est plus coûteuse, destructive et nécessite un meilleur suivi que celle de l'engagement, mais elle donne aussi une discipline beaucoup plus robuste si on assure son suivi.
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Par : le 31/07/21
De prime abord l’on pourrait croire que le Dominant possède tous les droits et pouvoirs sur sa soumise. Il n’en est rien. En vérité chacun possède des pouvoirs en fonction de sa position. Je dirais même plus que le Dominant en possède moins que sa soumise. Ceci peut être sujet à discussion. Surtout avec les personnes qui s’inventent dans des rôles du jour au lendemain avec des Fantasmes en tête et qui ne regardent pas avant tout l’autre. Le Dominant pour moi a un rôle primordial sur sa soumise et se doit non seulement de la protéger mais de prendre soins de ses désirs avant toutes choses. Et s’il y a relation d’appartenance 24/24, il a le devoir de pourvoir à ses besoins vitaux pour qu’elle donne le meilleur d’elle-même. Le Dominant ne marchera pas sur la tête de sa soumise et ne la jettera pas dans les toilettes sans d'abord avoir entendu un grand "oui, s'il vous plait". J’entends par là : Il est absolument nécessaire d’avoir une discussion et briefing après chaque séance permettant au Dominant d’analyser et tirer des conclusions sur les désirs cachés ou mis au grand jour de sa soumise. Un Dominant n'est pas guidé par le sexe, c'est lui qui le guide. Un Dominant n'étale pas sa domination, elle se découvre à force de le connaitre. Le but ultime du dominant n’est pas de satisfaire son égo en premier lieu mais plutôt de pousser sa future soumise vanille ou non à se révéler à elle-même, en dépassant ses tabous et limites. Il est certainement plus compliqué et plus difficile d’être un bon dominant qu’une bonne soumise. Reste quand même à en discuter avec les intéressés. La soumise dans son rôle primaire doit exécuter les ordres de son Dominant qui s’attache lui à atteindre les limites des limites de sa soumise. La soumise fait tout pour faire plaisir à son dominant, mais reste son égal en tant qu’être humain et possède le droit de donner son avis à un moment donné. Certain couple décide de fonctionner par séances, d’autres l’intègre dans la vie de tous les jours, peu importe le fonctionnement les règles de bases ne changent pas. La soumise tire son plaisir dans l’apprentissage et le désir de satisfaire son Dominant Les règles : Je ne suis pas spécialiste des règles du monde BDSM, mais les lignes suivantes sont les fruits de mes expériences et mon ressenti personnel : Les limites : On sait très bien que les limites évoluent dans le temps et suivant le profil de chaque personne. Il est primordial d’avoir discuté en amont sincèrement, librement et sans contrainte des pratiques. Ces frontières évoluent au fur et à mesure de l'évolution de la relation. La communication verbale et non verbale: Tout Dominant doit s’attacher à détecter tous les signes de sa soumise. Il se doit de poser les questions appropriées, même pendant la séance et de pousser sa soumise à s’exprimer sincèrement. Il doit aussi la rassurer et montrer une seconde d’affection pendant la pratique. La séance : Pendant son déroulement, le Dominant va s’employer corps et âmes à satisfaire sa soumise. Il doit faire passer le plaisir de sa soumise avant son propre plaisir, mais oublier le sien n’est pas la bonne solution non plus. Le Dominant s’emploiera pendant la séance d’atteindre les limites de sa soumise sans les dépasser. Il n’est pas obligatoirement nécessaire de fonctionner par séance. Les mots clés : Le dominant doit installer avec sa soumise des mots clés. Pour ma part de façon à mieux appréhender et ressentir ma soumise, je procède de la façon suivante : Rouge : Arrêt total des pratiques et de la séance. Ceci doit être un échec pour le dominant. Le dominant doit préférer la séance qui se termine après jouissance de sa soumise ou naturellement lorsque l’un ou l’autre en ressent le besoin. Orange: Arrêt total de l’action en cours. Le dominant doit ressentir le besoin d’en parler avec sa soumise et de comprendre le pourquoi. Le mot Orange ne doit pas être un échec il est là pour aider le dominant et la soumise à discuter de la pratique. Pour ma part : je pousse souvent l’action à l’extrême limite jusqu’à ce que ma soumise éprouve le besoin de dire Orange alors que je l’avais prévu en amont. Vert: La soumise prononce ce mot lorsque elle en veut plus. Ceci est rare c’est au dominant à ressentir sans que la soumise prononce ce mot. Les blessures et marques : Aucunes blessures ou marques ne doit être infligées à la soumise sans son consentement total et sans équivoque. Chaque action doit être calculée de façon à ne pas infliger de blessures, physiques ou mentales, durable à la soumise.
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Par : le 27/07/21
Elle est multiple, aux couleurs irisés parfois sombres Elle se décline en pastel ou aquarelle de l'ombre Elle est irréelle, intangible que l'on voudrait toucher du doigt Elle est entière offrant son moi, livrant ses attentes et ses émois Pas vraiment pure, elle n'en a pas besoin, c'est à travers ses failles C'est à travers ses imperfections, que je le trouve ainsi, même canaille Elle enflamme mes sens, me trouble par son absence, son autre vie Elle parfum de mes rêves, ma passion, mes troubles envies Elle femme d'ô, en voiles indécentes Se donne, belle, librement Je l'imagine, elle, sa peau Nue sous mes mots L'âme offerte, sa vertu O, nous liées, inconnues Je tisse mes propres entraves Pour elle, pour un sourire suave Peu soumise, me surprendre moi-même Alors déraisonner et croire enfin que l'on s'aime Douce folie charnelle, sarabande solitaire de mes nuits Quand elle me révèle, incrédule, je soupire d'envies Aspirant à la connaître, je reste longtemps éveillée, rêvant Alors, je jalouse ces mains, qui ne sont pas miennes qui la couvent Envieuse, je génère l'utopie, consciente de cette folie que j'éprouve Je voudrais la parcourir en douceur, ses courbes de satin Je voudrais me fondre en elle, caresser encore le velours de ses seins Sur les pages blanches, nous existe, par l'une, l'autre se sublime Elle est femme multiple, aux teintes d'un mythe, illusion intime Le 26 08 2019
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Par : le 27/07/21
La séance que lui avait imposée Ka-Sandra lui revenait en mémoire par flashes. Elle revivait surtout le moment où elle avait dû retrousser sa jupe. Dès cet instant, elle avait commencé à éprouver du plaisir. Un plaisir que la punition face au coin, la culotte baissée, les poses obscènes, jusqu'à la tentative de baiser de sa Maîtresse n'avaient fait qu'accroître. Bien sûr, elle avait eu peur. Bien sûr, elle avait eu honte. Bien sûr, elle avait pleuré. Et pourtant, le désir l'avait toujours emporté. Elle avait passé plus d'une heure à trouver une tenue sans arriver à se décider. Toutes celles qu'elle portait d'habitude lui semblaient si classiques. Ka-Sandra aimait la provocation jusqu'à oser ce qu'il y avait de plus sexy ou d'aguicheur. Elle possédait l'art de la composition et savait assortir avec goût les éléments les plus disparates. Elle osait, au moins elle osait. Elle arriva finalement sans retard à leur rendez-vous. Elle avait décidé de faire quelques courses en centre ville. Juliette dévala quatre à quatre les escaliers du glacier. Raide au volant de sa voiture allemande, Ka-Sandra ne lui jeta même pas un regard. Elles roulèrent sans se parler. Elle conduisait sa voiture à travers la circulation avec son autorité naturelle. À coté d'elle, Juliette ne savait pas comment se tenir et gardait le visage tourné vers la vitre. Où allaient-elles ? Ka-Sandra n'avait même pas répondu à la question. Elle flottait entre inquiétude et excitation, ivresse et émoi. À l'extérieur ne défilaient que des silhouettes floues, échappées d'un mirage. Cette fois, elle savait que l'univers parallèle qu'elle s'était tant de fois décrit en secret était tout proche, enfin accessible. La réalité peu à peu s'effaçait. À tout moment, elle s'attendait à ce que la main de sa Maîtresse se pose sur sa cuisse. Une main douce glissant sa caresse sur le satin de sa peau. Ou une main dure au contraire, agrippée à son corps. N'importe quel contact lui aurait plu, mais rien ne se passa. Indifférente à la tension de Juliette, aux imperceptibles mouvements que faisaient celle-ci pour l'inviter à violer son territoire, à ces cuisses bronzées que découvraient hardiment une minijupe soigneusement choisie, Ka-Sandra ne semblait absorbée que par les embarras du trafic. Enfin, elle gara sa voiture devant la plus célèbre bijouterie de la ville et fit signe à Juliette de descendre. Toujours sans dire un mot, elle la prit par le bras et lui ouvrit la porte du magasin. Comme si on l'attendait, une vendeuse s'avança vers elle, un plateau de velours noir à la main et leur adressa un sourire un peu forcé. Sur le plateau étaient alignés deux anneaux d'or qui étincelaient dans la lumière diffuse de la boutique. - "Ces anneaux d'or sont pour toi, chuchota Ka-Sandra à son oreille. Tu serais infibulée. Je veux que tu portes ces anneaux aux lèvres de ton sexe, aussi longtemps que je le souhaiterai." Juliette accueillit cette déclaration avec émotion. Elle savait que dans les coutumes du sadomasochisme, la pose des anneaux était une sorte de consécration réservée aux esclaves et aux soumises aimées. C'était une sorte de mariage civil réservé à l'élite d'une religion qui professait l'amour d'une façon peut-être insolite, mais intense. Il lui tardait à présent d'être infibulée, mais sa Maîtresse décida que la cérémonie n'aurait lieu que deux semaines plus tard. Cela illustrait parfaitement la personnalité complexe de Ka-Sandra. Quand elle accordait un bonheur, elle le lui faisait longtemps désirer. Le jour tant attendu arriva. On la fit allonger sur une table recouverte d'un tissu en coton rouge. Dans la situation où elle se trouvait, la couleur donnait une évidente solennité au sacrifice qui allait être célébré sur cet autel. On lui expliqua que le plus long était de poser les agrafes pour suturer l'épiderme du dessus et la muqueuse du dessous. Un des lobes de ses lèvres serait percé, dans le milieu de sa longueur et à sa base. Elle ne serait pas endormie, cela ne durerait pas longtemps, et serait beaucoup moins dur que le fouet. Elle serait attachée seulement un peu plus que d'habitude. Et puis tout alla très vite, on lui écarta les cuisses, ses poignets et ses chevilles furent liés aux pieds de la table. On transperça l'un après l'autre le coté gauche et le coté droit de ses nymphes. Les deux anneaux coulissèrent sans difficulté et la brûlure s'estompa. Juliette se sentit libérée, alors même qu'elle venait d'être marquée pour signifier qu'elle appartenait à une seule femme, sa Maîtresse. Alors Ka-Sandra lui prit la main droite et l'embrassa. Elle ferma les yeux pour apprécier plus intensément encore cet instant de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes, d'émotion, de joie et de fierté. Personne ne pouvait comprendre l'authenticité de son bonheur. Elles allèrent à La Coupole fêter la cérémonie. Leur entrée dans la brasserie fit sensation. Ka-Sandra la tenait en laisse le plus naturellement du monde. Un serveur apporta une bouteille de Ruinart. Juliette sortit de son body transparent les billets qu'elle tendit au garçon littéralement fasciné par le décolleté qui ne cachait rien de ses seins. Les voisins de table les épiaient plus ou moins discrètement. Ils n'avaient sans doute jamais vu auparavant une jeune fille tenue en laisse par une femme, attachée au pied de la table, payant le champagne à ses amis. Elles sortirent d'une façon encore plus spectaculaire. Aussitôt passé le seuil, Ka-Sandra l'obligea à rejoindre, à quatre pattes, la voiture laissée en stationnement juste devant la porte de la brasserie. Hommage à Ka-Sandra, la Maîtresse de Juliette. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 26/07/21
On a l'air de vouloir les différents types de dom. Je ne peux pas faire çà car je suis moi même dom. Mais je peux au moins vous parler des différents type de pulsion que j'ai pue ressentir quand je pratiquai. 1- Le fétichisme : La femme et l'homme sont beaux. Ils sont beau physiquement. Leurs formes sont parfaites, courbes, riches et érotiques. Leurs façon de bouger aussi, leur système nerveux, leurs émotions, les idées pure et délirantes qui les traversent quand on les stimule assez. On peut avoir envie de les posséder, de les collectionner et de les sublimer par le bondage. Les cordes se marie très bien avec les formes féminines. Les contrastes que l'on peut faire entre leur fragilité et un environnement dure sont enivrants. Les hommes sont symétriques et carrés, vigoureux, en lignes ils ont l'air parfait et on peut projeter sur eux les fantasme de puissance les plus inavoué. On a parfois envie d'instrumentaliser la femme et l'homme, en faire une statue, une œuvre d'art qu'on aimerait immobiliser et conserver indéfiniment. 2- Le possessif : La plupart des hommes ont eu des manques maternels ou bien de grandes frustration sexuel à leur adolescence. Pour cause, il leur manquait une ressource, la femme. Qu'il y a t il de plus rassurant pour un homme que d'avoir un harem? De posséder des femmes? La garanti de ne plus jamais subir le manque. On a envie de prendre la soumise, de la marquer au fer rouge avec nos initiale, de lui faire comprendre qu'elle est à nous pour toujours. On veut lui préparer une chambre, un collier, un cadenas, une chaîne, des règles d'étiquettes pour qu'elle reste toujours à sa place soumise à nos cotés. On la veut tout le temps disponible, entièrement nue. On veut pouvoir l’attraper par les cheveu et la jeter sur la table avant de la prendre par devant ou par derrière sans somation. On veut l'attraper par la cheville quand elle dort ou lui mettre directement la bite dans la bouche. L'homme on veut l'habiller, le mettre dans l'uniforme de son empire, on veut qu'il soit prés a mourir pour ses ordres, on veut qu'il nous doivent tout et qu'il ne soit rien sans nous. 3-Le contrôle : N'avez vous jamais était blessé par une femme qui vous humilie ou un homme qui vous abandonne? Ha le contrôle, la garanti de ne plus être déçut. Un bracelet à chaque main et à chaque cheville, des cadenas de partout et une seul clé autour de votre coup. Votre soumis(e) qui vous supplie de l'autoriser à aller uriner et vous qui reflechissez en le(la) fixant pendant ses plaintes. Le(la) nourrir à la cuillère les bras attaché dans le dos. Le(la) pluger tout les soir avant de lui ouvrir la porte de sa cage pour qu'il(elle) rentre dormir dedans. Enfermé elle (il) attendra que vous veniez lui ouvrir pour l'en ressortir. La(le) voir tendre ses mains pour qu'on les enchaînes à chaque fois qu'on le demande. Baisser la tête et découvrir son cou pour qu'on y place le collier avant la promenade. Apporter la cravache avec les yeux brillants, effrayé et désolé avant de découvrir ses fesses pour être punie. Le(la voir) trembler et sursauter à chaque coup et exiger qu'il(elle) compte. L'écouter remercier à la fin. 4-Le sadisme : te voila nue et fière devant moi, les bras attaché, les jambes qui tremblent légèrement. La nuit va être très longue. j'aime entendre tes cries a chaque coup, j’aime que tu essais de m'échapper sans y parvenir et que je te fouette encore plus fort. A la fin, je vois le violet sur tes fesse et je me rend compte de l'amplitude des souffrance que je t'ai infligé. Je te voit tremblotant(e), et j'ai envie de te mettre des claques parce que ça m’excite encore plus. Cela ne fait que monter, je sais qu'il y a des limites à ce que tu peux endurer mais je n'arrive plus à les sentir, il m'en faut toujours plus et toujours plus cruel. 5-L'empathie : J'aime la pureté de tes émotions par ce que moi je ne peux pas être pure. J'aimes voir disparaître ton humanité quand je te retire ta dignité car je sent la mienne disparaître en même temps. Quand tu n'est plus qu'un animal lubrique dépassé par ses propres pulsions j'ai l'impression d'être un chien qui renifle le cul d'une chienne. Comme les choses peuvent être simple pour les soumis(e) et comme c'est agréable d'être soit même sans avoir a regarder derrière soit.
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Par : le 26/07/21
Juliette fut préparée dans l'attente de la soirée. Elle avait été avertie que Ka-Sandra serait accompagnée de plusieurs couples à qui elle l'offrirait, quoi qu'on pût exiger d'elle ou lui infliger. Il fut décidé qu'elle ne les verrait pas et que les mains attachées derrière le dos, on la conduirait dans une cave d'un manoir. On fixerait à son cou un collier et à ses poignets des bracelets. Ka-Sandra avait choisi sa tenue: une jupe courte en taffetas noire, dévoilant ses cuisses, et un chemisier clair marquant un corset en cuir resserré de façon à faire saillir ses seins. Elle s'assura que son ventre ainsi que le sillon de ses reins étaient parfaitement lisses afin que ses deux orifices soient ouverts sans frein à toutes ses exigences, ou à celles des inconnus à qui elle la destinait. Pendant qu'on lui liait les cheveux en queue de cheval, pour lui bander les yeux, un cri indubitablement féminin retentit, elle se mit à trembler. À force d'être humiliée, il lui semblait qu'elle aurait dû être habituée aux outrages, sinon au fouet, à force d'être fouettée; une affreuse satiété de la douleur et de la volupté devrait la résigner, comme le supplice d'une fille offerte comme elle, et même lorsqu'elle n'était pas livrée, de son corps toujours accessible. Un long silence suivit, troublé seulement par des chuchotements. Elle reconnut Ka-Sandra. Sa mince silhouette était entièrement vêtue de noir, du col officier de son chemisier, jusqu'à ses bottes en cuir. Elle déganta sa main droite et posa doucement son majeur et son index près de l'oreille gauche de Juliette. La Maîtresse des lieux, qui semblait particulièrement l'apprécier, l'entraîna au bout d'une laisse dans la cave, au beau milieu d'une réception où des couples contemplaient le spectacle d'une jeune femme nue se faisant prendre sauvagement par des esclaves mâles. Des hommes et des femmes en tenues de soirée, tous masqués, étaient éparpillés çà et là une coupe à la main; au centre de la salle, sur un grand lit en fer forgé noir, érigé en estrade, la femme qu'elle imaginait se faire torturer, était possédée par deux hommes aux corps d’athlètes qui la pénétraient frénétiquement dans la lueur des torches. Elle avait de petits seins fermes et des hanches à peine formées. Les participants se tournèrent vers elles et les saluèrent en s’inclinant en silence. Ses doigts glissèrent le long de sa mâchoire, puis de son cou, contournèrent son sein gauche, caressant sa taille, et s’arrêtèrent sur sa vulve, en appuyant légèrement sur la chair fragile; saisissant la dragonne de la laisse reliée aux anneaux d'or fixés sur ses lèvres intimes, elle ouvrit les deux battants du grand salon et la guida vers l'autel de son sacrifice. Au fond de la salle, éclairée par des projecteurs diffusant une lumière pâle, l'attendait la croix de saint André. Avançant vers sa crucifixion, tenue par ses anneaux. Ka-Sandra lui tendit la main pour l'aider à gravir les deux marches qui la menait à son calvaire; elle la plaqua le dos contre le bois, la laissant ainsi exposée de longs instants. Elle la présenta comme étant son esclave. Tout lui serait infligé sans pitié pour juger de l'efficacité du fouet. En elle, elle devinait une volonté ferme et glacée, que le désir ne ferait pas fléchir, elle devait obéir docilement; les yeux bandés, elle ne pouvait apercevoir les derniers invités qui descendaient dans la cave, grossissant l'assistance silencieuse; ainsi exposée et écartelée sur cette croix, seule dans le noir et le silence, elle se demandait pourquoi tant de douceur se mêlait à tant de terreur, ou pourquoi tant la terreur lui paraissait aussi douce. On la détacha enfin pour l'exhiber. À peine libérée, quelqu'un lui demanda de se tourner et on lui délia les mains en lui ôtant le bandeau des yeux. On la fit avancer, trébuchant un peu, vers un homme qui voulait la toucher. Il lui ordonna de se déshabiller, et de se présenter, ce qu'elle fit instantanément: debout les bras coudés derrière la tête en écartant les cuisses, comme on le lui avait signifié, afin de livrer avec le plus d'indécence possible le spectacle de son intimité. Se présenter de telle façon oblige l'esclave à s'abandonner, quels que soient ses réticences, à mieux se donner. Par cette mise à nu, le corps livré, déshabillé, disséqué, est comme bafoué, humilié, sans concession; la soumise ainsi exhibée apprend à se surpasser dans l'épreuve, poussée parfois au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physique; c'est ainsi qu'elle peut s'épanouir et accepter les châtiments les plus cruels de sa Maîtresse. Ka-Sandra apparut avec un esclave à demi-nu harnaché de cuir au bout d’une laisse. L’homme à l’allure athlétique était doté d’une musculature impressionnante et d’un sexe épais dont on osait à peine imaginer la taille en érection. Elle fit allonger l'homme sur le dos, puis la tirant par les cheveux, força alors Juliette à s’agenouiller entre ses jambes, la croupe en l’air et le visage écrasé contre son pénis. La soumise entendit alors des ricanements dans l’assemblée. Ce n'était pas la caresse de ses lèvres le long de lui qu'il cherchait, mais le fond de sa gorge. Il la fouilla longtemps, et elle sentait gonfler et durcir en elle le bâillon de chair qui l'étouffait, et dont le choc lent et répété lui tirait des larmes. Debout sur l'estrade, Ka-Sandra faisait voler sa cravache sur ses reins. Elle lui ordonna de lui lécher les testicules et le pourtour de son anus. Juliette s'exécuta, faisant glisser sa langue de la hampe jusqu'à l'entrée de sa cavité anale. L'esclave semblait apprécier et s'enfonçait dans sa bouche pendant qu'elle le couvrait de salive. Elle se plaça derrière elle et plongea ses doigts dans son vagin déjà humide de désir. Elle explora longuement sa vulve, remonta sur son anus, le caressa du bout des doigts, puis se redressa: “Enfile-toi un doigt dans le cul!”; sa cravache siffla dans les airs et s’abattit sur sa croupe: “Allez chienne, doigte-toi le cul!”. Ka-Sandra était sûre d'elle et faisait preuve d'une tranquille détermination. Les lèvres forcées par le glaive charnel, elle dut se cambrer pour atteindre la raie de ses fesses. Elle introduisit tant bien que mal un doigt dans la moiteur de sa voie la plus étroite pendant que Ka-Sandra continuait de la fouetter: “Tu aimes ça, chienne, te doigter l'anus devant des inconnus". Elle répondit d'un “oui” chevrotant en écho aux coups de cravache mordant maintenant l'intérieur de ses cuisses, espérant ainsi mettre fin à mon supplice. Mais sa Maîtresse avait décidé de la mener. Elle laissa tomber sa cravache et s’agenouilla derrière elle: “Enfile tes autres doigts, chienne !”. Elle s’exécutait docilement alors qu’elle forçait son anus en écartant ses fesses de ses doigts pour faciliter son introduction. Les invités semblaient goûter à la scène, se regroupant pour regarder. La situation était très humiliante. Juliette était partagée entre le sentiment de honte et l’étrange plaisir d’être utilisée comme un vulgaire objet sexuel, humilié et gémissant, une chose sans valeur. Mais ce ne furent que les préliminaires. Ka-Sandra la releva en tirant sur son collier comme on le ferait pour rappeler un chien à l’ordre: “Ça ira comme ça, salope. Maintenant assieds-toi sur sa queue!”; encouragée par ses coups de cravache, Juliette enjambait maladroitement l'esclave et s'accroupit dos à lui, tout en se demandant comment accueillir un sexe aussi monstrueux. Impatiente, Ka-Sandra maintint le sexe à la verticale et la força à descendre dessus en tirant sur son collier. Sa croupe s’écrasa sur la pointe saillante. Tous les invités se regroupèrent autour de la scène et elle put voir distinctement leurs regards lubriques et cruels briller derrière leurs masques dans la lueur des torches. Alors qu'elle s'efforçait de garder l’équilibre, l'esclave la força à s’empaler sur son sexe. Juliette tentait de résister, mais en vain; son membre surdimensionné défonça ses reins, distendant lentement son anus. Une bouffée de chaleur l'envahit, tout son corps était perlé de sueur. Ka-Sandra exultant, ordonna l'esclave mâle à la pénétrer tout en caressant ses testicules: “Allez, chien, défonce-lui son cul de salope!”; l’homme obéit sans sourciller et l’attira contre son sexe brutalement pour lui faire mal. Ses deux sphincters anaux se dilatèrent sous la pression et il la pénétra d'un seul coup. Elle manqua de s'évanouir. L’assemblée poussa un “Oh” d’étonnement mêlé d’admiration. Ka-Sandra demeura un instant interdite à la vue de ce membre à moitié emprisonné. Partagé comme elle entre douleur et plaisir, l'esclave mâle relâcha son étreinte, en la maintenant dans cette position grotesque, accroupie, empalée au sommet de son sexe. Ka-Sandra, agenouillée face à elle, lui meurtrissait les seins en lui pinçant les pointes tout en l’observant avec un regard pervers qui l'effraya. Elle quitta ses yeux, plongea sa tête entre ses cuisses, posa délicatement sa bouche sur sa vulve rougie par ses coups de cravache puis aspira son clitoris entre ses lèvres. La bouche de Ka-Sandra estompa peu à peu la douleur de la colonne de chair qui saccageait ses reins. Elle luttait pour ne pas jouir. Les invités regardaient dans un silence quasi religieux; le spectacle qu'elle offrait, haletante, empalée sur ce sexe monstrueux agissait sur l’assemblée comme un puissant aphrodisiaque. Ka-Sandra se dénuda alors et commença à se caresser en la fixant, les yeux brillants de désir. Non loin de Juliette, une femme s’était accroupie aux pieds de son compagnon et le gratifiait d’une fellation des plus passionnées. Juste à côté, deux hommes encerclaient une ravissante brune aux cheveux courts qui s'abandonnait totalement, basculée à la renverse, à leurs doigts qui la fouillaient. Une boule de chaleur explosa dans son ventre et irradia tout son corps; parcourue de spasmes, elle jouit en silence tout en éjaculant au visage de sa Maîtresse, ses jambes vacillèrent mais l'esclave la tenait toujours fermement embrochée au sommet de son sexe. Il ne s'était pas encore libéré mais son anus qui se contractait nerveusement le mettait au supplice. L’assemblée demeurait silencieuse. On entendait juste les sons de gorge profonds de la femme accroupie, étouffée par le sexe de son son compagnon qui lui tenait la tête des deux mains et déversait son sperme en elle. Les deux hommes qui étaient masqués, s'immobilisèrent pour la regarder, délaissant pour un instant la jeune femme brune, maintenant nue à leur merci, pour mieux l'envahir. Plus loin un homme qui se masturbait en l'observant n’arriva plus à se retenir et éjacula. Ka-Sandra s’essuya le visage du revers de la main et lècha sa cyprine sur ses doigts en lui adressant un sourire narquois. Elle se pencha à nouveau entre ses cuisses mais cette fois pour s’occuper de l'esclave. Elle commença par effleurer ses testicules du bout des doigts puis elle remonta sur sa hampe qu'elle caressa comme un objet sacré; elle semblait s'amuser de façon perverse avec ce sexe surdéveloppé pour faire souffrir l'homme. Elle glissa une main sous ses fesses musclées et stimula son anus en le masturbant de plus en plus fort. C'était excitant d'assister à son érection: il grossit et se déploya. L’effet ne se fit pas attendre. Dans un ultime effort pour retarder l’inévitable, il se cambra sous elle et rompit le silence de la salle par un long râle bestial. Elle sentit son sexe tressaillir, la remplissant d’un flot de sperme saccadé. La sensation fut divine et l’instant si intense qu'elle fut à nouveau sur le point de jouir. Visiblement satisfaite, Ka-Sandra se redressa, posa ses mains sur ses épaules et se pencha sur Juliette pour l’embrasser. Elle goûta à ses lèvres, les aspira, les mordilla puis pénétra sa bouche de sa langue mouillée. Fermant les yeux, vaincue, la soumise se laissa emporter par un nouvel orgasme. Alors qu’elle s'abandonnait à son étreinte, elle appuya de tout son poids sur ses épaules et força Juliette à s’empaler de nouveau sur le sexe redevenu raide. Le pieu de chair dégoulinant la pénétra facilement et l’envahit alors sans plus aucune résistance. Distendue, la sensation d’être remplie totalement dépassa tout ce qu'elle avait enduré auparavant. Son orgasme redoubla d’intensité et semblait ne plus vouloir s’arrêter. Ka-Sandra releva son menton du bout des doigts et la regarda jouir avec le sourire de la victoire. L'esclave mâle qui était resté passif jusque-là recommença à s'ébranler lentement dans son foutre tout en s’agrippant fermement par sa taille, n'ayant rien perdu de son ardeur, bien au contraire. Ka-Sandra l’abandonna à son sort. Elle s’accroupit juste derrière Juliette et écrasa sa croupe sur le visage de l'homme. Ce dernier sembla apprécier cette douce humiliation et continua de lui fouiller les reins en redoublant d'acharnement. Dans un bruissement gras et humide, rompant le silence, son corps se balançait au rythme de ce va-et-vient féroce. Elle faisait maintenant face à l’assemblée qui se pressait autour d'elle pour la regarder jouir. Ne prenant même plus la peine de se cacher, plusieurs hommes se masturbaient sans retenue, juste devant elle. Du haut de l'estrade, une jambe sur l’accoudoir de son fauteuil, la Maîtresse des lieux se caressait tout en se délectant du spectacle de la sodomie. Des mains glacées se posèrent alors sur sa peau et la firent tressaillir. Juliette s'offrit avec docilité aux caresses de plus en plus insidieuses. Un silence suivit, troublé par quelques chuchotements dont elle essayait vainement de percevoir le sens. Subitement, elle se sentit soulevée de terre, ses poings et ses chevilles furent liés par force de nouveau à la croix. Dans cette position qui favorisait l'examen de son corps, un doigt força brusquement ses reins et la pénétra avec douleur. Celui qui la violait ainsi, sans préparation, la menaçait durement. Soudain, on la cingla. Elle reconnut immédiatement les coups appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée se traduisant par une caresse de la cravache avant le claquement sec, imprévisible et toujours judicieusement dosé. Après le dernier coup, elle caressa furtivement son ventre enflammé et cette simple marque de tendresse lui donna le désir d'endurer encore davantage; quand le cuir s'attaqua à ses seins, elle comprit qu'elle serait fouettée intégralement sauf le visage. Comme une confirmation, les lanières atteignirent le bas de son ventre, en cinglant ses lèvres intimes. Elle laissa échapper un cri de douleur, comme un écho au hurlement entendu dans le couloir. On lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position la plus humiliante pour l'esclave. Elle reconnut à la douceur des mains de femmes qui commencèrent à palper son corps. Elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Ka-Sandra mania longtemps avec lubricité. On décida alors de la reconduire chancelante au premier étage pour la placer dans un trou spécialement aménagé dans le mur. Alors que l'on usait de tous ses orifices, un homme exhiba son membre qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres puis avec sa langue, mais avec cruauté, il se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge. Prise d'un besoin naturel, on lui refusa de se rendre aux toilettes. Confuse, elle vit qu'on apportait une cuvette et elle reçut l'ordre de se soulager devant les invités rassemblés. L'humiliation était là. Se montrer dans cette position si dégradante, alors qu'exhibée ou fouettée, prise ou sodomisée, sa vanité pouvait se satisfaire de susciter le désir. L'impatience qu'elle lut dans le regard attentif de Ka-Sandra parut agir sur sa vessie qui se libéra instinctivement. Lorsqu'elle eut fini de se soulager, sa Maîtresse lui ordonna de renifler son urine, puis de la boire. Au bord des larmes mais n'osant pas se rebeller, elle se mit à laper et à avaler le liquide clair et encore tiède. Après avoir subi les moqueries des invités, elle fut amenée devant Ka-Sandra dont elle dut lécher les bottes vernies du bout de sa langue. On lui ordonna ensuite de se coucher sur le sol et de relever ses jambes afin que chacun puisse la prendre facilement. Elle fut possédée par l'ensemble des invités qui se succédaient à la chaîne sur son corps. Puis on la releva pour la placer sur un tabouret hérissé d'un volumineux olisbos. Dans cette nouvelle position, son ventre devenait douloureux, mais ce fut pire lorsqu'on lui ordonna de s'asseoir sur le cylindre massif et de le faire pénétrer entre ses reins profondément. Elle sentait son anus s'écarteler au fur et à mesure qu'elle s'empalait sur le cylindre de latex. Alors, on la força à se pénétrer l'un et l'autre de ses orifices. La souffrance se mua en plaisir. " - Je suis fière de toi, tu te comportes comme je l'espérais, tu dois continuer". Ka-Sandra venait de lui signifier que son dressage n'était pas achevé. Sa peau subit aussitôt le contact de mains posées au creux de ses reins puis entre ses fesses. Une cravache noir la cingla brusquement avec une telle violence qu'elle poussa un véritable rugissement. La rigidité du cuir enflammait ses reins et mon dos. Les coups lacéraient sa chair, lui procurant de lancinantes sensations de brûlure. Lorsque la tige l'atteignit exactement entre les cuisses, sur le renflement du pubis, elle comprit soudain qu'elle allait jouir; une fois la fulgurante jouissance dissipée, elle osa implorer leur pitié. Juliette naïvement venait bien malgré elle de rompre le charme de la séance. Ils décidèrent de lui faire payer chèrement cette inqualifiable faiblesse. Elle fut à nouveau placée dans le mur comportant un trou en son milieu, de façon à ce que sa tête dépasse d'un coté et ses reins de l'autre. Elle allait être prise par l'arrière et contrainte par la bouche. Ce fut Ka-Sandra qui l'installa. Elle était en position, jambes docilement écartées, la bouche déjà ouverte, la croupe exagérément offerte, prête à être fouillée et investie. Ce fut l'abattage. Impatient de se satisfaire, un homme prit la place de l'autre, sa bouche servant d'écrin. Au même moment, un autre utilisait son vagin sans ménagement, avant de forcer brusquement ses reins, qui comme la totalité de son corps étaient à sa merci. Il s'enfonça sans préliminaire pour lui faire mal. Le silence soudain l'exaspéra, car elle ne pouvait rien voir de ce qui se passait autour d'elle. Espérant le fouet comme une délivrance, un troisième sexe plus dur encore pénétra sa croupe. Le ventre de Juliette se liquéfia alors. Elle était prise, on ravageait ses reins meurtris. Elle compris enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos à ceinture dont Ka-Sandra s'était ceint à la taille. Elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, pour qu'elle puisse "la remplir jusqu'au fond." Juliette céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pouvoir contrôler. Ka-Sandra se détacha de Juliette qui glissa au sol. Elle récupéra ses appuis et réussit à se tenir debout, mais on la rattacha fermement sur la croix de saint André face à la salle plongée dans la pénombre. Juliette demeura ainsi le reste de la soirée, souillée de sperme et de sueur, les chevilles et les poignets entravés. Hommage à Ka-Sandra, la Maîtresse de Juliette. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 26/07/21
Je me met si souvent nu devant vous Maîtresse que j'en oubli le plus important, me mettre à nu. Un petit «à» de plus pour tomber les barrières de mon insensibilité. Vous m’humiliez si souvent, je suis une éponge à humiliation sans en perdre une goutte, Il est temps de m'essorer. Vous me crachez au visage, J’essuie la honte avec cette éponge pour la saturer un peu plus. vous m'urinez dessus, je bois et je stocke encore dans cette petite tête spongieuse. Et pourtant je pue, je suis défais, rabaissé plus bas que terre. Vous me faite rampez, vous m'écrasez. Je souffre et j'absorbe encore et encore. Vous me transpercez et c’est mon orgueil qui est piqué J'ai cette fierté mal placée qui me bloque même si vous me rabaisser chaque fois un peu plus. Vous m’emmener en ville, au bout de ma laisse je pense d’abord aux regards des autres alors que je devrais porter mon attention à vous servir Vous me lavez à l’eau froide comme un vulgaire objet. Ma fierté est bien ébranlée et je me renferme au lieu de vous témoigner ma reconnaissance. Je mange dans cette gamelle de chien à vos pieds Maîtresse , avilissement extrême. Je n'ose croiser votre regard de peur d’y déceler de la moquerie. Les mains écrasées par vos escarpins, j'attends lamentablement votre ordre pour plonger ma gueule dans cette gamelle. Comme un chien, je lèche pour ne rien laisser du repas que vous m'autoriser de peur d’être réprimander. Vous me ferez même boire dans cette gamelle ma propre bave qui a coulée de mon bâillon-boule. Elle sera mon urinoir pour toute une nuit. Vous ruinez mes orgasme mettant à mal ma virilité. Je me sens ridicule. Toutes ces gifles successives m'abaissent plus bas que terre. Elle me touche toujours plus intensément. Et aujourd’hui je le confesse pour que vous en récoltiez toute la satisfaction que vous recherchez à travers ces petits supplices. Je ne suis plus rien, même mes pensées sont vides. Je me laisse envahir sans résistance par votre divine volonté. Vous me manipulez à votre guise. Je suis votre marionnette mais comme elle, je manque d’âme et mon insensibilité vous prive de tous ces plaisirs que je vous dois en retour du temps et de l’énergie que vous me consacrez. Je ne me vanterais jamais de tous ces camouflets devant mes amis. Ma terrible fierté serait bien mise à mal, preuve que ces humiliations me marquent plus que tout. J’use de familiarités et d’humour déplacés, Je me souviendrais longtemps de ces 100 coups de badine que vous m’avez infligés qui ont marqués mon subconscient plus que mes fesses. Je faute, je cherche des excuses. Je comprends votre agacement. Je devrais être dans l’instant pour vous répondre, vous satisfaire Maîtresse. A me précipiter d’abord pour mon ego avant vous me couvre de honte. C’est une réaction qui devrait être instinctive Maîtresse sans qu’il soit nécessaire que vous me le rappeliez. A l’écrire, je m’aperçois que je reçois ces humiliations pour mon plaisir alors que c’est le votre qu’elles devraient exalter. Je confesse mes erreurs à vos pieds Maîtresse Il y a aussi toutes ces maladresses que ce soit des initiatives mal venues, outrepasser la place que vous m’accordez généreusement, utiliser des mots et des formes grammaticales interdits comme l’impératif, les négations, manquez d’humilité et bien d’autres qui échappent à ma mémoire mais que vous réprimandez dans l’instant ; la liste est si longue. Votre satisfaction passe forcément par cette introspection. M’aidera-t-elle à être plus ouvert ? Je le souhaite si ardemment. J’avoue humblement mes fautes pour que ma soumission évolue comme vous le désirez Maîtresse.
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Par : le 25/07/21
Sur ce site très SM, une annonce attire mon attention : « recherchons partenaires pour jeux d’adultes consentants». Rien de plus mais suffisant pour éveiller ma curiosité, suivait un numéro de téléphone de mobile suisse. Je décidais donc d’assouvir ma curiosité et j’appelais sans attendre ce fameux «Natel». Une voix d’homme me répond ; elle est douce et suave. Après les présentations d’usages, il m’explique qu’il est chargé par sa Maîtresse, qui est aussi son épouse, d’organiser un jeu où trois de leur amies Dominantes pourront tester et choisir leur soumis. L’homme me demande de l’appeler Allan à partir de maintenant. Je n’en saurais pas plus aujourd’hui C’est un concours version télé-réalité. Aucune sélection ne sera faite. Ils ont décidé de s’en remettre au hasard et les six premiers candidats seront retenues. Toutefois, je dois remplir tout un tableau des pratiques SM où je dois indiquer mon niveau sur une échelle de 0 à 5. Ce sera mon seul engagement écrit acceptant par avance les pratiques énumérées à l’exception de celle que je note «0». Impatient, je renvoie mon engagement par mail. En accusé de réception, Je reçois une date à partir de laquelle je devrais être à leur disposition deux semaines complètes. Le point de rendez-vous me sera seulement communiqué deux jours avant le début de la sélection. L’attente est longue et mon excitation grandit proportionnellement aux jours qui passent me rapprochant de cette aventure mystérieuse. J-2 arrive enfin et je reçois cette invitation tant attendue. Je dois me présenter à la porte d’un hangar à flan de colline à 16 heures, ni avant, ni après. Aucun retard ne sera toléré. Encore deux jours à patienter. Pas besoin de vous dire que mon excitation était à son comble A l’heure dite, je me présentait devant le hangar qui semblait s’enfoncer dans la colline. C’était de lourdes portes métalliques. L’une d’elle coulissa dans un grand fracas et j’entendis une voie féminine m’invitant sèchement à entrer. La porte se referma derrière moi et je me retrouvais dans la pénombre. C’était impressionnant, comme si je quittais ce monde. Pas le temps de gamberger. «Mets toi à poil et les mains contre le mur. Je suis Maîtresse Célia et j’ai demandé à Allan de préparer ce jeu mais maintenant tu m’obéis» Je m’empresse de poser mes vêtements mais sans doute pas assez vite car je reçois un cinglant coup de fouet sur mon dos. - Allez, presses-toi, on ne va passer la journée ici - Oui, Maîtresse Et je m’empresse de me mettre face au mur. Je sens quelqu’un s’approcher, me passer un bandeau sur les yeux et m’attacher un collier autour du cou. Je leur appartiens déjà et plus moyen de reculer. Ma curiosité prends le dessus et tout mon être accepte cette prise de pouvoir. Au collier est bien vite attachée une laisse. Elle se tend immédiatement et je suis mon hôte privé de tout repère. - STOP, ne bouge plus, on va t’examiner. Si tu n’est pas impeccable, tu repars immédiatement. Je dois présenter ma plante des pieds, mes mains. L’on me fait tourner sur moi-même et je sens une main saisir mes testicules et les tirer brutalement vers le sol. Je serre les dents mais aucun son ne sort de ma bouche. - A genoux, mains au sol, présente nous ton petit cul m’ordonne Maîtresse Célia Un gel coule sur ma raie et je sens des doigts fouiller mon intimité. Elle en profite pour me donner une forte claque sur mes fesses en ressortant ces doigts - Redresses toi. L’impression est correcte mais attention au moindre écart, c’est dehors. - Oui Maîtresse - Maintenant, on va t’expliquer comment cela va se passer. - Tu es le dernier arrivé, cinq autres soumis sont déjà en cage. - Ce soir, nous allons surtout tester ta motivation et ton envie de soumission. A partir de demain, trois Maîtresses auront la journée pour se faire une opinion en vous testant à leur bon vouloir. Tu ne connaîtras pas leur nom et tu devras les appeler Maîtresse tout simplement. Je ne connais pas leur envie donc ce sera surprise pour tout le monde. Nous sommes suffisamment bien équipé ici et tu pourras crier tant que tu veux, nous serons 30 mètres sous terre. Vos Maîtresses auront le choix de prendre 1 ou/et 2 soumis à la journée et cela durera 9 jours. Elle pourront vous accorder jusqu’à une journée de repos par tranche de trois jours mais dans ce cas vous restez au cachot et je ne sais pas si tu auras vraiment envie de te reposer ! - Allan va te conduire à ta cellule. Tu pourras retirer ton bandeau et tu m’attendras à genoux, front contre terre et mains au sol devant toi. Mon collier me tire en avant et l’on peut dire que je suis Allan aveuglément. Au fur et à mesure de notre progression, je sens de plus en plus de fraîcheur probablement le signe que nous nous enfonçons sous terre. J’entends une porte métallique grinçée et la tension de la laisse cesse. La porte s’est refermée. Allan me conseille de ne pas tarder à prendre ma position d’attente. Je me débarrasse de mon bandeau. La cellule est très sombre et il me faut quelques minutes avant que ma vue ne distingue des murs noirs équipés d’anneaux auxquels sont attachées des chaînes. Le sol est en pierre froide et je commence même à grelotter. Je ne découvrirais le mobilier qu’un peu plus tard car je me mets immédiatement dans la position souhaitée par Maîtresse Célia. Bien m’en pris car j’entends la porte s’ouvrir et les jambes de Maîtresse Célia viennent taper mes côtes sans ménagement. - Ce soir, je vais me faire plaisir avant de te laisser à mes amies. Allez bouge-toi un peu et vient nettoyer mes talons. - Oui, Maîtresses Je m’empresse de lui obéir et je lèche consciencieusement ces chaussures. Elles sont assez terreuse et j’ai du mal à leur rendre leur éclat mais Maîtresse Célia semble satisfaite. Elle me pousse avec ces talons pointus qui s’enfonce dans ma chair et je bascule sur le dos. S’étant déchaussé, elle m’enfonce ces orteils dans la bouche. Ils ont un goût de transpiration mais je fais attention à lui faciliter l’accès à ma bouche. Après ce traitement, elle me fera me lever et m’approcher du mur. Elle m’attache par mon collier à une des chaînes que j’avais repérée. En me poussant contre le mur, elle m’attache les bras et les chevilles bien écartés dans des anneaux métalliques. Le contact d’une cravache sous mes testicules ne laisse pas de doute pour la suite du scénario. Elle me détend habillement en me frôlant avec l’extrémité de cuir plat de la cravache. Je me détend et je reçois un grand coup sur les fesses qui me fait tressaillir. Les coups s’enchaîne sur mon dos. Variant les plaisirs, Maîtresse Célia me tapote les testicules. C’est douloureux. Je me tortille mais les anneaux d’attaches me maintiennent fermement à sa merci. Je capitule et demande pitié ce qui n’a aucun effet sur elle. La douleur devient terrible et je pends lamentablement sur les anneaux. Elle me détache et me retourne. Dos au mur et de nouveau prisonnier, la cravache me cingle le ventre, les tétons et le sexe. La douleur reprend toujours plus vive. Mes gémissements finissent par déclencher un emballement terrible de Maîtresse Célia. A ce moment mes certitudes vacillent. Ai-je bien fait d’accepter ce jeu ? De toute façon, il n’est plus possible de revenir en arrière alors autant faire bonne figure et satisfaire Maîtresse Célia. Le temps s’est arrêté et il m’est difficile de déterminer combien aura duré mon supplice. Maîtresse Célia me détache et je m’effondre sur le sol froid. Je n’ai pas vraiment le temps de récupérer qu’elle demande mon attention pour me donner ses instructions pour la nuit qui vient. Elle me montre une couche dans un coin de la cellule. - Tu dormiras là. Si Allan ne l’a pas oublié, tu dois avoir une couverture. Je remarque aussi 2 gamelles en aluminium. - Allan viendra te verser ton repas dans l’une d’elle. Pour la boisson, je vais te gâter Sur ce bon mot, Maîtresse Célia s’accroupit au-dessus de la gamelle, écarte son string et la remplit de son urine. - Voilà un nectar divin, ne le gâche pas. Si tu as encore soif, tu n’auras qu’à la remplir avec ta propre urine. A partir de maintenant ce sera ton unique boisson. - Sur ce je te laisse, demain réveil à 5 heures, petit déjeuner et toilettes. A son sourire narquois, je devine que ce ne sera pas de l’hôtellerie de luxe. A peine maîtresse Célia partit, Allan vient me verser une bouillie dans ma gamelle. - Bon appétit, sois en forme demain. Et sur ce, il s’éclipse discrètement et referme la lourde porte métallique à double tour. A suivre …. Ce texte n'est qu'une fiction sortie de mon imagination. Je ne rajouterais donc pas la phrase fatidique "Toutes ressemblances...etc"
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Par : le 24/07/21
J'ai rencontré beaucoup de soumis et de soumises et je dois dire que même si beaucoup de gens pense qu'il y a une façon de pratiquer le bdsm, une façon d'être dominant et une façon d'être soumis, il est claire que ce n'est pas le cas. Ce qui est trompeur avec les milieux undergrounds, c'est que l'on y mélange un peu tout ce qui sort du classique. Ainsi, les gens "normaux" et les fraichements initiés qui n'ont pas eu suffisamment expériences ou de variétés dans leurs expériences on tendance à penser qu'il y a une normalité du bdsm. La normalité n'existe pas dans les mondes sous terrains... Cela nous renvoi au premier type de soumi(se) : 1- Le(la) curieux(se) novice. Vous vous ennuyez dans votre vie normale? Vous avez entendue parlé du bdsm par des filmes, des documentaires ou par des amis. Déjà vous imaginez dans le noir tout ce qui vous fait rêver, tout ce qui vous manque. Vous voulez qu'on vous initie, vous voulez apprendre les codes standards qui n'existent pas (ou qui sont bien moins étroits que ce que vous imaginez). Clairement, ce type de soumis(e) est malléable et potentiellement en danger. Ils(elles) foncent vers vous en prenant des risques fous, s'extasie des moindres nouveautés. Mais se sont aussi des consommateur(trice), la loyauté ne sera pas forcement au rendez vous. 2- Le(la) fantasmeur(meuse). Vous avez une idée fixe, un besoin, un manque et vous êtes prêt à tout donner pour combler ce besoin. Vous espérez que votre soumission réglera tous vos problèmes et vous comblera. Vos attentes sont souvent rigides et votre maître est un instrument pour vous. La continuité de la relation demande un effort qui n'est pas toujours fournie par la partie soumise. Le plaisir ne dure pas pour le dom dans ces cas là. 3- Le (la) dépendant(e). Vous avez besoin qu'on vous guide, qu'on vous modèle, vous êtes perdue, vous avez peur. Votre relation à la liberté, à l'estime et à la honte est destructive. Vous avez besoin de vous en séparer, de devenir un animal de compagnie un esclave, une poupée. Vous voulez que votre existence soit assumée par une autre personne. Ces parties soumises sont loyales tan qu'on ne leur demande pas leur avis. Elles sont modelable, humiliable, transformable, torturable même... Leur plus grande faiblesse réside dans l’ennuie, elles sont ennuyante. 4- L' œuvre. Avez vous un projet, un rêve pour votre vie? La plupart des gens sont leur propre rêve, leur propre projet fou, leur propre œuvre. Vous voulez devenir un ange, un soldat ou un chevalier servant, un/une sublime esclave. Vous voulez vous dévouer à quelque chose ou a quelqu'un, devenir ce qu'il possède de plus précieux. Vous voulez qu'on vous regarde comme un trésor rarissime et inaccessible car déjà possédé. Ces parties soumises ne sont pas humiliable mais elles sont capable et enivrantes. Ce sont les seuls qui progressent vraiment dans la soumission. Enfin, je dirai que ces 4 types se mélanges plus ou moins. Mais généralement, la partie soumise est toujours dominé par un de ses 4 aspects.
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Par : le 24/07/21
(Texte personnel, ne pas copier ou diffuser sans mon autorisation) ********************************************************** ****************************** Je m’interroge sur cet étrange lien, qui perdure, au-delà de la relation. Quand le téléphone ne sonne plus, quand il n’y a plus de photos qui s’ajoutent dans le téléphone, de moi ou de Lui, et que Messenger est silencieux ….. Ce lien D/s est là, même si je ne le nourris pas ; comme une braise attendant d’être réactivée, comme une boite d’allumettes attendant la braise, ce lien attend. Est-ce moi qui ne suis pas capable de faire ça, de dénouer ce lien ? Est-ce moi qui suis handicapée à ce point ? Faire sans Dom ne m’est plus possible, déjà ? J’ai découvert le BDSM il y a 3 ans, 4 ans au plus ….. une addiction, un besoin vital. F. en 2019, puis C. que je n’ai vu que deux ou trois fois, G. l’amoureux que j’ai initié, tous sont là, présents, complets, et Dominants. Je sais qu’il me suffit de les regarder pour avoir envie d’eux, d’être leur soumise. Un besoin de baisser les yeux, de déposer les armes, de me livrer, sans combat, à celui que j’ai choisi : soumise dans l’âme, il semblerait ….. Juin 2021 Laidy Sienne
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Par : le 24/07/21
Mia O. Propriété de Maitre G. Carnet de soumise. Extrait J 663 - Séance XX Sujet : Je veux, je voudrais, je suis. Expression libre Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - Dessin perso … Monsieur. Je dois vous remercier solennellement. Merci de me nourrir de vos mots. De m’exciter juste à vous lire 😍. Chaque jour, chaque nuit … Juste entendre votre voix Je me transporte. Vos mots sont sacrés. Quelques lignes. Vous me manquez, et je vis dans cette belle attente et ce désir permanent. Je suis souvent dans le nous. Dans la chambre d’hôtel à quatre pattes, à votre disposition, comme une simple pute. Une simple pute, Sí, mais votre pute, personnelle, à vous, et mon salaire est de vous satisfaire. Cela me conforte dans le plaisir d’être votre esclave. Je suis payée pour satisfaire les besoins du client, que vous choisissez pour moi. Vous pouvez décidez si, et à qui vous voulez me louer, me prêter, ou si vous souhaitez m’utiliser pour votre usage personnel. Monsieur, Je vis pour vous exclusivement, juste pour vous satisfaire. Mon âme et mon corps vous appartiennent. Et s’il le faut, rien ne pourrait me fait plus plaisir que de me prostituer pour vous. Un pas de plus dans le nous et une preuve de mon amour et du don de moi pour vous. Ma décision d’être votre esclave serai ainsi actée et gravée sur mon âme. Je désire être exploitée par, et pour vous. Je vous donnerai mes salaires à genoux et des larmes de bonheur couleront sur mes joues. Prêtez-moi si cela vous plait. Même si j’ai bien entendu que cela n’apporterait rien ni à mon éducation, ni à vos besoins. Que cela ne vous intéresse pas. Juste sachez que je suis à vous. Corps et âme. Je suis votre pute à vous Monsieur. C’est pour satisfaire vos caprices, envies, et besoins, que je suis là. Je ne compte plus. Dans ma vie, seul votre bien-être à de l’importance. C’est ce qui me rend heureuse, pleine et libre. Mes larmes dues à votre absence physique sont versées en silence ♥️. La souffrance va de pair avec l’amour et la dévotion. Je vis avec plaisir d’être un simple objet. J’adore profondément être votre table ou votre sac à sperme. La fierté de vous lécher les pieds devant vos invités. 💋 Je vous remercie de dilater mon vagin jusqu’à pouvoir mettre un autre sexe. J’attends avec impatience le moment que vous aurez choisi pour faire de même avec mon anus. J’aimerais être dilatée à votre taille. En permanence. Lors de cet usage de mes reins, je sentirais mieux votre domination et votre emprise sur mon âme. Même avec la satisfaction d’être transportée par le plaisir d’être usée, comme un objet, je vous promets de rester alerte et conserverai en toutes circonstances une posture élégante pour satisfaire vos yeux. Je veux être parfaite à vos yeux Monsieur 🙏 Et mon anus accueillera chaleureusement votre queue autant de temps et de fois que nécessaire. Ehhh oui, je serai à vous, esclave. J’aime être utilisée et usée par vous. Je vais dilater mon anus en votre absence pour faciliter votre entrée, quand l’envie vous prends. Le jour ou la nuit. Aux moindres claquements de vos doigts. Merci beaucoup de me réveiller la nuit et de me rappeler ma condition d’esclave. Je vais caresser mon clito et fouiller mon vagin à chaque fois que je vous lis ou que je vous écris. J’attendrai vos gifles, de fortes gifles, qui me déstabilisent et qui me font voler en quelques secondes. Monsieur, je rêve de recevoir à nouveau des giclées de sperme sur mon visage. Quand l’envie vous prend, tirez-moi fort sur les cheveux, lâchez-vous. Ma bouche attend être utilisée comme mon vagin et mon anus. J’adore être asphyxiée et respirer juste à travers vous. J’adore toucher mon cou et sentir votre verge à l’intérieur de ma gorge avec ma main. Au fond. J’ai besoin d’apprendre à vous faire des meilleures pipes. Je veux vous satisfaire mieux, je veux souffrir. Je veux les nausées, les bruits du viol, ma gorge de plus en plus profonde, les larmes et la salive 👅. A peine quelques secondes de répit et je veux que mon apprentissage recommence, que vous enfoncez votre sexe le plus profond possible, que je ne respire plus que par vous monsieur. Vous pourrez sortir de ma bouche. Je serais haletante à genoux 🧎‍♀️ Vous pourrez coller fortement votre beau sexe en érection sur mon visage. J’adore quand vous me frappez le visage lors des séances de gorge profonde. Mes joues attendent des coups de queue et des gifles. Votre sexe rentre à nouveau au fond de ma gorge, pas de pitié, je suis juste un orifice. Je veux être un orifice dénué d’humanité. Juste un trou. Ça sera long et ça sera bon ! Je veux, avec le temps, prendre pleine conscience de n’être qu’un objet. Votre objet. Que vous vous serviez de moi exclusivement pour votre satisfaction me rend heureuse. Savoir que je serai fouettée chaque jour de mon éducation est une fierté. Comme O, dans les histoires d’O. Je suis heureuse d’être votre soumise baisée et dilatée. Mes fesses attendent d’être roses ou rouges. J’aime le bruit de la cravache qui me marque, et surtout le picotement dans les fesses avec votre main, votre force et votre vitesse. Voir mon envie de me faire fesser, encore et encore, fait briller vos yeux. J’adore vos yeux qui brillent. J’aime être ce morceau de chair sur lequel vous voulez vous lâcher 😌 Je suis heureuse d’être votre soumise, baisée par tous les orifices et bien dilatée pour les besoins de mon Maître. Plus je me donne à vous, plus vous êtes content de moi. Plus je me donne à vous, plus je suis contente de moi. Heureuse. Mon seul devoir est de vous satisfaire Monsieur. Je suis nue en ce moment, juste avec mon collier et des pinces sur mes seins. J’ai besoin de ressentir de la douleur pour vous appartenir encore plus. Merci beaucoup de marquer mes jambes, mes fesses et mon dos. J’aimerais tellement porter une morsure sur mes seins. 🤩 La marque de vos dents sur mes seins blancs et turgescents. Puis m’exposer au soleil, en public, marquée de vous. Me sentir utilisée sans retenue me donne un sentiment d’accomplissement vital. Je suis très bien 🤩 Ma fonction principale le matin est de vous sucer, vous branler, jusqu’à vous réveiller. Lécher mes doigts pleins de sperme, vous lécher l’entrejambe et l’anus. Vous accompagnez aux toilettes avec votre bijou dans ma main. Vous sucer pour enlever la dernière goutte de pipi. Préparez votre café et vous le servir. Rester à vos pieds le temps de votre petit déjeuner. Habillée comme une soubrette, une servante. Je veux que vous aimiez quand je suis en servante, avec mes seins à l’extérieur, à disposition. Vous les pincerez à chaque fois que mes tétons ne pointeront pas assez. Quand ils ne sont pas à votre goût vous verserez une goutte de café chaud. Brûlure et silence. C’est mon éducation 😌 J’adore les bougies…vous le savez. Je veux être une bonne soumise. Je dois par tous les moyens, en mettant notamment mes trous à disposition, et plus généralement par mon obéissance absolue et mon apprentissage, vous permettre de « lâcher prise ». Parfois, je dormirai, pénétrée par vous, vôtre main sur mon sexe, mon clito bien gorge de sang, avec l’interdiction de bouger ou d’orgasmer. Mais souvent, je dormirai simplement contre vos pieds. Vous, assis sur le fauteuil du maitre. Pendant que vous dormez, les lèvres de ma chatte, ornées de leurs anneaux, seront fermées avec le cadenas portant vos initiales. Je veux voir votre plaisir, me sachant chienne et soumise à côté de vous, à vos pieds. Très envie d’orgasmer et frustrée par cette ceinture de chasteté, le cadenas ou votre main. Vos doigts me fouilleront de temps en temps, tard. Une grande satisfaction vous envahira… très lubrifiée votre soumise ! excitée et frustrée…pour vous et par vous. Mon Maître sera content de lui 💋. Tard dans la nuit, quand votre respiration changera et que vos corps et cerveau se répareront, je pourrais me frotter contre votre genou, votre jambe, vos poils. Lécher vos pieds et me masturber avec votre sexe dans ma bouche. Et pleurer, pleurer devant la beauté du moment 💓💓💓💓 Orgasmer sans votre permission m’est totalement interdit, estrictamente. Je suis votre esclave. Cette règle s’applique que vous dormiez ou non. Pas d’exception. Pour obtenir votre permission, vous devez être fier de moi. Et sentir aussi que je suis fière de moi. Ma prestation doit-être exceptionnellement satisfaisante. Pour ce faire, je veux et je dois être sûre et certaine d'avoir parfaitement rempli mon rôle d’aspirateur à bite et de sac de sperme. Que vos couilles soient parfaitement et totalement vidées. Lorsque vous serez épuisé de m’avoir usé, alors que vous vous endormez, je n’avalerai pas votre dernière éjaculation. Je la déposerai en grande partie près de votre gland, sur votre bas-ventre. En petite partie sur vos couilles, pour qu’elle coule sur votre anus. Comme vous m’en avez donner le droit, je profiterai de votre demi sommeil pour me faire plaisir… ;-) ♥️ 💓💓 Je frotterai mon visage sur vos couilles pleines de sperme et vous nettoierai l’anus avec ma langue comme une chienne assoiffée lèche sa gamelle. Je viendrai près de vous, sur le côté, en chien de fusil, et enlacerai votre jambe en posant ma chatte sur votre pied. Je vous sucerai lentement pour accompagner votre sommeil, la tête posée sur votre estomac. A chaque va et viens, je prendrai bien soin de prendre toute votre bite en bouche, jusqu’au fond de ma gorge. Dans le même temps, je frotterai mon visage contre votre ventre, pour qu’il soit bien sali de votre sperme….♥️♥️♥️ Je voudrais qu’il sèche vite et que mon visage reste collé à votre peau pour l’éternité 💓♥️💓 Ma bouche remplie et le visage collant, je pourrais me frotter sur le bas de votre jambe comme une chienne en chaleur mais avec la contrainte du cadenas. Alors, si mes trous sont restés parfaitement dilatés et à disposition, si vos couilles sont bien vides et moi bien usée, remplie et salie de votre sperme, je me donnerai entièrement jusqu'à ce que les mots esclave, pute, salope et chienne qualifie exactement mon comportement. Je voudrais que ce soit les conditions minimums pour déroger à la règle. Que je sois une bonne esclave, pute, salope et chienne. Que cela se voit et se sente. Si vous jugez ma prestation satisfaisante, alors votre main me tendra peut-être la clé. Je me sentirai au paroxysme du bonheur. Je me branlerai sur votre pied. De toute façon, me maintenir dans la frustration et aussi une récompense. 😍 Mais il me faudra être sûre vous dormiez profondément pour ne pas vous déranger. Et être rapide, car si je suis trop longue, je devrai d’abord vous vider à nouveau. Entretenir les couilles de mon Maitre bien vidées et une priorité bien plus importante que mon orgasme. Jouir et pleurer devant cette beauté ne m’est permis que la bouche pleine. Votre queue profondément en bouche, au chaud et protégée pendant votre sommeil. Si vous saviez à quel point j’attends ce moment. Pas pour jouir de la chatte, après deux ans d’éducation cela ne représente plus rien. Parce qu’avoir permission de jouir et le geste que j’attends. Il atteste de votre reconnaissance. Faire jouir mon âme. Vous me voyez enfin comme je veux être vue par vous, avec la fierté dans votre regard. Votre esclave, votre pute, votre salope et votre chienne. Votre objet. Votre soumise. Ce sera bon…♥️♥️♥️ Et là, l’orgasme de l’âme me terrassera, comme à chaque fois. Pendant votre sommeil, après mon orgasme, je vous nettoierai avec ma langue pour ne rien gaspiller et me nourrir. Je me reposerai uniquement le temps nécessaire pour être réutilisable. Mon repos terminé, je m’appliquerai immédiatement au respect de la règle d’entretenir les couilles de mon maitre bien vides. Donc dès que possible, je vous sucerai et branlerai à nouveau. Ma pulsion d’être « esclave pipi » est peut-être prématurée. Mais il me semble que de vous laisser vous occupez de ses basses et sales œuvres, est plutôt du ressort d’une esclave, donc à moi à le faire. Merci de me confier cette mission Monsieur, s’il vous plait, Je me sens assez mature pour m’en montrer digne. Monsieur, Je veux vous remercier chaque jour de ma vie, de pouvoir vivre dans le bonheur de vous servir. Grâce à vous je « suis » Putain « Je suis ! » Enfin Soumise Mia O. 😌 ♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️
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Par : le 21/07/21
Mia O. Propriété de Maitre G. Carnet de soumise. Extrait J 522 - Séance 23 Sujet : Séance anale en fôret. Reproduction texte interdite sans autorisation de l’auteur - Photo perso … Ce matin j'ai bien préparé mon cul pour toi. Conformément à tes instructions. Je t’ai senti à chaque lavement. La sensation d’être remplie pour toi. Me préparer pour toi. Je n’ai pas mis de plug. Obéissance. Être certaine que tu forces pour rentrer. … Et à midi je t’ai attendu dans les bois. Dans ma voiture. Les yeux fermés. Les jambes écartées. Les fourmis dans le clito. Puis le bruit de ta voiture. Tes pas. L’odeur de ta cigarette. Les pas du maitre. Ma porte qui s’ouvre. Ta main dans mes cheveux. Ta main qui me traine par les cheveux hors de la voiture sur quelques mètres. « Chienne » Pas d’« inspection», ni « mur », ni « table » … aujourd’hui. Pas de cravache non plus. Pas de liens. Je suis là pour « prendre ». Je vais prendre. Et donner. Me donner. Vous appartenir. Le bruit du déploiement de votre chaise. Est-ce que mes entrainements vont porter leurs fruits. Mes épaules en arrière. Mes omoplates qui se serrent. Mon buste remonte et ma poitrine aussi. Le bruit de tes pas. Le poids de ton regard. Mes dessus de pieds, jamais au sol. Juste les pointes. Mes jambes écartées. Ta respiration. Ma tête qui se relève. Mon dos plat. Non, le dos plat c’est « table ». J’aurai dû réviser. Quelle conne ! Danger ! Danger ! Danger ! Vite, me cambrer. Mes fesses qui s’ecartent. Ma bouche béante. Ma langue tirée. Je suis en position. Ma posture et comme je l’ai apprise. Mes yeux s’entrouvrent. La bosse sur ton pantalon. Ouf ! Putain. Que tu partes m’aurait déchiré. Mais je sais que tu en est capable si je n’obéis pas correctement. Une bonne petite gifle tombe. Enfin. Puis une caresse sur mon visage. Je tressaille. L’air frais sur ma chatte humide. Longue caresse. Boule de feu dans le ventre. Un doigt sur mes lèvres. Je gémis. Je décolle. Mes yeux se referment. Ou es-tu ? Juste le bruit de ta braguette. Le temps d’un éclair. Et la douceur de ton gland sur mon anus. Aujourd’hui, même pas le droit d’être à genoux, A tes pieds, Lorsque tu es dans ton fauteuil, Le temps d’une cigarette. Putain là, je vais prendre. Et ce sera bon. Tu me pénètres. En force. En me forçant l’anus. Mon souffle ce coupe. Mon esprit se libère. Putain que j'aime. Que j’aime ça. Que j’aime l'anal. Putain que c’est bon. Cette queue qui va toujours plus loin. Plus profond. Qui me transperce. Chaque jour tu m’ouvres un peu plus. Jusqu’avoir un anus ouvert, bien rond et parfaitement dilaté pour tes besoins. Prêt à l’emploi, sans délai. Belle et douce sodomie. Je n'attends que ça pour ressentir plus profondément mon appartenance. Douleur lors que tu me dilates, Bonheur lorsque tu me possèdes. A crier pour que tu continus, Encore Et encore. Saisi mes hanches. Que je sente les mains du maitre. Putain, défonces moi. Lâche-toi sur moi. Je suis là pour ça. Pour te servir. J'aimerais te sentir jouir et couler dans mon anus maintenant. Tu me fais mal en serrant fort mon buste dans tes bras et je pleure de plaisir. Mais non. Patience. Tu vas, et viens. Très lentement. Très profondément. Tu restes à l’intérieur quelques secondes sans bouger. Bien au fond. Tes mains agrippées à mes hanches. Ton bassin qui force sur mon corps pour rentrer plus. J'ai mal et tu le sais. La douleur du bonheur. Le bonheur de la douleur. Ton doigt caresse mon clitoris pour vérifier sa force. Il est bien gorgé de sang. Il appelle l’orgasme. Je suis à fleur de peau. Mais pas sans permission. Je suis bien éduquée Monsieur. Tu recommences à nouveau tes vas et viens. Longtemps. Je me sens usée. Comme un objet. Ton objet. Je perds conscience. Je suis juste à toi. Dans cet état second et merveilleux. Tu m'élargies. Quelle délicatesse. Je voudrais que jamais cela ne s'arrête. Tu te retires. 😢 Tu prends ma main pour que je touche mon anus dilaté. Uhmmm je suis bien ouverte. Je m’excite moi-même d’être aussi salope. Que c’est bon. Je suis chienne. « Merci Monsieur ». « Non Mia, pas encore assez " Tu rentres à nouveau. Tu me chevauches longtemps. Longtemps. Le temps que je perde mon humanité. Que je me sente trou. Sans toucher ni mon vagin coulant, ni mon clitoris prêt à exploser. Juste user mon anus. Enfonces-toi. Baises-moi. Transperces-moi. Je voudrais que tu me dilates plus. Rentre tes doigts. Ta main. Entière! Dilates-moi encore et enfonces toi. Je veux te sentir dans mon cul. Que tu sois en moi. En entier. Que tu serres mes tripes avec tes mains. Que tu voies mon âme être tienne. Que tu poses tes lèvres sur elle. Que tu lui donnes un baiser délicat. Remet ta queue. Prends-moi. Comme un animal. Comme la chienne que je suis. Je suis ta pute. Je suis ton esclave Abuses de moi Je t’en supplie. Continus. Ne t’arrêtes pas. Ne sors pas. Surtout ne sors pas. Utilises-moi. Longtemps. Que je coule. Que ma chatte gicle. Que je couine. Que je rugisse. Que j'halète. Que j'hurle. Fesses-moi fort entre chaque coup de reins. Gifles-moi si je ne crie pas assez fort. Gifles-moi même si je cris assez fort. Possèdes-moi encore. Prends-moi encore. Putain. Ne sort pas. Abuses de mon cul. Mets la toute entière. Bien raide. Rigide. Inflexible. Bien dure. Fouilles-moi le cul. Qu'elle me fasse mal. Bien mal. Rempli moi de ton sperme. Salis-moi. Souilles-moi. Rugis fougueusement. Vides-toi. Que je sente ta chaleur en moi. Que mon cerveau explose. Mon anus est maintenant forgé. Il épouse parfaitement chaque relief de ta queue. Comme s'il était conçu pour la satisfaire. Forgé par toi. J’aime ce mot : forgé. Dans le feu de mon ventre. … Ton orgasme arrive tard. Après m’avoir bien utilisée. Mes genoux abimés par le frottement de la terre. Quel plaisir de t'écouter gémir. Mes tripes se nouent. Je n'arrive plus à respirer. Sentir la chaleur dans mon cul. Dans mes entrailles. Puis sur mon anus. Puis couler sur ma chatte. Le poids de ton corps qui s'appuie sur moi. Sentir ton regard fier, de m'avoir bien usé et bien rempli lorsque tu te retires. Tu prépares ta queue pour ma bouche. Je vois à travers tes yeux. Je vois ton sperme qui dégouline de mon cul pendant que tu te branles. Tu me redresse en tirant mes cheveux. Tu le prends et l'étales sur mes seins. Puis sur mon visage. L'odeur de ton sperme m'achève. Puis la petite cuillère sur ton gland, pour ne rien gaspiller. Le froid et le chaud dans ma bouche. Qui me nourrit. Je suis en Trans. Je ne maîtrise plus rien. Puis tu me couche sur le dos. Sur les épines de pins. Puis à califourchon sur mon visage. Ton anus se pose contre ma bouche, pendant que tu regardes mes mains étaler ce qui reste sur ma chatte et mes seins. Ma langue qui lape ton cul comme les chiens. Puis tes deux couilles que tu rentres en force dans ma bouche et qui me gonflent les joues. Et ma main qui touche ma chatte et la fouille compulsivement. Je te sens encore dans mon cul dilaté. Puis ton gland, encore coulant, qui s'essuie sur mes lèvres gourmandes. Qui me nourrit encore. Je voudrais que tu me donnes des litres et des litres de sperme pour apaiser ma soif. Puis ta queue qui s'enfonce et se pose au fond de ma gorge. Qui m'étouffe. Qui me baise la bouche. Je veux te bouffer. Te dévorer. Te déguster. Tes couilles frappent mon visage à chaque coup de reins. Que c’est bon. N'être qu'un trou dédié à ta satisfaction. Ton objet. Mon bonheur. Je dois jouir. Putain, je dois jouir maintenant. Je n'en peux plus. C'est trop. Trop fort. Trop puissant. Il faut qu'un orgasme me libère. Je ne peux pas supporter plus. J’attends ma permission. Patiemment pendant que tu baise ma bouche. Elle vient cette putain de permission ?!. Je vous en supplie. Monsieur. Monsieur. Je vous en supplie. Obéir. Ne rien demander. Attendre. Mais j'ai passé le stade de l'orgasme physique. Mon âme et mes tripes bouillonnent. Ma main fait n’importe quoi sur ma chatte. Je vais exploser. « Orgasme maintenant ! » Ahhhhh…enfin…Putain ! J'explose. Littéralement. « Merci monsieur ». Je hurle la bouche pleine de ta queue. Quelque chose à péter dans mon cerveau. Plus rien ne répond. Je sens mon ventre. Comme un bigbang. L'expansion de l'univers entier dans mes tripes. Je bave. Je crie. Je suis un animal. Mes spasmes sont incontrôlables. Je suis épileptique. Les bruit de ma bouche lorsque ta queue la baise. J’entends ma bouche défoncée par ta queue. Je ne contrôle plus mon corps. Ton corps. Je t’appartiens. C'est trop. C'est trop bon. Je me sens bénie. Quel cadeau. Vivre ça. « M..ci M…sieur ». Le souffle court. Je suis terrassée. Complètement K.O. Les orgasmes pour monsieur. Trop puissant. … Tu me prends dans tes bras comme une princesse. Ma tête dans ton cou. Tes lèvres baisent les miennes délicatement. Tu m'allonges au sol sur le dos, à côté de ta chaise. Comme la belle au bois dormant. Tu t'assois. Je n'arrive plus à respirer. Je panique. Trop d’émotions. J'ai perdu pieds. Quelle violence orgasmique. Quelle puissance Je n'arrive pas à me remettre. Je n’arrive pas à l’admettre. Je n'arrive pas à lutter. Je n'arrive pas à respirer. Un pied se pose sur mon visage L'autre sur ma poitrine Ma respiration se calme. Comme par magie. Comme à chaque fois que je suis ton marche-pieds. Ton paillasson. Protéger tes pieds de la terre. J’entends le vent dans les arbres … Tes pieds me retournent délicatement. Mes seins contre la terre. Ton corps vient peser de ton son poids sur le mien. Écrases-moi. Après ce long chemin de croix, Ta queue rentre dans mon anus et se cale bien profondément. Que c'est bon de me sentir dilatée pas toi. Mon cul et là aussi pour apaiser ta queue après l'effort. Tes mains se posent sur les miennes. Tes doigts entre mes doigts. Les bras en croix. Et ta queue bien profonde en moi. Sous ton poids. Après ce long chemin de croix, Je suis crucifiée. Par toi. Pour toi. Et comme si cela ne suffisait pas, tu poses un tendre baiser sur ma joue. Mon cœur s’arrête. Je décède de l’intérieur. Te servir avec autant de douleur me rend si heureuse. Je pleure un peu. Je suis à toi 💋 Merci Monsieur
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Par : le 21/07/21
C'est les vacances ! Enfin pour moi en tout cas. Je suis chez de amis et je profite de ma nouvelle vie de célibataire. Et un Dom seul, c'est un Dom qui s'ennuie à mourir et qui cherche des activités pour s'occuper l'esprit. Et comme par hasard, mes amis ont un chien. Une petite bête qu'on éduque à venir quand on l'appelle, sur qui on élève la voix quand elle se barre en courant avec une pantoufle, à qui l'on donne des friandises quand elle obéit et avec qui on partage de longues séances de léchouilles en l'échange de caresses ! Oui, je parlais du chien ! Même si la ressemblance est frappante... Bref, la promenade nous emmène dans la forêt ou plutôt un sous-bois, pour être précis. Et dans ce calme, je laisse mon esprit vagabonder. Et chassez le naturel, il revient au galop ! Je me surprends à admirer les arbres. Je les regarde et les observe avec minutie. Sans le vouloir, je suis en train de les discriminer : pas assez grand, pas de grosse branche horizontale, trop fragile, trop près du chemin... Ma ballade innocente accompagnée d'un chien et de mon amie vient de se muer en recherche de l'endroit parfait. Sans le vouloir, mon esprit s'est focalisé sur l'envie d'attacher une soumise à un arbre. La dévêtir et l'immobiliser dans un bondage rudimentaire mais bien serré et la suspendre aux branches d'un bel arbre dans un coin reculé où elle serait à ma merci. La réalité fait mal... je n'ai plus personne à attacher. Je continue donc ma ballade, toujours aux aguets, car si ce n'est pas pour aujourd'hui, cet arbre paradisiaque pourrait toujours servir plus tard. Petit à petit, les arbres se clairsèment et laissent place à des arbustes incapables de soutenir le poids d'une soumise, même une crevette de 50 kg. Au fond, je peux me concentrer sur la ballade et admirer le paysage mais non ! Quand on a l'esprit mal tourné (enfin mal, c'est relatif) on ne peut pas s'empêcher d'y penser. Cette fois-ci, ce sont les orties et les ronces ! De magnifiques orties, de plus d'un mètre de haut. Mais qu'elles sont belles... Et là, je m'imagine ordonner à ma belle de se dénuder et de rentrer dans ce bouquet d'orties. En plus, il paraît que c'est bon pour la circulation. Mais quand j'ai vu les ronces... J'y aurais allongé mon esclave de tout son long. Car les ronces ont un sublime avantage : les épines rentrent dans la peau et certaines y restent. J'imagine le plaisir incroyable que j'aurais pris à ramener ma belle, toute meurtrie à la maison. Elle m'aurait lavé d'abord et ensuite, je me serais occupé d'elle et pensé ses plaies. Je lui aurai donné le bain comme à une enfant, doucement et tendrement. Et pendant que sa peau est encore détendue par l'eau chaude j'aurais retiré une à une, à la pince à épiler, les épines encore incrustées. Puis, je l'aurais enduite de pommade pour réparer sa peau blessée. Avec patience et amour, mes mains assassines se muant en caresses délicieuses... Heureusement, la ballade touche a sa fin, nous quittons la nature pour retrouver le goudron. Ce n'est pas sans passer devant un joli coteau rempli de vignes avec une jolie pente. J'ai évidemment pensé à une pony tirant la cariole de son Propriétaire, m'imaginant à quel point elle aurait souffert à chaque pas... On ne se refait pas !
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Par : le 21/07/21
Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux heures plus tard et déjà, le désir parcourait son corps. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Charlotte songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Charlotte devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lis, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Charlotte portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Charlotte frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Charlotte oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/07/21
Attirance Nuance Nous Instants Vérité Evidence Respectueux Sensations Appartenance Instants Rare Elégance Amour Bienveillance Confiance Désirs Émois Franchise Guidance Harmonie Intense Jouissance Kaléidoscope Lien Maître Nous Osmose Partage Quiétude Respect Sens Tendresse Union Voix Watts X Yeux Zen Il y a 8 ans et trois mois, je recevais un mail de vous. Nous nous sommes très vite rencontrés suite à nos échanges, une belle rencontre a été le 23 mars 2010. Depuis, nous nous sommes si peu quittés... Quittés physiquement, pas moralement. Vous êtes un homme précieux à mon regard, un homme que je ne peux oublier bien que, parfois, certains m'ont dominé. Vous, c'est l'osmose totale, votre odeur de peau me manque, votre voix, votre façon d'être et par dessus tout votre immense respect de la femme et soumise que je suis. Entre nous cela a été l'évidence et à ce jour vous restez ma référence, ma préférence. 4 ans passés avec vous. 4 ans passés sans vous. Je suis toujours là. Je ne vous oublie pas. Comment le pourrais-je. Je fais silence attendant votre appel quand vous avez un moment de quiétude. Je respecte votre vie de famille, comme vous faites pour la mienne. C'est toujours une joie, un bonheur de vous entendre, de vous écouter. Vous, toujours à prendre soin de moi lors de votre appel. Je suis heureuse d'avoir été votre soumise. La vie a fait, qu'à l'heure de votre retraite (il y a quatre ans passés), notre histoire a pris fin. J'en connaissais l'issue un an et demi avant la date inéluctable. En acceptant d'être votre soumise, aucune promesse n'avait été faite. Simplement être sincère, respectueuse de vos consignes et vie de famille. Nous avons pu nous revoir deux après midi, il y a un mois, dont une ballade en mer sur votre bateau. Bientôt, nous serons réunis pour une petite semaine. Se revoir après x temps, c'est comme si nous nous étions quittés la veille, aucun blanc, l'attirance et l'émotion sont au rendez-vous. Dans mon coeur, vous êtes, jusqu'à mon dernier souffle. Le 25 06 2018
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Par : le 16/07/21
Obstinément, Patricia gardait son front contre la vitre. Le soleil et le silence la brûlaient. La campagne, comme une peau bien morte, s'étirait sous ses yeux. Un grand morceau de cette peau, à chaque kilomètre, s'arrachait d'elle-même et la laissait désespérée, mais vive. Elles avaient l'air invincible, chacune dans une armure et un rocher. Si l'on regardait de plus près, leur visage était décomposé par le désir, l'envie ou le bonheur. Sarah, c'était le besoin de s'affirmer comme une femme, capable de faire souffrir. Patricia ne parvenait pas à affadir son amour pour elle. Il ne faut pas reprocher aux gens, d'être un peu faibles. Ils ont tort de le montrer, voilà tout, avait dit Sarah. Les traces, sur le corps de Patricia mirent quinze jours à s'effacer. Encore lui resta-t-il, aux endroits où la peau avait éclaté, une balafre un peu blanche, comme une ancienne cicatrice. Mais aurait-elle pu en perdre le souvenir; qu'il lui aurait été rappelé par le comportement de sa Maîtresse. Elle attendit longtemps, se demandant si elle la surprendrait en pleine nuit, si elle viendrait seule ou accompagnée. Elle souhait qu'elle vienne pour provoquer des marques nouvelles. Si Sarah poussait Patricia au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physique lors de séances très éprouvantes, l'amenant à la limite de la rupture psychologique, il lui suffisait de lire dans son regard la satisfaction pour prendre conscience de son plaisir et cela pouvait décupler ses forces. La crainte de la décevoir par un refus la poussait parfois à accepter certaines humiliations qui pourtant la révulsaient, mais qui attestaient de son appartenance à elle. Donner ce bonheur, obéir, se soumettre, endurer et tout accepter d'elle était la seule préoccupation de Patricia. Elle savait aussi que les raisons de provoquer ces traces pouvaient disparaître. Sarah pouvait-elle un jour l'abandonner en rompant le lien qui les unissait. Bouleversée, elle regarda son pauvre corps mince où de fines balafres blanchâtres faisaient comme un quadrillage au travers des épaules, des cuisses, du ventre et des seins. En quelques endroits, un peu de sang perlait. L'un des plus grands bonheurs de sa vie était de se débarrasser des tabous qui l'habitaient. Sa fierté à sa soumission dans l'abandon lui procurait une exaltation proche de la jouissance. Elle se disait aussi que tout était bien, car Patricia était heureuse d'aimer en elle son esclave. Il lui suffisait d'y songer, d'entendre simplement parfois sa Maîtresse lui dire qu'elle l'aimait. Après une route qui lui parut interminable, elle arriva dans la ville. Des carrefours sans âme et des feux se succédèrent jusqu'à ce que la voiture s'engageât dans une ruelle si étroite qu'elle lui fit penser à une espèce de coupe-gorge où elle n'aurait jamais osé s'aventurer seule. Elle avait si peur qu'elle se mit à trembler. Sarah arrêta la voiture devant un portail austère où un homme à l'imposante stature les attendait. Le temps de réprimer son angoisse, elle se retrouva, les yeux bandés face au colosse. Sa Maîtresse lui attacha les mains derrière le dos. Une poigne brutale et soudaine enserra ses bras frêles et la conduisit dans une pièce minuscule plongée dans l'obscurité totale, une sorte d'antichambre où elle attendit un long moment, dans un état d'angoisse et d'excitation extrême. Une présence se manifesta bientôt en l'arrachant de sa torpeur. On la poussa dans un escalier qu'elle devina tortueux. L'odeur de la terre humide emplit ses narines. Au bas de l'escalier, une cave. L'inconnu, qu'elle n'osait toujours pas regarder, demanda alors, après avoir passé la main sur ses seins et le long de ses reins, qu'elle écartât les jambes. Sarah la poussa en avant, pour pour qu'elle fût mieux à portée. Cette caresse, qu'elle n'acceptait jamais sans se débattre et sans être comblée de honte, et à laquelle elle se dérobait aussi vite qu'elle pouvait, si vite qu'elle avait à peine le temps d'en être contrainte, il lui semblait sacrilège que sa maîtresse fût à ses genoux, alors qu'elle devait être aux siens, elle sentit qu'elle n'y échapperait pas. Elle gémit quand les lèvres étrangères, qui appuyaient sur le renflement de chair d'où part la fine corolle inférieure, l'enflammèrent brusquement, le quittèrent pour laisser la pointe chaude l'enflammer davantage. Elle gémit plus fort quand les lèvres la reprirent. Elle sentit durcir et se dresser le membre qui l'étouffait, qu'entre les dents et les lèvres, une onde aspirait, sous laquelle elle haletait. L'inconnu la quitta d'un brusque arrachement et lui aussi cria. Dans un éclair, Patricia se vit délivrée, anéantie, maudite. Elle avait accomplit la fellation avec un recueillement mystique. Elle comprit enfin que le membre qui la pénétrait était un olisbos dont Sarah s'était ceint la taille. Avec un vocabulaire outrageusement vicieux, elle exigea d'elle qu'elle se cambre davantage, qu'elle s'offre totalement pour qu'elle puisse être remplie à fond. Elle céda à l'impétuosité d'un orgasme qu'elle aurait voulu pourvoir contrôler; c'était la première fois qu'une femme la possédait par la seule voie qui soit commune avec un homme. Sarah parut subitement échauffée; elle s'approcha d'elle, la coucha sur un lit, écarta ses jambes jusqu'au dessus de son visage et exigea qu'elle la lèche. Ses cuisses musclées s'écartèrent sous la pression de sa langue. Elle s'ouvrit davantage et se libéra violemment dans sa bouche. Patricia ne sentait plus que le collier, les bracelets et la chaîne, son corps partait à la dérive. Des mains glacées se posèrent sur sa peau et la firent tressaillir. Ce premier contact l'avait surprise mais elle s'offrit avec docilité aux caresses qui devinrent très vite agréables. On lui fit savoir que plusieurs personnes étaient venues assister à son dressage. Chacune d'entre elles allait lui donner dix coups de fouet. Elle se préparait à cette épreuve en se concentrant sur la volonté dont elle allait devoir faire preuve. Elle fut mise à nue et attachée sur la croix de Saint André. Elle reconnut immédiatement les coups de fouet appliqués par sa Maîtresse. Elle a une méthode particulière, à la fois cruelle et raffinée, qui se traduit par une sorte de caresse de la cravache ou du martinet avant le claquement sec toujours imprévisible et judicieusement dosé. Patricia sait mieux que quiconque la dresser. Après le dernier coup, elle caressa furtivement ses fesses enflammées et cette marque de tendresse lui donna le désir d'endurer davantage. On lui ordonna de se mettre à quatre pattes, dans la position sans doute la plus humiliante pour l'esclave, mais aussi la plus excitante pour l'exhibitionniste que sa Maîtresse lui avait appris à être, en toutes circonstances et en tous lieux. Elle reconnut à leur grande douceur des mains de femme qui commencèrent à palper son corps. Avec un certain doigté, elles ouvrirent son sexe. Peu après, son ventre fut investi par un objet rond et froid que Sarah mania longtemps et avec une extrême lubricité. Les Maîtres décidèrent alors qu'elle devait être reconduite au premier étage. On lui débanda les yeux et elle put connaître le visage des autres invités de cette soirée mémorable. Elle découvrit ainsi que Laurence était une superbe jeune femme brune aux yeux clairs, avec un visage d'une étonnante douceur dégageant une impression rassurante de jovialité. Elle se fit la réflexion qu'elle était physiquement l'inverse d'une dominatrice telle qu'elle l'imaginait. Elle fut mise à nouveau dans le trou aménagé dans le mur, où elle avait été contrainte la veille. Pendant que l'on usait de tous ses orifices, un inconnu exhiba devant elle son sexe congestionné qu'elle tentait de frôler avec ses lèvres, puis avec la pointe de sa langue dardée au maximum. Mais l'homme, avec un raffinement de cruauté qui acheva de l'exciter, se dérobait à chaque fois qu'elle allait atteindre sa verge, l'obligeant à tendre le cou, la langue comme une véritable chienne. Elle entendit quelques commentaires humiliants sur son entêtement à vouloir lécher la verge de l'inconnu. Ces injures, ajoutées aux coups qui ébranlaient son ventre et aux doigts qui s'insinuaient partout en elle, lui firent atteindre un orgasme dont la soudaineté la sidéra. Elle avait joui, comme fauchée par une rafale de plaisir que rien n'aurait pu retarder. Sa Maîtresse l'avait pliée à toutes ses fantaisies, l'avait façonnée à sa mesure, avait exigé et obtenu d'elle les complaisances les plus outrageantes. Patricia n'avait plus rien à livrer qu'elle ne possédât déjà. Du moins, elle le pensait. Mais elle était infiniment heureuse. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/07/21
Boujour aujourd'hui je voulais vous partager les ressentie que mon soumis ma écrit suite à une sceances il n'était pas sensée être partagée mais en lisant ses ressentis la fierté qui m'a envahit ma donné envie de le partager certain passage ne seront peut être pas forcément compréhensible pour tous j'aurai put le modifier ou lui demander de le réécrire pour l'adapter à une publication mais je n'ai pas voulu car je ne voulais pas le denaturer perdre l'authenticité et l'âme ainsi que la beauté du texte VOICI : "J'ai enfin un peu de temps pour t'écrire mes ressentis de notre dernière séance. J'étais donc un peu perdu en arrivant sur le parking, en jogging sans caleçon, tenu de sport.... Je pensais vraiment que tu allais me faire faire du sport !! Puis tu es arrivée, et tu m'as dit de monter dans ta voiture... je ne comprenais plus rien. Je pensais que l'on allait partir à pied du parking.. Et par dessus, tu me fais mettre des lunettes avec lesquelles je ne voyais vraiment rien même pas mes pieds !! Et je les ai gardé tout le temps !!! Nous arrivons à destination... et tu m'annonces que tu vas me laisser seul les yeux bandés en pleine nature ! J'entends ta voiture partir, mais j'étais décidé à respecter tes consignes donc je n'ai pas touché aux lunettes même si j'en avais très envie... mais j'étais certain aussi que tu allais me surveiller de loin. Déjà que j'allais recevoir des coups de ceinture alors si en plus je lève les lunettes je vais être encore plus puni. Je suis donc resté sage. Je n'entends plus ta voiture, je pense que tu es partie loin. Et tout d'un coup J'entends des pas derrière... ça ne peut pas être toi tu es trop loin en voiture... et là me reviens en tête ton histoire qu'il y aurait peut-être une personne avec nous... quand tu l'as écrit je n'y croyais pas du tout, je savais que tu bleuffais. Mais là à 6 ou 7 m de moi il y a quelqu'un qui s'approche en marchand dans l'herbe mais sans parler... là je n'en mène pas large ! Je me demande bien ce qui va m'arriver,, qui est cette personne qui marche vers moi... je flippe vraiment.... je retiens mon souffle, je ne peux rien voir avec ces lunettes et je ne veux pas trahir ta confiance, et toute l'organisation de cette séance, donc je prends sur moi et je garde mes mains contre mon corp je m'interdit de toucher aux lunettes. La personne qui marche derrière moi s'arrête, ne parle toujours pas.... et fait un bruit avec sa bouche... ouf c'est un cheval en fait !! Le soulagement !! Puis tu es très vite arrivée, me voilà rassuré J'ai une confiance aveugle en toi, donc j'étais impatient de la suite. Je pensais que tu allais m'enlever les lunettes pour me faire découvrir où nous étions... et non! Tu m'as guidée à travers des broussailles, je ne savais pas du tout où tu m'enmenais. Mais j'étais bien guidé par ma maîtresse qui m'avait préparé une belle séance ! Et chose que j'ai adoré nous nous sommes tenus par la main! On ne peut jamais faire ça normalement dehors ! Nous voici arrivés au lieu mystérieux. J'entends des gens parler pas très loin et des chiens aboyer... bizarre Je pensais que tu allais m'attacher à un arbre ou quelques choses comme ça... mais tu as fouillé dans mon sac à dos, et je me suis retrouvé avec le crochet anal et le bâillon harnais, la tête en arrière, complètement à tes ordres. Tu commences par ton jeu favori : martyriser mes tétons ! Tu fouilles de nouveau dans mon sac et je comprends que c'est pour attraper la ceinture ! Et l'heure de ma punition est arrivée. Je vais prendre 8 coups de ceinture. Les premiers coups je les ai à peine sentis, les derniers un peu plus. Donc je n'ai pas vraiment été puni. Il faut que tu tapes bien plus fort même si mes fesses deviennent violette ! Ensuite tu m'as posé des pinces sur mes tétons. Et j'ai entendu un briquet et l'odeur de la bougie qui s'allume. J'aurais dû y penser ... à l'extérieur c'est facile de jouer avec la cire qui en met partout sinon dans une maison ! La tête bien en arrière coincé par le crochet anal, tu as commencé à déposer la cire sur mes seins. Avec la position je comprenais que ce n'était pas simple pour toi! La brûlures de la cire était intense! Et je pensais déjà aussi à comment tu allais faire pour la retirer ! J'ai adoré ton application, comment tu communiquais avec moi, vraiment j'étais complètement transporté uniquement à ton écoute. Et oui tu as dû enlever la cire avec différentes ustensiles, toujours plus sadique et en me laissant les pinces. J'ai adoré la manière pendant cette séance où tu as géré le temps, tu étais calme et tu allais jusqu'au bout des choses... j'ai dû supporter les pinces et la position pendant longtemps, une éternité, mais je devais résister Ensuite la cire à coulée sur mon sexe... aïe aïe aïe... j'ai mordu le bâillon là ! J'imaginais mon sexe recouvert de cire. Et c'était sympa que tu prennes les photos comme j'avais eu les yeux bandés ! Mais finalement sur le sexe ça fait tellement mal quand on met la cire que de l'enlever c'est supportable ! Après mon sexe débarrassé de la cire tu m'as bien branlé et sucer... et moi je dois me maîtriser car c'est interdit de jouir. Je pensais que tu allais me libérer... et tu m'annonces que maintenant tu vas recouvrir mes fesses de cire. Je ne m'y attendait pas... mes seins commencent à me faire mal et le crochet me tire bien... mais je vais devoir résister pour toi. Je mets mes fesses en arrière comme je peux pour recevoir la cire chaude... je suis vraiment entre la douleur et le plaisir. Et le fait que tu continues que tu prennes ton temps c'était vraiment bien, tu m'as emporté loin très loin, tu as torturé toutes les parties de mon corp avec patience. J'étais sur mon nuage. Mais toutes les bonnes choses ont une fin...tu me retires les lunettes, et je découvre où nous sommes, la sensation était sympa. Et surtout je pouvais enfin t'embrasser sans ce bâillon Tu m'annonces que l'on va aller chez toi, je me dis ouf c'est terminé... mais tu me dis que tu vas me remettre le crochet... oh non j'ai déjà les fesses en feu 🔥! Et en plus de doit courir avec et escalader ta fenêtre ! Et arrivé chez toi, tu m'attaches toujours avec l'anus rempli ! Et là c'était vraiment dur...tu as été redoutable de me refaire vivre tes sévices après déjà avoir bien joué avec mes seins et mes fesses! j'avais mal aux fesses et les tetons en feu.. et tu as continué à jouer avec. A chaque fois que tu attrapais mes tétons c'était intense, une énorme douleur et en même temps une sensation unique Et le final est arrivé, tu m'as attaché le crochet au cou et surtout les testicules avec les instruments de cuisine qui me coince les testicules sur les cuisses. Zt tu m'as fait marcher ainsi, je ne pouvais presque pas avancer. Heureusement tu n'as pas été trop sévère, en par exemple me promenant un peu plus en laisse... mais tu avais trop envie que je te lèche ! Et oui ma récompense est arrivée, pouvoir lécher ton sexe goulûment, et te faire jouir, te rendre le plaisir que tu venais de me donner avec plus de 2 heures de sévices. Pour terminer nous avons baisé simplement, et ensuite j'ai adoré ton idée de jouir avec mon sexe dans ta bouche... c'était une sensation extraordinaire... je sentais ton corp vibrer car tu avais du plaisir et tu arrivais à garder mon sexe dans ta bouche.. je me suis dit vraiment cette fille m'étonnera toujours, je t'adore !! Merci pour toutes sensations folles et intenses que nous arrivons à nous apporter mutuellement J'ai une confiance aveugle en toi, donc j'étais impatient de la suite. Je pensais que tu allais m'enlever les lunettes pour me faire découvrir où nous étions... et non! Tu m'as guidée à travers des broussailles, je ne savais pas du tout où tu m'enmenais. Mais j'étais bien guidé par ma maîtresse qui m'avait préparé une belle séance ! Et chose que j'ai adoré nous nous sommes tenus par la main! On ne peut jamais faire ça normalement dehors ! Nous voici arrivés au lieu mystérieux. J'entends des gens parler pas très loin et des chiens aboyer... bizarre Je pensais que tu allais m'attacher à un arbre ou quelques choses comme ça... mais tu as fouillé dans mon sac à dos, et je me suis retrouvé avec le crochet anal et le bâillon harnais, la tête en arrière, complètement à tes ordres. Tu commences par ton jeu favori : martyriser mes tétons ! Tu fouilles de nouveau dans mon sac et je comprends que c'est pour attraper la ceinture ! Et l'heure de ma punition est arrivée. Je vais prendre 8 coups de ceinture. Les premiers coups je les ai à peine sentis, les derniers un peu plus. Donc je n'ai pas vraiment été puni. Il faut que tu tapes bien plus fort même si mes fesses deviennent violette ! Ensuite tu m'as posé des pinces sur mes tétons. Et j'ai entendu un briquet et l'odeur de la bougie qui s'allume. J'aurais dû y penser ... à l'extérieur c'est facile de jouer avec la cire qui en met partout sinon dans une maison !" Merci beaucoup pour ce beau texte Mimi tu est un merveilleux soumis ta maîtresse qui est très fière et honoré d'avoir un tel soumis
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Par : le 15/07/21
Un fantasme inavoué... J'aimerais goûter cette humiliation, avoir une relation avec un maître ou une maîtresse, et vous savez qu'un jour lors d'une séance cela peut vous arriver mais vous ne savez pas laquelle. il/elle commencera par les ciseaux (avec l'espoir qu'il s'arrête là pour pouvoir récupérer les dégâts) puis la tondeuse (l'espoir disparaît peu à peu mais étrangement l'excitation est de plus en plus grande) suivi de la mousse rasée et du rasoir(là c'est sûr il n'y a plus d'espoir mais la sensation est si exquise ce mélange d'humiliation et de fierté d'être une bonne soumise). Le tout filmé pour garder une trace de ce moment. Pour enfin être offerte pour un gang bang bien hard où mes deux orifices ne seront pas de trop pour satisfaire cet ordre de males en rut. Sous les yeux et la direction de mon maître/maîtresse je ferai tout pour le/la rendre fier de l’éducation donner.
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Par : le 15/07/21
Dans la pièce déserte, pas un son, pas un bruit Pas une rai de lumière pour en troubler la nuit Qui y règne en despote. Sur la dalle de ciment Brutal, froid et rugueux, je suis nue et j'attends. J'attends les yeux bandés, les fesses face à la porte Dans une posture de croupe haute que je supporte Seins plaqués sur le sol comme pour ma joue droite Bras tendus devant moi, exposée. Sexe moite. Combien de temps, va-t-il encore s'écouler Avant que derrière moi, j'entende enfin la clé Qui débloquera le huis pour, dans la lumière crue Apparaître dans cette position imprévue. A celui auquel, conquise, je suis soumise Pour des jeux interdits sans aucun artifice Jusqu'au bout de la nuit Parce que c'est Lui Le 06 05 2018
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Par : le 15/07/21
Elles descendirent le long du lac. Quelques fiancés se promenaient sur le sentier qui le longeait. Elles les croisaient et s'embrassaient quand elles étaient seules. Une brume froide et blanche les enveloppait. Partout, le calme et l'absence, un paysage lunaire, une vie désertique, des branches mortes, des lumières glacées dans la nuit qui commençait à venir. Sarah tournait son visage vers le sien. D'elle, elle voulait savoir quelque chose et n'apprenait rien. Patricia demeurait silencieuse. Quelle peur des êtres ou quel ennui l'enfermait à l'intérieur de cette armure. Qu'avait-elle fait ? Elle serra les lèvres, demeura une seconde immobile. Elle ne voyait rien, mais elle souriait. Quand elle avait le courage, ou plutôt le cœur, d'accepter cette insensibilité, elle lui parlait tendrement, comme on parle à un fantôme. Elle avait toujours envie de lui demander: "Pourquoi acceptes-tu de souffrir ? Pourquoi aimes-tu être fouettée ?" Mais, elle disait seulement: "Cela n'a pas d'importance, je t'aime." Patricia avouait son amour dans la soumission et la douleur. Sarah la croyait. La brume l'aidait à supporter cette idée. Dans la brume, parfois tout est vrai. Il y avait d'assez jolis reflets sur le lac. Les yeux extasiés de Patricia, sa voix douce, chavirée, son air de marcher sur les nuages, en apesanteur, son succès, tout montrait la vérité. Comme les traces nettes que laissait le fouet sur son corps de bronze. Elle n'avait pas le droit de se plaindre, elle avait parfois l'autorisation de jouir. Sur un lit blanc, elle avait rencontré sa Maîtresse. Sarah avait pris ce visage entre les mains, elle l'avait regardé de toutes ses forces. Elle s'était allongée sur elle. Quel plaisir nouveau ce fut quand Patricia la remercia de l'avoir fouettée. Sa bouche refermée sur son sexe, les pointes de ses seins constamment froissées, les cuisses écartelées sur le chemin de son ventre, labouré à plaisir quand à sa fantaisie, Sarah imitait l'homme, ceinte d'un olisbos, chaque jour, de plus en plus large, l'élargissait. Le spectacle constant de son corps toujours offert, mais aussi la conscience de son propre corps. Patricia en était éclairée comme par le dedans, et l'on contemplait en sa démarche le calme, et sur son visage l'impalpable sourire intérieur que l'on devine dans les yeux des soumises. Tu as commencé à te taire. Tu as voulu m'aimer. Sans doute la vie n'est-elle pas faite pour les adolescentes. Elle lui demandent la lune, elle ne peut offrir que la juste densité de la terre. La vie, elles la supportent, les outrages et les châtiments corporels. Elles l'aiment parfois tant qu'elles ne la connaissent pas, elles l'inventent pour la rendre semblable à elles mais l'illusion est brève. Patricia rêvait. Lorsque Patricia s'apercevra que sa vie rêvée est en rupture de réalité, pour la plupart des dons qu'elle réclame d'elle, elle sombrera dans la mélancolie. Il n'est ni plaisant de changer de peau, d'autant moins que la mue des femmes s'accomplit à contresens, du papillon à la chenille, et que la perspective de perdre ses ailes et d'apprendre à ramper sous le fouet n'est pas exaltante. Alors on refuse, on se cogne contre les barreaux de sa cellule. Tu te heurtes depuis trop longtemps aux contours aigus de la réalité, il fallait qu'enfin, tu te résignes car rien n'est plus triste que le regard d'une recluse. Ah, comment l'aurait-elle oublié ? Elle était la main qui lui bandait les yeux, le cuir qui lui tannait la peau, la chaîne au-dessus de son lit, et parfois des inconnues qui lui mordaient les seins, et toutes les voix qui lui donnaient des ordres étaient sa voix. Se lassa t-elle ? Non, à force d'être battue, il semble qu'elle aurait dû s'habituer aux coups, à force d'être caressée, aux caresses, sinon au fouet à force d'être flagellée. Une ignoble satiété de la douleur et de la volupté dût la rejeter peu à peu dans un monde irréel. Mais au contraire, le harnais qui la tenait droite, les liens qui la gardaient soumise, le bijou anal qui l'élargissait, le silence, son refuge y étaient peut-être pour quelque chose, comme le spectacle fréquent des jeunes femmes livrées comme elle. Je te comprends d'avoir voulu rester de l'autre côté de cette muraille mais c'était une mauvaise idée de tenter de m'entraîner avec toi. cela s'appelle de la désobéissance. La soumission heureuse est une invention d'intellectuels. Aucune soumise adolescente n'a exprimé autre chose que l'incertitude, la difficulté d'être, le trouble et le désespoir et c'est seulement à partir d'un certain niveau d'abnégation, qu'elles se font les poétesses du fouet, comme du charme du blé en herbe. La même réflexion vaut pour les amours passées. C'est vrai qu'elle était si belle et sans doute bouleversante avec son corps inachevé et la simplicité peureuse qui donne tant de velouté aux âmes à fleur de peau des adolescentes. C'est vrai que le premier soupir arraché l'une à l'autre est inoubliable. Tu l'as oubliée. Alors, tu veux ça, tu veux vraiment ce que je t'ai promis ? Ton visage se retourne vers mon sourire. Te taire, tu dois te taire. Nous en avons convenu ainsi. Tu devras t'efforcer de ne pas crier quand je te fouetterai jusqu'au sang. C'est la règle du jeu. Si tu désobéis, ce sera l'arrêt irréversible du jeu. Tes longs cils recourbés de siamoise, la fente de tes pupilles. Tes yeux rieurs. Sarah sait ce qu'elle veut. La fouetter, oui mais plus pour son plaisir. Elle va y prendre goût. Comme la semence des hommes. Elle s'en délecte maintenant. Déjà par dessus la nuque glisse le harnais en cuir. Ton corps supplie. Toujours de dos, nue à mes genoux. Bientôt, mes doigts simultanément, à gauche, et à droite, ont glissé, les lanières de cuir sur tes épaules et dans la fente de ton sexe. Les épaules de papillon, tes omoplates, ont frissonné. Les reins soudain cambrés par un flux de désir. Mon souffle effleurant le profil de tes seins érigés avec cette envie de toi qui tangue, cette envie de tout arrêter, cette envie de suspendre les gestes. Je t'attrape par le cou. Je te renverse sur le grand lit. Je te mords. Tu te rebelles. Tu me supplies. Patricia n'a pas de honte à exposer son corps asséché de plaisirs. Tout était évident. Tu es allongée. Au-dessus de toi, la caresse est légère presque rêvée, précisant l'ondoiement sur l'entrejambe à peine ouvert. Ton désir est envahissant. Tu écoutes les lèvres de ton sexe. Tu cèdes enfin, je ranime les flammes. Tes mains renversées, abandonnées, la paume en l'air, haletante de bonheur. Le feu envahit tes reins. Tu es foudroyée. Tu me fuses au visage les vagues de ton plaisir. L'orgasme est à nouveau proche d'enfler ton ventre. Il te pénètre. Mes doigts profondément en toi pour t'avoir encore de plus près, pour te fouiller encore plus loin, pour t'empêcher de te dérober à l'extase qui nous unit. Nos cris meurent en un baiser sauvage et cannibale, brutal comme la secousse qui nous bascule. Un baiser fou qui exacerba chaque gouttelette de jouissance. Bienheureuse soirée pareille à nulle autre, jamais Patricia ne l'accueillit avec autant de joie. Elle avait joui sans le fouet. Le temps cessa d'être immobile. Sarah lui défit les bracelets et le collier qui la tenaient captive. La nuit tomba sur elles. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 13/07/21
Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle. Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme. Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque. L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte. Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir. Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller. Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésistible; j’entends son souffle. Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine. Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre. J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce. Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant: - Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi. Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis. - Tu apprendras à me connaître. Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis. Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras. Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact. Un affectueux sourire se dessine sur sa figure. - Tu es toujours trop pressée. Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent. Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle. - J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ? Son rire mélodieux me répond. Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir, de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inextinguible de plaisir et de passion. Son bras me décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles. Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille. Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher. Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu. Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin. Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille. D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne. Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements. Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu. Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent. Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite. Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente. Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but: le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis. Elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs. Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi. Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale. Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes. Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle, me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever. D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage. L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance. Je me relève pour l’embrasser tendrement. Une bien belle nuit, en somme. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 13/07/21
Un trésor caché... Par Hestia Il y a des gens qui sont bien cachés, des personnes qu'on remarque à peine tant elles sont discrètes... Et pourtant c'est l'une de ses personnes qui vient de me toucher, au plus haut point... Nous échangeons de temps à autre, quand nous le pouvons. Nous nous connaissons peu et pourtant... A travers mes écrits, mon histoire, et tout ce que mes textes dégagent, elle en sait bien plus sur moi, me voit bien mieux que bon nombre de personnes qui sont autour de moi... Même les membres de ma famille me connaissent bien moins... Je veux ici lui rendre hommage, la remercier d'être toujours là ou je ne l'attends pas, d'être dans l'ombre mais toujours présente... Elle suit mon évolution avec sincérité et amour, elle est une Dame au grand cœur... Merci, oui merci à Vous Arc-En-Ciel. Merci de prendre de mes nouvelles, merci de tous nos échanges remplis de douceur et de partage, Vous êtes une femme merveilleuse... Je me permets de joindre ici Votre dernier message privé, il m'a valu de nombreuses larmes de joie et d'affection. Ainsi c'est ma façon de montrer la personne que Vous êtes à l'abri des yeux indiscret, mais aussi de Vous rendre hommage... Je Vous embrasse fort.... Message privé reçu de @Arc-en-ciel : Suis trop conne à pleurer à lecture de votre petit mot. Voilà mon petit mot pour vous suite à votre récit qui m'a interpellé. Hestia Vous n'êtes pas laide, vous êtes-vous sincère, peut être mal dans votre peau comme beaucoup ici et ailleurs. Mal de ne pouvoir vivre vos envies au grand jour. Heureuse avec vos enfants, mais taisant la jolie femme en vous. Puis un jour, un soir une Personne vous écoute avec bienveillance, vous vous sentez rassurée, appréciée, vous prenez confiance en vous. Lui a su deviner celle que vous étiez, sans fard vous vous êtes confié. Il a su apprivoiser la jolie chatte que vous êtes, sortant vos griffes avec raison. Faire plier celle qui a du caractère quel honneur pour un Maître un Dominant. Vous qui avez dépassé certaines de vos peurs, brusque et juste comme nous aimons, comme vous aimez. Qui sait faire taire, sans hausser la voix, sans violence, vous mettre à ses pieds et vous abandonner. Être marquée de diverses manières par Lui. Le partage, la complicité, les sourires, les rires, les fous rires que vous avez parfois, tout simplement être soi, être vous. Parfois se taire, puis les envies sont plus tenaces, alors vous avez brisé ce carcan. Les mots, les gestes qu'on attend de vous et puis vous vous êtes oublié pour penser à eux comme le fait une Maman. Vous avez décidé de bousculer votre vie, vous seule avez pris ce choix, terminer de penser aux autres avants vous, alors le carcan a éclaté, vous vous êtes libéré vous vivre vos envies et désirs. Indépendante, une battante, je l'ai deviné à lire votre annonce et vos articles, un bon ressenti au travers de vos mots qui sont sincères. Des hontes qui ne sont pas, mais venues de notre éducation. Comme moi c'est quand vous avez voulu arrêter votre quête qu'Il est arrivé celui qui vous a fait vibrer, celui pour quoi vous avez tout quitté étant libre. Lui a senti votre peur, votre désarroi, il s'est rapproché un peu plus de vous, il vous avait déjà deviné, il vous a réconforté puis petit à petit s'est rapproché, vous a écouté, entendu. Votre joli sourire est revenu sur vos lèvres, un espoir une évidence se dessine. Il y a sur la terre pour Nous tous, un homme ou une femme qui nous correspond, nous mettons parfois beaucoup de temps à le découvrir, le rencontrer et puis il y a des belles histoires, de joli conte avec des Personnes vraies, qui ne peuvent que mériter un tel conte en ce qui vous concerne. Votre Maître est humble, respectueux, simple et vous avez construit à deux cette belle histoire qui vit depuis un an, elle durera vous vous êtes bien rencontré tous deux. Quand les envies communes se partagent tout est idéal en la réciprocité, cette alchimie des sens en accords des deux corps et âmes, sans omettre le cœur. Derrière un écran en étant sincère, de belles histoires sont, Vous en êtes la preuve. Puis vient le temps de se voir, pour justement savoir si l'accord est présent en la réalité, nul doute quant à être vrai, à être soi. Pas de Reine, pas de dragon, mais la distance, le manque, le manque qui fait mal, le manque qui ronge un peu, le manque de Lui, qui se fait plus présent, l'attente. Après l'attente et de longs mois écouler, une décision qui vous enchante tous et un départ pour le rejoindre et vivre Tout le bonheur d'être auprès de Lui en cette connivence. Vous n'aviez pas confiance en vous, vous n'êtes pas laide. Toute femme et soumise est belle dans les yeux de celui qui l'a choisi et vice versa Vous rayonnez, vous vibrez, vous vivez vos envies communes. Il n'y a pas que le fouet, le martinet, il suffit d'être vrai. arc en ciel
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Par : le 13/07/21
Ambiance musicale sur laquelle j'ai écrit... https://youtu.be/nz3I6OFXIIg J'ai soif.... J’étais assise en petite culotte sur mon lit, un simple T Shirt bleu marine léger, laissant percevoir mes tétons libérés sous le tissu. Fièrement dressés Je réfléchissais à la dispute que nous avions eu. Je savais que j’allais être punie de mon insolence, de ma désobéissance. Ce besoin intense de vouloir prendre l’ascendant était aussi fort de mon besoin de soumission. C’était animal. Je voulais qu’il me possède, qu’il me prenne, qu’il me domine sans me laisser le choix. Je voulais être sa poupée, sa chose, celle à qui il pouvait faire ce qu’il voulait mais de l'autre j'étais cette femme indépendante qui avait soif de s'exprimer. Cette relation n’est possible qu’en réelle confiance, mais pouvais-je lui faire confiance ? Cette volonté indépendante est venue au fil du temps où la vie nous oblige à être indépendante, pour ne pas être dépendante de qui que ce soit. C'est une ligne de vie que je me suis faite. Ne jamais être dépendante.. Il pénétra la chambre, torse nu, avec son caleçon. Je ne voulais pas le voir. - Je me demande sincèrement si tu as envie d’être soumise à moi. Tu testes toujours mes limites pour voir jusqu’ou je vais. Je levais les yeux vers lui, perdue. Puis je baissais la tête, je ne voulais pas lui parler, ni lui répondre. Je ne voulais pas le voir tout simplement. - Attache tes cheveux m’ordonna t il. Je ne voulais rien lui céder. - Attache tes cheveux répéta t- il en insistant sur chaque syllabe. J’obéissais, malgré moi car au fond je voulais cela. Lui obéir . Cette dualité que je ne m’expliquais pas. Pouvions nous être les deux en même temps.. soumise, dominante? Il s’approcha de moi en me caressant les cheveux puis me murmura à l’oreille. - Voilà la bonne petite chienne que je veux que tu sois. Ma poupée. Il caressa alors ma joue tout en tentant de m’embrasser. Je détournais alors la tête. Je refusais qu’il m’embrasse. - Regarde moi ! Il bougea son doigt devant moi me montrant le chemin pour le regarder. J’étais toujours hésitante. - Regarde ton corps, il appelle à cela. Tes seins qui pointent ( il s’en empara, les sous-pesaient) Puis toujours de manière animale, il me respira. - Ton odeur est si intense, je te mangerai bien là de suite ma louve. - Ne me résiste pas. Ecarte tes cuisses ! Je le laissais faire, comme hypnotisée, incapable de lui résister. J’en avais plus qu’envie, il le savait. Ce besoin d’être traitée ainsi. Tout le monde ne le comprend pas, c'est bien plus que sexuel. Je sentais sa main s’enrouler autours de mon cou , m’agrandissant. Cette étreinte encerclante, ensorcelante me faisait défaillir. Il se mit derrière moi Tout en me maintenant contre lui. Je sentais sa respiration au creux de mon oreille. Son autre main en profitant pour s’occuper d’un de mes tétons en le pinçant fortement. - Oui gémit ma chienne ! Je n’arrivais pas à répondre. Je me débattais. - Tout doux ma belle effrontée, je vais te remettre dans le droit chemin. Je sais que c'est ce que tu veux au fond de toi. Sa main se posa alors sur le dessus de ma culotte. - Regarde combien tu es déjà trempée à travers le tissu. Il prenait complètement possession de ma chatte avec sa grande main. Il commençait à la claquer de sa main. Je refermais alors mes cuisses - OUVRE MOI CES CUISSES ! Il resserra davantage son étreinte autours de ma gorge. Son souffle était si animale. Je cédais. Naturellement je les écartais, en voulant plus malgré moi. Je ne pouvais me défaire de cette emprise qu’il avait sur moi. Cette communion sexuelle et cérébrale. J’acceptais son emprise. - Je sais que tu aimerais que je te fourre plusieurs doigts ou des queues ou des godes dans ta chatte, ou ton cul, mais tu ne me mérites pas petite salope. Il relâcha sa main de mon cou, de mon sexe et se leva. - Rejète moi autant que je peux te désirer ma douce. - Mets toi à quatre pattes. Son regard était pénétrant, perçant. Je savais que je devais lui obéir. Naturellement, je me soumettais à lui c"etait plus fort que moi, alors que mon autre voie me disait de ne rien faire. J’étais à quatre pattes, la tête vers le bout du lit. Il plongea ses yeux dans les miens et appuya sur ma tête. - Suce maintenant, montre moi tes talents. Il remonta alors mon t -shirt et caressa mon dos. Puis il s’empara de ma culotte pour la resserrer dans sa main et tendre le tissu comme un string pour jouer avec. - C’est ça excite toi dessus petite chienne. Ma bouche glissa autours de son sexe. Je faisais des vas et vient et le contact du tissu sur ma chatte me rendait folle. - C’est ça petite suceuse, applique toi, mange la. Il me baisa la bouche, me laissant aucun répit. La bave commençait à couler. Puis il relâcha la culotte et appuya fortement sur ma tête. - Hum bien au fond, chienne. Garde la. Hum bonne chienne de garde… Il empoigna ma queue de cheval et pris en charge la cadence que je devais subir. Voila quelle était ma pénitence. Il me griffait le dos, me fessait intensément et sauvagement la fesse droite. J’avais envie de lâcher un cri qui s’étouffa avec sa queue qui était au fond de ma bouche. Il posa sa main sous ma gorge pour l’enfoncer davantage. J’avais presque envie de vomir. - Au final tu n’es pas aussi bonne suceuse que tu le prétendais. Je vais t’apprendre à t’étouffer avec ma chienne. Je rougissais de cette humiliation. Il se déchaînait. Je savais que c’était sa punition, celle de me mettre à un état de poupée destinée à m’occuper de lui. Sa poupée sexuelle. Il me tenait par la queue de cheval pour me redresser. J’étais face à lui. - Branle moi ! Je m’emparais alors de son sexe pour le combler. - C’est ça va y… hum ma petite salope. - Enlève ton T shirt. Je ne voulais pas obéir. Il me gifla. - Continue de me défier ma chienne, je vais prendre plaisir à te mater à un tel point. Tu me rends fou. J’esquissais un petit sourire. Il me gifla à nouveau. Il prit dans chacune de ses mains mes seins puis glissa jusqu’à mes tétons. Il les pinça. Je retenais mon gémissement pour ne pas lui accorder ce plaisir. Il le savait, je devinais un sourire caché. Je ne voulais toujours rien lui céder. Je prenais ce malin plaisir à le masturber comme il l’aimait, je voulais le rendre fou, un peu comme se besoin d'avoir l'ascendant. Au fond nous étions chacun le soumis de l’autre. Nous ne pouvions exister l’un sans l’autre dans cet univers qui nous est propre. Il me repoussa, je tombais alors sur le lit. - Recule. Reste assise sur tes genoux. J’étais là obéissante, baissant la tête comme ne voulant pas croiser son regard. Comme si cela me permettait d’assumer la chienne qui était en moi. Il s’allongea sur le dos. - Viens a moi à quatre pattes. Il me regardait avec cette intensité Il tenait son sexe en main. Sans qu’il n’ait à me faire comprendre ce qu’il voulait, j’approchais ma bouche de son gland. - Pas touche, admire le. Sors moi ta petite langue. - Voilà qui est bon, je sais que tu aimes cela au fond de toi. Tu peux me rejeter, faire ce que tu veux, je sais qui tu es, je ne te juge pas. Il me gifla la joue avec sa queue. - Lèche moi mes couilles. - Humm c’est bon ma chienne. Tu es si douée de ta langue. Il se releva un peu pour mettre ses doigts dans ma bouche. Il me pénétrait avec comme pour combler un vide. Je bavais sur sa queue. Il avança ma bouche à sa queue et avec ses deux mains sur ma tête me forcer à l’empaler dessus. Il commença à me baiser si sauvagement. Je n’avais aucun répit. Je .bavais encore et encore. Il pinça alors mon nez tout en maintenant ma tête avec sa main. - Bonne putain.. hummmm. Je sais que tu aimes ça. J’aimerai tant te voir fourrer par derrière par une autre queue, je sais que tu le voudrais, mais tu n’assumeras pas de me le dire. N’est ce pas ma salope ? Il relâcha son étreinte. Je me relevais, suffocante ; Cet assaut était si… Je n’arrivais plus à trouver mes mots, ni à savoir ce qui m’arrivait. Je me laissais faire. Je lâchais prise. Il se releva et me regarda. - Alors réponds ? Je baisais les yeux comme un aveu mais ma pudeur m’empêchait de lui répondre. Il me gifla et serra sa main sur ma bouche. - Tu me l’écriras c’est cela ? sourit -il. Je sais ce que tu es, qui tu es. Il me lécha alors le visage tout en me tenant la queue de cheval. Je savais que je lui appartenais dans ces moments là. C’était plus fort que nous.. Tout en me tenant ainsi, il me força à me lever. Une fois tous les deux debout, il me fessa encore et encore. Je ne tenais plus, admettre que je le voulais, j’étais bien trop fière pour lui dire. Je le défiais encore et encore. Il me jeta au sol. Mon dos était presque contre le lit - Reste à mes pieds, offerte. Avec son pied, il m’obligea à ouvrir mes cuisses. Il me tendit à nouveau son sexe. - Tu as besoin d’un bon entrainement. Ma mâchoire ne cessait de craquer depuis que je m’étais fait retirer mes dents de sagesse. J’avais du mal à tenir cette cadence. - Je veux que tu aies des courbatures. Plus tu t’entraineras, moins tu en auras. Il me tira par les cheveux et me baisa - Reste ta bouche bien ouverte. Je n’avais pas le temps de comprendre. J’étais son petit trou à pipe , comme il le disait sans ses moments d’humiliation. Il me poussa la tête jusqu’au bord du lit. J’étais prisonnière de cet étreinte. Il se retira. - Ouvre ta bouche, salope, sors moi ta langue de putain. - Tu sais que tu es ma putain ? Je ne voulais toujours pas répondre. A la fois honteuse et fière. - TU ne veux toujours pas me parler, ce n’est pas grave. - Branle moi que j’éjacule dans ta bouche ! Il savait que jamais je ne voudrais. Il tenait ma tête. - Je t’ai dit de me branler. Il me maintenant avec la queue de cheval. Je fermais les yeux. Craintive qu’il éjacule dans ma bouche. Jouait- il avec cette limite ? je lui avais toujours dit de ne jamais la franchir. - C’est ça , continue bonne chienne. T’es bonne qu’à ça. Je commençais presque à pleurer j’avais trop peur de cette situation. Je gémissais. - j''aime te voir ainsi... suppliante. Je pouvais toujours prononcer notre code d’alerte quand ça allait trop loin. J’étais à nouveau trop fière. Tant de question se posait en moi si je le laissais faire. Lui faire confiance ? vouloir contrôler ? Il me testait. Je sentais son sexe se gonfler davantage. J’aimais ressentir ce moment où il ne pouvait plus rien contrôler, ou il se lâchait. De l’autre j’avais cette peur qu’il ne franchisse cette limite. - C’est ça.. ohhhhh ohhhhhhhhhhh ohhhhhhhhhhhh petite vicieuse. Tiens moi bien les couilles.. hummmmm .. allez… s…ors cette ..Lan…gue. Apprécie mon jus. Il tenait ma tête fermement et à ce moment là il prit sa queue en main et éjacula sur mes seins. Le temps se figea comme une peinture laissant deviner la sutite. Il me caressait le visage. - Un jour tu baveras de mon sperme.. nous avons tout notre temps… Il se recula et mis ses mains sur ses genoux. - J’ai pour toi un réel profond respect. Sache que jamais je ne franchirais tes limites. Il m’embrassa le front. - Il m’aida à me relever. Il me jeta alors sur le lit et m’y attacha. Je n’en ai pas fini avec toi. Je te laisse méditer à ta condition. Je restais ainsi souillée à l’attendre comme une bonne chienne attend son maitre.
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Par : le 13/07/21
De mon avis, l'un n'exclut pas l'autre, le coté sexuel n'étant à priori pas une souffrance ce n'est donc pas une pratique sadique en soit ? Tant qu'il ne comporte pas de "sadisme" (Sadisme Perversion sexuelle dans laquelle le plaisir ne peut être obtenu que par la souffrance infligée à l'objet du désir. Sadisme et masochisme.) Le sexe peut être une pratique DS dans la domination, devenir ou être soumise à, ne comporte pas de restrictions dans les punitions ou récompenses d'ailleurs. De mon avis (qui n'engage que moi) et c'est comme cela que je le pratique, il doit être scénarisé. Les images que vous voyez peuvent en être l'aboutissement, la finalité étant purement cérébrale, le D/s "vanilla" est plus pour moi plus du ressort de la domination "tantrique" sous réserve du mot dans son sens réel. Ceci dit effectivement, on voit depuis quelques années (l'apparition du sida entre autres) des versions plus ou moins édulcorée du D/s (On appelle aussi ça jouer à touche pipi avec un gant au bout d'une perche ou sans se mouiller les doigts. (l'image m'amuse.) Pour exemple, des soumises de ma connaissance aiment être offertes comme objets et pour autant ne supportent pas la douleur. Est-ce la pluralité masculine qui leur plaît ? Non pas vraiment, c'est uniquement le côté cérébral de la contrainte, devenir un objet ou cette espèce de peur qui les motive et les attirent, ce moment ou tout va basculer. Alors la PEUR est elle DS ou SM, les soumloves connaissent toutes ce moment où la trouille est là, sorte de vertiges, jambes qui flagellent, mais ce petit quelques choses qui pousse à aller un peu plus loin. (lors des premiers sauts en parachute à l'armée, ils appellent ça le pipi de la peur.). Dans tous les cas le seul but de ces pratiques (certaines) est le plaisir Partagé de la soummise et accessoirement celui du dominant, uniquement entre adultes consentant avec toutes les précautions d'usages. Public disgrâce, exhiber une soumise (dans des lieux appropriés, car l'exib public tombe sous le coup de la loi en France) Bound Gang Bangs, offrir une soumise attachée, avec un scénario, comme récompense après une privation d'orgasme ou comme punition. Device Bondage, pratiqué de différentes manières, pinces bougies, etc... Sadistic Rope ou shibari pour dominateurs très attachants et soumlove patientes Water Bondage, ou jeux d'"O" évidemment l'utilisation d'un jet haute pression relève plus du SM à mon avis et peut être extrêmement dangereux Fucking Machines, est il besoin d'expliquer ? Whipped Ass , fouet, cravache, paddle, fessées tout est question de dosage et de matériel Glory hole, À la base une pratique gay devenu plus courante de nos jours elle était une pratique DS avec un sac en papier ou une boite en carton troué sur la tête Il existe bien d'autres pratiques D/s, l'humain de manque pas d'imagination en la matière. Dogging, offerte en voiture, parking, routiers, garage Pour ce qui est des gifs que je mets, ils représentent un panel très incomplet de ce que peut-être le DS, je ne posterais pas d'image "sadique ", car je ne suis pas plus fan de Sacher-Masoch que du divin Marquis. Si un jour vous pratiquez ce genre de domination scénarisée (je vous donnerai plus de détail si vous voulez.) avec une soumise ou un soumis tentez l'expérience d'isolation sensorielle (bandeau) par exemple... Une fois, cette séance terminée demandé lui ce qu'elle ou il a imaginé (à condition d'avoir été sous le bandeau durant sans interruption), vous verrez ce que l'imaginaire peut faire dire, c'est assez impressionnant et édifiant, et ce retour vous donnera un excellent sujet pour une prochaine séance.
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Par : le 12/07/21
C’était un matin d’hiver. Cette aube naissante que j’admirais à travers la fenêtre. Les nappes de brouillard sur les champs dessinaient une toile vivante éphémère où les rayons du soleil essayer de se frayer un chemin pour colorer cette nature sauvage. Chaque saison a sa beauté, mais l’hiver semble figer le temps. Je m’apprête à partir un voyage que j’ai toujours rêvé de faire. Ces mois difficiles passés, je voulais respirer. Après ce moment d’égarement, je retourne à la préparation de ma valise. C’est toujours un casse-tête. Je souris toujours tellement je prends d’affaires. On ne sait jamais ce que les événements nous réservent, les rencontres inattendues, l’envie de rester dans une ville.. Je descendais les escaliers avec cette valise bien trop lourde. Je me disais bien qu’avec mon regard, des hommes m’aideraient à porter mes bagages. Il est bon d’être une femme. Je me rendis jusqu’à Paris, Gare de l’Est pour partir dans ce voyage fou, indécent que je m’offre. Habillée chaudement avec un manteau long noir, avec ce col en fausse fourrure, des gants en cuir et une chabka blanche sur la tête et chaussée de mes petites salomés fatiches , je me rend sur le quai de la gare d’où partais mon train. Ce train mythique, un voyage dans le temps. J’avais tant économisé. Quelle émotion de le découvrir. La teinte bleu, les lettres couleur or.. l’Orient Express - Bienvenue pour ce voyage pour Venise, Madame, entendais-je de cet homme vêtu d'un uniforme bleu et or. Je n’avais jamais goûté à tel luxe. J’avais ce regard d’enfant émerveillé. Poser mon pied sur la marche de ce train mythique m’avait fait un effet. Je prenais mon temps pour en savourer chaque seconde. On me conduit jusqu’à ma cabine. La cabine n° 11. Je n’en croyais pas mes yeux en découvrant l’intérieur de ce train. C’était plus beau que je n’avais pu l’imaginer. - Madame, voici votre cabine. Le dîner sera servi à 20h. Je suis à votre disposition. Je me prénomme Danielo. Je serai votre assistant pour votre voyage. Vous pouvez aller vous rafraichir dans notre voiture piano bar. Une fois que vous partirez dîner, je m’occuperai de préparer votre cabine pour la nuit. Je vous souhaite une belle installation. Mes mains ne purent s’empêcher de toucher les matières de cette chambre. C’était comme traverser le temps. Je commençais à m’installer et savourer chaque minute passée à bord. Je commençais tout d’abord par sortir la robe que j’allais porter ce soir. J’étalais mes affaires sur la salle de bain si petite, mais bien pensée. Je prenais une grande inspiration, je ne réalisais pas. Le train s’apprête à partir dans quelques minutes, il est 14h. J’ai prévu de quoi m’occuper durant le trajet. Ecriture et Lecture. Je sortis de ma cabine pour partir à la découverte de cette majesté. Je ne pouvais l’appeler autrement. A peine je refermais la porte de ma cabine, je croisai un homme seul allant à sa cabine. Il venait d’arriver. Mon regard se porta en premier lieu sur son chapeau qui lui donnait cette allure folle. Je baissais assez rapidement mes yeux, ne voulant pas être surprise à l’admirer. Puis en marchant jusqu’à sa rencontre, nous nous croisons. - Je vous en prie, Mademoiselle, passez. - Je vous remercie, Monsieur. Son regard pénétra le mien, en quelques secondes j’étais sous le charme. Ma timidité me poussa à rejoindre, avec une rapidité certaine ce fameux piano-bar. Mon cœur battait fort, je souriais. Son parfum était un véritable envoûtement. Etait- il seul ? - pourquoi est- ce que je suis partie si rapidement ? Pourquoi !!? me reprochai-je Arrivée avec excitation dans le piano bar je découvrais une pièce d’une telle beauté. Il y avait déjà quelques personnes installées dans ces magnifiques canapés bleu. Je me retrouvais à cette belle époque que j’affectionnais. Un serveur vint à ma rencontre, et me proposa de m’installer. J’avais envie de me pincer. Ce dernier me tendit une coupe de Champagne rosé accompagné de framboises et de maras des bois.. mes fraises préférées. Une atmosphère du passé régnait. Je me sentais tellement bien dans ce lieu. Mon esprit s’égara, mais je ne puis m’empêcher de repenser à cet homme que je venais de croiser. Je mis quelques framboises dans ma coupe de champagne. Mon regard se noya à les observer. J’adore l’effet que cela fait, de voir cette effervescence. Je savourais mon verre tout doucement.. Je scrutais la porte espérant secrètement l’apercevoir.. cet inconnu. Je ne devrais pas m’enthousiasmer ainsi. Un homme comme lui est forcément accompagné. Je ne devrais pas me réjouir autant. j’étais déçue,hélas, je ne le revis pas. Un pincement au cœur me rendit, durant quelques secondes, mélancolique. Je suis restée une heure, reprenant un autre verre de champagne. Mais pas d’inconnu en vu. Un brin nostalgique, je me levais pour rejoindre ma cabine et savourer son confort. Je déambule dans ce couloir fait de bois, matière si noble. Le train était parti il y a 30 min. Arrivée dans ma rame, Je pose ma main sur la clenche et rentre dans ma cabine. Quand soudain confuse, je me retrouve nez à nez avec lui. Je réalisais soudainement mon erreur. - Euh, désolée Monsieur, je me suis trompée de cabine. Quelle sotte je fais ! Veuillez me pardonner. Je commençais à repartir aussi vite que j’étais rentrée. - Cela arrive de se tromper, me dit-il avec un sourire taquin. - Je suis si maladroite, je suis confuse voyez-vous. Pardonnez -moi de vous avoir dérangé. - Oh mais vous ne m’avez aucunement dérangé. Au contraire. Je rougissais. Il avait un charme incroyable. Je ne pus m’empêcher d’admirer cet homme si classe, vêtu d’un costume bleu, sans parler du détail qu’il avait mis dans sa tenue. Puis il m’envoya un sourire si charmeur. Il était bien seul, pas accompagné. Avec mon regard malicieux, je lui renvoyais son sourire. J’étais envoûtée. Mon voyage prenait alors une autre dimension. - On peut dire que vous êtes une femme directe et aventureuse. Pénétrer ainsi dans ma cabine, c’est une première, me dit-il d’un ton taquin. - Oh… Vous êtes en train de vous jouer de moi. Cela est bien mérité. - Sasha, Mademoiselle, enchanté de faire votre connaissance. - Mademoiselle Lane.. Enchantée… ravie de faire votre connaissance. - Vous allez peut-être me trouver un peu cavalier, Mademoiselle. Mais êtes-vous prise ce soir ? - Eh bien, non. - Dans ce cas, vous l'êtes à présent. 20h. Je ne puis m’empêcher de sortir un oui plein d’enthousiasme. Il émanait de lui cette force, ce charisme du haut de sa stature. Il était grand. Je me sentais en sécurité sans comprendre pourquoi. - Je vous dis à ce soir, je vais prendre congé et vous laisser profiter de votre après midi. Je sortis honteuse de ma bêtise. Il a dû me prendre pour une cinglée. Je sortais en refermant la porte et j’émis un cri silencieux d’une adolescente qui a un rendez- vous. J’étais chipée, excitée. Ce soir, je me dis en plus de me faire belle pour moi, je me surprise à vouloir me faire belle pour lui. Je décidais à ce moment- là de me détendre dans ma cabine. J’avais tant envie de savourer chaque instant et cette envie d’être déjà ce soir. Je m’assis contre la fenêtre, et je voyais le paysage défilé. Je pris mon carnet, avec ce besoin de poser mes émotions par des mots. Mon esprit vagabondait. C’est alors que ne tenant plus, j’entrepris de commencer à me préparer pour la soirée exceptionnelle. J’aime beaucoup prendre le temps de me faire belle. Prendre le temps de me coiffer, de me maquiller, de mettre avec une certaine audace mes bas avec mes jarretelles, choisir une lingerie appropriée. Cela a toujours été pour moi un bijou caché. Mais ce soir, je le ferai pour lui.. peut-être qu’il ne le saura jamais. Je regardais le résultat dans le miroir. Je me trouvais assez jolie. J’étais en retard. Mais quelle femme ne fait pas attendre un homme?. La dernière touche.. Le parfum. Quel choix cornélien ! J’hésitais entre deux. Mais je savais au fond de moi lequel porter. Idéal pour un premier rendez -vous. Ne jamais trop en faire. Me voila prête. Juste avant de sortir, je m’emparais de mes gants en satin blanc. Mon cœur battait très fort. Je m’apprête à ouvrir la porte pour accéder à la rame suivante. Soudain, le train saccada un peu. Je perdis légèrement l’équilibre sur mes chaussures pailletée d’argent. Je sentis alors une main enlacée ma taille. Je sursautais. - Mademoiselle, il serait dommage de vous blesser. Je sentais la chaleur de ses mains à travers le tissu de ma robe. Quant à sa voix chaude et suave.. j’en perdais la tête. Que m’arrivai t-il ? C’est alors qu’il passa devant moi pour m’ouvrir la porte. - Mademoiselle, je vous en prie. Je ne pouvais cacher mon trouble. C'était animal, cette envie d'être à lui. - Prenons une coupe de champagne pour faire connaissance, qu’en pensez vous ? - C’est avec plaisir. Nous étions assis l’un en face de l’autre. Nous discutions de choses et d’autres. Tout était si simple, si naturel. Cette sensation de toujours se connaître. J’étais toujours en plein rêve totalement réel. La musique douce nous transportait. Nous n’arrêtions pas de rire, pendant tout le repas. Le temps défilé tout comme le train filait bien trop vite à mon goût. Il était temps de retourner à nos cabines respectives. Le cœur palpitant, j’avais juste envie de prolonger la nuit avec cet homme. Juste parler, se connaître. A mon grand regret, et très gentleman, il me raccompagna à ma cabine. Me baisa la main et me souhaita une très belle nuit. J’étais conquise devant ses manières, bien que j’eusse à ce moment une envie irrésistible de l’embrasser. Une fois le seuil de ma cabine franchi, je découvris que la banquette lit avait été mis en place. J’allumais cette lampe qui rendait une atmosphère chaleureuse à cette pièce. Malheureusement je n’arrivais pas à tenir en place. J’avais juste envie de sortir et d’aller frapper à sa porte. Il était si difficile de se retenir. C’est alors que j’entendis des bruits de pas à ma porte. Je vis un billet se glisser sous ma porte. Intriguée, je m’avançais pour le récupérer. « Pour que cette nuit continue, accepteriez vous une danse ? Vous savez où me trouver. S. Mon cœur battait encore plus. Je serai folle d’y aller, mais folle de ne pas y aller. Profiter de la vie, de ce moment présent. C’est alors que je pris mon courage à deux mains, serrant ce billet contre ma poitrine. Je passais rapidement me refaire une beauté, regarder si ma tenue est impeccable. Je me parfumais une dernière fois. J’étais toute tremblante en repassant le rouge à lèvres rouge, sur mes lèvres entre-ouvertes. Je pris une grande respiration. Ajusta mes cheveux. Je toque trois coups à sa porte. Il me donne un sourire tellement charmant. Son regard plonge dans le mien. La température monte tellement il me fait de l’effet. Il avait pris soin de mettre une musique de fond, qui nous transportait. C’est alors qu’il me tendit sa main. - Puis je ? C’est alors que je lui tendis la mienne. Le temps s’arrêtait. Il se pencha pour y déposer un doux baiser. Avec assurance il me tira à lui. Je frissonnais. Comment cacher mon émoi ? Ce fut le début de cette danse. Je sentais sa main en haut de mon dos. Sa joue se rapprochant de la mienne. Il était indéniable que le désir apportait une tension. Soudain sa main caressa mon dos. Je frissonnais à sa caresse. C’est là que je sentis sa bouche s’approcher de mon oreille - Vous êtes très séduisante, Mademoiselle Lane. Le savez-vous ? - Je.. je peux vous retourner ce compliment Sasha. Il remis une mèche de cheveux derrière mon oreille avec sa main droite, sa bouche douce sensuelle se perdit dans mon cou. J’aimais sentir son souffle. Puis son étreinte se fit plus intense et il m’empoigna avec fermeté les cheveux. Et d’une extrême sensualité m’embrassa Fougueusement. Je lui rendis son baiser. Mes jambes tremblaient.. intensément. - Je vous veux. Terriblement, me confessa- t -il. Je doute de pouvoir rester un parfait gentleman à vos côtés. - Vous êtes un parfait gentlemen, mais je ne vous garantis pas de ne pas être moi-même une Lady. Quand il souriait.. je fondais.. sa bouche était un appel au crime. Il se dirigiea vers le mini bar. Il se servit un whisky. Puis alla s’asseoir. D’une voix ferme me dit - Continuez à danser. Je suis si piètre danseur, je préfère vous admirer. Il prit une gorgée. Je l’observai. Je continuai à danser seule, tout en le regardant. J’étais là en train de danser, à me rendre lascive. Je promenai mes mains sur mon corps, d’une manière suggestive. J’imaginai que c’était ses mains qui me caressait. Je fermais les yeux pour apprécier ces caresses, puis je les ouvrais en le regardant droit dans son regard de velours. Je voyais ses lèvres se pincer. Je m’avançais vers lui. De mon genou, j’écartais ses jambes qu’ils avaient croisé. Toujours son verre à la main, je lui pris pour y tremper mes lèvres. Je descendai à hauteur de ses lèvres pour tendre mes lèvres.. L’effleurer. Il allait rendre mon baiser quant il comprit que je le taquinais en me relevant. - Petite joueuse, vous ne le paierez… me sourit il - Ah oui ? je ne vois pas de quoi vous parlez… Puis, de ma main j’entrepris de décroiser ses jambes. Mon genou se plaça entre pour jeter de part et d’autres ses jambes. Je me plaçais entre. Je me mis dos à lui et je descendais progressivement en m’ondulant avec sensualité. Je m’assis juste devant lui. Je sentais son désir entre ses jambes. Il ne pouvait voir le sourire qui se dessinait sur mon visage. Je m’amusai à onduler, à l’exciter sans qu’il entreprît de me toucher. Je le sentais qu’il savourait son whisky sans rater une miette du spectacle. C’est là qu’il me caressa les cheveux. Je sentais sa main me caresser le dos, puis remonter jusqu’à mon cou.. Sa main prenait possession de ma gorge. J’aimais sentir cette etreinte qui me rendait folle. Puis il m’attira en arrière et me dit à l’oreille - Vous êtes une très.. très vilaine fille. Mademoiselle Lane. Vous savez ce qui arrive au très vilaine fille qui joue avec le grand méchant loup ? - Non, dis-je avec une pointe de taquinerie. - Eh bien vous allez le découvrir me dit il avoir un sourire presque machiavélique.. Tandis qu’il me maintenait la gorge, je sentis que de l’autre, il defaisait sa cravate. - Vous allez être à moi, vous êtes à présent mon objet de désir. Je vais faire de vous ce que je veux. L’acceptez-vous ? Je.. (mon cœur palpitant par tant d’érotisme).. Je veux être à vous. Faîtes de moi ce qui vous plaît. - Vous m'appelez Monsieur. Fermez vos yeux. A présent, je vous interdis de parler, sauf si je vous l’y autorise. Est-ce bien clair ? - Oui, Monsieur, c’est très clair. -Si vous n’obéissez pas je serai obligé de vous punir chère Mademoiselle Lane Je.. (rougissante)… Oui Monsieur. Je sentis qu’il me bandait les yeux avec sa cravate. Toujours en me maintenant par la nuque, il me releva. Il me fit marcher ainsi jusqu’à la porte. Il plaqua mes mains contre celle-ci, au dessus de ma tête. - Ne bougez pas. Je sentis ses mains inquisitrice partir à la découverte de mon corps. Tout d’abord sur mes chevilles, il remontait le galbe de mes mollets. - Tenez votre robe ma chère. Je veux voir votre cul. Je descendai alors mes mains dans les dos pour tenir le bas de ma robe et lui offrir la vue sur ma croupe. Il continuait sa découverte. Arrivé à hauteur de mes bas, je sentais ses doigts pénétrer l’intérieur pour y caresser ma peau. Il me rendait folle. Ses mains si douces. - J’ai envie de vous voir indécente.. très indécente. - Je.. - Vous ai-je autoriser à me répondre ? C’est là que je sentis sa main s’abattre sur mon fessier à plusieurs reprises. - Restez dans cette position, vilaine petite provocatrice. - J’aime punir l’insolence et vous n’attendez que cela. Être punie. N'est ce pas Mademoiselle Lane? Répondez. Oui... Monsieur, avouais- je. D’un geste rude, il déchira ma culotte. C’était si.. intense. Il m’hypnotisait. - Cambrez-vous, penchez-vous. Je sais que vous attendez que cela. J’allais lui offrir une vue sur mon sexe, Offerte à son regard unquisiteur. - Quelle belle chienne vous faîtes. Vous remplir avec ma langue, ma queue sera un réel bonheur. Dîtes- moi que vous êtes ma chienne. - Oui.. Je suis votre chienne, Monsieur. - Je n'ai pas bien entendu me railla t il. - Oui.. Monsieur, je suis votre chienne D’un seul coup, je sentis deux doigts pénétrer la chatte, sans ménagement. Il effectuait des vas et vient. Que vous êtes trempée. Je doute que ces deux doigts suffissent pour vous remplir comme vous le méritez. Je vais en rajouter autant que votre chatte dégouillante en souhaite. Il s’approchait de mon oreille. - J’aime vous baiser ainsi. Sentir votre chatte qui se dilate. Vos trous sont ma propriété. J’étais honteuse de m’offrir ainsi à un inconnu rencontrer quelques heures plus tôt.. Il a ce côté animal qui me donne envie de lui appartenir. - Retournez vous et agenouillez vous. - Défaîtes tout de suite mon pantalon. Votre bouche a été un appel au crime durant cette soirée. Voyons quelle sont vos talents de petite suceuse. Il était rude dans ses gestes et sa voix. Cela ne me faisait que mouiller encore plus. Puis il pris mes mains pour les plaquer sur son sexe. - Sentez dans quel état vous m’avez mis. - Ouvrez votre bouche, Mademoiselle Lane. Il y mis son sexe sans ménagement et me baisait par la bouche, me soumettant le rythme grâce à ses mains sur ma tête. C’était érotique car je sentais son sexe dur me prendre, grossir. J’entendais ses soupirs de plaisir. J’aimais sentir son corps frémir. Avec la privation de ma vue, mes autres sens étaient plus en éveil. Dès qu’il me touchait cela ne faisait qu’augmenter mon excitation. Puis il me releva, me plaqua contre la porte et m’embrassa fougueusement tout en tirant mes cheveux en arrière. Il passa sa main sur ma joue, sur mes lèvres, sur mon cou avec une telle douceur. Il saisit mes seins à travers ma robe. Avec un geste assuré, il dégrafa ma robe pour la faire tomber à mes pieds. J’avançais dans le noir, il était mon guide. Je sentais sa bienveillance. Il m’assit sur son fauteuil. - Relèvez tes jambes .. voila.. ainsi c’est parfait. Ne bougez pas. Ma respiration était saccadée. Je me sentais à la fois honteuse d’avoir cédée si facilement à cet homme et si excitée par qu’ il était. Quand soudain, je sentis sa langue se poser sur mon clitoris. Je poussais alors un long soupir. Sa langue joueuse, aventureuse.. Je gémissais de plaisir, comme une bonne petite chienne. - Cessez de bouger. Je ne veux pas entendre un seul son, sinon je serai obligé de vous baîllonner. D’un seul coup, je sentais ses doigts s’insérer en moi tout en continuant à me lécher. Je ne m’appartenais plus. Je mouillais tellement. Il était fougueux, habile de son langue, de ses doigts. J’étais au bord de la jouissance quand il s’arrêta. Je poussais un cri de protestation. Il fît alors descendre sa cravate sur mon cou. Puis me releva en la tenant à la main. l avait ce côté animal… Mâle, dominant, qui m’avait tout de suite plu. Cela ne s’explique pas. Un sentiment d’appartenance, de désir, de passion dès notre premier regard. Il prit fermement en main la cravate et l’enroula dans sa main. Il me forca ainsi à le suivre vers la petite salle de bain. - Posez vos mains sur le rebord. Tendez bien vos fesses. - Regardez vous Mademoiselle Lane ! Tellement belle, tellement élégante, tellement putain. Demandez moi de vous prendre sur le champ. Je me sentais interdite de le faire, presque honteuse et pourtant j’en mourrai d’envie. D’un seul coup il me fessa comme une mauvaise élève. Un cri s’échappa. Puis une seconde fessée.. une troisième.. Alors, Mademoiselle ? Il passait sa main sur mon fessier rouge. C’était d’une douceur. C'est alors qu'il était derrière moi, tenant ma tête par les cheveux, me forçant a le regarder à travers le miroir. - Regardez moi dans le miroir, et demandez moi de vous prendre. J’attend ! - Monsieur.. Prenez-moi, maintenant, je ne tiens plus. Il me regardait, fixement, satisfait de me voir soumise à lui. Il placa son sexe à l’entrée du mien. Il me releva et me regarda dans le miroir. Il me pénétra avec une telle douceur, il me calma, me caressa le dos. Un peu comme un cheval qui se fait dresser, à comprendre qui est le maître. Il me chevauchait, me tenant par les cheveux à me pilonner avec une grande fermeté. Il prenait dans ses mains fermes mes seins. Il les serraient fort, il s’amusait avec mes tétons. Je sentis alors ses dents se planter sur mon épaule. Il ne me laissa aucun répit. C’est alors qu’il mit sa main sur ma bouche. Et il devient alors sauvage. - Regardez vous vous faire prendre, ainsi. Petite chienne. Si bonne à baiser.Quelle chatte ouverte. Puis il se retira. - Retournez vous, m'ordonna t il. - A genou tout de suite!restez ainsi. vous ne bougerez que lorsque je vous y autoriserai. - Quelle docilité! vous êtes si facile à prendre en main, Mademoiselle Lane. Il prit une gorgée de son verre et se dirigea vers le peignoir suspendu à côté de la salle de bain. Il en tira la ceinture. - Donnez moi vos mains. Je me retrouvais ainsi attachée,à ses pieds. C’est alors qu’il se positionna au dessus de moi. - Sortez votre langue. Léchez avec délicatesse mon gland, savourez-le. Petite putain. Ma langue se delectait de son sexe quand tout à coup, il planta son sexe au plus profond de ma gorge, tout en maintenant ma tête avec ses mains. J’avais envie de protester mais je ne pouvais pas. Il me baisa par la bouche puis se stoppa tout en remplissant ma bouche de son sexe. J'étais ainsi impuissante. Il se retira alors d'un geste brusque. Il me mena par la cravate qui faisait office de laisse jusqu'au fauteuil. Je me retrouvais alors à moitié allongé. Il fixa mes mains à la tringle des rideaux et m'écarta les jambes. - Quelle belle position, Mademoiselle Lane. Gardez bien vos jambes relevez sinon je serai obligé de vous punir. Il passa sa main sur mon sexe. Et découvrant le flot de mouille qu’il y avait, il sourit. - Je vois que vous aimez être traitée ainsi ma chère, n'est ce pas? - Avec un certain sourire, je ne pouvais qu'approuver. Je sens que je vais rentrer soit dans votre petite chatte ou dans votre fion, comme dans du beurre. Toute cette mouille..
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Par : le 12/07/21
1) Je suis issus d’une fratrie de 4 enfants je suis la seule fille je me plais à dire que je suis fille unique ben oui tout les autres on eu un zizi 🤣🤣🤣 2) Je suis parfaite 🤩😏😌😊 parfaitement imparfaite 🙄🙄🙄 et oui au moins j’ai le mérite de le savoir 3) Un humour décaper et décapant j’aime l’autodérision les jeux de mots qui permettent les sous entendus bien placé 😏😏😏 sous la ceinture bien évidement je suis lubrique. 4) Je suis têtu, fier, j’ai un ego un peu mégalo et je suis orgueilleuse 😅😅😅pourtant pour faire plaisir à mon Maître je suis capable de mettre tout ça de coter☺️☺️☺️ 5) J’ai portez la vie 4 fois et mis au monde 3 garçons et oui hein je suis toujours entouré de beaux gosses 😜😜😜 j’ai très mal vécu ma fausse couche ça reste un sujet délicat 6) Je suis quelqu’un de sérieux dans mes engagements mon maitre me dit binaire c’est tout ou rien noir ou blanc 7) Je suis souvent dans l’introspection j’ai souvent peur d’avoir blessé par maladresse les mots peuvent parfois être tellement violent j’ai absolument rien d’une sadique. 8) j’ai grandis avec un sentiment de culpabilité ma mère est croyante et j’ai été bercé dans la religion Jesus est mort pour moi pour un enfant binaire c’est très culpabilisant je pense que c’est rester au fond de moi je me sens coupable facilement. Par contre le petit Jesus je le préfère qu’on me le mets dans la crèche 😜😜😜 9) A 18 ans j’ai ma meilleure amie d’enfance qui c’est suicidé en voiture elle a foncer dans un arbre sur une ligne droite. Depuis je suis incapable de noué des liens qui dure dans le temps je ne passe que dans la vie des gens j’ai qu’une amie dont l’amitié perdure c’est elle qui m’a aidé à tenir bon à cette époque même si j’ai été dure avec elle un animal blessé c’est rarement tendre quand ça a la chaire à vif. 10) Je travaille dans le médico social j’ai aimé mon métier et je lui ai beaucoup donner depuis le Covid et ma fausse couche je me suis mis en réserve je suis dans un lieu de vie où il y a de l’agressivité quasi journalière et des gros troubles du comportements l’autisme est un univers à part et plus particulièrement quand les conditions institutionnelle ne sont pas ou top 11) Autant engage je suis un ange autant sans engagement je suis un 😈 j’évite de rester trop longtemps seule j’ai bien compris que j’ai besoin d’un ancrage sinon je fais vraiment n’importe quoi une vrais boule de flipper. 12) j’étais une vrais tête brûler j’ai traverser plusieurs fois la France pour rejoindre des hommes pour qui j’avais un coup de coeur je suis revenu déçus à chaque fois quand on s’attend à être tenus et qu’au final personne ne tiens rien…. 13) J’aime ma relation avec mon maitre elle me permet de lâcher prise et faut dire que ce début d’année m’a pas fait de cadeau l’annonce du cancer de mon père la c’est le mari à ma mère à qui on vient d’annoncer une leucémie … je pensais avoir un peu de repris la génération de mes grands parents c’est éteinte il y a juste 2 ans 14) Je suis souvent dans un monde alternatif lunaire je vois pas le temps passez quand je suis en mode vianney t’es ou pas la …🎶🎶🎶 15) Parfois ne pas être pour moi est un soulagement en même temps j’ai peur de plus pouvoir vouloir revenir. 16) J’ai un rapport particulière avec la douleur physique je crains les marques mais pas de souffrir je pense que là douleurs du corps et quantifiable celle du psychique ne l’es pas 17) Mes frères on eu une période de sadisme vis à vis de moi quand j’avais environ 10 ans ils se mettaient ensemble pour me chatouiller jusqu’à se que je me pisse dessus parfois plusieurs fois dans la même journée ils finissaient par se moquer et moi je pleurais 🙄🙄🙄 avec le recule je me dis que j’aurais du leurs pisser dessus 😂 ça les auraient calmer 18) On jouaient aussi à des jeux que je retrouve maintenant se balancez dans les orties se courser avec des tiges de noisetiers pour se frapper avec courrir dans les champs de maïs vive les micros coupures 😅😅😅 19) Une famille de Fou j’ai pris de la distance quand je suis devenu maman l’instinct maternelle et de protège de la folie 20) Je suis grosse mon imc me classe en obésité morbide mais entre nous je m’en fous royale je me coupe mes ongles des doigts de pieds toute seule donc tout vas bien 😂😂😂 21) J’aime pas le mensonge et les gens faux cul 22) pour moi la confiance est la chose la plus importante j’estime que quand il y a confiance on peut tout se dire pas de mensonge pas d’omission on n’a confiance dans la capacité de l’autre de nous comprendre. 23) j’aime m’ouvrir pour mon maitre même si au début j’ai crus plusieurs fois que j’allais pas y arriver j’ai même pleuré 24) Et oui je pleure rarement mais quand ça vient c’est pas un peu en plus j’alterne avec le rire parce que je me trouve complètement pathétique de pleurer et après je pleure parce que je suis pathétique enfin c’est un joyeux bordelle tout ça 😂😂😂 25) la vie n’est pas une longue fleuve tranquille mais p…. qu’elle est belle! 26) je regrette rien je suis toujours pour allez à fond et au font même du trou 🤣🤣🤣 27) c’est mon numéro préférée je suis née un 27 bon j’étais pas chaude pour sortir ils on dû allez me chercher avec une ventouse j’avais déjà besoin d’accessoire 😅😅😅 28) J’aimerais bien découvrir le sexe avec une femme et qui sait peut être crée une relation 29) je suis juste moi avec mes mille et une facette RAPPEL DES REGLES DU JEU: Ceci est le jeu du portrait Québéquois qui fait fureur sur fetlife. Si vous cliquer sur "j'aime", je vous donnerais un nombre entre 1 et 50. Vous devrez alors: 1 écrire autant de choses sur vous que le nombre que je vous ai donné 2 me dédicacer le titre de la manière suivante" X choses sur moi pour soumise x le trou 3 le publier dans la section article 4 me le faire savoir Vous devez indiquer la même règle du jeu avec le texte et agir de même avec celles et ceux qui cliqueront sur "j'aime" pour votre texte.
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Par : le 12/07/21
Patricia n'avait pas très mal. Chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Sarah, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Patricia crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Sarah s'accroupit près des épaules de Patricia et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée. Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins. Patricia laissa couler quelques larmes. Alors Sarah arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Sarah posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Sarah dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. Penchée au-dessus d'elle, Sarah tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Sarah pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Patricia ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 09/07/21
Après quelques hésitations et l'accord de Monsieur X, je me lance et vous partage... selon mes mots... Je ne suis pas une artiste des mots comme certaines ou certains d'entre vous, que j'admire! (je pense à une personne en particulier qui se reconnaîtra ;) ) Je suis plutôt une femme qui parle en image mais parfois, il faut sortir de sa bulle de confort et se lancer. Mon écrit n'est pas récent, mais qu'importe, le but est d'échanger ^^ Belle lecture. #### Après avoir déposé mes clés et mon sac sur la table, je me dirige dans la pièce peinture, là où se trouve une de des garde-robes et l’étagère à chaussures. Sur celle-ci je dépose ma paire d’escarpins brune que je portais lors de mon rendez-vous avec Monsieur X. Je les adore ! Simple et sexy, idéale pour une première rencontre. Je continue à me déshabiller en enlevant ce joli gilet noir qui s’adapte à toutes les tenues… et puis d’abord, pourquoi porter quelque chose en dessous, j’y penserai la prochaine fois. Puis vient ce pantalon noir à taille haute, très classique que je ne manquerais pas de reporter. Je défais les boutons un à un pour ensuite le laisser tomber sur mes chevilles. Je finis par enlever ce superbe body transparent à dentelle noir, qu’est-ce qu’il a du succès ! J’aime entrevoir entre la dentelle la silhouette de mes seins, c’est une des parties de mon corps que j’apprécie le plus. Nue, je me dirige vers la cuisine, me sers un verre de vin rouge et en bois une première gorgée que je savoure posée contre le meuble de la cuisine, de l’autre main je me caresse la fesse droite. Elle est chaude et me brûle un peu, ça me plait. Je regarde par-dessus mon épaule droite pour voir celle-ci, elle est rouge, je distingue les marques. Je décide de me rendre dans la salle de bain et m’observe avec attention dans le miroir… Mmm mais qu’est ce que j’aime ses marques sur mes fesses, c’est beau, c’est magnifique ! Une certaine forme d’art, de création. Dans ce miroir, j’admire ses marques… ça me plait. Quel plaisir de se faire accueillir de telles façons ! Le lieu, le cadre, lui… Peur ? Non. Anxieuse ? Un peu. Curieuse ? Enormément. Excitée ? A la folie ! « M’imaginer encore attachée, les yeux bandés, debout le haut de mes escarpins, vous me regardant, m’examinant, me caressant, me pinçant…. Mmm vous entendre prendre vos accessoires de « torture » ou de « plaisir » ? Les deux me conviennent… quelle excitation j’ai éprouvé et le tourment de devoir dire stop… Me faire fouetter, pincer, fesser, me donner l’honneur de vous occuper de chaque partie de mon corps, a été une extase partagée avec vous, Monsieur. Malheureusement mon trou, trop petit pour vous convenir, pour l’instant, ne demande qu’à être mieux préparé pour vous être présenté au prochain rendez-vous. Mais… pour ma défense, celui-ci est ma partie la plus délicate et à besoin d’un peu plus de soin et de compréhension. Mais en contrepartie, sachez que tout mon corps vous est offert Monsieur. Oui Monsieur, la Soumise que je suis souhaite en connaitre davantage sous vos mains entrainées et votre regard vigilant ». #####
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Par : le 09/07/21
Tu me regardes très complice Attendant mes doux supplices Ma badine caresse tes cuisses Habillée de dentelles et cuir Je t'attache et tu me souris Je vais pourtant te punir Une main dévouée à sévir Te fesse, attise mes désirs Jusqu'à te faire rougir Te sentant bien mouillée Vers ton sexe, je me suis penché Pour aller vérifier cette humidité Tes lèvres bien écartées Je commence à flatter Les contours du point G Tu gémis et te tortille Là, je saisis la torpille Le gros gode qui t'émoustille Entravée, à ma merci Je suis plein d'envie Alors que je te l'introduis Avec douceur dans ta faille Ce phallus de fort belle taille Te remplit jusqu'aux entrailles Je le laisse en toi planté Je m'occupe avec doigté De ton autre intimité L'anneau est doux au toucher Mon majeur vient le boucher S'attarde à s'y enfoncer Je vais, viens, te voilà prise Toi la soumise si expressive Tu excites ma gourmandise Je te lime, tu prends plaisir J'aime ainsi te faire jouir Jusqu'à en hurler de délice Le 27 03 2017
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Par : le 08/07/21
l’envie était trop forte aux acheteurs de baiser cette salope et de s’occuper de ses trous encore ouverts . au moins une dizaine ,voire quinze hommes leurs queues dressées, car natacha ne put les compter , entourèrent la femelle, en soumission complète l’esclave s’est laissé faire de peur d’être sévèrement puni. la douleur du fouet sur son cul lui rappela cette acceptation forcer . de bourgeoise arrogante elle était passée en salope docile et humilier elle commençait à comprendre qu’elle était devenu une vraie esclave sexuelle qu’elle avait joui en public de cet état pour sa plus grande honte. elle fut mise à genoux « suce salope » impressionner et effrayer par tant de membres érigés elle eut un moment d’hésitation . malheurs à elle ,là ou on l’attendait se précipitant sur la queue comme une vorace une vraie salope qu’elle est cette hésitation allait lui coûta cher .elle fut prisse brutalement pour les cheveux une bite lui força la bouche avec violence pour arrive directement en gorge profonde . ce fut un choc une humiliation supplémentaire. mais le plus bandant était son expression d’étonnement de douleur ,avec des cries étouffés des gargouillis obscènes. la honte en public de cette introduction violente lui a été insupportable ,elle faillit vomir. mais bien vite elle comprit qu’elle n’avait pas le choix d’aussitôt en sucer une autre puis une autre et encore, encore de passé de bite en bite le spectacle devient vite de plus en plus hard des filets de bave se mélangeaient aux fluides des queues. soudain comme convenu le plus gros des sexes se présenta devant ces lèvres, il était énorme et long devant la dimension natacha eut un mouvement de recul bien vite ressaisi elle ouvrit la bouche en grand pensant uniquement sucer le gland déjà la vision de sa bouche écartelée sur celui-ci qui lui défigurait le visage était très obscène tous regardaient le tortionnaire la saisi par les cheveux d’autres les bras l’esclave comprit ce qui allait lui arriver elle ne put rien faire le membre pénétré sans aucun management forçant le passage de la bouche trop petite la masse de chair lui remplissant complètement la bouche il poussa encore les yeux de la salope avaient une expression de panique ce qui excitait tous les pervers autour d’elle le membre continua le corps de l’esclave se raidit mais elle était bien tenue des crie étouffés avec des bruits de sucions ajoutait au tableau particulièrement hard de la scène c’était une gorge profonde très profonde car bientôt on vit la forme de son gland au niveau de son cou malheureusement l’homme ne put faire les va et vient prévu dans sa gueule de chienne en chaleur les dents de l’esclave avec sa mâchoire écartelée au maximum risquaient de le blesser . la future pute ne pouvait plus respirer et avait une grande envie de vomir ces réactions de désespoir se sentait sur le membre épais ce qui excitait énormément son propriétaire qui n’en pouvant plus déchargea abondamment et fortement au fond de sa gorge . la pression du sperme était forte c’est par le nez que celui-ci s’échappa cette scène répugnante et vulgaire réjouie l’assemblé de pervers mais l’esclave ne pensait plus qu’à sauver sa peau. heureusement que l’homme retira sa queue ce qui permit à la pauvre salope de vomir et de cracher dans des sanglots tous les liquides qu’elle avait dans gorge. à quatre pates avec des filets de baves qui allaient de sa bouche au sol l’esclave ressenti alors une immense humiliation et honte de ce qu’elle venait de vivre. mais le pire pour elle était que son con que tout le monde voyait était trempée car elle avait joui de cette situation honteuse vraiment elle mérite bien son inscription sur ses siens salope on devrait même lui tatouer définitivement son état pour tout le monde sache ce qu’elle est sa véritable nature . comme déjà une scène rodée un des hommes se coucha par terre le dos sur le sol le membre érigé on ordonna à l’esclave de se placer à quatre pates au-dessus de lui ce que fit aussitôt celle-ci de peur que ces malades mentaux ne lui fassent subir des dérivés extrêmes. puis on lui demanda de s’empaler la chatte ce qu’elle fit sans problème mouillée et ouverte comme elle est . cette chienne en chaleur était sans plus attendre elle fut aussitôt enculée et la bouche ne tarda pas à être aussi rempli. voila elle était prise par les trois trous une triple pénétration elle n’avait jamais été prise comme ça elle criait de douleur d’humiliation et jouissances. aussitôt que l’un se retirait un autre venait prendre sa place il y avait quinze hommes chacun voulait la prendre par la bouche la chatte et le cul elle eu droit a toute les positions et situations ils voulaient visiter chacun de ses orifices ils l’avait acheté aussi pour cela bientôt les trous de l’esclave débordèrent de foudres son corps son visage coulait de sperme abondant le spectacle de cette bourge devenu objet sexuel était affligeant comment une femme pouvait devenir cette chose répugnante cette larve qui rampe pour des queues et du sperme elle était digne de ses inscriptions sur son corps. c’était vraiment devenu un sac à jus comme le méritait cette esclave bien salope. sa décadence était totale mais pas suffisant il fallait maintenant la transformer en véritable pute . pour en voir et savoir plus sur mes dessins et natacha http://dessindenu.onlc.fr/
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Par : le 08/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles. une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela ! 



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Par : le 08/07/21
J'essayais de contrôler ma nervosité tandis que je me maquillais devant la glace de la loge. Si j'étais une telle boule de nerfs, c'est que ma partenaire de spectacle habituelle s'était brisé le bras la veille, et qu'une remplaçante devait aujourd'hui prendre sa place au pied levé. Il ne restait que quinze minutes avant le début du spectacle et la jeune fille que l'agence avait trouvée en catastrophe n'était toujours pas arrivée. J'entendais les hommes crier et siffler dans la salle adjacente alors que Béatrice dansait sensuellement pour eux. La porte de la loge s'ouvrit et une grande brune aux cheveux très courts fit son apparition. - Charlotte ? - Tu es la remplaçante Elle portait un court short en jean, dévoilant habilement des jambes interminables et hâlées. Ses pieds étaient chaussés de sandales blanches à talons et dont les sangles s'enroulaient autour de ses chevilles. Son t-shirt noir moulait des seins modestes et hauts placés. Les lunettes de soleil remontées sur sa tête tenaient en place ses cheveux de jais. Elle avait un visage fin et gracieux dévoré par de grands yeux verts. - Je m'appelle Juliette. Elle me serra la main, ses longs doigts touchèrent mes poignets. Elle me dominait d'une bonne tête, et je me demandais aussitôt de quoi nous aurions l'air sur scène. Je profitais du moment où Charlotte se débarrassait de tous ses vêtements pour la contempler dans la glace; elle avait un corps magnifique, des seins durs et naturels, un pubis lisse, et des fesses musclées. Un symbole chinois était tatoué au creux de ses reins. Ses aréoles très roses ressortiraient sous l'assaut des stroboscopes et plairaient aux clients, car les hommes n'aimaient pas en général les aréoles trop brunes. Je l'avais souvent remarqué. Je me raclais la gorge, et je lui tendis son costume que j'avais pris la peine de sortir du placard. Il s'agissait un déshabillé blanc, qui s'illuminait dans la pénombre. - Pendant que tu te maquilles, je vais t'expliquer le déroulement du spectacle. Charlotte prit place devant la coiffeuse. Elle n'avait pas encore revêtu le costume et elle se maquillait totalement nue, en se penchant vers le miroir. Ses seins étaient de marbre; ils restaient obstinément collés contre sa cage thoracique. - Ça débute sous la douche. Elle levait les yeux vers moi, et je remarquai ses pupilles d'un vert incandescent. - Ne t'en fais pas, l'eau est juste assez chaude. Puis, on fait mine de s'embrasser, sans contact avec la langue. Toutefois, de leur point de vue, les clients n'y voient que du feu. Lentement, on se déshabille. Quand commencent les premières notes de "Justify my love", on doit être totalement nues. On fait semblant de se lécher et mordiller les seins, puis on glisse sur le plancher pour simuler un soixante-neuf. Les mecs adorent voir deux femmes se gouiner ! Charlotte termina son maquillage et se leva pour mettre son costume. Elle enfila d'abord ses longues jambes bronzées dans le déshabillé, avant de remonter les bretelles sur ses épaules. - Pour la finale, je jouis en me cabrant sur toi. Ça va ? Tu as compris ? Charlotte se regardait dans la glace tandis qu'elle ajustait ses seins nobles dans les bonnets souples du costume de scène. Devant son mutisme, je commença à m'inquiéter. - Dis-moi que ce n'est pas ta première fois ... ? Elle sourit franchement. - Ne t'inquiètes pas, je vais très bien me débrouiller. Quelques minutes plus tard, nous nous tenons derrière le rideau de velours, entassées dans une douche de verre. Charlotte serrait ma main dans la sienne au moment où le rideau se leva et que le cri des hommes commençait à enfler. Au son de la musique, l'eau de la douche ruisselait sur nos corps, plaquant nos déshabillés sur notre peau. En utilisant des mouvements lancinants, l'une déshabillant l'autre très lentement, en balançant les hanches contre la paroi de verre. Les clients étaient euphoriques; ce numéro était toujours très populaire. Avant la fin de la première chanson, nous étions nues et nous utilisions deux pains de savon pour nous frictionner, pour caresser nos parties intimes et nous recouvrir d'une mousse que l'eau se chargeait de rincer par la suite. Charlotte était habile pour une débutante; elle avait le sens du spectacle. Ses yeux étaient rivés aux miens, refusant de les lâcher. Elle s'avançait, me coinçant contre la paroi et prit mes joues dans ses mains. Puis, on se prépara à simuler notre premier baiser. Mais, surprise, elle posa sa bouche sur la mienne avec détermination. Le rouge à lèvres rendait nos lèvres glissantes, très douces. Sa langue toucha la mienne. J'ouvris les yeux; les siens étaient assurés, enflammés. Je décidai de ne pas lui retourner son baiser, j'avais bien spécifié que nous devions feindre tout cela. De mon visage, ses mains glissèrent sur mes épaules. Nos seins se touchaient, nos pointes s'unissaient. L'eau coulait sur notre corps, sur nos sexes. Puis elle se tarit et les parois de la douche s'abattit sur le sol, nous laissant toutes deux debout au centre de la scène. Je descendis la première, en posant mes lèvres pincées sur ses mamelons. Charlotte fit mine d'avoir du plaisir en saisissant ma tête, en la pressant contre sa poitrine. Elle me prit par les coudes, elle me releva et, à son tour, sa bouche se referma sur mes aréoles deux fois plus larges que les siennes. Je sentis d'abord la succion de ses lèvres sur mes pointes, puis les petits chocs électriques du plaisir. Mais que faisait-elle donc ? Nous devions simuler, nous devions ... Mes pensées s'embrouillaient, car sa bouche se déchaînait sur mes seins, ses mains se faufilaient entre mes cuisses. J'étais moins consciente des cris enthousiastes autour de nous, mes seins sensibles ont toujours été mon point faible. Comme si elle connaissait parfaitement cette faille dans mon armure, elle passa à mon autre sein, en faisant tournoyer sa langue autour de mon mamelon enflé. Même si je me laissais tomber à genoux, sa bouche ne lâchait pas prise. Puis, je m'allongeai sur le sol et Charlotte se plaça au dessus de moi pour le soixante-neuf prévu. Je ne savais pas si c'était Madonna qui chantait, je n'avais plus conscience de ce qui m'entourait, tellement absorbée par mon plaisir et ma partenaire. Sa bouche recouvrait ma vulve, sa langue me pénétrait, bientôt imitée par deux de ses doigts. Je saisis mes pieds dans ses jambes bien hautes, totalement livrée à elle. Je faisais l'amour devant deux cents personnes; je ne les entendais plus, je ne les voyais plus, je ne faisais que ressentir cette langue qui roulait sur mon clitoris, ses doigts qui me fouillaient tranquillement sans hâte. Je mouillais abondamment, ma cyprine barbouillait son menton. Sa vulve était à quelques centimètres de ma bouche, mais je ne pouvais me résigner à la lécher, je mordillais ses cuisses, en caressant ses fesses parfaites du bout des doigts, appréciant leur douceur, avant de glisser mon index sur sa fente soyeuse et mystérieuse. Cependant, je ne pouvais me concentrer sur ma tâche, car les manœuvres habiles de ma partenaire eurent tôt fait de me déstabiliser. La jouissance grondait en moi, merveilleuse, euphorique, diffuse et inconcevable. Je poussai sur mes talons, tellement fort que mes fesses se décolèrent du sol mouillé. Ma vision s'embrouilla de larmes. Je saisis Charlotte à bras-le-corps, en pressant ma vulve contre sa bouche, savourant la pénétration profonde de sa langue; je vibrai, je tremblai, je m'ébrouai violemment. Puis, peu à peu, les sons et les images revinrent. L'assistance se leva et nous acclama bruyamment. Je me levai, les jambes flageolantes, le cœur trépidant. Je tournai mon visage vers Charlotte, qui me sourit et me prit par la main. Le tonnerre d'applaudissement ne sembla pas vouloir s'arrêter. Le rideau s'abattit devant nous. Le Directeur de l'établissement, se précipita vers nous avec deux peignoirs, nous en tendant un à chacune. Je me drapai dans le mien. L'entrejambe liquéfié, le simple fait de marcher provoquait un frottement très agréable mais dérangeant. - "Juliette, C'était le meilleur spectacle que j'ai vu ... Vous étiez si enthousiastes, ça semblait tellement réel. - Je suis heureuse que ça vous ait plus. - Peut-elle revenir demain ? - Je vais voir avec elle. " En réalité, je tenais à ce qu'elle revienne, non seulement ici sur scène, mais surtout dans mon lit. Jusqu'à ce jour, l'idée de faire véritablement l'amour à une femme ne m'avait même jamais effleuré l'esprit. Tout ce que je désirais maintenant, c'était de dévorer Charlotte à mon tour, de goûter au sexe féminin sans faire semblant. Je voulais qu'elle m'initie à l'amour lesbien. Toute étourdie et haletante de bonheur, qui aurait résisté à sa bouche humide et entrouverte, à son parfum intime âpre et fin. Serait-elle hautaine et inlassable dans ses exigences ? Était-ce la soumission qui me tentait ? Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit être éliminée, et cette technique aide à le se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant de lui avoir pénétré l'anus bien sur. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de véritables esclaves. Il est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring et lui attachais les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon esclave quand je désire m'occuper de lui correctement. Je le prépare ainsi car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles. une Femme peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon Esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui, ce qui me donne le droit de l'humilier même à l'extrême, et comme bon me semblera . Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour mon plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Quand Alan arrive, je le salue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se mettre debout devant mon amant. Steve est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur Ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma putain de salope à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon soumis de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas mon amant et dis des mots humiliants alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sûr et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actifs, reste à organiser tout cela ! 



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Par : le 08/07/21
Comme je l'ai exposé précédemment, la distance est à la fois une faiblesse et un atout dans la relation BDSM. Mais l'enjeu majeur pour la faire durer est de combattre le doute. Il y a de nombreux facteurs qui viennent entamer le lien qui unit Maître et soumise et suivant l'importance qu'on veut bien leur donner, ils peuvent parfois en venir à bout. Il convient de savoir les reconnaître et y faire face ensemble. Car une relation BDSM à distance, ce n'est pas deux individus éloignés l'un de l'autre, c'est la somme des raisons qui poussent ces deux personnes à se faire mutuellement confiance. 1 - D'où vient le doute et à quoi ça sert ? Avant tout, il convient de s'interroger sur l'origine du doute en lui-même. Qu'est-ce qui pousse deux personnes parfaitement heureuses dans leur relation à s'interroger sur le bien fondé de celle-ci ? Le doute est humain, il vient de notre capacité à nous remettre en cause en permanence. Contrairement à la grande question sur la vie, l'univers et le reste dont on connaît la réponse : 42 ; on se pose toujours un nombre incommensurable de questions existentielles, auxquelles des générations de philosophes n'ont pas encore trouvé de réponse simple. Le doute est l'ennemi de la D/s à distance quand on s'interroge sur le bien fondé de sa propre condition et que l'on se demande si l'on doit poursuivre dans cette voie. Après tout, pourquoi obéir à quelqu'un qui ne peut pas me toucher, dont je suis séparée par un écran (et plusieurs kilomètres) ? Pourquoi ne pas l'abandonner et en trouver un plus près qui pourra mettre de vraies fessées ? Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la réponse c'est le doute. Une soumise rechigne à quitter son Maître parce qu'elle sait ce qu'elle a avec son Maître mais ignore ce qu'elle trouvera ailleurs. Et si mon Maître était parfait pour moi, malgré la distance ? Et oui, le doute et la distance ont un point commun, ils sont à double tranchant. Autant ils peuvent facilement couper les liens qui unissent une soumise à son Maître, autant ils peuvent se planter dans l'âme et la chair pour y laisser des marques indélébiles. Car le doute, c'est aussi ce qui permet à la soumise de s'améliorer : Suis-je dans la bonne position ? Ai-je bien compris les ordres ? Mon Maître sera-t-il satisfait ? Autant d'interrogations qui font progresser la soumise. Pour elle, petit à petit, le doute va se lever et se muer en certitudes. Celle d'avoir bien choisi son Maître, celle de vouloir le servir à tout prix. Et pour conjurer ses doutes, la soumise peut toujours se reposer sur son Maître, sur sa force, sa volonté... et son absence apparente de doute. 2 - Les pressions extérieures Le doute est donc un questionnement personnel permanent, inhérent à chacun de nous. Si ses racines sont profondément ancrées en nous, des facteurs extérieurs peuvent favoriser sa croissance tels l'engrais ou une pluie printanière. Il s'agît essentiellement de pressions sociales, familiales ou amicales. Trop peu d'entre nous ont la chance d'avoir des parents adeptes du cuir et du fouet et d'avoir reçu de leur part, en cadeau d'anniversaire, des menottes qui ne soient pas accompagnées d'un pistolet en plastique et de son étoile de shérif. Pour l'immense majorité, la première pression est familiale. Mais que vont penser mes parents ou enfants s'ils me surprennent lors d'une séance ? Et comment leur expliquer que j'aime fouetter ma partenaire ? Me faire attacher ? Porter une cage dont quelqu'un d'autre a la clé ? Par contre, pour vous faire douter, rien de tel que le regard déçu de papa/maman. Vous savez, ce regard qui incarne tout à la fois tristesse, honte, incompréhension et culpabilité. Ce regard qui s'accompagne de cette petite phrase assassine : "non, pas mon enfant". Pour les plupart des gens "vanille", nous sommes des déviants. Nous faisons fausse route et nous avons tort. Ils en sont tellement persuadés qu'entre leurs promesses d'opprobre et de colère divine, on pourrait succomber à leurs arguments. Et pourtant, lorsque l'on y réfléchit et que l'on discute avec ses parents et amis, ils finissent toujours par poser la même et invariable question : "mais est-ce que ça te rend heureux ?" Et la réponse est toute trouvée : oui ! Malgré toutes les pressions extérieures, l'expression de notre moi profond nous permet de nous libérer et par conséquent de goûter un bonheur qui échappe au commun des mortels. 3 - Le doute comme instrument de soumission Comme je l'ai écrit précédemment, le doute est souvent un frein à la relation D/s à distance. Néanmoins, pour qui sait l'utiliser, il peut devenir un liant plus solide que des fondations en béton armé. Pour cela, il faut que le doute soit unilatéral. Comme je l'ai suggéré précédemment, le Dominant ne doit jamais "montrer" qu'il doute à sa soumise. Le Maître n'a pas le droit à la faiblesse. C'est de Sa solidité que vient l'envie de la soumise de se jeter à ses pieds. C'est parce qu'il est fort, qu'il impressionne. Et par opposition, c'est parce que la soumise a besoin de se sentir chancelante sous le regard de son Maître. Parce qu'Il la maintient sur le qui-vive, par sa rigueur, par ses corrections, par ses punitions. Toutes les soumises se posent toujours la même question : "Maître sera-t-il satisfait ?" Et comme dans toute question, il y a un doute. Et c'est justement ça qui pousse la soumise à se dépasser, à en faire toujours plus pour son Maître. Un quelconque manque d'attention du Maître, fatigué par une longue journée de travail par exemple, et la soumise remet tout en question. "Il ne m'a pas corrigée ? Il ne me prête plus attention ? Il ne m'aime plus ? Il va me remplacer ?..." Et les questions peuvent ainsi s'enchaîner et le doute va faire le beau jeu d'un Maître qui a juste été distrait pendant un court instant. Le doute, tant craint, devient ainsi l'un des moyens de soumettre les plus efficaces. Que ce soit de façon volontaire ou non. Et justement, c'est tout un art de le distiller et de l'infuser dans de subtils sous-entendus. On pourrait même présenter cela comme de la manipulation. Mais n'est-ce pas justement la dimension psychologique, la quintessence de la relation D/S ? Bien que tout à fait naturel et faisant partie intégrante du mode de pensée de tout un chacun, le doute est omniprésent dans la relation D/s à distance comme dans nos relations sociales. S'il peut être à l'origine d'un malaise vis-à-vis de nos familles et amis, il peut également être la source et le ciment d'une relation D/s épanouie. Car une relation se construit à deux (ou plusieurs) et l'on ne peut jamais avoir la même certitude vis-à-vis de l'autre que par rapport à soi. Et ensemble, soudés par un lien de D/s, le doute fait partie des ingrédients nécessaires pour maintenir une relation durable.
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Par : le 08/07/21
Samedi dernier, j'ai eu ma toute première expérience avec un soumis ! Et oui, depuis le temps, je n'avais jamais eu que des soumises ou des couples avec un homme spectateur. N'étant ni homo, ni bi, j'ai tout de même succombé aux avances d'un soumis pas tout jeune. Depuis le temps que j'en parle, ma soumise s'est faite à l'idée qu'un larbin fasse partie des meubles (et les nettoie, en plus). Car si elle n'aime pas particulièrement les tâches ménagères, moi je les exècre, abhorre et déteste. Rien que ça ! J'ai donc trouvé un soumis sur un site concurrent, où il avait publié une fort belle annonce, particulièrement bien rédigée et dont le pseudo a attiré mon attention. Très axée sur le service et la vénération, son annonce a fait mouche. J'ai donc commencé à échanger quelques messages avec ce vieux soumis. Son français impeccable et la révérence dont il faisait preuve dans ses écrits étaient autant de points positifs qui allaient orienter mon choix de le rencontrer. En effet, après quelques messages échangés sur quelques jours, je me suis laissé aller et me suis décidé à lui donner sa chance. Et en bon dominant que je suis, je me suis imposé sous court préavis ! Histoire de tester sa volonté et sa servilité. Je lui fixe un lieu de rendez-vous (pas trop loin de chez moi) et lui dis de m'appeler quand il arrivera. Mon intention étant de monter dans sa voiture et d'aller directement chez lui. Pour une première rencontre, on ne fait pas mieux dans la catégorie "violer l'intimité" : la voiture est un espace des plus personnels qui en dit long sur le degré de maniaquerie du conducteur et s'inviter au pied levé chez les gens, c'est un peu pareil mais en pire. Première déception : le soumis n'a plus de voiture. Moi qui voulais l'utiliser comme chauffeur, c'est raté. Bon, me dis-je, c'est pas grave, je vais me rendre chez lui et on verra bien. Il me désigne donc l'arrêt de bus le plus proche de chez lui et je profite de mon abonnement, payé à moitié par le boulot, pour me rendre sur les lieux. Mon vieux m'attend à l'heure dite et à l'endroit convenu et m'a sagement envoyé la photo des horaires pour le retour. Je disposais donc de l'après-midi pour jauger ce soumis. À première vue, il était vieux ! Je le savais mais bon, je ne me l'imaginais pas à ce point. Tout de suite quelques détails ont attiré mon attention : son t-shirt était troué à plusieurs endroits. Pour une première rencontre, il ne s'était pas mis sur son 31. Nous allons donc en direction de chez lui, en échangeant très peu. Tout le long du trajet, il m'appelle "Maître" et se comporte avec une déférence exemplaire. Nous arrivons chez lui et je rentre dans son petit appartement. Bien évidemment, c'est vieillot mais bourré d'étagères pleines de livres. Se côtoient Zola, Hugo, Conan Doyle et tant d'autres. Ce vieux soumis est un érudit, comme me l'avait déjà révélé son pseudo. À peine le temps d'admirer la bibliothèque, que mon vieux est à genoux, prosterné à mes pieds qu'il commence à embrasser. Enfin mes espadrilles pour être plus précis. Pour couper court aux mauvais esprits : oui, les espadrilles c'est là classe dans le sud ! Ayant très rapidement compris que j'avais devant moi un fétichiste des pieds, je sors mes pieds de mes espadrilles et mon vieux s'épand en remerciements. En ayant marre d'être debout, je m'installe dans le canapé et pose mes pieds sur un tabouret. J'ordonne "Lèche !" et il s'exécute. Pour ceux qui n'ont jamais eu l'occasion de se faire nettoyer les pieds à coups de langue, sachez que c'est très plaisant, ça chatouille agréablement et vu le temps qu'il a passé à les lécher, je crois qu'ils n'ont jamais été aussi propres de toute ma vie ! Bon, je ne suis pas venu là pour cueillir du muguet, je décide de mettre mon soumis à l'épreuve. Je n'ai jamais eu de soumis mâle, je me dis que c'est l'occasion d'essayer des choses plus... sexuelles. Surtout que de sentir sa langue sur mes pieds m'a filé une demi-molle à la limite de l'érection : un homme parvient presque à me faire bander ? Je lui ordonne donc de me sucer. Et bien, ce fut une déception monumentale ! Rien ! Il a bien réussi à me faire durcir le sexe mais c'est tout. Impossible de jouir. Je lui fais mettre des pinces à linge sur ses tétons, pour que ses grimaces m'excitent : toujours rien. Je remarque juste qu'il manque d'entrainement vu qu'il est incapable de supporter une pince sur chaque téton. Plan B : je lui ordonne de s'appliquer et lui donne un délai pour me faire jouir. Et ben, pas mieux. Je dois être purement et strictement hétérosexuel ? Devant ce constat d'échec cuisant, je ne pouvais pas rester impassible. J'ordonne à mon soumis d'aller me chercher une ceinture. Je lui fais retirer pantalon et slip et le mets à plat ventre devant moi. Je marche sur sa main droite pour l'immobiliser et lui assène un bon coup de ceinture qui marque immédiatement ses fesses ramollies. Il me remercie de le remettre à sa place et je continue de lui mettre des coups de plus en plus forts jusqu'à ce qu'il me supplie de frapper moins fort. Notez bien : moins fort, pas d'arrêter ! Je continue donc à lui en mettre une paire, juste parce que je suis cruel quand je m'y mets (et surtout parce que ça se voit qu'il adore souffrir). Avant d'endommager irrémédiablement son postérieur, je le fais se relever et se rhabiller. Ensuite, je lui donne l'ordre de me rhabiller. Je vérifie que tout va bien, qu'il n'a pas trop mal, le récompense en le laissant lécher mes pieds une dernière fois et décide que c'est la fin de l'aventure pour aujourd'hui. Il me raccompagne bien sagement jusqu'à l'arrêt de bus, en ne tarissant pas d'éloge sur mon maniement de la ceinture et de mon attitude en général et ma virilité. Tout le long du chemin, il s'excuse de ne pas avoir réussi à me faire plaisir, me remercie pour l'avoir puni sévèrement et me supplie de l'accepter comme esclave. Au final, cette journée n'aura pas été si mauvaise que ça. Mais malheureusement, je n'aurais pas trouvé l'esclave de mes rêves. Mais bon, dans la vie, il ne faut pas désespérer. Je finirais bien par le trouver, mon larbin parfait. En mon âme et conscience, j'avais décidé de laisser une chance à mon vieux lécheur. J'était prêt à le prendre à mon service comme larbin. Et oui, même s'il n'avait pas de voiture, même s'il ne me fait pas jouir et même s'il aurait fallu adapter mes horaires pour le dominer en fonction des transports en commun. Mais voilà, si je ne suis pas homo, mon vieux est misogyne et il m'annonce par mail qu'il ne supportera pas l'arrivée de ma soumise. Du coup, je pense que je ne vais pas le prendre à mon service. Par contre, sa servilité et sa soumission m'ont profondément touchés. Et comme il est sans Maître depuis 3 ans, son besoin est palpable. Du coup, j'ai décidé d'écrire cet article pour lui faire un peu de pub et donner envie à un Toulonnais de le prendre à service. C'est un esclave idéal pour un étudiant : il vous fera économiser des heures de ménage et a besoin de faire des offrandes à son Maître (faire les courses, etc.) Avis aux Toulonnais célibataires ou homosexuels qui auraient besoin d'un esclave : n'hésitez pas à me contacter pour que je vous mette en relation.
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Par : le 07/07/21
Le sujet dont je discuterai ici est l’utilisation d’une technique d’humiliation puissante dans le dressage des esclaves mâles. Elle nécessite un mâle soumis non homo pour lui faire sucer le sexe d’un autre homme. L’obligation de sucer un autre mâle a des effets psychologiques puissants sur le mâle soumis et, quand c’est fait intelligemment, cela accroit fortement le contrôle de la dominante sur son esclave. Cette technique gagne en popularité, mais elle est encore trop peu utilisée, et de nombreuses dominas ne comprennent pas encore que cela permet de façon incroyable d’éliminer toute résistance du mâle à la soumission absolue. Il est important d’obliger l’esclave mâle à sucer pour de nombreuses raisons. Par exemple, sucer des pénis est souvent vu comme une attitude passive et soumise, un acte de servitude. En raison de cela la plupart des hommes voient cette activité comme strictement féminine, et pas mal de leur fierté masculine est basée sur l’idée qu’ils ne s’engageront jamais vers ce comportement de femelle soumise. C’est une partie de la mentalité du mâle, qui implique que les femelles sont supposées servir les mâles et avoir des gestes sexuels de soumission pour leur plaisir. Afin d’entrainer correctement un esclave, toute trace de fierté masculine doit avoir été éliminée, et cette technique aide à le faire de même que de se faire prendre comme une femelle par d'autres hommes aussi. Il est important de noter que cette technique est très similaire à celle de l’entraînement avec le gode ceinture, j’aborderai aussi ce sujet une autre fois bien que ce soit très sympa avec de vraies queues. Les hommes, par nature, respectent le pouvoir, et leur évolution les a programmés pour se soumettre à plus puissant qu’eux. Malheureusement, elle les a aussi programmés à tenter de dominer ou d’exploiter plus faible qu'eux aussi. C’est l’essence même de la hiérarchie dominante. Alors, pour qu’un mâle se soumette complètement à une femme, il doit la voir comme plus puissante que lui, heureusement certains homme ont l'intelligence naturelle de savoir d'instinct que les Femmes sont très nettement Supérieurs aux hommes et cela tout à fait naturellement. En exerçant ce degré de pouvoir et de contrôle (en le forçant à sucer ou à se faire prendre), sur un mâle, cela a un effet psychologique puissant, qui utilise sa tendance naturelle à se soumettre à une hiérarchie dominante, à celle qui lui ordonne cela et qui lui imposera beaucoup d'autres choses. J’ai d'abord entrainé mon amant à sucer le sexe en silicone de mon gode ceinture avant lui avoir pénétré l'anus. Cela dura un long moment, jusqu’au jour où je rencontrai un homme que je pouvais utiliser pour m'aider au dressage de ma lopette d’amant. Alan, qui est aussi un mâle soumis, mais il n'est pas maso contrairement à mon amant et il peut être actif avec d'autres mâles soumis, j'en domine d'autres occasionnellement en la présence ou non de ma salope personnelle. Avec Alan nous sommes devenu amis et assez complices, j'aime aussi avoir des échange intellectuels avec mes soumis, même si j'aime aussi les traiter très souvent comme de vraies salopes. Alan est grand, musclé, bien fait, et a le plus profond respect pour les Femmes. Il n’est pas homo, mais vraiment très cochon, j'adore. Pour préparer mon esclave, je le fis mettre totalement nu, lui posai son collier et une laisse, je le fis mettre à genoux, un cockring (lanière de cuir autour du sexe) et lui attachai les mains dans le dos. Afin de maximiser son sentiment de vulnérabilité, je lui mis aussi deux menottes aux chevilles, que je reliai avec une chaine courte à ses mains dans le dos. Je trouve cette position à genoux et attaché ainsi très pratique et je l’utilise souvent sur mon soumis quand je désire m'occuper de lui correctement. Je prépare ainsi mon esclave car il est très humiliant pour un esclave mâle d’être nu devant un autre mâle habillé. Cela le rend très faible, vulnérable et soumis. Le collier est aussi très humiliant en la présence d’un autre mâle. Cette position à genoux indique la soumission, crée un sentiment d’impuissance, et accroit le facteur d’humiliation. Le cockring garde son sexe sensible et en érection plus facilement, ce qui est aussi humiliant. Cela rend aussi les testicules plus exposées et sensibles à certaines punitions. Une domina peut forcer un homme attaché et nu à faire tout ce qu’elle veut, juste en lui administrant la bonne quantité de douleur sur ses testicules vulnérables. Il est important de noter que je n’oblige pas mon amant à faire tout cela contre sa volonté. Il n'a pas pour autant la possibilité de refuser car c'est lui qui a demandé à être mon esclave mâle il doit donc assumer sa place en tant que tel aujourd'hui. Quand mon esclave est prêt, je prends un moment pour l’exciter et le torturer légèrement. Je lui dis qu'un ami va arriver dans quelques minutes et que j’attends de lui qu’il fasse un très bon travail en le suçant et en étant une très bonne salope mâle pour son plaisir pendant que je me régalerai en regardant. C’est très humiliant, et cela accroit son anxiété car il pense à la scène avant même qu’elle ait commencée. Puis je punis brièvement et légèrement ses testicules en les serrant, les secouant. En faisant ainsi, je lui dis que je lui administrerai une punition sévère aux testicules s'il n’obéit pas parfaitement, et je vérifie qu’il comprend bien !. Quand Alan arrive, je le salue à la porte et lui permet même de me donner un baiser bref sur la joue. Je titille mon esclave en lui disant des choses comme « Regarde chéri, Alan est là. Je sais combien tu étais impatient de le sucer ! ». Puis Alan et moi nous nous asseyons sur le canapé, pendant que mon esclave est à genoux devant nous. J’aime qu’il anticipe ce qui va se passer, alors que l’attente le tourmente. Après un moment, j’ordonne à Alan de se présenter et de ce mettre debout devant mon amant. Alan est aussi soumis et bisexuel actif/passif mais uniquement en soumission. Il n’aime pas qu’un autre homme le suce mais il vibre car il sait qu’une femme lui fait subir cela sur ordre. Alan se déshabille et présente son sexe à mon amant. Je le prend en main et oblige ma salope d’amant à le sucer et à lui lécher les couilles tout en leur disant ce qu’ils font et en les titillant à propos de ce qui va se produire. J’ordonne à Alan de frotter son sexe sur le visage de mon amant, puis sur ordre il le met entièrement dans sa bouche et j’ordonne à mon amant de sucer comme une bonne femelle. Je ne lâche pas et dis des mots humiliants sans merci alors qu’il suce le sexe, et je lui ordonne de sucer plus vite et plus fort, Alan reçois maintenant l'ordre de pénétrer le cul de ma salope. Puis il doit me remercier de lui avoir permis de sucer Alan. Généralement je renvoie Alan juste après la scène car regarder cela m’excite énormément et je veux exciter mon amant et avoir aussi des orgasmes. Je me sens très puissante d’obliger deux hommes à me divertir ainsi. Mon compagnon trouve ces sessions très humiliantes et il les déteste, moi j'adore bien sur et je suis la Maîtresse. J’aime le titiller sur sa façon de sucer et je le menace souvent de faire venir Alan pour une petite visite s’il n’est pas un bon esclave. Ce type d’entrainement a été très utile pour obtenir de lui une totale soumission. Je l’utilise environ une fois tous les mois ou plus souvent pour maintenir la bonne attitude soumise de mon amant, j'envisage un jour que ma salope serve de vide couilles avec plusieurs mâles actif !
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Par : le 26/06/21
Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait, mes cheveux étaient mouillés. Elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main, m'a attirée à elle, je me suis sentie soumise, sans volonté. Elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. Elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir. Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller. J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses. C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Sarah se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Patricia se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves. La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 24/06/21
Aux dernières heures de la nuit, quand elle est encore noire, avant l'aube, Juliette réapparut. Rares sont les soirées où elle n'éprouve pas l'irrésistible plaisir de maltraiter et d'user de sa jeune soumise. Elle alluma la lumière de la salle de bains, en prenant soin de laisser la porte ouverte, faisant ainsi un halo de lumière sur le milieu du lit, à l'endroit où le corps de Charlotte, nu et attaché, déformait les draps de soie, recroquevillé et contrainte. Comme elle était couchée sur la droite, le visage vers le mur, les genoux un peu remontés, elle offrait au regard sa croupe hâlée sur la soie grise. Tremblante de froid, elle avait attendu sans mot dire. Il lui parut naturel de la préparer ainsi dans sa condition d'esclave marquée et fouettée afin qu'elle fut prête. Juliette eut soin à plusieurs reprises de lui renverser les jambes en les lui maintenant en pleine lumière pour qu'elle pût la voir en détail. Sur son ventre lisse, le tatouage portait en toutes lettres qu'elle était sa propriété. Charlotte gémit plus d'une heure sous les caresses de sa maîtresse. Enfin les seins dressés, elle commença à crier lorsque Juliette se mit à mordre lentement la crête de chair où se rejoignaient, entre les cuisses, les fines et souples petites lèvres. Toute la résistance et le timide refus de son appréhension avaient disparu. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses dents, et la fit crier sans relâche, jusqu'à ce qu'elle se détendît d'un seul coup, moite de plaisir. Juliette était aussi attirante et hautaine dans le plaisir qu'elle recevait, qu'inlassable dans ses exigences. Ni le plaisir qu'elle avait pu prendre la nuit ni le choix qu'elle avait fait la veille n'influaient sur la décision. Charlotte serait offerte, dans les pires conditions auxquelles elle serait confrontée. Elle ne survivrait que pour elle. Qu'à être offerte elle dût gagner en dignité l'étonnait; c'est pourtant de dignité qu'il s'agissait; sa bouche refermée sur des sexes anonymes, les pointes de ses seins que des doigts constamment maltraitaient, et entre ses reins écartés le chemin le plus étroit, sentier commun labouré à plaisir, elle en était éclairée comme par le dedans. Se soumettre, désobéir, endurer, alternances délicates auxquelles elle ne voulait plus se dérober. L'abnégation d'elle même qu'elle conservait constamment présente. Elle avait compris qu'il ne s'agissait plus seulement d'amour mais d'obéissance. Le lendemain, elle fut mise à rude épreuve. On lui banda les yeux avant de la lier à une table, jambes et bras écartés. Juliette expliqua seulement aux hôtes invisibles que sa bouche, ses seins et particulièrement les orifices de son corps pouvaient être fouillés à leur gré. Des hommes s'approchèrent d'elle, brusquement des dizaines de doigts commencèrent à s'insinuer en elle, à la palper, à la dilater. Juliette interrompit la séance qui lui parut trop douce. Elle fut détachée pour être placée sur un chevalet. Dans cette position infamante, elle attendit quelques minutes avant que des sexes inconnus ne commencèrent à la pénétrer. Sans trahir un quelconque sentiment, elle était ravalée au rang d'objet, muet et servile. Elle fut fouillée, saccagée, malmenée, sodomisée. Elle était devenue une chose offerte et béante. Puis elle fut ramenée dans le salon où les hommes attendaient déjà son retour. Les yeux de nouveau bandés, nue droite et fière, Juliette la guida vers le cercle d'hommes excités et ce fut elle qui s'agenouilla pour prendre leur verge dans sa bouche, l'une après l'autre, jusqu'à ce qu'ils soient tous parvenus à la jouissance et se soient déversés sur son visage ou sa poitrine offerte. Souillée de sperme et de sueur, on l'envoya se laver. La salle de bain était vaste et claire. Juliette la rejoignit pour assister à sa toilette intime. Elle était accompagnée de deux hommes. Avant qu'elle ait eu le temps de se doucher, ils urinèrent sur elle en l'éclaboussant chacun d'un jet dru et tiède. Elle tourna sur elle-même afin que chaque parcelle de son corps reçoive leur ondée. L'excitation qui en résulta donna l'envie d'offrir le spectacle de sa soumission. Elle fut contrainte de se mettre à quatre pattes et de s'exhiber sans aucune pudeur, accroissant ainsi l'exposition des orifices les plus intimes de son corps. Après un minutieux nettoyage, sa maîtresse lui ordonna de s'habiller pour aller dîner. Elles allèrent dans un club échangiste pour achever la soirée. Outre son harnais et une ceinture de chasteté, Charlotte portait un bustier en cuir, des bas noirs et une veste en soie de la même couleur laissant entrevoir son intimité. Un collier de chien ciselé de métal argent serti d'un petit anneau destiné au mousqueton de la laisse donnait à sa tenue un bel effet. Juliette l'amena en laisse jusqu'au bar. Elle la fit monter sur une table haute où lui fût administrée une violente fessée qui empourpra ses reins; un esclave mâle fut requis pour lécher et apaiser sa croupe; on glissa sur sa tête une cagoule emprisonnant la nuque et aveuglant ses yeux, ne laissant passer l'air que par une ouverture pratiquée au niveau de la bouche de façon à ce qu'elle soit offerte; un homme lui baisa la bouche, sa gorge lui servant d'écrin; excité par le spectacle de la fellation, un autre décida brusquement d'utiliser ses reins. Il s'enfonça en elle sans préliminaire pour faire mal. Comment éprouver la satisfaction insane d'offrir son corps ? La seule raison d'être de Charlotte est de se donner sans réserve, sans rien attendre en retour que de mériter le rang et le titre d'esclave choisie parmi toutes, pour ne rien regretter, pour ne susciter aucun reproche et par fierté et par orgueil. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 24/06/21
Le jour J était enfin arrivé, Paris gare de Lyon destination Montpellier. Après environ 3h30 de Tgv, j'arrivais dans cette très jolie ville du midi de la France. J'accoste un taxi et l'invite à me transporter à l'Hotel. J'ai comme le sentiment qu'il connait l'établissement et m'adresse un petit sourire moqueur. Je n'ose aller à l'accueil.... Un homme, la quarenteine me reçoit - Bonjour, votre nom s'il vous plait ? - Yann - Entendu, réservation 3 semaines, c'est votre première fois ! Veuillez déposer votre valise derrière le comptoir, durant votre séjour elle ne vous servira à rien. Déshabillez vous complètement. Mon coeur bat à cent à l'heure, je suis à peine arrivé, j'ai à peine prononcé trois mots, je suis déjà sous l'emprise de cet homme. Sans résistance, je retire mes vêtements. Sans pouvoir me contrôler, sans savoir pourquoi, une légère érection me comble de honte. - Bon on va pouvoir te poser ta cage,..., ici tu n'auras pas le droit de bander sans autorisation, mais bon, à présent j'ai l'habitude de m'occuper des petits branleurs de ton espèce. Sans avoir le temps de souffler, il me pose des menottes dans le dos, m'attrape par les couilles, m'attire dans une petite pièce voisine. Je reçois une gifle, ma bitte est plongée dans une espèce de saladier rempli d'eau gelée avec glaçons. Je débande très rapidement et mon sexe reprend la taille de celle qu'il avait quand j'étais petit enfant. Cet homme, m'informe être Leon, le concepteur de ma cage de chasteté.. Cette dernière m'est rapidement imposé et épouse parfaitement les courbes de mon pénis réduit au repos. Je n'ai jamais autant ressenti une honte pareille de ma vie. - Je termine quelques derniers réglages et te voilà encagé pour trois semaines minimum. Nous allons à présent rejoindre le bureau de la Directrice qui est aussi mon épouse. Suis moi. Entièrement nu, à peine arrivé depuis moins de 30 minutes, les mains attachés dans le dos, je suis celui qui m'a posé à l'instant une cage de chasteté. Après avoir traversé plusieurs couloirs, Leon frappe à une porte. - Entrez indiqua une voie féminine. - Ahhhh, voilà notre petit nouveau, ...., yann, c'est bien cela ? - oui en effet, je suis Yann de Paris et ... - Tout d'abord, jeune homme, ici, avec moi ce sera 'Madame' et tu ne parleras qu'après autorisation. Mort de honte, à poil devant cette parfaite inconnue, en cage, les mains dans le dos, je ne pouvais que répondre. - .... Oui Madame - Parfait !!!! Je suis Emmanuelle, l'épouse de Léon, j'ai hérité de cet établissement qui malheureusement a failli faire faillite. Un jour, avec mon époux nous avons décidé du concept de cet hôtel unique au monde. Ici les touristes masculins sont dans l'obligation de porter une cage de chasteté qui contrôle leurs sexualité et tout au long de votre séjour la nudité y est obligatoire. Certains, comme toi, viennent seules. D'autres passent leurs vacances avec leurs épouses mais doivent suivre le même règlement. Il existe trois types d'hommes ici. Le touriste, alors la seule règle infligée est la nudité et le port de la cage. Les soumis, en plus de devoir vivre nus et de la cage, ils doivent également m'obéir en tout. Et les esclaves, ces derniers sont alors assujettis à toutes les femmes qui résident à l'hôtel.Je t'invite à m'indiquer dès à présent à quelle caste tu souhaites appartenir. Ses yeux sont rivés sur moi et attendent une réponse. Je ne sais quoi dire, je n'ai jamais pensé à tout cela. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que mon sexe veut sortir de cette cage avec une naissante érection. J'espère que cette femme ne va pas s'en apercevoir. J'ai, il est vrai, toujours fantasmé sur la soumission. Aucun son ne sort de ma bouche. - Alors que décides tu ? On va pas y passer la nuit. Elle se saisit de mes testicules. - Répond de suite ou je t'arrache les couilles. - Arghhhhhhh, ....., C'est alors, sans même avoir réfléchis, que je lui avoue accepter être en plus d'être un touriste, devenir aussi son soumis. - Très bien, ainsi tu resteras parmi nous durant les trois prochaines semaines, mon époux a confisqué jusque là ta valise devenue inutile, tu devras vivre nu, en cage et surtout m'obéir durant ton séjour. Puisque tu as choisis la soumission, en plus de la cage, mon époux va te poser un collier. C'est ainsi, tenu en laisse, que Monsieur Leon m'emmena à ma chambre. Cette dernière était très simple. aucune armoire, je pus observer la présence de nombreux mousquetons aux murs. - Puisque tu as choisis la soumission, lorsque tu seras ici seul, afin d'être sur que tu ne puisses pas utiliser tes mains, la nuit, tu seras attaché. Pour tes besoins, je t'emmènerais aux toilettes. Tu prendras tes repas dans la salle réception et toujours accompagné d'une tiers personne. Il commence à se faire tard, je vais te préparer pour la nuit. En plus de Madame, tu me dois aussi entière obéissance. Je n'en croyais pas mes oreilles, en si peu de temps, j'étais déjà dressé. Monsieur Leon m'emmena aux toilettes et la mort dans l'âme je dus me soulager devant lui. Il m'emmena à la douche et cette fois j'eu les mains attachés sous la pomme. C'était la première fois qu'un homme s'occupa de ma toilette au moyen d'un gant savonneux. - Ici, ceux qui ont fait le choix d'être soumis, doivent également passer leurs nuits avec un plug. Pour ta première fois, je vais t'en placer le plus petit. Son doigt me farcit alors mon anus d'un gel, puis m'introduisa le soit disant plus petit plug de sa collection. Je fus alors couché, les mains attachés à la tête de mon lit, en cage de chasteté avec un plug dans mon cul jusque là encore vierge. -Dort bien, je viendrai te chercher à 8h pour ton petit déjeuner, bonne nuit yann !
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Par : le 24/06/21
Quel doux plaisir et quel satisfaction divine de voir une soumise naitre et prendre un collier. Elle si forte et indépendante de nature, une battante. Elle femme fatale, à en damner, faisant tourner bien des tète à tournoyer sa jupe immaculée sous les premiers rayons de soleil rendant fier son maitre. Qui aurai cru que cette chienne lubrique aurait pu accepter mon collier il y a quelques temps désormais ? Personne et pourtant ce fut une évidence lorsque nos regards se croisèrent. Une étreinte intense s’en suivit ou le maitre senti la femme forte qu’elle était glisser et renaitre en tant que chienne lubrique, dévouée, corps et âme au fur et à mesure des coups de rein qui la pilonnais, que les cris de plaisirs résonnèrent, que cette ceinture lui cinglait la croupe. Une croupe s’offrant encore plus à chacune de ces caresses de cuir. A ce moment-là elle comme moi savions que le contrat était scellé. Et que bien des plaisirs aller découler de son abandon, de sa renaissance.
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Par : le 24/06/21
Charlotte était allongée près de moi et je ne pouvais penser à meilleure occupation que de la dévorer des yeux. Le soleil du matin qui entrait par raies obliques entre les lamelles du store rehaussait le brun luisant de son corps. Elle était assoupie sur le ventre. Le haut de ses bras étirés au dessus de sa tête était bronzé, ses aisselles blanches. Je glissai un doigt sur la courbe sinueuse de son dos et sa peau satinée se couvrit d'un frisson. Elle était grande et très brune. Une femme idéalement belle. Bientôt, mon regard s'attarda sur ses cuisses écartées et immanquablement, une tension sourde s'empara de moi. La mer et le soleil l'avaient déjà dorée davantage. Ses cheveux, ses sourcils, et ses reins semblaient poudrés d'or, et comme elle n'était pas maquillée, sa bouche était du même rose que la chair rose au creux de son ventre. De mes lèvres, je léchai sa peau en dessinant ses omoplates avant de laisser glisser le majeur jusqu'au creux de ses reins. Je frôlai l'œillet secret qui déjà cédait aux effleurements. Fugacement, la tension se relâcha, les chairs se distendirent, pour se raffermir aussitôt ainsi brusquées, comme après une étreinte immonde. Mes doigts contournaient les formes plissées qui sertissaient l'anus. Ils lissèrent les veinules lentement, les unes après les autres, consciencieusement. Je la vis qui approuva d'un mouvement de reins, une cambrure pour l'instant étudiée, maîtrisée. Rien du domaine de l'abandon. Ils se confinaient encore dans la séduction. Ou en tout cas, le crut-elle. L'amante ne trichait pas. Elle n'était que sexe. Mais je l'imaginai elle, bien trop jeune pour le savoir. Bientôt l'anus ne se défendit plus. Il rougit en acceptant, s'humidifia, larmoya une liqueur d'acquiescement, frémit au moindre toucher et enfin sursauta. Je ressentis la naissance d'une jouissance s'inscrire dans les va-et-vient de ce ce trou qui appelait. La sève s'écoula et lubrifia l'orifice pour permettre le passage. Voilà, elle ne joue plus, elle le sait. Elle peut maintenant tout imposer, froidement, à ce corps qui ordonnait l'intromission. Je supposai qu'elle aimerait être capable de hurler les mots et les actes qu'elle attendait. - Un doigt. Enfonce. Juste là. Non pas si vite. Ressors. Reviens lentement. Un doigt. Au bord. Juste un peu plus loin que l'extrémité. Arrête lorsque tu sens ton doigt happé. Là. Oui. Voilà. Pas plus loin. Elle marqua un temps parce que le plaisir surgit, intense. Je l'entendis s'essouffler. - Caresse l'intérieur du pourtour comme si tu voulais dessiner un cercle. Elle mouilla ses lèvres, en prononçant ces mots. - Ressors maintenant et ose deux doigts. Doucement. Non. Laisse-le t'accepter, pourquoi forcer ? Elle se rembrunit, chercha à dégager son visage d'entre les draps. L'amante s'irritait parce qu'elle ne supportait pas l'affront d'un quelconque échec. Elle savait. Elle voulait savoir, ne rien apprendre de sa partenaire. La douleur vive s'était évanouie alors je la vis qui hésitait. Devait-elle reprendre le fil de ses paroles susurrées ? Allait-t-elle l'accepter ? Elle désirait la faire oser pour elle, pour qu'elle puisse dérouler le fantasme d'une femme. Une femme objet. Bien sûr, il est à craindre que pour une autre, cela ne se passerait pas comme cela. Elle se tairait. Mais Juliette la voulait obscène, pour mieux la prêter. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses doigts. Elle reprit: - Enfonce le doigt et viens forcer l'anneau en faisant rouler l'index sur le majeur. Oui. Comme ça. Doucement. Sens-tu ? Il s'ouvre. Il courtisait ses hôtes, il les choyait, savoureusement. Le giclement séminal accompagna les mots venus se fracasser comme une éclaboussure. Le cœur s'était déplacé au fondement du corps. Il battit, se contracta et se rétracta comme l'aorte qui donne vie. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. Je sentais la jouissance envahir Charlotte peu à peu. Le désir brûlait, et retombait, suspendu à la prochaine salve. L'amante fut à cet instant forcément animale. Elle exigea tout, tout de suite. Elle écarta les doigts et en introduisit subrepticement un troisième. Là, la femme soumise s'attendit à ce qu'elle eut exigé un quatrième puis un cinquième. Elle se trompait. Mesurait-t-elle seulement combien, elle se trompait ? L'amante est toujours dans l'inconcevable. La prouesse n'est bien souvent qu'un détail. Elle l'empala d'un mouvement violent pour se caler en terrain conquis, profondément. Le cri résonna en écho venant lécher les parois d'une chambre que l'on imaginait forcément sombre. Les murs étaient d'un blanc clinique; un matelas flanqué à même le sol pliait sous les corps nus, brunis par le soleil, soudés. Charlotte ressentait un véritable dégoût à ne pouvoir contrôler l'orgasme lancinant qui montait en elle. Maintenant, elle allait supplier. - Oui. Enfonce encore. Plus. Je voudrais tout. Non, tout. La main, le poignet, le bras. J'aimerais connaître cela. Les chairs résistèrent, se plaignirent, s'insurgèrent puis craquèrent, obéissantes. Elle desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. La jouissance sourde venait de loin, d'un tréfonds dont elle ne soupçonnait pas l'existence. Elle hurla de désir. Qu'elle voulait le poignet. Qu'elle voulait plus encore. Qu'elle irait le chercher, elle même si Juliette ne cédait pas. Je vis bientôt la fureur s'emparer de son corps, et le vriller, l'hystérie libérer toute l'énergie de l'organisme. D'un mouvement brusque, le poignet venait d'écarteler ses reins, elle avait joui. Charlotte se laissa aller, les yeux fermés, dans un rêve, ou tout au moins dans le crépuscule d'un demi-sommeil d'épuisement. Elle se trouvait heureuse de compter assez pour Juliette, juste pour qu'elle prît plaisir à l'outrager. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/06/21
Envie de vous revoir Envie de vous retrouver Vous m'apprendrez des pratiques osées Doucement pour ne pas m'effrayer Je me ferais douceur le soir Conservant cette lueur d'espoir Sur mon corps, vous tracerez votre sceau Avec hâte, je viendrais vers vous A vos pieds, debout ou à genoux Vous serez Le Maître aimé D'une bourrique passionnée Sur mon corps vous graverez votre sceau Puis l'heure viendra, ou je me soumettrai A vos désirs, même si une larme je verserai Je serais alors votre soumise dévouée Pour que vos plaisirs soient comblés Vous possédez les clés de ma soumission le 30 aout 2016
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Par : le 20/06/21
L'initiation Chapitre 6 : Croisement   Le second Jack Daniels commençait à me faire oublier l'inconfort de la banquette aux formes torturées. J'aimais le bruit du glaçon que je faisais machinalement tourner dans mon verre. Mon regard comme celui du reste de la population masculine de l'assemblée avait du mal à se détacher de la créature assise nonchalamment sur le tabouret en cuir du bar. Elle n'était pas que sublimement belle. Elle n'était pas qu'un sosie de Monica Bellucci incarné. Elle ne portait pas qu'une vêtue tout droit sortie de mes fantasmes. Non, elle possédait une rarissime qualité: une classe folle. Beaucoup d'autres qu'elle n'auraient eu l'air que d'une fille de petite vertu dans cette tenue délicieusement indécente. Elle, c'était la sensualité faite femme, la définition même du sex-appeal. Et elle le savait.     Je l'avais remarquée dans la rue déjà, m'approchant de ce club parfaitement inconnu. De dos, sans la voir. Sa démarche de mannequin, assurée, naturelle malgré ses bottines noires aux talons largement plus hauts que la moyenne avaient captivé mon attention. Ses bas noirs à couture également. Ses longs cheveux de jay flottaient au gré de son pas chaloupé sur son trois quart sombre. Je bénis le ciel qu'elle aille, pour quelques secondes au moins dans la même direction que moi. Elle semblait marcher sur un fil, sachant en outre parfaitement où elle allait, d'un pas serein.     Les battements de mon muscle cardiaque se sont accélérés quand elle s'engagea sous le porche qu'un ami m'avait indiqué. « Tu verras, l'immeuble est banal. Le nouveau club installé au rez-de-chaussée et en partie au sous-sol beaucoup moins. L'entrée est non seulement hors de prix mais en outre la clientèle soigneusement sélectionnée ». De fait après avoir franchit le barrage du portier puis le seuil du lieu après qu'une hôtesse outrageusement décolletée m'eût délesté simultanément de ma veste et de quelques billets, j'avais eu l'impression de pénétrer le saint des saints. Dire que certains feignent de croire qu'un minimum d'argent ne fait pas le bonheur...    C'est l'infarctus cette fois que j'évitai de justesse lorsque l'inconnue confia devant moi son manteau au vestiaire. Un demi sourire qui n'était en rien de la gène mais plutôt un amusement devant l'air niais que je devais avoir éclaira son visage lorsque délestée de sa protection contre le froid elle m'apparut uniquement vêtue d'un corset en cuir noir, de gants qui lui remontaient au coude, et de bas de soie noirs -un trop rare délice à l'oeil- reliés à son corset par 3 jarretelles. Sa peau blanche, presque laiteuse tranchait avec le rouge et le noir d'un entrelacs de roses tatoué sur son épaule droite. Il rappelait le carmin qu'elle avait soigneusement appliqué sur ses lèvres fines. Un mélange incongru mais terriblement sensuel de blanche neige et de Mata Hari. A sa démarche souple et féline lorsque elle s'éloignait feignant d'ignorer l'incendie qu'elle venait d'allumer, j'aurais juré qu'elle avait fait de la danse. Chapitre 5: Le lieu du crime Après avoir visité le rez de chaussée doté outre un vaste espace bar et d'un coin salon, d'une petite piste de danse, je m'étais assis sur cette banquette traumatisante pour mon auguste fessier. J'aurais été incapable de l'approcher. Tétanisé sans doute par un enjeu qu'il me plaisait d'imaginer à la hauteur de sa plastique parfaite. L'idée d'une Monica Bellucci de 25 ans , bien que je fusse passablement peu doué pour ce jeu de d'attribuer un âge à autrui- me revenait à la vue de profil de son somptueux 95C. J'admirais ses bottines en cuir vernis, lacées sur le devant, mettant parfaitement en valeur ses jambes fines, élégamment gaînées de ces bas voiles qui s'assombrissent comme d'une jarretière au fur et à mesure que l'on approche du Saint Graal...  A la serveuse qui se déplaçait de table en table je commandai cet alcool comme pour me redonner contenance. Cette dernière pourtant fort jolie et sexy dans sa courte et décolletée robe ivoire était transparente. Les jambes de ma Diva retenaient toute mon attention ; fines mais musclées, délicatement galbée, comme j'adore. Elle était sportive, j'en étais convaincu. J'en étais là dans ma pseudo analyse Sherlock Holmesque lorsque qu'un indésirable visiblement moins sur la retenue que moi l'aborda. Je dis indésirable, pour moi cela va de soi, étant évident désormais que quiconque parlerait à la déesse deviendrait de fait mon ennemi mortel. Mon incongrue jalousie étant renforcée par le fait que le mâle tentant sa chance était élégant dans son costume sombre et plutôt bien fait de sa personne. Je ne saurai jamais ce qu'elle lui répondit mais les talons qu'il tourna rapidement eurent le mérite de me dessiner un sourire d'une oreille à l'autre.  Pendant la demi heure qui suivi une demi-douzaine de pourtant dignes représentants de l'espèce mâle tenta sa chance, tous sans le moindre succès. Le plus méritant du tenir à ses coté 5 minutes, dont les 3 dernières sans le moindre mot ni regard de la belle. Finalement le scénario m'amusait, un peu sadiquement je l'avoue. Assez lâchement également j'en conviens vu que je n'étais pas suffisamment suicidaire pour courir moi aussi au désastre. Une icône inaccessible sortie des magasines...  La situation semblait aussi amuser une femme à quelques mètres de moi. Sans grand intérêt à vrai dire ; des traits fins pourtant, mais les affres du temps qui ne nous épargnera pas non plus, l'avaient affublée de quelques rondeurs pas forcément disposées aux meilleurs endroits. Une opulente poitrine certes, mais une opulence disons un peu généralisée. Sa robe stricte, aux genoux, au col ras de son cou était certes classe mais pas franchement un appel au viol. Pourtant elle dégageait quelque chose d'attirant ; sur l'instant j'aurais néanmoins été incapable de dire quoi. Peut-être son chignon impeccablement tiré ; tout sur elle était parfaitement ordonné. Elle sirotait tranquillement un alcool blanc, une vodka peut-être.  Deux couples et quelques femmes seules commençaient à prendre possession de la piste de danse. Sur la banquette à quelques encablures, deux femmes goûtaient visiblement avec plaisir aux lèvres l'une de l'autre, sous l'oeil égrillard de leurs conjoints respectifs. Visiblement l'affaire fut rapidement conclue, l'un des hommes entraînant sa moitié vers un court couloir donnant sur des marches descendant à priori vers un sous-sol, suivi par l'autre couple se tenant par la taille. Dur statut que celui d'homme seul dans ces lieux. Certes je découvrais cet endroit récemment ouvert, mais ce genre de club ne m'était pas inconnu. Depuis une bonne dizaine d'années. Généralement je les fréquentais avec ma conquête du moment, parfois seul, avec des fortunes il faut bien l'avouer assez diverses. J'en étais là de mon apitoiement sur mon pauvre petit sort lorsque le fantasme incarné fit mouvement. Chapitre 4: L'allégeance Elle entama quelques pas sur la piste, jouant avec une barre de Lap Dance sous le regard à la fois agressif, exaspéré, désespéré et il faut l'avouer envieux des représentantes de la gente féminine présentes. Sentiments probablement accentués par la bave coulant aux commissures des lèvres des mâles présents, auxquels je ne faisait pas exception. Elle n'était donc pas que sublimement belle, son corps ondulant avec une grâce infinie. Danseuse disais-je ? Rapidement elle se dirigea vers cette femme proche de moi et s'agenouilla à ses pieds sans mot dire, tête baissée, semblant lui tendre son cou gracile. Sans même un rictus de victoire qui n'eut pourtant rien eu d'exagéré celle ci y fixa un collier métallique de soumise. Elle la regarda avec une visible tendresse , lui caressa la joue en lui murmurant quelque chose d'inaudible sous la musique de fond.  Certains mâles semblaient désespérés, d'autres rassurés quant à leur pouvoir de séduction en découvrant que dès le départ ils n'avaient pas l'once d'une chance. Cette attelage hétéroclite, la maîtresse devant probablement avoir l'âge de la mère de la soumise, la première avec un physique et une tenue relativement banale alors que la seconde mériterait de faire la couverture de Playboy pour les 1.000 prochaines années, étrangement me parut parfaitement assorti. Presque une évidence. Je les comprenais, toutes les deux. Leurs différences complémentaires sans doute ajoutaient la pointe pimentée qui plaçait de cette relation dans le haut du panier de mes fantasmes. J'étais pourtant totalement novice dans ce type de relation qui m'attirait beaucoup, essentiellement par son coté fétichiste. Ces tenues, matières avaient toujours provoqué sur moi des effets étranges... En l'absence d'internet à l'époque et son flot d'information, j'ignorais tout en revanche du coeur de cette connexion si particulière.  La jeune femme resta un moment ainsi, finissant par poser sa tête sur les cuisses de sa maîtresse qui ne semblait pas prête à galvauder la fin de son verre. Celle-ci ne se privait pas, en caressant les longs cheveux de jais de proie, d'observer son environnement, plus par curiosité que par provocation. Je crois que c'est cela qui me fit le plus d'effet. Sobre dans la victoire, la marque des grands. Les questions se bousculaient dans ma petite tête tandis que j'observais ostensiblement la superbe croupe, absolument pas protégée par son string noir. J'étais abasourdi par le fait qu'elles aient toutes les deux été capable de jouer, feignant de ne pas se connaître, devant cette assemblée plus que troublée. Bien vu, bien joué. J'arborais un inexplicable sourire, d'une encore moins explicable tendresse à leur égard. Alors que désirs ou jalousie était plutôt la norme alentours. Je ne remarquai le pourtant imposant sac posé à coté de la maîtresse que lorsque elle s'en saisit en se levant. Point besoin de laisse, sa soumise la suivit avec un plaisir non dissimulé, prenant le chemin des catacombes. J'étais précisément en train de me dire qu'il me fallait absolument visiter plus avant les lieux que plusieurs mâles visiblement prêts à échanger sans drame un statut d'acteur pour celui de voyeur (faute de grives...) me devancèrent, s'engouffrant à leur suite. Chienne de vie. Le passage opportun de la serveuse me décida à changer de fesse sur cette maudite banquette et à recommander la même chose.   Il me fallut un bon quart d'heure pour remettre mon cerveau à peu près en état de fonctionner quand le coup de grâce arriva. J'en était à regarder enfin les autres présentes et à me dire que finalement , certaines méritaient un certain intérêt pour ne pas dire un intérêt certain, que la maîtresse remonta seule. Et vint s'asseoir sans l'ombre d'une hésitation à mes cotés. Mon regard ahuri du l'amuser un instant. Que voulait-elle? Je ne l'avais pas vu me regarder auparavant. Elle ne se départit pas de son sérieux pour autant en me posant cette question hallucinante: serais-je capable de respecter ses consignes et de lui obéir absolument strictement, condition sine quanon pour entrer momentanément dans leur univers. Je ne m'entendis pas répondre, ou peut-être prit-elle mon étranglement pour acceptation, toujours est-il qu'elle me dit sur un ton qui n'appelait ni réponse ni discussion: « suis moi ». Chapitre 3: Hypnotique Dire que j'étais fier comme Artaban en passant devant mes congénères atterrés est un euphémisme. Déjà en descendant l'escalier je me faisais l'impression d'être l'Elu. J'étais pourtant bien trop stressé malgré une ridicule apparente décontraction pour me la péter un minimum. On a tous notre heure de gloire parait-il, la mienne était visiblement venue. Un petit hall en bas donnait sur plusieurs couloirs, chacun abritant des pièces différentes, comme à thème. En suivant cette femme qui en imposait et semblait connaître les lieux comme sa poche, nous passâmes devant une salle vidéo, un glorihole, et divers « coins câlins », certains occupés, d'autres non. Des gémissements de bon aloi parvenaient de certaines alcôves.  Je ne me demandai pas longtemps où m'emmenait la Maîtresse en avisant plusieurs types attendant devant une porte désespérément close.  Elle s'arrêta devant, la mer semblant s'ouvrir devant elle. Elle me fixa: « à partir de maintenant, pas un mot si je ne t'ai questionné, pas un geste que je ne t'aie ordonné; aucune seconde chance, une seule sanction, la porte. Suis-je claire? ». Le fait qu'elle m'ait dit cela devant ces types dont certains arboraient un rictus aussi moqueur que jaloux me déstabilisa, ce qui était assurément son second objectif. Et peu compliqué à atteindre en outre tellement je me sentais flotter hors de mon corps. Dans un effort surhumain, je parvins à articuler « parfaitement clair »; c'est non sans un sourire vengeur et inutile vers les mâles destinés à rester dehors que je pénétrai dans cette salle à sa suite. Lorsqu'elle referma derrière elle, j'eus le sentiment que l'on venait de me passer les menottes. Sa soumise était là, immobile, assise sur ses talons, mains sur les genoux au centre de la pièce. Elle ne me regarda même pas. Rejet, indifférence, dans sa bulle de soumission? Mon questionnement intérieur fut interrompu par un signe du doigt de la Maîtresse, me désignant visiblement ma place. J'avais juste eu le temps de voir un chevalet derrière la belle, une croix de St André au mur, un anneaux auquel pendait une solide corde accroché au plafond que la maîtresse répondit involontairement à ma question. «Sophie est punie; elle déteste être observée en séance, qui plus est par un homme, elle qui, comme moi est purement lesbienne. Ta présence est donc une partie de sa punition». Si j'avais jamais rêvé d'être un cadeau... Le coup de grâce fut «à poil» ; je mis un certain temps à comprendre qu'il m'était destiné. Comme cette femme diabolique lisait en moi comme dans un libre ouvert, elle simplifia ma réflexion et nettoya mon esprit des centaines d'idées qui s'y carambolaient: "je déteste attendre ou répéter; je te rappelle que tu as toujours le choix". Ce n'est pas une hypothétique carotte qui s'annonçait que la certitude qu'il n'y avait pas autre chose de plus intelligent à faire qui me poussa à m'exécuter gauchement. Choix rapidement fait et tout aussi vite exécuté. C'est donc en tenue d'Adam que je m'installai sur une sorte de pouf en cuir rouge. Surtout ne pas poser la moindre question quant à la raison de la punition de sa soumise. Au moins n'aurais je pas de mal à me taire, assurément aucun son n'aurait pu franchir la boule au fond de ma gorge. Au fait pourquoi ma nudité ? Instaurer une sorte d'équilibre entre sa soumise et moi ? Se rincer l'oeil (quel prétentieux...) ? Gêner encore plus sa divine complice ? Participer d'une façon ou d'une autre ? Elle ne voudrait quand même me dominer au si, elle m'aurait demandé mon avis. Au fait, j'étais en train de faire quoi là à part lui obéir ? Tranquillement la Maîtresse sortit une cravache, un single tail, un martinet de son mystérieux grand sac, ainsi que des pinces et quelques sex-toys, sans oublier d'autres objets dont j'ignorais autant l'existence que l'utilité. Une sorte de balais commença alors entre les deux femmes, parfaitement réglé, absolument silencieux. La jeune femme se leva; sa maîtresse passa derrière elle pour défaire son soutient-gorge que je n'avais pas vu: en cuir noir aussi, se fondant avec le corset. Deux merveilles apparurent alors, à peine troublés par la loi de la gravité. Il me vint à l'esprit une autre réponse potentielle à mon questionnement : observer avec certitude l'effet sur moi produit. Chapitre 2: Dans le vif du sujet Privilège de la jeunesse. Injustice de la nature penseront d'autres. La façon dont elle enleva son string sur l'ordre de sa Maîtresse, se baissant sans fléchir ses jambes, la croupe tendue en ma direction eu un effet comment dire, Eiffelesque? Les tétons de la soumise furent amoureusement caressés, gobés, suçotés; je compris rapidement que l'effet recherché était loin d'une d'une intention de douceur,  mais pragmatiquement de faciliter la pose d'imposantes pinces japonaises sur d'appétissants tétons roses dardés. Sophie ferma les yeux en se mordant les lèvres lorsque son sein droit fut ainsi décoré. Nul attendrissement en vue de la domina qui équilibra le tableau sur le téton gauche. Après une caresse sur la joue de sa soumise, elle joua douloureusement avec la chaînette les reliant. Elle semblait admirer elle aussi cette poitrine somptueuse dont elle comptait bien user et abuser. Une caresse sous le dessous du sein me donna l'impression qu'elle voulait le soupeser ainsi paré. Imposants, ronds mais d'une absolue fermeté, je me serais aisément vu y apporter mon estimation personnelle. Dont elle n'avait bien entendu cure. Tournant autour de sa proie, elle multipliait les caresses, sur la croupe, sur le pubis totalement glabre de la belle. Elle finit par s'agenouiller devant elle, et après avoir embrassé ce mont de vénus si pâle, elle fixa deux autres pinces, plus petites sur chacune des lèvres. Je crus voir sa langue pointer pour goûter le résultat de son travail. Depuis le départ aucun mot n'avait été échangé. Un frisson me parcouru lorsqu'elle se saisit du martinet, me regardant. Mon visage inquiet devait lui dire  « non pas moi, il y a erreur, je ne suis que spectateur ! Privilégié, certes mais... ». Elle installa sa soumise les mains posées sur le chevalet, croupe tendue, jambes légèrement écart; cette dernière avait pris la position rapidement, semblant la connaître parfaitement. La maîtresse se tenait dans le dos de la belle, de sorte que celle-ci ne devait pas savoir ce qui l'attendait. Elle fut vite au fait de son futur immédiat lorsqu'un premier coup, que je jugeai assez violent pour le novice que j'étais, lui cingla la croupe, laissant une trace rouge. Sa peau blanche et fine marquait très vite. Elle devint en quelques minutes cramoisie sous l'avalanche qui s'abattait sur elle:  pas de brutalité, mais de la régularité, de la sérénité, un objectif bien précis. J'étais impressionné, la Domina enfin dans son élément irradiait étrangement désormais. Le ballet souple et coordonné de ses gestes précis, les lanières virevoltantes, les bruits secs. La belle se tortillait de plus en plus, dansant d'une jambe sur l'autre. Jusqu'à ce qu'une plainte sortit de sa jolie bouche. Un dernier coup fut appliqué entre ses cuisses... lui arrachant un véritable cri de douleur cette fois. Je me disais que la maîtresse devait se rendre compte qu'elle était allée trop loin lorsqu'elle cessa pour se diriger vers ses « jouets ». Elle en revint en fait avec un bâillon boule noire qu'elle fixa tranquillement, sa soumise ouvrant la bouche toute grande pour lui faciliter la tâche. Sa docilité me stupéfiait. Sans doute un long dressage... Elle reprit le martinet et c'est le haut du dos de Sophie qui fut cette fois durement marqué. Sa précision était diabolique, ses gestes sûrs et appliqués. Je vis une larme couler doucement sur la joue de la belle. Je me faisais presque violence pour ne pas bouger. La Maîtresse l'avait vu également. Elle l'avait même sûrement deviné avant moi. Elle repassa devant sa soumise, la regarda un moment, comme pour la jauger, essuya sa larme d'un revers de la main en souriant. Sans me regarder, toujours les yeux plantés dans ceux de la belle,elle lança: « va me ranger ça -me tendant le martinet- et ramène moi la cravache ».  Un instant interdit, tant par le fait qu'elle n'en était visiblement qu'au début de son œuvre que par le fait qu'elle s'adresse à moi, je m'exécutai rapidement. J'étais partagé entre le souhait de voir s'interrompre le supplice de Sophie qui devait vraiment souffrir, et l'envie égoïste de continuer à découvrir un spectacle aussi excitant qu'inédit pour moi.  Elle jouait avec la cravache sur le corps de mon fantasme incarné comme un musicien avec son archet sur un violon. C'était beau, enivrant comme un Gevrey-Chambertin; j'avais la sensation qu'elle pouvait en tirer le son qu'elle voulait. Pour l'heure il s'agissait de gémissements de plaisirs, déformés par le bâillon, lorsque l'instrument caressais lentement une peau qui semblait si douce. Lorsqu'elle passa entre les magnifiques cuisses de la belle, l'instrument ressortit luisant... C'est alors que le premier coup laissa une courte traînée rouge sur la fesse de la belle. Chapitre premier: la révélation La bave qui coulait aux commissures de ses fines lèvres carmin tombait sur ses seins. Obscène et aimantant à la fois. Sa croupe se striait de traces rouges foncé qui s'entrecroisaient. Pourtant rien de vulgaire, comme si sa classe et sa beauté fussent inoxydables, peu importe la situation. Ce spectacle pourtant trash , inédit pour moi, sonnait comme une révélation, comme si quelque chose émergeait peu à peu du plus profond de mon être. Un verrou sur un couvercle depuis toujours fermé venait de sauter. Mon avenir était dans ce monde, sans grande certitude quant à ma place. Evidemment bien davantage de questions que de réponses, mais quel immense espace de découverte s'ouvrait...  La Maîtresse recula de quelques pas; elle semblait contempler son œuvre, son coté artiste sans doute. Son inflexibilité intimement lié à une visible énorme tendresse pour sa complice m'impressionnait autant que la docilité de celle-ci. Le courage aussi de cette dernière. Encore que je ne savais pas trop s'il fallait parler de courage si elle recherchait ces sensations. Mes idées s'entrechoquaient, mes certitudes tombaient les unes après les autres ; par exemple quant les pinces furent enlevées c'est à ce moment précis que Sophie semblait avoir le plus mal. Un murmure à son oreille, une caresse sur sa joue, un baiser furtif sur ses lèvres, et la voilà attachée sur le chevalet par une corde. Nœuds rudimentaires mais efficaces ; les chevilles et les poignets en bas, sa poitrine s'écrasait sur le cuir usé. Sa croupe insolemment tendue était un véritable appel au crime. L'impressionnant plug en plastique dur et transparent dont la domina se saisit me confirma qu'au moins cet avis était partagé... J'aurais donné n'importe quoi pour qu'elle me fît participer à ce qui aurait pu ressembler à la récompense de sa soumise après les jeux d'impact. Mais c'est elle-même qui caressait le petit trou de la belle qui semblait enfin se détendre. Ces gestes tendres, sensuels, contrastaient avec la taille de l'objet qu'elle avait lubrifié avant de commencer à l'introduire de le fondement de sa proie consentante. Cela ne rentrerait jamais... Si. Un baiser sur la fesse, des doigts qui frôlent les lèvres et voici que la soumise entamait une plainte déformée par la bâillon. Le plug fut ressorti et rentré plusieurs fois, à chaque fois plus facilement. Ce n'était visiblement pas une première. La Maîtresse, qui semblait m'avoir oublié, caressait la belle, trouvant rapidement son bouton d'amour avec lequel elle jouait. Comme tout à l'heure avec sa cravache, elle semblait utiliser un instrument de musique. Obtenant de jolis sons... Sophie n'avait depuis longtemps plus le droit de ne jouir qu'ainsi, l'anus rempli.  Le plus hallucinant peut-être était que tout semblait naturel, j'allais dire «normal» si je n'exécrais pas ce mot. Oui on pouvait être impitoyable et tendre, oui on pouvait faire mal et donner du plaisir en même temps, oui on pouvait avoir une grande distance hiérarchique et une énorme proximité intellectuelle et affective... Sentiment étrange de découvrir autant de mes « certitudes » aussi rapidement qu'évidemment balayées, définitivement sans doute. Ce fut le moment que choisit la Maîtresse pour débâillonner sa soumise, sans doute parce qu'elle aimait l'entendre jouir. Un god vibrant se joignit bientôt au plug inerte, se frôlant à travers une frêle parois. La dextérité manuelle de la domina faisant le reste, ce fut bientôt une véritable symphonie qui bientôt empli la pièce.  Sophie haletante, en sueur, fut vite emportée dans une tempête de jouissance que sa Maîtresse organisait avec dextérité. Cette dernière me fascinait, gardant toujours sa maîtrise de soi, ne montrant rien sur son visage. Ses gestes aussi inflexibles qu'attentifs et tendres parlaient pour elle. J'aurais juré qu'il y avait de l'amour entre elles. Un hurlement emplit soudain la pièce. J'avais je n'avais vu un orgasme aussi intense, dévastateur. Et ce n'était pas fini... Prologue: l'ouverture Préciser l'état physique de votre serviteur me semble totalement inutile. Les pensées en revanche parvenaient à la vitesse grand V à l'infime partie de mon cerveau encore capable d'un semblant de réflexion. La domina envisageait-elle me faire participer autrement qu'en voyeur? Une fellation se Sophie en guise de punition finale pour sa soumise me semblait de plus en plus une excellente idée. Probablement qu'en  me concentrant très fort, la transmission de pensée ferait le reste... J'avais encore un peu de travail avec de devenir un véritable jedi. Le calme revenait peu à peu dans la pièce. La belle semblait émerger d'un quasi état de transe tandis que sa maîtresse caressait amoureusement son dos, ses cheveux, ses seins, sa croupe meurtie. C'est à peu près au même moment  que ma lucidité revint. A cet instant précis je me sentis furieusement de trop, comme gêné d'être là. Comme si la scène devenait tout à coup trop intime. On changeait d'univers. Je ne voyais plus l'utilité d'une quelconque participation et était plein de reconnaissance pour cette maîtresse femme qui avait ouvert tant de portes en moi, fait sauter tant de verrous. Sans jamais s'occuper de moi pourtant. J'avais le sentiment d'avoir vécu un instant incroyablement privilégié.  Convaincu que je devais les laisser seules pour partager sans moi cette intimité, je me levai et remerciai avec sincérité ces deux femmes. Je leur était infiniment reconnaissant et  le leur dit. Ma meilleur récompense fut un même sourire éclairant leurs deux visages. La domina me raccompagna vers la porte, instant pour que je la franchisse mes vêtements à la main, nu comme un vers. Pour la refermer aussitôt derrière moi non sans m'avoir glissé qu'elle était certaine que nous nous reverrions... C'est à ce moment précis que je compris ce que signifiait vraiment marcher sans toucher le sol.
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Par : le 16/06/21
Elle effleura des lèvres le duvet brun autour du pubis. Sous la peau souple et veloutée, les abdominaux se contractèrent à ce contact. Du bout de la langue, elle joua à en suivre les sillons. Un peu plus tard, le sexe de Xavier s'étirait comme après un long sommeil. Il se déroula paresseusement, se redressa un instant puis retomba contre le ventre mais sans cesser de grandir. Sarah observa la fascinante métamorphose de ce fabuleux objet de désir. Quelle chance pour les hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains liées dans le dos, de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins. Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusqu'à la commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la nuque de Sarah jusqu'à lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche. La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula. Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier. J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu, je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout. Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler. Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé. Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je la fouetterai, je la fouillerai. Tenaillée entre deux douleurs, elle hurlera en me suppliant. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à ce plaisir sadique de l'entraver. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/06/21
En accord avec Mr X , voici mon recit de la soiree avec sa soumise, Mme X, il y a qques années maintenant. Mr X voulait que je donne le point de vue du Dom lors de notre rencontre. Mr X et Mme X ne sont pas leur vrai nom évidemment. Mais je n'ai pas leur autorisation pour les nommer ici donc ce sera Mr et Mme X. Apres plusieurs echanges avec Mr X , nous avons convenu d'une date de rencontre a mon hotel. J'étais en déplacement sur la région parisienne à l'époque. Nous avons echangé nos mobiles pour que je donne mon numéro de chambre afin qu'ils me retrouvent. Je lui envoie a 19h. Il m'annonce qu'ils seront là a 20h. Le temps que je prenne une douche, il me demande comment je veux qu'elle soit habillée. Body échancré. Merci pour cette attention, Mr X. Puis 5 min plus tard, il m'envoie une photo d'elle a 4 pattes. 'Nous serons là dans 20min". Qu'elles m'ont paru longues ces 20 minutes ... 20 minutes apres, il frappe a ma porte. Mr X me presente Mme X, sous un long manteau. Il lui ordonne de l'enlever. Elle est a moitie nue, talons hauts et collants. Elle est superbe, lui dis-je. Je commence a pas mal bander ! Mr X me la presente, il lui explique ce qu'elle fait là, qu'elle me sera offerte, qu'elle est timide mais obeissante. Bien qu'il faille peut-etre la forcer un peu. Il lui demande de remonter son body pour nous montrer sa chatte bien lisse. J'en peux plus Il lui met un bandeau sur les yeux, lui sort les seins du body, et la plaque contre le mur devant une glace. Elle se laisse faire. Mr X la caresse, seins et chatte. Et la fesses. Puis il me donne la laisse et nous quitte. Je lui donne un billet pour qu'il se desaltere au bar en attendant. Me voila donc seul avec Mme X, le cul offert, les yeux bandés et les seins debordant de son body. Je me plaque derriere elle, tirant sur sa laisse pour qu'elle sente qu'elle est 'contrainte'. Je caresse ses seins, pince ses tetons, me frotte contre ses fesses nues. Je bande deja pas mal ... Je passe ensuite mes mains sur ses fesses, alternant entre carresses et fessées plus ou moins fortes. Je tire sur sa laisse pour qu'elle se retourne face a moi. Je glisse mes doigts dans son entrejambe. Son sexe est lisse, doux. Je glisse un doigt dans sa fente doucement. Puis je l'attire toujours avec sa laisse pour qu'elle se mette a genoux. 'Enleve mon pantalon', elle s'execute pendant que j'enleve ma chemise. Me voici nu, debout devant elle, ses yeux bandés. Je la prend par les cheveux pour la mettre tête au sol. Elle est cul face a la glace, entierement soumise. Elle est belle, bandante, offerte et fragile. Je me baisse pour lui caresser les fesses. 'Releve-toi', 'ouvre ta bouche' Je glisse mon sexe sur ses levres et m'enfonce dans sa bouche. Un delice. 'Occupe-toi de moi, utilise tes mains aussi' Elle s'empare de mon sexe et me suce. Elle humidifie en crachant dessus, bave abondamment. Je suis aux anges. 'N'oublie pas mes boules', elle se glisse sans hesiter sous mon sexe et leche, gobe mes boules. Sa langue est humide et glisse. Mon dieu, que c'est bon! Puis je veux voir ses yeux, je lui enleve son bandeau. Elle continue de me sucer en me jetant des petits regards de temps a autre. Je la sens timide et en meme temps, excitée et avide de sexe. Je tire de temps a autre sur sa laisse pour qu'elle se sente toujours chienne. Superbe... 'Leve-toi et allonges-toi sur le lit, je veux te voir te caresser' Elle glisse ses doigts sur sa chatte et se caresse devant moi. Je la sens presque gênée mais je sais aussi qu'elle est là offerte par sa volonté. J'apprecie le spectacle. Puis je me place devant elle et commence à la lecher. Je souleve ses jambes, ses fesses et glisse ma langue dans sa fente, j'aspire ses levres, gobe tout son sexe. 'Continue de te caresser pendant que je te leche'. Elle ondule sur le lit. Quel plaisr de voir cette femme prendre du plaisir, cela decuple mon envie de la prendre. Je n'en peux plus. Je prend une capote. 'Leche mes les boules pendant que j'enfile la capote' elle s'execute sans mot dire. Je fais durer le plaisir. 'A quatre pattes sur le lit' je me place derriere elle, et la penetre doucement. Puis sans menagement j'accelere le rythme. Je suis en elle. Je vais et viens selon mon envie: doucement, vite, brutalement, avec lenteur ... Je claque ses fesses. Elle gémit. Elle se retient, timide. Mais ses gémissements s'accélèrent... Je jouis mais ne m'arrete pas, je me couche sur elle...jusqu'a ce que je n'en puisse plus. Je me retire. 'Allonges toi sur le dos' je retire ma capote, pleine. Je lui etale sur les seins. Elle sourit. Les tetons humides, je lui dirige sa tete sur mes boules pour me rafraichir Elle engloutit mes boules, je râle de plaisir. Elle me suce enfin. 'Caresse toi de nouveau, le temps que je rebande pour te prendre encore' Je tire sa laisse pour l'emmener au milieu du lit. Je la leche de nouveau. Lui ecarte les jambes, la maintient ainsi. Je glisse mes doigts dans sa fente. Au bout de qqes instants, je lui ordonne de me sucer de nouveau pour qu'elle me prepare. 'Fais moi bander pour que je te prenne'. Je m'assois sur le bord du lit, elle se mets a genoux. Elle reprend mon sexe en bouche. Sa bouche est humide, mon sexe glisse entre ses levres, sa langue. A un moment, je sens ses dents. 'Je sens tes dents, fais attention. Appliques-toi' elle repart en humidifiant encore plus. Mon sexe est couvert de sa salive, elle descend sur mes boules. Elle s'applique visiblement. Une femme incroyable ! Enfin je me sens prêt a la reprendre. Je tire sa laisse pour la monter sur le lit, en position du missionnaire. 'Caresse toi, le temps que j'enfile ma capote' Puis je lui monte dessus, lui ecarte les jambes et je m'introduis. Je la penetre, elle n'ose me regarder. 'Regarde-moi quand je te prend' lui dis-je. Elle me regarde mais elle est vraiment timide. Elle ne tient pas son regard, elle me regarde de temps a autre, detourne le regard pour voir mon sexe entrer en elle. J'adore cette sensation. Quelle belle femme. Elle reprend ses gemissements. Je suis aux anges: l'entendre prendre son pied me redonne plus de vigueur, j'accelere ... Je la mets sur le coté, je serre ses jambes, se petite fente a mon regard. Je le retourne completement. La voila, allongee sur le ventre, je serre ses jambes encore, lui donne qqes fessées et je continue de la pilloner. Je suis en sueur, fatigué. Je me retire. Enleve ma capote. 'Viens me sucer pour que je jouisse sur ton jolie visage' Je me place de nouveau sur le bord du lit, je tire sa laisse pour qu'elle s'agenouille. Elle me prend en bouche rapidement. Elle est super excitée. Autant que moi certainement. Mme X s'execute, elle me leche, suce, me prend au plus profond de sa gorge. Je la force mais je sens que ce n'est pas necessaire Je lui remet son bandeau sur les yeux, mon sexe en bouche. Et elle reprend de plus belle. Elle glisse sur mes boules, sans que je lui demande. Mon sexe est couvert de sa salive, ses mains me masturbent. A force je n'en peux plus, je me lève, face a elle. Reprend mon sexe en main et jouis sur son visage. Elle est couverte de ma semence: levres, nez, joues, menton. Je me lache sur elle sans retenue. Elle esquisse un sourire timide. Je lui ordonne de ne pas bouger et la regarde avec bienveillance. Mr X m'envoie un sms pour que je lui renvoie Mme X dans qqes minutes. Enfin je me dirige vers la salle de bain, prend une serviette pour m'essuyer, et reviens vers elle. Elle n'a pas bougé. Je prend mon temps. J'aime ce spectacle de cette femme couvert de ma semence. Puis je lui tend la serviette pour qu'elle se nettoie. 'Nettoie ton visage et retourne voir ton maitre' Elle nettoie mon sperme, se releve et doucement remet son manteau. Elle se tourne vers moi 'au revoir monsieur' Deux minutes plus tard, je recois un sms de son Maître : 'elle remonte te rendre ta monnaie des cocktails' Nous avions prevu ce scenario ensemble. 'Garde la 5 minutes et renvoie la moi' A peine le sms recu elle frappe a la porte et avec une petite voix me dit 'mon maitre vous rend la monnaie monsieur' Je suis avec ma serviette autour des hanches, nu. 'Puisque tu es là, entre pour que je profite encore un peu de toi' Elle entre, et enleve son manteau immediatement. Pas eu le temps de lui demander ... coquine !! Elle est debout devant le lit. Aussi je monte sur le lit, enleve ma serviette. 'Suce moi encore' Elle n'hesite pas et me prend en bouche. Mon dieu que c'est bon. Je la prend par les cheveux, la guide mais elle sait faire... Puis comme prévu au bout de 2/3minutes, je la stoppe. 'C'est bon maintenant tu peux partir' elle reprend son manteau, s'habille, se retourne 'au revoir monsieur' et elle part. Voila ma soirée avec Mr et Mme X J'ai vraiment apprécié cette soirée pour plusieurs raisons. 1 . Mx X m'a fait entierement confiance. Je me suis senti a l'aise tt de suite. 2.  Mme X est une belle femme. Timide d'apparence mais seulement d'apparence. 3. Notre scenario etait convenu d'avance donc tt etait clair entre nous 4. J'ai pris mon pied, soyons clair comme vous l'imaginez. 5. Mr X m'a renvoyé un sms plus tard: Mme X était surexcitée après ce scénario. Nous nous sommes revus par la suite.  Mme X est devenue ma soumise régulièrement avec l'accord de son Maître.  Nous étions en confiance tous les trois. Mr X avait trouvé un ami, pas qu'un Dom, pour sa femme. Mme X pouvait être ce qu'elle voulait : être la soumise d'un couple d'hommes Et moi, j'y ai trouvé un couple incroyable, des moments délicieux et un lâcher prise. Note: photo prise du net
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Par : le 07/06/21
Bon, je sais. Compliqué d’écrire sur un sujet déjà abordé, surtout quant il l’a été par Méridienne. https://www.bdsm.fr/blog/6064/Litt%C3%A9rature-et-sadomasochisme-:-l'abn%C3%A9gation-dans-Histoire-d'O/ Alors, j’ai hésité. Mais comme j’avais déjà commencé à rédiger quelque chose, j’ai continué. Et puis finalement, je me suis dit, « tant qu’à faire, quand bien même je n’ai pas son talent à elle, autant publier aussi mon texte ». _______________ Je n’ai jamais aimé la littérature érotique. Je suis plutôt « classique » en matière de littérature. Le XIXè, le XXè. Chateaubriand, Hugo, Zola, les poètes du Parnasse, Rimbaud, Verlaine, Malraux, Bernanos, Georges Sand, Yourcenar, Beauvoir, Camus, St Ex, Gary. Les surréalistes aussi, Breton et tout particulièrement "Nadja", Eluard et "Liberté" publié clandestinement en 1942 dans "Poésie et vérité" et repris en 45 dans "au rendez vous allemand". Entre autres. La littérature contemporaine m’ennuie. J’aime les auteurs qui ont quelque chose à dire. Et pas seulement sur eux. J’ai commencé cinquante nuances. J’ai du m’arrêter à la 20è ou 30è page. Mal écrit, sans doute pour partie par un nègre (dans le sens d'écrivain en sous-traitance. Pas envie de me coltiner une plainte pour racisme par les adeptes du "politiquement correct" :smile:). Comme souvent ce type de « littérature ». Je n’ai évidemment pas acheté les différentes suites … ______________ Histoire d’O par contre a toujours fait exception à mes yeux. J’ai découvert le roman de Dominique AURY/Pauline REAGE quand j’étais ado. En même temps que le sexe et mon goût pour la soumission. Je l’ai dévoré en cachette. Bon, mes parents ne m’ont jamais interdit grand-chose, mais quelque part je craignais quand même qu’ils ne me questionnent à ce sujet. J’ai aimé le style, l’écriture, les mots. La manière dont ils étaient ciselés. Mais en même temps, le texte lui-même m’interpellait. La manière dont O était traitée, tout en étant toujours totalement consentante. La violence extrême de ce qui lui était infligé. Femme même pas objet, moins qu’un objet, utilisée, exploitée, prostituée. Et en même temps, son acceptation de ce qu’on faisait d’elle, son abnégation totale, sa dévotion pour ses « Maîtres ». Le tout dans un cadre feutré, des décors somptueux. ,_______________ A l’époque, je découvrais la soumission, avec un gamin de mon âge. D’une manière totalement différente, ludique. Dans une confrontation joyeuse où à la fin, c’est lui qui prenait le dessus. Mon côté « brat » (que j’ai quand même perdu un peu avec le temps). En tout cas, totalement étrangère au sado masochisme violent dont O était la victime consentante. Si tant est qu’elle fût réellement masochiste. _______________ Histoire d’O a été publié en 1954. D’abord proposé à Gallimard, qui l’a refusé pour cause de « pornographie », puis aux Editions des Deux Rives (nouveau refus), c’est finalement Jean Jacques PAUVERT qui en fût l’éditeur, avec un premier tirage, confidentiel, à 600 exemplaires. Les critiques d’emblée furent à l’image de l’œuvre : « à vomir » pour Mauriac, élogieuses de la part de Graham GREENE et Georges BATAILLE. Les éditions PAUVERT ont d’ailleurs été poursuivies pour « outrage à la pudeur » mais le procès n’a jamais eu lieu. L’année suivante, Histoire d’O obtint le prix des Deux Magots. _______________ Je ne serais jamais O. Tout simplement parce que tu ne pourrais être ni René et encore moins Sir Stephen. Ta vision de la femme, ta « dominance » reposent non sur la négation de la personnalité de « ta » soumise mais au contraire le besoin de la faire « grandir » dans la confiance et le respect. Et ton « sadisme » ne vise pas à satisfaire tes pulsions à toi (quoique 😊 ) mais au moins tout autant mes désirs. Parce que tous deux nous avons besoin du plaisir de l’autre. Pourtant, aujourd’hui, je me retrouve par certains aspects dans le personnage d’O. Ou du moins je la comprends mieux. Non pas dans les pratiques extrêmes qu’elle subit (même si j’ai connu le fouet grâce à toi), mais dans son désir, sa dévotion aux hommes qui la possèdent. Le caractère presque sacré de sa relation à eux. Quand bien même dans mon cas, de Maître, il n’y en aura jamais qu’un :smile: _______________ Lors d’une ballade récente, c’était en février, nos pas nous conduits au marché au livre ancien du square Georges BRASSENS. Et là, en flânant entre les étals des bouquinistes, je suis tombée sur le deuxième tirage (pas l’édition originale hélas, mais de 1954 quand même) d’Histoire d’O. Sans "Retour à Roissy" qui ne fût publié qu'en 1969. Evidemment, tu as voulu me l’offrir. L’ouvrage trône aujourd'hui dans notre bibliothèque. Peu importe désormais ce que les gens penseront. Je m’en fous.:smile:
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Par : le 02/06/21
Mes debuts dans la Domination avec Miss Pestouille Une journée  pas comme les autres écrite à quatre mains Beau souvenir Nous devons nous voir avec Miss Pestouille     Moi : Je suis dans le train. Je reçois un texto de la Miss Pestouille qui a loupé son train. Pffff,  Je ne suis pas étonnée,  elle va me faire attendre ENCORE UNE FOIS!!! Je lui promets une fessée, encore une. Je patiente en faisant les magasins et en la maudissant. Elle arrive vers moi, enfin!!! Toute mimi, en jupe, comme je lui ai demandé. La jupe est bien courte, on voit la lisière de ses bas....  Elle : (ben oui, quoi, jamais fichue d'être à l'heure, je sais, pardon ma Dame, mais je me suis dejà excusée plein de fois... comment ça, j'ai toujours des bonnes excuses?  mais non c'est pas pour avoir des fessées en rab... :p Elle :  cela faisait deux semaines que nous avions envisagées de nous voir, cela faisait un bon moment. ça nous changerait chacune les idées, on se fait toujours de ces parties de rigolade! nous deux dans un magasin bdsm, je me rappelle encore de la première chez D., on s'était faites repérées et disputées car ma Dame posait pour des photos salaces (avec le plus gros gode du rayon, impressionnant, c'est qui la gourmande?   et aussi elle essayait des martinets sur moi, me faisant cirer de... surprise, et bien rire un dom qui assistait à celà . je pensais venir en tenue décontractée, mais en discutant la veille avec ma Dame, elle m'interdit le jean :(, jupe obligatoire. En même temps, je lui ai confié vouloir un serre taille et quelques achats, un corset peut etre, si j'ai un coup de coeur! -après une nuit courte et agitée, ben oui, j'avais le trac, elle me fait un de ces effets, ma Dame! ça et les discussions sur le minou au soir, avec quelques filles, Msr L... toujours aussi agréable euh ronchon, K qui reclamait des photos, alors qu'Il ne veut meme pas faire honneur aux enchères!!  ;) et s'invitait presque au dejeuner, pour finir par se défiler (Il a affreusement peur du Maitre de ma Dame, je vois pas pourquoi!).  j'étais toute excitée moi. Lever difficile, je me suis préparée non sans mal, distraite par ma Dame qui me salue et papote sur le net. je me suis faite toute belle, vu que je La rencontrais de nouveau!!! lisse, crèmée, dessous sexy, ma jupe et mes bas, un pj, un top assorti, hésitant entre escarpins et bottes, je mets les dernières et emporte les autres! je fus chargée comme une bourrique, qu'elle blonde, ah non, la blonde c'est ma Dame, pardon faut pas que je dise cela :) ça m'a fait tout drole, frissonnant a un moment, on aurait cru que je me préparais pour aller voir mon Maitre, ben non marre des doms, qui tiennent pas le choc, je préfère me consacrer à ma Dame pour qui j'ai eu un vrai coup de coeur. l'heure tournant, je suis partie à la hâté, oubliant mon tel, pffff... j'arrive a la gare, le train part devant moi... aie, je m'étais promise de pas être en retard cette fois!) je préviens ma Dame et prend le suivant, pour enfin la rejoindre, toute embarrassée mais ravie. Qu'est ce que je vais encore ramasser^! Enfin, je la retrouve, la salue, l'embrasse. Ses levres me frolent , Ouf! j'ai cru que j'allais devoir m'excuser a genoux en public, mais elle a trop faim, elle m'en fait grâce... vite il faut contenter Madame. En marchant, ma jupe me pose souci, la doublure remonte, j'essaie maladroitement et genée, dans la rue, d'y remèdier. Dame Hydréane, ni une ni deux, passe sa main sous ma jupe pour tirer sur la doublure, oui tu parles. me voila surprise, toute rougissante! Moi : j'adore tu rougis si facillement Pestouille ...   Nous allons déjeuner dans une brasserie sympa où le serveur nous drague, nous disant qu'il nous a vues arriver , que l'on était classe ( ba oui les soumises sont classes, il croit quoi celui la). - Oui enfin surtout ma Dame, trop élégante et sexy, avec sa robe boutonnée de bas en haut, qui remonte quand elle marche, devoilant ses magnifiques jambes. Elle est toute appretée, faisant très naturelle en même temps, juste ce qu'il faut, très attirante, il a raison ce serveur^^ mais grrrr, pas touche! deja que je partage Madame avec Msr S ****** faut pas abuser! nous discutons de tout et de rien, confidences entre filles... dejeuner bref mais bon, Madame dit qu'on a pas que ça a faire, des achats surtout!  je suis, je n'ose La contredire.  Moi : Direction le magasin M. (merci le GPS intregré dans le téléphone de Pestouille qui nous a beaucoup aidées)...  - Elle : et oui, Madame a un sens de l'orientation aussi aiguisé que le mien, donc ni une ni deux, nous sommes arrivées au magasin repèré par ma Dame, après quelques détours. je regarde au passage les vitrines, les robes, mais d'un ton ferme, Madame me rappelle qu'on est pas venues pour cela, qu'il faut se hater, je ne la savais pas si autoritaire!!! j'en frémis encore^^ Moi : Nous nous glissons dans le magasin, qui est assez classe, il y a peu de" jouets " , certains en vitrine. Les murs sont en vielles pierres. nous regardons, touchons et admirons tout. Mais la ou j'emmène ma petite Pestouille c'est au sous-sol ... - Elle : j'étais déja venue, ma Dame me montre les engins de torture (roulette pleine de pics, baguettes et autres), qui la tentent ; non pitié, je la supplie du regard de ne pas essayer ceux là sur moi, cette fois en plein milieu de la boutique, ouf elle renonce quand nous trouvons au sous sol ce qui m'interressait. j'ai bien essayé de La conseiller en matière d'intruments pour chatier son taquin de Maitre, mais elle ne veut pas ..  Moi : Nous tombons sur les serre-tailles que Pestouille recherche... elle en trouve un qui lui plait, mais doit l'essayer! direction les cabines d'essayage... Elle : je me la joue discrète, furete, regarde, il y a tant de choses à voir, tentantes et quelques modèles qui me plaisent, certains peu abordables dommage. mais ma Dame en trouve un sobre, qui me plait beaucoup. Elle interpelle la vendeuse, alors que je file en cabine. ou je commence seule à me devetir. la vendeuse demande si elle doit aider, je decline l'offre car....   Moi : Evidemment, je rentre dans la cabine avec elle, pas question de la laisser seule, elle serait perdue sans moi^^ et mon Maître m'avait ordonné de l'aider ^^ je me suis pliée avec plaisir à Ses ordres......... Elle :  j'ai pas eu le temps de dire ouf que nous voilà a deux dans la cabine, je continue à enlever le haut, un peu embarrassée et essaie de mettre ce fichu machin sublime. "Bah faut enlever ta jupe pour l'essayer!" me dit-Elle... euh oui Ma Dame, bon me voilà en dessous.  Moi : Déshabillage de la belle. Oups, mince, elle est jolie en dessous noir et porte jarretelle assorti (je me pose la question si c'est pour moi qu'elle a mis ça).... Elle : -oh merki, encore a rougir, et oui en réel, je suis bien plus timorée et là, Madame est bien plus devergondée, qui aurait cru... oui c'est pour elle euhhhh et pour me sentir aussi bien, attirante.  Cette idée évoquée en plaisantant me tentait bien, excitante situation qui ne m'est pas commune!   Moi  : Je l'aide, non sans plaisir, à mettre le serre taille.. evidement que le frole et la pince , elle rougit encore ... Elle : aieeeeeeeeeeeeee! mais comment il se met ce truc, je me suis coincée la peau, pis y a des attaches qui partent en haut quand j'essaie de mettre celles du bas, et encore on a pas resserré! ah faut enlever le soutien gorge? bon en temps normal oui mais la bon, et puis non hé, la vendeuse elle vient pas s'en meler, bientot elles vont ouvrir le rideau. Il me faut essayer deux tailles différentes et voila Madame et le vendeuse qui s'affairent a me trouver le bon. Pas de corset dans le même genre dommage...  Moi : Il  faut être deux pour le mettre, personne ne Me dira le contraire. (voire trois !)  Je frôle sa douce peau... Hum, Je serre fort le cordon.... - Elle (mais euh je peux plus respirer, oui c'est joli, ça fait la taille fine, mais euh c'est toujours aussi serré, ah ouf, ça se détend a force de le mettre ok!)  Moi :  Hum sa taille est vraiment cambrée, elle est vraiment belle ainsi.. oups claque sur ses fesses, Je ne peux m’empêcher...  Elle : rhooo mais pas ici, remarque depuis le temps que j'attends Ses fameuses fessées, après Son entrainement par un certain Maitre S.  Mouais, un peut plus fort , ça m'étonne pas, vu le pas pro-fesseur^^ Moi : On ajuste le serre taille, ça lui va bien Je trouve, il lui manque le collier.... Je prends des photos d'elle,  normal non , je la trouve trés belle avec ses seins qui ressortent .. Elle : merci Ma Dame, je suis ecarlate déjà, Vous en rajoutez, c'est fait exprès ou quoi? ??? Ah oui, le collier, la laisse aussi pour pas que je me perde dans le métro ou les rues du quartier en cherchant les boutiques^^ Moi : si tu me le demande pourquoi pas charmante Pestouille ... Elle : me fait me devetir peu a peu, je sens Son regard sur moi, puis Elle me touche, m'effleure, replace ce serre taille, quant à mes seins , Madame les prends dans ses mains pour les remonter .., redescend, le centre par rapport a mes fesses... Ses gestes assurés, sensuels, me donnent soudain très chaud, je risque pas d'attrapper froid, je suis toute tendue et emoustillée, quand elle sort de la cabine, le souffle un peu mais regrette déjà qu'elle se soit éloignée. je dois me rhabiller, Elle m'aide a défaire le vetement, Ses mains comme Sa vois sont douces, sauf quand elle monte le ton. Son rire, si cristallin me transporte... quoi des photos? oui je Lui appartiens, Elle a le droit sauf de les montrer à n'importe qui .. nous choisissons de faire d'autres en boutiques avant de succomber devant ce modèle et je me rhabille pendant que ma Dame le remet en place  Moi : Nous repartons d'abord, sans rien, décidées à voir le magasin dont MONSIEUR L .. nous a parlé.... Nous marchons un moment, cherchons le magasin des yeux : pas de magasin à l'adresse indiquée!!!  MERCI MONSIEUR LE DINOSAURE , le magasin est fermé!!!  Je maudis L... et promets de le fouetter à la premiere occasion.. vous n'aurez pas les photos pour cela! Elle : ah j'aime quand ma Dame exerce son courroux sur quelqu'un d'autre, ça va morfler, le fouet en plus^^ mais Il va pas supporter à son age, Madame... Que nous avons marché et monté d'escalier, épuisant, mais ça fait de jolies jambes il parait... très déçues de trouver une vitrine vide, maudit soit ce Msr L. notre vengeance sera terrible... Moi : Nous traversons Paris pour un autre magasin , où j'avais vu des corsets et serre tailles vers Pigalle. Coup pour rien car ils n'ont plus ce que l'on cherchait, mais J'ai quand meme pris un palabe et en  ai donné quelques coups sur les fesses rebondies de la pestouille ..  qui a eu les yeux qui brillaient!  Je sais qu'elle aime ça et son air quand elle m'appele Ma Dame ne me trompe pas..... Cher lecteur, Je ne peux vous dire ce qui s'en est suivi mais c'etait divin. Elle : je ne connais pas ce quartier, pas très bien fréquenté, elle est folle ma Dame, mais avec quel pervers Ma Dame à t'elle osé y aller , je me doute de qui , ça m'étonne pas, ma pauvre Dame ^^ Elle me montre un hammam libertin qu'elle apprécie beaucoup, toute émue, elle est si touchante et si belle, je l'admire tant... Quel courage de subir ce pervers , vraiment. le lieu a l'air a l'interieur très joliment agencé et l'ambiance, agréable. C'est très chaud, il parait. j'avais défié ma Dame qui disait qu'elle m'y ferait entrer, alors que je n'ai pas très envie, ne me sentant pas très a l'aise dans ce genre de lieu, mais Elle n'a pas osé, par manque de temps paraiit il. la boutique recèle d'autres trésors mais pas ce qu'on desirait trouver... peu importe, ma Dame et moi sortons et reprenons les transports! Elle doit partir donc je La laisse tristement s'en aller et suis bien décidée a aller retrouver ce modèle vu et essayé, qu'elle a touché de ses mains, frolant mon dos, mes fesses, qui lui a devoilé mes formes, cette fois^^   Elle : chacune est rentrée, sagement, et nous voilà des souvenirs plein la tête, eclats de rire, vives émotions, que de rouge aux joues et vagues de chaleur pour moi^^ Moi : nous ne nous reverrons pas de suite, mais j'en ai deja très envie. gardons pour nous les choses plus intimes.. Lady H et MissPestouille ...
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Par : le 02/06/21
:anger: Ce récit est une fiction tirée de mes aventures virtuelles dans un jeu vidéo du nom de Star Citizen. Vous pouvez en apprendre plus en suivant ce lien : https://robertsspaceindustries.com/orgs/SPYTOU. Si vous souhaitez me soutenir et m'y rejoindre, vous pouvez utiliser mon code de parrainage : STAR-5BJP-3ZZ9. Je V/vous souhaite une agréable lecture. ----------------------------------------------------------------------------------------------------- 12/04/2950 (années terrestres) À bord du /// CENSURE /// Système stellaire Stanton, quelque part dans le Halo d’Aaron Joséphine Baker était une femme svelte de taille moyenne. Allongée dans son grand lit deux places, seule, elle ouvrait doucement ses yeux verts émeraude. Connue sous le pseudonyme J0s3ph1n3 8ak3r, elle ne cachait pas franchement sa véritable identité, bien que directrice d’une petite entreprise privée du renseignement, l’Agence Spytou. Ce matin commençait comme tous les autres, et ce malgré le grand changement apparu dans sa vie la veille. Le bras gauche dénudé de Joséphine sortait doucement de sa couette, et ses doigts fins aux ongles drapés d’un vernis brillant d’une magnifique couleur lilas s’emparèrent de sa mobiGlas. Son second bras s’évada à son tour de cette couette en soie pourpre recouvrant son corps et le cachant à hauteur de sa poitrine désormais. À son poignet droit vint, d’un geste élégant, s’attacher cette montre futuriste qui connecte les femmes et les hommes de cet univers entre eux et à leur environnement. Une longue série de messages, rédigés par ses agents actifs, venaient peu à peu remplir son esprit encore endormi. Devant son regard perçant, les rapports se succédaient mais rien ce matin ne venait particulièrement troubler son habituelle quiétude. Après quelques minutes à éplucher les nouvelles en provenance de la galaxie, Joséphine décida finalement de se lever. - Bonjour, timonier ! Demanda la belle femme au travers sa mobiGlas, en s’adressant à cet homme au travers de sa fonction. - Bonjour, Madame la Directrice, lui répondit-il après un bref instant, d’un ton révérencieux. Vous souhaitez que j’avertisse les hommes de votre levé, et plus particulièrement John pour qu’il vous fasse servir un café ? À bord du /// CENSURE ///, Tim le timonier servait de second à Joséphine. Il lui était probablement son plus loyal et plus fidèle serviteur. Ancien agent de Spytou, il avait gravi les échelons jusqu’à pouvoir avoir l’honneur de conduire et organiser la vie quotidienne de celle qu’il considérait comme sa véritable Maîtresse. - Pas de service au lit ce matin, Tim. Dites à John de nous servir un café, pour moi ainsi que pour vous. Et rejoignez moi à la grande table du salon. Quelque peu étonné par la proposition de sa Directrice, qui n’était pas habituée à partager son seul vrai moment habituel de détente de la journée qu’était le petit déjeuner, Tim acquiesça et commença à se diriger vers les couchettes du personnel de bord pour réveiller John afin que celui-ci s’exécute. Joséphine prit encore un peu son temps pour sortir de sa chambre. Cette chambre double, la seule à bord du /// CENSURE ///, donnait immédiatement dans la grande pièce de vie. Face à sa porte, un jacuzzi. Véritable pièce maîtresse de ce vaisseau, il fut le lieu de nombreuses trahisons et fuites d’informations, provoquées par des moyens plus ou moins osés employés par la Directrice pour les obtenir. Joséphine ria bien fort en repensant à sa dernière conquête, ce qui fit sursauter Tim et John qui la regardaient depuis l’arrière du bar. Ce bar était placé tout à fait à l’autre bout de la grande pièce de vie par rapport à la chambre. On pouvait y trouver sur ses étagères, en plus d’une somptueuse machine à café, boisson préférée de la Directrice, tout un tas d’alcools divers qui avaient la principale fonction d’adoucir les invités souvent victimes de la femme fatale possédant les lieux. Devant le bar sur la gauche se tenait une magnifique table en verre. C’était globalement à cette table que Joséphine passait le plus clair de son temps. La magnifique baie vitrée inondant la pièce de sa lumière donnait une vue époustouflante de l’espace environnant. Sur la droite du bar, un espace salon avec téléviseur dernier cri venait compléter le luxe de ce navire. Joséphine fit signe à Tim de s’asseoir à table, auprès d’elle. John compris sans même un mot que la Directrice souhaitait qu’il prenne congé aussitôt les boissons servies. Il ne se fit pas prier et quitta discrètement la pièce. Tim était très impressionné de partager ce moment avec cette femme. Impressionné, et peut-être même inquiet. Il avait en effet perçu son changement de comportement depuis sa rencontre d’hier avec cet inconnu richement vêtu, qu’elle avait pour une fois décidé de ne pas prendre pour cible … - Nous allons discuter de votre rencontre d’hier avec ce diplomate ? osa-t-il après quelques secondes d’un silence pesant … - Je ne savais pas que tu posais les questions, Tim … Le timonier se racla la gorge … - Veuillez accepter mes excuses, Madame … Joséphine, qui se jouait parfaitement de l’homme, posa sur la table d’un geste assuré le martinet qu’elle avait soigneusement mis à sa ceinture en s’habillant. Tim eut un haut le cœur … Il en avait vu d’autres goûter du fouet de sa Directrice, et certains ne s’en étaient jamais relevés … Il était là, assis sur cette chaise, et ne pouvait plus bouger. Cette situation n’était pas logique. Que s’était-il passé pour que Joséphine veuille s’en prendre à lui ce matin ? Joséphine fit glisser ses longs doigts le long des lanières de son instrument de torture … - Personne mieux que vous à bord de ce vaisseau ne me connaît, Tim … L’homme, toujours très mal à l’aise de la situation, resta silencieux. Ses yeux, qui ne pouvaient s’empêcher de voir en coin la silhouette très aguichante de son bourreau, s’échappaient à fixer quelques astéroïdes flottant au dehors. - Vous me connaissez mieux que personne, Tim. Et j’ai besoin de vous plus que jamais désormais. De sa main droite, Joséphine rangea le fouet qu’elle venait de poser sur la table pour s’amuser. Elle glissa ensuite sa main dans ses cheveux, puis tenta d’attraper le regard fuyant de son confident du matin … Tim en fut une fois de plus désarçonné. Il connaissait le personnage depuis des années, mais jamais elle ne lui avait fait vivre un ascenseur émotionnel tel que celui-ci. - En quoi puis-je vous être utile, Madame ? bredouilla-t-il tant bien que mal, le regard toujours fuyant … - Regardez-moi. De la tête aux pieds. Joséphine fit bien attention d’insister sur chacun des mots qu’elle venait de prononcer. Tim croisa enfin le regard de la Directrice. Il ne vit plus de l’amusement dans ses yeux. Il voyait désormais une forme d’assurance et de confiance dans son regard. Joséphine hocha la tête, et il commença alors à déplacer ses yeux sur les épaules dénudées de la femme. Elle était absolument ravissante dans cette robe qui mettait parfaitement en valeur ses petites formes. Les brassières en croix de la robe, qui recouvraient suffisamment sa poitrine tout en mettant ses épaules et son ventre à nu, la rendait encore plus désirable qu’à l’habitude sans pour autant la rendre vulgaire. Il aurait à ce moment là pu dire qu’il la trouvait absolument resplendissante, mais il n’en fit rien. Joséphine poussait sa chaise en arrière et se recula lentement de la table. Elle relança l’homme : - De la tête … aux pieds, Tim. Du nombril, le regard du timonier s’arrêta sur les hanches superbement mises en valeur par le vêtement. Puis il glissa finalement jusqu’au pied de sa directrice, contemplant au passage de fines jambes laissées volontairement au regard embué de sa victime. - Relevez les yeux, Tim … Son ton prenait désormais un air de défi et l’homme s’exécuta. Qu’avez-vous vu ? L’homme savait que la Directrice lui faisait passer une épreuve. Il savait qu’il se devait à la fois d’être honnête, tout en respectant la place qu’il avait à ses côtés. - Beaucoup de grâce, Madame … - De la grâce, seulement de la grâce ? Ne voyez-vous pas autre chose ? Le ton de Joséphine devenait plus incisif désormais. Elle voulait qu’il le dise pour mettre en place sa démonstration. - Un corps très … désirable, Madame … lâcha le timonier sans trop comprendre ce qui le poussa à si peu de retenue … Joséphine sourit. Elle pouvait désormais faire étale de son argumentaire. - Crois-tu que c’est ce qui m’anime au plus profond de mon être, toi qui me connais si bien, Tim ? Crois-tu qu’être désirable est ce que je recherche ? Regarde ce tas de chairs … Crois-tu qu’il restera si attirant lorsque les années se seront jouées de moi ? - Non, Madame … souffla Tim. Il ne savait pas pourquoi il se permettait tant d’honnêteté à cet instant, mais il savait que c’était ce qu’attendait de lui sa Directrice. Je crois que ce qui vous anime, c’est de laisser votre trace. Sur nos corps comme sur l’univers … - Vous me connaissez mieux que quiconque, Tim … Et j’ai pleine confiance en vous. Vous comprenez quelle est votre place, vous comprenez mes actes et vous me rendez fière en ce jour. Vous êtes un ami, Tim. Ce corps, vous savez que vous ne le toucherez jamais, et pourtant vous me restez fidèle. Pourquoi ? Tim ne savait que répondre immédiatement. Que pouvait-il répondre à cette femme après tout ? Cette femme était devenue le centre de son existence. Pour elle, il avait abandonné tout libre arbitre. Il se rendit pleinement compte à cet instant qu’il suivait aveuglément une femme qu’il ne pourrait posséder. Il se rendit pleinement compte à cet instant de son état de soumission. Des larmes lui montèrent aux yeux. - Je vous aime, Madame ! Pour votre corps mais aussi pour la force que vous m’inspirez, finit-il par lâcher. - Relève-toi, lui ordonna d’un air satisfait Joséphine. Sans s’en rendre compte, Tim s’était retrouvé à genoux aux pieds de sa Maîtresse. Accompagné du doigt de sa Directrice posé sous son menton, celui-ci se releva, tremblant des pieds à la tête. Lorsqu’il fut pleinement relevé, Joséphine se hissa sur la pointe des pieds et posa ses lèvres sur les lèvres de sa victime. - Je t’aime aussi, Tim. Et crois-moi, nous allons laisser notre empreinte sur cette galaxie.
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Par : le 02/06/21
Je ne "consens" pas. Et tu n'as pas à te soucier de mon "consentement". Parce ce que j'ai confiance en toi. _______________ J'ai retrouvé récemment un texte, que j’avais écrit en août dernier, sur le consentement. Je n'ai rien à y retrancher. Si ce n'est peut-être le compléter d'une mise à jour. Bien évidemment, mon propos n'engage que moi. Le consentement ne peut exister sans la confiance en l'autre et l'attention qu'il nous porte. Il ne s'agit donc évidemment pas de transposer la manière dont je le conçois désormais dans un contexte différent ou de relations occasionnelles avec un/des inconnu(e)s. _______________ Le consentement est devenu la mantra des relations hommes femmes, a fortiori lorsqu’il s’agit de relations intimes. Jusqu’à l’absurde puisqu’il existe même désormais des applis permettant aux femmes d’exprimer leur consentement à des rapports sexuels avant toute rencontre avec un homme! Qui n'ont évidemment aucune valeur probante. Il n'est pas question évidemment de légitimer les violences faites à certaines femmes mais parfois aussi aux hommes dans le cadre familial, les abus, les viols, les coups, la manipulation, le meurtre parfois hélas aussi dont certain(e)s sont les victimes. De tels comportements sont hors cadre et ne relèvent pas du bdsm mais bien du pénal et ceux/celles qui en sont victimes doivent être protégé(e)s et les coupables sanctionnés. _______________ La notion de consentement m'a quand même toujours laissée mal à l'aise. Peut-être parce qu’elle est au départ d'origine civiliste, issue du droit des contrat. Et que son application aux relations intimes nous vient d’outre Atlantique, avec le « yes means yes » act voté par l'Etat de Californie en 1974, qui encadre strictement ce qu’il doit être. En posant toute une série d'interdits ! Or, j'ai toujours détesté les interdits :smile: Pour ce qui me concerne, je pense au contraire que le désir est quelque chose d'impalpable, de non objectif, qui relève du ressenti de chacun, de son interaction avec l'autre et certainement pas un objet défini, un bien physique, que l’on peut normer, « encadrer ». Et en aucun cas quelque chose qui puisse relever du domaine du  « contrat ». Qui de toute manière n'aurait strictement aucune valeur juridique dans le cas du BDSM, puisque portant sur un objet illicite. _______________ Il y a autre chose aussi qui m'a toujours gênée dans cette approche normée du consentement, c’est la prééminence qu’elle semble accorder au désir masculin et le rôle "passif" dévolu la femme. Mon côté "féministe" peut-être, même si disant cela je crains de me faire lyncher :smile: Bien sûr, pour des raisons physiologiques évidentes, c'est l'homme qui est le principal "acteur" de la relation sexuelle, du moins dans sa dimension physique. C’est sans doute pour cela que la question du "consentement" masculin est rarement évoquée. Et que j'apprécie autant d'être femme. Parce que je n'ai pas à me poser la question de ton "consentement" quand je te réveille à ma manière le matin. Puisque ce que je réussis toujours à provoquer chez toi vaut présomption irréfragable de consentement :smile: Et que de ce fait je ne risque rien. En tout cas pas une accusation de harcèlement ou de viol. D'autant que la prison pour femmes, ce ne serait vraiment pas mon truc :smile: Mais quoique femme et "soumise", mon "rôle", tel que je le conçois, ce n'est pas seulement de "consentir", d'accepter, de ne pas m’opposer. J'accepte et me "soumets" volontiers à tes désirs. Mais ton désir n'est pas quelque chose d'unilatéral. Puisqu’il est partagé. Parce que tes pulsions répondent aux miennes. Et que si j'apprécie ton désir à sa juste valeur, il ne me déplaît pas non plus de le provoquer, de le susciter, de le stimuler. _______________ Alors, comme j’aime que les choses soient claires, ce qui vaudra toujours pour moi vis-à-vis de toi, Maxime, c’est ce que je t’ai dit un jour. Peu importent mes gémissements, mes larmes, mes cris parfois. Ils ne sont qu’une manière différente de te dire mon envie de toi. Et de te remercier du plaisir que tu me donnes. Mon consentement, quant à lui, te sera toujours acquis. Parce que j’ai confiance en toi :smile:
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Par : le 01/06/21
Ça me démange...  Déjà hier, j' avais cette envie et ce matin en me levant , elle est toujours là... Cette envie de fesser me démange les bouts des doigts... La matinée passe, l' envie reste...  Le confinement pèse dans la balance des restrictions.Fesser me manque...    Bon allez , c'est 13 h, mon taf est à jour,  je pars à la chasse... Je me connecte sur un certain  site BDSM,  j'adapte ma photo de profil à mon humeur, comme j'ai l' habitude de le faire . L' envie de fesser, ce n'est pas la plus simple à illustrer ... J'ai choisi de mettre une de mes  photos d'un fessier bien fessé .  Au moins j' annonce la couleur... En plus , je l' aime bien cette couleur violacée... Humm! j' ai les mains qui me démangent... Sur le chat, après avoir ignoré tous les "bonjour Madame" de l' autre bout de la France, mon attention se porte sur un message. Les mots clés : Annecy  et dispo  apparaissent dans les premières phrases. J'engage le dialogue, sonde ce jeune soumis qui  à tout du p' tit 4 heure. Joli  corps musclé qu'on en fait qu'une bouchée. Un plus fort agréable pour assouvir mon envie ...  Il est intéressé pour venir. Il questionne régulièrement sur l' usage du gode ceinture entre le où le , quand et le  comment...  Mes réponses sont on ne peut plus cash:  J'ai envie de te fesser dans les bois... C'est  un coin proche de chez moi... Oui, un peu de passage... Non,  je ne vais pas te baiser là-bas. (Comme si ça pouvait me gêner.  ) ... Non je ne reçois pas... Oui; je vais te fesser, et certainement un peu te griffer... Non, je ne prends pas mon stap-on ...  Je suis à peu près certaine que quelque part en lui, il garde l' espoir que. Peut-être... Je le laisse avec son espoir, moi c'est lui que je veux maintenant. En quelques minutes, le voilà ferré. L'heure du  rendez-vous  est basée sur l'horaire du bus qui  le  mène jusqu'à moi. Je suis contente, je me déconnecte et prépare mes affaires avec un sourire de satisfaction,..    Une heure passe et je sors de chez moi, mon petit sac à la main, un masque et mon attestation   dans la poche sur laquelle j'ai coché la case exercice physique à proximité du domicile .Je triche sur l'heure, peu probable que je sois contrôlée dans les bois ...  Hum! Ça me démange et ça m' excite de partir pour administrer une fessée...   J'arrive  près de l'endroit  indiqué. Je  le vois au loin. J'envoie un coup de sifflet, il tourne la tête vers moi. Je fais un signe de la main et il vient à ma rencontre...  Là , mon plaisir commence...   Je glisse une première fois ma main dans mon  petit sac... Il approche...  sur le boulevard il y a de la circulation... Je sors le collier... Les passants vont  autour de nous... Il est à ma hauteur quand je lui tends ... Il bafouille un bonjour, je lui fais un sourire: " Mets le! Son regard  balaie rapidement  les alentours... Je continue d'avancer... Il prend le collier et le met à son cou en me suivant...  Je plonge à nouveau ma main dans mon petit sac... J'en ressors  un  bracelet menotte.   Je lui tends   " Ça aussi! "  Tout en avançant , il s'exécute... je m'arrête au feu  et le dévisage en attendant que le p'tit bonhomme passe au vert. Il baisse la tête , essaie de dissimuler le bracelet sous sa manche... Une femme s'arrête à coté de nous... Je le sens gêné... Le bonhomme passe au vert en même temps que je sors le second bracelet de mon petit sac...  "Continue!" ... Il prend le bracelet  qu'il met en traversant la route... Je suis en jean noir avec mes bottes en cuir noires, une veste et un haut noirs et je sors de mon petit sac noir ma laisse en chrome... Humm!  Approche petite chose! Viens  te mettre au bout de ma laisse...  J'avance d'une bonne allure, mon soumis accroché à ma laisse. Je le tiens assez court  le temps qu'il se mette au pas puis je laisse pendre la chaîne. Il garde la cadence, veillant à ne pas laisser cette chaîne se tendre pour rester discret quand on croise des gens.  Le sentir  gêné me donne le sourire. Ça me plaît de le tenir ainsi jusqu'à mon petit coin en retrait. C'est  entre deux bosquets d'arbustes,  le long d'un petit chemin qu'emprunte de rare jogger. Nous y voilà!  Faut se faufiler entre les branches, bien lever les pieds à cause des ronces, Humm! Les ronces, "Ramasse Moi cette ronce!  Il se baisse et tire un coup sec sur la plante qui ne se fait pas prier pour participer à mon plaisir. Sourire jusqu'aux oreilles... Je lui indique sa place et prends la mienne.  J'ai la vue sur le chemin principal par lequel on est arrivé et celui d'en face. Ainsi, d'un simple mouvement de tête, je contrôle les aller venus sans être vu. Autre avantage de ce coin, et c'est pour ça que je l' ai choisi, il y a une branche solide qui surplombe un petit vide juste devant ses pieds. C'est à celle-ci que  j' accroche la laisse. A ma droite, il y en a une autre pour y mettre mon petit sac. Mais d'abord, je plonge ma main dedans et en ressors le bâillon boule." Mets ça!"  Il a un air un peu perplexe, me regarde,  regarde le bâillon, "Allez dépêche toi!  Tu es venu pour prendre une fessée, et bien voilà , tu y es! "  Il me réplique un dernier "oui Madame" puis se bâillonne. Je lui fait tenir la branche  et fixe les bracelets entre eux , autour.  Je profite de cette proximité pour le ressentir. Ce petit corps me plait bien. Il a bien une tête de plus que Moi mais quelle importance,  ses fesses restent à bonnes portées...   Encore une plongée dans mon petit sac pour prendre un bandeau.  En lui serrant  autour des yeux, je lui glisse quelques mots à l' oreille... Je fais descendre ensuite mes mains le long de ses bras jusqu'à sa taille. Je l' empoigne et tire ses hanches en arrière pour qu'il me soit bien offert. Mes mains s'affairent sur  l' ouverture de son pantalon. Je veux avoir accès à  ses fesses et son dos aussi. Je tourne son sweat vers le haut. Griffe en même temps... Redescends ... Fais glisser son pantalon au bas des cuisses... Il bande dur...   J'attrape ma jolie ronce fraîchement cueillie... Raye avec  ce joli fessier qui me donne envie... Fouette doucement ... Caresse, griffe et fouette à nouveau... Puis plus vite... Plus fort...  Continue en alternant avec des mots... Je lui parle de mon envie... Lui dit ô combien je suis contente qu'il soit venu jusqu'ici... La ronce s'effiloche rapidement et mes mains  ne veulent plus attendre... Je lâche le végétal , ajuste ma position et claque les deux fesses à l' unisson... Humm! Oui! Me voilà parti... Il s'ensuit des séries de claques sur ce cul rebondi... Mon  plaisir s'accroît en voyant rosir son derrière ... Les empreintes de mes doigts  se croisent ainsi que celles de mes griffes... Lui se met à gémir en aspirant la bave qui lui coule du bâillon... Je l' oblige à se  remettre cul tendu à chaque fin de série... J'augmente l' intensité , ça me fait mouiller. Ça me manquait tant...   Quand des gens s'approchent , je  plaque son cul contre moi et lui souffle" silence! " dans le creux de l' oreille. Il  fait bien moins de bruit que mes mains avec ses gémissements, c'est plus pour  rappeler à son cerveau   qu'il est  exposé à la vue des promeneurs. D'ailleurs, voilà un joggeur qui arrive...  je glisse mes mains sous ses vêtements, comme je le ferais avec un  amant.  Je plante mes griffes dans sa peau. Le gars passe un un mètre sans tourner la tête. Je griffe son dos jusqu'à la taille, ce qui le cambre magnifiquement bien. Du coup je recommence...  " Encore!" Je griffe, je claque.. Je claque, je griffe, mais surtout je le claque encore et encore... Il s'accroche à sa branche de toutes ses forces... Je ressens la tension de tout son corps... Il est dans un état de  soumission où sa volonté  est  de tenir pour que j' en prenne plaisir et c'est ce que je fais... Je me régale de le fesser... J'en avais vraiment trop  envie...  Il tremble, sa limite arrive... Je caresse entre de frappe... Sa peau est chaude... Rouge... Dure... Humm! j' ai besoin de le  toucher... Je m'approche  de lui... Plaque son cul encore une fois contre moi... Je l' aurais bien baisé  en fait! ... Humm! Encore une ou deux séries bien intenses... J'approche ma bouche de son cou... " 'j'aime te fesser, j' en suis toute mouillée... " En disant cela mes doigts ont trouvé le chemin pour atteindre ses tétons et ils les pincent  avec un plaisir non dissimulé...  Humm! Quel régal  de donner vie à ses envies... Doucement je le redresse... Lui retire le bandeau et le bâillon... J'attends un peu qu'il reprenne ses esprits. J'en profite pour faire ma photo souvenir, puis je lui décroche les menottes pour qu'il baisse les bras et les raccroche entre elles... Je lui fais lever la tête pour qu'il me regarde dans les yeux... "Maintenant , je te laisse deux minutes pour te faire gicler où je recommence tout!"  Sans perdre une seconde, il s'active sur sa queue avec frénésie et met à peine plus d'une minute pour gicler une grosse coulée de sperme ...  La fessée s'arrête donc là...  Je décroche la laisse, range le bâillon et le bandeau dans mon sac. Lui,  remet sa bite et ses fesses dans son pantalon et on  prend le chemin du retour...  50 mètres plus loin , on croise un groupe d'adultes. Il se rapproche vite de moi pour tenter de dissimuler la laisse. Les gens passent et il me dit : "Maintenant, vous pouvez peut-être  m' enlever la laisse. J'éclate de rire! " Bien Sûr que non!    Tu crois que ça y est, tu as éjaculé, c'est fini. ( RIRE) Allez! Avance!" " Dis toi que les gens s'en fiche que tu sois en laisse. La plupart ne le remarque même pas" .  Je le détache avant d'arriver sur le boulevard. Je fais un bout de route avec lui, histoire de le remettre dans la direction de la ville... Je récupère le collier, il me rappelle qu'il a encore les bracelets; Oup's!  Je les avais zappé ceux-là ...  Et voilà! Mes mains sont agréablement chaudes...  Mon esprit satisfait et serein...  Mon envie de fesser assouvie...  Je suis bien en rentrant chez moi et je reprends le cours de ma petite vie... Je n' ai plus eu de nouvelles de ce p'tit 4 heures... Plus jusqu'à il y a quelques jours... Ding!  SMS "Bonjour Madame! Vous vous souvenez peut-être de moi. Vous m' aviez fouetté avec des ronces et   fessé dans les bois.  J'ai mis longtemps à vous donner des nouvelles car j' ai beaucoup aimé vous servir ainsi mais j'étais  très gêné d'être exposé .. Etc... " Humm! En voilà une nouvelle qui me donne envie...  Il aura mis du temps à passer au-dessus de ses appréhensions... Le seul fait qu'il y soit parvenu et ose me recontacter 6 mois après  me plait...  Humm! Ça me démange à nouveau de le fesser...  
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Par : le 01/06/21
L’attente et le temps ont des vertus sur un soumis que la plupart des sévices ne peuvent qu’affleurer. C’est en tout cas ce que professaient mes premiers Maîtres. A leur service, je m’étais découvert des capacités insoupçonnées à rester à genou, accroupi, ou à rentrer serré dans la petite cage grillagée qu’ils me destinaient. Je devais leur être soumis depuis un peu plus d’un an. Étudiant, je passais la plupart de mes week-end chez eux, dans leur villa. Mes Maîtres n’étaient pas totalement débutants, ils avaient eu une soumise avant. Mais, ils aimaient à le répéter, j’étais leur “seconde création”. Ils voyaient d’ailleurs ce que nous vivions comme une sorte d’expérience artistique. Une sorte de happening dans la durée. J’étais la glaise et ils me sculptaient. J’adorais cette idée qu’en les servant, je devenais leur œuvre d’art. A chaque séjour chez eux, je m'apprêtais à découvrir quelle nouvelle idée de tourment ils avaient imaginé et, souvent, je découvrais combien mon imagination était limitée. Comme d’habitude, ils m’avaient récupéré en gare vêtu légèrement, et comme à chaque fois une halte entre la gare et leur villa avait permis que je termine le chemin nu, dans le coffre, une chaîne cadenassée au cou. La position était inconfortable: sous moi une roue de secours dont le métal brûlait ma peau et le caoutchouc la râpais venait ajouter à la chaleur étouffante de la fin d’été de la Côte d’Azur. Je n’étais pas lié, donc j’y recherchais vainement une position la moins inconfortable possible dans les cahots. Ce trajet, d’un quart d’heure peut être, était un sas qui me faisait passer d’humain soumis à jouet sans volonté propre. J’en sortit dans le garage et repris ma position d’attente appuyé sur le véhicule, membres écarté. Je devinais une agitation à l’extérieur sur la terrasse qui m’indiquait la présence de convives. Mais le temps d’apprécier la situation ne m’est pas laissé. Madame prends la chaîne autour de mon cou comme une poignée et me tire à sa suite. Je suis plié en deux, tête au niveau de sa taille, à moitié étranglé et je peine à suivre son pas. Mon champ visuel est réduit au carreaux et aux séduisants mollets de ma Maîtresse. Nous traversons la maison et allons vers la terrasse. Je ne sais pas combien de personnes sont autour de la table, je ne le saurais pas. Madame tire la chaîne qui enserre mon cou vers le haut. Je dois me mettre sur la pointe des pieds face au crépi pour suivre. Elle clippe un mousqueton et je me retrouve coincé: si je descends de la pointe des pieds les maillons viennent tirer douloureusement contre ma mâchoire. Autour de moi, des bruits de table, de discussion, quelques claquements de gifle ou fessées. Personne ne semble avoir remarqué mon arrivée. La chaîne est si tendue que si j’écarte la tête du mur, si je la tourne de côté, je perds de précieux millimètres qui accroissent la pression sur ma nuque et la mâchoire. Je vois quelques bribes en vision périphérique, mais aucun détail. De toute façon, l'inconfort de ma situation accapare toute mon attention. Je sens une main sur mes bourses. Quelqu’un les tire vers le bas, impossible de compenser en suivant des cuisses. La personne s’amuse à malaxer mes testicules, à les tirer. On m’y passe un parachute de cuir. Je sens son intérieur tapissé de petits piquants. Je ne connais pas encore l’instrument, mais j'appréhende les poids qui vont tirer dessus. J’avais raison, la personne qui joue de moi lâche brutalement un poids et j’ai d’abord l’impression que mes testicules vont s’arracher avant de sentir la piqûre de cent aiguilles autour du paquet. Malgré ma volonté de faire honneur à mes maîtres, un cri m’échappe et j’agite inutilement mes mains autour de moi comme pour me retenir à l’air. L’assistance s’en amuse. On commente sur mon côté douillet, je suis mortifié de ne pas avoir fait honneur à mes propriétaires. J’identifie à l’odeur la nouvelle présence derrière mon dos. Monsieur se saisit de mes poignets et guide mes mains au-dessus de ma tête. Je suis le mouvement sans résister. Avec un cordon mes deux coudes sont croisés, puis liés l’un à l’autre derrière ma nuque. La position presse ma tête vers le mur, tire douloureusement mes épaules et expose mon corps. Monsieur aime m’infliger cette posture à la fois simple et exigeante et qui enlève toute protection au corps. De contraignante, ma position devient vraiment douloureuse. Une main inconnue affleure mon dos. Je frissonne. Elle est remplacée par la brûlure de lanières de martinet. La surprise passée, ce n’est pas trop dur. Les coups tombent dru mais le martinet n’est pas trop méchant, même avec quelques mois d’expérience je les endure sans mal. En revanche, je dois contracter tous mes muscles pour éviter de bouger. Chaque mouvement fait balancer le poid qui tire sur mes couilles et glisse les gros maillons contre mon cou. Quelqu’un essaie de donner de la cravache sur mes testicules. Les coups me font peur, mais la plupart atterrissent sur le cuir du parachute ou les chaînettes des poids. Un ou deux touchent et me font crier. On me met un linge en bouche, un torchon ou une serviette. Je suis rempli de tissu et mes cris sont étouffés. Plusieurs se succèdent à jouer de moi et mon endurance est mise à rude épreuve. Dans les moments de pause, mes mollets tremblants de tétanie me tourmentent, ma nuque est raide et douloureuse, ma mâchoire meurtrie des frottements contre la chaîne. Mes mains sont gourdes d’être restées si longtemps au-dessus de ma tête. Je sens un corps chaud contre le mien, avant même qu’elle ne parle je reconnais ma Maîtresse. L’odeur, le toucher. Elle est très douce, chatte contre mes muscles tendus. Ses doigts sont caressants et ses ongles affleurent mon torse me donnant des frissons. “Je veux te faire crier, tu me donnerais ça ?” Elle connaît la réponse, je sais. Je suis à bout, mais je veux la satisfaire, je veux qu’elle fasse de moi, de ce corps son jouet, son plaisir. Elle me scrute en silence, toujours caressante. J 'hoche plus ou moins ma tête contrainte. Elle sautille joyeusement, “merci”, et m’embrasse en haut de la colonne avant de s’écarter. Le premier coup me fait bondir, oubliant la chaîne. Je connais cette morsure. C’est un martinet que j’ai tressé à la demande de mes Maîtres. Court, fait de cordelette synthétique noire terminée avec trois nœuds sur chacune des six queues. Ils m’avaient demandé de fabriquer un martinet qui me fasse peur, je m’étais surpassé. Cette cochonnerie était une horreur donc je n’avais testé l’efficacité qu’une paire de fois. Madame continue avec enthousiasme. Ses coups sont réguliers, tombant sur tout mon corps. Elle attend une ou deux secondes entre chaque coup pour me regarder encaisser. Je crie dans le baillon. Elle est enthousiaste, et accompagne la flagellation d’encouragement à danser d’un ton joyeux. J’ai l’impression que ma peau éclate en multiple endroits à chaque impact. Je ne sais plus ce que je fais, je lutte contre les liens, je sautille, je m’étouffe. Mais le supplice continue. Une crampe vient prendre mon mollet. Mais le supplice continue. A un moment, je pends au bout de la chaîne, ne luttant plus. Madame est collée contre moi, câline et me murmure “merci, merci”. Je n’arrive pas à interrompre mes sanglots. Monsieur vient aider Madame. Ensemble, ils détachent mes bras qui tombent sans force. La chaîne est détachée et sans leur soutien je m’écroulerai. Ils m’allongent au sol et me retirent le bâillon. Je sanglote encore. Ils me donnent un jus de fruit à boire avec une paille. Madame me parle doucement, me remercie. Mes mains reviennent à elles et piquent désagréablement. Je reprends un peu de vigueur. Je constate que mon corps est moucheté des traces du martinet, mais je ne vois qu’une ou deux petites plaies. Ce constat me rassure un peu. “Tu vas continuer” dit elle gentiment mais d’un ton sans appel. J’acquiesce silencieusement. Madame s’assoit sur une des chaises, écarte les jambes. Elle ne porte rien sous sa robe courte. J’obéis à l’appel sans qu’elle aie à formuler d’ordre. Tôt elle m’a entraîné à la satisfaire et je m’y emploie avec enthousiasme. Mon cou est raide, dur de l’immobilité subie. Mais j’y trouve une motivation supplémentaire à mon effort. Elle est très excitée, et elle vient vite plantant ses ongles dans mon cuir chevelu. Monsieur est à coté, sexe sortit. Elle le branle et elle relève ma tête vers sa verge alors qu’il jouit après elle. J’en attrape le plus possible au vol. La encore, je connais mon role et j’embouche le sexe qui débande pour le nettoyer de ma langue et mes lèvres. Autour de nous une paire de convives applaudit. Une femme demande si je peux la nettoyer, et Madame m’y enjoint. Son sexe est poisseux de foutre et je le lape propre. Excitée par le traitement, elle jouit dans ma bouche. Les invités sont moins nombreux que je ne croyais, deux couples en plus de mes Maîtres. Un des couples, la cinquantaine, est clairement purement dominant et est accompagné d’une soumise qui malgré sa quarantaine affiche un corps superbe. Le second couple dont j’ai servit la femme est un peu plus jeunes, la même trentaine que mes Maitres sans dout. Madame me récupère et je finis la soirée à ses côtés. Elle encourage des ébats, me fait lécher les bourses et la verge de son cavalier pendant qu’elle s’offre à une sodomie. Je termine la soirée à quatre pattes servant de support à la soumise que Monsieur couvre de cire. Les convives partent, je suis épuisé, agenouillé au pied de ma Maîtresse. Monsieur revient et me flatte de sa main sur le crâne “tu as été bien”. Je me sens très fier de les avoir honorés. “Nous avons prévu une autre surprise pour toi” me dit-il. Je reste silencieux sachant qu’en général leurs surprises sont éprouvantes. Je rentre dans la villa suivant sa traction sur mon collier de chaîne. Monsieur s'arrête à l’angle du couloir. “Voilà” Je ne comprends pas. “Voilà ton nouveau coin de nuit” Les briques nues rejoignent un sol de dalles roses en terre cuite. Je ne vois pas trop en quoi c’est aménagé. “Tu vas voir, ne bouge pas” Je reste assis sur place pendant qu’il s’absente. Il revient avec une sorte de muselière de cuir. Il me l’enfile. La chose me couvre du menton à sous le nez avec une excroissance qui entre dans ma bouche. Ce n’est pas inconfortable, mais je ne peux ni ouvrir ni fermer ma mâchoire. Il y’a un côté protecteur dans la pression du demi masque, mais je reste perplexe de la suite. Monsieur prends mes cheveux en main et guide ma tête vers le sol. A peut être 20cm du sol, un anneau fait saillie du mur. Jumeau de l’instrument de supplice du début de soirée, il permet d’y accrocher l’anneau qui fait saillie de devant ma muselière. Monsieur clipse un cadenas entre les deux et fait un pas en arrière. Madame nous a rejoint et c’est elle qui parle en premier. “Ah tu as découvert ton petit coin. Je suis certaine que tu vas en apprécier la perversité.” Les quelques secondes m’ont permis de tester les mouvements possibles: impossible de poser la tête à terre, impossible de s’adosser au mur. Même si mes mains et mes jambes sont libres, je suis coincé face au mur. Mes Maîtres me laissent. Ils débarrassent, rangent. Ma position est franchement inconfortable, mais surement, ils vont me détacher pour me faire dormir au pied du lit. C’est la soumise, que je croyais partie, qui m’apporte une couverture. Madame repasse, “Ah Marie a pris soin de toi. Pense bien à nous, c’est elle qui est dans notre chambre cette nuit”. Je ressens un pic de jalousie féroce qui doit se voir dans mon regard. Madame caresse ma joue, “Tu souffres pour ton Maître et moi. C’est pour t’apprendre la patience, et aussi pour le plaisir que nous avons à te savoir là. Profites-en, cette nuit, tu peux te faire jouir autant que tu veux.” Je suis perdu un instant entre plaisir, désir de plaire, frustration, jalousie. Mais surtout je me retrouve seul, dans le noir, dans une position qui empèche tout sommeil récupérateur et les moustiques pour seule compagnie. Malgré l’inconfort et la fatigue, ma plus grande frustration est que le bruit des grillons couvre les ébats que je devine derrière la porte close au bout du couloir. C’est en l’imaginant que je me fais jouir.
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Par : le 01/06/21
Les mémoires d'un sérail dominateur : chapitre 9 La justice doit passer  Vous vous doutez bien, qu'au cours de ma longue et fructueuse carrière d'(im)pitoyable dominateur, les sollicitations à mon égard ne manquèrent guère. Certaines directes, d'autres plus subtilement déguisées. Je vous en livre une, à classer bien évidemment (quoique...) dans la seconde catégorie:  La Dame Du Lac APPEL A CANDIDATURE Soumise recherche pour Domination réelle : Maître expérimenté. CRITERES PHYSIQUES Age : entre 40 et 50 ans  Taille : 1,70m à 1,80m Yeux : bleus,verts, marrons (au choix du candidat) Cheveux : (au choix du candidat) poids : de 75 à 85 kg Aspect corporel : Athlétique, avec plaques de chocolat (des plaques....pas le chocolat) Attributs de bonnes dimensions seraient un + Corps totalement dépourvu de poils (peut favoriser le candidat) CRITERES MATERIELS Habitation : Maison individuelle sur terrain arboré avec piscine (maison de Maître ou petit château sur propriété clause seraient les bienvenus) Véhicule : Rolls Royce, Ferrari, Mercedes SPA - jacuzzi Court de Tennis Ecuries Chenil (chasse à courre envisagée) CLASSIFICATION SOCIALE Riche, très, très riche Carte bancaire illimitée, Platinium indispensable Bijoux et tout autre don à la convenance du candidat Si cette offre vous intéresse, veuillez adresser votre candidature à La Dame Du Lac, sous pli cacheté, avant le 23 Juin 2014 à 0 heure. Comment répondre avec tact à la dite personne devant une telle insistance? Car évidemment cette demande m'était destinée. Dans un premier temps plusieurs réflexions m'assaillirent: _ Quel courage de faire cette demande en public, devant son maître entre autres! J'en étais admiratif. Mais aussi un peu mal à l'aise car à l'évidence, tout le forum ne pouvait penser qu'à moi. J'eus préféré plus de discrétion _ Cela m'amena à ma seconde réflexion (le lecteur assidu de mes mémoires retrouvera là mon sens inné de la transition): comment a-t-elle pu en savoir autant sur moi??? Une description physique aussi précise ne peut s'inventer! Tout comme la marque de mon véhicule (pour la semaine... celui du week-end est plus haut de gamme, enfin quelque chose qu'elle semblât ignorer sur moi) ou mon cadre de vie. Qui donc avait bien pu parler? _ quelque part je lui en voulais un peu, car si je comprenais l'évidence de sa sollicitation, ma réputation ayant depuis bien longtemps dépassé les portes de ma douce Bourgogne, livrer au public toutes ces informations sur moi mettait à mal ma feinte modestie. _ Pire que tout: comment allais-je pouvoir répondre à toutes les autres demandes qui ne manqueraient pas d'arriver d'autres soumises? Déjà qu'en temps normal j'ai du mal à suivre le rythme infernal de ces courriels ou MP... . Mais je dois dire que je mets toujours un point d'honneur à répondre personnellement; ces demandes ne sont jamais transmises à mon secrétariat pour une réponse aussi automatique qu'impersonnelle. Comme disent toutes les personnes qui me connaissent un tant soit peu: on a la classe ou non.  Je me fendis donc de la missive suivante: Chère (€) Madame, nonobstant le portrait aussi précis que flatteur (bien qu'amplement justifié) que vous fîtes de mon auguste personne, vous me voyez au regret de ne pouvoir donner une suite favorable à cette -fort compréhensible au demeurant- requête. Mon emploi du temps surchargé ne me permettrait point de mener convenablement à bien une aussi délicate mission. Ma réputation ne saurait en outre souffrir d'une quelconque tâche que représenterait à l'évidence un dressage bâclé. De même les saillies qui contribuèrent à mon aura ne sauraient être dévalués. Je transmets néanmoins votre émouvante candidature à mon service du personnel et nous ne manquerons pas de vous recontacter au cas (fort improbable certes) où une place se libérerait dans  mon harem. Vous invitant par honnêteté à ne pas attendre avec trop d'espoir un temps illimité, je vous souhaite nez en plus bonne chance dans vos recherches. Je me permettrai juste un conseil si vous voulez vous donner toutes les chances d'aboutir: je vous invite à baisser sensiblement vos critères de recherche étant assurément le seul actuellement de ce côté-ci de l'univers à correspondre point par point à ce profil. Bien à vous, Softail Ma seconde tâche consistait à identifier la personne m'ayant - peut-être involontairement certes- mis dans cette assez fâcheuse situation. Je m'attendais à ce sujet à recevoir incessamment une missive courroucée de son actuel Maître ce qui au fond eut été bien compréhensible bien que je fusse totalement innocent dans cette triste histoire. Chaque chose en son temps. Après une courte mais intense réflexion, une profonde et hautement perspicace analyse m'orientait obstinément toujours dans la même direction: Huguette. Le faisceau d'indices que ma finesse d'esprit avait promptement mis à jour ne laissait guère de doute quant à la culpabilité de la belle. La sentence tombait sans délais (condition indispensable à une justice adaptée et reconnue, voire recherchée): après avoir pris en compte des circonstances atténuantes (son absence de volonté de me nuire, doublé d'une faiblesse humaine fort répondue consistant à se faire mousser en disant qu'elle me connaît), je renonçai à lui infliger la sentence la plus dure: aucune nouvelle de moi pendant 48 heures. Je sais trop les effets dévastateurs que cela peut avoir sur quiconque. Je lui annonçai donc 100 coups de fouets, qu'elle devrait compter, à notre prochaine rencontre, sans avoir le droit de jouir pendant la séance (je sais combien ce sera difficile tant ma seule présence peut conduire toute femelle au bord du plus terrible des orgasmes). J'avais bien conscience d'être impitoyable, comme toujours, mais juste, comme toujours; justice serait donc faite Huguette, visiblement terrassée par le remord  me répondit promptement : Cher Maître, bien sur je vous ai reconnu dans la description de notre grande DDL, c'était votre portrait craché. Who else ? Je me proclame pour autant innocente du forfait dont on m'accuse. Vous savez bien avec votre idée de Harem que je ne suis point d'accord mais mon coeur est grand alors j'inviterais vos soumises à faire un tour sur les Bateaux Mouche Parisiens et  leur apprendrai alors à nager (avec des palmes en béton). Cher Maître, ne me remerciez pas, je fais tout pour vous plaire. Comment vous dire cher Maître  quant à ma future punition : n'y pensez point, mauvaise idée ! 100 coups de fouet : vous savez combien vous êtes émotif, à me voir en larmes assurément vous craqueriez. Et pensez à votre bras si fragile, à peine remis de votre cravache Elbow ; bref épargnez vous tout  ce mal. Votre soumise dévouée et attentive à son Maître Huguette  Ma réponse ne tarda point non plus : Ma tendre Huguette  tant de sollicitation me va droit au coeur. Et ma cravache droit sur ton cul. Tout est intimement lié... A la réflexion, la DDL avait tenté une manœuvre bien compréhensible. Elle n'était ni la première ni la dernière à ressentir à l'égard de ma personne ce poignant sentiment. Et j'étais comme à chaque fois touché. Mais à nouveau je ne pouvais être partout. Et puis c'était à croire qu'elles voulaient toutes me faire détester des mâles du forum. Cruel destin que celui des sex-symboles. Bien peu ici peuvent me comprendre je le sais. Comme prévu ces révélations me concernant déclencha un déferlement de chaudasses en chaleur sur ma fiche. Un goujat ferait assurément un simple copié-collé de la réponse à Morgane cette fois, la suivante sur ma liste du jour, mais en homme qui met toujours en corrélation ses actes avec ses paroles, je me devais de faire une réponse personnalisée à cette nouvelle candidate malheureuse.  Chère Morgane, cet aveu aussi spontané qu'inattendu m'a touché. Sa publicité met à mal ma modestie mais je conçois aisément que l'on aie envie de faire partager son bonheur. Je dois bien avouer que ta candidature ne manque pas d'atouts, ton coté switch notamment, et je reconnais qu'en d'autres temps, la faiblesse eût pu gagner mon âme immaculée. Mais te déglinguer je ne puis : la droiture qui me caractérise - et 5 autres soumises étant attendues de l'étranger d'un jour à l'autre- tu me vois au regret de devoir décliner cette offre pourtant Ô combien tentante. Je garde néanmoins précieusement cette missive et ne manquerai pas de te recontacter au cas - fort improbable certes- où une place viendrait par extraordinaire à se libérer dans mon cheptel. Te souhaitant sincèrement beaucoup de courage pour affronter cette impitoyable réalité et te souhaitant du fond du coeur un prompt et quasi total (bien qu'impossible évidemment) rétablissement, bien à toi Softail Et dire que des années après, ça continue...
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Par : le 23/05/21
Chapitre 3 - le dernier Apres le depart de Christian, Alex reste couché sur le sol durant un long moment, menotté, pantalon en bas des genoux, le plug dans le cul et trempé de l'urine de Christian. Il n'avait jamais connu cet etat psychologique troublant, ou en etant humilié violenté et baisé pire qu'une pute, il avait finalement jouit. Cela le troublait de réaliser que finalement il avait aimé cette experience malseine. Il mis longtemps avant de retrouver ses esprits, se releva, puis defit les menottes et se rehabilla comme il pouvait, pour rentrer chez lui discretement a pied. Enfin Arrivé! Une fois la porte fermée, il se deshabilla et aller prendre sa douche. Pris un vieux rhum Clément d3 ceux que l’on savoure pour les grandes occasions et pour reflechir tout en grignotant. Puis alla se coucher. Il s'endormi rapidement l'esprit empreint de ses derniers souvenirs et passa une tres bonne nuit. Le lendemain, au reveil sa decision etait prise, il se rendrait au rendez-vous. Arrivé sur place, il s'agissait d'un hotel particulier dans un arrondissement cossu de Paris. Il fit un tour dans le quartier malgré tout hésitant, puis se lanca et sonna à la porte quelques minutes suivant 14h00. Apres quelques instants, la porte s'ouvrit, et il decouvrit le visage de son tortionnaire. "salut alex, nous étions sûr que tu viendrais, mais tu es un peu en retard..." "bonjour, oui, en effet..." alex n'eut pas le temps de finir sa phrase que Christian l'avait plaqué contre le mur le tenant à la gorge et lui mettre une taloche,"pour toi c'est Maitre Christian, compris" "oui ..." reclac "oui Maitre Christian" " c'est mieux, mais il va falloir apprendre plus vite, sinon tu finiras sans peau a force de te faire punir!" Il'continua, "voila c'est en quelque sorte notre quartier général, nous y pratiquons nombreuses de nos activités, confortable et bien equipé une belle reception. Mais ils nous arrivent parfois d'organiser des soirees ou d'autres activités ..." alex intervint "et qui est le proprietaire?" Il est aussitot plaqué contre le mur "tu parleras quand on te le demandera" "...ah ok..." nouvelle clac "oui oui maitre christian". Ils gravirent les marches du péron, puis prirent une porte à droite.  Celle-ci donnait sur une piece de taille moyenne ressemblant a un salon, pas trop haute de plafond, et alex, eut un reflexe de recule lorsqu'il realisa qu'il y avait 3 hommes assis sur un canapé en train de prendre le café ..."ah ! enfin voici ta nouvelle recrue! "  " OUI il est arrivé un peu en retard. Il voulait déjà scorer dans le tableau des punitions!" Rire general. Christian continu. "voici quelques membres éminents de notre club,  Maitre James, banquier et specialisé dans le bondage, maitre Kevin qui est tatoueur piercer pro, et maitre Jack, médecin. Nous allons tous participer à ton dressage, et comme tu le vois tu es entre de bonnes mains. Qu'en penses tu?"  ..." oui en effet maitre Christian" "à la bonheur, il finit par comprendre. Dans notre club il y a 4 castes, les apprentis slaves dont tu fais maintenant parti, les slaves qui peuvent dominer les apprentis sous controle d'une personne de caste superieure, les apprentis maitres et les maitres. Le club est dirigé par un petit groupe de maitres dont nous faisons parti tous les 4. Bien sûr il y a des hommes et des femmes dans toutes les castes, et tes preferences sexuelles n'ont aucune importance, nous sommes soit hetero, bi, ou gay aucune difference ou discrimination, ce qui compte c'est ce que le maitre veut. Compris?" ..."oui maitre Christian"... "maintenant fou toi a poil apprenti..." à ces mots alex rougi ayant peu l'habitude de se deshabiller devant des inconnus. Christian l'attrappa par les cheveux "quand on te donne un ordre tu obeis immédiatement sans réfléchir, compris?" "oui maitre christian" et il commenca a se déshabiller. Pendant ce temps Christian appuya sur une sonnette et aussitôt une superbe blonde, top less les seins percés par des anneaux, un collier de cuir enserrant son cou, en porte jaretelle bas coutures et haut talons entra dans la piece et commença à ramasser les affaires d'alex pour les mettre dans un sac sur lequel le prénom Alex etait brodé. Instinctivement il voulu couvrir son sexe que la blonde reluquait, car bien que gay il avait toujours été intimidée par les filles mais il reçu une clac, ainsi que la blonde, "concentre toi chienne vero, tu n'es pas là pour te rincer l'oeil, va chercher ta punition auprès de maitre kevin" "bien maitre pardonnez moi", elle se mis a 4 pattes puis alla se placer a genoux devant kevin les mains derriere la tete, celui-ci lui mit directement une baffe et l'attrapa par les seins " alors comme ça on regarde la queue de qulqu'un qui n'est pas son maitre? Un apprenti soumis en plus! Quelle honte"... la  blonde grimaça sans broncher... " tu recevras 10 coups de fouet tout à l'heure,... va te mettre en position d'attente!" La blonde repartie a quatre pattes se positionner dans un angle de la piece, jambes légèrement ecartées, mains dans le dos et regard baissé. Christian repris," bon, chien va saluer tes maitres" alors qu'alex se deplacait en marchant, il fut attrappé par les cheveux, puis par les couilles et mis a genoux de force " a quatre pattes chien..." rouge de honte et de douleur alex alla se placer sans dire un mot devant james a la manière de vero. " bien... ça commence a rentrer" James se leva, fit le tour d'alex en commentant " bien joli cul et joli corps, musculature pas trop mal, le bondage devrait bien t'aller. Un peu de muscu à ton programme et tu n'en seras que plus baisable." Il se pencha sur alex, le pris par les cheveux et l'attrapa par les couilles en les étirants vers le bas, lui roula un grosse pelle. "waouw, sexe" s'exclama Kevin "vient me voir maintenant. Alex se positionne devant kevin qui l'inspecte avec plus de details, "ouvre la bouche, tires ta langue,...hummm jolie, je sens qu'il doit etre super fort en fellation..." "je te confirme encherit Christian. Kevin lui tate les seins "humm pas mal du tout aussi, ce sera facile pour le signe d'appartenance..." puis il lui enserre les couilles avec sa main pour les étirer vers le bas. Alex grimace, en emettant un petit bruit, ce qui lui vaut un bonne paire de clac. Puis kevin racle un beau glaviot crache par terre et lui ordonne de lecher, apres un moment d'hesitation kevin l'attrape par les cheveux et le force à lecher le glaviot au sol. "voila, c'est bien... qu'est ce que l'on dit a son Maitre?"  "....euh merci Maitre Kevin?". A son tour Jack l'interpele "a moi, ... on va voir à quel point t'es une salope. Ouvre ta bouche et leche bien mes doigts...encore" en meme temps, jack retire le plug ce qui a pour effet de faire mouiller alex. Puis Jack lui fourre 2 doigts au fond de la gorge, alex s'etouffe mais recrache une bave bien visqueuse. Aussi Jack le plaque sur le canape et commence a lui lubrifier l'anus. Puis introduire un doigt. "vas y leche salope" puis Jack lui fourre 2 doigts dans le cul, alex emet un petit rale... " tiens on dirait qu'elle aime ça la salope." Puis 3 doigts, " a priori pas de soucis coté sodo, il faudra tenter un fist peut etre. Tiens ouvre la bouche" et jack lui fourre le plug dans la bouche et lui fait refermer. Christian reprends la main, "bon aller assez amusé, vient la chien", alex le rejoint a 4 pattes. "debout!" Une fois levé, christian retire le plug de sa bouche pour le replacer dans son cul, puis lui attache les mains à l’aide de grosses menottes en cuir que presente vero sur un plateau sur lequel se trouve aussi une tondeuse. A l'aide d'une telecommande, christian fait descendre un cable d'acier auquel il attache les menottes. Pendant ce temps vero a posé les equivalentes à ses chevilles et les a reliées a de courts cables au sol. Christian manoeuvre et alex se retrouve suspendu à quelques centimetres dans les airs les jambes ecartées. "vas y chienne vero, transforme nous ce pd en apprenti soumis" vero s'approcha tondeuse a la main et rasa alex des pieds au cou avec application. "Et voila, nu comme un ver, pour te rappeler que les slaves n'ont rien, qu'il ne sont rien, chaque fois que tu franchiras cette porte tu te mettras à poil, et tu devras etre tondu pareil a toi de t'entretenir desormais. Rasage, epilation, tu as le choix des armes! Attention tu seras inspecté à chaque fois, et en cas de défaut tu seras sévèrement puni, compris?" "oui maitre Christian" alex commençais a se prendre au jeu et trouvait cela ludique. Apres tout le soumis ne doit penser à rien si ce n'est qu'a obeir, subie et faire plaisir a ses maitres. "ah voici l'un de mes moments préférés!" Tous se levèrent et vinrent autour d'alex, toujours suspendu, en retirant leur ceinturon... " la correction!" Stupeur dans les yeux d'alex, alors qu'au meme moment, vero place un baillon boule dans sa bouche "La correction, differente de la punition, est un principe fondateur du bdsm. Tout soumis se doit d'etre battu, car c'est sa destiné. Celles ci se fond avec divers ustensiles de plus en plus sophistiquées ou cruelles, par forcement douloureuses, mais cela fait parti de l'entreinement en quelque sorte". Et la corection,commence, plutot douce, les ceinturons sont à mi longueur. Afin d'en reduire la force. D'abord les fesses, puis les jambes, le ventre, les bras, les ceinturons, les longueurs s'allongent, le rythme ralenti mais les coups sont plus forts, de plus en plus fort... Soudain Jack  dit " ok c'est bon là", alex est au bord de l'évanouisement, zebré sur tout le corps. On detache rapidement ces jambes puis on le redescent, on lui donne a boire... drole de gout...c'est pas que de l'eau puis on l'emène dans une cage se trouvant dans une piece attenante, ou on l'attache pas le cou et on l'enferme. Jack passe pour verifier son etat " ok tout va bien repose toi une heure...." il s'endore profondement, il avait été drogué. Lorsqu'alex se reveille il est assis sur une chaise, le basin un peu en avant, les mains attachées au dossier, les pieds à la chaise, et les yeux bandés. Il reconnait la voix de Kevin qui discute avec Christian. "Voila, je vois que docteur Jack a encore fait des miracles, apprentissage suivant..." dit Christian " jeu de cire" a peine la phrase terminée qu'il senti les brulures des gouttes lui tombant dessus. C'est la première fois qu'il ressent cela. la brulure est mordante mais tres furtive il se tortille dans tous les sens et bondi lorsque la cire coule sur sa bite mais il trouve cela très excitant et bande comme un ane. le traitement dure jusqu'a ce qu'alex soit bien recouvert. "Alors ça ta plus?" "oui maitre , merci maitre"... christian continu, le probleme avec la cire c'est pour la retirer, heureusement on a du personnel...vero?" Et aussi alex recoit un violent coup de martinet sur la poitrine... "oui vero adore retirer la cire "... les coups descendent progressivement et methodiquement au fur et à mesure que la cire se retire... " stop "dit kevin " là ses seins sont bien dégagés on va lui poser des pinces" "bien maitre" répond vero en lui apportant celles ci. Kevin malaxe et étire les seins d'alex pour le préparer, puis pose les pinces aux deux seins lui arrachant un cri de douleur. Il reçoit une clac de kevin "calme toi, fait pas ta fiotte, tu verras c'est beaucoup plus douloureux quand on les retire". A ce meme instant il rescend que les pinces sont attachees et sont tirees vers le haut.Pendant qu'il disait cela, alex percoit la porte qui s'ouvre et une nouvelle personne qui entre. Quelques chuchotements, et se sont les coups de martinet qui repartent. Calculant la direction des coups il en oublie sa douleur aux seins et commence a craindre le martinet sur ses couilles, arrivés au niveau du pubis les coups cessent "t'a eu peur hein slave?" Ne repondant pas il recoit un coup de martinet "le maitre n'a pas entendu ta reponse!" Dit vero "oui maitre christian j'ai eu peur"  ... " bien continuons" il sens que quelqu'un s'agenouille entre ses cuisses puis commence a retirer la cire de sa queue. La finesse des doigts la longueur des ongle et la subtile douceur inherente à la gente feminine le font penser a vero et soudain, il sent que la femme prend sa bite la porte à sa bouche et commence à le sucer. Cela à beau etre une femme, la situation est telle que l excitation monte et sa queue commence à gonfler. "tu vois qu'on est pas des sauvages dit kevin, le bdsm c'est le plaisir pour chacun, et chacun à sa maniere" ... "vous avez totalement raison mon maitre" entends t’il dire vero derriere lui !!! Mais qui est donc la mysterieuse personne en train de lui faire cette magistrale pipe, il commence a geindre, mais aucune reprimende ni coup de martinet,... il entant jack dire "tient mets une capote" et resent la femme lui mettre, cracher sur son sexe le porter à sa bouche puis monter sur alex et s'empaler dessus pas onde successive. Qu'elle ressenti incroyable, baisé par une femme sans savoir de qui il s'agit et sans pouvoir rien faire. Il resent une main qui s'agite pres de ces couilles, mais a priori pas pour les torturer. Il comprends que quelqu'un prépare sa partenaie pour une sodomie. Il sent le poid de la femme qui le chevauche augmenter. La femme tire sur les pinces de seins, il ne sait pas s'il pourra se retenir encore longtemps, d'un seul coup la femme émet un bruit roque suivi par un "ouuuui Christian, prends moi comme une chienne..." dans une voix déformée mais qui semble familière a alex sans qu'il ne puisse mettre un nom dessus. Le manège dure encore dix minutes et c'est l'explosion alex éjacule en premier suivi peu de temps par christian, et la femme qui jouie relachant plusieurs jets. Puis elle dit "ok je valide la candidature de cette nouvelle recrue, tu peux procéder kevin". La femme se retire et kevin lui retire le pinces aux seins, alex pousse un cris "et oui ça fait plutot mal...”, et quelque secondes plus tard il ressent une profonde douleur au sein droit " voila chien' c'est ta première marque d'appartenance a notre club, un piercing au sein droit. Alex a eu le soufle coupé par la douleur, mais un coton imbibé d'un produit special est immediatement mis pour soulager la douleur. "Et maintenant ton premier galon d'apprenti" alex sens qu'un epais collier de cuir lui est attaché autour du cou. On le détache, et on le mene à 4 pattes par le collier dans la salle de la cage, ou il découvre un pilori pas très haut. On le positionne ou il se retrouve le cul en l'air. D’autres personnes rentrent, "aller tu m'as excité ptit pute, je vais bien te baiser" il reconnait kevin qui sans plus de discussion le culbute. En meme temps il entend une autre personne avec ses tallon aiguille , s'approcher et lui donner des coups de martinet en riant. Puis elle s'arrete, passe devant le pilori, et lui pisse dessus, pendant que kevin jouis. Il se retire et sort les laissant seuls. " ah il t'a bien bourinné maitre kevin hein" et en disant cela retire le bandeau d'alex, ses yeux sont troubles il voit des bottes en cuir a talons, des bas une guepiere,... il sursaute et manque de s'etouffer..."Leaticia!!!???" ""Hahahahahahahah eh oui alex t'es pas rapide à comprendre. Merci pour le cadeau tout a l'heure, j’ai toujours revé qu'on baise ensemble, voir tu aurais pu rejoindre le club comme maitre, mais la fois ou tu m'as donné ton mot de passe pour que je verifie le dossier d'un patient, j'ai trouvé tes photos, tes sites, j'ai hacké tes comptes, on t'a tracé durant 2 mois.... quel plaisir, le beau male se revele etre une salope... donc maintenant, c'est mon tour de te baiser"... Sur ces mots elle chausse un gode ceinture et encule alex avec violence. Fin
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Par : le 23/05/21
Chapitre 2   Alex a executé les instructions données par son maitre chanteur et ce n'est pas sans honte et excitation qu'il s'est photographié léchant son sperme a meme le sol. Un sms l'avait felicité en retour, lui ordonnant d'aller prendre une douche mais sans possibilité de retirer le plug. Consigne qu’il avait prudement suivi. Il avait ensuite brievement diner d'une soupe puis etait allé se coucher, avec en permanence cette situation qui trotait dans sa tête... et dans son cul. Impossible de trouver une echapatoire. Vers minuit il avait essayé de se revolter en retirant son plug mais il avait recu un sms dans les secondes qui suivirent "ce serait dommage que tes collegues decouvrent en fond d'ecran une photo de toi en se connectant à leur PC" et aussitot il avait remis le plug. "attention, joues pas avec le feu". Difficile de s'endormir. Nuit horrible.   Ça vibre à répétition, il s'eveille en sursaut et realise que c'est le plug qui vibre... aussitot il recoit un sms "depeches toi, tu vas etre en retard au cabinet! Et n'oublies pas les consignes de ce matin douche et nettoyage de cul et de plug avant de le remettre". Et oui..., il est tard, il risque d'être en retard s'il ne se dépèche pas. Sans reflechir, il saute du lit prend son petit dej, la douche le plug, en prenant soin de suivre les consignes de temps. Il est prêt et part au bureau dans la précipitation. Il arrive a l'arrache peut de temps avant son premier client. Il croise Melanie dans le couloir... "ben dit donc, salle nuit on dirait et salle guelle ce matin, tu vas faire peur à ta cliente..." dit elle en partant dans un éclat de rire de concert avec Leaticia prenant son café ... sympa les filles!   La matinée se passe difficillement mais une fois bien calé et une position trouvée, il a reussi a oublier le plug, qui d'ailleurs n'a montré aucune envie de vibrer. Il est midi, et Alex part avec les filles et Paul manger un bout. Gérard est resté pour préparer son premier rendez vous de l'apres midi. Apres tout cela l'aidera peut etre a reprendre du poil de la bete... chacun est assis et commence tout en discutant lorsque le plug se met à vibrer, par secousse successive allant crescendo. Alex manque de s'etouffer, et devient tout rouge... "ben ca va pas Alex, quelque chose qui ne passe pas?" Demande Leaticia?" Alex a l'impression que tout le monde dans le resto entend ces vibrations. En plus, il ne sait pourquoi mais la situation l'excite et il commence a bander. Leaticia dit " c'est ton telephone Alex que l'on entant vibrer?"... "euh...." Un sms arrive "va te branler salope" a cette lecture, Alex sent qu'il bande encore plus "ah oui tu as raison... excusez moi je dois m'absenter quelques instants", il se leve de table le pantalon peu discretement gonflé par sa queue pour se diriger vers l'interieur du restaurant. Commentaire de Melanie, "ah oui, là je le vois bien vibrer son portable..." aussitot tous eclatent de rire, Leaticia ajoutant "on a même envie de décrocher pour lui. Le plug a continué de vibrer de plus en plus fort, arriver dans les toilettes, Alex s'enferme baisse son jean et son slip et commence a s'astiquer... bzzzz sms " et n'oublie pas de lecher ton foutre apres!". le plug lui procure tellement de plaisir combiné avec la branlette qu'il ne tarde pas à jouir. A peine fini que le plug se met a vibrer tellement fort que cela en est douloureux, bzzz sms "a genoux et leche ton foutre slave" Alex se met a genoux et leche tout le foutre sur le sol a peine propre. Le plug s'arrete. Alex se rhabille se nettoie le visage et la bouche au mieux et rejoint ses collegues a table. En le voyant arriver et en matant son jean, tout comme melanie, leaticia ironise "Ah, je te sens soulagé"... "ah Ha Ha..." dit alex. "bon on ta commandé un choux a la creme en dessert, je pense que tu adores ca!".   Une fois le repas fini, ils rentrent pour reprendre les rendez vous... rude journée aujourd'hui il finira le dernier. L'apres midi se passe sans soucis, bien qu'un peu fatigué il reussi a se concentrer. Un café a 5 heures et c'est reparti. Il a pris un peu de retard, il est 19h40 et c'est son dernir patient avant le week end. Il regarde le dossier que Leaticia lui avait posé en debut d'apres midi... non le nom ne me dit rien. Il ouvre la porte de la salle d 'attente et salut son nouveau patient. Bonjour Monsieur Grimaud, c'est a nous. Comme d'habitude il observe celui ci se lever et commence a se créer une image mentale de sa personalité et de ces maux probables. Type grand, costaud, musclé même, mine patibulaire (mais presque....), mais pas désagreable, tout droit sorti d'un film d'espionnage!. Il sourit discrêtement à cette pensée, et tend la main a Mr Grimaud, qui à son tour lui broie litéralement la main. "Enchanté mr Christiaaaaann Grimaud". "Je vous en prie prenez place, et raconté moi ce qui vous ameme?" Dit Alex en s'asseillant. "je pense que vous allez pouvoir m'aider" répond Grimaud en lui tendant une grande enveloppe blanche.   Alex prend et ouvre l'enveloppe, la photo de lui hier soir lechant son foutre sur le sol. Le sang d'Alex ne fait qu'un tour il hurle "salaud" et saute quasiment par dessus son bureau se precipitant sur Grimaud pour l'étrangler. Au dernier moment, celui ci esquive sur la droite assaine un atemi dans le foi d'alex, et lui fait un croche pied. Pris par son élan ce dernier s'écrase lamentablement au sol, accusant le choc et la douleur dans les cotes. A peine au sol, Christian est déjà sur lui lui tordant le bras dans le dos. "Alors ptit fiote on veut faire le malin" dit il en l'attrapant par les cheveux et lui cognant la tête le sol. "Tu ne peux rien contre moi, il faut que tu comprennes que tu es mon esclave" en même tant qu'il prononçait ces paroles, Christian sorti une paire de menotte qu'il passant a ses deux poignés en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. "mais qu'est ce que vous voulez à la fin...?” " c'est tres simple on te l'a dit 10 fois mais tu ne veux pas l'admettre. On ne veut que ton bien et ton accomplissement. Nous sommes un club bdsm tres fermé et nous recrutons nos membres qu'apres beaucoup de recherches et de préparations. Tu devrais etre flatté d'avoir été selectionné. Nous te suivons depuis un ptit moment et nous avons analysé ton profil avec soin, et nous s'avons tres bien que ce que tu veux c'est de te faire dominer... ton profil psychologique montre même que tu aimerais devenir esclave d'autres mecs qui t'utiliseront, te baiseront, t'humilieront.... mais pour nous pas de honte à cela, puisque cela te fera plaisir. C'est du donnant donant quoi. En plus t'es gay tu aimes etre passif voir traité comme une salope, et tu as une grosse queue, ... des comme toi on en manquait... alors qu'est ce que tu en penses?"   Accusant le coup de ce qu'il vient d'entendre il baffouille, Christian lui met une clac "ah je vois que ca rentre pas vite au cerveau... attends je vais un peu t'aider" il retourne Alex sur le dos, baisse son pantalon et lui fourre sa queue dans la bouche. Alex manque d'etouffer de surprise, meme si c'est plutot un pro dans ce domaine. Christian lui baise litteralement la gueulle et commence a bien raler. Alex se controle pour ne pas ettoufer. " tu m'excites bien toi...., tu suces vraiment comme une salope... on va voir ton cul maintenant, je suis sûr qu'il est pret à me recevoir." Christian saisit Alex et le balance a plat ventre sur son bureau puis lui baisse son pantalon et lui arrache son slip tel une bête sauvage, et lui fourre dans la gueule. Alex panique pour la suite, mais entend Christian lui dire qu'il va mettre un preservatif. Il retire le plug du cul d'Alex dans un bruit et fourre sa queue dans son cul, celle ci entre sans difficulté le plug ayant fait son ouvrage...   Christian laboure alex pendant 15minutes tantot le tenant par les cheveux, tantot lui mettant les doigts dans la bouche et finalement en lui mettant son pied sur la tete tout en l'insultant régulièrement. Alex est pris de tremblement, Christian redouble la pression et tous deux finissent par jouir en meme temps. "T'as aimé ça ptit pute hein? " lance Christian à Alex qui fini par décrocher un timide oui. A peine sa queue retirée que Christian replace le plug dans le cul d'alex. Chrisitan saisit alex du bureau le met a genoux devant lui et demande a alex de bien nettoyer sa bite. Vaincu celui ci s'execute. Puis Christian couche alex au sol et lui pisse dessus. " fait pas ta bourgeoise, on sait que tu aimes ça...et boit bien tout..." alex humilié de savoir tout ses secrets connus s'execute comme un bon soumis qu'il devient devant cet inconnu.   "bon voila le topo alex, demain c'est le week end. au dos de la photo de l'enveloppe tu trouveras une adresse ou te rendre a 14h sans faute. Tu repartiras dimanche soir a 18h00. Ton premier dressage de slave se fera durant ces deux jours. Inutile d'amener des affaires de change tu seras a poil durant ces deux jours...compris?" "Euh, mais, demain j'avais" Christian lui assene un coup de pied "ta gueule esclave... t'a pas le choix, tu ramenes ton cul demain a 14h... et pas la peine de prevenir la police ou quoi, il y a de nombreux membres dans notre club et ton dossier est partagé prêt à etre diffusé en cas probleme. De toute manière je ne suis pas inquiet on sait que tu aimes cela et que tu comprendras qu'il s'agit d'une opportunité pour toi d'être dans un club select, plutot que d'aller baisouyer a droite a gauche. Les salopes dans ton genre finissent toujours par aimer a etre slave au sein de notre groupe. Tu feras d'ailleurs connaissances d'autres prsonnes qui participeront a ton dressage. A demain. Tu peux m'appeler Maitre Christian. Compris?" Alex toujours interloqué, recoit de nouveau un coup de pied " compris?" ... "oui" ... re coup de pied "oui Maitre Christian" ..."a bien, t'apprends pas vite, mais on corrigera tout cela demain" Tient je pose sur le bureau les cles des menotes a demain. Sur ce il quitte le cabinet, laissant alex couché mains attachées dans le dos, pantalon en bas des genoux et recouvert de pisse.
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Par : le 23/05/21
Bonjour a tous, Je vous livre ce triptyque en vous donnant un peu de contexte afin que vous puissiez mieux comprendre le pourquoi du comment. Il s’agit tout d’abord d’une fiction, et en aucun cas quelque chose que j’aurais vécu d’aucune maniere que ce soit. L’origine vient d’échange avec un potentiel partenaire très joueur adorant les questions/reponses bien kinky, des jeux de hasard avec des gages... qu’il realisait a chaque fois qu’il perdait... plus souvent qu’à son tour, etant moi meme particulierement joueur et creatif. Il m’est arrivé de perdre, et l’un de mes gages devait etre d’ecrire 3 histoires. Etant tres imaginatif, j’ai preferé ecrire une meme histoire en 3 chapitres. Bon pas facile a faire sur un telephone portable... Derniere clé pour comprendre les themes, Alejandro (c’est son vrai prenom) exerce un metier decrit dans le texte, il est beau comme dieu, gay, tres soumis, adore les trucs bien crade, et la nature l’a doté d’un sexe a faire palir de honte un ane! CHAPITRE 1 Premiere histoire, special dedicace, j'espere qu'elle te plaira... Alex est un homme d'une trentaine d'année, pluto sportif avec un physique avantageux, et une situation professionelle maintenant bien etablie. Sophrologue dans un centre de soins, il recoit ses patients toute la journée. Entre deux rendez vous, il consulte ses emails, sur les differents sites de rencontre auquel il est abonné. Il est celibataire. Sa vie tourne rond, le soir il rentre chez lui apres avoir parfois pris un pot avec les collegues. Parmi eux il y a Leaticia, grande brune au regard enigmatique et aux courbes magnifiques qui se joint toujours a eux, car elle aimerait bien avoir une conversation d'un autre genre avec lui. Elle fantasme parfois, revant qu'il la prendrait sauvagement sur son bureau. D'ailleurs elle porte tous les jours, des robes , des jupes plus ou moins courte, haut moulant, ou chemisier montrant un avanageux decolté, sans compter de l'attention particuliere qu'elle apporte a ses dessous, porte jaretelles et bas quasi tous les jours. Mais Alex ne voit pas cela, car il est tout simplement gay, mais personne ne le sait, et il fait tres attention que cela ne se saches pas, de peur que cela nuise a sa reputation professionelle. Rentré chez lui, Alex passe son temps a mater des films porno gay et a tchater sur des sites de rencontres afin d'y trouver un partenaire, d'un soir, ou l'homme de sa vie. Un jour ouvrant son courrier electronique il y trouve un email lui disant qu'il savait qui il etait et qu'il publierait des photos de lui a poil, en train de sucer ou de s'engoder sur l'espace public, dans son hall d'escalier, pres de son cabinet,... il fut surpris, trouva cela un peu choquant, mais pensant plutot a une mauvaise blague, ou une tentative de phishing, il detruisit l'email sans trop y penser. Le lendemain il recevait un email de cette meme personne disant "alors ptit pd tu sembles par avoir compris mon premier email.  Ouvre la photo attaché et tu comprendras" de nouveau choqué par le ton vulgaire de la note, il clic neanmoins sur la photo attaché et manque de s'ettoufer. Une photo de lui a poil en train de se goder... il accuse le coup et lit machinalement la suite de l'email. "je sais bien qui tu es, et ton seul choix est de devenir ma salope soumise. C'est ton deuxieme avertissement" un peu assommé il doit partir au travail. Durant toute la journée Son esprit n'arrete pas de penser a ce dernier évènement. La journée se passe et il rentre chez lui toujours perturbé, avec le sentiment d'avoir mal travaillé. Certes, il a souvent fantasmé de se faire dominer par un ou plusieurs mecs qu'il aurait choisi, mais là les circonstances étaient troublantes avec l'impression d'etre en presence d'un malade mentale. Arrivé chez lui sa concierge l'interpelle. "ah monsieur Alex, j'ai eu ça pour vous aujourd'hui" et elle lui tend un colis et une grande enveloppe craft, le tout adressé a son nom. En continuant de faire la conversation avec sa concierge il ouvre machinalement l'enveloppe et regarde a l'interieur. Il referme celle ci précipitement en rougissant. A l'interieur une photo de lui a poil en train de sucer une belle bite. Il écourte la conversation et monte chez lui rapidement, en panic! Il s'enferme a double tour, puis se decide a ouvrir le paquet. Dedans il y trouve un plug commandé a distance, mais sans la telecommande sans autre explication. Il sort la photo de l'enveloppe et decouvre un texte au dos de celle ci. "C'est ton dernier avertissement ptit pute. Demain est ta derniere chance avant que ta vie public ne s'effondre. Demain, avant de partir au travail tu placeras ce plug dans ton ptit cul de salope. C'est super ce que l'on fait aujourdhui, il est couplé à mon telephone, et je peux savoir quand tu le mettras et le commander a distance, comme et quand je le voudrais. Si tu ne me crois pas, met le dans ta bouche durant une minute. Je te rappelle que c'est ta derniere chance". KO par la tournure des évènements, Alex decide de faire l'essai, apres tout... il le lave avant ... on sait jamais avec ce taré... puis le place dans sa bouche. C'est froid, un peu lourd, et il y a une petite antenne qui sort de la partie exterieure, montée d'une sorte de pierre preciseuse rose. Au bout de quelques instants, son telephone vibre. un sms..."bon choix slave, je vois que tu commences a comprendre que je ne plaisante vraiment pas". Alex recrache le plug medusé par le sms qu'il vient de recevoir. La menace prend vraiment forme et est désormais concrete. Son telephone revibre... un second sms..."changement de programme, finalement tu vas mettre le plug dans ton cul de suite. Et tu auras le droit de le retirer que demain matin pour chier, et le remettre apres ta douche tu n'auras que 40 minutes pour faire cela. Et lave bien ton cul et le plug avant de le remettre. Et n'oublies pas, ta concierge est très sympathique et bavarde, sans parler de tes collegues, Gerard, Paul, Leaticia et Melanie." Effondré et vaincu, Alex se deshabille. Le plug est assez gros, pas question de l’inserer sans preparation. Il lubrifie son cul avec sa salive, se doigte, d'abord avec un doigt, puis relubrifie, et y fourre 2 doigts, et se relubrifie encore et encore puis y fourre 3 doigts. En meme temps il suce copieusement le plug qu'il a posé sur la table basse, puis fini par se pluger, pas facile ,il est assez large avec cet electronique a l'intérieur. Il est finalement en place. De nouveau un sms..."bravo tu as fait le bon choix, tu es desormais mon esclave. D'autres instructions te parviendront, mais pour l'instant, tu vas te branler, jouir au sol, et bien nettoyer avec ta langue. Tu prendras une photo avec ta langue bien sortie et pleine de sperme et me l'enverra par sms. " a peine la lecture fini que le plug se mis à vibrer...
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Par : le 23/05/21
Charlotte fouilla dans son sac, sans trop savoir ce qu'elle désirait, sans rien chercher de précis, à vrai dire, simplement pour s'occuper jusqu'à l'arrivée de Juliette. Elle ne pouvait pas se contenter de rester, là assise, le regard perdu dans le vide, et elle ne voulait pas non plus jouer à la fille courbée sur elle-même qui pianote frénétiquement sur son portable. Il y avait bien ces cent premiers feuillets d'un manuscrit que son assistante lui avait tendu au moment où elle quittait le bureau, mais non, sortir un manuscrit de la maison Gallimard chez Berthillon à l'heure de prendre une glace, c'était comme lire un scénario chez Miocque à Deauville. Le truc à ne pas faire. La seule chose dont elle aurait vraiment eu envie, ç'aurait été de poser sur ses oreilles son casque pour écouter de la musique, afin de ne plus entendre la voix grinçante et aiguë de l'homme, qui, derrière elle, hurlait dans son téléphone. Si elle avait été seule, ou avec des amies, elle aurait tout simplement demandé à changer de table, mais Juliette allait arriver d'une minute à l'autre, elle ne voulait pas qu'elle la surprenne à faire des histoires. Elle connaissait trop ses sautes d'humeur et respectait par dessus-tout la relation SM qui les unissait. Charlotte avait accepté sans restriction de se soumettre totalement à Juliette. L'anxiété générée par la perspective de ce déjeuner, combinée au brouhaha incessant de la soirée organisée à l'étage au-dessus qui s'était prolongée jusque tard dans la nuit, s'était soldée par un manque à gagner sérieux de sommeil. La séance que lui avait imposée Juliette lui revenait en mémoire par flashes. Elle revivait surtout le moment où elle avait dû retrousser sa jupe. Dès cet instant, elle avait commencé à éprouver du plaisir. Un plaisir que la punition face au coin, la culotte baissée, les poses obscènes, et jusqu'à la tentative de viol de Juliette n'avaient fait qu'accroître. Bien sûr, elle avait eu peur. Bien sûr, elle avait eu honte. Bien sûr, elle avait pleuré. Et pourtant, le désir l'avait toujours emporté. Elle avait passé plus d'une heure à trouver une tenue sans arriver à se décider. Toutes celles qu'elle portait d'habitude lui semblaient si classiques. Juliette aimait la provocation jusqu'à oser ce qu'il y avait de plus sexy ou d'aguicheur. Elle possédait l'art de la composition et savait assortir avec goût les éléments les plus disparates. Elle osait, au moins elle osait. Elle arriva finalement sans retard à leur rendez-vous. Elle avait décidé de faire quelques courses en centre ville. Charlotte dévala quatre à quatre les escaliers du glacier. Raide au volant de sa voiture allemande, Juliette ne lui jeta même pas un regard. Elles roulèrent sans se parler. Elle conduisait sa voiture à travers la circulation avec son autorité naturelle. À coté d'elle, Charlotte ne savait pas comment se tenir et gardait le visage tourné vers la vitre. Où allaient-elles ? Juliette n'avait même pas répondu à la question. Elle flottait entre inquiétude et excitation, ivresse et émoi. À l'extérieur ne défilaient que des silhouettes floues, échappées d'un mirage. Cette fois, elle savait que l'univers parallèle qu'elle s'était tant de fois décrit en secret était tout proche, enfin accessible. La réalité peu à peu s'effaçait. À tout moment, elle s'attendait à ce que la main de Juliette se pose sur sa cuisse. Une main douce glissant sa caresse sur le satin de sa peau. Ou une main dure au contraire, agrippée à son corps. N'importe quel contact lui aurait plu, mais rien ne passait. Indifférente à la tension de Charlotte, aux imperceptibles mouvements que faisaient celle-ci pour l'inviter à violer son territoire, à ces cuisses bronzées que découvraient hardiment une minijupe soigneusement choisie, Juliette ne semblait absorbée que par les embarras du trafic. Enfin, elle gara sa voiture devant la plus célèbre bijouterie de la ville et fit signe à Charlotte de descendre. Toujours sans dire un mot, elle la prit par le bras et lui ouvrit la porte du magasin. Comme si on l'attendait, une vendeuse s'avança vers elle, un plateau de velours noir à la main et leur adressa un sourire un peu forcé. Sur le plateau étaient alignés deux anneaux d'or qui étincelaient dans la lumière diffuse de la boutique. - "Ces anneaux d'or sont pour toi, chuchota Juliette à son oreille. Tu seras infibulée. Je veux que tu portes ces anneaux aux lèvres de ton sexe, aussi longtemps que je le souhaiterai." Charlotte accueillit cette déclaration avec émotion. Elle savait que dans les coutumes du sadomasochisme, la pose des anneaux était une sorte de consécration réservée aux esclaves et aux soumises aimées. C'était une sorte de mariage civil réservé à l'élite d'une religion qui professait l'amour d'une façon peut-être insolite, mais intense. Il lui tardait à présent d'être infibulée, mais sa Maîtresse décida que la cérémonie n'aurait lieu que deux semaines plus tard. Cela illustrait parfaitement la personnalité complexe de Juliette. Quand elle accordait un bonheur, elle le lui faisait longtemps désirer. Le jour tant attendu arriva. On la fit allonger sur une table recouverte d'un tissu en coton rouge. Dans la situation où elle se trouvait, la couleur donnait une évidente solennité au sacrifice qui allait être célébré sur cet autel. On lui expliqua que le plus long était de poser les agrafes pour suturer l'épiderme du dessus et la muqueuse du dessous. Un des lobes de ses lèvres serait percé, dans le milieu de sa longueur et à sa base. Elle ne serait pas endormie, cela ne durerait pas longtemps, et serait beaucoup moins dur que le fouet. Elle serait attachée seulement un peu plus que d'habitude. Et puis tout alla très vite, on lui écarta les cuisses, ses poignets et ses chevilles furent liées aux pieds de la table. On transperça l'un après l'autre le coté gauche et le coté droit de ses nymphes. Les deux anneaux coulissèrent sans difficulté et la brûlure s'estompa. Charlotte se sentit libérée, alors même qu'elle venait d'être marquée pour signifier qu'elle appartenait à une seule femme, sa Maîtresse. Alors Juliette lui prit la main droite et l'embrassa. Elle ferma les yeux pour apprécier plus intensément encore cet instant de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes, d'émotion, de joie et de fierté. Personne ne pouvait comprendre l'authenticité de son bonheur. Elles allèrent à La Coupole fêter la cérémonie. Leur entrée dans la brasserie fit sensation. Juliette la tenait en laisse le plus naturellement du monde. Un serveur apporta une bouteille de Ruinart. Charlotte sortit de son body transparent les billets qu'elle tendit au garçon littéralement fasciné par le décolleté qui ne cachait rien de ses seins. Les voisins de table les épiaient plus ou moins discrètement. Ils n'avaient sans doute jamais vu auparavant une jeune fille tenue en laisse par une femme, attachée au pied de la table, payant le champagne à ses amis. Elles sortirent d'une façon encore plus spectaculaire. Aussitôt passé le seuil, Juliette l'obligea à rejoindre, à quatre pattes, la voiture laissée en stationnement juste devant la porte de la brasserie. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/05/21
Trois ans. Trois ans déjà qu'un samedi soir, en quête de détente, alors que je n'aspirais qu'à m'abandonner le temps d'une nuit entre les mains d'un amant de passage, nos chemins, magie d'internet et des sites de rencontres, se sont croisés. J'avais eu une semaine chargée. Le vendredi, j'étais trop crevée pour sortir. Le lendemain, reposée, j'avais recontacté un mec rencontré quelques semaines auparavant, dont j'avais gardé un bon souvenir. Il a eu l'air surpris, parce que d'habitude je ne recontactais jamais les mecs avec qui j'avais baisé. Il avait déjà un plan de prévu, mais m'a proposé de me joindre à eux. J'ai décliné. Les plans à trois, surtout deux filles pour un mec, ça n'a jamais été mon truc. Restaient les sites de rencontres que je fréquentais alors. Et qui me réussissaient plutôt pas mal. C'est l'avantage, il faut bien qu'il y en ait, d'être femme dans une grande ville, jeune encore et donc « consommable », pas trop mal roulée, disponible pour satisfaire aux besoins des Mâles en rut :smile:. Peu m'importait à l'époque qui ils étaient, libres ou mariés, ce qu'ils faisaient dans la vie, ce qu'ils aimaient, en dehors du cul. La seule chose que je voulais d'eux, c'était du sexe, sans lendemain, sans contraintes. Pour jouir d'eux. _______________ A l'époque, j'usais d'un autre pseudo. "Libre et soumise". Dans cet ordre là. La liberté d'abord. Ma liberté. Celle d'être comme j'étais. De vivre comme je l'avais décidé. Sans me soucier de ce que pensaient les "autres", tous ceux engoncés dans des relations vides de sens, le quotidien, métro-boulot-dodo et le sexe vite fait, bâclé du vendredi ou du samedi soir. _______________ Personne jusqu'alors ne m'avait jamais interrogée sur le sens de ce pseudo. Et peu m'importait. Parce que les mecs, pour moi, n'étaient là que pour servir d'instruments à mes plaisirs égoïstes. Un corps agréable, une queue raide, dure, arrogante. Que j'abandonnais sans regrets au petit matin. _________________ A la lecture de ton message, j'ai compris tout de suite que tu étais différent des autres. De tous ceux qui m'envoyaient des messages du style "salut, tu cherches ?" quand ils ne me vantaient pas la splendeur de leur entrejambe en me traitant de "salope". Je l'ai gardé, copie écran, comme tous nos échanges qui ont suivis, et que j'aime à relire sur mon ordi. "Bonsoir, inconnue. Votre pseudo m'a interpellé. Me permettez-vous dès lors de vous interroger à ce sujet ? Libre et soumise. Que mettez derrière ces mots ? Comment parvenez vous à les concilier ? Leur ordre est-il important pour vous ? Pardonnez mon indiscrétion, mais j'aime comprendre. Evidemment, vous êtes libre. Et notamment de zapper mon message". _______________ Je n'ai pas zappé ton message. Au contraire. Ce n'est qu'au petit matin que nous avons interrompu notre dialogue par écrans interposés, sur nous, qui nous étions, nos goûts communs pour la littérature, les objets, nos désirs, le sens que nous donnions aux choses. La vie. Dont nous pensons tous deux qu'elle mérite d'être vécue. Intensément. Vraiment. _______________ Vu l'heure, davantage précoce qu'avancée, il ne me restait plus qu'à m'endormir seule, après une séance de plaisir solitaire qui pourtant n'a jamais été ma tasse de thé. Dès mon réveil, j'avais un courriel de toi sur l'adresse que je ne communiquais que rarement mais que je t'avais donnée. Nous avons échangé des photos. Tes mots déjà m'avaient séduite, le reste était à la hauteur de ta plume. Les fausses pudeurs n’ont jamais mon truc. Et je ne vois pas pourquoi une femme ne devrait pas dire ça d’un mec. Quant à toi, mon physique non plus ne t'apparaissait pas rédhibitoire :smile:. Puis ce furent nos courriels quotidiens, et ces lettres que tu m'écrivais, que je t'écrivais, au stylo plume sur du velin. Et que nous continuons encore de nous écrire, même si désormais nous partageons tout. Magie des mots et de nos désirs. Sans oublier nos conversations à bâtons rompus, nos soirées entières au téléphone, à écouter le son de nos voix, à échanger sur le sens de nos mots. _______________ Alors que tu m’avais dit ta jalousie, tu insistais pour que je te raconte les mecs que je continuais de rencontrer pour qu’ils me baisent, puisque tu continuais de te refuser à moi. Te justifiant en m'expliquant qu'avant que nous ne nous rencontrions, tu voulais tout savoir de moi, parce que tu ne cherchais pas un "coup d'un soir", mais une femme. Et qu'une femme, pour toi, avant de la posséder, il fallait la connaître. Pour être à sa hauteur. Je n’étais évidemment pas dupe de la part de manipulation qu’il y avait dans tes mots, dans ta manière de chercher à me séduire. Mais il y a toujours une part de manipulation dans la séduction. Et c’est un domaine dans lequel tu excelles. Alors, je te les disais, ces mecs. Qui comme les autres avant toi, n'étaient rien d'autre que des instants de plaisir, immédiatement oubliés. Des pis-aller, en t'attendant. Toi. Mais ça, alors, je n'avais pas encore osé te le dire :smile: Ce jeu, tendre et cruel, a duré près d'un mois. Jusqu'à ce qu'enfin tu me juges prête. Que tu te sentes prêt. A tenter ce voyage dans lequel tu avais décidé de m'entraîner. Et qui depuis continue. _______________ Alors, en ce jour anniversaire, merci à toi, mon Amiral adoré des mers inconnues pour m’avoir prise dans tes filets cette nuit-là. Merci pour ta patience (je sais, je ne suis pas un cadeau :smile:). Merci pour cette confiance que dès le début tu as eue en moi. Pour ta volonté de croire en nous, en ce possible dont tu voulais qu'il devienne "notre" réalité. Notre vérité. Que je n’étais pourtant pas prête encore à accepter. Oui, Maxime, merci mille fois à toi de m'avoir embarquée dans ce voyage dont je ferai tout désormais pour qu’il dure toujours Et appris à m'orienter grâce aux étoiles qui brillent dans tes yeux. _______________ La citation attribuée à Eluard est sans doute apocryphe. Mais peu importe. "Il n'y a pas de hasards, il n'y a que des rendez-vous". Et certains ne doivent surtout pas être manqués.
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Par : le 19/05/21
Sur appel de ma Maîtresse, je serais à ses pieds pour relever le défi noisettes et la servir de mon mieux. A ces simples pensées je suis fou de joie Ce quatorzième  défi a déjà une signification toute particulière alors le relever devant Ma Maîtresse est un challenge des plus motivants. Je reçois un ordre, j’exécute. C’est le fondement même de la soumission. Entre chaque ordre, soit marcher avec mes chaussettes remplies de noisettes, soit m'asseoir dessus, l'un ou l' autre 20 mn  à chaque fois,  je reste aux aguets. Toute mon attention est suspendue à ces injonctions brèves et autoritaires que je reçois sans le moindre préavis, où que je sois et quoi que je sois en train de faire. Ma Maîtresse m’imprègne de sa domination et ma liberté n’existe plus, je suis sa marionnette qu’Elle fait vivre comme bon lui semble et pour son plus grand plaisir. Ma coquille est vide si je n’ai pas la pression de Maîtresse sur ma tête. Aujourd’hui, être à ses pieds me fait revivre. Maîtresse m'a préparé un  coussin  de noisettes qui ne me quittera pas que ce soit assis ou coucher. Je vais devoir courir avec des chaussettes pleines de ces petits fruits mordants. La douleur est difficilement soutenable mais les exigences de Maîtresses sont sacrées alors je me donne à fond. Son petit sourire témoigne que ma douleur satisfait son délicieux sadisme. Plus tard, Maîtresse me transforme en bougeoir. A genoux, Elle m'installe les bougies sur les mollets, la tête m'interdisant tous mouvements. Ma concentration est intense. Autour de moi, Maîtresse devient un voile qui me frôle délicatement. Je ne ressens que son souffle délicat et la chaleur des bougies qui m'entourent. Je ferme les yeux pour ne pas être tenté de suivre les déplacements de Ma Maîtresse. La privation de la vue exacerbe les autres sens qui se concentrent à leur tour sur mon entourage. Mon subconscient est focalisé sur mon équilibre pour ne pas décevoir Ma Maîtresse. Elle décide à ce moment de déplacer son bougeoir. Je me retrouve couché sur le dos, genoux pliés où deux grosses bougies sont posées en équilibre par Ma Maîtresse. Mon ventre, mes mains deviennent vite un réceptacle pour de nouvelles bougies. Maîtresse me transforme en objet et, en tant que tel, l'immobilisation est la règle. Je dois me concentrer intensément et je perds un peu pied. Maîtresse me ramène sur terre en introduisant trois longues bougies dans ma bouche. L'appréhension de brûlure de ma bouche me gagne mais rapidement je m'aperçois que la cire se fige au contact de la salive. J’en ai bientôt plein la bouche Maîtresse arrive au terme de son tableau de Maître et peut profiter de son bougeoir. La cire coule alors sur mon ventre, sur ma barbe, mes pommettes enfin sur mon visage m'obligeant à fermer les yeux. Je perds un peu pied à nouveau mais Maîtresse ne me laisse pas très longtemps en dehors de son tableau. Maîtresse éteint les bougies,  Elle retire son bas  pour un face sitting décoiffant ou plutôt "décirant". Son sexe frotte ma bouche, mon nez. Épisodiquement j'entrevois son dos,  Elle est belle, svelte. Je suis excité à cette vue. Ses lèvres viennent de nouveau lécher ma bouche, je ne peux m'empêcher de les aspirer. Maîtresse  gronde  " Rnby,  tu ne te sert pas sans permission! ". Je suis confus, honteux. Je bredouille des excuses mais la tentation était terrible et je n'ai pas su  résister. La culpabilité m'envahit, je suis tellement mal à l'aise qu'un trou de souris me suffirait pour m'enfuir ! Moment de grande solitude. Et puis mes sentiments ne sont pas la priorité. Maîtresse continue avec grâce à me libérer de la cire par ce face sitting  continue  au rythme de la musique. Maîtresse s'étend sur moi, reviens en arrière arrachant la cire par sa seule glisse. j'aime ces moments où je dois m'effacer, n’exister qu'en tant qu'objet pour le seul plaisir de Ma Maîtresse. Peu de douleur, mais une concentration extrême pour devenir ce que veut Ma Maîtresse. Elle m’entraîne dans la baignoire pour une douche dorée abondante. Maîtresse me fait boire son urine,  m'asperge de sa pisse. C'est un moment où se mêle humiliation et fierté de recevoir ce liquide divin puisqu'il est le cœur de Ma Maîtresse. S'ensuit une toilette à l'eau froide qui me glace. Je tremble comme une feuille au vent. Mais Maîtresse est complaisante, elle me laisse finir à l'eau chaude ; je revis. Le réconfort est de courte durée car Maîtresse m'appelle déjà depuis le salon...
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Par : le 16/05/21
Une soirée presque parfaite I Le télétravail a du bon. Quelques courses entre midi et deux, de la liberté pour organiser ma journée plus ou moins comme je l'entends. Aujourd'hui ce sera organiser, préparer, cuisiner. Je veux que la surprise soit totale. Et ma princesse aux anges. Même si c'est un Démon... Allez je m'étais dit 16 heures, aujourd'hui je tiendrai parole quoi qu'il arrive. Ou presque. Une rose rouge sur son oreiller. J'essaie d'imaginer son sourire quand elle la verra. Elle se déshabillera puis filera à la salle de bain attenante. Elle tombera sur les pétales de roses, multicolores, au sol. Avec les sels de bains à la rose, le visuel sera parfaitement complété par l'odeur. J'espère juste qu'elle sera ponctuelle. A quelle heure faire couler son bain pour qu'il soit à température idéale quand elle arrivera ? 18H30 est son heure et j'espère avoir habilement hier soir sondé sa journée pour ne pas être surpris. 18H15, ce sera bien. J'aère la chambre, le lit est impeccable tiré, rien ne traîne, nickel. J'essaie de penser à tout pour qu'elle soit bien. Bon cuisine. Les Saint Jacques du poissonnier étaient magnifiques. Je vais refaire le beurre au cerfeuil avec les noisettes concassées. Ca changera de la fondue de fenouil qu'elle adore aussi. Mais ça c'est fait depuis ce matin, au frais et hop. Les feuilletés aux baies et parmesan pour l'apéro, ce sera au dernier moment de les mettre au four, les servir chauds. Bon ça c'est une première, j'espère bien doser les épices. Le champagne est au frais, rosé millésimé, comme elle aime, le Corton Charlemagne, son blanc préféré également, parfait. Je préparerai le cocktail pendant qu'elle se détendra dans son bain : un fond de Grand Marnier, une framboise surgelée, champagne brut, elle va adorer. Bon mon dessert : une tarte citron meringuée déstructurée, c'est ce qui me demandera le plus de temps, en route. Balance, matériel, ingrédients, tout préparer, être organisé, se souvenir des cours... Pétard 17h45 et je termine juste de monter mes verrines. Allez zou, au frigo. Ce n'est pas ma spécialité mais faire une belle table : le service émaillé noir et or récemment acquis est superbe, un chandelier ornée de jolies bougies rouges, ne lésinons pas. De jolis verres. Voilà, parfait. Préparer les allumettes, pour le dernier barbecue je les ai cherché 10 minutes. Pour un peu on mangeait la côte de boeuf crue... Je vais cueillir quelques branches de houx dans le jardin, un peu de verdure manquait sur cette table. Bon récapitulons : repas, check ; table, check ; déco, check. 18H15, plus qu'à me changer, ma tenue de télétravail n'étant pas celle qui lui plaît le plus. Ce nœud pap là elle adore. L'image du miroir me convient pendant que je mets son bain à couler. Pas le choix, je dois bien faire avec. La voilà qui arrive déjà, elle a encore du faire péter tous les radars en revenant... Vite le four à préchauffer, lui ouvrir la porte quand j'entends ses pas sur les dalles de l'entrée. Son sourire m'indique qu'elle a vite compris en me voyant. Elle déjà habituée ou quoi? Il reste ma meilleure récompense ce visage qui change d'expression instantanément après la fatigue de la journée. Aucun mot superflu, un baiser, je prends son manteau et lui ouvre la porte de la chambre. Elle est de dos mais je sais qu'elle sourit. Je suis retourné en cuisine enfourner mes feuilletés après les avoir doré au jaune d'oeuf en l'imaginant sans grand risque de me tromper. Elle s'effeuille comme chaque soir, toujours un spectacle pour moi prend son bouquin du moment et se glisse dans la baignoire en appuyant sur le programme des bulles douces, accompagnées d'une lueur bleutée qui irradie dans toute la salle de bain. Je me demande juste ce qu'elle a mis en musique de fond. Voilà tout est prêt, je bous d'impatience : le plateau avec le seau à champagne et les coupes est prêt, j'espère que les feuilletés à peine tièdes lui plairont autrement que par leur aspect doré et croustillant. Pas de raison. J'entends du mouvement. Quelle tenue va-t-elle choisir ce soir? Ange ou Démon? Je baisse la lumière tamisée du salon donnant sur le lac où deux cygnes majestueux et indifférents passent tranquillement. J'entends ses talons qui claquent, la porte de la chambre s'ouvre. Ma princesse rentre en scène. Waouh. La soirée s'annonce... Je n'ai plus de mots tellement elle est magnifique. II Ses bottines noires brillantes aux talons aiguilles lui confèrent une démarche de Reine. Oui ma princesse est devenue Reine. De mon cœur. De mon corps. De mon âme. Mes yeux lubriques remontent le long de ses jambes magnifiquement mises en valeur par ces bas résilles auto-fixants à large maille jusqu'à son string en satin qui semble si doux. Je ne sais que trop combien son Mont de Vénus l'est plus encore. Noir c'est noir ce soir : le corset assorti qu'elle a du avoir du mal à fixer marque exagérément sa taille irréelle pour le coup et produit l'effet inverse un peu plus haut en faisant ressortir diaboliquement ses sublimes seins. Deux splendides collines naturelles surmontées de tétons roses dont l'un pointe le bout son nez. A croquer. Une autre fois, car ce soir, je suis sien. Seul son désir compte. La claquement de métronome de ses talons au sol me transporte déjà. J'avance avec un cocktail champenois de chaque main, mes yeux azur ne quittant pas ses yeux saphir. Comme un copié collé. Une pierre précieuse ma princesse. Nous trinquons à ce magnifique cadeau que la vie nous a fait. Que nous sommes allés chercher aussi. Rien n'arrive par hasard. Tandis qu'elle porte ses délicieuses lèvres à son breuvage préféré, mes mains sur ses hanches, je glisse le long de son corps de rêve. Des miens en tous cas. Et depuis le premier jour. Avant même de l'avoir vue. Comment est-ce possible... ? Déposant un chaste baiser sur la peau si douce de mes deux merveilles préférées, je me retrouve naturellement, presque sans m'en rendre compte à genoux devant elle. Cherchant ses yeux par gourmandise, puis collant ma tête contre son ventre satiné, comme à l'écoute, je l'enserre de mes bras. Je ferme les yeux. Caressant à peine, totalement involontairement bien sûr, ses fesses rondes et fermes, si douces... Elle ne bouge pas, m'accordant ce plaisir dont je ne saurais évaluer la durée. Mais même des heures seraient trop courtes. Un claquement de son talon au sol me rappelle que ce n'est qu'un début. Comme toujours aucun besoin de mot entre nous pour nous comprendre: j'embrasse le cuir de ses bottines, le lèche avec gourmandise, suçotant même l'aiguille qu'elle met à ma portée. Je sais que cela l'excite terriblement. Moins que moi. Elle me relève de mon acte d'allégeance d'un doigt sous mon menton, jusqu'à ce que nos regards fussent à nouveau à la même hauteur. Ses yeux me sondent, je me sens nu malgré son regard assuré autant que rassurant. Je suis sa chose. _ J'ai faim, me déclame-t-elle avant de se diriger vers le canapé en cuir blanc qui lui tend les bras pendant que je vais chercher notre plateau de feuilletés. Je le dépose cérémonieusement devant elle, avant de m'asseoir à ses pieds. Elle si belle ! Elle dévore deux canapés coup sur coup. En porte un ma bouche. Je lèche sa main, reconnaissant. _Masse mes pieds, ma journée fut éreintante. Je zipe délicatement pour ne risquer de pincement la fermeture éclair située sur le tendon d'Achille, dépose sa bottine. Je la regarde. _ Evidemment il faut enlever mon bas... Je l'adore. Elle sait comme personne allier nos plaisirs, penser au mien sans le moins du monde renoncer au sien. Mes mains glissent le long de ses jambes galbées de sportive, frôle le string dont je perçois la douceur soyeuse. Je me rends compte qu'il est déjà humide. Le bas descend, sans être roulé, et fini sa course sur mon épaule. Son adorable peton menu reposant sur ma cuisse j'étire chaque orteil, masse la voûte plantaire, sa cheville souple. Je suis toujours ébahi par la douceur de sa peau. Je remonte jusqu'au mollet, je sais qu'elle apprécie ; je prends mon temps, qui ne compte plus d'ailleurs. Je termine en déposant un baiser sur le dessus de son pied. Son sourire me montre sa satisfaction alors qu'elle me tend l'autre jambe. III Ses yeux mi clos pourraient donner à croire ma Princesse assoupie. Ses orteils curieux cherchant et trouvant aisément une certaine proéminence sur mon pantalon m'indiquent le contraire. _ J'ai faim, ça sent bon... _ Je vous abandonne 5 minutes Princesse et nous passons à table. Tandis que ma belle achève de se détendre je file mettre la touche finale à mon repas. _ Je vous invite à passer à table Princesse, tirant la chaise pour ma belle. _ Hop hop hop, pas si vite mon ange, tu reviens ici et tu te déshabilles, totalement. Durant mon effeuillage elle pose bruyamment sur la table basse un rosebud inconnu, bleu saphir. _ Assorti à tes yeux mon ange. Tu vois moi aussi j'ai mes petites surprises... Une tape sur ses genoux m'indique la position qu'elle attend de moi. Son doigt inquisiteur lubrifié par ma propre salive entreprend une exploration intime. _ Détend toi, accompagné d'une tape gentillette sur la fesse m'excite terriblement. J'adore quand elle me parle doucement, un murmure à peine audible, des pires pensées traversant son esprit aussi fécond que dévergondé, pour notre plus grand plaisir à tous les deux. Le rosebud rentre difficilement, faute d'habitude. Il ressort, revient, est remplacé par un doigt, puis deux, puis revient, comme pris d'une vie autonome. Enfin il semble en place, je souffle. _ Je vais décupler son efficacité, éveille mon inquiétude. Justifiée quand une sérieuse fessée commence. Je crispe mon postérieur, à broyer l'objet exogène qui ne se déformera pas lui, combat perdu d'avance. Quand les claques sur mon cul écarlate cessent enfin, je ne sens effectivement plus l'engin. Mais ma croupe oui ! Pétard elle n'y est pas allée de main morte. Comment savait-elle que je désirais cela, mieux que j'en avais besoin? Peut-être est-ce plus simple que cela, juste une envie subite coïncidant avec mon attente. Au diapason, comme d'habitude. Comme depuis le premier jour, la première minute, la première seconde. Nous sommes capables de finir les phrases l'un de l'autre. L'impression de s'être toujours connus. Aucune soumination, les envies de l'un coïncidant juste à la perfection avec les besoins de l'autre. Magique. Invraisemblable. Mais réel. Je me dandine une bonne partie du repas sur le siège que je trouve pourtant habituellement confortable. Ce qui l'amuse grandement. Le rosebud inhabituel n'y est pas pour rien non plus. Le dîner se déroule pour autant sans accrocs, ravissant ma belle, moins que moi. En connaisseuse elle a apprécié le grand cru blanc et le reste. Bon je n'aurais certes pas eu une attitude vatelienne en cas de critique, mon égo est au dessus de ça, mais pour elle, je voulais une soirée, et au premier chef un repas, en tous point inoubliable. En attendant la prochaine. Où j'essaierai de faire mieux. Ou différent. Parce que ma princesse mérite bien plus qu'un repas type Saint Valentin une fois l'an. C'est une de mes façons de lui signifier combien je suis heureux depuis qu'elle a changé le cours de mon existence. Nous sommes encore loin de la routine de toute façon en ce domaine comme en bien d'autres. Quelle magie que cette période bénie! _ Vient commencer ton dessert. Je glisse sous la table et découvre son string en satin noir déjà humide, ses cuisses fuselées écartées juste pour ma place. A peine en position, elle les resserre autour de moi, dans une prison dorée. Je ne fomente d'ailleurs pas la moindre tentative d'évasion. Détenu par elle jusqu'à la fin de mes jours est mon souhait. Ma langue la lèche à travers le tissus. Déjà imbibé de son goût délicieux que j'ai appris à reconnaître entre mille. J'allais l'écarter mais ma belle se prend au jeu. Mieux elle me guide, comme me fournissant un mode d'emploi. _ Plus haut, oui descend sur toute ma fente, encore... Ses mains caressent mes cheveux dans un geste tendre autant que possessif. _ Rentre là un peu, hummm Redescend. Oui encore comme ça; baise moi avec ta langue comme avec ta jolie queue mon ange... Sa voix change, puis s'éteint, au fur et à mesure que l'étreinte de ses cuisses se resserre sur mon cou, que ses doigts se crispent sur me crâne. Je m'applique, varie, accélère puis ce cris que je connais si bien déchire le silence de la salle. Animal, venant des tripes. J'ai à peine finit qu'elle me tire de sous la table et me redresse vers elle, m'embrassant sauvagement, puis léchant mon visage comme une chatte, comme récupérant chaque goutte de son élixir de ma jeunesse retrouvée. J'aime quand elle se laisse aller ainsi, naturellement, à ses instincts, ses pulsions, ses envies... IV _ j'ai cru voir mon dessert préféré mon ange ? Le sourire presque enfantin éclairant son doux visage me fait fondre, comme à chaque fois. Trop facile, pas sport. Mais si bon... Sa capacité à changer d'expression en un quart de seconde me sidèrera toujours. Je sers à mon élue sa verrine de tarte au citron meringuée destructurée, revisitée à ma façon. Un verre de vin de paille du Jura aux arômes exotiques se mariant à merveille. Elle ne pipe mot, tout à son plaisir. Hédoniste autant qu'épicurienne, elle est capable de ressentir un vrai plaisir dans son acte présent, bien au delà du sexe. Quasiment un plaisir physique. Elle aime ce moment sublimé par la musique douce qui nous accompagne, donnant un côté vaporeux à cet instant suspendu. Jouissif. _ Tu m'as gâtée mon ange, à mon tour. Pousse la table basse du salon et attends-moi à 4 pattes sur le tapis, tu regarderas le lac en face, interdiction de tourner la tête. En position, l'attente me semble longue. Puis interminable. Puis... La porte de la chambre s'ouvre et j'entends à nouveau le délicieux claquement de ses talons au sol. Tout à coup je suis moins pressé... Je ne peux m'empêcher de voir son reflet dans la baie vitrée et nous nous en rendons compte simultanément, partant de concert dans un éclat de rire coutumier. Les même délires, qui seraient déstabilisants pour d'autres. Pas pour elle. La surprise étant éventée elle se présente devant moi, harnachée d'un god ceinture dont j'ignorais jusqu'à l'existence dans son attirail. Je ne puis m'empêcher de la remercier intérieurement pour sa taille raisonnable. Elle dépose devant moi un single tail. Je frissonne devant le double inconnu. _ Tu préfères quoi ? Mais quelle question sadique ! Devoir choisir c'est en outre devoir avaliser ma peine. La peste ou le choléra ? Et en même temps les deux m'attirent. Elle le sait, le devine. Mon hésitation l'amuse et elle croit bon de piétiner son homme à terre à assénant : _ … En premier je veux dire! Mais elle pire que je croyais! Pire que moi c'est dire. Son rire cristallin m'achève. Je sais que cela l'amuse follement. Et par la même moi aussi, comme toujours. _ Gardons le meilleur pour la fin...? Une façon comme une autre de ne pas répondre, la forçant au choix, quitte à prendre un risque. Je n'aimerais pas finir par le fouet. Bon possible que je n'aimerais pas commencer par là non plus en fait! Je n'avais pas vu le foulard de soie posé négligemment sur son épaule, qu'elle noue délicatement autour de mes yeux. Je n'entendrai plus un mot non plus, ignorant jusqu'à la dernière seconde son choix. Un silence, des bruits que je suis incapable de déterminer, un peu perdu, En délicieuse perdition, mon attente. Un sens occulté, les autres décuplés paraît-il. Sous réserve d'une minimum de lucidité et d'un cœur qui ne bat pas à tout rompre à mon avis. Le claquement dans l'air, plutôt éloigné de moi m'indique son choix. _ Seulement 5 ce soir mon ange... Son murmure à mon oreille me transporte, comme toujours. Me rassure. J'y puise ma force. De toute façon désormais elle est source de tout pour moi. Etrangement je pense à ce qui sur le moment devrait n'être qu'un détail : je n'ai jamais eu de marques. J'en ai déjà fait. C'était la fierté de mes soumises. Décidément je ne comprendrai jamais. Ma réflexion philosophique à deux balles est interrompue par le premier coup, visiblement retenu. Je le ressens pourtant psychologiquement avec une extrême violence. Rien de négatif. Juste mon entrée dans un autre monde. Celui dont je cherche, plus ou moins inconsciemment, à pousser la porte depuis des années. Encore une chose que je dois à ma Princesse. La liste s'allonge. Puis un second, elle semble prendre ses marques. La douleur est déjà là, quelle mauviette je fais ! Trois. Outch, bon heureusement ce ne sera que 5. _ Au fait tu n'as pas compté? _ Vous ne m'aviez pas demandé Maîtresse Princesse. _ C'était une évidence. On repart donc à 0. Nan mais quelle mauvaise foi !!! Je suis vert. Et j'adore en même temps. Sa fraîcheur, comme une espièglerie enfantine. Mon bain de Jouvence. V Il est clair que les coups furent léger, pourtant … Quel engin diabolique. Je n'ai jamais été aussi soulagé de prononcer ce « 5 » dans un soupir de soulagement. Dans ce noir total, je ressens pleinement ces zones dans mon dos, chauffées à blanc, au rouge plutôt, et celle épargnées. La brûlure dure bien après que les coups aient cessés, une découverte. Sans vraiment les entendre je sens des pas sur le tapis, puis une caresse, douce apaisante. Puis des ongles ! Je la maudit sur mon épiderme à vif ou du moins me semblant tel. J'ai hâte de le voir en fait Regarder enfin ces fameuses traces. Puis des baisers sur mes chair meurtries. Elle est diabolique pour alterner le chaud et le froid avec une pertinente perversité. Ces mots susurrés à mon oreille m'emmènent loin, si loin. Je les entends à peine, les comprends encore moins. Toujours est-il qu'il me font un bien fou. Un baiser sur mes lèvres m'achève. _ Bien passons aux choses sérieuses. Ah bon, ce n'était pas sérieux là ? Si le but était d'augmenter mon angoisse, carton plein. J'ai beau savoir qu'elle joue, j'appréhende. Peur de la décevoir. Peur de me décevoir. Crainte de mesure la distance entre fantasme et réalité . Elle m'enlève mon bandeau, mes yeux se réhabituent vite à la lumière tamisée. Elle est là devant moi debout, impressionnante harnachée ainsi. Je me sens petit, aux pieds de ma princesse. _ Suce ! Quelle économie de mot. Elle joue le jeu à fond, j'aime ça. J'avais peur que notre complicité, nos sentiments ne bloquent certaines choses, nous empêchent de nous livrer à fond. C'est le contraire et j'en suis ravi. Au delà de l'acte qu'elle m'impose, même son ton sans appel me conforte. Obéir c'est aussi moins assumer, cela me facilite la chose. Qu'elle ne doute pas (ou affecte de le faire?) également. Je m'exécute donc, maladroitement. Quand je pense à la science, que dis-je son art à elle... Soupir. J'essaie de m'en inspirer. Je la regarde. Non pas du regard qu'elle me lance quand elle pratique, semblant me dire oui j'aime ça et j'assume mon ange. Non, un regard interrogateur, pour avoir un retour, savoir où j'en suis. A ma grande surprise elle ferme les yeux, comment semblant ressentir cette fellation factice. Elle n'est pas croyable. Si sensuelle, si dans son trip psychologique. Quand elle rouvre les yeux, un lumineux sourire éclaire son visage radieux, me confortant. Elle ne me juge pas, semble ravie de mon implication. Une fusion. _ Tu m'as terriblement excitée mon ange, tu es prêt ? _ Bah.... _ Ce n'était pas une question. _ Ah... Je la hais ! Et l'adore encore plus. Ca doit être ça un switch. Ceci dit quand je la sens se positionner dernière moi je n'en mène pas large. Je redoute. Et en même temps je suis demandeur. Ca doit être ça un indécis. Je le lui fais confiance, mais je crève d'envie de lui demander d'y aller doucement. Ca doit être ça un emmerdeur. Quand je la sens enlever mon rosebud je ne peux plus reculer. Ou plutôt si mais ce serait pire vu la protubérance que je sens positionnée contre mon fessier gauche pour l'instant. Elle tire à gauche... Elle remet du gel sur mon cul, l'étale, comme un massage, plutôt agréable d'ailleurs. Puis un doigt inquisiteur part à l'aventure. Pas longtemps seul, il devait s'ennuyer. Pas moi qui me concentre pour me détendre au maximum. Dire que quand c'est moi qui suis à la baguette cela paraît facile, naturel... Je la sens ajuster sa position derrière moi, se rapprochant, une main sur ma hanche. Bon en principe question musique on devrait passer de la petite musique de nuit à la chevauchée des valkyries. Au lieu de ça on reste sur une musique douce, hallucinant contraste avec la violence innommable de la scène que je vous épargnerai. Mozart et Wagner ayant baissés pavillon, votre serviteur également, reprenant sa respiration allongé sur le tapis, ma belle pour une fois fait comme tout le monde. Epuisée peut-être. Rassasiée sûrement pas, elle ne l'est jamais. Allongée contre moi, sa main bienfaisante caressant mon corps en sueur encore. Une douceur extrême dans un silence assourdissant. Deux sourires qui sans se voir se rejoignent, s'envolent, haut, très haut...
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Par : le 16/05/21
La porte se referma silencieusement derrière nous et nous nous trouvâmes plongés dans une pénombre dispensée par deux appliques se faisant face. Devant moi, une lourde tenture de velours rouge qu'une fille aux seins annelés tenait entrouverte pour nous laisser le passage. Je sentis alors mon ventre se nouer encore plus. Une crispation tellement intense qu'elle en était douloureuse. Pourtant ce n'était pas de l'appréhension à part, peut-être celle d'être incapable d'aller au bout de ce que nous avions décidé d'un commun accord. Non, je n'avais pas peur. Au contraire, c'était une sorte d'excitation d'une force incroyable qui prenait possession de tout mon être. J'aimais cette sensation, cette sorte de brûlure violente et sauvage. J'étais certaine que j'allais y puiser la force qui me permettrait de me dépasser et par la même occasion satisfaire Mon Maître. J'avais attendu depuis si longtemps ce moment qu'il avait volontairement retardé afin de me maintenir en état de frustration de plus en plus grand. Ce soir, grâce à lui, j'allais enfin pouvoir vivre l'un de mes plus forts fantasmes. Ce soir, je ne serai plus qu'une soumise exhibée par celui que je m'étais choisi comme Maître. Ce soir, j'allai lui offrir le contrôle total de mon corps. Ce soir, tant que je n'aurai pas prononcé le safe word, il pourra m'utiliser comme il l'entend. Ne plus avoir rien à décider, perdre le contrôle de soi-même, s'en remettre entièrement à son Maître pour ne plus faire qu'un avec Lui, c'était là que résidait le secret. Non, vraiment, je n'avais plus aucune crainte. L'amour qui nous liait et la confiance réciproque que nous avions l'un envers l'autre me garantissaient que cette soirée ne serait, au final, que plaisir et jouissance. C'est donc d'un pas assuré, confiante que Mon Maître fixa le mousqueton de la laisse à l'anneau de mon collier pour franchir la tenture derrière lui. Octobre 2015
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Par : le 11/05/21
Copie d’un article envoyé à Maîtresse Dolorès Bonjour, vous dites entre autre : “Les hommes soumis commencent très souvent leur éducation à la sodomie, pour la Maîtresse, il s’agit avant tout de préparer au mieux l’orifice qui va bientôt l’accueillir, pour le soumis de s’habituer à être pris et à sentir physiquement la Maîtresse en lui. Certaines Dominatrices préfèrent conserver le « petit cul » de leur soumis bien serré et n’abusent donc pas des plugs, d’autres au contraire ont pour objectifs d’ entrer alors dans une dimension plus punitive de la sodomie puisque ces pratiques font mal et ne constituent jamais une source de plaisir, sauf pour les soumis les plus masochistes. Dans l’acte d’enculer le soumis, toute la volonté dominatrice de la Maîtresse s’exprime puisqu’elle va lui permettre de renverser complètement les codes hétérosexuels classiques où l’homme pénètre la femme. Ici c’est l’inverse qui se produit, et cela explique que le soumis en train de se faire sodomiser soit souvent traité de « salope » ou de « chienne » par sa Maîtresse, puisqu’il lui offre son cul comme le ferait une femme à un homme, dans un rapport sexuel « classique ». Dans ce cadre, la sodomie pratiqué par les Dominatrices peut avoir plusieurs finalités. elle permet de signifier à l’esclave que dans l’acte de sodomie seule la Maîtresse est autorisée à prendre du plaisir. Lui n’a pas d’autre droit que d’offrir convenablement son cul. Une fois le travail de dressage totalement achevé, la Maîtresse n’aura aucun mal à faire accepter à son esclave de se faire sodomiser par un ou plusieurs autres hommes l’amenant progressivement à une bisexualité forcée.” Sans aller jusqu’au fist, je pense quand même que la sodomie doit être punitive. Le soumis doit souffrir être humilié, il doit offrir son cul, se faire défoncer par sa Maîtresse ou par un homme si elle souhaite en le traitant de salope d’enculé, de lopette. Et cela plusieurs fois par semaine pour en faire un esclave sexuel.
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Par : le 11/05/21
Soumission : action de mettre ou fait de se mettre sous le pouvoir d'une autorité. Acceptation d'une autorité intellectuelle, morale ou physique. Liberté : situation de quelqu'un qui se détermine en dehors de toute pression extérieure ou de tout préjugé. Possibilité d'agir selon ses propres choix, sans avoir à en référer à une autorité quelconque. _______________ Je sais, ces deux mots peuvent apparaître contradictoires. Mais je suis contradictoire. Il ne me déplaît pas d'ailleurs de l'être. Surtout que pour mon mec/Maître, ce sont ces contradictions (les siennes autant que les miennes :smile:) qui font la richesse de ce que nous sommes l'un et l'autre, l'un pour l'autre. _________________ Je n'ai jamais aimé les choses figées, gravées une bonne fois pour toutes dans le marbre. Parce que j’ai appris que la vie ce n'est pas cela. Une route droite, que l'on suit sans jamais se poser de questions. Que ce sont aussi des chemins de traverse, des croisements, des tournants. Des choix. Qu'on met parfois du temps à faire. Enfin moi. __________________ Autrefois, quand je n' "appartenais" pas à mon Maître, j'usais volontiers d'un autre pseudo sur les sites de rencontre que je fréquentais alors que celui que je me suis choisi ici. A l'époque, c'était souvent "libre et soumise". Parce ce que c'est ainsi que je me voyais, que je me voulais. Libre, sans attache ni engagement. Soumise, le temps d'une nuit, d'un week-end, à un mec, qui croyait me posséder alors qu'il n'était rien pour moi que quelques heures de plaisir, durant lesquelles je profitais de lui. Pourtant, aujourd'hui, même si je suis "maquée" et heureuse de l'être, je me sens toujours aussi libre. Je n'ai jamais vécu ma soumission comme des contraintes qui me seraient imposées par mon Maître. Il ne m'a d'ailleurs jamais rien imposé. Parce qu'il sait que "dominer" ce n'est pas imposer par la force ou la violence. Mais au contraire donner envie. De quelque chose d'autre, d'indéfinissable, qui n'appartient qu'à moi, qu'à lui, qu'à nous. Ce besoin que je ressens de satisfaire ses désirs. Cette jouissance que j'éprouve à m'offrir à lui. Alors, même si aujourd'hui j'use ici d'un autre pseudo, qui me correspond davantage désormais, je ne renie pas pour autant mon ancien pseudo. Puisque quand bien même le mot libre revêt aujourd'hui pour moi un sens différent, je me sens toujours aussi libre. De m'assumer telle que je suis. Simplement, c'est avec lui que je suis libre maintenant. Parce qu'il fait désormais partie intégrante de ma "liberté". _______________ J'aime bien la formule de Malraux : "la liberté que tu me reconnais, c'est la tienne". (in "la condition humaine")
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Par : le 11/05/21
Chers tous, Voici la suite de mes Vérités sur la vie d'un chaste au quotidien. Vérité # 3. - Ce n'est plus à toi ! Hein? Qu'est-ce que je viens d’écrire ? Oui. C'est exact. Ce n'est plus votre bite. Vous l'avez donné, sous-traité, perdu, abandonné. Peu importe comment vous l’avez fait. Une fois que vous avez un partenaire qui EST le détenteur de vos clés, alors devinez quoi : C'est terminé. Tous vos fantasmes que vous aviez à propos d'être enfermé, de ne pas pouvoir jouir… C’est plus un jeu. C’est terminé. Maintenant, vous travaillez pour gagner votre sortie et, avec de la chance, votre plaisir. Votre partenaire va peut-être même vous demandez de ne plus... demander. Inutile de geindre. Vous transportez sa chose entre vos jambes. Et la seule chose que vous avez à faire avec elle est de faire pipi. Et vous feriez mieux d'être un bon chaste et de vous asseoir sur la cuvette des WC. Ouais, fini les urinoirs. Vous vous habituerez à faire pipi sur vos couilles quand elles auront gonflé après des semaines de provocations sexuelles, d’avoir regarder des photos chaudes sur le Net, ou quoi que ce soit d'autre qui vous fait perdre le sommeil la nuit. Oh, et aimeriez-vous savoir ce qui se passe lorsque vous sortez, trichez, jouissez ou désobéissez à votre Dame? Colère ! Larmes ! Trahison ! Il y aura un prix à payer ! Cela revient à ce que je vous ai dit plus tôt : Utilise la force Luke Skywalker ! Votre esprit est ce qui vous empêchera d'être un tricheur. Parce qu'une fois que vous aurez vécu une trahison envers Celle que vous aimez, cela ne sera plus jamais la même chose ! Je vous le garantis. Donc maintenant vous êtes cuit. Intégrez que vous êtes verrouillé pour de vrai, et il n'y a pas de retour en arrière sans l’accord de votre Dame. Vérité # 4. - Vivre avec ! Procurez-vous un appareil confortable ou mieux sur mesure, car devinez quoi ? Vous allez vivre avec. Etes-vous prêt à marcher 10 km dans des chaussures inconfortables et inadaptées ? Non. Ce super tube que vous avez vu sur le Net avec ses pointes anti-érection ne vous sera d'aucune utilité lorsque vous serez au travail ou simplement entrain de vous pencher pour descendre une échelle dans un vide sanitaire. Même l'appareil le plus convivial va vous pincer et vous irriter de temps à autre. Inutile d'en rajouter à cause de la Vérité # 5. Vérité # 5. - Vous oubliez que c'est là. C'est vrai. Votre montre vous dérange-t-elle? La sentez-vous sur votre poignet et y pensez-vous consciemment ? Voilà à quoi ressemble la vraie chasteté. Vous allez vivre avec elle pendant si longtemps que vous vous sentirez nu sans elle. Vous ne voudrez pas l'enlever. Vous ne voudrez pas vous en passer. Elle vous manquera quand elle ne sera pas là. C'est à un point tel qu’elle vous a changé, qu’elle vous a formé. Moi, je ne conçois pas de vivre sans. Elle fait partie de ma soumission envers ma Dame. Elle me définit en tant que Son chaste. Vérité # 6. - C'est chaud ! SEXY comme l'enfer ! Oui.... Est-ce cette vérité que vous attendiez ? Il faudra attendre la suite de l'article.
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Par : le 05/05/21
OK, ce n'est pas vraiment une diatribe, mais cela peut se présenter de cette façon et si c'est le cas, je vous présente mes excuses. Pour vous, fans de Matrix, si vous lisez ceci, vous obtiendrez la version pilule rouge de ce qu'est la chasteté masculine . Certains hommes soumis (et même quelques Dames) ont des fantasmes et une fascination pour la chasteté masculine. Je le vois tout le temps dans mes échanges. Cet ensemble de personnes semblent se composer principalement de deux groupes : Ceux qui ont une cage et ceux qui en veulent une. - Ceux qui ont une cage l'utilisent souvent seul tout en cherchant désespérément cette Dame «porte-clés » si spéciale qui les gardera enfermés et ajoutera ce mythe de pouvoir et de contrôle à leur fétiche égoïste du déni de l'orgasme.
 - Ceux qui le veulent mais qui en n'ont pas. Rêvant de ce à quoi cela doit ressembler, à quel point ce serait cool et qui sont fascinés par les appareils qui l'infligent. 
 Il y a un 3ème groupe : ceux qui le vivent. Vous ne les voyez pas que rarement dans les discussions, car nous n'en parlons pas beaucoup. Pour nous, le fantasme est révolu depuis longtemps et la réalité est l'endroit où nous évoluons.
 Je suis enfermé depuis plusieurs décennies. C'est-à-dire que je vis dans la chasteté 24x7x360. J'y fais tout : je dors, je vis, je travaille, je sers ma Dame, etc…. Je pense donc pouvoir parler sérieusement de ce sujet aussi bien que n'importe qui d’autre. J’ai le sentiment que, comme il y a un tel manque d'informations réelles sur le sujet, la suite de cet article sera pour la postérité. :wink: Donc, ce message est pour ceux d'entre vous qui vous situez dans les groupes 1 et 2. Je présente ma réalité de l'endroit où vous irez si vous souhaitez y aller. Vérité n ° 1 - Il n'existe pas de dispositif totalement sécurisé. Faites-y face ! En tant que mâle, vous avez un talent donné par Dieu de savoir comment utiliser un tournevis, une scie, un chalumeau... à vous de choisir. Peu importe le dispositif qui sera utilisé pour vous enfermer, il n'y aura que différents niveaux de difficulté pour en sortir et obtenir cet orgasme tant désiré. Je lis constamment «quel est le meilleur appareil ?» ou «zut, je ferais mieux d'essayer un autre car je continue à pouvoir en sortir». Eh bien, c’est sans espoir ! Vous continuerez d'essayer et de réussir ! Il n'y a qu’un seul appareil de chasteté vraiment sécurisé : c’est votre ESPRIT. Plus précisément, cette relation spéciale que vous entretenez avec votre DAME. Vous portez cette chose à cause de la vérité n ° 2 et vous n'essayerez pas d’en sortir. Vérité # 2 - Quand votre DAME vous enferme, vous feriez bien de rester dedans ! Et pas de triche ! N’essayez pas de jouir en utilisant un coton tige, ou avec n'importe quelle autre idée ingénieuse que vous auriez inventé pour atteindre un orgasme. La chasteté n'est pas un jeu. C'est un ENGAGEMENT ! Ceux d'entre vous qui utilisent la chasteté pour jouer. C'est très bien. Jouez ainsi. Mais s’il vous plait, ne continuez pas à vous plaindre que vous pouvez arriver à jouir ou que vous pouvez retirer votre bite du dispositif. Procurez-vous un véritable appareil de chasteté. Allez à un munch, à un rendez-vous SM ou je ne sais quoi et trouvez une PARTENAIRE. Parce qu'il n'y a pas de meilleur dispositif de chasteté que la Vérité # 3 - « Ce n’est plus ta bite ». Est-ce que je continue cet article ? J’ai pensé à d’autres « Vérités ». C’est mes Vérités, mais je veux bien vous les partager.
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Par : le 05/05/21
On ne peut pas mesurer nos vies à nos dernières années. De cela, j'en étais certaine. J'aurais dû deviner ce qui m'attendait. Avec le recul, il me semble que c'était évident, mais les premiers temps, je trouvais que ces incohérences étaient compréhensibles et n'avaient rien d'unique. Elle oubliait où elle posait ses clés, mais à qui n'est-ce jamais arrivé ? Elle ne se rappelait pas non plus le nom d'un voisin, mais pas quand il s'agissait de quelqu'un que nous connaissions bien. Elle réprima un certain sentiment de tristesse, espérant un jour, qu'elle changerait. Sarah l'avait souvent promis et y parvenait en général quelques semaines avant de retomber dans la routine. Patricia n'aimait pas en discuter avec elle, essentiellement parce qu'elle savait qu'elle lui disait la vérité. Son travail était très prenant, aussi bien avant son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée en constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ? Elle pénétra dans la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs, des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage. Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connues en khâgne au lycée Louis-le-Grand puis rencontrées par hasard sur la plage de Donnant à Belle île en Mer un soir d'été. Elle n'avait pas changé: elle avait à présent vingt-trois ans, elle venait de réussir comme moi l'agrégation de lettres classiques. Elle avait également conservé un air juvénile, perpétuant son adolescence. Les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil, épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelée, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez elle. Elle m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-elle dit, j'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que ce n'est pas une habitude. Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait; mes cheveux étaient mouillés; elle les a ébouriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main, m'a attirée à elle, je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, elle ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir. Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller. J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses. C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Sarah se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Patricia se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un inextricable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves. La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 05/05/21
Mea culpa mais aussi conseil d’un « vieux de la vieille » pour les nouveaux dans ce monde. Certaines ou certains me connaissent ici sous la « bannière de Maître ». Aujourd’hui, et après de nombreuses années passées à dominer, je préfère m’en retirer le titre. Parfois nous nous confortons dans cette image qui n’est, en fin de compte, que celle que notre ego nous dicte. N’étant pas issu du milieu libertin, (chacun ses pratiques ou ses envies mais ce n’était pas les miennes. Je respecte cependant toutes catégories), je suis entré de suite dans celles qui me touchaient, qui me faisaient vibrer. Le BDSM Mon parcours a souvent été semé d’embûches en tout genre. Même l’apprentissage n’est pas une mince affaire dans ce genre de relations. « jeux », « pas jeux » ? Je ne vais pas continuer à vous énumérer ce parcours. Des soumises ? Oui ! Les aléas de la vie font parfois que les relations se terminent brusquement avec une grande claque en pleine tête. Certes, on se remet plus ou moins vite sur pied mais difficilement. L’Homme est ainsi construit. Pour en revenir à « mon histoire », « notre histoire » avec ARC et pour ceux qui pourraient se poser des questions, je vais vous en donner un bref aperçu et chacun de vous pourra en tirer une conclusion ou plus judicieusement un conseil. NE JAMAIS COMMENCER UNE RELATION TANT QUE LE CŒUR RESTE ENCORE UN PEU AILLEURS. J’avais tout misé sur Arc en pensant que mon choix était établi. Hélas une autre était encore présente. Cinq années partagées avec des hauts et des bas. Beaucoup de bas les derniers temps. Avec Arc, nous avions des échanges plus ou moins réguliers quand j’étais avec ma soumise. Juste envie de discuter sauf que déjà, j’avais une forte attirance vers elle. Et puis voilà le moment où cette soumise, cette FEMME, devient libre. Une approche, des échanges…. Des heures à parler, à discuter de tas de choses. La rencontre : Celle que je voyais dans toutes les galeries était encore plus belle que sur les photos. Ceci dit, en passant, CELLE qui considère qu’elle est vieille, « obèse », n’est pas passée par tous les stades de la vie. Nous verrons comment elle sera après un accouchement ou plus. Une fois la ménopause venue … l’âge… Facile de parler quand on a 20 ou 30 ans de moins. Et puis comme j’ai toujours dit : Il vaut mieux un corps avec du répondant, avec des formes douces et pulpeuses plutôt qu’un corps que l’on a peur de "casser". De mon côté Homme, Mesdames soyez fières d’être aussi dévouées dans notre monde de « dépravés » car votre Dominant, en contrepartie, ne vous apportera certainement moins que ce que vous lui donnez. Vous êtes, en quelque sorte, notre force d’avancer. Arc est belle, Arc ne manque pas de personnalité. Arc est une bourrique mais c’est tellement agréable d’avoir quelqu’un ayant du répondant. Arc est volontaire et sait se donner, oui, se donner. Je suis déjà jaloux de son futur Maître Une histoire parmi tant d’autres qui se termine mal par la faute de l’un des deux. J’assume en être ici le seul responsable par un choix, qui, je le sais d’avance, ne sera pas obligatoirement le bon. J’ai rédigé ce texte avec tout mon ressenti. Notre relation entre Elle et moi est terminée sauf que… sachez, Messieurs les futurs prétendants, je garderai contact avec Arc. Avant de vous engager, pesez le pour et le contre. Si vous êtes mariés, passez votre chemin. Si vous êtes en hésitation pour une rupture annoncée, passez votre chemin. Si vous pensez chercher une carpette, passez votre chemin. Si vous pensez pouvoir devenir Son Maître, capable de lui apporter bonheur, sincérité, plaisirs partagés… osez ! L’autodestruction du scorpion que je suis et qui vient de se détruire une fois de plus. M_JPS Le 7 avril Texte écrit par mon ex second Maître, il a voulu que je le mette sur le site lorsqu'il a fait son choix. Je n'ai rien modifié, ajouté, dans son texte, il est celui qu'il m'avait écrit en son entier.
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Par : le 05/05/21
Événement pénible que cette pandémie avec ce maudit confinement qui l’accompagne. Le moral n’est pas au beau fixe. Mais Ma Maîtresse me fait quand même venir un après-midi. La joie m’envahit, je vais pouvoir être à ses pieds. Il n’est pas difficile de deviner le plaisir que Ma Maîtresse éprouve à retrouver son soumis car sans tarder Elle prend possession de mon corps. Elle me met à nu au propre comme au figuré. Je n’ai pas oublié mon collier mais Elle le réajuste. Je sais pourtant qu’Elle accorde une grande importance à la présentation. Je mets les bracelets de poignet et c’est encore Ma Maîtresse qui me les lie l’un à l’autre. J’ai peur qu’Elle se braque de devoir me reprendre si souvent mais la perspective de me frustrer la réjouit suffisamment pour échapper à ces foudres. Et pourtant, je n’échappe pas à la punition pour lui avoir proposé une photo perso trafiquée en rajoutant des marques sur mes fesses. Elle est tellement nature que ce genre de retouche ne peut que la contrarier. Quelle idiotie ! Je suis honteux. C’est avec la cravache que Maîtresse vient chercher un pardon que je tarde à lui donner. Ce n’est que par l’humiliation de ses crachats en pleine figure que je comprends enfin. «Ah quand même» soupire-t-Elle après que j’ai bredouillé «Pardon Maîtresse, je ne le referais plus jamais». Déjà mes fesses sont bien rougies ! La cravache est cinglante surtout sur mes cuisses et la punition est bien rentrée en moi. Ma Maîtresse ne me punit pas pour le plaisir. Elle préfère mon abandon par sa domination. Que je sois son jouet la comble bien plus que ces nécessaires punitions. Maîtresse sort ses cordes et m’attache à la rambarde de l’escalier. Un crochet anal lui sert de point de départ. Minutieusement, Elle tresse la corde entre mon corps et les montants en bois. Je sens monter son excitation mais Elle reste concentrée sur son bondage. Je fais de plus en plus corps avec le bois de l’escalier. Les mains au-dessus de la tête, Maîtresse termine par un mors de corde qu’Elle insert entre mes mâchoires. Je suis réduit au silence et totalement à sa merci. Ce n’est pas pour me déplaire. Je ressens parfaitement son plaisir montée par ses sourires, par ses questions auxquelles je ne peux répondre que par des grognements. Ma Maîtresse m’a demandé de lui apporter un objet de mon choix. Je lui proposais un long paddle en bois car, lui ayant présenté en photo, Elle m’avait dit bien l’aimer. Sur ce point pas d’erreur, ses impacts sur mes fesses m’en apportent la confirmation. Maîtresse est heureuse et elle arrive même à me faire rire entre les coups. Elle a pris le relais avec sa cravache qui atteint plus facilement les points sensibles de mon corps. La douleur augmente autant que le plaisir de Ma Maîtresse. Dans son excitation grandissante, elle me gratifie d’un beau sourire à travers les barreaux de la rambarde. Je fond littéralement de plaisir et j’essaye de lui renvoyer ce sourire tel un miroir. L’effet en est largement atténué par le mors de cordes. Je commence à piocher de plus en plus dans mes ressources, il me faut toute ma volonté pour ne pas sombrer et aussi cette envie de satisfaire Maîtresse qui est plus forte que tout. Maîtresse apprécie ma peau durcie par le paddle et la cravache. Elle me griffe le dos, me mord les flancs. Je la sens déjà tellement excitée que je suis presque surpris quand elle commence patiemment à défaire mes liens La pression retombe un peu. Je n’ai même pas le temps d’apprécier ma liberté de mouvement retrouvée que Maîtresse enchaîne par un nouveau bondage Elle m’attache les jambes, les poignets dans le dos et je me retrouve de nouveau à sa merci. C’est à genoux que je me présente difficilement face à Elle. Maîtresse me pose des pinces sur la pointe des tétons. Leur pose est malaisée car je n’ai pas de beaux gros seins féminins. Maîtresse les dominent néanmoins comme tout mon corps. La douleur s’estompe rapidement avec la privation de circulation sanguine. Elle m’arrache des gémissements que je ne peux cacher et son excitation reprend de plus belle. Maîtresse  tire la chaînette qui les relie, claque ses doigts et la cravache sur mes tétons hyper sensibles ; la douleur est vive. J'anticipe bêtement le  claquement suivant  en grimaçant. Maîtresse en rit et se moque : «Rnby, tu me fais quoi là à grimacer avant même que je te touche?  Tu me fais ta chochotte !». Waouh, je suis déjà ailleurs, manipulé comme une marionnette. Ma Maîtresse réussit malgré tout à m’arracher de nouveaux rires. Comment fait-Elle pour que ses supplices me paraissent si doux ? Elle est heureuse tout simplement. Je lui abandonne la maîtrise de mon corps. C’est à la fois stressant et valorisant. D’un côté ,je ne sais jamais où cela peut aller avec une telle imagination et de l’autre je satisfais ses désirs. Aujourd’hui son imagination est débordante. Maîtresse se détourne finalement de mes tétons et décide de me faire couler  en secouant ma cage qui devient vite étroite. Mes couilles se remplissent, Maîtresse les serre mais je ne pourrais gicler, la faute à tous ces supplices assurément. Finalement, Elle m’arrache les pinces sur mes tétons par des mouvements vifs et saccadés. Mes tétons sont de nouveau hyper douloureux en retrouvant la vie. Ils n’ont pas le temps de souffrir , Maîtresse me presse  les testicules puis donne  58 pichenettes comme le nombre de jours de chasteté du moment. Je chavire complètement, je n’en peux plu tellement la douleur est vive. Arrivé à ce stade, Ma Maîtresse est comblée, Elle vit ces instants passionnément. Je me sens vidé, pas loin de perdre pieds mais trop fier pour lui avouer ou trop envie de la satisfaire, je ne laisse rien paraître et finalement je reviens sur terre. Maîtresse m’amène contre la banquette, pose ses talons sur mon dos, prends la cravache et le paddle. Confortablement installée, Elle me fouette les fesses intensément tout en prenant grand plaisir à me forcer à tenir une conversation sensée. A chaque impact douloureux, ce sont des «Aïe» de plus en plus fréquents qui coupent mes phrases. Ma Maîtresse en sourit de bon cœur, Elle en profite pour accélérer les coups de cravaches avec force maintenant. La cravache claque sèchement sur ma peau rougie. L’excitation de Maîtresse est grandissante et encore plus forte quand j’implore sa pitié. Et pourtant le rythme ne faiblit pas, mes aïe de plus en plus bruyants ne laissent pas de doute sur mon ressenti. Maîtresse prend bien trop de plaisir pour s’arrêter là. Dans son emballement, Elle me retourne sans ménagement et me chevauche avec passion. Je ressens cette incroyable ivresse, comme une véritable transe et je ne veux surtout pas que cela s’arrête. Je suis son objet. Mes fesses deviennent sa planche de jouissance, Elle s’accroche sur mon dos en me griffant profondément. Son excitation est tellement communicative que je commence à gémir. Maîtresse m’intime le silence «tais-toi» car ces moments de passion lui appartiennent, même si Elle m’entraîne dans son sillage. Je serre des dents pour que cet emballement ne s’arrête jamais. Et puis Maîtresse lâche un grand soupir en s’abandonnant de tout son poids sur mon dos. L’émotion retombe et je n’ose pas bouger de peur d’interrompre ces moments de pur bonheur. Maîtresse se relève calmement. Mon cœur bat la chamade. J’ai atteint des sommets émotionnels par le simple fait de participer à l’excitation de Ma Maîtresse. Elle a une nouvelle fois obtenu mon total abandon. J’ai capitulé à ses pieds et je n’ai plus de force. Elle m’a tout pris et je n’ai surtout pas résisté. Ces heures ont été intenses et malheureusement l’horloge humaine va bien trop vite dans ces moments là. Je dois la quitter à contre cœur, tellement je suis comblé d’avoir vécu ces précieux instants et d’avoir servi ma sublime Maîtresse.
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Par : le 04/05/21
LMSD 8 Le (THE!) tuto pour sérial niqueur néophyte Un grand classique sans doute, mais à ce stade de ma carrière dévastatrice, reconnaissons le sans humilité superflue, je me sens en devoir de transmettre le fruit mon immense expérience à la jeune génération. Un tel savoir perdu, quel gâchis ! Evidemment sans me connaître jusqu'ici tu me détestais, une jalousie compréhensible devant un tel palmarès. Tu te demandais mais comment il fait softail ? En fait pas si simple mais t'as tes chances jeune Padawan sérial niqueur ; évidemment par rapport à moi tu pars avec de sérieux handicaps : toi t'as pas un physique de rêve, ni un QI très au dessus de la moyenne, ta culture ne rattrapera jamais la mienne, et ton compte en banque même après avoir gagné à l'euromillion manquera de quelques zéros. Alors, aucune chance, condamné à te branler ? Que Nenni ! La jeune génération (mais évidemment aussi les maîtres les plus confirmés en passant en invisible pour préserver leur égo ne manqueront d'apprendre ici) peut prendre ce qui suit comme un tuto. J'aurais pu appeler cet épisode de mes mémoires « comment pêcho à coup sûr, sans perdre de temps ». Etrangement je sens bien avoir capté l'attention du lecteur mâle (j'envisage un chapitre spécifique pour les femelles si mon lectorat vaginal me supplie à genoux, ce qui ne manquera pas, bref). Voici donc quelques règles d'or cher débutant (n'oublie jamais qu'après cette lecture qui semble au premier abord gratuite tu me seras redevable à vie). 1/ inutile de lire les fiches Ca ne sert à rien ; autant se concentrer sur l'essentiel : niquer de la chaudasse. D'une part les liens ne te regardent pas, c'est juste l'affaire de deux personnes. D'autre part la soumise qui naïvement fait part de sa recherche, quelle bonne blague ! Sérieux, c'est qui le patron ? Sans compter que t'as, à peine arrivé, quelques centaines de demandes d'amis à envoyer, alors on ne traîne pas, on ne perd son temps, hop, hop, hop! 2/ cherche directement le bon sexe, le bon statut Oublie que ce sont aussi des femmes ; on n'est pas là pour ça. Une femme t'en as déjà une de toute façon. Encore une fois se recentrer : on cherche une soumise. Oublie l'approche habituelle, la séduction, le romantisme et toutes ces conneries. T'es pas inscrit sur Baudelaire.com, mais BDSM.fr pour rappel. Alors soigne ton image: elles veulent un vrai, un pur, un dur (en gros essaie de te faire passer pour moi) 3/ ne perd pas de temps en formalités On a beau être en France, pays de la bureaucratie et des procédures, le site n'est une annexe gouv. quelconque. T'es arrivé, t'as envoyé 132 demandes d'amis aux femelles de ton coin (sans message d'accompagnement t'es pas là pour raconter ta vie), 6 ont accepté. Les autres étaient soient des fantasmeuses soit des frustrées (cumul probable). Tant pis pour elles, elles ne savent pas (ou si...) ce qu'elles perdent. A partir de là, ne perd pas de temps, pense que d'autres queutards rodent eux aussi les saligauds. Donc 2 messages en MP puis ton 06 direct. Efficacité, simplicité. 4/ donne le moins possible d'informations Déjà n'envoie jamais ta photo, ça te desservirait. Ensuite ne te laisse embrouiller par les intellos ésotériques qui vont te prendre le chou des heures avec leur cérébralité, le côté psy de la chose. Rappelle toi que c'est leur cul qui t'intéresse. Dans le doute, toujours se recentrer sur les bases. Pas de blabla qui ne sont que des pertes de temps, décline les « on pourrait se rencontrer dans un café histoire de mettre un visage sur un pseudo hi hi » . Non toi t'es là pour déglinguer alors rencart direct au formule du coin (sauf si c'est elle qui paie) ou rien. 5/ miracle ton rdv est fixé Oublie les fleurs, achète plutôt des capotes. Inutile de te faire beau, elle aura les yeux bandés. Tu peux te permettre d'arriver en retard, elle prendra ça comme un test de son envie. Oublie les mises en scène à la mord moi le nœud, le côté sordide d'un hôtel de passe ou les toilettes du bistro du coin l'exciteront à mort. N'investit pas dans des accessoires inutiles : de un ta bite est le seul qui vaille, et de deux contrairement aux promesses que tu as du lui faire tu ne la reverras jamais. 6/ tu reviens et tu remets ça Ne t'attache pas (elle à la rigueur et aux barreaux du lit) ; les sentiments tout ça c'est des conneries. Un palmarès ça se construit, ça ne tombe du ciel comme ça. Si un jour malgré le fait que tu resteras à des années lumières de moi tu veux aussi devenir un Maître respecté et envié, c'est l'unique voie. Tu n'as pas confiance en toi, tu bandes mou, tu n'as jamais manié un fouet ou une cravache de ta vie ? No stress, ce sera trop tard pour elle de toute façon. Après tout tu es aussi là pour te faire la main (en plus de la queue). Ah oui, au besoin, prend un bâillon...
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Par : le 04/05/21
La soumise qui aimait la douceur !, les joies de l'aftercare Le hasard des rencontres est parfois trés surprenant . J'étais à l'époque gérant d'un magasin de décoration. Difficulté de l'entreprise aidant, j'avais affaire, parfois, à des fournisseurs peu scrupuleux. Un jour, alors que je refusait de payer une commande non reçue, l'un d'eux m'envoya un huissier. Pris d'une énorme colère, j'ai fermé le magasin et je suis descendu dans le pays basque chez mon fournisseur. Jusqu'alors, je n'avais eu comme contact que le directeur en réel ou sa secrétaire au téléphone. Elle s'appelait Sandrine, elle avait une jolie voix douce, mais je ne l'avais jamais vue. Sur la route, je l'appelle, je demande à avoir Laurent (le patron), car il ne répondait pas à son portable, ça m'énervait encore plus. Il était injoignable. Sandrine m'entendait hurler au téléphone . Au bout d'une heure et demi de route, je déboulais comme un fou dans le bureau. Là je vis Sandrine, elle avait un peu plus de 40 ans, une silhouette filiforme, des cheveux chatains, et de jolis yeux noirs. Elle avait vraiment l'air toute douce, mais un fou en colère était devant elle : moi !. Aprés 30 mn , son patron a déboulé, on a faillit en venir aux mains, mes hurlements étaient si fort que les occupants des étages environants sont descendus pour voir ce qu'il se passait. Je passe les détails, on a réglé le problême. En sortant du bureau de laurent, Sandrine avait les yeux écarquillés, presque terrorisée. Je lui présentait mes excuses, et je ne sais pas pourquoi, mais sa présence m'appaisait. je devenais doux comme un agneau. C'était notre première rencontre. Pendant des mois, je n'avais plus de contact qu'avec elle. Parfois elle venait au magasin pour prendre les commandes, tout se passait bien. Elle me plaisait beaucoup par sa douceur, j'étais attiré par elle , mais pour une relation vanille, je ne voulais pas de SM avec elle. Nous avons commencé une relation, alternant week end chez elle et week end chez moi. Sexuellement, elle était "intense" en tant que relation vanille, trés présente, trés charnelle, trés douce, un vrai bonheur. Un samedi , elle a eu un soucis, je devais lui préter mon ordinateur pour le régler. Je l'ai laissé dans le bureau tranquillement. Au bout de 2 heures, je suis rentré sans frapper pour lui demander si elle voulait un café. Là elle m'a regardé avec un sourire en coin et elle m' a dit "c'est trés beau ce que tu écris". En fait j'avais un blog où j'écrivais un peu tout et n'importe quoi, et elle lisait des textes sur des relations SM que je décrivais. Une notification était apparue pendant qu'elle travaillait. Elle avait découvert mon univers. J'étais assez géné. On s'est mis dans le salon et on a discuté SM. Elle n'était pas adepte, mais elle voulait essayer quelque chose de trés soft, et elle me disait qu'elle voulait le faire avec moi car elle avait confiance en moi. Nous sommes partis dans un sexy center de la région bordelaise l'aprés midi pour faire des emplettes. Un petit Paddle, un martinet, des menottes, des pinces à tétons, un masque et divers liens. (oui, je ne garde jamais les instruments avec lesquels je joue) . Elle voulait devenir "l'objet" mais pas de choses extrêmes. Des fessées, des petits coups de fouets, mais pas de god, pas de dilatation, pas d'insultes, elle voulait devenir ma chose mais elle voulait rester pure, donc respectée. ça me convenait tout à fait, je ne voulais pas la dominer au sens strict, mais plutôt l'accompagner dans un lacher-prise sexuel en douceur. En rentrant en fin d'aprés midi, elle disparue dans la maison. Je descendais nos achats, les sortait de leurs emballages, et j'avais perdu Sandrine. Je l'appelait, mais elle ne me répondait pas. En rentrant dans la chambre, je la vis à genoux, sur le lit, face au riideau, les mains derrière le dos, elle m'attendait. Surpris de cette volonté subite, je pris une photo, je la trouvais jolie. Je m'approcha d'elle par derrière, avançant sur le lit à genoux à mon tour. D'une main je lui maintenait les poignets ensemble, de l'autre je lui tournait doucement la tête vers moi par le menton, et doucement, je me mis à l'embrasser avec une gourmandise sans nom. Un baiser long, profond, intense et gourmand. Sa tête basculait en arrière, elle gardait les yeux fermés, elle s'abandonnait déjà à moi. Je suis allé prende les jouets. Je lui mis d'abord les menottes dans le dos, le masque, et j'ai commencé à la carresser doucement en l'embrassant tendrement. Je lui disait "mon amour" à tout bout de champs. Mon rôle allait d'être celui qui allait lui faire monter le désir dans la soumissions sans l'humilier ni la rabaisser. Elle se tenait toujours à genoux sur le lit, et moi debout devant elle. Je commençais à faire glisser les lanières du martinet sur son corps sans la fouetter. Je lui donnais des rêgles simples : si elle voulait plus fort , elle me disait, "plus fort", plus doucement, elle me disait "doucement" etc etc. En fait c'est elle qui gérait ses limites, moi je l'accompagnait dans son désir, dans ses envies. Doucement je commençait par un petit coup de martinet sur les fesses. Son corps se cambra avec un léger soupir. Sa tête bascula en arrière. Je posa ma main sur sa joue et l'embrassa. dans le même temps, elle reçu un autre coup un peu plus appuyé sur les fesses. Elle se recambra encore plus et me dit "embrasse moi et fouette moi encore et encore". Je la mis debout dans la chambre, et je commençais à la fouetter mais trés doucement, par petit coup, sur tout le corps. Son corps ondulait à chaque carresse des lanières du martinet. Ses petits seins se rafermissait et les tétons se dressait d'une manière indescente. Je lui mis doucement les pinces à tétons, elle poussat un petit râle dans un souffle hyper sexuel . Je n'en pouvait plus, j'avais envie de la prendre, de la pénétrer, de la baiser comme un sauvage, je bandais comme un fou. Mais cette frustration m'exitait alors je prenais sur moi, je laissais mon désir monter. Au bout d'une 20 aine de minutes , j'arrétais de la fouetter, pour la carresser doucement sur tout le corps, j'avais envie de la cajoler, de la prendre dans mes bras, mais je me retenais. Doucement je carressais ses épaules, ses bras, son visage, je l'embrassais. Son souffle devenais de plus en plus rapide. Mes mains glissaient sur son ventre, ma bouche collée à la sienne, et je commençais à lui carresser sa chatte. Elle était toute dégoulinante. Je ne pu m'empêcher d'imbiber mes doigts de ses sucs intimes pour les gouter en lêchant mes doigts, un vrai délice. Je lui carressa les fesses et lui dit de s'allonger sur le dos. Là je n'en pouvais plus, je voulais m'abreuver entre ses cuisses, me nourrir de son intimité délicieuse, sentir sa cyprine m'inonder le visage. Je plongea ma tête entre ses jambes , ma langue fouilla toute son intimité, elle coulait de partout, je me surprenait à déglutir, ma buche remplie de ses ontueuses sécrétions, un vrai bonheur. Je me mis à genoux sur le lit face à elle couchée, et je repris le martinet sur son ventre Des petits coups sur ses seins, sur ses cuisses et à l'intérieur des cuisses, et parfois, un ou deux sur sa chatte. Je n'en pouvais plus, je voulais la prendre, mais elle me disait "encore, encore". En fait, j'étais dans une frustration volontaire qui m'excitait au plus au point. Pendant prés d'une heure, aucune pénétration, que des coups de martinet. Je lui ai détaché les mains du dos pour lui attacher les mains avec une corde sur la tête de lit. Je la mis sur le ventre, pris le paddle, et commença à la fesser avec. Elle se cambra de plus en plus, soulevant son bassin en m'offrant son anus si joli. Elle ne pratiquait que trés peu le sodomie. Là je repris le martinet et commença à laisser glisser les lanières sur son anus. Elle se mis sur les genoux, elle s'offrait à moi. Je commençais à mettre des petits coups de martinet sur son anus, trés doucement. Elle gémissait, elle se cambrait de plus en plus, je voyais son anus s'ouvrir et se fermer sous les coups de martinet, une vraie offrande, une vraie demande sa part. Je me mis à lui lêcher ses fesses rougies, son anus en demande, c'était un vrai bonheur. Au bout de 10 mn, je décida de la détacher complètement, de lui enlever le masque. Je la mis debout , commença à la caresser doucement avec douceur sur tout le corps. Je sentais ses seins fermes tressaillir dans la paume de ma main. Je lui pinça doucement les tétons. Elle ferma les yeux, soupira et les rouvrit avec un regard malicieux. là je l'embrassa en lui tenant l'arrière de la tête. Je repris le fouet, et trés doucement je lui mis des coups sur les fesses en la regardant dans les yeux tout en ayant la main derrière sa tête. Elle me fixait, ses yeux brillaient, elle était tout à moi, abandonné entièrement. Mon sexe étouffait dans mon panatalon. Elle mit ses bras autour de mon coup, se colla contre moi, et se mis à m'embrasser avec une intensité jusque là inconnue. Je laissait tomber le fouet, me calla dans ses bras et commençais à me déshabiller. Nous étions nu, l'un contre l'autre, et nous nous sommes allongés sur le lit, enlacés, nous etions en fusion complète. Pendant un long moment nous nous sommes embrassés, mon sexe se calait entre ses cuisses, j'avais mal tellement mon érection était forte. Nous étions callés dans les bras l'un de l'autre. Mes mains carressaient son corps doucement, il était brulant, transpirant, il réagissait sous chacune de mes carresses. Là je me mis sur elle, commença à lui lêcher chacune des parties de son corps. Ses épaules, ses seins, son ventre, ses hanches, ses cuisses pour finir par sa chatte. Là elle me pris par les épaules, me remonta. Je sentis sa main prendre mon sexe avec force et elle s'empalla en moi. Son corps en ébulition, mon sexe hyper tendu, il ne fallu pas plus de quelques minutes pour qu'elle jouisse avec violence, et je ne tardais pas moi non plus. Plusieurs fois son corps se raidissait, à chaque fois avec un râle impressionant. Quand je sentis mon orgasme monter, je savais que ça allais être trés fort. Je lui dis "je vais jouir". Là elle sera son vagin (qui était déjà trés étroit, presque autant qu'un anus), et elle m'accompagna dans ma jouissance et elle joui elle aussi. Elle avait trouvé son maitre ! Un orgasme hallucinant, électrisant, une décharge explosive de sensation que je n'ai jamais connu avant ni depuis, le plus bel orgasme, le plus puissant que j'ai connu de ma vie. Nous sommes restés enlacés un trés long moment, puis nous avons pris une douche ensemble. Nous nous sommes lavés l'un l'autre en se carressant doucement, et sous la douche, nous avons remis ça. Encore une étreinte magnifique. Le soir nous avons mangés ensemble sous un plaid dans le canapé, nous avons débriefé. Elle m'a avoué que le martinet avait mis son corps en état de réceptivité qu'elle n'avait jamais connu. Que à partir de son premier orgasme violent quand je l'ai pénétré, elle avait eu une succession d'orgasmes incontrolables qu'elle n' a pas pu compter tellement il y en avait. Je lui ai avoué la puissance de ce que j'avais ressentis. Nous sommes restés enlacés toute la nuit sur le canapé sur lequel nous avons dormis. Le lendemain, nous sommes restés toute la journée à nous balader sans jamais se lâcher la main, une journée pleine d'affection et de tendresse mutuelle. C'est à ce jour, mon plus beau souvenir sexuel. Nous nous sommes séparés des mois plus tard, mais sans conflits. C'était notre histoire commune, notre belle histoire, celle d'un homme et d'une femme qui se sont respecté et aimé... quel souvenir !!!
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Par : le 02/05/21
Il n'existe plus intense, plus belle émotion Que de vivre son premier abandon Ce jour de naissance - son 'moi' intime Qui fait de moi sa muse qui s'exprime Une belle découverte, un grand voyage Pour vivre mes émois tout en soie Pour le plus grandiose, ô subtil mariage De mes sens, de ma chair - en soi Il n'existe plus exquise, plus passionnée Que cette union en appartenance De ces deux âmes, deux corps comblés Unis par le lien confiance et connivence Un collier posé délicat et sensuel Sur la peau sensible d'une rebelle Délicieuse offrande - à Lui elle offrira Elle sa soumise, elle le lui dévouera Il n'existe plus intense - que son emprise Sur cette bourrique - ô elle soumise Pour son unique abandon - à son intimité Lui la sublime à ses pieds avec sincérité Le 13 février 2015 Pour Vous Mon Maître
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Par : le 02/05/21
Mon Maître ne m'est pas inconnu bien qu'aucune rencontre ait été avant mi-janvier 2015. En effet, fin 2009 suite à mon annonce sur un site BDSM, il m'avait envoyé une ligne dans un mail, avec toujours cette pointe d'humour. Tous deux étaient en 'quête', lui ayant fait une belle rencontre quelques mois avant que mon ancien Maître ne m'écrive. Nos chemins se sont éloignés. Les rares échanges se faisaient quand de nouvelles galeries ou de nouveaux récits étaient validés. J'étais fan des écrits de sa soumise, un suivi épisodique entre nous. Il m'écrivait parfois des mails auxquels je ne répondais pas, n'étant pas très bien vu la fin de ma relation. Il m’arrivait d’accepter ses coups de fil et j'en étais troublée. À d’autres moments je faisais silence, mettant de la distance. Patient il était là. Je recevais un courrier de temps en temps, toujours avec un peu d’humour pour me faire sourire, malgré ma tristesse. Un peu plus tard, sachant mon annonce modifiée, il a correspondu de nouveau, toujours délicat, respectueux, prenant de mes nouvelles. À aucun moment il n’a essayé de pénétrer dans cette brèche non cicatrisée. Non pas comme certains profiteurs trop pressés, s’imaginant déjà vous posséder, voulant s’imposer dès les premiers mots échangés. Des mots avilissants, déshonorants, qu’un vrai Maître ne saura prononcer sans connaître la personnalité, les besoins mais également les limites de sa soumise. Ses vœux pour la fin d'année m'ont touchée. Depuis le contact s'est fait en suivi. La relation D/s avec sa soumise s'est terminée depuis peu. De part et d'autre, nous gardons ce beau vécu en notre cœur mais également contact avec celle ou celui qui nous a fait vivre d'intenses bonheurs. Une photo m'avait été envoyée ainsi qu’un petit échange par cam. Non pas pour confirmer la réalité de la personne mais pour mieux afficher un visage à un instant T. J’ai pu le découvrir de visu. Mon cœur a parlé en le voyant à la gare, bien qu'il ait fait le « pitre » avec son humour toujours présent. Impression bizarre, comme des retrouvailles. A un moment donné j'en ai été émue, déjà des pleurs. J'étais en confiance et tard le soir un premier abandon. Tant de choses intenses se sont passées lors de ce beau week-end, votre accueil, respect, l'invitation de vos amis Justine et sa Maîtresse, la découverte de ce superbe donjon. J'étais émerveillée et l'émotion m'a submergé. Entre nous c'est très fort et j'avoue que cela me fait un peu peur. J'ai fait le choix de vous suivre dans ma soumission. Vous avez touché mon cœur, mon âme et mon corps et je vous dis : encore. Vous me faites voyager, me dépasser, me délivrer de certains mots bannis, pouvoir enfin les rayer de mon vocabulaire interdit en souvenir d'une certaine enfance... Ce mot qui refusait de sortir de ma bouche : « plaisir ». J'arrive à le dire depuis peu, je le remplaçais par bonheur ou le mettais entre parenthèses dans mes récits, articles. À un moment de la domination chez Justine, vous vous êtes placé devant moi à me parler doucement. Je vous ai écouté, j'ai accepté que vous caressiez mon corps, que vous m'embrassiez. Ce que je refusais depuis mon entrée en soumission, avec vous le verrou a sauté. J'ai encore pleuré, baissant ma tête, ne vous regardant plus. La photo où vous êtes devant moi est forte en ce symbole de lâcher-prise. J'avoue que depuis cet instant vous avez allumé le feu en moi. Bien que des étincelles à répétition ont été la veille. J'avais dit et écrit que je n'aurai qu'un seul Maître dans ma vie. Quand une Personne se présente, humble, respectueuse, me plait, que le feeling est en la réalité, pourquoi laisserai-je passer ma chance. Y'a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. 61 ans (l'âge est dans la tête) un autre livre s'ouvre. Comme quoi il ne faut pas dire : jamais. Nous ne savons pas de quoi demain sera fait. Tourner la page sans en oublier le vécu n’est parfois pas aisé, la vie continue. La vie est belle et réserve de bien magnifiques surprises. Le 30 janvier 2015
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Par : le 02/05/21
Patricia regagna sa chambre d'hôtel et s'octroya le luxe rare de faire une sieste. Étendue nue sur le lit, elle avait seulement conservé son bustier en cuir noir qui enserrait sa taille. Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux bonnes heures plus tard. Reposée, elle bondit hors du lit et alla jeter un coup d'œil par le judas. Un livreur attendait, tenant une corbeille de fleurs dans les bras. Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle découvrit un superbe bouquet de lys, une bouteille de champagne et un cadeau très soigneusement enrubanné. C'était agréable et inattendu et elle ne put s'empêcher d'être émue par ce geste si romantique de la part sans doute de l'inconnu, celui qui l'avait soumise la veille, lors de cette soirée mémorable. Elle donna un pourboire au livreur, referma la porte et ouvrit avec joie le paquet. Patricia ne fut pas étonnée de découvrir son contenu, un déshabillé en soie noire, un loup en velours de la même couleur et une paire de menottes. Elle saisit la petite carte dont elle lut le message à voix haute: "Cette soirée vous appartient. Portez le bandeau pour moi. Je passerai vous prendre à dix-neuf heures". Un peu anxieuse, elle aima pourtant sa persévérance et sa fidélité dans le lien qui les unissait. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Patricia songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romprait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Patricia devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lys, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requête de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Patricia portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Les règles de leur jeu. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espérait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Patricia frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Patricia oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Un sourire sur son visage. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répéter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/05/21
Bonsoir Monsieur, Ce jour du 27 janvier 2015 devant vous je m'incline : je me soumets. Vos marques sont encore présentes sur mon sein droit et je voulais vous donner ma décision à cette date. Je vous promets respect, loyauté, humilité. Je ne suis pas prête à tout, mais prête à beaucoup avec vous à mes côtés dans la confiance, le respect, la sincérité réciproque. Vous saurez m'apprendre, me faire grandir, m'épanouir, me faire avancer comme la bourrique que je suis parfois. Je vous fais don de mon corps, mon âme et mon cœur. De nature curieuse aimant découvrir, je sais qu'à vos côtés vous saurez me mener loin étant plus SM que DS. Vous servir, souffrir, m'offrir serait pour moi un grand bonheur. Vous rendre heureux et fier me comblerait. J'ai beaucoup à vous donner, j'aime me dépasser, je suis motivée. Je vous écris avec mon cœur, mon âme, mon ressenti, je n'aime pas les copies. Mes respects Monsieur arc Le 24 02 2015 Bonsoir Arc, Je suis touché par cet engagement, par son contenu et les mots employés. J'accepte ton offrande avec tout ce que cela comporte. Ton corps, ton âme mais surtout ton cœur. Tu n'es pas prête à tout mais comme tu le sais, tu garderas une grande partie de liberté. Soumise mais non esclave. Je resterai moi-même, celui que tu connais un peu plus maintenant. Je te ferai évoluer, grandir, te ferai goûter et partager les meilleures choses que la vie m'a apporté. Je ne suis pas Dieu, je suis simplement Maître de moi. Dominant et Maître pour toi. Je serai "Monsieur" devant les néophytes, "Maître" devant les pratiquants, "Monsieur mon Maître" dans nos échanges intimes. Non pas que j'affectionne le rituel mais certaines règles de respect doivent être appliquées. Il te faudra me découvrir aussi pour déceler en moi mes attentes, savoir anticiper. J'aime ta motivation et ton envie d'aller de l'avant. Tu garderas ton pseudo "Arc-en-ciel" afin de rester en liaison avec tes contacts. Pour moi tu seras "ARC" en signe de courant qui passe. "Ma Bourrique" à certains moments, mot non péjoratif qui reste gentillet, avec une certaine marque d'affection dans mon esprit. Cet accord n'est qu'un engagement et non un acte notarié. Encore moins un contrat devant être signé comme dans certains récits. Libre à chacun d'agir comme bon lui semble. La vision des choses reste mienne. Je pose quand même ma touche personnelle, à savoir : Cet engagement pourra devenir caduc si l'une des parties décide d'y mettre fin. Au demandeur d'en exprimer sa demande et d'en apporter le pourquoi. Suite à cet échange, si la demande ainsi que les justifications sont recevables, la rupture à l'amiable sera acceptée. Sauf cas extrême, l'amitié devra rester. J'accepte ta soumission et je ferai, malgré la distance qui nous sépare, de mon mieux pour satisfaire et combler tes attentes. M_JPS, Ton Maître.
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Par : le 25/04/21
Principes fondateurs de ma Gouvernance et de mes engagements de Dominant (par Myway) •    Poser les conditions de l’estime de soi, de l’accomplissement et du développement personnel, dans la contrainte dirigée, l’obéissance et la servitude volontaire. •    Accompagner & Servir l’épanouissement et la plénitude dans l’état d’abandon et le « lâcher prise ». •    Déployer & Mettre en œuvre un cheminement éducatif dans une démarche de progression, en adéquation avec vos aspirations conscientes et inconscientes et dans le respect de vos limites. •    Vous donner les clefs de compréhension de votre condition pour vous rendre « actrice de votre soumission ». •    Vous révéler à vous-même… Explorer & Sonder les méandres sinueux de votre nature profonde et vous amener à l’exprimer. •    Sublimer & Magnifier (et non pas modéliser ou transformer) vos prédispositions, vos attributs, votre féminité et votre identité de soumise et de femme. •    Faire de vous une noble et digne représentante de la condition de soumise et de votre Maison d’appartenance. •    Respecter et faire respecter votre intégrité. Vous protéger de vous-même si nécessaire. •    Me nourrir et Jouir de votre évolution, de votre appartenance et de notre interdépendance relationnelle. MyWay   .
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Par : le 25/04/21
LMSD 7 Comment j'ai pécho la Kate J'ai toujours aimé vivre de cul et d'eau fraîche, l'eau n'ayant jamais manqué. Un dominant de ma trempe ne saurait draguer vulgairement comme le commun des Maîtres. Non, les soumises viennent à moi, nuance. Evidemment je dois faire un sévère tri : pas de borgne, pas de jambes de bois, pas au delà de 84 ans (l'âge de maman). J'optai pour mon piège à chaudasse préféré : le test de la mort qui tue, le fameux « test du fraisier » qui m'a rendu célèbre sur moults forum, faisant des victimes y compris auprès des dominas les plus réputées. Inaccessibles disent-elles. Pour les autres puis-je ajouter sans modestie inutile. Mais voilà, impossible de remettre la main dessus. Ma quête (ou Kate je ne sais plus trop) devait donc recommencer par un effort : autant dire que ça partait mal. Bref mon talent inné pour la prose facilita la chose et en deux temps trois cent vingt quatre mouvements j'accouchai d'une merveille que le regretté Jean d'Ormesson m'eût assurément envié (entre choses). Le piège diabolique était prêt, les critères aussi stricts que mûrement réfléchis. De toute façon c'est toujours presque trop facile, limite à gâcher mon plaisir ; les femmes c'est simple, dès qu'un type super beau, gaulé comme un Dieu, intelligent, d'une extrême culture, blindé comme Crésus et doté d'un charisme exceptionnel consent à leur adresser la parole elles fondent. Ma partie était donc gagnée d'avance, seule la victime restait à désigner. Le plus amusant dans l'histoire est l'ironie de son triste sort : à la seconde où je l'aurais adoubée, elle se dirait immanquablement, « yes, j'ai gagné ! », alors qu'elle venait de perdre. Bref. Pardon pour ces digressions cher lectrice -je me fou un peu de l'avis des lecteurs pour tout dire étant strictement hétéro- mais je ne doute pas un instant que pénétrer par effraction dans l'esprit d'un dominant de ma trempe ne suffise à vous faire mouiller grave la petite culotte que vous ne devriez pas porter. Pour ceux qui n'auraient pas suivi, bon Prince, voici l'annonce : Recrutement de soumise (pouvant servir de tuto aux débutants, sans copyright) Devant l'avalanche de demandes, ma grande b..., mon grand cœur me perdant, je dois bien trouver un système de départage. Je ne puis être partout, pardon d'avance pour les innombrables déçues. Afin que ce fût scientifiquement irréfutable tout autant que pour éviter des recours incessants vers les juridictions incompétentes, j'ai tranché pour un barème par point. A noter que le test vaut également pour les Dominas. Et les switchs. Enfin bref tout ce qui n'a pas une paire de couilles qui pendouille entre les jambes. Et du genre humain disons. Encore une fois désolé pour les Dominas à qui je ne pourrai donner leur chance et Dieu sait pourtant si je déteste voir une Maîtresse pleurer devant moi même si ce fut souventes fois le cas. . Je rappelle à toutes fins utiles que je suis très cérébral, comme vous pourrez le comprendre au fil des questions suivantes. Le physique et l'âge étant de peu d'importance pour moi, les CV anonymes, non accompagnés de photo (de nu évidement) se verront néanmoins systématiquement rejetés. 1/ si tu es cultivée : + 1 2/ si tu es intelligente (on peut toujours rêver) : +1 3/ si 95 / 60 / 90 est autre chose chez toi que la fin de N° de portable : + 100 4/ si tu es brune : + 5 (si tu es blonde ou rousse aussi d'ailleurs) 5/ si on t'a déjà dit que tu avais un regard de cochonne + 50 6/ si tu aimes les chaussures à bout rond et/ ou talons plats : - 1.000 7 / Age : tu pars d'un capital 50 ; ajoute 2 point par année en dessous de la cinquantaine. Ou retranche 5 points par année au delà. Si ton capital revient à 0 tu es éliminée 8/ si le latex évoque autre chose pour toi que des gants Mappa : + 25 9/ si pour toi les bas ne sont pas le contraire de haut : + 25 10/ distance : - de 100 kms + 10 ; - de 50 kms + 20 : moins de 10 kms + 50 ; moins de 2 kms + 100 ; moins de 100 mètres : tiens ma chérie toi aussi tu es inscrite sur le forum ??? Devant le nombre de candidature inévitable, ne vous attendez pas à un retour rapide. Clair net, (cir)concis, efficace, tout moi. Bref, ça tombait évidemment comme des mouches. Ma sélection se devait d'être sans pitié. Une candidate sortait du lot, impossible de dire pourquoi. Quelle importance d'ailleurs, l'essentiel étant qu'elle soit bonne. Mais bon, son nombre de point était loin de la placer en tête. Et je suis incorruptible. D'un autre côté rajouter quelques points par bienveillance (et envie de niquer), ce n'est pas vraiment de la corruption. Il lui manquait néanmoins encore des points, largement desservie par son éloignement. Mais je suis incorruptible. D'un autre côté, modifier les critères une fois que tout le monde a répondu, est ce bien de la corruption ? Evidemment pas. Si j'avais eu une conscience elle eût été assurément mauvaise. Bon et puis elle n'était pas encore en tête, à peine 10 ans de moins que moi, elle n'était plus toute jeune... Pourtant elle suppliait, m'implorait de prendre en considération sa candide-ature. J'hésitais mais quand je vis sa photo accrochée au CV... Je suis incorruptible, mais modifier un barème en cours de route pour favoriser quelqu'un c'est quand même loin d'être de la corruption. Elle gagna immédiatement 2.324 point ce qui lui fit devancer la meute de candidates. D'une courte tête. Elle fut donc déclarée gagnante ? Enfin, perdante en réalité, vous suivez ?
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Par : le 25/04/21
Texte humouristique de ma première séance en tant que soumis. Il y a quelques années, aprés avoir été DOM, j'ai voulu tester le rôle de soumis. Je n'avais jamais pratiqué. Le plus extrême que je connaissais était des petits plugs dans mon petit anus si mignon, LOL, ou quelques massages de la prostate prodigués avec douceur et élégance (on parle du doigt qui vient vous titiller la prostate, pas des doigts qui font des va et viens pour vous sodomiser). Bref, vas y frappe, moi, fouette moi, attache moi, fait brûler ma peau pour faire monter ma transe, voilà où était mon désir. Je voulais connaître la violence sur moi, et qu'on soccupe un peu de mon petit anus qui se sentait seul. Je n'avais jamais pratiqué le god ceinture, je savais que j'y viendrais, mais il fallait y aller progressivement. A l'époque je ne connaissais que le god ceinture classique, celui qui était fixe sur une ceinture en cuir, je ne connaissais pas le straponme, le god que ces dames s'enfonce dans le vagin et qui leur dessine une verge à l'extérieur. Inscrit sur un site de rencontre célébre du monde vanille, ADOPTUNETORDUE, je discutais avec quelques femmes, mais rien qui ne m'interpelait. Puis un jour, un profil sans photo m'ajoute à son panier. Ce qui m'interpelait c'était sa taille 1m85. Je ne mesure que 1m75, qu'es ce qu'une grande gigasse vient s'intéresser à moi. Certe ma photo était sympa, mais je ressemblais plus à un repris de justice qu'autre chose. Nous avons commencé à discuter et elle était trés rigolote, trés fun, mais je n'avais pas de visage pour l'identifier. Alors j'ai décidé de commencer à la taquiner sur le conté SM, on avait déjà parlé sex ensemble . Pour tester, je lui ai dit "moi , j'aimerai bien me faire fesser par une grande femme comme toi, ça doit être fun". La elle m'a répondu "je suis un homme quand je baise" . Et elle m'a expliqué qu'elle aimait fister, doigter les hommes, les sodomiser etc etc... WWAAAOOOUUWW !! je tenais peut être ma maîtresse. Du coup on a échangé nos envies. Pour moi c'était clair : fouet, paddle, fessée, massage de la prostate, plug , sextoy de petit calibre mais je n'ai pas parlé de god ceinture. Du coup, elle m'a envoyé par mail sa photo; Elle n'était pas trés nette, mais on voyait une trés grande blonde aux cheveux au carré, avec un corps trés bien dessiné, de belles hanches et une belle poitrine. Mais c'était assez flou, j'avais un doute, ça ressemblait à un fake. Du coup nous nous sommes donnés rendez vous dans le bar d'un trés grand hotel à bordeaux (du même nom). Le vendredi du rendez vous, j'étais arrivé à l'avance. A l'entrée de l'hôtel, des majordomes m'indiquent le bar. Là, on ne rentre pas comme cela, un autre majordome me réceptionne et me propose une table. Trés bien placé, j'étais en face de l'entrée un peu décalé, je voyais toute la salle. J'avais indiqué que j'attendais une dame et je donnais mon nom au cas où elle me demanderait. Je lui envoyai un sms pour lui dire que j'étais arrivé et où j'étais. 5mn plus tard, je vois une espèce de créature gigantesque arriver. Plus haute que tout le monde, on ne voyait qu'elle. Je me suis dit "NON, c'est pas elle, c'est pas Stéphanie, elle est immense, mais c'est une bombe". Je me suis dit, non, ce n'est pas elle, je n'en croyais pas mes yeux, je me disais que j'avais été berné, je m'emballais juste sur une bombe. Puis le majordome avança dans la salle, suivit de cette femme. Tout le monde la regardait, et moi je regardais les gens, homme comme femme la regarder avec de grands yeux, mais je ne la voyais plus elle. J'observais les spectateurs, mais je ne voyais pas le spectacle. D'un coup , devant moi une masse sombre, le majordome était devant moi avec cette créature à coté de lui. Là j'ai senti des dizaines de paires d'yeux me scanner de haut en bas. Je me suis levé pour accueillir Stéphanie, elle était effectivement trés grande 1m85, mais en plus sur de trés hauts talons, hallucinante ; Elle était trés jolie, une femme de 42 ans, la peau sans rides, de jolis yeux noisettes et une coupe au carré blonde. Elle portait une robe trés moulante à fleurs, qui s'arrétait mi cuisse. On ne voyait que ses jambes trés bien dessinées , longues, trés longues, et son décolleté !!! . là aussi je crois que j'ai dû faire rire du monde. Debout, j'avais le visage à peine au dessus de ses seins et ils étaient..OUF!!! MAGNIFIQUES. J'ai eu un instant de blocage sur sa poitrine, mais trés rapide. Je passe toute la discussion que nous avons eu, mais elle m'a avoué qu'elle avait fait exprés de s'habiller comme ça, avec cette robe et ses talons haut, ça l'exitait de me gêner devant tout le monde. Aprés quelques verres et quelques patisseries, on a décidé d'aller s'amuser chez elle. En arrivant dans son appartement, elle m'a proposé d'aller me doucher. J'avais pris une douche avant, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai accepté, surement pour me faire redescendre de mon nuage. Quand j'ai eu terminé, il n'y avait pas de serviettes, je l'ai appelé pour le lui dire. Elle a ouvert la porte, j'étais nu sous la douche italienne. Elle avait tout prévu, le coup de la douche s'était pour qu'elle ai le temps de se changer. Elle avait un bustier noir qui soutenait sa poitrine tout en offrant la pointe de ses seins à la dégustation. Un string avec porte jarettelle noir aussi et des talons... j'étais tout petit, nu comme un vers, et elle m'a séché comme un enfant, en me mettant des petites tapes sur les fesses, elle commençait déjà son rôle. Là, elle me dit d'attendre dans la salle de bain. Elle est revenue avec une paire de menottes et un collier avec chaînes... Je bandais déjà comme un jeune adolescent ... Une foi les mains attachées dans le dos et le collier mis, j'ai eu droit à une petite séance de fessées debout avec quelques tapes sur mon sex. La maîtresse corrigeait le vilain petit garçon pour son érection.. Trés fun ,trés rigolo, et trés excitant !. Elle me tira dans sa chambre. je la suivais bien docilement, j'admirais ses fesses, justes sublimes, j'étais en plein rêve. Elle m'enleva les menottes et me mis à 4 pattes sur son lit, les fesses face à elle. Là elle me mit une bonne fessée. Puis, elle attrapa une cravache, me sortit du lit. Je me tenais debout devant elle, et elle commença à me cravacher doucement sur tout le corps en prenant soin d'y aller doucement sur mon sex. Mon corps commençait à chauffer doucement sous les coups. Puis elle pris un paddle et commença plus intensément à me frapper les fesses, les cuisses, l'entre cuisse et le dos. J'adorais. Elle commença à me pincer les tétons, de plus en plus fort, et de temps en temps elle me prenait la verge à pleine main pour me masturber un peu. Son visage était souriant, joyeux, rien de pervers, j'allait m'abandonner à elle complêtement, elle me donnait confiance. Aprés plus de 45 mn à me martiriser le corps, alternant coups et carresses sur le gland, elle se mit à genoux pour me sucer. J'étais aux anges, sa bouche m'aspirait le gland avec force, elle avalait ma verge dans sa plus grande partie avec une gourmandise indescriptible. Puis elle me dit "à moi maintenant, lêche moi". Elle s'allongea sur le lit, me tenant par la laisse et écarta ses cuisses pour enlever son string. J'étais à 4 pattes devant ma reine, je voyais sa poitrine dépasser du bustier, les tétons dressés, et elle m'offrait sa chatte toute épilée. Je ne me fis pas prier, je plongeais ma langue au fond de son hymen, je la pénétrais de ma langue. Sa chatte coulait de cyprine, je me noyais dedans, savourant chacune des odeurs intimes me parfumait le visage, je buvais sa cyprine, elle m'hallletait de sa chatte, j'étais au paradis. elle me dit "mais tu lêche divinement bien , continu je veux jouir". Excité par ses mots, je redoublais de voracité buccale, je happais, je lappais sa chatte, buvant le trop plein de sucs intimes pour ne pas en perdre une goutte. Puis elle m'appuya fortement la tête entre ses cuisses, elle s'est mise à gémir et à jouir en m'étouffant entre ses cuisses. Aprés cela, elle se leva. Elle ouvrit un tiroir duquel elle sortie un straponme mauve. Je n'en n'avais jamais vu. Je ne savais pas ce que c'était, je croyais que c'était juste un god classique. Là, debout face à moi, j'étais assis au bord du lit, je la vit s'enfoncer une partie dans sa chatte. Je me disais "merde, j'ai pas été bon, elle est obligée de se finir au god sans moi"; Puis elle attrapa un truc fait de lanières épaisse en cuir, et là je la regardais mettre ça comme une sorte de harnais qui venait soutenir le straponme comme un god ceinture classique..; HORREUR !! C'était un god ceinture, et je ne m'y étais pas préparé. Je ne sais pas comment j'ai fait, mais d'un bond , je suis passé d'assis sur le bord du lit contre bloqué contre la tête du lit, les yeux écarquillés. Là elle me regarda avec une regard plein d'incompréhension. Je luis dit "mais ça c'était pas prévu". Elle éclata de rires, elle avait compris le quiproquo. On discuta 2 mn puis je lui ai dit ok, on essaye. La pauvre, elle a mis tout le lubrifiant qu'elle pouvait dans mon anus et sur son god. J'étais à 4 pattes, elle essayait de m'ouvrir l'anus avec ses doigts, mais il était étroit à cette époque. Au bout de 5 mn, elle essaya de me pénétrer; Malheureusement, quand on est pas prêt psychologiquement, Mr ANUS refusait qu'elle me pénétre. Je l'entendait se positionner dans tout les sens, je sentais le bout du god essayer de rentrer en moi, mais il ne du pas faire plus de 2 ou 3 centimêtres en moi, ça voulait pas. Je l'entendais souffler comme un mâle en rut qui essaye de sodomiser une femme qui se refuse. Au bout de 10 mn, elle décida d'arêter avec le god ceinture. Elle se l'enleva, et commença à me mettre un doigt, puis 2 et elle me sodomisa avec ses deux ou trois doigts . Frustré de n'avoir pas pu le faire avec le god, elle me violenta l'anus au point que j'ai eu le trou du cul en feu pendant 3 jours !! LOL!. Une fois calmée, rassasiée de mon anus, on s'est mis en 69; Elle me demanda de lui lêcher l'anus pendant qu'elle me suçait. J'étais allongé sur le dos, elle sur moi, et je voyais ses jolies fesses et son joli anus qui était loin d'être vierge. Trop concentré sur cette vision de rêve, sur ma langue qui s'enfouissait en elle, j'ai éjaculé dans sa bouche sans le sentir, sans aucun orgasme, une première pour moi : éjaculer sans rien sentir, sans orgasme. Nous nous sommes arrété là dessus. Nous avons pris une douche et bu une bouteille de champagne. Cette femme était ma première DOMINA. Nous sommes restés en contact, mais n'habitant pas la région, elle ne vient ici que pour raison professionnelle dans un appartement de fonction. Nos rencontres se font rares, mais depuis je lui ai généreusement ouvert mon derrière dont elle s'occupe de la plus belle des façons. Je n'ai jamais eu l'envie de me mettre en couple avec une femme qui pratiquait le SM, mais avec elle, vu qu'elle switche parfois, ce serait juste GENIAL !!. Mais le coup du god ceinture et ma réaction appeuré reste un joke entre nous. Et quand elle sent que je vais me faire avoir professionnellement ou sentimentalement elle me dit "attention à la tête de lit", sous entendu, "tu va te faire enculer" LOL! Texte humouristique de ma première séance en tant que soumis. Il y a quelques années, aprés avoir été DOM, j'ai voulu tester le rôle de soumis. Je n'avais jamais pratiqué. Le plus extrême que je connaissais était des petits plugs dans mon petit anus si mignon, LOL, ou quelques massages de la prostate prodigués avec douceur et élégance (on parle du doigt qui vient vous titiller la prostate, pas des doigts qui font des va et viens pour vous sodomiser). Bref, vas y frappe, moi, fouette moi, attache moi, fait brûler ma peau pour faire monter ma transe, voilà où était mon désir. Je voulais connaître la violence sur moi, et qu'on soccupe un peu de mon petit anus qui se sentait seul. Je n'avais jamais pratiqué le god ceinture, je savais que j'y viendrais, mais il fallait y aller progressivement. A l'époque je ne connaissais que le god ceinture classique, celui qui était fixe sur une ceinture en cuir, je ne connaissais pas le straponme, le god que ces dames s'enfonce dans le vagin et qui leur dessine une verge à l'extérieur. Inscrit sur un site de rencontre célébre du monde vanille, ADOPTUNETORDUE, je discutais avec quelques femmes, mais rien qui ne m'interpelait. Puis un jour, un profil sans photo m'ajoute à son panier. Ce qui m'interpelait c'était sa taille 1m85. Je ne mesure que 1m75, qu'es ce qu'une grande gigasse vient s'intéresser à moi. Certe ma photo était sympa, mais je ressemblais plus à un repris de justice qu'autre chose. Nous avons commencé à discuter et elle était trés rigolote, trés fun, mais je n'avais pas de visage pour l'identifier. Alors j'ai décidé de commencer à la taquiner sur le conté SM, on avait déjà parlé sex ensemble . Pour tester, je lui ai dit "moi , j'aimerai bien me faire fesser par une grande femme comme toi, ça doit être fun". La elle m'a répondu "je suis un homme quand je baise" . Et elle m'a expliqué qu'elle aimait fister, doigter les hommes, les sodomiser etc etc... WWAAAOOOUUWW !! je tenais peut être ma maîtresse. Du coup on a échangé nos envies. Pour moi c'était clair : fouet, paddle, fessée, massage de la prostate, plug , sextoy de petit calibre mais je n'ai pas parlé de god ceinture. Du coup, elle m'a envoyé par mail sa photo; Elle n'était pas trés nette, mais on voyait une trés grande blonde aux cheveux au carré, avec un corps trés bien dessiné, de belles hanches et une belle poitrine. Mais c'était assez flou, j'avais un doute, ça ressemblait à un fake. Du coup nous nous sommes donnés rendez vous dans le bar d'un trés grand hotel à bordeaux (du même nom). Le vendredi du rendez vous, j'étais arrivé à l'avance. A l'entrée de l'hôtel, des majordomes m'indiquent le bar. Là, on ne rentre pas comme cela, un autre majordome me réceptionne et me propose une table. Trés bien placé, j'étais en face de l'entrée un peu décalé, je voyais toute la salle. J'avais indiqué que j'attendais une dame et je donnais mon nom au cas où elle me demanderait. Je lui envoyai un sms pour lui dire que j'étais arrivé et où j'étais. 5mn plus tard, je vois une espèce de créature gigantesque arriver. Plus haute que tout le monde, on ne voyait qu'elle. Je me suis dit "NON, c'est pas elle, c'est pas Stéphanie, elle est immense, mais c'est une bombe". Je me suis dit, non, ce n'est pas elle, je n'en croyais pas mes yeux, je me disais que j'avais été berné, je m'emballais juste sur une bombe. Puis le majordome avança dans la salle, suivit de cette femme. Tout le monde la regardait, et moi je regardais les gens, homme comme femme la regarder avec de grands yeux, mais je ne la voyais plus elle. J'observais les spectateurs, mais je ne voyais pas le spectacle. D'un coup , devant moi une masse sombre, le majordome était devant moi avec cette créature à coté de lui. Là j'ai senti des dizaines de paires d'yeux me scanner de haut en bas. Je me suis levé pour accueillir Stéphanie, elle était effectivement trés grande 1m85, mais en plus sur de trés hauts talons, hallucinante ; Elle était trés jolie, une femme de 42 ans, la peau sans rides, de jolis yeux noisettes et une coupe au carré blonde. Elle portait une robe trés moulante à fleurs, qui s'arrétait mi cuisse. On ne voyait que ses jambes trés bien dessinées , longues, trés longues, et son décolleté !!! . là aussi je crois que j'ai dû faire rire du monde. Debout, j'avais le visage à peine au dessus de ses seins et ils étaient..OUF!!! MAGNIFIQUES. J'ai eu un instant de blocage sur sa poitrine, mais trés rapide. Je passe toute la discussion que nous avons eu, mais elle m'a avoué qu'elle avait fait exprés de s'habiller comme ça, avec cette robe et ses talons haut, ça l'exitait de me gêner devant tout le monde. Aprés quelques verres et quelques patisseries, on a décidé d'aller s'amuser chez elle. En arrivant dans son appartement, elle m'a proposé d'aller me doucher. J'avais pris une douche avant, mais je ne sais pas pourquoi, j'ai accepté, surement pour me faire redescendre de mon nuage. Quand j'ai eu terminé, il n'y avait pas de serviettes, je l'ai appelé pour le lui dire. Elle a ouvert la porte, j'étais nu sous la douche italienne. Elle avait tout prévu, le coup de la douche s'était pour qu'elle ai le temps de se changer. Elle avait un bustier noir qui soutenait sa poitrine tout en offrant la pointe de ses seins à la dégustation. Un string avec porte jarettelle noir aussi et des talons... j'étais tout petit, nu comme un vers, et elle m'a séché comme un enfant, en me mettant des petites tapes sur les fesses, elle commençait déjà son rôle. Là, elle me dit d'attendre dans la salle de bain. Elle est revenue avec une paire de menottes et un collier avec chaînes... Je bandais déjà comme un jeune adolescent ... Une foi les mains attachées dans le dos et le collier mis, j'ai eu droit à une petite séance de fessées debout avec quelques tapes sur mon sex. La maîtresse corrigeait le vilain petit garçon pour son érection.. Trés fun ,trés rigolo, et trés excitant !. Elle me tira dans sa chambre. je la suivais bien docilement, j'admirais ses fesses, justes sublimes, j'étais en plein rêve. Elle m'enleva les menottes et me mis à 4 pattes sur son lit, les fesses face à elle. Là elle me mit une bonne fessée. Puis, elle attrapa une cravache, me sortit du lit. Je me tenais debout devant elle, et elle commença à me cravacher doucement sur tout le corps en prenant soin d'y aller doucement sur mon sex. Mon corps commençait à chauffer doucement sous les coups. Puis elle pris un paddle et commença plus intensément à me frapper les fesses, les cuisses, l'entre cuisse et le dos. J'adorais. Elle commença à me pincer les tétons, de plus en plus fort, et de temps en temps elle me prenait la verge à pleine main pour me masturber un peu. Son visage était souriant, joyeux, rien de pervers, j'allait m'abandonner à elle complêtement, elle me donnait confiance. Aprés plus de 45 mn à me martiriser le corps, alternant coups et carresses sur le gland, elle se mit à genoux pour me sucer. J'étais aux anges, sa bouche m'aspirait le gland avec force, elle avalait ma verge dans sa plus grande partie avec une gourmandise indescriptible. Puis elle me dit "à moi maintenant, lêche moi". Elle s'allongea sur le lit, me tenant par la laisse et écarta ses cuisses pour enlever son string. J'étais à 4 pattes devant ma reine, je voyais sa poitrine dépasser du bustier, les tétons dressés, et elle m'offrait sa chatte toute épilée. Je ne me fis pas prier, je plongeais ma langue au fond de son hymen, je la pénétrais de ma langue. Sa chatte coulait de cyprine, je me noyais dedans, savourant chacune des odeurs intimes me parfumait le visage, je buvais sa cyprine, elle m'hallletait de sa chatte, j'étais au paradis. elle me dit "mais tu lêche divinement bien , continu je veux jouir". Excité par ses mots, je redoublais de voracité buccale, je happais, je lappais sa chatte, buvant le trop plein de sucs intimes pour ne pas en perdre une goutte. Puis elle m'appuya fortement la tête entre ses cuisses, elle s'est mise à gémir et à jouir en m'étouffant entre ses cuisses. Aprés cela, elle se leva. Elle ouvrit un tiroir duquel elle sortie un straponme mauve. Je n'en n'avais jamais vu. Je ne savais pas ce que c'était, je croyais que c'était juste un god classique. Là, debout face à moi, j'étais assis au bord du lit, je la vit s'enfoncer une partie dans sa chatte. Je me disais "merde, j'ai pas été bon, elle est obligée de se finir au god sans moi"; Puis elle attrapa un truc fait de lanières épaisse en cuir, et là je la regardais mettre ça comme une sorte de harnais qui venait soutenir le straponme comme un god ceinture classique..; HORREUR !! C'était un god ceinture, et je ne m'y étais pas préparé. Je ne sais pas comment j'ai fait, mais d'un bond , je suis passé d'assis sur le bord du lit contre bloqué contre la tête du lit, les yeux écarquillés. Là elle me regarda avec une regard plein d'incompréhension. Je luis dit "mais ça c'était pas prévu". Elle éclata de rires, elle avait compris le quiproquo. On discuta 2 mn puis je lui ai dit ok, on essaye. La pauvre, elle a mis tout le lubrifiant qu'elle pouvait dans mon anus et sur son god. J'étais à 4 pattes, elle essayait de m'ouvrir l'anus avec ses doigts, mais il était étroit à cette époque. Au bout de 5 mn, elle essaya de me pénétrer; Malheureusement, quand on est pas prêt psychologiquement, Mr ANUS refusait qu'elle me pénétre. Je l'entendait se positionner dans tout les sens, je sentais le bout du god essayer de rentrer en moi, mais il ne du pas faire plus de 2 ou 3 centimêtres en moi, ça voulait pas. Je l'entendais souffler comme un mâle en rut qui essaye de sodomiser une femme qui se refuse. Au bout de 10 mn, elle décida d'arêter avec le god ceinture. Elle se l'enleva, et commença à me mettre un doigt, puis 2 et elle me sodomisa avec ses deux ou trois doigts . Frustré de n'avoir pas pu le faire avec le god, elle me violenta l'anus au point que j'ai eu le trou du cul en feu pendant 3 jours !! LOL!. Une fois calmée, rassasiée de mon anus, on s'est mis en 69; Elle me demanda de lui lêcher l'anus pendant qu'elle me suçait. J'étais allongé sur le dos, elle sur moi, et je voyais ses jolies fesses et son joli anus qui était loin d'être vierge. Trop concentré sur cette vision de rêve, sur ma langue qui s'enfouissait en elle, j'ai éjaculé dans sa bouche sans le sentir, sans aucun orgasme, une première pour moi : éjaculer sans rien sentir, sans orgasme. Nous nous sommes arrété là dessus. Nous avons pris une douche et bu une bouteille de champagne. Cette femme était ma première DOMINA. Nous sommes restés en contact, mais n'habitant pas la région, elle ne vient ici que pour raison professionnelle dans un appartement de fonction. Nos rencontres se font rares, mais depuis je lui ai généreusement ouvert mon derrière dont elle s'occupe de la plus belle des façons. Je n'ai jamais eu l'envie de me mettre en couple avec une femme qui pratiquait le SM, mais avec elle, vu qu'elle switche parfois, ce serait juste GENIAL !!. Mais le coup du god ceinture et ma réaction appeuré reste un joke entre nous. Et quand elle sent que je vais me faire avoir professionnellement ou sentimentalement elle me dit "attention à la tête de lit", sous entendu, "tu va te faire enculer" LOL! Voir aussi Bandes Dessinées BDSM
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Par : le 25/04/21
Une soumise m'a demandé récemment : Juste une question comment vous faites pour l'oublier votre Maitre ça ne vous fait pas du mal d'en reparler ? Je ne l'oublie pas et en postant quelques photos personnelles, articles, je me rappelle, je me souviens. Comme une façon de garder le lien. Sept mois ont passé depuis la fin de notre relation décidée par lui, mettant ainsi un terme au monde BDSM. Je suis passée par différentes étapes comme un 'travail de deuil'. Depuis je suis mieux à parler de lui, bien que certaines émotions soient toujours présentes. La relation se termine, l'impression d'être délaissée, d'être sans intérêt, comme si je ne 'valais' plus rien du jour au lendemain, un vide sans l'autre. Comme tout, il faut réagir, prendre sur soi, rebondir, il y a un après. Je garde en mémoire les merveilleux moments passés ensemble et j'accepte que ça appartienne désormais au passé. Je suis d'un caractère positif et connaissais l'issue de la relation un an et demi avant la fin de l'année 2013. Rien n'est simple pourtant il a fallu que j'admette cette fin, que j'accepte ce fait. Il n'est pas parti pour une autre, il a mis fin à la domination pour les raisons qui lui sont personnelles, sa mise à la retraite n'a pas arrangé ce qui aurait peut-être pu être autrement. Je ne peux lui en vouloir connaissant sa vie de famille, j'accepte. Nous avons toujours été sincère sur nos vies respectives et ce dès le début de nos échanges. Une relation de quatre années ce n'est pas rien dans le monde BDSM. Les séparations sont nombreuses et inévitables au cours d'une vie, elles déclenchent des émotions intenses et importantes ; vivre celles-ci complètement permet de passer à travers ces durs moments. Il est important de savoir comment réussir ces séparations si on veut pouvoir continuer son chemin. Et puis, arrive le moment où l’on admet que c’est bel et bien terminé. Les choses ont changé et une page du livre de notre vie est en train de se tourner. On accepte sa douleur et sa tristesse. Il le faut bien, elles vont nous tenir compagnie pendant un bout de temps. Cette période de tristesse est l’une des étapes les plus longues du processus, mais la reconnaissance de la rupture et de sa peine est un très grand pas vers la guérison. Petit à petit, telle une plaie, la blessure se cicatrise. Certes, elle laissera une trace mais avec laquelle j'apprends à composer. J'ai arrêté de me poser des questions, j'ai compris certaines choses, j'ai accepté. Etant en retraite depuis bien des années, ayant du temps de libre et parce que je suis guérie d'une maladie ; je me suis tournée vers le bénévolat cette fois ci dans un hôpital. La vie est belle ! Quant à la seconde question pour 'trouver' un Maître, je ne suis pas en recherche, mais si un se présente, qu'il soit sincère, m'accepte comme je suis, aime l'exclusivité, pourquoi pas ... Il est permis de rêver, bien que je sois lucide. Le 31 octobre 2014
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Par : le 25/04/21
Vous êtes venu un voir, Un courrier plein d'espoir, Un mot accrocheur, avais-je demandé Et le voilà tout trouvé "retrouvons nous dans ma bulle pour n'en faire qu'une" Je me suis dit en voilà une belle plume Ma curiosité m'a poussé à chatter Vous vous êtes présenté M'emmenant dans votre monde Ou je me délecte chaque seconde De ce nectar sucré Que je goûté et qui me plaît Ensemble tous les soirs Je vous laisse tous les pouvoirs Parfois amuser Parfois frustrer Parfois désirer Parfois enthousiasmer Je suis libre sous votre emprise J'en suis surprise Baissez mes barrières Montrez moi que vous êtes fier Libérez moi, je suis enfin comprise Exaucez moi, Moi votre soumise
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Par : le 20/04/21
Il y a 7 ans de ça, j'ai rencontré un homme jeune, 28 ans, un peu efféminé, avec qui nous discutions de BDSM. Il était homo à 80% et hétéro à 20% comme il me disait. Son coté hétéro, il l'acceptais uniquement dans le fait de se faire dominer par les femmes. C'était un soumis total. Il me savait Dom et je débutais dans le switch. Aprés plusieurs mois à nous raconter nos histoires, il me proposa de participer à une séance avec sa Domina. On s'est rencontré tout les 3 dans un bar de la région bordelaise. Sylvie était une femme de 45 ans, 1m70, trés fine, la peau brulée par le soleil, teinte en rousse sombre, et les yeux bleux gris. Pas vraiment jolie, peu de formes, et des cheveux plutôt long. Elle était une dom assez perverse mais se présentait comme étant une femme qui ne faisait que s'amuser comme elle disait. Cela faisait 3 ans que Nicolas (le jeune homme ) la fréquentait régulièrement. Sylvie était en couple mais ne disait rien de son coté SM à son mec. Elle cherchait un DOM pour l'accompagner dans un scénario à plusieurs avec des soumis dont un trés particulier qu'elle nous avait présenté comme un débutant. Pour me tester, elle nous a proposé une séance à 3. Lors de cette séance, elle s'est amusé avec Nicolas et m'a demandé de participer. J'ai fouetté, gifflé, fisté le jeune homme, et pour la première fois de ma vie je me suis fais sucer par un homme (je sais pas ce qui m'a pris de l'obliger à faire ça, ). Sylvie regardait, elle a été super excitée devant la scène, elle est venue prés de moi pour m'embrasser comme si elle venait s'abreuver dans ma bouche... j'ai cru qu'elle allait m'aspirer de l'intérieur tellement elle m'embrassait profondément. Suite à cette séance, elle me voulait absolument pour son plan à plusieurs. Quelques semaines plus tard, on s'est tous rejoint dans une maison dont elle s'occupait pendant l'abscence des propriétaires dans le périgord . Maison sympathique avec gros murs en vieilles pierres et piscine. Nous étions tout les 3 plus 2 autre hommes; Un autre devait arriver un peu plus tard . Avant son arrivée elle nous a briefé. C'était un ex à elle, une relation vanille, il était trés amoureux d'elle, et il avait accepté de participer en tant que soumis-cocu. Cela faisait 6 ans qu'ils ne s'était pas revu et là il venait se faire dominer. J'ai eu un mauvais préssentiment, la suite me donnera raison. Quand Pierre est arrivé, on s'est tous présenté. Je le voyais regarder Sylvie avec un air trés amoureux, ça ne sentait pas bon, il était là pour la reconquérir et il allait tout accepter par amour pour elle. Mais Sylvie n'était pas du tout dans le sentiment, elle le choyait certe, mais c'était malsain, trop. Plus comme quelqu'un qui carresse un animal pour le calmer avant de l'égorger, c'est ce que je ressentais, j'étais mal à l'aise. En discutant avec Pierre, il m'avait dit qu'il avait déjà pratiqué la soumission mais pas avec elle. Il aimait la violence, le god ceinture, mais pas le fist ni l'uro et le scato. Le rôle de Pierre était celui du soumis cocu attaché, et ça devait finir par un aftercare entre lui et Sylvie en dehors de notre présence, ils devaient baiser tranquille ensemble à la fin, comme pour le remercier à lui. La séance a commencé en attachant pierre, nu, bailloné, debout les mains en l'air accroché à une poutre. Devant lui nous avons commencé à carresser Sylvie, la lécher. Elle avait un bustier et porte jarretelle noir et un string. Nous étions debout devant pierre dans le salon. Puis J'ai pris mon rôle de DOM et SYLVIE de DOMINA. Nicolas et les deux autres hommes étaient les soumis, et Pierre regardait la scène. On a commencé à les fouetter, les tenir en laisse. de temps en temps, Sylvie allait voir Pierre pour le fouetter. Elle faisait le tour de l'homme en lui fouettant, tout le corps sans exception; Puis elle lui carressait le visage, l'embrassait sur les joues ou le front et revenait avec nous. Elle me demanda de tenir les 3 soumis en laisse à 4 pattes et les lui présenter comme une meute de chiens tour à tour. Elle était assise par terre, un drap devant elle et du lubrifiant. Je lui présentait les soumis tour à tour, et elle les fistait un à un. Parfois elle me demandait de me faire sucer pendant qu'elle les fistait, ce que je faisais sans problême. Au bout d'une heure de ce cirque, de vas et viens de Sylvie pour fouetter Pierre, elle décida que je devais m'occuper des soumis pendant qu'elle allait s'occuper de Pierre. Je pris les 3 chiens ensembles et je les ai forcé à se prendre mutuellement , ils étaient tous bi ou homo. Pendant ce temps là, je les fouettais de temps en temps et je regardais ce que faisais Sylvie. Elle avais détaché Pierre, le fouettait, le giflait, alternait la violence avec quelques carresses douces. Mais son regard à elle m'intriguait, il y avait un rictus trés pervers, trés méchant sur son visage, je n'aimais pas ça. Elle pris une ceinture god, et se mis à l'enculer sans ménagement; On voyait bien qu'il souffrait, il avait les yeux au bord des larmes. Il était à 4 pattes, elle l'insultait de tout les noms, et lui, les mains attachées dans le dos, la tête écrasée par terre, agitait ses mains en les ouvrant et les fermant frénétiquement. Elle le fouettait pendant qu'elle le sodomisait, lui hurlait dessus, ça me dérangeait elle criait trop fort, c'était un déferlement de haine et de rage contre lui. Puis elle s'arréta, en sueur, elle l'attacha à une chaise en fer forgé, les mains dans le dos, toujours bailloné. Pierre avait le regard triste, les yeux humides, mais aucun signe ou volonté d'arrêter. Il la regardait avec des yeux qui sortaient de ses orbites, un truc n'allait pas, il était trés énervé. Je le fis remarquer à Sylvie, mais elle me dit que ça faisait partie du contrat avec lui. Elle devait soi disant le pousser à bout de nerf, jusqu'à ce qu'il craque et pleure, c'était leur contrat. Bon, je trouvais ça bizarre, mais pourquoi pas. Aprés celà, nous devions terminer , les 3 soumis et moi par la baiser sous forme de gang bang classique devant le cocu attaché. Ce qui fût fait. Devant Pierre, elle a eu droit à tout, double pénétrations, double vaginale etc etc... Elle regardait Pierre de temps en temps en l'insultant "tu vois comment ils me baisent eux, pauvre merde"... etc etc... Et elle nous poussait à la baiser encore plus fort, plus violement. A un moment, je la regardais et son visage était en extase, elle regardait Pierre, et on voyais dans son regard un mélange de méchanceté et de plaisir extrême. Je regarda Pierre, il était en larmes, elle avait réussis son contrat. Pierre baissa la tête, en pleur. Sylvie se leva enragée, elle alla vers pierre et lui ordonna de continuer à regarder; Elle lui tira la tête en arrière , il pleurait, elle le gifla trés violement; Je voyais les mains de Pierre s'agiter de la même façon que tout à l'heure, il les ouvraient et les fermaient frénétiquement. Je me suis dit que c'était les menottes qui le serrait trop. Je me leva et dit à Sylvie "je crois que les menottes le serre trop, regarde ses mains". là elle se mit à me hurler dessus "de quoi je m'occupe toi ?". ça a mis un grand froid. Nous nous sommes regardés, les 2 soumis, Nicolas et moi, interloqués. On a décidés tout les 4 d'arrêter et de partir. Sylvie a été prise d'une crise d'hystérie contre nous, elle nous insultait, insultait Pierre en lui disant que tout ça s'était de sa faute, qu'il n'était qu' une merde, elle le giflait. Je l'ai agrippé par la main et là je lui ai collé une gifle monumentale qui la projeta à terre. Je lui ai dit d'arrêter, de le détacher et que c'était finis ses conneries. sans attendre les 2 soumis Nicolas et moi sont partis en les laissant tout les 2 pour l'aftercare que Pierre méritait bien à mes yeux. Il était 10h du soir, et avec Nicolas on s'est arrété dans un bar à 3 km pour boire un verre, on voulait débrieffer, on en avait besoin. Au bout d'une demi heure, Sylvie a débarqué dans le bar, elle y avait ses habitudes mais ne savait pas que nous étions là. J'étais surpris, 30 mn pour un aftercare aprés une séance si violente et Pierre absent, je ne comprenais pas. Elle ne nous avait pas vu et se pavaner toute souriante avec des amis à elle. Personne ne savait pour ses délires SM, aucun de ses amis ne nous connaissaient. Elle rigolait, s'amusait, tout allait bien, rien à voir avec la folle hystérique que nous avions quittés. Nicolas me regarda, inquiet et me dit "je crois qu'elle a fait une connerie, ça pu". On est tombé d'accord tout les deux, il restait là à l'observer et devait m'appeler si elle partait, pendant ce temps j'allais voir à la maison ce qui se passait. Quand je suis arrivé à la maison tout était éteint, fermé, mais la voiture de Pierre était encore là. Je commençais à monter en pression et sous le coup de l'énervement j'ai cassé une fenêtre pour entrer dans la maison. Quand je suis arrivé dans le salon, Pierre était là, encore attaché, et le visage tuméfié de coups. Je l'ai détaché, il était effondré, en larmes. on a discuté 5 mn, et il m'a dit que le coup des mains était le code pour qu'il arrête tout et devait être détaché, mais Sylvie ne l'a jamais respecté. Pendant notre absence elle l'a frappé comme une folle. Il m'a expliqué leur relation, que c'était un perverse , qu'il l'aimait encore et qu'elle lui avait menti sur le scénario; Il ne voulait pas la voir se faire baiser par d'autres ou alors juste en tant que domina se faire lêcher ou elle même sucer les soumis, c'était leur contrat, il m'a fait lire les sms et le coup du code aussi. Il s'est rhabillé, et là Nicolas m'a appelé, Sylvie sortait du bar. Alors je lui ai tendu un piège . J'ai envoyé un sms à Sylvie en lui disant que je devais revenir à la maison car j'avais oublié mes papiers et ma carte bleue. Je suis allé cacher ma voiture rapidement, et elle devait se retrouver seule face à Pierre dans la maison, il allait régler ses comptes. Elle est arrivé comme une folle, laissant la porte ouverte. Je me suis engouffré derrière elle et j'ai assisté à la conversation entre elle et Pierre; Elle a été surprise de le voir habillé et détaché. Ils se sont enguelé trés fort. En fait, elle avait organisé tout ça dans le but de lui faire du mal, elle voulait le voir chialer car elle n'avait pas supporté qu'il la laisse tomber. Une vraie malade mentale. Pierre a finis par lui mettre une correction qu'elle méritait bien à mes yeux. Elle l'a menacé de porter plainte, il a éclaté de rire et lui a dit "je crois que ce ne serait pas une bonne idée, il y a des témoins de ta manipulation et de tes mensonges, on est entre une forme de viol et d'actes de tortures et de barbarie" et là il pointa son doigt vers moi. Elle se retourna et son visage s'est déconfit. Je raconte cette histoire pour alerter certains et certaines qui débute dans le BDSM. Ce milieu ce n'est pas le SM de marc dorcel, il y a de vrais pervers et de vraies perverses. Il ne faut jamais accepter d'un dom ou d'une domina le total contôle sur la relation. Il faut, en tant que soum savoir imposer ses limites clairement. Et les dom, il faut savoir accepter que les soum ne sont pas notre "chose" ce sont nos partenaires, et ils doivent être respecté dans leur limites. Cette histoire n'est pas belle, pas jolie, mais il n'y a pas que de belles choses dans le BDSM.. et il ne faut pas se voiler la face car ce sont ce genre de choses qui donnent une mauvaise image du milieu.
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Par : le 18/04/21
Il y aurait beaucoup de choses à lui dire, mais d'abord, celle-ci, que je crains de deviner en elle, de la légèreté. Elle aimait la légèreté des choses, des actes, de la vie. Elle n'aimait pas la légèreté des êtres, tout ce qui était un peu au-dessus du niveau semblait heurter Charlotte. Elle ne recherchait pas à s'attribuer beaucoup de mérites en ce monde ni dans l'autre, celui de l'abandon. Un sentiment d'insécurité pour son corps sans cesse meurtri. Elle était bien jeune et ne savait même pas si elle possédait un peu de lumière. Juliette était arrivée quand elle était dans l'ombre, et maintenant, il fallait arranger les choses. Tant pis pour elle. Les souvenirs qui ont su être poètes de sa vie, c'est à dire dans le désordre, plaisir et enivrement de l'imagination. Mais dans la moindre de ses paroles, raisonnable douce-amère, ce cadeau impérieux du ciel, le lot avait oublié sa jeunesse, l'allégresse avec laquelle elle devait accepter l'insistance, la mauvaise grâce, et la maladresse. Comme le fouet et les doubles fenêtres pour que l'on ne l'entende pas hurler. Ses mains s'agrippèrent aux colonnes du lit, où Juliette les immobilisa à l'aide de fines cordelettes qui lui sciaient les poignets. Des sangles passaient dans les bracelets de ses chevilles. Elle était allongée sur le dos, de telle façon que ses jambes surélevées et écartelées laisse à Juliette toute la fantaisie de la fouetter. Elle était debout à coté d'elle, un martinet à la main. Aux premières cinglades qui la brûlèrent aux cuisses, Charlotte gémit. Mais elle ne voulait pas demander grâce, même quand sa Maîtresse passa de la droite à la gauche. Elle crut seulement que les cordelettes déchireraient sa chair, tant elle se débattait. Mais Juliette entendait marquer sa peau de traces nobles et régulières et surtout qu'elles fussent nettes. Il fallut subir sans souffle, sans troubler l'attention de Juliette qui se porta bientôt sur ses seins. Elle allait retrouver sa considération en s'accommodant de son statut d'esclave et non pas de soumise. Et il n'était pour elle de plus grand bonheur que de se savoir appréciée. L'amour mais avec un arc-en-ciel d'émotions vertigineuses en plus rayonnait toujours chaque parcelle de son corps. Charlotte n'avait pas très mal. Chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'accroupit près des épaules de Charlotte et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée. Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins. Charlotte laissa couler quelques larmes. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma. Sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. Penchée au-dessus d'elle, Juliette tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 18/04/21
Contrat d’esclavage la Maîtresse et son esclave Le soussigné … agissant librement et à cœur ouvert, demande à … qu’Elle accepte la soumission de ma volonté à la Sienne et qu’Elle me prenne sous Sa protection et sous Sa gouverne, afin que nous puissions croître en amour, confiance et respect mutuel. La satisfaction de Ses besoins, désirs et caprices sont compatibles avec mon désir en tant que soumis de Lui être agréable. A cette fin, je Lui offre l’usage de mon temps, de mes talents et capacités. De plus, je demande avec une humilité sincère que, en tant que ma Maîtresse, Elle accepte la garde de mon corps pour l’accomplissement et l’embellissement de nos besoins sexuels, spirituels, émotionnels et intellectuels. Pour y parvenir, il Lui est donné toute latitude pour l’utilisation de mon corps quel que soit le moment et le lieu, en présence de quiconque, pour Son usage personnel ou pour en faire don, comme bon Lui semblera. De mon plein gré et mû par mon désir d’exprimer mon amour et ma dévotion envers la Femme que j’aime et que j’adore, je m’offre en esclavage à ma Maîtresse pour la période commençant le … et se terminant le … . Me considérant comme l’esclave à plein temps de ma Maîtresse durant la période ci-dessus mentionnée , je me consacrerai entièrement et totalement à satisfaire Son plaisir et Ses désirs sans hésitation ni considération pour moi-même ou pour d’autres. Je demande qu’Elle me guide dans tout comportement sexuel, sensuel ou lié à une scène, avec ou sans Elle, de façon à ce que cela aide à mon épanouissement en tant que personne. Je demande à … , en tant que ma Maîtresse, qu’Elle utilise le pouvoir dont Elle est investie par Son rôle pour me modeler et me façonner ; pour m’assister à accroître ma force, mon caractère, ma confiance et tout mon être, et qu’Elle continue à m’aider à développer mes compétences artistiques et intellectuelles. En retour j’accepte : 1. D’obéir à Ses ordres au mieux de mes possibilités. 2. De m’efforcer à surmonter mes sentiments de culpabilité ou de honte ainsi que toutes mes inhibitions qui interfèrent avec mes capacités à La servir et qui limitent mon épanouissement en tant que Son soumis. 3. D’entretenir une communication honnête et ouverte. 4. De lui vouer une totale fidélité tant morale que physique et surtout sexuelle. 5. De révéler mes pensées, mes sentiments et désirs sans hésitation et sans gêne. 6. De L’informer de mes souhaits et de mes besoins perceptibles, reconnaissant qu’Elle est seul juge pour déterminer si et comment ils seront satisfaits. 7. De m’efforcer à entretenir une image de moi-même positive et à atteindre des objectifs et espérances réalistes. 8. De travailler avec Elle pour devenir une personne heureuse et accomplie. 9. De combattre les aspects négatifs de mon ego ainsi que mes inquiétudes qui pourraient nuire à la réalisation de ces objectifs. Règles générales 1. L’esclave accepte d’obéir à sa Maîtresse à tous égards. Son esprit, son corps, son cœur et son temps Lui appartiennent. L’esclave accepte la responsabilité d’utiliser son mot de code si nécessaire, et se fie implicitement à sa Maîtresse pour qu’Elle en respecte l’emploi. Si une situation se présente dans laquelle l’esclave doit utiliser son mot de code ou un geste convenu, sa Maîtresse évaluera la situation et déterminera la conduite appropriée. 2. L’esclave maintiendra son corps disponible pour sa Maîtresse à tous moments. 3. L’esclave manifestera son acceptation de sa disponibilité à servir en tout temps au foyer et à d’autres temps et lieux spécifiés par sa Maîtresse. 4. L’esclave reconnaît que sa Maîtresse peut utiliser son corps ou son esprit de quelque manière que ce soit en conformité avec des paramètres de sécurités. Elle peut le punir sans raison si ce n’est Son propre plaisir. 5. L’esclave jouit du droit de pleurer, de hurler, de supplier mais accepte le fait que ces manifestations sincères n’affecteront pas son traitement. De plus, il accepte que sa Maîtresse, si Elle se fatigue du bruit qu’il fait, le bâillonne ou prenne d’autres mesures pour le réduire au silence. 6. L’esclave répondra honnêtement et directement à toute question qui lui sera posée et informera spontanément sa Maîtresse de toute émotion ou sentiment qu’Elle est en droit de connaître. Quoique sa Maîtresse attende de Son esclave qu’il Lui communique honnêtement et sincèrement tout ce qui peut le préoccuper, il ne devra pas interpréter cela comme une permission de se lamenter ou de se plaindre. Il formulera ses soucis d’une manière polie et respectueuse et acceptera avec élégance le jugement de sa Maîtresse à ce sujet sans la moindre plainte. 7. L’esclave parlera toujours de sa Maîtresse avec amour et respect. Il s’adressera à Elle en tout temps en disant « Maîtresse » ou « Madame ». 8. La Maîtresse a le loisir d’offrir à Son esclave des périodes de liberté pendant lesquelles il peut s’exprimer en Sa présence ouvertement et librement. Ces périodes de liberté, ne seront sanctionnées d’aucune punition. Il est cependant convenu que l’esclave continuera à s’adresser à sa Maîtresse avec amour et respect en tout temps et que tout manquement à cette règle sera puni ultérieurement. 9. L’esclave accepte qu’une sévère punition soit fixée pour toute infraction à l’esprit ou à la lettre de ce contrat et il supportera la correction avec reconnaissance. 10. La forme et la durée de la punition seront fixées selon le bon plaisir de la Maîtresse et Celle-ci informera clairement Son esclave quand il subit une punition. 11. La Maîtresse sera particulièrement attentive à ne pas causer de dommages physiques qui nécessiteraient l’intervention d’une tierce personne. 12. La Maîtresse et l’esclave admettent que chacun dans des cas extrêmes peut demander une période de liberté. Cette période de liberté durera jusqu’à ce que les deux parties conviennent que le ou les problèmes sont résolus. 13. Il est permis à l’esclave de s’engager dans des activités non expressément interdites par le contrat ou par décision ultérieure de la Maîtresse. Sauf indication contraire dans ce contrat, tous droits et privilèges appartiennent à la Maîtresse et Elle peut les exercer comme bon Lui semble. Règles de conduite en privé 1. Les jours où sa Maîtresse est à Son travail, l’esclave La saluera, portera Son collier, des entraves aux poignets et un chemisier appartenant à sa Maîtresse. Il ne portera pas de sous-vêtements en sa présence sauf avec Sa permission. 2. Les jours où la Maîtresse est à la maison, l’esclave portera ce qui est jugé adéquat par sa Maîtresse. Quand il se trouvera dans la même pièce que sa Maîtresse, l’esclave Lui demandera la permission avant de quitter la pièce en expliquant pourquoi et où il se rend. Pendant les repas, l’esclave servira sa Maîtresse et s’assoira à Ses pieds pendant qu’Elle mange. 3. La nourriture de l’esclave sera fournie par la Maîtresse à Sa discrétion. 4. Quand il s’adressera à sa Maîtresse, ou quand Celle-ci lui parlera, l’esclave adoptera un comportement attentif et vigilant et regardera sa Maîtresse dans les yeux sauf en cas d’instructions contraires. Règles de conduite en public 1. En tout temps l’esclave se conduira d’une façon telle à ne pas attirer l’attention sur sa Maîtresse et sur lui-même. Il s’adressera à sa Maîtresse en l’appelant par Son nom seulement si l’usage de « Maîtresse » est non approprié. 2. L’esclave se conduira d’une manière déférente envers sa Maîtresse en public. 3. L’esclave pourra se vêtir mais devra obtenir l’approbation de sa Maîtresse pour tout vêtement qu‘il souhaite porter en public. 4. Sauf stipulation contraire, l’esclave ne portera pas de sous-vêtements. Règles de conduite au travail 1. Aucun article du présent contrat n’a pour dessein de nuire à la carrière professionnelle de l’esclave. 2. La Maîtresse souhaite que Son esclave travaille durement et honnêtement et qu’il se conduise d’une manière à leur apporter à tous deux respect et honneur. 3. Durant ses périodes de travail, il est permis à l’esclave d’organiser ses rendez-vous, de s’habiller d’une manière convenable pour son travail et de quitter la maison si nécessaire. 4. Pendant ses périodes de travail, l’esclave peut répondre au téléphone et discuter affaires sans la permission explicite de sa Maîtresse. Consentement Ma soumission est faite en connaissance que rien ne me sera demandé qui pourrait m’avilir en tant que personne et que cela ne réduira en rien mes responsabilités à utiliser au mieux mes potentialités. Face à mes obligations professionnelles et familiales, rien ne sera exigé de moi qui puisse de quelle que manière que ce soit nuire à ma relation ou causer du tort à mes enfants, ni limiter mes devoirs de père. Ceci étant, moi, … demande instamment, avec lucidité et en en réalisant la pleine signification, tant explicite qu’implicite, que cette offre soit comprise dans l’esprit de confiance, d’attention, d’estime et de dévotion dans laquelle elle est donnée. Si l’un de nous devait se rendre compte que ses aspirations ne sont pas rencontrées par ce contrat ou trouve celui-ci trop contraignant ou qu’Elle/il souhaite pour toute autre raison annuler le présent contrat, chacun peut le faire en le notifiant verbalement à l’autre en concordance avec la nature consensuelle de cet accord. Nous comprenons l’un et l’autre qu’une annulation signifie une cessation du contrôle défini et impliqué dans le cadre de ce contrat et non une terminaison de notre relation en tant qu’amis et amants. En cas d’annulation, chacun accepte d’expliquer à l’autre ses raisons et d’évaluer ensemble nos besoins et notre situation d’une manière ouverte et affectueuse. Cet accord servira de base pour une extension de notre relation, dédiée, sur l’esprit d’une domination et soumission consensuelle avec l’intention de poursuive notre prise de conscience et notre exploration, à promouvoir la santé, le bonheur et l’amélioration dans nos vies. Acceptations Par ma signature ci-dessous, je m’oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-dessus ainsi qu’à toutes autres que ma Maîtresse choisira d’ajouter à une date ultérieure. Je confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, à ma Maîtresse, pour Son plaisir et Son usage pour la durée de la période par ailleurs mentionnée. J’offre mon consentement à ma soumission à … sous les termes décrits ci-dessus en ce … jour du mois de … de l’année …. Signature du soumis J’accepte le désir de Mon soumis de me servir totalement et Je me charge de la responsabilité de son bien-être, de son dressage et de le discipliner afin de servir encore plus parfaitement Ma volonté. J’offre Mon acceptation à la soumission de … sous les termes décrits ci-dessus en ce … jour de mois de … de l’année … . Signature de la Maîtresse
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Par : le 18/04/21
En ce temps de confinement, il est difficile de faire des rencontres ... Nous échangeons depuis quelques temps .. Il n’est pas très loin de chez moi .. Il me propose une balade BDM , imaginez cher lecteurs , mon cerveau ne fait qu’un tour , je lui réponds une balade BDM ? ( dans ma tête j’avais lue BDSM ) oui réponds balade Bord De Marne .. Je pars d’un fou rire toute seule .. 😁😁 La rencontre se fait nous nous promenons donc en Bord De Marne .. Nous nous arrêtons , il se penche vers moi pour sûrement m’embrasser , ( une image s’impose en moi , un soumis qui avait voulu m’embrasser ) Ses lèvres s’approchent des miennes ... et la pourquoi j’ai tiré ces cheveux , et le lui ai mordu les les lèvres , il c’est redressé , il m’a dit , t’ai vraiment pas bien toi 😁😁 Il s’est sauvé presque en courant .. je n’ai pas eu de nouvelles de lui depuis .. Les vanilles c’est vraiment pas pour moi .. j’en ris encore .. ( texte reposer dans les articles , j’ai perdu tout vos commentaires très sympa ) Lady H
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Par : le 18/04/21
1 Tous les soirs, son Maître lui raconte une histoire. Une histoire de soumission. Il improvise, il invente. Elle l’écoute en se caressant. Allongée dans le lit étroit, la tête sur l’oreiller, elle écoute et se laisse prendre. Littéralement. Assis au bord du lit, Il raconte. Ne la touche pas. Mais Ses mots la prennent. Et remplissent son ventre. Il la fourre de mots. Elle vit ce qu’Il imagine. Ce qu’Il pourrait lui faire subir. Ce qu’elle subira peut-être. Elle le ressent, elle le vit entre les cuisses. Et quand elle est au bord de jouir, elle guette son approbation. Qu’Il lui accorde ou non d’un battement de cils. Certains soirs, malgré tout, Il s’empare d’un sein. Qu’Il presse plus ou moins fort selon l’intensité de l’épisode. Quand Il broie son sein dans sa main, elle sait qu’Il l’autorise à jouir. Quand elle a retrouvé son calme après les spasmes de jouissance, il pose sa paume sur sa vulve encore chaude et frémissante de plaisir. Il la ferme pour la nuit. * 2 Chaque soir, elle passe de l’autre côté du miroir. Dans cet univers où, accroupie, écartant ses fesses à deux mains, elle honore la queue dure et dressée. Dans cet univers où Sa voix la mène, Il lui a appris les mots. A les entendre. A les accepter. A les prononcer. A les faire sien. Elle les cajole et s’en réjouit. – J’honore votre bite, mon Seigneur. Et elle pose son front contre la hampe fièrement dressée. Puis lentement elle parcourt de sa langue toute la tige. Des couilles jusqu’au gland. Elle lèche. Avec dévotion. Elle lèche la queue de son Maître. Elle doit seulement lécher. Chaque soir, elle doit d’abord honorer Sa bite avant d’oser relever la tête et voir le visage du Maître. Et Le laisser décider seul de la suite. * 3 Certains soirs, il lui interdit de se caresser. Et évidemment, l’histoire qu’il lui raconte est particulièrement excitante. Elle n’ose le supplier du regard. Elle se maintient. Rigide. Les bras le long du corps. Jambes serrées. Les yeux clos. Le désir sourd dans son ventre. Gronde. Mais elle serre les poings. Tente de calmer sa respiration. Maintient sagement ses reins bien à plat sur le matelas. Pourtant, elle voudrait tellement se cambrer et ouvrir les cuisses. Avant de la quitter, dans l’état où Il l’a mise, il attache, à chacun de ses poignets, un petit grelot. Ainsi, de la chambre voisine où il dort, pourra-t-il entendre si elle se caresse en solitaire. Il en sourira peut-être. Ou bien, déçu, calme ou énervé, se relèvera-t-il pour sévir ? * 4 Tous les soirs, elle entre en soumission. Elle s’allonge sur le lit étroit. Son Maître s’assoit à côté d’elle. Aux premiers mots de la nouvelle histoire, elle commence à se caresser. C’est un rituel. Même s’il lui a fait subir toute la journée son autorité. Même s’il l’a corrigée, baisée, fait jouir plusieurs fois. C’est un rituel. Un rituel d’apprentissage. D’éducation. Il lui apprend les mots. La différence entre « être offerte » et « être ouverte ». La différence entre « être limée » et « être enfilée ». Il est celle qu’il enfile et lime. Ou bourre. Ou enconne. Et chaque mot lui procure un plaisir particulier. Et les mots résonnent loin en elle. Mais si elle dit « verge », elle sait qu’elle risque d’être corrigée. Et qu’il empoignera une « verge », une badine souple pour lui en frotter le bas du dos. * 5 Ce soir, alors qu’elle est comblée, repus, c’est avec une douceur perverse qu’il promène les longues lanières de ses mots : sur sa peau. Les lanières glissent et ondulent : sur ses seins et sur son ventre. Se glissent entre ses cuisses. Elles lui font désirer et craindre leurs terribles morsures. Celles qu’il lui inflige quand il la flagelle. Pour son plaisir, il aime la corriger. L’entendre gémir. Et parfois supplier. Va-t-elle pleurer ? Sous les mots qui claquent comme des lanières de cuir. Qui la saisissent et la meurtrissent. Mérite-t-elle d’être ainsi punie ? Mais dans le plaisir qui inonde son ventre, son corps avoue et se rend. * 6 Tous les soirs, elle attend ce moment d’intimité. Une nouvelle histoire. De nouveaux mots. Ainsi elle apprend la grammaire de son corps offert. Qui subit. Obéit. S’ouvre. Ainsi elle découvre ses seins, sa bouche, ses cuisses, ses cheveux, sa nuque, sa croupe, ses hanches, ses flancs, ses mains, son dos, son ventre… Chaque soir, c’est un nouveau territoire que son Maître explore. Ainsi se dessine la carte de Ses désirs. Ses désirs qu’il lui impose. Ses désirs qui parcourent sa peau, remplissent son ventre, gonflent ses seins. Elle ouvre la bouche et tire la langue pour recevoir et avaler les mots. Elle écarte ses cuisses et ses fesses, elle ouvre ses trous pour les recevoir. Elle n’est que béance sous la voix du Maître. * 7 – C’est l’heure, dit-il. – Oui, mon Seigneur. Et elle s’allonge sagement sur le lit étroit. Nue. Pucelle et putain. Tous les soirs, ses mots la déflorent. Ils l’ouvrent et la font renaître. Elle attend fébrilement ce moment. Quand il la conduit d’une main dans la chambre. Chambre des délices, chambre des supplices. Et, assis à côté d’elle, il pose une main sur son ventre. Et de son autre main, enfonce deux doigts au fond de sa gorge. Elle va devoir subir tout le temps de l’histoire du soir. Se retenir de déglutir. De vomir. En se caressant. Subir la douceur de sa main sur son ventre. Subir l’impérieuse présence de ses doigts dans sa bouche. Prise par les mots. Le délice des supplices qu’il lui infligera peut-être le lendemain. Elle voudrait ne pas en jouir. Et pourtant. * 8 Chaque matin, elle se présente à lui pour le saluer. C’est un rituel. Mais aujourd’hui son Maître ne l’accueille ni avec un sourire ni avec des paroles bienveillantes. – Hier soir, tu m’as déçue. Elle reçoit ses mots comme une gifle. Hier soir, elle n’a pu reconnaître, elle n’a pu avouer. Elle n’a pu satisfaire les exigences du Maître. Cet aveu, qu’il attendait d’elle, est resté coincé au fond de son ventre. – Aujourd’hui tu seras fermée. Et il ferme sa bouche d’un bâillon. Et il enserre sa taille d’une chaîne épaisse. Passe, entre ses cuisses et ses fesses, d’autres chaines qu’il ferme avec un cadenas. – Ce sera ta punition. * 9 – Allons nous promener dans la campagne, dit-il. Mais avant de sortir, il attache ses poignets de plusieurs tours d’une autre chaîne. Et surtout : il relie ses chevilles par une très lourde chaîne. Nue. Alice est nue. Et elle doit marcher. Avancer devant son Maître qui la fustige d’une fine badine pour l’encourager. Sa marche est entravée. Le chemin est en pente. Et la chaîne qui relie ses chevilles ne lui permet pas de faire de grands pas. Elle manque de tomber. Et son équilibre est menacé par ses poignets liés. Sous ses pieds nus, l’herbe est douce. Mais il y a aussi des cailloux pointus, des brindilles. Alice souffre. Souffre d’être ainsi punie. Rappelée à l’ordre par la badine qui lui cingle les hanches. Honteuse d’avoir déçue son Maître, de l’avoir obligée à la punir. Et d’offrir à son Maître un tel spectacle. – Allez, avance… Elle a compris. Elle sait. Il la mène au supplice. * 10 Alice est au bord des larmes. Ses pieds sont meurtris. Elle n’en peut plus. Elle n’en peut plus de devoir avancer, en traînant cette lourde chaîne qui entrave sa marche. La pente est rude, le chemin escarpé. Plusieurs fois elle a failli tomber. Et le bâillon la fait baver. Sa salive coule sur son menton, dans son cou, entre ses seins. Mais son Maître est sans pitié. Alice est punie. Elle l’a bien mérité. Son Maître l’avait prévenue que ça serait difficile. – Je vais te dresser. Et comme un défi, elle avait répondu : – Dressez-moi, Monsieur. * 11 Alice monte, elle avance sous le regard du Maître. Et elle imagine le spectacle qu’elle lui offre. Sa croupe qui tangue à chaque pas, son dos, ses reins, tout son corps transpirant sous l’effort. Ses gémissements quand elle manque de chuter. Elle lui offre cette épreuve. Son repentir. Sa contrition. Mais elle aimerait tant savoir s’il bande. Voir sa queue dure et dressée. Elle aimerait tant sentir ses mains peser sur ses épaules. Pour la faire plier. La mettre à genoux au milieu du chemin. Et lui présenter son vit. Alors elle pourrait enfin prononcer ces mots. Ces mots qu’il lui a appris et qui la font mouiller. – J’honore Votre bite, mon Seigneur. Et engloutir le membre dans sa bouche. Lui donner le plaisir auquel il a droit. * 12 Alice est punie. Elle n’a pas su dire, reconnaître, avouer. Le bâillon l’empêche de s’en mordre la lèvre. Elle marche et souffre. Pour le plaisir de son Maître. Alors, pour son plaisir, il la punit. Et la fait couler. Pour lui faire rendre gorge. Et couler tout son jus. Arrivés en haut de la colline, son Maître détache ses poignets, la libère de la lourde chaîne qui entravait ses pas. Mais c’est pour l’attacher entre deux arbres. Jambes et bras écartés. Ecartelés. Docile, Alice subit. Elle est domptée. – Je t’attache. Puisque par tes silences, tu te détaches de moi. Nue, Alice est vulnérable. Elle l’a bien méritée. Et quand son Maître empoigne sa vulve, la caresse, la doigte, Alice se cambre. Attend, espère qu’ainsi il l’apaise. Qu’il lui manifeste ainsi tout ce par quoi ils sont liés. Il s’empare d’elle, lui impose son plaisir, il la fait monter. Mais quand elle est au bord du spasme : – Tu ne jouiras pas. * 13 Nue. Attachée, écartelée entre ces deux arbres. Frustrée. Alice attend le bon vouloir de son Maître. Son Maître qui s’assoit sur un rocher et la contemple. Il faut dire qu’elle est émouvante, Alice. Emouvante et tellement vulnérable. Il suffirait d’un geste pour que son Maître la fasse jouir. Ou bien qu’il cueille à pleine main nue une poignée d’orties pour venir lui en frotter les fesses. Ou bien casser une belle branche de noisetier pour la fustiger. Son Maître le lui dit : – Je pourrais… Alice craint. Alice redoute, tremble. Elle n’a jamais subi les orties ni été fouettée par une branche fraîche. Elle imagine… Elle imagine la brûlure des orties. La douleur que lui infligerait la branche… Et elle imagine comme son Maître doit la désirer, doit bander de la voir exposée ainsi. Elle voudrait voir sa queue dressée. Elle voudrait qu’il détache ses bras et la prenne. Qu’il la prenne ainsi, les jambes écartées, entravées. Qu’il l’enconne ou qu’il l’encule. Sentir et subir la puissance de l’Homme. Mais son Maître, souriant, sort de sa besace quelques livres. * 14 – Tu aimes les mots, Alice ? – Vous le savez bien, Monsieur. Un livre à la main, son Maître se lève et s’approche. Sourire malicieux de celui qui sait. Il lui fait face, mais Alice n’ose le regarder en face. Avec son pouce, le Maître caresse la tranche du livre. Il assouplit les pages. Il prend son temps. Avant de poser la tranche du livre contre sa vulve. Et de feuilleter le livre contre ses lèvres. Passer et repasser le livre. – Que les mots te caressent alors… C’est un plaisir doux, diffus, lancinant, irritant. Sa vulve, malmenée par les pages du livre qui passe et repasse, Alice mouille. Elle coule. Et les pages sont trempées. – Tu coules sous les mots, Alice. – Oui, Monsieur. Sa voix révèle son émotion. Son trouble. Alice prise par le désir. Caressée par les mots du livre, comme tous les soirs elle se caresse sous les mots du Maître. – Tu sais ce que j’attends de toi, Alice ? – Oui, Monsieur, je le sais. * 15 Alice comprend dans quel état de désir est son Maître. Elle comprend qu’elle le déçoit. Le Maître attend son aveu. Attend qu’elle vienne déposer certains mots à Ses pieds. Pourtant elle le nomme déjà « l’Homme ». Et ce H majuscule dresse Sa queue dure devant le visage d’Alice. Alors sans broncher, Alice subit les épreuves qu’il lui impose. Les épreuves qui remplissent son ventre de désir. Fébrilement, elle attend les mots qu’il glisse entre ses lèvres. Sur sa langue. Dans sa fente ouverte entre ses cuisses. Et à chaque fois qu’il lui donne à mâcher de nouveaux mots, à chaque fois qu’elle accueille Ses mots dans son ventre, elle s’ouvre. Elle s’ouvre davantage. Et dans sa tête résonne cette phrase : – J’honore Votre bite, mon Seigneur. Et l’obscénité de l’aveu la fait trembler. * 16 A chaque fois que le Maître parle à Alice, quand il lui raconte une histoire ou lui fait subir une épreuve, le sexe de l’Homme est dressé. Mais elle ne sait pas que le Maître voudrait la battre avec. Gifler son visage de sa queue dure. Flageller ses seins et sa vulve. Et quand son Maître le lui dit : Alice en est fière. Troublée. Les mots du Maître remplissent son ventre. Elle les sent dans sa bouche, sur sa langue, s’en délecte et s’en repaît. Les mots du Maître sont parfois durs, impérieux. Elle en est remplie. Pleine. Mais pour l’heure, toujours attachée, écartelée nue entre les deux arbres, Alice subit le désir de son Maître. Qui la travaille au corps. Il la palpe comme un animal. Comme une esclave vendue en place publique. Il pétrit. Empoigne. Presse. Ses épaules, ses reins, ses hanches, ses fesses, ses seins. Il ne la ménage pas. Il s’approprie son corps. Il le fait sien. Et s’en réjouit. Mais quand il empoigne sa vulve : – Tu n’es ni un animal ni une esclave. Tu es une femme. Libre sous mon autorité. Tu es une femme entre mes mains. Tu ne jouiras pas. * 17 Quand son Maître retire le bâillon et la détache enfin, Alice s’écroule à genoux. A ses pieds. – Atteindre le point ultime où le cœur manque, Alice, dit son Maître en relevant de sa main son visage. Caressant ses cheveux et ses joues. Dessinant d’un doigt ses lèvres. Avec douceur, il lui attache les mains dans le dos. Sort sa queue dure. Et violemment fourre sa bouche. Alice, en larmes, s’en étrangle. Subit, bavant, pleurant, l’impérieuse irrumation. Il lui fout la bouche. Maintenant son pieu dans la gorge pour qu’elle n’en puisse plus. – Tu honores toujours ma bite, Alice ? – Oui, Monsieur, répond Alice entre deux sanglots. La bouche aussitôt reprise. La tête maintenue par la poigne ferme du Maître. Jusqu’à ce qu’Alice, secouée de spasmes, rende enfin. Et se répande. – Tu es bonne à baiser, dit le Maître. Qui la retourne et enfourne sa bite dans son con trempé. Enfin baisée, Alice jouit quand son Maître se vide en elle. Son Maître, patiemment la mène et la malmène. Il lui apprend les mots. Et Alice, bonne élève, retient ses leçons.
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Par : le 18/04/21
VOUS ETES NOVICE et CURIEUSE Vous aspirez à faire l’expérience de la soumission, ou vous venez peut être de franchir votre premier pas, qu’il soit concret ou symbolique, Vous souhaitez vous inscrire dans une relation à distance ou en réel… Vous être prête à chercher un Dominant, mais vous souhaitez vous sentir « sécurisée », pour vous éviter des rencontres infructueuses, décevantes ou plus franchement désagréables, voire, fracassantes ?! Je vous invite à prendre connaissance de ce petit guide méthodologique qui n’a aucune prétention, si ce n’est vous faire profiter de mon expérience et de mes réflexions personnelles de Dominant, en espérant que cela vous aidera à trouver quelques repères pour vous éviter quelques déconvenues et autres situations peu réjouissantes. PETIT PREMBULE En règle général, nous sommes toutes et tous plus ou moins en capacité de repérer ce qui nous convient et ce qui ne nous convient pas ! C’est du moins ce que nous avons tendance à croire fermement, pour la plupart d’entre nous. Seulement voilà, ce n’est pas toujours le cas ! En particulier dans le cadre de nos « choix relationnels » en général, car lorsque nous sommes portés par nos émotions, une certaine candeur, une méconnaissance de nous même, ou encore, par l'enthousiasme et l'empressement, il nous arrive d'être dans l'illusion de ce qui est bon pour nous ! C’est encore moins le cas, lorsqu’il s’agit de déterminer un niveau de compatibilité dans une dynamique relationnelle ouvrant à des repères tout à fait nouveaux, dans un contexte dont vous ignorez les codes et les applications, incluant un enjeu de séduction, ainsi que la perspective d’une forme de dépendance et d’iniquité ! Et ce, à plus forte raison lorsque l’on ne se connait pas soit même, que l’on ne parvient même pas encore à se projeter dans la peau d’une soumise, même si cela vous appelle et vous fait vibrer. Mais également, parce que vous pouvez être face à une personne tenant à peu près ce discours : « Écoute ma cocotte...je suis le mâle dominant et tout puissant, ton seul droit est de me dire « oui Maître » et de t’exécuter sans rechigner ni contester… il s’agit d’une règle universelle et c’est tout ce que tu as à savoir si tu veux être une vraie bonne soumise…» ! Comment reconnaître celui qui sera bon ou moins bon pour vous, lorsque vous ne connaissez pas le contexte environnemental et culturel D/s, ni celui ou celle que vous êtes et que vous seriez, en occupant un rôle inédit, qui vous expose, puisqu’il s’agit de vous abandonner et de lâcher prise corps et âme dans l’obéissance et la servitude ??? Et je ne vous parle même pas ici de toutes les pratiques pouvant vous amener à éprouver « l’humiliation », « la contrainte » et « la douleur », pour ne citer que ces 3 domaines ouvrant à des mises en situation diverses et variées. D’après mes observations, il suffit à une soumise novice, ou même plus expérimentée, d’être trop émotive, craintive et méfiante, de ne pas avoir suffisamment confiance en elle, ou encore, que ses ressentis et ses réflexions soient influencés par des préjugés, de mauvaises expériences, de vieilles croyances enfouies et plus ou moins inconscientes, pour qu’elle passe à côté d’une relation qui lui serait pourtant profitable. Quand on connait la difficulté de trouver « LA bonne personne », c’est une situation consternante ! Ma délicieuse protégée, Txoria swann, vous le confirmerait sans doute volontiers, au regard de son expérience personnelle !!! Sourire ! Ecoutons ce qu’elle a à dire sur le sujet : [« J’ai mis un orteil dans le monde nébuleux du BDSM à l’âge de 24 ans. J’en ai 39 aujourd’hui et (seulement) 3 Maîtres (dont mon merveilleux Monsieur MyWay) ont jalonné mon parcours de soumise au travers de relations intenses et suivies dans le temps. Il y a des périodes où je suis restée sans collier car je n’éprouvais plus d’envie ou bien encore parce que je ne trouvais pas LA personne qui correspondait à mes attentes. J’ai toujours été de nature méfiante et j’écoute mon intuition quand il s’agit de me livrer totalement à un homme. Je suis du genre à prendre BEAUCOUP de temps avant de m’engager et à dialoguer pendant des semaines avant d’envisager une rencontre. Monsieur MyWay en sait quelque chose ! Il y a 9 ans, il a dû faire preuve d’une infinie patience et tracer devant moi la voie de la confiance qu’il entretien encore aujourd’hui !! Malgré mon attirance et ses efforts démonstratifs pour me rassurer, j’ai failli renoncer, portée par des croyances infondées, des peurs résultant de mes blessures et même par des complexes qui me faisaient me dire que je n’avais pas ce qu’il faut pour lui plaire et le satisfaire. Je ne connaîtrais pas mon bonheur actuel si celui-ci ne m’avait pas habilement retenue par le col ! Pour autant, malgré mon bon sens et mes précautions, cela ne m’a pas empêché de faire face à des expériences décevantes et douloureuses. Mais pour vraiment se connaître soi-même….ne faut-il pas en passer aussi par-là ?] (Txoria swann) Reprenons le cours de notre cheminement… Dans une toute autre mesure, pour ne pas dire « à l’inverse », je vois régulièrement nombre de candidates à la soumission se lancer aveuglément dans une relation, par excès de confiance, de naïveté, peut-être aussi anesthésiée par le sentiment flatteur d’être regardée, convoitée, choisie. Autrement dit, par méconnaissance et une certaine forme d’inconscience. Mais ne pas être d’une grande perspicacité ou une intellectuelle, ne vous prive pas de votre bon sens !!! On apprend à marcher en marchant ! Certes, cheminer, c’est tenter, expérimenter… En conséquence, se tromper, c’est gagner en expérience et en conscience ! Les erreurs sont même nécessaires selon moi, elles contribuent à notre enrichissement et nous donnent l’occasion de mieux nous connaître. Lorsque vous considérez avoir fait une erreur de jugement et d’appréciation par ignorance, il faut en tenir compte et vous pardonner, considérer cette expérience comme une étape bénéfique et passer à la suite. Mais il est des erreurs d’appréciation que l’on paie cher et même très cher…et dans ce domaine, certains acteurs que l’on peut croiser et côtoyer dans l’univers BDSM, sont de véritables spécialistes pour conduire une femme dans l’impasse et parfois même, dans les basfonds déstructurants de l’existence, alors que cette femme aspire courageusement à s’accomplir et s’élever dans le plaisir et la plénitude d’une soumission constructive, généreuse et libératoire. J’en viens donc au point principal de mon initiative. Selon votre nature, il est des situations et des individus qu’il faut savoir éviter !!! Je souhaite vous donner quelques clés pouvant vous aider à éviter de bien mauvaises expériences. ENTREE EN MATIERE Dans les premières heures d’un rapprochement relationnel entre Dominants et soumis (ses), j’ai observé que la question prépondérante et centrale que se pose généralement un(e) candidat(e) à la soumission, est de chercher à savoir « à quelle sauce il ou elle va être mangé(e) »…ce qui se traduit souvent par la formulation d’une question adressée à son interlocuteur, généralement assez proche de : « COMMENT allez-vous vous y prendre avec moi ? » Hors, il me semble que ce que vous cherchez à savoir d’essentiel au fond de vous, vous ne le trouverez pas là…car poser la question du COMMENT vous donnera des indications sur la manière de faire, sur la méthode, pour ceux qui en ont une, ou sur l’organisation et le fonctionnement de votre duo. « Quel Dominant/homme est-il ? De quoi est-il fait ? Est-il sérieux, capable et honnête dans son discours ? A-t-il une vraie démarche ? Il espère que je lui offre ma soumission mais lui…quels sont ses engagements ? » A l’aube d’une relation, voilà à mon sens, les vraies interrogations qui vous animent, me semble-t-il… Non ?? Mais comment vous assurer d’obtenir une « image claire », une réponse qui soit au plus près de la vérité !? Comment vous équiper d’un radar qui vous permettra de repérer la cohérence et les failles de votre interlocuteur et le bien-fondé de son discours et de ses intentions ? CONRETEMENT Je garanti à toute novice et prétendante à la recherche d’un partenaire Alpha, que le simple fait de lui poser la question du « QUOI et du POURQUOI », aura pour avantage immédiat de l’informer à la fois sur la consistance et la cohérence de son interlocuteur, en termes de conception, comme en termes de motivation et de personnalité ! Au lieu de chercher à savoir COMMENT, je vous invite donc à poser la question du « POURQUOI et du QUOI ». POURQUOI il/elle occupe cette fonction et sur QUOI il/elle fonde sa démarche et ses engagements de Dominant ! Cela aura pour grand avantage de mettre la lumière sur le sens et la cohérence de ce celui ou celle qui sera amené à conduire et animer cette relation et surtout, qui aura envers vous une responsabilité et un pouvoir….le pouvoir de vous épanouir, de vous décevoir, de vous abîmer et même de vous détruire ! Face à cette question, vous pourrez constater que certaines Dominants seront quelque peu déstabilisés, et même parfois désarçonnés, au point quelques fois de s’enflammer et de couper court à vos échanges, allant jusqu’à vous accuser dans certains cas, de vous montrer trop méfiante, indécise, « de chercher la petite bête », « de ne pas savoir ce que vous voulez »…, et ce, pour 2 raisons simples : 1/ Soit, celui ou celle qui se présente comme Dominant n’est peut-être pas encore tout à fait mure, très au clair avec le sens de sa propre démarche et ce qui la motive, et votre question va le/la renvoyer à ses propres incertitudes et inconnus, puisque sa démarche n’est pas encore élucidée, définie et structurée. 2/ Soit, votre interlocuteur(trice) n’est volontairement pas transparent(e) avec la réalité de son parcours, de ses intentions, de ses motivations, de ses capacités et de sa personnalité, de sa nature humaine, de son environnement social, familial, sentimental… Ceux qui réagiront à votre question avec virulence, sont pour la plupart, des Dominants autoproclamés, des affabulateurs, des illusionnistes, des imposteurs sans scrupules, des chasseurs de proies candides et naïves, des consommateurs sexuels, des frustrés maladifs et obsessionnels, de véritables pervers narcissiques égo centrés et manipulateurs… Reste donc à déterminer si c’est par simple manque de conscience et/ou d’expérience, ou si c’est déjà le signe évident que l’on cherche à vous dissimuler un manque de bienveillance et d’honnêteté ! Si vous obtenez une réponse argumentée, structurée, étayée à la question du « QUOI et du POURQUOI », c’est que votre interlocuteur a réfléchi et construit sa démarche, qu’il est en cohérence, en phase avec lui-même, indépendamment de son expérience, de ses tendances, de sa personnalité et de sa méthode. Un dominant peu expérimenté mais consciencieux, aura l’intelligence d’assumer son manque d’expérience et de vous en faire part. Si votre interlocuteur se montre muet, circonspect et fuyant, imprécis, ou qu’il manifeste un mouvement de recul, une forme de mécontentement, de colère, se retranchant derrière son statut sous couvert d’autoritarisme, c’est que vous avez touché son égo…son orgueil ! C’est que vous avez mis le doigt sur une faille…que vous avez ouvert la porte sur son incohérence et sans doute, sur des intentions et des prétentions édulcorées, illusoires et mensongères. Bien souvent, ceux qui ne sont dans cette attitude sont en fait des usurpateurs mobilisés par la soif de sexe et/ou de la promesse de jouir d’un pouvoir d’aliénation, sans effort ni justification… LES PROFILS TYPES DU DOMINANT TOXIQUE L’égaré Il a vu la porte ouverte et il est entré ! Il peut vous donner le sentiment d’être séduisant et pertinent dans le rôle de Dominant, mais il est souvent englué et pas très heureux dans un contexte familial et sentimental qui le rend indécis et fuyant, non disposé à s’engager. Il n’est pas porté par la vocation de Dominant, mais par la parenthèse respirante que vous allez lui offrir. Sous couvert de culpabilité et de priorité, Il risque à tout moment et sans « crier gare », de s’en retourner à sa vie vanille. L’incompétent qui s’ignore Tout est dit dans la définition de ce profil ! Il n’a pas l’étoffe d’un Dominant qui vous accompagnera s dans le cadre d’un cheminement éducatif maîtrisé. Il saura apprécier votre dévouement, car puisque vous êtes à ses pieds, c’est que vous le reconnaissez légitime à exercer. Mais il vous donnera l’impression d’être l’objet d’expérimentations successives insuffisamment préparées ou contrôlées…sans but ni perspectives précises. Il va partir dans tous les sens…. Il peut être éduqué, tout à fait charmant et charmeur, être animé de bonnes intentions, mais sous couvert de maladresse et d’ignorance, on peut blesser durablement et profondément ! Sachant que ma protégée a connu ce genre d’individu, voyons ce qu’elle peut nous en dire à travers son témoignage : [« …Lors de ma toute première séance de soumission je me suis retrouvée obligée à servir d’urinoir… pratique qui n’avait JAMAIS été évoquée au préalable avec mon Dominant de l’époque qui me savait novice, pour laquelle je n’avais pas donné mon consentement, qui m’a dégoutée, choquée et que l’on m’a imposé sans que n’ai eu le temps de protester, saisie par l’effet de surprise et aussi (c’est triste à dire) par la peur de décevoir. (La peur de décevoir est un mécanisme puissant que certains savent exploiter et que d’autres cultivent sans rendre compte, sans en avoir conscience !) J’ai malgré tout poursuivi un long moment cette relation avant de m’apercevoir que cet homme entretenait une relation parallèle sérieuse avec une soumise… Ma vision des choses étant basée sur une notion de transparence, d’exclusivité et bien entendu de loyauté, ce mensonge a mis fin définitivement à notre relation. »] (Txoria swann) Le consommateur fantasmeur C’est un opportuniste essentiellement motivé par le sexe. A moins qu’il fantasme également le fait d’être un homme d’importance, enviable et envié, puisqu’il dispose du statut de Dominant, que votre présence vient légitimer. Il rêve et fantasme sa vie de manière basique, « Quel pied de disposer d’une femme qui ne veut et ne peut que me dire « oui » à tous mes fantasmes et mes envies… ». Il ne cherche pas une soumise à éduquer, mais une pute gratuite. Il aura tendance à vous dire ce que vous voulez entendre, pourvu qu’il puisse vous baiser et qu’il observe sa toute puissance et sa grandeur dans votre regard ! L’obsédé C’est un chasseur au sens littéral du terme. Il saura se camoufler pour revêtir l’apparence du Dominant rassurant, compétent et consciencieux. Développent souvent une compétence technique dans l’univers BDSM, et s’appuyant dessus pour vous émerveiller, il est insatiable, bonimenteur, dissimulateur et relativement égocentré. Souvent autoritariste graveleux, parfois charmeur affirmé et prétentieux et même BCBG discret et révérencieux… C’est un collectionneur dans l’autosatisfaction, ayant une haute estime de lui-même et gardant l’œil rivé sur son tableau de chasse. Votre appartenance et la dimension sexuelle de votre présence sont ses seules véritables motivations. Je vous propose de trouver ici le partage de Txoria swann : [« J’ai été soumise à un Maître qui disait m’aimer, qui me faisait miroiter que j’étais sa petite chose adorée, son trésor précieux, un Maître que j’admirais, qui s’occupait de moi divinement, qui m’a fait découvrir le shibari, qui ne cessait de me répéter que j’étais la seule, que je le comblais. Jusqu’au jour où, j’ai découvert que cet homme menait une véritable double vie et me cachait tout un pan de son existence. Il fréquentait activement les clubs dédiés le week-end, il avait d’autres soumises dans d’autres villes, d’autres pays… il était reçu régulièrement par des couples pour pratiquer le cucklod. Je suis tombée de très très haut face à ce manque cruel de transparence et j’ai mis des années à passer à autre chose. J’ai beaucoup souffert de cette trahison qui a laissé des traces profondes. Sans compter que cela aurait pu être bien pire puisqu’en toute confiance je pratiquais des rapports non protégés. Cela m’a énormément dégouté qu’un homme puisse mettre en danger la santé d’autrui, sujet que nous avions abordé tous les deux. Cette expérience douloureuse aura au moins eu le mérite de me faire réfléchir sur ce dont j’avais besoin dans une relation D/s et de mieux cerner mes attentes également. Ces blessures ont parfois rejailli très vivement dans ma vie de soumise et de femme, quand, de manière incontrôlée et injustifiée, je doute de Monsieur MyWay, par exemple… Il m’est arrivé d’avoir peur de revivre ce cauchemar, d’être roulée dans la farine. J’ai développé une forme de paranoïa…. Heureusement avec le temps, avec l’écoute et le travail d’accompagnement de mon propriétaire, c’est de moins en moins fréquent. Après pareilles épreuves, le plus difficile est de donner à nouveau pleinement sa confiance. »] (Txoria swann ) Le pervers narcissique et manipulateur Véritable prédateur psychotique, il n’est pas très évident de le repérer, car il sait prendre un visage empathique, accueillant, rassurant et souriant…Sans nécessairement être brillant, il est souvent très intelligent, c’est d’ailleurs ce qui le rend dangereux. Pour autant, il est d’une grande pauvreté émotionnelle et spirituelle. Il peut vous donner le sentiment d’être porté par une démarche réfléchie et constructive. Il sait adapter son discours et son attitude lorsqu’il est en chasse, dans l’étape de séduction ! Sa perversité n’a rien de ludique, d’érotique ni de bienveillante, elle n’est pas orientée au service de votre plénitude, dans votre intérêt, mais dans le but de nourrir sa psychose maladive et obsessionnelle d’homme très égocentré. Son plaisir revêt un caractère véritablement maladif et sadique. Il ne va pas vous élever, vous libérer et encore moins vous aimer, mais vous enfermer, vous aliéner et vous détruire et en tirer sa satisfaction. Il est schématique et cyclique, c’est-à-dire que lorsqu’il vous verra à terre, totalement aliénée, il vous dédaignera et vous dénigrera tout en s’assurant que vous restiez dans cet état et se remettra en chasse pour redéployer sa procédure machiavélique ailleurs. EN TOUT ÉTAT DE CAUSE VOICI QUELQUES PETITES OBSERVATIONS et autres PRINCIPES À GARDER À L’ESPRIT Il incombe autant aux candidats à la soumission qu’aux Dominants, d’être en mesure de répondre à la question du QUOI et du POURQUOI. Si vous ne savez pas faire le point sur ce qui motive votre démarche, sur votre appel intime et personnel pour la soumission, vous allez airer, tâtonner, sans savoir QUI ou QUOI chercher, ni POURQUOI…et vous vous exposerez à de mauvaises et improductives rencontres. En outre, un Dominant digne de ce nom sera attaché à mesurer les raisons fondatrices qui vous poussent et vous motivent à vous exprimer dans l’abandon et le lâcher prise. Il sera à votre écoute…Sachez les identifier ! Faire le choix de la soumission, ce n’est pas « dire OUI » malgré soi, à quelqu’un qui ne le mérite pas ! Il n’y a pas de recettes….mais des tendances. Il n’y a donc pas une seule est unique manière de vivre et d’exprimer sa soumission… Il n’appartient donc qu’à vous de déterminer ce que vous voulez et ne voulez pas tout en gardant l’esprit ouvert et curieux. De même, il n’y a pas une seule et unique manière de conduire et mettre en œuvre une démarche de Domination… N’est pas Dominant qui le prétend…n’est pas soumise qui le veut ! Un parcours bien vécu, c’est un cheminement progressif, adaptée à votre personnalité, en termes de pratiques et d’intensité. Quel que soit son statut, Dominant ou soumise, chacun doit être capable de mener une démarche introspective, avec objectivité et lucidité, sans concession ni travestissement, sur ses envies et ses aspirations, sur ses qualités, ses atouts, ses contraintes, ses forces, ses faiblesses et ses failles, avant d’imaginer rencontrer la bonne personne ! Que l’on soit aspirant à la Domination ou à la soumission, pour trouver notre place et nous réaliser dans cet univers, la première rencontre à faire, c’est avec soi-même ! On apprend à marcher en marchant ! Un Dominant consciencieux, même s’il a la réputation d’être très exigent, stricte et sévère, est un Dominant attentif et altruiste, qui sera soucieux de votre bien être et qui n’est pas dénué d’humilité et de capacité à se remettre en question. A force d’expérience, un Dominant consciencieux pourra se distinguer et développer une véritable expertise dans un ou plusieurs domaines, qu’ils soient de nature technique (bondage, fouet, …) ou pédagogiques et méthodologiques (conduite du lâcher prise, travaille sur l’estime de soi, amener l’ouverture à de nouvelles pratiques,…). Un Dominant est aussi « un apprenant » et il ne doit pas l’oublier. Un Dominant ne doit son statut et son expérience qu’à celles et ceux qui le servent et l’ont servi !! Tachez de savoir sur quoi repose la conception et la motivation de votre interlocuteur. Avant de lui demander COMMENT il/elle envisage de s’y prendre, demandez-lui POURQUOI il/elle occupe cette fonction et sur QUOI il/elle fonde sa démarche et ses engagements de Dominant ! Si vous ne trouvez pas sur le descriptif de son profil la réponse à cette question, ce qui est très courant, demandez-lui de formaliser concrètement ses engagements personnels par écrit. Vous pourrez évaluer la conception, le sens et la motivation de votre interlocuteur en ayant la possibilité, si cela devenait nécessaire, de lui remettre ce document sous le nez pour lui faire remarquer un éventuel décalage entre son discours initial, ses intentions et la réalité. Si vous vous engagez dans une relation suivie et durable, cela sera un repère intéressant pour vous permettre de mesurer l’évolution de votre cheminement. Pour donner l’exemple, vous trouverez ici ce qui constitue le socle fondateur de ma propre gouvernance. Vous trouverez sur ce Forum de nombreux écrits sur le thème du CONTRAT et de l’acte d’engagement. Accessoirement, demandez-lui si il/elle a eu d’autres soumis(ses) à son service, si ces personnes sont présentes sur le site/Forum que vous fréquentez et si elles sont éventuellement joignables. Enfin, si vous aspirez à vous investir dans une relation construite, exclusive et durable, tâchez de garder à l’esprit ceci : Au motif d’obtenir ce qu’ils veulent (si tant est qu’ils le sachent véritablement ou qu’ils l’assument), beaucoup de ceux qui se revendiquent Dominant, s’inventent une vie, une personnalité, des compétences et une légitimité. A partir de là….vous pouvez être persuadée que tout ne sera que vitrine, mensonges, non-dits, faux semblant, manipulation et trahison. En cas de doute, écoutez votre instinct ! Si vous avez une forte tendance à la crédulité, à la naïveté, Si vous êtes muée par une charge émotionnelle traumatique relativement sévère, Si vous avez des troubles du comportement et de la personnalité, Ne vous aventurez pas, car vous serez une cible de choix pour les incompétents, les charlatans et les manipulateurs, qui ne vous épargneront pas ! Ou prenez la voix de la résilience… annoncez-vos singularités et vos fragilités à votre interlocuteur ! MyWay
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Par : le 18/04/21
J'investis votre lit, audacieuse, câline Un bandeau signe ma soumission Le tissu en dentelle qui orne ma poitrine S'agite au rythme de mon excitation Dans ma position qui n'a plus rien d'humaine Je patiente en attendant votre venue Je vous espère tendre, vous me voulez chienne Consentante et soumise, sans retenue Pour sceller notre union intense et sincère J'ai attaché votre collier à mon cou Bien loin de m'avilir cet objet me rend fière Et libre d'assouvir vos désirs sous votre joug Je vous sens arriver par le bois qui craquelle Votre main se fait douce pour me caresser Sous vos doigts curieux, je me cambre, chancelle Gémissant quand votre paume vient me fesser. Entre mes cuisses offertes, vous vous posez cavalier Je me cabre et me cambre, je suis votre destrier Vous me tournez et cravachez ma croupe découverte J'exprime mon bonheur de vous être ainsi offerte L'échiquier de nos peaux conservera l'empreinte De ce moment passé de notre folle étreinte Je vous serai fidèle le temps de ma vie Me jouant des années et du temps qui nous fuit Le 2 juin 2014
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Par : le 18/04/21
Je suis nu au milieu de la pièce, avec mon collier, ma cage et un plug, comme tous les jours depuis un bon mois. Maîtresse a entre les mains une belle badine en rotin qu’on lui a présentée comme incassable. Je sens l’envie qu’elle a de vérifier. Et le test ne tarde pas. La badine virevolte dans l’air et s’abat sur mon corps. Maîtresse tourne autour de moi élégamment portée par la musique en visant mes fesses. Elle me chauffe, je ne le sais pas encore  mais Elle me prépare à  me surpasser. Elle va chercher son plaisir...   Le rythme s’élève progressivement . Je ne sais jamais où le rotin va  achever sa course. La douleur est fulgurante mais très éphémère. Seule la répétition devient insoutenable et pourtant je résiste. Je me dandine, je me tortille comme si je pouvais de la sorte lui échapper. Maîtresse m’a volontairement laissé libre de mes mouvements et se régale de me voir me recroqueviller ou tenter vainement d’esquiver le rotin. Dans un réflexe inutile, j'interpose mes mains sur mes fesses avec pour seul effet d'attirer la douleur sur mes doigts, aïe, aïe. Les tiges de rotin virevoltent de plus en plus vite, Maîtresse varie l’intensité, me fouette encore et encore. Le rotin se brise assez rapidement, Maîtresse y va de bon cœur, bien déterminée à aller au bout de son envie. Elle fait en sorte que j' encaisse. Les tiges cinglent progressivement de plus en plus fort. Des morceaux de rotin voltigent dans toute la pièce en se cassant sur mon cul et me tirant bien des grimaces qui excitent Maîtresse. La badine devient de plus en plus courte. Puis trop courte, ne reste plus que la poignée, les 3 tiges sont  entièrement  brisées.  Maîtresse en est ravie et très excitée. Tellement excitée qu'elle continue avec des triques de noisetiers qu’elle avait soigneusement préparées se doutant bien que le rotin ne lui résisterait pas longtemps. Elle me regarde avec son charmant sourire et me lance un irrésistible Encore ! Ce «encore» résonne si fort en moi. J’apprécie que Maîtresse prenne du plaisir, c'est ma motivation, je lui en servirais autant que je pourrais. De nouveau les tiges s’abattent sur mes fesses, mon ventre et mes cuisses. Maîtresse va se faire un plaisir de les réduire en miettes comme le rotin. Elle ne cesse de me répéter «Encore, oui tiens  encore» ,  «Encore,   continue allez encore», en s’emballant de plus belle. Je vois Maîtresse élever son plaisir proportionnellement aux marques qui me zèbrent tout le corps. J’atteins vite un lâcher-prise, une sorte d’état second qui m’échappe totalement. Je plonge au plus profond de moi pour endurer les baguettes de noisetier qui flagellent violemment ma peau déjà marquée par les coups de rotin...    Son bonheur m’irradie au même titre que la douleur. J’ai l’impression que Maîtresse n’a pas épargné un centimètre carré de ma peau. Je sens bien qu’elle est en train de réduire ma volonté de résister à néant mais un fantôme sorti de mon corps me dit «continue, tiens bon, Ta Maîtresse veut jouir de ta douleur. Toi tu n’es rien, tu ne comptes pas, regarde plutôt ce large sourire qui illumine Ta Maîtresse» Mes délires m’ont porté encore plus loin , les coups pleuvent sur moi, je ressens à nouveau le poids de la volonté de Maîtresse. Je tombe à genoux. Mais elle en veut  encore  plus. Elle m’arrachera bien des cris, mon corps capitule sous ses pieds, je sens les larmes montées. Je ne tiens plus, mais Maîtresse me pousse encore plus loin. Elle en retire tellement de jouissance. Je l’entends, elle me le dit, je suis fier mais la douleur me fait sortir des larmes qui surgissent du plus profond de mon corps. Maîtresse continue  de rompre ses branches  sur mon dos.  Le noisetier se brise comme fétu de paille. Il lui en reste encore suffisamment..  Maîtresse m'annonce alors la dernière ligne droite et va chercher les mots de mes maux. Elle  m' ordonne de ramper tout en continuant  de  me fouetter. Je me jette aussitôt à ses pieds et rampe en la suivant jusqu'à ce qu'elle m’arrache des pitiés sincères et répétées...    Enfin la fougue  de Maîtresse retombe,Je voudrais lui dire merci mais je n’ai pas la force mentale après avoir été si loin dans l’acceptation de sa domination. je n’ai plus de force tout court  et c’est à ce moment qu’elle m’offre un réconfort inespéré. Elle me cajole « c’est fini, c’est bien» en caressant mes cheveux.    Je m’écroule littéralement et je fond en larmes comme jamais. Mon cœur restera encore longtemps humide de toutes celles qui ne seront pas sorties de mes yeux.   Comme toujours, Maîtresse est prévenante, prends soin de son soumis ,l’éduque en le poussant à toujours plus se dépasser. A ce moment, j’ai compris pourquoi je voulais tant lui appartenir.  Elle a appuyé sur le bouton de l’ascenseur émotionnel, je suis monté très très haut   avant de redescendre les étages à une vitesse vertigineuse  et j’ai pleuré, une éternité il me semble...  J’ai atteint les sommets de la douleur, de l’acceptation. Mon corps flirtait avec le paroxysme de la résistance et alors qu’il n’espérait plus rien, Maîtresse a dressé un mur de tendresse où il s’est écrasé pour glisser à ses pieds...     Je me suis enfin redressé, j' ai vu ma Maîtresse  rayonnante, plus belle qu’un soleil d’été. Le résultat est immédiat, je retombe dans un bien-être oublié quelques instants auparavant... 
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Par : le 18/04/21
Madame Domine : Que faire avec son soumis ? Bon nombre de questions reviennent suite à votre lecture de l’article « Madame Domine ». Une partie des réponses se trouvent sur l’article suivant « Madame Domine 2 ». Quelques clefs certes pour différencier le type de punitions, châtiments, etc. D’autres questions comme « Quelles positions pour le soumis ? », « Quels mots/insultes pour le soumis ? » Plus globalement, une fois que vous avez pris en compte la tenue, les accessoires, etc…Que fait-on ? Premièrement, en discuter avec le soumis. Je le répète à chaque article, mais il faut définir quelles sont les limites de celui-ci, mais aussi, jusqu’où notre nouvelle domina est prête à aller pour satisfaire son plaisir et celui de son homme ? Il est nécessaire d’avoir le mot respect par rapport aux désirs de l’un et l’autre et d’être dans une totale confiance. Dans un premier temps, vous avez défini votre « Safeword ». Le mot que le soumis à choisit pour dire « on arrête ». Le mot clé pour dire cela va trop loin. Ne perdez pas de vue que votre soumis doit vous vouvoyer et vous remercier pour chaque acte que vous ferez (même une punition) De même qu’il est là pour votre plaisir, le sien sera de vous servir et peut-être d’en avoir (sexuellement) s’il le mérite. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/quand-madame-domine-part-3/
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Par : le 18/04/21
1 Tous les soirs, son Maître lui raconte une histoire. Une histoire de soumission. Il improvise, il invente. Elle l’écoute en se caressant. Allongée dans le lit étroit, la tête sur l’oreiller, elle écoute et se laisse prendre. Littéralement. Assis au bord du lit, Il raconte. Ne la touche pas. Mais Ses mots la prennent. Et remplissent son ventre. Il la fourre de mots. Elle vit ce qu’Il imagine. Ce qu’Il pourrait lui faire subir. Ce qu’elle subira peut-être. Elle le ressent, elle le vit entre les cuisses. Et quand elle est au bord de jouir, elle guette son approbation. Qu’Il lui accorde ou non d’un battement de cils. Certains soirs, malgré tout, Il s’empare d’un sein. Qu’Il presse plus ou moins fort selon l’intensité de l’épisode. Quand Il broie son sein dans sa main, elle sait qu’Il l’autorise à jouir. Quand elle a retrouvé son calme après les spasmes de jouissance, il pose sa paume sur sa vulve encore chaude et frémissante de plaisir. Il la ferme pour la nuit. * 2 Chaque soir, elle passe de l’autre côté du miroir. Dans cet univers où, accroupie, écartant ses fesses à deux mains, elle honore la queue dure et dressée. Dans cet univers où Sa voix la mène, Il lui a appris les mots. A les entendre. A les accepter. A les prononcer. A les faire sien. Elle les cajole et s’en réjouit. – J’honore votre bite, mon Seigneur. Et elle pose son front contre la hampe fièrement dressée. Puis lentement elle parcourt de sa langue toute la tige. Des couilles jusqu’au gland. Elle lèche. Avec dévotion. Elle lèche la queue de son Maître. Elle doit seulement lécher. Chaque soir, elle doit d’abord honorer Sa bite avant d’oser relever la tête et voir le visage du Maître. Et Le laisser décider seul de la suite. * 3 Certains soirs, il lui interdit de se caresser. Et évidemment, l’histoire qu’il lui raconte est particulièrement excitante. Elle n’ose le supplier du regard. Elle se maintient. Rigide. Les bras le long du corps. Jambes serrées. Les yeux clos. Le désir sourd dans son ventre. Gronde. Mais elle serre les poings. Tente de calmer sa respiration. Maintient sagement ses reins bien à plat sur le matelas. Pourtant, elle voudrait tellement se cambrer et ouvrir les cuisses. Avant de la quitter, dans l’état où Il l’a mise, il attache, à chacun de ses poignets, un petit grelot. Ainsi, de la chambre voisine où il dort, pourra-t-il entendre si elle se caresse en solitaire. Il en sourira peut-être. Ou bien, déçu, calme ou énervé, se relèvera-t-il pour sévir ? * 4 Tous les soirs, elle entre en soumission. Elle s’allonge sur le lit étroit. Son Maître s’assoit à côté d’elle. Aux premiers mots de la nouvelle histoire, elle commence à se caresser. C’est un rituel. Même s’il lui a fait subir toute la journée son autorité. Même s’il l’a corrigée, baisée, fait jouir plusieurs fois. C’est un rituel. Un rituel d’apprentissage. D’éducation. Il lui apprend les mots. La différence entre « être offerte » et « être ouverte ». La différence entre « être limée » et « être enfilée ». Il est celle qu’il enfile et lime. Ou bourre. Ou enconne. Et chaque mot lui procure un plaisir particulier. Et les mots résonnent loin en elle. Mais si elle dit « verge », elle sait qu’elle risque d’être corrigée. Et qu’il empoignera une « verge », une badine souple pour lui en frotter le bas du dos. * 5 Ce soir, alors qu’elle est comblée, repus, c’est avec une douceur perverse qu’il promène les longues lanières de ses mots : sur sa peau. Les lanières glissent et ondulent : sur ses seins et sur son ventre. Se glissent entre ses cuisses. Elles lui font désirer et craindre leurs terribles morsures. Celles qu’il lui inflige quand il la flagelle. Pour son plaisir, il aime la corriger. L’entendre gémir. Et parfois supplier. Va-t-elle pleurer ? Sous les mots qui claquent comme des lanières de cuir. Qui la saisissent et la meurtrissent. Mérite-t-elle d’être ainsi punie ? Mais dans le plaisir qui inonde son ventre, son corps avoue et se rend. * 6 Tous les soirs, elle attend ce moment d’intimité. Une nouvelle histoire. De nouveaux mots. Ainsi elle apprend la grammaire de son corps offert. Qui subit. Obéit. S’ouvre. Ainsi elle découvre ses seins, sa bouche, ses cuisses, ses cheveux, sa nuque, sa croupe, ses hanches, ses flancs, ses mains, son dos, son ventre… Chaque soir, c’est un nouveau territoire que son Maître explore. Ainsi se dessine la carte de Ses désirs. Ses désirs qu’il lui impose. Ses désirs qui parcourent sa peau, remplissent son ventre, gonflent ses seins. Elle ouvre la bouche et tire la langue pour recevoir et avaler les mots. Elle écarte ses cuisses et ses fesses, elle ouvre ses trous pour les recevoir. Elle n’est que béance sous la voix du Maître. * 7 – C’est l’heure, dit-il. – Oui, mon Seigneur. Et elle s’allonge sagement sur le lit étroit. Nue. Pucelle et putain. Tous les soirs, ses mots la déflorent. Ils l’ouvrent et la font renaître. Elle attend fébrilement ce moment. Quand il la conduit d’une main dans la chambre. Chambre des délices, chambre des supplices. Et, assis à côté d’elle, il pose une main sur son ventre. Et de son autre main, enfonce deux doigts au fond de sa gorge. Elle va devoir subir tout le temps de l’histoire du soir. Se retenir de déglutir. De vomir. En se caressant. Subir la douceur de sa main sur son ventre. Subir l’impérieuse présence de ses doigts dans sa bouche. Prise par les mots. Le délice des supplices qu’il lui infligera peut-être le lendemain. Elle voudrait ne pas en jouir. Et pourtant. * 8 Chaque matin, elle se présente à lui pour le saluer. C’est un rituel. Mais aujourd’hui son Maître ne l’accueille ni avec un sourire ni avec des paroles bienveillantes. – Hier soir, tu m’as déçue. Elle reçoit ses mots comme une gifle. Hier soir, elle n’a pu reconnaître, elle n’a pu avouer. Elle n’a pu satisfaire les exigences du Maître. Cet aveu, qu’il attendait d’elle, est resté coincé au fond de son ventre. – Aujourd’hui tu seras fermée. Et il ferme sa bouche d’un bâillon. Et il enserre sa taille d’une chaîne épaisse. Passe, entre ses cuisses et ses fesses, d’autres chaines qu’il ferme avec un cadenas. – Ce sera ta punition. * 9 – Allons nous promener dans la campagne, dit-il. Mais avant de sortir, il attache ses poignets de plusieurs tours d’une autre chaîne. Et surtout : il relie ses chevilles par une très lourde chaîne. Nue. Alice est nue. Et elle doit marcher. Avancer devant son Maître qui la fustige d’une fine badine pour l’encourager. Sa marche est entravée. Le chemin est en pente. Et la chaîne qui relie ses chevilles ne lui permet pas de faire de grands pas. Elle manque de tomber. Et son équilibre est menacé par ses poignets liés. Sous ses pieds nus, l’herbe est douce. Mais il y a aussi des cailloux pointus, des brindilles. Alice souffre. Souffre d’être ainsi punie. Rappelée à l’ordre par la badine qui lui cingle les hanches. Honteuse d’avoir déçue son Maître, de l’avoir obligée à la punir. Et d’offrir à son Maître un tel spectacle. – Allez, avance… Elle a compris. Elle sait. Il la mène au supplice. * 10 Alice est au bord des larmes. Ses pieds sont meurtris. Elle n’en peut plus. Elle n’en peut plus de devoir avancer, en traînant cette lourde chaîne qui entrave sa marche. La pente est rude, le chemin escarpé. Plusieurs fois elle a failli tomber. Et le bâillon la fait baver. Sa salive coule sur son menton, dans son cou, entre ses seins. Mais son Maître est sans pitié. Alice est punie. Elle l’a bien mérité. Son Maître l’avait prévenue que ça serait difficile. – Je vais te dresser. Et comme un défi, elle avait répondu : – Dressez-moi, Monsieur. * 11 Alice monte, elle avance sous le regard du Maître. Et elle imagine le spectacle qu’elle lui offre. Sa croupe qui tangue à chaque pas, son dos, ses reins, tout son corps transpirant sous l’effort. Ses gémissements quand elle manque de chuter. Elle lui offre cette épreuve. Son repentir. Sa contrition. Mais elle aimerait tant savoir s’il bande. Voir sa queue dure et dressée. Elle aimerait tant sentir ses mains peser sur ses épaules. Pour la faire plier. La mettre à genoux au milieu du chemin. Et lui présenter son vit. Alors elle pourrait enfin prononcer ces mots. Ces mots qu’il lui a appris et qui la font mouiller. – J’honore Votre bite, mon Seigneur. Et engloutir le membre dans sa bouche. Lui donner le plaisir auquel il a droit. * 12 Alice est punie. Elle n’a pas su dire, reconnaître, avouer. Le bâillon l’empêche de s’en mordre la lèvre. Elle marche et souffre. Pour le plaisir de son Maître. Alors, pour son plaisir, il la punit. Et la fait couler. Pour lui faire rendre gorge. Et couler tout son jus. Arrivés en haut de la colline, son Maître détache ses poignets, la libère de la lourde chaîne qui entravait ses pas. Mais c’est pour l’attacher entre deux arbres. Jambes et bras écartés. Ecartelés. Docile, Alice subit. Elle est domptée. – Je t’attache. Puisque par tes silences, tu te détaches de moi. Nue, Alice est vulnérable. Elle l’a bien méritée. Et quand son Maître empoigne sa vulve, la caresse, la doigte, Alice se cambre. Attend, espère qu’ainsi il l’apaise. Qu’il lui manifeste ainsi tout ce par quoi ils sont liés. Il s’empare d’elle, lui impose son plaisir, il la fait monter. Mais quand elle est au bord du spasme : – Tu ne jouiras pas. * 13 Nue. Attachée, écartelée entre ces deux arbres. Frustrée. Alice attend le bon vouloir de son Maître. Son Maître qui s’assoit sur un rocher et la contemple. Il faut dire qu’elle est émouvante, Alice. Emouvante et tellement vulnérable. Il suffirait d’un geste pour que son Maître la fasse jouir. Ou bien qu’il cueille à pleine main nue une poignée d’orties pour venir lui en frotter les fesses. Ou bien casser une belle branche de noisetier pour la fustiger. Son Maître le lui dit : – Je pourrais… Alice craint. Alice redoute, tremble. Elle n’a jamais subi les orties ni été fouettée par une branche fraîche. Elle imagine… Elle imagine la brûlure des orties. La douleur que lui infligerait la branche… Et elle imagine comme son Maître doit la désirer, doit bander de la voir exposée ainsi. Elle voudrait voir sa queue dressée. Elle voudrait qu’il détache ses bras et la prenne. Qu’il la prenne ainsi, les jambes écartées, entravées. Qu’il l’enconne ou qu’il l’encule. Sentir et subir la puissance de l’Homme. Mais son Maître, souriant, sort de sa besace quelques livres. * 14 – Tu aimes les mots, Alice ? – Vous le savez bien, Monsieur. Un livre à la main, son Maître se lève et s’approche. Sourire malicieux de celui qui sait. Il lui fait face, mais Alice n’ose le regarder en face. Avec son pouce, le Maître caresse la tranche du livre. Il assouplit les pages. Il prend son temps. Avant de poser la tranche du livre contre sa vulve. Et de feuilleter le livre contre ses lèvres. Passer et repasser le livre. – Que les mots te caressent alors… C’est un plaisir doux, diffus, lancinant, irritant. Sa vulve, malmenée par les pages du livre qui passe et repasse, Alice mouille. Elle coule. Et les pages sont trempées. – Tu coules sous les mots, Alice. – Oui, Monsieur. Sa voix révèle son émotion. Son trouble. Alice prise par le désir. Caressée par les mots du livre, comme tous les soirs elle se caresse sous les mots du Maître. – Tu sais ce que j’attends de toi, Alice ? – Oui, Monsieur, je le sais. * 15 Alice comprend dans quel état de désir est son Maître. Elle comprend qu’elle le déçoit. Le Maître attend son aveu. Attend qu’elle vienne déposer certains mots à Ses pieds. Pourtant elle le nomme déjà « l’Homme ». Et ce H majuscule dresse Sa queue dure devant le visage d’Alice. Alors sans broncher, Alice subit les épreuves qu’il lui impose. Les épreuves qui remplissent son ventre de désir. Fébrilement, elle attend les mots qu’il glisse entre ses lèvres. Sur sa langue. Dans sa fente ouverte entre ses cuisses. Et à chaque fois qu’il lui donne à mâcher de nouveaux mots, à chaque fois qu’elle accueille Ses mots dans son ventre, elle s’ouvre. Elle s’ouvre davantage. Et dans sa tête résonne cette phrase : – J’honore Votre bite, mon Seigneur. Et l’obscénité de l’aveu la fait trembler. * 16 A chaque fois que le Maître parle à Alice, quand il lui raconte une histoire ou lui fait subir une épreuve, le sexe de l’Homme est dressé. Mais elle ne sait pas que le Maître voudrait la battre avec. Gifler son visage de sa queue dure. Flageller ses seins et sa vulve. Et quand son Maître le lui dit : Alice en est fière. Troublée. Les mots du Maître remplissent son ventre. Elle les sent dans sa bouche, sur sa langue, s’en délecte et s’en repaît. Les mots du Maître sont parfois durs, impérieux. Elle en est remplie. Pleine. Mais pour l’heure, toujours attachée, écartelée nue entre les deux arbres, Alice subit le désir de son Maître. Qui la travaille au corps. Il la palpe comme un animal. Comme une esclave vendue en place publique. Il pétrit. Empoigne. Presse. Ses épaules, ses reins, ses hanches, ses fesses, ses seins. Il ne la ménage pas. Il s’approprie son corps. Il le fait sien. Et s’en réjouit. Mais quand il empoigne sa vulve : – Tu n’es ni un animal ni une esclave. Tu es une femme. Libre sous mon autorité. Tu es une femme entre mes mains. Tu ne jouiras pas. * 17 Quand son Maître retire le bâillon et la détache enfin, Alice s’écroule à genoux. A ses pieds. – Atteindre le point ultime où le cœur manque, Alice, dit son Maître en relevant de sa main son visage. Caressant ses cheveux et ses joues. Dessinant d’un doigt ses lèvres. Avec douceur, il lui attache les mains dans le dos. Sort sa queue dure. Et violemment fourre sa bouche. Alice, en larmes, s’en étrangle. Subit, bavant, pleurant, l’impérieuse irrumation. Il lui fout la bouche. Maintenant son pieu dans la gorge pour qu’elle n’en puisse plus. – Tu honores toujours ma bite, Alice ? – Oui, Monsieur, répond Alice entre deux sanglots. La bouche aussitôt reprise. La tête maintenue par la poigne ferme du Maître. Jusqu’à ce qu’Alice, secouée de spasmes, rende enfin. Et se répande. – Tu es bonne à baiser, dit le Maître. Qui la retourne et enfourne sa bite dans son con trempé. Enfin baisée, Alice jouit quand son Maître se vide en elle. Son Maître, patiemment la mène et la malmène. Il lui apprend les mots. Et Alice, bonne élève, retient ses leçons.
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Par : le 16/04/21
Je vais te raconter une histoire. Installe toi bien car ça va être un peu long.... IMAGINE: Il est impatient de la rencontrer et la voir pour la première fois. Enfin croiser son regard. Il a tant envie de plonger ses yeux dans les siens. Il suit pour cela toutes les consignes données par écrit, sans exception... Il ne connaît pas non plus le timbre de sa voix ... Il entre pieds nus dans la pièce légèrement feutrée . Prend place à genoux sur le coussin posé au sol...Il est en pantalon chemise cravate. Tout se passe comme demandé... Il ne La voit pas... Elle a envie de le découvrir, le toucher, le ressentir. Des semaines qu'elle attend, se languit, s'impatiente. Maintenant il est là, dans son salon.Elle s'approche de lui, un bandeau de dentelle noué sur ses yeux. Elle aime casser les codes et adore frustrer. Le priver de son regard lui plaît et surtout, elle place ses envies bien avant les siennes... Elle veut sentir si ce nouveau jouet est aussi vibrant qu'elle le pense... Elle est en talons, bas, jupe et dessous de dentelle... Ses doigts s'agitent, signes de son envie qui grandit.D'abord Elle le frôle, le respire, le tente. Ses lèvres l' aguichent tandis que sa bouche le rappelle à l' ordre... Les boutons de chemise glissent à travers leur fente respective laissant entrevoir sa chair tant convoitée. Elle voudrait tout arracher d'un coup et le consommer sans plus attendre mais elle aime aussi sentir son propre corps se gonfler d'envie. Cette cravate l' excite.. Hum! Tirer dessus pour le mettre à terre, le retourner sur le dos et planter son talon sur son torse... Non pas maintenant. Elle contient ses pulsions. Rien ne presse... C'est lentement qu'elle choisit de dénouer sa cravate, libérant ainsi son cou pour y placer un collier... Elle le trouve davantage à son goût ainsi . La chemise ne restera pas longtemps... Elle caresse ce corps qui est là pour elle... Il ferme les yeux quand elle s'approche si près de lui. Il respire son parfum... Il se laisse guider. Lui obéit quand toujours sans parler, elle le fait se relever. Il frissonne au passage de ses mains sur sa peau...Il remarque ses doigts qui se crispent d'envie, content , il en sourit, il sait ce que ça veut dire... Elle fait glisser ses bras derrière son dos et attache ses mains avec la cravate. S'approprie ses tétons, les apprécie. Trépigne d'impatience... Puis ses doigts s'affairent sur la boucle de son ceinturon. Elle tire dessus pour la faire glisser le long des passants. Humm! Elle s'imagine frapper son cul avec. Clac! Lui à 4 pattes à ses pieds attendant non sans appréhension le coup suivant qui claquera au même endroit. Puis d'autres suivront... Elle inspire fort. S'il savait...Elle le fera plus tard. Pour l' instant elle savoure le moment. Puis elle ouvre son pantalon pour voir la cage dont elle possède désormais la clé... Lui, ne reste pas indifférent quand elle le tâte, le tire, le soupèse et le presse. Il connaît ses penchants. Il est resté chaste pour elle... Il sourit quand elle remet la ceinture de son pantalon autour de sa taille en lui disant qu'elle aime avoir une prise pour s'accrocher . C'est avec plaisir qu'il se soumet quand elle le fait se mettre à genoux face contre ses souliers. Il y dépose un baiser, puis deux, puis prend la liberté de continuer d'explorer ses droits. Son cul reçoit alors sa première réprimande. ....C'est une petite histoire tranquille, tout en douceur et en sensualité avec de la musique en arrière fond. Je continue.... IMAGINE: Il est à genoux devant elle , un bâillon boule percé accroché autour de sa tête. La laisse est fixée au collier ainsi que ses bracelets de restriction... Elle est assise à bout de fesses sur le canapé , laisse en main, jambes écartées. La jupe a volé de l' autre côté de la pièce. Seul son large porte jarretelle recouvre ses hanches qu'elle ondule pour faire glisser son intimité contre cette boule... Lui se contentera de baver en la regardant se branler ainsi sur sa bouche... Elle en prend plaisir, le sens prêt à bien se tenir alors lui retire le bâillon pour mieux en jouir... Lui aura appris qu'elle aime, dans ce cas précis, une langue passive et lui sert ainsi jusqu'à ce qu'elle atteigne l' orgasme... IMAGINE: Il est là, à ses pieds, nu comme un ver, à 4 pattes le cul offert... Elle est derrière lui et finit d'ajuster son gode ceinture. Déroule une capote sur son membre et l'insère dans son intimité... Lui ,retient son souffle, c'est sa première fois; se détend en constatant que ça passe... Elle le sent bien, le prend bien, s'enfonce avec délice en lui. Il se cambre pour mieux la sentir prendre son plaisir. Il s'offre et tend son cul bien ouvert pour qu'elle y glisse de plus belle ce qui ne manque pas de l' exciter et la faire jouir... IMAGINE: Elle lui tend une cordelette et lui demande de l'enrouler autour de ses couilles. Elle aime que cette partie de son anatomie soit bien tendue. Il fait de son mieux pour lui plaire mais ne réussit pas assez rapidement à bloquer le lien. Elle intervient, effectue un premier serrage puis le laisse terminer. Elle a envie de voir ses deux boules distinctement séparées donc va chercher un ruban à glisser entre. Le passage est difficile et ça lui plaît de forcer pour y glisser ses doigts. Elle Force aussi sur la cage pour la faire tomber... Elle la remettra plus tard... Lui la laisse faire, confiant et sûrement content, jusqu'à ce qu'elle y mette quelques douloureuses pichenettes . Elle savoure ... IMAGINE: Elle lui attache les chevilles et les poignets puis elle fixe sur sa tête un harnais double gode. Il est immobilisé tout en long quand elle vient s'empaler sur sa bouche mais il trouve néanmoins le moyen de bouger son cou comme pour la goder. Elle le calme direct regrettant de ne pas lui avoir bloqué également la tête. Il obéit , s'applique juste à maintenir l'angle parfait pour une pénétration plus savoureuse. Elle apprécie et prendra son pied ainsi... IMAGINE: Elle a eu envie de lui faire mal. Il se retrouve maintenant sous elle, à plat ventre, les fesses rougies par le martinet, le dos bien griffé. Elle est sur lui, vibrante d'un orgasme plus sauvage, ses griffes plantées dans sa chair. Il a mal mais s'en fiche, être là pour Elle l' importe plus. Il ressent son emprise jusqu'au fond de ses tripes et c'est bon. Elle serre son corps avec force, le ressens. Elle le possède et le lui dit... Il l'écoute et sait qu'il est à Elle... Il n'a pas le droit de bouger dans ces moments- là, il l'accompagne juste là-haut , tout là-haut... Elle l'entend respirer et se cale sur sa respiration. Elle détend ses doigts, relâche son emprise. Il la sent redescendre doucement et savoure ce moment d'une grande intensité. Elle se remet d'un orgasme fulgurant. Lui faire mal la transcende... IMAGINE: Elle saisit sa queue d'une main ferme et le mène jusqu'à la salle de bain. Il se retrouve à poils, sans bracelets ni collier, le cul dans la baignoire. Sûrement avec une vague idée de ce qu'il va se passer. Elle grimpe sur les rebords, approche son sexe au plus prés de sa bouche pour y déverser délicatement son urine. Lui s'efforce d'avaler de petites gorgées comme ordonné. C'est sa première fois. Elle s'amuse de ses hauts le cœur. En joue. Gicle plus fort, l'éclabousse puis dirige un jet abondant sur son ventre. Lui appréciera davantage recevoir ses fluides chauds sur son pénis, mais ce choix ne lui appartient pas. Elle termine, satisfaite et soulagée. Elle se redresse, attrape un gant qu'elle lui tend et approche son sexe mouiller prés de lui. Lui, gros bêta, utilise le gant pour éponger son visage. Elle le stoppe net! Lui retourne une mini gifle et lui gronde: Moi d'abord! Toujours moi d'abord...Il s'exécute, penaud , pendant qu' elle se moque de lui. Il grelotte. Elle ouvre le robinet d'eau chaude, dirige le pommeau de douche sur lui, le rince à grande eau. Il apprécie, la remercie, se réchauffe un peu. Si peu... Elle lui sourit, tourne le mitigeur du coté bleu et se régale de le voir se débattre sous l' eau froide... ....Des petites scénettes toutes aussi délicieuses à écrire les unes que les autres.Mais je me tais et te laisse continuer d'imaginer tranquillement.... IMAGINE: Elle le fait se mettre à quatre pattes devant elle, son cul à porté de main ou plutôt à portée de pied. Tranquillement assise, elle pose ses talons sur son fessier. Elle s'approche d'abord de ses testicules du bout de ses escarpins, puis glisse le long de la raie. Lui , tient bien sa position jusqu'à ce qu'il grogne après l'ongle qui vient de lui griffer le cul. Elle est confuse: Oups! Ce n' est pas mon ongle... Elle attrape vite une capote, la glisse sur son talon, consciente de son erreur. Préservatif obligatoire en toute circonstance. Il comprend ce qu'elle lui fait , ça le surprend puis vient à apprécier ce talon qui le gode. Elle, elle trouve ça tellement pervers... IMAGINE: Il est allongé à même le sol , les chevilles ligotées au pied de la table basse. Les mains, à l' opposé, encodées à la rambarde de l' escalier. Elle est debout au-dessus de lui, cramponnée à cette même rambarde. Elle n'a plus d'escarpin, plus de bas, les attaches de son porte jarretelle pendent sur ses cuisses, elle s'en fout, elle est bien. Lui a dans sa bouche son pied qu'il suçote avec gourmandise.Il s'arrange pour que l' un après l' autre chaque orteil entre en lui. Elle ferme les yeux et se laisse porter par ce qu'elle ressent. Son plaisir est grand, elle aime glisser dans cette cavité humide et chaude. Il bave sur ce pied qui s'enfonce de plus en plus en lui. Il l' entend et la voit jouir, ça l' encourage à tenir. Elle se laisse complètement aller au fond de cette gorge jusqu'à atteindre l' orgasme . Il ne sait jamais fait forcer la bouche de la sorte, mais il aime tant la voir comme ça... Elle adore jouir de ses pieds... IMAGINE: Elle farfouille dans ses affaires à la recherche d'un objet mystère. Il la regarde faire sans grande inquiétude jusqu'à ce qu'il voit la taille de l' engin. Elle est contente de l' expression qu'elle lit sur le visage de son soumis. Le plug est de bonne taille, bien plus large que son gode. Elle sourit en lui tendant. Il blêmit en le prenant. Son poids laisse penser qu'il va être dur à garder. Il se positionne pour le présenter devant son anus qui a déjà été bien sollicité. Elle le presse un peu, lui met la pression , ajoute du gel. Encore du gel , puis au final elle s'en mêle. Il se sent forcé. Avec ses mains, il tente d'élargir le passage en tendant ses fesses.Son anus résiste, ce truc est tellement gros... Elle est tenace et trouve le moyen d'arriver à ses fins.Elle aime jouer avec son cul. Quelques crachats, quelques doigts plus quelques mots d'encouragement et hop! Le tour est joué... Il se sent plein. Il l' entend s'en réjouir, du coup il est content d'y être arrivé. Elle joue avec son Plug, le fait tourner dans un sens puis dans un autre. Le tire pour évoquer une sortie, le repousse à peine pour le voir se faire aspirer. Elle aime aussi jouer avec son cul... IMAGINE: Elle a très envie de le baiser. Oh oui! Elle le veut encore.Elle lui dit où prendre place . Il fait suivre son petit coussin sous ses genoux. Il tiendra mieux sa position ainsi. Il pose sa tête sur le canapé et tend son cul au mieux. Elle s'assoit à ses côtés, son strap-on dans les mains.Elle lui fait retirer sa jupe , qu'elle enlève et remet. Il se retrouve la tête bien proche de son intimité, assez proche pour bien la voir insérer la boule du stap dans son vagin. Elle lui dit ô combien elle a envie de le baiser en lui tendant une capote. Il sent son excitation et a envie de l'exciter encore davantage. C'est avec sa bouche qu'il déroule le préservatif sur cet étroit manche rigide. Elle apprécie de le voir faire , l' aide un peu car elle a vraiment , vraiment envie de le prendre là. Il se retourne face au canapé, la sent se glisser derrière lui et sans ménagement elle le pénètre jusqu'à la garde. Ses fesses deviennent aussitôt mouillées.Il s'inquiète de son hygiène, ce sont des choses qui arrivent. Mais très vite il comprend. Elle a tellement envie de le baiser, elle le lime avec vigueur et son plaisir monte à une allure qui la surprend. Elle sent son foutre lui couler entre les jambes. Elle coule encore et encore et en jouit si fort. Elle le baise avec un plaisir dégoulinant. Elle atteint l' orgasme en un temps record. Il se retrouve sous elle et la sens couler sur ses fesses et sur sa cage... IMAGINE ENCORE: Elle le chope au milieu du salon. Prend soin de glisser un large coussin sous ses reins, un plus petit sous sa tête. Il n'a pas d'autre choix que de se laisser faire et se retrouve bien vite les 4 fers en l' air. Elle accroche tous les bracelets entre eux et le contemple ainsi offert . Elle aime le voir comme ça mais elle préfère clairement l' abuser ainsi. Elle sollicite la souplesse de son sphincter avec ses doigts. Son gode ceinture est déjà en place, juste devant son anus. Elle lui saisit les cuisses à bras le corps et le sodomise langoureusement. De profonds va et vient qui l' enivre de plaisir. Il se fait prendre sans pouvoir bouger, son corps est à Elle. Il est à Elle et Elle en profite grandement. Elle aime le limer ainsi, tenir son corps recroquevillé sur lui-même . Elle s'emballe au fur et à mesure que son plaisir monte. Ses coups de reins se font plus rapides, plus puissants. Ses mains s' empoignent avec force sur les bracelets. Elle aime avoir une prise pour se tenir. Il la sent bien s'emballer, mais surtout il l'entend gémir, il la sens vibrer.Il aime sentir tout cela. IMAGINE: Elle a les yeux mi-clos, le visage serein, le corps secoué de spams.Elle vient de jouir... Elle délivre son jouet de toutes ses entraves. Il retrouve la liberté de ses mouvements mais n'ose bouger. Il savoure ce moment rempli de tendresse. Elle lui attrape doucement les mains pour les poser sur elle. Sa respiration s'apaise. Il comprend qu'il a la permission de la caresser, ce qu'il fait avec respect. Il savoure, voudrait que le temps s'arrête. Elle laisse le temps tranquille et en profite aussi. Son plaisir, elle le prend blotti dans les bras de son soumis.Oui, elle casse les codes et elle ne se prive de rien.Elle relève la tête doucement, le regarde en lui souriant. Il lui sourit à son tour sans comprendre immédiatement que ce petit sourire est loin d'être innocent. Elle prend appui sur ses bras et se décolle juste de son corps afin de laisser toute l' accumulation de ses jouissances s'écouler sur lui. Il ressent alors ce fluide qui se répand sur son sexe, son ventre, ses cuisses.Il savoure autant qu'elle ce partage. Tout est si spontané , sensuel. Il est à Elle, dans Son monde, au cœur de ses multiples envies. Elle est contente, se sent bien... Savoure pleinement... ....Alors, elle te plaît mon histoire? Imagine une dernière chose... IMAGINE JUSTE: C'est un jour de semaine ordinaire. J'attend en retrait derrière le rideau qu'il entre dans mon salon... J'aime cassé les codes, j'aime être là où il ne m' attend pas. J'ai adoré sa cravate, le frapper de sa ceinture, le baiser en long en large et en travers... IMAGINE SIMPLEMENT: C'est mon sex-toy.
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Par : le 16/04/21
Tu es entrée dans ma vie, au moment où je ne m'y attendais pas... Des envies qui se croisent et se rejoignent. Entre nous la franchise, rien de dissimulé ou de caché. Même pas les échéances inévitables que nous connaissons. Cette même perception du BDSM qui nous permet de vivre une relation si profonde et si complice. Tes mails m'ont touché ainsi que tes textes quand tu y mets dedans de la poésie. J'ai beaucoup aimé ta manière de te confier, de livrer tes émotions, de faire ressentir tes sentiments comme jamais encore, je n'avais pas pu entrevoir. Ces échanges font partie de notre corrélation et de la découverte pas à pas. Il est rare de rencontrer des soumises qui soient aussi inspirées dans l'écriture. Non seulement tu écris très bien, mais tu exprimes tes désirs que j'ai pu satisfaire ou non en fonction des miens, ainsi que tes émotions et cela m'a aidé pour te faire progresser, te révéler. Au début, j'ai deviné en toi beaucoup de craintes ou de peur, puis tu t'es sentie à l'aise, rassurée, confiante et tu t'es abandonnée. Je t'ai découverte, spontanée, respectueuse et obéissante, prête à endurer tous les sévices qu'il me fut satisfait de t'infliger, libre d'y exprimer ta douleur en les acceptant jusqu'au bout. Tes beaux yeux bleus et ton joli sourire, font que je les garde gravé en moi. Ta soumission, ton dévouement, ton corps offert, prêt à subir et à se donner, comment oublier ? Notre entente faite de sincérité, de complicité et de respect ne pouvait que nous amenez à ouvrir nos cœurs. Tu es une personne exceptionnelle et unique et bien que l'échéance de mars soit arrivée, tu restes à jamais ma seule, unique et dernière soumise dans le profond respect de notre relation. Quatre ans passés ensemble dans cette complicité, cette évidence et le lien fort Maître/soumise. Pendant toute cette période tu as été mon soleil, celle qui m'apportait à la fois écoute, compréhension et plaisir. Nous n'avons eu que de bons moments, nous avons découvert ensemble des lieux passionnants, des personnes, vécu de très belles et fortes émotions. Nous restons liés et c'est très important. Une page se tourne, une nouvelle relation commence, sur des bases différentes, mais pourquoi serait-elle moins belle que la précédente ? Sache que tu comptes énormément pour moi et que notre relation reste sincère et solide. 28 avril 2014
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Par : le 16/04/21
Je suis un dinosaure du bdsm qui a connu l'époque où la notion de relation Maître-soumise avait encore un sens profond, était un Lien quasi sacré, un engagement réciproque, basé indispensablement sur un sentiment amoureux démultiplié par l'Appartenance et la Domination/soumission (pour celles et ceux qui auraient un peu de culture, j'ai connu Alain et Catherine dans ma toute jeunesse). Rien à voir avec les "listes de pratiques", le pseudo libertinage déguisé en cuir et clous, ou les masques de carnaval que je vois sur les sites. La mode du bdsm a fait des ravages... Incompatible avec tout ce cirque, je me suis éloigné de Paris et du microcosme bdsm. Nouvelles pages, nouveaux chapitres. Je cherche aujourd'hui celle qui se reconnaîtra dans une vision profonde de la relation D/s, celle qui viendra en amour et en confiance se placer sous mon autorité à la fois stricte, bienveillante et globale. Celle qui sera ma compagne, ma muse, ma putain, ma femelle, ma soumise, mon amie... Celle de qui je serai le mentor, l'ami, l'amant, le protecteur, le guide, et le possesseur. Celle avec qui partager des affinités culturelles et des valeurs assez traditionnelles et patriarcales de la relation, celle pour qui appartenir, servir, obéir, subir soit un vrai besoin et une condition d'épanouissement en amour. Celle avec qui construire un projet de vie à deux, une relation harmonieuse et apaisée, durable, pour la suite... Je sais qu'il y a peu de chance qu'elle existe sur ces sites... mais sait-on jamais. Monsieur V. Autre chose à tous ceux qui se prétendent Maître... C'est comme si je me décrétais champion du monde de patinage artistique... ! Ce n'est que la femme, qui en se soumettant corps et âme fait de l'homme son Maître.
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Par : le 16/04/21
AVIS À TOUS LES ESTIMABLES MEMBRES DE NOTRE COMMUNAUTÉ ! C'est sur l'invitation de mon vénérable Maître que je me présente humblement devant vous aujourd'hui, afin de vous offrir une opportunité... Vous faire profiter de mon exhibition sous la forme inédite d’une réalisation sonore… Et dans une autre mesure, « pénétrer mon intimité de soumise » et saisir un peu mieux comment mon Maître peut s’y prendre pour sublimer sa protégée et construire notre relation. 👉 Ainsi, si vous souhaitez vous évader quelques instants et échapper à un quotidien inconfortable et pesant pour nous tous, il vous suffit d’en faire la demande, en adressant un simple message sur le mur de MyWay, qui vous indiquera en retour la marche à suivre pour recevoir par mail le fichier issu de l’esprit créatif de mon propriétaire et Maître. Pour un rendu optimal, utilisez un casque audio ou des oreillettes... 📌 POUR CELLES ET CEUX QUI SOUHAITENT EN SAVOIR PLUS QUANT À LA GENÈSE DE CETTE DÉMARCHE… POUR LA PETITE HISTOIRE : Dernièrement Monsieur a secrètement travaillé sur un premier fichier audio, mêlant une musique endiablée et nos voix... Une surprise totalement inédite et originale que Monsieur m'a fait parvenir à l'occasion de mon anniversaire. Comme je lui adresse régulièrement quelques témoignages sonores de mes masturbations solitaires et autres travaux dirigés à distance, cela lui donne de la matière. Son présent m'a extrêmement touché...la surprise fût très réussie ! Je ne m'attendais pas du tout à ça. Alors que nous échangions sur sa démarche, mon guide et Maître m’a fait remarquer que sur notre Forum préféré, comme dans d’autres lieux dédiés, l’image occupe une place de choix, quasi prépondérante. Pour reprendre les propres mots de MyWay : « …Qu’il s’agisse de nous informer, de nous cultiver, de nous inspirer ou de nous émoustiller, la photographie, les illustrations modernes et datées, la vidéo et dans une autre mesure, les écrits d’inspiration humoristiques, érotiques, parfois poétiques, ou encore techniques, constituent les principaux vecteurs visuels qui règnent en maître pour servir de références sensorielles, émotionnelles et de supports à l’expression de nos témoignages et autres partages ! » Quelques jours plus tard, je lui adressais un enregistrement sonore, dans lequel je relatais un passage de notre dernière entrevue qui m'a particulièrement marqué. J'ai d'abord rédigé ce petit texte avant de le lire en m'enregistrant. Depuis longtemps, je suis portée par le désir d'être pour mon Maître, une lectrice privative, telle une bonne Geisha...ce que nous avons très rarement exploré en présentiel comme en distanciel. Cela dit, je me souviens avec émotion du jour où celui-ci a ressorti de ses dossiers ma demande initiale d’appartenance et qu’il me l’a faite lire à haute voix, tandis que qu’il se tenait derrière moi, la main posée sur ma croupe, puis limant les orifices de son obligée. Cela faisait donc un moment que j'avais envie de me mettre dans la peau d'une véritable Geisha-lectrice pour mon Maître et j'ai senti que c'était le bon moment, le bon sujet. Dans une de ses envolées créatives dont il a le secret, Monsieur s'est d’abord secrètement approprié mon enregistrement pour le transformer, le sublimer, souhaitant donner une toute autre envergure à son initiative initiale, cherchant à faire passer d'autres émotions, à stimuler d'autres sens que ce qui est possible de faire avec des écrits ou des clichés. C’est alors que mon propriétaire a levé le secret sur son initiative du moment, dans le but de m’y impliquer et d’en faire un véritable projet commun, Comme vous vous en doutez j'ai adoré assister mon Maître et me faire facilitante pour lui. C'est particulièrement agréable de me tenir à sa disposition et de ressentir qu'il puise une certaine inspiration dans notre relation... Pendant plusieurs jours, à distance, nous avons œuvré ensemble, à quatre mains...je me contentais de répondre aux sollicitations de Monsieur, tandis qu’il avait la main sur la réalisation globale, sur laquelle, je n’avais aucun « regard », avant qu’il ne me transmette une version aboutie. J’ai trouvé le résultat saisissant… de la vraie dentelle ! Cette réalisation est d’autant plus exaltante pour moi, que Mon Maître ne ma gratifie que très très rarement de son empreinte visuelle ou de messages vocaux enregistrés. Nos échanges quasi quotidiens et nos entrevues compensent cette iniquité volontaire, qui contribue sans doute à me laisser sur ma faim, dans une petite frustration bénéfique qui me garde haletante et consciente du privilège qui est le mien lorsque ce dernier me gratifie d’un cliché de lui… De ce fait, lorsque j’ai le bonheur de me retrouver face à lui, je le mitraille du regard, pour ne pas perdre une miette de sa divine et précieuse présence. Devant mon plaisir et ma fierté et sachant mes élans exhibitionnistes, Monsieur a consenti à partager cette petite production collaborative, fraichement sortie de sa perversité créative qu’il a mis à notre service.
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Par : le 16/04/21
Chapitre 43 virginie est dressée voit arriver la cousine de mitsuko. Mitsuko est ravie d’avoir une nouvelle esclave à mettre au pas. En plus celle-ci parait autrement plus résistante que Maëva. Il semble que le fouet n’a pas beaucoup de prise sur elle. En revanche elle semble sensible des seins. Mitsuko décide donc de commencer réellement le dressage de virginie. Elle se rend dans la pièce aménagée qu’elle a appelle la ruche. Virginie est dans l’aquarium. Elle y est depuis son arrivée la veille et n’a été sortie que pour des besoins hygiéniques. De temps en temps Mitsuko met quelques bouchées de nourriture dans une soucoupe et pose le tout dans l’aquarium. Virginie à faim et soif et commence à trouver le temps long enfermée dans ce bocal dont toutes les faces sont des miroirs. Elle ne voit rien de l’extérieur mais a bien vu lors de son arrivée dans la pièce que les personnes de l’extérieur peuvent voir l’intérieur de l’aquarium. Elle pense qu’il s’agit de miroirs sans tain. Elle a essayé de casser les miroirs mais ceux-ci ont l’air extrêmement solides et les mains bleues et en sang elle a cessé de taper. D’autant plus que ce n’est pas facile avec les mains menottées dans le dos. Mitsuko observe virginie pendant de longues minutes et décide qu’il est temps de passer aux choses sérieuses. Elle se rend à la porte de l’aquarium et l’ouvre. virginie se rue tête la première par l’ouverture mais Mitsuko qui a anticipé ce comportement l’attend de pied ferme et l’évite facilement. Elle a une cravache électrocutante et touche le dos de virginie qui fait un bond involontaire et se retrouve par terre. Mitsuko en profite pour accrocher une laisse au collier de virginie et la tire sans ménagement vers la ruche. Virginie ne peut pas se relever et se laisse dans un premier temps tirée sur le sol. Mais le collier l’étrangle et avant qu’elle s’étouffe elle est obligée de se mettre à genou et à suivre docilement Mitsuko. Celle-ci la fait monter sur le plateau tournant et la suspend aux agrès faits pour ça. Les bras tendus et les jambes bloquées par une barre d’écartement arrimée au plancher du plateau virginie ne peut pas bouger. Mitsuko lui fait une queue de cheval sur le haut de la tête et accroche la queue de cheval à une cordelette qui est tendue en hauteur empêchant virginie de baisser la tête. Mitsuko se recule et admire son travail. Elle est satisfaite et va chercher le matériel préparé pour la séance. Elle a dans les mains une paire de menottes particulière. L’espace entre les deux menottes est réglable et les ouvertures sont aussi réglables. Virginie se demande à quoi cela peut servir. Mitsuko ouvre les menottes et les approche de la poitrine de virginie. Elle referme une menotte sur la base des seins de virginie. Celle-ci ne voit rien mais sent que son sein est comprimé par la menotte. Mitsuko fait pareil avec la deuxième menotte et se recule pour voir l’effet. Les seins de virginie sont poussés en avant et ressemblent à des ballons. Mitsuko s’approche et referme un peu plus les menottes. La base des seins de virginie est fortement comprimée et elle a l’impression que quelqu’un lui a saisi la base des seins entre les mains et serre très fort. Mitsuko referme encore d’un cran. Les seins de virginies sont gonflés et commencent à bleuir. C’est douloureux, elle a l’impression que ses seins vont exploser vers l’avant. Encore un cran. Mitsuko exulte. La base des seins d virginie est tellement serrée qu’elle pourrait en faire le tour avec ses doigts sans forcer. Virginie crie de douleur. Un bâillon réduit ses cris à de simples gémissements. Les mamelons sont érigés et dardent vers l’avant. Mitsuko les pince rudement. Les yeux de virginie roulent dans les orbites. Elle croit qu’elle va mourir. Mitsuko relâche un peu les pincements et enfile une barre d’acier qui va d’un sein à l’autre en utilisant les piercings larges de virginie. Les seins sont bleus violets. Mitsuko demande à virginie tu vas m’obéir maintenant comme un bonne esclave. Virginie la regarde furieusement et remue négativement la tête. Mitsuko accroche une chainette au piercing du clitoris de virginie et tend au maximum la chainette entre le clitoris et la barre qui relie les seins. Virginie est désespérée elle pense que quelque chose va céder en elle. Elle est sur le point de défaillir. Mitsuko s’en rend compte et petit à petit elle ôte les objets qui torturent virginie. Celle-ci a le corps en feu. Son sexe et ses seins sont douloureux à l’extrême et elle n’oppose aucune résistance lorsque Mitsuko la ramène dans l’aquarium. Elle ne peut même pas tâter avec ses mains les dégâts subis par son sexe et ses seins. Mitsuko regagne la ruche et s’installe sur le trône pour regarder virginie qui pleure ouvertement. Mitsuko a l’intention de rester là quelque temps et convoque immédiatement Maëva pour la mettre dans la cavité du trône. Tout cela l’a fortement excitée. En attendant Maëva elle s’approche de l’aquarium et dit à voix haute. Demain on mettra deux paires de menottes. Virginie en entendant ça est effondrée. Elle ne verra pas Maëva entrer dans la cavité et lécher longuement le sexe d’une Mitsuko exaltée. Le lendemain Mitsuko ouvre la porte de l’aquarium. Virginie n’essaye pas de foncer dans le tas. Elle suit docilement Mitsuko jusqu’au plateau et elle ne tarde pas à être suspendue comme la veille. Mitsuko montre deux paires d menottes. Virginie qui souffre encore de la veille n’en peut plus et dit pitié je n’en peux plus j’accepte tout mais plus ça. Mitsuko sourit et bâillonne virginie. Celle-ci est effondrée. Mitsuko lui impose la première paire de menottes mais ne sert pas aussi fort que la veille. Puis elle met une deuxième paire qui est beaucoup plus large à côté de la première. Les seins de virginie commencent à la faire souffrir. Ils sont enfermés comme dans un tube sur cinq ou six centimètres puis les bouts qui dépassent des tubes s’élargissent comme des champignons. Les tétons sont turgescents et violets alors que les seins sont plutôt bleus. Mitsuko se recule et admire son œuvre. Elle pince les seins et les agace avec sa bouche et ses dents. Maintenant les tétons pointent comme des crayons. Mitsuko les orne de pinces qui sont reliées par une chainette qui possède une troisième pince qui est rapidement agrippée au sexe de virginie. Celle-ci pleure et gémit dans son bâillon. Mitsuko referme d’un cran les menottes et virginie se tétanise. Mitsuko demande alors à virginie. Alors tu vas m’obéir maintenant. Virginie fait un hochement frénétique de la tête. Tu es mon esclave. Un autre oui. Tu feras tout ce que j’exigerais. Toujours oui . Tu ne parleras que lorsque je te l’autoriserai, tu ramperas à mes pieds dès que tu me verras. A chaque fois virginie hoche la tête. Mitsuko satisfaite détache virginie. Celle-ci n’a plus que les mains menottées dans le dos. Dès que Mitsuko se recule virginie se couche par terre à ses pieds. Bien dit Mitsuko on va sceller notre pacte. Elle saisit la laisse et traine virginie qui rampe jusqu’au trône ou virginie découvre la cavité. Une heure durant virginie lèche consciencieusement le sexe de Mitsuko. Elle dormira quand même dans l’aquarium. Virginie obéit maintenant comme une bonne esclave à Mitsuko. Elle n’a qu’une envie c’est s’échapper de ce traquenard mais en attendant de trouve un moyen elle ne veut plus être torturée et joue les soumises. Mitsuko est heureuse et contemple son cheptel chaque soir assise sur son trône. Il y a toujours une des deux esclaves sur le plateau tournant et une dans la cavité du trône. Son mari le rejoint souvent accroché aux espaliers. Ce soir-là elle est en train boire un thé assise sur son trône ne se lassant pas de voir tourner Maëva qui arbore maintenant tous ses bijoux de corps et ne se lassant pas de la langue experte de virginie sous selle. La sonnette de la maison retentie. Son mari ne peut pas aller rouvrir il est menotté au banc de cuir avec un plug dans le fondement. Mitsuko peste mais se décide à aller voir qui peut bien la déranger. A la porte elle aperçoit sa cousine micha qui lui dit : Je passais dans la région et j’ai décidé de te faire un petit coucou. Mitsuko est perturbée. Cette pimbeche insupportable l’a souvent rabaissée en public et Mitsuko lui en veut toujours. Minaudant micha demande si Mitsuko peut héberger pour quelques jours afin qu’elle puisse visiter la région avec un point de chute. Mitsuko réfléchit et lui dit ok je peux d’héberger ce soi mais ça va être difficile pour toute la semaine. Micha entre dans la maison de dit t’inquiètes pas on va s’arranger. Ou est ma chambre. Mitsuko enrage et soudain a une illumination. Viens je vais t’y emmener tu verras ça vaut le coup d’œil. Je suis sure que t’y plairas tant que tu ne voudras plus la quitter. Et elle l’emmène jusqu’à la porte de l’aquarium. Fermes les yeux et entre tu vas avoir une belle surprise. Micha ferme les yeux et pénètre dans l’aquarium. Elle sent le sable sous ses pieds et ouvre les yeux. Mitsuko a refermé » la porte. Et elle se retrouve seule dans un réduit avec des miroirs sur tous les côtés. Elle entend le verrou se fermer. Mitsuko ce n’est pas marrant sort moi de là je ne vais pas passer la nuit-là. Non répond mitsuko pas la nuit. La semaine. Micha s’énerve et frappe autan qu’elle peut les parois de verre mais rien n’y fait elle crie hurle mais rien ne lui répond. Mitsuko qui est repassée dans la ruche apprécie de voir micha enfin arrêter de se pavaner. Elle actionne un bouton sur le trône et les miroirs sans tain deviennent translucides. Micha a la surprise de voir autour d’elle. La première chose qui la surprend est une splendide femme attachée sur un plateau qui tourne lentement sur lui-même. Puis elle voit un homme ligoté sur un banc avec un énorme plug dans le cul. Enfin elle voit face à elle Mitsuko assise dans un énorme trône et qui la regarde avec attention. Tu aurais du prévenir lui dit celle-ci. Micha vocifère mais Mitsuko n’en a cure. Tu peux y aller c’est insonorisé ici. Quand tu te calmeras je t’expliquerai ce que tu devras faire. Micha arrête de crier et la regarde étonnée qu’est-ce que je dois faire pour sortir de là. Déjà te déshabiller entièrement. La seule personne qui a le droit d’être vêtue ici c’est moi. Micha la toise et dit jamais de la vie tu es folle. Mitsuko lui sourit et dit si tu veux boire ou manger il faudra te mettre à poil. Micha la traite de folle et les miroirs sans tain redeviennent miroirs. Elle se retrouve seule dans ce bocal. A demain chère cousine. Dit Mitsuko et elle va se coucher laissant les trois esclaves à leurs emplacements et micha pleurer doucement. Le lendemain matin Mitsuko se réveille de bonne humeur. Elle se rend dans la ruche ou elle libère son mari qui doit aller bosser et Maëva qu’elle laisse partir. Virginie est toujours dans le trône. Bonjour virginie. Aujourd’hui tu vas aller dans l’aquarium une fois que j’aurais sorti ma cousine. Puis elle approche de l’aquarium ou micha s’est endormie sur le sable. Mitsuko rend l’aquarium translucide et contemple micha. Elle lui dit. Salut cousine tu as bien dormi. Micha se lève d’un coup et se rappelle ou elle est. Relâche moi je t’en supplie dit-elle. D’abord tu te mets nue et ensuite on discute répond Mitsuko. Micha lui tourne le dos. Mitsuko remet l’aquarium en mode miroir. Mitsuko va sortir virginie du trône et l’emmène dans la salle de bains puis au petit déjeuner. Virginie tirée par la laisse la suit docilement. Elle se laisse laver par Mitsuko et mange dans la main de cette dernière. Puis Mitsuko la remmène dans la ruche ou elle la met à genou sur le plateau. Voilà ma belle. On va attendre tranquillement que micha se soumette. Midi. Mitsuko et virginie ont déjeuné. Mitsuko met l’aquarium en mode translucide. Micha a les yeux gonflés elle a pleuré toutes les larmes de son corps. Mais que me veux-tu enfin dit-elle. Que tu deviennes comme ça et elle montre virginie à genou sur le plateau. Jamais plutôt crever. Mitsuko quitte la pièce. Mitsuko dine avec virginie qui est à genou à ses pieds. Elles se rendent ensuite à la ruche. Mitsuko rend l’aquarium translucide . Micha est nue dans l’aquarium. J’ai soif et j’ai faim dit-elle. Mitsuko jubile. Bien on je vais s’occuper de ça. Et elle disparait de la vue de micha. Quelques instants plus tard la porte arrière s’entrouvre. Micha bondit pour bousculer Mitsuko mais elle tombe sur Maëva qui l’étreint à bras le corps. Avant que micha ne comprenne ce qui se passe Mitsuko lui a verrouillé une menotte à un poignet. Micha veut se débattre mais Maëva tient fermement et une deuxième menotte est verrouillée. Micha se débat encore mais Mitsuko la fait chuter et Maëva et Mitsuko s’assoient de tout leur poids sur elle. En quelques secondes celle-ci est menottée dans le dos et un collier muni d’une laisse lui a été mis. Pour finir une deuxième paire de menottes est appliquée sur ses chevilles. Elle hurle mais Maëva lui pince le nez et Mitsuko la force à engloutir un bâillon boule. Ouf dit Mitsuko tu es une vraie tigresse. Allons te mettre sur le plateau qu’on voit si tu vaux le coup d’œil. Micha fulmine et râle derrière son bâillon. Elle traine des pieds mais poussée par Maëva et tirée par Mitsuko elle est promptement ligotée sur le plateau tournant. Mitsuko admire sa cousine. Micha est mince avec une peau très blanche et des petits seins haut perchés. Une vraie sucrerie se dit Mitsuko. Le sexe de micha est complétement épilé. Et Mitsuko croit voir la trace d’un piercing sur chaque grande lèvre. La cousine est dévergondée pense Mitsuko. Micha est désespérée. Elle crève de soif et de faim et est exposée nue aux regards de sa cousine perverse et d’une belle femme nue. Mitsuko demande à micha si elle a soif celle-ci hoche la tête. Si je t’enlève le bâillon pour te donner à boire tu ne crieras pas et d’ailleurs tu ne parleras pas du tout d’accord. Micha hoche la tête elle a trop soif pour lutter. Le bâillon est ôté et micha peut boire à l’aide d’une paille Tu as faim lui dit Mitsuko micha hoche la tête. Très bien je vais te donner à manger mais pour ça il va falloir que tu le mérites. Micha la regarde étonnée. Mitsuko et Maëva la décrochent du plateau et l’emmènent les bras menottés dans le dos jusqu’à l’intérieur du trône. Là elle mette micha en positon. Pour l’occuper un gode ventousé sur le sol est bien inséré au fond de son sexe. Elle ne peut pas l’ôter. Micha se demande ce qu’il se passe quand la porte est refermée et Mitsuko s’installe confortablement sur le trône. Embrasse-moi bien et fais-moi bien jouir et tu pourras manger. Micha veut se reculer mais il lui est impossible de retirer sa tête du contact avec le sexe de Mitsuko. Le trône a été bien étudié. Pendant de longues minutes micha ne fait rien. Mitsuko lui dit j’ai tout mon temps on peut y passer la nuit si tu veux. A contre cœur micha commence à sortir la langue et lécher doucement les grandes lèvres de Mitsuko. Tu peux faire mieux lui dit cette dernière. Micha se met à lécher avec plus d’enthousiasme. C’est mieux di Mitsuko. Je retrouve ma cousine qui a une si grande langue. Mitsuko actionne la télécommande et le gode commence à vibrer tout en faisant des va et vient dans le vagin de micha. Micha continue à lécher et bizarrement telle commence à s’échauffer aussi. Elle redouble d’ardeur et bientôt Mitsuko halète gaillardement sous les coups de langue et de bouche de micha. Celle-ci est maintenant complétement excitée et lèche comme une folle. Elle ne tarde pas à se laisser aller à de puissants orgasmes. Enfin après avoir pris du bon temps Mitsuko décide que micha a mérité un en-cas. Elle envoi Maëva chercher de quoi manger et lorsque celle-ci revient les deux femmes nourrissent micha à la main. Mitsuko décide de récompenser sa cousine pour son bon travail. Elle la ligote à califourchon sur le banc et avec un gode ceinture elle prend sa cousine par derrière pendant que celle-ci à la bouche collée au sexe de Maëva qui s’est mise devant. Micha prend son pied plusieurs fois. Micha est rompue elle a dû satisfaire deux furies enragées. Constatant qu’elle était vierge su cul et très serrée Mitsuko n’a pas insisté de ce côté-là. Elle lui a quand même promis de lui faire le cul avec des plugs annaux progressifs. Elle se retrouve dans l’aquarium pour la nuit avec toujours les mains menottées dans le dos. En s’endormant elle se demande ce qui va lui arriver le lendemain. En repensant à sa journée elle s’aperçoit qu’elle a rarement été autant chauffée et cela la tracasse.
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Par : le 12/04/21
Il y a bien des années; j'étais un "DOM", puis j'ai débuté une relation "vanille" avec une femme de mon âge. Elle n'était pas bien jolie, mais elle m'avait bien manipulé et foutue une grosse pression émotionnelle. Du coup j'ai craqué et on a commencé une relation qui a durée 1an et quelques mois. Elle était maigre, 1m70 pour 48kg, pas de seins, des fesses plates à mourir, les dents pourries, et pleine de tatouages partout. La seule chose qu'il y avait de féminin était ses longs cheveux chatains clairs, trés longs, quasiment aux fesses. On était sur un corps androgyne, absolument pas glamour. Mais j'avais confiance en cette femme, et je voulais explorer mon coté soumis avec elle, je ne sais pas pourquoi, mais c'était elle qui m'attirait là dedans. Pourtant elle ne savait rien de mon penchant SM, et j'ai découvert plus tard qu'elle était soumise elle aussi à l'époque et avait un dom qui lui faisait découvrir son coté "domina". Mais ça je ne l'ai découvert que des années aprés. Pendant notre relation, sexuellement, c'était "vanille ". Elle avait une chatte dilattée, c'était le résultat du travail de son dom, mais je ne savais pas. J'avais du mal à rester en érection quand je la pénétrais tellement je ne ressentais rien, pas de sensation de pénétration, une horreur (merci les fists du dom). Son anus avait subit aussi de la dilatation, il était "baillant"...pas trés apétissant. On a rompu. Des années aprés, elle est revenue vers moi. j'avais découvert son coté " SM switch" mais elle ne le savais pas. Elle était encore plus laide qu'à l'époque, trés maigre, vieillie (elle avait 52 ans on lui en donnait 70). Elle avait abusé de toutes sortes de stupéfiants, de nuits sans fins, et de délires sexuels en tout genre , c'était devenue une épave. Mais elle me harcelait, elle voulait reprendre une relation avec moi, elle me poursuivait même sur mon lieu de travail. Plus personne ne voulait d'elle sauf quelques poivrots de son village qui voulaient juste se vider les choses... !. A force de me harceler, je lui ai dit un jour "mais regarde à quoi tu ressembles, tu es une épave, je n'ai envie de rien avec toi si ce n'est te foutre des claques dans la gueule !!". 3 jours aprés, elle me harcelait de sms, elle me reprochait ce que je lui avait dit. sur le ton de l'humour je lui ai écrit "bon ok, j'aurais dû dire une bonne grosse fessée". Là elle sauta sur l'occasion avec pleins de sous entendus, elle voulait que je lui mette des fessées. On a établit un scénario. Je devais être le maître d'école qui recevait une élève pénible pour un cours particulier. Une semaine aprés, elle arriva chez moi à 14h00. Elle était habillée avec des bas blancs, une mini jupe écossaise verte et jaune, et un chemisier blanc. Elle avait fait des couettes avec ses cheveux.. On aurait dit une grand mère qui faisait un bal masqué, mais bon, c'était le jeu. Elle avait un sac d'école avec tout les jouets dont elle voulait que je me serve, un cahier d'ecole, un petit carnet en guise de carnet de correspondance et des stylos. Tout était scénarisé entre nous. Je lui dis de s'assoir à la table du salon et de sortir ses cahiers et ses stylos. j'étais vétu d'un costume gris, chemise blanche et chaussures de ville . Là je pris son cahier de correspondance et elle avait marqué sur la première page ' j'ai été une vilaine fille à la récré". Je me mis en colère contre elle. elle était assise et moi debout à coté d'elle . Je lui ai tiré les cheveux en lui disant qu'elle serait punie pour ça. Puis on commença une dictée. A chaque faute elle serait punie. Dés la première phrase, elle en commie une énorme volontaire "je voeux au lieu de je veux". Je lui dit de se lever alors que je m'assayais à sa place. Là, je lui ordonnais de lever sa jupe, elle était face à moi. Elle s'exécutat, et je lui dit de se mettre sur mes genoux ventre sur mes jambes. Elle avait la jupe relevée, et par dessus sa culotte, je lui administrait une fessée monumentale (j'étais pas vraiment dans le sexuel, mais plus dans une colère du passé). Ma main était toute chaude de la violence des coups. Au bout d'une vingtaine de coups, elle repris sa place et moi la mienne. On repris la dictée. Pendant 5 mn pas de fautes. Pour la remercier, je lui ai carressé le bras.. Et là, bam, elle refait une autre faute, toujours énorme. Je me mis en colère, "enlève ta culotte et reviens sur mes genoux". Je lui administra une deuxième fessée bien puissante. Ses fesses étaient bien marquées. Puis je lui dit d'écarter ses fesses avec les mains pour que j'accéde à son anus. Là je pris une badine et je lui fouettait doucement l'anus, mais avec une certaine force. Au bout d'une vingtaine de coups environ, elle se cambra, et je pu accéder à son vagin. Il pris sa dose de badine aussi. Je lui dit de se relever, de se mettre debout. J'étais assis, et je commençais à lui carresser son pubis, elle était dégoulinante. Je lui mis un doigt, mais là ce fût l'horreur, pas de résistance. Elle avait le vagin complètement explosé. Si bien que je la fista sans précaution si ce n'est sa lubrification naturelle. il n'y a eu aucune résistance du vagin...HALLUCINANT !. Je fis quelques va et vient avec le poing, en ouvrant et fermant ma main à l'intérieur, elle était aux anges. Mais j'étais écoeuré . Alors je lui dit de se mettre toute nue en gardant sa jupe. Elle se déshabilla, je pris le martinet et je commençais à la fouetter debout. Elle tenait sa jupe relevée, je voyais ses fesses. Elle a été fouettée sur tout le corps, les seins, le ventre, les cuisses, les fesses, le vagin, partout. Je voyais son corps réagir à chaque coup, pris dans des soubressauts à chaque fois. Puis je me suis arrêté. Je lui carressait doucement le visage avec ma main, tendrement, et je descendait sur ses seins son ventre, ses bras, ses fesses. Là je lui pris brutalement le visage par la machoire et je lui dit "tu es vraiment vilaine, il faut que tu arrêtes, sinon ça va être pire". Franchement, je voulais que ça s'arrête là, elle m'écoeurait. Nous avions convenu que pour tout arrêter elle devait me dire "j'ai bien travaillé maître". Je 'attendais à entendre ces paroles. Rien du tout, au contraire, elle me dit "on termine la dictée" . ça , ça voulait dire qu'elle voulait aller plus loin plus fort , c'était un code établi. Alors elle remit son bustier, se rassit et me regarda avec un grand sourire, satisfaite. On a repris la dictée. 5mn sans faute et là elle se leva d'un coup et me dis "je sêche le court" . Encore un code. Tout ce qui s'est passé derrière était scénarisé, on allait dans de la violence et de la dilatation. Je devais lire ce qu'elle voulait en prétextant devoir lui mettre un "mot" sur la dernière page du cahier de correspondance. Elle y avait tout écrit... Elle était debout, face à moi, je pris le cahier de texte et commença à lire : un inventaire à la prévert, double fist vaginal, fist anal, fouet à 4 pattes, fessées fortes, etc etc. Il s'en ai suivi qu'elle a finit attachée sur la table à 4 pattes. je tournais autour d'elle, la fouettant, partout, j'alternait les coups avec un premier fist vaginal puis des coups de paddle, et un fist anal (HALLUCINANT là aussi comment elle était dilatée avant même que je ne commence). Elle gémissait, criait de plaisir, elle me disait qu'elle jouissait sans arrêts... et là je la détachait, la mis sur le dos, lui releva les jambes et entama le double fist anal... je n'avais jamais fait ça. Joignant mes deux mains l'une contre l'autre comme pour une prière, badigeonnées de lubrifiant, j'arrivais trés vite à enfoncer à hauteur de mes première phallanges des pouces. En écartant un peu les mains, j'essayais de lui ouvrir un peu plus le vagin. J'avais fait l'erreur de ne pas l'attacher. Et là, avec ses deux mains , elle me pris les poignets et s'enfonça mes mains toutes entières dans son vagin en faisant un mouvement du bassin. Elle hurla, elle bloquais mes mains dans son vagin et bougeait son bassin comme une hystérique... en fait je ne dominais plus rien, c'est elle qui avait pris le dessus. En trés peu de temps son corps était remplit de sueur. Les odeurs dans le salon devenaient oppressantes, trés fortes . Puis elle s'arrêta de bouger, elle halletait trés fort, poussait des râles. Je ressortit les mains de son vagin, je n'avais jamais vu un truc se dilatter comme ça, avec une telle facilité. Je m'essuyais les mains avec des lingettes, et je commençait à l'essuyer elle aussi. Elle était toujours allongée sur la table. Là, je lui tira les cheveux, les couettes avaient disparues. Je la tirait hors de la table, la força à se mettre à genoux devant moi et elle pris une gifle monumentale. "qui t'a autorisé à me toucher les mains ?". Je lui tenait la tête en arrière par les cheveux. Elle me regardait d'un air terrorisé, elle vait compris que je reprenais le dessus, et que j'étais en colère. Elle pris 3 ou 4 gifles et me demanda pardon plusieurs fois. Elle me demanda comment pouvait t'elle se faire pardonner . (c'était un code pour que je la pénétre, que je "lui fasse l'amour" comme elle avait écrit). Mais je ne m'en sentais pas capable, elle était tellement dilatée de partout que je ne voyais pas comment j'allais pouvoir prendre du plaisir. Alors je pris ma ceinture en cuir qui tenait mon pantalon (ça ce n'était pas dans le scénario). Je dégraffais mon pantalon et lui dit "suce moi, je vais te fouetter avec ma ceinture maintenant. là, elle fit de gros yeux et se mis à sourire. Je lui tirais les cheveux pour coller son visage sur mon pantalon. Elle le baissa et me pris le sex dans sa bouche. elle commença des vas et viens, mais elle n'aspirais pas assez à mon goût. Alors elle pris un premier coup de ceinture sur les fesses, assez fort. "aspire plus fort sale truie". (ça ça m'est venue comme ça ). elle me regarda d'un air satisfait et vicieux, elle avait aimé ce mot. Elle se mit à me sucer plus fort, beaucoup mieux, et je lui mettait des coups de ceinture de temps en temps. Puis je commençais à sentir monter le plaisir en moi, je la regardais, je lui appuyais la tête pour qu'elle prenne mon sex plus profondément en bouche, elle toussa mais reprit la fellation. Je lâcha la ceinture, la retourna, et je me mis à la sodomiser violemment. Je dis bien violemment car elle était tellement dilatée que je n'éprouvais aucune sensation de pénétration par là aussi. Je lui tirais les cheveux et lui ordonna de serrer son cul. Elle s'excuta, mais je vis que c'était compliqué pour elle, elle n'avait plus de muscles à cet endroit. j'arrivais finalement à caler mes coups de reins sur ses contractions pour avaoir des sensations de pénétration. je finis par exploser dans son anus, je me déchargeais en elle. J'étais en sueur moi aussi. ça faisait plus de 3 heures que celà durait. Je voulais en finir. Une fois avoir éjaculé en elle, je me remis debout, le sexe encore légérement en érection, elle à 4 pattes face à moi elle fixa ma verge. Je lui pris le visage par la machoire et lui dit "tu va me nettoyer de tes sécrétions de truie". Elle me fit un large sourire, et se mis à me sucer divinement bien... Tellement que je déchargeais une deuxième fois dans sa gorge... Je lui tendis une serviette et je lui dit "recrache, tu ne mérites pas de goûter à ma semence". Elle recracha. Nous avons arrété là dessus. Nous nous sommes douchés, avons discuté et pris un apéritif au champagne. il était 18h00 passé. Mais cette folle voulait reprendre une relation, pas moi. Elle me harcela pendant des semaines . Devant mon silence, elle s'est arrêtée finalement. Autant j'avais pû aimer cette femme et la respecter lors de notre relation vanille, autant là, je l'ai traité comme elle se traîte elle même , comme une merde, et c'est ce qu'elle voulait; Elle avait écris en grande partie ce scénario. Depuis, je suis devenu un DOM beaucoup plus soft, beaucoup moins dur, moins violent, plus respectueux; c'est ce que j'étais avant. Le plaisir de cette aventure n'était que psychologique, rien de physique au final. Mais il n'y a eu ce plaisir que parce que c'était elle, parce qu'il y avait des attentes psychologique des deux cotés. C'est assez malsain au final...mais purée que ce fût bon de la traiter ainsi !!!! RRAAAHH
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Par : le 12/04/21
Imaginez-vous face à moi, l'inconnu. A la fois effrayée, à la fois fascinée. Ne sachant quoi ressentir, ni comment vous comporter. Je vous dévisage de haut en bas, sans aucune gène, à vous faire ressentir qu'à cet instant vous êtes ma proie, et que vous n'avez pas mot à dire. Votre esprit vous pousse à vous hérisser par instinct de défense, mais vous fait rougir l'instant d'après, en voyant mon sourire narquois à constater que cela ne va en rien me faire sourciller. Vous entreprenez de me parler, pour éloigner cette gène des plus oppressantes, de vous ressentir enfant à l'heure de la punition. La punition d'une vie, mise sur le bas côté. J'empoigne votre cou de ma main ferme, et de l'autre vous lie à moi derrière votre dos. Incarcérée de mon étreinte, vous sentez la chaleur de votre corps s'intensifier, et votre cœur battre à la chamade. Vous regardant droit dans les yeux, j'entreprends maintenant de vous prendre par la tignasse, projetant votre tête à l'arrière. "Voilà ce que j'attends de toi" ; Vous dis-je d'une voix limpide et sans équivoque : "Je veux que tu me fasses Bien Bander. Et pour cela, tu vas faire exactement ce que je te dirais de faire. Est-ce Bien Clair !?" Me regardant, sans bouger d'un pouce, de peur de voir vos émotions déborder, et se disperser aux 4 vents, je prends en bouche votre cou. Vous sentez mes lèvres sulfureuses... puis mes dents, pouvant vous croquer et vous assener un coup fatal. Un coup pouvant vous marquer de mon empreinte de Mâle, prêt à se rassasier de votre chair devenue bien tendre... Tout en maintenant mon étreinte, je vous laisse les bras ballants pendant que je caresse votre visage, et parcoure votre corps, en insistant bien sur cette poitrine qui ne tient qu'à être martyrisée par mes soins. Faire ressurgir cette envie de servir l'homme dans son avilissement, et sa bestialité. Je bute déraisonnablement contre vos tétons maintenant très durcis, avouant que ce n'est pas la délicatesse qui vous fera jouir. Mais bien mes besoins à me satisfaire entièrement de vous, sans la moindre concession. Je vous retourne prestement, juste pour avoir le plaisir de sentir votre "petit" cul se frotter contre mes couilles. Une jolie attention que je m'octroie, et qui vous suggère, qu'il va falloir vous donner entièrement à moi pour que je vous offre ma Pine. Nous dansons d'un ballet tournoyant, et constate que vous suivez bien le rythme de mon excitation. Je vous amène prêt de mon lit, je m'assois, et vous met debout, droit devant moi. Fébrile à ma vue, je fais le nécessaire pour dégrafer votre pantalon, l'abaissant jusqu'à vos pieds. Je m'attarde maintenant sur votre culotte, que j'abaisse de gauche à droite de coups secs. "Tu te dois de bien être mouillée, pour que je puisse bien te démonter la chatte." "Mais peut être que j'aimerais plus encore que tu sois entièrement sèche, afin de me régaler de tes parois serrées." "Voyons cela..." D'un geste précis, j'engouffre mon index dans votre intimité, ne vous ménageant pas à bien tourner à l'intérieur, pour un recueillir toute la sève. Ressortant ce doigt odorant et humide, je vous l'engouffre l'instant d'après, au fond de votre gorge. "C'est un bon début." "Alors comme ça, tu as laissé à l'abandon ce corps qui ne demandait qu'à servir !? Quelle honte." Vous retournant sur le lit en position de levrette, je vous fesses maintenant d'une main claquante. "C'est tout ce que tu mérite." Marquant simplement quelques arrêts à empoigner votre tignasse, et regarder ce visage honteux qui ne sait plus où se mettre, à part se soumettre. Je vous met à nue, vos vêtements volant dans la pièce. Vous êtes sur le dos, vos mollets fermement empoignés par mes mains. Je vous relève, et vous écarte les jambes, pour m'offrir l'entière vue de votre corps m'appartenant. "Ne bouge pas d'un pouce, Tiens la pause." Je vous attache les mains aux pieds, de sangles en cuir. Offerte, dans la position la plus obscène qui soit, je vous cale à hauteur de ma queue, que je ne vais pas sortir pour rien. Je vous goûte d'une langue appuyée, de toute la longueur de votre fente, vous regarde de toute ma candeur d'homme, et vous pose la question suivante : "Tu es quoi pour moi !!?" « Je suis... tienne. Je t’appartiens. Je suis là pour ton plaisir. Je veux te montrer à quel point j’ai envie » Je te prends par la mâchoire, et te fesses d'une main cinglante ton "petit" cul relevé. "Tu parle trop." "Tu es quoi Pour Moi !!?" "Ta soumise." A ces mots, tu te raidis de tout ton être, ne comprenant que trop bien ce que tu me signifie ouvertement. Tu te sens calme dans l'esprit (Tu arrives à transformer cette situation en "défi"), mais ton corps lui est pris de panique, et se contracte au maximum. Je ne desserre en rien ta mâchoire, et t'impose à bien ouvrir la bouche, et te faire tirer ta langue à l'extrême. Lorsque j'estime l'avoir ouverte à ma convenance, je laisse écouler une longue coulée de salive, tombant d'abord sur ta langue, et s'infiltrant irrémédiablement au fond de ta gorge. "Si tu l'ouvre, ce n'est pas pour raconter ta vie. Tu existes pour me servir. Ta bouche est un orifice que je vais éduquer à me satisfaire." Appuyant bien ta tête contre mon oreiller, pour bien te le faire mémoriser. Je m'éloigne l'instant d'après de ton corps, et commence à me déshabiller entièrement. Tu as une sensation de fraicheur "bizarre", comme si la pression que je t'avais donnée, te gelait maintenant de toute tes entrailles, de mes deux mètres de distance. Nue, offerte, souillée, attachée, tenant cette pose obscène... Tu refusais de t'avouer, d'autant plus à cet instant, que tu avais besoin d'un homme. Mais tu ressentais ce "vide" mainte fois convoité par ton esprit. Laissant tes obligations et tes principes de côté, devenant bien obsolètes face à ta condition actuelle. Ton regard était fixé sur mon corps, te remettant en "apnée" (Le souffle coupé). Après avoir enfilé une capote, je me mettais à ta hauteur, ma queue butant maintenant contre ta vulve. Je te fixais d'un air exigeant. "Qu'est-ce que je t'ai dis !!!" Spontanément, tu te surprends à ré-ouvrir ta bouche, et bien tirer ta langue comme jamais. "J'aime mieux ça !" Prenant ma queue et te la mettant directement au fond de ta chatte. Je prenais maintenant un malin plaisir, à assoir mon poids sur toi, pour bien te la mettre jusqu'à la garde. Tu te sentais plus vulnérable que jamais, laissant échapper un râle de satisfaction, autant d'inconfort. Je maintenais cette pose, voulant que ta sève imbibe mon membre de l'intérieur. A la fois, tu te ressentais serrée, à la fois ton corps se sentait à sa place à me recueillir. Je commençais à te vriller le vagin en tournant à l'intérieur. Une danse que je t'avais préalablement appris à faire..., et ton corps emboitait le pas. Mon premier coup te prit par surprise. Un coup de reins te faisant avoir un soubresaut. Une sensation nouvelle de possession prenant tout son sens. "Tu es quoi pour moi !!?" "Je suis celle qui est là pour te servir." Je te caresse la joue, attendant une nouvelle mauvaise réponse de ta part. "Ta soumise." "Alors comme ça tu veux être Ma Soumise..." doublé d'un coup de queue ferme et appuyé. "Parce que tu crois que tu me mérite !?" doublé d'un coup de queue ferme et appuyé. Je te prends maintenant de mes deux mains sur ton cou, et simule une strangulation. doublé d'un coup de queue ferme et appuyé. Par défi, et parce que le rythme te convient, tu te complais à avoir un sourire revanchard et rebelle. Je me retire de toi prestement... Me rapproche de ton visage et te dis : "Tu te crois où ici !!?" Te sentant penaude. Tu aurais tendance à tourner le visage... Mais je te recadre la tête aussitôt, remettant ma pine au plus profond de toi. Un coup sec te signifiant que tu m'appartiens, et qu'à chaque coups de ma queue, je te donne de la valeur à mes yeux. "Tu es quoi pour moi !!?" "Ta soumise. Reconnaissante." Te culbutant maintenant ouvertement avec excès, je visualisais ton devenir. Toi, cette femme qui parlait beaucoup trop. Une projection, qui n'avait d'égale que ton sourire à encaisser mes coups de queue bien ancrés dans le présent, avec un plaisir non dissimulé. (Ce qui était une avancée en soi) Je m'arrêtais, me mettais à la hauteur de ton visage, et te murmurais à l'oreille : "Qu'est-ce que j'attends de toi !?" La suite par vos mots... *Jeu ludique sans limitation de durée. Scénario à construire et à incrémenter par "vous" femmes prétendantes Soumises /Soumises Novices ou expérimentées. Un écrit dans les commentaires de votre part = Un écrit du mien à sa suite, pour conserver le rythme du scénario. Si doublon, par deux membres s'exprimant dans le même temps dans cet exercice de style = Je choisirais l'écrit le plus pertinent. Je m'occupe de la modération pour conserver la lisibilité des écrits.
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Par : le 12/04/21
Notre histoire est une belle rencontre, il y a 4 ans ce jour. Vous qui m'avez beaucoup appris. Vous qui m'avez guidé, Vous qui m'avez su m'apprivoiser. Vous avez su comprendre celle que je suis, écouter mes peurs, tabous et bribes de mes blessures enfantines. J'ai su ouvrir les yeux sur certaines choses, il y a des "jamais je ne ferais cela" finalement avec Vous, j'ai pu me libérer de certaines peurs, blocages, tabous. Car c’est avec Vous que je suis en confiance, en sécurité, protégé. Je sais bien que ce sentiment d’épanouissement, m'a fait me dépasser, par la belle complicité qui nous 'unit'. Il y a des Personnes ou une Personne que l'on rencontre comme cela, au gré d'un mail reçu, au détour d'un dialogue, parfois par hasard, tout comme Notre relation. Je voulais supprimer mon annonce sur sensationsm, j'ai écouté, entendu mon amie soumise, 15 jours à peine un mail de Vous, court message, le principal était écrit. Il y a ces moments inoubliables dont je sais que je ne pourrais revivre, des instants qui ferons penser à Vous. Il y a Vous qui m'avez aidé à accepter ma nudité, à accepter mon corps, tant de larmes à mes débuts à me montrer nue. Je pense que c'est ce qui a été le plus dur pour moi. Je me suis sentie acceptée telle que je suis par Vous, aucune moquerie, aucun jeu de faux semblants. Des mails insultants sur mon physique, j'ai reçu quelque fois, j'y ai toujours répondu en disant ma pensée. Je me montre telle que je suis, tellement facile d'écrire certaines choses derrière son écran et de ne pas mettre une photo récente de soi ou de tronquer son âge qui reste le même alors que l'annonce change par son intitulé au fils des années. Ne pas se montrer mais rabaisser celle qui ose affronter ses peurs. Qui rend ainsi hommage à Son Maître. (J'ai du mal à comprendre ceux qui choisissent une soumise ronde ou bien ronde et qui prennent du 'plaisir' à l'humilier pour ses kilos de trop). (Pourquoi choisir une qui ne plait pas physiquement, jouer avec elle, profiter, la rabaisser). Est-ce faire grandir une soumise que d'agir ainsi ? Etre soi et mieux que paraître. Avec Vous, j'ai pu affronter certains défis envers moi. Disons à Vous prouver certaines choses en m'acceptant, en faisant fi de mes complexes. Votre attention à mon égard ce premier jour et à ce jour m'a permis de me dépasser, de prendre confiance en moi. Puis il y a ses phrases murmurées que Personne ne m'a jamais dite et que Vous, qui dites peu en parole m'ont touché au plus profond de mon âme, de mon cœur, laissant s'échapper de temps à autre une perle d’eau sur ma joue. De l’élégance et du savoir-vivre, une certaine éducation, Votre courtoisie et IMMENSE respect m'a fait chavirer, j'apprécie certains égards c'est ainsi. Quelques heures volées au temps, Une parenthèse comme j'ai souvent dit dans Votre vie. 4 années à savourer avec Vous dans le respect et l'attention réciproque. Une rencontre d’une saveur exquise, La rencontre qui m'a fait m'abandonner, et des sentiments qui sont venus au fil du temps ainsi que le 'plaisir' bonheur partagé en toute simplicité. Nous nous comprenons instantanément, sans recourir à des flots de paroles inutiles, nos regards parlent pour Nous. J'aime Votre regard positif sur la vie, Votre mental de battant, j'aime les battants Vous le savez et je suis une résiliente. Vous dites peu de Vos sentiments à mon égard, mais parfois quand Vous Vous dévoiler, mes yeux se voilent. Votre présence va me manquer, Votre odeur de parfum de peau que j'aime tant humer. Les effluves de Votre parfum préféré. Votre voix, la voix de Vous mon bel amour de Maître. L'attirance a été présente ce premier jour de Votre invitation au restaurant sans savoir l'issue de cette belle rencontre. Quelques soient nos blessures, fêlures, nous avons d'ailleurs chacun les nôtres, vous avez su toucher mon âme et j'en ai été bouleversé. Avec Vous, l'envie d'être ensemble, de partager dans la fidélité, la totale confiance de nos paroles du début qui ont été et à ce jour respecté de chaque côté. Nous avons tous des blocages qui nous inhibent dans notre vie de tous les jours, qu'il s'agisse de timidité ou de manque de confiance en soi en raison de notre physique, de notre intelligence ou de nos origines sociales, on se bat au quotidien pour surmonter nos complexes Grâce à votre soutien, votre regard sur moi, j'ai pu affronter mes peurs avec Vous la force d'y parvenir, de réussir, de grandir. Dans une vie, il y a des rencontres ou Une rencontre que l'on n'oublie pas ou ne peux pas oublier, celle qui marque une vie entière ou une partie de la vie. Cela peut être une personne qui a cru en nous, qui nous a aidé à grandir, à se construire. Le passé est le passé, il faut avancer et ne pas regarder en arrière. On ne peut revenir en arrière, il faut continuer et se dire que ce que l'on a vécu était beau. La vie et ses choix à faire, toujours une question de choix, on écoute son cœur, son intuition. Je garde en moi ces beaux souvenirs des instants avec Vous des caves parisiennes, au bord de mer, des soirées au club clair-obscur, de belles et rares rencontres faites ensemble, ces souvenirs seront présents dans l'écrin de mon coeur. Notre relation de 4 ans m'a beaucoup appris et apporté, même si au final, elle se termine, il faut aller de l'avant, je savais l'issue depuis un an passé. Tout le monde espère que La relation dure et perdure, mais qui sait combien de temps elle ne durera personne ne le sait. Quand on a vécu quelque chose de beau, se contenter du médiocre, non Comme toutes les belles histoires, la Notre à une fin, il est temps de tourner la page bientôt, mais le livre comme Vous me l'avez dit le 13 mars 2014 ne se referme pas, il sera autrement et si un jour une opportunité se présente de se revoir, le bonheur sera. Je n'oublierai pas Vous mon bel amour de Maître, une relation sincère et saine qui a été entre Nous. C’est la première fois que j'ai un Maître digne de ce nom. Celui qui, même des années plus tard, la relation terminée pour les raisons qui lui sont personnelles et acceptées, On ne peut oublier. Alors en ce qui me concerne, plus ridée que je ne suis, plus âgée que je serais dans quelque années, jamais je ne vous oublierai. Le 23 mars 2014
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Par : le 12/04/21
Chapitre 42 Emmanuelle Extraits : » … Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter. Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer… Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même. Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon. Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé. Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant. .. Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée. Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie. Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents. Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie…. » Noémie a retrouvé la liberté mais n’est pas sortie de la galère pour autant. Elle n’a plus de taf et les impayés de loyer de son appartement l’ont forcée à résilier le bail. Les rares meublés de Nevers disponibles sont assez chers et elle n’a pas un dossier suffisamment solide pour postuler. Elle est à la rue et en parle à sa meilleure amie Sidonie. Celle-ci lui dit qu’elle ne peut pas la loger car son appartement est trop exigu mais elle lui explique qu’elle a une tante dans la ville qui a un grand appartement et qui parfois loue une chambre à une étudiante. Noémie se raccroche à cette bouée et Sidonie promet d’intervenir auprès de sa tante pour qu’elle accepte de loger Noémie en lui laissant le temps de se refaire une santé financière. Emmanuelle, la tante de Sidonie est touchée et accepte de recevoir Noémie pour que cette dernière plaide sa cause. Noémie est reçue par Emmanuelle. Tout de suite Noémie est conquise. Emmanuelle est une femme mure mais belle comme un cœur. Grande, fine et élégante elle a un charme fou et doit certainement se faire draguer comme une ado. Noémie hésite entre milf et couguar. Emmanuelle trouve mignonne cette fille qui semble avoir du caractère. Elle lui fait visiter l’appartement et montre une chambre munie d’une petite salle de bains à Noémie. Celle-ci est enthousiaste et embrasse Emmanuelle lorsque celle-ci lui annonce qu’elle lui loue la chambre en acceptant d’être payée quand Noémie se sera refaite. Noémie exulte et la visite se poursuit. Emmanuelle lui dit qu’elle peut aller dans tout l’appartement sauf dans sa propre chambre qui possède aussi une salle de bains ce qui fait qu’elles pourront vivre chacune leur vie. Le soir même Noémie emménage. Emmanuelle a préparé un repas pour deux et elles passent une excellente soirée. Noémie se sent revivre et Emmanuelle est conquise par cette fille qui semble faire preuve d’une autorité naturelle. Quelques jours plus tard dans la nuit Noémie se réveille avec une soif pas possible. Elle décide de se rendre dans la cuisine pour y trouver de quoi se boire. Lorsqu’elle retourne vers sa chambre, en passant devant la porte de la chambre d’Emmanuelle, il lui semble entendre un petit gémissement provenant de cette chambre. Elle s’arrête et colle son oreille à la porte. Effectivement elle n’a pas rêvé et entend bien des gémissements. Elle s’affole et espère qu’Emmanuelle n’est pas malade ou à l’agonie. Doucement elle ouvre la porte de la chambre. Les gémissements sont nettement audibles. Elle s’approche du lit d’Emmanuelle en utilisant son portable pour s’éclairer chichement. Arrivée auprès du lit elle comprend l’origine des gémissements. Emmanuelle est ligotée nue sur le lit. Ses bras sont attachés ensemble à la tête du lit. Ses jambes sont attachées écartées à chaque coin du lit et un magic wand bien attaché entre ses jambes ronronne doucement la tête collée au clitoris d’Emmanuelle. Le tableau excite Noémie qui se demande quelle conduite adopter. Voyant qu’Emmanuelle s’est mis un bâillon boule et un masque aveuglant, elle la félicite intérieurement pour ce self bondage d’enfer. Elle prend délicatement la lampe de chevet et la pose par terre avant de l’allumer. La clarté diffuse ne semble pas avoir été remarquée par Emmanuelle qui continue à prendre son pied. Noémie voit les clés des menottes posées sur le lit à quelques centimètres des mains d’Emmanuelle. Elle est fortement tentée de les chaparder. Au dernier moment elle se ravise. Détournant à regret son regard du lit elle jette un œil au reste de la chambre. Sur les murs il y a quelques tableaux. Noémie s’en approche et voit qu’il s’agit de dessins magnifiques représentant Emmanuelle dans des positions de soumissions diverses. Là elle est à genou et tend vers le l’observateur la poignée d’une laisse qui est accrochée à un collie autour de son cou, là elle est la princesse Leila esclave de horrible Jabba et d’autres dessins tous plus suggestifs les uns que les autres. Rassurée sur la santé d’Emmanuelle Noémie quitte à regret la chambre et referme délicatement la porte. Elle mettra longtemps avant de se rendormir excitée comme une folle par ce qu’elle a pu voir. Emmanuelle est persuadée qu’elle n’a pas rêvé et que quelqu’un pénétré dans sa chambre pendant qu’elle était bondée. Elle sait que ça ne peut être que Noémie et est extrêmement troublée. Elle regrette presque que Noémie e n’ai pas profité de la situation. Elle se libère et veut allumer sa lampe de chevet. Celle-ci a été légèrement déplacée et elle comprend que Noémie est bien venue dans la chambre. Elle ne pourra plus dormir de la nuit s’imaginant esclave d’une reine sévère ayant les traits d Noémie. Le lendemain les femmes se croisent dans la cuisine et font comme si de rien n’était. Cependant elles se jettent des regards entendus. Noémie sort et passe sa journée à des entretiens d’embauche et la recherche de jobs. Le soir en rentrant elle est un peu désespérée car pour l’instant rien ne se profile à l’horizon. Emmanuelle l’attend et prépare un repas amélioré. Une bouteille de champagne trône sur la table du salon, et une bouteille de vin sur la table de la salle à manger. Devant le regard étonné de Noémie Emmanuelle explique que ça fait une semaine qu’elles partagent la maison et qu’elles s’entendent à merveille ce qui mérite une petite soirée spéciale. Les deux femmes font honneur au champagne et à la bouteille de vin en mangeant. Après le repas Noémie s’excuse pour aller passer dans la salle de bains et revenir au salon pour le reste de la soirée dans une tenue plus légère. Emmanuelle l’attend tranquillement. Noémie se douche et va pour mettre sa robe de chambre quand elle a une inspiration certainement aidée par l’absorption de champagne et de vin. Finalement elle ne met qu’une nuisette arachnéenne sans aucun sous-vêtement laissant par transparence voir tout son corps. Elle se dit qu’elle doit bien ça à Emmanuelle qu’elle a vu nue. Lorsqu’elle entre dans le salon elle voit du coin de l’œil une nouvelle bouteille de champagne posée sur la table basse. Mais elle voit surtout le regard ébahit d’Emmanuelle qui la fixe avec attention. Je suis plus à l’aise comme ça dit Noémie. Tu devrais aussi te mettre plus à l’aise. Emmanuelle ne sait pas quoi faire elle est troublée par ce tutoiement et la vue de la belle Noémie. Noémie se rapproche d’elle et lui susurre : Je suis sure que tu serais beaucoup plus à l’aise si tu te mettais nue. Emmanuelle est affolée et ne bouge pas comme une souris hypnotisée par un serpent. Mets-toi nue je te l’ordonne dit Noémie en souriant. Emmanuelle reprend ses esprits et dit : je vais me mettre à l’aise je reviens. Et elle part d’un pas hésitant vers sa chambre. Noémie ouvre la bouteille de champagne et sert deux coupes. Elle s’installe dans le canapé et attend le retour d’Emmanuelle. Celle-ci revient avec une nuisette charmante transparente qui laisse voir qu’elle ne porte pas de sous-vêtements mais un magnifique harnais en cuir noir qui épouse les contours de ses formes voluptueuses. Ce coup-là c’est Noémie qui a un regard hébété. Emmanuelle s’assoit aux cotés de Noémie. Et tend sa main vers une coupe. Noémie lui bloque la main et dit tu serais mieux à genou à mes pieds. Emmanuelle la regarde interdite. Oui je veux te voir à mes genoux. Je suis sùre que c’est ta place. Emmanuelle est affolée. Cette Noémie la met dans tous ses états et elle souhaite que ça continue. Elle se met à genou face à Noémie. Celle-ci lui caresse la tête et la fait boire directement dans sa coupe. Puis Noémie ajoute tu devrais aller chercher des menottes, un collier et une laisse. Emmanuelle se lève et part vers sa chambre. En passant tu enlèveras ta nuisette rajoute Noémie. Emmanuelle revient avec les accessoires demandés. Noémie lui menotte le bras dans le dos et lui met le collier et la laisse. Maintenant tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta langue. Emmanuelle la regarde interdite. Noémie tire sur la laisse et approche la tête d’Emmanuelle de son sexe. Emmanuelle plonge bouche en avant pour sucer l’abricot qui lui tend les lèvres. Emmanuelle et Noémie apprennent à connaitre le corps de l’autre. Tour à tour elles embrassent lèchent sucent. Noémie a aussi la possibilité de malaxer les seins et les fesses d’Emmanuelle qui ne peut rendre la pareille. Enfin sans s’en rendre compte elles se retrouvent dans le lit d’Emmanuelle ou elles s’endrameront tête bèche dans un bonheur partagé Tard dans la nuit Noémie se réveille avec un peu mal au crane. Elle se remémore soudain la soirée et voir Emmanuelle toujours menottée pelotonnée contre elle. Délicatement elle détache les menottes et recouvre Emmanuelle d’un drap. Elle lui pose un dernier baisé sur la bouche et retourne dans sa propre chambre. Une fois qu’elle a tourné le dos, Emmanuelle ouvre l’œil et lui envoie un baiser sans que Noémie ne le voie. Emmanuelle s’endort comblée. Le lendemain matin les deux femmes ont un peu la tête de bois. Elles se retrouvent dans la cuisine et ne parlent pas de la soirée précédente. Néanmoins au moment où Noémie va quitter la maison pour une nouvelle journée à trouver du taf Emmanuelle lui souffle : Reviens-moi vite. La journée de Noémie s’annonce radieuse. Le soie lorsqu’elle rentre Emmanuelle est à la porte et l’accueille avec un grand sourire. Les femmes vont dans le salon et confortablement installées sur le canapé elles se racontent leur journée. Le repas du soir a été préparé par Emmanuelle qui a mis un petit tablier sexy pour servir. Noémie apprécie et dit tu devrais me servir avec juste ce tablier sur toi ce serait vraiment cool. Puis elles mangent ensembles et passent une soirée amicale devant la télévision. Le lendemain matin lorsque Noémie se lève elle sent une bonne odeur de pain grillé et s’approche de la cuisine de bonne humeur. Emmanuelle l’attend pour la servir. Elle ne porte que le petit tablier. Noémie est radieuse et dit : ça te va super bien vraiment tu es faites pour me servir comme ça. Il ne te manque que le collier de cuir. Emmanuelle ne déjeune pas et sert Noémie qui est aux anges. En quittant la maison au lieu d’embrasser Emmanuelle elle passe derrière elle et lui saisit les seins à pleine main. Au revoir ma belle soubrette à ce soir. Le soir lorsqu’elle rentre Emmanuelle l’accueille elle est dans la même tenue que le matin et porte un large collier de cuir. Noémie l’embrasse et lui dit ce soir je dine dans la salle à manger. Emmanuelle la sert dans la salle à manger. Noémie lui dit entre deux plats. Puisque tu ne manges pas avec moi tu devrais passer sous la table et t’occuper de moi. Emmanuelle passe sous la table et commence goulument à prodiguer des caresses buccales à Noémie. Celle-ci ronronne de plaisir. Elles se retrouvent dans le canapé. Noémie s’est mis nue pour être à l’aise et se faire caresser par Emmanuelle. Noémie continue ses exigences. Le matin quand je me lève et le soir quand je rentre j’aimerai te voir nue à genou avec juste le collier et une laisse que tu me tendras. Ensuite je déciderais de ce qu’on fera. D’ailleurs ce soir je crois que je vais t’attacher pour la nuit dans ton lit. Emmanuelle est émoustillée. Elle se demande si Noémie raconte des bobards ou pas. En fin de soirée Noémie saisit la laisse et emmène Emmanuelle dans sa chambre. Là elle l’attache en croix sur le lit. En fouillant dans la table de chevet d’Emmanuelle elle découvre un plug annal et un gode vibrant. Elle bâillonne Emmanuelle et entreprend de visiter ses orifices restants. Elle constate qu’Emmanuelle mouille à l’extrême et lui insère les deux engins. Elle met en route le gode vibrant et rapidement Emmanuelle se laisse aller à des orgasmes puissants. Noémie tient le gode mais le laisse en place. Elle met une sangle bien serrée qui pousse les deux engins dans le fondement d’Emmanuelle et après l’avoir bâillonnée lui souhaite une bonne nuit. Dans la nuit elle va détacher Emmanuelle en lui précisant qu’elle ne voudrait pas se lever sans sentir la bonne odeur de café. Les jours se suivent et petit à petit les deux femmes trouvent leurs marques. Emmanuelle porte maintenant un harnais en cuir rouge qui lui fait un magnifique shibari bien serré sur tout le corps. Elle passe les soirées devant la télé à genou aux pieds de sa maitresse qui l’utilise comme esclave sexuelle. Emmanuelle kiffe cette vie. Elle a l’impression de revivre et d’avoir un but dans la vie. Plaire à Noémie et lui appartenir totalement. Noémie est aux anges. Elle a une bonne esclave, douée pour le sexe et qui ne lui refuse rien. Elle pense qu’il faudrait qu’elle fasse partager sa réussite avec quelqu’un. Pourquoi pas Sidonie sa meilleure amie qui doit toujours avoir son soumis à la maison. C’est décidé. Elle prévient Emmanuelle qu’elle a l’intention d’inviter Sidonie et son mari à la maison. Emmanuelle est effarée. Elle craint de se montrer en esclave à sa nièce Sidonie. Noémie la punit plusieurs fois et désormais Emmanuelle dort attachée au pied du lit de Noémie. De plus Noémie l’attache à un radiateur lorsqu’elle part le matin et ne la détache qu’à son retour. Au bout de quelques jours Emmanuelle est à bout et accepte l’idée de Noémie. Sidonie est enchantée de venir rendre visite à sa tante. Son compagnon n’a pas pu venir mais elle sera heureuse de voir Noémie et sa tante qui visiblement s’entendent à merveille. Elle sonne et la porte s’ouvre sur une Noémie enchantée. Celle-ci embrasse Sidonie et la remercie de lui avoir fait connaitre Emmanuelle. Sidonie la remercie mais demande ou se trouve Emmanuelle. Elle est dans le salon elle ne peut pas bouger. Sidonie s’inquiète aussitôt. Noémie rit : Non ne t’en fais pas elle va bien très bien même mais tu vas être étonnée en la voyant. Sidoine connaissant les penchants de Noémie lui dit : Non tu n’as pas… Si dit Noémie avec un grand sourire. Et elle kiffe ça tu vas voir par toi-même. Et elle invite Sidonie à rejoindre le salon. Là Sidonie voit Emmanuelle à genou à côté du canapé. Elle est nue parée de son harnais rouge qui lui fait ressortir sa peau laiteuse. Elle a un bâillon et un masque aveuglant. Tu vois dit Noémie ce qui fait tressauter Emmanuelle. Elle ne voulait pas que tu la vois à mes pieds mais elle est trop belle pour ne pas être exposée comme ça. Sidonie reprend son souffle et répond : Effectivement je n’imaginais pas qu’elle puisse être aussi belle nue. Et tu vas voir c’est une soubrette parfaite. Et Noémie enlève le masque d’Emmanuelle et lui dit : Ma chérie va nous chercher l’apéritif et vite. Et elle lui met une claque sur les fesses alors qu’Emmanuelle se dépêche de se rendre vers la cuisine. Noémie s’assoit dans le canapé et invite Sidonie à la rejoindre. Sidonie la regarde éberluée et lui demanda comment elle a fait. Noémie raconte comment elle a surpris Emmanuelle en plein self bondage et dit que tout test venu naturellement. Sur ses mots Emmanuelle qui a récupéré un peu de couleurs apporte un plateau avec des verres et des amuses gueules et le présente aux filles qui se servent . Une fois les filles servies Emmanuelle se repositionne à genou en face de Noémie qui lui caresse la tête. Noémie trinque avec Sidonie et fait boire Emmanuelle dan sa coupe. Elle ajoute à Sidonie en plus c’est une experte pour ce qui est du sexe. Tu pourras vérifier toi-même. Après ton verre. Sidonie est épatée. Sa tante ne contredit absolument pas Noémie et même sur un geste de cette dernière elle vient enfouir sa tête dans l’entrejambe écartée. Sidonie et Noémie se racontent leurs aventures et déboires divers pendant qu’Emmanuelle s’applique à sucer Noémie. Celle-ci lui dit maintenant fais profiter notre invité de tes talents. Et après l’ombre d’une hésitation Emmanuelle se met à embrasser le sexe de Sidonie. Emmanuelle sert le repas et reste derrière la chaise de Noémie pendant que les filles mangent. L’après-midi, Sidonie au moment du départ, embrasse sa tante qui lui souffle : je n’ai jamais été aussi heureuse. Sidonie les quitte le cœur joyeux. Ce soir-là Emmanuelle est déchainée et titille Noémie pour que celle-ci la punisse de toutes les façons possibles. Elle est heureuse d’avoir pu se montrer sans pudeur à sa nièce qui ne l’a pas blâmée bien au contraire. Elle finira la soirée avec quelques marques de martinet et empreintes de cordes sur tout le corps, particulièrement les seins qui ont été la cible de bondage de Noémie ce soir-là. Elle n’ose pas demander à Noémie de l’attacher pour la nuit mais celle-ci voyant son état d’excitation ne manque pas de l’immobiliser entièrement aux pieds du lit. Emmanuelle a du mal à trouver le sommeil à cause de l’inconfort de sa position mais aussi et surtout à cause de la journée mouvementée et kiffante qu’elle a vécue.
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Par : le 12/04/21
Chapitre 41 : marché aux esclaves. Extraits « … Baisse les yeux devant ta maitresse dit-elle. Virginie continue à la fixer avec fureur. Mitsuko reprend la cravache et repart pour une série de coups sur le corps déjà endolori de virginie. Celle-ci gémit dans le ballon mais de cède pas….Virginie qui n’en peut plus la toise une dernière fois puis baisse les yeux vaincue. Bien dit Mitsuko maintenant je vais t’enlever le bâillon. si tu oses parler ou crier je recommence tout à zéro. La cravache et les tortures… Enfin Frédérique se vide à grands jets sur les visages de Vanessa et d’Anna qui doivent se lécher jusqu’à la dernière goutte de sperme. Elles ont à peine finit que déjà Frédérique recommence à bander majestueusement… » Martine est décidée. Elle veut récupérer les filles qui sont désormais la propriété de morgane et Victor. Elle appelle morgane et lui propose de récupérer les deux garçons en échange des filles. Morgane refuse et après discussion demande un ou une esclave en prime pour accepter le deal. Martine est effondrée. Où va-t-elle trouver un esclave comme ça. De plus elle veut stopper sa participation aux activités du club de dominants et risque de se heurter à Laurent si elle retire les deux filles du jeu. Elle téléphone à Magalie pour lui exposer son problème. Magalie décide de faire une réunion entre amies pour discuter de ça et trouver une solution. Elle invite martine, la tigresse, Maeva et claire pour une réunion de crise. Les filles se retrouvent chez la tigresse qui s’est proposée pour les accueillir. Le soir de la réunion martine expose les faits et il s’avère que la priorité est de satisfaire la requête de morgane. A la surprise de toutes Claire propose Frédérique comme prime pour l’échange. Elle explique qu’elle commence à en avoir marre du comportement bovin de Frédérique que les pilules maintiennent dans la soumission et qu’elle veut désormais s‘en débarrassera. Les femmes finissent par convenir que c’est une bonne solution et qu’il faudrait le donner sans pilules pour faire une surprise à morgane et Victor lorsque Frédérique récupèrera sa lucidité. Ensuite le problème de Laurent est évoqué. Martine raconte le parrainage et le besoin de disposer de deux esclaves pour les soirées poker. Si elle se retire Laurent devra trouver une nouvelle partenaire et des esclaves. Maeva intervient et explique que pour Laurent Mitsuko aurait plus sa place que martine dans le club. Elle précise qu’elle fait office d’esclave et que Gisèle peut dépanner mais qu’un ou une esclave supplémentaire serait bienvenu pour que Maëva ne soit pas la seule à subir Mitsuko. Elle montre ses piercings qui impressionnent les filles et raconte sa visite de la pièce BDSM de Mitsuko. Les filles sont impressionnées. La tigresse rappelle à Magalie qu’elle peut donner Virginie qui nue est en train de servir les boissons. Magalie voit les yeux suppliants et de martine et de Maëva. Elle propose alors à la tigresse de donner virginie à Maëva pour que celle-ci l’offre à Mitsuko contre un traitement plus humain. L’accord est topé et les filles se séparent un peu rassurées. En rentrant chez elle Magalie se demande si elle ne devrait pas se séparer de Tristan qui n’a toujours pas de taf. Maeva appelle Mitsuko avec le portable que celle-ci lui a imposé. Mitsuko va pour se mettre en colère face à l’audace de Maeva mais quand celle-ci lui dit qu’el a un cadeau somptueux pour elle Mitsuko se calme un peu. Maeva lui propose de livrer le cadeau chez Mitsuko et promet qu’elle ne sera pas déçue. Mitsuko est intriguée et un rendez-vous est pris pour tard dans la soirée afin d’être discrètes. Mitsuko est de plus en plus intriguée. Cette nuit-là Maëva arrive devant chez Mitsuko et demande s’il est possible de rentrer sa voiture dans le garage afin de décharger le cadeau à l’abri des regards. Mitsuko sent la colère monter mais accepte et la voiture est rentrée. Mitsuko regarde Maeva qui ouvre le coffre et sort une magnifique femme menottée dans le dos avec un masque aveuglant et un bâillon boule. Mitsuko n’en revient pas. C’est une esclave pour vous maitresse mais elle n’est pas dressée et n’est pas consentante du tout dit Maëva. Mitsuko tape des mains saisit la laisse qui est accroché au cou de virginie et la traine derrière elle jusqu’à sa pièce dédiée. Maeva veut la suivre mais Mitsuko lui montre le sol et Maëva doit ramper jusqu’à la pièce. Ça n’est pas aujourd’hui que Mitsuko va relâcher sa domination absolue. Lorsque Maëva parvient enfin dans la pièce virginie est déjà suspendue sur le plateau tournant. Elle a encore le bâillon mais son masque a été enlevé. Elle est parée de tous ces bijoux de piercings et Maëva la trouve extrêmement joli en dehors des yeux furibonds qu’elle darde vers elle et vers Mitsuko. Puis Maëva aperçoit le mari de Mitsuko attaché aux espaliers le long du mur. Il bande comme un taureau en voyant la belle virginie tourner. Il a un bâillon et la salive qui coule long de son corps montre qu’il est là depuis un certain temps déjà. Mitsuko lui dit : si tu es bien obéissant tu pourras te la taper. Pour l’instant tu dois exécuter ta punition. Puis elle se tourne vers Virginie. Bienvenue ma belle tu es mon esclave désormais et je n’admets aucun écart. Tu vas vite comprendre. Virginie la toise du regard. Mais blanchie un peu lorsque Mitsuko se saisit d’une cravache et s’approche d’elle. Pour commencer dit Mitsuko on va te faire de jolies marques sûr ton corps si blanc. Et elle commence à cravacher virginie qui impuissante offre toutes les parties de son corps en tournant face à Mitsuko. Au bout d’une vingtaine de coups le corps de Virginie est marbré de stries bleues. Les coups ont été bien dosés car il n’y a aucune goutte de sang. Virginie pleure mais garde son air revêche. Mitsuko est visiblement contente de son œuvre. Elle conduit Maëva dans la cachette du trône et se fait lécher le sexe par cette dernière. Pendant ce temps virginie continue à tourner. Maeva comprend très vite que Mitsuko est particulièrement excitée par Virginie et le traitement qu’elle vient d’affliger. Elle mouille comme jamais. Au bout de plusieurs orgasmes Maëva sent que Mitsuko se calme un peu. Celle-ci se relève et s’approche de virginie. Baisse les yeux devant ta maitresse dit-elle. Virginie continue à la fixer avec fureur. Mitsuko reprend la cravache et repart pour une série de coups sur le corps déjà endolori de virginie. Celle-ci gémit dans le ballon mais ne cède pas. Maeva qui est toujours enfermée dans le trône ne voit rien mais peut entendre les coups et les plaintes étouffées de virginie. Elle admire la résistance de virginie. Mitsuko est en sueur et décide de changer de tactique. Elle arrête le plateau tournant et se positionne face à virginie. Là elle entreprend de pincer les seins et le sexe de virginie qui se tortille comme une folle. Le mari de Mitsuko est en pleine excitation il bande comme jamais. Enfin virginie fait un petit cri différent des autres. Mitsuko la regarde en face et lui dit alors tu vas baisser les yeux. Virginie qui n’en peut plus la toise une dernière fois puis baisse les yeux vaincue. Bien dit Mitsuko maintenant je vais t’enlever le bâillon. Si tu oses parler ou crier je recommence tout à zéro. La cravache et les tortures. Elle ôte le bâillon et virginie le visage en larme se tait. Mitsuko la détache et la couche sur le banc qui a servi précédemment pour le mari de Mitsuko et la sangle sévèrement. Elle va détacher l’homme qui se rue sur virginie et la pénètre avec vigueur. En quelques minutes il se répand en elle. Il aide ensuite Mitsuko à mettre virginie dans l’aquarium ou elle passera la nuit.. Mitsuko s’approche de Maëva et la félicite pour le cadeau. Néanmoins Maëva passer le reste de la nuit suspendue sur le plateau tournant. Martine est angoissée elle a proposé à morgane de voir le cadeau qu’elle veut lui faire en plus des deux garçons pour récupérer ana et Vanessa. Elle se présente chez morgane avec derrière elle Frédérique qui est toujours aussi passive et obéissante. Morgane et Victor sont immédiatement conquis par cette femme magnifique dotée d’un chibre impressionnant. Ils se voient déjà parader lors des soirées poker du club. Anna et Vanessa positionnées sur leur tapis commencent à espérer. Elles sont toujours tondues et martine en est affligée. Morgane dit à martine que le deal sera réalisé si Frédérique a une vigueur suffisante pour se faire les deux petites. Martine connait les capacités de Frédérique et la mort dans l’âme accepte ce dernier outrage. Les deux filles sous les ordres de morgane viennent exciter Frédérique qui répond avec ardeur. Son chibre disproportionné est tendu comme un arc. Il est trop gros pour que les filles lui fassent une fellation. L’une après l’autre il les pénètre avec force et elles sont écartelées tour à tour. Morgane pousse encore le bouchon et après avoir ordonné aux filles de retirer leurs plugs annal, elle incite Frédérique à les prendre par le cul. Heureusement qu’elles sont préparées par le port permanent de plugs imposants car sinon Frédérique les aurait défoncées. Enfin Frédérique se vide à grands jets sur les visages de Vanessa et d’Anna qui doivent se lécher jusqu’à la dernière goutte de sperme. Elles ont à peine finit que déjà Frédérique recommence à bander majestueusement. La démonstration a suffi et martine peut enfin récupérer les deux filles qui se pelotonnent contre elle. Morgane et Victor ont des projets plein la tête pour Frédérique.
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Par : le 05/04/21
30 roses baccarat pour JolieRose, les 7 couleurs du début sont pour Lissia et Miss G 1) Rouge comme certaines marques incarnates sur ma peau fine, sensible, réactive, dont certaines traces de fouet que j'ai adoré recevoir que cela soit au Club Cris et Chuchotements par Pascal le Maître des lieux, ou Monsieur Pierre qui sait manier le fouet qui me fascine. A ces deux personnes ainsi qu'à Mon amour de Maître qui le manie un peu et la confiance est. Dame Nadia à qui j'ai offert ma peau, et Monsieur Wich cet été, Mon Maître protecteur et respectueux a confiance en ces Personnes. 2) Orange à ce jour, je n'ai pas encore dit ce mot dans ma soumission, un jour peut-être. 3) Jaune quand certaines marques qui commencent à s'effacer au fil des jours... 4) Vert comme la nature que j'aime, les arbres fruitiers, les pâturages, l'herbe coupée, le jardinage qui me rappelle ma petite enfance chez des nourrices à la campagne, j'aime la terre et l'odeur de celle-ci après la pluie. 5) Bleu comme certains bleus sur ma peau dans ma soumission, je marque facilement. Bleu était mon premier pseudo sur le site sensationsm. Bleu comme la mer que j'aime par tous les temps 6) Indigo un peu la couleur du lapis lazuli. Comme la profondeur de la mer et de l'océan. 7) Violet comme certaines empreintes de fouet, cravache qui sont présentes quelques jours après avoir été dominé. Violet comme les violettes délicates, et cette couleur que j'aime. 8) Je ne bois aucun alcool, ou une petite larme de champagne de rare fois. J'ai peur quand je vois une Personne saoule, qui s'agite, crie, invective... 9) Ma drogue est le thé, j'en ai plein de petits sachets ou boites décorées, j'aime les jolies tasses, les théières, les salons de thés, j'en bois tout au long de la journée. 10) La lecture me passionne, je suis de nature curieuse, j'aime apprendre, découvrir, ma prédilection depuis 7 ans est pour les livres ou l'on apprend sur soi, je n'ai plus de place. Je suis inscrite à la médiathèque de chez moi. Quand je travaillais sur Paris en tant que secrétaire pour l'armée de l'air, en ayant une heure de train pour l'aller et le retour, j'ai beaucoup lu aussi lorsque j'étais en pensions. J'ai toujours de quoi lire dans mon sac à main si je dois me déplacer et que l'attente sera, le temps passe toujours plus vite avec de la lecture. 11) Le cinéma à ma préférence y aller seule n'est pas un souci. 12) J'aime l'opéra avec le film Philadelphia et la voix de la Callas. Placido Domingo, Pavarotti, Carreras, et autre. Mais aussi le RnB, le rock, rythme and blues, la musique baroque. 13) L'histoire découvrir encore et toujours. 14) Je suis fan de talons, j'ai x paires dans des boîtes bien rangées, dont certains que j'ai très peu porter. J'en prends le plus grand soin et j'aime les cirer, les lustrer Dernièrement, j'ai fait le tri parce que certaines paires, j'ai du mal à marcher avec. 15) J'ai deux chiennes Ruby une croisée berger belge rousse de 13 ans passés qui est aveugle depuis 3 ans à cause du diabète et depuis cette découverte, je lui fais deux piqûres par jour, matin et soir. Une autre de 6 mois de différence, Reine teckel à poils durs qui me suit partout, partout et qui pleure quand je pars et m'attends près de la porte, puis se résigne. Des tortues terrestres, les enfants veulent des animaux et qui s'en occupe Maman et j'aime. Un petit lapin depuis un an et demi. J'aime les animaux et leur amour inconditionnel. J'ai un petit jardin et les animaux ont de la place. 16) Mon grand-parents étaient Polonais. 17) Mon père est né à Détroit Etats Unis, ses parents avaient immigrés là-bas, puis sont revenus en France quand il était gamin. 18) J'aime les parfums et ai une collection de miniatures importantes, ainsi que des parfums et eaux de toilette de Lolita Lempicka, Jean Paul Gauthier, je n'ai plus de place et depuis 7 ans j'ai arrêté mes achats divers. Shalimar de Guerlain, Angel de Muggler que j'adore et porte bien souvent. 19) Les marchés, j'aime y flâner, découvrir, sentir, respirer ces odeurs de fruits, fleurs etc. 20) J'ai découvert la série Les Tudors et j'en suis fan, j'ai les dvd et j'aime ces ambiances en costume d'époque, les pourpoints, les décors, les bougies, les pièces froides, les églises, l'odeur de l'encens, les paysages, les joutes etc. Tous les films, séries, en costume d'époques j'affectionne. 21) Les uniformes ont ma prédilection, en travaillant pour l'armée de terre et air en tant que civile, j'ai été servi. Les cheveux courts, rasés, les consignes, le respect, l'obéissance, l'ordre, la propreté ont mon attirance. J'ai épousé un militaire de carrière que je n'ai pas connu sur mon lieu de travail et à la retraite celui-ci a porté un autre uniforme. 22) Les flics n'ont pas mon attirance. 23) Date du jour de la belle rencontre avec Mon Maître, le 23 mars 2010. 24) Le chocolat au lait, il ne faut pas que la tablette soit entamée sinon elle y passe. 25) La solitude j'aime et m'isoler, être au calme. Habiter dans un phare, être toute seule comme la sauvage que je suis parfois suivant les miens. 26) J'aime l'eau, je suis verseau... L'eau qui purifie, lave, qui m'apaise, qui me plait, qui me fait du bien, l'eau qui coule... Aie ! Quand je me douche...J'ai du mal à fermer le robinet. Je me rince, et me rince et me rince. 27) Je fais un peu de gym, du vélo chaque jour, de la zumba depuis l'année dernière, et le stepp avec la musique qui fait boum. 28) Les kilos et moi c'est une longue histoire, kilos perdus, on me dit que je suis malade, kilos pris pour cacher mes blessures pour que les Hommes ne me regardent plus, kilos d'une carapace, etc. J'avoue être gourmande et attirée par le sucré. Parait que suis cuisine bien. Tout ce qui est gras ne me plait pas, friture, panés, trop d'huile, charcuterie, etc. 29) Le fouet me fascine depuis que je l'ai découvert, un de mes rêves : être fouettée au sang. Un autre souhait serait d'avoir un branding au fer avec une fleur de lys. J'ai un tatouage rêvé en mai 2011 et réalisé en novembre, des anneaux sur mes lèvres intimes symboles de mon appartenance. 30) J'ai du mal à dire : je t'aime... Je l'ai peu entendu dans mon enfance. Je n'aime pas le mot 'plaisir' que je remplace souvent par bonheur ou un autre mot. Petite fille, mon père me disait : "Sois gentille, fait moi plaisir..." Il me prenait la main pour ... Certains mots étaient interdits par moi, j'ai appris à les prononcer et les dire, les écrire depuis 5 ans. J'aime la subtilité, la vulgarité que nenni. Les joutes verbales, les taquineries, ce qui est dévoilé, une attirance pour les mots plus que tout, les belles écritures, les belles âmes, les enfants, l'innocence, la pureté, les petits anges blancs. J'aime écrire, et coucher sur papier les mots de mon cœur, de mon âme, de mes tripes, chaque soir en principe, avant de reposer mes yeux, j'écris à Mon Maître c'est lui qui m'a encouragé pour que je publie mes récits, poèmes, acrostiches. Je suis heureuse, j'ai une famille et j'y tiens. Je suis positive, combative et comme j'aime à dire et redire, il faut savoir se relever malgré les épreuves de la vie. La vie est faite de choix, parfois le choix n'a pas été, j'ai dû subir mais c'était avant... La vie est belle. Le 11 02 2014
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Par : le 05/04/21
A ne pas être trop éloignés, il est plus facile de se voir plus souvent qu’à nos habitudes. Cette fin février, synonyme de congés, était l’occasion d’un petit week-end à tes côtés, qui plus est sous une météo plutôt plaisante, quoi que fraîche, à ne pas sortir un soumis dehors ! A peine arrivé ou presque, tu t’enquiers de mon état de forme pour savoir si tu peux profiter de la soirée pour faire un simple essai des conseils de « montage » du humbler que tu avais réussi à glaner suite à notre première expérience plutôt erratique. Bien évidemment que je suis partant. Et donc, lorsque la nuit fut venue, nous montâmes dans ton antre. Direction ton lit, dans le plus simple appareil bien évidemment. Tu me tends néanmoins la toute dernière cagoule plus adaptée pour certaines situations, puis le gros collier à clous. Tiens, tiens, je pensais avoir signé pour un simple essayage. On m’aurait menti ? Heureusement que j’aime ça. Tu me fais donc installer à genoux sur le dessus de lit, les cuisses écartées juste ce qu’il faut, le dos cambré comme il se doit pour faire ressortir les fesses et te laisser ainsi la meilleure accessibilité possible. Désormais, je ne peux que me fier à mes impressions : comme tu sembles ni te plaindre ni galérer, j’en déduis que les préparatifs sont efficaces. J’ai néanmoins une doute physique que cela passe. Il faut dire que ma morphologie n’aide pas forcément. Mais, patient que je suis devenu, j’attends la suite. Petit à petit, je sens que les deux plaques de bois viennent enserrer et contraindre mes testicules. L’effet ne se fait pas attendre : une certaine excitation se produit. Il semblerait que tu aies réussi ton coup. Pour un essai, tu aurais pu en rester là. A l’origine, tu voulais essayer ces conseils pour savoir si tu pourrais intégrer ce diabolique humbler dans nos prochaines séances. Que nenni ! Cela devait être trop tentant d’avoir son soumis ainsi immobilisé et exhibé. Surtout que tu ne dédaignes jamais tourmenter mon intimité. Ainsi, je suis contraint de subir tour à tour les assauts d’élastiques, de griffes, et même du paddle main. Autant les couilles sont devenus hyper sensibles, et donc très réactives au moindre contact, autant le pénis est plus « endurant ». En revanche, le faisceau de pailles révèle ses capacités piquantes comme jamais. Etonnant ! Le petit martinet cache aussi très bien son jeu. Habituellement, il est plutôt là pour apporter une touche de douceur. Mais lui aussi abuse de mon hypersensibilité passagère pour procurer des effets dignes de ses grands frères. Dans cette position plutôt inconfortable, je suis surpris par ma réaction à tes griffes. Pour la première fois, je ressens les mêmes frissons que quand tu viens me labourer le dos avec. Je n’aurais jamais parié que cela soit possible à cet endroit de mon corps. Bien au contraire. Tant qu’à avoir un fessier offert et un paddle à portée, tu ne peux t’empêcher de concilier les deux. Probablement pour faire un autre type d’essai, tu me demandes de me redresser sur les bras pour pouvoir glisser un gode sous mon visage. A charge pour moi de le sucer du mieux que je peux. Encore une fois, tu as vu juste, cette nouvelle cagoule convient beaucoup mieux pour ce genre d’exercice. D’ailleurs tu n’en rates pas une miette. J’ai l’impression d’être mitrailler par des paparazzi ! Visiblement cet essayage « plus plus » semble positif. Il restera quelques détails à peaufiner mais les perspectives sont là. Le lendemain soir, tu te lances dans un nouveau nouage de bras. J’admire ta patience pour arriver à faire tous ces nœuds aussi bien que possible. Mais je reconnais que le résultat est visuellement plaisant. Et dire que là encore, tu prends des repères pour un cordage plus complexe une prochaine fois. Après m’avoir libéré de me liens, tu te saisis d’une poignée d’élastiques, ta toute dernière acquisition, mais pas totalement au hasard, il faut qu’il y en ait au moins un de chaque couleur. Sans trop de difficulté, après avoir trouvé la technique, tu viens en placer cinq à mi-cuisse. Au passage, quelques poils disparaissent sous cette méthode d’épilation bien originale et des moins douces. Bien évidemment, cela ne servirait à rien de les laisser juste m’enserrer. Il faut bien que tu testes le claqué, de manière raisonnable pour cette première. On est assez loin de l’effet de tes lanières. Décidément, ce week-end était placé sous le signe des prises de repères.
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Par : le 05/04/21
CHAPITRE 40 : les limites de Martine Victor contacte Laurent. Ils sont invités à participer à leur première soirée poker dans le club des dominants. C’est ce soir-là qu’ils seront présentés aux autres membres sous le parrainage de Victor et morgane. Laurent est surexcité. Il contacte martine qui, bien que soucieuse pour Anna et Vanessa, se réjouit de cette invitation. Au moins elle a des chances de voir les filles et pourra s’enquérir de leur sort. Dans un premier temps ils comptent emmener les deux garçons soumis pour les accompagner. Puis en discutant avec son ami Maurice, Laurent propose une autre solution : emmener Maeva et Gisèle comme esclaves. Elles ne sont pas consultées car elles doivent obéir aux ordres de leurs maris mais de toute façon elles sont excitées de voir ce club même si apparemment elles risquent de servir de jouets sexuels pour beaucoup d’inconnus. Ça ne leur déplait pas et pour Maëva c’est l’occasion d’échapper à Mitsuko qui a déjà trop abusée d’elle. Le jour arrive enfin. Tout excités laures et martine rejoignent Victor et morgane à l’entrée du bâtiment. Ceux-ci les accueillent chaleureusement. Ils ont emmenés Vanessa et Anna qui semblent fatalistes et pas aussi excitées que Maëva et Gisèle qui sont déjà émoustillées. Ils pénètrent dans le club et Victor et morgane vont accrocher leurs deux esclaves à la barre prévue pour les soumis. Laurent et martine doivent garder leurs soumises en laisse nues derrière eux. Suivant Victor ils se rendent au centre de l’immense pièce près d’un ring qui interpelle martine et Laurent. Là ils sont présentés à l’assemblée et font connaissance avec la crème des dominants. Ils ont beau avoir été briefés par morgane et Victor sur l’attitude à aborder, ils ont du mal à se sentir chez eux auprès de tous ces gens arrogants et fiers. Néanmoins ils sont acceptés et peuvent aller mettre leurs soumises à la barre. Puis ils sont invités à la table de poker de Victor et morgane et peuvent commencer à jouer. Après quelques donnes ils sont rassurés et commencent à prendre du bon temps. Ils s’aperçoivent en écoutant les conversations qu’ils sont encore de petits amateurs dans le dressage d’esclave. Laurent ne perd pas une miette et se promet de mettre en pratique ce qu’il entend autour de lui. Martine est plus réservée. Les petits jeux avec les filles sont bien suffisants. D’ailleurs ses filles lui manquent. Au moment de la pause elle veut prendre les filles mais malheureusement les deux nouvelles belles pouliches sont très demandées et elle ne pourra pas les avoir de la soirée. Malgré tout elle croisera leur regard et y lira de la tristesse. Maeva et Gisèle, nouvelles aussi sont prises en main souvent. La soirée se passe. Laurent apprécie de plus en plus et songe vraiment à progresser dans la domination. Il se voit pavaner à égalité au milieu de tous ces dominants. Mais dans son esprit martine disparait et est remplacée par Mitsuko qui aurait surement sa pleine place ici. Martine de son côté est désespérée. C’est trop pour elle et elle regrette de plus en plus amèrement d’avoir échangé les filles avec morgane. Elle se demande comment elle pourrait faire pour les récupérer. Pendant que martine se lamente Anna et Vanessa ont été prises par un couple qui les a entrainées dans une des chambres. Là, le couple les couche sur le grand lit tête bèche et l’une au-dessus de l’autre. Celle du dessous sur le dos et celle du dessus sur le ventre. Elles sont attachées avec des sangles serrées et ne semblent plus faire qu’un corps avec deux têtes et deux sexes collés. L’homme se met à genou sur le lit et alternativement enfourne la bouche d’Anna puis le sexe de Vanessa. Un deuxième homme fait son entrée dans la chambre et fait la même chose du côté de la bouche de Vanessa et du sexe d’Anna. Une deuxième femme est rentrée et regarde la spectacle avec la première. Les hommes s’ont endurants et l’assaut dure. Vanessa et ana à force d’être collées sont ruisselantes de sueur et fatiguent vite. Enfin les hommes déchargent presqu‘en même temps dans la gorge des filles qui sont contraintes d’avaler la semence. Les hommes les detachent et leur attachent les pieds à des chaines qui descendant du plafond. Leurs mains sont immobilisées dans le dos par des menottes. Puis les femmes actionnent des mécanismes situés contre le mur et petit à petit les chaines sont attirées vers le haut. Vanessa et Anna sont sur le point de tomber lorsque les deux hommes les prennent à bras le corps et les font basculer la tête en bas. Les chaines continuent à monter et bientôt Vanessa et Anna se retrouvent pendues par les pieds au plafond. Les femmes arrêtent le mécanisme et s’approchent des deux filles qui ont la tête à la hauteur du sexe des femmes. Alors que Anna et vanesse imaginaient qu’elles allaient bouffer les sexes des femmes ces dernières sortent deux énormes godes de l’armoire. Elles lèchent goulûment les sexes de Vanessa et Anna. Celles-ci bien que gênées par la tête en bas se mettent rapidement à mouiller sous les coups de langues expertes. Les deux godes sont insérés et quelques va et vient sont faits. Laissant les godes en place les deux femmes Sortent des plugs vibrant de l’armoire. Les plugs sont gros mais les filles sentent qu’elles pourront les accueillir sans mal. Peu de temps après les plugs sont logés au fond du cul des filles et mis en action. Parallèlement les deux godes se mettent aussi à vibrer. Les filles n’avaient pas remarqué qu’ils étaient motorisés. Enfin les femmes rapprochent leurs sexes des bouches des filles et se font bouffer par ces dernières. Pendant qu’elles s’activent les deux hommes qui ont récupérés enlèvent les menottes des filles et leur mettent une main sur leurs bites. Les filles dociles entament une branlette coordonnée avec les gâteries qu’elles font aux femmes. Après un temps qui semble infini aux filles les deux hommes bousculent les femmes et enfilent leurs chibres dans les bouches d’Anna et Vanessa qui reprennent une giclée de sperme. Les deux couples libèrent les filles et leur promettent de les reprendre des qu’ils en auront l’occasion. Extenuées Anna et vanesse sont remises à la barre mais quelques instants après elles sont de nouveau sollicitées par d’autres dominants. Cette soirée-là elles ne comptent plus les passages dans les chambres et le nombre de personnes différentes qui ont bénéficiés de leur corps. Maëva et Gisèle sont aussi prises simultanément. D’abord par deux hommes qui les attachent à genou aux montants des baldaquins et qui les prennent par tous les orifices. Puis par une femme immense qui se fait lécher sur tout le corps par les deux esclaves. Enfin elles sont prises par un couple qui rivalise d’imagination pour bonder les deux femmes dans des positions plus humiliantes et difficiles à supporter les unes que les autres. Elles finissent lessivées mais Maëva se dit que ce n’est rien à côté de ce qu’elle subit avec Mitsuko.
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Par : le 05/04/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chap 39 : NADIA DESESPERE. Noémie jubile elle a eu sa vengeance sur Cloé et aussi un peu sur Nadia. Elle libère Cloé en lui rappelant qu’elle a tout filmé au cas où. Au moment du départ Noémie incite Cloé à aller voir sous le tapis où dort habituellement Nadia. Elle ne précise pas que c’est elle qui a mis quelques épingles à cheveux sous le tapis. Celle-ci la laisse partir libre. Noémie sait que maintenant elle et jean c’est du passé. Ça ne va pas être simple de retrouver un esclave domestique comme lui. Cloé va voir sous le tapis de Nadia et trouve les épingles. Elle se dit que Nadia les a mises là pour tenter de forcer le cadenas de son collier. Cloé entre dans une colère froide. Elle va mater la grande black. Nadia n comprend pas quand Cloé la menotte dans le dos et lui met un mono-gant qui lui interdit l’usage de ses mains. Puis elle lui met une cagoule aveuglante. Et fait venir jean. Cloé dit aux deux : à partir de maintenant Nadia tu auras en permanence les bras liés dans le dos et la cagoule. Pour te nourrir, pour la toilette ou pour tout besoin impératif c’est jean qui s’en chargera. Nadia est effarée. Jean est surpris mais ne dit rien. Cloé s’adresse à jean. Pourquoi n’est tu pas parti avec Noémie. Celui-ci lui répond qu’il se sent bien là et que ces besoins sont comblés entre la domination de Cloé et les partouzes avec ses invités. Cloé lui demande s’il resterait s’il n’avait pas le collier. Jean lui répond par l’affirmative. Cloé lui dit alors de façon à ce que Nadia écoute. Je t’enlève le collier et tu restes mon esclave mais tu pourras faire ce que tu veux avec Nadia sauf quand j’en aurai besoin. Fais toi bien plaisir avec elle est n’aura pas son mot à dire. A entendre ses mots jean est pris d’une érection qui dit long sur les idées qui le traversent. Cloé a mis ses décisions en application. Nadia est désormais dans le noir en permanence et elle n’a plus l’usage de ses bras et mains qui sont glissés dans un mono-gant verrouillé dans son dos. Elle dépend totalement de Jean pour tous ses besoins et tous ses déplacements. Il lui a mis une laisse au cou et elle le suit partout où il va. C’est lui qui la nourrit à la main, la fait boire, lui fait sa toilette et l’emmène aux toilettes. Elle est profondément humiliée. Comme il a reçu l’autorisation de Cloé il en a fait aussi sa chose sexuelle. Elle fait tout ce qu’il lui ordonne et ses appétits semblent grandis depuis qu’elle est impuissante. Elle a l’impression de tomber folle et de n’être qu’une poupée gonflable pour un ado pervers. Chaque matin elle se réveille avec la bite de jean dans la bouche. La première chose qu’elle doit faire dès qu’elle entend le réveil est de mettre Jean en forme en le suçant avec application. Il jouit rapidement et le premier repas de Nadia est une giclée de sperme. Ensuite il la traine en laisse et va se préparer un petit déjeuner. Il déjeune tranquillement et elle à genou à ses pieds doit garder la bouche ouverte pour qu’il y pose des aliments. Parfois, quand il est en forme, il insère son chibre dans la bouche de Nadia qui doit le sucer jusqu’à la dernière goutte. Il la fait boire exclusivement de l’eau et prépare le petit déjeuner de Cloé alors qu’elle est toujours à ses genoux. Puis il met le petit déjeuner de Cloé sur un plateau et l’emmène dans la chambre de celle-ci. Nadia le suit tirée pas la laisse comme un animal. Après le petit déjeuner de Cloé, jean emmène Nadia dans la salle de bains ou il se lave et la lave consciencieusement. Elle crève d’humiliation d’être traitée ainsi. Toute la journée se passe ainsi. Lorsque Cloé veut faire une ballade en carriole Nadia est attelée et marche toujours aveugle en suivant les ordres transmis par les rênes et le fouet. Le soir elle a l’impression de ne jamais avoir décidé une seule chose dans sa journée. Lorsque Cloé invite des amis, elle sert de jouet sexuel à disposition de chacun. Elle n’a aucune idée de ceux qui la pelotent, la palpent, la sodomisent, la pénètrent, la frappent et toutes les choses qu’on peut faire sur un jouet particulièrement excitant. Après plusieurs jours elle est à bout et se demande toujours ce qu’elle a pu faire pour que Cloé change d’attitude du jour au lendemain. Jean kiffe sa vie. Il s’occupe des taches ménagères pour Cloé et se soumet à ses caprices, notamment lorsqu’il y a des invités, hommes comme femmes, qui savent qu’ils peuvent profiter de lui. Mais surtout il a un jouet magnifique qui n’a aucun moyen de refuser d’obéir et qu’il peut humilier et sauter à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Il aimerait que ce temps dure toujours. Cloé de son côté n’a toujours pas digéré le départ de Noémie qui l’a bien refaite. En plus, plus le temps passe et plus elle se demande si c’est bien Nadia qui a détourner des épingles qu’elle aurait caché sous son tapis servant de lit. Peut-être a telle été injuste envers Nadia qui n’a pas eu le droit de se défendre. Mais voir cette magnifique créature dépendant totalement des autres pour survivre lui fait chaque fois monter une grosse chaleur de son bas ventre. A elle remet à plus tard un éventuel assouplissement des conditions de vie de Nadia.
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Par : le 28/03/21
J'ai entendu la porte s'ouvrir Mes yeux étaient clos, je Vous attendais Je prenais patience, mon corps déjà offert Je frémis quand le bandeau vient voiler mes yeux Je trésaille en sentant la chaleur de Vos lèvres sur mon cou Je frissonne quand Votre main tire mes cheveux Je vibre quand Votre main caresse ma joue Nue, je m'offre à Votre désir Nue, j'accepte Vos envies Je tremble quand Vos doigts effleurent mes seins Je geins quand Vous serrez mes aréoles Je souris quand Votre bouche aspire mes tétons dressés Je grimace quand Vous tirez sur mes pointes érigées J'ondule quand Votre main glisse le long de mon ventre J'ondoie quand mon mont de vénus trouve sa place sous Votre paume. Nue, je me donne à Vos envies Nue, Vous m'invitez à Vos désirs Je me cambre quand Vous m'allongez sur le lit Je me courbe quand Vos doigts découvre mon sexe Je retiens mon souffle quand Vous saisissez mon clitoris Je contiens ma respiration quand Vous le pincer entre Vos doigts Je gémis quand Votre main s'enfonce dans mon intimité Je jouis quand je suis fouillée par Vous ainsi Nue, je m'abandonne à Votre plaisir Nue, je me livre à Votre désir Je crie lorsque Votre glaive me pénètre Je m'exprime quand Vous allez et venez au fond de moi Nue, je hurle mon 'plaisir' Nue, je m'abandonne à la jouissance Votre soumise expressive. Le 31 octobre 2013
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Par : le 28/03/21
Chapitre 38 Noémie retrouve la liberté. Extraits : »… Ecartelée sur la croix de sait André elle reçoit une douzaine de coups de cravache pour commencer puis Noémie lui demande si elle va se comporter en bonne esclave. Cloé lui crache dessus.… Elle passera la nuit écartée aux montants du baldaquin de son grand lit dans lequel jean et Noémie se prélassent avec entre eux Nadia saucissonnée qui lèche tout ce qu’elle peut tout en étant visitée en profondeur par le chibre de jean et le gode ceinture de Noémie…. Elle lèche et fait le chien quand Noémie le demande. Elle passe ses nuits la bouche collée sur le sexe de Noémie tout en ayant une partie de la nuit le chibre de jean dans un de ses orifices libres…. Tard dans la nuit Cloé s’endort couchée sur le ventre la tête entre les cuisses de carole qui es couchée sur le dos et profite jusqu’ à l’endormissement de la bouche de Cloé. L’homme passe la nuit ligoté au pied du lit… » Le temps s’écoule doucement. Noémie commence à enrager d’être ainsi asservie à temps complet. Elle ne sait pas comment se débarrasser de ce collier qui lui ôte tout espoir. En plus elle ne peut pas compter sur jean qui a l’air de kiffer sa position d’esclave. Elle a bien étudié le mécanisme du collier et le seul moyen est de trouver la clé du minuscule cadenas qui le verrouille ou de faire sauter le cadenas. Un jour elle reprend espoir. Ce jour-là Cloé a décidé de se promener avec la carriole. C’est jean qui sera attelé. Noémie aide Cloé à le harnacher. Il est sanglé complétement et arbore une clochette accrochée au bout de son gland. Il bande comme un taureau. La mixture que lui a fait ingérer Cloé pour l’occasion fonctionne bien. Cloé prend le fouet et dit à Noémie de l’attendre ici. Noémie obtempère mais Cloé n’a pas réduit la zone d’évolution de Noémie qui s’aperçoit qu’elle peut se promener sur quelques mètres à l’intérieur de la remise. Elle farfouille et trouve un coupe boulon rouillé sous un tas de bricoles. Le cœur battant elle prend le coupe boulon et va le dissimuler dans la zone où elle est habituellement consignée lorsque Cloé fait de la carriole. Elle ne pense pas que Cloé refera l’erreur et n’a pas assez préparé son coup pour tenter de fuir maintenant. Cloé revient de sa ballade. Jean toujours le sexe brandit et tintinnabulant en permanence est en sueur mais parait ravi. Noémie le dételle et ils suivent Cloé pour retourner vers la maison. Trois jours plus tard une chance se présente pour Noémie. Cloé a décidé que Nadia serait attelée à la carriole. Noémie les accompagne et aide Cloé à harnacher Nadia. Cloé, qui semble avoir un compte à régler avec Nadia, utilise le fouet plus que de besoin de Nadia doit trotter dès le départ. Noémie pense que la séance va durer et dès que les filles sont hors de vue elle récupère le coupe boulon et tente de couper le cadenas de son collier. Après quelques secondes le cadenas est coupé et Noémie pour la première fois depuis des semaines est libérée de ce carcan. Elle se dirige rapidement vers la maison et retrouve jean qui est enfermé dans la cage en attendant le retour des filles. Elle fait sauter le cadenas de la cage et celui du collier de jean. Ils s’habillent comme ils peuvent et pensent à s’enfuir de la maison. Mais Noémie réfléchit. Finalement ils se cachent au sous-sol en laissant un maximum d’indices laissant à penser qu’ils ont quittés la propriété. Cloé a passé ses nerfs sur Nadia. Celle-ci est zébrée de traces de coup de fouet et ruisselle de sueur. Elle ne peut retenir ses larmes et regrette amèrement d’avoir tenté de prendre le dessus sur Cloé qu’elle prenait pour une faible. Nadia ne voit pas l’avenir sous de bons augures. Quand elles arrivent à l’endroit où devrait se trouver Noémie elles ont la surprise de voir qu’elle n’est plus là. A sa place il y a le collier par terre. Cloé entre dans une rage folle. Elle fouette Nadia pour qu’elle la tire jusqu’à la maison. Nadia court comme une folle. Arrivée à la maison Cloé saute de la carriole et court jusqu’à la cage. Jean n’est plus là. La porte donnant vers la sortie de la propriété est ouverte et sans aucun doute le couple s’est enfuit. Cloé enrage. Elle dételle Nadia sans dire un mot et conduit cette dernière sur la croix de saint André. Ou elle l’attache fermement. Nadia se tait et espère que Cloé finira par se calmer. A sous-sol Noémie réfléchit à un plan pour se sortir de là. Elle guette les bruits à l’étage. Dans la soirée Cloé qui s’est un peu calmée détache Nadia et la fait mettre à genou avec les mains menottées dans le dos. Cloé s’assoit sur le canapé et Nadia cherchant à lui plaire vient lécher son entrejambe. Nadia y et tout son talent car elle sait que Cloé pourrait rentrer dans une rage folle à n’importe quel moment. Cloé commence rapidement à haleter et Nadia redouble d’effort. Ni l’une ni l‘autre ne voit Noémie et jean munis d’un grand sac enfourner la tête puis le haut du corps de Cloé dans le sac. Celle-ci se débat mais les bras déjà entourés par le sac ne peuvent empêcher la corde munie d’un nœud coulant l’enserrer et l’immobiliser complétement. Quelques minutes plus tard elle est entièrement ficelée, la tête toujours à l’intérieur du sac. Enfin elle est poussée dans la cage par Noémie et jean. Nadia n’a pas bougé. Elle espère qu’elle va être libérée par le couple. Un coup de cravache donné par Noémie modère son enthousiasme. A nous de profiter dit Noémie. Ce soir-là Nadia devient la soubrette du couple. Elle fait le repas et vient s’agenouiller devant jean qui se fait enfin sucer par Nadia. Noémie, elle se charge de mater Cloé qui est toujours en colère. Ecartelée sur la croix de sait André elle reçoit une douzaine de coups de cravache pour commencer puis Noémie lui demande si elle va se comporter en bonne esclave. Cloé lui crache dessus. Nouvelle série de dix coups de cravache. Cloé pleure trépigne mais ne cède pas. Noémie lui insère un plug énorme dans le cul et relance une série de dix coups de cravache. Cloé crie, hurle, pleure de dépit mais ne cède pas. Elle passera la nuit écartée aux montants du baldaquin de son grand lit dans lequel jean et Noémie se prélassent avec entre eux Nadia saucissonnée qui lèche tout ce qu’elle peut tout en étant visitée en profondeur par le chibre de jean et le gode ceinture de Noémie. Pour finir Noémie met une cagoule à Cloé. Au-dessus de la cagoule il y a un anneau que Noémie accroche avec un cordon au haut du baldaquin pour empêcher Cloé de baisser la tête. Celle-ci passe la nuit écartelée et ne peut pas dormir. Lorsque le jour se lève jean accompagne Nadia qui doit préparer le petit déjeuner. Cloé reçoit quelques coups de cravache et Noémie lui demande si elle a changé d’avis. Cloé gémit main secoue la tête négativement. Très bien lui dit Noémie. On va voir ce que tu donnes avec la carriole. Noémie va chercher son ancien collier et le met autour du cou de Cloé. Elle y accroche un nouveau cadenas. Tu sais comment ça marche. Pas besoin de t’expliquer. Cloé la regarde férocement mais n’ose plus crier. Noémie la décroche et l’emmène au bout d’une laisse. Cloé traine les pieds mais menottées dans le dos elle suit Noémie en silence. Noémie harnache Cloé en serrant bien les sangles. Une idée lui vient. Tu es cool comme ça. Je pense que ça fera beaucoup plaisir à tes amis de se faire promener par la petite jument Cloé. Cloé la regarde horrifiée. Noémie sourit. Ah oui je ne te l’ai pas dit mais tu as invités six personnes samedi pour passer tout le weekend. Et tu leur as promis des surprises bandantes. J’espère que tu seras à la hauteur. Cloé est désespérée. Noémie rajoute et puis tu as déjà lancé d’autres invitations pour les weekends suivants. Elle se laisse harnacher et avec l’aide de quelques coups de fouets elle se laisse driver par une Noémie triomphante. Le reste de la semaine est génial pour Noémie. Cloé a cesser de se rebeller et accepte petit à petit son sort. Elle est totalement déstabilisée par le weekend qui arrive. Elle lèche et fait le chien quand Noémie le demande. Elle passe ses nuits la bouche collée sur le sexe de Noémie tout en ayant une partie de la nuit le chibre de jean dans un de ses orifices libres. Ses journées sont passées dans la cage avec quelques interludes sexuels et une promenade quotidienne avec la carriole. Le samedi tant redouté arrive. Elle est blanche quand Noémie lui annonce les noms des invités. Jean ne partage pas l’enthousiasme de Noémie. Finalement ça lui plaisait de faire le bon petit esclave qui se faisait enfourné lors des visites d’amis de Cloé. Il en parle à demi-mots à Cloé. Celle-ci prend les choses en main et quand les invités arrivent ils ont le plaisir de voir trois corps nus promis à de belles aventures sexuelles. Une femme noire magnifique avec un harnais rouge en cuir mettant en valeur ses formes voluptueuses. Elle est à genou dans le salon à coté d’un homme harnaché de la même façon dans un harnais noir et une femme aussi harnachée et muni d’une cagoule qui lui cache le visage et ne laisse apparaitre que la bouche et le nez. Elle est plongée dans le noir. C’est Noémie qui les accueille en leur souhaitant la bienvenue de la part de Cloé. Les trois couples sont un peu étonnés de ne pas voir Cloé mais leurs préoccupations vont surtout vers le trio appétissant qui semble les inviter au sexe débridé. Les deux esclaves voyants préparent et servent le repas. Puis après le repas Noémie propose aux couples de faire une sieste, chaque couple dans une chambre avec un esclave tiré au sort. Cloé est tirée par un couple qu’elle connait sans plus. L’homme est particulièrement excité et désireux de profiter de ce corps vulnérable. Connaissant un peu la maison il recupère du materiel de bondage et Cloé se retrouve rapidement en position de grenouille renversée qui met en avant et à la disposition de tous son sexe et son cul. L’homme l’embroche sans ménagement alors que la femme s’assoit sur la bouche de Cloé qui après deux claques sonores qui l’encouragent se met à la brouter avec application. L’homme se retire juste avant t’éjaculer et décide de varier les positions. Cloé est déliée, mise à quatre pattes au sol et doit jouer le petit chien ou plutôt la levrette car il l’a prend dans cette position par ses deux orifices proches. Sa bouche est toujours monopolisée par le sexe mouillé de la femme. L’homme lui malaxe férocement les seins qui deviennent très douloureux enfin il se retire brusquement et vient fourrer sa bite dans la bouche de Cloé ou il éjacule presqu’aussitôt la forçant à bien avaler tout le sperme. A sa grande surprise Cloé mouille comme une folle. Le fait d’être dans le noir et constamment surprise sexuellement l’excite de plus en plus. Les trois couples se retrouvent dans le salon à l’heure indiquée par Noémie qui leur propose de s’initier à la conduite d’une carriole tirée par une pouliche. Ils sont intéressés et suivent Noémie qui tire Cloé par la laisse. Ils l’aident à atteler Cloé à la carriole et écoutent bien les consignes pour guider la petite jument. Suivant les ordres de Noémie le guidage est accompagné de coups de fouet pour bien que la jument comprenne. Un à un les invités s’initient au maniement de la carriole et n’hésitent pas à utiliser le fouet pour mettre Cloé dans le droit chemin. Cloé doit avancer à l’aveugle et bien comprendre les tensions données aux rênes pour la faire tourner ou avancer. Ça finit par l’exciter prodigieusement. L’après-midi est bien avancée quand Noémie décide d’arrêter les promenades. Cloé est extenuée. Noémie propose d’aller la doucher avec la douche extérieure de la piscine. Il fait relativement frais et la douche est glacée. Cloé claque des dents quand Noémie estime que la petite pouliche est assez propre. Et remmène tout le monde à la maison. Après le repas du soir Noémie propose une partie de poker. Pendant qu’ils jouent, les trois esclaves à genou passent sous les tables et prodiguent des encouragements buccaux aux hommes comme aux femmes. A la fin de la soirée les invités se partagent les esclaves pour la nuit. Cloé est horrifiée de voir que c’est carole, sa meilleure amie, qui la récupère pour la nuit. Alors qu’elle pensait à une nuit comparable à la sieste de l’après-midi elle a la surprise de voir son amie prendre les choses en main dès que la porte de la chambre est fermée. Elle dit à son cavalier. A poil et à genou tu n’as pas mérité cette petite salope . L’homme ne dit rien mais se déshabille et se met à genou. Carole prend des menottes dans l’armoire et un masque aveuglant. Elle le menotte et lui met le masque. Puis elle se retourne vers Cloé et dit. J‘espère que tu aimes bouffer de la chatte car tu vas être servie. Elle couche Cloé sur le dos et la chevauche aussitôt. Cloé est contrainte de brouter le sexe de sa meilleure copine. Carole est insatiable. Dans son coin l’homme bande comme un fou. Carole a besoin de reprendre son souffle. Elle donne l’ordre à Cloé d’aller sucer la bite turgescente. Cloé suce pendant quelques minutes et l’homme explose à longs jets de sperme. Elle avale tout avec difficultés. Puis carole la repositionne et reprend sa cavalcade. Tard dans la nuit Cloé s’endort couchée sur le ventre la tête entre les cuisses de carole qui es couchée sur le dos et profite jusqu’ à l’endormissement de la bouche de Cloé. L’homme passe la nuit ligoté au pied du lit. Le lendemain après le petit déjeuner servi par les trois esclaves les couples racontent leurs exploits. Carole ment effrontément pour ne pas dévaloriser son jules. Noémie s’approche de Cloé et lui dit : Je compte leur faire une dernière surprise en leur montrant qui est cachée derrière cette cagoule. Cloé qui était bien contente d’être restée incognito est effarée. Noémie lui dit alors. Je ne le fait pas si on peut négocier un cessez le feu entre nous. Je te demande juste de me laisser libre et je te laisse Nadia et jean. Cloé réfléchit à toute vitesse. Finalement elle ne s’en sortira pas si mal. Elle opine du chef. Les invités, comblés, quittent la maison.
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Par : le 28/03/21
Chapitre 37 MITSUKO maitresse infernale. Extraits »… Plus tard elles ressortent du salon. Enchantée pour Mitsuko et effondrée pour Maeva qui est endolorie de partout. Elle ne compte plus les piercings. … Un plateau tournant trône au milieu de la pièce. Sur ce plateau qui fait environ un mètre de diamètre est installé un portique permettant d’attacher son esclave debout les bras tendus vers le haut et les jambes écartées. ….Là elle voit un orifice dans le siège du trône. L’orifice correspond à l’ovale d’un visage. Mitsuko referme le trône et Maeva, bloquée dans la cavité voit l’utilité du système. Le sexe et le cul de Mitsuko sont situés pile sur l’ovale et sur l’injonction de cette dernière, Maëva doit inscrire son visage dans l’ovale. » Maeva ne quitte pas le téléphone que lui a donné Mitsuko. Elle a trop peur de cette dernière qui semble en plus avoir les faveurs de Laurent. Maëva ne peut pas compter sur lui pour empêcher Mitsuko de la martyriser. Ce jour-là elle est seule à la maison quand un sms s’affiche sur le téléphone Dans le sms il n’y a qu’une adresse et le mot Maintenant. Angoissé elle s’habille en vitesse et prend sa voiture pour se rendre à l’adresse. Elle panique. Arrivée elle se présente à la porte et sonne. La porte s’ouvre. Mitsuko la fait rentrer ferme la porte et regarde Maëva celle-ci se prosterne immédiatement aux pieds de Mitsuko. Bien esclave met toi nue maintenant. Maëva se déshabille et Mitsuko lui montre un harnais de bondage. Mets ça Maeva enfile le harnais. Mitsuko sert les sangles et Maëva se recouche aux pieds de Mitsuko Celle-ci se dirige vers une porte et Maëva la suit en rampant Mitsuko ouvre la porte qui donne sur un salon. Maëva la suit et s’aperçoit que plusieurs femmes sont installées dans le salon Voilà leur dit Mitsuko je vous présente mon esclave absolue. Maeva ne sait plus où se mettre les femmes se lèvent et entourent Maëva. Joli choix dit l’une. Elle est belle dit une autre. On peut toucher dit une troisième. Bien sûr dit Mitsuko : Maëva debout ! Maeva se lève et garde la tête baissée. Elle est pelotée par plusieurs mains. La conversation continue. Elle est douce et bien nantie. Ses seins sont magnifiques. Que sait-elle faire ? Tout répond Mitsuko. Il suffit que je donne l’ordre. Maeva lèche moi les pieds. Maeva se couche et lèche les pieds de Mitsuko. Au niveau sexe elle est très efficace dit Mitsuko. Elle ajoute : Maeva lève-toi et met tes mains sur la tête et cambre-toi qu’on voit ta belle poitrine. Maëva obéit. Dit leur que tu es ma chose. Maeva parle ; je suis votre chose maitresse Mitsuko. Elle rajoute ; je suis votre esclave votre propriété votre soumise et je me prosterne devant vous. Je vous appartiens corps et âme. En disant cela Maeva sent qu’elle le vit pleinement et est excitée à mort. Elle a envie que Mitsuko abuse d’elle et la fasse jouir comme une folle. Les femmes sont impressionnées et l’une d’entre elle met la main dans l’entrejambe de Maëva dit : elle le pense vraiment elle mouille comme une fontaine. Le regard de Mitsuko devient trouble. Elle regrette que ce moment ne soit pas plus intime. Elle culbuterait bien Maëva sur place mais doit se contenir. Elle veut reprendre la situation en main et remmène les invités vers le salon où elle fait mettre Maëva couchée à ces pieds. Le reste de la réception est une épreuve pour Mitsuko qui n’a plus envie d’exhiber son esclave mais qui voudrais être seule avec elle. Néanmoins elle les laisse déborder d’imagination pour créer des shibari sur Maëva. elle est encordée comme un saucisson et ses seins sont bleuis par les tours de cordes qui les enserrent et les font projeter en avant. Enfin les femmes prennent congé. Maeva est toujours aux pieds de Mitsuko. Celle-ci lui dit répètes moi ce que tu as dit tout à l’heure. Maëva répète avec enthousiasme ses paroles de soumission. Mitsuko n’en revient pas et pince les seins de Maëva qui ne recule pas. Mitsuko est perplexe. Maeva la rend folle. Avoir cette magnifique créature à ses pieds lui donne le vertige. Elle décide d’aller plus loin. Elle libéré Maëva et lui réitère l’ordre de ne pas quitter son téléphone. Quelques jours plus tard Maëva reçoit un sms. Une adresse et le mot Maintenant. Elle se précipite et l’adresse correspond à l’échoppe d’un institut ou sont réalisés des tatouages et piercings. Elle est affolée. Qu’a pu encore inventer Mitsuko. Celle-ci l’attend et la fait entrer dans le bâtiment ou un homme les prend en charge immédiatement et le emmène dans un petit salon isolé. Là Mitsuko prend les choses en main et Maeva ne peut que subir. Plus tard elles ressortent du salon. Enchantée pour Mitsuko et effondrée pour Maeva qui est endolorie de partout. Elle ne compte plus les piercings. Deux sur la langue dont un presqu’à l’extrémité de celle-ci. Deux sur les seins, six sur les grandes lèvres, un sur le clitoris et un sur le nombril. Deux orifices supplémentaires ont été rajoutés aux lobes de ses oreilles. Et enfin trois piercings ont été faits de chaque côté de son pubis verticalement à environ deux centimètres d’intervalle. Mitsuko exulte et lui promet de l’enjoliver lors de leurs futures rencontres. Laurent et Mitsuko laissent tranquille Maëva pendant quelques temps. Ceci n’empêche pas Mitsuko d’envoyer des messages à Maëva. Les messages sont souvent accompagnés de croquis ou photos de femmes très pierrées bondées à l’extrême. Elle comprend l’utilité des piercings du pubis en voyant des chainettes relier des piercings identiques reconstituant le triangle du pubis mais en métal au lieu de toison pubienne. Maeva se demande ce qu’elle va devenir lorsque ses piercings seront stabilisés. Mitsuko a transformée une pièce de sa maison pour y exposer son esclave. Elle convoque Maëva pour les premiers essais. Celle-ci arrive aussitôt effrayée par avance des sévices que lui fera subir Mitsuko. Mitsuko entre dans la pièce suivie de Maëva qui, comme elle en a le devoir, rampe aux pieds de sa maitresse. Un plateau tournant trône au milieu de la pièce. Sur ce plateau qui fait environ un mètre de diamètre est installé un portique permettant d’attacher son esclave debout les bras tendus vers le haut et les jambes écartées. Elle y installe Maëva. Celle-ci ne proteste pas, heureuse que ça ne soit pas douloureux. Une fois Maëva en place, Mitsuko va s’assoir sur un fauteuil qui ressemble à un trône de reine et appuie sur le bouton qui met en route le plateau. Maeva se met alors à tourner doucement sur elle-même. Mitsuko est enchantée. Elle peut voir son esclave sous tous les angles et s’imagine celle-ci couverte de bijoux de piercing plus beaux et plus gros les uns que les autres. Mais pour le moment les piercings sont trop récents pour cela. Il faudra d’abord qu’ils cicatrisent correctement et qu’ils atteignent les diamètres voulus par Mitsuko. Bien entendu le plateau peut servir à exposer l’esclave dans toutes les positions souhaitées par Mitsuko. Sur le mur opposé au fauteuil un grand aquarium est posé sur un socle. Il fait près de deux mètres de long sur un mètre de large et le fond est tapissé de sable blond. Les vitres vont jusqu’au plafond et l’accès à l’intérieur se fait par une porte dérobée située à l’arrière de l’aquarium et donnant sur une autre pièce. Mitsuko détache Maëva et la fait pénétrer dans l’aquarium. Elle revient s’assoir sur son trône et peut admirer l’occupante de l’aquarium qui semble perdue la dedans. Sur les murs il y a des espaliers et d’autres meubles dont l’utilisation n’est pas toujours aisée à comprendre pour les non-initiés. En alternance avec ses meubles des grands cadres destinés à recevoir des photos semblent attendre d’être ornés des futures photos de Maëva dans les positions de soumission les plus bandantes. Après quelques minutes Maëva est sortie de l’aquarium. Mitsuko l’emmène alors prêt du trône. Elle actionne un petit levier et l’avant du trône s’ouvre laissant apparaitre une cavité sous l’assise de ce dernier. Elle pousse Maëva dans la cavité ou cette dernière doit se tenir à genou la tête arquée vers le haut. Là elle voit un orifice dans le siège du trône. L’orifice correspond à l’ovale d’un visage. Mitsuko referme le trône et Maeva, bloquée dans la cavité voit l’utilité du système. Le sexe et le cul de Mitsuko sont situés pile sur l’ovale et sur l’injonction de cette dernière, Maëva doit inscrire son visage dans l’ovale. Ce qui met sa bouche en contact avec le sexe de Mitsuko qui lui ordonne de la lécher. Maeva à genou les mains liées dans le dos n’a d’autres choix que de satisfaire sa maitresse. Vu de l’extérieur personne ne pourrait voir que l’occupante du trône se fait faire un cunnilingus par une esclave. Mitsuko pense déjà qu’il lui faudra au moins un ou une autre esclave pour profiter des atouts de son trône tout en regardant le plateau tourne avec un ou une occupante. Après plusieurs orgasmes provoqués autant par la langue de Maëva que par l’excitation de son nouveau local Mitsuko libère Maëva et la raccompagne vers la sortie. En passant dans le couloir qui mène vers la sortie l’attention de Maëva est attirée par une espèce de plainte qui vient de derrière une porte. Mitsuko qui a aussi entendu ouvre la porte et Maëva peut voir un homme menotté pieds et mains sur un banc recouvert de cuir. L’homme a un bâillon et un système motorisé le sodomise avec un gode de bonne taille. Son sexe est inséré dans une espèce de trayeuse qui le pompe en permanence. Mitsuko lui donne deux ou trois coups de fouet qui ont pour effet de faire taire l’homme. Avant que Mitsuko ne referme la porte Maëva a le temps de voir que c’est le mari de Mitsuko qui est supplicié ainsi. Une fois Maëva sortie Mitsuko pense à la prochaine étape sera de trouver une autre proie mâle ou femelle.
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Par : le 28/03/21
Il existe des rencontres qui vous marquent à jamais le corps et l'esprit. Je me souviens de Laura, jeune femme de 28 ans, jolie espagnole d'origine, avec de jolis yeux noirs et une coupe de cheveux mi longs chatain foncé . Petit bout de femme d'1m60, mais aux formes généreuse et à la peau d'une douceur extrême. Dés que je suis entré dans la chambre, elle m'ordonna de me déshabiller. Je me tenais debout, face à elle, immobile et nu . Elle était vétue d'un bustier porte jaretelles et d'un string en latex rouge qui soulignait parfaitement ses jolies fesses fermes et rondes. Elle me posa de suite le collier autour de mon coup. Elle m'attacha les mains dans le dos avec ses menottes. "tu es un bon esclave, c'est bien, j'adore ça". Elle commença par prendre mon sexe dans ses mains, me masturbant doucement, mais s'arréta au bout de 10 secondes . "mais tu bandes? es ce que je t'ai donné l'autorisation?" , je lui répondit, docile, "non maitresse". Alors elle pris son martinet et commença à me fouetter le dos, les fesses, les cuisses. J'étais toujours debout, elle me tenait par la laisse du collier pendant qu'elle me fouettait. Elle m'ordonna d'écarter les cuisses tout en restant debout. Je m'exécutais. là, elle se mis à me fouetter par derrière jusque sur le sex. je sentais les lanières carresser mon anus, et venir éveiller mes testicules et mon gland. je me remis à bander trés fort. Elle se mis en colère. "tu n'obéis pas esclave". Alors elle me tira avec la laisse dans un coin de la pièce. Là, elle se mit face à moi, me tenant toujours par la laisse, et se mis à me fouetter le torse, le ventre, les cuisses et le sex. 20 minutes plus tard, elle m'ordonna de me mettre à 4 pattes sur le lit, l'anus face à elle. Elle continua à me fouetter les fesses et le dos, puis elle pris un paddle. Elle me massacra les fesses et les reins avec. "tu es un vilain esclave, tu n'obéis pas". Puis elle prit un plug qu'elle m'enfonça dans l'anus. elle commença quelques va et vient et s'arrêta quand elle vit que je commençais à aimer ça. "ce n'est pas bien, c'est ta maitresse qui doit prende du plaisir" me disait t'elle. Alors elle repris la laisse violemment et me tira hors du lit. Toujours à quattre pattes devant elle, elle m'ordonna de lui lêcher les pieds.... mais ça ne lui suffisait pas... elle continuait à me fouetter pendant celà. Puis elle tira mon visage en tendant la chaîne. Elle m'ordonna de lui enlever le string. je commençais à m'exécuter lorsque je pris une giffle violente dans la figure "mieux que ça esclave, soit plus doux"... alors je faisais doucement glilsser son string sur ses jolies cuisses. je voyais son hymen qui me paraissait délicieux. Ses lèvres étaient déjà humides, j'avait une envie intense de gouter aux saveurs intimes de ma maitresse... une fois le string enlevé, elle me dit "lêche moi la chatte esclave". Toujours à 4 pattes je m'exécutait, je lui obéissait. Le coup tordu en arrière, je m'abreuvait de sa cyprine qui coulait à flot dans ma bouche. Je lappais sa chatte comme si je n'avais pas bu depuis des mois. ma langue s'enfonçait au plus profond d'elle, et je continuais encore et encore. pendant plus de 15 mn je m'abreuvais à sa source intime, parfumant ma gorge de ses sécrétions dont je me délectait. Elle lâcha complètement le fouet, sa tête complètement penchée en arrière, elle jouissait sous mes caresses buccales; "tu lêches vraiment trés bien esclave, continu, j'adore". Ma maîtresse plaqua de plus en plus fort ma tête entre ses cuisses au point où je m'étouffais dans son hymen. ma machoire se tétanisait entre ses cuisses, je me noyais dans ses sucs paradisiaques. Elle se tourna et m'ordonna de lui lêcher les fesses. je m'exécutait bien docilement, comme l'esclave que j'étais. Puis elle se mis en colère, se retourna. j'étais encore à 4 pattes et me gifla plusieurs fois. "je t'avais dit de me lêcher les fesses, tu ne m'a pas lêcher le cul esclave, lêche moi le cul esclave". Et elle repris le martinet pour me punir. A 4 pattes face à elle, elle me fouetta le torse, me gifla encore plusieurs fois... Puis elle me représenta ses fesses, se pencha en avant, pris ma tête avec sa main et m'ordonna de lui lêcher l'anus. Je commençais à lapper son anus délicieux. ses parfums ennivrants m'enflammaient le visage. Ma langue docile entrait dans son merveilleux anus ... elle gémissait doucement "oui esclave, c'est bien ,continu comme ça, j'adore". Au bout de 10 mn, elle m'ordonna de me coucher sur le dos sur le lit en tirant la chaine. J'obéissais. elle enfila un straponme, , me releva les cuisses, et doucement, elle me pris l'anus. d'une douceur extrême mais autoritaire, je lui appartenais, elle me prenait, j'étais à elle et elle étais en moi. Ses coups de reins devanaient de plus en plus forts, de plus en plus puissant, Puis elle se coucha sur moi, torse contre torse, elle passa ses bras autour de ma tête, je sentais sa belle poitrine s'écraser contre la mienne. les mains toujours attachées dans le dos, elle continuait ses va et viens en moi, j'étais son esclave, sa chose , son jouet. Elle se mis à gémir, à me serrer de plus en plus fort contre elle, à m'écraser sous son poids, mes jambes autour de ses hanches elle me pénétrait d eplus en plus vite. puis d'un coup, elle se mit à crier, "oh je jouis, je jouis, je jouis" en me serrant de toute ses forces entre ses bras, callant son visage dans mon coup, je sentais son orgasme l'envahir. Son corps pris de soubressaut lui faisait faire des coups de reins puissants qui me brisaient l'anus, j'avais mal, mais j'étais heureux de voir ma jolie maîtresse jouir ainsi en moi, en me prenant. Au bout de plusieurs minutes, ainsi calés l'un dans l'autre, elle se mis à me carresser doucement le visage, à m'embrasser, elle venait de me baiser et d'en jouir. elle me détacha les menottes, m'enleva le collier. "reste allongé mon esclave d'amour". Puis elle se mis à m'embrasser, à me carresser doucement le corps. descendant son visage jusqu'à mon entrecuisse, elle pris mon sex dans sa bouche. Elle commença à me sucer avec force, me tenant fortement la verge. Il ne fallut pas plus de 2 minutes avant que je n'explose dans sa bouche. Elle recracha mon suc sur mon ventre, l'essuya, et m'embrassa une dernière fois. Nous sommes restés collés presque une heure les bras l'un dans l'autre..... c'était juste parfait, doux et dur à la fois, violent et respectueux...elle m'avait donné confiance en elle, je me suis complètement abandonné à elle à ses désirs, elle aurait put aller plus loin tellement j'étais en confiance avec elle; mais c'est parce que je savais qu'elle n'irait pas plus loin que j'avais confiance en elle et que je me suis abandonné à elle...ça s'appelle le respect dans la relation SM... et tout l'art de cette pratique est basé là dessus :le respect de l'autre. Ah mon dieu, quel regret de ne plus la voir ma jolie espagnole..mais quel bonheur de domina... j'ai vécu bien plus extrême, mais cette relation restera à jamais celle qui m'a le plus bouleversé car nous étions dans l'équilibre, le respect, et la confiance
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Par : le 23/03/21
Si de nos jours encore, la jouissance sexuelle féminine demeure secrète, ne pouvant se circonscrire à un simple plaisir physiologique, dans les études sur l’orgasme et la frigidité féminins, une fausse distinction est faite entre l’orgasme vaginal et l’orgasme clitoridien. Les hommes ont en général défini la frigidité comme l’incapacité d’une femme à ressentir l’orgasme vaginal. Or, la région vaginale n’est pas hautement sensitive et n’est pas conformée pour produire un orgasme. Le centre de la sensibilité est le clitoris, l'équivalent féminin du pénis. L’importance de distinguer les diverses formes de jouissance pour une femme lors du rapport sexuel, nous permet de mettre en évidence la complexité de sa conduite sexuelle en même temps que l’impossibilité de faire de sa jouissance un stéréotype, même s’il s’agit d’un stéréotype très valorisant pour elle. L’hypothèse d’une jouissance qui serait exclusivement féminine nous expose au risque de faire de celle-ci une sorte d’idéal, de finalité à rejoindre, de norme en somme. Il y aurait d’un côté la bonne jouissance, la vraie, et de l’autre, des formes inauthentiques ou autoérotiques. Si l’excitation sexuelle est manifeste chez la femme, comme chez l’homme d’ailleurs, l’orgasme féminin ne se montre pas avec des signes aussi évidents que l’orgasme masculin, ce qui ne veut pas dire, bien sûr, que pour l’homme le processus qui conduit à la jouissance sexuelle soit simple et mécanique. Que veut-on dire avec le terme de jouissance sexuelle ? Jouissance physique et jouissance psychique sont à distinguer dans le rapport sexuel, bien qu’elles puissent arriver en même temps, dans l’orgasme notamment. Orgasme qui n’est pas pourtant synonyme d’éjaculation. Une éjaculation ne comporte pas forcément une jouissance psychique, et par conséquent, elle n'est pas consubstantielle de l’orgasme. Le terme de jouissance psychique est sûrement insatisfaisant, il nous permet cependant de marquer l’importance, pour les deux partenaires, de la rencontre au niveau des fantasmes, rencontre censée favoriser une jouissance, notamment. La rencontre des fantasmes, rencontre qui n’est pas synonyme d’accord, d'harmonie ou de fusion, est nécessaire pour qu’on puisse parler d’orgasme dans le rapport sexuel. L’orgasme n’est pas une jouissance pure, un plaisir isolé du sujet, détaché de celui du partenaire. Il suppose le renoncement à une jouissance singulière, séparé de celle de l’autre. Le coït n’est pas une action solitaire, comme la masturbation, mais un abandon de soi qui implique l’autre. Au lieu que de montrer que la frigidité est due à des assertions erronées sur l’anatomie féminine, les psychanalystes ont appelé frigidité un problème purement psychologique. Les femmes qui en souffraient étaient dirigées vers des sexologues afin de tirer au clair leur problème, et celui-ci était alors généralement défini comme une incapacité d’accepter leur rôle de femme. Les faits anatomiques et sexuels nous disent tout autre chose. S’il existe de nombreuses zones érogènes, il n’y en a qu’une pour la jouissance, cette zone est le clitoris. Tous les orgasmes sont des extensions de la sensation à partir de cette zone. Comme le clitoris n’est pas nécessairement assez stimulé dans les positions conventionnelles, nous demeurons frigides. À côté de la stimulation physique qui, chez la plupart des gens, est la cause habituelle de l’orgasme, il existe une stimulation qui passe d’abord par un processus mental. Certaines femmes, par exemple, parviennent à l’orgasme au moyen d’images sexuelles ou de fétiches. Quoi qu’il en soit, même dans le cas où la stimulation est psychologique, l’orgasme n’en est pas moins physique. Si donc la cause est psychologique, l’orgasme est physique, et se situe nécessairement au niveau de l’organe équipé pour la jouissance sexuelle, le clitoris. Le degré d’intensité de l’expérience orgastique peut aussi varier, parfois elle est plus localisée, parfois plus diffuse ou plus vive. Mais ce sont tous des orgasmes clitoridiens. Les hommes éprouvent l’orgasme essentiellement par friction contre le vagin, et non la zone clitoridienne, qui est externe. Les femmes ont donc été définies sexuellement en fonction de ce qui fait jouir les hommes. Leur physiologie n’a pas été proprement analysée. On leur a collé le mythe de la femme émancipée avec son orgasme vaginal, un orgasme qui en fait n’existe pas. Chez les analystes, le tort a été à l'origine de définir le plaisir féminin à partir du plaisir masculin, comme étant dépendant. Il nous faut caractériser notre plaisir, tout en rejetant les idées normales de sexualité, et nous mettre à penser en fonction d’une satisfaction sexuelle mutuelle. L’idée d’une satisfaction mutuelle est défendue dans les manuels conjugaux, mais non poussée jusqu’à ses conséquences logiques. Pour commencer, si des positions données comme classiques ne dispensent pas l’orgasme aux deux partenaires, nous devons exiger qu’elles ne soient plus tenues pour classiques. Alors, de nouvelles techniques doivent être inventées afin de modifier cet aspect de notre exploitation sexuelle courante. Freud soutenait que l’orgasme clitoridien était infantile et que, après la puberté, dans les rapports hétérosexuels, le centre de l’orgasme s’était transféré au vagin. Le vagin, prétendait-on, était le lieu d’un orgasme parallèle, plus complet que le clitoris. De nombreux travaux ont concouru à l’édification de cette théorie, bien peu a été fait pour en réfuter les présuppositions. Tout ce qu’il y a de paternaliste et de craintif dans l’attitude de Freud à l’égard des femmes provient de leur manque de pénis. Mais c’est seulement dans son essai "La psychologie féminine", qu’il exprime clairement. le mépris des femmes implicite dans toute son œuvre. Il leur prescrit de renoncer à la vie de l’esprit, qui gêne leur fonction sexuelle. Quand le patient est un homme, l’analyste s’attache à développer les capacités masculines mais si c’est une femme, la tâche consiste à la faire rester dans les limites de sa sexualité. Le sentiment que les femmes étaient inférieures fut donc le fondement des théories de Freud sur la sexualité féminine. On ne s’étonnera pas que Freud découvrît un épouvantable problème de frigidité chez les femmes. Les soins d’un psychiatre étaient alors prescris. Le mal leur venait d’une incapacité à s’adapter à leur rôle naturel de femme. L’explication était qu’une telle femme enviait les hommes, exprimant ainsi un refus de féminité. On diagnostiquait alors un phénomène anti mâle. Il faut bien préciser que Freud ne fonda point sa théorie sur une étude de l’anatomie féminine, mais sur sa propre conception de la femme comme appendice et inférieure de l’homme, et du rôle social et psychologique qui en découle. Au cours de leurs tentatives pour résoudre le problème d’une frigidité massive, les freudiens se livrèrent à des gymnastiques mentales très poussées. Marie Bonaparte, dans "De la sexualité de la femme", n’hésite pas à appeler la chirurgie au secours des femmes pour les aider à rentrer dans le droit chemin. Ayant découvert un rapport curieux entre la non-frigidité et la proximité du clitoris et du vagin, elle écrit: "Il m’apparut alors que, si chez certaines femmes ce fossé était trop large, et la fixation sur le clitoris durcie, une réconciliation vagino-clitoridienne pouvait être effectuée par des moyens chirurgicaux, pour le grand bien de la fonction érotique normale. Le professeur Halban de Vienne, chirurgien et biologiste, se montra intéressé par cette question et mit au point une technique opératoire très simple. Les ligaments maintenant le clitoris étaient coupés, le clitoris, conservant ses structures internes, était fixé plus bas, avec éventuellement une réduction des petites lèvres." Mais le plus grand dommage n’était pas localisé du côté de la chirurgie où les freudiens se livraient à d’absurdes tentatives pour changer l’anatomie féminine afin de la faire entrer de force dans leurs conceptions. Le dommage était pour la santé mentale des femmes, qui ou bien s’accablaient elles-mêmes en secret ou bien se pressaient chez les psychiatres, puis chez les chirurgiens en quête du fameux refoulement qui les excluait totalement de leur destin vaginal. Preuve est faite qu'un certain paternalisme teinté d'une misogynie était encore de mise au tout début du XIXème siècle. Le préliminaire est une notion créée pour le besoin mâle, mais tourne au désavantage de pas mal de femmes car, lorsque sa partenaire est "chauffée", l’homme passe à la stimulation vaginale et la laisse à la fois excitée et insatisfaite. On savait aussi que, durant les interventions chirurgicales à l’intérieur du vagin, l’anesthésie n’était pas nécessaire, ce qui montre bien qu’en vérité le vagin n’est pas une région hautement sensitive. Aujourd’hui, avec le progrès de la science anatomique, et le recul des idées sexistes, on est sorti de l’ignorance dans ce domaine. Cependant, pour des raisons sociales, ce savoir n’a pas été popularisé. Nous vivons dans une société mâle, où le rôle des femmes demeure inchangé. Plutôt que de partir de ce que les femmes devaient ressentir, il eût été plus logique de partir des faits anatomiques concernant le clitoris et le vagin. Le clitoris est un pénis en plus petit, avec la différence que l’urètre n’y passe pas. Son érection est ainsi analogue à l’érection mâle, et l’extrémité du clitoris a le même type de structure et de fonction que le gland. Le clitoris n’a donc d’autre fonction que le plaisir sexuel. L'emploi du vagin est rattaché à la fonction de reproduction, principalement, la menstruation, recevoir le pénis, garder la semence et le passage de l’enfant. Les petites lèvres peuvent infuser un orgasme clitoridien. Et comme elles peuvent être stimulées durant le coït, cette stimulation a pu être interprétée comme un orgasme vaginal. Ainsi, influencées par des thèses analytiques paternalistes, à la limite du sexisme et par méconnaissance de leur propre corps, certaines femmes se conforment à l'idée qu’un orgasme ressenti durant le rapport normal est d’origine vaginale. Cette confusion est due à deux facteurs, l’incapacité de localiser le centre de l’orgasme et le désir de ces femmes de faire concorder leur expérience avec la conception mâle de la normalité sexuelle. Ce malentendu a de nombreuses causes. D’abord, la femme, est soumise à une très forte pression de la part de l’homme, qui place souvent très haut ses propres talents amoureux. Pour ne pas blesser sa vanité, la femme endosse le rôle qui lui est imparti et simule l’extase. D'autres femmes, ayant constaté que l’acte sexuel était surtout satisfaisant pour l’homme, et le plaisir qu’une femme y pouvait prendre un petit extra en supplément, ont peur de revendiquer le droit à un plaisir sexuel égal. D’autres, assez fermes pour repousser l'aide d’un sexologue, refusent de reconnaître leur frigidité. Elles ne veulent pas se sentir en faute, mais, ignorantes de leur propre physiologie, ne savent pas comment en sortir. Celles-là se trouvent dans un complet désarroi. Sans verser dans la généralité qui est toujours caricaturale, force est de constater que depuis l'antiquité, les hommes ont tendance à entretenir l'illusion de l'orgasme vaginal. Le meilleur stimulant pour le pénis est le vagin. Il fournit le frottement et la lubrification nécessaires. Certains hommes considèrent en effet le clitoris comme une menace pour leur masculinité. Si le clitoris détrône le vagin comme centre de la jouissance féminine, les hommes peuvent craindre alors de cesser d’être sexuellement indispensables. On invoque en effet, comme motif de l’excision pratiquée au Moyen-Orient et en Afrique subsaharienne, la nécessité de préserver les femmes de la perdition. En supprimant l’organe de l’orgasme, on est assuré que ses débordements sexuels seront amoindris. Quand on sait combien les hommes considèrent leurs femmes comme leur propriété, spécialement dans les nations où le poids de la tradition est grand, on commence à bien comprendre pourquoi les hommes n’ont pas intérêt à laisser les femmes courir librement. À côté des raisons strictement anatomiques qu’ont les femmes de chercher également d’autres femmes pour faire l’amour, il existe chez les hommes une crainte que les femmes se mettent alors à rechercher, dans la compagnie des autres femmes, des relations complètes et réellement humaines. La promotion de l’orgasme clitoridien serait ainsi une menace pour l’institution hétérosexuelle. En réalité, Il n’existe pas une forme d’orgasme plus normale qu’une autre, finalement, ce qui devrait avoir de l’importance, c’est la seule qualité du plaisir entre deux personnes consentantes, et non pas le moyen par lequel elles l’atteignent. D’ailleurs, ce n’est pas parce qu’une femme jouit, même plusieurs fois, qu’elle est forcément satisfaite de sa relation sexuelle et amoureuse. Bibliographie et références: - Élisa Brune, "Le Secret des femmes" - Odile Buisson, "Qui a peur du point G ?" - Pierre Foldes, "Le mystère de l'orgasme féminin" - Bernard Andrieu, "La peur de l'orgasme" - Robert Muchembled, "L’orgasme féminin" - Pascal de Sutter, "La mécanique sexuelle" - Catherine Solano, "Le plaisir féminin" - Thierry Lodé, "Histoire du plaisir - Anne Koedt, "L'orgasme vaginal" - Wilhelm Reich, "La fonction de l'orgasme" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/03/21
Pique-nique du 10 et 11 août chez Mr TSM. Après une bonne nuit de sommeil réparateur Daniel et moi (Mon Maître m'avait accompagné vendredi 9 août vers 14 h 15 chez Maître Pierre pour repartir vers 17 heures) étions en forme pour nous rendre à Vauvert en compagnie de Maître Pierre. Nous avions rangé au frigidaire, les plats et boissons apportés pour le pique-nique, aider si besoin était. Puis saluer les Personnes présentes, Mr Mistral m'a présenté sa soumise Emeraude, j'ai été ravi de cette présentation. Sacherm, Antarés venu de Cambrai (qui a changé de speudo entre temps et qui est à présent Ossad) deux soumis agréables, Mr TSM bien sur ainsi que ses deux soumises KiO et Ginou, Mr Freddy, et l'invité de ce week end Monsieur Vich qui a la maîtrise du shibari, des suspensions et fouets divers... Nous étions arrivés en avance pour que la croix de St André soit montée, cela devait prendre une bonne heure avec Maud de Nadia, comme Toutes deux n'étaient pas encore présentes Sacherm un soumis, Mr Freddy dominateur et Mr Vich ont pris les choses en mains et en moins de trente minute la superbe croix était en place trônant dans la verdure chez Mr TSM. Ginou en cuisine avait fait des petites étiquettes pour soumis (es), pour apporter les plats divers, apéritifs, entrées, plats, fromages, cafés, débarrasser, amener, il est vrai qu'il faut de l'organisation et avec KiO, elles se partagent bien les tâches et que tout le monde aide, c'est appréciable. L'heure de l'apéritif commençait à poindre, nous avons installé quelques bouteilles sur la table. L'apéritif a duré, c'est ma pensée. Je vais encore me faire des ennemis tant pis... L'heure tournait, la chaleur était là, Maître Mark et sa soumise Saphyr accédaient à la maison de Mr TSM, je suis allée au-devant d'eux. Saphyr a de très belles fesses et un superbe tatouage aux creux de ses reins, j'ai un peu caressé ses seins quand son Maître l'avait attaché et qu'elle recevait le martinet au fond du jardin. Elle est curieuse, très souriante, et avait apporté des plats concoctés, cuisinés chez Elle. Partis de Monaco vers midi, ils avaient dormi chez des amis avant de rejoindre Vauvert, un peu avant midi, Belle harmonie avec son Maître qui est son mari, j'ai peu discuté avec eux en fait, beaucoup de monde, je pense savoir qu'ils reviennent pour le pique-nique de septembre. Rphdom (sa quiche, un délice, je l'ai savouré) et Insolence que j'ai trouvé super décontracté, gracieuse et aidant beaucoup en cuisine et ailleurs, elle me prenait la vaisselle pour l'essuyer au plus vite, la coquine. Tous deux étaient accompagnés par Melle Sweet (qui avait apporté et préparé de la pâtisserie faite maison) une soumise 'prise' sous leurs ailes. Rphdom la guide, une belle entente avec Insolence qui a son mot à dire bien sûr, entre tous trois l'harmonie et ce n'est pas évident quelque fois. Elles ont le même gabarit toutes deux et habillées un peu pareilles elles étaient, même pour les bas. Toutes deux jolis fessiers, j'ai vu Rphdom jouer avec ses martinets, puis à un moment donné Melle Sweet qui a les cheveux courts, a été rasé par lui, il restait des cheveux bien courts et une mèche sur le devant bien longue, le rendu était joli et l'éclat de ses yeux étaient plus mis en valeur à mon humble avis. Princesse ou Insolence, gracile soumise a été suspendu par Mr Vich, le rendu était de toute beauté, celui-ci était l'invité de ce pique-nique, un Homme qui sait manier le fouet comme j'aime, j'ai pu goûter au fouet corail et d'autres également. Maud et Dame Nadia sont arrivées, quel bonheur de les revoir, je me sens proche d'Elles et aiment leur compagnie. Maud certains jeux toujours prête à montrer son superbe fessier bien dur pour recevoir fouets, martinets, et autres ustensiles, Elle ne bronche pas et a un mental d'acier tout comme ses superbes fesses. Elle a changé de tenues quelque fois, et puis l'apercevoir déambuler avec ses hauts talons, j'aime. J'ai fait la connaissance de Dame Freya et son soumis Allain, ma plus belle rencontre de ce pique-nique et j'ai pensé à Mon Maître qui aurait été enchanté de faire la connaissance de cette Maîtresse. Un bon feeling avec Tous deux et quelques larmes d'émotion à voir leur complicité évidente, les regards échangés, j'en ai été bien ému. Mistral a fouetté sa soumise sur la croix de St André. Celle-ci a changé de tenues x fois sourire. Mr TSM a été prolixe envers Ginou gourmande, que j'affectionne. Que cela soit les fouets de son Maître, celui de Mr Vich corail et autre canning, elle endure... Allain le fouet lui aussi par Monsieur Vich, Maître Pierre, il a en gardé de belles marques. Hum... KiO séance fouet avec son Maître, une re découverte après quelques mois sans y avoir goûté. Moi attachée sur la croix de St André, fouetté par Maître Pierre et faire la poupée de chiffon à un moment... Mr Vich a demandé une volontaire pour une suspension, je me suis proposée ... Cette découverte m'a comblé depuis le temps que je voulais découvrir les cordes, bien qu'à un moment donné, une me serrait bien au-dessus de ma poitrine, mais comme m'a expliqué Mr Vich : c'est mon poids qui a fait que la tension était ... sourire Etre attachée et suspendue ainsi a été une totale initiation que je pensais à tort impossible vu ma corpulence. Comme quoi quelque fois, on se fait des idées qui ne sont pas ... Saphyr s'est également fait fouetter par Maître Pierre sous le regard de son Maître, des belles marques pour son retour elle a eu, et a découvert la cire samedi soir après que Mr TSM a posé des aiguilles sur le dos de sa soumise KiO entrelaçant celles-ci d'une petite chaîne et faisant couler de la cire en bas de son dos, en forme de coeur. Dessin qu'il a pu retirer avec son couteau et offrir à sa soumise avec la chaîne qu'elle pouvait porter comme un médaillon. Les applaudissements ont été. J'ai répondu à un moment donné dans l'après-midi sur un ton qui a déplu à Mr TSM ce qui m'a valu 5 coups de paddle bien frappé quand Maître Pierre se servait de ses cannes, je n'ai rien dit et accepté cette remontrance qui était justifiée. Maître Pierre a la maîtrise, le sérieux, les compétences, l'hygiène est présente, le samedi cela a été le tour de soumis Allain sous le regard de sa Maîtresse Dame Freya de découvrir les sondes d'urètre, j'ai été impressionné par la longueur, par les diverses diamètres, Maître Pierre attentif comme à son habitude. Allain faisait honneur à sa Maîtresse, une première pour lui également et bravo. Moment fort dimanche après-midi, Maître Pierre, Dame Freya avaient comploté pour clouer la peau du sexe de Daniel, il y la vidéo sur le site. Ce dernier a été attaché sur une chaise, bras et pieds entravés par JDuroc avec ses cordes suivant les consignes de Maître Pierre pour ne pas qu'il bouge. Daniel a eu droit à un cloutage, c'est impressionnant, j'étais assise proche de lui à voir son visage grimacer de dépassement, de don, j'ai eu mal. Dame Freya étirait comme il faut la peau de son sexe ainsi les clous étaient bien placés, aie. Maître Pierre et son marteau, entendre le bruit et regarder les expressions de Daniel, aie Son Maître attentif, à l'écoute, patient, rassurant, c'était une première et le moins que l'on puisse dire, c'est que la réussite a été, bravo à Toi quel soumis, ESCLAVE depuis peu, je suis fière de lui Après les clous... La CBT, je suis partie après les clous, Dame Freya lui a percé les seins avec des aiguilles, Maître Pierre diverses sondes d'urètre, puis des vis, à visionner la vidéo c'est hard. Cet Homme a la maîtrise, l'hygiène est de rigueur il va de soi ainsi que la patience. Revoir certaines Personnes comme Dame Emma et sa soumise Kanaria pour qui j'ai de l'estime et du respect, de belles rencontres à Fessestivités, un bonheur que leur venue. Le dimanche 11 août Le Scorpion soumis m'a étonné, par sa façon d'oser certaines pratiques, de se donner à la morsure du fouet, martinets, fessées bien marquées par certaines Personnes, j'ai posé 8 aiguilles sur la hampe du sexe à sa demande, une première pour moi, Dame Freya lui a mis une aiguille à chaque sein et fait un superbe dessin avec un long ruban entrelaçant les aiguilles de son sexe à ceux de ses tétons, le rendu était de toute beauté. Et sous la cagoule Scorpion soumis s'est incliné remerciant Dame Freya. Avant son départ pour Paris, ce gourmand a reçu du champagne sur son corps, sourire. Une bonne douche avec le tuyau du jardin et il était enfin prêt pour faire x kilomètres avant de rejoindre la capitale. Un soumis à revoir si possible ... Léa sylphide soumise avait acheté des gâteaux pour fêter dimanche après-midi l'anniversaire de son Maître JDuroc Gracieuse, elle a déposé devant celui-ci le plateau composé des 3 desserts puis les deux cadeaux accompagnés d'une jolie petite carte écrite. Une soumise offre un présent à son Maître mais là était une excellente occasion. Certains (es) ont eu du fouet, martinet, des fessées, des contraintes, du canning, des dessins à la cire, des soumis lavés et rincés au tuyau d'arrosage, la pratique des aiguilles, et j'en oublie surement. Des photos ont été prises, des vidéos ont été tournés seulement et c'est très bien ainsi, que par l'Organisateur de ce pique-nique. La CBT pour deux soumis qui aiment les beaux égards et qui ne sont pas de couards. Le port d'une ceinture de chasteté Sacherm pour ne pas le citer qui a eu droit à une épilation intégrale de ces attributs. A un moment donné pas moins de 4 Femmes que cela soit Domina, Maîtresse, soumises à ses côtés ainsi exposés, sur une table, le carcan maintenant sa tête et ses mains, les pieds attachés. Pendant le repas de samedi vers 15 heures, il est resté à genoux sous la table pendant x temps. Comme Ginou à un moment donné dimanche après-midi, j'ai été également nue dans les jets d'eau, à genoux je devais avancer, Mr TSM avec son fouet, un régal et puis KiO s'y est mise aussi, elle manie avec dextérité cet instrument, l'eau me faisait du bien, puis j'ai eu bien froid et l'on a arrêté. Le dimanche en fin de soirée, à un moment donné petit jeu entre Dame Nadia, Maître Pierre pour que Tous deux arrivent et ils y sont arrivés à retirer des tomates du potager de Mr TSM qui avaient été disposés sur le dos de Maud, avec leur fouet respectif, et la participation de Mr Vich, je ne vous dis pas les rires, la joie, la bonne humeur, pour ce défi. Puis vient le tour des tomates concassées... Tomates éclatées par Maître Pierre à la demande de Maud avec l'aval bien sûr de Dame Nadia, les tomates ont été écrasé avec le nunchaku d'entrainement en mousse mais que l'on sent bien en ce qui me concerne. Pour ce trip, j'avais installé ma chaise pour être aux premières loges, Maître Pierre adroit tout comme Dame Nadia avec le fouet à part un raté de chaque côté, petit délire entre gens de bonne compagnie. J'avais demandé à me faire fouetter par Mr Vich qui avait accepté, le fouet corail sur ma peau, hum ... Maître Pierre je l'ai vu à un moment donné était devant moi, pour le fouet enroulé c'est plus prudent et l'on peut voir ainsi les marques sur la poitrine. Je ferme toujours les yeux quand je suis dominée et quelque fois les aient ouverts et eus certains coups comme deux sur mon sexe. Le respect a été aucun débordement Nous étions 26 à ce pique-nique, j'ai bonne mémoire. Les marques des cannes ont été présentes pendant une semaine passée sur mon généreux fessier par contre, les marques des fouets de Maître Pierre le samedi après-midi, et Mr Vich le dimanche se sont estompées au fur et à mesure, me reste à ce jour du 26 août, une trace enfin un bleu, sur mon sein gauche, rappel du fouet enroulé de Maître Pierre. Merci à mon Maître aimé qui a la confiance de Maître Pierre, pour m'avoir permis de participer à ce second pique-nique. Merci à ce dernier pour les belles marques qu'il m'a offertes et son respect à mon égard. Merci à Monsieur Vich pour la suspension, vos fouets, dont le superbe fouet corail, votre respect et bonne humeur, dialogues. Merci à Monsieur TSM pour son accueil ainsi qu'à ses deux soumises pour l'organisation complexe d'une telle rencontre sur deux jours, il y a du travail avant, pendant et après les départs. De belles rencontres, découvertes à ce deuxième pique- nique, de la convivialité, du respect, de l'amitié, des initiations, de l'écoute. J'ai écrit ce second récit à ma façon avec mes propres ressentis, mes émotions. J'ai demandé l'accord de Toutes les Personnes mentionnées dans cet écrit. Le 27 08 2013
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Par : le 23/03/21
Un superbe week-end, de belles Rencontres que cela soit Maître (sse) dominateur, trice, soumis (e) abdl De riches découvertes avec des Personnes souriantes, conviviales, charmantes, intelligentes, j'en oublie surement. Le partage des repas préparés apportés par les participants (es) j'ai aimé, en cuisine Ginou et Kio qui savent toutes deux ce qu'est l'organisation d'un tel événement, beaucoup de travail derrière ; KiO sait manier avec brio les ordres pour que tout se passe au mieux que cela soit pour ranger, desservir, apporter ainsi que sa soeur de soumission, merci à Toutes deux et à Emma pour la recette de cuisine ainsi qu'à Ginou pour une entrée chaude préparée sur place. Le débat m'a semblé long mais utile pour les participants (es) ne connaissant pas trop certains sujets. J'ai bien aimé que chaque personne se présente brièvement cela permet de savoir qui est qui. 23 Personnes présentes, une belle complicité, des connaissances avec autres Personnes, des partages, des émotions, des sensations, des initiations que cela soit : soubrette à plateau, ballbusting j'ai été impressionné par Daniel et Kanaria, Emma superbe complicité, une Maîtresse jeune par son âge, qui a la maîtrise, elle m'a époustouflé. La pratique des aiguilles avec le Dr Attila et Nurse Eva, Léa gracile soumise a expérimenté cette découverte sous le regard bienveillant de son MaîtreJDuroc, merveilleux partage que j'ai admiré. Dame Nadia accompagnée de Maud qui a été intenable, tellement électrique, sur piles dois-je dire ce jour-là. Merci pour vos sourires, ta gentillesse à mon égard, ton petit conseil au sujet de mains .... Chut Un réel bonheur Tous deux et cela ravi mon coeur. Les cravaches musicales, bien que je ne sois pas musique en bdsm, aie ! Je vais me faire des ennemis tant pis. J'ai apprécié, je l'avoue d'admirer Nurse Eva qui a pris un réel bonheur à frapper en tempo. J'ai moi-même à un court moment pris la place de Chienne 34 (qui était accompagné de son mari pour le pique-nique) pour être fessée par TSM en musique. Je n'allais pas faire la tête et bouder de mon côté, j'ai participé. Nous sommes là pour découvrir, pour partager. Par contre, pour les bougies et la suspension bondage kinbaku, shibari un pur moment de bonheur, la musique douce est la bienvenue, je dis à ma façon ce que j'ai vécu et mes ressentis qui ne sont pas ceux que tout le monde a vécu bien sûr, chaque personne ressent les émotions différemment. Une personne m'a et me fait toujours pleurer c'est Ginou, douce soumise blonde, une belle Soumise et l'éclat de son visage, son regard sous le fouet de son Maître, elle m'émeut tout simplement, c'est de toute beauté en regardant les photos prises, que tu es belle dans ton abandon. KiO dans les cordes de toute beauté également, un réel bonheur de te voir t'envoler dans la suspension, radieuse, magnifiée si besoin était dans ces cordes de chanvre, ton regard magnifique, je suis très regard. Le canning Aie, Ginou, KiO, Daniel et ceux que j'oublie. Tenir les mains de Ginou avec Mistral et que son Maître lui fasse un certain comptage plus la tva si j'ai bonne mémoire. Quelle endurance et que dire de Daniel, Soumis oh combien agréable, maso, toujours à rire, sourire, et qui reçoit beaucoup, gentil provocateur toujours en recherche de marques. Maître Pierre, son Maître est fier de lui et moi qui les ai accompagnés Tous deux pour ce pique-nique, j'ai été sous le charme de ces deux Personnes et d'autres. Sourire. La cage de chasteté de Daniel et j'ai su plus tard qu'il y avait des pointes dedans aie, Ginou et KiO qui se sont amusés à lui faire des chatouilles. Aie Léa en cage, un merveilleux instant de quiétude, son Maître lui souriait, veillant sur Elle à un moment donné où KiO était allongée dessus pour un fist pratiqué par Son Maître. Puis plus tard Ginou enfermée elle aussi, une prochaine fois j'aimerai être dans la cage... Les martinets ont été à l'honneur ainsi que les fouets divers, les paddles, les cravaches certains (es) ont eu des révélations, se sont découverts des talents cachés, sourire Joffrey jeune et joli soumis abdl qui a été féminisé, maquillé, le rendu était superbe, il a joué le jeu, il s'est abandonné, a goûté au martinet, a servi de table pour qu'Emma et Kanaria puissent déjeuner, je ne suis pas branchée abdl et respecte les pratiques des uns et des autres qui font à leur guise. En ce qui me concerne les bébés et l'enfance, c'est pour moi un sujet qui me tient à cœur et vu ma sensibilité, je ne pourrais pas, bien que cela ne soit qu'un jeu, une pratique, que certains font par amour de l'autre et qui m'a beaucoup ému, j'aurais du mal, j'avoue. J'ai accompagné Sylvie pour la jouissance forcée enfin chacune à notre tour, il était tard et quelques personnes étaient présentes, TSM a changé les serviettes, le vibro recouvert d'un préservatif, je suis axée sur l'hygiène qui doit être en toute circonstance. Je suis pudique et me montrer nue sexe et clitoris offert, allongée, sanglée pieds, cuisses et les mains, mon bandeau noir cachant mes yeux bleus, ainsi je n'ai pas vu les regards et ai pu me concentrer et entrer dans ma bulle comme j'aime. J'ai mentalement offert ma jouissance à Mon Maître et j'avais demandé à Maître Pierre si je pouvais lui tenir la main pendant ce temps, il a acquiescé. Toutes deux ont découvert l'électro avec Maître Pierre bien que la musique un peu forte à un moment donné pour moi m'a déconcentré, mais dehors autre pratique faites en musique, une autre fois au calme je découvrirais à nouveau l'électro. Le water-bondage que j'ai voulu découvrir étant de nature curieuse, impression bizarre, sensations diverses, la peur, la panique un court instant, le cœur qui cogne, les pieds que je remuais et TSM qui ne me fait pas remonter la tête tout de suite, le mental qui est là, les bulles qui se forment à coté de ma bouche, Daniel qui a pris les photos pour que mon Maître voit mes initiations. SM 30 et son regard coquin, ses mains agiles. Aie Libellule au fouet ravissante brune Merci à TSM et ses deux adorables soumises pour ce pique-nique riche en découvertes, à ces deux dernières pour toute la préparation que l'on n'a pas vue derrière et que l'on a bien apprécié, gentillesse, moments de partage, mots réconfortants, petits conseils, et le massage que m'a prodigué KiO à un moment donné. Merci à tous les participants (es) et si j'ai oublié quelqu'un (e), je vous présente mes excuses. Je voudrais associer Ludic avec qui je converse depuis 2 ans passés ici, qui m'a fait découvrir l'autre site, grâce à lui, j'ai pu faire de belles Rencontres des rares personnes m'ont marqué à leur façon marques visibles ou invisibles que je garde dans l'écrin de mon cœur. Merci à Mon Maître aimé pour m'avoir permis d'aller à ce pique-nique, de découvrir beaucoup avec la confiance et le respect de Maître Pierre. PS : J'avais demandé l'accord des participants (e) à la fin du week-end pour écrire ce récit plus tard. le 27 07 2013
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Par : le 23/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 36 Mitsuko Extraits « … En arrivant dans les toilettes elle voit avec stupeur une femme ligotée à genou. Elle est nue, porte un masque aveuglant et un système lui gardant la bouche ouverte. Sous elle un gode électrique effectue des va et vient permanents. … Je ne t’ai pas dit de rentrer ta langue et elle met la main entre les jambes de la femme et pince violemment le clitoris. La femme veut crier mais la main de Mitsuko s’est reposée sur la bouche de cette dernière. Mitsuko dit tu vas m’obéir maintenant…. La femme dit d’une voix déformée par l’écarteur et les sanglots. Tu es ma maitresse Mitsuko. Mitsuko repince les seins. Tu dois me vouvoyer. La femme hoquète et répète vous êtes ma maitresse Mitsuko. Mitsuko est ravie elle caresse maintenant les seins douloureux de la femme. … Une fois libérée celle-ci se lève et dit à Maeva. Couche-toi à mes pieds maintenant. Maeva soumise totalement à Mitsuko se couche sur le ventre et embrasse fébrilement les pieds de Mitsuko….» En attendant le parrainage Laurent organise une nouvelle soirée poker. Outre deux invités habituels il y a un nouveau couple. Robert, collègue de Laurent, est marié à une jeune japonaise, Mitsuko, qui a absolument voulu venir voir en quoi consistait ces parties de poker dont on parle à voix basse et qui semblent orientées sur le sexe. Robert a essayé de la dissuader car elle est très prude mais elle a fait des pieds et des mains pour pouvoir venir. Robert en a parlé à Laurent qui est d’accord pour qu’elle vienne, pourvu qu’elle sache se tenir et ne fasse pas d’esclandre. Robert promet que s’il y a un problème il repartira aussitôt avec Mitsuko. La soirée est prête. Gisèle et Aude sont à genou dans le coin de la salle qui leur est réservée. Lorsque robert et Mitsuko arrivent il se présente et prévient Mitsuko que dans la salle de poker elle risque d’être choquée. Les yeux brillants elle répond qu’elle veut absolument venir, qu’elle saura se tenir et qu’elle jouera un peu au poker. En entrant dans la salle Mitsuko est hypnotisée par les deux femmes quasiment nues ligotées à genou sur des godes. Elle a un mal fou à ôter son regard de cette vue qui la bouleverse totalement. Robert inquiet lui serre la main elle se retourne vers lui et fait un grand sourire. Pas de problème elles sont très belles ; je comprends que tu veuilles venir à ces soirées dit-elle espiègle. La partie commence. Mitsuko joue habituellement bien au poker mais elle ne pense qu’à ces deux femmes offertes. Elle perd régulièrement et au moment de la pause elle est déjà ratissée. Elle voit les deux femmes servir les en cas et les boissons puis passer sous les tables pour essorer les hommes présents. Elle ne demande pas de caresses buccales de la part des femmes car elle ne sait pas comment ça pourrait se terminer. Elle n’a jamais été aussi excitée qu’à ce moment. La pause terminée les joueurs retournent à leurs parties et les deux femmes se remettent en position à genou. Mitsuko décide d’aller aux toilettes. En arrivant dans les toilettes elle voit avec stupeur une femme ligotée à genou. Elle est nue, porte un masque aveuglant et un système lui gardant la bouche ouverte. Sous elle un gode électrique effectue des va et vient permanents. La femme est très belle et l’écriteau posée sur elle indique clairement qu’elle est à la disposition de celui ou celle qui passe. Mitsuko n’en revient pas. Elle va mettre le verrou sur la porte des toilettes et s’approche de la femme. Mitsuko dit : Bonjour. la femme répond un bonjour déformé par l’écarteur. Tu es à ma disposition ? dit Mitsuko. Oui répond la femme. Je peux faire ce que je veux la femme opine. Mitsuko pose la main sur un sein de la femme et en même temps lui met la main sur la bouche. Elle pince fermement le téton. La femme gémit mais son cri est étouffé par la main de Mitsuko. Chut ! Sinon je te fais vraiment mal. La femme se tait. Mitsuko pince le deuxième sein.la femme gémit mais essaye de le faire en silence. Mitsuko dit : tu es ma chose. La femme semble pleurer. Tire la langue dit Mitsuko. La femme tire la langue. Plus loin dit Mitsuko. La femme tire au maximum la langue que Mitsuko attrape et tient fermement entre ses doigts. Elle tire la langue au maximum. La femme se tortille et semble paniquer. Oui je fais de toi ce que je veux. Elle relâche la langue et la femme la recule aussitôt. Je ne t’ai pas dit de rentrer ta langue et elle met la main entre les jambes de la femme et pince violemment le clitoris. La femme veut crier mais la main de Mitsuko s’est reposée sur la bouche de cette dernière. Mitsuko dit tu vas m’obéir maintenant. La femme hoche précipitamment la tête. Mitsuko dit :je vais enlever ma main et toi tu vas titrer la langue au maximum. La femme hoche le tète. Mitsuko retire sa main et aussitôt la langue sort au maximum. Bien dit Mitsuko. Maintenant tu vas gonfler ta poitrine pour moi sinon je te repince les seins. La femme s’arque autant qu’elle peut pour mettre sa poitrine en avant. Bien lui dit Mitsuko. Souviens-toi de moi je suis Mitsuko et un jour tu ramperas à mes pieds. La femme semble perplexe et pour toi je serai maitresse Mitsuko. Chaque fois que tu me verras tu m’appelleras ainsi et tu ramperas à mes pieds. La femme ne réagit pas. Mitsuko lui pince sévèrement les seins. La femme est tétanisée et hoche précipitamment la tête. Dit le que je suis ta maitresse dit Mitsuko. La femme dit d’une voix déformée par l’écarteur et les sanglots. Tu es ma maitresse Mitsuko. Mitsuko repince les seins. Tu dois me vouvoyer. La femme hoquète et répète vous êtes ma maitresse Mitsuko. Mitsuko est ravie elle caresse maintenant les seins douloureux de la femme. On se reverra vite dit Mitsuko et elle se relève et quitte les toilettes. Robert commençait à s’inquiéter. Mitsuko revient vers lui avec un grand sourire. Elle lui dit j’ai fait la connaissance d’une femme nue dans les toilettes qui est ce. C’est Maeva dit robert. C’est la femme et l’esclave de Laurent. Mitsuko sourit et regarde Laurent. Elle pense tu vas devoir me la prêter mon ami. J’ai plein d’idées pour elle. Juste avant la fin de la soirée Mitsuko retourne aux toilettes. Elle s’approche de Maëva et dit :alors Maeva tu reconnais ma voix. Une petite voix apeurée dit oui vous êtes ma maitresse Mitsuko. Bien répond cette dernière. Je t’ai apporté un petit cadeau. Elle ôte sa culotte et l’enfonce dans la bouche de Maeva tout en pinçant un sein. C’est pour que tu te souviennes de moi et que tu comprennes que tu m’as bien fait mouiller. A bientôt ma petite esclave. Et elle pose un baiser sur le sein meurtri de Maeva. Lors du départ Mitsuko s’approche de Laurent pour le remercier de l’avoir laisser venir. Il est sensible à ses charmes et elle le sent. Si tu veux plus de moi il faut que tu me prêtes ta femme un weekend. Lui dit-elle en partant. Laurent est tout content et s’aperçoit plus tard qu’il a un numéro de téléphone griffonné sur un papier dans sa poche de veste. Après le numéro il y a un cœur et un m majuscule. Il sent que Maeva va faire un stage chez Mitsuko. Lorsqu’il libère Maeva celle-ci s’effondre dan ses bras. Elle veut lui raconter ce qu’elle a subi avec Mitsuko mais il ne la laisse pas parler et elle passera la nuit attachée et bâillonnée avec la culotte de Mitsuko dans la bouche. Quelques jours plus tard Laurent appelle Mitsuko. Celle-ci lui dit franchement qu’elle a kiffé la soirée poker, notamment les moments passés avec Maeva et qu’elle recommencerait bien une séance seule en tête à tête avec cette dernière. Laurent qui se verrait bien faire un cinq à sept avec Mitsuko accepte sous réserve qu’ils aient tous les deux une séance en tête à tête ensuite. Mitsuko promet qu’elle est d’accord. Laurent propose que la rencontre avec Maeva se fasse chez lui car il possède du matériel et une pièce adéquate. Mitsuko accepte volontiers et le rdv est pris pour le lendemain car robert sera absent pour la journée et la nuit suivante. Laurent se garde de prévenir Maeva et le lendemain il lui dit juste qu’elle n’a pas été visiter la pièce donjon depuis trop longtemps et qu’il va y remédier. Maeva ne se doute pas de la visite et accepte volontiers pour se changer les idées après sa soirée difficile. Le lendemain Maeva est attachée les bras tirés vers le haut par une chaine accrochée au plafond et les jambes écartées par une barre d’écartement. Elle a un masque aveuglant et un bâillon. C’est une position traditionnelle qu’elle aime. Quand elle entend des pas légers derrière elle elle commence à mouiller en pensant qu’elle va se faire prendre par un ou des hommes bien excités. Elle se tétanise quand elle entend la voix douce de Mitsuko qui lui dit. Je t’avais promis qu’on se reverrait ma petite esclave. Et aujourd’hui on a bien le temps de faire connaissance. Maeva rue mais ne peut rien faire, attachée comme elle est. Mitsuko commence par la caresser longuement elle s’attarde sur les seins faisant frémir Maeva à chaque fois par la peur engendrée. Puis elle pince légèrement les seins et le clitoris de Maeva qui se tortille. Mitsuko enlève le bâillon et demande à Maeva de tirer la langue. Celle-ci s’exécute immédiatement et tire la langue autant qu’elle peut. Mitsuko attrape la langue avec ses doigts et la maintient fermement mais sans la forcer. Maeva est terrorisée. Elle s’attend au pire. Mitsuko met alors une pince sur la langue de Maeva. La pince presse fermement la langue même si la douleur est encore supportable. Maeva sent que la pince est reliée à quelque chose. Puis Mitsuko met une pince sur le clitoris de Maeva. Encore une fois c’est très fort mais la douleur est supportable. Puis Mitsuko tire sur les deux pinces qui sont reliées à des chainettes ; celle de la langue vers le bas et celle du clitoris vers le haut. Maeva baisse au maximum la tête afin de soulager sa langue et essaye de remonter son bassin pour soulager la tension sur le clitoris. Mitsuko tend au maximum de ce que peut supporter Maeva et relit les deux chainettes. La tension entre les deux pinces empêche Maeva de faire le moindre geste tant elle est concentrée sur la tentative de limiter la tension. Mitsuko lui dit. Tu es jolie comme ça mais il ne faut pas oublier tes jolis seins. Et elle accroche une pince à un sein. La douleur est forte mais supportable. Mais Mitsuko passe la chainette qui relie les deux pinces autour du cou de Maeva et accroche la pince sur le deuxième sein en tendant au maximum la chainette. Les tétons de Maeva sont fortement tirés vers le haut et elle essaye sans succès de baisser le cou pour limiter la tension. Ainsi bloquée et endolorie elle est palpée partout par Mitsuko qui alterne les caresses et les claques nerveuses. Enfin alors que Maeva n’en peut plus et ruisselle de sueur Mitsuko enlève les pinces. Maeva respire enfin. Mitsuko détend la tension sur les bras et bientôt Maeva se retrouve avec les bras menottés dans le dos. La barre d’écartement est enlevée et les chevilles de Maeva sont menottées l’une contre l’autre. Mitsuko dit alors à Maeva de se mettre à plat ventre devant sa maitresse. Maeva se couche comme elle peut et se retrouve à plat ventre. Mitsuko lui enlève le masque et Maeva la voit enfin. Elle est nue juste vêtue d’un harnais de cuir rouge qui l’enveloppe complément. Lèche mes pieds esclave. Maeva rampe vers les pieds de Mitsuko et lui lèche avidement les pieds pour montrer sa totale soumission en espérant calmer la fureur de Mitsuko. Après quelques minutes celle-ci se dirige vers le grand lit de la pièce et ordonne à Maeva de la suivre. Maeva doit ramper sur le sol pour avancer. Elle arrive enfin au pied du lit. Là Mitsuko lui enlève les menottes des pieds et la fait se relever. Elle couche Maeva su le dos en travers sur le lit et entreprend de l’attacher en croix aux quatre coins du lit. Comme elle est en travers du lit les jambes de Maeva sont ouvertes à l’extrême et elle est quasiment en position de grand écart. Les liens sont très tendus et elle ne peut absolument pas bouger. Mitsuko admire son œuvre et palpe Maeva en alternant les caresses les claques et les pincements. Parle-moi. Dit moi que tu aimes ce que je te fais dit Mitsuko. Mets-y du cœur. Maeva dit : Vous êtes ma maitresse Mitsuko et je joui de vos caresses. J’adore ce que vous me faites et je me prosterne devant vous. Elle essaye d’imaginer ce qui peut faire plaisir à Mitsuko et pendant plusieurs minutes celle-ci continue ses actions. Puis Mitsuko détache Maeva, se couche sur le lit et lui dit maintenant tu vas me faire jouir esclave. Maeva caresse Mitsuko et l’embrasse partout. Celle-ci ondule mais semble insatisfaite. Maeva prend alors l’initiative d’utiliser les attaches qui viennent de servir pour attacher Mitsuko qui se laisse faire aux quatre coins du lit. Maeva tend autant qu’elle peut les liens et Mitsuko est maintenant tendue à l’extrême. Maeva la pelote en alternant les caresses et les claques. Puis voyant que Mitsuko commence à haleter. Maeva se met à genou enserrant la tête de Mitsuko et se penchant en arrière elle saisit le sexe de Mitsuko d’une main et le fouille sans ménagement. Mitsuko comme alors à haleter plus fort et embrasse goulument le sexe de Maeva. Celle-ci redouble de force sur le sexe de Mitsuko qui réagit aussitôt. Maeva ne fait plus attention maintenant et agrippe avec toutes ses forces le sexe de Mitsuko qui l’embrasse fébrilement. Maeva sent la jouissance venir et soudain Mitsuko se met à ruer comme un cheval sauvage. Elle jouit sauvagement sans cesser de lécher le sexe de Maeva. C’est un tourbillon de jouissance qui emporte les deux femmes. Maeva pantelante reprend son souffle. Mitsuko s’est calmée. Maeva se relève et contemple le corps le Mitsuko toujours attaché fermement. Maeva lui dit tu ‘as mis qu’on avait bien le temps de faire connaissance ma jolie. Je crois que tu vas rester quelques heures dans cette position ou tu es à ma disposition totale. Mitsuko la regarde sans peur. Mais blanchi un peu lorsque Maeva s’éloigne et revient avec une cravache dans une main et les quatre pinces qui viennent de servir dans l’autre. A mon tour de jouer dit Maeva en se préparant à mettre un bâillon à Mitsuko. Celle-ci la regarde sans ciller et dit. N’oublies pas que tu es à ma merci. Tu es mon esclave et je te ferais regretter mille fois ce que tu me feras si tu ne me détaches pas tout de suite. Maeva hésite. Elle a compris que Mitsuko pourra de nouveau demander à Laurent une séance ou elle sera à sa merci. Trop effrayée par ce qui peut lui arriver elle est vaincue et commence à détacher Mitsuko. Une fois libérée celle-ci se lève et dit à Maeva. Couche-toi à mes pieds maintenant. Maeva soumise totalement à Mitsuko se couche sur le ventre et embrasse fébrilement les pieds de Mitsuko. Bien dit celle-ci. La prochaine fois nous testerons quelques bondages shibari d’humiliation. Restes dans cette position jusqu’à mon appel et elle pose un téléphone portable près de Maeva. Et Mitsuko part. Maeva n’ose pas bouger. Heureusement que c’est bien chauffé ici se dit-elle. Le temps passe lentement. Maeva se demande si Mitsuko va appeler ou si c’est un piège. Plusieurs heures plus tard le téléphone sonne. Elle décroche. Tu peux disposer esclave. Je veux que tu ais toujours ce téléphone à ta portée. Je n’accepterais pas que tu ne répondes pas à un de mes appels. Et elle raccroche laissant Maeva pantoise.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 35 : SAUVETAGE INESPERE. Extraits » …Et elle montre du geste la tigresse qui est couchée à ses pieds qu’elle lui lèche avec attention. Elle est juste nue avec un collier identique à celui de Magalie…. Enfin virginie lui fait ouvrir la bouche pour y insérer un bâillon à double gode qui fait qu’elle à l’équivalent d’une bite dans la bouche et une autre qui sort de sa bouche. Maintenant tu es prête à me servir et de toutes les façons. Bien sûr tu n’as pas intérêt à essayer d’enlever une seule chose sans mon ordre. Dit virginie… » Magalie reprend ses esprits. Elle est enfermée dans une cage et porte un collier qui ne lui augure rien de bon. Face à elle, elle reconnait virginie qui la toise avec un regard pervers. Tu te réveilles ma chérie. Tant mieux car on va passer du bon temps toutes les trois. Et elle montre du geste la tigresse qui est couchée à ses pieds qu’elle lui lèche avec attention. Elle est juste nue avec un collier identique à celui de Magalie. Le collier est accroché à un anneau fixé au sol. La tigresse ne peut bouger la tête que de trois ou quatre centimètres. Magalie veut demander à virginie pourquoi elle la traite comme ça. Au premier mot une puissante décharge la terrasse. Ça vient du collier. Virginie rit et lui explique le fonctionnement du collier. Magalie fait un geste pour montrer qu’elle ne comprend pas. Virginie lui rappelle que c’est elle qui l’a jetée dans les griffes de la tigresse. Magalie montre qu’elle ne comprend rien. Tu n’as pas besoin de comprendre. Maintenant tu es corps et âme à mon service comme une bonne petite esclave. Tu prendras exemple sur la tigresse qui a compris ou était son intérêt. Magalie regarde incrédule virginie. Celle-ci dit : Bon on va commencer ton éducation. Déjà tu sais que tu ne dois jamais parler sans mon ordre. Mais ça tu as compris. Lorsque tu ne seras pas occupée à faire une tache que je te commanderais tu te mettras à genou en position de soumission comme la tigresse en ce moment et tu me lécheras les pieds. Magalie est horrifiée. Voilà ce que tu dois savoir dit virginie. M’obéir ou te prosterner à mes pieds. C’est simple. Compris. Magalie hoche la tête. Je vais te sortir de la cage maintenant. Virginie approche de l’arrière de la cage et l’ouvre. Magalie sort en marche arrière et veut se lever. Une puissante décharge la sonne. Tu n’as pas compris tant que je ne te demande riens tu te prosterne à mes pieds. Magalie se remet péniblement à genou et baisse la tête vers les pieds de virginie. Cette fille est folle pense-t-elle. Virginie se dirige vers le campé. Magalie la suit à genou et dès que virginie est assise elle lui lèche les pieds. Pff ça va être long se dit Magalie. Virginie lui dit alors. Montre-moi si tu sais te servir de ta bouche sur un sexe et elle écarte les jambes. Magalie n’est pas lesbienne mais ne se pose pas de question. Elle plonge la tête dans le sexe de virginie. Virginie fait entrer la tigresse dans la cage. Voilà dit-elle. Maintenant je peux m’occuper pleinement de toi. Et elle se tourne vers Magalie qui n’a pas bougé. Celle-ci anticipe la décharge et se rue à quatre pattes vers les pieds de virginie qu’elle embrasse. Bien : dit cette dernière. On va te vêtir come il faut. Elle s’absente quelques minutes et revient avec un harnais en cuir noir qu’elle installe sur Magalie. Le harnais est réglable et virginie serre au maximum les sangles. Le harnais semble être incrusté dans la peau de Magalie. Tu as de beaux seins on va les mettre en valeur. Elle sort une corde de bondage et s’en sert pour bonder les seins de Magalie. Ceux-ci sont gonflés et deviennent bleus. Magalie a l’impression qu’ils vont éclater. Maintenant pour parfaire ta tenue des petits jouets pour toi. Elle fait se pencher Magalie en avant et lui met un gode énorme et un plug annal impressionnant. Une lanière du harnais qui passe entre ses jambes comprime puissamment les deux objets qui semblent vouloir aller plus loin dans les entrailles de Magalie. Satisfaite du résultat virginie lui dit que désormais elle sera tout le temps habillée comme ça avec les deux jouets bien insérés. Elle actionne une petite télécommande et les deux engins se mettent à vibrer de concert. Magalie se sent prête à éclater de partout entre ses seins, son sexe et son cul. Enfin virginie lui fait ouvrir la bouche pour y insérer un bâillon à double gode qui fait qu’elle à l’équivalent dune bite dans la bouche et une autre qui sort de sa bouche. Maintenant tu es prête à me servir et de toutes les façons. Bien sûr tu n’as pas intérêt à essayer d’enlever une seule chose sans mon ordre. Dit virginie. Elle entraine Magalie dans la cuisine ou cette dernière fait la vaisselle sous le regard de virginie. Une fois la cuisine propre Magalie doit passer l’aspirateur dans le salon. Son travail est interrompu lorsque virginie, assise sur le canapé, lui donne l’ordre de venir lui enfiler le gode facial. La journée est épuisante pour Magalie. Malgré elle, elle est de temps en temps fauchée par un orgasme provenant des vibrations des deux engins. Enfin il semble que l’heure du coucher est arrivée. Virginie sort la tigresse de sa cage, lui fait un passage aux toilettes et à la salle de bain et l’accroche à l’anneau prévu à cet effet au sol de sa chambre. Puis elle vient chercher Magalie et suit le même protocole. Elle n’oublie pas de remettre le harnais et les engins vibrants ainsi que le bâillon gode. Il n’y a qu’un anneau dans la chambre et elle lie Magalie à un des pieds du lit. Magalie voit du coin de l’œil que le regard de la tigresse s’est soudainement réveillée. Pendant que virginie attache Magalie elle voit que la tigresse lui fait des gestes avec a tête en montrant le tapis sur lequel est couchée Magalie. Virginie se relève et la tigresse cesse de regarder par là. Virginie souhaite alors une bonne nuit aux esclaves en éteignant la lumière. Magalie laisse passer quelques minutes et quand elle pense que virginie dort complétement elle se contorsionne silencieusement pour essaye de voir ce qui se cache sous le tapis. Après une demi-heure d’effort elle sent sous ses mains un petit anneau qui semble ouvrir une petite trappe. Elle réussit à soulever la petite trappe et essaye de tâter ce qu’il y a dans la petite cavité en dessous. Elle finit par toucher un objet muni de boutons qui semble être une petite télécommande. Puis un couteau, un cutter et une petite boite dont elle ne connait pas l’utilité. Elle se demande ce qu’elle peut faire avec ça et regarde du côté de la tigresse qui a les yeux rivés sur elle. Magalie tente alors de faire glisser les objets vers la tigresse qui tend ses jambes pour les attraper un à un. Après plus d’une heure d’efforts et de contorsions la tigresse a récupéré tous les objets. Quelques minutes d’effort plus tard Magalie voit que la tigresse semble s’être libérée. Celle-ci rampe vers elle et lui ôte les liens un par un. Elle finit par le collier quelle ouvre avec des minuscules outils bizarres. Magalie apprendra plus tard qu’il s’agit d’outils pour forcer les serrures. Elles sont libres. Virginie semble toujours endormie. La tigresse montre un collier à Magalie et lui indique le cou de virginie. L’affaire ne va pas être simple mais elles sont à deux contre une. Elles contournent le lit et la tigresse s’apprête à mettre le collier autour du cou de virginie. Elle montre les mains de virginie à Magalie pour lui signifier de les maitriser au moment de l’attaque. Puis elle fait le décompte trois deux un et elle se jette sur le cou de virginie pendant que Magalie attrape les deux mains. Virginie sursaute et fait preuve d’une force étonnante. Magalie ne parvient qu’à ralentir les mains de celle-ci. Mais la tigresse a réussi en une fraction de seconde à fermer le collier sur le cou de virginie. Cette dernière lutte en silence et réussit presque à se dégager des mains de Magalie. Un clic se fait entendre et la tigresse se recule vivement en brandissant une télécommande. Magalie ressent un choc terrible. La tigresse a envoyé une décharge avec le collier et la décharge a secoué virginie et Magalie. Virginie se tétanise sur le lit. Magalie reprend un peu ses esprits et se recule vivement. La tigresse allume la lumière. Virginie est couchée et les regarde avec horreur. La tigresse sourit. J‘ai toujours un nécessaire dans ma chambre en cas de problème avec les accessoires dit-elle en exhibant les objets contenus dans la cavité. Ils m’ont déjà servis et ils viennent de me sauver encore. Merci Magalie sans toi j’étais condamnée à rester l’esclave de virginie. Je te suis redevable d’un grand service. Magalie répond qu’elle n’y est pas pour grand-chose. Virginie veut se lever mais la tigresse lui montre la télécommande. C’est moi qui donne les ordres désormais ma petite. Tu vas réapprendre à m’obéir Laissant virginie prostrée sur le lit les deux femmes se débarrassent des restes de bondage. Magalie se sent revivre avec son fondement enfin libéré. Elles se rendent dans le salon ou la tigresse leur prépare un café. Que va-t-on faire d’elle demande Magalie. J’en fait mon affaire dit la tigresse. J’ai besoin d’une soubrette ici et virginie connait la maison et est très jolie en plus. Je suis sure qu’elle va m’apporter beaucoup de plaisir. Magalie n’en doute pas. La tigresse continue. Néanmoins si tu as besoin d’elle pour n’importe quoi je te la donne en reconnaissance de ton aide. Magalie la remercie et après avoir retrouvé se habits quitte la maison de la tigresse pour rentrer chez elle. Rétrospectivement elle se rend compte qu’elle a échappé au pire. De son côté la tigresse profite avec bonheur de virginie. Elle est désormais menottée dans le dos en permanence et doit suivre la tigresse partout où elle va. Virginie a pour mission de lécher le sexe de la tigresse dès que celle-ci est immobile. Et dès que la tigresse s’arrête même pour quelques secondes, virginie se met à genou et lèche avec vigueur pour ne pas recevoir de coups de cravache ou de décharges venant du collier. Elle a en permanence un plug annal et un gode énorme bien enfoncés dans ces entrailles et maintenus par une lanière qui est attachée au harnais en cuir rouge qu’elle porte en permanence. La nuit elle est attachée en travers du lit et sert d’oreiller à la tigresse. Lorsque la tigresse a une visite virginie doit se coucher sur le ventre aux pieds de la tigresse qu’elle doit lécher en permanence sauf quand la tigresse l’offre sexuellement aux visiteurs des deux sexes qui ne manquent pas d’imagination pour l’humilier autant que possible tout en la besognant. Elle prend ses repas à genou dans la cuisine et mange dans une gamelle les restes du repas précédent de la tigresse. Virginie ne voit pas comment elle pourra se sortir de cette situation et devient de plus en plus soumise à la tigresse afin d’éviter les punitions. La tigresse kiffe cette situation car ses invités ne tarissent pas d’éloges sur la réussite qu’elle a avec cette magnifique esclave.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chap 34 : des ennuis en vue. Extraits « … Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever.Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes. … Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis. Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne. Il sort son chibre et attend toujours assis. Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer. … Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises… » Martine n’est pas chaude pour que le couple embarque les deux filles pour un weekend. Elle n’a aucune garantie que les filles seront bien traitées. Elle les regarde et les questionne du regard. Celles-ci se concertent autant qu’elles peuvent et finalement acceptent le jeu. Après ça Laurent et Martine discutent entre eux et tombent d’accord ils veulent bien prêter les deux filles un weekend. Victor annonce que ce sera le weekend suivant et que les filles devront répondre à une convocation. Comme prévu Anna et Vanessa reçoivent la convocation. Elles se rendent à l’adresse indiquée avec de l’appréhension mais elles étaient volontaires alors il faut assumer. Elles sont accueillies par un jeune couple entièrement nu qui les fait entrer dans une pièce vide. Là la couple les déshabille entièrement et leur met des menottes dans le dos. Elles ont un peu d’appréhension car aucune parole n’est prononcée. Le couple leur met à chacun un bâillon et un collier muni d’une laisse. Puis se retire les laissant seules dans la pièce vide. Une femme très musclée genre catcheuse pénètre dans la pièce. Elle est nue et porte un collier et des bracelets aux mains et aux pieds. Ces ornements son très imposants et en métal couleur acier. On dirait des fers de bagnard. Elle porte de piercing aux seins et entre les narines, toujours de grande taille et de la même couleur. Pour finir le tableau, elle est entièrement rasée et tient un fouet dans la main. Les filles commencent à flipper. Elle n’a pas l‘air commode. La catcheuse leur fait signe de la suivre. Elles la suivent sans attendre craignant le coup si elles ne réagissent pas assez vite. Elles descendent dans ce qui ressemble à un sous-sol. Elles entrent dans une pièce nue à l’exception d’anneaux scellés dans les murs, au plafond et au sol. La catcheuse leur fait signe de se mettre à genou chacune à côté d’un anneau au sol. Puis la catcheuse accroche les laisses, raccourcies au maximum, aux anneaux du sol. Les filles doivent se pencher à ras terre et ne peuvent pas bouger du tout. La catcheuse repart puis revient avec une tondeuse dans les mains. Les filles s’affolent. Ça n’était pas prévu. Impuissantes et en pleur elles sont tondues entièrement. Des larmes de rage ruissellent sur leurs visages. La catcheuse sort quelques instant et revient avec le jeune couple de soumis. Ceux-ci mettent des chaines aux filles qui se retrouvent à quatre pattes, des chaines reliant les poignets et les chevilles les empêchant de se lever. Les laisses sont décrochées des anneaux et la catcheuse saisissant les laisses emmène les filles qui suivent comme elles peuvent à quatre pattes. La remontée d’escaliers est pénible mais les claquements de fouet à côté d’elles les encouragent à aller le plus vite possible. Elles finissent par arriver dans un salon ou Victor et Morgane les attendent confortablement installées dans un canapé. Devant le canapé il y a deux petits tapis. Ils font environ un mètre de long et 50 cm de large orientés vers le canapé. Anna est posée sur l’un d’eux et Vanessa sur l’autre. La catcheuse lâche les laisses. Voilà votre coin à chacune dit Morgane en montrant les tapis. Si vous quittez votre coin sans ordre vous gouterez au fouet de Silène. La catcheuse montre son fouet aux filles en souriant. Anna et Vanessa ne bougent pas elles ont juste de quoi tenir à quatre pattes sur le tapis. Toi ! dit Victor en montrant Anna. Vient me montrer que tu es une bonne petite chienne. Il sort son chibre et attend toujours assis. Anna hésite puis s’avance vers lui et entreprend de le sucer. Il caresse sa tête et se laisse tranquillement sucer. Apprend lui à rapporter dit Morgane à silène en montrant Vanessa. Silène va chercher un objet et le lance dans la pièce en disant : Rapporte à ta maitresse à Vanessa. Celle-ci comprend et va à quatre pattes chercher l’objet qu’elle ramasse avec sa bouche. Il s’agit d’un gode de bonne taille. Elle hésite pour savoir à qui ramener le gode. Puis elle se décide à le ramener à Morgane. Celle-ci lui caresse la tête et dit : bonne petite chienne elle a bien reconnu sa maitresse. Pendant une bonne heure Anna et Vanessa doive satisfaire Morgane et Victor avec la bouche et jouer les petites chiennes. Elles rapportent les objets, font le beau, aboient, jappent. Pour finir Victor sodomise Anna pendant que Morgane fait de même avec Vanessa avec le gode qui a servi de jouet. Puis Anna et Vanessa reçoivent l’ordre de regagner leur coin. Elles le font en se demandant ce qui va leur arriver. La sonnerie de l’entrée retentit. Un couple vient rendre visite à Morgane et Victor. Ils les félicitent pour leurs deux nouvelles acquisitions. Anna et Vanessa sont de nouveau mises à contribution sexuellement avant de regagner leur tapis. Morgane et Victor vont diner. Lorsqu’ils reviennent, silène pose un bol d’eau et une gamelle avec de la nourriture dans un coin de la pièce. Les filles ont faim et surtout soif. Elles sont tentées mais n’osent pas aller boire. La soirée n’est pas finie D’autres visiteurs arrivent et chaque fois les filles servent de jouet sexuel. Enfin Victor et Morgane se retirent. Silène donne alors l’ordre aux filles d’aller manger et boire. Elles se ruent vers le bol d’eau et lapent autant qu’elles peuvent. La nourriture est indescriptible mais elles mangent pour ne pas s’attirer les foudres de silène. Après ça silène prend les laisses et emmène les filles avec elle. Elles passent dans une salle de bain ou silène les douche en les frottant vigoureusement. Ensuite elle les ramène dans le salon où elle se couche entre les deux tapis dit aux filles faites-moi plaisir ou c’est le fouet. Comprenant, Anna et Vanessa s’approchent d’elle et avec leurs bouches lui font passer un bon moment. Une fois silène comblée elle leur dit de se remettre sur leur tapis et quitte la pièce en éteignant la lumière. Elle ne les a pas bâillonnées et elles peuvent converser à voix basse. J’espère que ça ne va pas durer longtemps dit Anna. Je commence à bien regretter cette aventure dit Vanessa puis vannées elles s’endorment rapidement. Dans la même après midi Martine reçoit de la visite. Il s’agit des deux garçons esclaves qui accompagnaient Morgane et Victor. Ils ne disent rien à Martine mais lui donnent une lettre. Elle les fait entrer dans la maison et lit la lettre. « Chère Martine voici un cadeau en échange de tes deux filles fais en ce que tu veux. Ils sont obéissants et très endurants. La clé des cages de chasteté est collée à la lettre. » Martine est perplexe. Puis se dit que c’est pour le temps du weekend end. Pendant qu’elle lisait les deux garçons se sont déshabillés et mis à genou à ces pieds. Elle se dit autant en profiter et détache les cages de chasteté. Les garçons savent s’y prendre. Elle est léchée embrassée pénétrée pendant près d’une heure jusqu’à ce qu’elle demande grâce. La soirée est longue et délicieuse. Elle finit par aller au lit accompagnée par ses deux amants elle se couche entre les deux et s’endort avec un sexe érigé dans la bouche. Plusieurs fois dans la nuit elle changera de bite. Elle est heureuse de son sort et pense très peu à celui d’Anna et Vanessa. Pour Anna et Vanessa les jours se suivent et se ressemblent. Elles sont consignées sur leurs tapis et servent uniquement de jouet sexuel pour le couple dominant et les nombreux visiteurs qui viennent se taper les deux petites soumises. Le weekend est passé et Martine commence à trouve le temps long. Elle essaye d’appeler Victor et Morgane mais tombe systématiquement sur la messagerie. Les deux garçons sont toujours là mais elle moins le cœur à ça même si elle se fait ramoner plusieurs fois par jour. De son côté Laurent fulmine. Lui non plus n’a pas de nouvelles et il passe ses nerfs sur Maëva qui désormais passe la moitié de son temps dans les toilettes à servir d’urinoir de fortune. Arrivée à la fin de la semaine Martine décide de s’en ouvrir à Magalie qui lui demande d’être très prudente et lui propose de demander l’aide de la tigresse qui ne manque jamais de bons conseils. Martine accepte et c’est Magalie qui devra reprendre contact avec la tigresse. Magalie tente d’appeler la tigresse mais celle-ci ne répond jamais. Magalie lui envoie un texto pour demander à la voir. Elle reçoit une réponse et est conviée à aller chez la tigresse dans la soirée. Le soir venu Magalie se rend chez la tigresse. Elle est surprise d’être reçue par une femme voilée. Celle-ci la fait entrer dans la maison et Magalie a la surprise de voir la tigresse nue enchainée sur une croix de saint André dans le salon. Elle se retourne vers la femme voilée qui lui met un coup de tazer qui tétanise Magalie. Quand elle reprend ses esprits elle est dans une cage et c’est virginie qui la contemple avec satisfaction. Bienvenue ma belle je voulais trouver un moyen de d’attraper mais tu es venue toute seule merci… Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et la tigresse ne répond pas. Elle appelle Laurent qui lui aussi veut faire quelque chose. Ils décident d’aller directement chez Victor et Morgane pour aller chercher les filles. Laurent et Martine sont remontés. Martine n’a pas de nouvelles de Magalie et décide d’agir seule avec Laurent. Ils se présentent au domicile de Victor et Morgane. Ils sont reçu par le jeune couple de soumis et emmenés jusqu’au salon où Morgane et Victor les reçoivent. Dans le salon ils voient avec joie que les deux filles bien que fixées au sol à des anneaux semblent aller bien. Laurent dit à Victor que le délai est passé et qu’il vient récupérer les filles. Victor lui demande de se calmer et dit que tout ça est un malentendu. Il dit qu’ils vont pouvoir être de nouveau proche des filles et que cela sera aussi bien pour tout le monde. Morgane acquiesce. Elle propose de sceller le deal du parrainage avec une coupe de champagne. Laurent et Martine un peu rassurés acceptent et silène arrive nue avec un plateau accroché à sa taille et tenant horizontalement garce à deux chainettes qui relient des piercings au bout des seins aux extrémités du plateau. Celui-ci doit être lourd car quatre coupes de champagne sont posées dessus. Cependant les seins imposants de silène semblent ne pas être gênés par ça. Ils pointent droit devant. Laurent et Martine sont attirés par la vue de silène et ne prennent pas garde aux coupes. Les coupes son bues et d’autres suivent. Morgane prend la parole et dit à Martine : J’ai une proposition à te faire. Je t’offre les deux esclaves males que tu as pu tester et en échange tu me donne ces deux-là et elle montre Anna et Vanessa. Martine est prise de court. Eméchée par les coupes qu’elle a pris et quelle ne compte plus, son raisonnement n’est plus très clair. De leur côté les deux filles s’imaginent déjà esclaves de Victor et Morgane. C’est excitant mais en même temps elles n’auront plus la même liberté qu’avec Martine. Martine essaye de peser le pour et le contre. Il est vrai que les garçons possèdent des arguments que les filles n’ont pas. Et puis elle pourra les revoir si elle est admise au club. Euphorique elle dit banco. Une nouvelle coupe de champagne scelle le marché. Anna et Vanessa sont très perplexes. Que va-t-il leur arriver. Malheureusement elles n’ont pas la parole car silène veille près d’elles en agitant le fouet. La soirée se passe et un rendez-vous est pris pour le parrainage dans le club de dominants. Laurent est heureux quand il rentre. Bon il a perdu les deux filles qui étaient quand même bonne mais au moins il va entrer dans le club fermé. En arrivant à la maison il va détacher Maëva qui a passé la soirée dans les toilettes. Celle-ci est rompue mais doit encore subir l’excitation de Laurent que la perspective du parrainage a bien remonté. Maëva est visitée dans tous les orifices et doit finir par une fellation complète. Cette nuit-là attachée aux pieds du lit de Laurent elle s’endort comme une masse. Martine rentre chez elle perplexe elle a un peu dégrisé et se demande si elle n’a pas agit à la légère. Devant sa porte les deux garçons l’attendent. Cette nuit-là ils sont particulièrement habiles et elle s’endormira avec un chibre dans la bouche.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 33 : le retour de virginie Virginie a réussi à échapper à son « propriétaire » en lui volant de nombreux bijoux qu’elle a revendu à un receleur. Elle est décidée à se venger de la tigresse et de Magalie. Elle prend un logement proche de la tigresse et entreprend de l’espionner avant d’agir. Elle suit les allers et retours de celle-ci et peu à peu arrive à connaitre ses habitudes. Virginie s’est bien renseignée et sait que la tigresse possède une alarme sophistiquée. Elle ne pourra pas forcer la maison il faudra donc agir différemment. Elle passe à l’action quelques temps plus tard. La tigresse se fait livrer une fois par semaine toujours par la même société. Virginie réussit grâce à son charme et une nuit avec le recruteur à se faire embaucher comme livreuse. Finalement, un jour elle est appelée pour livrer chez la tigresse. Il y a plusieurs gros cartons et dans ce cas elle sait que le livreur aide la tigresse à renter les cartons dans la maison. Elle essaye au maximum de modifier son look afin de ne pas être reconnue par la tigresse. Celle-ci ne se méfie pas et lui demande si elle peut l’aider à rentrer les cartons ce qu’elle accepte sans rechigner. Une fois dans la maison les choses se passent très vite. Virginie sort un tazer de sa poche et administre une décharge violente à la tigresse qui s’écroule tétanisée. Elle est tout de suite menottée et bâillonnée. Virginie termine de rentrer les cartons et quitte la maison en laissant la tigresse ligotée comme un saucisson accrochée à un radiateur. Elle prend les clés de la maison et termine tranquillement sa journée. Elle démissionnera le soir même. Sa journée de travail terminée elle retourne chez la tigresse. Celle-ci est toujours ligotée à son radiateur. Là, virginie se dégrime et la tigresse la reconnait. Virginie jubile. Alors on va jouer toutes le deux maintenant. Virginie fait le tour de la maison et trouve une cage dans un sous-sol. Cette cage permet juste à une personne de taille moyenne d’y entrer à quatre pattes. Virginie soupèse la cage. Elle doit pouvoir la monter dans le salon. Elle s’attelle à la tâche et ruisselante de sueur réussit à la poser dans le salon. Voilà ta nouvelle maison esclave dit-elle à la tigresse qui est toujours accroché à son radiateur. Les marques rouges sur les mains montrent qu’elle a essayé de se libérer. Virginie reprend son souffle et regarde la tigresse. Je crois que tu n’auras plus besoin d’habits maintenant. Elle cherche dans la cuisine et trouve une paire de ciseaux imposants. Elle revient avec sa trouvaille et lacéré les habits de la tigresse qui en cinq minutes se retrouve nue. Virginie décide de la faire entrer dans la cage. Elle la décroche du radiateur et la fait progresser à quatre pattes vers la cage ou la tigresse rentre à condition de rester à quatre pattes à l’intérieur. Virginie ferme la cage avec un cadenas. Elle dit à la tigresse : je voulais te tuer directement mais je crois que je vais d’abord profiter d’une belle esclave. Tu as intérêt à être bien obéissante sinon je t’égorge simplement. La tigresse se demande si c’est du bluff mais la lueur dans les yeux de virginie lui fait peur. Virginie fait le tour de la cage pour voir s’il n’y a pas de faiblesses. La cage est solide mais virginie découvre un volet à l’opposé de la porte. Il doit servir à rentrer une gamelle d’eau ou de nourriture. Il est assez grand pour y passer la tête. Virginie qui se sent poisseuse se dit que ça pourrait rendre service. Elle ouvre le volet et donne l’ordre à la tigresse d’y passer la tête. Celle-ci n’obéit pas mais virginie lui pique les fesses avec le bout des ciseaux. La tigresse passe la tête dans le volet. Virginie dit alors : j’ai bien sué pour monter ta nouvelle maison. Tu vas essuyer toute ma sueur avec ta langue. Et elle se met nue et approche son bras de la tête de la tigresse. Celle-ci hésite mais Virginie va dans la cuisine et ramène un couteau d’office qu’elle aiguise consciencieusement. Elle dit : Dommage on aurait pu s’amuser mais si tu veux que ça termine tout de suite pas de problème et elle approche le couteau du cou de la tigresse. Celle-ci crie : non je vais faire tout ce que tu veux je vais t’obéir complétement pitié ! Virginie hésite. Puis dit dernière chance. Et elle avance le bras vers la tête de la tigresse qui s’empresse de le lécher avidement. Virginie passe ainsi tout son corps devant la tête de la tigresse qui lèche consciencieusement. Enfin virginie estime que c’est bon et dit alors : maintenant récré on va jouer à bouffe minou. Elle avance un fauteuil jusqu’à la tête de la tigresse et s’assoit dessus les jambes écartées. La tigresse doit se tendre au maximum pour lui lécher le sexe mais y met tout ce qu’elle peut. L’heure du repas est arrivée. Virginie va dans le frigo et se fait un plateau repas. Elle rapporte le plateau qu’elle pose sur la cage et se rassoit les jambes écartées. Elle mange tranquillement pendant que la tigresse se démène pour la lécher correctement. Après son repas virginie donne l’assiette avec les restes à la tigresse en lui disant tu manges tout. La tigresse mange consciencieusement tout ce qu’il y a dans l’assiette et lape toute l’eau que contient un bol apporté par virginie. Virginie souhaite bonne nuit à la tigresse qui dit d’une petite voix qu’elle doit pisser. Virginie lui dit qu’elle se démerde et éteint la lumière. Quelques minutes après la tigresse pisse sur le carrelage. Elle passe toute la nuit à quatre pattes somnolant plutôt qu’autre chose. Virginie vit maintenant depuis un mois dans la maison de la tigresse. Celle-ci lui a gentiment tonné toutes les informations utiles. Elle a son code de carte bleu et tous les accès à ses comptes bancaires. Il faut dire que le fouet quand il est bien mené finit par délier toutes les langues. Virginie a trouvé une cage dans pièces du sous- sol. Elle l’a monté dans le salon et c’est dans cette cage que vit la tigresse quand virginie n’a pas besoin d’elle. C’est-à-dire rarement car entre les coups et le ménage la tigresse n’a pas beaucoup de temps libre. Celle-ci vit désormais nue en dehors d’un collier fort pratique que virginie avait elle-même testé à ses dépens dans cette maison. La tigresse a résisté une bonne semaine mais les coups, les privations de sommeil et de nourriture l’on ramenée à de meilleures dispositions. Elle est maintenant à la botte de virginie. Finalement la tigresse se révèle être une bonne brouteuse et virginie en redemande. Tous les soirs après le repas elle y a droit en regardant les infos à la télé. Maintenant que la première phase de sa vengeance est réalisée elle réfléchit à la deuxième phase qui concerne plus spécialement Magalie. C’est cette garce qui est à l’origine de tout et rien ne laisse à penser qu’elle n’était pas au courant des intentions de la tigresse quand elle a envoyé virginie chez elle. La vie tranquille de virginie avec son esclave est cependant si jouissive qu’elle remet à plus tard la vengeance. Ce matin-là elle est en forme. Son esclave l’a réveillée avec un cunnilingus d’enfer. Elle s’y prend vraiment bien. Virginie il y a quelques jours s’est fait draguer par deux mecs pas mal. Elle a un peu flirté avec les deux ne sachant lequel choisir et puis finalement se faire les deux ne lui fait pas peur. Elle leur a promis une surprise et les a invités chez elle pour diner. La journée se passe bien son esclave a nettoyé de fond en comble la maison et préparé un repas de fête. Pour l’occasion elle a habillé l’esclave en soubrette ultra sexy et ne lui a mis aucun bondage à l’exception du collier qui ne la quitte pas. Virginie se sent une âme de croqueuse d’hommes. Les invités sont à l’heure. Tirés à quatre épingles ils ont amené des fleurs et une bouteille de champagne. Virginie les remercie et les invite à s’assoir dans le salon. Pendant qu’Ils s’installent dans le canapé en laissant un place pour virginie entre eux virginie emmène la bouteille de champagne dans la cuisine. Elle revient les mains vides et s’installe confortablement entre les garçons qui sont visiblement chauds. Puis elle leur propose une coupe de champagne. Ils acceptent et elle élève la voix pour dire : Esclave du champagne pour trois et vite. Devant le visage incrédule des garçons la tigresse apparait habillée en soubrette avec les mains menottées dans le dos et un plateau de service collé à son ventre et soutenu par deux chainettes qui pendent depuis son cou. Sur le plateau trois coupes sont installées. Elle arrive devant le trio et se met à genou sans renverser les coupes. Ils n’ont plus qu’à se servir. Virginie se sert la première. Les garçons toujours stupéfaits tardent à réagir. Vous n’avez jamais vu d’esclave sexuel demande innocemment virginie. Non répondent t’ils en cœur. Vous mériteriez d’être à sa place dit virginien je suis sûre que vous feriez de bon petit esclaves pour moi. Ils ne savent plus où se mettre. Servez-vous pendant que vous pouvez encore dit-elle. Ils tendent les mains vers les coupes et se servent. Ils trinquent tous les trois mais les regards des garçons sont monopolisés par la tigresse. Vous voulez la voir à poil demande virginie. Ils la regardent ne sachant que dire. Alors déshabillez là dit-elle. Ils hésitent puis se lancent et après avoir enlevé le plateau ils ôtent les quelques accessoires de soubrette que porte la tigresse. Si vous voulez qu’elle vous fasse des choses déshabillez-vous dit virginie. Les garçons hésitent puis entreprennent de des déshabiller. Une fois qu’ils sont nus virginie dit à la tigresse suce-moi ces queues qui n’attendent que toi. La tigresse s’avance et prend en bouche le chibre le plus tendu. Le garçon qui n’est pas sucé se tourne vers virginie. Elle lui sourit et dit tourne toi que je te mette ça et elle montre une paire de menottes. Très excité les gars se retourne et tend ses poignets. Il est prestement menotté et virginie le retourne et prend son chibre avec la main. Tu bandes bien dit-elle. C’est parce que tu es attaché peut être. Le gars est rouge de confusion mais effectivement le fait d’être attaché à la merci de virginie le stimule violemment. Viens avec moi dit elle et laissant l’autre gars profiter de la tigresse. Elle emmène son prisonnier dans la chambre. Là elle lui met un masqué aveuglant. Il est toujours tendu. Elle le couche par terre sur le ventre et lui met des menottes aux chevilles quelle relie avec les menottes des poignets. Il ne peut pas bouger les genoux plié et le chevilles touchant les poignets. Tu ne peux pas faire grand-chose dit-elle à part me lécher les pieds et elle colle son pied à la bouche de l’homme. Celui-ci lui embrasse alors frénétiquement le pied. Virginie sent qu’elle va pouvoir faire des choses avec lui. Apres quelques minutes elle désolidarise les cheviller des poignets et le force à se relever. Elle l’emmène dans la salle à manger ou les trois couverts sont mis. Elle le fait se glisser sous la table au niveau de la place qu’elle s’est réservée. Attends-moi là. Lui dit-elle. Puis elle va dans le salon ou le couple est assouvi. Lui est assis sur le canapé et elle à ses pieds. Virginie dit à l’invite de venir à table en précisant que son ami ne dinera pas. Il est étonné mais suit la maitresse de maison tandis que l’esclave va vers la cuisine pour servir. Le repas est bon et les convives discutent de tout et de rien mais surtout de l’esclave de virginie. L’homme demande des nouvelles de son ami à virginie sans se douter que ce dernier est sous la table et lèche consciencieusement les pieds de celle-ci. Elle lui répond qu’il se repose et qu’il passera la nuit ici. Après le repas ils vont prendre le café dans le salon. Puis l’homme prend congé après un dernier regard vers la tigresse sagement installée à genou face à virginie. Virginie va alors récupérer son prisonnier sous la table de la cuisine. Celui-ci se remet à bander dès qu’il l’entend. Elle s’assoit à table et le nourrit à la main. Elle lui demande s’il veut du vin. Il acquiesce et elle se sert un verre et se penche pour l’embrasser. Il s’aperçoit qu’elle a gardé le vin en bouche et lui transfère de bouche à bouche. Il finit par prendre un copieux repas bien arrosé. Elle décide alors de l’emmener au salon. Elle lui a mis un collier et une laisse et elle le fait marcher à quatre pattes derrière elle. Arrivés au salon elle s’assoit dans le canapé et lui tire la tête vers l’entrejambes. Il ne se fait pas prier pour plonger la tête dans son sexe. Bruno se demande ce qu’il fait à lécher comme ça le sexe de cette belle inconnue qu’il n’a vu qu’une fois. Il n’arrive pas à comprendre comment le fait d’entre attaché et asservi comme ça le fait tant kiffer et bander comme jamais. Elle lui caresse la tête comme si c’écatit un animal de compagnie. Et il ronronne de plaisir. Après un bon moment elle le fait se relever. Il commence à être tard. Elle l’emmène dans sa chambre ou elle entreprend de l’attacher debout au baldaquin du lit. Il est attaché en croix face au lit elle lui enlève le masque et il peut la voir. Elle le contemple de la tête aux pieds. Puis elle lui met un bâillon boule et lui souhaite une bonne nuit. Elle fait venir la tigresse et se fait lécher par celle-ci. Bruno est méchamment excité mais ne peut que regarder cette femme qui est en train de prendre son pied devant lui. Puis virginie menotte la tigresse et la couche au pied de son lit. Elle éteint la lumière. La position de Bruno est inconfortable. C’est sûr qu’il ne dormira pas mais il se demande combien de temps il pourra tenir. Après une bonne heure il entend bouger virginie. Elle allume la lampe de chevet et le regarde avec un sourire carnassier. Il ne bandait plus mais rien que de la voir une érection massive arrive en un tournemain. Elle sourit encore plus et vient le palper avec les mains. Il se tortille sous les rudes caresses qu’elle lui administre. Puis elle le détache et lui met juste des menottes dans le dos. Elle le couche sur le ventre au milieu du lit et se recouche les jambes écartées à quelques centimètres de sa bouche. Il la lèche. Elle jouit plusieurs fois et lui dit d’arrêter mais de rester en place. Ils s’endorment ensemble lui la bouche collée au sexe de virginie. Il est réveillé par une caresse sur la tête que lui prodigue virginie. Il entreprend alors de lui embrasser le sexe. Elle se laisse faire et bientôt ses gémissements montrent à Bruno qu’il est sur le bon chemin. L’esclave s’est levée et est partie préparera le petit déjeuner de virginie. Repue de sexe elle s’étire come une chatte et se lève. Elle prend la laisse et le traine derrière elle jusqu’à la cuisine. Elle s’installe à table et le fait mettre à genou à ses pieds. Elle se fait servir par l’esclave et nourrit de temps en temps Bruno avec la main. Elle lui fera boire un café comme la veille de bouche à bouche. Elle donne la laisse a l’esclave et lui glisse quelques mots. Celle-ci emmène Bruno dans la salle de bains et le lave vigoureusement. Puis elle lui rase intégralement le torse et le sexe. Une fois ceci fait elle le ramène dans le salon ou l’attend virginie. Il se sent plus nu sans poils et visiblement le résultat plait à virginie. La matinée se passe à jouer au bon petit animal de compagnie qui doit faire au mieux pour satisfaire sa maitresse. En fin de matinée virginie demande à l’esclave de sucer Bruno. Ce qu’elle fait habilement et en quelques minutes il jouit enfin. Alors qu’il débande un peu virginie s’approche de lui et lui met le sexe dans une cage de chasteté. Tu vas pouvoir rentrer chez toi mais tu ne jouiras que si et quand j’ai envie. Tu attendras que je t’appelle pour venir sans aucun retard. Elle le détache. Il se rhabille en ne sachant pas trop quoi faire et se retrouve dehors un peu abasourdi de ses dernières 24 heures. Seule la cage de chasteté et l’impression bizarre d’être sans poil lui rappellent ce qui vient de se passer. Bruno regarde son tph et s’aperçoit que son ami lui a envoyé plusieurs texto pour lui demander ce qui c’était passé pour qu’il ne vienne pas au repas la veille au soir. Bruno le rassure en lui écrivant qu’il était trop crevé après avoir sauté la fille pour venir manger. Il n’a pas envie de dire exactement ce qui s’est passé.
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Par : le 22/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chap 32 : Martine retrouve Maeva Maintenant Maëva est devenue le jouet de Laurent. Elle passe ses journées nue ou habillée de façon provocante selon les désirs de Laurent. Elle dort au pied de son lit menottée et le réveille chaque matin par une fellation. En fonction de sa bonne conduite elle est démenottée ou reste ainsi toute la journée. Les amis de Laurent ont pris l’habitude de la voir ainsi et elle ne prête plus garde à leurs regards lubriques. Ce jour-là cependant tell est surprise de voir arriver martine chez elle invitée par Laurent. Cette dernière, désolée de ne plus avoir de nouvelles de sa copine s’en est ouverte à Laurent qui l’a invité à venir voir Maëva. Martine qui était resté sur l’assurance d Maëva d’arriver à dominer Laurent est surprise en pénétrant dans la maison de ne pas voir sa copine. Laurent dit à martine que Maëva finit un travail qu’il lui a donné et lui propose de la regarder faire. Intriguée martine suit Laurent dans le salon. Il l’invite à s’asseoir sur le sofa et allume une télé les images montrent la pièce « donjon « du sous-sol. On y voit Maëva attachée les mains dans le dos avec une barre d’écartement elle est penchée en avant car les mains sont reliées à une chaine qui et accrochée au plafond. Mais surtout elle est en train de pratiquer une fellation à un homme tandis qu’un deuxième la prend par derrière. Martine ne sait pas quoi dire. Laurent lui dit que les rêves de domination de Maëva sont loin derrière elle et qu’elle a compris qu’elle était beaucoup plus faite pour être dominée et qu’elle adorait cela. Martine reste bouche bée. Elle voit sur les images que Maëva semble prendre son pied. Quelques minutes plus tard les deux hommes repus quittent la pièce. Laurent dit à martine qu’il va chercher Maëva. Effectivement martine voit Laurent détacher Maëva et l’emmener hors de la pièce. Un quart d’heure plus tard Laurent revient en tirant Maëva par une laisse accrochée à un collier. Maeva est souriante et bondée dans un harnais en cuir noir ultra affolant. Il lui ceinture tout le corps et elle n’a pas de sous-vêtements en dehors de deux petites clochettes accrochées aux seins. Martine salue Maëva et Laurent indique à Maëva qu’elle a le droit de parler exceptionnellement. Puis il les quitte. Martine questionne Maëva. Celle-ci répond qu’elle est enchantée de son sort. Elle pensait être dominatrice mais elle a bien changé d’avis. Elle préfère de loin être commandée par Laurent. Elle a toujours eu le fantasme d’être exhibée et là elle est servie. De plus Laurent lui fournit des partenaires sexuels autant qu’elle peut en recevoir. En contrepartie elle doit obéir et être quasiment tout le temps nue ce qui la fait kiffer. Martine se demande si elle doit être jalouse ou pas et en même temps elle imagine Anna et Vanessa avec le même harnais rouge pour l’une et noir pour l’autre. Maeva lui demande si elle joue toujours avec Anna. Martine répond que c’est terminé. Maeva se mord la lèvre. Elle lui raconte les soirées poker qu’organise Laurent. Ça émoustille martine qui y participerait bien coté joueur ou coté service. Puis Maëva parle du couple qu’ils viennent de rencontrer et qui a proposé à Laurent de les parrainer pour entrer dans un club très fermé de joueurs de poker « dominants ». Martine est intriguée. Maeva lui explique de quoi il s’agit et lui dit que Laurent cherche une partenaire car les admissions se font par couple. Il faut un couple marié ou pas et deux esclaves qui sont partagés lors des soirées poker. Martine est chauffée. Elle qui en ce moment à une vie sexuelle proche du néant se voit bien avec Anna et Vanessa trainée derrière elle dans de telles soirées. A ce moment Laurent revient. Il dit à Maëva de se taire de se mettre à genou et il lui présente son sexe érigé qu’elle se met aussitôt à sucer comme si elle avait oublié la présence de martine. Laurent demande à martine si Maëva lui a parlé du club. Martine lui dit que oui mais qu’elle a rompu les ponts avec Anna. Laurent fait une grimace. Martine se lance quand même. Ecoute je vais voir ce que je peux faire. Je ne te promets rien mais je vais y réfléchir et je te tiens au courant. Laurent est ravi et laisse martine retrouver son chemin pour quitter la maison car Maëva continue sa fellation naturellement. Une fois revenue chez elle martine ne sait pas que faire. Elle finit par se décider à reprendre contact avec Anna. Anna est surprise de recevoir un texto de martine qui l’avait « larguée » quelque mois plus tôt. Le texto dit « salut ma chérie. Si tu veux on peut recommencer mais il te sera demandé beaucoup plus. Je peux t’en parler chez moi. Samedi soir serait très bien Le tiroir t’attend. » Anna est à la fois heureuse car elle regrette ce temps passé avec martine et intriguée. Que peut lui demander de plus martine. Elle en parle à Vanessa qu’elle ne quitte plus désormais. Celle-ci est aussi intriguée et dit à Anna qu’elle a de la chance car martine est très sympa comme dominatrice. Anna lui demande si elle veut entrer dans le jeu avec elle. Vanessa fini par consentir qu’elle est très alléchée. Anna répond au texto. « Tu peux compter sur Vanessa et moi samedi soir pense à doubler le tiroir. » Après tout ça ne coute rien d’écouter ce que propose martine. Le samedi soir Anna et Vanessa se présentent à la maison de martine. Comme Anna a toujours la clé elles entrent et regardent ce qui se trouve dans le tiroir de l’entrée. Il y a effectivement deux tenues identiques. Les deux filles jubilent. Il y a deux harnais en cuir un noir et un rouge. Deux baillons boules des menottes et deux anneaux de piercing avec une étiquette esclave de martine. Deux colliers de cuir avec laisse complètent la panoplie. Les filles se mettent en tenue et s’entradmirent elles trouvent que ça leur va super bien. Comme elles font quasiment la même taille tout leur va. Maintenant elles attendent que martine les invite à entrer. Celle-ci les laisse mijoter pendant cinq minutes avant de les convier. Elles entrent au plus grand bonheur de martine qui ne peut retenir un grand sourire. Comme dominatrice elle n’a pas bien réussi. Les deux jeunes femmes se précipitent vers elle et elle doit leur donner l’ordre de s’arrêter et de se mettre à genou avant qu’elles ne la télescopent. Pendant une bonne heure martine joue avec les filles comme avec des poupées. Elles sont très réactives. Martine décide alors d’enlever les baillons. Et ça devient vite torride. Les filles redoublent d’ardeur pour l’embrasser et s’embrasser aussi. Une fois les trois femmes repues martine parle alors de la suite. Elle explique le topo aux filles, la soumission consentie et heureuse de Maëva les parties de poker chez Laurent et enfin le club privé de dominateurs. Les filles sont perplexes mais bien excitées quand même. Martine leur propose de commencer par une soirée poker chez Laurent pour voir. Bien sûr elles seront certainement mises à contribution par les joueurs et la soirée ne sera pas de tout repos. Les yeux des filles brillent elles topent là et malgré un peu d’appréhension sont prêtres à essayer des choses nouvelles. La première soirée poker est annoncée. Martine est invitée avec ses deux esclaves. Laurent trépigne d’impatience de la connaitre. Lorsque martine arrive il est ravi de voir que les filles sont splendides. Il les amène dans la cuisine et elles sont rapidement habillées en soubrette. Aude n’étant pas là elles seront accompagnées de Gisèle qui leur expliquera par geste le travail. Les deux filles font un effet bœuf lorsqu’elles pénètrent dans le salon poker. Les invités sont ravis de voir de la nouveauté et les deux filles sont excitées de se voir ainsi exhibées devant plein d’inconnus. Lorsque Laurent les positionne à genou sur un gode mécanique il n’a pas besoin de lubrifiant. Les filles sont déjà chaudes et il en fait la remarque à martine qui est toute fière. Une fois appelées pour servir les convives les filles s’en donnent à cœur joie et apprécient les caresses intimes qui leur sont faites lorsqu’elles passent à côté des joueurs hommes comme femmes. Ensuite lors de la pose elles montrent que sans bâillon elles sont expertes pour satisfaire autant les hommes que les femmes. Martine est fière de ses pouliches. Laurent qui a bien essayé les deux filles est aux anges. Elles sont belles, elles sont très obéissantes et se déplacent et sucent comme des reines. Martine est heureuse de leur avoir appris à se déplacer de façon provocante « involontaire ». A la fin de la soirée l’accord est conclu. Laurent et martine vont inviter les hôtes susceptibles de les faire entrer dans le club et Anna et Vanessa feront les esclaves. Martine remarque alors qu’elle n’a pas vu Maëva de la soirée ni aux préparatifs ni pendant la partie. Elle en fait la remarque à Laurent. Celui-ci tout souriant lui répond que Maëva a fait une petite crise de jalousie envers les filles et qu’elle a été remise à sa place dans les WC. Martine ne comprend pas tout. Va dans les toilettes lui dit Laurent. Tu en profiteras pour la libérer si tu veux. Martine se rend dans les toilettes et là elle voit à côté des WC Maëva à genou les mains liées dans le dos un énorme gode en fonctionnement ainsi qu’un vibro masseur collé sur son clitoris. Elle a un masque aveuglant et un écarteur de bouche. Sa tête est bloquée dans un espèce de carcan et elle a la tête légèrement relevée. A son cou pend un écriteau. Urinoir ou fellation j’accepte tout. Martine comprend que pendant toute la soirée Maeva a attendu patiemment les bites qui venaient se faire sucer ou pisser voire les deux pour certains. Elle se souviendra de cette soirée. Amusée elle hésite à libérer Maëva. Puis finalement elle écarte les jambes et se fait brouter le minou par une Maëva incapable de voir qui profite de ses talents. Maeva sera libérée bien plus tard dans la soirée. Les hôtes VIP ont acceptés l’invitation. Afin de les mettre à l’aise Laurent a limité le nombre d’invités. Martine et les filles sont prêtes toutes excitées de voir qui sont ses inconnus pouvant leur permettre de rencontrer un monde nouveau. Ce coup-ci les filles ne feront pas les soubrettes mais seront nues menottées dans le dos et se tiendront derrière martine et Laurent comme le veut le protocole tel que l’a expliqué le dénommé Victor. Maeva revenue en grâce sera la soubrette avec Gisèle et Aude. Lorsque les invités pénètrent dans le salon martine, Anna et Vanessa ont la surprise de reconnaitre morgane qui accompagne un black Barraqué. Elles sont dubitatives car Morgane est un peu à l’origine de la brouille entre martine et les deux filles. Morgane ne fait aucun signe montrant qu’elle les a reconnues. Elle se tient de façon royale et d’elle comme du black émane une autorité incroyable. Deux hommes se tiennent derrière eux ils sont en tenue comme les filles avec une cage de chasteté en plus. Les salutations sont faites. Victor regarde les filles avec de yeux de fauve. Elles sont extrêmement impressionnées. Morgane toise martine du regard mais reste à peu près courtoise. La soirée avance. Morgane et Victor essayent et testent la docilité et l’obéissance des filles. Ces dernières jouent le jeu même si ça ne prend pas la direction qu’elle pensait. Finalement Victor et morgane acceptent de parrainer Laurent et martine mais ils posent une condition préalable. Il faut que Laurent et martine leur prêtent les filles pendant un weekend.
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Par : le 20/03/21
J'ai obtenu les larmes de ma soumise  un soir, quand elle était Mienne. Elle passait le week end chez moi, il était tard, mes enfants dormaient. On fume tranquillement  sur le balcon. On papote et je me rapproche d'elle... Pose mes mains sur ses épaules. Elle  est contente quand je la touche... Elle frémit quand je m'assois derrière elle, à même le sol et  glisse une main sous son tee-shirt... Je lui pose une question à la con, je veux juste qu'elle parle pendant que je place mon autre main sous sa gorge  en passant volontairement sur ses seins. Elle aime quand je m' attarde sur sa poitrine...  Sûr qu'elle commence à mouiller de me sentir si proche.. Son souffle se coupe quand je plante mes ongles dans la  chaire généreuse de son dos... La suite n' est que cambrures de son corps. Tantôt étranglée mais le plus souvent appauvrie en air par ma main qui la bloque fortement contre mon épaule... "Chuuuut!"  lui  soufflais-je doucement   à l' oreille tandis que  sa peau s'accumulait sous mes ongles.... Je vibre de la posséder ainsi, elle n' a aucune issue et n' en cherche pas, c'est juste  son instinct de survie qui se débat et j' aime ça. Ho oui j' aime ça! ... Ma respiration devient plus forte, mon emprise se matérialise  tout autour de nous... Le balcon  se dérobe sous ses fesses.  Je la mène à la rencontre  de Mon Plaisir... Celui  de lui faire mal...   Elle m'appartient, je la veux et je la prend, je la serre. Elle fait partie de ma chair que je pénètre de mes griffes... Je me  gorge de sa douleur que je ressens au plus profond d'elle... Je sens l' humidité de son sang sur mes  doigts. Les torsions de son corps mettent mes muscles à rude épreuve ce qui m' excite encore davantage... Plus elle se débat, plus j' étouffe ses cris et plus j' en jouis.... Son oreille... Humm son oreille juste  à portée de ma bouche...  Oooh! Je crois que c'est là que j' ai explosé . Pas quand j' ai mordu son lobe, non... Quand son cri de douleur est passé à travers ma main... Quand  une vague de sadisme  m' a submergée et que mon propre souffle s'est coupé. Quand mon corps  lui a imposé la cambrure de mes reins... Oui j' ai explosé de plaisir avec ma petite chose de 80 Kg  entièrement  à ma  merci. Pas une particule de son corps  n'en réchappe... Elle est à Moi et j'aime la griffer à m' en faire jouir... Je la garde serrée contre moi, suspendue dans un monde qui n' appartient qu'à Moi...     Doucement... Tendrement... Je relâche mes muscles... Lui rend son corps lacéré... Ses yeux sont humides,  son regard perdu, ses mots coincés au fin fond de sa gorge... Je la relève et la fait rentrer dans la cuisine... Ne lui  parle pas, juste la prends dans mes bras debout  face à moi... Lui pose un baiser  sur le front et guide sa tête  contre mon épaule l' invitant à  se laisser aller... C'est à ce moment que j' obtiens  le flot de  ses larmes... Ma soumise  qui pleure dans mes bras et s'abandonne complètement... Un plaisir que je savoure à sa juste et grande valeur... Un Don précieux et inoubliable... Un autre moment suspendu dans le temps... Un moment qui humidifie mon entre jambe... Chuuuuut... Silence!
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Par : le 20/03/21
J’attendais ce collier avec impatience. Maîtresse me l’avait choisi. Il est enfin arrivé et Elle a décidé de me le passer officiellement à l'occasion de ce « Munch and play » organisé dans la région. Cette officialisation devant témoins me plaisait beaucoup. Ce Munch était aussi ma première sortie avec Maîtresse comme soumis officiel. Elle m'a imposé un dress code très féminisé avec bas, porte-jarretelles, robe, bottes à talons, perruque brune et boucles d’oreille. Maîtresse m’a mis mon ancien collier et me tenait en laisse dès que nous sortions de la voiture. Récemment Maîtresse m’a lancé un défi de chasteté totale, je suis donc encagé et plugué. Les dernières recommandations tombent avant d'accéder à ce Munch mais comme il est un peu tôt, Maîtresse en profite pour faire un petit tour en centre ville. J’appris plus tard qu’elle aurait bien fait un petit échauffement en extérieur, malheureusement le centre ville ne s’y prêtait pas et elle en fut probablement frustrée. En bon soumis, je me tiens tête baisée en retrait de Maîtresse tout en évitant que la laisse soit tendue. Les passants sont assez nombreux à cette heure-ci. Je n’ai pas encore l’assurance pour soutenir leur regard mais finalement me regardent-ils vraiment ? J’admire Maîtresse, sa démarche droite, élégante et sa belle prestance. Certes j'ai un peu honte mais au final, je suis heureux à ses pieds et puis Maîtresse semble tellement contente de guider son soumis à travers ces rues. Maîtresse s’arrête devant une porte cochère. Je lui ouvre la porte. Elle me précède dans l'escalier. Sur le palier de l’étage, Maîtresse sonne. La porte s’ouvre promptement. Tête baissée, je dis «bonjour» assez maladroitement me semble-t-il tandis que Maîtresse engage une conversation guillerette. Elle enchaîne immédiatement par les présentations aux invités déjà présents. Quelle fierté de I'entendre dire "Rnby, mon soumis". Je reste là, silencieux, tête baissée, debout ou agenouillé selon sa volonté. L'appartement est bien équipé en points de fixation, croix de saint André, et autres. Notre hôte, dominant expérimenté, ne manque pas d'accessoires. Maîtresse avait déjà tout organiser pour que son jeune contact ici puisse prendre les photos de ma remise de collier. L'émotion me submerge. Maîtresse me retire mon ancien collier et je lui présente mon nouveau à genoux, bras tendus au-dessus de ma tête comme elle m’a appris. Elle s'en saisit délicatement, l'ouvre et me le referme autour du cou. CLIC, c'est fait, je suis encore bien plus sa propriété. Je suis ému, au bord des larmes, admiratif en regardant Ma Maîtresse. Je la trouve resplendissante et me jure de la vénérée comme elle le mérite. Nouveau clic avec la laisse, elle me tire au sol. Elle me possède tellement que mon corps suit naturellement. Talon sur mon torse, elle sollicite la résistance de mon collier qui malheureusement se détache trop facilement. Il est beau mais fragile. Maîtresse préfère s’attacher à la symbolique «Tu le porteras quand tu sortiras, il est discret». C’est avec un collier plus solide que Maîtresse ma ramène à genoux contre le divan, quelques essais de cravaches me chauffent les fesses avant un petit repas canadien. Un buffet est dressée au centre de la pièce avec les plats amenés par tous mais aussi avec les délicieux Sushi préparés par nos hôtes. Maîtresse me demande d’aller chercher ma gamelle et je peux ainsi manger à 4 pattes dans un coin du salon. Je m’imagine égoïstement que tous les yeux sont tournés vers moi. Mais non, quelle bêtise, dans cette ambiance mon comportement ne dénote pas puisqu’il est la volonté de ma Maîtresse. Je sais que je suis à ma place ici ou ailleurs. Je mange naturellement et je lèche ma gamelle avec application. Dès le repas terminé, c'est Maîtresse qui lance les premiers jeux et bien sûr vous devinez qui est son jouet. Elle m’attache nu à un crochet qui tend mon corps, me passe un bâillon boule qui me fait baver d’emblée et me réduit au silence. Un bandeau sur les yeux ne tarde pas à me priver de la vue. Maîtresse m'introduit un crochet anal et en profite pour me diriger en tirant dessus. J'essaye de me présenter du mieux que je peux pour recevoir ses supplices. Elle dispose de plusieurs fouets qu'elle manie aisément. Les sensations sont différentes pour chacun d’eux mais je ne vois pas leur forme. Maîtresse m'annonce les impacts dos, dos, fesses délicatement avec le fouet puis les lanières s’abattent alors sur mon corps comme annoncées. D’autres séries suivent fesses, dos, fesses, dos, et bien d’autres encore. Maîtresse me réserve quelques surprises, ne suit pas les annonces, varie les coups pour me déstabiliser. Ma peau se lacère de bleu, de rouge, se pare de traces géométriques propres à chaque fouet. Maîtresse me souffle dans l’oreille «encore ?», j’acquiesce en hochant la tête et en gémissant un oui incompréhensible à travers le bâillon. Les mains tendues sur ma laisse, je résiste. La douleur est forte surtout quand les coups sont répétés aux mêmes impacts. Maîtresse me soulage en venant tendrement contre moi. Elle passe sa tête au-dessus de mon épaule et me souffle quelques mots «doux» comme «j’aime te fouetter ma salope», ou «tu es à moi» et bien d’autres. Sa tendresse me rassure, je retombe dans une sorte de sérénité. Maîtresse marque de plus en plus mon corps. Elle le fait avec la dextérité et la fougue que je lui connais. Je sens Maîtresse de plus en plus excitée, les fouets dansent entre ces doigts agiles, un puis deux simultanément. Les lanières virevoltes, sifflent à mes oreilles. Leurs extrémités effilées viennent meurtrir mon corps, tout à la fois cinglants et mordants. Maîtresse s’emballe et les lanières s’abattent avec force et rapidité sur ma peau. Je gémis, tire sur mes attaches, je me tortille mais je suis bien obligé de reconnaître que Maîtresse a encore gagné. Des «pitié» étouffés s’échappent de ma gorge même si je désire intérieurement que les lanières continuent leur travail sur ma peau écarlate. Bien sûr Maîtresse ignore mes premières supplications ; chaque fois elle repousse un peu plus mes limites. Les derniers coups me laissent pantelant au bout de mes attaches. Maîtresse me susurre à l’oreille qu’elle m’aurait bien baisé mais cela ne peut pas se faire ici. Elle prend soin de moi, réchauffe mon corps en détachant mes liens et mes bâillons. Je tombe à genoux épuisé mais fier d’avoir montré à Maîtresse que je mérite son collier. J’ai quartier libre pendant que Maîtresse s’entretient avec d’autres invités. J’en profite également pour faire connaissance et échanger sur les motivations de chacun. Deux couples s’encordent doucement. C’est élégant et le montagnard que je suis apprécie tout particulièrement l’élégance de ces entrelacements et de ces nœuds. Chaque personne a ses préférences mais l’on ne ressens que de l’admiration et jamais de jugement ou de jalousie, comme si chacun s’imprégnait du savoir de l’autre. L’après-midi avance et il faudra bientôt quitter ce lieu de plaisir. Prêt à partir, Maîtresse jette son dévolue sur une invité un peu trop bavarde au goût d'un certain nombre de convives. Maîtresse est joueuse et ça l'embête de partir sans avoir attrapé quelqu'un, alors elle l'attire dans ses filets, exécute sur  sa proie  un shibari improvisé avec les cordes que lui a mis à disposition notre hôte. Rapidement, sans même que la femme s'en rende compte, les cordes l’entourent et la bâillonnent. Maîtresse décide alors de partir la laissant immobilisé et sans voix, ce qui fait rire tout le monde. Satisfaite, Maîtresse m'indique la sortie puis elle salue  tout le monde d'un signe de la main et d'un large sourire. Je dis au revoir de loin,non sans un petit pincement au cœur. Indiscutablement Maîtresse a apprécié et me le fait savoir. Je ne vois pas le retour passer. Maîtresse en profite pour sélectionner les meilleurs photos et me les envoyer. S’ensuit un petit débriefing où elle me félicite pour mon comportement et me signale aussi mes erreurs de débutants. Finalement la passion l’a emportée sur le stress et je me suis senti à l’aise aux pieds de Maîtresse. Lui donner du plaisir est essentiel et ce ne sera probablement pas la dernière fois. 
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Par : le 20/03/21
A la croisée de nos chemins, une belle rencontre qui dure depuis trois ans. Que celle-ci perdure dans le temps, et bien au-delà... Bien que je sache depuis l'année dernière qu'elle se terminera en mars 2014. Nous n'en sommes pas encore là, alors savourons ces instants présents. J'ai accepté d'être votre soumise en toute connaissance de cause. Pour fêter cet anniversaire, un séjour de deux jours était prévu depuis x mois. Un imprévu pour Vous a fait qu'un jour et une nuit étaient de Votre présence. J'ai donc pris le train seule, Vous aviez réservé pour moi une chambre d'hôtel. Comme la fois précédente, un rappel, tout près du Moulin rouge. Arrivée en début d'après-midi, j'ai déposé ma valise. Je repars aussitôt pour rendre visite à une amie. A mon retour, il est déjà 21 h passées, je suis fatiguée et me couche. Je me réveille tôt, j'ai peu dormi en fait. Je descends pour le petit déjeuner puis, m'affaire. Vous arriverez vers 13 h et quelque, il faut que je sois en forme. Je me prépare tranquillement. Heureusement que je suis partie avec mon manteau en ce début de saison. Sur Paris, il fait froid ce jeudi, tout le monde est vêtu chaudement. Je décide d'aller faire quelques pas en Vous attendant. L'heure approche et je patiente à la sortie du métro. Je n'ai pas écouté Votre conseil à rester au chaud dans la chambre. Sortir un peu pour voir comment j'allais et si je tenais le coup... Vous êtes là avec ce sourire malicieux que j'aime tant. Nous nous dirigeons vers l'hôtel, Vous déposez Vos effets et nous allons déjeuner. Après le repas, nous partons en direction de la boutique Démonia bien connue. J'aime cet endroit, il y a tant de nouveautés à l'entrée et dedans. L'agencement des articles a été modifié, des vêtements vinyles et cuir à profusion La couleur noire et rouge est de rigueur de toute beauté pour femmes graciles De sublimes masques en métal dentelle, merveilleux d'originalité. Nous arrivons vers la caisse et à gauche se trouve une vitrine fermée à clef contenant divers bijoux comme rosebud, collier, bracelet, bague d'O. J'essaye les deux bracelets acier et opte pour le premier qui convient à mon fin poignet. Un joli présent pour cet anniversaire, nos goûts sont communs sur le choix de certains articles. Comme entre autres, cette cagoule fine laissant entrevoir mes yeux bleus et ma bouche. Vous aimez tant mon regard et n'appréciez pas que je le baisse, Vous m'en aviez fait part lors de Notre belle rencontre le 23 mars 2010. Vous pouvez y lire tant dedans et toutes mes émotions y passent... Je l'incline quand j'ai honte, quand je me sens humiliée ou qu'il le faut. Nous quittons les lieux et nous nous installons à la terrasse intérieure d'un café. Dehors les gens vont et viennent, travail, courses et autres, toujours le mouvement. A notre retour, une sieste s'impose pour moi, Vous en profitez aussi. Nous allons à Cris et Chuchotements. Ce soir, il faut que je sois bien. La nuit commence à tomber, Vous m'invitez dans un joli restaurant italien Les tables sont bien dressées, des petites fleurs dans leur vase ornent le centre. Face à face comme toujours, nous en profitons pour discuter en attendant les plats. Délicieux repas, belle ambiance, joli décor, il y a beaucoup de monde. L'heure de se préparer pour la sortie se profile, douche, habillage, maquillage. Je vêts mon serre taille avec les jarretelles et bas noirs que Vous m'aidez à attacher. Ma jupe en cuir, un haut noir assorti aux talons, mon collier acier, le bracelet acheté l'après-midi, et mon manteau complète ma tenue. Vous également, vêtu dans la même teinte, dans ce costume qui vous sied si bien. A pied pour nous rendre au club, il fait frais dehors. La porte s'ouvre et une sublime jeune femme au corps de liane, cheveux courts, nous annonce que nous sommes en avance, que la mise en place n'est pas terminée. Nous nous promenons dans les rues adjacentes attendant l'heure d'ouverture. De retour devant la porte, nous donnons nos manteaux et prénoms avant de descendre. Il n'y a rien de nouveau au club comme aménagement. Vous me dominez en m'attachant à la croix de St André, avec martinet et fouet. Vous ne voyez pas bien l'état de ma peau puisqu'il fait sombre. Puis nous nous dirigeons vers le bar pour nous désaltérer et nous dialoguons tous deux. Un couple est arrivé qui part prestement dans une pièce, un homme seul les suis à un moment donné. Une jolie domina M et son soumis H qui porte un harnais de chanvre sur son torse vont dans une autre salle, j'entends quelques coups de cravache. Nous décidons de partir quand M fait connaissance avec Vous, Elle aimerait me dominer et Vous en fait part. Vous m'attachez les mains, et sur une autre croix je suis. Elle me signifie que je n'ai pas écarté les jambes... Des fessées à mains nues, puis vient le martinet et la cravache. Elle regarde de chaque côté et caresse ma peau pour constater que cela chauffe. En même temps, Elle fait des réflexions à son soumis et j'ai envie de rire, je me contiens. Vous me fouettez et je commence à compter. Certaines marques sont là qui resteront le temps de mon séjour sur l'Essonne M Vous demande si son soumis peut lécher mes fesses pour atténuer les coups. Vous acquiescez. Il porte la barbe et cela me chatouille. Quelque dialogue échangé entre Vous par ci par là. Elle me demande de retirer le bondage de son soumis. La corde de chanvre est douce. Je tourne auprès de H pour défaire les nœuds, passant, repassant à certains endroits. La corde est très longue ; je parle un peu à H. Je n'y étais pas autorisée. Elle me reprend et continue la conversation avec Vous. J'entends un peu ce qui se dit, mais je ne dois pas prêter l'oreille ... Je fais défiler la corde, et la plie comme il faut, M est ravie et m'en fait part. Nous quittons le club et disons au revoir aux personnes présentes, M m'embrasse ainsi que H, Pascal nous raccompagne à la porte et nous nous dirigeons vers l'hôtel à pied. Un peu de marche fait du bien, nous conversons de la soirée passée. Une bonne nuit de sommeil à Vos côtés ; un copieux petit déjeuner avec la vue sur le jardin d'hiver ; il nous faut partir et chacun ira dans sa direction à un moment donné. Je suis à nouveau affaiblie, j'ai tenu le coup jusqu'à votre départ. Dans le métro, nous nous séparons, Vous rentrez chez Vous dans le Sud Je rejoins l'Essonne où mon amie m'héberge jusqu'à mon départ le 26 mars. Merci à Vous pour cet anniversaire, Vous m'avez comblé par Vos nombreuses et diverses attentions tout au long de ce court séjour, où je n'étais pas au mieux de ma forme. Le 29 avril 2013. Ajout de Mon Maître Comme toujours en pareilles circonstances, le hasard d'un profil sur un site SM, un profil qui en croise un autre, quelques messages échangés et juste l'envie de faire connaissance. Et puis la magie de la rencontre, des caractères si complémentaires, des envies partagées pour aboutir à une symbiose parfaite et une relation sincère, durable dans le respect et l'attention à l'autre. Que de bons moments passés ensemble et de belles escapades parisiennes. A toi aussi merci mon amour de soumise.
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Par : le 20/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 31 l’échec de Maeva. Extrait ; » Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille. Ça ne présage rien de bon….Les garçons installent un plateau identique à Gisèle. Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles. Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos… » Maëva a fait transformer une pièce au sous-sol de sa maison en donjon. Elle a donné comme explication la vengeance qu’elle voulait obtenir sur martine et elle est arrivée à ses fins. Mais le but principal de ce donjon c’était de soumettre petit à petit son mari Laurent. Afin d’y aller progressivement elle lui a proposé de jouer ensembles en tenant le rôle du dominant chacun son tour. Laurent à qui les quelque jours passés à dresser martine ont laissé un souvenir génial n’est pas contre et entre complétement dans le jeu. Ils commencent ainsi un innocent jeu de bondage et domination au début très soft puis de plus en plus hard. Maëva a sa grande surprise aime autant être dominée que le contraire. Laurent est particulièrement ingénieux et elle finit toujours les séances ou elle est dominée en feu après des orgasmes mémorables. Maintenant contrairement au plan initial de Maeva c’est presque toujours elle qui est dominée. Mais elle kiffe trop ça pour imposer plus d’équilibre. Deux mois plus tard elle doit l’admettre. C’est toujours elle qui subit. Et elle voit que Laurent prend particulièrement son pied. Elle décide de prendre sur elle et de renverser la vapeur. Elle prévient Laurent qu’elle veut reprendre un peu la main et cesser pendant quelque temps d’être la soumise. Il réfléchit et accepte à la condition qu’il joue encore une fois le rôle de dominant avant d’échanger. Elle accepte. Laurent commence par l’attacher dans le donjon. En quelques minutes elle se retrouve debout, les jambes écartées au maximum par une barre d’écartement, les bras liés dans le dos et accrochée à une poulie au plafond ce qui la force à se pencher en avant. Elle a le torse à l’horizontale. Il lui met un écarteur de mâchoire et un masque aveuglant. C’est classique et elle trouve qu’il n’a pas fait preuve d’imagination. Mais elle n’est pas au bout des surprises qu’il a concoctées. Il lui annonce qu’offerte comme elle est, il serait dommage de ne pas en faire profiter un ami. Elle pense qu’il plaisante mais ça la chauffe quand même au fond d’elle-même. Puis un sexe dressé se présente à sa bouche et force sans difficulté l’entrée, l’écarteur obligeant Maeva à garder la bouche béante. Elle fait de son mieux pour faire une bonne fellation en imaginant qu’il s’agit d’un étranger. Une paire de mains attrape sa croupe. Et aussitôt elle sent une queue pénétrer sa chatte en force et alors qu’une autre paire de mains lui attrape les seins. Ce coup-ci c’est sur Laurent n‘est pas seul. Elle panique un peu. Elle ne peut rien voir et le deuxième homme ne dit pas un mot. Ils la besognent puissamment et elle s’abandonne à la jouissance en se demandant qui ça peut bien être. Après qu’ils se soient répandus en elle ils ne la détachent pas. Elle sent qu’ils quittent la pièce. Plus tard alors que les crampes commencent à la travailler elle entend des bruits de pas. Lurent lui annonce qu’un bon whisky remet en forme et que son compagnon en redemande. Elle est de nouveau prise en sandwich. Une légère différence d’odeur lui fait comprendre qu’ils ont échangé les places. Quand Laurent la détache enfin il est seul. Elle demande avec une colère feinte qui était la deuxième personne il lui répond qu’il fera partie de invités à la soirée poker prévu à la maison ce soir-là. Il ajoute que si elle ne le reconnait pas la prochaine fois il y aura plus de monde. Ça l’affole et en même temps ça l’excite profondément. Etre prise par un inconnu l’a déjà beaucoup allumée mais par plusieurs elle a du mal à l’imaginer. Ce soir elle est l’hôtesse des quatre amis de Laurent qui sont venus jouer. Elle cherche dans les attitudes ou regards celui qui l’a embroché plus tôt dans la journée mais ils ont tous l’air de la regarder avec un œil égrillard et elle les imagine tous en train de la posséder. Une fois les invités partis Laurent demande à Maeva si elle a reconnu son amant inconnu. Elle répond par la négative. Il lui dit alors que le lendemain elle devra repasser par la case donjon pour essayer de faire un effort pour reconnaitre le prochain invité. Elle veut refuser mais l’excitation et toujours là et elle accepte le challenge. Le lendemain elle est dans la même position et Laurent lui annonce qu’ils ont de la visite. Elle attend avec impatience et est vite comblée. Une bite dans la bouche et une dans le cul. Elle kiffe quand elle entend la voix de Laurent qui vient de l’autre bout de la pièce. Je vous avais bien dit qu’elle était docile et qu’elle était fait pour s’enfourner plusieurs queues en même temps. Maeva a un sursaut ils sont au moins deux en plus de Laurent. Elle veut ruer mais elle ne peut pas bouger et fini par se laisser fourrer. Tant qu’à faire autant profiter de ses bonnes queues. Lorsque Laurent vient enfin la détacher elle est incapable de mettre des noms sur les queues avec qui elle a fait connaissance. Il lui dit alors qu’elle aura un gage pour la prochaine soirée poker. Elle est interdite. Qu’à t-il inventé. En même temps elle est impatiente d’être à cette soirée. Le jour arrive et Laurent lui dit d’aller se mettre en tenue pour accueillir ses invités. Elle est étonnée car elle est déjà correctement habillée. Il lui précise que sa tenue est sur le lit. Curieuse elle va voir la tenue sur le lit. Il s’agit d’une tenue de soubrette très sexy en bas une mini jupette avec un tablier riquiqui et en haut une espèce de body avec balconnets qui soutient le bas de seins tout en laissant ceux-ci visibles. Un porte jarretelles et des bas assortis et enfin une petite coiffe mignonne. Elle ne trouve pas de sous-vêtements. Par défi elle met la tenue et va voir Laurent en lui disant qu’il manque les sous-vêtements. Heureusement elle en a qui iront bien avec la tenue et elle lui dit que cette tenue doit plutôt être réservée à des jeux entre eux deux. Il l’attire vers lui et lui dit de se retourner. Elle le fait volontiers pour montrer ses belles fesses. Il en profite pour lui passer les menottes dans le dos. Elle se retourne étonnée mais il lui dit qu’elle n’a pas besoin de sous-vêtements car ses amis connaissent tous son intimité profondément. Elle est interloquée et veut râler. Il lui insère de force un bâillon boule dans la bouche la réduisant au silence. Elle est à la fois en colère et à la fois complétement émoustillée. Il lui montre alors un plateau de service. Ce plateau dispose d’une espèce de sangle qui sert à ceinturer le plateau sur la taille et une chainette qui passée autour du cou de Maëva relie les deux coté du plateau gardant celui-ci horizontal. Tu pourras nous servir les rafraichissements comme ça lui dit-il. Elle commence à se poser des questions. Il a vraiment l’air sérieux. Pourtant elle ne veut pas être exhibée ainsi devant les amis de poker de Laurent elle en connait certains mais deux d’entre eux lui sont complétement inconnus. Comment pourraient-ils avoir participé aux jeux sexuels de Laurent et Maëva. La sonnerie de l’entrée retentit. Laurent va ouvrir et revient dans la chambre avec son ami Maurice et sa femme Gisèle. Maeva ne sait pas ou se mettre elle est exposée plus que nue devant ce couple d’ami. Puis elle remarque que Gisèle est enveloppée dans un grand manteau qui la couvre des pieds au cou. Maurice enlève alors le manteau et elle constate que Gisèle porte la même tenue qu’elle en dehors du bâillon. Elles sont magnifiques déclare Maurice en mettant les deux jeunes femmes l’une à côté de l’autre. Gisèle est un peu plus potelée que Maëva mais elle possède des fesses magnifiques et se poitrine opulente couleur de lait doit donner beaucoup de plaisir à son homme. Bon il ne nous reste plus beaucoup de temps dit Laurent. Gisèle n’a pas desserré la bouche mais fait un petit sourire contrit à Maëva. Elles sont dans la même galère. Les garçons font coucher les femmes sur le ventre sur le lit et leur fourrent un plug annal vibrant à télécommande de bonne taille. Ça ne présage rien de bon. Ils les relèvent et leur mettent un écarteur de bouche après avoir ôté le bâillon de Maëva. Elle n’ose pas râler devant giselle qui a l’air d’accepter son sort. Quand on aura besoin de quelques choses on vous appellera comme ça dit Maurice en actionnant les télécommandes. Le plug s’ébranle et Maëva ressent de puissantes vibrations dans le bas ventre. Oups ça risque d’être dur car en quelques secondes les vibrations font monter une grosse chaleur du tréfonds de Maëva. Elle voit la tête de Gisèle et se dit qu’elle aussi est sensible aux vibrations. Les garçons installent un plateau identique à Gisèle. Ils expliquent aux filles que pour charger le plateau elles devront se débrouiller ensembles. Et il mime le geste de remplir un plateau avec les mains dans le dos. La sonnette retentit. Les garçons emmènent les filles dans la cuisine et vont ouvrir la porte d’entrée. Laurent installe les trois autres participants dans le salon ou une table de jeu les attend. Ils tirent au sort les places et s’installent tranquillement. Le jeu peut commencer. Après quelques minutes Laurent demande aux invités s’ils veulent boire ou manger quelque chose. Tout le monde est d’accord pour une coupe de champagne. Laurent et Maurice montrent leurs télécommandes aux autres et les actionnent. Maeva et Gisèle qui se regardent un peu apeurées ressentent soudain simultanément les vibrations. Elles se regardent et Gisèle fait le premier pas vers la sortie de la cuisine. Elles entrent dans le salon ou elles font un effet bœuf. Les loups de Tex Avery seraient jaloux des réactions des convives qui s’en mettent plein les yeux. Du champagne pour tout le monde ordonne Laurent. Les filles retournent dans la cuisine et ouvrent le frigo. Plusieurs bouteilles sont dedans dont deux ouvertes. Laurent avait prévu le coup. Elles réussissent en s’aidant mutuellement à remplir de coupes et à les installer sur les plateaux. Puis elles se dirigent vers le salon. Elles font de nouveau de l’effet en entrant. Maeva a du mal à en convenir mais ça l’excite au plus haut point. Elles font le tour de la table chacune de son côté. Maurice dit aux invités elles sont à votre disposition vous pouvez toucher. Au passage de Maëva des mains lui flattent la croupe. Elle en ressent une délicieuse chaleur. Laurent et Maurice leur montrent chacun un coin de la pièce et elles s’y mettent attendant les nouveaux ordres. Plusieurs fois elles sont mises à contribution. Elles arrivent même à rire entre elles lorsqu’elles doivent taire des clubs sandwichs à l’aveugle avec les mains dans le dos. Vers la fin, de la soirée Laurent et Maurice viennent dans la cuisine féliciter les filles pour leur service. Ils ôtent les plateaux et leurs disent maintenant on va faire un jeu avec tout le monde. On va décerner le prix de la meilleure suceuse. Ne nous décevez pas ou la nuit sera pénible. Gisèle et Maëva se regardent interdites mais elles n’ont pas le temps de réfléchir que déjà Maurice et Laurent les entrainent dans le salon. Ils les font mettre à quatre pattes et les forcent à passer sous la table. Là elles peuvent voir que tout le monde s’est débraguetté et que les chibres sont plus ou moins raidis. Elles se regardent et ont un fou rire. Il y en a des grosses et de moins grosses des longues et des courtes. Puis ensemble elles commencent à pomper. Maeva a les mâchoires douloureuses à force d’être écartées mais elle fait au mieux avec sa langue. Gisèle semble absorbée par sa tâche. Soudain Laurent et Maurice ajoutent du piquant en activant les plugs. Les filles redoublent de travail mais elles sont de temps en temps fauchées par un orgasme. Enfin elles ont vidé les couilles de tous les garçons car les chibres sont maintenant au repos. Maëva a l’impression que certains ont remis le couvert pendant qu’elles s’occupaient des autres. Laurent et Maurice sortent les filles de sous la table et les remmène dans la cuisine après qu’elles aient été déclarées ex aequo. Ils les libèrent ôtent les écarteurs et les ramènent dans le salon. Elles ont un petit sourire en voyant l’air heureux des invités. Ceux-ci les féliciteront pour la magnifique soirée qu’elles leur ont fait passer au moment du départ. Laurent et Maurice laissent alors les deux filles seules un moment dans la cuisine. Elles parlent alors du cheminement qu’elles ont pris pour en arriver là et s’aperçoivent que c’est quasiment le même parcours. Laurent et Maurice avaient dû se concerter pour ça. Gisèle lui avoue que ça la fait kiffer grave et Maëva ne peut que lui dire qu’il en est de même pour elle. Gisèle lui dit que la prochaine soirée poker devrait avoir lieu chez elle. Maeva lui dit qu’elle pourra compter sur elle pour ne pas la laisser seule. Cette nuit-là Laurent est particulièrement doux avec Maëva. Elle espère que ce moment de douceur ne durera pas et qu’il trouvera qu’autres challenges pour elle. Elle a définitivement renoncé à dresser Laurent. Elle a trouvé bien mieux. Laurent a décidé de continuer l’éducation sexuelle de Maëva. Ce jour-là elle attend nue à genoux une nouvelle surprise. Elle est dos à la porte du donjon dans lequel elle passe de plus en plus de temps. La porte s’ouvre mais elle n’a pas le droit de se retourner. Elle entend des pas s’approcher. Elle essaye de compter pour voir s’il y a plusieurs personnes. Une main lui caresse le cou. Elle frissonne. Quelqu’un passe devant elle et elle reconnait un des amis de Laurent. La main sur son cou continue à la caresser. La main est douce et commence à descendre vers ses seins. Elle soupire d’impatience d’être pétrie. Elle sent que le propriétaire des mains la contourne elle va voir qui est cet homme aux mains si douces. A sa grande surprise c’est une femme très jolie et très jeune qui la regarde avec une certaine timidité dans le regard. L’ami de Laurent se recule et la femme se met à genoux face à Maëva. Elle lui embrasse les seins. Maëva est surprise par la douceur du baiser. L’ami de Laurent lui fait signe de participer. Elle caresse la tête de la jeune femme qui frissonne à son contact. Peu à peu elles se caressent de plus en plus intimement. L’ami de Laurent impassible observe le manège. La jeune femme fait relever Maëva et elle qui est restée à genoux embrasse le sexe de Maëva. Ça ne l’étonnerait pas que ce soit la première fois pour sa voisine. Petit à petit les deux femmes se Lâchent et finissent par oublier l’homme. Celui-ci se rappelle à elle en les menottant les mains dans le dos. Elles sont à genoux toutes les deux. Du bruit se fait entendre et Laurent entre dans la pièce. Il approche des deux femmes qui sont de nouveau à genou et sort son membre qui est bien érigé. L’une après l’autre elles le sucent. Laurent se retire et les attire jusqu’au lit et les fait monter sur le lit. Elles sont à genoux sur le lit attendant qu’il décide quoi faire. Il prend la jeune femme en levrette et indique à Maëva de se mettre allongée les jambes écartées au niveau du visage de la jeune femme. Celle-ci embrasse le sexe de Maëva tout en étant fourrée par Laurent. Puis Laurent les fait inverser les positions. Maeva n’a pas l’habitude de brouter une femme mais elle est bien excitée par la situation et la jeune femme lui plait. L’ami de Laurent observe toujours. Laurent se retire et les mets toutes les deux face à lui pour une fellation alternée. Il finit par gicler et les deux femmes sont aspergées. Il leur fait comprendre de se lécher pour avaler les gouttes de sperme. Ce qu’elles font sans déplaisir. Laurent quitte le lit et les laisse à genou. L’autre homme se déshabille enfin. Laurent revient avec deux godes ceintures qu’il pose sur Maeva et la jeune femme. Il donne une paire de menottes à Maeva et lui montre l’homme qui se retourne et présente ses poignets. Maëva va attacher les poignets de l’homme dans le dos. Il monte sur le lit et se met à genoux. La jeune femme se penche pour lui faire une fellation. Pendant ce temps Maëva passe derrière lui et l’embroche avec le gode. Il est résistant à la fellation et bientôt Maeva et la jeune femme échangent les places. Elle se retrouve à sucer l’homme pendant que la jeune femme le travaille avec le gode. Maeva voudrait que ça se conclue et pince les seins de l’homme . Il réagit aussitôt et son sexe se durci un peu plus dans la bouche de Maëva. La jeune femme voit l’effet et de son côté elle serre entre les mains les couilles de l’homme. Ruades. Ce coup-ci il a l’air de prendre son pied. Maeva pince plus fort les tétons et la jeune femme presse littéralement les couilles. L’homme se cabre et décharge dans la bouche de Maëva. L’homme se retire et Maeva et la jeune femme se retrouvent seules sur le lit. Je m’appelle Aude dit la jeune femme. Et moi c’est Maëva répond celle-ci. Très heureuse de te connaitre. L’intermède avec le couple bizarre n’a pas été totalement cool pour Maëva. D’autres visites se succèdent. Une d’entre elle est inoubliable pour Maeva. Laurent l’a attachée au piton situé au plafond elle a les bras tendu vers le haut et doit se tenir sur la pointe des pieds. Un homme masqué entre dans la pièce. Elle ne le reconnait pas. Il lui met un bâillon boule. Elle se dit qu’elle ne pourra pas le sucer. Il prend une petite cravache et se met méticuleusement à la cravacher pas trop fort pour ne pas l‘abimer mais les coups sont portés avec suffisamment de puissance pour qu’elle sursaute. Il la cravache ainsi longtemps s’assurant de ne pas oublier un centimètre carré de son corps. Au début elle résiste mais peu à peu elle est obligée de crier dans son bâillon et les larmes coulent sur son visage. Il n’en tient pas cure et continue sa besogne. Maintenant une douleur brulante couvre tout son corps elle n’en peut plus et se laisse pendre au bout de ses bras n’ayant plus la force de se tenir debout. Il arrête enfin et la détache elle pleure et se laisse faire il la porte jusqu’au lit ou il la couche. Elle se laisse faire n’ayant plus aucune force. Il la couche sur le dos et la pénètre vigoureusement. La douleur fait place à une chaleur qui vient du creux de ses reins. Elle a l’impression qu’elle n’a plus mal et elle se laisse emporter par une jouissance inconnue. Il se retire après avoir joui mais reste à côté d’elle dans le lit. Elle est la première surprise en se blottissant contre lui le plus près possible alors qu’il a été son pire bourreau. Maintenant les soirées poker se multiplient. La jeune Aude rejoint Gisèle et Maëva et elles servent durant les soirées. Elles n’ont plus besoin de l’écarteur car elles sont bien soumises. Lorsqu’elles sont seules en cuisine en attendant qu’on les appelle elles rient entre elles. Un soir Laurent les surprend à rire et désormais elles sont punies. Elles passent les soirées à genou dans le salon empalées sur des godes motorisés. Comme elles sont bâillonnées elles ne peuvent plus se parler. Il va sans dire que les bâillons sont ôtés pour les fellations qu’elles ne manquent pas de prodiguer. A la grande surprise de Maeva des femmes viennent maintenant jouer au poker et un soir elle voit une véritable amazone accompagnée d’un black Barraqué qui viennent participer à la soirée poker. Ils ont avec eux deux garçons qui se retrouvent vite nus menottés et debout derrière l’amazone. C’est la première fois que Maëva voit des cages de chasteté. Elle se dit que c’est dommage car les garçons ont l’air bien pourvus. Néanmoins la grand amazone la gêne et elle a l’impression que leurs petites soirées finalement sympas vont pâtir de ces nouveaux arrivants.
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Par : le 20/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 30 Nadia est vendue. Extrait « …Elle attache les quatre membres de Nadia aux pieds de la table en écartant au maximum les jambes. Elle a un vue imprenable sur le sexe offerte de Nadia et sur le plug qui lui orne toujours le cul. Elle commence à caresser rudement le corps d’ébène qui la séduit tant. Puis elle voit que Nadia n’est pas indifférente et elle approche son visage du sexe de Nadia. L’odeur musquée lui tourne la tête et elle plonge la langue dedans et lèche goulument. Nadia se cambre et halète ce qui renforce l’extase de Cloé. Le sexe est parfaitement épilé et semble fait pour être léché par elle. Elle est totalement excitée. Elle se relève et va détacher jean de la croix. Elle lui mes de menottes dans le dos et enlève la cage de chasteté. Jean qui voit les ébats depuis le début trique carrément… » Quelques temps plus tard une convocation arrive. Ils se rendent chez morgane. Morgane trône dans son canapé avec ses deux esclaves nues à ses pieds. Elles sont à genoux couvertes de chaines. Dans une position de soumission totale. Elles ont dû prendre cher avec morgane qui affiche un masque de sévérité absolue. Noémie n’aimerait pas être à leur place. Morgane prend la parole. Bon je n’ai pas envie de m’occuper de deux esclaves en même temps. Ça risque de m’énerver et lorsque je suis énervée je suis particulièrement mauvaise avec mes victimes. Nadia et la catcheuse font une tête d’enterrement. J’ai décidé de te vendre Nadia. Tu as intérêt à être particulièrement une bon esclave avec l’acheteuse c’est ta chance d’éviter le plug géant que je t’ai promis. Soit totalement soumise et montre toi sous ton meilleur jour. Nadia est terrorisée. Le gros plug risque de lui défoncer le cul sérieusement et elle craint ça par-dessus tout. En plus les sévices que lui a infligé morgane vont en grandissant et elle en a peur. L’acheteuse éventuelle entre. Noémie a la surprise de voir que c’est Cloé la fameuse acheteuse. Cloé la reconnait mais ne la calcule pas. Il faut dire que la position de Noémie nue derrière morgane n’est pas des plus intéressantes. Cloé salue morgane ne jette pas un œil aux esclaves et lui dit qu’est-ce que tu veux me vendre. Morgane répond celle-ci et elle montre Nadia. Nadia montre qui tu es à Cloé. Nadia avance vers Cloé sur les genoux. Elle lui embrasse les pieds avec ferveur. Cloé lui dit lève-toi et montre-moi si tu vaux le coup. Nadia se lève met les mains dans le dos et s’arque pour faire ressortir sa poitrine. Cloé lui fait un geste et Nadia se retourne montrant son cul bien cambré. Cloé lui tend la main et Nadia embrasse goulument les mains de Cloé. Effectivement elle est pas mal et à peu près éduquée. Je pourrais peut être en faire quelque chose dit Cloé. Le prix est abordé. Nadia souffle en elle-même elle va peut-être échapper au plug et Cloé a l’air sévère mais humaine. Au moment de conclure Cloé dit à morgane. Je veux ces deux-là aussi c’est les trois ou rien. Noémie devient pale. Elle esclave de Cloé et montrée à tous ses ex amis comme une esclave. C’est difficile à admettre. Néanmoins elle n‘est pas en position de refuser. Morgane donne un prix pour le lot et Cloé tope. Tu me les fais livrer demain dit-elle à morgane. Le lendemain Nadia Noémie et jean voyagent nus dans le SUV de Victor. Ils sont enchainé ensemble et pour bien faire il sont bâillonnés et munis d’un plug de bonne taille dans le derrière. Ils sont escortés par morgane jusqu’au salon où ils sont séparés. Noémie et jean d’un côté Nadia de l’autre. Cloé arrive aussitôt Nadia poussée par morgane se jette aux pieds de Cloé et les embrasse avec ferveur. Celle-ci lui ôte son collier et en met un nouveau en cuir et métal qui se cadenasse. Elle fait pareil avec Noémie et jean. Morgane et Cloé se saluent. Et morgane quitte la propriété. Cloé dit à Nadia Noémie et jean. Maintenant vous allez être des petits esclaves bien dociles. Je n’admettrais aucun écart ou vous goutterez du fouet. Nadia continue à embrasser les pieds de Cloé. Noémie veut préciser qu’elle et jean ne sont pas vraiment des esclaves mais juste des soumis à temps partiel. Cloé la regarde. Je ne t’ai pas autorisée à parler. Tu es mon esclave à vie et je fais de toi ce que je veux. Noémie va pour plaider sa cause auprès de Cloé afin de dissiper le malentendu. Elle veut parler mais une puissante décharge électrique venant du collier la secoue et elle se retrouve par terre sonnée. Jean veut aller la relever mais il est aussi victime d’une puissante décharge. Ils sont tous les deux hébétés. Pas besoin que je vous explique le fonctionnement de votre collier d’esclave. Comme vous vous êtes rebellés vous devez être punis. Nadia attache les à la croix. Nadia se relevé et s’empresse de les attacher écartelés sur la croix. Vous passerez le reste de la journée et peut être la nuit ici dit Cloé. Noémie et jean sont dos à dos et ne se voient pas. Ils commencent à flipper car Cloé n’a pas l’air jouasse. Nadia a regagné sa position au pied de Cloé. Celle-ci lui dit fais-moi voir si tu sais faire jouir une femme avec ta bouche. En parlant elle s’assoit sur le canapé et remonte sa jupe. Elle n’a pas de culotte. Nadia se met à genoux au pied de Cloé et commence à la brouter. Visiblement elle sait s’y prendre car Cloé se tord de jouissance. Cloé apprécie la langue experte de Nadia. Le corps de cette dernière la fascine. Elle ordonne à Nadia de se coucher sur le dos sur la table du salon ce que cette dernière fait avec célérité. Ceci plait un maximum à Cloé. Elle attache les quatre membres de Nadia aux pieds de la table en écartant au maximum les jambes. Elle a une vue imprenable sur le sexe offerte de Nadia et sur le plug qui lui orne toujours le cul. Elle commence à caresser rudement le corps d’ébène qui la séduit tant. Puis elle voit que Nadia n’est pas indifférente et elle approche son visage du sexe de Nadia. L’odeur musquée lui tourne la tête et elle plonge la langue dedans et lèche goulument. Nadia se cambre et halète ce qui renforce l’extase de Cloé. Le sexe est parfaitement épilé et semble fait pour être léché par elle. Elle est totalement excitée. Elle se relève et va détacher jean de la croix. Elle lui met des menottes dans le dos et enlève la cage de chasteté. Jean qui voit les ébats depuis le début trique carrément. Cloé se remet à embrasser goulument le sexe de Nadia et montre le chemin à jean celui-ci ne se fait pas prier et embroche Cloé. Celle-ci est carrément excitée elle fait libérer Noémie qui doit s’allonger sous Cloé et lui brouter le sexe en même temps que jean la fourre et qu’elle bouffe le sexe de Nadia. Des halètements rompent la sérénité du salon les quatre occupants sont concentrés sur leurs jouissances. Cloé est plus que comblée et pense qu’elle va passer du bon temps avec son esclave si envoutante. Dans un coin de sa tête Nadia reprend espoir elle entrevoit une faiblesse dans Cloé. Faiblesse à exploiter. Cette nuit-là Nadia dort dans le lit de Cloé elle est attachée en travers du lit et sert d’oreiller à Cloé. Noémie et jean passent la nuit sur la croix. Le lendemain Noémie et jean sont fixés sur leur sort. Ils seront les larbins de la maison. Cloé leur met une cagoule qui les rend anonymes. Ils ont les mains et les pieds munis de bracelets et une chaine joint les mains laissant une petite amplitude de mouvement. Les chevilles sont aussi reliées par une chaine qui ne permet que de faire des tous petits pas. Ils doivent composer avec. Nadia est debout au milieu du salon ses mains sont menottées et accrochées via une chaine à un piton au plafond. Une barre d’écartement l’oblige à avoir les jambes bien ouvertes. Cloé observe Nadia et feuillette des catalogues de lingerie SM. Elle trouve que le rouge devrait s’accorder à merveille avec le corps d’ébène. Il faut qu’elle trouve une tenue de soumission très sexy afin de pouvoir exhiber son esclave devant les invités en en faisant bander les hommes et mouiller le femmes. Elle finit par opter pour un corset en cuir soulignant les seins, une paire de cuissardes assorties qui montent jusqu’à quelques centimètres du sexe et une paire de très longs gants toujours en cuir rouge. Elle choisit encore deux anneaux de seins rouges aussi reliés par une chainette et un plug vibrant à télécommande pour qu’elle garde la main sur le corps de Nadia. Comme Nadia a toujours la tête rasée une cagoule rouge complète la panoplie. Cloé est contente de ses choix et est impatiente de voir son jouet ainsi habillé. Noémie et jean ont pris leurs marques. Ils servent Cloé avec ardeur car ils craignent le fouet qu’elle manie avec adresse. Le matin ils doivent se présenter au pied du lit de Cloé à genou leurs cagoules mises et attendre qu’elle veuille bien se lever. Ensuite ils la lavent entièrement et selon les envies de Cloé lui prodiguer les caresses buccales qu’elle souhaite. Puis ils préparent le petit déjeuner et doivent assister à genou au petit déjeuner de Cloé. Enfin viennent les tâches ménagères. Ce matin-là le colis avec la tenue de Nadia est arrivé. Ils doivent aller la détacher du lit de Cloé la laver car elle a toujours les mains menottées dans le dos et l’habiller avec la nouvelle tenue. Le corset est suffisamment serré pour faire ressortir les formes de Nadia. Une fois habillée elle est splendide. Noémie se fait la réflexion que c’est plus une tenue de dominatrice que d’esclave mais les choix de Cloé ne sont pas négociables. Nadia est amenée au salon. Cloé attend avec impatience. Elle est émerveillée du résultat elle a envie de culbuter Nadia immédiatement mais elle doit se contenir avec regret afin de ne pas montrer de faiblesse via à vis de esclaves. Nadia voit que Cloé est époustouflée. Elle gonfle la poitrine et des cambre afin d’offrir un silhouette incroyable. Nadia sent qu’elle va bientôt avoir un rôle à jouer. Quelques jours plus tard Cloé reçoit des invités. Initiés ceux-ci ne sont pas étonnés de voir deux esclaves cagoulés les servir. Ils sont loin de se douter qu’il s’agit de leurs amis Noémie et Jean. L’attention des invités est monopolisée par la grande femme noire vêtue de rouge qui est debout derrière Cloé qui la tient en laisse. Les hommes ont du mal à dissimuler des érections monumentales et les femmes haïssent cette femme qui les rend complétement banales à côté d’elle. La journée se passe bien et Noémie et jean sont mis à contribution surtout lorsque Cloé dit aux invités qu’ils sont entièrement à leur disposition pour tout besoin. Noémie et jean sont plus souvent à quatre pattes que debout. La mystérieuse femme noire est exclusivement réservée à Cloé. Et les invités libèrent leurs frustrations sur Noémie et jean.
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Par : le 18/03/21
Mon Maître, je Vous offre ma docilité Sur cette croix quand Vous me dominez Avec sincérité et confiance absolue C'est tout mon être qui se met à nu Mon Maître, à Vous je suis dévouée De pile ou de face, même de coté Sur cette croix, Mon Maître aimé J'aime me dépasser, m'abandonner D'un geste savoureux, Vous appliquez le châtiment Une cadence imprimée de Votre vigoureux allant Puis Votre main nue claque sur mon postérieur Tombe d'abord avec légèreté puis avec ardeur Mon séant s'empourpre, le bas de mon dos s'enflamme Mes yeux se sont baissés, seule Vous regarde mon âme Votre main est soudain remplacée par la badine Moi votre soumise appréciant cette partie fine Marbrée est ma peau, le temps est suspendu D'une correction jaspant lestement ma peau nue Laissant poindre la passion telle une éruption Qui s'offre libre présent de ma soumission Quand cette phase se finit, mon cœur s'assombrit Et c'est dans les limbes que je suis, telle évanouie Jusqu'à rééditer notre jeu, ou à nouveau je serais épanouie En hommage à Vous, à Votre domination qui m'embellit... Le 30 novembre 2012
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Par : le 18/03/21
Dans mes yeux bleus reflet de mon âme. Brille l'insolente lueur de celle qui se damne En enlaçant fiévreusement la douleur De mes lèvres s'enfuit un gémissement Révélateur de ce feu qui me dévore lentement Un peu plus et à chaque jour nouveau De mes zébrures s'échappe cette obsession De n'exister que par Votre regard, révélation Charnelle de cette envie si troublante Dans mes yeux bleus, lueur apaisée S'affiche farouchement la fierté d'exister Enfin sous le joug de Votre domination Regard baissé A Vos pieds Je suis votre Dans mes yeux s'épanouit ma soumission Le 08 10 2012
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Par : le 18/03/21
Lentement, tel un serpent qui se déroule Au creux de mes reins sa chaleur coule Laissant sur ma peau une marque écarlate La lueur des bougies se reflète sur mon corps Habillée de ma seule nudité, voulant encore Aller plus loin dans ces sombres tourments Mon corps s'éveille au fur et à mesure D'un jeu sensuel sans commune mesure Au regard de Vous, Mon Maitre Dans les sillons déjà creusés par le cuir Sa blancheur s'infiltre sans me faire fuir Vous Mon Maitre, Vous imposez ces marques Sur mes yeux, une étole de soie noire Décuple les meurtrissures naissantes Au fil du temps qui passe sans savoir Sensations extrêmes pour un jeu hors normes Connu des seuls (e) initiés (e) que nous sommes Je suis soumise à Vos jeux et désirs A mes poignets, des liens de cuir se posent Pour annihiler toute envie de retraite Sans réserve aucune, en cet endroit, Vous osez Possédée, enivrée de ces sensations Vous me menez au plus profond de mon âme Vers le 'plaisir' ultime engendré par la soumission Le 27 09 2012
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Par : le 18/03/21
Portée par sur les ailes du vent Zéphyr puis par les vagues, la déesse née de l'écume des mers arriva sur les rives de l'île de Chypre et fut accueillie par les gracieuses Heures, jeunes vierges, ministres du soleil qui la parèrent de couronnes et de guirlandes de fleurs, lorsqu'elle sortit du sein des flots. Elles la conduisirent à l'Olympe en compagnie d'Éros, dieu de l'amour et d'Himéros, déité du désir ardent. Sa beauté et sa grâce éveillèrent alors la jalousie des autres déesses qui ne manquèrent jamais une occasion de lui nuire. Ainsi lorsqu'aux noces de Thétis et de Pélée, on omit d'inviter Éris, la déesse de la discorde, celle-ci pour se venger, lança dans l'assemblée une pomme d'or portant l'inscription, "pour la plus belle", le fruit fut réclamé par Héra, Athéna et Aphrodite. Pour les départager, Zeus fit appel au jugement de Pâris, fils de Priam, roi de Troie. Embarrassé, le jeune homme donna alors la pomme à la déesse née de l'écume des mers qui lui avait promis l'amour des plus belles mortelles. Ainsi naquit la passion fatale aux terribles conséquences entre le héros troyen et la belle Hélène et l'image de l'amour et de la jouissance sexuelle de la plus illustre séductrice de l'Antiquité. Passion, désir, érotisme déclinent les choses de l’amour et les chemins de la jouissance. La jouissance comme la souffrance sont des expériences intenses qui engagent le psychique autant que le corps. Elles mettent en jeu la relation aux autres et le regard social. Elles croisent les problématiques de la vie et de la mort dont elles sont les signes et les effets. Il y a bien des discours sur la sexualité, l’érotisme et même la jouissance. Depuis le XXème siècle, l’examen enfiévré de la sexualité ou de l’érotisme se fait au grand jour. Les arts, peinture, cinéma, chorégraphie reconstituent les figures et les gestes de la jouissance. La littérature et la musique la renouvellent avec des mots et des harmonies. Sur les écrans, les limites entre l’érotisme et la pornographie s’estompent. Malgré tous les écrits, malgré tous les passages à l’acte, malgré l’explosion érotique des dernières décennies, l’énigme de la jouissance reste entière pour chacun et pour tous. Elle reste un secret au cœur de l’intimité, souvent associée à une souffrance qui n’ose pas toujours dire son nom. La sexologie est devenue une spécialité qui prétend répondre à celle-ci. Qu’est-ce cette jouissance, dont le mot même est un doux frisson, pourquoi, quand, comment la ressent-on, chacun pour soi et avec, sans ou contre l’autre ? Elle continue toujours à interroger quand nous nous essayons encore à lui arracher des réponses. La psychanalyse fonde sa théorie sur le sexe, la libido, éros, prétendant qu’ils gouvernent nos psychés, que nos névroses tournent autour de leurs énigmes et de leurs interdits. La culpabilité attachée à la jouissance, nous a ainsi expliqué Freud, est à l’origine de la civilisation comme des pathologies. La divine déesse tenait son extraordinaire pouvoir de séduction d'une ceinture magique qui rendait irrésistible celle qui la portait. Jouir est la grande affaire de la vie, autant que la souffrance derrière laquelle se cache la mort. Éros et Thanatos ont été définitivement liés par Freud. Pour Bataille, l’érotisme est la face noire de l’humain en proie à la rage de l’excès, à la poursuite de la mort, avec Sade il a cru en trouver une illustration parfaite. Non que cette version soit fausse. Elle tire un des fils de cet écheveau complexe qui entremêle l’imaginaire, l’émotionnel, l’organique et le social. La jouissance n’est pas un objet ni un effet que l’on pourrait isoler pour étude. Elle est une expérience et une relation d’un sujet avec lui-même et son univers, prise dans ses nouages physiques et psychiques, dans les projections qu’il en fait sur les autres ou les choses fictives ou réelles, en réponse à leurs pressions et répercussions. Relation complexe que l’environnement social marque de son sceau. On se rend facilement compte qu’à vouloir évoquer la jouissance, on se heurte à la fois à l’interdit. Un discours sur la jouissance est toujours un peu suspect car il dénature un éprouvé et le détourne au profit du supposé maître qui en cause sans se mettre en cause. La jouissance des autres, même si elle peut être excitante, n’est jamais la sienne, elle garde quelque chose d’intransmissible sur quoi s’épuise toute la littérature érotique. On peut se demander si elle ne s’efface pas plus encore dans un discours savant. Le théâtre reste intérieur et le spectateur est l’acteur, celui-ci ne travaille pas un rôle, il est en position de réception, de disponibilité totale. Paradoxes et complexité se retrouvent sans doute dans tous les moments de la vie, toujours mêlée à la mort, mais peut-être nulle part comme dans la jouissance aux limites de tout, ou plutôt dans l’entre-deux de la loi et de l’interdit, de l’animalité organique et de l’élévation spirituelle, de la pulsion et de l’idéalisation, de la perversion et de la sublimation. Là où société et culture contrôlent, châtient et facilitent, où l’obscénité se marie à la pureté, là où se confondent le stupre et l’amour. L’intrication du social, du psychique et de l’organique n’y est peut-être pas plus visible qu’ailleurs, mais plus qu’ailleurs l’emprise de l’imaginaire sur le désir est l’illusion d’approcher le réel. Ce pourquoi on ne peut jamais bien sûr essayer de parler de la jouissance qu’a posteriori. La difficulté d'une telle étude réside surtout dans la tentation d'opter définitivement une narration bienveillante pour les différentes figures érotiques ou au contraire de porter le regard savant de l'analyste. il s’agit seulement de parcourir les alentours de la jouissance, les mots pour la dire ou l’évoquer, puis de voir comment elle s’annonce avec la fébrilité du désir ou sous les brumes d’un certain trouble, toujours guidée par un fantasme qui cherche ainsi les objets auxquels l’accrocher. Elle est ce moment où le désir croit se saisir de son objet. Dans l’orgasme, le sujet ne tient plus qu’à la sensation éclatante, sans parole possible, dont il faudra provoquer le retour dans l’espérance d’une plénitude à peine effleurée. Au cœur du plaisir règne toujours l’ambivalence. On pourrait croire que les activités pour lesquelles les hommes dépensent tant d’énergie servent à satisfaire leurs besoins, mais la plupart n’ont que des rapports très lointains avec les besoins, ils y sont poussés par un désir tout aussi impérieux visant à satisfaire les désirs qui les mettent sur les voies de la jouissance. Même s’il peut y avoir du plaisir dans toute activité, la jouissance est beaucoup plus que la satisfaction des besoins ou le plaisir de l’action, c’est un surplus que le désir seul promet. Les sources semblent cachées dans les objets auxquels le désir s’adresse, que le fantasme pressent et reconnaît, que la société lui autorise, lui interdit ou lui substitue. Le désir dans son urgence se passerait de mots, la société lui apprend la patience et la culture apprivoise ainsi la jouissance, la spiritualise et la nuance, trouve les mots pour en parler dans le monde avant de s’y livrer corps et âme. La sensualité se complaît aux sensations voluptueuses sans forcément rechercher l’orgasme. Elle concerne tous les sens, grâce à une attitude réceptive par rapport à tous les objets qui flattent l’un d’entre eux, le toucher, le goût, l’ouïe, l’odorat, la vue. On attribue de la sensualité aux objets ou aux êtres quand ils évoquent volontairement ou naturellement un plaisir des sens par une certaine langueur de la forme, du mouvement. Le langage égrène la jouissance sous des formes variées. Romantiques ou crus, les mots des amants colorent le désir comme le pinceau du maître dessine de suaves courbes. Sous-tendue par la pulsion, la mémoire de la satisfaction provoque une tension et attise l’imaginaire, le désir presse de retrouver l’objet, l’excitation est accrue par son approche aussi bien que par les retards ou les complications qui y sont mises. L’appropriation réelle, mimée et ou imaginaire de l’objet reproduit l’expérience de satisfaction avec plus ou moins d’intensité selon la puissance du désir, l’adéquation de l’objet au fantasme et la facilité offerte par le contexte matériel. La jouissance sexuelle est évidemment le parangon de ce processus. Elle associe le corps, (système nerveux, hormonal, organes sexuels, zones érogènes), le psychisme (fantasmes, imaginaire, affects…), la relation à l’objet (partenaire, ses représentants ou ses substituts) et le social (culture de la sexualité et de l’érotisme, ses normes, ses tolérances, ses interdits). La meilleure définition de la jouissance serait l’accomplissement du désir, qui est lié à l’orgasme, jouissance singulière découlant du franchissement des limites du corps, à ce moment où le désir rejoint enfin l’objet du désir, où s’inaugure la fusion avec l’être convoité, le moment de la pénétration, de cette incroyable intrusion dans ce qui est le plus gardé, défendu, intrusion tout à coup possible, imposée ou souhaitée pour qui en est l’objet. Dans son élan, le désir s’est adressé à un objet concret dans lequel le fantasme a cru se reconnaître. Tantôt, la jouissance de l’avoir atteint est apparue passagère ou décevante et la quête se poursuit parmi les objets évocateurs du fantôme, chéri sans même le savoir. Tantôt, l’espoir de prolonger l’union inespérée avec un objet qui semble combler, de s’en assurer la possession, transforme désir, fantasme et jouissance en un rêve d’amour, y ajoute cet élan de l’âme qui les transcende et pense les éterniser. Cet élan lui-même peut passer de la douceur à la rage, c'est la métamorphose du désir et de la jouissance. Délicieux moments emportés par la sensualité de deux corps se courbant dans l'attente de la jouissance. Les chairs se languissent en se pétrifiant, ointes par leurs sources de vie. Les liaisons du somatique et du psychique suivent alors un processus de transformations qui peuvent être d’abord instantanées puis ralenties au fur et à mesure que la subjectivité s’en mêle. Ces transformations vont de la perception brute à l’émotion qui engage le retentissement de la sensation. La véritable cible du désir, c’est l’autre, mais celui-ci ne cesse de se dérober, sa différence attise le désir, l’absorbe et le dérange jusqu’à la crainte qui fait préférer l’humilier et le haïr. La curiosité du sexe de l’autre porte sur sa jouissance propre, comme s’il détenait les clefs de cette jouissance. Selon Bataille, l’acte sexuel serait "une dissolution des formes constituées", une recherche de fusion totale, et la jouissance, ce moment éphémère où les êtres discontinus croient toucher à la continuité de l’être. C’est un nouveau paradoxe que la dilution toute provisoire du moi semble abolir la différence tout en ouvrant à l’altérité. La passion veut en entretenir à toute force l’illusion fusionnelle, le mystique a le plus de chance de la prolonger parce qu’il a choisi Dieu, fantasme sacré, réunissant l’imaginaire et le symbolique auquel aucune réalité ne viendra apporter de démenti. Si Dieu est réalité, celle-ci ne se réduit en aucun lieu ni aucun temps, l’amour du mystique peut espérer s’unir à l’infini. C’est ce que l’érotisme tente à son tour dans les mises en scène qui s’appliquent à détruire l’ego. L’un est pour l’autre une énigme qui suscite effroi, envie, désir. C’est l’autre qui offre les éventualités de la jouissance, mais sa jouissance demeure une inconnue qui peut aussi bien découvrir un paradis qu’un gouffre incertain. La différence des sexes sépare autant qu’elle attire. La visibilité du désir de l’homme laisse croire à la clarté de sa jouissance tandis que le corps de la femme semble enclore le mystère. C'est toute la beauté de l'érotisme. Multiple est le sexe dans l'altérité. Le désir efface parfois le genre, enrichissant la passion. Selon Pausanias, la déesse Aphrodite eut de nombreuses maîtresses, divines ou mortelles. Quelle différence, autre que le fantasme et la légende, recouvrent celle des sexes ? Qu’est-ce que ces sexes demandent l’un à l’autre ? Au-delà de la jouissance, que veulent-ils qu’ils puissent s’accorder ou se refuser ? Freud demandait: "Que veut la femme ?" "Ce qu’elle n’a pas", aurait-il répondu. Mais que veulent-ils l’un et l’autre, homme et femme ? Tout être désigne son manque à l’autre et chacun sert de figure du manque à l’autre. Que veut l’homme ? Être contenu, vieux rêve fœtal, posséder le monde, puissance phallique. Que veut la femme ? Contenir son amant, le pénis, l’enfant, le monde, et être contenue, c'est-à-dire, aimée, entourée, abritée. Être comblés, retrouver une totalité pleine, s’y enfouir exclusivement pour les hommes, en être envahies pour les femmes, sont comparables. Seuls les instruments et les moyens diffèrent. Se poser alors la question de ce que veulent les femmes sans le faire pour les hommes et en laissant la question sans réponse dit bien assez qu’il va falloir disposer pour elles, à moins que leur corps, par nature, ne les assigne à leurs fonctions sans qu’il soit besoin de philosopher. Toutefois, les analystes ne pouvaient éluder une question qui engageait, moins le corps que la psyché et la dynamique inconsciente. En fait ils ont pris le relais d’un imaginaire qui depuis des siècles et dans presque toutes les sociétés donnait le pas à la reproduction sur la jouissance, non qu’ils aient dénié celle-ci aux femmes, mais en firent un décalque négatif de celle de l’homme, comme son ombre dépitée, rappelant le fameux "continent noir" freudien, pour signifier ainsi sa perplexité. Chez le garçon, le complexe œdipien se prolonge dans le complexe de castration alors que chez la fille, il peut provoquer une fixation à la mère avec l'impossibilité de s'identifier à elle en tant qu'épouse, la peur de l'homme, ou au contraire, une attirance exagérée vers le père, accompagnée d'un sentiment de culpabilité rendant impossible tout rapport amoureux avec d'autres hommes. La fille ne pouvait que suivre les mêmes chemins, en inverser les termes et y rester enferrée. Désirant d’abord sa mère, comme le garçon, elle en est déçue, la hait de ne pas lui avoir donné le pénis et se retourne vers son père pour se faire objet de désir, attendant de lui ce pénis qu’elle n’a pas eu de sa mère, sous les espèces de l’enfant qu’il pourrait lui faire. Pour aussi intime que soit l’expérience de la jouissance, elle ne laisse pas d’être tenue en lisière par la société. L’institution du mariage la sanctionne, en fait un droit et un devoir, un contrat qui engage la vie de ceux qu’elle unit et prétend réserver la jouissance au cadre de cette union. Les possibilités d’accès, les moments, le choix des partenaires sont contrôlés et peuvent tomber sous les coups de la loi. La société organise et surveille la pratique commerciale de la jouissance, sous couvert d’hygiène, d’ordre et de morale publics. Autrement dit, elle légifère, organise, autorise, tolère, interdit ou punit la jouissance en ses manifestations selon ce qui lui paraît pertinent dans un contexte et selon des références multiples. La sexualité et les occasions de la jouissance ne se sont jamais départies du regard de la société qui en tolérait ou en dictait les formes. Toutes les instances de connaissance et de surveillance imposent des normes, des règles et des limites à ne pas franchir. Les modes de la jouissance y sont soumis comme les autres activités humaines. Mais l’interdit ne fait paradoxalement qu’anticiper un désir qu’il excite, en prétendant l’étouffer. Souvent, les plus grands artistes se situent hors des normes sociales dans leur expression créatrice. La transgression suppose une ligne symbolique ou concrète, parfois imaginaire, qu’il est interdit de franchir. Cette limite à son tour suppose un autre côté, objet d’interrogation, de curiosité, puis de désir, elle est, en soi, provocation à la franchir. La transgression commence par la tentation, la limite devient un jeu, innocent ou dangereux, à la mesure de l’ampleur du franchissement et à la mesure de la force de l’interdit et de la sanction encourue. La jouissance s’attache à ce jeu qui offre l’occasion de s’éprouver soi-même, de jouir autant de soi que de l’inconnu exploré et que de la règle elle-même dont on fait son jouet. Et dans la transgression, on se demande si le jeu avec la règle ou l’interdit, n’est pas le plus succulent de la jouissance. La jouissance n’est-elle pas en elle-même transgression, un dépassement des limites ? La transgression cousine avec la jouissance. En termes de risque accepté, recherché passivement ou activement. Elle est associée à une consumation, une perte de soi, cet instant où Éros et Thanatos s’épousent et s’exténuent. Les libertins bravaient la censure et les lois, passant à l’acte et à l’écrit en son nom. Ils semblent exemplaires de l’alliance de la jouissance et de la transgression. Choderlos de Laclos et Sade se ressemblent dans la démarche mais diffèrent dans l'expression et avouons-le, dans la qualité littéraire. Sade n’est plus un libertin aimable ou frondeur, il inaugure l’érotisme radical d’un révolté. Pour lui, le but suprême de chaque homme doit être la jouissance arrachée à la souffrance de ses victimes et jetée à la face d’un dieu mensonger. La jouissance poussée à ses excès mortels sert à l’argumentation du philosophe athée. En fracassant les tabous les plus sacrés, elle défie l’hypocrisie d’une morale qui dénie la nature: "Tant pis pour les victimes, il en faut. Ce n’est que par les forfaits que la nature se maintient, nous lui obéissons en nous livrant au mal." Aux excès de l’arbitraire, Sade oppose ceux de la jouissance conjuguée au crime. Il en sera de son vivant considéré comme l’apologue damné de la perversion. Si Éros reste enlacé à Thanatos, si toute jouissance se cueille au bord de la souffrance et porte en elle les germes de la perversion, il est impossible de passer sans s’arrêter devant une œuvre qui par un imaginaire débordant et une écriture frémissante tente de s’en expliquer. Son œuvre, considérée tantôt comme celle d’un génie tantôt comme celle d’un fou pervers, est un ferment corrosif qui brûle ses lecteurs, ce pour quoi elle fut enfermée dans l’enfer de la bibliothèque de la nation, comme son auteur le fut dans les bastilles de l’ordre monarchique et religieux. Les écrits de Sade ont servi d’illustration à la perversion et son nom a qualifié pour toujours les excès de la jouissance, associant le mépris et la souffrance de l’autre au plaisir sexuel. Sacher-Masoch complétera le tableau en attachant le plaisir à la souffrance subie, mais pas aux mêmes extrêmes, car Sade inclut la mort des victimes dans les actes de jouissance. Par définition, le dissolu ne connaît pas de frontière morale, c'est toute sa richesse ou tout son danger, selon le côté où l'on se place. En effet, il ne s’embarrasse pas des limites, la transgression est inhérente à ses actes. Sa jouissance ne peut être qu’absolue, celle d’un sujet-maître, qui se démontre tel par le saccage des interdits, qu’ils soient de Dieu, de la morale ou de la société. Sa pulsion est reine, elle conjugue l’appétit de jouissance avec la destruction de ses objets. La souffrance de ses victimes et, plus encore, l’impuissance des détenteurs de la loi devant ses forfaits accumulés, font la preuve de sa puissance. Le pervers jouit en provoquant la loi à travers les victimes qu’elle est censée protéger. L’histoire a connu de grands pervers, certains démasqués et châtiés comme Gilles de Rais devenu légendaire, d’autres restés inconnus et impunis. Mais il ne faut pas croire que la perversion ne se manifeste que chez les grands criminels. Cette volonté maligne de faire servir l’autre à son plaisir, tout en tournant à son profit les règles apparemment respectées de la morale ou de l’usage, se retrouvent au sein de relations où les victimes sont humiliées sans pouvoir se déprendre du piège qui les enserre. La jouissance plonge ses racines au plus profond du psychisme, de l’histoire du sujet en train de se constituer. Les premiers émois créent les ébauches de fantasmes qui se déploient pour servir de toile de fond au désir et guident les choix d’objets. Les expériences, les influences reçues les modifient. Ensemble ils pétrissent le désir lié à l’énergie vitale, étroitement attaché à la biochimie du cerveau, en particulier à la dopamine qui régule ainsi les flux d’hormones, l’ocytocine au moment de l’orgasme, dans l’organisme avec des effets massifs sur les organes génitaux. Pour Antonio Di Ciaccia, "la jouissance est ce déplaisir qu'accompagne tout être parlant mais dont il ne peut se passer." Bibliographie et références: - Vinciane Pirenne-Delforge, "L’Aphrodite grecque" - Louis Séchan, "Les grandes divinités de la Grèce" - Barbara Breitenberger, "Aphrodite" - Élisabeth Roudinesco, "La jouissance de la femme" - Jacques Lacan, "Kant avec Sade" - Sigmund Freud, "Trois essais sur la théorie sexuelle" - Sigmund Freud, "La vie sexuelle" - Henri Ey, "Études psychiatriques" - Robert Stoller, "La perversion, forme érotique de la haine" - Élisa Brune, "La révolution du plaisir féminin" - Georges Lanteri Laura, "Lecture des perversions" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 18/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 29 : Nadia tombe sur un os. Extrait « … Les attaques de Nadia terminent dans le vide. Puis maintenant morgane tourne autour de Nadia comme un chat avec une souris et peu à peu elle défait les attaches du harnais de Nadia qui pour finir se retrouve nue tuméfiée mais toujours debout. Puis visiblement morgane décide de porter l’hallali. Elle fait une clé à Nadia qui se retrouve couchée sur le ventre avec morgane assise sur elle. Morgane fait un geste vers le jury. Le juge lui apporte une tondeuse à batterie et elle tond la magnifique chevelure de Nadia. Une fois la tonte effectuée elle demande à Nadia si elle se soumet. Celle-ci hésite mais morgane lui saisit les tétons et les pinces terriblement. Nadia hoquète pleure et admet sa défaite… » Noémie et jean ont reçu une convocation pour une soirée poker. Lorsqu’ils arrivent chez Nadia et Victor ils sont accueillis par un Victor et surtout une Nadia beaucoup moins enjoués que d’habitude. On ressent une énorme tension et les préparations se font dans un silence inhabituel. Arrivés dans la grande salle, tels des chevaux de western ils sont accrochés à la barre de gymnastique comme d’habitude. La soirée commence. Ils sont réquisitionnés par des inconnus et sont mis à contribution pour des caresses buccales à des hommes et femmes qui les regardent avec une attention inhabituelle. A un moment la voix impérieuse retenti. Au lieu de marquer la pause la voix dit : mesdames messieurs le rang de GODESS a été mis cause par une maitresse qui défie l’actuelle tenante du titre de GODESS. Comme il est d’usage la GODESS en titre et sa chalengeuse vont se battre dans le ring pour un combat qui durera jusqu’à abandon de l’une des deux. La gagnante héritera du titre de GODESS et la perdante devra céder deux esclaves à la nouvelle maitresse et se soumettre intégralement à celle-ci sans limite de temps. Après le combat vous pourrez venir féliciter la gagnante qui sera sur le trône de GODESS jusqu’à la fin de la soirée. Un tonnerre d’applaudissement retentit. Noémie a soudain un doute. Ceci explique peut-être l’anxiété de Nadia. Victor vient les chercher jean et elle et ils sont amenés auprès du ring qu’ils n’avaient jamais vu jusque-là. Ils sont positionnés à côté d’un autre couple. Là où ils sont, ils peuvent voir le ring et seront aux premières loges pour voir les combattantes. Le speaker annonce l’arrivée de la GODESS. Et Noémie voit pénétrer sur le ring une Nadia en sueur, signe qu’elle s’est beaucoup échauffée. Elle est en string avec un harnais de cuir qui met en valeur ses formes. Puis sa chalengeuse est annoncée. Une certaine morgane. Noémie voit alors une très grand femme sculpturale, une vrai athlète, pénétrer dans le ring. Elle a aussi un harnais et est en string. Son opulente poitrine rend jalouse Noémie et hypnotise jean. Le combat commence. Au début ça semble équilibré. Nadia compense sa plus petite taille par une énergie farouche. Plusieurs fois elle arrive à donner de coups puissants à morgane mais celle-ci ne semble pas ressentir de douleur. Petit à petit Noémie constate que si le combat dure c’est parce que morgane a décidé de le faire durer. En effet maintenant à chaque attaque de Nadia elle lui donne un coup vicieux au visage ou sur les seins. Les attaques de Nadia terminent dans le vide. Puis maintenant morgane tourne autour de Nadia comme un chat avec une souris et peu à peu elle défait les attaches du harnais de Nadia qui pour finir se retrouve nue tuméfiée mais toujours debout. Puis visiblement morgane décide de porter l’hallali. Elle fait une clé à Nadia qui se retrouve couchée sur le ventre avec morgane assise sur elle. Morgane fait un geste vers le jury. Le juge lui apporte une tondeuse à batterie et elle tond la magnifique chevelure de Nadia. Une fois la tonte effectuée elle demande à Nadia si elle se soumet. Celle-ci hésite mais morgane lui saisit les tétons et les pince terriblement. Nadia hoquète pleure et admet sa défaite. Les choses s’emballent. Le public applaudit la nouvelle championne et Victor prend les laisses de Noémie et jean et les donne à une femme très musclée qui les montre à morgane. Celle-ci opine du chef. Quelques minutes plus tard morgane siège sur le nouveau trône et les gens défilent pour la féliciter. Nadia est couchée sous les pieds de morgane elle est enchainée avec des bracelets et un collier tout en fer. Son visage est tuméfié et les pointes de sein sont gonflés par les coups et irisées de couleur qui ne laisse aucun doute sur les sévices qu’ils ont subi. Jean et Noémie sont à genou aux pieds de la nouvelle GODESS. Ce soir-là ils repartiront avec leur nouvelle maitresse. Quelques jours plus tard ils reçoivent tune convocation de morgane. Bizarrement le lieu donné est l’adresse de Victor et Nadia. Lorsqu’ils arrivent ils ont la surprise de voir Victor et morgane les accueillir. Le couple de soumis les déshabille et les menottent les mains dans le dos. Ils sont amenés au salon ou apparait une nouvelle table. Il s’agit d’un plateau en verre qui repose sur une femme qui est à quatre pattes. Et sert de pieds à la table. Elle est black et porte une cagoule qui cache son visage. Noémie reconnait immédiatement Nadia. Victor n’a eu aucune compassion pour elle et file le parfait amour avec morgane. The winner takes all : pense Noémie. Nadia porte toujours son collier de fer et les bracelets du même métal aux poignets et chevilles. De lourdes chaines relient le collier à chaque bracelet. Ça doit être difficile à porter se dit Noémie mais elle n’a pas le temps d’y réfléchir plus longtemps. Avec jean elle est mise à contribution. Jean retrouve on job de suceur avec la bite de Victor qui fait comme si de rien n’était et Noémie apprend à brouter le minou de la sculpturale jeune femme. Après avoir fait connaissance de l’intimité de morgane Noémie est mise à contribution pour faire l’éducation de soumission de Nadia. Le plateau de la table est enlevé. Noémie peut voir que Nadia porte un plug annal et un gode est enfourné dans son sexe. Ses seins sont lestés de deux lourds anneaux de métal blanc qui tiennent avec de piercings. Noémie n’avait jamais remarque les piercings de Nadia. En avait-elle ? La chaine et les bracelets sont ôtés. Morgane montre un rouleau de déménageur à Noémie et jean. Les menottes sont enlevées et sur les consignes de morgane ils commencent à poser l’adhésif sur Nadia. Elle est couchée sur le dos et ses genoux sont pliés au maximum. Plusieurs tours d’adhésif sont fait à mi-cuisse et bloque les genoux de Nadia dans la position. Elle doit maintenant plier ses bras de la même façon. Des tours d’adhésif sont faits et désormais Nadia n’a plus la possibilité de déplier ses bras ou ses genoux. Elle est mise à quatre pattes par jean aidé de Noémie et désormais elle ressemble à un gros chien noir. Le plug est enlevé et à la place un énorme plug terminé par une imposante queue de cheval lui est enfoncé avec difficulté. Elle gémit mais la cagoule n’a pas de trou pour la bouche et ses cris son étouffés. Noémie met un collier et une laisse à Nadia. Puis celle-ci est promenée dans la pièce par morgane très enjouée. De petits coups de cravache aident Nadia à trotter à la vitesse souhaitée par morgane. La cagoule est enlevée. Nadia est ruisselante e de sueur la cagoule devait être insupportable. El est amenée aux pieds de morgane qui s’est remise sur le canapé. Puis Nadia doit consciencieusement lécher les pieds de morgane tandis que celle-ci suce Victor qui est debout face à elle. Au moment où Victor va jouir morgane se retire et fait mettre Nadia accroupie ce qu’elle fait avec beaucoup de difficultés. Jean et Noémie l’aident à tenir la position. Victor fourre alors sa bite dans la bouche de Nadia qui doit le terminer et bien tout avaler. Noémie est estomaquée de voir l’ex reine de la domination transformée en objet sexuel par celle qui lui a mis la correction du siècle. Tout ça sous le regard méprisant de Victor. Mais le calvaire de Nadia n’est pas terminé pour autant. Les adhésifs sont retirés et Nadia doit se tenir debout jambes et bras écartés. Le couple soumis de Victor et maintenant de morgane apporte une collection de plugs de tailles différentes. Noémie et jean doivent les enfoncer l’un après l’autre dans le cul de Nadia pour voir sa limite. Le premier a la taille d’une belle queue. Il rentre sans problème Le deuxième a la taille d’une très grosse bite. Il faut y aller avec patience mais millimètre par millimètre l’engin rentre. Le troisième est énorme Noémie doute de la possibilité de le mettre en place. Morgane regarde son air perplexe et lui dit. Si tu n’y arrives pas c’est moi qui te le mets. Tu verras que ça rentre. Noémie préfère que ce soit Nadia qui encaisse ce monstre. Elle la badigeonne de lubrifiant et en badigeonne abondamment le plug. Nadia n’en peut plus et pleure silencieusement. Petit à petit le monstre est inséré et lorsqu’enfin il se bloque dans le fondement de Nadia. Morgane félicite Noémie et jean. Il y a bien un quatrième plug mais il est invraisemblable qu’on puisse le mettre à Nadia. Morgane dit alors. Celui-là je veux qu’on lui mette dans un mois. D’ici là elle gardera en permanence celui qu’elle porte. Elle s’adresse à Nadia. Il va falloir que tu fasses des efforts ma petite esclave. Celle-ci a un regard suppliant vers morgane. Je n’ai pas entendu dit celle-ci en donnant un coup de cravache sur les seins de Nadia. Celle-ci s’empresse de dire oui maitresse morgane. Bien bien. Je crois que vu tes efforts je vais t’autoriser à dormir au pied de mon lit ce soir. Maintenant tu vas nous montrer que le plug te va bien fais le tour de la pièce à quatre pattes et surtout cambres toi bien qu’on voit ta croupe d’esclave. Nadia se met à quatre pattes et fait des tours dans la pièce. A chaque pas Noémie sent que le plug la gêne terriblement. A ce moment-là quelqu’un sonne à la porte. La soumise va ouvrir et le couple ami de Victor et Nadia que Noémie a déjà vu et subit entre accompagné de deux personnes nues tirées par une laisse. Noémie écarquille les yeux car devant elle Sidonie et Léon ont le même rôle qu’elle. Elle subodore que Brigitte a réussi à les inviter aussi. La semaine suivante la convocation poker arrive. Alors qu’elle est accrochée à la barre de gymnastique Noémie entend la voix qui annonce un nouveau défi pour la GODESS. Au moment du combat elle est amenée auprès du ring . Une nouvelle fois elle et jean sont mis en jeu. Morgane apparait sur le ring elle est magnifique. Une femme forte genre catcheuse se présente comme chalenger. Le combat commence. Cette fois le combat est beaucoup plus équilibré. Morgane se retrouve plusieurs fois au sol mais réussit toujours à se relever avant que la catcheuse se jette sur elle. Le combat dure et Noémie voir que morgane ne joue pas. Puis peu à peu la catcheuse donne des signes d’essoufflement. Elle est très lourde et déplacer sa masse doit demander beaucoup d’énergie. Morgane quant à elle est toujours aussi véloce. Le combat commence à basculer. Comme Nadia la combattante chalenger finit nue au milieu du ring et morgane la couche à terre et la bloque avec son poids la tondeuse est amenée. Quelques minutes plus tard morgane siège sur le trône avec à ses pieds Hilda la nouvelle vaincue et Nadia qui a été amenée pour rappeler le combat précédent de morgane. Elle est complétement soumise et porte le plug géant. L’autre vaincue porte un collier de fer et une chaine relie les colliers des deux esclaves que morgane a combattu. Deux personnes sont données à morgane il s’agit de deux garçons qui paraissent très jeunes mais surtout leurs cages de chasteté paraissent trop petites pour contenir leur sexe énorme par rapport à leur taille. Noémie se dit que l’appartement de Victor va rapidement être trop petit. Ce soir-là morgane est trop fatiguée pour faire quelque chose. Elle libère les deux couples en attendant la prochaine convocation. Ils se retrouvent tous les quatre et Noémie afin de faire plus ample connaissance invite les deux garçons chez elle. Une fois chez Noémie ils font connaissance. Les deux garçons qui ne se connaissaient pas ont fait connaissance de morgane par le biais de site de rencontre. Elle recherchait des hommes bien montés et après une période d’amour charnelle elle a peu à peu dominé les deux garçons qui presque sans prendre garde ce sont retrouvés un jour menottés et avec une cage de chasteté. Ils aiment trop morgane pour la quitter et acceptent leurs sort. D’hétéros purs et durs ils sont petit à petit devenus tout terrain. Morgane leur imposant tant de la chatte que de la bite. Noémie et jean racontent leur parcours. Pendant la conversation Noémie demande aux garçons si c’est morgane qui a les clés de leurs cages. Ils répondent par l’affirmative mais avec un grand sourire ils avouent qu’ils se sont tait un double des clés et qu’ils peuvent les enlever quand ils veulent. Devant l’air surpris de Noémie ils font la démonstration et deux queues énormes par rapport à la taille des garçons se dressent fièrement. Noémie leur demande si c’est elle ou jean qui leur fait cet effet-là. Les garçons disent que le couple leur plait. Presque en même temps Noémie et jean prennent une queue dans la main. Elles sont fermes et ne demandent qu’à être utilisées. Une double fellation commence. Pendant qu’ils se font sucer les garçons déshabillent Noémie et jean. Ceux-ci son bientôt nus sans savoir cessé de sucer. En même temps les garçons se retirent et retournent leurs suceurs pour les prendre par derrière. Noémie et jean sont aux anges. Ensuite les corps se mélangent de plus en plus. Noémie a juste le temps de libérer jean de sa cage. Quelques instants plus tard elle est pénétrée par trois queues en même temps et ne reconnait plus le propriétaire de chacune. Jean est servi. Il suce se fait sucer se fait enculer tout en suçant et en étant sucé. Les quatre se débrouillent bien et se coordonnent parfaitement. Les garçons jouissent presque en même temps. Noémie pour sa part est montée plusieurs fois au paradis. Elle pense que les trois garçons font particulièrement attention à son bonheur et elle en a presque les larmes aux yeux. Finalement ils se couchent à quatre dans le lit de Noémie et jean et plusieurs fois dans la nuit une étincelle remet le feu aux poudres. Les quatre jeunes gens passent une nuit formidable.
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Par : le 16/03/21
Nés du ciel "Nut" et de la terre "Geb", Isis et Osiris s'accouplèrent dans les entrailles de leur mère pour donner naissance à Horus, l'Apollon des grecs, symbolisant l'union des pouvoirs actif et passif de la création. Père, mère et fils constituent la célèbre triade de la religion égyptienne qui lutta contre Seth, le typhon grec, dieu du mal et des forces maléfiques de la nuit, personnification de la perversité et frère d'Osiris. Ils régnèrent sur l'Égypte, enseignèrent à leur peuple l'écriture, le tissage et l'agriculture, instituèrent le mariage tout en civilisant la terre de Kemet. Puis Osiris partit à la conquête du monde, laissant la régence du royaume à son épouse. Les victoires qu'il remporta suscitèrent la jalousie de son frère Seth qui, avec l'aide de sa femme-sœur Nephtys, déesse des régions humides, lui tendit un guet-apens au moment de son retour triomphal. Ayant pris l'apparence d'Isis, Nephtys l'attira dans sa couche sur les bords du Nil. De cette union devait naître Anubis, le gardien de l'enfer à tête de chacal qui abandonné par sa mère, fut élevé par Isis. Lorsque le roi s'endormit, Seth le tua d'un coup de trident, le dépeça et jeta ses membres dans le fleuve. Folle de douleur, Isis se coupa les cheveux, se couvrit le corps de cendre, fit construire une barque et partit à la recherche des restes de son époux sur le Nil jusqu'à la côte phénicienne. Lorsqu'elle les eut rassemblés, elle cacha le corps d'Osiris sous un acacia gigantesque et se retira dans la riche région de Bouto dans la Basse-Égypte pour accoucher d'Horus. Dans la mythologie d'Héliopolis, les dieux naissent deux par deux, plutôt quatre par quatre, à partir d'Atoum qui engendre ses enfants en se masturbant. Quatre par quatre, car à chaque couple divin plutôt lumineux et bienfaisant, par exemple Isis et Osiris, va correspondre un second couple plutôt sombre, voire malfaisant, par exemple Nephtys et Seth. Les uns personnifient les forces de régénération dans la nature et la psyché, les autres en incarnent les aspects de déclin. Ici, à l'inverse du mythe fondateur biblique, le mal est d'emblée perçu comme une propriété des dieux, un aspect des archétypes et non pas, comme dans la Genèse, le résultat d'une faute humaine, voire féminine. À l'inverse aussi de beaucoup de cosmogonies, le ciel, ici, est personnifié par une déesse, Isis, rayonnante image de la nature tout entière, alors qu'Osiris représente la terre dans son aspect fertile, le Nil dans sa force féconde ou encore la lune. Nephtys, sœur d'Isis, est l'épouse de Seth ennemi juré d'Osiris. Typhon-Seth incarne les forces en chaos de la nature, l'amertume saline de la mer indomptée et les vents desséchés du désert. Nephtys, en miroir, personnifie les terres en pentes arides que l'inondation du Nil n'atteint pas. Cependant, selon Plutarque, elle demeure fidèle à Isis et aide la déesse à ensevelir son époux après que Seth l'ait tué. Cette légende qui prône l'amour maternel et conjugal et le dévouement, devint l'histoire sainte de l'Égypte et donna alors naissance chez les grecs, par voie d'initiation, aux mystères orphiques et à ceux d'Éleusis. Isis et Osiris sont mère et fils, dit la légende, mais aussi frères jumeaux. Amoureux l'un de l'autre, avant même de naître, ils font l'amour ensemble dès le ventre de leur mère. Osiris devenu roi parcourt la terre, édicte des lois et répand partout la civilisation. Il persuade les peuples en les charmant par la musique et le chant. Il fait cesser les coutumes anthropophages et développe la culture pacifique du blé, de l'orge et de la vigne. Alors Typhon réunit soixante-douze complices et fait construire un coffre superbe de cinq mètres de long. Au cours d'une fête, il le promet à celui qui pourra le remplir. Osiris s'y étend. Typhon-Seth et ses complices en referment le couvercle et on jette le coffre au fleuve et du fleuve jusqu'à la mer. Après un long temps de désespoir et de recherches, Isis retrouve le coffre qui contient Osiris et le cache dans un endroit secret. Mais Seth, une nuit de chasse, le trouve, l'ouvre et découpe le corps en quatorze morceaux qu'il disperse de tous côtés. Isis, repartant dans une quête éperdue à travers le pays, réunit tous les morceaux sauf un, le pénis du dieu, mangé par trois poissons. Isis en sculpte une effigie et en fait distribuer des images partout dans les temples. Finalement, Osiris ressuscite des enfers et peut poursuivre l'éducation de son fils Horus. Isis donne naissance à Harpocrate, symbole du soleil levant, renaissant, qu'elle a engendré avec Osiris après la mort de celui-ci, lorsqu'il était encore aux enfers. Osiris règne ainsi désormais sur tous les cycles qui animent l'élan vital universel. Les Égyptiens en font le principe des métamorphoses de l'âme au cours de la vie et le garant de son immortalité lorsque le mort devient lui-même Osiris en pénétrant alors dans l'au-delà. Sous les premières dynasties, seul le pharaon est jugé digne de posséder cette qualité qui confère l'immortalité. Isis, celle qui pleure est la figure féminine la plus connue du Panthéon égyptien. Elle incarnait le trône, siège mystérieux et sacré du pouvoir royal, elle devint par la suite la bienfaitrice universelle, dont le pouvoir s'étendait sur la terre, dans les cieux et dans le monde souterrain. C'est l'une des raisons qui expliquent la facilité avec laquelle le christianisme des commencements a séduit l'Égypte. Après des centaines d'années d'un culte voué à un dieu, soumis à une passion, mis à mort et revenant ressuscité des enfers, les Égyptiens étaient tout préparés à s'ouvrir au message du même symbole. En revanche, à trop chanter les côtés romanesques de ce dieu de la lune et de la terre humide, amoureusement mais passivement croit-on, enlacé à sa puissante épouse céleste, on affadit considérablement les forces que révéraient les peuples du Proche-Orient dans la haute antiquité. La lune n'était pas alors un satellite de la terre, un modeste miroir du soleil, comme nous le ressentons dans nos contrées nordiques depuis les astronomes de la Renaissance. Au second siècle après J.-C., Plutarque, à la suite de ses maîtres préférés Pythagore et Platon, se passionne pour la pensée mystique de l'Égypte. Bien avant la découverte d'un inconscient collectif, il affirme l'existence d'une âme du monde dont la variété des philosophies, des mythes et des cultes, ne fait que traduire les facettes innombrables d'un unique joyau. Pour Plutarque, le mythe est à la fois réel et symbolique. Il peut, dans le cas du mythe d'Isis et d'Osiris, nous parler du soleil et de la lune, de la végétation ou des flux du Nil et, en même temps, révéler, à tous les degrés du mouvement de la vie, la puissance de l'âme unique en action. Derrière la trame des amours et des luttes divines, les joies et les pleurs d'Isis, les crimes de Seth, le démembrement et la résurrection d'Osiris, c'est l'unité de l'âme qui est à l'œuvre. Une unité très paradoxale, au-delà des ombres et des lumières de la conscience, bien au-delà du plaisir et de la peine des dieux et de ce que le moi humain éprouve comme bien ou mal. La figure d'Isis était la personnification même de la nature. Dans le Tarot, elle est représentée comme la Papesse immobile, calme, impénétrable, hiératique, prêtresse du mystère. À la fin du mythe, lorsque Isis a perdu et retrouvé son frère-époux, Osiris le dieu-Nil poursuivi par Typhon-Seth, le vent brûlant du désert, leur fils Horus parvient à se saisir de Seth. Impatient de venger sa mère, il le livre à Isis, mais Isis le délie en disant qu'il n'est pas bon que le mal disparaisse de la Terre, que sans l'imperfection, la douleur et le deuil, la nature cesserait de croître, de décroître et d'évoluer. L'âme, comme Osiris, a besoin de mourir pour devenir, et la nature privée de son ferment diabolique, selon Isis, risquerait de susciter un mal bien pire que le dieu Seth, un carnage absolu. Car l'amertume de la mer, attribuée à Typhon, est aussi le sel de la terre qui pollue les puits mais conserve les aliments. Horus, nous dit Plutarque, est l'atmosphère qui entoure le monde terrestre lequel n'est jamais totalement affranchi de la corruption et de la génération, qui forment le mouvement de la vie. Horus, incapable, comme nous le sommes souvent, d'accepter cette dure leçon de sagesse, pris de fureur, arrache le bandeau royal d'Isis et même, dans une autre version du mythe, la décapite. Hermès-Thot la ressuscitera, en lui donnant le visage et les cornes de vache de la déesse Hathor, la déesse de la vie érotique, l'Aphrodite égyptienne à laquelle on l'identifiera par la suite. Isis, l'amoureuse déesse éplorée en quête de son frère amant, est aussi à la fin du mythe, l'image, la personnification de la source irreprésentable de la divinité, de l'archétype, au-delà de toutes les catégories de la perception humaine dans l'espace-temps de la vie. Principe d'une lumière qui contient les ténèbres, d'un sens qui accueille et transcende le non-sens, elle est ce vide essentiel, dans lequel s'accomplit la conjonction des opposés, après chaque passion et chaque sacrifice en nous, chacune des morts symboliques que comporte un trajet d'individuation. Le mythe d'Isis se fond plus tard dans celui de la nymphe-vache Io. Isis avait pour attributs le ciste, la croix ansée, le globe, le palmier et le vautour, symbole du pouvoir des mères célestes. Tandis que la chrétienté, entée sur les mythes juifs et grecs, développe son essor patriarcal, l'alchimie, quant à elle, va, dans le secret de ses oratoires et laboratoires, recueillir et faire fermenter les valeurs que l'esprit nouveau réprime pour mieux asseoir son empire. Chaque cycle de civilisation, à sa naissance, agit ainsi comme un jeune roi impétueux qui, pressé de régner et d'imposer son style, néglige les palais et les temples de son enfance, voire les détruit purement et simplement. Les amours incestueuses d'Isis et d'Osiris seraient bien lointaines pour nous dans le temps si l'alchimie occidentale n'en avait conservé le souvenir vivant et opératoire. Elle fait des jumeaux divins des principes actifs dans la mutation de la "materiae prima" des passions en pierre philosophale, en élixir de sagesse, comme Jung l'a montré au cours de ses années de recherche, d'interprétation des textes alchimiques. Ceux-ci, depuis l'antiquité égyptienne jusqu'à l'Europe du XVIIème siècle, forment une véritable pré-psychologie et nous transmettent, aujourd'hui, les images des dynamismes à l'œuvre dans la psyché inconsciente occidentale au cours des trente derniers siècles. L'éros indique la tension vers l'autre, l'inceste l'attrait pour le même. L'éros incestueux est une belle trouvaille symbolique pour exprimer la tension vers la réunion de composantes différentes dans la même psyché, dans un même sujet, dont l'axe moi-soi se forge au rythme des différentes séparations et conjonctions. Dans leur quête vers l'un, soulignera Jung, les formes de civilisation à leurs débuts ont posé l'inceste comme sacré, ne devant être mis en acte que par des souverains, symboles vivants de la réalité de l'âme. Le pharaon épouse ainsi sa sœur, c'est-à-dire son anima, son double kantien et spirituel. Apulée, qui fut initié aux mystères de la déesse la décrit comme la mère de la création, l'ancêtre primitive des ombres. Témoins des valeurs oubliées, dans l'alchimie, en place du roi et de la reine, on rencontre souvent Osiris et Isis. Isis, mère première et finale, eau de sagesse sophianique, quintessence ou encore rusée déesse, qui arrache les secrets du dieu Ra, son père vieillissant, ou se refuse coquettement à l'ange Amaël, là aussi, pour lui soutirer le savoir qu'il détient. Après le furieux combat dans lequel Horus, principe solaire de l'ordre, coupe les testicules de Seth, la passion chaotique, qui l'a aveuglé, tous deux sont soignés par le dieu lunaire Thot. Isis délie Seth, Osiris ressuscite et, sur ce happy end, survient un "kaïros", "un moment juste", favorable à l'évolution de l'art sacré, c'est-à-dire de l'alchimie. Dans l'alchimie, les kaïros jouent un rôle extrêmement important. Ce texte date approximativement du Ier siècle après J.-C., mais treize siècles plus tard, un savant comme Paracelse, considère toujours que, pour progresser dans les secrets de la matière ou pour soigner quelqu'un, il faut que la constellation astrologique du moment soit en résonance avec le but recherché. Ainsi, Isis qui veut connaître de l'ange ce qui concerne la fabrication de l'argent et de l'or, les stades les plus précieux de la pierre sacrée, doit-elle attendre que les passions se soient apaisées, sous la forme d'Horus et Seth, et que le principe de conscience Osiris ait ressuscité pour marcher dans son œuvre. Son œuvre qui n'est autre que les transformations qu'elle opère sur son frère époux Osiris, dont Isis représente plutôt l'aspect stable, actif et solaire, c'est-à-dire supérieur. Le culte de la déesse s'étendit jusqu'aux frontières du Rhin et fut institué en Grèce au IVème siècle avant J.C, à Rome au IIIème siècle avant notre ère. Dans l'analyse, les moments de séparation et de réunion psychique semblent souvent se produire en fonction d'un mystérieux "moment juste", où se déclenche soudain un mouvement, une progression ou un apaisement des conflits, un lâcher prise des résistances. L'analyste fatigué ou en régression dans son propre parcours constate souvent que, peu à peu, tous ses analysants se bloquent et regimbent d'une manière ou d'une autre. Lorsque le flux de la libido commence à dépasser l'obstacle, qu'Osiris ressuscite, il constate que le processus de croissance se réactive aussi chez ses analysants. Ou encore parfois, blessé, irrité ou bloqué par les circonstances de la vie, l'analyste entendra, à deux ou trois reprises dans sa journée, le message d'un rêve ou un commentaire de la part de l'un de ses consultants qui, bien entendu, ignore tout de ce qui l'occupe. Cette étincelle du dedans, venue par le dehors apparent, suffit alors souvent pour réanimer la flamme du sens et le sourire intérieur. Les vicissitudes du lien amoureux entre Isis et Osiris sont l'image d'alternance de systoles et diastoles, du mouvement de respiration, au sein du lien transférentiel, au rythme des "moments justes" et moins justes. On se déprime avant chaque nouvel élan psychique mais aussi avant chaque nouvelle réalisation créatrice, une période d'examen, par exemple, un article ou une promotion professionnelle, voire une nouvelle saison sentimentale. Osiris est en même temps son propre cercueil et la suffocation qu'il y endure. Ces représentations constituèrent à la fois la base de l'enseignement des sages de l'antiquité et celle des analystes de l'époque contemporaine. La conscience, déprimée dans la phase de décomposition, doit accepter de s'introvertir au maximum, jusqu'à toucher l'énergie brûlante des désirs ou des complexes refoulés, désirs trop infantiles, libido clivée du moi par les traumatismes de l'enfance, ou encore énergies encore enfouies d'un archétype. Ce n'est qu'après une longue pérégrination analytique à la rencontre des blessures et des souffrances du passé, de la sphère de feu contenue dans le sous-sol de la personnalité, que l'énergie vitale, l'eau de la vie, peut remonter réanimer la conscience. Osiris a suffoqué tout le plomb jusqu'à la prochaine phase de dépression créatrice. Comme le plomb dégage, en brûlant, des fumées fortement toxiques qui peuvent empoisonner l'utilisateur inexpérimenté, les alchimistes croyaient tout naturellement que le plomb renfermait un démon qui rend fou. Comme chacun le sait, lorsqu'on se sent déprimé, on se sent le cœur lourd comme du plomb, tout figé et suffoquant d'ennui devant le jour qui s'avance. Mais pour la psychanalyse, comme pour l'alchimie, ce n'est qu'en descendant jusque dans les enfers à la rencontre du tombeau d'Osiris, à condition de ne pas y rester prisonnier à son tour, que de nouvelles conditions peuvent émerger, tel un nouveau lien entre le moi et le soi. "La vie a mis sous sa main son eau et son vent, son herbe et tous ses troupeaux, tout ce qui vole et tout ce qui se pose." Pour l'analyser et comprendre sa portée allégorique, il faut replacer le mythe dans le contexte. Il a été perpétué afin de justifier les alliances consanguines au temps de l'ancienne Égypte et des civilisations nubiennes. En effet, la plupart des pharaons épousaient leur demi-sœur ou des cousines. L'inceste légal s'avère ainsi exceptionnel jusque dans les familles pharaoniques. Il n'y a guère que la dernière dynastie, celle des Ptoléméens, qui se croit obligée de l'appliquer à la lettre, sans doute parce qu'elle a beaucoup à se faire pardonner. Osiris, dans l'alchimie, est bien sûr un analogue du Christ. Comme lui, il subit sa passion, est mis au tombeau, descend aux enfers et revient ressuscité. Mais là où la Passion du Christ s'effectue en fonction du Père, pour monter trôner à la droite du Père, la passion et la résurrection d'Osiris se fait tout entière au service des valeurs du féminin mutilées par l'église officielle. Car Isis, sœur lumineuse et secourable, est aussi le tombeau obscur dans lequel gît Osiris tout le temps de sa passion. La lumière du sens inclut les épreuves qui affligent l'âme et font douter du sens. Isis est tout autant la partie consciente que la partie encore inconsciente de la création. Accepter le temps de l'épreuve allume une lumière au sein de la nature elle-même qui, a besoin de l'œuvre de réflexion humaine pour se parachever, passer ainsi de l'excès du chaos à l'équilibre et à la mesure des contraires. Les grands créateurs sont souvent de grands orphelins. En eux, le jardin merveilleux, les fleurs d'or et les amours magiques du soleil et de la lune demeurent bien vivants. Mais recentrés dans le champ du symbole, dans le territoire de la psyché, ils éclairent et fécondent le monde du réel. Alors la terre, embrassée par le rêve, produit de beaux fruits de conscience. Bibliographie et références: - Camille Aubaude, "Le mythe d'Isis et d'Osiris" - Françoise Dunand, "Isis, mère des dieux" - Aude Gros de Beler, "La mythologie égyptienne" - Plutarque, "Isis et Osiris" - Dimitri Meeks, "Mythes et légendes" - Florence Quentin, "Isis l'éternelle" - Alain Verse, "Manuel de magie égyptienne" - Nadine Guilhou, "Aux origines de l'Égypte" - Claire Lalouette, "Textes sacrés égyptiens" - Erik Hornung, "Les dieux de l'Égypte" - Christian Jacq, "L'Égypte ancienne" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 28 : un petit couple soumis. Extrait « … Le véhicule démarre. A peine sortis du parking Victor actionne un bouton et le ciel de toit se rétracte en laissant place à un grand toit en verre panoramique qui illumine toute la voiture. Puis Victor s’engage sur le périphérique. Les voitures roulent au ralenti. Soudain Noémie comprend le but du jeu. Ils frôlent les camions et les routiers ont une vue plongeante sur le couple nu bondé et offert à toute vue. Noémie comprend aussi la raison du loup car souvent avec les ralentissements les routiers peuvent prendre des photos avec leurs portables. Ils passent ainsi près d’une heure dans un concert de klaxon de routiers hilares à s’exhiber nus et bondés. Le pire c’est que petit à petit la situation commence à plaire à Noémie qui sourit aux routiers et commence sérieusement à mouiller … » Quelques jours plus tard Noémie et jean sont invités à une soirée poker par Nadia le samedi soir. Ayant repris leurs esprits ils ne répondent pas à l’invitation même si jean ne suit que mollement Noémie dans cette décision. Le samedi soir alors qu’ils sont tranquillement installés dans le salon la sonnerie de l’entrée retentit. Noémie va ouvrir. Ça doit être Sidonie qui avait promis de passer dans la soirée. Elle ouvre et tombe nez à nez avec Victor et le grand black de l’autre jour. Avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit le grand black lui met la main sur la bouche et la fait rentrer de force dans l’appartement. Un sac est mis sur sa tête et ses bras solidement retenus. Pendant ce temps Victor et Nadia entrent dans le salon ou jean est resté. Interdit il les voit se ruer sur lui et en quelques secondes il est aussi recouvert d’un sac et menotté. Ils sont tiré vers l’extérieur de l’appartement et poussés dans un véhicule, apparemment une camionnette, car ils entrent debout Puis ils sont couchés à même le plancher et le véhicule démarre. Quelques minutes plus tard ils sont descendus du véhicule et emmenés quelque part. Le sac sur leur tête est enlevé. Ils voient Victor et Nadia qui les remercient en riant de bien avoir voulu participer à la soirée poker. Ils sont visiblement dans une grande entrée Noémie veut crier mais une main puissante se pose sur sa bouche. Silence ma chérie ou tu vas souffrir. Elle se tait. Nadia lui et un collier de chien et Victor fait de même pour jean. Ils accrochent une laisse et leurs mettent un bâillon boule. Puis ils les tirent dans la maison ou l’appartement vers un très grand salon ou déjà plusieurs personnes sont installées. Elle reconnait le copain black de Victor et sa compagne. D’autres couples ou personnes seules discutent. Le point commun c’est qu’ils sont tous et toutes visiblement des dominants. Victor et Nadia les amènent jusqu’à un mur le long duquel est fixée une grande barre genre barre de gymnastique. Il y a plusieurs personnes hommes et femmes déjà positionnées face au mur et la laisse accrochée à la barre. Elle reconnait Brigitte. Elle et jean sont accrochés comme les autres et Nadia lui dit. : Si on a besoin de toi on viendra te chercher. Bâillonnée elle en peut pas discuter avec ses voisins mais elle voit que certains sont fatalistes, ils doivent avoir l’habitude, et d’autres comme elle plutôt en colère et effrayés. Elle entend les conversations puis une voix domine le brouhaha et dit. Les tables sont ouvertes le tournoi peut commencer. Un bruit de pas nombreux puis un certain silence s’installe. Le temps passe lentement. Elle se demande ce qu’elle fait là. Un de ses voisins est récupéré par un homme qui l’emmène avec lui. Puis d’autres. Puis s’est son tour. Victor vient la prendre et elle le suit dans la grande pièce. En fait c’est un tournoi de poker. Victor regagne ce qui semble être sa place et met Noémie à genou sous la table devant lui. Il lui ôte le bâillon et dirige sa tête vers son sexe qui commence à gonfler. Elle prend le sexe dans sa bouche et commence à le sucer. Aussitôt il devient dur et imposant elle a un mal fou à ouvrir suffisamment la bouche pour l’avaler. Il la fait ralentir et elle passe un temps infini à sucer cet homme qui joue tranquillement au poker. Au fur et à mesure de la fellation elle s’enivre de la puissante odeur de musc de Victor et apprécie la queue dure et douce en même temps qui palpite le long de sa langue. Pour sa part jean a été choisi par un inconnu qui le tire sans ménagement vers une table de poker. Il ne s’assoit pas mais se positionne derrière une femme qui est assise à la table elle se retourne et hoche la tête. Sans ménagement l’homme fait mettre jean à genoux et le positionne sous la table la bouche dans l’entrejambe de la femme qui porte une jupe et pas de sous-vêtements. Jean lèche la chatte en silence. Une voix trouble le silence. Mesdames messieurs on fait une pause de trente minutes. Victor se lève et l’entraine derrière lui. Il va à un bar ou un serveur et une serveuse nus servent des boissons aux joueurs. Victor boit une bière. il tient toujours la laisse et Noémie attend sagement derrière lui comme plusieurs autres prisonniers et prisonnières dont certains sont encore bâillonnés. Surement emmenés ici contre leur gré. Une fois la bière bue il l’entraine dans un couloir qui donne sur de nombreuses portes. Certaines sont fermées et d’autres entrouvertes. Il pénètre dans une pièce entrouverte. C’est une chambre avec un lit King size à l’intérieur. Il se couche sur le lit et sans effort apparent prend Noémie par la taille et la met à califourchon sur lui. Il la guide et elle s’empale sur le chibre énorme. Elle a l’impression qu’elle va éclater. Il lui dit de faire le job. Elle commence alors à le chevaucher lentement puis elle sent monter la chaleur de son bas ventre et elle accélère le rythme. Finalement elle explose en même temps que lui dans un orgasme mémorable. Pendant ce temps jean a été emmené directement dans une chambre. La femme se positionne sur le lit pour que jean à genoux continue à la brouter. Il n’est que peu étonné quand il sent que l’homme qui les accompagnait le sodomise sans ménagement. Plus tard une voix annonce la reprise de jeux dans 5 minutes. Victor se retire se lève et la ramène à la barre de gymnastique. Jean n’y est pas. Il apparait quelques secondes après elle avec un inconnu. Il le rattache mais presqu’aussitôt c’est le copain de Victor qui vient le récupérer. En regardant autour d’elle elle s’aperçoit que ceux qui sont encore bâillonnés ont pour la plupart des marques de fouet ou de cravache sur le corps. Visiblement il y a du dressage en cours pour certain. Durant la soirée elle sera réquisitionnée deux fois encore par un inconnu puis une femme. Elle commence connaitre les dessous des tables de poker. Visiblement le tournoi est fini. Victor et Nadia les récupèrent. Nadia est aux anges elle a bien gagné. Victor est moins loquace. Visiblement ça s’est moins bien passé pour lui. Ils sont remontés dans la camionnette et au lieu d’être ramenés chez eux ils sont emmenés dans une maison inconnue. Surement la demeure de Victor et Nadia. A leur arrivée un couple de jeunes gens nus et portant juste un collier et un micro tablier de soubrette s’empresse d’accueillir Nadia et Victor. Nadia emmène Noémie dans le salon et la détache. Elle la remercie de s’être bien conduite devant ses amis et lui fait servir un verre de champagne par la mignonne soubrette. Victor de son côté a emmené jean avec lui. Voyant le regard inquiet de Noémie Nadia la rassure. Il va passer sa frustration sur jean. Ne t’inquiète pas il prend soin de ses propriétés. Tard cette nuit-là Noémie est attachée écartelée sur un grand lit et Nadia, aidée de la petite soubrette, alterne les moments de douceurs avec des baisers des caresses et l’utilisation de toys partout où c’est possible avec les moments de dressage avec la cravache, les pincements de tétons et de sexe. Finalement Noémie rompue devra lécher Nadia qui la chevauche jusqu’à épuisement et elle s’endort la bouche collée au sexe de Nadia. Nadia voyant que Noémie dort se relève et va rejoindre Victor dans le salon. Ils se félicitent d’avoir rencontré ce petit couple si docile et se promettent de les éduquer en profondeur. Quelques jours plus tard Noémie reçoit une convocation de Nadia. Pas une invitation mais une convocation. Jean a reçu la même chose de Victor. Ils hésitent mais se rappellent la dernière invitation ils préfèrent obtempérer. Ils se rendent à la convocation. Nadia et Victor les saluent et les mettent immédiatement dans les mains du couple nu qui semble être 24/7 à leur service. Ils sont déshabillés et le jeune couple expert en la matière leur applique un magnifique bondage shibari avec une corde rouge pour Noémie et noire pour jean. Le shibari leur bloque les bras et les mains mais les jambes sont épargnées. Ils peuvent marcher à leur guise. Nadia vient inspecter le travail et dit très bien. Préparez-les pour une sortie. Aussitôt leur chaussures sont remises et ils sont enveloppés chacun d’un grand imperméable qui descend jusqu’aux chevilles. Ils ont l’air un peu ridicule dans cet accoutrement. Victor et Nadia mettent leurs propres manteaux et entrainent Noémie et jean vers la sortie. On va faire un tour en ville. Pendant près d’une heure ils déambulent dans les rues de la ville. Noémie a l’impression que tous les gens qu’ils croisent savent ce qu’elle cache sou l’imperméable. Elle est atrocement gênée. Victor et Nadia s’arrêtent à un café et s’assoient en terrasse. Ils prennent tout leur temps pour prendre leur café. Pendant ce temps mortifiés Noémie et jean font le pied de grue sur le trottoir. Enfin Nadia et Victor se relèvent et prennent la direction du jardin public de la ville. L’époque est peu propice aux sorties car il fait froid et une bruine permanente humidifie le corps. Noémie commence à cailler sous l’imperméable. Arrivés dans un coin peut fréquenté du parc Victor et Nadia ôtent l’imperméable de Noémie et jean qui se retrouvent nus bondés à la vue de tous. Heureusement il n’y pas grand monde dans le parc. Pendant un quart d’heure ils se promènent dans les allées du parc. Ils croisent quelques personnes qui les regardent avec stupéfaction. Noémie voudrait être une petite souris pour échapper aux regards des passants. Enfin les imperméables sont repositionnés et ils prennent la direction de la sortie du parc. Ils rentrent chez Nadia. En arrivant Noémie est bleue de froid. Le jeune couple dans l’appartement les prend en charge et leur fait prendre une douche très chaude après avoir ôté les cordes. En sortant de la douche Noémie et jean sont menottés dans le dos et amenés à Nadia et Victor. Vous vous êtes bien comportés cet après-midi. Vous pouvez prendre vos récompenses. En fait de récompense ils sont autorisée à sucer Victor et brouter Nadia. La semaine suivante ils reçoivent une nouvelle convocation. La séance commence comme la semaine précédente mais au lieu de sortir à pieds ils sont couchés à l’arrière d’un SUV dont les banquettes arrières sont repliées. Ils sont couchés sur le dos et rassurés car les vitres arrières du SUV sont fumées. Nadia leur met un loup sur le visage . Le véhicule démarre. A peine sortis du parking Victor actionne un bouton et le ciel de toit se rétracte en laissant place à un grand toit en verre qui illumine tout la voiture. Puis Victor s’engage sur le périphérique. Les voitures roulent au ralenti. Soudain Noémie comprend le but du jeu. Ils frôlent les camions et les routiers ont une vue plongeante sur le couple nu bondé et offert à toute vue. Noémie comprend aussi la raison du loup car souvent avec les ralentissements les routiers peuvent prendre des photos avec leurs portables. Ils passent ainsi près d’une heure dans un concert de klaxon de routiers hilares à s’exhiber nus et bondés. Le pire c’est que petit à petit la situation commence à plaire à Noémie qui sourit aux routiers et commence sérieusement à mouiller. En rentrant elle et bien chaude et quand Victor la pénètre quelques minutes plus tard elle peut enfin jouir en pensant à tous se regards lubriques qui l’ont échauffé. Maintenant elle attend avec une certaine impatience les convocations. Elle se prête au jeu et ne recule devant aucun obstacle trouvant particulièrement jouissif d’être exhibée nue et encordée.
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Par : le 16/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 27 : Noémie Extrait « …Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe. Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises. Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre. Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce. En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean. Celui-ci le suce sans se poser de questions. Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps… » Noémie et aux anges. Jean a totalement capitulé et fait tout ce qu’elle veut. Elle décide d’aller plus loin et invite leurs meilleurs amis à déjeuner. Léon et Sidonie forment un jeune couple branché. Noémie sait que Léon la mate avec attention et ne serait pas contre un coup de canif dans le contrat. Sidonie est volontaire et toujours la première à tenir des propos osées. Ce jour-là Noémie les accueille seule. Sidonie demande ou est jean. Noémie leur dit qu’il est puni mais qu’ils le verront sans tarder. Ils vont dans le salon et commencent à parler de choses et d’autres. Au bout de quelques minutes Noémie demande s’ils veulent une coupe de champ. Les deux acceptent volontiers. Noémie agite une petite clochette qui était posée sur la table du salon. Jean entre dans la pièce. Il est nu avec un bâillon et une cage de chasteté posé sur son sexe. Il porte un plateau avec trois coupes de champagne et vient se poser devant les trois convives. Sidonie et Léon sont surpris mais regardent avec attention jean. Il est puni pour un bon bout de temps et il est à mes ordres dit Noémie. Sidonie et Léon prennent leurs coupes et ils trinquent avec Noémie alors que jean reste planté devant eux. Sidonie est la première à réagir. Dommage tu ne peux pas te servir de ça. Elle montre le sexe de jean à Noémie. Celle-ci répond :Il lui reste sa bouche on peut faire beaucoup de choses avec. Sidonie admet. Elle commence à être chauffée. Léon dit : c’est sûr mais une bonne bite c’est mieux non ? Noémie rebondit sur le propos. Pourquoi tu veux nous faire une démo. Elle fixe l’entrejambe de Léon. Celui-ci regarde Sidonie qui lui dit : Aller fait nous voir ce que tu as. Léon baisse sa braguette et un chibre libéré se dresse vigoureusement. Noémie dit : Pas mal … elle pose la main sur le sexe érigé en regardant Sidonie qui lui sourit. Ensembles elles déshabillent Léon sous les yeux de jean. Léon est confiant. Il va se taper les deux gonzesses sous les yeux du cocu qui ne dit rien. Sidonie commence une fellation puis se ravise en disant il faut qu’on compare entre la bouche de jean et la bite de Léon. Noémie est d’accord et elle va enlever le bâillon de jean. Elle lui menotte les mains dans le dos et le fait mettre genoux devant Sidonie. Celle-ci se déshabille et assise sur le sofa écarte les jambes en montrant à jean son entrejambes. Il s’approche à genoux et enfouie sa tête dedans. Léon est déjà moins triomphant. Noémie s’approche de lui et lui fait mettre les mains dans le dos. Il accepte de se faire menotter. Elle le met sur le dos sur la table du salon. Elle se déshabille à son tour et se met à le chevaucher. Pendant une demi-heure Sidonie et Noémie alterne les positions. Elles vont jusqu’au moment où Léon va craquer puis lui laissent quelques secondes avant de le reprendre. Puis Sidonie propose d’échanger les rôles. Le sexe de jean est libéré. Il trique aussitôt gaillardement et est mis à la place de Léon. Celui-ci doit maintenant faire usage de sa bouche. Les filles s’en donnent à cœur joie sans laisser les garçons jouir. Finalement jean et Léon se retrouvent à genoux avec chacun une cage de chasteté et ils voient les deux filles qui se font l’amour entre elles. Après avoir bien joui les filles décident de passer à table. Jean et Léon font le service et jeunent tandis que les deux filles mangent avec joie. Après le café les garçons sont remis à contribution pour le plus grand plaisir des deux filles. Noémie propose à Sidonie de mater un film porno à la télé dans sa chambre. Sidonie accepte volontiers. Les garçons les accompagnent mais ne peuvent regarder le film car les filles regardent le film à genou sur le lit avec chacune un garçon couché sous elle et la bouche en contact direct avec le sexe de la fille. Elles profitent du film et des langues des garçons qui ne risquent pas de leur spolier le film. Au moment du départ Sidonie radieuse dit la prochaine fois c’est moi qui invite. Les garçons se feront un plaisir de nous servir. Le soir Noémie autorise enfin jean à jouir. Il passe quand même comme c’est l’habitude maintenant la nuit en laisse aux pieds du lit de Noémie. Noémie et Sidonie sont heureuses. Elles parlent beaucoup de leurs exploits. Brigitte et Tania deux de leurs copines semblent douter de la véracité de leurs exploits. Elles raillent ouvertement Noémie et Sidonie en présence d’autres copines. Finalement Noémie exaspérée leur dit qu’elles peuvent venir vérifier. Elle invite Brigitte et Tania à la maison un après-midi pour un café servi par des garçons nus avec une cage de chasteté. Brigitte et Tania acceptent l’invitation. Le jour J Brigitte et Tania se présentent chez Noémie. Celle-ci les accueille avec fierté et les deux invitées ont la surprise d voir deux males entièrement nus à part une cage de chasteté les attendre dans l’appartement. Les garçons font le service. Brigitte est enthousiasmée. Tania un peu plus sur la réserve. L’après-midi se déroule bien et lorsque les invitées repartent Brigitte promet de rendre l’invitation pour se faire pardonner de ne pas avoir cru Noémie et Sidonie. Quelques jours plus tard l’invitation arrive. Sidonie n’est pas libre. Noémie en fait part à Brigitte qui propose que Noémie et jean viennent seuls. Ils pourront discuter plus intimement. Noémie se demande ce que veut dire ce « intimement » mais accepte l’invitation. Ils arrivent chez Brigitte qui les accueille avec le sourire. Noémie se demande si Brigitte n’a pas une idée derrière la tête. Ils pénètrent dans le salon et ont la surprise de voir qu’un couple est déjà présent. C’est un couple de blacks entre deux âges. Les présentations sont faites. Ce sont des amis très chers de Brigitte et elle n’a pas résisté à l’envie de les présenter à Noémie et jean. Victor l’homme est une baraque et il a un regard et une voix imposants. Il impressionne Noémie. La femme est musclée et donne aussi une impression de puissance. Elle est habillée de cuir très ajouré et sa poitrine est particulièrement mise en valeur. Il ne lui manque que le fouet se dit Noémie. Jean aussi est subjugué par ce mâle dominant. Il ne peut s’empêcher de le regarder avec admiration. Malgré lui il lui trouve un charme vénéneux. Il se voit naufragé sur une ile déserte forcé de servir un maitre impérieux et exigeant qui le forcerait à une obéissance sexuelle totale. Il le rêve exhibant une bite monstrueuse que jean devrait s’occuper en permanence avec ses mains sa bouche son cul. Il n’arrive pas à détacher son regard du grand black. La conversation commence. D’abord sur des banalités, puis on en vient à parler de la visite de Brigitte chez Noémie. Victor dit tout à coup. On n’a pas eu la chance de voir ça. Jean tu devrais nous montrer. On aimerait aussi te voir nu avec ta cage de chasteté. Tout en parlant il caresse la cuisse de jean. Celui-ci rougit et regarde du côté de Noémie pour savoir que faire. Il en meurt d’envie afin de se soumettre à ce grand black si captivant. Noémie ne souhaite pas qu’il se déshabille mais Nadia dit à Brigitte. Apparemment Noémie a moins d’emprise sur jean que ce que tu nous as dit. Noémie est touchée dans son orgueil. Elle hoche la tête en regardant jean. Celui-ci se déshabille alors. Victor lui demande de s’approcher jean obtempère. Jean n’en peut plus. Seule la cage de chasteté l’empêche de bander comme un taureau. Victor sort une paire de menottes de sa poche et fait tourner jean. Il lui menotte les mains dans le dos. Noémie se demande ce qui se passe mais Nadia s’est approchée d’elle et lui prend les mains. C’est bien ma chérie tu as bien travaillé avec jean. Il est parfait. Je suis sure qu’on peut faire beaucoup de choses avec lui. Noémie est subjuguée par la voix ferme et envoutante de Nadia. Le contact de ses mains lui donne des frissons. Victor fait mettre jean à genoux. Celui-ci s’exécute sans rechigner et lorsque Victor sort un chibre palpitant il ne résiste pas à la main de Victor qui lui prend la tête et la met au niveau du chibre. Jean commence à sucer le black. Il a juste le temps de constater que le sexe de Victor est entièrement épilé et ça lui donne une beauté incroyable. Noémie est surprise jean n’a pas l’air de lutter. Brigitte a disparu. Nadia dit bon on va peut-être passer à table. La table est dressée mais il n’y a que trois assiettes. Noémie se demande pourquoi quand Brigitte réapparait nue les yeux baissés et dit que le repas est près. Victor se lève et se dirige vers la table en emmenant jean à sa suite. Il s’assoit et positionne jean à genou sous la table pour qu’il continue la fellation. Nadia prend la main de Noémie et la fait mettre à table en face d’elle. Brigitte fait le service. Elle est soudain très déférente envers Victor et Nadia. Noémie mange peu elle est dévorée des yeux par Nadia en face d’elle. Tu dois être très jolie sans tes vêtements lui dit Nadia. Noémie la remercie. Je suis sure que tu es au moins aussi belle que Brigitte. En parlant elle fait un geste à Brigitte qui vient se mettre près d’elle. Nadia caresse Brigitte. Noémie est presque jalouse elle perd pied. Tu devrais te déshabiller lui dit sur un ton autoritaire Nadia. Noémie ne bouge pas. Nadia se lève et prend Noémie par la main et l’entraine doucement vers le salon. Fais voir comment tu es Belle dit Nadia d’un ton qui n’admet pas de réplique. Noémie se déshabille sans vraiment en avoir conscience. Elle veut faire ce que la belle Nadia lui demande. Noémie est nue face à Nadia celle-ci se recule et observe Noémie de la tête aux pieds. Elle l’a fait se tourner pour voir l’envers du décor. Noémie est comme enivrée. Nadia s’assoit sur le canapé et attire Noémie près d’elle. Elle l’embrasse à pleine bouche. Puis elle la fait mettre à genou et ouvre ses cuisses sur sa jupe de cuir sous laquelle il n’y a aucun sous-vêtement. Nadia passe une main derrière la tête de Noémie et l’attire vers son sexe. Noémie embrasse ce sexe si enivrant. Pendant ce temps Victor a terminé de manger et sort de table en emmenant jean docile derrière lui. I ls entrent dans une chambre et Victor amène jean le long du lit et le fait mettre débout au bord du lit mais le torse penché jusqu’à reposer sur le matelas. Puis Victor pénètre jean par derrière. Heureusement pour jean Victor a bien lubrifié sa matraque. Il besogne jean avec ardeur. Jean est presque déçu de ne plus pouvoir sucer avec application le grand black. Son odeur musquée si enivrante et le sentir palpiter dans sa bouche lui manque même si il est heureux de plaire à Victor. Noémie est toujours ne train de lécher Nadia quand elle sent une présence derrière elle. Brigitte munie d’un gode ceinture la prend par derrière. Noémie se demande comment elle a pu en arriver là. Noémie a vaguement eu l’impression qu’une porte s’ouvrait. Mais elle voit avec surprise une autre femme black entrer dans la pièce. C’est le même genre que Nadia. Une reine de cuir. Celle-ci salue Nadia et caresse Noémie. Très belle dit-elle. Tu me la donnes. Nadia répond non je peux bien la partager un peu mais je me la garde elle est trop belle. Noémie veut protester mais la main puissante de Nadia pousse sa tête en butée sur son sexe. Elle sent que des menottes lui maintiennent les mains dans le dos. Elle ne se souvient plus du moment où elles ont été mises. Victor sans arrêter d’enculer jean le fait reculer et ensembles ils se tournent vers l’entrée de la chambre. Un deuxième black Barraqué vient d’entrer dans la pièce. En guise de salut il présent sa bite à la bouche de jean. Celui-ci le suce sans se poser de questions. Il est au septième ciel. Il a maintenant une bonne queue dans la bouche et imagine que c’est Victor qui le besogne devant et derrière en même temps. Noémie est dans un tourbillon de luxure. Nadia lui donne des ordres et elle ses exécute sans se poser de question. Elle lèche embrasse pelote deux corps de bronze qui envahissent tous ses sens. Quand Nadia lui dit d’arrêter et de lui embrasser les pieds elle se met à genou et embrasse les pieds avec ferveur. A côté d’elle elle voit que Brigitte fait de même avec la deuxième femme. Les deux femmes se rhabillent mais Brigitte et Noémie continuent à se prosterner à leurs pieds. Jean sent que le grand black va jouir. Il redouble de caresses buccales et tout à coup il reçoit une grande giclée de sperme dans la bouche. Heureusement qu’il s’y attendait car sinon il aurait été étouffé. Il prend bien soin de tout avaler et de lécher consciencieusement le membre toujours gonflé qu’il a dans la bouche. Victor le serre plus fort et d’un coup se vide aussi en ahanant bruyamment. Jean sent la semence le remplir. Il est presque déçu quand les deux hommes se retirent. Victor et un grand black entrent dans la pièce. Ils entrainent jean qui est ruisselant de sueur. Noémie se dit qu’il a dû prendre cher. Il est toujours nu et menotté alors que les hommes sont habillés. Victor a récupéré le 06 de jean et lui dit qu’il l’apprécie beaucoup et ne manquera pas de le rappeler pour des soirées amicales. Noémie soudain dégrisée est perplexe. Nadia se penche vers elle et lui susurre. J’ai parfois besoin de petites boniches pour mes soirées entre grandes fille. Je ne manquerais pas de t’appeler. Et les deux couples saluent Brigitte qui est en extase et quittent l’appartement. Il faudra un peu de temps pour que Brigitte retrouve les clés de menottes et libère le couple. Noémie l’assaille de question sur ses invités. Brigitte lui dit qu’elle les a croisés par hasard dans le train et qu’elle est immédiatement tombée amoureuse de Nadia. Et depuis elle se plie à tous les caprices de Nadia pour lui plaire. C’est pour ça que Victor et Nadia l’ayant entendu parler du couple souhaitaient absolument les rencontrer. Effectivement ils étaient devenus intimes physiquement parlant. Brigitte demande à Noémie si elle libérait parfois jean de sa cage. Noémie lui répond que oui et qu’il était alors un bon coup. Pour prouver ses dires elle libère jean et dit à Brigitte tu peux l’essayer si tu veux. Il a plus pris que donné aujourd’hui. Brigitte et jean n’hésitent pas et il la prend dans le salon pour un coït mémorable. Quand ils rentrent chez eux le soir ils se demandent s’ils ont rêvés tout ça et sinon s’il n’y avait pas quelque chose dans les boissons qui a annihilé leur volonté.
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Par : le 14/03/21
Trop de beauté nuit parfois au succès et à la volupté dans la mythologie et dans la réalité. La ravissante Psyché ne trouvait pas d'époux. Elle avait un corps, mais n’en savait rien, jusqu’à ce qu’Éros le touche et le lui révèle. La légende grecque peut se lire comme une métaphore de la prise de conscience d’un corps érotique. Ce que ne sait pas Psyché sur son corps se trouve dans son inconscient. Erreur souvent commise, penser le désir sur le mode du manque. Pourtant, telle semble la lancinante leçon assénée de toutes parts. Nous désirons ce que nous n’avons pas. Déjà Platon dans "Le Banquet" relatait le mythe d’Éros, fils de Poros et de Penia, jeune, turbulent et malicieux. Il était toujours dans l’indigence et rusé comme son père, il convoyait les belles créatures qu’il traquait sans cesse. Allégorie personnifiant l'âme, présentée comme une princesse dont la beauté provoqua la jalousie d'Aphrodite, à la suite de la prédiction d'un oracle, Psyché fut exposée sur un rocher, destinée à être dévorée par un monstre. Éros s'éprit d'elle, la transporta dans dans un palais magique, lui rendit visite chaque nuit, mais exigea l'anonymat. Elle n'avait pas le droit de voir son visage. Encouragée par ses sœurs, une nuit, Psyché contempla, éblouie, le visage de son amant à la lumière d'une lampe, mais laissa tomber une goutte d'huile bouillante sur lui, le réveillant. Éros s'enfuit, le palais disparut et elle demanda l'aide d'Aphrodite. Celle-ci la prit à son service et lui imposa des tâches humiliantes, dont elle s'acquitta avec l'aide occulte d'Éros. Paul Diel voyait en Psyché le symbole de la séduction sous sa forme perverse, de la perte de l'aspiration et de l'aveuglement et en Éros, la vision de l'amour physique. La légende fut chantée par La Fontaine, Corneille et Molière, reproduite par Gérard, David, Canova et Prud'hon. L'Histoire ancienne, égyptienne, grecque, romaine, indienne ou nordique a toujours été source d'enseignement. Tous les mythes avaient à l'origine pour objet de fournir une explication plausible aux phénomènes naturels et cosmiques. Aujourd'hui, dans le langage courant, un mythe désigne un sujet irréel ou incroyable. Pour les anciens, le terme avait une signification objective, dynamique, en rapport direct avec la réalité. Le romanesque des amours empêchés par une dépendance quasiment infantile, Tristan et Iseult, Lancelot et Guenièvre, Héloïse et Abélard, Juliette et Roméo, Roxane et Cyrano, touche l’âme mieux que les traités d’éducation sentimentale. En Amour, la parole gagne toujours sur la raison. La puissance de liaison, d’invention de sens que nous appelons amour ne nous paraît pas réductible à la seule figure d'Éros mais implique le travail de transformation de Psyché. Les ailes du papillon, allégorie de l’âme, du souffle invisible, et d’Éros figurent leur passibilité et leur éphémérité. Ainsi, ils se manifestent essentiellement par le mouvement, le passage, la transmutation et quand ils se posent, ils laissent apparaître une tension affligée, la langueur du corps et l'angoisse de l’âme, une attitude pensive plus proche de la mélancolie que du bonheur. Ils sont alors en position d’ouverture perpétuelle du devenir, d’envol et de révélation. La pensée comme les sentiments quittent le corps, mort ou privé de cette juvénilité qui est encore associée à la beauté, à la vitalité et à la séduction des corps pubescents dans l’indétermination réelle du désir et de la pudeur. Les deux personnages mythiques personnifient mieux que quiconque la belle allégorie chantée par Apulée dans ses célèbres "Métamorphoses." Éros fugitif et Psyché exilée sont dans la fougue juvénile mais ne sont pas affranchis. Ils continuent de subir l’autorité et la jalousie de la déesse de l’amour, l'amère mère. Aphrodite est fille d’Ouranos dont les organes sexuels tranchés par Cronos ont fécondé la mer et lui ont donné naissance dans l’écume des vagues. Elle préside à tous les sortilèges et tromperies de la séduction. Le souvenir du tableau de Botticelli, "La Naissance de Vénus", (1485) devrait-il en souffrir, l’icône florentine au doux visage ovale et pensif qui couvre à peine de sa chevelure blonde l’éclat de sa nudité, une fois installée dans son rôle de déesse va se signifier par ses colères et les châtiments qu’elle inflige aux femmes supposées ne pas l’honorer assez. Symbole des forces irrépressibles de la fécondité, son autorité s’applique plus au désir et au plaisir qu’aux fruits de l’amour; sans complexe vis-à-vis des prérogatives de Héra, de Déméter et d’Artémis dont elle peut déranger les plans comme elle peut égarer la raison de Zeus par les pouvoirs de sa ceinture magique qui rendait tout le monde amoureux ou abuser des services d’Éros. Il faut aussi considérer les représentations d’Aphrodite escortée par des fauves, pas seulement des colombes, pour saisir que ses intimations à l’amour peuvent avoir un caractère archaïque, encore non humanisé, voire pervers, la déesse se montrait impitoyable. Ses artifices pour conserver la suprématie de la beauté malgré la vieillesse, font d’Aphrodite le contraire d’une ingénue. Tout en étant l'image de la joie de vivre et de la jouissance sexuelle, la protectrice des unions légitimes est présentée avec une personnalité ambiguë voire redoutable. Elle pouvait éveiller des désirs, des passions coupables, incestueuses ou bestiales chez les dieux et les hommes. Le mythe Éros et Psyché peut être ainsi considéré comme le récit caché de l’affranchissement de l’amour infantile captif de la mère, premier prototype de l’amour. L’amour se réalise humainement par la transformation très lente, conflictuelle du couple des amants furtifs en une union conjugale inscrite dans l’espace symboliquement ordonné de la famille, en respectant la différenciation des générations, dans la durée, en survivant aux changements imposés à la beauté ainsi qu’aux modalités de l’amour. Il s’agit d’une union capable de contenir les retours œdipiens réactivés par le couple et de s’en délier. Un amour qui n’est plus un de ces prototypes de la psychose normale fondée sur l’idéalisation, le clivage et le déni, ni l’amour enjôleur soumis à l’emprise d’Aphrodite, jalouse en tant que mère et en tant que femme, de la grossesse et de la beauté juvénile de Psyché, ni l’amour évasion du groupe familial, fuite du groupe se consumant en fusion, en sacrifice à la domination sensuelle ou à la domination de la pensée. Le mythe traduit ainsi le passage de l'envoûtement et du subjugal en conjugal. La réalité érotique prend l'ascendant sur la pensée. Celle ou celui qui portait la ceinture magique, symbolisant la force irrésistible des passions, était alors possédé d'un désir insatiable. Pour un résumé du conte rapporté par Apulée, nous renvoyons le lecteur à Grimal (1963) et à Noireau (1991) pour une étude exhaustive. Nous évoquerons ainsi deux épisodes et la double transgression de Psyché en soulignant la profonde jalousie que la beauté virginale de celle-ci éveilla chez Aphrodite. Cette dernière chargera son fils Éros de la venger en inspirant à la trop belle mortelle un amour profond pour le plus misérable des hommes. Psyché fut d’abord livrée par ses parents désespérés de ne pouvoir la marier, et après consultation d’un oracle, aux soins d’un zéphyr qui la déposa au palais de son inconnu et monstrueux futur amant. Sous condition de ne jamais chercher à voir son amour de la nuit, Psyché vit dans un monde de rêve, de richesse, d’éclat, de sensations mais sans présence identifiable, sans visage et sans parole. Gagnée par l’ennui puis par la jalousie de ses sœurs qui vont éveiller son angoisse, une nuit à la faveur d’une lampe à huile, elle dévoile Éros, en laissant tomber une goutte d’huile le brûle et le réveille et ainsi le perd. Promise à une mort atroce sur un rocher inhospitalier, la sensuelle promise comme "La Belle au bois dormant", s'éveille. Exposée à errer et poursuivie par la jalousie d’Aphrodite, elle se livrera pour être asservie à des épreuves de prélèvement, de différenciation, de déplacement et de rangement qui en appellent à la logique jusqu’à la plus périlleuse, aller obtenir de Perséphone aux enfers un baume de beauté avec interdiction d’ouvrir la cassette le contenant. Une nouvelle fois trahie par sa curiosité, elle veut connaître la substance secrète contenue, transgresse cet interdit et s’évanouit. Éros, désespéré et prêt à affronter le courroux d’Aphrodite, réveillera Psyché d’une de ses flèches et obtiendra de Zeus et de sa mère la reconnaissance de leur amour puis la consécration de leur mariage par la naissance de Volupté. Tout au long du récit, cette initiation à la réalité de l’amour est placée sous la malédiction et l’emprise d’Aphrodite, qui maintient Éros lui-même et Psyché infantilement. La désobéissance d’Éros s’unissant clandestinement à Psyché, consiste à la captiver sensuellement et à la maintenir dans la magnificence de son palais, prison dorée, sans possibilité d’identification d’une forme humaine, ni de parole, "sois belle et ne vois pas", dans la terreur d’une jouissance irréelle. La nuit sans rêve ensevelit les forfaits du jour. Car les rêves sont faits de plaisirs inavouables et de chair assouvie sous le regard ébahi et jaloux de la déesse Aphrodite. L’excitation cumulative et continue, la contrainte de répétition, les passages à l’acte et les effets en chaîne ou de contagion déclenchés par un simple trait, effet papillon et tir de flèche. Violences exquises, puissance d’excitation, actes obscènes qui réalisent ce qui a été exclu du psychique, mus par l’angoisse de non-séparation de cette chose maternelle dont Éros ne peut se détacher et dont il devient l’instrument. Éros sème l’amour indistinctement, il demande à Psyché de se laisser aimer ainsi, de se laisser faire, sans voir, sans penser dans la seule alternance de l’intimité nocturne et de cet imaginaire diurne qui noie la singularité, qui échappe à toute emprise véritablement rationnelle, qui s’oppose irrémédiablement ou se confond indistinctement, tout ce qui comme l’ombre n’a aucune existence et dont cependant on ne saurait à la lumière de la vie concevoir l’absence. Sur ordre, influencé par la puissance attractive et séduisante de sa mère, Éros trouble, confond, dissout en agissant dans une liaison non conforme, donc réputée monstrueuse, par contacts instantanés qui sèment alors honteusement le désordre, par un jeu confusionnel, l'agitation et le trouble ne permettant ni ouverture ni mise en forme. Leur liaison se déroule sans encombre jusqu'au jour où Aphrodite surprend les amants ensemble dans le palais d'argent. En révélant le visage d’Éros, Psyché lui donne forme, elle transgresse sa "technique d’intimité." Paul Diel entend par là la tentative perverse "d’intimer de force l’autre ce qui relève de sa nature la plus secrète, également de décharger de façon compulsive, une tension instinctuelle puissante." La surévaluation de soi et de l’objet, l’idéalisation se substituent à une authentique relation d’objet. L’objet est manipulé, "usé et médusé, dévasté et mis au rancart, chéri et idéalisé, identifié symboliquement et privé de vie." Telle est Psyché captive d’Éros. En transgressant l’interdit de percer son intimité, elle va briser l'érotisme. L'agissement d’Éros brise son sentiment d’isolement le transformant en rapports actifs et ludiques, opposant son érotisme pétillant à la sensation de dépression, ou à la menace de dissolution et de désintégration. En partageant avec Éros "la pesanteur chérie" (Milos Kundera) du sommeil, Psyché crée un espace intime. En éclairant le monstre, elle révèle la forme d’un corps aimable, capable d’aimer, avec la perspective de se fixer émotionnellement et d’entrer plus tard en relation sans exploiter l’autre. Aussitôt que Psyché a identifié Éros, elle le perd physiquement, mais il devient mémorable. Réalité psychique, il devient possible d’aimer dans la durée et non plus seulement dans l’instant. La punition céleste s'abat sur eux et comme Hercule et ses travaux, la séductrice se voit condamner à effectuer des tâches ingrates. Rescapée de la confusion des sens entretenue par Éros, elle est condamnée à séparer pour collecter, un tas de graines mélangées pour les ranger par espèces, prélever un flocon de laine de la précieuse toison des moutons sauvages, puiser à la source du fleuve infernal, obtenir de Perséphone un philtre de beauté. Opérations de sélection, à première vue incommensurables et dangereuses, elles sont exécutées grâce à des procédés minutieusement observés et conseillés par des animaux plus indulgents que les dieux et capables de tirer parti de leurs automatismes à l’abri des émotions. La hantise narcissique d’Aphrodite de dominer en beauté et de pallier le vieillissement punit Psyché, qui une nouvelle fois est plongée dans un sommeil qui ressemble à la mort. L’attraction du visuel, la subjugation par l’image et l’incapacité de faire confiance à la parole, précipitent Psyché comme Narcisse, comme Orphée, dans un désastre. En refusant par deux fois de se soumettre aux injonctions de l’amour, par la voix d’Éros puis celle d’Aphrodite, Psyché se pose comme tiers dans ce couple des amours. Elle demande plus à l’amour qu’un bouleversement des sens ou de l'arrangement du sens, elle veut par la médiation de l'affect et des représentations transformer la relation pulsionnelle, en sentiment d’intimité, en orgasme du moi. Céder, l’instant d’un éclair, la loi d’agir des hommes, après seulement faire. Capable de frapper l'imagination de l'homme, l'héroïne audacieuse a inspiré la littérature et d'innombrables œuvres d'art. Par-delà le caractère allégorique de la conversion spirituelle, la modernité du mythe d’Éros et de Psyché réside dans le fait qu’il interroge moins la sexualité et la passion que les conditions de la liberté en amour, notamment chez les couples jamais complètement affranchis des amers de la parentalité et spécialement de "l’amère mère." L’ombre de la mère plane en effet toujours sur le couple, l’amour originaire sur les amours œdipiens et toute forme d’amour. C’est par Psyché que l’éphèbe inconséquent est transformé en époux malade d’amour puis en père. Le prix en est alors la consécration de leur couple et la position de mari. La sécurité du couple est propre à recréer la dyade originaire. Aboutissement d’une évasion de sa propre famille, exil ou affranchissement, le couple est aussi quête d’une nouvelle belle-famille. C’est un au-delà certes mais au prix de l’ambivalence de l’amour et des conflits conjugaux en assumant l'éphémérité de la vie affective, qui impose un long travail de recréation et pas seulement une gestion des biens communs ou une résistance à l’usure. Atteint au prix des antinomies de l’amour, qui éveille et rend aveugle, qui console et consume, cet au-delà s’oppose à une vision totalitaire et idéalisée du couple amoureux. L’amour n’est pas un remède mais une transformation de la copulation en conjugaison, non pas un recouvrement de la complétude mais une quête de la supplémentarité de l’intime, non pas une comptabilité des objets du désir mais la déclinaison de variations des modalités de l’amour: Éros, Philia et Agapè. Bibliographie et références: - Apulée, "L'âne d'or ou les Métamorphoses" - Henri Lemaître, "Essai sur le mythe de Psyché" - Sonia Cavicchioli, "Éros et Psyché" - Véronique Gély, "L'invention d'un mythe" - Nedjima Plantade, "Psyché d'Apulée" - Hésiode, "Théogonie" - Jean-Pierre Vernant, "L'univers et les dieux" - Alain Verjat, "Éros est renversant" - Emmanuel Plantade, "La figure d'Éros" - Pierre Hadot, "Dialogue sur l'amour" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 14/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 26 Cloé se venge. Extrait «… il reste faire une grasse matinée tu veux le voir demande Noémie avec un grand sourire. Cloé voit là une invitation. Elle dit : ok allons le voir et elle part avec Noémie vers la chambre qui a hébergé le couple. Effectivement Jean est là. En fait de grasse matinée il est attaché en croix au baldaquin coté pied du lit, debout, un bâillon dans la bouche, un masque aveuglant sur la tête et le sexe comprimé dans une cage de chasteté…. » Rodriguez vient de recevoir un coup de téléphone très alarmiste. Un de ces invités a été arrêté par les flics et pour sauver sa peau les a dénoncés. Une descente de police va surement avoir lieu dans la journée. Il prévient aussitôt ses compagnons et quittent précipitamment la maison en ne donnant aucune explication. Peu après la police se présente à la propriété. Les filles sont libérées et reconnaissent les trois garçons sur des photos que leur montre la police. Le cœur n’y est plus et Anna et Vanessa ne sont plus les bienvenues chez Cloé qui leur reproche d’avoir »pactiser » avec l’ennemi. Morgane veut aussi se changer les idées et Cloé se retrouve seule dans sa maison. Elle est particulièrement en colère contre les trois truands et se jure de se venger. Elle engage un détective privé qui a pour mission de repérer les trois gars avant la police. Celui-ci fait vite et quelques jours plus tard la planque des truands est identifiée. Cloé se dirige alors vers ses connaissances peu recommandables et une mission de représailles est montée. Les trois garçons se font surprendre par une équipe de mercenaires bien rodés qui surgit dans la planque et les mets en joue avec de vraies armes. Les trois garçons supplient de ne pas les tuer et conformément aux ordres de Cloé ils sont emmenés jusque chez elle. Là elle les fait mettre dans trois pièces dans le sous-sol. Ces pièces ont tout de geôle. Pas d’éclairage naturel et juste une paillasse et un pot de chambre. Pendant un mois ils sont enfermés et juste chichement nourris. Ils ne peuvent avoir aucun contact avec les autres. Au bout d’un mois Cloé leur donne chacun un collier et leur ordonne de le cadenasser sur eux. Ils apprendront à leurs dépens l’efficacité des colliers que Cloé a achetés à prix d’or à la tigresse sur les conseils de Magalie. L’un près l’autre ils sont remontés au rez de chaussée et dressés comme esclave par une Cloé revancharde qui manie le fouet avec rage. Pour celui qui est choisi pour quitter la cellule la matinée commence par la croix de saint André. L’homme est écartelé sur la croix et doit subir une douzaine de coups de fouet donnés par Cloé. Puis il est attaché sur la table du salon et doit se faire sodomiser par Cloé qui à chaque passage prend un gode ceinture de taille supérieure. Après l’engodage c’est l’insertion d’un plug annal de taille grandissante. Plug qui sera porté jusqu’au soir. Avant les corvées de la journée Cloé met un vagin artificiel autour du pénis de l’homme et par impulsion électrique le fait éjaculer plusieurs fois jusqu’à l’épuisement. Enfin c’est le tour des corvées qui sont ponctuées par des léchages du sexe de Cloé qui en profite plusieurs fois par jour. Au moment où Cloé va se coucher l’homme est attaché sur le ventre sur le lit, les jambes repliées et reliées aux bras à l’arrière du corps. Et dans cette position inconfortable l’homme passe la nuit la bouche collée sur le sexe de Cloé qui le force à la lécher jusqu’à épuisement. Enfin au matin l’homme est ramené dans sa cellule et Cloé prend le suivant. Trois mois plus tard ils ne pensent qu’à une chose : satisfaire Cloé pour ne pas gouter au fouet être enfermé dans une cage minuscule ou être attaché au piquet de la niche extérieure. Ils sont devenus très obéissants et Cloé décide de tester leur soumission. Ce soir-là Cloé invite trois couples de ses amis libérés. Parmi eux les deux qui avaient eu l’occasion de se partager Sophie et un jeune couple dont la femme plait beaucoup à Cloé alors que le mari est beaucoup plus réservé. Cloé a promis une surprise. L’apéritif et le repas se passent bien les conversations sont assez libres et il est beaucoup question de la partie de poker de Cloé et Sophie. Puis à la fin du repas Cloé entraine ses invités vers le salon. Là elle leur dit c’est l’heure de la surprise. Comme prévu vous passez la nuit à la maison et je vous ai préparé une chambre par couple. Mais j’ai aussi une petite surprise pour chaque couple. Et voyant la curiosité sur les visages elle dit un deux et trois au pied. Aussitôt trois hommes nus imberbes portant une cage de chasteté et les mains menottées dans le dos apparaissent et se mettent à genoux devant Cloé. Voilà vos cadeaux pour cette nuit. Tout est permis et elle donne à chaque femme deux clés celle des menottes et celle de la cage de chasteté. Elle fait un signe et les trois hommes viennent se prosterner un devant chaque couple. Après le moment de surprise les femmes sourient en pensant à la nuit qui vient. Cloé ajoute. Dans l’armoire de votre chambre vous trouverez de quoi épicer votre soirée. Je vous demande juste de les rattacher et de remettre la cage après utilisation. Les sourires s’élargissent et les couples saisissent la laisse de leur cadeau et se dirigent vers les chambres. Le lendemain Cloé voit arriver deux couples visiblement très satisfaits de leur nuit. Ils lui rendent l’esclave et racontent en partie leurs exploits de la nuit. Les esclaves se sont montrés à la hauteur. Tant avec leur bouche qu’avec leur cul voire leur sexe. Les deux couples sont ravis. Puis arrive Noémie la jeune qui plait à Cloé. Elle est juste accompagnée de l’esclave et a un sourire carnassier. Cloé l’interroge du regard. Noémie dit : Super l’esclave il m’a bien été utile cette nuit j’ai bien kiffé. Et Jean il a apprécié ? demande Cloé. Oui il a vraiment apprécié d’ailleurs il reste faire une grasse matinée. Tu veux le voir demande Noémie avec un grand sourire. Cloé voit là une invitation. Elle dit : ok allons le voir et elle part avec Noémie vers la chambre qui a hébergé le couple. Effectivement Jean est là. En fait de grasse matinée il est attaché en croix au baldaquin coté pied du lit, debout, un bâillon dans la bouche, un masque aveuglant sur la tête et le sexe comprimé dans une cage de chasteté. Cloé fait un sifflement admiratif. Effectivement il n’a pas dû s’ennuyer dit-elle. Elle fait le tour de Jean et voit qu’il a un énorme plug dans le cul. Il reste silencieux. Oui j’ai trouvé qu’il ne faisait pas assez d’effort cette nuit dit Noémie alors il a passé la nuit comme ça pendant que je me tapais l’esclave. On ne va pas le laisser là dit Cloé. Noémie fait la moue. Ne t’inquiètes pas ma chérie dit Cloé tu vas comprendre. Elle hèle les esclaves et leur dit quelques mots à voix basse. Elle raccompagne Noémie dans la cuisine ou les deux couples devisent ensemble sur leur nuit tout en déjeunant. Après le petit déjeuner Cloé les invite tous au salon pour discuter avant leur départ. A leur grand étonnement Jean est installé sur la croix de saint André. Ils regardent Noémie qui est gonflée de fierté. C’est sa place dit-elle. Il est très bien comme ça. Elle se penche vers Cloé et dit il n’a pas beaucoup profité des esclaves cette nuit on peut peut être rattraper ça. Cloé approuve et appelle les esclaves. En quelques minutes Jean est décroché les mains liées dans le dos à genou et le torse couché en travers de la table du salon. Il n’a plus le bâillon. Sur un geste de Cloé les trois esclaves se ruent sur Jean. Pendant une demi-heure il sert de vide couille. Tant par le cul que par la bouche avec laquelle après quelques claques il fait de son mieux pour satisfaire ses bourreaux. Les deux garçons des deux couples sont réservés. Ils ont peut-être peur que ça donne des idées à leurs compagnes. Celles-ci sont aux anges. Elles ne savent pas si elles doivent envier Noémie qui a pris l’ascendant sur Jean ou envier Jean qui doit quand même s’occuper de trois bonnes bites. Après coup Jean est emmené par Noémie au bout d’une laisse pour se laver. La matinée se passe tranquillement. Les filles sont invitées à faire de la carriole tirée tour à tour par les esclaves. Quand vient le tour de Noémie c’est Jean qui est attelé. Il est presque trop docile pour Cloé. Puis l’heure du déjeuner arrive. Les convives son tranquillement installés. Jean nu au bout de sa laisse est aux pieds de Noémie et mange ce qu’elle veut bien lui donner. Ensuite les convives quittent Cloé en promettant de revenir surtout s’il y a des surprises. Jean voyagera dans le coffre de Noémie qui annonce que pendant son année sabbatique Jean ne fera pas beaucoup de frais de lingerie. Rassasiée des trois hommes mais fatiguée de devoir les contrôler, Cloé les libère enfin un matin et leur donnant l’ordre de quitter la région. Toujours recherchés par la police et craignant les fréquentations de Cloé ils ne demandent pas leur reste et disparaissent.
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Par : le 14/03/21
Votre odeur de peau m'attire, m'envahit. Qui s'offre à mes songes, à mes envies. Déclaration De l'ombre à la lumière, je suis votre. Et l'attachement fait de moi une autre. Initiation Notre histoire est une évidence. Comblant jusqu'à nos cinq sens. Inspiration Au creux de ma nuque Vous découvrez. Ce présent en acier que j'aime porter. Satisfaction Vous connaissez l'éclat de mes yeux. Quand mon sourire se livre, gracieux. Invitation Au rythme de Vos maux, de mon coeur. A Vous, je m'abandonne avec ferveur. Palpitation Il arrive qu'une image, une situation. Requiert par son trouble, mon attention. Emotion Repoussant les frontières de mes inhibitions. J'obtempère pour Vous donner satisfaction. Humiliation La cire coule au creux de mes reins. Réveillant la douleur créée de Vos mains. Soumission A mes poignets les bracelets de cuir Vous posez. Sans retenue aucune, en ces lieux, Vous imposez. Possession Sur ma peau, Vous dessinez des entrelacs. Zébrures, je n'entends plus que Votre voix. Passion Le temps passe, l'envie monte crescendo. A la mesure des marques gravées sur mon dos. Tentation La danse se fait sensuelle, je m'enflamme. De ce feu intérieur qui asservit mon âme. Domination Vos doigts effleurent les sillons rouge sombre. Traçant le chemin menant vers cette terre d'ombres. Sensation De Vous à moi, de moi à Vous, je suis soumise. A genoux ou debout, je me soumets avec délice. Excitation Et quand tout cesse, que Vous déliez mes liens. Nos corps se cherchent pour ne plus faire qu'un. Abdication Le 06 09 2012
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Par : le 14/03/21
Miroir de culture, de pratique et de rituel, célébré depuis la nuit des temps, le corps féminin est d’abord appréhendé dans sa dimension imaginaire, corps morcelé des fantasmes sexuels, cariatide mythique au stade de son écho dans la représentation artistique mais aussi soleil régénérateur, matrice de la maîtrise maternelle. Pas de société qui n’ait cherché d’une manière ou d’une autre à le coucher à part, dans une tentative vouée à l’échec, d’en faire un ensemble consistant et par là de lui assigner une place. Mais le corps n’est pas sans les mots et le langage n’est pas immatériel. L’objet cause du désir qui procède du corps est donc hors ce corps. À cet égard, le mythe d’Ève comme parcelle du corps de l’homme, "côte de l’homme", est un mythe qui appartient aux hommes. Ève, qui pour Adam est "chair de sa chair", en serait rendue de ce fait désirable, mais ce mythe masculin faisant de l’objet une partie du corps de l’homme, le rend objet sensible. Ignorance souveraine du fait que sur le corps, on se trompe souvent. Car c’est bien au titre d’objet non spéculaire, qu’un homme désire une femme, sans pouvoir comprendre l'inspiration. Ainsi une femme, plus détachée de la loi et de son corrélat la castration, court peu de risques. C’est pourquoi elle peut s’accommoder de son inappétence sexuelle, voire de la défaillance de son partenaire en trouvant à l’occasion d’autres partenaires, le secret étant souvent condition de sa jouissance. Cette condition du secret n’est-elle pas ce qui, pour une femme, agit dans tous les cas, lorsqu’un homme sait lui parler selon son fantasme fondamental, ignoré d’elle-même. C’est en osant son propre désir qu’elle peut tenter son partenaire. Pruderie, vraie ou fausse, et exhibition, sont là comme l’envers et l’endroit de cette fuite devant la mise en jeu de son objet et de son corps, de sa répugnance à incarner l’objet pour un autre. Hystérie d’angélisme, dérobade, amazone, quand ce n’est pas diable au corps, la féminité lui fait alors question. Vénus contre Mars, Ève contre Adam, Antiope contre Jupiter ou Europe contre Zeus, la femme sait la force du corps. Elle veut bien tenter un homme à condition qu’il sente que derrière le miracle chatoyant qu’elle est, il y a l’insaisissable chose en soi de son être. Son corps pourtant reste cisaillé par les mots dans lesquels est prise sa sexualité, mais qu’on ne vienne pas lui donner du sens commun pour la guérir ! A contrario, quand le corps d’une femme séduit un homme, cela ne la laisse jamais insensible. Peu importe qu’elle ne sache pas ce qui, en elle, éveille cet objet qu’un homme élit, qu’elle ait ou non du goût à cela, cet objet lui tient lieu d’être. Et à moins que, trop direct et sans paroles, ce désir ne l’angoisse, il enveloppe le plus souvent une femme en lui décernant un corps. Quand il y a corps à corps entre elles, c’est souvent dans la fascination ou la jalousie, l’attirance ou la rivalité, voire dans la jouissance perverse. Mais le corps des femmes n’est pas seulement désiré, il est aussi corps tabou. Quand c’est au lieu de l’autre qu’on se met à chercher le lieu de la jouissance, le corps des femmes peut en être l’équivalent et le recel. Il est alors perçu comme lieu d’un danger qu’il faut camoufler, renfermer. Car une femme peut aussi éprouver une jouissance autre que la jouissance phallique. De fait, son identification imaginaire virile n’en fait pas pour autant un homme et l’analyse la mène à glisser vers une femme. Mais dans sa rencontre avec un partenaire, elle peut éprouver un hors limites qui la mène à souffrir alors mille morts dans sa chair ou encore à la frigidité qui n’est plus seulement défense commandée symboliquement.   Unique et apatride quand il est exclu du désir mais multiple et citoyen dans l'ardeur, le corps féminin est caméléon. La femme est ainsi silence d’un vide entre réel et corps. C’est aussi bien cet effet d’étrangeté que manifestent grossesse et enfantement qui font question pour une femme qui ne se laisse pas pourtant d’en conter alors. Ainsi alourdissement et allègement relèvent de l’imaginaire du corps certes mais n’en sont pas moins réel. Pourquoi cette fascination de certaines femmes pour le corps des autres et cette focalisation particulière sur la question de la beauté ? Au-delà de la simple aliénation constitutive au double dans le miroir, on peut relever un rapport spécifique des femmes à la belle image du corps féminin. L’imaginaire pallie ici la carence du symbolique. C’est précisément parce qu’un universel identificatoire fait défaut que la solution trouvée par une femme à l’énigme du féminin passe communément par la fixation, l’accroche au corps d’une femme singulière ou de quelques autres. Quel est "ce truc" en plus qu’elle a et que je n’ai pas ? Dans un rêve, je me trouvais nue face à l’autre femme, également nue. Elle avait exactement le même corps que le mien, comme mon image dans le miroir, mais avec, en plus, un pénis en érection. D'un côté, je plaçais l'autre en place d’objet désirable, de l'autre, je l'avais érigée au rang de l'homme, puissante et porteuse de l'organe. Mon problème, c'était alors au fond de m'accepter comme objet du désir de l’homme maintenant ainsi le mystère d’une féminité inaccessible, inatteignable par l’homme paradoxalement. L’adolescente que je fus était requise, par une urgence de vie, de trouver alors une réponse à l’énigme de mon être sexué et mortel. La hâte imposée par des événements contingents, surgit dans mon corps où se joua la métamorphose de ma puberté, m'amenant ainsi à sortir vite de la relation aux premiers objets d’amour féminins. La relation à la morphologie se joue également dans l'imaginaire, lui offrant ainsi des dimensions mystiques. Le statut respectable de mon corps, je l'avais trouvé sur la voie de l’Idéal du moi fondé sur la fonction du père, comme point d’où je me voyais aimable, voire digne d’être aimée. Le regard de l’autre permet de se rassasier d’un corps irréel. D’autres revendiquent ce respect en se montrant provocatrices dans leurs corps, allant jusqu’à la provocation incommodante de leur look ou de leur langue, pour justement que l’on distingue en elles cet élément réel de nouveauté qui se joue dans leur corps et qu’elles n’arrivent pas à traduire en mots. Ce look en appelle ainsi au regard. Le regard comme objet perdu est, en principe, invisible. Ce qui suppose son extraction, une localisation de la jouissance, un retour de la pulsion dans le réel sur le mode d’un se faire voir. Comment parler du corps féminin au XXIème siècle sans tomber dans les stéréotypes ? Comment évoquer le caractère sexué du corps sans donner prise à celles et ceux qui voient dans toute référence à la différence des sexes un attachement à la nature et à l’anatomie ? Le discours sur le corps féminin est aisément suspecté aujourd’hui de servir la norme et de promouvoir une conception du rôle de la femme, dictée à la la fois par la civilisation et par l’anatomie. Les études de genre, autour de figures désormais célèbres comme Judith Butler, mais aussi Monique Wittig, participent de cette utopie qui consiste à tenter d’effacer la référence à la différence des sexes au sein du discours sur le corps, afin de défendre l’idée d’un rapport au corps, dégagé de toute norme de genre. Un corps qui pourrait enfin jouir de ce qu’il est, sans subir les impératifs de la société, sans être affecté par le discours de l’autre, sans avoir à se définir comme masculin ou féminin, tel est le corps dont rêvent ces féministes de la dernière vague. Un corps, rien qu’à soi, qui serait enfin dégagé de la soumission à la nature et aussi bien à la culture. Depuis la nuit des temps et hélas encore aujourd'hui, la femme a dû se battre pour acquérir des droits. Elle les a acquis grâce à des évolutions de la société et à des changements constitutionnels ou législatifs. Rarement l'excès porte ses fruits. Pourtant, malgré les charmes qu’il semble exercer sur certains, en particulier sur les politiques en France qui n’ont pas hésité ainsi à puiser dans les études de genre pour reformuler l’exigence républicaine d’égalité entre filles et garçons, ce discours n’est pas dénué de normativité. Tout en se présentant comme un discours qui ne veut plus voir le corps assujetti à aucune norme, ces études de genre engendrent une nouvelle norme visant à aborder les corps de façon anonyme, neutre et asexuée. L’anonymat, l’absence de marque de l’autre, la disparition de tout désir venant des parents, sont présentés comme la garantie d’un épanouissement de l’être à l’abri des contraintes de la société. On peut voir dans cette utopie promouvant un corps dégagé de la marque de la différence, un nouveau puritanisme, prônant une transparence totale dans le rapport du sujet à son corps. Il est certain que les études de genre de la fin du XXème siècle n’ont rien changé à l’affaire en se débarrassant du problème de la féminité. Parler du corps féminin, c’est donc déjà, de par l’expression même, s’inscrire en faux contre ce discours et essayer de montrer qu’on peut concevoir la féminisation d’un corps autrement qu’en termes de normalisation. Là où les études de genre rêvent d’un corps asexué, la psychanalyse montre les diverses conséquences psychiques contingentes de la différence des sexes sur les êtres. Malgré la dictature virtuelle à l'échelle planétaire de la pornographie, dévoyant l'esthétisme du corps en le vulgarisant à l'extrême, célébrant du même coup la disparition des mystères de l'existence sexuelle, celle-ci ne résout pas pour autant le rapport intime et opaque, parfois dérangeant et bouleversant, qu’un sujet entretient avec son corps sexué. Plutôt que de défaire le genre, la psychanalyse permet de s’interroger sur la façon dont le genre se fabrique, à l’écart des clichés et des stéréotypes. Comment un sujet féminin fait-il l’expérience de la marque du signifiant "femme" sur son corps ? Que signifie l’existence du corps au féminin ? Depuis l’Antiquité, le corps qui pose problème, c’est le corps des femmes. On ne sait comment en parler. Faut-il admettre une différence incommensurable entre le corps masculin et le corps féminin ou faire du corps féminin un corps masculin dont le développement serait moindre ou inversé ? Le modèle unisexe qui prévaut, de l’Antiquité jusqu’au XVIIème siècle, a fait du corps féminin la copie inachevée du corps masculin. La règle de la différence des sexes advenant avec les philosophes des Lumières, est corrélatif d’une reconnaissance de l’orgasme féminin. L'insondable mystère du corps des femmes réside dans cette aptitude à jouir indépendamment de la génération. La littérature a apporté sa pierre à l'édification du mythe du corps féminin, de la poésie de l'amour courtois aux romans érotiques. Le spectre est large, de la tendresse d'Héloïse pour Abélard au "Con d'Irène" d'Aragon. Le livre de Catherine Millet, "Une enfance de rêve", vient parachever un trajet d’écriture tout entier tourné vers l’exploration du corps et de ses mystères. C’est dans ce dernier récit qu’elle atteint un point réel quant à son histoire en rendant compte de cette emprise symbolique sur le corps. Dans ce récit, elle écrit un corps, le corps de la petite fille marqué par les paroles de la mère, sur un mode qui fait écho à la psychanalyse lacanienne. Peut-être en dit-elle bien davantage sur la sexualité féminine dans ce dernier récit, qui complète le précédent "Jour de souffrance", que dans le sulfureux premier récit, "La vie sexuelle de Catherine M. C’est de ce corps, sur lequel des lettres indéchiffrables sont venues s’inscrire en induisant un certain mode de jouir, que l’on parle en fin d’analyse. Une enfance de rêve s’apparente par cet abord de la sexualité naissante, à la façon dont l’analyse peut conduire un sujet féminin à relire sa trajectoire existentielle du point de vue du corps et de ses émois. Dans "La vie sexuelle de Catherine M.", l’auteur nous présente une première version de son rapport au corps. On pourrait dire de ce premier corps qu’il est un corps à l’aise avec le monde pornographique. C’est un corps qui n’a pas d’être et qui est pure expérience de jouissance. C’est le corps de la sexualité sans l’amour. Elle évoque ainsi que dans les soirées libertines où elle se rendait alors, elle se tenait à l’écart tant qu’elle était habillée. "Je ne me sentais à l’aise que lorsque j’avais quitté ma robe ou mon pantalon. Mon habit véritable, c’était ma véritable nudité, qui me protégeait." Dans son univers fantasmagorique mais bien ancré dans le réel, la chair est à la fois réceptive et réceptacle. Son corps est comme détaché d’elle et c’est lorsqu’il est nu qu’elle peut s’en servir à loisir. Mais ce premier corps désuni de l’âme n’est pas-tout du corps féminin de Catherine. Dans "Jour de souffrance", c’est un autre corps féminin qui entre en scène. Ce n’est plus le corps disjoint de l’être, mais le corps de l’amour habillé par le regard et les paroles de son partenaire. Ce corps-là est un corps sur lequel Catherine n’a aucune maîtrise. Ce n’est pas un étant à disposition. Elle ne l’a pas sous la main. Il lui échappe lorsque Jacques Henric s’en détourne. Avec ce récit, Catherine Millet témoigne du mystère que devient pour elle son propre corps dès lors qu’il est uni à son âme d’amoureuse. Elle qui croyait que sa vie sexuelle lui donnait un statut d’exception parmi toutes les femmes, car seule elle était capable de faire ce qu’aucune autre ne faisait, voilà qu’elle se découvre unie à un corps qui ne lui obéit plus. Un corps qui n’est plus tout à elle, un corps affecté par les paroles et le regard d’un homme. Ce corps lui revient alors comme celui qui recèle le secret de son être et qui pourtant lui est dérobé. Les femmes sont engagées dans la guerre au même titre que les hommes. Le mythe des amazones, sur le front de la guerre des sexes, a traversé l’histoire. Le nez de Cléopâtre ébranlant l’empire de Rome a inspiré des générations. Jeanne d’Arc, faiseuse de roi en armure et pucelle sacrificielle en robe de bure sur le bûcher, hante toujours les esprits nationalistes. Au même titre ne veut pas dire sur le même plan, ou à égalité, mais les femmes peuvent mettre leur corps dans la bataille, comme soldats, comme résistantes, terroristes au nom d’un idéal ou d’un signifiant-maître qui, prenant à l’occasion valeur de jouissance, mène tout droit au sacrifice, parfois même à la mort. Elle ne fait pas l'économie de son corps lorsqu'elle sait le combat juste et digne d'héroïsme et de renoncement. Seul un acte les concerne et les touche plus spécifiquement, c’est la violence sexuelle: viols, prostitution forcée, esclavage sexuel. Après la Seconde Guerre mondiale, la quatrième Convention de Genève de 1949 qui concerne les civils, protège, dans son article 27, les femmes contre toute atteinte à leur honneur et notamment contre le viol, la contrainte à la prostitution et tout attentat à leur pudeur. Mais il faudra attendre le conflit en ex-Yougoslavie, en 1992, pour que le Conseil de Sécurité des Nations Unies déclare que la détention et le viol massif, organisé et systématique, des femmes, constitue un crime international. Malgré toutes les lois établies pour sanctionner ce phénomène, ces crimes font florès aux quatre coins du globe et continuent d’être impunis. On parle aujourd’hui du viol comme "arme de guerre", utilisé à des fins militaires ou politiques: terroriser une population, briser les familles, bouleverser la composition ethnique de la génération suivante, transmettre des maladies, rendre les femmes stériles. Le corps des femmes devient le lieu de la guerre. Et la violence sexuelle ? Ne peut-on pas la classer sous l’ordre de l’instinct ? La guerre implique les corps. L’uniforme, côté imaginaire, ou l’idéal, côté symbolique, le magnifie, le célèbre, l’exalte. Mais aux portes du symbolique, aux limites du discours, un réel se produit et l’explose, le fragmente en pièces détachées, le réduit à sa livre de chair: chair à canon, chair à sexe. La souffrance se fait corps, le corps se fait souffrance parfois même au-delà des frontières de la violence et de la barbarie. Les femmes engagent aussi leur corps sous la bannière d’un signifiant-maître, mais elles voient le plus souvent leur corps devenir lieu d’un siège ou butin de guerre. Il est utilisé pour reconfigurer les lignées générationnelles, ou servir d’objet anonyme à une jouissance qui ne l’est pas moins. Des exemples contemporains. Des femmes parties s’engager comme combattantes auprès des djihadistes de Syrie se retrouvent affectées à leur satisfaction sexuelle, les jeunes filles enlevées par Boko Haram sont réduites à l’esclavage. Au contraire, la femme peut se faire virile de son plein gré. La différence des sexes ne passe plus par ce qui prévalait jusque-là. Ces femmes font tout ce qu’on attendrait d’un homme. Le corps n’est pas une évidence. Nous l'aimons car les affects, les passions, la jouissance, en particulier sexuelle, s’y logent, mais aussi parce que, image unifiée, il offre cette autre jouissance, celle du visuel, de la beauté. Notre époque se caractérise d’être prise dans la volonté de saisir le réel. La symbolique du corps s’amenuise au profit de la communication indispensable à des plaisirs utilitaires. Tout se passe comme si le langage ne parvenait plus à attraper le corps qu’a minima, car les mots manquent pour le dire, le décrire, le saisir, l’animer, le réduisant donc à l’événement, à la pulsion. Ce corps est traité, non comme cette consistance que l’on possède, mais comme l’objet que l’on voudrait rejoindre, pour paraître. Exit l’imaginaire du corps, nous sommes désormais sur la corde. Ressaisissons le corps comme grandeur à laquelle l’artiste donne forme dans l'art charnel, afin que l’on retrouve un regard, au-delà de la vision, pour voir, non pas un quelconque, mais quelqu’un. Bibliographie et références: - Roger Perron, "Fantasme du corps féminin" - Jacques Rivière, "La féminité en tant que mascarade" - Jacques Lacan, "Le séminaire", livre XVII de la psychanalyse" - Jacques-Alain Miller, "Le corpus féminin" - Jean-Claude Maleval, "Aimer la femme" - Jacques-Alain Miller, "L’inconscient et le corps parlant" - Sigmund Freud, "Théorie du désir" - Barbara Cassin, "Rhétorique de l'orgasme" - Maud Mannoni, "Connaître son corps" - Louis Guirous, "Le héros est une femme" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 14/03/21
1836 : l’ordonnance PELET du 23 juin organise l’enseignement primaire pour les filles, sans le rendre pour autant obligatoire 1850 : la loi FALLOUX impose l'ouverture d'une école pour filles dans toutes les communes de plus de 800 habitants. Mais, parce qu'elle pose le principe de la liberté d'enseignement, leur éducation est principalement prise en charge par les congrégations et n'est pas la même que celle des garçons 1861 : Julie-Victoire DAUBIE est la première jeune fille reçue au baccalauréat 1882 : la loi FERRY pose le principe d’une instruction laïque, gratuite et obligatoire pour les filles comme pour les garçons dans le primaire. L'objectif est d'abord politique : réduire l'influence de l'église et de l'enseignement congrégationniste pour les fille. Comme le rappellera Jules Ferry dans son discours à la Chambre : "Il faut choisir, Citoyens, il faut que la femme appartienne à la Science, ou qu’elle appartienne à l’Église" Les études secondaires restent cependant payantes et les programmes du secondaire demeurent différents pour les garçons et les filles. 1900 : à la suite de son combat acharné, Jeanne CHAUVIN est admise à prêter serment comme avocate. Un premier refus lui avait été opposé en 1897, au motif que «la loi n'autorisait pas les femmes à exercer la profession d'avocat, exercice viril par excellence ». Ce sont Poincaré et Viviani qui porteront la loi du 1er décembre autorisant les femmes à accéder au barreau. Une loi qui m'est particulièrement chère :smile: 1907 : les femmes mariées peuvent disposer librement de leur salaire 1924 : la loi impose des programmes scolaires identiques pour les filles et les garçons dans le secondaire 1938 : les femmes peuvent s’inscrire à l’université sans l’autorisation de leur mari. 1944 : les femmes obtiennent le droit de vote et d’éligibilité par ordonnance du Général de Gaulle 1946 : le principe d’égalité entre les femmes et les hommes dans tous les domaines est inscrit dans le préambule de la Constitution. Mais ce n’est qu’en 1982 que le Conseil Constitutionnel lui accordera sa pleine valeur constitutionnelle, en prévoyant la censure de toute disposition législative ou réglementaire qui y porterait atteinte 1947 : Germaine POINSO-CHAPUIS, avocate au barreau de Marseille, résistante, députée MRP, proche de Schumann et de Defferre, est la première femme nommée Ministre (de la Santé Publique et de la Population). A l'époque les quotas n'avaient pas cours, et c'est sur la base de son seul engagement et de ce qu'elle était qu'elle avait été nommée à ce poste. C'est elle qui fera adopter les premières grandes lois sur la santé et la protection des mineurs. 1966 : les femmes peuvent gérer librement leurs biens propres et exercer une activité professionnelle sans le consentement de leur mari 1967 : la loi NEUWIRTH autorise la contraception 1970 : la loi supprime la notion de « chef de famille» du Code Civil 1972 : l’Ecole Polytechnique devient mixte. Anne CHOPINET, qui fut l’une des 7 femmes à intégrer l’X cette année là, sortit major au classement d’entrée. Elle intégra ensuite le corps des Mines, poursuivit sa carrière dans différents cabinets ministériels avant de rejoindre la Présidence de la République sous Chirac. Elle fut aussi la première femme Présidente d’ERAP, l’un des ancêtres d’ELF, avant le désengagement de l’Etat. La même année, la loi consacre le principe de l’égalité de rémunération entre les hommes et les femmes pour les travaux de valeur égale. De nombreux autres textes viendront renforcer ce principe. 1975 : la loi impose la mixité dans tous les établissements publics d’enseignement 1975 : la loi VEIL autorise l’interruption volontaire de grossesse (IVG) 1975 : la loi rétablit le divorce par consentement mutuel. Il avait été institué par la Révolution en 1792, la France étant le premier État à le mettre en place, mais il fut supprimé lors de la Restauration 1976 : Valérie ANDRE est la première femme promue médecin général dans l'armée française (rang et prérogatives de général de brigade). Elle terminera sa carrière avec le rang de général de division. 1980 : la loi définit le crime de viol comme "tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte ou surprise ». Il est passible de la Cour d'Assise et de 15 ans de réclusion criminelle. La loi SCHIAPPA du 3 août 2018 rajoutera à cette définition la notion de "menace". 1983 : une nouvelle loi renforce le principe de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes 1991 : Edith CRESSON est la première femme nommée Premier Ministre 1992 : la loi introduit dans le Code pénal le délit de harcèlement sexuel, défini comme "le fait de harceler autrui en usant d'ordres, de menaces ou de contraintes, dans le but d'obtenir des faveurs de nature sexuelle, par une personne abusant de l'autorité que lui confèrent ses fonctions". En 2012, le Conseil Constitutionnel saisi sur la base d'une QPC supprimera ce délit pour cause de "définition trop floue'. La loi le rétablira en définissant désormais le harcèlement sexuel comme "le fait d'imposer à une personne, de façon répétée, des propos ou comportements à connotation sexuelle qui soit portent atteinte à sa dignité en raison de leur caractère dégradant ou humiliant, soit créent à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante" et en précisant que "est assimilé au harcèlement sexuel le fait, même non répété, d'user de toute forme de pression grave dans le but réel ou apparent d'obtenir un acte de nature sexuelle, que celui-ci soit recherché au profit de l'auteur des faits ou au profit d'un tiers. » 1993 : la loi du 8 janvier affirme le principe de l’exercice conjoint de l’autorité parentale à l’égard de tous les enfants, quelle que soit la situation des parents (mariés, concubins, divorcés, séparés) 1999 : Christine LAGARDE, qui sera plus tard Ministre des Finances puis Présidente du FMI et aujourd'hui de la BCE est la première femme nommée Présidente du Comité Exécutif mondial de Baker McKenzie, l'un des premiers cabinet d'avocats d'affaires internationaux. 2000 : l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et aux fonctions électives est garanti par la loi 2006 : la loi du 4 avril introduit la notion (une autre à laquelle je suis particulièrement attachée :smile: bien que le problème ne se soit jamais posé pour moi) de "respect mutuel" au sein du couple 2008 : l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu’aux responsabilités professionnelles et sociales est intégré à l'article 1er de la constitution. 2009 : 109 ans après que Jeanne CHAUVIN ait prêté serment, les femmes représentent 50,5% de la profession. Nous sommes 56,4% aujourd'hui 2011 : la loi Copé Zimmermann instituant "une représentation équilibrée des femmes et des hommes » dans les conseils d'administration des moyennes et grandes entreprises prévoit des que la proportion des administrateurs de chaque sexe ne peut être inférieure à 40 % dans ces sociétés. 10 ans après, la proportion des femmes représente 44% des membre des conseils d'administration des entreprises du CAC40. Encore un effort, camarades :smile: 2017 : la loi fait du sexisme une circonstance aggravante pour les crimes et délit. 2018 : la loi rend obligatoire pour toutes les entreprises de plus de 50 salariés la mise en place d'un "index de l'égalité femmes-hommes". S'il reste du chemin à parcourir, les chiffres sont néanmoins en progression d'une année sur l'autre (entre 83 et 87 selon la taille des entreprises). _______________ La condition première pour une femme pour exercer pleinement ses droits c’est l’éducation. C’est ainsi que tout a commencé. Penser par nous-mêmes pour pouvoir être nous-mêmes. Malheureusement, ce droit fondamental n’existe pas partout. Et même chez nous, quand on voit ce qui se passe en certains endroits on peut légitimement être inquiet(e)s. _______________ En Europe, et en France, l’arsenal juridique lié aux droits des femmes est largement en place. Même si les choses sont évidemment toujours perfectibles. Dans les entreprises, au moins celles que je côtoie, l'évolution est notable. Et, à titre perso, non seulement cela fait longtemps que les femmes sont devenues majoritaires dans la profession que j'exerce, mais, même si au départ certains ont fait la gueule, je n'ai plus depuis longtemps de problèmes avec mes collaborateurs de "l'autre" sexe. Il demeure la sphère intime. Longtemps, j'ai mal vécu mes aspirations contradictoires. Ma manière de me percevoir en tant que femme et mon attirance pour la soumission. Comment pouvais-je concilier les deux ? Etre une femme libre et accepter d'être dominée par un homme ? Aujourd'hui, je ne me pose plus la question. Je suis les deux à la fois. C'est ainsi que je me vois, que je me veux et que lui, mon mec/Maître me voit et me veux. Et j'aime cette façon de me vivre, de nous vivre. _________________ Les articles 212 et 213 du Code Civil de 1804 stipulaient respectivement que "les époux se doivent mutuellement fidélité, secours, assistance" et que "le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari". Les mêmes articles, aujourd'hui, mentionnent qu'ils se doivent " mutuellement respect, fidélité, secours, assistance" et "qu'ils assurent ensemble la direction morale et matérielle de la famille". Ni mon Maître ni moi ne transigerons jamais sur le respect de l'autre. Quant à l'obéissance, quand bien même elle n'est plus dans la loi, elle n'est pas, parfois, pour me déplaire. Mais seulement en certaines circonstances. Et parce qu'il s'agit de mon choix, librement consenti :smile:
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Par : le 14/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 25 : Les envahisseurs. Extraits »… Effectivement l’homme plutôt Barraqué se défend comme un diable et ils ont toutes les peines du monde à l’entraver et le bâillonner. Une fois que c’est fait, avec le pinceau de la lampe torche, ils s’aperçoivent qu’en fait il s’agit d’une femme très musclée et très dotée au niveau de la poitrine… Elles ont les mains attachées dans le dos et sont mises à quatre pattes sur le sol. Les garçons se déshabillent alors et baisent consciencieusement les deux filles. Les coups fusent et les filles finissent par faire tout ce qu’on leur demande. Elle suce bien celle-là .celle-ci aussi elle a des nibards de folie. Une fois les garçons rassasiés, ils rattachent les filles à la croix et vont se coucher en montant la garde chacun leur tour. Yvan Olaf et Rodriguez sont décidés. Ils vont cambrioler la belle propriété isolée qui semble peu occupée. Ils se sont bien renseignés et le système d’alarme est vieillot et peut facilement être détourné. A deux heures du matin ils escaladent le mur d’enceinte et se dirigent vers la maison. Comme prévu le câble téléphonique est facile à couper. L’alarme ne pourra pas sortir de la maison. La sirène située en hauteur n’est qu’un jeu pour Yvan qui grimpe comme un singe et pulvérise de la mousse expansive pendant un long moment sur la sirène. Ensuite ils font le tour de la maison. Ils trouvent une fenêtre mal fermée. Ils entrouvrent la fenêtre et Olaf qui est le plus fluet se glisse à l’intérieur de la maison silencieusement. Il visite la maison dans le noir avec juste un rai de lumière rouge qui sort d’une mini torche. Il arrive dans le salon et est étonné de voir une grande cage avec deux jeunes femmes nues entrelacées à l’intérieur. La cage dispose d’un cadenas. Il continue sa visite et finalement découvre deux chambres occupées chacune par une personne. Il sent qu’il y a du pognon à tirer de là et retourne faire un compte rendu aux deux complices. Ils décident de capturer les deux occupants libres et de leurs faire cracher la thune. Silencieusement ils se dirigent vers la première chambre. Heureusement elle n’est pas située trop proche de la deuxième et ils espèrent bien chopper la première personne sans réveiller la deuxième. Ils entrent dans la chambre. Deux d’entre eux se jettent sur le corps tandis que le troisième muni d’un rouleau d’adhésif se prépare à bâillonner. L’affaire est rondement menée. C’est une jeune femme qui totalement surprise n’a pas le temps de hurler ni même de se débattre. Elle gémit dans son bâillon mais entourée de ruban adhésif de déménageur elle ne peut pas bouger d’un pouce. Ils la balancent sur le lit et se rendent dans l’autre chambre. Ça doit être l’homme de la maison alors ils prennent beaucoup de précautions. Effectivement l’homme plutôt Barraqué se défend comme un diable et ils ont toutes les peines du monde à l’entraver et le bâillonner. Une fois que c’est fait avec le pinceau de la lampe torche ils s’aperçoivent qu’en fait il s’agit d’une femme très musclée et très dotée au niveau de la poitrine. Ils se séparent pour inspecter toute la maison à la recherche d’une personne supplémentaire qu’Olaf n’aurait pas repérée. Après dix minutes ils sont persuadés qu’il n’y a personne d’autre. Ils allument les lumières de la maison afin de faire le tour des trésors. Ils sont étonnés de trouver beaucoup d’accessoires bdsm. En plus de la cage ou sont recroquevillées les deux gamines il y a une grande croix de saint André et des photos suggestives de la grande femme nue. Ils sont tombés sur des lesbiennes SM. Afin de faire parler les deux habitantes de la maison ils les attachent de chaque côté de la croix de saint André dos à dos. Les filles sont nues et particulièrement appétissantes. Elles sont toujours bâillonnées. Rodriguez va voir les deux filles dans la cage et les menace de leur couper le cou. Les filles sont terrorisées. Il leur pose alors des questions sur la maison le nombre d’occupant si quelqu’un doit venir cette nuit ou demain à la maison et qu’est-ce qu’elles font dans cette cage. Les deux filles déballent tout sans réserve. Elles crèvent de trouille. Quand elles racontent qu’elles sont chacune esclave d’une de autres filles il commence à cogiter. Il laisse les pauvres filles dans la cage et va discuter avec les deux autres gars. Finalement on pourrait rester ici un peu et profiter de ces deux nanas dit l’un en montrant les deux femmes ligotées. Tu as raison on n’est pas pressé de partir ça me semble bien ici dit un autre. Bien excités par ce qu’ils voient ils finissent par s’intéresser de près aux corps offerts sur la croix. En quelques minutes Cloé et Morgane sont pelotées, trifouillées et descendues de leur croix. Elles ont les mains attachées dans le dos et sont mises à quatre pattes sur le sol. Les garçons se déshabillent alors et baisent consciencieusement les deux filles. Les coups fusent et les filles finissent par faire tout ce qu’on leur demande. Elle suce bien celle-là .celle-ci aussi elle a des nibards de folie. Une fois les garçons rassasiés ils rattachent les filles à la croix et vont se coucher en montant la garde chacun leur tour. Le lendemain matin ils se retrouvent dans le salon. Les deux gamines de la cage se serrent l’une contre l’autre terrorisées. Rodriguez leur propose alors de ne pas les tuer mais si elles font ce qu’on leur demande elles et les deux autres auront la vie sauve. Les filles hochent vigoureusement la tête. La cage est ouverte et Rodriguez demande aux filles d’aller préparer un petit dej. Elles se rendent dans la cuisine accompagnées par Yvan qui se méfie d’elles. Les filles ne cherchent pas à se couvrir ou s’habiller elles doivent avoir l’habitude d’évoluer nues. Elles se calment et apportent sur un plateau un copieux repas pour les garçons. Ceux-ci dévorent tout sous les yeux envieux des deux gamines. Yvan leur dit de le suivre dans la cuisine et de se préparer quelque chose pour elles. Ce qu’elles font avec grâce. Les deux autres filles fusillent les garçons du regard. Rodriguez se lève et leur assène quelques claques. Olaf lui montre le fouet de Cloé et lui dit qu’avec ça il se fera moins mal. Il s’adresse aux filles. Maintenant il va falloir répondre à mes questions vite et sans s entourloupes sinon c’est le fouet et je suis en plein forme je ne risque pas de me fatiguer. Il arrache le ruban adhésif de la bouche des filles et commencent à les questionner. Yvan revient de la cuisine et montre Cloé. C‘est elle la proprio dit-il. Rodriguez se concentre sur elle pour la questionner. Deux heures plus tard Cloé est épuisée elle a tout lâché. Les garçons sont satisfaits. Ils enferment la grande dans la cage où elle tient tout juste et appellent Anna et Vanessa pour qu’elles soignent Cloé. Elles l’emmènent dans la salle de bain accompagnées par Yvan. Rodriguez et Olaf s’assoient sur le canapé et se disent qu’ils sont tombés sur la poule aux œufs d’or. Deux putes pour se vider le poireau et deux gamines pour la cuisine et le ménage et éventuellement une gâterie. C’est décidé ils vont rester ici quelque jours. Anna et Vanessa sont rassurées les garçons n’ont pas l’air de vouloir leur faire du mal surtout si elles font tout ce qu’ils demandent. Elles restent nues car les garçons leur ont donné l’ordre de restée nues. Il y a longtemps que ça ne les gêne plus. Morgane et Cloé son moins bien traitées. Elles sont attachées en permanence. Cet après-midi-là elles ont fait la liste de course pour qu’un garçon aille au ravitaillement. Ils détiennent la CB de Cloé et en usent juste ce qu’il faut pour ne pas être dans le rouge et éveiller des soupçons. En revenant des courses Olaf dit qu’il a rencontré des copains et qu’il les a invités pour la soirée. Rodriguez et Yvan sont ennuyés mais c’est une bonne occasion de frimer avec leurs deux putes. Ils préparent leur soirée. Morgane et Cloé sont pomponnées par les deux gamines et elles sont attachées dos à dos sur la croix de saint André. Les invités arrivent ils sont cinq. Ils font des commentaires élogieux sur la propriété mais dès qu’ils voient Morgane et Cloé la conversation dérape. C’est cadeau pour tout à l’heure dit Rodriguez. D’abord on prend l’apéro on mange et après le diner elles sont à vous. Il appelle Anna et Vanessa qui sont cachées dans la cuisine. Celles-là vous ne touchez pas dit Yvan c’est privé. Le repas est joyeux et graveleux. Vanessa et Anna servent le mieux possible et n’évitent pas des mains aux fesses mais ça ne va pas beaucoup plus loin. Après le repas Morgane et Cloé sont décrochées de la croix. Elles ne sont pas rattachées mais elles sont trop prises en main pour songer à faire quelque chose. Elles ne comptent plus les bites qui les remplissent en permanence. Après quelques baffes elles sucent sans réfléchir et font au mieux. Elles passent de mains en mains. Les cinq acolytes se déchainent en riant. Pendant ce temps Anna et Vanessa sont hélées par le trio de nouveaux propriétaires. Elles sont pelotées et doivent sucer et se faire monter mais sans coups et plutôt tendrement. Elles finissent par y prendre gout et font de leur mieux pour satisfaire les trois garçons. Le gang band dure une bonne partie de la nuit. Enfin Rodriguez dit qu’il est temps de terminer car il n’a pas envie de tuer les deux putes. Celles-ci son prostrées au sol et ne réagissent plus. Les cinq invités finissent par partir en promettant de revenir. Anna et Vanessa doivent s’occuper des deux autres filles elles les mettent sous la douche et les lavent consciencieusement. Enfin les garçons portent Cloé et Morgane sur le lit à baldaquin et leur mettent juste une menotte à un poignet et à un montant du baldaquin. Tout le monde va se coucher. Les garçons tirent au sort et Anna et Vanessa partent chacune avec un compère. Le lendemain les Cloé et Morgane ont mal dans tout le corps. Elles restent au lit et sont juste nourries et soignées par les deux gamines. Le surlendemain Rodriguez passe les voir et leur dit que si elles sont particulièrement obéissantes et ne tentent pas de s’enfuir il n’invitera plus de copains pour des partouzes. Brisées les deux filles acceptent. Peu à peu Cloé et Morgane reprenne des forces et vont mieux. Elles font tout pour plaire au trio. Anna et Vanessa sont déchargées peu à peu des taches. Une semaine plus tard elles n’ont plus de travail tout est fait par Cloé et Morgane. Anna et Vanessa n’ont qu’une chose à faire c’est s’occuper sexuellement des garçons. Ce qu’elles font de mieux en mieux car elles commencent à les connaitre.
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Par : le 11/03/21
Je me souviendrais longtemps de ce 16 février où Maîtresse m’a annoncé : «je suis officiellement Ta Maîtresse. Rnby tu es à moi». Je deviens son soumis, son maso, sa propriété. Je l'ai tellement désiré que j'en deviens fébrile, la peur m'envahit. Peut-être ai-je pris conscience de la tâche qui m'attend. Respect et obéissance ne devraient être qu'une formalité pour moi qui la vénère, et bien non, je fais des bêtises ! Elle a beaucoup joui de moi, sa petite salope. Je ne devrais pas le dire car mes sentiments passent au second plan, mais j'ai aussi beaucoup joui de cette intense domination aux pieds de Ma Maîtresse et de toutes ses pénétrations lors de cette fameuse première nuit. Je reviens à ma niche empli de joie. Bien sûr Maîtresse est la seule à posséder la clé de ma cage me privant ainsi de cette jouissance masculine mais je sais que ma chatte m'apportera bien plus de plaisir. J'avoue ma naïveté car Maîtresse n'est pas du genre à laisser son soumis dans son égoïste petit confort. Je reçois très vite, comme une claque, le nouveau défi de Maîtresse : "Je garde la clé et tu gardes chaste ta petite chatte. Tu mets un plug que tu n'enlèveras que pour faire tes besoins"   Aïe aïe aïe abstinence absolue, je palis. Plus aucune jouissance sans la moindre idée de la durée. Je devine bien ses sourires tant pour ce défi que pour la petite surprise qu'Elle me fait. Pas le choix, Ma Maîtresse a tous les droits. Les jours suivants ont été difficiles. L'impression désagréable d'être en manque permanent dès le 1er jour. J'ai vite caché tous les godes qui me faisaient jouir de plus en plus souvent. Éviter à tout prix toute tentation. J'ai bien tenté une esquive dès le lendemain mais tellement maladroite que mes fesses ont pris chères. Maîtresse n’a pas goûté à mon humour quand je lui ai dis que mes godes protestaient. "Qu'ils osent! " M'a t'elle répondu... Première erreur, j’ai fait parler mes godes pour obtenir sa clémence. «On veut notre jouet». Oh la la ! Que n' ai-je pas dit là... Je suis le jouet de Maîtresse et de personne ni rien d'autre. Deuxième erreur... Et en plus, je ne me rends pas compte de suite que l' orage s'est levé sur moi et je continue à faire parler mes godes : «Allez, au moins une fois par semaine Maîtresse». Quand enfin je prends conscience de mon erreur, sa foudre s'abat sur moi. Elle me fera payer cash ce manque de respect par une mémorable fessée au paddle et une humiliation publique, promené en laisse , la tête et les oreilles basses comme le petit toutou que je suis devenu. Ne plus pouvoir jouir et s’asseoir, je pense que Maîtresse doit beaucoup en rire encore maintenant ! Oui, le début a été dur. Mais la situation se normalise. Je bascule toute mon énergie sexuelle vers le plaisir absolu à satisfaire Ma Maîtresse. J'ai de plus en plus besoin de sa présence, de sa mansuétude. J'ai seulement l'envie de tout lui donner pour sa seule jouissance. Et si cela était Sa réussite de ma soumission ? Sa domination se met en place inexorablement lors de nos rencontres mais aussi à distance lorsque je suis à ma niche. Tous les canaux sont bons pour m'éduquer, me mettre à ses pieds, me surprendre... Aujourd’hui dimanche, ce seront les SMS de Maîtresse qui me donneront la leçon : Apprendre à répondre correctement à ses textos. -Tu es seul ma salope ? -Oui Maîtresse, je fais du repassage. -Repasse en regardant du porno de domination féminine bien hard pendant une heure. Je m'affaire avant de répondre correctement le « bien maîtresse» attendu et il est bien trop tardif à son goût. Elle me rajoute du temps... Je lui écris mon contentement à lui obéir mais : « Tu parles trop ! Mets-toi un bâillon». Je vais terminer mon repassage et mon ménage en bavant partout. J'ai fini par recevoir 30 minutes de plus de porno. Vous me direz rien de bien méchant, au contraire... Sauf que, quand vous êtes chaste de tous plaisirs et en cage , elle vous semble bien vite étroite. Je souffre tendu derrière ces barreaux. 11H15, Maîtresse me libère de ses contraintes mais Elle n’en finit pas pour autant avec moi ; un SMS suit dans la foulée. -J’aime quand tu manges dans ta gamelle. Manger dans ma gamelle aux pieds de Maîtresse est la place qui m’est dorénavant dévolue. Je prépare un petit repas adapté que je mange difficilement en lui adressant quelques photos pour lui faire plaisir. Maîtresse me laisse sur une promesse urticante. -Surveille l’arrivée des orties. Grâce au réchauffement climatique, ils arriveront sans doute plus tôt pour satisfaire ma Maîtresse. J’imagine déjà ses grands sourires quand viendra ce petit supplice
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Par : le 11/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 24 : Le DEAL. Extrait. » …Elles contemplent une bodybuildeuse magnifique avec une paire de seins incroyablement haut perchés qui les regarde avec appréhension. C’est Morgane. Souris Morgane ! Un pale sourire sort de Morgane. Cloé prend son fouet et Morgane sourit plus. Cloé s’approche d’elle et la pelote .vous pouvez toucher les filles c’est du ferme. Martin et Magalie félicitent Cloé pour son trophée magnifique…. Elles ne sont pas rattachées mais elles sont trop prises en main pour songer à faire quelque chose. Elles ne comptent plus les bites qui les remplissent en permanence. Après quelques baffes elles sucent sans réfléchir et font au mieux. Elles passent de mains en mains. Les cinq acolytes se déchainent en riant. …» Cloé est contente de son trophée. Elle a hâte de la montrer à Magalie et Martine. Elle les invite un jour pour venir prendre un verre et voir sa dernière surprise. Magalie et Martine sont étonnées de cet appel car ça fait plusieurs mois qu’elles n’ont plus entendus parle de Cloé. Vanessa a dit à Anna qu’elle n’avait plus de nouvelles de Cloé et avait trop peur de lui rendre visite. Néanmoins intriguées par les paroles de Cloé Martine et Magalie décident d’aller voir Cloé. Celle-ci les reçoit dans sa propriété. La surprise est dans le salon. Une croix de saint André est fixée au milieu du salon et elle est occupée par une personne. Elles la voient de dos car le devant de la croix est orienté vers le canapé ou Cloé s’assit habituellement. Cloé leur présente son trophée de chasse. Elles pensent qu’il s’agit de Sophie car la forme est très musclée mais lorsqu’elles passent devant et voient la femme en face elles contemplent une bodybuildeuse magnifique avec une paire de sein incroyablement haut perchés qui les regarde avec appréhension. C’est Morgane. Souris Morgane ! Un pale sourire sort de Morgane. Cloé prend son fouet et Morgane sourit plus. Cloé s’approche d’elle et la pelote .vous pouvez toucher les filles c’est du ferme. Martine et Magalie félicitent Cloé pour son trophée magnifique. Cloé jubile. Le plus beau dit-elle c’est qu’elle est là complétement contre son gré. Je l’ai kidnappée et je me la garde. Martine et Magalie se demandent si c’est du lard ou du cochon n’est-ce pas que tu es bien ma prisonnière contre ton gré et que tu voudrais bien me tuer. Les yeux de Morgane lancent des éclairs et elle hoche la tête. Les filles se demandent quelle réaction avoir . Cloé ne leur laisse pas le temps de tergiverser et les emmène vers les murs du salon ou sont accrochées des photos noir et blanc magnifique montrant Morgane dans des positions extrêmement suggestives et les deux filles sont allumées par ce qu’elles voient. Ensuite Cloé libère Morgane de la croix et ne lui laisse que les menottes dans le dos. Elle met une musique langoureuse et Morgane se place au milieu de la pièce et commence à faire une danse extrêmement sensuelle. Elle a bien progressé depuis le départ. Les filles sont sous le charme mais se demandent toujours si Morgane est vraiment retenue contre son gré. Elle a l’air de kiffer son rôle et rien n’indique qu’elle n’aurait pas pu essayer de s’enfuir depuis le temps. Enfin après la musique Morgane montre ses prouesses sexuelles aux filles en venant loger sa tête dans l’entrejambe de Cloé. Cette dernière leur propose d’en profiter ce qu’elles acceptent avec joie. Magalie et Martine sont émoustillées et pelotent avec vigueur les énormes seins de Morgane qui semblent faits pour ça. Les tétons turgescents deviennent rouge vif et Morgane gémit sous les caresses. Elle a toujours la bouche qui lèche avidement le sexe de Cloé qui halète de plus en plus vite. Magalie s’excite et fouille le sexe de morgane avec les doigts. Celle-ci mouille abondamment et se tortille de plus belle sous les caresses expertes. Magalie s’enhardit et plonge sa tête dans ce sexe qui l’attire comme un pot de miel. Morgane râle de plaisir. Martine est aussi au comble de l’excitation. Cloé lui prend les cheveux et la guide à son tour vers son entrejambes. Martine remplace morgane et goute goulument au fruit que Cloé lui présente. Une fraction de seconde Cloé s’imagine avec Martine et Magalie comme soumises. Ça lui déclenche un orgasme de folie. Morgane qui a la bouche libre profite que Martine est à quatre pattes la tête dans le sexe de Cloé pour lui embrasser le sexe et le cul. Martine est au paroxysme de la jouissance. Par la suite aucune n’est capable de se souvenir de toutes les positions qu’elles ont testées. Mais ça restera un grand moment dans leur mémoire. Enfin morgane reprend sa place de soumise aux pieds de Cloé et les trois filles prennent un verre. Martine et Magalie félicitent une nouvelle fois Cloé pour sa recrue. Puis elles repartent toujours un peu circonspectes mais très excitées par ce qu’elles ont vu et fait. Une fois les filles parties Cloé se rapproche de Morgane. Tu as été superbe. Morgane jette un œil noir mais accepte quand même le compliment. Cloé lui dit. Maintenant on pourrait faire un deal. Il y a deux petites poulettes blondes que je voudrais comme animaux de compagnie. Mais gérer trois esclaves me parait difficile. Alors je te propose de t’associer avec moi. On aura chacune en charge notre petite chienne. Morgane n’avait pas pensé à ça. Elle s’imagine avec une femme tenue à la laisse réalisant tous ses caprices. Ça la trouble. Elle regarde intensément Cloé. Où est le piège. Cloé lui dit tu pourras profiter de la propriété tu vois que je ne manque pas de moyens et on pourrait finir par domestiquer des hommes. Là Cloé a bien frappé. C’est un fantasme de Morgane elle se voit avec des esclaves males membrés comme il faut et répondant à tous ses désire. Elle hoche la tête. Cloé sait qu’elle joue gros mais elle pense à Anna et Vanessa et voudrait bien les avoir à sa botte. Elle détache Morgane pour la première fois depuis des mois. Morgane se rue sur elle et la gifle violement. Elle dit je suis ok mais d’abord il faut que je me venge. Elle fout un raclée à Cloé qui ne peut rien contre le déchainement de violence. Puis alors que Cloé est prostrée par terre Morgane la saisi par les cheveux et lui met la tête dans l’entrejambes. Cloé fait acte de soumission et lèche immédiatement Morgane. Celle-ci se calme petit à petit et une heure plus tard les deux filles réconciliées se couchent dans le même lit. Quelques temps plus tard Anna et Vanessa reçoivent une invitation de Cloé. Elles sont perplexes. Martine et Magalie les ont prévenues que Cloé avait une nouvelle victime et elles ne savaient pas si c’était consenti ou pas. Anna et Vanessa sont curieuses. Finalement elles se disent qu’elles pourraient y aller car à deux elles pourront contrôler Cloé si celle-ci dérape. Et puis Cloé s’était très bien tenue lors de la visite cher Martine. Elles débarquent donc chez Cloé en réponse à l’invitation. Cloé les accueille avec une grande joie. Elle leur présente son amie Morgane. Une grande femme très musclée avec une poitrine hors norme qui rappelle quelque chose aux filles. On se connait dit Anna à Morgane. Celle-ci sourit et dit qu’elles se sont souvent croisées au gymnase. Anna et Vanessa remettent enfin Morgane. Elle a beaucoup changé. De garçon manqué elle est passée à amazone guerrière. Les quatre filles parlent de la pluie et du beau temps. Cloé semble très assagie. Anna et Vanessa se disent que la première impression de Martine et Magalie n’était pas la bonne car Morgane est libre et semble heureuse de son sort. Il doit y avoir une liaison entre elle et Cloé. Elles déjeunent ensemble et font une promenade dans la propriété l’après-midi. Sans s’en apercevoir Anna est accaparée par Morgane qui veut lui montrer de photos dans le salon et Vanessa par Cloé qui lui parle des bons moments qu’elle ont passé ensemble et de la merveilleuse journée chez Martine. Les deux jeunes filles sont un peu méfiantes d’être ainsi séparées mais le ton de leurs hôtes est si enjoué qu’elles ne font plus attention. Cloé qui avait récupéré les bijoux de corps de Vanessa lui demande si elle s’en est acheté. Vanessa répond par la négative ça coute cher et elle n’a pas eu l’occasion d’en mettre. Cloé lui propose de lui donner à condition qu’elle les mette devant elle pour jouir une dernière fois du spectacle. Vanessa est touchée de tant de générosité et lorsque Cloé lui montre un beau coffret contenant les bijoux elle décide de les mettre en souvenir des bon moments surtout chez Martine quand elle a cloué le bec à Anna. Elle n‘a rien vu venir mais quelque minutes plus tard elle et ligotée et bâillonnée comme un saucisson devant une Cloé hilare. Je te retrouve enfin ma petite chienne dit celle-ci. Cloé sort de la pièce et laisse Vanessa seule Vanessa se traite de cloche et espère que Anna pourra faire quelque chose pour la sortir de là. Quelques minutes plus tard Cloé revient la chercher avec Morgane qui soulève Vanessa comme si c’était une plume. Elles se rendent dans le salon ou Anna est enfermée dans la cage. Nue. Vanessa est à son tour mise dans la cage. Cette dernière déjà petite pour y mettre une personne oblige Anna et Vanessa à s’enchevêtrer pour pouvoir tenir. Elles ne sont plus bâillonnées. Vous nous libérez quand demande Anna. Quand on décidera répond Cloé. Morgane et Cloé tournent autour de la cage. Elles semblent regarder une marchandise. Laquelle te plait demande Cloé. Morgane dit : Elles sont top toute les deux. Peut-être celle-là et elle montre Vanessa. Ça tombe bien dit Cloé j’ai déjà bien profité d’elle. Bon c’est d’accord Vanessa est pour toi et Anna pour moi. Anna et Vanessa se demandent de quoi il s’agit mais au fond d’elles-mêmes elles savent qu’elles étaient venues pour ça. En fait elles attendent du sexe en position de soumises. Ce soir-là elles sont sorties de la cage. Elles ont les mains menottées dans le dos. Sur l’ordre de Cloé qui a mis une musique langoureuse elles dansent de la façon la plus équivoque possible. Morgane apprécie et sent le désir monter en elle quand elle voit les deux corps onduler et se frôler de façon suggestive. Elle est la première à attirer Vanessa entre ses jambes. La petite se met à genou et enfouit son visage contre le sexe de morgane. Elle embrasse consciencieusement et sa langue devenue experte fait grimper morgane dans l’extase. Elle tient fermement Vanessa par les cheveux et enfonce autant qu’elle peut le petit visage contre son sexe. Cloé fait un signe à Anna qui vient aussitôt prendre la même position que Vanessa. Cloé apprécie l’expertise d’Anna qui la chamboule immédiatement. Martine a été une bonne éducatrice pour elle et c’est Cloé qui récolte les fruits. Après une demi-heure de pur bonheur morgane et Cloé sont repues. Elles s’assoient confortablement dans le canapé et ordonnent aux deux soumises de continuer entre elles. Anna et Vanesse ne demandent pas mieux et se jettent carrément l’une sur l’autre. Elles se retrouvent rapidement en position de soixante-neuf et s’embrassent mutuellement avec langueur. Cloé et morgane sont sous le charme elles voient les deux corps parfaits s’enchevêtrer et se fondre en un seul orgasme continu. Morgane remercie silencieusement Cloé de lui avoir fait connaitre ça. C’est décidé elle est faite pour être dominatrice. Pour morgane les jours suivants sont l’occasion de tester ses capacités de dominantes sur les filles. Elle a un magnifique jouet qui réalise tous ses fantasmes sans hésiter et qui les vit avec bonheur. Elle n’a jamais autant joui et aimé une femme comme Vanessa. Quelques semaines plus tard Martine et Magalie inquiètes de ne plus revoir Anna et Vanessa demandent à Cloé si elle sait quelque chose. Cloé leur dit que les filles sont chez elle et les invite à venir leur rendre visite. En arrivant chez Cloé les filles sont accueillies par Cloé et Morgane. Celle-ci est habillée et visiblement libre. Finalement elle n’était pas kidnappée par Cloé. Elles entrent dans la maison et sont surprises d’apercevoir Anna et Vanessa nues sans aucun bondage et visiblement heureuses de leur sort. En partant le soir Martine et Magalie sont étonnées que leurs amies aient décidées de rester avec Cloé et Morgane mais elles ne veulent pas influer sur leurs décisions.
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Par : le 11/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 23 : CLOÉ rencontre les handballeuses. Extraits »… Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien…. Elle se rue sur la gamelle d’eau….C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée. Cloé met de la nourriture da sa gamelle… Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle… La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large. Elle tient tout juste à quatre pattes ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible. Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas. L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public…. » Cloé est un peu dépitée. Elle n’a plus de nouvelles de Sophie. Celle-ci ne répond plus au téléphone. Cloé qui a de la suite dans les idées décide de pister Sophie. Elle sait que Sophie s’entraine avec l’équipe de handball le soir au gymnase. Ce soir-là elle entre dans le gymnase et va s’assoir sur les gradins en attendant de voir les joueuses. Celles-ci arrivent mais pas de Sophie. Cloé décide d’attendre et la fin de l’entrainement approche quand morgane la cheffe des handballeuses aperçoit Cloé dans son coin. Elle jauge Cloé qui lui semble bien foutue. Celle-ci la toise du regard. Morgane se dit qu’elle lui ferait bien le coup des jeunettes. Elle doit être canon à poil. Elle décide d’aller la voir de près. Cloé voit cette géante s’approcher d’elle. Elle l’imagine à la place de Sophie. Morgane lui demande ce qu’elle fait là. Cloé lui dit qu’elle est une copine de Sophie et qu’elle la cherche. Morgane lui répond qu’elle ne sait pas où se trouve Sophie mais que si Cloé cherche une sportive elle peut lui en montrer. Cloé a un sourire carnassier. Oui elle cherche une costaude pour m’amuser avec elle. Morgane est tout à coup intéressée. Elle hésite à appeler les autres car elle n’est pas sure de garder la donzelle pour elle le soir. Elle lui propose de se retrouver après l’entrainement à la sortie du gymnase. Cloé accepte. A la fin de l’entrainement morgane est chaude elle se voit bien forcer cette pimbeche à lui obéir sexuellement. Cloé est tout sourire. Elle propose à morgane de la suivre pour aller prendre un verre chez elle. Morgane est ferrée. Elle suit la voiture de Cloé jusqu’à la propriété de cette dernière. Morgane est sidérée par le luxe de la propriété de Cloé. Celle-ci la prend par la main et lui fait faire le tour du propriétaire. Morgane est admirative et elles se retrouvent dans un salon ou Cloé leur sert deux verres d’un cocktail très relevé. Morgane est aux anges et va pour se jeter sur Cloé quand celle-ci lui dit. Attend on va aller au sous-sol tu vas voir ma salle de sport tu vas kiffer. Morgane hésite elle culbuterait bien la donzelle maintenant mais elle est quand même curieuse de voir la salle de sport. Morgane émet un sifflement admiratif devant les accessoires de la salle de sport. Cloé lui fait le tour du propriétaire. Elle propose à morgane de tester les différents agrès. Arrivées aux espaliers Cloé demande à morgane de se mettre dos aux espaliers et de se tenir par les mains le plus haut possible. Elle caresse le ventre de morgane en même temps. Celle-ci commence à être sérieusement excitée et fait ce que Cloé demande. Je peux te bander les yeux dit celle-ci en caressant les seins de morgane. Vas-y. Cloé lui met un bandeau tout en se frottant à Morgane. Un dernier truc et je m’occupe de toi dit Cloé. Morgane attend. Elle sent que Cloé monte sur un tabouret juste à côté d’elle. Morgane se dit je suis trop grande pour elle avec mes 1m85. À ce moment elle sent simultanément deux objets métalliques contre ses poignets. Avant qu’elle comprenne les menottes se sont refermées. Elle veut lâcher la barre de l’espalier et baisser ses bras. La chaine qui relie les menottes passe autour de la barre et elle ne peut pas baisser les bras. Détache moi connasse crie-t-elle. Cloé lui répond tu rigoles on va passer du bon temps nous deux. Morgane essaye à l’aveugle de donner un coup de pied vers Cloé. Son pied rencontre le vide. Elle recommence. Une menotte se referme sur sa cheville au moment où elle veut reculer le pied. Puis elle sent que sa jambe est tirée sur le côté. Elle résiste mais peu à peu Cloé gagne du terrain. Au bout de quelques minutes la jambe de morgane est tendue sur sa droite. Elle est en équilibre sur sa jambe gauche quand soudain une deuxième menotte se referme sur sa cheville droite. La jambe est tirée au maximum et maintenant le poids de morgane repose sur les menottes des poignets. C’est trop douloureux et elle se maintient à une barre d’espalier avec ses mains. Un collier est passé autour de son cou. Elle rue mais a peu d’espace pour ça. Le collier est tiré des deux côtés et finalement elle a le cou immobilisé. Elle sent deux mains s’affairer sur ses cheveux. Cloé lui fait une queue de cheval. La queue de cheval est tirée vers le haut et fixée à l’espalier. Morgane est complémentent immobilisée. Une pince à linge est fixée sur son nez. Elle doit respirer par la bouche. Cloé dit alors. Maintenant je vais te mettre un bâillon tu vas ouvrir grand la bouche ou tu ne respireras plus. Morgane hurle et ferme obstinément la bouche mais elle doit respirer et petit à petit le bâillon boule s’insère dans sa bouche. Au moment où elle va suffoquer elle ouvre grand la bouche pour aspirer de l’air. Le bâillon pénètre de force et est solidement attaché. Elle croit qu’elle va mourir asphyxiée mais la pince à linge est ôtée. Elle peut enfin reprendre péniblement son souffle. Cloé lui enlève le bandeau. Tu vois qu’on peut s’amuser toutes les deux ici. Morgane jette un regard venimeux. Voyons si c’est joli en dessous dit Cloé. Elle sort de la pièce et revient avec un cutter. Morgane panique. T’inquiète pas je ne vais pas gâcher la marchandise dit Cloé en souriant. Elle taillade les vêtements de morgane qui en quelques minutes est nue comme un ver. Bon début dit Cloé. Elle relâche un peu la tension des cordes qui immobilisent se jambes et morgane peut enfin se reposer sur ses jambes. Bon il est tard on se reverra demain. En attendant mon retour fait de beaux rêves. Elle quitte la pièce en éteignant l’éclairage. Morgane panique elle est immobilisée come une conne chez une folle et n’a pas l’intention de passer la nuit ici… La lumière s’allume. Cloé entre dans la pièce et lance un joyeux salut ma chérie bien dormi. Morgane enrage. Elle est lessivée et à une envie de pisser pas possible. Cloé voit qu’elle se tortille. Elle sort de la pièce et revient avec un petit pot et le place entre les jambes de morgane. Vas-y dit-elle si tu pisses par terre tu vas le regretter. Morgane qui n’en peut plus se laisse aller à sa plus grande honte. Bon dit Cloé maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu es ma chose. Tu feras tout ce que je voudrai. Je vais penser pour toi tu n’auras à t’occuper de rien. Morgane rue mais ça ne sert pas à grand-chose. Cloé sort de la pièce et revient avec du matériel. Morgane voit avec crainte que c’est du matériel bdsm. Au bout de quelques minutes elle est à quatre pattes. Trois barres d’écartement l’empêche de se relever de ruer ou de lever les bras. Elle peut juste marcher à quatre pattes avec très peu d’amplitude. Cloé a accroché une laisse au collier et lui dit. Maintenant la douche et le petit dej tu dois savoir faim. Morgane râle mais les coups de fouets ne sont pas retenus et les fesses violacées elle finit par accompagner Cloé comme un petit toutou. Elle entre à quatre pattes dans la douche italienne et Cloé la frictionne vigoureusement. Son sexe n’est pas épargné. Puis sans la sécher Cloé la conduit jusqu’à la cuisine. Là, une gamelle pour chien est posée dans un coin. Une gamelle d’eau est juste à côté. Je vais t’enlever le bâillon si tu ne parles et ne crie pas sinon c’est le fouet et pas de petit déj et bien sûr je remets le bâillon. Morgane ne dit rien mais lorsque Cloé lui ôte le bâillon elle se met à crier salope détache moi tout de suite. Les coups pleuvent sur tout le corps et le bâillon est replacé. Cloé attache la laisse à un radiateur et prend son petit dej en regardant distraitement Morgane. Tu es vraiment bien foutue dit-elle on va passer du bon temps ensemble. Ton corps est fait pour être enchainé tu feras une esclave superbe. Morgane l’ignore mais la faim et surtout la soif commencent à la tenailler. Cloé quitte la cuisine et laisse morgane seule à quelques centimètres de l’eau et de ce qui semble être des flocons d’avoine. Quelques minutes après Cloé passe la tête par la cuisine et dit. Je sors à plus tard ma chérie. Morgane est désespérée. Elle finit par s’endormir sur le carrelage. Finalement c‘est plus agréable que d’essayer de dormir contre l’espalier. Un bruit et c’est Cloé qui s’annonce. C’est moi ma chérie tu as bien réfléchit. Il va être midi. Si tu veux manger et boire il faut me promettre d’être sage. Morgane la regarde méprisante. Alors ? reprend Cloé. La soif est trop forte et morgane hoche la tête. Le bâillon est enlevé. Cloé lui dit en même temps tu ne parles que si je t’en donne l’ordre. Morgane opine. Elle se rue sur la gamelle d’eau. C’est difficile et dégradant de laper ainsi mais elle est trop assoiffée. Cloé met de la nourriture da sa gamelle. Ça se présente sous forme de bouchées. Morgane finit par manger et terminer la gamelle. Maintenant je veux te voir de près et bien exposée dit cloé Elle détache la laisse et emmène morgane derrière elle. Celle-ci doit s’évertuer pour suivre le rythme. Arrivées dans le salon Cloé fait coucher morgane sur le dos sur la table du salon. Morgane doit faire des contorsions dans tous les sens pour y arriver, motivée par les coups de fouets qui pleuvent. Elle est déjà bien marquée. Etape par étape Cloé lui attache les bras et les jambes aux pieds de la table. Elle attache aussi les genoux pour lui faire écarter les jambes. Enfin elle attache la queue de cheval et morgane a la tête immobilisée et ne peut que regarder le plafond. Cloé admire son œuvre. Tu es vraiment musclée. Tu as bien fait de me convaincre de t’inviter. En même temps elle fouille le sexe de morgane sans ménagement. Il faudra qu’on fasse une épilation définie dit-elle. Elle pince le bout des seins de morgane suffisamment fort pour que celle-ci geigne. Bon on va voir si tu es bonne dit Cloé. Elle lèche le sexe de morgane qui se contracte. Voyant ce refus Cloé va chercher un vibromasseur et le pose sur le clitoris de morgane. Celle-ci essaye de ne pas penser aux vibrations qui excitent son clitoris mais lorsque Cloé insère un gros gode et lui fait faire des va et vient morgane sent de la chaleur monter de ses reins contre toute attente. Son souffle devient plus fort et Cloé le remarque. Elle continue le travail et finalement morgane ne peut s’empêcher de succomber à un orgasme. Bien ma chérie tu me plais. Dit Cloé qui n’arrête pas pour autant de fouiller morgane. Celle-ci sent que ça repart. Puis après un temps infini pour morgane qui est en feu Cloé lui applique sur la bouche un bâillon qui possède un mini gode qui se met dans la bouche et un joli gode qui se dresse droit au-dessus du visage de morgane. Cloé scotche le vibro en fonctionnement sur la cuisse de morgane la tête du vibro bien positionnée sur le clitoris et vient chevaucher le gode sur la tête de morgane. Elle dit aujourd’hui tu n’as pas le droit de me brouter mais t’inquiètes pas tu te rattraperas. Après un bon moment Cloé se retire. Mais elle laisse le vibro agacer morgane qui sent qu’une nouvelle fois elle va partir. J’ai changé les piles ne t’inquiètes pas ça va tenir encore au moins une heure. A toute ma chérie et elle quitte le salon laissant Morgane le gode toujours érigé sur sa tête et le vibro en fonctionnement. Un peu plus tard Cloé revient. Bon tu es pas mal mais il faut que je te vois bien debout. Tu vas faire une belle statue dans l’entrée. Elle libère en partie morgane qui se retrouve bientôt les mains menottées dans le dos la laisse du collier accrochée à une rambarde d’escalier. Elle doit se tenir debout presque sur la pointe des pieds la tête face à l’entrée. Très bien lui dit Cloé tu feras sensation lorsque des invités viendront ici. Morgane est figée c’est quoi ce délire se demande-t-elle. Le repas du soir est plus tranquille. Morgane mange dans sa gamelle et Cloé n’a pas beaucoup d’occasions de manier le fouet. Il est l’heure de dormir dit Cloé. Elle met un deuxième collier à morgane. C’est un collier anti-aboiement très efficace et ne t’avises pas de parler ou crier car ça frite pas mal car il est programmé sur apprentissage dit Cloé. Elle emmène morgane toujours à quatre pattes dehors. Vers une grande niche à chien. Dans la niche il y a une couverture et Cloé attache le collier de morgane à une chaine reliée à un solide piquet elle sécurise le tout avec un cadenas. Bonne nuit ma chérie demain on commence le sport. Morgane est désespérée elle se demande comment elle va sortir de là. Elle finit par s’endormir après avoir pisser comme une chienne. Le lendemain morgane fait la connaissance de la carriole et aidée par des coups de fouets non simulés elle promène Cloé pendant plus d’une heure. Ensuite elle est promenée dans différents endroit de la maison et Cloé s’en sert comme déco. Debout, à genou, les jambes écartées à l’extrême dans des positions suggestives qui amusent Cloé au plus haut point. Le repas de midi se passe sans coups de fouet. L’après-midi morgane est amenée dans la salle de sport. Cloé lui explique. Je veux que tu gardes la forme et même que tu sois plus musclée. Pour ça j’ai programmé les matériels. Tu dois réaliser les nombre de répétitions qui sont programmées sur chaque appareil. Lorsque tu auras fini tu te mettras ici. Elle lui montre un point au centre de la pièce. Et tu te mettras ça. Elle montre un ensemble de quatre menottes qu’elle lui fixe aux poignets et chevilles. Elle défait le reste des liens sauf le collier anti aboiements. N’essaye pas de sortir la porte est blindée. Si tu fais bien tes exercices tu pourras manger ce soir sinon c’est un coup de fouet par répétition manquante sur chaque appareil. Si tu ne remets pas ça elle montre les menottes je ne t’ouvre pas la porte. Cloé lui souhaite un bon entrainement et quitte la pièce. Quelques secondes après un clic se fait entendre les quatre menottes se sont déverrouillées certainement pilotées à distance. Morgane est enfin libre. Elle se rue vers la porte pour tenter la résistance. Rien n’y fait. Alors elle décide de tout casser pour essayer de trouver une barre de fer ou quelque chose d’équivalent pour défoncer la porte. Elle va vers les appareils et détruit tout ce qu’elle peut. Pendant deux minutes elle massacre deux appareils et va vers le troisième quand la lumière s’éteint. Presqu’aussitôt le courant est coupé dans les appareils. Elle est dans le noir absolu. Elle cherche à tâtons les appareils suivants mais elle prend conscience de l’inutilité de ses actions. Elle s’assoit en tailleur et attend. Elle attend pendant des heures et aucun bruit ne se fait entendre. Elle commence à avoir soif et à être fatiguée .elle s’endort sur le sol. Elle dort mal et quand elle se réveille sa gorge est sèche comme un parchemin. Toujours aucun bruit. Elle crie pour se faire entendre et insulte autant qu’elle peut Cloé en lui promettant mille morts quand elle la rattrapera. Le temps passe très lentement elle a l’impression d’être là depuis des jours. Elle ne veut pas mourir de soif et appelle Cloé. Ok je me calme j’ai soif s’il te plait. Une voix se fait entendre derrière la porte. Tu boiras quand tu auras mis tes menottes. La lumière s’allume. Morgane va tambouriner à la porte et essaye vainement de la défoncer. Rien n’y fait. Elle veut bluffer et fait semblant de verrouiller les menottes et crie ça y est j’ai mis les menottes. Pas de réponses. Une bonne heure passe morgane ne tient plus de soif et de rage. Elle finit par fermer les menottes. Aussitôt la porte s’ouvre. Cloé entre le visage mauvais, le fouet à la main. Elle fouette longtemps morgane qui se tortille comme un ver pour essayer vainement d’esquiver les coups. La douleur est intense et des stries rouges et bleues sillonnent son corps. Piété dit-elle en pleurant. Cloé s’arrête et met la laisse à morgane. Elle la tire sans ménagement vers la sortie. Direction la cuisine. Cloé laisse morgane boire dans la gamelle. Elle lape consciencieusement pendant 10mn et à la langue en feu de faire ce geste inhabituel. Cloé lui donne un coup de fouet. Ça suffit crie t’elle et elle la tire vers le salon ou une croix de saint André a été installée. C’est pour toi dit Cloé. En quelque minutes morgane est écartelée sur la croix. Sa queue de cheval est accrochée en hauteur et morgane ne peut faire quasiment aucun mouvement à part bouger les yeux. Tu vas rester là jusqu’à la remise en état de la salle de sport. Ça devrait durer huit jours dit Cloé. Morgane est trop faible pour réagir. Elle n’est décrochée que pour une douche quotidienne et un passage aux toilettes. Cloé la nourrit à la main et lui donne à boire de la même façon. Au bout de trois jours morgane est désespérée elle a mal partout et Cloé la frappe chaque fois qu’elle passe par là. Alors que Cloé passe, morgane lui fait signe qu’elle veut lui parler. Cloé éteint le collier anti aboiements et lui dit tu as dix secondes. Morgane bredouille. C’est trop je t’en supplie arrête la croix je te promets de ne plus rien casser et de me taire même sans collier. Cloé a un sourire carnassier. Et qu’est ce qui me dit que tu vas tenir parole. Je le jure dit morgane. Cloé rallume le collier et s’en va morgane pleure de dépit elle n’en peut plus. Dix minutes plus tard Cloé repasse. On va faire un essai. Tu fais tout ce que je te dis et je réduis ta peine sur la croix. Morgane essaye de hocher la tête autant qu’elle peut. Cinq minutes plus tard elle est à quatre pattes avec les trois barres d’écartement limitant ses gestes. Cloé est assise en face d’elle sur le canapé. Pour commencer tu vas venir me bouffer la chatte dit Cloé. Morgane hésite une fraction de seconde mais se décide vite Cloé serait capable de changer d’avis. Elle essaye de bien faire même s’il elle n’a pas l’habitude. Cloé la flatte avec ses mains. Bonne petite esclave enfin tu te mets au travail. Après un long temps morgane doit maintenant embrasser les seins de Cloé qui s’est mis nue. Les pieds les fesses le cul tout y passe. Morgane fait de son mieux. Le repas du soir est calme alors qu’elle s’attend à rejoindre sa niche morgane est remmenée dans le salon par Cloé. Elle change de liens. Maintenant morgane a juste les mains menottées dans le dos. En plus du collier et de la laisse. Cloé met de la musique. Tu vas danser pour moi dit Cloé. Comme une danseuse de peep show. Ça ne dit rien à morgane. Danses comme si tu voulais baiser comme une grosse pute dit Cloé. Morgane essaie de faire une danse suggestive mais le résultat amuse plutôt Cloé. Au bout de 10 minutes celle-ci lui dit d’arrêter le massacre et la fait mettre à genou à ses pieds. Cloé appuie sur un bouton et un tableau mural se surélève pour laisser place à une télévision. Prend en de la graine dit Cloé et elle lance la lecture d’une prestation de gogo danseuses. Morgane regarde avec un maximum d’attention. Tous les soirs tu t’entraineras à ça et tu me feras une petite démo dit Cloé. Morgane opine du chef sans quitter l’écran des yeux. Les trémoussements s de la fille de la télé finissent par l’exciter. Cloé est aussi excitée. Cette nuit-là se passe dans le lit de Cloé. Morgane est écartelée sur le dos et Cloé la chevauche sauvagement. Alternant les facesitting avec des coups de gode ceinture. Les deux filles y trouvent leur compte. C’est la première fois depuis longtemps que morgane s’endort sans être malheureuse. Le lendemain les entrainements reprennent. Une heure de carriole une demi-heure de marche dans la piscine et les répétitions dans la salle de gym l’heure du repas est vite atteinte. Un soir sur deux se passe dans la chambre de Cloé. Les après-midis sont consacrées à l’éducation musicale de morgane et à des tests de bondage décoratifs qui passionne Cloé. Morgane prend toutes les positions jusqu’aux plus salaces sans rechigner. Elle en a pris son parti et attend sa chance de pouvoir renverser les choses. De 17 à 18h30 retour dans la salle de gym pour faire des séries. Petit à petit morgane se doute que Cloé lui fait ingérer des aliments qui donneraient une attaque à un contrôleur anti dopage. Elle prend du muscle partout et sa silhouette commence à ressembler à une body buldeuse. Ça ne lui déplaît pas forcement même si elle trouve que sa poitrine devient trop petite par rapport au reste. Malgré tout Cloé est très sévère et manie toujours le fouet à la moindre occasion. Cloé aussi trouve que la poitrine de morgane est le petit bémol de son corps d’amazone. Elle prend contact avec des connaissances peu recommandables et obtient ce qu’elle voulait. Un jour elle dit à morgane qu’elles vont sortir. Morgane est étonnée. On va dans une clinique pour te faire une poitrine de ouf dit Cloé. Morgane est effrayée. Je te préviens ils sont un peu roumains et ne poseront pas de questions s’ils te voient ligotées comme un saucisson. J’ai payé une blinde pour ton opération. Ne me fait pas regretter. En effet morgane voyage dans le coffre de Cloé et est prise en charge par des gens masqués qui ne posent aucune question. Un chirurgien vient la regarder et la palper il fait des croquis et montre des projections de la poitrine future à Cloé sans jamais adresser la parole à morgane ou lui montrer de croquis. L’opération se passe et le lendemain morgane est effarée de voir deux ballons de foot trôner sous des bandages à la place de sa poitrine. Elle passe quelques jours dans la clinique. Les bandages sont enlevé elle n’a pas de miroir et ne peut pas baisser la tête mais elle comprend qu’elle a une masse énorme sur ses pectoraux. Retour à la maison de Cloé. Cloé l’accompagne jusqu’à une chambre avec un grand lit à baldaquin. Cloé installe morgane sur le lit en prenant bien soin de lui attacher les quatre membres aux montants métalliques et solides du baldaquin. Pendant quelques jours Cloé est aux petits soins pour morgane. Au bout d’une bonne semaine Cloé décide que morgane est suffisamment rétablie pour reprendre leurs activités. Elle attache les mains dans le dos de morgane et avec la laisse reliée au collier elle la fait venir dans une salle de bain munie d’un miroir en pied. Morgane est sidérée et perplexe. Elle constate que sa nouvelle poitrine est énorme ferme très haute et ses tétons pointent directement vers l’avant. Elle se dit qu’elle pourrait poser deux verres de cocktail dessus sans que ça ne bouge. Lorsqu’elle marche les seins ballottent à peine. Elle est oblige de cambrer la poitrine pour pallier le déséquilibre nouveau ce qui fait encore plus jaillir sa poitrine agressive. Cloé est très contente. Tu vois encore un peu de muscle et tu seras parfaite. Les entrainements reprennent. Pour la promenade équestre Cloé doit lui mettre un soutien-gorge très renforce pour ne pas abimer son investissement dit-elle. Cloé multiplie les séances de poses dans toutes les positions et avec une imagination débordante sur les liens. A chaque fois elle prend des photos et bientôt les murs du salon sont ornés de nombreuses photos de grande taille en noir et blanc présentant morgane dans des positions de soumission ou de défi. Morgane est un peu fière même si elle cherche toujours le moyen d’échapper à cette furie. Mais Cloé est particulièrement vigilante et aucune occasion ne s’est présentée. Un tatoueur vient un matin et lui tatoue « trophée de chasse de Cloé » sur le pubis. Un matin en suivant Cloé dans le salon elle y voit une grande cage pour animaux dans laquelle Cloé la fait entrer . Une fois la porte de la cage refermée Cloé lui enlèves ses liens à travers les grillages. La cage mesure environ 1.20m de long 1 m de haut et 1 m de large. Elle tient tout juste à quatre patte ne peut pas se retourner ni s’allonger la position est assez pénible. Cloé accroche la gamelle d’eau à un support adapté. Et la laisse jusqu’au repas. L’après-midi Cloé lui annonce qu’elle va pouvoir la montrer en public.
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Par : le 11/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 22: Cloé rencontre martine. Extraits »… Son cœur bat à toute allure. C’est une occasion de clouer le bec à martine et Anna mais en même temps c’est faire acte de soumission à Cloé. Les regards des filles sont attirés par la porte d’entrée qui s’ouvre. Vanessa apparait timidement dans l’encadrement de la porte et n’ose plus bouger…. Martine demande à Anna de se mettre à côté de Vanessa et les deux maitresses se congratulent d’avoir de si belles esclaves. Echauffées elles montrent leur entrejambes aux esclaves qui se précipitent pour les lécher. … » Anna et Vanessa se sont beaucoup rapprochées. A peu près du même âge elles se ressemblent et on les prend volontiers pour des sœurs. Elles ont aussi un point commun elles aiment être soumises à une femme. Mais ça seule Anna le sait. Vanessa n’est pas au courant. Maintenant elles ne se quittent quasiment plus sauf quand Anna va rendre visite à sa copine Martine. La soirée chez Cloé a été reportée et Vanessa ne sait pas si elle doit être soulagée ou pas. Elle a beaucoup réfléchi à la proposition de Cloé et d’un côté ça l’excite énormément et de l’autre elle est effrayée de se montrée en situation de soumise devant une quinzaine de personnes. Elle n’est pas sure que Sophie réponde à l’invitation de Cloé. Même si connaissant maintenant le gout de l’exhibition de Sophie elle se doute que ça doit travailler Sophie. Magalie a parlé de Cloé à martine qui est très intéressée par le lien entre Cloé et Vanessa. Elle est aussi curieuse de voir cette athlète, Sophie, qui a tant marqué Magalie et Anna. Cloé reprend contact avec Vanessa sans parler de la semaine torride. Elle est toute mielleuse et Vanessa se laisse tenter de la revoir. Il n’est plus question du rapport de domination même si au fond d’elle-même elle en rêve la nuit et se réveille dans un état inconvenant. Anna parle souvent de sa copine Vanessa à martine. Celle-ci lui dit un jour on devrait inviter ta copine Vanessa à la maison. Anna sait que ça signifie qu’elle reçoive Vanessa nue sous la coupe de martine en arborant sa position inscrite sur un de ses seins. Elle y réfléchit. Elle a bien vu Vanessa dans la même position chez Cloé. Elle ne trouve pas cela utile mais martine curieuse la relance quelques jours plus tard en lui disant qu’elles pourraient inviter Cloé en même temps car martine aimerait bien la connaitre. Anna tergiverse et dit que Cloé et Vanessa ne se fréquentent plus maintenant. Vanessa a fini par accepter de revoir Cloé en ville. Elles se donnent rendez-vous dans un bar du centre-ville et sont sincèrement heureuses de se revoir. Elles ne parlent pas du passé mais elles se donnent la main quand elles sortent du café pour se promener en ville. Elles croisent Anna qui marche en discutant avec une grande femme. Vanessa fait mine de ne pas les voir mais Cloé reconnait Anna et la hèle. Les présentations sont faites. Martine est heureuse de rencontrer Cloé et lui dit. Finalement elles se promènent ensembles Cloé et martine discutant à bâton rompu de tout et de rien. Au moment de se séparer Martine lance une invitation aux deux filles. Vanessa et Anna sont perplexes mais Cloé trouve là une occasion supplémentaire de revoir Vanessa et accepte pour les deux avec joie. Une date est prise. Anna dort mal cette nuit-là. Elle va devoir se dévoiler devant Vanessa et surtout Cloé qui a toujours ce regard impérieux qui lui fait perdre ses moyens. Martine est intraitable. Anna se doute que Martine veut frimer devant Cloé. Tant pis elle fera contre mauvaise fortune bon cœur et montrera à ses amatrices une vraie soumise. Le soir de l’invitation Cloé et Vanessa retrouvent Anna pour aller ensemble chez martine Vanessa a insisté pour que Anna les accompagne. Elle a un peu peur de rester seule avec Cloé. Elles arrivent devant la maison de martine qui les attend sur le perron. Elle les fait entrer et les accompagne dans le salon. Cloé et Vanessa sont étonnées qu’Anna ne suive pas et interrogent martine du regard. Celle-ci sourit et leur dit de ne pas s’inquiéter car Anna se refait une beauté. Les filles sont perplexes mais suivent martine jusqu’au canapé. Martine entame la conversation. Je suis heureuse de vous rencontrer Vanessa car je sais que tu es très copine avec Anna et ça me fait plaisir et Cloé car Magalie m’a beaucoup parlé de vous. Cloé esquisse un sourire carnassier. Effectivement j’ai contribué au bon fonctionnement de la boutique de Magalie et ça a été terriblement utile. Vanessa rougit comme une pivoine. Martine lève la tête et dit vous prendrez bien un verre. Les filles acquiescent. Martine hausse un peu la voix et dit Anna tu vas nous servir l’apéritif. La porte de l’entrée s’ouvre et Anna apparait nue avec un collier de cuir auquel pend une laisse. Elle a un bijou clipé sur le sein droit et sur le gauche est clipée une étiquette. Les filles peuvent lire l’étiquette quand Anna passe à côté d’elles. Anna s’arrête devant les filles et les regarde. Les filles sont estomaquées Vanessa est ébahie. Cloé reprend vite consistance. Bravo martine ton esclave est magnifique il faut que tu me racontes. Martine jubile et leur dit qu’Anna n’a pas le droit de parler sans autorisation et propose un martini aux filles. Amènes nous quatre martinis dit-elle à Anna qui s’empresse de se diriger vers la cuisine. Martine est sommée de questions par Cloé qui veut tout savoir et qui la félicite en permanence. Vanessa reste interdite. Elle se fait toute petite. Anna revient avec un plateau contenant trois verres et un bol. Les filles prennent un verre et Anna pose le bol par terre et se met à genou aux pieds de martine. Cloé n’en revient pas. Vanessa commence à être énervée de voir que Cloé est subjuguée par Anna. Je peux faire aussi bien se dit-elle. La discussion est enthousiaste entre martine et Cloé mais Vanessa ne pipe mot. Cloé se penche alors vers elle et lui dit au creux de l’oreille. Si tu veux je t’ai apporté quelque chose plus adapté pour la soirée et elle lui donne les clés de la voiture. Vanessa se demande ce qui ne va pas dans sa tenue. Cloé lui dit doucement : C’est dans le coffre. Vanessa curieuse et contente de quitter provisoirement les lieux prend les clés et s’excuse auprès de martine qui est intriguée. Une fois Vanessa partie martine dit à Cloé que Vanessa est vraiment très jolie et on doit craquer facilement pour elle. Cloé confirme et pose encore des questions sur le lien entre martine et Anna. Celle-ci met une musique langoureuse et montre le coin du salon réservé à Anna. Celle-ci se lève et va danser très langoureusement. Cloé est interdite. Une grande chaleur lui monte de son bas ventre. Anna vient embrasser Cloé dit martine. Anna se précipite et ambrasse fougueusement Cloé qui est totalement allumée. Vanessa est dans l’entrée et regarde le contenu du sac de Cloé. C’est son harnais qui a fait tant d’effet, un collier de cuir assorti ,une laisse, une petite cravache et une petite boite qu’elle ouvre intriguée. Deux grandes créoles en or jaune et plusieurs anneaux en or composent la boite. Elle comprend que les anneaux sont pour ses piercings où les bijoux provisoires sont toujours installés. Son cœur bat à toute allure. C’est une occasion de clouer le bec à martine et Anna mais en même temps c’est faire acte de soumission à Cloé. Elle entend la musique à coté et ça la décide. Les regards des filles sont attirés par la porte d’entrée qui s’ouvre. Vanessa apparait timidement dans l’encadrement de la porte et n’ose plus bouger. Anna stoppe sa danse et martine reste coite. Cloé est aux anges. Elle a gagné. Elle avait pris ce sac dans le cas bien incertain ou elle reprendrait le dessus sur Vanessa après la soirée mais là c’est gagné sur toute la ligne. Cloé lui dit d’avancer et de se montrer à martine. Vanessa avance. Dans les mains elle a une petite cravache. Cloé lui montre ses pieds et Vanessa se met à genou a ses pied en tendant la cravache. Cloé s’en saisi et là martine félicite à son tour Cloé pour son esclave magnifique tellement belle. Elle est hypnotisée par les piercings. Anna a repris la danse mais le cœur n’y est plus. Elle ne savait pas pour les piercings de Vanessa et les trouve merveilleux. Ils ressortent magnifiquement sur le corps laiteux de Vanessa. Celle-ci gonfle sa poitrine a perdu sa timidité et elle irradie de bonheur. Martine demande à Anna de se mettre à coté de Vanessa et les deux maitresses se congratulent d’avoir de si belles esclaves. Echauffées elles montrent leur entrejambes aux esclaves qui se précipitent pour les lécher. Après quelque moment Cloé et martine échangent leurs esclaves pour comparer leurs talents. Les deux petites donnent le meilleur d’elles même. Puis martine et Cloé sont repues et demandent à Anna et Vanessa de se finir entre elles. Sur le tapis du salon les deux créatures de rêve fondent l’une dans l’autre elles donnent le maximum pour plaire à leurs maitresses. Elles se caressent s’embrassent se lèchent. Anna ne peut s’empêcher de jouer avec les anneaux de Vanessa et peu voir de près qu’elle en est blindée sur le sexe. Six anneaux qui s’entrechoquent tout autour de du réceptacle à plaisir. Elles ne voient pas le temps passer et pendant plus d’une heure elles se font l’amour comme des folles hypnotisant les deux maitresses qui ne parlent plus. Cloé prend une carte de visite dans son sac et la donne à martine. C’est celle de la spécialiste des piercings. Martine la remercie. Les deux chattes sont repues et désormais se caressent doucement. Cloé et martine les font revenir pour s’occuper d’elles. Les deux filles arrivent en parfaite synchro et commencent à lécher langoureusement les maitresses. Cloé entre deux orgasmes parle de sa réception fun à martine en lui disant qu’elle est invitée avec Anna. Martine lui répond que le deal avec Anna s’arrête à la porte des lieux. Cloé à un sourire entendu et réitère l’invitation pour martine et Anna. Elle souhaite aussi inviter Magalie et ses deux acolytes qui l’ont impressionné. Martine comprend qu’exhiber les deux porte chibres serait un plus pour Cloé. Néanmoins elle promet de réfléchir à l’invitation. La soirée se passe merveilleusement et il est temps de se quitter Vanessa fait comprendre à Anna qu’elle doit les accompagner. Elle a un peu peur de Cloé. Anna est d’accord et Martine qui a compris leur souhaite un bon retour.
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Par : le 09/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 21 : CLOÉ Extraits « … Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie. … Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse… Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête. Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques. Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse. Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré…. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile…» Samedi matin après le petit déjeuner Sophie que Vanessa colle toujours décide que les filles vont prendre une douche. Elles entrent ensemble dans la douche et Sophie se fait laver et lécher longuement par Vanessa. Puis après s’être habillée Sophie emmène Vanessa jusqu’au garage ou elle lui dit de monter à l’arrière de sa voiture et de se baisser. Vanessa panique. Elle va m’emmener où ? Mais elle obtempère craignant une raclée. Le voyage est court. Vanessa ne voit rien. Lorsque la voiture s’arrête Sophie ouvre une vitre et dit à Vanessa tu restes dans la voiture jusqu’à ce que je te siffle. Puis elle sort. Cloé accueille Sophie c’est une grande femme musclée très fliquée qui vit dans une magnifique villa isolée avec une grand piscine. Deux couples sont au bord de la piscine. Cloé voit que Sophie est radieuse. Alors c’est quoi ta surprise demande Cloé. Sophie lui dit : J’ai une petite chienne adorable. Ha : dit Cloé visiblement déçue et tu l’as ramenée. Sophie lui dit : oui. Tu vas la voir. Sophie siffle. Aussitôt Vanessa sort de la voiture et vient se positionner à moins d’un mètre de Sophie. Cloé et les deux couples sont stupéfaits. Une magnifique jeune femme entièrement nue avec un collier de chien vient de se coller à leur copine Sophie. Alors qu’est-ce que tu en penses demande Sophie. Je n’en reviens pas : Dit Cloé. Tu t’appelles comment demande telle à Vanessa. Vanessa regarde Sophie qui opine. Vanessa : répond-elle. Les deux couples se sont rapprochés. Les deux hommes ne peuvent cacher leur émotion avec leur maillot de bain. Cloé dit : hé bien Vanessa, tu fais de l’effet. Mais que fais-tu comme ça ? Je suis ma maitresse : répond Vanessa. Je ne dois pas la quitter de plus d’un mètre. Sophie exulte. Cloé est épatée. La journée se passe lentement. Finalement Sophie fait des jaloux. Surtout quand elle dit à Vanessa de la satisfaire sur un transat le long de la piscine. Cloé enrage à l’intérieur. Mais fait bonne figure. Après le repas du soir Cloé propose de faire un poker comme d’habitude mais propose que les mises soient relevées. Tout le monde acquiesce et ils se mettent autour de la table dans le salon dédié aux jeux. Après plus d’une heure il ne reste plus à la table que Sophie et Cloé. Les deux couples se sont installés sur les canapés et regardent les joueuses même si les regards sont attirés par la blonde nue qui se tient debout derrière Sophie. Cloé a un tas de billets devant elle alors que Sophie n’en possède plus qu’une petite poignée. Le dénouement est proche. Sophie retourne ses cartes. Elle a un full aux as par les rois. Cloé fait une petite grimace. Sophie fait tapis. Cloé hésite puis suit. Cloé demande à Sophie si elle veut miser plus. Sophie dit qu’elle n’a plus rien sur elle. Cloé lui dit à voix basse il te reste Vanessa. Tu peux me la jouer contre tout mon pot. Sophie ouvre de grands yeux et va pour dire non quand Cloé avance son tas de billets et rajoute une liasse sur le tout. Sophie se dit que l’occasion de faire un paquet de fric est trop bonne et dit : C’est quoi les conditions. Cloé répond. Tu me la laisse jusqu’à la fin du Weekend si je gagne. Si tu Gagnes tu empoches le tapis. Sophie accepte avec un sourire carnassier et abat ses cartes. Cloé hésite un peu et étale un carré de dix. Sophie est effarée. Cloé a un sourire carnassier et fait signe à Vanessa de venir derrière elle. Vanessa ne sait quoi faire et regarde Sophie. Celle-ci lui fait signe d’aller derrière Cloé. Sophie reste assise et se demande ce qui lui arrive. Les deux couples sont épatés de voir cette belle esclave changer de main. Mais Cloé n’en a pas fini. Tu peux te refaire si tu veux lui dit-elle. Sophie la regarde étonnée et montre ses mains vides. On peut faire quitte ou double. Je remets en jeu le fric et Vanessa et toi tu te mets en jeu. Comment ça dit Sophie. Si je gagne tu es mon esclave jusqu’à la fin du weekend end dit Cloé sérieuse. Les couples se lèvent et se rapprochent de la table. Si je gagne tu fais tout ce que je veux dit Cloé. Sophie ne digère pas d’avoir perdu Vanessa et veut se refaire. Jusqu’à la fin du weekend dit-elle. Oui dit Cloé. En un coup dit elle et elle brasse les cartes. Sophie distribue. Trois cartes demande Cloé Sophie respire elle a deux paires. Une carte dit-elle. La tension est à son comble. Les deux couple se sont rapprochés jusqu’au bord de la table. Tout le monde retient son souffle. Vanessa se demande comment ça va finir. Cloé étale ses cartes. Brelan de neufs dit-elle pas très heureuse. Sophie blanchit et montre se deux paires. Un long moment se passe .le temps que Sophie digère ce qui se passe. Debout lui dit Cloé Sophie hésite mais elle ne peut pas renier sa parole. Elle se lève. Approche esclave lui dit Cloé. Elle approche de Cloé. A poil lui dit-elle sèchement. Sophie regarde autour d’elle six paires d’yeux la dévisagent. Elle redresse la tête et se déshabille entièrement. Cloé lui dit attend là. Elle se lève et emmène Vanessa avec elle. Elle revient quelques instants plus tard avec une paire de menottes et un foulard. Tourne-toi dit-elle. Sophie se retourne et sent qu’on lui met les menottes dans le dos et le foulard est noué sur ses yeux. Elle ne voit plus rien La chaleur est montée en flèche dans le salon. Cloé s’adresse alors aux deux couples. Elle est à vous faites ce que vous voulez mais ne me l’abimez pas. D’abord interloquées les couples se rapprochent de Sophie. Une main se pose sur un sein de Sophie puis une autre puis une main fouille son entrejambe. On la force à baisser son torse vers l’avant. Elle sent un sexe érigé butter contre sa bouche. Elle suce la bite pendant qu’une deuxième bite se présente par derrière. Elle reçoit quelques petites claques sur les fesses et les seins pendant que les hommes la besogne. Elle entend Cloé lui dire. Tu nous avais dit que tu allais nous faire une surprise c’est réussi. Cloé s’assoit sur un canapé elle fait mettre Vanessa à genou et lui indique sa chatte. Vanessa s’exécute. Au moins celle-là ne tape pas se dit-elle. Pendant un temps infini Sophie est baisé par tous les bouts. Elle suce de la bite de la chatte et même du cul. Ses seins son douloureux à force d’être pincés pétris et malaxés. Elle entend une voix dire on va prendre un bain de minuit. Une main lui tint un téton et le pince en la faisant avancer. Elle est amenée au bord de la piscine. Puis on la laisse. Elle entend les rires et les bruits aquatiques. Après un temps qui lui parait infini elle sent que le bain est terminé. Elle entend une voix dire on la garde jusqu’à deux heures du mat et on vous l’amène. Top là répond une voix. La nuit de Sophie est mouvementée. Elle finit par s’endormir au pied d’un lit toujours avec son foulard autour des yeux. Vanessa s’acquitte avec conscience de sa tâche. Cloé est douce ce qui surprend avec son corps très musclé. Elle est très belle et totalement épilée. Vanessa est presque jalouse. Cloé finit par se lever et l’emmène à sa suite jusqu’à la chambre. Là les rôles s’inversent un peu et Vanessa sent que la dure Cloé du poker fait place à une femme docile qui se plie en quatre pour lui faire plaisir. Vanessa passe une super nuit en se disant que si elle devenait lesbienne se serait avec Cloé. Le lendemain matin les deux filles se réveillent dans les bras l’une de l’autre. Elles font l’amour gentiment comme deux chattes avides de caresses. Puis elles se décident à se lever et aller prendre un petit déjeuner. En arrivant dans la cuisine elles voient un papier sur la table. Les deux couples sont partis de bonne heure et ne voulaient pas les réveiller. Pour Cloé un petit PS précise que l’esclave est dans la salle de bains principale. Intriguées elles se rendent dans la salle de bain sou Sophie toujours les mains menottées dans le dos est attachée par une cordelette au radiateur sèche serviette. Cloé est la première à réagir. Bon esclave je vais te détacher et après t’être douchée tu viendras nous servir un petit déjeuner sur la table près de la piscine. Sophie a un œil noir mais ne dit rien. Cloé la libère et avec Vanessa elles se rendent près de la piscine. Là Cloé demande à Vanessa quel est le deal avec Sophie. Vanessa raconte tout depuis les coups jusqu’à la semaine qu’elles doivent passer ensemble. Cloé est choquée mais une lueur de tueuse passe dans ses yeux. Tu me dis qu’elle est libre toute la semaine. Oui répond Vanessa. Dommage que je ne possède pas d’autres accessoires que cette vieille paire de menottes dit Cloé songeuse. Vanessa lui dit la copine de mon amie vend de tels accessoires dommage. Cloé demande : tu crois qu’elle pourrait nous dépanner. Vanessa hésite puis à la pensée de voir le corps musclé de Sophie avec un bondage bien serré la chauffe un peu. D’accord je l’appelle. Elle appelle Anna qui promet d’appeler Magalie. Magalie est surprise par l’appel d’Anna mais se laisse convaincre. Elle promet de passer dans la matinée avec ce qu’elle a. Sophie apporte le petit déjeuner. Conformément aux ordres de Cloé elle assiste à genou au repas des deux filles. Puis la sonnette d’entrée retentit. Cloé va ouvrir à Magalie qui a le coffre plein de gadgets. Cloé est enthousiasmée et achète la quasi-totalité des accessoires de Magalie. Les accessoires sont amenés jusqu’à la table près de la piscine. Sophie qui n’a rien vu doit se coucher sur le ventre et écarter les bras et les jambes. Cloé et Vanessa se demandent par quoi commencer. Magalie et Anna sont venues avec elles pour les conseiller. Sur les conseils de Magalie Sophie reçoit un gros bâillon boule rouge qui lui distend la mâchoire rendant son air dur encore plus sauvage. Un corset de vinyle est ajusté à sa taille. Les lacets sont fortement serrés et la taille de Sophie est soulignée rendant son haut musclé encore plus impressionnant. Ses seins reposent sur le haut du corset et sont littéralement jetés en avant. Un lourd collier de cuir muni de plusieurs anneaux est mis autour de son cou. Vanessa fait une queue de cheval à Sophie. Un lien de cuir et attaché à la queue de cheval et relié au dos du corset forçant Sophie à lever exagérément la tête. Son regard furibond et son corps athlétique mis en valeur sont magnifiques. Heureusement qu’elle est bien attachée se dit Cloé rêveuse. Un plug de bonne taille terminé par une queue de cheval lui est inséré. Elle roule des yeux furibonds mais ne peut pas empêcher l’action. Les filles se reculent pour voir l’effet. Des pinces à tétons sont appliquées sur la poitrine déjà tendue de Sophie. Cloé enthousiasmée fait des photos souvenirs. Laissant Sophie piaffer dans sa tenue les filles consultent les catalogues de Magalie. Celle-ci propose une tenue de soubrette qui fait l’unanimité. Elle promet la livraison pour mercredi. Cloé cède. Puis les filles se lancent dans le shibari. Encordé de partout le corps puissant de Sophie se prête à merveilles aux cordes qui soulignent tous ses muscles. Il ne manque qu’un peu d’huile pour faire briller le corps de Sophie. Nouvelle séance photo. Puis Cloé se souvient qu’elle a dans une remise la carriole en osier que ses parents attelaient à un petit poney lorsqu’elle était petite. Laissant Sophie encordée et attachée à un lampadaire les quatre filles vont jusqu’à la remise. Magalie regarde dans ses catalogues les harnais de cuir qui pourraient être compatibles avec la carriole. Elle montre des équipements à Cloé qui commande immédiatement. Quelques autres gadgets son commandés. Magalie notant la plastique avantageuse de Vanessa qui est toujours nue propose quelques articles à Cloé qui interroge Vanessa du regard. Celle-ci impressionnée opine du chef et les accessoires sont achetés. Enfin Magalie et Anna se retirent laissant Cloé et Vanessa avec leur nouveau jouet humain. C’est l’heure du repas. Sophie toujours encordée et muni de son gros collier de cuir fait le service. Les filles mangent de bon cœur. Après le déjeuner c’est au tour de Vanessa d’être habillée. Sur les indications de Magalie Vanessa arbore un harnais en cuir qui souligne sa fine silhouette. Ses seins sont ornés d’anneaux dorés . Cloé lui fait une queue de cheval qui monte très haut derrière la tête. A ses poignets et ses chevilles des bracelets dorés sont en harmonie avec les anneaux de ses seins. Deux grandes créoles dorées pendent à ses oreilles. Cloé est soufflée par le sex-appeal de Vanessa. Sophie qui est à genou les bras menottés dans le dos est sidérée. Machinalement elle fait les va et vient verticaux que Cloé lui a ordonné sur un gode de bonne taille. Vanessa est aux anges. Elle voit l’effet qu’elle fait aux deux filles et est presque désolée qu’il n y ai pas plus de spectateurs. L’après-midi se passe autour de la piscine. Cloé et Vanessa se prélassent dans les transats alors que Sophie agenouillée et menottée passe de l’une à l’autre à leur demande pour prodiguer des caresses buccales sans se faire prier. Le repas du soir se termine. Sophie fait la vaisselle et vient s’agenouiller devant Cloé. Sophie demande à Cloé. Bon j’ai tenu ma parole j’ai été ton esclave ce weekend end. Tu peux me libérer maintenant. Cloé se penche vers elle et l’embrasse. Tu as été magnifique. Tu es née pour être esclave. C’est dommage de devoir habiller ton corps d’amazone tellement il est plus beau nu ou bondé. Sophie accepte le compliment mais regarde Cloé avec insistance. Cette dernière lui remet un bâillon boule bien serré et accroche une chaine au collier qui n’a pas quitté Sophie. Elle emmène Sophie dans le salon où Elle accroche l’extrémité de la chaine à un énorme radiateur en fonte. Tu es trop belle pour être libérée comme ça. J’ai décidé de te garder comme esclave plusieurs jours jusqu’à ce que je décide de te libérer. Sophie rue et se débat ses yeux furibonds lancent de éclairs elle émet des borborygmes à travers son bâillon. Cloé sort un petite cravache et donne un coup sur les fesses de Sophie qui sursaute mais revient à la charge. Cloé manie la cravache. Tant que tu ne te calmes pas tu en recevras dit-elle. Sophie revient plusieurs fois à la charge mais les coups maintenant bien portés commencent à lui rougir la peau. Voyant l’inutilité de ses ruades elle finit par se calmer. Cloé la félicite et lui dit de baiser ses pieds. Sophie hésite mais un coup de cravache la décide. Cloé lui dit maintenant je vais t’enlever le bâillon mais si tu dis un mot cravache et bâillon pour la nuit. Sophie lance un regard noir. Mais lorsque Cloé lui enlève le bâillon elle ne dit rien. Maintenant tu peux m’embrasser les pieds dit Cloé. Sophie hésite mais finit par embrasser les pieds de Cloé. Au bout de quelques minutes Cloé lui dit plus haut. Sophie lui lèche les mollets puis les cuisses. Puis s’enhardit vers l’entrejambe de Cloé. Qui s’ouvre un peu. Sophie passe sa frustration sur la chatte de Cloé qu’elle lèche avec avidité. Cette nui là les trois filles sont dans le même lit. Mercredi dans la matinée Magalie arrive avec des colis. Sophie attend auprès de la piscine. Elle est à genou un manche à balai dans le dos passe par la saignée des coudes qui sont solidement attachés au manche. Sa queue de cheval est liée au manche par un cordon en cuir très tendu qui l’oblige à tenir sa tête le plus en arrière possible. Un lien part du milieu du manche et est attaché à un anneau qui sert habituellement pour tenir la bâche hivernale de la piscine. Elle porte le bâillon boule rouge. Magalie apprécie le spectacle et facilite Cloé pour la présentation de Sophie. Sophie endure la posture douloureuse mais est très fière de plaire à la spécialiste. Elle s’efforce de rester complétement immobile. Les colis sont déballés et Vanessa va chercher la carriole qui a été dépoussiérée et graissée dans la remise. Sophie voit arriver la carriole avec un peu d’appréhension. Ce n’est quand même pas pour moi. Elles me prennent pour un cheval. Magalie et Cloé font lever Sophie et l’équipent du harnais de ponygirl. Les lanières de cuir sont ajustés sur tout son corps elle doit mettre des bottines noires qui lui semblent très confortable même si le talon très surélevé lui donne l’impression d’être sur la pointe des pieds. Un mors en cuir remplace le bâillon boule. Puis elle est attelée à la carriole. Là elle veut protester mais les trois filles utilisant les rênes et tirant sur les lanières finissent par l’atteler. Les brancards de la carriole sont ajustés au niveau de sa taille et désormais elle ne peut pas bouger sans bouger la carriole. Cloé tient les longues rênes à la main et les rênes son reliées aux deux côté du mors. Elle tire sur les rênes ce qui tire la tête de Sophie qui refuse de bouger. Cloé prend lors un fouet de cocher des mains de Magalie et lui fait claquer le fouet sur les fesses. La douleur est supportable mais Sophie sait que Cloé ne cèdera pas. Rechignant elle avance et la carriole s‘ébranle. C’est plus facile que prévu pour Sophie elle s’attendait à plus de résistance. La carriole n’a que deux roues comme un petit sulky et le siège double est en osier. Cloé passe les rênes au-dessus de la tête de Sophie et va s’installer sur le siège. Une fois installée elle dit aller hue ! Sophie ne bouge pas mais un claquement de fouet au-dessus de sa tête la force à avancer. Elle va tout droit ne sachant pas où aller. Au bout de quelques mètres le mors est tiré sur la gauche. Elle comprend et se dirige vers la gauche. Cloé jubile et lui fait faire des changements de direction pour finalement revenir devant Magalie et Vanessa qui sont impressionnées. C’est une bonne bête leur dit Cloé. Maintenant on va voir ce qu’elle a dans le ventre. Et elle fait repartir Sophie. Plus vite dit Cloé. Sophie accélère le pas. Le fouet claque Sophie trotte. Le fouet claque et Cloé incite Sophie giddap ! Sophie court le plus vite possible. La carriole est légère mais avec le poids de Cloé ce n’est pas si facile. Néanmoins elle fait de son mieux. Après quelques minutes de train d’enfer Cloé la fait ralentir. Maintenant Sophie trotte en maitrisant bien son souffle. Cloé l’arrête près des filles qui chacune leur tour font une promenade plus calme avec Sophie. Au bout de près d’une heure Sophie est harassée elle ruisselle de sueur et n’en peut plus. Cloé décide que la séance a assez duré et qu’elle recommencera chaque matin pour permettre à Sophie de garder la forme. Sophie est dételée ses lanières sont retirées mais elle garde les mains menottées dans son dos. Les filles la dirigent vers la piscine. Sophie reprend son souffle et attend alors que les filles déballent le costume de soubrette. Vanessa est presque vexée que le costume soit plus aux mensurations de Sophie qu’aux siennes. Elle aurait bien joué ce rôle mais ne dit rien. Cloé lui demande de doucher Sophie et Vanessa tirant Sophie par la laisse amène celle-ci sous la pomme de douche extérieure de la piscine et la lave consciencieusement. Sophie ronronne sous le lavage de Vanessa qui ressemble plus à des caresses qu’a autre chose. Elle se laisse faire docilement. Magalie montre alors à Cloé un carton contenant une tenue de soubrette à la taille de Vanessa. On ne sait jamais dit-elle. Cloé est ravie. Sophie séchée, les filles lui font essayer la tenue de soubrette. Ça lui va bien mais Sophie est trop musclée pour la tenue. Ses formes ne sont pas mises en valeur. Magalie sort alors un paquet qui fait bruit métallique. Un harnais de chaines de grosse maille avec des bracelets métalliques brillant est testé sur Sophie. Elle est splendide on dirait une combattante des arènes romaines. Les chaines sur son corps musclé font ressortir une impression de puissance contrôlée incroyable. Les filles sont admiratives. Deux petites chainettes partent des mamelons pour rejoindre le collier du cou en haut et deux autres vont jusqu’à l’entrejambe de Sophie ou elles sont tenus par des pinces aux grandes lèvres de Sophie. Elle se dresse fièrement devant les trois filles voyant l’effet qu’elle leur fait. Elle-même mouille abondamment et ça n’a pas échappé aux filles qui lui ont mis les pinces. Vanessa est remuée mais toujours un peu jalouse que Sophie attire tous les regards. Cloé se tourne vers elle et en souriant lui montre le paquet que Vanessa n’a pas encore vu. Elle va voir le paquet et comprend. Ce midi c’est toi qui fais le repas dit Cloé. Vanessa prend le paquet et file avec vers la cuisine. Magalie et Cloé tournent autour de Sophie qui se pavane inconsciemment. Sous prétexte de vérifier la bonne tenue des chaines les mains s’égarent de plus en plus sur la peau de Sophie. Quand Vanessa transformée revient avec un plateau contenant un apéritif et des accompagnements elle voit les deux filles autour de Sophie la pelotant et l’embrassant et Sophie qui ronronne de plaisir Magalie Cloé et Sophie regarde la nouvelle venue. Vanessa est superbe. Elle a un petit tablier qui ne cache que le nombril, un porte jarretelles auquel sont accrochés des bas résille du plus bel effet. Des escarpins avec de talons de 25 cm de haut qui la force à se tenir sur la pointe des pieds. Ses chevilles son menottées l’une à l’autre ne laissant que quelques centimètres de libres pour qu’elle fasse de tout petit pas. Un collier autour du cou duquel patent deux chainettes qui sont clipées sur les seins. Les poignets sont menottés l’un à l’autre et une barre passe dans son dos et passe dans la saignée de ses coudes ne lui laissant qu’une minuscule amplitude de mouvement. Elle tient un plateau sur lequel sont placés deux verres et entre les verres les clés de ses menottes. Elle ne peut s’empêcher d’avoir un regard envieux vers Sophie même si elle voit qu’elle-même fait de l’effet aux trois filles. Cloé lui dit approche ! Vanessa tout sourire approche. A genou ! ordonne Cloé. Le sourire disparait. Elle s’agenouille avec difficulté en tenant toujours le plateau devant elle. Cloé prend les clés et les jette dans la pelouse. Puis elle prend les deux verres et en donne un à Magalie. Pose ce plateau et embrasse mes pieds dit-elle. Vanessa rougit mais s’exécute immédiatement. Cloé s’empare du petit fouet de cocher et lui donne trois coups sur les fesses. Vanessa a les larmes aux yeux mais continue à lécher les pieds de Cloé. Tu vas nous servir à table et après la vaisselle tu reviendras ici et tu te mettras dans cette position jusqu’à mon retour. Vanessa opine en continuant à lécher. Aller lèves toi et vas-y. Vanessa se tortille pour se relever et part à tous petits pas vers la maison. Cloé et Magalie boivent leurs verres en devisant sur la grâce féline de Sophie. Celle-ci est aux anges. En plus la petite peste en a pris pour son grade. On y va finit par dire Cloé elle prend la laisse et entraine Sophie derrière elle. Le repas est bon. Vanessa les yeux rouges sert le mieux possible. Elle nourrit Sophie à la fourchette car Sophie est toujours menottées par derrière. A la fin du repas Vanessa fait la vaisselle puis sort de la maison pour se diriger vers la piscine. Magalie prend congé des filles en félicitant Cloé pour ses gouts et Sophie pour son superbe corps. Cloé remercie Magalie pour les accessoires et la raccompagne. Restée seule avec Sophie elle lui demande si elle ne lui en veut pas trop de l’avoir mise en esclave au-delà du pari. Sophie réfléchit et dit qu’elle lui en veut quand même. Cloé lui propose alors de la libérer. Sophie réfléchit et dit si tu veux on peut continuer encore un peu. Cloé reste silencieuse. Il lui semblait bien que Sophie kifait certains moments de sa situation mais au point t’en redemander. D’accord répond-elle. Tu vas manger sévère. Sophie fait sa bravache. Pourquoi tu as d’autres idées pour moi. Cloé réfléchit à toute allure. Oui mais ça va être plus hard. Sophie ne répond rien mais une grosse chaleur vient de son bas ventre. En attendant tu vas venir me brouter la chatte dit Cloé de but en blanc. Tu m’as bien chauffée tout à l’heure ma petite pouliche. Sophie vient lentement s’agenouiller la tête dans les cuisses de Cloé. Vanessa enrage. Elle n’a aucune idée du temps qu’elle a passé la tête contre le carrelage de la piscine. Cloé l’a oublié. Tout ça pour cette mastoc qui parade comme un cheval de cirque. Elle ne peut cependant pas s’empêcher de revoir le corps musclé de Sophie tirer avec ardeur la carriole et suivre ses mouvements de poignets sur les rênes. Dominer cette amazone lui a fait prendre un pied pas possible. Cloé arrive tranquillement. Vanessa ne bouge pas d’un iota. Cloé s’assoit sur un transat et regarde Vanessa qui ne bouge toujours pas et n’ose pas regarder de son côté. Viens là dit Cloé. Vanessa s’approche d’elle en restant sur ses genoux. Alors on est jalouse de Sophie dit Cloé. Vanessa ne répond pas. Une petite claque sur les fesses et Cloé dit j’attends ta réponse. Oui dit Cloé elle est trop belle et vous n’aviez d’yeux que pour elle. Je ne t’appartiens pas dit Cloé par contre toi tu m’appartiens. Vanessa ne répond rien Cloé dit .On dit oui maitresse. Oui maitresse répond Vanessa un peu soulagée d’intéresser enfin Cloé. Bon va chercher tes clés dans la pelouse. Après tu me rejoindras on a du travail pour faire le grand jeu à Sophie. Vanessa se demande ce que c’est que ce grand jeu mais va, toujours à genou, dans la pelouse vers l’endroit où se trouvent les clés. Quand Vanessa revient après avoir retrouvé les clés elle rencontre Cloé qui lui dit de la suivre. Elles descendent dans le sous-sol que Vanessa ne soupçonnait pas. Une porte dérobée s’ouvre sur un escalier qui mène à un couloir possédant plusieurs portes. Cloé ouvre l’une d’entre elle. Elle donne sur une salle de sport bien équipée. Tapis, rameurs, espaliers barres fixes etc. Mais elle ne jette pas un œil à tout ça car Sophie ruisselante de sueur est suspendue par les mains à une barre de traction. Elle touche le sol à l’extrême pointe de ses pieds mais ne peut pas se reposer dessus. Elle doit se maintenir à la seule force des bras. Deux pinces mordent ses tétons et une chainette est tendue entre les tétons et la barre. Sophie ne peut pas lâcher au risque de s’arracher les tétons déjà bien irrités par la tension extrême. Sophie est extrêmement concentrée et Vanessa ressent la douleur qu’elle doit supporter. Ca n’est plus soft mais là c’est difficile à voir. Cloé fait le tour de Sophie. Celle-ci n’a pas de bâillon. Cloé dit qui commande ici. Sophie répond c’est Cloé. Cloé lui donne un coup de cravache. Maitresse Cloé. Maitresse Cloé se reprend Sophie. Et qui est une esclave obéissante. C’est moi maitresse Cloé répond Sophie. Bien dit cette dernière. Maintenant on va jouer à un jeu toutes les trois. Elle enlève les pinces au grand soulagement de Sophie et de Vanessa qui est subjuguée. Puis Cloé menottes les mains de Sophie dans le dos et fait pareil avec Vanessa qui ne veut pas subir les foudres de Cloé et reste silencieuse. Cloé les met face à face sur le tapis central qui doit faire 10M2 voilà celle qui met l’autre hors du tapis a gagné. La perdante aura un gage qui durera tant que je l’aurai décidé. Vanessa est affolée. Sophie est bien plus costaude qu’elle. Sophie la regarde durement. A mon top. Allez ! Sophie se rue vers Vanessa qui parvient à esquiver le choc frontal. Pendant quelques secondes Vanessa parvient à éviter Sophie comme un toréador avec un taureau. Cependant Sophie finit par l’acculer dans un coin du tapis et l’éjecte durement. Vanessa tombe sans se faire mal. L’impact du corps de Sophie lancé l’a déjà bien meurtrie. Perdu lui lance Cloé. A partir de maintenant je veux que tu me broute le minou en permanence quoi que je fasse même si je bouge. Sinon c’est la cravache. Vanessa ne réfléchit pas et vient se mettre à genoux devant Cloé et lui embrasse goulûment la chatte. Bien dit Cloé. Et toi Sophie on n’en a pas fini. La soirée est difficile pour Sophie qui doit subir des écartèlements mises en tension et coups de fouets jusqu’à ce que Cloé soit fatiguée. Vanessa toujours à quatre pattes ou à genou se colle en permanence à Cloé pour la brouter. Finalement Cloé va se coucher. Sophie est attachée en croix face au lit de Cloé. Ça ne va pas être facile de dormir pourtant elle est rompue. Vanessa colle toujours Cloé et se couche sur le ventre la tête entre les cuisses de Cloé son gage n’étant toujours pas levé. Magalie a promis à Cloé de trouver une idée plus hard pour ses esclaves. Celle-ci l’a appelé hier soir entre deux séances. Malheureusement elle n’a pas vraiment d’idée. A ce moment-là elle jette un œil à Tristan qui lui fait sa gâterie orale du petit déj le sexe toujours dans sa cage. Claire se pointe à ce moment avec Frédérique. Un éclair traverse Magalie et si on lâchait nos deux bites ambulantes sur les esclaves bien entravées. Ça pourrait être valable. Elle en parle à claire qui est ok Tristan ne dit rien mais jubile ça fait 4 jours qu’il n’a pas pu ne serait-ce que bander il est prêt à tout. Cloé est ravie de l’appel de Magalie. Elle les attend à la maison. Joyeuse elle harnache Sophie qui a les yeux rougis par le manque de sommeil et la peau commence à être multicolore avec les coups qu’elle a reçu. Ses seins sont particulièrement sensibles après la torture d’hier soir. Vanessa les a accompagnées jusqu’à la remise car elle est toujours gagée. Cloé lui dit que le gage est suspendu pour la promenade mais attache la laisse qui équipe désormais Vanessa à la carriole. Elles partent en promenade équestre. Cloé est très dure avec Sophie. Elle la pousse à bout et les coups de fouets fusent. Après une demi-heure alors que Sophie peine à tenir debout la promenade s’arrête Sophie est dételée déharnachée et conduite à la pomme de douche ou elle est fixée pas la laisse le temps qu’elle arrête de suer avant d’être lavée. Vanessa a repris son gage. Magalie s’annonce et Cloé va à sa rencontre. Magalie descend de la voiture avec deux hommes ou plutôt un homme et une grande femme qui sont nus tous les deux. Cloé pensait que Magalie apporterait deux portes chibres bien montés. Elle est un peu déçue. Quand la grande fille se retourne vers Cloé celle-ci a un choc. Cette fille arbore un énorme chibre tendu qui contraste avec sa poitrine opulente. En plus des grands bijoux de seins et de nez sont son unique tenue. Cloé rêve de voir Sophie avec de tels bijoux. L’homme qui est aussi nu est un grand gaillard qui arbore aussi un chibre énorme. Tout cela laisse Cloé rêveuse. Elle n’aurait rien contre une partie à quatre avec les trois personnes qu’elle a en face d’elle. Alors qu’en penses-tu. dit Magalie. Cloé la félicite et s’approche pour voir les portes chibres de près. Formidable dit-elle. On va préparer les filles. Sophie est lavée séchée et emmenée dans le salon. Là Cloé l’attache à quatre pattes au milieu de la pièce. Les trois barres d’écartement aux pieds et mains et une reliant le tout l’empêchent de faire tout mouvement. Sa queue de cheval est tirée par un cordon qui l’oblige à se cambrer et la tête est à la verticale. Elle n’est pas bâillonnée mais a un écarteur de bouche qui l’oblige à avoir la bouche béante. Elle a une cagoule aveuglante. Vanessa est toujours dans l’entrejambe de Cloé. Une fois Sophie préparée les deux garçons font leur entrée .Ils ont pour ordre de ne pas être tendres avec Sophie. Soudain ils se déchainent. Sophie prend deux claques sur les joues et une énorme bite pénètre sa bouche. Suce la bien lui dit Cloé. Sophie s’exécute. Une claque sur les fesses la fait sursauter elle sent aussitôt un gourdin palpitant la prendre par derrière. Pendant une demi-heure elle est prise par devant derrière elle craint pour son cul mais elle sent qu’on lui insère du lubrifiant avant qu’elle soit littéralement défoncée par un des hommes. Vanessa entend mais ne peut pas voir ce qui se passe elle est toujours en train de brouter Cloé qui mouille come une fontaine. Puis à un moment Cloé repousse Vanessa et dit aux deux hommes c’est son tour maintenant. Vanessa se retourne et est effarée. Au début elle ne voit que les bites monstrueuses puis elle a le temps de voir que Frédérique a tous les attributs d’une femme avant d’être forcée dans la bouche et dans la chatte. Soit à la hauteur Vanessa di Cloé Vanessa y met tout son cœur même si les assauts sont incroyables. Elle ne sait plus si c’est la douleur ou le plaisir mais finalement elle ne peut plus compter ses orgasmes et le nombre de décharges des deux gaillards infatigables. Enfin la ruée se calme. Vanessa s’écroule par terre mais est rappelle à l’ordre par Cloé et elle retourne lui bouter la chatte à quatre pattes. Sophie est lessivée. Elle a mal partout mais en même temps elle n’a jamais sautant joui de sa vie. Et elle se sent bien attachée comme ça devant un paquet de monde. Cloé annonce la fin. Voilà les filles votre temps d’esclave est bientôt finit. Allez-vous laver et vous mettre en tenue pour nous faire un bon repas. La dernière épreuve sera après le repas. Vanessa détache Sophie et elles vont ensembles vers la salle de bains. Au passage Sophie voit enfin ses bourreaux. Elle est stupéfaite par l’apparence de Frédéric et ses bijoux de corps qui la font rêver. Le repas se passe dans la salle à manger. Vanessa à revêtue son costume de soubrette et Sophie ses chaines d’esclave gladiatrice. Tristan est subjugué par ce bel animal. Après le repas Magalie et ses deux acolytes se retirent après avoir promis à Cloé de se revoir plus souvent. Les trois filles se retrouvent seules. Cloé les invite à enlever leur tenue ce qu’elles font un peu à regret même si les dernières heures ont été particulièrement plus dures que ce qu’elles auraient pu penser. Cloé leur dit qu’une véritable esclave doit arborer en permanence les signes de sa condition. Et c’est le dernier test qu’elle veut leur faire passer si elles l’acceptent. Les deux filles se regardent sans comprendre. A ce moment-là Cloé va vers la porte de la maison et revient avec une femme qui tient une grosse mallette du genre mallette médicale. C’est une pro du piercing dit-elle en présentant la femme. Les filles commencent à comprendre. Alors une volontaire dit Cloé. Les filles hésitent se regardent. Dans leur tête elles voient le corps orné de Frédérique. Toujours bravache Sophie saute le pas et dit moi. La femme l’invite à se coucher sur une table. Sophie fait la fière mais se demande si c’est bien raisonnable. Le regard envieux de Vanessa la décide définitivement. Elle se couche. Une demi-heure plus tard elle a les seins et le nez percés. C’est douloureux mais elle en a vu d’autres. Elle va pour se relever mais la femme la retient et s’approche son sexe. Sophie panique un peu mais le regard de Vanessa suffit à la calmer. Son clitoris est maintenant percé et ses deux grandes lèvres aussi. Des bijoux provisoires sont insérés dans les piercings. Cloé est aux anges. Sophie se relève et toise Vanessa. Elle souffre mais ne veut pas le montrer. La femme regarde Vanessa qui semble se recroqueviller. La femme va refermer sa mallette quand Vanessa se jette à l’eau. Et sous le regard enjoué de Cloé monte sur la table. Elle possède maintenant les mêmes attributs que Sophie. Les larmes coulent de ses yeux mais elle reste fière. La femme donne alors les consignes pour les cicatrisations et se retire. Cloé est particulièrement fière de son dressage. Elle prend les filles dans ses bras et les félicite. Je fais une grande réception dans quinze jours. Il y aura un quinzaine d’invité. Je serais ravi de pouvoir montrer mes magnifiques esclaves ce jour-là. Sophie et Vanessa ne répondent pas. Elle s’imaginent parées de beaux bijoux en or et avec leur tenue préférée se pavane devant un parterre épaté. On en reparle leur dit Cloé et elle ouvre une bouteille de champagne pour clore cette semaine de folie.
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Par : le 09/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 20 : Anna rencontre l’équipe de handball féminine. Extraits »… Maintenant plusieurs filles malaxent le sexe les seins et le cul d’Anna. Celle-ci se débat mais ça semble surexciter les filles. Anna cesse de se débattre… La cheffe dit : Quel joli trophée. J’ai une idée on va s’entrainer au tir au but et celle qui marque peut disposer du trophée une minute. Les filles applaudissent. Anna est tirée par la laisse jusqu’ aux gradins du terrain de hand. … Anna réunit les liens qui l’attachaient et avec mille précautions commence à attacher la géante dans le lit. D’abord elle fait un tour des poignets avec du lacet puis les pieds… « Quelques mois après sa mésaventure Anna se décide à remonter la pente. Elle fait un peu de sport. Le soir avec deux filles qu’elle a rencontré elles vont au gymnase pour faire un peu de gymnastique. Anna excelle aux agrès. En général lorsqu’elles sortent de la douche l’équipe féminine de handball entre pour venir s’entrainer avant la fermeture du gymnase. Ces filles impressionnent Anna car ce sont des costaudes. Fortes musclées et pas trop féminines. Elles ne se parlent pas juste un signe de tête pour dire bonsoir. Ce jour-là Anna se retrouve seule au gymnase. Elle va quand même se défouler et après une bonne suée elle va vers les vestiaires. Elle se déshabille et va prendre sa douche. Comme elle est seule elle ne prend pas soin d’enfermer ses habits dans un casier. Lorsqu’elle sort de la douche elle se dirige vers l’endroit où se trouvait son sac. Le sac n’est pas là. Nue avec juste une serviette elle commence à chercher son sac quand soudain l’équipe de hand apparait. Elle salue comme d’habitude les filles mais celles-ci ne font pas mine de partir s’échauffer. Elles la matent visiblement. Mal à l’aise Anna se fait toute petite. L’une des filles, un vrai garçon manqué, la hèle. Alors mon cœur on a perdu quelque chose. Anna dit qu’elle ne trouve plus son sac avec ses habits. Les filles s’esclaffent. La grand fille s’approche d’Anna et dit. Tu n’as pas besoin d’habit avec un petit cul comme ça. Avant qu’Anna n’ai compris la fille attrapent un coin de la serviette et la tire brutalement. Anna se retrouve nue face aux filles. Les sifflets fusent. Anna se cache les seins et le sexe avec les bras. Les filles se rapprochent. Deux d’entre elles attrapent chacune un bras d’Anna et la force à les écarter. Elle est exposée aux regards qui s’allument peu à peu. Mais c’est qu’elle est appétissante dit l’une. La cheffe approche d’ana et lui attrape le sexe avec la main. Celle-ci crie mais une grosse main la bâillonne. Maintenant plusieurs filles malaxent le sexe les seins et le cul d’Anna. Celle-ci se débat mais ça semble surexciter les filles. Anna cesse de se débattre. . Tu dois être un bon coup dit la cheffe et elle commence à essayer de faire mettre Anna à genou. Celle-ci résiste mais la cheffe reçoit du renfort et Anna se retrouve vite à terre. La cheffe enlève on short et sa culotte et approche son sexe de la tête d’Anna. Aller montre nous comment tu broute ma belle. Son visage est projeté de force dans l’entrejambe de la cheffe. Elle garde la bouche fermée. Une main pince son sein et la douleur devient insupportable. Suce et ça s’arrête entend-elle dire. Elle ouvre la bouche et embrasse la chatte. Le pincement se réduit. Anna sent qu’on lui lie les bras dans le dos. Puis un lacet est mis autour de son cou. Les filles s’écartent pour regarder Anna. Elle est à genou et n’ose pas bouger. La cheffe dit : Quel joli trophée. J’ai une idée on va s’entrainer au tir au but et celle qui marque peut disposer du trophée une minute. Les filles applaudissent. Anna est tirée par la laisse jusqu’ aux gradins du terrain de hand. Elle est attachée couchée sur un banc. Les filles commencent à jouer. A chaque tir réussi une fille vient se faire lécher par Anna. Certaines préfèrent brouter Anna ou la caresser. Au bout d’une demi-heure la cheffe regarde sa montre et dit. Il reste un quart d’heure. Celle qui met le plus de but gagne le trophée. Un quart d’heure plus tard une fille très jolie mais hyper musclée rugit de joie. Elle vient détacher Anna du banc en gardant les mains liées et le lacet autour du cou. Les filles applaudissent. Puis elles vont se doucher. La gagnante emmène Anna avec elle sous la douche et la savonne méticuleusement puis la sèche. Les filles se rhabillent et une à un quittent le gymnase. La gagnante Olga rhabille Anna mais ne la détache pas. Elle lui bâillonne la bouche avec un tee shirt et la traine derrière elle vers la sortie. Anna se dit qu’on va les voir. Dehors c’est déjà la nuit il est tard et les deux filles arrivent jusqu’à la voiture d’Olga sans être vues. Anna est montée dans la voiture couchée en travers de la banquette arrière. Voyage. La voiture s’arrête Anna entend une porte de garage automatique qui s’ouvre la voiture entre dans le garage. Anna est sortie de la voiture et tirée pas la laisse emmenée dans un petit salon. Olga la déshabille et commence à lui faire l’amour maladroitement sans la détacher. Anna plaint cette fille qui est si gauche. Elle ne doit pas souvent conclure se dit-elle. Elle a presque pitié et petit à petit elle prend les choses en mains même si celles-ci sont toujours attachées. La fille est aux anges. Anna a l’impression que la fille est à son premier flirt. La fille l’emmène ensuite dans sa chambre ou elle couche Anna contre elle. Elle n’a pas parlé depuis le départ du gymnase. La fille s’endort. Anna a remarqué qu’un de ses liens devenait lâche. Elle s’escrime dessus et bientôt elle libère sa main. La fille dort toujours. Anna se libère entièrement et regarde le visage angélique de la fille endormie. Anna réunit les liens qui l’attachaient et avec mille précautions commence à attacher la géante dans le lit. D’abord elle fait un tour des poignets avec du lacet puis les pieds. Elle attache ensuite les brins libres qui vont des poignets jusqu’aux pieds du lit. Elle ne tend pas les liens pour ne pas réveiller la fille. Puis c’est au tour des pieds. Elle termine le deuxième quand la fille fait un geste en dormant un lien se tend et immédiatement la fille se réveille. Anna fonce au lien d’un poignet et tire de toutes ses forces pour le tendre. La fille rugit et se débat elle a une force herculéenne. Anna réussi quand même son coup elle va de l’autre côté et tend le deuxième lien. La fille rue se cabre et se débat comme une furie mais toujours en silence. Les deux bras sont totalement immobilisés. Anna entreprend de tendre les liens des jambes il lui faut 10 mn pour y arriver en profitant des moments ou la fille reprend son souffle. La fille est écartelée. Anna est ruisselante de sueur. Le combat a été dantesque. La fille la regarde sans ciller. Anna lui dit alors tu vois ce n’est pas cool de faire ça à une inconnue. La fille la regarde toujours sans parler. Anna met sa main sur un sein de la fille pas de réaction Anna caresse le corps musculeux. La fille la regarde toujours fixement. Anna s’enhardit et approche de l’entrejambe. Elle sent que la fille se crispe légèrement Anna met la main sur le sexe. La fille laisse échapper un soupir. Anna y va franco et caresse le sexe. La fille halète un peu. Anna la pétrit carrément et la fille tortille comme une furie. Anna arrête et approche ses mains du cou et du visage de la géante qu’elle caresse. La géante gémit et cherche les caresses. Anna se met à cheval sur le corps athlétique au niveau du nombril de la fille. Celle-ci la regarde fixement. Anna remonte petit à petit elle a l’impression que le fille se tortille pour aider la lente reptation. Enfin le sexe d’Anna est au niveau de la bouche de la fille. Celle-ci respire fort et doucement pose sa bouche sur le sexe d’Anna. Anna lui caresse le visage. La géante ouvre alors la bouche et suce maladroitement le sexe d’Anna .elle lui dit : Doucement on a le temps. Lèche profondément et n’oublie pas ça elle met le doigt sur son clitoris. Obéissante la fille fait ce que lui demande Anna. Pendant près d’une demi-heure Anna se fait brouter par la fille. Anna jouit plusieurs fois et sent que la fille est à chaque fois au bord de l’orgasme. Il est tard Anna lui dit maintenant je vais te libérer mais tu me laisse t’attacher les mains dans le dos on dormira ensemble ce soir il est trop tard pour que je rentre. Un hochement de tête. Anna met son plan en œuvre et vient se pelotonner contre les seins de la fille qui semble aux anges. Plusieurs fois dans la nuit la fille l’embrasse comme elle peut. Anna se décide à se remettre à califourchon sur la fille qui aussitôt la broute avec la plus grand attention. Anna la masturbe avec la main la fille gémit et se laisse aller. Au réveil Anna voit que la fille la regarde en adoration. Anna l’embrasse la fille réagit fougueusement. Anna la détache et la fille la serre dans ses bras. Elles prennent un petit déjeuner ensemble. Au moment où Anna va partir la fille lui souffle tout bas revient s’il te plait. Deux jours plus tard Anna retourne au gymnase ou elle revoit ses amies. Elles font leur gym et en sortant de la douche elles voient arriver les handballeuses. Certaines pouffent en regardant Anna mais lorsque la géante leur parle à voix basse les rires se figent net. Les amies d’Anna sont impressionnées par les carrures des handballeuses. Elles plaisantent entre elles et Vanessa une petite blonde dit. Ça doit faire drôle de se faire choper par ces filles. Michelle la brunette regarde les athlètes , songeuse. Vous voulez voir ce que ça donne leur dit Anna. Ses amies gloussent. Tu crois qu’elles nous sauteraient dessus comme ça ? Vous voulez ou pas demande Anna. Les filles la regardent étonnées. Tu crois que ça nous fait peur. Tu te trompes. Anna leur dit on n’a qu’à essayer. Ses amies la regardent rêveuses. Tu saurais les décider toi Anna. Ok dit Anna préparez-vous à une sacrée expérience. Puis elle se dirige vers la cheffe des handballeuses. Bonjour dit-elle. Mes amies pensent que vous n’oseriez jamais vous en prendre à elles. La cheffe la dévisage. Et toi tu en reveux. Anna n’a pas le temps de répondre que la géante s’approche et dit. Je l’ai gagnée elle est à moi. Et elle passe sa ceinture autour du cou d’Anna en lui faisant des gros yeux. Anna comprend qu’elle veut donner le change et se laisse faire. Il nous reste les deux autres dit la cheffe et elle se dirige vers Michelle et Vanessa qui commencent à flipper. Le team suit la cheffe et en quelques secondes Michèle et Vanessa sont nues pelotées attachées et obligées de lécher des sexes impatients. Anna sur la demande de la géante s’est déshabillée et se laisse promener tirée par son collier improvisé. Les victimes sont amenées dans les gradins elles font les fières mais se font quand même toute petites. Le challenge recommence. A la fin de la séance les deux gagnantes se mettent à califourchon sur leurs victimes sanglées sur les gradins. Elles font de leur mieux pour satisfaire leurs propriétaires. Les autres filles partent peu à peu. Anna part avec la géante. Elles passent une nuit heureuse Anna commandant et la géante entravée réalisant tous les désirs d’Anna. Le surlendemain Anna retourne au gymnase. Elle croise Michèle qui lui raconte sa soirée lesbienne involontaire. Elle ne garde pas un mauvais souvenir mais ça n’est pas sa tasse de thé Vanessa n’est pas là. Lorsque les handballeuses arrivent Anna pose la question à la géante. Il n’est rien arrivé à Vanessa ? La géante perplexe se dirige vers Sophie, celle qui avait « gagné» Vanessa. Celle-ci sourit et lui dit qu’elle est chez elle et que tout va bien. Elle vient voir Anna et lui propose de venir voir Vanessa . Anna qui commence à être inquiète accepte de voir Vanessa pour se rassurer. Sophie lui donne son adresse et lui dit qu’elle peut passer ce soir elle verra Vanessa. Le soir venu Anna accompagnée de Michelle se rend chez Sophie. Celle-ci les reçoit cordialement et leur indique que Vanessa est là car elle devait garder le jouet de Sophie au chaud pendant l’entrainement. Les filles sont intriguées. Sophie les mène dans sa chambre qui est vide. Puis Sophie ouvre la porte de sa garde-robe. Là, à genou, les mains liées dans le dos se trouve Vanessa qui les regarde en clignant des yeux. Une corde va du tour de son cou jusqu’à la barre horizontale sur laquelle on pend les habits. Les genoux sont légèrement écartés et les filles peuvent voir que Vanessa est empalée sur un gode. Sophie lui dit de dire bonjour à ses amies. Vanessa leur dit un bonjour timide. Sophie lui dit. Montre-nous comment tu réchauffes mon jouet. Vanessa commence alors des mouvements de haut en bas sur le gode. Les filles n’en croient pas leurs yeux. Sophie toute fière annonce qu’elle a passé un pacte avec Vanessa qui restera avec elle une semaine avant la reprise de ses cours. Vanessa acquiesce du chef. Bon alors si tout va bien on va vous laisser tranquille dit Anna. Sophie les raccompagne jusqu’à la sortie de la maison puis revient vers Vanessa. Bien ma belle tu as bien fait de faire ce que je t’ai dit sinon tu aurais reçu une raclée d’enfer. Vanessa se recroqueville dans son cagibi. Aller souris moi dit Sophie. Vanessa sort un petit sourire contraint. Bon je vais te libérer un peu mais tu ne t’éloigne pas de plus d’un mètre de moi ou que j’aille dit Sophie. Vanessa opine. Oui maitresse on dit. Oui maitresse dit Vanessa. Sophie la détache. Bien entendu tu restes nue et tu portes ce beau collier pour chien que je t’ai acheté à l’animalerie du coin. Vanessa se laisse mettre le collier et suit Sophie comme un toutou. Elle passe la soirée à chercher sans cesse d’être à moins d’un mètre de Sophie. Pour finir elle se colle à elle en permanence. Ce soir-là elle est attachée au pied du lit de Sophie qui lui promet une promenade le lendemain.
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Par : le 08/03/21
Aveux d'aiguilles. Quelle heure pouvait-il être ? Le rideau ne laissait deviner aucun jour, un bruit à l'étage de temps à autre. Madame avait pris soin de l'avertir de toute la déplaisance de quelque cri qui soit, et combien il serait vain. Un épais collier de chien fixée au cadre métallique entravait tout mouvement de la tête . Pieds et mains étaient immobilisés pareillement et rattachés au lit ; un harnais maintenait son entrejambe ouvert, son cul offert, macérant . Il essayait d 'émerger de son état vaseux, de reprendre pied. Il lui apparaissait de plus en plus que l'aspirine qu'il avait bue avant de s'endormir, juste après la fin d'un de ses plaisirs , n'en était pas vraiment une. Depuis combien de temps était-il resté couché là ? De minuit à maintenant? Deux minutes ? Un instant ? Il se revoyait pousser la porte après avoir sonné à l'interphone. «  Vous êtes ponctuel, j'apprécie. » . A demi-allongée sur l'ottomane, elle laissait pendre sa longue main, indolente, posée sur l'accoudoir. «  A genoux je vous prie. ».A ses doigts, quelques bagues; il les devinait dans la pénombre . Il trouvait leurs feux envoûtants et le lui avait dit. Elle avait souri. Les mots de sa toute première lettre, celle qui avait retenue son attention , lui revenait en mémoire. » Il n'est de sombre objet de désir que d'obéir à votre fol empire. Vous, jouant de ce corps rampant, esclave de sa jouissance, tout à vous. Vous, désireuse d'éteindre tout orgueil, ... /.... » Elle prenait grand plaisir à le prendre au piège de ses mots «  Qu'en savez- vous de ce qui me plaît ? Ne seriez-vous pas en train de me suggérer et les questions et les réponses ? ». Lui, de se troubler, ne savait plus que dire. Elle, petit sourire au coin des lèvres, goûtait de le mettre mal à l'aise. « Vos phrases sont maniérées. Aucune spontanéité n'en ressort, je suis un peu déçue. Vous êtes surtout esclave de vous-même. De vouloir tant vous contrôler, vous êtes autant perdu que perclus. » Je vais m'employer à vous défaire de cela... Plus tard, nu, dans cette pièce de la cave où il n'était jamais descendu qu'avec un foulard sur les yeux, il lui revint, sentant son souffle , avoir osé fixer un instant son regard. Dans ses yeux e cristal, il devina immédiatement le faux pas . Elle lui saisit le visage et, enfonçant ses ongles dans ses joues jusqu'au sang, elle le força à plier. Au sol s'ensuivirent les sifflements du jonc, sentence, claquements secs, cris retenus, silence, ….latence.  « Vos mains, je ne vous le redirai pas. ». Un bâillon mit un terme aux cris qu'elle ne parvenait à faire taire.  « Dix de plus si vous continuez votre cirque. » n'avait suffi. Elle entreprit dès lors de l'attacher sur ce qui tenait lieu de lit. De le goder, de le fouir consciencieusement, l'amusait. Sans jamais cesser de le faire glisser, elle tournait l'accessoire, gagnait en profondeur; elle le maniait lentement d'un geste sûr. Elle en jouait selon les gémissements de sa « chose ». Elle se piqua au jeu d'en rajouter un second, de taille plus modeste. Les reins de la « chose » baignaient désormais dans le gel et le foutre, sur ce film plastique jeté sur ce matelas taché et défoncé . Arrivée à ses fins, elle regarda son œuvre qui haletait, se tortillait dans son inconfort, son trou distendu, visage crispé. Au moindre petit mouvement, on entendait la peau poisseuse coller au plastique. Il n'avait encore lâché prise, elle attendait qu'il s'abandonne, qu'il arrête de réfléchir, qu'il se donne, qu'il sombre au-delà de ce qu'il avait imaginé. La confiance , voilà ce qu'elle voulait, qu'il s'en remette à elle sans gamberger, qu'il se perde. Elle le tenait. Madame en vint à ce qu'elle projetait pour lui, depuis quelques jours ; ce qu'elle s' était bien gardée de lui dire. D'une petite boite en nacre, elle sortit deux aiguilles creuses, assez grosses, proche d'une allumette. En soi, les aiguilles n'effrayaient pas le garçon attaché plus que ça , mais voyant leur taille, il ne put retenir un geste de recul. Du dos de sa main, elle lui caressa doucement la joue. Après le froid et l'odeur entêtante de l'alcool sur le téton, la rentrer ne fut pas le plus dur ; faire ressortir l'aiguille s'avéra autrement plus sensible. Il la sentait avancer dans la chair, millimètre par millimètre. La plasticité de la peau exigea d'appuyer à revers pour traverser l'aréole. En ville, les perceurs allaient vite; elle, au contraire, s'attachait à progresser tout doucement, avec des petits mouvements oscillants pour aviver la douleur. Rassurante mais ferme, elle s'appliquait à moduler l'intensité de l'élancement . Sa tête bourdonnait, sa bouche était sèche .Madame veillera plus tard à pallier cette gêne à sa manière. Le souffle de plus en plus court; il cherchait à se contrôler, à endurer mais, il se sentait perdre pied inexorablement. Si près de cette pointe biseautée et du visage détendu de cette femme, son cœur s'affolait. Quelques gouttes de sang perlèrent, puis un filet corail descendit son torse. Elle, concentrée, l'observant à la dérobée ; lui un peu pâle, en sueur.... Du fait de ce bâillon particulier à l'odeur si musquée qui occupait sa bouche, il peinait à respirer. Il n'était plus qu'un corps à disposition. Madame saisit un anneau épais de trois bons centimètres de diamètre qu'elle glissa dans le creux de l'aiguille qu'elle fit glisser en retour, Son pouls s'emballa de plus belle. La pose du second anneau le lança encore plus. Elle se repaissait de sa lenteur et des déglutitions de l'homme épris d'elle . La douleur n'est en rien une science exacte. La douleur de ce soir-là n'avait rien de commun avec celle, habituelle, qu'il lui arrivait de se donner, pour voir : les gros hameçons dont il polissait l'ardillon, des aiguilles de seringues qu'il était allé acheter dans un magasin pharmaceutique. « Vous êtes de profession médicale ?Laissez-nous vos coordonnées professionnelles, nous avons des offres promotionnelles régulièrement ... » lui avait proposé la vendeuse . Les 2 boîtes de 100 ne passaient pas inaperçues... Embarassé, il lui fallut très vite trouver quoi répondre … Les lèvres, le gland , le nombril ou les seins, …il testait, ...se testait, appréciait la douleur, se concentrait sur son geste... Seul, ce faisant, il ne dépendait de personne, ce n'était qu'un petit exercice de maîtrise de soi qui avait commencé jeune. Bien sûr, ses limites ne manquaient pas de le rappeler à l'ordre s'il les outrepassait. Il avait failli certaines fois tourner de l'oeil. Le sang, le sien, ne l'avait jamais effrayé ; depuis toujours il admirait l'intensité de ce rouge . Point commun avec le foutre il poissait et collait. De savoir jusqu'où la douleur, ou bien la répugnance, mêlée à la jouissance brouillait les perceptions  l'avait toujours travaillé. Pour autant, la répugnance ne fonctionnait pas comme la douleur ….qui crispe, qui chauffe, qui porte au cœur ; elle est plus cérébrale..autre. Ce qui le faisait fantasmer, ...non sans une certaine appréhension, c'était d'abolir son libre-arbitre. Se déprendre complètement de soi-même.... Mais surtout, qu' une femme le dépossède de sa volonté, une femme qui aurait tout pouvoir sur lui.... à qui il s'en remettrait. N'avoir à contrôler que ce qu'elle exigerait..... Pourquoi une femme ? Il lui arrivait plus rarement d'imaginer un homme.Il trouvait les femmes plus douées pour humilier et jouer avec les temps : tension, rupture, accelerando ….afin de ruiner toute attente. Il prenait conscience que la soumission lui importait plus qu'il ne le pensait....et il comprenait que seule l'expérience de la réalité le mettait au pied du mur. Avec elles, il repoussait ses limites ; s'il lâchait son safeword « kadish », c'était aux confins de lui-même. La chair prise comme lâcher-prise. Avoir mal est immédiat, irraisonnable ; un « ici et maintenant » réel, incontournable, insistant! ... Jouir vous emportait ailleurs, hors du temps, irréel... Le mixte des deux avait toujours attisé sa curiosité ; il le voyait comme une présence-absence impossible à définir, une sensation indicible. Le degré suprême étant la peur d'avoir mal; la crainte... Après l'avoir annelé aux seins , elle s'enquit d'orner son entrejambe d'une guiche conséquente. Le visage blême et toujours bâillonné, il s'efforçait en vain de calmer sa respiration, tout en goûtant l'avance de l'aiguille qui glissait dans ses chairs entre l'anus et le sexe....Dans un état flottant....il s'abîmait dans le regard tranquille de la femme aux aiguilles. Retrouvant vaguement ses sens, seul, il somnolait. Toujours menotté à ce cadre de lit, impossible de se retourner. Il ne l'entendit pas rentrer. Une porte accédait semble-t-il à l'arrière. Sans un mot,, une main se posa sur sa nuque , l'autre descendit, caressant sa poitrine. Elle fit bouger délicatement chacun des deux anneaux. « Regarde, tu es à moi. » Son visage quiet rayonnait … Son plaisir était le leur.
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Par : le 08/03/21
Comment je fis connaissance d'Huguette Ma méthode de drague infaillible avait fonctionné au delà de mes espérances ce jour là. Alors que j'errais sur un site de Tchat, l'esprit vide mais les couilles pleines, je suis contacté par une quasi voisine. J'aurais peut-être du me méfier quand, à mon «bonjour» elle a répondu par «tu me plais», et à mon « comment ça va?», elle avait  répondu par son numéro de portable. Mais bon mon charisme transpirait sous chacun de mes mots, donc rien d'étonnant. Et un Maître de ma trempe ne pouvait se laisser déstabiliser comme ça; j'enchaînai en lui proposant de se voir autour d'un café, ce à quoi elle rétorqua «vient plutôt me fouetter et me faire tout ce que tu veux à 14h chez moi». J'aurais presque pu être frustré devant tant de facilité si je n'y étais habitué; j'étais d'autre part tellement en manque que je n'en demandai pas davantage.    C'est très surfait la mauvaise réputation des quartier nord de la ville me dis-je; j'avais pu arriver jusqu'au pied de la tour de 14 étages sans me faire caillasser une seule fois. Evidemment  les gaillards dans la cage d'escalier me regardaient d'un sale air (pas celui de la peur en tous cas) alors que je cherchais le nom sur les sonnettes...Voilà Huguette M. 12ème étage. Je pris volontiers l'escalier quand les loubards m'expliquèrent clairement que l'ascenseur était réservé.     Lorsque la porte s'ouvrit , je compris pourquoi ma charmante néo-soumise ne sortait pas de chez elle; elle ne passait plus par la porte depuis plusieurs années. Loin de moi l'idée de critiquer son physique, être à ma hauteur n'était évidemment à portée du commun des mortels. Je la suivi dans le salon; sa démarche de canard, déplaçant une masse imposante à chaque pas me donnait le mal de mer. Elle se laissa tomber lourdement sur un canapé qui demandait grâce une nouvelle fois. Ses ex-cheveux blonds, mi-longs, n'avaient pas vu le coiffeur depuis une éternité; le shampooing non plus. Leur couleur grisâtre prouvait qu'elle n'avait pas menti en disant être naturelle. Elle  était habillée  simplement, d'une robe dont le tissus me disait quelque chose… Mais oui , les rideaux de mamie! Même couleur, quasiment la même coupe aussi (sauf qu'il manquait les anneaux en haut). En revanche, soit elle avait mauvaise mémoire soit elle avait menti sciemment en indiquant son âge, qu'à mon humble avis elle avait du sous-estimer d'une bonne quinzaine d'année.      L'air était irrespirable; certes les auréoles de transpiration sous les aisselles de ma belle n'arrangeaient rien, mais ce mélange de tabac froid et de chien mouillé (mort depuis 8 jours _ Renaud, nouvel épisode culturel) se révélait suffoquant. Impossible d'ouvrir les fenêtres malgré ma diplomate suggestion («quelle chaleur…») à cause du bruit: entre la gare de triage à 77m, la rocade à peine plus éloignée, et les avions décollant toutes les 2mn15, nous ne nous entendrions plus parler . Bon, d'un autre coté, pour ce que nous avions à nous dire... Son premier pet me donna l'occasion de respirer un peu d'air frais. Grande Dame elle s'en excusa évoquant des problèmes gastriques récurrents. En me rapprochant d'elle je me dis qu'au moins cela couvrirait l'haleine de coyote de ma belle.    Il fallu quinze bonne minutes pour parvenir à ôter la robe de la dame. Certes elle était moulante (mais tous les vêtements avec elle l'étaient forcément), mais la transpiration n'aidait pas. Enfin nue, je découvris avec plaisir ses bas résilles. Certes les mollets de la dame équivalaient à mon tour de taille, mais au moins je voyais là un effort.  En m'approchant, je désenchantai en découvrant qu'il ne s'agissait que de ses varices. Son coté naturel se voyait aussi avec sa toison, jamais taillée; j'envisageai un instant de la raser, ce pourrait être un jeu sympa , mais renonçai pour 2 raisons : j'avais oublié mon taille-haie dans le garage, et je n'aurais pas le temps ensuite de passer à la déchetterie.     Je la positionnai à 4 pattes au sol (ce qui releva par moment de la manutention) et entrepris de la fesser; première claque sur l'auguste fessier: l'onde de choc se propagea  jusqu'au cuir chevelu! Seconde sur l'autre fesse… re-Tsunami. Impressionnant. Vu le manque de résultat , je décidai d'utiliser la cravache. A ma grande surprise, quasiment pas un bruit ne se fit entendre quand celle ci s'enfonça dans la chair molle et flasque. Pas davantage de réaction de la dame. Je renonçai, épuisé au bout de 10 minutes sans la moindre réaction de celle-ci, supposant que les centres nerveux étaient enfouis trop profondément pour être atteints.     Bon au moins, j'allais enfin pouvoir me soulager; j'avais initialement décidé de sodomiser sans plus de manière ma nouvelle complice (sa bonne éducation empêche l'auteur d'écrire cette expression en 2 mots). Mais arrivé en position je dus bien se rendre à l'évidence que pour y parvenir , ( et malgré une taille éminemment respectable… ) il m'aurait fallu un sexe plus long d'au moins 30 cm. Peu importe , loin de me démonter, je fis le tour pour atteindre sa bouche; arrivé épuisé de l'autre coté, je remarquai non sans déplaisir que la belle déposait son dentier avant d'entamer une inoubliable fellation. Inoubliable pour elle surtout qui semblait ne pas avoir pratiqué depuis un certain temps.     Devant la magie de cet instant , plus rien ne comptait. Même les 12 étages à re-descendre à pied, même le racket honteux dont je fus victime arrivé dans le Hall, même les 2 pneus crevés à changer sur la voiture avant de repartir… Parfois , la vie est belle.
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Par : le 08/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 19 : Claire et Magalie cohabitent. Extraits « … Magalie reste bouche bée. Elle a devant elle une belle fille qui est montée comme un cheval et qui bande comme un taureau. De son côté Tristan qui est à genou attaché les mains dans le dos ne peut détacher son regard de Frédérique. Sa bite tente de passer au travers de sa cage. … Pendant ce temps sur un geste de claire Frédérique arrive derrière Tristan et l’encule profondément. … claire le fait se placer face à la tête de Tristan qui voit une énorme bite se colle à sa boucher. Suce-la ! Commande Magalie. Tristan s’exécute. C’est la première fois qu’il suce une bite… » Quelques jour après le rapt Anna se remet bien elle remercie sans cesse ses amis. Claire a raconté toute l’histoire de Frédérique et se décide enfin à la montrer à ses amies. Elle prend rendez-vous un soir avec Magalie. martine et Anna sont inséparables et ne bougent plus de chez martine. La rencontre se passe dans l’appartement de Magalie. Lorsque claire entre Magalie la reçoit avec effusion. Elle est scotchée par la bimbo qui accompagne claire et qui à peine entrée dans l’appartement enlève son par-dessus. Elle n’a rien dessous. Magalie reste bouche bée. Elle a devant elle une belle fille qui est montée comme un cheval et qui bande comme un taureau. De son côté Tristan qui est à genou attaché les mains dans le dos ne peut détacher son regard de Frédérique. Sa bite tente de passer au travers de sa cage. Voyant qu’il souffre Magalie lui retire exceptionnellement la cage et aussitôt le chibre de Tristan prend des proportions identiques à celles de Frédérique. Les filles sourient. Avec ses deux étalons on va passer du bon temps. Elles sont émoustillées. Claire raconte la soumission totale de Frédérique et le actions qu’on peut lui faire faire avec juste un geste de la main. Magalie veut voir. Frédérique danse de façon suggestive puis vient bouffer l’entrejambe de Magalie qui se rend compte de la dextérité de sa langue. Puis voyant l’état de Tristan claire fait un geste et Frédérique va sucer goulument Tristan. Celui-ci trop excité et surpris ne peut se retenir et jouit dans la bouche de Frédérique. Magalie enrage. Tu n’aurais pas dû te lâcher comme ça dit-elle à Tristan qui se recroqueville. Quelle punition je vais t’affliger maintenant. Claire excitée ne perd pas une miette. Elle glisse un mot dans l’oreille de Magalie. Bonne idée dit celle-ci. Aidée de claire elle attache Tristan sur la table du salon sur le ventre. Il est ainsi à quatre pattes et son derrière et offert. Magalie vient en face de lui et lui montre son entrejambes. Il la lèche. Pendant ce temps sur un geste de claire Frédérique arrive derrière Tristan et l’encule profondément. Heureusement Magalie a donné à claire un flacon de lubrifiant qu’elle a copieusement répandu sur le chibre de Frédérique. Tristan la bouche collée à la chatte de Magalie se plaint doucement. Frédérique le ramone avec vigueur puis plus lentement sur un ordre de claire. Magalie se retire et propose à claire de la remplacer. Magalie peut contempler le tableau de Tristan se faisant ramoner par une bimbo endurante. Magalie se rapproche de claire qui ne veut pas quitter sa position si intéressant. Elles parlent entre elles alors que Frédérique continue de pilonner et que Tristan qui a cessé de gémir commence à retrouver une érection de bonne taille. Puis sur un ordre de claire qui est satisfaite Frédérique se retire de Tristan. Un ordre de claire et Frédérique va dans la salle de bains nettoyer son chibre toujours tendu. Frédérique revient et claire le fait se placer face à la tête de Tristan qui voit une énorme bite se colle à sa boucher. Suce-la ! Commande Magalie. Tristan s’exécute. C’est la première fois qu’il suce une bite. Finalement ce n’est pas si mal. Les présentations ayant été faites les filles vont s’assoir sur le canapé. Tristan qui a été libéré et Frédérique sont à genou devant elles. Claire raconte à Magalie que ça commence à lui couter cher. Magalie fait la même constatation, Tristan est toujours au chômage. La conversation tourne autour des économies qu’elles pourraient faire. Puis l’idée d’une colocation vient à Magalie. Elles pourraient prendre un plus grand appartement et s’installer toutes les deux avec leurs esclaves dans l’appartement. Les abonnements assurance et autres seraient divisé par deux et le loyer d’un grand appartement est moins cher que celui de deux petits. Elles se décident et trinquent à leur future cohabitation en buvant un verre et en se faisant brouter par les esclaves.
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Par : le 08/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE DIX HUIT : Anna récidive. Extraits « … De son cotés elle fait tout pour leur plaire : elle danse, suce, s’offre et prend toutes les positions souhaitées. Ses trois orifices connaissent intimement chaque garçon… Tu feras une bonne pute pour notre squat dit le deuxième. Elle veut crier mais le troisième larron qui l’a contourné lui passe un grand sac par-dessus la tête… Elle pleure mais se tait. Un des gars visiblement échauffé par les coups lui colle son chibre aux lèvres. Désemparée elle suce le membre. Voilà ton chez toi pour une petite semaine lui dit un des gars. Ensuite c’est le mac et le tapin pour toi. On devrait palper un bon paquet pour toi…. » Lorsqu’elle rentre chez elle Anna est tourneboulée. Elle n’a jamais été autant heureuse que lors de ces 24h00 incroyables. Elle ne peut plus compter le nombre d’orgasme mais ça lui a beaucoup plus d’être à la merci de ses garçons. Elle s’est sentie chienne et aurait voulu que ce moment dure éternellement . Elle a l’impression de trahir martine mais elles ne sortent pas ensembles elles jouent juste un jeu de soumission très agréable. Maintenant elle pense que malheureusement ce genre d’aventure ne risque pas de lui arriver de nouveau. Et ça la chagrine un peu. Quelques temps plus tard un samedi après-midi un sms la surprend il provient de tom qui a certainement fouillé dans son portable quand elle était prise en main. Une onde de chaleur irradie depuis son bas ventre. Elle lit le sms. Dessus un simple : je garde la maison de martine jusqu’à demain midi. Pas d’invitations rien de plus. Elle hésite. Petit con tu crois que je vais te refaire l’esclave de toi et ta bande de potes. Quelques minutes après cependant elle est en route vers la maison de Martine. La journée se déroule comme un rêve les garçons adorent la voir attachée et la malmène gentiment. Ils voient qu’elle adore ça. De son cotés elle fait tout pour leur plaire : elle danse, suce, s’offre et prend toutes les positions souhaitées. Ses trois orifices connaissent intimement chaque garçon. Le lendemain matin elle rentre extenuée mais béate chez elle. Deux semaines plus tard nouveau SMS. Elle se précipite. Elle arrive se met en tenue d’esclave et pénètre dans la pièce. Tom est là mais elle ne reconnait pas les trois garçons qui l’accompagnent. Ils sont louches et elle sent qu’il n’y a pas l’ambiance potache de l’autre jour. Tom parait très réservé mais les trois autres garçons se ruent sur elle et elle est pelotée tâtée fouillée et ne tarde pas à être l’objet des assauts de trois bites de tailles respectables. Elle se dit qu’ils sont mieux montés que les copains de tom. L’un deux la sodomise et là elle peut confirmer que ça n’est pas du petit calibre. Petit à petit cependant elle se laisse portée par la séance de sexe et bientôt elle oublie le malaise qui l’a pris en rentrant. Après deux heures d’orgie sexuelle les trois garçons s’écartent pour faire un conciliabule. Elle se rend alors compte que tom n’a pas participé et parait gêné. Les garçons ont terminés leur aparté et se rapprochent d’elle. Tu sais que tu as un cul d’enfer dit le premier. Tu feras une bonne pute pour notre squat dit le deuxième. Elle veut crier mais le troisième larron qui l’a contourné lui passe un grand sac par-dessus la tête. Elle se débat autant qu’elle peut mais ligotée comme elle est-elle ne fait pas le poids contre les trois gaillards. Très rapidement elle entre complétement dans le sac et le noir arrive quand ils ferment le sac avec elle dedans. Elle entend l’un des trois dire à tom. Voilà tes trois mille balles elle les vaut bien. On va en profiter quelque temps et après on la vendra à un mac qui en fera une bonne tapineuse. Anna se débat dans le sac et des coups pleuvent à travers la toile Ta gueule putasse sinon on te bastonne vraiment. Si tu aimes les coups tu vas être servie. Encore que ce ne sera rien par rapport au mac à qui on va te vendre. Anna est paniquée mais ne bouge plus. Et toi Tom tu fermes bien ta gueule sinon tu ne passeras pas la semaine. Elle sent qu’on la porte comme un sac de pomme terre. Elle est mise dans un coffre qui pue l’essence et la voiture démarre. Quelques minutes plus tard elle est sortie du coffre le sac est hissé sur une épaule elle est transportée on ne sait où. Le sac est jeté par terre. Elle sait qu’elle doit être couverte de bleus. Le sac est ouvert elle regarde autour d’elle. Elle est dans une pièce miteuse sans fenêtre et un matelas pourri git par terre. Il y a une espèce de petit échafaudage sur le côté. Elle est sortie du sac et amenée près de l’échafaudage. Ses poignets sont libérés mais se retrouvent attachés à une barre horizontale en haut de la structure. Ils lui font reculer le corps au maximum et une barre d’échafaudage est placée devant son bassin. Ses jambes sont écartées et elles sont attachées à un élément de la structure. Le bas de son corps est vertical mais au-dessus du bassin elle est plié contre la barre et est forcée à se tenir horizontale. Une corde est passée autour de son cou accrochée en bas et elle ne peut que garder sa tête à hauteur de son bassin. On lui tire les bras en arrière et elle sent une barre, peut être un manche à balai, venir dans son dos horizontalement. cette barre qui passe sous les omoplates est attachée en haut des épaules. Ses mains sont tirées vers le haut et attachée en hauteur. Elle et pliée en deux les bras tendus derrière elle tirés par un corde vers le haut. Elle ne peut ni lever ni baisser la tête. Cette position est douloureuse. Elle veut crier mais prend une claque phénoménale qui lui laisse un gout de sang dans la bouche et un uppercut dans le ventre qui lui coupe le souffle. Elle n’arrive pas à respirer et croit qu’elle va mourir là. Un deuxième énorme claque fait voler sa tête sur le côté et lui remet le réflexe de respirer. Elle entend tu fermes ta gueule salope ou on va te faire vraiment mal. Elle pleure mais se tait. Un des gars visiblement échauffé par les coups lui colle son chibre aux lèvres. Désemparée elle suce le membre. Voilà ton chez toi pour une petite semaine lui dit un des gars. Ensuite c’est le mac et le tapin pour toi. On devrait palper un bon paquet pour toi. Anna panique elle croit qu’elle va mourir. En plus elle n’a prévenu personne de son déplacement. Elle s’évanouie. Martine est rentrée et tom l’a accueillie. Il était pale et n’a pas chercher à la draguer. Ca l’étonne. Elle se dit qu’il a surement été largué par sa copine. Je vais bien voir. Et quand tom est parti elle va récupérer la mini camera espion qu’elle a mis pour filmer le salon. Elle veut voir si les ébats des jeunes ne sont compatibles avec le prêt de la maison elle a peur qu’il fasse venir des mineures. Elle lance la caméra. D’abord tom puis trois mecs patibulaires entrent dans la pièce. L’un deux à un grand sac de jute vide qu’il planque derrière un fauteuil. Le temps passe et leur regard est attiré vers l’entrée. Elle ne voit pas ce qui les intrigue mais elle les voit se précipiter vers l’entrée. Puis effarée elle voie les gars conduire Anna ligotée au centre du salon. La suite est cauchemardesque mais le paroxysme est atteint quand Anna est kidnappée et frappée par les gaillards. Elle voit l’échange d’argent et tom qui reste seul avec l’argent. Elle est affolée. Elle appelle claire et Magalie et leur raconte ce qu’elle a vu. Les filles lui promettent de rappliquer aussitôt. Le temps que les filles arrivent elle enregistre le film sur le pc et peut ce coup-ci entendre les paroles. Elle est effondrée. Magalie et claire arrivent Tristan les accompagne. Ils n’osent pas appeler les flics ils ont peur que ce soit fatal pour Anna. Tristan propose de joindre tom et de le faire parler. Magalie appelle tom et lui raconte qu’elle a un petit problème à la maison et lui demande de la rejoindre tout de suite. Trois minutes pu tard tom arrive piteux. Tristan lui décoche un coup de poing magistral qui met quasiment ko le gamin. Elle est où dit-il en levant la main. Tom se déballonne dit qu’elle est provisoirement dans un squat et que dans quelques jours elle va être récupérée par un mac. Tristan demande si tom sait où se trouve le squat. Il confirme. Ils veulent y aller tout de suite mais tom leur dit que les kidnappeurs ont des armes. Les filles sont désespérées. Tristan seul à garder son calme demande à tom s’il y a moyen de la délivrer sans être vu. Il répond : pas aujourd’hui car ils sont tous là. Mais cette nuit ils ont prévu un cambriolage chez un rupin et entre 3 et 4 heures du mat le squat devrait être désert. Tom dit qu’il pense savoir les conduire jusqu’à la pièce qui a été aménagée pour Anna. Tristan lui lâche un coup de poing. Salopard lui dit-il tu l’as vendue pour trois mille balles. Tom est effondré. Si on n’y arrive pas je te fais la peau dit Tristan. Tom se recroqueville. Les filles sont soufflées par le comportement de Tristan qui a pris la tête du groupe. L’attente jusqu’à 3h00 est interminable. Ils s’imaginent les sévices que doit subir Anna et rongent leurs freins. Les filles regardent tom avec une haine affichée. Claire se dit qu’il mériterait de rencontrer la tigresse si on ne le tue pas avant. 2h50 ils ont garé la voiture à trois cent mètre du squat et Tristan Magalie et tom se dirigent discrètement vers le squat. Claire retient martine dans la voiture. Elle lui dit qu’elle ne saura pas se retenir si elle voit Anna. La discrétion est vitale pour eux. Heureusement tom connait un chemin détourné discret pour arriver près du squat. Ils se font presque repérés quand une voiture quitte discrètement le squat. Les trois salauds sont dedans. Ils vont faire le coup dit tom. Ils attendent une quinzaine de minutes puis entrent dans le squat par une fenêtre éventrée. Tom leur dit qu’il y a des zonards dans le squat mais heureusement ceux qui avaient des chiens sont partis la semaine dernière. La progression dans le squat est longue mais ils prennent le maximum de précautions. Ils arrivent devant une porte fermée par une chaine close par un énorme cadenas. C’est là dit tom. Les filles sont désemparées. Tristan retourne en arrière et fouille le squat. Il revient quelques minutes plus tard avec une barre de fer. Après quelques minutes de lutte bruyante le cadenas cède. Ils peuvent ouvrir la porte le spectacle est terrible dans la lueur de la seule torche allumée. Anna git toujours enchevêtrée dans la structure métallique. Son visage et son corps sont tuméfiés. Les filles retiennent cri car elles pensent qu’Anna est morte. Tristan se précipite prend le pouls d’Anna. Elle est vivante dit-il soulagé. En quelques secondes, aidé de tom il libère Anna qui ne réagit pas. Tom et Tristan la portent pour reprendre le chemin du retour en priant pour que les bruits n’aient réveillé personne. Quelques minutes après ils quittent le squat. Magalie appelle claire qui approche la voiture à un point convenu. Ils montent dans la voiture en couchant Anna sur les genoux des filles. Martine pleure éperdument. Ils ne vont pas chez martine mais directement chez Magalie. Là ils allongent Anna sur un lit et ils essayent de soigner ses hématomes. Heureusement elle n’a rien de cassé. Elle avait trop de valeur marchande pour être abimée. Martine pleure et tom pleure aussi dans son coin. Ils vont me tuer répète-t-il. Effectivement c’est le premier suspect que les truands viendront chercher. Laissant tom seul dans un coin les quatre se concertent. Si ils trouvent tom on est foutu dit Tristan. Même s’il se rend aux flics ils finiront par l’avoir. Il faut qu’il disparaisse. Claire dit soudain tout bas : je sais quoi faire. Ils la regardent étonnés. En quelques mots elle raconte son deal involontaire avec la tigresse. Il ne lui reste qu’une semaine et elle a peur pour sa vie. Ils se concertent. Sans la camera espion Anna serait dans un état bien pire que la mort et ce petit batard dépenserait son fric dans des jeux de console. La décision est prise Tristan va parler à tom il lui dit qu’ils peuvent le faire disparaitre de la circulation et que les truands ne le trouveront jamais. L’Esperance fait relever le visage de tom. Mais il y aura un prix à payer dit Tristan. Tout plutôt qu’être chopper par ses malades dit tom. Son destin est scellé. Ils passent tous la nuit chez Magalie. Personne ne dort. Anna délire mais sa respiration et son pouls vont bien. Le matin se lève et dès qu’ils trouvent l’heure convenable claire appelle la tigresse. Celle-ci est ravie. Elle les attend sans délais. Une fois le téléphone raccroché la tigresse sourit. J’avais peur d’avoir gâché de la marchandise en tuant ces trois cambrioleurs cette nuit mais le destin me remercie en m’amenant un gamin à éduquer.
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Par : le 06/03/21
Bonjour, Je m'appelle Ahsan, homme de 33 ans de l'Ile de la Réunion. Ancien Balnéolais (92) je souhaite partager avec vous mon expérience. Je tiens tout d'abord à m'excuser pour mes fautes d'orthographes ou syntaxes (je suis anglophone). Je ne saurais dire d'où me viens cette envie d'être fésser et de corriger mais ma 1ère expérience était innoubliable. J'était alors étudiant, fantasmant sur ma prof (Mme. M.S) une jolie femme brune, mince toujours bien habillée. Je passais mes nuits à rêver qu'elle me prenne sur ses genoux et qu'elle m'administre la fessée. J'ai donc commencé à publier des annonces afin de trouver une partenaire pour passer de bons moments cuisants mais en vain... Je ne sais pas si j'étais trop jeune, ou mon métissage faisait peur (je suis indien à la peau très claire, plutôt mignon d'après mes copines de classes). Je n'ai donc pas trouvé de partenaires en ligne. Je n'étais pourtant pas de nature timide, j'aimais le contact avec les gens mais mes recherches n'ont malheureusement pas portés leurs fruits. Entendre le mot fessée ou voir une scène de fessée provoquait (maintenant aussi) une forte excitation en moi. Un soir j'ai décidé de prendre les choses en mains. J'ai pris dans mon tirroir ma brosse à cheveux, je me suis allongé sur le lit en boxer et j'ai commencer à m'auto-fesser (self spanking) ! J'imaginais que la correction était administrée par ma prof, je n'avais jamais eu une érection aussi dure. J'ai continuer à me fesser (j'avais autant mal au bras qu'aux fesses) mais le plaisir que je ressentais était indescriptible. J'ai posé ma brosse pour baisser mon boxer, lentement, délicatement comme une fésseuse qui prendrait plaisir à déculotter son soumis. J'étais cul nu ! j'ai repris la brosse et j'ai continuer à m'offrir ce plaisir... Je n'ai pas pu résister plus, je me suis retourné ! Je n'oublierai jamais cet instant ou mes fesses encores chaudes ont touché le lit. Je me suis soulagé avec ma main, l'ejaculation fût intense, le sperme avait atteint le haut de mon torse. J'était aux anges...
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Par : le 06/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 17: claire se venge. Extrait » La tigresse le regarde d’un air carnassier. Elle lui dit voyons mon beau qu’est ce qu’on peut faire de toi. Il ne comprend pas. Tu ferais une parfaite soubrette lui dit la tigresse les choses ne plaisent plus à Fréderic qui veut traiter la tigresse de folle. Le premier mot qu’il tente de prononcer lui envoie une décharge électrique formidable. Ça vient du collier. ».. Fréderic s’est installé chez claire il devient de plus en plus ignoble et quand claire veut le menace de le virer de son appartement il la frappe violement. Maintenant il prend l’habitude de la frapper et Claire est dépassée par les évènements. Elle ne sait plus comment faire et se rend chez Magalie pour y raconter Son drame à chaudes larmes. Magalie voyant les bleus sur la peau de Claire est outrée et lui dit de porter plainte à la police. Claire lui dit qu’elle n’ose pas car il a menacé de faire de sa vie un enfer si elle portait plainte. En plus il a des copains d’un genre très douteux qui pourraient lui faire du mal si Fréderic était mis en tôle. Magalie réfléchit un bon moment et se rappelle des mots de la tigresse qui a affirmé qu’elle pourrait les aider avec les mecs. Elle propose à claire d’aller lui en parler. Le lendemain elles sont chez la tigresse qui les a invités dès qu’elle fut mise au courant de l’affaire. Elle se fait forte de ramener cette brute à la raison. Hésitante claire avec les encouragements de Magalie finit par accepter l’aide de la tigresse. Celle-ci leur dit qu’il suffit de lui amener Fréderic à la maison et quelle prendra les choses en main. Un rendez-vous est pris. Fréderic accepte tout se suite de venir avec claire prendre un verre chez un copine. Il est à l’affut de coups d’un soir et on ne sait jamais la fameuse hôtesse pourrait se révéler potable. Ce soir-là ils arrivent devant la belle maison et sont accueillis chaleureusement par la tigresse. Virginie ne paraitra pas ce jour-là. Fréderic, mufle, trouve la tigresse à son gout et pendant la conversation lui lance des allusions à peine dissimulées. Il s’enhardit voyant que la tigresse semble apprécier sa drague. Après quelques verres la tigresse propose de faire un petit jeu. Fréderic se dit que ça va se terminer en partie à trois et ça commence à l’échauffer sérieusement. La tigresse dit : Bon ça va commencer : Frédéric laisse-moi t’installer ça elle montre un collier épais à Frédéric. Il remarque avec un sourire le tutoiement il pense si ça peut lui faire plaisir pas de problèmes du moment que je la défonce tout à l’heure. Elle met le collier un clic se fait entendre. Le petit cadenas empêchant l’ouverture du collier est en place. La tigresse lui prend la main et l’emmène dans un endroit dégagé au centre du salon face au canapé sur lequel la tigresse va se rassoir aux cotés de claire qui est livide. Fréderic sent que ça va commencer par un strip devant les filles et il s’apprête à les satisfaire. La tigresse dit à claire alors on est d’accord. Claire hésite ; le regarde et laisse échapper un petit oui de sa bouche. Fréderic ne comprend pas. La tigresse le regarde d’un air carnassier. Elle lui dit voyons mon beau qu’est ce qu’on peut faire de toi. Il ne comprend pas. Tu ferais une parfaite soubrette lui dit la tigresse. Les choses ne plaisent plus à Fréderic qui veut traiter la tigresse de folle. Le premier mot qu’il tente de prononcer lui envoie une décharge électrique formidable. Ça vient du collier. Interdit il regarde les deux femmes. La tigresse lui dit à partir de maintenant tu n’as plus le droit de parler ça nous fera des vacances. Il retente de la traiter de folle mais ses mots restent dans sa gorge après une décharge qui le laisse sonné. Il reprend ses esprits et veut se précipiter vers la tigresse. Elle appuie sur une touche de la télécommande et aussitôt une violente décharge le foudroie. Il est sonné quelques secondes et veut repartir mais une nouvelle décharge lui coupe le souffle et il tombe par terre. Tu ne dois pas bouger tant que je ne t’autorise pas dit la tigresse montrant la télécommande. Maintenant relève toi elle fait mine d’appuyer sur la touche et il se lève prestement. Et reste sur place. Bien dit la tigresse tu commences à comprendre. Déshabille-toi que je puisse t’étudier dit-elle. Il la défie du regard. Nouvelle décharge. Il s’exécute. Sur les ordres de la tigresse il tourne sur lui-même elle le jauge et semble apprécier. La tigresse demande à claire de se déshabiller celle-ci s’exécute et le corps nu de sa copine commence à exciter Fréderic qui commence à bander. Claire va vers lui et lui fait une fellation le membre de Frédéric est désormais tendu. Claire se recule pour que la tigresse puisse jauger. Tu es bien monté comme promis dit-elle on devrait pouvoir faire quelque chose de toi. Il fulmine. La tigresse donne des menottes à Claire et lui dit de les passer à Fréderic. Il veut résister mais une décharge l’assomme de nouveau. Il se laisser menotter et bientôt une laisse est accrochée au collier et des menottes munies d’une courte chainette entre elles sont mises à se pieds. Il reste interdit sur place à se demande que faire. La tigresse s’approche de lui et lui montre une photo représentant une femme prosternée aux pieds d’une personne. Tu as bien vu. Désormais tu devras te prosterner comme ça quand tu seras en ma présence sauf lorsque je t’ordonnerai autre chose. Il la regarde en pensant tu rêves ma vielle. Elle le fixe quelques secondes et lui indique le sol de la main. Tu rêves pense-t-il quand un décharge le fait faire un cabriole involontaire. Putain ça secoue. il se met en position. La tigresse approche. Ta langue sur ma chaussure dit-elle il s’exécute. La tigresse se recule et va se rassoir près de Claire. Je sens qu’on va bien s’amuser. Elle ressert un verre à claire et à elle-même. Elles boivent silencieusement leur verre. Fréderic ne bouge pas d’un cil. Bien ma chère dit la tigresse tu peux y aller je m’occupe du reste et claire prend congé en jetant un dernier œil à Frédéric. La tigresse revient près de Fréderic avec une craie trace un cercle minuscule autour de lui. Il est tard je vais aller me coucher. Toi tu restes là. Garde la position et n’essaie pas de quitter ce cercle. Sinon le collier te rappela l’obéissance. Elle appuie sur un bouton de la télécommande et le collier émet une petite vibration. Bonne nuit ton chéri dit-elle. Elle quitte le salon et éteint la lumière. Il reprend ses esprits et relève la tête une décharge le foudroie il rebaisse la tête. Le collier se remet à ronronner doucement. Avec ses mains dans le dos il ne peut pas essayer d’ôter ce putain de collier. Rien à faire c’est quoi ce bordel et cette malade se dit il et cette salope de Claire est partie en le laissant avec cette dingue. Cette nuit-là il ne trouve pas le sommeil. Le jour se lève. La tigresse apparait dans le salon . Bien dormi mon petit esclave dit-elle. Il n’ose plus bouger. Debout dit-elle. Il se lève et la toise. Elle s’approche de lui et empoigne la laisse et le tire derrière elle. Elle a une petite cravache dans l’autre main il hésite à quitter le cercle. Un coup de cravache le fait avancer. Il la suit jusqu’au sous-sol. Elle le fait entrer dans une pièce basse de plafond. Au centre de la pièce une grand table avec aux quatre coins des menottes. Sous la table un pot de chambre et un bol rempli d’eau. Il a soif et faim. Elle lui montre du doigt le petit cercle. Il regard le cercle sans comprendre. Décharge. Il se précipite pour se mettre en position de soumission la tête baissée au sol elle vient derrière lu et ôte la laisse et les menottes dans son dos. Elle recule d’un pas hors du petit cercle. Il veut lui sauter dessus mais dès qu’il franchi la limite du cercle une décharge le foudroie. Il revient dans le cercle. Bien tu comprends lentement mais ça vient dit-elle. N’oublies pas quand je rentre dans cette pièce reprends bien ta position. Quand je serais partie tu pourras te déplacer dans ce cercle. Elle montre le cercle de trois mètres de diamètre. Au fait habitue-toi à manger et boire sans les mains. Sur ce elle quitte la pièce. Il se précipite vers le bol qu’il prend dans les mains et veut le lever. Décharge. Il lâche le bol qui ne s’est heureusement pas renversé. Il se met à quatre pattes et lape de l’eau. La faim le tenaille. Un moment après la porte s’entrebâille. Quelques secondes se passent il se demande pourquoi quand une illumination lui vient il va vite se mettre en position dans le petit cercle. La tigresse entre. Elle a une gamelle dans les mains et la pose dans le grand cercle. Bon appétit. Demain on attaque les choses sérieuses. Elle part et il se précipite vers la gamelle et mange à quatre pattes. Plus tard la lumière s’éteint il s’allonge sur la table et dort enfin. La lumière s’allume. Il se réveille. Doucement la porte s’entrouvre. Il se précipite dans le petit cercle. La tigresse entre. Elle lui dit de se relever et de s’installer sur la table. il s’exécute. Elle lui dit de verrouiller les menottes. Une courte hésitation elle approche son doigt de la télécommande. Il verrouille rapidement les menottes. Elle s’approche lui malaxe le sexe le prend par la mâchoire et inspecte son visage, pince sa peau pour voir s’il a de la graisse. Une vrai maquignonne. Elle sourit et dit une belle soubrette tu peux me croire. Elle s’en va. Une femme masquée entre dans la pièce elle a une grand mallette. Elle sort du matériel et commence une séance d’épilation définitive au laser. Une demi-heure après elle part. Elle reviendra dans l’après-midi. Le temps passe. Les portions de nourritures sont très réduites et Fréderic sent qu’il perd du poids. Bizarrement il sent que quelque chose cloche au niveau des seins. Ils sont sensibles et on dirait qu’ils grossissent. Maintenant Fréderic est intégralement imberbe. Seuls ses cheveux ont été épargnés. Ses seins continuent à pousser c’est quoi ce truc se demande t’il. Un matin la femme masquée revient et lui applique un piercing au nez aux seins et au sexe qui est maintenant orné d’un anneau identique à ceux des seins et du nez. La tigresse soigne ses cicatrices et peu à peu la douleur s’estompe. Les cicatrices sont guéries la tigresse lui met à la place des anneaux provisoires des lourds anneaux en or. Elle le félicite pour sa poitrine en lui disant que les hormones qu’il avale depuis le début font leur office. Un matin elle lui installe la laisse les menottes dans le dos et l’emmène à l’étage supérieur. Elle l’emmène dans la salle de bains ou il voit dans le miroir un être androgyne qui a sa tête. Très aminci arborant une petite paire de seins il a conservé son sexe qui parait énorme par rapport au reste du corps. Il apprend des tours avec sa maitresse ; s’exhiber, servir une boisson lui bouffer la chatte … Le soir il dort dans le lit de la maitresse les bras menottés dans le dos les jambes écartelées au bas du lit et le visage dans l’entrejambe de sa maitresse. Il la satisfait chaque nuit et la réveille chaque matin avec sa bouche qui peu à peu acquiert de la maitrise. Il porte en permanence un plug annal. Il a commencé avec un petit modèle et peu à peu a encaissé des gabarits supérieurs. Désormais il porte un plug qui fait cinq centimètres de diamètres. Il ne peut pas s’assoir mais n’en a jamais l’occasion. Ses cheveux ont poussés et la tigresse lui fait une queue de cheval chaque jour. Un matin elle lui annonce qu’ils vont faire un voyage en Roumanie. Le voyage en mini van se passe bien. Ils arrivent dans une clinique ou un homme les reçoit. Il étudie sa poitrine son visage et réalise des croquis avec la tigresse. Après plusieurs heures de palabres les deux semblent tomber d’accord. Fréderic est conduit en salle d’opération il se réveille avec des douleurs aux seins au visage et aux hanches. Il peut voir que sa poitrine a pris une dimension impressionnante. Quelques jours plus tard on lui enlève les pansements. Il ne peut pas voir son visage mais ses yeux lui semblent s’ouvrir différemment son nez et ses pommettes le font toujours souffrir. Ils quittent la clinique et rentrent en France. Arrivés dans la maison de la tigresse, elle le conduit dans la salle de bains ou elle le maquille consciencieusement. Puis elle le met face au miroir qui lui renvoie le visage et le corps d’un inconnue très mince belle avec les yeux en amandes un petit nez retroussé une belle poitrine et de longs cheveux blonds avec une queue de cheval qui lui donne un air d’ado. Des hanches épanouies et un gros sexe à la place du pubis. Il comprend que c’est bien lui cette bimbo. Désormais il porte un anneau aux couilles qui sont nettement détachées de sa bite. Un jour. Sa maitresse reçoit des amis hommes et femmes. Il est présenté et apprend à satisfaire autant les hommes que les femmes il apprend à sucer une bite et à se faire enculer. Le long apprentissage de port de plug lui permet d’encaisser des bites de toute taille. Un matin il reconnait claire parmi les invitées de sa maitresse. Claire est estomaquée elle n’arrive pas à croire que cette bimbo soumise avec une bite énorme soit bien le Fréderic qu’elle a amené un an plus tôt chez la tigresse pour que celle-ci lui donne une leçon. La tigresse demande à claire ce qu’elle en pense. Claire ne sait que dire. Félicitations vous êtes vraiment une reine dans le domaine. La tigresse reçoit avec grâce les compliments et fait une démonstration de ce qui peut être fait avec Frédérique. Il ou bien elle on ne sait plus exécute tous les ordres avec grâce célérité et adresse. Son chibre disproportionné fait fantasmer claire qui s’imagine faisant l’amour avec Frédérique dans toutes les positions. Elle se dit que Magalie et martine seraient jalouses d’elle si elle avait un esclave comme ça à la maison. La beauté et la grâce d’Anna avec une bite semblable à celle de Tristan et si ça n’a pas changé de ce côté-là une endurance à toute épreuve. Frédérique a repris la position de soumission sur un geste de la tigresse. Celle-ci explique maintenant les gestes à claire. Celle-ci se demande à quoi ça pourrait servir car Frédérique ne lui appartient plus. A la fin de la soirée elle va prendre congé de la tigresse quand celle-ci lui dit : maintenant on va passer aux choses sérieuses. Tu le récupères quand ? Le tutoiement et le ton effraient claire qui ne s’attendait pas à ça. Mais je ne pensais pas le récupérer répond-elle. La tigresse lui dit. Tu m’as demandé de le dresser c’est fait. J’ai même apporté des améliorations comme tu vois. Claire s’imagine maintenant avec son esclave et ça la chauffe dans le bas ventre. Je pense que tu peux la récupérer demain je l’habillerais et je te donnerai des consignes importantes. Claire voie qu’elle n’a pas trop le choix et opine. Le lendemain elle est reçue par la tigresse. Frédérique est en position de soumise mais ce coup-ci elle est habillée de façon outrageusement provocante. Claire est subjuguée et se demande ce qu’elle va pouvoir faire avec. La tigresse lui donne une boite contenant de pilules. Tient il faut qu’elle avale une pilule par jour c’est ce qui la maintien en asservissement. Claire comprend enfin comment fait la tigresse. Cette dernière lui dit que tant qu’elle prendra les pilules Frédérique restera comme elle est mais si les pilules s’arrêtent l’ancien Fréderic remontera à la surface et ça pourrait ne pas être bon. Claire prend les pilules. La tigresse lui dit je t’en fournirais deux fois par an c’est cher mais efficace. Claire la remercie. Maintenant dit la tigresse en la regardant fixement il faut penser au paiement car toute peine mérite salaire. Claire est paniquée. Elle n’aura jamais les moyens de payer il doit en avoir pour des dizaines de milliers d’euros. La tigresse lui sourit. Ne panique pas je ne demande pas d’argent. Claire se calme mais se demande comment veux la faire payer la tigresse. Cette dernière dit j’ai une commande d’un Client étranger. Il est jaloux de son voisin qui m’a racheté virginie. La panique de claire monte en flèche. Elle ne veut pas devenir l’esclave d’un étranger. La tigresse sourit. Tu ne feras pas l’affaire car il veut un male. La panique de claire ne retombe pas. La tigresse lui dit voilà il te suffit de me ramener un male comme Fréderic. Claire est livide. Elle se demande mais comment je vais trouver un mec comme ça. La tigresse lui dit. Tu as trois mois pour me le ramener si tu ne remplis pas ta part du contrat tu le regretteras amèrement je pense. Claire reste stupéfaite. La tigresse lui dit : bon je te souhaite un bon retour et beaucoup de bonheur avec Frédérique. Tu verras qu’elle n’a rien perdu avec sa queue. Puis elle fait se relever Frédérique et lui dit voici ta nouvelle maitresse. Maintenant tu seras son esclave. Frédérique vient se mettre en position de soumission devant claire. Celle-ci d’une voix blanche lui dit relève toi et suit moi. La tigresse lui fait un dernier geste de la main et rentre dans sa maison. Claire est paniquée.
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Par : le 06/03/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 16 : Tristan triche.et paye les conséquences. Extraits : » Tristan qui n’aura pas le temps de manger doit y mettre les bouchées doubles pour visiter toutes les chattes et satisfaire les quatre filles. Sa cage de chasteté bien en place et ses mains liées ne lui laissent que la bouche pour œuvrer. Il a désormais acquit une grande dextérité… Magalie enrage. Elle en parle le lendemain à claire qui lui dit fais le sucer un homme en se faisant enculer par un autre pour le punir… » Magalie est toujours sidérée pas sa visite chez la tigresse doit en parler à quelqu’un. Elle pense à ses amies et les invite un soir chez elle. Ce soir-là claire, martine Anne et Magalie devisent alors que Tristan est prosterné nu aux pieds de Magalie. Elle leur fait le résumé de ce qu’elle a vu et ses copines sont stupéfaites. Anna semble prendre ça de haut mais martine et surtout Claire qui est loin de ce monde-là sont subjuguées. Elles insistent pour pouvoir voir ça de leurs propres yeux. Magalie hésite puis promet qu’elle va rappeler la tigresse pour lui demander si elles peuvent venir admirer son travail sur virginie. Après l’apéritif elles se désolent de n’avoir qu’un esclave male à leur pied et Tristan qui n’aura pas le temps de manger doit y mettre les bouchées doubles pour visiter toutes les chattes et satisfaire les quatre filles. Sa cage de chasteté bien en place et ses mains liées ne lui laissent que la bouche pour œuvrer. Il a désormais acquit une grande dextérité pour la plus grande fierté de Magalie. Magalie promet de rappeler la tigresse mais n’ose pas mettre le projet à exécution. Quelques jours plus tard les quatre filles sont réunies chez Magalie. Claire annonce fièrement qu’elle a ferré Frédéric, un mec super bien foutu et particulièrement bien monté. Les filles gloussent et lui disent de le mater comme Tristan pour qu’il ait du renfort. Son seul problème dit claire c’est qu’il est chômeur. Un peu fainéant sur les bords et tout est à faire en éducation sexuelle car il est plutôt expéditif et peu concerné par le plaisir des femmes autant dire que pour les préliminaires il est loin du compte. Les filles jubilent. Martine lui dit de le mater comme Magalie a fait avec Tristan qui est devenu un expert dans la partie. Claire promet de leur présenter mais pas chez Magalie ni chez martine car il pourrait être choqué par Tristan et Anna. Ce soir-là chacune rêve différemment d’un étalon bien monté et des choses qu’on pourrait lui faire faire. Effectivement quelques temps après Frédéric se montre aussi mufle qu’il est beau et bien bâti. Chacune s’imagine le contenu du slip en se remémorant les descriptions faites par claire. Entre temps Magalie se décide à prendre contact la tigresse qui est flattée de pouvoir exhiber son esclave devant la fille notamment devant Martine qui lui a tapé dans l’œil. Une date est convenue pour la visite. Fatalité ou loi des séries Tristan a perdu son emploi et ne se sort pas les doigts du cul pour retrouver sur du travail. Magalie enrage. Il zone à la maison et semble se contenter de son sort. Même si la cage de chasteté limite ses activités sexuelles actives. Un soir les quatre amies se rendent chez la tigresse. Elles arrivent devant la porte et sont un peu anxieuses. La tigresse leur ouvre et le petit manège de présentation de virginie se reproduit. Magalie a beau connaitre elle est fascinée par la beauté et la soumission de cette grande femme qui s’exhibe sans pudeur il va sans dire que les autres filles ont le souffle coupé. Claire a les yeux qui brillent, jalouse du corps sculptural qui est face à elle. Martine n’en croit pas ses yeux et fantasme sérieusement sur ce corps. Anna est complétement subjuguée elle ne peut détacher ses yeux de virginie et sa main prend celle de martine. La tigresse voit le geste elle dit aux filles alors qu’en pensez-vous allez y touchez ça vaut le coup. Les filles s’exécutent rêveuses. La tigresse s’approche d’Anna et lui prend la menton dans les mains. Anna est tétanisée. La tigresse s’adresse à martine. Si tu veux je peux en faire quelque chose pour toi. Martine ne sait que dire et Anna devient cramoisie mais ne se recule pas. La tigresse continue. Elle est magnifique mais on peut améliorer ça et la rendre beaucoup plus docile. Magalie dit non ça ira bien comme ça laissez-nous Anna comme elle est. La tigresse lâche Anna qui demeure rêveuse. Puis les femmes prennent un verre et c’est l’occasion de voir virginie œuvrer. La tigresse fait faire des « tours « à virginie qui tour à tour s’exhibe et s’offre aux filles. La conversation tourne autour du dressage. Intéressées Magalie et claire rêvent de rendre leurs males aussi soumis que ça. La tigresse, fine mouche, oriente le sujet et finalement le comportement des deux garçons est abordé. Il leur faudrait un petit passage chez moi pour les dresser dit la tigresse. D’abord Frédéric puis Tristan qui doit être déjà sur la bonne voie. Les filles rient mais au fond de leur esprit elles voient les deux garçons réaliser les tours de virginie et plus encore avec leurs queues. La soirée s’avance et les filles abasourdies par ce qu’elles ont vu rentrent chez elles en discutant à bâton rompu. Anna est la plus réservée savoir que la tigresse la démasquée en si peu de temps la gêne mais l’a aussi fortement perturbée. Elle repense aux seins magnifiques et si excitants de virginie. Elle aurait pu sauter dessus et les lécher sans jamais s’arrêter. Martine lui tient la main pour la rassurer. Claire songe à un Frédéric soumis la satisfaisant sexuellement chaque minute de la journée et exécutant tous ses désirs. Magalie se dit qu’il ne faut pas trop fréquenter cette femme qui doit être dangereuse. En rentrant telle constate que Tristan n’a pas bougé de la journée elle râle et lui dit qu’il vient de prendre trois jours de retard pour sa jouissance. Il apparait désespéré mais semble vite s’en contrefoutre. Magalie enrage. Elle en parle le lendemain à claire qui lui dit fais le sucer un homme en se faisant enculer par un autre pour le punir. Si tu veux j’ai un ancien jules bien pourvu qui aime bien les parties à trois surtout avec des hommes passifs. Je suis sûre que la cage de Tristan l’excitera encore plus. Magalie prend ça à la rigolade mais les jours qui suivent Tristan ne fait aucun effort pour retrouver du taf et leurs finances commencent à en pâtir. Elle le menace de lui donner une punition terrible. Il prend ça par-dessus la jambe. Elle appelle claire qui l’invite à la maison en même temps que son ex copain. Son air Bad boy plait à Magalie et sa musculature de docker devrait faire honte à Tristan. Apres plusieurs whiskys elles décident. Le lendemain soir il viendra chez elle.
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Par : le 01/03/21
Au fond de Vos yeux, mon regard j'aime plonger Bâillonnée avec la vision de Vous poser sur moi Chaque moment passé avec Vous est une joie Dans l'iris de Votre âme, je me suis abandonnée Enserrant mon cou, ce collier redouté et porté avec fierté Frissons d'excitation quand Vos mains me touchent Gardien de mon intégrité, et douce est Votre bouche Hommage à Vous Mon Maître qui m'amenez à me libérer Il y a parfois par les aléas de la vie, des imprévues Je découvre avec Vous des sensations inconnues Kyrielle de maux colore ma peau d'une parure nacarat Laissant sous la lanière du cuir des marques incarnats Mon Maître, Vous savez me rassurer avec bienveillance Notre lien précieux, délice de notre commune attirance Oublier mes peurs de ces blessures enfantines infligées Pour avec Vous, accomplir enfin certains actes refoulés Qu'importe le temps, vivons les instants présents Respect mutuel, entre nous tout est transparent Sentir les pulsations de mon cœur, moi votre soumise Timbre de Votre voix, Vos gestes qui s'harmonisent Un bonheur de Vous appartenir au gré des saisons Vous devant qui je m'incline, offrant ma soumission Week-end où le silence et l'attente sont de raison X sont ces jeux à deux où perlent Notre passion Y a-t-il plus beau son que celui gémissant (au) Zénith de volupté de deux adultes consentants Le 23 mai 2012
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Par : le 01/03/21
24 mois se sont écoulés depuis Notre première rencontre. 24 mois de respect, d'écoute, d'attention, de complicité, de plaisirs partagés. 24 mois que nos regards se sont croisés, que la confiance est installée. Vous avez su m'apprivoiser. Vous avez su m'interpeler. Vous avez su me révéler. Vous avez su asseoir Votre emprise. Vous avez su entendre mes doutes et mes peurs. Vous avez su me faire grandir sans me meurtrir. Vous que j'ai tant attendu. Marquée de Votre signature. Confiance totale en Vous. Votre collier ornant mon cou. Fait de moi votre soumise. En ce symbole de l'appartenance. Ma soumission est faite d'évolution, de dépassement, de découvertes. Vous servir, Vous obéir, respecter Vos consignes, Vous faire honneur est un bonheur. Par nombre de ressenti, d'émotion, de sensations, de pleurs quelque fois. Par le trop plein qui déborde, parce qu'une lutte intérieure a été livré. Par ce lien qui nous unit comme une évidence. Parce que c'est Vous qui avez les clefs. De mon corps, de mon âme, et celle de mon cœur. L'exaltation des sens, l'essence de votre parfum de peau. Ma progression avec Vous en cette place à Vos pieds. A Vous je suis attachée, à Vous je me soumets. Avec Vous des frissons et quand survient la jouissance. Votre main sur ma bouche pour étouffer mes cris. Vous Mon Maitre Vous m'amener, Vous m'éduquez. Par Votre maitrise et la connaissance de moi. Qui me permet d'avancer bien plus loin que j'aurais pu l'imaginer. Votre attention, Votre ouverture d'esprit. Et le temps surtout qu'il faut pour construire une saine relation D/s. Sans omettre le dialogue sincère qui est la base de la construction. Avec Vous, je ne me perds pas, je garde ma spontanéité. Le 23 mars 2012 Ajout de Mon Maitre Un hiver long, froid et ennuyeux. Puis tout à coup quelques mots échangés, un parking réchauffé par les premiers rayons d’un printemps naissant. Deux regards qui se rencontrent, profonds et francs, deux regards qui disent déjà oui avant même les premiers mots. Un bout de route en toute quiétude, un repas pour échanger nos souhaits, nos envies, puis en toute confiance un premier abandon. Ainsi tout commença, ainsi tout s’accomplit durablement, deux ans déjà.
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Par : le 27/02/21
Narcisse et moi... Une vieille, longue et profonde histoire d'amour ! Je ne veux pas raconter ma vie ni avoir l'air de m'en inventée une. J'aime à donner des précisions. Perversité et narcissisme. Et non ma spécialité n'est pas de faire culpabiliser mon autre. Il est vrai que faire entendre une vérité peut parfois, souvent, choqué. Une inversion des rôles ou une aversion pour ce qu'on ne comprend pas. Statuer, tirés des conclusions hâtives. Comme pour se libérer d'une entrave. Soumis(e), dominé, face à plus caractérielle que soi. Sans avoir pris le soin de donner quelque simple directive, les règles du jeu. Et dire de l'autre... Le rendre coupable, être victime. Dans bien des circonstances certains/certaines mériteraient un châtiment. Au-delà de la simple punition. Dans le quotidien ce jeu de domination et de soumission, ces gens sadiques et les autres masochistes. Jusque dans l'intimité avec une vanille qui s'approche et qui s'accroche. Autant de participant qui s'ignore. Dans le quotidien... tous les jours on joue ce jeu. Et il ne fait que commencer. Alors que les rapports sociaux s'effondrent et doivent être refondés. L'amour, la haine, la sexualité et le déni de ce qu'on est. Des hommes et des femmes en mal d'un rapport libidinal exacerbé. Le jeu de la vie, le jeu de la société. Maître Lasky FanPage : https://www.bdsm.fr/ma-238tre-lasky/
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Par : le 27/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 15 la tigresse présente la nouvelle Virginie Les jours passent Virginie a perdu la notion de temps. Un matin la tigresse lui dit de se lever et de la suivre. Elles sortent de la pièce et remontent au rez de chaussée elles arrivent dans le salon ou un cercle est dessiné au sol. La tigresse montre le cercle et Virginie vient se mettre dans la position demandée. Tu as droit au salon à la salle de bains à la cuisine et à la chambre précise la tigresse. Maintenant va te regarder dans la glace de la salle de bains. Virginie ne se reconnait pas dans la salle de bains elle a bien perdu dix kilos et c’est une inconnue rasée qui la contemple dans le miroir. Elle est tristounette pour ses seins victimes du régime. Ne t’inquiète pas pour ça dit la tigresse on va s’en occuper. La tigresse lui explique comment se tenir pour cherche une boisson la présenter à genou la bouche collée aux pieds et attendre avec le plateau dans les mains. Le bon vouloir de sa maitresse. Elles font quelques répétitions et satisfaite la tigresse lui explique l’attitude à prendre suivant certains gestes de sa main. Virginie apprend ainsi à s’exhiber debout la poitrine jetée en avant, à venir se mettre à genou et lécher le sexe de maitresse, se mettre à quatre patte pour servir de repose pied ou de table de salon. A servir de bibelot en se mettant à genou sur un gode les mains sur la tête en gardant la pause aussi longtemps que la maitresse l’exige et d’autres encore. Elle apprend à laver sa maitresse sous la douche et à l’essuyer en n’utilisant que sa bouche pour tenir la serviette. Enfin elles visitent la chambre ou elle apprend quelques positions à adopter selon les désirs de sa maitresse. Maintenant elle mange dans la cuisine ou son bol et sa gamelle ont été apportés. Elle apprend à servir sa maitresse à table ou généralement elle doit se mettre sous la table et satisfaire intimement sa maitresse. Enfin elle apprend à réveiller sa maitresse en quittant sa couverture au pied du lit pour monter par le bas dans le lit et lécher le sexe de sa maitresse jusqu’au réveil de cette dernière. Les jours passent Virginie porte désormais en permanence un double gode qui lui remplit le sexe et le cul. Elle apprend à mettre les escarpins de bondage avec un talon de 25 cm qui la rende si grande mais qui sont si difficiles à supporter car elle doit se tenir sur l’extrême pointe des pieds. Un matin la tigresse lui annonce qu’elles vont faire un voyage en Roumanie. Virginie ne se pose pas de question elle a renoncé à réfléchir et accompagne docilement sa maitresse. Elles partent dans un mini van dans lequel elle dort quand sa maitresse couche à hôtel. Elles arrivent dans une clinique ou un homme les reçoit. Il étudie sa poitrine et discute beaucoup avec la tigresse. Finalement elle se retrouve en salle d’opération et le matin elle se réveille avec une douleur à la poitrine qui a plus que doublé de volume. Elle sent sa peau tendue sous les pansements. Les jours passent et enfin elle est invitée à regarder le résultat dans un miroir. Sa poitrine lui fait penser en plus gros à victoria l’ambassadrice de châteaux d’axe. Mais les hématomes résiduels gâchent un peu le résultat. Elles quittent la Roumanie et retrouvent la maison de la tigresse. Chaque jour Virginie peut constater les améliorations sur sa plastique et est toute frère de s’exhiber devant sa maitresse. Maintenant la tigresse invite des amies seules ou en couples qui viennent admirer le résultat. Virginie est heureuse de se montrer est à l’écoute des compliments qui fusent en permanence. De temps en temps elle doit montrer ses talents buccaux aux dames ou aux hommes qui en font la demande. Seule chose son sexe et on cul sont exclusivement réservés à sa maitresse. Un jour un tatoueur vient à la maison et elle a désormais sur la fesse les mots « esclave exclusive de Simone », prénom de sa maitresse. Environ un an après le départ de Virginie Magalie reçoit un coup de fil de la tigresse. La tigresse très enjouée invite Magalie à venir chez elle car elle a une belle surprise à lui montrer. Magalie se demande de quoi il peut s’agir et n’obtenant pas plus de précisions de la part de la tigresse accepte l’invitation pour prendre l’apéritif le soir même. Magalie arrive devant l’imposante maison. La tigresse l’attend et la fait rentrer dans le salon. La tigresse lui dit on va prendre l’apéritif mais avant tout je vais vous montrer la belle surprise. Viens ici dit-elle avec une voix plus forte. Aussitôt une femme entièrement nue au crâne rasé entre dans la pièce. Elle est très grande et vient se prosterner aux pieds de la tigresse. A genou la bouche collée aux chaussures de la tigresse et les bras écartés la paume des mains tournée vers le ciel. Magalie n’en revient pas. La femme dont Magalie voit la croupe est prise par un double gode qui est enfoncé à la fois dans le cul et dans le sexe. La tigresse à un sourire carnassier. Lèves toi et montre à Magalie comme tu es belle dit la tigresse. Aussitôt la grande femme se lève se met face à Magalie qu’elle regarde dans les yeux les bras jetés en arrière pour bomber son énorme poitrine. Magalie regarde la fille de la tête au pied. Très mince avec une poitrine énorme qui a du faire le bonheur d’un chirurgien esthétique. Des talons de près de 25cm qui la force à faire des pointes en permanence lui font des jambes interminables. Entre ses narines sur ses deux mamelons et visiblement sur le clitoris elle a un anneau épais qui doit bien faire 5 cm de diamètre. Sur ses fesses une inscription ne laisse aucun doute « esclave personnelle de Simone » . Le visage de la fille lui parait familier mais elle ne la reconnait pas. Je te présente mon esclave Virginie dit la tigresse. Magalie est estomaquée elle reconnait Virginie au moins dix kilos de moins et une poitrine incroyable. La tigresse dit : elle a voulu venir chez moi pour apprendre le bondage. Je ne pense pas qu’elle voyait les choses comme ça mais finalement on s’est arrangé. Magalie est toujours bouche bée elle murmure bonjour Virginie ça va ? Virginie ne bouge pas et la tigresse dit elle n’a pas le droit de parler et si elle essayait, son collier lui enverrait une décharge électrique pour la rappeler à l’ordre. Virginie va nous servir un cocktail ajoute-t-elle. Virginie part prestement. Aller venez-vous assoir on sera mieux pour discuter. Elles s’assoient et Virginie revient avec un plateau sur lequel sont posés deux verres elle se met à genou devant la tigresse baisse la tête et lève les bras contenant les verres. La tigresse en prend un et Virginie fait la même chose devant Magalie qui prend son verre. Virginie se met à genou devant les femmes et tient le plateau à une hauteur permettant de reposer le verre sans effort pour les deux femmes. Qu’en pense tu dis la tigresse à Magalie celle-ci reprend son souffle elle se dit que martine et elle sont des petite joueuses dans le domaine. Incroyable dit-elle Virginie est magnifique. Et très très obéissante dit la tigresse elle fait un petit geste de la main et Virginie pose le plateau et enfoui son visage dans l’entrejambe de la tigresse. Elle lèche très bien maintenant dit cette dernière. Touche son corps tu verras comme il est ferme je la nourris juste ce qu’il faut et elle fait beaucoup d’exercice. Magalie caresse le corps et découvre que Virginie s’est beaucoup musclée. Magalie est jalouse. Et le collier ça marche comment dit-elle pour se donner une contenance. La tigresse lui explique le fonctionnement du collier et Magalie se dit que ça serait idéal pour Tristan. Les avantages du bâillon et la bouche toujours disponible. Elle demande les références. Elle pose la question à la Tigresse : mais Virginie est bien volontaire ? Bien sûr dit la tigresse et elle a décidé de vivre avec moi un certain temps. Elles prennent l’apéritif et quand Magalie repart elle ne peut s’empêcher de jeter un œil à la sculpturale Virginie qui visiblement est en adoration devant la tigresse. Comment s’est-elle débrouillée se demande-t-elle. Ce soir-là couchée par terre au pied du lit de la tigresse Virginie repense à la dernière visite. Il lui semble que le visage de cette Magalie lui rappelé quelque chose mais elle l’oublie vite un peu déçue cependant de ne pas avoir été invitée à la satisfaire avec sa bouche.
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Par : le 23/02/21
Je suis à ses pieds  depuis quelques heures déjà.  Maîtresse m’entraîne au fil de la soirée dans ses envies. Elle me gave d’eau, reprise d’un défi qui ne l’avait pas entièrement satisfaite. Elle me remplit en jouant avec ma bouche et le goulot de la bouteille et s’arrange bien pour que j’en laisse échapper par terre. Le plaisir de me voir  nettoyer peut-être ou tout simplement  celui de m' embêter... Elle achève également notre défi dilation en cours. Mon cul se retrouve bien dilaté après cela. Sacrée soirée soit dit en passant...  Elle décide alors  que c'est l' heure que j' aille à la niche,  va me chercher un pyjama 2 pièces de fille, chemisier et culotte soyeuse. C’est en Sissi,  accrochée à sa laisse  que Maîtresse me veut pour la nuit.  J’ai encore ingéré quelques litres d’eau avant de me retrouver dans une  chambre au pied du lit. Maîtresse se régale de me voir comme cela à sa merci. Elle me montre ma couche, sommaire, 2 coussins à côté du lit mais elle prend soin de m’apporter une couette salutaire. Ma laisse est vite attachée au pied du lit. Mon rayon d’action est plus que limité. Maîtresse a prévu un petit seau destiné à mes besoins exacerbés par le gavage. Elle le place à la limite, je peux à peine le toucher. Je me retrouve vite agenouillé au bord du lit à subir une  sodomisation bien  profonde. Je gémis mais Maîtresse m’intime le silence , bientôt seulement rompu par sa forte jouissance.  Satisfaite, elle quitte la chambre, sans oublier de repousser encore un petit peu plus le seau, et m’abandonne dans le noir. Je me débrouille tant bien que mal à regrouper ma litière. Je ramène le seau vers moi en tirant fortement sur ma laisse et en tendant la jambe. Maîtresse doit se régaler en pensant à comment je dois me contorsionner pour soulager ma vessie. Enfin, je réussis à me soulager dans ce maudit seau. Ce ne sera pas la dernière fois. Couché, la pression retombe lentement, je m’imagine pouvoir m’endormir après cette soirée épuisante, je m’assoupis légèrement mais bientôt j’entends Maîtresse revenir. «A genoux au bord du lit et vite, tends moi ton cul» me lance-t-elle autoritairement Elle m’encule à nouveau profondément. Le rythme s’accélère, Maîtresse s’emballe, j’aime même si c’est douloureux. Maîtresse jouit autant de me limer que de la surprise qu’elle m’a faite. Pour preuve, Elle  me retourne sur ma couche. Elle m’enfile son gode dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge. Je suis sur un nuage, le cœur affolé. Le gode force ma bouche, tour à tour gonfle mes joues, m’impose des gorges profondes appuyées. Je suis sa pute, elle est Ma Reine qui vibre  de  ma totale soumission. Maîtresse retourne à ses occupations sans oublier de repousser discrètement mon petit seau, j’imagine son sourire narquois. «Bois encore me lance-t-elle à travers la porte, c’est bon pour ta santé».  J'obéis. Je rassemble à nouveau ma couche , ferme les yeux. La porte s'ouvre et je passe à nouveau à la casserole et Maîtresse repart.  Juste le temps de me calmer et de remplir un peu plus mon seau, la porte s’ouvre à nouveau. Je suis aveuglé par la lumière du couloir mais cette fois, Maîtresse  n'entre pas. Je reste en suspens dans ma tête. Pas le temps de comprendre, Maîtresse revient silencieusement et me surprend dans mon désarroi. Je décèle ce petit sourire qui lui va si bien Elle m’enfourne le gode au fond de la gorge. Ma langue le lubrifie et elle me l’enfonce encore plus profond. J’éructe et Maîtresse le ressort habilement pour ne pas m’étouffer M'étale  de la bave sur mes joue avec son gode. Elle est toujours aussi excitée. Mon trou en prend encore un max. Il est bien dilaté et ça rentre facile. Je suis sodomisé, violé dans tous mes trous par ce gode que Maîtresse anime avec passion. Je suis humilié et Maîtresse jubile en prenant son pied. Mon slip qui ne reste pas longtemps en place  est sur mes chevilles, je l’enlève et me retrouve le cul à l’air près à servir. Je ne compte plus le nombre de fois où je me fais enculer, où je suce ce gros gode. Je ne suis plus qu’une pute qui se fait défoncer la chatte. Couché, je regarde la porte et guette le filet de lumière qui va se glisser en dessous quand Maîtresse reviendra à la charge. Elle me déstabilise comme pas possible ; elle allume et ne vient pas, me tangue à travers la porte,  entre par surprise sans avoir allumé, repart en me laissant en lévitation. Je la sens joueuse et prête à jouir dès qu’elle le décidera. A peine le temps d’évacuer l’adrénaline que Maîtresse est déjà dans mon cul. D’un côté je redoute et de l’autre je ne souhaite que cela. Mon cul est devenu un garage pour sa bite.  A force, je me mets en position avant qu’elle ouvre la porte. Maîtresse me traite alors  de salope et je suis heureux. Je lui appartiens au plus profond de moi. A chaque fois, elle atteint des sommets de plaisir. Pas le droit de gémir, ça lui est réservé et elle ne s’en prive pas. Ne pouvant s’en empêcher, Maîtresse relève mon haut de  pyjama et me laboure le dos. C’est sensible car ce n’est pas la première fois aujourd’hui. L’excitation monte encore d’un cran. Je tends encore plus ma chatte en direction de ce gode comme si ses griffes m'imposait cette position. Ses cris, ses gémissements ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elle s’offre. Couché sur moi au plus fort de l’excitation, je sens sa douceur. Et si elle restait là ? Je me transformerais en futon.Ça serait si bon... Et non, elle se relève, me met au sol sur le dos, la tête au-dessus du seau, sa douche dorée vient remplir ma gorge comme la récompense ultime. Elle me dit d'avaler au fur et à mesure. Je m' applique  pour ne rien perdre du liquide divin. J’aime son goût, sa chaleur. Je déguste cette urine que Maîtresse me déverse précautionneusement pour me laisser le temps de tout avaler. Puis Elle repart ... Maîtresse revient  ... Mais d’où lui vient cette énergie, jamais elle ne dors pensais-je. Pas possible, elle va me transpercer le cul. Jamais je n’aurais imaginé être baisé aussi longtemps. La nuit n’en finit pas.  Je passe par tous les états, là , au plus bas sur ma couche puis dans l’instant qui suit au sommet de la jouissance avec ma Maîtresse qui me défonce encore et encore. Je ne fais qu’accompagner ces emballements. Je suis l’instrument de ces jouissances. Maîtresse reviens, force de nouveau mon intimité et avant de partir, me fourre une belle racine de gingembre  épluché dans le cul. Même pas douloureux après tous les ramonages en règle qu’il s’est pris. Cette fois-ci les lumières s’éteignent pour de bon. Je reste encore suspendu à une visite surprise de Maîtresse. Je dors enfin, complètement épuisé. En pointillé car le petit seau se remplit inexorablement. J’éjecte le gingembre sans vraiment m’en rendre compte. Complètement dans le brouillard, j’ai du mal à retrouver mon petit seau que Maîtresse s’est fait un malin plaisir de déplacer à chacune de ses visites. Je pisse à côté, craignant la punition de Maîtresse, je me débrouille pour tout sécher avant qu’elle ne reviennent. Maîtresse m’a expédié sur Mars ! Je suis en orbite autour d’elle Au matin, je l’entends vaquer à ses occupations. Mais elle ne dort jamais ? ... Attaché court au lit, je reste à attendre sa volonté de me rendre ma liberté . Enfin la porte s’ouvre. Elle a toujours son gode ceinture. Pas possible, elle doit dormir avec. «Bonjour Maîtresse» « Bonjour Rnby, ce matin, je t’encule à sec ! ». Waouh, la journée commence fort... De nouveau au bord du lit, Maîtresse force ce trou qui est devenu accueillant même à sec, Elle prend son temps  cette fois, me pénètre en douceur, ses va-et-viens lents commencent à s’accélérer. Je ressens son plaisir qui irrigue mes entrailles. Je m’ouvre comme la fleur au lever du soleil. Ça dure longtemps, jusqu'à ce qu'elle  en jouisse, jouissance à son paroxysme dès le matin.  «Putain que c’est bon de prendre son pied au réveil en baisant son soumis» lâche-t-elle en s'en allant après m' avoir détaché. «Elle est pas belle la vie Rnby ?» Me crie-t-elle  de  l' autre bout de l' appartement. Ma chatte est de nouveau en chaleur. Je coule bien vite comme la petite salope que je suis devenue en une toute petite nuit. Maîtresse a fait un joli tour de propriété depuis hier soir. Je suis sûr qu’il n’y a pas le moindre centimètre carré qu’elle n’ait pas exploré. Elle a réussit à en extraire plein de jouissances. Je rejoins Maîtresse,  une nouvelle journée peut débuter. Je lui prépare  son café, remplis  quelques corvées jusqu'à ce  qu’une nouvelle idée lui traverse l’esprit ... 
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Par : le 23/02/21
Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 2 - Les principes fondamentaux : a - L'engagement : Avant toute chose, une relation D/s est une relation entre deux personnes consentantes. En effet, pour dominer ou se soumettre, il faut en avoir envie et être prêt à s'engager dans cette relation. Idéalement, dans la durée mais on peut très bien se jeter à corps perdu dans une séance unique et sans lendemain. Quelle que soit la durée, il faut une ferme volonté des deux parties de faire le maximum pour assouvir ses envies et les désirs de l'autre. S'engager dans une relation D/s, c'est aussi accepter de subir l'autre. Il faut se rendre disponible et accepter d'être dérangé quand on s'y attend le moins. Non, posséder une esclave n'est pas reposant du tout ! Il faut s'en occuper ! Et obéir n'est certainement pas facile, non plus. Dans les deux cas, il faut donner de sa personne pour récolter ce que l'on sème. Et quand la relation dure suffisamment longtemps, l'engagement finit par se matérialiser. Il prend une forme physique et généralement celle d'un collier. Vous savez le collier, le symbole d'appartenance par excellence. b- la communication : Parlez-vous ! Encore et toujours plus. Il y a toujours quelque chose que l'on ignore de sa partenaire et c'est toujours un frein à une relation épanouie. Connaître les envies de sa partenaire, c'est bien. Connaître ses peurs, c'est mieux. Ses envies, elle fera tout pour les assouvir. Par contre elle fera tout pour cacher ses craintes, par peur de devoir les affronter. Il n'y a pas de petit secret. Surtout en ce qui concerne les problèmes médicaux. On peut en avoir honte mais il ne faut pas les cacher, ça peut avoir des conséquences dramatiques. La communication, c'est un tout, elle peut être verbale et non verbale. Les yeux résument les états d'âme en un regard. Et une crispation, un spasme, un relâchement, sont autant de signaux et d'informations qu'il faut prendre en compte. Bien souvent, le corps exprime plus de choses que les mots. Et bien entendu, la communication marche dans les deux sens. Lorsqu'on se livre à quelqu'un on lui donne envie de faire de même et c'est un cercle vertueux qui se met en place et bientôt on n'a plus aucun secret l'un pour l'autre. Je termine ce paragraphe par le droit au mensonge. C'est paradoxal mais c'est quelque chose à prendre en considération : on peut avoir besoin de mentir pour vivre pleinement sa relation. Car parfois, se mentir à soi-même procure une sensation de liberté et mentir à son partenaire, une sensation de culpabilité qui peut être délicieuse. Et n'oublions pas que je parle de relation D/s à distance. Et je pense au cas précis des gens mariés qui ont une relation D/s illégitime. Le D/s est une parenthèse dans leur vie, une échappatoire, ils vont tout donner en séance mais cacher le reste de leur vie. c- La confiance : On ne peut pas tenir une relation dans le temps s'il n'y a pas une confiance absolue. Accepter de montrer son côté D ou s, c'est accepter de dévoiler ce que l'on a de plus secret : sa véritable personnalité. Sans fard et sans masque, on retire l'armure qui nous protège de la société. On se met à nu. Ainsi, on se rend vulnérable. Et pour cela, il faut avoir une confiance aveugle en son partenaire. La confiance peut se donner de prime abord mais avec certaines restrictions. C'est à force de discuter et de communiquer que la confiance va grandir et que la relation va devenir fusionnelle. Se soumettre, c'est comme s'arracher le cœur de la poitrine pour le déposer dans la main de son Maître. Il faut avoir la confiance absolue qu'il ne referme pas son poing. Une soumise peut ainsi donner tous ses mots de passe à son Maître et lui donner le contrôle absolu sur sa vie sociale. Pour le Maître, la confiance c'est aussi accepter le fait que l'on ne puisse pas tout contrôler. N'étant pas 24/7 avec sa soumise, il faut lui faire confiance quand elle dit avoir porté son plug pendant les 4 dernières heures. Ou que malgré les traces de chantilly sur ses joues, elle n'a pas englouti le bon gâteau qu'on lui a interdit de manger et qui s'est mystérieusement évaporé du frigo ! Pour finir, dans une relation à distance, on utilise souvent des outils de communication vidéos. Et trop souvent, on s'exhibe à son partenaire dans des mises en scène tout à fait normales durant une séance... mais que l'on détesterait voir diffusées à tout son carnet d'adresse. Et pourtant, je contemple les magnifiques seins de ma soumise tous les soirs et elle n'a aucun problème à me les montrer. Pourquoi ? Parce que nous avons une confiance absolue l'un envers l'autre. d - Les rituels : Une soumise, ça a besoin de se sentir soumise ! Ca parait évident mais je crois que c'est le truc le plus important dans une relation à distance. Comme le D n'est pas tout le temps présent, il faut sanctuariser certains rituels, les graver dans le marbre ! Ne cherchez pas midi à quatorze heures, inutile de chercher des trucs trop compliqués. N'importe quelle action à répéter quotidiennement fera l'affaire. Ce qui est important, c'est qu'il y ait une obligation régulière pour la soumise et un échange avec son Maître. Je préconise un contact par jour au minimum mais en fonction de la relation, ça peut être moins (si vous êtes mariés... et pas l'un avec l'autre). Utilisez des obligations qui existent déjà : la pilule, prendre un médicament, se brosser les dents ou même aller aux toilettes... Ce n'est pas le quoi qui est important, c'est le comment ! Exemples en vrac : envoyer une photo de la plaquette de pilule/médicament, imposer un nombre d'aller-retour quand on se brosse les dents, limiter le nombre de feuilles pour s'essuyer... Lorsqu'un Maître impose une contrainte quotidienne à sa soumise, elle ressent sa domination et par conséquent se sent soumise. Et une soumise qui se sent soumise est une soumise heureuse !
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Par : le 23/02/21
Bonheur et connivence Savourant Votre présence Abandon d'appartenance A Vous, va mon attirance Fusion d'essence Excitation des sens Profondeur des silences Face à certaines évidences Soumise en dépendance Vous et Votre ascendance Le manque de Votre absence Patience et parfois impatience Silence, obéissante pendant Vos vacances A Vous Mon Maitre aimé va mon allégeance Maux et 'plaisirs' partagés dans la confiance Désirs, soupirs, sourires et cris de jouissance le 03 03 2012
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Par : le 23/02/21
CHAPITRE 14: Virginie et la Tigresse Petit à petit la froideur de Virginie envers Magalie disparait. D’abord uniquement dédiées au taf les conversations entre les deux filles sont devenues plus cordiales puis constate Magalie leur relation prennent une tournure amicale. Virginie n’aborde pas le sujet du pari mais Magalie devine qu’elle tourne autour du pot. Un jour enfin alors qu’elles sont seules dans la salle de repos Virginie lui demande si elle la vente d’accessoires de bondage n’est pas marginale. Magalie lui confirme qu’effectivement cette vente est plus marginale car souvent, même si ça les intéresse, les clientes n’osent pas commander devant leurs amies de tels accessoires. Magalie lui dit que bien souvent les clientes la rappellent au téléphone et Magalie va les voir spécifiquement avec le matériel concerné et promettant une discrétion totale elle réalise quand même pas mal de vente comme ça. Virginie semble intéressée. Et tu leur fait une démo comme à moi minaude-t-elle. Parfois j’ai l’impression que certaines n’attendent que ça. Mais ça reste très professionnel ajoute-t-elle. Virginie se lance : tu sais j’y ai repensé et je me demandais ce que ça ferait d’être de l’autre côté du jeu par rapport à notre rencontre . Magalie répond qu’une cliente lui a bien donné l’impression qu’elle apprécierait de tester coté soumise les accessoires. Virginie demande et alors tu as fait quoi. Rien dit Magalie je n’ai pas eu de nouvelles depuis. Virginie parait déçue. Si tu veux voir comment ça se passe je peux l’appeler pour lui proposer la nouvelle collection et tu feras la démonstratrice. Le regard de Virginie devient trouble. Tu crois que j’oserai dit-elle. Bah je crois que tu n’as pas froid aux yeux dit Magalie. Je vais l’appeler voir si elle est intéressée et si c’est le cas je te filerai les échantillons et tu feras le taf. Virginie hésite mais dit : banco visiblement excitée par cette aventure. La tigresse est reconnaissante envers Magalie qu’elle ne l’a pas oublié et quelques jours plus tard Virginie sonne à la porte de la tigresse. Impressionnée par la taille de la maison Virginie se dit que la tigresse doit être friquée. Cette dernière ouvre la porte et très affable invite Virginie à pénétrer jusqu’au salon. Elles boivent d’abord un café puis la tigresse dit : Passons aux choses sérieuses montrez-moi ce que vous avez. Virginie déballe les paquets sous l’œil brillant de la tigresse. Vous croyez que ça me va. Demande la tigresse. Si vous voulez on peut essayer dit Virginie. Mais ça se porte nue répond la tigresse l’air intimidé. Si vous voulez je n’y vois pas d’inconvénients dit Virginie la défiant du regard. La tigresse se déshabille ne gardant qu’une minuscule culotte. Virginie est impressionnée par la tigresse qui finalement n’est pas si vieille que ça. elle est canon. Elle n’a pas un pet de graisse, des seins visiblement refaits et arbore un anneau en or accroché par un piercing à chaque mamelon. La tigresse minaude. Je n’ai pas pu résister ça me donne l’impression d’être une esclave parfois. Virginie devient carrément excitée. La tigresse lui dit alors qu’elle avait follement apprécié la tenue de martine et Tristan lors de la séance hard et qu’elle fantasmait depuis la dessus. Elle explique à Virginie les accessoires nécessaires et Magalie ayant bien flairé le coup elle dispose justement de la panoplie idéale. Bientôt la tigresse est ligotée bâillonnée et arbore le collier munie d’un laisse. Virginie est excitée par ce tableau. La tigresse pousse des petits gémissements dans son bâillon. Virginie lui ôte à regret. La tigresse lui dit vous pourriez me faire faire un tour à la laisse dans la maison pour que je me rende compte. J’avais vraiment apprécié de voir martine tirée par la laisse et pelotée par toutes ces mains. Virginie lui remet le bâillon et la promène dans la maison elle hésite à peloter la tigresse Mais ça la démange furieusement. Enfin elle délivre la tigresse qui semble très reconnaissante. C’était super dit cette dernière. Très excitant. Virginie lui dit qu’elle aussi a apprécié. La tigresse se penche alors vers elle et dit si vous le voulez bien on pourrait reprendre rendez-vous et recommencer en allant beaucoup plus loin. Virginie exulte. Elle va pouvoir jouer le rôle de la maitresse et disposer d’une esclave pour elle toute seule. Elle accepte volontiers et elle repart de chez la tigresse. Elle n’a jamais été autant excitée à part peut-être lors de la séance chez Magalie. Le lendemain elle revoit Magalie et lui dit sobrement que ça c’est bien passé et que la tigresse a acheté le matériel mais elle ne parle pas du prochain rendez-vous. Quelques jours plus tard elle est de nouveau devant la porte de l’imposante maison. La tigresse lui ouvre tout sourire. Virginie trépigne mais elle doit prendre un café avec l’hôtesse comme les conventions l’obligent. Le café n’a pas tout à fait le même gout que la dernière fois mais c’est le cadet des soucis de Virginie. Après avoir devisé les femmes décident de commencer la séance. Virginie se sent toute flagada et ne comprend pas bien ce que lui dit la tigresse qui la prend par la main et l’emmène vers une chambre. Là, Virginie n‘arrivant plus à tenir debout est couchée sur le lit par une tigresse qui lui caresse la joue. Le trou noir. Virginie commence à revenir à elle j’ai dû faire un malaise se dit-elle. Elle veut porter sa main à sa tête mais se rend compte qu’elle ne peut pas bouger la main. Soudain paniquée elle se rend compte qu’elle est attachée écartelée par les quatre membres sur une espèce de table inconfortable et dans le noir. Elle veut crier mais un bâillon l’en empêche. Un néon s’allume au plafond bas de la pièce. Ça doit être une cave se dit-elle. Quelqu’un rentre dans la pièce. Au-dessus de sa tête elle voit la tigresse qui lui sourit. Bien dormi ma petite esclave. Virginie n’en crois pas ses oreilles. Tu es venu pour une séance de bondage. Tu vas être servie même si je crois que tu ne souhaitais pas cette place. Ne t’inquiète pas tu as tout le temps pour t’habituer. Bon désormais tu es devenue mon esclave. Félicitations . Virginie se dit que cette femme est folle. Laisse-moi t’expliquer le fonctionnement de ton collier. Elle touche le collier au cou de Virginie qui s’aperçoit de sa présence. Il a deux fonctions, la première c’est un anti aboiement qui marche très bien sur les humaines et la deuxième c’est comme les bracelets électroniques des condamnés mais beaucoup plus précis ça se règle au centimètre près. Dans la bonne zone tout va bien et dès que tu veux aller au-delà c’est le rappel à l’ordre. Maintenant je vais t’enlever le bâillon mais rappelle-toi ce que je viens de te dire. Le bâillon à peine ôté Virginie veut gueuler sur la tigresse mais avant qu’elle termine le premier mot une décharge inouïe la fait se cabrer sur la table et la laisse pantelante se demandant ce qui lui arrive. Bien dit la tigresse tu testes le matériel. Virginie veut protester une deuxième décharge le foudroie de nouveau. J’ai réglé le collier en mode apprentissage les décharges sont sévères n’en abuse pas. Virginie a compris et ferme sa bouche. Cette femme est folle se dit-elle. Maintenant deuxième point, chaque fois que tu me verras tu devras te mettre au milieu du cercle dessiné au sol dans cette position. Elle montre une photo à Virginie une femme se prosterne à genou le visage collée au sol et les mains présentées les paumes vers le ciel. Tu gardes cette position tant que je ne t’ordonne pas autre chose continue la tigresse. Maintenant dernière chose pour l’instant elle sort de son sac une tondeuse à batterie. Tu as vu sur la photo le crâne est rasé. Ça sera ta coiffure désormais. Et elle actionne la tondeuse et cinq minutes plus tard Virginie est tondue. La tigresse lui dit quand je reviens tu auras nettoyé tout ça. Et elle laisse Virginie. Un clic se fait entendre. Les quatre menottes se sont ouvertes simultanément. Elle saute au bas de la table et regarde autour d’elle. Elle voie le petit cercle près d’elle ce petit cercle est inclus dans un plus grand qui fait environ trois mètres de diamètre. Elle se dirige vers la porte bien décidée à se barrer. Au fur et à mesure qu’elle approche de la limite du grand cercle son collier se met à vibrer de plus en plus. Au moment de franchir la limite une puissante décharge la fait retomber en arrière. Putain de salope dit-elle en se rappelant les consignes de la tigresse. Elle retourne vers la table. Sous la table un pot de chambre une balayette et un ramasse poussière. Si elle croit que je vais obéir elle se trompe lourdement dit-elle. Le temps passe elle est assise au bord de la table et la faim commence à la tenailler. La porte s’entrouvre deux secondes se passent puis la tigresse pénètre dans la pièce. Elle regarde la tigresse d’un air de défi. Une puissante décharge la foudroie. J’avais oublié de te dire que je pouvais aussi déclencher le collier avec ça dit la tigresse en montrant la télécommande en indiquant le petit cercle de l’autre main. Virginie la toise. Nouvelle décharge Virginie est secouée et en pleurs rejoint le petit cercle ou elle se met dans la position souhaitée. Elle est honteuse de se soumettre ainsi mais elle ne pourra pas supporter une décharge de plus. C’est mieux comme ça dit la tigresse. Je vois que tu n’as pas nettoyé. Tu n’as donc pas besoin de diner ce soir dit-elle. Elle pose une gamelle pour chien remplie hors de portée de Virginie hors du deuxième cercle. Les bonnes nouvelles maintenant. Ta lettre de démission est partie et tu as rendez-vous avec Emmaüs pour vider ton appartement ce qu’ils ne prendront pas ira à la décharge. J’irais à ta place rassure toi. Tu n’as besoin de rien d’autre que ta maitresse ajoute * elle et ta garde-robe ne va plus t’aller car nous allons éliminer ces kilos superflus. Virginie est horrifiée mais n’ose ni bouger ni parler. Ha aussi ton portable est malencontreusement tombé dans l’insert de la cheminée il faudra songer à résilier l’abonnement. Virginie est désespérée. C’est tout pour ce soir à demain dit la tigresse et elle quitte la pièce. Virginie pleure à chaudes larmes maintenant. C’est trop pour elle. La lumière s’éteint. Elle se couche en pleurant sur la table et finit par s’endormir affamée et épuisée. Elle et réveillée par la lumière qui s’allume. Elle crève de faim. Rapidement elle nettoie la table et le sol faisant disparaitre toute trace de poussière. La porte s’entrouvre elle bondit dans le petit cercle et prendre la position de soumise. La tigresse entre. Bonjour ma chérie dit-elle je vois que ça rentre. Elle pose une gamelle odorante et un bol d’eau dans le grand cercle. Habitue-toi à manger sans les mains et à laper lui suggère la tigresse sinon je ne serais pas contente. Elle pose un rasoir une cuvette et de la mousse à raser sur le table. Ça c’est pour ton crane et ton sexe dit-elle. A tout à l’heure. Elle quitte la pièce. Virginie se précipite sur la gamelle méfiante elle regarde bien autour d’elle et voit qu’une caméra suit tous se mouvements. Elle se met à quatre pattes et commence à manger directement dans la gamelle. Ensuite elle fait ce que la tigresse a demandé et attend. Les jours passent Virginie sent qu’elle perd du poids elle se désespère de voir aussi sa poitrine maigrir et perdre un peu de sa superbe. Un matin la tigresse lui dit de se lever pour la première fois depuis le début. Elle se lève. La tigresse lui dit de se coucher et de verrouiller les menottes. Elle est inquiète mais obtempère. Une femme entre dans la pièce avec une grosse mallette. Elle porte un masque de chirurgien. Elle s’approche de Virginie et pulvérise un produit sur les mamelons de Virginie qui a l’impression que c’est un anesthésiant. La femme sort une espèce d’aiguille épaisse et du petit matériel. Virginie s’inquiète. Prenant un téton avec une pince trouée dans son milieu elle tire sur la pince et le mamelon est tendu. D’un coup adroit elle passe la grand aiguille dans le trou de la pince embrochant le téton de part en part Virginie se retient de crier malgré la douleur insoutenable. La femme passe un anneau dans trou et referme l’anneau en cliquant elle ôte la pince et entame le deuxième mamelon. Virginie panique elle avait déjà hésité à le faire mais là elle n’est pas vraiment volontaire. Le deuxième téton terminé la femme pulvérise le produit sur son sexe. La pince saisie le clitoris qui trois minutes plus tard possède son propre anneau. Puis c‘est au tour du nez et Virginie se retrouve avec quatre anneaux identiques sur le corps. Le dernier entre dans une narine et sort par l’autre comme pour un bœuf. La douleur est lancinante. La femme lui fait une piqure. La douleur reflue. La femme donne des consignes à la tigresse et s’éclipse. Pendant plusieurs jours la tigresse prodigue des soins à Virginie. Elle est délicate et tendre avec elle. Puis une fois les piercings bien cicatrisés elle enlève les anneaux provisoires et lui met à la place de magnifiques et lourds anneaux en or d’au moins cinq centimètres de diamètres.
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Par : le 23/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 13 ; Anna fait une bêtise Martine est décidée. Elle va rendre visite à sa tante âgée qui a fait une mauvaise chute il y a quelques jours. Elle est à l’hôpital très loin de là. Martine se dit qu’elle pourra passer la nuit là-bas dans la maison de sa tante pour aérer la maison et vérifier que tout va bien. Ce weekend Anna est de permanence à la pharmacie alors elle ne peut pas venir. Cependant une vague de cambriolages a lieu dans le quartier en ce moment et elle hésite vraiment à laisser la maison vide. Elle appelle une voisine pour lui demander si elle veut bien surveiller la maison et faire un tour de temps en temps devant. Martine lui a déjà rendu ce service. La voisine propose une solution plus fiable elle propose que son fils tom d’une vingtaine d’année qui est en fac de droit s’installe pour la durée de son absence dans la maison ça découragera les voleurs si la maison est occupée d’autant plus qu’un jeune se couchant tard et ne lésine pas sur l’éclairage. Martine est ravie elle a déjà vu ce jeune sympa poli et très gentil même si visiblement il est un peu trop sensible aux charmes de martine. Le samedi matin il se présente à la maison. Elle lui donne les clés quelques recommandations et lui assure que le frigo est copieusement rempli pour satisfaire un ou deux estomacs tout le weekend. Elle prend la route rassurée. Tom kiffe d’avoir la maison pour lui il appelle Kévin son meilleur pote qui ne tarde pas à la rejoindre. Le midi ils se font livrer une pizza. Le contenu du frigo peut attendre. Anna est ravie. Sa collègue l’a appelé pour lui demande d’échanger les tours de garde. Elle a accepté et compte bien faire une surprise à la grande perche. Vers 13h00 elle arrive devant la maison et comme elle possède un double des clés elle pénètre dans l’entrée elle entend la télé et se dit qu’il va y avoir un belle surprise. Elle ouvre le tiroir réservé, se déshabille et s’équipe. Le bâillon a avantageusement été remplacé par un collier anti aboiement que martine s’est procurée dans une animalerie. Elle met les menottes et les enclenche. Désormais elle est à la merci de martine et ça la chauffe déjà bien. Elle pénètre avec un grand sourire dans le salon. Au lieu de voir martine elle voit deux jeunots qui matent un porno à la télé. Ils se tournent vers elle et ont des yeux comme des soucoupes. Elle panique. Impossible de repartir en arrière elle ne peut pas enlever les menottes seule. Impossible d’expliquer la méprise le collier l’empêche de parler. Elle reste figée. Miracle dit un des jeunes en s’approchant d’elle. Il voit la laisse et prend la poignée. Il lit l’étiquette et dit à voix haute que martine cache bien son jeu. L’autre gars s’est approché. Bon martine nous a prêté sa maison et tout ce qu’il y a dedans. Comme elle appartient à martine c’est qu’elle nous la prête aussi. Surement pour nous remercier de garder la maison. Se contentant de ses explications ils amènent Anna au centre du salon. Ils la contemplent. Elle ne bouge pas. Une main puis deux puis quatre s’enhardissent à la toucher puis la caresser puis la palper furieusement des seins à la chatte. Malgré elle son corps apprécie les caresses et les garçons se rendent compte qu’elle mouille abondamment. Tom tire la laisse vers le bas et Anna doit se mettre à genou. Il déboutonne sa braguette et approche sa bite dressée de la bouche d’Anna. Elle hésite puis prend la bite dans sa bouche. C’est le début d’une longue journée de sexe pour Anna. Ils ne tardent pas à se mettre à poil tous les deux. La bouche d’Anna passe d’une bite à l’autre. Tom se couche sur le canapé et la fait le chevaucher elle prend son pied. Kevin se présente debout à côté d’Anna qui adroitement happe son sexe et tout en faisant des va et vient de haut en bas avec sa croupe fait la même chose mais horizontalement avec sa bouche. Un incident les tétanise Anna a voulu crier de plaisir mais le collier a fait son œuvre. Elle a sursauté violemment lorsque la décharge l’a foudroyée et les garçons se sont instantanément arrêtés. Tom lui demande si ça va elle lève la tête pour lui montrer le collier. Il comprend et ôte ce dernier. La partouse reprend. Anna toujours attachée. Un peu plus tard le trio se calme ils ont beau être jeune il faut parfois récupérer un peu. Ils s’installent l’un à côté de l’autre et allument la télé pour regarder un autre porno. Anna à genou entre les deux regarde aussi la télé. Elle est aux anges car quatre mains la caressent et deux bouches la couvrent de baisers. L’après-midi se passe ainsi alternant les périodes de rut et les temps de repos. Ils dinent dans la cuisine. Anna est assise entre les deux et ils lui donnent tour à tour la becquée. Ensuite nouveau déchainement dans le salon et très tard dans la nuit les garçons décident qu’il est temps de se mettre au lit. Ils emmènent Anna épuisée dans le grand lit de martine et se couchent de chaque côté d’elle radieuse. Elle s’endort collée de chaque côté par des corps chauds et caressant. Elle est réveillée le matin par un mouvement sur sa droite. Kevin s’est mis à genou près de sa tête. A quelques centimètres d’elle il exhibe une érection de bonne taille. Elle le prend délicatement dans sa bouche et lui fait une fellation lente et douce. Il tient le plus longtemps possible appréciant autant qu’elle se moment de béatitude. Il se laisse aller et elle avale consciencieusement le sperme jusqu’à la dernière goutte elle jette un regard à Kévin sui lui regarde derrière elle en souriant. Elle se retourne et voit Tom à genou comme Kévin arborant une bite dans le même état. Souriante elle le prend dans sa bouche. Le petit déjeuner se passe comme le repas d’hier. Le passage dans la salle de bains est épique. Ils se bagarrent presque pour la frotter et c’est avec des tonnes de caresses qu’ils la lavent intégralement. Ils l’emmènent dans le salon. Bizarrement ils se sont rhabillés. Ils la font mettre à genou sur la table du salon les genoux écartés. Puis tom reçoit un sms sur son portable et se dirige aussitôt vers la porte d’entrée Anna flaire un problème. Kévin tient la laisse fièrement dans la main. Tom revient mais il est accompagné de deux jeunes, surement leur copains qui restent bouche bée devant un si beau spectacle. Kévin et tom exultent fièrement. Elle est figée. Les deux jeunes s’approchent et tournent autour d’elle pour la voir sous toutes les coutures. Tom lui pétrit un sein et c’est le signal pour que huit mains puis quatre bouches et enfin autant de chibres viennent la besogner. Ce coup là pas de période de repos. Anna est remplie en permanence. Son cul jusque-là épargné prend aussi son content. Ils arrivent même à réaliser des positons ou ses trois orifices et ses mains sont investis en même temps par des sexes palpitants. Comme dans un rêve la matinée passe très rapidement. Anna est extenuée et ne compte plus les orgasmes car elle a depuis longtemps cessé de réfléchir et se lâche comme une tigresse. Midi arrive. Les copains de tom se rhabillent à contrecœur et les quittent. Celui-ci caresse encore un peu Anna qui s’est pelotonnée contre son épaule puis un dernier baiser et il la libère des menottes avec la clé qu’il a trouvée grâce aux précisions d’Anna. Elle se lève l’embrasse et après un rapide passage à la salle de bains retourne dans l’entrée ou elle redevient la Anna normale. Martine arrive vers 14h00. Tom lui assure que tout s’est super bien passé et qu’elle pouvait faire appel à lui quand elle voulait. Elle pense qu’il essaye de la dragouiller mais les pensées du jeune sont ailleurs. Il n’est pas près d’oublier ce weekend. Une fois le garçon parti martine aère la pièce car elle trouve que le salon sent le cul. Il ne devait pas être seul et a dû prendre du bon temps. Elle croie reconnaitre l’odeur fruitée du parfum d’Anna dans la pièce mais se dit qu’elle doit se faire des illusions.
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Par : le 22/02/21
Le boléro de Ravel. Hummm! Dès les premières notes, je danse...  Les tintements  légers et répétés des petits tambours... La clarinette... Il est à mes pieds...  Deux univers qui se rencontrent  lentement ... J'entreprends cette danse à 3 temps avec mon soumis.  Tournoyant doucement autour de lui au son des instruments à vent...  Je connais la musique et son pouvoir sur moi, pas mon premier ballet, mais lui ,  qui va se retrouver au cœur des tambours  va très vite se trouver entraîné bien plus loin,plus haut, que je l' ai déjà mené... Je  savoure ce moment ...Choisis un fouet... Les cors   et leur ton rauque... Je tournoie  autour de lui...  Fin sifflet des clarinettes...Je fouette   à trois temps...  Les lanières effleurent son sexe...Caressent ses cuisses... J' inverse le sens de ma rotation à chaque ostinato. je ne le quitte pas des yeux, je veux qu'il me ressente  prendre du plaisir dans cette danse...   Les minutes s'écoulent   avec harmonie . Mon souffle se fait plus fort.  Mes gestes  plus sensuels.   Le martinet claque plus fort Son corps rougit...  Je sens la mélodie me porter au fur et à mesure  que s'ajoute un instrument . Je guide les lanières en dansant  autour de ce corps qui se donne à mon plaisir... Les accords  des notes qui s'enchaînent  et se répètent encore et encore... Hummm!  Un va et vient musical enivrant profond  envoûtant... Que j' aime  ce boléro! Mon plaisir monte...  Mon  pas leste s'alourdit...    Le rythme s'accélère, je fouette  plus durement,  avec élégance. Je danse...  Mon corps s'anime au rythme des trompettes. Les lanières claquent sur sa peau au rythme des percussions...  Son corps réagit,commence à fondre dans cette symphonie... Crescendo ,la musique envahit la pièce,  recouvrant le bruit du  fouet. Petits claquements   répétés obstinément ... Puis l'harmonie des grosses caisses et des violons montent le ton.  Mon corps commence à se libérer de toutes ses tensions...  hummm!Ca monte encore et encore... Chaque parcelle de mon corps danse.. L'envie de faire mal arrive...Ton grave    des contrebasses...  Je tourne de plus en plus vite autour de lui. Frappe plus fort, plus rapidement ... Encore  un nouvel instrument...  Je le mets a terre sous la tempête qui s'annonce  Je le couche au  milieu des sons. Ma chose devient le centre de ma danse. Je l' enjambe ... Je veux qu'il ressente, le faire vibrer dans mon délire... Je le serre  entre mes jambes ,  laisse mon corps le prendre en otage.  La violence de mes pulsions fend l' air , dans  le fracas des lanières que je frappe de toute part sur son corps...  Mon souffle devient si fort. Ses gémissements subliment  la musique,  la  puissance  de mes gestes devient  plus grande. Je descends le rejoindre.  Laisse mon corps se mouvoir sur son bas  ventre,  heurtant sa cage sans ménagement. Je l' enveloppe de cette passion fulgurante, ma jouissance arrive entre mes hanches qui se balancent , Mon bras tournoie et abat ses franges sur sa peau. Je le sens partir avec moi,  la musique nous porte dans un espace hors du temps.   Des cris s'échappent  , nos émotions s'envolent au delà du salon, le boléro me transcende, je ne fais plus qu'un avec mon soumis et ma musique, ma jouissance recouvre le son des tambours , je fouette toujours  ho oui encore plus fort. Dans un dernier  élan  de contrôle,  je  lui ordonne d'une voix rauque qu'il  découvre alors,  de protéger son visage de ses bras.  L' orchestre  est au complet ,   je me laisse enfin envahir   de ce flot  d'essence   de plaisir sadique,  frappe les derniers coups en pleine puissance,  c'est pour moi,  j' en tremble , je danse avec le mal sur sa souffrance. Il vibre plus que tous les violons tous les bassons...  C'est si fort, si enivrant, la puissance des trompettes   qui échangent  avec les grosses caisses.  Le bien et le mal en musique, le blanc et le noir... Ma jouissance s'accentue  au son des cymbales qui s' heurtent  J' en jouis,   oh oui j' en jouis, Le final arrive.. L'orchestre  envoie tout ce qu'il a. J' en crie,abattant les derniers coups de fouet. Il crie avec moi. Hum, cette musique nous transporte  J' hurle de plaisir   et explose sur lui...   Je  suis en trans sur son corps en total abandon quand la musique s'arrête. Je reste scotchée à son corps, il n' ose bouger de peur d’interrompre cet instant magique... 
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Par : le 22/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 12 : Magalie triomphe Le lendemain matin Magalie se lève et détache Tristan qui a l’air chiffonnée. Bien dormi chéri lui dit-elle. Pas du tout répondit-il je ne peux pas continuer comme ça. Tant pis se dit Magalie je perds un bon amant mais pas question de le laisser me cocufier. Donc ? dit-elle. Si je te jure de ne pas recommencer tu arrêtes tout ça. Un espoir gagne Magalie qui doit jouer serré. Ecoute moi bien je tiens à toi mais tu m’as trahi et je sais que ce n’est pas la première fois alors je ne peux pas faire autrement. Lorsque j’aurai de nouveau confiance en toi on en reparlera mais d’ici là tu dois te racheter. Elle libère la laisse du radiateur mais ne fit pas mine de la détacher. Il la regarde s’un air interrogatif. Elle dit : deux possibilité soit je te détache là et bye bye soit tu acceptes mes conditions. Tristan réfléchit. Elle est quand même canon avec elle je vis des aventures pas banales et bizarrement ça m’excite d’être attaché comme ça. Ok dit-il je marche. Pourvu que ça ne dure pas trop longtemps. Magalie exulte intérieurement. Bien allons prendre un petit dej. Heu j’ai envie de pisser dit Tristan. Elle saisit la laisse et l’accompagne aux toilettes ou elle tient sa queue à travers la cage. Il se résigne à pisser et finalement s’aperçoit que la cage n’est pas gênante pour ça. Sa queue commence à durcir dans les mains de Magalie mais dès que la douleur arrive il débande rapidement. Très bien dit Magalie. Bon je vais te détacher pour que tu déjeune et que tu te douche mais avant viens avec moi. Elle tire la laisse et Tristan suit le guide. Elle s’arrête dans le petit couloir qui symbolise l’entrée de son appartement. Tu vois dans cette zone tu es libre et tu peux te tenir habillé. Elle montre le petit couloir de 2 m2 qui va jusqu’à la porte et tout le reste de l’appartement tu es mon esclave et tu dois rester nu entièrement, à mes ordres et tu dois porter ça. Elle sort une étiquette qu’elle fixe à un mamelon de Tristan. Il ne peut pas lire l’étiquette mais ça ne doit pas le mettre en valeur. Et aussi tant que tu es dans la zone esclave tu ne parles que si je t’y autorise. Il prononce mais… elle l’arrête. Tu viens de gagner un jour de chasteté supplémentaire dit-elle. Je vais mettre un tableau ici et tu pourras voir quel jour sera celui de la délivrance. Tu désobéis ou tu me déplais un jour de plus. Tu es particulièrement obéissant tu gagnes peut être quelques heures dit-elle. Muet il opine du chef. Maintenant tu vas me faire une gâterie pour qu’on scelle le pacte. Elle reste sur place et écarte les cuisses. Il se met aussitôt à genou et entreprend de la satisfaire avec les seuls moyens qui lui restent. Pas de petit dej pour toi ce matin tu vas me regarder manger et ensuit je te détacherais pour ta toilette. N’oublies pas aucun habit sur toi avant la zone réservée et tu dois porter cette étiquette en permanence dans la zone esclave. Il ne pipe mot de toute façon il a la bouche et la langue trop occupée pour parler. Magalie décide que c’est bon et le détache pour qu’il se prépare pour le taf. Elle va prendre son petit dej. Arrivé dans la salle bain il peut enfin lire l’étiquette. « Esclave personnel de Magalie ». Elle est folle cette fille. Néanmoins il prend les consignes au sérieux en se disant qu’il fera le point une fois dehors. Comme convenu il amène se habits dans la zone autorisée et il s’habille sous le regard appréciateur de Magalie. Une fois qu’il est parti elle appelle martine qui la félicite. La journée se passe bien et le soir elle rentre après Tristan. Quand elle arrive il est là nu l’étiquette bien en place et lui adresse un petit sourire muet. Bonjour mon esclave dit-elle. C’est comme ça qu’on accueille sa maitresse et elle lui montre son entrejambe. Il réagit et vient de mettre à genou devant elle colle sa bouche au sexe de Magalie qui avait bien ôté sa culotte avant d’entrer. Repue elle lui dit de se retourner et lui mets les menottes dans le dos et le collier de cuir. Bon je ne dis rien pour aujourd’hui mais désormais quand je rentre après toi tu dois avoir ton collier et tes mains menottées dit-elle. Ils prennent l’apéro elle assise sur le canapé avec un verre à la main , lui à genou face à elle dans bouger. Elle kiffe. La petite cage a des effets magiques. Elle prend son repas dans la cuisine lui toujours à genou est à ses côtés et mange ce qu’elle veut bien lui donner directement dans la bouche. Sur les conseils de martine elle lui a mis un bol d’eau dans un coin de la cuisine. Après le repas elle se déshabille nue allongée sur le canapé et lui toujours ligoté à genou la lèche partout où il peut. Elle décide de regarder un film. Elle lui met un masque et lui donne l’ordre de ce tenir à genou face à elle et de lui lécher les pieds. Il s’exécute. Elle est aux anges. Pendant la pub elle va pisser et revient au salon. Sur ses ordres il baisse la tête jusqu’au sol et elle peut poser ses pieds sur le dos de Tristan. Fin du film elle prend la laisse en main et l’emmène jusqu’à la chambre bon tu as été sage tu as gagné une demi-journée. Elle lui montre le lit. Il exulte. Sa joie est vite refrénée. Sur les conseils de martine, mais ou va t elle cherche tout ça, il se retrouve sur le ventre les jambes écartées liées aux pieds du bas du lit et la tête dans l’entrejambe de Magalie. Elle s’endort heureuse alors qu’il continue à la brouter sans se poser de question. Le réveil sonne. Magalie tapote la tête de Tristan qui entreprend de la satisfaire ave sa langue. Quel pied pense t’elle. Le réveil se passe comme la veille. Une fois libéré Tristan va se laver et revient mettre ses habits dans la zone réservée. Il regarde le tableau. La libération est prévue dans quatre jours. Dans la journée Magalie appelle martine et lui fait part de ses réussites. Martine la félicite. Elle a le souffle un peu court puis Magalie se rappelle que c’est le jour de repos d’Anna elle l’imagine entre les jambes de martine sans savoir qu’effectivement les mains liées dans le dos Anna est à genou et suce martine . Elle arbore son étiquette et est saucissonnée par un shibari parfait. Magalie propose à martine de venir prendre l’apéro le soir. Tristan doit rentrer avant elle on verra bien. Martine accepte au déplaisir d’Anna qui arrête de la lécher. A petit voix martine lui dit tu vas le regretter petite peste. Anna imagine avec délice quelle punition pourrait lui administrer martine. Le soir même elles pénètrent ensemble dans l’appartement Tristan est là nu lié à genou et ignorant martine vient immédiatement lécher l’entrejambe de Magalie qui exulte. Bravo dit martine c’est un bon esclave que tu as là. Il fait des progrès avec sa bouche. Tu vas pouvoir constater toi-même dit Magalie. Elle tapote la tête de Tristan qui se précipite entre les jambes de martine. Elles vont vers le salon et Magalie dit à Tristan ce soir exceptionnellement je vais te libérer la bite. Mais interdiction de juter. De toute façon tu auras du mal. Elle le fait se coucher sur le dos sur la table du salon et l’attache consciencieusement. Elle lui libère le sexe qui aussitôt prend des proportions appréciables. Elle lui met un triple collier de sexe un collier lui serre la base des couilles le deuxième lui enserre le bas de la bite et le troisième enserre l’ensemble. Son sexe et ses couilles sont gonflés deviennent cramoisis et sa bite pointe droit vers le ciel. Martine et Magalie son impressionnée par le chibre et doivent faire des efforts pour ne pas en profiter. Tristan a la tête qui dépasse de la table il ne peut pas la reposer sur la table mais Magalie lui montre qu’il peut être utile en encerclant sa tête avec son entrejambes. Le corps de Tristan sert ensuite de table de salon et les coupelles contenant les cacahuètes ainsi que les verres sont posés sur lui. L’apéro terminé martine félicite Magalie et prend congé. Elle doit libérer sa petite furie doit fulminer dans la malle en osier qui lui serre de prison d’autant plus qu’elle a les mains liées et un magic wand bien scotché sur son petit clitoris. Maëva lui a donné pas mal d’idées géniales. Magalie va chercher des glaçons dans le freezer et entreprend de faire débander Tristan. Dix minutes plus tard sa cage est en place et ils partent pour une nuit identique à la précédente
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Par : le 19/02/21
Quand deux personnes se rencontrent et que leurs regards se croisent .... Quand certaines attirances apparaissent et que le feeling est là, en la réalité. Quand le respect, la confiance, la sincérité sont là, le bonheur est à portée de soi. Le temps passe vite lorsqu'on se retrouve et demain Vous et moi. Heureuse de Vous appartenir, d'être Votre soumise. Votre respect, Votre regard posé sur moi me permet d'aller loin, de me dépasser, de grandir, de m'épanouir. Mon caractère entier ne vous déplait pas, tout comme le fait que je sois taquine... Aie la badine. En ce qui Vous concerne, je peux TOUT Vous dire, vous préférez la sincérité aux non-dits qui ne nous leurrons pas se découvrent tôt ou tard. Les mots, ils sont toujours trop fort ou pas assez et pourtant, il faut bien les utiliser. Ils sont aussi doux qu'ils peuvent être acide et pourtant parfois se sont eux qui décident. Mais, ne laissons pas les mots nous diriger trop rapidement se serait réagir avec trop d'empressement. Ecoutons le langage du cœur qui a bien plus de ferveur car c'est un langage universel d'amour qui n'a ni frontière et surtout pas d'atours.... Pour ces moments intenses que nous avons passés et passerons encore ensemble. Je n'ai pas de mots.... Ils ne seraient pas assez ou trop. Il est des mots Qu'on enseveli au fond de soi Il est des mots si difficiles A prononcer Qu'un jour, on arrive à les dire Lorsqu'on est en confiance Que la personne est sincère Alors on dit tout bas Ces mots gardés pour soi Et que les autres n'entendent pas Mon Maitre, je Vous a... Le 30 janvier 2012.
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Par : le 18/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 11 : Magalie commande Cet après-midi-là Magalie ne travaille pas elle se promène dans la ville et au coin d’une rue elle voit Tristan sortir d’un hôtel miteux en tenant la main d’une inconnue. Prête à se jeter sur lui Magalie reprend son calme et prend une photo avec son portable. Malheureusement elle va devoir rompre avec Tristan qui est décidément bien trop volage. Rentrée chez elle en rage Magalie téléphone à la première personne qui lui vient à l’esprit, Martine. Elle lui explique tout. Martine la console en essayant de lui faire comprendre qu’elle trouvera surement mieux un jour mais qu’elle pourrait donner une dernière chance à Tristan en prenant des dispositions fermes lui interdisant de papillonner hors de la maison. Magalie est perplexe et je fais comment demande-t-elle ? Regarde sur ton catalogue de toys à la page 282 lui dit Martine. Propose lui ça ou la rupture. Magalie s’empare de son catalogue et page 282 il y a les cages de chasteté pour hommes. Martine lui dit poses lui l’ultimatum tu verras si il tient à toi. Profite en pour voir s’il ne serait pas sensible à un peu de domination féminine tu n’as rien à perdre. Martine réfléchit à la situation puis elle se décide. Elle commande une cage de chasteté qui peut être conservée toute la journée n’empêchant pas l’homme de faire son petit pipi et d’autres accessoires qui pourraient être utiles. Le soir même Tristan vient tout guilleret comme si tout était normal. Magalie est froide et ce soir-là c’est l’hôtel du cul tourné malgré les supplications de Tristan. Deux jours plus tard le paquet arrive. Magalie vérifie le fonctionnement et se prépare pour la soirée elle s’habille en véritable allumeuse maquillée à outrance avec juste une guêpière et des longs gants noirs. Tristan arrive il est subjugué et tout de suite excité comme un bouc. Magalie froide lui montre la photo. Tristan devient blême et tente d’expliquer que ça n’était qu’un coup de folie et que ça ne recommencera jamais. Bien sûr que ça ne recommencera pas car c’est fini entre nous dit Magalie. Tristan se jette à ses pieds en la suppliant de lui laisser une dernière chance. Magalie lui dit alors : Je te donne une dernière chance mais il faut que tu sois particulièrement obéissant à mes ordres désormais. Croyant s’en tirer à bon compte Tristan jure qu’il fera tout ce qu’elle lui demandera. On va voir dit-elle. Pour commencer à poil. Tristan se déshabille en un tournemain. Et apparait le sexe dressé au regard de Magalie. Retourne-toi. Il s’exécute. Elle lui met des menottes aux mains et un collier de cuir muni d’une laisse au cou. Tirant sur la chaine elle dit suis moi. Il fait un pas. Sur les genoux ordonne Magalie d’un air furieux. Il s’exécute. Dans le couloir de l’appartement Tristan a mis une barre de traction à quelques centimètres du plafond. Il s’en sert pour garder la forme même si Magalie ne l’a pas souvent vu faire. Elle a mis le pèse personne sous la barre. Elle lui dit de se lever et de monter sur la balance. Il monte en se demandant à quoi servira de voir son poids, mais il n’a pas l’intention d’énerver Magalie qui semble toujours furax. Montant sur une chaise, elle le fait mettre sur la pointe des pieds et tirant au maximum les menottes elle arrive à les accrocher à la barre. Tristan a les bras tirés au maximum vers le haut. Elle descend de la chaise et lui dit de se suspendre à la barre. Il s’exécute elle enlève le pèse personne il veut reposer les pieds par terre mais n’arrive qu’à s’appuyer sur l’extrême bout de la pointe des pieds. Il est tendu au maximum. Elle s’éloigne et revient avec des accessoires. Un bâillon un masque pour l’aveugler et des pinces à tetons. Maintenant Tristan toujours en érection est à la merci de Magalie. Elle lui empoigne fermement les couilles et serre bien fort. Il gémit. Elle lui met un anneau vibrant sur la bite et le met en branle. Aussitôt Tristan rue et se cabre. Voyant qu’il arrive à la limite de l’éjaculation elle coupe la vibration. Désormais tu ne jouiras que quand je le voudrais et comment je le voudrais. Tristan reprend son souffle. Je veux que tu me dises oui dit-elle. Il hoche la tête la bite toujours palpitante. Ce soir tu vas jouir mais pas tout de suite. D’abord je vais prendre l’apéro et un bon repas. Peut-être aussi que je vais inviter une copine pour voir ça. Tristan toujours sur la pointe des pieds se fige. Elle ne peut pas me laisser comme ça. Et j’aurai l’air con si ces copines me voient comme ça. Magalie quitte le couloir et appelle Martine. Elle lui explique que pour l’instant ça marche bien et qu’elle aimerait que Martine vienne l’aider pour la suite. Martine accepte un peu excitée par les choses. Quelques minutes plus tard elle sonne à l’entrée. Magalie la reçoit et l’emmène voir son prisonnier dont la bite commence à fléchir. Elle remet en route les vibrations en quelques secondes le membre est de nouveau tendu. Elle jubile et stoppe juste avant que Tristan n’éjacule. Bon on va se prendre un apéro et un petit quelque chose dit Magalie. Avec Martine elles boivent un cocktail et mangent quelques trucs plutôt intéressées par la suite que par le repas. Elles reviennent vers Tristan. Sa bite est redescendue. Magalie vient le peloter, lui tripoter la bite et les couilles et Tristan est de nouveau au garde à vous. Bon maintenant tu vas jouir comme ça dit Magalie en lui glissant une capote. Ça s’est pour que tu ne tâche pas mon couloir. Il rue mais s’arrête vite car il ne peut pas bouger sans tirer trop fort sur ses bras. C’est parti dit Magalie sous l’œil amusé de Martine. L’anneau se met à vibrer. Moins d’une minute après Tristan ne peut plus résister et décharge piteusement dans le vide. Sa bite se ramolli. Bien maintenant la prochaine fois que tu jouiras c’est quand je le voudrais à la condition que tu te comportes bien et que tu fasses tout ce que je te demanderai comme un bon petit esclave dit Magalie. Pour marquer le coup de ton infidélité tu vas avoir un gage que tu garderas toute la nuit et elle frotte un plug le long de la raie des fesses de Tristan qui serre les fesses le plus fort possible. A ta place je me détendrai bien sinon ça va faire très mal dit-elle. De toute façon ça finira dans ton cul. Elle enduit le plug de lubrifiant, lubrifie aussi le cul de Tristan en lui introduisant un puis deux puis trois doigt. Il mugit dans son bâillon. Du calme tu viens de gagner un jour de plus sans tirer ton coup dit-elle. Puis Tristan calmé elle introduit petit à petit le plug qui finit par orner le cul de Tristan. Ça c’était pour l’infidélité dit elle et ça c’est pour que tu sois bien chaste tant que je le voudrai. Elle retire la capote essuie sa bite avec un essuie tout et saisi sa bite quelle insère dans une petite cage métallique. Tristan se fige en se demandent ce que c’est puis une espèce de bracelet enserre ses couilles son pénis assez fort. Elle rapprocha la petite cage du bracelet et relit les deux parties un minuscule cadenas faire retentir son clic. Voilà mon chéri je sais que tu vas tenir parole maintenant dit Magalie. Qu’en penses-tu Martine. Impeccable dit cette dernière c’est joli comme tout. Il faut que tu vois ça mon chéri dit Magalie et elle lui ôte son bâillon. Hébété il regarde vers le bas et voie sa bite enfermée dans une petite cage courbée vers le bas. On va tester ça dit Magalie et devant Tristan elle se tourne vers Martine et commence à l’embrasser à pleine bouche. Tristan sent que sa queue reprend de la vigueur. Les filles se déshabillent mutuellement. La bite de Tristan rempli maintenant toute la cage mais ne peux aller plus loin. Impossible de bander. La douleur le rappelle à l’ordre et son début de bandaison s’arrête net. Hilares les filles commentent la chose. Pas cool lui dit Magalie Il va falloir que tu trouves autre chose pour me faire jouir ce soir dit elle et même en faire profiter Martine pour la remercier d’être venue m’aider. Tristan est perplexe. Magalie enlève le bâillon en lui disant te ne pas parler sans qu’on lui en donne l’autorisation. Il veut protester et Magalie dit tu viens de gagner un jour de chasteté en plus. Il se tait. Les mains menottées dans le dos il est ramené dans le salon tiré par sa laisse. Les filles s’assoient dans le canapé l’une à côté de l’autre. Au travail mon petit esclave dit Magalie en lui montrant sa chatte. Comprenant qu’il n’avait qu’un moyen de satisfaire Magalie il se met à genou et vient la brouter ce soir-là il passe un nombre incalculable de fois d’une chatte à l’autre recevant des petits coups de cravache dès qu’il ralenti. Tard dans la nuit martine prend congé. Magalie dit à Tristan qu’il est l’heure d’aller se coucher il se lève et la suit tiré par la laisse. Arrivée dans la chambre Magalie l’emmène près du radiateur et accroche la laisse à ce dernier avec un minimum de liberté de mouvement. Tu dors par terre ce soir. Je te dirais quand je t’accepterai de nouveau dans mon lit dit-elle. Bonne nuit mon esclave. Dans sa position inconfortable Tristan ne dort pas de la nuit. Son cul s’insurge contre la présence de l’objet qui le dilate au maximum. Sa bite et ses couilles sont enfermées dans une trop petite cage et il est dans une position très inconfortable les mains liées dans le dos et sans pouvoir bouger plus de quelques centimètres. Magalie se demande si demain quand elle le libérera il ne prendra pas ses cliques et ses claques pour toujours. Tant pis je n’accepte pas d’être cocue.
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Par : le 18/02/21
Au mois de mai, un joli rêve j'ai fait. Un dessin significatif en ces représentations m'est apparu. Je ne sais dessiner, j'ai mis sur papier cette ébauche. Votre marque sur ma fesse, n'est pas anodine Elle engage ; il y a eu le temps de la réflexion. La réalisation du dessin explicite, les petites modifications à y apporter quelque fois. Et enfin ce jour tant attendu. Votre signature et ma détermination de porter Votre marque, a été réalité en ce jour. Le 15 novembre restera gravé en moi, symbole de mon engagement. Pour la vie, je porterai Votre cachet. Assise à califourchon sur une chaise, mes mains reposant sur son dossier, tête un peu baissée quelque fois, j'étais prête pour ce tatouage. Au fur et à mesure de la concrétisation du motif, j'ai ressenti des petits chatouillis, quelque traits appuyés par endroit, aucune douleur. Chaque personne perçoit et ressent à sa façon tatouage et/ou piercing. J'étais concentrée, bien qu'à un moment donné, le son d'une musique comme j'aime, m'a donné envie de bouger, je n'en ai rien fait. Mon Maitre présent en ce partage, son regard posé sur moi. Je désirai cette trace indélébile dans ma peau. A gauche Votre cravache, à droite le fouet qui me fascine, dedans mon collier. Au milieu formant comme un v Votre initiale, j'aurais aimé Votre prénom en entier. Vous avez préféré que seule l'initiale soit. Cela me prouve si besoin était Votre respect à mon égard. Le graphisme de l'initial a été choisi par Vous, cela forme Nous. Heureuse, je suis que votre empreinte soit. Fierté teintée de trouble par la communion de cet acte, gage de mon abandon. L'émotion m'a submergé quand vous avons regagné Votre voiture pour se rendre chez Vous. Mon regard s'est voilé, ma voix tremblait, elle s'est tue, la Votre j'ai entendu. Vous dites peu et Vos mots m'ont ému. Les mois s'écoulent, sereine en osmose de Vous. Vos/Les marques qui s'inscrivent dans ma peau scellent mon appartenance. Lien indéfectible imprimé sur et dans ma chair. Entre Vous et moi pas de contrat. Cet acte signifie beaucoup, nul besoin de papier. Le respect de Vous, de moi, de Nous. La confiance et la fidélité que nous avons l'un envers l'autre. Ce n'est pas un bijou de peau, c'est un symbole fort en ce dessin songé, symbiose de Nous. Ce tatouage me correspond, je l'ai rêvé pour Nous, il parle de Nous, c'est Votre signature. Comme une évidence, soumise je suis à Vous. Dépendance de Vous, profondeur de Notre relation. Mes anneaux ont été stretché fin novembre, ils sont à présent en acier et d'une autre taille, deux mois après la cicatrisation et la première pose ou vous n'étiez pas présent en ce partage. Ceux-ci ont la valeur du passage à l'acte car votre présence était et pour moi cela est important. Je suis la première à être percée pour Vous et j'en suis fière. Il y a un sceau plutôt un branding que j'aimerai avoir un jour... A Vous Mon Maitre qui m'emmenez vers des plaisirs d'une rare intensité. Attentionné, respectueux, vous me conduisez sur les chemins de la soumission. Avec délice, je me soumets à Vous. Notre complicité est l'essence de notre relation tout comme l'authenticité. Cette connivence qui n'a pas besoin de mot, quelque fois juste un regard, un sourire, on se comprend. Cette preuve de mon attachement, de ma dévotion, du rêve devenu réalité en cette signature en accord de Nous. Ajout de Vous Un Maître fier de sa soumise, de son obéissance et sa dévotion, une marque indélébile pour sceller à jamais son appartenance. Le 20 12 2011
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Par : le 18/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 10 : le retour de Maëva A arrivant chez elle Maëva était encore complétement stressée. Martine avait dépassé les bornes. Même si elle devait s’avouer que la journée avait été particulièrement jouissive elle gardait une dent contre sa copine. Tu ne perds rien pour attendre pensait elle. Et elle essaya d’imaginer un plan pour rendre la monnaie de sa pièce à sa copine. Petit à petit l’idée faisait son chemin et l’obsédait de plus en plus. Enfin elle pensa avoir trouvé le moyen de se venger. Quelques jours furent nécessaires pour qu’elle se procure matériel. Puis elle téléphona à son amie celle-ci d’abord un peu gênée fut heureuse de voir que Maëva ne lui en tenait pas rigueur. Elle accepta de bon cœur une invitation à diner le samedi soir. Laurent le mari de Maëva étant en déplacement à l’étranger pour une semaine. Maeva lui demanda si elle prenait des vacances pour pâques et Martine lui répondit qu’elle devait rester tranquille seule à la maison pour se reposer d’évènements récents très fatigants. Ainsi le samedi soir munie d’une bouteille de champagne Martine se présenta chez Maëva qui l’accueilli avec joie. Les deux femmes se retrouvèrent autour de la bouteille de champagne qu’elles vidèrent assez rapidement, Martine ne s’apercevant pas que Maëva limitait ses propres doses pour charger le verre de Martine. Puis elles prirent des amuses gueules et Maëva proposa un cocktail à Martine. Celle-ci un peu embrumée mais contente de renouer avec Maëva accepta volontiers même si la tête commençait à tourner. Trois verres plus tard Martine avait un peu perdu le fil de la conversation alors que Maëva qui n’avait quasiment rien bu était bien consciente. Elle proposa un jeu à Martine qui accepta un peu pompette on va jouer au poker dit Maëva. Martine fut d’accord et quelques minutes après le jeu commença. Maeva proposa que ce soit sous forme de strip poker. Martine se souvenant de la belle plastique de Maëva accepta en se disant qu’elle aurait vite fait de se retrouver avec un Maeva à poil devant elle. Les choses ne se passèrent pas ainsi. Maeva trichait avec virtuosité, sans difficulté, Martine étant incapable de se concentrer sur les cartes. Après quelques minutes c’est elle qui se retrouva nue à table. Bon on va rajouter des gages dit Maëva Martine une double paire en main opina, la chance allait tourner. Maeva étala un brelan d’as au grand désespoir de Martine. Bon, premier gage dit-elle tu vas jouer avec une seule main car je vais menotter l’autre à ta chaise dit Maëva Martine tendit le bras et s’aperçu que ce n’était pas facile de jouer avec une seule main quelques minutes après la deuxième main était attachée à la chaise. Maintenant tu dois jouer avec ta bouche dit Maëva. Martine tant bien que mal retourna ses cartes installées sur la table et perdit encore. Maintenant il faut un gage plus sérieux dit Maëva elle est décrocha les menottes de Martine et entraina celle-ci dans une pièce meublée d’un lit et arrêta Martine au milieu de la pièce. Deux chainettes pendaient du plafond et Martine vit Maeva attacher ses poignets aux chainettes avec des bracelets de cuir. Elle reste interdite se disant que quelque chose clochait. Son enivrement disparait rapidement remplacé par une certaine angoisse. À un bout de la pièce Maëva actionne une manivelle Martine sent qu’un de ses bras est attiré vers le haut, la chainette passe par une poulie au plafond se raccourci par l’action de la manivelle. Le bras tendu Martine demande à Maëva d’arrêter celle-ci lui dit que le gage n’est pas terminé et s’empare de la manivelle située de l’autre côté. Le deuxième bras de martine est tiré vers le haut et rapidement elle se retrouve sur la pointe des pieds elle veut engueuler Maëva mais celle-ci surgissant par derrière lui insère avec force un bâillon boule énorme qui distend les mâchoires de Martine. Elle est incapable de remuer sa bouche ouverte au maximum même ses lèvres semblent tendues à l’extrême. Maëva se baisse et tranquillement installe une barre d’écartement reliées aux chevilles par d’autres bracelets de cuir. Ayant perdu quelques centimètres en écartant les jambes Martine est quasiment pendue par les bras. Heureusement les bracelets en cuir très larges et bien serrés repartissent la charge sur les poignets de Martine. Voilà maintenant je suis de l’autre côté de la cravache dit Maëva qui donne un puissant coup sur le fesses de Martine entrainant un gémissement étouffé. Maintenant Martine est complétement dégrisée. Maeva porte d’autres coups sur les cuisses les seins et le bas ventre de Martine qui ne peut pas bouger d’un pouce et encaisse les coups en pleurant. Je pense que tu es mure pour être une bonne esclave obéissante maintenant dit-elle. Martine hoche la tête elle ne veut plus recevoir de coups. Maeva s’active sur les manettes et la tension baisse. La barre d’écartement fixée au sol maintient Martine sur place. Maeva lui attache un collier de cuir autour du cou et attache ses bras derrière le dos. Une chainette est accrochée d’un côté aux bracelets de Martine et de l’autre cote à l’une des poulies du plafond. Une autre est accrochée au collier du cou. Maeva tire la chainette vers le bas obligeant Martine à se baisser en avant tout en restant pour soulager ses bras qui sont attirés par la plafond alors que le collier lui maintient la tête à moins d’un mètre du sol. Martine ne peut pas bouger d’un pouce. Maeva la contourne et entreprend d’enlever le bâillon. Le soulagement de Martine est de courte durée. Une espèce d’anneau est insérée de force entre les dents de la mâchoire du haut et du bas obligeant Martine à garder la bouche exagérément ouverte. Tu sais à quoi ça sert dit Maëva Martine se pose la question et essaye de répondre quand un puissant coup de cravache lui cingla les seins. Tu n’as pas droit à la parole tu te rappelles qu’une bonne esclave ne parle que sur ordre. Martine les larmes aux yeux complétement effarée se tait. Tu vas comprendre rapidement dit Maëva et elle sort de la pièce. Quelques minutes après Maëva réapparait dans la pièce mais elle n’est pas seule. Laurent, son mari et l’accompagne. Je t’avais promis un cadeau si tu aménageais cette pièce tu vois que j’ai tenu parole. Martine a perdu au strip poker et elle exécute son gage c’est mon esclave pour la semaine. Laurent à les yeux exorbités et s’approche de Martine. Salut Martine ne t’inquiètes pas tu ne vas pas t’ennuyer cette semaine et ses mains attrapent les seins opulents de Martine et commencent à la pétrir violemment. Humm ils sont aussi fermes que je l’imaginais. Voyons voir si tu suces aussi bien que dans mes rêves. Il enfourne son chibre dans la bouche béante de Martine qui comprend l’utilité de l’anneau elle ne peut pas fermer la bouche ni mordre l’intrus. Seule chose à faire, elle commence à utiliser sa langue experte pour lécher la bite de Laurent. Maëva passe derrière Martine et soudain celle-ci sent un objet oblong forcer la porte de son cul. Tu vas gouter au gode ceinture en même temps dit Maëva on ne va quand même pas te laisser te reposer. Le gode pénètre et Martine est embrochée de part en part. Après plusieurs minutes Martine est extenuée sucer, se tenir courbée pour ne pas blesser ses tétons prendre des coups de boutoirs dans le derrière ça fait beaucoup. Heureusement Laurent jouit et part dans de longs jets dans la bouche de Martine. Avale bien tout car tu n’auras que ça à manger ce soir dit-il. Malgré elle Martine doit avaler tout le sperme jusqu’à la dernière goutte. Bon on va passer au salon dit Maëva. Elle ôte la chaine des tétons et la chainette du plafond. Tirant Martine par la laisse elle l’emmène jusqu’au salon. A genou dit-elle Martine s’exécute avant le coup de cravache. Lèche-moi les pieds. Martine se penche en avant pour que sa bouche atteigne quasiment le sol afin d’embrasser les orteils de Maëva. Et relève moi cette croupe dit Maëva. Martine s’exécute. Laurent arrive et matte le cul de Martine. Maëva lui dit que ce cul est trop serré et qu’il faudrait l’assouplir avec un bon gros plug. Laurent part et revient avec un plug énorme et un flacon de lubrifiant. Quelques instants plus tard Martine est investie par le plug qui lui dilate l’anus. Maëva dit alors montre-moi comment tu te débrouille avec ta bouche. Elle tire sur la laisse et le visage de Martine se retrouve devant l’entrejambe. Elle colle sa bouche au sexe de Maëva avant de recevoir un coup de cravache elle se dit en elle-même qu’elle apprend plus vite qu’Anna. Après quelques minutes et visiblement quelques orgasmes de Maeva Martine est rincée. Laurent dit on devait mater un film ce soir sur canal. Maeva acquiesce. Elle fait se relever Martine et s’absente quelques instants. Elle revient avec un plateau qu’elle fixe par une ceinture à la taille de Martine et deux chainettes qu’elle fixe avec des pinces aux mamelons de Martine les chainettes maintiennent le plateau horizontal à condition que Martine jette ses épaules en arrière pour mettre en avant sa poitrine. Deux verres pleins sont posé sur le plateau. Martine doit encore plus se cambrer pour que le plateau reste horizontal ses mamelons son mis à rude épreuve et elle a l’impression qu’on va les arracher. Laurent et Maëva se mettent sur le canapé de chaque côté de Martine qui doit se mettre à genou face à eux tout en gardant la cambrure. Regarde devant toi dit Maëva Martine s’exécute. Le film commence. De temps en temps l’un ou l’autre prends son verre bois un petit peu et remet le verre sur le plateau. On va se faire un plateau télé dit Maëva suis moi Martine et elles se dirigent vers la cuisine. Là Maëva enlève les verres du plateau et enlève les chainettes qui martyrisaient les seins de Martine. Elle met à la place une plus grande chainette passant derrière le cou de Martine. Comme ça on va pouvoir charge plus le plateau dit Maëva. Des petites coupelles contenant de la charcuterie et des légumes sont posés sur le plateau. Quelques cures dents sont ajoutés et les deux femmes retournent vers le salon. Martine reprend sa place et l’estomac criant famine elle ne peut que voir la nourriture disparaitre petit à petit dans les bouches de Laurent et Maëva alors qu’elle n’a droit qu’à l’odeur. Enfin le film se termine Maëva montre une pièce à Laurent pile ou face dit-elle Laurent choisi la pièce est lancée et Maeva gagne. Ce soir elle est pour moi dit-elle. Bonne unit mon chéri. Sur ce elle empoigne la laisse et entraine Martine dans la cuisine pour enlever le plateau puis sous la douche ou Martine doit se laisser laver par Maëva qui semble kiffer ça. A peine sèches les femmes se dirigent, Martine se contentant de suivre la laisse qui la tire, vers la chambre de Maeva. Un lit King size trône dans la chambre. Bon on va te trouver une place idéale pour cette nuit dit Maëva elle couche Martine sur le ventre vers le bas du lit ses jambes sont attachées aux pieds du lit l’écartelant littéralement, Maëva se glisse dans le lit et écartant les jambes elle se retrouve avec le sexe à quelque centimètres du visage de Martine. Celle-ci comprend ne message et commence à lécher le sexe de sa maitresse provisoire. Elle ne peut s’empêcher de penser qu’elle devra essayer cette position avec Anna. Laurent passe la tête par l’entrebâillement de la porte et dit bonne nuit les filles tout en notant la position idéale de Martine. Celle-ci finit par s’endormir le visage toujours contre le sexe de Maëva. Au matin elle est réveillée par des mouvements légers venant de Maëva. Elle doit se réveiller se dit-elle. Afin de mettre Maëva dans de bonnes dispositions Martine commence à lécher délicatement les grandes lèvres de Maëva. Celle-ci ondule de la croupe et Martine approfondi son exploration. Maintenant Maëva gémit et se tortille sous les coups de bouche et de langue expertes de Martine. Après avoir bien joui Maëva décide qu’il est temps de se lever. Elle détache les jambes de Martine l’emmène aux toilettes et toujours l’une tirée par l’autre elles rentrent dans la cuisine où sur un geste de Maëva Martine se met à genoux à se pieds. Maeva se sert un café qui fait bien envie à Martine. Tu veux du café demande Maëva Martine hoche la tête. Maeva avale une grande gorgée de café et attire Martine vers elle pour l’embrasser sur la bouche. A la grande surprise de Martine Maëva lui fait couler la gorgée de café dans la bouche. Maeva répète plusieurs fois le geste et Martine a finalement pu boire un bon café. Une tartine dit Maëva Martine hoche la tête elle n’a eu droit à rien d’autre que du sperme de Laurent depuis hier midi. Maeva lui détache les mains et les rattache ensemble devant. Elle montre une bouchée de pain à Martine. Aller bon chien fait le beau si tu veux un tartine. Comprenant l’idée Martine se redresse sur ses genoux et mets les mains comme un bon chien. Je n’entends rien dit Maëva. Martine pousse alors des petits gémissements comme un petit chien à sa mémère. Une bouchée de pain lui est insérée directement dans la bouche par Maëva. Le petit manège est répété jusqu’à l’arrivée de Laurent en peignoir il embrasse Maëva pétrit les seins de Martine et lui flatte la croupe. Elle est bien dressée dit-il. Maëva demande alors à Martine si elle veut de la confiture. Martine opine et Maëva demande à Laurent de lui en donner Pas de problème dit il et ouvrant son peignoir il étale de la confiture sur son sexe turgescent et ses couilles. Martine doit lécher consciencieusement le sexe et les bourses de Laurent pour avaler jusqu’à la dernière goutte. Maintenant petite leçon de shibari annonce Maëva et elle emmène Martine dans la pièce donjon. Là Martine a de nouveau les mains attachées dans le dos. Maeva et Laurent munis d’une grande corde spécialement faite pour cela et d’une tablette avec un tuto entreprennent de faire un bondage shibari à Martine. Après quelques essais infructueux Martine finit par être entièrement saucissonnée. Ses seins autour desquels la corde fait plusieurs tours sont poussés en avant et prennent une couleur rose alors que les mamelons sont complétement érigés. Magnifique dit Maëva vient voir ce que ça donne elle prend la laisse et emmène Martine jusqu’à la salle de bains Martine peut se contempler dans le miroir. A sa grande surprise ça lui va superbement la corde souligne et mets en valeurs ses courbes opulentes et ses seins sont fièrement pointés vers l’avant. Mais oui tu es belle dit Maëva en lui assenant une légère claque sur la croupe. Martine tressaute mais ses pensées partent vers Anna. Il faudrait absolument essayer ça. Finalement Maëva fourmille d’idées. Bon on va voir si tu ferais un joli bibelot pour la déco du salon dit Maëva en l’entrainant derrière elle. Avec Laurent ils mettent en situation Martine comme une déco de salon. Debout contre un mur, à genou, en table de salon, en porte manteaux, en étagère avec un plateau porté à bout de bras par Martine agenouillée. Martine passe par toutes les positons. Pour la dernière Maëva lui fait une queue de cheval haut sur la tête et attache un cordon à la queue de cheval et tire sur le cordon pour l’attacher au shibari dans le dos de Martine elle est obligée de lever la tête complément vers le ciel. Maëva la fait s’agenouiller sur un gros gode fixé par sa ventouse au sol. Martine reçoit l’ordre de ne pas bouger et sert de statue humaine pendant dix minutes sous le regard ravi du couple qui tout à tour se fait prendre en photo à côté du trophée humain. Maeva souriante la fait se redresser pour ôter le gode et emmène ce dernier vers la salle de bains. Elle revient et tirant sur la laisse force Martine toujours fixant le plafond à la suivre en restant à genoux. Elles approchent du miroir en pied de la salle de bains Martine ne peut pas regarder vers le bas et Maëva la fait se mettre dos au miroir. Maeva défait le cordon et Martine peut baisser la tête. Maeva tire la laisse vers le bas Martine pose son visage par terre monte un peu ta croupe dit Maëva. Martine s’exécute. Recule doucement. Martine commence à reculer mais son postérieur bute sur le gode. Maëva lui dit de continuer et guide le gode qui pénètre dans la chatte de Martine. Remue toi maintenant dit-elle Martine commence à faire des mouvements d’avant en arrière Laurent les rejoint et pousse Maëva pour s’agenouiller en face de Martine le sexe bien érigé face à elle. Martine tout en continuant ses va et vient ouvre grand sa bouche et avale le membre de Laurent. Il finit par jouir et elle doit de nouveau prendre garde de bien tout avaler. L’heure du repas approche. Maeva entreprend de défaire le shibari qui laisse des traces rouges sur le corps de Martine on pourrait croire qu’elle est encore encordée. Une petite chainette est fixée entre les mains de Martine sur l’avant, même chose pour les pieds et une troisième chainette relie les deux autres par le milieu. Ainsi forcée de marcher quatre patte Martine est conduite dans la cuisine. Là, Maëva prépare des steaks frites et elle se met à table avec Laurent. Martine est poussée sous la table et de temps en temps une main compatissante lui donne un morceau de viande ou une frite. Martine n’hésite pas à accepter ce jeu car elle et affamée. Un bol rempli d’eau lui permet de se désaltérer en lapant. Le repas terminé Martine est de corvée de vaisselle la chainette reliant les deux autres est enlevée et Martine peut se lever faire des petits pas et des petits mouvements avec les mains. Maeva va lui chercher un tablier de soubrette et lui donne l’ordre de faire la vaisselle. Martine s’exécute au moins pendant ce temps-là ses trois orifices sont épargnés. Trop vite dit. Maeva lui impose un gros plug en lui disant qu’il fallait bien faire son éducation remémorant les termes utilisés par Martine quand Maeva avait vu le plug dans le cul d’Anna. Apres la vaisselle c’est le tour du ménage elle passe le plumeau l’aspirateur et le pliz sous les yeux amusés du couple. Au milieu du ménage elle doit cependant faire une pause en broutant la chatte de Maeva confortablement assise dans le canapé pendant que Laurent la besogne par derrière. Ses trois orifices sont mis à contribution. L’après-midi passe et le rituel du soir recommence comme la veille. Finalement Laurent dit cette nuit elle est à moi. Maeva opine et leur souhaite une bonne nuit. Laurent s’installe confortablement sur le canapé et Martine doit se coucher façon PLS sur le canapé perpendiculairement à Laurent. Sa tête est à quelques centimètres de la bite tendue qu’elle englouti et suce avec application. Après quelques minutes alors qu’il est au bord de l’explosion Laurent se retire et l’emmène derrière lui dans la chambre. C’est la même chambre qu’hier surement celle qui a le plus grand lit. Les mains attachées dans le dos Martine doit chevaucher Laurent qui s’est couché sur le dos. Elle sent l’orgasme arriver et est frustrée lorsque d’un coup menaçant lui aussi d’exploser il la fait culbuter sur le coté. Elle retrouve la position d’hier soir et sans se poser de question avale le membre de Laurent. Ce coup-ci il se laisse aller et éjacule finalement dans sa bouche. Elle avale tout consciencieusement et s’endort la bite ramollie de Laurent toujours dans la bouche. Au matin quelque chose la réveille c’est la bite de Laurent qui commence à gonfler dans sa bouche et prend des proportions sympathiques. Docile elle commence une fellation lente se disant que ça mettrait Laurent de bonne humeur. Elle doit de nouveau avaler. Le petit déjeuner se passe de la même façon que la veille. Puis Laurent et Maëva déclarent qu’ils doivent se rendre au taf. Maëva dit à Martine rassure toi on ne va pas te laisser comme ça. Et elle traine Martine jusqu’à la chambre ou elle la couche sur le dos écartelée les bras et jambes lies aux quatre coins du lit. Elle sort un engin et dit à Martine que c’est un magic-wand programmable qui va lui tenir compagnie. Utilisant un large rouleau d’adhésif elle fixe l’engin sur la cuisse de Martine, ce qui semble être la tête de l’engin collé fermement contre son clitoris. Maeva branche l’engin règle un petit boitier attenant embrasse Martine lui met un masque aveuglant et lui souhaite bonne journée ; au moment de franchir la porte elle appuie sur le bouton d’une petite télécommande et aussitôt une vibration provoquée par l’engin assaille son clitoris. Martine comprend vite que l’engin est diabolique la programmation alterne les temps morts et les longues séances de vibration. Après quelques minutes elle ne peut s’empêcher de se laisser aller et un puissant orgasme le transperce. Après quelques minutes de repos l’engin se remet à vibrer et Martine doit de nouveau renoncer à lutter contre l’orgasme. La matinée est interminable. Impossible de dormir son corps est brulant et elle ruisselle de sueur. Un Xème orgasme la foudroie et elle se tortille en gémissant sur le lit. La voix de Maeva la surprend. Alors il est sympa mon petit gadget lui dit-elle. Martine hoche la tête. Bon dit Maëva je pense que Laurent t’as un peu trop à la bonne et va finir par avoir des idées qui ne me plaisent pas. Je ne suis pas jalouse mais bon. De toute façon il mérite que je m’occupe de lui. Il ne le sait pas encore mais je me fais forte d’en faire mon esclave tout comme toi avec Anna. Je pense qu’on est quitte et que nous devons rester bonne amies comme avant et même plus maintenant qu’on se connait intimement. De toute façon il faudra bien que tu viennes voir un jour ce que je vais faire de Laurent. Martine répond qu’elle reste l’amie de Maëva et qu’elles sont vraiment quittes. Maëva détache Martine qui après un long passage dans la salle de bains quitte Maëva après un baiser sur la bouche.
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Par : le 17/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 9 : invitation chez Martine Quelques temps après la séance Martine repris contact avec Magalie. Elles parlèrent de la séance précédente et se demandèrent si elles devaient réellement continuer à organiser de telles séances. Le conséquent bénéfice qu’elles avaient réalisé les tentait quand même surtout que la bourgeoise avait promis à Magalie une clientèle encore plus fortunée. Elles décidèrent de reparler de ça devant un café et Martine lui proposa d’emmener Anna avec elle. Elle dit qu’Anna était valait vraiment le coup d’être connue et qu’elle serait vexée si elle n’accompagnait pas Magalie. Celle-ci amusée promit qu’elle ferait tout son possible pour qu’Anna l’accompagne. Plus tard Magalie appela Anna et lui dit qu’elles étaient invitées toutes les deux chez Martine Anna refusa prétextant qu’elle n’était pas libre. Magalie lui demanda si la dernière rencontre avec Martine c’était bien passée Anna lui répondit que oui. Magalie insista beaucoup et finalement d’une petite voix Anna dit qu’elle pourrait compter sur elle. Rendez-vous fut pris pour le lendemain soir chez Martine. Cette nuit-là Anna dormi très mal. Devrait-elle refuser devrai t’elle y aller et ne pas tenir compte des consignes de Martine. Et puis il y aurait Magalie. Même si elles avaient eu une expérience ensemble Anna ne se voyait pas se promener nue dans l’appartement de Martine devant les autres filles… Le soir venu Magalie vint la récupérer. Elle fut inquiète en voyant la mine chiffonnée d’Anna. Tu vas bien ? Oui répondit Anna j’ai juste mal dormi cette nuit. Elles quittèrent les lieux et se dirigèrent vers leur rendez-vous. Anna avait à la dernière minute mis l’étiquette dans sa poche. Martine les accueillies avec une grande joie et elles s’embrassèrent dans l’entée. Martine leur dit : Entre Magalie le salon est tout droit, Anna pour toi dans le tiroir de ce meuble. Magalie pénétra dans le salon suivie de Martine qui avait fermé la porte de l’entrée. Il y a un problème avec Anna demanda Magalie. Non non rassure toi tout va bien c’est un petit truc entre nous. Et elles allèrent s’assoir sur le canapé. Paralysée Anna n’avait pas osé aller plus loin. Elle ouvrit le tiroir et comme elle craignait le collier, la laisse, les bracelets, le bâillon et une pince à sein, une seule, s’étalaient sous ses yeux. Lentement elle se déshabilla, tout plutôt que perdre cette grande perche qui la fascinait tant. Elle mit le collier fixa la laisse, le bâillon boule, la pince à sein sur le sein gauche, l’étiquette clipée sur le sein droit. Enfin elle se mit les bracelets enclencha la fermeture les bras dans le dos et attendit anxieuse. Magalie et Martine sirotaient un cocktail puissant préparé par Martine. Celle-ci dit assez fort pour être entendue de l’entrée tu peux venir ma chérie. Magalie se retourna vers la porte et faillit avaler son verre de travers. Anna pénétrait dans le salon nue, harnachée bâillonnée une laisse tombant au bout d’un large collier de cuir. Chaque sein était orné d’un objet, un petit pendentif à gauche et une espèce d’étiquette à droite. Aller approche dit martine. Anna s’approcha à petits pas. Magalie se pencha et pu lire l’étiquette. Elle se retourna vers Martine l’air interrogatif. Je te présente Anna qui devient mon esclave personnelle dès qu’elle franchit le seuil de mon salon. Elle montra le sol devant ses pieds et Anna vient s’agenouiller aux pieds de Martine. Ben ça alors vous m’aviez caché ça les filles. Vous voulez que je vous laisse ? demanda Magalie. Mais non dit Martine tout en caressant la tête d’Anna. On est là pour le travail et faire le point sur la prochaine séance si on fait une prochaine séance. Reprenant ses esprits Magalie entrepris de parler du taf avec Martine. Anna n’avait pas assisté à la séance houleuse et n’aurait pas eu grand-chose à dire de toute façon. Anna semblait regarder Martine avec adoration. Martine cache bien son jeu se dit Magalie subjuguée par l’asservissement visiblement sans réserve d’Anna. Quelque part c’était un peu excitant. Après une demi-heure de causerie les filles étaient tombées d’accord on referait une séance pour essayer et on aviserait en fonction du résultat, le bénéfice attendu semblant être conséquent. Martine mis de la musique. Anna danse pour nous dit-elle. Aussitôt Anna se leva et commença une danse suggestive les yeux rivés dans ceux de Martine. Magalie était estomaquée. Merde j’aurai bien aimé avoir une esclave comme ça moi. Dire que Martine me l’a piquée. La chaleur montait dans le salon. Sans couper la musique Martine montra son entrejambes à Anna qui aussitôt vint s’agenouiller devant elle. Martine lui ôta le bâillon et Anna plongea sa petite tête vers le sexe de Martine, sa minijupe et l’absence de culotte facilitant les choses. Magalie restait bouche bée. Tu veux un autre verre demanda Martine. Magalie acquiesça et Martine tapota la tête d’Anna qui s’arrêta aussitôt et partie vers la cuisine en désignant Magalie à Anna. Aussitôt Anna s’approcha de Magalie et glissa son visage dans l’entrejambe. Le string de Magalie n’empêcha pas la petite langue affamée de fouiller son sexe. Martine revint avec deux verres et un bol. Magalie était intriguée. Surement le bol des cacahuètes se demandai-t-elle. Martine posa le bol près d’elle par terre. Aller les filles trinquons à notre prochaine séance de vente elle triqua avec Magalie. Anna sorti sa tête de l’entrejambe de Magalie et s’approcha du bol pour se mettre à laper le contenu. Les yeux de Magalie lui sortaient de la tête faisant fièrement sourire Martine. L’heure passant Magalie se dit qu’il était temps de prendre congé. Martine lui dit que finalement Anna resterait avec elle ce soir-là et quelle la raccompagnerait chez elle. Tu crois demanda Magalie en regardant Anna celle-ci regarda inquiète Martine qui hocha la tête Anna regarda de nouveau Magalie et hocha aussi la tête. Trop fort dit tout haut Magalie. Martine la jaugea du regard et lui glissa tu sais il me semble que ton Tristan est très amouraché de toi et n’a pas l’air de détester qu’on le prenne en main. Il ferait surement un bon esclave pour toi. Il suffit d’y aller progressivement je pense. Magalie en pensée voyait tour à tour Tristan et Virginie à la place d’Anna. Je ne sais pas si c’est si facile dit-elle. Penses y répondit Martine en la raccompagnant vers la sortie. Ce soir-là Anna compris qu’elle était complétement sous l’emprise de Martine et que finalement le rôle d’esclave était assez facile car il n’y avait pas besoin de réfléchir.
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Par : le 16/02/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE 8 : Première séance hard Ça y est. Le grand jour est arrivé. Claire appelle la tigresse et l’averti qu’elle est prête à faire une séance spéciale pour elle. La tigresse la félicite et affirme qu’elle pouvait réunir une demi-douzaine de cliente très intéressées et financièrement à l’aise. Un rendez-vous est pris pour le samedi suivant. Martine et Tristan ne se sont pas trop faits prié. Le jour J le trio se présente chez la tigresse avec suffisamment d’avance pour parfaire les préparations avant l’arrivée des clientes. La tigresse les accueille dans une somptueuse villa à l’écart de la ville. Impressionné le trio s’installe dans le salon la tigresse leur offre un verre de champagne pour les motiver en précisant que le champagne coulera à flot lorsque les acheteuses seront là. Une à une les clientes visiblement de la haute société se présentent. Claire commence à montrer ses échantillons mais visiblement c’est la deuxième partie qui intéresse les clientes qui regardent à gauche à droite. Enfin sentant que le moment est venu claire proposa aux clientes de tester les accessoires féminins sur un modèle. Les yeux brillants les clientes piaffent de joie lorsque le magnifique corps de Martine leur est présenté tenue au bout de la laisse par claire. Elles veulent toutes habiller leur nouveau jouet avec tout ce qui leur passe sous la main. Puis vient le tour de gadgets plus intimes. Elles prennent un malin plaisir à trifouiller l’intimité de Martine sous prétexte de positionner tel gode ou tel vibros. Claire se demande si ça ne va pas tourner en gang band. Aidée par la tigresse elle met le holà et propose de ramener Martine afin de passer au modèle masculin. Après encore quelques palpation volées Martine ruisselante de sueur mais courageuse est ramenée dans le salon annexe. Claire réapparait en tirant Tristan par la laisse. Elle a pris quelques minutes pour le rallumer en utilisant son bouche pour rendre le membre aussi tendu qu’une arbalète Un tonnerre d’applaudissements salue leur arrivée. Là chacune veut comparer la texture des godes avec celle de sa queue branlant outrageusement le membre fièrement érigé l’une d’elles ose goutter au sexe pour vérifier si le gout était comparable avec celui des godes. Toutes veulent tester à leur tour. Tristan ruisselle de sueur. Une des clientes veut essayer un plug en disant qu’elle souhaite faire la surprise à son mari et Tristan arbore tour à tour de plugs rouge noirs et autres. Les cockrings font aussi leur effet, les clientes félicitant claire de montrer un modèle épilé afin que les poils ne gênent pas les fermetures des courroies. Le temps passe à une vitesse folle et les commandes affluent. Les clientes veulent toutes acheter des accessoires de bondage. Le stock de Magalie ne suffit pas, même les harnachements de Martine et Tristan sont vendus et elle doit promettre à une femme particulièrement perverse de réaliser une séance chez elle avec plus de matériel afin de satisfaire celles qui voulaient et éventuellement d’autres clientes. la perverse assure faire une publicité de taille dans un monde particulièrement select. Tristan est ramené dans l’annexe et un calme relatif revient dans le grand salon. Une à une les clientes ravies quittent la maison en félicitant Magalie et lui faisant promettre de faire de nouvelles prestations. Enfin elle se retrouve seule avec la tigresse qui la remercie chaleureusement de sa prestation en lui tenant le bras sans manifester l’intention de le lâcher. Elle murmure à l’oreille de Magalie qu’elle aurait donnée cher pour être à la place de Martine. Celle-ci la remercie et s’excuse pour aller libérer ses deux complices. Martine et Tristan sont vannés. Guidés par la tigresse ils prennent une douche et le trio prend enfin congé. Sans un seul article à remporter, les rares derniers ont été offerts à la tigresse pour la remercier de son excellent accueil. Arrivés chez claire ils peuvent faire les comptes et même malgré le refus de Martineee Magalie lui remet une partie du bénéfice pour sa prestation et son courage exemplaires.
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Par : le 16/02/21
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés. Vous avez 'touché' mon âme, et mon corps a chaviré. Un ressenti au fur et à mesure et puis la réalité. C'est à ce moment précis que notre histoire est née. Notre complicité, notre relation grandit de jour en jour. J'aime être dominée par Vous encore et toujours. Avec Vous, je m'épanouis, c'est merveilleux. Quand je plonge mon regard dans vos yeux. Des sentiments partagés se sont créés. Il faut les conserver et ne jamais les briser. Chaque instant passé avec Vous me permet de m'envoler. Dans la confiance absolue de Vous en ce monde salé/sucré. La flamme de mes yeux s'est allumée. Le jour où l'on s'est rencontré. Aujourd'hui le destin nous appartient. A nous deux de savourer ce chemin. Ma soumission envers Vous est acquise Votre domination, respect m'ont conquise. Depuis une semaine, votre signature encrée orne ma peau. Bientôt deux mois que mon intimité percée en mes anneaux. Ma détermination à Vous obéir, Vous servir est constante. Me montrer digne de Vous en tous lieux et ou circonstance. Que Vos/mes paroles du début soient la sincérité en la continuité. Vous me dites que l'on s'est bien 'trouvé', j'avoue que c'est réalité. 20 mois que l'on s'est rencontré. Que nos sentiments sont partagés. A Vous je suis liée, liens visibles/invisibles intactes. Notre relation est saine et profonde en nos actes. J'aime avancer avec Vous avec délice et passion. Dans la gourmandise et la sérénité de l'abandon. A Vous je suis dévouée et cela me plait. Le 23 novembre 2011
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Par : le 16/02/21
Attachée et confiante à Vous je le suis Bien des mails écrits pour Vous la nuit Ce poème alphabet, est pour Vous Délivrée de mes peurs et tabous Exhibée est source de conflit en moi Fouettée est source d'immense joie Générant le respect et puis l'humilité Histoire de Nous, en mon âme habitée Ivresse et jouissance, aussi bien que bonheur Jalonnant, cela est sûr, les confins de mon cœur Kyrielles d'instants passés ensemble se bousculent en moi Livrant certaines batailles intérieures, d'où sort Votre 'loi' Mêlant gémissement, désir, cri et parfois larmes Nappant, étendant votre domination à mon âme Ode à Vous mon Maitre aimé Portant Votre collier avec fierté Quémandeuse de Vos marques Réalité avec Vous, j'embarque Symbole de soumission en ma chair Traces et liens de Vous en corollaire Union de nos désirs, expressive Valeur de nos places respectives Wagon du train, lorsque je Vous rejoins dans l'Hérault X non un prénom Vous avez, et j'aime subir Vos maux Y a le respect mutuel qui prime entre Nous Zen, totale confiance, sincérité j'ai en Vous le 05 11 2011
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Par : le 15/02/21
Cela fait maintenant un an que je me suis lancée dans le BDSM, grâce à un homme que j’ai rencontré sur TINDER, cet homme est un Maître extrême, mais qui m’attire beaucoup. Car, c’est l’inconnu de ce monde qui fait qu’il m’attire, et le désir d’apprendre et peut-être découvrir une autre facette de moi, qui était enfouie Il a su faire sortir de ce corps, la soumise que j’étais, par de simple rapport peut-être parfois, poussé à l’extrême, mais il avait besoin de savoir, jusqu’où il pouvait aller avec moi. Nous nous sommes revus, les choses ont évolués, nous sommes toujours en contact d’ailleurs, mais nous nous voyons moi. Je suis inscrite sur le site depuis moins d’un an, j’ai rencontré des dominateurs supers, d’autres moins. Puis un avec qui je suis toujours en contact, et qui a parfaitement lu mon annonce, et pris le soin de me connaître, et de me prendre sous ses ailes, pour m’éduquer, me faire accepter mon corps, mes craintes…je le remercie pour cela. D’ailleurs, c’est grâce à mon 1er Maître que nous nous sommes rencontrés. Nous vivons une relation virtuelle car la distance ne nous permet pas de nous voir. Les choses évoluent à mon rythme, car il prend en compte mon passé difficile, mais j’aimerai de temps en temps qu’il bouscule les codes…je lui en ai fait part, et j’espère qu’il va agir. Je suis passée à une étape, que je ne pensais jamais passer, l’achat d’objets sexuels dans un premier temps, et je passerai à la tenue adéquate pour être vraiment une soumise, car pour le moment, c’est nue que je me présente à lui. Je suis novice dans ce milieu, donc pas forcément les tenues sexy adéquates, mais cela me permet aussi de lâcher prise sur mes formes. J’ai testé les boules de geisha, et drôle de sensation, agréable d’ailleurs….Cela peut faire sourire certaines ou certains d’entre vous, mais s’épanouir en tant que femme ou soumise, n’est pas simple pour moi au vu de mon vécu….Ceux avec qui j’ai échangé, le savent et ont compris mes craintes…mais ils m’ont réconfortés avec leur mots, et leur compréhension. Je les remercie d’ailleurs, car ils ne sont pas partis en courant comme je le pensais. Il est rare pour moi de raconter, comment je suis arrivée là aujourd’hui, mais un besoin que vous le sachiez afin que certains prennent cela pour du voyeurisme ou autres. Cela me permet de voir aussi, que l’on peut être mince, ronde ou grosse, les hommes sont attirés par toutes les morphologies, j’ai souffert de cela pendant 22 ans avec mon ex, c’est pour cela qu’aujourd’hui, je me permets de poster des photos, et de lire les commentaires qui me réconfortent sur le fait que malgré mes rondeurs, mon corps plaît… Je sais mes photos sont sensuelles, trop sage, mais l’évolution viendra où elles seront plus BDSM. En 1 an, j’ai évolué sur mes aprioris, mes peurs, mes craintes sur les commentaires, et je constate que m’exposer me libère de tout un poids et de tout jugement que j’ai sur moi Je sais ce texte, n’est pas comme ceux que je publie d’habitude, mais j’avais besoin que vous sachiez que je me sens bien dans ce milieu, car le respect de la femme est fort aux yeux de certains Dominateurs, moins pour d’autres, mais ceux la je les zappe….et l’ignorance est le meilleur moyen d’avancer et de prendre conscience et confiance en soi…. Merci à tous pour votre compréhension, et le temps que vous avez pris pour lire ce petit texte
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Par : le 13/02/21
La soumission rime avec bonheur. Son alliée est quelque fois douleur. Générant la complicité. Comme la sincérité. Ce chemin à Vos côtés, comme Votre emprise. Fait de moi, pour un temps inconnu, votre soumise. Mon attachement envers Vous s'étend et se propage. Irradiant mon âme, mon corps, mon cœur, en ce partage. Des émotions, sensations renouvelées qui me font découvrir. De nouveaux jours, de nouveaux rêves et de nouveaux désirs. Le temps reste complice de ce destin. Partageons ensemble ces lendemains. J'apprécie chaque moment. Dont Vous êtes présent. Qui seront pour moi inoubliable. Parce qu'ils auront été réalisable. Grâce à Vous. Et par Vous. Certaines batailles intérieures. Sont livrées avec des pleurs. Que je dépose à vos pieds En ces avancées libérées Pas un jour, il ne se passe. Sans que je ne repense. A ces heures intenses. Qui ont laissé des traces. Des traces indélébiles et gravées en moi. Des heures de plaisir, le son de votre voix. Garder mon sourire. Vivre Vos, Nos désirs. Et savourer avec Vous autant que permis. Tous ces moments où nous serons réunis. Mon choix de Vous appartenir a été fait en toute connaissance de cause. Au vu de nos vies de famille respectives. J'ai accepté d'être votre avec ce que cela implique. Et de la sincérité de nos échanges et ce depuis bientôt 19 mois. Le 19 10 2011
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Par : le 13/02/21
Intensité de l'instant, puissance du moment, Vos anneaux. Difficile de décrire certaines sensations, émotions, il faut les vivre. Les mots ne peuvent écrire certains actes. Il y a des actions impensables et réalisables, réalisées, réalité par le don en Son Maitre, Son respect en Ses paroles et actes. Signe d'appartenance à mon Maitre. Symbole fort dans la relation qui est la Notre. Appréhension, pudeur. Vous m'avez accompagné, présence indispensable en ce partage, acte. Détendue, allongée sur la table, pour que le perceur fasse les points au marqueur à l'emplacement choisi par Vous, Vous déplaçant pour regarder si les marques convenaient avant de procéder à l'ultime étape... Dommage de Vous demander de quitter la pièce, quelques minutes le temps de percer. Nos regards échangés à cet instant.... Quand il m'a dit prête : j'ai fermé mes yeux pour mieux apprécier ce moment, je les ai vite ouverts devant ce serrement, cette compression qui a été l'espace d'une minute voir deux, en respirant par le ventre pour me détendre. Le temps de passer les anneaux, puis il m'a tendu une psyché, j'ai pu visionner mon intimité ornée. Il Vous a appelé, Vous me demandant comme cela s'était passé, Vous positionnant en face de moi pour 'admirer' mes et Vos anneaux d'appartenance. Quelques photos vous avez prises. Acte accompli en accord de Notre relation, le temps de la réflexion, le temps de l'écoute. Des pas à Vos côtés dans la confiance totale de Vous. Avec des anneaux des possibilités : un petit cadenas... Des étirements au moyen de poids divers, lien, petite chaine. J'aime porter Vos marques, marque de mon appartenance, marque de ma dépendance. Certains symboles se décident à deux et quand la relation est forte, que les choix sont communs, pourquoi ne pas les avoir sur et dans sa peau, comme une empreinte, une signature. Ces anneaux me lient à Vous, force de Nous. Le 30 09 2011 Ajout de Mon Maître. Don de ma merveilleuse soumise, offrande de son intimité acceptée en témoignage d'appartenance. Ton Maitre.
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Par : le 12/02/21
La relation SM nécessite impérativement un échange protocolaire se distinguant du propos coutumier car au commencement, il y a l'alliance constitutive unissant intimement deux partenaires tout en les disposant dans une posture dissymétrique. Évoquer tout ce qui est possible sexuellement, en portant une attention particulière, à l'indispensable consentement. Car il n'y aurait plaisir sans respect de la sécurité. Dès lors, cet échange peut convoquer de façon irrationnelle et mystique, dans l’espace imaginaire commun aux deux partenaires, un troisième personnage, l’autre, lieu où la vérité parle, trésor de signifiants qui déterminent le désir et, parmi ces signifiants, à une place éminente, le sujet supposé ardeur, raison du transfert. Le protocole du contrat avalisé offre un forum à la prise en compte de la découverte mutuelle dans le dialogue masochiste et par là contribue à élever ce dialogue au rang de sublimation spécifique dans la formalisation. Se baser sur l'extase dans l’interprétation signifie que l’on considère le désir sexuel tout aussi essentiel que sa seule satisfaction réelle, pour autant bien sûr que l’on puisse dissocier les deux niveaux, car la pulsion est selon l'expression lacanienne un "écho dans le corps du fait qu’il y a un dire."  Ce qui, dans l’analyse, concerne le plaisir masochiste, comme mode de jouissance d’un sujet, relève de la recherche du plaisir dans la douleur, et non de la libido classique. Il y a là une rupture de causalité entre la sensualité traditionnelle, l'éducation telle que représentée dans la société et l’investissement libidinal. L'adhésion meublant alors la place de cette rupture. L'extase serait-elle de l’ordre de l’écho ? Il y a bien là une objection, celle d’accéder à une réalisation perverse de la pulsion sexuelle, sa réalisation s’effectuant dans un environnement fondamentalement nouveau. Certes, Freud en a défini dans "Pulsions et destins des pulsions", la source et l’objet, mais, elles demeurent telles quelles, un montage un peu surréaliste. D’où l’intérêt de cette affirmation, qui à première vue semble paradoxale, mais constituant un progrès décisif que c’est la jouissance qui révèle la nature propre de la pulsion. Le concept de plaisir féminin a-t-il une une signification ? L'interrogation semble étonner. Mais si l’on considère en SM qu’il s’agit d'une pulsion de mort en psychanalyse et non de sexualité traditionnelle, il cesse d’en aller ainsi. Car il s’agit bien de savoir si la notion d'attirance féminine pour la souffrance a un sens et comment elle se différencie de la psychosexualité classique. Ainsi, à ce sujet, la construction de la pensée analytique se caractérise par une oscillation dont la Bible fournit une allégorie. L’origine étymologique du féminin, dans la Genèse est bâtie non pas sur un seul récit, mais sur deux. Les deux textes sont catégoriquement opposés. Le premier pose la création simultanée de deux êtres, l’un masculin, l’autre féminin, d’emblée érigés dans leur différence et formant couple. Mais quatre versets plus loin, un second conte renommé, fait du féminin une part prélevée au masculin. Tout le débat de la psychosexualité féminine pourrait s’afficher dans l’espace de conflictualité qui s'établit ainsi. Dès lors, c’est dans ce champ que devient lisible le mystère des origines du féminin, de la différence des sexes, telle l’alternance des identités masculines et féminines différemment négociée en chaque sexe. C’est dans cet espace libre que la dimension du lien de soumission entre l’homme et la femme devient également pensable. Ainsi organisée par deux récits mythiques, et non un seul, cette relation échappe au poids d’une référence unique. La complexité en découlant offre une signification au lien de jouissance tissé entre les deux partenaires du duo BDSM. Lacan livre ainsi deux pôles de l’expérience analytique. D’une part, celle du refoulé soumis qui est un signifiant et sur lequel s’édifie de façon synchronique la relation. D'autre part, celle de l’interprétation qui s’identifie au désir dans la quête de la transgression normative. Dans l’intervalle, il y a la sexualité. La jouissance dans la douleur, destin d’une pulsion sexuelle non refoulée, occupe cette place dans l’intervalle et donc facilite la liaison sexuelle entre l’identification de la souffrance au désir. Au XVIIIème siècle, le masochisme larvé de Rousseau met en lumière l’interaction des liens qui unissent recherche de la douleur et quête de la jouissance. Débat qui a été posé en psychiatrie en termes de rapports entre la folie et le génie, ou entre l’homme et l’œuvre. On sait que des opinions contradictoires se sont affrontées. Indépendance des deux termes, détermination de l’un par l’autre, privilège de l’un sur l’autre. Pour le philosophe Michel Foucault, dans "Propos sur le septième ange", la posture a fluctué. Du tonitruant  "Absence d’œuvre, folie", le normalien finit par en faire le cœur même de l'expression de la littérature moderne, telles celles de Breton et d'Artaud. En employant l’expression de "paranoïa de génie" pour Rousseau et en comparant ses écrits à ceux d’Aimée, Lacan ouvre la voie à une autre approche que celle d’une opposition binaire, une approche selon les virtualités de création, que la psychose a produites et non pas juste épargnées. La sublimation est la désignation de la séparation accomplissant une déconnection d’une communion du sujet supposé savoir et de la personne désirée. Il faut maintenant considérer comment la structure même du signifiant sujet supposé savoir se prête à cette fusion et, partant, à sa coupure possible dès lors qu’on en discerne les lignes de forces ou le tracé. Lacan témoigne de cette fusion dans le cas des névroses hystérique et obsessionnelle mais on ne saurait l’exclure pour les autres structures. Il en donne quelques indications quand, dans "Problèmes cruciaux pour la psychanalyse", il affirme que le symptôme définit le champ analysable en cela "qu’il y a toujours dans le symptôme l’indication qu’il est question de savoir." La structure de l’obsessionnel est de ne surtout pas se prendre pour un Maître car il suppose que c’est le Maître qui sait ce qu’il veut. On aurait pu croire que la possibilité de se dire lacanien permit une certaine unification des analystes qui énoncent ce dire, au-delà des différences de lecture. Il n’en est rien, et les lacaniens sont traversés par les mêmes conflits qui existent ailleurs et sont déclenchés pour des raisons variables. Il y a cependant chez les lacaniens une attention et une sensibilité particulières aux disparités qui les désunissent. Ils ne se sentent pas quittes avec les différences reconnues. La disjonction du savoir et de la vérité, avec son enjeu scientifique, entre aussi en ligne de compte dans les relations entre analystes. Freud a analysé la sublimation comme la fatalité d’un instinct génésique non refoulé. Dans ces conditions, n’est-ce pas la part de la pulsion à attendre de l’analyste ? Quand Lacan ajoute que "la sublimation révèle le propre de la pulsion", cela signifie qu’elle révèle, en particulier dans l’analyse, ce destin d’un sexuel non refoulé. Ce destin peut être appelé une dérive, traduisant au plus près Trieb en s’inspirant de l’anglais drive. Quelle dérive ? Une dérive de la jouissance. De quelle jouissance ? De la jouissance sexuelle qu’il n’y a pas, en lien avec une jouissance du désir. Qu’il n’y a pas quand il n'y a pas rapport sexuel. Ce sont les pulsions partielles qui représentent le sexuel avec le concours d’un seul signifiant pour les deux sexes, le phallus, signifiant de la jouissance, quels que soient les signes jamais satisfaisants dont on veut caractériser le masculin et le féminin et qui, à en rester là, rejettent la psychanalyse dans le culturalisme. Les pulsions suppléent au non-rapport sexuel inscrit dans l’inconscient. La sublimation quant à elle n’est pas une suppléance qui ferait rapport sexuel, elle révèle le non-rapport sexuel auquel les pulsions partielles suppléent. Elle révèle en quelque sorte un manque de suppléance. Une vie amoureuse épanouie correspond au désir le plus profond des êtres humains, et rien ne nous rend plus heureux, mais aussi plus désespérés et plus vulnérables que nos expériences relationnelles. Dans nos sociétés modernes et post-modernes, la satisfaction sexuelle est devenue le paradigme d’une vie autonome et caractérise d’une façon exigeante la qualité d’une vie de couple. Les représentations actuelles de la sexualité s’identifient à un concept se focalisant sur la libération totale de contraintes sexuelles et la réalisation du Soi. Cette expression d’indépendance renvoie à un principe d'affranchissement et de cognition conduisant à transcender les contraintes précédentes dans la relation et la sexualité, en mettant l’accent sur la puissance créatrice propre à chacun pour parvenir à la satisfaction sexuelle. Dans ce contexte, le corps est considéré indépendamment de ses limites physiologiques. De nombreux couples échouent en raison des contradictions entre les représentations modernes et les identifications inconscientes et il n’est pas rare que le désir sexuel soit laissé pour compte ou devienne l’arène du conflit. Car les conflits qui mènent les gens en thérapie ont toujours affaire à leur satisfaction sexuelle et de sexe. Aujourd’hui, les hommes et les femmes ont peur d’échouer ou ils ont honte de ne pas être pleins de désirs orgastiques comme les images médiatiques l’imposent. Partant du présupposé que l’imaginaire social influence les auto-constructions individuelles, ces conflits ne peuvent pas être seulement considérés au niveau individuel, mais en relation avec les influences internes et externes des discours culturels sur le genre et sur les imagos maternelle et paternelle. L’analyse du corps, du sexe et des pratiques sexuelles dans le couple évolue en ce sens à différents niveaux entremêlés les uns aux autres. C’est-à-dire d’un côté la question de savoir quels sont les motifs culturels proposés par les discussions publiques concernant les genres et la libération sexuelle afin de gérer l’affinité sexuelle du corps et le désir sexuel dans la relation, et donc quelles sont les représentations d’une sexualité satisfaisante qui orientent les couples. Et d’un autre côté de quelle façon ces discours influencent la dynamique intrapsychique dans la conduite des différentes pratiques sexuelles ? Tout groupe humain possède ses propres expressions caractéristiques d’une libido épanouie, de ces modes et de ses conduite. Dès lors, l'édifice est uni à un idéal et à des valeurs désignant les rôles féminins et masculins ainsi que le différents modes d'actions. Alors que pour la relation hétérosexuelle romantique classique, il y avait une répartition des rôles de la sexualité masculine et féminine, tout au long des diverses transformations sociales, non seulement ce sont les représentations de sexes qui ont changé mais aussi les pratiques et les interactions. Aujourd’hui, à l’époque des représentations relationnelles et sexuelles postmodernes, l’idéal d’autodétermination sexuelle occupe une importance centrale et s’accompagne de la promesse de pouvoir construire l’amour et le bonheur par soi-même. Dans notre société postmoderne, la focale se concentre sur une optimisation de la beauté corporelle et du désir sexuel. Les promesses alléchantes de bonheur s’accompagnent d’un corps parfait, d’une vie amoureuse et de fantasmes sexuels accomplis. Le but est alors de conquérir le corps comme une marchandise esthétique ou d’insuffler un souffle de perversion à la vie sexuelle "sotte" jusqu’à présent. À l’heure actuelle, le niveau du consensus moral d’égal à égal est l’essentiel pour tous les couples, indépendamment de leurs préférences sexuelles, qu’elles soient tendres ou sadomasochistes. De nos jours, les mentalités ont changé et le sexe est regardé dès lors comme un simple moyen d'expression de plaisir de plus en plus "marchandé." Les possibilités d’amélioration de la libido vont des images esthétiques du corps jusqu’à la chirurgie esthétique en passant par la musculation et le traitement hormonal. La possibilité d’optimisation du corps s’accompagne de la promesse d’un bonheur alléchant et promettent à travers un corps parfait un gain en attractivité sexuelle et une vie amoureuse plus heureuse et plus remplie. L' offre d’optimisation du désir sexuel à travers les pratiques et les préparations esthétiques du corps est variée et médiatiquement présentée. La virilité est désormais visible à travers un agrandissement du sexe. La féminité est représentée à travers une dissimulation esthétique. Les modifications intimes visent non seulement à l’esthétisation du génital visible et à la fabrication d’un design vaginal avec réduction des lèvres vaginales, promettent aussi une amélioration du désir sexuel. Ici aucune zone du corps n’est omise. À l’ombre de la libéralisation et de la libération sexuelle s’est développée une pression vers la perfection variant selon le genre. Mais par conséquent, une construction de soi esthétique a relayé le développement de l’identité sur la base du corps et a développé un idéal normatif. Les corps et les pratiques sexuelles étant configurés et adaptés aux normes sociales, les stratégies de normalisation des optimisations corporelles et esthétiques sont confirmées et reproduites. Le corps est devenu le lieu éminent de confrontations personnelles et sociales au sujet de l’identité, de la différence, et de ce qui est considéré comme normal et socialement acceptable, ou déviant. Les constructions de normalité et de déviance au sens de Foucault qui sous-tendent les pratiques et les discours d’optimisation esthétiques et sexuels du corps et du soi peuvent être considérés au niveau sociétal comme une microphysique du pouvoir. La timidité ou la pudibonderie ne sont plus du tout de mise dans les relations amoureuses à l'occasion des rapports sexuels entre partenaires. L'objectif déclaré, sans aucune fausse honte est sans cesse, la quête du plaisir, quitte à se montre inventif voire gourmand dans la découverte de nouvelles expériences telles la sexualité anale, le triolisme, ou encore l'exploration jubilatoire de l'univers du BDSM. En d’autres termes, les pratiques corporelles et sexuelles sont le moyen et l’expression de la constitution d’un ordre social mais aussi d’un ordre de genre. À première vue, il semble toutefois que l’optimisation du corps ait ouvert un accès aux désirs cachés et réprimés jusqu’ici et des chemins à une sexualité auto déterminée. Néanmoins, en tenant compte des paradoxes évoqués, la question se pose de savoir si les acquis constituent des conditions de possibilité d’autonomie et de liberté ou bien s’ils contribuent à l’aliénation corporelle et finalement à des processus de désincarnation. Aujourd’hui, dans les temps post modernes, les possibilités illimitées d’une auto détermination et de libertés nouvellement gagnées promettent de transcender les limites du corps et exigent le développement incessant de nouvelles capacités et compétences. D’un autre côté, cela s’accompagne d’insécurités qui ravivent une nostalgie pour les anciens modes de relations traditionnelles que l’on croyait dépassés et réactivent des parts psychiques inconsciemment rejetées. Chaque identification consciente incarne toujours la tension entre la reprise des normes socio-culturelles et les particularités individuelles. Par conséquent, la hiérarchie sociale de la masculinité et de la féminité suscite des tensions dans les deux identités de sexe psychologiques. Cela conduit les couples à un conflit, lorsque les parts rejetées derrière lesquelles se cachent le plus souvent des parts de sexe opposés, sont projetées sur le partenaire et s’y livrent bataille. Ici, les rêves et les fantasmes ainsi que les symptômes corporels se prêtent de façon particulière à l’approche analytique de l'ensemble de toutes ces questions. Tout autant que la réalité de la vie sexuelle conjugale réelle, à travers une remise en question de pratiques antérieures, telles un changement de partenaire ou une expérience de sexualité multiple (HHF) ou (FFH), le fantasme occupe une place non négligeable dans notre libido, par son rôle déclencheur dans sa réalisation dans la réalité. Cette conception du rêve et du symptôme part de l’idée qu’ils constituent la clé pour l’autonomisation et le développement à venir. Le rêve suivant est lu de façon double et en deux temps. Tout d’abord comme un document temporel, dans lequel l’histoire du devenir biographique est incarné, mais aussi comme expression émancipatrice vers le changement, et donc orienté vers le futur. Il s’agit concrètement de se pencher sur les désirs sexuels et de découvrir si des prescriptions et des exclusions lui sont associées, constituant par ailleurs le cadre des transgressions. Car le concept de transgression ne fait sens que par rapport à des normes dominantes. "Je suis allongée dans un grand lit avec un inconnu. Il veut que je le satisfasse oralement. Son pénis est long et épais, ce qui est satisfaisant et excitant. Avec excitation, et le souhait d’être une partenaire sexuelle satisfaisante, je réalise son désir. Le sperme emplit toute ma cavité buccale, déborde de ma bouche et se répand en filaments sur mes lèvres et mon menton. Le désir laisse augurer une matrice de la normativité collective hétérosexuelle en laquelle le plaisir féminin actif est socialisé de façon destructive comme le "le vagin denté." Comme il ressort de l’interprétation de la séquence du rêve présenté, derrière les pratiques sexuelles hétéro normatives se cachent les fantasmes féminins. Les rêves offrent un accès permettant d’explorer des concepts culturels de sexualité mais aussi de pénétrer dans des espaces de possibilités jusqu’alors "tabouisés", non pensés et surtout non réalisés. D'où l'importance cruciale pour un couple hétérosexuel ou homosexuel de vivre ses fantasmes pour atteindre alors une sexualité épanouie sans cesse renouvelée. C'est la clé du succès. Dès lors, l’analyse du corps considère que le désir s’accompagne de l’excitation, d’une tension sensuelle, des impulsions qui ouvrent et passent des frontières. Sur un niveau somatique, un changement s’opère dans un mode de mouvement entre activités et détente ou bien au sens figuré absorber/tenir et lâcher, de donner et prendre. En tant que principe actif corporel les mouvements de vitalité basée somatiquement peuvent être traduits métaphoriquement en tant que mode intersubjectif de donner et prendre. Avec un regard critique du point de vue des genres sur le contenu du rêve, la façon dont les influences profondes des représentations hétérosexuelles normatives influence le vécu corporel subjectif est évidente. Comme les rêves, les livres, et en particulier les best-sellers, donnent accès aux attentes centrales, aux idées et aux valeurs. Ils peuvent être lus comme les produits culturels de fantasmes collectifs. Ils nous donnent la réponse à la question de savoir comment le désir sexuel prend forme actuellement, mais aussi quelles sont les conditions suivies par l’ordre sexuel. Le roman "Histoire d'O" de Dominique Aury alias Anne Cécile Desclos traite d’une relation de soumission entre O et plusieurs Maîtres. Ils ont des goûts sexuels spéciaux, en particulier des pratiques sadomasochistes dans lesquelles l'esclave sexuelle est la femme qui occupe une position passive et masochiste. Les livres et les pratiques sexuelles propagées intéressent particulièrement les femmes mariées au-dessus de trente ans et les étudiantes. Il est également intéressant dans ce contexte que les couples qui recherchent des établissements sadomasos, évoquent des heures entières de jeux sexuels, comparables à des jeux de rôle fantasmatique. De nos jours, le Sexe revêt une forme singulière. C'est ainsi que l'on assiste à un changement radical dans les mentalités et les comportements sexuels. Dès lors, la structure classiques hétéro nominative dans laquelle, l’homme est instruit et encouragé à prendre la position dominante agressive et inversement la femme à prendre la position masochiste. Il s’agit de la troisième révolution ou de la révolution néo sexuelle. La sexualité ne serait plus la grande métaphore, qui relie au couple, mais une mise en scène culturelle exagérée et permanente, un désir sans retenue de l’exhibition publique. Considérons les pratiques sadomasochistes, comme celles proposées au début, comme un conflit conscient et inconscient, nous pouvons examiner les pratiques sadomasochistes de façon différente. D’un côté sur un plan inconscient et corporel et de l’autre sur un plan postmoderne et normatif. Afin de comprendre les besoins sexuels et les pratiques sadomasochistes et particulièrement une disposition féminine à se mettre volontairement dans une situation passive et masochiste et en outre à considérer le partenaire mâle comme devant consentir à prendre la position agressive et dominante, il est utile de se référer de nouveau à la différence que fait Freud entre sexuel et sexualité. Tout en refusant de réduire le sexuel à du génital et à une fonction de reproduction, Freud tisse un large continuum d’expériences et de comportements sexuels ainsi qu’un polymorphisme dont les frontières entre normal, pervers, sain et malade sont fluides. Aujourd’hui nous sommes confrontés à des formes de libération spécifiques qui se réfèrent non seulement aux diverses formes de l’homosexualité et de l’hétérosexualité, mais aussi à des pratiques sexuelles, comme elles sont popularisées, par exemple, dans le roman "Histoire d'O." Depuis toujours, bien avant les travaux de Freud, il est difficile d'oublier que la représentation sociale du corps féminin, dans notre culture occidentale, est soumise, depuis la nuit des temps à des tabous. L’appropriation du corps pubère et désirant sexuellement lors de l’adolescence et le rapport aux désirs sexuels propres à chacune sont particulièrement soumis à de multiples jugements caractérisés par la répression et le tabou. Les idéaux normatifs contrarient le désir d’exploration indépendant du corps, y compris des organes génitaux féminins. À cet égard, l’image corporelle subjective n’est pas limitée à l’exploration du corps propre, mais provient essentiellement des représentations corporelles de genre, maternelle et parentales transmises à l’enfant. À examiner ce phénomène de plus près, ce développement commence au plus tard à la naissance. L’absence de représentation en ce qui concerne l’image du corps féminin en développement a inévitablement des conséquences pour l’investissement libidinal du schéma corporel et s’accompagne d’un manque narcissique dans l’image du corps. Car symboliser signifie : penser et différencier les sensations corporelles et les organes. Pour compenser la congruence manquante entre le schéma corporel réel et l’image du corps dans le ressenti corporel, il faut alors rechercher des symbolisations signifiantes pour les aspects corporels non symbolisés, mais perçus par les affects de façon diffuse. Ainsi, la femme ne peut pas traduire ses expériences corporelles au sens authentique en un désir autonome ou bien en une capacité d’action auto-efficace. Dans le combat pour les structures de genre normatives, la relation entre la beauté féminine et la tabouisation de la force corporelle féminine conserve un caractère productif de sens en relation avec la subjectivation féminine et se reproduit dans l'usage d’optimisation esthétique. Du fait de l'évolution des mœurs et du mouvement profond et inédit de la libération sexuelle depuis une cinquantaine d'années, au regard des changements des relations amoureuses et des techniques sexuelles, nous constatons que les conduites sexuelles sont différentes, quelques-unes traditionnelles et d’autres modernes et libres. Mais les imaginations de la liberté caractérisent un nouveau développement des pratiques sexuelles qui se focalisent sur la libération des contraintes sexuelles et la réalisation du soi. D’où le fait que les représentations d’identités transmises et existantes jusqu’à présent sont aussi ébranlées et s’accompagnent spécialement de mécanismes de défenses psychiques, ce qui détermine des conflits psychiques individuels internes et dans la couple. Comment pouvons-nous comprendre la promesse postmoderne du dépassement des frontières corporelles ? Pouvons-nous interpréter les pratiques sexuelles actuelles absolument comme des formes de résistance, comme une résistance contre l’hétérosexualité normative ? En perpétuant la séparation bivalente entre les désirs actifs et passifs, les désirs sexuels se trouvent ainsi restreints à un schéma traditionnel. Dans ce sens, l’homme et la femme continuent dès lors à incarner et à reproduire des structures hétéronormatives. Dans ce contexte, les pratiques BDSM constituent des pratiques stabilisatrices pour les tensions entre les relations de sexe car elles intègrent de la même manière dans la palette des pratiques des modes de désir sexuel excessifs et apparemment incontrôlables. En satisfaisant l’exigence d’un épanouissement sexuel, elles sont une solution novatrice pour associer l’instabilité structurelle entre les sexes avec l'exigence moderne d’autonomie. Bibliographie et références: - Michel Foucault, "Histoire de la sexualité" - Jacqueline Comte, "Pour une authentique liberté sexuelle" - Alain Robbe-Grillet, "Entretiens complices" - Alain Robbe-Grillet "Pour une théorie matérialiste du sexe" - Jeanne de Berg, "Cérémonies de femmes" - Hélène Martin, "Sexuer le corps" - Sylvie Steinberg, "Une histoire des sexualités" - Patrice Lopès, "Manuel de sexologie" - Philippe Brenot, "Dictionnaire de la sexualité humaine" - Bernard Germain, "La sexualité humaine" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 12/02/21
"Mademoiselle Else" est une courte nouvelle d’Arthur Schnitzler publiée en 1924. Elle raconte, sous le genre d’un continuel monologue intérieur, tantôt suspendu par des instants de conversation, une journée dans la vie d’Else, jeune adolescente de l'aristocratie viennoise, fille d’un avocat réputé. L'époque n'est pas mentionnée dans le récit mais l'intrigue semble se situer au tout début du XX ème ou à la fin du XIX ème siècle. Le procédé littéraire original avait déjà été adopté par James Joyce dans "Ulysse" (1922), puis réitéré dans d'autres œuvres comme "Belle du seigneur" d'Albert Cohen (1968). C'est l'occasion de redécouvrir un écrivain des plus emblématiques de la modernité littéraire de l’Empire austro-hongrois finissant, Arthur Schnitzler, ce viennois que la France allait fasciner, dont il allait apprendre la langue et dévorer avec passion la littérature, classique et contemporaine. Sans le bouder le moins du monde ou l’ignorer, notre pays s’est montré quelque peu avare d’hommages littéraire à son égard. Schnitzler ne fut certes pas un admirateur aveuglément acquis à la France mais le regard critique qu’il porta sur la société de son temps ne perdit jamais de vue un humanisme lucide puisé aux sources des Lumières. Son regard pénétrant, parfois amusé, souvent désabusé, toujours compatissant, resta celui du médecin et du praticien qu’il fut et qui entra "en littérature", comme on entre en religion. Sa modernité qui fait de lui le sondeur de l’âme de la société viennoise et de ses replis troubles et troublants, l’a rarement découragé d’assumer un héritage humaniste qui lui donnait autant de raisons d’espérer dans ses contemporains, leurs mensonges, leur ambivalence, que de s’en attrister. Si la culture française semble, moins présente dans l’œuvre de Schnitzler que dans celle de Hugo von Hofmannsthal, l’autre écrivain phare de la "Jeune Vienne", ses rapports parfois conflictuels avec la France et les traces que la culture et la civilisation françaises ont laissées dans son œuvre sont néanmoins importants. Ainsi, certaines de ses pièces de jeunesse sont, elles aussi, redevables au vaudeville français, alors que ses grands drames de société portent, en la dépassant, l’influence du drame bourgeois et du théâtre de boulevard. Son importante œuvre narrative a, quant à elle, conduit maints critiques à voir en lui, à tort ou à raison, un "Maupassant autrichien." L’accueil qui a été fait à l’œuvre de Schnitzler en France constitue un cas pour une réception partielle et partiale dont les raisons mettent en lumière la complexité du travail des intermédiaires, des importateurs littéraires, tant sur le plan strictement littéraire qu’au niveau des habitudes du monde théâtral et du journalisme. Il permet de mettre à profit certains concepts de la sociologie de la littérature ainsi que les outils fournis par les avancées dans le domaine de l’histoire de la réception et du transfert culturel. Ajoutons que Schnitzler tenait beaucoup à être reconnu par la critique et par le public français et que, conscient du poids que la France exerçait à l’époque sur la reconnaissance internationale d’un écrivain, il s’est fortement investi dans la traduction de ses œuvres, comme en atteste sa correspondance, avec des éditeurs. La contemporanéité marque le style narratif de l'homme de lettres autrichien, influencé par le renouveau littéraire européen de l’entre-deux-guerres dans des nouvelles comme "Lieutnant Gustl" et "Mademoiselle Else" et la ressemblance avec le roman "Les Lauriers sont coupés" d’Édouard Dujardin a été maintes fois soulignée par la critique en raison du recours à la technique du monologue intérieur. Sur une trame en apparence simple, Arthur Schnitzler développe une analyse très perspicace des pensées d’une jeune fille confrontée à un dilemne insolvable. Il parvient à retranscrire les aspects de la personnalité de l’héroïne, sa timidité, sa révolte, sa soumission aux ordres familiaux, sa sensualité et le conflit qui l’habite. La forme originale du monologue intérieur, qui n’est pas sans rappeler le "stream of consciousness" anglais, la la concision du style, la galerie de portraits épinglant la grande bourgeoisie autrichienne, les liens avec la psychanalyse et avec le travail de Freud. Tout cela contribue à faire de ce texte une oeuvre marquante et enrichissante. Else est en villégiature dans une station thermale italienne, avec sa tante et son cousin, lorsqu’elle reçoit un pli de sa mère, qui lui demande d’obtenir l’aide financière de Monsieur Dorsday, en vacances dans le même hôtel, afin d’éviter à son père un procès, le déshonneur et la prison. Avocat véreux, celui-ci a l’habitude de solliciter son entourage pour le tirer d’affaires scabreuses. Cette fois, Dorsday pose une condition. Il veut voir Else nue. Il assure qu’il veut seulement la regarder. Tiraillée entre la honte, la révolte et l’amour filial, Else devient de plus en plus hystérique à mesure qu’approche l’heure de s’exécuter. Va-t-elle le faire ou va-t-elle y renoncer ? Va-t-elle devenir folle ? Va-t-elle se suicider ? La tension porte le livre d’un bout à l’autre. On est touché par la naïveté, l’intelligence, la pudeur de cette toute jeune femme, mais aussi par son orgueil juvénile. Outre ce suspense, la force du livre tient aussi dans la psychologie du personnage, parfaitement exposée, sans aucune explication superflue. Else est la narratrice et le texte est un monologue. Elle ne s’analyse pas. Elle vit. Et le lecteur la découvre au fil de ses pensées. Le portrait de la jeune fille tourmentée est très juste et très réussi. Déchirant le voile de l’innocence supposée des jeunes filles, le discours que Schnitzler, prête à Else met à découvert, avec une acuité à couper le souffle, le drame d’un désir ne pouvant condescendre à sa réalisation qu’au prix de la mort, tant il fait forçage aux enjeux narcissiques. L’histoire de Mlle Else s’ouvre d’emblée sur la question des liens entre hommes et femmes, sur la question du désir, qui traverse avec force, sur le plan analytique, l’ensemble de la nouvelle. Dès l'abord du récit, la méthode d'intoduction de la présentation de l'héroïne, plonge le lecteur dans un état expectatif et de contemplation. Elle renvoie tout de suite au portrait que Freud brosse des femmes narcissiques qui tireraient leur charme de leur posture inaccessible. Else se regarde être sur la scène du monde, sans cesse à l’affût de l’effet qu’elle produirait sur l’autre, en attente d’être définie: "Comment Fred me définissait-il ? Altière. un mot ravissant." Else se veut belle, se croit belle, se sait belle. Tout comme elle se sait agitée par un désir qu’il ne faudrait pas, d’un désir qui remue dans tous les sens et dont elle ne sait que faire, étouffant ses excès d’excitation à coups de véronal. "Je suis sensuelle. Oui, mais altière aussi, et inabordable, Dieu merci." Pour quelle raison faudrait-il que sa sensualité reste inabordable ? Pour quelle raison se devrait-elle de rester ainsi "inaccessible" pour reprendre le terme freudien ? Ce long monologue intérieur se fait ainsi le poignant témoignage du conflit existant, chez la femme, entre narcissisme et expression du désir, conflit prenant une configuration particulièrement vive chez Else, dont il s’agira de resituer l’origine dans les coordonnées de l’Œdipe féminin. L’étude de la déclinaison, certes radicalement singulière, de ce conflit viendra éclairer la façon dont la féminité de la fille peut proprement virer à l’impasse de par un certain usage de l’amour adressé au père, lorsque l’accrochage à cet amour a pour fonction d’évacuer radicalement la dimension du ravage. À être ainsi empêché, le ravage révèle là, en négatif, la part nécessaire et structurante que sa mise en jeu recèle dans le devenir-femme, et non plus seulement sa dimension mortifère. Car la féminité, à se trouver alors suspendue au père, bute dans son devenir sur une "pêtrification" au phallus imaginaire qui entrave tout choix d’objet en même temps qu’elle précipite le dévoilement du désir dans une catastrophe narcissique. L’étude de ce texte propose, en filigrane, de réinterroger l’apparente simplicité de la formule selon laquelle le désir chez la femme trouverait sa modalité particulière dans le désir d’être désirée. Dans les faits, en suivant la trame romanesque, narrant le passage sublimé d'une jeune fille à l'âge adulte, la nouvelle aurait tout aussi bien pu s'appeler "Vingt-quatre heures de la vie d’une jeune fille" un jour pas même entier, bien en marge de toutes les mornes journées de la demoiselle, ponctuée qu’elle est par deux télégrammes de sa mère. "Tu es la seule à pouvoir sauver ton père", écrit, en substance, la mère. Père avocat, que la passion du jeu et la sombre manie des malversations ont une fois de plus mené au bord de la ruine, également au déclenchement d’un irrémédiable scandale, s’il ne trouve pas à rembourser dans les trois jours la somme de trente mille florins. Une somme modeste au regard des dettes qu’il a pu contracter auparavant, si ce n’est que l'habitude paternelle a fini par désertifier toute possibilité d’aide dans leur entourage. Le trouble d’Else à cette étrange demande dans laquelle elle perçoit un odieux marché dont elle serait l’objet ne fera que s’accroître tout au long du roman. Ses parents ne lui demandent-ils pas là, à mots couverts, cependant dévoilés par la dénégation, de se vendre pour sauver le père ? Situation qui n’est pas sans évoquer la réelle exaspération de Dora à l’idée "qu’elle était livrée à M. K en rançon de la complaisance dont celui-ci témoignait vis-à-vis de sa propre femme et du père de Dora. Dorsday veut la voir. Else y entend évidemment le mot élidé. Il s’agit de la voir nue. Il s’agit de contempler sa nudité. Proposition qui n’est pas anodine pour une jeune fille comme Else, qui vit avec l’œil du monde sans cesse fixé sur elle, dans une célébration permanente de sa beauté, d’un regard partout qui ne se laisserait pas localiser, qu’elle ne parvient à troquer pour aucun autre regard incarné. Quel homme posséderait suffisamment de valeur pour mériter l’inestimable prix de la nudité d’Else, elle qui, cependant, crève littéralement de l’envie d’être vue ? Résolue, elle se déshabille lentement dans sa chambre et dresse son dépouillement comme un parement, revêt un long manteau et descend de sa chambre. Cherche l’homme, le trouve dans le salon de musique. Entre. Tombe le manteau. Tombe Else. Elle ne tient plus, s’affaisse, feignant l’évanouissement, masquant sa nudité sous ses paupières closes. "Je suis heureuse, le faune m’a vue nue ! Oh ! Mais j’ai honte ! J’ai honte. Qu’ai-je fait ? Jamais plus je n’ouvrirai les yeux." On la recouvre avec une hâte honteuse du manteau dont elle était enveloppée jusqu’à ce qu’elle s’en défasse en plein salon de l’hôtel, livrant aux regards l’image de son corps nu, dans un acte-apothéose qu’on ne lui demandait pas public. L’image, une fois offerte, est perdue à jamais. Irrécupérable. "Jamais de la vie, je n’oserais plus me montrer à personne." Portée jusqu’à sa chambre, Else avale le véronal qu’elle y avait préparé, "il ne faut plus que je me réveille", que ne s’éveille son désir, qu’il ne vienne à s’échapper ainsi en acte irrémédiable. Puis, trop tard, dans ce qui n’est pas même un murmure, "j’ai pris du véronal, je ne voulais pas, j’étais folle. Je ne veux pas mourir. Sauve-moi." Pauvre, pauvre Else, victime de son hystérie, de la faiblesse du père, de la sottise de sa mère. Mais saisir l’élan suicidaire d’Else par ces seules lectures ne reviendrait-il pas à rester sourd à une autre musique, pourtant insistante tout le long du roman ? Car l’idée de la mort d’Else imprime sa présence dès avant la demande de M. von Dorsday, et dès avant sa décision, bien que la solution du suicide ne revête pas la même fonction au cours du roman. De la confirmation de son existence aux yeux de l’Autre, elle devient échappée au regard de l’Autre, devenu insoutenable de honte. Else a été vendue, elle a été assassinée. Passivée. Les accusations d’avoir été le simple jouet d’une obscure machination émaillent le récit, situation intolérable à laquelle le suicide aurait été sa seule réponse, mais ce serait alors là méconnaître sa part à elle. D’un désir impossible et interdit, sauf à choquer son entourage et se mettre au banc des accusés, non pas seulement parce que les conventions sociales de l’époque le frapperaient de condamnation ou d’infaisable car s’il ne s’agit aucunement d’occulter cette dimension, une part l’excède cependant. De même que l’analyse de ce désir se situe en marge du seul désir hystérique, en ce qu’il n’est pas question là seulement d’un désir d’insatisfaction. D’un désir qui se doit de rester hors de la saisie de l’autre, par l’autre ; d’un désir qu’il ne faudrait pas révéler, qu’il ne faudrait pas dévoiler. À être inaccessible, personne n’ose l’aborder. Else est figée dans la délicieuse image que lui renvoie son miroir, dans le précieux reflet qu’il lui offre ; Else est son propre objet de désir, elle s’attend elle-même, ne s’offrirait qu’à elle-même pour ne rien y perdre: "Approchez, belle demoiselle, dit-elle à son reflet, je veux baiser vos lèvres rouges, presser vos seins contre mes seins. Quel dommage qu’il y ait cette vitre froide entre nous. Nous nous comprendrions si bien. N’est-ce pas ? Nous n’aurions besoin de personne." Else est pleine d’elle-même, mais le regard qu’elle pose sur sa propre beauté n’est pas suffisant. Celui d’un autre est nécessaire, mais cette nécessité se heurte à l’impossibilité d’en élire un parmi d’autres. La réalisation du désir d’Else n’éclot qu’à partir de la configuration très particulière qui la rend possible, elle ne peut être pensée sans son intrication à cette dangereuse offre qui lui est faite. Else n’est qu’une image, une image qui en vient à éclater, ou plus exactement à chuter, à littéralement s’évanouir à être vue telle qu’elle est dans son désir d’être vue, à s’être donnée à voir comme désirant être vue, tout comme le chasseur béotien Narcisse. La journée trépidante de la jeune fille, du chantage à la mise à nue s'achevant par son suicide rappelle le principe selon lequel la femme a à offrir de son désir n’aurait pas de prix. Les cinquante mille florins en question n'étant jamais qu'une somme dérisoire, incapable de rembourser le don de soi. Seul l’amour de l’autre assurerait à la femme une expression possible de son désir, sans bascule ou sans déperdition narcissique non négociable. Le tissu résolument hystérique du discours d’Else laisse néanmoins surgir par endroits comme des trouées mélancoliques, comme résultat de l’échec de l’échappée hystérique qu’est la projection sur l’Autre. Ainsi, alors même qu’elle se scandalise de la proposition de Mr von Dorsday et qu’elle la dénonce comme intolérable. L’histoire d’Else a ceci de tragique qu’elle se précipite dans un instant de mélancolisation de l’hystérie. Moment vite passé, Else retourne à la dénonciation de l’autre. Mélancolisation inhérente à l’hystérie, moment de bascule et de "bas les masques", de sortie du jeu, dont celui-ci s’est révélé définitif. L’épuisement de Mlle Else était pourtant annoncé dès les premières répliques, dans la question et la réponse qui ouvraient le roman: "Vraiment Else, tu ne veux plus jouer ? Non, Paul, je ne peux plus, au revoir." De l’épuisement à jouer à ne pas désirer. Bibliographie et références: - Brigitte Vergne-Cain, "Arthur Schnitzler, romans et nouvelles" - Jacques Le Rider, "Jeune Vienne" - Karl Zieger, "Arthur Schnitzler et la France" - Roseline Bonnellier, "Étude sur la nouvelle Mademoiselle Else" - Gérard Rudent, "Arthur Schnitzler" - Catherine Sauvat, "Arthur Schnitzler" - Theodor Reik, "Schnitzler écrivain" - Henri Schwarzinger, "Arthur Schnitzler" - Paul Czinner, "Fräulein Else, film muet" - Anna Martinetz, "Mademoiselle Else" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 12/02/21
"Comment j'ai séduit Hydréane" Il y a longtemps , bien longtemps , tout au fond d'une lointaine galaxie … Ma réputation ( pour le moins non usurpée ) de dominant hors paires ( non aucune faute d'orthographe … ) avait depuis longtemps dépassé les frontières de mes terrains de chasse habituels . Ne pouvant être partout et faisant bien malgré moi de nombreuses déçues , j'entrepris de m'inscrire sur un forum . Le lecteur verra là mon coté sadique ; saturé de demandes je débarque en un lieu où elle ne pourront qu'être plus nombreuses encore tant je ne parviens jamais à passer inaperçu . Soyons clair , je n'allais pas là-bas pour échanger ( que pouvais-je bien apprendre moi qui pourrais plutôt donner des cours ? ) , m'enrichir des expériences des autres ( forcément plates à coté des miennes et qui de toute façon ne m'intéressent en rien ) ou je ne sais qu'elle ânerie d'intello oisif . Non je débarquais là avec une seule intention : niquer . Evidemement ma finesse d'esprit m'interdisait de l'annoncer tout de go ; je devais donc un temps faire profil bas ( certainement le plus dur moment de ma carrière de dominant ) . A la pêche on aurait dit amorcer . Après quelques de mois de public relation ( mon anglais est aussi parfait que le reste ) , le poids grandissant de mes corones ( et oui admiratif lecteur , l'espagnol non plus n'a plus de secrets pour moi ) m'indiquait chaque jour davantage qu'il était temps de passer à l'action . Je postai donc non pas une annonce comme tout pauvre dominant en manque de soumise , mais un test visant à me donner un large choix dans les innombrables proies qui ne manqueraient pas de m'écrire . Il faut avouer que ma boite à MP était restée désespérément vide jusqu'alors ; j'avais -comme toujours- l'explication : elles étaient intimidées , forcément . On ne le serait à moins . Cette peur de ne pas être à ma hauteur que j'ai si souvent rencontrée au cours de ma carrière . C'est idiot d'ailleurs comme réaction : évidemment qu'elles ne seraient pas à mon niveau , mais je n'ai pas le choix , je dois bien passer outre pour trouver une soumise . Logique . Ce qui ne signifie pas manque d'exigence . Juste que je prendrai la meilleure dans les prétendantes à ce statut plus qu'honorifique . Le test du fraisier vit donc le jour . Un succès phénoménal . Habituel pour moi certes , mais toujours agréable . Une véritable hécatombe . En le relisant , je me disais qu'incroyablement , je parvenais encore à me surprendre , tant c'était génial . A tel point que les autres « maîtres » ( je mets volontairement ce terme entre guillemets tant il me paraît évident d'être le seul à mériter ce titre ) devaient forcément en prendre ombrage . Je compatissais . Malgré des centaines de propositions , je ne parvenais toujours pas à trouver rangers à mon pied . Un jour errant sur le tchat où j'avais déjà fait tant de ravages , une certaine Hydréane attira mon attention . Je pense qu'elle était consciente de cet honneur . Bientôt elle en prendrait assurément encore plus la mesure . Rapidement elle tomba follement éprise de moi ; comment ne pas la comprendre ? Je finis par me dire qu'après tout , elle avait certaines capacités ( de jolies jambes entre autres , un cul prometteur , et des lèvres entre lesquelles j'imaginais déjà introduire une partie passablement développée de mon anatomie ) . Je devrais pouvoir , après des années de travail intensif , l'amener à ma cheville . Un record sans doute . Banco , elle deviendrait donc ma soumise . Evidemment , elle ne devait pas tout savoir de moi ; une aura de mystère se devait de continuer à entourer son Maître . Je masquai donc quelques points essentiels de ma vie . Aucune photo de mes charentaises . Elle ignorerait à tout jamais que le matin je déjeunais d'un petit chocolat chaud . Que l'après-midi un thé blanc à la framboise était mon ordinaire . Que chaque soir un tilleul menthe ( la verveine orange étant trop violente pour mon sommeil ) accompagnait mon passage dans mon fauteuil en velours devant la télé . Mon assiduité chaque soir devant question pour un champion et des chiffres et des lettres resterait également secret ; tout comme le fait que j'étais devenu très fort au scrable . Je ne voulais pas trop l'impressionner dès le départ ( cela à déjà provoqué la fuite d'autres , craignant sans doute de ne pas se révéler à la hauteur d'un tel Maître absolu ) . La Belle tomba dans les filets de la bête. Pour mon grand bonheur et son plus grand malheur . Mais la pitié comme le remord m'étant des sentiments totalement inconnus ...
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Par : le 10/02/21
Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 2 - Les principes fondamentaux : a - L'engagement : Avant toute chose, une relation D/s est une relation entre deux personnes consentantes. En effet, pour dominer ou se soumettre, il faut en avoir envie et être prêt à s'engager dans cette relation. Idéalement, dans la durée mais on peut très bien se jeter à corps perdu dans une séance unique et sans lendemain. Quelle que soit la durée, il faut une ferme volonté des deux parties de faire le maximum pour assouvir ses envies et les désirs de l'autre. S'engager dans une relation D/s, c'est aussi accepter de subir l'autre. Il faut se rendre disponible et accepter d'être dérangé quand on s'y attend le moins. Non, posséder une esclave n'est pas reposant du tout ! Il faut s'en occuper ! Et obéir n'est certainement pas facile, non plus. Dans les deux cas, il faut donner de sa personne pour récolter ce que l'on sème. Et quand la relation dure suffisamment longtemps, l'engagement finit par se matérialiser. Il prend une forme physique et généralement celle d'un collier. Vous savez le collier, le symbole d'appartenance par excellence. b- la communication : Parlez-vous ! Encore et toujours plus. Il y a toujours quelque chose que l'on ignore de sa partenaire et c'est toujours un frein à une relation épanouie. Connaître les envies de sa partenaire, c'est bien. Connaître ses peurs, c'est mieux. Ses envies, elle fera tout pour les assouvir. Par contre elle fera tout pour cacher ses craintes, par peur de devoir les affronter. Il n'y a pas de petit secret. Surtout en ce qui concerne les problèmes médicaux. On peut en avoir honte mais il ne faut pas les cacher, ça peut avoir des conséquences dramatiques. La communication, c'est un tout, elle peut être verbale et non verbale. Les yeux résument les états d'âme en un regard. Et une crispation, un spasme, un relâchement, sont autant de signaux et d'informations qu'il faut prendre en compte. Bien souvent, le corps exprime plus de choses que les mots. Et bien entendu, la communication marche dans les deux sens. Lorsqu'on se livre à quelqu'un on lui donne envie de faire de même et c'est un cercle vertueux qui se met en place et bientôt on n'a plus aucun secret l'un pour l'autre. Je termine ce paragraphe par le droit au mensonge. C'est paradoxal mais c'est quelque chose à prendre en considération : on peut avoir besoin de mentir pour vivre pleinement sa relation. Car parfois, se mentir à soi-même procure une sensation de liberté et mentir à son partenaire, une sensation de culpabilité qui peut être délicieuse. Et n'oublions pas que je parle de relation D/s à distance. Et je pense au cas précis des gens mariés qui ont une relation D/s illégitime. Le D/s est une parenthèse dans leur vie, une échappatoire, ils vont tout donner en séance mais cacher le reste de leur vie. c- La confiance : On ne peut pas tenir une relation dans le temps s'il n'y a pas une confiance absolue. Accepter de montrer son côté D ou s, c'est accepter de dévoiler ce que l'on a de plus secret : sa véritable personnalité. Sans fard et sans masque, on retire l'armure qui nous protège de la société. On se met à nu. Ainsi, on se rend vulnérable. Et pour cela, il faut avoir une confiance aveugle en son partenaire. La confiance peut se donner de prime abord mais avec certaines restrictions. C'est à force de discuter et de communiquer que la confiance va grandir et que la relation va devenir fusionnelle. Se soumettre, c'est comme s'arracher le cœur de la poitrine pour le déposer dans la main de son Maître. Il faut avoir la confiance absolue qu'il ne referme pas son poing. Une soumise peut ainsi donner tous ses mots de passe à son Maître et lui donner le contrôle absolu sur sa vie sociale. Pour le Maître, la confiance c'est aussi accepter le fait que l'on ne puisse pas tout contrôler. N'étant pas 24/7 avec sa soumise, il faut lui faire confiance quand elle dit avoir porté son plug pendant les 4 dernières heures. Ou que malgré les traces de chantilly sur ses joues, elle n'a pas englouti le bon gâteau qu'on lui a interdit de manger et qui s'est mystérieusement évaporé du frigo ! Pour finir, dans une relation à distance, on utilise souvent des outils de communication vidéos. Et trop souvent, on s'exhibe à son partenaire dans des mises en scène tout à fait normales durant une séance... mais que l'on détesterait voir diffusées à tout son carnet d'adresse. Et pourtant, je contemple les magnifiques seins de ma soumise tous les soirs et elle n'a aucun problème à me les montrer. Pourquoi ? Parce que nous avons une confiance absolue l'un envers l'autre. d - Les rituels : Une soumise, ça a besoin de se sentir soumise ! Ca parait évident mais je crois que c'est le truc le plus important dans une relation à distance. Comme le D n'est pas tout le temps présent, il faut sanctuariser certains rituels, les graver dans le marbre ! Ne cherchez pas midi à quatorze heures, inutile de chercher des trucs trop compliqués. N'importe quelle action à répéter quotidiennement fera l'affaire. Ce qui est important, c'est qu'il y ait une obligation régulière pour la soumise et un échange avec son Maître. Je préconise un contact par jour au minimum mais en fonction de la relation, ça peut être moins (si vous êtes mariés... et pas l'un avec l'autre). Utilisez des obligations qui existent déjà : la pilule, prendre un médicament, se brosser les dents ou même aller aux toilettes... Ce n'est pas le quoi qui est important, c'est le comment ! Exemples en vrac : envoyer une photo de la plaquette de pilule/médicament, imposer un nombre d'aller-retour quand on se brosse les dents, limiter le nombre de feuilles pour s'essuyer... Lorsqu'un Maître impose une contrainte quotidienne à sa soumise, elle ressent sa domination et par conséquent se sent soumise. Et une soumise qui se sent soumise est une soumise heureuse ! Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 2 - Les principes fondamentaux : a - L'engagement : Avant toute chose, une relation D/s est une relation entre deux personnes consentantes. En effet, pour dominer ou se soumettre, il faut en avoir envie et être prêt à s'engager dans cette relation. Idéalement, dans la durée mais on peut très bien se jeter à corps perdu dans une séance unique et sans lendemain. Quelle que soit la durée, il faut une ferme volonté des deux parties de faire le maximum pour assouvir ses envies et les désirs de l'autre. S'engager dans une relation D/s, c'est aussi accepter de subir l'autre. Il faut se rendre disponible et accepter d'être dérangé quand on s'y attend le moins. Non, posséder une esclave n'est pas reposant du tout ! Il faut s'en occuper ! Et obéir n'est certainement pas facile, non plus. Dans les deux cas, il faut donner de sa personne pour récolter ce que l'on sème. Et quand la relation dure suffisamment longtemps, l'engagement finit par se matérialiser. Il prend une forme physique et généralement celle d'un collier. Vous savez le collier, le symbole d'appartenance par excellence. b- la communication : Parlez-vous ! Encore et toujours plus. Il y a toujours quelque chose que l'on ignore de sa partenaire et c'est toujours un frein à une relation épanouie. Connaître les envies de sa partenaire, c'est bien. Connaître ses peurs, c'est mieux. Ses envies, elle fera tout pour les assouvir. Par contre elle fera tout pour cacher ses craintes, par peur de devoir les affronter. Il n'y a pas de petit secret. Surtout en ce qui concerne les problèmes médicaux. On peut en avoir honte mais il ne faut pas les cacher, ça peut avoir des conséquences dramatiques. La communication, c'est un tout, elle peut être verbale et non verbale. Les yeux résument les états d'âme en un regard. Et une crispation, un spasme, un relâchement, sont autant de signaux et d'informations qu'il faut prendre en compte. Bien souvent, le corps exprime plus de choses que les mots. Et bien entendu, la communication marche dans les deux sens. Lorsqu'on se livre à quelqu'un on lui donne envie de faire de même et c'est un cercle vertueux qui se met en place et bientôt on n'a plus aucun secret l'un pour l'autre. Je termine ce paragraphe par le droit au mensonge. C'est paradoxal mais c'est quelque chose à prendre en considération : on peut avoir besoin de mentir pour vivre pleinement sa relation. Car parfois, se mentir à soi-même procure une sensation de liberté et mentir à son partenaire, une sensation de culpabilité qui peut être délicieuse. Et n'oublions pas que je parle de relation D/s à distance. Et je pense au cas précis des gens mariés qui ont une relation D/s illégitime. Le D/s est une parenthèse dans leur vie, une échappatoire, ils vont tout donner en séance mais cacher le reste de leur vie. c- La confiance : On ne peut pas tenir une relation dans le temps s'il n'y a pas une confiance absolue. Accepter de montrer son côté D ou s, c'est accepter de dévoiler ce que l'on a de plus secret : sa véritable personnalité. Sans fard et sans masque, on retire l'armure qui nous protège de la société. On se met à nu. Ainsi, on se rend vulnérable. Et pour cela, il faut avoir une confiance aveugle en son partenaire. La confiance peut se donner de prime abord mais avec certaines restrictions. C'est à force de discuter et de communiquer que la confiance va grandir et que la relation va devenir fusionnelle. Se soumettre, c'est comme s'arracher le cœur de la poitrine pour le déposer dans la main de son Maître. Il faut avoir la confiance absolue qu'il ne referme pas son poing. Une soumise peut ainsi donner tous ses mots de passe à son Maître et lui donner le contrôle absolu sur sa vie sociale. Pour le Maître, la confiance c'est aussi accepter le fait que l'on ne puisse pas tout contrôler. N'étant pas 24/7 avec sa soumise, il faut lui faire confiance quand elle dit avoir porté son plug pendant les 4 dernières heures. Ou que malgré les traces de chantilly sur ses joues, elle n'a pas englouti le bon gâteau qu'on lui a interdit de manger et qui s'est mystérieusement évaporé du frigo ! Pour finir, dans une relation à distance, on utilise souvent des outils de communication vidéos. Et trop souvent, on s'exhibe à son partenaire dans des mises en scène tout à fait normales durant une séance... mais que l'on détesterait voir diffusées à tout son carnet d'adresse. Et pourtant, je contemple les magnifiques seins de ma soumise tous les soirs et elle n'a aucun problème à me les montrer. Pourquoi ? Parce que nous avons une confiance absolue l'un envers l'autre. d - Les rituels : Une soumise, ça a besoin de se sentir soumise ! Ca parait évident mais je crois que c'est le truc le plus important dans une relation à distance. Comme le D n'est pas tout le temps présent, il faut sanctuariser certains rituels, les graver dans le marbre ! Ne cherchez pas midi à quatorze heures, inutile de chercher des trucs trop compliqués. N'importe quelle action à répéter quotidiennement fera l'affaire. Ce qui est important, c'est qu'il y ait une obligation régulière pour la soumise et un échange avec son Maître. Je préconise un contact par jour au minimum mais en fonction de la relation, ça peut être moins (si vous êtes mariés... et pas l'un avec l'autre). Utilisez des obligations qui existent déjà : la pilule, prendre un médicament, se brosser les dents ou même aller aux toilettes... Ce n'est pas le quoi qui est important, c'est le comment ! Exemples en vrac : envoyer une photo de la plaquette de pilule/médicament, imposer un nombre d'aller-retour quand on se brosse les dents, limiter le nombre de feuilles pour s'essuyer... Lorsqu'un Maître impose une contrainte quotidienne à sa soumise, elle ressent sa domination et par conséquent se sent soumise. Et une soumise qui se sent soumise est une soumise heureuse !
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Par : le 10/02/21
Dix-huit mois bientôt. Dix-huit mois d’un merveilleux chemin sur lequel tu avances en toute confiance. Un chemin fait de respect, de dialogues, d’écoute, de compréhension et d’attention. Un chemin parfois périlleux fait de marques, de douleurs ; quel plaisir de te voir souffrir pour moi, de laisser mes marques sur ta peau, de te savoir prête et offerte à mes sévices. Un chemin de solitude à accepter comme tu le fais avec courage lorsque les circonstances de la vie nous tiennent parfois éloignées plus longuement l’un de l’autre. Un chemin de complicité depuis notre première rencontre, le premier regard échangé qui en disait déjà long sur nos envies. Un chemin de progression pas à pas et de découverte du bord de mer aux caves parisiennes. Ton endurance et en particulier sous le fouet, fait de toi ma merveilleuse soumise. Ton Maître Le 13 09 2011 Récit écrit par François mon 1er Maître qui reste ma référence pour son immense respect à mon égard et sa sincérité. Lui comme moi étions très pudiques sur les sentiments.
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Par : le 08/02/21
Tu es il, tu es elle, tu es... Tu es prêt.e et tu attends, en position de soumission à quelques mètres de moi, à genoux et recroquevillé.e sur toi-même, j’aime te voir ainsi entrer en toi ! Tu attends que je t’appelle. Tu sais que l’attente est importante, le temps d'oublier tout ce qui t’entoure, de te connecter à toi, d’augmenter ton niveau de perception, de te concentrer avec un mélange d’appréhension et de désir pour un voyage au bout de toi… Je t’ai demandé de te préparer, totalement nu.e ou en tenue selon mon souhait. Tu attends, tu es prêt.e, ton désir pour moi est très vif ! C’est aussi ton désir d’abandon, de te déposséder de ton corps ; tu relâches tout contrôle, tu choisis de me le céder ! J’aime prendre le temps, le plaisir de te regarder, de concevoir ce qui va suivre, le plaisir de la maîtrise ; le temps d’éveiller tous mes sens, de monter en vibration… Je t’appelle ! A genoux devant moi, tu me découvres, apprêtée, assise sur mon fauteuil, dégustant encore le Cognac que tu m’avais servi ; sereine, concentrée, souriante ! Tu plonges dans mon regard intense, tu t'y ancres, scellant ainsi notre confiance absolue ! Notre complicité affective est évidente, tu sais que je t’aime ! Je saisis mon collier, tu sais ce qu’il symbolise, je n’ai nullement besoin de contrat, juste ta confiance dans le fait que je respecte infiniment ton consentement. " Consentez-vous à vous soumettre à moi, J ? " " Oui, Madame ! " Tu t'inclines, je te ceins de mon collier, ce seing suffit ! Tu aimes ce moment, très intense, un moment de communion, tu reprends mon regard, un moment puis je pose ta tête sur mes genoux, je te caresse longuement pour mieux te sentir. Tu aimerais plus, tes mains, tes lèvres espèrent, tremblantes… Tu sais que la frustration est éminemment motrice de ton désir ! " Êtes vous prêt.e, J ? " " Oh oui, Madame ! " Je me lève, j’entreprends de te préparer ! Laisse, contraintes, poids, cagoule, bandeau, casque audio… J'aime te priver de tes sens, t’amener à te perdre pour mieux te retrouver ! Puis, je t'attache ! Ainsi aveuglé.e, assourdi.e, contraint.e, tu t'abandonnes à moi ! De mon côté, l'intention bienveillante pure, le don ; du tien, la perception basique, l'accueil. Ta peau reçoit les caresses cinglantes et brûlantes de ma main d'abord, de divers instruments, ensuite ! Certains brouillant les pistes de ta perception ! Multiples douleurs, sources de plaisir ! Par moment, je viens ressentir ton corps, le caresser pour l'apaiser, me poser un peu, t'envelopper, te laisser sentir mes seins se poser sur toi… Tu aimes ce contact, ton excitation monte encore ! J'ajoute alors un objet vibrant ! Et je reprends, en variant les modes ; prendre totalement possession de toi ! Tu es submergé.e de sensations, tu ressens ton corps, devenu sensible, plus fort ! Tu éprouves un plaisir si intense à recevoir encore, à sentir ton corps endolori vivre plus ! Tu aimerais te détacher, me toucher, tes lèvres appellent à me sentir ! Je leur donne alors un peu ou plus de moi ! " Pas encore, J ! " Je reprends encore ! J'ai envie de plus ! Mes sens sont exacerbés ! Mais je maîtrise ! J’ai envie de t'emmener plus loin encore ! Jusqu’à la fusion de nos transes... J'arrête ! Je te détache, je te fais asseoir. Tu es perdu.e dans tes sensations, je te regarde un moment puis je décide de te rendre tes sens, la vue, l’ouïe, de te délester de tes poids, de tes chaînes... Tu ouvres doucement les yeux, tu me regardes, vibrant.e d’émotions, ton visage rougi, sensible. " Comment vous sentez-vous, J ? " " Je suis bien dans Votre nuage… merci Madame… " J'ai envie de te sentir, je t'enlace, te caressant pour apaiser ta peau marquée, tu sens mon souffle sur ton cou, ton dos, tu es si bien ! Je t'allonge sur le tapis, je te couvre pour te laisser doucement descendre de mon nuage… Le temps de reprendre possession de ton corps. J'aime te regarder ainsi libéré.e, les yeux fermés, voir les émotions passer sur ton visage… J'éprouve un plaisir très profond à te donner ainsi, à te faire voyager en toi ! Je suis très émue ! Après un moment, tu reviens, le sourire aux lèvres, le visage illuminé, tu as envie de me servir ! Tu me proposes quelques mets à goûter avec un bon cru à déguster, j'ai envie de te les partager ! J'ai envie de discuter avec toi de tes sensations, tu sais qu'il est très important de débriefer, sur le moment mais surtout avec le recul. De parler aussi de la vie, de ce qui nous émeut, de ce qui nous fait vibrer ! J'aime ces moments de complicité qui enrichissent notre relation ! Curieux paradoxe, c'est bien en lâchant toute prise, en m'abandonnant ton corps, en me cédant son contrôle, que tu le sens vivre plus fort ! Dalia
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Par : le 08/02/21
Évoquer Simone de Beauvoir relève de la gageure tant la femme de lettres portait de regards différents sur la société, le rôle de la femme et l'ordre politique à travers ses engagements, ses ouvrages et ses enseignements. Elle naquit femme. C’était un sort assez commun avant 1949, et qu’elle partageait, à l’époque, avec une bonne moitié de l’humanité. Elle fut également écrivain, destin déjà moins ordinaire même s’il en existe, depuis toujours, des exemples notables et, en outre, philosophe, le cas est encore plus rare. Elle écrivit un livre "Le Deuxième Sexe", qui a changé pour des millions de femmes et d’hommes leur manière de voir le monde, de s’y insérer, d’y vivre, peu d’auteurs ont eu ce privilège. Elle a en même temps, durant toute sa vie, pris part publiquement, souvent dangereusement et parfois contre sa propre famille politique, aux combats de son époque, les comparaisons deviennent de plus en plus malaisées. Elle a enfin, par son engagement public mais aussi privé, par son choix de vie, été l’une des premières à contester délibérément la séparation du personnel et du politique, du public et du privé, à mettre en jeu sa personne tout entière, servant ainsi d’inspiration, d’encouragement, souvent de modèle à des dizaines de milliers de femmes dans le monde, Il est impossible de trouver dans l’histoire récente un destin équivalent. Nous avons tous en mémoire des noms de femmes écrivains, de femmes philosophes, de femmes politiques, de femmes dont l’œuvre et l’engagement ont marqué leur époque. Pensons, pour ne prendre que des exemples récents, à Flora Tristan, à George Sand ou à Virginia Woolf, à Simone Weil ou à Hannah Arendt. Simone de Beauvoir n’a pas eu la vie qu’elle aurait dû avoir. C’est ce qui nous est raconté dans son œuvre. Une première vie lui avait été promise, celle envisagée avant les ruines familiales. Elle se marierait et serait une mère de famille dans le goût de la tradition. Ce dessein avorta quand il devint évident que ses parents ne pourraient la doter. Aussitôt, comme par le jeu mécanique d’un changement de décor, une deuxième vie se profila sous ses yeux, une vie de remplacement, la vie grise des femmes condamnées au strict célibat faute de dot, et conduites à déroger par le travail, activité entendue ici comme un instrument, non pas de liberté, mais de survie. Deux vies de femmes articulées comme les deux branches d’une alternative indépassable. On aurait dû en rester là, dans le respect d’un ordre naturel, et nous n’aurions peut-être rien su de l’obscure Simone de Beauvoir en proie au destin. Beauvoir aurait été une autre Beauvoir, prise par le quotidien, dans un face-à-face permanent et décalé avec une réalité qu’on aimerait fuir. Portrait intime de la femme aux mille visages. Elle naquit le neuf janvier 1908 dans une famille bourgeoise parisienne. Son père, avocat, goûtait du théatre en amateur, tandis que sa mère, issue du milieu très aisé de la haute finance verdunoise, se passionnait pour la musique et le piano. Tous les étés, elle se rendait en Corrèze à Saint-Ybard, à coté de Tulle, chez son grand-père pour son grand bonheur. Elle connut une adolescence heureuse où très tôt, elle se distingua par sa précocité et ses capacités intellectuelles. Dès lors, si fuite il y eut, elle se fit dans le réel, non hors d’elle. Malgré les injonctions qui déconseillent de s’aventurer sur les terres inconnues et qui préfèrent qu’on les rêve, Simone de Beauvoir explora ce que le monde offre au-delà des évidences. L’idée fut de vivre les contraintes du réel par la liberté car, Beauvoir l’écrit, "une vie, c’est la reprise d’un destin par une liberté." Salvateur déclassement que ce changement de décor social qui affecta les Beauvoir. Il permit dès lors à une jeue fille attentive et douée de faire la distinction entre le décor, le contexte qui prend les traits de la nature et son cas singulier. Simone de Beauvoir n’eut donc aucune des deux vies qu’elle aurait dû avoir. Elle en prit une troisième, donnant ainsi, par la transcendance, un autre sens à la réalité. C’est ce refus des alternatives étriquées qu’elle met en scène dans son œuvre en général et dans le chapitre du "Deuxième Sexe" consacré à la psychanalyse, en particulier. L’idée de choix domine et, plus encore, il s’agit chez Beauvoir d’un choix qui ne se laisse pas enfermer dans des options imposées par un ordre social essentialisé. Ce serait faire une place à la causalité et au déterminisme qu’elle rejette. "Quand la lune se levait au ciel, je communiais avec les lointaines cités, les déserts, les mers, les villages qui au même moment baignaient dans sa lumière." La parfaite symbiose avec la nature au cours de longues promenades révèle la vision en elle d'un destin hors du commun. Bientôt, agrégée de philosophie, Le choix sera plus ouvert et demandera un dépassement permanent. D’où la critique essentielle adressée par Beauvoir aux psychanalystes, auxquels elle reproche de repousser l’idée de choix et la notion de valeur. La philosophe opère ainsi un renversement. Elle inverse la hiérarchie entre poids du passé et ouverture vers l’avenir, entre cause et projet. Il ne s’agit pas pour autant pour elle d’être en totale contradiction avec Freud puisque, tout comme le père de la psychanalyse, Beauvoir accorde son importance au passé lorsqu’elle insiste, à plusieurs reprises dans son œuvre, sur le caractère décisif de l’enfance dans le développement de chacun et la possibilité de se projeter vers un avenir. Mais la vigilance est requise quand l’on croit identifier des points de convergence entre la pensée de Beauvoir et celle de Freud. En effet, à l’occasion de ce renversement entre cause et projet pour expliquer l’individu, Simone de Beauvoir opère un glissement à son profit. Elle donne alors un vêtement philosophique à la psychanalyse, qualifiant d’aliénation pernicieuse, l’identification de l’enfant à la mère ou au père. En résumé, il existerait une certaine proximité apparente entre la pensée de Beauvoir et celle de Freud, ce qui peut donner l’impression qu’il y a un peu de psychanalyste dans la philosophie et dans la théorie idélologique de Simone de Beauvoir. On ne saurait oublier à ce sujet que c'est à la fin de ses études supérieures, qu'elle devint à sont tour professeure de littérature puis de philosophie. Si Simone de Beauvoir est une opposition résolue de la théorie freudienne, son travail continu de critique est justement le signe de son profond intérêt pour la psychanalyse tout au long de sa vie. Dès les années 1930, elle a intégré l’enseignement de la psychanalyse dans les cours qu’elle donnait au lycée, elle a ensuite discuté l’œuvre de Freud dans "Le Deuxième Sexe." Elle a aussi fait référence à la psychanalyse dans ses romans, notamment dans "Les Mandarins", dont le personnage féminin principal, Anne, est psychanalyste. Au-delà de cette concurrence, il est significatif que des psychanalystes se soient intéressés à l’œuvre de Beauvoir, œuvre qui s’est élaborée à partir de la liberté de son auteure, qui refusait le déterminisme social. Liberté qui lui a permis de conduire, d’analyser et de faire partager, en en rendant compte à la manière d’une enquête, une vie qu’elle n’aurait pas dû avoir. 1949, une date-clef pour toutes les femmes, singulièrement pour celles qui reçoivent la parution du "Deuxième Sexe", comme une révélation, à mi-chemin entre une prise de conscience bouleversante de la condition mondiale des femmes et un devoir d’émancipation que ce texte-manifeste induit en filigranes. Près de soixante-douze ans plus tard la surprise, l’étonnement et le questionnement auxquels il nous soumet, demeurent toujours d’actualité. Simone de Beauvoir met en lumière, pour la première fois, l’inégalité structurelle régissant les relations entre les femmes et les hommes en montrant combien celle-ci procède d’un système culturel masqué par le recours à une naturalité abstraite construite. "On ne naît pas femme, on le devient, on ne naît pas libre, on le devient." Voilà en résumé l'axe central de la pensée de l'auteure du "Deuxième Sexe." Jamais avant, les femmes n’avaient été pensées comme sujets singuliers, aptes à dire et à porter l’universel. Elle assène de cruelles vérités. L’altérité est source de négation des femmes et non de leur reconnaissance en tant qu’humains à part entière. À n’être que l’autre des hommes, elles ne peuvent prendre place au sein de l’humanité, elles sont au contraire rabattues du côté du particulier et de l’immanence. Pour la première fois, les différences entre les femmes et les hommes y sont analysées comme étant le produit de savoirs historicisés et masculins, toujours déjà culturellement situés et socialement déterminés. Les sciences elles-mêmes, nous dit-elle, contribuent à maintenir l’antique hiérarchie entre les femmes et les hommes en faisant des premières les éternelles supplétives des seconds. Dans ce texte appelé à faire date, l’auteure inventorie sans complaisance toutes les formes de l’assujettissement des femmes et pose les jalons de l’analyse des mythes, avant Roland Barthes et la critique littéraire féministe. La nouveauté de l’œuvre réside dans la thématisation de la sexualité, de l’avortement, de l’homosexualité, de la prostitution et de l’idée plus générale que "le privé est politique", avant que cette phrase ne s’impose comme un slogan. Ce sont sur ces points que les réflexions de Beauvoir suscitent immédiatement un scandale en mai 1949 lorsque paraît en prépublication dans les "Temps modernes" le chapitre révolutionnaire sur l’initiation sexuelle de la femme en France. En mars 1931, elle est professeure agrégée et enseigne à Paris, dans le septième arrondissement au lycée Victor-Duruy. L'idée d'être éloignée de Jean-Paul Sartre lui est insupportable mais elle refusera de l'épouser pour le suivre au Havre. Dans l'hexagone, malgré les saillies violentes d’un Mauriac, d’un Camus ou d’un Nimier, le livre est dans un premier temps peu lu et commenté. Outre-Atlantique, en revanche, la réception est précoce si bien que la maternité de certaines des idées de Beauvoir a été attribuée, à tort, à des nord-américaines au moment où les travaux de ces dernières se diffusaient en Europe et en France, influençant sur les mouvements féministes des années 1970. À l’heure de la publication de l’œuvre autobiographique de Beauvoir dans la Pléiade, de son introduction dans les programmes de l’agrégation de Lettres modernes et du regain des mobilisations féministes depuis l’affaire Weinstein, les questions de la place de la pensée beauvoirienne dans les féminismes, de son appropriation demandent à être reposées à l’aune de nouvelles focales. D'abors, si le "Deuxième sexe" a fait l’objet de plusieurs exégèses, la production littéraire de Simone de Beauvoir a peu été explorée au prisme des questionnements féministes. Pourtant les relations de contradictions ou de complémentarité entre l’œuvre philosophique et l’œuvre littéraire de l’auteure ont été parfois pointées du doigt. Beauvoir a-t-elle prétendu avant Butler que le sexe n’existait pas, ou est-ce qu’au contraire, le corps est donné et matériellement résistant ? Ou encore, est-ce que la position de Beauvoir ne serait-elle pas médiane et complexe, ce qui expliquerait les réceptions multiples ? Pour la philosophe, la différence des sexes et des corps existerait mais elle n’en demeurerait pas moins interprétable et soumise aux actes de langage. Comment, dès lors, relire les usages de la pensée beauvoirienne par les mouvements féministes de la seconde partie du XX ème siècle, l'expression du Mouvement de libération des femmes, dans lequel elle est rarement citée, jusqu'aux tentatives de réappropriations par la droite conservatrice au XXI ème siècle en passant par le clivage égalitariste/différentialiste des débats pour la parité dans les années 1990 ? La romancière avait une position infiniment tranchée sur le rôle de la femme dans la société et au sein de la famille. "Je dois dire que pas un instant je ne fus tentée de donner suite à sa suggestion. Le mariage multiplie par deux les obligations familiales et toutes les corvées sociales. En modifiant nos rapports avec autrui, il eût fatalement altéré ceux qui existaient entre nous. Le souci de préserver ma propre indépendance, ajoute-t-elle cependant, ne pesa pas lourd; il m'eût paru artificiel de chercher dans l'absence une liberté que je ne pouvais sincèrement retrouver que dans ma tête et mon cœur." La philosophe était une théoricienne, pas une activiste. Elle votait peu, méprisait les institutions politiques, se méfiait du nous collectif. Son "Deuxième Sexe" est une phénoménologie de l’aliénation, pas un mode d’emploi de l’émancipation. Il ne donne aucune clé pour la réalisation concrète des conditions de l’égalité. Celle qui écrivit la bible du féminisme contemporain, traduite dans des dizaines de langues, se défendit même longtemps d’être une féministe. Elle était loin d’imaginer que son œuvre fournirait un substrat philosophique, un appui conceptuel aux luttes futures. En 1949, date de la parution de l’ouvrage, les femmes ont obtenu le droit de vote depuis cinq ans et le préambule de la Constitution de 1946 leur reconnaît des droits égaux à ceux de l’homme. Simone de Beauvoir a le sentiment de rédiger l’épilogue d’une époque révolue. Alors que son livre, ne faisait que souligner la puissance des déterminismes dans le destin de la femme et la difficulté pour chacune de s’en extraire, la partie était tout sauf gagnée. Elle le reconnaîtra par la suite lorsqu’elle s’engagera dans les combats féministes. En 1949, la réception du Deuxième Sexe fut houleuse. Malgré son union heureuse avec Sartre, "Castor" entretiendra des relations amoureuses avec certaines de ses élèves, mais elle repoussera toute sa vie, l'idée de la bisexualité. Les jeux de pouvoir l'intéressaient davantage. Plus les femmes prendront le pouvoir, plus le comportement des deux sexes se ressemblera. C’est le pouvoir qui crée l’abus de pouvoir. Pas le sexe. Les femmes ne sont pas toutes des anges. Pourquoi diable le seraient-elles ? Sauf à penser, comme les féministes différentialistes, qu’elles sont par nature meilleures, tolérantes, bienveillantes, empathiques, mais cela renvoie de nouveau les femmes dans l’impasse de leur genre. Cette libération de la parole est-elle l’ultime étape de la libération de la femme que Simone de Beauvoir appelait de ses vœux ? Pour répondre à la question il faut en soulever d’autres. Transformer Twitter en tribunal n’est pas une avancée. De même, "balancer son porc" sur les réseaux sociaux, n’est-ce pas prendre le risque d’abus et de dérives incontrôlables ? C’est par le droit et les lois que les femmes ont obtenu des avancées et qu’elles doivent poursuivre la bataille. La question du harcèlement déchaîne les passions car elle touche au plus intime: la séduction, le désir, la sexualité et les non-dits, les ambivalences, les paradoxes, les frustrations, qui rendent chacun si vulnérable. Quoi de plus asymétrique, de plus complexe que le désir ? Comment codifier les attentes et les réponses d’un sexe à l’autre, d’un individu à l’autre ? Comment uniformiser à jamais le ressenti d’une situation ? La philosophe se sentirait sans nul doute aujourd'hui perdue face à l'extrémisme outrancier de certaines positions ultra féministes. La parole doit continuer d’être libre, non seulement pour témoigner des attitudes indignes, mais aussi pour exprimer des nuances et laisser place au questionnement. Existe-t-il un continuum entre le geste déplacé du harceleur et le crime du violeur ? C’est ce qu’affirment les néoféministes. À l’instar du bon vieil adage "Qui vole un œuf, vole un bœuf", l’homme qui siffle dans la rue serait du même tonneau que celui qui viole. Une différence de degré, pas de nature. Un homme sur deux ou trois est un agresseur sexuel, affirme la militante féministe Caroline de Haas, ce qui est statistiquement faux. Outre le caractère excessif de cette théorie, criminalisant l’homme par essence, elle implique de dessiner en miroir une fatalité de la femme éternelle victime. Mais toutes les femmes ne sont pas des victimes. Lorsqu’elles le sont, les épreuves qu’elles subissent ne les détruisent pas forcément à jamais. Les victimes, elles, s’en trouvent minorées, relativisées. La femme libre est-elle en train de naître ? Oui, si elle peut se servir, à son profit, de cette libération de la parole pour affirmer sa liberté dans les relations avec les hommes. À côté de ce que l’homme ne "doit pas faire", comment s’approprier, sans risque mais aussi sans ambivalence, ce qu’elle-même "peut faire" ? Simone de Beauvoir écrivait que l’existence des femmes était inscrite dans la passivité. Version galante du ménage moderne. Mais à trop vouloir théoriser sur le rôle de la femme, de la mettre sur le devant de la scène, ne prend-on pas le risque d'une mise à l'index ? Élisabeth Badinter écrit dans "Le Pouvoir au féminin", à propos de Simone de Beauvoir que "le Deuxième Sexe" est porteur du message le plus libérateur qu’on ait jamais adressé aux femmes. Il est simple et tient en quelques phrases. Méfiez-vous de l’argument naturaliste. C’est toujours au nom de la sacro-sainte nature qu’on vous réduira et qu’on vous soumettra à vos fonctions biologiques. Simone de Beauvoir s’est réclamée de l’existentialisme de son compagnon pour combattre cette mythologie patriarcale. Mais, en vérité, son propos “on ne naît pas femme, on le devient” est le mot d’ordre le plus radical du culturalisme. C’est grâce à cette philosophie “à coups de marteau”, qui doit plus à Nietzsche qu’à Descartes, qu’on a pu réinterroger les évidences millénaires, notamment l’instinct maternel ou la nécessaire dépendance des femmes à l’égard des hommes. Cet universalisme qui transcende cultures et religions est aujourd’hui battu en brèche. Le relativisme culturel a le vent en poupe. Depuis le déclin des idéologies et la fin des luttes collectives, les droits individuels règnent. Chacun défend son groupe, sa communauté, ses particularismes. Le féminisme n’échappe pas à la règle. Il devient intersectionnel, il différencie les femmes entre elles pour exprimer plusieurs formes de discriminations ou de dominations simultanées: racisme, homophobie, classisme, sexisme. On cloisonne. On crée des assignations identitaires. Des femmes musulmanes, juives, lesbiennes revendiquent un récit identitaire propre. La philosophe rejetterait d'un revers de manche ces positions extrémistes qui conduisent la femme à son isolement. Car c'est bien là tout le risque. Les hommes finiront un jour par se trouver seuls face à ces femmes trop politisées. Là où les universalistes, héritières de Simone de Beauvoir, réclament pour chaque femme partout dans le monde les mêmes droits et les mêmes libertés, les néoféministes cloisonnent, différencient et créent des droits différents en fonction des ethnies, des cultures et des religions. Ce relativisme séduit un certain nombre de jeunes femmes issues de l’immigration, prises à partie dans un conflit de loyautés envers leur communauté d’origine dont il est difficile de s’affranchir, surtout en cette époque de maillage identitaire. Mais la France, qui donne leur chance aux femmes, ne doit pas oublier toutes celles, silencieuses, qui ne se reconnaissent pas dans ces assignations identitaires et espèrent continuer de vivre au sein de la République comme des femmes à part entière et des Françaises à part entière. Simone de Beauvoir était avant tout une femme libre. Elle détestait les cloisonnements revendicatifs et stérils. Alors rendons-lui hommage en ne mettant qu'en avant sa propre pensée filtrant dans l'intégralité de son œuvre. N'oublions pas qu'elle a obtenu le prix Goncourt pour "Les Mandarins" en 1954 et qu'elle fut l'une des femmes les plus lues au monde. De 1955 à 1986, elle vécut au numéro 11 bis de la rue Victor-Schœlcher à Paris où elle s'éteignit, le quatorze avril 1986, entourée de sa fille adoptive et de Claude Lanzmann. Elle repose au cimetière du Montparnasse à Paris, aux côtés de Sartre. Bibliographie et références: - Ingrid Galster, "Simone de Beauvoir" - Danièle Sallenave, "Castor de guerre" - Claudine Monteil, "Simone de Beauvoir" - Michel Kail, "Simone de Beauvoir" - Éliane Lecarme-Tabone, "Beauvoir" - Deirdre Bair, "Simone de Beauvoir" - Catharine Savage Brosman, "Simone de Beauvoir" - Marie-Jo Bonnet, "Simone de Beauvoir" - Kate Kirkpatrick, "Devenir Beauvoir" - Claire Largillier, "Mémoires d'une jeune fille rangée" - Annabelle Martin Golay, "Beauvoir intime et politique" - Marianne Stjepanovic-Pauly, "Simone de Beauvoir" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/02/21
Il arrive souvent que la vie séparent deux êtres chers. Pour une raison familiale ou professionnelle, les contacts physiques ne sont plus possibles et ce sur une période de temps variable mais toujours interminable. Ce guide va vous donner des pistes et des idées pour vous occuper et faire passer le temps plus vite. Afin de puiser au maximum dans le savoir accumulé sur ce site, j'ai décidé d'en faire un espace collaboratif et d'utiliser des outils modernes. N'hésitez pas à en parler à vos amis, chacun peut y apporter sa connaissance ou son ressenti. 1 - Les outils : a - Pour communiquer : On vit à l'ère du téléphone portable. Tout le monde est joignable 24/7. Et là, c'est une question de choix personnel. J'ai testé presque toutes les applications et au final, c'est une question de choix personnel : Skype, Messenger ou autre, elles fonctionnent toutes très bien et il n'y a pas vraiment de différence. D'un point de vue sécurité informatique, on dit que Signal est la plus populaire chez les terroristes. Comme c'est l'un des rares cas où ils peuvent vous faire une bonne publicité. b - Pour le plaisir : Herbert Léonard n'en a pas parlé dans sa chanson, mais il existe quelques jouets connectés qui en valent vraiment la peine. Je citerai sans hésiter "Lovesense" qui fait vibrer des milliers de camgirls tout autour du monde. Le principe est simple : un oeuf vibrant dont la télécommande est dans les mains de votre Maître, où qu'il soit sur la planète du moment qu'il y a internet. c - Pour soumettre : Des menottes, un collier, un bâillon, un sex-toy et c'est parti. Il n'en faut pas plus pour débuter. Ce n'est pas une relation en présentiel, on ne cherche pas à immobiliser la personne soumise ! Ici, la contrainte est dans la tête, on joue à se ligoter. Et heureusement d'ailleurs car le dominant n'est pas là pour détacher sa victime. Du coup, il faut pouvoir tout faire soi-même : s'attacher, se bâillonner, se libérer, etc. d - Pour contrôler : Il existe une multitude de systèmes de cadenas et cages de chasteté sur le web. Comme le fameux CellMate de Qiui. Pourquoi célèbre ? Parce qu'en janvier 2021, un pirate informatique a pris le contrôle de l'application et a demandé une rançon avec le message suivant : "Your cock is mine" ("Ton gland est à moi"). 0,02 BTC soit 600 € pour être libéré. Il a dû se faire des "couilles en or" ;-) e - Pour ne pas se ruiner : Le quotidien regorge d'objets tous plus utiles les uns que les autres. Les collants font de très bonnes cordes, les chaussettes et culottes de très bons bâillons. Régalez-vous avec des pinces à linge et mon accessoire préféré : un sac de riz ! Le riz, c'est magique ;-) On peut en faire compter une poignée, faire des carrés, des ronds, les peindre, les mettre dans sa culotte ou dans sa chatte, etc. Et bien entendu, on peut en faire deux petits tas et faire s'agenouiller sa soumise dessus.
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Par : le 08/02/21
"Il s'était offert sur cela des épisodes, de scélératesse à son esprit dont il sentait accroître sa perfide lubricité. Voici comme il s’y prit pour mettre à la scène toute l'infamie et tout le piquant qu'il put. Son hôtel se trouvait en face d'un endroit où l'on exécute quelquefois des criminels à Paris, et comme le délit s'était commis dans ce quartier-là, il obtint que l'exécution serait faite sur cette place en question. À l’heure indiquée, il fit trouver chez lui la femme et la fille de ce malheureux. Tout était bien fermé du côté de la place, de manière qu'on ne voyait, des appartements où il tenait ses victimes, rien du train qui pouvait s'y passer. Le scélérat, qui savait l'heure positive de l'exécution, prit ce moment-là pour dépuceler la petite fille dans les bras de sa mère, et tout fut arrangé avec tant d'adresse que le scélérat déchargeait dans le cul de la fille au moment où le père expirait." "La maladie a toujours négligé tous les devoirs auxquels est soumise la santé. Nous ne sommes plus nous-mêmes quand la nature accablée commande à l'âme de souffrir avec le corps". William Shakespeare. Le Roi Lear II (1606) C'est à la prison de la Bastille, en 1785, que Sade écrit son œuvre emblématique, "Les Cent Vingt Journées de Sodome ou l’École du libertinage", fidèle transcription de sa pensée singulière sur les plaisirs, les instincts et les pulsions les plus vils. La lecture de ce tableau des vices s'avère particulièrement éprouvante et provoque le plus souvent ressentiment et révolte. Le marquis de Sade était-il à ce point déséquilibré pour concevoir une nomenclature de perversions les plus inconcevables et indescriptibles que puisse imaginer l'esprit humain ? Avant de jeter l'ouvrage au bûcher, il est utile d'aller à la rencontre de cet auteur révolté mais fascinant, tout à fait hors du commun. Sade fut embastillé sur décret royal, sans jugement jusqu'à ce que la Révolution française le fasse libérer opportunément. L'écrivain libertin, au comportement scandaleux qu'il affichait ouvertement, était ce genre d'homme qui portait la liberté comme une brûlure. Sans aucune issue vers l'extérieur, il ne lui resta plus qu'à plonger en lui-même, au plus profond, pour pouvoir la retrouver. Alors, à sa manière, Sade inventa la psychanalyse, plus d'une centaine d'années avant Freud. Se prenant lui-même comme unique objet de l'analyse, il plongea dans les recoins les plus sombres de son inconscient, ne reculant devant rien et motivé par la rage inextinguible qu'il endurait du fait de son incarcération, il produisit cet ouvrage sidérant. Ce livre doit être regardé comme un acte de libération, le seul qui était alors à sa portée. Il faut l'explorer comme une exploration radicale de l'inconscient. De même en préambule, il nous paraît opportun de mettre en garde le lecteur qui serait tenté de le découvrir de souligner que cet ouvrage, sans doute le plus abouti des écrits sadiens, verse dans l'horreur et l'effroyable, dans un flot ininterrompu de scènes sexuelles où la violence et la cruauté vont crescendo jusqu'au dénouement final. On navigue ainsi allègrement de la pédophilie à la scatophagie en passant par la nécrophilie, les mutilations ou encore le viol. Toutefois, on sent sourdre, des tréfonds crépusculaires, un humour d'une causticité des plus ténébreuses. Il est inachevé, long et complexe. Sade semble prendre plaisir à égarer l'observateur le plus averti en entremêlant les successions d'allégories de sorte que le spectacle final ressemble à une démonstration mathématique incompréhensible. À l’école du libertinage, quarante-deux jeunes gens sont soumis corps et âmes aux fantasmes des maîtres du château. À la fois scandale et révolution littéraire, chacune de ces cent-vingt journées de Sodome est un tableau des vices et perversions les plus criminelles, démontrant avec un inimitable génie la face la plus noire et inavouable de l’homme. Sade est au clavecin, il improvise, il se joue des mots, il compose, en vrai musicien baroque, une suite française libertine. Quel charme vénéneux, quel éclat abyssal. Ainsi, si la recherche du plaisir est au cœur de la pensée sadienne, on opinera toutefois que celle-ci n’échoie jamais naturellement. Sa mise en œuvre exige en préliminaire, une laborieuse besogne d'inventivité, de rédaction, et enfin, de réalisation. Il s’agit dès lors d’examiner l'intrigue comme le ferait un metteur en scène travaillant un scénario avant le montage d'un film. Ce qui importe chez Sade, ce n’est pas tant la consommation immédiate du plaisir que sa naissance, son organisation, en amont, au sein de la pensée, sous forme d’ombres ou d’imaginaires. L'origine du mot scenario est assez floue. Il ne désigne le sens qu’on lui connaît de script cinématographique que depuis l’avènement du cinéma au début du XXème siècle, mais déjà, au XVIIIème, le lien entre texte et image semble sous-jacent. Collet et Beaumarchais l’utilisent une première fois en 1764 pour évoquer la scène, c’est-à-dire "la partie du théâtre où les acteurs représentent devant le public." Cependant, le terme scénario ne sera véritablement recensé qu’entre 1932 et 1935 dans la huitième édition du dictionnaire de l’Académie Française pour désigner le "canevas d’une pièce de théâtre." Étudier le scénario des plaisirs dans les cent-vingt jours, c’est donc s’attacher à décrire une machinerie qui fait intervenir des logiques textuelles et imaginaires. Sade se démarque de ses contemporains du XVIIIème siècle notamment parce que le plaisir s’expose dans son œuvre avec une rare violence, en entretenant des rapports sans tabous avec la logique iconique. Vers la fin du règne de Louis XIV, quatre riches libertins âgés de quarante-cinq à soixante ans, le duc de Blangis, son frère l’évêque, le Président de Curval et le financier Durcet, s’enferment, en plein hiver, dans le château de Silling, avec quarante-deux victimes soumises à leur pouvoir absolu et quatre maquerelles "historiennes" chargées de raconter les perversions de leur vie. Le livre fait s’entremêler le récit des quatre historiennes aux "événements du château." L’ouvrage se décompose ainsi en quatre parties qui correspondent à chacun des quatre mois, soit cent-vingt jours exactement. La partie liminaire de l'œuvre est surprenante. Elle est organisée autour d’un long préambule suivi de la représentation précise des trente premières journées au palais. Les trois autres parties apparaissent sous forme de plans non rédigés. La grande majorité des détenus victimes périssent dans d’épouvantables tourments. Sade nous livre dès lors le récit paroxystique de l'apprentissage de ces jeunes gens enlevés à leurs parents, soumis corps et âme aux fantasmes des maîtres de ce château ancestral, bâti dans la Forêt-Noire allemande. Pris de compassion pour eux, le lecteur a le choix entre indignation, colère, épouvante ou dégoût. Inventaire nauséeux de vices, de crimes, d'incestes, de mutilations, de cris et de sang versé. "Personne, disait Georges Bataille, à moins de rester sourd, n’achève les Cent Vingt Journées que malade." Prêtant au Duc de Blangis, l'implacable bourreau, maître des femmes détenues et suppliciées, ces propos: "Examinez votre situation, ce que vous êtes, ce que nous sommes, et que ces réflexions vous fassent frémir, vous êtes déjà mortes au monde." Faisant ses universités au fort de Vincennes, Sade décrivit avec une scrupuleuse précision, tel un botaniste et son herbier, un florilège abominable de perversions sexuelles. Transféré à la Bastille, il mit au propre ses brouillons sur des trames de papier réunies en rouleau. À la fin de son travail, Sade annota simplement: "Cette grande bande a été commencée le 22 Novembre 1785 et finie en trente sept jours." Le manuscrit autographe écrit au recto, puis au verso se présentait sous la forme d'un rouleau de trente trois feuillets, collés bout à bout, égalant une longueur totale de plus de douze mètres. Entre répulsion instinctive, et respect pour l'œuvre créatrice, le roman ne laisse pas indemne le lecteur. Ce texte fleuve de Sade, dans la narration de "passions" sexuelles, d'aberrations repoussantes, de meurtres atroces, de déviances et de crimes abjects, simples fantasmagories ou réels passages à l’acte, ébranle la lecture autant qu'elle la stimule. De là, débute l'intolérable et diabolique force attractive de l'œuvre. Lorsqu'un récit écartèle le désir, plus qu'il ne le satisfait, dévoilant une affreuseté abyssale, il offre au lecteur abasourdi deux options. Soit le rejeter, le recluant dans l'oubli de rayons poussiéreux d'une bibliothèque, soit tenter de le prendre en considération, mais avec circonspection. L’ouvrage se compose sous la forme d'un journal comportant quatre parties, correspondant chacune à un degré croissant de soumission. La graduation croissant sur une échelle dans l'atrocité, telle la représentation sismologique de Richter, du "simple", au "double", puis au "criminel" pour atteindre le stade dévastateur du "meurtrier." Les six cents cas, à première lecture, semblent sortir tout droit de l'intelligence monstrueuse d’un pervers sexuel. Entre précision chirurgicale et froideur médico-légale, les mots découpent la chair et l'esprit, tel des scalpels. Le château de l'horreur devient une morgue pour une jeunesse sacrifiée sur l'autel des "passions." Les châtelains aristocrates, en mutants sataniques, se métamorphosent en bêtes sauvages. L'inceste devenant la plus douce et la plus naturelle des lois et des unions de la renaissance des âmes. Le récit des salacités de l'historienne Duclos reproduit le fantasme de la scène dans un style sans fard mais élégant. Notons qu'elles concordent littéralement aux descriptions séquentielles des atrocités commises par les trois maîtres. L'apparence des abbés est symbolique dès les premières images. L'auteur projetant ainsi dans le récit sa haine viscérale du clergé. "Leurs vits" correspondent à la machinerie. De même, le langage fait émerger la représentation du résultat de la jouissance des récollets, expulsée par la machinerie. Le langage et le style sont des représentations nouvelles en assumant deux fonctions essentielles. En premier lieu, ils constituent le principe même du scénario sadien car sans eux, le livre n'existerait pas. Ensuite, ils sont des images secondaires, en aval de la machine scénaristique. Dans ce contexte, on comprend que le récit d’imagination, déroulé par les "historiennes", fixe le cadre symbolique de la jouissance en même temps qu’il en donne les règles. Sade affirme d’ailleurs bien qu’elles ont pour rôle "d’irriter les sens" des libertins. Dès lors, la faille, dangereuse et menaçante, semble absolument nécessaire. C’est dans cet espace flou que s’introduit l’imaginaire des libertins. Même si elle n’a qu’une toute petite place dans l’épisode, elle semble décisive puisque, visiblement, elle permet de relancer le désir de jouissance de l’évêque. On peut supposer que sans ce trou dans le discours, l’imaginaire du libertin n’aurait aucun espace libre à investir et qu’il se lasserait de la répétition narrative qu’engendrerait l'active imagination des historiennes. C'est là tout le génie littéraire de l'auteur qui a construit son œuvre comme une véritable machine de guerre, enfermant le lecteur dans un tourbillon carcéral fantasmagorique, mettant à mal son imagination. On le voit, que ce soit lors des orgies libertines ou lors des récits racontés par les historiennes, des lacunes ponctuent le texte. Il n’est pas superflu de remarquer que celles-ci sont en lien étroit avec les logiques iconiques et discursives. Ce n’est que lorsque Sade affirme brièvement que "nous sommes désespérés de ce que l’ordre de notre plan nous empêche de peindre ici ces lubriques corrections" qu’est sollicité notre esprit critique. Nous saisissons alors l’impossibilité temporaire d’accéder dans leur totalité aux us et coutumes du château de Silling. On le voit, de nombreux dispositifs sont mis en place pour assurer la jouissance des convives dans le domaine ancestral, si bien que le scénario des plaisirs est d’une complexité remarquable. Il serait intéressant de vérifier si ce système de faille imaginaire s’exemplifie dans les autres écrits de Sade, notamment dans Justine et Juliette. Les cent gravures de ces deux romans posent certainement de nouvelles questions primordiales à la à la compréhension de l'esprit sadien. Les femmes "bandent", jouissent comme des hommes et livrent du "foutre." Entre horreur, endurance et sublimation, dans un ouvrage à l'âme noire, inaudible à la morale et à la raison, Sade livre un chef d'œuvre pour celui qui veut l'aborder en double lecture. Grâce à son inimitable talent, il dépeint en réalité l'agonie de la monarchie, l'illusion de la religion, la relativité des Lois. En révolutionnaire athée, il participe bien malgré lui, au courant philosophique des Lumières. L'œuvre écrite en prison, doit être comprise, comme un acte de libération, une exploration radicale de son inconscient, freudienne avant l'heure. Dans son testament, il exprima le vœu: "Le temps venu, la fosse une fois recouverte, il sera semé dessus des glands, afin que par la suite le terrain de ladite fosse se trouvant regarni, et le taillis se retrouvant fourré comme il l'était auparavant, les traces de ma tombe disparaissent de dessus la surface de la terre, comme je me flatte que ma mémoire s'effacera de l'esprit des hommes." Dans sa volonté de disparaître à jamais de la mémoire des hommes, transparaît la logique irréfragable de défier la mort dans son monde de terreur. Bibliographie et références: - Michel Delon, "La 121ème journée" - Gilbert Lely, "Vie du marquis de Sade" - Yves Bonnefoy, "Le marquis de Sade" - Pierre Ménard, "Le Marquis de Sade, étude graphologique" - Annie Le Brun, "Théâtres du marquis de Sade" - Maurice Heine, "Les Cents Vingt journées" - Jean-Jacques Pauvert, "Sade vivant" - Georges Bataille, "La Littérature et le mal" - Jacques Worms, "Le marquis de Sade" - Julien Zeller, "La littérature sadienne" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/02/21
Que faire lorsqu'on est loin de l'objet de son désir ? Comment pratiquer une relation D/s à distance ? Dans cet article, je vais répondre à quelques questions que vous vous posez certainement. Sinon, vous ne seriez pas là ! Je vais commencer par analyser les besoins de chacun et comment y répondre au mieux. Et oui, dans une relation D/s chacun a un rôle à jouer. Accepter ce rôle, c'est s'engager dans une relation qui apporte bien plus que du plaisir sexuel. Je ne vais pas vous livrer un guide pratique à suivre pas-à-pas vu que chaque relation est différente. Par contre, je vais vous aider à comprendre ce qu'il se passe dans la tête et le corps des protagonistes. Et cela vous permettra de mieux vivre votre relation à distance. 1 - Chacun ses besoins ! Que l'on soit le D ou le s de la relation D/s, le S ou le M du mot SM, l'exhibitionniste ou le voyeur, chacun a des désirs différents. On en connaît la plupart, on s'imagine les autres mais quoi qu'il en soit, les voir en vidéo sur le net ou imaginer la scène nous met en émoi. Si certains signes physiques sont immédiatement reconnaissables (bander ou mouiller), c'est parfois plus discret et subtil, comme le fait de se mordre la lèvre inférieure. Mais attention, une excitation ne signifie pas forcément que l'on a le désir de concrétiser cette pratique. On peut être excité à regarder une personne attachée, suspendue dans le vide alors qu'on est soi-même sujet au vertige. On peut se masturber devant des vidéos de couples "jouant" avec des aiguilles et en avoir un peur bleue au point de s'évanouir à la vue d'un vaccin anti-CoVid. Il ne faut pas confondre fantasme, désir et envie. Je vais simplifier à l'extrême alors inutile de venir lancer un troll sur l'emploi que je fais de ces trois mots, on s'en fout, ce n'est pas le sujet de l'article. Et comme je n'ai pas la prétention de savoir parler français mieux que vous, je vais utiliser des gros copier-coller du dictionnaire de l'Académie Française. - Le fantasme : Issu de la psychanalyse de Freud, c'est une construction imaginaire, consciente ou inconsciente, permettant au sujet qui s'y met en scène, d'exprimer et de satisfaire un désir plus ou moins refoulé, de surmonter une angoisse. Le mot clé, c'est imaginaire. Ce n'est pas réel ! C'est comme un rêve, éveillé ou pas. On s'imagine dans une situation et le cerveau sachant très mal faire la différence entre le réel et l'imaginaire, prend son pied comme si on vivait vraiment la situation. Et comme ça vient de Freud, le fantasme a forcément une connotation sexuelle. Le fantasme : c'est sexuel et dans la tête. (Non, c'est pas une fellation !!!) - Le désir : C'est l'aspiration profonde de l'homme vers un objet qui réponde à une attente. L'aspiration instinctive de l'être à combler le sentiment d'un manque, d'une incomplétude. Tendance consciente de l'être vers un objet ou un acte déterminé qui comble une aspiration profonde (bonne ou mauvaise) de l'âme, du cœur ou de l'esprit. Instinct physique qui pousse l'homme au plaisir sexuel, aux satisfactions des ardeurs de l'amour; convoitise qui pousse à la possession charnelle. Ici, on se rend compte que l'on sort de l'imaginaire pour y associer la notion de manque et surtout le besoin de le combler. Le désir : c'est le besoin de combler un manque sexuel. - L'envie : Petit filet de peau à la racine des ongles (si, si, c'est dans le dico). Plus sérieusement, l'envie est un besoin, désir plus ou moins violent. C'est éprouver le désir sexuel pour une personne. Le désir naturel de posséder le bien qui appartient à autrui. Dans l'envie apparaît la notion d'appropriation, de propriété et aussi une notion péjorative, celle de faire du mal à quelqu'un. L'envie : c'est le besoin de prendre du plaisir. Au final, une relation D/s, ce sont d'abord des fantasmes. Quelque chose qu'on a en soi et qui demande à s'exprimer. Puis on se focalise sur ses désirs, on cherche à combler un manque et on finit par éprouver du plaisir et avoir l'envie d'en avoir toujours plus. Et cette définition s'applique pour les deux parties, que l'on donne ou reçoive, que l'on prenne ou subisse, que l'on s'offre ou reçoive. Nous n'avons pas les mêmes besoins que les vanilles. Nous avons d'autres fantasmes, d'autres désirs et d'autres envies. Nous cherchons à répondre à d'autres besoins. Et pourtant il y a un besoin commun dans tout ça : celui d'être en accord avec soi-même. 2 - Les inconvénients de la distance Il y a plein de choses totalement impossibles à distance : attacher, fesser et tout simplement, le contact physique. C'est particulièrement ennuyeux pour une soumise qui aime se laisser aller. Elle peut attendre tant qu'elle veut à côté de sa corde, elle ne va pas s'attacher toute seule ! Mais le pire reste tout de même le manque de proximité. La seule présence de son Maître rend la soumise docile. Son aura se manifeste par sa présence physique à proximité de sa soumise. Il est là et occupe un espace, à une distance socialement inacceptable pour toute autre personne. Il est là à portée de main, il est visible, son odeur est perceptible, sa voix relaie ses ordres. Ce n'est pas un fantasme, il est là, en chair et en os. Où est le plaisir de la caresse sensuelle, du claquement sec du fouet contre la peau, le contact de la peau, la souplesse d'une paire de fesses qu'une main raide vient frapper ? Où est la chaleur du ventre de ma partenaire, qui réchauffe mes cuisses quand je lui donne une fessée ? Où est la joie d'être chatouillée par une plume et de ne pas savoir la direction qu'elle va prendre ? Et puis, c'est affreusement impersonnel. Il manque le regard. Les yeux en disent bien plus long que n'importe quel roman quand on parle des choses du cœur. Ils sont le reflet de l'âme, dit-on. Une larme chaude fait basculer le monde durant une session intense. Bref, la distance, c'est nul, on ne peut rien faire. Il manque tout ce qui fait une relation D/s. Il n'y a ni proximité ni toucher. L'abandon et la surprise sont aux abonnés absents, quand c'est pas les parties prenantes qui ont toujours la mauvaise idée de passer sous un tunnel au mauvais moment (surtout avec l'internet fixe de la maison). 3 - Faire de la distance un atout J'ai déjà entendu que "de nos jours, dominer à distance, c'est facile : une application d'appel vidéo et c'est parti, mon kiki !" C'est con, mais c'est vrai. Ce n'est pas la distance qui va faire qu'une relation est pourrie, c'est le manque de communication. Et de nos jours, grâce à internet, la communication est immédiate. Vous vous rappelez que dans ma première partie, je vous ai dit que le cerveau avait du mal à faire la différence entre le réel et l'imaginaire ? Et si on en faisait un as dans notre manche ? a - Démarrer ou poursuivre une relation à distance Quand on débute, la distance, c'est super sécurisant ! On peut rester anonyme, ne jamais montrer sa tête, se cacher derrière un pseudo : "Maître Dominant" ou "Soumise Obéissante". C'est très pratique pour changer de sexe sans avoir à subir ni l'opération ni les frais qui en découlent. Et c'est ultra sécurisant, vu qu'une simple pression sur le bouton off met fin à toute conversation un peu trop chiante. Ca permet de discuter avec des fous ou des gens biens et d'avoir le temps de se rendre compte s'ils sont de la 1ère ou 2ème catégorie avant de penser caresser l'espoir d'une hypothétique rencontre. Et oui, la distance : c'est la sécurité ultime ! Et c'est aussi le meilleur moyen de découvrir quelque chose de nouveau. Que l'on soit dans une relation depuis 30 ans ou complétement novice, il y a toujours une pratique que l'on ne connaît pas, mais que l'on désire essayer. On a fantasmé beaucoup dessus et maintenant, il est temps de passer à l'acte. Ou plutôt de se renseigner avant de prendre une telle décision et ne pas la prendre à la légère. La distance, ça permet d'aller à son rythme, de s'apprivoiser et de se rassurer. b - La valeur variable de l'engagement La distance permet la consommation de masse et éviter l'attachement. On peut se trouver un partenaire pour une session rapide en quelques minutes sur certains sites de chat spécialisés. Deux ou trois ordres et deux orgasmes plus tard, on se quitte bons amis et on se promet de recommencer, en sachant pertinemment que non. Ben ouais, physiquement c'est pas mon genre mais pour dépanner, ça le fait. Et bien entendu, une relation à distance, ça permet d'éviter l'adultère tout en ayant une vie sexuelle ! Obéir à quelqu'un qui n'est pas là, c'est avoir la volonté de lui obéir. Car il ne faut pas se leurrer : la soumise est bien consciente que le dominant ne peut pas se lever, l'attraper par les cheveux et la forcer à quoi que ce soit. La soumise obéit donc à son besoin de soumission. C'est la réponse à un désir. Cela vient combler un manque. Dès lors, il n'est pas étonnant qu'elle accepte de faire des choses aussi dégradantes ou aussi douloureuses pour son Maître. Qui lui assouvit son envie de dominer. La fessée a distance c'est complètement absurde quand on y pense. Se taper dessus, soi-même, pour se punir de n'avoir pas respectée une règle édictée par quelqu'un qui n'est pas présent... bienvenue dans le monde de Pierre Dac (ou des Monty Python pour ceux qui ne connaissent pas leur mentor). Et pourtant, dans presque toutes les religions, il y a des exemples d'auto flagellation pour expier ses fautes devant sa divinité. Serait-ce une marque de soumission ultime ? c - Comment faire durer une relation à distance : Parlez-vous ! Dans notre monde de télécommunication instantanée, on a la possibilité de se parler à l'autre bout de la planète... et pourtant, les échanges sont souvent stériles. Un D ou un s, c'est une personne ! Et il n'y en n'a pas deux identiques sur la planète. Même les jumeaux ont des goûts différents ! Dès lors, on ne doit avoir aucune certitude envers sa partenaire. Et puis les gens ont des humeurs en fonction du pied par lequel on se lève. Je peux avoir une envie terrible de fellation le lundi mais pas le mardi (ma soumise vous dira le contraire mais c'est juste pour l'exemple). La communication, c'est la base. Il faut se comprendre mutuellement pour que ça marche. Prendre des décisions pour sa soumise, c'est bien mais prendre de bonnes décisions qui vont la faire progresser, c'est mieux. Par exemple : la priver de dessert, c'est utile. Elle déteste le fait de ne pas pouvoir manger son délicieux gâteau mais dans le fond, elle sait que c'est pour son bien et le fera avec plaisir et surtout avec fierté. Et l'obliger à faire des choses qu'elle affectionne particulièrement, c'est la cerise sur le gâteau. Imaginez maintenant l'effet d'un ordre comme : obligée de se masturber tous les soirs à 22h17 ! Il faut savoir ce que votre soumise désire profondément. En apparence, c'est facile, surtout quand on lit un profil ou une annonce. Mais en fait pas du tout. Examinons un échange de message : - "Soumise aime être insultée et humiliée..." - "Salut sale chienne, prosterne-toi devant ton Maître" - "Va chier connard, chuis pas ta pute !" Et oui, elles sont loin mes premières expériences, mais je m'en rappelle encore ;-) Pendant longtemps, j'ai ressassé cet échec cuisant sans comprendre : je l'ai insultée et humiliée direct ! Qu'est-ce qu'elle voulait de plus ? Simplement qu'elle légitime la personne qui la rabaisse. En ce qui concerne les sentiments, on a souvent du mal à les exprimer. Et n'oubliez jamais que la communication est à deux sens. Cette analyse de la relation D/s à distance m'a permis de montrer qu'elle répond essentiellement aux besoins des protagonistes, aussi différents soient-ils. Et que si la distance peut-être vue comme un inconvénient majeur, elle peut également devenir un atout par la sécurité qu'elle apporte, par l'intensité de l'engagement qu'elle engendre et par les infinies possibilités de communiquer qui existent aujourd'hui. Ma soumise me dit souvent que j'arrive à mettre les mots justes sur ce qu'elle ressent. C'est sans doute pour ça qu'elle est toujours avec moi ;-)
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Par : le 04/02/21
Maîtresse me demande de me présenter en soubrette ce mercredi, 11 heures et le jour venu, un SMS me montre bien vite que son impatience était aussi forte que la mienne. Quel bonheur de recevoir ce «VIENS» qui en dit bien plus qu’un long discours avant l’heure prévue. Une demi-heure plus tard, j’étais au pied de son immeuble puis réellement à ses pieds après les protocoles d’usage. Maîtresse a de la prestance et il ne lui faut pas longtemps pour investir sa petite chose que je suis devenue. Je la ressent très joueuse ce matin mais n’en est-il pas souvent ainsi ? Un petit peu de ménage vient justifier ma tenue de soubrette vite interrompue. Je me retrouve au bord de la table. Maîtresse me plaque le torse contre elle. Mes fesses sont plaquées contre son intimité. Je suis son objet sexuel et sentir cette fougue m’excite autant qu’elle l'est elle-même. Elle retire mon plug et son gode ceinture vient vite combler le vide qu’il a laissé. Il ne faut pas longtemps pour qu'elle obtienne mon abandon. Ce va et vient du gode dans mon cul est un moment particulièrement intense. Maîtresse s’enfonce en moi et je sens ma chatte vibrée. Je jute comme une femme fontaine. Ma prostate envoie des signaux de jouissance à mon cerveau qui a perdu toute maîtrise sur mon corps. Elle s’approprie mon corps, me griffe, me mord, m’encule encore et encore... et se retire au bout de l’excitation. Corps à corps, elle me récompense de ces douces caresses. Je reste suspendu à ces désirs dans un bien-être inexplicable «Va chercher le  rouleau d'essuie-tout dans les toilette s! Cours ! " Elle se met à compter: 1, 2, 3,4… 29; 30. 31. ... 42 à mon retour, après avoir essuyé mes traces de jus sur ses cuisses et au sol.  A la suite de quoi, Maîtresse m’enfile un impressionnant rosebud avec une laisse et des grelots. Promené comme son petit chien par cette laisse un peu particulière, je me retrouve dans le salon où elle me fait cambrer pour bien lui présenter mes fesses. Je reçois 20 coups de cravache sur chacune puis 1 et 1 pour les 42 secondes comptabilisées tout à l’heure. C’est douloureux sur l’instant car les séries sont rapides et appuyées  mais je lui appartiens alors elle peut faire ce qu'elle veut de moi. Je me sens le devoir de la satisfaire et ce n’est pas ces quelques coups qui vont me décourager. La sentir s’emballer sur mon cul me procure tellement de jouissance intérieure. Je reprends mon balayage, que je n’ai toujours pas terminé et que je ne terminerai pas encore cette fois. Il faut dire qu’elle me fait dandiner mon petit cul et que ça l’excite. Je me retrouve vite couché sur le dos. Maîtresse retire ma cage et m’enduis le sexe de dentifrice. J’en ressens immédiatement une impression de froid. Ouf, je n’ai pas droit à la brosse à dents ! Mais en dominante aguerrie, elle joue avec la badine électrique sur mes couilles et ma queue blanchie, se demandant si le dentifrice est conducteur. Mes tétons ne furent pas à l'abri. La badine en cuir vient varier le rythme, rougir ma peau . Elle m’arrache quelques gémissements qui, je le sais, la ravissent .  Je rampe, je sursaute aux décharges, je me tortille mais je ne lui échappe pas... Elle s'en amuse, en rit et je ne peux m' empêcher de rire avec elle. Je me sens en communion  avec Maîtresse... " Tu n'as pas encore fini de balayer? Que tu es lent !" Je reprends donc le balai... (Pas pour longtemps …) Mon émotion retombe mais je sais que c’est pour rebondir encore plus haut. Je suis si bien que je suis impatient de subir les assauts passionnées de Maîtresse. Le temps passe vite, dans la joie et la passion, Maîtresse m’a envahie encore plus vite que la dernière fois. C’est elle qui maîtrise mon lâcher prise, ma volonté. «Retourne toi» me dit-elle d’un ton qui ne laisse pas place à la désobéissance. Je me retrouve sur le ventre à proximité d’un saladier rempli de 220 pinces, plastiques, métal, bleues, grises, noires, enfin tout ce qu’il faut pour me sculpter à sa convenance. Assise sur mes fesses, elle enchaîne les lignées de pinces sur ma peau et aussi improbable que cela puisse paraître, les 200 pinces en plastique et quelques bonus de métal ont pris leur aise sur ma peau. Je verrais plus tard la belle œuvre qu’elle a réalisée avec toutes ses pinces. Pour le soumis que je suis, le plus dur n’est pas leur mise en place mais leur arrachage et Maîtresse prendra grand plaisir à entendre mes gémissements, mes cris quand la cravache les arrachent sans ménagement. Quand ce n'ai pas avec ses talons ou par grosses poignées...  L’épreuve est pimentée : Je sens la chaleur de l’urine couler sur mon corps et j’en suis heureux, Je reçois cette douche dorée comme un immense privilège. «Rnby tu sens la pisse» me dit-elle . Mais c’est la votre divine Reine , elle est précieuse. La douleur devient vite insupportable tant son entrain est vif. Je supplie Maîtresse mais sa fougue, son excitation ne retombe pas. J’ai mal mais elle repousse incroyablement mes limites. A chaque pause, mon corps se détend et en redemande bien plus. Elle me dit alors que quelques lignées n’ont pas encore été arrachées et pourtant je ne les sens plus. Elle s'en occupera plus tard. Tout cela lui a ouvert l' appétit, il est donc temps de manger...  (à suivre) 
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Par : le 03/02/21
C'est un de ces matins où mes premières pensées me réjouissent. Ça y est, c'est aujourd'hui qu'il vient à mes pieds...  J'aime ces matins là...   La veille, la soirée n' en finissait pas, c'était long et mon impatience à eu le temps de mûrir. Mais là, c'est à peine trois heures qu'il me reste à patienter... Les jours précédents, j'ai soumis mes petites choses avec toute la bienveillance que je leur accorde. Un après- midi tout en sensualité où les matières activent nos sens. Où mes pieds trouvent leur jouissance et où il s'abandonne un peu plus à chaque fois...  S'ensuit une journée aux saveurs triviales et bestiales dues à son jeune âge. Humm!  Un petit  4 heure à demeure... Je suis comme un matou  qui joue avec sa petite souris avant d'en faire qu'une bouchée..  Bien du plaisir  gentiment dosé et adapté à chacun d'eux avec cette petite touche propre à ma  personnalité qui fait que ces moments m'appartiennent pleinement... Des plaisirs partagés qui persistent en moi...   Et me voilà au 3ème jour avec en tête une performance à réaliser et une impatience  démesurée...  Comme si j' avais accumulé l' excitation de mes derniers plans  et que tout demandait à sortir là maintenant... Je n' en peux plus d'attendre! C'est trop long. Je veux ma chose à mes pieds... Un texto... Une réponse... L'heure est avancée... Je patiente... Je me prépare. J'attends... J'installe mes affaires. Je regarde l' heure  continuer d'avancer au même rythme  quoi qu'il arrive, Pfff! Pas moyen de soumettre  le temps à ses envies... Et puis , enfin ! Mon maso  prend sa place à mes pieds; hummm ! Voilà une matinée qui me réjouit...    Aujourd'hui, je le voulais en soubrette. Première fois qu'il vient le matin donc pour faire mon café c'est pas encore ça, mais ça ira.  Je lui donne ensuite  la tâche de préparer le saladier de pinces, qui servira plus tard , le temps que je passe un coup de fil.  Je  préviens d'une éventuelle punition, s'il venait à faire du bruit avec les emballages pendant mon appel. Menace , il le  sait, qu'il doit prendre au sérieux... Il est juste à côté de moi quand mon correspondant décroche. Je le regarde avec ses bas et  son tablier... Je soulève  sa jupette pour vérifier que tout est en place en même temps que je jacasse au téléphone... Hum son rosebud  violet en forme de cœur juste en dessous de sa cage métallique....Ho la la! Je sens monter une vague d'excitation là d'un coup... Je le pousse un peu contre la table... Le bruissement du papier plastique  s'arrête. Je  tiens ma conversation  calme et tranquille alors que mon bassin s'active doucement contre le cul ma soubrette... J'ai cette impatience qui me taraude depuis la veille qui se fout royalement des convenances, bien au contraire.  Soumettre ma chose en la plaquant contre la table, le cul offert à mes coups reins de plus en plus prononcés en veillant à tenir le timbre de ma voix inchangé, m'excite d'avantage...  Mon interlocuteur est bavard, ça m' arrange bien car l' excitation monte assez vite... La table commence à grincer  tant j'agrippe ma salope qui est en train de fondre sous mes butés contre son cul... Ho putain que j' ai envie de la baiser ! ... Ça devient difficile de tenir la conversation mais je maîtrise et ça attise mon plaisir de ressentir ce contrôle  , je dois bien l' avouer, le coté pervers de la situation, accroît considérablement  mon plaisir quand je dis " allez mon p'tit papa je vais te laisser , j' ai pas mal de choses à faire aujourd'hui." ... Humm! de là je raccroche et empoigne cette pute à deux mains par les épaules et la culbute avec une vigueur jouissive jusqu'à ce que cette pulsion soit suffisamment assouvie  pour que  je relâche mon emprise et aille chercher mon strap-on... Il va de soi que je lui interdit de bouger d'un pouce, mais vu son état, l' idée ne lui serait même pas venue.  Son corps vibre autant que le mien... Son cul est si trempé que le rosebud  sort tout seul ... J'enfile devant lui la partie avant du strap, ce qui l' excite  un peu plus. Salope va! Elle attend que ça que je la baise...  Son anus tout dilaté aspire sans peine mon  gode  et là je me déchaîne dans son cul... Son foutre de chienne s' écoule à travers sa cage... Je  le fait couiner encore et encore. Ma queue n' est pas bien grosse mais elle le fourre bien profondément et mes assauts virulents   le terrasse... Le stap lui-même à du mal à suivre  tant  je m' enflamme... Hummm  , la vache  que c'est bon! Une fois le coup de chaud passé et l' intensité retombée, je regarde l' heure: 11H 05. " Ah! C'est l' heure où tu aurais dû arriver! "  Finalement , le temps,  ça  se rattrape...   Après ça, la journée fut tout aussi intense, peut-être que je raconterais un jour... Une chose est sûre c'est que je ne suis pas prête d'oublier ce  début de semaine...  
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Par : le 03/02/21
"Elle se tordait avec une telle frénésie pour échapper aux morsures des lanières, si bien que le ventre et le devant des cuisses, avaient leurs part presque autant que les reins. Quand je t'aurai donnée aussi aux valets, je viendrai une nuit te faire fouetter jusqu'au sang. Une nuit, ils pénétrèrent dans sa chambre, saisirent chacun un long fouet et commencèrent à la flageller avec une vigueur qui lui fit mordre violemment les lèvres, jusqu'à ce que le goût de son propre sang l'eût empli la bouche." "Histoire d'O" de Dominique Aury. (1954) Comment le châtiment de la flagellation a pris sa place dans l'alchimie érotique de la partition des plaisirs ? De la naissance de la littérature "flagellante", à la multiplicité des études réalisées, en s'intéressant à la psychiatrie des perversions, le goût du fouet s'est imposé peu à peu, comme attirance spécifique, autonome de de la sexualité dans l'univers du sadomasochisme. La ritualisation attachée à ce châtiment, célébrant la beauté des sensations extrêmes, de la recherche de la cruauté et de la douleur, fait de lui, lors d'une séance S/M, dans cet art subtil et cérébral, une étape incontournable vers la jouissance sublimée. Défini comme un acte consistant à cingler le corps humain avec un fouet, des lanières, ou une tige souple, ou une cravache, le terme désigne une multiplicité de significations, religieuse, érotique, et disciplinaire, s'inscrivant dans un champ sémantique où sa compréhension sexuelle est pourvue de symboles, dans l'évocation imaginaire, de la verge au flagelle. Elle fut tout d'abord dans la religion une incarnation, utilisée comme un moyen de faire pénitence, telle une expiation de ses propres péchés, parfois même ceux des autres, et se pratique encore, aujourd'hui couramment dans certains ordres religieux ultra-catholiques. Dans l'histoire, la flagellation précédant la crucifixion était un préliminaire à la condamnation. Le nombre de coups portés très élevé pouvait alors conduire ni plus, ni moins, à la mort du supplicié. Elle fut utilisée par nombre de civilisations, encore employée aujourd'hui dans certains pays, comme ceux appliquant entre autres, la loi islamique, la charia. Les Romains l'employaient comme châtiment corporel. La fustigation était une peine appliquée aux citoyens ou aux émancipés jugée moins avilissante, que la la flagellation appliquée avec un fouet, le flagellum, réservée aux esclaves, dépourvus de citoyenneté, ayant commis des actes criminels, précédant dans la majorité des cas, la peine de mort. Aux XVIIIème et XIXème siècle, la bastonnade réalisée avec une longe calfatée, était une punition souvent pratiquée dans les pénitenciers avant l'arrêt de l'esclavage. La toute dernière flagellation publique, fut administrée, sous Louis XVI, en 1786 à l'encontre de la comtesse de La Motte, pour sa participation dans l'affaire retentissante du collier de la reine Marie-Antoinette. De nos jours, la flagellation demeure une sanction pénale encore appliquée en Iran et en Arabie Saoudite. En Littérature, l'œuvre de Sade, dans "Justine ou les Malheurs de la vertu" (1791) décrit, comme nous l'avons évoqué, au cours d'un précédent article, de nombreuses scènes de flagellation. "Thérèse philosophe", ouvrage moins réputé, attribué à Jean-Baptiste Boyer d'Argens (1748) y fait aussi largement écho. Sous l'Empire, l'actrice Émilie Contat, très courtisée à l'époque, vendait ses charmes en fouettant ses amants masochistes. Le sombre et intrigant ministre de la police de Napoléon, Joseph Fouché, fut le plus célèbre de ses clients, en fréquentant assidûment son boudoir. Dans la littérature érotique, ce sont les œuvres de Von Sacher-Masoch, et les études de Von Krafft-Ebing, fondateurs respectivement des concepts du "sadisme" et du "sadomasochisme" qui marquèrent les esprits. "La Vénus à la fourrure" de Leopold von Sacher-Masoch, parue en 1870 fait figure de roman novateur. les personnages Wanda et Séverin puisant dans la flagellation, leur source quotidienne de leurs jeux sexuels. De même, la flagellation chez Pierre Mac Orlan (1882-1970), auteur prolixe d'ouvrages érotiques, est largement présente. Dans "La Comtesse au fouet", "Belle et terrible", "Les Aventures amoureuses de Mademoiselle de Sommerange", ou "Mademoiselle de Mustelle et ses amies", enfin dans "Roman pervers d'une fillette élégante et vicieuse", récit de l'apprentissage de l'asservissement sexuel d'une très jeune fille. De même, on retrouve des scènes de flagellation, chez Apollinaire dans "Les Onze Mille Verges" (1907) et chez Pierre Louys en 1926, dans "Trois filles de leurs mère." Le roman "Histoire d'O" (1954), étudié précédemment, comporte de nombreuses scènes de flagellation. Plus proche de nous, la romancière, Eva Delambre, dans "Devenir Sienne" (2013), fait du fouet l'instrument de prédilection de Maître Hantz. Il en est de même dans "Turbulences." Un sombre voile de plaisir recouvre la flagellation depuis l'orée des temps. L'ancestral goûtait déjà du flagellum. Lors de processions rituelles, il l'employait pour implorer les dieux afin de fertiliser la femme. Ainsi, dans la Rome Antique, la dévotion pour Junon, tutélaire féminin, lui imposait alors la flagellation, afin de combattre l'infécondité. Lors des fêtes des Lupercales, après le sacrifice d'un bouc par les Luperques, prêtres de Faunus, deux jeunes pages le visage couvert du sang de l'animal, armés de lanières, fouettaient des femmes souhaitant devenir fécondes. Le culte de Diane chasseresse donnait lieu également à de véritables concours de fouettage. De même, la flagellation était prescrite par Hippocrate comme remède contre l'impuissance masculine. De nombreux textes anciens relatent avec lyrisme les liens étroits entre douleur et jouissance. Ainsi, Hérodote décrit, non sans poésie, des scènes de flagellations érotiques au cours des fêtes d'Isis, où tous les fidèles munis de fouet se frappaient jusqu'à l'extase. Pas de fêtes orgiaques sans rituels du fouet, lors des Dyonisies en Grèce ou des Bacchanales à Rome. Plus tard, de célèbres dévots éprouvèrent en se meurtrissant les effets stimulants du fouet. Henri III, dernier roi valoisien (1574 à 1589), grand pénitent mais aussi voluptueux raffiné, aimait se "tourmenter les chairs", en compagnie de ses mignons. Sade, étudié précédemment, en fit, dans l'intégralité de son œuvre, l'un de ses instruments de jouissance de prédilection. Comment alors, la pratique de la flagellation a-t-elle pris place dans l'art du jouir ? Chez Freud, le masochisme serait une perversion où le plaisir se lierait à une douleur recherchée, ou à l'avilissement voulu par l'individu soumis. Le désir de fouetter ou d'être fouetté proviendrait de la connexion directe entre plaisir et déplaisir. Plaisir de faire souffrir la soumise ou l'esclave sexuelle, ou de facto, à l'inverse, recherche de la douleur par la flagellée. L'envie de se faire souffrir, ou masochisme, serait la forme de perversion la plus répandue. L'attrait pour la flagellation, selon le psychanalyste, viendrait de la fixation, au cours de la petite enfance, d’une correction punitive mêlée à une jouissance. Le sadomasochisme représentant alors la satisfaction liée à la souffrance ou à l'humiliation subie par un sujet dépendant. Des comportements érotiques exacerbés conduiraient à une pratique sexuelle employant la douleur par la flagellation pour parvenir à la jouissance. Un sadique étant toujours un masochiste, selon le neurologue autrichien, le flagellant prend plaisir à fouetter, aurait pour partenaire, un flagellé recherchant l'extase sous le fouet. Dans une relation SM entre un dominant et un dominé, un Maître et un esclave, ou un masochiste et un sadique. La représentation religieuse de la flagellation l'associe à l'expiation d'une faute commise en vue de se punir de péchés. La mortification de la chair, dans une recherche mystique d'accaparation des douleurs du christ, permet de se rapprochant de Dieu. Quelles qu’en soient les origines, apparaît de façon sous-jacente l'union entre le corps et l'esprit. En punissant, on veut faire entendre raison, en meurtrissant le corps, on pousse l'esprit à s'élever en se surpassant. Tel est l'enjeu d'une séance de flagellation consentie. Car, on ne le répétera jamais assez, la flagellation est une pratique SM dangereuse si elle ne respecte pas des règles élémentaires de sécurité telles l'expérience du flagellant, l'écoute continue de la flagellée et l'existence d'un safeword. Les informations cérébro-dolorosives transmises au cerveau agissent comme des détonateurs forçant l'esprit. Celui-ci transmet à son tour au corps l'ordre d'endurer et de résister. Ce schéma synaptique neuromusculaire se produit lors d'une séance de flagellation. Plus clairement exprimé, la flagellation permet d'explorer le côté animal en transgressant les codes d'une sexualité classique. Elle confronte les partenaires, à la vulnérabilité ou à la puissance, au cours de jeux de rôles sexuels extrêmes, comme de puissants leviers d'excitation sexuelle. La ritualisation, en particulier, la mise à nu de la soumise exacerbe l'érotisation de la préparation à la séance de flagellation. Elle offre à son Maître, en signe d'offrande, le spectacle de sa nudité. Libre à lui, de se livrer à un examen approfondi des parties corporelles à travailler. Les yeux bandés, et bâillonnée, elle est attachée avec des menottes, ou des cordes, sur du mobilier, un carcan, un cheval d'arçon, le plus souvent à une croix de Saint-André. S'infligeant une souffrance physique, le masochiste produit des endorphines, hormones sécrétées en cas d'excitation et de douleur. Les endorphines ou endomorphines étant des composés opioïdes peptidiques endogènes secrétées par l'hypophyse et l'hypothalamus, lors d'activités physiques intenses, sportives ou sexuelles, d'excitation, de douleur, d'orgasme. Elles s'assimilent aux opiacés par leur capacité analgésique et procurent une sensation de bien-être. Lors d'une séance de flagellation, la douleur se transforme peu à peu en plaisir. Dès lors, elle occasionne un plaisir à la fois corporel et mental, pour le sadique ou dominateur, comme pour la ou le masochiste. Les impressions de brûlures, et de souffrance conduisent alors au plaisir, parfois à l'orgasme. La flagellée, par dévotion et par volonté de se dépasser, atteint peu à peu une forme relative de confort. Son cerveau exsudant des antalgiques ou euphorisants, elle supporte alors mieux la douleur quand approche le spasme. L'alchimie résidant dans l'expérience du Maître ou de la Maîtresse, dans sa technicité et sa maîtrise de l'art du fouet, du martinet, de la badine ou de la cravache. La caresse de la zone à fouetter, ou à pincer, au cours de la période d'échauffement, précède toujours la flagellation. Le dépassement de soi, en continuant à subir ou à frapper, plus longtemps et plus fort, s'acquiert avec le temps. À la douleur s'associe le fantasme de la domination. Véritable raffinement érotique, la flagellation, pratique fétiche, source de sensations corporelles voluptueuses, est véritablement au cœur de la littérature érotique. Plus de sept cents livres lui ont été consacrés entre 1890 et 1940. Gustave Le Rouge, Louis Malteste, Hector France ou Pierre Mac Orlan la vénèrent en déifiant ses rites. Citons "La Voluptueuse Souffrance" de Max des Vignons (1930), "Coups de fouet" de Lord Birchisgood, "Le magnétisme du fouet" de Jean de Villiot (1902), ou encore "Monsieur dresse sa bonne" (1996) de Georges Pailler, alias Esparbec. La flagellation, pratique autonome, est devenue aujourd'hui un symbole érotique incontournable de la domination. Rappelons que les séances de flagellation doivent être librement consenties entre des partenaires majeurs usant un safeword indispensable. Enfin, il est sage pour une novice en soumission de s'adresser à un Maître expérimenté. Bibliographie et références: - Marquis de Sade, "Justine ou les Malheurs de la vertu" - François Amédée Doppet, "Traité du fouet et de ses effets" - Leopold von Sacher-Masoch, "La Vénus à la fourrure" - Leopold von Sacher-Masoch, "Fouets et fourrures" - Bernard Valonnes, "Le règne de la cravache" - André Lorulot, "La flagellation et les perversions sexuelles" - Patrick Vandermeersch, "La chair de la passion" - Raymond-Josué Seckel, "La flagellation" - Guillaume Apollinaire, "Les Onze Mille Verges" - Eva Delambre, "Devenir Sienne" - Anne Cécile Desclos, dite Dominique Aury, "Histoire d'O" - Sigmund Freud, "Au-delà du principe de plaisir" - Sigmund Freud, "Trois essais sur la théorie sexuelle" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/02/21
De nos jours encore, l’orgasme féminin est un fascinant mystère et son fonctionnement euphorisant suscite bien souvent des questionnements, chez la femme comme chez l'homme. À l'origine, il y a toujours le désir qui contient une substance biologique, une neurohormone et une disposition psychoaffective particulièrement développée chez la femme. On peut différencier ainsi le désir sexuel spontané en rapport direct avec des stimuli immanents affectifs, fantasmatiques et cognitifs et un désir sexuel réactif en réponse à la stimulation physique. L’excitation sexuelle se manifeste chez l’homme par l’érection et l’éjaculation doublée de l’orgasme. Chez la femme, l’excitation conduit à un afflux de sang au niveau du vagin et de la vulve responsable de la lubrification vaginale, de l’érection du clitoris et d’une congestion vulvaire. Pendant bien trop longtemps, avant l'évolution de la société conduisant à la libération de la femme, les relations sexuelles hétérosexuelles se résumaient en une chevauchée effrénée garantissant le lignage et la satisfaction du mari. Phénomène naturel, l’orgasme féminin résulte de l’excitation sexuelle que ressent chaque femme et qui influe autant sur son esprit que sur son corps. Il est grand temps d'évincer définitivement la vision réductrice du plaisir féminin non autonome et dépendant totalement de celui de l'homme. Pour quelles obscures raisons, le plaisir de la femme serait de moindre importance que celui de l'homme ? N'est-il pas aussi fondamental ? Le cerveau reçoit la stimulation sexuelle du corps féminin. Il la conditionne et l'a déchiffre, puis il suscite un réflexe, établi sur l'acquis, l’expérience, et la personnalité de la femme. Il est capable dès lors de provoquer différentes émotions provoquées par la stimulation de tous les sens, la vue, le toucher, le goût et l'ouïe. Alors, le corps peut ainsi se mettre dans un état d’excitation extrême en raison du contact de son propre épiderme, ou celle de sa ou de son partenaire. Les caresses ou les succions sur les parties érogènes, les seins ou sur le clitoris, la vulve et l'entrée du vagin, le cunnilingus ou sur la région de l'anus, l'anulingus sont autant de stimuli différents pouvant amener la femme à la jouissance. De même, une simple pensée érotique, un propos romantique ou parfois plutôt cru ont également le pouvoir, de conduire à l'orgasme. Dans tous les cas, il y a dans l’orgasme féminin une interaction entre le corps et l’esprit. Les diverses images issues de notre cerveau, réelles ou fantasmées font naître une réelle sensation physique. Durant l’orgasme, le corps de la femme perçoit alors deux flux organiques. La vasodilatation se caractérise par la concentration de sang dans les parties génitales et dans les seins. Dès lors, le corps féminin se sature de sang au niveau de ces zones, entraînant une augmentation de la tension artérielle, une modification de la température, de la sensibilité et enfin de la pigmentation de l'épiderme. Certains sexologues évoquent même l'idée d’érection féminine. La deuxième réaction corporelle ressentie est la myatonie ou la décontraction musculaire, pendant laquelle tous les muscles du corps se relâchent provoquant ainsi cette sensation de bien-être. Il y a donc quatre phases notables, la phase d’excitation, la phase de plaisir, la phase de l’orgasme et la phase de détente. Des spécifications évidemment théoriques et qui peuvent, bien entendu, être différentes d’une femme à l’autre et ressenties diversement chaque fois. Le corps féminin met en moyenne douze secondes pour retrouver un état normal. Notons en revanche que tous les orgasmes sont identiques organiquement et varient seulement selon la longueur et l'amplitude. Mais une femme ne ressent pas un orgasme de la même façon. Les effets induits par la masturbation sont par exemple très différents de ceux ressentis lors d’un rapport sexuel avec une ou un partenaire. Il est significatif de noter que certaines femmes évoquent un orgasme plus satisfaisant lorsqu'il est atteint solitairement. Sans doute, est-ce dû au fait que toute leur concentration est alors dédiée à leur propre plaisir. Encore une fois, rappelons que ce n'est pas une règle commune. Lors d’un rapport sexuel, le cerveau libère des hormones essentielles: la dopamine, les endorphines, la sérotonine et l’ocytocine. La dopamine, l’hormone du plaisir et de la motivation joue un rôle important dans les mécanismes de l’addiction. Ce qui la motive à reproduire l’acte sexuel générant ces instants de plaisir. Ainsi l’addiction peut s’installer insidieusement. L’endorphine provoque, elle, un état de bien-être après la relation sexuelle. Ces deux hormones ont donc un rôle crucial dans le plaisir et l'orgasme. Une autre hormone joue un rôle important pendant l’acte sexuel, c'est l’ocytocine, l’hormone du bonheur et de l’attachement. Enfin, une dernière intervient à l’occasion de l’orgasme, c’est la vasopressine. Ce neurotransmetteur libéré par la partie postérieure de l’hypophyse joue un rôle central dans la libido. Il n’y a aucune recette miracle pour atteindre l’orgasme et ses caractéristiques physiques varient de femme en femme et même d’orgasme en orgasme. Il est parfois difficile pour une femme d’identifier la limite entre l’orgasme fantasmé, stimulé par des sensations érotiques et le réel orgasme physique. Mais il faut savoir, qu’étrangement, l’orgasme n’est jamais lié aux sentiments éprouvés pour son partenaire. De même, l’orgasme n’est pas systématique, il est donc essentiel de déculpabiliser le partenaire qui ne doit pas se sentir fautif d'être en incapacité de procurer du plaisir à sa compagne, car plaisir ne rime pas forcément avec orgasme. La femme, de son côté, ne doit pas voir d’échec quand elle ne jouit pas. Car ces situations, souvent sources de non-dits peuvent provoquer des frustrations dans le couple et amener à des blocages parfois irrémédiables dans des cas extrêmes, et les blocages freinent directement l’orgasme. Que la question de la sexualité doive être abordée à partir du langage et de ce qu’il crée chez les individus qui le peuple n'est pas fait pour nous surprendre. La psychanalyse dès ses balbutiements a avancé que rien de la sexualité ne saurait être regardée sans l’envisager comme événement psychique, c’est-à-dire déterminé par le langage. Dès l'invention du stade phallique par Freud, il est survenu que ce que l’on nomme les rôles sexuels était constitué autour d’un symbole, de sa présence ou de son absence, de sa perte possible ou de son attente, et qu’ils étaient faits de langage et de nature signifiante. Et très tôt, Freud a fait figurer dans les défilés de ce symbole phallique tous les caractères des organes de la jouissance, décrivant par exemple le phallicisme de la jouissance clitoridienne dans l’enfance, tout en proposant son remplacement par la jouissance vaginale chez la femme adulte. L’ensemble de la sexualité se trouvait soumise à ce que forgeait le langage, le rapport entre les sexes s’organisant en termes symboliques de complémentarité, déterminés par le discours, autour de l’avoir et le donner, pour l’un, ne pas l’avoir et le recevoir, pour l’autre. En effet, le moindre diagnostique nous montre que c’est ce que l’inconscient dit du sexe, à quoi la névrose objecte de quelque façon, et c'est pourquoi Lacan a réarticulé d'abord et longuement le propos freudien. Montrant qu’il était justifié parce que le phallus est pris comme un signifiant, ajoutant dès lors qu’à partir de ce signifiant s’organisent toutes les significations du sexe. Il faisait observer en outre que la théorie organisée autour du phallus englobait la femme comme ce qui est le phallus, le sujet phallique, sur le socle qu’elle ne l’a pas, tandis que l’homme l’a pour autant qu’il ne l’est pas, et qu’ainsi avoir et être s’excluaient en se complétant pour l’un et l’autre sexe. La Genèse prouvait, avec la métaphore de la création d’Ève à partir de la côte d’Adam, ce discours de l’inconscient qui constitue la femme comme un fragment phallique, du corps de l’homme, ce complément qu’il retrouve après l’avoir perdu. Dans l’intervalle de ces quelques années, toute une distance venait de s’instaurer entre la vérité d’un discours de l’inconscient, équivalant à cette loi presque immémoriale de la sexuation et du rapport des sexes, qui s’était déployée au travers de l’échange des femmes comme équivalents phalliques dans les structures de la parenté, et un réel qui était en fait tout autre. Notre pratique avait affaire en effet à ce discours de l’inconscient. Mais il était seulement une fiction construite par les effets du langage, qui ne pouvait recouvrir la réalité du sexe comme telle. Il se présentait comme la vérité, notamment à partir du discours des religions, ou plutôt il constituait la vérité qui n’avait dès lors pas d’autre structure que de fiction, tandis que le réel en était bien distinct. Plus prosaïquement, pour appeler la convocation des jouissances dans le rapport sexuel, il y a deux complices. L’homme qui a une jouissance rapide et conclusive, comme les sexologues l'ont démontré, soit une phase d’excitation indispensable, avant que puisse se produire l’orgasme, relativement courte et comportant ensuite une phase réfractaire. La femme qui a une jouissance lente à se produire et persistante, une phase d’excitation longue et pas d'épisode réfractaire, de sorte que plusieurs orgasmes successifs sont physiologiquement possibles. Or il faut manifestement les deux facteurs pour produire cette non-conjonction des jouissances organiques, et non un seul. Ce qui les lie ne peut se concevoir au regard d’une jouissance sexuelle qu’il n’y a pas au sens d’une conjonction entre deux sexes, mais d’une jouissance organisée autour de ce qui consiste à disposer d’un corps. Qu’est-ce qui revient au féminin, de cette difficulté dans le rapport sexuel, ou encore comment une femme se détermine-t-elle face à cela ? Voici deux propositions pour introduire la question très complexe de la jouissance féminine et sa place dans le rapport sexuel. Du point de vue de la jouissance, le désir n'est plus refoulé dans la demande mais causé à partir de la jouissance, à la limite comme une défense contre cette jouissance. Mais si la stimulation sexuelle est avéré chez la femme, comme chez l’homme d’ailleurs, l’orgasme féminin ne se dévoile pas avec des accents aussi tangibles que l’orgasme masculin. Que spécifie l'expression jouissance sexuelle ? Jouissance physique et jouissance morale sont à démêler dans l'approche analytique du coït, bien qu’elles puissent arriver en même temps dans l’orgasme en effet. Orgasme qui n’est pas pourtant synonyme d’éjaculation ou "décharge." Une éjaculation ne comporte pas forcément une jouissance psychique, et par conséquent, elle n’est pas consubstantielle de l’orgasme. Le croisement des fantasmes, rencontre qui n’est pas synonyme d’accord, d'harmonie, ou de fusion est indispensable pour qu’on puisse parler d’orgasme dans le rapport sexuel. La décharge, en revanche, n’implique pas forcément cette rencontre. Le fantasme du sujet est toujours en action, mais il n’est pas nécessairement en consonance avec celui du partenaire. C’est à ce titre qu’on ne peut pas assimiler les concepts d’orgasme et d'éjaculation. Celle ou celui qui jouit sans se préoccuper du tout de la jouissance réelle de l’autre demeure plus proche de la jouissance masturbatoire que de la jouissance du coït. Car la relation sexuelle peut présenter, dans certaines situations, le même rôle que la masturbation. La masturbation ne revêt pas le même mode que l’orgasme, car celui-ci nécessite la présence de l’autre et il peut prendre une forme intense quand l’autre y participe, grâce à son fantasme, bien sûr. L’orgasme féminin comporte des modifications physiologiques, contractions musculaires, éjaculation, mais ce sont des conditions organiques existantes aussi pendant l’excitation sexuelle. On ne peut pas se baser sur toutes les modifications corporelles pour déterminer la nature réelle de l’orgasme féminin, les modifications physiques n’en apportant pas la preuve. En revanche, chez l’homme, excitation et orgasme sont des phases totalement distinctes. L'érection de son sexe est évidente lors de l’excitation, de même son éjaculation pendant l’orgasme. Pour la femme, ce n’est pas le corps qui parle de son plaisir. Car son corps ne montre pas forcément ce qui se passe au niveau de la jouissance psychique. Les hommes peuvent penser qu’ils savent, ou qu’ils sentent leur femme atteindre l’orgasme, mais cela demeure très hypothétique, car il peut toujours rester le doute, s’agit-il d’excitation ou d’orgasme ? Il s’agit de connaître les effets réels de l’éjaculation: une simple décharge physiologique ou un orgasme. Cette question peut-être encore mieux explicitée. Car les conséquences et les motivations sont dès lors très différentes. En effet, la femme est-elle en train de jouir ou de feindre la jouissance volontairement ou non ? L'explication est d’autant plus ardue à fournir que la femme peut aussi confondre les deux, simulation et jouissance. C'est ainsi que c’est souvent pour faire plaisir au partenaire masculin que la jouissance est feinte. Plaisir de l’autre qui, lui seul, crée une satisfaction du sujet. Ce plaisir du plaisir de l’autre est en contiguïté avec la douleur, une douleur érotisée, que la femme dissimule afin de se présenter à son partenaire comme occasion de plaisir. La femme qui simule la jouissance accepte d’assumer un désir qui n’est pas le sien. Désir qui pourtant la traverse, faisant d’elle un objet capable de répondre à l’exigence de jouissance de l’autre. Un autre qui devient Autre. La femme s’y soumet, elle se fait l’instrument de sa jouissance, en oubliant la sienne. Mais le sacrifice de sa propre jouissance est une différente jouissance, connexion entre le sujet et l’autre, jouissance apathique et solitaire. Pour qu’il y ait rapport sexuel au sens de l’orgasme, l’autre, le partenaire, s’oppose à l’autre, sans se préoccuper de l’unité fusionnelle. C'est alors la rencontre de deux fantasmes sous la forme d'opposition ou d'encontre. C'est alors que le duo sexuel devient un trio. Le complice prend en effet le rôle d'un tiers, non pas dans le sens d’un observateur neutre. Durant le coït, il est en même temps l’élément permettant l’unité et celui qui la brise grâce à l'écho des fantasmes, l’agent instituant le contentement phallique en même temps que son échec. Car tous les orgasmes se terminent toujours par la détumescence du pénis et du clitoris, et invariablement par la suspension du désir. Simuler en oubliant son propre plaisir ou alors, en le sacrifiant pour celui de l’autre est une forme de frigidité, mais toujours une frigidité jouissive. Jouissance solitaire, puisque le désir du sujet n’est pas soutenu et stimulé par celui de l’autre, mais seulement par sa demande. La femme qui jouit comme Sainte Thérèse pour certains psychanalystes devient l’icône, l’idéal de la jouissance. Et aussi une sorte de femme idéalisée. Femme, représentation de la jouissance sans limites. Pour les Romains, le mot phallus n’existait pas. Ils l'appelaient fascinus, ce que les grecs appelaient phallos. Fasciner signifie contraindre celui qui voit à ne plus détacher le regard. C’est l’homme qui subit le fascinus de la femme. Simulation comme expression de la toute-puissance de la femme, forme d’identification au phallus. Excès dans la forme, car il ne peut pas être ressenti, marquant isolement, distance, ou altérité de la femme. Négation de l’autre et de son désir, autre qui existe seulement comme spectateur inerte d’une brillance vide. L’excès est mis en scène pour nier la castration. Tandis qu'une grande majorité de femmes jouissent comme des hommes, par grandes décharges ou petits jets, aucun homme avance qu’il a joui à mort. Probablement évoque t-on l’homme terrassé par l’orgasme, mais ce qui est en jeu, c’est la partie et non le tout. Si d’ailleurs, l’homme, après l’amour, est impuissant, temporairement mais indiscutablement, il n’est qu’impuissant, il n’est pas mort. Il semble bien que chacun préfère s’en tenir à ce que l’on connaît, au schéma masculin tension-décharge, au jouir ponctuel, à l’orgasme fini, bien précisé dans l’espace d’un corps et dans le temps d’un plaisir. La métaphore violente du coup que l’on tire a certes des relents de "haine" plus ou moins intriqués à l’amour, mais elle présente l’avantage de bien délimiter ce qu’elle désigne. Que le refoulement participe à cette affaire, c’est assez évident, mais encore conviendrait-il de le démontrer. Car de cette peur, mal dicible, peur reconnue, il faut bien s’arranger, travail de systématisation et de camouflage dont se charge la littérature car que ce qui est écrit rassure celui qui lit. Dans "La Vengeance d’une femme", de Barbey d’Aurevilly, un homme à femmes, expérimenté et même blasé, rencontre une fascinante prostituée dont l’ardeur inextinguible, inattendue dans de pareilles circonstances, l’intrigue au plus haut point. Encore que blasé, le démiurge se méfie de lui, mais immédiatement déplace le sujet sur l’autre, sur son talent, ses sens, sa singularité, son altération. "Si souveraine qu’elle fût dans son art ou dans son métier de courtisane, elle fut, ce soir-là, d’une si furieuse et si hennissante ardeur que même l’emportement de sens exceptionnels ou malades n’aurait pas suffi pour l’expliquer." C’est une jouissance sur fond de sauvagerie, de combat, de mort. Si cependant le héros reprend quelque peu sa maîtrise, c’est au moment où son intégrité narcissique risque de s’effondrer, et c’est par le doute douloureux qu’il va se protéger du fantasme de l’orgasme infini et envahissant de cette femme. L’orgasme suivi est exceptionnel, il ne peut être induit que par des motifs extraordinaires. Il consume celle qui s’y est abandonnée et seuls quelques hommes ont approché cet enfer. Tel est, en résumé, le sens profond du conte de Barbey d’Aurevilly. Si l’élaboration de Barbey d’Aurevilly est dans le registre du fantastique, une autre, littéraire, elle aussi, se situe dans celui de la rationalité de la recherche érotique dont le but est de retrouver, dans le comble de la maîtrise, au bout de nuits d’orgies et d’orgasmes, la lueur de l’esprit qui n’a cessé d’animer le débat et les ébats. Emmanuelle dépasse son évanouissement et s’astreint à établir le nombre des hommes qui la prennent successivement. Ce qui l’amène à une "toute nouvelle forme de délectation." Bibliographie et références: - Élisa Brune, "Le Secret des femmes" - Odile Buisson, "Qui a peur du point G ?" - Pierre Foldes, "Le mystère de l'orgasme féminin" - Bernard Andrieu, "La peur de l'orgasme" - Robert Muchembled, "L’orgasme féminin" - Pascal de Sutter, "La mécanique sexuelle" - Catherine Solano, "Le plaisir féminin" - Thierry Lodé, "Histoire du plaisir" - Ovide, "Métamorphoses" - Barbey d’Aurevilly, "Une vieille maîtresse" - Emmanuelle Arsan,"Emmanuelle" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 03/02/21
Quand Votre main s’élève au-dessus de mes fesses J’aime Mon Maitre, le phrasé somptueux Quand, malicieusement, nous goûtons à ces jeux Et que claquent dans l’air Vos viriles caresses. Vous délectant de ce désir que je confesse Moi votre soumise aux yeux bleus Vous Vous plaisez à m’offrir votre courroux délicieux M’administrant la correction dont je vous presse. Le 26 05 2011
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Par : le 02/02/21
Dominatrices et soumises inattendues : Chapitre 7 . le réveil chez Martine Martine ne tarde pas à s’endormir. Anna repense à cette après-midi d’enfer. Finalement elle a résisté et en est fière mais le pire c’était qu’elle a compétemment kiffé cette journée et adoré être l’esclave de la grande perche. Maintenant comment réveiller Martine ? Elle s’endort en cogitant cette question. Anna aux aguets voit que le jour commence à poindre à travers les fentes des volets. Elle se redresse et regarde l’heure sur le réveil posé sur la table de nuit de Martine. 7h00 encore une petite heure. Elle se rallonge mais elle n’ose pas se rendormir guettant de temps à autre le réveil. 7h56. Anna prie pour que sa façon de réveiller Martine soit la bonne. Elle se redresse et entreprend de monter délicatement sur le lit du côté des pieds de Martine. Elle se contorsionne pour passer sous les draps et en rampant elle remonte entre les jambes que Martine a, hasard, largement écartées. Martine ne porte pas de dessous et Anna la tête maintenant dans l’entrejambe de Martine lui embrasse tendrement le sexe. Pas de réaction. Anna darde sa langue et commence à lécher le sexe qui s’ouvre progressivement. Visiblement ça ne déplait pas à Martine. Soulagée Anna continue à brouter le minou de Martine qui maintenant se tortille et pousse des petits gémissements. Après un long temps Martine lui caresse la tête et dit bonjour à toi aussi ma petite esclave. Tu t’es bien débrouillée comme je t’ai demandé. Fière d’elle Anna ronronne de plaisir. Ouf pas de coup de cravache. Elles se lèvent. Anna est confuse de devoir faire son pipi du matin toujours enchainée et essuyée par Martine. Martine lui met ensuite des pinces vibrantes aux seins, le bâillon est réinstallé et un vibro introduit dans son sexe. Mais pas mis en route. Elles sont dans le salon quand la sonnette de l’entrée retenti. Anna est paniquée. Ne t’inquiète pas dit Martine c’est ma copine qui nous rapporte des croissants. Et prenant la laisse elle emmène Anna dans la chambre. Sans plus d’explication elle repart vers le salon. Soulagée Anna se dit qu’elle allait échapper à une exhibition devant un inconnue. Martine fait rentrer Maeva. Cette dernière a dans les mains un sac de croissant et suit Martine dans le salon surprise que Martine ne porte qu’une nuisette visiblement sans autres dessous. Alors c’est quoi cette surprise que tu veux me montrer demande Maeva à Martine. Martine souri et dit je vais t’épater j’en suis sure. Maeva regarde autour d’elle mais rien n’est visible. Tu vas voir dit Martine et élevant la voix. Anna vient ici dit-elle d’un ton impératif. Anna est paniquée. Non pas possible se dit elle puis repensant à la cravache elle se met en route vers le salon. Maeva a le souffle coupée Martine lui dit je te présente ma petite esclave Anna. Maeva ne peut détacher le regard des yeux angoissés d’Anna. Même si elle se retient de ne pas reluquer plus en détail le magnifique petit corps face à elle. Elle dit mais elle est consentante ? Martine rit bien sûr c’est même elle qui a demandé n’est-ce pas Anna. Celle-ci hoche la tête. Maeva S’autorise alors à contempler le corps offert. Martine défait le bâillon d’Anna. Redresse toi montre tes beaux seins et sourit intime Martine. Anna s’exécute en gonflant sa poitrine et tirant ses bras en arrière pour projeter ses seins fermes en avant. Elle ne parle pas demande Maeva. Elle n’a pas le droit répondit Martine. Et elle t’obéit sans rechigner. Elle n’a pas intérêt dit Martine d’ailleurs tu vas voir qu’elle est obéissante. Elle rajoute Anna vient embrasser ma copine. Immédiatement Anna se rapproche de Maeva médusée. Et n’oublie pas la langue ordonna Martine. Se hissant sur la pointe des pieds pour compenser sa petite taille Anna prend la bouche de Maeva qui sent aussitôt une petite langue s’infiltrer entre ses dents et la caresser délicatement. Ça suffit dit martine et Anna se recule. Allons-nous assoir pour manger ces croissants dit Martine. Maëva toujours songeuse s’assoit à côté d’elle. Anna ne bouge pas. Activant une télécommande Martine mis en route la sono et un air latino langoureux s’invite dans le salon. Danse pour nous dit Martine en fixant Anna. Celle-ci hésite. un coup de cravache la décide et elle commence à se trémousser lentement maladroitement. Mets y du cœur dit Martine plus sexe s’il te plait en même temps elle actionne la télécommande des vibros. Anna se tortille plus et entreprend de faire une danse digne d’une gogo danseuse. Fascinées les deux femmes ne quittent pas Anna des yeux. Celle-ci voyant l’effet qu’elle fait redouble de postures suggestives. Son bassin ondule de lui-même avec les vagues de jouissance que lui apporte le vibro intime. Après quelques minutes de pure tension la mélodie se termine. Martine éteint la sono et fait un geste. Anna se met immédiatement à genou à ses pieds. Au doigt et à l’œil dit Martine radieuse. Maeva acquiesce. D’un geste Martine montre son entrejambe à Anna qui y enfouit aussitôt son visage pour lui embrasser le sexe. Maeva a une nouvelle fois le souffle coupé. Tu veux en profiter proposa Martine. Maeva comprend pourquoi Martine lui a demandé de venir en jupe courte. Avant qu’elle ne réponde Martine tapote la tête d’Anna qui s’écarte et vient se positionner entre les jambes de Maëva. Aussitôt celle-ci sent une bouche fébrile lui fouiller son sexe elle a toujours son string mais la langue d’Anna est adroitement passée sur le côté. Voyant la croupe d’Anna elle voit qu’elle a un plug dans le cul. Martine suit son regard. Je lui fais son éducation lui dit-elle il faut bien qu’elle soit prête partout à répondre à tous mes désirs. Elles mangent les croissants en devisant tandis que Anna suivant les tapotements sur sa tête passe de l’une à l’autre pour prodiguer ses bons soins visiblement heureuse de son sort. Rêveuse Maëva dit tout haut ce qu’elle pensait. Je ne sais pas si je suis jalouse de toi ou d’elle. Martine la regarde avec un regard pervers. Mais on peut tout de suite voir si sa place est faite pour toi dit elle et libérant les poignets d’Anna elle dit à cette dernière. Anna prépare Maëva comme tu sais. Anna se redresse et commença à déshabiller Maëva en commençant par les escarpins. J’y crois pas se dit cette dernière maintenant nue. Anna lui met les bracelets aux poignets et avant que Maëva puisse réagir ses bras sont bloqués dans son dos et Anna lui installe le collier. Maëva veut protester mais déjà Anna lui impose le bâillon et un coup de cravache claque sur ses fesses. Tu n’es plus autorisée à parler dit Martine. Immobile effrayée Maëva se tient maintenant debout tenue en laisse par Anna. Tiens là dit Martine et elle va vers la chambre d’où elle revient avec quelques accessoires qui font pâlir Maëva. Un masque aveuglant lui est mis et maintenant dans le noir elle attend la suite avec appréhension. Quelqu’un lui pelote les seins sans qu’elle sache si c’est Martine ou la petite Anna. On tire sur sa laisse et elle se met à avancer. Ce n’est que le début d’une longue journée pour Maëva. Ruisselante de sueur Maëva est rompue elle a été fouillée sur toutes les parties de son corps engloutissant des objets de taille qu’elle n’aurait jamais cru. Elle ne compte plus les coups de cravache qu’elle a reçue et attend la prochaine humiliation. Il est tard mes chéries dit Martine .trop tard pour que tu te mettes à ma place Maëva n’est-ce pas Anna. Celle-ci se demande ce qu’il va encore lui arriver mais Martine ne poursuit pas. Elles libèrent Maëva qui commence à souffler. J’espère que tu ne m’en veux pas dit Martine. Maëva ne sait pas quoi répondre. Anna a retrouvé sa laisse et son collier et attend soumise qu’on lui donne un ordre. Maeva prend congé et s’éclipse rapidement. Songeuse Martine se demande si elle n’a pas été trop loin. A ton tour dit-elle à Anna. Prenant une étiquette munie d’un clip dans un tiroir inscrit quelque chose sur l’étiquette se rapproche d’Anna et clipse l’étiquette sur le sein droit d’Anna. Tu as passé le test avec réussite lui dit-elle en la poussant vers l’entrée. Un peu paniquée Anna se demande si Martine allait la mettre dehors dans son état. Martine l’arrête. Écoutes moi bien. Cette entrée est le seul endroit de la maison ou tu as le droit d’être habillée. Quand tu reviendras tu devras respecter cette consigne et arborer ton étiquette. Sinon nous ne serons plus amies. Elle détache complétement Anna et lui rend ses vêtements. Anna se rhabille oubliant d’enlever l’étiquette et sidérée quitte Martine en se promettant de ne jamais revenir dans cette maison. Arrivée chez elle, elle enlève enfin l’étiquette. Dessus il y a écrit « Esclave personnelle de Martine ». Elle jette l’étiquette dans la poubelle. Tard dans la nuit elle se relève et récupère l’étiquette qu’elle range dans sa table de nuit.
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Par : le 02/02/21
Bonheur quand vous m'avez rejoint sur la capitale. Complicité qui est la nôtre, joie de Vous retrouver. Pour fêter l'anniversaire de notre belle rencontre. Le soleil était présent pendant ces jours. L'occasion également de se promener tous deux. Les cent coups de cravache reçus l'après-midi de votre arrivée. Aucune punition, marques désirées pour imprimer l'année de notre premier rendez-vous. J'ai compté les coups, j'avais énoncé au hasard le chiffre 80 et Vous m'avez dit 100. Rendre hommage à Mon Maitre, me dépasser, qu'il soit fier et heureux. Aucun temps d'arrêt ou caresse comme le soir à ce club. Un peu plus tard, nous avons été dans ce magasin Démonia. Lieu incontournable de diversité d'accessoires, d'articles BDSM. Vous m'avez offert entre autres, cette bague d'appartenance. Votre choix était le mien au vu de mes doigts fins. Anneau symbolique, obéissance à Vous Mon Maitre. Bague rêvée, désirée, fierté de la porter. Après avoir diné dans un restaurant, nous nous sommes préparés pour nous rendre à Cris et chuchotements. Toute de noir, j'étais vêtue : serre taille, mes talons favoris avec bride à la cheville. Jupe que vous affectionnez, haut noir avec petits volants sur mes épaules. Vous portant ce joli costume noir qui vous sied à merveille, chemise foncée grise. Cela vous change des diverses chemises blanches que vous aimez à porter. Vous connaissez Pascal le propriétaire des lieux, nous étions venus à ce club début juillet 2010. Ce jour-là, Vous m'aviez en fin d'après-midi, je me souviens : Offert ce collier qui me rappelle ma condition, Votre domination, mon appartenance. Collier qui orne mon cou, collier redouté, collier désiré. Nous avons pris le métro, pour nous rendre à ce club. J'étais assise bien droite, mes seins pointant sous le tissu fin. Un peu de marche, puis avant d'arriver devant la porte, Vous avez placé mon collier. J'ai pris une grande respiration avant d'entrer. Peu de monde, l'occasion de converser de passions communes, c'est agréable de découvrir Maitre soumise et d'autre personnes présentes au fil de la soirée. Le dialogue est important dans une relation, il est la base de la continuité, de la complicité, de l'abandon total. Connaitre l'autre permet d'avancer, de se dépasser, de progresser, de ne plus avoir de tabous ou peurs. A C et C, à un moment donné vous m'avez intimé l'ordre de retirer ma jupe et mon haut, aie La honte qui arrive, deux personnes étaient présentes. Vous m'avez attaché à la croix de st André à gauche : 200 coups de cravache, je n'ai pas fait la 'maline', j'ai tenu à respecter le chiffre que j'avais énoncé en fin d'après-midi, aucune punition, simplement des marques désirées. Après un certain temps, j'ai entendu des pas, ressenti des présences, les yeux clos, les sens sont décuplés. Deux personnes ont parlé de mon fessier, certains compliments, aie Qu'il se prêtait à la cravache, coups divers. J'ai eu de la honte, de l'humiliation à me savoir regardé. Il me fallait me dépasser, connaitre et accepter ce fait. J'ai attiré des regards sans le vouloir, et ce n'est pas à cause de ma plastique, sourire. Aucune gêne à avoir en fait. J'ai pris sur moi, le lendemain cela a été bien mieux J'avais mis ma honte au vestiaire. Vous me dites certains mots, ils sont sincères, je le sais. Plus tard dans la soirée, autre domination deux couples Maitre et soumise, c'est agréable de regarder quelques instants des personnes qui aiment ce que nous affectionnons. Parfois certains gestes et attitudes communes. En club SM, à priori tout le monde connait les règles que cela soit Dominateur ou Maitre/soumise, celles-ci ne sont pas à sens unique, le Maitre est le garant de sa soumise, respect d'elle et des autres soumises, les codes sont à tenir de chaque côté, n'est-ce pas ? Sourire. En passant près du bar, j'avais remarqué un superbe fouet accroché. J'ai émis le souhait de me faire fouetter par le propriétaire de celui-ci avec l'accord de mon Maitre, sa présence. Homme de talent, qui maitrise cet art à la perfection. Mon Maitre le connait et a confiance en lui. Ce magnifique fouet cinglant mon dos, mes épaules dénudées ce premier soir. Mon Maitre ne va pas me confier à un abruti, il y en a. Qui sont capables de meurtrir à vie une soumise. Que cela soit par un coup de cravache, coup de fouet, et autre. De martyriser une soumise en frappant fort ses seins, ou une autre partie de son corps. N'écoutant qu'eux, ne s'inquiétant pas de celle qui leur appartient. Ou de celle qui leur est confié quelque fois. Ce n'est pas une question de savoir-faire, je pense ; c'est une question de respect. Un Maitre ou dominateur qui casse une soumise psychologiquement ou la marque physiquement comme un animal aveugle marque son territoire. Il ne s'agit pas seulement de respecter l'intégrité de sa soumise, mais aussi et surtout de contribuer à son épanouissement, à son dépassement personnel. C'est toute la différence entre un Maitre, un dominateur et un sadique. J'ai aimé certains mots entendus, et ai pensé la même chose. Un Maitre veille sur sa soumise, il prend soin de celle qui s'est abandonné à lui, qui lui a offert son corps, son âme. La soumise fait honneur à son Maitre en toute circonstance, inutile de lui glisser à l'oreille : fait moi honneur. A dire ce mot, sois il doute de lui, soit il sait qu'il va outrepasser ses droits, (cela n'engage que moi, c'est ce que je pense). Nous avons quitté le club, quelque pas dehors, puis un taxi pour rejoindre l'hôtel. Vous avez pris quelques photos dans la chambre, l'empreinte des coups de cravache, du fouet. Nuit courte, du mal à trouver le sommeil, votre présence à mes côtés... Seconde soirée, autre ambiance, peu de dialogue et puis. Certaines choses se font, nouvelles découvertes, présences. Un shibari effectué sur M par une autre jeune femme. Ses mains derrière le dos, jolie posture. Une dextérité pour passer les cordes de trois couleurs différentes. J'avais les yeux rivés sur la façon de procéder. Bien qu'en face, je ne voyais pas les nœuds effectués Quelques mousquetons, de la force dans les bras pour hisser les cordes. Une suspension a été faite, merveilleux moment où le corps s'incline. De toute beauté, devant le résultat de cet art. Cela a été rapide à défaire les nœuds, j'en ai été bluffé. L'assistance a été captivé par la réalisation de cet envol dû aux cordes et à la manière de procéder de cette petite fine et brune jeune femme. Nous avons rejoint la pièce de droite où se trouve l'autre croix de st André. Après m'avoir attaché de face, coups de martinet sur la poitrine et le sexe. Devant les marques de mes fesses laissées la veille, Vous avez fait attention de ne pas aggraver leur état. Bien que 10 coups de cravache, ont été sollicité pour ma gourmandise, merci à Vous. Une boisson Vous m'avez commandé, l'occasion de s'asseoir, de bavarder. De voir les personnes qui étaient arrivées. Près de Vous, un homme s'est présenté, et Vous n'avez pas donné suite à sa demande. J'aime Votre façon de Vous comporter, toujours ce respect que Vous avez, que cela soit dans les gestes et paroles. Un peu plus tard, une jeune Maitresse et son soumis, des tenues qui ne laissent pas indifférents, ils avaient mis un moment à revêtir celles-ci sur place. Des merveilleux talons pour Elle et lui également qui était bien grand, il faut pouvoir marcher avec, cela n'a pas été évident pour lui quand il a suivi sa Maitresse à un moment donné. J'avais exprimé le désir de me faire fouetter à nouveau pour notre seconde soirée à C et C. Vous avez accédé à ma demande, une soumise peut dire, en ce qui me concerne vous aimez que je m'exprime, et faites à votre guise concernant la réponse, Vous n'éludez jamais une question. Pendant Votre ou la domination, je reste silencieuse. Laissant mon corps s'exprimer, se tordre, onduler. Tard dans la soirée, l'ambiance change, un certain dialogue s'installe. J'écoute, j'entends, C jolie soumise blonde, quelle classe, élégance elle a. A un moment donné, elle reçoit des coups de martinet par M. Ses jambes et cuisses écartées au maximum, sa magnifique petite robe noire relevée. Superbe cambrure, un fessier de toute beauté. Sa façon de s'exprimer est excitante. Ses mains sont posées en dessous du cadre du grand miroir. Puis Pascal commence à la fouetter. Instant de silence, en attente du fouet. Celui-ci fend l'air, claque. Je suis près d'elle à un moment donné. En tirant nos mains l'une vers l'autre ou pourrait se les joindre. J'ai ôté ma jupe et mon haut de moi-même, étonnant mon Maitre .... Aucune gêne, ou peur des regards, être soi. Recevoir des coups de fouet ou cravache en étant couverte, ce n'est pas l'idéal. Je me sentais en confiance, en serre taille et talons. Philippe m'a fouetté le haut du fessier, pas les reins bien sûr, disons sur les côtés au vu de mes traces de la veille (cravache). Duo de fouet, je ferme mes yeux, ne pensant qu'à Vous, qui étiez assis à me/nous regarder. Au bout d'un certain temps, je crois que C pleure, j'ouvre mes yeux, son corps se tord, j'ai mal pour Elle, j'aimerais la réconforter. Je reste à ma place, je vois son corps se recroqueviller comme s'il voulait épouser la forme du cadre, se fondre en lui. Elle se fait petite, elle est dans sa 'bulle'. J'ai su un peu plus tard en parlant avec C, qu'elle n'avait pas pleuré et ne pleurait jamais. Simplement une impression à l'entendre s'exprimer. C'est troublant ce fait, comme quoi les sensations et ressentis sont différents. Pascal étant libre, il prend la place de Philippe avec son fouet également fait sur mesure ; le sien est couleur argent, celui de Philippe est noir, et il en a deux en fait, qu'il m'a montré avant que nous quittions le club, curiosité de femme soumise, admirer les fouets magnifiques, les soupesés, le prendre dans ma main, les laisser glisser sur ma paume, comme une caresse. Je suis au milieu de la pièce, des personnes sont présentes. Mes mains posées en haut sur l'encadrement de la glace. Pascal m'intimide l'ordre de me cambrer plus, encore plus. Je lui obéis. En exprimant le fait de vouloir des marques pour fêter un an de notre première entrevue. Il me faut tenir la parole dite la veille et renouvelée à mon arrivée, ne pas décevoir ou se défiler. Envers son Maitre, où la personne que Mon Maitre connait et en qui, il a confiance. Il ne va pas me laisser entre les mains d'un parfait inconnu qui ne maitrisera pas l'art du fouet, pouvant meurtrir ma peau, mon corps par un instrument de domination. Désir du fouet sur ma poitrine, je suis à présent de face. Les mains derrière le dos, la tête bien droite. Le fouet cingle, il fouette, il claque à mon oreille, j'aime le son qu'il émet. Je suis impassible, les seins offerts au fouet, marques désirées, Pascal me demande de me tourner un peu. Mes épaules sont sollicitées, c'est merveilleux, cette caresse du fouet, cette sensation de chaleur, ma peau réagit, mes yeux sont clos, les sens sont décuplés. P me signe les seins de son fouet, je suis bien. M et C ont peur pour moi, j'entends des : oh non ce n'est pas possible, je ne regarde plus, je les pense (peureuses)... Désolée, nous avons parlé après et vous n'êtes pas ainsi. D'où vous étiez, vous voyez les marques laissées par le fouet, marques incarnates que je ne voyais pas et pour cause. Mon Maitre qui est attentif à celle que je suis, apercevait les marques laissées par le fouet, a fait signe à Pascal d'arrêter, je l'ai su après. Un Maitre protège sa soumise parfois d'elle-même. Quoique certains n'écoutent qu'eux parfois, outrepassant les limites qui ont pu être fixé, ou si aucun code énoncé, le plaisir d'entendre leur soumise suppliée. J'ouvre les yeux : les marques sont là, je ne pensais pas qu'elles seraient ainsi, incarnat. Aucun regret, désir du fouet, marques de lui, vivre l'instant présent, sans se poser de question. Je vêts ma jupe et mon haut, l'impression d'être ailleurs. C nous offre une boisson, nous bavardons assises, échanges d'impressions. M et C me demandent comment, j'arrive à supporter le fouet ainsi. Je ne sais que leur répondre, à part que : j'ai le visage de mon Maitre gravé en moi, et qu'à un moment donné, j'ai eu l'impression de 'flotter' ne sachant plus ou j'étais. Que mes yeux soient clos ou ouverts, ma seule pensée est Lui. Souffrir pour Lui, lui obéir, qu'il soit heureux. Je suis un peu ailleurs pendant un laps de temps, puis tout revient comme avant. Le sourire de mon Maitre, son regard qui en dit long. J'ai fait abstraction des personnes présentes et assises. Seul mon Maitre, son regard sur moi, que je devinais. M regarde ma médaille gravée qui est à mon collier, un an que je connais Mon Maitre. C'est peu me dit-elle, en effet ou peut-être, force de l'emprise, du lien qui m'unit à mon Maitre. Il est presque 3 heures, nous allons quitter le club, je remercie les deux personnes qui m'ont fouetté. Philippe m'a noté sur un papier, les deux produits que je devais acheter en pharmacie le lendemain matin, ils ont été efficaces, pour les traces et coups qui se sont estompés au fil des jours. Début juillet, nous serons de retour quelque jours sur Paris, l'occasion de revenir à C et C. De revoir P et C, peut être Philippe que nous avons apprécié à ces soirées. Un peu de marche dehors, puis un taxi nous ramène devant l'hôtel. Vous prenez des photos, merveilleux souvenir. J'ai du mal à m'endormir, tant d'instants forts ressentis, vécus. L'heure tourne, je vous regarde dormir, n'arrivant pas à trouver le sommeil. Je m'endors enfin, nuit courte peuplée de cette soirée riche en sensations, découvertes. Le petit déjeuner ensemble, puis je file à la pharmacie, il nous faut quitter Paris. Ensemble nous prenons le métro, pour nous quitter à un moment donné vers nos destinations. Mon regard se trouble, les larmes perlent de mes cils. Aie ! Émotion à me séparer de Vous. Vous à me dire : tu n'as pas pleuré avec le fouet et là tu pleures ! Oui Mon Maitre, je pleure parce que : le trop plein déborde. Tous les instants vécus, passés avec Vous ont été source de : respect, confiance, joie, sourire, rire, gémissements, émotions, sensations, abandon, don, attentions, protection, découvertes, sincérité, complicité, intensité, désirs et envies partagés. Que cela soit aux divers restaurants, ou les petits déjeuners pris à l'hôtel avec vue sur un jardin. Face à face toujours, mon regard plongeant dans le Votre. J'aime à Vous regarder, Vous sentir, y puiser une certaine force. Vous qui êtes le premier Maitre que j'ai et aurai. Vous qui êtes digne de ce titre, que je vous ai donné, après vous avoir appelé Monsieur pendant quelque mois, J'ai reconnu en Vous, de Vous nommer ainsi et Vous le méritez. Vous et ce respect que Vous avez depuis ce premier jour et il n'a jamais démérité. Vous êtes toujours d'humeur égale, jamais de colère, d'emportement, la maitrise de Vous. Vous ne connaissez pas l'impulsivité qui est la mienne, taquine je suis. Aie la badine... Le 23 05 2011
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Par : le 02/02/21
C'était le troisième homme... Le troisième déjà, le troisième seulement. Que pouvais-je en penser, tout était allé très vite, moi qui un an auparavant n'imaginait pas me retrouver un jour au lit avec un homme. Une femme un peu joueuse m'avait fait basculer dans la perversité de ma sexualité à l'aide d'un doigt aventureux, puis un homme terriblement frustrant m'avait emmené chez lui, puis un second qui en trois rencontres et un petit mot avait changé ma vie. Il avait dit "Salope" et en six lettre avait ouvert la porte, une porte insoupçonnée, une porte dont seul un moi obscure et refoulé possédait la clef, clef que je m'empressait de remettre entre nouvelles mains. J'entends la voiture stationner devant la maison, soudain je comprends ce qui arrive à ce genre de personne que je suis, la pression. Les volets sont fermés, les bougies disposées comme demandé par le Maitre, un peu partout dans la maison. Je vérifis ma tenue, chemisier blanc, soutien gorge, jupe noir et string assorti au sous tif susnommé. Une paire de collant qui tombent à pique car Septembre est froid et je tremble de nervosité. Ai-je tout bien fait ? C'est ma première soumission et je suis tout aussi inquiet(e) qu'excité(e). L'inconnu entre avec son petit sac de sport. Il me tend son manteau que j'accroche sur la rampe d'escalier. Je me retourne à peine qu'il m'empoigne les fesses et fourre goulument sa langue dans ma bouche maquillée. Le ton est donné, le territoire est marqué, la première fessée rapidement donnée ( une caresse en comparaison de ce qui m'attend). - Montre moi la chambre ! - Oui. Suivez moi. - Suivez moi qui ? - Suivez moi Maître. - C'est bien. Je monte l'escalier, il me palpe les miches comme on tâte un animal. Ca m'excite et je ralentis pour qu'il en profite. - Va t'asseoir sur le lit et ferme les yeux. Je m'exécute, je l'entends poser le sac, sortir des trucs et des machins. Il s'approche de moi et me gratifie d'un "Joli tenue" en me caressant la cuisse. Effet immédiat sur mon sexe qui se dresse et qui me fait toujours un peu honte mais bon, on est ce qu'on est. Il me bande les yeux et je sens bientôt sur mes lèvres et le bout de mon nez le frottement du textile épais et rugueux d'un pantalon. Réflexe révélateur, j'entrouvre les lèvres et embrasse. Sa main se pose sur ma tête, huuuum c'est un début plutôt sympa. La braguette s'ouvre, à l'aveugle je lèche, je suce et j'embrasse. Très vite je ne contrôle plus rien ma tête enserrée dans ses mains il s'occupe du va et vient et je m'occupe à essayer de respirer quand un peu d'air me parvient. Il faut satisfaire le maître. Le bandeau de mes yeux tombe. - Allonge toi au bord du lit, sur le dos. - Bien Maître. Je m'allonge bimbo stupide sur le dos jambes écartées prête à me faire sauter comme une crevette dans un restaurant Japonais. - La tête vers moi salope. Perdue je m'exécute en me demandant ce que l'on va bien pouvoir faire dans cette position là. Il m'attrape par les épaules, amène ma tête au bord du lit jusqu'a ce qu'elle se renverse vers le sol. Je cherche toujours à comprendre lorsque son sexe rentre dans ma bouche. Là c'est bon je comprends, il entame un va et vient. Je ne suis plus rien, je n'existe plus, je ne suis qu'un trou, une bouche qui tente désespérément de se maintenir en vie. Il s'enfonce de plus en plus et s'arrête de plus en plus longtemps lorsque ma gorge est littéralement envahie par son gland. Je bave abondamment, n'importe comment, je pleure et tout ça dégouline et se mélange sur mon visage. Je réalise qu'un homme me baise la bouche. Comme si c'était un sexe de femme, je ne peux pas lutter, je n'en ai pas envie, mes mains s'agrippent à ses mollets. Cet homme est en train de me faire chialer, de m'humilier, de me forcer à me salir pour son seul plaisir et ses mollets sont la seule chose à laquelle je peux me raccrocher... Il jubile, il baise plus fort, je dégouline d'un mélange indescriptible de liquides venants presque tous de moi... La jupe sur le haut de mes cuisses, le string qui me fend les fesses, le lycra, le soutien gorge qui me serre le poitrail... Il fait de moi sa salope et pour le moment j'adore ça.... "Salope".
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Par : le 01/02/21
Ambiance musicale : KOVACS, my love Le Froid me paralysait. J’aimais tant le froid sec mais quand je suis bien au chaud. J’avais pris mon après midi. Ce temps où l’on se fait belle pour son mâle.. Ce soir il m’attendait avant le couvre feu. Cela présageait une douce soirée en perspective, pleine de détente, de surprise. Alors que j’étais dans le bain, il m’envoyait un message.. « Nue sous ton manteau et ton joli petit anus serti d’un beau bijo u » J’avais qu’une envie lui dire qu’il est en train de rêver avec ce temps… Mais au fond de moi, je savais qu’il ne faisait jamais rien au hasard, que j’en étais capable. Je me disais toujours que certaines situations provoquent une adrénaline pour ensuite laisser place au plaisir. Un peu comme une bonne séance de sport où l’on se dépasse pour ensuite être sur son nuage. C’est ce que je ressens quand je suis avec lui. Ainsi, il me voulait nue.. sous mon manteau.. soit.. Comme une adolescente, je prenais soin de me faire belle pour le satisfaire et me satisfaire au passage… Un doux gommage pour la peau douce, une huile sentant les îles et pour parfaire ce que je porterais.. quelques paillettes pour faire briller mon corps. Puis j’ouvris dans ma chambre mon armoire chinoise où se cachait mes petits jouets et autres fantaisies. Je pris alors ce plug en cristal ni trop gros, ni trop petit.. Je relevais alors ma jambe sur mon lit. Puis avec douceur, j’enfonçais ce petit bijou dans mon petit cul. Quand je le sentis céder et le sentir disparaitre en moi, une excitation forte m’envahissait. Je commençais à mouiller. Presque l’heure de partir, je trainais en peignoir, chaudement emmitouflée. Je saisis alors mon manteau violet en laine. Un dernier regard dans le miroir.. hum je me trouvais des plus jolies. Je descendais les escaliers qui menaient à ma cave pour chausser mes plus beau escarpins d’un rouge vernis de Nina Ricci que j’affectionne particulièrement. Heureusement que chez lui, je ne marche jamais beaucoup. Je mettais le chauffage au maximum dans la voiture. Mon coupé avait l’avantage d’être au garage et rapidement agréable niveau température. Je me garais devant chez lui. Juste quelques mètres à faire pour accéder aux portes du paradis.. Je toquais.. Il me laissa quelques minutes dans le froid. Je le maudissais. Je commençais à avoir la chair de poule. Je trépignais pour me réchauffer, mes mains commençaient à rougir. Heureusement que la Chapka blanche sur ma tête m’éviter encore d’avoir trop froid. Mon téléphone vibra, un nouveau texto «Entre , je t’interdis de parler. Tu te présenteras face à moi. Tu enlèveras ton manteau, puis tu présenteras ton cul comme il se doit.» J’ouvris alors la porte. La lumière était tamisée, il nous avait préparé une ambiance très relaxante. Des bougies, allumées de partout, donnaient cette ambiance d’un autre temps. Du jazz.. IL était assis sur son canapé, un verre de Rhum à la main. Je m’avançais pour me mettre face à lui. Il ne me quittait pas des yeux, un regard intransigeant un sourire dévastateur qui laissait deviner le bonheur de me voir ainsi. Fièrement je me mis face à lui, tête haute. Je le regardais droit dans les yeux. Je soutenais son regard. J’étais si fière.. J’avais écartée doucement mes jambes . Je défis ma ceinture. Puis, un à un avec une certaine longueur j’enlevais mon manteau. IL m’observait.. Son regard aurait fait fondre n’importe quelle glace. Mon désir était brulant. Je posais alors le manteau sur le fauteuil art déco bleu marine qui se trouvait juste à coté. J’étais nue face à lui portant uniquement mes talons, tête droite je baissais naturellement le regard. Il ne disait toujours rien. Le silence était d’or. Quand soudain, il me dit. « A genou, et viens te présenter à moi » Je m’exécutais. Je descendais sur mes genoux, tête baissée pour lui offrir ma soumission. Le plus beau cadeau que je pouvais lui faire car cette confiance entre lui et moi était d’une telle intensité et d’une telle force que je me sentais libre. Je mis mes mains au sol pour m’avancer à lui à quatre pattes, une démarche féline, prenant mon temps. Arrivée devant lui j’étais agenouillée, les jambes offertes, ouvertes. Les mains posées sur mes cuisses paumes vers le haut. En attente. Il releva de sa main ma tête. Il plongea ses yeux dans les miens. Il me rendait alors timide comme une gamine. Je détournais alors le regard en regardant à nouveau en bas. Il caressa mes lèvres puis s’en empara comme pour marquer son territoire et me montrer que je lui appartenais. Puis, je devais maintenant me présenter à lui. Je me retournais. Je levais alors mon postérieur, je mis ma tête au sol, dans une position des plus provocantes. Je sentis alors ses mains caresser mon fessier. Il inspectait ce qui était à lui. Ses mains étaient chaudes, douces mais aussi inquisitrices. « Quel postérieur ». - Mets toi à quatre pattes, dresse bien ta tête, cambre toi. Je lui obéissais, sans aucune envie de résister. Je sentis alors le froid de son verre au niveau de mes lombaires. - Tu es la plus belle table de salon qui soit.. en plus elle est des plus artistique et unique. Il écarta alors mes fesses. Je restais concentrer sur le verre, pour ne pas qu’il tombe. IL joua avec le plug.. à appuyer dessus, à doucement le sortir, puis le mettre au fond de mon fondement. - Alors, tu aimes ? - Oui.. j’adore… - J’adore … Qui ? - J’adore… Monsieur.. - Tu vas le garder toute la soirée dans ton petit cul. Ce soir je vais m’occuper de ta petite chatte. Cette double pénétration te fera le plus grand bien. Gourmande comme tu es… Je sais que tu aimes être remplie.. N’est ce pas ? Il savait que j’avais du mal à dire les choses… Je n’osais répondre. - Alors ? - Je.. - Réponds.. dis moi ce que tu aimes.. - J’aime.. être remplie, Monsieur.. - Tu vois ce n’est pas si difficile. Et dans cette position d’attente, tu ne pourrais dire le contraire.. Il manque encore juste une queue dans ta bouche pour être totalement comblée.. Je rougissais intérieurement.. Il reprit son verre. - Viens te mettre sur moi à plat ventre. - Tes mains dans le dos, je te prie. Il y plaça son verre. - Hum en plus d’être sublime, ma table est si pratique… Un modèle si unique. Il me caressait le corps. Je sentais ses doigts me parcourir, me masser légèrement, parfois me malaxant les fesses et autres parties du corps. C’était si érotique. J’avais tellement envie de lui… Il me caressait les cheveux. Cela m’hypnotisait - Je vois que le froid n’a eu aucun impact sur ses blanches fesse ma petite blanche Neige.. tu sais que j’aime le rouge… Je commençais à deviner ce qui allait se passer. Je sentis le premier claquement s’abattre sur mon postérieur. Il jouait avec l’intensité.. Une fois forte me laissant échapper un cri, l’autre plus douce, puis à nouveau plus intense. Je devais me concentrer sur ce verre à ne pas faire tomber. Un vrai challenge. Je criais.. certaines fessées, il n’y allait pas de main morte, mais ce qui était doux, c’était sa main caressante après.. Je sentais le rouge à mes fesses, comme légèrement boursouflées. Puis il commença à me griffer avec délicatesse le corps… Pour ensuite malaxer mes fesses et les embrasser et reprendre la fessée qu’il avait décidé de m’administrer. Il repris son verre. Il but une gorgée. - Relève toi. Il défit sa robe de chambre. Il portait cette robe de chambre qui lui donnait ce style rétro que j’adorais. Il prit la ceinture puis me noua les poignets dans le dos. Il tenait sa queue dans sa main.. - Empale toi ma chatte, tu la mérites. Me mettant à califourchon sur lui, il plaça sa queue afin qu’elle soit bien placé. Un râle de plaisir s’échappa quand je sentis le gland à l’orée de ma petite chatte. Doucement, elle glissa en moi. Je m’assis alors sur lui. On se regardait, profitant de ce moment si intense. Cet instant où nous n’avions pas de parler, où plus rien n’existait. Doucement il commença a donner quelques coups des plus doux. Parfois il s’amusait aussi avec mon plug à appuyer dessus, à s’assurer qu’il était bien à sa place. - Hum, je sens ta mouille sur mes couilles.. - Je crois que c’est l’effet du plug.. et de toi.. tu me rends folle. Il pris de pleine main mes fesses pour m’indiquer comment le chevaucher. Parfois il me les claquait fortement. J’aimais aussi me déhancher, profiter de ce dard en moi. Il me saisit alors les deux tétons et les tira à lui. - Chut… Je tentais de rester droite, alors que mes tétons étaient en train de s’allonger. Il les relâcha brutalement pour ensuite les pincer fortement. Soudain il me les gifla… encore et encore. - Oh ouiii.. hurlais-je.. - Tu aimes ça, être baisée comme une reine… - Humm.. oui..j’adore ça Il me mit alors ses doigts dans ma bouche. Il m’attira à lui pour me mordre ensuite dans le cou. Il m’étrangla ensuite en me regardant droit dans les yeux pour ensuite me donner une petite gifle. Malgré ses apparences, je me suis toujours demandée pourquoi j’aimais cela.. Je pense qu’il voulait me punir de lui provoquer peut être un tel désir… Puis il me jeta sur le coté pour calmer le feu entre nous. Il dénoua mes liens. - Va t’asseoir sur le fauteuil.. - Mets bien ton cul au bord, sois outrageante, tes jambes écartées… que je vois bien comment ta chatte est bien béante maintenant que je t’ai prise. Je m’exécutais. J’allais sur l’autre fauteuil très confortable qui m’arrivait à hauteur de la taille. Il y avait une sorte de tétière qui était là pour maintenir le dos. Je me posais ainsi les jambes bien écartées, au bord. - Caresse toi. Doucement, j’aventurais mes mains sur mon sexe, à la recherche de mon petit oiseau du paradis, mon clitoris. J’aimais me caresser doucement. J’étais bien trempée. - Enfonce toi deux doigts dans la chatte... non trois.. autant qu'elle peut en prendre.. Alors provocante, je le regarfais tout en mettant progressivement quatre de mes doigts fins et longs.. Il me regardait toujours aussi intensement. Il bandait si fort. Il se caressait doucement. Il se rapprocha de moi au bout de quelques temps comme un tigre sautant sur sa proie. Il releva alors mes jambes au niveau de mes chevilles et me posséda. - Tiens.. prends ça dans ta petite chatte de salope… Je.. Il ne terminait même pas sa phase que chacun de ses coups allait au plus profond. Le fauteuil reculait tellement son assaut était puissant. Puis il écarta mes jambes en grand, me tenant par les chevilles.. - Allez, branle toi petite chienne Je me caressais alors encore et encore en le regardant dans les yeux. - Tu transpires le sexe.. me dit il - Tu es trop bonne à baiser.. à chevaucher… Quand il s’arrêta, il se mit à genou pour prendre en pleine bouche ma chatte et l’aspirer de partout. - J’adore te sucer et ton jus.. hum un délice. Puis il me pénétra de trois doigts tout en continuant de me lécher. Je perdais alors pied.. Il m’aspirait si divinement mon petit clitoris et je sentais ses doigts me fouiller… Je commençais à avoir les jambes tremblantes… je ne me contrôlais plus. - Je vais Jouir…. - Jouis ma putain.. Jouis. Il me tenait.. je ne me contrôlais plus. Je serrais alors mes jambes. Il tenait ma chatte encore et encore à me fouiller. Je me contractais. Cette vague était si intense… Je le regardais, le regard rendant les armes, comme une biche sans défense. Ce paradis éphémère, laissa l’orage gronder. Je pleurais de bonheur. Il se releva pour se mettre à ma hauteur.. Il me caressa alors le visage pour essayer mes larmes. - Tu es si belle comme ça.. si angélique, si démon.. J’ai tellement envie de t’embrasser, de te punir, de te cajoler.. Ma petite chatte. Je me blottissais alors dans ses bras. - Lève toi. - Regarde ce que je t’ai préparé.. Il m’avais installé une sorte de petit lit au sol, avec plein de couverture et coussins. - Ton lit, ta place de petite chienne à disposition de son maître. Je le regardais souriante. Je m’installais sur cette place préparée avec tant d’affection. - Profite de ce moment.. Je n’en ai pas fini avec toi..
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Par : le 01/02/21
Dominatrices et soumises inattendues : CHAPITRE six : Martine et Anna Le lendemain Magalie téléphone à Martine pour lui faire part des inquiétudes d’Anna. Martine lui avoue sans plus de précision que Anna a été assez loin mais qu’elle pourra compter sur elle le jour sans problème. Elle propose même que si Anna se sent meilleure pour le rôle elle peut la tester elle-même. Amusée Magalie lui dit qu’elle en parlerait à Anna. Lorsque Magalie lui relate la conversation Anna est un peu vexée. Bien sûr que je peux endurer plus que cette grande perche dit-elle à Magalie tu l’as bien vu toi-même. Magalie ne disconvient pas et propose que Martine la teste pour qu’elles se mettent d’accord. Fière par avance de donner une bonne leçon à Martine Anna récupère son numéro et appelle cette dernière. Martine est toute gentille et lui propose un rendez-vous chez elle dans l’après-midi pour qu’elles puissent juger sur pièces. Cet après-midi-là Anna, bravache, a remis la même tenue que la fameuse soirée chez Magalie. Son chemisier fin sur ses seins libres et sa minijupe en cuir sans rien dessous. Elle fait peut être une tête de plus qu’elle et au moins trois bonnets de plus qu’Anna mais la grande verra comment les seins d’Anna sont ferme et comment elle peut subir un mauvais traitement sans broncher. Martine l’accueille chaleureusement. Elle l’emmène dans le salon et lui dit. Bon on peut commencer tout de suite. Anna acquiesce et commence à se déshabiller en soutenant le regard amusé et expert de Martine. Puis Martine lui lie les mains dans le dos, la bâillonne et lui met la cagoule et le collier auquel elle accroche une laisse. Bien dit Martine on va te mettre dans la position d’attente. Et elle tire sur la laisse emmenant Martine dans ce qui semble être un garage car elle ressent le froid du béton sous ses pieds et la pièce n’est vraisemblablement pas chauffée. BRR dit Martine en accrochant la laisse à un solide piton. Il ne fait pas chaud ici, je vais te laisser pour aller prendre un thé et faire quelques courses. Je serais revenue dans un bon moment. Si tu as froid tu peux toujours sautiller sur place. Paniquée Anna se demande si c’est un gag mais lorsqu’elle est sure d’être seule dans le garage elle comprend que Martine n’a pas apprécié leur dernière rencontre et compte lui en faire baver. Après quelques minutes le froid s’insinue en Anna qui se décide à faire des mouvements sur place. Elle grelotte. Après un interminable moment elle entend la porte s’ouvrir. La voix de Martine se fait entendre. J’ai envie de mater un bon film ça ne te dérange pas de regarder avec moi lui dit-elle. Anna ne comprend pas mais elle sent la laisse la tirer et elle suit Martine heureuse de retrouver un peu de chaleur dans la maison. Mais tu grelotte lui dit Martine tu as eu froid. On va te réchauffer un peu. Elle fait coulisser le collier sur le côté du cou d’Anna et tend la laisse. Bon tu vas marcher un peu en rond lui dit-elle. Anna ne comprend pas. Un coup de cravache pas trop appuyé mais suffisamment pour la faire tressauter lui cingle les fesses. Aller avance mon petit cheval dit Martine Anna se met en mouvement. Un deuxième coup de cravache. Plus vite dit Martine Anna accélère le pas. Un troisièmes coup de cravache monte les genoux maintenant sois un bon petit cheval. Anna monte légèrement les genoux. Un coup de cravache. Plus haut aller giddap ma petite. Maintenaient Anna tourne depuis plus de cinq minutes elle est en sueur et applique sans attendre immédiatement les ordres que lui donne Martine redoutant le coup de cravache supplémentaire le froid est bien parti. Bon petit cheval dit Martine lui disant de s’arrêter Anna obtempère aussitôt. Tu vois que c’est simple d’obéir dit Martine en lui flattant la croupe. Il suffit de disposer des bons arguments et elle fait glisser la cravache le long des fesses d’Anna. Maintenant on va se mater le film. Anna est attirée en avant et après un ordre sec de Martine qu’elle exécute immédiatement elle se retrouve à genou devant cette dernière qui s’assoit sur le canapé. Tiens pour te faire du bien pendant le film on va te trouver un bon petit vibro. Ecarte les genoux. Anna se dépêche d’obéir elle a renoncé à se rebiffer et est matée. Elle sent les doigts de Martine la pénétrer en douceur puis un vibros remplace les doigts de Martine. Bon on va commencer à regarder ce film dit cette dernière et Anna entend la télé s’allumer. J’ai un bon petit film qui va te plaire c’est « Fire in her bed » c ‘est en anglais mais c’est sympa. Anna ne peut pas se retourner vers la télé mais de toute façon avec sa cagoule elle ne verra rien. Le film commence Martine lui cajole la joue et appuie sur la télécommande du vibros. Après quelques instants alors qu’Anna se félicite de ne rien ressentir, une vague chaude l’embrase. Elle commence à remuer la croupe au rythme des vibrations. Bon dit Martine maintenant tu as affirmé que tu étais très forte alors je ne devrais pas avoir besoin du bâillon pour que tu gardes le silence. Anna sent la cravache caresser ses jambes elle hoche rapidement la tête espérant que c’est la réponse attendue par Martine. Bien dit cette dernière tu comprends vite. Et elle entreprend de libérer Anna du bâillon. Soulagée mais prenant garde de ne pas parler Anna est soudain attirée en avant par la laisse elle se retrouve entre les genoux de Martine qui caresse sa tête. Puisque ta bouche est libre autant l’utiliser dit Martine écartant les cuisses Anna hésite se demandant ce qu’elle attend. Un coup de cravache et elle plonge la tête en avant sa bouche heurtant le sexe de Martine. Bien ma petite, voyons si tu as la langue bien pendue. Anna craignant le coup de cravache ouvre la bouche et darde sa langue aussi vite que possible. Très bien dit Martine tu peux continuer. Anna se met à l’ouvrage au moins elle ne reçoit pas de coup de cravache. Inexpérimentée, elle n’a jamais brouté le minou d’une femme, elle y met tout son possible pour plaire à Martine plutôt que de le fouet. Après quelques moments elle commence à être échauffe par l’odeur musquée et particulièrement agréable de la chatte de Martine et s’applique à être à l’écoute des réactions de Martine pour améliorer son œuvre. Elle se surprend à avoir envie de bien faire pour satisfaire Martine. La crainte du coup de cravache a fait place à l’envie de faire jouir la grande perche. Martine se tortille et son souffle court indique à Anna qu’elle va dans le bon chemin. Pour sa part Anna se laisse aussi emporter par les orgasmes provoqués par le vibro et aidé par ce qu’elle fait avec sa langue. Martine se laisse aller à l’orgasme trois ou quatre fois puis demande à Anna de prendre une pause. Celle-ci sans se retirer arrête de lécher. Bien ma petite esclave tu te comportes vraiment bien je me demande si tu n’y trouve pas ton compte dit Martine. Anna hoche la tête. Bon maintenant on va tester un gode dit Martine elle recule Anna qui a toujours les genoux écartés et retire le vibros. A la place elle pose un gode sur sa ventouse et demande à Anna de s’empaler dessus Anna obéit aussitôt et elle sent un gode énorme pour elle la remplir à fond. Tu as de la chance je ne t’ai pas mis big john dit Martine tu y auras droit si tu n’es pas un bonne petite esclave. Et elle enfouit la tête d’Anna entre ses cuisses. Cette dernière entreprend aussitôt de brouter la chatte de sa maitresse. Remue un peu tes fesses ordonne Martine Anna se met aussitôt à faire des va et vient de haut en bas tout en continuant à lécher consciencieusement la chatte si appétissante. La fin du film tire les filles de leur tête à chatte et Martine ordonne à Anna d’arrêter. Celle-ci sans se reculer obéit instantanément. Martine lui indique qu’elle peut se reculer. Anna étant maintenant à genou devant sa maitresse sans bouger. Il est bientôt 19 h dit Martine je prendrais bien un apéritif. Elle retire la cagoule d’Anna qui cligne des yeux sous la lumière. Retournes toi dit Martine elle s’exécute rapidement. Martine désolidarise les bracelets et rattache les mains d’Anna en arrière. Puis se ravisant elle les rattache devant en mettant une petite chainette entre l’anneau du collier de cuir et les bracelets des mains avant forçant Anna à garder ses mais dix cm de son cou. Elle prend aussi une chainette et l’accroche aux bracelets de cheville. Lève-toi. Anna s’exécute immédiatement. Tu vas aller me préparer un martini dit-elle. Débrouilles toi pour le trouver. Anna veut demander ou se trouve le martini mais à peine a-t- elle ouvert la bouche qu’un coup de cravache arrive. Tu ne dois pas parler je te rappelle dit Martine. Anna hoche la tête et à tout petits pas se dirige vers la cuisine. Tant bien que mal elle trouve le martini dans le frigo et peut remplir un verre. Elle va repartir quand une voie impatiente lui fait comprendre qu’un coup de cravache l’attendait à l’arrivée si elle ne va pas plus vite. Elle se démène pour arriver jusqu’à Martine. Tu as les seins bien fermes dit cette dernière. Ils ne bougent pas d’un pouce quand tu bouges. En disant ça elle pince les mamelons avec force tirant les larmes des yeux d’Anna qui pourtant décide de ne pas bouger. Flattée malgré tout Anna relève la tête au moins la grande perche admet qu’elle est canon de ce côté-là. Martine prend le verre. Anna reste immobile attendant l’ordre suivant. A quatre pattes dit cette dernière et dès qu’Anna est en position elle repose le verre sur sa croupe. Bonne petite esclave dit cette dernière. Anna ne bouge plus, fière quelque part d’être flattée comme ça. Martine boit tranquillement son martini et en commande un deuxième à Anna. Anna se dit qu’elle aussi en aurait bien bu un. Tu en veux un ? Demande Martine comme si elle a deviné ses pensées. Elle hoche la tête. Elle s’est remise à quatre pattes sur les ordres de Martine. Martine pose son verre sur la croupe d’Anna et se dirige vers la cuisine. Elle revient avec un bol à la main. Anna se demande de quoi il s’agit et Martine pose le bol au sol près de la tête d’Anna. Voilà pour toi. Tu peux le boire. Anna comprend enfin ce qu’il fallait faire avant qu’un coup de cravache n’arrive elle baisse la tête et commence à laper le martini. Bien lui dit Martine tu piges vite. Elles terminent leur martini et Martine décide que c’est l’heure de diner. Elle ramène une assiette pour elle et une gamelle pour Anna. Le repas a été consciencieusement découpé et se présente sous forme de bouchées. Martine commence à manger regardant Anna qui aussitôt penche la tête et commence à manger comme un bon animal de compagnie. Le repas terminé Anna doit faire la vaisselle. Martine vient derrière elle et lui dit il est tard tu vas dormir ici. Anna veut refuser mais un coup de cravache la ramène à d’autres dispositions. A la douche maintenant annonce Martine Anna la suit bien tenue en laisse .c’est une douche à l’italienne. Martine fait entrer Anna dans la douche et la lave consciencieusement. Anna ronronne, à sa grande honte, de plaisir. Puis Martine se déshabille à son tour et Anna peut observer de près la poitrine de Martine. Celle-ci lui fourre une éponge naturelle dans la bouche. Au boulot dit-elle. Anna commence à la frotter dans le dos et devant puis se met à genoux pour les jambes les fesses et finalement l’entrejambe. Martine lui retire l’éponge. Pour ça ta langue fera bien l’affaire. Anna se met à lécher consciencieusement la chatte brulante de Martine qui fait durer le moment. Enfin elles sortent de la douche. Une serviette entre les dents Anna essuie tout le corps de Martine. Maintenant on va se coucher dit cette dernière en entrainant Anna à sa suite avec la laisse. Arrivée à la chambre, heureusement c’est un grand lit, se dit Anna Martine la fait se mettre à genou puis appuyer son torse sur le lit Anna est perplexe. Écarte les jambes dit Martine. Elle obtempère. Martine s’absente quelques instants et revient avec des plugs dans une main et un flacon, certainement du lubrifiant dans l’autre. On n’a pas testé ta résistance de ce côté-là dit-elle. Elle lubrifie consciencieusement un petit plug et l’approche du trou encore vierge de Anna. Avec ses doigts elle enduit le cul d’Anna et enfonce délicatement le plug. Anna trouve a que ça ne fait pas mal mais tortille du cul car le plug s’y accroche bien. Le plug est retiré. Suivant dit Martine et elle montre un plug plus imposant presqu’aussi gros qu’une queue dans sa partie la plus épaisse. Le plug est plus dur à entrer et Anna sent bien sa présence entre ses fesses. Suivant dit Martine. Anna est effrayée. Le plug a largement l’épaisseur d’une queue. Détend toi dit Martine facile à dire mais Anna fait tout son possible détendre son anus. Le plug finit par rentrer Anna se sent écartelée et le plug modelé en conséquence ne manifeste aucune intention de sortir. Et le dernier dit Martine en montrant un gourdin énorme tu te rappelles c’est toi même qui m’a dit qu’il fallait faire un effort. Anna a les larmes aux yeux quand le plug s’immisce de force dans son intimité elle se sent écartelée. On va le garder pour la nuit dit Martine Anna hoquète mais se tait craignant plus le fouet qu’autre chose. Redresse toi et recule toi Martine vient se placer à genou face à Anna plus grande et se surélevant un peu elle affiche se seins à la hauteur des yeux d’Anna. Ils t’ont fait fantasmer je crois maintenait tu vas leur faire plaisir. Anna comprenant se penche et commence à téter les mamelons érigés. Passant de l’un à l’autre léchant les volumes harmonieux entre temps Anna se laisse aller à lécher l’opulente poitrine. Bien tu es une bonne broute minou déclara Martine et elle invite Anna à se coucher sur le dos sur le lit. Quelques instants plus tard Anna est écartelée en croix sur le lit solidement fixée par les bracelets tendus. Martine sort alors un gode ceinture de nulle part. Il n’y a pas que moi qui doit en profiter dit elle et elle commence à fourrer Anna qui se sent éclatée entre le plug et l’impressionnant gode. Cela ne l’empêche pas de jouir sous les coups et les baisers de Martine. Enfin celle-ci se retire. Elle détache Anna et la fait descendre du lit. Le couvre lit est jeté par terre et Martine rattache Anna en joignant les poignets dans le dos. Anna s’allonge sur le dos. Martine lui souhaite bonne nuit et tenant toujours la laisse en main éteint la lumière. Au fait dit elle n’oublie pas de me réveiller à 8h00 demain matin. Bien sûr tu feras ça bien.
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Par : le 01/02/21
Dominatrices et soumises inattendues : CHAPITRE cinq : Dernière répétition Extraits « …Elle prit la laisse et promena Martine dans le salon les mouvements gracieux de Martine et le balancement de ses seins mettaient Anna en émoi. Tout bas elle dit à Martine bon on va essayer les godes… Adroitement Anna lui mit des bracelets de cheville et quelques instants plus Martine avait les mains collées aux chevilles. D’une poussée Anna la fit basculer sur le dos. Ayant à peine repris son souffle Martine senti les doigts d’Anna s’insinuer dans son sexe… » Claire avait tout de suite accepté de servir de cliente test pour la simulation d’une séance de vente débridée. Magalie était restée vague mais lui avait demandé d’emmener le nécessaire pour épiler un torse voire plus. Elle avait accepté. Après tout elle était experte et n’allait pas faire payer sa copine. Anna avait été plus longue à convaincre. Le souvenir de sa dernière visite chez Magalie lancinait dans son esprit depuis ce temps-là et elle se demandait comment elle réagirait si la situation dérapait. Néanmoins elle finit par accepter de venir. Finalement elle devait s’avouer que ça lui avait plus comme jamais. Le fameux soir Claire et Anna se présentèrent ensemble à l’appartement de Magalie. Celle-ci les reçu dans le salon et après un verre de l’amitié elle leur expliqua la demande de la tigresse qu’elle avait acceptée et qu’elle avait trouvé des modèles pour tester les toys. Impatientes les filles cherchèrent autour d’elles mais ne voyaient pas les fameux modèles. Magalie souriante leur demanda de patienter et leur demanda ce qu’elles voudraient tester pour commencer. Une guêpière attira l’œil d’Anna. Je voudrais bien tester ça dit-elle. Pas de problème patientez quelques secondes je reviens dit Magalie qui partit vers la salle de bains. A la grande stupéfaction des filles elle revint trainant au bout d’une laisse une femme sculpturale cagoulée, bâillonnée et les mains attachées derrière le dos. Devant leur bouche bée Magalie précisa ne vous inquiétez pas elle est volontaire n’est-ce pas Martine cette derrière hocha la tête pour montrer son acquiescement. Magalie la mit face à Anna et lui proposa de mettre la guêpière sur Martine en précisant que la taille était bonne. Anna hésita mais elle n’allait pas se dégonfler devant ses copines elle installa la guêpière en frôlant le moins possible les seins de Martine qui pourtant l’attiraient comme un aimant. Claire amusée proposa les bijoux pour seins et tour à tour avec Anna elles accrochèrent les bijoux aux mamelons maintenant turgescents de Martine. Puis ce fut au tour des vibros les filles virent que ça fonctionnait sévère sur Martine qui ahanait de plus en plus. Magalie décida que c’était assez et leur demanda si elles voulaient essayer des trucs pour hommes. Claire fut ravie Anna acquiesça mollement en gardant un œil sur la femme exposée devant elle. Reprenant le même manège Magalie amena Tristan et le mis face à claire. Celle-ci fit honneur à la collection de Magalie en testant les cockrings, vibros colliers de cuir barres d’écartement et autres gadgets sur Tristan sous l’œil songeur d’Anna. Effectivement il y a trop de poil déclara claire. Si tu veux je peux y remédier dit-elle Magalie sourit et lui dit que ce serait une bonne chose et que Tristan n’avait qu’à dire s’il était contre ce qui n’était pas possible. Emmenons le dans la salle de bains proposa claire en choppant la laisse de Tristan qui suivit sans trop de conviction les deux filles. Anna tu n’as qu’à continuer avec Martine pendant qu’on s’occupe de Tristan proposa Magalie. Anna senti une grosse chaleur venant de son bas ventre et approcha de Martine. Elle prit la laisse et promena Martine dans le salon les mouvements gracieux de Martine et le balancement de ses seins mettaient Anna en émoi. Tout bas elle dit à Martine bon on va essayer les godes. Celui-ci possède une ventouse je suppose que la ventouse se colle par terre et qu’on se met à genou dessus. Reprenant la laisse elle emmena Martine dans la cuisine seul endroit avec la salle de bains déjà occupée qui avec du carrelage permettant la bonne adhérence de la ventouse. Tirant sur la laisse elle obligea Martine à se mettre à genou sur le carrelage froid. Puis elle fixa le gode de bonne taille et demanda à Martine de s’empaler dessus cette dernière hésitante Anna tira sur la laisse et donna une petite claque sur les fesses de Martine. Puis Martine ayant accepté son sort Anna guida le gode à l’entrée du sexe de Martine Anna la tripota dans le but de bien lubrifier naturellement le gode. Martine troublée elle aussi mouillait de plus en plus. Les gestes d’Anna étaient précis bien qu’impérieux et martine ne tarda pas à engloutir profondément le gode. Maintenant active toi dessus pour voir l’effet ordonna Anna. Obtempérant Martine se mis à faire des va et vient de haut en bas lentement. Plus vite ordonna Anna en lui pinçant un téton. On en a d’autres à essayer. Martine accéléra et ne tarda pas à ruisseler de sueur. Ça a l ‘air cool dit Anna. ne bouge pas je vais chercher la taille au-dessus. Un peu Inquiète Martine demeura sur place. Elle entendit Anna revenir et sur la demande de cette dernière elle se redressa suffisamment pour extraire le gode qui la fouillait depuis quelques minutes. Anna la fit encore se redresser en tirant sur la laisse. Celui-ci est plus gros et plus grand annonça-t-elle. Et elle tira la laisse vers le bas pour que Martine se baisse cette dernière senti en objet volumineux se présenter à la porte de son sexe. Aidée par Anna, impatiente, elle englouti petit à petit le gode énorme qui la dilatait comme jamais. Anna la fit s’activer et après quelques instants Martine fut fauchée par un orgasme énorme. Bon ça a l’air de bien te plaire dit Anna. Maintenant on va passer au big john. On va voir ce que tu en penses. Martine se tétanisa. Elle devait plaisanter mais elle fut terrifiée quand un nouveau gode visiblement énorme de présenta à l’entrée de son sexe. Elle eut beau faire, même avec l’aide d’Anna .il fut impossible de le faire rentrer. Anna lui assena deux claques bien appuyées sur les seins. Martine senti les larmes lui venir. Tu ne fais pas d’effort dit Anna. On va essayer d’une autre façon. Elle tira sèchement sur la laisse obligeant Martine à se relever puis la ramena vers le salon où elle l’a fit s’agenouiller. Martine était effrayée de rester seule avec cette furie. Adroitement Anna lui mit des bracelets de cheville et quelques instants plus Martine avait les mains collées aux chevilles. D’une poussée Anna la fit basculer sur le dos. Ayant à peine repris son souffle Martine senti les doigts d’Anna s’insinuer dans son sexe. Un puis deux puis trois et enfin les cinq petits doigts d’Anna la farfouillaient en tentant visiblement de l’écarter au maximum. Bon on dirait que tu es prête lui dit Anna et elle lui posa le bout du gode à l’entrée du sexe. Ayant plus de prise et sans retenir ses efforts Anna fit pénétrer de force le gode. Martine gémissait dans son bâillon mais inexorablement big john entrait dans son intimité. Enfin Martine englouti le gode. Elle se sentait écartelée à la imite de la déchirure. Tu vois lui susurra Anna en faisant faire des va et vient au gode tu apprends vite et si tu fais un effort on peut tout te fourrer dans ton minou. Enfin elle retira le gode au grand soulagement de Martine qui pleurait silencieusement. On a pas le temps d’essayer les godes ceintures mais tu ne perds rien pour attendre. Lui dit-elle mystérieusement. Anna aida Martine à se remettre sur les genoux. A ce moment-là le trio fit une entrée triomphante dans le salon. Tristan entièrement glabre le sexe toujours dressé suivait les deux complices satisfaites. Il fut décidé que la séance était terminée. Anna et Magalie détachèrent Martine et Tristan. Voyant la petite peste pour la première fois Martine ravala fièrement ses larmes et se promis de se venger un jour. Ils décidèrent que les répétitions étaient concluantes et les visiteuses quittèrent l’appartement. Au moment du départ Anna chuchota dans l’oreille de Magalie qu’elle ne pensait pas que Martine serait suffisamment à la hauteur et elle fila sans répondre au regard étonné de Magalie.
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Par : le 01/02/21
Dominatrices et soumises inattendues : CHAPITRE 4 : Magalie Martine et Tristan Extraits « Empoignant la laisse Magalie la fait pénétrer dans le salon. Pour voir l’effet que cela fait elle fait faire le tour de la table du salon à Martine et la plante face à Tristan qui devient écarlate…. Celle-ci sent qu’elle a les larmes aux yeux. Puis une onde de choc la traverse et un orgasme incroyable la foudroie. Elle n’arrive plus à tenir debout… Déshabille toi lui intime-t-elle. Il ne se fait pas prier. Voyant la taille de son gourdin et l’érection monumentale qu’il arbore elle lui dit qu’il est déjà bien en condition pour le taf. Et lui prend les mains pour fixer les bracelets. Bien harnaché, Tristan suit Martine tenant la laisse jusqu’au salon. Magalie est pensive, elle s’est un peu avancée lors de la séance de vente de toys auprès de celle qu’elle surnomme la tigresse. Elle a annoncé qu’elle aurait deux cobayes masculin et féminin qui serviraient pour l’essai des tenues, toys et comparaison des sensations entre tenir un toy et tenir un pénis en érection. Tristan serait surement partant. Il a visiblement apprécié son bondage devant les copines et serait content de s’exhiber devant un parterre de femelles motivées. Pour le modèle féminin elle pense à Anna qui est particulièrement bien foutue et qui a visiblement apprécié de lui servir de proie lors des essais intimes qu’elles ont faits ensemble. Cependant rien n’est moins sûr. Trop timide Anna n’osera jamais faire ça même sous couvert de l’anonymat. Elle réfléchit à la situation bien sûr il faudra que les modèles soient maqués pour ne pas être reconnus d’une part et pour que les femmes s’approprient mentalement le corps du modèle féminin lors des essais. Les mots de Martine lui reviennent en tête. Elle a mystérieusement annoncé à Magalie qu’elle pourrait peut-être l’aider dans ce projet. Peut-être connait-elle quelqu’un qui serait volontaire mais il faudra surement payer la prestation et Magalie n’a pas assez de marge pour payer une « prestataire ». Néanmoins comme elle a promis de le faire elle appele Martine qui lui a donné son 06. Celle-ci parait ravie d’entendre Magalie. Après avoir parlé de la pluie et du beau temps Magalie ne sait pas trop comment aborder le sujet. Peut-être que Martine a oublié l’affaire ou s’est un peu avancée dans l’euphorie du moment. C’est Martine qui aborde le sujet. Adoptant le tutoiement cette dernière dit alors tu as toujours l’intention de faire une séance plus hard de vente ? Oui répondit Magalie un peu mal à l’aise. Tu sais ce que je t’ai dit l’autre jour tient toujours. Je peux peut être te donner un coup de main. Soulagée Magalie la remercie et lui avoue qu’effectivement elle n’a pas encore trouvé de solution. Martine lui propose qu’elles se rencontrent pour en parler. Magalie est d’accord et elles se décident pour l’appartement de Magalie car c’est là qu’est rangé le matériel. Elles se donnent rendez-vous le soir même. Martine est en retard. Magalie pense qu’elle s’est peut être dégonflée et n’apportera pas de solution au problème. Magalie est en train de ruminer quand la sonnette retentit. Martine est bien venue. Celle-ci s’est mise sur son 31. Habillée très sexy une jupe courte et une paire de bas résille certainement accrochée à un porte jarretelle. Pour le haut elle découvre quand Martine retire son manteau un pull très échancré devant qui montre la naissance de ses gros seins certainement aidés par un soutien-gorge type push up. Pour réchauffer l’ambiance Magalie leur sert un verre de martini qu’elles sirotent tranquillement en se s’épiant mutuellement. Martine est la première à sortir du silence. Alors Magalie comment tu vois le déroulement de la séance. Magalie explique que son copain sera surement d’accord pour jouer le modèle. Elle dit qu’elle pense masquer les modèles pour préserver leur anonymat mais qu’elle n’a pas cogité plus loin manquant de modèle féminin. Martine lui dit que ça ne devrait pas poser de problème et qu’il fallait penser au déroulement. Afin de ménager le suspense et de surprendre les clients elle propose que les modèles soient cachés au début de la séance et ne seront appelés que lorsque leur présence sera nécessaire. Magalie trouve ça bien. S’enhardissant Martine lui dit que les modèles devraient avoir les mains liées dans le dos pour qu’ils ne puissent pas eux-mêmes tester le matériel et cela obligera les clientes à manipuler les divers toys. Magalie trouve ça un peu fort mais pourquoi pas ça pimentera encore plus les choses. Elle annonce à Martine que pour préserver l’anonymat des modèles elle songe à leur mettre une cagoule de bondage. Martine lui demande si elle avait des cagoules sans trous pour les yeux afin qu’ils ne puissent vraiment pas être reconnu. Allant toujours plus loin Martine lui dit que Magalie devrait aller les chercher à la demande et les ramener avec une laisse puisqu’ils seront attachés et ne pourront pas se déplacer seuls. Elle dit aussi qu’ils devront être bâillonnés afin qu’ils ne se laissent pas aller à parler toujours pour ne pas qu’ils soient reconnaissable. Sentant la chaleur monter Magalie ressert un martini puis après réflexion opte pour cette solution. Il faudra que les modèles soient d’accords et il faudra aussi faire des répétitions avant la séance. Martine acquiesce. Maintenant dit Magalie il me reste toujours le problème du modèle féminin. Martine la regarde bien dans les yeux et lui demande ce qu’elle pense d’elle. Se méprenant Magalie lui répond qu’elle est très imaginative et que ça l’a beaucoup aidé. Riant Martine lui rétorque : non je ne pensais pas à ça mais je parlais de mon corps. Commençant à comprendre Magalie la complimente sur sa tenue et lui dit qu’elle doit avoir un corps de rêve avec des seins comme ça elle devait être particulièrement convoitée par les hommes. Martine la remercie et lui propose de la juger de visu. Avant que Magalie ne réagisse Martine fait passer son pull par-dessus le tête elle ne porte que le soutien-gorge dessous elle se lève. Tu es canon bafouille Magalie. Martine ôte ses escarpins et sa jupe se retrouve aussitôt par terre. Dévoilant un porte jarretelle et un string à dentelle. Ouah dit Magalie se demandant encore ou veut en venir Martine. Le soutien-gorge atterri sur le sol. Des seins magnifiques lourds mais fermes sont libérés C’est un corps comme le tien qu’il me faudrait pour la séance dit Magalie comprenant enfin. Tu crois que je ferais l’affaire minauda Martine et quittant son string et dévoilant un pubis glabre digne des plus belles actrices pornos. Totalement tu ferais un malheur. Si tu veux bien je peux tenir le rôle du modèle en attendant que tu trouves une volontaire. Mais tu comprends que ça n’est pas si facile il faut être harnaché et tenir durant tout le temps de la séance. Tu as le matériel chez toi dit Martine on a qu’à l’essayer sur moi je verrais bien si je peux supporter ça. Interloquée Magalie opine. On commence tout de suite dit Martine qui visiblement était émoustillée par l’aventure. Si tu insistes ne bouge pas je vais chercher le nécessaire mais il ne faudra pas qu’on traine car mon copain va arriver dans moins d’une heure. Pas de problèmes il nous fera office de cliente et comme je serais anonyme je ne crains rien. Et elle tend les mains. Quelques minutes après Martine bâillonnée ligotée et aveuglée se promène derrière Magalie dans le salon guidée par la laisse que tient cette dernière. La démarche de Martine est particulièrement gracieuse, ses seins ballotant légèrement à chaque pas la rendent affolante. Visiblement elle cultive cette démarche indécente. Magalie accompagne Martine dans la salle de bains et lui dit qu’elle allait la laisser seule quelques minutes pour voir si elle ne paniquera pas, on ne sait jamais la claustrophobie pouvait survenir sans qu’on s’attende. Martine opine du chef, seul moyen qu’elle a de communiquer. Alors que Magalie patiente dans le salon la porte d’entrée s’ouvre et Tristan entre dans l’appartement. Salut lui dit-il en l’embrassant. Salut répondit Magalie. Ne t’inquiète pas mais je ne suis pas seule. Ce n’est pas un jules mais c’est une collaboratrice pour la prochaine vente de toys. Tu as besoin d’une aide maintenant dit-il et elle est où cette personne. Justement je t’explique en deux mots pourquoi j’ai besoin d’aide et comment on va agir. En deux mots elle raconte la séance avec la tigresse et la demande qui avait été faite. Puis elle explique sans préciser que Martine lui a suggérer une façon d’agir et qu’elles en sont aux répétitions avec le modèle. Tristan d’un seul coup intéressé lui demande mais elle est là cette Martine ? Oui répondit Magalie d’ailleurs je vais aller la chercher assieds-toi sur le canapé et imagine que tu es une cliente. Elle part vers la salle de bains là elle annonce la situation à marine en lui demandant si elle veut qu’on arrête le jeu Martine secoue la tête pour signifier son refus elle veut aller plus loin et c’est une façon de voir si elle peut garder son calme devant des inconnus. Empoignant la laisse Magalie la fait pénétrer dans le salon. Pour voir l’effet que cela fait elle fait faire le tour de la table du salon à Martine et la plante face à Tristan qui devient écarlate. Tu ne m’as pas dit que c’était une bombe que tu trimbalais on a envie de la croquer toute crue d’autant plus qu’elle ne peut pas dire non. Martine se tortille légèrement visiblement sensible au compliment. Magalie laisse Martine debout et explique à Tristan que Martine servira de mannequin aux clientes pour tester les accessoires et divers toys. Même les godes et vibros demande Tristan. Oui répondit Magalie alors que Martine toujours debout face à Tristan se tortille encore plus. Ça veut dire qu’elle va être touchée palpée même dans les parties intimes ? Oui répondit Magalie d’ailleurs si tu veux Martine on va commencer à faire comme si on était en séance Martine opine du chef. Cool dit Tristan on commence par quoi. Une guêpière annonce Magalie et elle va chercher une guêpière visiblement trop petite pour Martine elle se met en devoir de la mettre. Comme elle s’y attendait Martine est serrée dans la guêpière qui lui fait une taille de guêpe et fait rejaillir ses seins droit vers Tristan. Celui-ci ci s’empare d’un sein et le palpe. Apparemment c’est trop petit dommage les seins sont bien offerts comme ça. Il agace le bout du mamelon faisant faire un pas en arrière à Martine. Elle a encore du mal à se contenir dit-il. Martine s’avance et ne bouge plus lorsqu’il s’empare de l’autre sein. On essaye les pinces vibrantes ? Ok Magalie installe les pinces Martine tressaille mais ne bouge pas. Elle tressaille de nouveau lorsque la télécommande fait vibrer ses seins elle commence à suer et à se dandiner sur place. Et un vibro aussi dit Magalie. Elle met la main à l’entrejambes de Martine et constate que cette dernière mouille comme une fontaine. Le vibro pénètre sans difficulté et lorsqu’il se met en route la respiration de Martine devient saccadée et on peut entendre des petits gémissements malgré le bâillon. Après quelques secondes Magalie annonce : On passe aux godes et en prend un de bonne taille, le plus gros qu’a pu accepter Anna. Le gode pénètre sans difficulté accompagné de coups de rein involontaires de Martine. Bon on va essayer le gode xl dit Magalie et elle sort un chibre énorme de son paquet. En même temps on va tester le lubrifiant car il va falloir que tu t’ouvres bien Martine. Cette dernière angoissée sent une masse se présenter à l’entrée de son vagin. Millimètre par millimètre le gode se fore littéralement un chemin Martine se sent dilatée à l’extrême et pense que ça ne rentrera jamais. Au moment où elle va se reculer, d’une dernière poussée Magalie fait pénétrer le gode de quelques cms. Martine ne tient plus. Magalie avec des mouvements de va et vient fait pénétrer plus loin le gode qui remplit Martine. Celle-ci sent qu’elle a les larmes aux yeux. Puis une onde de choc la traverse et un orgasme incroyable la foudroie. Elle n’arrive plus à tenir debout. Tristan lui empoigne les seins pour la soutenir pendant que Martine retire le gode. Tremblante malgré elle Martine s’appuie de tout son poids sur Tristan. Je crois que ça suffit pour aujourd’hui déclare Magalie. Bravo Martine tu es vraiment résistante. Et elle entreprend de libérer cette dernière. Nue assise sur le canapé Martine reprend ses esprits. Tu es vraiment très canon et très belle lui déclare Tristan Martine lui envoie un sourire ravageur. Bon dit Magalie maintenant Tristan il faut qu’on parle. Il se retourne vers elle. Tu as compris que j’avais besoin d’un modèle féminin pour que les clientes puissent tester les toys à travers elle. Mais j’ai aussi des toys destinées aux hommes et les clientes souhaitent avoir un élément de comparaison pour tester le ressenti des godes, douceur, souplesse taille etc. voir le gout. Tristan comprend l’allusion. Tu veux que je fasse comme Martine ? Oui on chéri j’aimerais que tu fasses ça pour moi. Martine de son côté hoche la tête. Je ne sais pas si j’ai envie et encore moins si je peux résister annonce Tristan. Ben le meilleur moyen de savoir c’est de tester dit Martine en souriant. Magalie l’implore du regard. Sa fierté mise en doute et savoir qu’il allait être l’objet de l’attention d’une demi-douzaine de femmes excitées le décide. Bon ok qu’est-ce que je dois faire. Magalie commence à nettoyer et ranger les accessoires. Tu n’as rien à faire je vais te préparer dit Martine enthousiasmée. Elle invite Tristan à se rendre dans la salle de bains. Déshabille toi lui intime-t-elle. Il ne se fait pas prier. Voyant la taille de son gourdin et l’érection monumentale qu’il arbore elle lui dit qu’il est déjà bien en condition pour le taf. Et lui prend les mains pour fixer les bracelets. Bien harnaché, Tristan suit Martine tenant la laisse jusqu’au salon. Voyant l’air de Martine Magalie se dit qu’elle devrait quand même se méfier d’elle. Elle serait bien capable de lui piquer son mec. Puis la séance proprement dite commence elles prennent des godes et comparent la texture et le toucher avec le chibre de Tristan qu’elles prennent en main tour à tour puis c’est au tour des cokrings. Bien lacées et serrées sa bite et ses testicules semblaient gonfler à vue d’œil et l’ensemble palpite à la satisfaction des deux femmes. Dommage qu’il soit tant poilu du torse au bas ventre dit Martine. Effectivement Magalie voit que les poils gênent la pose des accessoires pour le membre. Il faudra que je demande à claire de s’occuper de ça se dit-elle. Elles testent aussi les vibros se posant sur la queue les faisant fonctionner jusqu’à la limite de jouissance par Tristan qui est chaque fois frustré que ça s’arrête aussi prêt de l’éjaculation. Elles testent aussi quelques capotes fantaisies en se demandant quel effet ça leur ferait si Tristan les défonçai avec ça. Enfin après une bonne demi-heure après avoir longtemps hésité à lui mettre un plug annal elles décident que la séance est terminée. Tristan stoïque est complètent en sueur. Elles le libèrent et tous les trois devisent sur les modifications à apporter au rituel tout en sirotant un verre bien mérité. Martine suggère qu’il y ai du champagne lors des séances ça désinhibe et les acheteuses sont moins timorées avec deux ou trois verres dans le gosier. Quand même étonnée de ce volontariat Magalie demande à Martine pourquoi elle se propose comme ça sans les connaitre et sans vouloir de retour financier. Martine répond qu’elle est jeune veuve, qu’elle touche une assurance vie confortable ne l’obligeant pas à travailler et qu’elle n’a pas de vrais amis dans la région. Quelques plans cul moyens mais pas de vrai piment dans la vie elle a tout de suite été en confiance avec Magalie et trouve que leur aventure est un bon moyen de mettre un peu de piment dans sa vie. Ils éclatent de rire et d’un commun accord décident que l’équipe est formée. Prudente et avec une petite arrière-pensée Magalie suggère qu’ils fassent une dernière répétition devant ses copines claire et Anna, tout en songeant à la pilosité de Tristan. Ils topent là et lorsque Martine quitte à regret les lieux, elle aurait bien tenté un plan à trois, Magalie et Tristan font l’amour comme des déments.
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Par : le 01/02/21
J'échangeais depuis quelques temps avec une jeune femme que j'appellerai S. qui désirait tenter l'expérience de la soumission, mais n'était pas encore vraiment décidée à sauter le pas, il est vrai que l'univers BDSM peut parfois effrayer. Je lui avais proposé, lors de nos échanges, de goûter en douceur aux jeux de cordes qui sont des jeux que j'affectionne particulièrement et qui me semblent propices à la découverte, à la sensualité du contact de la corde sur la peau et au plaisir partagé. Au cours de ces jeux, suivant le ressenti et l'envie des partenaires, la séance peut rester exclusivement tournée vers les cordes dans le but de réaliser certains modèles; mais elle peut aussi basculer dans la complicité et les jeux de domination/soumission. Ce matin je reçois un message de S. qui commence ainsi: "Monsieur,..." je comprends que quelque chose a changé, S. ne m'ayant jamais appelé ainsi... et la suite du message "je suis prête à goûter à vos cordes". Ce message très court, presque envoyé en catimini, me ravit. Je recontacte S. pour la féliciter de sa décision et nous fixons un rendez vous pour le lendemain après-midi. Nous nous retrouvons dans un endroit neutre et public pour être bien rassuré sur les intentions de la personne que l'on rencontre, puis nous nous dirigeons vers une chambre d'hôtel que j'avais réservée. Nous nous installons dans la chambre, montons le chauffage pour que la température soit confortable pour S. Mon amie part se rafraîchir dans la salle de bains pendant que je sors de mon sac le matériel que j'ai amené: deux cordes de 10 mètres, une paire de ciseaux au cas où, un bandeau pour les yeux et une paire de pinces à tétons; je pose tout le matériel sur le lit pour que S. soit rassurée sur ce qui va se passer; je lui explique la présence des ciseaux pour la sécurité et le bandeau et les pinces à tétons pour le cas où nous voudrions pousser un peu plus loin le jeu. Nous en avions déjà parlé et je vois d'ailleurs que ces accessoires ne laissent pas S. indifférente ce qui me conforte dans l'idée de les avoir amenés. Je me tourne vers S. et lui demande: Prête ? Elle me répond: "oui Monsieur". Je la rassure sur le fait que tout va bien se passer. S. est vêtue d'un chemisier blanc sous lequel elle n'a visiblement pas mis de soutien-gorge, d'une jupe courte, de bas type Dim-up et de chaussures plates. Je demande à S. de s'asseoir sur le lit; S. s'exécute et je la débarrasse de ses chaussures. Je lui dis ensuite de se remettre debout, je lui explique que je souhaite lui faire un bondage de ses seins et que ce modèle comprend aussi une corde qui doit passer entre les jambes. Je lui indique que pour réaliser le bondage, j'ai besoin d'enlever ses vêtements, et que je souhaite le faire moi même, S. me répond "Bien Monsieur, je pensais bien que j'allais devoir me déshabiller". Je défais donc un à un les boutons du chemisier et je découvre complètement le buste de S. Je la félicite pour ces jolis seins qui vont bien se prêter au bondage. Je lui laisse sa jupe pour le moment. Je demande à S. de mettre ses deux mains derrière la tête ce qui a pour effet de mettre en valeur sa poitrine et de la mettre dans une des positions d'attente de la soumise. Je lui fais ensuite faire demi tour pour me trouver dans son dos et je commence à l'encorder; le modèle que j'ai prévu est très simple: avec la corde pliée en deux, un tour au dessous des seins, la corde qui change de sens das le dos, puis un deuxième tour au dessus des seins pour revenir dans le dos... Je demande à S. si ce n'est pas trop serré et si tout va bien... "Oui Monsieur" Ensuite la corde monte en bretelle sur une épaule pour passer entre les seins sous le premier tour de cordes et remonter ensuite en bretelle sur la seconde épaule pour être ensuite attachée avec un noeud sur les autres cordes au centre du dos. La tension de la corde a eu pour effet de faire remonter la corde qui passait sous la poitrine, qui vient maintenant presser les seins de S. Je vois que cela a l'air de passablement exciter mon amie qui respire un peu plus vite, et je vois les pointes de ses seins qui se sont dressées. Je dis à S.: "Fin de la première étape, je vais un peu faire travailler tes tétons si tu veux bien...", elle me répond "Oui Monsieur". Je préfère annoncer à S. ce qui va se passer juste après et avoir à chaque fois son consentement. Je suis dans son dos, mes mains caressent les seins de S., jouent un peu avec les cordes qui compriment la poitrine et rendent les seins plus fermes, je sens les tétons durcis au creux de mes paumes. S. se laisse aller, la tête en arrière contre moi; je lui murmure à l'oreille que je vais jouer avec ses tétons, les pincer, les étirer et qu'elle va goûter à la douleur... De chaque côté, je tiens ses tétons entre pouce et index en les étirant vers l'avant et en serrant de plus en plus fort ; cela arrache un râle de douleur à S., je relâche un peu la pression tout en continuant à faire rouler les tétons entre pouce et index, S. me répond "j'aime beaucoup Monsieur"; je recommence alors à serrer et j'invite S. à endurer la douleur, à en faire son amie, je garde ainsi la pression pendant de longues dizaines de secondes. (On dit que la sensation de douleur est très proche de la sensation d'excitation qui conduit à la jouissance et que certaines femmes arrivent à jouir uniquement par la stimulation des seins). Je relâche mon étreinte, repasse devant S., lui caresse la joue et lui demande si ça va, si elle a pris goût à la douleur. Elle me répond "Oui ça va Monsieur, j'ai eu un peu de mal avec la sensation mais on s'y habitue". Je lui propose alors de lui mettre les pinces à tétons qui vont maintenir une pression constante pendant le reste de la séance; S. étant d'accord pour poursuivre, je lui pose une pince sur chaque téton en prenant garde de ne pas la mettre trop au bout pour que ce soit moins douloureux; je vois que S. souffre un peu plus, je caresse ses seins pour rendre cela plus supportable et la douleur s'estompe. Je peux maintenant jouer avec la chaîne métallique qui relie les deux pinces, ce qui procure un certain plaisir à S. Je lui propose alors de poursuivre le bondage en faisant passer le reste des cordes entre ses jambes pour venir les rattacher devant entre les seins; S. étant d'accord, je détache sa jupe qui tombe à ses pieds et fais glisser sa culotte qui ne tarde pas à rejoindre la jupe. Je suis à genou devant S. et découvre son sexe à hauteur de mes yeux; il est complètement épilé, ce qui fait qu'on voit les lèvres s'exposer impudiquement et j'aime beaucoup cela pour une soumise. Je fais savoir à S. que j'apprécie son sexe épilé car une soumise ne doit rien cacher, et je lui explique la fin du bondage avec la corde qui va venir se rattacher devant; je lui explique aussi que je vais faire des noeuds sur la corde au niveau du sexe pour que cela appuie sur son clitoris et lui procure des sensations; l'idée à l'air de ravir S. Je réalise la fin du bondage et la corde avec les noeuds passe maintenant au milieu du sexe de S., j'ai écarté un peu ses lèvres pour que la corde disparaisse entre les lèvres à cet endroit là, c'est très joli à voir. Je joue un peu en tirant la corde vers le haut ce qui arrache des soupirs à S. Je demande à S. si elle veut poursuivre les jeux et pousser un peu plus en avant dans la DS. S. me répond encore "Oui Monsieur". J'attrape alors la chaîne qui relie les pinces à tétons en la tirant un peu vers le bas; sans que j'aie un mot à dire, S. a compris qu'elle doit se mettre à genoux devant moi. Je prends le bandeau et lui demande si elle est d'accord pour que je lui bande les yeux; S. me répond encore "Oui Monsieur, je suis votre soumise faites ce qu'il vous plaira". S. est donc maintenant à genoux devant moi, avec un bandeau sur les yeux et est uniquement vêtue de des Dim-up et de la corde. Je lui dis qu'elle a fière allure et qu'elle est une belle soumise; elle me répond: "Merci Maître". Ce changement de langage m'incite à poursuivre les jeux avec cette femme qui se revendique comme ma soumise. Je lui demande de mettre les mains derrière la tête. S. obéit et vacille un peu, c'est plus difficile de garder son équilibre, avant de se stabiliser. Je la gratifie d'un encouragement. Je lui demande ensuite d'ouvrir la bouche. S. s'exécute immédiatement. Je lui demande alors de tirer la langue et de rester comme ça sans bouger. S. réalise l'ordre sans rechigner. Je dis à S. "Tu vas garder la position, je te regarde, ne t'inquiète pas". Je prends une chaise et m'installe en silence face à S. Je la regarde ainsi pendant quelques minutes. Un peu de bave coule à la commissure de ses lèvres. S. a maintenant l'air inquiète de ne plus m'entendre; j'imagine que les idées se bousculent dans sa tête à ce moment... Je la laisse un peu à ses pensées; cet exercice l'aide à travailler la confiance qu'elle doit avoir en celui qui est maintenant son Maître. Je me lève et le bruit inquiète S. Je la rassure: "Tout va bien, je suis là. Est ce que tu peux tenir la position? Tu as le droit de fermer la bouche pour me répondre". S. me répond "Oui Maître" et ouvre aussitôt sa bouche en tirant la langue. Je la complimente pour cela. Je m'approche de S. et lui caresse la joue, j'ai terriblement envie de sortir mon sexe et de baiser sa bouche ainsi offerte. C'est probablement aussi ce que S. imaginait qu'il allait se passer. Nous ferons cela une prochaine fois, il ne sert à rien d'aller trop vite et à ce stade ce qui était important pour moi est que S. ait accepté de se soumettre à mes demandes en me faisant confiance pour ne pas abuser de la situation ou dépasser ses limites. Je parcours ses lèvres avec mon pouce, essuyant un peu la bave qui a coulé sur son visage. J'ai maintenant deux doigts (index et majeur) dans sa bouche; ma soumise se laisse faire et je crois que nous jubilons tous les deux de la connexion cérébrale que nous partageons à cet instant. J'annonce à S. que c'est la fin de la séance et que je vais la libérer. Je l'aide à se remettre sur ses pieds, lui enlève le bandeau et lui demande si ça va ? Elle est en train de redescendre doucement et me répond avec un sourire: "Oui Monsieur, c'était..." comme si elle ne trouvait pas les mots. Je finis de libérer S. en enlevant d'abord les pinces à tétons ce qui lui arrache un soupir de douleur au moment ou la pression se relâche, je caresse ses seins pour que la douleur s'estompe, puis je finis en enlevant la corde. Nous nous installons ensuite sur le lit, j'enlace ma soumise pendant qu'elle continue de récupérer et nous débriefons tranquillement cette séance de découverte. Lors du débriefing, je lui fais promettre de tenir à jour, à mon intention, un journal de soumise par écrit dans lequel elle pourra décrire son ressenti, ce qui lui a plu ou déplu, ce qui était difficile ou facile; ce journal de soumise ne sera accessible qu'a nous deux. Je lui parle aussi de la checklist de pratiques, également partagée entre nous deux, qu'elle devra remplir et tenir à jour; cette checklist, très importante à mes yeux, nous permettra de choisir les pratiques de prochaines séances et me permettra de savoir ce qu'elle aime ou pas, ce qui lui est difficile ou pas, quelle sont ses limites, ce sur quoi elle a envie de progresser. Je prendrai soin, pour la suite, de mélanger des pratiques qu'elle aime, des pratiques plus difficile pour elle mais que je tiens à lui faire découvrir ou encore sur lesquelles elle désire progresser. En résumé, progresser ensemble en confiance et prendre du plaisir. MainDeVelours, 24/01/2021 cette histoire est une pure fiction mais inspirée de mes envies du moment.
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Par : le 27/01/21
Deux ambiances intenses pour plonger dans ma nouvelle. J'ai écrit dessus.. donc.. bonne découverte en musique : - The Wolf - FEVER RAY - If I had a heart - FEVER RAY ( pour les amateurs de viking.. vous reconnaitrez tout de suite ) ================================================== Effrayée je sentie une cagoule se mettre sur ma tête. J’étais dans mon lit. Je devinais qu’il était rentré. Que me préparait il? Je me débattais.. - Arrête.. non.. je. Il mit sa main sur ma bouche. J’entendis le son de sa voix à mon oreille. - J’aime attrapée ma louve. Reste sage, compris Je gémissais doucement pour ne pas le laisser trop faire. Je sentis son poids sur ma taille. Il me retourna sur le ventre avec une telle dextérité. J’étais à sa merci ! Il me griffait le dos avec douceur. Je sentais ses baisers s’enivrer de ma peau. Il me respirait. - Hum ton odeur… me dit il.. elle me rend fou. Je sentais son nez me respirer comme un chien respirerait sa chienne. Je sentais ses crocs se planter dans mon cou, sa main saisir ma gorge. Doucement je lâchais la pression. Son être faisait que je me soumettais naturellement. Son intégrité, ses valeurs, il savait me faire sentir femme, un être considéré pour sa personnalité, mes valeurs, mon indépendance. Il était entier autant que je pouvais être entière. On s’était choisi. C’était si naturel qu’aucune question venait mettre un grain de sable dans notre relation. Aucun non dit, aucun mensonge. Une évidence. Jamais je n’avais rencontré un homme qui me faisait vibrer ainsi à me rendre si femme. Il me possédait autant que je le possédais. Parfois nous aimons garder notre indépendance ne pas nous voir. Mais quand on se retrouvait ensemble, le temps se suspendait. Il saisit mes mains pour les maintenir dans mon dos. Je sentais son sexe qui grossissait au niveau de mes fesses. Tout en me tenant les poignets il avait introduit son pouce dans mon cul.. - Ahhhhhh… humm - Oui je sais c’est bon ma louve… Il m’attacha les avant bras de manière parallèle dans mon dos. - Je veux que tu te laisses faire. Je ne veux rien entendre… dit il en m’embrassant à travers la cagoule. Des sons métalliques se firent entendre. Il s’empara d’une de mes chevilles. Je sentis le fer… Il m’enchainait. Je sentis le fer autours de ma cheville, qu’il referma fermement . Le cadenas se refermait. Puis l'autre.. - Je n’aime pas voir une proie sauvage m’échapper. Intérieurement je souriais. J’aimais ce côté animal qu’il avait. Mon alpha. Mon loup Je me retrouvais ainsi enchaînée avec des fers à sa merci. Sans prendre de gant, il m’enfonça dans mon petit trou un plug.. Je sentis qu’il était différent de ce que je connaissais. La douceur d’une fourrure me fit tressailir au niveau de mes cuisses. - Ma louve… à part entière. J’allais être son animal sauvage qu’il allait vouloir dresser, jouer, caresser, câliner, punir, prendre… Il me releva. J’avais la tête qui tournait un peu. Il mit autours de mon cou un collier qu’il serra fermement pour me faire comprendre que j’étais captive, sans échappatoire. Que je ne devais opposer aucune résistance sinon la sanction se ferait sentir. Il me dit descendre les escaliers. Je marchais avec nonchalance. Où m’emmenait-il? Je marchais avec prudence. Au bout de quelques minutes, il me jeta sur une sorte de lit pleine de couverture. Une tanière. Je sentais la chaleur d'un feu de cheminée. J'étais nue. Mon corps tremblait. Je sentis qu’il accrocha mes chevilles à un crochet et de même pour mon cou. Je me retrouvais ainsi immobilisée. A ne pas savoir ce qui m’attendais. Je sentis alors sa main saisir ma queue pour bien la replacer. Elle parcourait ensuite mon corps pour saisir mes seins et les tenir fermement. - Tout doux… tout doux dit il en me caressant avec tant de douceur. Maintenant je vais te laisser te calmer… Il mit quelques couvertures sur moi. il prenait soin de mon confort, de moi tout simplement. J’entendais le bruit de ses pas partir. Je gémissais.. Je m’amusais à tirer sur mes chaînes pour essayer naïvement de me défaire. Je sentais sa présence. Je savais qu’il m’observait. - Ca ne sert à rien. - Je… - Je ne veux pas t’entendre, une louve ne parle pas.. elle hurle, elle gémit, elle couine, elle mord, elle se fait prendre.. Voilà ce que tu es autorisée à faire ce soir. Compris ? Je hochais la tête. Il détacha mes poignets. Il me redressa et me fit comprendre que je devais me mettre sur mes quatre pattes. - Tends moi ce sublime fessier… Je sentis alors qu’il me dirigeait avec la cravache. - Tu sais ce que je tiens en main.. A toi d’être obéissante ou non . Je sentais la chaine me contraindre. Elle était courte. Il ôta alors la cagoule. J’étais éblouie. Je découvrais qu'il avait transformer cette pièce en antre, un éclairage avec de grosses bougies. Il était face à moi, agenouillé ,avec ses chaussures parfaitement ciré. Il portait une chemise blanche où il avait retroussé les manches, laissant deviner la force de ses bras. Il plaça la cravache sous mon menton pour me redresser la tête et me regarder. Nous étions alors face à face, gueule contre gueule. Il caressait ensuite mon visage avec… on ne se quittait pas du regard. Avec rapidité, je la saisis par les dents. Je ne voulais pas lui céder. Je résistais. - Lâche… m’ordonna t il. Je refusais de céder. J’aimais ce jeu, celui de ne pas lui céder, de lui résister. - Lâche, c’est la dernière fois que je te préviens. Je ne cédais toujours pas. Je grognais telle une louve ne voulant pas se laisser faire. Il se déplaça et me fessa si fortement que j’ouvris ma gueule, couinant de douleur. Il m'avait remise à ma place - Voilà ! - Tends ces fesses… Je ne voulais toujours pas céder. Il commença alors me cravacher… A plusieurs reprises il se lâcha au même endroit de ma fesse droite. Je pliais. - Accepte ta condition. Je veux que tu plies par choix et pas parce que je te punis. Est-ce clair ? Je baissais la tête en signe de soumission. Je tentais alors d’aller vers lui. Il tendit alors sa main vers moi. Naturellement je lui léchais pour lui faire comprendre mon allégeance. Il caressa alors mes cheveux. - Embrasse maintenant la cravache. J’obéissais. Il releva ma queue et commença à tapoter ma chatte. Je me redressais pour me retourner et me soustraire Sans crier gare, il était dans mon dos, plaçant son avant bras sur ma gorge. - Tu es ma louve, tu le sais… Il me mordit dans le cou puis passa sa langue sur ma jugulaire. Il me renifla encore et encore. Je me sentais possédée.. Une de ses mains s’aventura alors sur mon entrejambe. Une tension si érotique - Ton sexe m’appartient. Il pinça alors mon sexe pour le prendre en pleine main. - Ta bouche, tes seins, tes fesses, ta chatte, ton cul, tout m'appartient dit il dans un murmure sensuel qui me fit fondre. Je gémissais de plus belle.. - Hummmmmm.. humm.. - Hum tu couines ma belle… tu aimes, n’est ce pas.? . sentir des doigts caressant ton petit clitoris, ta peau, remonter le long de ta colonne vertébrale, s'aventurer sur tes seins ou te prendre la gorge... - C’est ça couine , gémit.... - hummmm.. hummmmmm Il engouffra son pouce dans ma bouche. Instinctivement je le léchais Il plaça ensuite ses mains vers mes seins. - Déjà dressées ces petites mamelles dit il en les empoignant d'une main de fer. - Ohhhhhh.. hummmmm J’émettais des petits sons plaisirs. il me rendait folle. J'aimais lui offrir ma soumission. Seulement à lui.. Il me comprenait, savait qui j'étais. - Ces mamelles que j’adore punir… comme ça.. Soudain il les gifla fortement. - Ahhhh… oohhhh… gémissais-je - Et ces tétons… je vois à quel point je peux les tirer… ça me donne des idées… Sans ménagement il jeta ma tête au sol. - Maintenant, sache que je vais te doigter à te faire gicler.. Il commença par quelques bonnes fessées. Je gémissais surprise de sentir à quel point mes fesses allaient rougir. Le feu s’empara de moi. Il tenait alors la queue de fourrure remontée? Violemment il pénétra ma chatte de ses doigts. J’étais déjà trempé. Sa main était perpendiculaire à ma chatte. Je devinais quatre doigt à l'exception du pouce. Il prenait malin plaisir à bien la tenir droite pour m’élargir le mieux qu’il pouvait. - Ohhh…. Oohhhhh… hummmm.. hummm.. Je couinais comme une petite chienne reconnaissante. Il se montrait de plus en plus sauvage. - Tiens ma belle.. tiens… Je sentais sa main pousser encore et encore, de plus en plus profondement.. Des vas des viens frénétiques. Je sentais que mon corps bougeait vers l’avant tellement il me pénétra bien au fond. - Ahhhhh… ahhhhhhhhhh… ahhhh.. Je haletais de plaisir.. encore et encore. Il aimait me faire couiner à me faire perdre la tête, le contrôle. - Ajhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Il claquait mes fesses fermement pour les tenir sous le chaud. - Maintenant je pense qu’avec l’entrainement que tu as eu… je vais pouvoir mieux t’élargir ta chatte.. quoi que ce plug dans ton fion va peut être m’en empêcher… Seléna à la main pour te fister… Il força alors le passage avec son pouce. - Caresse toi ma belle. - C’est ça.. regarde comme tu t'ouvres... Cambre toi.. Il appuya sa main sur mes lombaires pour me cambrer davantage. - Si grande ouverte, je me demande ce qu’on peut y fourrer…. Il m’excitait. Il aimait me faire fontaine. - C’est ça marque ton territoire de chienne… C’est ça … - Oh mais regardez moi ça.. tu en mets partout. Il me redressa et me força à regarder tout ce que j’avais mouillé. Puis il me rejeta sur le dos sur cette place de fortune, notre lit. Il se colla contre moi pour m’embrasser sauvagement, prendre l’assaut de mes lèvres, mordre ma lèvre inférieure. Il me humait. - Ton parfum me rend fou Quand il plaçait son main autours de mon cou, je ne m’appartenais plus. Je me lovais naturellement contre lui. Son autre main sur mon clitoris, je me déhanchais pour me masturber sur sa main. - HUmmmmm… hummmm…….Ohhhhhh gémissais je Mes yeux se révulsaient de plaisir. Il me regardait. Il était attentif à tout ce que je pouvais renvoyer. Puis il reprit l’assaut de ma chatte pour me doigter encore et encore tout en étant plaqué contre lui. Je sentais sa force dans ses bras, la chaleur de son torse si réconfortante. Nous étions entier mais ne faisons qu'un. Je soupirais au creux de son cou de ces plaisirs qu’il m’offrait. Je sentais la jouissance arriver. Mon dansions sexuellement l'un contre l'autre. Nous appartenant. Ma tête partait en arrière. - Ahhhhhhhhh, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, ahhhhhhhhh Je bougeais dans tous les sens quand il se stoppa brutalement juste avant que je jouisse. Il se leva et m’abandonna à mon triste sort. Ma main s’aventura alors sur ma chatte, en manque de sa jouissance. Il savait faire monter le désir. - Je t’interdis de te faire jouir, tu as compris ? Je grognais pour lui montrer ma dévotion. Malgré mon indépendance, mon caractère, j’étais sous son contrôle incapable de résister au bonheur qu’il me donnait. Il me bâillonna et remit alors la cagoule sur ma tête et m’attacha à nouveau les mains dans le dos. - Ma louve… calme toi, dit-elle en me caressant. Je sens ta fougue. Ton envie, ton désir. Tu ne mérites pas encore que ta saillie. Puis il m’enchaina très court au niveau de l’anneau fixé au mur m’obligeant à rester allonger Je tremblais de désir, fatiguée, pleine de désir, tentée, triste . Je passais par tant d'émotion. La privation était terrible. L'attente était longue, il jouait avec mes nerfs. Quand il revint dans la pièce, Il détacha mes chaines. Voilà ce qu'il faut pour retenir une louve si puissante. Il enleva alors la cagoule. Son regard plongeant dans le mien. Il me montra comment il tenait la laisse de sa louve en main. - Viens, suis moi. Maintenant que tu es apprivoisée Il me fit avancer ainsi, haut et court provoquant un certain inconfort. Il me plaça au niveau de la pièce et alla s’asseoir sur le canapé. Assise sur mes genoux, je relevais la tête fièrement. Je ne le quittais pas du regard, lui non plu. Nous nous dévorions. Il claqua des doigts et m’indiqua ses chaussures. Il avait mis entre ses jambes une gamelle. Je compris alors que je devais venir vers lui pour ensuite laper dans la gamelle. Tout en le regardant avec effronterie, je m’avançais à lui. Je sentais le poids de la chaine. Le bruit métallique quand j'avançais vers lui. Arrivée à sa hauteur, je lui lançais mon regard de défiance. Il claqua à nouveau des doigts. - Lape. Je ne voulais pas céder. Je le regardais, je lui souriais. Il s’avança alors vers moi pour m’embrasser sauvagement pour mieux me rejeter au sol. - Lape… Je plaçais alors mes mains autours de la gamelle; Tout doucement pour faire durer le plaisir, lui résister pour mieux lui céder. Lâcher prise. Je lapais me prenant au jeu. Il avait eu l’audace de mettre du champagne. J’aimais cette délicate attention. Je m’amusais alors à prendre une posture des plus provocantes à bien me cambrer et tendre mes fesses. A être sa louve. Il se posa contre le dos du canapé. - Occupe toi de ton loup maintenant. Avec délectation, comme une louve en chasse je m'approchais de lui comme pour marquer mon territoire. Je me frottais contre lui. Ma tête sur sa cuisse cherchant son attention. Avec délicatesse, je sortis sa queue. J’allais la savourer. - Tout doux, renifle la ma douce. Il tenait alors ma tête contre sa queue pour me forcer à rester ainsi. Il m’observait quémander ce que j’aimais avoir en bouche. J’adorais le sucer, l’honorer de ma bouche, lui rendre le plaisir qu’il me donnait. Il saisit le collier avec la chaine . Son autre main sur ma tête Il me força la tête pour me donner la cadence. C'était doux, calme, sensuel. . Tout doucement il me laissait prendre l'assaut, la cadence. . - Ohhhh… ohhh.. cette bouche… continue… léche….ohhhh ouiiii.. Je sentais sa force me maintenir. - Ohhhhh… . ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii continue.. continue… - Ohhhh ouiiii… IL prit alors ma tête sauvagement, la main sur ma gorge et me baisa. Il engouffra si profondément sa queue que j’eusse envie de vomir. - Garde…. Garde…. Voilà…. - Regarde moi … Je levais les yeux.. - Hum j’adore t’étouffer avec ma queue. Tu es si belle ainsi. Il releva alors ses jambes. - Lèche moi de partout maintenant. Sors ta petite langue ma louve. Il maintenait encore sa main pour que je plonge ma langue sur son anus et sur cette partie sensible qui le rendait fou entre ses couilles,. Il adorait que je les lèche les aspire. Que je m’enivre de lui. - Quelle suceuse tu es !! - Ohhhhhh.. ohhhhh c’est ça.. sors bien ta langue, nettoie moi bien… voilà.. J’en profitais alors pour le lécher de partout. J’avais envie de tout son corps… - Doucement … Branle moi … pendant que tu lèches. J’aimais saisir sa queue dans ma main de faire des va et vient savant, de mouiller ma main avec ma langue, pour l’humidier, lui faire ressentir que mes mains pouvaient être aussi glissante et chaude que ma chatte ou non cul. J'aimais le regarder perdre pied. - Ohhhhhhh ouiiiiiii… - Il ne m’en.. a pas.. ouiiiiii…. Fallu longtemps pour que tu te soumettes - Suffit maintenant.. au pied.. Il m’attacha mains dans le dos. Avec son regard froid, il bonda mes seins pour les faire ressortir. Il les admira et les prit en main.A nouveau il les titilla. Il m’avait laissé au sol, assise sur mes genoux, attachée, offerte, jambes écartées. Il se ltournait autours de moi, mes sens en éveil - Pas bouger Il saisit un grand martinet avec des lanières longues. Il le plaça à ma vue. Il me caressa avec. Le dos, les seins, la gorge, le visage, l'entre cuisse. Il me donna un premier coup sur les seins. Puis un second et puis d’autres. Je sentais le vent des lanières. Je restais fière. Je me tenais bien droite ne voulant pas lui donner le plaisir de céder. - Hum magnifique. Tu es magnifique quand tu es punie. Avec ton regard si insolent. Je grognais de défiance encore et encore. Plus je grognais plus il me fouettais. Parfois, il se stoppait pour mbrasser fougueusement et passionnément tout en serrant ma bouche dans sa main. Je lui appartenais, la chaleur de son empreinte sur ma bouche, la fougue de ses baisers me faisait oublier les coups du fouet. Puis il recommença à me fouetter, me cajoler et pour finir à me faire baisser la tête en appuyant sur ma nuque. Il tournoyait autours de moi. Il passa alors le manche du martinet au niveau de mon cou, puis enroula les lanières autours de mon cou. Il m'étranglait aussi. il s'assurait de faire ce qu'il voulait de moi. Il me fît avancer vers lui en tirant sur le fouet. - Ouvre ta bouche ma louve. il replongea sa queue dans ma bouche. - C’est ça… prends la bien. Je sentais de la bave s’échapper de ma bouche. Il ne me laissait aucun répit.. - Humm c’est bon.. ohhhhhhh.. rohhhhhhhhh Il me baisa la bouche encore et encore. Il m’empoigna les cheveux pour me forcer à rester sexe en bouche tout en gardant la tension sur mon cou. Il aimait me voir me trémousser, à tenter de me défiler de cette emprise - Arhhhhgggggggggggg… hummm.. je faisais des bruits d’une louve se faisant prendre bien sauvagement par son alpha. La bave coulait de part et d’autres de ma bouche. Il se plaça au dessus de moi, forçant ma bouche à aller sur son anus.. - Humm je ne me lasserai jamais de cette langue oooohhhhhhhhh - C’est ça continue,. ouiiiiiiii Il plaqua ma bouche encore plus fortement en tirant vers le haut le fouet pour que ma langue le pénètre. - Bonne salope… Il avait pris sa queue et se caressait. - Tu me donnes envie de gicler dans ta bouche si accueillante. Il savait que cela me ferait fuir. Il était sur le fil… - Ouvre ta gueule. Il continuait à se caresser à mettre son gland au bord de ma bouche. J'avais confiance, il ne dépasserait jamais ma limite. - j'ouvrais ma bouche, je sortais ma langue - Ohhhh… oohhhhh Il plaçait son gland à l'orée de ma gueule. Il se retient et me rejeta sauvagement. Je sentais qu'il avait du mal à se contenir mais il se contrôlait. Je trouvais sa force admirable. - Assieds toi sur ma queue. Je me levais, je me mis à califourchon sur lui. Toujours attachée mains dans le dos, il m'aida à m'empaler sur son sexe si dur et dressé. Il saisissait mes seins avec tellement de force. Je sentais sa queue frénétique dans ma chatte. - C’est ça dandine toi bien, cherche la, mets la bien profondément. Il tira sur ma chaine pour me plaquer contre lui. Je sentais sa peau transpirante. Ses crocs se planter dans mon cou. - Humm ma louve… tu me rends fou…Il me léchait la bouche encore et encore. Ses baisers si passionnés. Sa frénésie n’avait aucune limite. Sa queue si forte et puissante me transperçait. Il tenait la queue de mon plug dans la main et la remonter pour jouer avec le plug… - Mets toi au sol, cul tendu vers moi comme une bonne petite louve que je vais saillir à nouveau. - Humm tu es si belle ainsi. Il était toujours assis au bord du canapé. Il saisit alors la queue de mon plug pour la remonter. IL caressait ma croupe et me pénétra à nouveau. - Allez cherche mon sexe , branle moi avec ta chatte. Il me laissait mener la cadence. - Hum j’aime voir les aller et venues de ce petit cul pour voir ma queue prendre ta chatte de salope.. Il caressait mes reins. Puis dans un mouvement frénétique, Il me prit par la taille . Nous fusionnons. Je laissons ma tête aller au sol, naturellement. Comme l'étais ma dévotion à son égard. - Ahhhhhh… ahhhh… ahhhhh.. gémissions nous ensemble. Je ne tenais plus. Il était si fort si vaillant. J’aimais être sa louve, comme il était mon loup. Nous nous étions choisi. - Rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh… rahhhhhhh gémit il Ses assauts avant sa jouissance étaient toujours si fort. Je sentais mon sexe gorger par le désir . Il sortit de ma chatte pour répandre sa semence sur ma croupe. Il s’écroula, épuisé, par l’intensité de sa jouissance. Il était si beau. A la fois fort et sans défense. Mis à nu. Il m’aida à me relever, il me prit dans ses bras, il détacha mes poignets. il me prit avec douceur pour qu'on s'allonge l'un contre l'autre sur ce lit. Il me couvrait de couvertures. . Je sentais sa force réconfortante. Je m’endormais ainsi contre lui.. et lui contre moi. Le silence planait. Je sentais sa respiration ralentir. J'étais blottis dans le creux de son cou. Je l'embrassais tendrement. Je me lovais. Sa main avait saisi mon sein, il jouait avec un de mes tétons. Puis doucement je la sente s’immobiliser. - Je t’aime mon loup lui murmurai je. - Ma louve…. Dit il en me calinant… -
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Par : le 27/01/21
Dominatrices et soumises inattendues. CHAPITRE trois : Virginie Extrait « Dix minutes indique Magalie. Elle prend un large collier de cuir et le passe au coup de Virginie. Finalement tu fais un beau cobaye dit-elle… Vingt minutes. Une cagoule sans trous pour les yeux met Virginie dans le noir. Pff j’aurais dû fermer ma grande gueule… C’est quoi ce truc se dit-elle alors qu’elle sent ses seins durcir encore plus qu’ils n’étaient les mamelons tendus à faire mal.En même temps elle sent une onde puissante venir du fond de son bas ventre et en quelques secondes un orgasme incontrôlable la secoue. Elle a définitivement cessé de chercher à se délivrer. Elle gémit dans son bâillon en essayant de reprendre son souffle mais déjà une deuxième vague s’annonce…. Vaincue Virginie ouvre les lèvres et tente d’avaler le dard palpitant. Elle n’a jamais sucé un si gros membre et sans en prendre conscience elle suce avec ardeur… » Ca y est Magalie est maintenant vendeuse de sex toys à domicile. Elle espère que cette petite activité annexe mettra du beurre dans ses épinards. Les premières séances s’étaient bien passées mais la dernière séance la laisse dans l’expectative. Elle s’était avancée sur la question de la belle tigresse et devait maintenant trouver une solution pour honorer sa parole. Elle y pense en rêvassant à sa caisse, il n’y a pas foule, quand Virginie la cheffe caisse l’invite à prendre sa pause. Elle se rend dans la salle de repos du centre où elle n’est pas surprise de se retrouver seule car peu de temps s’est écoulé depuis l’ouverture du magasin et elle doit être la première à prendre sa pause. Virginie la rejoint avec un air triomphant. Alors Magalie on arrondi ses fins de mois avec des drôles de Tupperware déclare-t-elle de but en blanc. Un peu plus âgée que Magalie mais très arrogante, le poste doit lui monter à la tête, Virginie est pas mal foutue avec peut-être un ou deux kilos de trop mais une poitrine exubérante qui fait souvent se retourner les clients males. Elle n’aime visiblement pas trop Magalie et c’est bizarre qu’elle l’aborde comme ça. Magalie se méfie. Oui répond-elle je fais ça le weekend end ou parfois le soir quand je ne suis pas au magasin mais cela ne gêne en rien mon taf ici. Bien sur rétorque Virginie. Tu comptes faire une petite vente au magasin pour tes collègues. Non répond Magalie je ne mélange pas les deux mondes. Ok répond Virginie. Dommage j’aurai bien aimé voir ça. Magalie se demande si c’est du lard ou du cochon. Un silence s’insinue entre les deux femmes. Peut-être que je devrai lui montrer la collection en dehors du taf elle me laissera peut être tranquille après ça. Elle s’enhardie. Si tu veux tu peux venir un soir à la maison je te montrerais de quoi il s’agit tu verras que ça reste coquin main soft. Virginie qui visiblement n’attendait que ça répond ok pourquoi pas ce soir, on finit toutes les deux de bonne heure. Tope là dit Magalie je t’attends chez moi à 18h00, mon compagnon n’arrive que vers 19h00 on aura le temps de jeter un œil avant qu’il n’arrive. A 18h00 pétante Virginie sonne à sa porte, Ponctuelle. Elle doit quand même être curieuse. Magalie la fait rentrer et elles se dirigent vers le salon où des boites et paquets sont déposés sur la table. Magalie invite Virginie à ouvrir délicatement les boites qui l’intéresse. Virginie commence par les toys donnant un avis blasé sur les godes et vibros et autres gadgets puis s’intéresse à la lingerie coquine. Elle flashe sur une guêpière rouge avec porte jarretelles et une culotte assortie. Magalie lui indique que c’est vraisemblablement sa taille. Virginie reste dubitative. Magalie lui propose alors d’essayer l’ensemble pour voir ce que ça donne. Après une courte hésitation Virginie se décide et Magalie lui propose d’aller l’essayer dans sa chambre. Virginie acquiesce et effectivement l’ensemble semble fait pour elle. Cependant le tarif est un peu élevé. Dommage. Elle veut demander à Magalie si elle a un miroir pour qu’elle puisse voir ce que ça donne. Dans un coin de la chambre plusieurs paquets sont entreposés. Surement le réassort en cas de vente se dit elle mais curieuse elle va quand même jeter un œil de près. En fait ce n’est pas un réassort mais des accessoires beaucoup plus hard. Menottes, baillons, colliers et autres. Certainement pour un public plus averti. Elle sort de la chambre et Magalie lui indiqua le chemin de la salle de bain pour qu’elle puisse contempler ses atours. Elle se trouve particulièrement sexy dans cet ensemble. Maugréant pour le tarif elle retourne dans le salon sans se changer et montre sa tenue à Magalie. Celle-ci est épatée par le rendu. La poitrine opulente de Virginie déborde des balconnets qui la rehaussent et Magalie se dit qu’avec ça elle ferait tourner des têtes. Elle la félicite pour le rendu et lui indique que la culotte est fendue pour les moments d’impatience. Virginie la remercie et lui dit innocemment qu’elle a cru voir d'autres paquets dans la chambre. Magalie lui répond qu’effectivement il y a d’autres gadgets mais plus destinés au BDSM en expliquant à Virginie ce que cela voulait dire. Intéressée cette dernière demande si elle peut jeter un coup d’œil. Magalie obtempère et quelques minutes après Virginie peut de nouveau ouvrir des paquets. Le contenu provoque sur elle un émoi inattendu. Il faut dire qu’imaginer ce que l’on peut faire avec était particulier. Elle s’intéresse aux bracelets qui avaient déjà été utilisés avec Anna par Martine. Pff ces gadgets ne doivent pas être très difficiles à ôter si on veut déclare Virginie. Humm Je pense que tu t’avances un peu dit Magalie sachant bien que ces accessoires sont diablement efficaces et impossible de s’en défaire sans une aide extérieure. Je parie que je me m’en défais en moins de cinq minutes claironne Virginie. Pari tenu, Si tu veux on peut essayer dit Magalie confiante. Vexée de cet aplomb Virginie dit banco et on pimente le pari si je m’en débarrasse en moins de cinq minutes je gagne l’ensemble que je porte. Humm dit Magalie malicieuse ok mais si tu n’y arrives pas toutes les cinq minutes je te mets un de ces gadgets en plus jusqu’à soit tu te délivres soit que je n’ai plus rien de dispo. Les yeux brillant d’excitation à l’idée de gagner si facilement cette guêpière Virginie tend ses poignets à Magalie. Consciencieusement celle-ci applique les bracelets en souriant en voyant que les courroies n’arrivent qu’à deux crans de ce qui avait été atteint par Anna. Puis elle fait se retourner Virginie et actionne la fermeture. Top départ indique-t-elle à Virginie en regardant la pendule du salon. Tu as cinq minutes. Aussitôt Virginie se met à l’œuvre. Elle se contorsionne autant qu’elle pouvait mais la fermeture résiste. C’est peut-être un peu plus compliqué que prévu mais je n’ai pas dit mon dernier mot. La laissant s’acharner Magalie se sert un cocktail en cherchant quel gadget serait le premier appliqué. Cinq minutes indique-t-elle. C’est l’heure du premier gadget. Elle se décide pour le bâillon boule rouge qui ira bien avec la guêpière et entreprend de museler Virginie. Cette dernière rétive se laisse cependant faire un pari est un pari. Dix minutes indique Magalie. Elle prend un large collier de cuir et le passe au coup de Virginie. Finalement tu fais un beau cobaye dit-elle .Virginie se demande comment elle put se sortir de là elle ne peut même pas parlementer avec Magalie le bâillon étant trop efficace pour lui faire dire autre chose que des borborygmes. Quinze minutes. Les pinces à tétons viennent s’appliquer sur les bouts tendus de Virginie. Ça ne fait pas vraiment mal mais quelque part ces gadgets l’excitent un peu sans qu’elle ne puisse s’en empêcher. Vingt minutes. Une cagoule sans trous pour les yeux met Virginie dans le noir. Pff j’aurais dû fermer ma grande gueule maintenant il va falloir que j’attende qu’elle finisse de m’appliquer sa collection. Et puis je commence à fatiguer debout en cherchant à garder mon équilibre sans repères. Vingt-cinq minutes dit Magalie. Tu dois commencer à fatiguer mets-toi à genou sur le tapis ça sera moins inconfortable. Elle accompagne Virginie jusqu’au sol et en profite pour lui appliquer deux bracelets aux chevilles. Si tu n’y arrives pas je vais t’aider en séparant un peu tes mains et joignant le geste à la parole elle crochète les bracelets des mains aux bracelets des chevilles en vis-à-vis. Ça doit être plus simple comme ça dit Magalie. Soudain un bruit se fait entendre dans le couloir. Magalie a complétement oublié que Tristan doit la rejoindre ce soir-là. Avant qu’elle ne réagisse Tristan pointe son nez à l’entrée du salon et surpris il dit mais tu fais des heures supplémentaires avec tes clientes ? Tu les fais essayer ta panoplie ? Je te présente Virginie répond-elle. Elle est venue voir ce que j’avais et a absolument voulu parier qu’elle se délivrerait des bracelets en cinq minutes ça fait une demi-heure maintenant. Intéressant dit-il en se rapprochant de Virginie qui glapissait dans son bâillon. Apparemment ton matériel est solide mais tu devais lui mettre tout ça ? Oui ça fait partie du pari dit-elle d’ailleurs il va être l’heure de passer au gadget suivant. Tu veux m’aider à le mettre. Virginie paniquée ne songe plus à ôter ses liens mais veut disparaitre dans un trou de souris. Offerte ainsi harnachée à la vue d’un inconnu lui fait une grande chaleur dans le ventre. A son grand désarroi cette chaleur est autant provoquée par la honte d’être ainsi exposée et vulnérable que par l’excitation de savoir qu’elle est soumise au regard d’un étranger. Mais qu’est-ce que Magalie peut encore lui mettre. Elle sent que Magalie lui ôtait les pinces à tétons ouf. Elle a terminé. Mais alors qu’elle pense son calvaire terminé elle sent de nouvelles pinces s’accrocher à ses tétons. Le poids suspendu aux pinces est plus important et elle sent que ces poids viennent des pinces. Magalie lui dit que ça ne compte pas car elle a enlevé un gadget et entreprend en même temps de lui appliquer quelque chose dans l’entrejambe. Elle sent un objet oblong la pénétrer pas trop gros visiblement pas un gode et en plus il s’affine vers la fin Magalie se relève et l’objet reste bien au chaud dans le vagin de Virginie. C’est quoi ce truc se dit-elle. Magalie lui donne la réponse en disant à Tristan tiens voici la télécommande. Amusé il clique sur le bouton aussitôt les seins et le vagin de Virginie se mettent à vibrer de concert. C’est quoi ce truc se dit-elle alors qu’elle sent ses seins durcir encore plus qu’ils n’étaient les mamelons tendus à faire mal. En même temps elle sent une onde puissante venir du fond de son bas ventre et en quelques secondes un orgasme incontrôlable la secoue. Elle a définitivement cessé de chercher à se délivrer. Elle gémit dans son bâillon en essayant de reprendre son souffle mais déjà une deuxième vague s’annonce. Elle ruisselle de sueur et son corps brillant est particulièrement excitant tant pour Tristan que pour Magalie. Ça a l’air de bien marcher dit Tristan. Souriante Magalie s’adresse à Virginie visiblement tu apprécies on va voir les différents réglages permis par la télécommande. Tristan clique de nouveau et les vibrations changent de rythme. Virginie suffoque c’est trop. Apres quelques minutes alors que Virginie ne peut plus compter ses orgasmes Magalie décide que c’est fini. Bon Virginie il me semble que tu renonces à te libérer et que tu as perdu ton pari. Virginie hoche la tête. Son calvaire va enfin se terminer. Elle sent Magalie lui ôter la cagoule et elle revoit le jour. Devant elle, elle voit un garçon qui la regarde avec un regard qui en dit long sur ses pensées. Magalie lui ôte le bâillon aussitôt Virginie se met à l’insulter en lui disant que ça ne se passerait pas comme ça et qu’elle allait se venger. Elle n’a pas le temps d’aller plus loin. Magalie lui flanque une paire de claques sur les seins déjà malmenés et lui réajuste le bâillon. Ecoute bien c’est toi qui a voulu voir et tester mon matériel. Maintenant tu ne vas pas en parler ailleurs sinon je me ferais un plaisir de mettre le petit film que j’ai fait avec mon portable. Tu avais l’air de profiter plutôt que subir. Interloquée Virginie se tait tout de suite et lorsque Magalie enlève le bâillon elle ne dit rien. Maintenant pour te faire pardonner de m’avoir menacée tu vas devoir faire quelque chose. Elle lui montre Tristan qui ne demande pas mieux baisse sa braguette et exhibe un gourdin comme Virginie n’a jamais vu. Elle ne peut détacher son regard du membre. Tristan s’approche. Elle veut détourner la tête mais Magalie tenant fermement le collier toujours en place remet sa tête dans la bonne direction. Vaincue Virginie ouvre les lèvres et tente d’avaler le dard palpitant. Elle n’a jamais sucé un si gros membre et sans en prendre conscience elle suce avec ardeur tout en se demandant ce que ça ferait d’avoir ce truc au fond de sa chatte. Au bout de quelques instants Magalie décide que c’était bon. Et Tristan se retire donnant presque des regrets à Virginie. En un tournemain Magalie achève de la détacher et de lui ôter les artifices qui l’ont mise dans un drôle d’état. Toujours muette Virginie reste là ne sachant pas que faire. Magalie lui propose d’aller prendre un douche dans la salle de bain ce qu’elle fait avec soulagement. Lorsqu’elle revient dans le salon piteuse Magalie la remercie de l’avoir aider à tester son matériel et lui offre la guêpière et la culotte en récompense. Susurrant un merci pitoyable Virginie récupère son nouveau bien et prend congé sans tarder. Tristan ayant toujours la gaule et Magalie étant quand même bien échauffée après cette soirée ils baisent comme des morts de faim dans le salon.
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Par : le 27/01/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 2 Anna Extrait « …Joignant le geste à la parole elle fixe une courte laisse au collier de cuir et elle traine Anna derrière elle jusqu’à la salle de bains. Etre ainsi promenée fait un effet incroyable à Anna. Son bas ventre irradie et elle doit commencer à mouiller sévère. Elle ne s’attendait pas ce que ça lui fasse tant d’effet.… Ainsi le sexe d’Anna est exposé à portée de main. Quelques secondes plus tard elle sent un objet se présenter à l’entrée de son sexe elle veut se débattre mais ses mouvements désordonnés accélèrent la pénétration et elle se sent remplie par une queue de bonne taille… » Maintenant qu’elle a franchi le pas Magalie commande un lot de toys destiné à sa première séance de vente. Elle a pris des godes, des vibros, quelques nuisettes et guêpières enfin un lot de toys sages et repensant à la soirée poker elle a aussi pris quelques accessoires de bondage destinés on ne sait jamais à Tristan pour lui rappeler qui commandait ici. En réfléchissant elle en a pris aussi destinés à une victime plus féminine, peut être que cela intéressera une de ses futures clients. Le colis est livré chez elle et avant de l’ouvrir elle souhaite faire la primeur de l’ouverture avec ses deux meilleures copines. Celles-ci sont ravies mais à la dernière minute Claire du se décommander car on a besoin d’elle au taf. Tant pis Magalie et Anna découvriront ensemble le contenu du colis. Ce soir-là Anna est fébrile elle n’a pas dormi le fameux soir et a pas mal fantasmé sur ce qu’elle a vu. Surtout les propos de Magalie au moment du départ l’ont profondément retournée. Elle se dit que ces mots ont été prononcés dans l’euphorie du moment et que Magalie les assurément oubliés. Néanmoins elle y pense au fond d’elle-même et par défi elle se décide à s’habiller de façon suggestive. Une petite jupe en cuir s’ouvrant sur le côté et un chemisier léger feront l’affaire. Pas besoin de culotte et pas besoin de soutien-gorge, ses petits seins haut perchés et durs comme de la bakélite rendent ce dernier superflu. Une simple veste cache ses formes dans la rue, elle ne veut pas se faire remarquer. Comme souvent ses cheveux courts sont décoiffés ce qui lui donne un air de lolita renforcé par sa petite taille, elle entre facilement dans du 36 et son ventre ultra plat rend jalouses toutes les femmes qu’elle croise. Arrivée chez Magalie elle sonne en se demandant ce qui arrivera quand elle pénétrera dans l’appartement. L’accueil de Magalie est enthousiaste et cette dernière la félicite pour sa tenue extrêmement sexy sans faire d’allusion à leur dernière soirée. Anna accepte timidement les compliments en se demandant si elle doit et heureuse ou vexée de la promesse oubliée. Elles se dirigent dans le salon et entreprennent d’ouvrir les paquets. D’abord les toys féminins classiques et les tenues suggestives. Malgré leur sérieux affiché elles sont quand même un peu émoustillées par ce qu’elles voient. Ensuite elles passent aux accessoires de bondage. La tension monte d’un cran car toutes les deux se remémorent Tristan et l’imaginent ligoté avec ces menottes, baillons, masque colliers et autres accessoires qui auraient été utiles ce soir-là. Magalie lui montre les accessoires dédiées aux femmes se demandant si s’était adapté aux petits poignets et chevilles d’une fille de la taille d’Anna. Celle-ci fait aussi part de ses doutes la dessus. Magalie lui propose alors de servir de cobaye pour tester le matériel. Anna hésite un peu mais accepte de bonne grâce, après tout c’est uniquement pour le boulot. Elle enlève ses chaussures et se laisse passer des bracelets en cuir noir aux poignets et chevilles. Les bracelets ferment avec des courroies crantées et Il est nécessaire d’aller jusqu’au dernier trou pour serrer suffisamment. Magalie lui propose un large collier en cuir muni d’un anneau brillant devant certainement destiné à accrocher une laisse ou quelque chose de similaire. Anna semble apprécier ces essais Magalie lui propose d’essayer un bâillon boule rouge souple maintenu par une lanière du cuir. Enfin Magalie la contourne et lui joint les bras en arrière elle fait agir le cliquet qui solidarise les deux bracelets. Ainsi menottée Anna ne peut s’empêcher d’ouvrir sa poitrine projetant en avant ses seins qui semblent défier le monde. Admirant l’œuvre Magalie lui propose d’aller contempler tout ça devant le miroir en pied de la salle de bains. Joignant le geste à la parole elle fixe une courte laisse au collier de cuir et elle traine Anna derrière elle jusqu’à la salle de bains. Etre ainsi promenée fait un effet incroyable à Anna. Son bas ventre irradie et elle doit commencer à mouiller sévère. Elle ne s’attendait pas ce que ça lui fasse tant d’effet. Arrivées devant le miroir elles contemplent le résultat et Magalie la félicite pour porter aussi bien ces accessoires. Anna ne peut rien dire, le bâillon l’en empêchant mais elle ouvre de grands yeux devant son image ainsi exhibée. Magalie ayant remarqué les seins pointés en avant lui indique qu’elles allaient essayer un truc en plus. Et fixant la laisse à la tringle du rideau elle laisse Anna seule ne pouvant pas faire plus d’un pas toujours face au miroir. Quelques instants après Magalie reparait avec dans la main une petite chainette avec une pince chromée à chaque extrémité. Intriguée Anna se demande ce que s’est quand Magalie entreprend de déboutonner son chemisier, puis écarte celui-ci et ne pouvant l’enlever complètement le repousse jusqu’aux poignets d’Anna. Anna peut voir ses seins pointant gaillardement vers le miroir. Magalie époustouflée admire les rondeurs en et lui déclare que ce sont les plus beaux seins qu’elle n’a jamais vu et qu’ils méritent un traitement de faveur. A la surprise d’Anna elle saisit un mamelon et le triture le rendant encore plus rouge et turgescent De l’autre main elle approche une pince qu’elle fixe au mamelon tendu à l’extrême. Forte mais pas vraiment douloureuse la morsure de la pince fait gémir Anna qui se demande elle-même si c’est de douleur ou de plaisir. Magalie angoissée lui demande si ça fait trop mal. Anna secoue négativement la tête et quelques secondes après elle est affublée d’une nouvelle parure allant d’un téton à l’autre tendant ceux-ci comme jamais. Satisfaite de son travail Magalie lui dit qu’elle est encore trop habillée pour qu’on puisse se rendre compte vraiment et sans laisser à Anna le temps d’objecter elle dégrafe la jupe qui tombe à ses pieds. Voyant le petit triangle duveteux sur son pubis Magalie se fait la réflexion que là Claire n’aurai pas besoin d’intervenir. Finalement Anna se retrouve nue et ligotée dans l’appartement de sa copine comme cette dernière avait dit même si le cheminement avait été indirect. Fier de son œuvre Magalie dit qu’elles devaient arroser ça et reprenant la laisse elle promène Anna dans l’appartement jusqu’au salon. Laissant Anna debout sur le tapis de elle se sert un cocktail et trinque à sa santé. Immobile, ne sachant pas quoi faire Anna regarde sa copine l’implorant du regard pour qu’elle la libère. Voyant ça Magalie lui met un masque en cuir identique aux masques faite pour dormir et Anna se retrouve dans le noir. Magalie lui dit alors qu’elle hésite à faire venir Tristan pour qu’à son tour il contemple une œuvre d’art dans le salon. Puis l’alcool aidant Magalie glissa sa main dans l’entrejambes d’Anna et sans surprise y rencontra un sexe ouvert mouillant à l’extrême. Ça a l’air de te plaire mes petits gadgets. Il va être temps de passer à autre chose. Anna glapi derrière son bâillon mais ne peut rien faire de plus. Magalie la fait mettre à genou et passant derrière désolidarise les bracelets entravant ses bras mais au lieu de les relâcher elle fixe chaque bracelet au bracelet de cheville adapté. Maintenant toujours aveugle et muette Anna est à genou, les poignets collés aux chevilles. Magalie lui fait écarter les genoux et glisse une main experte dans la fente ruisselante. Anna gémit. Bon maintenant on va essayer les godes. Je ne pense pas qu’il y a besoin de lubrifiant tu as fait le nécessaire toute seule. Anna veut se rebiffer et rue mais sans effort Magalie la fait basculer sur le dos. Ainsi le sexe d’Anna est exposé à portée de main. Quelques secondes plus tard elle sent un objet se présenter à l’entrée de son sexe elle veut se débattre mais ses mouvements désordonnés accélèrent la pénétration et elle se sent remplie par une queue de bonne taille, notant inconsciemment que l’effet est multiplié par la situation. Magalie fait faire quelques va et vient au gode ce qui fait de l’effet à Anna vaincue. Cette dernière râle presque lorsque l’objet la quitte d’un coup. Bon ça semble bien fonctionner note Magalie. Voyons maintenant une taille plus conséquente. Anna est inquiète elle plaisante, ce gode me fourrait déjà pleinement je ne peux pas prendre plus gros. Alors qu’elle se pose la question un deuxième objet se présente à l’entrée de la grotte T’inquiète pas je l’ai lubrifié celui-là annonça Magalie. Anna sent que le gode est plus gros que le précédant car il pèse à l’entrée du sexe et n’ira probablement pas plus loin. Magalie manipule d’une main experte le gourdin et millimètre par millimètre celui-ci se fraye un chemin dilatant le vagin et remplissant Anna comme jamais ce n’était arrivé. Elle n’ose pas bouger de peur de se faire mal mais en même temps son bassin veut onduler pour avaler ce monstre. Enfin après quelques va et vient légers mais insistants le gode s’enfonce complétement. Bien joué ma chérie dit Magalie tu es bien remplie avec ça. Je ne pense pas que le modèle XXL puisse te convenir. Voyons ce que tu en penses. Et elle entame une série de va et vient qui surprend à chaque fois Anna qu’elle sent l’engin revenir et la remplir comme pas possible. N’y pouvant rien elle est obligée de jouir plus d’une fois et lorsqu’enfin Magalie retire le gode elle est pantelante et rompue. Maintenant pour finir on va tester les vibros. Comme dans un rêve Anna est la cobaye de tous les vibros de la panoplie et croit qu’elle va s’évanouir tellement elle est rincée par ses jouissances répétées. Magalie décide enfin que les tests sont concluants et entreprend de détacher Anna. Cette dernière un peu honteuse ne pipe mot. Magalie lui propose de prendre une douche et de revenir arroser ça avec elle. Sans rien dire Anna se rend sous la douche ou elle reste longtemps. Ne trouvant pas ses fringues elle revient nue dans le salon et boit son verre tranquillement. Elle n’a plus rien à cacher à Magalie de son intimité. Voyant que visiblement elle était crevée Magalie lui propose de dormir chez elle et de partager son lit. Elle accepte et elles se rendent vers le lit. Alors qu’elle allait se coucher elle est rattrapée par Magalie qui lui dit qu’elle devait encore faire une ou deux petites choses et quelques instants plus tard le collier et les quatre bracelets sont remis et Anna se retrouve par terre couchée sur le dos sur une épaisse couverture les bras et jambes tendus attachés en croix et l’extrémité de la laisse dans la main de Magalie qui pend hors du lit. Trop crevée pour s’insurger Anna s’endort rapidement dans un sommeil peuplé de fantasmes. Le lendemain lorsqu’elle se réveille elle est complétement détachée et Magalie l’attend un peu perplexe avec un copieux petit déjeuner. Anna la salue et Magalie lui demande innocemment ce qu’elle pense du déballage des toys. Anna se surprend à lui répondre qu’elle ne devrait pas l’oublier lors de la prochaine livraison mais que cette fois c’est Magalie qui testera les toys. La conversation part vers d’autres sujets et le petit déjeuner entre fille est cordial. Après le départ d’Anna Magalie se demande ce qui l’a poussé à faire ce qu’elle avait fait dans la soirée. Elle n’est quand même pas devenue lesbienne. Rentrée chez elle Anna se remémore la soirée. Elle se dit bien qu’elle aurait dû refuser et que Magalie avait exagéré mais son bas ventre lui hurle le contraire. Quelle attitude devra-t-elle prendre lorsque les copines se retrouveront ?
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Par : le 27/01/21
Un article, des souvenirs, une envie commune, il ne nous en faut pas plus pour se retrouver ce dimanche après-midi. Vous allez raviver des souvenirs qui vous tiennent à cœur. La météo est avec nous et une épaisse couche de neige est venue recouvrir nos campagnes. Et la chance était aussi avec moi car la veille j’ai récolté de belles tiges de houx et de noisetiers. Maîtresse se régale en les découvrant. Nous nous rendons dans un lieux chargé de souvenirs que Maîtresse a la gentillesse de partager avec moi, sa petite chose. Un honneur et une pression supplémentaire à n’en pas douter. Maîtresse prend possession de son soumis corps et âme. A cet instant, rien n'est plus important que de lui offrir ce plaisir qu’elle va chercher au fond de moi. Ses envies s'épanouissent sur ma peau. Les tiges de noisetiers sifflent à mes oreilles et lézardent mon dos, le houx arrache des perles de sang à ma peau meurtrie, la neige brûle et nettoie tout cela Cette neige, ce don du ciel, Maîtresse s’en régale. Elle me bombarde de boules de neige et attaché à ce poteau, je ne peux que subir. Maîtresse est joueuse, ça la fait bien rire, un rire communicatif, apaisant. Elle obtient de moi le dépassement de mes limites. Je ne m'appartiens plus. Je demande "Pitié , Maîtresse". Acceptera-t-elle mes supplications ? Elle seule peut en décider. Je suis sa petite chose, son petit chien qui se roule dans la neige à la moindre injonction. Mais Maîtresse sait comment prolonger son plaisir ; elle me réchauffe, me câline et je suis de nouveau prêt à endurer toute la fougue de ses délicieux sévices. Surtout évacuer toutes retenues, ne plus penser, Maîtresse s’en chargera. Elle m'arrache des gémissements non feints. Je lutte mais je n'ai pas de doute ; Maîtresse me fera capituler. Je résiste autant que mon corps me le permet mais cette capitulation arrive " PITIE MAÎTRESSE JE VOUS EN SUPPLIE". Pas de doute, vous avoir régalé sera ma récompense. Le susucre tendu à sa petite chienne. A regret, nous quittons l’antre de Maîtresse repus de sensations fortes, emplie de joie à la simple idée d’avoir renouveler les souvenirs. Nous revenons en ville mais Maîtresse a décidé de m’explorer encore un peu. Me prenant un peu de cours, elle m’intime l’ordre de tourner à droite. Arrivée dans un terrain vague, Maîtresse me demande de m’arrêter là. Elle reprend un jolie brin de houx pour prolonger son plaisir. Elle fouette mon ventre, pique mes tétons avec les feuilles acérées, puis mon gland à travers la cage, je trésaille, je gémis. Maîtresse se délecte de mon corps, elle prend de plus en plus plaisir à me griffer, soulevant ma cage pour atteindre mes testicules et les piquer de plus belle. Plus je gémis, plus son excitation grandit et plus sa jouissance monte. Elle me mordille les tétons en même temps qu'elle pique mon gland derrière ses barreaux. J'ai mal, me tortille et la supplie malgré moi, mais elle continue encore un peu, son plaisir est si grand, si intense, au bord de la jouissance... Elle me dira après qu'elle en a mouillé … Moi, je reste frustré de ne pas avoir pu goûter la cyprine de Maîtresse. L’excitation retombe, Je remet à Maîtresse les clés de ma cage; elle me libère et m’ordonne de me branler. J’entame cette branlette au rythme que m’impose Maîtresse. Branlette immédiatement contrariée par les piquants d’une feuille de houx dont se sert Maîtresse pour frôler et piquer mes couilles. Un jeu s’engage, ce sera mon éjaculation ou ma frustration. Maîtresse gagne haut la main. J’éjacule timidement. Ma seule vraie jouissance sera morale au bout des jeux de Maîtresse. Il est temps de remettre ma cage mais Maîtresse est décidément très joueuse aujourd’hui. Elle se sert habilement du houx pour contrarier mes efforts d’assemblage façon IKEA. Avec sa mansuétude, cette fois-ci je gagne et le cadenas fais «CLIC». Je remet solennellement la totalité des petites clés de ma cage à Maîtresse. Son emprise est maintenant totale, physique, morale et sexuelle. Loin de me déplaire, je suis fier que cette appartenance prennent forme aux pieds d’une Maîtresse aussi exceptionnelle. J’aurais aimé que le temps s’arrête mais il me fallait ramener Maîtresse chez elle. Au moment de se quitter, les sourires illuminent nos deux visages gage que cette belle histoire se prolongera. Il me faudra du temps pour reprendre possession de mon être. Arrivé chez moi, épuisé je ne tarde pas à m’endormir la tête pleine d’images merveilleuses. Merci Divine Maîtresse YAKA
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Par : le 27/01/21
Le fouet, c'est comme un appel... Avant qu'il commence sa danse, il y a le silence, l'attente, une certaine crainte. Puis soudain, le fouet claque, il fend l'air. Le fouet fait un bruit particulier, un claquement sec, c'est la mèche qui en est responsable, elle est dû au franchissement du mur du son. (Un phénomène scientifiquement prouvé) La mèche vous atteint, vous mords, vous signe, vous cingle, vous pique, vous brûle, vous enveloppe, vous caresse. SENSUALITE Plus cela dure et plus la peau, le corps est emporté dans une danse enivrante, des sensations étranges, une volupté. Un peu comme les vagues qui vont et viennent sur le rivage. Avec le fouet, je me suis échappée, me laissant emportée, brûlée, captivée, ensorcelée par lui. Sublime voyage ou plus rien n'existe, j'ai ressenti l'impression de 'flotter'. Les lettres incarnates se sont imprimées sur ma peau. Elles ont changé de couleur au fil des jours. Pour ne laisser que quelques traces. Maux que seul le fouet écrit et rappelle. Un instrument cinglant à manier avec précaution. On peut le craindre parce qu'on sait qu'il peut faire très mal et laisser des marques durables. On peut l'espérer, le souhaiter. On peut être bouleversée par lui. Son maniement est particulier et spectaculaire, Il n'est pas à mettre dans n'importe quelles mains afin de ne pas blesser la personne soumise. Un coup qui tombe mal, qui ne suis pas la voie qu'il aurait dû prendre, la peau éclate et s'ouvre. Il faut la confiance en celui qui le manie et le respect. Ce qui me fascine, c'est sa morsure. Ne pas savoir ou le coup va claquer, brûler. L'attente de connaitre l'endroit où il va terminer sa course, sur le parchemin de ma peau. Le fouet a troublé mon corps et j'en désire encore. Le 13 mai 2011
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Par : le 27/01/21
"Nous autres libertins, nous prenons des femmes pour être nos esclaves. Leurs qualités d'épouse les rend plus soumises que les maîtresses, et vous savez de quel prix est le despotisme dans les plaisirs que nous goûtons. Heureuses et respectables créatures, que l'opinion flétrit, mais que la volupté couronne, et qui, bien plus nécessaires à la société que les prudes, ont le courage de sacrifier, pour la servir, la considération que cette société ose leur enlever injustement. Vive celles que ce titre honore à leurs yeux; voilà les femmes vraiment aimables, les seules véritablement philosophes." "La philosophie dans le boudoir" (1795) Depuis très longtemps, Sade a une réputation sulfureuse. Cette réputation a précédé l’écriture de l’œuvre. Qui ignore encore la scène du jeune marquis fouettant des ribaudes à Marseille, semant des dragées à la cantharide ou blasphémant, lacérant des entailles dans la chair de Rose Keller à Paris ? Qui méconnaît le sort du marquis de Sade enfermé treize ans à Vincennes puis à la Bastille par lettre de cachet délivrée à la demande de sa belle-mère et libéré en 1790 quand la Révolution a supprimé les lettres de cachet ? Criminel ? Martyr ? Cette réputation enflamme l’imagination. On accuse Sade, on défend Sade mais qui lit Sade ? En réalité, peu de monde. S'il est un dénominateur commun à tous les esprits libres n’ayant eu pour seule exigence que celle de dire la vérité, quitte à à heurter les conventions, mœurs et opinions dominantes, c’est sans doute celui d’avoir subi les épreuves de l’ostracisme, de l’anathème, voire de la peine capitale. Le cas de Socrate, condamné à boire le poison mortel de la ciguë, aussi bien que ceux de Galilée, Diderot, Voltaire, ou plus récemment encore, Antonio Gramsci, tous ayant souffert du supplice de séjourner derrière les barreaux, viennent témoigner de la constance historique de cette règle. Inscrire le marquis de Sade qui a passé vingt-sept ans de sa vie entre prison et asile d’aliénés dans cette lignée d’auteurs prestigieux risque d’offusquer bien des esprits. Sade, il est vrai que rien que le nom suffit à évoquer un imaginaire sulfureux. Viol, esclavage sexuel, inceste, crimes avérés. D’où une certaine aversion diffuse à son égard, qu’on retrouve peut-être davantage dans la population féminine très exposée dans ses récits. Le dossier Sade fut instruit durant deux siècles et enflamma les esprits. Est-il clos ? Durant tout le XIXème siècle et la majeure partie du vingtième, le nom de Sade fut associé à la cruauté et à la perversion avec la création du mot "sadisme" et ses ouvrages furent interdits. Depuis Apollinaire, sa pensée irrigue la pensée intellectuelle et universitaire, jusqu’à sa reconnaissance littéraire et la canonisation par la publication de ses œuvres complètes dans la collection "La Pléiade". Tandis que les manuscrits de Sade étaient encore interdits de réédition, le poète Apollinaire, dès 1912, fut le premier à ébranler le mythe misogyne autour de Sade: "Ce n’est pas au hasard que le marquis a choisi des héroïnes et non pas des héros. Justine, c’est l’ancienne femme, asservie, misérable et moins qu’humaine; Juliette, au contraire, représente la femme nouvelle qu’il entrevoyait, un être dont on n’a pas encore l’idée, qui se dégage de l’humanité, qui aura des ailes et qui renouvellera l’univers", défendait le poète. Quelques décennies plus tard, c’est Simone de Beauvoir, qu’on ne peut soupçonner de verser dans l'idolâtrie, dans son célèbre texte "Faut-il brûler Sade?", qui admet que "le souvenir de Sade a été défiguré par des légendes imbéciles." Pourquoi le XXème siècle a-t-il pris soudain Sade au sérieux ? Le divin marquis fut au carrefour des réflexions féministes de l’après-guerre dont l'auteure de "L'invitée" et des "Mandarins" reste l’une des figures précurseures. Sade aimait-il les femmes ? Car voilà une œuvre qui donne à voir, sur des milliers de pages, des femmes humiliées, violées, battues, torturées, tuées dans d’atroces souffrances, et leurs bourreaux expliquer doctement qu’elles sont faites pour être leurs proies et qu’ils ne savent jouir que par leurs cris de douleur et d’épouvante. Est-il nécessaire d’aller chercher plus loin ? Sade fut-il un militant fanatique, paroxysmique de la misogynie, des violences faites aux femmes et donc, puisque telle est la question traitée, est-il un auteur à rejeter ? Il y a quelques années, cette opinion a été affirmée, de manière singulièrement tranchée, par l'essayiste Michel Onfray, en lui consacrant un chapitre de sa "Contre-histoire de la philosophie", une partie de son ouvrage sur "l’érotisme solaire" puis un essai illustrant son propos. Pour Onfray, Sade prêche une "misogynie radicale" et une "perpétuelle haine de la femme." "Il est tout à la fois un "philosophe féodal, monarchiste, misogyne, phallocrate, délinquant sexuel multirécidiviste." Le réquisitoire est implacable et Michel Onfray le prononce en tapant à coups de masse sur tout ce qui, dans les multiples monographies consacrées à Sade, pourrait le nuancer. Pour Onfray, Sade, plus qu’un délinquant sexuel réellement impliqué dans plusieurs affaires entre 1763 et 1777, est un criminel avéré. Son œuvre, quoique largement postérieure à cette période, serait ni plus ni moins celle 
d'un "aristocrate antisémite" et tous ceux qui, au XIXème siècle, s’y sont intéressés, sont les complices d’un assassin patenté. À cet égard, l’outrecuidance du controversé essayiste ne connaît pas de bornes. De fait, la galerie de portraits de ceux qui se seraient déshonorés parce qu'ils ont tenu Sade pour un grand écrivain est impressionnante. Apollinaire, Breton, Aragon, Desnos, Bataille, Barthes, Lacan, Foucault, Sollers, tous frappés par le "déshonneur des penseurs." Fatuité ou narcissisme exacerbé ? Certes, l’œuvre de Sade regorge d’horreurs ciblant particulièrement des femmes. Le nier serait une contre-vérité. Mais l'auteur de "La philosophie dans le dans le boudoir" nourrissait-il une haine des femmes ? Sade était-il misogyne ? La question est posée avec tant de force et de constance par ses procureurs, que l'on se trouve pour ainsi dire contraint de s’y arrêter. Sade n’aimait pas sa mère, qui ne l’éleva pas, et détestait sa belle-mère, qui le lui rendait bien. Il en tira une exécration de la maternité toujours renouvelée dans son œuvre. Comme la majorité des aristocrates libertins de l’Ancien Régime, il était bisexuel comme certains d’entre eux, amateur de pratiques mêlant plaisir et douleur, infligée ou éprouvée, rarement consentie. Il viola, fouetta, blessa, drogua, fut condamné à plusieurs reprises. Ses crimes le menèrent à juste titre devant les tribunaux. Avec Renée Pélagie, qu’il épousa contraint et forcé, il fut un mari autoritaire, infidèle, jaloux et goujat, mais, malgré tout, éprouva pour elle, à sa façon, une véritable affection liée à leur heureuse entente sexuelle. Sa vie de "débauché outré", selon les énoncés motivant sa toute première arrestation, s’acheva brusquement à l’âge de trente-huit ans par une lettre de cachet qui le condamna à une incarcération pour une durée indéterminée. Il passa douze années incarcéré à Vincennes et à La Bastille. Il fut libre durant douze ans et eut alors pour compagne, jusqu’à sa mort, une actrice qu’il surnomma Sensible qui partagea sa vie. Elle fut sa muse, constatant lui-même qu'il avait changé: "Tout cela me dégoute à présent, autant que cela m'embrasait autrefois. Dieu merci, penser à autre chose et je m'en trouve quatre fois plus heureux." Sade se comporta donc mal, voire très mal, avec certaines femmes, notamment dans la première partie de sa vie avec ses partenaires d’orgies, au demeurant parfois des hommes, considérées par lui comme des "accessoires", des "objets luxurieux des deux sexes" comme il l’écrivit dans "Les Cent Vingt Journées." Lorsque son existence prit un tour plus ordinaire, il se coula dans l’ordre des choses, n’imagina pas que le rôle des femmes qu’il fréquentait, mères, épouses, domestiques, maîtresses, prostituées pût changer et ne s’en trouva pas mal. De là, à dénoncer sa "haine des femmes." Sade adopta le genre le plus répandu à son époque, celui du roman ou du conte philosophique. Beaucoup d’écrivains reconnus y allèrent de leur roman libertin, soit "gazés" comme "Les Bijoux indiscrets" de Diderot, Le "Sopha" de Crébillon, "Les Liaisons dangereuses" de Laclos, "Le Palais-Royal" de Restif de La Bretonne, soit crus comme "Le Rideau levé", ou "L’Éducation de Laure" de Mirabeau. La misogynie de l’œuvre de Sade, si elle avérée, doit donc être débusquée dans ce cadre où art et philosophie sont intriqués. Comment l'auteur de "La philosophie dans le boudoir faisait-il parler les femmes ? Concernant l’art, on s’épargnera de longs développements pour souligner qu’aucune borne ne doit escarper le chemin qu’il choisit de suivre, quand bien même celui-ci serait amoral ou scabreux. Sauf à prêcher un ordre moral d'un autre âge. Féminisme ne rime pas avec ligue de la vertu, inutile d’argumenter sur ce point. L’œuvre d’art peut enchanter, elle peut aussi choquer, perturber, indigner, révolter, elle est faite pour ça. Exploratrice de l’âme, elle peut errer dans ses recoins, fouailler dans la cruauté, l’abjection, la perversion, explorer le continent du mal et ses "fleurs maladives". En matière philosophique, Sade forgea ses convictions au travers du libertinage, qui mêlait licence des mœurs et libre-pensée, la seconde légitimant la première. Critiques de dogmes ? Par conséquent de la religion, principal verrou bloquant la liberté de conscience, les libertins annoncent et accompagnent les Lumières. Il s’agit de la grande question du mal et de la Providence. Comment entendre que sur terre les méchants réussissent, quand les hommes vertueux sont accablés par le malheur ? Sade s’accorda avec Rousseau sur le fait que l’homme à l’état de nature se suffit à lui-même. Mais Rousseau préconise dans le Contrat social la "religion naturelle" et la limitation de la liberté individuelle au nom de la loi issue de la volonté générale. Il affirme qu’au sortir de la nature, tout est bien; il définit la vertu comme un effort pour respecter cet ordre naturel, pour soi et pour les autres. Le plaisir concorde ainsi avec la morale; la tempérance est plus satisfaisante que l’abandon de soi dans la volupté. Sade s’attacha méthodiquement à réfuter ces idées, et cela en partant comme Rousseau de la question première: la relation de l’homme à la nature, qu’il traita en adoptant la philosophie matérialiste et biologique nourrie des découvertes scientifiques de l’époque. "Usons des droits puissants qu’elle exerce sur nous, en nous livrant sans cesse aux plus monstrueux goûts." On peut ici, réellement, parler de pensée scandaleuse puisqu’il s’agit d'affirmer que le désir de détruire, de faire souffrir, de tuer n’est pas l’exception, n’est pas propre à quelques monstres dont la perversité dépasse notre simple entendement, mais est au contraire, naturellement la chose au monde la mieux partagée. Sade nous conduit ainsi "au-delà de notre inhumanité, de l’inhumanité que nous recelons au fond de nous-mêmes et dont la découverte nous pétrifie." En réalité, Sade ne trouvait qu’avantage à respecter le modèle patriarcal dans sa vie d’époux, d’amant et de père, ne pouvait en tant qu’auteur que défendre les idées sur les femmes de l’école philosophique à laquelle il s’était rattaché. Ainsi, il ne soutint jamais, contrairement aux préjugés de son époque, que les femmes n'étaient pas faites pour les choses de l’esprit. Surtout, dans son domaine de prédilection, celui de la passion, il balaya la conception de la femme passive dans l’acte sexuel, qu’il ne représenta ainsi que dans le cadre du mariage, institution abhorrée. Pour lui, la femme est active et désireuse. Lors des orgies décrites dans ses romans se déversent des flots de "foutre", masculin et féminin mêlés, les femmes ont des orgasmes à répétition. Les femmes, affirme Sade, ont davantage de désir sexuel que les hommes. Dès lors, elles sont donc naturellement fondées à revendiquer, contre les hommes s’il le faut, le droit au plaisir. "Au non de quelle loi, les hommes exigent-ils de vous tant de retenue ? Ne voyez-vous pas bien que ce sont eux qui ont fait les règlements et que leur orgueil ou leur intempérance présidaient à la rédaction ? Ô mes amantes, foutez, vous êtes nées pour foutre ! Laissez crier les sots et les hypocrites." Tout cela n’est pas vraiment misogyne. Pour comprendre les relations complexes entre l'homme de lettres et les femmes, il est nécessaire de dépathologiser Sade et sa pensée pour substituer à la légende du monstre phallique, l’image bien plus troublante, du penseur, voire du démystificateur de la toute-puissance phallique" selon Stéphanie Genand, biographe. De là, à considérer Sade comme un auteur féministe, la réponse est certes à nuancer, mais l'idée n'est pas sans intérêt. Le marquis de Sade avait sur la femme des idées particulières et la voulait aussi libre que l’homme. Sa conception du genre féminin, a donné naissance à un double roman: Justine et Juliette. Ce n’est pas au hasard que le marquis a choisi des héroïnes et non pas des héros. Justine, c’est l’ancienne femme, asservie, battue, misérable et moins qu’humaine. Juliette, tout au contraire, représente par sa conduite, la femme nouvelle. De fait, Justine et Juliette, les deux sœurs d’une égale beauté aux destins opposés, sont devenues des archétypes. La première de la vertu, la seconde du vice, plus justement, pour reprendre les sous-titres des deux ouvrages, des malheurs qu’entraîne la vertu et de la prospérité attachée au vice. La froide Juliette, jeune et voluptueuse, a banni le mot amour de son vocabulaire et nage dans les eaux glacés du calcul égoïste. Incontestablement, elle tranche avec l’image misogyne traditionnelle de la femme: faible, effarouchée, ravissante idiote sentimentale. Juliette est forte, elle est dure, elle maîtrise son corps et sait en jouir, elle a l’esprit vif et précis que permet l’usage de la froide raison débarrassée des élans du cœur. Sade théorise la soumission dont les femmes sont l’objet. Prosaïquement, cette inclinaison d’analyste de l’asservissement féminin se traduit, chez lui, par le parti original de donner la parole à des personnages féminins: Justine, Juliette, Léonore dans "Aline et Valcour", Adélaïde de Senanges ou Isabelle de Bavière dans ses romans historiques tardifs, sont toutes des femmes. Cette omniprésence des héroïnes leur confère une tribune et une voix neutres, capables de s’affranchir de leurs malheurs: raconter sa propre histoire, si malheureuse ou funeste soit-elle, c’est toujours y retrouver une dignité ou en reprendre le contrôle. L’énonciation féminine suffirait, en soi, à contredire le mythe d’un Sade misogyne. L'homme de lettres a sans cesse appelé à une émancipation des femmes, notamment par le dépassement des dogmes religieux. Les dialogues des personnages de "La philosophie dans le boudoir" foisonnent d’appels à la révolte contre la soumission aux préceptes religieux inculqués aux femmes dès le plus jeune âge: "Non, Eugénie, non, ce n’est point pour cette fin que nous sommes nées. Ces lois absurdes sont l’ouvrage des hommes, et nous ne devons pas nous y soumettre." On retrouve également des appels à la libre disposition de son corps, comme dans ce passage où Sade met dans la bouche d’un des personnages les conseils suivants: "Mon cher ange, ton corps est à toi, à toi seule, il n’y a que toi seule au monde qui aies le droit d’en jouir et d’en faire jouir qui bon te semble." Tout en lui reconnaissant une certaine considération des femmes, n'oublions pas que l’univers de Sade, enraciné dans l’Ancien Régime, est foncièrement inégalitaire. La société française est alors structurée par la domination, aussi bien sur le plan politique que sur le plan social. Des élites minoritaires concentrent les richesses et le pouvoir, si bien qu’il est naturel d’y exploiter l’autre et de le nier dans ses prérogatives. Prélude à la Révolution française. Les femmes constituaient, à ce titre, une population singulièrement misérable. Mineures juridiques, puisqu’elles ne bénéficiaient d’aucun droit, elles étaient sexuellement exploitées puisqu’elles n’avaient le plus souvent d’autre ressource que le seul commerce de leurs corps, ne bénéficiant d’aucune éducation, hormis quelques privilégiées. Une fois qu'on a souligné tous ces aspects, il faut avoir l’honnêteté d’avouer que les romans de Sade regorgent de scènes bestiales où les femmes subissent humiliations, sexuelles et crimes, les plus atroces de la part de leurs partenaires masculins. Faut-il en déduire pour autant que Sade incite à imiter ces comportements ? Érige-t-il les personnages qui en sont les auteurs en modèle à suivre ? À bien des égards, la réponse semble être évidemment négative. C’est Sade lui-même qui nous alerte contre ces interprétations erronées quand il estime que le romancier doit peindre "toutes les sortes de vices imaginables pour les faire détester aux hommes." D’où l’importance d’avoir connaissance de l’hygiène romanesque qu’était la sienne. "À quoi servent les romans, hommes hypocrites et pervers ? Car vous seuls faites cette ridicule question; ils servent à vous peindre tels que vous êtes, orgueilleux individus qui voulez vous soustraire au pinceau parce que vous en redoutez les effets", écrivait-t-il dans son essai intitulé "Idée sur les romans." C’est l'être humain, dégarni des conventions sociales et dévoré par ses désirs, que Sade s’est proposé de dépeindre sans concession. "On endurcit difficilement un bon cœur, il résiste aux raisonnements d’une mauvaise tête", précise Sade, soulignant le singulier isolisme d’un personnage à la fois sourd et aveugle aux noirceurs du réel. Loin de signer l’ingénuité d’une héroïne coupable de ne pas savoir déchiffrer les codes ni les situations, cette distance transforme Justine en une créature sauvage, rétive à toute domestication, ce qui lui vaut de bénéficier d’une existence sans cesse rejouée, sans détermination ni corruption, aussi neuve qu’au premier jour. Justine ne fuit pas la jouissance, mais le symbole phallique. Elle ne récuse pas le désir, mais la violence. Faute de maîtriser l’orgasme des femmes, toujours susceptible de se dérober ou de se feindre, mieux vaut viser leur douleur. Le détachement de l’héroïne, ainsi réinterprété, se charge d’une valeur positive. Loin de l’ingénuité passive qui en fait la victime désignée des libertins, il lui offre une situation paradoxale, entre présence et absence à l’événement, qui la met en position d’analyser les ressorts du libertinage. La réflexivité n’est-elle pas constitutive de son système ? Comment l’âme scélérate, hantée par la destruction et l’abolition d’autrui, pourrait-elle se penser sans un témoin à la fois engagé dans l’action et capable d’en expliciter froidement les enjeux ? Le paradoxe de l’expérience sadique se résout en surmontant la vacuité qui creuse, au cœur du fantasme de destruction, l’impossibilité de participer à la loi de l’anéantissement. Fragmentaire, condamnée à se multiplier sans éprouver dans sa propre chair les tourments qu’elle inflige et dont elle théorise pourtant la supériorité, la jouissance libertine a besoin d’une victime qui lui donne sens et lui ouvre les vertiges de la réversibilité. Au miroir du féminin, le libertinage sadien révèle son étonnant pouvoir de traverser le réel, dans l'encre de la mélancolie, entre violence et déni. "Ce qui fait la suprême valeur du témoignage de Sade, c’est qu’il nous inquiète. Il nous oblige à remettre en question le problème essentiel qui nous hante depuis la nuit des temps, le problème de l’homme à l’homme" (Simone de Beauvoir) Bibliographie et références: - Annie Le Brun, "Sade, attaquer le soleil." - Michel Delon, "Notice sur le marquis de Sade" - Gilbert Lely, "La vie du marquis de Sade" - Éric Marty, " La violence et le déni" - Stéphanie Genand, "Sade et les femmes" - Béatrice Didier, "L'enfermement sadien" - A. Carter, "La femme sadienne" - Simone de Beauvoir, "Faut-il brûler Sade ?" - Henri Coulet, "La vie intérieure dans Justine" - Jean-Christophe Abramovici, "Les Infortunes de la vertu" - Christophe Martin, "Innocence et séduction" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/01/21
Dominatrices et soumises inattendues. Chapitre 1 : Magalie se venge. Extrait : » Récupérant un rouleau de scotch de déménageur qu’elle a gardé après le dernier déménagement de sa copine Claire elle lui scotche les bras et jambes aux pieds de la table. Maintenant il est là bandant comme jamais la regardant avec un regard lubrique inhabituel. Il a l’air d’aimer ça le bougre…. Admirant ce corps offert elle fignole en lui attachant la queue et les couilles avec son foulard de soie tirant sur le foulard qu’elle attache à la barre transversale sous la table. Maintenant il est allongé sur la table le sexe dressé à la verticale… Après un moment de stupeur Claire est la première à réagir. Je t’avais demandé de le voir à poil mais je ne me doutais pas que tu l’aurais fait et encore moins comme ça. Magalie maintenant fière de son coup met la main sur le membre encore dressé de Tristan et fait quelques mouvements de va et vient. IL est bien monté mon male tu veux toucher je pense qu’il ne dira rien…. » La trentaine à peine entamée Magalie se pose la question, j’ose ou je n’ose pas. Hôtesse de caisse dans un supermarché elle vit seule dans son deux pièces et on peut dire que on quotidien est banal. Le taf, quelques bonnes copines, quelques aventures sans trop de lendemain avec des mecs plus ou moins lourds. Elle aime le sexe mais se sent insatisfaite au fond d’elle-même. Magalie est plutôt jolie, châtain clair, un mètre soixante-dix, cinquante kilos, elle arbore un bon 95C. Elle a une jolie frimousse et attire autant la sympathie des femmes que le regard intéressé des hommes. Sportive elle a deux bonnes copines, Claire et Anna qui sont aussi sympas que différentes. Claire est grande, exubérante, dévergondée accumule les conquêtes alors qu’Anna est petite elle a encore un visage d’ado et n’a pas un grand tableau de chasse à son actif. Visiblement les hommes ont peur de draguer une fille qui semble être encore mineure. Elle est cependant très attachante et Magalie est sûre qu’Anna se couperait la main pour elle. D’ailleurs quand elles sont ensemble Anna cherche toujours le contact physique avec Magalie. Il y a quelques jours Magalie a été invitée à une séance type Tupperware ou les boites en plastiques ont été remplacées par des sex toys. Avec ses deux meilleurs copines, Anna petit modèle typé manga mais belle comme tout et travaillant dans la pharmacie du quartier et Claire esthéticienne, elles n’ont pas hésité longtemps avant d’accepter l’invitation et elles se sont retrouvées avec quelques femmes d’âge d’hiver devant un étalage de divers objets sensés pimenter le bonheur du couple. Effectivement certains toys lui ont fait un peu fantasmer, notamment un gode très réaliste qu’elle a longtemps touché sans toutefois franchir le pas. Pour une prochaine fois peut être. Anna, proche de la trentaine, timide mais belle comme un soleil a regardé d’un air un peu gêné les différents toys notamment les accessoires dédiés au bondage, mot qu’elle vient d’apprendre. Claire, sa meilleure copine, une rousse incendiaire a une peau très blanche et une paire de seins à faire pleurer de dépit un chirurgien esthétique, contrairement à Anna elle multiplie les conquêtes sans lendemains et elle est très open sur le sexe. Très enthousiaste a tout voulu voir et tâter n’hésitant pas à faire des commentaires très suggestifs. Elle a essayé les habits et les nuisettes rouges ou noires qui il faut l’admettre s’accordaient sublimement avec son corps merveilleux donnant presque un sentiment de jalousie à Magalie. Cependant Claire n’a pas concrétisé d’achat, se laissant le temps de la réflexion. A la fin de la vente Magalie était quand même un peu émoustillée envisageant des situations, positions et des accessoires qu’elle n’avait jamais imaginés. Ayant un bon contact avec Eve la vendeuse elles profitaient des moments ou les toys circulaient de main en main pour parler boutique et finalement Eve lui proposa d’organiser elle-même des séances de vente de sex toys. Un peu surprise Magalie préféra éluder la question mais accepta néanmoins le 06 d’Eve lui promettant de réfléchir à cette proposition. Sans qu’elle n’y prenne garde la proposition faisait quand même son chemin dans la tête de Magalie et elle hésitait à prendre ce job si particulier sensé mette du beurre dans ses épinards. C’est la tête dans les nuages qu’elle a croisé Tristan, ce client un peu macho mais bien proportionné qui lui a fait du gringue en payant ses lames de rasoirs à sa caisse et elle a accepté de prendre un café avec lui. Depuis maintenant quelques semaines ils sortent ensemble et elle doit s’avouer que si il ‘a pas une conversation de haut vol ou une ouverture d’esprit telle qu’elle aurait aimé il était bien monté et endurant la faisant monter au septième ciel à chacune de leurs nuits torrides. Elle le soupçonne quand même de papillonner à gauche et à droite et aimerait le punir de cela tout en conservant ses talents d’étalon pour elle. Ses copines ont fait de nombreux commentaires sur Tristan notamment Claire plus hardie qui lui dit, un soir ou elles sirotaient leur troisième cocktail dans un bar ou elles avaient leurs habitudes qu’elle aimerait bien le voir à poil pour se faire une idée sur celui qui battait des records de longévité avec Magalie. Anna, pour ne pas être trop en reste annonça qu’elle aimerait bien être là aussi. L’alcool aidant L’idée faisait son chemin dans la tête de Magalie mais pas facile à réaliser ? Prendre des photos ? Lui demander de faire un strip devant les copines ? Pas très cool notamment si Tristan aurait aimé se mettre en avant devant ses copines au risque de tenter de les mettre dans son lit. Quelques jours plus tard ayant terminé sa journée de bonne heure elle se retrouve dans son appart avec un Tristan plus excité que jamais. Un peu brut de décoffrage, pas très familier des préliminaires il veut la culbuter à la hussarde sur le champ. Pas pressée elle veut que ça dure plus longtemps et après un apéritif bien consistant elle lui propose de jouer aux cartes, pimentant le jeu en le transformant en strip poker. Les règles sont simples. Une fringue et un verre pour chaque main perdue et celui ou celle qui déjà nu perdrait la main serait esclave de l’autre pour la nuit. Enthousiaste Tristan bande déjà comme un taureau accepte le jeu et ses règles dans l’état, jurant qu’il accepterait tout en cas de perte à condition qu’elle fasse de même. Après une demi-heure de jeu ils sont un peu allumés, surtout lui car Magalie mène sérieusement. Maintenait il est nu face à elle qui possède encore son soutif et sa culotte. Fier de lui il étale un brelan de dames. Très émoustillée désormais elle envoie au diable ce brelan en étalant 3 as, elle a toujours été forte à la triche au poker et il n’est plus en mesure de soupçonner quelque chose. Désormais elle doit trouver quelque chose à faire de ce male qui lui est offert sur un plateau pour tous ses fantasmes. Tentée de le mettre dans son lit elle repense à la séance d’Eve et se dit que l’occasion est bonne de le punir un peu pour ses frasques. Débarrassant la table du salon elle lui demande de s’y coucher sur le dos. Récupérant un rouleau de scotch de déménageur qu’elle a gardé après le dernier déménagement de sa copine Claire elle lui scotche les bras et jambes aux pieds de la table. Maintenant il est là bandant comme jamais la regardant avec un regard lubrique inhabituel. Il a l’air d’aimer ça le bougre. Voulant le plaisir de cette scène pour elle seule elle lui bande les yeux et lui met du scotch sur la bouche afin qu’il ne perturbe pas la scène par des paroles idiotes. Admirant ce corps offert elle fignole en lui attachant la queue et les couilles avec son foulard de soie tirant sur le foulard qu’elle attache à la barre transversale sous la table. Maintenant il est allongé sur la table le sexe dressé à la verticale faisant un tableau bien tentant. A ce moment elle repensa à la soirée arrosée avec ses copines et se dit qu’il ne risquerait pas de draguer ses copines si elles le voyaient dans cette position. Prise d’une envie incontrôlable de frimer devant ses copines elle les appelle les invitant à venir toute affaire cessante pour prendre un apéro avec une surprise de taille. Intriguées ses deux copines sonnent à la porte dix minutes plus tard. Entre temps Magalie s’est rhabillée et quand même un peu nerveuse elle les fait rentrer dans le salon. Tristan comprenant qu’ils n’étaient plus seuls dans la pièce se met à se débattre inutilement car il est bien attaché sur la table. Après un moment de stupeur Claire est la première à réagir. Je t’avais demandé de le voir à poil mais je ne me doutais pas que tu l’aurais fait et encore moins comme ça. Magalie maintenant fière de son coup met la main sur le membre encore dressé de Tristan et fait quelques mouvements de va et vient. IL est bien monté mon male tu veux toucher je pense qu’il ne dira rien. D’abord hésitante Claire empoigne à son tour la queue de Tristan et annonce en connaisseuse tu ne dois pas t’ennuyer avec une queue comme ça. Mais comment as-tu fais pour nous le présenter comme ça. En quelques mots Magalie raconte son début de soirée. Tristan, après le moment de stupeur initial bien que ne voyant rien comprend qu’il était l’objet de l’attention de trois nénettes et à sa grande surprise cela l’excite de plus en plus. Sentir qu’une autre main s’est posée sur son sexe le rend fou. Tu vois ça n’a pas l’air de lui déplaire annonce Magalie en voyant l’état d’excitation de Tristan. Claire enhardie demande si elle pouvait le sucer un peur pour voir si il tenait dans sa bouche. Magalie amusée lui accorde l’autorisation mais en stipulant que Claire ne devait pas le faire jouir car elle voulait profiter un bon moment de cette situation, sachant qu’une fois le coup tiré Tristan risquait de ne plus aimer la situation. Magalie se tourne vers Anna qui n’avait pipé mot depuis le début. Cette dernière est visiblement très émue et contemple avec les yeux rêveurs le bondage réalisé par Magalie. A voix basse Magalie lui demande si elle préférait être à sa place ou à la place de Tristan. Anna ne répond pas mais rougie encore plus ce qui étonne Magalie qui ne pensait pas que c’était possible. Laissant Anna dans ses rêves Magalie détourne la conversation en proposant un drink aux filles et elles sirotent leurs verres en contemplant Tristan qui désormais en sueur exhibe toujours une queue tendue au maximum dressée vers le ciel. Claire dit qu’il avait bon gout mais qu’il aurait fallu le raser intégralement et que la prochaine fois qu’elle apportera son nécessaire pour qu’il devienne lisse comme un miroir, que son attirail serait bien mieux mis en valeur et qu’on ne risquerait pas d’être gêné par un poil en le pétrissant. Après quelques minutes de conversation orientée et de palpages du corps offert les deux copines finissent par la laisser seule avec son ornement de table de salon en lui assurant qu’elle avait fait très fort. En guise d’au revoir Magalie susurre à Anna qu’elle serait la prochaine. Anna répondit un piteux t’as qu’à croire qui manque cependant de conviction. Se demandant si Tristan lui en voudrait après ça elle se dit qu’elle devait profiter peut être pour la dernière fois de ce membre et enfourche Tristan pour un cavalcade effrénée à son rythme à elle. La jouissance est extrême ; certainement le meilleur pied qu’elle n’avait jamais pris. Rassasiée elle libère Tristan s’attendant à une scène, des reproches et une rupture fatale. A sa grande stupeur Tristan ne lui fait pas de reproches en lui disant que quand elle joue au strip poker elle va jusqu’un bout de ses fantasmes. Il ne dit pas qu’il a apprécié mais elle sent au fond d’elle-même qu’il a pris un pied pas possible.
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Par : le 19/01/21
"La femme se détermine et se différencie par rapport à l'homme et non celui-ci par rapport à elle. Elle est l'inessentiel en face de l'essentiel. Il est le sujet, il est l'absolu. Elle est l'autre." Simone de Beauvoir, "Le deuxième sexe" (1949) La féminité, dont la diffusion du terme date de la fin du XIX ème siècle, constitue un authentique objet, au sens terminologique, à savoir, ce qui peut être perçu et conçu, perception et conception non seulement féminines dans le vécu de la femme, mais aussi masculines dans celui de l’homme. Occupant une place privilégiée par rapport à la masculinité dans le régime sacré de l’imaginaire, elle déplace aussitôt la réflexion dans une vision masculine de la chose féminine. Bien que des recherches sur le fonctionnement de l’imaginaire montrent l’indéterminisme sexuel, la femme y apparaît aussi bien sous le voile de sa féminité redoutable et redoutée dans le reflet de son image, que dans les attributs de l’éternel féminin réhabilité. La féminité peut être vue comme une triple représentation de la femme: représentation dans le regard de l’homme, représentation de la femme renvoyée par l’homme et enfin représentation par laquelle la femme se donne à voir à l’homme. La féminité se dessine dès lors comme une zone conceptuelle instable où chacune et chacun négocient leur propre représentation du féminin contre le masculin. Là où le masculin peut s’affirmer essentiellement en rapport avec le sexe, voire la puissance virile intermittente, le féminin se trouve dilué dans ses valeurs associées qui tout à la fois le débordent et le réduisent. Les charges connotatives inscrites dans les diverses définitions mêmes des termes en rapport avec le féminin expliquent les visions normatives persistantes de la femme, et logiquement diversement confortées par l’un comme l’autre sexe. Bien que la voix masculine se soit élevée pour dénoncer par exemple la représentation sémantique dominante de la femme réduite au rôle d’objet femelle sexuel, le poids des mythes et des discours sur les textes fondateurs racontés par des hommes explique sans doute les stéréotypes habillant le féminin de manière intemporelle. Plus largement, l’existence de stéréotypes féminins réside dans la production et la réactivation de telles représentations collectives au sein desquelles la chose féminine est donnée à voir. Stéréotypes alors éventuellement genrés mais obligatoirement sexués, puisque la femme se voit signifiée en raison même de son sexe, que cette signification soit associée à un jugement dépréciatif ou soit connotée positivement. S’emparer de la femme pour en faire un objet d’étude. On peut reconnaître le pas décisif réalisé par la mouvance féministe dans son ensemble, sans entrer dans la multiplicité de ses apports, de ses excès ou de ses controverses. Ce geste, aussi révolutionnaire que paradoxal, a permis au sujet féminin de se penser au travers de sa construction en tant qu’objet de discours. La femme n’existe pas, seules existent des représentations du féminin, et ces représentations relèvent d’une construction de la réalité qui cadre son analyse. Qu’elles soient scientifiques ou simplement vulgarisées, elles sont le résultat d’un processus d’élaboration qui stabilise, à un moment et dans un lieu donnés, un objet signifiant livré à l’interprétation. Ces diverses représentations du corpus féminin déploient son univers de sens en autant de paroles et d’images communes ou singulières, configurant par exemple alors le concept analytique fondateur de la femme contre celui de l'homme. Souvent, elles revendiquent leur statut de représentation de l’autre. Parfois aussi, elles semblent s’en émanciper. Dans tous les cas, elles courent le risque du stéréotypage. Cet article se propose d’analyser les caractéristiques conceptuelles et langagières de la chose féminine comme objet de message singulier. Le terme de chose, qui servait vers le XII ème siècle à désigner par euphémisme l’acte ou l’organe sexuels, renvoie à une réalité plus ou moins déterminée par un contexte. la chose féminine peut en effet se trouver manifestée au travers de discours biologiques, philosophiques, apostoliques ou linguistiques. Toutes ces multiples saisies définissent le féminin à partir des différents systèmes de pensée qui forgent sa réalité. Il s’agit alors ainsi de circonscrire l’appréhension de la chose féminine à la question de ses catégorisations conceptuelles et définitionnelles qui jalonnent son lointain parcours interprétatif. Les premiers jalons à poser peuvent être considérés comme non linguistiques, dans la mesure où ils se situeraient au niveau phénoménal, soumis alors au phénomène de perception, ou au niveau conceptuel. L’abstraction de la chose féminine hors de sa représentation langagière nous entraîne sur le terrain biologique, où la femme, en tant qu’être vivant, se caractérise par la grande différence sexuelle qui la distingue organiquement et génétiquement de l’homme. Cette option, selon laquelle le fait féminin se définit par ce marquage du sexe, se voit quelque peu bousculée par certains discours se rapportant à la théorie du genre. Ces discours remettent en cause le principe de catégorisation par le sexe en tant qu’il sert de justification à la construction du système de domination de l’homme sur la femme. Or, s’il faut bien entendre la théorie du genre comme un projet nécessaire de dénonciation des rapports de pouvoir fondés sur la différenciation sexuelle, l’affirmation d’une antécédence du genre sur le sexe pose cependant problème au regard du partage biologique de l’espèce. Ce partage entre femelles et mâles définit de la sorte les catégories binaires à la base de la différenciation sexuelle. Chaque individu se voit potentiellement assigner un rôle dépendant de son sexe lors du processus de procréation. C’est après la différenciation sexuelle incarnée et vivante que le genre, renvoyant à une classification sociale en "féminin" et "masculin", peut servir de cadre de pensée et d'action sur le sexe dans la sphère des représentations culturelles. Le glissement opéré de la catégorie binaire à la catégorie féminin/masculin déplace la problématique du plan biologique aux plans psychologique et social. Les diverses études sur le genre permettent dès lors de mieux faire entendre l’utilisation de la différenciation sexuelle pour naturaliser un processus de triage, par lequel les membres des deux classes sont soumis à une socialisation différentielle. L’ordre biologique premier ne saurait justifier les différents systèmes d’interprétation qui instaurent la soumission de l’individu femelle à l’individu mâle. L’affirmation de l’identité sexuée de la femme radicalement différente de l’identité sexuée de l’homme reste compatible avec l’évidence de la nature humaine une et indivisible. De la même manière, avancer une dualité des sexes n’a pas pour corollaire de naturaliser les inégalités relevant du domaine du genre. Le champ métaphysique autorise un autre niveau de saisie de la chose féminine, en permettant d’articuler l’objet de message à la problématique de son concept. Dans sa thèse intitulée "Qu’est-ce qu’une femme ?", la philosophe Danièle Moatti-Gornet construit ce concept à partir de l’étude de textes fondateurs et propose ainsi "une nouvelle dialectique homme/femme" dont les prémices remonteraient au récit de la Genèse. Sa démonstration part de la différenciation des sexes comme dialectique du même et de l’autre, et aboutit à considérer la femme comme étant à la fois la référence et l’autre de l’homme. Rejoignant Simone de Beauvoir sur la définition de l’altérité comme "catégorie fondamentale de la pensée humaine", elle s’y oppose quant à la nécessaire ontologie immanente de la femme. "C'est bien parce que "la femme est chair, désir, vie qu’elle existe et qu’elle n’est pas l’autre de l’homme. L'homme est alors la conséquence d’une affirmation de son être produite par l’apparition de la femme. Il est autre parce qu’elle est." C’est cette différence à la base de la différenciation sexuelle que Valérie Solanas a ainsi commentée: "le mâle est un accident biologique. Le gène Y (mâle) n’est qu’un gène X (femelle) incomplet, une série incomplète de chromosomes. En d’autres termes, l’homme est une femme manquée, une fausse couche ambulante, un avorton congénital. "Être homme c’est avoir quelque chose en moins." Au-delà de la formulation provocante et outrancière féministe, on peut cependant rappeler ici le rôle d’un discours, sinon machiste, du moins masculin, dans la prédominance de la génétique du développement au détriment de l’embryologie. La référence à l’activité du spermatozoïde contre la passivité de l’ovocyte, référence qui, des années vingt aux années soixante-dix, présida aux débats sur l’importance respective des contributions masculines et féminines dans la reproduction a été l’un des facteurs de la renaissance très tardive de la biologie du développement. Le principe de différence, à partir duquel la parole féministe radicale affirme la supériorité de la femme sur l’homme, constitue en effet, pour la parole biblique l’articulation de l’humanité. Le discours apostolique catholique considère cette "harmonieuse unité relationnelle" entre le masculin et le féminin comme donnée fondatrice de la dimension anthropologique de la sexualité, de sa dimension théologique et sacrée, là où un discours rhétorique psychanalytique met en avant le concept de phallus. Nœud au combien symbolique de la conscience profonde de soi. Réciprocité non réalisée selon Simone de Beauvoir ou appelant à être dépassée dans la compréhension du désir sexuel pluriel pour Freud. Cette relation binaire situe l’homme dans une relation sémantique contraire à la femme, sur laquelle peut se projeter la norme hétérosexuelle. La nécessité de "défaire le genre", intellectualise ainsi les revendications identitaires de catégories d’individus qui rejettent la norme dominante en matière d’orientation sexuelle. Poser la différence des sexes comme articulation de l’évidence d’un sujet féminin sinon plus, du moins aussi essentiel que le sujet masculin permet de s’extraire de la sphère philosophique. Le discours féministe et le discours religieux peuvent en effet dès lors se rapprocher dans le rejet d’une identité commune et la reconnaissance d’une différence entre l’homme et la femme pour prôner "une collaboration active entre l’homme et la femme dans la reconnaissance de leur différence elle-même." Cette idée peut être transposée dans le domaine de la sémantique, où la représentation langagière de la femme et celle de l’homme entretiennent une relation réciproque. Le recouvrement sémantique de la femme définie principalement par son sexe, par l’homme gagne une dimension universelle dans le sens absolu réel de l’homme, l’être humain en général. Le terme homme signifie le genre humain avant de désigner un "être humain mâle", entraînant une réduction du féminin. En envisageant les relations sémantiques entre le sens générique d’homme et ceux courants d’homme et de femme, on ne peut que constater la hiérarchie sémantique selon laquelle l’unité homme constitue une double dénomination, l’être humain gouvernant deux concepts, "l’être qui, dans l’espèce humaine, appartient au sexe mâle" et "l’être qui dans l’espèce humaine appartient au sexe féminin." Ce n’est pas tant une neutralisation du féminin par le masculin qu’une neutralisation du sexe, puisque les contraires mâle et femelle se dissolvent dans l’humain unique. L’adjectif viril, dérivant de vir "homme", par opposition à mulier ("femme") et à puer ("enfant "), désigne les qualités considérées comme propres au mâle humain et s’applique d’abord en français, comme en latin, à ce qui appartient à l’homme en tant que mâle, est digne d’un homme, physiquement et moralement, à ce qui est énergique, actif, puis à ce qui est propre à l’homme dans la force de l’âge. Si la personne de sexe masculin peut se targuer d’être doublement mâle, la personne de sexe féminin n’a pas de défense à revendiquer, hormis la féminitude, voire la femellitude, avancées dans certains propos féministes. La chose féminine peut cependant poser sa féminité au regard de la virilité en raison même du poids idéologique associé. Dans un contexte marqué par la croyance que l’égalité entre les sexes est acquise, des ouvrages à succès alimentent un processus de normalisation inédit au sein duquel l’affectif est devenu une norme sociale entérinant l’idée selon laquelle les conjoints doivent s’aimer, communiquer, avoir une vie sexuelle réussie, travailler, mais aussi permettre à l’autre de réaliser son épanouissement personnel. Ces ouvrages, parce qu’ils considèrent hommes et femmes, certes différents, mais socialement égaux, supposent qu’il existerait une convergence d’intérêts entre les deux conjoints et font référence à une union parfaite, au sein de laquelle chacun accomplirait sa tâche pour œuvrer à cette réussite. Dans ce couple sans défauts, ou plus exactement capable d’agir sur ses défauts, chacun pourrait enfin vivre dans une mutuelle compréhension et dans une harmonie durable sans se heurter au désir de l’autre. Quand une femme est capable de décrypter le comportement de l’homme à partir de l’évolution de l’espèce, il lui devient aussitôt plus aisé d’accepter les modes de fonctionnement typiquement masculins. Et réciproquement, en comprenant que l’évolution de la femme diffère de la sienne, l’homme devient capable d’assimiler une expérience et un regard sur la vie différents des siens.La tentative de certains de ces ouvrages de jeter le discrédit sur le féminisme, et sur les revendications égalitaires des femmes dans le couple est d’autant plus sournoise qu’elle occulte la dimension des rapports sociaux de sexe pour ne plus se situer que sur le terrain du relationnel ou du psychologique, et qu’en matière de sentiments, l’égalité amoureuse n’est rien de plus qu’une illusion. Par l’utilisation d’éclairages inspirés par leur pratique ou de petites scènes de la vie quotidienne présentées avec humour et prétendu réalisme, ils manient avec beaucoup d’adresse les généralisations qui leur permettent d’affirmer l’existence d’une différence naturelle entre les hommes et les femmes et de l’opposer aux discours féministes dont la revendication serait celle d’uniformité sexuelle qui exigerait des comportements similaires des deux sexes. Leur objectif est de susciter une passion pour le couple auprès des lectrices, qui, saisies dans le propos manipulatoire de l’amalgame, lutte pour l’égalité des sexes, crise du couple se voient empêchées de se forger d’autres opinions sur la crise du couple et ses causes et intègrent progressivement l’idée d’une relation de causalité entre féminisme et dysfonctionnement du couple. Le féminisme apparaît dès lors dans ces ouvrages comme une manipulation qui aurait été exercée à l’encontre des femmes, un leurre qui les aurait écartées de leur "être" femme pour les faire se glisser dans un système de valeur qui n’était pas le leur. Parce que le féminisme aurait fragilisé la relation amoureuse en y introduisant un nouveau rapport de force. Il s’agirait aujourd’hui de rompre avec cette lutte forcenée pour l’égalité et d’œuvrer à une réconciliation des sexes. Ce travail de pacification se fait au nom de l’amour, un amour occulté par des femmes qui ne voient plus dans le couple que rapports de force et exploitation, un amour dénaturé par des féministes qui en auraient fait un enjeu social, un amour qui, une fois épuré des scories du féminisme deviendrait plus que jamais nécessaire. Féminisme rime désormais avec extrémisme et féminité avec tranquillité. La voie d’apaisement de cette guerre qui s’est jouée entre les hommes et les femmes résiderait aujourd’hui dans la capacité des femmes à redécouvrir, puis à mieux cerner et affirmer simplement de façon neutre leurs valeurs féminines. L’avenir repose sur une réconciliation des sexes, et cette construction idéologique de la pacification n’est pas sans induire l’urgence à mettre un point final aux revendications féministes. Tout se passe comme si le pouvoir de négociation des femmes ayant fait avancer les choses vers plus d’égalité, mais les contraintes naturelles étant ce qu’elles sont, il faut maintenant que les femmes entérinent cette avancée et s’en tiennent là. Si le verdict d’une nécessaire paix au foyer semble s’énoncer au nom de l’équilibre et du bien-être du couple et non plus par rapport à un ordre social et moral, il n’en reste pas moins que c’est d’abord la vie conjugale des hommes qui doit être harmonieuse. Le projet de pacification qui semble être abordé comme une technique comportementale et organisationnelle se révèle au final n’être qu’une affaire de femmes, il s’agit de laisser les hommes en paix et de ne plus de les harceler. Si les femmes peuvent parfois apparaître comme celles qui ont bougé ou comme les grandes gagnantes des changements, il ressort néanmoins de façon insidieuse dans ces ouvrages qu’elles sont également supposées être les responsables de ce qui fragilise le couple aujourd’hui. L’idée diffuse mais persistante selon laquelle l’homme actuel va mal en témoigne. D’où un discours de victimisation des hommes. Hommes censés souffrir d’une nouvelle forme d’inégalité entre les sexes, un discours qui oublie de préciser d’ailleurs que, si les femmes ont acquis des libertés, elles n’en continuent pas moins de subir, du fait de leur sexe, le prix fort de la vie conjugale comme de la séparation. Certes, reconnaissant du bout des lèvres ces ouvrages, la condition de la femme n’est pas encore idyllique, mais les premières victimes des nouvelles libertés des femmes sont d’abord les hommes. Ce sont les hommes qui, selon ces médias, sont déroutés, se sentent dépassés et donnent l’impression de ne plus comprendre les règles face à des femmes qui, elles, semblent savoir ce qu’elles veulent et où elles vont. Quoi de plus normal, induisent-ils, que les femmes assument et réparent ce qu’elles ont généré par leurs luttes et leurs revendications égalitaires ? Ce sont elles qui ont bouleversé l’ordre établi, remis en cause le rôle bien défini de l’homme chef de famille, abusé de leur nouveau pouvoir, et c’est à elles, aujourd’hui, qu’il revient de gérer le sexe opposé, de forger une relation de couple harmonieuse, d’alléger les angoisses, les malentendus et les déboires qu’entraînent les problèmes de communication entre les sexes. La disparition de l’équilibre fondé sur une répartition des rôles définis et l’acquisition de compétences des femmes dans le domaine professionnel les auraient conduit à avoir de nouvelles exigences. Plus encore, les changements des dernières années tendraient à inverser ce processus et ainsi, les hommes seraient aujourd’hui plus en souffrance que les femmes. La figure de la femme en quête d’égalité perturbatrice de l’harmonie familiale rejoint, sans conteste, celle publique de la Passionaria. Un tel modèle de femme, dans la sphère publique, devient dans l’intimité et donc dans nos ouvrages sur le couple la harceleuse. Une femme qui transforme la corvée des poubelles en combat, qui fait de la vie quotidienne une guérilla. Une femme qui ne parle pas, mais qui bassine son entourage, qui houspille, une femme qui martèle ses exigences jusqu’à reddition de la partie adverse, une femme qui, par son insatisfaction, met en danger le couple. La Passionaria, de même que la harceleuse, pèchent par fanatisme, par passion et par véhémence, ce sont des femmes qui manquent à leur féminité et deviennent agressives. Définies par ces deux modèles, les femmes sont alors stigmatisées. Passives, elles sont négligeables, actives, elles en font trop. Ces modèles de femmes marquent de ce fait une caractéristique majeure du jugement véhiculé sur l’action des femmes dans les structures sociales et culturelles dominantes. Si la représentation dominante de la féminité a changé, en glissant d’une grande servilité et d’une parfaite soumission vers une plus grande autonomie, la féminité de la femme active reste encore profondément attachée aux références de l’ancienne féminité. Une femme féminine, donc propre à satisfaire l’homme, ne peut apprivoiser celui-ci qu’après avoir prouvé qu’elle était capable de renoncer de façon altruiste à ses intérêts propres et l’échec de ce programme, nous l’avons compris, est la harceleuse. Tel qu’il est suggéré dans les médias, le travail féminin dans le couple impliquerait de surmonter l’égoïsme inhérent à la préservation de soi et de s’adapter à l’autre pour éviter l’escalade des conflits. La posture psychique sollicitée par ce travail féminin dans le couple est tournée vers un double objectif, la compréhension et le souci d’autrui. Être sensible à l’autre, c'est fondamentalement s’appliquer à lui vouloir du bien et à ne pas le juger. Il est tout à fait admis et même souhaitable qu’une femme soit indépendante, autonome, qu’elle exerce un métier. L’image de la femme active est hautement valorisée mais dans des limites bien précises. Le travail de pacification incite ici les femmes à renouer avec leur féminité naturelle pour œuvrer à la libération émotionnelle des hommes. En mettant délibérément hors champ les rapports sociaux de sexe, en définissant une version modernisée de la féminité entre soumission et indépendance, en naturalisant les hommes pour les présenter comme des victimes faibles par leur nature profonde qui les rend incapable de s’épanouir seuls, l’objectif de certains médias est bien de convertir les femmes en thérapeutes de leur partenaire et de les transformer en garantes de la bonne santé affective et relationnelle conjugale. La fierté de contribuer à l’épanouissement du conjoint, la satisfaction de se sentir indispensable à la révélation du compagnon, le sentiment de l’importance de la tâche qui consiste à éveiller l’homme à lui-même, loin d’apparaître comme un assujettissement à des rôles imposés du dehors, prend dans cette littérature vulgarisée, l’allure d’un véritable pouvoir d’influence au sein duquel les femmes seraient censées s’épanouir. La principale plainte des femmes aujourd’hui porterait, selon un magazine, sur le silence frustrant ou irritant et sur le refus de s’exprimer de certains hommes. Cette parole qui semble impossible, bloquée, interdite chez certains hommes pour tout ce qui touche à l’intime d’eux-mêmes, au ressenti, au vécu et aux émotions est à l’origine des carences et de la difficulté la plus fondamentale des couples d’aujourd’hui. La question de la communication au sein du couple constitue l’axe principal, qu’elle soit saisie sous l’angle du silence ou du retrait masculin ou encore du bavardage et du harcèlement féminin. Une bonne communication apparaît à bien des égards comme la condition de succès du couple. Il en va de même dans l'univers BDSM dans le cadre d'une relation complice et épanouie. Le fantasme d’une parole transparente, rationnelle, parfaitement maîtrisable si on en connaît les recettes, traverse aujourd’hui les pensées sur le couple. Pourquoi cet engouement ? D’abord parce que la croyance selon laquelle le fait de communiquer rendrait par nature les choses positives est un mythe qui traverse la société tout entière. Ensuite parce que l’exercice de la communication dans la sphère privée est proposé comme une alternative au politique pour changer les rapports sociaux de sexe. Enfin parce qu’une vaste entreprise est à l’œuvre aujourd’hui pour persuader les femmes de l’intérêt qu’il y aurait à développer le couple et à se débarrasser le plus possible des structures régulatrices et sociales. La nouvelle femme se doit d’acquérir une maîtrise de la communication. Cette nouvelle conception de l’implication des femmes dans le couple, tout en affirmant que les règles du jeu ont changé, montre tout aussi clairement que les rapports sociaux de sexe n’ont pas disparu et que tous ces conseils pleins de bon sens n’en sont pas moins porteurs d’illusions quand ils laissent à penser que la relation hommes/femmes serait devenue égalitaire. Ce modèle exprime d’abord la recherche d’une forme différente de mobilisation des femmes dans l’univers conjugal, et une telle définition du travail féminin constitue une pièce importante dans la reconstruction et la réarticulation des rapports de domination masculine. Il ne s’agit plus dès lors, ni de promettre aux femmes une égalité, ni de chercher à transformer la nature humaine, mais de leur apprendre à s’autoévaluer, s’autocontrôler, pour devenir les actrices et les responsables de leur propre changement et de l’épanouissement de leur conjoint. Le travail de pacification des couples est dès lors une responsabilité essentiellement féminine. En définitive, c'est le travail imperceptible de la femme "libérée." Le Genre se voudrait notre nouvel Évangile, porteur de la bonne nouvelle que le masculin et le féminin ne seraient que constructions et pourraient dès lors être déconstruits. Ce serait oublier que la communion et l’érotisme sont porteurs d'une saveur incomparable. Au cœur du Genre, dans ce monde où il n’y aurait plus ni hommes ni femmes mais des êtres rendus à une prétendue neutralité originelle, ne faut-il pas voir une volonté de couper les ailes du désir, d’exorciser la hantise de l’attirance que les deux sexes s’inspirent ? La théorie du Genre n’est-il pas le dernier avatar de la haine d’Éros ? Bibliographie et références: - Judith Butler, "Défaire le genre" - Éléonore Lépinard, "Différence, identité et théorie féministe" - Simone de Beauvoir, "Le deuxième sexe" - Alain Rey, "Remarques sémantiques sur le sexe" - Claire Michard, "Genre et sexe en linguistique" - Erwing Goffman, "L’arrangement des sexes" - Valérie Solanas, "SCUM Manifesto" - Stuart Hall, "Identités et cultures" - Søren Kierkegaard, "Ou bien la femme" - Colette Guillaumin, "Sexe, race, et pratique du pouvoir" - Barbara Pease; "Pourquoi les hommes n’écoutent jamais rien" - Danièle Moatti-Gornet, "Qu’est-ce qu’une femme ?" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 19/01/21
“Si rien ne nous sauve de la mort, que l’amour nous sauve au moins de la vie.” Pablo Neruda Pour la psychanalyse, la sexualité et l’organisation du psychisme sont totalement interdépendantes. Selon la conception, la sexualité humaine est une psychosexualité, organisatrice du psychisme, des conduites, ne se réduisant pas au biologique. Plus précisément la théorie des pulsions place la sexualité au centre du psychisme, ce qui constitue la révolution initiée par Freud. La sexualité n’est pas un reliquat animal, vestige malpropre à laquelle l’humanité est soumise pour la seule survie de l’espèce. Elle est la condition même du devenir humain, c’est-à-dire du développement du psychisme et de la culture. Il n’y a pas chez l’homme de sexualité sans culture, le développement de l’une est consubstantielle à l’évolution de l’autre. Sacrifiées, sacrifiantes, une troisième version de la scène sacrificielle s’esquisse à côté des deux premières, celle de l’auto-sacrifice, au plus près de la première. Ainsi, Cordélia, la plus jeune fille du "Roi Lear" de William Shakespeare, lointaine cousine d’Iphigénie, se sacrifie par amour, au lieu de le sacrifier par haine, comme ses sœurs aînées. Cordélia se laisse ainsi détruire pour ne pas le détruire lui. Une femme se fait alors l’agent et l’objet de la mise à mort par le père. Les places changent dans le scénario du parricide originaire, mais le scénario ne change peut-être pas fondamentalement. Une fille est sacrifiée par son père, sacrifiée à ses propres idéaux puisqu’elle ne dérogera pas, sacrifiée à son omnipotence infantile de vieillard, mais, telle la silencieuse déesse de la mort, feu divin féminin, elle est aussi l’agent de son élévation. La symbolique du destin sacrificiel colle aux femmes et les illustrations de tuer de façon tragique une héroïne se bousculent sur la scène. Antigone qui, avec son désir de mort, sacrifia sa vie pour enterrer son frère, Iphigénie qu’Agamemnon son père, sacrifia pour que les vents enfin poussent les grecs vers Troie et la guerre, Médée qui sacrifia ses enfants pour se venger de Jason. Sans oublier le sacrifice que, bien obligée, la Vierge Marie fait de sa féminité, ni les petits sacrifices qui additionnés mènent les mères à la sainteté ordinaire et à la folie maternelle, ordinaire elle aussi. Médée n’est pas seule à le faire savoir. Dans la langue même, sacrifice n’équivaut pas à passivité, ou alors il faudra préciser laquelle. Comme le deuil et le désir, dont il partage l’ambiguïté du génitif, le sacrifice en français est grammaticalement tantôt passif, tantôt actif. La demande de sacrifice d’Isaac par Abraham, mis à l'épreuve, est aussi le sacrifice d’Abraham, le sacrifice d’Iphigénie par Agamemnon est aussi le sacrifice d’Agamemnon. Dieu sait qu'Abraham le craint mais ne souhaite pas son abnégation. Les dieux qui demandent à Agamemnon de sacrifier sa fille le laissent seul avec son meurtre, auquel Iphigénie consent. La plainte mélancolique que le dehors réveille peut conduire jusqu’à la mise en acte sacrificielle. Il faudrait comparer de plus près les deux voies, celle du masochisme et celle du sacrifice, mais la mise à mal et le bénéfique narcissique qui en découlent se retrouvent dans l’une et l’autre, même si dans le masochisme la mise à mal est retournée sur soi, parfois jusqu’au suicide, avec un gain moindre en libido narcissique et plus souvent sous la forme du déchet que de la statue. Il faudrait aussi reprendre les trois masochismes, érogène, féminin et moral, que Freud décrit en 1924, pour examiner où et comment, dans laquelle de ces formes, le sacrifice jouerait sa partie. Montrer comment, dans le masochisme érogène, la douleur œuvre à l’élévation. Il faudrait expliquer comment dans le masochisme moral, le sacrifice viendrait satisfaire le besoin de punition réclamé à cor et à cri par le moi, objet du sacrifice. L’agent du sacrifice serait alors le surmoi, ou la réalité extérieure, sous le masque parfois des nécessités de la vie. L'abnégation serait-elle le sacrifice ultime de soi ? Pour répondre à cette question, il resterait à préciser la manière dont le sacrifice se situe entre le masochisme et la mélancolie, comme entre les deux rives de son cours, avec ses eaux mêlées de meurtre et de narcissisme, de mort et de libido, tout en touchant ces rives il se sépare et de la mélancolie, déliée et devenue pure culture de la pulsion de mort, et du masochisme où primerait la libido objectale, du moins à travers le fantasme de fustigation, version du fantasme de séduction. Concevoir le sacrifice comme une offrande à la divinité sacrée ou comme une communion avec elle, c’est se représenter le rite comme une relation ternaire dont les éléments constitutifs, le sacrifiant, la victime et le dieu, serait en quelque sorte homogènes. Or, si les deux premiers éléments de la relation sont immédiatement donnés à l’observation, l’existence et le statut du troisième ne vont pas de soi. Entre le sacrifiant et la victime, il y a bien, un troisième terme irréductible et surplombant, mais ce n’est pas le dieu, c’est-à-dire un tiers extérieur, c’est tout simplement la relation rituelle qui associe le sacrifiant et la victime et détermine chacun d’eux en tant que tel. Dans l'abnégation, même schéma. Décrire le sacrifice comme un don aux dieux, ou un acte de communion avec eux, est une chose, construire une théorie du sacrifice, une tout autre chose. Car une théorie ne doit pas expliquer les pratiques des hommes par les croyances qui les accompagnent, mais remonter aux causes communes des unes et des autres. C’est un point de méthode sur lequel des auteurs aussi divers que Marx, Freud ou Deleuze, s’accordent, et que l’on peut tenir pour acquis, même si l’on rejette par ailleurs toutes leurs thèses sur la nature de la vie sociale ou de la vie psychique. Rien donc n’autorise le théoricien à identifier la portée et le sens d’un rite accompli par des hommes avec les raisons que ceux-ci peuvent invoquer pour le justifier. Au demeurant, dans maintes religions, les croyances et les dogmes se réduisent à l’idée qu’il faut accomplir scrupuleusement les rites traditionnels. Car, si la divinité est seulement une représentation symbolique des institutions sociales, qui transcendent les individus, et leur apportent non seulement la sécurité matérielle mais les qualités spécifiques qui les distinguent des animaux, tout devient clair. La société, les dieux, et les rites où ils demeurent présents, ont autant besoin, pour subsister, des hommes et de leurs activités cultuelles, que les individus, de leur côté, ont besoin de la société et de ses dieux pour conduire durablement sans trop d'angoisses une vie proprement humaine. D’une part, l’individu tient de la société le meilleur de soi-même, tout ce qui lui fait une physionomie et une place à part parmi les autres êtres, sa culture intellectuelle et morale. Qu’on retire à l’homme le langage, les sciences, les arts, les croyances de la morale, et il tombe au rang de l’animalité. Les attributs caractéristiques de la nature humaine nous viennent donc de la société. Mais d’un autre côté, la société n’existe et ne vit que dans et par les individus. Que l’idée de société s’éteigne dans les esprits individuels, que les croyances, les traditions, les aspirations de la collectivité cessent d’être senties et partagées par les hommes, et la société mourra. Il est clair que, dans cette perspective anthropologique, le sacrifice est, par essence, tout autre chose qu’un don aux dieux. Il s’agirait plutôt d’un procédé d’autorégulation de la vie sociale, d’un des moyens les plus efficaces que les hommes aient découvert pour contenir la violence, pour borner la violence par la violence, tout comme dans l'univers du BDSM complice tirant sa force de son aspect psychologique qui est renforcé par la solennité des pratiques. Chaque étape de la relation, chaque progrès significatif est marqué par une cérémonie et des règles. Tout est précisé par écrit et la soumise est ainsi guidée dans chaque étape de sa relation. Lorsque la soumise atteint un niveau supérieur elle devient dame du donjon. Elle peut elle-même fixer de nouvelles règles, écrire des protocoles, des cérémonies et les proposer au Maître pour faire évoluer la relation. Le rituel de fin de séance est très important. L'esclave est une soumise qui a atteint le niveau suprême de la soumission mais qui ne veut pas de responsabilité par humilité. Elle abandonne toute limite, elle laisse au Maître le choix de contrôler la relation, de fixer les objectifs et des limites. Elle se donne totalement sans condition, sans exigences et sert avec dévotion. Elle est la sœur de soumission des soumises et un modèle à suivre de perfection et d’abnégation. Les astreintes et les obligations sont pour la Maîtresse ou le Maître des moyens d'évaluer l'abnégation de la femme soumise en éprouvant ses motivations et sa dévotion selon son niveau d'avancement dans sa soumission. Le respect de ces attentes et demandes est associé à l'obéissance et a contrario le non respect à la punition. Il ne faut néanmoins pas confondre, ni répondre, de la même manière selon le niveau des déviations constatées. Seule l'expérience et le caractère du partenaire dominant lui permet de rester crédible aux yeux de la personne soumise. Ainsi, tous les écarts ne doivent pas entraîner une punition basique et dépourvue d'imagination. Il ne faut pas confondre l'erreur et la faute. Si la faute est un manquement à une règle établie, comprise et déjà appliquée, l'erreur est une inadéquation temporaire de l'attente par rapport à la demande à exécuter. Charlotte, tout de blanc vêtue, me fait penser à ces collections de plâtres façonnés par le sculpteur Rodin. Des vases antiques recyclés d’où sortent des formes naissantes, des figures d’étude fragiles, des êtres en devenir, des ébauches de femmes encore siamoises, des esquisses collées au ventre du vase dont elles tentent de s’arracher, de se décoller. Charlotte, comme une pièce de musée, se rend pour le moins intouchable. Elle se sent dans un carcan , une sorte de cercueil d’accueil. Elle est encartonnée, me dit-elle. Et sa voix se déforme et devient métallique quand elle accueille et garde à demeure le fantôme de son abnégation et sa fierté d’esclave sexuelle. Elle se donne corps et âme, toute dévouée à mon plaisir. L’abnégation est un sujet tellement abstrait, tellement loin des faits parfois. Je pense qu’il est facile d’en parler, facile d’écrire ce mot magnifique, mais il est sans doute plus difficile de le ressentir véritablement tant qu’on n’est pas face à la situation qui le démontre. C’est un peu comme de dire que l’on est prêt à tout, jusqu’à ce qu’on réalise l’ampleur que peut prendre ce tout et alors on se met à douter de ce qu’on a promis. Lorsque, justement, il n’y a plus aucune question, juste de l’abandon. Elle avait beau toujours vouloir repousser ses limites et s’enfoncer un peu plus loin dans sa condition de soumise, elle avait conscience que les difficultés seraient très certainement plus importantes qu’elle imaginait et que son corps comme son esprit risquaient d’être mis à rude épreuve. Une fierté profonde éprouvée par les faits. Démontrée face aux situations les plus dures. Elle voulait cela et en même temps son abnégation l’effrayait. Ces tourbillons de sensations, se tariront quand les crises identitaires auront été traduites et remantelées dans la réalité. Aujourd’hui, la différence entre les mécanismes de déni et de dénégation ne posent que peu de problèmes, en théorie comme en pratique. Pour les psychiatres, cette bipartition est même considérée comme symptomatique des différences structurales entre les "organisations psychopathologiques génitales et prégénitales." De même, la différence ténue entre dénégation et négation n’entraîne pas davantage de difficultés, puisqu’elle n’est généralement pas retenue et que les deux termes sont employés indifféremment. Or, nous pourrions utiliser les deux termes dont nous disposons en français, négation et dénégation, sans en faire des synonymes comme nous avons l’habitude de le faire. L'abnégation désignerait dès lors l’envers, l’avatar développemental et le dévoiement pathologique d’un mécanisme de négation primaire qui échouerait à organiser, et a fortiori à structurer la psyché. Cette abnégation primitive pourrait relever d’un processus de répression précoce de l’excitation qui doublerait la négation par une hallucination négative de soi. L’abnégation serait le prix à payer dans ces traumatismes de l’irreprésentable. Dès lors, on pourrait interpréter l'abnégation comme négation lointaine, c’est-à-dire négation revenant de loin, et par extension, négation originaire dans la genèse de la psyché. Ab signifie, par interprétation, séparation, privation, abstinence, abdication, mais aussi achèvement. L’abnégation pourrait être ce qui est totalement totalement nié, ce qui parachèverait la négation, ce qui la renforcerait, ce qui la doublerait. Dans une relation de couple, les sacrifices continus ne mènent pas à un amour plus grand ou plus romantique. En fait, c’est tout le contraire. Les renoncements constants usent et abîment. Ils nous éloignent de nous-mêmes jusqu’à nous transformer en une autre personne. Dans une relation affective, il y a quelque chose de plus important que les sacrifices. Ce sont les engagements. "Quand on vous piétine, souvenez-vous de vous en plaindre." Dans le cas où vous ne le feriez pas, la personne en face de vous s’habituera sûrement à vous piétiner. Pourquoi ? Parce qu’elle pensera que cela ne vous blesse pas. Nous pourrions reprendre cette même idée pour l’appliquer aux liens de couple. Nous pouvons tous nous sacrifier pour l’autre personne à un moment donné. C’est parfaitement normal et compréhensible. Cependant, personne ne doit oublier que tout sacrifice a un prix. Tout renoncement fait du mal. Chaque changement de plan de dernière minute est désagréable. Chaque demi-tour ou virage effectué dans notre cercle vital, pour l’autre personne, est difficile. Ce peut être douloureux mais nous le faisons quand même, avec tout notre cœur. Parce que nous sommes engagés dans un même projet. Or, si l’autre personne n’est pas consciente de ce coût émotionnel qu’implique chaque sacrifice, cela veut dire que nous faisons fausse route. La confiance disparaîtra jusqu’à ce que les reproches éclatent. Les fantômes de chaque renoncement finiront par nous hanter et nous faire beaucoup de mal car les morceaux de notre être, abandonnés sur le chemin, ne reviendront pas. Ils seront perdus pour toujours. L’abnégation sans frontières dans les relations de couple n’est pas très saine. Le fait de céder et de se priver constamment est une façon triste de ruiner son estime de soi et de créer un substitut d’amour aussi douloureux qu’indigeste. Dans une relation BDSM librement consentie, il en va de même, car à force d'abandon et de renoncement, la personne soumise devenue esclave perd son identité, son moi profond. Sauf, si le bonheur est à ce prix et que l'épanouissement des deux partenaires est garanti. On dit souvent que les grandes amours, tout comme les grandes réussites conjugales et sexuelles, requièrent des sacrifices. Et nous ne pouvons pas le nier. Quand nous interrogeons des couples, investis dans une relation SM, beaucoup nous parlent des renoncements faits pour l’autre partenaire, des renoncements qui ont marqué un réel changement dans leur vie et qui en ont sans doute valu la peine. Car oui, désormais, ces couples profitent d’un présent heureux. Cependant, il y a des sacrifices qui ne sont pas acceptables. Beaucoup continuent de croire que plus le renoncement fait pour l’autre est grand, plus la relation sera authentique et romantique. Dans ces cas, c’est comme si l’amour était une espèce d’ancien dieu atavique que nous devrions honorer. Ou une entité mystique pour laquelle nous devrions à tout prix nous sacrifier. Il est nécessaire de comprendre que tout n’est pas admissible. En matière d’affection, il ne faut pas s’immoler car les sacrifices en amour ne doivent pas être synonymes d’abnégation. Nous ne devons pas mettre en place un bûcher afin d’y jeter nos propres valeurs, notre identité et le cœur de notre estime de soi. Il y a des limites, des barrières de contingence qu’il est nécessaire de connaître. En d’autres termes, une personne n’a pas besoin que son conjoint soit constamment en train de faire des renoncements. Ce qui est très important, c’est de savoir que le moment venu, lors d’une circonstance ponctuelle et extraordinaire, l’être aimé sera capable de faire ce sacrifice. Nous savons tous que l’amour dans une relation BDSM implique un engagement. Nous sommes aussi conscients que parfois, nous sommes obligés de faire des sacrifices pour que cette relation ait un futur. Qu’elle se consolide comme nous le souhaitons. C’est donc le moyen d’atteindre un objectif. Les gains dépassent les pertes et nous réalisons cet acte en toute sécurité et liberté car nous comprenons que cela constitue un investissement pour notre relation. Or, parfois, le sacrifice en dévotion peut se transformer en dette. En fait, certains l’utilisent comme une extorsion émotionnelle. Cet aspect, celui des dettes, est un détail que nous ne pouvons pas ignorer à cause de son essence ténébreuse. Car certaines personnes comprennent l’amour en des termes absolus et extrêmes. "Je te donne tout mais tu me dois tout aussi." Ce sont ces situations qui nous obligent à sacrifier sacrifier notre identité pour faire du “moi” un “nous”. En faisant cela, nous perdons totalement toute once de notre dignité. Le sacrifice en dévotion doit être récompensé afin de s'inscrire dans le cadre d'une relation BDSM épanouie et pérenne. Dans l’abnégation, seul compte le libre choix de la personne assujettie. Mais il existe une frontière infranchissable comme celle qui consiste à la faire céder face à un chantage, ou pire encore, à la transformer en une personne qu'elle n'est pas. Est-il un plus beau sacrifice ? Est-il une abnégation de soi-même et une mortification plus parfaites que de s'abandonner ? Bibliographie et références: - Friedrich Nietzsche, "Quel est le sens de tout idéal ascétique ?" - Michel Hulin, "Abnégation et vie mystique" - Pierre Hadot, "Abnégation et sexualité" - Alain Donnet, "Le concept d'abnégation" - Louis Gernet, "La notion mythique de l'abnégation" - Léon Robin, "La Pensée grecque et le sacrifice" - Marc Boucherat, "Ascèse et don se soi" - Pierre Charzat, "Le concept de l'abnégation" - Gilles Deleuze, "Logique du sens" - Gilles Deleuze, "Présentation de Sacher-Masoch" - Gilles Deleuze, "Essai sur la nature humaine" - Sigmund Freud, "Psychopathologie de la vie quotidienne" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 19/01/21
Un ami m’avait dit qu'un jour tu finiras dans le porno… J’avoue que cela ne m’avait pas plu car même si je regarde des vidéos coquines je n’ai jamais trouvé cette industrie très attirante. Pas assez esthétique… Toujours avec le même scénario. Et en plus j’ai toujours regardé des vidéos assez trashs et amateurs. J’ai une louve à la maison très casanière. C’est une bonne fée. Elle a de la bienveillance pour tout le monde. Elle est unique. Elle est tous les styles de musique à elle toute seule : du ganstaRap bien trash de Cypress HIll à une chanson douce d’Henri Salvador… Enfin, je t’ai sous la peau. Depuis quelque temps, tu m'as demandé de l'intensité, complicité, intimité... avec des pinces têtons et une cravache. Tu es venue te frotter contre moi pendant une période où j’avais perdu l’envi de sexe. Une déprime… Je devais être dans le vide émotionnel de mon quotidien. Tu as re-réveillé le loup qui est en moi et même mieux tu l’as fait éclore quelque chose qui sommeille en moi depuis toujours. Je parle de cette chaleur, cette envie Primaire, Bestiale qui avait déjà été au grand jour mais sans vraiment avoir trouver de répondant ou d’amatrice. Depuis nous avons parlé et surtout je t’ai préparé dans le plus grand des secrets un Dressage BDSM façons LoupGarouXXX…. L’objectif de ce récit est de partager mon dressage auprès de ma futur soumise @laylaminx J’ai prévu de le faire en plusieurs séances. Je raconterai chaque séance avec nos sensations. La suite dans un nouvel épisode…. Si vous voulez connaitre la suite merci de mettre en commentaire 🙋
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Par : le 19/01/21
Les relations BDSM impliquent des jeux et mises en scènes érotiques dans lesquels chacune des parties est libre de déterminer ses possibilités et ses attentes. Complémentaire de la Check List, le contrat BDSM est indispensable. Il faut toujours commencer une relation par une base saine et être entièrement d'accord entre vous. Pour cela, que vous soyez dominant ou dominé, il est très fortement conseillé de rédiger un contrat BDSM pour lister les attentes, désirs et restrictions de chacun. Ce contrat sera un véritable accord entre vous 2 permettant une sexualité durable et sécurisante. Il est là pour clarifier vos rôles dans une relation intime basée sur la domination et la soumission. Il offre, pendant la rédaction et la lecture, la possibilité de la réflexion ainsi que la prise de conscience de ce qu’implique la signature d’un contrat de soumission et votre engagement. Le Soumis doit informer, lors de la rédaction du contrat, de ses désirs et envies à sa Maîtresse. Grâce au contrat et dès sa signature, la Dominatrice pourra exiger du Soumis une totale appartenance. Il sera seul à choisir sévices et perversités selon son bon vouloir, d'où l'importance de compléter en amont un contrat BDSM ainsi qu'une Checklist.   En contrepartie, la Maîtresse s'engage à prendre en main l'éducation sexuelle du Soumis selon les dispositions choisies. Elleen fera un être discipliné et maniable. Il se devra de lui donner une récompense pour tout bon comportement et une punition dans le cas contraire. La gratification est psychologique ou physique selon le choix de la maîtresse. La relation BDSM peut commencer dès la signature du contrat BDSM par la dominatrice et le soumis. La durée du contrat peut être à durée déterminée ou indéterminée. Mais attention, quel que soit l'engagement choisi, le contrat peut s'arrêter à n'importe quel moment. En effet, la Dominante ou le Soumis peut stopper et annuler le contrat. Dans la majorité des relations BDSM, le contrat est la propriété exclusive de la Maîtresse. Il doit par contre être laissé à la disposition du Soumis pour consultation et/ou modifications. Règles de base du pacte SM L’esclave peut faire don de son corps à son Dominant qui en devient le propriétaire. Il pourra jouir de son corps selon ses inspirations et les conventions définies dans la checklist ( pratiques sexuelle,...). Le soumis doit respecter sa Maîtresse. Il doit accepter sans retenue les ordres qui lui sont imposés. S’il désobéit, la Dominatrice devra le punir en fonction de la gravité de la faute. Un barème de punition peut être ajouté en annexe du contrat. Dans le milieu BDSM, on considère que la punition fait partie intégrante de l'éducation de l'esclave. Il doit l'accepter. Le Soumis doit même prendre l'habitude d'assumer la punition comme distinction. Il doit accepter être puni et se faire humilier du fait de sa position de soumis.   Une obligation d’hygiène corporelle est nécessaire. Par exemple, Le soumis doit s'engager à préparer son orifice anal en le lubrifiant par un produit adéquat, de façon à ce que celui-ci soit pénétrable à chaque instant sans effort pour sa Maîtresse. Elle pourra ainsi disposer indifféremment à tout moment de l'anus, du sexe et de la bouche de son soumis. La Maîtresse doit tout mettre en œuvre pour assurer la sécurité de l'esclave. Elle doit l'accompagner pour explorer ses fantasmes les plus cachés et les moins avouables. Elle est aussi là pour mener cette esclave au plaisir et sur les sentiers de la perversion. Obligée à servitude, la personne soumise obéit en tous lieux et toutes situations (sauf en cas de clause contraire). Elle a comme ordre d’être disponible, d’accepter les ordres et de veiller au bien être de sa maîtresse   La soumission peut être psychologique, physique et/ou sexuelle. Psychologiquement, le soumis se dévoue entièrement. Il accepte de devoir se confier. Il devra aussi accepter, les humiliations,Il ne doit pas oublier qu'il est à présent considéré comme un objet sexuel. Physiquement, le corps de l'esclave est la propriété privée de sa Dominatrice. Elle en jouit quand bon lui semble. Sexuellement, tous les orifices de l’esclave pourront être pénétrés, dilatés, godés par la Dominatrice D’autres participants, invités de la Dominatrice, profiteront aussi de la bouche, de l’anus et du sexe du Soumis, Il faut que toute introduction dans son anus doit se faire facilement. Sa bouche est aussi toujours à disposition.
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Par : le 19/01/21
Notre belle rencontre aux prémices du printemps, il y a un an. Ce chemin parcouru ensemble dans la réalité. La compréhension et une grande complicité. Beaucoup de dialogue entre nous De merveilleux moments vécus avec Vous Des moments intenses Nos cinq sens Qui sont nécessaires Pour une relation sincère Le respect que nous avons de Nous. Ce lien qui m'attache à Vous Ce collier qui est un symbole Vous qui êtes de parole L'empreinte de Vos maux Sur ma sensible peau Votre voix qui m'a troublé Qui me fait m'abandonner Mes peurs ont disparu Je me suis montrée nue Dans la confiance absolue C'est Vous que j'ai 'élu' L'homme que Vous êtes : mon Maitre Vous qui avez su me faire renaitre Avec Vous point de tristesse L'émotion qui me bouleverse Les moments de partages intenses Quand se rejoignent nos jouissances Quand Votre peau frôle la mienne Quand je deviens votre chienne Vous qui m'appréciez Avec Vous est né cette suavité Sous vos doigts, je frémis Sous la cravache, je gémis Avec Vous, une telle harmonie Des avancées, des pas accomplis Qui fait que par la confiance réciproque Par nos liens, et la sincérité qui provoque Sérénité, espoir en demain Il y a des lendemains Je souhaite que ce chemin nous mène longtemps encore vers de nouvelles découvertes et ce plaisir partagé que nous aimons tant. Le temps, l'écoute, la patience sont importants. Tout comme le respect, la confiance en toute circonstance. Respectueusement à Vous, votre soumise. Le 23 03 2011
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Par : le 14/01/21
La sexualité envahit, comme le voulait Freud, la totalité de l’être, puisqu’elle est présente dans la psyché comme dans le soma, dans l’actualité du désir comme dans le vécu de chaque personne. Elle suscite interdictions et permissions, promesses et déceptions, sérénité et inquiétude, jusqu’à en arriver à des troubles susceptibles de la perturber dans son ensemble et dans ses racines, ou bien de frapper seulement l’un ou l’autre de ses multiples aspects. Des perturbations sexuelles peuvent être rattachées à des troubles plus psychologiques ou plus organiques, considérées comme acquises ou héréditaires, sans être prises trop au sérieux par la médecine puisqu’elles ne mettent pas la vie en péril. Les troubles concernant la sexualité sont en général subdivisés en troubles fonctionnels et en comportements "pervers"; ces derniers sont classés aujourd’hui plutôt sous le terme de paraphylie. Les troubles fonctionnels sont partagés en ceux qui affectent l'homme et ceux qui affectent la femme. Parmi les premiers, on trouve respectivement les troubles érectiles, avec toutes leurs variations possibles, et les troubles éjaculatoires, incluant l’éjaculation précoce et l’éjaculation tardive ou difficile. Parmi les seconds, on trouve la frigidité, désignée plus volontiers d'anorgasmie, et la dyspareunie, c’est-à-dire le coït douloureux possible aussi chez l’homme, mais chez lui beaucoup moins fréquent et le vaginisme. Les comportements paraphyliques, quant à eux, se réfèrent à une liste de "perversions" plus ou moins immuable depuis celle dressée au XIX ème siècle par Krafft-Ebing, à laquelle d’ailleurs Freud se réfère aussi. En tête de cette liste figurent bien entendu le sadisme et le masochisme, le voyeurisme et l’exhibitionnisme, et le fétichisme. Selon la pensée freudienne, la perversion sexuelle ne serait que le négatif de la névrose, alors que peut-être, de nos jours, nous serions plutôt enclins à en faire le négatif de la psychose. Le BDSM contemporain, enfin débarrassé de toute vision analytique, ou médicale regroupe un large panel de notions indissociables, la douleur, la contrainte, la frustration, l’humiliation, et le fétichisme. Le terme sadomasochisme est une combinaison des mots sadisme et masochisme. Le sadisme tient son nom de l’œuvre du marquis de Sade (1740-1814) et le masochisme de l'écivain Leopold von Sacher-Masoch (1836-1895). C’est en 1885 que ces termes sont utilisés pour la première fois par Richard von Krafft-Ebing dans son ouvrage "Psychopathia sexualis" dans une optique de médecine légale pour désigner et pour isoler des réputés psychopathes. Dans cet ouvrage, l’auteur interprète le sadisme et le masochisme comme un comportement sexuel pathologique. Le sadisme y est défini comme un désir profond d’humilier, d’infliger de la douleur et d’abuser avec pour objectif d’obtenir un plaisir sexuel, pouvant inclure l’orgasme. À contrario, Krafft-Ebing décrit le masochisme comme la recherche du plaisir dans la souffrance et l’humiliation. Dès lors, la pratique du BDSM a longtemps été considérée comme une pathologie nécessitant une prise en charge thérapeutique. De nos jours, cette orientation sexuelle fait toujours débat au sein de la communauté des psychologues, psychanalystes et thérapeutes. Ce n’est enfin très récemment que l’"American Psychiatric Association" a retiré le BDSM de la liste des psychopathologies. Dans la cinquième édition du manuel diagnostique des troubles mentaux (DSM-5), la pratique du BDSM est dorénavant considérée comme une paraphilie et non plus comme un trouble paraphilique. Introduit en 1903 par le sexologue Friedrich Salomon Krauss, le terme paraphilie remplace la notion de perversion marquée péjorativement. Elle désigne une attirance ou pratique sexuelle qui diverge des actes sexuels considérés comme normaux. Le sexologue Néo-Zélandais John Money la décrit comme un "embellissement sexo-érotique, ou alternative à la norme officielle idéologique." Ainsi La paraphilie n’est pas un trouble mental, à distinguer du trouble paraphilique. Les personnes ayant des actes sexuels sans le consentement d’autrui ou qui causent délibérément un préjudice peuvent être atteintes d’un trouble paraphilique. Une paraphilie peut être optionnelle, élective, voire même indispensable dans la vie sexuelle des pratiquants. Les scientifiques aiment étudier, classifier, normer, comparer. La pratique du BDSM ne fait pas exception à ces réflexes normatifs. Toutefois, Il est difficile de définir la normalité et l’anormalité puisque ces concepts se rapportent à un modèle de référence. Hors, cette normalité chimérique peut évoluer suivant les époques, les sociétés, les mœurs et les cultures. À la fin du XX ème siècle, des neuropsychiatres ont élaboré doctement le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) comme un ouvrage de référence pour classifier les troubles mentaux. Cependant, les facteurs socio-culturels continuent d’interagir sur les frontières entre la normalité et le pathologique. C’est suite à une confrontation entre les rédacteurs avec des représentants de la communauté homosexuelle que l’homosexualité n’a plus été considérée comme une maladie. La révolution sexuelle a également permis la suppression de nombreuses paraphilies dans le BDSM. De récentes recherches en neurosciences démontrent que chez l’être humain, le comportement sexuel n’est plus seulement un moyen de reproduction mais bien plutôt un comportement érotique. Ainsi, le but de la démarche sexuelle ne se cantonne plus nécessairement qu'au coït ou à la pénétration vaginale mais vise la recherche du plaisir érotique et ce, quelques soient les moyens et les caractéristiques du ou des partenaire(s). En considérant ce modèle où les récompenses sont le principal moteur du comportement sexuel, les problèmes et pathologies liés à la sexualité ne se limitent plus aux pratiques, peu importe le moyen d’atteindre le plaisir, voire l'orgasme. Dès lors, les comportements pathologiques proviendraient d’un dysfonctionnement du processus de la récompense, telle l'hyper ou l'hyposexualité, ou la dépendance sexuelle ou des problèmes relationnels entre les partenaires; agression, non consentement, ou croyances sociales spécifiques, culpabilité pour certaines pratiques jugées extrêmes. Ainsi, le BDSM ne peut être regardé comme une pathologie si chaque participant donne son consentement, libre et éclairé, en toute connaissance de cause, et tout en respectant les limites de chacun. Cette relation est avant tout basée sur la confiance. C’est l’assurance que la personne dominante maîtrise son sujet, qu’elle ne recherche pas à infliger de sévères dégradations corporelles, en incorporant dans son jeu de domination l'indispensable safeword. C'est alors que souvent l’empathie occupe une place centrale dans toute relation BDSM. La personne soumise peut dans certains cas, se sentir fragilisée et a besoin de réconfort. Le partenaire qui domine éprouve le besoin d'offrir de la compassion et aussi de la violence. Paradoxalement, bien que la personne dominante inflige de la douleur physique ou psychologique à son partenaire, elle a besoin d’être rassérénée sur sa capacité à satisfaire les désirs de la soumise. Une relation dominant/soumis consensuelle est indissociable des notions de réciprocité et d’interdépendance. De fait, par sa soumission, la personne soumise nourrit l'imagination sans cesse renouvelée de la personne dominante et vice versa. Chaque participant tire son plaisir de la pratique mais aussi, et en grande partie, du plaisir qu’il créé chez son partenaire. La médecine a toujours montré quelque méfiance vis-à-vis du plaisir, se considérant investie surtout de la mission de lutter contre la douleur. En réalité, la douleur est connectée d’une manière inextricable avec le plaisir, ces deux pôles sensitifs étant deux perspectives existentielles sources l’une comme l’autre d’émotions intenses. En effet, au moment où quelqu’un éprouve une douleur physique, il est obligé de prendre conscience d’une façon inéluctable de son propre corps. Puis, en arrivant à maîtriser ou à réduire cette douleur, voilà qu’apparaît un premier degré de plaisir, tout à fait dépendant, encore dans ce cas, de la douleur qui l’a précédé et se configurant en pratique comme une simple réduction de l'intensité sensitive. En revanche, pour accéder à un possible degré de plaisir plus indépendant de la douleur, il faut tenir compte de certaines caractéristiques propres au plaisir en tant que tel. Il est physiquement moins localisable, et surtout beaucoup plus fugace que la douleur. En outre, même s’il semble pouvoir se répéter avec les mêmes traits, en réalité il est toujours quelque peu différent de la fois précédente. Il peut devenir par là un facteur de personnalisation, alors que la douleur a un caractère fondamentalement anonyme entraînant une plus grande disposition à la solidarité et à la socialisation. Si, de la douleur physique, on passe ensuite à ce qu’on pourrait qualifier de douleur morale, il est possible, que quelqu’un finisse préférer vivre dans l’angoisse, la peur, ou la frustration qui peuvent lui assurer un espoir, si lointain et ténu soit-il, de se réaliser, plutôt que de compter sur le maintien d’un équilibre émotionnel, difficile du reste à évaluer par rapport à des normes établies. À tout ceci se surajoute le fait que la mémorisation de la douleur est bien plus tenace que celle propre au plaisir. Toute maladie, en illustration, laisse en nous une trace plus profonde que ne le fait une longue période de santé. La sexologie, cependant, nous met souvent devant des situations cliniques d’où ressortent des contrastes et des paradoxes pas toujours faciles à affronter si nous n’avons pas modifié notre manière classique de voir les choses. C’est-à-dire que l’on peut constater le déclenchement, devant toute forme de plaisir, du même type d’angoisse et d’inquiétude que nous sommes habitués à remarquer face à la douleur. Que ce n’est donc plus l’anxiété en imaginant une sûre défaite qui est mise en place, mais au contraire une anxiété qui découle de la perspective d’un bonheur possible. C'est l'enjeu d'une relation BDSM. La gestion du plaisir, en outre, devient automatiquement encore plus compliquée et malaisée dans le contexte d’une vie de couple où l’érotisme ne se limite à une affaire individuelle, mais doit atteindre une syntonie et une synchronie bien loin d’être à disposition dans l’immédiat et à tout moment. Nous sommes tous assez bien préparés à affronter la douleur et la déception, mais les surprises les plus retentissantes pourront nous venir de l’effroi et de l’inquiétude qui, contre toute attente, pourraient se dégager d’un plaisir qui frappe à notre porte sans s’être annoncé. À propos du divin plaisir et des connections avec la douleur, n’oublions pas non plus que dans le domaine spécifique de la sexualité, la jouissance peut prendre le visage de l’attente, impliquant une hypervalorisation préalable du plaisir telle à engendrer la douleur liée à la déception, puisque le plaisir réel doit se confronter sans cesse avec un format idéal qui lui est souvent attribué, et dont on ne sait pas bien si c’est pour le tenir à distance ou pour entretenir le besoin de ne pas trop le négliger. En définitive, il n’est pas aisé de savoir si ce qui laisse le plus d’empreinte est un plaisir atteint ou un plaisir manqué, un plaisir désiré, et convoité, peut-être perdu de vue au dernier instant. En est l'ilustration, la frustration tirée de la privation d'orgasme. Si bien que dans beaucoup de pratiques sexuelles ou BDSM, peut se cacher de l’ambiguïté, celle de renoncer, par le biais du dysfonctionnement, à la jouissance immédiate, en se rabattant sur le recours à l’introduction d’un délai. Le désir sexuel, en somme, peut donner facilement l’impression d’une méthode apprise pour pouvoir jouer avec cette entité bifocale constituée par un amalgame de plaisir et de douleur, un peu comme le chat joue avec la souris. Ce serait uniquement le masochiste qui refuse de se situer dans cette ambiguïté permanente entre plaisir et douleur pour choisir un rôle définitif favorisant la douleur, une douleur supposée maîtrisable. Pour tous les comportements SM, par ailleurs, est concevable l’existence d’un tel pacte avec le diable, où le plaisir recherché est échangé à jamais contre une douleur, pourvu qu’on obtienne l’assurance de la maîtrise de la douleur en tant que telle et de ses équivalents moraux, y compris la culpabilité. Bibliographie et références: - Gérard Bonnet, "La sexualité freudienne" - Alain Badiou, "Deleuze, La clameur de l'être" - Richard von Krafft-Ebing, "Psychopathia sexualis" - Shiri Eisner, "La sexualité freudienne" - Gilles Deleuze, "Présentation de Sacher-Masoch" - Sacher-Masoch, "L'Amazone de Prague" - Élisabeth Lemirre, "Le couple inconscient, le désir freudien" - Roland Jaccard, "Lecture pornologique" - Philippe Sellier, "Mythes érotiques" - Peter Horwath, "Friedrich Salomo Krauss" - Louis Thivierge, "Changement de paradigme, le DSM-5" - Steeve Demazeux. "L’échec du DSM-5, ou la victoire de la liberté" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 14/01/21
Les mois passent et le lien qui m'unit à Vous s'est avivé. Mes sens sont en éveil, jouissance des instants partagés. Positive de ce chemin à vos côtés avec Votre patience, Votre RESPECT en toute circonstance. Sensations sans cesse renouvelées. Votre protection, votre tendresse et fermeté. Notre relation faite de communication réciproque, de bonheur partagé. L'emprise qui est la Votre, signature de Vous. Me sentir posséder par Vous. Votre domination alliant douceur, fermeté et virilité. Quand votre main effleure mon dos, mes épaules, mon corps s'enflamme, vous attisez mes sens. Lorsque ma peau rougit et que se dessine vos marques. Les instants avec vous, sont source de gourmandise. Sans cesse votre voix me transporte, m'enivre. Depuis ce jour ou mon regard a croisé le Votre, je suis votre. Des émotions, des sensations, des ressentis, des instants rares et précieux où tout bascule quand la complicité s'instaure. Quand le plaisir nous envahit, quand la vague de jouissance irradie nos corps. Vous qui veillez sur moi, qui savez écouter, entendre ce qui n'est pas la même chose Vous à qui je me confie, Vous en qui j'ai placé ma confiance, elle n'a jamais démérité. Vous qui savez me devinez, Vous à qui je me suis 'livrée'. Une intuition, une sensation à Vous découvrir, à Vous entendre, à Vous écouter, puis la réalité. Le ressenti au plus profond de moi, ce que j'avais espéré, rêvé depuis des années, enfin est arrivé. Dans un mois, cela fera une année auprès de Vous. Des découvertes, des expériences, des avancées, des rendez-vous parfois décalés par les aléas de la vie. J'aime les 5 sens et certaines essences de parfum de peau, tout comme la Vôtre dont j'aime à exhaler. Ma pudeur, j'ai déposé à vos pieds ; mes peurs je vous ai expliqué, sans me brusquer, vous m'avez apprivoisé, vous m'avez respecté. Mes peurs et tabous ne sont plus par la confiance et le respect de Vous. Le dialogue est important de part et d'autre, savoir dire les mots, cela permet d'avancer de construire une relation, de resserrer les liens et permet de se connaitre. Mes appréhensions ne sont plus, j'ai confiance en Vous. Vous avez su me rassurer, me protéger. Le respect que Vous avez de Vous, de moi, de nous, de notre relation par la confiance partagée. Je suis tombée sous votre charme. A vos pieds, j'ai déposé mes armes. Il faut s'entendre, se convenir, se plaire n'est-ce pas ? Un dominateur ou Maitre choisit sa soumise et vice versa. A quoi bon dominer celle qui ne convient pas. Sans artifice, je suis devenue votre complice, votre soumise. Ma patience a été 'récompensé', les 'expériences' et déceptions du passé, ont porté leur fruit ; je n'ai plus été la même, moins candide, j'ai retenu la ou les leçons. Oubliés les couards, les virtuels, les manipulateurs, les prédateurs, ceux qui s'en connaitre la personne en réalité se permettent de juger, d'écrire, de menacer, derrière un écran c'est si facile ou par téléphone, j'ai connu cela et il y quelques années. J'avais replié mes ailes à un moment donné. Puis je les ai déployés avec Vous qui avez été clair sur votre situation, tout comme mon annonce le disait en parlant de moi. Mon caractère est entier, je ne juge et ne flatte, je taquine quelque fois, rien de plus. Nul n'est parfait. Chaque personne a droit au bonheur ici et ailleurs. A Vous je ne suis dévoilée, Vous savez tout de moi, je ne vous ai rien caché de mon vécu d'avant, de celle que je suis à présent. Du bonheur partagé quand on se retrouve, quand nos corps sont en accord avec nos envies et désirs. J'apprécie le fait que Vous ayez toujours le contrôle de Vous, jamais d'énervement, de chantage affectif comme il y a parfois, de reproche ou critique sans remise en question du Maitre qui vilipende sa soumise. La maitrise de soi est l'apanage d'un Maitre digne de ce nom, c'est ce que je pense et crois, je n'ai pas la science infuse, il va de soi que cela n'engage que moi. Mon Maitre, j'avais envie de vous dire que depuis notre première rencontre, je savoure chacun de nos rendez-vous. De cette complicité, j'ai trouvé mon équilibre. L’épanouissement et le plaisir partagé étant la priorité d'une relation suivie et d'une construction dans le respect mutuel. Le 24 02 2011
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Par : le 14/01/21
B onheur de Vous appartenir. O smose de vivre nos envies et désirs. N otre sincérité qui est de mise. N om qui est le vôtre et celui de Maitre que je Vous donne. E motions à votre contact, à votre voix qui m'attire. F ace à face, et les émois qui sont légions quand je Vous vois. E xhaler le parfum de votre peau qui m'enivre. T ouchée par votre RESPECT. E xprimer ce que je ressens. A ttente et impatience parfois de Vous revoir. V ivre les instants précieux avec Vous. O béissance et appartenance en ce collier porté. U ne rencontre et l'alchimie qui est passée entre nous. S ensations sans cesse renouvelées. M arquée par Vous, marques visibles ou invisibles. O bscurité sous le bandeau qui couvre mes yeux quelque fois. N ous et cette confiance mutuelle qui est le ciment d'une relation. M ains qui me caressent, mains qui m'électrisent. A bandon dans ma soumission, Vous aimez mes expressions. I nstants précieux, instants de partage ou la jouissance explose. T enue de Vous, tenue de moi, tenue que Vous appréciez. R espect qui est primordial de chaque côté. E couter pour progresser et grandir dans la sérénité. 24 01 2011
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Par : le 13/01/21
Certaines pratiques BDSM sont parfois jugées trop douces ou esthétisantes par certains adeptes en ce qu'elles s'éloignent trop du sadisme ou du rapport de domination. Pour quelques puristes, elles relèveraient davantage de performances que de jeux. Le consentement dans les pratiques SM implique que les personnes concernées choisissent activement les limites des activités qu'elles effectuent. Il permet ainsi de tracer la limite la plus certaine entre jeu BDSM et acte de torture. Si le sadisme est dominé par la figure de la vénus offerte, il ne peut être le complément ou le symétrique du masochisme. Parce que le phénomène masochiste a ressaisi des éléments qui appartiennent à l’histoire plus ancienne du sadisme. Au XVII ème siècle, un nouveau type d’érotisation de la cruauté a triomphé dans la littérature. À la simple cruauté physique s'est adjointe la cruauté morale. Nonnes violentées dans les couvents et servantes dominées par leurs maîtres ont rejoint la vénus offerte, jusqu’au triomphe de la "cruauté des petits maîtres." Dans "Les liaisons dangereuses, la cruauté pouvait désormais se passer de l’effraction violente des frontières du corps. Ce qui est érotique, c’est la cruauté affective et morale qui témoigne des relations de pouvoir entre des hommes qui dominent et des femmes dupes et donc victimes, sauf une, Madame de Merteuil, mais dont on sait la fin tragique. On peut lire l’œuvre de Sade comme un moment charnière dans l’histoire de la violence érotisée, un lieu où se combinent le fantasme ancien de la vénus offerte et la jouissance nouvelle de la cruauté affective infligée à une femme innocente. Voilà Justine, vertueuse infortunée qui meurt traversée par la foudre "de la bouche au con." Mais l’érotique proprement masochiste émergea au XIX ème siècle. Son expression est l’œuvre de Sacher-Masoch, dans sa célèbre "Vénus à la fourrure". Cette Vénus n’est ni la fille ni la sœur de la vénus offerte. Ce qu’elle représente, c’est l’érotisation d’un rapport de domination, c’est-à-dire d’une relation de pouvoir entre un dominant et un dominé, élément essentiel de la scène masochiste, l’acronyme contemporain BDSM étant à ce titre bien plus pertinent que le sadomasochisme. Or, à l’inverse du sadique qui désire réduire le sujet à ce qui est en lui de moins subjectif, toute relation de pouvoir suppose le maintien de la subjectivité des deux membres du rapport. Que le sadisme exige la cruauté et l’effraction violente des frontières du corps et de l’esprit, soit. Mais le masochisme n’a que faire de l’impossible plaisir dans la douleur qui obséda les psychiatres de la fin du XIX ème siècle, chimère conceptuelle à laquelle Freud se laissa prendre lorsqu’il en fit l’orientation passive d’une pulsion de cruauté et d’agression sexuelle dont la forme active serait le sadisme. Pourtant, n’y a-t-il pas des cas de masochisme, extrêmes mais révélateurs, qui nous propulsent dans la recherche de la douleur pour elle-même ? Ainsi des femmes et des hommes soumis exigent de leurs Maîtresses ou Maîtres d'avoir le corps entier portant des traces de torture. Ici, l’extrême des actes ne doit pas fasciner le regard. En découle toute la symbolique des traces corporelles, des scarifications, ou plus encore du sang. Dans les relations BDSM, la recherche de la douleur fait partie des moyens utilisés pour mettre en œuvre le lien de domination/soumission. Les pratiques de contrainte (attaches, bondage, carcans), l’usage de la souffrance, l’effraction du corps (plugs vaginaux et anaux, dont certains aux dimensions étonnantes), les aiguilles, les suspensions par crochets "hameçons" passant au travers de la peau et reliés à des cordes tendues, même extrêmes, ne sont pas cruelles. Elles ont pour fonction d’être les signes et les effets de ce pouvoir sur soi au travers de ce lien. Chaque marque corporelle possède un sens symbolique défini dans un contexte culturel précis. Dans beaucoup de propos de pierceurs et sur un certain nombre de leurs sites Internet, on peut lire que le piercing de la langue était déjà pratiqué par les mayas ou les aztèques. S’il est vrai que chez ces peuples existait un rituel au cours duquel était pratiqué un percement de la langue mais aussi du nez, de l’oreille et parfois de la verge, l’étude de ce rite démontre que l’objectif réel affiché consistait en une offrande de sang aux dieux, que la personne concernée était une personne de haut rang. Cette obligation sacrificielle à laquelle devaient se soumettre certains personnages importants ne peut pas et ne doit pas être comparée au piercing de la langue, résultant de la volonté de disposer de manière plus ou moins durable d’un bijou à vocation érotique ou sexuelle. Les contextes sont différents, les objectifs également. Comme lors d’un stade rituel de l’initiation, dans certaines ethnies étrangères, une épreuve plus douloureuse consiste en des incisions profondes sur toute la surface du dos, non pas avec un couteau de bambou bien affilé mais avec une pierre dont le tranchant est volontairement grossier afin, non de couper mais réellement de déchirer les chairs. Ces exemples montrent que le fait de supporter la douleur et surtout de montrer aux autres qu’on peut la supporter entre dans le processus de construction identitaire et que plus la douleur est forte, plus l'initié s’approche du stade d’homme vrai, accompli, reconnu comme tel par l’ensemble de la communauté. S’il y a expression de la douleur, elle devient inaudible au sein de ces manifestations rituelles, bruyantes de joie, comme si elle n’existait pas. Elle est totalement niée, on ne veut pas l’entendre. Si, après l’initiation et ces épreuves douloureuses, la douleur n’est plus qu’un mauvais souvenir, il en reste des traces sur le corps, traces imprimées par la société. Un des buts de l’initiation est de marquer le corps qui devient un support de mémoire rappelant que l’initié est désormais un membre à part entière d’une communauté, qu’il possède de nouveaux droits en contrepartie de nouvelles règles qu’il doit suivre. Il en va ainsi dans l'univers BDSM, à la différence qu'il ne s'agit plus de rites tribaux mais de pratiques SM recherchées et consenties. Dans les sociétés pré-modernes, la douleur subie fait partie intégrante d’un processus de construction identitaire, processus voulu et reconnu par l’ensemble du groupe, ce qui donne à la douleur imposée une valence positive, car c’est à travers elle que l’individu évolue, progresse et accomplit son destin. La blessure est alors signifiante et contient une valeur fondamentale, indépendamment d’un éventuel graphisme qui pourrait être interprété. Certaines scarifications ou tatouages sont des signes de reconnaissance identitaire d’appartenance à un groupe mais, outre cette carte d'identité, le fait même de vivre le processus de marquage est signifiant. Les transformations du corps ont un sens qui va au-delà de leur visibilité. À l’opposé de la violence, le dispositif masochiste cherche au contraire à assurer que le rapport des corps soit une relation intersubjective, protégée et idéalement garantie par un contrat. Équilibre complexe, en raison des pratiques BDSM elles-mêmes, un dérapage reste toujours possible. D’où l’exigence martelée de la confiance entre partenaires qui pallie l’absence d’institution et joue le rôle de garantie affective du respect du contrat. Dans notre société, la lutte contre toute douleur, même mineure, est devenue une obligation. La personne qui a mal va, dans un premier temps, lutter contre cette douleur par les antalgiques, puis, si elle persiste, va entamer une démarche de parcours de soin. La douleur est vécue comme quelque chose de négatif par essence, liée à un mal qu’il faut combattre. Son statut est bien différent de celui des sociétés traditionnelles. Elle n’apporte rien de bon et ne permet pas d’évoluer, au contraire. Dans l'univers du BDSM, c'est le contraire, la douleur offre la possibilité d’une extase dans un monde mystique. Symboliquement, le sang possède un statut ambigu, il peut être bon ou mauvais selon les cas. Bon, il est alors porteur de force, il permet de fertiliser, de faire croître, et de guérir, mais mauvais, il apporte la malédiction, la maladie et la mort. Le sang qui coule est en lien direct avec le danger et la mort et doit donc être sous contrôle, comme lors des sacrifices comportant des mises à mort d’hommes ou d’animaux lors d’offrandes de sang. Cela s’applique aussi au sang menstruel. L’écoulement sanguin possède une valeur symbolique fondamentale, puisqu’il contribue à structurer la différence des sexes à travers la stricte séparation entre l’écoulement volontaire qui se produit lors des activités cynégétiques, guerrières ou rituelles et l’écoulement involontaire des règles. Le style de vie BDSM est rempli de traditions et de cérémonies dont le monde extérieur est rarement témoin. L'une des plus significative est sans doute le rituel de liaison ou "cérémonie des roses". La soumise tient une rose blanche, pas tout à fait en pleine floraison, le Maître, une rose rouge symbolique qui est ouverte presque entièrement. Tandis qu'il l'attache solidement, le Maître lui fait la déclaration qu'il la protégera et la guidera pour toute l'éternité. Avec des épines de la tige de sa rose rouge, il pique le majeur de la jeune initiée soumise laissant deux gouttes de sang tomber sur les pétales blancs de sa rose à elle. Elle lui offre alors les épines de sa rose et elle lui pique son propre doigt. Il laisse tomber alors deux gouttes de son propre sang sur la rose blanche. Une goutte tombe sur un pétale et l'autre sur son sang à elle. La piqûre du doigt de la docile est symbolique de virginité. La femme se donne complètement à son Maître. Ils sont maintenant tout deux de la même chair et du même sang. Lors de flagellations pratiquées dans certaines séances BDSM ou lors de cérémonies d'initiations, les traces corporelles symbolisent la souffrance de l'apprentissage, ou d'une épreuve. Certaines soumises ou certains soumis sont alors fiers de conserver et d'exhiber leurs traces corporelles. Il en va de même lors de la pose d'aiguilles sur le corps. Le sang qui coule du corps est en lien direct avec le danger et la mort et doit donc être sous contôle. Il est symboliquement associé à la construction de la virilité masochiste à travers des activités typiquement SM, un moyen actif de transformer des personnes soumises en personnes masochistes. Les blessures, les traces, et les cicatrices sont les emblèmes du courage et de la dévotion. Les marques corporelles volontaires avec écoulement sanguin comme le tatouage ont été, elles, considérées très négativement depuis la seconde moitié du XIX ème siècle. La vision portée sur le tatouage a heureusement évolué pour devenir plus positive, sans doute grâce à deux facteurs successifs, l’amélioration et l’évolution du graphisme, puis l’engouement féminin pour cette ornementation cutanée. Peu d’activités font appel à autant d’éléments porteurs de symbolisme que le feu, le métal et le sang. Dans certaines tribus africaines, le forgeron est considéré comme un magicien et les opérations de fonte du fer sont chargées symboliquement et impliquent des prescriptions dans la sphère sexuelle. Il peut s’agir d’abstinence ou d’interdits concernant les femmes. Le marquage volontaire appelé branding, la scarification, ainsi que les aiguilles, dans l'univers BDSM sont des pratiques jugées extrêmes. Il convient donc de ne pas les pratiquer sans expérience et sans avoir parlé au préalable des limites à ne pas dépasser. Il en va de même pour la pose de piercing génital féminin ou masculin car les risques infectieux sont bien connus. La douleur fait partie de l'expérience du piercing et en est parfois le but principal pour pouvoir atteindre un état de conscience élevé. L'attitude ne concerne pas uniquement les couples sado-masochistes, mais aussi ceux qui considèrent le piercing comme un rite de passage ou un événement initiatique. Parfois, des anneaux perçant les lèvres ou d'autres types de bijoux spécialement conçus à cette intention, peuvent être portés pour interdire provisoirement l'acte sexuel, et donc tout plaisir sexuel, ce qui correspond à une forme d'infibulation non chirurgicale à court ou à long terme. Le branding ainsi que les scarifications sont synonymes de déviance sexuelle aux États-Unis. En France, le "baiser de feu" est en général, pratiqué marginalement dans des cercles très fermés. L’usage direct ou indirect du feu, du métal qui coupe ou transperce, la douleur présente et nécessaire ainsi que les risques médicaux sont autant d’éléments à forte charge symbolique. Ces composantes sont cependant aussi présentes dans les pratiques plus soft, plus courantes telles que le tatouage ou le piercing, de plus en plus prisés par les femmes, hors même de toute relation BDSM. Le corps intervient dans toutes les sociétés comme support de rites et comme symbole privilégié particulièrement dans l'univers SM. Les percements réalisés sur le corps sont localisés à proximité des orifices réels ou allégoriques de celui-ci et on peut considérer que les plaies occasionnées par la flagellation et les scarifications créent de nouveaux orifices et peuvent être vues comme des seuils, lieux d'écoulement du sang, substance corporelle, source de vie. Il est logique que les orifices corporels symbolisent les points les plus vulnérables. La matière issue de ces orifices est de toute évidence emblématique. Sang, Crachats, urine, excréments, dépassent les limites du corps, du fait même de leur sécrétion. Dans notre société contemporaine, la fonction d'dentification est délicate à mettre en évidence et les tatouages et piercings actuels à proximité des orifices corporels ont plus à voir avec la sexualité et l’érotisme. Le tatouage et le piercing, pour les non-impliqués, ont acquis peu à peu, avec leur expansion, le statut de bijou en vogue, mettant en avant une recherche esthétique. Mais la différence par rapport au bijou classique réside dans le fait que la pose de piercing intime nécessite de pénétrer la peau, créant de nouveaux points de contact entre l'intérieur et l'extérieur du corps. Pour les adeptes, c’est souvent le processus même de la trace corporelle qui est important, beaucoup relatent le plaisir de la décharge d’adrénaline lors de l’acte et la prise de conscience de leur corps. Le lien entre les notions d’excès, de prestige et même de pouvoir est bien connu des sexologues. Plus généralement, Il est intéressant de relever parfois à un certain degré, un parallèle anthropologique entre les rites de certaines cultures africaines et les pratiques du monde BDSM. Ainsi, chez les Mossi du Burkina Faso, les scarifications du ventre des femmes se situent chronologiquement entre deux autres événements, l’excision et l’accouchement dans lesquels le rapport à la douleur est totalement différent. Il en est de même pour les femmes dans de nombreuses ethnies, comme celles qui pratiquent l'ablation partielle ou totale du clitoris sur des jeunes filles presque pubères. De même, il n’est pas rare actuellement que des jeunes filles du Sénégal décident à l’insu de leurs parents de subir une opération particulièrement douloureuse, le tatouage des lèvres. Si, après l’initiation et ces épreuves douloureuses, la douleur n’est plus qu’un mauvais souvenir, il en reste des traces sur le corps, traces imprimées par la société, où le corps devient un support de mémoire rappelant que l’initiée est désormais un membre à part entière d’une nouvelle communauté, qu’elle possède de nouveaux droits en contrepartie de nouvelles règles qu’elle doit suivre. La comparaison entre ces rites ethniques africains et nos usages s'arrête là car la grande majorité des états condamnent ces pratiques. Dans les sociétés où elles sont exécutées, les mutilations sexuelles féminines (MSF) sont le reflet d’une inégalité entre les sexes et traduisent le contrôle exercé par la société sur les femmes. Leur maintien est sous-tendu par un ensemble de croyances culturelles, religieuses et sociales. En France, dans un cadre juridique étoffé, le code pénal est explicite. L'article 222-9 précise que les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de dix ans d'emprisonnement et de cent cinquante mille euros d'amende. Malheureusement près de soixante mille femmes excisées vivent actuellement en France, principalement originaires du Mali, du Sénégal, du Burkina Faso, ou de la Guinée. La recherche de la performance permet avec radicalité aux adeptes du BDSM, de poser sans entrave le rapport qu’ils établissent avec leur propre corps en le dissociant d’une histoire de la représentation qui les assujetissent au rôle d’objet. Il s’agit en fait d’un double mouvement de déconstruction et de réappropriation de leurs corps qui passe, non pas par une utopie, mais par une érotisation et un réinvestissement des contraintes. C'est la volonté de s’inscrire dans un cadre culturel et symbolique pour en subvertir les termes. En ce sens, la répétition du corps voulu par le phantasme du masculin est ainsi plus une présentation qu’une répétition ou une reproduction iconographique d’un modèle d’oppression. Ce n’est pas une copie mais une reformalisation. C’est à ce niveau que ces performances peuvent être qualifiées de sadomasochistes. La douleur et les traces corporelles ne sont plus le résultat d’une position subie redondante avec sa position symbolique. L’expérience masochiste signifie cette déstabilisation du moi. La souffrance, le bondage, les yeux bandés et l’humiliation affranchissent le soumis de l’initiative et du choix, et lui permettent de se retirer momentanément de son identité pour se réfugier dans le corps et créer une nouvelle identité fantasmatique souvent diamétralement opposée au moi qu’il présente au monde. Dans une relation BDSM, cela ne signifie cependant pas une perte totale et sans retour, autodestructrice. Le surgissement orgasmique s’inscrit en réalité au cœur de l’ordre et des cadres symboliques qu’il ne s’agit pas de quitter de manière psychotique en provoquant une destruction du corps mais de le mettre en mal. Il s’agit toujours malgré tout de théâtre et ce qui s’y donne ne saurait être confondu avec la réalité. Le corps performé ne saurait être mis en danger. Il s'agit d'éviter à tout prix le lieu commun qui consiste à dire qu'un novice impliqué dans les conduites à risque ou des atteintes corporelles répétées qu'il vit une forme de rite de passage ou à l'inverse que son comportement est seulement provoqué par leur absence dans nos sociétés. Le corps est le lieu rayonnant où est questionné le monde. L'intention n'est plus l'affirmation du beau mais la provocation de la chair, source de jubilation sensorielle, parade narquoise à la réalité. Bibliographie et références: - Theodor Adorno, "La psychanalyse révisée" - J. de Berg, Catherine Robbe-Grillet, "Cérémonies de femmes" - A. Binet, "Le fétichisme dans l’amour" - R. von Krafft-Ebing, "Psychopathia Sexualis" - S. Freud, "Trois essais sur la théorie sexuelle" - M. de M’Uzan, "Un cas de masochisme pervers" - G. Deleuze, "Présentation de Sacher-Masoch. Le froid et le cruel" - J. Streff, "Les extravagances du désir" - Cesare Lombroso, "L’Homme criminel" - Lucien Sfez, "L’utopie de la santé parfaite" - Éric-Emmanuel Schmitt, "Le Visiteur" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 13/01/21
L'année s'achève bientôt ; 9 mois que je vous appartiens. Nous avons traversé les 4 saisons, sans Vivaldi, mais avec harmonie. Nous avons fait connaissance, le printemps venait d'éclore. Notre dernier rendez-vous, ce premier jour d'hiver, avec la neige qui a déroulé son blanc manteau dans de nombreux départements avec une certaine avance, surprise, provoquant pagaille, retards, annulations, reports, etc. Je suis sereine, heureuse en ce chemin à vos côtés, en ces demains par le Maitre digne de ce nom que Vous êtes, Vous qui avez su m'apprivoiser au fur et à mesure de nos rencontres. Toujours le respect avec Vous, que cela soit dans la domination ; en sortie comme ce club SM sur Paris, au restaurant, ou que l'on se promène, dans Votre élégance, Votre comportement, Votre attention, gestes, attitudes, écoute, à me rassurer, me faire grandir, cela me comble de bonheur tout simplement. J'apprécie la sincérité qui est Votre, qui est notre, qui est de mise entre Maitre et soumise. Avec Vous, aucun faux semblant, j'apprécie grandement. Votre patience, la maitrise de Vous, jamais sous l'emprise de la colère, de l'agacement, de l'impatience, un Maitre ne se défoule pas sur sa soumise, elle lui rend hommage, elle se dépasse, et lui fais honneur. Par le respect, ce maitre mot qui est le sésame indispensable, tout comme la confiance réciproque des avancées, des progressions, des dépassements, des limites sont franchies. Vous qui avez touché mon cœur et bien au-delà, que cela soit ce premier jour et les jours qui ont suivis, qui se suivent et se suivrons dans cette relation d'une intensité particulière. Que de bonheur avec Vous, avec la patience, on arrive à beaucoup. J'ai mis du temps, qu'importe le temps, qu'importe l'âge. Quand l'évidence, l'attirance, la connivence se fait, la personne qui convient et nous convient et avec qui le temps suspend son envol. Vous avez attisé ma curiosité par ce premier mail, et depuis mon chemin est près de Vous, nous nous sommes bien trouvés, c'est ce que Vous me dites quelque fois et cela est vrai. Bonnes fêtes de fin d'année à toutes et tous, gardez espoir, tout arrive à qui sait attendre. Que les belles relations durent et perdurent, que celles qui viennent d'éclore garde leur intensité, que celles qui ont pris fin restent positives en leur parcours et chemin. Moje marzenie stalo sie rzeczywistoscia, z moją milosc Mistrza. Le 23 décembre 2010
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Par : le 13/01/21
Maîtresse Adèle ne nous oublia pas, elle nous ligatura bras contre bras et jambe contre jambe. Nous ne faisions plus qu’un et devions forcément tout faire ensemble, se laver, aller aux toilettes et finalement dormir. Il nous en fallait plus pour ne pas dormir et n’avons pas tarder, après toutes ces émotions, à fermer les yeux et tomber dans les bras de Morphée. Finalement, c’est encore Maîtresse Adèle qui nous réveille sans ménagement avec une cuvette d’eau bien froide. Nous éclatons tous les trois de rire, manière de sceller entre nous une grande complicité. Maîtresse Adèle nous libère de nos cordes. Après une toilette et un petit déjeuner vite expédié, nous découvrons Maîtresse Adèle en body transparent bien ouvert devant, laissant voir sa petite fente bien épilée, et derrière nous montrant ces magnifiques fesses. Profitant de notre excitation, elle nous dirige de nouveau vers la chambre et nous intimes de nous mettre nu. « Aujourd’hui, pas de bandeau, vous allez vous découvrir intégralement. » Nous restons au bord du lit à nous caresser tendrement faisant monter l’excitation et tendre nos bites. Si nous fermons les yeux au début, le plaisir nous les fait rouvrir rapidement et nous nous découvrons dans notre nudité. Maîtresse Adèle me donne l’ordre de me pencher sur le bord du lit, bien cambré, j’offre mon cul à qui veut bien le pénétrer. Lucas a mis prestement un préservatif, s’approche de moi et force doucement mon anus. Je suis détendu et la pénétration est agréable. Encouragé par cette facilité, Lucas enfonce son instrument au plus profond de moi et je le reçois avec plaisir. Bientôt Maîtresse Adèle, qui as mis un gode ceinture impressionnant, force l’accès de l’anus de Lucas qui gémie tant par surprise que par plaisir. Maîtresse Adèle par ces aller et retour dans le cul de Lucas rythme notre plaisir. Je sens la bite de mon partenaire me parcourir de fond en comble. C’est bon et je ne peux retenir des râles de plaisir. Après quelques minutes, Maîtresse Adèle inverse les rôles et je me retrouve coincé entre Lucas et notre Maîtresse. Avec mon préservatif bien lubrifié, je pénètre sans effort l’anus de Lucas qui a déjà été bien préparé par le gode ceinture. Je n’ai aucun mal à m’enfoncer jusqu’à toucher ces fesses avec mes cuisses. Je sens qu’il m’enserre fortement, décuplant mon plaisir Maîtresse Adèle plonge son gode ceinture dans mon petit cul et je ne peux m’empêcher de pousser un petit cri de douleur. Une fois passé la surprise de la pénétration, je prends plaisir aux aller-retour de ce gros gode qui doit bien faire ces 4 cm de diamètre. Nous sommes tous les trois imbriqués l’un dans l’autre comme un seul homme. Je ne peux retenir ma jouissance bien longtemps et lâche ma semence dans le cul de mon partenaire. Épuisé, je me retire de mon petit paradis. Maîtresse Adèle me prend par les cheveux et m’oblige à m’agenouiller devant elle. Elle demande à Lucas de se mettre devant moi pour que je puisse le sucer. Je m’exécute avec entrain m’appliquant à le faire jouir doucement. J’insiste avec ma langue et mes lèvres sur son gland rougi. Sentant monter son sperme, Je prends sa verge dans ma main et je le branle jusqu’à ce que son jet noie mon visage. Je récupérais sa semence avec ma langue et mes doigts sans en perdre une goutte. Maîtresse Adèle lui demande de me laver en léchant le visage jusqu’à ne plus voir la moindre trace de sperme sur ma peau. Maîtresse Adèle avait besoin de plus de plaisir et nous plaça à genoux devant elle pour Lucas et derrière pour ma part. Lucas lécha sa vulve et son clitoris. J’avais l’honneur de lécher son anus et de la pénétrer avec ma langue. En descendant le long de son périnée , j’atteignais ces lèvres et la langue de mon partenaire. Nous unissions nos efforts sur ces petites lèvres et son clitoris pour la faire jouir. Maîtresse Adèle nous gratifia de quelques orgasmes qu’elle ne pouvait pas cacher. Comme hier, nous nous sommes écroulé sur le lit, nous les soumis de chaque côté de Maîtresse Adèle. Nous l’avons enlacé pour la remercier de l’expérience merveilleuse qu’elle nous avait permis de vivre. Le temps de la séparation était venu et nous nous sommes promis Lucas et moi des se revoir le plus rapidement possible. Qui sait, un amour était peut-être né ! Nous avons rassemblé nos affaires et avons repris la route avec Maîtresse Adèle. Arrivée à notre point de départ, je n’avais pas assez de mot pour remercier Maîtresse Adèle.«  Moi aussi, tu m’as fait grand plaisir et nous referons d’autres week-ends. Tu n’es pas au bout de tes surprises » Se séparer fût un déchirement, et je n’avais plus qu’une envie : revivre une telle expérience rapidement. Et puis marre des biens pensants, écoutes ton cœur et vis ta vie. FIN :cry: Ce n'était qu'un weekend alors fallait-il une fin.
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Par : le 13/01/21
Le sadomasochisme est une relation singulière dans laquelle deux partenaires s’engagent dans une relation dominant/dominé, de façon adulte et consentante et qui n'engendre aucun préjudice physique ou moral pour les pratiquants ou le public. C'est un choix individuel et libre. L'activité existe uniquement par celui qui la conçoit et par celle qui va la faire vivre, ou inversement. Aucune loi ne la régit, à part des règles de sécurité. Il y a autant de BDSM différents que d'individus qui le pratiquent. L'important est de se connaître afin de vivre au mieux ses fantasmes. Aucune pratique n'implique obligatoirement le passage à l'acte sexuel. Toutefois, il est fréquent de la voir interprétée par les participants comme un prélude érotique. Les pratiques BDSM ont un poids psychologique essentiel, voire fondamental. C'est le cas dans celles qui ont une forte dimension de soumission ou de domination liée à un statut ou une situation. Les partenaires pratiquent ces jeux afin d'obtenir, par l'exacerbation de leurs sens et de leurs fantasmes, un désir sexuel plus intense. La douleur psychologique ou physique peut devenir souffrance. Mais la douleur devient plaisir lorsque la charge d'endorphine couvre le choc de la douleur. Ceux qui le découvrent seront toujours en quête, car dans ce cas, le désir est accru. Il ne faut pas confondre BDSM avec sadomasochisme, la dimension de douleur est nettement moins présente dans le BDSM qui se centre principalement sur l'aspect domination et la dimension psychologique. Pour certains adeptes, le plaisir sexuel se double d’une intense décharge d’endorphine, et la douleur plonge l’individu dans un état d’euphorie soutenu. Depuis l’origine de l’homme, douleurs et plaisirs ont entretenu des rapports extrêmement ambigus. La douleur et le plaisir sont les deux faces opposées d’un même corps, tel Janus aux deux visages, complémentaires et indissociables des comportements humains. De nombreuses règles peuvent régir les comportements, les autorisations et interdictions des deux personnes, sous la la forme d'un contrat généralement écrit. Un journal peut aussi être tenu à jour quotidiennement. Ces engagements font partie de ce qui peut structurer une relation BDSM sans incorporer encore une fois, nécessairement des actes sexuels. Le plus célèbre des contrats est sans nul doute celui qui lie Sacher-Masoch à Mme Dunajew: ainsi Séverin s’engage-t-il, sur sa parole d’honneur, à être l’esclave de Mme Wanda Dunajew aux conditions qu’elle demande et à se soumettre sans résistance à tout ce qu’elle lui imposera. Les pratiquants BDSM affectionnent ce type de contrat qui stipule des règles précises à respecter, énonce les statuts des uns et des autres. À titre d’exemple, dans le roman "La Vénus à la fourrure", "L’esclave, anciennement libre de sa propre personne, accepte et établit qu’il veut et a l’intention de se livrer complètement entre les mains de son Maître. Le Maître accepte et établit qu’Il veut et a l’intention de prendre possession de l’esclave. Par signature de ce contrat d’esclavage, il est convenu que l’esclave donne tous les droits sur sa propre personne, et que le Maître prend entièrement possession de l’esclave comme propriété." Dans ce contexte, l’individu devient soumis, non pas parce que cet état est inscrit dans sa nature, mais parce qu’il le désire. En outre, il le devient, non pas parce qu’il n’a pas de biens propres, de nom ou de corps. Il le devient justement parce qu'il a un corps et que ce corps lui appartient. Le dominant prend possession de lui et il bascule dans sa propriété. Dès lors, le rôle de la soumise ou du soumis est défini. En ce sens, les pratiques BDSM sont transgressives car elles remettent en cause la notion juridique de personne en tant que fait fondamental du droit, c’est-à-dire qu’elles remettent profondément en cause la liberté de jouir de sa propre personne. Cependant, c’est oublier que nous sommes dans le cadre d’un jeu de rôle et plus exactement, dans une modalisation. C’est-à-dire que la relation BDSM prend pour modèle la soumission mais lui accorde un sens tout à fait différent. Ainsi, si le contrat stipule que la Maîtresse ou le Maître prend entièrement possession de la soumise comme propriété, il précise également que, si elle sent qu’un ordre ou une punition va nettement au-delà de ses limites, elle peut faire usage d’un mot de passe convenu avec le Maître pour stopper immédiatement une action ou une punition. De même, la soumise ou le soumis peut user d’un mot de veto convenu ou d'un signal, avec son Maître pour refuser un ordre qui mettrait en péril sa vie professionnelle ou son intégrité physique. Lors d'une séance, c'est le fameux safeword qui, utilisé par la personne qui se soumet, indique au partenaire qu'il doit immédiatement et sans discussion interrompre l'action en cours, et la délivrer de toutes contraintes éventuelles aussi rapidement et prudemment que possible. La négociation des désirs permet donc toujours de fixer des limites, des frontières à ne pas dépasser. On ne le répétera jamais assez aux novices en soumission, le safeword est toujours à considérer comme appelant une réaction de la plus haute urgence, quelle que soit la situation et aussi anodine puisse-t-elle paraître aux yeux de celle ou de celui qui contrôle les événements. Le contrat BDSM a pour fonction de préciser clairement que l’on ne se situe surtout pas dans une véritable relation de sadomasochisme au sens classique du terme. Dans l’univers BDSM, le contrat de soumission n’est qu’un simulacre dans le sens où masochisme et sadisme ne s’y rencontrent jamais à l’état pur. Des individus acceptent néanmoins, pour un temps donné, d’endosser le rôle du sadique ou celui du masochiste. Le véritable sadisme n’est-il pas d'infliger une douleur non souhaitée, non espérée, non désirée ? Le véritable sadisme n’est-il pas dans l’authenticité de la souffrance ? C'est la raison pour laquelle le véritable sadisme ne fait pas en principe partie de l’univers SM. Le BDSM n’est jamais négateur de l’autre. Ni le désir ni le plaisir de l’autre ne sont ignorés. Il s’agit bien plus de trouver un consensus, de délimiter un territoire où chacun des protagonistes trouvera plaisir et satisfaction. Dès lors, de quelle manière le dominant prend-il véritablement possession du dominé ? Le contrat BDSM, formel ou tacite, est nécessaire pour amorcer la relation; il crée une rupture avec le quotidien et instaure un espace de jeu. Celui-ci n’est pas fixe mais peut parfois varier dans le temps et dans l'espace. Il peut s’agir d’un donjon, d’un lieu privé, voire d’un lieu public. Toutefois, au-delà des décors et des situations, l’espace du jeu se focalise avant tout sur le corps de la personne dominée. Le corps devient le lieu même de l’action car le dominant l’utilise tel un objet et exerce une action sur lui. La Maîtresse ou le Maître accepte la responsabilité du corps et de l’esprit de la personne dominée et, tout en ne mettant jamais en danger la vie de la soumise, ou du soumis, édicte des règles de comportement, comme par exemple, d'exiger d'elle ou de lui, de vivre en permanence avec des signes de soumission, de se faire tatouer, de se faire percer le corps, ou enfin d'accepter des marques corporelles, dépassant ainsi ses limites. En d’autres termes, prendre possession de la soumise ou du soumis, c’est prendre possession de ses territoires, et surtout de ses territoires les plus intimes: le corps et l’esprit. Dès lors, l’espace du jeu se décline n’importe où, n’importe quand. Même si les décors ont une importance, parce qu’ils véhiculent une certaine atmosphère, le jeu peut se dérouler dans n’importe quel lieu public, à l’insu des autres. La domination consiste alors à choisir pour l’autre, à décider de ses attitudes ou de son comportement. Le jeu sadomasochiste est également signifié dans le langage lorsque les individus conviennent d’un certain nombre de rites d’usage. Le consentement, la négociation des désirs qui précède tout contrat, mais aussi souvent l’échange des rôles entre partenaires, indiquent combien le caractère dramatique du contrat n’est qu’illusoire. En quelque sorte, la soumise ou le soumis conserve toujours la maîtrise de son corps, puisque à tout moment il peut arrêter le jeu, et nous sommes ici bien plus dans un jeu de rôle ou de masque, que dans le tragique d’une relation humaine. Les pratiques BDSM n’ont donc à priori, aucun caractère violent, tout au plus s’agit-il d’une violence canalisée, voire symbolique et toujours encadrée. Elles ne font que mettre en scène une relation de pouvoir qui ne peut être, par définition, une relation de soumission, encore moins d'esclavage. En outre, dans les relations BDSM, le pouvoir est mobile et instable. En d’autres termes, la relation de pouvoir ne peut exister que dans la mesure où les sujets sont libres. Dès, lors, il importe de déterminer jusqu’à quel point les individus sont libres et consentants et jusqu’à quel point il s’agit de relations de pouvoir jouées et non pas d’une manifestation masquée de domination masculine ou d’une intériorisation des normes caractérisant le féminin et le masculin, qui emprisonnent l’individu dans un rapport de domination sans issue. Les jeux de rôle BDSM nous interpellent, trop souvent, à plus d’un titre, par leur caractère stéréotypé. Les histoires que se racontent et que jouent les pratiquants empruntent, en effet, aux rôles traditionnels, notamment féminins et masculins, et à la représentation classique, des rôles de sexe mais en les exacerbant et en les caricaturant. Voilà pourquoi seule l'imagination de la Maîtresse ou du Maître, sans cesse renouvelée, peut assurer la pérennité et l'épanouissement d'une relation SM. La comparaison des romans d’"Histoire d’O" de Pauline Réage et de "La Vénus à la fourrure" de Sacher- Masoch est à ce titre tout à fait significative. Dans le premier, bien que O soit une femme autonome, sa soumission paraît naturelle et se passe de justification. La manière dont elle vit et dont elle ressent sa soumission est exprimée, mais jamais son désir de l’être. La soumission est ici féminine. Dans "La Vénus à la fourrure", la soumission est masculine et n’a aucun caractère naturel. À l’inverse d’O, Séverin est celui qui construit sa soumission, choisit celle qui le dominera et à qui il impose un contrat qui stipule sa servitude. Ici, le soumis est celui qui dicte les règles. Si nous nous en tenons strictement à la représentation des catégories de sexe, il est possible d’observer une reconduction de la domination masculine. Il y a une affirmation de la domination lorsqu’un homme domine et une affirmation de la soumission lorsqu’une femme se fait dominer. Il y a très souvent une illusion de la domination lorsqu’une femme domine. Ce qui ne signifie pas qu’il y ait une perpétuation de la domination masculine. Les relations BDSM ont ceci de paradoxal qu’elles sont l’endroit où cette domination peut-être reconduite tout comme elle peut s’évanouir. Il existe de nombreux cas de relation de domination féminine sur des hommes. Alors que le rôles féminins et masculins ne cessent de se redéfinir l’un par rapport à l’autre, il semble que les relations sadomasochistes ne fassent que théâtraliser des rôles traditionnels figés, en les appliquant ou en les inversant. Mais bien que les rôles soient prédéfinis et stéréotypés, il est toujours possible de les réinventer, de composer, de créer son masque, de renouer avec les jeux de l’enfance. Ainsi, l’individu trouve des réponses aux questions qu’il se pose inconsciemment. Il choisit d’être homme ou femme, sadique ou masochiste, dominant ou soumis. Ainsi, Il s’identifie et expérimente. Il peut laisser libre cours à son imagination puisqu’il est entendu qu’il s’agit d’un jeu et que les limites de chacun seront bien heureusement respectées. Il n’importe pas de chercher une explication de type pathologique à un désir de soumission ou de domination mais d’être sous le charme d’un érotisme qui peut faire exploser les rôles habituels. Toutefois, la difficulté de l’analyse des relations BDSM réside dans le fait que la relation sadomasochiste ne saurait se réduire à un jeu sexuel basé sur un contrat qui énonce les rôles et les statuts de chacun. Les individus établissent un lien avec l’autre, lien qui implique une relation humaine, source d’émotions et d’affects. Avant d’être une relation BDSM, il s’agit d’une relation entre deux individus. Lorsque l’on connaît le mode de fonctionnement de ce type (consentement mutuel, négociation des désirs, contrat), la relation BDSM laisse tout d’abord apparaître la complicité, la réciprocité, la connaissance de soi et de l’autre. Et, en effet, beaucoup de pratiquants évoquent un épanouissement possible dans cet univers qu’ils ne trouvent pas ailleurs, basé sur une connivence mutuelle. C'est toute la richesse du lien de domination ou de soumission. Mais parce que les pratiques BDSM sont aussi des pratiques sociales, on y trouve les mêmes travers que ceux observés dans la société, et la même hétérogénéité. Certains individus ne cherchent qu’à satisfaire leur désir. Il en va ainsi des pseudo Maîtres dominateurs qui trop souvent contactent des soumises pour assouvir un classique désir sexuel tarifié, comme des soumis qui consultent des dominatrices professionnelles pour vivre leur fantasme. Le corps de l’autre n’est alors utilisé que comme objet et ne nécessite aucune relation authentique de complicité. Comme les pratiques BDSM sont aujourd’hui plus visibles et pénètrent dans l’univers du sexe en général, certains prétendent vouloir engager ce genre de relations alors qu’ils cherchent tout à fait autre chose. Le jeu sensualiste et érotique devient alors pornographique. Les relations BDSM sont hétérogènes et ne diffèrent en rien de n’importe quel autre type de relation. On y trouve, comme partout ailleurs des mécanismes de domination et d’appropriation de l’autre. Cependant, elles sont aussi l’endroit où un véritable échange peut s’observer. Ainsi, elles ne constituent pas plus que d’autres une entorse au respect des personnes. Comme toute relation, elles peuvent reconduire des rapports de force ou bien participer à la construction des identités. Les pratiques BDSM ne remettent donc pas en cause les principes fondamentaux du droit. Il n’y a pas un individu qui s’approprie le corps ou l’esprit d’un autre. Deux partenaires, dont l’identité est en perpétuelle construction, s’investissent dans un univers où les règles sont fixées, non seulement par le contrat, mais aussi, plus profondément, par le jeu social lui-même. C’est pourquoi ces pratiques, qui ne sont transgressives qu’en apparence, se donnent pour principe de fonctionnement, le respect mutuel et la négociation. Loin d’être sauvages, elles sont bien au contraire socialisantes. C'est paradoxalement en usant de masques, en ritualisant et en théâtralisant l’échange, que deux partenaires ont la possibilité, dans une relation SM pérenne et saine, de pimenter leur sexualité, en réalisant une part de leurs désirs inconscients informulés et de s’affirmer comme personnes à part entière, consentantes et responsables dans la plus grande liberté. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 11/01/21
ce défi promettait d'être chaud. Pieds et poings liés, mes mouvements étaient réduits, promesse d'acceptation bien entendu. La cire ne tarda pas à couler de vos mains Maîtresse, abondante et brûlante. La lave se glissait dans les moindres plis de ma peau bien aidée par votre dextérité . La cire durcie me recouvrait de plus en plus mais je ne pouvais pas encore admirer votre œuvre Maîtresse. Mon sexe se transformait en montagne de cire que vous n'avez pas manqué de chapeauter par une belle bougie rouge. Une chape irrégulière couvrait mon ventre et mon torse bien éclairée par une traînée lumineuse. Ce beau chemin se prolongea sur mon visage me réduisant au silence et à la cécité. Privations sensorielles propices à m’abandonner à votre volonté Maîtresse pour un total lâcher prise. Votre excitation était palpable. Je ressentais couler en moi toute votre énergie. Toute cette flamme avait consumé les bougies et je n'étais plus que votre poupée de cire. Votre excitation, à son paroxysme, ne retomba qu’après vous être énergiquement branlé sur la cire chaude. L’écrasement de mes couilles amplifiais votre plaisir et c’est par cette ardente chevauchée sur mon sexe de cire que Maîtresse me libéra de ma gangue. Je lui appartenais sans retenue. Maîtresse me possédait. Elle obtenait abandon, soumission, lâcher prise de son soumis sans la moindre parole, seulement par sa connexion plug and play au plus profond de l’âme dominée. Elle était en moi où plutôt j’étais comme elle le souhaitait, sa petite chose. Maîtresse abandonna lentement ce corps qu’elle avais assujettis. Soumis, j’avais seulement le fol espoir que cette emprise ne s’arrête jamais.
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Par : le 11/01/21
La punition imprévue, immédiate, méritée, pour mon insolence, ma désobéissance, mon impatience, le 14 octobre 2010. Combien de coups pour ton insolence ? 150 coups ai-je répondu, tu en auras 200, voyons si tu vas tenir le coup. J'ai tenu le coup, beaucoup de larmes sont venus au fur et à mesure des coups reçus sur mes fesses, sur mon sexe, sur mon dos, mes épaules, sur mes cuisses. Que cela soit sur le ventre, sur le dos, sur les genoux ou à quatre pattes. La badine qui cingle, la douleur des pinces sur ma poitrine très fragile. La cravache qui marque ma peau laiteuse, fine et sensible. J'aime être marquée Vous le savez et cette seconde punition était la plus douloureuse. Je retiens la leçon... Merci à Vous, pour ces marques et plus particulièrement les paroles que Vous m'avez dites ce jour-là. J'ai accepté votre punition, j'ai tenu bon, je n'allais pas Vous supplier d'arrêter, quelque chose en moi s'est passé ce jour-là. J'ai compris certaines choses qui grandissent en moi et envers Vous. J'étais totalement nue, comme Vous le souhaitez, ne gardant que mes talons. Pour une punition, il vaut mieux si les coups sont portés sur divers endroits du corps, avec une cravache, des pinces, vos mains, un long martinet qui fouette, une badine que j'affectionne et qui fait rougir ma peau tout de suite. Le drap blanc avait des traces noires, mon mascara n'était plus. Aucun bandeau couvrait mes yeux, ceux-ci étaient clos, nudité complète. Entre mes sanglots, je me disais mentalement, pourvu que je tienne le coup, que je ne le déçoive pas. Votre fierté, je l'ai entendu, par les mots que vous avez prononcés après. Je ne voulais pas de geste tendre, de marque d'attention, de réconfort. Je ne voulais qu'une punition, Vous avez agis à Votre guise, la soumise peut parler et dire, Son Maitre a toujours le dernier mot. Il fait selon son bon vouloir, Il fait ce qu'il désire Lui, pas ce qu'elle désire elle, sinon trop facile d'être soumise, à accomplir ce qu'on affectionne et aime. Où est le dépassement. J'ai eu honte de mon insolence, à Vous répondre : à un moment donné pour ne pas avoir senti sur ma peau, les 4 premiers coups sur mon sexe, les 6 autres je les ai bien reçus. Cela m'apprendra à Vous répondre, à Vous braver, à vouloir Vous défier peut-être, peine perdue, je le sais et c'est bien ainsi. Je ne Vous ai pas attendri sous mes sanglots, et c'est bien de la sorte. Je n'aurais pas apprécié que Vous arrêtiez avant la fin de la punition. J'aurais eu un gout amer, ce qui est mérité doit être exécuté. De Votre côté, le fait que j'ai enduré Vos coups, vous a plu. Je compte pour Vous, je l'ai compris, et Vos mots pour moi. Oui, cela a été douloureux, mais qu’est ce qui fût le plus pénible ? Vos coups marquants ma peau sensible, ou le fait de me dire, je mérite cette punition, si je ne tiens pas le coup, qu'est ce qui se passera ? Une soumise incapable d'accepter la punition, il me fallait aller jusqu'au bout. Il ne faut pas se crisper, on ressent moins les coups si l'on se détend, facile à dire me direz-vous, pas facile à effectuer parfois. Sourire. Le mal de tête par tant de larmes, des sanglots étouffants mes cris, d'ailleurs, je ne pouvais pas crier, je n'étais pas chez Vous, pour ce rendez-vous, il me fallait me contenir. Soumise insolente à ce rendez-vous, taquine, je n’en éprouve pas moins pour Vous un respect et des sentiments qui se sont révélés plus fort qu'ils étaient. L'humiliation par l'insulte que Vous avez proférée à mon encontre, mes larmes ont redoublé à Vous répondre encore, en répétant ce mot blessant et en appuyant dessus. Vous défiant peut-être, je dis bien peut être, et à quoi bon le faire. J'ai beaucoup de mal avec les humiliations, Vous le savez, et pourtant ! L'insulte marque plus que le ou les coups suivant que l'on complexe ou pas. Je Vous a... pour cet après-midi de punition. Je Vous a... pour vos marques sur ma peau. Je Vous a... pour votre présence. Je Vous a... pour votre patience. Les erreurs, les épreuves, les punitions font grandir. Ce qui est important dans une relation, c'est le DIALOGUE, la complicité, la sincérité, le respect. J’ai vu dans Vos yeux ce que je cherchais depuis si longtemps. L’important est de ne rien se cacher, de ne pas vouloir jouer ou être la soumise parfaite (utopie). La perfection n'existe pas et si cela était quel ennui. Il faut dire les choses quand on ne se sent pas bien, si l'on a des états d'âme, nous ne sommes pas des robots, des automates, nous avons un coeur, un cerveau, des émotions. Pourquoi faire croire, ou vouloir faire croire à son Maitre que tout va bien, alors que l'on sent parfois perdue, que le manque de lui est éprouvant. Un Maitre sait écouter, entendre, dialoguer, protéger, rassurer, réconforter. Est ce qu'il doit se laisser aller à la colère, à l'emportement, n'avoir aucune maitrise de soi, se défouler sur sa soumise. Vous avez su m'apprivoiser. Vous aimez mes sourires, mes yeux bleus embués par les émotions qui me bouleversent. Je Vous offre mes rires, mes sourires, mes gémissements, mes sensations, mes émotions, mes larmes d'abandon. Je m'offre à Vous sans retenue. Je peux tout Vous dire, Vous pouvez tout entendre, je me rappelle Vos paroles de notre première rencontre, il y a 7 mois passés. Vous préférez ma spontanéité, à la superficialité, ma sensibilité à fleur de peau, je suis de descendance slave ! Et une certaine fragilité que Vous appréciez. Je m'offre à Vous telle que je suis, authentique, expressive, taquine, sensuelle, avec mes émotions diverses. J'apprécie nos regards ou tout mot est inutile. J'apprécie nos sourires, le Votre malicieux, le mien coquin. J'apprécie cette sincérité, complicité qui nous unis. J'apprécie la confiance que nous avons qui est réciproque. J'apprécie la façon que Vous avez de me faire plier par Votre voix. J'apprécie la fierté que je lis dans Vos yeux brillants. J'apprécie Vos mains qui effleurent mon dos et me font frissonner comme cela n'est pas permis. Il y a mon envie de Vous surprendre, de m'abandonner plus. Il y a le manque de Vous qui me fait mal parfois. Il y a ce besoin de découverte qui m'anime. Il y a cet amour de Vous, qui me fait dépasser mes limites. Je rentre toujours épuisée, le soir de notre rencontre, gardant en mémoire et imprimé sur ma peau, vos marques, vos caresses qui me font frémir, qui me font gémir, qui me font jouir, qui me font pleurer quelque fois quand le trop plein déborde. Par-dessus tout votre IMMENSE respect de la femme et soumise que je suis. Je suis sereine, heureuse de Vous connaitre, de Vous appartenir, de porter Votre collier symbole d'appartenance, d'être à Vous simplement. J'ai du bonheur, du plaisir, des émotions, des sensations, des marques. J'aime avec Vous, tous les instants précieux que nous passons ensemble et aucune rencontre ne se ressemble. Le respect mutuel, la confiance réciproque, la complicité, la sincérité sont les maitres mots de notre relation et cela me comble de bonheur. Respectueusement à Vous. Merci pour cette punition Mon Maître. Kocham Cie moj mistrz milosc Le 30 10 2010
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Par : le 10/01/21
Irrésistible envie de frustrer...  De longues semaines se sont écoulées depuis notre dernière rencontre. Il se languit d'être à nouveau à mes pieds. Il à tant envie de me revoir. J'ai tellement envie de le frustrer...  Quand enfin il arrive à ma porte et entre comme je lui ai demandé, je ne suis pas là, il ne me vois pas et il  ne me verra jamais... Mais ça , il ne le sait pas encore... Sur le meuble d' entrée, j'ai disposé les  bracelets et sa laisse à coté d'un masque pour les yeux. Il m' entend lui donner ses consignes à travers le rideau tiré qui nous sépare. Je termine mes préparatifs  en attendant qu'il m' informe d'être près. Levé de rideau... Envie de le frustrer...  Je m' approche de lui en douceur, le frôle en sensualité... Une proximité qui laisse envisager la promesse d'un baiser qu'il n' aura jamais...  Je suis contente qu'il soit là, chez moi. Son corps transpire l' excitation, heureux d'être ici, désireux d'être mon soumis. Privé du plaisir de me voir... Attentif à son environnement... Je le guide  dans mon salon. Le pose au milieu comme je poserai mon sac et reprend là où j' en étais... Un peu de musique... Quelques mots pour le détendre... Un peu d'humour... Quelques griffes pour le surprendre et je  le mets en place pour quelques coups de martinets...Les poignets accrochés, bras levés, pas moyen de se débiner et très vite je dois arrêter: petit soumis supplie... Oh! Je me doutais bien que ça serait rapide, tout comme pour les pratiques suivantes. Il a la volonté de faire au mieux pour moi et sa dévotion me fait plaisir...  A  4 pattes à mes pieds, son dos m' a bien subit...  Ce qui me semble bien peu pour moi et presque trop pour lui... Envie d'humilier...  Je propose une petite pause bien mérité et un peu à boire. Il m' entend quitter la pièce, couler  l' eau du robinet, revenir et verser l 'eau dans l' écuelle. Il à déjà mangé pour moi dans sa gamelle, il sait, sans voir ce que je prépare... Je le tire par son collier et l' emmène à 4 pattes  à la niche . Je pousse du pied sa gamelle sous sa gueule et le laisse boire  son eau  tranquille... L' après midi avance doucement et calmement... c'est dans ce calme qu'il entends à nouveau sa gamelle se remplir sans que je ne quitte la pièce... Ses oreilles voient pour lui et il devine sans mal que je pisse dedans... Il boit... Plus tard me lèche les pieds plus ou moins bien... Pas assez pour m' en faire jouir... Il boit  encore...  Envie de frustrer... A 4 pattes  à mes pieds, je suis  assise sur mon canapé, sa tête posée sur mes genoux , je le fais patienter... Je m' occupe de longues minutes sur mon téléphone sans  lui parler. Je réponds à mes appels, m' amuse de la situation, jusqu'à la manifestation des premiers signes d'impatience sous forme d'interrogation auquel je ne donnerais point de réponses... Sa place est à mes pieds, de ça, il n' est pas frustré... Allez encore un peu!  L'histoire que si, ça le frustre quand même un petit peu... Et puis... Envie d'humilier encore.  Je lui  ordonne de retourner à la niche seul mais lui gène le passage... Le contraignant contre un meuble, la tête juste au-dessus de son auge, je lui somme l' ordre de ne plus bouger!  Son dos tout contre mes jambes, je laisse couler un filet de pisse qui ruisselle entre ses omoplates, coule le long de sa nuque, passe derrière l' oreille et vient remplir la gamelle mouillant quelques cheveux en passant... Mon soumis se raidit au fur et à mesure que j' accélère le flot . S'il bouge il modifie la trajectoire de l' urine, au risque d'en faire couler à coté...  Delà j'aurais plaisir à le traiter de pisseux et de lui rappeler qu'il pue la pisse à plein nez... Mes paroles le convaincront et il s'en sentira davantage souiller pour tout le reste de sa longue journée... Me voilà fort satisfaite de mon désir d'humiliation, me reste à rajouter un peu de frustration... Ruiner une éjaculation me parait  une délicieuse idée... Ayant gardé sa queue chaste un certain nombre de semaines , ses bourses bien pleines sont un amusement de choix pour ma cravache... L'obliger à se branler mais pas plus... Le caresser mais pas trop... Le serrer, tapoter, taquiner, juste ce qu'il faut... Et le faire s'en aller les couilles  excitées , le  rideau tiré, sans avoir eu le plaisir de me revoir...  Envie de frustrer, d'humilier .  Sur le chemin du retour, dans une aire d'autoroute, il recevra l' ordre de se faire  gicler ... 
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Par : le 08/01/21
Il est étonnant de penser que l’on passe parfois à côté d’une belle histoire sans le savoir .. Cela fait des années que j’échange avec lui .. Il y a une période où nous nous étions rapprochés, je n’étais sans doute pas encore prête à le prendre pour soumis ... Et puis on ne sait pas pourquoi, le jour où il me dit je suis sur Paris pour quelques jours, je lui propose de boire un café dans mon endroit favori ..j J’avais eu déjà eu déjà eu des photos de lui , je ne suis pas surprise , il est grand et fin .. je m’avance vers lui dans ma robe à pois , un clin d’œil pour lui , pour qu’il le reconnaisse .. Le café dure longtemps, nous parlons beaucoup, on s’observe aussi, c’est la première fois que nous nous voyons en vrai ^^ Nous nous quittons, les échanges continuent .. Pour finir par une rencontre plus personnelle .. Il passe me chercher à mon travail, je m’installe dans sa voiture, je tends la main, il me remet la clé de sa cage qu’il porte depuis quelques jours, je passe le cordon autour de mon cou c’est si symbolique .. J’aime qu’il porte la cage pour moi, savoir que son plaisir est contraint, que ses nuits seront courtes, réveillé par des désirs qu’il ne peut maîtriser, que moi seule décide .... Arrivés à destination, je lui dis de se mettre nu, c’est une des premières fois où je vois un soumis porter une cage .. Cela lui va bien, je m’amuse avec lui, il est si docile dans sa cage .. je réveille ses sens, il ne peut s’empêcher de gémir .. je continue au grè de mes envies, intraitable, sadique aussi, ses gémissements emplissent la pièce .. c’est une belle musique à mes oreilles .. je passe et repasse mes doigts sur la cage .. le pinçant, le mordant , le griffant , faisant claquer les lanières du martinet sur son corps , je sens son corps se tordre, se tendre aussi .. il tombe à genoux devant moi, je suis à vous Madame , il me baise les pieds avec tant de dévotion, tant de soumission .. Les émotions sont là , quel moment de partage .. J’ai fait par à severin que je voulais publier un article Il m’a répondu Madame, Merci pour ce texte qui m'a remémoré nos années de relation par Facebook interposée avant que ... Comme il est curieux de lire son histoire de soumis racontée par les mots de la Maîtresse, et ainsi mieux comprendre ce qu'elle a ressenti, mieux comprendre ce qui s'est passé, mieux comprendre l'attrait de la cage pour elle, ce contrôle qu'elle lui donne ... qu'elle vous donne car c'est de vous qu'il s'agit bien sûr, de vous et de moi. Je me souviens encore d'un de nos premiers échanges, j'étais au Tréport pour la journée, j'avais fait une longue marche et je ne sais plus comment nous en étions arrivés là, mais nous avions devisé un long moment, moi assis sur un table de picnic sur le haut d'une falaise, avec le seul bruit des mouettes pour m'accompagner. Une connexion s'était faite. Elle aurait ses hauts et ses moins hauts, par le fait de nos vies compliquées de part et d'autre, mais jamais le lien ne fut vraiment rompu. La photographie, pour laquelle vous avez un œil particulier, allait nous servir de trait d'union au cours de toutes ces années. La photographie et bien sûr la soumission. Cette soumission qui parfois me taraude et parfois me laisse en paix, d'où des hauts et parfois aussi des bas. En Août de l'année dernière c'était une circonstance bien particulière qui avait fait que j'étais à Paris pour quelques jours, seul. La rencontre s'est faite sous votre impulsion dans ce Paris où le sourire des femmes avait déjà disparu derrière ces horribles masques bleus. Vous dites que le café dura longtemps. Je n'en ai plus le souvenir. Je me souviens d'une robe à pois d'une féminité affirmée et d'une conversation très plaisante entre un soumis qui ne veut pas le paraître trop et une Maîtresse qui ne veut pas forcer son rôle, surtout en public. Au moment du départ je m'interroge ... que dire ? que faire ? je me sais peu libre et ne veux donc pas profiter de ce hasard aux lendemains bien incertains. Nous nous serrons les mains comme 2 collègues d'avant le Covid ! Nous comprenons assez vite qu'il sera difficile d'en rester là, mais me sachant peu libre j'essaie de ne pas trop y penser. Les contacts se poursuivent et s'amplifient, de plus en plus appuyés, avec des sous entendus qui le sont de moins en moins ... Il y aura 2 autres rencontres, un Jeudi et un Samedi. Deux moments de communion. Puis la parenthèse se referma. Severin ...
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Par : le 08/01/21
Vous avez réalisé votre ou vos soirées en tant que Dominatrice. Ce fût un franc succès. Monsieur à apprécier votre tenue, vos attitudes et l’ensemble du personnage. Pour l’occasion, vous avez même fait quelques achats pour parfaire votre garde-robe de Domina agrémenté de quelques nouveaux accessoires. C’est devenu un petit jeu entre vous mais vous aimeriez aller plus loin dans vos idées et là voir étendre le jeu en dehors de vos soirées intimes. Quels sont les jeux ou punitions réalisables ? Les idées données dans la première partie ( Quand Madame Domine) sont sympas, mais vous voudriez en essayer un peu plus. Dans un premier temps, il va falloir redéfinir les limites avec Monsieur et planifier de nouvelles en fonction de ce que vous voulez faire, à quel moment ou quelle durée ? Pour cela il faut déjà établir une liste des gages et punitions qui s’approchent du BDSM. A vous de voir et de piocher lesquels sont dans vos limites. Reprendre les bases Reprendre les bases veut dire redéfinir vos limites afin de repartir sur un nouveau contrat entre Madame et Monsieur et y incluant de nouveaux paramètres. La durée, à quel moment cela se joue (quand il y a des ami(es) à la maison?), qu’est-il envisageable de faire (voir liste), etc. Il est aussi question de savoir si on reste dans le simple jeu de domination/soumission ou si on désir explorer un peu plus loin avec certaines pratiques BDSM car oui, la ligne est mince. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/quand-madame-domine-part-2/ https://www.bdsm.fr/blog/5539/Jeux-pour-couple---Quand-Madame-domine-(Part-1)/
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Par : le 08/01/21
Dès notre rencontre, quelque chose en moi s'est passé quand je vous ai vu sortir de votre voiture et aller au-devant de moi. Une émotion, sans savoir qu'à l'issue de votre invitation au restaurant, vous me donneriez votre décision. Votre RESPECT, votre personnalité, votre écoute, votre motivation, votre disponibilité, votre sincérité, m'ont ravi, vos mots ont touchés mon âme. Je réalise que cette belle rencontre, n'était que le début d'un magnifique chemin à vos côtés. Vous êtes celui qui est entré dans ma vie. Ce que les yeux peuvent regarder, et les oreilles écouter, n'est rien à comparer de ce que le cœur peut éprouver. Par la confiance et la compréhension, par une caresse ou un geste, par un regard qui, à sa façon, peut dire tout, par un baiser, un silence, un sourire qui peut traduire tout ce que je pense. Ce collier qui orne mon cou, représente beaucoup. Ce collier qui sans que vous le sachiez, était tant redouté, ce qui enserre mon cou, et pourtant. Je vous ai confié, il y a peu, le pourquoi de cela. La chaine que vous aviez placé autour de mon cou, un après-midi chez vous, elle me serrait ... Je n'ai rien dit, faisant abstraction de ... Me disant mentalement : détends-toi, tu vas y arriver, laisse-toi aller, respire doucement, son regard est sur toi. Je m'étais toujours dit : le jour où je rencontrerais la personne avec qui, je pourrais m'engager en confiance. Je lui donnerais beaucoup. Pour Lui, je me dépasserai, je briserai mes deux tabous qui ne sont plus, depuis peu, par et avec Vous. Vous ne m'avez pas forcé à ... Vous m'avez écouté, respecté, rassuré, réconforté, vous n'avez pas exigé, vous avez été patient, rassurant, vous ne m'avez pas brusqué. Vous deviez savoir ou penser, que le jour où je me sentirais prête, je pourrais y arriver, ne plus avoir peur, ne plus pleurer, ne plus vouloir tout arrêter pour un geste. Cette peur enfantine n'est plus, laissez-moi vous dire MERCI. J'aime à me rappeler l'instant où nous nous sommes rencontrés pour la première fois, Vous êtes de parole, toujours à l'heure, à me prévenir si un imprévu pour ne pas que je m'inquiète. Je n'aime pas les surprises, je ne veux pas savoir ce qui se passe lorsque vous me donnez rendez-vous. Je vous fais confiance, l'avenir réserve des nouvelles découvertes, expériences, sensations. J'ai beaucoup à apprendre. Mais ce que je préfère par-dessus tout, c'est profiter pleinement du présent avec Vous. Souffrir pour Vous, aller au-delà de mes peurs, de mes craintes, me dépasser ; pour et grâce à Vous, c'est là l'essentiel. Sur le moment quelque fois, il me faut me faire violence pour les accepter, mais ensuite je suis ravie d'y être parvenue, malgré les larmes qui étaient au début, et qui ne sont plus depuis peu. J'ai une totale confiance en Vous, par votre écoute, patience. Le principal est que nous puissions entretenir la confiance mutuelle qui enrichit notre relation et qui permet à celle-ci de s'épanouir. Je suis votre soumise et fière de porter Votre collier depuis peu. Six mois ce jour, entre Vous et moi, avec la sincérité, la complicité, les sentiments partagés, les (nos) envies et désirs communs qui nous sont propres. Mon Maitre c'est Vous, et Vous seul êtes parvenu à trouver la clé qui ouvre tout. Moja milosc Mistrza. Le 23 septembre 2010.
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Par : le 08/01/21
A ma réinscription sur le site en mars 2009, un récit m'a interpellé. Ces mots écrits au début, on fait appel à un certain vécu, je me suis reconnue aux travers de quelque mots dévoilés, subtils : chemin, perdition, blessure, goujaterie, lâcheté, mensonge, etc. Un bon ressenti tout de suite envers cette soumise, parfaite inconnue. A la lecture de son récit, dès les premières lignes, tant de choses ont rejailli, l'émotion m'a submergé. Une femme de caractère sans nul doute, pas une gourde, oh non !! J'ai lu et relu tant de fois son sublime récit, je le relis encore et ne m'en lasse pas. Je le lis différemment à présent et toujours avec émotion. Un jour, je me suis permise de lui faire un mail, je voulais le faire depuis la découverte de cette écriture qui m'avait captivée, émue, je n'avais pas osé le faire tout de suite, puis je me suis lancée, j'ai fait le premier pas, en respect et courtoisie. Elle est prolixe et avait écrit à nouveau, de sa jolie orthographe, ses ressentis, ses mots pour son Maître, ses avancées, ses désirs cachés, de l'espoir pour celles qui étaient en recherche. Elle a répondu à mon message, et entre nous un dialogue a commencé à s'installer. Pas de mièvrerie, pas de perfidie non ce n'est pas elle. Humaine elle est, généreuse, respectueuse, à elle je me suis confiée un peu, être nous une amitié est née et depuis 9 mois et plus, nous sommes à converser jour après jour. D'abord entre nous le vous, respect toujours, après quelque mois, tu m'as fait part que l'on pouvait se tutoyer. J'ai eu un peu de mal, et (de fil en aiguille), sourire !! Malgré nos 'différences', certains points en commun, bizarre la vie n'est-ce pas ? Après l'envoi de mon visage pour que tu saches à qui tu parlais, une photo de toi est arrivée en retour. Une brune piquante, au sourire éclatant, yeux pétillants, regard expressif, intelligence vive. Un peu de malice, une pointe de gourmandise. Sereine de ses choix, sagesse, tempérance, impatiente et patiente. Ton soutien sans faille, quand je n'allais pas bien, que je doutais et avait pensé à supprimer mon annonce, merci de tes mots ce jour là et les autres jours parfois et qu'avec tes mots, tu me réconfortes. M'aide encore comme il y a peu, à me faire sourire par tes petits mots quand les larmes sont aux bords de mes yeux bleus. Ton Maitre qui m'avait écrit un mail, et un autre pour me souhaiter vœux en réponse aux miens, et ces mots à la fin, souhaitant pour moi, une belle histoire, merci à lui également pour son soutien et le tien. Vos vœux pour moi en janvier, ont porté leur fruit : une belle rencontre, l'éclosion d'une belle relation que nous vivons mon Maitre et moi depuis mars de cette année. Nos échanges quotidiens. Une invitation de ta part à se rencontrer en réalité, lors de mon séjour près de chez toi. Tu es venue me voir en juillet dans l'Essonne, et m'as invitée chez toi, un dimanche par un après-midi de soleil. Dans ton jardin, les glycines odorantes, parcourant et ombrageant la tonnelle blanche. Vêtue de cette tenue blanche qui te vas si bien, tes cheveux noirs encadrant ton visage, et ce sourire qui reflète le bonheur qui est le tien, avec des étincelles que j'ai vu brillé de mille feux à un moment donné. Puis l'émotion quelque fois, et mon regard qui se portait ailleurs pour que tu ne vois pas mes yeux voilés, à se confier toi et moi, découvrir ce que j'avais ressenti de toi, à lire ce sublime récit. Mon intuition ne m'avait pas trompé, tu étais bien celle-là, par tes mots écrits, j'avais deviné sans te dire, on ne se connaissait pas, et pourtant tant de choses en communs différemment. Certaines femmes et soumises ont connu des désillusions, puis avec le temps, la patience, une confiance, une écoute, une sincérité, un respect, on se livre plus, on déploie ses ailes. On fait confiance, envolée certaines peurs, briser les tabous, franchissement des limites au fur et à mesure de la relation empreinte de certains sentiments. Je suis heureuse de te connaitre, de parler, échanger avec toi en tout bien, tout honneur comme il se doit. Pas de chasse entre nous, Diane est tranquille. Oui, il y a de belle rencontre réelle sur le site, rare et précieuse, que l'on garde dans l'écrin de cœur, et qui nous apporte beaucoup. Il y a des soumises qui sont respectueuses, tolérantes, adorables, jolies comme tout, qui ont touché cœur par leurs écrits, tu en fais partie, tu es la première avec qui j'ai conversé. Merci de ton aide précieuse, de ton/votre soutien, que tu es belle à ses pieds, parée de ses symboles d'appartenance, vêtue de ses chaines que tu portes à merveille. Ravie de ton/votre bonheur. Le 06 08 2010
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Par : le 03/01/21
Nous n’avions plus qu’à monter dans la voiture et faire nos adieux à nos hôtes. Je pensais que Maîtresse Adèle nous conduirait quelques kilomètres avant de me laisser le volant mais non, sans doute un peu fatiguée, elle m’intima l’ordre de conduire. Seule surprise, je devais garder mes attributs du week-end, gode avec la queue, ligature de mes couilles, et pas le moindre vêtement alors bonjour la police ! Maîtresse Adèle mis le GPS et je devais arriver à une heure précise à une destination quelle m’avait donné sans plus d’explication. Je compris vite qu’elle souhaitait se reposer et ma tenue ne m’autorisait pas à beaucoup d’écart. Arrivé au point convenu, Maîtresse Adèle repris le volant. Je pensais que nous irions directement à notre demeure de départ mais quelle ne fût pas ma surprise lorsque Maîtresse Adèle me dit que nous passerions chez Lucas, un autre soumis fidèle à notre Maîtresse. « Tu voulais faire une expérience bi et j’ai persuadé Lucas de la faire avec toi. Je suis impatiente de vous voir tous les deux enlacés» Il ne nous fallu pas plus d’une demi-heure pour être à destination. Lucas nous reçu très gentiment. Après les échanges cordiaux de nos retrouvailles, car nous étions régulièrement en contact, Maîtresse Adèle nous amena dans sa chambre. L’endroit était chaud et Lucas avait préparé une ambiance feutrée avec veilleuse discrète et musique douce. Nous nous sommes placés sur le lit, à genoux, face à face. Maîtresse Adèle nous mis chacun un bandeau. Privé de vue, nos sentiments semblaient se décupler et nos cœurs battaient forts. Nous nous enlaçâmes et nos bouches se rejoignirent. Alternativement nos langues allaitent se caresser dans nos bouches. Presque à bout de souffle et sur les injonctions de Maîtresse Adèle qui n’avait pas oublié son fouet pour nous motiver, nos bouches se détachèrent. Maintenant, je parcourais son corps d’une douceur à peine croyable avec ma langue. Mes lèvres frôlaient ce corps et je sentais bien qu’il réagissait de façon plus que positive. Sa respiration s’accélérait et m’encourageait à lui donner du plaisir. Étendu sur le dos, je pouvais atteindre sa verge bien dur. Je léchais doucement cette verge et je passais ma langue sur son gland tout en le sentant frissonner. J’étais de plus en plus excité mais je me détachais de son sexe pour descendre tendrement le long de ces jambes. J’étais très étonné de constater que ma bite était tendu comme jamais. Maîtresse Adèle, me fis allonger sur le dos à ses côtés et lui intimât de me servir comme je venais de le faire. Passer de l’état d’émetteur à celui de récepteur était jouissif et j’étais aux anges. Ces coups de langues sur ma verge me firent me trémousser, et sa langue sur mon gland fit encore monter mon excitation. Maîtresse Adèle surveillait pour que l’on ne puissent pas jouir tout de suite et c’est avec un 69 bien interprété que nous allions nous donner notre plaisir simultanément. Tête bêche, je me mis au-dessus de lui. Ma bite s’enfonçait largement dans sa gorge et je n’étais pas en reste pour que sa bite aille au fond de la mienne. J’alternais les aller retour avec la dégustation de son gland. Ma langue faisait des ronds sur ce gland gonflé. Bientôt, je sentis que sa jouissance était proche comme la mienne d’ailleurs. Alors, comme un seul homme nous avons accéléré la sucions de nos glands et nous nous nous sommes lâchés pratiquement en même temps avec une jouissance qui m’a fait lâcher un cri de satisfaction. J’appréciais ce liquide chaud dans ma bouche tant et si bien que je l’aspirais encore plus pour en récolter le plus possible. J’avalais sa semence avec un plaisir immense et je sentais bien que c’était réciproque. Il faut dire que nous savions parfaitement localiser nos zones érogènes les plus sensibles. Nous sommes tombés côte à côte, épuisés mais enlacés comme pour se remercier mutuellement du plaisir offert. Maîtresse Adèle nous demanda de s’allonger côte à côte par terre. Voir ses soumis se donner du plaisir l’avais beaucoup excité. Elle retira son string rouge, remonta sa jupe de cuir et nous chevaucha avec ses grandes et sublimes jambes au-dessus de nos visages. Elle frotta son sexe sur nos visages et, sentir ce sexe humide sur nos bouches prolongea notre excitation. « Ouvrez grand la bouche » nous intimât-elle. « Plus que ça espèces de gouines » Se relevant légèrement, nous avons recueilli sa douche dorée avec toute notre dévotion. Recevoir cette urine divine après notre sperme nous donnait l’impression d’être lavé. « Relevés vous espèces de chiens et que chacun nettoie l’autre avec sa langue» Après s’être exécuté langoureusement, Maîtresse Adèle, nous a fait servir le repas. Nous avons dîné dans une ambiance familiale comme mari et femme mais sans trop savoir le rôle de chacun. Maîtresse Adèle nous demanda d’aller se coucher tôt. « Vous n’avez pas encore testé la pénétration et je veux que vous soyez en forme pour cela dès demain » A suivre ......
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Par : le 03/01/21
Des milliers d'étoiles dans vos yeux Eclairent mon regard bleu Sourire, étincelle dans ma vie Le ciel est devenu soudain clément Et depuis le jour de notre rencontre Nous sommes en phase Des avancées se sont faites et se ferons encore Envolés mes deux tabous depuis peu avec Vous Maintenant, je porte votre collier offert sur Paris début juillet A présent, je vous appartiens plus encore Ivresse des sens, bonheur de vous connaitre, sereine de cette belle rencontre Notre nuit dans ce bel hôtel, son restaurant du jardin, le petit déjeuner Soirée une première pour moi, découverte totale du club SM du 17e arrondissement Que j'aime cette relation avec vous, RESPECT, écoute, patience, confiance, complicité Unie à vous je suis depuis ce premier jour, pour longtemps je l'espère et le souhaite Il y a des regards qui en disent long quand les mots ne sortent plus Sous votre regard, je m'enflamme, le son de votre voix me plait, m'excite Cœur, âme et corps je m'abandonne Impatiente et patiente, je découvre avec Vous, canne anglaise, fouet, etc. Nos désirs communs, unis dans le respect Tous vos gestes, vos paroles, vos actes Instantanément me transportent en émotions diverses Loin et mon corps se tord parfois des cris, des soupirs, des gémissements, des râles L'étoile bleue arrive Et par Vous, j'exulte Nuque ployée, regard baissé, je me laisse aller en toute confiance Tout cela par et avec Vous, depuis quatre mois ce jour Mon désir est de découvrir plus encore avec Vous De nature curieuse, j'aime apprendre... Avec certains sentiments partagés on se dépasse, et s'abandonne. Le temps et la durée sont nos alliés, dans mon chemin avec Vous. Osmose de nous, trouble de Vous. Avec Vous point d'illusion, toujours attentif à celle que je suis, et cela me ravie. Avec Vous, je plie et ploie, mais ne romps pas tel le roseau. Parce que c'est Vous et que vous avez su, être patient, rassurant, réconfortant, au fur et à mesure, mes larmes sont moindres. J'ai fait la paix avec mon corps si je puis dire ainsi, ce n'est pas facile de me voir en photo, je fais avec. Vous m'appréciez telle que je suis, naturelle sans artifice. Merci de m'avoir rejointe un jour et demi sur Paris, lors de mes vacances. Vos désirs toujours en adéquation avec vos paroles qui ne sont pas vaines, ni futiles. J'ai osé aller là-bas, ce qui était prévu a été, malgré ma crainte et mes peurs du regard des autres, comme vous le savez, à me réconforter et à me dire : si tu ne veux pas y aller, on reste tous les deux. Non, il me fallait affronter ma peur, ne pas Vous décevoir, Vous prouvez si besoin était que j'étais capable de. Me prouver à moi que je le pouvais, ne pas reculer, oser, malgré la tempête intérieure en mon cœur, certain premier pas coûte plus que d'autre. Beaucoup de respect, il y a eu, j'étais la seule à porter un collier et une laisse. Puis à l'arrivée d'une autre soumise parée ainsi et descendant l'escalier un bandeau sur les yeux, son Maitre la guidant pour ne pas tomber, j'étais réconfortée un peu plus. J'ai pu être confronter aux autres regards quand vous me dominiez, et ceux-ci n'ont pas été source de peur, rassurée j'étais par votre présence, confiante ; heureuse d'avoir franchi le pas, de porter ce collier symbole de votre appartenance, en présence de personnes qui aiment comme nous le BDSM. Mon attachement à Vous est réel, tout comme ma confiance, mon respect, ma sincérité, cela est réciproque et cela me comble de joie. Je suis heureuse d'être à Vous, voilà simplement mes mots pour Vous mon Maitre. Le 24 07 2010 Soirée à Cris et chuchotements
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Par : le 30/12/20
Vous et moi Plus de deux mois Et cet émoi Quand je vous vois L'émotion qui me submerge. Quand votre regard se pose sur moi. Et que dire de votre voix. Elle m'attire, m'excite, m'interpelle, m'appelle. Comme une évidence, un appel. Est-ce que mes mots sont bleus. Est ce qu'ils ont la couleur de mes yeux. Ils ont la couleur de vous. La couleur de votre cœur. La couleur de votre odeur de parfum de peau. La couleur de votre âme. Vous savez réconforter, apaiser, écouter, exiger, protéger, entendre. Vous me comblez par votre personnalité, fermeté. Vous êtes un bel homme, beau dedans, beau dehors. Ce qui n'est pas donné à tout le monde. Avec ce charme qui est le vôtre, et cette élégance. Avec vous point de faux semblants, la réalité, la complicité, la sincérité. Vous avez su conquérir mon âme, mon cœur, mon corps. Vous que j'apprécie et bien plus encore ... Vous et ce RESPECT qui vous honore. Vous et notre sincérité réciproque. Vous êtes mon destin. Vous que je garde dans l'écrin de mon cœur. Vous êtes Vous, ils étaient eux : qui s'octroyaient des titres qu'ils n'avaient pas. Vous savez ceux (celles) qui parlent sans avoir jamais vu la personne de visu. Vous savez ceux (celles) qui écrivent avoir rencontré la personne et jamais vu en réalité. Vous savez ceux (celles) qui médisent et sont jaloux peut être, je ne sais. Vous savez ceux (celles) qui aiment la méchanceté gratuite. Vous savez ceux (celles) qui ont la critique facile. Vous savez ceux (celles) qui exigent cam et ne montrent pas leur visage. Vous savez ceux (celles) qui écoutent les autres et qui savent toujours mieux que l'intéressé(e). Vous savez ceux (celles) qui voudraient tout connaitre de la personne. Vous savez ceux (celles) qui aiment les dialogues à sens unique. Vous savez ceux (celles) pour qui le virtuel est leur pain quotidien. Les voleurs d'instants que nenni pour moi. Vous qui êtes un Maître digne de ce nom, un homme de qualité, élégant, passionnant, attachant. Ha !! Ce petit instinct qui ne m'a pas trompé, et que dire de ce regard.... Vous êtes digne de celui que je désirais pour moi. Vous avez dû vous reconnaitre et vous vous êtes reconnu dans mon annonce, je ne sais peut-être... Tellement d'émotions avec vous, tellement de choses en commun sans le savoir. Par votre douceur, fermeté, par cette voix qui me fait vibrer, qui m'excite, me fait pleurer, me fait du bien, me fait croire en demain, me fait être sereine. Que j'aime cette voix, la voix de mon Maître, la nuit, le jour, les yeux bandés ou ouverts, je vous suivrais là ou vous voudrez m'amener. Votre voix qui m'attire, m'électrise, cette voix douce et ferme La voix de celui que j'apprécie, de jour en jour quelque jour grandit, quelque chose de tapi que je ne pensais pas ou plus revivre ou entendre et là, bonheur de vous, de cette belle rencontre, qui est gravée en moi. De la relation que nous avons, et de votre sincérité, RESPECT. J'aime votre présence, votre patience, votre écoute. Sentiments divers, empreint de qualité par celui que vous êtes et votre personnalité. Je me suis attachée à vous et vous êtes 'attachant'. Etre attachée à vous me plait et me fait du bien. Confiante de vos actes et paroles depuis le début. Espoir de vos demains qui ne serons pas vains. J'apprécie, vous êtes à l'écoute, patient, progressif, tendre et ferme. Enfin découvert le plaisir dans la douleur ce qui était inconnu de moi, certaines peurs sont encore là et ne serons plus prochainement avec votre patience et respect. Votre domination faites de fermeté cuisante alternée de douceur. Quand les personnes s'apprécient pourquoi attendre x temps, si l'on sait que la personne en face est celle qu'on attendait depuis des années. J'ai laissé parler mon cœur et mon intuition, comme vous m'avez dit les premiers instants sont décisifs ou pas, cela dépend. Il faut se parler, s'écouter, s'entendre, apprendre à se connaitre et ce premier msg que vous m'aviez écrit, je me suis pensée et aie eu raison, un homme motivé, expérimenté qui sait ce qu'il veut et qui ne va pas tergiverser, qui laisse son tél, son mail, qui veut une relation dans la durée et pas une simple séance pour voir. La relation se construit avec la durée, on se parle plus encore, on se découvre, certains sentiments naissent entre le Maitre et sa soumise, et la soumise à son mot à dire, oui vous êtes bien celui qui me convient, mélange de courtoisie, de savoir vivre, de respect, de fermeté, de douceur, de confidence, de maîtrise de soi, un Maitre qui plait cela est important pour se dépasser et franchir certaines limites ou peurs ou craintes. Sans une certaine harmonie et complicité comment arriver à faire plus pour faire plaisir à celui qu'on a choisi, on le fait parce que c'est lui, on se dépasse, on lui fait confiance et on est bien avec lui, les peurs s'envolent, on se donne, on s'abandonne, on est sereine, il rassure. Votre regard quand vous voulez voir et lire l'expression de mes yeux que vous appréciez quand sous le bandeau mes paupières sont toujours closes, que vous relevez mon visage à me dire : regarde moi, que j'apprécie cet instant particulier du début, fort d'émotions, de sensations, d'intensité. Sentir votre présence et les yeux bandés, ne pas savoir ce qui allait m'arriver. Confiante par votre écoute, certains mots que vous m'aviez dit au restaurant, qui sont toujours à ce jour réalités, actes, paroles, l'accord des deux, aucune fausse note. Un homme de parole qui respecte sa soumise. Les mots me manquent pour vous exprimer certaines choses surement, quelque fois devant vous, je suis sans voix, l'émotion, les sensations. Vous n'êtes pas les autres, vous êtes Vous. Avec vous, je peux me confier sans "gémir", vous êtes à l'écoute, vous savez me rassurer, de temps à autre, j'en ai besoin, doute, peur en moi, beaucoup moins depuis Vous. Quand j'accorde ma confiance, j'ai dû mal et mal si on me ment, si on joue, je suis intuitive, je ressens des choses, parfois je vais au bout de certains ressentis tout en sachant que cela ne se fera pas. Pour voir ce que la personne a dans le ventre, pour pouvoir fermer la porte, faire comme la louve, cacher ma peine et panser mes blessures. Revenir avec le sourire, apprendre des erreurs. Le passé est le passé, on ne peut revenir en arrière, l'avenir compte, il est gage de bonheur avec Vous. Ce qui est important, c'est la sincérité, la franchise, le respect. Sans cela à quoi bon, tout ou tard tout se lézarde. On ne bâtit rien sur le mensonge, les fondations ne sont pas solides. Je sais de quoi je parle, certains secrets de famille et autre, qu'on apprend plus tard, alors qu'on le devine un peu sans le savoir vraiment et que personne fait cas de cela, se voile la face, croyant protéger l'enfant, l'adolescente ou l'adulte. Fragile, sensible, émotive, compréhensive, et forte à la fois je suis, tout le monde a ses faiblesses sur certains sujets cela dépend de tant de choses dans la vie. Il faut tenir bon, faire face, savoir 'se relever' comme j'aime à dire. Notre complicité, notre belle relation, notre sincérité réciproque et cet attachement qui nous lie. Je sais par ces mots, que je peux compter sur vous, ma confiance envers vous est totale. Si la confiance, la sincérité et le respect sont là, je me livre plus, je me dépasse, je me donne, je m'abandonne, mon respect est immense sans aucune mesure. Je donne sans rien attendre en retour, je donne avec mon cœur et mes tripes. Je n'aime pas les calculateurs, les profiteurs, les prédateurs, les manipulateurs, 'candide' j'ai été par le passé, comme certaines sur le site, encore et à venir. Ceux pour qui les mots sont faciles et vide de sens. Tellement facile pour certains de jouer derrière un écran, parole de miel et rien qui suit, comment savoir parfois, le choix n'est pas facile à faire entre la personne sincère et celle qui ne l'est pas, qui veux juste tester ou jouer. Je suis bien avec vous, votre présence rassurante, votre voix que j'aime et qui me fait vibrer au plus profond de moi, que cette voix m'attire, m'ensorcelle, ferme et tendre comme vous êtes et votre regard que j'aime aussi et vous en votre entier. J'ai placé ma confiance en vous. Vous savez comme moi que parfois les sollicitudes se font et que les réponses ne sont pas. Pas la bonne personne, pas ce que l'on recherche, pas sa recherche, pas de feeling, pas de disponibilité, pas de sincérité, pas d'attirance, il ne faut pas se leurrer, se plaire veut bien dire ce que cela veut dire même si la beauté se cache parfois ailleurs et au-delà de certaines apparences et physiques. Se plaire, pour accepter de se soumettre à lui car sans une certaine attirance physique rien ne se fait aussi bien pour la soumise que le Maitre. C'est la soumise qui choisit son Maitre et vice versa. Lui sans, elle n'est rien et vice versa également. Il faut une certaine alchimie !! A toutes et tous ici, gardez espoir, confiance et courage, volonté et motivation, vous saurez le (la) reconnaitre, celui ou celle qui aura ce Respect tant demandé qui n'est pas à sens unique ; celui ou celle qui sera digne de ce nom. Un peu plus de trois ans et demi passés sur Sensation/SM (pseudo bleue) avec une annonce supprimée pendant 7 mois. Puis une autre annonce, pseudo arc en ciel créé le 25 mars 2009 et le 23 mars 2010, tel un soleil, Il est entré dans ma vie, à Lui je suis soumise. Le 07 06 2010
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Par : le 29/12/20
Providence, évidence Il faut toujours espérer en la providence !! Un jour, il m'a écrit un long mail suite à mon annonce et ma recherche, se dévoilant un peu, il a attiré mon attention, je ne lui ai pas répondu tout de suite. J'ai été 'séduite' par certains mots qui étaient ma recherche, sans trop y croire, déçue quelque fois par le passé comme certaines ici. J'apprécie les mots sincères, les paroles de miel que nenni pour moi. Il y a l'homme qui possède les mots et puis il y a le baratineur !! Les mots ne sont que des mots, les actes comptent !! Des mails échangés entre nous, je lui ai fait part de mes peurs, craintes, de certains tabous (bribes de mes blessures enfantines), mon côté pudique. Mais ce qui importe en fait, c'est le dialogue, l'écoute, la sincérité n'est-ce pas. Pour se faire, je lui ai parlé de moi sans faux semblants, de mes attentes, expériences, pratiques, lui dire que les marques n'étaient pas un souci pour moi. Lui faire part de mes 'désirs cachés', cela permet de se libérer, d'avancer, de faire fi de certaines peurs, et de comprendre pourquoi et de tout faire pour y arriver, même si cela demande du temps ou des années, qu'importe le temps. Certains font des annonces et sont peu disponible pour différentes raisons, travail, vie de famille, sport, convenances personnelles, planning à gérer, x et y motifs. Est ce qu'ils auront du temps à consacrer à leur soumise, s'il y a une !! Un suivi, c'est entretenir la flamme, l'alimenter de diverses façons, texto, coup de fil, mail, message, passage sur le site suivant les disponibilités, savoir qu'on pense à lui (elle). Se rencontrer quand on le peut et l'a décidé, c'est entendre une voix au téléphone, découvrir le timbre de sa voix, cela rapproche un peu et l'on ressent beaucoup dans une voix. On prend patiente, on attend. Dire sur soi, écrire et puis, ne rien voir venir, espérer peut-être. Ecrire ce que l'on pense, sans faire de reproche, ni autre. Comment savoir si la personne nous apprécie telle qu'on est ... La beauté est suggestive, la critique est facile, l'art difficile ! Belle par rapport à qui et à quoi, sur quel critère. Quand on apprécie une personne, on l'apprécie comme elle est, c'est elle en son entier et pas une partie d'elle-même. Le regard est très important, il est la base de beaucoup pour la suite à donner parfois, simple séance, ou relation suivie, je préfère la seconde, je ne suis pas un objet qu'on utilise et jette après consommation, 'essayer' et ne pas convenir, j'aime autant qu'on me le dise tout de suite, mais comment savoir si cela se passera bien sans se voir, je ne vais pas voir x personne pour trouver le bon. Combien de soumise se sont faites avoir et se ferons encore avoir peut-être, si la personne en face n'est pas sincère, si elle joue !! Tôt ou tard tout se découvre, le masque tombe !! Une séance par ci, une par là et puis s'en va, voir ailleurs une autre soumise A dire de soi, cela porte "préjudice". Je crois que c'est le silence qui porte préjudice et qui corrode à jamais tout espoir de relation. Plus l'autre se dit, plus il accepte de mettre à nu ses pensées, son esprit, ses peurs, ses fantasmes, ou désir, plus la relation peut être profonde, dense, solide. On ne peut partager avec un masque ou une carapace. C'est pourquoi, je me suis dévoilée à vous. L'écrit permet de dire des choses que l'oral rend difficile. Une soumise se donne, non pour avoir une récompense, donner parce qu'elle se sent bien avec la personne, parce qu'elle est confiante, parce que son désir est de progresser, de se dépasser, de s'oublier pour ne penser qu'à lui, son plaisir à elle, est son plaisir à lui, voilà comment je vois la relation de soumise à Maitre. Les sentiments forts et partagés, que ne ferait-on pas pour son Maitre si la confiance est là ; les tabous, les peurs, les craintes, tout cela n'est plus avec lui à nos côtés. Notre relation vient d'éclore, prémices de beaucoup avec vous près de moi. Vous êtes patient, à l'écoute, et pour moi cela est IMPORTANT, se dire les mots, dire ce qui ne va pas, ou déplait, si des incompréhensions, cela permet d'avancer, de corriger, de se dépasser, de se relever, de grandir. Il y a certaine évidence, attirance qui font que pour lui, celui qu'on a choisi, son élu, on se dépasse, on s'abandonne, on se donne dans la confiance de lui. Pour construire, il faut être sincère, complice, avoir du respect, de la connivence, de la confiance, certains sentiments partagés, je ne pourrais pas faire autrement, je fonctionne avec mon cœur et mes intuitions. Maintenant que vous avez attiré mon attention, prouvez-moi vos pouvoirs !! Le dialogue s'instaure, suivi d'un rendez-vous, une invitation au restaurant deux heures à converser, à dire sur soi, à se dévoiler face à face, être sincère de chaque côté. Vous m'avez fait part de votre décision, sans l'ombre d'une hésitation, je vous ai donné ma réponse. Une histoire commence entre nous, une progression avec vous à mes côtés, un suivi Parfois la providence, l'évidence, l'attirance, les points communs, des affinités, une disponibilité, une sincérité, une décision à prendre, je ne pensais pas en acceptant votre invitation que, cette suite serait, loin de moi cette idée ou pensée. Comment attendre celui qui vous 'voudrait' peut-être et avec qui peu d'échange. Comment comprendre certaines choses en ne se voyant pas. Comment dire oui sans le connaitre, sans entendre sa voix, ni le voir de visu. Comment se soumettre à une personne que l'on n'a jamais vue, le virtuel lasse !! La réalité est plus passionnante, vibrante, marquante, captivante, émouvante, troublante, excitante, et les 5 sens sont en éveil !! Le 14 04 2010
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Par : le 29/12/20
Il est plaisant de lire certains récits ou de rares Maîtres osent écrire et exprimer les sentiments qu'ils éprouvent pour leur Soumise, cela est rare et précieux, et cela ravi mon cœur. Ce n'est pas un signe de faiblesse du tout, signe d'appartenance sincère, de complicité, de découverte, de plaisir, de désir, de sourire, de cris, de larmes, de peurs, de pleurs, d'humiliation, de mots, de maux, de crainte, de dépassement de soi, d'émoi, de bonheur, d'écoute, de connivence, de RESPECT, d'attachement. Quoi de plus beau qu'un regard posé sur soi, qu'une voix qui écoute, qui rassure, qui apaise, qui donne envie de se dépasser, qui donne envie de lui donner plus encore. La voix à laquelle, on obéit parce qu'on aura choisi celui qui sera 'sien' et à qui on pourra donner ce Titre tant galvaudé !! Aucun voyeurisme, aucun exhibitionnisme, aucun étalage, simplement la sincérité entre deux adultes consentants : Maître et Soumise, cela se respecte et il ne faut pas être jaloux ou envieux du bonheur des gens. Savoir que tout ou tard tout arrive à qui sait attendre, à qui sait être patient, à qui sait être sincère, à qui sait prendre le temps de découvrir la personne, de l'écouter, de l'entendre ce qui n'est pas la même chose, de l'aider à dépasser ses peurs, et tabous s'il y a. Comprendre avant d'EXIGER, savoir apprivoiser celle qui s'abandonnera à lui avec la confiance, le respect, qui lui offrira sa soumission, qui lui fera don de son cœur, de son âme, de son corps, qu'il soit digne de ce don merveilleux. Chaque personne est différente, selon son enfance, son vécu, ses blessures diverses, son éducation, sa vie privée, ses épreuves, etc. Toute personne a droit au bonheur, au respect ici ou ailleurs. Nul n'a le droit de juger !! Bonne chance à chacun (e) d'entre vous, que vous trouviez l'élu (e), que certaines jolies rencontres et histoires durent et perdurent. Que certaines éclosent peut-être, je vous le souhaite. Merci à une amie soumise qui se reconnaitra avec qui je converse depuis quelque mois sans faux semblants, son amitié sincère, son (votre) soutien m'est précieux. Que la belle histoire que vous écrivez à deux, depuis un an et plus, dure et perdure, cela ravi le cœur. Le 11 02 2010
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Par : le 28/12/20
Tous les soumis étaient réunis au pied de l’escalier monumental et nous écoutions sans broncher les directives de Maîtresse Adèle. « Vous allez être lâché dans le parc et vous devrez vous trouver une cachette. Nous vous laissons un quart d’heure d’avance et nous partons à votre recherche » Un quart d’heure, cela semblait beaucoup, pensais-je sur le moment. Sauf que nos Maîtresses nous attachèrent les chevilles avec une chaîne assez courte et les poignets avec des menottes dans le dos. Malgré cela, nous pensions naïvement que nos Maîtresses auraient les pires difficultés à nous retrouver. Maîtresse Adèle expliqua la hiérarchie des récompenses. Au moment où un soumis était retrouvé, sa Maîtresse décidait d’une épreuve. Le soumis suivant avait l’épreuve de sa Maîtresse et le soumis découvert précédemment subissait aussi le gage. Nous avons vite compris que nos Maîtresses n’avait pas l’intention de nous rechercher bien longtemps et que les gages les excitaient plus que la recherche quand elles nous ont équipé d’un tas de petites clochettes qui tintaient même quand l’on retenait notre souffle. Une autour du cou, une à chaque coude et genoux, une sur notre sexe et une accrochée à un plug qu’elles nous enfilèrent dans le cul. Lors de notre découverte, le plug avec la clochette était remplacé par un plug avec une belle queue de renard. Nous étions également affublé d’un masque de chien pour ressembler à ce que l’on était. Seule concession de nos Maîtresses, elles ne devaient pas regarder les directions que nous allions prendre. Sauf que même un aveugle n’aurait pas eu de problèmes pour le savoir. Nous n’avons pas traîné et sans se concerter, sommes partis dans trois directions différentes. Nous savions bien que la chance désignerait l’ordre de nos découvertes selon la direction que prendraient nos Maîtresses. En plus, avec la fraîcheur, nous avions tendance à grelotter et les clochettes nous trahissaient bien vite. Avec nos attaches, nous ne pouvions pas aller bien loin et les caches étaient limitées ; Pas question de grimper aux arbres ! Je trouvais assez rapidement une sorte de niche dans des rochers qui me semblait idéal. Je m’y blottis et j’attendais en essayant de bloquer mes clochettes. Pas de chances, j’entendis rapidement les Maîtresses se rapprocher et comblent de malheur, la fraîcheur de la nuit eu son effet en provoquant un éternuement qui fit sonner toutes mes clochettes comme les cloches d’une cathédrale ; enfin, la discrétion totale ! Si vous voyez ce que je veux dire. Donc je fut le premier soumis découvert. Maîtresse me réserva une épreuve gentillette. Je fus suspendu par une corde passée au-dessus d’une branche et toutes les Maîtresses devaient me chatouiller avec un plumeau. Ce fut un moment dur moi qui suis chatouilleux et les plumeaux s’attardèrent bien sûr longtemps sous mes pieds et mes bras. Après quelques minutes, on me détacha. Je devais suivre à quatre pattes derrière tout le monde et c’est Maîtresse Adeline qui me tenais en laisse sur mes couilles. Avec ma queue de renard et mon masque, je devais vraiment être le petit chien à sa Maîtresse. Au moins, mes mains avaient été libérées des menottes Le 2ème soumis a été assez vite repairé car il grelottais tellement que l’on avait l’impression d’entendre un orchestre philharmonique. Nous reçûmes tous les deux le gage qui lui était destiné. Nos Maîtresses avaient pris soin d’amener un bon paquet d’orties tout frais et nos fesses reçurent leur caresses urticantes et bien entendu interdiction de se soulager. Alors la torture était exquise pour nos Maîtresses car elles nous voyait essayer de se gratter en frottant nos fesses au sol profitant de notre position assise. Il restait un dernier soumis à découvrir et nos Maîtresses ne comptaient pas lui laisser le temps de s’assoupir. Bien que le parc ne soit pas immense, nos Maîtresses mirent un peu de temps à le retrouver et nous sentions bien que cela les énervais. Et oui une Maîtresse ne doit pas attendre ! Notre collègue avait profiter de nous pour se cacher dans un coin très éloigné du parc entre un mur et une belle haie de buis. En réussissant à faire taire ces clochettes, il avait fini par échapper à notre vigilance. Cela ne dura pas et, je sentis bien que nos Maîtresses sauraient se venger de cette résistance. L’un à côté de l’autre, nos avant bras furent réunis puis attaché aux arbres, les bras tendus vers le haut et nos fesses bien en vue. Pas de doute, nos Maîtresses avaient sorti les fouets. Les lanières claquaient et je les ressentis sur mes omoplates, puis sur mes reins. Impossible d’anticiper les impacts et je sentais bien la lanière dans ma chair. La douleur était forte mais je restais impassible pour que Maîtresse Adèle soit fière de moi. Mes amis soumis n’avaient pas la même motivation car ils ne retenaient plus leur cris de douleur. Je me consolais en pensant que je ne ressentais plus les orties. Cela doit être le théorème de la relativité selon Einstein, mais que fait-il là celui là ? Après cette belle punition, nous regagnâmes la maison. En meute bien entendu, le retour étant un peu pénible car les genoux commençaient à souffrir Je savais que Maîtresse Adèle ne souhaitait pas partir très tard car son travail la préoccupait beaucoup. Arrivé à la maison, j’avais la joie de constater que nos bagages avaient été chargés. j’aurais eu un peu de mal à jouer les brouettes tant le fouet m’avait labouré le dos. A suivre....
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Par : le 28/12/20
La plupart des gens ne sont pas en accord avec les mesures que le gouvernement prend pour stopper la propagation de ce foutu virus. Ces gens diront que le gouvernement ''BRIME NOS DROIT ET NOTRE LIBERTÉ''. Parce que tout le monde sait que c'est un scandale de devoir porter un masque quand on sort. Les frontières sont fermées, il est donc impossible d'aller dans le sud pour faire bronzette et énormément de gens en souffrent. Je ne suis pas d'accord avec les mesures du gouvernement mais c'est pour une toute autre raison. Il faut comprendre que je suis au Canada et que mon Maître vit dans le sud de la France. Je connais cet homme depuis deux ans. Je l'ai rencontré sur le Marché aux esclaves alors que j'étais en couple. Il me donnait des conseils et des idées pour ma relation, qui était jusque là vanille, car ce désir profond d'être soumise, c'était nouveau pour moi. Deux ans plus tard j'ai laissé mon copain après avoir admis que je n'étais pas heureuse dans une relation en partie vanille. Il essayait, tant bien que mal, de jouer le rôle de maître mais sans succès. Quand l'une des deux personne joue un rôle alors que l'autre est naturelle, c'est rare que cela fonctionne. Mais après l'avoir laissé non seulement je n'avais plus de copain, mais encore moins de Maître. Et cet homme, que j'avais rencontré deux ans plutôt, après m'être confié, m'a proposé de me prendre en main le temps que je trouve un autre Maître au Québec. Il allait même m'aider dans mes recherches pour que je ne tombe pas sur n'importe qui. Cette relation à distance était donc temporaire. Cependant, deux mois plus tard, la donne a changé. Je suis tombée follement amoureuse de mon Maître et j'étais extrêmement attachée à lui. Il me connaissait déjà mieux que quiconque et il me comprenait. Me rendait heureuse. J'ai donc arrêté mes recherches et me suis offerte complètement à mon Maître. Après ce changement de cap, il avait prévu de venir me voir au Québec quand les frontières canadiennes seraient ouvertes. Ouverture qui n'a pas cessé d'être repoussée depuis. En plus de six mois de relation, je n'ai jamais vu mon Maître. Pas une seule fois. Du moins, pas en vrai. En ce moment ma vie se résume à travailler et être en appel vidéo avec Maître le reste du temps. Mes journées sont rythmées par les règles et les routines que Maître m'impose en permanence. Si je n'ai pas ça, je disjoncte complètement car même à distance j'ai besoin d'être soumise en permanence. Au vu des frontières de mon pays qui restaient désespérément fermées, nous avions prévu que je le rejoigne en France, en janvier, pour une période de deux mois. J'allais devoir, suite à ce voyage, décider si je voulais rester avec Maître ou retourner chez moi. Cependant, aujourd'hui les frontières de la France sont fermées. Et avec la nouvelle souche de Covid 19, je ne pourrai plus sortir du Canada avant un bon moment. Avec un peu de chance, je pourrai peut-être le rejoindre cet été. Après un ans de relation virtuelle... Et honnêtement j'espère être assez forte pour tenir jusque là, car le manque de contact est de plus en plus pesant et douloureux. J'ai besoin de Maître. J'aspire à devenir sont esclave et ce n'est pas derrière un écran que cela sera possible Pour moi le confinement, les frontières fermées et toutes les mesures du gouvernement, ce n'est qu'une immense douleur qui ne cesse d'être prolongée.
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Par : le 28/12/20
J'ai toujours aimé le plaisir anal. De quelque manière que ce soit, d'un simple titillement de mon anus à sa pénétration avec un objet ou un jouet approprié, en passant par une belle verge bien dure, bien gonflée et bien tendue. Le jour où un complice de jeu m'a initié au fist, je me souviendrais toujours de ce qu'il m'avait dit: "tu verras, une fois que tu auras gouté et apprécié, tu ne pourras plus t'en passer". Je ne l'avais pas vraiment cru, d'autant que cette première séance n'avait pas été des plus agréables. Mon anus, pourtant toujours très ouvert à la moindre des sollicitations, n'avait pas été très coopératif ce jour-là. Je n'avais donc pas réitéré cette expérience, que je voyais alors juste comme un plaisir pris essentiellement par le fisteur. Aujourd'hui, ma vision du fist est toute autre. Je me surprends même parfois à prononcer cette phrase-là, alors que je suis moi-même en train d'enfoncer doucement mes doigts dans un anus serré qui ne demande qu'à s'ouvrir: "tu verras, une fois que tu auras gouté et apprécié, tu ne pourras plus t'en passer". Il suffisait en fait qu'un jour je sois prêt. Prêt mentalement, prêt à faire une totale confiance en la personne qui enfoncera son poing au fond de mon trou, prêt à totalement m'abandonner à lui. Alors il a suffit d'une rencontre avec le partenaire de jeu idéal. Un regard, des échanges, de la compréhension, de l'envie, un environnement, le bon matériel et les bons accessoires, de jolies mains fines et expertes... Et voilà comment j'ai découvert un plaisir inédit, une jouissance unique, une explosion de sensations indescriptibles et tellement fortes! Je n'avais jamais vécu cela. Même l'adrénaline que je retrouve en pratiquant des sports extrêmes n'est pas aussi intense! J'ai ressenti un savant mélange explosif, entre le massage du sphincter avant la dilatation, puis cette sensation d'être pénétré en profondeur avant de me sentir complètement rempli et totalement controlé par cette main qui me fouillait en douceur... C'était tellement bien fait, bien amené et bien mené! J'étais inondé et submergé de frissons et de bouffées de chaleur, le plaisir et la jouissance au summum, comme jamais je n'en avais connu auparavant. J'étais à 4 pattes, soumis comme j'aime, à la merci de sa main... Juste une main! Et je me suis abandonné, en totale confiance et en parfaite harmonie avec mon fisteur. Depuis cette 2ème expérience, je suis devenu un "fist addict". J'ai pu renouveler maintes fois des séances en tant que passif (fisté donc) et ai pu ainsi découvrir de nouveaux horizons et de nouvelles envies qui me correspondent encore maintenant. Pendant certaines soirées, j'ai alors observé les "maitres fisteurs" et leur manière d'approcher le fist. J'ai ensuite analysé puis compris la philosophie de cette pratique au point (poing?) qu'aujourd'hui, je prends autant de plaisir à fister que me faire fister. Sentir un partenaire s'abandonner et lui procurer une jouissance maximale est tout simplement jouissif. Moi qui ait toujours été 100% passif avec les hommes, je prends maintenant mon pied à être actif lorsque j'ai mon poing enfoncé au fond d'un trou accueillant et chaud. Contrôler, dominer, fouiller, sentir, dilater, mais surtout... écouter son partenaire, est en soi le fruit d'une excellente complicité. Et c'est ce que j'aime dans le fist: ce plaisir (souvent) partagé à 100%.Beaucoup de mes amis dans cet environnement sont versas, fisteurs et fistés. Et c'est pour cela que je suis devenu autant fisteur que fisté: sachant le plaisir que cela procure, on ne peut pas être que passif dans une relation fist H/H. Un bon fisté doit aussi savoir fister. En tout cas, c'est mon opinion et je suis content lorsque je suis convié à une soirée fist, de donner autant de plaisir que j'en prends. Et c'est là où c'est intéressant également, dans le sens ou chaque cul est unique et différent. On doit pouvoir s'adapter au cul de son partenaire et, en étant très à l'écoute, en découvrir les zones sensibles et érogènes, trouver ce qui le fait "grimper au rideau" et monter dans les tours, que ce soit en jouant sur la profondeur tant que sur la largeur. Chacun a ainsi sa manière de "jouir du cul". Me concernant, j'ai pu aller au-delà de mes fantasmes et me découvrir ainsi un côté actif qui, finalement, n'est pas pour me déplaire! En mode fisté, j'ai bien progressé depuis cette 2ème expérience et mon anus sait maintenant s'adapter à mes envies: toujours plus large, toujours plus profond. Mais je préfère de loin la dilatation. J'aime cette sensation d'être bien écarté, pour être mieux rempli. Et le meilleur avec tout ça, c'est que lorsque l'explosion survient, lorsque l'on "jouit du cul" sans pour autant s'être masturbé ni avoir éjaculé, on est prêt à recommencer, encore et encore, pendant des heures, voire des nuits entières! Et ça, je crois que c'est unique en son genre chez nous, les hommes. Jouir plusieurs fois de suite, souvent, sur de longs moments. Pour moi, le fist est aussi une excellente thérapie. Après une bonne séance, on est tellement bien. Très bien même. Je ne pense pas que vous trouviez une telle jouissance ailleurs. Alors personnellement, je le recommande fortement, sans aucune modération. Mon premier partenaire avait raison: "tu verras, une fois que tu auras gouté et apprécié, tu ne pourras plus t'en passer".
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Par : le 28/12/20
Retour du travail Dimanche 14 septembre 2014, 3h du matin. Je rentre après une longue journée de travail, commencée le samedi à midi. A travers la porte de l'appartement, j'entend encore des voix : Maîtresse n'est pas seule. Sa meilleure amie, M., est venu souper et passer une soirée entre filles. Un bon repas, quelques verres de blanc, papotage, ragots. Rien de bien inhabituel dans mon esprit légèrement embrumé, après mes 14h de boulot. Je franchis la porte : « Coucou chérie. » Je L'embrasse sur la bouche. Quand du monde est présent chez N/nous, je n'ai pas l'obligation de mettre mon collier et mes bracelets de poignets et de chevilles une fois entré dans l'appartement, de me mettre nu, puis de venir à quatre pattes devant Elle et Lui embrasser les pieds ; rituel obligatoire si Elle se trouve seule, ou si je rentre avant Elle, pour que Son chien soit prêt à L'accueillir. « Ca va bien, et toi ? Ca a été ? » « Oui oui, très bien. Salut M., tu vas bien ? » Trois bises, salutations classiques de deux amis qui se retrouvent. Je ne savais pas encore à ce moment là ce qui m'attendais plus tard dans la soirée. Je file dans la chambre me changer, enfiler quelque chose de plus confortable. Détour par la salle de bain. J'en sors au bout de 10 minutes, me sert un verre, et trinque avec les demoiselles. « Je vais sur le balcon fumer une cigarette ; je reviens. » « Prend ton temps, chéri », dit-Elle, avec Son sourire en coin, qui n'avait pas pour moi, à cet instant précis, de signification spécifique. Je n'imaginais pas encore ce qu'Elle avait prévu pour moi. Je prend mon temps à fumer ma clope, tout en voyageant dans mes pensées, par cette douce nuit de fin d'été. Un message sur WhatsApp : « Tu ne rentres pas avant que je ne t'en donne la permission. » « Bien, Maîtresse. » Du coup, je me rallume une deuxième cigarette. Mon téléphone en main, je vais faire un tour sur les réseaux sociaux, « like » quelques publications, vagabonde de pages en profils. Dix minutes passent. Nouveau message : « Rentre, tout de suite. » Je franchis la porte-fenêtre, et rentre dans le salon. Je fais quelques pas, commence à me diriger vers le canapé où sont assises les filles, quand Maîtresse se tourne vers moi avec Son regard strict, Ces yeux que je connais par coeur, ceux qui ne laissent aucune place au doute, et me dit d'une voix ferme : « A poil, maintenant ! » Le tournant inattendu Je reste figé. M., Sa meilleure amie, est bien là, assise sur le canapé, je ne suis pas fou ? Est-ce que mon esprit me joue des tours ? M. n'est en réalité pas là ? Ou j'ai mal entendu ce que Maîtresse m'a dis ? « Tu attends quoi ? A poil, j'ai dis ! » Apparement j'ai bien entendu. Je me décompose lentement. Il se passe une ou deux secondes, qui me semblent être une éternité, pendant lesquelles je me pose mille questions. Je n'ai pas le temps de répondre à la moindre de ces questions que je vois Maîtresse se lever, tandis que je La regarde toujours béatement, et se diriger vers moi. Elle me colle une gifle plus humiliante que douloureuse, sous le regard et le petit sourire amusé de M., que je perçois du coin de l'oeil, et m'attrape par les cheveux : « Troisième fois : met toi à poil ! Il n'y aura pas de quatrième, ce sera directement la cravache. Réfléchis vite, tu as trois secondes. » Elle me relâche les cheveux. Je dois tenter de sauver les meubles ; je viens de me faire gifler devant M. De toute évidence, le peu d'estime qu'elle avait pour le « mec » de sa meilleure amie vient de s'évaporer en une fraction de secondes. Alors je m'exécute. Automatiquement. A cet instant, je ne réfléchis plus. Je suis un robot. Mon cerveau d'humain à laissé place au cerveau du chien de Maîtresse que je suis. Je retire mes chaussures, mon pantalon, mes chaussettes, mon tee-shirt : « Garde ton string. » Mon string. Avec tout ça, je l'avais oublié, celui là. Au moins, je ne suis pas totalement nu. Le peu de dignité qu'il me reste va être sauf. Maîtresse m'interdisais de porter caleçons ou boxers. Uniquement strings masculins, slips qui laissent les fesses apparentes, ou jockstrap. D'un autre coté, ça empêche le bruit du cadenas qui tape contre le plastique ou le métal de ma cage de chasteté. Il faut toujours essayer de positiver les épreuves imposées par sa Maîtresse. Pendant le strip-tease imposé que j'exécute tout tremblotant, Maîtresse s'est rassise sur le canapé à côté de M. ; toutes deux m'observent, se délectant du spectacle. Une fois uniquement vêtu du bout de tissu qui me sert de sous-vêtements, Maîtresse me regarde fixement sans mot dire. Quelques secondes passent : « Tu attends quoi pour me saluer comme tu dois le faire ? » A ce moment précis, je comprend que rien ne me sera épargné, ce soir. Je suis donc le rituel : je me met à genoux, puis à quatre pattes, et j'embrasse Ses divins pieds, posés sur le tapis du salon : « Bonsoir, Maîtresse. » Le mot est lâché. Je me suis dévoilé devant M. La promesse d'une correction à la cravache a retiré tout amour propre en moi. Je la déteste de m'avoir fait ça. Mais bon sang, qu'est ce que je l'aime de m'avoir fait ça ! M., je l'aime pas, alors je m'en fiche qu'elle soit au courant. En fait si, je l'aime bien, alors c'est bien qu'elle sache pour N/nous. Une nuée de sentiments ambivalents me rongent l'esprit, tandis que je suis toujours front à terre, attendant la permission de me redresser : « A genoux. » J'obtempère, je me remet sur mes genoux. Maîtresse, s'adressant à M. : « Tu vois, je t'avais dis. » « Faut le voir pour le croire. J'aurais jamais imaginé ça de lui. Et encore moins de toi. Et il fait tout ce que tu lui demandes ? Tu donnes des ordres, et lui, il obéit ? » M. parle de moi à la troisième personne. Je ne suis devenu en quelques minutes qu'un objet à ses yeux. « Tout, oui. Et attend, tu n'as pas encore tout vu. » C'aurait été trop simple si ça s'était arrêté là. Au moment-même ou Maîtresse prononce la phrase, je me dis « non, pas ça, pitié » : « Baisse ton string. » Automate que je suis devenu, j'obéis. M. Découvre, effarée, qu'un tube de plastique enferme complètement mon pénis, retenu par un anneau, et fermé d'un cadenas sur le dessus : « Mais c'est quoi, ça ? », dit-elle dans un éclat de rire non dissimulé. « Sa cage de chasteté. Son pénis est ma propriété, il n'a plus le droit d'en avoir l'usage d'aucune manière que ce soit, sans mon autorisation, ou un ordre de ma part. Tu fermes bien ta maison quand tu sors ? Moi, je ferme mon pénis quand je n'en ai pas l'usage. » Eclats de rire de M. et de Maîtresse. J'entend tout ça comme si je n'étais pas là. J'ai les yeux au sol ; quand je suis à genoux, j'ai interdiction de regarder Maîtresse quand Elle ne s'adresse pas à moi. Revue de matériel et de comportement « Retire complètement ton string, et va nous resservir un verre. Et tu peux t'en prendre un. Par contre, tu vas et tu reviens à quatre pattes. Tu ramènes les verres un par un. » Un peu d'exercice ne peut pas faire de mal. Puis heureusement, le frigo est tout proche du canapé. J'amène le verre à M. - les invités d'abord -, puis à Maîtresse, et je fini par le mien. J'ai la permission de m'assoir par terre. Maîtresse prend soin de moi et de mes pauvres petits genoux, qui ne tiennent plus aussi longtemps qu'avant. J'écoute la conversation entre Maîtresse et M., tout en essayant par moment de réaliser ce qui m'arrive ce soir. Et je regarde aussi. Quand je suis assis par terre, j'ai la permission de regarder devant moi, ainsi que les interlocuteurs. Maîtresse répond aux nombreuses questions de M. Tout y passe : mes obligations de soumis, mes quelques droits et limites acceptées par Maîtresse, mon quotidien pour La servir, Ses nombreux avantages, comment je vis le fait d'être enfermé dans ma cage de chasteté... « Je pourrais te le prêter pour ton ménage, si tu as besoin, et si tu veux voir un mec récurer ta maison habillé seulement d'un collier et d'entraves aux poignets et aux chevilles. Et s'il ne va pas assez vite à ton goût, tu auras la cravache qu'il amènera avec lui ». Et Elle l'a fait : Maîtresse m'a prêté à M. pour un après-midi. Mais ça, c'est une autre histoire. Puis je suis interrogé, comme à chaque fois avec des non-initiés aux pratiques D/s, sur le plaisir que j'en retire. Comment expliquer à une novice que me prendre une gifle, et me faire rabaisser de la sorte devant des gens, me met dans un état au delà de l'orgasme psychique ? Et pourtant, M. Est une fille visiblement très ouverte, et le comprend parfaitement. Comme à Son habitude, Maîtresse sait choisir Son public. Une vingtaine de minutes se passe. Verres terminés, liste de questions achevée, Maîtresse et M. Se lèvent : « Maintenant, je vais te montrer la panoplie de dressage pour transformer ton homme en bon soumis obeissant. » Je me morfond de trouille ; là, M. va voir les instruments qui servent à m'éduquer. « Suis moi, chien. » De ma position assise, je me met à quatre pattes, et je La suis jusqu'à la chambre. « La caisse, sur le lit. » Je la précède, je sors la caisse de sous le lit, pour la mettre dessus, puis m'écarte d'un demi-mètre pour L/leur laisser la place : « Tu restes au pied », me lance-t-Elle, en claquant des doigts. Je me réavance donc au pied de Maîtresse, soupçonnant que ce n'était pas sans raison. Maîtresse commence l'inventaire par le collier. Bingo ! « Quand il est à la maison, dès qu'il franchit la porte, il doit se mettre nu, et enfiler son collier, et ses bracelets aux poignets et aux chevilles. Je veux pouvoir l'attacher à n'importe quel moment, si je dois le punir, ou juste si j'en ai envie. » Elle lui précise, si besoin était, que les chaînes qui descendent de la poutre au plafond sont juste à bonne hauteur pour que je sois suffisamment tendu, mais pas trop pour que ce ne soit pas trop inconfortable pour de la longue durée. C'est ce moment que Maîtresse choisi pour ajouter : « D'ailleurs, tu n'as pas encore tes entraves ce soir, du coup », et me passe le collier de cuir autour du cou, ainsi que les 4 bracelets. Aussitôt, Elle attrape la laisse, et l'accroche au gros anneau qui orne le collier. M. d'ajouter : « Pourquoi tu le tiens en laisse ? Tu as peur qu'il se sauve ? » Phrase maintes fois entendue, mais toujours aussi cinglante. « Non, c'est juste pour l'humilier un peu plus. Et un chien, ça se tient en laisse, c'est obligatoire. » Nouvel éclat de rire simultané de mes tortionnaires. Le passage en revue continue avec les instruments de dressage et de discipline : cravache, martinet, badine, et paddles. « Pourquoi de dressage ? C'est une forme de punition ? » « Non, quand il désobéit, ou qu'il commet une erreur, je le puni, durement, pour qu'il ai mal, et qu'il ne recommence pas son erreur. Mais une ou deux fois par semaine, je lui fait une piqure de rappel, pour qu'il se souvienne qui commande. Puis une bonne correction une fois de temps en temps, ça ne fait pas de mal. » Eclats de rire. Puis Elle passe aux objets « insérables » : « Ah, c'est un de tes godes ? » « Non, c'est un plug anal, pour lui. Plusieurs fois par semaine, il doit le mettre 1 ou 2 heures ; je veux qu'il tienne son cul prêt à recevoir mon gode-ceinture. » Nouveau regard à la fois surpris et intéressé de M., devant ce harnais, complété d'un long et large gode. « Mais ca sert à quoi ? Tu aimes ça, toi ? », demande M. « Oui bien sur que j'aime. Et c'est moi qui commande dans le couple ; normal que ce soit moi qui le prenne en levrette. Parfois en missionnaire, pour que je puisse voir son regard pendant que je l'encule. », répond Maîtresse, me regardant avec un large sourire. Même dans l'humiliation la plus totale, Maîtresse sait comment me faire rester complètement excité, pour que je vive ce moment de la manière la plus intense possible. Continuant de souffler le chaud et le froid, Elle continue Son descriptif de N/notre vie intime, et ajoute, pour mettre un coup de grâce à cette phase d'humiliation : « De temps en temps, je lui dis qu'il va être libéré de sa cage, et qu'on va faire l'amour ; mais à la place, je lui fait enfiler le gode-ceinture, et il doit me faire l'amour avec le gode, tout en restant enfermé en cage. C'est la frustration ultime pour lui, alors que je prend presque autant mon pied que quand on fait l'amour de manière classique, juste en voyant son air dépité ! » Je ne peux bien sûr qu’acquiescer. Et c'est reparti pour de grands éclats de rire. Puis vient le tour du baillon-gode, lui aussi classé dans le top 3 des instruments de frustration du soumis moyen. Puis les baillons classiques, les cagoules, et autres moyens de faire perdre un ou plusieurs de nos 5 sens. La démonstration se termine avec deux allers-retours, tel un mannequin dans un défilé de mode, paré des menottes aux poignets, des fers aux chevilles, le tout relié par une longue chaine qui part de mon collier pour descendre jusqu'à mes chevilles, en passant par la chainette des menottes, entravé comme un prisonnier dans une série policière américaine. Le point final reviendra aux chaines accrochées aux barreaux du lit, cachées jusqu'à présent par la couette, qui permettent de m'attacher au lit, des fois que je décide de me sauver en pleine nuit ; sait-on jamais. C'est à ce moment que se termine la séance de présentation de l'attirail de dressage du soumis. Une fois libéré de mes chaines, retour au salon, à quatre pattes pour moi, Maîtresse sur mon dos, M. qui nous suit, non sans un ricanement bien audible, Maîtresse montant fièrement son fidèle destrier. Arrivé vers le canapé, Maîtresse descend de mon dos, et s'assoit, suivi de M. Il est déjà presque 6 heures du matin « Ca nous ferait pas de mal, des croissants. J'ai un peu faim », dit Maîtresse. « Ah oui bonne idée. On va chercher ça à la boulangerie ? » « Non, IL va aller nous chercher ça à la boulangerie. » « Ah mais oui, tu as cette chance, toi », lance M., non sans un nouveau rictus, mêlé à un air d'envie. « Va t'habiller. » Je m'exécute. Je reviens au salon, me met à quatre pattes pour suivre le protocole, en déposant un baiser sur chaque pied de Maîtresse. Elle me dit alors, en me montrant M. du doigt : « Embrasse ses pieds, et file ! Tu as 15 minutes. »   Je suis dans un état second. Je suis proche du subspace. J'aime tellement cet état. Et Maîtresse le sait. Elle m'a poussé à me dépasser, ce soir : Elle sait jouer avec mon esprit, Elle a repoussé mes limites à l'extrême. Elle savait que cette humiliation extrême me ferait passer une des plus belles soirées de ma vie de soumis. Elle me connait, Elle à tout prévu. Je sais qu'Elle s'est assuré que ma réputation personnelle et professionnelle soient en sécurité avec Sa meilleure amie ; que tout ce qui se passe ce soir ne franchira pas les portes de N/notre appartement.
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Par : le 27/12/20
SOUMIS, (E) ou ESCLAVE : L'esclavage d'un soumis s'entend par sa possession totale: physique, intellectuelle et financière. Je ne suis pas d'accord avec le premier mot : l'esclavage . NON, il n'y a pas d'esclave pour MOI. Dans le "petit LAROUSSE" sens premier , du latin slavus, slave. -personne de condition non libre, considérée comme un instrument économique pouvant être vendu ou achetée et qui est sous l'emprise d'un maître. -personne qui est sous l'entière dépendance d'une autre . - personne entièrement soumise à quelque chose . L'esclavage remonte à l'antiquité. Principal outil de travail et objet du grand commerce , les esclaves sont alors des prisonniers de guerre et les individus les plus pauvres de la société. L'esclavage est aboli en Angleterre en 1833, en France en 1848, aux Etats Unis en 1865, au Brésil en 1888. L'esclavage est condamné par la Déclaration des droits de l'Homme en 1948. L'esclave comme nous l'entendons dans cette relation BDSM , pour moi n'existe pas et ce n'est pas possible. C'est irréalisable , voir dangereux. C'est mettre son soumis ou sa soumise plus bas que terre . Prendre possession de son corps : ho oui quel délice ! jouer avec lui avec des moyens cinglants ou brûlants, , le maltraiter, l'exhiber, le caresser, le réconforter, le rassurer etc... Prendre possession intellectuelle : oui dans une certaine mesure, car le soumis adhère complètement aux affres de Sa Maîtresse . Cela fait partie du JEU . mais je ne veux absolument pas d'un homme "OUI, OUI". Ce soumis doit rester conscient de sa personnalité, de ses réflexions, de ses idées etc... Prendre possession financière : alors là, NON. pas pour moi, c'est malsain. très malsain , c'est de la prostitution, de l'escroquerie, abus de pouvoir, etc... et personne n'a le droit de s'approprier le bien des autres. C'est une faute grave dans le code pénal. OU alors , oui, nous pouvons gérer les affaires pécuniaires d'une personne diminuée mais là, nous sommes prises comme Tutelles et nous devons passer devant le juge pour établir cet acte. J'ai un profond respect de la personne humaine et dans la D/s je ne recherche pas à avilir ni à dégrader mon partenaire soumis pour mon simple plaisir . Le vrai plaisir reste toujours en effet, la recherche du plaisir de l'autre. Et c'est merveilleux. Son corps ne saura qu'un instrument de plaisir pour l'aider à se découvrir lui-même tel qu'il est vraiment. Son esprit, son intellect sont présents et actifs. et j'aime ça. Dans cette relation S/M entre adultes consentants , il n'y a aucune norme. Tout est possible , tout est permis dans la mesure ou cela ne dérange pas l'autre. La liberté existe à ce prix là. La seule norme est celle qui procure le bien être et l'équilibre à deux personnes qui le désirent vraiment ensemble. Comme dit Freud " La domination, la servitude ne peuvent exister sans une complicité profonde entre Maîtresse et Soumis sans une sorte de jeu théâtral qui n'est qu'un avatar particulier de l'Amour". OUI la Domination et la servitude ne peuvent exister sans une COMPLICITE PROFONDE mais L'AMOUR est bien là, sincère, unique, magnifique. CE N'EST PAS UN AVATAR De l'Amour. Ce n'est pas une transformation ou une illusion . Pour Maîtresse Gabrielle et berny : c'est l'OSMOSE complète entre nous deux et cela dure, évolue certainement . comment voyez vous le soumis ou l'esclave ?
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Par : le 27/12/20
Pourquoi et comment Cléo de Mérode incarna l’image de la beauté, et devint une icône pendant un demi siècle ? En cette première moitié du XX ème siècle, elle fut la femme la plus photographiée et disait-on la plus belle du monde. Ni cocotte ni courtisane, Cléo de Mérode se voulait différente, moderne, indépendante et artiste. Son art réside dans la manière dont elle maîtrise l’objectif du photographe, c’est elle qui façonne et créé sa propre image. Avec un génie de l’esthétique du moment et une longueur d’avance sur le siècle suivant, Cléo de Mérode amène à elle le monde de la haute couture et de la mode. Elle soignera jusqu'au bout avec passion la célébrité de sa photographie pour faire d’elle un mythe indémodable. À la Belle Époque, sous l’influence du symbolisme, hédonisme et spiritualité se côtoient. Littérature, spectacle vivant et arts figuratifs reprennent le thème romantique de la femme comme idole de beauté tantôt angélique, tantôt diabolique. Il confine alors à l’obsession, et les exemples de femmes fatales se multiplient. Un des personnages favoris est celui de Salomé, à qui Oscar Wilde consacre le drame éponyme illustré par Aubrey Beardsley. À cette image sulfureuse correspondent "les trois Grâces", les artistes et demi-mondaines Liane de Pougy, Émilienne d’Alençon et la belle Otero, tandis que l’idéal angélique est incarné par Cléo de Mérode, icône d’une beauté sans fard ni ombres, qu’elle entretient et défend à tout prix. Ne jamais dire de Cléo de Mérode (1875-1966) qu’elle fut une demi-mondaine. Lorsque Simone de Beauvoir la qualifie comme telle dans son célèbre manifeste "Le Deuxième Sexe", l’intéressée surgit de l’ombre pour dénoncer un propos diffamatoire. Traînée en justice, le juge reconnait l’erreur de De Beauvoir, la condamnant ainsi à lui reverser la somme d'un euro symbolique. Mais qui fut alors Cléo de Mérode ? Elle fit, très jeune, son entrée à l’opéra, devint professionnelle à onze ans. Elle attira l’œil des peintres, de Degas à Toulouse-Lautrec, avant de se produire dans les salons les plus mondains de la Belle Époque. Elle fut également celle qui fit tourner la tête des aristocrates les plus fortunés de l’époque, au temps où entretenir une dame comptait pour un signe extérieur de richesse. C’est que sa beauté détonnait des canons de la Belle Époque. Visage angélique, taille très fine, allure sculpturale iconique de vestale. Si iconique que les femmes de son temps voient en elle un idéal de beauté. C’est le vingt-sept septembre 1875 à Paris que voit le jour Cléopâtre-Diane de Mérode. Sa mère, Vincentia de Mérode, est issue de la branche autrichienne de la maison belge des Mérodes et doit quitter son pays lorsqu’elle tombe enceinte. Son père présumé, Carl Freiherr von Merode, ne l’a pas reconnue, provoquant le premier scandale de sa vie. Toutefois, en dépit de son statut de fille-mère, Vincentia parvient à s’intégrer à la bonne société parisienne. Cléopâtre-Diane, dès son plus jeune âge, réussit à charmer quiconque croise son chemin grâce à sa grande beauté. Sans autre famille, Cléo et sa mère deviennent tout l’une pour l’autre. Cléo vit une enfance de jeune noble paisible. Sa mère est une pianiste virtuose et c’est grâce à elle que la jeune fille découvre sa passion pour la musique, qui ne fait que grandir au cours de son extraordinaire et prodigieuse carrière. C’est cependant en tant que danseuse que l’enfant est présentée à sept ans par sa mère au régisseur de l’Opéra de Paris. Sur cent candidates, huit petites filles seulement sont admises dont Cléo qui va passer son enfance et son adolescence dans ce grand théâtre où son nom la distingue de la masse des petits rats et lui permet de danser dans les salons mondains. Pendant sa carrière à l’Opéra, elle se fait remarquer plutôt comme modèle des clichés de célèbres photographes réalisés en marge des représentations que comme interprète sur la scène. Ce sera d’ailleurs l’une des premières femmes dont l’image photographique fera le tour du monde. Ainsi, ses photos contribuent à accroître la célébrité de Cléo, son visage étant présent sur des milliers de cartes à jouer et postales. Après avoir dansé dans "Coppélia" ou encore "Sylvia", Cléo quitte définitivement l’Opéra en 1898. Elle dansera encore, notamment lors de l’exposition universelle de 1900 à Paris, ou aux Folies Bergères en 1901, avant de raccrocher ses ballerines en 1924. En 1895, sa statue de cire entre au musée Grévin. Elle est façonnée par le chef d'atelier du musée, le sculpteur Léopold Bernstamm. Élue "reine de beauté" sur photographie par les lecteurs de L'Illustration en 1896, elle devance cent-trente-et une autres célébrités, dont l’inégalable Sarah Bernhardt. Elle devient l'icône des symbolistes dès les années 1900, lorsqu’elle opte définitivement pour la coiffure à bandeaux. Cléo de Mérode paraît avoir acquis très tôt la conscience de l’importance de la photographie et de la nécessité de contrôler sa propre image. Elle est sans doute la danseuse fin-de-siècle la plus photographiée. La prolifération de ses images n’est pas proportionnée à son importance artistique. Gâtée dès son enfance par son exceptionnelle beauté et photographiée, encore petite fille, dans une attitude ambiguë à la Lewis Carroll, petite fille ingénue et innocemment libertine, Cléo de Mérode hésite entre la soumission aux règles du marché du spectacle et la défense de son statut professionnel. Elle tend à imposer peu à peu, une image de soi figée dans une attitude presque austère et limitée à son buste, le plus souvent à son visage. L’apparente souplesse des cheveux de Mérode contraste avec le chignon qui, inspiré probablement des ballerines romantiques, se termine par une pointe. Tout en s’offrant à la vue, cette chevelure-forteresse est froide et dissuade l’approche. La tête tout entière devient un masque et un "stéréotype du visage humain", comme le dit Barthes du visage de Greta Garbo. Si cette dernière "donnait à voir une sorte d’idée platonicienne de la créature", le masque de Mérode se présente comme un stéréotype de la vierge. Les photographies les plus célèbres de Cléo sont faites par Léopold Reutlinger. C’est un photographe extrêmement célèbre à l’époque. Il aura au cours de sa carrière des modèles célèbres tels que Mata-Hari, Colette, Anna Held, Liane de Pougy, La Belle Otero, ou Sarah Bernhardt. En costume exotique de danseuse cambodgienne, et préfigurant le style de Mata Hari, ses photos forgent sa légende et augmentent son pouvoir sur les hommes. Jean de Tina, Georges Rodenbach, ou encore Paul Klee sont autant de personnalités qui laissent des témoignages écrits sur le grand pouvoir de fascination qu’exerce Cléo sur la gent masculine. Cléo de Mérode incarne "l’idéal angélique", là où les "trois Grâces de la Belle Époque", Liane de Pougy, Émilienne d’Alençon et la Belle Otero représentent le côté féminin beaucoup plus sulfureux de son temps. En 1896, dans le but de se faire encore plus connaître, Cléo pose pour des artistes tels que Toulouse-Lautrec, Degas, Boldini et Alexandre Falguière. Ce dernier, un sculpteur, la représente à travers un nu en marbre blanc, grandeur nature. "La Danseuse" d’Alexandre Falguière, œuvre conservée à Paris au musée d'Orsay, fit à l'époque un scandale. Si le grain de la peau visible sur le plâtre prouve bien un moulage sur le vif, Cléo de Mérode s'est pourtant toujours défendue d'avoir posé nue. Elle accuse Falguière d’avoir fabriqué une œuvre à scandale en moulant le corps de la statue sur un autre modèle féminin, alors qu’elle n’aurait posé que pour la tête. C’est à cette période, en 1896, que Cléo de Mérode connaît son premier amour. Il s’appelle Charles de Po. Les jeunes gens sont si amoureux qu’ils se sont fiancés sans en parler à leurs parents. Cela n’empêche pas la jeune femme d’avoir pris conscience de ses charmes et du nombre de ses prétendants. De toute façon, Charles accomplit son service militaire lorsqu’a lieu la rencontre de Cléo de Mérode et du roi Léopold II. On joue ce soir-là à l’Opéra Garnier "Aïda", et Cléo figure dans le ballet. La danseuse se rend au foyer et aux salons de l’Opéra. Soudain, elle voit entrer un homme de haute taille, et d’allure fort distinguée, portant la barbe assez longue, qui s’appuie sur une canne. Elle reconnaît immédiatement l’illustre personnage, le roi des belges, Léopold II. La danseuse étoile s’attend à ce que la rencontre s’arrête là. Mais le lendemain matin, le roi, qui est descendu à l’Hôtel Bristol, se rend à pied rue des Capucines où Cléo habite avec sa mère. Il est parvenu à semer les policiers en civil chargés de sa sécurité. La belle est surprise de cette visite. Apparemment Léopold II désire seulement lui annoncer qu’il retournera officiellement à l’Opéra et qu’il souhaite que ce soit elle qui le reçoive au foyer de la Danse. C’est ainsi qu’un autre soir, Cléo de Mérode apparaissant sous les traits du jeune pâtre dans la "Maladetta", le roi se rend au foyer à l’entracte et s’attarde longtemps avec la danseuse. La nouvelle fait l’effet d’une bombe à Paris. La danseuse et reine de beauté aurait fait la conquête du roi des belges. L’aventure fait évidemment le tour de l’Europe et le bonheur des caricaturistes, des chansonniers et des revuistes. Sans doute Léopold II a-t-il eu, au fil des années, quelques liaisons plus ou moins discrètes, mais la presse populaire est ravie d’une liaison avec une danseuse. Un véritable scandale, et voilà que le souverain est baptisé "Cléopold". Une cible rêvée pour les journaux satiriques de l’époque. Pourtant, rien ne prouve que la liaison soit consommée, et l’histoire semble même être montée par Cléo de Mérode elle-même, qui y voit un moyen de publicité sensationnel. Quoi qu’il en soit, que cette histoire soit vraie ou non, il n’en demeure pas moins que le roi des belges a acquis, au tournant du siècle, une réputation internationale de galanterie. Et aucun livre, aucun journal bien informé n’ose non plus répertorier la liste des amants que connaît la noble Mérode avant sa liaison avec le roi des belges. Avant de regagner son pays, Léopold II se rend une ultime fois rue des Capucines et propose à la danseuse, dans un élan amoureux certainement, de la faire venir à Bruxelles où elle serait engagée à la "Monnaie." La jeune fille, très émue, fait comprendre au roi qu’étant fiancée, elle ne peut accepter son offre bien qu’elle en soit très flattée. Le roi se montre beau joueur, n’insiste pas, et lui répond qu’elle peut néanmoins le considérer désormais comme le meilleur et le plus dévoué de ses amis. C’est ainsi que, pendant de nombreuses années, le monarque et la danseuse entretiendront cette amitié ainsi qu’une correspondance très affectueuse, qu'elle relatera dans ses mémoires, "Le Ballet de ma vie." La presse à scandale s’en donne à cœur joie, publiant des caricatures et images satiriques moquant cette relation, et ternissant l’image virginale de Cléo. Celle-ci niera également fréquenter le roi des belges, ou qui que ce soit d’autre. Ancrée dans son personnage d’ingénue, elle refuse de parler de sa vie intime, bien qu’elle ait été fiancée, semble-t-il, au moins deux fois. Le déclin survient rapidement pour Cléo. Son visage est partout, lassant les masses. Elle décide de ne plus poser les cheveux dénoués, et cherche à recréer inlassablement les poses de sa jeunesse. Après 1914, sa beauté s’essoufflant, elle fait de moins en moins de photographies. Cela coïncide également avec la cessation d’activité de Léopold Reutlinger, qui doit faire face à la mort de son fils bien-aimé. Contrairement à la plupart des courtisanes de son époque, Cléo de Mérode n’a pas fini ses jours dans le besoin. Douée en affaires, elle avait su monnayer son image, se faisant payer pour apparaître sur des boîtes de chocolats ou des paquets de cigarettes. Après la guerre, en 1950, Cléo de Mérode gagna un procès contre Simone de Beauvoir qui fit l'erreur de l'assimiler à une "cocotte" dans "Le Deuxième Sexe", ignorant par ailleurs qu'elle était encore en vie. Finalement, le juge considéra que les propos de la philosophe étaient inconvenants, mais ne la condamna qu'à un franc symbolique d'amende, alors que Cléo de Mérode réclamait cinq millions. Simone de Beauvoir dut retirer cette mention de son livre, mais le magistrat considéra que l'ancienne danseuse aurait dû publiquement démentir cette rumeur. Cette réputation de demi-mondaine la poursuivra dans plusieurs livres, de même qu'en 2015 lors d'une exposition sur la prostitution de la Belle Époque au musée d'Orsay. Cléo de Mérode meurt le dix-sept octobre 1966, à l'âge de quatre-vingt-onze ans. Elle est inhumée au cimetière du Père-Lachaise, où elle repose aux côtés de sa mère, Vincentia Marie de Merode. Une statue représentant Cléo de Mérode, dans sa beauté intemporelle, sculptée par le diplomate espagnol, Luis de Périnat, orne leur tombe. Bibliographie et références: - Christian Corvisier, "Cléo de Mérode et la photographie" - Yannick Ripa, "Femmes d'exception, les raisons de l'oubli" - Michael D. Garva, "Cléo de Mérode" - Jean-Jacques Lévèque,"Les années folles, le triomphe de l'art moderne" - Jean Chalon, "Cléo de Mérode, l'icône de la danse" - Jean Bothorel, "Cléo de Mérode, l'inoubliable" - Jacques Lebrun, "Cléo de Mérode, une femme d'exception" - Charles Marchand, "Cléo de Mérode, une icône entre Romantisme et Symbolisme" - Florence Montreynaud, "L'inoubliable Cléo de Mérode, la danseuse étoile" - Marcel Schneider, "Cléo de Mérode, l'éternité fragile" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 27/12/20
Bonjour. M était une très belle femme. Un mètre soixante sept, les cheveux châtain clair, de beaux yeux verts, une bouche pulpeuse que tout homme avait envie de goûter, des petits seins en poire avec de beaux tétons, de superbes fesses à croquer, des hanches épanouies. Très féminine, M prenait toujours soin de s’épiler la chatte qu’elle avait douce et rebondie, ce qui mettait en valeur ses petites lèvres charnues. Sexuellement, notre entente allait au delà de mes espérances. Malgré quelques réticences de circonstance, M adorait découvrir de nouvelles expériences. De nombreux gadgets venaient épicer nos ébats dont un gode énorme de taille appréciable qu’elle adorait se fourrer dans la chatte tout en me regardant droit dans les yeux. Mais ceci est une autre histoire… Lors de nos ébats, M adorait que je lui chuchote dans l’oreille qu’elle était ma pute soumise et qu’un homme ou deux venaient nous rejoindre lorsqu’elle me chevauchait en amazone. L’un lui glissait sa queue dans le cul tandis que l’autre lui présentait sa queue à sucer. Elle s’imaginait alors prise de tous côtés… Cela avait pour effet de décupler son excitation et sa jouissance n’en était que meilleure. Elle m’avouait alors qu’elle fantasmait sur le fait d’imaginer de me sucer ou de baiser ensemble alors qu’un autre homme me sodomisait… J’avoue que cela me provoquait des orgasmes fulgurants. De fil en aiguille, nous en sommes venus à en discuter plus ouvertement et cela s’est imposé à nous très rapidement comme une évidence… Nous décidâmes donc de nous inscrire sur un site échangiste bien connu afin de réaliser notre fantasme commun. Notre annonce était très claire et les quelques photos explicites de M nous ont permis de recevoir de nombreuse demandes d’hommes seuls. M m’avait laissé libre choix sur le mâle à sélectionner. Au plus profond de moi, je savais déjà que mon choix se tournerait vers un homme plus âgé que tous deux, très viril, dominant. Les critères physiques esthétiques de rigueur ne me sont pas parus utiles sur le coup. Je précisais toutefois qu’un sexe large serait un plus, car j’adorais voir la chatte de M se dilater et coulisser doucement sur son jouet. Parmi toutes les réponses reçues, une retint mon attention. Un homme de 58 ans prétendait répondre à tous nos critères voire même plus… Ce « plus » eut le don d’aiguiser ma curiosité. Je le contactais donc et lui demandais en quoi ce plus consistait. Il me répondit avoir un sexe hors norme sans me donner plus de précision. Lorsque je lui demandais quelques photos pour voir de quoi il en tenait, il me répondit qu’en tant que mâle alpha il n’avait pas à se justifier et qu’il avait deviné à la lecture de notre annonce ce dont M et moi avions besoin… Cette réponse agit sur moi tel un électrochoc et je me mis à bander immédiatement ! Nous convînmes donc d’un rdv au téléphone. Au moment d’appeler, M et moi étions stressés, mais aussi très excités. A l’autre bout du fil, l’homme qui s’exprimait était sûr de lui et nous annonçait qu’il n’en était pas à son premier cocufiage, ni à sa première éducation de couple. Un homme d’expérience donc. D’emblée il énonça ses conditions, qui somme toute étaient très simples. Nous devions l’appeler monsieur, ne parler que lorsqu’il nous le demandait et nous devions lui obéir en toutes choses. Nous devions également produire un bilan sanguin vierge de toutes MST. Si ces conditions étaient respectées il s’engageaient à nous emmener vers des sommets de plaisir dont nous ne pourrions nous passer par la suite. M accepta immédiatement ses conditions, ce qui me surprit et me signifia ma condition prochaine de cocu soumis. Puis s’adressant à moi, il me signifia que ma compagne serait désormais sienne et qu’il en userait comme il l’entendait. Son aplomb me désarçonna. Ses mots étaient comme des gifles, mais je sentais ma queue qui déjà dégoulinait dans mon slip… M s’en aperçut et m’avoua trouver la situation extrêmement excitante.. RDV fut pris quelques jours après. Ces quelques jours passèrent dans une atmosphère étrange. M et moi savions que cette rencontre allait probablement changer la façon d’aborder nos relations sexuelles. La peur nous nouait le ventre mais l’excitation restait la plus forte, nos envies ne pouvaient plus être enfouies. Ils nous fallait franchir le pas. Le jour J arriva. Un jour d’été plein de promesses. M revêtit une de ses tenues les plus sexy et pour l’occasion avait acheté des sous vêtements tout en transparence, de ceux dont je raffole. Mais cette fois, je ne serais pas celui qui en profite et cela me mit une pointe au coeur. Nous voici donc tous deux au lieu de RDV, à l’heure convenue. Nos cœurs battent la chamade à l’instant de frapper à la porte de cet inconnu. L’homme qui nous accueille porte solidement ses 58 ans. Plutôt grand, large d’épaules, corpulent, un ventre proéminent, le cheveu rasé de très près, une barbe de 3 jours orne une mâchoire volontaire. Ses bras sont puissants et velus, ses mains très larges. Pantalon noir, chemise blanche ouverte sur une gorge velue elle aussi. Ce gars doit être un animal me dis je pour moi même… Le contraire de moi qui suis peu poilu. Je me sens immédiatement sous son emprise et je constate dans les yeux de M qu’il en est de même pour elle. Il nous invite à rentrer. Nous n’osons pas parler, nous sommes très nerveux, M surtout qui a tendance à jacasser lorsqu’elle n’est pas très à l’aise. Monsieur, lui est très calme, sûr de lui. Il nous invite à nous décontracter et nous assure que tout se passera comme nous le désirons… Ces paroles ne nous rassurent pas totalement. Après les quelques explications d’usage, vérifications de nos bilans MST respectifs et le rappel de nos promesses, Monsieur m’ordonne de me foutre à poil. J’obtempère et me retrouve nu devant ma compagne et cet inconnu. Mon sexe pend mollement entre mes jambes, appendice inutile. Il m’ordonne de m’agenouiller, jambes écartées et mains sur la tête. J’obéis docilement. M n’ose pas me regarder. Son attention se porte alors sur M… Il la jauge du regard, tourne autour d’elle. Il la tutoie et lui pose des questions indécentes en usant de mots crûs. « Aimes tu les grosses bites » ? « Je pense que oui Monsieur » « Tu avales le jus des petites couilles de ton cocu quand tu le suce » ? « Oui, toujours Monsieur ». « Tu aimes le sperme » ? « Oui monsieur ». « Est ce que tu te fais enculer » ? « Parfois, mon mari aime ça Monsieur ». « Tu aimes voir un homme pisser » ? « ….Je ne sais pas Monsieur ». « Ton cocu te baise t-il souvent » ? « Je pense que oui Monsieur ». « Tu te branles avec des godes » ? « Parfois Monsieur. » Je vois à son regard que M est déstabilisée et tente tant bien que mal de répondre aux questions de Monsieur. Celui ci ne la quitte pas du regard et décide de passer aux choses sérieuses. Il demande à M d’enlever ses vêtements et de ne garder que ses sous-vêtements. M s’exécute. Monsieur la complimente, lui dit qu’elle est très belle, qu’elle a un corps qui appelle au sexe et qu’il va la prendre de toute les manières possibles, ici et maintenant devant son cocu de mari, qu’il va faire d’elle sa chose et qu’elle va adorer être sa soumise, qu’elle ne pourra bientôt plus se passer de sa bite… Il s’est approché et commence à la peloter, ses grosses mains se posent sur les fesses de M pour les pétrir vigoureusement. Il lui pelote les seins et lui tire les tétons. Cela a pour effet de faire lever ma queue. Monsieur s’en aperçoit et fait remarquer à M que ça excite son cocu de voir sa femme se faire peloter. Le salaud… Il a raison. Ses mains pelotent M sous toutes ses facettes…Après quelques minutes de ce traitement, il ôte les derniers remparts de M. L’entrejambe de sa culotte est ravagée… En vainqueur, il vient m’exhiber son trophée et m’enfile le sous-vêtement sur le visage. J’adore le parfum du sexe de M, cela me met dans des états pas possibles. Je lèche le bout de tissu pour en recueillir ses sécrétions. La voilà nue face à lui, la chatte totalement rasée. Il la complimente et lui dit qu’il adore cela car il peut mieux voir son gros gland baiser une belle chatte nue… M rougit violemment. Monsieur part en exploration entre les jambes de M. Un gros doigt, puis deux pénètrent le sexe qui jusqu’à présent n’appartenait qu’à moi. Monsieur souris, satisfait de lui car il lui fait remarquer qu’elle mouille abondamment comme une pute. En effet ses gros doigts sont sortis poisseux de la chatte de M. Il les porte à son nez, les sent longuement et les suces goulûment. Il se régale et cela l’excite car je peux voir la déformation de son pantalon… Ses mains se concentrent un instant sur le cul de M, un doigt part en exploration, un avant-goût de sa queue lui dit il… M tressaille… Après l’avoir longuement pelotée, il lui demande de lui ôter ses vêtements. M déboutonne sa chemise et lui enlève. Mes soupçons étaient exacts. Cet homme est un animal, velu comme un ours ! M s’agenouille et lui ôte chaussures et chaussettes. Les choses sérieuses commencent pour elle. Elle se relève et déboutonne le pantalon de Monsieur qui lui tombe au bas des jambes. Il s’en débarrasse d’un revers du pied. Celui ci est en slip blanc devant ma femme. Le paquet entre ses cuisses est réellement imposant et une énorme tâche humide, preuve de son excitation, le souille déjà. M ne peut détacher les yeux de la bosse qui déforme le slip… On y devine la forme d’un gland ainsi que celle d’une grosse paire de couilles, mais les dimensions semblent exagérées, irréelles… Cela amuse Monsieur, il la relève et prend M dans ses bras. Ma belle M si menue se retrouve entre les pattes de ce monstre ! La proéminence de son ventre velu s’écrase sur le ventre de ma chérie. Il la saisit par la nuque et l’embrasse goulument tout en la pelotant de partout. M d’abord surprise, s’abandonne à la bouche de Monsieur. Je peux même voir leurs langues se mêler. Monsieur lui pelote les fesses, les malaxant et les écartant sans ménagement. M gémit. Son bas-ventre vient se frotter sur la bosse qui déforme le slip de notre maître, ses hanches commencent à onduler. La sentant prête, il lui ordonne de s’agenouiller à ses pieds et de venir lui lécher les couilles en bonne salope obéissante qu’elle est déjà… Ma belle obéis, je peut voir son excitation grandir. Elle pose ses mains sur les deux grosses cuisses velues et musclées, remonte lentement vers le slip puis glisse ses deux mains sous le tissu du sous vêtement déjà bien humide et le glisse vers le bas. La vision du visage de M à quelques centimètres de la queue de Monsieur restera à jamais marquée en moi. Lorsqu’il disait posséder un sexe hors norme, il ne mentait pas ! Une queue de belle dimension sauta au visage de M… Mais la dimension n’était qu’accessoire car je n’avais jamais vu une queue pourvue d’un gland si énorme ni d’une aussi grosse paire de couilles ! Ce gland pendait au bout de sa queue tel un casse-tête indigène. Sa collerette était proéminente et sa couleur d’un rouge foncé. Un long filet translucide pendouillait de son méat urinaire qui devait faire trois fois la taille du mien. Ce gars là, quand il pissait devait faire des dégâts ! Ses couilles velues pendaient mollement derrière ce braquemard de dingue. Leur volume impressionnant, de la taille d’un pamplemousse. Monsieur ne laissa pas à M le temps de réagir et appuya sur sa nuque pour lui signifier qu’il était temps pour elle de commencer… M s’appliqua de la langue à satisfaire notre maître, elle suça et lécha ses grosses couilles. A l’étage au dessus, la queue prenait son essor et atteignait des dimensions impressionnantes ! Ce gland ! Monsieur allait défoncer ma femme avec son pieu ! Celui ci ne s’arrêterait donc jamais de grossir ? Monsieur demanda à M de le branler en même temps qu’elle lui bouffait ses grosses couilles. La petite main de ma belle saisit la grosse bite pour la branler, son mouvement arrêté par la taille imposante du gland. De voir ma belle agenouillée, ainsi soumise aux désirs de ce mâle me mit dans tous mes états… Ma queue entièrement dressée était douloureuse et je n’étais pas autorisé à soulager cette douleur. Je coulais non stop, ma liqueur glissant le long de ma queue et sur mes couilles. J’adorais regarder M se régaler de mon liquide annonciateur de jouissance, aujourd’hui ce plaisir me serait interdit. « Suce moi » ! dit-il à M sur un ton qui n’autorisai aucune contestation. Ma belle prit d’abord la mesure du chibre des lèvres et de la langue, espérant échapper à la prise en bouche. Mais le rappel à l’ordre tombât et elle dût se plier aux ordres de Monsieur. Ses lèvres charnues s’écartèrent sur le gland énorme et dégoulinant qui coulissa lentement dans sa bouche. De la salive s’écoulait à la commissure de ses lèvres et venait tremper ses seins et son ventre. Le visage de M, sous l’effort, rosit. Le bruit de succion et de clapotis produit par les vas et vient de cette queue rendait cette scène des plus vulgaire. Monsieur accentuait même cette vulgarité en sortant précipitamment son gros gland de la bouche de M ce qui produisait un « pop » sonore qui semblait l’amuser ! Je n’en revenais pas de voir ma belle pouvoir avaler un si gros calibre ! Elle qui me disait être entièrement satisfaite de la taille dans les normes de ma queue.. J’en doutais dorénavant… Monsieur soufflait et encourageait M de ses mots salaces. « putain de pompeuse, bonne suceuse, avaleuse de bite », j’en passe et des meilleures… L’attention de Monsieur se porta sur moi. J’avais espéré qu’il m’ait oublié, mais c’était mal le connaître. Il m’ordonne de m’approcher et de venir embrasser M sur les joues uniquement. J’obéis.. C’est dingue. A quelques centimètres de mes yeux, je vois cette queue qui baise littéralement M en bouche. Je l’embrasse sur la joue et je peux sentir le mouvement de son gros gland sur mes lèvres à travers la joue de M. Le salaud pensait à tout ! M me jeta un regard, un de ceux qu’elle me lançait lorsqu’elle était très soumise… Elle adorait cela. Monsieur m’ordonna ensuite de lécher la salive qui débordait. Je commençais par les seins de ma belle, ce qui eut pour effet de la faire gémir. J’attaquais ensuite le menton et le pourtour de sa bouche. J’adore boire la salive de M et cet exercice ne me rebutait donc pas du tout. Les grosses couilles de Monsieur venait me frapper le visage et sa queue venait parfois frotter ma langue. J’enviais ma belle d’avoir le privilège de sucer cette queue exceptionnelle. Ce salaud semblât le deviner et sortit son chibre de la bouche de M. Il me demande maintenant si sa queue me plait et si j’avais envie de le sucer. M allait donc enfin réaliser son fantasme de me voir sucer un homme… Je répondis par l’affirmative, que se serait un grand bonheur pour moi de pouvoir lui sucer la bite. J’attrapais de la main cette queue hors norme. Je branlais la queue d’un autre homme, là, maintenant. Et devant ma femme en plus. Cette bite dure et douce à la fois, je ne pouvais en faire le tour de mes doigts. Je branlais un peu Monsieur tout en lui léchant ses grosses couilles. M me regardait faire, une lueur salace dans les yeux. « Regarde bien ton cocu ma jolie, je vais lui faire aimer la bite autant qu’à toi et vous serez mes deux esclaves bien soumis. Pompe moi maintenant » ! J’ouvris la bouche et avalais ce gland monstrueux qui m’emplit totalement. Je sentais son liquide visqueux et incolore couler abondamment. C’était légèrement salé, loin d’être désagréable. Je m’appliquais à lui en soutirer le plus possible, transformant ma bouche en trayeuse. En le pompant, des idées folles me venaient déjà à l’esprit… Je m’imaginais me faisant enculer par ce pieux énorme lors d’un 69 avec ma belle. Serais je capable de prendre un tel pieu dans le cul ?.. Monsieur était loin de mes considérations… Il ordonne à M de passer derrière lui et de s’occuper de son cul avec sa langue. Je n’y crois pas ! Cela ne vas pas passer et M va refuser … Mais docilement elle le contourne, lui écarte ses grosses fesses poilues et entame un anulingus à Monsieur ! Ce salaud est aux anges, il gémit de plus en plus fort. « Mes salopes, vous m’excitez bien, vous êtes de bonnes petites putes toutes les deux ». ça y est, je viens d’acquérir le statut de femelle en plus de celui de cocu. Cela m’excite encore plus et j’essaie de lui démontrer que je le mérite en essayant de lui avaler le chibre encore plus loin en gorge. Mais c’est peine perdue. Ce petit manège dure quelques minutes durant lesquelles M la langue sur le cul de Monsieur et moi sa bite en bouche fûment copieusement encouragés et traités de bien de noms orduriers ! Monsieur se lassât de cette situation et nous stoppa net. Il nous demanda de venir s’agenouiller tous les deux à ses pieds devant lui, sa grosse bite se balançant sous nos nez. « Maintenant, tu vas gagner ton statut de cocu soumis et tu vas m’y aider… Toujours d’accord avec ça » ? « Oui Monsieur, c’est ce que je veux et c’est ce que M veut aussi » lâchais-je. Puis à ma femme : « Toujours d’accord pour devenir ma pute soumise et satisfaire tous mes désirs » ? « Oui, Monsieur, c’est ce que mon compagnon et moi voulons plus que tout ». « Ton cocu » la corrigea-t-il. Elle valida par un « mon cocu »… Alors en position tous les deux ! Il me fit allonger dos sur le lit tout en m’interdisant toujours de me toucher. Je n’en pouvais plus ! Il demanda à M de venir se placer en position de 69 au dessus de moi, jambes bien écartées, le cul bien cambré et la tête posée entre mes cuisses. La vue que j’avais sur sa chatte était imprenable. Les grandes lèvres de son sexe gonflées, ses petites lèvres roses trempant dans sa cyprine. J’eus envie d’y plonger ma langue mais Monsieur nous interdit tout attouchements à tous les deux. J’imaginais l’état de ma belle avec ma queue gonflée à quelques centimètres de sa bouche… Monsieur se présenta derrière M, la queue dure et lourde… « Maintenant petit cocu, montre moi vraiment que tu mérites ton nom.. » J’avais compris ce qu’il voulait. Il désirait que j’adhère totalement à mon cocufiage et que je lui offre ma belle pour lui abandonner tous mes droits sur elle. Je saisis sa queue et la présenta à l’entrée trempée de la chatte de ma femme. Je frottais ce gros gland dans les replis de sa vulve, leurs jus se mêlèrent et il me vint une envie furieuse d’y goûter, mais cela aussi m’était interdit pour l’instant… M gémissait et commencer à pousser ses fesses vers le gland monstrueux, ses chairs s’écartant sous les assauts de la tête monstrueuse.. Cela n’allait jamais entrer !!! Et pourtant, lentement mais sûrement le gland fit son chemin, dilatant le vagin de mon aimée. Une autre petite poussée et la collerette du gland fut avalée et Monsieur commença à pousser. « Voilà tu es cocu maintenant et ta femme ne t’appartient plus, elle est mienne maintenant. Regardes bien ma queue, je vais aussi m’occuper de son cul plus tard, c’est une super baiseuse, elle y arrivera ». « Maintenant, tu ne me sers à rien, retire toi et passes derrière, tu es autorisé à mater ». Je dégageais de sous leurs corps et vint me placer à genoux derrière le lit d’ou je pouvais voir le gros chibre prendre possession de M. Il posa ses grosses mains sur ses fesses, les écartant, prenant un malin plaisir à voir sa grosse queue aller et venir dans la chatte de M. De temps à autre, il sortait d’elle et je pouvais constater que M était entièrement dilatée, la chatte béante de ma chérie s’était ornée d’une sorte de mousse blanche.. Monsieur revint à la charge et poussa à nouveau son gros gland dans le sexe béant. M cria de surprise mais aussi de douleur, ses mains agrippaient les draps, son corps perlait de transpiration. Monsieur la saisit par les hanches et poussa, investissant sa chatte jusqu’à ses grosses couilles. Puis il commença lentement ses vas et viens. M gémissait non stop sous les coups de boutoir de l’animal. La grosse queue ramonait sans pause cette chatte totalement soumise désormais. M tremblait, ses jambes ne semblaient plus pouvoir la porter. Monsieur décida de changer de position. Il se coucha sur le dos et ordonna à M de venir le chevaucher. M à califourchon sur Monsieur, je vis sa petite main saisir le gros chibre et le guider en elle. Voir ce gland écarter et pénétrer sa chatte était d’une obscénité totale. M s’empala totalement, jusqu’à la garde sur cette queue venue d’ailleurs. Elle fit une pause lorsqu’elle eut avalé entièrement se sexe puis elle commença à monter et descendre sur ce gros manche, s’arrachant des cris de douleur-plaisir. Monsieur lui avait saisi les fesses et l’accompagnait dans ses mouvements . Il grognait et lui disait qu’elle lui faisait monter le jus de ses grosses couilles dans sa queue, qu’il allait bientôt l’inonder. Bientôt mon cocufiage serait totalement consommé. Monsieur allait l’honorer de son sperme, il allait lui noyer la chatte de longues giclées crémeuses et abondantes vu la grosseur de ses couilles… Je ne comptais plus pour eux, ils faisaient abstraction de moi tant leurs plaisirs respectifs étaient grands et partagés. M choisit ce moment pour se lâcher. Elle l’embrassait à pleine bouche, lui suçait la langue, léchait Monsieur sur le torse, sur ses aisselles noyées dans les poils. « J’aime ta grosse queue, j’en ai jamais prise d’aussi grosse, continue à me baiser comme ta salope, je suis à toi, fait moi tout ce dont tu as envie, putain ton gros gland me défonce, ça me fait trop de bien ». Leurs corps s’affolèrent à l’unisson. Monsieur annonça qu’il allait décharger. Ce fut le signal qui déclencha la jouissance de M. Elle se planta définitivement et profondément sur l’énorme bite qui lui procurait tant de bonheur et hurla sa jouissance. C’est cet instant que choisis Monsieur pour se planter bien au fond de la chatte de M pour se vider les couilles dans mon aimée. Je vis ses grosses couilles remonter et les contractions ininterrompues de sa queue qui se vidait profondément dans la matrice conquise. Sa jouissance paraissait interminable… Elle dura une éternité. Les contractions de sa queue ne semblait jamais vouloir s’arrêter. Son sperme s’échappait tant bien que mal de la vulve de M. Lui coulant sur les couilles et dans la raie de son cul. Il continua à baratter la chatte de M encore quelques minutes produisant un bruit obscène, puis s’immobilisa enfin. Sa queue revint à une taille à peu près raisonnable et s’échappa de la chatte martyrisée dans un filet visqueux. M resta affalée sur Monsieur , reprenant difficilement son souffle. La tête posée sur le torse velu de M, les jambes écartées de chaque côté du corps de Monsieur. La vue m’électrisa. J’étais toujours immobile, ne pouvant quitter du regard la chatte béante et rougie de ma femme qui laissait lentement couler d’épais filets de sperme blanchâtre. « Cocu, nettoie moi la bite avec ta langue » ! Ordonna Monsieur. Tandis que ma femme embrassait Monsieur à pleine bouche, je m’approchai de l’énorme queue luisante de sperme et de ciprine mêlés, la souleva d’une main et pris bien soin de lécher toutes les sécrétions… Je m’attardais autour du gland, pressais sa queue de la base vers le sommet pour en tirer les dernières gouttes de liqueur que je tétais avidement, et m’appliquai à laisser une bite et des couilles impeccables, prêtes à resservir. Je n’aurais jamais osé l’avouer mais je me régalai et serais prêt à recommencer quand Monsieur le désirerais. Monsieur me regardais faire, et une fois fini me félicita pour le travail accompli.. Il me fit allonger sur le sol et ordonna à M de s’accroupir au dessus de mon visage. Je dus ouvrir la bouche et recueillir le flot ininterrompu de sperme qui s’écoulait de la chatte de M qui m’emplit la bouche. Après m’avoir fait déglutir, je dus accomplir la même tâche et nettoyer la chatte et le cul de M de ma langue ce qui eut pour effet de la faire gémir à nouveau. « Lèche, nettoie bien mon petit cocu. Régales toi… Tu ne pourras jamais en éjaculer autant que Monsieur » ! M’asséna t-elle Mon orgueil en prit un coup mais je m’appliquai encore plus tant l’envie de la satisfaire était forte. Monsieur nous observait et cela lui provoqua une nouvelle érection. Sa queue reprenait un volume inquiétant, se redressant doucement mais inexorablement. Nous regardant, il commença à branler son pieux, frottant son gland dans la paume de sa main, agitant ses grosses couilles velues. Il se branla même son cul poilu d’un doigt ferme ce qui eut pour effet de faire grossir son gland, ce dernier était rouge, lisse, luisant, semblant prêt à éclater… Que nous réservait-il maintenant ? Il vint s’asseoir sur le lit et nous fit agenouiller entre ses jambes. Il nous ordonnas de lui faire une pipe à deux bouches. M et moi posèrent nos bouches sur le chibre dressé et nous appliquâmes à faire coulisser nos lèvres sur toute sa longueur. « Vous me sucez bien mes petites salopes, vous êtes toutes les deux faites pour ça » … Surexcité, il m’ordonne de m’allonger sur le lit et vient placer ses fesses au dessus de mon visage. « Maintenant tu vas bien me bouffer le cul pendant que mon autre pute va me pomper le gland ». J’ai devant moi ses fesses musclées et poilues. Au centre, trône son anus, large anneau de chair rouge palpitante noyé dans les poils, le tout baignant dans la sueur et des restes de sperme que je n’ai pu nettoyer de ma langue quelques minutes auparavant. Tout est démesuré chez cet homme, pensais-je.. Il s’appliqua d’abord à frotter sa raie culière sur mon visage, du front au menton, puis vint coller le trou poilu de son cul sur ma bouche. J’embrassais et léchais son fondement, oubliant toute fierté masculine. J’y enfonçais même la langue, aussi loin que je pouvais, lui arrachant des grognements de plaisir. « Comme ça, enfonce bien ta langue dans le cul de ton maitre, bouffe moi bien le cul, vas plus profond ».. Je faisais de mon mieux pour le satisfaire. M de son côté, pompait l’énorme gland tout en lui massant les couilles d’une main habile. Cette garce savait y faire, car Monsieur nous signala qu’il n’allait pas tarder à juter. Il nous fit à nouveau changer de position. Nous plaça à genoux, joue contre joue, bouches jointes aux commissures des lèvres de manière à ne former qu’un orifice de nos deux bouches grandes ouvertes. Il se plaça devant nous et commença à se branler, dirigeant sa grosse queue vers nos bouches jointes. Après s’être amusé ainsi quelques minutes, plongeant son gland à tour de rôle dans nos bouches, il nous ordonna de ne plus bouger car il n’allait pas tarder à se vider les couilles dans nos bouches et sur nos gueules de putes soumises comme il disait. Sa branlette s’accéléra, son gland se tendit comme une énorme prune mûre. Puis il lâcha en criant de longues giclées de sperme crémeux et gluant dans nos deux bouches réunies et sur nos visages. Je n’avais jamais vu un homme éjaculer autant, ni avec une telle force. Il lâcha bien une quinzaine de giclées. Il nous demanda de déglutir, puis il me fit lécher le sperme sur le visage de M. Elle dut s’acquitter de la même tache sur mon visage. Son sperme avait aussi atteint nos cheveux et coulé sur nos ventres, mais nous ne fûmes pas autorisés à procéder au nettoyage… Semblant satisfait, il nous fit rhabiller, il ne nous congédia pas avant d’avoir pris M dans ses bras pour lui manger la bouche. Elle lui prit la nuque en approbation et lui flatta même sa grosse queue maintenant au repos. « Filez maintenant mes petites putes, je vous rappellerais bientôt quand j’en aurais envie. Le cocu, prends bien soin de ma femme, je te la confie pour quelques jours »… « Je vous le promet Monsieur ». La porte claqua, nous laissant abasourdis sur le palier. M me sauta dans les bras tout en me remerciant pour cet après-midi irréelle. Elle m’accorda un profond baiser au goût de sperme et me déclara « Je t’aime mon amour, mon petit cocu… Ce soir je m’occupe de toi ». Nous partîmes, totalement heureux, complices comme jamais ! Cela fut le premier épisode de notre rencontre avec Monsieur. Notre sexualité venait de changer à tout jamais….
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Par : le 27/12/20
Nous sommes un couple uni depuis plusieurs années, Laly est une belle femme de trente-six ans, avec une belle poitrine malgré sa silhouette menue. Moi, malgré un peu de ventre on me dit séduisant ; ma carrure me donne un aspect imposant. Nous avons décidé de réaliser un fantasme…. Entre nous, nous faisons des jeux de domination de temps en temps, mais là nous avons décidé d’être le temps que cela nous plaise, un couple soumis à une seule personne, de vrais esclaves sexuels offerts aux désirs et envies de cette personne. Nous sommes encore pudique et plutôt débutants, ce qui nous stresse encore plus. Après plusieurs semaines de recherche sur Internet, nous trouvons un maître charmant de par ses textes et ses idées. Pour ne pas gâcher la surprise il ne souhaite aucun échange photo, mais nous garantit un physique agréable, fin et sportif… De plus notre physique ne l’intéresse pas, nous lui avons quand même précisé que nous étions un charmant couple entretenus. Il nous fixe un mot de passe (« rouge ») qui arrêtera tout immédiatement s’il est prononcé. La première rencontre a lieu un après-midi. Nous aurions préféré en soirée mais jouons néanmoins notre rôle de soumis et ne discutons pas. Devant sa porte, habillé selon le dress-code imposé par le Maître (pour Laly une robe noire, des talons et des bas noir sans aucun sous-vêtements et pour moi une chemise sobre, un pantalon en lin et rien dessous). Je demande une dernière fois à mon épouse si elle est sûre, elle me dit oui. Lors de cette première rencontre nous devons l’appeler Monsieur et le vouvoyer. Si on souhaite continuer à lui appartenir nous l’appellerons Maître. On sonne. L’attente semble interminable… Au bout de trois très longues minutes, la porte s’ouvre. Et là, surprise ! Le Maître qui nous accueilles n’est pas un inconnu mais Xavier, que nous connaissons sans pour autant que nous soyons amis. Nos cœurs s’emballent, nos visages palissent, une gêne atroce nous traverse. Xavier affiche un léger sourire. — Quelle surprise, dit-il serein. Deux solutions : soit vous partez et nous en restons là, soit vous franchissez le pas et vivez des moments inoubliables. Je regarde Laly stressée d’être là, nue sous sa robe devant une personne qu’elle connaît bien. Après un silence de plusieurs secondes elle se met à genoux et dit « bonjour Monsieur » en lui baisant les pieds. Je fais de même. — J’admire votre courage, dit- il. Suivez moi ! On rentre dans son grand salon bien éclairé, c’est classe, propre. D’un ton plus autoritaire et presque hautain, il ordonne : — J’ ai envie de vous voir nu, à poil esclaves ! Je vois la tête de Laly se décomposer. Je suis surpris qu’ elle ait accepté de se soumettre, car Xavier lui fait des avances depuis des années et elle l’a toujours repoussé. Mais elle est décidée, comme moi, à vivre une expérience troublante et unique. Elle se déshabille. En glissant au sol sa robe dévoile son jolie corps nu. Je me déshabille également, sentant le regard de Xavier fixé sur Laly. Il s’ approche et dit : — Première position, position d’attente, debout jambes écartées, ceci afin d’avoir accès plus facilement à vos orifices. La tête haute, fier d’être soumis, regard baissé et mains dans le dos au-dessus des fesses car elles doivent être accessibles aussi. Il conclue d’un ton sec : — En position d’attente ! Et voilà, nous ne cachons plus rien. Il nous observe, détaille les moindres parties de nos corps nus et sans défense. Cela semble durer temps interminable. Il touche les seins de Laly et descend doucement vers son sexe. Elle se recule légèrement Comme pour esquiver. Il dit d’un ton doux : — J’ai une cravache aussi, ne bouge pas. Cela stoppe net Laly. Il continue et prend son temps pour fouiller son sexe. Elle frissonne. Il passe derrière elle, lui écarte les fesses tandis qu’elle rougit, et la contourne à nouveau pour se tenir avec autorité devant elle. — Ton ticket de métro c’est joli, mais La prochain fois tu sera intégralement épilée. — Oui, Monsieur. — C’est bien. Tu vas devenir une bonne soumise obéissante. Puis à ma grande surprise il saisit mon sexe et le pétrit, ce qui me fait me dandiner de semi douleur et de gêne. Il passe derrière moi et écarte mes fesses. Je suis aussi que Laly. Je l’entends dans mon dos : — Toi aussi, épilation intégrale. Pour devenir une bonne salope tu ne dois pas avoir de poil . Un mélange de honte et de gêne me submerge. Timidement, je réponds : — Oui, Monsieur. — Deuxième position : soumis offert. Il saisit sa cravache. — À quatre patte. On s’exécute. — Cambré. Cette nouvelle position dégage nos trous et nous gêne à nous faire frissonner. Et là un claquement, une brûlure sur ma fesse. — Plus que ça, esclave ! Jambes écartées, tête au sol. La honte totale, être ainsi devant une connaissance… Avec sa cravache il guide Laly pour que sa position soit parfaite et s’adresse à nouveau à moi : — On va l’agrandir ton petit trou de salope, Alex, tu vas devenir une vraie petite chienne. Je suis tellement gêné que je reste muet. Une autre brûlure sur les fesse qui me rappelle à l’ordre. — Oui, Monsieur. Nous restons longtemps dans cette position ultra gênante. Il va même jusqu’à téléphoner à un copain pour prendre des nouvelles ce qui a pour effet de relancer nos battements de cœur : pourvu qu’ il ne parle pas de nous ! Nous ne bougons d’un centimètre, le temps s’étire jusqu’à la douleur. Il se ré intéresse à nous au bout de cinq minutes qui ont paru une éternité. — Laly, lève-toi, pose tes mains sur la table et cambre les fesses. Elle obéit sans rien dire. — Alex, à genoux devant elle. Puis il s approche et me dit : — Ouvre la bouche, salope, tu vas me mettre en condition pour que je puisse baiser ta femme. Un mélange de honte, d’énervement et d’ excitation troublante me traverse à l’écoute de ces mots. J’ouvre la bouche et avale sa queue, c’est la première fois que j’ai un sexe d’homme entre les lèvres et toutes sortes d’émotions me traversent. Je me sens bander. Un coup de cravache me sort de mon trouble. — Mieux que ça ! Applique-toi. Dès qu’il est bien dur il me donne un nouvel ordre : — Lèche Laly pendant que je me soulage. Elle est crispée mais déjà bien humide. Je la lèche tandis que Xavier se place dans son dos pour la baiser. — Depuis le temps que j attends ça, ajoute-t-il. Laly baisser la tête et je n’arrive pas à savoir ce qu’elle pense. Elle ne tarde pas à jouir. Est-ce ma langue, la bite du Maître ou la scène elle-même qui l’excite à ce point ? Dès que Xavier a joui il me tend son préservatif pour que j’aille le jeter. — Si vous souhaitez poursuivre je vous baiserai sans capote, mais avant on fera un test. — Oui, Monsieur. À mon retour je vois Laly en position de soumise et le Maître prendre des photos en disant : — C’est pour mes amis. Je ne les leur montrerai que si je deviens votre Maître. Puis il se tourne vers moi. — Esclave, à toi, en position ! J’ai évidemment des questions plein la tête. Nous avons sûrement des connaissances communes. Si je deviens soumis, vais-je l’assumer ? Est ce que Laly pense la même chose ? Après la séance photo, Xavier repasse derrière moi et je sens qu’il m’introduit quelque chose dans l’anus. Je ne bouge pas. — Tu porteras ce rosebud souvent pour devenir une bonne chienne. Une étrange sensation de douleur et d’excitation m’envahit. — Levez-vous et rhabillez vous. Ce n’est qu’un avant-goût de ce qui vous attend. J’enverrai un texto demain. Si vous répondez « oui, Maître », alors nous pourrons passer aux choses sérieuses. Durant tout le chemin du retour, nous nous sommes posés des dizaines de questions, incapables de nous arrêter de discuter de cette expérience des plus troublantes. À peine arrivés à la maison, nous avons fait l’amour trois fois, en repensant à cette aventure et en jouissant très fort. Le lendemain, pas de texto. Nous attendions, sans savoir quoi répondre, mais rien. Cette attente était comme si nous étions des enfants qui espèrent une surprise. Le texto ne venait pas et il nous tardait de le recevoir, même si nous n’étions pas du tout certain de ce que nous allions répondre. Il arrive enfin deux jours plus tard : « Ce soir 19 h chez moi en tenue sexy. » Je regarde Laly : — Que fait on ?
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Par : le 21/12/20
Sauf  vacances et événements, le lundi c'est le jour  de mon soumis P---y. Le lundi je me réjouis  de sa venue. Dans  un weekend  d'été, il me prévient que dans la semaine il va aller à la plage avec des amis. Ce qui veut dire: attention à bien veiller qu'il n'y ai pas de marques de tous les côtés . Hors les marques, on aime ça... J'ai eu le weekend pour m'y  préparer psychologiquement  mais comme à chaque fois, je brûle d'impatience  bien avant l' heure fixée et mes doigts s'imaginent  déjà sillonner son dos de long en large.  NON!  Il ne faut pas !  Ça laisse des marques, surtout si je m' emballe.  OK donc ne pas s'emballer... Pas s'emballer... Je sais faire, oui, si, si,  je sais faire... Mais c'est P---y! C'est MON soumis et il l' est justement parce que je peux planter mes ongles sur lui.   Dès notre premier rendez-vous c'est ainsi. J'aime aller droit au but. Pas de chichi, de protocole à n'en plus finir. On sait pourquoi on est là, on sait ce que l' on veut tout les deux: Mon Plaisir. Je le trouve à travers ses maux et c'est à travers lui qu'il trouve le sien.  Ce depuis la première fois, Il se dépasse, se surpasse pour que prime mon plaisir... Marquer son corps de mon passage ... Je pourrais prévoir d'autres pratiques adaptées à cette petite contrainte, mais la simple idée de ne pouvoir le faire rend cette envie obsédante. Je ne pense plus qu'à ça.... Je n' ai plus qu'envie de ça... Je sais!  Je vais préparer une paire de gants en satin. Ainsi je pourrais contrer la tentation trop prononcée de le griffer. Et c'est effectivement  ce que j' ai fait....  Menotté aux barreaux de ma descente d'escalier, son dos sublimement offert à mes volontés, j'use  de ma sensualité pour le faire bander. Sa verge ainsi érigée, le dos soigneusement cambré, j'alterne mes caresses gantées et mes fessées  satinées... Je découvre un nouveau son. Un claquement plus étouffé mais pas moins envoûtant...  Sa peau se teinte différemment. Un ton rosé, discret, frustrant...  Oui! C'est ça que je ressens ! Le goût enivrant de la frustration. Privée du sens du toucher tel que je le connais. Luttant pour ne pas virer ces gants qui empêchent mes ongles de dessiner sur sa peau et me privent du claquement pimpant de mes mains sur ses fesses...  Mon soumis  le sens, je vois bien qu'il s'offre à moi avec plus de volupté. Il alimente mon plaisir en m' encourageant à claquer plus fort...  Lui aussi ressent ma frustration et s' excuse encore,  il s’adonne à mes pulsions avec une  authenticité  aussi rare que délicieuse et ça, vraiment, gant ou pas gant, c'est trippant... Non!  Faut pas faire de marque aujourd'hui. Pas s'emballer ou du moins pas trop... Je laisse cette frustration envahir mes sens et me conduire vers des sentiers nouveaux...   Il bande tellement... Je suis tellement frustrée... Je masturbe sa queue, prenant plaisir à lui souffler à l' oreille qu'à mon tour je vais le frustrer... Interdit d'éjaculer...  Le branler... Le serrer... Le serrer trop fort... Relâcher... Son gland est humide...Je retire un gant...  Sa queue , à même ma peau,  dans ma main dénudée, humm! je me sens respirée...Serrer encore plus fort... Desserrer, masturber... Amener au bord de la jouissance... J'ote le second  gant et frôle la douce chaleur de ses fesses...  Je plaque son cul contre moi d'une main ferme, branle de l' autre plus fermement et  pose sur son dos un baiser...  Respire profondément... Tellement envie de lui faire mal...    Je le lâche... Oui! Je le laisse ...   Tous deux délicieusement suspendus entre plaisir et frustration... ... Silence ...  Je le détache et le mets à genoux à mes pieds...  Il me faut maîtriser mes envies, contrôler mes pulsions...  C'est mon rôle, mon souhait. Je respecte les limites fixées de mes soumis... Pas de marques visibles aujourd'hui... "Maîtresse! _ Oui P---y? _ Je vous offrirais mon dos autant qu'il vous plaira la prochaine fois. _ Je sais oui. _ Faites vous plaisir sur mes fesses Maîtresse. Le maillot cachera tout. _Oh! Tu tentes le diable P---y! _ Oui Maîtresse. C'est pas grave si ça dépasse un peu. Hummm! Cette petite chose à mes pieds que je m' efforce de ménager depuis une heure, s'offre à ma perversité frustrée...  De, à genoux,  il se retrouve à 4 pattes...  De,  debout,  je me retrouve un genou à terre . Les deux mains bien placées au-dessus de  son si joli petit cul, j'entame la délivrance  de mes sens...  Enfin le doux bruit puissant de mes dix phalanges qui s'impriment sur sa peau...Enfin la chaleur cuisante de mes mains sur ses fesses réveille ma perversité... Brimée depuis la veille, l'envie de faire mal  sort de sa  cachette du fin fond de mes entrailles et s'empare de mon valeureux soumis .  Son corps tremble sous mes supplices. Non pas de  douleur, bien qu'elle soit   présente, mais des vibrations de mon corps qu'il ressent ...  De l' accélération de mon souffle... De l' intensité de mon émoi ...  Il tremble et fléchit... Je frappe et caresse...  Caresse et frappe... Il gémit, je mouille,mes mains le caressent  autant qu'elles le fessent et ma bouche salive se son petit cul tout rouge qui faut absolument que je m' applique à viser.  PAS GRIFFER! Non! Pas griffer... Hummm!  Ça me démange... Je louche sur son dos. Non! Ne le  regarde  pas... Son cul ... Rester concentrée sur son cul... Pas de marques au-dessus de la ceinture. Pas griffures . Pas griffer.. Ces mots tournent en boucle dans ma tête. Ils  dansent avec ma frustration au nez de ma perversité,  ce  qui fait naître en moi une pulsion sauvage... Telle une lionne saisissant enfin sa proie après une course folle, je mord dans la fesse de ma convoitise.  Sa cambrure est telle celle de la gazelle avant de s’abattre sur le sol... Son cri me transperce d'un intense frisson...  Ma mâchoire fermement   refermée sur son fessier, nos  corps s' écrasent  au sol...  Je savoure et  desserre  lentement les dents... Je passe ma main sur la trace ronde  de mon empreinte dentaire. Un sourire radieux illumine mon visage.... Je mouille tellement que mon bassin entame de langoureux balancements.  Mon jeune soumis gémit les yeux clos , son corps abandonné à mes pulsions....  Je regarde son dos sans plus  en être frustrée. Il n' est pas marqué. Il n' est pas griffer. A peine deux rougeurs sur un côté.  Hummm!  ENCORE!  J'approche ma bouche près de son cul, l' embrasse  et lui administre une seconde vive morsure...  J' entre alors dans un espace temps où mon plaisir est Maître des lieux. Mon sexe se gorge de foutre et vient se branler au plus prés des traces profondes de dents... Je savoure le lâcher-prise  de son corps...    Ma jouissance  monte en moi...  Mes hanches se déchaînent. Mes mains s’agrippent à je ne sais quoi.  MERDE!  NON!  Pas le dos.  Dans un ultime effort je rentre mes griffes, passe mes mains sous les bras de  ma petite chose  ainsi à l'abri de toutes griffures. Je  le plaque, le bloque, le  love de tout mon long contre lui... et laisse ma jouissance  s'exprimer sans retenue... Il me  faudra plus longtemps que d'habitude pour reprendre pleinement possession de mes esprits ... Finalement, la frustration ça a du bon.  ( Quand ce n'est pas souvent...) 
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Par : le 21/12/20
La soirée était bien avancée mais Maîtresse Adèle ne semblait pas vouloir s’arrêter à ces préliminaires. Profitant que ses amies étaient bien occupées avec mes collègues soumis, elle nous entraîna à l’étage. C’est Maîtresse Adeline qui tenait la laisse et me tirait sans ménagement tandis que Maîtresse Adèle lui caressait délicatement les fesses. J’étais un peu jaloux de temps de délicatesse mais je me tut pour ne pas risquer les foudres de ma Maîtresse. Je fut jeté sur le lit, sur le dos, et pendant que Maîtresse Adèle m’attachait les poignets à la tête de lit, Son élève Adeline me noua les chevilles aux pieds. J’étais à leur merci bandeau et bâillon vinrent compléter la contrainte. A ma grande surprise, je n’avais pas peur et j’étais très excité d’être à leur merci ainsi. Les tortures arrivaient toute en surprise et ceci me fit bien bander. Je devinais que mes Maîtresses se délectaient de cette érection car je recevait des coups de badines sur ce sexe tendu. Des pinces ne tardèrent pas à garnir mes tétons. Je senti la douleur quand elles tirèrent dessus. Une chaîne devait les relier ensemble car la tension semblait égale. Elle relâchaient la tension puis reprenait un peu plus fort. Cela dura, mais je ne sentais presque plus la douleur jusqu’au moment où mes Maîtresses libérèrent les tétons. C’était un éclair de douleur mais je ne pouvais même pas crier ce qui rendit le supplice des plus jouissif. La badine continuait à torturer ma bite et mes couilles maintenant toujours cette érection un peu contre nature. Rapidement, je senti Maîtresse Adeline s’empaler dessus et faire les va-et-vient qui firent monter mon désir et surtout mon envie de jouir. Maîtresse Adèle ne perdait pas son temps et était venu se placer à califourchon sur mon visage. En glissant d’avant en arrière, la boule de mon bâillon devait bien l’exciter car je sentais son liquide royale me couler sur la bouche. J’essayais désespérément d’en capter la moindre goutte. Maîtresse Adeline finit par me faire jouir et j’éprouvais une grande fierté à avoir éjaculer en elle. Presque au même instant, je sentis l’orgasme de Maîtresse Adèle déjà par un soupir de satisfaction et par une éjaculation abondante. Moi qui avait toujours rêvé de faire l’amour à une femme fontaine, j’étais servi. Mes Maîtresses se détournèrent de moi, me détachèrent et m’entraînèrent dans un sorte de panier, probablement plus destiné à un chien qu’à un humain. Abandonner dans ce panier sans avoir pu me débarbouiller et sans qu’elles m’aient libéré de mes baillons, je me recroquevillais pour trouver un peu de sommeil. Malgré la fatigue, je devinais bien que Maîtresse Adèle continuait l’éducation de Maîtresse Adeline en la soumettant à ces caprices. Finalement la fatigue fut plus forte et je m’endormis comme le chien que j’étais devenu. Mes rêves m’avaient abandonnés et je devais encore dormir profondément quand je sentis le jet chaud d’un liquide que je ne mis pas longtemps à identifier comme l’urine de ma Maîtresse. Lestement, elle avait retiré mes baillons et m’intima l’ordre de tout avaler. Un fois soulagé, c’est maîtresse Adeline qui est venu se soulager dans ma gorge. Pas de doute, j’avais eu droit à mon petit déjeuner ; Champagne royal. Mes Maîtresses étaient ravies. Elles me traînèrent dans la douche, toujours avec ma laisse attachée où vous savez et je déchantais vite en comprenant qu’elle n’avait aucune intention de me laver à l’eau chaude. Je grelottais mais j’avais quand même la satisfaction de ne pas sentir trop mauvais. Le chien que j’étais devenu ne bénéficia pas de la serviette et bien entendu il m’était interdit de m’ébrouer. Je fus emmené sur une petite terrasse et ce sont les premiers rayons de soleil de la journée qui me séchèrent. J’avais froid mais j’avais une telle fierté d’avoir découvert ce monde sans aucune concession que mon cœur réchauffait mon corps. Depuis notre arrivée Maîtresse Adèle ne m’avais que peu parlé et je ne savais pas trop si j’avais été à la hauteur. Alors quelle surprise quand je la vis venir me chercher sur la terrasse et me féliciter pour ma prestation d’ensemble. « Je suis fière de toi me dit-elle, tu as été digne de ta Maîtresse » Vous n’avez jamais été envahi par un sentiment d’importance ? Et bien j’étais subjugué. Mais je retombais vite sur terre, à ma condition d’esclave. « Aujourd’hui, nous allons organiser un jeu de cache-cache dans le parc alors tu reste comme cela, tout nu comme Adam et Eve » me lança Maîtresse Adèle. A suivre
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Par : le 20/12/20
Pour ceux à qui la lecture ne fait pas peur, un maître en la matière d'histoire de chatouille :) Première d'une histoire nommé "la chapelle". Menu à bord : bondage, chatouille, fétichisme des pieds, orgasme, etc... Petite mise en garde : l'histoires présentent des aspects sexuels suscpetibles de heurter la sensibilité d'un public non averti même si nous sommes tous sensé être majeur :) Ne pas oublier également qu'il s'agit d'une fiction ! Il doit bien être deux heures du matin, se dit Virginie en jetant un regard sur sa montre. Celle-ci avouait largement deux heures et demie. La nuit sans lune conférait au campus endormi des allures inquiétantes. En bas sur le parking, deux phares s'allumèrent, immédiatement accompagnés du toussotement d'un moteur fatigué : Virginie reconnut aussitôt la 2CV de Vincent. Ce dernier lui avait proposé de l'emmener chez lui mais elle avait décliné son offre, prétextant qu'elle préférait prendre l'air avant d'aller se coucher. Ce soir, elle n'éprouvait aucune envie de relation sexuelle. Et puis elle devait se lever tôt car son premier cours avait été exceptionnellement avancé à huit heures. Heureusement, demain soir commençaient les vacances de Pâques. Virginie comptait en profiter pour se reposer tranquillement, n’ayant prévu aucune autre activité que de se la couler douce pendant deux semaines. Dans un vacarme effrayant, la 2CV s'éloigna vers la grand route, s'évanouissant bientôt dans la nuit. Virginie enfouit ses mains au fond de ses poches et s'éloigna dans l'allée sombre et silencieuse. Elle marchait d'un pas léger, laissant son allure se rythmer de l'alternance des zones d'ombre et de lumière laiteuse de l'éclairage public. Sa mémoire la ramena aux principaux événements de la soirée, surtout à ce gage que lui avait fait subir cette vipère de Sabine : - Et si nous lui chatouillions les plantes de pieds ? avait-elle proposé non sans malice. Malgré ses protestations, Virginie avait été forcée de se coucher sur le dos, à même le sol du salon. Quatre volontaires, dont elle ne se rappelait même plus les noms, lui avaient immobilisé les poignets et les chevilles. En revanche, elle se souvenait parfaitement de Sabine et Catherine qui s’étaient agenouillées chacune devant un de ses pieds immobilisés. Puis, avec des mouvements parfaitement synchronisés, elles lui avaient soigneusement dénoué les lacets de ses tennis avant de les lui retirer. Virginie se souvenait de ce regard complice qu’elles avaient alors échangé, tandis que d’un geste brusque elles arrachaient les chaussettes de leur prisonnière, découvrant ses deux pieds nus superbes aux formes parfaites. - Très mignons ! avait lancé Sabine. Voyons à présent s’ils sont aussi également très chatouilleux. Et tandis qu’elle prononçait ses derniers mots, ses doigts s’étaient mis à effleurer délicatement la peau nue et vulnérable qui s’offrait à eux, aussitôt imités par ceux de sa complice. Catherine s’était occupée de son pied gauche, assez maladroitement d’ailleurs, et lui avait chatouillé surtout la base des orteils. Virginie n’avait éprouvé aucune difficulté à soustraire par de petits mouvements vifs son pied nu des attouchements les plus réussis de son bourreau, apparemment néophyte en la matière. Sabine, en revanche, avait fait montre d’une adresse peu commune. Elle avait commencé par immobiliser d’une main ferme les orteils de son pied droit, avant de se mettre à lui chatouiller du bout des ongles le creux de sa plante de pied. Immédiatement, la sensation avait été quasi insoutenable et Virginie s’était abandonnée à des rires nerveux mêlés à quelques hurlements lorsque Sabine touchait un point particulièrement sensible. En se remémorant ces événements, Virginie ne pouvait empêcher une irrésistible excitation de monter en elle à nouveau. Car elle cultivait depuis de longues années et dans le secret le plus absolu des fantasmes de chatouilles où elle jouait invariablement le rôle de la victime de supplices les plus étonnants. De toutes les parties de son anatomie, ses pieds étaient sans conteste ce qu’elle possédait de plus parfait. Elle leur consacrait chaque jour plus de temps que nécessaire à leur prodiguer les soins qu’ils méritaient à ses yeux. Elle ne marchait presque jamais pieds nus et portait toujours des chaussettes afin de ne laisser aucune chance aux callosités qu’elle considérait comme le pire de ses ennemis. Le résultat était à la mesure de toutes ses attentions : à vingt et un ans, ses pieds étaient restés ceux d’une adolescente et le soir, en regardant négligemment la télévision, elle se plaisait à caresser parfois pendant des heures leur peau douce et satinée en nourrissant un étrange sentiment de fierté et de satisfaction. Le fantasme des chatouilles représentait déjà pour Virginie un vieux compagnon. Il lui était venu vers l’âge de douze ans. Sa tante possédait une résidence secondaire en province où sa famille se réunissait une dizaine de fois par an. C’est là, dans la chambre mansardée de ses deux cousines, Stéphanie et Gaëlle, qu’elle découvrit sa surprenante fascination pour les chatouilles et les pieds nus. Elle découvrit également assez rapidement qu’elle se montrait de très loin la plus vulnérable des trois à ce supplice. Ses cousines décidèrent alors qu’elle serait désormais la victime toute désignée de leurs petits jeux innocents. Vers quatorze ou quinze ans, Stéphanie proposa un jour de pimenter les supplices en attachant leur prisonnière avec des cordes et en la bâillonnant. Gaëlle et sa complice devinrent rapidement des expertes dans cet art dont Virginie apprit plus tard qu’il s’appelait bondage. Il est vrai que les lits à barreaux de cuivre qui ornaient la chambre se prêtaient tout particulièrement à ces pratiques. Ligotée et bâillonnée, Virginie vit alors ses séances de chatouilles à la fois s’intensifier et se prolonger. Durant ces quelques années, Gaëlle et Stéphanie explorèrent avec méthode tous les raffinements possibles des supplices des plantes de pieds. Elles appréciaient avec une délectation sadique découvrir progressivement les pieds nus de leur infortunée victime : Virginie était ainsi presque toujours attachée en tennis et en chaussettes blanches (un rituel presque imposé, auquel tout manquement était sévèrement puni), que ses deux bourreaux lui retiraient ensuite avec une délicate lenteur directement proportionnelle à leur excitation. Stéphanie avait depuis longtemps jeté son dévolu sur les creux des plantes des pieds de Virginie, où la peau plus blanche trahissait chez elle une sensibilité ahurissante. Elle en connaissait chaque millimètre carré et toutes les façons de les effleurer pour arracher à Virginie les hurlements étouffés les plus aboutis. Gaëlle n’était pas en reste et était devenue l’experte de la base des orteils où les chatouilles plongeaient Virginie dans un état quasi second. Puis, vers l’âge de dix-sept ans, les réunions familiales se firent moins nombreuses et les jeunes filles abandonnèrent leurs jeux érotiques. Virginie ne s’en plaignit pas car elle commençait à redouter le moment inévitable où leurs ébats prendraient un tour moins anodin. En fait, ce fut elle qui arrêta, ou du moins fit tout pour cela, à partir du jour où Stéphanie parla de faire intervenir un garçon dans un prochain supplice. C’était l’époque des découvertes amoureuses et ses cousines lui avaient confessé récemment leur première expérience sexuelle. Virginie, moins pressée, ne voulut prendre aucun risque car elle ne connaissait que trop bien la perversité de Gaëlle et surtout de Stéphanie. D’ailleurs, ce fut à cette époque que Virginie déménagea. Elle perdit de vue ses cousines et le souvenir des séances de chatouilles endiablées s’estompa peu à peu. Certes, elle continua de cultiver ses fantasmes avec une obstination que les années n’atténuaient pas, mais le rêve avait désormais tout entier prit la place de la réalité. Sur ces considérations, le temps avait passé sans que Virginie s’en aperçoive et elle approchait à présent de chez elle. Elle s'engouffra dans la ruelle voûtée qui donnait accès à son immeuble. Pressant le pas, elle gravit rapidement les quelques marches de l’entrée avant de sursauter brusquement : derrière elle, surgissant de nulle part, une silhouette venait de se précipiter à son tour dans l'allée. Elle s'en voulut aussitôt de se montrer aussi craintive. Elle pénétra résolument dans le hall étroit et ralentit par habitude en passant devant sa boîte aux lettres. - Mademoiselle ! S’il vous plaît… Virginie se retourna d'un seul geste : la silhouette mystérieuse accourait droit vers elle. C’était une femme. L'inconnue s'immobilisa à deux pas : - Excusez-moi, je cherche la rue Montfort, mais je pense m'être égarée. Pouvez-vous m'aider ? - Bien sûr, répondit Virginie. Mais c'est à l'autre bout du campus, près de la Faculté des Lettres. Il y en a pour au moins trente minutes à pied. - J'ai un plan dans ma voiture, garée au bout de l'allée. Pourriez-vous m’y indiquer le chemin à suivre pour m'y rendre. Il fait nuit et c’est la première fois que je viens par ici... - D'accord, fit Virginie. Allons-y ! - Merci beaucoup. Il y en a juste pour une minute. Virginie n’avait pas pour habitude de prendre le risque d’accompagner ainsi une inconnue à une heure aussi tardive, mais elle était encore plongée dans les souvenirs de ses fantasmes d’adolescente et elle avait répondu machinalement sans réfléchir. A présent, il était trop tard pour faire demi-tour et elle emboîta le pas de l’inconnue. Arrivée au bout de l'allée, la jeune femme indiqua l’extrémité du parking : - Venez, ma voiture est juste là. Elle entraîna Virginie avec elle, longeant la file des voitures immobiles. Au moment où Virginie arrivait à la hauteur d'une fourgonnette de couleur sombre aux vitres opaques, les portes arrières du véhicule s'ouvrirent brutalement. Quatre silhouettes surgirent de la camionnette et se précipitèrent sur Virginie. Celle-ci n'eut même pas le temps de pousser un cri, et encore moins d'esquisser un geste de défense, qu'elle se retrouva ceinturée par ses agresseurs déterminés auxquels l’inconnue avait prêté immédiatement main forte, une main plaquée sur la bouche et entraînée sans ménagement à l'arrière du véhicule dont les portes se refermèrent aussitôt. Dans le feu de l’action, elle sentit à peine la fourgonnette démarrer dans un hurlement rageur du moteur. L’affaire avait été soigneusement préparée et rondement menée, car malgré l'instabilité de la fourgonnette et ses tentatives désespérées pour se libérer, en quelques secondes, Virginie se retrouva les poignets menottés aux ridelles du plafond . On la bâillonna soigneusement et un bandeau noir fut posé sur les yeux. Malgré le vacarme du moteur lancé à plein régime, une voix féminine se fit entendre distinctement : - Et bien, qu’est-ce que vous attendez ? Déshabillez-la ! Virginie sursauta lorsqu’une autre voix, toujours féminine, lui murmura presque dans l’oreille : - J’ai parié avec elle que tu avais de petits mamelons bruns. Elle préfère les roses. Mais elle ignore que je suis une tricheuse et que je t’ai déjà vue nue sous la douche. Virginie connaissait cette voix, mais son esprit chahuté ne réussissait pas à se concentrer suffisamment pour mettre un nom sur le timbre familier. Elle n’eut d’ailleurs guère le loisir de poursuivre ses réflexions car les événements se précipitaient tout autour d’elle. Malgré ses protestations, étouffées par son bâillon, ses agresseurs commencèrent à lui retirer ses vêtements. Ses poignets étant attachés au plafond, sa blouse et son soutien-gorge lui furent déboutonnés puis découpés au ciseau. Deux petits seins ronds et fermes pointèrent fièrement deux mamelons bruns aux proportions quasi parfaites. - Tu as perdu, lança la voix familière à sa complice. - Je le vois, répondit la première voix. De toutes façon, elle aurait été à toi pour la première épreuve. Virginie n’osait en croire ses oreilles tant ces propos paraissaient irréels. La seule chose dont elle était persuadée à ce stade, était que le hasard n’était pour rien dans ces événements : tout avait été soigneusement préparé et cette voix familière sur laquelle son esprit ne parvenait pas encore à mettre un visage devait certainement être au centre des explications. Virginie cherchait désespérément dans ses souvenirs récents un indice, mais ses agresseurs ne lui laissaient guère le temps de se penser. - Allez, reprit la voix familière. Voyons si ce que tu nous caches encore est à la hauteur de ce que tu nous offres déjà ! Et pour la seconde fois de la soirée, mais à présent dans des conditions nettement plus inquiétantes, on retira à Virginie ses tennis et ses chaussettes. Son jean puis son slip glissèrent le long de ses jambes, et elle se retrouva complètement nue. Sa nudité soudaine la figea dans une immobilité quasi parfaite, tandis qu’elle poussait de petits gémissements nerveux à travers son bâillon. Après avoir négocié de nombreux virages, la fourgonnette semblait s'être à présent engagée sur une autoroute, ou une route nationale. Profitant de la stabilité relative et nouvelle du véhicule, les agresseurs poursuivirent leur entreprise. Virginie étouffa un cri de réprobation : deux mains venaient de se poser sur ses seins et s’étaient mises aussitôt à rouler entre leurs doigts le bout de ses mamelons. Malgré la peur panique qui lui enserrait le ventre dans un étau, elle ne resta pas longtemps insensible à l’adresse redoutable des doigts inconnus. Ses bouts de seins réagirent naturellement dans un réflexe irrépressible, pointant fièrement d'excitation une rigidité manifeste. Virginie sentit alors un corps se coller juste derrière elle. Deux bras enlacèrent ses hanches et deux mains froides vinrent se poser sur son ventre, juste à hauteur de son nombril. Sa peur monta encore d’un cran dans un tourbillon d'images terrifiantes, et en même temps, elle ne pouvait empêcher l’excitation de la submerger peu à peu. Elle serra les poings et tira sur ses menottes dont les chaînes se tendirent dans un cliquetis métallique. Les mains qui lui caressaient le ventre descendirent lentement et inexorablement vers son pubis. Virginie haletait de désir et d'effroi. Les mains glissèrent doucement sur les bords de son pubis, et vinrent s’arrêter sur l'intérieur de ses cuisses, les extrémités des doigts effleurant ce qu’elle avait de plus intime. L’humidité apparente de son sexe ne laissait aucune place au doute quant au résultat des caresses érotiques dont elle était l’objet. - On dirait qu’elle est déjà toute excitée, fit la voix derrière elle. Sa ravisseuse entreprenante s’adressa ensuite directement à elle avec une révélation étonnante qui atteignit Virginie plus violemment encore qu’un direct à l’estomac : " Alors, petite fille, on dirait que tes fantasmes se réalisent. Mais nous n’en sommes qu’aux préliminaires, et tu seras sans doute surprise de découvrir tout à l’heure ce que nous sommes capables de faire à tes mignons petits pieds nus qu’on dit si chatouilleux. " Virginie n’osait y croire. Mais comment avaient-elles pu savoir ? Soudain, la vérité lui apparut si simple et évidente, et un visage vint en même temps se poser sur la voix familière : Stéphanie, la cousine des jeux interdits. Stéphanie qui en savait assez sur son compte pour expliquer en partie tout au moins sa situation actuelle. Virginie ne pouvait en revanche pour l’instant dévoiler à ses agresseurs qu’elle avait reconnu l’une d’entre elles, son bâillon la forçant à un silence d’esclave soumise aux outrages les plus pervers. La voix derrière elle reprit à l’attention de ses complices : - Je vais y aller. Attrapez-lui les chevilles ! Plusieurs mains empoignèrent fermement les chevilles de la prisonnière pour lui immobiliser les jambes. Virginie tenta un instant de se débattre mais devant l'inutilité de ses efforts, elle abandonna presque aussitôt toute résistance. Comme elle s’y attendait, les doigts habiles de Stéphanie, pour la première fois, lui touchèrent directement le sexe. Ils lui écartèrent d’abord les lèvres avant de la pénétrer tout simplement. Virginie crut s'évanouir tant l'excitation était forte. Tandis que les doigts impudiques et audacieux avaient commencé un va-et-vient somme toute assez banal, Virginie sentit le pouce de Stéphanie s’approcher presque imperceptiblement de son clitoris. Lorsqu’il le toucha enfin, Virginie poussa un long gémissement, tandis que ses reins se cambraient irrésistiblement. Ses bourreaux éprouvaient à présent les plus grandes difficultés pour continuer à l’immobiliser. - Mes amies, exulta Stéphanie, voici la perle rare que je vous avais promise ! Mais je crois qu’elle est en train de surpasser nos espoirs les plus délirants… - Tu crois pouvoir la faire jouir ? interrogea la voix du devant qui semblait commander à tout le groupe. - Si je n’y arrive pas dans les minutes qui suivent, je veux bien prendre sa place, ironisa Stéphanie qui intensifia au même moment soudain ses caresses. Virginie haletait, alternant râles de plaisir et hurlements de dépit étouffés les uns comme les autres. Elle était tout à la fois emportée par l'excitation violente et révoltée par sa nudité violée sans restriction. Les pensées les plus folles se bousculaient dans sa tête, cherchant à comprendre, à expliquer le pourquoi de cette situation absurde qui la voyait attachée, nue dans un fourgon qui filait dans la nuit vers une destination mystérieuse et menaçante... Soudain, sans qu'elle l'eut pressentit, l'orgasme vint la frapper de plein fouet, lui arrachant un cri d'abandon que son bâillon étouffa à peine et qui provoqua chez ses bourreaux d'autres cris, de satisfaction, qui vinrent lui faire un étrange écho. Virginie jouit ainsi durant de longues secondes, interminables, rythmées par les vagues de plaisir qui déferlaient en elle et l'emportaient en un tourbillon insensé de chaleur et de violence. Enfin, les derniers spasmes lui arrachèrent un ultime gémissement, tandis que les doigts coupables se retiraient de son orifice le plus intime et qu’on lui relâchait les chevilles. Elle resta un instant pendue, inerte, comblée, imaginant sans peine les regards avides pour lesquels les moindres détails de son anatomie ne recelaient désormais plus guère de secrets. Près de l’oreille de Virginie, la voix de Stéphanie rompit le relatif silence qui avait suivi son orgasme : - J’espère pour toi que tu es toujours aussi chatouilleuse des pieds. Sinon, avec un sexe aussi sensible, tu ne résisteras pas longtemps à nos traitements. Mais à ce qu’on m’a dit, il paraîtrait que les années, loin d’émousser ta sensibilité, l’ont plutôt exacerbée. https://www.bdsm.fr/blog/4931/La-bo%C3%AEte-infernale---Petite-histoire-%C3%A0-ma-soumise-(6)/
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Par : le 14/12/20
Il y aurait beaucoup de choses à lui dire, mais d'abord, celle-ci, que je crains de deviner en elle, de la légèreté. Elle aimait la légèreté des choses, des actes, de la vie. Elle n'aimait pas la légèreté des êtres, tout ce qui était un peu au-dessus du niveau semblait heurter Charlotte. Elle ne recherchait pas à s'attribuer beaucoup de mérites en ce monde ni dans l'autre, celui de l'abandon. Un sentiment d'insécurité pour son corps sans cesse meurtri. Elle était bien jeune et ne savait même pas si elle possédait un peu de lumière. Juliette était arrivée quand elle était dans l'ombre, et maintenant, il fallait arranger les choses. Tant pis pour elle. Les souvenirs qui ont su être poètes de sa vie, c'est à dire dans le désordre, plaisir et enivrement de l'imagination. Mais dans la moindre de ses paroles, raisonnable douce-amère, ce cadeau impérieux du ciel, le lot avait oublié sa jeunesse, l'allégresse avec laquelle elle devait accepter l'insistance, la mauvaise grâce, et la maladresse. Comme le fouet et les doubles fenêtres pour que l'on ne l'entende pas hurler. Ses mains s'agrippaient aux colonnes du lit, où Juliette les immobilisait à l'aide de fines cordelettes qui lui sciaient les poignets. Des sangles passaient dans les bracelets de ses chevilles. Elle était allongée sur le dos, de telle façon que ses jambes surélevées et écartelées laisse à Juliette toute la fantaisie de la fouetter. Elle était debout à coté d'elle, un martinet à la main. Aux premières cinglades qui la brûlèrent aux cuisses, Charlotte gémit. Mais elle ne voulait pas demander grâce, même quand sa Maîtresse passa de la droite à la gauche. Elle crut seulement que les cordelettes déchireraient sa chair, tant elle se débattait. Mais Juliette entendait marquer sa peau de traces nobles et régulières et surtout qu'elles fussent nettes. Il fallut subir sans souffle, sans troubler l'attention de Juliette qui se porta bientôt sur ses seins. Elle allait retrouver sa considération en s'accommodant de son statut d'esclave et non pas de soumise. Et il n'était pour elle de plus grand bonheur que de se savoir appréciée. L'amour mais avec un arc-en-ciel d'émotions vertigineuses en plus rayonnait toujours chaque parcelle de son corps. Charlotte n'avait pas très mal. Chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Juliette, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Charlotte crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Juliette s'accroupit près des épaules de Charlotte et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée. Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins. Charlotte laissa couler quelques larmes. Alors Juliette arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Juliette posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Juliette dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma. Sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. Penchée au-dessus d'elle, Juliette tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Juliette pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Charlotte ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 14/12/20
Je n’avais plus tellement la notion du temps mais nous étions sans doute arrivé en milieu d’après-midi. Je ne distinguais pas toute la pièce depuis ma cage mais j’ai vite deviné qu’une des maîtresses était là pour apprendre. Elle avait 3 belles et grandes maîtresses expérimentées dont Maîtresse Adèle pour la conseiller et je devinais que nous serions la matière première de cette instruction. Nous approchions du repas et nos Maîtresses vinrent nous chercher. Chacun de nous fut habillé selon la tâche qui lui était assignée. Maîtresse Adèle me passa un string minimaliste constitué de 2 cordelettes. Je le sentais bien dans ma raie mais vous pensez bien qu’il ne me cachait pas vraiment mes outils. Elle me tendit également une jupette de soubrette noir avec un petit tablier blanc. Après l’avoir enfilé, je constatais que mes fesses restaient bien à l’air. Je fus désigné pour mettre la table et faire le service. Mes collègues soumis furent affublés d’un tablier qui ne les couvrait pas plus que moi. Ils devaient préparer le repas. Pendant qu’ils s’affairaient en cuisine, je m’affairais à mettre la table. Maîtresse Adèle n’était pas loin, un beau fouet dans les mains. Je compris vite, déjà pourquoi mes fesses restaient à l’air et aussi pourquoi Maîtresse Adèle restait à portée de main, ou plutôt à portée de fouet ! Maîtresse Adèle : «  les couverts ne sont pas droit, met les correctement » Le fouet déchirait l’air et aussi la partie charnue de mon individu. Pas facile de mettre des couverts parfaitement droit quand la lanière s’abat sur vous. Les 2 autres maîtresses dirigeaient mes collègues soumis et j’entendais que leur corps ne restait pas vierge de coups. Maîtresse Adeline, qui était la novice, vint près de nous. Maîtresse Adèle lui tendit le fouet et la dirigea prestement… sur mes fesses bien entendu. Je compris alors la différence entre une maîtresse expérimentée et une novice ; Les coups étaient nettement moins précis et la force pas vraiment maîtrisée. Mon bas du dos en souffrit un peu mais je serrais les dents afin qu’elle ne s’aperçoivent pas de sa relative maladresse. Malgré ou à cause du fouet, tout fut prêt assez rapidement. Un des soumis fut bientôt affublé comme moi. Il devait servir l’autre côté de la table mais c’est moi qui en était responsable et je payais pour ces maladresses. Le 3ème soumis s’affairait pour nous passer les plats et nettoyer la cuisine Le repas fut animé car nos Maîtresses semblaient d’humeur guillerette. Leur conversation du dessert les avaient sensiblement excité. Nous fumes dirigé sous la table. Je devais embrasser Maîtresse Adèle depuis la pointe des orteils en remontant ces longues jambes. C’était un plaisir immense ; tant de douceur et de chaleur après ces froides journées me faisait tourner la tête. Elle avait pris Maîtresse Adeline à ces côtés et, d’un geste ferme me pris par les cheveux et m’appuya sur son entre-jambes. Ces mouvements langoureux ne laissaient pas de doute sur ces désir et je m’attachais à lui donner du plaisir avec ma langue sur son sexe humide. Je sentis son clitoris gonflé et sa respiration s’accélérer au rythme de mes caresses. Maîtresse Adeline s’est retournée et nous dévoilait son beau petit cul. Maîtresse Adèle lui avait enfilé un joli gode vibrant violet et elle se délectait également de la dominer comme cela. Je sentis son orgasme monter et je dégustais son nectar royal. Nous avons fait office de café gourmand mais je du rapidement quitter cette position envieuse pour me retrouver attaché sur la croix. J’étais face à elles. Maîtresse Adèle intima à sa novice de lester mes tétons de pinces à poids. La douleur était forte mais pas un son ne sorti de ma gorge. J’étais venu là pour subir et je n’avais que ce que j’avais désiré. Bien fixé à ma croix, Maîtresse Adeline pris le chemin de mon sexe (pas mal le jeu de mot chemin croix !). Ces caresses me firent bander comme jamais, je sentais l’orgasme venir quand ma Maîtresse stoppa sa novice. La frustration fut terrible. Maîtresse Adeline s’éloigna pendant que Maîtresse Adèle faisait souffler sur moi le chaud et le froid soit en caressant mon corps avec sa badine, soit en frappant sèchement mon sexe encore gonflé. Je reçu quelques coups d’escarpins bien placé qui me firent vaciller et je pendais lamentablement au bout de mes liens. Maîtresse Adèle me ligatura la bite et les couilles avec une cordelette pendant que notre novice détachait mes liens. Je fut alors violemment tiré en avant par les couilles avec cette laisse improvisée. Maîtresse Adèle se régalait de me voir ramper à quatre pattes autour de la pièce. Enfin elle me dirigea devant un billot et m’intima l’ordre de m’étendre mettant bien en évidence mon cul. Maîtresse Adeline avait enfilé un superbe gode ceinture et je sentis rapidement à qui il était destiné. Je sentis couler le gel entre mes fesses et mon anus préparer par les doigts experts de Maîtresse Adèle. Sa novice approcha son gode de mon orifice et l’appuya fortement. Le gode força le passage. Je me retenais pour ne pas crier car la douleur était intense. Ces va-et-vient étaient encore timides mais me déchirait néanmoins l’anus. Je la ressentais bien au fond de moi. Jugeant sans doute que l’orifice était bien préparé, Maîtresse Adèle pris vite la place de sa novice avec un gode largement plus gros. Je sentis bien sa pénétration mais contrairement à ce que je pouvais craindre, j’oscillais entre douleur et jouissance. Maîtresse Adèle le poussa jusqu’à la garde et je sentais ces cuisse contre mes fesses. La sensation était intense et j’étais fier de donner du plaisir à ma Maîtresse. A suivre
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Par : le 12/12/20
Médiévale… Le fantasme d’une époque. Bien qu’il ne reflète qu’une partie de ma « personnalité » de soumise, ce fantasme de la période moyenâgeuse a le mérite d’avoir été le premier à révéler mes attirances. Il est comme un premier amour… Il ne s’oublie jamais… Il y a dans les temps passés une espèce d’aura qui m’attire irrésistiblement. Peut-être est-ce son aspect qui me semble rugueux, peut-être est-ce l’instrument de torture, peut-être est-ce cette extrême pudibonderie côtoyant la pire des barbaries ? Je me souviens d’un film, des années 80, « La Chair et le Sang » se déroulant au XVIème siècle, qui m’avait alors fortement marquée et terriblement excitée sans que je n’ose une seconde en parler à qui que ce soit… Ma honte de dévoiler mon envie et mon trouble lors de l’enlèvement du personnage de la jeune fille puis son viol furent si forts que je tairais et refoulerais bien consciencieusement en moi, pendant plus de 30 ans ce fantasme que j’ai longtemps jugé de honteux… M’apprêter ainsi réveille mes pulsions premières et me rappelle que mes désirs de soumissions étaient profondément ancrés depuis si longtemps, attendant bien sagement que la bienséance ne soit reléguée au second plan, attendant bien sagement qu’ils s’épanouissent… J’aime tant ce moment lorsque mon Maître me surnomme Ma Dame et que par ailleurs, il abat son fouet avec toute la conviction d’un Seigneur châtiant sa pêcheresse… C’est exactement ce paradoxe de ces temps passés qui me bouleversent, m’excitent… Je ne sais pas comment Il a fait, comment Il a su, comment Il a trouvé l’attitude et les mots, pour réussir à raviver et à combler mes premières amours… Je suis Sa Dame qu’Il a capturée, enchaînée, marquée… Pendant un instant, des instants, je me plonge enfin dans ce pourquoi je suis faite, dans ce qu’Il me permet d’être. Tant de désuétudes dans ce fantasme… Et pourtant… Je m’y sens si bien, si à ma place… J’assume… enfin. Merci… Virjiny de AàZ « Baise m’encor, rebaise-moi et baise. Donne m’en un de tes plus savoureux. Donne m’en un de tes plus amoureux. Je t’en rendrai quatre plus chauds que braise » Louise Labé, « Baise m’encor », Sonnets, vers 1524-1566
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Par : le 10/12/20
1.La rencontre d’un Maitre Nous sommes un couple uni depuis plusieurs années, Laly est une belle femme de 36 ans , au corps fin elle mesure 1m60 pour à peine 43 kg et affiche une belle poitrine( 90c) et moi malgré un peu de ventre on me dit séduisant mes 1 m80 pour 87 kg me donne un aspect imposant , nous avons décidé de réaliser un fantasme…. Entre nous , nous faisons des jeux de domination de temps en temps, mais là nous avons décidé d’être le temps que cela nous plaise, un couple soumis à une seule personne, de vrais esclaves sexuels offerts aux désirs et envies de cette personne. Nous sommes encore pudique et plutôt débutant ce qui nous stresse encore plus . Après plusieurs semaines de recherche sur Internet, nous trouvons un maitre charmant de par ses textes et ses idées. Pour ne pas gâcher la surprise il souhaite aucun échange photo, mais nous garantit un physique agréable fin et sportif…de plus notre physique ne l’intéresse pas, nous lui avons qu’en même précisé que nous étions un charmant couple entretenus. Il nous fixe un mot de passe » rouge » qui arrêtera tout immédiatement s’il est prononcé. Ce qui nous rassure, et nous conforte dans notre idée, il paraît être un homme posé et sérieux . Nous établissons nos tabous , je suis hétéro mais j’ aime l idée d être contraint et je n’ est pas de tabous particuliers à part le SM hard et les choses crades, en ce qui concerne Laly elle ne veut pas de sodomie , pas de SM hard, ni relation bi, choses crades (comme avaler son sperme par exemple). La 1er. rencontre est un après-midi à 16h, cela nous stresse nous aurions préféré en soirée….(La nuit tous les chats sont gris, et on se laisse aller plus facilement) nous jouons néanmoins notre rôle de soumis et nous obéissons. Nous sommes là garés devant sa porte, la rencontre ce fait chez lui. Nous sommes stressés et excités, nous avons suivi les instructions du Maitre ainsi que son « dress code » , (pour Laly une robe noire, des talons et des bas noir sans aucun sous-vêtements et un pantalon en lin et rien dessous pour moi avec une chemise sobre). Je demande à nouveau à Laly si elle est sûre, elle me dit oui, je lui répond, on fait comme on a dit on joue le jeu et après on verra si cela nous a plu. Il a été clair pour la première rencontre nous devons l ´appeler Monsieur et nous devons le vouvoyer , si l’ on souhaite continuer à lui appartenir nous l’appèlerons « Maître » On approche de la porte nos cœurs se serrent , nous sommes envahis de frissons …. on sonne l attente semble interminable au bout de trois très longues minutes , la porte s’ouvre…. Et là, coup de massue….. Derrière cette porte Xavier, une connaissance , nos cœurs s’ emballent , nos visages palissent, une gêne atroce nous traverse.. Lui , une personne que l’ on rencontre souvent , affiche un léger sourire.« Quelle surprise » dit-il serein : – deux solutions : soit vous partez et nous en restons là, soit vous franchissez le pas et vivez des moments inoubliables ? Je regarde Laly stressée d’être là nue sous sa robe devant une personne qu’elle connaît bien, après un silence de plusieurs secondes elle se met à genoux et dit « bonjour Monsieur » en lui baisant les pieds , je fais de même . – J’admire votre courage dit- il , suivez moi ! On rentre dans son grand salon bien éclairé , c’est classe , propre… D’un ton plus autoritaire et limite hautain , il dit : – J’ ai envie de vous voir nu, à poil esclaves ! Je vis la tête de Laly se décomposer, il faut dire que je suis surpris qu’ elle ait accepté de se soumettre, car Xavier lui fait des avances depuis des années, elle l’ a toujours repoussé mais là il va obtenir ce qu’il souhaite depuis toutes ces années, et connaissant Laly, ça l’énerve et doit bien la frustrer. Mais elle est décidée , comme moi, à vivre une expérience troublante et unique , elle commence à se déshabiller et laisse tomber sa robe dévoilant son jolie corps nue, je me déshabille également sentant le regard de Xavier fixé sur Laly. Nous sommes nus devant lui , nos mains essayant de cacher nos sexes maladroitement, une question me vient à l’esprit « est-il bi ? » Je peux alors lire sur le visage fermé de Laly » il a enfin obtenu ce qu’ il voulait, grrrrr. » Il s’ approche et dit : – première position, position d attente, debout jambes écartés, ceci afin d’avoir accès plus facilement à vos orifices. La tête haute fiers d’être soumis , regard baissé et mains dans le dos au-dessus des fesses car elles doivent être accessibles aussi. D un ton sec : – en position d’attente ! Et voilà, nous ne cachons plus rien , il nous observe, détaille les moindres parties de nos corps nus sans plus aucunes défenses, durant un temps interminable, ce qui a pour effet de nous rendant de plus en plus pudique. Il commence à toucher les seins de Laly puis descend doucement vers son sexe, elle se recule légèrement Comme pour esquiver , il dit d’un ton doux : – j’ ai une cravache aussi, ne bouge pas. Cela stoppe net Laly , il continu prend son temps pour « fouiller son sexe . » je la sens frissonner. Il passe derrière elle, il écarte ses fesses , elle devient rouge… Il la voie nue au-delà de son intimité. Il passe devant elle et dit : – ton ticket de métro c’est jolie mais La prochain fois tu sera intégralement épilée. Laly répond : – oui monsieur , un oui gêné car il choisit déjà son épilation une chose très intime . Il rajoute : – C’est bien tu vas devenir une bonne soumise obéissante . Puis à ma grande surprise il saisit mon sexe et le pétrit ce qui me fait me dandiner de semi douleur et de gêne. Il passe derrière moi et écarte mes fesses , j étais autant gêné que Laly , il dit : – toi aussi épilation intégrale pour devenir une bonne salope tu ne dois pas avoir de poil . Un mélange de honte et de gêne me submerge . Timidement et honteux je répond » oui monsieur ». – Deuxième position soumis offert, ( il saisit sa cravache en même temps), a quatre patte ordonne t-il, (on s’exécute) il dis : – Cambré ( ce qui dégage nos trous et nous gêneà nous faire frissonner) Et là un claquement, une brûlure sur ma fesse, j entends « Plus que ça esclave « , je me cambre plus et Laly qui n’a rien reçu fait de même. – Jambes écartées, tête au sol …(la honte totale, être ainsi devant une connaissance) puis avec sa cravache il se dirige vers Laly pour que sa position soit parfaite . Et me dit : – on va l’agrandir ton petit trou de salope , Alex, tu vas devenir une vraie petite salope. Je suis tellement gêné que je ne répond pas , et une autre brûlure sur les fesse qui me rappelle de répondre « oui monsieur ». On reste dans cette position ultra gênante , il va même jusqu’à téléphoner à un copain pour prendre des nouvelles ce qui a pour effet de relancer nos battements de cœur , pourvu qu’ il ne parle pas de nous . Nous ne bougons d’un centimètre, le temps devient interminable , 5 minutes qui ont paru durer une éternité et nous laisse de plus en plus honteux . Il reviens dit : – Laly lève toi , poses tes mains sur la table cambres les fesses. Pendant qu’elle obéit, – Alex à genoux devant elle ! puis il s approche et me dit : – ouvre la bouche salope , tu vas me mettre en condition pour que je puisse baiser ta femme ! Un mélange de honte , d’énervement et d’ excitation troublante me traverse àl’ écoute de ses mots, machinalement j’ouvre la bouche et suce , un coup de cravache et ses paroles » mieux que ça » me font m’appliquer et accélérer . Dès qu’il est bien dur il me dit : – lèche Laly pendant que je me soulage Je la lèche, elle est crispée mais déjà bien humide , et je l’imagine ce dire énervée « il obtient ce qu’il veut !!! » Et pour couronner le tout , il rajoute : – depuis le temps que j attends ça! Sur ces mots je vois la tête de Laly se baisser et j ‘arrive à ressentir ce qu’elle pense , elle vient de passer de la femme inaccessible à la femme esclave sexuel de Xavier, cet homme qu’elle a toujours repoussé ! Elle ne met pas longtemps à jouir, est-ce mes coups de langue , les coups de reins ou l’excitation de la scène ? Dès qu’il a jouit il me tend son préservatif pour que j’aille le jeter . Il rajoute si vous souhaitez poursuivre je vous baisserai sans capote, mais avant on fera un test . « Oui monsieur ! » À mon retour, je vois Laly en position de soumise et le Maitre prendre des photos en disant : – c’ est pour mes copains je les montrerai que si je deviens votre Maitre Et en me regardant : – Esclave, à toi en position ! En me mettant en position ultra gêné, des questions fusent, nous devons avoir des connaissances communes, si je deviens soumis vais- je assume cela ? Est ce que Laly pense la même chose ? Après ses photos je sens un « truc » forcer mon anus et sans avoir le temps de bouger , il dit : – Tu porteras ce rosebud souvent pour devenir une bonne chienne. Une étrange sensation de douleur et d’excitation m’envahit. Il nous dit : – rhabillez vous ce n’est qu’un début de ce qui vous attends … j’envoie un texto demain si vous répondez « oui maitre » , on pourra commencer ! En sortant pas un mot mais dès qu’on a atteint la voiture , nous n’avons pas arrêté des pluies de questions: Ça t’as plu? t’as pas joui? T’en penses quoi? ça t’ as troublé? Excité et toi ? Et toi? Et toi …. Qu’est-ce qu’on fait ? À peine arrivés à la maison nous avons fait l’amour trois fois et des jouissances de plus en plus intenses en repensant à cette aventure . Le lendemain pas de texto , nous attendions sans savoir quoi répondre , mais rien … Cette attente était comme si nous étions des enfants qui attendent une surprise, ce texto ne venait pas et il nous tardait de le recevoir même si nous n ´avions pas encore la réponse. Ce n’est que deux jours après , que nous recevons ce fameux texto « Ce soir 19 h chez moi en tenu sexy !!! » Je regarde Laly » Que fait on!?! »
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Par : le 09/12/20
L'ensemble de ce récit est réel. Tous les évènements décrits se sont passés comme tels. J'ai certainement romancé certaines parties, selon le fruit de mes souvenirs. Je pars aussi dans beaucoup de détails et de digressions, car ces éléments me paraissaient importants. Mais je n'ai rien ajouté, ni retiré. Il y a certaines parties que j'ai peut-être moins bien décrites ou retranscrites, car j'étais à certains moments dans mon monde, sans plus voir, ni entendre ce qu'il se passait autour de moi, tellement les émotions ont été fortes ce soir là. C'est mon premier récit. J'espère sincèrement qu'il vous plaira. Bonne lecture Un café interrompu Samedi 12 novembre 2011 ; un après-midi pluvieux. Je suis assis sur le canapé chez un ami, bavardant avec lui de choses et d'autres, quand un message arrive : « Va à la station chercher une petite bouteille de vin et quelque chose à grignoter, et viens tout de suite. » Ma Maîtresse. Je n'étais censé La retrouver que deux heures plus tard. J'avale mon café encore tiède en quelques secondes, et prend congé de mon ami, prétextant un imprévu. Plein de questions se posent alors dans ma tête : que me réserve t'Elle ? Est-ce que je me suis trompé d'heure ? Ou est-ce que j'ai oublié un ordre qu'Elle m'aurait donné ? Je suis entre impatience et questionnement, quand j'arrive devant la station. Je vais faire les emplettes demandées, passe à la caisse, et regagne ma voiture pour faire les deux minutes de route qui me séparent de chez ma Maîtresse. Je parque la voiture sur la place « visiteurs », et monte le demi-étage pour arriver devant Sa porte. Comme à mon habitude, je frappe trois coups, et j'attend. Départ surprise « Entre ! » Je m'exécute, et me dirige vers le salon. Maîtresse est assise sur le canapé, télécommande à la main, à passer de chaines en chaines. Sur le canapé trônent Sa cravache, et la laisse. Je dépose le sac de commissions sur la table basse, puis commence le processus exigé à chacune de mes arrivées chez Elle : je me met nu, j'enfile mon collier de cuir à pics duquel pend un gros anneau, ainsi que mes bracelets aux poignets et aux chevilles. Je me dirige alors vers Elle, me met à quatre pattes, et dépose un baiser sur chacun de ses pieds : « Bonjour Maîtresse ». Je reste front au sol, jusqu'à ce que j'ai l'ordre de me relever. « Bonjour chien. Va chercher deux verres à la cuisine, et sers nous. ». « Bien, Maîtresse. » Je me lève, me dirige à la cuisine, m'empare de deux verres à pieds, et reviens me mettre à genoux à côté d'Elle. J'ouvre la bouteille, et sers les verres. Maîtresse prend Son verre en main, et me dis « santé », tout en tapant Son verre contre le mien. Elle avale une gorgée, et pose son verre sur la table. Puis, Elle prend la laisse, et l'accroche à l'anneau de mon collier. Maîtresse sait que j'aime être au bout de Sa laisse, bien tendu, prêt à être tiré en sa direction à chaque instant, et je crois qu'Elle aime ça aussi. De sa main, Elle vient inspecter ma cage de chasteté - une CB 6000, le long modèle, car la « small » n'était pas disponible au magasin quand Elle a été l'acheter, et Elle voulait à tout prix que je l'ai pour le jour de mon anniversaire. Elle est certes plus contraignante que la « small », mais la « surprise » fut réussie, entre la cage, et le martinet qu'Elle a acquis en même temps-. Elle inspecte donc ma cage, et effleure mes testicules du bout de Ses doigts : « C'est dur ? Tu n'a pas encore été libéré ce week-end. » Habituellement, j'étais enfermé en cage du dimanche soir au samedi matin. Maîtresse avait la bonté de me laisser libre ces deux journées. On ne se quittait pas, donc aucune chance que je puisse me toucher sans qu'Elle ne s'en aperçoive. Et j'avais bien trop peur de Ses punitions pour tenter quoi que ce soit. « Je ne te libérerai pas ce week-end. Tu te souviens de la soirée SM que tu as vu sur internet vers Montélimar ? Nous y allons. » J'explose de joie intérieurement. Quel bonheur, quel plaisir. Je me jette à Ses pieds, et les embrasse en La remerciant, et en Lui disant à quel point je suis heureux d'avoir de nouveau la chance d'être en public à Ses divins pieds. Le Mas Virginie, à Bouchet. En navigant sur le net, j'avais trouvé au détour d'un site ce club libertin, qui organise deux soirées SM par an. J'avais évoqué l'idée à ma Maîtresse, mais Elle ne m'en avais jamais reparlé jusqu'alors. Il se trouvait que je ne travaillais pas ce soir là. Mais Elle a attendu le samedi, au cas où un mandat de dernière minute arrive, et que je doive travailler. Maîtresse pensait à moi, et ne m'aurais pas privé d'une soirée de travail. Nous finissons nos verres, avalons un repas sur le pouce, moi toujours assis par terre, au bout de Sa laisse. Il est déjà 18h30, nous irons donc directement à la soirée, sans passer par l'hôtel. Elle file à la salle de bain se préparer. Quand Elle revient au salon, je suis en extase : Elle a enfilé une jupe noire, Son top noir marqué « Misstress », et chaussé Ses bottes Dr Martens noires vernies, qui montent jusqu'au genoux, dont je suis littéralement fou. Je ne me suis jamais considéré comme fétichiste. Mais j'en ai tout de même pour les chaussures de skate (inhabituel, j'en conviens), et les bottes et bottines Dr Martens. Quand je vois une femme chaussée de ces deux types de chaussures, j'ai les yeux rivé sur Ses pieds, sans pouvoir m'en détacher. Nous quittons son appartement. Vingt minutes de route, passage éclair chez moi pour me préparer à mon tour. Maîtresse me demande de me vêtir d'un string, de mon t-shirt en vinyle marqué « Slave », un jean noir, et mes Dr Martens noires mat. Trajet riche en émotions Nous voila partis pour 4h30 de route. En voiture, Maîtresse m'ordonne de garder mon collier et mes bracelets au poignets et aux chevilles. A ce moment là, je prie de toutes mes forces pour ne pas croiser de contrôle de police ; nous sommes samedi soir, c'est donc monnaie courante, autant de ce côté de la frontière, qu'en France. Et il y a le passage à la douane : pourvu qu'ils soient occupés ailleurs... Ils ont certainement dû en voir d'autres, des hommes soumis. Mais à cet instant là, je ne suis pas prêt à expliquer ça au forces de l'ordre. Je n'aime être fouillé et menotté que par ma Maîtresse. Trois heures de route passent. La voiture commence à avoir soif, et Maîtresse aussi. Nous nous arrêtons à une aire d'autoroute dans les environs de Lyon. En descendant de voiture, je m'aperçois de suite qu'il ne fait pas vraiment chaud, en cette soirée de novembre. J'ouvre la portière arrière afin d'enfiler ma veste, le temps de faire le plein. Puis, ça me permettra de cacher les divers accessoires en cuir qui entourent mon cou et mes poignets. « Tu laisse ça ici ! » L'ordre est tombé. Je regarde Maîtresse avec mes yeux surpris et implorants de ne pas me rendre à la caisse avec collier, bracelets et t-shirt visibles. « J'ai dis non ! » Je referme la portière, et vais faire le plein. Je rentre dans la station, plein d'appréhension. Dès la porte franchie, je sens les premiers regards sur moi. Je regarde droit devant moi, en tentant d'oublier tout ce qu'il y a autour. Je vais chercher une bouteille d'eau, et me dirige vers la caisse. Il faut bien sûr que le caissier soit absent, et qu'il y ai trois personnes qui attendent, histoire de rendre l'humiliation un peu plus grande. Ca serait trop facile, sinon. J'ai envie de me faire tout petit, de m'enfoncer dans le sol, de disparaitre. Je n'ose pas même me retourner quand j'entend deux femmes juste derrière moi, dans la queue, parler à voix basse, tout en riant doucement. Ont-elles vu l'inscription sur mon t-shirt ? Connaissent-elles le milieu ? Je ne le saurais finalement jamais. Après le passage en caisse, et avant de quitter la station, je vais à la machine pour prendre le thé demandé par Maîtresse. Je retourne à la voiture : « Ca a été ? Pas trop de remarques sur ta tenue ? », dit elle en esquissant un large sourire. « Non Maîtresse, ça a été ». Je veux faire bonne figure. Je tend Son thé à Maîtresse, et démarre la voiture. Pas un mot de sa part, juste son large sourire qui se poursuit longuement. A t'Elle joué un rôle dans les messes basses des deux clientes derrière moi ? Je ne le saurais jamais non plus. Encore 1h30 de route environ, ou l'épisode de la station service me tourne en tête, entre humiliation, et fierté de l'avoir fait pour Maîtresse. Le Mas Virginie 23h, nous voilà arrivés. C'est la première fois que je me rend dans un club libertin. Je m'attendais à un endroit plutôt intimiste, mais c'est devant une demeure autant énorme que somptueuse que nous nous garons, au milieu de 200 autres voitures. Nous rentrons dans la bâtisse, accueilli par un agent de sécurité, et par celui que je suppose être le Maître des lieux. Nous laissons nos vestes au vestiaire, nous acquittons du droit d'entrée, et arrivons dans la première salle, le club. Un vrai club, avec une centaine de personnes en train de danser sur les sons électro du DJ. Je suis moi-même DJ, et je dois avouer qu'a cet instant, mon côté professionnel a refait surface l'espace d'une seconde, et l'envie de mixer dans cette soirée SM m'a envahi. Ce doit être un tel plaisir d'exercer son métier dans un lieu et une soirée remplie de personnes qui aiment les mêmes choses. Mais je digresse. Maîtresse attend cet instant, ce moment ou quelques personnes se tournent, voyant de nouveaux arrivants dans la salle, attendant peut-être des amis ou autres compagnons de soirée, pour accrocher la laisse au large anneau de mon collier, et tirer dessus fièrement. Je la suis, non-moins fier, alors qu'elle se dirige vers le bar. C'est la première fois que nous venons en ces lieux, et seulement la troisième soirée publique que nous faisons. Maîtresse à donc besoin de se mettre dans le bain, surtout après les presque de 5h de route. Elle s'assoit sur un tabouret libre, qui donne une vue directe sur la piste. Le barman s'approche, demande ce que nous désirons boire : « Bonsoir Monsieur, une vodka red-bull, et un Havana brun-coca pour mon chien, s'il vous plaît. » Le ton est donné! Je défailli l'espace d'un instant, le temps d'intégrer où nous sommes ; puis je m'empli d'extase, parce que ca y est : on y est ! Elle me tend mon verre, claque des doigts, l'index vers le sol. Je me met à genoux pour trinquer avec Maîtresse. Nous avons à ce moment précis chacun un large sourire qui signifie que la soirée va pouvoir commencer. Découverte des lieux Verres vidés, Maîtresse se lève, tire sur ma laisse, et se dirige vers une autre salle. Nous arrivons dans des backroom, ou des couples font l'amour, chacun devant une dizaine de paires d'yeux. Plusieurs couples homme-femme, dans diverses positions. Deux femmes ensembles, spectacle dont Maîtresse se délecte. Puis, une Maîtresse et un soumis en train de se faire limer par un gode-ceinture dont la taille m'a littéralement pétrifié : « T'es pas prêt pour ça, toi ? » me dit-Elle, en tirant sur ma laisse, et en baissant les yeux pour croiser mon regard, alors que je suis de nouveau à genoux à côté d'Elle. « Non Maîtresse, et je pense que j'en suis loin. » Nous profitons du spectacle quelques minutes, puis continuons notre visite. Nous arrivons dans une nouvelle salle, avec juste quelques bancs disposés le long des murs ; un genre de salle de repos. Maîtresse s'assois sur un des bancs, me fait mettre à genoux : « Aller, lèche mes Docs, je sais que t'en crève d'envie, et tu l'as bien mérité. » Je ne suis que joie ! Je tombe à quatre pattes en moins d'une seconde, et je me mets au travail. Ma langue s'affaire à nettoyer les moindres recoins de ses bottes, à l'avant, les côtés, les coutures jaunes spécifiques à cette marque, et le long du zip qui remonte au genou. La botte droite, puis la gauche. « Stop, ca suffit. » Je m'exécute, non sans une pointe de déception, tant j'aurais aimé continuer encore et encore. Maîtresse décroche la laisse de mon collier : « Debout, à poil. Tout de suite. » Je défailli de nouveau. Correction C'est la première fois que je vais me retrouver complètement nu en public. Je lève les yeux pour lancer un regard en direction de Maîtresse, mais son regard à Elle ne laisse place à aucune négociation. Je me dis alors qu'Elle m'a fait la surprise de m'amener ici, il est donc hors de question que je la déçoive de quelque manière que ce soit. Je me lève, retire mon pantalon, mon t-shirt, et mon string. Maîtresse claque des doigts en direction du sol ; je me remet à quatre pattes, tête en direction du mur, suivant ses instructions. A partir de ce moment là, toute l'assistance peut voir la cage qui pend fièrement entre mes cuisses ; même le dos tourné, je peux sentir les regards posés sur mon entrejambe, et entendre les bribes de conversations et d'étonnement devant cet engin inconnu. Il faut préciser que Le Mas Virginie reste avant tout un club libertin ; une majeure partie de la clientèle ne connait donc pas cet accessoire. Maîtresse ouvre son petit sac à dos en toile, et en sort le martinet. Elle se lève, se met dos à moi et dos au public, s'accroupi vers moi, me met un coup de langue dans l'oreille – instantanément, ma cage est prête à exploser -, et me dis dans le creux de l'oreille : « C'est à mon tour de m'amuser ; je sais que tu es trop fier pour me dire en public d'arrêter, alors je ne vais pas retenir mes coups. Tu vas avoir mal, chien. Tu es prêt ? » C'est en plus à moi de dire si je suis prêt ou non ; à moi de donner le top départ de ma correction publique. Bien que les mots sortent difficilement de ma bouche, je ne me démonte pas : « Oui Maîtresse. » Elle se relève. Les lanières de cuir caressent délicatement mon dos, de ma nuque à mes reins, puis mes hanches, mes fesses, mes cuisses. Je sens Sa botte venir doucement soupeser ma cage. Elle repose Son pied au sol, et dit haut et distinctement : « Tu comptes les coups, et tu me remercie à chaque coup. » Rien ne me sera épargné ce soir. Mais j'entend la satisfaction et le plaisir dans Sa voix, ce qui me donne un regain de force et de courage. A partir de maintenant, je fais abstraction du reste : il n'y a plus qu'Elle et moi : « Bien, Maîtresse. » Le martinet frappe mon dos, assez doucement : « Un. Merci Maîtresse. » Le deuxième coup, sur mes fesses, est à peine plus fort : « Deux. Merci Maîtresse. » Ouf, Maîtresse a décidé d'y aller relativement soft, me dis-je. Avant que les lanières ne s'abattent violemment sur ma cuisse droite. Je me tend, crie intérieurement, mais je m’efforce de ne rien laisser transparaitre. « Trois. Merci Maîtresse. » Je dis cette phrase d'une voix visiblement pas suffisamment audible à Son goût : « J'ai rien entendu. On recommence à zéro. » Je me suis fais avoir comme un bleu. J'ai à ce moment la conviction que Maîtresse avait prévu son coup, afin d'ajouter une petite dose d'humiliation à la situation. J'aime quand Elle me pousse dans mes retranchements, qu'Elle repousse mes limites un peu plus. Elle le sait, et Elle en joue pour Son plaisir, et pour mon bonheur. « Bien, Maîtresse. Je Vous demande pardon, Maîtresse. » Le premier coup de la nouvelle série vient violemment meurtrir ma cuisse droite, précisément au même endroit que le précédent. Je me tend à nouveau, mais ne craque pas : « Un. Merci Maîtresse. » d'une voix forte et intelligible. S'ensuivent 49 autres violents coups repartis à peu prêt équitablement entre mes cuisses, mon dos, et mes fesses : « Cinquante. Merci Maîtresse. » Puis, plus rien. J'essaie tant bien que mal de me reconnecter au monde. J'entend ça et là des voix, sans trop comprendre ce qui se dit. Quelques secondes passent, j'entend un claquement de doigts. Le signal. Immédiatement, je me retourne, j'embrasse Sa botte gauche, puis la droite ; je pose le front au sol : « Merci, Maîtresse. » « Debout. Tu remets juste ton string et ton pantalon, que tout le monde puisse voir les marques sur ton dos. » Je me lève. Je ne me rend compte qu'à ce moment là qu'une bonne cinquantaine de personnes a assisté à ma correction. Je suis en extase, comme si mon esprit était ailleurs ; heureux de l'avoir fait, heureux de voir la fierté dans les yeux de ma Maîtresse. Je me rhabille, puis me remet à genoux, face à ma Maîtresse, qui s'est rassise sur le banc. Elle accroche la laisse à mon collier, et m'ordonne de faire un quart de tour, avec interdiction de poser les yeux au sol, afin que je croise les regards de toutes les personnes encore présentes dans la salle. Le soumis solo Maîtresse sors Son téléphone de Son sac. Pendant qu'Elle vaque à Ses occupations, mes yeux contemplent la salle, et la vie qui reprend son cours pour le public qui s'est arrêté admirer mon dressage. Mais une paire d'yeux regarde en notre direction avec insistance. Un jeune homme, d'une vingtaine d'années. Je le fais remarquer à Maîtresse : « Qu'est ce qu'il veut, à ton avis ? », me demande t'Elle. « Je pense que c'est d'assister au dressage au martinet, qui a du l’émoustiller quelques peu, Maîtresse. » Maîtresse retourne scruter son écran. Quelques minutes passent encore. Elle range Son téléphone dans Son sac, et aperçoit de nouveau le jeune homme, qui entre temps s'est rapproché de quelques places. Maîtresse me demande alors : « Mais il veut quoi ? Parler ? » « Je pense que si Vous lui adressez la parole, Vous en ferez le plus heureux des soumis pour les six prochains mois. Après moi, bien sûr, vu la soirée que je vis. », dis-je en souriant, et en La regardant, les yeux emplis de tendresse. Maîtresse sourit à son tour, me caresse le visage, approche ma tête contre Sa cuisse, et caresse mes cheveux. Nouvel instant d'extase. Elle repousse délicatement ma tête de Sa jambe. Elle se tourne en direction du soumis solo, pointe Son index en sa direction, et dirige Son index en direction de Ses bottes. Ni une, ni deux, le soumis solo galope en notre direction, et s'agenouille devant Maîtresse. Elle le toise du regard, et lui dis : « Tu nous fixe depuis tout à l'heure. Tu voulais demander quelque chose à Moi, ou à Mon chien ? » J'aime tellement quand Maîtresse m'inclus dans Sa phrase. Ce soir, nous ne faisons qu'un. « Non, Madame. Je voulais seulement Vous dire que j'ai beaucoup aimé regarder quand Vous avez puni Votre soumis au martinet, tout à l'heure. », répond il, avec toute la candeur du soumis débutant, période que l'on a toutes et tous connu. « Mais ce n'était pas une punition, Mon chien n'a rien fait de mal aujourd'hui. C'était juste pour le plaisir. Un simple dressage. » Je le vois un peu partagé entre excitation, et crainte de la réalité, après avoir vu de loin le résultat sur mon dos et mes fesses d'un « simple dressage ». Maîtresse ne le laisse pas répondre quoi que ce soit. Elle claque des doigts en direction du sol, tout en lui disant : « Embrasse Mes bottes, et retourne à ta place. » Il ne tarde pas à se mettre à quatre pattes, et à embrasser les bottes de Maîtresse, encore et encore, non sans qu'une pointe de jalousie apparaisse en moi. C'est à moi de lécher Ses Docs, pas à un autre ! Mais je fais fi de ce ressentiment, bien que Maîtresse s'en soit aperçu ; après tout, c'est moi qui lui ai parlé du soumis solo, alors j'assume ma bourde. Une dizaine de secondes passe, avant que Maîtresse lève Sa botte, pour le repousser délicatement. Le soumis solo remercie sa Maîtresse éphémère du plaisir qu'Elle lui a donné, puis retourne à sa place. Ma jalousie aura fait un heureux, ce soir. Retour au club Après toutes ces émotions, Maîtresse se lève, et tire sur ma laisse. Nous voila reparti pour poursuivre la visite. Petit arrêt au bar, reprendre les mêmes consommations qu'a notre premier passage. Juste une petite dizaine de minutes pendant laquelle Maîtresse m'interroge sur mes impressions, mon ressenti, mon état d'esprit. Que dire ? Je suis aux anges. Je vis une soirée absolument exceptionnelle. Les idées sont tellement en bazar dans ma tête que j'exprime ça comme je peux. Maîtresse quitte son tabouret, je la suis. Direction la piste de danse, toujours - ou de nouveau – sur les sons électro du DJ. Elle s'arrête au bord de la piste. Ca va aussi me faire du bien de danser un moment, pour me remettre les idées en place ; surtout que j'adore ce style de musique. Elle ne bouge pas, me regarde quelques secondes : « Tu veux une invitation pour te mettre à genoux ? » Fausse joie ; pas de danse pour moi ce soir. « Non, Maîtresse. Pardon, Maîtresse. » Je me met à genoux. Elle se met à danser, tandis que je remarque quelques visages qui étaient présents dans la salle d'à côté lors de la correction. Maîtresse danse peut-être une quinzaine de minutes – je n'ai plus trop la notion du temps, à ce moment là – puis m'ordonne de me lever. Elle se dirige de l'autre côté de la piste. Et là, je vois que Maîtresse se dirige vers ce qui m'a complètement échappé à notre premier passage dans le club : une croix de St André. Nous arrivons devant : « Face au mur ; lève les bras, écarte les jambes. » Maîtresse sort de Son sac les 4 mousquetons qu'Elle n'a pas oublié de prendre avec Elle, les accroche aux bracelets de poignets et de chevilles, et m'attache les quatre membres à la croix. Elle m'a fait grâce de me faire retirer mon pantalon, dans cette salle ou 200 personnes sont en train de danser. Mais la morsure des lanières du martinet ne tarde pas à se faire ressentir. Plus question de compter ; Maîtresse m'inflige un dressage en public. Cinq, peut-être dix minutes. Je n'ai cette fois pas eu le temps de comprendre ce qui allait se passer. Je pars de nouveau dans un autre monde. Et l'atterrissage allait être aussi abrupt que le décollage. Les coups cessent. Je sens les mains de Maîtresse libérer mes quatre bracelets de la croix. « Tourne toi. » Je m’exécute. Aussitôt, Maîtresse me rattache les 4 membres à la croix, mais face au public, et retourne danser sur la piste, esquissant un large sourire, me laissant exposé à la vue de tous. Je défailli, une fois de plus. Elle part de l'autre côté de la piste, se cache derrière un groupe de danseurs, afin que ne l'ai plus en vue. Tout se bouscule à nouveau dans ma tête : humiliation, fierté, honte, euphorie... J'essaie de garder mes yeux au sol, pour ne pas croiser le regard de qui que ce soit, mais mon esprit soumis, et l'envie de trouver le regard de ma Maîtresse m'en empêchent Encore dix ou quinze minutes passent, avant que Maîtresse ne revienne, sourire encore plus glorieux, et me libère de la croix. Elle s'approche de mon oreille, et me susurre : « Bravo mon chien. Je suis fière de toi » Elle m'enlace fortement, me met mes mains derrière Son dos afin de faire de même, et m'embrasse longuement sur la bouche. Nous nous enlaçons un long moment. De nouveau, il n'y a plus rien, ni plus personne autour de moi. Je suis seul avec Elle. Pause cigarette Nouveau passage au bar, histoire de se remettre de nos émotions. Nous prenons chacun notre verre, mais Maîtresse tire ma laisse avant que je n'ai eu le temps de me mettre à genoux. Elle se dirige vers le fumoir, attenant à la piste. Elle se positionne face à la porte, à peine en retrait. Je passe devant Elle, lui ouvre la porte, la laisse passer, et referme la porte. Elle se positionne contre une paroi, détache ma laisse : « Cendrier. » Je vais chercher un cendrier sur une table, et reviens à genoux à côté d'Elle, Lui tenant le cendrier à proximité immédiate de Sa main. Elle rattache la laisse à mon collier. Un couple d'une quarantaine d'années, main dans la main, accompagné d'une troisième personne, nous regarde un moment, puis se dirige vers nous. La femme du couple engage la conversation : « Excusez nous, bonsoir madame. Nous vous avons vu tout à l'heure dans la salle à côté du club. On a vu ce que vous avez fait, et on se demande si vous faites ça souvent, ou si vous vivez comme ça. » Je prie pour ne pas avoir à parler. Maîtresse s'empresse de répondre : « Bonsoir madame. Alors pas 24 heures sur 24, car il y a le quotidien, nos obligations professionnelles respectives, les humeurs de chacun. Par contre, il est à Mon service quand je le décide ; c'est lui qui fait à manger et la vaisselle ; et il porte la cage que vous avez vu tout à l'heure entre ses jambes 6 jours sur 7, ce qui lui rappelle en permanence qui commande. » L'homme du couple, visiblement très intéressé par les explications de Maîtresse,réplique : « Mais lui, comment il trouve du plaisir dans tout ça ? A prendre des coups de martinet, et a avoir une capsule (je me souviens très bien du terme employé :capsule) entre les jambes tout le temps ? » Ca ne manque pas, je ne vais pas y couper cette fois. Je me décompose encore une fois, au moment ou j'entend ma Maîtresse dire : « Vous pouvez lui demander directement. » L'homme, de me dire : « Comment tu trouves ton plaisir dans cette relation ? » Il connait déjà quelques codes, visiblement. Il vouvoie Maîtresse, mais il me tutoie. Un blanc s'installe. Je regarde Maîtresse. L'homme surenchérit : « Pourquoi il ne répond pas ? » « Parce que je ne lui ai pas encore donné la permission de parler », répond Maîtresse. « Tu peux répondre, chien. » Mode décomposition confirmé. J'essaie d'expliquer, tout en balbutiant, que j'aime l'humiliation, la soumission, et que par dessus tout, j'aime servir ma Maîtresse, qu'Elle me le rend bien, qu'il y a donc une alchimie qui fait que j'aime être à Ses pieds. A ce moment là, je suis tellement dans un autre monde que je me souviens plus des phrases des autres, que de mes propres mots. Le couple et leur ami entendent mes explications, acquiescent, et continuent d'échanger quelques mots avec Maîtresse. Le courant passe entre eux tous, le couple propose alors à Maîtresse de boire un verre avec eux, ce qu'elle accepte avec plaisir. Je suis donc tout ce petit monde du bout de ma laisse. Les trois amis s'installent à une table, suivi de Maîtresse. Je me met à genoux à côté d'Elle. La discussion tournera autour de notre vie de tous les jours, nos métiers, d'où nous venons. Discussion somme toute banale entre 5 personnes qui font connaissance, si ce n'est que je suis au bout d'une laisse, à genoux. Faux départ Une petite demi-heure passe, je commence à avoir de sérieuses fourmis dans les jambes. Maîtresse prend poliment congé de nos amis d'un soir, disant qu'Elle commence à fatiguer. Avant de partir, Elle décide de faire un passage aux toilettes, l'hôtel étant à Montélimar, à une quarantaine de kilomètres. Je me dis que mes tourments sont enfin terminés pour ce soir. Mais c'était sans compter sur le sadisme de Maîtresse. Nous nous rendons à l'étage, là ou se situent les toilettes. Un peu avant d'arriver à la porte des commodités, Maîtresse voit face à nous un couple d'environ notre âge, qui devaient certainement en sortir. Elle se tourne vers moi, et me lance un regard accompagné d'un sourire malicieux, qui ne présage rien de bon pour moi. Nous arrivons à la hauteur du couple. Aussitôt, Maîtresse leur dit : « Excusez moi, je dois aller aux toilettes. Vous pouvez me le garder un instant, s'il vous plait ? », en tendant le bout de ma laisse à la dame du couple. « Euh... Oui, bien sûr, avec plaisir. », répond la dame, un peu surprise par la demande de Maîtresse. « Merci beaucoup, c'est très gentil. Je ne voudrais pas qu'il s'échappe. » Je me dissous sur place. Je me retrouve face à un couple qui va tenir ma laisse. Deux inconnus qui scrutent immédiatement les longues trainées rouges bien visibles sur mon flanc, stigmates du martinet qui s'est abattu sur ma peau il y a quelques heures, auquel ils ont peut-être assisté. Puis, pour bien augmenter la difficulté de la situation, Maîtresse se tourne vers moi, et me dit en effaçant son sourire : « A genoux, les mains sur la tête. Tu ne bouge pas. » Puis rajoute encore une couche : « Si il désobéit, vous me le dites quand je reviens. Je le corrigerai devant vous. » Elle commence à partir. Puis après quelques pas, Elle se retourne, et ajoute en riant : « Et vous pourrez aussi le corriger, car ce sera à vous qu'il aura désobéit. »   Pour la deuxième fois de la soirée, j'ai envie de disparaître.   Ce sentiment ne va pas s’apaiser, en entendant le couple se parler, quelques instants plus tard :   « Ca serait génial d'en avoir un comme ça à la maison. Faut vraiment qu'on regarde ça. Tu n'aimerai pas, chéri ? » dis la femme.   L'homme de répondre « Ouais, ça pourrait être cool. Sinon, on part avec celui là ; il a l'air déjà bien dressé. On a le temps de vite partir avant qu'elle ne sorte des toilettes. »   Et les deux, de partir dans un éclat de rire.   Je suis, une fois de plus, rempli de sentiments ambivalents : d'un côté, je n'ose pas bouger d'un poil, ni répondre ; la peur de la correction promise par Maîtresse devant – et par – ce couple me fais frissonner. Et d'un autre côté, j'ai envie de la vivre, cette punition, de désobéir, pour être corrigé devant ce couple par Maîtresse ; pour être corrigé par ce couple devant Maîtresse.   Mon esprit a décidé pour moi : j'ai été un chien bien obéissant, et je n'ai pas contré les ordres de Maîtresse.   Un temps interminable passe, avant que Maîtresse ne revienne. Elle reprend la laisse des mains de la dame, et dit :   « Il a été sage ? Il n'a pas bougé ? »   « Très sage ; il n'a pas bougé d'un poil » répond la dame.   « Dommage d'ailleurs », ajoute l'homme, « ma chérie aurait bien voulu le frapper avec le martinet, comme vous, tout à l'heure ».   J'ai ma confirmation qu'ils étaient bien présents dans la salle, tout à l'heure.   Mais j'ai été obéissant, la dame l'a confirmé ; et Maîtresse est fatiguée. Je pense donc l'espace de quelques secondes y échapper. Jusqu'à cette phrase :   « Si ça vous fait plaisir de le fouetter, c'est avec plaisir pour moi. »   « Vraiment ? Mais je ne veux pas vous embêter. »   « Oui vraiment, ça me fait plaisir. Et je suis sûr qu'à lui aussi. »   Maîtresse lit en moi comme dans un livre ouvert. Elle transperce mes pensées les plus profondes. Je pense à cet instant qu'Elle pensait que j'allais désobéir ; peut-être même qu'Elle voulait que je désobéisse à Son ordre de ne pas bouger, quand je me suis retrouvé à genoux aux pieds de ce couple.   Maîtresse détache la laisse de mon collier :   « Debout. A poil. Face au mur, mains sur la tête. »   L'ordre tombe. Je m'exécute. Je me déshabille, et me met dans la position demandée.   « Comment tu fais ? », dit la dame.   Maîtresse fait cingler les lanières de cuir sur ma cuisse droite, l'endroit précis qui m'a fait vaciller lors de la première correction de la soirée. Puis, Elle frappe le dos, les fesses, et les flancs.   « Tu frappes où tu le souhaites, sans dépasser le niveau des épaules. Par sécurité, et pour pas qu'il n'y ai de marques à des endroits visibles. Ailleurs, tu peux t'en donner à coeur joie. Si c'est trop pour lui, je te le dirais. Lui, ne l'écoute pas, et ne fais pas attention à ses gémissements. »   Elles se tutoient. Je sais maintenant que ça va durer un moment. Je suis à la fois excité et apeuré d'être corrigé par une débutante. Ca va être un nouveau mauvais moment à passer, mais je sais que Maîtresse veille sur moi. Qu'elle ne me laisserai pas aux mains d'une inconnue, si Elle n'avait pas confiance. L'instinct féminin. L'instinct de la Maîtresse sur sa propriété.   La dame commence doucement. Puis, plus les coups pleuvent, plus ils se font cinglants et précis. Une Domina est en train de naître, du martinet de Maîtresse.   Le dressage de la Domina en devenir dure une bonne dizaine de minutes. La dame rend le martinet à Maîtresse, qui demande tout de suite à l'homme s'il souhaite aussi essayer. L'homme refuse poliment ; Maîtresse n'insiste pas. Toujours en position face au mur, mains sur la tête, je l'entend claquer des doigts. Je me tourne, me met directement à quatre pattes, et embrasse ses bottes en disant « Merci, Maîtresse ». Elle m'attrape par les cheveux, me redresse, me fixe d'un regard noir, et me gifle devant les yeux médusés de nos nouveaux amis :   « Qui est-ce qui t'a fouetté ? Il me semble que ce n'est pas moi ? »   « Non, Maîtresse. »   « Alors, tu attends quoi pour la remercier, sale chien ? Et excuse toi vite de ne pas l'avoir remercié avant. »   Une deuxième gifle, plus forte. J'aperçois le couple qui pouffe de rire, à me voir humilié de la sorte. La boulette. J'ai été quasiment irréprochable ce soir, et il faut que je commette cette erreur, au détour d'un passage imprévu aux toilettes.   Je me remet donc à quatre pattes, me dirige vers les pieds de la dame, et dépose un baiser sur chacune de ses chaussures :   « Merci Madame. Je vous présente mes excuses pour ne pas vous avoir remercié tout de suite. »   Elle me répond un petit « pas de souci », tout en semblant être aussi surprise de la situation que moi, mais avec un sourire malicieux dans la voix.   A cet instant, je suis au bord des larmes, sans que ça ne sorte. Nouveaux sentiments partagés entre l'humiliation extrême de la gifle devant un couple de passage, et la peur d'avoir déçu Maîtresse. Sans même me regarder, Maîtresse le sent directement. Alors que je suis encore front à terre, attendant un ordre, Elle claque de nouveau des doigts. Je me précipite à Ses bottes, et Elle me colle directement la tête contre Sa cuisse :   « C'est bien, mon chien. »   Elle rattache la laisse à mon collier, me caresse la joue, et tient fermement ma tête contre Sa jambe. Instantanément, je suis rassuré, et rempli de bien être. Décevoir Maîtresse est la pire chose que je puisse faire, que ce soit voulu ou pas.   Une nouvelle discussion démarre entre Maîtresse et le couple. Ils L'interroge sur ma cage, qui est bien en vue devant eux. Maîtresse leur explique que j'ai l'interdiction de me servir et de toucher mon sexe sans son autorisation, ou un ordre de Sa part. Que mon sexe ne m'appartient plus, qu'il est Sa propriété. Que c'est pour mon bien, qu'Elle seule sait ce qui est bon pour moi.   Après tous les évènements de la soirée, le sentiment de joie et d'appartenance à Maîtresse prend le dessus. J’acquiesce de la tête, lorsque la dame baisse son regard vers moi. Je suis fier d'être la propriété de Maîtresse. Je suis heureux de L'entendre dire que je suis Sa propriété.     Il est maintenant 5 heures du matin. Il y a un peu plus de douze heure, je recevais un message de ma Maîtresse, sans imaginer une seule seconde tout ce qui allait se passer ce soir. Je n'aurais voulu rater cette soirée pour rien au monde.     Le lendemain, sur la route du retour, Maîtresse me dira qu'Elle aurait aimé me forcer à faire une fellation à l'homme du couple des toilettes, ou qu'il me prenne dans une backroom ; mais Elle a eu peur que ça fasse trop pour moi, à cet instant précis. Et de nouveau, Elle est tombé pile dedans : c'est vrai que ça aurait peut-être été le truc de trop, mais j'aurais d'un autre côté aimé que Maîtresse m'amène vers la bisexualité forcée pour la première fois ce soir là.     Un mois plus tard, notre histoire prendra fin, pour des raisons extérieures à notre relation Domina/soumis. J'ai vécu d'autres splendides expériences, mais aucune aussi forte que cette soirée.        
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Par : le 09/12/20
Comme je pouvais le pressentir, je me retrouvais vite frigorifié. Je me recroquevillais le plus possible et me frottait énergiquement pour ressentir un semblant de chaleur. La nuit s’écoulait lentement, je trouvais le sommeil par instant en me posant déjà plein de questions. Serais-je à la hauteur ? n’ai je pas présumé de mes forces ? de ma réelle motivation ? Heureusement Maîtresse Adèle écourta mes souffrances et mes états d’âme en sonnant le réveil de très bonne heure. J’avais eu l’imprudence de me soulager dans ma gamelle sans oser la vider. Maîtresse le remarqua très vite et s’exclama : « Tu ne crois pas que je vais vider tes chiottes, alors boit et vite. Tiens pour ta punition , je vais faire le niveau. » Elle releva sa jupe, s’accroupit au-dessus de mon écuelle, écarta son string et expulsa un large filet de pisse. Mon écuelle était pleine et j’absorbais tant bien que mal ce « doux » mélange. Elle semblait contente de son effet et m’intima de rejoindre sans tarder la cuisine. « Et puis laves-toi la bouche ma salope » Il me fallu lui préparer un petit déjeuner copieux dont j’eu l’honneur de terminer les restes. C’était peu, mais, mon corps revivait déjà au contact de la chaleur de la pièce. Maîtresse m’intima l’ordre de transporter les bagages dans le coffre de la voiture. J’attendais patiemment que Maîtresse Adèle soit prête et me rejoigne. Elle m’avait interdit de monter dans la voiture avant elle. Mais, je savais que mon état d’esclave ne me l’autorisait pas. Enfin Maîtresse Adèle apparue sur le pas de la porte. Elle était resplendissante et j’étais fort impressionné. Je lui ouvrais la porte côté passager pour qu’elle monta en premier dans la voiture. Après avoir refermé la porte, j’allais prendre place au volant. Elle m’indiqua seulement la direction à prendre. Nous étions parti depuis quelque temps et je n’avais toujours aucune idée de notre destination finale. Après quelques dizaines de kilomètres, Maîtresse Adèle me demanda de m’arrêter sur un parking isolé. J’allais lui ouvrir la porte, elle sortit rapidement et m’indiquait l’arrière de la voiture. Je commençais à redouter ce qui allait suivre. Maîtresse Adèle me banda les yeux et m’entrava les mains et les jambes avec des menottes. Elle ouvra le coffre et me poussa sans ménagement à l’intérieur. Je comprenais maintenant pourquoi, elle m’avait demandé de réserver une place parmi les bagages. Le coffre refermé, j’entendis Maîtresse Adèle prendre place au volant et démarrer promptement. Aucune idée du temps écoulé avant que je ne revois la lumière mais cela m’a semblé une éternité. Enfin, nous semblons pénétrer dans une propriété car j’entends le bruit des pneus sur une allée gravillonnée avant que la voiture ne s’immobilise. Le claquement sec de la portière m’indique que Maîtresse Adèle est sortie, à ces pas j’entends qu’elle se dirige vers le coffre mais avant de me libérer, Maîtresse Adèle salue ses hôtes. Le coffre s’ouvre violemment et le jour m’éblouit même au travers de mon bandeau. Maitresse me le retire et Il me faut quelques minutes pour distinguer la façade d’une maison bourgeoise qui semble plantée au milieu d’un parc immense. Maîtresse Adèle m’intime de me mettre nu. J’entends notre hôte appeler un soumis. Il arrive sans perdre de temps seulement habillé d’un veston comme en porte les huissiers à l’entrée des grands hôtels. Les ordres de Maîtresse Adèle tombent rapidement, je ressens qu’il n’est pas le moment de la contredire. « Mets toi à genoux, les mains en avant et le dos bien plat, tu serviras de brouette pour mes bagages. » Le soumis me charge le dos avec deux valises, sangle le tout, puis me prend fermement les pieds pour diriger l’objet que je suis ; une brouette. J’avance précautionneusement pour que les valises ne tombent pas mais Maîtresse Adèle considérant mon rythme trop lent à son goût me fouette violemment les fesses et m’invective fermement : « Avance plus vite chienne et ne fait rien tomber car il en cuira pour tes petites fesses » Après un nouveau voyage aussi contraint que le premier, je me retrouvais dans un grand vestibule à côté des bagages, à genoux et la tête au sol entre mes mains. Je ne devais pas bouger et je ne percevais pas grand-chose de la situation. Maîtresse Adèle papotât quelques instants avec son hôte qui lui indiqua sans doute sa chambre. Nous reprenons alors notre manutention, moi en brouette et mon collègue soumis en brancardier. Il n’y avait pas d’ascenseur et atteindre l’étage comme cela ne fut pas une mince affaire. La seule chute arriva à la porte de la chambre de Maîtresse Adèle qui fulmina contre moi : « Imbécile, j’espère qu’il n’y aura rien de cassé car ce sont tes fesses que je vais te casser. Maintenant, tu vas ranger mes affaires au fur et à mesure que j’ouvre mes bagages et les ranger soigneusement où je te dirais.» Après cela, nous sommes redescendu au rez de chaussée. C’était une grande pièce équipée principalement en donjon. Une grande table trônait pas loin d’un coin cuisine qui indiquait que les convives pouvaient être nombreux. Dans un coin de la pièce étaient disposées des cages grillagées. L’une d’entre elle était occupée par le soumis porteur et une autre par un soumis que je n’avais pas encore vu. Une troisième me fut attribuée avec interdiction de parler à mes voisins de cages. Un bâillon boule m'aida en ce sens. Ce fut quand même pour moi un moment de décompression tant l’arrivée avait été intense. J’attendais maintenant la suite avec impatience… Toute ressemblance avec des faits réels n'est peut-être pas aussi fortuite que cela :smirk: A suivre
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Par : le 09/12/20
Le vent souffle, soulève les feuilles abandonnées. Elles sont arrêtées par cette chevelure qui caresse le sol. En remontant le long de cette chevelure, un liquide s’entremêle, il provient d'un flux plus important le long du front, le long du nez, pour trouver source depuis ces lèvres écartées, contraint par un bâillon épais. En remontant le long de ce visage féminin, un cou fin se poursuit cerclé d'une chaine type chaine d'encre, affluent d'un buste à la peau rose pâle, pigmenté d'une chair de poule, ponctué de grain de beauté , magnifié par une poitrine modeste mais finissant par des tétons tendus. Le dos est marqué, mais guidé par ces deux bras attachés d'une corde. Les hanches creusées mais enveloppées d'une peau flasque paraissant douces à la fois, étaient cordées. En remontant le long de cette colonne, un fessier contracté, rouge, parsemé de petite bulle, de fines écorchures, et de longues traces de coups de fouet, gesticule. Il est caressé à vive allure par le fall hitch, effleurant la peau avec une précision jouissive. En remontant le long de la lanière, un manche est tenu par une main ferme, aux doigts fins et des ongles manucurés avec soin malgré de très légères bavures. Le poignet, orné de plusieurs bracelets en or jaune fins de luxe, effectue des rotations accompagnant les mouvements du bras de Maitresse B. En remontant le long de cette silhouette, partant d'un escarpin noir d'une grande maison italienne, ces jambes recouvertes d'un pantalon tailleur noir, dans lequel est rentré un chemisier blanc ample, aboutissant à la tête de cette femme quadragénaire aux lignes fines et dessinées, des yeux vert foncé et une chevelure châtaine asservit dans un chignon au crayon. Maitresse B, était ni plus ni moins en train de rappeler par le fouet, à sa soumise incarné dans ce corps suspendu à une corde et un treuil, l'exigence qui l'incombait. L’installation en extérieur était autrefois le lieu où l'on égorgeait les animaux de la ferme. Le cadre de ce corps de ferme, en vieille pierre jaune, joint gris, verdi par l'humidité et le temps, inspirait Maitresse B. Les claquements du fouet sur le fessier sonné comme un coup de fusil aigu, mais était suivi du gémissement excitant d'une soumise apprenante. Une fois la punition et la soumise délivré, Maitresse B préconisa les quatre pattes à celle qu'elle avait mise à terre. En déliant ces chevilles, maitresse B se tenait à sa hauteur et contemplait ce fessier qu'elle finit par caresser de satisfaction. Toucher son œuvre. Cette caresse se prolongea jusqu'aux cheveux de sa soumise, elle ne pouvait s’empêcher de caresser son visage pour la rassurer. Maitresse B se leva, et ordonna à sienne de se diriger vers l'étable. Une nouvelle fois Maitresse ne pouvait s’empêcher de rester en arrière d'un pas lent pour observer ce corps qui avait du mal à se déplacer dans la poussière et le gravier. Les genoux de notre soumise ne pouvaient frotter ou trainer sur le sol, il lui fallait dont soulevait toute la jambe pour avancer sans douleur, ce qui amenait ce mouvement de fessier abrupt mais sensuel à la fois. Une fois à l'étable maitresse ouvrit le battant d l'enclos pour y faire entrer sa soumise. Du doigt elle lui indiqua un amas de couverture au sol, ça serait sa place pour la prochaine heure, après la punition la méditation. Maitresse B sortit pour rejoindre la cuisine. C'était l'heure du thé, elle se prépara sa tasse, puis déambula jusqu'au salon pour s'installer dans un fauteuil année 60. Face au mur, décoré d'un tableau imposant, représentant une chasse à court mener par des femmes, peint et imaginé par une artiste Anglaise, son esprit se dilua dans une pensée philosophique sur son rôle. La tasse était vide et sa réflexion conclut, elle prit son roman en cours, l'histoire d'un monument architectural contemporain parisien et de son architecte romancé pour plus d’immersion. Il était temps d'aller chercher la punie, Maitresse B suite à un bref discours moralisateur et intransigeant, renvoya sienne à ces taches basse après une toilette. Maitresse B monte les escaliers, avec une allure nonchalante, les mains dans les poches, le regard bas. Ses talons résonnaient à un rythme très espacé. Arrivé dans son grand bureau, elle s'avachit sur le canapé cuir, attrapa ses cigarettes Corset, en alluma une, et regarda la fumée s'élever et disparaître. Son regard se posa finalement sur la fenêtre et cette vue grisâtre. Il y avait une fatigue et une insatisfaction qui se mélangeaient en elle. Elle n'était pas d'humeur à jouer avec sa soumise. Et c'était anormal pour elle, elle culpabilisait de ne pas être présente auprès d'elle. Elle sentait le poids de sa responsabilité qu'elle devait assurer, la pérennité de son pouvoir auquel avait souscrit. Ce sentiment qui venait se percuter à elle n'avait rien d'habituel, et le malaise qui s'installait dans ses pensées aussi. Etait-ce le moment de remettre en question son engagement ? Elle prit son smartphone, ouvrit une de ces applications préférées et commanda une manucure pour refaire celle ratée par sa soumise.
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Par : le 05/12/20
elle a fait de moi un soumis et bisexuel j’ai rencontré une fille qui m’a plu tout de suite, elle aimait chez moi mon côté un peu féminin ; je suis grand, mince, une musculature fine, cheveux longs et peu poilu sur le corps. Au fil du temps, mon côté féminin s’accentuait ; quand les 1er strings pour homme sont sortis dans les catalogues de vente par correspondance j’ai eu très envie d’essayer ; ma compagne n’était pas contre ; au final il y en a eu ensuite dans des grands magasins de vêtements et il lui arrivait parfois de m’en offrir. Elle trouvait ça très mignon, elle m’a même dit que j’avais un beau petit cul de gonzesse. j’avais pris l’habitude de lui faire un cunnilingus après mon éjaculation en elle, ce qui me faisait rebander aussitôt et me permettait de la reprendre avec vigueur. Lors de 69, il m’arrivait de tenter de lui introduire un doigt dans l’anus mais elle n’appréciait guère. Par contre, croyant peut être me punir de cette attitude elle a voulu un jour faire de même. Non seulement je n’ai pas refusé mais mon attitude l’encourageait à poursuivre. Cette situation a fini par se reproduire régulièrement. Elle n’a pas hésité longtemps pour me mettre un gode dans le cul. Elle a commencé alors à me traiter de « pédé » et ça m’excitait. Loin de m’en plaindre, j’en redemandais. Sans trop le savoir, j’avais beaucoup de prédispositions pour devenir bi, passif, soumis. Le jour où son gode a remplacé ses doigts elle a conclu que c’était avec un homme que je devrais assouvir complètement mes penchants. Je n’ai pas dit non. Ces évocations revenaient régulièrement sans que je puisse imaginer, malgré mon très fort désir, que cela devienne réel. Jusqu’au jour où elle m’a annoncé avoir invité pour la soirée un de ses amis. C’était un homme un peu plus âgé que nous, d’aspect sympathique et plutôt viril. j’ai remarqué qu’elle s’était maquillée et avait mis une tenue inhabituelle. Chemisier noir assez transparent et il me semblait qu’elle n’avait rien dessous. Jupe légère portefeuille plutôt courte qui paraissait pouvoir s’ouvrir facilement sur ses cuisses. Talons très hauts. Perplexe, je constatais qu’elle se comportait comme si elle voulait le draguer. Je n’osais pas croire ce que je voyais surtout quand elle s’est assise très près de lui et que, machinalement, elle a mis une main sur sa cuisse. La discussion devint grivoise, et orientée sur le sexe. Elle lui chuchotait plusieurs fois dans l’oreille des propos que je n’entendais pas. Il a finit par acquiescer à ce qui semblait être une proposition en disant « bien sur, je suis là pour ça ». Alors elle a dit qu’elle savait depuis longtemps que je mettais des sous-vêtements féminins et qu’elle et son ami aimerait bien me voir avec. Face à cette révélation, très gêné, rougissant, j’ai compris que je ne pourrais pas me dérober et suis allé me travestir. Quand je suis revenu, ils étaient entrain de s’embrasser, une main avait disparue dans les plis de la jupe, l’autre dans son chemisier, debout devant eux je ne savais plus que faire. Alors, il m’a demandé de me rapprocher. Il s’est mis à me caresser les jambes, puis l’entrecuisse, puis les fesses. Enfin il a posé une main sur mon string et a constaté mon début d’érection. S’adressant à ma maîtresse, il lui dit « il a l’air d’aimer ça ; Il me plait assez. Je sens que je vais le baiser avec plaisir ». Constatant un léger recul de ma part, ma maîtresse me dit « tu ne vas pas faire ton difficile maintenant. C’est ce que tu voulais. Mon ami est d’accord et j’en ai très envie. viens nous rejoindre dans le lit » J’étais incapable de réaction, et en même temps troublé au maximum de voir ma maîtresse dans cet état et de penser que j’allais être soumis à d’un homme. En arrivant dans la chambre je les ai trouvés nus enlacés. Quant ils se sont séparés j’ai pu voir qu’il disposait d’un sexe de très belle taille. Voyant que j’avais les yeux rivés dessus, il m’a dit de m’approcher et de venir le caresser. En présence de ma maîtresse, je n’osais pas utiliser autre chose que mes mains. Mais pour me montrer l’exemple elle me dit « regarde comme il faut faire » et elle englouti le membre dans sa bouche sous mes yeux et a commencé une fellation. Puis elle m’a ordonné de prendre sa place. En insistant, elle me dit « suce le bien. Fait comme j’ai fait, à fond … » Et pour conforter ses propos elle appuya sur ma tête d’une main et se masturba de l’autre. Puis elle s’est levée. Peu après, tout en continuant à sucer cette bite, j’ai senti un contact frais et humide entre mes fesses. Elle était entrain de m’enduire l’anus de gel lubrifiant. Puis son premier doigt est entré profondément dans mon cul, puis un second, puis un troisième, puis, enfin, son gode. J’ai eu un petit gémissement. Je sentais que le sexe devenait de plus en plus dur. Il se dégagea de ma bouche, et demanda « par qui je commence ? « Par lui » dit ma maîtresse avec un ton autoritaire. « Il en a envie et il aimera ça ». Cela me fis bander comme et je me sentais complètement soumis Positionné en levrette, tenu par les hanches, ma maîtresse appuyant sur mes épaules pour me faire cambrer le dos au maximum, il s’est présenté contre mon anus et a progressé en moi par pressions successives. Quand le gland a forcé mon anus, je n’ai pas pu, là aussi, réfréner un léger gémissement. Ma maîtresse, de plus en plus salope, me me traitait de pédé, d’enculé. Enfin, les premières douleurs dissipées, complètement pénétré, je me sentais vaincu, dominé et cela me procura peu à peu un bien être et mon érection était telle qu’elle en était presque douloureuse. De temps en temps, il ressortait son sexe puis le réintroduisait en laissant son gland à la hauteur de l’anus pour reproduire cette douleur que j’avais connue au début de sa pénétration. Il voulait me soumettre complètement à son emprise, sous les yeux de ma compagne, en me faisant un peu souffrir. Je m’abandonnais complètement, formulant des propos à peine audibles tels que « oui, encore, encule moi bien, vas y à fond, … » Et ma maîtresse surenchérissait en continuant de me traiter d’enculé, de belle salope, de chienne en chaleur de lopette Puis elle s’est glissée sous moi en écartant au maximum ses cuisses jusqu’à ce que son sexe arrive à la hauteur du mien. C’est son amant qui m’a introduit dans sa chatte tout en continuant à me limer. J’étais sur le point d’exploser comme je ne l’avais encore jamais fait. « Retiens toi me dit-elle … Attends que je jouisse » J’ai à peine eu le temps de me rendre compte qu’ils jouirent en même temps et j’ai explosé. Je ne me souviens vaguement que d’une vision de « feu d’artifice ». Après voir repris nos esprits, c’est ma femme qui s’exprima la première « Te voilà dépucelé, maintenant viens me lécher pour me nettoyer » ce que je fis avec plaisir. Tu seras dorénavant à mes ordres. Tout était dit. Je ne me suis pas rebellé.
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Par : le 03/12/20
Avec Marie de Régnier, dont elle partageait le goût du roman et celui des conquêtes, Jeanne Loviton est la dernière égérie d'un temps qui n'est plus. Quand Valéry et Giraudoux aimaient ensemble la même femme à en perdre la tête et "puisaient l'un et l'autre à l'encre de ses yeux". Ces écrivains célèbres figurent parmi son aréopage, qui compte d'autres personnalités prestigieuses, l'avocat Maurice Garçon, l'auteur dramatique Pierre Frondaie, le critique Émile Henriot, ou encore un diplomate italien qui "ne prononçait jamais le mot France sans voir son visage", mais aussi Saint-John Perse, Bertrand de Jouvenel et, à la fin d'une liste où figurent quelques hommes d'affaires dont un américain deux ambassadeurs du Japon, Curzio Malaparte et quelques saphiques de haut vol. Car Jean Voilier, nom de plume de Jeanne Loviton naviguait à voile et à vapeur dans des amitiés féminines particulières. On voit par là que cette insatiable égérie née en 1903, elle vécut jusqu'en 1996, n'a pas volé le titre de "dernier personnage romanesque de ce temps" que lui avait décerné François Mauriac. Née de père inconnu, ce n'est que dix ans plus tard, lors du mariage de sa mère, une actrice, avec un éditeur, Ferdinand Loviton, qu'elle sera reconnue. Devenue Jeanne Loviton, sa vie va changer. Elle a été probablement le plus grand amour de Paul Valéry. Il y eut d'admirables lettres du poète à sa muse. Plus piquante que belle, grande et brune, avec pour arme principale un sourire auquel nul ne résista, Jeanne Loviton s'était inventé ce prénom d'homme Jean pour Jeanne et ce nom de bateau. Du genre goélette, avec de l'allure, de la grâce et un air de savoir affronter les tempêtes, elle laisse de sa longue existence, quatre-vingt-treize ans, le souvenir d'une grande amoureuse, qui cumula les liaisons passionnées avec les hommes, mais aussi avec les femmes qu'elle aima très tôt et envers lesquelles elle se montra sûrement plus loyale. Ainsi resta-t-elle très liée sa vie durant à Yvonne Dornès, la fondatrice de SVP, l'agence de renseignements téléphoniques. Elle exerça sur l'un et l'autre sexe un charme envoûtant et mystérieux que Paul Valéry résume d'un mot en surnommant ainsi son égérie, "Lust" en allemand, "désir." D'après un aveu qu'elle fit à l'auteur de "La Jeune Parque", il paraît cependant qu'elle "ne pouvait pas aimer". Tout à la fois sensuelle et froide, cette séductrice, qui voulait avant tout se rassurer elle-même sur ses dons et ses pouvoirs, tenait semble-t-il cette incapacité d'une enfance abandonnée. Son père la reconnut tardivement. Mais elle prodiguait à ses amants et à ses amantes des plaisirs ineffables. Giraudoux obtenait d'elle la réalisation de "caprices démesurés" et Valéry ne rêvait que d'"être moi, si près de ta chère chaleur". Ayant hérité d'une fortune confortable, elle aurait pu se contenter de vivre agréablement entre sa maison de la rue de l'Assomption, construite au milieu des rhododendrons et des cytises, et son château du Lot, qu'elle avait acheté à Robert de Billy, près de Figeac. Jean Chalon raconte qu'une forêt de tilleuls embaumait le lieu. Mais elle fit des études, devint avocat, traita avec succès des dossiers difficiles dont son divorce avec Pierre Frondaie. Elle dirigea de main de maître deux maisons d'édition de droit fondées par son père les "Cours de droit" et les "Éditions Domat-Montchrestien", auxquelles elle adjoignit une branche littéraire en publiant plusieurs romanciers contemporains. Comme Marie de Régnier, alias Gérard d'Houville, elle écrivit elle-même plusieurs romans, dont "Beauté", "Raison majeure" en 1936 et "Jours de lumière" en 1940, publiés chez Émile-Paul, le célèbre éditeur du "Grand Meaulnes". C'était une femme active. Entreprenante et libre, sous le sourire enjôleur et les manières câlines d'une muse d'autrefois, choisissant ses amants, ses amantes et le moment des ruptures. Giraudoux est peut-être mort de son abandon et Valéry, en lui écrivant, pleurait des larmes de sang. Elle n'eut volontairement pas d'enfant et n'adopta que très tard une fille, déjà adulte, son unique héritière. L'un des épisodes les plus romanesques et tragiques de sa longue vie demeure sa liaison avec Robert Denoël, l'éditeur de Céline, mais aussi d'Aragon, assassiné dans des circonstances mystérieuses à Paris, en 1945. Il fut sans doute son plus grand amour et elle songeait à l'épouser. Elle se trouvait en sa compagnie dans sa voiture, la nuit de l'assassinat, et fut d'ailleurs interrogée comme principal témoin. Elle devait même être un temps suspectée. Denoël, qui l'adorait, avait fait d'elle l'actionnaire principal de sa maison d'édition. Comme si l'aventure et le risque étaient inscrits dans ses gènes, Jeanne Loviton devait ensuite enchaîner les voyages et affronter une tempête en mer et un naufrage. Il est pourtant un poète pour qui elle ne sera pas seulement une égérie de passage, Paul Valéry. Alors que bientôt la guerre approche, l'auteur du "Cimetière marin", déjà âgé, va succomber à un amour fou. Dans ses lettres un peu précieuses, elle devient "Calypso", "diamant vivant", "ô ma divinité". Mais le vieux poète sent bien qu'elle lui échappe. "C'est terrible d'aimer un toboggan", se lamente-t-il. Le jour de Pâques 1945, son "diamant" lui annonce qu'elle aime un autre homme, Robert Denoël. Valéry ne se remettra jamais de ce "coup de hache". Il s'éteint en juillet, alors que le Nobel lui semblait promis en octobre. Son deuxième roman, "Jours de lumière", est terminé au cours de l'été 1938. Pas tout à fait, car elle a demandé à Frondaie de le "toiletter", ce dont il s'acquitte obligeamment. En réalité, deux écrivains ont corrigé et remanié "Jours de lumière". Paul Valéry fut, lui aussi, mis à contribution dès avril et durant une partie de l'été. Jeanne lui faisait parvenir les chapitres rédigés, qu'il lui renvoyait annotés. C'est lui qui fut chargé d'en corriger les épreuves, avant de les déposer chez l'éditeur Émile-Paul. "Jours de lumière" recueillera tout de même quelques voix au "Prix Femina" grâce à Paul Valéry. Durant le mois d'avril 1939, elle prospecte le centre de la France. Elle trouve une petite maison en Dordogne mais, le cinq mai, alors qu'elle allait s'engager, Robert de Billy lui propose d'acheter "pour rien, 40 000 francs" un petit château dont sa belle-mère est propriétaire à Béduer, près de Figeac. Ce "petit château" est en fait une place forte remontant au XI ème siècle, rénovée au XVII ème siècle, ayant appartenu aux seigneurs de Lostanges, avant d’être racheté en 1911 et restauré par Maurice Fenaille (1855-1937), industriel du pétrole et grand amateur d’art. Elle en demeurera propriétaire jusqu'en 1985. C'est au mois de janvier 1943 qu'eut lieu la rencontre avec Robert Denoël. Il s'était rendu, en compagnie de Marion Delbo, à un déjeuner rue de l'Assomption. Jeanne et Marion, qui avaient dû se rencontrer, grâce à Frondaie, dans les milieux théâtraux, étaient amies depuis une vingtaine d'années. La comédienne connaissait l'éditeur depuis septembre 1942. Sur le conseil de Cocteau, elle lui avait soumis le manuscrit de son premier roman, Monsieur Durey, qu'il allait publier en mai. Denoël avait été séduit immédiatement, selon Marion. Trois mois plus tard ils sont amants. Denoël est un amant attentif et compréhensif. Il lui écrira des mots réconfortants après la mort de Paul Valéry. Est-ce que Valéry connaissait la liaison qu'avaient longtemps entretenue Jeanne et Giraudoux ? On l'ignore. Il ne lui écrit pas un mot à son sujet, mais il participe à l'hommage collectif des hommes de lettres publié le cinq février dans "Comœdia" sans doute pour lui faire plaisir. Tandis qu’elle entretenait les mondanités, les soupirants et les rencontres de journalistes et d’écrivains, Robert Denoël dépensait une énergie folle à son métier d’éditeur, sans illusions sur ses relations amoureuses. Dans la tourmente de la libération, tandis que l’éditeur Robert Denöel s’inquiétait des attaques dont il faisait l’objet, il préparait sa défense avec Jeanne se remémorant son séjour à Figeac, fasciné par la châtelaine de Béduer. Jeanne Loviton, malgré ses nombreuses relations mondaines, n'a pas vraiment d'appuis politiques, car elle n'appartient à aucun parti. Durant plusieurs mois elle va intriguer en toutes directions pour sortir d'embarras son amant. Ce n'est pas chose facile, Denoël s'est fait beaucoup d'ennemis. Sa meilleure alliée sera Yvonne Dornès, qui a longtemps rechigné à intervenir en raison de son peu de sympathie pour l'éditeur. La seconde sera son amie proche, Suzanne Borel, qui deviendra Mme Georges Bidault le ving-huit décembre. Le dossier de l'éditeur belge n'est pas très bon. Le deux février une Commission consultative d’épuration de l’Édition a été nommée par le ministre de l'Information de l'époque, Pierre-Henri Teitgen. Quatre jours plus tard, son président Raymond Durand-Auzias écrit au ministre. "Il serait aussi préjudiciable, pour le prestige français, de voir subsister certains noms de firmes comme Éditions Denoël que de laisser par exemple subsister le nom de certains journaux comme Gringoire ou Le Pilori, même avec une direction nouvelle". Le six février Robert Denoël s'est présenté devant le juge d'instruction Achille Olmi, chargé de son dossier. Certains ont prétendu qu'en raison des attaques dont il faisait l'objet dans la presse, il se serait rendu spontanément au palais, en vue de réclamer une possible protection policière. Le mémoire de Robert Denoël était destiné à sa défense devant la Commission d’épuration du Livre, dont le siège se trouvait au 117 Boulevard St-Germain. Après sa mort, la plupart des journaux écrivirent que l'éditeur aurait dû passer devant cette Commission au cours du mois de décembre 1945. Jeanne Loviton n'aura guère le temps de goûter son idylle avec le sulfureux éditeur, qu'elle doit cacher à la Libération. Le soir du deux décembre 1945, alors que leur Peugeot 302 noire a crevé à deux pas des Invalides, Robert Denoël est tué d'une balle dans le cou par de mystérieux assassins. Il expire entre ses bras. En moins de six mois, la muse, très seule, a perdu les deux hommes de sa vie. La voici directrice des Éditions Denoël, publiant notamment "La Peau", de Malaparte. Elle songe même, un temps, à épouser le fantasque Italien. Mais il lui faut surtout gérer l'écrivain vedette de la maison, Louis-Ferdinand Céline. Leurs relations seront épiques. De son exil danois, désespéré et paranoïaque, l'auteur de "Voyage au bout de la nuit" se persuade en effet que la "mère Voilier" a fait assassiner Denoël pour hériter de ses affaires. Dès lors, elle sera la figure la plus insultée de toute la comédie célinienne. Florilège: "damnée sirène", "Thénardière", "funambulesque héritière", "tigresse à procès", "saboteuse et désastreuse". Jeanne Loviton restera, dans la petite histoire littéraire, plutôt comme obsessionnelle tête de Turc de Céline que comme muse élégiaquement chantée par Valéry. Elle s'éteint le 20 juillet 1996 et repose au cimetière Notre-Dame de Versailles, où sa tombe porte simplement son prénom, Jeanne. Bibliographie et références: - Paul Valéry secret. "Correspondance inédite" - A. Louise Staman, "Assassinat d’un éditeur à la Libération" - Célia Bertin, "Portrait d'une femme romanesque" - Jean Clausel, "Cherche mère désespérément" - Paul Valéry, "Corona et Coronilla, poèmes à Jean Voilier" - Carlton Lake, "La vie de Jeanne Loviton" - Dominique Bona, "Je suis fou de toi. Le grand amour de Paul Valéry" - Jacques De Decker, "Paul Valéry est-il mort d’amour ?" - Jérôme Dupuis, Jeanne Loviton, croqueuses d'écrivains" - Pierre Assouline, "Une don juan" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/12/20
J'ai devant moi , sur le comptoir, mon cadeau d'anniversaire de moi à moi ;)    Un stap- on que je trouve en fait trop étroit et long . J' en discute avec une connaissance de longue date   quand je le vois revenir  des toilettes avec  le rosebud à la main. Ça nous  fait sourire.  Je vois bien à son air penaud qu'il est embêté de n'avoir pu se l' enfiler mais c'est pas grave. De toute façon, il ne serait pas resté longtemps en place.  Il était juste l' avantage de  l'ouvrir et ainsi le préparer à ma venue, mais bon! On fait avec les moyens du bord. C'est la première fois que je le rencontre et  ce qui m'intéresse c'est évaluer son potentiel. Jusque là, ça va pas trop mal.  Mon pote qui est gay le trouve à son goût  alors je demande à mon soumis du soir de nous montrer sa belle chute de reins. Je m' amuse de l' envie que je lis sur le visage de mon ami mais , non, non, je ne le prête pas... J'ordonne à ma petite chose de se mettre à 4 pattes , direction les salons.  Le pauvre  à eu du mal à se dépatouiller entre sa serviette qui tombe, la laisse que je tiens en main reliée à son collier et celle qui est depuis le début à son poignet  et  maintient ses testicules attachées. C'est vraiment lentement que l' on quitte le coin bar et c'est non sans plaisir car connaissant la gourmandise du compère au comptoir, je suis certaine qu'il se régale à la vue de  ce cul rebondit se tortillant  pour quitter les lieux... Je choisis un salon avec une rambarde à mi hauteur. Je peux ainsi y accrocher la laisse et disposer de ce chien potentiel. Oh je sais  d'avance qu'il va falloir que je me modère car j'ai bien compris lors de nos différents échanges qu'il manque d'entraînement" :)  Avant même que je ferme la porte, un jeune homme se présente tout sourire et plein d'envies. Bien mignon mais pas le moment, je lui ferme la porte au nez lui faisant part de ma décision. J'installe correctement ce cul offert pendant que j' entends le petit quatre heure s'agiter derrière la porte....   J'installe mon stap-on en insérant sa petite partie ronde en moi...  L'autre n' en finit pas de japper. " Laisser moi entrer, je ferais ce que vous voulez. _ Je vais surtout  te botter le cul si tu ne me laisses pas tranquille! " En faite tout ça m' agace et m' excite en même temps. J'ai  bien envie  de le baiser ce petit cul tout rond. Et sous cet angle sa chute de reins et encore plus délicieuse... J' entre progressivement , avec précaution, mais putain que j' ai envie de le baiser...  Je le sens qui vient à moi... L'autre dehors c'est calmé ou je ne fais plus attention à lui, je ne sais pas, j'ai juste envie de limer celui là ... Hum!  Oui , viens  t’empaler encore un peu... Ça me plait... Ça m' excite... Mes reins s’animent, j' ai bien envie de lui... Il gémit, se tortille un peu, et au moment où je commence à y prendre plaisir il se retire en disant stop. Yo!  Ni une ni deux, je lui claque le cul. Il va vite comprendre que le "stop"  ne me convient pas. Mais inutile d'insister, j' en ferais rien ce soir de son cul...  C'est à ce moment que je repense au p' tit 4 heure dehors. ¨P'être qu' il y a moyen de baiser finalement... Je décroche la laisse du soumis et le cale dans un coin. J'ouvre la porte et sans vraiment de surprise, trouve le jeune planté devant. Il est grand mince, appétissant et ça tombe bien j' ai faim... Il regarde mon gode tenir droit sur ma chatte... Pas sure qu'il s'attendait à ça... Je me pose sur le matelas et l' invite à se placer devant moi. Suggérant qu'il suce son gode que je caresse... Je lui parle de son mauvais comportement dans le couloir  en même temps qu'il se rapproche de ma queue. Je sens bien qu'il cherche à l' éviter du regard mais il a tellement envie de me toucher... Ses doigts glissent entre mes lèvres et le strap... Je lui bloque la main en lui faisant comprendre qu'il n'ira pas plus loin sous peine de se faire botter les fesses... Son regard dérape alors sur la posture de mon soumis, tête et regard bas, à genoux dans un coin... Je crois que c'est à partir de là qu'il a commencé à reculé affirmant que non; non; non, lui il n' est pas soumis... " Alors qu'est-ce que tu fous là? "  Allez zou!  Deux petites claques au cul en passant et hop, dehors le gamin... Sauf que du coup, j' ai encore plus envie de baiser... Soit!  Comme je l' ai écris plus haut; Faut faire avec les moyen du bord. Et quand il s'agit de mon plaisir, je sais me servir...  Je sors ma petite chose de son coin et le fait s'allonger sur le dos... Voyons si sa langue peut m'être utile... J'aime  qu'une façon de faire, que je ne décrirais volontairement pas ici. Je l' explique qu'une fois et sois ça passe  et j' en profite, soit ça na le fait pas et je .... Ben ça non plus je le dis pas....  De toute façon ce soir là c'est passé à merveille! Hum! Une langue telle que j'aime à me branler dessus... Là , je suis plus qu’excitée... Je prends mon pied et quand je commence, c'est pas pour m' arrêter... J'ai vraiment envie de le baiser et sa langue m' ayant bien servit il se retrouve la bouche bien humide... Je me redresse et attrape mon jouet. Je vais pas en rester là. Ça serait bien mal me connaitre... J'introduis dans sa bouche la petite partie du srtap-on, celle-là même que je serrais dans mon vagin un peu plus tôt, en lui conseillant vivement de ne pas mordre dedans ... Bien redressé le reste du gode droit au-dessus   . Le voilà transformé en sexe-toys pour mon plus grand plaisir. C'est sans plus aucunes retenues que j' ai enfin baisé à m' en faire jouir.... M'empaler sur mon propre gode tenu par sa bouche c'est tellement excitant qu'il  ne m' a pas fallu longtemps pour en jouir... UNE FOIS... J'ai retiré le gode et me suis fais jouir au dessus de sa bouche... UNE  FOIS ... Tellement bon... Allez encore UNE FOIS... J' ai coulé comme ça faisait longtemps que j' avais pas coulé... Finalement je suis bien contente qu'il ai eu mal au cul...  Je ne serais peut-être pas aller chercher mon plaisir ailleurs... Peut être... Bon le salon est trempé, va falloir nettoyer... J'indique la marche à suivre à mon potentiel car vu comme il s'en est sorti je vais continuer à l' éduquer... Il commence à nettoyer quand je sens monter en moi une envie ... Humm! Allez, il l' a bien mérité; autant aller jusqu'au bout... Je lis en lui un instant de confusion, je lui dis de nettoyer et là je lui dis de s'agenouiller... Il sais plus le garçon...  "Cherche pas! Fais ce que je te dis. "   Il s'agenouille entre mes cuisses et comprends assez vite où je l' emmène maintenant... J’attrape sa tignasse , trop pratique une poignée de cheveux pour guider une tête. Il se tord tant bien que mal pour trouver une position confortable mais va falloir qu'il comprenne que c'est pas mon problème. Son confort n' est pas à l' ordre du jour. J'ai envie de pisser dans sa bouche là maintenant... J'ai envie qu'il me boive et je vais faire en sorte qu'il y parvienne. Du moins au départ... La suite dépendra de ses premières gorgées... Je contrôle jet après jet en lui laissant le temps d'avaler, puis rempli un peu plus sa bouche pour de plus grosses gorgées... Hum! J'ai plaisir à l' entendre déglutir, je  sens  quelques hauts le cœur qui me procurent un plaisir plus pervers... J'en profite pour augmenter le débit... J'hésite à l' étouffer de pisse mais me ravise... Il toussote juste un peu... Je fini par un jet plus puissant destiné à l'humilier, recouvrant sa face de pisse chaude et dégoulinante... Hummm! Quelle bonne fin de soirée... Reste plus qu'à le faire  nettoyer ;) 
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Par : le 23/11/20
Comment dire la découverte, comment écrire l’envie soudaine de transgresser les règles, dépasser ses peurs, s’essayer dans des désirs les plus osés, se confronter à soi-même, se découvrir dans des postures que l’on avait même pas imaginées, se rendre aux volontés d’une seule personne impénétrable, accepter, faire confiance à son opposé, puis progressivement une fois que cette dernière commence à s’instaurer, affronter la réalité d’un corps soudainement réveillé. Comment se regarder en face, s’assumer dans ce nouveau souhait. Soumission salutaire, soumission grégaire, soumis ou survie. Je ne fais que constater la démission de la pensée au moment où je me sens humiliée, désirée, fouettée, pénétrée alors qu’une humidité trahit malgré moi le plaisir lié à cet abandon de mon esprit pourtant si habituellement mesuré. Mon corps supplie un relâchement indécent, il gémit, sursaute, se cabre, pleure ou quémande encore sous les pratiques strictes qui me sont, comble de cet état, offertes à ma demande. Comment décrire ce qu’il se passe alors que moi-même je cherche encore à le deviner. Quand on perd la vue reste les sons, le toucher, les ressentis. Tantôt je sens ses mains qui m’effleurent ou me dénudent, tantôt ses lèvres sur ma bouche. Je frissonne à peine de plaisir qu’un coup de cravache s’abat là où je ne m’y attend pas. Tantôt, elle me fait rire, puis d’un coup m’ordonne d’être à genoux, me fait fondre de la cire sur le dos, me parle froidement et me singe en demandant si j’ai encore le cœur à sourire. A peine je crois enfin pouvoir accéder à son corps, faire la connaissance de ses formes généreuses et appétissantes qu’elle me retourne et me prend par une entrée ou l’autre comme un vulgaire objet sexuel. Alors que je ressens le besoin impérieux de la sentir, d’être à son contact, elle m’attache à son lit de part en part et me nargue encore. Tel un chat, elle peut jouer des heures avec sa souris, et c’est seulement quand elle constate formellement sur moi l’état de sa cruauté douce qu’enfin je souffle. Quand je reviens à la surface, quand j’ai le droit à nouveau d’ouvrir les yeux sur la réalité qui m’a permis de fuir la raison, je découvre l’étalement d’objets qui m’ont fait devenir folle de désir, grâce à la main experte de celle qui domine désormais mes pensées. Heureusement, je revis à nouveau à la mesure de ses caresses lentement déposées sur ma peau entièrement dévoilée. Je m'enivre enfin pleinement de cette odeur et ce corps chaud et voluptueux que j’ai tant cherché. Je me sens à nouveau exister dans cette attention contrastant avec l’élan dévorant d’une passion précédente. Instinct physique qui dépasse la morale tout autant que le plaisir. Vient ensuite la discorde du cerveau. Au moment où je souhaite ardemment m’éloigner de cette condition sans nom, mon corps, mon cœur m’appelle encore à cette résurgence de vitalité qui naît et renaît dans un cercle qui pourrait devenir infernal. Je ne sais pas si c’est de sa volonté ou si si c’est de mon fait. Mais cela est. De mois en mois, avec de la pudeur, des rires et de la distance.
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Par : le 20/11/20
Patricia regagna sa chambre d'hôtel et s'octroya le luxe rare de faire une sieste. Étendue nue sur le lit, elle avait seulement oublié d'ôter ses lunettes après la lecture de son roman. Ce fut un coup frappé à la porte qui la réveilla, deux bonnes heures plus tard. Reposée, elle bondit hors du lit et alla jeter un coup d'œil par le judas. Un livreur attendait, tenant une corbeille de fleurs dans les bras. Lorsqu'elle ouvrit la porte, elle découvrit un superbe bouquet de lys, une bouteille de champagne et un cadeau très soigneusement enrubanné. C'était agréable et inattendu et elle ne put s'empêcher d'être émue par ce geste si romantique de la part sans doute de l'inconnu, celui qui l'avait soumise la veille, lors de cette soirée mémorable. Elle donna un pourboire au livreur, referma la porte et ouvrit avec joie le paquet. Patricia ne fut pas étonnée de découvrir son contenu, un déshabillé en soie noire, un loup en velours de la même couleur et une paire de menottes. Elle saisit la petite carte dont elle lut le message à voix haute: "Cette soirée vous appartient. Portez le bandeau pour moi. Je passerai vous prendre à dix-neuf heures". Un peu anxieuse, elle aima pourtant sa persévérance et sa fidélité dans le lien qui les unissait. La persévérance signifiait qu'il prenait très au sérieux les sentiments qu'il éprouvait pour elle. Mais en même temps, toutes les attentions qu'il lui prodiguait la déstabilisaient. Elles ne lui laissaient pas le temps de souffler et rendaient plus difficile encore la possibilité de lui résister. Patricia songea à s'enivrer avec le champagne. Ainsi elle n'aurait pas à réfléchir ni à prendre de décision. Elle porterait le bandeau. Tout ne lui serait pas infligé à la fois, elle aurait le loisir de crier, de se débattre, mais de jouir aussi, tant il prenait plaisir à lui arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Il n'était pas dans ses habitudes de fuir les responsabilités. Elle avait découvert la subtilité et la délicatesse du jeu des relations entre le maître et son esclave. Elle devait savoir indiquer à l'inconnu les limites à ne pas franchir. L'autorité absolue est un savant jeu d'équilibre, le moindre faux pas romperait l'harmonie et au-delà briserait la considération qu'ils se porteraient l'un à l'autre. Toute femme a ses limites, elle a les siennes. Il ne pourrait aller au delà des limites acceptées, moralement ou physiquement. Toute dérogation à cette règle serait dangereuse. En cela, elle s'accorderait du plaisir et une nuit d'amour car il avait la générosité de ne pas la priver d'orgasme. Patricia devrait lui accorder les privilèges de sa fonction. Lui procurer le bonheur grisant de la dominer tout en se préservant quelque indépendance, car alors la punition qui s'ensuivrait serait source de plaisir pour l'un et l'autre. Se soumettre, endurer, désobéir et jouir dans la contrainte. Elle avait pris conscience de son pouvoir sur l'homme. Car c'est une évidence qu'ignorent les non-initiés à cet univers qu'elle pénétrait, marginal et si envoûtant. Il ne serait jamais celui que l'on croit. En réalité il serait en état de dépendance totale vis à vis d'elle. Il existerait et ne trouverait sa place ou sa justification que par rapport à elle. Par ce jeu subtil de rapports de force, elle serait certainement celle qui exercerait le véritable pouvoir dans leur relation. Même s'il la pousserait certainement au paroxysme de l'épuisement et de la souffrance physiques lors de séances très éprouvantes. Elle l'accepterait tout de lui pour autant qu'il n'abuse pas trop de la situation de dépendance engendrée par l'amour qu'elle lui portait en la forçant à accepter des épreuves trop humiliantes. Elle se pencha au-dessus des lys, huma leur parfum. Elle aimait les fleurs fraîches, le champagne, le déshabillé et le symbole des menottes. Mais qui ne les aimerait pas ? Cela ne signifiait pas qu'elle était prête à succomber à la requette de l'inconnu. Et toutes ces attentions. Elle ne savait pas ce qu'il pensait vraiment d'elle. Elle avait voulu le séduire, mais en réalité, il l'avait soumise. Sur la terrasse de la suite, elle avait désiré être sodomisée et elle avait joui mais ensuite dans le reflet de la lumière de la chambre, attachée, l'homme l'avait fouettée avec sa ceinture. Les traces sur son corps la rendaient fière. Elle souhaita seulement qu'il fut également heureux, si le le supplice était le prix à payer pour que son amant continuât à l'aimer. Pour s'engager plus avant, elle aurait besoin de savoir qu'il l'aimait. Mais comment pouvait-il le lui prouver ? Lui avait-elle, à dessein, assigné une tâche impossible ? Avait-elle aussi peur qu'il le pensait ? Patricia portait un collier de soumission mais elle n'avait pas les clefs, encore moins celles des chaînes de leur relation amoureuse. Les règles de leur jeu. Elle se sentait incapable de répondre à toutes ces questions. Elle prit la paire de menottes et le bandeau. Elle fit glisser ce dernier entre ses doigts. Devait-elle poursuivre leur relation et offrir une chance à ce lien si fort qui les unissait ? Elle n'aurait su le dire mais secrètement elle l'espèrait. Son corps l'exigeait. Alors que dix-neuf heures approchait, elle se doucha, et s'habilla. Une simple robe légère, et en dessous une paire de bas tenue par un porte-jarretelle; porter des sous-vêtements aurait été maladroit. Elle noua le bandeau sur ses yeux. Les cinq minutes passèrent trop vite et lorsqu'on frappa à la porte, elle se sentit la gorge sèche. Elle l'entendit rentrer. Sa voix profonde, sensuelle, fit courir un frisson le long de son dos et naître aussitôt le désir au creux de ses reins, de son ventre. Déjà, ses seins se dressaient, pressant la soie de son décolleté. Très vite, elle compris qu'elle avait pris la bonne décision. Et qu'importe ce qu'il adviendrait ensuite, elle était prête à vivre tous ses fantasmes. - Il y a une chose qu'il faut que vous sachiez si vous me prenez en charge ce soir. - De quoi s'agit-il ? - Je ne porte pas de lingerie. Par conséquent, je suis nue sous ma robe. - J'aimerais beaucoup voir. Les doigts tremblants, elle saisit l'ourlet et fit remonter le tissu le long de sa cuisse. Jamais elle ne s'était sentie aussi indécente et elle adorait cela. Elle écarta légèrement les cuisses. Elle se sentait déjà humide, prête pour lui. S'il ne la touchait pas très vite, elle allait s'évanouir. Il laissa un doigt glisser vers l'intérieur de son entrecuisse, puis il effleura son clitoris. Patricia frissonna, le corps parcouru de sensations délicieuses. - Nous n'allons pas faire l'amour ? - D'abord, nous allons poursuivre votre apprentissage. Avez-vous aimé la séance d'hier ? - Oui, je vous aime quand vous me dominez. Elle se sentait rassurée. Il lui ordonna de se déshabiller totalement et de se débarrasser de ses talons hauts. Il glissa quelque chose de doux et de soyeux autour de ses poignets et l'attacha. Elle testa ses liens. Elle pouvait bouger de quelques centimètres. Ce qu'elle fit, et dans la position où elle se trouvait, le désir crût soudain dans ses reins. Alors il décida de la contraindre, les bras maintenus dans le dos à l'aide de la paire de menottes métalliques. - Je voudrais vous fouetter, et cette fois, je vous le demande. Acceptez-vous ? - Vous connaissez la réponse, je vous aime. Il lui enchaîna les mains au dessus de sa tête, à l'anneau fixé au plafond qui soutenait le lustre de la chambre. Quand elle fut ainsi liée, il l'embrassa. Lorsqu'elle reçut le premier coup de fouet, elle comprit qu'il s'agissait d'un martinet souple utilisé de façon à lui chauffer le corps avant d'autres coups plus violents. Puis, du martinet, l'homme passa à la cravache. Elle en devina la morsure particulière au creux de ses reins. Cela devait être une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. Maniée avec précision et nuance, chaque coup reçu lui semblait différent, selon que la mèche de cuir la frappait à plat, ou au contraire sur toute la longueur de la tige. Patricia oublia toutes ses résolutions pour se mettre à crier sous la morsure intolérable des coups. Le tout avait duré une dizaine de minutes. Il s'arrêta. Elle ressentit un apaisement. L'inconnu lui ôta le bandeau qui la rendait aveugle. Un sourire sur son visage. Quand il la prit dans ses bras, le coton de sa chemise lui agaça la pointe des seins. Il l'embrassa, l'étendit sur le lit, se coucha contre elle, et lentement et tendrement, il la prit, allant et venant dans les deux voies qui lui étaient offertes, pour finalement se répandre dans sa bouche, qu'ensuite il embrassa encore. Elle trouva la force de lui répeter qu'elle l'aimait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/11/20
Assise en tailleur, les yeux bandés, vêtue d'un corset en cuir, j'attends bien sagement le Dominateur qui réussira à faire de moi sa soumise. Les candidats sont nombreux, mais celui qui arrivera à trouver mes points faibles pourra assouvir ses moindres désirs dans le respect de la soumise que je suis. Le jeu est lancé.... Un 1er candidat vient vers vous d'un seul regard je savais d'avance qu'il ne trouverait pas, il essaya mais aucune réaction de mon corps...un 2ème se présenta devant, je mis à genou, commença à me caresser les bras et les jambes...rien y fait....puis un 3ème..jusqu'à ce qu'un candidat réussissa à me faire frissonner de plaisir, à me faire gémir doucement...il avait enfin trouvé ce qui me faisait craquer. J'ai donc choisi ce Dominateur et lui offrir mon corps. En bonne soumise, je commença à l'appeler Monsieur, et que je mettais à disposition mes attributs...chose qu'il apprécia énormément. Il me demanda de me remettre dans la position dans laquelle j'étais, me demanda de lui tendre les mains afin qu'il puisse me les attacher, de fermer les yeux... Et de lui faire confiance. Il commença à me caresser la chatte avec un plumeau puis parcouru tout mon corps avec..je frissonnais de plaisir.. Il me mit très vite à l'aise. Je sentis son souffle sur ma peau, puis sa langue, et ses mains prendre mes mamelles, me les titiller et faire durcir mes tétons afin de pouvoir utiliser le pince téton.. La douleur est intense mais je me contrôle afin de ne pas subir de punition, puis sa langue descendit sur mon clitoris, la jouissance fut intense car mon corps se cambra sous l'effet de sa langue, il me pénétra avec 2 de ses doigts et vit qu'il pouvait insérer plus... Mon corps n'arrêta pas de bouger tellement le désir est intense et jouissif à souhait.. Il m'ordonna de me mettre sur le dos et d'écarter encore plus les jambes afin qu'il puisse avoir accès plus facile à ma chatte... Ces doigts font des va et vient de plus en plus rapide..je me contracte pour ne pas lui montrer que j'étais une femme fontaine, mais il décida de continuer et me présenta sa bite en bouche afin que je me laisse faire et que je lui donne aussi du plaisir, le désir monta autant chez lui que chez moi Plus j'accelerai la mise en bouche plus ses doigts s'enfonçait en moi, il sentit que je me laissais de plus en plus faire et réussissa à ses fins, à ce que je me libére mais il se libéra en même temps tellement l'excitation fut intense pour lui, la semence était une partie en bouche et l'autre sur mon visage. Notre regard se croisa et nous avions deviné sans se dire un mot que l'un comme l'autre nous avions apprécié ce qu'il venait de se passer.. Comme quoi même sans penetration la jouissance est là et peut être différente et les sensations plus forte. La mise sous collier se fera certainement au fur et à mesure de nos échanges et rencontres....ou pas....
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Par : le 13/11/20
Ayana est une jeune et fort jolie japonaise, venue faire ses études en France. Elle est passionnée d'art , de littérature et elle aime Paris. Son père est un très riche industriel de Yokohama qui adore sa fille et veut le meilleur pour elle. Pourtant Ayana s'ennuie dans son univers hyper protégé. Son garde du corps, Naoto, est un expert en arts martiaux. Un très beau jeune homme qui en pince pour Ayana, sauf que cette dernière l'ignore complètement. Elle est même presque insupportable et souvent très désagréable avec lui. C'est son toutou, son jouet. sauf qu'il n'a pas le droit de toucher Ayana, sans quoi son père qui fait partie des Yakusas a promis de le castrer. Ayana se désespère. 26 ans et toujours vierge à cause de la jalousie maladive de son père. Contrainte à se caresser sous la douche ou sous la couette pour se détendre et se faire du bien. Elle a refusé tous les prétendants au mariage présentés par son père. A chaque fois elle a hurlé: -Occupe toi de ton entreprise mais laisse moi choisir moi même mon époux ! Un bon tempérament de fille de Yakusa, ???. Résultat, elle est célibataire et toujours vierge et toujours sous la surveillance de Naoto qui renifle en douce ses petites culottes qu'elle laisse exprès trainer pour le faire souffrir. Ayana rêve d'un male puissant qui la domine et l'embroche profond. Elle n'aime pas les petits sexes asiatiques, non, elle rêve d'un beau sexe d'homme, comme ceux qu'elle admire dans certains musées ou sur des sites pornos. Comme toutes les japonaises, elle surfe et fait dans le virtuel. Elle a beaucoup d'amants sur le net mais aucun amant concret, un de ceux qui posent les mains sur elle. Elle verrouille parfois la porte de sa chambre, avec Naoto qui se désespère derrière la porte, et s'amuse avec sa webcam à montrer sa chatte à ses amants virtuels et à jouir devant eux. Les autres sont trop content de se branler devant leurs écrans et d'écrire des cochonneries qui font rires Ayana. Il en faudrait bien plus pour déranger une fille de Yakusa, avec un père au petit doigt gauche tranché net dans la tradition du yubitsume (doigt coupé) et de l'irezumi (tatouage japonais). Seulement voilà, à force de trainer sur des sites peu sûrs, un jour Ayana a eu un choc en regardant sa souris se déplacer seule sur son écran. Elle n'avait plus le contrôle de son ordinateur. Un autre l'utilisait à sa place. Mais qui et où? Pas ce crétin de Naoto. A part faire des katas, il n'a pas les couilles pour cela. Non, un parfait inconnu ! Ayana aurait pu tout débrancher et faire désinfecter son ordi, pourtant cela l'amuse. Elle laisse faire cette souris baladeuse. Des fichiers s'ouvrent, se referment. La souris cherche ses photos intimes. C'est vrai qu'Ayuna est très belle et qu'elle aime se mettre en scène sur des photos. La souris ne s'intéresse qu'à celles ou elle est nue. C'est un peu comme un viol. La souris se ballade partout, explore son disque dur, enclenche la caméra, les micros et installe ce qu'elle veut comme programmes. Ayana laisse faire. Son ordinateur n'est plus à elle mais a un ou une inconnue... La voix a claqué. Une voix française de mâle. -Allez debout salope, fous toi à poil et magne ton cul ! Ayana a obéi. Elle a senti sa chatte s'ouvrir, son clitoris se dresser et un peu de cyprine couler le long de ses cuisses. Elle a chaud. Les pointes de ses seins se dressent. -Mais c'est vrai que tu es une salope, a dit la voix sèche et rauque ! Cela fait des semaines que je t'observe, pétasse. Allez, montre ta chatte et ton cul. Ouvre. Mieux que cela ! Ayana a obéi et elle a jouit très fort. L'inconnu a installé un programme d'hypnose. Il a forcé Ayana a regarder l'écran et ses spirales mouvantes et à écouter sa voix. Elle a fini par s'endormir. L'inconnu a prit le contrôle de son cerveau. Il s'est installé dans la vie d'Ayana en la suivant partout via son ordinateur ou son téléphone portable. Le pire, c'est qu'elle sent qu'il est aussi "en elle". Pourtant elle n'a pas peur. Elle aime sentir être devenue l'entière propriété de cet inconnu. Elle garde ses caméras ouvertes, elle en porte une en permanence à sa boutonnière, avec des écouteurs à ses oreilles. Son inconnu peut voir ce qu'elle voit et elle peut l'entendre, mais elle n'a pas le droit de lui parler. Elle doit obéir et se taire. En bonne japonaise, cela, elle sait faire. Un jour, elle reçoit l'ordre d'aller aux toilettes d'un restaurant, qui sont mixtes avec une vaste pièce, avec un lavabo, qui ferme à clé. Naoto reste à la porte. L'inconnu est là ! Ayana n'a pas le droit de lever la tête et de le regarder. L'inconnu la trousse, la retourne et l'encule d'un coup sec. Elle éprouve une douleur terrible. L'inconnu l'empêche de crier en lui fermant la bouche d'une poigne de fer. Il reste fiché en elle sans bouger. La douleur passe. Il commence les va et vient. Ayana se cambre. Enfin un homme qui la baise en vrai pour de bon. L'inconnu lâche son sperme dans ses reins. Ayana ne sait toujours pas qui il est. Naoto qui a entendu sa Maitresse gémir frappe à la porte. -Tout va bien, Maitresse ? -Oui, reste à la porte et me casse plus les couilles, a répondu Ayuna ! L'inconnu a demandé à sa soumise de lui laver le sexe. Puis il l'a regardé dans les yeux. Un fort beau jeune homme, très viril et imposant. Ayana a baissé la tête et joué à la soumise. Il l'a dépucelée et prise par sa chatte poilue de japonaise. Il a joui en elle. - A présent, nous sommes Mari et Femme, a dit Ayana en remettant sa petite culotte et en rajustant sa jupe plissée. Viens, allons boire un verre pour fêter cela. Ils sont sortis main dans la main sous le regard médusé de Naoto. Ayana lui a fait signe de se taire et de rester tranquille. Il a obéi en faisant une courbette de profond respect. Cette fois, ce n'est plus l'inconnu qui a la main, mais Ayana. Cette dernière a senti son clito se dresser. L'inconnu, bientôt son époux, va devoir filer droit et bien lui faire l'amour pour le reste de ses jours....Et pas d'incartades, sans quoi elle le castre elle même avec son kaiken ?? .
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Par : le 13/11/20
Le collier est une part importante de la soumission. Quand je le porte, que je le mets, je ne suis plus moi, je deviens une autre, je deviens sa soumise. Mon état d’esprit change totalement, ma personnalité s’efface face à la soumise. J’appartiens à mon DOM dès que mon collier est bouclé. Mon regard change, ma posture aussi, j’essaye d’être plus sérieuse, ce qui n’est pas forcément le cas, mais je passe à ses ordres. Le but étant de me laisser aller et de me laisser faire. Mon collier est un vrai collier de chienne, pas de soumise comme on voit souvent dans les films, je ne mérite rien d’autre, je deviens sa chienne, obéissante, docile… peut-être pas tout le temps, mais c’est ce qu’il apprécie avec moi. Je garde quand même la décision finale sur ce que l’on peut faire, surtout sur les nouveaux jeux, sur les choses connues, il a la main libre. J’ai une fierté en le portant, je suis fière de lui appartenir, qu’il m’ai choisis, moi la débutante, moi qui prends confiance en moi quand je porte mon collier. Il me rend plus forte car je me dépasse quand je le porte, je dépasse tant de choses et surtout je m’affirme, et surtout je m’oublie un peu en le portant. J’oublie les soucis et les choses qui me tracassent, je n’ai plus rien à penser sauf le satisfaire et qu’il soit fier de moi. Je ne pensais pas au départ quand il m’en parlait, que ce collier pouvait tant faire de bien, je me disais oui c’est juste un point de repère, je n’imaginais pas une seule seconde que ce collier allait m’aider. Il signe mon appartenance à mon DOM, le respect que je lui porte. On ne peut pas savoir ce que c’est tant qu’il ne nous l’a pas passé avec un air satisfait, et réjouis. Bien sûr il ne m’a pas apprivoisé aussi facilement que ça. Notre première rencontre a même été cinglante, mon DOM m’ayant fouetté avec car j’avais oublié de le mettre. Les premières fois c’était juste un symbole sans grande importance pour moi. Puis, petit à petit, il est devenu LUI, lui le collier, lui le DOM ? Je ne sais plus très bien faire la différence. Quand je ne peux joindre mon DOM et je j’ai un coup de blues, il me suffit de mettre mon collier et je ressens un calme, une présence comme s’il là, près de moi. Vous direz surement que je suis folle ? Peut-être… mais avez-vous déjà appartenu à quelqu’un ? Vous êtes-vous déjà remis à lui totalement, en pleine confiance, en lui offrant votre corps pour des sévices physiques que vous n’accepteriez d’aucune autre personne ? En lui offrant votre esprit pour qu’il puisse le torturer, vous faire douter de vous-même pour mieux vous faire grandir ? Si oui, et si cette personne est votre DOM alors vous comprendrez certainement ce que je veux dire, sinon il vous sera impossible de comprendre avoir d’avoir vécu cette expérience. Ce petit bout de cuir, anodin et sans importance pour qui ne sait ce qu’il représente pour la soumise qui le porte parfois, est en réalité le support physique de toutes les frustrations que je souhaite éliminer, de tous les progrès que j’ai accomplis depuis que je suis SA soumise, de tous les progrès qui me reste à accomplir… Sans lui je serais sans ce lien permanent qui me permet de grandir, de capitaliser de mes expériences et progrès réalisés pendant les séances. C’est comme s’il enregistrait mes souffrances et mes victoires et c’est vrai, vu ma nudité lors de ces séances, c’est le seul témoin de ce que j’endure, de l’application que je mets à essayer de le satisfaire, de mon abnégation totale devant ses désirs. Et puis, finalement, ce n’est peut-être pas MON collier… C’est peut-être bien une partie de mon DOM qui m’accompagne au jour le jour. C’est mon DOM qui me l’a confié, c’est lui et lui seul qui peut me le reprendre un jour… Alors c’est un simple bout de cuir ou … Suggestion BDSM.FR pour continuer vos lectures sur le sujet : Collier et Laisse en BDSM, La symbolique du collier et le groupe Collier & Appartenance
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Par : le 10/11/20
Fille du roi d’Espagne Philippe IV et d’Elisabeth de France, Marie-Thérèse naît le 20 septembre 1638. Bien qu’elle soit le neuvième enfant du couple royal, sa naissance est dignement fêtée car les six infantes précédentes, et l’un de ses deux frères aînés, sont morts au berceau. Il ne reste comme héritier que le prince des Asturies, Balthazar-Carlos, né en 1629. Dès sa naissance, on envisage de marier Marie-Thérèse à son cousin, Louis Dieudonné, futur Louis XIV, héritier du trône de France. La reine Elisabeth, sœur du roi Louis XIII, rêve de voir sa fille régner sur son pays natal et lui enseigne que seule la couronne de France est digne d’elle. Cette mère aimante disparaît prématurément en octobre 1644. Marie-Thérèse se rapproche alors énormément de son père, à qui elle voue une véritable adoration. L’infante reçoit une éducation stricte à la cour de Madrid mais n’est pas privée d’affection et de divertissements. Elle est entourée d’animaux de compagnie, de nains et participe aux cérémonies officielles aux côtés de son père. En 1646, Balthazar-Carlos décède d’une pneumonie. Marie-Thérèse devient alors l’unique héritière de Philippe IV. Dès lors, il n’est plus question de la marier à un prince étranger qui rattacherait l’Espagne à son royaume. Dans l’espoir d’avoir un héritier mâle, Philippe IV se remarie en 1649 avec sa nièce, Marie-Anne de Habsbourg, qui est plus âgée seulement quatre ans de plus que l’infante. Marie-Thérèse, qui demeure pour l’heure l’unique héritière du royaume d’Espagne, est toujours associée aux apparitions de son père, effaçant la nouvelle reine. L’infante s’entendra bien avec sa jeune belle-mère, jusqu’à ce que celle-ci donne enfin un fils à Philippe IV en 1657, après la naissance de la petite infante Marguerite-Thérèse en 1651, et qui a pour marraine sa demi-sœur aînée. Après la naissance de l’infant Philippe-Prosper, Marie-Thérèse est de nouveau une princesse à marier. Elle a alors de nombreux prétendants dont le duc de Savoie, le futur roi du Portugal Alphonse VI, ainsi que l’empereur Léopold Ier, frère de sa belle-mère. Mais depuis toujours, l’infante d’Espagne espère épouser son cousin Louis XIV, roi de France. Depuis 1635, les deux pays sont en guerre. Une union entre les deux cousins mettrait fin au conflit et Marie-Thérèse apparaît alors comme un gage de paix. Après de longues négociations, le traité des Pyrénées est signé en novembre 1659, mettant fin à la guerre et scellant l’union de Louis XIV avec l’infante. Tandis que Louis XIV fait route vers Saint-Jean-de-Luz où doit avoir lieu la cérémonie du mariage le 2 juin 1660, Marie-Thérèse renonce solennellement à l’héritage de son père. Le lendemain l’infante épouse Louis XIV par procuration, lequel est représenté par Don Luis de Haro. Le neuf juin, elle épouse le roi de France en l’église de Saint-Jean-de-Luz. Les adieux entre Marie-Thérèse et Philippe IV sont déchirants mais le roi d’Espagne insiste auprès de sa fille sur le fait qu’elle est désormais française, avec ces termes:"Vous devez oublier que vous avez été infante pour vous souvenir seulement que vous êtes reine de France." Marie-Thérèse ne rechigne pas lorsqu’elle doit laisser derrière elle sa suite espagnole mais elle demande à son époux de pouvoir demeurer toujours auprès de lui. Cette requête ne doit pas être interprétée comme une soumission de la jeune reine mais comme un accord qu’elle exige de son époux. Louis XIV tiendra cet engagement. Le 26 août, la jeune reine fait son entrée dans Paris où elle est acclamée, le peuple français la voyant comme la princesse qui a permis de mettre fin à une longue guerre entre la France et l’Espagne. Bien qu’Anne d’Autriche fasse tout pour faciliter l’intégration de sa nièce Marie-Thérèse au sein de la cour de France, la nouvelle reine ne s’habitue pas aux coutumes de son pays d’adoption. Durant sa jeunesse, elle a vécu dans ses appartements privés, apparaissant peu en public et sans grande proximité avec les courtisans. En France, les souverains se mêlent presque aux membres de la cour, qui viennent baiser la main de la jeune reine, alors qu’en Espagne on avait à peine le droit d’effleurer sa robe. Cette proximité nouvelle dérange Marie-Thérèse au plus haut point qui trouve cela indigne de sa personne. Aux salons fréquentés par les courtisans, elle préfère sa chambre où elle se réfugie avec ses dames de chambre et ses naines. On en conclut trop vite que la reine ne s’intéresse pas à la vie de cour et qu’elle est effacée. Le premier novembre 1661, Marie-Thérèse met au monde un premier enfant, le dauphin Louis qui décédera en 1711. Tout au long de sa grossesse, puis au cours de son accouchement, Louis XIV n’a cessé de se montrer attentionné envers son épouse. Dans le même temps en Espagne, l’infant Philippe-Prosper décède mais la reine, enceinte en même temps que Marie-Thérèse, donne naissance à un nouveau fils le 6 novembre 1661. En France, Louis XIV s’est rapproché de sa cousine et belle-sœur, Henriette d’Angleterre, duchesse d’Orléans. Contrairement à Marie-Thérèse, la jeune princesse anglaise a été préparée à vivre à la cour de France et n’ignore rien des coutumes françaises et de l’étiquette. La reine souffre de la proximité de son époux et de la duchesse d’Orléans et s’en plaint auprès d’Anne d’Autriche. Celle-ci sermonne Louis XIV, ce qui n’empêche pas ce dernier de continuer à voir sa belle-sœur régulièrement avant de tomber sous le charme de l’une de ses filles d’honneur, Louise de La Vallière. Cette jeune fille de dix-sept ans est la première d’une longue liste de maîtresses pour Louis XIV pour le malheur de son épouse. Malgré sa liaison avec Mlle de La Vallière, le roi rejoint Marie-Thérèse chaque soir et la reine lui donne régulièrement d’autres enfants après la naissance du dauphin. Hélas, tous décèdent en bas âge, victimes de la consanguinité ou de maladies infantiles. Chaque décès de l’un de ses enfants est un déchirement pour Marie-Thérèse, qui ne trouve du réconfort que dans la religion. Elle voit dans la mort de ceux-ci un signe du ciel et se soumet, priant pour leurs âmes. Dans ces moments-là, Louis XIV joint ses larmes à celles de la reine avant d’aller retrouver sa maîtresse. La jeune reine ne comprend pas comment son mari peut lui préférer une autre femme. Elle a été élevée dans l’idée qu’elle était le parti le plus prestigieux d’Europe, a eu de nombreux prétendants et a été le gage de la paix entre la France et l’Espagne. Dans l’esprit de Marie-Thérèse, il est inconcevable que Louis XIV puisse être attiré par d’autres femmes, issues de la noblesse de cour. Les mariages dynastiques n’ont pas pour but de favoriser, selon le vocable contemporain, l’épanouissement sexuel des époux. L’essentiel est qu’ils soient aptes à la reproduction. Le plaisir charnel vient en plus, si affinités. S’agissant de Marie-Thérèse, il ne faudrait pas, en raison des multiples caricatures qui lui collent à la peau, imaginer une jeune femme pudibonde et rétive au devoir conjugal. Elle est née dans le pays de tous les interdits, ce qui ne signifie pas de toutes les frustrations. Leur première nuit a été heureuse, et la jeune reine, très éprise de son beau et fougeux mari, a pris goût, en toute dévotion à leurs jeux sensuels nocturnes. La plupart des auteurs ont vu dans son comportement une mièvrerie impudique et une infantilité indignes d’une reine du Grand Siècle. C’est oublier qu’à la cour de Louis XIV, les fonctions physiologiques les plus triviales sont évoquées, dans les conversations quotidiennes, sans aucune réserve et dans les termes les plus crus. Quant à l’intimité d’une reine de France, contemplée dès son lever dans le plus simple appareil par les princesses chargées de lui passer sa chemise et de l’assister dans toutes ses fonctions naturelles et les soins de son corps, elle est inexistante. Pour le reste, l’annonce matinale que son mari l’a honorée, est pour la reine un devoir d’information sur une affaire intéressant l’avenir de la Couronne. Elle le fait à sa manière, joyeuse et spontanée, si révélatrice de son besoin d’être aimée et de montrer aux autres qu’elle est aimée. La Palatine en fait le constat sans cruauté, car elle est très attachée à la reine, mais les courtisans rient sous cape parce qu’ils la savent quotidiennement trompée, ce qu’elle aussi sait parfaitement. Alors, certes, Marie-Thérèse est une épouse trompée, pas plus que sa mère, Isabelle ou sa grand-mère Marie de Médicis, mais pas à un seul moment Louis XIV ne l’a mise en concurrence avec ses maîtresses, comme Henri IV en promettant le mariage à Gabrielle d’Estrée et à Henriette d’Entragues. Le dix-sept septembre 1665, le roi d’Espagne, Philippe IV, décède à l’âge de soixante ans, laissant le trône à un enfant chétif, Charles II, âgé de quatre ans. Anne d’Autriche, minée par un cancer du sein, ne tarde pas à suivre son frère dans la tombe. La reine-mère meurt le vingt janvier 1666, laissant Marie-Thérèse privé de son principal soutien à la cour. Même si la disparition d’Anne d’Autriche afflige énormément la jeune reine, elle lui permet d’occuper seule la première place auprès du roi. En effet, jusqu’à sa mort, la mère de Louis XIV était considérée comme la véritable reine de France, bien que Marie-Thérèse ait la préséance sur elle. Mais, respectueuse et reconnaissante, la reine s’est effacée volontiers au profit de sa tante et si, dans les cérémonies officielles, Marie-Thérèse occupait la première place, elle s’inclinait en coulisse face à Anne d’Autriche si bien que les courtisans continuaient à s’adresser à la reine-mère, et non à l’épouse de Louis XIV, pour leurs requêtes. Avec la mort d’Anne d’Autriche, Marie-Thérèse devient la seule souveraine du royaume. En 1667, la guerre de Dévolution éclate entre la France et l’Espagne. En effet, Louis XIV revendique des territoires espagnols car la dot de Marie-Thérèse n’a pas été réglée. Or, la renonciation de l’Infante à ses droits sur l’héritage de son père, n’était valide que si la dot était intégralement versée. De plus, l’Espagne possède des territoires dans le Brabant et, selon le "droit de dévolution", seuls les enfants nés du premier mariage peuvent en hériter. Marie-Thérèse est donc, légalement, la seule héritière de ces territoires, ce que conteste, naturellement, la mère de son demi-frère, le petit Charles II. Dans cette guerre contre son pays natal, Marie-Thérèse approuve Louis XIV, obéissant ainsi à la promesse faite à son père lors de son mariage, se consacrer entièrement et sincèrement à sa position de reine de France, quitte à oublier qu’elle fut infante d’Espagne. Le traité d’Aix-la-Chapelle, signé le deux mai 1668, met fin au conflit, célébrant la puissance de Louis XIV qui y gagne une douzaine de villes flamandes. Si la reine est fière des conquêtes faites en son nom, elle ignore encore que le roi a fait de la marquise de Montespan, l’une de ses dames d’honneur, sa nouvelle maîtresse. Bientôt elle doit partager jusqu’à son propre carrosse avec Mlle de La Vallière, favorite officielle, et Athénaïs de Montespan, nouvelle conquête de Louis XIV, qui va régner sur son cœur durant près de douze ans. À ses maîtresses, le roi fait des enfants qui sont d’abord tenus à l’écart de la cour et élevés dans l’ombre. Vient ensuite le temps de leur légitimation, ce qui ne choque pas Marie-Thérèse. En Espagne, celle-ci a été habituée à ce que les souverains, à l’exemple de son père, aient des bâtards. Ce qui la perturbe davantage, c’est que Louis XIV partage son amour entre sa famille légitime et celle qu’il forme avec ses enfants naturels et leurs mères en dehors de leur union conjugale. À la cour, un grand nombre de courtisans reproche à Marie-Thérèse de ne pas participer activement à la distribution des grâces et des faveurs royales. C’est un rôle qu’elle laisse volontiers à son époux mais qui la fait passer pour une souveraine faible et totalement soumise, n’osant aller contre la volonté de son mari. Or, la reine s’est fait entendre plusieurs fois lorsque Louis XIV avait un avis contraire au sien. Quand, en 1670, la cousine du roi, la Grande Mademoiselle, demande la permission d’épouser le duc de Lauzun, Marie-Thérèse s’interpose alors que le roi allait donner son consentement. La fille de Philippe IV tient a ce que l’image de la famille royale ne soit pas entachée par un mariage entre une princesse et un gentilhomme, qui ferait rire toute l’Europe. Dans cette affaire, elle n’hésite pas à s’entourer de princes opposés à l’union que souhaite la Grande Mademoiselle, affichant ainsi sa désapprobation. Face à tant d’oppositions et sans le soutien de son épouse, Louis XIV plie et revient sur la promesse faite à sa cousine. En 1673, la reine lutte également pour conserver auprès d’elle l’une des dames de sa suite espagnole. Alors que Louis XIV décide du renvoi de toutes celles qui ont accompagné Marie-Thérèse en France, celle-ci ose demander à la marquise de Montespan de l’aider à ce que Felipa Abarca demeure à la cour. Il ne faut pas voir le geste de Marie-Thérèse comme rabaissant pour elle. Si elle cherche l’appui de la favorite contre Louis XIV, c’est parce qu’elle sait que sa cause est juste. Devant son épouse et sa maîtresse, le roi cède une nouvelle fois. Ces exemples nous montrent que Marie-Thérèse respecte généralement les décisions du roi en bonne épouse, mais qu’elle sait également s’opposer et rassembler autour d’elle des appuis de taille lorsqu’elle considère que le roi prend une décision injuste ou indigne de leurs royales personnes. Après que Louis XIV ait renoncé à la marquise de Montespan, la reine se rapproche de celle qui est devenue surintendante de sa maison. Marie-Thérèse espère profiter davantage de son époux mais ce dernier passe de plus en plus de temps avec Mme de Maintenon, ancienne gouvernante des enfants naturels qu’il a eus de Mme de Montespan dont Marie-Thérèse se méfie. Lorsque Louis XIV revient vers elle, la reine n’est dupe qu’à moitié. Influencé par Mme de Maintenon, le roi se montre plus attentionné avec son épouse mais ne lui accorde pas davantage de sentiments qu’autrefois. Lorsqu’il est question du mariage du dauphin, Marie-Thérèse ne cache pas son souhait qu’il épouse Maria-Antonia de Habsbourg, fille de sa demi-sœur l’impératrice Marguerite-Thérèse. C’est enfin une autre de ses cousines que le dauphin épousera. Très vite, la reine devient jalouse de sa belle-fille, jugeant que les festivités pour son mariage, puis pour la naissance de son fils en 1682, sont moins grandioses que ce que l’on a fait pour elle. Les membres de la cour entourent désormais davantage la dauphine, leur future reine que Marie-Thérèse et celle-ci admet avec beaucoup de difficultés qu’après ses maîtresses, Louis XIV consacre maintenant beaucoup de temps à sa belle-fille. Le vingt-six juillet 1683, la reine est incommodée par un abcès sous le bras gauche. Mal soignée, elle décède le trente juillet, à l’âge de quarante-quatre ans. La mort soudaine de Marie-Thérèse surprend tout le monde et il est certain que son trépas aurait pu être évité, les médecins d’Aquin et Fagon tenant à saigner la reine contre l’avis du chirurgien Gervais. Lorsque l’on prévient Louis XIV de la mort de son épouse, celui-ci répond: "C’est le premier chagrin qu’elle m’ait causé. Le ciel me l’avait donné comme il me la fallait, jamais elle ne m’a dit non." Il ne faut pas voir ici de l’indifférence ou un détachement de la part du roi face à la disparition de Marie-Thérèse car tous les témoins affirment que Louis XIV est affligé de la perte de la reine au point de rester plusieurs jours enfermé dans ses appartements, à Versailles. Le deux août, le cœur de la reine est déposé au Val-de-Grâce tandis que son corps rejoint la crypte de Saint-Denis, le dix août, comme le veut la tradition royale. Née infante d’Espagne, Marie-Thérèse a su devenir tout à fait française et se conformer à son rôle principal en donnant un héritier à la couronne. Mais finalement, même en se pliant à tout ce que l’on attendait d’elle, la reine a toujours souffert du même mal, ne pas être la favorite. Son père lui a préféré sa jeune demi-sœur et son époux ses nombreuses maîtresses. Au moment où elle aurait pu s’affirmer au château de Versailles, où la cour venait de se fixer, la mort l’en a empêchée. Bibliographie et références: - Joëlle Chevé, "Marie-Thérèse d'Autriche, épouse de Louis XIV" - Bruno Cortequisse, "Madame Louis XIV, Marie-Thérèse d'Autriche" - Marc Lefrançois, "Histoires insolites des Rois et Reines de France" - Jean Pierre Rorive, "Petites histoires des grands de France" - Lucien Bély, "Dictionnaire Louis XIV" - Simone Bertière, "Les Femmes du Roi-Soleil" - Pascale Gélard,"Marie-Thérèse d'Autriche, épouse de Louis XIV" - Paul Martin-Zeller, "Les Femmes du Roi-Soleil" - Robert Mandrou, "Louis XIV en son temps" - Philip Mansel, "Louis XIV, roi du monde" - Jean-Christian Petitfils, "Louis XIV" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 10/11/20
Beaucoup de personnes ne font pas la différence entre dominer et profiter d'autrui, prendre en mains, éduquer, soumettre, appelez ça comme vous voulez, ce doit d'être avant tout bienveillant. Le but est d'épanouir et non de détruire autrui, cela n'est profitable ni pour le bourreau ni pour la victime... Si vous êtes repoussé par le BDSM, ne le pratiquer pas. Et surtout ne profitez pas du BDSM pour vous défouler sur une personne qui vous fait pleinement confiance et crois en vous ! L'imagerie BDSM imprègne la société et il peut semble facile de dominer et de prendre en mains, c'est pourtant une place de responsabilité à ne pas négliger. Henry Kissinger a jadis qualifié le pouvoir d '«aphrodisiaque ultime». Les rois et les nations se sont battus pour dominer les autres. Le capitalisme suppose un monde où réussir signifie exercer un contrôle. Et dans le sport, les joueurs s'efforcent d '«humilier» leurs adversaires. Mais dans le BDSM, le pouvoir est accompagné par de grandes responsabilité (oui comme le dit oncle Ben à Spiderman ;) ) Alors après on peu se demander quel genre de personne se sent sexuellement excité par la douleur? Beaucoup de gens qui sont parfaitement normaux à tous égards. Encore une fois, pensez au sport: lorsque les joueurs de football font des jeux brillants, les coéquipiers se tappent souvent les fesses, au football américain c'est même parfois bien plus violant. Les destinataires acceptent cet «abus» avec reconnaissance comme un signe d'appréciation et d'affection. Ou encore imaginons une randonnée sur une montagne. Vous avez des coups de soleil. Les épines vous griffent les jambes. Et au moment où vous atteignez le sommet, vous êtes endolori et épuisé. Pourtant, vous vous sentez euphorique. Malheureusement, les médias BDSM ont grossièrement déformé la douleur que subissent les soumis(e). C'est plus théâtral que réel. Lorsqu'il est exécuté par des dominants éthiques et bienveillants («doms» ou «tops»), le BDSM n'est jamais abusif. «C'est toujours consensuel», déclare Jay Wiseman, auteur de SM 101. «Les abus ne sont pas.» Vous n’avez pas besoin de contraintes, de bâillons ou de fouets pour maltraiter quelqu'un. Et heureusement un bon dominant n'a pas besoin d'accessoire pour inspirer l'envie à sa soumise de le servir. Mais entre des mains aimantes, l'équipement augmente l'excitation sensuelle, permettant aux deux pratiquants de profiter de leur interaction, ou «scène», comme un plaisir érotique, propre et agréable. » Lorsque le BDSM inflige une vraie douleur, il est toujours soigneusement contrôlé avec le soumis(e) («sub» ou «bottom») et les vrais dominants sont toujours dans la juste mesure. La douleur n'est pas un but mais un moyen, toujours. Le plaisir dans la douleur à une nuance et beaucoup préfèrent l'appeler sensation intense ce qui leur procurent du plaisir. «Ils ressentent la douleur des piqûres d'abeille ou d'un coup de poing au visage exactement comme n'importe qui d'autre», dit Wiseman, «et ne l'aiment pas autant.». Aussi tout est une question de forme. Et le plus important est de garder à l'esprit que le BDSM est surtout une relation humaine dans laquelle chacun se doit s'épanouir et se compléter comme deux organismes symbiotiques.
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Par : le 05/11/20
L’impératrice Sissi, ou de son vrai nom Élisabeth de Wittelsbach, duchesse de Bavière, est l’épouse de l’empereur autrichien Francesco Giuseppe de Habsbourg. Elle est restée dans l’imaginaire collectif une femme belle et fascinante. Sa légende s’est surtout propagée grâce aux adaptations cinématographiques de sa vie à la télévision. En fait, les événements de la vie de la belle impératrice n’étaient pas aussi heureux et romantiques que racontaient les films d'Ernst Marischka révèlant la comédienne Romy Schneider dans le rôle. Au milieu des années 1950, le cinéma présentait l’impératrice Élisabeth d’Autriche comme l’icône d’une Vienne vibrant au rythme de la valse. Mais la personnalité de "Sissi" était très controversée à son époque, et les sphères les plus conservatrices des cours européennes la jugeaient extravagante et irresponsable. Les films ne montrent pas certains aspects de ce personnage, que soulignent des biographies ultérieures plus rigoureuses. Ses problèmes de santé, ses tourments, son intérêt pour la culture classique et la poésie. Élisabeth d’Autriche était un esprit fin et lucide, qui avait compris bien avant son entourage qu’une époque touchait à sa fin. C’était une femme profondément malheureuse, condamnée à vivre une vie qu’elle n’avait pas désirée et à surmonter de nombreuses souffrances, la plus grande étant probablement la mort tragique de son fils Rodolphe, héritier de la Couronne, dans le pavillon de chasse de Mayerling. Élisabeth, que la cour de Vienne surnommait Sissi, est la quatrième des dix filles de Maximilien Joseph de Wittelsbach et de la princesse Ludovica, fille du roi Maximilien Ier de Bavière. Elle naît à Munich le vingt-quatre décembre 1837, mais grandit à Possenhofen, sur les rives du lac de Starnberg. Elle y est heureuse et mène une vie libre, au contact de la nature qui conditionnera le tempérament de la future impératrice et de la plupart de ses frères et sœurs. Hélène, l’aînée élégante, discrète, dévote et très disciplinée, semble la candidate idéale pour prétendre au rang d’impératrice. C’est du moins ce qu’estiment sa mère et Sophie, sa tante et la mère du futur époux, l’empereur d’Autriche François-Joseph. En 1853, une rencontre est organisée à Bad Ischl, la résidence d’été de la famille impériale, afin d’entériner cette alliance. Initialement, la mère et la fille doivent voyager seules, mais l’on décide au dernier moment qu’Élisabeth les accompagnera. Affectée par un chagrin d’amour, Sissi souffre en effet de la première des dépressions qui l’accableront sa vie durant. Son entourage pense que le voyage permettra de guérir ce jeune cœur meurtri éduqué dans le bonheur. Personne, et encore moins la principale intéressée, n’imagine alors ce qui va bientôt se passer. Lorsque Francois-Joseph revoit sa cousine Sissi, dont il avait gardé le souvenir d’une enfant, il découvre une svelte et jolie jeune fille au visage ovale, dotée de splendides cheveux châtains, et il décide immédiatement d’en faire son épouse. François-Joseph, qui vient d’avoir vingt-trois ans, est un homme droit et accompli. Sissi est une adolescente qui, bien que flattée par son attention, est suffisamment lucide pour évaluer l’étendue de la disparité d’intérêts et de tempéraments qui la sépare de son cousin. Mais elle est aussi consciente que l’empereur d’Autriche n’acceptera jamais de réponse négative. Elle n’est pas la seule à pressentir que ce mariage ne correspond pas aux normes de la cour. Tout le monde, à commencer par l’archiduchesse Sophie, s’emploie à ce que l’empereur renonce à son projet. Il est évident que la jeune fille n’a pas l’étoffe d’une impératrice. Elle n’a jamais été soumise au protocole strict de la cour, n’a jamais évolué dans les cercles de la noblesse, et ses seize ans sont une garantie bien fragile pour ceindre une couronne et partager une telle responsabilité. Rien n’y fait. L’empereur écrit à son cousin Albert de Teschen qu’il est "amoureux comme un cadet". Le mariage est célébré à Vienne le vingt-quatre avril 1854, dans l’église des Augustins. Il n'y aura eu, dans cette vie si tourmentée, qu'une seule année véritablement heureuse. Ce fut l'année des fiançailles. On a souvent dit cette histoire, tellement jolie et si invraisemblable qu'on la croirait détachée, elle aussi, d'un des contes de Perrault. Le prince charmant arrive à Ischl, un beau pays tout baigné de lumière, tapissé de fleurs, comme un paradis. Il y vient pour se marier, comme on se marie quand on est prince, en vertu de la raison d'État. On lui a déjà choisi la femme qu'il doit aimer, l'épouse qu'il doit ramener dans le royaume de son père. Le prince charmant s'est laissé faire, et puisque la raison d'État le lui commande, il s'en est allé en grande pompe, suivi de ses ambassadeurs, vers la fiancée qu'il ne connaît pas réellement. Une fois installée au palais impérial, à la Hofburg, Élisabeth comprend que ses craintes étaient fondées. Sa nouvelle vie n’a rien à voir avec le milieu dans lequel elle a grandi. À la cour, l’étiquette interdit toute spontanéité et ne laisse aucune place à la timidité. La jeune impératrice se retrouve isolée dans un environnement avec lequel elle n’a aucun lien, ni affectif, ni intellectuel. Ses dames de compagnie, sélectionnées parmi la haute aristocratie, sont d’âge mûr et d’esprit affreusement conservateur. Quant à l’archiduchesse Sophie, elle critique constamment ses mœurs, ses vêtements, ses goûts. Par ailleurs, si François-Joseph est probablement très amoureux, ses obligations ne lui permettent pas de consacrer beaucoup de temps à son épouse, et l’autoritarisme de sa mère devient un véritable cauchemar pour Élisabeth dès les premières années de son mariage. Son emprise est telle que, lorsque Élisabeth donne le jour à sa première fille, Sophie, après un an de mariage, l’archiduchesse prend en charge l’enfant, car elle estime que la jeune femme est incapable de l’élever. Comble d'autoritarisme et de maladresse. Le même scénario se répète l’année suivante à la naissance de Gisèle, la deuxième fille. Sophie organise tout et s’occupe de tout. Mais Élisabeth réussit à s’imposer et, quinze jours après la naissance de l’enfant, les fillettes sont transférées dans ses appartements de la Hofburg. La victoire est cependant éphémère. Au printemps 1857, François-Joseph et Élisabeth partent en Hongrie. L’archiduchesse Sophie s’oppose fermement à ce que les enfants les accompagnent, mais Élisabeth défend sa position avec une fermeté inhabituelle et peut emmener ses filles. Malheureusement, c’est sans compter sur l’insalubrité de certaines régions de Hongrie, qui aura des conséquences funestes puisque la petite Sophie contracte la dysenterie et meurt à Budapest le vingt-neuf mai 1857. C'est le début d'une longue série de malheurs et de deuils. L’impératrice sombre dans une profonde dépression, qu’elle n’a toujours pas surmontée à la naissance de son fils Rodolphe, le vingt-et-un août 1858. Prétextant des raisons médicales, elle embarque pour Madère, où elle donne l’impression de se rétablir. Elle revient à la cour quelques mois plus tard, mais le retour à la réalité est brutal. Reprendre la vie de la cour et supporter de nouveau l’incompréhension de son entourage l’anéantit, et l’on en vient à craindre sérieusement pour sa vie. On lui prescrit de nouveau de s’éloigner de Vienne. Elle choisit cette fois Corfou pour destination. C’est ainsi que débute son idylle avec la culture grecque classique et sa passion pour la Méditerranée. Parfaitement rétablie, elle retourne à Vienne au mois d’août 1862. Élisabeth a mûri, sa beauté est à son apogée et devient légendaire. Elle convient avec l’empereur de ne pas se soumettre à la discipline de la cour au-delà du strict nécessaire. Elle accomplira ses devoirs d’impératrice, mais en se réservant un espace où elle pourra enfin développer sa personnalité. Cela n’implique pas pour autant que Sissi reste à l’écart des affaires de l’État. La Hongrie, bien que faisant partie de l’Empire, lutte alors pour retrouver ses privilèges ancestraux. Vienne avait supprimé toutes les prérogatives constitutionnelles en réponse au soulèvement nationaliste et libéral de 1848. Élisabeth éprouve de la sympathie pour les aristocrates hongrois, qui ne laissent pas une minute de répit aux mentalités conservatrices de l’Empire. Sa soif de connaissance du pays et de sa culture l’incite à embaucher comme lectrice une jeune Hongroise, Ida Ferenczy, qui deviendra sa meilleure amie. Grâce à elle, Sissi rencontre le beau Gyula Andrássy, un colonel de l’armée magyare. Profondément libéral, il s’entend immédiatement très bien avec Élisabeth, et une solide amitié naît entre eux. L’impératrice se fait l’avocate de la cause hongroise, ce qui lui attire inévitablement l’inimitié implacable de la cour viennoise. À partir de 1874, Sissi, qui a pris le nom de comtesse de Hohenembs pour préserver son anonymat, et sa fille séjournent en Méditerranée, dans les îles britanniques et dans une partie de l’Europe centrale. C'est la période voyages. Mais l’impératrice assiste à la désagrégation progressive du mariage de l’héritier du trône, Rodolphe, avec Stéphanie de Belgique, une jeune femme qu’Élisabeth juge arriviste et ambitieuse. Stéphanie est très conservatrice et traditionaliste, l’exacte antithèse de son époux cultivé, libéral et anticonformiste. Les sombres pressentiments d’Élisabeth se vérifient lorsque Rodolphe est retrouvé mort dans le pavillon de chasse de Mayerling le trente janvier 1889, en compagnie de sa maîtresse, Marie Vetsera. Tout semble indiquer que le prince a d’abord tiré sur Marie avant de se suicider. La version officielle parle d’une aliénation mentale de l’héritier, mais l’ombre d’un crime d’État plane. Sissi est dévastée et se retire totalement de la vie publique. Après le décès de Rodolphe, Élisabeth n’est plus que l’ombre d’elle-même. Elle accuse la cour de Vienne d’être responsable de la mort de son fils et ne portera plus jamais de vêtements de couleur. Désormais drapée de deuil, elle voyage sans relâche, se dissimulant toujours derrière un grand éventail ou un voile, ou sous un pseudonyme qui lui permet de penser qu’elle passe inaperçue. Ce qui a toujours été considéré comme les "extravagances" de l’impératrice prend des proportions extrêmes lorsque le destin se révèle d’une cruauté implacable. Elle ne reviendra quasiment jamais à la Hofburg. Quand elle séjourne à Vienne, elle loge, seule, dans la villa Hermès, un petit palais construit dans le parc de Lainz sur ordre de François-Joseph, qui voulait disposer d’une résidence chaleureuse et intime, plus accueillante et plus commode pour la famille impériale. Lors de l’un de ses nombreux voyages, le huit septembre 1898, Élisabeth réside à l’hôtel Beau-Rivage de Genève. Deux jours plus tard, alors qu’elle s’apprête à monter sur le ferry qui doit l’amener à Montreux, elle est heurtée par un autre passager. Elle ressent une forte douleur au côté et s’évanouit une fois montée à bord. Elle meurt l’après-midi même. Le voyageur maladroit est en réalité un anarchiste italien, Luigi Lucheni, qui lui a enfoncé une lime tout près du cœur. L'empereur refuse qu’Élisabeth repose là où elle le souhaitait, sur les rives de la Méditerranée, à Corfou ou à Ithaque. Sa condition d’impératrice exige en effet qu’elle soit inhumée dans la crypte de l’église des Capucins. C’est donc là qu’elle repose depuis, dans cette Vienne qu’elle n’aimait pas et qui ne la comprit jamais. Quelle lugubre série. On pourrait énumérer la longue liste funèbre. Maximilien, fusillé à Querétaro. L'archiduc Rodolphe, mort si mystérieusement à Mayerling. La duchesse d'Alençon expirant dans les flammes du Bazar de la Charité, la folie du roi Louis de Bavière, celle d'Othon, son successeur. Et maintenant, comme point d'orgue à toutes ces tragédies, cette mort brutale sous le poignard d'un assassin, à un embarcadère de bateau à vapeur, au milieu d'une foule cosmopolite, loin des siens, loin du pays natal, telle une héroïne de Shakespeare, l'amie d'Henri Heine, qui fut un seul jour, la petite rose de Bavière, et qui n'était plus aujourd'hui qu'une âme en peine, une voyageuse toujours seule et inquiète, qui n'a même pas pu partir en paix pour son ultime voyage dans sa soixantième année. Bibliographie et références: - Egon Caesar Corti, "Élisabeth d'Autriche" - Henry Valloton, "Élisabeth d'Autriche l'impératrice assassinée" - Brigitte Hamann, "Élisabeth d'Autriche" - Jean des Cars, "Sissi ou la fatalité" - Raymond Chevrier, "Sissi, vie et destin d'Élisabeth d'Autriche" - Catherine Clément, "L'impératrice anarchiste" - Marie-Thérèse Denet-Sinsirt, "Sissi, doublement assassinée" - Danny Saunders, "Sissi impératrice, la solitude du trône" - Jean des Cars, "François-Joseph et Sissi" - Élisabeth Reynaud, "Le Roman de Sissi" - Philippe Collas, "Louis II de Bavière et Élisabeth d'Autriche, âmes sœurs" - André Besson, "Le roman de Sissi" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 05/11/20
Caro et Anna sont deux copines de fac, lesbiennes et fort jolies toutes les deux, au désespoir de tous les males qu'elles font craquer et qui ne pourront jamais les sauter. Elles ont sauté de joie, justement, à l'annonce du confinement. Les parents de Caro possèdent une petite maison en province, loin de tout et l'ont laissée à disposition pour leur fille et cette retraite imposée. Elles sont vite parties en train. Déjà elles avaient du mal à ne pas se rouler des pelles sur la banquette. Mais masque et covid oblige, elles sont restées sages. Puis il a fallu prendre un bus et au final continuer à pied. La maison n'est qu' à un kilomètre du dernier village, mais elles n'ont pas pu attendre jusque là. Caro a plaqué Anna contre un grand arbre et l'a embrassée goulument. Elle a baissé son jean et son mini slip et fourré sa langue dans les plis intimes de sa compagne tétanisée de plaisir. Anna a joui très fort et Caro a bu son plaisir avec délectation. Le confinement est un plaisir. La petite maison est agréable, sans voisins autour. Elles peuvent se bronzer nues au soleil, faire l'amour devant la cheminée le soir et bosser tranquillement les cours via internet. Elles aiment étudier et aussi les longues promenades à vélo ou à pied dans la campagne drapée de superbes couleurs d'automne. C'est Caro qui a eu envie de jouer au bdsm et qui s'est improvisée dominatrice. Anna a été un peu rétive au début et puis elle s'est révélée très douée. Une parfaite soumise. Caro a commencé par l'attacher, la fesser, puis la flageller. Anna a trouvé du plaisir à être sévèrement punie et à devoir dire merci. Maitresse Caro a pris de plus en plus d'assurance. C'est la soumise qui fait la maitresse. Le joli petit cul d'Anna est vierge et Maitresse caro s'est fait un plaisir de le sodomiser avec un doigt, puis deux et enfin sans le moindre ménagement au god ceinture. Depuis c'est devenu une pratique quotidienne. Anna obéit bien mieux après avoir été sodomisée par sa Maitresse. Les suspensions, la cire chaude et le fouet c'est pour bientôt. Pourvu que le confinement dure jusqu'à Pâques ou à la Trinité.
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Par : le 03/11/20
On ne naît pas soumise ni esclave, on le devient. Au départ, il n’y a que le matériau brut, qui a besoin du talent du Maitre pour s’exprimer. Sans le génie de Michel Ange, David ne serait demeuré qu’un bloc de marbre. C’est le Maitre qui fait, qui façonne la soumise, l’esclave. Le Maitre, celui qui sait reconnaître dans la matière brute qu’il a sous les yeux son potentiel en devenir. Une soumise, une esclave, c’est d’abord une création. Sans cesse renouvelée, reprise, complétée, corrigée, améliorée. A coups de queue, de cravache ou de fouet. L’œuvre de celui qui la possède. Parce qu'une soumise, une esclave, ce n'est pas seulement un corps de femme. Mais tout un champ de possibles. Que certains hommes, certains Maîtres réussissent à transformer en réel. Merci à toi, Maxime, d'être de ceux-là.
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Par : le 28/10/20
-Non maitresse, stop, stop, j'ai trop mal ! -Mais tu vas la fermer, petit goret Ah ces soumis qui veulent etre dominés et qui une fois attachés et bien bastonnés pleurent et appellent maman. Ils sont vraiment pénibles avec leurs fantasmes plein la tête et leurs cris dès que les lanières du fouet zèbrent bien leurs petits culs. De vraies chiottes. Je laisse petit goret récupérer....une minute pas plus. Le fouet siffle et claque -Ahhhhiiiii 'Tu vas la fermer petit goret ! -je vous en supplie Maitresse, j'en peux plus. -Ben moi j'ai encore envie de te faire bien mal. -non, non, plus le fouet. Je vais chercher un bon sparadrap épais et zou, je ferme le museau tremblant de petit goret qui pleure. Je le laisse avoir bien peur. il tremble. Et de nouveau le fouet qui claque son cul en feu. Il se raidit à chaque coups, tremble encore plus, se pisse dessus de peur. -Il faudra nettoyer petit goret, tu sais cela. Et avec la langue. il fait signe oui de la tête. J'enlève le sparadrap et je lui flanque encore une belle volée pour le plaisir de l'entendre hurler. -On dit quoi à sa Maitresse? Petit goret tremble et ne dit rien. un nouveau coup de fouet et cela ouvre d'un coup de son museau: -Merci Maitresse, merci !!!
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Par : le 28/10/20
… Elle est nue et me caresse le sexe durci. Docilement, elle le lape à petits coups comme une chienne. Je flatte sa croupe, titillant son sexe lisse. Elle écarte les cuisses et se cambre pour mieux offrir sa vulve déjà humide. Elle s’applique sur mon vit quand d’une pression sur la tête je lui intime l’ordre de m’emboucher. Elle s’exécute avec abnégation et me gobe goulument. Je la prends aux cheveux et lui donne le rythme et la profondeur qu’elle adopte bientôt avec application. Je me laisse aller à cette pipe merveilleuse en fouraillant machinalement sa chatte maintenant trempée. Elle gémit de plaisir et se laisse un peu distraire de sa tâche. Je la gronde et sanctionne son manquement et lui claquant la fesse. Elle reprend son office avec empressement alors que j’introduis mes doigts et lui fouille le sexe. Les doigts bien lubrifiés de sa mouille, j’explore maintenant son petit orifice bien serré. D’abord je masse l’œillet, puis le presse en tournant autour de la chair délicate. Elle gémit autant de plaisir et d’envie. Je pousse un peu et la corolle s’ouvre spontanément comme pour m’aspirer. J’enfonce mon doigt et masse son intérieur alors qu’elle me pompe avec empressement. Bientôt je lui besogne l’anus et l’encule du doigt enfoncé jusqu’à la garde, allant et venant au rythme de sa bouche sur ma queue, écartelant son orifice, sous ses halètements et ses gémissements. Distraite, la chienne oublie son office pour se laisser aller à mon doigtage sodomite mais je ne la reprends pas. Elle est allongée en travers de mes cuisses, abandonnée, soumise à mon doigt qui l’encule, puis à deux puis trois doigts qui la pénètrent brutalement, qui l’écartèlent, qui la défoncent avec gourmandise. Elle s’abandonne et néglige ses devoirs de suceuse et elle sait que je la punirai sévèrement pour cela, mais je m’en réjouis d’avance et savoure déjà la pénitence que je lui imposerai. Je la sens venir et de fait, elle est aussitôt tétanisée d’un orgasme violent, son premier orgasme anal. Elle gémit, crie, se cabre, m’encourage et proteste, me remercie et me supplie. Je continue de lui défoncer le cul en lui enfonçant presque ma main entière, savourant son abandon et ses dispositions à la sodomie. Elle retombe bientôt, fourbue et pantelante, le corps ruisselant et le regard reconnaissant. Je la prends en levrette en veillant à ne pas la faire jouir une seconde fois…
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Par : le 27/10/20
Marié 8ans, un divorce et une séparation difficile à traverser pour mieux renaître. Une forte passion qui s est étiolée au fur et à mesure des jours , semaines et années que nous avons traversé pour mener a bout un désir utopique d enfant. La renaissance a eu lieu il y a deux ans et les rencontres que je réalisais ne me suffisaient plus. Un surinvestissement au travail m à rappellé à l ordre après être passé 4 jours dans un service vasculaire cerebrale.. De la liberté de pensée et d action, sortir de l allienation et du modèle sociale.. de l expérimentation , tjrs plus d expérimentation pour ressentir .. se sentir vivre Quand on est un homme non revendiqué alpha, il est sans doute difficile de trouver une femme pour se prêter à des jeux et la découverte de nouveaux sens ... sans tomber dans le cliché de la rencontre et du "tirage de coup" qui depourvus de romance... au final ne m apportent rien sinon de la frustration emotionnelle. A 35-40ans beaucoup de femmes sont encore dans le cliché du prince charmant et de l âme soeur sinon à la recherche de confort et de stabilité. Je reste persuadé que l unicité est multiple au cours d une vie car elle est question de temporalite et d exploration. L'affinité ne se decrete pas c est aussi un sujet d aquetation à un instant donné... Engouffré dans le metro/boulot/apéro/dodo, les sites de rencontre se présentent comme d une solution et nous croire , nous frustrent, et nous poussent irrémédiablement dans "l' effet contraste". a la fois une Agora prometteuse ou toutes les populations se croisent et pour autant une prison ffrustrante ou les échanges artificiels permettent difficilement de s élever vers le désir et l intellect. C est début septembre 2020 que je reçois réponse à l' une des nombreuses bouteilles a la mer que j ai positionné depuis 2-3mois sur la toile, que je consulte tel un métronome... MA 20ans Son fantasme est d entrer dans un hôtel avec un simple numéro de chambre et de gouter a sa première expérience de soumission soft. Un message clair d accroche: " prennons date en septembre". Tres vite l échange bascule par un appel où nous succombons à nos voix. Je lui fais passer le test bdsm pour en savoir davantage sur sa sexualité et je découvre son fort attrait "rope Bunny" qui me permettra de vivre mon fantasme de rigger. Les emplettes seront rapidement faites avec de beaux lien en satin et une roulette de wartenberg pour compléter ma collection de jeux encore trop limitée Le rendez vous du 28/09 s avérera annulé. Garder la trajectoire, suivre le flow.. sans peur... c est finalement le lundi 12 octobre que la rencontre se déroulera. Les derniers messages de la semaine me permettront de lui redemander ses attentes et ses peurs.. et de vider un long message émotionnel sur la sincérité de ma démarche... avant la séance. Lundi 12, le congés est posé je suis dans le train de banlieue direction Gare du Nord puis tgv lille... J en suis à me demander où ma bêtise et mes enfantillages vont ils me mener? Je dois y rencontrer MA dans une chambre d hôtel de standing que j ai pris soin de reserver : soumise qui se prêtera entierement à mes jeux.. Un peu d aprehension, du traque, de l envie... Ne pas trop projetter ce que cela sera pour laisser la surprise et créativité s exprimer .. cependant le cadre est visualisé avec une palette d alternatives. Le temps de prendre un welsh et une blanche à la brasserie... 14h elle y est. Je la laisserai languir encore quelques minutes avant de la rejoindre.. la porte s ouvre je la découvre naturelle, belle, apretée, si fragile. Inutile de tenter de la mettre à l aise je me découvre également en train de trembler .. elle ne prête pas beaucoup d attention à la boîte de chocolat que je lui propose en cadeau son regard est déjà ailleurs.. elle est assisse sur le coin du lit... elle ne dit rien , ne souhaite ni eau ni café, elle souhaite que je commence. Je lui donne en main le fouet 15 lannieres afin qu' elle le sente et s en empreigne pendant que je fixe les 2 premiers rubans qui me permettront de la tenir allongée sur le lit, sur le dos, les bras ouverts à m acceuillir Les premiers coups de fouet sont doux et me permettent de sentir sa respiration.. peu à peu je la denude , je précise les impacts et l intensité tout en intercalant caresses et baissers sur sa peau encore si pure. basculée sur le ventre j en profite pour inverser les liens. Les coups reprennent peu a peu j aprivoisonne ces nouvelles émotions. La bande son devient si pure : mouvements dans l air et impacts. Les coups sont dosés, dirigés mais aléatoire je veux la suprendre, je contrôle ses émotions et son ressenti. Elle me dit que cela va.. je la sens partir dans ses propres émotions, elle semble bien et me le reconfirme... Je lui propose de ne plus lui poser la question et qu elle est libre à tout moment de dire stop qu elle accepte dans l instant. Les lanières sur les epaules et sur le flanc la font cambrer et m ecxitent.. je me repositionne sans jamais la laisser se frotter...je m assure que son bandeau sur les yeux ne la gène aucunement ... puis me lasse. Il est temps de changer. La roulette lui plaît également. Ce bruit de métal sorti d un sac à fermeture éclair l intrigue, je lui fais goûter les pointes en commençant par un doigt, puis le poignet et le bras.. elle s habitue sans s habituer, je cadrille son dos... Libere ses fesses de son collant ce qui m offre de nouveaux espaces d exploration à ratisser de clous. Corsage retirée ses seins se libèrent et sont bien plus important que ce que j ai pu connaître jusque là .. ils ne seront pas épargnés et de la roulette je repasse au fouet... Sa culotte est trempée je ne le vois pas encore mais je commence à le sentir et cette odeur m attire. Quelques fessées à main nue me permettront de m approprier cette zone et de confirmer mes sens. Ma langue s engoufrera pour aider à l exploration. Sa chatte est douce son clitoris en erection si bien proportionné. Je déguste le dessert qui m a manqué, juteux et frais à souhait.. un peu de lubrifiant et les doigts glissent entre et dans ses orifices... Elle est détendue et s offre pleinement. Cela devient trop simple je decrete une pose. J active la machine à café , elle se retrouve attachée , les yeux bandés, inherte sur le lit. Je l entends encore gémir mais là dans l instant je souhaite qu elle pense que je l'ignore.. que je l ai oublié. Je la redresse assise sur le lit et lui propose une boisson qu elle refuse , le café coule, elle semble dans un autre monde avec un sourire qui ne quitte pas son visage. Je m assois derrière elle avec mon café , près de sa nuque je profite de nouvelles perspectives. Ma main repart entre ses jambes , quelle sensation de douceur ! Il est temps de sortir de nouveaux jeux... Je prends le temps de les déballer , les renettoyer , de les lubrifier puis de les inserer .. suffise que je lui sussure quelques mots à son oreille, le plug progresse et s engouffre.. elle est conquise . Un nouveau coup de langue et son ami vibreur le rejoint à l autre orifice. Chaque mouvement de se dernier semble tellement être apprécié je la laisse exprimer son plaisir avant de lui demander de se taire.. elle semble accepter cette remontrance voir l avoir provoqué pour que le fouet revienne pour lui garder son calme et s acclimater aux vibrations. La voilà gémir sur le lit attachée, les yeux bandés avec mes jeux électriques s occuper d elle. Je les manipule avec rythme , entrecoupant de quelques frappes lorsque le plug souhaite s echaper. Cela doit faire une heure que la séance a débuté et que nous jouons ainsi. Je retire les appareils et comme pour laisser ses orifices se reposer je me décide à torturer ses seins don elle était si fier. Roulette , fouet, pinces , je dose en fonction de son ressenti et des signaux qu elle m envoie. J ai l impression d y aller trop fort alors souvent j entrecoupe de baisers comme pour me faire pardonner... ou pour me deculpabiliser à repartir de plus bel. Basculée à quatre pattes sur le lit je lui demande de se cambrer afin d exposer son fessier à la punition. Le fouet est amusant mais le claquement de ma main est tellement plus vivant et me permet de doser davantage. Ses fesses rougissent alors je passe mes doigts de temps à autres dans son entrejambe pour collecter cette mouille qu elle m'offre . Son anus est tellement beau, si bien dégagé et âpreté que je ne peux m empêcher de le lécher... J aimerai tant que mon sexe puisse s y engouffrer mais c est une limite qu elle m a fixé... Alors je la laisse subitement là, cambrée sur le lit.. le temps de sortir un préservatif lui basculer une main derrière son dos pour qu elle puisse saisir mon sexe et le sentir couvert de ce latex. J attache ses mains à nouveau avant de laisser mon sexe découvrir cette mouille et le laisser trouver son chemin dans son vagin qui n'attendait que cela. Je pénètre, repenetre et repenetre encore .. des séquences certaines fois rapides et d autres plus calmes au cours desquelles je peux varier les angles et orientations. Tout son intérieur doit être parcouru et vibre à chacun de mes mouvements... Lorsqu'elle se mets naturellement à mettre en mouvement son bassin c est une parfaite occasion de la rappeler à l ordre et que le fouet frappe ses épaules.. puis je me lasse et lui ordonne alors d être en mouvement et de me reposer... Elle s exécute telle une libération pour elle Aucun de nous deux ne jouira bien que les émotions aient dépassé les objectifs fixés. La rencontre s écourtera par un message de sa colocatrice se retrouvant bloquée et ne pouvant rentrer sans clés.. la descente est quelque peu brutale, elle se rehabille et nous nous faisons déjà nos adieux dans un aftercare improvisé... Etant promis de ne pas nous revoir , tel est le contrat de sa relation libertine. Je le retrouve seul dans cette chambre y a remballer mes jeux et remettre à un peu d ordre...Quelques discussions infructueuses avec l hôtelier puis la SNCF et me voilà déjà dans le train de retour toujours sous le spleen de ce moment unique que je viens de vivre... Nos échanges se clotureront par messages interposés durant les 24h qui suivront pour partager nos émotions et se remercier de cette parenthese de confiance que nous avons pu échanger. Une adéquation inattendue dans le parfait niveau emotionnel et de partage... la vie m offrira telle d'autres expériences de ce type (dans un cadre candauliste par exemple)?
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Par : le 27/10/20
En 1672, les hostilités de la guerre de Hollande à peine commencées éclatait dans un Paris passablement indifférent à des opérations militaires qui se déroulent au-delà des frontières un formidable et dévastateur scandale révélateur à la fois des mœurs et de la mentalité de l’époque. Scandale il est vrai inévitable car, depuis des années, Paris regorgeait de sorcières, d’empoisonneuses, de diseuses de bonne aventure, de jeteuses de mauvais sort, de faux prêtres organisateurs de messes noires et autres devineresses dont la clientèle se recrutait dans toutes les couches de la société, y compris les plus hautes. Philtres d’amour, poudres de toute nature, décoctions des plus variées étaient proposés pour conquérir ou reconquérir un amant ou une maîtresse, éliminer un adversaire ou un rival, jeter un sort en prenant le diable à témoin. Dès que quelqu’un d’important mourait, on pensait immédiatement poison, comme ce fut le cas par exemple au moment de la mort de Madame, de Lionne et de quelques autres. Après la condamnation de Fouquet, des pamphlets anti-Colbert circulaient sous le manteau pronostiquant que des sbires du ministre ne tarderaient pas à empoisonner le surintendant déchu dans sa prison de Pignerol. Les causes réelles de la mort de Fouquet en 1680 n’ont d’ailleurs jamais été élucidées. Le ministre Colbert lui-même, qui souffrait de violents maux d’estomac, fut très certainement victime de nombreuses tentatives d’empoisonnement. Marie-Madeleine d’Aubray est née en juillet 1630. Elle est la fille de Dreux d’Aubray, lieutenant civil à Paris. Elle naît dans une famille convenable, issue de la noblesse de robe, et reçoit une bonne éducation. Pourtant, sa vie a vite fait de basculer, puisqu’elle est violée à l’âge de sept ans par un domestique. Ce drame, qui a détruit son enfance et qui a sans doute considérablement joué dans la conduite de sa vie future lui a entretenu une réputation sulfureuse, n’hésitant pas à lui prêter des relations incestueuses avec ses deux frères. En 1651, Marie-Madeleine épouse Antoine Gobelin, qui deviendra bientôt marquis de Brinvilliers. Le couple dispose alors de revenus considérables, avec notamment la propriété des seigneuries de Sains, Norat et Brinvilliers. Les témoignages d’époque décrivent Marie-Madeleine comme une femme petite et très menue, avec de grands yeux bleus, des cheveux châtains et des traits de visage réguliers. Son charme est sans nul doute renforcé par son éducation, plus que correcte. En effet, l’étude de plusieurs lettres écrites par Madame de Brinvilliers montrent une écriture soignée, en plus d’une très bonne orthographe. Au XVII ème siècle, ce n’est pas négligeable pour une femme, d’autant plus que la majorité d’entre elles ne savent ni lire, ni écrire dans le milieu de la noblesse. Marie-Madeleine se lie d’amitié avec Pierre Louis Reich de Penautier, trésorier des Etats du Languedoc, puis receveur général du clergé à partir de 1669. On peut sans nul doute imaginer qu’elle apparaît comme une jeune femme brillante aux yeux de la bonne société. Cependant, elle ne tarde pas à faire la rencontre de Gaudin de Sainte-Croix, officier de cavalerie et ami de son époux, et ils deviennent rapidement amants. Antoine de Brinvilliers pour sa part, dilapide peu à peu la fortune du ménage en jouant au jeu et en entretenant ses diverses maîtresses. Le couple a néanmoins eut sept enfants, dont quatre illégitimes. Toutefois, si la conduite de son époux ne choque pas outre mesure, celle de Marie-Madeleine ne tarde pas à offusquer son père. Au XVII ème siècle, l'adultère masculin est largement toléré, mais il n’en est pas de même pour les femmes, qui se doivent d’avoir une conduite irréprochable. C’est ainsi qu’en 1663, Dreux d’Aubray fait emprisonner Gaudin de SainteCroix à la Bastille. Là, il fait la connaissance de l’Italien Exili, expert en chimie et en poisons. Une fois sorti, Sainte-Croix suivra les cours du chimiste Christophe Glaser au Jardin Royal des Plantes. On peut imaginer la colère de Marie-Madeleine lorsqu’elle apprend que son amant est emprisonné sur décision de son père. Lui en a t-elle voulu au point de le faire mourir ? On ne sait pas réellement qui prit la décision, mais c’est vraisemblablement sous l’influence de son amant que la marquise décide d’empoisonner son père. Elle compte ainsi se libérer de la tutelle paternelle mais vise aussi l’héritage qui lui permettrait de renflouer ses dettes. Après la mort de sa femme, Dreux d'Aubray ne s’est pas remarié et aucun document ne mentionne comment et par qui sont élevés les enfants. Le père lui, est de plus en plus absent et quand il apprend par l’une de ses filles, Thérèse que Marie-Madeleine et ses frères ont des relations sexuelles, il ne reproche absolument rien à ses fils. Marie-Madeleine lui en voudra toute sa vie. Il faut savoir qu’à l’époque, le poison apparait comme une cause de décès difficile à déterminer, car la médecine n’est pas encore assez développée. C’est pendant un séjour au château d’Offémont, en 1666, que Marie-Madeleine avec la complicité d’un valet, administre du poison à son père, et ceci à diverses reprises. Pourtant, la succession paternelle se révèle dérisoire. Peu importe, la marquise décide ensuite d’empoisonner ses deux frères, qui meurent tous deux en 1670, à six mois d’intervalle. Quelques soupçons apparaissent néanmoins. Plusieurs domestiques de madame de Brinvilliers rapporteront plus tard des situations incongrues auxquelles ils ont assisté malgré eux. C’est ainsi qu’un soir, une servante du nom de Jeanne Blanchard, alors qu’elle vient prendre les ordres de sa maîtresse, la trouve en compagnie du chevalier de Sainte-Croix. La marquise fait malencontreusement tomber une petite boîte et s’exclame alors: "Oh! Ma boîte aux successions !" Sainte-Croix lui reproche alors son manque de discrétion. Un autre jour, suite à un dîner où elle a un peu bu, Marie-Madeleine s’entretient avec une autre de ses servantes, Edmée Huet et lui dit la chose suivante en lui montrant une petite boîte: "Voilà de quoi se venger de ses ennemis, elle est pleine de successions !". Mais elle se reprend peu après: "Mon Dieu! Que vous ai-je dit ? Ne le répétez à personne." Enfin, un jour où Marie-Madeleine s’entretient avec un certain La Chaussée, le valet qui l'aida à empoisonner ses frères, elle est obligée de le cacher suite à l’arrivée improviste de Simon Cousté, le secrétaire de l’un de ses frères. Tout ceci bien entendu, sous les yeux des domestiques de la marquise. En outre, elle commet l’imprudence de se confier à de multiples reprises à Jean Briancourt, le précepteur de ses enfants. D’après des témoignages ultérieurs, Marie-Madeleine aurait ensuite tenté d’empoisonner son époux Antoine de Brinvilliers, sa sœur Thérèse, et même sa fille aînée. Ces dernières tentatives sont cependant sujettes à caution, puisqu’elles ne sont pas prouvées. Ce qui est certain en revanche, c’est que la relation entre Marie-Madeleine et et Sainte-Croix devient houleuse. Ce dernier prend alors soin de fermer dans une petite cassette des fioles et des des lettres compromettantes de la marquise. Il y joint un mot. "À n’ouvrir qu’en cas de mort antérieure à celle de la Marquise." D'amant, il était devenu maître chanteur avisé. Enfin, c’est en 1672 que meurt Jean-Baptiste Gaudin de Sainte-Croix, dans son lit, et non pas dans son laboratoire comme le veut la légende. Marie-Madeleine, qui est alors dans sa maison de campagne à Picpus n’a alors qu’une obsession, récupérer cette fameuse cassette qui pourrait l’incriminer. Pourtant, elle échoue à récupérer son bien, et après que le sergent Cluet en ait découvert le contenu, la marquise n’a d’autre choix que de s’enfuir, d’autant plus que le roi a lancé contre elle un mandat d’arrêt. L’un des complices, La Chaussée, a été arrêté et sous la menace de la torture, a avoué tous les crimes en détail. Marie-Madeleine se réfugie d’abord en Angleterre, avant de gagner Liège, où elle se cache dans un couvent. Une servante restée fidèle, Geneviève Bourgeois, l’accompagne dans son périple. Colbert, ministre de Louis XIV, est alors chargé d’une mission délicate, rapatrier la fugitive en France. C’est l’exempt de police François Desgrez, qui déguisé, parvient à pénétrer dans le couvent et à faire arrêter madame de Brinvilliers. Désemparée, la marquise tente à plusieurs reprises de se suicider, et se retrouve lors du retour sur Paris, sous une étroite surveillance. Marie-Madeleine est ensuite enfermée à la Conciergerie, au dernier étage de la tour Montgomery. Son procès est assez long, puisqu’il se déroule d'avril à juillet 1676. Confrontée à ses juges, la marquise nie tout et refuse de passer aux aveux. Il y a pourtant contre elle des preuves à priori accablantes, une confession écrite de sa main où elle avoue des crimes abominables, et où elle s’accuse entre autres des empoisonnements de son père et de ses frères, de sa relation adultère avec Sainte-Croix précisant "d’avoir donné beaucoup de bien à cet homme et qu’il m’a totalement ruinée." C’est Denis de Palluau, conseiller de la chambre du parlement de Paris qui est chargé de l’interroger et il commence à le faire à Mézières avant de monter sur Paris. Le vingt-neuf avril 1676 commence son procès qui ne comportera pas moins de vingt-deux audiences jusqu’au seize juillet. Des témoignages de servantes, de domestiques sont venus étayés le procès à charge mené contre la marquise. À charge car elle n’a pas eu le droit d’être assistée par son avocat, Maître Louis Nivelle, pendant les audiences. Pour lui, Marie-Madeleine a été entraîné malgré elle, par amour pour son amant, par le chevalier Godin de Sainte Croix qui a profité de sa faiblesse pour lui ponctionner petit à petit toute sa fortune. Briancourt, l’ancien précepteur des enfants et ancien amant de la marquise devenu avocat est arrêté afin de parler. Le douze juillet, il raconte toutes les confidences que lui a faites la marquise. Elle, silencieuse, nie toujours les faits. Et le matin du 16 juillet 1676, le verdict tombe. Condamnée à la peine capitale, elle devra avant d’être exécutée place de Grève faire amende honorable devant la porte principale de Notre dame de Paris. Les juges lui épargnent d’avoir le poing coupé, torture réservée au parricide. Condamnée à subir la question puis à être exécutée, mais de rang noble, Marie-Madeleine se voit attribuer un confesseur, l’Abbé Edmond Pirot. Edmond Pirot, théologien, fut désigné par le président de Lamoignon pour assister la Brinvilliers afin d'obtenir les renseignements que la justice n'avait pu obtenir. Dans ses derniers jours à vivre, elle va alors faire preuve d’une grande piété et va manifester son repentir. On peut le juger sincère, lorsqu’on relit le témoignage que Pirot écrivit par la suite. Bien sûr, la peur de la mort et de la justice de Dieu ont certainement influencé la marquise. Elle accepte alors les aveux auprès de ses juges, demande aux gens de la Conciergerie de prier pour elle. Elle écrit même une lettre à destination de son époux Antoine, lui demandant de veiller sur leurs enfants qu’elle ne pourra pas revoir. Le jour de l’exécution est fixé le 17 juillet 1676. Marie-Madeleine fait d’abord amende honorable devant le parvis de Notre-Dame, où elle avoue publiquement ses crimes. La foule est très nombreuse, et la marquise craint de défaillir à chaque instant. Arrivée sur l’échafaud, elle demande à l’abbé Pirot, très ému par le courage de la prisonnière, de rester à ses côtés jusqu’au dernier moment. Compte tenu de son rang, Marie-Madeleine a d’abord la tête tranchée avant que son corps ne soit jeté au bûcher. Une grande émotion parcourt la foule, si bien que dès le lendemain, les badauds n’hésitent pas à récupérer les cendres de la marquise, la considérant comme une sainte. Le portrait que dressera l’abbé Edmond Pirot par la suite de la Marquise ira également en ce sens. L’arrestation, puis l’exécution de la marquise mettent à jour l’une des affaires criminelles les plus retentissantes du règne de Louis XIV, la fameuse Affaire des poisons. Terminons d’abord par le cas de Marie-Madeleine d’Aubray. Sa culpabilité ne fait aucun doute. Cependant, en retraçant son existence qui ne fut pas toujours heureuse, on peut penser que son viol alors qu’elle était enfant a laissé chez elle des séquelles psychologiques très importantes. Le rôle de Sainte-Croix n’est pas non plus négligeable. Il mourut de sa belle mort en 1672 et ne répondit jamais de ses actes. Sa longue confession que trouvèrent les autorités fut brûlée, par respect pour la religion. Pourtant, ce personnage peu glorieux a certainement influencé sa maîtresse, en plus de mener un commerce actif des poisons. Car l’enquête qui suivra la mort de la marquise de Brinvilliers mettra à jour un vaste réseau où les devineresses, apothicaires, alchimistes de tous genres, rentabilisant leurs affaires en vendant leurs "poudres de succession." Cette affaire des poisons a compromis de hauts personnages, la duchesse de Soissons, le financier Pierre-Louis de Penautier, ami de Madame de Brinvilliers et protégé de Colbert, et même la marquise de Montespan, maîtresse officielle de Louis XIV, qui aurait eu recours aux services d’une dénommée Catherine Deshayes, dite "La Voisin" pour des philtres d’amour et des messes noires. Toutefois, certains points de l’enquête furent volontairement laissés de côté afin d’éviter un trop grand scandale. Beaucoup de gens de la noblesse compromis furent exilés, d’autres ne furent même pas inquiétés. Quant à la Voisin, elle fut finalement brûlée vive en place de Grève. En quelques mois, la façade majestueuse du règne du Grand Roi donna l’impression de se craqueler, révélant l’envers sinistre du décor. Des siècles de christianisme n’avaient pas entamé le vieux fond de paganisme et de superstition issu des temps les plus reculés, dans lequel se mêlaient les croyances les plus incongrues. Le lieutenant général de police, Gabriel Nicolas de La Reynie s’aperçut avec effroi que la société française était largement infestée de ces sortes de crime alors que la moralisatrice et prude Madame de Maintenon, surnommée "Madame de Maintenant" par les pamphlétaires, avait remplacé la sulfureuse Madame de Montespan. Il en avait averti le roi. Afin de traiter ces procès sans publicité excessive, celui-ci se garda de confier l’affaire au parlement de Paris, comme il l’avait fait maladroitement pour Madame de Brinvilliers. Le sept avril 1679, il créa une juridiction extraordinaire, la chambre de l’Arsenal, présidée par un intègre magistrat, Louis Boucherat, comte de Compans, et composée de magistrats dévoués et triés sur le volet. Cette chambre fut surnommée la "Chambre ardente", en souvenir de ces juridictions médiévales qui délibéraient dans une salle tendue de noir, éclairée de torches et de flambeaux. Le magistrat instructeur désigné fut le lieutenant général de police en personne, La Reynie. Au cours des interrogatoires, les plus grands noms de la noblesse française furent cités. Olympe Mancini, comtesse de Soissons, la princesse de Tingry, les duchesses d’Angoulême, de Bouillon, de Vitry, de Vivonne, le maréchal-duc de Luxembourg, les ducs de Vendôme et de Brissac, la marquise d’Alluye, les marquis de Cessac, de Feuquières, la comtesse du Roure, la vicomtesse de Polignac. Certains furent arrêtés, soumis à de rigoureux interrogatoires, comme le maréchal de Luxembourg, la princesse de Tingry ou Marie-Anne Mancini, duchesse de Bouillon. Il fut même question un moment d’incarcérer le poète Jean Racine, soupçonné d’avoir supprimé sa maîtresse, la comédienne Mademoiselle Du Parc. Durant les trois années de son existence, la Chambre ardente tint deux-cent-dix séances, prononça trois-cent-dix-neuf décrets de prise de corps, obtint l’incarcération de cent-quatre-vingt-quatorze personnes, rendit cent-quatre jugements, dont trente-six condamnations à mort, quatre condamnations aux galères, trente-quatre bannissements ou amendes, et trente acquittements. Tous les prisonniers ne furent pas jugés car, devant l’ampleur des révélations concernant la favorite, Madame de Montespan, Louis XIV dut suspendre le déroulement des instances. En 1709, à la mort de La Reynie, le roi fit brûler les dossiers contenant les faits particuliers concernant sa maîtresse. Heureusement, le lieutenant général de police les avait résumés au préalable. Conservés à la Bibliothèque nationale de France, ceux-ci permettent aujourd’hui de voir plus clair dans ce procès de grande envergure, devenu non seulement une affaire d’État, mais aussi le secret d'un roi. Bibliographie et références: - Alexandre Dumas, "La Marquise de Brinvilliers" - Jean Imbert, "Quelques procès criminels des XVIIe et XVIII ème siècle" - Paul Olivier, "Le Calepin d'Amour de la Brinvilliers" - Madame de Sévigné, "Lettre du 17 juillet 1676" - Armand Praviel, "Le Secret de la Brinvilliers" - Irène Stecyk, "Une petite femme aux yeux bleus" - Catherine Hermary-Vieille, "La Marquise des ombres" - Nadine Monfils, "Les Fleurs brûlées" - Jeanine Huas, "Madame de Brinvilliers" - Jean-Christian Petitfils, "La marquise aux poisons" - Agnès Walch, "La Marquise de Brinvilliers" - Guillaume Lenoir, "La Marquise aux poisons" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 25/10/20
On arrive aux cascades d'Ouzoud et on descend le sentier escarpé. En bas, j'aperçois des singes que je n'avais pas vus la première fois. Je dis : — Oh?! des singes, qu'est-ce qu'ils font là?? Djibril répond : — Ils sont chez eux. Ce sont des macaques sauvages mais habitués aux touristes. Les mêmes qu'à Gibraltar, d’ailleurs. J'aime bien les singes, je viendrai leur donner à manger. On arrive devant une très grande tente blanche. C'est là que se tiendra la réception. Il y a quelques hommes qui travaillent et puis, j'aperçois Malha. Aussitôt, je me précipite vers elle en disant : — Oh?! je suis contente de te voir. Elle est en jean et tee-shirt avec des auréoles sous les bras. Il fait plus de 30°, aussi. Je veux l'embrasser sur la bouche, mais elle me tend sa joue en disant : — Bonjour Samia. C'est bien que vous soyez là. — Tu ne m'embrasses pas?? — Tu sais, je dois m'occuper de tout le monde, ici. Je ne peux pas être trop familière avec toi. D'ailleurs, ce serait bien que tu dises Mademoiselle et que tu me vouvoies. OK?? — ... Oui... Elle me dit comme son frère tout à l'heure : — Oui qui, Samia?? — Oui Mademoiselle Malha. — Bien... Tu vois cette petite tente, là-bas?? Va aider la cuisinière. D'accord?? — Oui... Mademoiselle. — Bonne petite. Eh?! J'ai plus 8 ans?! Mais bon... je serai propriétaire d'une demi-maison et puis, ce soir, j'essaierai de... — Allez Samia, vas-y?! — Oui Mademoiselle. Elle parle à Josiane tandis que je me dirige vers la petite tente. Vous savez que je suis Comtesse??? Si, si, rappelez-vous, Comtesse de Préville à la suite de mon mariage avec mon petit chien, enfin de Julien. Toute Comtesse que je sois, je dois dire crûment que Djibril et Malha nous ont bien fourrés à sec?! Et ça fait mal?! Sous la petite tente, il y a une cuisinière assez grosse, ce qui est la caractéristique de beaucoup de cuisinières. Elle doit avoir 40 ans et peser 80 kg. Je lui dis : — Bonjour Madame. Mademoiselle Malha m'a dit de venir vous aider. Elle me regarde comme si j'étais... une salope d'infidèle à moitié à poil en public. Elle me dit : — Tu n'as pas honte de te promener comme ça?? — Mais, il fait chaud et... — Et rien du tout. Monsieur Djibril m'a prévenue. Tiens, mets ça?! Elle me tend une djellaba. Je regarde la cuisinière. Elle a des mains deux fois comme les miennes. Bon, je ne vais pas l'envoyer se faire foutre... Je prends le vêtement et je vais dans le fond de la tente pour l'enfiler. Après ça, je fais glisser mon top et mon short que j'enlève par les pieds. Je planque mes vêtements pour qu'elle ne voie pas que je les ai enlevés. La djellaba est en tissu léger qui me caresse quand je bouge. La cuisinière me dit : — Mets la capuche. Une femme ne montre pas ses cheveux. Elle a surgi du moyen âge par une déchirure temporelle?!? Elle ajoute : — Je m'appelle Tifa, mais tu diras Madame et tu feras ce que je te dis. On croirait entendre Djibril ou Malha?! Je réponds : — Oui Madame. Imaginez que vous ayez un objet très lourd en main. Vous ne voulez pas qu'il tombe, vous le tenez de toutes vos forces. Jusqu'au moment où vous n'en pouvez plus et vous le lâchez. Moi, je suis comme ça. J'ai de la force et je tiens bon, mais quand je lâche, c'est fini. Il faut comprendre que je suis dans un pays étranger, chez des Berbères dont le nom vient de Barbares et... ils sont plus forts que moi. Si on était en Roumanie ou en France je tiendrais bon. Enfin, je pense... C'est comme avec Kristos ou la fille des Flots Bleus, dont j'ai oublié le nom. Avec la cuisinière, je lâche. J'ai mis la djellaba et la capuche et j'épluche des pommes?! Mon mécanisme de soumission est enclenché... Elle le sent bien, Tifa. L'aider, ça signifie, qu'elle est assise peinarde et qu'elle me donne des ordres. Elle m'a même donné un coup sur les doigts avec le manche d'une cuiller en bois, parce que je faisais des épluchures trop épaisses. Ça fait mal, cette cuiller en bois. C'est juste bon pour le cul des hommes?! Je lui dis : — Vous savez, mon mari est très obéissant et il pourrait... — Non?! C'est toi que je veux faire obéir. Toi qui montres ton corps sans honte?! Même si ça ne dure que deux jours, je vais t'apprendre la pudeur et la modestie. Oulah?! C'est mission impossible, ça. Mais comme elle le dit, ça ne va durer que deux jours. Si j'osais, je lui répondrais : «?Si vous réussissez à m'apprendre la pudeur demain, je ne baiserai pas avec les investisseurs et vous l'aurez dans votre gros cul pour le Parc Régional de l'Atlas?». Mais mes doigts me font encore mal, alors je la ferme?! Ah?! il va m'entendre, Djibril?! Je vais saboter sa soirée, je vais... — ... Et alors tu dors?? — Non Madame. — Ça fait deux fois que je te dis de jeter l'eau qui est dans cette bassine. Je prends le récipient et je sors de la tente pour le vider un peu plus loin. À mon retour, je vois qu'elle me regarde attentivement. Elle me dit : — Mais ma parole, tu es nue là-dessous?! Tu as enlevé tes vêtements sans que je le voie et cette djellaba est transparente, parce qu'elle doit se porter au-dessus des vêtements?! — Comment, je pourrais le savoir, moi ! Il fallait... Elle m'attrape par le poignet et me bascule en travers de ses cuisses, en criant : — Tu as vraiment le diable au corps, toi?! Attends, je vais t'apprendre la pudeur?! Elle lève le bas de la djellaba jusqu'à mes reins?! C'est ça, la pudeur pour elle?? Et là, son énorme main me claque les fesses avec le bruit d'un pétard qui explose, ça fait : — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe... noooonnn arrêtez... PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Vous n'avez pas le droit... PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe — Tu vas voir si j'ai pas le droit?! — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Pardon, je serai... PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! pudiiique?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Sa paume est dure comme du bois et un déluge de claques s'abat sur mes pauvres fesses?! — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Et là, j'entends la voix de Djibril : — Mais qu'est-ce que tu fais, Tifa?? — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! — J'apprends la pudeur à cette petite traînée. — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! Au secours Monsieur Djibril?! — Arrête Tifa?! — PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! PAF?! Aïe?! En tournant la tête, je vois qu'il lui a saisi le poignet?! Il me prend par la taille et me remet debout. Je pleure, le derrière en feu. Il me demande : — Qui t'a dit de venir ici?? — C'est Malha... sniiif... — La conne?! Bon, viens. Je t'envoie quelqu'un d'autre, Tifa. Elle lui répond : — Si c'est une du même genre, je lui tannerai les fesses, aussi?! On sort, entourés de jeunes qui ont assisté au spectacle?!! On va vers la grande tente, moi toujours en larmes et frottant mes fesses. Dès qu'on voit Malha, Djibril se met à crier sur elle en berbère. Bien fait?! Quand il l'a bien engueulée, il me dit : — Viens, tu vas te reposer pour être en forme ce soir. C’est tout ce qui lui importe?! Je réponds : — Je ne serai pas en forme et vous ne pouvez pas m'obliger... — On retourne chez Tifa?? — NON?! — Bon, tu as reçu une fessée, c'est pas la fin du monde. Il me prend par le bras et on va devant un petit établissement, comme il y en a beaucoup. Sur la terrasse, il y a quatre hommes qui boivent un verre en discutant. Un des quatre est vraiment... beau : 35 ans, brun, costaud, souriant. Il est habillé à l'européenne, les 3 autres, je ne sais pas, car je ne les regarde pas?! Le beau mec lui dit : — Salut Djibril, qu'est-ce que tu nous amènes de beau?? — Une petite qui a eu un différend avec Tifa. Montre tes fesses, Samia. Ah, tiens, maintenant il faut les montrer?? Je me retourne et relève ma djellaba. Aussitôt, il y a différents commentaires, genre «?Quel beau cul?!?» et «?Il est bien rouge?! ». Djibril s'adresse au beau mec en disant : — Juan, sois gentil, occupe-toi d'elle, il faut qu'elle soit en forme pour ce soir. Il s'en va. Juan se lève et me tend la main en disant : — Viens petite, je vais te soigner. — Ça fait maaal?! — J’ai un truc, tu vas voir. On traverse le petit bar pour aller dans la pièce du fond. Il me dit : — Couche-toi sur le ventre, je vais chercher ce qu’il faut. Il revient avec une boîte de Nivea. C'est ça qui va me soulager?? Il s'assied à côté de moi, relève ma djellaba et commence à me masser. D'abord, je crie un peu, mais rapidement, je ronronne... Il me masse doucement les fesses et c'est vrai que la crème me soulage. Djibril n'est pas si mauvais que ça, après tout... D'accord, cette correction m’a fait vraiment mal, mais il y a aussi les soins "après-fessée". Je demande à mon masseur : — Dites, je peux vous rendre la pareille?? — Quel appareil, petite?? Il est con, mais beau... — Je veux dire, vous masser. — Ah oui, mais pas avec de la Nivea. — Non. Enlevez vos vêtements et couchez-vous sur le dos. Il se déshabille et... il bande... bien?! Passer de la Nivea sur mes fesses rouges, ça lui a fait de l'effet. Il se couche sur le lit, le mât dressé prêt à appareiller pour Cythère. Mais si, vous savez bien, là où Aphrodite avait sa villa de vacances, avec piscine. Il a mis un bras derrière la tête. Je vous le décris : une masse de cheveux bruns, un beau visage et des poils s'échappant de l'aisselle. Il a aussi des poils sur la poitrine, le ventre le sexe, les jambes et, oui, j'aime les poils... Il sent l'eau de Cologne et la sueur d'homme. J'embrasse sa bouche, pas longtemps, je plonge le nez dans son aisselle. Il rit en disant : — Tu me chatouilles... Et, vous savez ce qu'on dit : homme qui rit, bientôt dans votre lit. Euh... oui, il y est déjà. Je descends en suivant les poils qui ondulent comme des vagues vers son phare – c'est une image, je veux parler de son sexe. D'ailleurs, qu'est-ce que je ferais avec un phare?? Ah oui, m'asseoir dessus??? C'est son sexe le phare et, à vue de nez, il fait un bon 20 cm. Comme Juan est sans doute espagnol, il n'est pas circoncis... J'embrasse la toison de son ventre, fais un détour par ses couilles gonflées de désir pour moi – comme on dit dans les romans d'amour pour jeunes filles – je les lèche, les mordille.. Puis, je m'attaque au sexe, je tire sur la peau qui recouvre la chair rose du gland... Le bout est très mouillé, je le promène sur ma bouche, puis sur mes joues pour envoyer le message aux autres femelles : ce mâle est à moi, je suis son territoire... Les hommes ne sont pas patients, vous avez déjà remarqué?? S'il y a une bite d'un côté et une bouche de l'autre ils veulent absolument que l'une entre dans l'autre... Bon, d'accord, je dégage complètement le gland et je le lèche. Son sexe et ses couilles, c'est comme une glace «?trois boules?» dans un cornet. Deux grosses boules de glace caramel en dessous et une boule à la framboise au-dessus. Il me prend par la nuque et, oui, j'ai compris, j'engloutis ma boule à la framboise d'un coup... J'apprécie son goût un peu salé, son odeur... Il me dit : — Tu dois me lécher le cul, aussi, petite. J'aime bien ça. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici : https://www.lamusardine.com/recherche?s=mia+michael&controller=search Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 25/10/20
C'est dans le monde du BDSM japonais que l'on a pu découvrir, dès la fin du siècle passé, les toutes premières images nasophiles. Ils appellent cela «HansZeme», qui se traduit «Viol des narines». Il peuvent aussi l'appeller «HanaMani», soit «Obsession des narines» ou «Maniaque des narines». Même s'il y a surement une mise en scène prévue, on est immédiatement marqué par la brutalité très marquée. La contrainte est très souvent de mise, pour ligoter la soumise à une chaise, et l'obliger à jouer son role. Sa réticence, parfois mélée d'inquiétude, est bien visible, dès le début. La plupart du temps à l'aide d'un crochet de nez (nose hook), et parfois même plusieurs, des insertions de différentes nature (Coton-tige, Mouchoir tosadé, etc ... ) ont lieu, ainsi que l'épilation de poils à l'entrée des narines, et à l'aide de seringues, de l'eau et même d'autres liquides (Sperme, Urine, ...), sont injectées dans une narine, voir même parfois les deux. De plus, vous avez surement déjà entendu parler de «<a href="https://www.bdsm.fr/hentai/">hentai</A>», cette variante des mangas traditionnels réservés aux adultes car orienté vers le sexe, l'érotisme et la pornographie, dans laquelle la nasophilie tient sa place. Hors <a href="https://www.bdsm.fr/hentai/">hentai</A>, c'est à 2002 que remonte le contenu nasophile japonais ci-dessous,et c'est le plus ancien. Il est crédité à un certain «Constantinus».
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Par : le 22/10/20
Le BDSM est une œuvre d'art, pas une science, pas de la technologie. Une œuvre d'art est quelque chose d'unique qui est créé à l'aide de compétences spéciales et reflète la personnalité et la créativité de l'artiste. Hermès Solenzol J'ai toujours vu la pratique du BDSM comme un art, un art unique et particulier où la Muse est aussi l'œuvre. Et l'art le plus proche du BDSM et sans aucun doute la sculpture, chaque coup dans la roche est irréversible et les conséquences définitives, sans parler de la relation presque charnel que l'on retrouve par exemple chez Rodin... Mais entrons dans le vif du sujet, nous aimons tous échapper à notre vie quotidienne de temps en temps. Il y a quelque chose de relaxant à lire, de relaxant et de stimulant à aller au cinéma ou à passer du temps avec un passe-temps et à oublier son travail ou ses taches quotidiennes. Cette routine peut aussi parfois s'instaurer dans une pratique BDSM trop mécanique, trop théorique. Vous remarquerez que mes exemples d'échappatoires étaient chacun lié à un art et ça n'est pas un hasard. Concevoir une relation D/s comme une relation artistique en quête d'un idéal presque Baudelairien échappe à cette routine. Et c'est là que la relation D/s présente de nombreuses similitudes avec la création artistique. Ce besoin de créer, comme un besoin de s'échapper. Dans le BDSM nous utilisons des instruments, des techniques et des compétences pour amener notre imagination sous une forme tangible. Une mise en scène, esthétique qui élève la soumise et élève le moment à une forme de suspension artistique. "Ce qui me frappe, c'est le fait que dans notre société, l'art est devenu quelque chose qui n'est lié qu'aux objets et non aux individus, ni à la vie. Cet art est quelque chose qui est spécialisé ou qui est fait par des experts qui sont des artistes. Mais la vie de tout le monde ne pourrait-elle pas devenir une œuvre d’art ? Pourquoi la lampe ou la maison devraient-elles être un objet d'art, mais pas notre vie ? " Michel Foucault Je m'intéresse à de très différentes formes d'art, et je suis certain de ne pas être le seul sur ce site, mais je ne considère rien de ce que je fais comme art comme «professionnel», et ce n'est pas censé être ainsi. L’art n’est pas une carrière pour moi, c’est une partie intégrante de mon expression de vie. De mon point de vu, le dessin d’un enfant de dinosaures et d’anges a une valeur artistique. Car c'est une expression d'une vision et d'un ressenti, un art certes primitif voir naïf mais une forme d'art à part entière. De la même manière, je pense que le BDSM est une forme d'art à laquelle nous, membres de la communauté BDSM, pouvons accéder pour nous exprimer. Quand un corps est marqué par des rayures, c'est un processus d'énergie, de douleur et de beauté qui encapsule un temps et un espace particuliers, où le pouvoir a été échangé entre le Dominant et la soumise. La corde brûle et les frottements sur un corps sont une traînée d'énergie intense. Les traces de doigts sur le corps, ressemblent à des tatouages ??éphémères comme pour se souvenir de quelque chose d'important dans la vie. Alors les différents instruments BDSM laisseraient différents types de sentiers, de différents voyages. Ceux-ci sont tous très beaux aux yeux du Dominant et de la soumise. Et tout ce chemin artistique sont une forme d'art, utilisant le matériau le plus puissant de la civilisation humaine - le corps. Bien sur en lisant cet article, l'art le plus évident qui peut venir comme pratique est le Shibari, une technique au service de l'esthétique. Certes mais je pense que cela va bien plus loin que ces évidences, la création se fait au quotidien dans une relation D/s et non uniquement encadrée dans une séance d'une pratique particulière. La recherche d'idéal, permanente... Alors Créez, Créons ! Et vivons de cet art si profonds qui fait vibrer les émotions !
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Par : le 19/10/20
François Ier aurait pu ne jamais monter sur le trône. Il appartient en effet à la maison d'Angoulême, branche cadette de la maison royale des Valois, fondée par Jean, comte d'Angoulême, fils de Louis d'Orléans et de Valentine Visconti. Sa mère, Louise, était la fille d'un cadet de la maison ducale de Savoie. En 1488, elle épouse Charles d'Angoulême, arrière-petit-fils de Charles V. Lorsque Charles meurt en 1496, François n'a que deux ans et sa mère dix-neuf. À cette date, François n'est donc qu'arrière-arrière-petit-fils de roi. Mais, par le jeu de la loi salique, dont le principe de base est la primogéniture masculine, il est le deuxième sur la liste des héritiers du trône, après son cousin Louis d'Orléans. Il a donc fallu que Charles VIII puis Louis d'Orléans, devenu Louis XII, meurent sans héritier mâle pour qu'il devienne, le premier janvier 1515, le vingt-quatrième de la dynastie capétienne, par la grâce de Dieu, roi de France. Nombreuses furent les mères de rois de France à avoir exercé la régence, mais Louise de Savoie fut la plus singulière. Si Blanche de Castille, Catherine de Médicis ou Anne d'Autriche furent couronnées reines, Louise influença et gouverna, sans jamais monter sur le trône et alors que son fils François I er était politiquement majeur. La profonde convergence de vues entre Louise et son fils est suffisament rare dans l'histoire des relations entre les rois et leur mère pour être notée. L'inséparable duo qu'ils formèrent annonce certains tandems célèbres de monarques et leur ministres, tels Louis XIII et Richelieu ou Charles I er d'Angleterre et le duc de Buckingham. Si des historiens ont jugé durement sa politique, notamment Jules Michelet qui l'accusa d'être le mauvais génie de François Ier, l'action de Louise de Savoie doit être replacée dans son contexte historique, une période dangereuse pour l'unité du royaume après la défaite de Pavie. Orpheline de sa mère à sept ans, négligée par son père, Philippe sans Terre qui avait bien d’autres soucis, Louise est éloignée de Savoie qu’elle ne reverra jamais en se voyant confiée à son oncle et à sa tante, Pierre et Anne de Bourbon-Beaujeu. En 1488, ces derniers la marient à douze ans avec Charles d’Angoulême (1459-1496), un lointain cousin, alors gouverneur de Guyenne, qu’elle ne connaît pas, qui a dix-sept ans de plus qu’elle et qui ne va cesser de la tromper ouvertement avant de la laisser veuve à vingt ans. Une catastrophe n’arrivant jamais seule, Louise perd au même moment son époux et son père, devenu duc de Savoie mais disparaissant après une seule année de règne. Louise va consacrer sa vie à la promotion et à la défense de ses deux enfants qu’elle élève, Marguerite d’Angoulême, future reine de Navarre et François. Elle refuse tout remariage et s’impose au roi Louis XII comme seule tutrice de ses enfants et elle se heurte à la reine Anne de Bretagne, née en 1477, qui avait déjà épousé le roi Charles VIII. Louise semble avoir gagné en 1514 quand suite à la mort de la reine Anne, Claude épouse enfin François d’Angoulême devenu roi sous le titre depuis célèbre de François 1er. Convaincue de la destinée royale de son fils, Louise de Savoie l'a éduqué comme un prince. Celle qui assura la régence s'est imposée comme un personnage clé du gouvernement. La figure de la mère du roi, régente du royaume, est bien connue dans l'histoire de France. Il suffit de penser à Blanche de Castille, la mère de Saint Louis, à Catherine de Médicis, celle de Charles IX, ou encore à Anne d'Autriche, la mère de Louis XIV. L'une d'entre elles, qui a pourtant exercé le plus d'influence, échappe aux écrans de l'histoire. C'est Louise de Savoie, la mère de François Ier. À la différence des autres régentes, elle ne fut jamais reine. Mais, contrairement à elles, elle gouverna alors que son fils était majeur. Avant même la naissance de François, Louise de Savoie croit en la destinée de son fils. L'ermite italien saint François de Paule, convoqué au Plessis-lès-Tours peu après le mariage de Louise avec Charles d'Angoulême en 1488, alors qu'elle n'avait que douze ans, ne lui avait-t-il pas prédit qu'elle aurait un garçon et qu'il deviendrait roi de France ? Très précieux pour nous est le "Journal" qu'elle tient alors quotidiennement et qui nous permet de suivre les nombreuses inquiétudes qu'éveillent chez elle les événements susceptibles de nuire à l'avènement de son fils. Ce sont surtout les grossesses d'Anne de Bretagne, l'épouse de Louis XII, qui l'effraient. En effet, François n'est que le cousin du roi. Lorsqu'en 1512 Anne perd un nouveau-né, Louise ne peut contenir sa joie. "Anne reine de France, écrit-elle, à Blois le jour de sainte Agnès, le vingt-et-un janvier, eut un fils, mais il ne pouvait retarder l'exaltation de mon César, car il avait faute de vie." En 1514, Louise s'attend à voir son fils monter sur le trône. La mort d'Anne de Bretagne le 9 janvier semble écarter toute perspective d'un futur héritier. Mais le roi se remarie le neuf octobre avec Marie Tudor, la sœur d'Henri VIII d'Angleterre. Cependant, Louis XII tombe gravement malade et meurt le premier janvier 1515. François est aussitôt proclamé roi, sans avoir encore la certitude que Marie Tudor ne porte pas d'enfant. "Le premier jour de janvier, je perdis mon mari, et le premier jour de janvier, mon fils fut roi de France" écrit Louise. François Ier témoigne à sa mère autant d'amour et de dévotion qu'elle lui en marque elle-même. Il élève son comté d'Angoulême au rang de duché et lui donne le duché d'Anjou, les comtés du Maine et Beaufort-en-Vallée ainsi que la baronnie d'Amboise. Soucieux du confort de sa mère, il lui achète en 1518 une petite propriété au lieu-dit les Tuileries, juste en dehors de l'enceinte de Paris "pour lui procurer un meilleur air que celui de l'hôtel des Tournelles" car si Louise de Savoie aime le pouvoir, elle apprécie aussi l'argent. À l'avènement de son fils, elle devient ainsi duchesse d'Angoulème et fait preuve d'une avidité considérable. Dès 1515, Louise de Savoie s'impose comme le personnage clé de la cour et du gouvernement du jeune roi. Le 15 juillet, François Ier part combattre en Italie. Pendant toute la campagne qui dure jusqu'au treize janvier 1516, sa mère, restée au royaume, veille sur la maison France. Mais durant cette première régence, ses pouvoirs sont limités car François Ier a emporté avec lui le grand sceau, nécessaire pour valider les actes royaux. Après le retour du souverain, l'influence de Louise reste grande. Elle forme avec son fils un couple compact dont il n'est pas toujours facile de distinguer la double composante. On trouve souvent dans les correspondances des contemporains comme par exemple celles du cardinal Jean Du Bellay, ambassadeur à Rome, l'expression "le roi et Madame", plutôt que celle de la simple expression "le roi." Louise de Savoie joue un rôle déterminant dans le contrôle du Conseil royal, principal organe de décision. Parmi ses bras droits, la postérité a retenu la figure du chancelier Antoine Duprat, issu d'un milieu de marchands très actifs, mais aussi d'officiers de finances. La carrière que son talent et sa détermination lui permettent de réaliser s'appuie sur une tranquille mais méthodique montée en puissance de sa parentèle au cours du XV ème siècle. Duprat parvient à se procurer, en 1504, un office de maître des requêtes de l'hôtel du roi. Pendant deux ans, son activité est consacrée aux procédures qui sont lancées contre Pierre de Rohan, le maréchal de Gié, ancien gouverneur de François. C'est l'occasion pour lui de se rapprocher de Louise de Savoie, qui n'est pas étrangère à la procédure contre le ministre. Par sa maîtrise du Conseil, Louise de Savoie empêche que s'impose un favori sur le modèle d'Anne de Montmorency, puis de Philippe Chabot et de Claude d'Annebault dans les dernières années du règne. Elle contrôle les entrées et les sorties du Conseil et provoque la chute du connétable Charles de Bourbon et celle du financier Semblançay, dont elle a pourtant au départ poussé la fortune, et qui finit pendu en 1527. Charles III, duc de Bourbon, comte de Montpensier et connétable de France, était à la tête d'un domaine considérable au cœur du royaume. Sa femme, la duchesse Suzanne, meurt en 1521 en lui léguant tous ses biens. Louise conteste le testament en arguant du fait que, cousine germaine de Suzanne, elle est sa plus proche parente. Le testament est aussi contesté par le roi. L'affaire est soumise au parlement de Paris. Mais, avant même que la Cour ne se prononce, François fait don à sa mère d'une partie des biens du connétable qui alors se soumet. Mais c'est pendant sa deuxième régence, d'octobre 1524 à mars 1526, durant la captivité du roi qui suit le désastre de Pavie, que Louise de Savoie donne toute sa mesure. Installée à l'abbaye de Saint-Just, près de Lyon, depuis le début de la campagne pour communiquer aussi bien avec la capitale qu'avec l'Italie, elle gouverne, avec l'aide de Duprat, recevant les ambassadeurs et les représentants du royaume. La tâche est complexe. L'absence du roi encourage en effet les revendications de l'aristocratie et du parlement, chacun entendant exploiter ses atouts dans un contexte difficile pour la monarchie. Une coalition constituée en grande partie de conseillers du parlement de Paris et des princes du sang tente en avril 1525 de faire tomber le chancelier. Très adroitement, Louise assortit son soutien à Duprat d'une manœuvre par laquelle elle fait croire qu'elle désire nommer Lautrec comme lieutenant général à la place de Vendôme. Grâce à son habileté et à sa fermeté, la coalition fait long feu. La régente a montré, dans ce contexte délicat, ses talents politiques. Son rôle diminue lorsque François Ier revient en France en mars 1526. Mais le retour ne marque pas la fin des hostilités avec Charles Quint. La guerre recommence et Louise de Savoie revient sur le devant de la scène. Mettant à profit ses talents diplomatiques, c'est elle qui, avec la tante de l'empereur Charles Quint Marguerite d'Autriche, signe la "paix des Dames" à Cambrai le trois août 1529. L'empereur renonce à la Bourgogne contre une rançon de 2 millions d'écus. John Clerk, l'ambassadeur du roi d'Angleterre Henri VIII à la cour de France, qui avait estimé judicieux de conseiller à Louise de Savoie d'agir en femme et de supplier à genoux l'empereur de libérer ses petits-enfants, eut la finesse de sentir "qu'elle ne l'avait pas bien pris." Un contresens sur la personnalité de Louise est surprenant de la part d'un observateur averti. C’est à ce moment que pour sortir le royaume de son isolement, elle amène Henri VIII d’Angleterre à se déclarer enfin comme allié de la France mais c’est aussi elle qui va négocier une entente avec le Grand Turc. En effet, même si elle est fine politique, Louise se caractérise par sa fermeté. Ainsi, lorsque le cardinal François Guillaume de Castelnau Clermont-Lodève conteste la nomination d'un protégé du roi à l'évêché de Lavaur, elle fait rentrer les choses dans l'ordre par une lettre laconique terminée par ces mots: "Je vous prie, mon cousin, que vous complaisiez au Roi et à moi et vous vous en trouverez bien." Malgré d'ultimes concessions, Louise obtient le retour de la Bourgogne dans le giron français. Au début de l'année 1531, Louise de Savoie voit ses forces l'abandonner progressivement. Les observateurs notent qu'on la croit toujours près de s'évanouir. Elle meurt le vint-deux septembre 1531, à l'âge de cinquante-cinq ans, alors qu'elle se rend dans son château de Romorantin avec sa fille Marguerite pour fuir la peste qui ravage Fontainebleau. Le fils auquel elle a dévoué sa vie n'est pas avec elle. Il chasse à Chantilly en compagnie de son favori, Anne de Montmorency. Le roi ordonne que ses funérailles soient celles d'une reine. À titre posthume, François Ier l'élève au rang de reine. Le dix-sept octobre, une procession immense accompagne le convoi funéraire jusqu'à Notre-Dame de Paris pour la messe de requiem. Dans un cérémonial habituellement convenu pour les rois et les reines, une effigie de cire portant une couronne et un sceptre est posée sur une litière recouverte d'un drap d'or. Le cortège conduit la dépouille de Louise jusqu'à l'abbaye de Saint-Denis où elle est inhumée dans la crypte royale aux côtés des rois et des reines de France. Bibliographie et références: - P. Henry-Bordeaux, "Louise de Savoie, régente et roi de France" - Maurice Zermatten, "Louise de Savoie" - Cédric Michon, "Les conseillers de François Ier" - Laure Fagnart, "Louise de Savoie" - Aubrée David-Chapy, "Louise de Savoie" - Denis Crouzet, "Louise de Savoie" - Alain Decaux, "Louise de Savoie" - Gérad Binoche, "La mère de François Ier" - Catherine Villeret, "La paix des Dames" - Jean-Henri Volzer," Louise de Savoie" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/10/20
Depuis un certain temps, un fantasme me taraudait l’esprit, j’avais envie de me faire dominer mais je ne m’étais pas encore décidé sur le type de maitresse (Femme ou Transsexuel). En naviguant un peu sur la toile et surtout sur quelques sites d’annonces de ce domaine, j’ai choisis une dominatrice Transsexuel. Cela me semblait faire de moi encore plus un soumis. Dans son annonce « elle » décrivait ses gouts, ses spécialités, ses instruments et indiquait qu’elle possédait une croix de Saint-André. j’avais un fort désir de découvrir cette expérience de domination. Je lui téléphone afin d’avoir son adresse. Une fois dans l’ascenseur, je commençais à ressentir une légère angoisse, qu’allait elle me faire ? Et surtout est ce que ça va me plaire ? Je me suis dis qu’il était trop tard, je désirais ce fantasme, sur le palier, une porte s’entrebâillât, j’entrais. La pièce était plongé dans une semi obscurité, les volets clos, deux trois bougies pas ci par là, une petite lampe dans un coin, un lit, un canapé et cette fameuse croix. Maîtresse était grande, vêtue de grandes cuissardes noires en vinyle, un bustier noir sur lequel tombait sa grande chevelure rousse et un string noir, elle me demanda, ce que je connaissais sur la domination et surtout si je l’avais déjà pratiqué. Je lui indiquai que c’était la première fois et que ne souhaitais pas repartir de chez elle avec des traces ( je suis marié). Elle m’ordonna de me mettre nu, ce que je fis, elle me fit mettre à genoux et m’entoura le cou d’un collier en cuir attaché à une laisse. Ensuite, elle me dit de me mettre à quatre pattes et alla s’asseoir sur lit en me tirant par la laisse. Elle m’ordonna de lui lécher ses cuissardes des pieds jusqu’aux cuisses en me fouettant légèrement le dos et les fesses. Elle se leva du lit, en tirant sur la laisse me dit de me mettre à genou, pris ma tête entre mains, approcha son visage du mien et me dit « Tu vas bien me sucer petite salope » Elle se pencha encore pour branler ma queue qui était déjà bien dure. Elle se releva, écarta son string pour en sortir une longue queue épaisse, d’une main elle reprit ma tête et de l’autre elle tenait sa queue et me dis « Allez, suce salope ». J’ouvris la bouche et commença à la sucer, plus je la suçais plus elle grossissait. Par moment elle tenait la tête et me l’enfonçais profondément, ce qui me provoquait des haut-le-cœur. Ensuite elle s’est à moitié couchée sur le lit, jambes écartées, m’a fait monter puis en tirant sur la laisse m’a guidé vers son sexe pour que je le reprenne en bouche. Je me trouvais a quatre pattes et d’une main elle tenait fermement la laisse et de l’autre m’assénais quelque coups de fouet sur le dos et les fesses. Elle s’enfonçait au plus profonds de ma gorge, j’avais du mal à avaler cette grosse queue. Au bout d’un moment elle me releva ma tête, me regarda droit dans les yeux et me dit « Tu es une belle salope qui suce bien, maintenant on va voir la suite », Elle me dit de me mettre debout, à coté du lit, elle vint s’asseoir devant moi, me pinça les tétons, puis avec le manche du fouet me caressais le sexe qui était toujours bandé. Elle passa un doigt sur le bout de mon gland pour essuyer sperme qui y perlait et me mit le doigt dans la bouche pour le lécher. Elle se baissa, lécha mon gland puis prit mon sexe dans sa bouche pour me sucer un peu. Elle me dit de me retourner pour voir mes fesses, elle les caressa doucement . Elle écarta légèrement mes fesses afin de promener un doigt sur mon anus, puis elle me demanda de me courber en avant, avec ses deux mains elle écarta mes fesses au maximum et je sentis quelques coups de langue. Elle tenait toujours mes fesses écartées et y cracha, ensuite j’ai senti un doigt me pénétrer, ressortir, rentrer et cela plusieurs fois. Elle se releva et rapprochant sa bouche de mon oreille me dit « J’aime beaucoup ton cul et je suis sûr que je vais bien t'enculer ». puis se colla à mon dos en se frottant, je sentais son sexe se promener dans ma raie, elle prit mon sexe en main et fit quelque va et vient afin d’en garder sa dureté, puis me caressa les couilles d’abord délicatement, puis en les pressant dans le creux de sa main, reprit ma queue et refit quelques va-et-vient. Tout en me tirant par le sexe, me fit mettre à quatre pattes, le visage collé au sol et le cul bien en l’air. Elle me prit le bras gauche et me l’attacha , puis me prit le bras droit et fit de même, je me retrouvais avec les deux bras attachés, je ne pouvais plus fuir ou me débattre, ce qui me provoqua encore plus d’excitation. Ensuite, Elle me caressa les fesses, remonta sur les hanches, les cotes, pour arriver sur mes tétons et les pinça, un frisson me parcouru tous le corps, j’avais la chair de poule mais bandais toujours fortement. Puis ses mains descendirent vers mon ventre, puis ma queue, elle me masturba un peu. Elle me caressa les fesses avant de me fesser avec le plat de la main, puis je sentis sa langue sur mon téton droit, puis me le suça et me le mordit, elle fit de même avec le téton gauche. elle me fit écarter les jambes et me demanda de me cambrer afin de bien mettre mon cul en arrière Elle écarta mes fesses et me lécha l’anus pendant qu’une de ses mains me branlait, puis cessa de me branler et de lécher l’anus, mais continuait à dire « que j’étais qu’une petite salope qui allait se faire défoncer ». Soudain, je sentis quelque chose de froid se répandre sur mon anus, son doigt me massait mon œillet puis y pénétra doucement, ressorti, puis re-rentra, plusieurs fois de suite, elle me remit du gel, je sentis deux doigts me pénétrer, me masser, puis trois. « Mets ton cul en arrière », Je sentis quelque chose qui venait d’abord effleurer mon anus, puis qui cherchait à rentrer, je ne savais pas encore ce qui cherchait à me pénétrer, en tous les cas c’était plus gros que son doigt. Elle me dit à l’oreille « Je vais te dilater ton petit cul avec ce plug, comme ça je pourrais mieux te défoncer avec ma grosse queue ». Elle fit pénétrer la totalité du plug dans mon cul, et l'anus en feu, fit quelques va-et-vient avec le plug, de son autre main elle prit ma queue pour la branler en cadence. J’avais la queue bandée au maximum et le cul qui me brulait toujours, puis elle lâcha ma queue pour serrer mes testicules dans sa main, elle enfonçât le plug au plus profond de mon cul et me lâcha les testicules. Je me sentais totalement à sa merci, impuissant de toute action. La douleur de plug commençait à s’estomper. Soudain, je sentis le plug grossir progressivement, puis, diminuer, en fait elle tenait dans sa main une poire qui lui permettait de le gonfler ou le dégonfler. Elle recommença à le gonfler, dégonfler encore et encore. Puis elle le laissa complètement gonflé, j’avais l’impression d’être défoncé de l’intérieur, elle prit ma queue dans sa main pour me masturber (je bandais comme un fou), elle lâchât ma queue et déclencha le moteur du plug. Les vibrations intensifiaient la douleur, mais je dois être plus ou moins maso ça devenait même excitant, elle dégonfla le plug en le laissant toujours vibrer au plus profond de mon cul, puis le regonfla complètement, les vibrations répercutaient jusque dans mes testicules, je commençais à avoir mal à ma queue à force de bander comme ça, et à mon cul mais je prenais vraiment quand même du plaisir. Avec les vibrations, j'avais de plus en plus mal au cul et j’avais l’impression que j’allais éjaculer tout le foutre que contenais mes couilles. Elle dégonfla le plug, arrêta les vibrations et le sorti de mon cul. La douleur de mon anus réapparue, je devais avoir le trou complètement dilaté, pour calmer un peu cette douleur, elle me remit du gel lubrifiant, en me doigtant avec trois doigts. Je sentis son souffle chaud contre mon oreille, toujours avec ses doigts dans mon cul, elle me dit « Maintenant que ton cul est bien ouvert, je vais te l’éclater encore plus avec ma grosse queue, j’adore défoncer les petites putes comme toi ». Elle me fit mettre a quatre pattes et me dit de la suivre, elle s’assit sur le lit, prit sa grosse queue dans sa main et me dit « Suce moi bien ma belle salope, c’est ce qui va te défoncer ton petit cul ». J’ouvris la bouche en grand pour accueillir sa grosse queue, je la léchais dans tous les sens, l’aspirais à fond, c’était vrai qu’elle avait une très grosse queue (elle me dit par la suite 23 cm). En fait à ce moment la, j’étais tellement excité par ce qui s’était passé avant que je n’avais qu’une envie, c’était de me faire prendre par cette grosse bite. Elle me dit de monter sur le lit et de me mettre à quatre pattes face contre le lit et le cul bien en l’air. Je sentis à nouveau du gel sur mon anus , elle me mis à nouveau au moins trois doigt pour bien faire rentrer le gel, je me sentais à nouveau complètement humilié, le cul en l’air, pénétré, mais je l’avais cherché… « C’est le moment que je préfère, avoir un beau petit cul pour y fourrer ma grosse queue » Puis, elle prit sa queue dans sa main et me l’enfonça au plus profond de moi. Je sentais cette grosse queue me défoncer le cul et je trouvais ça bon, je dirais même dire que j’aimais quand elle était au fond de mon cul et que je sentais ses couilles venant percuter les miennes et que sa grosse queue entrait au plus profond de mon fondement. Elle a du me défoncer le cul pendant au moins une demie d’heure, et plus ça allais, plus je sentais sa queue qui grossissait dans mon cul et plus je prenais du plaisir, j’avais l’impression qu’a chaque fois qu’elle me pénétrait j’allais jouir, « j’avais vraiment l’impression qu’à chaque coup de sa queue j’allais éjaculer » J’étais presque dans un état de transe, je lui disais Vas y, encule moi à fond », et plus elle me défonçait le cul, meilleur s’était même si c'était douloureux, c'est le paradoxe, cela fait mal de se faire enculer mais on y prend du plaisir. C’était la première fois que je me faisais prendre aussi vigoureusement les fesses et j’aimais ça. Plus elle me bourrait le cul, plus je lui disais d’y aller encore plus et plus fort, je sentais en moi la jouissance venir, jusqu’au moment ou j’éjaculais, je voyais un filet de sperme sortir de ma bite et être totalement comblé, c’était un plaisir que je n’avais jamais connu avant. Je pense qu'elle a fait de moi une vraie pute et le pire c'est que j'ai envie de recommencer. Quand on y a goûté on ne plus s'en passer. Elle devait le savoir, c'est comme cela qu'elle fait de moi un vrai soumis qui se fait enculer quand elle en a envie.
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Par : le 12/10/20
Lorsque Marie Leszczy?ska devient Reine de France le 5 septembre 1725, elle ignore tout des subtilités de cour et des coteries qui y font rage. Son père, Stanislas, lui a donné pour conseil de se fier entièrement aux artisans de son mariage, le duc de Bourbon et sa maîtresse la marquise Agnès de Prie. Conseil qui va se révéler désastreux. Le duc de Bourbon, premier ministre depuis la mort du Régent, et sa maîtresse Madame de Prie sont au faîte de leur puissance. Louis XV est encore trop jeune et trop influençable pour gouverner par lui-même. Le couple va s’en charger avec délectation. Marie Leszczy?ska, polonaise sans fortune ni avenir, fille d’un roi détrôné, n’est pas devenue reine par hasard. Alors que l’on cherche de toute urgence une épouse au roi capable de lui donner une descendance, son nom est lancé par Madame de Prie. Elle veut "une fille de roi, mais simple, douce, docile, pieuse à souhait, sans prétentions ni appuis." En effet, que deviendrait-elle si le jeune souverain épousait une femme de caractère soutenue par une puissante famille ? Il n’en est pas question. Il lui faut une Reine à sa solde, inexpérimentée, prête à se fier totalement à elle. Pourquoi ? Tout simplement pour contrebalancer l’influence du cardinal de Fleury, précepteur du Roi, très écouté et très apprécié par ce dernier. Éblouie par la Cour de Versailles, honorée toutes les nuits par un mari empressé et métamorphosé par le mariage, qu’elle aime de toute son âme, Marie nage dans le bonheur. Un bonheur qui ne sera que de courte durée. Moins de quatre mois après son union avec Louis XV, elle va commettre un faux pas qui va lui coûter cher. Elle fait entièrement confiance à Madame de Prie pour l’aider à s’acclimater et à s’instruire de ses nouvelles fonctions. Pourquoi en serait-il autrement ? Elle est le principal artisan de cette union inespérée avec le plus puissant roi d’Europe et son père ne jure que par elle et le duc de Bourbon. D’autant qu’elle ignore tout de l’aspect sordide des négociations qui l’ont conduite dans le lit du roi et ne sait rien du passé peu recommandable du duc et de la marquise. La maîtresse du duc de Bourbon jubile. Loin d’apprendre à sa protégée toutes les subtilités de l’étiquette, et de l’aider à arbitrer les querelles de préséance, elle use de son ascendant et se joue de la naïveté de la jeune reine pour combler de faveurs ses amis, à l’exclusion des autres. Marie Leszczy?ska est obsédée par Mme de Prie. Il ne lui est libre ni de parler à qui elle veut, ni d’écrire. Madame de Prie entre à tout moment dans ses appartements pour voir ce qu’elle fait, et elle n’est maîtresse d’aucune grâce. À soixante-douze ans, le cardinal de Fleury ne s’est pas fait que des amis. Le duc de Bourbon et sa maîtresse ne supportent pas son influence sur le Roi, qu’il garde en entretien en tête à tête pendant des heures, et son ingérence dans les affaires. Les deux compères mettent sur pied une manœuvre pour accéder en particulier au roi et tenter de lui parler librement. Le but ultime étant évidemment d’évincer définitivement Fleury. D’autant que le temps presse, leur politique est de moins en moins populaire. Marie Leszczy?ska connaît l’attachement du Roi pour Fleury. Mais elle n’apprécie pas qu’il s’immisce dans sa vie intime, allant jusqu’à lui "donner son avis sur la fréquence idéale des rapports conjugaux." Jouet facilement malléable par le duc et sa maîtresse, elle va accepter, après quelques hésitations, d’intercéder en faveur du duc de Bourbon. Nous sommes le 17 septembre 1725. La journée tire sur sa fin, et Louis XV qui revient de la chasse dispose d’une heure de temps libre avant de retrouver Fleury en entretien. Marie envoie son chevalier d’honneur, prier le roi de passer chez elle. Louis XV ne se le fait pas dire deux fois, et rejoint son épouse dans son cabinet. Quelle n’est pas sa stupeur de la trouver en compagnie du Premier ministre. Certainement incapable de discerner le masque de colère froide sue le visage de son mari, Marie Leszczy?ska l’assure qu’il lui sera bénéfique de travailler en particulier avec le duc de Bourbon. Ce dernier se lance alors dans la lecture d’une lettre hostile à Fleury puis demande au roi ce qu’il en pense. Le roi, muré dans un silence de plomb depuis le début de ce curieux entretien, renouvelle sa confiance au vieux cardinal, son ami. La défaite du duc de Bourbon est cinglante. Louis XV regagne ses appartements, laissant Marie en pleurs. Il a vu sa femme être l’instrument des ennemis de son précepteur. Le piège qu’elle lui a tendu maladroitement, l’a mis dans une colère noire. À la suite de cet épisode, les jours du duc de Bourbon et sa maîtresse à la cour sont comptés. Ils ne vont y survivre que quelques mois. Marie Leszczy?ska, qui persiste, intercède en faveur de ceux à qui elle se croit intimement liée. En réalité Louis XV, poussé par Fleury et faisant preuve de dissimulation, s’apprête à leur signifier leur congé. Le duc de Bourbon est disgracié. Madame de Prie doit regagner ses terres où elle mourra quelques mois plus tard. Non seulement elle n’a pas mesuré combien le roi était viscéralement attaché à Fleury, qui va d’ailleurs diriger les affaires de la France jusqu’à sa mort, mais encore se rend-elle compte que l’amour qu’elle porte à Louis n’est pas payé de retour. Du moins pas de la même façon. En outre, en brusquant ce grand timide qui déteste les drames et les conflits, distant avec autrui, Marie a commis une faute très grave. Elle dit adieu à ses chances de devenir sa confidente, et de voir s’instaurer entre eux une réelle complicité. À partir de ce moment-là et ce pour toute sa vie, Marie aura constamment peur de déplaire au roi, qu’elle aime plus qu’il ne l’aime. Après ces mois éprouvants, elle a compris qu’il la domine et elle se montre plus docile et plus soumise que jamais. Désormais, leurs relations seront dénuées de spontanéité et, irrémédiablement, Louis XV se détachera de sa femme trop douce et trop éprise. Seconde fille de Stanislas Ier Leszczynski et de Catherina Opalinska, Marie Catherine Sophie Félicité naît le 23 juin 1703 en Pologne. Marie Leszczy?ska n’a que six ans lorsque Stanislas Ier perd la couronne de Pologne, au profit d’Auguste III. En 1717, Anne Leszczy?ska, sœur aînée de Marie, meurt à l’âge de dix-huit ans, laissant une sœur et une mère inconsolables. La princesse de Pologne se réfugie à Strasbourg en 1720 avec ses parents, grâce au soutien du Régent, Philippe d’Orléans. Marie est une princesse instruite. Elle connaît le latin, parle plusieurs langues, dont le français et a reçu l’enseignement des lettres, de la musique, du chant, de la danse et de l’histoire. Concernant son premier rôle de génitrice, Marie Leszczy?ska le remplit à merveille. En dix ans, elle met au monde dix enfants. Malheureusement, huit d’entre eux sont des filles, quand le royaume a besoin d’héritiers mâles. Si les premières années de mariage ont été calmes et heureuses, Louis XV finit par s’ennuyer que son épouse soit toujours indisposée par ses nombreuses grossesses. Dés 1733, il prend une maîtresse, Louise-Julie de Mailly, mais la reine ne l’apprendra qu’en 1738. En 1733, Marie a le chagrin de perdre sa fille Louise-Marie et son second fils, le duc d’Anjou, victimes de maladies infantiles. La France se désole que la reine ne donne plus naissance qu’à des filles. On dira que “son ventre penche fâcheusement de ce côté-là”, la rendant ainsi responsable de ne pas renforcer la dynastie par la naissance de garçons. Fatiguée d’être constamment enceinte, Marie Leszczy?ska dira un jour: "toujours coucher, toujours grosse, toujours accoucher." En cette même année 1733, Louis XV intervient dans la guerre pour la succession de Pologne, espérant remettre enfin le père de Marie Leszczynska sur le trône vacant. Marie étant sa seule héritière, la Lorraine reviendra à la France au décès de Stanislas. Les frontières seront ainsi élargies pacifiquement avec l’annexion d’une région importante d’un point de vue stratégique. En 1735 et 1738, la reine a fait une fausse-couche, d’un garçon à chaque fois. La seconde perte met un terme à ses grossesses. Les médecins conseillent à la souveraine de ne plus porter d’enfant, insistant sur le fait qu’il y a désormais un risque de mort pour elle. Dés ce moment, Louis XV dévoile ses liaisons amoureuses et délaisse son épouse. Celle-ci se réfugie dans la prière et obtient du roi de pouvoir tenir un petit cercle d’amis. Le couple royal vit sa vie chacun de son côté. Louis et Marie n’apparaissent plus ensemble que pour les cérémonies officielles. Marie Leszczy?ska bénéficie alors d’une liberté incroyable pour une reine de France, sans pour autant déroger à ses obligations. Cette même année 1738, les quatre dernières filles de Marie Leszczy?ska partent pour l’abbaye de Fontevraud, pour y recevoir une éducation religieuse. Seule Félicité, de santé fragile, ne reverra pas ses parents, victime de maladie. En 1739, la fille aînée de Marie Leszczy?ska, Elisabeth, dite Madame Infante, épouse l’infant d’Espagne Philippe de Bourbon. Les autres filles ne se marieront pas. À la cour, les maîtresses du roi se succèdent et Marie Leszczy?ska prie pour le salut de son époux. Cependant, si le souverain impose ses favorites à la reine, il fait en sorte de ne pas l’humilier davantage car, à l’inverse de son aïeul Louis XIV, il n’impose pas ses nombreux enfants illégitimes à la cour, et n’en reconnaîtra qu’un. En 1744, on croit Louis XV perdu lorsqu’il tombe malade à Metz. Il renvoie sa favorite et promet que, s’il guérit, il demeurera fidèle à la reine. Louis XV se rétablit et reprend des maîtresses. Marie est résignée. Elle continue ses actions pieuses, se montre charitable envers les pauvres et se consacre à ses enfants. Elle aime le jeu, ce qui permet à la reine généreuse de pouvoir donner des aumônes. En 1752, un deuil affecte Marie Leszczy?ska et Louis XV. Leur fille Henriette meurt de la tuberculose. Elle était la préférée du roi. Le peuple y voit un châtiment de Dieu, pour punir le roi de sa nouvelle liaison avec la marquise de Pompadour. Marie n’aime guère cette favorite, qui restera vingt ans auprès du roi et jouera le rôle du Premier ministre, le cardinal de Fleury étant décédé en 1743. La marquise est à la fois la maîtresse, la confidente, la politicienne. Les enfants du roi, scandalisés par le comportement de leur père, la surnomment "Maman putain." Encore une fois, la reine trouve refuge dans la prière. À partir de 1759, une série de deuils frappe le couple royal. Madame Infante, en visite à Versailles, meurt de la variole. Elle est suivie, en 1761, par le fils aîné du dauphin, qui décède de la tuberculose osseuse. En 1763, c’est au tour d’Isabelle de Bourbon de disparaître prématurément. Le 20 décembre 1765, le dauphin Louis-Ferdinand meurt, miné par la tuberculose. Son épouse Marie-Josèphe se laisse dépérir, atteinte elle-aussi du même mal, et le rejoint dans la tombe en mars 1767. En 1764, la marquise de Pompadour était morte d’un cancer, libérant Marie Leszczynska de sa présence à la cour et de son influence sur le roi. Pourtant, Louis XV et Marie Leszczy?ska vivent séparés depuis trop longtemps pour se rapprocher maintenant. Résignée, et fatiguée par les deuils, la reine s’éteint le 24 juin 1768 à Versailles, à l’âge de soixante-cinq ans. Aimée par le peuple, Marie Leszczy?ska est vite oubliée par Louis XV qui reprend une nouvelle favorite, Jeanne Bécu, future Madame du Barry. Marie laisse l’image d’une reine généreuse mais qui fut discrète, mélancolique et malheureuse car trop vite délaissée par son époux qu’elle n’a pas réussi à s’attacher. Dernière reine de France à mourir avec sa couronne, son corps est inhumé à la basilique Saint-Denis, tandis que son cœur repose auprès de ses parents à Nancy. Bibliographie et références: - Michel Antoine, "Louis XV" - Simone Bertière, "La Reine et la Favorite, Marie Leszczynska" - Jacques Levron, "Marie Leszczynska" - Anne Muratori-Philip, "Marie Leszczy?ska" - Benoît Dratwicki, "Les Concerts de la reine" - Cécile Berly, "Les femmes de Louis XV" - Maurice Garçot, "Stanislas Leszczynsk" - Thierry Deslot, "Impératrices et Reines de France" - Letierce, "Étude sur le Sacré-Cœur" - Pierre Gaxotte, "Le Siècle de Louis XV" - Yves Combeau, "Louis XV, l'inconnu bien-aimé" - Pascale Mormiche, "Louis XV" - Bernard Hours, "Louis XV et sa cour" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 10/10/20
Désolée pour les éventuelles fautes, je suis prise en photo... La voix de Bono m'aura bien inspirée entre in a little while et le Very Best Of U2 - U2 Greatest Hits - U2 Collection *************************************************************************** 19h, je mettais la clé pour ouvrir l a porte d’entrée de son antre. Il m’avait demandé de lui faire les courses. Son travail le prenait énormément. Il avait prévu une soirée chez lui, un repas en tête à tête. L’automne s’était installé brutalement. Ces changements de température était fatiguant. Je ne savais même plus comment m’habiller. Il faisait si frais ce matin que je regardais dépiter mon dressing. J’avais ressorti mes collants couleur chair… A peine entrée dans le vestibule, je vis un immense bouquet de roses rouge avec une carte à côté. Je m’empressais d’allumer la lumière. Je souriais. Ses attentions étaient toujours surprenantes, parfois simples mais à me donner le sourire car c’était lui.. simplement lui. J’ouvrai le lettre jointe. « Ma petite chatte, Je sais combien tu as des envies en toi, inassouvies. Sache que quelque soi la situation je serai toujours à tes côtés" Que voulait il dire ?... Je continuais la lecture. "Ce soir, je veux que tu vives intensément cette soirée que je t’ai préparé. C’est mon cadeau." Je ne comprenais rien à son message. A coté du bouquet était posé un polaroïd avec ce post-it. - Vis ce moment instantanément Je ne saisissais toujours pas où il voulait en venir. En tout cas, comme majorité de femmes le ferai , je déposai mon nez au-dessus de ces roses pour en sentir le parfum. Quelle déception, aucune odeur. Je me remémorai toujours le rosier de mon enfance que ma mère avait planté et qui était si odorant, des roses blanches avec le bout des pétales d’un rose pale.. C’est au moment où je me relevai, surprise, je me retrouvais avec un sac en plastique sur la tête. Une main se déposa sur ma bouche l’autre me tenant par la gorge. Je tentais de me dégager de ces bras si forts. Dans ma tête, comme une panique. C’est là que je compris le sens de son message. L’inconnu me tenait si fermement que ma résistance était bien veine. Je me débattais quand même. La première minute me paru interminable. Il m’avait bloqué. Je savais que le sachet sur ma tête commençait à faire son effet. L’air allait commencer à me manquer. - Tout doux ma belle. Calme toi… Laisse toi faire. Je tentais une dernière fois de me défaire. L’air se faisait de plus en plus rare. Mes mains s’était posées sur son bras qui me tenaient par la gorge. Malgré le fait que mes griffes se plantaient dans son avant bras, il ne lâchait rien de son emprise. Doucement, j’acceptais sa présence, je tentais de rester calme, de gérer ma respiration. Quand l’air commençait à manquer, il me parla. - Calmée maintenant ? Sa voix était rauque, perverse et à la fois maîtrisée. - Tu vas être bien sage si j’enlève le sachet ? Je hochais la tête par l’affirmative. A moitié sonnée par le manque d’oxygène, il ôta le sachet. Je profitais de ce moment là pour tenter de m’échapper. Il bloquait le passage de l’entrée. Je me retrouvais ainsi sans défense face à cet intrut. Il était habillée en noir, il avait une cagoule sur la tête. Je savais parfaitement que cela n’était pas le hasard. Il avait organisé cela. Il savait que cela était un de mes fantasmes. Qui n’a jamais eu ce fantasme. Mais entre réalité et fantasme, il y a toujours une différence. Je savais qu’il avait le contrôle, malgré moi sur la situation. C’était à la fois terriblement excitant et à la fois je voulais me dégager de cette situation. Je luttais contre cet inconnu. Le fait de ne pas voir son visage me rassurait. Je ne percevais que ce regard bleu glaçant. Il était grand, je sentais un homme qui s’entretenait vu sa force, sa poigne. Il m’agrippa par la taille. Je tentais encore de me dégager. Mes escarpins tombèrent de mes pieds, témoin de ce qui allait se passer. Je tombai au sol, il se jeta sur moi. Je sentais le poids de son corps sur moi. - Tu veux jouer, on va jouer. Je commençais à hurler. Il me bâillonnait de sa main puissante. - Ta gueule ! - Si tu veux que je te remette le sachet sur ta gueule… continue de te débattre. Je me calmais, il était toujours sur moi. Je sentis sa main remonter ma robe. Avec mes mains, je tentais de l’empêcher de faire ce qu’il voulait. D’un coup brutal, il défit sa ceinture, saisit mes bras et m’attacha. - Je vous en prie arrêter.. murmurai-je. Il releva ma jupe pour qu’elle soit bien relever sur mon cul. - Des collants, comme c’est mignon… Il saisit le collant au niveau de mes fesses et les déchirer avec violence. - Oh cette petite culotte…. Je me faisais suppliante, telle une biche effarouchée. Il avait pris soin de réaliser mon fantasme. Il était fou, incroyable. L’homme déchira ma culotte. Je sentais sa force implacable. Je me débattais pour ne pas me laisser faire. Il se rallongea sur moi, mis sa main sur ma bouche. - Sache que plus tu vas te débattre et plus ça va m’exciter. Il força ma bouche pour y mettre ma culotte. Il saisit le scotch qu’il avait amené et me musela ainsi. - Oh quel regard, tu es bien excitante. Il s’était relevé et s’était agenouillé à ma hauteur pour bien me regarder. Il en profita ensuite pour m’attacher les chevilles à mes poignets. J’étais ainsi à sa merci au milieu du salon. Il me laissa. Qu’allait il faire de moi ? que faisait il ? Je pleurnichais. Soudain, j’entendais le bruit du polaroïd. - Il te faut de bons souvenirs de la soirée qui t’attend. Il caressa ma larme puis me claqua les fesses. - Je vois que tu as fait les courses… Il fouillait les sacs. Quand je le vis avec des légumes en main, je commençais à me débattre. Je tentais de hurler un non. Mes sons s’étouffaient dans ma culotte. Il s’était assis face à moi. Il me regardait, il se délectait de ce spectacle. Il prenait un plaisir à me prendre en photo pour me les montrer, les commenter et les jeter devant moi pour que je les vois attentivement. - Je sais que tu es une bonne petite salope. Ne prends pas ces airs effarouchés avec moi. Je vais très bien m’occuper de toi. Je ne te ferais rien de mal, je te donnerai juste du plaisir. Je devinais son sourire pervers. Il se leva. Je tentais de regarder au dessus mon épaule malgré ma position. Je comprenais. Il inséra le concombre dans ma chatte. Quelques secondes auparavant je me débattais.. là j'étais à son écoute. - Tu peux continuer à te débattre petite pute. Ta chatte et ton cul vient bien être tringlés ce soir. Il prit encore une photo de moi goder avec ce légume dans la chatte. Je me sentais humiliée et honteuse. - Quels jolis pieds tu as. Bien vernis d’un rouge que j’aime. Il les massa longuement. Je me tortillais. - Je vais bien m’amuser avec toi, ma poupée. Il s’était rallongé sur moi. Il tenait en main le concombre. Il commençait doucement à faire des va et vient. Son bras entravait ma gorge. - Profite ma chérie. Je vais te gâter. Tiens prend bien ça dans ta petite chatte. Je gémissais. Mon état était entre crainte et plaisir. Je savais au fond de moi que c’est lui qui avait organisé tout cela. C’était un jeu. Rien qu’un jeu. J’étais profondément excitée. - Allez lève toi. Attachée comme j’étais, je tentais de me relever. C’était compliqué. Il me regardait. Voyant que je n’y arrivais pas, il me saisit pour me lever. Il était derrière moi. Son souffle au creux de mon oreille. Il me lécha la joue. Je voulais résister de toute mes forces et en même temps je voulais être docile. C’était un sentiment étrange. Pourquoi ce fantasme du viol simulé que j’ai toujours eu?. Si excitant. Le sentiment de lâcher prise, de se laisser aller, tout en sachant que dans ce contexte précis, tout était bien sûr sous contrôle. Je m’étais déjà retrouvé dans une situation de contrainte dans ma vie, je n’étais pas dans cet état d’esprit. Le cerveau a une capacité à se figer face à une agression. Avec lui, Je pouvais tout lui dire, mes envies, mes désirs les plus sombres, j’étais un livre ouvert. Il avait une telle écoute, une telle maitrise. Je me sentais vulnérable et forte. Jamais je n’aurai organisé ce fantasme seule, trop de peur, trop de crainte de « mal tombé ». Combien de fois, j’ai eu la sollicitation d’hommes qui rêvaient que je les attende dans une chambre d’hôtel les yeux bandés, ou même pire chez moi ? Je me disais mais à quoi pensent- ils. Malgré la situation qui peut être excitante, on ne sait jamais sur qui on tombe. J’ai toujours été précautionneuse. Ne jamais se mettre dans une situation qu’on ne peut contrôler. Avec lui, je pouvais me laisser aller car il contrôlait la situation. Je savais son regard bienveillant. Peut être regardait il même ou était-il chez lui. Des deux je ne savais pas qui était le plus pervers. Sans ménagement il me conduisait à la chambre. Je ne me laissais pas faire. J’étais comme déchainée. J’avais envie de me débattre, cela augmentait bizarrement cette envie d’être prise si fortement. D’être contrainte, sans défense. Un schéma psychologique où au final cela me permet d’accepter toute ma sexualité, mes désirs sombres. Tout en me tenant par la gorge , derrière moi il me faisait avancer en direction de la chambre. C’est là que je le vis. Il était assis sur le fauteuil de chambre. Je devinais son ombre. Son parfum. Il allait être spectateur. L’homme me poussa sur le lit comme une marionnette. Il écarta avec son genou mes cuisses. Je sentais le contact contre mon sexe. Il détacha alors mes mains de mon dos. Il saisit des cordes qui attendaient là.. il m’écartela sur le lit. Attachée, jambes et bras écartées. Offerte. Il s’était levé. Je le vis alors à la main avec l’appareil photo. Il me regardait. J’étais rassurée de la savoir ici. Il ne disait aucun mot. Il prenait juste des photos indécentes. Il jeta le polaroid sur le lit. Puis il se remit sur son fauteuil. L’homme s’était mis à califourchon sur moi. Il m’embrassa à travers mon bâillon. Avec animalité il me lécha la joue tout en tenant mon visage entre les mains pour me forcer à le regarder. L’homme prit le polaroïd et saisit cet instant. - Humm ces yeux de biches larmoyant plein de noir. Mon maquillage avait probablement coulé. Je gémissais. Il me fit taire en mettant ses doigts sauvages dans ma bouche. - Ta gueule, tu as compris. Je me débattais. Cette situation m’excitait. Ses doigts remplissaient ma bouche, puis il mis sa main ferme sur ma bouche. De son autre main, il envahissait mon sexe, prenant d’assaut ma chatte. Ses doigts était gros, possessifs. Je râlais. C’était bon et en même temps je ne voulais pas de ce plaisir. Ce n’était pas lui.. mais il regardait. Un sentiment de lutte et d’envie. Il me baisait de ses doigts en me faisant taire. Ses doigts furent très rapidement remplacés par son membre. Il était moyennement grand, juste ce qu’il fallait. Cette fougue me rendait folle. Je tirais sur mes liens, je bougeais. Je sentais les cordes me cisaillaient. Je pouvais me lâcher. Quand il me recouvra à nouveau la tête avec un sac. Il allait jouer avec ma respiration. Il le tenait bien fermé, sur ma gorge. Il me prenait, tout en me regardant. - Tout doux ma belle… Chaque coup était intense, le sentiment de peur exultait. Quand il voyait que le manque d’air se faire un peu trop, il m’en redonnait puis refermait le sachet. Tout en me prenant, encore et encore. Je perdais doucement pied, mais tout était sous contrôle. J’étais devenue une marionnette. J’étais un peu au paradis, juste ce qu’il fallait, je pouvais maintenant me laisser complètement aller. Il me détacha pour me retourner sur le ventre. Il y plaça plusieurs coussins sous celui-ci. - Quel beau cul de salope. Je vais te saillir. J’entendis encore une fois le bruit du polaroid. - Il parait que tu aimes être fouillée petite putain. Il s’attarda alors sur mon cul. Sans aucune préparation, il m’encula. IL tenait fermement ma nuque. Il l’enfonçait dans le lit, comme pour m’étouffer. Je criais. - Ferme ta gueule. - Tiens, prends ça dans ton cul de pute. Je l’entendais râler. Il y allait avec une telle frénésie. IL me saisit alors par les cheveux pour bien redresser ma tête. Il me prenait encore en et encore. Je sentais ses couilles taper contre moi. Des coups précis, bien au fond, cinglant. - Dis moi que tu aimes ça ! - Je… j’aime encore murmurai-je Il se stoppa net. Il écarta de ses mains mes fesses. - Quel bon petit trou bien serré. Il ne m’a pas menti. Je savais qu’il parlait de lui.. Je me doutais qu’il n’en perdait pas une miette - Humm tu mouilles comme une chienne. Il avait de la mouille plein la main quand il décida de me la montrer et de m’en mettre sur mon visage. Il se mit bien à califourchon sur moi. Deux doigts dans mon cul. Il s’amusait avec, à tournoyer à jouer avec le pourtour de ma petite auréole. Il tenta de mettre sa queue avec ses deux doigts à l’intérieur. Je gémissais, je ne voulais pas. - Ferme ta gueule. - Mais regarde moi cette mouille !! Il me posséda et éjacula. Il enleva alors sa capote et la posa juste devant moi. - Hum tu m’as bien vidé mais j’en ai pas fini avec moi. Il se leva et prit alors un crochet anal. Lui.. Il avait sorti plusieurs choses pour notre invité. Il m’attacha alors les cheveux. Inséré la crochet sans ménagement dans mon cul. Il le rattacha à ma queue de cheval en y mettant une certaine contrainte. Je me déhanchais pour tenter de trouver une pose confortable. Qu’allait il faire. Puis j’entendis encore le son du polaroid. - Une belle position de soumise… contrainte me dit il au son de l’oreille. Un long silence. Etait il toujours assis ? Il prit soin de déchirer tout mon collant pour m’en défaire. IL était revenu avec une petite bassine. Il commença doucement à me nettoyer les pieds. Je ne me laissais pas faire. Le crochet jouait au fond de mon petit cul. Et j’en étais responsable. Je gémissais, encore et encore. Excitée et honteuse. Il les embrassait et s’en délectait. - Hum ces petits pieds… si délicats, si doux… Et ce vernis… Je sentis alors le coup de la badine s’abattre dessus. Je sursautais. Je me débattais. Des petits coups précis, puis il y passait sa main pour me chatouiller. Je ne tenais pas, j’étais bien trop chatouilleuse. Je tentais de me convenir. Contrainte.. Il massa ensuite mes pieds, puis s’aventura encore mes jambes, mes cuisses. Il me posséda cette fois par la chatte. Il était à nouveau frénétique. La douceur avait laissé place à l’emprise. Il me tenait par les cheveux. Il me besognait. J’entendis alors le polaroid. Ils s’était levé. Il était à mes côtés. Il me regarder en train de me faire prendre. Il ne disait toujours rien. L’homme me tenait fermement les cheveux, il me murmura. - Bonne petite chienne. Lui, me regardait. Je le regardais, il voyait le plaisir honteux que je prenais. Il voulait me voir prise, combler. Il me baisait si intensément, j’en avais presq ue mal. Je disais non.. il continuait jusqu’à sa jouissance. Une seconde fois, il posa a nouveau la capote devant mes yeux. Il claqua mes fesses. - T’es une bonne videuse de couille… Je rougissais , honteuse et humiliée. L’homme se releva. Je restais ainsi attachée. Ils quittèrent la pièce. Quand il revient, il s'assit sur le bord du lit me caressant la joue. - Si tu t’étais vu. J’ai aimé te voir ainsi. Je n’en ai pas fini avec toi. Il s’était approché du li. J’étais épuisée. Il me caressait les cheveux. Il saisit alors le Magic wand. Il le plaça sur ma chatte. Je sentais ses effets. Cela me grisait. - Je t’interdis de jouir ! Je savourais cette instant. - As-tu aimé ? - Je… oui j’ai adoré à vrai dire lui avouai-je - Ne sois pas honteuse. Je t’ai fait cette surprise. J’ai aussi pris beaucoup de plaisir. Tout en me parlant, je me retenais de ne pas jouir, j’en avais tellement envie. Il avait ramassé toutes les photos pour me les montrer. - Tu as été une bonne petite chienne ce soir. Je ressentais tellement de choses contradictoires. Un tel lâcher prise. Je n’arrivais plus à me retenir. - Allez jouis. Mes cuisses commençaient à trembler tellement la vague était immense. Je fermais les yeux. Il me parlait, me murmurait tellement il était heureux avec moi. Avec douceur, il détachait le crochet anal. Il passait ensuite sa main douce dessus. - Ton trou est béant. J’aime le voir ainsi. Mon petit trou était meurtri. Il m’embrassa le creux du dos. Il embrassait mes salières de Vénus. Ses doigts longtemps ma longue cicatrice tout le long de ma colonne vertébrale. Puis il remontait jusqu’à ma chevelure pour libérer mes cheveux. Tendrement il m’embrassait,, me léchait mais il n’était jamais loin de vouloir m’infliger encore des sévices pervers. Je sentais à nouveau sa main sur mon sexe… - Tout est à vous.. Monsieur.. tout.. je suis à vous…
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Par : le 07/10/20
« Il faudra que je te rase la tête », lui dis-je en jouant avec ses longs cheveux soyeux, alors qu’elle me pompait goulument. « Quelle drôle d’idée », répondit-elle, après un moment d’hésitation, interrompant ma fellation. Sans rien dire, je lui remettais mon sexe au fond de la gorge et une fois les couilles vidées, l’emmenais aussitôt à Chateau d’Eau, choisir une perruque. De retour à l’appartement, nous la sortons de sa boîte et la posons sur son support au milieu de la table du salon. Nous la regardions, tous les deux en silence. Elle dit soudain : « J’aimerais bien te sucer pendant que tu me couperas les cheveux ». Je trouvais l’idée excellente et lui dis d’aller mettre une de ses tenues de soumises. Elle partit en trottinant et revint affublée d’un harnais de cuir noir, qui séparait bien ses seins, avec un collier à clous et un string assortis, des cuissardes noires vernies gainaient ses jambes jusqu’au dessus du genou. Elle avait pris un air triste et résigné à l’idée de perdre sa belle chevelure, pour mon plaisir ! Offrande inestimable ! Je me levais et allais chercher la tondeuse dans la salle de bain. Je retirais le sabot pour une coupe au plus court et retournais au salon. Elle était affalée dans le canapé, les jambes en l’air, impudique comme à son habitude. Elle se redressa à mon approche et me laissa la place. J’enlevais mon pantalon, m’assis pour qu’elle vienne se nicher entre mes jambes, la tête reposant sur mon bas-ventre, sa place préférée, je crois. Elle ne tardat pas à entamer une lente fellation. Je poussais le bouton, et le vrombissement de la tondeuse envahit la pièce. A ce bruit, elle devint plus câline, posant sa joue sur ma cuisse tout en gardant mon sexe en bouche, m’offrant ainsi sa tempe, les cheveux rejetés en arrière. Je plaquais la tondeuse contre cette tempe bien tentante et remontais sur le sommet du crâne. Une lourde mèche de cheveux noirs se détacha et tomba sur ma cuisse. Plus de retour en arrière possible maintenant, il fallait finir ! Je partais cette fois-ci du sommet du front et lui fit une large tonsure jusqu’au sommet du crâne. Elle était vraiment risible ainsi. Elle fermait les yeux, et, absorbée par ma queue, me laissait aller et venir dans sa chevelure à ma guise. De lourds paquets de cheveux tombaient à mes pieds. Elle enfouit alors son visage entre mes cuisse, mon gland enfourné jusqu’à la glotte, et m’offrit sa nuque que je m’empressais de dégarnir aussi. Elle s’essuyait le visage de temps en temps mais continuait de m’offrir toutes les facettes de son crâne jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, qu’un fin duvet sombre. J’interrompais sa fellation pour la contempler ainsi, pitoyable et tondue. Je me finis à la main et lui balançais deux giclés de mon sperme, une dans l’oeil, l’autre dans le nez. Elle était tellement ridicule ainsi, que je la giflais. « Hé ben… t’es chouette comme ça ! Qu’est-ce que va dire ta mère ? », demandais-je. « Que t’es un salo !. » répondit-elle, l’effrontée. « Elle le sait déjà, je te rappelles que c’est grâce à elle que je t’ai rencontrée. » « Je sais bien qu’elle te suce encore, dès que vous pouvez vous retrouver seuls. » « Tu n’es qu’une sale gamine qui se mêle de ce qui ne la regarde pas ! Nettoie-moi tout ça en désignant ce qui restait de sa belle chevelure. Après, tu iras au coin ! » Elle revint avec un balai et une pelle et ramassa tout avec soin. Je retournais à la salle de bain ranger la tondeuse et prendre quelques ustensiles. Quand je revenais, elle était au coin, face contre le mur, prête à recevoir sa leçon...
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Par : le 05/10/20
Vous appelez cela cirer ? Il me regardait fixement en me serrant la gorge. Il plaçait sous mon nez ses bottes d’équitation. - Alors ? j’attends vos explications ? - Je.. commençai-je hésitante, je n’ai pas eu le temps de les cirer, Monsieur. - C’est bien ce que je constate. Vous savez j’aime que lorsque je vous donne un ordre et que vous vous engagiez à le faire, que ce soit exécutez. - Oui.. Monsieur. - Donc, vous savez ce que vous me contraignez à faire ? je crains que vous manquiez de discipline. Nous allons remédier à cela. Devant moi il mis alors ses bottes. - Vous allez les nettoyez maintenant. J’allais chercher avec hâte le nécessaire pour cirer ses bottes. Il s’installa dans son fauteuil chesterfield fétiche. Il tenait dans sa main la cravache. Je savais que j’allais être punie. J’avais fauté. Après tout, j’avais fait exprès. Ma journée avait été pleine de tensions, j’avais besoin de lâcher prise. Je m’assis devant lui sur mes genoux, la boite de cirage juste à coté. Je commençais ma tâche. Il ne me regardait pas puis quand je jetais un regard furtif, je sentais son intransigeance. Son regard était froid, possessif. Je savais qu’il ne me laisserait rien passer. - Appliquez-vous mieux que cela, je vous prie. - Oui.. Monsieur. - Frottez bien, mieux que cela ! Soudainement il releva mon visage avec le bout de la cravache sur le menton. - Vous savez que je vais vous punir. Je le regardais avec une certaine gravité. Je hochais la tête pour lui dire que je comprenais. - Allez continuez de frotter ! plus fort ! allez. Je m’attelais à ma tache pour faire briller ses bottes. - Remontez moi votre robe sur votre cul, écartez moi donc ces jambes. Avec sa cravache, il savait me faire exécuter ses ordres. Son autorité était naturelle. - Parfait, je vois que vous n’avez pas de culotte. Maintenant mettez votre chatte sur ma botte que vous venez de nettoyez et faite la luire de votre mouille de petite chienne. J’obéissais. - Allez encore ! Voilà c’est bien. Je baissais la tête. Je savais qu’il ne ratait pas une miette de me voir en train de me masturber sur sa chaussure. - Je vais vous enseigner de rester à votre place. Je continuais encore à me déhancher d’avant en arrière sur sa botte, quand il m’ordonna de me reculer. Il leva sa botte et la regarder. - Humm voilà c’est presque parfait. Maintenant lécher. Je m’abaissais lentement. Il se releva tout en restant assis pour s’avancer vers moi. - Suffit maintenant vos petites provocations. Il indiqua de son doigt sa botte. Il me gifla sans trop de force. Il n’aimait pas me faire plier par la force. Bien au contraire. Et c’est ça que j’aimais chez lui. Ce respect que nous avions l’un pour l’autre. Certain ou certaines pourraient juger cela irrespectueux, mais au fond pourquoi est ce que je ressens ce désir en moi ? faut il en chercher des causes alors que nous sommes en train de nous satisfaire l’un de l’autre. Je baissais alors le regard et j’avançais ainsi vers le bout de sa botte. Je sortais ma langue et je commençais à lécher avec une certaine délectation comme si je léchais une sucette. Au bout de quelques instants, après s’être délecter de ce spectacle, il m’ordonna de me releva. - Venez ici. J’étais alors sur mes genoux, mon ventre se mit contre sa cuisse ferme et réconfortante. Je sentais sa chaleur comme une étreinte. Il me fit poser mes coudes sur la table basse en bois. Il releva davantage ma robe légère que je portais. Elle était noire et blanche, avec un col qui se fermait de manière assez stricte. J’étais parfaitement dans le jeu de rôle que nous jouions.. Il commença alors sa fessée. Je sentais sa main forte s’abattre sur mes fesses. Il me parlait. - Alors pensez vous mériter que je vous punisse. - Oui.. Monsieur. - Savez vous que c’est pour votre bien. Je veux que vous gardiez cela à votre esprit. Vous devez chaque jour vous améliorez dans votre tache. Ses fessées se faisait de plus en plus forte. J’avais de plus en plus chaud. Je gémissais. Il ne s’arrêtait pas. Je gémissais, quand il fessa encore de plus belle. - Vous pouvez gémir autant que vous voulez. Vous n’avez que ce que vous méritez. Je contractai mes fesses comme pour atténuer la douleur. Je devinais qu’elles étaient rouges, bien rouge. Marquées en signe de punition pour mes manquements. Chaque coup de sa main était déterminé et ferme. J’entendais chaque claquement résonner. - Je n’accepterai plus que vous preniez vos libertés sans demander permission. - Aller mettez vos mains au sol et posez votre tête dessus. - Bien. Quelle belle posture. - Maintenant écartez vos jambes. - Parfait ! Il caressa alors mes fesses puis les malaxa fortement. Puis il repris de plus belle la belle fessée que je méritais. - Je crois que chaque jour je devrais vous fesser, pour que vous rougissiez de honte d’avoir été vilaine. Encore une fois chacun de ses coup de main étaient déterminés. Intérieurement je me demandais comment il faisait pour ne pas avoir la main qui le démangeait à force de me fesser. Quand il s’arrêta, il se replongea sur son fauteuil et déposa sa botte sur mon dos. - Voulez vous que je vous laisse encore une dernière chance ? de bien faire ce que je vous demande ? ou dois je bien vous faire comprendre que je serai de plus en plus intransigeant ? - Alors ? que dois-je faire de vous ? Je savais que je devais me taire, ne pas répondre. Je sentis alors la cravache s’abattre sur mes fesses bien rouges tandis qu’il gardait sa botte sur le haut de mes fesses. Puis, quand il s’arrêta, il garda le silence quelques secondes. Il ôta sa jambe puis m’ordonna de me redresser face à lui. Il dégraffa alors le haut de ma robe afin de me libérer de mon carcan. Je ne portais pas de soutien gorge. Je savais qu’il aimait voir mes seins pointés à travers le tissu. Et j’assumais cette féminité. La liberté de ne pas en porter. - Voilà qui est mieux. Hummm… alors ? Je relevais mes yeux pour le regarder. Il posa sa main sur ma joue comme pour me réconforter. Mais cela ne fût que d’une courte durer quand il me gifla. Je savais qu’il était sensible à mon regard. Je voulais en jouer pour atténuer la punition que je méritais. Mais quand il était dans son rôle, il ne faisait preuve d’aucune clémence à mon égard. - Allez redressez votre dos Tenez vous droite. Vos seins doivent être présentables. Presque froidement, il les admira, les sous-pesa comme pour s’assurer qu’ils tiennent bien. Puis pour être certaine que je sois présentable, comme il le disait, il posa la cravache contre ses cuisses, puis saisit mes tétons et les tira vers lui. Je commençais à râler. Il me gifla une autre fois. - Tournez vous d’un quart de tour sur votre gauche. - Baissez donc votre tête ! arrêter votre arrogance je vous prie. Je m’exécutai, j’avais juste envie d’obéir, de ne plus penser à rien. J’avoue toute son attention. Il avait j’imagine aussi passer une rude journée. J’étais toujours admirative de sa détermination à tenir ce rôle tout en gardant sa maîtrise. Je ne savais pas s’il y avait un meilleur rôle à tenir le sien ou le mien. Dans mon cas c’est de lui offrir ma soumission, ma dévotion et toute ma confiance pour qu’il profite de moi, de l’autre, lui devait s’assurer de ma parfaite sécurité, de mes limites, de comprendre chacune de mes réactions et d’avoir cette inventivité et ce contrôle de soi. Il repris sa cravache pour me caresser alors les seins avec. Il la passa sur ma bouche, ma gorge. Je fermais les yeux, comme pour ne pas voir ce qui allait suivre. - Ouvrez vos yeux ! Dès que je les ouvris, je sentis la cravache frapper en premier mon sein droit puis gauche. Puis de sa main, il venait me cajoler avec une telle douceur. Cela ne durait que quelques secondes avant de reprendre son envie de me punir et de s’attarder à nouveau sur mes fesses. - Taisez vous je ne veux rien entendre, sinon je serai contraint de vous bâillonner. Il semblerait que ce ne soit pas suffisant. Il plaça alors la cravache dans ma bouche. Et j’entendais à nouveau le claquement de ses mains sur mon fessier bien douloureux. - Allez à quatre pattes, petite effrontée. A peine mise à quatre pattes, ses coups de cravache étaient précis. - Je vous ai donné un travail à faire et vous ne l’avez pas fait. Vous êtes ingrate. Je m’occupe de vous et au lieu de me rendre fière, vous m’obligez à vous corriger. - Vous voulez me tenir tête, vous allez voir comment je punis les vilaines filles comme vous. - Ne bougez pas ! je n’en ai pas terminé avec vous. Je gémissais encore et encore. Il soupirait comme s’il était exaspéré. - A genoux, le ventre contre vos genoux, mettez vous en boule. J’ai envie de voir quel repose pied vous faites. J’avais ma tête sur mes mains. Il me parlait de ce qu’il pouvait faire pour m’éduquer. - Je vais vous donner une belle correction pour vous faire mieux progresser rapidement. - Vous êtes bien confortable quand vous êtes à votre place, à mes pieds. Avec la cravache, il tapa sur le sol pour me montrer comment je devais me mettre. Je me relevais pour faire demi tour, - restez à quatre pattes, tête au sol. - Jambes écartées ! Allez plus vite. - Votre cul est bien rouge, comme le rouge de la honte dont vous devriez être couverte. Je sentais alors sa main douce me caressa doucement le sexe. J’étais toute trempée. Il me rendait complètement folle. J’aimais sentir ses caresses. Elles étaient un peu comme cette atmosphère après un orage, le relâchement de tensions, une plénitude. Il s’amusa à écarter mes jambes puis à insérer un doigt dans ma petite chatte. Je commençais à gémir. - Non vous ne le méritez pas. Il saisit sa cravache et s’affaira à continuer ma punition. Quelques coups s’abattaient sur ma petite chatte, sans y mettre trop de force. Cela me faisait sursauter. Il savait doser pour me donner cette douleur qui me procurait ce plaisir. - Maintenant redressez- vous , mettez -vous ici. - Allez sur les genoux, bien droite. - Mains dans le dos. - Plus vite j’ai dit ! - Baissez votre tête ! Il marqua une pause un bref instant et cravacha mes seins par des coups bien fermes et précis. Je gémissais encore voulant me défaire de cette position inconfortable. Quand il reposa sa cravache il posa à nouveau sa main sur ma joue. Je m’aventurai à le regarder, quand il me gifla. - Embrassez ma main. J’embrassais alors sa main comme l’adolescente qui avait été prise en faute et qui demandait pardon. - Pensez vous que je dois reprendre cette leçon combien de fois ? - Combien de fois faut il pour que vous compreniez ? - Maintenant vous allez aller dans votre chambre, je ne veux plus vous voir. Je me relevais pour aller dans ma chambre. Je regardais alors dans le miroir les marques de ma punition. Mes fesses étaient d’un rouge vif, parfois bleutées par endroit. J’avais quelques boursouflures. Certains ou certaines penseront que j’aime me faire battre, mais il n’en ai rien. C’est un contrôle de soi qui amène à libérer un plaisir. Il y a toujours un dosage aux coups et à la douleur. Ce qui est important c’est notre état d’esprit. Il y aura des personnes qui aiment être énormément marqués, allant à des pratiques qui ne sont pas les miennes. Certaines peuvent être selon moi des déviances. En tout cas chaque chose qui sont faites dans ce genre de relation sont voulus. La communication, le respect et parler de ce qu’on veut et ne veut pas dès le départ sont très importants. Ainsi, un homme à qui j’offre ma soumission ne fera jamais ce que je ne veux pas. Et si cela ne correspond en rien à mes envies, la confiance sera rompue, tout comme la relation. Un homme réellement dominant le sait. Et c’est ce qui en fait la différence avec un dominateur qui prend son plaisir en se fichant de sa partenaire. Je n’osais pas sortir de la chambre, comme une vilaine fille qui n’a que ce qu’elle mérite. J’allais alors prendre une bonne douche pour ensuite me poser en attendant qu’il vienne. Cette douche me fit le plus grand bien, elle me cajola. Quand je sortis de la douche il était là. A la main, une cagoule. Je devinais alors qu’il n’en avait pas fini avec moi. Il me saisit alors par les cheveux et me jeta sur le lit. Il me redressa en me tenant par les cheveux puis saisit avec brutalité mes mains. Il s’empressa de me mettre des liens et de les attacher dans mon dos. Fermement. Bien fermement. Puis il me mit cette cagoule sur la tête avec un trou au niveau de ma bouche. Puis pour parfaire le tout, mis mon collier. Je savais que je serais sa chienne ce soir. Je me sentais complètement désorientée et plus aucun repère. Il me jeta ensuite sur le lit puis s’allongea sur moi. Je tentais de bouger pour me défaire. Il dit à mon oreille : - Ta punition est loin d’être finie. - Ouvre ta bouche. Il y insérera un écarteur. Il voulait que je reste bien ouverte pour être sa disposition. Ainsi offerte à ses plaisirs. Je me retrouvais dans la position où j’étais à genoux, le ventre replié vers mes cuisses. IL ne disait aucun mot. - Prête ma petite chienne ? Il pénétra alors bien profondément ma chatte. Je ne pouvais dire mot. Ma bouche était grande ouverte. J’émettais juste le son de cette petite chienne qui allait être saillie. Il saisit alors le haut de la cagoule en empoignant également les cheveux. Il me redressait. Cela me cambrait un peu. Je ne pouvais davantage avec mes problèmes. Mais je savais qu’il voulait me baiser avec frénésie, sans aucun ménagement. - Regarde toi petite chienne. Tu n’attendais que cela avoue le ! Je sentais son souffle quand il me prenait, chaque coup où ses couilles s’abattaient contre moi. Quand il décidait de se stopper il prenait alors possession de ma bouche. J’étais son objet à disposition. Il pouvait alors faire de moi ce qu’il voulait. Il avait le choix de me prendre par le trou qu’il désirait, la chatte, le cul ou alors ma bouche. Avec l’écarteur, il ne se gênait pas pour me la mettre bien au fond de la gorge, à m’étouffer. J’étais sa salope. Il maintenait toujours ma tête par le haut de ma cagoule tout en me baisant la bouffe. Je ne pouvais dire aucun mot, juste quelques sons. Il me baisait si fortement. Il me rejeta sur le lit comme une marionnette et vint cette fois prendre l’assaut à nouveau de ma chatte. Il me mit alors sur mon flanc et remonta mes jambes sur le coté. Il tenait encore ma tête comme pour montrer que j’étais qu’un objet pour le satisfaire. - Regarde quelle bonne petite salope tu es. - T’es qu’une putain et tu dois m’honorer avec tous tes petits trous. - Regarde combien je te bourre ta petite chatte. Il rejeta ma tête violemment pour se saisir de mon sein gauche. Il le malaxait bien fermement tout en me baisant. Puis parfois il s’agrippait à mes hanches puis revenait me gifler les seins. Une fois il me disait qu’il m’aimait me punir d’être aussi belle. Il les tenait bien fermement et me pilonnait encore et encore. - Je sais que tu aimes être ma putain. Regarde toi. Tu es si belle. Puis il stoppa et me claqua les fesses. Il me laissa ainsi sur le lit. Je perdais la notion du temps. Je ne sais pas au bout de combien de temps il était revenu. IL m’agrippa par les chevilles pour me tirer au bord du lit. J’avais les pieds au sol. Avec son pieds il me fit écarter les jambes. C’est là que je sentis la froideur du métal sur mon petit trou. Il le passa sur ma petite chatte. - Oh comme t’es humide, prête comme toujours à ce que je t’utilises. Soudain, je sentis une boule de métal dans ma bouche. - Regarde ce que je vais mettre dans ton cul de pute. - J’aime quand tu ne peux rien dire, juste subir. Quand il le sortit de ma bouche, il s’assit à califourchon sur mon dos. Il écarta bien mes fesses de ses mains… Je sentais qu’il forçait le passage de la boule pour qu’elle soit aspirée. Doucement il cédait à cette pression pour qu’elle disparaisse. Il tira ensuite dessus… - Voilà, tu vas pouvoir être bien tenue. Droite. Il se dégagea puis accrocha le crochet anal à mes mains liées dans mon dos. Il s’était arrangé pour que je ne puisse plus bouger. Puis pour être certain que je sois bien maintenue, il encorda mes mains à mon collier. IL tira ensuite sur la corde. Cela me faisait me redresser, et je sentais la pression du crochet dans mon petit cul. Je sentais qu’il s’était levé. Puis il écarta mon cul, j’imagine pour admirer son œuvre. - Comme tu es belle, exposée ainsi. Il tapotait légèrement ma fesse gauche. - T’inquiète pas je vais encore te baiser petite chienne. Puis il me laissa là. Cette position était un peu inconfortable. Je tentais de me défaire mais rien à faire. Il m’avait attaché bien solidement. Puis il me donna une fessée pour me stopper dans mon élan. Il écarta encore mes fesses. - Je vois que cette situation te plait, tu dégoulines Il passa avec son sexe sur ma chatte pour le lubrifier. - Voilà petite salope. Tu as ce que tu mérites. Je sentais son membre glisser bien au fond de mon con. Je sentais son pouvoir sur moi. Quand il pris la corde qui me tenait mes mains à mon collier, cela me fit me redresser. Il voulait jouer de la contrainte. Le nœud qu’il avait fait m’étranglait un peu. Parfois il relâcha la pression pour me permettre de reprendre mon souffle. - T’es qu’une salope bonne à baiser. Je sentais son hardeur à me prendre sauvagement, fermement et bien profondément. Je ne pouvais émettre trop de son. Il me malmenait ce soir. Il tira à nouveau sur ma cagoule. Je gémissais, encore et encore. Il ne cédait rien. Il avait poser ses mains sur les miennes. Je sentais sa chaleur pendant qu’il me besognait. Puis il s’arrêta et me délaissa à nouveau. Quand il revint, il retira alors mon crochet. Il enleva mon écarteur bucal. Je n’offrais plus aucune résistance. J’étais à ses ordres ou étais ce lui qui était au mien. - Demande moi de t’enculer. - Je.. Je reprenais mon souffle, et je desserrai ma mâchoire, qui était restée ouverte si longtemps. - Alors ? - Monsieur, je vous en prie, enculez moi. - Croyez vous que vous méritez que je vous honore de mon membre alors que vous avez été si vilaine ? - Je vous en prie.. Monsieur. Il malaxa bien mes petites fesses, puis introduit son pouce dans mon fion. - Hum, comme il est bien ouvert… Je me dandinais. - Je vous en supplie, monsieur, enculez moi. Il retira son pouce et posa son membre à l’orée de mon auréole S’il vous plait Monsieur… - Non, tu ne le mérites pas. Il me retourna alors brutalement sur le dos, me retourna la tête pour la mettre au bord. Et il me baisa la bouche. J’étais endolori. Il me tenait la gorge pour qu’elle soit bien au fond. J’étais presque sur le point de vomir tellement il voulait me punir, me faire taire. Il éjacula sur mes seins. - Alors? Il me donna un claque sur la joue.. - Remercie moi! - Je vous remercie.. Monsieur? Tu me remercies de quoi? - Je vous remercie de m'honorer comme vous le faîtes. - Continue? - Je vous remercie de m'avoir punie. Il caressa alors ma joue et me laissa ainsi attachée et souillée.
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Par : le 05/10/20
j'aimerais ouvrir le débat (tranquille et apaisé) sur l'acronyme "BDSM" qui est généralement utilisé et qui serait les initiales de "Bondage Domination Sado-Masochisme". Autant Bondage et Domination me convienne parfaitement, beaucoup moins pour Sado-Masochisme. La suite logique serait de conserver l'acronyme, de modifier le sens des 2 dernières initiales (SM) en leur attribuant d'autres mots. Pour étayer mon point de vue,:smirk: ci dessous qques extraits d'une page Wiki à ce sujet : Deleuze voit dans le « retournement en son contraire » et le « retournement contre soi » un « transformisme » dans lequel les pulsions sexuelles sont susceptibles de passer les unes dans les autres. Il s’en étonne car Freud, dit-il, « a vis-à-vis du transformisme en général une attitude extrêmement réservée. » Sigmund Freud représenterait toutefois une première pierre pour la pensée de Gilles Deleuze. Mais, aux yeux du philosophe, l'association par Freud des deux termes, sadique et masochiste, provoque un « monstre sémiologique » dans le sens où le sadique, celui qui fait souffrir dans l’œuvre de Sade, n'est pas une personne qui pourrait faire partie de l'univers mental du masochiste chez Leopold von Sacher-Masoch. En effet, le sadique (chez Sade) se complaît dans la souffrance de l'autre à condition qu'elle ne soit pas contractuelle « et en jouit d'autant plus que la victime n'est pas consentante », alors que le masochiste (de Leopold von Sacher-Masoch) aime à régler, dans des contrats, les modalités diverses de sa « soumission. » De ce fait, pour Deleuze, sadisme et masochisme sont deux univers différents et ne peuvent être de parfaits contraires, ni avoir une parfaite complémentarité. Le sadisme est un univers de crimes, de ce fait hors consentement ; le masochisme, l'univers du contrat où tout est accepté par le sujet qui éduque son bourreau. Là où le sadique cherche une « possession instituée », le masochiste veut établir une « alliance contractée. » Il précise qu'en cas de rencontre « chacun fuit ou périt». Pour Deleuze, « À la base de la croyance en l’unité sado-masochiste, n’y a-t-il pas d’abord des équivoques et des facilités déplorables ? » Jean-Paul Sartre évoque aussi le sadisme et le masochisme séparément. Il écrit que le masochiste, pour satisfaire sa pulsion, fait appel à une femme qu’il paye. Ou alors, il exploite l’amour des femmes, comme le faisait Leopold von Sacher-Masoch. Dans les deux cas la femme « s’éprouve » comme un objet sexuel. Ainsi Jean-Paul Sartre démontre que le masochiste ne s'adresse pas au sadique, mais qu'il éduque un bras armé pour tenir le rôle de dominant dans le monde masochiste. « En particulier le masochiste qui paye une femme pour qu'elle le fouette, la traite en instrument et, de ce fait, se pose en transcendance par rapport à elle. Ainsi le masochiste finit par traiter l'autre en objet et par le transcender vers sa propre objectivité. On rappelle, par exemple, les tribulations de Leopold von Sacher-Masoch qui, pour se faire mépriser, insulter, réduire à une position humiliante, était contraint d'utiliser le grand amour que les femmes lui portaient, c'est-à-dire d'agir sur elles en tant qu'elles s'éprouvaient comme un objet pour lui… » Quand Virginie Despentes parle de ses fantasmes de viol, elle est dans l’univers du fantasme masochiste, mais face au vrai viol qu’elle a subi elle dit qu’elle est face à la mort, victime non consentante dans l'univers du sadisme : plus de fantasme, mais la peur de la mort. Si dans le fantasme masochiste, la rêverie, comme le dit Krafft-Ebing, le sadique a sa place, il ne l’a pas dans le passage à l’acte avec le masochiste. Le masochiste cherche celui qui fait semblant et donc un bourreau sous contrat faisant intégralement partie de l’univers masochiste. Quel est votre point de vue ?:smirk:
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Par : le 05/10/20
Désolée pour les fautes éventuelles, je suis partie en vacances :). Chacun a sa vision de son univers sexuel. Jeune je me sentais perdue dans mes ressentis. Un homme un jour a mis des mots sur mes envies et mes désirs. IL me parlait de BDSM. Toutefois Je n'aime pas les cases, je suis libertaire. Pour moi, es sentiments sont vitaux. Photo personnelle. J'ai écrit sur différentes musiques, mais j'ai commencé avec Diana Panton, Fly me to the moon... pour vous mettre dans l'ambiance. *************************************************************************** Nous étions sur ce bateau qui nous conduisait au paradis. Le bleu est ma couleur favorite et ici le camaïeu en était sublime et transparent. J’étais b ercé. J’ai toujours aimé être sur un bateau. Ce sentiment d’être bercée. Au loin je devinais l’île où nous allions être durant une semaine. Un petit coin de paradis sur terre. Nous arrivions au ponton. La chose qui me saisit tout de suite à mon arrivée, c’est l’odeur de l’île. Je n’ai jamais senti à ce point un parfum naturel de fleurs. Une lumière, une atmosphère et l’odeur du bonheur. Je me sentais légère dans cette bulle. Il était là à mes cotés. Il aimait observer mon regard enfantin qui appréciait les choses simples, ce moment présent. J’étais si sensible à mon environnement. Nous nous dirigions vers la réception de l’hôtel. Il était parfaitement intégré dans la nature. C’était une première pour moi. Passer une semaine sur une île. Nous avions fait le choix de ce lieu car nous sommes passionnés tous les deux de plongées sous-marine. Simplicité, un minimum de confort et surtout pas de télévision ni de piscine. Juste la nature et la mer. Le club de plongée était superbe. A son entrée une immense volière avec deux perroquets. Je n’ai jamais aimé voir des animaux en cage mais ceux là semblait ne pas être malheureux. C’était notre premier voyage où nous partions si longtemps loin de tout. Je me sentais libre et protéger à ses côtés. Sa bienveillance m’avait appris à prendre confiance en moi. Il me savait exigeante sur mes attentes, mes envies. J’étais déterminée. Le plus compliquée est l’idéal qu’on se fabrique. Plus on avance en âge et plus il est complexe de rester totalement ouvert. Les sites et les applications de rencontres font que nous avons à notre disposition un vaste catalogue. On regarde, on coche des cases. C’est concurrentiel. Mais si on prenait juste le temps. Le temps d’apprendre à savoir si nos attentes coïncident, à respecter l’autre. Nos choix, notre manière d’être, notre égoïsme a toujours un impact sur l’autre. Lui avait su me donner cette confiance. J’étais devenue si craintive, presque inaccessible car je n’en pouvais plus de cet empressement, de cet emballement où plus personne de donne réellement de soi. J’avais besoin de sentir cette considération. J’étais à la fois forte et fragile. Forte car la vie nous oblige à ne dépendre de personne. Fragile car j’avais besoin de ces bras qui me disait. Je suis là, tu ne crains rien. La soumission m’apporte cela. Ce sentiment où je sais que je ne crains rien, où je peux enfin de détacher de ce qui me fait peur. C’est bien plus que des pratiques sexuelles. Celui ou celle qui pensent qu’il suffit juste d’être attachée ou d’obéir. C’est tellement bien plus profond. C’est avoir le choix de se remettre à une confiance ultime, animale, protectrice. C’est en moi, depuis ma plus tendre adolescence. Je n’ai jamais pu mettre de mots sur ce que je ressentais. Je pensai que tout était mal de mes ressentis. A l’époque, internet n’existait pas. Il aura fallu une rencontre pour que je puisse mettre des mots sur mes désirs. Jeune, spontanée et surtout amoureuse, j’ai appris beaucoup de cet homme. La rupture fût brutale et traite. Les sentiments sont une chose qu’ils ne faut pas piétiner. Lui s’en fichait. Avec le temps j’ai compris la différence dans les sentiments. Ce que je prenais pour de l’amour était en fait de l’addiction à lui. Il me rendait folle. J’ai compris plus tard que ce n’était pas de l’amour mais de l’appartenance. Le temps fît son œuvre. Je décidais de faire ce que l’on attendait de la jeune femme que j’étais. Ce poids sociétal où je devais trouver un petit ami, avoir une vie stable, de rêver à la vie à deux, au mariage, la maison et les enfants. Quelle prison ! Je veux dire par là que rien ne nous empêche tout cela si c’est notre envie, mais combien de personnes restent ensemble car cela est confortable. J’ai toujours voulu ma liberté d’être avec quelqu’un pour ce qu’il est et de pouvoir partir si nous n’allions plus dans la même direction. Ma vision du couple n’est pas celle de majorité mais j’ai besoin de ressentir que je suis unique à ses yeux. Je désire sa franchise sans concession. Mes choix, ses choix, nos choix. Avec le temps il m’avait apprivoisé. Certains hommes tentaient de s’intéresser à moi juste pour me posséder comme un trophée sans avoir aucune imagination, ni aucune créativité. J’avais besoin d’être surprise autant que j’aime surprendre mon partenaire. Mais la vie est aussi faite de routine, de besoin d’être seule. Et j’étais mure pour cela aujourd’hui. Le bonheur est le jardin que l’on doit entretenir. Et là, nous étions là à profiter de cette parenthèse enchantée. Nous avions un petit bungalow en bois qui donnait sur la place sublime de sable blanc. La végétation était si luxuriante, et toujours ce parfum. J’adorais humer les fleurs de tiare. A peine dans le bungalow, il m’enlaçait la taille en m’embrassant tendrement puis plus fortement. Parfois le loup prenait le dessus quand il m’empoignait par les cheveux pour me saisir ma gorge avec sa bouche, sa langue, ses dents. Je râlais de plaisir. Il aimait jouer de moi car il me laissait là avec ce désir naissant pour aller admirer la plage. - Viens me dit-il Il tendait la main vers moi pour que je la saisisse. Pas besoin de mot, nous nous comprenions. La nuit commençait à tomber. En sortant de la douche il m’observait. - Enlève ta serviette. IL était assis dans ce fauteuil en rotin. Les cheveux trempés, je le regardais droit dans les yeux. Je dénouais ma serviette. Il était en train de se caresser. -Mets toi sur le lit. J’obeissais. - Ecarte tes jambes et caresse toi. Je détestais me caresser devant un homme, et il le savait. Cela me renvoyait à ces histoires banales où les hommes qui avaient pris leur plaisir, pensait qu’une pénétration faisait jouir une femme. Ces hommes qui vous laissent là et qui vous disent… « Caresse toi ». C’était pour moi le pire. Je me suis souvent caressée, surtout après l’écriture de mes nouvelles où j’étais dans un tel état. Mais certaines femmes comprendront ce que je veux dire. Je mettais un point d’honneur à voir les aptitudes de l’homme avec qui je serai à prendre réellement le temps de connaître tout ce qui me rendrait folle, à savoir comment me donner du plaisir. Et cela va dans les deux sens. Tout en le regardant, j’ouvrais mes jambes. Ma chatte était complètement épilée. Je commençais à descendre mes doigts sur mon petit mont de Vénus. Ma main droite, toujours la main droite. Mon majeur commença d’abord à dessiner le contour de mes lèvres. Je commençais à mouiller. Son regard était pénétrant. J’imaginais que c’était ses doigts. Imprégnés de mouille, je remontais doucement sur mon clitoris. Il était petit et si sensible. Je faisais des petits cercles circulaires. Je tourbillonnais. - Pénètre toi avec tes doigts. Gourmande comme j’étais, je mis trois doigts dans ma chatte qui s’ouvraient naturellement au désir d’être comblée, remplie. Je faisais des va et vient. Cela ne me suffisait pas. J’en rajoutais un quatrième, sans sa permission. - Petite salope me dit-il. Je mouillais de plus en plus. Tout mes doigts rentraient comme dans du beurre. J’étais assez étroite. Il se leva d’un seul coup. Tout en me toisant du regard il mis ses doigts dans ma bouche. - Ta bouche est aussi faite pour être remplie. Je baissais les yeux. - Regarde moi et réponds. - Oui… Monsieur, ma bouche est faite aussi pour être remplie. - Descend mon short. Je descendais son short. Pas besoin de comprendre que son sexe était en érection. - Branle -moi, tu ne la mérites pas pour le moment. Je saisis son sexe dans ma main. J’avais tellement envie de le sentir dans ma bouche. J’aimais le lécher, le caresser, le servir, le voir prendre du plaisir. Il était debout sur le coté du lit. Pendant que je le caressais, il commença à s’intéresser à ma poitrine. Doucement il saisit mon sein gauche. Des caresses, douces puis plus insistantes, puis il le gifla. Il prit mon téton dans sa main. Je commençais à gémir. Il le pinça de plus en plus fort. - Il ne pointe pas beaucoup à mon goût. Il tira alors fortement vers l’avant pour le rendre droit, fier et parfaitement dressé. Cette douce douleur me rendait folle. Je le regardais dans les yeux. - Qui t’a dit d’arrêter ! J’avais toujours du mal à me concentrer quand il s’occupait de moi et qu’il me donnait l’ordre de m’occuper de lui. - Je vais t’éduquer à faire plusieurs choses à la fois, sois en certaine. Je rougissais. Je me demandais ce qu’il avait en tête. Sa perversité comme la mienne n’avait pas de limite. On pouvait tout se dire sans jugement. L’art d’une véritable relation. - Ouvre ta bouche et sors ta langue. - Voilà qui est mieux, petite chienne. Il repris son sexe en main. Il monta alors sur le lit. Face à moi, son sexe à ma hauteur, il passait son sexe sur ma langue. - Lèche ! juste lécher. Je me délectais de son gland. J’aimais le lécher, l’honorer. C’était si bon. Un pouvoir immense que ma langue a sur lui, au plutôt ma bouche. Il remonta alors mes cheveux par l’arrière de ma tête . Il s’engouffrait en moi. Il bloqua ainsi ma tête contre sa queue qu’il avait enfoncé profondément en moi. Je voulais déglutir, mais cela ne faisait que le prendre davantage dans ma gorge. C’est là qu’il mis sa main sur ma gorge comme pour m’accompagner à prendre plus, bien au fond. - Voilà, tout doux petite chienne. C’est bon de te voir t’étouffer avec ma queue. Puis il ressortit presque sauvagement. Je repris alors ma respiration. Il la replongea à nouveau, puis la ressortit. Il prenait ma bouche comme il aimait prendre ma chatte. Il tenait ma tête pour qu’elle ne bouge pas. Je sentais la dureté de son membre dans ma bouche. J’aimais quand il était doux et aussi quand il se transformait avec ce animalité qui me consumait. Je salivais tellement, je mouillais aussi tellement. Je bavais. Il se servait de sa queue pour ramasser la mouille sur mon visage et me caresser avec. Je voulais prendre sa queue avec mes mains. Il me saisit avec les poignets. Il les plaçait au dessus de ma tête. - Qui t’a permis? Suce. Quand il prenait mes poignets ainsi, je me livrais encore plus à lui, ses désirs, les miens. Sa fougue était sans limite. Aucun jugement. Il appuya sur ma tête pour me faire descendre. - Allonge toi. Il s’assit alors sur moi au niveau de la poitrine. Il m’embrassa sauvagement sur la bouche. Nos langues se mélangeaient d’une passion vorace. Puis il me claqua la joue droite sans que ce soit une gifle. Je me débattais légèrement. Il bloqua alors mes mains sous ses jambes. J’étais ainsi impuissante. Il pris alors sa main pour me tenir la bouche. Il serrait. - Tu vas me laver le sexe . - Ouvre ta bouche. Il recommençait alors à prendre l’assaut de ma bouche. Cette fois je me sentais réellement utilisée pour le satisfaire. J’aimais ce sentiment d’abandon. Il avait placé ses mains sur le mur. J’étais littéralement remplie par son membre. Quand il s’arrêtait il me regardait pour me faire comprendre que j’étais son esclave sexuel. Il aimait me mettre sa queue en bouche . A ne plus me faire bouger. Je sentais qu’il aimait cette façon dont je pouvais me débattre pour me défaire de cette étreinte étouffante. J’étais possédée. Naturellement j’ouvrais ma bouche, je sortais ma langue, comme pour le supplier d’avoir plus. Il s’assit alors sur ma bouche pour que je lui lèche ses couilles. Je les aspirais, les prenais en bouche. Il prenait en main sa queue pendant que je le léchais. Il ondulait son bassin pour que ma langue passe partout. Surtout sur cette partie lisse entre ses couilles et son anus. Cette partie su douce qui le rendait complètement fou. Je le sentais. Je savais qu’il se contenait pour ne pas me montrer l’effet que cela lui faisait. J’adorais justement le faire défaillir. C’était un jeu auquel nous aimions jouer. Il appuyait alors complètement son anus sur ma bouche. J’avais un goût certain pour la sodomie et j’aimais cette délicate attention alors pourquoi ne le ferai je pas à mon partenaire. Et j’avouais que j’adorais ça, car il aimait ça. Il aimait que ma petite langue aille partout. - Bonne petite bouche nettoyeuse. Il jouait encore et encore. Ma langue toujours dehors. Son bassin ondulait. JE me sentais chienne, salope mais au fond, j’assumais juste celle que je suis. J’ai toujours trouvé fou le fait qu’on traite une femme qui s’assume de salope, de chienne.. alors que pour un homme au fond on trouverait cela presque normal. Une fois qu’il estima que je l’avais bien nettoyé, il se leva. Face à moi au bout du lit, il me regardait. Mon visage était mouillé. - Allez lève toi, petite paresseuse. Son regard était presque tendre. J’étais si excitée. - Tu es en chaleur ! Tu vas te calmer. Il voulait me frustrer comme il savait si bien le faire. Il prit alors mes bras pour les maintenir dans mon dos. Il se mit ensuite derrière moi et me poussa contre le bureau de la chambre. Il posa alors mon vendre contre. - Ecarte ton cul. J’obtempérai. Je plaçais mes mains de part et d’autres pour exhiber alors mon petit anus. J’avais tellement envie de le sentir en moi. Qu’il me prenne là. Il mis sa main sur ma tête. Il s’approcha de moi pour me murmurer à l’oreille. - T’es une bonne petite chienne. Dis le ! - Je suis une bonne petite chienne. Il me fessa l’entrejambe. - Je suis une bonne petite chienne.. Monsieur. - Pardon.. je suis une bonne petite chienne, Monsieur dis-je dans un murmure presque honteux. Il lécha alors ma joue. - J’aime te déguster, te sentir, te ressentir. Il mis alors à hauteur de mon visage un plug - Regarde ce que j’ai pour ton petit cul. Je veux que tu sois moins étroite. Je veux pouvoir te prendre comme bon me semble sans aucun ménagement. I- Suce le comme si c’était mon sexe. Il s’amusait à le mettre dans ma bouche. Et à le ressortir. Il me redressa. - Pose le bien droit devant toi. Montre moi comment tu fais bien tes fellations. Il le tenait avec sa main. Il maintenant parfois ma tête pour que je le prenne bien comme il le faut dans ma bouche. Puis une fois qu’il estima que j’avais eu assez d’entrainement pour se voir, il le prit dans sa main. - Regarde toi dans le miroir. Je veux que tu vois ton visage quand tu vas prendre ton plug dans ton petit fion. Je m’observais. J’étais avec ce regard félin, joueur. Je le regardais. Lui se concentrait sur mon cul. J’avais mis mes deux mains sur le bureau. Il mit un doigt dans mon cul, comme pour prendre la température. Il humidifia à nouveau le plug en le passant sur mes lèvres et mon clitoris. Il plaça alors le bout à l’orée de mon antre. - Empale toi dessus, avale le avec ton cul. Doucement je sentais la largeur du plug me saisir. Il était assez gros. Je sentais mon auréole céder. J’allais à mon rythme. - Hum j’ai hâte de te baiser après la chatte sachant que ton cul est bourré par ce plug. Me dit il en me regardant dans le miroir. Je me redressais avec fierté. Je lui souriais, avec cette envie et cette défiance. - Habile toi maintenant ! Je revêtis alors une robe longue faite de plein de couleurs. Elle avait se décolleté. Je ne portais rien d’autre que cette robe. Lui portait ce short bleu marine avec son polo blanc. Il avait cette élégance naturelle sans jamais être classique. Nous nous promenions alors sur le chemin sablonneux de l’ile, pieds nus. Je sentais le plug dans mes fesses. Je me sentais excitée et honteuse de mouiller honteux. Je la sentais couler à travers mon entrejambe. Notre bungalow était légèrement éloigné du restaurant mais c’était plaisant. Aucune voiture. En marchant je m’amusais à le narguer. Vu qu’il me rendait folle, je me devais de lui rendre la pareille. Je m’amusais à relever ma robe pour qu’il admire mes fesses tout en marchant. Je voyais son sourire. Il était si bon de ne pas se prendre au sérieux. La nuit était tombée relativement tôt. Il avait réservé une attention délicate pour moi ce soir. Un repas les pieds dans l’eau. La lune était pleine, l’océan se parait du reflet scintillent qu’elle provoquait. C’était un spectacle magique. Le repas était à la bougie. Juste le bruit des vagues qui allaient et venaient. L’eau était chaude, c’était si agréable. Je vivais un rêve. Le repas était divin. Du poisson, quoi de plus frais. Un peu de vin. J’étais frustrée car je voulais lui faire la surprise d’apporter une bouteille de champagne ainsi que mes coupes . Malheureusement aux Maldives il était interdit d’importer de l’alcool. Une grande frustration. Nous aimions rendre chaque moment unique et magique. On se dévorait du regard, nous pouvions parler de tous les sujets et surtout de notre passion commune pour la plongée. Nous allions commencer dès le lendemain. Notre première plongée ensemble. Je trépignais d’impatience. Une fois le repas terminé, il demanda à ce qu’on qu’on nous dérange plus. La table était débarrassée. C’est à ce moment qu’il se leva. Son regard était brulant. Il me leva de ma chaise. Il m’enlaça fermement. - Te souviens tu que ce que je t’ai dit tout à l’heure ? - Humm.. oui… - Que t’ai-je dit ? - Que vous vouliez me prendre avec le plug dans mon cul.. Monsieur. Je souriais. - Relève ta robe sur ton cul. - Si tu voyais comme je te vois. La lune laisse deviner l’accès au fruit défendu que tu es. Une posture qui montre que tu es prête à être cueillie. Je n’en pouvais plus depuis tout à l’heure. Il me poussa alors le vendre contre la table. J’étais sur la pointe des pieds. Le sable était des plus agréables. Sentir l’eau aller et venir sur mes pieds était terriblement apaisant. Je sentais son sexe doucement s’introduire dans ma chatte. L’accès était plus difficile. Puis une fois installé dans ma chatte, il voulu rester profondément ancré. C’était si érotique. Puis il me retourna sur le dos. Cette position était tout aussi érotique. J’avais envie de crier mon plaisir, mais il me baîllonnait avec sa main. Chaque butée provoquait un cri qui partait dans le silence de sa main ferme. - Tu aimes ça hein ? le cul rempli, la chatte comblée. - Allez réponds ma belle. Je hochais la tête par l’affirmative. Il était frénétique. J’avais l’impression que la table allait partir dans le décor. C’est alors qu’il saisit poignets et s’en servit pour bien me prendre, me prendre intensément. Son membre était gonflé par son désir. - Tu es ma petite chienne. J’aimais quand il me disait cela. Je devinais son regard dans cette pénombre. Quand il relâchait la pression au niveau de mes poignets, il agrippait mes seins fermement pour ne pas qu’il bouge. Il aimait s’en occuper particulièrement. Juste avant que sa jouissance n’arrive il mettait sa main sur ma gorge pour m’étrangler légèrement. Je sentais ses coups se faire féroces. Ces coups de reins qui font que nous ne sommes plus qu’un. Je gémissais. Il me gifla de plus belle. Je mordais mes lèvres pour me taire. Il me baisait fortement autant qu’il me désirait et que je le désirais. Quand il se redressa au moment de jouir, je le regardais. On aurait dit un kouros. Vigoureux, conquérant. Nous ne disions plus aucun mot mais il n’y avait rien à dire. Nous étions juste bien. - Reste ainsi les jambes écartées. J’aime te voir souillée ainsi exposée à la lumière de cette lune. Il s’approchait son visage de mon sexe. Il regardait son sperme sortir de ma petite chatte. - Caresse toi. Je mis mes mains sur mon sexe, doucement sur mon clitoris. Je n’aimais pas le sperme. Il savait pourquoi, mais au fil du temps avec lui je me sentais de plus en plus confiante. Il ne me forçait jamais à faire quelque chose que je ne voulais pas. Il connaissait mes limites. Il saisit le plug et commença à jouer avec pendant que je me caressais. La chaleur du sperme se mélait à ma mouille. J’inondais. - Allez écartèle bien ta chatte avec tes doigts. Lui s’amusait à me pénétrer avec le plug. Ça me rendait folle d’excitation. - Humm, regarde comme ça rentre, comment ça sort… Bientôt tu resteras avec un petit trou bien ouvert. Regarde ça comme t’es ouverte. Il aimait observer mon petit trou s’agrandir, se refermer. Puis il remplaçait le plus par ses doigts. Maintenant, il me pénétrait avec. Il me fouillait pour m’élargir. Je mettais mes doigts dans ma chatte. Je sentais les siens qui étaient dans mon cul de petite chienne. C’était si intense. Quand je sortis mes doigts de mon con, je les mis sur mon clitoris qui était si gonflé, tout comme mes lèvres. C’est là qu’il profita pour entrer quatre doigts à l’exception de son pouce. IL tournait son main, encore et encore pour que mon cul accepte d’être à disposition autant que ma chatte. Je fermais les yeux, il me parlait comme je l’aimais. - Allez petite pute, regarde tu as quatre doigts dans ton petit cul. Dis moi que tu aimes ça. - Ohhh oui.. j’adore ça, murmurai je. - Tu es ma petite chienne, abandonne toi. Je veux que tu jouisses pendant que je te baise de mes doigts. Plus il me parlait plus j’étais folle. Je sentais les contractures se faire intense. Ses doigts qui me prenaient le cul était si intense. Il tenait ma gorge, continuait à me parler à l’oreille comme pour préserver notre jardin secret. Quand cette vague arriva je commençai à hurler. Il me bâillonnait fermement. - Allez jouis ma chérie, tu es si belle… Plusieurs vagues me submergeait. La plus forte a été celle où je sentis mes larmes perler de mes yeux. Il caressait alors mon visage. Il m’aidait à me relever. Il saisit ma main. Il se dirigea dans l’eau. Nous prenions ce bain de minuit. Nous étions seul, la mer nous berçait. Il me prit alors dans ses bras, l’eau me faisait légère comme une plume. Je me blottissais contre lui. Le temps s’arrêtait…
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Par : le 04/10/20
Quel rapport avec le bdsm me direz vous ? Aucun sans doute sur le plan des lanières et des coups, par contre sur le plan psy, c'est bien autre chose. La première des dominations se fait en esprit. Le soumis se couche et obéis par une mentale. Il n'est pas besoin de mots. Je suis contre l'indication des sexes sur nos documents d'identité. Pour une raison simple, je pense que nous sommes tous intersexués. plus ou moins, peu importe puisque nous le sommes tous et que nous avons tous du féminin et du masculin en nous. Si je met le féminin en premier c'est parce que c'est celui ci qui prime dans la nature. Il nous faut les deux, en nous et autour de nous pour être bien. Peu importe ce qui prédomine en nous, ce qui compte c'est de faire circuler ces énergies complémentaires pour y trouver et la force et la paix. C'est là, dans le grand calme, qu'il me plait de laisser mon esprit aller. "-va, souffle, Va où il te plait ! Puis reviens me raconter tes merveilleux voyages. " C'est ainsi que je procède. Je n'ai pas de boule de cristal. Je laisse la femme en moi s'envoler de ses pieds agiles et danser sur les ondes psy. Accepter l'intersexualité en soi c'est se libérer et donc c'est accepter les dons. La voyance en est un. il ne faut pas en avoir peur. Juste jouer, ne pas se prendre au sérieux. Cela ne convient pas de croire. Il faut au contraire douter de tout ce qu'il nous sera donné de voir. Etes vous femme? Homme? Je réponds toujours : intersexuelle. Ce qui me fait rire. La femme en moi est une dominante impitoyable. J'adore les voyages astraux. Il est possible d'y pratiquer le bdsm sans limites. Je peux laisser libre tous mes fantasmes et il n'existera jamais aucun code de sécurité pour soumises et soumis. En astral tout n'est pas permis, mais bon, je n'ai pas encore trouvé de limites. Sortir de son corps. Etre libre ! Les rencontres en astral sont d'une force incroyable. Les relations sexuelles qui vont avec peuvent atteindre une intensité inouïe. L'extase. L'orgasme en mode astral est un peu semblable à un orgasme en mode tantrique. Il ne faut pas se toucher, c'est tricher. Cela doit monter seul. Une fois l'orgasme enclenché il est multiple, ce sont des vagues qui se suivent. Les rencontres sont directes, l'envie de faire l'amour est partout. L'infidélité n'existe pas.
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Par : le 04/10/20
Désolée pour les éventuelles fautes, je suis vilaine, je ne me relis pas.. J'écris instantanément. J'ai écris sur cette musique, donc je vous invite à lire en l'écoutant NINE INCH NAILS - "CLOSER" *************************************************************************** A peine arrivée chez lui après une longue journée, je n’avais qu’une envie. Me poser. Juste avant de toquer, je me regardais encore dans le miroir afin de paraitre à mon avantage. Mes traits étaient un peu tirés. Je portais une chemise blanche avec une jupe crayon. J’affectionne particulièrement ce style. J’avais pris soin de mettre des bas couture. J’avais échangé mes chaussures à petits talons contre mes vertigineux Nina Ricci, d’un vernis rouge hypnotisant. Je sonnais, il ouvrit la porte. Il était encore habillé de son costume bleu marine. Il était si sexy. Je sentais son regard me dévorer tout en étant froid. En voyant la cravache dans sa main, je baissais naturellement les yeux. Nous allions pénétrer dans notre jardin secret où nous sommes complètement à nu. Le bruit de pas se frayait le chemin dans son antre. Je prenais soin d’avoir la démarche la plus provocante qu’il soit. Je voulais le rendre fou comme il me rendait folle. La sensualité est un art. Je me postais au milieu du salon, les jambes entreouvertes avec mon appui sur la jambe droite, me faisant me déhancher. C’est là que je sentis la cravache sur ma hanche droite m’indiquant que je devais me tenir droite. - Voilà qui est mieux ! me dit il. Il était derrière moi, je sentais son torse contre moi. Mon cœur palpitait, mon souffle l’appelait. Ma tête se glissa en arrière, recherchant son contact. Il passa la cravache alors sur ma gorge. Cela m’électrisait. Mes mains commençaient alors à chercher son contact au niveau de son entrejambe. J’avais du mal à me contenir. Je me frottais contre lui telle une petite chatte en chaleur. Il plaça alors la cravache dans ma bouche. Il remonta d’un coup brutal ma jupe sur mon fessier. - Hum ce cul.. une peau si blanche. Je sais que vous aimez rougir. Je sentis cette vague en moi monter, j’avais envie de serrer fortement mes jambes, de contracter mon sexe. J’avais envie qu’il me prenne là et maintenant. Il caressa doucement mon fessier. Il écartait ses doigts pour mieux mesurer le galbe de chacune de mes fesses. Il me fessa à travers ma petite culotte. Je sursautais. Il appuya sur ma tête pour la baisser. Il tournait tout autours de moi comme si j’étais sa proie qu’il allait dévorer ou plutôt avec laquelle il allait se délecter. Il parlait peu. Mes sens étaient complètement en éveil. Le bruit de ses pas. J’aimais fermer mes yeux juste pour ressentir. La privation de la vue a toujours été si excitant me donnant ce sentiment de vivre la liberté de qui je suis. Je restais ainsi en attente. Je mouillais complètement. Il tira alors sur mes cheveux pour ensuite redresser ma tête. - Votre collier ma petite chienne. Il relacha son emprise au niveau de mes cheveux. - Relevez vos cheveux. Il passa entre mes bras et ma nuque pour me faire comprendre son statut de petite chienne, et j’adorais ça. Il aimait que je me tienne fière en le portant. Il le serra fortement. Je sentais un léger étranglement si érotique. Je sentais l’odeur du cuir et cette fois ci il le verrouilla un cadenas. Il m’excitant tant. Cette envie qu’il me possède. Ce désir si animal et à la fois si beau. Il était là en train de me respirer. J’avais toujours la cravache en bouche. Il déposa un baiser si sauvage dans mon cou à la limite de la morsure. Il me léchait. Sa langue était inquisitrice, puissante. Ses dents voulait marquer son désir. Je me contenais. Garder cette frustration. Il m’avait demandé de ne pas me caresser durant une semaine. J’étais dans un tel état. Alors que je ne m’y attendais pas il claqua mes fesses avec une telle force que j’ai failli en faire tomber la cravache. Il abattit une seconde fessée sur mon postérieur. Il saisit alors ma culotte pour qu’elle se fraye un chemin dans la douce raie de mon cul. Il tira vers le haut. Je sentais la pression du tissu sur mon clitoris. Il s’amusait ainsi à jouer en tenant ma culotte ainsi avec des va et vient. Mon sexe se consumait, ma mouille devait couler entre mes lèvres. Tout en tenant ma culotte fermement vers le haut, j’avais la sensation que ce string éphémère était e train de me faire perdre pied. Je me cambrais naturellement. Il passa sa main sur ma chatte. - Hum ma petite salope, vous êtes si trempée. IL passa sa main a hauteur de mes yeux.. Ses doigts étaient en effet trempés. Il était devant moi. Son regard plonger dans le mien. C’est là qu’il saisit la cravache de ma bouche. - Bonne petite gardienne. Je le regardais fixement, avec cette fierté, cette envie de le provoquer pour qu’il me punisse. J’adorais cela. Avec le bout de la cravache, il tapotait de chaque coté de mes cuisses pour m’indiquer de les ouvrir davantage. Il glissa alors la cravache sur la culotte au niveau de mon sexe. J’avais envie de me déhancher dessus pour me caresser avec. Totalement impudique, voulant me satisfaire et me libérer de ce désir. Soudainement il me cravacha le sexe. Naturellement j’eusse envie de serrer mes jambes. - Ecarte ! Je le regardais droit dans les yeux avec cette défiance et ce sourire provoquant. - E…car…te.. Je m’exécutais et je savais que j’allais me faire punir pour cette audace qu’il aimait tant. Je sentis alors la cravache s’abattre sur mes cuisses. Il jouait alors encore avec ma chatte pour ensuite la punir. Il alla chercher la laisse qui gisait sur la table. Naturellement je m’accroupis Il était là à mes côtés. Il me caressait la tête. Je plaquais ma tête contre sa cuisse. Il était d’une telle douceur. Je pouvais me laisser complètement aller. J’étais en confiance car je savais qu’il me considérait et il savait me rassurer. Il posa alors son pouce sur ma bouche pour en dessiner le contour. Il inséra doucement son pouce dans ma bouche. Je le suçais, je m’en délectais. Je voulais aussi lui apporter toute ma dévotion, ma reconnaissance et les sentiments que j’avais à son égard. Je lui offrais ma soumission pour me sentir libre. Combien il était bon d’être avec un homme qui partageait les mêmes envies que les miennes. Mes envies peuvent s’apparenter à l’univers du BDSM, mais pour autant je déteste les cases. Cet univers peut être peuplé de fantasmeurs, de manipulateurs ou de personnes qui réduisent la domination à de la violence, ou encore à pouvoir faire ce qu’ils veulent d’une femme ou d’un homme, ayant trop regardé peut être des pornos. La soumission se mérite et chacun en a sa définition. Cette mise à nu à tout se dire est la relation la plus intense que je connaisse. Avez-vous déjà vécu une relation où vous êtes simplement vous. Soumise ne veut pas dire qui n’a pas de personnalité, qui ne se respecte pas, bien au contraire, c’est une femme qui s’amuse. Je sais je parle au féminin. Elle demande à l’autre de faire des efforts, de vous connaître. Messieurs, vous pensez réellement que sans savoir prendre le temps de s’intéresser à l’autre vous pouvez tout obtenir de lui ?. Et là à ce moment ici où il attache la laisse, je suis libre. Je n’ai plus besoin de penser. Il prend les rennes. Quelle libération pour moi. Quel plaisir de marcher à quatre pattes à ses côtés. Il connait tout de moi, ma personnalité, cette femme-enfant, cette femme indépendante et celle qui a envie aussi de se laisser aller à sa perversité. Il me promenait ainsi jusqu’à sa chambre. Félinement je le suivais et parfois j’aimais résister pour que la laisse se tende. Arrivés à la chambre, il me plaça devant son lit sur son tapis. Il avait pris soin de mettre une musique des plus excitantes. Nous avions cette passion pour la musique, elle nous met parfois dans un tel état. Certaines musiques sont si sexuelles. Celle-ci me rendait folle. J'étais là à quatre pattes. Il descendit alors ma culotte sur mes cuisses. Il avait appuyé sur ma tête pour la baisser vers le sol. Il s’était placé au- dessus de moi. Il avait ses jambes de pare et d’autres de ma taille. Il redressa ma jupe complètement sur ma taille. Avec la cravache il appuya sur mon dos afin que je me cambre. Je devinais qu’il regardait mon cul offert à sa vue. Je ne sentais pas le temps passé. Que faisait- il ? que me réservait il ? C’est la que je devinais un paddle long caresser mon fessier.. Il le passait d’une fesse à l’autre. Quand le premier s’abattit, je sentis force et détermination. Le ton était donné. Je savais que je ne devais pas bouger, ni rien dire. J’aimais la fessée mais parfois ses coups étaient si forts que je n’en voulais pas davantage. Parfois je faisais taire la provocation. Il me donnait des coups ferme que j’avais presque envie de me dérober. Il savait me canaliser par des gestes tendres entre pour me soulager pour mieux me punir comme je le méritais. Quand il s’arrêta, je restais statique. Mon fessier devait être écarlate. La fin donnait place à cette endorphine qui me faisait me sentir bien. Il tournait autours de moi, me laissant ainsi. Puis avec sa main, il m’appuya la tête pour que je la mette au sol. - Reste ainsi. Il me fit attendre, comme une bonne chienne attend son maitre. Quand il me laissait ainsi, je savais qu’il pensait à moi et il savait que je pensai à lui. Cette tension était palpable, mon sexe était totalement en attente. Il était en train de défaire ses boutons de manchettes, tout en ôtant sa cravate. Il sortit de la pièce et revint avec un verre de Whisky à la main. Il consultait alors son portable. Je devinais qu’il gardait un œil sur moi. Mon cul surélevé lui donnait le meilleur angle d’observation. - Tu es divine ainsi. Quelle belles chaussures ! elle te vont à ravir. Je vais prendre un plaisir à m’occuper de toi. Il prenait son temps, je commençais à être impatiente. Ce n’était pas ma meilleure qualité. Il appuya sa chaussure sur ma tête… - Prête à être baiser come une petite pute ? - Je… Un long soupir s’échappa, oui j’avais envie de cela ! qu’il me libère de cette tension animale. Il saisit alors la laisse et me redressa. Il était face à moi, il me jeta alors sur le lit. Je tombais sur son bord. Ce sentiment de vulnérabilité me donnait envie de reculer. Je commençais doucement avec mes mains à me mettre vers le milieu de celui-ci. Il plongeait son regard dans le mien. C’était électrique Je le sentais sauvage, possédé, tout comme moi. J’étais panthère. D’un seul coup il me stoppa dans mon recul. Il écarta mes jambes brutalement. Il me saisit alors sous le genou et me tira violemment à lui. Je me sentais conquise, prête à être possédée avec cette fougue qui l’animait. Mon dos tomba sur le lit soudainement. Lui était au bord du lit entre mes jambes qu’il tenait fermement de ses mains dominantes. Nous nous regardions avec une telle intensité. Naturellement je lui appartenais, naturellement il me donnait envie de me soumettre. C’était d’une évidence. Cette passion. Il se pencha alors vers moi Je sentais à travers son pantalon son sexe dressé. Il mis alors sa main sur mon visage pour le caresser puis il passa son pouce sur ma bouche. Elle était complètement asséchée. Il força ma bouche à céder sous sa pression pour qu’elle s’entrouve. Il l’enfonça dans ma bouche. Naturellement je l’ouvrais davantage, je le désirai. Je commençais à me délecter de son pouce. Il saisit alors ma gorge pour maintenir plus de pression. Il s’approcha davantage pour passer sa langue sur ma bouche. Il plongea ses yeux dans mon regard. Je le regardais droit dans les yeux. Il me gifla. Ma tête était partie sur le côté gauche. IL mis sa main sur mon cou, il serra, tout en me léchant la joue, tel un loup qui s’apprête à dévorer le pauvre petit chaperon rouge. Il se redressa. Il saisit ma chemise et fit sauter les boutons pour me l’arracher. C’était si intense, si excitant. Il voulait libérer mes seins. Il me fixa encore. Il libéra mes seins en les sortant du soutien gorge. Il les pris alors de ses pleines mains pour les malaxer. Je sentais ses doigts marqués ma peau. Il saisit d’un coup net mes tétons pour les tirer à lui comme il aimait tirer sur ma laisse. Je me redressai alors. Il me gifla pour me faire comprendre que je ne devais pas bouger. Il avait pris soin de préparer les pinces à tétons que je redoutais tant. J’avais une sensibilité certaine. Il aimait me parer ainsi pour me rendre des plus dociles, sentir la douleur m’exciter. Il me para également de bracelets en cuir noir à mes chevilles ainsi qu’à mes poignets. Et les attacha ensemble pour avoir un accès total à mon sexe et à mon cul. J’étais là exposée, soumise à ses moindres envies. Il mis sur mes yeux un bandeau également tout en cuir. Ma poitrine se soulevait. Je ne tenais plus jusqu’au moment où je sentis ses doigts toucher mon clitoris. - Que tu es trempée, je vais me délecter de ce doux nectar. Quand sa langue s’abattit sur mon sexe, je soupirais. C’était si bon. Il titillait doucement mon clitoris. Mon sexe était lisse, sans poil, j’aimais sentir ses doigts recouvrir tout mon sexe de ma mouille. Il écartait mes lèvres pour l’aspirer c’était tellement intense. J’avais envie qu’il me possède sur le chant, qu’il me baise comme jamais. Il savait me rendre folle. Il m’acheva quand il enfonça ses doigts dans ma petite chatte. Il aimait s’y aventurer, me l’écarteler. J’adorais ça. Il y allait en profondeur avec des vas et viens puissants, tout en continuant à me lécher. Je me dandinais comme une bonne petite chienne qui n’attend que d’être prise. Je suffoque de ce désir. Il me fait monter à la limite de la jouissance. Je me contracte, voulant de cette jouissance, mais il arrive à me mettre au bord. Il m’a interdit de jouir. Pour me faire redescendre il aime continuer à me lécher tout en tirant sur la chaine de mes pinces. Des petits cris de douleurs, de plaisirs s’échappent alors de ma bouche. J’ai senti qu’il se redressait quand il plaqua sa main sur ma bouche. Il me détacha. Il saisit à nouveau mes jambes pour bien les ramener au bord. Tout en me regardant il prit la mouille de ma chatte, il se délecta les doigts puis les posa à nouveau à l’orée de mon trou. Il défit son pantalon et sortit son sexe en érection. Il me pénétra ainsi sauvagement. D’un coup sec. Il me tenait par les cuisses, il était debout. Il prenait ce qui était à lui. De bons coups de queue me transperçaient. Mes seins volaient dans tous les sens. Il me baisait comme une bonne petite putain. Il soulevait soudainement mes jambes pour les mettre contre lui. Je le sentais intensément. Ses coups étaient si fort. Il prenait aussi son temps pour me la mettre dans profond. Quand il saisit mes poignets pour me rapprocher de lui, c’était pour mieux me transpercer. - Petite putain ! J’aimais quand il m’insultait. Je n’ai jamais compris pourquoi cela me faisait tant d’effet. Mais j’aimais être sa putain. Il faut être femme, amante, maîtresse et putain. D’un seul coup il me retourna sur le ventre. Il saisit mes poignets et les attacha fermement dans le bain. En me tenant par les coudes, il me prit à nouveau sauvagement. Je le sentais bien au fond de ma chatte. Parfois une douleur venait. Mon utérus rétroversé parfois me donnait quelques douleurs. Mais que j’aimais être possédée ainsi. Je sentais alors son poids sur moi et il me tenait par la gorge. Je ne pouvais pas me cambrer comme je voulais au niveau de mon dos. Sentir son souffle était si bon. Il m’embrassait l’épaule gauche, il la mordait puis dans une frénésie il appuyait ma tête contre le lit. Et il entamait de me labourer comme il se devait. C’était si fort que j’en étais arrivée, je le devinais au milieu du lit. J’étais alors allongée sur le ventre. Il se relevait et écarter mes fesses. - Reste les jambes bien fermées. - J’ai tellement envie de rendre béante ta petite rondelle ma chienne. Laisser l’empreinte de ma bite. Il commença par insérer un premier doigt.. il s’amusait avec son jouet. Il faisait des va et vient. Il aimait ensuite passer sa main sur ma chatte pour s’assurer de bien me lubrifier de partout. J’étais si trempée. - Hum j’ai du travail à faire avec ton petit fion pour bien l’écarteler. Tu es si serré. Il plaça un doigt de chacune de ses mains pour l’ouvrir. Il voulait l’inspecter, voir ce qu’il pouvait en faire. Puis il remit deux doigts bien fermement. Il commença à nouveau des vas et bien puis à l’élargir. - Humm tu t’ouvres doucement. J’aurai tant aimé t’enculer comme ça à sec comme une vraie salope.. mais tu n’es pas encore prête. Cela me vexait mais m’excitait à la fois. - Je vais te faire porter un rosebud pour ton entrainement anal. Il me tenait le cou, et il me baisait de ses doigts. - Tu aimes avoue ! - Oui j’adore… encore… - Regarde moi comme tu te dandines… Je voulais davantage. Puis il écarta si fortement mes fesses que j’en eu presque mal. Je sentis alors sa queue au niveau de mon anus. -Hum si tu voyais comment ton petit orifice cède.. tu sais que tu vas prendre cher. Je ne veux rien entendre. Compris. - oui… - Oui qui ? - Oui.. Monsieur. Tout en douceur je sentais mon fion cédé. Quand il fut bien en moi, il prit son temps. Puis tout doucement commença à me chevaucher. Il me claquait les fesses. Un son s’échappa de ma bouche. Quand soudainement Il s’allongea sur moi, et mit sa main sur ma bouche pour me faire taire. Sa frénésie commença, je me débattais pour limiter son assaut. Mes mains dans le dos tentaient de le repousser pour le calmer. Il continuer de me baiser. Quand je sentais ses coups de rein de plus en plus fort, je compris que sa jouissance était proche. Il éjacula. Je n’entendais que son souffle. Ce silence qui parle. Je sentis alors son poids sur moi. Il s’était complètement relâché. - Ne bouge pas ! Il resta quelques minutes sur moi. Je sentais son cœur battre. Il était à nu sur moi. Je sentais sa chaleur, il transpirait. Il me caressait doucement les cheveux. Je sentais sa semence au fond de mon petit cul. J’ai toujours eu un rapport au sperme particulier. Au bout de quelques minutes il se releva. Il s’absenta. Il était allé se nettoyer. Quand il revint, il caressa mes fesses. Je sentais qu’il m’observait. Peut être regarder il le spectacle du sperme s’écouler de mon petit trou ?. Soudain, je sentis la chaleur d’un gant de toilettes me laver. C’était si érotique, intime. Quand il eu finit, il me retourna. J’avais toujours mon masque sur les yeux. C’est là que je lui dis. - Je ne tiens plus il faut que j’aille faire pipi. Tout en m’aidant il me releva. Il me conduisit aux toilettes. Il rabaissa alors la cuvette comme un réel gentleman. - Détachez moi, s’il vous plait C’est là qu’il me dit. - Allez fais tes besoins ma petite chienne, dit il . Je sentis dans son regard une forme de taquinerie. Je le regardais un peu gênée mais nous aimions jouer. Nous avions un tel degré d’intimité qu’au fond cela était presque naturel. Je m’assis alors sur les toilettes pour me soulager. Quand j’eusse fini il s’approcha de moi. Il saisit le papier toilettes et m’essuya et tira la chasse d’eau. Puis soigneusement il lava ma petite chatte Il me tira à lui et m’embrasser avec tant de passion. - Mademoiselle mouille encore.. Nous sortîmes de la salle de bain. Il me poussa alors sur le fauteuil. Il noua mes chevilles à l’assise pour que mes cuisses restent bien ouvertes. C’est là qu’il ôta mon bandeau. Il me regardait avec une telle passion, une telle détermination. Il mit ses doigts dans ma bouche pour que je les mouille. Puis tout en me regardant, il les mis dans ma chatte. Il le fit avec une telle intensité. IL me tenait bien dressée par le collier. - Allez .. - Non… non… Je voyais qu’il avait mis une serviette au sol, il aimait me rendre fontaine. Ca l’excitait. - Regarde tout ce que tu mets partout petite chienne - Tiens ma petite catin. Fontaine, je l’étais. J’en avais presque honte. Il recommençait, je perdais complètement pied. Il tapait ensuite sur ma petite chatte pour engouffrer à nouveaux ses doigts, il aimait me remplir. Puis une fois mûre il déposa sa langue sur mon clitoris. Il prenait ma chatte mais aussi mon petit fion. - Oh oui c’est bon des doigts dans la chatte et dans le cul.. hein ? - Oui.. c’est… c’est .. si bon. - Allez jouis ma belle…. Je me sentais au bord du précipice voulant que cela dure et à la fois être soulagée. IL m’acheva. Mon corps tremblait de partout. Je sentis les secousses m’envahir et ce plaisir me faire monter dans les étoiles. Les larmes commençaient à monter. Tout en me regardant il me détacha les jambes. Il me leva, pris ma place. IL me fit m’asseoir sur lui. Je me lovais contre lui. Tremblante de mon désir, de ma jouissance, d’avoir atteint ce bonheur, ce plaisir. Je me sentais à la fois vulnérable et à la fois protéger contre lui. Je sentais ses bras me tenir fermement et ses mains me caresser. Au bout de quelques minutes il me releva. - Viens, viens au chaud. IL m’invita alors à me mettre sous les draps. J’étais frigorifiée. Il me déshabilla complètement, je me laissais faire, j'en avais envie. C’est là que je me rendis compte que la pluie s’abattait dehors. Complètement heureuse d’être ici. Je m’endormais. Quand je me réveillais, il m’avait alors enchaînée au lit avec des cadenas…
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Par : le 04/10/20
La simple évocation du nom de Marie-Antoinette mobilise un savoir répandu, généralement connu. La reine guillotinée, l’Autrichienne, la femme coquette jouant paraît-il à la bergère dans son domaine de Trianon et au Hameau, l’épouse insatisfaite, la mère attentive et moderne, la femme dépensière qui aurait vidé les caisses de l’État, la reine martyre et victime de la Révolution. Marie-Antoinette accumule les idées reçues. Elle est une reine, et une femme, qui a fait naître les fantasmes les plus improbables auprès de ses contemporains comme des siècles qui suivront. Incarnant un XVIIIème siècle parfaitement idéalisé et parfois mièvre, Marie-Antoinette, trajectoire féminine et royale peu commune dans l’Histoire, suscite depuis au moins le XIXème siècle, de nombreuses écritures et réécritures historiques au point de créer une mémoire sans cesse renouvelée. Les historiens commencent seulement à faire de Marie-Antoinette un objet historique, certes difficile à dépassionner. Kaléidoscope aux facettes inépuisables, Marie-Antoinette déborde des cadres de pensée de l’Histoire. Si la reine n’avait pas été guillotinée, serait-elle encore si présente dans la mémoire collective ? Faut-il voir en elle seulement "Madame Déficit" comme elle fut surnommée ? Il est communément admis que la Révolution n’aurait pas éclaté si l’État n’avait pas été au bord de la banqueroute. Les dépenses de la royauté, de la cour et, en particulier, celles de la reine auraient, progressivement, vidé les caisses du royaume si durement remplies par le tiers-état, accablé par une fiscalité profondément injuste. Reine frivole, Marie-Antoinette aurait dépensé un argent qui n’était pas le sien pour ses seuls plaisirs et ceux de sa petite société. Dès l' année 1785, la reine est surnommée "Madame Déficit." C’est à elle que l’on attribue tous les maux du royaume et le gouffre financier dans lequel la monarchie est sous peu de tomber. Pourtant, la royauté doit faire montre de dépenses, luxueuses et même ostentatoires, faisant ainsi la publicité des savoir-faire du royaume et permettant de faire vivre une foule d’ouvriers travaillant dans les manufactures et les filatures, ainsi que les artistes et artisans. Quelles sont les dépenses de Marie-Antoinette et pourquoi lui sont-elles reprochées ? "L’Autrichienne." Un sobriquet aussi tranchant que la lame du couperet. Un surnom que la haine révolutionnaire n’a eu de cesse de clamer pour désigner à la vindicte populaire son bouc émissaire, la reine Marie-Antoinette, forcément traîtresse puisqu’étrangère. Allemandes, italiennes, espagnoles, autrichiennes, les princesses européennes ont été mariées comme autant de marchandises échangées dans le luxe et le faste, appelées à donner une nombreuse progéniture mâle aux rois de France pour garantir la continuité dynastique, et à se soumettre humblement aux rituels, écrasants, de la monarchie absolue. Ces reines françaises, d’origines étrangères, laissent toutes une image noire dans l’histoire de France. Il en va ainsi pour Catherine et Marie de Médicis et surtout pour Marie-Antoinette. Tant admirée que détestée, elle continue d'évoquer les tumultes d'une époque violente et troublée. Mais elle ne fut pas seulement la bergère aux moutons enrubannés, souvent caricaturée, jugée frivole et dépensière, ce fut aussi une femme de caractère confrontée aux événements les plus brutaux de son temps qui sut s'affranchir des traditions et soutint Louis XVI jusqu'à l'échafaud. Marie-Antoinette est l’avant-dernier enfant de l’empereur François Ier de Lorraine et de l’impératrice d’Autriche Marie-Thérèse, au milieu de leurs cinq fils, Joseph l’héritier du trône, Léopold, Charles, Ferdinand et Maximilien et de leurs huit filles, Anne, Marie-Christine, Marie-Elisabeth, Marie-Amélie, Marie-Jeanne, Jeanne-Gabrielle, Marie-Josèphe, Marie-Caroline. Elle naît le 2 novembre 1755, au palais de la Hofburg, à Vienne. Elle reçoit une éducation où le maintien, la danse, la musique et le paraître occupent l’essentiel de son temps et ne bénéficie d’aucune instruction politique. À dix ans, elle a du mal à lire ainsi qu’à écrire en allemand, parle peu et difficilement le français auquel elle préfère l’allemand, et très peu l’italien, trois langues qui étaient alors pourtant parlées couramment dans la famille impériale. À cette époque, la cour d’Autriche possède une étiquette beaucoup moins stricte que celle de Versailles, les danses y sont moins complexes, le luxe y est moindre et la foule moins nombreuse. Sa mère Marie-Thérèse, comme tous les souverains de l’époque, met le mariage de ses enfants au service de sa politique qui est de réconcilier les Habsbourg et les Bourbons pour faire face aux ambitions de la Prusse et de l'Angleterre. Le mariage entre le dauphin, le futur Louis XVI, et Marie-Antoinette doit être l’apothéose de cette politique. Marie-Antoinette quitte Vienne en avril 1770, à l’âge de quatorze ans. Selon l’usage, au moment de quitter le Saint Empire tous ses biens venant de son pays d’origine, même ses vêtements, lui seront retirés dans un bâtiment construit tout exprès sur une île au milieu du Rhin. Les deux entrées de ce bâtiment étaient disposées de telle manière qu’elle y entre du côté autrichien et en ressorte en France. Le 17 avril 1770, Marie-Antoinette renonce officiellement à ses droits sur les couronnes de la maison d’Autriche et, le 16 mai 1770, épouse le dauphin à Versailles. Le jour même des noces, un scandale d’étiquette a lieu. Les princesses de Lorraine, arguant de leur parenté avec la nouvelle dauphine, ont obtenu de danser avant les duchesses, au grand dam du reste de la noblesse, qui murmure déjà contre "l’Autrichienne." La jeune fille, au physique agréable quoique pas complètement développé, est assez petite et ne possède pas encore la "gorge" si appréciée en France. La jeune dauphine a néanmoins beaucoup de grâce et une légèreté presque dansante dans sa façon de se mouvoir. Elle attire dès son arrivée l’inimitié d’une partie de la cour. De plus, la jeune dauphine a du mal à s’habituer à sa nouvelle vie, son esprit se plie mal à la complexité et à la rouerie de la "vieille cour", au libertinage du roi Louis XV et de sa maîtresse la comtesse du Barry. Son mari l’aime mais l’évite, partant très tôt chasser. Le mariage n’est consommé qu’en août 1777. Elle peine à s’habituer au cérémonial français, au manque d’intimité et subit péniblement "l’étiquette" de la cour. Elle est manipulée par les filles du roi Louis XV qui lui enseignent l’aversion pour la comtesse du Barry, ce qui agace Louis XV. Par ailleurs, Marie-Antoinette s’en fera bientôt une ennemie. Pendant les premiers temps, elle refuse de lui parler mais, forcée par Louis XV, finit par adresser la parole à la comtesse. Marie-Antoinette ressortira humiliée de cet incident. En outre, Vienne tente de la manipuler par le biais de la volumineuse correspondance qu’entretient sa mère avec le comte de Mercy-Argenteau, ambassadeur d’Autriche à Paris. Ce dernier est le seul sur lequel elle peut compter, car le duc de Choiseul, celui qui avait permis le rapprochement de la France avec l’Autriche, est tombé en disgrâce moins d’un an après le mariage, victime d’une cabale montée par Mme du Barry. Elle est victime de sa maladresse. Louis XV meurt le 10 mai 1774 et Marie-Antoinette devient reine de France et de Navarre à dix-huit ans. Toujours sans héritier à offrir à la France et toujours considérée comme une étrangère, la reine devient vite, dès l’été 1777, la cible de premières chansons hostiles qui circulent de Paris jusqu’à Versailles. S’entourant d’une petite cour d’amis vite qualifiés de favoris, la princesse de Lamballe, le duc de Lauzun, le baron de Besenval, le duc de Coigny puis la comtesse de Polignac, elle suscite les jalousies des autres courtisans. Ses toilettes et les fêtes coûteuses qu’elle organise profitent au rayonnement de la France, notamment en matière de mode et du commerce du textile, mais sont critiquées, bien qu’elles soient une goutte d’eau dans les dépenses générales du fonctionnement de la cour, des administrations, ou comparées au niveau de vie très élevé et fastueux de certains princes de sang ou seigneurs menant grand train. Pour retrouver à Versailles ce qu’elle a connu à Vienne, une vie plus détendue en famille, elle part souvent pour le Petit Trianon, dans le parc de Versailles qui fut la possession des favorites de Louis XV, Mme de Pompadour et Mme Du Barry. Louis XVI l'alloua à Marie-Antoinette, pour quelques privilégiés et ses enfants. Elle fait construire un village modèle, le Hameau, et y installe des fermiers. Par son désir de plaisirs simples et d’amitiés exclusives, Marie-Antoinette va vite se faire de plus en plus d’ennemis, même à la cour de Versailles. Elle tente d’influencer la politique du roi, de faire et défaire les ministres, toujours sur les conseils de ses amis. Mais, contrairement à la rumeur, son rôle politique s’avèrera extrêmement limité. Une véritable coterie se monte contre elle dès son accession au trône, des pamphlets circulent, on l’accuse d’avoir des amants, le comte d’Artois son beau-frère, le comte suédois Hans Axel de Fersen ou même des maîtresses, la duchesse de Polignac, de dilapider l’argent public en frivolités ou pour ses favoris, de faire le jeu de l’Autriche, désormais dirigée par son frère Joseph II. Le château de Versailles se dépeuple, fui par des courtisans aigris ou préférant les plaisirs de Paris. Le 19 décembre 1778, Marie-Antoinette accouche de son premier enfant, Marie-Thérèse, dite "Madame Royale." Le 22 octobre 1781, c’est le tour d’un dauphin, Louis Joseph Xavier François. Mais cela ne sert pas forcément Marie-Antoinette, car les libelles ont vite fait d’accuser l’enfant de n’être pas de son époux, Louis XVI. En juillet 1785, éclate l’affaire du Collier. Le joaillier Bohmer réclame à la reine 1,5 million de livres pour l’achat d’un collier de diamants dont le cardinal de Rohan a mené les tractations, au nom de la reine. La reine ignore tout de cette histoire et, quand le scandale éclate, le roi exige que le nom de sa femme soit lavé de l’affront. Le cardinal est arrêté. Le roi confie l’affaire au Parlement, l’affaire est jugée par Étienne François d'Aligre, qui conclut à la culpabilité du couple d’aventuriers à l’origine de l’affaire, les prétendus "comte et comtesse de la Motte" et disculpe le cardinal de Rohan et le comte de Cagliostro, abusés mais innocents. La reine, bien qu’innocente, sort de l’affaire du collier très déconsidérée auprès du peuple. Marie-Antoinette se rend enfin compte de son impopularité et tente de réduire ses dépenses, notamment en réformant sa maison, ce qui déclenche plutôt de nouveaux éclats quand ses favoris se voient privés de leurs charges. Rien n’y fait, les critiques continuent, la reine gagne le surnom de "Madame Déficit" et on l’accuse de tous les maux du royaume, notamment d’être à l’origine de la politique anti-parlementaire de Louis XVI, "Madame Veto." Une phrase pour le moins révoltante pour son peuple est attribuée à Marie-Antoinette. Le peuple n'ayant plus de pain à manger, la reine aurait répondu à leurs plaintes: "Qu'ils mangent de la brioche !". Cette réponse est d'autant plus choquante qu'elle montre une distanciation entre les personnes aisées et les classes populaires. Une distanciation dont Marie-Antoinette n'aurait pas eu conscience, au vu de cette phrase. D'autant que la brioche est plus coûteuse que le pain. Ce propos est apparu dans l'ouvrage de Jean-Jacques Rousseau de 1782, "Confessions", et celui-ci l'attribue à "une grande princesse". L'impopularité de Marie-Antoinette a fait que cela lui a été octroyé. Il semblerait toutefois que cette formule vienne d'une des filles de Louis XV, Madame Victoire, qui aurait suggéré plutôt la croûte de pâté. De plus, il n'existe aucune preuve que la reine ait tenu ces propos. Cependant cette phrase est restée dans les mœurs et est souvent reprise, non sans humour. Lorsque la Révolution éclate, Marie-Antoinette, affectée par la mort du dauphin Louis-Joseph, ne cille pas une seconde et pousse le roi à résister. Mue par son orgueil, la reine s’oppose à tous les compromis qui lui sont présentés par les plus modérés, tels que La Fayette, Mirabeau ou Barnave. L’idée-même d’une monarchie constitutionnelle la répugne. Elle préfère se tourner vers ses frères, Joseph II et Léopold II. Digne, Marie-Antoinette affronte la situation avec un courage qui en étonne plus d’un. Depuis les journées des 5 et 6 octobre 1789, la famille royale est retenue aux Tuileries. Toujours dans un état d’esprit combatif, la reine convainc son époux de s’enfuir et le 20 juin 1791, le couple et les enfants s’évadent de Paris. Mais ils sont finalement interceptés à Varennes et ramenés vers la capitale dans une atmosphère très tendue. Sous la pression, Louis XVI approuve la Constitution le 14 septembre 1791, mais les rumeurs d’une éventuelle guerre conduite par Léopold II, empereur du Saint Empire romain germanique, contre la France ravivent la haine du peuple à l’égard de la reine. Le manifeste de Brunswick, paru en France le 1er août 1792, attise encore les tensions et mène finalement à l’émeute du 10 août. Les Tuileries sont envahies par la foule furieuse et la famille est immédiatement enfermée à la prison du Temple. Marie-Antoinette espère encore pouvoir échapper à la mort mais les massacres de septembre 1792 prouvent déjà le contraire. La plupart de ses amis sont tués et la tête sanglante de sa chère princesse de Lamballe est agitée devant sa fenêtre. Quant à son époux, il est finalement jugé puis exécuté le 21 janvier 1793. Peu de temps après, le dauphin, second fils de Marie-Antoinette, né en 1785, lui est enlevé avant d’être monté contre elle. Le mois suivant, elle est arrachée à sa fille et conduite à la Conciergerie. Son procès est imminent. Noyée sous de monstrueuses accusations, elle garde la tête haute, espérant secrètement qu’on l’épargne. Mais tout est décidé d’avance et les plaidoyers de ses avocats sonnent creux. Le peuple lui témoigne du respect, ce que redoutait Robespierre. Il a donc fait appel à un acteur, Gramont, qui, tout au long du procès, exhorte la foule à l'insulter. Soumise à d'abjectes accusations, Marie- Antoinette se défend avec une dignité bouleversante. Particulièrement inéquitable, le procès ne dure que trois jours, et la reine n'a pas le droit de faire appel. On l'accuse d'inceste et d’entente avec les puissances étrangères. Si le procès de Louis XVI devant la Convention avait conservé quelques formes de procès équitable, ce n’est pas le cas de celui de la reine. La sentence tombe. Elle est condamnée à mort pour haute trahison. C’est encore avec toute la dignité qu'il lui reste qu’elle gravit les marches de l’échafaud le 16 octobre, à l'âge de trente-huit ans. Par son destin tragique, par la haine qu’on lui a vouée des années durant, Marie-Antoinette a profondément marqué l’Histoire de France. Accusée d’avoir été "le fléau des Français" et celle qui a poussé le roi à la trahison, la reine, en cristallisant la fureur du peuple, a bien malgré elle, considérablement terni l’image de la monarchie avant que la Révolution n’éclate. Mais l’historien doit s’efforcer de restituer la mémoire du passé dans le temps long de ses avatars, s’il veut comprendre les événements ou les personnages qui s’y cachent, quelle que soit sa position et quel que soit son questionnement. Alors, peut-être, au delà de ses dépossessions successives, rendra-t-on un jour Marie-Antoinette à elle-même, et sa mort à ce qu’elle a été, l’élimination symbolique et politique d’une reine autant que d’une femme, autant que d’une mère. Bibliographie et références: - Georges Avenel, "La Vraie Marie-Antoinette" - Jean-François Autié, "Journal de Léonard, le coiffeur de la reine" - Stefan Zweig, "Marie-Antoinette" - René Benjamin, "Marie-Antoinette" - Paul et Pierrette Girault de Coursac, "Marie-Antoinette" - Évelyne Lever, "Marie-Antoinette" - Simone Bertière, "Marie-Antoinette l’insoumise" - Bernadette de Boysson,"Le goût d’une reine" - Jean Chalon, "Chère Marie Antoinette" - Philippe Delorme, "Marie-Antoinette" - Michel de Decker, "Les dangereuses liaisons de Marie-Antoinette" - Emmanuel de Waresquiel, "Juger la reine" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 29/09/20
Charlotte fouilla dans son sac, sans trop savoir ce qu'elle cherchait, sans rien chercher de précis, à vrai dire, simplement pour s'occuper jusqu'à l'arrivée de Juliette. Elle ne pouvait pas se contenter de rester, là assise, le regard perdu dans le vide, et elle ne voulait pas non plus jouer à la fille courbée sur elle-même qui pianote frénétiquement sur son portable. Il y avait bien ces cent premiers feuillets d'un manuscrit que son assistante lui avait tendu au moment où elle quittait le bureau, mais non, sortir un manuscrit de la maison Gallimard chez Berthillon à l'heure de prendre une glace, c'était comme lire un scénario chez Miocque à Deauville. Le truc à ne pas faire. La seule chose dont elle aurait vraiment eu envie, ç'aurait été de poser sur ses oreilles son casque pour écouter de la musique, afin de ne plus entendre la voix grinçante et aiguë de l'homme, qui, derrière elle, hurlait dans son téléphone. Si elle avait été seule, ou avec des amies, elle aurait tout simplement demandé à changer de table, mais Juliette allait arriver d'une minute à l'autre, elle ne voulait pas qu'elle la surprenne à faire des histoires. Elle connaissait trop ses sautes d'humeur et respectait par dessus-tout la relation SM qui les unissait. Charlotte avait accepté sans restriction de se soumettre totalement à Juliette. L'anxiété générée par la perspective de ce déjeuner, combinée au brouhaha incessant de la soirée organisée à l'étage au-dessus qui s'était prolongée jusque tard dans la nuit, s'était soldée par un manque à gagner sérieux de sommeil. La séance que lui avait imposée Juliette lui revenait en mémoire par flashes. Elle revivait surtout le moment où elle avait dû retrousser sa jupe. Dès cet instant, elle avait commencé à éprouver du plaisir. Un plaisir que la punition face au coin, la culotte baissée, les poses obscènes, et jusqu'à la tentative de viol de Juliette n'avaient fait qu'accroître. Bien sûr, elle avait eu peur. Bien sûr, elle avait eu honte. Bien sûr, elle avait pleuré. Et pourtant, le désir l'avait toujours emporté. Elle avait passé plus d'une heure à trouver une tenue sans arriver à se décider. Toutes celles qu'elle portait d'habitude lui semblaient si classiques. Juliette aimait la provocation jusqu'à oser ce qu'il y avait de plus sexy ou d'aguicheur. Elle possédait l'art de la composition et savait assortir avec goût les éléments les plus disparates. Elle osait, au moins elle osait. Elle arriva finalement sans retard à leur rendez-vous. Elle avait décidé de faire quelques courses en centre ville. Charlotte dévala quatre à quatre les escaliers du glacier. Raide au volant de sa voiture allemande, Juliette ne lui jeta même pas un regard. Elles roulèrent sans se parler. Elle conduisait sa voiture à travers la circulation avec son autorité naturelle. À coté d'elle, Charlotte ne savait pas comment se tenir et gardait le visage tourné vers la vitre. Où allaient-elles ? Juliette n'avait même pas répondu à la question. Elle flottait entre inquiétude et excitation, ivresse et émoi. À l'extérieur ne défilaient que des silhouettes floues, échappées d'un mirage. Cette fois, elle savait que l'univers parallèle qu'elle s'était tant de fois décrit en secret était tout proche, enfin accessible. La réalité peu à peu s'effaçait. À tout moment, elle s'attendait à ce que la main de Juliette se pose sur sa cuisse. Une main douce glissant sa caresse sur le satin de sa peau. Ou une main dure au contraire, agrippée à son corps. N'importe quel contact lui aurait plu, mais rien ne passait. Indifférente à la tension de Charlotte, aux imperceptibles mouvements que faisaient celle-ci pour l'inviter à violer son territoire, à ces cuisses bronzées que découvraient hardiment une minijupe soigneusement choisie, Juliette ne semblait absorbée que par les embarras du trafic. Enfin, elle gara sa voiture devant la plus célèbre bijouterie de la ville et fit signe à Charlotte de descendre. Toujours sans dire un mot, elle la prit par le bras et lui ouvrit la porte du magasin. Comme si on l'attendait, une vendeuse s'avança vers elle, un plateau de velours noir à la main et leur adressa un sourire un peu forcé. Sur le plateau étaient alignés deux anneaux d'or qui étincelaient dans la lumière diffuse de la boutique. - "Ces anneaux d'or sont pour toi, chuchota Juliette à son oreille. Tu seras infibulée. Je veux que tu portes ces anneaux aux lèvres de ton sexe, aussi longtemps que je le souhaiterai." Charlotte accueillit cette déclaration avec émotion. Elle savait que dans les coutumes du sadomasochisme, la pose des anneaux était une sorte de consécration réservée aux esclaves et aux soumises aimées. C'était une sorte de mariage civil réservé à l'élite d'une religion qui professait l'amour d'une façon peut-être insolite, mais intense. Il lui tardait à présent d'être infibulée, mais sa Maîtresse décida que la cérémonie n'aurait lieu que deux semaines plus tard. Cela illustrait parfaitement la personnalité complexe de Juliette. Quand elle accordait un bonheur, elle le lui faisait longtemps désirer. Le jour tant attendu arriva. On la fit allonger sur une table recouverte d'un tissu en coton rouge. Dans la situation où elle se trouvait, la couleur donnait une évidente solennité au sacrifice qui allait être célébré sur cet autel. On lui expliqua que le plus long était de poser les agrafes pour suturer l'épiderme du dessus et la muqueuse du dessous. Un des lobes de ses lèvres serait percé, dans le milieu de sa longueur et à sa base. Elle ne serait pas endormie, cela ne durerait pas longtemps, et serait beaucoup moins dur que le fouet. Elle serait attachée seulement un peu plus que d'habitude. Et puis tout alla très vite, on lui écarta les cuisses, ses poignets et ses chevilles furent liées aux pieds de la table. On transperça l'un après l'autre le coté gauche et le coté droit de ses nymphes. Les deux anneaux coulissèrent sans difficulté et la brûlure s'estompa. Charlotte se sentit libérée, alors même qu'elle venait d'être marquée pour signifier qu'elle appartenait à une seule femme, sa Maîtresse. Alors Juliette lui prit la main droite et l'embrassa. Elle ferma les yeux pour apprécier plus intensément encore cet instant de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes, d'émotion, de joie et de fierté. Personne ne pouvait comprendre l'authenticité de son bonheur. Elles allèrent à La Coupole fêter la cérémonie. Leur entrée dans la brasserie fit sensation. Juliette la tenait en laisse le plus naturellement du monde. Un serveur apporta une bouteille de Ruinart. Charlotte sortit de son body transparent les billets qu'elle tendit au garçon littéralement fasciné par le décolleté qui ne cachait rien de ses seins. Les voisins de table les épiaient plus ou moins discrètement. Ils n'avaient sans doute jamais vu auparavant une jeune fille tenue en laisse par une femme, attachée au pied de la table, payant le champagne à ses amis. Elles sortirent d'une façon encore plus spectaculaire. Aussitôt passé le seuil, Juliette l'obligea à rejoindre, à quatre pattes, la voiture laissée en stationnement juste devant la porte de la brasserie. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 29/09/20
Changement de lieu, j'ai décidé d'inviter mon maître à rentrer dans mon lieu secret qui est ma chambre. Chambre, qui est adaptée à des séances BDSM, cette chambre est très particulière car elle est sombre, laisse entrevoir très peu de chose, est éclairée par de simple bougie et aménagée de façon à ce qu'un maître puisse assouvir les envies de son esclave ou de sa soumise. J'invite donc le Maître a rentrer dans cette chambre. Il me demande si je suis prête à subir tous les sévices que je souhaite depuis un moment. Il commence à m'attacher les mains, les pieds, me bander les yeux, à mettre le bâillon, les pinces tétons, et là je commence à me dire que ce n'est que le début. Je sens que le maître a pris possession de mon corps rien qu'à le sentir autour de moi. Je lui fais comprendre que je suis prête par un signe de la tête. Il commence par inspecter mes orifices, me demande si ces derniers sont propres et vides, je lui réponds que oui excepté ma vessie, ce qui fait qu'il me demande de bien vouloir uriner devant lui, afin qu'il puisse me caresser la chatte avec. Je m'exécute, je sens sa main faire des va-et-vient sur mon clitoris et et me pénétrer avec quelque chose de froid. Ne pouvant m'exprimer ayant les yeux bandés je me demande quel objet il a pu introduire en moi. Je sentis que cela vibrer en moi et que c'était à sa demande qu'il pouvait contrôler à distance ce qu'il avait introduit. Il s'agissait de boules de geisha. Pendant ce temps il avait libre accès à tout mon corps, en profita pour prendre sa badine et commencer à me fouetter avec. puis voyant que cela ne me faisait aucun effet, il décida de prendre son fouet et de me fouetter avec jusqu'à temps que mon corps ne puisse plus subir cette souffrance. Ne pouvant m'exprimer oralement je le fais par le biais de mon corps en bougeant pour éviter les coups. Ceci ne lui plaît guère !. Pour me punir, il décide alors de prendre un câble , et de me fouetter de plus en plus fort jusqu'à en perdre connaissance. Je résiste malgré ça mais mon corps lâche au bout d'un moment. Il décide alors d'enlever le bandeau de mes yeux il me demande de le regarder droit dans les yeux. Il voit la souffrance dans mon regard je vois sa jouissance dans le sien. Il décide donc de continuer mais cette fois-ci sur mon ventre, sur mes seins, sur mes cuisses, sur mes fesses et afin de savoir si ceci me plaît il décide d'enlever le Bâillon. Il me demande de m'exprimer de dire encore et encore et encore.... en bon esclave je m'exécute sans broncher. Nous avons décidé d'un safe code comme déjà évoqué entre nous. N'ayant pas utiliser ce code mon cher Maître continue. Il décide donc de jouer avec les pinces tétons jusqu'à ce que les larmes coulent sur mes joues. Cela arrive plus vite que je ne le pensais. Le maître me regarda et vit dans mon regard que la souffrance était terrible et que je ne pouvais plus la supporter. Sa jouissance n'était pas au plus haut niveau, donc il décida de me détacher, m'ordonna de me mettre en position de Nadu, il continua à me fouetter tout en se branlant devant moi, et me demanda d'ouvrir ma bouche afin que je puisse récolter sa semence légèrement en bouche et sur mon visage. Rien qu'à y penser, sa jouissance arriva très vite et en bonne esclave je le remercia pour ce moment très fort.
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Par : le 27/09/20
On ne peut pas mesurer nos vies à nos dernières années. De cela, j'en étais certaine. J'aurais dû deviner ce qui m'attendait. Avec le recul, il me semble que c'était évident, mais les premiers temps, je trouvais que ces incohérences étaient compréhensibles et n'avaient rien d'unique. Elle oubliait où elle posait ses clés, mais à qui n'est-ce jamais arrivé ? Elle ne se rappelait pas non plus le nom d'un voisin, mais pas quand il s'agissait de quelqu'un que nous connaissions bien. Elle réprima un certain sentiment de tristesse, espèrant un jour, qu'elle changerait. Sarah l'avait souvent promis et y parvenait en général quelques semaines avant de retomber dans la routine. Patricia n'aimait pas en discuter avec elle, essentiellement parce qu'elle savait qu'elle lui disait la vérité. Son travail était très prenant, aussi bien avant son agrégation de lettres. Elle longea une galerie d'art sans presque la remarquer tant elle était préoccupée, puis elle tourna les talons et revint sur ses pas. Elle s'arrêta une seconde devant la porte, étonnée en constatant qu'elle n'avait jamais mis les pieds dans une galerie d'art depuis une éternité. Au moins trois ans, peut-être plus. Pourquoi les avait-elle évitées ? Elle pénétra dans la boutique et déambula parmi les tableaux. Nombre des artistes étaient du pays, et on retrouvait la force présence de la mer dans leurs toiles. Des marines, des plages de sable, des pélicans, des vieux voiliers, des remorqueurs, des jetées et des mouettes. Et surtout des vagues. De toutes les formes, de toutes les tailles, de toutes les couleurs inimaginables. Au bout d'un moment, elle avait le sentiment qu'elles se ressemblaient toutes. Les artistes devaient manquer d'inspiration ou être paresseux. Sur un mur étaient accrochées quelques toiles qui lui plaisaient davantage. Elles étaient l'œuvre d'un artiste dont elle n'avait jamais entendu parler. La plupart semblait avoir été inspirées par l'architecture des îles grecques. Dans le tableau qu'elle préférait, l'artiste avait délibérément exagéré la scène avec des personnages à une petite échelle, de larges traits et de grands coups de pinceaux, comme si sa vision était un peu floue. Les couleurs étaient vives et fortes. Plus elle y pensait, plus elle l'aimait. Elle songeait à l'acheter quand elle se rendit compte que la toile lui plaisait parce qu'elle lui rappelait ses propres œuvres. Nous nous étions connues en khâgne au lycée Louis-le-Grand puis rencontrées par hasard sur la plage de Donnant à Belle île en Mer un soir d'été. Elle n'avait pas changé: elle avait à présent vingt-trois ans, elle venait de réussir comme moi l'agrégation de lettres classiques. Elle avait également conservé un air juvénile, perpétuant son adolescence. Les visages en disent autant que les masques. Les yeux noisette, des cheveux noirs, coupés très courts, presque à ras, et la peau hâlée au soleil, épanouie, à moins de détecter quelques signes d'angoisse dans ce léger gonflement de veines sur les tempes, mais pourrait être aussi bien un signe de fatigue. Je l'ai appelée, le soir. Nous avions convenu d'un rendez-vous chez elle. Elle m'a ouvert. "Tu es en retard" a-t-elle dit, j'ai rougi, je m'en rappelle d'autant mieux que ce n'est pas une habitude. Je ne comprenais pas pourquoi ses moindres propos me gênaient ainsi. Elle m'avait aidée à ôter mon imperméable. Il pleuvait; mes cheveux étaient mouillés; elle les a ébourriffés comme pour les sécher, et elle les a pris à pleine main, m'a attirée à elle, je me suis sentie soumise, sans volonté. elle ne m'a pas embrassée, ellle ne m'a jamais embrassée, depuis quatre ans. Ce serait hors propos. elle me tenait par les cheveux, elle m'a fait agenouiller. Elle a retiré ma jupe, mon chemisier et mon soutien gorge. J'étais à genoux, nue, ne portant qu'une paire de bas et des talons hauts, j'avais froid. Quand je pense à nos rapports, depuis, il y a toujours eu cette sensation de froid, elle a le chic pour m'amener dans des endroits humides, peu chauffés. Elle m'a ordonné de ne pas la regarder, de garder le visage baissé. Elle est revenue vers moi une fine cravache à la main. Ce jour-là, elle s'est contentée de me frapper sur les fesses et les cuisses, en stries parallèles bien nettes en m'ordonnant de compter un à un les coups. Ce fut tout ce qu'elle dit. À dix, j'ai pensé que ça devait s'arrêter, qu'elle faisait cela juste pour dessiner des lignes droites, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. À trente, je me suis dit qu'elle allait se lasser, que les lignes devaient se chevaucher, constituer un maillage, et que ça ne présentait plus d'intérêt, sur le plan esthétique. J'ai failli essayer de me relever mais elle m'avait couchée sur le bois, et m'avait ligotée les poignets et les chevilles aux pieds de la table. Elle s'est arrêté à soixante, et je n'étais plus que douleur, j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. C'était une cravache longue et fine, d'une souplesse trompeuse et d'un aspect presque rassurant. La douleur qui me tenaillait se mua lentement en plaisir. Il est peu probable que si j'avais su qu'un jour je devrais figurer nue dans un roman, j'aurais refusé de me déshabiller. J'aurais tout fait pour qu'on mentionne plutôt mon goût pour le théâtre de Tchekhov ou pour la peinture de Bonnard. Mais je ne le savais pas. J'allais absolument nue, avec mes fesses hautes, mes seins menus, mon sexe épilé, avec les pieds un peu grands comme si je n'avais pas terminé ma croissance et une jeune femme qui s'était entiché de mes jambes. À cet instant, elle a les doigts serrés autour de ma nuque et la bouche collée sur mes lèvres. Comme si après une longue absence, je retrouvais enfin le fil de mon désir. De crainte que je le perde à nouveau. Nous restâmes toutes les deux aux aguets, tendues, haletantes, tandis que l'obscurité se répandait jusqu'au fond de la chambre. Elle voulut me dire autre chose à propos de la fidélité, mais ce ne fut pas le moment alors elle me prit la main et nous demeurâmes silencieuses. C'était ridicule et merveilleux. Nous pleurâmes un peu ensemble. Sarah se sentit l'âme noble et généreuse. Nous nous pardonnâmes mutuellement et nous serions heureuses. Patricia se jeta contre elle et continua à pleurer. En vérité, elle avait le cœur brisé par les larmes. Mais ce fut une douleur exquise, non plus cette douleur absurde de l'absence. Un inextriquable mélange de bonheur et de douleur, touchant de sincérité et débordant de tendresse. Les jeux de l'amour voilent d'autant plus aisément sous la facilité et l'agrément sous les plus cruelles douleurs que la victime s'acharne à ne pas les laisser paraître surtout quand la coquetterie du bourreau raffine la cruauté naturelle des attitudes et des preuves. La passion impose de privilégier l'être aimé et les réels bienfaits ne sont agréables que tant que l'on peut s'en acquitter. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 27/09/20
Le fétichisme du nez (ou nasophilie) est le fétichisme sexuel (ou paraphilie) du nez. Cela inclut une attirance sexuelle envers une forme spécifique de la variation physique de l'apparence (tels que la taille) ou une zone spécifique (par exemple, les narines). Le fétiche lui-même peut se manifester lors d'un désir d'un contact physique et d'interaction, ou fantaisies spécifiques comme une pénétration des narines. D'autres fantaisies peuvent inclure le désir d'observer ou d'expérimenter une transformation physique nasale comme dans Pinocchio, ou des idées concernant la transformation du nez en nez d'une autre créature comme le cochon en tant qu'humiliation d'un partenaire ou d'une connaissance. Ces fantaisies peuvent être assistées par l'utilisation de jeux de rôles sexuels, ou fiction de transformation, par des formes de littérature, de dessins ou de photos modifiées. Sigmund Freud interprète le nez en tant que substitut du pénis. De plus, et tout ceux qui on analyé et étudié ce fétichisme : le nez est la partie du visage que l'ont peut déformer le plus facilement, et c'est bien visible, dès le tout début. Modifier la forme du nez d'une personne la rends très vite méconnaissable. ca annihile vite son identité, et permet de la dominer d'avantage. Le simple fait d'étirer un nez vers le haut, avec un nosehook, peut facilement rendre la personne méconnaissable. Enfin, le nez est indispensable pour vivre car c'est là que passe l'air en direction des poumons, et rien qu'imaginer que cette aptitude pourtant vitale puisse être entravée par une partie nasophile, rajoute plus de tension sur le soumis, et renforce encore d'avantage le sentiment de domination du maitre. Pour en savoir plus HanaZeme : la Nasophilie au Japon Les différentes approches possibles et les spécialités (en préparation)
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Par : le 22/09/20
Pas facile d'être une femme dans un corps de mec et de devoir faire avec ce pénis qui pend ou se dresse entre les jambes. Le reste cela va, peau douce, seins naturels, cils longs, peu de poils. J'ai pas besoin de changer quoi que ce soit. Si je passe des fringues androgynes, ni homme, ni femme, on me dit : "madame". C'est vrai que même sans soutif, j'ai les seins qui pointent. Alors c'est vraiment pénible ce truc depuis l'enfance. Vivre en femme ou en homme? C'est con mais j'aime bien les deux. Je ne cherche pas du tout à me féminiser. Je suis une nana très masculine ou bien un mec à joli cul et poitrine qui fait bander. Bref, c'est une galère ou une chance. En tout cas je jouis mieux et plus fort en femme. L'orgasme féminin, enfin presque, j'adore. C'est en fait multiorgasmique et je coule beaucoup, sans me toucher le clito. Mais en version pénis cela marche très bien aussi. Alors impossible de choisir. J'aime les deux, même si je préfère être pénétrée. Et comme si ce n'était pas assez compliqué comme cela, c'est nana dominante et mec je sais pas, ni dom, ni soumis. En femme j'ai la baffe facile et le fouet amer. En femme je cogne d'abord et je cause après. C'est fou les mecs qui sont soumis. Je suis terrifiante, impitoyable, j'adore attacher et faire pleurer. J'aime lorsque le soumis supplie, implore, verse des larmes chaudes. Cela m'excite et ne me parlez pas de codes ou autres procédures pour dire stop. C'est moi qui fixe les limites, pas le soumis attaché et bâillonné. Pourtant j'adore aussi jouer à la femme, même si je ne me travesti pas, pas besoin. Je reste nature. J'aime un beau soumis avec un cul rouge sang et une belle bite bien tendue. J'aime être prise et j'adore sentir son sperme en moi. Bref que des contradictions. De toute façon, le mâle qui veut me pénétrer doit faire preuve de son courage sous le fouet. J'aime pas les mauviettes.
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Par : le 21/09/20
Un chat sur une autre messagerie (Ce genre de messagerie oui à 150% les contacts sont faux et sans intérêts) et aucun contact depuis 5 ans , heureusement que je ne paye pas). Bref, le 18 Septembre, j'y fais un saut rapide avec mon pseudo de Dominateur et pas plus surpris que cela je reçois un message d'une femme soumise du 75. (Ne pas oublier je suis dans le 45). Je me prépare à la conversation habituelle puis à couper, mais bon le dialogue semble assez cohérant, je poursuis. Rapidement une adresse mail, des photos réalisées sur demande, femme de 38 ans divorcée seule voulant passer une semaine de soumission. Evoquant notre éloignement elle me dit qu'elle viendra pas le train et qu'elle assume les frais (Rares). Ce qu'elle veut des groupes, des introductions bizarre, de la violence verbale et physique et bukkake. Beau programme, je vous raconterais au jour le jour le déroulement des contacts de cette semaine. Elle veut venir à compter du 26/09. A plus
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Par : le 21/09/20
— Toi aussi, dis-moi, ça t’excite ! Tu aimes ça, hein ! Tu ne vas pas être déçu ! Sa main droite descendit et attrapa mon sexe pour commencer à me branler doucement. Sa main gauche quant à elle, était posée sur mes fesses. Ses doigts commencèrent à fouiller ma raie. Bientôt, elle découvrit mon anus et se mit à caresser doucement avec son index les bords de mon orifice. Puis, je sentis son doigt pénétrer doucement mon anus. La sensation était bizarre mais pas désagréable. Elle faisait doucement sans me brusquer. Bientôt ses deux phalanges m'avaient complètement envahi et le va-et-vient commença. Tout mon corps frissonnait, elle était en train de me préparer à la sodomie… J’essayai d’en faire de même avec mes deux mains, mais sa réaction me fit comprendre que je devais la laissant faire. sa main n’avait pas quitté mon sexe et continuait à le branler ; son autre main me dilatait petit à petit l’anus. Quand son majeur vint se rajouter à son index, mon corps réagit un peu. — Tu peux encore choisir, mon coquin, ou tu t’en vas et je ne veux plus jamais te revoir, ou tu te laisses faire sans dire un mot et tu me laisses tout organiser du début à la fin. Si tu acceptes de rester, tu devras être mon esclave encore plus qu’avant et tu devras tout accepter ! Quelle est ta réponse ? je veux rester, dis-je sans hésiter, mon corps vous appartient ! J’étais peut être allé un peu loin, j’étais quand même puceau avec les hommes et avec les trans. — Bonne réaction mon chéri, tu es donc à moi maintenant. Mets-toi à quatre pattes et montre moi ta croupe. Je m’exécutais lui laissant admirer mon cul qu’elle n’allait pas tarder à maltraiter pour mon bonheur et sûrement aussi pour le sien. Je lui offrais mes fesses et elle ne tarda pas à renfourner son index, puis elle rajouta son majeur. La douleur laissait peu à peu place à une sorte de plaisir. Elle le sentait, et elle accéléra progressivement le mouvement. Sa main gauche me donnait des fessées de plus en plus forte et les doigts de sa main droite se frayaient un passage dans mon anus tout serré. — Accompagne mes doigts, bouge tes fesses pour me montrer que tu aimes ça ! Je m’exécutai et je reculai mes fesses pour mieux me faire pénétrer. La jouissance avait dépassé la douleur et l’appréhension. — Oh tu m’excites à bouger comme une petite salope ! Tu es fin prêt à recevoir ma bite ! Je vais me régaler avec ton petit cul ! Elle retira ses doigts, s ouvrit un tiroir et en retira une capote — Tourne-toi vers moi, Allez maintenant, lubrifie mon sexe avec ta salive ! Elle me présenta son sexe devant ma bouche et en un coup de rein, elle le mit au fond de ma gorge. C’est elle qui imprimait la cadence, son gland sortait et rentrait dans ma bouche comme des coups de boutoir. Elle diminua le rythme pour laisser son gland toujours en contact avec ma langue. Je pris sa bite dans ma main pour la branler tout en la suçant, elle apprécia. Je la branlais d’une main et de l’autre je caressais ses boules. Au bout d’un petit moment, elle retira son sexe et me donna le préservatif. — Allez mon joli, enfile-le-moi, mais rien qu’avec ta bouche, je ne veux pas voir tes mains et tu as intérêt à y arriver sinon la sanction sera lourde pour toi ! Les difficultés commençaient ; déjà que je n’avais jamais mis de capote sur quelqu’un (à part sur moi) avec les mains, en plus, il fallait que je ne me serve que de ma bouche ! Je mis le préservatif sur son gland, et commençai une habile pipe en essayant de le dérouler. Je la pipai quelques secondes puis appréciant mon travail elle m’interrompit : — C’est bien mon chéri, tu es un brave garçon, je vais finir moi-même, retourne-toi à quatre pattes et écarte bien ton cul ! Je me retournai et je sentis son gland à l’entrée de mon anus. Je sentais que celui-ci s’avançait, la douleur était de plus en plus présente au fur et à mesure que sa bite s’engouffrait. Les deux premiers aller-retours furent très difficiles puis la vitesse de ses va-et-vient commença à s’emballer. — Oh oui c’est bon mon chou, je sens que tu commences à aimer ça, bientôt tu me supplieras de ne plus arrêter ! Je sentais que la sodomie me donnait des frissons presque du plaisir, et plus on avançait et plus je sentais que sa bite rentrait bien dans mon cul : le plaisir commençait à se faire ressentir ! — Ça y est, tu te régales, tu es une petite salope en fait, tu aimes ça te faire enculer, je veux t’entendre dire que tu aimes ça, je veux t’entendre crier que tu aimes être soumis comme une petite pute ! Il est vrai que j’adorais ça mais l’avouer était difficile ! Le plaisir montait tellement : — Oh oui, j’adore ça ! Vas-y, continue, défonce moi le cul, j’aime ça, quand tu me prends le cul, fais ce que tu veux, mon trou est pour toi ! — Tu vas me faire jouir, toi, continue à crier comme une petite chienne ! ses coups de bite étaient de plus en plus forts. Ils étaient accentués par mes mouvements de hanche qui permettaient à son sexe d’aller plus profond que jamais. La sodomie sembla durer une éternité. Mon dépucelage était assez violent mais je dois être un peu maso… Elle me mit sur le dos et, en me tenant par les jambes, elle me pénétra d’une autre façon. son sexe entrait et sortait de mon anus. Je sentis sa bite grossir dans mon cul. — J’ai bien apprécié mon chéri pour une première c’était plutôt pas mal. Mes fesses et mon anus étaient assez douloureux. Mais je pense que j'aime ça. Lire également
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Par : le 18/09/20
Colette, femme affranchie par excellence. Elle s'est émancipée du mariage, a rejeté les conventions sociales. Par le biais de l'écriture. Et de la sexualité. Insaisissable Colette. Colette l'amoureuse, exploitée par un mari volage et mercantile, ou Colette la scandaleuse, qui danse à moitié nue sur les scènes du music-hall ? Colette l'émancipée, qui multiplie les aventures et ose afficher sa bisexualité, ou Colette l'antiféministe, qui refuse tout engagement. Colette, symbole d'une France provinciale, passéiste et vichyste ou Colette, figure de la femme moderne, indépendante et rebelle. Tour à tour romancière, mime, auteur dramatique, journaliste, comédienne, critique de théâtre, marchande de produits de beauté, scénariste, Colette a mené sa vie tambour battant, comme elle l'entendait. Au point que cette existence singulière, hors des sentiers battus, a parfois fait de l'ombre au travail de l'écrivain, l'un des plus grands du XX ème siècle , reconnu entre tous comme la pionnière de l'autofiction. Et pourtant l'une et l'autre, la vie et l'oeuvre sont indissociables, se nourrissant sans cesse. Elle est née le 28 janvier 1873, à Saint-Sauveur en Puisaye dans l'Yonne, aux confins de la Bourgogne et du Morvan. Sa mère, Sidonie Landoy, familièrement baptisée "Sido", femme énergique, intelligente et cultivée, spontanée, généreuse, était née à Paris en 1835, avait épousé Robineau-Duclos, un gentilhomme fermier dont dont elle était devenue la veuve pour, en 1865, se remarier avec Jules-Joseph Colette. Ce Toulonnais qui était passé par Saint-Cyr, avait fait la campagne de Kabylie, la guerre de Crimée, la guerre en Italie où, capitaine de zouaves, il avait été blessé à la bataille de Magenta en 1859 et amputé de la jambe gauche. Il avait dû, en 1860, dès la trentaine, se contenter d’un modeste emploi sédentaire, celui de percepteur du canton de Saint-Sauveur. Cet homme à l’accent chantant, était gai, attentif, galant, empressé. Il était assez cultivé, une bibliothèque aussi importante que celle de la maison familiale n’étant pas courante au XIX ème siècle et dans le milieu qui était le sien, et ce doux rêveur avait même des velléités d’écrivain. Le père, très tôt, la considéra comme une grande fille et lui fit découvir le monde des livres, lui faisant lire Balzac dès l’âge de six ans puis Hugo, Labiche et Daudet. Sa mère lui transmit son goût de la liberté, sa passion pour toutes les formes de la vie, son amour de la nature et sa naturelle sagesse. Son heureuse enfance rurale lui donna sa compréhension instinctive des animaux, son sens de l'observation et sa luxuriante et presque païenne sensualité. Gabrielle Colette a eu une éducation hors du commun pour l’époque, enfance des enfants villageois qui avaient besoin non pas de jouets mais de livres. La fin des années 1880 fut marquée par des difficultés matérielles aiguës. Le percepteur se révéla mauvais gestionnaire de l'héritage de son épouse, et les Colette, en 1890, après avoir été contraints de vendre aux enchères une partie de leurs biens, quittèrent Saint-Sauveur. Elle aimait, depuis l’âge de quatorze ans, un ami de son père, Henri Gauthier-Villars, alias Willy, qui avait perdu sa femme dont il avait eu en 1892 un enfant appelé Jacques, et qui venait à Châtillon-Coligny où il l’avait mis en nourrice pendant quelques mois. C’était un homme à femmes, un Don Juan notoire, un noceur aux fantaisies très voyeuristes. Le capitaine Jules Colette voulut croire qu’il était un noceur repenti et jeta littéralement la délicieuse sauvageonne qu’était sa fille dans les bras de ce vieillard, en dépit du désaccord de sa mère. En 1891, des fiançailles officieuses eurent lieu, mais elles durèrent longtemps à cause des résistances de la famille Gauthier-Villars qui aurait préféré une riche et digne héritière alors que Sidonie Gabrielle n’aurait pas de dot. Le mariage fut célébré très modestement le 15 mai 1893, à ChâtillonColigny. Sidonie Gabrielle, à l’âge de vingt ans, se sépara donc de ses parents chéris pour s’établir dans la garçonnière de Willy, 55, quai des Grands Augustins. Il s’employa à initier à l’amour et à ses perversions cette "fille maladroite" dont il allait faire un prodige de libertinage, sans qu’elle ressentît de dégoût. Il était le patron d'une véritable "industrie littéraire" qui produisait des romans licencieux ou humoristiques, chroniques mondaines et critiques musicales. À la tête d'une écurie de jeunes talents, qui jouaient pour lui les "nègres", Willy règnait en maître sur la bohème parisienne. Pour la jeune Bourguignonne, née vingt ans plus tôt à Saint-Sauveur-en-Puisaye, l'immersion soudaine dans ce microcosme à la fois chic et frelaté, conjuguée à la découverte rapide des infidélités de son époux, est un choc. Elle manque alors de mourir, suite semble-t-il à une grave dépression. Parce qu'elle se faisait mal à sa vie, loin de ses racines, elle se mit à raconter son enfance à son mari. Willy comprit vite toute la richesse de ces souvenirs et lui conseilla de les coucher par écrit. Il ne fit d'abord rien de ces cahiers qui devaient fournir le matériau des premiers "Claudine". Puis il comprit qu'il y avait chez sa femme, titulaire du brevet élémentaire, un talent littéraire insoupçonné. La nostalgie du pays natal et l'intelligence d'un Pygmalion plus ou moins de fortune révélèrent Colette à elle-même et ce qui devait être sa destinée, écrire. Alors, la scène littéraire s'ouvrit bientôt à elle. Son sens inné de la représentation fit le reste. Le premier "Claudine à l'école" (1900) trouva son public. Willy, publicitaire avisé qui avait avant l'heure le génie de la mercatique, exploita le filon en conjuguant déclinaisons en série des "Claudine" et produits dérivés à l'effigie de l'héroïne créée, sous son label, par sa femme. Voilà Willy s'enrichissant du labeur de Madame, qu'il trompe gaillardement, l'adultère étant à l'époque un sport national. Le piège s'était refermé sur Sidonie-Gabrielle. C'est sous les conseils de Willy qu'elle se lance, en 1894, dans la rédaction de ce qui deviendra "Claudine à l'école". Des souvenirs de la "communale" un peu échauffés, sur les conseils du maître, de patois, de gamineries et d'amours lesbiennes. C'est à ce moment-là sans doute que sa créature, qu'il enfermait dans son bureau pour un meilleur rendement, lui échappe. Même si l'ouvrage est signé Willy, la jeune femme trouve dans l'écriture une raison d'exister. D'aucuns d'ailleurs soupçonnent qu'une main féminine n'est pas étrangère à cette oeuvre originale, qui a le talent de créer un style. Suivent en effet trois autres titres dans la série des "Claudine" , fruit de la collaboration des époux. Si le manuscrit original de "Claudine à Paris" est manquant, ceux de "Claudine en ménage" et de "Claudine s'en va" attestent que Willy intervenait abondamment dans l'œuvre, pour en pimenter le récit et ménager des piques à ses rivaux littéraires. Il donnait également des consignes de correction dont il semble que Colette ait de moins en moins tenu compte. Le succès de "Claudine", dès le premier titre, est inouï. Le livre est décliné au théâtre, au cinéma et à travers une multitude de produits dérivés notamment les fameux "cols" Claudine. A y regarder de plus près, la fascination exercée par le personnage de Claudine révèle bien des ambiguïtés. Claudine, femme enfant, amoureuse soumise à Renaud, ou femme fatale, tentée par la rousse Rézi, c'est en fait Colette qui coupe ses longs cheveux à la demande de Willy, expérimente les idylles saphiques et se découvre écrivain. Le parcours de Colette est celui d'une émancipation, affranchissement progressif des chaînes du mariage, le divorce d'avec Willy est prononcé en 1907 et des normes sociales. Et cela passe par le biais de l'écriture, de la libération du corps et de la sexualité. En publiant "Dialogues de bêtes" (1904), l'écrivain, qui signe encore Colette Willy, devient Colette, créatrice d'une langue riche et gourmande, touffue et jouissive, métaphorique et animale. Une écriture féminine ? En même temps, Colette, visage de chat et hanches lourdes, danse chez Natalie Barney, une poétesse américaine, figure de proue de la communauté lesbienne parisienne. Elle rencontre "Missy", la marquise de Morny, avec qui elle entretient une liaison, et entame une carrière théâtrale. Ses performances, dans "Rêve d'Égypte" 1907, où elle apparaît aux côtés de Missy, ou dans "La Chair" (1908), où elle révèle un sein laiteux, sont sujettes à scandale. Colette y gagne une réputation de provocatrice, mais surtout son indépendance, économique d'abord, sociale ensuite. Ces multiples activités, les tournées en province, conjuguées à un infatigable labeur d'écriture, sont le prix à payer pour sa liberté. Son remariage, en 1912, avec le baron Henry de Jouvenel, journaliste, homme de pouvoir et homme à femmes, ne marque pas un retour au foyer. Colette ne supporte pas longtemps les exigences de la vie de couple et, malgré la naissance d'une fille, en 1913, l'amour conjugal ne résiste pas aux tromperies d'Henry ou à la liaison incestueuse qu'entretient Colette avec son beau-fils, Bertrand de Jouvenel. Le second divorce, en 1924, est pour elle l'occasion d'un nouveau départ. À plus de cinquante ans, elle entame sa dernière grande aventure avec Maurice Goudeket, un joaillier amateur d'art de quinze ans son cadet, qui restera son compagnon jusqu'à la dernière heure. En 1932, Colette publie "Le Pur et l'Impur ", œuvre essentielle dans laquelle elle développe sa conception du rapport entre les sexes et consacre des pages remarquées à l'homosexualité. Elle y défend le lesbianisme, dont elle met en avant le rôle consolateur mais condamne sévèrement les "unisexuelles" masculines, qui se complaisent dans le drame et la culpabilité. Pour Colette, il ne peut y avoir de perversion là où il y a acceptation du corps et de ses désirs. Ce qu'elle refuse en revanche, c'est l'injonction normative. Colette est insensible à la différence des sexes, elle qui ne veut se laisser guider que par son instinct. En revanche, elle ignore le militantisme et déteste les féministes. Le refus du féminisme, c'est aussi le refus de toute forme d'engagement, le rejet des idées générales au profit de l'expérience personnelle. Indifférente au politique, elle en méconnaît, parfois dangereusement, les enjeux. En 1936, sa nouvelle "Bella-Vista" paraît dans Gringoire aux côtés d'attaques antisémites contre le président du Conseil Léon Blum et son ministre de l'Intérieur Roger Salengro. En 1941, c'est "Julie de Carneilhan" qui paraît dans le même hebdomadaire, désormais ouvertement profasciste. En 1942, un article, "Ma Bourgogne pauvre", publié dans "La Gerbe" , revue collaborationniste, sert de caution, à l'insu de son auteur, à une revendication allemande sur la province. De fait, pendant l'Occupation, Colette, qui souffre d'arthrose et peine à se déplacer, se soucie plus du rationnement que de la politique, et verse dans le pétainisme le plus conforme. Pourtant, son époux, d'origine juive, est arrêté en 1941 et risque la déportation. Colette devra mettre en œuvre tout son réseau de relations, elle fait appel en particulier à Robert Brasillach pour obtenir sa libération, en février 1942. Quelques mois plus tard, elle répond néanmoins à l'invitation de l'ambassadeur allemand à Paris Otto Abetz. Aveuglement ou lâcheté. Période trouble et peu glorieuse. Après la guerre, Colette devient notre Colette. Recluse dans son appartement du Palais-Royal, installée sur son lit-divan, l'idole préside aux destinées du prix Goncourt, reçoit la jeune génération montante et continue d'écrire jusqu'à sa mort en 1954. Deuxième femme à avoir bénéficié d'obsèques nationales, Colette, la scandaleuse, était devenue l'ambassadrice d'une certaine France, qui se reconnaissait en elle. Seule l'Église lui refusa une absolution, qu'elle n'avait d'ailleurs pas souhaitée. La demande d'enterrement religieux, formulée par son époux, fut rejetée. Ce que l’on retient de Colette et de ses œuvres est son originalité en terme d’objets d’étude. Son style recherché sublime sa région natale, la Bourgogne. De plus, ses écrits sont sensuels et synesthésiques. Elle est aussi considérée comme une pionnière de l’autofiction, elle qui s’est toujours mise en scène dans ses romans. Il y a, de fait, un cas Colette. L'écrivain, incarnation d'un certain "génie féminin", qui a su accéder aux plus hauts honneurs de la République, à une époque où les femmes y étaient rarement conviées, sans jamais renier sa liberté, et en assumant totalement, jusqu'au bout, ses choix. Bibliographie et références: - Marie-Jeanne Viel, "Colette au temps des Claudine" - Michèle Sarde, "Colette, libre et entravée" - Geneviève Dormann, "Amoureuse Colette" - Herbert Lottman, "Colette" - Claude Francis et Fernande Gontier, "Colette" - Jean Chalon, "Colette, l'éternelle apprentie" - Michel del Castillo, "Colette, une certaine France" - Hortense Dufour, "Colette, La vagabonde assise" - Sylvain Bonmariage, "Willy, Colette et moi" - Madeleine Lazard, "Colette" - Dominique Bona, "Colette et les siennes" - Marine Rambach, "Colette pure et impure" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/09/20
Elle effleura des lèvres le duvet brun autour du pubis. Sous la peau souple et veloutée, les abdominaux se contractèrent à ce contact. Du bout de la langue, elle joua à en suivre les sillons. Un peu plus tard, le sexe de Xavier s'étirait comme après un long sommeil. Il se déroula paresseusement, se redressa un instant puis retomba contre le ventre mais sans cesser de grandir. Sarah observa la fascinante métamorphose de ce fabuleux objet de désir. Quelle chance pour les hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains liées dans le dos, de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins. Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusqu'à la commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la nuque de Sarah jusqu'à lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche. La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula. Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier. J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu, je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout. Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler. Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé. Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je la fouetterai, je la fouillerai. Tenaillée entre deux douleurs, elle hurlera en me suppliant. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à ce plaisir sadique de l'entraver. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 15/09/20
Préambule: Je soumets ce texte après l'approbation de Maîtresse Lady Gabrielle. Il s'agit d'une énumération d'idées destinées à agrémenter vos réflexions et intentions d'organiser un tel événement. J'ai vécu de similaires situations qui avaient été couronnées de succès mais aussi, une fois, un malheureux "bide". Par ce préambule je veux aussi éviter de me faire accuser d'une quelconque demande, juste contribuer à la réflexion. C'est pour cette raison que j'ai demandé à ma divine Maîtresse l'autorisation de publier ce dernier. Quelques idées relatives au dîner protocolaire Rencontrer des amis autour d’une bonne table. Voilà qui ressert les liens d’amitiés ou de confraternité entre dominants et dominantes. L’occasion de réaliser un repas protocolaire permet d’associer les soumis et soumises aux libations de leur propriétaires. On désigne donc ces repas sous le vocable « dîner protocolaire » en ce sens que pour bien marquer la différence entre un repas copain-copain, on délimite la zone de la domination avec celle de la soumission. On la délimite selon des règles, un protocole dans lequel chacun occupe son rôle, le tout étant sous-tendu par la pratique BDSM. J’ai parfois eu le sentiment que la compréhension « protocole » signifiait des règles strictes de présentation de table, de place des verres et des couteaux. C’est à mon sens aller un peu trop loin. Le protocole veut plutôt dire, je suis Maître ou Maîtresse et toi mon soumis, mon esclave tu vas me servir et servir les invités. Servir à manger et à boire bien sûr mais aussi servir de toutes les façons que ces derniers veulent. A l’expérience, ces rencontres demandent que tous participent de façon active et volontaire pour animer le repas. Cela demande donc, de la part de chacun des dispositions, une inclination naturelle à des pratiques sadiques, humiliantes et aussi d’être ouvert à des comportements désinhibés. Alors, d’abord choisissons les invités. Des personnes que l’on connaît et dont on sait leur niveau de domination. Des personnes qui ont aussi leur self contrôle. Nous connaissons les gens qui s’enivrent et qui font transforment la soirée en une salle de bistrot qui n’a plus rien à voir avec la pratique originelle. Des gens qui ne craignent pas de se dévêtir pour satisfaire une de leur envie préférée. Des invités qui, de bonne humeur, aiment discuter entre eux, pincer le téton d’une soumise, piquer avec la fourchette le sexe d’un soumis, fourrager avec ses doigts la bouche d’un garçon, faire exprès de laisser tomber sa serviette pour gifler le servant inattentif, goûter un vin mais recracher dans la bouche de celui qui a servi. Parmi toutes ces belles choses qui agrémentent un « dîner protocolaire citons : • Le cadre, un salle à manger assez large pour permettre le mouvement de tous les participants, un salle attenante pour la préparation des plats. • Un salon pour l’apéritif d’entrée et éventuellement le café de la fin. • Marquer le personnel de service « préparé » avec des pinces, des attaches, des marquages ou des décorations sur la peau. • La haie d’honneur, à l’entrée des invités, avec les soumis/soumises nus, menottés ou « bondagés » ou décorés avec des aiguilles sur les seins ou sur la peau, une bougie dans la bouche, la tête étant renversée ou dans les mains. • Utiliser un ou deux soumis utilisés comme porte-manteaux à l’arrivée. • Au cas où la maison le permet, disposer une cage pour y mettre des soumis en cage pendant la phase d’arrivée des invités. • Aligner les soumis et soumises regroupés, nus enchaînés ou entravés avec un bâillon dans la bouche. • Disposer des statues vivantes emballées complètement dans du cellophane avec la queue dégagée et debout pendant une partie du repas. • Pendant l’apéro faire manger les soumis dans des écuelles par terre avec de la nourriture qui tache (spaghettis bolognese par exemple). Les soumis se nettoient mutuellement à la langue. • Mettre sur pied un petit spectacle genre fléchettes, ou flagellation. (Dans le cas où cette pratique est faite en attendant l’arrivée de tous les invités, le ou la soumis est ensuite utilisé pendant le repas comme tableau vivant avec une ou deux bougies en plus. • Disposer des soumis sur le sol, procéder à un petit cérémonial d’entrée de la personne qui préside en la faisant marcher sur des soumis couchés par terre, elle-même tenue par les mains par des soumises. • Disposer pour le repas une ou deux soumis/ses nus posés sur la table et recouverts de choses à manger. Changer le décors en faisant une pause et en ordonnant à d’autres soumis de les « laver » en léchant le reste collé au corps. • Disposer des soumis comme meubles pendant l’apéro comme tabourets, tables, comme servir-boy, avec un plateau accroché autour du torse. • Utiliser des soumis comme porte panier à pain avec une corbeille attachés par des pinces aux seins. • Bander les yeux de soumis qui sont chargés d’apporter les plats mais avec un autre soumis utilisé pour guider le premier pour servir. • Selon les envies du moment glisser un soumis ou soumise sous la table pour effectuer les cunis/turluttes avec le jeu, entre les invités de deviner qui est en train de jouir. • Chaque dominant ou dominante nourrit les soumis, à genoux derrière les invités assis et les invités, en « crachant » par terre ou dans la bouche des soumis/ses la nourriture pré-mâchée. • Faire boire dans une écuelle remplie d’eau ou d’urine selon les envies et le moment. • Prévoir un petit spectacle homosexuel (des hommes aiment voir deux lesbiennes faire l’amour ou les femmes deux homosexuels) lors du café. • Au cas où des servants ont été particulièrement maladroits, petite séance de kick-boxing (ça change des coups de cravache quoique ça peut aussi se faire évidemment). • Imaginer un jeu (tirage au sort) pour permettre à la gagnante ou au gagnant de faire quelque chose avec un soumis ou une soumise. Par exemple trouver sur un soumis ou une soumise une combinaison de numéros ou un mot qui aura été marqué sur la peau dans un endroit un peu difficile (genre sous les seins tombants, à côté des lèvres du sexe, sous le scrotum, près de l’anus, que sais-je encore. Le but étant évidemment de favoriser le « toucher » des soumis/soumises par les invités. A l’expérience aussi, il est préférable que quelqu’un préside le repas et s’il y a assez de monde un Majordome qui commande les divers « tableaux » ou phases du repas selon un programme ou un « protocole » de choses qui se feront tout au long du repas: 1. l’entrée des invités, 2. arrivée de la présidente, 3. apéro, 4. repas des soumis, 5. exposition des statues, 6. prise place autour de la table, 7. repas, etc. 8. le "fumoir », les invités affalés dans leurs fauteuils ou divans et les soumis/ses faire des cuni ou des fellations. 9. animation genre flagellation, joutes entre deux sujets, service des cafés, etc. Comme cela se fait lors de belles rencontres, il est souvent préférable au tout début de l’invitation de citer le code de conduite pour l’occasion, des règles de ce qui est permis et ce qui est défendu et autorisé, régler le problème de la prise de photographies et de vidéos. Si c’est possible désigner un dom ou une domina qui agit comme « bourreau » (attacher, détacher, enfermer, allumer, fouetter, etc., etc.) En ce qui concerne le repas, la succession de petits plats permet de provoquer des situations multiples qui exposent les soumis et soumises. Un bon traiteur permettant de libérer les organisateurs du souci de réussir un plat. Bon appétit alors… Kaji, soumis de Lady Gabrielle. (slnr: 386-312-138) Photo tirée du film "Sleeping Beauty"
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Par : le 15/09/20
Femme protectrice des arts, inspiratrice des poètes et véritable tête politique, la vie d’Aliénor d’Aquitaine est fascinante. Lorsque l’on survole les grands évènements qui jalonnèrent sa vie, on est frappé par la grande longévité de cette femme, et de sa résistance exceptionnelle face aux épreuves de son temps. Héritière d’un vaste et riche duché, Reine de France à quinze ans par son union avec Louis VII en 1137, Reine d’Angleterre aux côtés d’Henri II Plantagenêt en 1154, Aliénor eut une vie particulièrement mouvementée, semée d’embuches, et s’éteignit à un âge extrêmement avancé pour l’époque. Plus de quatre-vingts ans. Elle donna naissance à dix enfants, dont neuf atteignirent l’âge adulte, à une époque où les femmes mouraient souvent en couches et où la mortalité infantile faisait des ravages. Elle survécut non seulement à huit d’entre eux, mais également à ses deux maris. Auréolée de mystère par le manque de sources à son propos, diabolisée par les chroniqueurs de son temps, elle est néanmoins l'exemple même de la femme aristocratique qui tente, avec force, de se démarquer du carcan machiste qui régnait au XII ème siècle dans l'Occident médiéval. Portrait d'une personnalité. Avant d'être la reine que l'on connaît, Aliénor est la descendante de l'une des plus prestigieuses lignées de l'époque. Elle est la fille de Guillaume X et d'Aénor de Châtellerault. Très vite, elle devient l'unique héritière du duché d'Aquitaine à la mort de son frère en 1130. Sept ans plus tard, c'est au tour de son père de mourir et de laisser Aliénor seule, à la tête du duché. Belle, riche, et puissante, elle devient le parti le plus convoité de France. Mais sa jeunesse et son statut de femme l'empêchent de régner en maître sur le duché d'Aquitaine. Il est impensable qu'une femme puisse diriger seule un territoire sans l'aide d'un époux qui puisse pallier à toutes les faiblesses liées à son état. Son père, avant de mourir, contacte Louis VI pour unir sa fille à son héritier, en échange de nombreuses terres. Une si belle dot ne se refuse pas, et les noces ne se font pas attendre. Le 25 juillet 1137 voit l'union d'Aliénor et de Louis à Bordeaux. À peine sont-ils couronnés duc et duchesse d'Aquitaine qu'ils apprennent le décès de Louis VI. Ils regagnent rapidement Paris pour le couronnement. Louis VII et sa femme Aliénor sont désormais à la tête du royaume de France. Le rôle politique de la reine est, au départ, assez limité. Pour de multiples raisons, Louis décide de partir en pèlerinage à Jérusalem avec sa femme. Sa présence s'explique pour deux raisons. Louis était tellement amoureux de sa femme, mais aussi tellement jaloux qu'il lui était inconcevable de la laisser en France. La seconde, plus pragmatique, permettait de faciliter la participation militaire des barons aquitains. Loin d'avoir gagné la quiétude de son âme, le roi de France essuie alors un échec cuisant. Lors de la bataille du mont Cadmos, le zèle d'un de ses vassaux entraîne la mort de nombreux hommes et manque d'entraîner une attaque turque qui aurait été sans nul doute fatal pour la croisade. Les Byzantins masquent également aux Français la déroute des allemands et ne fournissent pas les vaisseaux promis. Mais le pire reste à venir pour le jeune Louis. Lorsque les croisés arrivent à Antioche, l'oncle d'Aliénor, Raymond de Poitiers, tente par tous les moyens de rallier les croisés à sa cause, qui est d'attaquer Alep, principale menace des États latins de la Terre Sainte et particulièrement de sa principauté d'Antioche. En outre, Aliénor et Raymond ont de longs et fréquents entretiens. Sont-ils d'ordre politique ? D'ordre familial ? Ou bien, plus grave encore aux yeux de ses chroniqueurs, ont-ils une liaison incestueuse et adultère ? Toujours est-il que le roi en prend ombrage et une dispute éclate entre les deux époux. Aliénor désire rester à Antioche, et veut mettre fin à leur mariage pour cause de consanguinité. Mais le roi, conseillé par Suger et Galeran, l'emmène de force avec lui, et décide de ne prendre de décision la concernant qu'à son retour en France. Après quelques opérations militaires et dévotions à Jérusalem, la croisade prend fin. Le roi et la reine font le voyage de retour sur des nefs différentes jusqu'en Italie. Une bataille et un enlèvement plus tard, Aliénor rejoint son époux à Tusculum où le Pape Eugène III les attend et cherche à les réconcilier. Même si cela semble fonctionner un moment, le désaccord ressurgit un an plus tard, puis le 21 mars 1152, malgré l'interdiction du Pape, ils annulent leur mariage pour cause de consanguinité au quatrième et cinquième degré. Le royaume de France perd la possibilité de posséder, après une génération, le duché d'Aquitaine, et par conséquent, d'accroître son domaine. La mésentente dans leur couple était de notoriété publique. Le divorce n’est pas chose courante à cette époque, surtout lorsque l’on est Reine de France. Qu’importe, on invoque le prétexte de consanguinité, et l’affaire est rondement menée en mars 1152. Deux mois plus tard, Aliénor d’Aquitaine, libre, épouse le fringuant Henri, duc de Normandie, héritier du royaume d’Angleterre, qui possède déjà sur le continent français la Normandie, l’Anjou et le Maine. Aliénor lui apporte l’Aquitaine. Elle devient alors dans les faits reine d'Angleterre. Une nouvelle vie, brillante, s’ouvre à la Reine. Elle partage son temps entre l’Angleterre, la Normandie et ses terres d’Aquitaine, traversant la Manche dans un sens puis dans l’autre, infatigable, visitant les terres de son époux et les siennes, dispensant grâces et faveurs, administrant en véritable chef d’Etat. Ces voyages perpétuels ne font pas peur à Aliénor. Elle les entreprend avec fougue, souvent enceinte. Car la jeune femme est non seulement Reine d’Angleterre et duchesse d’Aquitaine, mais aussi mère incroyablement féconde. Alors qu’elle n’a donné que deux filles à son premier époux en onze ans de mariage, les grossesses se succèdent avec Henri II. D’une santé florissante, elle supporte ces multiples grossesses très rapprochées, donnant naissance à son dernier enfant à plus de quarante ans. Cependant, les relations ne tardent pas à s'aigrir entre Henri II et Henri le Jeune après la grave maladie du premier. La morbidité du roi l'oblige à partager son royaume entre ses fils, mais dès sa guérison, il reprend ce qu'il a donné. Cela déplaît fortement à ses fils et le conflit éclate en 1173 lorsqu'il décide de soustraire une partie des terres d'Henri Le Jeune pour les donner à Jean le Puiné. Aliénor décide de prendre parti pour ses fils. Il semblerait que, depuis plusieurs années déjà, le couple royal se soit brisé. La liaison d'Henri II avec Rosamonde Clifford a, par ailleurs, exacerbé la mésentente entre les époux. Généreux envers ses fils rebelles, Henri II se montre en revanche intransigeant avec son épouse. Le roi la met sous bonne garde au château de Chinon, puis l'enferme pendant quinze ans dans la tour de Salisbury, par crainte d'une nouvelle conspiration. Le roi, à la suite de la révolte, en était venu à détester sa femme et désirait même divorcer peut-être au profit de sa maîtresse. Malheureusement pour lui, elle tombe gravement malade et meurt. Aliénor est alors accusée de l'assassinat de sa rivale. Ses fils décident de se rallier à leur père, incapables de lui résister et la sédition des barons aquitains est définitivement matée par Richard Coeur de Lion en 1183, qui y gagne son surnom. Les succès de Richard éveillent la méfiance de son frère aîné. Ce n'est que le début de la révolte de Richard à l'égard de sa famille et celle-ci s'éteint lors de la mort du vieux roi. Dès lors, Aliénor est libérée par le nouveau roi, Richard Ier. Âgée de soixante-cinq ans, Aliénor reprend alors une intense activité politique et se comporte comme une reine, avec l'accord unanime des barons qui lui sont restés fidèles. Elle assure la régence tandis que Richard était parti dans les terres lointaines de l'Orient, pour la troisième croisade. Mais Jean Sans Terre tente de trahir son père. Informé des velléités de son frère, Richard se dépêche de rentrer. Mais sur le chemin du retour, il est capturé par le duc d'Autriche, Léopold V et livré à l'Empereur germanique Henri IV. Aliénor est ainsi obligée de payer une énorme rançon pour la libération de son fils. Un an après, Richard est de nouveau libre. Estimant que la situation reprenait son cours normal, la reine mère se retire à l'abbaye de Fontevraud. Seule la mort de son fils la pousse à revenir sur la scène politique. Elle tente d'asseoir le pouvoir du dernier de ses fils. Mais ce-dernier s'attire les foudres du roi de France et malgré quelques manœuvres politiques, elle assiste impuissante à la déchéance de son fils. Elle retourne définitivement à Fontevraud où elle y meurt au mois de mars 1204. Elle est inhumée à Fontevraud où l'on peut toujours voir son gisant polychrome qui voisine avec celui de son second mari, Henri II Plantagenêt. C'est l'illustration de notre article. Pendant longtemps, on a attribué à Aliénor un grand rôle de mécène, avec notamment les troubadours, héritage laissé par son grand-père Guillaume IX, le prince des troubadours. Or, il s'avère qu'elle n'est pas un cas d'exception. En effet, les trois reines Mathilde qui l'ont précédée, ont toutes les trois eu une importante implication parmi les artistes. Cette vision est remise en question. Tout d'abord, on ne sait rien de l'éducation de la reine avant son premier mariage. Ensuite, on retrouve peu ou prou des dédicaces mentionnant son patronage. Outre le mécénat, on prête aussi à Aliénor des cours d'amour courtois à Poitiers, rumeur véhiculée par le traité "De l'Amour" d'André le Chapelain. Là encore, il faut prendre avec précaution ces propos. Quelle que soit l'interprétation adoptée concernant l'origine du trait d'André le Chapelain, un fait demeure incontournable. Pour beaucoup, l'amour courtois a largement pénétré les mentalités et les mœurs aristocratiques. Aliénor passe pour en être l'arbitre, voire l'initiatrice par son mythe, par sa vie réelle mais aussi par sa fréquentation des milieux lettrés qui en véhiculent la doctrine. Mais les cours d'amour courtois ne viendraient que de l'imaginaire de certains, à cause d'une fausse interprétation d'un érudit du XVI ème siècle. En revanche, la légende noire d'Aliénor d'Aquitaine perdure toujours. De son vivant, Aliénor fut déjà l'objet d'une légende scandaleuse. Des ragots sont colportés sur son compte et les rumeurs les plus folles sont propagées. Ainsi, on raconte qu'elle se livra à des sarrasins pendant la croisade. On lui prête même une aventure avec Saladin qui était pourtant très jeune à l'époque. Celle qui semble plus vraisemblable reste sa liaison avec Raymond de Poitiers. Peu après sa mort, elle devient une source d'inspiration pour les conteurs, les ménestrels et les poètes. Les chroniqueurs de son époque étaient tous, sauf exception, des clercs. Ceux-ci voient en Aliénor, l'exemple même d'une Ève, voire d'une Messaline qui bafoue l'ordre établi, par deux fois au moins. La seconde est son émancipation, et sa révolte, avec ses fils à l'encontre de son second mari Henri II, sans compter les relations amoureuses dont nul ne sait si elles ont véritablement existé. Le mythe d'Aliénor perdure aujourd'hui encore. C'est à partir de la période romantique que la légende d'Aliénor reprend de l'ampleur. L'image d'une Messaline laisse place à un portrait plus nuancé. Toujours aussi libre et séductrice, la reine devient avant tout une reine cultivée, porteuse de la culture occitane à la rude cour capétienne. Son gisant, à Fontevraud, la représente un livre ouvert entre les mains. Aliénor incarne deux images. D'un côté la souveraine influente et opiniâtre, de l'autre la femme disposant librement de son cœur et de son corps. Fut-elle une manipulatrice, sensuelle et adultère, comme ont voulu le faire accroire les historiens des siècles suivants ? Ou une victime, comme le suggère George Duby ? Il est certain que son rôle politique fut grand et qu'elle donna une véritable impulsion à l'épanouissement de la culture occitane. Femme de caractère, elle assuma le scandale que provoqua l'annulation de son mariage et elle se soucia jusqu'à la fin d'aider ses fils à asseoir leur pouvoir, fussent-ils incompétents ou félons. Elle a inspiré les plus grands. Bibliographie et références: - Martin Aurell, "Aliénor d'Aquitaine" - Katy Bernard, "Les mots d'Aliénor" - Amaury Chauou, "Sur les pas d'Aliénor d'Aquitaine" - Brigitte Coppin, "Aliénor d'Aquitaine, une reine à l'aventure" - Jean Flori, "Aliénor d'Aquitaine, la reine insoumise" - Georges Duby, "Dames du XII ème siècle" - Yannick Hillion, "Aliénor d’Aquitaine" - Amy Kelly, "Aliénor d'Aquitaine" - Edmond-René Labande, "Pour une image véridique d'Aliénor d'Aquitaine" - Marion Meade, "Biographie d'Aliénor d'Aquitaine" - Régine Pernoud, "Aliénor d'Aquitaine" - Alison Weir, "Aliénor d’Aquitaine" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 11/09/20
Une voix qui répète qu'elle vous aime et, derrière cette voix, imaginez ce qu'il vous plaira, car elle dira rien d'autre. Les silences tendres, les mots échappés, tout cela vous importe peu. Cette voix vous accable. Vous voudriez la chasser. Hélas, Patricia, avec ses belles mains fines, était là, toujours là. Elle se multipliait au long des semaines, monotone et identique. On ne se sauve que par l'excès, se disait-elle. Elle ne précisait pas devant quoi elle se sauvait. Elle avait entre les reins une terrible dureté, dont on abusait trop souvent. Elle n'avait pas besoin de bonheur. La souffrance, qu'elle savait parfaitement se procurer, l'avait rendue presque sensible à l'existence des autres filles qui comme elle étaient livrées. Dire que dès la seconde où sa Maîtresse l'eût quittée, elle commença de l'attendre, est peu dire. Elle ne fut plus qu'attente et que nuit dans l'abstinence de ses supplices. Tout le temps qu'elle demeura dans la salle de bain, elle se regarda dans le miroir, incapable de retenir l'eau qui s'échappait de son corps. Il faisait plus chaud que d'habitude. Le soleil et la mer l'avaient déjà dorée davantage, ses cheveux, ses sourcils et la très fine toison de son ventre. Il y aurait beaucoup de choses à lui dire, mais d'abord, celle-ci, que je crains de deviner en elle de la légèreté. Elle aimait la légèreté des choses, des actes, de la vie. Elle n'aimait pas la légèreté des êtres, tout ce qui était un peu au-dessus du niveau semblait heurter Patricia. Elle ne recherchait pas à s'attribuer beaucoup de mérites en ce monde ni dans l'autre, celui de l'abandon. Un sentiment d'insécurité pour son corps sans cesse meurtri. Elle était bien jeune et ne savait même pas si elle possédait un peu de lumière. Sarah était arrivée quand elle était dans l'ombre, et maintenant, il fallait arranger les choses. Tant pis pour elle. Les souvenirs qui ont su être poètes de sa vie, c'est à dire dans le désordre, plaisir et enivrement de l'imagination. Mais dans la moindre de ses paroles, raisonnable douce-amère, ce cadeau imprérieux du ciel, le lot avait oublié sa jeunesse, l'allégresse avec laquelle elle devait accepter l'insistance, la mauvaise grâce, et la maladresse. Comme le fouet et les doubles fenêtres pour que l'on ne l'entende pas hurler. Ses mains s'agrippaient aux colonnes du lit, où Sarah les assujettissait à l'aide de fines cordelettes qui lui sciaient les poignets. Des sangles passaient dans les bracelets de ses chevilles. Elle était allongée sur le dos, de telle façon que ses jambes surélevées et écartelées laisse à Sarah toute la fantaisie de la fouetter. Elle était debout à coté d'elle, un martinet à la main. Aux premières cinglades qui la brûlèrent aux cuisses, Patricia gémit. Mais elle ne voulait pas demander grâce, même quand sa Maîtresse passa de la droite à la gauche. Elle crut seulement que les cordelettes déchireraient sa chair, tant elle se débattait. Mais Sarah entendait marquer sa peau de traces nobles et régulières et surtout qu'elles fussent nettes. Il fallut subir sans souffle, sans troubler l'attention de Sarah qui se porta bientôt sur ses seins. Elle allait retrouver sa considèration en s'accomodant de son statut d'esclave et non pas de soumise. Et il n'était pour elle de plus grand bonheur que de se savoir appréciée. L'amour mais avec un arc-en-ciel d'émotions vertigineuses en plus rayonnait toujours chaque parcelle de son corps. Patricia n'avait pas très mal; chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irridia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Sarah, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Patricia crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Sarah s'accroupit près des épaules de Patricia et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée. Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins. Patricia laissa couler quelques larmes. Alors Sarah arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Sarah posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Sarah dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. Penchée au-dessus d'elle, Sarah tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Sarah pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Patricia ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 11/09/20
Roxane, Petite brune et femme qui m'a séduite, ma fait divorcé et plus, il y a 20 ans Elle fut d'abords mon jouet, ma soumise (tant que je ne vivais pas avec elle), je pouvais l'attacher, la prendre par tous les orifices, la goder elle m'obéissait. Puis nous nous sommes installé ensemble et doucement elle pris les choses en main. Je devins vite son objet, elle me godait chaque soir, elle me sondait (elle est ambulancière) et me mettait le tuyau de la sonde dans la bouche). Peux de travail des seins ou autres, son centre d'intérêt était mon cul et les godes devenaient de plus en plsu gros jusqu'au FIST. Un jour elle me traita de petit Pédé, et cela fut mon nom régulier quand elle urinait sur moi. Je rencontrais ANNELORE et je quittais ROXANE qui c'est trouvé un beau black qui lui a fait une jolie fille qui doit avoir 10 ans. Roxane m'a donné des nouvelles il y a deux jours, elle n'est plus avec le Black et elle vit avec une Femme. (je me doute de qui fait l'homme!!!). Comme pour Annelore ou Annelaure , je vous donnerais des détails du avant, je n'ai rien de l'actualité de Roxane avec sa compagne.
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Par : le 08/09/20
Le retour à une situation normale, c'est à dire une Maîtresse et ses deux soumis, a pris encore un mois. Les deux dernières semaines de juin et les deux premières de juillet. Ennia va bien. Je dirais même qu'elle va très bien, du moins en apparence. Plus de séquelles physiques. Reste l'empreinte psychologique de cette terrible épreuve. Nous n'avons toujours pas fait l'amour. Elle ne supporte pas encore l'idée d'être prise par la queue d'un homme. Elle a cependant retrouvé le goût du sexe entre les mains de Maîtresse Caroline. Offerte sous mes yeux à son gode-ceinture. Maîtresse se montre douce et attentionnée avec elle et c'est un sublime spectacle que de les voir faire l'amour, gémir, jouir. Ma queue a retrouvé sa cage depuis une semaine déjà, et j'avoue avoir du mal à le supporter. Maîtresse l'a remarqué, plusieurs fois, et s'est contentée de sourire sans un mot. Si elle se montre douce avec Ennia, elle compense en se montrant plus dure avec moi, souvent avec l'aide d'Ennia qui la seconde. Je suis cravaché régulièrement et Maîtresse a entrepris d'allonger mes tétons. J'ai droit à une séance quotidienne d'élongation, soit à l'aide de pinces lestées soit à l'aide d'une pompe à vide. Je suis de plus en plus sensible et mes Maîtresses s'amusent à me faire gémir de douleur en jouant avec. Nous ne voyons plus les complices de Maîtresse Caroline, je ne sais pas pourquoi. Sans doute juge-t-elle qu'Ennia a besoin d'un certain calme pour retrouver une vie "normale", si notre trio peut être considéré ainsi. L'annonce qui va bouleverser notre vie arrive quelques semaines plus tard. Ennia a peu à peu retrouvé sa joie de vivre et elle se montre plus entreprenante avec moi. Plus douce. Plus amoureuse aussi. Comme si rien ne s'était passé. Maîtresse Caroline lui laisse un peu plus de liberté et mon amour en joue délicieusement. Notre déesse a décidé de nous préparer pour quelque chose de spécial. Elle se montre très mystérieuse et le laisse filtrer aucune information, tout juste de quoi nous rendre fous d'impatience. "Il est temps, je crois. Sachez que j'y pense depuis un certain temps. Ma décision a été longuement mûrie. Ce soir, vous saurez mes petites chiennes, ce soir... En attendant, je vais vous mettre en condition". Maîtresse Caroline nous ordonne ne nous préparer, respectivement. Epilation parfaite, lavement, tenues imposées. Nous passons deux longues heures dans la salle de bains, sans surveillance. Sauf pendant le laps de temps où je suis débarrassé de ma cage pour me rendre parfaitement lisse. Maîtresse surveille Ennia qui s'amuse à m'agacer. Je bande instantanément bien sur, et mon amour est d'une douceur qui me rend fou. "Je t'ai dit de le préparer, pas de le branler ! Il a toujours interdiction de jouir je te rappelle. A moins que tu ne cherches ma cravache peut-être, ma petite pute ? " Sa cravache, elle l'utilise justement.... mais pas sur Ennia. "Maintiens ses cuisses écartées, cette queue dressée va retourner dans sa cage. Et je connais un bon moyen de la calmer ! Mon soumis, je ne veux aucun bruit. Tu encaisses et tu débandes, sinon je double la mise... compris ?" Je ne puis que laisser échapper un faible et résigné "Oui Maîtresse Caroline". Le premier coup s'abat sur mon gland offert. Je m'y attends mais la douleur est trop forte et je laisse échapper un cri. Le regard de Maîtresse se durcit, et les suivants s'enchaînent, sans aucune pitié. Gland, hampe et pour finir, mes couilles gonflées. Je m'écroule sur le carrelage. Maîtresse me laisse une minute pour récupérer et ordonne à Ennia de m'aider à me relever. Elle a atteint son but, je ne bande plus... "Voilà qui est mieux. Remets lui sa cage maintenant... j'en ai marre qu'il bande sans autorisation. Il va falloir que je le fasse travailler là dessus. Je veux un esclave qui bande sur demande, et qui sache se retenir. Je crois que je ne vais jamais y arriver avec toi... tu es une cause perdue. Tu es bien trop obsédé par le cul." Ennia et moi finissons de nous préparer. J'ai mal. Ma queue, de nouveau emprisonnée, me fait terriblement souffrir et la frustration me maintient au bord des larmes. Ennia le sent, et se montre particulièrement tendre. Nous nous enlaçons et nous nous embrassons comme au premier jour. Elle laisse échapper un "je t'aime" qui me fait rendre les armes. Je pleure dans ses bras et je lui dis mon amour pour elle, mon besoin d'elle.... je ne veux plus jamais être séparé d'Ennia. Je ne le supporterai pas. Nous enfilons les tenues préparées par Maîtresse Caroline. Latex noir pour moi, bas et serre-taille à jarretelles, longs gants, cagoule et large collier de cuir. Des anneaux fixés à mes poignets et mes chevilles, pour des entraves à venir. Tenue identique pour Ennia, mais de latex blanc. Elle est sublime ainsi recouverte de cette peau si spéciale. Maîtresse Caroline m'a révélé mon fétichisme pour cette matière. Je crois que je pourrais vivre ainsi habillé chaque jour. Nous rejoignons notre déesse dans le salon. Elle est assise dans un fauteuil et nous ordonne de nous agenouiller face à elle... "Mes petites chiennes.... vous savez que j'ai une grande annonce à vous faire. Je le ferai ce soir. Dans 3 heures exactement. Et croyez-moi, l'attente va être terrible !" Maîtresse nous attache, debout, bras au dessus de nos têtes, face à face. Assez éloignés pour que nos corps ne puissent se toucher. Puis elle nous bande les yeux. "Maintenant, la touche finale mes petites chiennes. Je vous veux en feu !" Elle pose un casque sur nos oreilles. Et lance la bande-son. Des cris, le claquement des fouets, des soupirs, une femme qui jouit... je ne sais pas où Maîtresse a trouvé cet enregistrement mais il est d'une efficacité redoutable. Je sens ses mains retirer ma cage et ma queue se dresse instantanément. L'effet de la privation sensorielle, de ces cris de jouissance et de douleur, me plonge dans un état d'excitation terrible. L'attente va être longue. Très longue en effet. Je perds rapidement la notion du temps. Les femelles torturées et jouissant sous la cravache ou je ne sais quel instrument de plaisir se succèdent. Il n'y a aucune parole, juste des soumises travaillées, hurlant ou haletant, une jouissance sonore qui semble sans fin. Je n'entends absolument rien de ce qui se passe dans le salon. Il me semble que quelqu'un bouge autour de nous. Maîtresse Caroline sans doute, qui prépare je-ne-sais-quoi. Nous n'allons pas tarder à le savoir.... Et cela va bouleverser nos vies, à jamais.
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Par : le 08/09/20
Les mots de ma Maîtresse me glacent.... je resserre mon étreinte et le corps de Caroline épouse le mien. Ce que je ressens à l'écoute de son récit est un mélange d'effroi, de tristesse, de colère... J'aime cette femme, si fragile en cet instant. Je l'aime de tout mon être. Maîtresse Caroline me raconte tout. Comment, maintenue à genoux par les deux monstres gardes-du corps, le bourreau a d'abord violé sa bouche, sans aucun ménagement. Comment il s'est répandu sur son visage, lui interdisant ensuite de s'essuyer. Comment dans la foulée elle a du se déshabiller et s'offrir à ses sbires, réclamer à voix haute leur queues, réclamer d'être "baisée comme une pute, comme une truie" selon les mots dictés par son nouveau Maître. Comment, pendant 5 jours, elle a subi viols à la chaîne, cravache et fouet, humiliations diverses et perverses pour la briser. Elle me raconte ce qui lui a permis de tenir, son amour pour Ennia, son désir de la sauver. Elle a enduré, pleuré, souffert... mais elle n'a pas flanché. Je l'entoure de ma chaleur, lui caresse les cheveux, l'embrasse tendrement en pleurant. Son récit me bouleverse. Elle arrive au final, baisée par des dizaines de queues devant une foule d'invités. Un viol collectif sous les rires et les moqueries, les coups de cravaches assénés par les Maîtresses présentes, la séance d'uro avec les soumises de la soirée, qui ont toutes uriné sur elle sous l'oeil d'une caméra. Elle me parle de ce film, épée de Damoclès, miroir de son avilissement entre les mains de ce monstre. Elle me parle de sa peur maintenant. Elle me dit son départ, Ennia dans ses bras, presque inerte. La voiture qui les laissent sur le bord d'une route de campagne, à moitiés nues... Elle me parle aussi de ses sentiments, la honte, l'humiliation, la douleur physique, la douleur psychologique. Je la sais forte, si forte et pourtant je mesure, à l'aune de ses paroles, combien elle a souffert et combien cet épisode l'a marquée.  Je l'aime et je l'admire. Nous restons ainsi, enlacés, durant un temps qui me paraît infini. Plus de parole, juste le silence et nos corps serrés l'un contre l'autre. Puis Maîtresse Caroline échappe lentement à mon étreinte. Elle me regarde longuement et m'embrasse. Entre tendresse et amour. Un long baiser, pour sceller un pacte. Celui de l'oubli. Effacer, ne plus en parler et se tourner vers l'avenir, notre avenir. Maîtresse Caroline, Ennia et moi. "Il est temps mon soumis, va, elle t'attend. Je sais que tu trouveras les mots maintenant. Et puis.... merci. Je t'aime". Ces dernières paroles me font fondre en larmes immédiatement. Impossible de contenir la boule d'émotion qui me submerge. Maîtresse me prend la main et me guide, pas à pas, vers le seuil de la chambre. Ennia dort profondément lorsque je pénètre dans la pièce. Doucement, je viens m'asseoir sur le lit. Et je découvre mon amour.... et je pleure en silence. Elle est encore méconnaissable. Si amaigrie, si marquée. Dans son sommeil, elle a repoussé la couette et je vois son corps, les marques violacées, profondes, les cicatrices, la trace des fers qu'elles portait en permanence aux poignets et aux chevilles. Et je sens une vague de haine m'envahir. Je pose délicatement ma main sur ma sienne, et ma belle s'éveille en sursaut, apeurée, levant ses bras comme une protection dérisoire. Elle met quelques secondes à comprendre, à me découvrir. Aucun mot. Je ne sais où elle trouve cette force qui la projette dans mes bras. Elle me serre, si fort. Sa bouche trouve la mienne et nous nous embrassons, passionnément, longtemps, très longtemps. Je retrouve le goût de sa langue, le contact de sa peau, l'alchimie de nos corps, faits pour se comprendre. Je n'ose la toucher, la serrer, de peur de lui faire mal. Ennia a de la force pour deux et son étreinte ne se relâche pas. Nos bouches se détachent et nous nous regardons. Tout passe par nos yeux, nul besoin de mots. Elle me dit tout, pleure et sourie en même temps, caresse mon visage comme je caresse le sien. Il est des instants qui font de la musique et celle que j'entends est à mes oreilles la plus sublime du monde. Je romps le silence, en murmurant : " Je ne veux plus être séparé de toi. Jamais plus. Mon amour, jamais plus". Ennia se blottit contre moi et nous restons allongés l'un contre l'autre. Nous perdons tous deux la notion du temps et nous finissons par nous endormir. Nous nous réveillons avec la lumière du jour qui filtre à travers la fenêtre. Maîtresse Caroline vient de tirer les rideaux. Elle semble heureuse, apaisée. Je sursaute, réalisant que je ne me suis pas levé, comme à mon habitude, pour préparer son petit-déjeuner et être à son service dès son réveil. "Pardon Maîtresse, je suis sincèrement désolé, je vous demande de bien vouloir me pardonner, j'ai manqué à mon devoir, je..." Elle m'interrompt : "Chuttt. Aujourd'hui, et pour les quelques jours qui viennent, il n'y a plus de Maîtresse Caroline. Plus de soumis, ni de soumise dit-elle en faisant un clin d'oeil à Ennia. Je vous aime, et je sais qu'Ennia a besoin de toi. Bientôt, très bientôt, nous reprendrons notre vie. Notre ménage à trois, et toi, ma belle petite chienne, tu reprendras ton service à mes pieds et aux pieds d'Ennia. Et toi Ennia, tu me serviras à nouveau, pour notre plaisir commun. Mais nous avons le temps. Rien ne presse. Restez au lit si vous voulez. Pour ma part, je vais aller voir mes amies. J'ai besoin de leur insouciance. A tout à l'heure ! " Elle quitte la pièce et nous nous regardons, Ennia et moi, comme si nous venions de rêver. Mon amour semble elle aussi apaisée. Elle porte encore, et pour de longs jours voire de longues semaines, les stigmates de sa détention, de son calvaire, mais ses yeux brillent à nouveau de cette flamme qui m'a brûlé le coeur dès le premier jour. Elle me sourie et vient m'embrasser tendrement. Je la prends dans mes bras et nous nous retrouvons de nouveau allongés. "Mon amour.... je suis là pour toi. Dis moi, et je fais. Tout et n'importe quoi. Ce que tu veux, ce qui te plaît, ce qui te fera du bien. Demande moi s'il te plaît. Je t'aime Ennia, je t'ai aimée dès que je t'ai vue. Dès la fin de mon premier cours avec toi, Je t'aime, je t'aime, je t'aime". Maîtresse Caroline fait irruption dans la chambre un seconde fois, alors qu'Ennia et moi nous nous embrassons de plus belle, lentement, tendrement. Un baiser qui n'a rien de sexuel, un baiser totalement amoureux, fou. "Les amoureux, pour quelques jours, je vous confie ceci..." Et elle lance la clé du cadenas de ma cage de chasteté. Je l'attrape au vol. Maitresse Caroline est déjà repartie et nous entendons la porte de l'appartement claquer. Je pose la clé au creux de la paume d'Ennia... "Je suis à toi, uniquement et absolument à toi". Son visage s'assombrit et un voile de tristesse vient obscurcir ses yeux... "Je... je ne peux pas tu sais... pas maintenant... c'est... trop tôt, trop dur.. je ne sais pas si je pourrai.." Elle éclate en sanglots... "Je ne sais pas... peut-être que je n'y arriverai plus...." Elle pleure de plus belle et se presse contre moi... "Pardon, pardon mon amour... je t'en supplie... pardonne moi". Elle s'active fébrilement et libère ma queue. Plusieurs jours déjà, sans jouir, sans bander si ce n'est en pensée. Je me dresse immédiatement, dur, ultra sensible... "Je t'en supplie, moi je ne peux pas, mais toi.... s'il te plaît, donne toi du plaisir, jouis pour moi". Je m'allonge sur le dos et la bouche d'Ennia vient trouver la mienne. Je me caresse au rythme de ses baisers... elle pleure et murmure des mots sans suite, comme possédée. Je comprends qu'elle me raconte, à sa manière. Elle se libère, laisse aller ses émotions alors que ma respiration s'accélère. Sa main rejoint la mienne et je jouis avec une rare violence. Mon amour porte ses doigts maculés de mon sperme à ma bouche. Je suce, lèche... et sa langue vient à nouveau trouver la mienne. Un baiser au goût de foutre. Je l'aime, et j'aime ne pas, ne plus avoir de tabou avec elle. Une certitude... je vais être heureux, totalement, si elle l'est elle aussi. Et je ne la quitterai plus. Nous passons presque toute la journée au lit. Je n'en sors que pour faire couler un bain, qu'Ennia partage avec moi. Et pour nous préparer une repas froid, que nous mangeons également au lit. Je la masse longuement et doucement, par peur de réveiller les douleurs de ses cicatrices encore bien visibles. Ce corps torturé, sous mes doigts, me hante. Comment peut-on vouloir détruire à ce point une femme ? Pourquoi ? Pourquoi détruire cette beauté ? Je prends soin d'elle de la même façon les jours suivants. Les cours sont terminés et je peux me consacrer totalement à sa guérison. Ennia aime me voir jouir et elle me le demande, plusieurs fois par jour. Petit à petit, elle s'enhardie et joue avec mon plaisir. Sa bouche se fait plus exploratrice et elle aime me contrôler, m'arrêter aux portes de la jouissance, puis m'ordonner de reprendre mes caresses. Elle joue avec moi mais je ne peux toujours pas la toucher. Elle a parfois de mouvement de recul, s'excuse aussitôt et vient se serrer contre moi. Je lui répète qu'elle a le temps pour elle, qu'elle ne doit se forcer à rien, que je suis là uniquement pour son bien-être, pour elle, que je comprends, accepte totalement... mais rien n'y fait, Ennia me demande souvent de la pardonner. Maîtresse Caroline passe beaucoup de temps avec ses amies. Elles viennent parfois à l'appartement, mais je suppose que Maîtresse les a prévenues car aucune ne se comporte en Maîtresse avec moi. Caroline semble aller de mieux en mieux elle aussi. Elle redevient parfois la Maîtresse qu'elle est naturellement. Un ordre fuse, un geste lui échappe... Mais elle n'insiste pas. J'avoue attendre de reprendre ma place à ses pieds. A leurs pieds. Je me comporte en soumis, assurant le ménage, les repas, les courses. J'aime m'occuper d'elles, de leur confort. Ennia a repris quelques kilos et elle redevient lentement la beauté rayonnante qu'elle était avant ce monstre. Les marques s'effacent, seules 4 ou 5 cicatrices, sur ses reins et ses seins, restent encore bien visibles. Moi, je suis heureux. Heureux de les voir aller mieux, heureux d'être avec elles, heureux de les servir, heureux d'être entouré de ses deux magnifiques femmes, profondément humaines, entières, si fortes et si fragiles. Nous avons trouvé un équilibre qui frise la perfection et je sens Maîtresse Caroline redevenir Domina, de plus en plus. Il n'y a qu'une chose que j'appréhende.... le retour en cage. Je jouis plusieurs fois par jour avec Ennia. Et Maîtresse Caroline utilise ma langue, autant qu'elle en a envie. Elle le sait, je suis une chienne assoiffée de sexe et la cage est pour moi la plus dure des règles qu'elle puisse m'imposer. Pourtant, en mon for intérieur, je sais que ce contrôle m'est indispensable dans la durée. Pour ne pas céder à mes pulsions. L'animal s'impose toujours sur l'homme d'esprit et de coeur. J'aime intensément, mais mon désir profond de jouissance peut être bien plus fort que ma volonté. Je le sais pour l'avoir vécu, maintes et maintes fois. Pour avoir perdu cette bataille, sacrifié et perdu tant pour cet instinct primaire venu du fond des âges. Mais perdre m'a fait trouvé ce que je vis aujourd'hui, ce que je redoute le plus au monde de perdre: Elles.
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Par : le 07/09/20
La vie reprend et avec, mes habitudes de professeur soumis, aux pieds de Maîtresse Caroline. Plusieurs jours déjà, depuis son retour. Plusieurs jours qu’Ennia se repose. Et moi je deviens fou. Fou d’angoisse, fou d’amour… une angoisse permanente et tant d’interrogations. Je n’ose questionner Maîtresse Caroline. Elle aussi est marquée, silencieuse, et je surprends parfois de la tristesse lorsqu’elle sort de la chambre d’Ennia. Un calme certain s’est abattu sur nos vies, et j’avoue que cela n’est pas pour me déplaire. Maîtresse Caroline, Ennia et moi-même en avons besoin je crois. Moins de visite des amies de ma Maîtresse, de mes autres Maîtresses devrais-je dire, une certaine routine qui se révèle salvatrice. Déjà une semaine et la soirée s’annonce paisible, presque rituelle. Bain de ma Déesse, préparation du repas qu’elle prendra avec moi à ses pieds puis ensuite une longue séance de massage. Maîtresse Caroline n’a pas enlevé ma cage depuis que Maîtresse Chloé l’a remise en place, scellant ainsi la fin de notre parenthèse amoureuse. Je mesure ma chance d’être entouré de toutes ces femmes que j’aime profondément, chacune d’un amour particulier. Elles sont si belles, si grandes, si sublimes à mes yeux. J’en pleure de bonheur et je n’ai qu’un désir, les voir s’épanouir et être heureuses. J’ai trouvé ma place et ne n’en désire aucune autre. Les humiliations, les douleurs infligées, les frustrations ne sont rien comparées à l’honneur de les servir, de faire partie de leur intimité, de leur vie. Et puis j’aime souffrir… ma jouissance, lorsque l’on me l’accorde, n’en est que plus intense dans la douleur. Maîtresse Caroline a raison: je ne suis qu’une chienne assoiffée de sexe et je le resterai à jamais. Un jour, peut-être, je prendrai le temps de réfléchir sur ces désirs hors du commun, sur ce plaisir désormais associé à la douleur, l’humiliation et une certaine transgression. Désormais, mais peut-être que non. Entre les bras de Maîtresse Chloé, de Chloé simplement, lorsque je suis redevenu un homme amoureux dans les bras d’une femme amoureuse, sans rapport hiérarchique, sans soumission ni domination, mon plaisir fut tout aussi intense quoique différent. Un plaisir bien plus absolu, comme j’ai pu le connaître, avec une intensité inégalée, dans les bras d’Ennia. Lutte éternelle entre le plaisir physique trouvant ses racines dans les plus inavouables de mes désirs et le plaisir physique puisant sa force et son absolu dans l’amour le plus pur. Suis-je seul à m’interroger ? Mes pensées divaguent alors que je sers de repose pieds à ma Déesse pour sa cigarette du soir. Alanguie dans le canapé, Maîtresse Caroline garde le silence de longues minutes puis m’ordonne de m’agenouiller, face à elle. -Tu dois savoir ce qui est arrivé. Je pensais d’abord ne rien te dire, mais il est temps que tu la vois. Elle a besoin de toi. Tu ne pourras pas comprendre si tu ne sais rien. Et si tu ne comprends pas, ton amour seul ne suffira pas à l’aider. Je vais tout te dire… et ensuite, tu la rejoindras. Je ne dis pas un mot, mais l’intensité de mon regard soudé au sien vaut pour toute parole. J’ai le souffle court, j’attends, je tremble, j’ai peur. -Tu n’as certainement pas oublié la raison de son départ. Ce Maître qui me l’a achetée. J’ai abandonné tous droits sur elle, à sa demande. Je veux dire à la demande d’Ennia elle-même. Elle était comme envoûtée, attirée inexorablement par cet homme que je croyais respectable, que je croyais un bon Maître. Mais je l’avais juste cédée à un bourreau, un tortionnaire qui aurait pu la détruire, qui l’a presque détruite. C’est une autre soumise qui m’a alertée, en secret. Selon elle, Ennia risquait tout simplement sa peau, elle avait atteint les limites de sa résistance. Elle avait l’air vraiment inquiète c’est pour cela que je suis partie précipitamment. Je croyais que j’allais pouvoir la ramener avec moi, comme ça… la reprendre… mais… Les derniers mots refusent de franchir la barrière de ses lèvres et Maîtresse Caroline explose en sanglots. J’oublie une fois de plus ma condition d’esclave et je la prends dans mes bras, je la serre contre moi et ma sublime Déesse se laisse aller. -Si tu savais…. putain… si tu savais….. je… -Chutttt vous n’êtes en rien obligée de me le dire Maîtresse.. laissez-vous aller, vous êtes protégée ici. Vous l’avez ramenée, vous l’avez sauvée et je suis là, je suis là pour vous Maîtresse Caroline. Son corps se presse contre le mien, et Maîtresse Caroline continue son récit, entrecoupé de sanglots qu’elle ne peut maîtriser: -Comme je te l’ai dit, c’était un monstre, un bourreau. Elle était retenue dans les caves de sa maison bourgeoise. En fait, elle était réduite à l’état d’objet sexuel, servant à tous ses amis, aux amis de ses amis… battue tous les jours, fouettée, cravachée, mal nourrie… Elle ne réagissait même plus, ne hurlait plus, elle subissait, juste. Les séances de baise à la chaîne, la douleur des coups,… je ne comprends pas pourquoi.. pourquoi choisir une soumise, l’acheter et en faire cela… La première fois que je l’ai vue, je me suis précipitée vers elle. Mais ses deux sbires m’en ont empêché. Je me suis mise à hurler, à le menacer… Mais je n’étais pas de taille. Il m’a retourné une gifle qui m’a presque assommée alors que ses gros bras me tenaient. Puis il m’a parlé, sans crier, mais c’était glacial et à ce moment là j’ai eu peur, vraiment peur tu sais: Petite conne, tu te prends pour qui ??!!! Si tu la veux, je te la rends. Elle n’est plus bonne à rien de toute façon. Mais il va falloir que tu la gagnes sale petite pute bourgeoise qui se croit Maîtresse… tu la veux vraiment ? Je te donne 10 secondes pour répondre. Oui, on continue à discuter. Non, mes hommes te ramènent à la gare et je n’entends plus jamais parler de toi. Ni toi de cette salope que tu m’as vendue. Alors ? » 10, 9, 8, 7, 6, 5….4, 3….2….1….. -Oui -Oui quoi connasse ? Parle plus fort ! -Oui, je veux la reprendre ! Un autre gifle… -Répète après moi jeune idiote: oui Maître, je veux la reprendre et je ferai ce que vous voudrez pour cela… Maîtresse Caroline éclate d’un sanglot plus profond encore… -Et j’ai répété tu sais… mot pour mot…
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Par : le 07/09/20
Aujourd’hui. C’est aujourd’hui que Maîtresse Caroline revient. 9 jours sans ma Maîtresse. 9 jours d’une intensité inouïe. 9 jours qui m’ont marqué, psychologiquement et physiquement. Je porte encore les traces des assauts de mes Maîtresses d’une nuit. La journée d’hier, dans les bras de Maîtresse Chloé, m’a laissé dans un état de faiblesse psychologique intense. Je suis redevenu un homme, amoureux, tendre, sensuel. J’ai caressé, embrassé, serré dans mes bras une femme avec qui j’ai partagé mon âme, l’espace de quelques heures. Nous avons fait l’amour encore et encore, dormi dans les bras l’un de l’autre, peu parlé mais beaucoup communiqué par nos regards et nos gestes, comme si la parole était superflue. J’en ai oublié ma condition de professeur soumis, de salope aux ordres, mon état de dépendance totale à ma Maîtresse Caroline, son emprise sur moi, sur ma vie. Nous avons été un couple, lié par delà nos corps en sueur collés l’un à l’autre. Le réveil est douloureux et je suis triste. Maîtresse Chloé a remis ma cage de chasteté en place ce matin, après que nous avons fait l’amour une dernière fois. Une étreinte lente, tendre et sensuelle. Je me suis vidé en elle, et j’ai explosé en larmes, au creux de ses bras. Maîtresse Chloé est partie en cours à 8h45, me laissant nu, encagé, avec pour consigne de ranger parfaitement l’appartement. Je n’ai pas cours avant 11h. Et ma journée se termine à 15h. Maîtresse Chloé est prise toute la journée. C’est donc Maîtresse Christelle qui a pour charge de me ramener à l’appartement et de me préparer au retour de Maîtresse Caroline, vers 17h. Après la tendresse et l’amour de Maîtresse Chloé, la sévérité sans pitié de Maîtresse Christelle est un choc brutal. Elle ne prononce que quelques mots, secs : -Dépêche toi salope, je n’ai pas que ça à faire ! Une fois dans l’appartement, elle continue sur le même ton. -Tu te douches, et tu rappliques. Je te donne 10mn maxi. N’oublie pas de bien te récurer la chatte ! Je m’exécute. Lavement obligatoire donc. Même si j’ai horreur de cela, je crains encore plus que mes Maîtresses ne me fassent sucer le god souillé sortant de mes reins. Douche, vérification de mon épilation. 9 minutes plus tard, je me prosterne aux pieds de Maîtresse Christelle, assise dans le canapé du salon. Sans un mot elle me relève et commence à me préparer, en commençant pas la cagoule de latex et un masque qui m’aveugle totalement. Puis vient le collier de cuir, le corset qu’elle prend bien soin de serrer au maximum quitte à me couper le souffle, mes bas de latex noir, bracelets à mes poignets et mes chevilles. Je ressens une grande excitation à l’idée de retrouver Maîtresse Caroline. Et je m’interroge sur celui ou celle qui l’accompagnera. Maîtresse Chloé m’a bien rappelé qu’elle ne serait pas seule. Maîtresse Christelle fixe la barre d’écartement entre mes chevilles. Ensuite, elle attache mes poignets à la chaîne qui pend du plafond, tendue au maximum, et sans aucun ménagement, à peine un peu de gel, me remplit le cul d’un plug de bonne taille. Elle termine ma préparation en fixant un bâillon-boule. -Hmmm voilà qui est mieux. Je crois que Caroline sera satisfaite de te voir ainsi ma soumise. Ah, au fait, elle m’a laissé carte blanche pour imprimer ma marque, avant son arrivée. Ça tombe bien, j’ai besoin de me défouler. Elle ponctue sa phrase par un coup de cravache sur mes reins. Elle a frappé fort et je hurle à travers mon bâillon. Maîtresse Christelle se lâche. Les coups s’enchaînent rapidement. Mon cul en prend la majeure partie. Je ne suis pas encore remis de ma nuit de soumission avec mes jeunes Dominas déchaînées, et la souffrance est atroce. Je pends au bout de ma chaîne, brisé par la douleur. Maîtresse Christelle repose la cravache et vient se saisir de mes tétons. Nouvelle décharge de douleur. -Debout soumis ! Ta Maîtresse va arriver d’une minute à l’autre. Je veux te voir debout, cul tendu, prêt à la recevoir. Tu n’as pas envie de me faire honte je pense…. sinon ce n’est pas la cravache qui va te faire hurler, mais la canne ! Je fais non de la tête et j’essaie de me redresser, tout en me cambrant au maximum. J’entends mal, les sons sont diffus à cause du latex qui recouvre ma tête. Mais Maîtresse Christelle a crié pour bien se faire comprendre. J’entends vaguement la sonnette, les talons de Maîtresse Christelle, des voix. Je crois reconnaître celle de Maîtresse Caroline. Je ne saisis pas totalement la teneur de leur conversation. Cependant, je crois comprendre « emmène là dans la chambre s’il te plaît Chris… ». Emmène-là. C’est donc une fille dont il s’agit. Je n’ai pas le temps de gamberger. La main gantée de Maîtresse Caroline se saisie de mes couilles. -Alors ma petite chienne… on s’est bien amusée pendant mon absence ? Ta seule et unique Maîtresse est revenue. Je vais te reprendre en mains. Fini les réjouissances. On passe à la vitesse supérieure. Elle serre, tord et m’arrache un hurlement. Puis elle me détache les poignets et je m’effondre au sol, à genoux. La mise en condition de Maîtresse Christelle m’a brisé. -Viens renifler ta Maîtresse ma petite chienne, et donne lui quelques coups de langues. Montre-lui qu’elle t’a manquée. Allez…! Maîtresse Caroline saisie mon collier et colle mon visage entre ses cuisses. Je redécouvre le parfum et le goût unique de ma Domina. Au fond de moi, je suis heureux de la retrouver. La fascination qu’elle a toujours exercée sur moi, depuis la première fois où je l’ai vue, en cours, ne se dément pas. Je suis marqué, sous son emprise et je me régale de son calice divin. Maîtresse profite quelques minutes de ma langue puis me repousse et ôte mon masque pour me rendre la vue. -Regarde moi ! Je plonge mon regard dans le sien, et je découvre une Maîtresse qui semble à bout. Marquée. Par quoi ? Qu’a-t-elle bien pu vivre pendant ces neuf jours d’absence ? J’oublie un instant ma condition d’esclave et j’ose… -Maîtresse, vous semblez épuisée. Tout va bien ? Maîtresse Caroline ne relève pas mon manque de discipline. Elle semble même touchée par mon empathie. Elle me regarde sans un mot. Je prends conscience de ce que je viens d’oser et je m’en effraie soudain. Mais Maîtresse Caroline m’apaise d’un doigt posé doucement sur mes lèvres… -Shuuuttt… tu as raison. Je suis épuisée. Ces derniers jours ont été très éprouvants pour moi. Et pour elle. Elle est de retour tu sais. Je l’ai ramenée… Non, je t’en prie. Elle a besoin de temps. Et d’abord elle a besoin de repos. Vraiment. Elle m’a fait jurer de ne pas te permettre de la voir. Pas comme cela. Alors respecte sa volonté. Le temps viendra, vite je l’espère. D’ici là, je crois que tu as une Maîtresse à laquelle tu as juré fidélité. Occupe t’en. Va me faire couler un bain ma jolie chienne… j’en ai bien besoin. Maîtresse Caroline me sourit tendrement et essuie la larme qui coule sur ma joue. Ennia est revenue. Mais je dois patienter. Le bain de ma Maîtresse, lui, ne peut attendre.
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Par : le 06/09/20
Difficile de retrouver la trace de Samuel Rosenstock, né le 16 avril 1896 à Moinesti dans la province de Bacau en Roumanie. Entretenant un certain mystère sur ses années de jeunesse, le futur Tristan Tzara a voulu se construire une autre vie très loin de ces premiers contreforts des Carpates. "À quel moment commence ma jeunesse, s'interroge-t-il bien plus tard, je ne le sus jamais. Quoique j'eusse des données exactes sur le sentiment que ce changement d'âges mineurs déterminera en moi et que je fusse si accessible à son style coulant et délicieux. Des lueurs myopes seulement, par instants, se creusent dans le passé déjà lointain, avec des mélodies rudimentaires de vers et de reptiles insignifiants embrouillés, elles continuent à nager dans le sommeil des veines." La mémoire est défaillante et le passé très embrumé. Tzara a déjà fait le tri pour nous. Il reste pourtant quelques photos jaunies retrouvées dans la bibliothèque familiale. ?Le jeune Samuel y est toujours très sérieux et bien habillé, comme un gamin de cette bourgeoisie fin de siècle qui raffole des portraits sépia. Ses parents Philippe et Emilie font partie de ces quelques privilégiés qui ont réussi dans l'exploitation pétrolière et le commerce du bois. ?Ils ont su habilement profiter de la timide modernisation d'un pays encore très archaïque. Faute de capitaux, l'industrialisation ne fait guère de progrès. L'aventure pétrolière a commencé en 1870 avec des moyens dérisoires. Très vite, ce sont les Allemands qui ont pris les choses en main. Ils ont l'argent, le savoir-faire et ne dédaignent pas utiliser la main-d'œuvre locale. Son père est devenu au fil des années cadre, puis directeur d'une société pétrolière. Mais la fièvre de l'or noir ne doit pas faire illusion. Le reste du pays n'a pas suivi le mouvement. Les classes dirigeantes ultraconservatrices maintiennent la population hors du jeu politique. Le roi Carol a bien du mal à cacher le désastre d'une économie arriérée. Il tente d'imposer son pays dans le concert des nations, au milieu d'une Europe orientale en proie au vertige nationaliste. C'est d'ailleurs grâce à la guerre russo-turque de 1876 que la Roumanie a définitivement acquis son indépendance. Encouragés par les autorités les mouvements nationalistes se développent. Les Rosenstock font partie de cette communauté juive forte de huit cent mille personnes qui devient une cible toute trouvée. Ils sont fréquemment montrés du doigt comme les pires représentants du capitalisme sauvage. Ils se font donc discrets. D'ailleurs les origines juives du jeune Samuel n'ont pas directement influencé sa formation. Cette filiation n'en a pas moins pesé sur son attitude face à l'antisémitisme et au nationalisme roumains. Samuel sait, par exemple, que son grand-père qui gère une exploitation forestière ne pourra jamais devenir propriétaire. Les juifs n'ont aucun droit sur les terres roumaines. Pendant les vacances scolaires, il aime retrouver la maison familiale perdue au fond des bois. Il regarde ce grand-père entouré de son armée de bûcherons. La vie n'est pas toujours facile pour ces hommes, mais Samuel, lui, ne manque de rien. Il évolue dans un monde de sentiers, de ruisseaux et de soleil, une enfance champêtre et bucolique. Les vacances finies, il retourne à Moinesti, un autre monde. Sur la place ou aux terrasses des guinguettes on rêve de modernisme. Dans ce petit bourg de province bien tranquille, le pétrole a entraîné une petite révolution. Dans le pavillon familial un peu austère, où la vie semble un rituel immuable, Samuel découvre les premiers tourments de l'enfance, l'ennui des journées trop longues, les bonheurs de la tendresse d'une mère qu'il adore mais surtout la peur d'un père qu'il juge trop distant et trop intransigeant. Après l'école primaire de Moinesti, il a droit aux rigueurs de la capitale Bucarest. ?Un univers qu'il voit de loin. Comme toutes les familles bourgeoises, ses parents l'ont placé en internat à l'institut privé Schemitz-Tierin, une grande caserne où la seule ouverture sur le monde est sans doute ce cours sur la culture française. Quand il rentre au lycée Saint-Sava, Samuel est déjà un bon élève. C'est là, au milieu de ces couloirs interminables et dans ces salles de classe tristes à mourir qu'il se passionne pour la littérature. Il commence à éprouver ses talents d’entraîneur en créant une revue de poésie avec l’appui financier de son ami Marcel Janco, et l’aval des représentants de la nouvelle poésie roumaine. Les premiers textes qui y sont publiés sont dans la veine romantique et seront très vite reniés par leur auteur. Mais il est encore loin d'avoir choisi sa voie. Quand il s'inscrit au certificat de fin d'études au lycée Milhaiu-Viteazul, on le retrouve en section scientifique. Dans son dossier scolaire, ses enseignants notent son ouverture d'esprit et sa curiosité infatigable. Quand il a une autorisation de sortie, Samuel en profite pour découvrir tous les plaisirs de la capitale. ??Sur ses années de formation, le futur Tzara se fera le plus discret possible. Lorsque Samuel va commencer à écrire, la littérature roumaine est sous l'emprise du symbolisme, mouvement importé de France par l'écrivain Alexandre Macedonski. Dès 1892, ce dernier a violemment attaqué la tradition romantique et a présenté, dans la revue Literatorul, les principaux écrivains français et belges du moment, de Baudelaire à Joseph Péladan, de Mallarmé à Maeterlinck. Emporté par la fièvre symboliste, il a créé son propre cénacle fin de siècle pour cultiver un certain dandysme avec quelques disciples triés sur le volet. Avec ses copains de lycée, Samuel se rêve en ange noir du symbolisme triomphant. Cultivant son "snobisme de la mélancolie", il se réfugie dans cet univers de légendes, de donjons moyenâgeux ou de palais orientaux. Tout de noir vêtu, il marque sa différence en organisant son petit groupe à l'intérieur même du lycée. Mais Samuel, comme le futur Tzara, a l'esprit pratique. Pas question de s'en tenir à des réunions de chambrée qui ne débouchent sur rien. Il faut créer une revue. Avec son ami Marcel Janco, qui a la chance d'avoir des parents plutôt aisés, il imagine "Simbolul". Pour cela, il prend contact avec tous les représentants de la nouvelle poésie roumaine. Même Macedonski donne son accord, et dès 1912 le numéro 1 de la revue paraît. Dès 1913, Samuel prend un virage radical sous le pseudonyme de Tristan Tzara et commence à écrire des textes plus personnels qui préfigurent ceux qui seront publiés plus tard par les dadaïstes. Le prénom Tristan, non usité en roumain, a du prestige auprès des symbolistes, à cause de l'opéra de Wagner. Le nom de Tzara correspond au mot roumain terre (ou pays) mais écrit en orthographe occidentalisée. ?En fait, le jeune Tzara, dès 1913, semble s'affirmer en écrivant des textes audacieux, voire plus insolents. C'en est fini de la sagesse et de l'imitation. En 1914, son certificat de fin d’études en poche, il s’inscrit à l’université de Bucarest, commence à trouver ennuyeuse cette vie provinciale sans fantaisie, et se décide à couper les ponts avec sa famille pour rejoindre son ami Janco qui a déjà tenté sa chance à Zurich. C'est alors un jeune homme, sérieux et appliqué se passionnant pour Rimbaud portant costume croisé, cravate, manchette et lorgnon. À cette époque de début de conflit mondial, Zurich est devenu le refuge de jeunes proscrits, aventuriers de tous acabits, objecteurs de conscience et bolcheviques russes. Parmi eux, Hugo Ball, allemand déserteur, et agitateur professionnel. Il fonde un cabaret littéraire, qui se fera connaître sous le nom de cabaret Voltaire. Très vite, le succès est là, avec des soirées débridées, où se succèdent chansons, poésies, danses endiablées. Et comme le note Hugo Ball: "Une ivresse indéfinissable s’est emparée de tout le monde. Le petit cabaret risque d’éclater de devenir le terrain de jeu d’émotions folles. Nous sommes tellement pris de vitesse par les attentes du public que toutes nos forces créatives et intellectuelles sont mobilisées." L'aventure Dada a commencé par une fête, avec une formidable envie de danser, de hurler, et de ne plus dormir . Les jeunes gens finissent épuisés, mais grisés sur la scène du Cabaret. Et comme un tel tapage ne peut jamais s’arrêter, ils terminent souvent en petit comité dans la chambre de l’un d’entre eux. Et au milieu de ce joyeux charivari se dessine un mouvement littéraire radical qui va au fil du temps essaimer un peu partout, en Europe et même aux États-Unis et dont Tzara sera le promoteur. En 1916, sous l’impulsion de Tzara, une revue intitulée Dada 1 sort des presses. On y trouve des articles littéraires et poétiques. Cependant, dès son troisième numéro, Tzara y donne libre cours à ses convictions anarchistes en publiant son manifeste Dada 1918, qui prône le nettoyage par le vide, la destruction complète des valeurs officielles politiques et artistiques et leurs remplacement par un art nouveau, ouvert à la véritable utopie. Avec ce manifeste, qui a un énorme retentissement, Tazra a réussi ce qu’il souhaitait: devenir le maître d’œuvre du mouvement Dada. Zurich est une fête permanente et la police helvétique surveille attentivement ce peuple de déserteurs et de comploteurs. Comme beaucoup d'autres, Tzara est ainsi arrêté en septembre 1919, à la terrasse du café Splendid. Emmené au commissariat, il doit s'expliquer sur les raisons exactes de son séjour et sur ses fréquentations. Le jeune auteur est un nihiliste sans calcul qui a largué les amarres vers des rivages dont il ne sait rien encore. L'ensemble paraît bien sage et s'inspire fortement de l'esthétique cubiste ou expressionniste. En 1920, la paix revenue, Tzara débarque à Paris, trouve refuge chez Picabia et commence à montrer toute l’étendue de son savoir-faire en matière d’organisation. Ses liens avec le surréalisme et Breton vont n’être, le temps passant, qu’une suite de scènes d’amour et de ruptures, entre ces deux personnalités antagonistes, l’une autoritaire et dictatoriale, et la seconde, jalouse de son individualisme et se voulant toujours au premier rang. Et finalement, c’est Tzara, le temporisateur, qui va prendre la tête du surréalisme après la fin du mouvement Dada et il continuera d’être un rouage essentiel du parisianisme de l’époque. C'est un tout jeune homme de petite taille, très myope, arborant monocle fréquentant le "Bœuf sur le Toit" et Montparnasse en compagnie d’allemandes androgynes et d’étrangères excentriques comme Nancy Cunard. La poésie restera toute sa vie sa passion première, dans les années 1930, il continuera de prôner en matière de poésie pratiquement les mêmes règles qu’au temps du Cabaret Voltaire: "La poésie ne pourra devenir uniquement une activité de l’esprit qu’en se dégageant du langage et de sa forme." Il a d’autres passions, comme la mythologie et surtout les arts primitifs africains, océaniens et amérindiens. Collectionneur, il se constitue un riche ensemble de statuettes et de masques. Pendant la seconde guerre mondiale, il est poursuivi par le régime de Vichy et la Gestapo, et doit être maintenu dans la clandestinité pendant deux années, où il collabore avec la résistance. En 1947, il obtient la nationalité française. En 1960, il signe la déclaration sur le droit à l'insoumission lors de la guerre d'Algérie. Et il restera fidèle jusqu’à la fin de son existence à ses convictions politiques, toutes proches du parti communiste, malgré les soubresauts doctrinaux imposés, un temps par les soviétiques à l’encontre du surréalisme. Tristan Tzara épousa l'artiste et poète suédoise Greta Knutson. Il s’éteignit le 24 décembre 1963 dans son appartement parisien, rue de Lille et repose au cimetière du Montparnasse. "De tes yeux aux miens le soleil s’effeuille sur le seuil du rêve sous chaque feuille il y a un pendu, de tes rêves aux miens la parole est brève, le long de tes plis printemps l’arbre pleure sa résine, et dans la paume de la feuille je lis les lignes de sa vie" Bibliographie et références: - René Lacôte, "Tristan Tzara" - Cristian Anatole, "Le dadaïsme et Tzara" - Marc Dachy, "Tzara, dompteur des acrobates" - Henri Béhar, "Dada est tatou" - François Buot, "Tristan Tzara" - Christian Nicaise, "Tristan Tzara" - Laurent Lebon, "Dada" - Núria López Lupiáñez, "La pensée de Tristan Tzara" - Petre R?ileanu, "Les avant-gardes en Roumanie" Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 06/09/20
Il est 4h30. Le silence. Apaisant mentalement. Pour la douleur physique, il faudra plus de temps. Je viens d’achever une grosse partie du ménage. Débarrasser les cadavres de bouteilles de champagne, les verres, la vaisselle, vider les cendriers, nettoyer et ranger les accessoires de tortures dont mes Maîtresses, de jeunes étudiantes dominatrices, ont usé sur moi durant des heures. Il ne me reste que l’aspirateur, impossible à passer à cette heure. Mes Dominas d’une nuit sont parties vers 3h. Maîtresse Chloé dort, j’ai ordre de ne pas la déranger. Elle n’a pas cours aujourd’hui. Journée pédagogique. La plupart des professeurs sont en formation. J’y échappe miraculeusement, et je dispose moi aussi d’une journée off. Elle ne sera pas de trop pour récupérer de cette nuit folle. Le dernier gage, celui non limité dans le temps, m’a laissé des marques. Pour plusieurs jours sans aucun doute. Je porte les stigmates de ma soumission, pour le plus grand plaisir de Maîtresse Chloé. C’est elle qui a utilisé la canne. Et mes fesses en portent les stries violacées. Toutes mes Maîtresses ont abusé de moi. Le dernier gage, sans limite de temps, consistait à m’utiliser pour leur jouissance, sans aucune restriction. Autrement dit, à me faire subir tout ce qui leur passait par la tête. J’ai léché, sucé, j’ai été utilisé comme god vivant, mes reins ont été violés sans ménagement, j’ai bu leur champagne, nettoyé leur liqueur, j’ai reçu la cravache, le martinet, la fessée, encore et encore lorsqu’elles ne me jugeaient pas assez performant. Et pour finir, j’ai du me masturber, face à elles, et jouir sur le string noir de Maîtresse Christelle qui avait eu la chance d’être tirée au sort. String que j’ai ensuite léché longuement pour le nettoyer. La fin de soirée n’a été que cris de plaisirs et d’excitation, gémissements, cris de douleur pour moi, humiliations, coups, utilisation sexuelle et jouissance finale tout en éclatant en sanglots. Je reste dans ce silence, dans le noir. en fumant une cigarette retrouvée sur une table. En fait, je sais que je n’ai pas ce droit, mais Maîtresse Chloé n’est pas prête de se réveiller, aussi je prends ce risque. Je n’ai aucune consigne pour la réveiller à une heure précise, aussi je dois me tenir prêt. Mais je suis certain d’avoir quelques heures devant moi, pour plonger dans un sommeil réparateur. Je suis à bout, épuisé physiquement et mentalement. Je sens le cul, la jouissance, je me sens sale, imprégné des parfums de mes Maîtresses. Mais j’aime cela. Je sais que cette nuit marquera un tournant dans ma condition de soumis, d’esclave. Je ne saurais l’expliquer mais je le sens. Tout à l’heure, en me réveillant, je ne serai plus le même. Je programme mon réveil à 10h. En espérant que Maîtresse Chloé ne se réveille pas avant moi, mais j’estime les chances assez faibles au regard de la quantité de champagne ingurgitée cette nuit. 5 heures 30 plus tard, douché, épilé, je suis en dessous sexy, bas et serre-taille en vinyle noir à jarretelles en train de passer l’aspirateur. Je n’ai pas entendu Maîtresse Chloé se lever. Elle m’observe sur le pas de la chambre lorsque je croise son regard. D’un geste elle m’ordonne de cesser. Elle s’approche sans un mot et tourne autour de moi en laissant aller ses doigts sur ma taille emprisonnée dans le vinyle. -Hmmmmm mais tu t’es faite belle ma petite soumise…. j’adore te voir travailler dans cette tenue… Viens, suis-moi, tu vas me laver. Je sens la baise et j’ai horreur de ça au réveil. Ensuite tu me prépareras un café. Allez… Maîtresse Chloé prend tout son temps son la douche. Je la lave, la masse longuement sous l’eau chaude puis la sèche le plus doucement possible. Nous sommes tous les deux dans un état de fatigue avancée. Et quelque chose de très spécial flotte dans l’air. Une certaine tendresse j’ai l’impression. Je sens son trouble et cela renforce le mien. Je ressens cette sensation étrange depuis que je l’ai surprise à m’observer. -Hmm merci ma petite chatte… j’aime quand tu es doux avec ta Maîtresse. Viens, à genoux, j’ai envie ! Je colle ma bouche à son sexe et boit son champagne. Cela me dégoutte de moins en moins et je suis presque fier que Maîtresse Chloé m’accorde ce privilège. -Lave toi gourmande…. et rejoins moi dans la cuisine. Vite ! Je rejoins ma Maîtresse et lui fait couler son café. Elle me regarde sans dire un mot. Presque amoureusement je trouve. Maîtresse Chloé déguste son nectar noir lentement, debout face à moi. Je garde le regard baissé, comme Maîtresse Caroline m’a appris à le faire. Maîtresse Chloé se rapproche, et tout en buvant, commence à caresser ma queue. Je porte encore quelques marques de cravache, bien rouges. Je suis très sensible et je gémis de douleur lorsque ses doigts, bien que très doux, me font bander très dur. Elle m’effleure à peine, s’amuse avec ses ongles sur mon gland, prend ma hampe à pleine mains pour quelques allers et retours lents. -C’est notre dernière journée, seuls tous les deux ma petite soumise. Maîtresse Caroline, TA Maîtresse, rentre demain. Elle ne sera pas seule. Je ne t’en dis pas plus. J’ai envie de profiter de cette journée, de vraiment en profiter tu sais. Je ne sais pas quand tu seras de nouveau à moi pour plusieurs jours. Aujourd’hui, je veux que tu sois totalement à moi. Ton corps et ton âme. Aujourd’hui je veux que tu m’aimes. Regarde moi petite soumise…! Je lève mes yeux et plonge mon regard dans celui de Maîtresse Chloé. J’y lis beaucoup de douceur, de tendresse… et cela me bouleverse. Sans doute l’effet de la fatigue. Je me sens à fleur de peau, rempli d’émotions incontrôlables. Son visage se rapproche et ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Un baiser infiniment doux. Nos langues se trouvent et nous nous embrassons passionnément. Je n’ose prendre ma Maîtresse dans mes bras, c’est elle qui attrape mes mains et les poses sur ses fesses. Je me laisse aller, redevient « homme ». Sans un mot, en nous embrassant, nous caressant, en riant aussi, Maîtresse Chloé m’entraîne vers la chambre. Je porte toujours mes bas et mon serre-taille, ainsi que mes longs gants de vinyle. Je suis allongé sur le dos, Maîtresse à mon côté, en appui sur un coude. Elle caresse mon corps lentement. Mon torse, mon ventre luisant et noir, ma queue dure. Nous nous embrassons encore et sa bouche quitte la mienne, descend, lèche, embrasse, effleure, agace…. je manque de jouir lorsque ses lèvres se posent sur mon gland, tant la sensation est intense. Je râle, gémis de plaisir sous la fellation douce, lente, de ma Maîtresse. -Chuuutttt doucement… résiste… aujourd’hui je veux faire l’amour… toute la journée…. retiens toi… ! Maîtresse Chloé replonge sur sa proie et l’engloutit. J’arrive à ne pas céder. Elle abandonne ma hampe et vient s’allonger sur moi. Sa main me saisie et me dirige, et lentement je sens la chaleur de son ventre m’absorber. Baisers lents et profonds, au rythme de ses va-et-vient sur moi. Je me laisse aller, et les larmes coulent sans que je puisse rien y faire. Je lui souris, je gémis de plaisir, de bonheur instantané, je l’embrasse, caresse ses fesses, les attrape pour mieux l’attirer sur moi. Nous faisons l’amour longuement, lentement. Maîtresse Chloé jouit la première. Je n’ose pas, pas sans son accord. Maîtresse reste empalée sur moi. Elle m’embrasse doucement, en retrouvant son souffle et me murmure… -Viens, jouis en moi… tu as le droit…! Elle recommence, très très lentement, à me chevaucher. Quelques va-et-vient suffisent tant je suis au bord de l’explosion et ultra sensible. Je jouis en elle, longuement. En cet instant précis, nous nous aimons, intensément.
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Par : le 05/09/20
Maîtresse Christelle et son soumis m’abandonnent. La porte se referme, à clé, et je reste à genoux, épuisé, le visage maculé de foutre. Je suis dans un état second. Ensuite, le temps passe, lentement, et nulle autre cliente ne se présente. J’en suis presque déçu. Enfin, la sonnerie qui marque la fin de la journée retentit. Et Maîtresse Chloé vient me délivrer… -Wouahouh… ça pue le cul ici. C’est intenable ! Alors ma salope, on a bien travaillé ? Maîtresse Chloé ne me laisse pas le temps de répondre et me jette mes affaires « civiles » au visage. -Tu as 3 minutes pour être présentable ! De retour à l’appartement, Maîtresse Chloé m’ordonne de me doucher, puis de la rejoindre au salon. Cependant, elle m’autorise à prendre mon temps dans la salle de bains. Chose rare, car mes passages y sont généralement minutés. Je reprends peu à peu des forces sous l’eau chaude, et mon esprit tente de faire le bilan de ce que je viens de vivre. Je suis forcé de reconnaître que j’ai aimé cela. J’ai aimé être offert à ces jeunes femmes et à cet homme. J’ai aimé n’être qu’un objet de plaisir, un esclave que l’on baise, que l’on utilise. L’humiliation, la douleur, la perversité de ces instants uniques m’ont amené au bord de la jouissance. Plus cérébrale que physique. Et c’est un nouveau monde pour moi. Comme une nouvelle libération. Un stade supérieur dans ma soumission, aux pieds de mes Maîtresses. Ensuite, je rejoins Maîtresse Chloé au salon, comme ordonné. J’ai passé une tenue minimale, préparée par ma Maîtresse : bracelets de cuir à mes poignets et mes chevilles, collier large et cagoule de latex. Rien d’autre. J’ai lutté contre l’envie de me caresser. Le contact de l’eau et les souvenirs de mon abattage m’ont fait bandé. C’est, ainsi, la queue dressée que je viens m’agenouiller devant ma Maîtresse, dans la posture de présentation. -Hmmmm je vois que la séance de cet après-midi ne t’a pas fait perdre ta vigueur ma chienne. As-tu joui ? -Non Maîtresse. -Debout, et approche…. J’obéis, et viens me présenter devant Maîtresse Chloé. Elle saisit ma queue et commence à me masturber lentement. Puis de son autre main, elle vient caresser mes testicules, gonflées à éclater. -Tu es bien plein ma petite salope… depuis combien de temps n’as tu pas été vidangé ? Cinq jours Maîtresse Chloé. Hmmm il est temps de te traire, mais ne crois pas que je vais faire le boulot…. J’attends Christelle, et je crois qu’elle vient accompagnée. De qui, je ne sais pas. L’heure de la traite n’a pas encore sonné dit-elle en éclatant de rire. En attendant, déchausse moi, et occupe toi de mes pieds. Ils ont besoin d’un bon coup de langue. Je lui ôte ses bottines, puis ses bas, et je commence ma vénération de ses divins pieds. Car ils sont vraiment divins. Fins, racés, doux… Je ne suis pas un fétichiste des pieds mais j’avoue qu’user de ma bouche, de ma langue sur ceux de mes Maîtresses me trouble profondément. Et j’y mets toute mon ardeur, tout mon désir de bien faire. Tout mon amour oserais-je dire. Maîtresse Chloé savoure mes caresses et se laisse aller dans son fauteuil. J’aime intensément ces instants, pendant lesquels je peux voir le plaisir que je donne à ma Maîtresse. C’est une totale satisfaction de soumis que de la regarder s’abandonner et apprécier mon travail. Ainsi, je redouble d’application, suce, lèche entre les orteils comme Maîtresse Chloé adore, pendant que des mes mains je lui masse la plante des pieds. La séance de vénération est interrompue par la sonnerie de l’entrée. J’abandonne à regrets ses pieds pour aller ouvrir. Maîtresse Christelle entre la première, et je me jette à ses pieds pour les baiser en lui souhaitant la bienvenue. D’autres escarpins suivent, sans que je puisse voir à qui ils appartiennent. Je les baise également en signe d’allégeance et de bienvenue. Et avant que je ne puisse refermer la porte, c’est une paire de ballerines qui entre, suivie par une autre paire de talons-aiguilles. Baisers, paroles de bienvenue, prosternations. Ensuite, je me redresse et conduis les invitées au salon. Je réussis à glisser un rapide coup d’œil. Céline, Nadia et une troisième jeune femme que je crois être Sophie. Trois de mes clientes de cet après-midi. Heureusement pour moi, elles ne peuvent me reconnaître, ou plutôt m’identifier. -Hmmm Chloé, tu as vraiment de la chance d’avoir cette pute à domicile. Et toi aussi Christelle, j’ai cru comprendre que tu en profites pas mal ! C’est Céline qui a parlé. Céline qui a baisé mon cul avec une infinie douceur. Merci les filles, de nous inviter à en profiter encore. Maîtresse Chloé réclame le silence, difficilement, au milieu des éclats de rire. -Ce soir, nous allons jouer. Avec notre salope bien entendu. J’ai préparé plein de petits papiers. Vous allez écrire dessus tout ce que vous avez envie de faire et de faire subir à notre petite chienne. Un gage par papier. Ainsi, au cours de la soirée, nous tirerons chacune à notre tour un bulletin dans cette boîte. Et celle qui tirera devra désigner celle qui appliquera le gage. En attendant, Puta va nous servir le champagne et les petits fours. Que la fête commence ! Ces Dames discutent de choses et d’autres, des cours, de mecs. Rires de plus en plus forts, au fur et à mesure que le champagne coule. J’ai très régulièrement droit à une claque sur mon cul, une caresse appuyée sur la queue ou mes couilles. Maîtresse Christelle, assise confortablement dans le grand fauteuil, m’a administré une fessée, sur ses genoux, pour me chauffer a t-elle dit. Maîtresse Chloé réclame une nouvelle fois le silence. -Il est temps de commencer le jeu ! Sophie, le tirage au sort t’a désignée. A toi d’ouvrir le bal des supplices ! Sophie tire un bulletin, et le lit à haute voix, en ménageant son suspens… -Le premier gage pour notre salope sera…… 3 minutes de léchage de cul ! Et je désigne Céline ! Applaudissements, rires… Céline ôte sa jupe, elle ne porte rien dessous. -Allez ma lécheuse, viens me montrer ce que tu sais faire ! Elle se met à quatre pattes sur le canapé et je viens me placer derrière elle. Ensuite, je lèche délicatement son oeillet, enfonce timidement ma langue. Céline semble apprécier. -Plus fort la chienne… bouffe moi bien la rondelle ! J’obéis, pendant que Maîtresse Chloé garde un oeil sur le chronomètre. Ma Maîtresse délicieuse gémit sous mes coups de langues plus appuyés. Une main sur ma tête, elle maintient mon visage plaqué entre ses globes. -Top ! 3 minutes ! Céline proteste, arguant qu’elle commence à peine à être excitée. -C’est à toi de tirer un bulletin Céline ! -Et le gage est … 10 coups de cravaches, Et je désigne…. Nadia ! Nouveaux applaudissements. Ainsi, Nadia m’ordonne de prendre place au centre du salon. Debout, mains sur la tête, cuisses écartées. Elle prend son temps, tourne autour de moi. Mes autres Maîtresses se sont installées pour profiter du spectacle. -Compte petite pute… et remercie ta Maîtresse à chaque coup ! Le premier s’abat en travers de mes fesses. Nadia a frappé fort et je lâche un cri, oubliant de remercier. -Petite pute…. on reprend à zéro ! Ensuite, elle enchaîne 4 coups, salués par des salves d’applaudissement. Je n’oublie pas de compter cette fois, j’encaisse difficilement car Nadia à la main lourde. -Ecarte mieux tes cuisses, salope ! Mes jambes tremblent. Mes reins irradient de douleur et j’appréhende en sentant le cuir caresser l’intérieur de mes cuisses. Nadia prend son temps, effleure à nouveau mes fesses, fait glisser la cravache sur mon ventre, ma poitrine… puis un coup sec sur ma queue bandée. Hurlements de joie des spectatrices. Je me plie en deux sous le coup de la douleur. -Debout, tiens ta position soumis ! -Cinq.. merci Maîtresse Nadia ! -Christelle, tu veux bien te mettre derrière lui et lui tenir les bras s’il te plaît ? Voilà… Sophie, Céline, tenez ses chevilles, bien écartées… les 5 derniers pour ses couilles ! Prêt à encaisser petite salope ? Je hurle de douleur et mes jambes cèdent. Seule Maîtresse Christelle, en me tenant les bras dans le dos, m’empêche de vraiment m’effondrer sur le sol. Je suis tétanisé et j’ai peur. La violence de mes Dominatrices vient de franchir un cran. Et je bascule dans un autre monde, dans lequel je réalise pleinement ce que je suis : un jouet. Que l’on martyrise pour s’amuser. Peu importe ce que je peux ressentir, mon ressenti n’a justement pas sa place, il n’existe pas aux yeux de mes Maîtresses d’un soir. Effet de groupe ? De l’alcool qui coule à flots ? Sadisme communicatif ? Leur excitation semble croître de concert avec ma douleur. La soirée sera longue, douloureuse, et je redoute vraiment ce que mes Maîtresses dominatrices vont inventer, tant la notion de limite me parait inexistante ce soir. Nadia se penche vers moi : -Alors ma petite chienne…. on a mal à ses petites couilles, hein ? Elle explose de rire avant de tirer à son tour un gage. -Hmmmm intéressant, dommage que je ne sois pas tombée sur celui là ! Le gage suivant est…… 10 minutes de sodomie ! Et je désigne….. Christelle ! -J’ai le choix de mon arme ? répond l’intéressée. -Bien sûr… Chloé, montre-lui ta collection s’il te plaît. Je suis sûre que tu as le gode-ceinture parfait pour baiser notre salope… -Hmmm je crois que je sais lequel Christelle va choisir. Nadia a vu juste. Christelle ne prend que quelques secondes pour faire son choix. Elle jette son dévolu sur le plus beau et le plus gros. Maîtresse Caroline ne m’a prise que rarement avec celui-là. Et Maîtresse Chloé ne l’a utilisé qu’une fois. Noir, luisant, un gland énorme… Maîtresse Christelle s’harnache avec l’aide de Céline. -Ma pute, tu vas goûter au plaisir de te faire prendre par ta Maîtresse. Enfin, peut-être que le plaisir ne sera que pour moi…En position, à quatre pattes sur la table basse, et offre bien ton cul, je te veux cambrée comme une chienne qui a envie de se faire saillir. Aller, ta petite chatte n’attend que cela j’en suis sûre… » Je me positionne selon les ordres de Maîtresse Christelle. Je me cambre au maximum, espérant secrètement que mon obéissance parfaite rendra Maîtresse Christelle plus clémente. Mais j’en doute, connaissant sa capacité à se montrer sans pitié. Mes 5 Maîtresses m’entourent, elles sont toutes sous l’euphorie de l’alcool et totalement désinhibées. Je sens leurs mains sur mon corps, je ne sais plus laquelle appartient à qui. Une main se glisse sur mon torse et me travaille le téton, l’autre ouvre mes fesses pour mieux offrir ma petite chatte à Maîtresse Christelle, une autre empoigne mes couilles et les étire ce qui me fait gémir de douleur, je n’ai pas encore récupéré des coups infligés par Nadia. J’implore la pitié de mes dominatrices. Maîtresse Chloé consent à me préparer : -Attends Chris, faut le lubrifier correctement, sinon tu vas le déchirer… Et Caro va me pourrir si jamais je lui abîme son jouet préféré..! Je sens l’embout de la bouteille de lubrifiant forcer mon anneau, et le liquide froid couler abondamment. Plusieurs fois, elles me massent, s’enfoncent, m’ouvrent sans aucune douceur. Je gémis et me tortille, tentative vaine pour échapper à mes tourmenteuses. Je prends une série de claques sèches sur mon cul, pour me faire tenir tranquille. Puis le silence se fait. Maîtresse Christelle caresse mon anus avec le gland de son gode-ceinture. Mes cinq Maîtresses retiennent leur souffle.. Nadia murmure ses encouragements, non pour moi, mais pour Christelle : -Hmm vas-y Chris, baise le bien, force encore.. regarde, il commence à s’ouvrir… C’est fascinant, je crois que c’est le plus beau spectacle du monde, le cul d’un soumis qui accueille le sceptre de sa Maîtresse !!! Éclat de rire général…. L’excitation te rend poète Nadia ! rigole Maîtresse Chloé. Maîtresse Christelle s’impatiente, elle a beau forcer, le gland est trop gros, et mon anneau refuse de céder. Je gémis de douleur, je suis à la limite de craquer. Je fonds en larmes et j’ose implorer la pitié de mes Maîtresses… erreur. Maîtresse Chloé rentre dans un colère noire : -Ta gueule sale chienne, personne ne t’a autorisé à t’adresser à nous. Tu es là juste pour notre plaisir, t’as pas encore compris ? Tu n’es rien ! Un esclave, une chose pour qu’on s’amuse ! Christelle, baise-le, vas-y. défonce moi cette sale petite pute, qu’elle comprenne une bonne fois pour toutes ! Attends qu’on se retrouve toutes les deux, salope, tu m’as fait honte devant mes amies, tu vas prendre une bonne raclée pour t’apprendre le respect. Crois-moi. Vas-y Chris, encule-le ! Maîtresse Christelle n’hésite pas. Elle appuie plus fort et force. Je hurle en sentant mon anneau céder. Mes Maîtresses encouragent Christelle comme si elles étaient au stade , alors que Maîtresse Nadia déclenche le chrono: -Top, c’est parti ! Vas-y, à fond, défonce-la… encule-la plus profond cette salope… Encore, baise-la au maximum… Allez Christelle, allez Christelle, allez Christelle !!! Elles se laissent griser, emporter dans leur délire sportif. Maîtresse Christelle s’enfonce jusqu’à venir coller ses hanches contre mes fesses. Je crie sans discontinuer, à moitié étouffé par le string trempé de liqueur que Maîtresse Céline a fourré dans ma bouche. Je pleure de douleur, le corps tremblant, tétanisé par cette sodomie brutale. Maîtresse Christelle se retire entièrement et me force à nouveau. Insoutenable. Je suis au bord de l’évanouissement, totalement ailleurs, assommé par la douleur, les cris de mes Maîtresses, l’humiliation jamais ressentie. Maîtresse Christelle joue avec mon cul, se retire, rentre, alterne lenteur et baise brutale. Commentaires crus des spectatrices, claques sur mon cul, ordres qui fusent en tous sens… -Cambre toi la pute, empale toi bien sur sa queue… hmmmm mais c’est qu’elle aime ça regardez les filles, elle est bien ouverte notre chienne… vas-y Chris, baise là encore plus fort… il te reste 3 minutes, défonce la ! -Top ! Terminé ! Maîtresse Christelle se retire une dernière fois. Je ne sens plus mes reins, je me sens béant, comme anesthésié… je tiens à peine en appui sur mes bras et mes genoux. -Debout esclave, nos verres sont vides, allez… abreuve tes Maîtresses ! L’ordre vient de Chloé, et ne souffre aucune rébellion. Je me relève, chancelant, j’ai mal et je peine à me diriger vers la cuisine, prendre du champagne au réfrigérateur. Étonnamment, je bande. Dur. Les deux pilules bleues que mes Maîtresses m’ont déjà fait avaler font leur effet. Ma queue se dresse comme jamais, ce qui fait hurler de rire mes Maîtresses… -Regardez les filles, elle en veut encore notre salope, elle est toute excitée… va falloir qu’on s’en occupe : rigole Sophie. -T’inquiète Soph, il reste encore un gage…. tu vas voir, on va se régaler ! La soirée n’est pas finie ! : commente Maîtresse Chloé. Je reviens chargé de champagne frappé et j’assure le service, en prenant bien garde de n’en renverser une goutte, sous peine de punition. Et dans l’état de déchaînement de mes Maîtresses, je ne sais ce qu’elles seraient capables de m’infliger. Maîtresse Christelle demande le silence : -Chères amies, je crois que notre soumis a droit lui aussi de boire un coup. Et je crois que Céline a très envie, n’est-ce pas ? -Oui… je n’en peux plus. Le champagne me fait un effet terrible, j’ai trop envie là… ! -Allez la chienne, va chercher une coupe pour toi ! Je reviens avec une flûte à champagne propre et la tend à Maîtresse Céline. -Vas-y Céline, soulage toi. Notre petite salope a très soif, n’est-ce pas ? Je tarde un peu trop à répondre, et Maîtresse Chloé me cingle le reins d’un coup de cravache. -Oui Maîtresse, j’ai très soif, je vous remercie de m’offrir à boire votre champagne ! Céline a rempli mon verre et le dépose sur la table basse du salon. Entouré de mes Dominas, je viens à quatre pattes boire mon dû. Humiliation maximale. J’ai un haut le coeur, je n’ai jamais aimé l’urine, cela me dégoutte. Maîtresse Caroline affirme qu’un bon soumis doit déguster le champagne de sa Domina, il doit l’adorer, l’espérer, c’est un honneur que de le boire. Mais je n’arrive pas à m’y faire. Sauf que je n’ai pas le choix. -Allez, ne fais pas ta mijaurée.. avale et remercie comme il se doit Maîtresse Céline ! J’avale d’un trait, tant bien que mal et je remercie Maîtresse Céline pour sa liqueur précieuse. Je ne me sens plus rien, je ne suis plus rien. Rien d’humain à mes yeux. Je suis brisé, du moins c’est ce que je ressens. J’atteins un stade où je suis prêt à subir n’importe quoi, plus rien ne m’importe. Ni ma condition, ni la souffrance, ni les conséquences. Maîtresse Chloé me regarde longuement puis lance le départ du dernier gage, un gage non limité dans le temps précise t-elle, qui marquera la fin de la soirée. Je n’ai plus aucune idée de l’heure qu’il peut être. Une nuit sans fin, à souffrir pour le plaisir de mes Déesses.
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Par : le 05/09/20
Sa queue me semble hors norme. J’ai déjà sucé deux beaux membres, ceux des deux livreurs à qui m’avait offert Maîtresse Caroline. Mais là c’est un autre calibre. Je l’embrasse du bout des lèvres, le lèche à petits coups pour en appréhender toute la grosseur. Je ne saurais décrire le désir trouble qui m’étreint à ce moment là, accroupi dans les toilettes, habillé comme une chienne bonne à baiser, enchaîné aux tuyaux par mes étudiantes dominas. J’ai envie de donner du plaisir à cette queue qui s’offre à ma bouche. Et la Maîtresse du soumis que je suce ne manque pas de le remarquer : -Mais c’est que tu as bien progressé dis-moi. J’avais vu que tu aimais ça sur la video. mais là je suis impressionnée. Tu es devenue une vraie pro de la suce… !!! Christelle, c’est bien sa voix que j’avais reconnue. Ma Maîtresse, ou plutôt mes Maîtresses, mes étudiantes dominas, c’est une chose. Mais elle…. Peut-être est-ce parce qu’elle appartient au personnel administratif de l’école, peut-être parce qu’inconsciemment je la considère plus comme une adulte. Je ne sais pas, mais le fait qu’elle me domine, et surtout qu’elle sache qui je suis vraiment m’humilie avec une intensité inégalée. Ses mots me brûlent et me transpercent. Et si les larmes perlent à mes yeux, ce n’est pas uniquement à cause de la colonne de chair qui me fouille la gorge. Je me concentre entièrement sur ma fellation, comme pour oublier mon humiliation, la chasser de mon esprit. J’ai envie de donner du plaisir à cette queue, je veux la faire jouir. Je veux son miel, comme une victoire pour la petite salope en chaleur que je suis devenue grâce à mes Maîtresses, mes étudiantes dominas. Mais ma Domina perverse n’est pas de cet avis. Christelle ordonne à son soumis de se retirer de ma bouche et à moi de me redresser, face au mur, cul bien offert et cambré : -Il est temps de donner du plaisir à sa petite chatte… Vas-y, encule là, elle n’attend que cela, n’est pas la chienne ? Silence. Ma réponse tarde. Quelques secondes de trop pour Maîtresse Christelle. Ainsi, elle attrape mes couilles entre mes cuisses et serre : -Je t’ai posé une question salope…! Je gémis de douleur. -Tu as envie de te faire enculer ? J’articule difficilement un -"Oui Maîtresse ! " -Demande-le mieux que cela au mâle qui va te baiser la chatte. Tiens retourne toi, frotte toi contre lui comme une bonne femelle en chaleur. Montre lui que tu en crèves d’envie. Caressez-vous et embrassez vous les putes, j’ai envie de vous regarder. Excitez moi bien mes salopes !!! Son soumis m’attire à lui et fourre sa langue dans ma bouche. Les hommes ne m’attirent pas. Ne m’excitent pas. Et je n’ai jamais ressenti le désir d’embrasser un homme, de caresser amoureusement, avec un désir intense, leur corps. Seule l’idée de soumission à une queue m’excite. Toucher, caresser, embrasser, sucer une queue cela fait bouillir mes sens. Me comporter avec un homme comme je sais me comporter avec une femme, j’en suis incapable. Aussi, j’ai un mouvement de recul qui n’échappe pas à Maîtresse Christelle. La réaction est cinglante, sous la forme d’un coup de cravache brutal sur mes fesses. Suivi par sa voix, dure bien que murmurante, à mon oreille : -Si je veux que tu sois sa femelle amoureuse, tu deviens sa femelle amoureuse… ne m’oblige pas à enlever ta cagoule et à te laisser visage nu pour l’heure qu’il te reste à passer ici. Tu as vraiment envie que tout le monde sache ? -Non Maîtresse, pitié, s’il vous plaît…. -Alors à toi de jouer ma chienne ! Je pose mes mains sur la taille de mon « amant » et je viens me coller à lui. Maladroitement, je pose mes lèvre dans son cou. Ensuite, je laisse mes mains descendre sur ses fesses, je frotte ma queue contre lui. J’ai envie de sexe, vraiment envie. Et cette envie s’ajoute à la peur que j’ai de voir mon identité révélée. Elle la dépasse même, rapidement. Les encouragement de Maîtresse Christelle m’y aident beaucoup : -Hmmmm bien… frotte toi bien contre lui, embrasse-le… suce ses tétons pendant que tu le masturbes, il adore ça…. c’est bien ma salope, laisse toi aller totalement. Tu es une femelle qui a envie de son étalon black. Dis-lui….. Je suis en plein délire sexuel. Envoûté par la voix de Maîtresse, submergé par mon désir de cul, par mon besoin de cul. J’embrasse à pleine bouche, je joue de la langue avec la sienne, je la laisse descendre sur sa poitrine, je caresse ses fesses, ses couilles, je branle sa queue tout en lui disant mes envies. -Baise moi… je veux ta queue dans ma chatte, encule moi… hmmm viens, je veux te sentir… je suis ta pute… fais moi jouir, ouvres moi… remplie moi de sperme… j’ai trop envie. J’entends vaguement Maîtresse Christelle gémir de plaisir. Elle doit se caresser en se délectant du spectacle. Je me retourne et je tends mon cul vers son soumis, une main appuyée au mur, l’autre tenant sa queue maintenant recouverte d’un préservatif pour venir caresser mon œillet avec son gland. Il est si gros. J’ai peur d’être déchiré mais j’ai besoin de me faire baiser. Avec la cagoule qui préserve mon anonymat, mes Maîtresses me permettent de plonger au plus profond de mes fantasmes. Je n’aurais jamais été capable de leur avouer, de vive voix, face à elles. Mais là, plus rien ne me retient. Je peux les vivre, mettre à terre toutes les barrières psychologiques et morales qui sont encore en moi. J’ai réellement envie de lui. Le contact de la douceur de son gland sur mon anus m’électrise. Je sais que je vais souffrir lorsqu’il va me pénétrer, mais le désir est si fort. -Baise-moi ! Ses mains ouvrent mes globes et je sens sa pression. Lentement il m’ouvre. Je gémis de douleur, laisse échapper un cri. Maîtresse Christelle approche son visage du mien. J’entends ses halètements qui s’accélèrent. -Prends-le.. allez ma chienne, tu en as trop envie… ouvre toi pour lui ! Son gland franchit le barrage de mon anneau. Et il me pénètre lentement, jusqu’à la garde, encouragé par mon long gémissement ininterrompu. De douleur et de plaisir, je ne sais plus. J’entends le plaisir de Maîtresse Christelle qui augmente. Au fur et à mesure que son soumis me baise plus vite, plus profondément. Ma Domina l’exhorte à me pilonner sans aucune retenue. En appui, les deux mains contre le mur, je subis cette sodomie violente, cette possession totale. Maîtresse jouit longuement alors que mon amant se déchaîne. Elle reprend son souffle et lui dit de se retirer. Sensation unique de vide. Elle lui arrache sa capote et lui ordonne de se branler pour décharger sa semence sur le sexe délicat de ma Maîtresse. Il jouit rapidement en grognant de plaisir. Puis Maîtresse plaque ma bouche sur ses lèvres maculées de foutre : -Nettoie-moi, et fais moi jouir encore !
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Par : le 02/09/20
Suite à cette séance je dormis aux pieds du lit de mes Déesses. Le réveil était programmé sur 6h. Après avoir préparé leur petit-déjeuner, je dus les réveiller chacune à leur tour en leur prodiguant un long cunnilingus. Maîtresse Christelle, prétextant que le matin était la meilleure heure pour faire du sport, entreprit de me chauffer au martinet. Elle s’amusa à me rougir le cul pendant que je léchais Maîtresse Chloé. Puis je dus également la faire jouir avec ma langue. Je ne portais toujours pas ma cage de chasteté, selon le désir de Maîtresse Chloé. Ainsi, je bandais dur, comme toujours à la vue du corps de mes sublimes Déesses et surtout de leur miel qui agissait sur moi comme le plus puissant des aphrodisiaques. La veille, je n’avais pas joui. 6 jours déjà, sans jouissance. Mes Maîtresses n’avaient aucune idée de la douleur que l’abstinence, doublée d’une excitation quasi permanente, pouvait engendrer. Je ressentais une douleur sourde, permanente, lancinante, qui vous prend tout le bas du ventre. Rien, sans doute, comparé à la douleur d’un accouchement. Je me souviens avoir lu un article sur la douleur des contractions. Une douleur qu’aucun homme ne connaîtra jamais, et que sans doute peu seraient à même de supporter. Aussi ce que je ressentais n’était rien, même si cela occupait pour l’heure tout mon esprit. Je fis jouir mes Maîtresses plusieurs fois, uniquement avec ma langue. Pendant que Maîtresse Christelle occupait la salle de bains, Maîtresse Caroline me fit m’agenouiller aux pieds du lit, face à elle. Cuisses ouvertes, mains dans le dos, regard baissé… position de présentation que j’adoptais depuis un certain temps mécaniquement, sans même y réfléchir. Maîtresse Caroline aimait à dire qu’elle m’éduquait comme un chien, qu’elle programmait mon cerveau d’esclave. Elle avait raison. Peu à peu j’avais acquis certains réflexes. Une routine finalement reposante. Nul besoin de réfléchir, juste obéir. Et c’est de cette routine, justement, dont Maîtresse Chloé voulait me parler…. -Petite chienne, il est temps de casser un peu nos habitudes. Cette fois tu vas servir en dehors de cet appartement. On va t’exposer !!! Tu vas voir, tu n’es pas au bout de tes surprises crois moi…. Allez, après moi tu passeras à la douche. Je t’ai préparé tes dessous. Tu vas avoir l’air d’une bonne salope, une bonne pute en chaleur. Par dessus, costard, comme d’habitude. N’oublies pas que tu as cours tout à l’heure. Maîtresse Chloé avait prononcé ces derniers mots sur un ton très ironique et je redoutais le pire. Jamais encore mes Maîtresses ne m’avaient exposé en dehors de l’appartement. Sauf une fois, dans ce garage au sous-sol froid, lorsque Maîtresse Caroline m’avait fait venir chercher à la gare par une de ses amies dominatrices. Ce fut la seule fois. Depuis, je servais toujours sur le terrain douillet et protecteur de son appartement, son univers qui était maintenant le mien. Etre exposé en dehors de ce cocon m’effrayait énormément. J’avais peur même si je faisais confiance à mes Maîtresses. 10h50, l’heure de gagner l’école. Sous mon costume noir, une tenue de pute, Maîtresse Chloé avait bien choisi : bas noirs à couture, corset porte jarretelles en latex, de couleur rose, plug… et dans un petit sac, une cagoule aveuglante également en latex, de même couleur ainsi que deux longs gants. Elle avait rajouté un gode-ceinture, de très bonne taille, ainsi que du lubrifiant, un collier de cuir lui aussi rose, une chaîne et deux cadenas. Mon esprit tournait à pleine régime. Pourquoi devais-je emmener tout cela à l’école ? Où allait-elle m’emmener après mes 2 heures de cours ? J’avais pour consigne, à 13h, de rester dans ma salle après le départ de mes élèves. J’appréhendais la suite. Maîtresse Chloé me rejoignit à 13h05, accompagnée par Christelle, dans sa tenue de secrétaire stricte, tailleur gris, chemisier blanc. C’était un uniforme qui lui allait merveilleusement bien et qui me faisait bander à chaque fois que je la croisais. -Ma salope, cet après-midi tu vas servir… Tu vas être réellement un esclave de plaisir. Tu vas prendre ton sac, avec tes jouets et me suivre. J’obéis, m’attendant à sortir de l’école pour me rendre dans un autre lieu. Mais Maîtresse Chloé se dirigea vers les toilettes des femmes. Elle m’y fit entrer discrètement, un sourire amusé sur son visage face à mon incompréhension totale. -Ma salope, entre là-dedans : me dit-elle, en me désignant les toilettes pour handicapés. -Déshabille toi, dépêche ! -Mais Maîtresse….! Une gifle me fit taire immédiatement. -Ta gueule, tu obéis, c’est tout. Je ne t’ai pas autorisé à parler que je sache ! Je m’exécutai rapidement. Maîtresse Chloé fit disparaître mon costume dans son sac puis elle m’enfila la cagoule, posa le collier sur mon cou et y fixa la chaîne, cadenassée à la fois à l’anneau de mon collier et à la tuyauterie des toilettes. -Voilà, tu ne vas pas te sauver comme ça… A genoux, regarde moi ! A partir de maintenant, et jusqu’à ce que l’on vienne te chercher, tu es à la disposition de quiconque pénètre dans ces toilettes. Tu obéis, sers, exécutes ! Tu lèches, suces, nettoies et surtout tu te tais ! Avec Christelle, nous avons prévenu un certain nombre de filles qu’un esclave sexuel serait à leur disposition, aujourd’hui. Tu n’imagines pas le nombre que cette nouvelle a excité ! Tu ne vas pas t’ennuyer à attendre la cliente je crois. Rassures toi ma petite salope qui bande déjà, Christelle a réussi à se procurer une clé. Tes utilisatrices n’auront qu’à se la passer entre-elles, ainsi pas de risque que tu sois découvert par hasard. Nous ne voulons pas de scandale, et nous tenons à ce que notre petite chienne personnelle reste à son poste de professeur…. Allez, je te laisse… Et attention, tu as intérêt à les satisfaire… Et qui sait, va savoir, tu auras peut-être d’autres surprises…. je sais que ces toilettes sont réservées aux femmes, mais… Je restai sans voix. Ainsi, elles me mettaient à la disposition des élèves, comme une salope qu’on emmène sur un chantier, pour qu’elle vide tous les ouvriers. Avant de sortir, Maîtresse Chloé avait disposé le gode-ceinture et le lubrifiant bien en évidence sur le lavabo. Et elle avait scotché une pancarte au dessus des toilettes : Pute à votre service. Abusez-en ! Elle me quitta, refermant à clé la porte derrière elle. Mon calvaire n’allait pas tarder à commencer. Je perdis rapidement la notion du temps. Ma première « cliente » arriva seulement quelques minutes après le départ de Maîtresse Chloé. Impossible de deviner qui était entré dans ces toilettes. Impossible de reconnaître sa voix. La cagoule déformait les sons et me privait de ma vue. -Wouahouh….. putain mais c’est dingue ! Elle avait murmuré et semblait ne pas croire ce qu’elle voyait. Elle s’approcha de moi, toujours à genoux, dans ma posture de présentation, cuisses ouvertes, mains derrière le dos, queue bien bandée. Maîtresse Chloé m’avait posé un cockring très serré, pour que je sois apte à bien satisfaire une cliente, selon ses propres mots, si l’une d’entre-elles avait envie d’une queue. Ou simplement de me travailler un peu. Toujours en murmurant, ma visiteuse m’ordonna de me relever. Ensuite, elle tourna autour de moi, laissant ses mains parcourir mon corps. Elle n’en revenait pas. -Et si je t’ordonne quelque chose, tu le fais ? Tu le fais vraiment ? -Oui Mademoiselle ! -Voyons voir…. dos contre le mur, branle-toi, très lentement ! Je m’exécutai pendant que je l’entendait se déshabiller. Je savais que je n’avais pas le droit de jouir, sauf ordre express d’une cliente. Elle se rapprocha lentement et, toujours en murmurant, m’ordonna de me mettre à genoux. -Lèche moi, fais moi jouir avec ta langue ! Elle m’offrit mon premier orgasme de cette journée de travail à la chaîne. Les sexes juteux s’enchaînèrent durant deux heures. Peu de ces jeunes femmes osaient ordonner autre chose que de les faire jouir avec ma langue. L’une m’avait même sucé, mais sans me permettre d’atteindre la jouissance. Ma queue me faisait terriblement souffrir. En effet, elle était gonflée à bloc, ultra sensible. Une autre s’était enhardie à me donner une fessée, et à jouer avec le plug qui remplissait mon cul. Aucune n’avait encore utilisé le gode-ceinture. J’étais surtout une langue obéissante, et mon visage avec ma cagoule de latex rose, était maculé de mouille. Dans l’ensemble elles avaient été plus surprises que vraiment perverses, mais je savais que cela ne durerait pas. A 15h, la sonnerie de fin de cours retentit. 15 minutes de pause. J’entends des voix, plusieurs, qui résonnent dans l’espace toilette réservé aux Dames. J’entends la serrure jouer, et plusieurs personnes entrer. Rires, commentaires, surprise… -On peut vraiment lui faire ce que l’on veut ? Lui donner des ordres ? -Essaye, tu verras… -Tiens, regarde, il y a une cravache, J’ai toujours eu envie de tester sur mon ex…. il l’aurait bien mérité. Soph, tiens-le par la queue, qu’il ne puisse pas bouger. Debout, mains dans le dos, enchaîné par le cou à la tuyauterie, aveuglé, je ne vois pas comment je pourrais fuir. On me retourne contre le mur, cul offert. Une main saisie la base de ma queue, et me maintient fermement. -Chuttt… ne bouge pas petite chienne… Ma copine va donner sa première fessée, et à la cravache en plus… j’espère que tu vas aimer! Avec une main inexpérimentée, il n’y a que deux possibilités : soit elle hésite et caresse, soit elle ne maîtrise pas sa force et fait mal, très mal. Cette Sophie, que je ne pensais pas avoir comme élève, appartenait à la deuxième catégorie. Grisée par la situation et par la présence de ses amies qui l’encourageaient, elle m’asséna une dizaines de coups, rapides, secs, forts. Je ruai et tentai de maîtriser mes cris de douleurs, avec plus ou moins de succès. -Ta gueule… tu veux qu’on se fasse choper ou quoi ? Vas-y, encore quelque uns, pour qu’il apprenne à la fermer. Et puis moi j’aime bien les marques que ça laisse… ça m’excite. Tu vas bientôt goûter ma chatte, esclave, je coule comme une fontaine ! Je n’avais pas reconnu la voix de celle qui me tenait maintenant par les couilles. Mais visiblement, elle avait un peu d’expérience en matière de domination, ou alors elle était faite pour cela. -A moi maintenant… il y a un truc que j’ai envie de faire depuis que j’ai vu son petit cul. Je meurs d’envie de le baiser. De l’enculer bien à fond. Céline, passe moi le gode-ceinture s’il te plait. Et le lubrifiant ! Céline. Si je ne me trompais pas, elle suivait mes cours, en deuxième année. Petite, menue, plutôt jolie avec un regard qui ne laissait pas indifférent. Si elle était là, ses deux amies, Sophie et celle qui me tenait fermement, devaient aussi être parmi mes élèves. Je n’avais qu’une hantise… qu’elles me reconnaissent. Pour l’instant, aucune n’avait eu l’idée de retirer ma cagoule. Peut-être que Maîtresses Chloé et Christelle les avaient briefées. Je sentis des mains écarter mes fesses, une autre retira le plug… -Hmmm regarde, j’hallucine, son cul reste bien ouvert ! Vas-y, doigte-le bien et remplit le de gel, je vais le défoncer ! Éclats de rire, trois doigts qui m’ouvrent. Je sens le gel froid qui coule. Ensuite, elles me remplissent directement en introduisant l’embout du flacon. Puis le gland qui se pose sur ma rondelle. -Allez… ma petite pute, je suis ton mâle, tend ton cul vers moi ! Dis nous que tu as envie de te faire enculer… Allez ! -Oui Maîtresse, j’ai envie de me faire enculer. Baisez moi le cul Maîtresse s’il vous plaît ! Putain, c’est une vraie chienne ! je crois que je n’ai jamais été excitée comme ça ! Ses mains sur mes hanches, le gode-ceinture s’enfonce d’un coup, jusqu’à la garde. Je crie mais une main posée sur ma bouche étouffe mon hurlement. Ma cliente me baise bien à fond, sans ménagement. Ainsi, elle se retire presque entièrement puis replonge entre mes reins. La sodomie brutale dure plusieurs minutes avant qu’elle ne cède la place à Céline. -Ta nouvelle Maîtresse est plus petite. Vas y ma salope, plie les jambes pour bien te mettre à niveau, offre ton cul mieux que ça ! Toujours cette voix que je ne réussis pas à identifier. La meneuse du groupe. C’est elle qui décide. Céline est donc plus petite, je dois avoir raison : c’est bien l’élève à laquelle je pense. Un intense sentiment d’humiliation s’empare de moi, moi le professeur soumis, je suis devenu la pute de l’école. Je suis attaché dans les toilettes pour filles et une de mes élèves est en train de m’enculer. Céline le fait avec douceur. Je la sens coulisser en moi, ses mains me caressent le dos, les hanches pendant qu’elle rythme sa pénétration. Une main se pose sur ma queue et me branle doucement. Je sens le plaisir monter. Ensuite, je me tends vers le gode et la Maîtresse du groupe le remarque : -Hmmm regardez les filles, elle vient se baiser elle-même sur ton gode Céline. Regardez comme elle aime ça… une vraie chienne en chaleur !!! Nad, tu veux la baiser toi aussi ? Nad. Pour Nadia, sans aucun doute. Deuxième année elle aussi. Grande, brune, un peu forte. Assez effacée comme élève. -Non… par contre je meurs d’envie de me faire lécher la chatte… A genoux esclave ! Nouvel éclat de rire général. Nadia m’ordonne ne m’accroupir, dos au mur, et vient coller son sexe contre ma bouche. Elle m’abreuve de son miel, abondant, et jouit rapidement. La troisième participante prend aussitôt sa place, suivie par Sophie. -Moi, j’ai surtout envie de pisser ! Tu dois avoir soif, la lécheuse, non ? Ouvre bien grand, et avale ! Son jet m’inonde la bouche, et j’ai du mal à surmonter mon dégoût. Son urine coule sur mon visage, mon torse…. -Hmmmm j’espère que tu apprécies mon champagne. Allez, maintenant, fais moi jouir. Et dépêche toi, on a cours ! La porte se referme. Je pue la pisse et le cul. Je n’ai pas le temps de m’apitoyer, la serrure joue à nouveau et deux personnes pénètrent dans les toilettes. -Lave-le ! La voix est féminine et je crois la reconnaître, sans certitude. La main armée de lingettes nettoyantes, qui passe et repasse sur mon corps, mon visage cagoulé, qui s’attarde sur ma queue, entre mes fesses, sur ma rondelle laissée nue par l’absence du plug, je ne sais pas. Aucun mot n’est échangé. J’entends une fermeture éclair, quelques gémissements. Deux mains appuient sur mes épaules pour me faire m’accroupir. -Vas-y, baise lui la bouche. Interdiction de jouir ! Aucun doute. C’est une Maîtresse et son soumis. Élève ou non ? Dans ma classe ou non ? Un gland énorme se pose sur mes lèvres, et ma langue, docile, vient à sa rencontre.
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Par : le 31/08/20
Les jumeaux sont assis sur le bord de l'oued, il y en a un qui a un petit appareil photo et l'autre son cahier de croquis et un crayon. Il ne leur manque qu'une caméra ! Maintenant, il faut qu'on fasse participer les cocus. Ah, si, appelons un chat un chat, on vient de se faire tirer par deux mecs virils sous leurs yeux, ils sont cocus, désolée. On va les gâter, tant que c'est chaud, si vous voyez ce que je veux dire. Non vous ne voyez pas ? Je leur dis : — Tous les deux couchés sur le dos. Là, vous voyez ! On s'accroupit au-dessus de leurs visages et on les fait participer, plus exactement, ils sont chargés du nettoyage. J'entends Djibril dire quelque chose en berbère à son cousin. Je ne serais pas étonnée qu'il lui dise "Ces Occidentales, y a pas plus salope." J'espère que le jumeau photographe réussit à bien prendre la bulle de sperme et de sécrétions qui sort de la chatte de sa belle-mère pour aller dans la bouche de son père. On termine en s'asseyant carrément sur leurs visages. Je comprends que Djibril et son cousin soient un peu scandalisés, dans leur culture, les femmes ne trompent pas leurs maris sous leurs yeux. D'ailleurs, il nous dit : — On va vous montrer où est votre place, les filles. Venez vous mettre à genoux devant nous. Je laisse à Josiane le soin de lui dire d'aller se faire foutre... Ah non, elle ne dit rien. Au contraire, elle obéit... Alors, moi aussi. On est dans leur pays après tout et surtout, ils sont grands, costauds et décidés. Il nous dit : — A votre tour de nettoyer. Ouah ! Bonne réplique. Bon, d'accord, on va leur faire plaisir. Alors on se retrouve toutes les deux avec une belle bite dans la bouche. Du côté des jumeaux on entend les "clic clic", de l'appareil photo et les "kkrriich kkrriicch" du crayon sur le papier. Ce qui est curieux, c'est que je ne retrouve pas le goût de ma chatte sur les sexes que je suce. Oh ! C'est le cousin, ils se ressemblent tellement qu'on s'est trompées. Bah, une bite c'est un bite, sauf que celle-ci a le goût de la chatte de Josiane. On est presque synchrones elle et moi, notre tête va et vient sur les bites dressées. Les jumeaux viennent voir de tout près. Faut bien qu'ils s'instruisent. Djibril nous dit : — Croisez les mains sur les reins, les filles. Il ajoute pour les jumeaux : — Voilà comment il faut traiter vos femmes ! Têtes des maris, qui iraient bien se cacher dans un trou de souris, ce qui va être difficile pour Robert qui doit approcher des 100 kg. Ce que Djibril ne comprend pas c'est qu'il y a des hommes qui aiment les salopes qui les trompent et les traitent... comme on les traite. Il nous dit : — Arrêtez de sucer, c'étais juste pour vous montrer votre place. Si on a envie de vous baiser, on claquera des doigts ! Il y va faire fort quand même, mais ni Josiane, ni moi n'ouvrons la bouche pour protester. Pour les sucer, oui, pour les remettre à leurs places, on se dégonfle ! En montant le sentier, Josiane me dit : — Je peux prendre ta place à l'arrière ? J'ai trop envie de me faire baiser. Bien sûr, j'ai aussi envie, c'est normal, mais j'ai aussi envie de voir Josiane avec Djibril et puis, je veux rester amie avec Josiane, je m'amuse avec elle. Je lui dis : — D'accord... — Merci Samia, je te revaudrai ça. Elle m'embrasse sur la bouche. On monte dans la voiture. Le cousin conduit, Julien est assis à côté de lui. Je suis sur la banquette entourée des deux jumeaux et à l'arrière il y a Djibril, Josiane sur ses genoux et Robert à leurs pieds. On démarre... Josiane a mis un grand tee shirt au dessus de son maillot. Elle dit à Djibril : — J'ai oublié de mettre ma culotte de maillot, ça ne fait rien, Monsieur Djibril ? Aussitôt les têtes des jumeaux se tournent vers elle. Ils ont un grand sourire aux lèvres. Notre façon de vivre un peu... olé olé, leur fait un bien fou à ces petits. Jumeau 1 dit à Djibril : — Vous allez la baiser, M'sieur Djibril ? Il fait une moue un peu dégoûtée et répond : — On vient de les baiser dans la rivière... Vous aimeriez que je le fasse ? Jumeau 2, la bave aux lèvres : — Oh oui M'sieur, elle est en chaleur ! — Ça c'est vrai, elles sont toutes les deux en chaleur... Bon, ça vous ferait vraiment plaisir ? Jumeaux 1 et 2, presque en choeur : — Oh oui M'sieur. Les jumeaux et moi on se met carrément à genoux sur la banquette pour mieux voir. On est au spectacle. Djibril sait y faire, il dit à Josiane : — Et toi tu as envie de te faire baiser. — Oui. — Fais une phrase ! Putain, j'adore sa façon de faire. Je mouille déjà ! Josiane répond : — J'ai terriblement envie que vous me baisiez, Monsieur Djibril. Ça lui convient. Il commence par l'embrasser sur la bouche, mais bien avec les langues... qui se cherchent, se trouvent et mélangent leurs salives. Un beau baiser bien mouillé... Djibril dit à Robert qui est par terre devant eux : — Prépare ta femme pour moi, lèche-la. J'aime... faut que je fasse ça avec Julien. Robert rampe entre les jambes de sa femme et de son futur amant pour la préparer. A mon avis ce n'est pas nécessaire, vu le tempérament de Josiane... Ils recommencent à s'embrasser tandis que le mari s'active à l'étage en dessous. Djibril remonte son tee shirt et lui caresse les seins. Les jumeaux se sont rapprochés de moi et je sens une main sur ma cuisse, puis une autre de l'autre côté. Je ne dis rien...Aussitôt les mains se retrouvent sur mes fesses nues, car moi aussi, j'ai oublié de remettre ma culotte, comme quoi les grands esprits se rencontrent. Jumeau 1 me murmure à l'oreille : — Tu as le plus beau cul du monde. Je le sais, mais ça fait toujours plaisir... Je rigole ! Juneau 2 me dit : — On se sent bien avec toi. — Vous êtes gentils.... — On peut te caresser... steuplléééé... — Mais c'est ce que vous faites. Ne faites pas la moue ! Je vous signale qu'ils ont 18 ans et qu'ils sont beaucoup plus normaux qu'au début. Josiane et moi, on les guérit... Il se passe des choses devant et derrière moi. Derrière Djibril a sorti son sexe de son short et en prenant Josiane par les cuisses, comme on le fait pour faire pisser une petite fille, il l'assied sur sa bite. Elle aime, le dit, le crie. C'est une extravertie, elle décrit tout. A Djibril : — Oh, je la sens bien monsieur Djibril ! C'est bon... A son mari qui est à genoux le nez à 10 cm de sa chatte : — Regarde comment baise un vrai homme, ça me change de ta bite aussi molle que de la pâte à crêpe. C'est vrai que de la pâte à crêpe, c'est mou ! Vous voyez que ce n'est pas un hasard, si nos maris sont cocus ! Julien a la bite d'un enfant de 8 ans et Robert en a une extra molle ! On me dira pourquoi les avoir épousées dans ces conditions... Ben, la réponse est simple : le fric ! Et puis, leur tempérament soumis qui nous permet de nous envoyer en l'air avec qui on veut. J'imagine leur faire faire une bataille de zizis : une minuscule contre une molle ! Derrière moi les mains des deux garçons m'investissent de plus en plus, j'ai deux doigts dans la chatte et un doigt dans le cul. Jumeau 1 me dit : — Je peux embrasser ta chatte ? — Mais...oui ! Il se glisse derrière moi, je me cambre bien. Il a peut être une forme atténuée d'autisme, mais, pas pour trouver une chatte et y fourrer sa langue, il est champion. Il me lèche soigneusement depuis le clito jusqu'au coccyx tout en écartant mes fesses. Putain, il est trop bon ! Comment c'est possible ? Josiane m'a dit qu'ils étaient puceaux ! Des puceaux comme eux, j'achète. Il s'arrête ! Mais pourquoi ? Ah juste pour donner la place à son frère. Je sais, on pourrait croire que je suis un peu vicieuse, si, si... mais l'idée qu'ils vont mélanger leurs salives dans ma chatte, ça m'excite encore plus. De plus, j'ai sous les yeux Josiane qui est assise sur le sexe de Djibril tandis que le mari essaye de lécher le tout, malgré les cahots de la route. M'étonne pas que ça marche l'excursion à la cascade, si c'est tout le temps comme ça. Josiane me dit : — Ils lèchent bien, les jumeaux ? — Oh putain, oui ! Ce sont des "natural born lickers" (nés pour lécher). Elle rit en sautant sur le sexe de Djibril, qui s'énerve et lui donne une bonne claque sur les fesses en disant : — Vous la fermez les filles ! — Aaaaiiie ! Pardon, Monsieur Djibril Je ne sais pas si c'est la claque ou la bite en elle ou le tout, mais bientôt, elle nous annonce : — Aaaahhhh... oui... je jouiiissssss.... La voir jouir sous les yeux de son mari et d'un de ses beaux-fils (l'autre, je suis quasi assise sur son visage) ça m'achève et je crie : — Moi aauuussssssiiiiiiiiiii.... Ouch ! C'est bon, il faut dire que les stimulations viennent de partout. Les jumeaux changent encore vite de place, sans doute pour avoir chacun sa part de nettoyage du plan de travail, ma chatte et mon cul en l'occurrence. Après un moment, c'est sûrement propre. Je repousse un peu celui qui est en-dessous de moi, en disant : — C'était super les gars, vous pouvez arrêter. Jumeau 1 : — C'est le meilleur moment de notre vie Il est un peu exalté, non ? Jumeau 2 : — Pour moi aussi. Grands sourires. Le soir tombe... On s'assoupit un peu, les jumeaux sont collés à moi, c'est mignon. Au bout d'un moment, je dis à Djibril : — J'ai soif et puis faim et puis je dois faire pipi. Aussitôt Josiane s'écrie : — Moi, aussi. Les jumeaux : — Nous, aussi. — Les deux maris n'osent rien dire. Djibril soupire et répond : Il y a une pompe à essence qui vend des trucs à manger, on va s'arrêter. Tu vois où cousin ? — Oui, oui... Il ajoute : — Bon, les filles, c'est pas des Berbères, là. Il n'y a pas une très bonne entente entre les Arabes et nous. Donc, vous deux, pas de conneries, vous vous conduisez bien. Comme deux gamines Josiane et moi on répond presque ensemble : — Oui M'sieur Djibril J'ajoute : — Mais pipi c'est pressé je vous jure. Enorme soupir de Djibril qui ronchonne sur "les femmes qui sont des pisseuses." Les cousins s'arrête sur le bord de la route. Josiane et moi, on sort vite de voiture et vu tout ce qu'on a fait aujourd'hui, on estime ne pas devoir s'éloigner. Surtout qu'on n'a pas envie de pisser sur une vipère à corne. On tourne le dos aux Messieurs. Josiane retrousse son tee shirt et moi ma petite jupe. Ni l'une ni l'autre n'a de culotte. Djibril dit : — Deux salopes sans slip. C'est mignon... On n'a pas de papier et on n'ose pas demander aux maris de venir lécher, Djibril pourrait s'énerver. On se secoue un peu puis on remonte en voiture, la chatte humide. On repart et on s'arrête enfin devant une station d'essence qui fait magasin. Josiane nous dit : — Prenez tout ce que vous voulez c'est Robert qui invite. Robert, c'est qui ? Ah oui, son mari, je l'avais presque oublié. Il faut dire que Julien et lui, ils sont très discrets. On remercie Josiane et on achète des trucs à manger genre Bounty, Mars, Chips, cornes de gazelles (gâteau de miel au miel, comme vous savez). Djibril parle en arabe et le marchand sort d'un frigo 2 packs de bière et 2 bouteilles de vin Skoura. De retour à la voiture, on le boit à la bouteille, il est plutôt bon. Je me dis que je dois trouver un truc un peu excitant à faire avec lui. Le faire enculer ou sucer la bite d'un dromadaire. Après tout, c'est son voyage de noce, aussi... On mange, on boit, on a un petit coup de mou, même les jumeaux. On somnole tous, sauf le cousin, enfin j'espère. A suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici : http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … … Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …
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Par : le 31/08/20
Traduction : Il aime être dominé. Il le veut. De plus, il en a besoin pour se sentir complet. S'il n'en était pas ainsi, je n'aurais jamais eu le cœur de lui faire ça. Je suis une dominante, pas un monstre. Je ne laisserais jamais aucun vrai mal physique, mental ou émotionnel lui arriver. Quand il est sous mon contrôle, il est également sous mon attention et ma protection. Le dominer est la chose la plus tendre et la plus aimante que je ne pourrai faire pour lui. Cela lui permet d'être vraiment lui-même. Et il n'y a rien de plus précieux qu'il puisse me donner que sa confiance totale et son abandon. Cela me permet d'être vraiment moi même. Nous construisons cette vie ensemble, remplie d'amour, de respect, d'acceptation et de confiance.
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Par : le 31/08/20
De nouveau des semaines se passent. Madame me veut plus féminine. Ma démarche est trop masculine trouve-telle ! Dans le couloir Madame à mit un papier collant parterre de 5 cm de large sur les 4 mètres de long. Va me cherchez les pinces à tétons puis tu retires ta robe et ton chemisier. Je suis la devant Madame en bas, talons hauts, slip fendu derrière montrant mes fesses le god dans ma chatte, mon clito dans sa cage. Madame me pose les pinces aux tétons et m’embrasse sur la bouche « tu es parfaites Pat ». Madame marche se dandine sans erreur sur le papier. Tu dois bien serrer les cuisses pour que tu sentes bien le god dans ta chatte. Attention si tu ne marches pas sur le papier un coup de cravache. Vlan sur mes cuisses nues ! je te suis derrière. Je commence à marcher je suis hésitante, Madame m’assène un coup de cravache « allez marches comme une femme. » Je marche, je fais des erreurs, mes fesses doivent être rouge le calvaire dure 1 heure au moins. Bon ça suffit pour aujourd’hui vu tes fesses, je ne veux pas abimer ma marchandise. Tu dois faire la même chose chez toi devant une glace. Oui Madame. Tout en retirant les pinces Madame me cause. « Maintenant tu me faire les ongles des pieds avec le vernis carmin ». Assise à ses pieds je m’attelle à ses ongles, nettoyage de l’ancien verni, lime puis la pose du nouveau vernis. Ma main ne tremble plus. Madame me pose des questions, contrôle mes seins. Me rappelle qu’il manque encore un client payant. Madame me caresse la joue « le mois prochain tu en feras 1 de plus ma chérie. Après les ongles, j’épile à la pince à épilée les poils de son pubis. Mon clito est tellement bien compressé qu’il me fait mal. Le travail fini je masse son pubis avec une crème. Madame ferme les yeux apprécie mon massage intime sur les grandes lèvres. Ses 2 mains écartent les lèvres « suce-moi, je vais t’apprendre à bien sucer les femmes ». Ma langue commence son travail. Madame me guide. Je sens sa liqueur. Je m’attarde sur son clitoris. Madame mouille toujours plus. « Allonge-toi sur le dos ». Je m’allonge, madame me chevauche sa chatte trempée sur ma bouche se frotte mon nez est dans ses fesses. Madame se frotte toujours plus fortement. Je suffoque. Madame me prend les tétons et les tors au rythme de ses frottements. J’ai mal partout, mes seins ma bouche, mon clito, Madame continue encore et encore, mon clito coule, Madame pousse des râles puis s’assoie sur ma bouche. M’impose sa volonté. J’étouffe. Madame bascule sur le côté. Je respire. « Tu lèches bien, je comprends pourquoi les hommes aiment ta bouche. Je suis contente de mon travail d’éducatrice. Tu es une femelle. Allez retourne faire le ménage. La sonnette tinte je me précipite pour ouvrir, j’ouvre la porte un homme est la une petite mallette à la main. Bonjour Monsieur. Vous désirez voir Madame. Oui Mademoiselle avec un sourire. Entrez Monsieur. Je referme la porte. « Si vous voulez me suivre » et je marche sur le papier Monsieur doit se demander ce papier. Arrivée à la porte je frappe. « Entre » Madame c’est un Monsieur qui vous rend visite. Bonjour Paul c’est gentil de venir me voir ici. Bonjour Madame. Ils s’embrassent sur les joues. -Paul je te présente Pat à soubrette. -Bonjour Monsieur Paul. -Bonjour Pat tu es ravissante -Merci Monsieur Paul. -Paul tu veux boire quelques choses. -Oui un café avec sucre et crème. -Fais en 1 aussi pour moi dit Madame Je me dandine vers la cuisine, prépare les cafés. Reviens pose les cafés. -Paul ma soubrette je la dresse, obéissance totale chez moi, je la féminise toujours plus, regardez sa poitrine elle commence à pointer Pat prends des hormones et est suivi par un docteur. Elle suce tous les sexes divinement. Sa chatte anale est constamment prise par un god. -Relève ta jupe et montre à Paul tes fesses. Allez. Je relève la jupe. -Tournes-toi montre ton clito dans sa cage. Voilà godée encagée, hormonée alors Pat contente de m’appartenir -Oui Madame. -Va chercher le bandeau!!! -Oui Madame. Je reviens avec, Madame me mets le bandeau. -A genoux sur le fauteuil, tu ne dois pas bouger sinon c’est cravache aussitôt tu as compris. Oui Madame. Quelques minutes et je sens une main sur mon oreille, puis du froid et tout d’un coup une piqure, je hurle, je reçois 2 coups de cravache. Puis c’est la même chose pour l’autre oreille du froid et une autre piqure, je crie. Vlan 2 autres coups de cravache. J’ai mal aux 2 oreilles je comprends que l’on vient de me les percées. Les mains s’occupent un liquide ça pique, puis je sens que l’on me pose les boucles. Et après le silence. Je reste là à genoux sur le fauteuil. Madame me retire le bandeau. Voilà Pat tu as de petites bouches. Tu dois désinfecter 2 fois par jour jusqu’à ce que les cicatrices soient faites. Je viendrai Mercredi prochain pour contrôler. -Oui Monsieur Paul. -Pat tu vas maintenant sucer Paul il veut jouir dans ta bouche à genoux devant lui aller salope obéi ! Je me mets à genoux et je dégrafe ses pantalons baisse son slip et j’enfourne son sexe dans ma bouche. J’ai toujours mal aux oreilles, « suce Salope » en me donnant 2 coups de cravache. -Vous voyez Paul elle n’est pas encore assez obéissante la cravache ça la motive. Suce allez c’est pour le travail qu’il a fait tu payes avec ta bouche le du. Tu es ma pute Pat. Son sexe grossi toujours plus il devient raide Madame me pousse la tête pour qu’il soit au fond de ma bouche. Il se raidi encore les mots fusent, « allez-y Paul videz-vous dans cette bouche de salope, elle aime le jus ma pute ». Je sens le jus couler dans ma bouche je ne peux qu’avaler. Son sexe se ramolli. -Nettoie le Pat, montre comment tu aimes ça. Monsieur Paul se rhabille. « Votre soubrette suce bien je viendrai régulièrement me vider en elle. J’en parle à un ami qui adore les filles comme Pat ». Je reste là à genoux, Madame le raccompagne et revient. « Bravo Pat tu viens de te faire 2 nouveaux clients, en plus de soubrette soumise te voila ma pute, je suis contente de toi ».
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Par : le 30/08/20
Soirée de Septembre. J'avais un ex collègue avec qui j'avais décidé de dîner ce vendredi soir sur Paris et en provenance de Bruges, j'avais demandé à Annelore de nous rejoindre. Lors du dîner dans un petit établissement typique de Montmartre, je voyais que le regard de Christian se posait régulièrement sur Annelore. Il en était de même d'ailleurs, du regard du Patron de l'établissement qui assurait aussi le service. lui il semblait surtout sous le charme de l'accent Flamand De Annelore. Je connaissais beaucoup de choses de la vie sexuelle de Christian, car lorsque nous étions collègues, étant plus âgé que moi et surtout vrai Parisien, il m'avait fait visiter tout Pigalle. Je savais donc qu'il adorait fesser des filles. J'orientais donc la conversation sur le sujet de la fessée en fin de repas, au moment du café. "Alors Christian, tu as fessé qui dernièrement" ? Annelore leva les yeux, posa sa tasse et de sa voie gutturale et sonore elle s'adressa à Christian. "Toi aussi tu aimes taper les fesses, j'aime quand Jean me le fait et tu le fait aussi le fouet"? Les quelques personnes, encore attablées tournèrent toutes le regard vers nous. Nos échanges sur le sujet, se firent moins bruyants, mais nul doute que les autres convives de l'établissement tendaient l'oreille. La petite salle se vida doucement et le Patron nous offrit le dernier verre. Je profitais de cette petite intimité, nous trois et le Patron, qui s'était assis à notre table pour lui demander si il connaissait un Club sur Paris ou nous pourrions nous rendre pour satisfaire les désirs de mes deux compagnons de soirées. C'est ainsi que j'obtins l'adresse de "Cris et Chuchotements" et aux mouvements qu'Annelore faisait sur sa chaise , je notais son impatience de découvrir ce lieu. Nous abandonnâmes notre hôte qui ne put s'empêcher de laisser son regard se poser sur le postérieur de Annelore quand elle franchit la porte et il nous souhaitât une très bonne soirée fortement appuyé, d'un air de dire je sais ou vous allez finir. Surprise quand nous arrivâmes Rue TRUFFAUT, devant la porte discrète de "Cris et Chuchotements", l'établissement est juste à coté du commissariat du 17ème arrondissement de Paris. Nous sommes reçu par un Monsieur tout habillé de noir (Pascal le patron qui devint une relation amicale), et qui dans un premier temps nous fis savoir que nous n'avions pas le "dress code", nous les deux hommes et que de toutes les façons il n'y avait personne ce soir là dans son établissement. Lui expliquant que nous aurions aimé au moins voir son établissement, que Annelore venait de loin, ce que confirmait son accent, Pascal accepta de nous faire rentrer, en nous proposant à Christian et moi, un tee shit noir de la maison. Nous découvrîmes l'établissement. Derrière la porte un petit comptoir, un vestiaire et les sanitaires et une vue su l'escalier qui menait à la cave. Christian et moi, revêtîmes le Tee shirt et je demandais à Annelore d'aller se mettre nue et de nous rejoindre. En descendant avec Pascal, Christian et moi, nous pûmes découvrir une première pièce aux couleurs chaleureuses avec un grand Bar. Effectivement l' établissement était vide. Nous commandions un verre à Pascal et avec Christian nous fîmes vite le tour des différentes salles de l'établissement. Annelore, descendit enfin les escaliers, resplendissante dans sa nudité, ses petits seins fièrement dressés. Même Pascal qui nous avait expliqué que jamais il ne faisait des choses avec les clients et clientes , ne put s'empêcher de laisser passer un petit sifflement, même si il convint très vite qu'il voyait passer très souvent de jolies femmes. Annelore, appuyée au Bar pu boire son verre de Porto. Je commandais un deuxième verre pour Christian et Moi et nous allâmes nous installer dans un canapé avec Pascal, pour discuter du lieu et des pratiques. Je n'avais pas oublié avant de demander une règle, que j'avais posé au sol et j'avais ordonné à Annelore de se mettre à genoux dessus, en nous tournant le dos les mains sur le haut de la tête en accentuant sa cambrure. Après vingt minutes environ d'échanges avec Pascal, Annelore s'adressa à moi " Monsieur, j'ai vraiment très mal, je peux arrêter" ? Ce fut toujours pour moi une marque de Respect envers Annelore, quand elle voulait arrêter, je lui disais oui immédiatement pour que nos pratiques restent plaisir partagé. Alors qu'elle se relevait pour venir vers nous, la sonnette de l'établissement retentit. Pascal, nous quitta pour remonter vers l'accueil. "Tu veux toujours poursuivre" ? Liefde (Amour en Flamand) "oui je le veux, Monsieur" Pascal redescendit avec un de ses ami mais aussi client. Dans une petite alcôve à coté du Bar, il y avait un Phallus artificiel, posé sur une tabouret, j'y envoyais Annelore s'empaler dessus et nous attendre. Christian et moi, en compagnie de Pascal pûmes ainsi discuter avec Philippe, le nouvel arrivant. Un verre de plus, et Philipe me demanda si il pouvait profiter de Annelore. Nous nous dirigeâmes tout trois, Christian, Philippe et moi vers l'alcôve, laissant Pascal à son Bar. Annelore, le visage rosit par le Plaisir ou par l'effort, car elle montait et descendait sur le godemichet depuis un petit moment, nous fixa du regard, cessant ses mouvements pour rester posséder à fond par le Phallus. "Debout et nettoies" Annelore, s'exécuta pour enlever le préservatif enfiler sur le Gode et nettoyer le tabouret. Christian, ne put s'empêcher de passer la main entre les jambes de ma compagne pour constater l'humidité de son sexe. A son regard je compris que Annelore était fortement excitée. Je dirigeais, Annelore dans la seconde alcôve ou un SLING trônait au milieu de la pièce. Elle se posa docilement sur le cuir, se laissant attacher par Christian. Philippe reçu alors mon autorisation de posséder Annelore. Sa pénétration fut violente, arrachant un cri à Annelore et le SLING se mit a se balancer aux rythmes des mouvemenst de Philippe. Christian profitant de la disponibilité de Annelore, lui, lui pénétra la bouche. Les cris de jouissances des deux Hommes et de Annelore sonnèrent la fin de cette première soirée. Nous nous retrouvâmes au Bar pour un dernier verre et nous éclatâmes de rire quand Annelore nous déclara. " Les mouvements de la balançoire ça donne mal au cœur" Je ne pu attendre d'être de retour dans ma propriété de Sologne, pour posséder ma soumise et je lui fis en toute simplicité l'Amour sur une aire d'autoroute de l'A10 entre Paris et Orleans. (Oui, nous savions aussi nous aimer dans l'acte simple) A suivre prochainement...
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Par : le 30/08/20
Après le repas, Maîtresse Chloé passa au salon. Elle me fit m’agenouiller à ses pieds, pour que je puisse les masser longuement. Selon ses envies, elle les portait à ma bouche et me faisait comprendre d’un regard que je devais lécher ou sucer ses orteils. Un pied entre mes lèvres, l’autre jouant avec ma queue et mes couilles, j’étais libre de bander. Maîtresse Chloé m’avait faire jurer de garder cela secret. Caroline n’apprécierait sans doute pas qu’elle m’ait ôté ma cage. Maîtresse Chloé fumait tout en discutant par sms avec une amie lorsque son téléphone sonna. J’étais persuadé que c’était Maîtresse Caroline prenant des nouvelles de son professeur soumis. Cependant, j’étais loin de me douter que ce coup de téléphone m’emmènerait encore plus loin dans l’humiliation et le don de moi. -Oui oui, il est juste à me pieds… Tu le verrais, une vraie bonniche, bien salope avec son petit tablier blanc, ses bas et son porte-jarretelles. Et je lui ai mis un bon collier de chien. Oui c’est exactement ça ! Il bande comme un âne… Non bien sûr, interdiction de jouir…. Tu crois ? Hmmmm tu me donnes des idées tu sais…. Cela m’excite à mort… oui, une vraie pute tu n’imagines pas ! Mais à qui pouvait bien parler Maîtresse Chloé ? J’avais beau retourner la question dans tous les sens, rien. Aucun indice. J’avais l’impression que ce n’était pas Maîtresse Caroline, ni Ennia. Or elles n’étaient que trois à connaître mon état de professeur soumis, Caroline, Chloé et Ennia. Et bien sûr les deux livreurs, mais la voix que je devinais à travers le haut parleur du téléphone me semblait féminine. Je sentais mon anxiété monter. Qui pouvait bien être dans la confidence encore ? Je n’allais pas tarder à être fixé. -Tu passes comme prévu ? … Hmmmm oui, avec plaisir, j’adore…. T’inquiète, je vais le préparer et il sera tout à toi…. A tout à l’heure. Fais vite ! Je me concentrai sur les pieds de Maîtresse Chloé. Suçant un par un, délicatement et avec dévotion, ses orteils, je n’osais lever mon regard, même si je sentais parfaitement le sien posé sur moi. -Patience ma pute ! Dans moins de 30 minutes, tu vas avoir une belle surprise, crois-moi ! En attendant, j’ai envie que tu me lèches un peu ! Cette conversation m’a bien fait mouiller. Viens nettoyer ta Maîtresse ! Allez, respire mon parfum de plaisir ! Maîtresse Chloé jouit rapidement, ma langue sur son anneau mauve pendant que ses doigts virevoltaient sur son clitoris. Puis elle me prépara. Elle me fit d’abord me déshabiller entièrement, puis passer un ensemble en latex noir, bas, serre-taille à jarretelles. Ce dernier me marquait bien et faisait ressortir mes hanches de pute selon elle. Il y avait, également, des longs gants, une cagoule, un rouge à lèvres brillant et très… rouge pour ma bouche à pipes. Enfin, elle termina par la pose d’un large collier de cuir duquel pendaient deux mousquetons. -Voilà, tu es prête à accueillir notre visiteuse. Une belle salope ! viens, approche ! que je te fasse bander encore un peu plus dur. Maîtresse Chloé me fit avaler une pilule bleue puis me masturba lentement, d’un geste ample le temps que le viagra fasse effet. Lorsqu’elle me jugea assez gonflé, elle me posa un cockring en cuir, très serré ce qui eut pour effet immédiat de faire saillir mes veines. J’étais gros, gorgé de sang, ultra sensible. -Hmmm parfait pour te travailler la queue ! Ce soir, j’ai envie de te faire mal ma salope ! Je veux t’entendre couiner. On veut t’entendre couiner ! Maîtresse Chloé avait à peine prononcé sa phrase que la sonnette retentissait. -Va ouvrir ! et fais moi honneur ma chienne ! J’ouvris la porte, le regard baissé, les yeux fixés sur deux magnifiques pieds chaussés d’escarpins à bride puis sur des jambes gainées de bas noirs. -Madame, puis-je vous prier d’entrer s’il vous plaît ? Je m’agenouillai immédiatement pour venir baiser ces divins pieds, comme Maîtresse Caroline m’avait appris à le faire. Il s’agissait d’une marque de déférence envers toute femme pénétrant dans son appartement. L’inconnue m'interpella d’une voix dure : -Debout petite pute ! débarrasse moi de mon manteau ! Je connaissais cette voix. Trop bien même. C’était celle de Christelle, la responsable des programmes de l’école dans laquelle j’enseignais. Nous avions eu une petite aventure, deux semaines environ après mon arrivée dans l’équipe enseignante. Une aventure d’un soir. Nous étions restés bons amis, enfin sans plus. Des rapports très cordiaux. Je n’osais pas lever les yeux. -Hmmm si j’avais su…. Je t’aurais prise en main dès le premier soir. Et tu serais maintenant ma petite chienne personnelle ! Regarde moi, allez ma salope ! J’étais tétanisé. Je tardais un peu trop au goût de Christelle. La gifle fut immédiate. -J’ai dit regarde moi !!! Chloé, tu permets qu’il enlève sa cagoule ? J’ai envie de le voir sans. Je suis sûr qu’il se sent un peu protégé sous ce latex. Allez ! Montre moi ton vrai visage ! Sous la menace d’une seconde gifle, j’obéis sans rechigner. Et je plantais mon regard dans celui de Christelle. Elle était belle, hautaine, et son sourire méprisant me fouillait le fond de l’âme, martyrisant ce qui me restait de fierté masculine. Mais c’était ses mots qui m’humiliaient le plus ! -J’adore… ça joue les mâles séducteurs dans le couloirs, mais ça bande quand on la traite comme une petite pute soumise ! Je me demande encore comment j’ai pu ne pas le deviner! Christelle empoigna mes couilles et les tordit brutalement. -Regarde moi salope !!! La douleur et l’humiliation me mettaient au bord des larmes. -Pour une surprise, tu m’as bien eue Chloé, bravo ! Je ne m’y attendais vraiment pas…. Hmmmmm petite pute, ta vie va changer à l’école, j’espère que tu en es bien conscient ! Finis de jouer les petits profs ! tu es une pute, et il me plairait assez que cela se sache pour que tu sois traitée en tant que telle. Une belle chienne… Dis moi Chlo, elle a goûté la queue déjà ? -Oui, bien sûr. Et elle a adoré je te promets. Tu veux voir la video ? On en a fait un montage avec Caro. Tu vas aimer j’en suis certaine. Maîtresse Chloé projeta ma séance avec les deux livreurs sur le grand écran du salon. Christelle, ou plutôt Maîtresse Christelle se régala du spectacle, sans être avare de commentaires. -Dis donc petite pute, mais c’est que tu aimes ça !!! Une vraie suceuse pro… Wouhaouh !!! Je n’y crois pas… tu la prends en entier ???? T’es un vrai garage à bite ! Quelle salope… elle en redemande, mais t’as vu ça Chloé, elle s’encule elle même sur la queue du black ! J’hallucine ! Vous en avez fait une super pute. C’est génial ! J’ai hâte de l’essayer…. je suis super excitée maintenant ! Tu vas prendre cher ma petite salope ! Pendant toute la durée du visionnage, j’avais servi de repose pieds pour mes deux Maîtresses. A quatre pattes, le visage tourné vers l’écran pour bien voir mes prestations de chienne en chaleur selon les propres mots de Chloé. Je bandais. J’étais une pute, mes Maîtresses avaient raison, et me voir sucer, me faire enculer, lécher, embrasser, avaler le foutre de mes Maîtres livreurs, cela me rendait fou de désir. Mes Maîtresses dominatrices se levèrent et m’ordonnèrent de m’agenouiller, face à elles, cuisses écartées. Maîtresse Chloé s’adressa à son amie : -J’ai envie de le rendre dingue, pas toi ? Regarde, il bande déjà bien ! Le petit film l’a bien excité je crois. Et la pilule que je lui ai fait avalé tout à l’heure a l’air de bien faire son effet. Il va bander pour nous pendant plusieurs heures, comme ça on va bien en profiter. Je t’avais dit que je t’offrirai un jouet pour ton anniversaire, le voilà…. une petite pute docile, une salope à baiser sans retenue ! Maîtresse Christelle enlaça Maîtresse Chloé et déposa un baiser sur ses lèvres. -Hmmm ! j’adore ton cadeau Chloé ! Regarde, la pute, regarde tes Divines Maîtresses. Tu vas te branler sans nous quitter des yeux, mais interdiction de jouir. Si tu désobéis, je te fais souffrir, t’as bien compris salope ?!! -Oui Maîtresse Christelle, à vos ordres ! -Regarde bien, et profite du spectacle de tes deux magnifiques Maîtresses ! -Magnifiques ? Sublimes tu veux dire ma chérie ! : répliqua Maîtresse Chloé en éclatant de rire avant d’embrasser, très sensuellement, son amie. Mes Maîtresses s’embrassèrent et se caressèrent longuement face à moi. Spectacle saphique divin, le plus excitant qu’il m’ait été donné de contempler. Deux femmes aux corps sublimes, à la sensualité extraordinaire. La beauté, la féminité à l’état pur. Comment ne pas désirer servir, vénérer, adorer. Comment ne pas comprendre qu’un mâle n’atteindra jamais un tel niveau de perfection ? Alors que je me branlais très lentement, en me concentrant pour ne pas me faire jouir, je dévorais des yeux ces deux sublimes jeunes femmes. Je les aimais je crois, j'étais fier d’être autorisé à les regarder, fier d’être à leurs pieds. Mais mon corps réclamait son dû. Et sans y faire attention, le rythme de mes doigts accélèrait. J'étais grisé par ce que je voyais, hypnotisé par leurs langues qui jouaient, par leurs mains qui effleuraient, caressaient, par leurs soupirs de plaisir. J'étais dans un état second, et ma frustration sexuelle prenant le contrôle de mon esprit. J’oubliais les ordres, l’interdiction, je redevenais la salope assoiffée de jouissance, je me branlais, queue tendue vers mes Maîtresses, je gémissais, râlais et accélèrerais encore le va-et-vient de mes doigts sur ma hampe. Mais le plaisir refusait de monter. L’effet du viagra sans doute combiné à celui du cockring que je portais très serré. J'étais dur comme je ne l’avais jamais été, mais je n’arrivais pas à jouir. Je crachais dans ma main pour mieux me lubrifier. Dans mon délire sexuel je remarquais à peine que mes deux divines Maîtresses me regardaient. Maîtresse Chloé mis un quart de seconde à réagir. Elle saisit la cravache et se précipita vers moi avant que je ne réalise vraiment ma désobéissance. Le premier coup s’abattit dans le mouvement, directement sur ma main. Je lâchai ma queue et poussai un cri. -Sale truie, qui t’a autorisé ??!!! Hein ??? Sale pute !!! Je comprends pourquoi Caro te laisse en cage ! Garde ta position, tends ta queue vers moi… Salope, je vais t’apprendre à chercher à jouir sans autorisation ! J'étais à genou, je me penchai en arrière, prenant appui sur mes mains et je tendis mes hanches vers Maîtresse Chloé. Mon hypnose s’était évanouie. J’eus peur soudain, et je bredouillai des excuses : -Pardon Maîtresses, je vous supplie… vous êtes si belles… je.. La cravache s’abattit directement sur ma queue tendue. Je hurlai de douleur. -Ta gueule sale truie ! T’as oublié que tu n’es pas autorisé à parlé ?!!! En position ! Je vais te faire passer l’envie de te branler ! A ton avis Chris, comment pourrait-on la calmer notre salope en rut ? -Hmmm je pense qu’il faut lui faire très mal. Je ne vois que ça… Vas-y, 10 coups pour commencer. Ensuite 10 pour moi. Non, 20 pour moi. C’est moi qui lui ai donné l’ordre de se branler, sans jouir. C’est à moi qu’il a désobéi, et j’ai trop envie de le voir souffrir pour payer. Tiens, on va lui mettre le bâillon-boule. Comme ça on pourra le corriger sans retenue. Attends, j’ai une idée… Lèves toi la pute, et allonge toi sur le banc ! Vite ! Je me plaçai allongé sur le petit banc recouvert de cuir, sur le dos. Mes Maîtresse m’attachèrent rapidement poignets et chevilles. Maîtresse Christelle pris une cordelette et l’attacha à l’anneau fixé sur mon cockring, puis elle tira de façon à ce que ma queue, toujours bandée au maximum, reste bien droite, tendue vers le plafond. -Voilà, maintenant on va pouvoir le punir tranquillement. Tu n’es qu’une petite salope qui mérite d’être corrigée. Peut-être que la douleur va te faire comprendre… Vas-y Chlo, à toi l’honneur ! Maîtresse Chloé tenait toujours la cravache dans sa main. Elle s’approcha et commenca à caresser ma hampe avec la pointe de son instrument de dressage, qui glissa sur mes couilles, douloureuses et gonflées à exploser. J’avais mal. La pression exercée par le cockring, la jouissance réfrénée, ma queue dure était devenue la source d’une douleur diffuse mais constante. Je hurlai lorsque Maîtresse Chloé frappa un premier coup sur mon gland offert. Elle frappa sèchement. Je me tordis, ruai solidement fixé au banc. -Calme toi salope, c’est juste le début ! Allez, on enchaîne…. couilles, gland… couilles, gland….! Maîtresse alterna les coups. Vifs, durs. L’objectif était la souffrance du soumis. La punition. La douleur comme moyen de dressage. Je hurlai sans cesse, mon corps tendu, mes larmes coulant. En fait, je subis la correction sans aucun moyen de fuite. Je repris difficilement ma respiration lorsque Maîtresse Chloé annonça victorieusement : -Et de 10 !!! A toi Chris… vas-y, lave l’affront que t’a fait cette petite truie obsédée. Fais la bien souffrir, qu’elle comprenne…! Je ne cessai pas de bander. La douleur irradiait tout mon bas ventre mais ma queue restait obstinément dure, gorgée de sang. Les coups de cravache sur mon gland m’avaient rendu ultra sensible. Quant à mes couilles, la douleur que je ressentais me coupait presque le souffle. Je n’avais jamais connu ce niveau de douleur. Même lors des solides corrections que m’avait déjà infligées Maîtresse Caroline. J’essayai de me contrôler, tant bien que mal, pour pouvoir encaisser la suite. Maîtresse Christelle enfila une paire de gants en latex. -Je vais d’abord le faire durcir encore un peu, enfin si c’est possible ! Dis Chlo, tu lui as donné une dose de cheval ou quoi ? Normalement, une bonne correction, ça les fait toujours débander les petites salopes dans son genre ! C’est parfait. La punition sera plus efficace. Allez petite chienne… c’est mon tour de te faire souffrir ! Maîtresse fit couler du lubrifiant sur ma queue et mes couilles et m’empoigna sans aucun ménagement. Elle me branlait d’une main, en me serrant très fort et en insistant bien sur mon gland. Son autre main pressait et étirait mes couilles. Je hurlai. Ses caresses étaient dures et dans mon état de sensibilité, elles ne firent que relancer la douleur qui s’apaisait un peu. Maîtresse Christelle éclata de rire et accélèra sa masturbation, en concentrant ses caresses sur mon gland. -Hmmm je le sens durcir, je te jure. Un vrai morceau de bois… allez, encore un peu…. hmmm je sais que tu aimes ça, souffrir pour ta Maîtresse. Moi ça m’excite, tu ne peux pas savoir à quel point… Allez, assez joué, je suis obligée de te punir. Enfin, non, j’ai envie de te punir ! Nouvel éclat de rire. Maîtresse Christelle lâcha mon sexe et enlèva ses gants. Elle pris une des bougies allumées sur la table basse et l’amèna au dessus de mon bas-ventre. -J’adore jouer avec ça… ! Je me tendis de toutes mes forces dans mes liens lorsque Maîtresse versa une bonne dose de cire chaude sur mon gland. Elle tint la bougie assez près de ma queue. La cire n’eut pas le temps de refroidir lorsqu’elle entra en contact avec la peau fine et ultra sensible. Je hurlai à travers mon bâillon, mais cela sembla exciter encore plus Maîtresse Christelle. Elle pris tout son temps pour recouvrir entièrement mon gland. La cire coula le long de ma hampe. Maîtresse se recula un peu pour admirer son œuvre. -Bon, maintenant que j’ai fait la tige, passons aux couilles ! Chlo, tu peux me passer une autre bougie s’il te plait ? La grosse là, elle est bien pleine ! Maîtresse Christelle versa la cire en une seule fois. Mon hurlement, difficilement étouffé par le bâillon, n’eu pas de fin. Mes couilles se recouvrirent d’une gangue de cire… Je perdis presque connaissance sous la douleur. Dans un état second, je perçevais à peine ce qui se passait autour de moi. Je ne voyais plus le sourire sadique de satisfaction de Maîtresse Christelle. -J’avais dit combien déjà ? 20 coups c’est ça ? Maintenant, faut enlever la cire ma salope. Tu vas déguster. Je commence par quoi à ton avis Chloé, couilles ou queue ? -Attends, j’ai envie de bien profiter du spectacle…! Maîtresse Chloé enlèva mon bâillon et le remplace par un bâillon-god. Une petite partie, courte et large vint se loger dans ma bouche. L’autre, un beau sexe noir, veiné, se dressa au dessus de ma bouche…. Maîtresse Chloé vint s’empaler sur le god, m’offrit une des vues les plus sublimes de Paris. -Voilà, maintenant je suis aux premières loges. Je vais pouvoir me faire jouir pendant que tu finis la punition… prends ton temps Chris ! Tout ton temps… et commence par les couilles. On garde le gland pour le final ! Maîtresse Christelle mania la cravache avec précision. Plusieurs coups furent nécessaires pour enlever la carapace de cire qui recouvrait mes couilles. Je hurlai, ruai, solidement attaché à mon banc de torture. Maîtresse Chloé chevauchant mon bâillon-god. Son miel de plaisir coulait sur mon visage. Maîtresse Christelle avait suivi sa demande… elle espaçait les coups de cravache, pour permettre à son amie de faire grimper son plaisir palier par palier. Je n'étais que douleur. Mes couilles martyrisées provoquant une décharge électrique continue, insupportable. Maîtresse Christelle saisit la base de ma queue et se réjouit : -Il me reste 13 coups…hmmm bien plus qu’il n’en faut pour débarrasser toute cette cire…. Vas-y Chlo, baise toi bien sur cette belle queue. Et toi la pute, jouis du spectacle, le cul de ta Divine Maîtresse et sa chatte bien ouverte… regarde… respire son parfum… tu as de la chance tu sais ! Maîtresse Christelle compta à voix haute, et frappa. Avec précision. Chaque coup m’arracha un hurlement étouffé. En dépit de la douleur fulgurante chaque fois que le cuir venait me frapper, je bandais. De plus en plus dur j’aavsi l’impression. Mon corps ne répondait plus, je ne comprenais plus rien. Je souffrais atrocement mais je bandais et j'étais excité. Dans un état second, je subissais, et….. j’aimais cela. Serait-ce ça le « subspace », cet état presque de transe, provoqué par la douleur lors de jeux Sm ? J’avais déjà lu à ce sujet… jamais encore je ne l’avais expérimenté. -Et de vingt ! Maîtresse Christelle était radieuse. Elle contemplais ma queue débarrassée de sa cire, mon gland torturé, gonflé à éclater. Maîtresse Chloé avait joui au 11ème coup, inondant mon visage de sa liqueur. Elle restait empalée sur le god, pendant qu’elle retrouvait son souffle. Maîtresse Christelle vint s’empaler sur ma queue, d’un seul coup. Face à son amie. Elles s’embrassèrent longuement. Je sentais Maîtresse Christelle coulisser sur ma hampe. La chaleur de son ventre, de son désir, apaisait un peu ma douleur. Comme une anesthésie. J’avais mal, mais ce que je ressentaiss, emprisonné par les chairs brûlantes de celle qui fut mon amante d’une nuit, était au delà. Au delà du plaisir pur, au delà de la douleur. Un autre état. Maîtresse Chloé recommença à s’empaler sur le bâillon god, suivant le rythme de Christelle baisant ma queue. Les deux Maîtresses laissèrent monter leur plaisir, s’y abandonnèrent et jouirent ensemble en unissant leurs cris. Je n’existais plus en cet instant. Je n'étais rien. Un simple objet de plaisir. Ni vivant ni mort, la question n’avait aucune importance, juste un ustensile dont elles se servaient pour se rejoindre dans l’orgasme.
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Par : le 26/08/20
Le mercredi suivant je suis chez Madame à faire le ménage toujours encagée et godée, Madame joue avec la douceur et la punition d’un instant à l’autre elle me fouette et m’embrasse après, me donne des ordres. La sonnette retentit « vas ouvrir Pat, J’ouvre un homme est là une sacoche à la main, « entrez Monsieur » Je l’amène voir Madame. Bonjour docteur comment allez-vous dit Madame Très bien la routine dans mon cabinet, suis content de vous voir. Pat je te présente le docteur. Enchantée Docteur. Bonjour Pat, cela te va bien tu es ravissante avec ce collier. Depuis combien de temps es-tu la soubrette de Madame. Quelques mois déjà Docteur. Madame s’occupe bien de toi, elle te traite bien dit-moi. Oui Docteur, elle m’éduque pour être une bonne soubrette soumise. Enlève ta jupe et ton chemisier que je vois cela. « Allez Pat le Docteur en a vu d’autre obéi. » J’enlève mon chemisier, retire ma jupe. Le slip aussi Pat le Docteur va te contrôler. Je retire mon slip gêné. Vient ici Pat que je contrôle. Il me prend les tétons les tires un peu, palpe. « Ils sont développés et très sensible Pat » en tirant dessus. Aie. Tu as déjà un peu de poitrine aussi Pat. Docteur chaque semaine je lui travaille les tétons déjà pour cela qu’ils sont plus gros. Ho que c’est joli cette cage Pat tu la porte souvent. Oui Docteur c’est Madame qui a la clef et qui de temps en temps me la retire où me l’installe. La canule dans l’urètre tu supportes Pat. Oui docteur. Allonge-toi sur la table Pat sur le dos que je vois ça de près. Allongée, le Docteur dévisse la canule et la sort. Un long tuyau flexible sort. Le Docteur contrôle puis ouvre sa sacoche et sort un tuyau le coupe de la même longueur, Pat je vais te mettre une canule un peu plus large de 1mm de diamètre en plus, cela te permettra de mieux uriner. Il installe la vis sur la canule la lubrifie et commence à l’enfoncer. Je sursaute un peu. Tu sais si je fais des vas et vient comme ça tu vas jouir sans être excitée Pat. Montrez-moi ça Docteur dit Madame. Le Docteur entre et sort la canule et après quelques va et vient je sens mon sperme sortir de mon clito. Voilà Pat a joui sans autre, elle va avoir un peu mal pour uriner, mais rien de grave, il faut bien nettoyer maintenant, la rincer et la désinfectée avant de la remettre Madame prend la canule « suce Pat, nettoie la bien aspire bien ton jus. Elle aime le sperme Docteur une vraie gourmande. » je suce aspire et lèche. Le docteur la désinfecte et la remet dans mon clito et la visse. Bon Maintenant je vais contrôler ta chatte anale « mets-toi sur le ventre Pat » Le Docteur sort mon god contrôle après avoir mis des gants Elle est bien ouverte ta chatte Pat ! Oui docteur Madame me fiste et y entre sa main. Jolie chatte bien lisse et bien ouverte très propre félicitation dit le Docteur à Madame. Tout cela est en ordre et il remet le god en place. Donc je vais te donner des hormones que tu devras chaque jour mettre sur tes bras ou jambes. Je vais te montrer. Il sort un tube doseur et met 3 petite dose sur chaque bras, prend une règle dans sa sacoche et étale le gel, « Madame c’est la même odeur et le même froid que le gel que vous mettez sur les fesses pour les rendre fermes. » Il y a tellement de gel qui se ressemble dit le docteur, une fois le gel étalé tu laisses sécher après quelques minutes il rentre dans la peau et diffuses les hormones. Tu ne dois pas en mettre plus pour le moment et surtout pas sur la poitrine comprit Pat. Voilà 4 tubes. Oui docteur. Bon Madame votre soubrette commence le traitement je viendrai régulièrement la contrôler et lui remettrai des tubes en fonction. Ça va Combien nous vous devons Docteur demande Madame. Je pense que vu la discrétion le mieux c’est que Pat me paye une partie en nature et qu’elle s’arrange avec Madame pour le solde. Bonne idée Docteur, Allez Pat tu as compris. Oui Madame. Pendant que je range mes affaires je peux avoir un café. Oui bien sur Pat allez va faire un café au Docteur. Le café servi. Pat vient me sucer dit le docteur. Je me mets à genoux dégrafe ses pantalons les baisses, baisse le slip et j’englouti le sexe du Docteur, il me pilonne la bouche et joui très vite, voilà Pat avale bien montre au Docteur comme tu aimes ça. Maintenant lèche le bien nettoie correctement sa queue. Le Docteur se rhabille, je reste à genoux la bouche avec son gout. Madame raccompagne le Docteur et revient. Bon Pat voilà une bonne chose de faite. Ton traitement débute, Tu sais maintenant comment tu vas payer une partie. Il reste le solde que j’avance au Docteur pour chaque visite. Tu as une idée Pat pour le solde chaque mois. Je reste dubitative sans voix. Madame enchaine j’ai peut-être une idée Pat. Oui Madame. J’ai des connaissances je peux leurs dire de venir te baiser comme vient de le faire le Docteur mais eux ils te donnent les sous et après tu les donnes au Docteur. Il faudrait 2 ou 3 hommes par mois. Je fais passer le mot à Charles, Olga et le Docteur. Ça ne change rien pour toi. Oui Madame je veux des seins comme Olga, alors je ferai comme vous dites. Depuis le début je vous fais confiance Madame. Merci à vous et je lui saute au coup comme une gamine de 16 ans.
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Par : le 26/08/20
Ennia partit deux jours après notre dernière étreinte. J’avais passé l’après-midi en cours et elle n’était plus là à mon retour. Maîtresse Caroline m’avait accueilli sur un ton très dur. -Ma pute, maintenant il n’y a plus rien pour te distraire. Tu n’as qu’un seul but, une seule personne sur qui concentrer toute ton attention : ta Maîtresse. Moi ! J’ai l’intention de faire entrer ton dressage dans une nouvelle phase. Mais avant, je vais devoir m’absenter quelques jours, je dois rejoindre ma famille. Je vais donc te confier à Maîtresse Chloé. Elle a toute ma confiance et pourra disposer de toi à sa guise, pour tout ce dont elle a envie. J’attends de toi que tu la serves comme si c’était moi. Je pars demain. A ton retour de cours, ta gardienne sera là. Ne me déçois pas petite salope, sinon je n’hésiterai pas à me débarrasser de toi. Définitivement ! Maîtresse avait raison. Désormais, Ennia ne devait plus occuper mes pensées. Seulement je n’y arrivais pas. Elle m’avait marqué dans ma chair, et je souffrais d’un manque intense, physique. Une douleur lancinante et permanente. Pourtant je devais oublier mon amour et me concentrer sur mon devoir : servir Maîtresse Caroline, de mon mieux. Tendre vers la perfection, du moins celle qu’elle attendait de moi. La servir, lui obéir, aveuglément. Elle tenait mon destin entre ses mains, au propre comme au figuré. La perspective de ces quelques jours au service de Maîtresse Chloé me réjouissait. Maîtresse Chloé m’attirait beaucoup. J’aimais ce qu’elle dégageait. Une puissante sensualité alliée à une certaine tendresse. Mais en même temps, elle avait cette classe naturelle, hautaine, et un regard qui pouvait se faire si dur que nul, surtout pas moi, ne désirait alors discuter ses désirs et encore moins ses ordres. Je la croyais moins dure que Maîtresse Caroline. Mais comme je l’avais dit, elle n’avait jamais eu l’occasion de se « révéler » vraiment en tant que Dominatrice. J’étais impatient, excité, et aussi un peu effrayé. Une Maîtresse ne réagit jamais comme le soumis s’y attend. C’est ce qui fait sa force. J’appréhendais donc un peu de me retrouver aux ordres de Maîtresse Chloé. Certes la gestion de l’appartement, de la cuisine, des courses, du ménage… tout cela était maintenant bien rodé et Maîtresse Chloé n’aurait pas à s’en soucier. J’étais devenu un expert, un parfait majordome, enfin presque. Plutôt une parfaite gouvernante. Doublé d’une petite pute, une chienne en chaleur assoiffée de sexe et de soumission. Si je faisais le compte de ma vie, j’étais heureux. J’avais atteint, aux pieds et entre les mains de Maîtresse Caroline, une certaine plénitude. Le lendemain, j’assurais mes cours normalement. Avec l’impatience difficilement dissimulée de retrouver Maîtresse Chloé à mon retour à l’appartement. Je n’avais pas sa classe en cours cet après-midi là, aussi je n’avais aucune idée de ce qu’elle me préparait. Je terminais vers 18h, après un cours particulièrement intéressant sur l’équilibre des opinions dans le traitement de certaines informations. Déséquilibre devrais-je plutôt dire. A 18h10 je sonnais à la porte, prêt à me mettre au service de ma gardienne, Maîtresse Chloé, pour quelques jours. Sa voix m’accueillit dès l’entrée : -A poil sale pute ! Tu enfiles le collier, les bracelets et la cagoule que je t’ai préparés sur le fauteuil. Puis tu viens au salon ! Dépêche. Je t’attends depuis une heure et j’ai horreur d’attendre. Sa voix était dure. Je ne connaissais pas cette autorité, presque violente, chez Maîtresse Chloé. Je me dépêchais de lui obéir et de la rejoindre. -Relève toi ! Et viens de mettre en place pour que je t’attache. Nous allons vraiment faire connaissance. Et je ne crois pas que tu vas vraiment aimer. Plus vite la chienne… j’ai des fourmis dans les mains… ça me démange de t’échauffer le cul !!! Maîtresse Chloé m’immobilisa rapidement. Puis elle me mis un bâillon-boule, avant de me libérer de ma cage. -J’aime un soumis qui bande dur… si tu étais à moi, plutôt que de te mettre en cage, je te menotterais pour que tu ne puisses pas te toucher. Je te contrôlerais autrement mais tu banderais le plus souvent possible. Par contre, tu ne jouirais pas très souvent, crois-moi. Pas plus qu’avec ta Maîtresse actuelle. Mais au moins tu me ferais l’honneur d’être bien dur pour moi, pour me montrer à quel point je t’inspire le désir. Et puis…. torturer une queue bandée, c’est tellement plus jouissif. Tu vois, c’est la première fois que tu es à moi toute seule. Et pour plusieurs jours. Je vais commencer par marquer mon territoire. Par te marquer. Tu peux hurler tant que tu veux, je ne suis pas du genre à m’émouvoir de la douleur d’une pute attachée. Ton corps est à moi, et tu vas bien le sentir ! Maîtresse Chloé avait disposé sur le canapé tous les instruments dont disposait Maîtresse Caroline. Un martinet court, un autre avec des lanières plus longues, une cravache d’équitation et un paddle en cuir noir. Elle vînt se placer face à moi et m’enlaça… -Avant de t’échauffer, je vais te chauffer un peu… je te veux excité à mort ma pute. Tu es à moi, mon jouet sexuel que je peux exciter et torturer à ma guise… Hmmmm j’adore ça !!!! Ma pute à moi, ma salope ! Elle se colla contre moi, et la chaleur, la douceur de sa peau me fit bander immédiatement. Elle joua longuement de ses ongles sur mes tétons ou sur ma hampe et mon gland. Maîtresse Chloé était d’une sensualité animale, brute, et surtout communicative. Sa langue et ses griffures me rendaient fou de désir, mes sens étaient poussés à leur maximum. Je haletai et gémissai, sa chienne en chaleur qui réclamait sa dose de plaisir. Maîtresse Chloé se détacha de moi pour saisir le martinet. -Je crois que t’es à point là… moi aussi, je suis trempée. Mais ce n’est rien. Tu vas voir, après la correction que je vais te mettre, je vais couler comme une fontaine. Je t’es déjà dit que j’étais une dominatrice sadique en fait ? Elle ponctua sa phrase par une série de coups rapides, secs, durs. Je ruai et criai dans mon bâillon. Elle n’épargna aucune partie de mon corps. Torse, dos, cuisses, fesses, queue…. Elle prit un malin plaisir, entre les séries, à masturber lentement ma queue. Elle me ramena chaque fois au bord de la jouissance, avant de passer à la suite. La séance dura plus de 30 minutes. Le martinet court, puis le long, le paddle et enfin la cravache avec laquelle elle s’acharna sur mes fesses. Je hurlai de douleur. Mes reins devaient se zébrer de rouge sous la violence de ses coups. J’avais arrêté de compter depuis longtemps, incapable d’encaisser la douleur sans broncher. Maîtresse Chloé avait voulu me briser, pour sceller son emprise. Elle avait réussi. Je pendais au bout de mes chaînes, retenu par mes poignets. Mon corps, et particulièrement mon cul irradiait de douleur. Maîtresse Chloé vînt se planter face à moi. Elle me retira mon bâillon puis releva ma tête et me força à la regarder. J’avais les yeux pleins de larmes. Elle se masturbait doucement, ou plutôt recueillait sa liqueur abondante. Elle avait raison. M’infliger cette correction l’avait excitée au plus haut point. Elle essuya ses doigts sur ma bouche, mon nez : -Sens moi ma pute, lèche et goûte moi ! Mon miel va te redonner de la force tu vas voir. Maintenant tu sais ce dont je suis capable. Et je crois même que je peux être encore plus dure. J’ai adoré te faire souffrir. Fais attention de ne pas m’en donner trop souvent l’occasion. Autrement dit, je veux ton obéissance totale. Sinon je te punis. Et j’aime vraiment ça. Hmmm ma pute à moi, ma salope, ma chose ! Maîtresse Chloé m’enlaça et m’embrassa longuement, profondément. Ses ongles enfoncés dans ma tige qu’elle masturbait très lentement, mais douloureusement. Je rebandai presque instantanément. La douleur n’avait pas réussi à venir à bout de mon excitation, de mon désir de chienne. J’avais besoin de jouir. Mon corps ne pensait, ne vivait que pour cela. L’assouvissement de mon besoin sexuel. J’aimais cette dépendance, plus forte, de plus en plus forte à mesure des semaines entre les mains de mes Maîtresses. J’étais frustré en permanence, sauf les rares fois où Maîtresse Caroline m’autorisait à jouir, à jouir vraiment. Sinon, par hygiène, elle avait recours à la traite, pour me vidanger disait-elle, sans plaisir. Elle me masturbait, tout en me doigtant pour stimuler ma prostate. Et elle arrêtait ses caresses quand j’explosais. Mon sperme coulait, mais sans que j’atteigne vraiment la jouissance. Je pleurais de frustration à chaque fois, en léchant mon foutre recueilli par les doigts de ma Maîtresse. Jouir m’obsédait. J’avais toujours été accro au sexe, au cul, au porno. Mon addiction n’avait fait que s’accroître, de conserve avec l’emprise de Maîtresse Caroline. Mon plaisir ne m’appartenait plus depuis un moment. Il était entre les mains de Maîtresse Caroline, qui en disposait désormais à sa guise. Pour trois jours, Maîtresse Chloé en était la propriétaire. Et elle ne comptait pas m’en faire cadeau. J’allais devoir mériter ma jouissance. -Allez mon esclave, va faire couler un bain pour ta Maîtresse ! Ensuite tu prépareras mon repas ! Hmmmm la soirée va être délicieuse. Enfin pour moi. Pour toi, elle risque d’être un peu plus dure.
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Par : le 26/08/20
Comme je m’y attendais, Maîtresse Caroline jouit plusieurs fois en utilisant ma langue. J’aime profondément l’honorer ainsi, c’est pour moi une réelle récompense et Maîtresse le sait. Parfois, entre deux cours, elle revient à son appartement, pour se faire prodiguer un rapide cunnilingus par son esclave soumis, puis elle repart, apaisée, me laissant dans un état d’excitation indescriptible, le visage maculé de sa mouille qui m’enivre. Je crois que la liqueur de ma Maîtresse a sur moi l’effet d’une drogue, dure. Lorsqu’elle me refuse son sexe délicat, pour l’offrir à Ennia par exemple, ou pour se caresser en m’ordonnant de regarder, c’est une intense humiliation et une frustration terrible pour moi. Maîtresse exige que je la fasse jouir avec ma langue chaque matin. Je suis le premier levé, cela va de soit. Je prépare son petit déjeuner, et à l’heure ordonnée, je glisse ma bouche entre les cuisses de Maîtresse. Le plus souvent, Maîtresse jouit rapidement, ses mains empoignant mes cheveux pour mieux me plaquer contre elle. Elle m’abreuve alors de sa jouissance, forte et abondante. Le week-end, Maîtresse Caroline aime prendre son temps. Je dois l’honorer longuement, et user de ma langue aussi bien sur son clitoris que son œillet mauve. Elle aime aussi que je m’attarde dans son sillon pendant qu’elle se masturbe. Je dois avouer que voir Maîtresse Caroline jouir, entendre Maîtresse Caroline jouir, ressentir son plaisir, son corps qui se tend, ses halètements, tout cela est suffisant pour vivre. Elle est d’une beauté qui me bouleverse. Et je sais que c’est un honneur que de pouvoir assister à cela. Que me le permettre est une marque de confiance que m’accorde Maîtresse Caroline. Après ses orgasmes successifs, Maîtresse m’ordonne de lui servir un alcool, puis de m’agenouiller à ses pieds, regard baissé, cuisses ouvertes et mains derrière le dos. Ensuite, elle joue du bout des orteils avec ma cage, ce qui a pour effet de m’exciter douloureusement. Je n’ai toujours pas encaissé la frustration de ma jouissance avortée dans la bouche d’Ennia, et je gémis, les larmes aux yeux. -Ma chienne, je crois que tu as compris n’est-ce pas ? Ennia va nous quitter. Je la cède à un Maître de mes amis. Nous nous sommes rencontrés il y a 3 mois, lors d’une soirée SM, et il a flashé sur ma pute rousse. Il la reçoit régulièrement, pour la tester. Normalement, elle entrera pleinement à son service la semaine prochaine. Tu n’es pas trop déçu ? Je suis sans voix. Je pleure silencieusement. Anéanti. Je n’arrive pas à croire ce que Maîtresse Caroline m’annonce. Et son sourire me crucifie. -Tu m’appartiens ma chienne, mon esclave soumis. Ennia aussi, enfin pour quelques jours encore. Et je fais de vous ce que je veux. Peut-être que je te vendrai toi aussi. A un couple gay dominant, tu aimerais ? Devenir une bonne lope, une bonniche putain à demeure… Réponds moi quand je te pose une question ?!!! Maîtresse Caroline me gifle sèchement. Je pleure toujours mais j’ose lever mes yeux et les planter dans son regard. -Divine Maîtresse, je vous supplie de me garder auprès de vous. Vous êtes ma raison de vivre, ma déesse, ma sublime Déesse. Dans la vie, je n’ai qu’un seul but : vous vénérer. Aussi, je vous supplie de m’emmener encore plus loin sur les chemins de vos fantasmes, de vos désirs Maîtresse Caroline. Je vous suis fidèle, votre pute, votre salope, votre esclave soumis. Faites de moi ce que vous voudrez Maîtresse, mais je vous en supplie, ne m’abandonnez pas. J’ai tout abandonné pour vous, j’ai choisi cette vie pour vous Maîtresse Caroline. Cependant, je ne le regrette pas un seul instant. Je suis heureux avec vous. Je vous aime Maîtresse Caroline, intensément. Maîtresse me regarde longuement, sans un mot. Puis elle me tend sa main que je m’empresse de baiser du bout des lèvres, en signe d’allégeance. -En attendant, esclave soumis, va préparer mon bain, et ensuite tu te mets en cuisine. J’ai faim ! Après le repas, Maîtresse Caroline ne s’intéressa plus à moi. Je finis de nettoyer la cuisine, puis la salle de bains et je pris la pose, aux pieds de Maîtresse, attendant qu’elle daigne m’adresser la parole. Nous avions un rituel. Si je souhaitais interroger Maîtresse, je devais me placer ainsi, et attendre son bon vouloir. Mon temps d’attente était parfois court, parfois très long, et parfois même Maîtresse partait sans s’être intéressée à moi. Cette fois, Maîtresse attendit près de 10 minutes, le temps de fumer 2 cigarettes en lisant un magazine. -Oui ma pute ? -Divine Maîtresse, puis-je rejoindre Ennia ? Je.. j’aimerais… j’aimerais la voir, j’ai besoin de la voir, je vous en supplie Divine Maîtresse Caroline. Elle prit tout son temps pour me répondre. -Va. Je suis dans un jour de grande bonté, et vu qu’elle va bientôt nous quitter… je t’accorde une dernière nuit avec elle. Détache-la, prends soin d’elle comme tu veux, et tu peux même passer la nuit avec elle. Du moment que demain matin, le service est effectué comme il doit l’être. Je ne tolérerai aucun manquement, tu le sais ma chienne. Ce soir je suis crevée. Allez… dégage de ma vue, et va rejoindre ta pute rousse. Je me jetais aux pieds de Maîtresse, les baisant en la remerciant… -Mais dégage maintenant ! Tu me gonfles avec tes jérémiades. Vite avant que je ne change d’avis !!! Je ne me fis pas prier davantage et je rejoignis Ennia. Mon amour s’était réveillée, attachée, meurtrie par la correction infligée par Maîtresse Caroline. Doucement je la détachai et la conduisis à la salle de bains, en la soutenant de mon mieux. Je lui fis couler un bain, et la ramenai dans la chambre. Nous n’avions pas échangé un mot. Juste des regards. J’entrepris de la masser délicatement avec une crème apaisante, en insistant sur les marques de cravaches qui zébraient sont corps. Maîtresse avait vraiment eu la main lourde. Ennia s’abandonna à mes mains expertes et plongea dans un demi-sommeil, m’offrant son anatomie en soupirant. -Caresse moi… fais moi jouir avec tes doigts, mais très lentement. Ensuite j’ai envie que tu me lèches s’il te plaît… j’ai envie de ta langue. Ennia était une soumise, mais c’était une femme. Et par là supérieure au mâle soumis que j’étais. Je devais donc lui obéir, quand bien même aucun ordre n’était nécessaire pour que je me mette au service du plaisir de celle que j’aimais à la folie. J’aimais intensément Maîtresse Caroline, mais avec Ennia, mon amour était plus profond, quelque chose d’absolu qui explosait lorsque je la regardais, lorsque nos peaux se rejoignaient, nos langues se mêlaient, nos soupirs de plaisirs à l’unisson, ou simplement lorsque je pensais à elle. Sa seule présence me rendait heureux, et ce plaisir qu’elle me réclamait était un cadeau de la vie, le plus beau à mes yeux. Je la fis jouir longuement, lentement et avec une infinie tendresse. Aucun de nous n’avait remarqué la présence de Maîtresse Caroline, adossée contre la porte de la chambre. Elle nous regardait avec une intensité rare, jouant avec une clé entre ses doigts, LA clé, celle de ma cage. -Approche! Pas un mot de plus. Maîtresse Caroline me libéra, non sans mal car faire jouir Ennia m’a bien entendu excité comme un fou. Je me mis à genoux, et en plantant mon regard dans celui de ma Dominatrice, je pris sa main entre les miennes pour la baiser respectueusement. Pas besoin de merci, Maîtresse Caroline pouvait lire dans mes yeux toute ma reconnaissance et à quel point son geste me touchait au plus profond. Je retournai auprès d’Ennia, assise à genoux sur le lit. Elle aussi me regardait avec une intensité rare. Elle m’invita à prendre la même position, face à elle. -Caresse toi pour moi…. je veux que te regarder te masturber, et surtout jouir. Je veux garder cette image de toi. Je t’aime. Et je ne sais pas si je te reverrai. J’ouvris la bouche pour répondre, les larmes aux yeux, mais Ennia posa un doigt sur mes lèvres. -Je t’en supplie, ne dis rien… s’il te plaît, c’est ainsi. Je t’aime, j’aime Maîtresse Caroline, mais je suis une soumise et je vais avoir un nouveau Maître. J’ai un nouveau Maître. Je pars dans 2 jours. Je vais arrêter l’école, ne dis rien par rapport à cela aussi, s’il te plaît. C’est mon choix. Maintenant caresses-toi…. donne moi ton plaisir je t’en supplie, j’en ai besoin… A genoux, cuisses ouvertes, j’obéis. Ennia vint à côté de moi, et tout en regardant ma main aller et venir, elle me murmura à l’oreille, m’encouragea, me réclama son dû, gémit de plaisir en sentant le mien monter… -Jouis, oui…. laisse toi aller, donne moi ton foutre mon amour, branle-toi pour moi… viens, viens maintenant…. J’hurlai en éjaculant, la main d’Ennia venue caresser mes testicules m’avait donné le coup de grâce. Elle recueillit ma semence dans la paume de sa main puis la porta à sa bouche avant de me renverser sur le lit et de m’embrasser, passionnément. Nous nous enlaçâmes longuement, et corps contre corps, le désir finit par renaître. Nous fîmes l’amour comme lorsque Maîtresse m’offrit Ennia, cette sublime première fois qui scella mon destin de soumis. Une ultime étreinte, perdus l’un dans l’autre, pleurant, riant, jouissant, heureux et amoureux. Peu importait demain, peu importait tout.
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Par : le 26/08/20
Ennia s’agenouille à mes pieds, plante ses yeux dans les miens et pose ses lèvres sur mon gland. Par nos regards soudés, nous nous retrouvons. Je peux à nouveau lire l’amour qu’elle a pour moi, le désir…. mais j’y lis aussi de la détresse, de la peur. Serait-ce la menace de Maîtresse Caroline ? Je ne crois pas, elle en a vu d’autres. Il y a autre chose, de plus profond, de plus insidieux. Je bande comme un fou. Maîtresse me maintenait en cage depuis 6 jours, avec des excitations quotidiennes pour « me maintenir en état » précisait-elle. J’avais envie de jouir, et surtout je ne voulais pas qu’Ennia soit cravachée. Ainsi, je me doutais que Maîtresse Caroline, et peut-être aussi Maîtresse Chloé, serait sans pitié. Je me concentre sur mon plaisir. Ennia connait parfaitement les caresses les plus efficaces. Maîtresse Caroline donne le timing, toutes les 30 secondes. Une façon, sans aucun doute, de nous mettre la pression et de nous déconcentrer pour que je ne puisse jouir à temps. Je ne veux pas y penser. Retourner dans ma cage après avoir goûter à la bouche de mon amour, assister ensuite à sa punition, cela serait au delà de mes forces. Ennia accélère le va et vient de ses lèvres, au même rythme que sa masturbation. Ensuite, son autre main caresse mes bourses, un doigt se faufile entre mes fesses. Ses yeux soudés aux miens, ses doigts qui serrent, accélèrent encore, la pointe de sa langue sur mon frein, je sens le plaisir monter, du plus profond de moi, alors que Maîtresse Caroline entame le décompte, à haute voix bien sûr, des dernières 30 secondes. Jouir, je ne veux qu’une chose : jouir. Me vider, exploser, hurler de plaisir. Mais alors que la voix de Maîtresse Caroline, à laquelle s’est jointe celle de Maîtresse Chloé, égrène les 10 dernières secondes, Ennia stoppe net sa caresse. Ses yeux pleins de larmes regardent mon incrédulité, ma détresse. Je hurle « Noooonnnnnn pitiéééé » mais le couperet tombe : Zéro ! hurlent en cœur mes Maîtresses, affichant un large sourire. Je m’effondre au sol, en proie à une crise de larmes. En effet, je pleure mon désir coupé net, ma jouissance à peine approchée, mon incompréhension la plus totale. Je ne suis rien. Même pas un animal à qui l’on accorde un peu de plaisir. C’est l’impression d’être au sol depuis une éternité, alors que cela ne fait qu’une ou deux minutes, lorsque la voix de Maîtresse Caroline me ramène à la réalité : -Chloé, chope le par ses pinces à sein et relève le. Faut le remettre dans sa cage maintenant. Mais d’abord, il faut qu’il débande, et je ne connais qu’un moyen ! La douleur me fait obéir et suivre les mouvements de Maîtresse Chloé. Je me retrouve debout, bras maintenus dans mon dos, queue dure et dressée. J’ai peur, je suis déboussolé, mais je bande encore très dur. Bien trop pour remettre la cage en place. Maîtresse Chloé tient mes poignets d’une main et se saisit de la pince qui torture mon téton droit. Un quart de tour suffit à m’envoyer une violente décharge dans la poitrine : -Ecarte les cuisses salope, offre bien ta queue à ta Maîtresse ! Elle va te passer l’envie de bander !!! Elle éclate de rire lorsque Maîtresse Caroline saisit la base de ma hampe, pour la maintenir à l’horizontal, et que la cravache vient frapper mon gland offert. Je hurle, je rue, mais Maîtresse Chloé tient fermement mes poignets et la pince fait son office. De plus, la douleur de mon téton s’ajoute à celle des coups sur mon gland, ma hampe. Sept coups suffisent à venir à bout de mon érection. Enfin, ma queue débande, et Maîtresse Caroline remet en place ma cage de chasteté. -Et voilà. On est reparti pour une semaine, ou peut-être même plus, hein ma pute ? Tant pis pour toi, tu as eu ta chance !!! Je sanglote, et cela ne semble pas vouloir se calmer. -Et arrête de pleurnicher. T’es une petite pute, MA PUTE, et c’est moi qui décide. J’en ai marre de t’entendre ! Tu vas assister à la punition de mon autre pute, même pas capable de faire gicler un soumis en manque ! Va falloir t’améliorer, sinon ton futur Maître va remettre en cause son achat. Il est déjà moyennement satisfait de ses tests avec toi. Et ça, crois moi, tu vas le payer. Tu m’as fait honte ! Tu m’as humiliée, MOI ! TA MAITRESSE !!! Tu vas payer très cher, je vais te faire sucer tout le personnel d’un chantier, pour t’entraîner. Tu n’es qu’une truie, juste bonne à mettre à l’abattage. Et moi qui croyais avoir dressé une bonne soumise !!! La colère de Maîtresse Caroline ne semble pas feinte, même si je pense que l’arrêt de ma fellation avait été ordonné par Maîtresse. Tout était convenu et Ennia n’avait pas le choix. Je n’ose comprendre ce que j’entends. Ennia, Maître, achat, tests…. serait-ce là l’explication de ses absences de plus en plus régulières ? Maîtresse Caroline céderait Ennia à un autre Maître ??? Je refuse de comprendre. Impossible. Ennia, mon amour, celle qui a fait que je suis là aujourd’hui, soumis encagé d’une sublime Dominatrice nommée Caroline. Ennia… je ne peux admettre, accepter de la perdre. Je veux passer mes jours avec elle, ma vie ou ce qu’il en reste. J’en suis là, perdu, lorsque le premier coup de cravache s’abat sur les reins d’Ennia, attachée, nue, debout sur la pointe des pieds au milieu du salon, les chevilles maintenues par une barre d’écartement. Maîtresse Caroline a fait installé un anneau solide au plafond, et elle adore l’utiliser pour y suspendre Ennia ou moi-même. -Position parfaite pour une bonne correction ! : dit-elle. Bonne n’est pas le mot qui convient. Violente oui. Les coups pleuvent sur Ennia. Reins, seins, cuisses, dos, ventre, sexe…. Maîtresse Caroline ne lui épargne rien. Ensuite, elle s’acharne sur sa vulve et ses fesses, en la maudissant de lui avoir fait tant honte. Ennia hurle dans son baillon boule, le visage ravagé par la douleur, les larmes… je ne l’ai jamais vu ainsi. Elle ne cherche pas à résister. Ne peut pas. La douleur est trop intense. Maîtresse Caroline se révèle incroyablement cruelle, une cruauté à la hauteur de sa colère. La punition dure un bonne vingtaine de minutes. Lorsque je détache Ennia, elle s’effondre dans mes bras et je dois la porter dans la chambre. Maîtresse Caroline m’ordonne de l’installer sur le lit, en lui attachant bras et jambes en croix. J’ai juste le droit de lui ôter son baillon. Aucune chance de l’apaiser, de caresser son visage, encore moins de déposer un baiser tendre sur ses lèvres, Caroline et Chloé surveillent l’opération. Ennia ne réagit pas, dans un état second après la violence de sa correction. -C’est bon, ça suffit. T’inquiète pas elle va survivre ta chienne adorée… Maintenant tu reviens au salon. Tout cela nous a particulièrement excitées, et nous, on a pas encore joui. Tu as encore du travail ma salope. Faire jouir tes Maîtresses. N’est-ce pas la plus belle des récompenses ? -Oui Maîtresse Caroline, c’est un véritable honneur de vous donner de plaisir ! Je dois commencer par Maîtresse Chloé. Elle doit partir mais pas sans avoir eu sa dose de jouissance. Je viens à quatre pattes enfouir ma langue entre ses cuisses. Maîtresse jouit rapidement, et abondamment. Ensuite, je prends soin de bien la nettoyer, comme elle aime à l’être. Au fil des semaines, Chloé s’est installée peu à peu chez Maîtresse Caroline. Elle vient de plus en plus souvent, et reste parfois pour la nuit. Ma Maîtresse et elle se sont découvert une vraie complicité dans la perversité, le sadisme et le dressage de chienne comme moi. Elles rivalisent d’imagination, même si Chloé reste un peu en retrait, Maîtresse Caroline menant la danse la plupart du temps. Je me demande ce dont Maîtresse Chloé serait capable, si elle pouvait se révéler librement, sans la présence de Maîtresse Caroline. Enfin, ma Maîtresse prend congé de son amie et revient vers moi, à genoux au milieu du salon. Elle n’a pas encore joui et je sais qu’elle va réclamer son dû, plusieurs fois, pour mon plus grand plaisir je l’avoue. Faire jouir Maîtresse Caroline est une chose dont je ne me lasserai jamais. Sa liqueur est une drogue, abondante, délicieuse… et le face-sitting dont Maîtresse raffole est la plus sublime des tortures à mes yeux.
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Par : le 25/08/20
1ère rencontre avec mon Maître Notre relation dure depuis peu de temps, à la base nous ne devions pas être dans une relation D/s, mais plus dans l'apprentissage, l'éducation et découverte du monde BDSM pour ma part. Mon Maître, puisque maintenant je peux l'appeler comme ceci, a décidé tout en connaissance de cause de me prendre sous son aile, pour m'apprendre et me faire découvrir... Au début, nous avons échangé par message, mail.... Puis par un puis plusieurs appels téléphoniques.... J'étais déjà dans une relation BDSM mais pas comme je me l'étais imaginée... La rencontre et les échanges avec mon 1er Maître m'ont fait peur.... J'en ai discuté avec mon Maître actuel et ce dernier m'a dit que cette relation n'était pas faite pour moi au vue de mon passé et qu'il fallait que je stoppe car cela allait me détruire plus qu'autre chose....je l'ai écouté mais en tant que protecteur et ami.... Puis les semaines ont passé, nos échanges ont continué de plus en plus dans l'éducation et ce qui arriva, arriva...nous avons décidé de passer de l'autre côté à savoir lui mon Maître et moi sa petite soumise....nous ne l'avions vraiment pas envisagé, ni même prévu mais notre relation est fluide, simple, une complicité s'est installée entre nous et nous n'arrivons plus à ne plus être dans cette relation amicale.... Nous avons pris goût à nos petits appels, nos petits rituels, défis et punition qu'il est difficile aujourd'hui d'envisager autre chose... Une confiance totale s'est installée entre nous, je lui dis tout.. Alors cela peut paraître bizarre aux yeux de certain ou certaines mais ce n'est qie du virtuel entre nous, et nous prenons énormément de plaisir à cela, et qui sait peut-être qu'un jour le virtuel deviendra réel... Et là la soumise qui l'aura faite de moi pourra mettre en pratique ce qui lui a inculqué mais avec une grande appréhension pour elle car nouvelle dans ce domaine.... J'espère qu'à la lecture de cette petite histoire mon Maître ne m'en voudra pas de ne pas lui avoir envoyé avant le contenu et comprendra le devenir après ces 3 semaines à moitié off que nous avions convenu ensemble... Merci pour votre patience et votre soutien dans ce nouveau chemin qui s'ouvre ou s'offre à moi à vos côtés
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Par : le 24/08/20
3 semaines ont passées, je fais la manicure de Madame avec vernis, elle aime que je l’épile son sexe lisse comme le mien, je la masse. A chaque visite je fais des fellations et je suis sodomisée avec ou sans capotes. Madame est contente elle entre sans difficulté sa main dans ma chatte. Mercredi dernier Madame m’a prévenue qu’elle aurait une amie pour manger et je devais venir à 10h30 pour préparer sa venue. C’est la première fois que je verrai une personne chez Madame. Je suis troublée. A 10h30 je sonne 2 coups, Madame m’ouvre, je referme la porte. Je me love dans ses bras, câlineuse elle m’embrasse sur la joue. -Tu vas te préparer, jupe noire aujourd’hui, mon amie est Olga tu verras elle est très gentille. Tu la sers et obéi si elle te donne un ordre. Tu mets la table pour 2 couverts, toi tu manges avant à la cuisine. Quand elle sonne tu lui ouvre tu dis « bonjour Olga », il y a une bouteille de blanc au frigo tu nous sers l’apéritif. Puis tu nous sers le melon avec le jambon crus qui est déjà préparé. A 12h30 on livreur va venir apporter un plat préparé avec sa garniture. Saumon et pomme nature. Pour le dessert il y a de la glace dans le petit congélateur du frigo. A toi de bien nous servir sinon tu connais la cravache elle sera à ma portée de main. Quand nous mangeons tu seras à ma gauche immobile à côté de moi. Après la glace tu sers le café avec des mignardises 11h45 la sonnerie retentie j’ouvre une magnifique Dame, cheveux brun mi-long en tailleur, chemiser, de jolis souliers à talon hauts. Encirons 175cm pour 72 kilos, de jolies jambes gainées de bas noirs. Bonjour Madame Olga, Bonjour Pat dis-moi seulement Olga en me caressant la joue. Je précède Olga et je frappe à la porte du salon et j’ouvre et j’annonce Olga à Madame referme la porte et je prépare l’apéritif sur un plateau. Quelques olives, quelques chips, 2 verres et la demi bouteille de blanc. Je frappe à la porte une voix m’invite à entrer, Madame est assise sur un fauteuil, Olga sur le canapé, je pose le plateau sur un guéridon, mets des sous verres pose les verres dessus, posent les olives et chips pose 2 serviettes à coté, prend la bouteille et commence à servit Olga, puis Madame, je dépose la bouteille sur le guéridon et je viens à gauche de Madame immobile et debout. Les 2 dames se font santé, Madame glisse une main sous ma jupe et s’amuse avec mon god sans aucune gêne. Olga j’ai ma soubrette Pat à mon service depuis plusieurs mois je la forme à devenir une bonne soubrette soumise. Elle est divine dans les tâches ménagères. Elle a appris à bien sucer les mâles, sa chatte est assez ouverte pour ma main. Je la gave de sperme de certains amants. Pas vrais Pat. Oui Madame - Tu aimes ça - Oui Madame - Quand j’ai ma main en entier dans ta chatte tu couines de plaisir ! - Oui Madame. - Aller ressert nous un peu de vin et mets-toi à côté d’Olga. Je sers et mets-toi à gauche d’Olga, Les 2 dames discutent Olga glisse sa main entre mes jambes remontes jusqu’à l’entre 2 cuisses je frémies c’est la première fois que je vois une personne chez Madame et en plus elle me pelote. Sa main est très douce, elle sent ma gêne. Elle serre ma cuisse pour me faire comprendre que je ne dois pas avoir peur. Chez Madame j’ai été prise par des hommes, ils ont joui dans mes 2 trous et la une femme me pelote sa main est sur mon god , elle appuis dessus, Madame veut surement m’offrir aussi aux femmes pour que je sois à tous. -Madame décide passer à table. Je sers le vin, l’eau, l’entrée. Ça sonne à l’entrée surement le livreur. -J’ouvre un livreur avec un sac, bonjour c’est les 2 repas commandés. Je dis merci le livreur est surpris de voir une soubrette masculine travesti. Je referme -Je débarrasse l’entrée fais le service du saumon et reste au côté de Madame. -Pat tu es contente de servir Madame ? -Oui Olga. Je suis très contente Madame est une bonne patronne. -Tu n’avais avant jamais été la soubrette de quelqu’un ? -Non Olga, mais j’aime depuis toute petite servir. -Madame a fait de toi une femelle tu aimes ça ? -Oui Olga, Madame a su trouver en moi ma féminité ? -Tu aimes alors offrir ta bouche et ta chatte à des inconnus ? -Oui Olga, c’est Madame qui décide, je lui obéi. -Quel sentiment as-tu pour Madame ? -je l’aime toujours plus Olga. Je reprends le service, sers le café. Bon Pat Olga veut que tu te donnes à elle sans aucune limite. Je sors faire des courses. Madame se lève, Olga me prend la main et m’amène dans la chambre ou il y a le chevalet. Elle m’embrasse à pleine bouche, déboutonne mon chemisier. Je fais de même elle s’amuse avec mes petits tétons, elle a une jolie poitrine je lèche ses tétons elle me pince les tires je subis mais c’est bon. Elle relève ma jupe caresses mes fesses, me donne des claques dessus, je lui défais sa jupe elle tombe elle a un joli fessier. Embrasse-moi les fesses descend-moi mon string et lèche moi ma chatte anale comme tu aimeras que je te fasse. Elle a une douce odeur d’amande je lèche insère ma langue. Ecarte-moi les fesses, mouille bien. Je suis à genoux, Olga me demande de fermer les yeux. J’obéi, Olga se tourne et elle me met un doigt dans la bouche je le suce puis son doigt ressort elle me met un sexe d’homme et me bloque la tête et crie « suce Pat, suce-moi, Madame veut que tu m’obéisses suce encore, fait moi bander Pat, je comprends qu’Olga est une transgenre. Son sexe est dur, elle s’active encore plus dans ma bouche elle jouit son jus coule Avale-Pat tu aimes ça, tu me l’as dit. Tout va très vite je suis perdue dans ses bras je la caresse ses seins me plaisent je joue avec mes doigts. Elle s’amuse aussi avec mes tétons, me demande si j’aimerai une poitrine comme elle, oh oui Olga petite comme vous. Mais c’est Madame qui décide. Les minutes passent j’ai la tête sur ses jambes je joue avec son sexe doucement Olga m’encourage, son sexe commence a durcir elle pousse ma tête pour que je le suce encore. Il est dur très dur Olga me crie à 4 pattes donne-moi ta chatte. Elle retire le god, entre dans ma chatte me pilonne sans ménagement je ne suis qu’une poupée elle jouit de nouveau. Se calme puis me retourne, Nettoie-moi maintenant comme tu sais le faire. Je gout est un peu acre. Elle m’encourage. Son clito est lisse j’ai des souvenirs de ma première fois sur le chevalet qui me revienne. Rompue Olga m’installe sur le chevalet sans m’attacher, me remet le god, prends le martinet et joue avec les lanières, elles passent sur moi vont et viennent Olga me donne un grand coup de fouet je sursaute et recommence à me caresser avec les lanières. Ferme les yeux, Olga alterne caresse et coup de fouet, Madame entre, Je saute au cou de Madame l’embrasse Merci Madame vous m’avez offerte à Olga aujourd’hui c’est la même personne qui m’avait dépucelée Madame. J’ai reconnu son odeur sa douceur des mains. Olga se rhabille embrasse Madame « tu as de la chance d’avoir Pat, continue à la former » se tourne vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Puis s’en vas Tu ranges tout Pat, et te rhabilles et après tu me laisses seule il est 19h tu as baiser tout l’après-midi. Je l’embrasse et elle quitte la pièce.
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Par : le 23/08/20
Nous nous réveillons côte à côte pour la 1ère fois, et quel bonheur de me retrouver à côté de mon Maître, depuis le temps que nous attendions cela. Je regarde s'il est réveillé...à mon grand bonheur il dort encore...j'en profite pour m'extirper du lit pour aller prendree une douche avec tous mes orifices soient propres quand mon Maître se réveillera. Sans faire aucun bruit, ou de mouvement brusque, je me glisse tout doucement de nouveau dans le lit...puis je me colle à lui, fesse sur sa queue...il a senti la chaleur de mon corps contre lui et se réveille doucement... Sa main parcourt mon corps et me fait frissonner tellement les sensations sont fortes, puis prend une de mes mamelles dans sa main et commence à titiller mon téton pour le faire durcir et pouvoir le tirer afin que la sensation de douleur et de plaisir montent en moi... Ce qui fut rapidement le cas. Il m'ordonne de me mettre sur le dos afin de pouvoir accéder à tous mes orifices, je m'excute immédiatement...me demande d'écarter les jambes afin que ses doigts puissent caresser ma chatte et me faire mouiller à souhait... Il ne lui faut pas longtemps pour y arriver... Il m'enfonce 3 doigts et mon corps se cambre de plaisir... je dois rester dans cette position car il adore quand je me cambre... Et sa bouche prend mes tétons tour à tour afin qu'ils pointent et qu'ils puissent profiter de ces belles mamelles... Je suis fortement excitée que je ne rends même pas compte que j'en jouis de plaisir... La femme fontaine que je suis c'est laissée avoir à son propre jeu...mais normal mon Maître connaît les moindres réactions de mon corps... L'excitation en moi ne s'arrête plus que je supplie mon Maître de bien vouloir me laisser venir sur lui afin de lui faire sentir mon envie...il acquiesça rapidement et le mouvement de mon bassin...lui fait durcir sa queue encore un peu plus à chaque mouvement que quand je la sens bien dure et en moi, j'en crie de plaisir....ce qui m'a value une fessée car je n'avais pas prévenu mon Maître de cette montée en jouissance.... La fessée fût appréciée et adorée, la mise en levrette a fait raviver l'excitation en moi, qu'en bonne soumise, je présenta de nouveau mes fesses pour que mon bon Maître puisse prendre à son tour le plaisir et la jouissance dont il se contient depuis le début....nous avons malgré tout ceci pris notre pied ensemble alors que cela m'était interdit par mon Maître En guise de punition.... J'ai eu droit à être mise au coin et à être fessée par la cravache de mon bon Maître
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Par : le 23/08/20
J’ai cru un instant que notre malédiction sévissait à nouveau quand ta cheville a lâché en début de semaine. Par chance, à la énième entorse, tu t’en remets assez vite, en tout cas, suffisamment pour que nous puissions quand même profiter tous les deux de ces jours ensembles… Comme cela nous arrive quand nous avons un peu de temps devant nous, les « hostilités » commencent ce vendredi par un shooting photo. Et dire que tu n’aimais pas te faire photographier quand nous nous sommes rencontrés. La première fut épique … en milieu naturel, en plus ! Avec ce beau soleil sur fond de ciel bleu quasi pur, il eut été dommage de ne pas profiter du jardin pour mettre en avant ta dernière robe. Violette, lacée par un ruban sur la poitrine, vaporeuse à souhait, transparente juste ce qu’il faut pour suggérer sans tout dévoiler. Et pour rehausser le tout, tu optes même pour les plateformes noires, malgré ta cheville encore sensible. Pour le coup, aujourd’hui, c’est moi qui tourne autour de mon modèle obligé de rester immobile. L’appareil crépite jusqu’à partir en rafale à certains moments … Changement de tenue pour les escarpins suivants. Tu redescends avec une jupe longue et noire qui laisse apparaître au gré de tes pas la fameuse paire de Louboutin dont tu me parlais depuis des semaines. Elles sont discrètes mais il faut reconnaitre qu’elles sont jolies. Du coup, mon objectif se sent obligé de focaliser sur elles ;-) . Nous terminons avec une dernière tenue, toujours accordée avec ces talons noirs à semelle rouge, cette fois étendue sur le lit. Tu sembles préférer ce dernier cadre, des plus reposants et confortables. La séance se termine par l’idée que tu avais en tête depuis que tu as fait l’acquisition de talons quasi identiques à ceux que tu m’avais offert il y a quelques mois. Ainsi, mes bagages se sont vus lestés d’une boite à chaussures pour venir te rejoindre. Telles deux victimes de la mode, nous faisons toute une série de clichés avec nos talons respectifs, rouges pour les tiens, noirs pour les miens. Il était temps de faire une pause bien méritée avant de passer à la suite, une soirée placée sous le signe des essais. Ces derniers mois de confinement ont été propices à quelques achats de nouveaux jouets que tu voulais ardemment tester sans délai. Cela commence très classiquement par le collier à pointes que tu me tends. Une fois que je l’ai mis en place, tu me tends les bracelets que je boucle sur les chevilles et les poignets. Tu termines en me tendant le bâillon-pénis, qui fait son retour. Tu me fais bien rire en me faisant remarquer que j’ai mordu dedans la fois précédente : comment dire ? Pas vraiment le choix ? Alors seulement tu me fais mettre en place sur le lit, couché sur le dos, les jambes repliées au bord du matelas. J’ai l’impression que tu prends de plus en plus goût à cette disposition. Une fois n’est pas coutume, tu me laisses le bénéfice de la vue. Néanmoins, ainsi allongé, je ne peux guère voir que ton visage, sûrement pas tes mains, ce qu’elles attrapent et ce qu’elles font. Envie subite d’endosser le rôle de dentiste, tu t’amuses à me poser une question alors que je ne peux plus répondre de manière audible Tu extrais alors de ta valise à cordes deux cordelettes roses qui finissent par relier de près chevilles et poignets sans oublier quelques tours de cuisses. Pour être sûre de la solidité de tes liens, tu infliges quelques coups sur mon sexe avec ton mini paddle en cuir. Comme tu l’espérais, je me tortille immédiatement dès la première morsure. Visiblement tu es satisfaite de ton test : les contraintes ont résisté. Tu peux donc passer aux choses sérieuses. Il manquait tout de même une petite touche de nouveauté. Tu viens mettre en place ces nouvelles pinces faites d’une paire de fines baguettes métalliques dotées de petits anneaux permettant de moduler le mordant à ta guise. Inutile de les serrer beaucoup pour que leur effet se fasse sentir. Sur le moment, comme souvent avec les pinces, la douleur est « transperçante » avant que le corps, tout du moins les tétons s’habituent à cette présence. Les années passent mais je reste toujours aussi réactif aux morsures quelles que soit la nature des pinces. Ce nouveau modèle est presqu’aussi pinçant que les japonaises, sans même insister. C’est dire… Pour t’assurer de mon confort afin de profiter à fond de tes tourments du soir liés à tes essais, tu glisses un coussin sous ma tête avant de t’installer sur ton « trône » du jour, face à mon entrejambe, a priori juste à la bonne hauteur pour t’amuser et en profiter sans encombre, surtout que ton coffre aux trésors est juste à côté. Il suffit de piocher dedans en fonction de l’inspiration de l’instant. En entendant claquer les gants sur tes mains, je devine sans difficulté que tu te prépares à tester ta nouvelle sonde. J’ai beau ne plus être inquiet à ce sujet, je préfère ne pas essayer de regarder. Elle me semble bien bien longue par rapport à l’autre. J’ai la sensation que tu peines à faire pénétrer cette longue tige boursouflée toute en silicone. La suite va me prouver que mes sens m’ont largement égaré. Les seuls quelques centimètres que je pense être entrés font leur effet. J’ai rapidement le sentiment de ne plus rien contrôler. Par moments, je crois même que je suis en train de me vider. Mais a priori, il ne doit rien en être : tu ne fais pas le moindre commentaire sur le sujet. Quand tu déclenches les vibrations, mes couinements se poursuivent de plus belle, virant même aux gémissements … de plaisir ; le peu de maitrise que je pouvais encore penser avoir s’est évanoui. Impossible d’échapper à ce fin « serpent » vibrant qui s’est insinué en moi. En revanche, les différents modes de vibration ne changent pas réellement la sensation procurée. Ou alors je ne suis déjà plus en état de les distinguer ! Lorsque tu arrêtes cette divine torture, il me faut de longues minutes avant de revenir sur terre alors que je suis resté confortablement étendu sur le lit. Même la caresse raisonnable du petit martinet sur mon pénis et mes testicules ne suffit à pas me sortir de cette délicieuse torpeur. Toujours pourvue de tes gants, tu titilles mon pénis désormais calmé et apaisé : c’est a mi-chemin entre la griffure et le massage : pas désagréable du tout comme sensation. La présence des gants change totalement la sensation procurée : j’y goûte bien volontiers. Un bien agréable moment de simili-douceur. Après cet intermède tactile, tu passes à la suite. En sentant le contact du stylo sur mes cuisses, j’en conclus que tu as finis pas retrouver l’inspiration qui te fuyait il y a quelques jours encore pour écrire quelques mots à mon sujet … sur le-dit sujet ;-) Comme à chaque fois, il faudra que j’attende de voir les photos pour découvrir ce qui t’es passé par la tête. Toujours assez largement offert, il était trop tentant de ne pas abuser de la situation. Je devine le contact en cuir d’un petit paddle qui vient tourmenter mes couilles et mon pénis. Ma zone sensible par excellence. Impossible pour moi de retenir le moindre couinement et de ne pas me tortiller, du moins essayer. Les gants, une fois retirés, prolongent efficacement tes mains pour continuer dans le même esprit. Le tourment est simplement plus doux. D’ailleurs, je pense que je sursaute moins sous les impacts. C’est dire. En revanche, je redeviens extrêmement sensible lorsque tu dégaines la spatule en bois. Tout du moins c’est elle que je crois reconnaitre. De là, à prendre un pari …. C’est quand même terrible d’avoir les sens perturbés malgré le fait que tu m’aies laissé la vision libre … Toujours est-il que le plat rigide du bois sur mon intimité la plus chère est des plus « stimulant » ! Place au nouveau jouet suivant délicatement appelé « Anal Intruder » par son vendeur. On devine mieux sa forme lorsqu’on l’appelle cockring à double boules anales, tout en métal et pesant son poids selon tes dires ! Voici qui annonce une charmante parure pour ton soumis. Si l’anneau passe très bien autour du pénis, il en va bien différemment lorsque tu arrives à la base. Impossible de faire passer les testicules. Et mon excitation soudaine n’aide pas ! Qu’à cela ne tienne ! Tu ne vas pas te laisser arrêter par si peu. Quelques noix de lubrifiant sur la tige et tu poursuis la mise en place. J’ai l’impression que tu galères pour arriver à trouver le chemin. A croire que j’ai une anatomie hors normes. Après quelques efforts raisonnables, je sens se présenter la première boule qui semble pénétrer sans trop d’encombres, rapidement suivi de la seconde. Je sens que tu pousses sur l’ensemble pour t’assurer qu’il est bien en place. Je n’ai guère l’impression qu’il risque de s’échapper tout seul. Ainsi équipé, mon excitation est à son paroxysme. En plus, tu prends un malin plaisir à venir appuyer régulièrement sur cette pièce de métal qui m’envahit tout autant qu’elle me leste. Je n’ose imaginer l’effet que cela doit procurer une fois debout. Très, très efficace : l’adaptation n’a, semble-t-il, rien gâché ! Ainsi tendu, tes griffes sur ma tige sont des plus efficaces. Avant de l’enlever totalement, tu m’amuses un moment à faire coulisser la tige métallique et ses deux excroissances. Je reste aux anges ... C’est alors que tu me fais retirer le bâillon. Mais comble de sadisme, tu t’amuses immédiatement à me faire parler. Sauf que les premiers mots qui sortent sont tout bonnement inintelligibles. Cela déclenche un des fous rires dont tu as le secret, et, surtout, tu continues à m’interroger … Il reste tout de même le plus délicat à essayer. Je dois reconnaître que cela faisait longtemps que j’avais un œil sur cet engin diabolique qu’est le humbler. Et cela a fini par piquer ta curiosité aussi. Désormais, il faut passer à l’action. Plus facile à dire qu’à faire ! Mélange d’excitation et d’incompatibilité anatomique (encore une fois ! Décidément, je finis par croire que je suis totalement anormal !), il s’avère impossible de le mettre en place lorsque je suis à quatre pattes. Il en faut plus pour nous freiner. Je m’installe sur le dos, les cuisses les plus relevées possible. A quatre mains, cela devrait peut-être faciliter la mise en place. C’est un peu mieux mais encore pas le top. Mais tout de même suffisamment pour bien sentir la tension dès lors que je laisse redescendre très délicatement mes cuisses. A quatre pattes cela doit être terrible …. Restrictif à souhait. Il faut peut-être que nous trouvions un tuto ;-) Dimanche matin, nous remettons le couvert avec une deuxième séance photo. A défaut d’aller à l’église, tu as enfilé une vaporeuse petite robe noire toute en suggestion avec ses voiles, et surtout tes nouveaux escarpins noirs à semelle rouge. Le jardin représente une nouvelle fois un parfait écrin pour mon modèle et mon appareil photo à la limite de la surchauffe. Avec la climatisation, il fait meilleur dedans. D’ailleurs, la chambre se prête bien mieux à l’idée que je voulais développer : variations de menottes présentées avec les talons aiguilles. Je crois que nous avons fini par faire le tour de la question. Pour une raison que j’ignore, comme à peu près une fois par an, la séance dérape en délire peluche. L’ours en peluche est croqué à toutes les sauces … Nous essayons de finir plus sérieusement avec les plateformes rouges, mais pas question de se lever avec. Il est encore trop tôt pour celles-ci. La fin de la séance m’est consacrée : il fallait bien faire l’essayage des nouveaux boxers en vinyle. Comme cela tu m’auras vu dedans en direct. Une pause était plus que nécessaire avant la soirée. Il fallait bien se reposer un peu. Côté tenue, tu as prévu une légère variation. Le collier, incontournable, est le premier à prendre place, suivi de près par les bracelets de poignets. Enfin tu me tends la cagoule. Il devrait donc logiquement y avoir de longues lanières au programme. Une fois installé à genoux au milieu du lit, tu viens fixer mes poignets au niveau de l’anneau du collier. Nous avons la même idée au même instant : je t’entends dire que je ressemble à un chien ainsi présenté. Ni une ni deux, tu attrapes l’appareil pour immortaliser cette transformation d’un nounours en chien ! Je ne suis pas surpris que tu commences par essayer le dernier jouet à avoir rejoint ta panoplie. Déjà hier, alors que nous vérifions comment cela fonctionnait, tu étais impatiente de savoir l’effet que cela allait avoir ailleurs que sur ma cuisse. Dans la position que tu m’as fait prendre, tu as libre accès à ta cible favorite. Après avoir oint mon intimité du gel spécial électro, tu commences à promener ton stick électrique sur ma verge. Tout d’abord la sensation ressemble à une sorte de brûlure très localisée et très fugace. Elle est identique sur les testicules. Un peu plus tard, la sensation change totalement, peut-être as-tu changé les réglages. Cette fois, c’est totalement différent : l’électricité semble courir sous la peau quelques centimètres autour du stick. C’est un effet inattendu mais tout à fait plaisant, quoi que difficile à décrire précisément. Finalement, en s’y prenant correctement, cette nouvelle extension de ton kit d’électrostimulation pourrait trouver une bonne place dans ta panoplie. Après cette électrisante mise en bouche, je me roule en boule l’espace d’un instant. Il n’en faut pas plus pour dégainer tes griffes, enfin retrouvées avec une longueur conséquente. J’en suis toujours aussi friand, au point de ronronner dès lors que tu parcours mon échine, depuis les fesses jusqu’au cou, depuis les flans jusqu’au creux du dos, sans oublier le haut des bras. Je ne m’en lasserai jamais. A une phase de douceur succède une série de douleurs. Je pensais que tu voulais « traiter » ces vieilles ceintures avant de t’en servir. Finalement non ! C’est bien l’une d’entre elles que je sens claquer sur mon postérieur à plusieurs reprises. Visiblement, il va falloir s’y adapter : je crois deviner que tu as subi un dommage collatéral. Mes sens m’égarent encore une fois lorsque tu dégaines une baguette dont je n’ai pas souvenir d’y avoir déjà goutté. Trop flexible pour correspondre aux baguettes en bois que je connais. J’opte alors pour une cravache. Pourtant, jamais je ne ressens l’impact si spécifique de sa tête. Ce n’est qu’à la fin de la soirée, en jetant un œil sur le plancher que je comprends enfin ce qui était si mordant sur mes fesses : une simple tige de seringat (merci le jardin !). Moins lourd et plus fin mais au mordant certain. De quoi me revigorer, si c’était nécessaire et de continuer à faire monter la température. Mes capteurs sont toujours aussi déréglés quand je confonds le long strap clouté avec une des spatules en bois. Tu en uses longuement et j’imagine aisément que je dois commencer à virer au rouge et à chauffer l’atmosphère de la pièce. La situation est telle que j’en oublie même la petite cravache en forme de cœur qui l’a précédé. En guise d’apaisement, tout est relatif, tu laisses tes griffes acérées autour de mon sexe. Ma réaction est immédiate : je couine. J’hésite aussi entre « l’obligation » de garder la position et le réflexe de me tortiller pour tenter d’y échapper … en vain. De toute façon, ce serait mal te connaitre que de penser que cela t’arrêterait. Bien au contraire. Une courte fessée à mains nues marque ton retour dans mon dos. Cette fois, je n’ai pas de doute, c’est bien une cravache qui se promène entre mes cuisses, tantôt frôlant astucieusement mes couilles, tantôt claquant l’intérieur de mes jambes. On dirait que je résiste mieux à ce traitement que certains autres. Pourtant c’est toujours en zone hyper réactive ! Un flogger que je n’ai ni reconnu ni mémorisé prend le relais. Le lourd contact qui suit me rappelle immédiatement la « caresse » du martinet. Celui-ci procure un mélange très spécial de sensations, à la fois cet impact imposant et la fine et délicate morsure de chacune des lanières. J’aime beaucoup. Mais question morsure, rien ne vaut ce qui vient derrière. Tu dégaines un de tes fouets qui vient zébrer mon dos de belles marques rouges. Malgré les morsures provoquées, je dois reconnaitre que je ne regrette jamais ces moments-là. La cagoule avait donc bien son utilité : tu ne fais jamais rien au hasard. Pour conclure cette belle soirée, tu me refais pencher en avant, la tête plantée dans le couvre-lit et le postérieur bien tendu. Ainsi, tu peux allègrement y déposer de multiples gouttes de cire. J’aurais tendance à dire que tu cherches à en faire couler un peu partout sur cette zone des plus charnues. Tu finis même par empoigner mon sexe pour atteindre l’arrière de mes couilles avec ta cire chaude. Étonnamment, la sensation fugace de brûlure est moins importante à cet endroit précis que sur mes fesses. La cravache ne semblant pas être des plus efficaces pour assurer le « décirage », j’entends que tu quittes la pièce avant de revenir et de présenter sur mon corps une sorte de racloir qui fait sauter la plupart des gouttelettes solidifiées, en réalité la plus petite de tes spatules métalliques, pour une fois en mode délicatesse. Pour le coup, je dois reconnaitre que j’ai eu beaucoup moins de souci sous la douche pour finir le nettoyage. Presque épuisés, nous nous étendons côte à côte, moi libéré de mes contraintes et reprenant mes esprits, toi reprenant des forces. Néanmoins, tu me gratifies à nouveau de délicieuses et frissonnantes griffures qui me font ronronner de plus belle. Cela ressemble à un pêcher mignon. Lundi Pour conclure mon séjour à tes côtés, tu as imaginé une séance de shibari. Hier, tu m’as dessiné une esquisse de ce que tu avais en tête. Pourquoi ce thème des losanges ? Mystère ! Toujours est-il que c’est le motif central de ta réalisation du soir. Commençant par équiper mon buste avec une première série de losanges colorés et concentriques, tu poursuis sur mes membres, une fois étendu sur le lit. Bras et jambes doivent eux aussi former des losanges. De fait, la position devient petit à petit moins confortable. Pourtant il semblerait que la situation ne me laisse pas insensible. Difficile de le cacher… Le résultat est un mélange d’esthétique et de contrainte, car, malgré tout, les différentes cordes enserrent de près tout mon corps. Je n’ai pas vu le temps passer pourtant quand je me relève, libéré de tes cordes, je découvre que deux heures au moins se sont écoulées. Pas étonnant que tu sois épuisée …. Comment te remercier pour tout cela ?
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Par : le 23/08/20
Pendant 3 semaines ce fut presque la même chose. Madame devient toujours plus sévère avec moi, sa main entre en entier dans ma chatte, elle joue de la cravache, ma tenue de soubrette évolue au fil des jours. Madame a acheté plusieurs slips ouverts derrière et mes chemisiers ont été modifiés, 2 petites ouvertures aux niveaux des seins laissent apparaitre mes tétons, Madame s’amuse avec. Une fois propre changé et après avoir servi le café Madame me dit « va sur le chevalet et attends-moi » Oui Madame. Quelques minutes après Madame m’attache les mains et pieds, me mets le bandeau et glissa à mon oreille « tu vas aimer ma soubrette » et installe le casque. Me mets les pinces aux tétons. Elle relève ma jupe me donne 3 coups de cravache, s’amuse avec le god que je porte toujours chez elle. Le retire et me sodomise avec le god-ceinture pour bien m’ouvrir. Ses 2 mains sur mes hanches. Un doigt me caresse la bouche pour l’ouvrir d’où vient ce doigt ? Ma bouche le suce par habitude et il se retire aussitôt remplacé par sur sexe d’homme mou. Ma tête bloquée je ne peux bouger. La surprise passée le pénis commence à me baiser la bouche pendant que Madame me laboure la chatte. Ce sexe grossis il entre et sort de ma bouche, Madame m’avait appris à bien sucer son god-ceinture je fais de même. Je le trouve énorme dans ma bouche, je suffoque, il se retire et s’amuse avec ma bouche. Madame m’enlève le casque des oreilles. Tu vois Pat il va jouir dans ta bouche il bande bien, tu vas aimer ce sperme comme tu aimes le tien. Suce bien mets la langue fait comme je t’ai appris. Elle était immobile dans ma chatte. L’homme accentue les va et vient puis il jouit, je manque de m’étouffer, Madame m’encourage avale Pat (Le gout de se sperme ressemblait au mien). Lécher-le, nettoie avec ta langue applique-toi. Puis l’homme se retire, Madame me glisse à l’oreille « tu es magnifique Pat, tu tout prit et tout avaler ». Tu as aimé Pat. Pas de réponse Madame m’administra une claque sur les fesses et cria Tu as aimé Pat » Oui Madame nouvelle claque Tu as aimé. Oui Madame j’ai aimé. Elle me remit le casque sur les oreilles, se retira de ma chatte installa le god gonflable et après l’avoir bien gonflé, je suis restée seule. J’ai dû m’endormir quand plusieurs coups de cravache sur mes fesses me réveillent. L’homme remet son pénis dans ma bouche il est mou. Il commence ses va et vient, pour le faire durcir Madame me retire les écouteurs elle m’encourage de nouveau à bien le faire durcir. Des mots te voilà femelle Pat, tu suces bien, il bande, ta bouche est faite pour ça. Sent comme il est dur, Madame dégonfle le god le retire et elle dit vas-y baise lui la chatte maintenant, l’homme entre sans difficulté dans ma chatte béante et entame des va et vient. Madame me caresse le visage me parle « Tu aimes ca Pat après ta bouche c’est ta chatte qui va être fécondée, Tu es faites pour ca Pat. Pat parle-moi dis-moi des mots. Oui Madame j’aime être sodomisée, je suis à vous Madame je suis heureuse de vous appartenir j’aimerai vous embrasser Madame pendant qu’il me pilonne. Madame prend ma bouche, le baiser est long très passionné, elle joue avec mes tétons qui me font très mal. Me caresse le visage. Se retire de ma bouche me lèche le visage. Tu es très belle Pat sent comme ton amant te baise offre toi plus encore à Lui, remue tes fesses. Et Madame m’embrasse de nouveau Mon amant accélère le rythme et joui. Madame n’arrête pas le baiser, l’homme se libère de ma chatte. Madame me caresse le visage retire les pinces aux tétons. Me remet le casque et je suis seule. Je n’ai plus de notion du temp. Ma bouche est pâteuse, le baiser de Madame était très puissant. Ma chatte est vide pas de god juste le jus de mon amant. Madame commence à me détacher enlève les écouteurs et le bandeau j’ai du mal à voir. Madame met mon god il ne tient pas il ressort aussitôt. Madame s’en amuse. Ta chatte c’est bien ouverte Pat, je te reprends ce god et te donne un plus gros. Celui-là reste. Tu le garde à la place de l’autre. Madame me regarde droit dans les yeux me parle me caresse le visage. Pat je suis fière de toi, tu m’as fait confiance depuis le début tu suces très bien, te voilà dépucelée j’ai vu que tu aimes ça j’ai aussi joui en te voyant faire la femelle, tu as assumé ta place de soubrette soumise. Tu seras régulièrement fécondée, fouettée fouillée punie Aujourd’hui tu as perdu ta virginité. Tu as gouté au plaisir. Embrasse-moi Pat. Je lui saute au cou et l’embrasse longuement. En l’embrassant je lui dis « je vous aime Madame » Ton amant du jour veut revenir Pat il te trouve à son gout Donne-moi ton avis sur lui. Il a des mains très douce son sexe est lisse petit et gros, il a fait attention à me donner du plaisir, son sperme est comme le mien doux. Il pince les tétons différemment de vous Madame il sait faire l’amour, il sent bon. Moi aussi Madame j’aimerai qu’il revienne. On verra Pat. Tu ranges tout et pense à porter ton god chez toi Je range le chevalet, nettoie les jouets, les habits me change et repart avec mon nouveau god dans ma chatte heureuse d’être devenue une femelle Heureuse d’être à Madame.
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Par : le 23/08/20
1 semaine se passe je me retrouve devant la porte à sonner 2 petit coups. Madame m’ouvre Bonjour Madame, Bonjour Pat va dans la chambre changes-toi après un bon lavement très profond, tu t’habilles, tu me serviras un café au salon en m’apportant la cravache. Oui Madame. En 15 minutes me voilà prête en train de préparer le café puis je lui sers le café après lui avoir donné la cravache. Je reste la Madame boit son café me questionne sur ma semaine de travail puis pose sa tasse et me dit A genoux Pat face à moi et regarde-moi Oui Madame Je vois que les tâches ménagères tu sais faire donc je contrôlerai ton travail après. Si tu ne le fais pas bien c’est 5 coups de cravache sur tes fesses. Oui Madame. Tu as mis le god qui était sur le lit. Oui Madame. Bien montre-moi. Je pivote et relève ma jupe pour lui présenter mes fesses. Elle me caresse s’empare du god le tourne le sort. J’ai un cri de surprise, Madame le remet en place. Madame se lève tourne autour de moi la cravache caresse mes fesses, passe sur ma chatte prise. Tu vois Pat comme c’est bon une cravache qui caresse mais c’est aussi un instrument pour te faire obéir et vlan un grand coup je cri. A toi de choisir Pat soit les caresses soit les coups. Maintenant tu débarrasses le café, fait la vaisselle, tu fais mon lit, tu passes l’aspirateur dans ma chambre et après quand c’est rangé tu vas te mettre en place au chevalet. Oui Madame. Je m’attelle aux taches m’applique à bien faire le travail. Puis fini je m’allonge sur le chevalet et j’attends. Madame arrive me caresse les jambes avec la cravache, passe sur mes fesses Ton chemisier est ouvert ? Non Madame Vlan un coup de cravache « sur le chevalet tes tétons doivent être nus. Je déboutonne mon chemisier et me rallonge. Madame en saisi 1 et le tire, le pince, le tourne en piçnant, « aie » la même chose à l’autre, puis elle y met une pince à chaque cela est douloureux et les règles au minimum et y installe un petit poids. Pat c’est le plus petit poids et c’est réglé pour que tu peux supporter. Je commence à comprendre pourquoi ce chevalet est ainsi fait, à la hauteur des seins le chevalet est plus étroit, devant il y a un support pour y poser mon menton, un décrochement au bas du chevalet permet de laisser pendre mon sexe et ses bourses. Les pieds du chevalet sont à crémaillères pour régler la hauteur et l’inclinaison. Madame me met un bandeau sur les yeux, puis les écouteurs Toujours de la musique de Sade douce et langoureuse. Puis plus rien, je suis immobile, Madame me caresse la bouche introduit un doigt me fait comprendre de le sucer puis son doigt est remplacer par un objet plus gros lisse froid elle le fait entrer et sortir ses 2 mains me maintiennent la tête l’objet je devine que c’est un plug ou god, il est dans ma bouche Madame me pilonne la bouche à différentes vitesses. Ma bouche est libérée. Madame enlève le god que j’avais dans ma chatte depuis le début. Elle me passe un gel c’est froid et elle m’introduit un god ou plug plus gros. Je la sens entre mes fesses puis elle commence à entrer et sortir le god ou plug, je comprends qu’elle me sodomise avec un god-ceinture elle alterne la vitesse puis la profondeur, ma chatte s’habitue, mes tétons me font mal je me tortille, Madame bien au fond de moi me retire les poids et les pinces au tétons ils sont en feu, me passe un gel puis reprends la sodomie. Elle en sort. Ma chatte doit être béante, une pause, puis ses doigts me fouillent la chatte, et elle introduit un god plus gros et me pilonne de nouveau, ses doigts remplacent le god, puis de nouveau le god puis ses doigts elle m’introduit de nouveau un god et je sens le god gonfler dans ma chatte Madame pompe le god grossit toujours Puis plus rien, la chatte écartelée. Puis m’ouvre la bouche et y introduit un autre god ou plug. Je sens une mais me caresser les tétons, le corps, elle me retire le god gonflable et me masse la chatte avec ses doigts je sens un liquide couler de mon clito elle continu de masser ma prostate le liquide coule toujours. Madame m’enlève le god de la bouche et y mets 1 puis 2 doigts dans ma bouche ils ont le gout de mon sperme elle m’oblige à bien les nettoyer. Madame enlève le bandeau et les écouteurs. Tu es dépucelée Pat te voilà femelle, ta chatte est bien ouverte mais pas encore assez pour moi. Tu as été sage sans voir et sans entendre tu te donnes à moi comme une femelle. Libérée Madame m’embrasse à pleine bouche « tu vois Pat comme tu as aimé ton clito à bien coulé et tu as bien sucée mes doigts tu aimes ça ». Oui Madame, Répète- Pat « je suis une femelle soumise à Madame je dois me goder chez moi pour avoir la chatte plus ouverte encore Madame » Je répète « je suis une femelle soumise à Madame je dois me goder chez moi pour avoir la chatte plus ouverte encore Madame ». Maintenant tu vas laver le chemisier, tes bas et ton slip et les suspendre sur le fil de la salle de bain. Montre-moi ta chatte Pat que je te fasse cadeau de ce god. Je me penche en avant Madame me mets le god et dit. « Il est à toi après ta toilette tu le remets dans ta chatte Je veux que tu le portes en sortant d’ici et en entrant la semaine prochaine. C’est ton cadeau. Oui Madame J’allais partir laver le linge Madame me relève la jupe et me donne 3 coups de cravache fâchée que je ne lui dise « merci Madame. Dans la rue je serre les fesses de peur de perdre mon cadeau de Madame dans ma chatte.
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Par : le 23/08/20
Le réveil Le réveil se fait dans vos bras en commençant par un bonjour Maître, et vous demande s’il est possible que vous restiez au lit pendant que je vous prépare le déjeuner Le déjeuner Je me lève doucement du lit, nue et rien d’autre sur moi Je vous prépare votre petit déjeuner pendant que vous êtes encore au lit, et vous attendez comme je vous l’ai demandé Je m’affère donc à la préparation, mais vous avez décidé de venir me troubler pendant un court instant, en venant discrètement derrière moi, pour effleurer les pointes de mes mamelles pour les faire durcir, et descendre délicatement votre main sur ma chatte, et votre queue effleure mes fesses puis vous décidez de repartir vous remettre dans le lit tranquillement, Le café J’arrive donc à la porte de la chambre avec dans mes mains le plateau où se trouve votre déjeuner, vous me demandez de ne plus bouger pour pouvoir admirer Vous m’ordonnez d’avancer lentement vers vous, tout en gardant le plateau dans les mains Je m’exécute sans aucun souci Puis, d’un seul regard, je comprends que je dois poser le plateau et prendre votre queue en pleine gorge avant la dégustation Vous adorez cela, puis d’une seule main vous vous mettez à tirer ma tête en arrière, et me dire que je suis votre femelle salope soumise, et que vous aimeriez m’attachez les mains, afin de profiter pleinement de ce corps nu et à disposition comme vous l’aimez Tout en bonne soumise, je vous tends les mains pour que vous puissiez me les attacher, et là, l’excitation monte en moi Votre langue commence à lécher mes tétons pour les faire durcir, puis pouvoir les prendre en bouche afin de me les tirer et de voir dans mes yeux, la sensation d’excitation Puis vos mains, descendent le long de mon corps, pour y retrouver ma chatte, qui est ma foi bien humide, et ouverte afin que vous puissiez y glisser 3 voir 4 doigts, et me faire gicler comme votre « femme fontaine », et vous y arriver facilement Cela vous excite tellement que vous décidez de me relever et de me pénétrer d’un coup sec, afin d’entendre mes gémissements, encore et encore, et vous me demandez de vous dire, que je suis votre garce, votre soumise, votre femelle, votre salope, et sous la jouissance de mon corps et des mots émis par ma bouche, votre plaisir augmente de plus en plus, et je récolte votre semence en moi Cela fut tellement intense, que je vous demande de recommencer car l’excitation est encore présente en moi
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Par : le 21/08/20
Les semaines qui suivirent furent consacrées à me dresser. Je n’étais plus qu’un petit soumis dressé par sa sublime Maîtresse. Il s’agissait d’une éducation de tous les instants, distillée par Maîtresse Caroline chez qui je vivais, nu la plupart du temps. Je devais apprendre à servir au quotidien, du réveil – bien avant Maîtresse – jusqu’au coucher. Mes jours étaient fait d’humiliations, de séances de punitions au gré des envies de Maîtresse, et de mes erreurs aussi. J’étais aussi un sex-toy pour le plaisir de Maîtresse Caroline et de Chloé, qui passait souvent rendre visite à son amie. Et surtout, j’avais retrouvé Ennia. Mais une Ennia différente, plus secrète, parlant très peu. Elle ne vivait plus au domicile de Maîtresse Caroline et ses apparitions, toujours pour des séances particulièrement dures auxquelles j’assistais le plus souvent en spectateur, se faisaient de plus en plus rare. Bien trop rare. Mon amour pour elle ne faisait que se renforcer, en proportion inverse du manque d’elle dont je souffrais. Il m’arrivait souvent de pleureur, lorsque j’étais seul. Je ne savais à quoi me raccrocher, si ce n’était, parfois, un regard que me jetait Ennia, dans lequel je pouvais lire ses sentiments, sa tristesse aussi. Ces regards me faisaient tenir, espérer. Je m’en nourrissais. Bien plus que de mon plaisir à servir Maîtresse Caroline. L’amour d’Ennia me jetait dans les bras de ma Divine Maîtresse bien plus que mon désir, mon besoin de soumission. Mais cela, je le gardais précieusement pour moi. Je ne sortais de son appartement que pour me rendre à mes cours, et parfois faire quelques courses pour Maîtresse, quand elle ne se faisait pas livrer à domicile. Ainsi, j’étais chargé de réceptionner les livraisons, une bonne occasion pour Maîtresse Caroline de m’humilier. Pour que je comprenne bien qui j’étais, ou plutôt ce que j’étais désormais. -Tu l’as choisi, n’oublie pas ma pute. Tu ES à moi, ma chose, mon esclave. J’ordonne, tu exécutes. Peu m’importe ce que tu penses, tu obéis et tu me satisfais, sinon je te punis. C’est clair ? » -Très clair Maîtresse Caroline ! -Alors tu vas enfiler cette jupe, ce chemisier blanc, et ce tablier. Ne boutonne pas ton haut. Pour le reste de ton déguisement, je vais m’en occuper personnellement. Je veux que tu sois une bonniche très sexe, bien bandante. Une vraie pute aguicheuse. J’espère que tu vas me faire honneur ma salope, hein ? -Je l’espère Maîtresse Caroline », répondis-je…. De moins en moins convaincu par ce que Maîtresse voulait que je fasse. Mais je n’avais pas à être convaincu. Juste à lui faire plaisir. Quel qu’en soit le prix pour ma fierté – oui, à cette époque, j’avais encore ma fierté de mâle. C’est ce que Maîtresse entendait me faire perdre, au profit de la seule fierté de lui appartenir. Je me sentais affreusement ridicule, avec ma jupe courte, très courte. Maîtresse l’avait choisie en latex, ultra moulant bien sûr. Depuis que je vivais sous son toi, j’étais entièrement épilé, très régulièrement. Jambes, sexe, torse, aisselles… glabre comme elle aimait à me voir. Le chemisier blanc était presque transparent, je le laissais ouvert, suivant les instructions de Maîtresse. Bien sûr je ne portais aucun dessous, jamais. Juste ma cage de chasteté. J’ajustais mon tablier, et je me présentais à Maîtresse Caroline. -Fais moi voir ça ma salope… tourne un peu…. bien, ton cul de pute est bien moulé, j’aime. Approche… J’obéissais, effrayé par ce que Maîtresse allait encore inventer. J’avais raison d’avoir peur. Elle prit deux pinces-étau, et les fixa à mes tétons, après les avoir bien étirés douloureusement pour les faire saillir au maximum. Maîtresse aimait beaucoup me travailler les seins. Des tétons de bonne salope comme elle disait. J’avais mal, et les pinces se voyaient parfaitement sous le tissu très fin de mon chemisier. Ensuite, elle m’enfila une perruque, et entreprit de me maquiller. Fard à paupières, blush, rouge à lèvres… -Voilà, une bonne bonniche, avec un air de salope. Tu es parfaite ma chienne. Le livreur ma bientôt arriver normalement. Je te charge de lui faire un bon accueil, sois polie, il fait un travail difficile. Tiens, tu devrais même descendre pour l’attendre sur le trottoir. C’est la première fois que je commande chez eux, il ne sait pas où c’est. Allez, dégage sale petite truie. Hop, sur le trottoir ! Maîtresse avait appuyé ses derniers mots, avant d’éclater de rire. Je ne savais plus où me mettre, et j’étais descendu, comme un robot. Par l’escalier comme Maîtresse me l’avait ordonné, avec la peur de croiser un voisin ou une voisine. Heureusement, cela n’arriva pas. Je dus attendre 15 minutes sur le trottoir, en essayant de me cacher le plus possible, ce qui était difficile. Moins difficile que de sentir les regards des passants, surtout des hommes. Je ne me sentais pas encore la force de leur jeter ma soumission, ma fierté d’appartenir à ma Maîtresse, à la figure. Je n’assumais pas encore, et cela me faisait cruellement souffrir. J’avais honte. Honte de ne pas être à la hauteur, et encore un peu honte de ce que je faisais pour satisfaire ma Maîtresse. Caroline avait raison, mon dressage était loin d’être parfait, et il me restait encore beaucoup de chemin pour parvenir à l’état de vrai soumis auquel me destinait Maîtresse Caroline. Sur ce trottoir, je prenais la décision de faire enfin, psychologiquement, le grand saut. Et de revendiquer ce que j’étais devenu. La pute de Maîtresse Caroline. Un statut que pas un passant n’atteindrait jamais. C’est de cela dont je devais être fier. Et non de ce que j’étais avant. Lui ne devait plus exister. Elle, cette salope, cette pute, cette chienne obéissante, ouverte, prête à tout pour sa Maîtresse… elle seule comptait désormais. La livraison arriva enfin. La camionnette se gara à quelques places de l’entrée. Et j’eus la désagréable surprise de voir descendre non pas un, mais deux livreurs. Un grand noir, en salopette, et un blanc, plutôt petit mais les muscles saillants, moulés dans un t-shirt trop petit. Tous deux semblaient approcher la trentaine, à peine. Deux, et non pas un seul livreur comme je m’y attendais. Et visiblement, Maîtresse Caroline ne s’était pas contentée de commander. Elle les avait également briefé. Mon attente, sur le trottoir, dans cette tenue… Maîtresse l’avait aussi prévue, et les livreurs s’y attendaient. -C’est toi la salope qui portent les sacs ? C’était le plus petit qui m’avait interpellée. J’étais tétanisée. Incapable de répondre ou de bouger. -Ben approche… tu crois pas qu’on va bosser à ta place quand même ? Pour une fois qu’on a de l’aide, on va en profiter ! Je m’étais approchée, sous les rires des deux hommes. Comme un robot j’avais saisi les deux sacs, suivie par les livreurs. -On va monter avec toi, se faire payer ! Dans le hall, le black m’avait poussée vers l’ascenseur. -On ne va pas de faire chier à monter par l’escalier. Et puis on sera plus serré, l’ascenseur est tout petit dis donc. Je ne disais pas un mot, rouge de honte, morte de peur aussi. Mais le plus troublant, c’était ce désir qui montait. Ce dont j’avais le plus honte. Une fois dans l’ascenseur, les deux hommes commencèrent à me caresser les fesses à travers le latex. Le black essayait de glisser sa main entre mes cuisses, mais je les maintenais serrées. -Tss tss…. on a dit qu’on montait pour se faire payer… t’as intérêt à te montrer gentille, si tu ne veux pas qu’on en parle à ta proprio. J’écartais les cuisses, juste assez pour sentir la main géante remonter vers ma queue encagée… -Attends, j’y crois pas… -Vas y remonte lui sa putain de jupe, faut que tu vois ça. La salope a sa queue dans une cage. Le grand black semblait vraiment surpris. Le petit livreur un peu moins… -Ouais, ça doit être un truc de chasteté, j’en ai déjà vu sur internet. C’est pour éviter que la petite salope se branle n’importe quand. Hein, c’est pour ça que tu as ce truc sale chienne ? Tu n’arrives pas à t’empêcher de te branler ? T’es toujours en chaleur ? -Oui Monsieur, c’est pour ça. J’étais anéanti. Jamais je n’avais vécu une humiliation pareille. Mais ce n’était rien à côté de ce qui m’attendait. Quand le black avait parlé de monter se faire payer, je savais que j’étais inclue dans le prix. Maîtresse Caroline nous attend sur le pas de la porte de l’appartement. -Dépose les sacs à la cuisine, tu rangeras plus tard, ensuite tu nous rejoins au salon ! Je m’exécute et rejoins Maîtresse Caroline au salon. Je marque un temps d’arrêt. La table basse a été enlevée, laissant un bel espace libre au milieu de la pièce. Les deux livreurs sont assis chacun dans un fauteuil, Maîtresse sur le canapé. Et à côté d’elle, Maîtresse Chloé. Ennia est à genoux aux pieds de Maîtresse Caroline, nue, portant seulement son collier de chienne, tenue en laisse par ma Maîtresse. La présence Chloé et d’Ennia me fige. Je devine ce qui va m’arriver, enfin ce que je vais devoir faire, je l’accepte… mais je pensais que Maîtresse Caroline serait seule. -Alors ma petite bonniche, on hésite ? Viens là, immédiatement ! J’approche, regard baissé. J’obéis, c’est tout. Je suis mort de honte, j’ai peur, mais je suis excité. La cage remplit parfaitement son office et contient un début d’érection plus que douloureuse. Je suis une pute, une chienne en chaleur… je suis devenue cela. Ou peut-être l’étais-je depuis toujours, sans le savoir. -Alors…. elle s’est montrée coopérative ma bonniche ? Le petit livreur prend la parole: -Elle aurait pu mieux faire…. hein Marc ? dit-il en s’adressant à son partenaire black. -Ouais c’est sûr… elle voulait pas ouvrir les cuisses. Une vraie pucelle. La cage, c’est pour l’empêcher de se branler c’est ça ? Il semble toujours ne pas en revenir que ma queue soit encagée. Maîtresse Caroline m’humilie encore plus, avec un grand sourire. -Oui, sans la cage, cette chienne bande en permanence et ne pense qu’à se toucher. Une vraie salope qui a le feu au cul. D’ailleurs, tu devrais leur montrer ma pute. Allez, caresse toi, montre leur que tu as envie de cul…. excite nos invités. Vous allez voir, c’est une vraie truie en chaleur ! Dans un état second, j’obéis à Maîtresse Caroline, en évitant soigneusement de croiser le regard d’Ennia. Maîtresse Caroline a raison. Je suis une salope qui ne pense qu’au cul. Je remonte lentement ma jupe en latex sur mes hanches. Le grand black, celui qui s’appelle Marc, laisse échapper un sifflement… -Wouah, elle est entièrement rasée… c’est une vraie pute dites donc ! Je caresse l’intérieur de mes cuisses, j’ouvre mon cul à pleines mains et je le présente aux invités, je joue avec les pinces sur mes tétons, ce qui m’arrache un petit cri de douleur, je donne des coups de hanches dans le vide. Ma queue me fait terriblement souffrir, serrée au maximum dans ma cage de chasteté. Maîtresse Caroline donne la laisse qui retient Ennia à Chloé et se lève pour me rejoindre. Elle déboutonne mon chemisier et commence à jouer avec les pinces, plus durement que je ne le faisais… -La chienne est très sensible des tétons. Son dressage est loin d’être terminé. Comme nous en avons convenu Messieurs, vous allez m’aider à l’éduquer. Elle n’a encore jamais sucé de queue, et son cul de pute ne s’est jamais fait baiser par une vraie queue de mâle. Elle est à vous. Vous pouvez l’utiliser comme vous voudrez. Et faites la bien couiner cette salope, ça nous excite à mort ! Le grand black a sorti sa queue, plus qu’imposante, et se branle lentement en me regardant. C’est le premier à m’adresser la parole : -Viens là ma salope, tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta bouche, allez, viens sucer ta première queue. Une belle queue de black, t’en as de la chance hein ? Je m’approche lentement, et je me mets à genoux. Son gros gland luisant me révulse et me fascine à la fois. Personne ne parle, comme si l’instant était solennel. -Plus vite, suce moi sale pute. Je sors ma langue et l’approche lentement de sa hampe. Je donne de petits coups tout le long, je lèche délicatement son gland pendant qu’il continue à se branler. Mais il n’a visiblement pas envie que je prenne mon temps. Il pose sa main sur ma tête et appuie. Son gland force mes lèvres et vient de planter au fond de ma gorge -J’ai dit suce la pute !!! » J’ai un haut-le-coeur et je la recrache en toussant… -Doucement, allez, encore… suce moi bien ! Je fais de mon mieux, je suce, l’enfonçant à chaque fois un peu plus loin. Je la retire de ma bouche pour lécher son gland. Il semble aimer… -Lèche moi les couilles aussi…. t’as vu comme elles ont bien pleines… du bon jus pour toi ma salope. On va faire de toi une bonne pute à blacks, j’ai plein de potes qui vont t’adorer. Je lèche, suce, salive le long de sa tige… Maîtresse Caroline et Maîtresse Chloé se sont rapprochées, elles me regardent faire, de près. Je me sens encore plus humilié, mais cela me donne aussi la volonté de bien faire. Pour que mes Maîtresses soient fières de moi. -Hummm regarde Chloé comme elle aime ça. Je te l’avais dit, c’est une vraie chienne à queue. On va en faire une bonne suceuse. Faut qu’on la surveille, elle va devenir accro! Mes Maîtresses éclatent de rire, et s’amusent beaucoup. Mon humiliation atteint son maximum. Je pleure de honte tout en suçant la queue de Marc qui grossit encore. Il impose le rythme avec sa main, et je le sens accélérer. Ensuite, il jouit en grognant et je m’étouffe avec son sperme, très abondant. Je recrache sous le coup de la surprise, et aussitôt, Maîtresse Caroline m’assène une gifle magistrale -Sale pute, tu ne sais pas que tu dois avaler ?!!! Regarde t’en a foutu plein le parquet, nettoie immédiatement ! Chloé, je crois qu’elle a besoin de la cravache pour que cela lui rentre bien dans le crâne. Faut la motiver un peu notre suceuse… allez lèche le bon sperme, et ensuite on nettoie la queue de son homme, et on le remercie ! Sous les coups de cravache qui cinglent mon cul, je lèche le foutre de Marc, puis je le reprends en bouche. Il n’a presque pas débandé et il rigole en se moquant de mes piètres qualités de suceuse. -Va falloir que tu t’améliores, tu suces comme une merde. On va revenir t’inquiète, tu pourras t’entraîner dit-il en faisant un clin d’œil à son collègue. Allez, mon copain aussi il a envie. Et même si je suis black, il en a une plus grosse que moi. Et des couilles bien pleines, pas vrai Luis ? Luis, qui s’est branlé pendant tout le temps de ma fellation, m’attire à lui et me roule une pelle en triturant mes tétons. Il enfonce sa langue dans ma bouche, et je ne peux pas l’en empêcher. Je crois que cela me dégoutte encore plus que de sucer. J’essaie de détourner la tête.Il n’y a rien de plus humiliant pour moi. Mais Luis me tient pas les pinces, par les tétons. Face à la douleur, je ne peux que lui offrir ma bouche. Il m’embrasse longuement puis abaisse ma tête vers sa queue énorme. Je n’ai jamais vu de gland aussi gros. Sa queue est épaisse, pas trop longue mais très large. J’ai du mal à la prendre en bouche. Il me force à le sucer, s’enfonce au maximum en manquant me faire vomir à chaque fois. Cela l’amuse beaucoup. Maitresse Caroline et Chloé y vont de leur commentaire. -Dis Chloé, t’en as déjà vues des queues pareilles ? Moi jamais. Elle est vraiment super grosse. Notre petite truie va se faire éclater le cul dis donc… -Ouais t’as raison, elle va bien morfler. Putain elle est géante sa queue !!! T’aime ça hein la pute, les grosses queues !!! T’es vraiment une lope à baiser !!! J’essaie de jeter un œil vers Ennia, mais elle garde le regard baissé. Et Luis m’ordonne de le regarder dans les yeux pendant qu’il baise ma bouche. Mais il se retient de jouir. -A quatre pattes. Marc va te préparer le cul pour que je puisse te défoncer. Si c’est moi qui commence, tu vas exploser. Il saisit mes pinces à seins et tire pour me forcer à me relever puis à me mettre à genoux sur le tapis central. Marc s’est levé aussi. Maîtresse Caroline me lance un flacon de lubrifiant et une capote. -Allez la pute, tu ne crois pas que quelqu’un d’autre va le faire quand même ? Tu lui mets la capote et je te conseille de bien te tartiner le cul de gel, si tu veux que ça fasse moins mal. Ils vont t’ouvrir complètement tu vas adorer ! Je tremble en enfilant tant bien que mal le préservatif sur la queue de Marc. Elle est plus grosse que le plus gros des gods avec lequel Maîtresse Caroline m’a déjà travaillé. Je m’enduis de gel, copieusement. Tu devrais bien te doigter, et t’en mettre un max dans la rondelle. C’est Ennia qui a parlé. Je me fige et je tourne vers elle. Maîtresse Caroline est debout à côté d’elle. Les larmes me montent aux yeux et je suis ses conseils, sans détacher mon regard du sien. Je suis anéanti, totalement. Marc trouve que c’est trop long et il vient derrière moi. Sa main sur ma nuque me force à me mettre à quatre pattes. Je sens son gland se frotter sur mon anus, et il commence à pousser. J’essaie de m’ouvrir, de me détendre. Il force et son gland m’ouvre et me pénètre. Je crie de douleur et il m’assène une grande claque sur les fesses. -Hmmm j’adore les faire crier les putes dans ton genre… Vas y, hurle si t’en as envie. Putain ce qu’elle est étroite, c’est trop bon !!! Il fait quelques va et vient et s’enfoncer à fond d’un seul coup. Je hurle mais Luis m’enfonce sa queue dans la bouche, pour étouffer mes cris. Ils me violent. La douleur s’atténue un peu mais le plaisir n’est pas là. Enfin pour moi. Marc me baise à grands coups de reins, et il ne tarde pas à jouir une deuxième fois. Il se retire, me laissant béant, et Luis vient aussitôt prendre sa place. -Attends ! : dit Marc. -Remets lui du gel, tu vas voir elle est trop bonne cette salope ! Son gland est bien plus gros que celui du black. Il force mais sans réussir à rentrer. Maîtresse Caroline farfouille alors dans son sac et en sort une fiole de poppers. -Vas y ma salope, respire un grand coup ! J’obéis, la chaleur m’envahit aussitôt, monte.. et je hurle à nouveau lorsque Luis m’empale. Maîtresse Caroline me fait sniffer encore et encourage Luis. -Vas-y, maintenant tu peux vraiment la défoncer ! Il ne s’en prive pas. Je ne suis plus qu’un cri continu, que le string que Maîtresse Chloé a enfoncé dans ma bouche pour me baillonner peine à atténuer. Luis a saisi mes hanches et il me pilonne de plus en plus vite. Il jouit rapidement et se retire. Mon viol anal est terminé, mais pas l’humiliation. Tiré à nouveau par les pinces, je me retrouve encore à genoux. Visage ravagé par la douleur, les larmes… Maîtresse Chloé retire son string de ma bouche et Maîtresse Caroline prend la parole : -Tu dois avoir soif ma petite pute…. Regarde le bon foutre chaud que tu vas pouvoir déguster…ouvre ta bouche et sors ta langue, allez ! Ensuite, joignant le geste à la parole, elle vide sur ma langue les deux préservatifs remplis du sperme de mes violeurs. -Avale ! Avale tout ! Va falloir que tu apprennes à aimer ça, ce n’est pas la dernière fois que tu vas y goûter, crois moi !! Je suis au bord du vomissement, mais j’obéis, j’avale tout comme Maîtresse me l’a ordonné. Je me sens déshumanisé. Brisé totalement. Maîtresse Caroline prend congé des deux livreurs, non sans leur dire à très bientôt. Et qu’ils n’hésitent pas à en parler à leurs amis qui seraient intéressés. Puis elle revient au salon et se plante devant moi. -Ma pute…. vois ce que je peux faire de toi. Je peux t’offrir à qui je veux, te faire baiser par qui je veux. Je l’ai fait et je le referai encore, souvent. Tu es à moi. Mon objet, mon esclave j’espère que maintenant tu en as pleinement conscience. Tu es ma pute. Et si j’ai envie de te prostituer, je le fais. C’est aussi simple que ça. Mais assez pour ce soir, je crois que tu as eu ton compte. Et comme tu nous as bien excitée, t’as droit à une petite récompense. Je me jette à ses pieds, les embrasse, les lèche avec dévotion… je pleure en la remerciant, en disant que je suis sa chienne, sa pute, sa gagneuse, qu’elle peut faire de moi tout ce qu’elle veut, que je suis à elle, qu’elle est ma Déesse, ma Divine Déesse…. Elle me repousse de sa semelle et m’ordonne de me relever. Ensuite, elle prend la clé qui pend au bout d’une chaîne, entre ses seins, et me libère de ma cage. Je bande aussitôt. -Ennia, approche. Notre petite truie a mérité une récompense. Tu as donc 3 minutes pour le faire jouir. Si tu n’y arrives pas, tant pis pour lui. Il retourne dans sa cage et toi, je te punis comme rarement tu l’as été. Rien qu’à la cravache. Tu sais combien je peux être sévère, surtout quand je suis super excitée comme maintenant. Allez, au boulot !
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Par : le 21/08/20
Il fait frais, et la voix de Madame résonne. Sans doute un parking souterrain. -Avance la pute. Stop. A genoux, mains dans le dos ! J’ai toujours les yeux bandés. Ainsi, j’obéis à cette femme naturellement dominatrice. Ma séance de masturbation, puis de nettoyage de mon foutre, m’a fait débander. Je me sens vulnérable comme jamais je ne l’ai été. Aucune présence familière. Juste cette magnifique femme qui me dirige à la voix, et un chauffeur que je n’ai fait qu’apercevoir en montant dans la voiture. Est-ce que ma divine Maîtresse est là ? Est-ce qu’elle me regarde ? Pas le temps de m’apitoyer sur mon sort, la voix de Madame se fait à nouveau entendre. -Lorsque l’on vous transporte gratuitement, la moindre des choses, c’est de remercier ses hôtes, ne crois-tu pas la pute ? -Oui Madame, vous avez raison ! -Et bien…. remercie donc celui qui t’a conduit jusque là. Paul, approchez… la pute va vous dire merci ! En même temps que les mots de Madame résonnent dans le parking, je sens la présence du chauffeur qui s’est rapproché de moi, très près. J’entends, alors, le bruit caractéristique d’une fermeture éclair. Tout se bouscule dans ma tête… les mots de Madame… dire merci…le bruit de braguette que l’on ouvre… je comprends, mais ne veux pas comprendre en même temps. Pas ça… s’il vous plaît, pas ça… je ne suis pas prêt. Pas un mot ne sort de ma bouche. Mes suppliques sont silencieuses. -Allez la pute, remercie le comme il se doit. Paul est gâté par la nature, et il aime particulièrement se faire sucer par des putes comme toi…. Trop. Je craque, tombe prostré au sol, aux pieds de ce Paul, et mes larmes jaillissent. A mes sanglots répond le rire de ma divine Maîtresse Caroline. Elle était là, elle a tout vu… je l’ai sans aucun doute déçue, je ne suis pas digne d’elle, je ne suis pas assez fort pour devenir sa pute, ce qu’elle désire que je devienne, elle va me rejeter… Mes larmes redouble, mon humiliation explose, et la peur m’envahit. J’entends sans vraiment entendre ma divine Maîtresse Caroline saluer et remercier Madame. Le temps est suspendu, et je ne suis plus qu’une loque, au sol, pleurant sur son sort. En fait, je suis brisé, totalement. Enfin, des pas se rapprochent et stoppent à quelques centimètres de mon visage. Une voix. SA voix. -Alors, 15 jours sans me voir t’ont fait oublié la façon dont tu dois saluer ta Maîtresse, ma petite pute pitoyable ? L’insulte me fait d’autant plus mal qu’en cet instant, c’est exactement ce que je suis. Pitoyable. Je me jette littéralement sur ses pieds. J’embrasse, je lèche, je délire…. -Divine Maîtresse Caroline…. pitié Maîtresse… ne m’abandonnez pas je vous en supplie… je deviendrai la pute que vous voudrez, je sucerai toutes les queues que vous me présenterez…Divine Maîtresse Caroline, s’il vous plaît, ma Maîtresse, je vous supplie… gardez moi divine Maîtresse Caroline…. Maîtresse me laisse supplier, pleurer et embrasser ses pieds divins pendant de longues minutes. Puis elle recule, sans un mot… je reste à genoux, totalement désemparé, ne sachant que faire. Mains liées dans le dos, yeux toujours bandés, je suis offert et sans espoir. En cet instant, je crois que mon sort m’indiffère complètement. Je me sens anéanti, vide. Mes larmes cessent de couler.Ensuite, j’attends sans boucher, les cuisses écartées, sans aucune conscience du spectacle que je peux offrir. Quelqu’un pourrait surgir, je m’en fous. Maîtresse Caroline se rapproche, toujours sans un mot. Elle me contourne et vient se placer dans mon dos. Je sens un collier autour de mon cou, Maîtresse qui en manipule le mécanisme de fixation. J’entends le bruit d’une chaîne, Maîtresse la fixe à mon collier…. et mon espoir renaît. Je renais, pour elle, par elle. Debout, cambré, cuisses écartées, tête droite, j’attends et je me laisse envahir par la joie, le bonheur même. Elle m’a mis un collier. C’est donc qu’elle veut toujours de moi. -Ma pute. Mon chien. Ma salope. Mon soumis….. Ce que tu viens de vivre était un test. Que tu l’aies réussi ou non, peu importe. Ce que je voulais, c’est te briser. Et je n’ai eu aucun mal. Maintenant tu vas m’écouter très attentivement. Ce que je vais te dire maintenant, je ne te le répéterai jamais. A toi de ne jamais l’oublier. Tu ES A MOI ! J’ordonne, tu obéis. Je t’offre, tu te donnes. Je t’humilie, tu me remercies. Tu vis pour moi, par moi. Tu n’es plus rien et moi je suis tout. Ta vie m’appartient, ton corps m’appartient. Tu ne décides plus, tu subis. -C’est maintenant que tout commence pour toi. A mes pieds, moi, ta Déesse, ta Reine ! Tu as une unique chance. Dis juste NON, et je te libère. Je te rends photos, vidéos, et liberté. Mais alors n’espère plus jamais rien de moi. N’espère pas revoir Ennia. Tu n’auras, tu ne seras plus rien pour moi…. Ou alors donne toi à moi. Décide de m’appartenir et de me vénérer, et saches qu’il n’y aura pas de retour en arrière possible. Tu choisis, maintenant. Ta Reine ou ta liberté ! Maîtresse Caroline a dosé les silences… ses mots m’ont transpercé, transporté… elle me donne espoir, force… et en cet instant, je suis un soumis fou amoureux de sa Maîtresse. Un sentiment d’une puissance que n’ai jamais connue. Enfin, je pleure doucement, bouleversé par l’émotion. -Divine Maîtresse Caroline…. je n’ai qu’un désir, au plus profond de moi : vous appartenir. Je choisis ma Reine, vous, Maîtresse Caroline. Ma Déesse s’est approchée. Puis, elle prend mon visage entre mains, et murmure, avant de m’embrasser avec une infinie tendresse… -Je le savais.
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Par : le 21/08/20
Il avait fait moins chaud que de coutume. Béatrice, qui avait nagé une partie de la matinée, dormait sur le divan d'une chambre fraîche au rez-de-chaussée. Sarah, piquée de voir qu'elle préférait dormir, avait rejoint Patricia dans son alcôve. La mer et le soleil l'avaient déjà dorée davantage. Ses cheveux et ses sourcils semblaient poudrés d'argent, et comme elle n'était pas du tout maquillée, sa bouche était du même rose que la chair rose au creux de son ventre. Les volets étaient tirés, la pièce presque obscure, malgré des rais de clarté à travers les bois mal jointés. Patricia gémit plus d'une heure sous les bontés de Sarah. À la moindre caresse, sa peau frémit. Elle ferma les yeux. Sarah contemplait impunément le pur ovale du visage de Patricia. Des épaules fines et le cou gracieux. Sur la peau mate des joues et du front, sur les paupières bistrées passaient, comme des risées sur la mer, de brefs frissons qui gagnaient le ventre, les bras et les doigts entremêlés. Une émotion inconnue s'empara d'elle. Serrer une femme dans ses bras, c'est se priver de la voir, se condamner à n'en connaître que des fragments qu'ensuite la mémoire rassemble à la manière d'un puzzle pour reconstituer un être entièrement fabriqué de souvenirs épars. Les seins, la bouche, la chute des reins, la tiédeur des aisselles, la paume dans laquelle on a imprimé ses lèvres. Or, parce qu'elle se présentait allongée, pétrifiée comme une gisante dans son linceul de drap blanc, Sarah découvrait Patricia comme elle ne croyait jamais l'avoir vue. Des cheveux courts d'une blondeur de blé, les jambes brunies par le soleil. Elle ne reconnaissait pas la fragile silhouette vacillante sous le fouet. Bouleversée, elle regarda un moment le corps mince où d'épaisses balafres faisaient comme des cordes en travers du dos, des épaules, du ventre et des seins, parfois en s'entrecroisant. Patricia, étendue sans défense, était infiniment désirable. Comme le suaire que les sculpteurs jettent sur une statue d'argile ocreuse encore fraîche, le drap mollement tendu épousait les formes secrètes de la jeune femme; le ventre lisse et bombé, le creux des cuisses, les seins aux larges aréoles et aux pointes au repos. L'onde tiède surprit son ventre. La blondeur accepta l'étreinte. Le ballet érotique devint un chef-d'œuvre de sensualité, un miracle de volupté. Sarah fut la corde sous l'archet, le clavier sous les doigts du du pianiste, le fouet sur la chair, l'astre solaire dans les mains d'une déesse. Ne plus s'appartenir est déjà l'extase. Les traces encore fraîches témoignaient de l'ardeur de leur duel passionnel, des courbes s'inclinant sous la force du fouet comme les arbres sous la bourrasque. La muraille d'air, de chair et de silence qui les abritait où Patricia était soumise, le plaisir que Sarah prenait à la voir haleter sous ses caresses de cuir, les yeux fermés, les pointes des seins dressées, le ventre fouillé. Ce désir était aigu car il lui rendait constamment présent sans trêve. Les êtres sont doubles. Le tempérament de feu qui façonnait Patricia la conduisait à l'abnégation, de supplices en délices. Elle avait gardé les yeux fermés. Elle croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'elle contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, à son arrivée, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Elle lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle lui avait dit plus fort et Sarah avait noué des liens plus étroits. Elle voulait la rendre rapidement à merci pour leur plaisir. D'elle-même alors elle s'était laissée tombée sur le lit. Ça l'avait beaucoup excitée de la sentir aussi vulnérable en dessous d'elle. Elle s'était dévêtue rapidement. Elle lui avait relevé son shorty d'un geste sec. Elle l'avait écarté pour dégager les reins et l'avait fouettée sans échauffement. Elle reçut sans se débattre des coups de cravache qui cinglèrent ses fesses de longues estafilades violettes. À chaque coup, Patricia remercia Sarah. Elle devint son sang. La vague accéléra son mouvement. L'ivresse les emporta et les corps ne surent plus dire non. Ils vibrèrent, se plaignirent, s'immobilisèrent bientôt. Sarah la coucha sur le dos, écarta ses jambes juste au-dessus de son visage et exigea d'elle avec humeur qu'elle la lèche aussitôt comme une chienne. Elle lapa son intimité avec une docilité absolue. Elle était douce et ce contact nacré la chavira. Les cuisses musclées de Sarah s'écartèrent sous la pression de la langue et des dents. Elle s'ouvrit bientôt davantage et se libéra violemment dans sa bouche. Surprise par ce torrent fougueux, Patricia connut un nouvel orgasme qui la tétanisa, lorsqu'elle prit conscience qu'elle jouissait sans l'autorisation de sa Maîtresse, avec la nonchalance que procure le plaisir poussé à son paroxysme. Elle l'en punirait certainement sauvagement pour son plus grand bonheur. Après une toilette minutieuse, comme pour retrouver son état de femme libre, Sarah qui regrettait de ne pouvoir la fouetter davantage, l'embrassa tendrement. Il était temps de sceller le lien qui les unissait. Le jour tant attendu arriva. Elle la fit allonger sur un fauteuil recouvert d'un tissu damassé rouge. La couleur donnait une évidente solennité au rituel qui allait être célébré. Elle ne put éviter de penser au sang qui coulerait sans doute bientôt des lèvres de son sexe. Et puis tout alla très vite. On lui écarta les cuisses, poignets et chevilles fermement liés au fauteuil gynécologique. Elle résista mais on transperça le coté gauche de sa lèvre. Sarah lui caressa le visage tendrement, et dans un geste délicat, elle passa l'anneau d'or dans la nymphe percée. Il lui fallut écarter la chair blessée afin d'élargir le minuscule trou. L'anneau coulissa facilement et la douleur s'estompa. Mais presque aussitôt, elle ressentit une nouvelle brûlure. L'aiguille déchira la seconde lèvre pour recevoir l'autre anneau. Tout se passa bien. Patricia se sentit libérée malgré son marquage. Elle ferma les yeux pour vivre plus intensément ce moment de complicité. Ses yeux s'embuèrent de larmes. Sarah lui prit la main dans la sienne et l'embrassa. Ces anneaux qui meurtrissaient sa chair intime trahiraient désormais son appartenance à sa Maîtresse. La condition d'esclave ne l'autorisait pas à extérioriser sa jalousie ou son agressivité envers une jeune femme dont pouvait se servir trop souvent Sarah. Car les jeunes filles qu'elle convoitait n'étaient là que pour assouvir ses fantasmes; elle les utilisait comme telles. Elles ne pouvaient imaginer qu'elles servaient de test à satisfaire sa passion avant tout. Le prétexte de sa soumission semblait lui donner tous les droits, même celui de la faire souffrir dans son orgueil de femme amoureuse. Sarah a le droit de prêter Patricia. Elle puise son plaisir dans celui qu'elle prend d'elle et qu'elle lui vole. Elle lui donna alors son amour. Pour elle, il n'y avait pas de plus grande passion que dans l'abnégation. Patricia était particulièrement en beauté, ce soir-là. Elle portait des bas noirs à couture et une veste en soie de la même couleur dont l'amplitude laissait entrevoir son intimité. Un collier de chien ciselé de métal argent et serti d'un petit anneau destiné au mousqueton de la laisse conférait à sa tenue le plus bel effet. Sarah lui fit prendre des poses provocantes. Elle en rajouta jusqu'à devenir franchement obscène. Le harnais de cuir et le bustier emprisonnaient son sexe et ses seins. On lui banda les yeux avant de la lier à une table, jambes et bras écartés. Sa Maîtresse expliqua calmement aux invitées qu'elle était à leur disposition. Elle avait décidé de l'offrir à des femmes. Bientôt des inconnues s'approchèrent d'elle. Elle sentit des dizaines de doigts la palper, s'insinuer en elle, la fouiller, la dilater. Cela lui parut grisant. Elle éprouva un plaisir enivrant à être ainsi exhibée devant des inconnues. Elle devint une prostituée docile. Sarah interrompit brutalement la séance qui lui parut trop douce et génératrice d'un plaisir auquel elle n'avait pas droit. Elle fut détachée pour être placée sur un chevalet. Elle attendit dans la position infamante de la putain offerte avant que des mains inconnues ne commencent à la pénétrer. Elle fut alors malmenée, fouettée et saccagée telle une chose muette et ouverte. Ce que sa Maîtresse lui demandait, elle le voulait aussitôt, uniquement parce qu'elle lui demandait. Alors, elle s'abandonna totalement. Ayant deviné les pulsions contradictoires qui l'ébranlaient, Sarah mit fin à la scène, l'entraîna hors de la pièce et la calma par des caresses. Lorsqu'elle eut retrouvé la maîtrise de ses nerfs, ce fut Patricia qui lui demanda de la ramener dans le salon où les invitées attendaient son retour. Elle fit son apparition, les yeux de nouveau bandés, nue, droite et fière, guidée par Sarah qui la dirigea vers le cercle des inconnues. Ce fut elle seule qui décida de s'agenouiller pour leur offrir du plaisir, sans réserve. Jamais, elle ne fut autant heureuse que cette nuit-là. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 21/08/20
Hier en me baladant, j'ai croisé un homme qui a tout pour lui, nos regards se sont croisés...et avons décidé d'engager un dialogue.... Nous sommes tombés sur le charme de l'un et de l'autre, sans savoir qu'il était Dominateur et moi soumise....l'envie fut tellement forte que nous avons choisi de nous revoir mais cette fois-ci plus intimement.... Lieu et date fixé, je décide donc de m'y rendre pour approfondir cette attirance, nous nous sommes retrouvés dans une chambre d'hôtel, réservé par lui, en parfait gentleman... Je lui ai fait part que j'étais une femme soumise, et que j'avais un Maître, sans savoir que lui était un Dominateur...je le su très vite au vu de sa 1ère demande. Celle-ci fut de savoir si j'acceptais de me faire bander les yeux, grande première pour moi, car j'adore voir mes partenaires... J'accepte en sachant qu'il ne sera le seul Maître du jeu car je suis dans le noir complet. Il commence par me mettre à 4 pattes et me caresser, puis me demande de me cambrer afin que mes orifices soient bien à sa disposition.... Je sens un liquide couler sur mes fesses et ressens sa queue glisser entre mes fesses...je me demande si je dois me laisser faire ou l'interdire. Je décide de me ne rien dire, et de voir ce qu'il envisage de faire....il commence à me sodomiser doucement pour voir ma réaction, il réussit à rentrer mais très vite il se retire pour pouvoir me pénétrer au plus profond de moi, et il ressent l'envie qu'il y a en moi. Il me demande de me cambrer de plus en plus, afin de pouvoir lui présenter mes fesses et de bien sentir ses mains me fesser, il commence doucement puis va de plus en plus fort...je ne pensais pas ressentir une telle excitation De là, il m'ordonne de me mettre sur le dos, puis enfonce 2, 3 voir 4 doigts pour que je puisse prendre plaisir et gicler à souhait...chose que j'ai fait à plusieurs reprises au cours de l'acte... Il me relève la tête et me présente sa bite bien érigée, et m'ordonne une gorge profonde, je m'exécute et il prend énormément de plaisir à sentir ma bouche prendre ainsi sa bite... Je me retrouve de nouveau à 4 pattes, et là je sens qu'il me fouette avec un espèce de martinet je pense, la douleur est supportable et me demande si j'aime, je lui dis que c'est supportable et pas désagréable...Ce n'est pas ce que je t'ai demandé, répond moi, je lui dis que oui j'aime... Il commence à être de plus en plus excité au point de m'insulter de pute, garce, et me demande de répéter ces mots.... L'excitation monte de plus en plus en lui, en entendant ces mots, il accélère le mouvement à m'en faire jouir...et gicler....il décide de me présenter de nouveau sa bite en bouche, puis la retire et se mets à se branler devant moi, et me demande de lui caresser les couilles et de l'exciter encore plus jusqu'à ce qu'il arrive à jouir sur mon visage...J'ai réussi à enlever mon bandeau avant qu'il ne jouisse et j'ai vu cette fierté en lui et il a vu mon regard rempli de jouissance.... Nous en sommes restés là, tous les 2 satisfaits de cette rencontre éphémère et pleine d'excitation...Merci à ce charmant Dominateur de m'avoir procuré autant de plaisir et de m'avoir fait découvrir le bandage des yeux
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Par : le 19/08/20
La pause de fin d’année fut à la fois un calvaire et une libération. Les aveux à ma femme, l’ambiance de Noël, en famille, alors que la décision de nous séparer était prise. Les contacts réguliers avec Maîtresse Caroline, qui acceptait de m’héberger dès la rentrée, en attendant que je trouve un logement. J’avais réussi à négocier plus d’heures de cours dès janvier. J’exercerai désormais mon rôle de professeur quasiment à plein temps, et vivrai donc à Paris, aux pieds de ma Maîtresse, totalement soumis à elle. J’étais à la veille de repartir pour Paris. Au fond du trou même si je savais que ma libération, ma renaissance se ferait par mon appartenance à Maîtresse Caroline, par ma soumission à ses envies, par l’assouvissement de mes pulsions profondes. Je quittais la plus grande partie de ma vie. Cela me laissait un goût amer, un goût d’échec personnel et j’avais du mal à encaisser. Me donner entièrement à Maîtresse Caroline, lui confier ma destiné, la gestion de mon temps à son service, cela m’aiderait à passer le cap. Ne plus réfléchir, mais juste obéir et m’en remettre à elle, en fait être totalement soumis à elle. Durant ces deux semaines, je n’avais pas osé interroger Maîtresse sur l’absence d’Ennia. Je souffrais du manque d’elle. Et ce manque me consumait de l’intérieur. Besoin d’elle, de son regard, de sa peau, de sa chaleur, de son odeur…. besoin. Soif. Faim. A en crever. Une vraie obsession. Si Maîtresse Caroline souhaitait repousser mes limites, je me savais d’ores et déjà capable de surpasser ses désirs, si cela me permettait de retrouver Ennia. Plus que quelques heures avant la gare de Lyon, et ma nouvelle vie. Maîtresse Caroline avait dit qu’elle serait là pour m’accueillir… "A moins que je n’envoie quelqu’un d’autre prendre livraison de ma petite pute. D’ailleurs, pour ce dernier voyage, tu porteras bas et string. Et ton plug bien entendu. N’oublie pas de t’épiler… tu es libre maintenant, alors j’exige que ma pute soit lisse". Ainsi, J’avais obéi. Et c’est en bas et string sous mon costume, le cul bien rempli par un plug, que le TGV me transportait vers ma seconde vie. Les kilomètres avalés par le serpent du rail me vidaient peu à peu de mon angoisse, de ma tristesse, de mes regrets. Pendant le voyage, je me pris à imaginer mon arrivée à la gare de Lyon, et surtout l’accueil de Maîtresse Caroline. Mes fantasmes divaguaient… mais rien ne se passa comme prévu. Personne n’était là sur le quai à ma descente du train. Cependant, un peu plus loin, une femme d’une quarantaine d’années attendait, tenant une pancarte avec mon prénom et le nom de famille « Lapute »… Les gens hilares, moquant cet inconnu au nom importable. Je réduisis donc l’allure de ma marche et je retardais au maximum ma rencontre avec celle qui m’attendait. Car je saivais que ce monsieur « Lapute », c’était moi. Maîtresse Caroline avait voulu frapper un grand coup pour mon arrivée, mon passage d’homme « libre » à « petite pute à pleine temps ».. J’approchai de la femme. Plutôt grande, un visage dur, et une classe qui fait se retourner sur elle les vrais hommes, dans la rue. Par vrais hommes, j’entends ceux sensibles à la vraie féminité, celle là même qui est le contraire de la faiblesse. Cette femme dégageait une telle assurance, une telle puissance oserais-je dire. J’arrivai à sa hauteur et prononca un discret « Bonjour Madame, je suis Victor », en regardant ses pieds. La réponse fut immédiate, une gifle cinglante qui fit se retourner les passagers encore sur le quai. « Tu es en retard Lapute… ta Maîtresse en sera avertie, compte sur moi ». Le TGV avait effectivement 10 mn de retard. Je voulus disparaître. J’entendais les moqueries des spectateurs de mon humiliation. « Suis moi la pute, et ne traine pas ». La surprise, le fait d’être humilié ici, en pleine gare de Lyon, le plug qui me remplissait le cul, les regards posés sur moi…. j'étais à la limite de la rupture. Cependant, je suivis Madame, sans un mot. Sortie de la gare pour rejoindre un véhicule garé dans une rue adjacente. Une berline noire, qui ressemblait un peu à une limousine sans en avoir la démesure. Un chauffeur en sortit, ouvrit le coffre et déposa ma valise. Puis il ouvrit la portière arrière. Madame se tourna vers moi et m’ordonna sèchement de monter à bord. La voiture démarra, et se glissa dans le flot de la circulation. Les vitres arrières étaient teintées, très foncées. « A poil la pute. Tu gardes tes bas et ton plug. Rien d’autre ». Je m’exécutai sans discuter. Madame ramassa mes vêtements et s’adressa au chauffeur : « Ouvre la fenêtre ! ». Je la regardai, tétanisé, balancer le tout sur la chaussée. J'étais en dim-up, le cul remplit, sans plus aucun vêtement, à l’arrière d’une voiture qui m’emmènait je ne sais où. J’avais peur et je me raccrochais comme je pouvais à la seule chose qui existait encore à mes yeux : la confiance que j’avais en Maîtresse Caroline, et mon désir d’être totalement soumis à elle. Madame me banda les yeux, puis m’ordonna de m’allonger sur le sol. Elle se positionna au milieu de la banquette arrière, ses talons se posés sur mon ventre. Le trajet dura. Je ne voyais rien et perdis la notion du temps. Madame joua de la pointe de son escarpin avec ma queue. La situation, le contact du cuir, mon désir sexuel frustré… tout cela me faisait bander, dur. « Tu es en rut… Ta Maîtresse va très vite te remettre en cage, crois-moi. Je vais devoir faire quelque chose, je ne permettrai pas que tu ne présentes à elle dans cet état. Tu ne voudrais pas non plus, n’est-ce pas, la pute ? ». Madame posa son escarpin sur ma queue, et elle accentua la pression, tout en m’interrogeant. Comme je tardai à répondre, la pointe de son talon s’enfonca un peu plus. Je gémis sous la douleur qui ne me faisait pas bander moins, bien au contraire… « Non Madame, je ne voudrais pas me présenter à ma Maîtresse comme cela Madame ». Elle fit rouler ma queue gonflée sous sa semelle, m’arrachant des gémissements de plus en plus intenses… « N’as tu pas appris à te taire la pute ? » Je cessai mes jérémiades et j’encaissai la douleur, par ailleurs délicieusement excitante. « Je ne vois qu’une solution, tu vas te branler. Allez…. tu as 3 minutes pour te vider les couilles et te ramollir… BRANLE TOI !!! Je veux que tu gicles sur mon pied, allez… C’est sans doute la dernière fois que quelqu’un t’autorise à le faire, avant longtemps. Peut-être même la dernière fois tout court ». Je m’exécutai immédiatement. Trop envie. Besoin. Désir… je ne réalisai pas immédiatement qu’elle dit peut-être vrai. Que je me branlais peut-être pour la dernière fois. Le plaisir monta rapidement. J’avais essayé de résister durant ces deux semaines, comme Maîtresse me l’avait demandé. Je ne m'étais caressé que deux fois, je n’avais pas tenu l’abstinence totale. Je me masturbai rapidement. Le plaisir vint…. en même temps que ma prise de conscience de l’abandon de ma sexualité, du contrôle de ma sexualité. Contrôle que j'allais remettre entre les mains de Maîtresse Caroline. Je rendais les armes. Par le renoncement à cette acte si simple, que je pratique depuis si longtemps, si animal… la masturbation… je rendais les armes. J’abandonnais, je m’abandonnais donc à ma Maîtresse. Je jouis alors que les larmes perlent à mes yeux. Explosion de plaisir, jets de foutre sur le cuir qui gainait le pied de Madame. « Branle toi encore…. vide toi complètement la pute… Voilà.. c’est mieux… presse tes couilles pour être sûr qu’il ne reste rien… » « Maintenant, sale petite pute, que tu as souillé mon bel escarpin, il va falloir le nettoyer…. LECHE ! » Madame écrasa son pied maculé de foutre sur ma bouche.. Je surmontai mon haut-le-coeur et le léchai… je n'étais plus qu’un esclave qui obéit. Je ne décidais plus de rien. Mon libre-arbitre à la poubelle. J’appartenais, j’obéisais, je servais. Rien d’autre. Je sentis le véhicule quitter la route. Ralentissement. Sans doute une rampe. Descente. « Voilà, nous sommes arrivés. Allez, descends la pute. Je dois te livrer à la Maîtresse. »
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Par : le 19/08/20
Maîtresse Caroline m’empoigne par les cheveux et me tire en arrière pour me redresser. Je ne suis plus qu’un soumis puni entre ses mains. J’ai le visage baigné par le plaisir de Maîtresse Chloé qui a joui abondamment. Je bande comme un fou, à genoux, la queue au niveau de la table basse. L’escarpin de Maîtresse Caroline vient se poser sur ma tige, appuyant douloureusement. -Alors ma pute… tu vois, la liqueur de ta Maîtresse te fait bien bander… On va te conditionner ma chienne. Tu vas devenir accro à l’odeur de nos chattes tu vas voir sale petite pute… hmmmm j’adore sentir ta queue sous ma semelle… tu aimes ça quand j’appuie, comme ça ? La douleur m’arrache un cri, aussitôt suivi d’un coup de cravache sur mes fesses. -Ta gueule sale pute… tu souffres en silence. Chloé, tu veux bien prendre le paddle sur la table derrière toi ? Le noir, large… Je crois que la punition peut vraiment commencer. Maîtresse Chloé vient se placer derrière moi, je suis toujours à genoux, rivé à la table par la semelle de Caroline qui m’écrase la queue. La douleur, loin de me faire débander, m’excite encore plus. Je n’ai jamais été aussi dur. Maîtresse Caroline prend une bougie sur la table et l’allume. -Ma pute, il faut que tu sois puni pour bien comprendre ce que tu as fais. Et surtout pour que tu ne recommences plus. Je suis, nous sommes tes Maîtresses. Tu nous dois respect et obéissance, quelles que soient les circonstances. En cours et en dehors des cours. Malheureusement pour toi, les chiennes comme toi ne comprennent que la douleur… On va donc te faire souffrir. C’est pour ton dressage ma pute. Et aussi parce que ça nous fait mouiller. N’est-ce pas Chloé ? -Hmmm cette sale pute vient de me faire jouir et je suis encore toute trempée. T’as raison… ça m’excite à mort de le dresser. J’adore !!! Merci Caro ! -Tu vas voir, tu vas encore plus adorer la suite…. Ma sale putain rebelle, pour chaque coup que va te donner Chloé, je ferai couler un peu de cire sur ton gland. Tu vois, ma semelle appuie sur ta tige… seul ton gland dépasse, bien offert. C’est parfait ! A toi Chloé, et n’oublie pas que c’est une punition…. il doit souffrir. Chloé m’assène un premier coup. Plus sonore que douloureux, Je laisse échapper un petit gémissement, puis un cri lorsque Maîtresse Caroline fait couler une goutte de cire sur mon gland. -Plus fort Chloé…. fais lui rougir le cul !!! Vas-y… après on le baisera au god-ceinture. On prendra le plus gros, pour bien la défoncer cette petite chienne en chaleur. Les coups pleuvent. De plus en plus fort. Chloé prend son pied à me rougir le cul, Maîtresse Caroline à recouvrir mon gland d’une coque de cire. Je gémis sans discontinuer… Après une bonne dizaine de coups, Maîtresse Caroline retire son string, trempé, et me le fourre dans la bouche. -Tiens ma pute… tu nous déranges avec tes jérémiades. Vas-y Chloé, continue…. il mérite encore une dizaine. Plus fort, je veux que ça claque !!! Maîtresse Chloé ne se fait pas prier. Je hurle sous les coups suivants, alors que mon gland se couvre totalement de cire. Je perds le fil des coups qui s’abattent sur mon cul. J’ai mal…. Maîtresse Caroline retire son pied et m’empoigne à nouveau par les cheveux pour me redresser. -Hmmmm il est bien rouge à souhait…. allez la pute, installe toi sur ce fauteuil….. Attends, avant, il faut te débarrasser de toute cette cire… Chloé, passe derrière elle et tiens lui les bras. Tiens fort, elle risque de ruer notre petite salope, notre petit soumis puni. Chloé vient m’attraper et me maintenir. Ruer… avec la barre qui tient mes chevilles écartées, je ne risque pas de ruer beaucoup ! Ma queue est toujours dure, je ne comprends pas. La douleur devrait me faire débander, pourtant…. Les doigts de Maîtresse Caroline viennent m’enserrer. De son autre main elle se saisit d’une cravache… -Allez ma pute, serrer les dents ! A peine a t-elle fini sa phrase d’un coup de cravache s’abat sur mon gland ! Je hurle et tente d’échapper à la morsure du cuir. Mais avec Chloé qui me maintient les bras, et Caroline qui me serre la queue, je ne peux rien faire. Un, deux, trois…. Maîtresse Caroline vise bien, et la cire se détache, par morceau, de mon gland. Je crie à chaque coup sec, je suis en larmes… -Voilà.. plus de cire, tu as eu mal ma chienne ? : me demande Maîtresse Caroline, d’une voix faussement désolée… Je gémis, la douleur est encore insupportable. Caroline m’attrape par les cheveux et m’installe sur le fauteuil club, mon torse reposant sur le dossier, mon cul bien offert. Puis elle retire le string de ma bouche. -Sale petite traînée, je suis sûr que tu as envie de te faire baiser par tes Maîtresses. Tu n’es qu’une salope qui aime se faire défoncer la chatte, n’est-ce pas ? ». Je ne réponds pas, enfin pas assez vite au goût de Caroline. Je suis dans un état second, perdu. Où est Ennia ? Où est mon amour ? Je l’ai trouvée si bizarre tout à l’heure en cours, froide, distante…. Je ne comprends plus. J’aimerais qu’elle soit là, j’aimerais pouvoir plonger mes yeux dans les siens, y trouver la force de subir ma punition. Mais je suis seul. Est-ce cela la condition de soumis, d’esclave ? La solitude face à la douleur, à l’humiliation, à la servitude ? Peut-être que je n’ai pas encore franchi le cap, pas encore compris, appris ma condition ? Pour l’instant, seule la concrétisation de mes fantasmes les plus sombres m’apporte du plaisir… arriverai-je à éprouver un plaisir plus grand encore en servant ma Maîtresse ? J’ai peur. Peur de ne pas y arriver. Et d’être contraint à la soumission par le chantage qu’exerce Maîtresse Caroline. Je suis terrorisé à cette idée. Mais j’ai peu de temps pour y réfléchir. Je ne suis plus qu’un soumis puni par ses Maîtresses. Caroline et Chloé se sont équipées de god-ceintures. Caroline a pris le plus gros. Noir, veiné… Il me parait énorme. Jamais je ne pourrai supporter un calibre pareil. Elle va me déchirer l’anus c’est sûr. Maîtresse Caroline passe derrière moi et entreprend de me lubrifier copieusement. -Tu vois ma salope, je suis déjà moins en colère…. je te prépare. Je devrais t’enculer à sec sale pute ! Tu le mérites ! Viens Chloé, tu vas commencer, vu que en as une moins grosse que moi !!! » Mes deux Maîtresses éclatent de rire… « Tu vas sodomiser ton premier mec. Tu vas voir, tu vas adorer ça ! Baiser une petite lope, c’est ce qu’il y a de plus jouissif crois-moi ! Maîtresse Chloé vient se positionner derrière moi. Je sens son gland se poser sur ma rondelle. Maîtresse Caroline la guide. -Tu vois, tu le prends en main, et tu le poses bien sur sa rondelle. Ensuite tu pousses, doucement mais sans t’arrêter. C’est la salope qui doit s’ouvrir. Vas-y, force un peu plus, tu vas voir il va le prendre. Hmmm c’est bon, tu es rentrée. Maintenant tu fais de petits va-et-vient… regarde, il s’ouvre bien là, baise le un peu plus… rentre à fond, encule la cette pute ! Je sens les mains de Maîtresse Chloé sur mes hanches. J’essai de m’ouvrir au mieux, pour ne pas trop souffrir. Je gémis le moins fort possible. J’ai l’impression que mon cul se déchire. Mais j’en ai envie. J’ai envie que ma Maîtresse black me baise, m’encule comme une bonne salope. Je veux la sentir en moi. Maîtresse Caroline vient présenter son god à ma bouche. -Allez la salope, suce ma queue. C’est le modèle au dessus, tu vas voir, je vais bien te dilater avec ça… allez la lope, lèche moi le gland… imagine que c’est une vraie. Je suis sûr que tu en meures d’envie de sucer une vraie queue, pas vrai ma pute ? « Oui Maîtresse Caroline, vous avez raison, j’en ai envie »…. Je ne dis pas cela pour lui faire plaisir. J’en meure d’envie. J’ai ce fantasme depuis longtemps, très longtemps. Etre contraint à sucer une queue, être l’esclave d’une queue bien dure. Maîtresse Chloé prend son pied à me baiser le cul. Elle se lâche et me traite de noms plus humiliants les uns que les autres, elle se retire – me laissant avec l’impression d’avoir l’anus totalement béant – puis s’enfonce à nouveau, avec de moins en moins de délicatesse. Elle m’encule, sans ménagement. Elle délire, me dit que je suis sa femelle, sa salope, sa truie… qu’elle va m’enculer avec des gods monstrueux, qu’elle va me faire faire le tapin, me présenter à ses amis blacks qui ont des queues d’éléphants, qu’elle adore m’enculer, que ça la fait jouir de me défoncer. Elle m’assène de grandes claques sur le cul pour rythmer ma sodomie… -Je vois que t’aimes ça dis-donc : dit Maîtresse Caroline. Je te l’avais dit, que c’était jouissif de baiser une pute. Allez… à mon tour maintenant. Il est temps de vraiment lui défoncer le cul. Maîtresse se plaça derrière moi, et posa la pointe de son énorme gode sur mon anus. La sodomie administrée par Chloé m’avait préparé, mais j’étais sûr que Caroline allait me déchirer, tant sont appendice était gros. -Allez ma chienne, il est temps que tu te fasses bien ramoner. Tu vas comprendre ce que veut dire éclater le cul. Chloé, écarte lui les fesses s’il te plaît. Allez, ouvre toi pour ta divine Maîtresse ! Ainsi, je hurlais lorsque le gland ouvrit ma rondelle. -Ta gueule la truie, tu l’as bien mérité ! Chloé, mets lui le bâillon-boule, cette sale pute va rameuter tout l’immeuble ! Maîtresse Caroline posa ses mains sur mes hanches et poussa pour me pénétrer. Une pression lente mais ininterrompue. Je hurlais dans mon bâillon, douleur atroce et impression d’être complètement déchiré. -Voilà ma chienne, tu vois tu l’as pris en plein. Je vais bien t’ouvrir, régulièrement. Et je t’offrirai à des blacks bien montés. Chloé et moi on va se régaler en te regardant te faire baiser comme une truie, à la chaîne. Sûr que tu vas aimer ça, n’est-ce pas ma pute ? Tu n’as pas le choix du reste, tourne un peu ta tête, tu vois la caméra ? Elle tourne depuis un moment. Je criais et pleurais pendant que Maîtresse Caroline me défonçait sans ménagement. Je pleurais de douleur, de peur, de désespoir mais j’aimais ça. J’aimais qu’elle me baise, qu’elle m’humilie. J’aimais ma Maîtresse pour ce qu’elle faisait de moi, et le plaisir que je prenais à être ainsi utilisé comme la dernière des putes. Je ne vivais que cet instant. J’oubliais tout le reste pendant que Maîtresse Caroline me dilatait et me claquait le cul. Peu importe qu’elle me filme, elle avait déjà assez d’images pour me détruire. Maîtresse Caroline s’amusait à se retirer entièrement, puis à me reprendre d’un coup, le plus profondément possible. Pendant ce temps là, Chloé n’en perdait pas une miette et se faisait un plaisir de commenter. -Hmmm regarde comme il est bien dilaté ! dis donc, tu lui as complètement défoncé le cul !regarde cette salope, comme elle le prend !!!! J’hallucine !! Regarde, elle s’empale elle même !! Elle aime ça cette pute !!! Ainsi, je perdais la notion du temps, incapable de mesurer combien de temps avait duré ma séance de sodomie brutale. Maîtresse Caroline finit pas se retirer, sa colère visiblement calmée. Mais pas son excitation, ni celle de Chloé. Aussi, je dus les lécher et les faire jouir à plusieurs reprises. J’étais épuisé, le visage maculé de mouille. J’avais l’impression que mon cul était béant et je puais le sexe. Cependant, je me sentais bien. Je ressentais une certaine plénitude, que je refusais encore d’accepter vraiment. L’heure de me rendre à la gare approchait, et la peur montait. Cependant, je portais toujours ma cage et la simple idée que Maîtresse Caroline ne veuille pas m’en délivrer me mettait au bord des larmes. Elle le savait, et avait bien l’intention d’en jouer jusqu’au bout. -Dis moi ! Il va être bientôt l’heure que tu nous quittes n’est-ce pas ? -Oui Maîtresse Caroline ! -Et bien, tu peux te rhabiller. Tu ne crois pas qu’on va t’aider non plus ? La cage de chasteté Maîtresse jouissait de voir mon visage se décomposer. Ainsi, je fondis en larmes et je me jetais à ses pieds : -Je vous en supplie Divine Maîtresse ! Par pitié, je ne peux pas rentrer chez moi avec ma cage. Je ferai tout ce que vous désirez Divine Maîtresse ! Je vous en supplie ! libérez moi s’il vous plaît ! Je deviendrai votre pute, votre chienne, je vous obéirai en tout Divine Maîtresse. -Tu deviendras ma pute, ma chienne ???? Mais tu l’es déjà. Tu crois quoi ???? Que tu as encore une chance ??? TU ES A MOI, MA CHOSE, MA SALOPE !!! Et cela ne fait que commencer !!! Je pleurais en baisant les pieds de ma divine Maîtresse Caroline. Au bout de plusieurs minutes, elle mit fin à mon calvaire. -Allez ma salope, je vais te libérer. Inutile de te dire que toute masturbation est interdite ? -Oui Maîtresse, je vous le promets, je ne jouirai pas ! -Je ne te crois pas une seconde ma pute. Et tu seras punie dès ton retour pour ces jouissances sans autorisation. Crois moi, tu vas prendre ! Même si tu tiens ton engagement, je te punirai. J’aime trop ça !!! Allez, voilà, va te rhabiller. Et essaye de calmer ton érection, on dirait un âne en rut ! A peine la cage enlevée, je m’étais mis à bander dur. Très dur. Chloé me prit en pitié, enfin je le croyais. -Dis Caroline, on ne peut pas le laisser partir dans cet état, ça ne se fait pas : dit-elle, avec un clin d’œil appuyé à son amie dominatrice. -Tu as raison, on manque à tous nos devoirs. Allez mon mâle en chaleur, tu vas te branler sur ma cuissarde. Exécution !!! Je ne me fis pas prier et je me masturbai rapidement. Chloé était passée derrière moi, et elle malaxait mes couilles, accélérant ma jouissance. Je jouis longuement sur le latex qui gainait la cuisse de Maîtresse Caroline. Un foutre abondant. -Continue encore, vide toi bien en plein ma salope…. au moins, ce soir, tu n’auras pas envie de recommencer…… bien… maintenant il va falloir nettoyer avant de partir. Allez lèche ! Puis je tombai à genoux. Je n’avais pas le temps de m’apitoyer sur mon sort. Lécher mon sperme me dégoûtait, mais les minutes défilaient et je ne pouvais rater mon train. Celui qui me séparerait de ma Maîtresse, de mes Maîtresses pendant la durée des vacances de Noël. Deux semaines de délivrance ou d’enfer, je n’en savais encore rien. Et pendant que je léchais les dernières traces de foutre, une seule pensée occupait mon esprit: où était Ennia ?
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Par : le 18/08/20
« Tu as 5 minutes pour être à poil devant ma porte sale pute. Garde juste tes bas. » Ces mots résonnaient dans ma tête. Sonner. Monter. Me déshabiller. Frapper. Attendre. Je suis nu, ou presque. Je ne porte que mes bas et ma cage. Je suis anéanti. Incapable d’une pensée rationnelle. N’importe qui peut monter l’escalier. Un voisin, une voisine. Maîtresse Caroline le sait. Que vais-je faire si quelqu’un arrive ? Nul part où me cacher. Me rhabiller ? Même pas la peine d’y songer. Je suis juste là, sur le palier de ma Maîtresse. Terrorisé, soumis humilié, au bord des larmes. En ces quelques minutes, le bilan se dresse. Ce que j’ai trouvé, ce que j’ai perdu ou vais perdre. Le plaisir, la concrétisation de mes fantasmes les plus inavouables, Ennia et l’amour, Maîtresse Caroline et le désir insondable qu’elle m’inspire. En face, mon couple qui n’en était plus un, ma dignité – mais ne pourrais-je pas la retrouver, ou plutôt en trouver une autre dans la servitude de Maîtresse ? Et au fond, ma dignité a t-elle encore une importance ? Pour qui ? – je suis brisé et soulagé. Je crois que je n’arriverai jamais à expliquer ce sentiment ambivalent. Plus je m’enfonce plus je renais. Plus je me perds, plus je me trouve. Moins j’existe, plus je vis. Des pas qui montent. Je frappe de nouveau. J’entends du bruit derrière la porte. Un froissement. Maîtresse Caroline m’observe. Elle doit lire ma détresse sur mon visage. Suffisamment pour éprouver quelque pitié. Les pas montent et montent encore. Un palier de différence. Maîtresse ouvre et m’assène une gifle magistrale qui m’achève. Je me tombe à ses pieds et j’explose en larmes. -Maîtresse…. pitié…. Caroline… je t’en supplie ! Mais la fureur ne peut être apaisée par les jérémiades de la lope, du soumis humilié que je suis en cet instant. Caroline claque la porte, et hurle en me cravachant : -SALE PUTE !!!! SALE SOUS MERDE !!! MAIS COMMENT TU OSES ???? TU CROIS QUE T’ES QUOI PAUVRE CHIENNE DE MERDE, HEIN ???? TU CROIS QUE T’ES QUOI ??? Les coups pleuvent, je suis recroquevillé au sol. Je me protège comme je peux et j’encaisse, en criant à chaque coup. D’abord frappant au hasard, sa cravache se fait plus précise, mon cul, mon dos, mes cuisses. Maîtresse Caroline tourne autour de moi sans cesser de m’insulter. Je hurle lorsque le cuir rencontre mes couilles. Chloé, qui assiste à la scène depuis le début, sans broncher, retient le bras de Caroline. -Dis, tu y vas un peu fort non ? -Cette salope, cette truie n’a que ce qu’elle mérite !!!! Jamais, JAMAIS une pute ne m’a humiliée comme ça… Monsieur veut jouer le petit prof ??? Hein sale merde ??? Mais putain.. tu vas morfler, fais moi confiance. Je vais te passer l’envie de me faire une remarque, devant toute la classe. Tiens, j’ai une idée, je vais tous les inviter pour une petite projection privée. Un petit film bien trash, avec une truie qui se fait enculer… tu crois que ça leur plaira ??? -Pitié Sublime Maîtresse Caroline, pitié, pas ça ! Je ne le ferai plus, je ferai tout ce que vous voulez Maîtresse, mais pas ça je vous en supplie ! Je me jette à ses pieds et je les baise, je les embrasse comme si ma vie en dépendait. Maîtresse Caroline peut tout. Je ne suis que son soumis, sa pute, sa chienne ou tout ce qu’elle voudra. Je n’ai d’autre option que de m’humilier, me rabaisser, aussi bas qu’elle le désirera. Aller loin, aussi loin qu’elle l’exigera. Obéir, subir, me taire, m’offrir, accepter, progresser, me donner. Voilà me seules perspectives. Aux pieds de Maîtresse Caroline, je rends mes armes, moi le soumis humilié. Je pleure en suppliant, mais Caroline n’en a cure. Sans l’intervention de Chloé, je crois qu’elle m’aurait fait très mal tant sa fureur est intense. -Sale pute, debout au milieu du salon, mains dans le dos, cuisses écartés…. TOUT DE SUITE !!! Je m’exécute, sans broncher. Je prends la pause ordonnée, et je suis rapidement rejoint par Maîtresse Caroline. Elle me passe une paire de menottes et immobilise mes bras dans mon dos. Puis elle pose deux bracelets sur mes chevilles et y fixe une barre d’écartement. -Maintenant, je vais pouvoir te corriger tranquillement ma sous-merde. Tu vas bien prendre sale pute…. Tiens Chloé, voici la clé de sa cage. Libère le et…. tu veux bien le faire bander s’il te plaît ? Remarque, cette salope est tellement en chaleur, à mon avis, tu ne vas pas avoir grand chose à faire…. Tiens, qu’est-ce que je te disais ?!!! Il bande déjà comme un âne… En effet, à peine Chloé m’a t-elle libéré que je me mets à bander. Très dur. Maîtresse Caroline s’approche et empoigne mes couilles. Elle les presse et m’arrache un cri…. -TA GUEULE LA TRUIE !!!! TES COUILLES SONT A MOI ET J’EN FAIS CE QUE JE VEUX. T’AS PIGE SALOPE ? -Oui Maîtresse, je suis à vous. -Maintenant en position, sur la table basse… et t’as intérêt à bien offrir ton cul !!! Je me mets à genoux comme un bon soumis humilié puis pose mon torse sur la table. Mes cuisses sont maintenues ouvertes par la barre et je me cambre du mieux que je peux. -Tiens Chloé, prends ça et chauffe lui le cul pendant que je vais chercher quelques jouets…. Maîtresse Chloé s’empare du martinet et m’assène quelques coups, plutôt légers. Caroline revient sur ses pas…et lui arrache des mains. -Mais vas-y, t’as oublié ce que cette sale pute nous a fait ??? Elle nous a viré du cours je te rappelle… Elle doit payer. Alors vas-y, fais la bien chauffer. Je veux entendre le claquement des lanières sur son cul de salope en chaleur… Vas-y, ne te retiens pas, elle adore ça j’en suis sûr. Chloé frappe avec plus d’ardeur, je tente de contenir mes gémissements, mais j’ai de plus en plus de mal. Elle y prend goût et frappe de plus en plus fort. Lorsque des lanières touchent mes couilles, je ne peux retenir un cri de douleur. Loin de calmer Chloé, ce cri la galvanise… et elle se prend au jeu de la Dominatrice. -Sale chienne… t’aime ça hein ???? Hmmm si tu savais comme ça me fait mouiller de te dresser, je coule comme une folle… tout à l’heure tu vas bien me nettoyer ma petite lope. Hein ma pute… Tiens, prends ça… Elle frappe encore et encore.. . je ne sens plus mon cul, je gémis sans discontinuer lorsque Maîtresse Caroline fait son retour dans le salon. -Hmmm tu l’as bien chauffer. Bravo… cette truie n’a que ce qu’elle mérite. On va encore bien jouer avec, et bien la punir pour lui passer l’envie de recommencer…. Tiens, la salope ne bande plus…. Les coups m’ont fait débandé. Maîtresse Caroline qui a enfilé des gants de cuir s’empare de ma queue et commence à me branler sans ménagement. -Allez ma pute, bande pour tes Maîtresses, c’est un ordre. Chloé, je crois qu’il a besoin d’être dopé. Et je ne connais rien de mieux pour les putes dans son genre que la mouille de sa Maîtresse. Je t’ai entendu dire que tu étais trempée, t’as pas envie de te faire nettoyer en profondeur ? -Hmmm si, avec plaisir. Allez sale chienne, tu vas bien enfoncer ta langue, et me nettoyer la chatte. Lèche moi bien la pute, lèche ta Maîtresse… Chloé se met à genoux sur la table et empoigne mes cheveux pour fourrer mon visage entre ses cuisses. Elle ruisselle littéralement, et trempe mon visage. Je lèche, fouille, aspire, bois sa mouille…. Maîtresse Caroline avait raison, le parfum et le goût de Chloé me font bander immédiatement. Maîtresse Caroline est passé derrière moi et entreprend de lier mes couilles et ma queue avec une fine cordelette. Très serrées. Je deviens dur, je crois que je n’ai jamais bandé à ce point. Elle en profite pour me branler sans aucun ménagement, pendant que de son autre main elle presse et tord mes couilles. Je gémis de douleur, gémissements étouffés entre les cuisses de Chloé qui s’approche rapidement de l’orgasme. -Sale pute, fais jouir ta Maîtresse, allez lèche là encore mieux que ça… T’es juste bonne à nous lécher, et à te faire baiser le cul sale truie. Je fais faire de toi un sac à foutre… tu vas avaler des kilomètres de queues bien dures et juteuses crois-moi. Je vais te droguer à la queue et au foutre. Je vais te faire baiser par des blacks pendant qu’on se branlera en regardant…. Hmmmm allez fais jouir mon amie Chloé !!! Chloé explose de plaisir en inondant mon visage. Je la bois et je me régale, malgré la douleur que Maîtresse Caroline m’inflige en jouant durement avec mes couilles gonflées à exploser. J’ai entendu tout ce qu’elle vient de me dire… mais dans un état second, concentré sur le plaisir de Chloé. Je sais qu’elle est capable de me faire subir tout cela. Je sais aussi qu’au fond de moi, dans les méandres les plus sombres de ma perversité, je le désire. Je veux être tout cela pour Maîtresse Caroline. Je veux être son soumis humilié. Et elle le sait.
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Par : le 18/08/20
Je reçus un sms de Maîtresse Caroline, mon étudiante domina, vers 10h. « 11h devant la porte de mon appart. Tu frappes, tu entres, tu te fous à poil sauf ta culotte et tes bas, et tu attends, à genoux, mains sur la tête ». Je n’avais que peu de temps pour me préparer. A 11h, j’étais devant sa porte. Je frappai et j’entrai. Je me déshabillai et j’attendis Maîtresse dans la position qu’elle m’avait ordonnée, c’est à dire à genoux, cuisses écartées, mains sur la tête, regard baissé. Je dus attendre quelques minutes, j’étais angoissé. Qu’allait-elle me faire subir ? Allait-elle me libérer de ma cage ? Ses sublimes pieds dans des escarpins entrèrent bientôt dans mon champ de vision. Maîtresse passa derrière moi et plaça un collier muni d’une laisse à mon cou. Elle tira un coup sec pour me faire mettre à quatre pattes. -Suis moi la chienne ! Elle me guida, sans ménagement, dans le salon. Je gardai le regard baissé, et je découvris d’autres pieds, eux aussi chaussés d’escarpins. Mais ce n’était pas Ennia. La peur m’envahit aussitôt, et je restai bloqué. -Alors la pute, on n’oublie les bonnes manières ? Tu ne sais pas comment une chienne doit saluer une femme que lui présente sa Maîtresse ???? -… Je…. – Tu quoi ma chienne ?. -…… J’étais simplement tétanisé. J’avais reconnu Chloé, une de mes élèves, une grande et sublime black, très élancée, et plutôt effacée. Je rougis immédiatement, et j’avançai maladroitement, vers ses pieds que je devais honorer. Maîtresse Caroline enfonça le clou : -Tu vois Chlo, je ne t’avais pas menti. J’en ai fait une belle petite chienne de notre prof. Mignonne hein ? T’as vu ses bas, sa culotte ? Et tu ne devineras jamais ce qu’il y a dessous… tu vas voir… dès que la pute t’aura saluée comme il se doit. Je ne savais plus où me mettre. Toute la classe allait être au courant à ce rythme. Je ne pourrais jamais continuer à leur faire cours. Pas dans ces conditions. -Je l’ai filmé, et j’ai pris plein de photos, tu veux les voir ? -Oui…. avec plaisir. Je suis curieuse de voir cette……. cette petite pute. Ces mots, dans la bouche de Chloé, me choquèrent profondément. L’humiliation montait en intensité. Une petite pute, obéissante, soumise, c’est ce que j’étais entre leurs mains. Je n’avais aucun autre choix que d’obéir, sinon celui de voir ma vie exploser. Le visionnage dura un temps qui me parut interminable. Assises dans le canapé, moi à genoux face à elles, regard baissé, cuisses ouvertes, queue encagée et exposée, Maîtresse Caroline et Chloé passèrent en revue ce que j’avais subi. Chloé, d’habitude si réservée, se montrait de plus en plus excitée, et de moins en moins avare en commentaires. -C’est vraiment une chienne…. tu as eu du mal à l’enculer…. on dirait qu’il aime vraiment ça….. Nan !!! Mais regarde…. quelle pute !!!. -Hmmmmm c’est malin, je suis trempée maintenant, toutes ces photos et ces vidéos, ça m’a fait mouiller comme une folle. Merci Caroline, c’était très…. instructif ! -Je t’en prie… tu sais, si tu es trempée, tu as une bonne lécheuse à ta disposition…. elle n’attend que ça, n’est ce pas pas chienne ? -Oui Maîtresse Caroline. A vos ordres ! -Tu vois…. tu n’as qu’à ordonner. Elle est toute à toi Chloé. -Approche la pute ! Viens goûter le miel de ta Maîtresse black ! Déguste moi ! j’aime bien sentir une langue s’enfoncer dans ma chatte, montre moi ce que tu sais faire sale chienne ! J’approchais comme un robot, à quatre pattes, presque par automatisme. « Sale chienne »…. étais-je déjà conditionné ? Chloé retira son string et le présenta devant mon visage. -Lèche, et respire ! Elle avait une odeur musquée, entêtante, délicieusement excitante. Je léchai le tissu trempé, et goûtai son miel. -Maintenant, tu vas boire directement à la source et je veux bien sentir ta langue, enfonce là ! Lèche moi bien ! J’enfouis mon visage entre ses cuisses, et je la léchai longuement. Elle mouillait abondamment et elle finit par jouir en me traitant de chienne, de pute en chaleur, de lécheuse, de salope soumise. -Hmmmm ! c’est qu’elle m’a fait bien jouir ta salope Caro. Tu me la prêteras encore ? -T’inquiète, tu pourras essayer d’autres trucs avec elle. Tu as déjà enculé un mec ? -Nan, jamais. -Tu vas voir, tu vas adorer !!! Sur ces promesses de plaisirs, mes deux Maîtresse se levèrent du canapé. -Allez la pute, rhabille toi, c’est l’heure d’aller en cours ! Après on reviendra là, je n’en ai pas fini avec toi ma chienne. Prêt Monsieur le professeur soumis ? Caroline et Chloé, mon autre étudiante domina, éclatèrent de rire. Le cours allait être long, très long. Mon intuition fut la bonne. Ce fut 1h30 en enfer ! Le plaisir de retrouver Ennia, assise au premier rang, fut douché par son attitude. Elle était froide et distante. C’était un contraste cruel avec ce que nous avions vécu la nuit précédente. Derrière elle, Maîtresse Caroline et Chloé ne me quittaient pas des yeux. Je les voyais chuchoter, et ricaner. Je cherchais mes mots, perdant le fil de mes pensées. Ce fut sans doute le pire cours que j’avais jamais dispensé à mes élèves. Caroline, ma Maîtresse dominatrice et Chloé chahutaient de plus en plus, m’obligeant finalement à les reprendre : -Mesdemoiselles, merci de cesser vos bavardages ! Je veux bien être cool, mais il y a des limites, et vous venez juste de les dépasser. Si le cours vous gonfle, je ne vous retiens pas. J’avais parfaitement conscience d’avoir dépasser les bornes moi aussi, avec cette remarque. J’allais le payer, d’une façon ou d’une autre. Le regard que me lança Caroline en se levant et en quittant la salle de cours, escortée par Chloé, présageait du pire. Je tins tant bien que mal jusqu’à la sonnerie, qui coïncida parfaitement avec celle de mon téléphone, annonçant un sms. Je n’avais aucun doute sur l’identité de l’expéditrice. « Tu as 5 minutes pour être à poil devant ma porte sale pute. Garde juste tes bas. » Je me trouvais devant un non-choix. Obéir à ma Maîtresse dominatrice était devenu ma seule possibilité. Il n’y avait aucune fuite, aucun répit possible. Maîtresse Caroline me tenait, et j’étais devenu son pantin, sa chose, sa pute obéissante. De nouveau, la peur m’envahissait alors que je me dépêchais de rejoindre la tour dans laquelle se nichait son antre.
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Par : le 15/08/20
Vous avez une envie de pimenter la soirée en dominant Monsieur mais voilà, vous ne savez pas par ou commencer et sans aller jusqu’aux extrêmes (BDSM) Voici quelques petits conseils. Introduction : Votre mari a-t-il des désirs cachés de soumission ? Une séance de domination est une période, plus ou moins longue, où votre mari devient votre serviteur corps et âme. Il doit oublier ses besoins et ses désirs pour se concentrer sur les vôtres. Il doit obéir sans discuter à vos ordres et si possible anticiper vos envies. Toute désobéissance doit être punie moralement ou physiquement. Votre soumis doit accepter sa punition comme une chose normale qui lui permet de progresser dans son rôle de soumis afin de mieux vous servir. Au début, les périodes ou votre mari acceptera d’être dominé seront sans doute limitées à l’acte sexuel. Le but étant de faire durée de plus en plus longtemps ces périodes. La chose la plus importante et de doser le dressage, selon l’humeur de votre mari. Si vous le sentez disponible à être dominé profitez-en pour avancer dans votre dressage, mais si vous le sentez, réfractaire, lâchez du leste… Vous ne transformerez jamais un homme en soumis sans son consentement. S’il montre des envies de se soumettre à vous Le plus facile est de commencer la période de soumission avant l’acte sexuel. Un mari excité est un mari obéissant ! Au fil du temps, vous arriverez à faire en sorte que votre mari ne jouisse pas pendant vos jeux sexuels. Vous pourrez ainsi très facilement faire durer les périodes de soumission en dehors de votre chambre à coucher. Votre mari sera soumis en permanence, pourvu que vous gériez bien sa libido et qu’il soit frustré sexuellement. Mais souvenez-vous que cela prendra sans doute beaucoup de temps pour en arriver là. Il y aura des progrès fulgurants et des périodes où il n’en fera qu’à sa tête, ne lâchez pas prise, relâchez simplement un peu votre domination pour la reprendre un peu plus tard. Lire la suite : https://comtedenoirceuil.com/quand-madame-domine/       Voir également : Soumettre un homme Chasteté et contrôle d'orgasme Candaulisme BDSM en Couple
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Par : le 14/08/20
Contrat de soumission BDSM 1. Lieu et durée : Le soumis accepte de se soumettre complètement à sa Maîtresse. Il n'y aura aucune limite de lieu, de temps, ou de situation dans lesquelles le soumis puisse refuser d'obéir à un ordre de sa Maîtresse. 2. Plaisirs : Le soumis accepte, aussitôt ce contrat signé, que son corps devienne la propriété totale et exclusive de sa Maîtresse, qui pourra en disposer comme bon lui semble. Cela signifie désormais que sa jouissance appartient à sa Maîtresse, que celle-ci pourra par conséquent lui interdire tout plaisir, ou au contraire fixer à sa guise ses rapports avec toute autre personne et l’offrir à toute autre personne. Lorsque la Maîtresse et son soumis se livreront à des attouchements, il va sans dire que le plaisir de sa Maîtresse prime sur le plaisir de son soumis, et que le seul plaisir de contenter sa Maîtresse pourrait suffire au plaisir du soumis. 3. Respect : Le soumis parlera toujours de sa Maîtresse en des termes d'amour et de respect. Le soumis s'adressera toujours à elle en tant que " Maîtresse ou Madame…». En retour, la Maîtresse pourra appeler son soumis « petit soumis », ou autre surnom qui lui plaira sans que le soumis ne puisse s'en offusquer. 4. Sincérité : le soumis répondra sans hésitation à toutes questions posées honnêtement et directement, par sa Maîtresse et il inclura toute information, même intime, afin que sa Maîtresse soit parfaitement informé de tout ce qui se passe dans la vie intime de son soumis. L’intimité du soumis appartient désormais à sa Maîtresse. 5. Plaintes et critiques : La Maîtresse exige de son soumis, qu’il s'exprime honnêtement et spontanément sur tout ce qui la tracasse, le soumis ne pourra se plaindre ou critiquer sa Maîtresse qu'avec une infime précaution, beaucoup de respect, et toujours dans le souci de renforcer leur relation. 6. Apprentissage : Le soumis recherchera, pendant la période de soumission, à plaire à sa Maîtresse et acceptera gracieusement toute critique de la part de sa Maîtresse, et ce peu importe la forme que celle-ci prendra, évidement ces critiques devront toujours être constructives et respecter les limites définies dans ce contrat. II. Rôle de la Maîtresse : Le soumis, qui accepte de devenir sa chose, son soumis, doit en retour pouvoir vivre sa relation avec sa Maîtresse en toute confiance, ce qui signifie que sa Maîtresse s'engage à respecter le contrat et à prendre soin de son soumis, s'assurer de sa sécurité et de son bien-être. La Maîtresse accepte donc de traiter le soumis comme il se doit, de le dresser, de le punir, de l'aimer, et de l'utiliser au gré de sa volonté, mais toujours dans le souci de : - lui procurer du plaisir, de satisfaire ses fantasmes, ses penchants, sa libido. - le dresser pour en faire un soumis parfait, c'est-à-dire docile et perver et une bonne pute. - le respecter, dans son intégrité physique et morale, sa vie familiale et professionnelle III. Exigences de la Maîtresse : 1. Refus : la Maîtresse ne permettra jamais certaines pratiques dans le cadre des relations qui le lie au soumis : la scatologie, toutes marques de sang. Toutes ces pratiques sont catégoriquement refusées par le soumis et marquent des limites à ne jamais franchir. 2. Supériorité : la Maîtresse ne permettra jamais que le soumis ne soutienne en public des positions contraires aux siennes, ou ne défie son autorité, sous peine d'une très sévère punition. Le soumis reconnaît et accepte à l'avance la supériorité de sa Maîtresse, dans quelques domaines que ce soit. 3. Position et culotte : la Maîtresse ne permettra pas à le soumisde croiser les jambes ni de fermer totalement les cuisses en sa présence ou devant son ordinateur lors de chat ou lors de prêts de la soumise à des tiers. Le soumis ne devra porter aucun sous-vêtement en présence de sa Maîtresse et lors des prêts ou utilisation du soumis par des tiers, et parfois même en son absence. Le but étant que les orrifices et le sexe de l'esclave soit disponible et accessible à toute caresse ou pénétrations diverses choisies par sa Maîtresse, quel que soit l'heure et le lieu et les tiers autorisés par celui-ci. 4. Politesse : la Maîtresse exigera que le soumis inclus toujours le vouvoiement, le mot Maîtresse ou Madame dans ses réponses lorsqu'ils seront seuls, ou parmi d’autres dominants. 5. Internet : la Maîtresse pourra déterminer le temps que le soumis passera sur Internet et y publier sur son blog ou des sites dédiés, les photos de son soumis dans toute tenue et positions. Les images de la soumise appartiennent à sa Maîtresse. 6. Dilatation anale : la Maîtresse pourra dilater l'anus du soumis et y introduire tous les objets qu'il désirera, (doigts, godemichés, etc.) ou bien exiger du soumise qu’il le fasse lui-même lors de séances de domination virtuelle ou par lui-même. 7. Achats : la Maîtresse pourra exiger que le soumis lui demande son avis pour acheter ou porter ses vêtements. La Maîtresse pourra décider des tenues vestimentaires que son soumis aura à porter. Les tenues vestimentaires en présence de la Maîtresse ou de prêt à des tiers devront être très explicites sur le statut du soumis. 8. Collier : la Maîtresse pourra exiger que le soumis porte un collier en cuir discret, mais avec un petit anneau pour que la Maîtresse puisse y accrocher une laisse. Le soumis pourra néanmoins retirer son collier sur son lieu de travail et en famille. 9. Laisse : la Maîtresse pourra si elle le désire obliger le soumis à se promener en laisse et ce, où il le désirera, En extérieur tant que cela ne porte pas préjudice à sa carrière, sa famille ou à sa réputation. 10. Demande de châtiment : la Maîtresse pourra exiger du soumis que celui-ci demande spontanément matin et soir le châtiment de son dressage soit ; coups de fouet, badine, cravache, martinet, ceinture ou à la main. 11. Relations sexuelles : la Maîtresse pourra si elle le désire, interdire toute relations sexuelles au soumis et ce pour une période que seul la Maîtresse déterminera. Le soumis ne pourra pas refuser de relation sexuelle avec toute personne qui lui sera présentée par la Maîtresse ni à l’occasion des prêts. 12. Prêt du soumis : la Maîtresse pourra si elle le désire, donner, prêter le soumis à d'autres Maîtres ou Maîtresse, des connaissances et amis en qui elle a confiance. Le soumis pourra aussi être amenée à obéir ou à s'exhiber devant certains amis et complices de la Maîtresse en présence ou non de la Maîtresse. 13. Masturbations et frustrations : la Maîtresse exige de son soumis qu’il se masturbe au moins deux fois par jour en pensant à Maîtresse mais sans se donner le plaisir libérateur. Le but étant de maintenir le soumis dans un état d'excitation permanent. 20. Clause de sauvegarde : la Maîtresse s'engage à ne pas compromettre la vie de famille et professionnelle du soumis en révélant sa soumission à sa famille ou ses collègues, y compris par des actes ou des punitions qui trahiraient son statut de soumis. IV. Punitions : 1. Justification : Le soumis accepte de recevoir toute punition que sa Maîtresse décidera de lui administrer, qu’il l'ait mérité ou non. 2. Forme et intensité : Le soumis accepte qu'une punition sévère puisse lui être administrée pour toute infraction à la lettre ou à l'esprit du présent contrat, et acceptera cette correction gracieusement. La forme et l'intensité de la punition seront laissées à la discrétion de la Maîtresse. Il pourra évidemment s'agir de châtiments corporels : fessée, cravache, martinet, badine... Mais aussi de punitions psychologiques, des contraintes, des obligations, des humiliations, des exhibitions... 3. Date et lieu : la Maîtresse devra faire clairement savoir au soumis qu’il est puni et ce, quand la punition lui sera infligée : en sa présence immédiatement, ou ultérieurement lors d'un rendez-vous, dans le lieu et à l'heure qu’elle aura choisis. 4. Intensité : la Maîtresse s'engage à ne causer aucune blessure corporelle au soumis tout comme il s'engage à ne pas la tatouer ou la percer. Néanmoins, le soumis s'engage à endurer toutes les punitions, que ce soit sur les fesses, les seins ou toute autre partie du corps que le Maître aura envie de martyriser. Si toute marque ou cicatrice sont proscrites, des fesses bien rouges ou des zébrures sur les fesses du soumis seront acceptées. V. Règles de conduite au travail : Aucune partie de ce contrat n'est prévue pour nuire à la carrière, à la famille ou à la réputation du soumise. La Maîtresse, souhaite que son soumis travaille fort et honnêtement et qu’il se conduise le plus normalement du monde. Pendant les heures de travail, le soumis aura la permission de s'habiller d'une manière appropriée, ce qui signifie sans excès ou provocation, et sa maitresse ne pourra exiger aucune exhibition ou acte à caractère sexuel sans le consentement de son soumis. VI. Signature du soumis : De son consentement libre et éclairé et par désir d'exprimer son amour et sa dévotion pour sa Maîtresse, il s'offre en soumis à sa Maîtresse. Malgré le fait qu’il se considère comme soumis à sa Maîtresse, l soumis s'engage à se dévouer complètement et totalement au plaisir et désirs de sa Maîtresse et ce sans aucune hésitation ou autre considération. Le soumis a lu et compris le présent contrat dans son entier. Le soumis accepte de remettre son corps et son âme à sa Maîtresse. Le soumis comprend qu’il sera façonné et dressé à servir en pute et en chienne et d’être puni en cas de désobéissance à sa Maîtresse ou lors de prêts et ce dans son meilleur intérêt et il promet de se consacrer à combler le moindre des désirs de sa Maîtresse. Je reste le soumis de ma Maîtresse sans limite de durée de façon irréversible. Je ne peux rompre ce contrat, seul ma Maîtresse peut le rompre. Note ajouté par la Team BDSM : Merci à francksoum33 de partager son contrat BDSM. Il constitue un excellent exemple de contrat d'appartenance. Ce contrat de soumission pourra servir de modèle aux membres de la communautés. A chacun d'adapter ce contrat pour en faire le modèle qui lui sera propre en fonction des ses pratiques (les contrats BDSM type pour un esclave peuvent être formuler différemment). A lire également : Soumettre un homme Trouver et hoisir son maître Soumis par une domina
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Par : le 14/08/20
Texte initialement écrit le 29 mai 2019 Ce texte est un avertissement sur les menteurs/queutards/voyeurs/mais surtout PN que l’on retrouve Un peu partout... « C’est l’histoire d’une fille trop naïve, l’histoire d’une fille perdue, d’une fille qui faisait trop confiance aux autres. Elle aurait dû comprendre à force de s’en prendre plein la tronche, mais non, elle avait toujours pas compris. C’est l’histoire d’une fille tellement mal dans sa peau, qui se haïssait tellement, qu’elle faisait tout et absolument tout pour se faire détester. Un jour de juin 2016, parce que son compagnon de l’époque lui avait demandé, elle est arrivée sur Ce site, ne sachant pas vraiment ce qu’elle allait y trouver. Elle y a fait de superbes rencontres, d’autres, un peu moins. Il y a eu le type qui vivait en couple, un Skype où il assurait pas et où il buvait vodka sur vodka pour se donner de la prestance. Il y a eu les centaines de queutards qui attendaient leur casse-croûte si longtemps attendu. On demande une photo, puis deux, veux-tu ci ? Veux tu ça ? Il y a les queutards qui font croire qu’ils sont des doms, pour cela hop on se fait appeler Maître X, Monseigneur Machin truc. Sauf qu’ils n’ont ni le langage, ni la mentalité dom. On les repère assez facilement ils postent toujours des photos de cul, et n’ont Aucun respect pour les esclaves et soumises. Pour eux, c’est juste de la chair fraîche facile à trouver. La fille naïve a connu tout ça, et puis son côté rebelle/haine des hommes est revenue très vite. Elle s’est reforgée une armure plus indestructible que la précédente, et pour éloigner tout le monde est devenue plus insolente que jamais. Elle s’est vite retrouvée isolée des uns et des autres, certains la soutenaient, d’autres au contraire s’en éloignaient. Plus elle était détestée, plus son comportement allait dans son sens. Et puis un jour est apparu un dom différent des autres. Sûrement quelque part ce pseudo dom (car évidemment cela en était un, mais elle ne le saurait que beaucoup plus tard), avait senti une proie facile, avait senti la fille qu il allait pouvoir manipuler à sa guise. Elle se sentait attirée par lui, même si physiquement ce n’était pas son type. Il jouait son rôle de séducteur auprès de ses ami(e)s, passant pour le sauveur de cette âme égarée. Pourtant sa petite voix lui disait que ça n’allait pas le faire, a de nombreuses reprises. Elle n’a pas voulu l’écouter, continuant une relation qui allait fatalement l’entraîner dans la merde. Il y eu malgré tout des hauts et des bas, elle était amoureuse, il l’avait accroché. Son comportement puéril et irrationnel par moment aurait dû l’alerter, mais même pas. Ses amis disaient qu’il était ainsi, susceptible, et qu’il fallait laisser passer la crise. Elle revenait toujours, s’excusant de choses qu’elle n’avait pas commises, déplorant son comportement inadapté alors qu’elle n’était fautive en rien. Elle s’écrasait de plus en plus, rampait littéralement à ses pieds. Il avait gagné.... Elle était maintenant dévouée à lui et prête à accepter tout et n’importe quoi.... Elle lui présenta ses enfants, en leur disant qu’elle avait rencontré quelqu’un de bien, et que c’était l’homme de sa vie... Ses enfants qui avaient des problèmes avec leur propre père le virent comme un sauveur... Et lui en profitait, dénonçait le comportement de leur père (alors qu’il fera pire ensuite), disant que c’était un PN (et lui aussi) Il avait dû sentir la bonne aubaine, la fille déprimée, pas jolie, pas sure d’elle, mais qui avait des gosses et qui allait récupérer de l’argent via un héritage. Certes pas beaucoup, mais 60 000€ cela ne se refuse pas. Ses amis à elle lui disaient combien elle avait de la chance de rencontrer quelqu’un de bien comme lui, qu’elles étaient heureuses pour elle... il y eu des envieuses pourtant, des situations incroyables aussi, ou soit-disant des soumises lui tournaient autour et cherchaient à nuire à leur couple. Alors elle se mit en retrait, mis ses amis à elle de côté car elle n’avait plus confiance qu’en lui, et se retrouva de plus en plus isolée. Il ne voulait pas non plus qu’elle voit trop sa famille parce qu’il jugeait sa mère à elle responsable de tout ce qui lui arrivait... Ses enfants et elle emménagèrent chez lui, un petit appartement où ils se retrouvèrent tassés comme des sardines à 6 (car il avait des enfants) et les animaux. Il différencia ses enfants à lui des siens, privilégiant ses enfants à elle par rapport aux siens. Et fatalement créant des tensions entre les enfants )ce qu’il voulait) Par contre, elle ne trouvait pas sa place, en temps que soumise, en tant que compagne et potentiellement belle-mère. Elle s’inscrivît dur des groupes traitant du bdsm avec son accord sans qu’il fut présent. Bon nombre des membres de ces groupes eurent beau lui dire que c’était son devoir a lui de prendre soin d’elle, de lui expliquer comment se placer, la rassurer... Il n’en faisait rien. Elle était devenue sa bonne (repas/ménage/repassage), la bonne de ses enfants, lever tôt pour rendre un appartement le plus propre possible et accessoirement son esclave sexuelle, car selon lui, sa condition de soumise faisait qu’elle n’avait pas le droit de dire non. Elle se sentait piégée, elle avait quitté son compagnon pour lui, et la situation était pire. Bientôt il y eu des propos qui auraient dû l’alerter... « Tu ne vois pas tout ce que j’ai fait pour toi » « Personne ne peut t’aimer comme je t’aime, je suis le seul à te respecter » Elle se détestait encore plus, et continuait de grossir et de grossir... Et sa libido déjà vacillante, s’éteignit complètement. Elle n’avait plus envie de rien... Il lui disait qu’elle était tout pour lui, que personne ne pouvait l’aimer comme elle l’aimait... Il lui disait qu’ils s’achèteraient une maison, une grande maison qu’elle paiera avec son héritage, et qu’il partagerait la maison entre ses enfants à elle et les siens. Elle ne tiqua même pas... Et puis un jour de novembre où elle était chez ses parents, chose compliquée pour elle, il lui envoya des messages où il disait qu’elle n’aimait personne, qu’elle était un fake du bdsm, qu’elle ne devait jamais se refuser à lui, qu’elle avait quelqu’un d’autre, qu’elle avait profité de lui... Il y eu une fêlure à ce moment là, c’est comme si le fait de lui avoir envoyé à la figure le fait qu’elle n’aimait personne (même pas ses enfants à elle selon lui), qui fit que du jour au lendemain elle n’était plus amoureuse. Elle alla consulter quelqu’un parce qu’elle n’arrivait pas à se sortir du mal être où elle était. Cette personne qu elle voit toujours, a du trouver les mots pour qu’elle puisse parallèlement faire le point sur sa situation... Les bas succédèrent de plus en plus aux hauts moments. Quand elle recherchait à ce qu’il lui rende confiance, tout ce qu’il était capable de dire c’est qu’elle était bonne au ménage et au repassage et à entretenir la maison. Il sentait qu’elle lui échappait car elle lui a dit ne pas vouloir acheter une maison avec lui... Adieu ses rêves de maison à lui, le statut social qu’il recherchait. Car ce n’est pas une compagne qu’il voulait, c’était essayer d’éduquer ses enfants à elle selon ses principes à lui, chose qu’il n’avait pas réussi avec les siens. C’était une femme qui ferme sa gueule qu’il voulait, et le statut social qu’il pourrait avoir grâce à elle. Propriétaire... Bientôt il lui dit qu’il regrettait son ex (qu’il continuait à voir en parallèle, mais cela elle ne le su que récemment)... Qu’il avait perdu au change, qu’elle n’était pas à la hauteur, qu’elle n’avait pas le niveau. Il disait d’elle et de ses enfants que c’était des cassos... Il commença à frapper ses enfants à elle, à les dénigrer. Et puis il l’a menaçait de rendre l’appartement, qu’elle dégage de sa vie, qu’elle n’avait rien fait pour lui, qu’elle avait profité... Elle avait profité selon lui, sauf qu’elle avait payé bon nombre de meubles et d’électroménager, la déco de son appartement, des vêtements, qu’elle payait la moitié de son loyer, ou tout le Matos bdsm... Et puis il a trouvé un nouveau travail , il a pris le melon, et elle qui stagnait dans le sien... il la rabaissait pratiquement quotidiennement, elle était pas assez si, pas assez ça. Il avait fait le vide, dans la région elle ne connaissait personne et vu qu’il avait un caractère particulier il ne se mêlait pas aux autres non plus. Elle était isolée, sans amis, sans famille, sans activités extérieures... Dès qu’elle parlait à des amis il les dénigrait en disant que tout ce qu’ils voulaient c’était les séparer... Il a piraté ses comptes fb, ses emails, accusé ses amies de lui avoir envoyé des copies d’écran par jalousie. Elle s’est encore plus isolée... et refermée... Et puis il y a deux mois, il a décidé de partir du jour au lendemain, après qu’elle eut découvert qu’il partait en week-end avec une femme. Il est retourné chez son ex...«  Le bilan de cette situation, est qu’il faut toujours écouter sa petite voix, surtout quand elle dit que ça va pas le faire. Il faut écouter les autres aussi, quand une, dix, 30 personnes vous disent que le dom se doit de rassurer sa soumise, de l’accompagner au quotidien et non de la traiter de menteuse, de la rabaisser et de la prendre pour une boniche. Écouter les avis des personnes expérimentées qui vous disent qu’un dom doit savoir gérer l’insolence de sa soumise autrement que par la manière forte. « Il ne l’a jamais frappé, même si une séance fut plutôt mal vécue par elle. Il y a eu de la violence psychologique, il y en a encore beaucoup... Il y en a aussi sur ses enfants à elle... Elle va partir bientôt, le quitter sans regret, mais avec amertume... Car il l’a fout dehors en gardant bien sûr, ses meubles et ses affaires... Elle n’a plus du tout confiance envers les hommes, qu’ils soient dom ou pas. Et encore moins confiance dans le milieu bdsm. Elle se reconstruit petit à petit, retrouve son indépendance,son énergie, se soigne et avance.« 
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Par : le 13/08/20
– Tu sais, ça m’excite vraiment de voir un mec se faire dominer par un autre mec. J’adore regarder ce genre de vidéos. Avec toi, je vais pouvoir avoir ça en vrai ! Un bon suceur, un bouffeur de queue qui se fera bien dilater le cul. Je vais te choisir des amants hors normes ma pute. Je vais me régaler. Rien que d’y penser je mouille ! Mais comme je suis une bonne Maîtresse, je vais te préparer t’inquiète pas ma pute. Tu vas voir, je suis très gentille en fait. Je restai dans ma position, à genoux, yeux baissés. Les mots de Maîtresse Caroline m’avaient fait débander. Je ne m’imaginais absolument pas offert à des gays dominants qui feraient de moi leur lope. Mais je savais aussi que je n’avais pas vraiment les moyens de négocier avec Caroline. -Ennia, ma salope en chaleur, va chercher de quoi travailler ma nouvelle lope. Il va falloir qu’on la prépare. J’ai vraiment envie de réaliser mon fantasme, et pas dans trois mois. Ennia disparut à la salle de bains et revînt rapidement avec un plateau qu’elle déposa sur le guéridon, à côté de Caroline. Je n’osai lever les yeux pour regarder mais j’imaginais sans peine qu’elle allait vouloir assouplir mon cul. Je ne lui avais pas dit que c’était là un des mes fantasmes les plus intenses. Je me sentais profondément hétéro. Les hommes ne m’avaient jamais attiré. Au contraire. Mais je voulais découvrir le plaisir anal avec une femme, me faire prendre par un god ceinture. Si possible celui de ma Maîtresse. J’en avais vraiment envie, et je me mis à rebander immédiatement. Maîtresse Caroline le remarqua. – On fait sa mijaurée mais quand je parle de te fourrer le cul tu bandes bien dur ma lope. Tu vois que tu en as envie. Tu vas aimer. Mais pas autant que moi !. Elle pris un collier, large, noir, et me le passa autour du cou. Elle y attacha une laisse et me tira brutalement. – Allez la lope, en position. A quatre pattes sur la table basse. Je n’avais pas vu qu’elle avait aussi empoigné sa cravache. – Tu es une pute à baiser maintenant, alors offre toi bien. Cambres toi mieux que cela sale chienne. Ma dominatrice perverse ponctua son ordre d’un coup de cravache sur mes fesses. Je laissai échapper un cri, plus de surprise que de douleur. – Je t’ai à peine touché. Tu te fous de moi ou quoi ? Cinq coups, pour t’apprendre à la fermer. Compte et remercie moi. -Schlaaack. Un, merci Maîtresse Caroline. -Schlaaack. Deux. Merci Maîtresse Caroline. -Schlaaack Trois. Merci Maîtresse Caroline. -Schlaaack Cinq. Merci Maîtresse -C’EST MAITRESSE CAROLINE PETITE PUTE DEBILE. Tu viens d’en gagner un sixième ! Et elle frappa plus fort. J’étouffais tant bien que mal un cri de douleur. J’avais l’impression d’avoir le cul en feu, et je savais qu’elle avait frappé moins fort que tout à l’heure, avec Ennia. Elle avait vraiment du souffrir le martyr. Je n’aimais pas la cravache, et j’avais mal. – La salope, prépare le. Et mets la dose. Je suis énervée maintenant. J’ai besoin de me calmer. Tant pis pour lui ! Tu as 5 minutes, je reviens. Je sentis les doigts d’Ennia se poser sur mon anus. Ma seconde Maîtresse me caressait doucement, étalant un liquide froid que je savais être du lubrifiant. Elle me pénétra d’un doigt, le faisant coulisser. J’adorais cette sensation, pour l’avoir souvent expérimenté par moi-même. – Détends toi…. je vais te dilater un peu plus. Elle enfonça un deuxième doigt. J’essayais de me cambrer au maximum, et de bien lui offrir mon trou. Je venais même à la rencontre de ses doigts, pour lui signifier qu’elle pouvait y aller. Elle se retira et remplaça ses doigts par une canule fixée sur la bouteille de lubrifiant. Elle m’en injecta une bonne dose puis repris son massage anal, en ajoutant un troisième doigt, plus difficilement. -Tu es étroit je trouve, tu as vraiment besoin d’être assoupli, sinon tu vas morfler. Tu sais, je n’ai jamais enculé un mec, mais c’est mon fantasme. Maîtresse m’a promis qu’elle me permettrait de te baiser, un jour prochain. Baisé par ma déesse rousse. L’idée d’appartenir à Ennia me fit bander instantanément. Et je me mis à rêver, sans plus aucune retenue, l’imaginant avec un god ceinture énorme, la suppliant de me baiser, de faire de moi sa femelle. L’appelant mon amour, ma chérie. Je tombais amoureux d’elle. Et cette évidence me bouleversait. Je vivais. J’exaltais. Je brûlais de ce feu auquel je ne pensais pas me réchauffer à nouveau. J’avais 20 ans, et j’étais emporté par cet élan de liberté et de sentiments. J’avais besoin d’elle. Besoin de la sentir, de pouvoir la regarder, de son sourire, de son corps. J’étais accro. Dès la première prise. Pire qu’un pipe de crack. Et si pour avoir ma dose, je devais devenir la pute, la chienne de Maîtresse Caroline et accepter d’aller loin, très loin dans la soumission aux désirs de ma Maîtresse, j’en acceptais par avance les conséquences. Servir Caroline était la concrétisation de mes fantasmes. Aimer Ennia et pouvoir vivre cet amour était bien au delà. J’étais sans doute fou de penser tout cela. Caroline devait m’avoir drogué pour que je délire à ce point. J’étais un homme marié, un père de famille, et je redevenais un ado transi d’amour pour une déesse aux cheveux rouges. Je ne savais plus rien. Je ne savais qu’une chose. Alors que les doigts d’Ennia me fouillaient le cul, j’étais en transe et j’en voulais plus. -Alors, ma lope est prête ?. Caroline revenait. Plus sublime dominatrice encore que dans mes rêves les plus érotiques. Corset de latex, longs gants, cuissardes aux talons aiguilles vertigineux. Une créature surgit d’internet où pullulent les Maîtresses aux physiques parfaits, dignes de l’objectif de Christophe Mourthé. Elle était belle, attirante, et la plus excitante femme qui soit au monde. Du moins à mes yeux et en cet instant. Mon désir de me soumettre atteignait son apogée. (NDLA: Le désir sexuel, au risque de déplaire à nombre de Maîtresses et de paraître d’un égoïsme typiquement masculin, a toujours alimenté mon désir de soumission. J’ai besoin de désirer une femme pour me donner à elle et pour la servir. Ce désir physique est indispensable pour moi, même s’il est aussi, et je le sais parfaitement, ma plus grande faiblesse. En le maîtrisant, une femme dominatrice possède le moyen le plus sûr de s’assurer mon obéissance. Sans ce désir, je ne suis qu’un gentleman, respectueux des femmes. Mais si une Maîtresse me séduit, si elle sait jouer de mon désir, alors je deviens le plus dévoué des esclaves.) -Hmmm tu n’y es pas allée de main morte ma chienne. Tu l’as gavé de lubrifiant. On dirait qu’il mouille de la chatte. Tu as peur que je lui fasse mal ou quoi ?. En prononçant ses derniers mots, Maîtresse Caroline posa la pointe d’un plug sur mon anneau et poussa d’un coup. Je laissai échapper un bref gémissement, de surprise plus que de douleur. Caroline avait du utiliser le plus petit de ses plugs et je n’avais pas souffert. Etonnée par la facilité avec laquelle elle m’avait pénétré. Sans doute les doigts de ma déesse rousse m’avaient-il bien préparé, avec la douceur qu’elle me témoignera toujours lorsque nous serons ensemble, et ce encore aujourd’hui. -Et bien ma pute…. on dirait que ton cul est fait pour ça. Tu es étroit mais très souple…. on va essayer avec un plus gros calibre. Regarde ! Maîtresse Caroline me présentait un plug beaucoup plus gros. Conique et d’un noir luisant. -Il fait 5 cm à sa base. Celui-là, tu vas le sentir passer. Elle pesa d’abord doucement sur ma rondelle. M’ouvrant petit à petit. Il était effectivement beaucoup plus large, et même si j’étais bien graissé, la dilatation devint rapidement douloureuse. -Pousse ma chienne… je suis sûre que tu peux le prendre. Maîtresse Caroline appuya plus fort et mon anneau céda, m’arrachant un cri de douleur, aussitôt ponctué d’une claque sur mon cul. – Chuuuut ma lope. Tu souffres en silence ou je te corrige à la cravache. Tu es bien rempli. On va le laisser un peu en place, que tu t’habitues. Je veux que tu te dilates au plug chaque jour. Je te donnerai un programme d’entrainement, progressif. Je veux que ma lope soit bien ouverte, et toujours prête à se faire enculer. La truie, passe moi mon god-ceinture. C’est pas le tout de lui entraîner le cul, il faut aussi entraîner sa bouche et sa langue, si je veux en faire un bon suceur de queue. Ennia aida Maîtresse Caroline à passer un très beau god-ceinture noir. Je le trouvais énorme, avec un gros gland, et des veines saillantes. Un magnifique objet, et aussi effrayant. Elle le présenta à ma bouche. – Allez ma lope, sors ta langue et montre moi ce que tu sais faire. Toi, ma petite salope, continue à lui travailler le cul avec le plug. Je tirais ma langue et commençais à lécher le gland, doucement, à petits coups. Je l’enfonçais entre mes lèvres, léchai à nouveau, en pensant à la façon dont moi j’aimerais être sucé. Je pensais bien faire, mais ce n’était pas du goût de Maîtresse Caroline. Elle arracha le god à mes lèvres et me gifla. -Trainée, tu suces comme une godiche. T’as vraiment besoin d’être dressée ma lope. Tu ne penses pas faire jouir un mec comme ça quand même ? Allez… appliques toi, et regarde moi dans les yeux. C’est MA queue que tu suces. Donne moi du plaisir, excite moi, montre moi que tu es une vraie chienne en chaleur qui aime la queue. J’étais vexé. Et j’avais honte de l’être. Je ne suçais pas bien aux dires de ma Maîtresse, et même si imaginer sucer une vraie queue me dégoûtait, j’étais pourtant vexé de ne pas y arriver. Il faudrait que je réfléchisse à ce sentiment, plus tard. Pour l’heure je repris ma fellation, essayant au mieux de satisfaire les désirs de Maîtresse Caroline. Aspirant, suçant le gland, léchant les couilles, l’enfonçant le plus profond possible entre mes lèvres, à la limite du haut-le-coeur, accélérant, ou au contraire ralentissant, très lentement, juste en léchant le gland. Et je regardai Maîtresse dans les yeux. Cette situation m’excitait. Je me sentais humilié mais j’aimais ce sentiment d’humiliation, que Maîtresse Caroline me transforme en suceuse me faisait bander comme un âne. Les sensations du plug dans mon cul n’y étaient pas étrangères bien sûr. Mais regarder Maîtresse Caroline, avoir l’impression qu’elle ressentait vraiment les caresses de ma langue, de ma bouche sur son god-ceinture, cela me transportait, ailleurs. Quelque chose d’intense passait par nos regards soudés. Je ressentais toute la force de ma Maîtresse. Tout son désir aussi. Je m’en nourrissais. Caroline avait peut-être raison. J’étais une pute à queues qui s’ignorait, une chienne qui aimerait sucer et se faire baiser aussi. -Allez, débouche son cul. Tu l’as assez préparé. A mon tour de bien l’enculer.
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Par : le 12/08/20
La séance de nettoyage dura longtemps. J’eus droit à trois lavements, administrés par Ennia. Elle prit soin ensuite de me doucher, longuement. Ses mains savonneuses sur mon corps me firent retrouver une certaine vigueur, et la belle rousse ne se privait pas de quelques va et vient sur ma queue de nouveau bandée. Elle termina en épilant soigneusement ma raie culière et ponctua : -Maîtresse adore une raie bien lisse. Et je crois qu’elle te réserve une belle surprise pendant ton dressage. Enfin, peut-être pas pour tout de suite… mais je t’avoue que j’ai hâte de voir ça. Je plongeai mon regard dans le sien et elle se rapprocha jusqu’à presser son corps contre le mien. Nous venions de baiser comme des fous, mais nous avions visiblement encore envie l’un de l’autre. Elle posa sa bouche sur la mienne, et nous échangeâmes un long baiser profond pendant lequel elle empoigna ma queue et me masturba très lentement. J’étais sur un nuage. Caroline avait raison. Ennia me faisait fantasmer depuis le début de l’année et jamais je n’aurais pensé vivre ces moments avec elle. Elle se recula un peu, me tenant toujours par la queue. – Tu as entendu ce qu’a dit Maîtresse Caroline. Je suis sa soumise, mais je suis aussi ta supérieure, et tu me dois respect et obéissance. Je sais que je te plais, beaucoup même. Tu me plais aussi, et j’espère avoir souvent l’occasion d’abuser de toi. A genoux ma chienne. Lèche moi un peu… Je lui obéis immédiatement, trop content de la goûter encore. Ennia debout, un pied sur le rebord de la baignoire, moi à genoux sur le carrelage, j’enfouis mon visage entre ses cuisses ouvertes et je la dégustai très lentement. C’est dans cette position que Maîtresse Caroline nous surpris : – Mais vous êtes obsédés ou quoi ? La lope, debout, au milieu du salon, mais sur la tête, immédiatement. Quant à toi, ma chienne, en position, sur le fauteuil !!!. Caroline n’avait pas crié. Nul besoin. Sa voix dure et autoritaire suffisait à nous faire obéir. Je pris la pose ordonnée, et Ennia s’installa, le ventre sur le dossier du fauteuil de cuir, cuisses écartées, cul offert. Maîtresse Caroline s’approcha très lentement. – D’habitude, je te punis sans t’attacher. Mais là, entre tes cris de chienne obscène de tout à l’heure, et le fait que tu te fasses lécher comme un truie sans mon autorisation, je crois que tu mérites une vraie correction, qu’en penses tu ma chienne ? – Comme vous voulez Maîtresse Caroline. Je suis votre chienne, punissez moi, je le mérite. Caroline prit plusieurs cordes et lia Ennia au fauteuil, comme sur un cheval d’arçons, avant de lui poser un bâillon boule. Ennia me faisait face et je pouvais lire une certaine appréhension dans son regard. La situation m’excitait terriblement. Je n’avais jamais assisté à une punition, en réel. Je me contentais de vidéos trouvées sur le net. -Tu as le droit de crier ma chienne. Tu vas te retenir comme d’habitude, mais je vais te faire craquer tu vas voir. Le premier coup de cravache tomba. Le corps d’Ennia se tendit dans ses liens, et la douleur et la surprise emplirent ses yeux. Un deuxième lui arracha un bref gémissement. Caroline frappait fort. Le bruit, la vision d’Ennia attachée et de Caroline maniant la cravache, mon érection devenait incontrôlable. J’aimais ce que je voyais, ce que je ressentais. Et je remerciais en silence Caroline de m’offrir la concrétisation de mes fantasmes. Trois, quatre, cinq… Ennia gémissait à chaque coup. De plus en plus fort. Je ne voyais pas ses fesses, sans doute marquées sérieusement par la cravache vu l’intensité des coups. Mais je voyais son visage. Six, sept, huit, neuf…. Au dixième, elle hurla et rua dans ses liens. Les larmes coulaient et son visage était défait. Elle avait lutté, mais elle craquait. Maîtresse Caroline avait gagné. Onze, douze, treize, quatorze…. Ennia criait sans discontinuer, à moitié étouffée par son bâillon. Caroline prenait son temps. Aucun coup ne s’abattait au même rythme. Elle ménageait le suspens. Caressait la peau du bout de sa cravache, ou le passait entre les cuisses d’Ennia, pour venir tapoter sa chatte. Ennia s’apaisait un peu et Caroline frappait à nouveau, provoquant un autre hurlement de sa soumise. Je souffrais pour elle, et je croisais les doigts de ne jamais subir une telle punition. La douleur me faisait peur. Quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf….. -Je vais te passer l’envie de te faire baiser comme la dernière des salopes. Ton cul va te chauffer demain, en cours. Le vingtième s’abattit,le baillon étouffant un dernier hurlement. Ennia, le visage ravagé, semblait irradier la douleur. Et moi je bandais encore plus fort, fasciné par la scène qui venait de se dérouler sous mes yeux. Caroline posa la cravache et plaqua sa main sur la chatte de sa soumise. – Mais c’est qu’elle mouille cette chienne !!! Je te corrige et toi tu dégoulines. Tu es vraiment une pute en chaleur. Tu ne penses qu’à cela…. La prochaine fois, c’est ta chatte que je vais travailler. Ça te fera peut-être passer l’envie !. Caroline n’avait pas retiré sa main. Et je la devinais aller et venir sur les lèvres d’Ennia. Sans doute avait-elle enfoncé ses doigts pour la branler plus profondément. Je voyais le poignet de Caroline bouger d’un bon rythme, et Ennia gémissait de plus en plus fort. – Hmmmm laisse toi aller ma chienne, tu as bien enduré la cravache, je vais t’accorder une petite récompense express. Tu as 1 minute pour jouir. Pas une seconde de plus. Caroline accéléra encore le rythme de ses doigts. Ennia soufflait, criait à travers son bâillon, et elle jouit rapidement, en un nouveau hurlement. De plaisir cette fois. Son visage, bien que marqué par la correction, rayonnait. Elle semblait totalement ailleurs. Caroline retira sa main et me regarda. – A genoux la lope. Puisque tu aimes tellement le goût de sa chatte, viens nettoyer mes doigts. Je me précipitai aux pieds de Caroline, et pris soin de bien lécher et sucer chacun des doigts qu’elle présentait à ma bouche. -Hmmm c’est que tu aimes vraiment ça dis donc…. Tu as besoin d’un bon dressage. Je vais t’entraîner encore un peu, et je pourrai peut-être louer tes services de lécheur. Tu ferais des passes et tu lécherais des chattes pour me ramener un peu de fric, comme une vraie pute. Peut-être même que tu aimes aussi sucer des queues ? Hein ? Tu as déjà sucé une queue ma petite lope ? -Non Maîtresse Caroline, jamais Maîtresse Caroline. Cela me dégoûte. -Ca te dégoute ?!!! Parce que tu crois que c’est toi qui décides ? Tu te rappelles des vidéos ? Du directeur ? Je ne savais plus ou me mettre. Je sentais que je rougissais, et l’idée même de sucer la queue d’un homme me révulsait vraiment. -Je vous en supplie Maîtresse Caroline, pas ça. Je ne pourrai pas ! La gifle fut immédiate. – Tu parles si je t’autorise, sale pute. Tu suceras des queues si j’en ai envie. Je fais faire de toi une vraie lope, qui réclamera du foutre et des queue dures pour lui défoncer le cul !. Les mots de Caroline m’avaient ramené brutalement à la réalité de ma nouvelle condition. Je n’avais pas d’autre choix que de lui obéir. Même si le jeu allait trop loin à mon goût, elle avait les moyens de me contraindre à ce qu’elle désirait. Si elle voulait que je suce des queues, je ne voyais pas comment j’allais pouvoir y échapper.
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Par : le 11/08/20
– Vous êtes vraiment deux chiennes en chaleur… vous ne pensez qu’à baiser, de vraies putes. Caroline avait troqué son téléphone contre une cravache noire et fine, avec laquelle, elle caressait nonchalamment le divin postérieur d’Ennia, avant de la faire claquer sur sa peau. – Debout sale chienne… tu me dégoûtes, une vraie traînée, tu seras punie pour ta jouissance, tu n’as pas pensé une seule fois à ta Maîtresse quand tu te faisais baiser comme une truie, je l’ai vu. Crois-moi tu vas prendre. TU ES A MOI ET A MOI SEULE, TU NE PENSES QU’A MOI, TU NE JOUIS QUE POUR MOI. Dégage de ma vue, va te laver, tu pues le foutre !. Caroline avait hurlé, visiblement dans une colère noire dont je ne savais si elle était feinte ou non. En tous cas, la trace de la cravache se voyait parfaitement sur la peau blanche du cul d’Ennia. Pour ma part, j’étais toujours allongé par terre, la queue pendante, et je ne me sentais vraiment pas à mon avantage. Je n’avais qu’une envie, me tirer. Mais je me doutais que Caroline avait d’autres projets pour moi. Elle s’approcha et posa directement son pied sur ma queue, appuyant assez pour m’arracher un gémissement, sans réellement me faire mal. -Désormais tu es à moi. Tu as accepté mon offrande, cette pute d’Ennia, donc tu as accepté de devenir mon soumis. C’était le deal. Et j’ai tout filmé, et tout sauvegardé déjà. Je ne te conseille pas d’essayer de te défiler, je ne pense pas que le directeur apprécie de te voir baiser une de tes élèves…. -Caroline, je ne.. -Maîtresse Caroline rectifia t-elle en appuyant un peu plus fort sur ma queue. Tu m’appartiens désormais. Ne l’oublie pas. C’est Maîtresse Caroline chaque fois que tu t’adresses à moi. Et tu ne parles que si tu y as été invité, est-ce que je suis assez claire ma petite lope ? – Oui Maîtresse Caroline, très claire. Je ne savais plus quoi penser. Je vivais ce que j’avais tant désiré, rêvé, fantasmé depuis des années. Mais j’avais peur. Peur de tout ce que cela pouvait bouleverser dans ma vie. Peur de perdre ce que j’avais, mais si tenté par ce que j’avais à gagner, à savoir une somptueuse Maîtresse et la possibilité d’être enfin ce que j’étais au fond de moi, un soumis, un homme désirant obéir et servir sa divinité. Caroline retira son pied, et recula pour s’asseoir dans un fauteuil, face à moi. -Approche la lope. Vous voir baiser comme des porcs ça m’a excitée. Viens, montre moi ce que tu sais faire avec ta langue. J’ai envie de jouir. Et tu as intérêt à t’appliquer. Je ne supporte pas les mauvais lécheurs. Je m’approchai à quatre pattes, les yeux rivés sur la plus sublime vision du monde, le sexe de celle qui était maintenant ma Maîtresse. Lisse, humide, simplement beau. J’aimais profondément lécher une femme, et j’espérais que Caroline aimerait mon savoir-faire. Je commençai doucement à embrasser et donner des petits coups de langue sur le pourtour de sa vulve, mais Caroline empoigna mes cheveux et colla ma bouche sur ses lèvres. – Je t’ai ordonné de me bouffer la chatte petite merde, pas de me déguster du bout des lèvres. Lèche moi, et fais moi jouir. Je lui obéis, faisant de mon mieux pour lécher, enfoncer ma langue le plus profond possible, aspirer son clitoris entre mes lèvres, lécher encore. Elle maintenait sa prise et je n’existais plus que par ma langue. Elle appréciait visiblement mon travail, haletait de plus en plus fort, et m’exhortait à continuer, sans m’arrêter. De sa cravache elle venait de temps en temps claquer mon cul, légèrement, en me traitant de tous les noms. Je sentais son plaisir monter, et je me concentrais sur son clitoris, jusqu’à ce qu’elle jouisse en criant et en m’abreuvant de son nectar. Elle repoussa mon visage, et je restai à genoux, cuisses écartées, mains dans le dos, à la regarder reprendre ses esprits. -Pas trop mal, mais il va falloir que je t’apprenne ce que j’aime. Tu vas devenir un parfait chien lécheur que je pourrai prêter à mes amies. -Merci Maîtresse Caroline. La réponse fut fulgurante. Une gifle sonore et assez douloureuse que je ne vis pas venir. -Je t’ai autorisé à parler sale pute ? Dis moi, t’ai-je demandé une réponse ? T’ai-je demandé de ponctuer ? -Non Maîtresse Caroline. Je vous demande pardon Maîtresse Caroline, cela ne se reproduira plus Maîtresse Caroline. -Tu as vraiment besoin d’être dressé. Je vais prendre mon pied, tu n’as pas idée de ce que je vais t’apprendre ma chienne. Ennia était de retour. Vêtue seulement de bracelets de force, aux chevilles et aux poignets, et d’un collier large et noir. Elle vint se mettre à genoux aux pieds de sa Maîtresse. Caroline se pencha et saisit la pointe d’un sein de sa soumise. -Regarde ma petite lope, regarde bien ma soumise et le résultat de mon dressage. Elle est maintenant capable de la fermer quand il faut. Même pas un gémissement. En disant cela, elle étirait et tordait la pointe entre ses doigts. Je regardais Ennia se raidir, mais elle encaissait. Caroline joua près d’une minute à torturer cette pointe. Le visage d’Ennia se crispait. Je voyais sa mâchoire se serrer, et une larme perler. Elle souffrait, mais en silence. -Tu vois, elle endure, mais elle ferme sa gueule, comme je lui ai appris. Toi aussi tu vas apprendre, apprendre à te taire et à souffrir crois-moi. Sinon tu souffriras encore plus. Il n’y a que comme ça que ça rentre dans la tête des lopes comme toi. En force ! dit-elle en riant. Maintenant, tu vas aller à ton tour te nettoyer. Tu sens la chatte à plein nez. Ma chienne, accompagne le, et veille à bien le laver en profondeur. J’avais l’impression que Caroline avait ponctué ses derniers mots d’un clin d’oeil à Ennia. Je n’en étais pas sûr, mais je n’étais pas tranquille quant à ce qui m’attendait à la salle de bains.
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Par : le 11/08/20
Tu cherchais à devenir soumise, je voulais prendre la position du dominant, c’est ainsi que nous nous sommes rencontrés. Nous avons lentement mais surement intégré nos rôles respectifs. De discussions neutres de prises de connaissance, nous avons lentement glissé vers des discussions BDSM. Plus je parlais avec toi et plus tu me plaisais. Mais pour que la relation à venir, te choisir était loin d’être suffisant. Je te voulais entièrement dévouée et pour cela, je me devais d’attendre que tu me choisisses et que tu décides de ton sort. Pour provoquer ce moment, je paradais afin de faire monter l’envie en toi. Mes mots étaient savamment choisis pour évoquer sans dire. Chaque échange voyait évoluer notre relation dans la direction tant attendue. Après avoir pris le temps d’y réfléchir comme il se doit, tu t’étais décidé, tu voulais être ma soumise. Tu ne savais pas encore totalement tout ce que cela impliquait, mais tu savais que je t’y amènerais progressivement et avec douceur. Cette étape était symboliquement importante, mais en pratique rien n’a changé subitement. Nous continuions à échanger sur nos vies, et je continuais à en apprendre un peu plus sur toi chaque jour. Tu n’avais jamais été soumise, mais je n’avais jamais été maître non plus. Je n’avais pas en tête de te laisser beaucoup de liberté pour nos rencontres à venir, il me fallait donc te connaître au mieux pour savoir satisfaire tes envies et tes besoins. Après quelque temps à discuter par messages, nous commencions à bien nous connaître. Tu avais glissé dans une conversation la possibilité de nous rencontrer. Cette rencontre à venir nous l’avions déjà évoquée, mais jusqu’à maintenant il était encore trop tôt. Aujourd’hui il était temps de franchir ce cap. Nous étions tout deux disponibles le weekend prochain, ce qui fixa la date simplement, la grande question était où ? Je voulais que tu te se sentes confortable pour ta première soumission et je te laissais donc le choix. Tu me proposas de m’accueillir chez toi. J’étais surpris de la confiance que tu me portais, mais je savais que notre communication t’avait rassurée. Cette première rencontre allait donc enfin avoir lieu. J’étais mélangé entre une grande euphorie et la pression de cette première fois. Je défilais tout ce que j’allais pouvoir faire dès vendredi puis me concentrait sur ce qui était raisonnable. Je voulais que tu saches que j’étais aussi bien là pour t’utiliser que pour te protéger. Ce vendredi nous avions encore discuté pendant la journée et avions fixé les derniers préparatifs. À 18h30, tu te mis donc en place comme convenu. Dans le salon, à genoux, les mains derrière le dos et les yeux bandés. Tu avais laissé la porte ouverte pour que je puisse entrer quand je voulais. Tu savais que tu allais devoir attendre, car je n’arriverais pas avant 19h. Je n’avais aucun doute sur le fait que tes pensées fusaient, et cette demi-heure d’attente était là pour cela. Avais-tu raison de te lancer dans cette entreprise ? Allais-tu faire marche arrière ? Toutes ces questions se posaient, mais je t’avais rassuré sur un point, c’est que je te respecterais aussi bien pour la soumise que tu t’apprêtes à être que pour la femme que tu es. La porte s’ouvrit et ces questions s’effacèrent rapidement pour se concentrer sur mes mouvements. Qu’avais-je prévu pour toi ? Tu allais bientôt le découvrir.
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Par : le 09/08/20
Patricia n'avait pas très mal; chaque cinglement amenait seulement un sursaut, une contraction de ses muscles fessiers, mais peu à peu, une douce chaleur irradia sa croupe, se propageant à son vagin. Une torsion des cuisses et de ses hanches donnait au corps un balancement lascif. De la bouche de la suppliciée sortirent de longs soupirs, entrecoupés de sanglots. Sarah, excitée, commença à frapper plus fort par le travers et les gémissements furent plus profonds. En même temps qu'elle entendait un sifflement, elle sentit une atroce brûlure sur les cuisses et hurla. Elle la flagella à toute volée sans attendre qu'elle se tût, et recommença cinq fois, en prenant soin de cingler chaque fois, ou plus haut ou plus bas que la fois précédente, pour que les traces fussent quadrillées. Patricia crispa ses poignets dans les liens qui lui déchiraient la chair, le sang monta à sa tête. Alors Sarah s'accroupit près des épaules de Patricia et lui caressa le visage, penchée sur elle, lui donnant de longs baisers qui grisèrent la soumise éplorée. Mais elle recommença, frappant plus fort, les fines lanières s'écrasèrent dans un bruit mat sur la pointe des seins. Patricia laissa couler quelques larmes. Alors Sarah arrêta de la flageller. Elle ne la détacha pas de ses liens, mais la laissa ainsi exposée, le reste de la soirée, deux longues heures, cuisses ouvertes et relevées sur le lit. Elle ne cessa de souhaiter refermer ses jambes. Penchée sur le ventre offert de sa soumise, Sarah posa ses lèvres frémissantes sur le sexe humide et ardent, la faisant sombrer dans une indicible félicité, tandis que de sa bouche s'échappait la plainte d'amour, des gémissements étouffés de la chair humide et palpitante, elle céda à la jouissance. Sarah dut maintenir ses hanches à deux mains, tant les sursauts du spasme furent violents et ininterrompus. Elle se consuma; sans doute, ce ne fut pas là seulement la sensation du plaisir mais la réalité même. Penchée au-dessus d'elle, Sarah tenait à la main une bougie. D'un geste lent, le bougeoir doré s'inclina sur sa peau, la cire brûlante perla ses seins en cloques blanchâtres et incandescentes. Son martyre devint délicieux. Le fantasme d'être brûler vive augmenta son excitation. Elle perdit la notion du temps et de la douleur. Elle aimait l'idée du supplice, lorsqu'elle le subissait elle aurait trahi le lien qui l'unissait à Sarah pour y échapper, quand il était terminé elle était heureuse de l'avoir subi d'autant plus épanouie qu'il avait été plus long et plus cruel. Sa Maîtresse ne s'était pas trompée à l'acquiescement ni à sa révolte, et savait parfaitement que son merci n'était pas dérisoire. Patricia ne se lassait de sentir le satin de ses caresses, de haut en bas et de bas en haut. C'était toujours comme pour la première fois qu'elle éprouvait le bonheur dans la forme la plus belle de la soumission, celle de l'abnégation. De la souffrance qu'elle aimait subir, elle n'en éprouvait aucune honte. Se laisser fouetter, s'offrir à des inconnues, être toujours accessible, aimable et nue. Elle ne se plaignait jamais. Pour l'amour qui faisait battre son cœur, on ne la forçait jamais. On était fâché contre elle parce qu'on ne lui connaissait pas de rébellion. C'était de la discrétion. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 08/08/20
Sur ce canapé de cuir, la main de Caroline, mon étudiante dominatrice, sur ma cuisse, Ennia face à moi, j’étais simplement tétanisé. Je ne pouvais détacher mon regard de la créature sexuelle qui s’exhibait face à moi. Je ne pouvais pas non plus ignorer la main de la plus excitante de mes étudiantes remontant vers ma queue déjà tendue. Ma réflexion était anesthésiée par l’afflux massif d’hormones, de fantasmes, d’interdits entre un professeur et ses élèves… La bouche de Caroline s’était rapprochée de mon oreille et c’est sa voix qui me ramena parmi elles : – Je te vois la regarder, depuis le début de l’année. Je sais qu’elle t’excite, et tu dois sûrement te branler en l’imaginant. Cette petite chienne est ma soumise, depuis 6 mois. Elle m’appartient. Je te l’offre. A une condition. J’avais retrouvé un semblant de réflexion et je savais que si j’avais encore une chance de partir, c’était maintenant. Si je ne voulais pas mettre ma carrière de professeur en danger, et sans doute mon couple et ma famille, je devais me lever et partir. Maintenant. -Laquelle ? m’entendis-je répondre. Je te l’offre si tu t’offres à moi. Elle t’excite mais moi, c’est toi qui m’excite. Je te veux. Tu vas devenir ma pute mâle, mon soumis, mon objet sexuel. Je suis une Dominatrice, et je te veux. Je ne pense qu’à cela depuis que je t’ai vu. Je veux te dresser et je vais te dresser. Sa main était remontée se poser sur ma queue, accentuant si il en était encore besoin mon érection. Caroline affermit sa prise, serrant plus fort à travers mon pantalon de costume. Cette divine manipulatrice me masturbait, très lentement, alors que mon regard ne quittait pas Ennia des yeux. – Ma chienne, excite le un peu… montre lui ce que tu as à lui offrir…. fais moi honneur ma petite pute, allez !. Ennia obéissait sans rechigner. Elle avait fait glisser sa jupe à ses pieds, apparaissant en dim-up, sexe nu, avec son petit haut transparent qui ne cachait rien de ses seins. Elle commença à onduler en se rapprochant. Une danse qui me fascinait et me faisait bander plus fort sous les doigts de Caroline. -Allez ma pute…. caresse toi pour ton professeur. Montre lui que tu es une vraie chienne en chaleur. Ennia faisait glisser ses mains sur son corps. Pinçant et étirant ses pointes à travers le voile, caressant ses lèvres, cuisses écartées, se tournant pour prendre ses globes à pleines mains, les écarter et m’offrir une vue directe sur son sillon, son oeillet mauve et sa chatte que je devinais trempée. Caroline avait extrait ma queue de mon pantalon et je sentais ses doigts chaud me serrer, de plus en plus fort, ce qui me fit gémir. J’aimais ça. Elle devait l’avoir deviné, je ne voyais pas d’autre explication. Elle devait savoir que je ne protesterais pas, que je resterais, que je me soumettrais parce que je rêvais de cela. Ennia serait le cadeau qui scellerait le pacte, mon pacte avec une diablesse. Oui, elle l’avait certainement senti, et je me foutais de savoir par quel super pouvoir elle m’avait eu. J’étais un homme, et avec ma queue bandée entre ses doigts, elle me dirigeait. Je percevais toute ma misérable condition de mâle dominé par ses pulsions, par son envie de sexe, par sa queue. Un pauvre mâle qui ne pensait qu’à cela, le cul, les culs. Un mâle qui ne pensait qu’à baiser. Elle allait devenir ma drogue et ma dealeuse. Elle l’était déjà du reste, et elle le savait. Je fixais les doigt d’Ennia qui branlaient sa chatte et j’entendis à peine la voix de Caroline lui ordonner d’approcher et de les porter à ma bouche. – Goûte sa chatte, lèche son miel. Tu vois comme elle est déjà trempée…. tu vas la baiser, pas tous les trous. Tu vas l’enculer, baiser sa chatte, tu vas la bouffer, la sucer, et vas enfoncer ta queue dans sa bouche… tu vas voir comme elle suce bien, une vraie pro. Tu vas jouir comme un dingue. Après cela, tu seras à moi, et ton dressage commencera. Ta queue de mâle en rut sera à moi, et elle ne jouira plus que quand je t’en donnerai l’autorisation. Ennia continue à te branler, ne t’arrête pas, il a adore ça. Nous on va adorer quand il devra se branler pour nous. Ennia est ma chienne, mais c’est une femme. Quand toi tu seras ma chose, ma pute mâle, elle deviendra aussi ta Maitresse. Bien que soumise, elle est supérieure à tous les mâles, tous ces chiens qui ne pensent qu’avec leur queue, comme toi. Sa voix était devenue dure. Elle serraient plus fort ses doigts sur ma queue et je commençais à souffrir sérieusement. J’apprendrais plus tard que cette douleur n’était rien, et que je connaîtrais bien pire. Mais pour l’heure, j’avais mal, mais j’aimais ça et elle le savait. Caroline me fit me lever en me tirant par la queue. – Déshabille toi…. et baise cette pute, baise la autant que tu veux, elle est à toi, tant que je l’ordonne. Je ne réfléchissais plus. Pilote automatique. Désir de baiser. Chatte, cul, seins, son goût sur ma langue, l’odeur de sa liqueur, sa langue dans ma bouche, la mienne dans sa chatte, entre ses fesses sur son anneau, ma queue dans sa bouche, dans son cul, ses doigts dans le mien, ses seins sous mes mains, sa bouche soudée à la mienne pendant que je m’enfonçe dans son ventre. Je suis une machine, une queue, plus rien qu’une queue qui baise, s’enfonce, ressort s’enfonce encore et ailleurs. Frénésie, folie sexuelle. Ennia me semble atteinte elle aussi. Nous ne sommes que cris, gémissements, mots crus, peaux luisantes de sueur, bras et jambes emmêlées, langues sorties, insatiables. Je remarque à peine Caroline qui tourne autour de nous, son téléphone à la main. Je m’en fous, je me fous de tout sauf de la chatte d’Ennia qui vient s’écraser sur ma bouche. Je la bouffe encore et encore et elle me suce encore et encore. Nous jouissons à nouveau dans ce dernier 69 qui nous laisse morts, repus de sexe et de plaisir. Nous reprenons notre souffle lentement, Caroline nous mitraillant toujours de son objectif. Je la regarde, conscient de ce qui vient de se jouer, mais comme détaché, fataliste. J’ai perdu, elle a gagné. Je n’ai été qu’un mâle faible, dominé par sa queue, comme je l’ai toujours été. Je pourrais encore me relever, lui arracher son téléphone et partir. J’en ai peut-être la force, mais plus la volonté. Ses images ne lui serviront à rien. Elle n’en aura pas besoin pour me faire chanter. Je veux être à elle, je veux être dressé, devenir sa pute, sa chienne. Elle m’a confronté à mon désir profond, à mon fantasme absolu. Je sais en cet instant que je n’aurai jamais qu’une Maîtresse, et que ce sera Caroline. Maîtresse Caroline, mon étudiante dominatrice.
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Par : le 08/08/20
Avant-propos: Ce récit est celui d’une naissance, d’un apprentissage, d’un dressage mais aussi celui d’une descente aux enfers pour connaître le paradis. Puissent ces mots faire voyager votre imaginaire, puissent-ils vous exciter, que vous soyez Maîtresse ou soumis. Vécu ou fantasme, vous choisirez. Chapitre 1 Cela faisait maintenant deux mois que, chaque semaine, je gagnais la capitale pour 2 jours. Deux mois que j’avais enfilé mon costume de professeur au sein de l’Ecole Supérieure de Journalisme et que j’enseignais, ou plutôt tentais d’enseigner à mes élèves l’art du commentaire sur image. Deux mois que j’essayais aussi de les déformater, d’ôter de leurs esprits jeunes et déjà si conformistes ces clichés et certitudes qui font de notre profession une des plus détestées du grand public. J’étais moi-même journaliste, issu de cette école, et j’avais retrouvé avec plaisir ce quartier du XIIIème, Tolbiac et cette Asie parisienne qui m’avait fait si souvent voyager vers un ailleurs plus fantasmé que réel. J’avais en charge deux classes, que je voyais chacune 3 heures par semaine. 30 élèves par classe, une majorité de jeunes filles qui rêvaient pour la plupart de marcher dans les pas de Claire Chazal. Quelques élèves brillants, une majorité qui ne deviendrait jamais de bons journalistes, et quelques uns qui arrêteraient sans doute en cours d’année. Deux mois avaient été suffisants pour avoir mes préférences. Ma préférée aussi. Caroline. Brune au teint mat, pas la plus belle, mais celle qui dégageait le plus d’énergie, la seule dont j’avais du mal à soutenir le regard. Un regard dur, brûlant, qui semblait me sonder, plonger en moi pour mettre au jour mes secrets les plus inavouables. C’était aussi, à mon sens, la plus brillante, sachant écrire et raconter, captiver par ses mots toujours justes. Caroline avait son acolyte, Ennia. Sa colocataire d’après ce que je savais. Rousse au corps de rêve et au minois d’actrice porno un brin vulgaire, qui venait souvent peupler mes masturbations solitaires, le soir, dans ma chambre d’hôtel lorsque je l’avais eue en cours l’après-midi. Leur duo, assis au second rang, me faisait fantasmer. Et je les imaginais dans les tenues les plus sensuelles. Le plus souvent, elles finissaient vêtues de cuir ou de latex, et je jouissais alors qu’elles faisaient de moi, professeur soumis, leur esclave sexuel lors de face-sitting très humides. Mais cela n’était que rêve, et du haut de mes 40 ans, je savais n’avoir aucune chance, malgré ma belle gueule et mon look « petit journal », de les avoir un jour dans mon lit et de pouvoir les honorer de ma langue. Après mes cours, je rejoignais un café-restaurant où j’avais autrefois mes habitudes. Je me posais une heure ou deux pour y lire ou appeler ma famille avant de rejoindre mon hôtel. Cette routine dura jusqu’à la mi-décembre, jusqu’à ce jeudi où ma vie bascula dans un monde que je croyais jusqu’alors inaccessible. J’avais achevé 3 heures de cours plutôt intenses à disserter sur la liberté des médias en France, puis discuté longuement avec le directeur, un vieil ami, et j’avais gagné, sous une pluie battante, mon café préféré. -Monsieur, vous pouvez vous asseoir avec nous si vous voulez. C’est Ennia qui avait parlé, Caroline se contentant de me sonder du regard, comme à son habitude, affichant un petit air narquois. -Vous êtes trempé on dirait. Je bredouillais un vague merci, et prenais place sur la banquette, à côté d’Ennia, juste en face de Caroline. J’étais un homme sûr de moi. Séducteur invétéré, j’aimais les femmes et cela se voyait m’avait-on souvent dit. Mais là, je me sentais presque mal à l’aise, ou plutôt intimidé. Les deux jeunes filles avaient visiblement commencé à travailler sur le devoir que je leur avais donné pour la semaine suivante. Le grand sac de Caroline, posé sur la table, vomissait feuilles de cours et stylo, et un livre à la couverture grise que je remarquais immédiatement : « Scéances ». Un titre d’une belle écriture rouge sang, au dessus d’un fouet de cuir noir. J’avais sans doute bloqué quelques secondes de trop sur la couverture et lorsque je croisai le regard de Caroline, celui-ci se fit plus intense, et son sourire très particulier. Pour masquer mon trouble, je leur proposai de renouveler leurs consommations et me levai pour aller commander au bar. Je ne pensais plus qu’à une seule chose, la couverture de ce livre dépassant de son sac, ce titre évocateur et ce fouet. Avais-je mal vu ? Je n’étais plus sûr de rien. Et je redoutais mon retour à leur table, me demandant comment j’allais bien pouvoir dissimuler mon trouble. Ennia vînt à mon secours, involontairement, en se faisant la plus bavarde, m’interrogeant sur le métier, les débouchés, la difficulté de trouver un stage. Caroline était moins loquace, mais elle me scrutait, et à chaque fois que je croisais son regard, elle affichait toujours le même sourire. Et ce sourire ne disait qu’une chose : je sais ce que tu as vu. La nuit tombait déjà bien que l’horloge n’afficha que 17 heures, et je songeais à prendre congé de ces demoiselles. Sans doute pour échapper au regard inquisiteur de Caroline, qui me troublait de plus en plus. Mais avant que je n’ouvre la bouche, Caroline planta son regard dans le mien. – Nous habitons juste à côté, venez prendre un verre, nous pourrons continuer cette conversation et j’aimerais vous montrer l’article sur lequel je travaille, vous savez, l’enquête que vous nous avez imposée pour la rentrée. Une invitation qui ne souffrait aucun refus, refus dont j’étais d’ailleurs incapable. – Avec plaisir, je vous suis. Elles habitaient effectivement à quelques minutes. Elles étaient bien colocataires d’un appartement assez spacieux, au 5ème étage d’une des tours de l’avenue de Choisy. Un appartement meublé avec goût, teintes sombres, tapis, bougies un peu partout. – Mettez-vous à l’aise, je vais chercher quelque chose à boire. Ennia prenait visiblement les choses en mains, jouant les maîtresses de maison accomplies, pendant que Caroline s’installait dans le canapé. Ennia revînt rapidement avec les boissons et Caroline l’apostropha, d’une voix que je trouvai assez dure : -allume les bougies, et vas te changer. Je ne montrais rien de ma surprise, mais mon trouble se fit plus intense. D’ordinaire volubile, je gardai le silence. Caroline tapota le canapé à côté d’elle : – Venez vous asseoir ici, je vais vous montrer ce que j’ai déjà écrit pour l’enquête. Ma respiration s’était accélérée lorsque je pris place à côté d’elle. Elle colla immédiatement sa cuisse contre la mienne, en étalant ses feuilles. -Lisez, et vous me direz ce que vous en pensez. Je me plongeai dans la lecture, trop content d’avoir de quoi distraire mes pensées qui divaguaient du côté de mes fantasmes secrets. La lecture me prit quelques minutes. Je sentais toujours la cuisse de Caroline contre moi, mais cela n’avait pas l’air de la gêner, elle. – C’est, disons, un très bon début. Mais il y a des passages qu’il faudrait retravailler. Ce n’est pas assez argumenté et vous vous embrouillez un peu dans votre démonstration. Il vous manque un fil conducteur….. Le regard de Caroline ne cachait pas sa contrariété, et je me sentis presque mal à l’aise. J’avais été professionnel, honnête, et je craignais d’avoir été un peu trop dur. Le retour d’Ennia au salon me stoppa net dans mes réflexions. Elle avait troqué son jean contre une juppe noire, ultra courte, qui laissait apparaître des dim-up. Talons aiguilles à ses pieds, haut noir quasi transparent, sans soutien-gorge, ses cheveux réunis en une longue tresse rousse. J’en restai sans voix, fasciné par sa beauté, et l’érotisme qu’elle dégageait. -Je… euh….. je vais peut-être vous laisser. Je dois travailler sur mon cours de demain et il se fait tard dis-je sans quitter des yeux la déesse sexuelle qui venait de faire son apparition. -Tu devrais rester répliqua Caroline, en posant sa main sur ma cuisse. Ma petite chienne s’est faite belle pour toi.
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Par : le 07/08/20
Le sergent "chef" Ramirez est de retour dans mon harem après sa location échange contre Gina. J'aime ce moment où une soumise revient, où elle regarde de biais son Maître, où elle interroge de ses yeux humides. C'est le moment où elle comprend le mieux sa condition de soumise. Le sergent Chef Ramirez est ma propriété et j'en joui à ma guise, selon mon bon plaisir. Elle n'a rien à dire, juste obéir, et elle ne dit rien. Depuis la dernière extinction massive sur Terre, les choses sont devenues très simples. Sans une intervention extérieure, il n'y aurait eu aucun survivant. Les humanoïdes, ils nous ressemblent beaucoup, qui sont venus à notre secours ont procédé à l'élimination directe de 99, 999% de l'humanité et ils ont tout recyclé dans le soleil. Ils n'ont gardé que 144 000 âmes et offert l'immortalité, les corps qui restent en parfaite santé plus de 800 ans, sans vieillir et que l'on change comme on change de véhicule. Ils ont séparés les hommes, en propriétaires et dominants, et les femmes, en propriétés et soumises, dans des proportions de un pour quatre ou un pour douze. Aucune homosexualité même entre femelles, justes des caresses et autres mais pas d'homosexualité ou bisexualité déclarée. Les hommes ont tous les droits, les femmes obéissent et servent leurs doms respectifs. C'est hiérarchisé entre doms, il existe des commandeurs et tout en haut un commandeur suprême. Aucune démocratie, c'est pyramidal et très organisé, chacun sait ce qu'il doit faire et où est sa place. Le sergent chef Ramirez me regarde en biais et retourne à sa place dans mon Harem. Ce soir c'est le major Shirley qui partage ma couche, c'est son tour. L'Agamemnon est dirigé par un Commandeur de classe D, le commandeur suprême est le seul classe A. En tant que militaire c'est moi qui dirige toute la petite mission humaine sur Monstra. Les autres doms me doivent obéissance, mais tout se passe très bien. De toute façon, nous intervenons le moins possible, nous sommes plus des observateurs et des analystes qu'autre chose. Le rôle des militaires est de protéger les scientifiques et de les assister. Le Commandeur de l'Agamemnon est très intéressé par les "exploits" du sergent chef Ramirez. Il propose de nous rendre visite dans quelques mois pour se rendre compte par lui même. -Sergent Chef Ramirez, je vous dégage de vos missions de protection des scientifiques. Le Commandeur souhaite que vous poursuivez vos contact avec les Monstriens. Il va venir se rendre compte par lui même. -Je peux prendre des initiatives, faire à mon idée, mon Maître ? -Oui et si vous avez des besoins, je vous invite à les formuler. Un magnifique sourire éclabousse le visage du sergent Chef Ramiez, ses yeux pétillent de malice. Elle me fait une révérence et s'éloigne. Elle a une idée en tête c'est sûr. Je la connais par cœur et je sais qu'elle va nous faire une jolie surprise. Le Major Shirley se pointe. Avec ses seins pointés en avant et ses jambes écartées, elle a envie de se faire troncher et pue le sexe. Elle se déshabille et c'est nue qu'elle m'amène vers les bains. Nous nous sommes rendu la vie la plus agréable possible sur notre base de Khe Sanh. Shirley me masse le dos et les épaules. Elle me lave, me frotte, me bichonne. Nous allons boire un verre dans une serre vitrée au dessus des brumes de Monstra. Le soleil,de ce monde sauvage se couche et plonge dans les brumes grises et or. Je suis en érection. Shirley s'empale sur mon membre et commence ses succions avec son vagin très tonique et étroit.. Elle ruisselle de plaisir et parfois se tétanise...un orgasme qui passe. Elle peut jouir longtemps et je ne suis pas pressé. Je lui caresse ses seins magnifiques. Elle m'embrasse, m'offre sa bouche et sa langue. Elle se donne de plus en plus profond, je résiste à l'envie d'exploser. Il fait nuit à présent. On entend au loin les rugissements des énormes prédateurs de Monstra. Ils aiment sortir la nuit pour boire et chasser. Je n'en peux plus, je hurle à mon tour et je tapisse le fond de la chatte de Shirley de mon sperme. Je donne tout. Elle m'embrasse, s'allonge sur moi, se love. Je m'endors en paix. Encore une superbe journée sur Monstra.. Ma vie de pacha avec mes douze superbes femelles, c'est le paradis. C'est le cri strident d'un énorme prédateur qui m'a réveillé. Un qui vient sans doute de se choper une belle proie. Le major Shirley dort pasiblement. Elle est divinement belle. Son cul est invitation. L'erection est là, puissante, impérieuse. Je la retourne m'allonge sur elle et pousse de toute mes forces avec mon pieu en avant. Mes douze femmes sont toutes des sportives de très haut niveau, des expertes en arts martiaux, elles ne sont pas pénétrables comme cela et j'adore cette sensation incroyable lorsque cela cède et s'ouvre devant mon pénis victorieux. C'est incroyablement jouissif. Shirley pousse un petit cri et je l'empale d'un coup. J'adore sodomiser mes femelles et bien leur claquer les fesses. J'empoigne la chatte poilue de Shirley et enfonce un doigt pendant que mon pénis lui défonce le cul. Elle part en fontaine de plaisir. Mais je me retiens et me retire. J'appelle un robot domestique et je lui ordonne d'attacher Shirley à un arbre dans la serre, suspendue, chatte et cul bien ouverts. Le robot domestique s'exécute et voilà Shirley qui pend sous son arbre. Elle adore cela. Elle aime méditer ainsi. Je consulte mon bip bip à femelles, c'est une intelligence artificielle qui calcule qui doit être la suivante. Bien sûr je peux choisir qui je veux. Mais le bip bip c'est pour ne léser personne. Mes femelles ont droit à une forme d'équité. Tiens le bip bip appele le lieutenant Asthon qui arrive dans un grand tea shirt de nuit. Elle est ravissante et elle se caresse la chatte. Elle a une forte envie de se faire sauter par son Maitre. -position 22 Asthon s'exécute et s'offre. Je la pénètre sauvagement. Elle pousse un cri qui fait trembler la serre. Un message pour les grands fauves et prédateurs qui rodent autour de la base. Le message d'une bonne femelle qui se fait bien troncher et qui le fait savoir.
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Par : le 07/08/20
Les mains de Juliette lui prodiguent des caresses d'une douceur infinie. Elle accueille d'abord passivement le baiser de son amie, avant de s'abandonner pour de bon et de lui rendre fougueusement la pareille. Juliette faufile une main entre les fesses de Charlotte, puis son index suit la fente de sa vulve. Profitant de la réceptivité de son amie, Juliette le pousse à l'intérieur, où elle découvre son sexe ouvert et humide. Ses cuisses sont moites et ses fesses, très chaudes. Le corps de son amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D’une brusque contraction, elle comprend que sa belle jouit. Les spasmes qui enferment ses doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle n’est plus que frissons. Elle vibre. Elle gémit. Elle râle. Elle crie. C’est beau, une femme s’abandonnant à l’orgasme. Après un instant de calme, ses convulsions reviennent avec plus de force. La respiration de Charlotte se bloque. L’air de ses poumons est expulsé dans un long cri de plaisir. Un silence s’est fait dans la pièce. Contraste saisissant avec les sons de nos ébats. Ce calme est reposant. On est bien, dans les bras l’une de l’autre. Le réverbère éclaire légèrement la chambre. Une pénombre agréable noie la pièce et je devine plus que je ne vois le visage de Charlotte. Et, bercées par les caresses douces et régulières, le sommeil a fini par nous saisir. Bientôt, je me réveille. J’ai soif. Je me décolle du corps de mon amante de la nuit en tentant de ne pas la réveiller. Je reste quelques instants appuyée contre le chambranle de la porte. Je regarde sa silhouette, seulement éclairée maintenant par le halo de la lune qui éclaire faiblement la chambre au travers des volets. Elle est belle. Plus grande que moi, plus musclée aussi. Ses courts cheveux bruns lui donne un air androgyne irrésitible; j’entends son souffle. Son corps bronzé s’étale lascivement sur le drap blanc. Je souris en m’écartant de la porte pour gagner la cuisine. Il fait assez clair dans la petite pièce pour que je puisse me servir d’eau sans allumer la lumière. Je n’ai pas envie que les néons brisent la quiétude de la nuit. J’ouvre deux placards avant de me saisir d'un verre. J’ouvre le robinet et me sers un grand verre. Je sursaute. Un corps chaud se colle au mien. Des bras se nouent sous ma poitrine. Ses lèvres se posent contre ma jugulaire. Je ne peux m’empêcher de frissonner. Sa bouche est si douce. Je pose le verre au fond de l’évier et m’appuie sur elle, en murmurant: - Je connais ton corps, mais je ne connais rien de toi. Je la sens rire gaiement alors qu’elle pose son front contre mon épaule et que ses mains descendent contre mon pubis. - Tu apprendras à me connaître. Je frémis sous ses doigts. Je ferme les yeux. Mes doigts, au dessus de ma tête, se perdent dans les cheveux bruns de mon amante. Les siens s’égarent dans ma fente encore moite et ouverte de nos plaisirs de la nuit. Humide, je le suis. Son souffle dans mon cou, ses mains sous mes seins, je frémis de ses caresses. Charlotte me retourne dans ses bras. Elle se colle contre moi. Son corps est chaud et doux. Je tends mes lèvres en fermant les yeux. Sa bouche se pose sur la mienne dans un baiser plein de tendresse. Elle pose ses lèvres à de multiples reprises juste au dessus de ma bouche et sourit de mon agacement quand je veux les capturer. Elle retire son visage quand je cherche à établir un contact. Un affectueux sourire se dessine sur sa figure. - Tu es toujours trop pressée. Mes mains jusqu’alors posées sagement sur ses fesses attrapent ses joues qui me fuient. Nos langues se nouent. Sans hâte, mais dans une fièvre conviction. Je pose mes bras sur ses épaules. L’attire encore plus contre moi. Ma langue se fait plus fougueuse. On s’écarte à regret mais à bout de souffle. - J’ai raison d’être pressée ! Tu n’aimes pas mes baisers ? Son rire mélodieux me répond. Je fixe ses yeux. Un nouvel éclat transparait dans son regard sombre. Elle frémit dans mes bras. J'y vois du désir, de l’excitation, de l’appétit. Je devine dans son regard une soif inépanchable de plaisir et de passion. Son bras me décolle de l’évier. Elle me soulève pour me poser sur la table de cuisine. J’écarte les cuisses. Elle s'insère entre elles. Le haut de ses jambes frotte contre mon sexe ouvert. Un doux baiser sur mes lèvres et bientôt elle s’agenouille. Sa bouche est à la hauteur de ma vulve. Je suis trempée. Je la regarde. Elle est belle, comme cela. Cette vision m’électrise. D’un souffle, elle me fait me cambrer. Sa langue sort lentement de sa bouche et commence à me lécher. Charlotte écarte mes nymphes de ses lèvres. Ses légers coups de langues remontent vers mon clitoris déjà tendu. Elle tourne autour, sans jamais le toucher. Redescend vers mon sexe moite qui implore une pénétration. Je sens les contractions désordonnées. Sa langue me pénètre. Elle fouille mon intimité docile. Elle lèche l’intérieur de mon vagin. Je rejette la tête en arrière. Un gémissement de plaisir passe mes lèvres ouvertes, elles aussi. Son organe lingual remonte vers mon clitoris. Il est dur et elle le lape, l'aspire, le pince et le mordille. D’un geste saccadé, je maintiens sa tête entre mes cuisses. Je gémis. Mon bas ventre s'enflamme. Je geins. Une longue plainte m’échappe. Le bonheur m’empêche de respirer. Je lance mon ventre contre sa bouche. Je me déchaîne. Deux doigts me pénètrent profondément. C’en est trop. Je pousse un dernier cri avant d’être prise de tremblements. Chavirée de secousses, je jouis. Elle se relève, alors que son index et son majeur continuent à me fouiller. Elle me soutient le dos en passant un bras derrière mes épaules. Ses doigts en moi ont trouvé mon point G. M'amollissant avant de partir dans de longs soubresauts, je m'abandonne en giclant dans un orgasme parcourant mon corps tendu. Quand je rouvre les yeux, je suis allongée dans le lit de ma fabuleuse amante. Ses yeux brillants dans la nuit me fixent. Je l’enjambe, mon corps encore lourd de l’abandon s’écrase contre le sien. Nos lèvres se joignent encore. Son ventre et ses abdominaux que j’avais deviné au premier regard. Ma bouche s’écarte, je m’en vais agacer le bas de sa côte droite. Mes mains lâchent ses adorables seins pour découvrir ses flancs. Ma bouche découvre pour la seconde fois de la nuit ce sexe épilé, ce clitoris érigé et le goût si particulier de cette cyprine. Je donne un bref coup de langue sur ce bouton tendu qui fait frémir mon amante et poursuit mon inlassable descente. Le vagin qui a avalé une partie de ma main tout à l’heure m’appelle de nouveau. Je le pénètre, de ma langue, de mes doigts, suivant la respiration de Charlotte. Elle gémit, se tend, vibre. Je quitte ce lieu humide pour continuer la voie des délicieuses découvertes, non sans laisser mon index au chaud. Je lèche avidement le périnée. Je touche enfin mon but: le petit orifice entre ses fesses musclées. Je la bascule sur le ventre en écartant son genou pour pouvoir lui dispenser ma caresse buccale. Je lèche consciencieusement, passe sur l’anus qui se détend peu à peu, tourne, contourne et retourne. Mon doigt pénètre toujours plus profondément son intimité. Mon plaisir me guide entre ses reins, dans la vallée chaude de ses fesses, à l'entrée de l'étroit pertuis; elle se cambre pour aller à la rencontre de mes doigts inquisiteurs. Je souris aux encouragements de ma belle et fais tournoyer ma langue sur les pourtours de son anus pénétré. Quand je la sens complètement détendue, un second doigt entre en elle. Elle se redresse et se cambre encore plus en émettant une longue plainte. À genoux devant moi, soumise et débauchée. Le spectacle est beau et jouissif. Elle s'offre à moi. Le corps de mon amante trésaille, ses grognements sont sourds, sa tête totalement rejetée en arrière. D'une brusque contraction, je comprends qu'elle jouit. Les spasmes qui enferment mes doigts en elle se font plus forts et désordonnés. Elle crie. Elle n’est plus que frissons. Je continue mes mouvements de va-et-vient pour que perdure sa jouissance anale. Après tant de jouissances, nos esprits sont brumeux. Sa main douce contre mon flanc, mes lèvres contre les siennes. Des jolis moments tendres en attendant le sommeil, de nouveau. Réveillée, elle se lève, m’embrasse tendrement et m’entraine vers la salle de bain. Elle m’enlace en me faisant rentrer dans la douche. L’eau chaude coule sur nos corps amoureux. Rapidement, la buée envahit la petite pièce. La proximité que nous impose l’étroitesse de la douche est mise à profit. Mes mains redécouvrent ce corps magnifique. Sa bouche aspire mes seins tendus. Ses doigts agacent mon clitoris. De lents mouvements en douces caresses, je suis surprise par la jouissance qui me saisit. Je me retiens à elle, me sentant vacillante. Je dépose un baiser au creux de ses reins avant de me relever. D’une pression sur son épaule, Charlotte se retourne. Je prends du gel douche et poursuit amoureusement mon massage. L'intérieur de ses cuisses, ses fesses et le pourtour de son anus; je masse la zone sous les seins, si érogène. Je saisis sa poitrine, frictionne et agace les pointes. Elle gémit sous la caresse. Je souris. Je pose mes genoux contre la faïence du bac de douche. Je suis juste à la hauteur de son sexe qui semble toujours aussi demandeur. Mes mains jouent avec ses abdos et son pubis lisse. Je m’égare sur l’aine, j’embrasse le clitoris qui dépasse de ses lèvres. Elle s’appuie contre le mur. Ma langue écarte ses petites lèvres, guidée par les mouvements de bassin, j’amène mon amante à la jouissance. Je me relève pour l’embrasser tendrement. Une bien belle nuit, en somme. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 04/08/20
L'équipe des scientifiques vient de débarquer sur Monstra, Base de Khe Sanh, perdue au dessus des brumes poisseuses et des cris terrifiants des monstres des plaines, vallées et noirs marécages. Monstra est une planète qui regorge de vie et donc de prédateurs. Les "monstriens", de grosses crevettes d'un mètre quatre vingt de haut, sont l'espèce la plus intelligente et évoluée de ce monde inhospitalier. Avec un QI qui ne dépasse pas le cent, nos crevettes savent néanmoins, écrire quelques mots, compter, et faire du feu. La vie est facile sur monstra où il suffit de se baisser pour cueillir des baies délicieuses et ou le gibier abonde. Les Monstriens sont peu nombreux car les monstres terrifiants des brumes adorent croquer des crevettes. Pour se défendre, ils savent fabriquer des outres remplies de naphte qu'ils enflamment et jettent sur les prédateurs qui même s'ils font plus de quarante mètres de haut pour certains détalent vite par peur du feu. Gina est à la tête d'une équipe de scientifiques sous les ordres d'un Maître. C'est ainsi, un homme dom pour douze femelles soumises qui adorent se faire sauter. Nous avons fait simple et efficace pour l'humanité terrestre. 144000 éternels, car nous avons trouvé la combine pour être éternels et donc environ douze mille hommes dom. Il nous arrive de nous échanger les soumises entre dom. Celles ci n'ont rien à dire. Elles sont l'entière propriété de leurs doms respectifs qui en disposent comme ils veulent. J'ai échangé Le sergent Ramirez contre Gina, pour le cul seulement, pas le boulot. Hurtzman, le proprio de Gina, cela fait longtemps que j'avais remarqué qu'il en pinçait pour le cul de rêve du sergent ramirez. Lorsque cette dernière joue à la conne, elle peut foutre le feu à toute la base. Hurtzman en a une très grosse, il va bien s'amuser. Avec Gina, je ne perd pas au change pour cet échange pour un mois tout au plus. La meilleure façon de mettre à l'aise une nouvelle soumise, c'est de la troncher de suite. Avec Gina j'ai envie d'une bonne branlette espâgnole avec celle qui a les plus beaux nichons de l'Agamemnon. C'est l'enfer. Elle me malaxe si bien la bite que j'ai du mal à retenir mon éjaculation. -Dans la bouche et avale bien tout. Gina ne se fait pas prier et j'explose dans sa gorge profonde. Elle me nettoie bien la verge à grand coup de langue chaude. Une experte. Dans l'habitacle à coté, de longues protestations: -non, non, pas le viol, pas le viol, votre bite est trop grosse.... C'est cette conne de sergent Ramirez qui s'amuse à rendre fou Hurtzman et sa pine d'âne. Il pousse un cri de fauve. Le sergent Ramirez ne dit plus rien. Étrange. Et tout à coup elle gueule son orgasme. Putain elle a du déguster avec cette bite d'amarrage de paquebots dans le cul. Une qui va pas marcher droit ce soir. Gina en redemande. Je la retourne et je la sodomise d'un coup. C'est une vraie féline, elle feule de plaisir, se cambre. Je prend tout mon temps. Son cul est aussi beau que ses nichons, bien ferme et bien galbé. Gina sait serrer un pénis, elle est musclée des orifices. Elle sait aspirer et relâcher en cadence. Elle sait sentir son mâle et le guider vers des orgasmes d'une puissance inouïe. Elle sait y faire. Hurtzman est un bon Maître. Il l'a très bien éduquée. J'explose à nouveau, cette fois complètement vidé. Je m'endors de bonheur sur ses seins généreux. Trop bien cette Gina. Les monstriens ont entendu le sergent Ramirez hurler en explosant son orgasme. Ils se sont approchés. Il faut dire que le sergent Ramirez est devenue presque une divinité pour eux. Allez savoir pourquoi, elle sait leur parler. Je crois que je vais la nommer adjudant. La façon dont elle a réussi à établir le contact avec ces aliens est vraiment une réussite. Sincèrement les conquistadors et Christophe Colomb sont des gros nazes à coté. La morale de cette histoire c'est que soumises bien partagées sont soumises bien enculées. ..../....
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Par : le 03/08/20
Les deux jours suivants, on prend le petit déjeuner dans la salle à manger... Pas trop envie de me faire niquer au réveil. Bon, Julien a quand même eu le droit de me faire le bisou du matin?! Il faut que ça bouge : je veux des sensations, du fun, du rock'n roll. J'ai de l'argent, enfin, suffisamment. J'ai aussi un ou une esclave, au choix. Et, enfin, je suis belle, j'ai les seins et les fesses de Marilyn à 22 ans... J'ai pas l'intention de passer des vacances de retraités. Je veux du sexe, mais du sauvage, pas le garçon d'étage qui vient apporter le petit déjeuner le matin, avec un plateau dans une main et sa bite dans l'autre. Je veux des étreintes viriles avec des guerriers berbères. Je veux être une proie, prise dans une razzia. Faut que je me calme, moi?! Enfin, faut surtout que ça bouge?! D'abord, Julien redevient mon mari, je veux le tromper... sous son nez, je veux le voir soumis au Maître qui m'aura enlevée ou que j'aurai choisi. Après le petit déjeuner, on part en ville. D'habitude, je traîne le matin, par conséquent, je sens que Julien a très envie de me demander pourquoi on se met en route si tôt, mais il n'ose pas et il fait bien?! Si je dois me justifier de mes actes, où ça va, ça?? Sur place, j'ai repéré une agence de voyages, c'est là que je veux aller. La fille de l'agence est jolie, elle n'est pas voilée et elle a un tatouage sur le poignet : c'est une Berbère. D'accord, je simplifie un peu. Je lui annonce : — Je voudrais de l'aventure... et voir des choses extraordinaires. — Un trek dans le Sahara, ça vous plairait?? — Je n'ai pas envie de passer des heures en voitures, peut-être plus tard. — J'ai ce qu'il vous faut : à 3 h de voiture de Marrakech, les spectaculaires cascades des chutes d’Ouzoud, la rivière Al Abib, les villages berbères de l'Atlas, les singes sauvages et d'autres animaux. Wahou?! Ça me plaît. Je lui demande : — On peut loger sur place?? — Oui certainement... Logement dans le village berbère de Tanaghmeilt. Mon frère peut vous loger, il habite là. Nous sommes Berbères. Aah?! Je le savais. Je lui demande : — Et il est aussi séduisant en homme que vous êtes séduisante en femme?? Elle ouvre de grands yeux et rougit, ce qui n'est pas facile pour une fille colorée. Puis elle rit – j'adore son rire – et répond : — Il est très beau, mais méfiez-vous, c'est un séducteur. — Toutes les qualités. Elle rit à nouveau et je lui demande : — Il est peut-être fiancé?? — Non, non. Je ne veux pas être indiscrète, mais je pensais que vous étiez en voyage de noces avec votre mari. — Oui, c'est le cas... — Et Monsieur n'est pas jaloux?? — J'en sais rien, mais ce connard m'a trompée lors de son enterrement de vie de garçon, je l'ai appris et je lui ai dit quelle serait sa punition : je ferai la même chose lors de notre voyage de noces et le plus souvent possible. Pour une Berbère, la façon dont je traite mon mari, c'est de la science-fiction. Elle est stupéfaite... et admirative?! Elle me dit : — J'aime votre façon de traiter un homme infidèle. Vous êtes mon héroïne?! Je suis une héroïne de la cause féminine et pas une salope sans cœur et sans slip, dure avec les mous et rampant aux pieds des forts?! Elle ajoute : — On dirait que les femmes occidentales se libèrent de plus en plus de la domination masculine. Hier, il y avait une jeune femme avec son mari, nettement plus âgé, et elle le traitait exactement comme vous faites. Ils partent demain à 14 h voir la région de la cascade et ils logeront sur place, chez mon frère. — J'aimerais beaucoup les accompagner. Est-ce que ce serait possible?? Je pourrais parler avec elle du dressage de maris... Elle rit à nouveau et vous savez ce qu'on dit "Berbère qui rit, avec vous sera gentille"?! Elle consulte son agenda puis dit : — Ils sont déjà six. Je peux vous ajouter pour demain, mais vous serez tous les deux à l'arrière, avec mon frère. Ce n'est pas très confortable. — Ce n'est pas un problème. Je m'imagine déjà dans le village berbère, je me ferai baiser par son frère tandis que Julien agitera une palme pour nous rafraîchir. Et puis, je discuterai avec ma nouvelle amie et compagne de voyage, des humiliations et punitions qu'on va infliger à nos maris. On est des héroïnes?! La fille me dit : — Je passerai peut-être par la maison, ce week-end. — Ce serait super. Dis, on va se tutoyer. Je m'appelle Samia, et toi?? — Malha. — Ça a une signification?? — Oui, mais c'est un peu gênant — Allez, vas-y. — Ça veut dire "charmante". — Ça te va trop bien?! Elle rit... et comme vous savez, j'adore le rire de Malha. Je paye l'excursion. En ce qui concerne le logement, je devrai voir ça avec son frère. On s'embrasse... elle sent bon. En rentrant à l'hôtel, je vais à la réception et je raconte un bobard au réceptionniste, genre "Nous devons rentrer d'urgence car la mère de mon mari a fait un AVC". L'employé est désolé pour ma belle-mère, mais pour la chambre, pas de soucis, il y a des gens sur liste d'attente. Cool ! À moi le désert, les cascades, les Berbères mâles et femelles. Seule ombre au tableau, une petite voix dans ma tête, me souffle "N'oublie pas Kristos, ne va pas ramper aux pieds du premier ou de la première Berbère venue..." Elle est conne, cette voix?! *** Le lendemain on quitte l'hôtel, vers 13 h 30, pour aller au rendez-vous. Après avoir réduit nos bagages au minimum, j'ai donné une partie des vêtements que je ne compte pas mettre à une femme de chambre. J'ai fait la même chose avec les vêtements de Julien. Il devrait être content, puisque c'est lui qui porte tout. On va à l'endroit du rendez-vous. J'aperçois un garçon qui ne ressemble pas du tout à Malha. Il est appuyé contre l'avant d'une Toyota Land Cruiser 7. Voiture idéale pour le désert, mais très inconfortable. Je lui dis : — Je suis Samia. Vous êtes le frère de Malha de l'agence?? — Bonjour. Non, je suis le chauffeur. Djibril va arriver. Ah, voici vos compagnons de route... Je vois arriver quatre personnes. Une jolie femme d'environ 25 ans se dirige vers nous. Je lui dis : — Bonjour, je crois qu'on va voyager ensemble. Elle m'embrasse et répond : — Bonjour. Je m'appelle Josiane et voici mon mari et ses enfants. Elle a un accent du Midi. Son mari est un gros homme chauve, qui a bien 30 ans de plus qu'elle. Inutile de se demander pourquoi elle l'a épousé?! Les deux fils du mari sont des jumeaux, enfin, je pense. Ils doivent avoir 18 ans, mais ils ressemblent à des ados, avec les écouteurs de leurs walkmans vissés dans les oreilles. Ils ont cependant tout à coup l'air intéressés par mon décolleté et ils viennent m'embrasser aussi. Ils ne sont pas mal, mais... bizarres. Un peu blonds à mon goût. Le mari vient me donner la main, tandis que Julien attend bêtement derrière la voiture. Je lui dis : — Viens dire bonjour. Il serre la main de tout le monde en bredouillant. Quelle andouille?! La jeune femme m’explique qu'ils viennent de Toulouse. Elle est exubérante et très peuple... mais, moi aussi, je suis peuple, toute Comtesse que je sois devenue. Mais d’abord, il faut la mettre au courant : — Malha, la fille de l'agence, m'a dit qu'on se ressemblait. — Ah?? À quel point de vue?? — La façon de traiter les maris... — On va en parler entre nous. Robert, va faire un tour mais que je ne te perde pas de vue. Ouah ! J'adore ça?! Je dis à Julien : — Va avec lui. Les jumeaux se sont rapprochés... Ils peuvent écouter?? Josiane suit mon regard et dit : — Ces jeunes gens savent que leur père est une nouille et ils n'ont aucun respect pour lui. N'est-ce pas les gars?? Jumeau A répond : — C'est pas notre père?! Jumeau B : — C'est un porc et on n’est pas des porcelets. Ils sont farces, les petits ! Josiane me dit : — Explique-moi ta relation avec ton mari. Je lui raconte le bobard, qu'il m'a trompé à son enterrement de vie de garçon, etc. Eh?! Mais, j'y pense, c'est pas un bobard, il m'a vraiment trompée ce soir-là?! Josiane me raconte aussi comment elle a rencontré sa grosse andouille de mari qui est devenu fou amoureux d'elle. Les jumeaux sont toutes oreilles. Surtout quand leur belle-mère me demande : — Tu aimes les filles?? — J'ai été élevé chez les religieuses, alors... On rit toutes les deux, les jumeaux, aussi. Le A ou le B nous dit gravement : — Vous voir ensemble, toutes les deux, ce serait le plus beau spectacle du monde. Oh?!? Josiane répond : — Peut-être... Elle caresse mon pubis du dos de la main. Je suis surprise et... émue. Mais, retour sur terre, car un beau mec arrive. Lui, c'est sûrement le frère de la Princesse du désert. Il doit avoir 25 ans, costaud avec une barbe courte, un short et un tee-shirt kaki. Il salue les Toulousains, puis m'embrasse en disant : — Ma sœur m'a beaucoup parlé de toi. — En bien?? — Non, heureusement. On rit. Déjà complices?? Ne voulant pas que cela indispose ma nouvelle amie, je lui murmure : — S'il te tente, on partage. Elle me sourit. Cool... On monte dans la Land Cruiser. Le père à côté du chauffeur – la mère et les jumeaux sur la banquette arrière – Djibril, Julien et moi à l'arrière. Il y a deux sièges assez bas qui se font face. Comme Julien n'ose pas s'asseoir, le chauffeur lui dit : — Vous pourriez prendre votre femme sur vos genoux. Djibril répond : — Il n'a pas le gabarit pour ça, viens plutôt sur les miens. Il m'attrape par les hanches et m'assied sur ses genoux. Enfin, sur ses cuisses nues.... Le Toulousain – il s'appelle Robert – se croit permis d’intervenir : — Ils sont mariés, ce serait peut-être plus normal que... Sa femme l'interrompt aussitôt : — De quoi tu te mêles ? Entre les genoux de ce jeune homme et les tiens, je n'hésiterais pas une seconde. Ça fait glousser les jumeaux. Elle ajoute pour moi : — Amuse-toi, ma belle. Un voyage de noces, c'est fait pour ça et puis une paire de cornes, c'est ce qui pend au nez des maris. Hein Robert?? — ... Euh... oui ma chérie. Nouveaux rires des jumeaux. Je sens qu'on va s'amuser. Le chauffeur nous dit : — Bouclez vos ceintures, on y va. La route qu'on prend devient vite une piste. Heureusement que Djibril me tient collée contre lui, ça amortit les chocs. On parle un peu mais ce n'est pas facile, tellement il y a du bruit. Je somnole, la tête sur son épaule, mes pieds sur les jambes de Julien qui me caresse doucement les pieds. Il sait que j'aime ça. Je dis à Djibril : — Je ne suis pas trop lourde?? Il tourne la tête pour me répondre et... nos bouches se rencontrent, sans même me demander la permission. Mes lèvres s'écartent... humide et offertes. On s'embrasse sous les yeux de Julien. Quoi, c'est pas bien?? Vous avez entendu la dame : une paire de cornes n'a jamais fait de mal à un mari et question cornes, Julien et Robert, le mari de Josiane, ils doivent ressembler à des cerfs 10 corps?! On parle un peu entre nos baisers. Je sens son sexe dressé contre moi... Je mouille doucement.... Les jumeaux nous regardent du coin de l’œil, manifestement très intéressés. Après 150 km, la voiture s'arrête : pause boisson et pipi. Josiane me dit : — Viens, on va faire pipi ensemble. On s'éloigne, mais pas trop quand même, à cause des vipères à cornes et des scorpions, elle me dit?; — On est bien assez loin et puis pipi, c'est la nature Elle est farce : on n'est pas à plus de 10 mètres. Elle se tourne le dos, relève sa jupe et baisse sa culotte en s'accroupissant. Je fais la même chose. Bah?! tout ce qu'ils peuvent voir, c'est nos deux paires de fesses et nos chattes offrant un peu d'humidité au désert. Quand c'est fait, on se redresse et on se secoue, comme font les filles pour envoyer des gouttes de pipi sur leurs jambes. On retourne à la voiture, l'entrejambe humide... On boit et on repart. Je reprends ma place sur les genoux de Djibril. On roule encore une bonne heure et on arrive enfin dans le village. La Toyota nous dépose et repart. À suivre. Un grand merci à Bruce Morgan, pour les super dessins. Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de "Mia sans dessous" sont ici : http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html … … Mes livres non illustrés, ici : https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 … Les 6 premiers épisodes de ma nouvelle histoire "Justice Cajun" sont sur le site gratuit de La Musardine, "Mes histoires porno." http://www.meshistoiresporno.com/histoire/justice-cajun-1/
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Par : le 02/08/20
L'Agamemnon glisse sur les abîmes insondables des vastes cieux, en route vers deux exoplanètes fort lointaines où l'on est certain de trouver de la vie. Nous n'avons pas recours à l'hibernation pour ce voyage qui doit durer plus d'un siècle terrestre, pour une raison simple, c'est que la durée de vie d'un humain est d'environ Huit à neuf cent ans, en parfaite santé. Le corps n'est qu'un véhicule. L'homme ne meurt plus en fait, les femmes ne procréent plus. Lorsqu'il faut changer de véhicule corporel, l'âme est transférée dans une machine puis réimplantée dans un corps neuf et presque parfait. On peut choisir d'être homme ou femme. Les hommes sont peu nombreux et sont les maîtres absolus. les femmes obéissent à leur homme qui est souvent polygame. C'est mon sort et j'ai mes douze femelles soumises, toutes des militaires et des pilotes émérites qui font partie de mon escadrille de chasse qui escorte l'Agamemnon. La mort violente est bien sûr possible pour nous car en combat, il n'est pas possible de transférer l'âme dans une machine. Il nous faut accepter la mort à l'ancienne, avec tous les risques qu'elle comporte, aussi loin de notre terre mère et de son champ magnétique de protection. Nous approchons. La vitesse de l'Agamemnon ralentit et nous devrions pénétrer ce nouveau système avec son étoile centrale dans moins de dix ans. J'ai passé six cent ans dans ce corps et toujours en pleine forme. Il faut bien cela, avec mes douze femmes à honorer...et ce sont des gourmandes qui adorent la bite. Là je m'occupe du lieutenant Asthon, une qui adore être attachée et bien fouettée. J'adore lui rougir son beau cul et quand il est bien chaud, je la sodomise d'un coup. Le viol de ses reins lui arrache des orgasmes incroyables. Sa cyprine coule le long de ses superbes jambes très musclées. Elle vibre et tremble sous les coups de fouet. Une dure qui râle son plaisir. Après on s'allonge et ellese détend. C'est à ce moment que sa douleur se transforme en plaisir. Je la laisse méditer. Elle se love dans mes bras. Mes autres femmes viennent. Nous sommes bien ensemble, nous aimons être ensemble. Nous avons tout le temps. Mon sexe se dresse. Je regarde autour...une chatte s'offre et je la pénètre d'un coup. Je n'aime pas les préliminaires, j'aime défoncer de la chatte bien étroite et tonique. Mes douze femmes sont très pneumatiques. C'est chaque fois l'extase. Le lieutenant Asthon émerge de sa méditation, de son subspace. Elle caresse ses fesses brûlantes. -Allez les filles, on retourne sur simulateurs, allez, un bon entrainement au combat ! Toutes ont passé leurs combinaisons et sont allées dans les simulateurs tester des routines, procédures et combats. Elles sont adorables et très professionnelles. Je ne sais pas ce que nous allons rencontrer dans ces mondes nouveaux, mais nous sommes prêts. La morale de cette histoire c'est que les hommes c'est fait pour vivre en pachas.
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Par : le 02/08/20
« Comme j'aimerais révolutionner dans votre tête votre vision violente et sombre du BDSM pour y mettre des coloriages gaies de fleurs, de papillons et de petits camions. ^^ » Quel parent aime punir son enfant? Bien sûr on peut aimer donner la fessée, la recevoir. Mais punir, infliger quelque chose qu'on SAURA désagréable pour l'autre... quelqu'un qu'on cherche à élever... Personnellement, je n'aime pas ça. (Et je soupçonne que le contraire soit du sadisme pur et simple à la source de l'abus) Est-ce qu'on ne ressent pas une sincère et amère déception en soi de voir l'être qu'on aime transgresser nos limites? Pour moi, le BDSM n'est pas un jeu. Dans le BDSM il y a des jeux. Et pour certains, c'est peut-être un jeu. C'est peut-être bien ainsi. Mais je vous demande alors de comprendre que même ce que vous appelez ''soft'' comporte des enjeux et pas seulement le jeu. :wink: Faire semblant de punir c'est très bien. C'est mignon. On applique les quelques règles de sécurité et de consentement et c'est très ludique! Pour un dressage, là, c'est tout autre chose. C'est important de le comprendre je trouve. Vous ne pouvez pas punir impunément. :yum: Dans ma vision des choses, il est souhaitable que la dynamique occasionne du plaisir et de la sécurité pour les 2 partis. C'est assez difficile à faire si votre soumis craint continuellement de faire un faux pas (état de stress et de tension négative/chercher à échapper à quelque chose/atteinte à l'estime de soi) plutôt que d'espérer vous faire plaisir (état d'appréhension, d'anticipation, d'espoir: tension positive/dépendance à l'approbation du dominant). C'est très différent. L'un entraînera votre protégé dans des séquelles psychologiques et l'autre dans un entretien du lien qui vous unit. Et encore selon moi, le plus souhaitable reste, (une coche au-dessus) de tenter de faire en sorte que le soumis développe son propre discernement et auto-jugement pour qu'il ait grandit de votre échange une fois qu'il retournera dans le grand monde. :two_hearts: Pour cela, il est indispensable, à mon avis de forcer la dose de renforcement positif. Et pour ça, il faut être très attentif à son soumis/sa soumise. Il faut cerner ce qui peut constituer pour lui, une gratification qui occasionnera cet infime boost de dopamine dans son cerveau. Ce que vous considérez une récompense, pour lui, n'en est peut-être pas une. Afin qu'il reproduise le comportement attendu, il est essentiel que ça soit à LUI que vous pensiez. Et en fait, ça fonctionne également pour une soumise qui chercherait à signaler à son Dominant son appréciation. On récompense toujours ceux qui nous entoure pour leurs bienfaits. L'essentiel est de le faire avec ce qui, pour eux, constitue une gratification. Bonne journée mes amours! :blush: Mme Julie :blue_heart::revolving_hearts:
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Par : le 02/08/20
Sarah n'aurait pas poussé la cruauté mentale jusqu'à s'effacer définitivement de sa vie après y avoir tenu une telle place, sans un mot d'explication. Pas elle, pas avec Patricia. Quoique ... Plus rien n'était sûr. Il faut dire que le terrain était fertile. Le moindre indice favoriserait l'angoisse du revirement. Les symptômes s'associaient en elle avec un naturel de malfaiteur, d'autant qu'elle les accueillait bien volontiers. Au vrai, Patricia passait auprès de ses amis pour une anxieuse, une hypocondriaque des troubles de l'esprit. Elle médicalisait en permanence tout ce qui lui advenait d'inquiétant, quoiqu'elle consultât plus souvent les grands classiques littéraires que les dictionnaires spécialisés de la Faculté. Cette fois, elle se sentait l'âme cernée par une conjuration de névroses. Le colonel Chabert et le baron de Münchhausen y campaient joyeusement en attendant d'être rejoints par leurs nombreux amis. Non, un tel épilogue eût été indigne de leur histoire. Au chagrin se serait substitué l'écœurement, qu'aurait suivi une insondable déception. La fin d'une liaison n'est pas tenue d'être médiocre. Elle peut même ne jamais advenir. Longtemps après une passion, il est des amitiés amoureuses qui ne s'achèvent qu'avec la mort. Inconstante, elle était juste assez pour passer du registre de la séduction à celui de la frustation, de la tendresse à l'abandon, et retour, mais n'était-ce pas l'ordinaire des rapports amoureux ? Une première fois déjà par le passé, Sarah avait pris ses distances. Patricia n'avait pas pu déterminer réellement si plus labile qu'elle ne l'eût crue, elle s'était éprise d'une autre ou si, rattrapée par un remords mal enfoui, le mensonge lui était devenu aussi invivable qu'elle le prétendait, elle qui s'en était jusque-là apparemment si bien accomodée. Il n'est pas envisageable de vivre heureux dans le mensonge, à moins d'être deux en un, justement. L'une attachée, l'autre détachée. Elle s'était éloignée au point de ne plus l'appeler que sous sa pression insistante. Leurs rendez-vous étaient régulièrement repoussés sous les prétextes les plus divers, réceptions imposées par son travail, agenda surchargé à son cabinet, toute la litanie des mille et un devoirs et obligations qu'elle savait si bien maîtriser et qui soudain, bizarrement, l'accaparaient. Elle avait dû la harceler pour obtenir enfin une explication qui ne fût pas un faux-fuyant. Une lettre de deux pages égrenant des motifs qui se voulaient des raisons, aussitôt lues et aussitôt oubliées car elle avait mis les petits mots dans les grands, mais qui s'achevait par un "Je ne t'aime plus." Quelque temps après, elle était revenue vers elle. Sans plus d'explication. Or, ce qu'on ne dit pas devient un secret, un lieu où s'enracinent la honte et la peur. Mais elle avait vite compris que désormais, il y aurait toujours cette différence entre elles, que l'une avait fait du mal à l'autre. Un jour, dans un restaurant, quand cette douleur affleura à nouveau au détour d'une conversation, elle avait baissé la tête, lui avait pris et baisé la main à plusieurs reprises avec ferveur et, abdiquant toute fierté, renonçant à toute pudeur, avait imploré sa clémence. Ne l'aurait-elle pas retenue qu'elle se serait agenouillée entre les tables sous le regard effaré des clients. Elle pourrait pardonner mais jamais oublier. Les mots tracés sur le papier, plus encore que les paroles, restent gravés dans l'arrière-pays de la mémoire. Surtout des mots aussi puissants et rares. Certaines phrases, on aimerait les gifler. Elle se connaissait des adversaires et des ennemies, elle savait quelles inimitiés et quelles critiques, elle pouvait même compter sur la haine sourde et tenace de quelques irréductibles, mais nul n'avait encore jamais éprouvé l'impérieuse nécessité de lui dire qu'elle ne l'aimait plus. Et moins encore de lui écrire. Souvent les propos s'envolent, la lettre est olographe. Un sentiment passe pour être plus médité, quiite à paraître moins spontané, quand on l'a couché sur le papier. La lettre de Sarah avait tout du testament, vierge de toute rature, entièrement écrite à la main, datée et signée. Comme si la testatrice était parfaitement consciente de la forme sacramentelle de son texte. Cela ne se faisait pas. Il fallait que cette peine lui fût infligée par celle qui lui importait plus que tout. On ne dit pas ça, et on ne l'écrit pas davantage. On se tait ou on disparaît au bout du monde sans un mot. Elle en était là, à cette simple mais ferme conviction: une femme comme elle ne pouvait pas faire souffrir volontairement. Pas après avoir déjà pris la mesure de cette douleur. Elle ne pouvait y trouver ni plaisir ni intérêt. C'est donc qu'il y avait autre chose. Ce ne pouvait être que l'ultime scénario envisagé, celui qui aurait dû s'imposer en tout premier, n'eût été ce délire qui pousse tout amoureux à se croire le centre du monde de l'autre. Depuis, de Sarah, elle attendait tout mais n'espérait rien, du moins le croyait-elle. Le sujet avait été évacué. Il y aurait toujours cela entre eux. Puisqu'elle l'avait fait une fois, pourquoi n'en serait-elle pas capable à nouveau ? Son esprit et son corps la comblaient, mais elle nourrissait des doutes sur la qualité de son âme. Rien ne démentait en elle une mentalité de froide amante dominatrice. Après tout, leurs deux années de vie commune dans la clandestinité la plus opaque qui soit, non pour cacher mais pour protéger, les avaient fait passer maîtres dans l'art de la dissimulation. Sarah était bien placé pour savoir que Patricia mentait avec aplomb, et vice versa. Elles s'adaptaient différemment à la déloyauté, et cloisonnaient leur existence avec plus ou moins de réussite. Mais jamais elles n'auraient songé à élever la trahison au rang des beaux arts. Puisqu'elle lui mentait, et par conséquent au reste du monde, Patricia pouvait supposer qu'elle lui mentait aussi. Sarah avait-elle échaffaudé ce scénario pour s'évader de tout et de tous avec une autre. L'amour impose le sacrifice et le privilège de l'être aimé. Il leur fallait se reconquérir, alors tous les matins seraient beaux, les lèvres dessinées en forme de baisers, frémir de la nuque, jusqu'au creux des reins, sentir le désir s'échapper de chaque pore de la peau, tanner comme un soleil chaud de fin d'après-midi, et blanchir fraîchement comme un halo de lune, que les draps deviennent dunes et que chaque nuit devienne tempête. L'indifférence prépare admirablement à la passion; dans l'indifférence, rien ne compte; dans la passion, rien ne compte non plus, sauf un seul être qui donne son sens à tout. Seul est pur l'élan qui jette les corps l'un contre l'autre, les peaux désireuses d'un vrai plaisir. Un lit où l'on s'engouffre, un rêve où l'on s'enfouit, des doigts soyeux, un arpège harmonieux. Refaire sa vie ailleurs, là où on est rien pour personne. Sans aller jusqu'à s'installer à Sydney ou ailleurs, combien de fois n'avait-elle pas rêvé à voix haute de vivre dans un quartier de Paris ou une ville de France où elle ne connaîtrait absolument personne. Un lieu au cœur de la cité mais hors du monde. Un de ces finistères ou morbihans où elle ne représenterait rien socialement, n'aurait de sens pour personne, ni d'intérêt pour quiconque. Où elle ne serait pas précédée d'aucun de ces signes qui préméditent le jugement, vêtements, coiffure, langage, chien ou chat. Une parfaite étrangère jouissant de son anonymat. Ni passé, ni futur, sérénité de l'amnésique sans projet. N'était-ce pas une manière comme une autre de changer de contemporain ? Une fuite hors du monde qui la ferait échapper seule à la clandestinité. À tout ce qu'une double vie peut avoir de pesant, de contraignant, d'irrespirable. Vivre à cœur ouvert. Ce devait être quelque chose comme cela le bonheur. Un lieu commun probablement, tout comme l'aventure intérieure qu'elle avait avait vécue avec elle. Mais souvent hélas, la vie ressemble à des lieux communs. La Baule-les-Pins ou Le Touquet. Une mécanique perverse fait que le corps s'use durant la brève période d'une maturité dont nul n'ignore qu'elle est un état instable. Rien de plus menacé qu'un fruit mûr. Des mois précèdent cet instant de grâce. Des semaines nécessaires pour accomplir l'épanouissement. Entre ces deux évolutions lentes, le fruit se tient, l'espace d'un jour, à son point d'idéale perfection. C'est pourquoi la rencontre de deux corps accomplis est bouleversante. Sarah en était là. Patricia aimait la la retrouver parce que, en elle, elle se retrouvait. De ce qui n'était qu'un grand appartement sans âme, elle en avait fait un refuge à semblance: lumineux, paisible, harmonieux. Les chambres qu'habitèrent des générations de gens sans goût dont la vie morne avait déteint sur les murs, Sarah les avaient meublées de couleurs exactes et de forme harmonieuses. Le baroque engendre souvent la tristesse et le confort l'ennui lorsqu'il se résume à une accumulation de commodité. Chez elle, rien n'offensait ou n'agaçait. C'était un endroit pour états d'âme et étreintes joyeuses. Elle avait crée chez elle un micro-climat privilégié fait d'un confort invisible qui se haussait à la dignité de bien-être et de cette forme supérieure du silence, le calme. Les yeux de Patricia la voyaient telle qu'elle était. Sarah la dominait mais en réalité, c'est Patricia qui devait veiller sur elle et la protéger sans cesse de ses frasques, de ses infidélités. Elle ne supportait mal d'être tenue à l'écart. Avec une patience d'entomologiste, elle avait fait l'inventaire du corps de Sarah et souhaitait chaque nuit s'en régaler. Elle s'arrêtait pas sur ce qui, dans le corps, atteignait la perfection. La ligne souple du contour de son visage, du cou long et de l'attache de ses épaules, flexibilité qui fascinait Modigliani en peignant sa compagne, Jeanne Hébuterne. Patricia avait connu la révélation en pénétrant pour la première fois dans l'appartement de celle qui allait devenir, sa Maîtresse et l'amour de sa vie. Elle n'avait ressenti aucune peur, elle si farouche, en découvrant dans une pièce aménagée les martinets pendus aux poutres, les photos en évidence sur la commode de sycomore, comme une provocation défiant son innocence et sa naïveté. Sarah était attentionnée, d'une courtoisie qu'elle n'avait jamais connue avec les jeunes femmes de son âge. Elle était très impressionnée à la vue de tous ces objets initiatiques dont elle ignorait, pour la plupart l'usage, mais desquels elle ne pouvait détacher son regard. Son imagination la transportait soudain dans un univers qu'elle appréhendait sans pouvoir cependant en cerner les subtilités. Ces nobles accessoires de cuir, d'acier ou de latex parlaient d'eux-mêmes. Ce n'était pas sans intention que Sarah lui faisait découvrir ses objets rituels. Elle savait qu'elle fuyait plus que tout la banalité. Elle avait pressenti en elle son sauvage et intime masochisme. Les accessoires de la domination peuvent paraître, quand on en ignore les dangers et les douceurs d'un goût douteux. Comment une femme agrégée en lettres classiques, aussi classique d'allure pouvait-elle oser ainsi décorer son cadre de vie d'objets de supplices ? L'exposition de ce matériel chirurgical, pinces, spéculums, anneaux auraient pu la terrorriser et l'inciter à fuir. Mais bien au contraire, cet étalage la rassura et provoqua en elle un trouble profond. Sarah agissait telle qu'elle était dans la réalité, directement et sans détours. Instinctivement, Patricia lui faisait confiance, cédant à la curiosité, recommandant son âme à elle. Elle ne marchait plus seule dans la nuit éprouvant un véritable soulagement d'avoir enfin trouver la maîtresse qui la guiderait. Malgré le cuir, l'acier et le latex, elle est restée avec elle ce soir-là. Elle n'a plus quitté l'appartement et elle devenue l'attentive compagne de Sarah. Car, en vérité, si elle avait le goût de l'aventure, si elle recherchait l'inattendu, elle aimait avant tout se faire peur. Le jeu des situations insolites l'excitait et la séduisait. Le danger la grisait, la plongeait dans un état second où tout son être se dédoublait, oubliant ainsi toutes les contraintees dressées par une éducation trop sévère. Ce double jeu lui permettait de libérer certaines pulsions refoulées. De nature réservée, elle n'aurait jamais osé jouer le rôle de l'esclave jusqu'à sa rencontre avec Sarah. La fierté dans sa soumission lui procurait une exaltation proche de la jouissance. Était-ce seulement de ressentir la satisfaction de la femme aimée ? Ou de se livrer sans condition à un tabou social et de le transgresser, avec l'alibi de plaire à son amante, d'agir sur son ordre. Elle apprit à crier haut et fort qu'elle était devenue une putain quand un inconnu la prenait sous les yeux de Sarah. Agir en phase avec son instinct de soumise la faisait infiniment jouir. Étant donné la manière dont sa Maîtresse l'avait livrée, elle aurait pu songer que faire appel à sa pitié, était le meilleur moyen pour qu'elle redoublât de cruauté tant elle prenait plaisir à lui arracher ou à lui faire arracher ces indubitables témoignages de son pouvoir. Ce fut elle qui remarqua la première que le fouet de cuir, sous lequel elle avait d'abord gémi, la marquait beaucoup moins et donc permettait de faire durer la peine et de recommencer parfois presque aussitôt. Elle ne souhaitait pas partir, mais si le supplice était le prix à payer pour que sa Maîtresse continuât à l'aimer, elle espéra seulement qu'elle fût contente qu'elle l'eût subi, et attendit, toute douce et muette, qu'on la ramenât vers elle. Sous le fouet qui la déchirait, elle se perdait dans une délirante absence d'elle-même qui la rendait à l'amour. On s'étonna que Patricia fût si changée. Elle se tenait plus droite, elle avait le regard plus clair, mais surtout, ce qui frappait était la perfection de son immobilité, et la mesure de ses gestes. Elle se sentait désormais, au cœur d'un rêve que l'on reconnait et qui recommence. Elle avait enfin reconquis Sarah. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 01/08/20
Charlotte ouvrit le tiroir où s'entassaient pêle-mêle ses sous-vêtements. Tout au fond, planquée sous des dizaines de strings et de soutiens-gorge, il y avait une enveloppe de papier kraft. Elle s'assura d'un rapide coup d'œil que son mari était bien vissé devant son écran avant de l'ouvrir. Sur le premier cliché, elle posait nue, debout devant sa coiffeuse, les chevilles liées au pieds du meuble. Des cordelettes enroulées autour de ses cuisses et fixées aux poignets des tiroirs l'obligeaient à maintenir les jambes très écartées et légèrement pliées. Elle avait les bras relevés au-dessus de la tête mais on n'apercevait pas ses mains que Xavier avait croisées, ligotées ensemble, et qu'un bracelet fixé autour du cou lui maintenait derrière la nuque. Une corde longue et épaisse, passée autour du torse, juste au-dessus de ses seins, et tendue jusqu'à la base du miroir la contraignait à se tenir très cambrée. C'était une position difficile à soutenir, indécente à l'extrême avec ce ventre lisse jeté en avant comme une figure de proue. Pourtant, elle souriait, les yeux mi-clos. Le second cliché était identique au précédent, à ceci près que Xavier était présent sur la photo. De lui, on ne distinguait que son torse, un peu de son dos, l'amorce de ses fesses et surtout, son sexe tendu, se pressant contre celui de Charlotte qui, cette fois, levait le menton au ciel et semblait innondée de plaisir. Comment son mari réagirait s'il tombait un jour dessus. Quant à la tête de sa mère, si elle la surprenait un jour dans une telle situation, elle ne pouvait même pas l'imaginer. Chaque fois qu'elle envisageait cette éventualité, un frisson la parcourait toute entière. Xavier et elle prenaient des risques insensés. Ils étaient tous les deux fous. Xavier élaborait des liens si complexes qu'il fallait beaucoup de temps ensuite pour la libérer. Si, comme elle avait l'habitude de le faire, sa mère débarquait à l'improviste en plein milieu d'une de leurs séances, il leur serait difficile de lui faire croire à une simple visite de courtoisie. Quelle honte si elle la découvrait ainsi, intégralement nue, ligottée et bâillonnée. Mais quel plaisir étrange à seulement envisager que cela puisse arriver. Charlotte y pensait souvent tandis qu'elle éprouvait l'étroitesse des liens tout autour de son corps et cela ne faisait qu'accroître son excitation. Peut-être rêvait-elle alors que la porte s'ouvre tout à coup sur le visage sévère, qu'elle le voit s'allonger de stupéfaction et qu'elle réussisse à lui sourire. Enfin, tout serait dit. Sur le troisième cliché, elle était assise à l'envers sur un fauteuil, les cuisses sur les accoudoirs, la poitrine écrasée contre le dossier, les bras pendant de l'autre côté. Ficelles, cordes, lacets, sangles, lanières, tout un entrelacs de liens étroits la pétrifiait dans son attitude. Elle aimait bien cette photographie parce que l'ombre noyait de nombreux détails, ne laissant à la lumière que son dos courbé, le galbe d'une cuisse et l'arrondi de ses fesses. Elle se souvenait de ce soir-là. La neige était tombée en abondance et ouatait tous les bruits de la rue. L'appartement n'avait jamais été aussi calme. Xavier avait pris tout son temps. Il était allé chercher une bouteille de champagne chez lui, s'était assis sur un tabouret face à Charlotte et l'avait aidée à boire, portant alternativement la coupe de ses lèvres aux siennes. Elle avait adoré qu'il s'occupe d'elle de cette façon. Ils avaient parlé longtemps. Elle lui racontait sa vie avec son mari, sa crainte de sa mère, ses rêves d'évasion. Peu à peu, Xavier s'était arrangé pour orienter la conversation sur le sujet qu'il voulait aborder. "- C'est quoi les fantasmes d'une fille comme toi ? lui avait-il demandé avec son sourire le plus doux. Elle avait pouffé de rire d'une façon un peu stupide. "-Des fantasmes ? Je n'ai pas de fantasmes." "- Allons, allons ... avait-il insisté. Ne va pas me faire croire cela. Ose donc prétendre que certains soirs, ton esprit ne s'en va pas vagabonder sur des territoires interdits ... Ose donc essayer me faire croire que tes doigts distraits jamais ne s'égarent sur ton ventre ... Par exemple, en t'imaginant au lit avec une de tes amies ... - Faire ça avec une femme, ça ne m'est jamais venu à l'esprit, mentit-elle cependant. - C'est bien vous, les mecs, qui entretenez ce désir de voir des filles ensemble ! Comme si nous ne rêvions toutes que de cela ! Tu l'as déjà fait avec un garçon, toi, peut-être ?" La coupe au bord des lèvres, Xavier attendait la suite avec intérêt mais voyait que Charlotte hésitait. Des dizaines de fois comme ce jour-là, elle lui avait permis de contempler sa plus inégrale nudité. Il manipulait son corps, comme on s'amuse avec un jouet et pourtant, capable de se livrer physiquement à lui de la façon la plus osée qui soit, mais elle éprouvait encore des réticences à lui ouvrir toutes grandes les portes de sa libido la plus intime. "- Parfois, je pense à des situations dingues ... amorça-t-elle. Au milieu de la salle, il y a une sorte de podium circulaire couronné d'anneaux d'acier ... Tu m'y fais monter et tu me passes des bracelets aux poignets. Tu me passes aussi des bracelets de cuir aux chevilles avec une chaînette, des cadenas et me voilà clouée à l'estrade, les jambes ouvertes. Dans le plafond, on a aussi rivé des anneaux auxquels tu m'attaches. Je dois me tenir courbée, tant le plafond est bas. Il y a des mains épaisses qui s'approchent de mon corps. Elles me palpent comme on évalue la santé d'une pièce de bétail. Elles malaxent mes seins à travers ma robe. Elles claquent sur mes fesses. Elles me fouillent le ventre. Mon corps subit les pires injures. les fines bretelles de ma robe ne résistent pas longtemps. Me voilà déjà presque nue, offerte en pâture à leur désir brutal. Je ne sais combien de mains me touchent. Elles s'acharnent sur moi impitoyablement. Elles choisissent les points les plus sensibles. Elles me tordent les pointes de mes seins, elles écartent mes fesses comme si elles voulaient les séparer l'une de l'autre, elles s'agrippent comme des griffes à mes hanches. Ma culotte est en lambeaux. Je sens mon sexe forcé par ces mains avides dont j'ignore tout, hormis leur brutalité. C'est l'orgie ... Je suis leur veau d'or. Un corps massif se frotte contre le mien. Sa sueur me colle à la peau. Un sexe raide, large comme un poignet, tâtonne entre mes fesses, cherche l'entrée, s'y engouffre férocement, sans ménagement. Je pousse un cri de douleur. Je parviens presque à oublier cette queue sauvage qui me défonce les reins, ces mains qui toujours m'assaillent, ces doigts qui maintenant me fouillent de l'autre côté. Un d'abord, puis deux, puis trois. Mon anneau anal est dilaté à l'extrême. On l'enduit d'un liquide gras et tiède. L'instant d'après, quelque chose de dur et de froid s'enfonce puissamment dans mes entrailles en élargissant l'étroit passage. Chaque fois que le sexe de l'homme plonge dans mon ventre et cogne contre ce truc, j'en éprouve une douleur effroyable. J'ai l'impression que je vais exploser sous les coups de cette double pénétration. Je halète. Je suffoque. Je me mords les lèvres. Ils y sont tous passés, par devant et par derrière. Je sens les ruisseaux de sperme dont ils m'ont éclaboussée me couler le long des cuisses. Des mains à peine moins agressives que les autres, des mains de femmes sans doute l'étalent sur les fesses, le ventre, les seins et même le visage. Elles ne veulent pas être en reste. Elles prennent part à la fête, elles aussi. Jalouses, elles m'enduisent le corps tout entier de la semence de leurs mâles, prenant bien soin de me griffer les flancs, des aisselles jusqu'aux cuisses. Charlotte s'éveilla de son rêve. Xavier ne souriait plus du tout. "- Hé, c'est toi qui as voulu que je te raconte mon pire fantasme ! " Xavier n'avait pas répondu. Il lui avait fait l'amour sans enthousiasme et l'avait quittée peu après, l'air préoccupé, sans avoir oublié toutefois de la ligoter avant. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 28/07/20
Nous sommes arrivées à Locmaria, à l'heure du bain. La nuit était noire sur la plage, la lune, le sourire en coin. Les étoiles lointaines ou filantes brillaient peu, l'air chaud n'empêchait pas le petit frisson qui vous parcourt quand vous entendez la mer sans la voir, sa puissance que le corps devine. La maison était à cent mètres du rivage. Elle était simple et belle, sur un terrain en pente planté de pins, de mimosas, et dominé par un araucaria poussé pas droit, un arbre singulier, jamais familier au yeux ni à l'esprit, qui barrait le ciel tel un hiéroglyphe dont Juliette possédait seule la pierre de Rosette. Le lendemain matin, Charlotte fut réveillée de bonne heure par le gazouillis sans cesse des étourneaux. Elle se frotta les yeux; tout son corps était raide. Elle avait eu un sommeil agité, s'éveillant après chaque rêve, se rappelant avoir vu, durant la nuit, les aiguilles de sa pendulette dans différentes positions, comme si elle n'avait cessé de vérifier le passage du temps. Elle avait dormi dans la chemise qu'elle lui avait donnée et, tout en se remémorant la soirée passée ensemble, elle se rappela les rires insouciants et, surtout, la façon dont Juliette lui avait parlé de littérature. C'était si inattendu, si encourageant. Tandis que les mots repassaient dans son esprit, elle comprit quels regrets elle aurait eus si elle avait décidé de ne pas l'accompagner. Par la fenêtre, elle observa les oiseaux pépiant qui cherchaient de la nourriture dans les premières lueurs du jour. Juliette, elle le savait, avait toujours été quelqu'un du matin qui accueillait l'aube à sa façon. Elle aimait se baigner tôt sur la plage de Donnant. Patricia s'attarda sur ce souvenir du matin qu'elle avait passé avec elle, sur le sable, à regarder le lever du soleil. Elle se leva pour aller prendre un bain de mer, sentant le sol froid sous ses pieds. Elle avait raison. Sarah s'était levée avant le soleil. Elle s'était habillée rapidement. Le même jean que la veille au soir, un maillot une pièce, une chemise de flanelle et des mocassins Tod's. Passer l'aube sur la plage avait quelque chose de magique, de presque mystique. Elle le faisait maintenant chaque jour. Que le temps fût clair ou ensoleillé, ou bien froid avec une bise pinçante, peu importait. Elle nageait au rythme de la musique des pages écrites la veille. En quelques mouvements de brasse, fruit d'une longue habitude, elle sentait sur sa peau la fraîcheur mordante de l'air, et le ciel était noyé dans une brume de différentes couleurs. Noir juste au-dessus d'elle comme un toit d'ardoise, puis d'une infinité de bleus s'éclaircissant jusqu'à l'horizon, où le gris venait les remplacer. Elle prit quelques profondes respirations, s'emplissant les poumons d'iode. Elle aimait marquer un temps au point du jour, guettant le moment où la vue sur les rochers était spectaculaire, comme si le monde renaissait. Puis elle se mit à nager avec énergie. Quand elle arriva à la maison, elle se sentit revigorée. Patricia était rentrée de la plage et l'attendait. Juliette se doucha. Elles s'embrassèrent tendrement. Quelle sorte de pouvoir possédait-elle sur sa jeune amante après tout ce temps ? Charlotte passa enfin dans la salle de bain, se fit couler un bain, vérifia la température. Tout en traversant la chambre en direction de la coiffeuse, elle ôta ses boucles d'oreilles en or. Dans sa trousse à maquillage, elle prit un rasoir et une savonnette, puis se déshabilla. Depuis qu'elle était jeune fille, on disait qu'elle était ravissante et qu'elle possédait un charme ravageur. Elle s'observa dans la glace: un corps ferme et bien proportionné, des seins hauts placés et doucement arrondis, le ventre plat et les jambes fines. De sa mère, elle avait hérité les pommettes saillantes, la peau toujours hâlée et les cheveux blonds. Mais ce qu'elle avait de mieux était bien à elle, ses yeux, des yeux comme les vagues de l'océan ou le ciel, d'un bleu azur, se plaisait à dire Juliette. Dans la salle de bain, elle posa une serviette à portée de main et entra avec plaisir dans la baignoire. Prendre un bain la détentait. Elle se laissa glisser dans l'eau. Quelle belle journée. Elle avait le dos crispé, mais elle était contente d'avoir accompagné Juliette à Belle-Île-en-Mer. Elle se couvrit les jambes de mousse et entreprit de les raser, songeant à Juliette et à ce qu'elle penserait de son comportement. Elle le désapprouverait sans aucun doute. Elle resta encore un moment allongée dans le bain, avant de se décider à en sortir. Elle se dirigea vers la penderie pour se chercher une robe. La noire avec un décolleté un peu plongeur ? Le genre de toilette qu'elle portait pour des soirées. Elle la passa et se regarda dans le miroir, se tournant d'un coté, puis de l'autre. Elle lui allait bien, la faisait paraître encore plus féminine. Mais non, elle ne la porterait pas. Elle en choisit une moins habillée, moins décolletée, bleu clair, boutonnée devant. Pas tout à fait aussi jolie que la première, mais mieux adaptée aux circonstances. Un peu de maquillage, maintenant un soupçon d'ombre à paupière et de mascara pour faire ressortir ses yeux. Une goutte de parfum, pas trop. Une paire de boucles d'oreilles, des petits anneaux. Elle chaussa des talons hauts que Juliette exigeait, comme elle exigeait qu'elle soit nue sous sa robe, d'autant plus nue qu'elle était toujours intégralement rasée, lisse, offerte, ouverte à ses désirs ou ceux des des inconnues auxquelles elle la destinait. Depuis son infibulation, elle ne portait plus aucun sous-vêtement, la culotte la plus légère irritait sa chair et lui faisait endurer de véritables tourments. Juliette l'obligeait à en porter pour la punir. Elle portait deux anneaux d'or sur ses petites lèvres, signe de son appartenance à sa Maîtresse, Juliette. Les marques imprimées sur son pubis, étaient creusées dans la chair. Rien que de les effleurer, on pouvait les percevoir sous le doigt. De ces marques et de ces fers, Charlotte éprouvait une fierté insensée presque irraisonnée. Elle subissait toujours les supplices jusqu'au bout, faisant preuve en toutes circonstances d'une totale docilité. Qu'une femme fût aussi cruelle, et plus implacable qu'un homme, elle n'en avait jamais douté. Mais elle pensait que sa Maîtresse cherchait moins à manifester son pouvoir qu'à établir une tendre complicité, de l'amour avec les sensations vertigineuses en plus. Charlotte n'avait jamais compris, mais avait fini par admettre, pour une vérité indéniable, l'enchevêtrement contradictoire de ses sentiments. Toujours docile, elle aimait le supplice, allant jusqu'à regretter parfois qu'il ne soit pas plus long et plus féroce, voire inhumain. Mais sa nature masochiste ne suffisait pas à expliquer sa passion. Elle aimait cette partie obscure qui faisait partie d'elle et que sa Maîtresse nourrissait. Juliette la hissait, elle la projetait en révélant les abysses de son âme, la magnifiant, la sublimant en tant qu'esclave, lui faisant accepter son rôle d'objet. Elle avait créé un lien indestructible. Elle ne pourrait jamais oublier le jour de ses vingt ans. Ce jour-là, Juliette quitta plus tôt les cours qu'elle donnait à la Sorbonne pour venir la chercher à la sortie de la faculté. La soirée s'annonçait douce et agréable. Charlotte écoutait le bruissement des feuilles, en songeant à la beauté naturelle du jour. La nature vous rend plus qu'elle ne vous prend et ses bruits obligent à penser à son destin. Le grand amour vous fait cet effet-là. Les nuages traversaient lentement le ciel du soir. Ils s'épaissirent un peu. Désormais, la réalité de la nuit et la réalité du jour seraient la même réalité. Chez elle, Juliette lui demanda de se mettre nue, et la regarda sans un mot lui obéir. N'avait-elle pas l'habitude d'être nue sous son regard, comme elle avait l'habitude de ses silences. Elle l'attacha et lui demanda pour la première fois, son accord. Elle voulait la fouetter jusqu'au sang. Elle lui dit seulement qu'elle l'aimait. Alors elle la battit si fort qu'elle suffoqua. Au petit matin, Charlotte était allongée près de Juliette, elle ne pouvait penser à meilleure occupation que de la dévorer des yeux. Le soleil du matin qui entrait par raies obliques entre les lamelles du store rehaussait le brun luisant de son corps. Elle était assoupie sur le ventre; le haut de ses bras étirés au dessus de sa tête était bronzé et ses aisselles blanches. Juliette glissa un doigt sur la courbe sinueuse de son dos et sa peau satinée se couvrit d'un frisson. Elle était grande et très blonde. Une femme idéalement belle. Bientôt, son regard s'attarda sur ses cuisses écartées et immanquablement, une tension sourde s'empara d'elle. De ses lèvres, elle lècha sa peau tout en dessinant ses omoplates avant de laisser glisser le majeur jusqu'au creux de ses reins. Elle frôla l'œillet secret qui déjà cédait aux effleurements. Les chairs se distendirent, pour se raffermir aussitôt comme brusquées. La douleur vive s'était évanouie alors Juliette la vit qui hésitait: devait-elle reprendre le fil de ses paroles susurrées ? Allait-t-elle l'accepter ? Elle désirait la faire oser pour elle, pour qu'elle puisse dérouler le fantasme d'une femme. Une femme objet. Bien sûr, il est à craindre que pour une autre, cela ne se passerait pas comme cela. Elle se tairait. Mais Juliette la voulait obscène, pour mieux la prêter. Elle la sentait brûlante et raidie sous ses doigts. Il courtisait ses hôtes, il les choyait, savoureusement. Le giclement séminal accompagna les mots venus se fracasser comme une éclaboussure. Le coeur s'était déplacé au fondement du corps. Il battit, se contracta et se rétracta comme l'aorte qui donne vie. Son âme n'était plus qu'un organe, une machine qui répondait à des mécanismes vitaux. Juliette sentait la jouissance envahir Charlotte peu à peu. Le désir brûlait, et retombait, suspendu bientôt à la prochaine salve. L'amante fut à cet instant forcément animale. Elle exigea tout, tout de suite. Elle écarta les doigts et en introduisit subrepticement un troisième. Là, la femme soumise s'attendit à ce qu'elle eut exigé un quatrième puis un cinquième. Elle se trompait. Mesurait-t-elle seulement combien, elle se trompait ? L'amante est toujours dans la force. La prouesse n'est bien souvent qu'un détail. Elle l'empala d'un mouvement violent pour se caler en terrain conquis, profondément. Le cri résonna en écho venant lécher les parois d'une chambre que l'on imaginait forcément sombre. Les murs étaient d'un blanc clinique; un matelas flanqué à même le sol pliait sous les corps nus, brunis par le soleil, soudés, parfaitement imberbes. Maintenant, Charlotte allait supplier pour céder à l'impétuosité de l'orgasme. Les chairs résistèrent, se plaignirent, s'insurgèrent puis craquèrent, obéissantes. Elle desserra les dents de son index meurtri, bleui par la morsure. La jouissance sourde venait de loin, d'un tréfonds dont elle ne soupçonnait pas l'existence. Elle hurla. Qu'elle voulait le poignet. Qu'elle voulait plus encore. Qu'elle irait le chercher, elle-même si Juliette ne cédait pas. Elle vit la fureur s'emparer du corps, et le vriller, l'hystérie libérer toute l'énergie de l'organisme. D'un mouvement brusque, le poignet venait d'écarteler ses reins, elle avait joui. Le jour était tombé sur Locmaria. Juliette lui posa un baiser sur les lèvres. Elle porta la main jusqu'au visage penché sur elle et lui toucha la joue, l'effleurant de ses doigts. Charlotte eut le souffle court quand Juliette baissa la tête pour l'embrasser entre les seins, quand elle sentit sa langue remonter lentement jusqu'à son cou. Leurs corps s'enlacèrent. Ce fut presque au ralenti que toutes deux s'étendirent devant la cheminée. Elles passèrent la nuit endormies dans les bras l'une de l'autre. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 25/07/20
La mer n'avait pas changé. Sa rumeur et son odeur étaient les mêmes, les vagues allaient et venaient comme celles de jadis. Vingt ans plus tôt, Sarah avait contemplé l'océan depuis cette même plage en songeant à la vie qu'elle avait devant elle, et à présent. Elle sentait le sable râpeux sous ses pieds et la brise iodée emmêler ses cheveux. Elle inspira profondément et ferma les yeux. Le noir derrière ses paupières l'aidait mieux que celui de la nuit à se perdre dans le passé pour éviter de penser à l'avenir. En ces derniers jours du mois de mai, le fonds de l'air était encore frais, et son chemisier et sa jupe de coton ne lui tenaient pas très chaud. Elle croisa les bras sur sa poitrine pour se réchauffer, en pensant, cependant, que ses frissons étaient une réaction appropriée aux souvenirs de cet été désormais si lointain qui revenaient en trombe. Les souvenirs qu'elle avait de lui, jeune écrivain d'une force et d'une précocité monstrueuses. Vingt ans durant, elle avait essayé de l'effacer de sa mémoire, pour se retrouver, de retour sur la plage de Donnant, tout aussi incapable de l'oublier qu'elle l'avait toujours été. Elle leva le visage, et la brise repoussa ses cheveux en arrière. Elle ouvrit la bouche pour l'avaler et s'en régaler. L'odeur iodée emplit ses narines et enveloppa sa langue, saisissant son esprit comme s'il s'agissait d'une friandise. Elle était stupide et trop âgée pour croire aux contes de fée. Et les voyages dans le temps n'existaient pas, il n'y avait aucun moyen de retourner en arrière, aucun moyen, même de rester simplement au même endroit. Son seul choix, le seul choix que quiconque avait, c'était d'aller de l'avant. Cette pensée en tête, elle avança. Un pas, puis un autre. Ses pieds s'enfoncèrent dans le sable et elle se tourna pour regarder la terrasse de sa maison et la bougie solitaire qui y luisait. Un coup de vent agita la flamme et la fit vaciller, et Sarah s'attendait à ce que cette frêle lumière s'éteigne, mais celle-ci résista vaillamment derrière sa cloche de verre. La maison se trouvait pratiquement isolée à l'époque, se rappela-t-elle, tandis qu'à présent, il fallait supporter la joie bruyante des enfants et celle des surfeurs en herbe osant affronter les rouleaux de Donnant. Elle avait découvert à son arrivée la villa tapageuse de trois étages construite juste derrière la maison centenaire, aussi nouvelle pour elle que les dunes tachetées d'algues, inexistantes vingt ans plus tôt. Cependant, au mois de mai, les vacanciers n'avaient pas encore pris leurs quartiers d'été, et, à l'exception d'un bungalow au loin dont elle voyait les fenêtres éclairées, les autres habitations acadiennes semblaient vides. Elle fit encore un pas. La mer était trop froide pour nager, sans compter que le reflux risquait d'être puissant. Pourtant, poussée par les souvenirs et le désir, elle ne résista pas à son envie d'avancer vers les flots. L'océan lui avait toujours donné une conscience aiguë de son corps et de ses cycles. Les marées soumises à la force d'attraction de la lune, lui avaient toujours paru un phénomène très féminin. Elle n'avait jamais été une grande nageuse, mais lorsqu'elle se trouvait au bord de la mer, Sarah se sentait plus vivante et plus sensuelle. Elle avait connu les eaux chaudes des Bahamas et les vagues froides de la côte bretonne, la douce houle du golfe du Morbihan, mais aucun de ces lieux ne l'avaient autant ensorcelée que ce bout de terre et les eaux qui le baignaient. Belle île en mer était unique dans la cartographie de sa mémoire. Et vingt-ans après, le charme était plus fort que jamais. Elle sentit sous ses pieds le sable compact et humide que la dernière vague venait de lécher. L'écume blanchissait ici et là le rivage, mais l'eau ne touchait pas encore sa peau. Elle avança avec précaution en tâtonnant avec ses orteils pour ne pas trébucher sur un rocher ou se couper avec un coquillage. Un pas de plus, et elle sentit le sable plus mouillé, doux et fuyant. Elle rouvrit la bouche pour aspirer les gouttelettes invisibles que l'air charriait, et les savoura comme elle l'avait fait avec la brise. Avant qu'elle ait fait un autre pas, une nouvelle vague échoua sur ses chevilles et la tiédeur enveloppa ses mollets en éclaboussant ses jambes nues. Sarah s'accroupit lentement et les flots embrassèrent son corps tel un millier de baisers, l'écume trempant son short. Elle frissonna de plaisir, et se laissa aller en arrière pour que l'eau couvre son visage de sa volupté iodée. Elle contint sa respiration jusqu'à ce que la vague se retire. Elle ouvrit les bras, mais l'océan ne se laissait pas étreindre, et elle referma les paupières, ses yeux la brûlaient à cause du sel de la mer et du soleil. Ils avaient fait l'amour sur cette plage, leurs cris couverts par la clameur de l'océan. Il l'avait caressée et embrassée jusqu'à la faire trembler. Elle avait guidé son sexe en elle, croyant lier leurs corps pour toujours. Elle s'était fourvoyée. Peu importait qu'ils aient vécu un été de passion, leur histoire n'avait pas tenu. Le plaisir était éphémère, elle le savait, et tout avait une fin. Elle commença par se caresser. Le sable érafla sa peau lorsqu'elle pressa ses seins. Sarah écarta ses cuisses pour que la mer lèche son sexe et elle souleva ses hanches, nostalgiques du poids qui répondait à son mouvement, autrefois. Les eaux se retirèrent, laissant son corps exposé à l'air froid de la nuit. D'autres vagues bercèrent son corps. Cela faisait très longtemps qu'elle ne s'était pas donné du plaisir, si longtemps que ses mains semblaient appartenir à une autre femme. Il n'avait pas été son premier amant, ni le premier homme à la conduire à l'orgasme. Il n'avait même pas été son premier amour. Mais il avait été le seul à la renverser rien qu'avec un sourire, et le seul à la faire douter d'elle-même. Son immense talent littéraire et sa grande modestie. Pour lui, la vie était un roman. C'était un personnage de roman. C'était avec lui qu'elle avait plongé au plus profond de la passion, pourtant elle ne s'y était pas noyée. Pourquoi cet amour d'une saison continuait-il à l'habiter ? Ce n'avait été qu'un chapitre dans le livre de sa vie, à peine quelques pages. Elle avait passé plus d'années sans lui qu'avec lui, beaucoup plus. Mais rien de cela ne comptait. Lorsqu'elle se caressait, c'était à son sourire qu'elle pensait, à sa voix murmurant son prénom, à ses doigts enlacés aux siens. La main qui saisit sa cheville était aussi tiède que l'eau, et le temps d'une seconde, elle pensa qu'il s'agissait d'une algue. Le poids d'un corps, un poids solide, la recouvrit. Elle ouvrit la bouche et ses lèvres rencontrèrent un vrai baiser. Elle aurait dû crier et se défendre de cet inconnu qui arrivait de nulle part, sur la plage de Donnant dans le noir. Mais ses mains ne lui étaient pas inconnues. Ce n'était qu'un fantasme, une simple chimère, mais peu lui importait. Elle s'ouvrit à lui comme elle s'était ouverte à la mer. Demain, lorsque le soleil se lèverait sur sa peau écorchée et rougie par le sable, elle aurait le temps de se traiter de folle, mais, cette nuit, l'appel du désir était trop fort pour s'y soustraire, son corps la poussait à céder. Elle sentit ses mains puissantes s'enfoncer dans ses cheveux, il l'attira contre lui pour s'emparer de sa bouche. Sous elles, elles pouvait sentir le relief de ses vertèbres. Les vagues allaient et venaient, mais la marée baissait et les flots ne les couvraient plus. La mer le lui avait ramené, et elle accepta ce don sans se poser de questions. Tout ce qui venait de se passer lui sembla irréel à la lumière du jour, et tant mieux. Alors elle se relèverait pour quitter la plage de Donnant et regagner son lit. Mais ce moment qui n'avait pas existé, lui sembla aussi réel que le ciel et le sable, elle ne voulut plus penser à rien d'autre de peur que tout disparaisse à jamais. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 23/07/20
Chapitre 5 : Ma femme soumise Nous sommes un couple libéré. Chacun suit ses envies. Nous avons des rencontres séparées ou des rencontres en couple. Notamment des rencontres candaulistes. Un soir, Nathalie s’adresse à moi : Chéri, je vais te parler d’un nouveau fantasme. Je t’écoute. Voilà, j’ai rencontré un homme. Pour le moment, il ne s’est rien passé. Mais il m’a proposé de devenir sa soumise.. Et qu’as-tu répondu ? Que j’allais en parler à mon mari et que nous déciderions ensemble. C’est d’abord toi que ça regarde. Mais tu ne serais pas contre ? Non. Reste à en définir les modalités. Je peux demander à cet homme, Paul, de venir un soir à la maison pour en parler tous les trois. D’accord. Paul vient donc ce soir. Nous l’accueillons autour d’un apéritif. Je m’adresse à Paul : Monsieur, quelles sont vos intentions concernant Nathalie ? Je m’appelle Paul et on peut se tutoyer. D’accord, Paul. Voilà, ta femme m’intéresse, je sens qu’elle pourrait devenir une bonne soumise. Et j’ai eu l’impression qu’elle n’était pas contre. Mais que deviendrait notre couple ? Rien ne changera. Tu es son mari, elle restera ta femme. Rien ne doit changer dans votre relation affective ou sexuelle. Je retrouverai Nathalie lors de séances où elle m’appartiendra. Il ne s’agira que d’un rapport dominant / soumise sans aucun autre sentiment. Je choisirai également ses partenaires. A priori, pas de problème. Pourra-t-elle refuser certaines pratiques ? Bien entendu, je signerai avec elle un contrat qui stipulera les interdits. Quelle sera la durée ? Nathalie ou moi-même pourront arrêter cette relation quand nous le voudrons. Et où vous rencontrerez-vous ? Chez moi ou ici. Quel serait mon rôle ? Tu peux assister aux séances, tu peux filmer mais tu n’as pas le droit de participer. Et quel est le but ? Transformer, faire évoluer. Ta femme doit devenir une chienne. Je m’adresse à Nathalie : Qu’en penses-tu ? Ça me convient. Puis à Paul : Quelles sont les pratiques incontournables ? Sexuellement, ses trois orifices doivent toujours être disponibles sans qu’elle ait le choix. Bien entendu, si elle me suce, elle doit accepter d’avaler. Et les autres pratiques ? J’aime bien dilater chatte et anus. J’aime bien cravacher ou fouetter. J’aime bien uriner dans une bouche. J’aime bien prêter ma soumise. Nathalie a-t-elle déjà fait l’amour avec une femme ? Oui et elle adore. Je m’adresse à Nathalie : Qu’en penses-tu ? Tout ça me convient. Je m’adresse à Paul : J’opposerai quand même une objection. Nathalie ne devra pas être prostituée. Aucun souci, je suis dominant, pas un mac. Alors, c’est parfait. Paul nous présente alors un contrat en double exemplaire. Toutes les règles y sont spécifiées. Une rubrique reste à remplir : "Restrictions, la soumise refuse absolument les pratiques suivantes". Nathalie me consulte du regard et inscrit le mot "Néant". Puis elle signe les deux exemplaires. Paul fait de même. Paul et Nathalie ont chacun un exemplaire. Ils sont liés. Paul s’adresse à Nathalie. Dorénavant tu m’appelles Maître et tu me vouvoies. Bien, Maître. Nous convenons d’une date pour la première séance. Ce sera samedi en début d’après-midi. Paul s’en va. Je m’adresse à Nathalie : Satisfaite ? Oui, merci. Tu as bien réfléchi aux engagements que tu viens de prendre ? Oui. Tu ne crains pas le fouet ? Je crois que j’aimerai. Très bien. Nous sommes samedi en début d’après-midi. Nathalie est contractée. Tu es stressée, tu as peur ? Oui, peur de ne pas être à la hauteur. Mais je suis avec toi. Tu vas satisfaire Paul et, en même temps, me satisfaire. Paul arrive. Il vient me serrer la main. Je commence à prendre des photos. Nathalie s’adresse à lui : Bonjour, Maître. Bonjour, salope. À poil ! Bien, Maître. Nathalie se déshabille. Reste debout, les bras le long du corps. Oui, Maître. Paul se déshabille et s’approche de Nathalie. Il en fait le tour. Il commence à caresser les fesses puis passe sa main sur la chatte. Écarte les jambes. Oui, Maître. Il enfonce un doigt dans la chatte de Nathalie puis présente son doigt devant la bouche de Nathalie qui se met à le lécher. Puis les mains de Paul tâtent les seins de sa soumise. Ils les pincent. Nathalie émet un petit cri. Ta gueule, je ne veux pas t’entendre. Oui, Maître. Paul se place face à Nathalie et lui administre une belle paire de claques. Tu dois me remercier, connasse. Merci, Maître. Tu dois toujours me remercier pour l’attention que je te porte. Oui, Maître. Paul prend Nathalie par les cheveux et me demande de lui indiquer la salle de bain. Il fait entrer Nathalie dans le bac à douche et lui ordonne de s’agenouiller. Il entre dans la cabine et présente son sexe devant la bouche de Nathalie. Ouvre ta bouche. J’ai envie de pisser. Oui, Maître. Et tâche de ne rien perdre, je veux que tu avales tout. Bien, Maître. Paul commence à uriner, il règle son débit pour que Nathalie puisse recueillir et avaler. Je filme cette scène. Quelques gouttes ont coulé sur les seins de Nathalie. Paul donne une paire de gifles à Nathalie. Tu as laissé couler quelques gouttes. Ramasse avec tes doigts et lèche. Oui, Maître. Nathalie récupère l’urine sur ses seins avec ses doigts qu’elle lèche ensuite. Tu as oublié quelque chose. Pardon. Merci, Maître. Et Nathalie reçoit à nouveau une paire de claques. Reste à quatre pattes ! Relève bien ton cul ! Tu vas avancer jusqu’au salon en écartant bien tes cuisses ! Bien, Maître. Nathalie est au milieu du salon, à quatre pattes. Tu vas te mettre en position d’attente, jambes repliées, ton cul sur tes talons, les bras dans le dos. Oui, Maître. Paul va fouiller dans le sac qu’il a apporté et en sort un fouet. Tu vas compter à haute voix chacun des coups et me remercier. Oui, Maître. Paul commence par un coup sur les seins. Un. Merci, Maître. Et il continue ainsi en frappant de plus en plus fort. Nathalie compte jusqu’à cinq et remercie à chaque coup. Lève tes bras. Oui, Maître. Paul frappe Nathalie sur le dos. Dix coups en tout. La poitrine et le dos de Nathalie sont zébrés. Mais elle a résisté. Maintenant viens me lécher les pieds. Oui, Maître. Paul s’installe sur un fauteuil et Nathalie se déplace jusqu’aux pieds de son Maître qu’elle se met à lécher à grands coups de langue. Paul commence à transformer Nathalie en une chienne obéissante. Elle continue à lécher, elle semble y prendre du plaisir. Mets-toi à genoux et viens me sucer, salope. Oui, Maître. Nathalie avance sa bouche et commence à lécher le gland de son Maître. Caresse-moi les couilles Puis Paul lui prend la tête et lui enfonce sa queue dans la bouche. Il baise sa bouche. Il doit toucher le fond de sa gorge. Viens te placer sur moi, viens te faire baiser. Et je t’interdis de jouir. Oui, Maître. Nathalie se place à califourchon et sa chatte absorbe la queue de son Maître. Je pense que ma femme aura du mal à ne pas jouir. D’ailleurs, elle a un orgasme. Qu’est-ce que je t’ai dit, connasse ? Pardon, Maître. Tu seras punie. Oui, Maître. Tourne-toi et viens placer ton cul sur ma queue. Oui, Maître. Nathalie se place de façon à se faire enculer par son Maître. Elle effectue des mouvements verticaux pour accentuer la possession de son cul. Elle arrive à ne pas jouir. C’est au tour de Paul de jouir dans le cul de Nathalie. Viens me nettoyer la queue avec ta langue, salope. Oui, Maître. Nathalie s’agenouille à nouveau et nettoie le sexe de son Maître. Puis Paul se lève. Tu as joui, pétasse. Oui, Maître. Je vous demande pardon. Mets-toi debout. Paul prend son fouet et assène dix coups de fouet sur le ventre et sur les fesses de Nathalie. Celle-ci a dû bien entendu décompter les coups et remercier à chaque fois son Maître. Paul s’approche de moi. Ta femme s’est bien comportée sauf quand elle a joui. Si tu veux me rendre un service, tu peux l’entraîner à ne jouir que sur commande. J’essaierai. La séance est terminée. Paul se rhabille. Nous nous serrons la main. Il s’approche de Nathalie. Tu me dis au revoir et, en même temps, tu me baises les mains. Au revoir, Maître. Nathalie baise les mains de son Maître. Paul s’en va. Nathalie s’adresse à moi : Mon chéri, je vais prendre une douche. Tu peux y aller. Nathalie revient de la douche. Elle me rejoint sur le canapé. Son corps est encore marqué par les coups reçus. Alors ? Je suis ravie. Tu as aimé te faire fouetter ? C’est une révélation. J’ai adoré. Et la séance dans la douche. J’ai aimé aussi mais ce n’est pas facile de tout retenir. Tu as joui. Oui, je n’ai pas pu m’en empêcher. Paul m’en a parlé. Il aimerait que je t’entraîne à ne jouir que sur commande. J’aimerais que tu le fasses. C’est d’accord. Et les traces de fouet sur ton corps ? Je les ai acceptées. Elles te gênent ? Pas du tout. Il faudra s’y habituer. Tu as envie de continuer avec Paul ? Plus que jamais. Mais promets-moi une chose. Oui ? Si tu as envie que j’arrête, tu me le dis, j’arrête aussitôt. Continue. Qu’est-ce que ça changera entre nous ? Te faire jouir sur commande et voir les marques sur ton corps. Tu demanderas à Paul de ne pas trop te marquer pour les vacances, il ne faudrait pas faire croire que tu es une femme battue involontaire. Et toi, tu ne pourrais pas me battre ? Je pourrai essayer. Mon chéri, je t’aime. Tu m’as permis de me révéler à moi-même. Quand la prochaine séance ? Mon Maître doit me téléphoner mais j’irai certainement chez lui. Je te raconterai. Si tu veux. Je t’aime et j’ai apprécié cette séance. Ça t’a fait bander ? Oui. Nathalie s’agenouille, dégage mon sexe et l’engloutit. J’ai droit d’emblée à une gorge profonde. J’appuis mes mains sur la tête de ma femme pour accompagner ses mouvements. Je jouis rapidement au fond de sa gorge.
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Par : le 22/07/20
Un nouveau pas dans mon éducation à la soumission. J'avais rendez-vous à l'hôtel avec une domina; je l'appellerai Madame dans la suite de ce récit car c'est ainsi que j'avais pris l'habitude de l'appeler lorsque je m'adressais à elle. Je devais l'attendre dans la chambre, vêtu avec classe (pantalon, chemise, noeud papillon) mais je devais également porter un string et un bandeau noir satiné sur les yeux. Je devais avoir préparé à l'attention de la dame: champagne, coupes, des amuse-bouche, des fraises, des cigarettes... Madame m'avait également demandé d'amener mes sextoys, à savoir un rosebud et un plug anal transparent en verre; j'y avais adjoint un double dong noir acquis récemment ainsi que du gel lubrifiant. Arrivé un peu avant à l'hôtel, J'ai disposé l'ensemble de façon harmonieuse sur la table de la chambre , puis je me suis passé à a douche pour être bien présentable; j'avais pris soin de faire un lavement après mon dernier repas du matin et j'ai relavé mes fesses au savon. Je me suis habillé comme l'avait demandé Madame, j'ai attendu le SMS de Madame me disant qu'elle arrivait, je lui ai répondu en lui donnant le numéro de la chambre, j'ai entrouvert la porte de la chambre pour qu'elle puisse entrer, mis le bandeau sur les yeux et me suis assis sur le lit, les mains posées sur les cuisses. En attendant, j'entendais les femmes de chambre qui faisaient le ménage dans les chambres voisines; la porte étant entrouverte, je redoutais un peu qu'elles entrent dans la chambre que j'occupais... finalement j'ai entendu que l'on poussait la porte et j'ai entendu Madame arriver. Je me suis levé pour la saluer et elle m'a félicité sur ma tenue qu'elle trouvait très élégante; Madame a également apprécié le soin que j'avais apporté pour répondre à ses attentes: le champagne, les coupes, les fraises, les amuse-bouche, les cigarettes et allumettes... les sex toys, le gel lubrifiant spécial "back door". Madame m'a ensuite dit qu'elle allait se mettre en tenue; elle m'a fait assoir sur le lit, s'est mise devant moi et a posé mes mains sur sa poitrine qui était fort opulente, puis m'a demandé de lui enlever sa robe...j'ai dû y aller à tâtons pour trouver comment l'enlever... elle m'a ensuite demandé de lui enlever ses chaussures. J'ai ensuite dû l'aider à enfiler sa tenue de domina: ses longues bottes noires entrevues par l'espace entre le bandeau et mon visage, son corset en cuir noir avec des lanières dans le dos qu'elle m'a demandé de bien resserrer (la j'ai été autorisé à enlever le bandeau pour bien tirer sur les lanières). Ce corset laissait sa poitrine apparente, après m'avoir demandé de remettre le bandeau, elle m'a demandé de lui prendre un sein à deux mains, de le lécher, et de lui mordiller le téton... c'était plutôt excitant... elle avait les tétons volumineux et bien fermes. Après quelques instants, elle m'a repoussé en disant "ça suffit". Bien Madame... Ensuite elle m'a demandé de la prendre en photo avec son téléphone portable... (Madame voulait des photos d'elle en tenue de domina!) ce n'était pas facile avec les yeux bandés: je devais tenir l'appareil tel qu'elle me l'avait donné et prendre une photo à intervalle régulier... elle a encore changé de tenue et a continué à me demander de faire des photos... Madame est ensuite venue vers moi et a commencé à me déshabiller: le noeud papillon, la chemise, les chaussures, les chaussettes, le pantalon... Elle a tiré sur mon string pour inspecter mon sexe, je n'étais pas du tout en érection car assez impressionné par ce qui se passait et cette inconnue qui inspectait mon corps... de plus je n'étais pas là pour du sexe mais pour être soumis au désirs de Madame. Elle ma demandé de me retourner et de me mettre à quatre pattes, puis a tiré un peu sur le string, a attrapé une fesse dans chaque main pour bien les écarter et a craché à deux reprises sur mon anus pour le lubrifier... C'était très excitant de recevoir les crachats de Madame dans le cul. Puis elle a introduit directement le plug en verre dans mon anus et l'a enfoncé jusqu'au bout sans ménagement; c'était trop douloureux et je me tordais de douleur, j'avais l'impression qu'on me déchirait... j'ai dû l'enlever car c'était vraiment trop douloureux. J'ai suggéré à Madame de me mettre d'abord le rosebud ce qu'elle a fait un peu à contre coeur... celui là est rentré bien plus facilement... Elle m'a fait allonger sur le dos et a commencé à me faire découvrir ses différents instruments: cravache, martinet, un long fouet... Elle faisait tournoyer ses jouets au dessus de mon corps et m'effleurant de temps en temps... c'était assez effrayant... pas douloureux car elle ne portait pas les coups pour le moment mais effrayant d'entendre l'air siffler au passage des lanières. Elle a ensuite fouetté un peu plus violemment mon torse et mes cuisses avec le martinet... la sensation était plus douloureuse surtout quand une lanière s'abattait sur mon sexe même si ce n'était pas lui qui était visé... je me tordais comme un ver de terre... Madame a ensuite ouvert la bouteille de champagne, a servi deux coupes et m'en a donné une... nous avons trinqué à notre rencontre... elle a glissé un peu de nourriture dans ma bouche et nous sommes passés à la suite... Madame a dit qu'elle allait m'encorder, pas vraiment façon shibari mais plutôt pour décorer mon corps avec des cordes d'une façon qui soit à son goût... Pratiquant moi-même l'encordage j'étais plutôt ravi de me prêter à cette activité... de toutes les façons, ravi ou pas c'était Madame qui décidait. L'encordage a pris pas mal de temps, je prenais les positions demandées et je sentais les cordes glisser sur mon corps, se serrer autour de mon buste, de mes cuisses... Pendant l'encordage Madame me racontait son plaisir d'encorder, de faire glisser les cordes sur la peau, de glisser ses mains sur mon corps... En plus des cordes, Madame m'a également ajouté les pinces à tétons que j'avais amenées et à la fin m'a ajouté un collier de soumis avec une laisse, en me disant: "maintenant que tu as le collier, tu obéis bien à mes ordres!"... "Oui Madame..." Puis Madame a fait des photos en me demandant de prendre différentes poses, en tenant la laisse à la main ou encore son fouet dans une main et le martinet dans une autre... Je me suis conformé bien docilement à ses ordres, c'était plutôt agréable de prendre les poses, d'être son objet... Elle m'a fait mettre à quatre pattes sur le lit, les fesses bien exposées et a commencé à me donner des claques sur les fesses avec ses mains, des coups de martinet violents ou comme des caresses ou encore des coups de cravache... je sentais mes fesses de plus en plus chaudes, douloureuses et rougissantes... Madame m'a demandé de compter à haute voix les coups de martinet et uniquement de martinet, sans compter les claques, sans compter les coups de cravache, sans compter les effleurements comme des caresses... je devais reconnaître ce qui me tapait et ne compter que les coups suffisamment forts... si j me trompais je recevais évidemment une punition sous forme de coups gratuits que je ne devais pas compter... nous avons arrêté l'exercice après un long moment et un décompte de 70 coups de martinet... mes fesses étaient plutôt rouges et douloureuses. Madame a refait des photos de mes fesses rouges en posant quelques instruments sur mon corps: fouet, martinet... J'étais toujours à 4 pattes et madame est venue présenter une fraise devant ma bouche; je pensais que c'était pour me nourrir puis j'ai compris que Madame voulait que je la suce comme le gland d'un sexe masculin; j'ai commencé à lécher et sucer la fraise... Madame m'a dit "Bien!" en me demandant si j'aimais sucer des bites. J'ai répondu "Oui Madame" et la maîtresse m'a dit qu'il faudrait qu'elle me trouve des mecs à sucer... J'ai continué à sucer la fraise et finalement je l'ai avalée... Madame m'a alors dit à l'oreille "Je suis sûre que tu voudrais que je te prenne au gode ceinture"; j'ai répondu "Oui Madame" tout en étant un peu inquiet de la taille de l'engin... Madame s'est positionnée derrière moi, a enlevé le rosebud qui était toujours profondément enfoncé dans mes fesses, m'a longuement léché l'anus en profondeur puis a introduit le double dong noir après l'avoir lubrifié... elle a laissé le double dong pendre de mes fesses et a chaussé son gode ceinture; elle est venue près de ma bouche pour que je suce le gode, que j'avais du mal à prendre en bouche... Madame gémissait comme si elle avait un vrai sexe d'homme que j'étais en train de sucer... Après un moment, elle s'est levée, est passée derrière moi, a retiré le double dong de mes fesses et a présenté son gode ceinture à l'entrée de mes fesses; il est entré plus facilement que je ne pensais et madame à commencé à faire des allers retour dans mon cul; elle me demandait de bien m'empaler dessus pour que mes fesses rejoignent son ventre... Madame m'a alors donné l'autorisation de me branler et j'ai joui assez rapidement. J'étais complètement épuisé... Nous nous sommes faits un câlin dans les bras l'un de l'autre puis a commencé la longue période pour défaire les cordes et ranger la chambre... J'ai remercié Madame pour tout ce qu'elle m'avait fait et j'ai repris la route pour Toulouse... Deux jours plus tard, mes fesses me faisaient toujours mal et portaient encore la trace de certains coups de martinet... ce fût pour moi une très belle première expérience de rencontre à l'aveugle, soumission, encordage et prise au gode ceinture...
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Par : le 21/07/20
Elle l'attendait, sagement assise derrière le volant. Leurs bouches se rejoignirent à l'intersection des deux sièges selon un rituel tacitement établi depuis qu'elles se retrouvaient dans la clandestinité. Mais, en deux ans, elles avaient appris à le bousculer à tour de rôle, afin que jamais l'habitude n'entamât la passion. Elles échangèrent un long baiser, si imaginatif qu'il pouvait à lui seul dresser l'inventaire exact de tout ce qui peut advenir de poétique et de prosaïque entre deux êtres soumis à leur seul instinct, du doux effleurement à la morsure, de la tendresse à la sauvagerie. Toutes les figures de l'amour s'inscrivaient dans cette étreinte. Elle avait la mémoire de celles qui l'avaient précédée. Quand leurs bouches se reprirent enfin, elles n'étaient qu'un seul et même souffle. Anticipant sur son premier mot, Sarah posa son doigt à la verticale sur ses lèvres et, dans un sourire de connivence, entraîna Patricia hors de la voiture. Après qu'elles eurent tout doucement refermé les portes et fait les premiers pas sur la pointe des pieds, comme si l'extrême discrétion leur était devenue une seconde nature, elle la prit par la main et l'engagea à sa suite dans une des rares stalles encore vides. À l'ardeur qu'elle y mettait, Patricia comprit que ce jour-là, encore une fois de plus, elle dirigerait les opérations, du moins dans un premier temps. Alors une sensation inédite l'envahit, la douce volupté de se laisser mener et emmener par celle qui la traiterait à l'égal d'un objet. En s'abandonnant sous la douce pression de ses doigts, elle n'était déjà plus qu'un corps sans âme, qu'une soumission charnelle en répit. L'endroit était humide et gris. Il en aurait fallut de peu pour qu'il paraisse sordide. Ça l'était juste assez pour ajouter à leur excitation. Certains parkings peuvent être aussi borgnes que des hôtels. Un rai de lumière, provenant d'un des plafonniers de l'allée centrale, formait une diagonale au mur, à l'entrée du box. Il n'était pas question de descendre le lourd rideau de fer, elles se seraient retrouvées enfermées. Patricia s'appuya le dos contre le mur, exactement au point où le halo venait mourir, de manière à réagir à temps au cas où quelqu'un viendrait. Avant même que Sarah pût l'enlacer, elle lui glissa entre les bras tout en tournant le dos, avec cette grâce aérienne qui n'appartient qu'aux danseuses, puis posa ses mains contre la paroi, un peu au-dessus de sa tête, et cambra ses reins tandis qu'elle s'agenouillait. Depuis tant de mois qu'elles s'exploraient, pas un grain de leur peau n'avait échappé à la caresse du bout de la langue. Du nord au sud et d'est en ouest, elles en avaient investi plis et replis, ourlets et cavités. Le moindre sillon portait l'empreinte d'un souvenir. La chair déclinait leur véritable identité. Elles se reconnaissaient à leur odeur, se retrouvaient en se flairant. Tout avait valeur d'indice, sueur, salive, sang. Parfois un méli-mélo de sécrétions, parfois le sexe et les larmes. Des fusées dans la nuit pour ceux qui savent les voir, messages invisibles à ceux qui ne sauront jamais les lire. Si les humeurs du corps n'avaient plus de secret, la subtile mécanique des fluides conservait son mystère. Mais cette imprégnation mutuelle allait bien au-delà depuis qu'elles s'étaient conté leurs rêves. Tant que l'on ne connaît pas intimement les fantasmes de l'autre, on ne sait rien ou presque de lui. C'est comme si on ne l'avait jamais vraiment aimé. Patricia savait exactement ce que Sarah désirait. Se laisser prendre avant de s'entreprendre. Un geste juste, qui serait juste un geste, pouvait apparaître comme une grâce, même dans de telles circonstances, car leur silence chargeait de paroles le moindre de leurs mouvements. Elles n'avaient rien à dire. Demander aurait tout gâché, répondre tout autant. Elles pouvaient juste surenchérir par la crudité de leur langage, un lexique de l'intimité dont les prolongements tactiles étaient infinis, le plus indéchiffrable de tous les codes en vigueur dans la clandestinité. Tandis que Patricia ondulait encore tout en s'arc-boutant un peu plus, Sarah lui déboutonna son jean, le baissa d'un geste sec, fit glisser son string, se saisit de chacune de ses fesses comme s'il se fût agi de deux fruits murs, les écarta avec fermeté dans le fol espoir de les scinder, songeant qu'il n'était rien au monde de mieux partagé que ce cul qui pour relever du haut et non du bas du corps, était marqué du sceau de la grâce absolue. Puis elle rapprocha ses doigts du sexe, écarta les béances de la vulve et plongea ses doigts dans l'intimité moite, si brutalement que sa tête faillit heurter le mur contre lequel elle s'appuyait. Ses mains ne quittaient plus ses hanches que pour mouler ses seins. Le corps à corps dura. Là où elles étaient, le temps se trouva aboli. Toute à son ivresse, elle ne songeait même plus à étouffer ses cris. Fébrilement, au plus fort de leur bataille, Sarah tenta de la bâillonner de ses doigts. Après un spasme, elle la mordit au sang. De la pointe de la langue, elle effleura délicatement son territoire à la frontière des deux mondes, avant de s'attarder vigoureusement sur son rosebud. Un instant, elle crut qu'elle enfoncerait ses ongles dans la pierre du mur. Elle se retourna enfin et la caressa à son tour sans cesser de la fixer des yeux. Toute l'intensité de leur lien s'était réfugiée dans la puissance muette du regard. Car si Sarah l'aimait peut-être, l'aimait sans doute, Patricia sentait que le moment n'était pas éloigné où elle allait non plus le laisser entendre, mais le lui dire, mais dans la mesure même où son amour pour elle, et son désir d'elle, allaient croissant, elle était avec elle plus longuement, plus lentement, plus minutieusement exigeante. Ainsi gardée auprès d'elle les nuits entières, où parfois elle la touchait à peine, voulant seulement être caressée d'elle, elle se prêtait à ce qu'elle lui demandait avec ce qu'il faut bien appeler de la reconnaissance, plus encore lorsque la demande prenait la forme d'un ordre. Chaque abandon lui était le gage qu'un autre abandon serait exigé d'elle, de chacun elle s'acquittait comme d'un dû; il était étrange que Patricia en fût comblée. Cependant, elle l'était. La voiture était vraiment le territoire de leur clandestinité, le lieu de toutes les transgressions. Un lieu privé en public, ouvert et clos à la fois, où elles avaient l'habitude de s'exhiber en cachette. Chacune y reprit naturellement sa place. Elle se tourna pour bavarder comme elles l'aimaient le faire, s'abandonnant aux délices de la futilité et de la médisance avec d'autant de cruauté que l'exercice était gratuit et sans danger. Elles ne pouvaient que se sentir en confiance. Scellées plutôt que liées. Patricia était le reste de Sarah, et elle le reste d'elle. Inutile d'être dénudé pour être à nu. Tout dire à qui peut tout entendre. On ne renonce pas sans raison profonde à une telle liberté. Au delà d'une frénésie sexuelle sans entrave, d'un bonheur sensuel sans égal, d'une connivence intellectuelle sans pareille, et même au-delà de ce léger sourire qui emmène plus loin que le désir partagé, cette liberté était le sel de leur vie. Elle la prit dans ses bras et lui caressa le visage tandis qu'elle se blottissait contre sa poitrine. À l'extérieur, l'autre vie pouvait attendre. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 21/07/20
Deux mecs pour ma lopette... Je veux que ma chienne accepte ! Ma lope se doute BIEN de mes intentions mais elle ne sait pas vraiment ce que j'attends d'elle ! Je veux qu'elle comprenne bien qu'à l'avenir je ne vais plus me contenter juste d'une seule bite mais qu'elle doit devenir une véritable petite salope! Elle devra sucer et honorer tous les mâles qui ont envie d'elle. - Chérie je veux que tu cherches deux mecs sur internet pour ce soir! - Comment ça deux mecs Maîtresse? - Tu as très bien compris DEUX ! Deux mecs pour ma lopette. Ma chienne à trouvé deux mecs assez facilement! Elle s'est préparée pour les recevoir. Après une brève présentation et quelques explications sur ce que j'attends d'eux, les deux mâles se déshabillent et vont s'installer sur le divan. - Voila ma chienne va les sucer ils attendent que ça! Deux mecs ? - OhhhMaîtresse ! - Discute pas tu es ma pute et fais ce que je demande un point c'est tout! Ellecommence à les sucer et les branler sans rien dire. Elle adore les bites et ça se voit. - Tu aimes ça hein grosse salope? - Oh oui Maîtresse j'adore. - Je te rassure tu es à ta place et tu es une bonne petite pute qui offre sa bouche gratuitement. Oh tu as une belle salope qui suce à merveille on voit qu'elle aime la bite! Deux mecs pour ma lopette, ça fait trois ans que je la conditionne pour qu'elle devienne une bonne chienne! -Tu peux être fière de ton travail j'ai rarement rencontré une telle salope! - Allez grosse pute suce nous bien... - Elle suce à merveille effectivement et vous allez pouvoir la baiser comme vous voulez! - Super on va bien profiter alors! Je donne un peu d'aide à ma lope et j'en profite pour sucer moi aussi ces deux mâles. Je suis la Maîtresse et je ne vais pas me priver et profiter moi aussi. - Tu vois lopette Maîtresse à tout à y gagner avec toi... tu es une fiotte qui me permet de sucer et de me faire baiser comme je veux sans que tu ne puisse plus rien dire! - Oui Maîtresse! - Tais toi et suce moi cette queue! - Maîtresse aussi en a une très bonne et je vais bien la sucer devant toi ! Je profite moi aussi des deux bites offertes même si c'est ma lope que j'ai envie de voir bien utilisée. - Allez les mecs enculez-moi cette salope elle a besoin d'être abusée pour comprendre ce à quoi elle sert! Q - Mmmm cette chienne se dilate bien on va pouvoir y aller comme dans du beurre! - Couche toi sur le divan salope on va t'enculer! - Oui allez-y profitez bien de ma lopette elle est la pour servir de vides couilles et s'offrir totalement! - On va bien en profiter tu peux nous croire... on va lui apprendre ce que c'est que de n'être plus qu'une bonne salope à bites bien soumise ! Je suis ravie car ma chienne va se sentir vraiment humiliée ! - Allez vas y encule la bien elle adore ça ma lopette! - Ah ouais une dans le cul et une dans la bouche tu as transformé ton mec en véritable chienne je te félicite ! - Ah ça fait assez longtemps que je la conditionne pour ça! Deux mecs pour ma lopette suce et se fait prendre sans aucune retenue sa bouche gobe cette belle grosse bite et sa chatte anale est travaillée en même temps. Je remarque que ma petite lopette commence à aimer se sentir ainsi utilisée et je suis assez fière de voir que mon conditionnement porte ces fruits. -Tu aimes te faire baiser ainsi ma chérie on dirait? - Oh oui Maîtresse j'aime ça me sentir bien offerte! Elle commence à crier tellement elle se fait prendre dans le cul mais j'ai pas l'intention de la laisser la moindre possibilité de se soustraire à ces mecs. - Allez on va l'installer sur le chevalet les gars et vous allez continuer à lui dilater les trous! - Quelle chienne regarde ça mes doigts massent son intimité et elle s'ouvre bien! -Oui et ma lope bande plus elle se sent femelle ! -Ah ben ouais tu l'as bien conditionné, une vraie lope! - Merci les gars - Vas y ma chienne suce moi bien... lubrifie ce préservatif pour que je t'encule encore une fois j'ai envie de gicler dans ton cul! c'est bon d'avoir a sa disposition une lopette de ton genre! Je sens qu'elle va se souvenir longtemps de cette soirée et j'espère qu'elle sera fière! La soirée se termine et les mecs sont partis. - Alors ma lopette comment tu te sens? -Honteuse Maîtresse. - Mais tu dois être fière tu as fait du bien à deux mecs et ils ont été ravi ! - Je sais pas trop Maîtresse! - Moi je sais et je décide, tu seras ma lope? - Votre lope Maîtresse. - Bravo tu as compris et être fière ! -Oui Maîtresse
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Par : le 20/07/20
Anita adore fumer un havane sur son balcon, le soir, paisible et détendue, avec un bon verre de grappa à coté. Elle s'installe dans un beau fauteuil, allonge ses longues et belles jambes, et se laisse aller à méditer. Elle est bien, elle peut rester des heures ainsi. Juste tirer sur son havane et respirer, s'imprégner de tous les subtils arômes du tabac pur. Elle voyage en esprit, au gré de ses rêveries. C'est la grande paix du soir. Les gens rentrent chez eux, allument leurs télévisions. Les rues se vident. La nuit est là dans cette cité de banlieue, où tous les balcons se ressemblent. Tous, sauf celui d'Anita, elle est la seule fumeuse de havane et jusque tard dans la nuit. Pedro, son homme se couche tôt. Il est médecin urgentiste dans un grand hopital. Il bosse beaucoup, gagne bien sa vie et ne baise plus. Il est impuissant. Castré par Anita et sous cage de chasteté, comme cela il ne l'embête plus. Et impossible pour lui de draguer avec son sexe sous cadenas acier. Il bossse et se couche tôt, comme cela Anita peut fumer son cigare tous les soirs. Parfois elle se caresse et se fait jouir . Elle préfère se donner du plaisir seule, c'est plus jouissif. Parfois elle joue avec Pedro, un soumis qui adore recevoir le fouet. Elle lui laboure bien les reins, l'oblige à lui nettoyer sa chatte pour dire merci et zou, dodo au pied du lit dans un panier pour chien. C'est vrai que Pedro est très gringalet. Le panier est à sa taille. Un bon toutou bien dressé qui dort aux pieds de sa maîtresse. Elle aime aussi plugger son homme. Le massage de la prostate le fait jouir. C'est sa seule façon, comme il est impuissant, d'atteindre l'orgasme. Ce qui fait rire Anita c'est qu'avec les plugs, le plaisir arrive parfois sans prévenir. Elle s'amuse de voir Pedro devenir rouge, haleter et se tortillonner. -ben ma salope, tu mouilles encore ton slip. Il va falloir que je te corrige avec le fouet. Tu n'as pas honte de faire tes cochonneries dans ta culotte ! Je vais t'obliger à porter des couches. Pedro devient encore plus rouge, ne répond pas et se prend de belles baffes bien sonores. La morale de cette histoire c'est que les fumeuses de havane préfèrent les cigares aux bananes.
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Par : le 20/07/20
Un vent frais murmurait dans le feuillage, secouant tendrement chacune des folioles ovoïdes, comme autant de confettis célébrant le passage de leurs hôtes de marque. Au cœur de cette nuée allant d’émeraude en absinthe, pendaient de généreuses grappes blanches, lourdes de leurs centaines de pampilles, lustres de lumière parsemée présidant à ce défilé. Le souffle, taquin, se chargeait de répandre leur délicieuse senteur sucrée, la laissant, gourmande, monter aux papilles de nos jeunes promeneurs. Gambadant d’un arbre à l’autre, le murmure cessait pour mieux reprendre, semblable aux chuchotements d’une foule admirative et béate. La frondaison s’était faite nef, théâtre de cette auguste procession. Le comte n’avait pas dit mot depuis qu’ils avaient emprunté le corridor végétal bercé d’ombres et de lumières concentrées, aussi claires et vives qu’un soleil ardent à travers une lentille, se contentant de regards dissimulés adressés à sa compagne d’excursion. Elle, impassible et fixée sur la route, les mains serrées sur ses rennes, ne perdait pourtant rien de ses œillades chargées de conflits intérieurs. Derrière son indifférence, elle se délectait du trouble et du désordre que traduisaient les pupilles bleutées de son jeune soupirant. Elle aurait sans doute pu en conter le moindre remous, balloté entre désarroi, incompréhension et attirance coupable, peut-être même admiration. Mille maux lui étaient nécessaires pour calmer l’émoi que cela lui procurait. Elle devenait gourmande de ses yeux clairs qui venaient de se baisser devant les certitudes de son regard. Un féroce appétit d’en jouir là et maintenant, qu’elle s’efforçait de réprimer, serrant encore plus fort les sangles de cuir dans ses poings menus. Ni lui, ni sa monture ne devait en ressentir le moindre tressaillement, elle se devait de contenir leur force, nécessaire préalable à leur docilité. De plus en plus éblouissant, le point de lueur grandissant au bout de leur chemin de verdure, lui servait de point de fugue : robuste récif de contenance auquel elle s’accrochait fermement. Ils débouchèrent sur une large clairière bordée en son tour par une épaisse forêt de chênes et de châtaigniers. A peine à quelques pas, un minuscule édifice, à peine grand comme un abri de vigneron, se dressait face à eux. Pourvu d’une étroite arche gothique, pauvrement décorée, il arborait fièrement sa petite croix sur son couvre-chef de tuiles : l’Oratoire. Destiné à accueillir quelques obscurs prédicateurs errants, Élisabeth trouvait cet insignifiant monument aussi pathétique que touchant. — Je m’attendais à quelque chose de plus grand pour célébrer nos fiançailles, lança-t-elle rieuse à son suzerain qui ne l’était plus tant. Sans doute encore décontenancé, il ne sut lui opposer qu’un rire, néanmoins empli d’une évidente complicité, avant d’enfin révéler l’objet de leur expédition. — Ce sont les vignes que je voulais vous montrer. En effet depuis l’Oratoire, un large chemin sablonneux divisait la clairière en deux, fendant des parcelles de vignes aux troncs robustes, presque dissimulés sous une dense chevelure de rameaux hirsutes. Les deux pièces semblaient s’ouvrir comme des ailes autour de l’échine de sables gris, offrant un écrin mystique au modeste Oratoire contrit. Il descendit de cheval, puis se proposa à sa compagne pour l’inviter à le rejoindre. Élisabeth observait ce nouveau territoire, humant chacune de ses senteurs, attentive à chacune des formes du terrain, ne laissant rien paraître de son expertise à son mandataire. Elle avança d’une dizaine de pas entre les règes basses et touffues, s’accroupit légèrement pour caresser la terre du creux de sa paume. Elle ébouriffa tendrement le pelage de feuilles vert pâle d’un cep à sa droite, avant de scruter le regard du comte, resté en retrait. A quelques coudées d’elles, il n’osait le moindre geste, attentif à un quelconque signe de la sachante, inquiet du bien-fondé de cette visite et de son jugement. — Que voulez-vous savoir sur cette terre ? lui demanda-t-elle, rassurante et posée, comme si elle avait senti la nécessité de calmer l’anxiété de son protégé. — Notre intendant m’a informé de la prochaine mise en vente de ces parcelles. Il m’en a vanté les mérites, mais je n’ai confiance qu’en vous. — Qu’imagine-t-il en faire ? interrogea-t-elle, inquisitrice à nouveau. — J’imagine qu’il envisage d’augmenter notre production. Élisabeth sourit, mêlant la compassion de son regard au sarcasme de son expression. — Venez près de moi, lui ordonna-t-elle doucement. Il s’approcha docilement et vint s’accroupir auprès d’elle. Dans un souffle, elle s’empara fermement de son poignet et plaqua presque férocement sa main contre la terre, tiédie du fil de cette lumineuse journée printanière. Elle guidait sa paume contre la surface irrégulière, révélant à son toucher la rondeur des grosses graves clairsemées, blotties dans leur rugueuse couverture de sables. — Que ressentez-vous ? — Elle semble sèche et presque chaude, et … râpeuse ? — En effet, il n’y aucune douceur dans cette terre, ni le gras des argiles, ni la soie des limons. Que voyez-vous ? — Elle est très grise, presque noire. — Absolument. Vous parait-elle semblable à l’une des nôtres ? Il retint sa réponse, il savait. Cette terre n’avait rien de commun avec celles de leur cher enclos. Il lui semblait même pouvoir deviner ce qu’Élisabeth pouvait lui en dire. Sans avoir à l’exprimer, elle lui déconseillait cette acquisition. — Que voyez-vous d’autre ? — Eh bien, les feuilles. Elles semblent d’un vert assez pâle, presque semblable à nos Merlaus, cependant elles sont plus fortement découpées, mais moins que nos Petites Vidures. De quoi s’agit-il ? — Monsieur l’intendant n’a pas pris la peine de vous en informer ? soupira-t-elle désespérée par l’inconséquence de ce comptable, ignorant de toutes choses. — Non, murmura-t-il, gêné. — Ce sont des Grosses Vidures, cousines des nôtres mais bien différentes. Ni elles, ni cette terre n’ont aucune place auprès de nos vignes, elles n’en ont pas la race. Ne vous méprenez pas, elles ont un excellent potentiel, je les crois même capables de grandes choses, mais elles ne sont pas de la même lignée. Ni elles, ni les nôtres ne méritent un mariage aussi dissonant. — Cela interdit-il toute évolution à vos yeux pour notre propriété ? se désespéra-t-il dans un soupir. — Vous souvenez-vous du bosquet que nous avons traversé ? Avez-vous remarqué ces arbres si parfumés qui le composaient ? — Oui, ils étaient très beaux, sentaient si bon, mais je ne les connais pas, je ne crois pas en avoir jamais vus. — Ce sont des robiniers, un arbre exotique rapporté des Amériques et qui n’est encore vu que pour son aspect décoratif. Feu votre père en a imposé l’utilisation pour le piquetage. Son bois est robuste et ne semble pas souffrir le passage des ans. Vous voyez que l’innovation a toute sa place. Il ne lui est requis qu’une chose, servir l’identité de vos vins, de votre terre : votre héritage. Le vent se décidait enfin à s’essouffler, laissant la fraicheur du soir se poser doucement contre la terre tiède, et Élisabeth n’avait pas lâché le poignet du jeune conte, la paume encore écrasée au sol. Sans doute espérait-il que ce moment durât éternellement, comme pour servir la majesté de cet instant décisif. Peut-être se laissait-il simplement enivrer du parfum salé de la jeune femme, qui ne lui paraitrait jamais plus belle que sous cette lumière rasante, dessinant avec élégance le moindre de ses traits, illuminant délicatement les sinueuses courbes de sa sauvage féminité resplendissante. Osant à peine profiter de ce spectacle voyeur, il laissa un petit cep touffu devant lui happer son regard, comme pour se raccrocher à la réalité, faire taire un peu du feu qui rongeait son corps tout entier. Il aurait tant aimé oser, ne serait-ce que l’effleurer. — Quelque chose vous soucie, mon cher ? — Pourquoi ne distingue-t-on pas les troncs derrière toutes ces branches ? bafouilla-t-il pour esquiver sa gêne, et la préserver du regard d’Élisabeth. — C’est parce qu’il faut faire les chausserons ! s’exclama la vigneronne exaltée. — Les chausserons ? s’étonna-t-il se sentant enfin autorisé à croiser son regard noir et si billant. Relâchant sa prise sur son poignet déjà au bord de la douleur, elle commença à trier le sommet de la chevelure de rameaux, le geste appliqué, fixée sur sa tâche méticuleuse, le cep semblait s’éclairer d’une nouvelle vie, ainsi offert à la lumière descendante. Puis délicatement, elle commença à débarrasser le tronc de la multitude de branches qui le recouvrait. Elle n’en conserva qu’une, à peu près à un pied du sol, droite et robuste, comme si elle devait être destinée à braver les éléments de son orgueil. Ainsi dépouillée, la souche paraissait presque frêle désormais, et si chétive au milieu de ses voisines joufflues. — Jeunesse débordante se doit d’être disciplinée, s’amusa-t-elle. Voilà ce que nous nommons les chausserons, mon cher Comte. Pour que les vignes puissent devenir robustes et solides, il faut choisir les meilleurs bois, ceux qui auront la force de porter de belles grappes. — Et celui-ci, ce rameau sur le tronc, qu’a-t-il de si spécial ? — Celui là est pour les tailleurs, cet hiver, c’est un rappel. S’ils trouvent au cep des velléités à s’élever trop au-dessus des autres, alors c’est avec lui qu’ils le reformeront, pour le maintenir à sa juste place et lui conserver toute sa force. Sur ces mots, elle se redressa d’un bond, et pointa le pied suivant du bout de sa cravache. — A votre tour ! ordonna-t-elle d’un naturel déconcertant, à peine ébranlé par le regard interrogatif du Comte, visiblement décontenancé. Pourtant, le jeune noble se fendit d’un léger pas de côté pour se placer devant la mystérieuse touffe de branches. Il avança timidement une main en direction d’un rameau un peu plus faible en son cœur. Le claquement de la bandelette de cuir sur le dos de sa main l’arrêta net. — Pas celui-là. Commencez toujours par les extrémités, vous devez avoir trois rameaux par bois, et sauvegarder ceux de la base quoi qu’il en coûte. C’est à ce prix que l’on contient la souche et qu’on la préserve d’une trop rapide émancipation. Fantastique ! La décharge s’était étirée tout le long de son bras, courant ensuite depuis son cou, son échine, jusque vers son sexe électrisé. Non, elle n’avait pas rêvé, ce premier coup devant le renard apeuré, n’était donc pas un accident, elle aimait ce qu’elle lui infligeait, un plaisir grisant qu’elle n’aurait jamais pu imaginer. Comment-était-ce possible ? Sans trop s’en laisser conter, le suzerain, de son côté, s’appliqua à sélectionner trois intrépides rameaux bien raides et farouchement décidés à atteindre le ciel, portant chacun fièrement leurs quatre à cinq feuilles délicatement découpées. Il s’efforçait maladroitement de reproduire l’élégante gestuelle de son enseignante, cassant à la base les tiges superflues. Deux autres branches, et puis … Un autre coup de cravache tomba, plus violent, plus ferme et maintenu à son point d’impact, sur le bras cette fois : un tressaillement le long de son épaule jusque dans le creux de ses reins. Puis la bande de cuir remonta de son bras jusque sur sa nuque, du haut en bas de son dos, contre sa colonne vertébrale, une sensation étrange, entre contrition et plaisir inavoué, paralysante. Pourquoi acceptait-il ce traitement ? L’excitation de peur, mêlée au plaisir de plaire à Élisabeth, embrasait ses pensées : les souvenirs de corrections administrées sous ses yeux à des domestiques éplorées remontaient. Il n’était pourtant pas question de pleurer, au contraire. L’influx qui le parcourait le grisait tant que ses gestes s’accélérèrent inconsciemment, de plus de plus en plus, comme pris dans un tourbillon. Un autre impact claqua sur son dos cette fois. — Du calme, je vous prie. Elles méritent de la douceur. Puis l’extrémité de la cravache remonta le long de sa nuque, avant d’exercer une pression étonnamment puissante sur l’arrière de sa tête. Il reprit son labeur, plus appliqué et méticuleux, soucieux de ne pas se voir infliger une nouvelle remontrance. Son corps pourtant criait en lui l’envie de la ressentir encore, et encore, une pulsion malsaine qu’il réprimait tant bien que mal, s’attelant avec passion à sa mystérieuse tâche. La tête du cep désormais dépouillée de l’encombrante végétation superflue, le jeune homme amorça un léger mouvement en quête du regard de la belle. La pression sur sa nuque redoubla de puissance, elle devint écrasante, lui interdisant de s’écarter de son ouvrage. La confusion le débordait, ce traitement méprisant et pourtant si bienveillant le chamboulait. — Le pied maintenant ! Étrangement docile, il s’attela à débarrasser le tronc de chacun des gourmands qui le couvraient, révélant à nouveau au jour les peluches d’écorces grisées. Un autre coup s’abattit, sur ces fesses cette fois, plus puissant encore que le précédent, jusqu’à lui arracher un gémissement, qui pourtant n’était pas de douleur. Il ne vit rien du sourire qui illuminait le visage d’Élisabeth, ni son nez fin qui s’était retroussé au son de sa délicieuse plainte. — Et le retour ? interrogea-t-elle narquoise. — Je … Je ne sais pas lequel choisir. —. Imaginez sa forme l’année prochaine, lorsque tous ces rameaux auront grandi, alors vous trouverez celui qui vous manque pour que sa forme reste harmonieuse. Au suivant ! D’un geste elle l’avait presque poussé grâce à sa claquette au bout de son manche, le plaçant nez à nez avec un autre cep, plus touffu encore que le précédent. Le Comte, bouleversé par les émotions et le conflit qui faisaient rage en lui, redoubla de vigueur devant son labeur. Emportés par sa fougue et guidés par l’adrénaline qui bouillait dans ses veines, les gestes se firent mécaniques, plus nets, plus rapides, trop rapides. Un autre coup déchira le ciel pour s’abattre sur ses reins. Il cria, de douleur cette fois. Une idée s’imposait à lui, celle d’avoir la chance de prouver sa valeur devant l’épreuve. Une épreuve que la vie ne lui avait jamais offerte, lui qui avait passé sa vie entourée de satin, de dorures et de confort, servi jour et nuit par d’autres, auxquels on ne prêtait même pas attention. Son existence entière s’éclairait d’un jour nouveau : servir les exigences et les rêves d’Élisabeth, un cadeau divin, un luxe dont elle lui faisait don et qui valait bien toutes les souffrances, peut-être même valait-il de les espérer. — Vous n’êtes pas encore un maître, soyez plus mesuré, je vous prie ! Il s’exécuta, encore, de plus en plus soumis à un trouble qui ne faisait que s’accentuer, rendant la tâche encore plus ardue. La cravache passant et repassant de sa nuque à son dos, sur son torse, et même jusque devant son entrejambe, s’y attardant même largement, le frôlant, juste assez pour dessiner l’érection qu’il ne pouvait contrecarrer. Symbole inavouable de son envie coupable. Honte supplémentaire ne faisant que brouiller encore un peu plus sa vision. Il brûlait de tout son être, pourtant incapable de briser les barreaux de l’invisible cage, dans laquelle elle le tenait du bout de son manche. Le souhaitait-il d’ailleurs ? Encore un impact, entre les omoplates. — Votre dos, bien droit ! Il me déplairait que vous finissiez bossu. De pied en pied, les remontrances ponctuées de frappes se répétaient, corrigeant chaque erreur de plus en plus fermement. La leçon devenait douloureuse, à le faire vaciller presque. Combien de fois le corrigea-t-elle de ses coups, violant sa chair comme pour en extraire le stupre caché ? Sans doute bien trop pour les compter, mais assez pour que chacun d’eux se pare de la teinte d’un délicieux supplice, infligé par la plus belle main qu’il n’ait jamais vue. Pour rien au monde il ne s’y serait soustrait. Pourtant, malgré la douleur de plus en plus lourde et diffuse, presque insupportable, il reprenait sans relâche sa position de travail, assumant chaque faute, se maudissant lui-même de l’avoir commise, comme si le seul enjeu n’était plus que d’obtenir la fierté d’Élisabeth. Les coups qui commençaient à bleuir sa peau sous sa culotte, lui arrachaient des gémissements de plus en plus audibles, des perles de larmes semblaient même vouloir naître au coin de ses yeux clairs. Il continuait, supportant cette correction par dévotion, mais plus encore par affection. Aurait-il avoué à quel point il l’aimait à cet instant ? Le sourire éclatant arboré par sa guide, qu’il ne pouvait cependant imaginer, témoignait de cette complicité qui se tendait, à chaque impact un peu plus. Il ne restait plus qu’un seul pied au bout de la rège, plus que trois branches sur le tronc, choisir un rappel, mais lequel ? Le sort en était jeté, son destin serait donc suspendu à ce frêle rameau vert, si chétif, à peine quatre pouces sous la tête ; il attendit, mais aucun autre coup ne vint. Se prit-il même à le regretter ? De son autre main, Élisabeth empoigna fermement la chevelure blonde du Comte et lui tira violemment la tête en arrière, presque à le faire choir. Son jeune élève se retint comme il put d’une main posée dans la terre de sables et de graviers, abrasive, mais pas assez pour lui arracher le moindre cri. Elle vint planter son regard dans les yeux clairs de son suzerain, désormais rendu esclave de ses caprices. Le temps avait disparu, et le soir, désormais totalement tombé leur était devenu étranger. Ne restait plus que ce pacte, diabolique et pourtant délicieux qu’ils avaient désormais lié, et que rien ne pourrait jamais entacher. Elle le scella de sa langue, perforant la fragile forteresse de ses lèvres, qui ne rêvaient que de rendre les armes devant sa stature, brillante au clair d’une lune naissante.
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Par : le 20/07/20
Elle ne la comprenait pas très bien. Plus tard, seulement, elle avait imaginé ce qu'elle voulait dire. Ce n'était qu'un rêve. Ce qui était solide et vrai, c'était son visage qu'elle voyait très bien à cette heure-là. Il était plein de reflets, comme les eaux noires qui coulaient plus bas. Ce visage ne faisait qu'un avec le fleuve. Patricia sentait qu'elle serait entraînée assez loin. Ce fleuve puissant où elle entrait aux côtés de Sarah ne la lâcherait pas. Elle voyait sa bouche qui remuait dans la nuit, pour parler. Dans une autre nuit, elles pouvaient s'approcher et s'embrasser. Comme un être fiévreux, elle se perdait dans ses cheveux, dans son corps. Des lèvres, des mains, tels étaient les charmes qui servaient à la faire souffrir. Ils l'étendaient sur des plages inconnues et la recouvraient de plaisir. Patricia sentait ce plaisir dans son sang. Elle demeurait dans un désir qui lui faisait sentir chaque centimètre de son corps. Étendue, les jambes et les bras écartés pour tenir plus de place et mieux s'offrir à ce trouble, elle ne voyait plus que les fantômes qui l'entouraient. À chaque battement de paupière, quelque chose lui sautait au visage, sa propre main nue sous les rayons de lune, sa main immobile, et pourtant cette main occupait l'espace, elle s'étendait sur son corps et le faisait trembler, elle caressait un autre corps impossible, les yeux de Patricia voyaient tout cela. Presque tout ce qu'elle avait fait avec Sarah lui revenait avec une radieuse et atroce précision. Quand des détails venaient à lui manquaient, elle passait des heures à des reconstitutions minutieuses. Elle parvenait ainsi, avec des repères dérisoires qui lui renvoyaient l'un à l'autre et au prix d'efforts démesurés, à rétablir une chronologie complète de leur relation depuis Rome. C'est dans le désespoir de ces évocations enchantées qu'elle dormait en rêvant. La nuit entière se passa à dans cet engourdissement aigu et lourd. Pauvre Patricia. Elle aimait sa Maîtresse. Elles avaient toutes deux d'étranges relations. Rien de compliqué chez elle. Elle attendait. Elle était pleine d'illusions. Ce qui lui manquait n'était pas à proprement parler Sarah, mais l'usage d'un corps de jeune fille, dont elle pût faire ce qu'elle voulût. Chaque abandon lui serait le gage d'un autre abandon qui lui serait exigé. Il serait impossible qu'elle en fût comblée. On ne pouvait pas dire qu'elle se défendit, ni se méfiât. Quand elle cédait aux châtiments, elle cédait brusquement, et l'on aurait dit entièrement, devenant soudain quelqu'un d'autre, pendant une heure, pendant une nuit. Le reste du temps, elle était à la fois provocante et fuyante, d'une incroyable habileté à l'esquive, s'arrangeant sans jamais une faute pour ne donner prise ni à un geste, ni à un mot, ni même à un regard qui permît de faire coïncider cette triomphante avec cette vaincue, et de faire croire qu'il était si facile de la forcer à la soumission. Sarah avait cru ou voulait croire, pour se donner des excuses, que Patricia serait farouche. Elle fut détrompée aussitôt qu'elle voulut l'être. Patricia n'était pas sentimentale, pourtant elle aimait sa Maîtresse et ne s'en cachait pas. Elle ressentait déjà l'orgueil qu'éprouve celle qui est l'objet de sévices de la part de l'être aimé. Chaque coup pouvait alors s'interpréter comme une marque d'intérêt, voire d'amour. Elle ne s'était jamais résignée au sort qu'elle avait librement choisi. N'ayant pas la nature d'une guerrière, ne sachant opposer la violence à la cruauté, elle avait appris à dominer celles qui usaient d'elle en rendant mystique l'offrande de sa soumission. C'est ainsi que les esclaves vivent. Elles sont les seules à détenir les clefs des caves sombres où les fantasmes des Maîtres les hissent au rang de divinités. Patricia déverouilla avec peine les cadenas qui la retenaient encore prisonnière des chaînes, dénoua rageusement le bâillon et se coucha en chien de fusil, la tête enfouie sous les draps. Elle tremblait toujours, mais de froid cette fois. Tous ses muscles, raidis par la tension des menottes métalliques, lui faisaient mal. Elle aurait voulu remuer, se lever, s'habiller. Tout effort lui semblait insurmontable. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses chaînes, elle se sentait plus impuissante que lorsqu'elles l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer fénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasmes, et cela dura assez longtemps. Elle dut dormir un peu. Lorsqu'elle s'éveilla, le silence dans la cave était total. Ne pas ouvrir les yeux. Ne pas s'éveiller tout à fait encore. Profiter du demi-sommeil pour continuer à croire que tout cela n'était qu'un rêve, un fantasme trop fort, trop présent, qui raisonnait encore en bas de son ventre. Pourquoi m'avait-elle contrainte à une telle séance ? Avait-elle voulu me faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à m'imposer un tel jeu. Cela ressemblait plutôt à un passage obligé, une sorte de rituel auquel elle-même n'aurait pu échapper. Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Sarah. Patricia secoua la tête. Elle était folle de remuer de telles pensées. Elle ne devait pas avoir peur. Et si sa Maîtresse avait encore eu l'envie de l'offrir à une amie ? Patricia avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la taraudait et ne la lâchait plus. Sarah voulait l'offrir à une amie. Elle lui a donné l'adresse. Elle lui avait dit qu'elle trouverait là une jeune femme qui n'atteint le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mime la résistance mais c'est pour mieux en profiter. N'a-t-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement les fantasmes de viol ? Des pas dans le couloir. Les voilà qui approchent. Elle cessa de respirer. Elle les entendit s'arrêter devant la porte de la cave. Une clé tourna dans la serrure. Bientôt la porte s'entrouvit. Patricia distingua dans l'embrasure une silhouette. La lumière l'aveugla. C'était Sarah mais elle n'était pas seule. Celle qui l'accompagnait la considérait d'un œil narquois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie mais mêlée d'une extrême élégance. Patricia la vit poser les mains bien tendues de part et d'autre de sa vulve avec une douceur innatendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu, du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la violence d'auparavant. Elle ouvrit son sexe comme on ouvre une orange, avec soin, en faisant attention de ne pas en perdre le nectar. Patricia ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que la fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait réussir à jouir pour la satisfaire et pour qu'elle lui fiche la paix. Peut-être que, comme avec sa Maîtresse, si elle parvenait à se mettre en situation de spectatrice, parviendrait-elle à exciter ses sens. L'inconnue passa plusieurs fois sa langue sur le sexe de Patricia, de l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, aspirant la chair tendre des petites lèvres, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut, un peu plus bas. À l'instant même où l'inconnue mordilla son clitoris, Patricia se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la jeune femme, s'étant tout à fait rhabillée, lui détacha les mains et lui donna des consignes pour leur prochaine rencontre. Ce soir-là, le sommeil ne vint pas. Bien sûr, elle avait eu peur, bien sûr elle avait eu honte. Mais aussi longtemps qu'on usait d'elle, elle n'était que pensée et désir pour Sarah. Elle l'aimait et c'est ce qu'elle voulait. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 20/07/20
Tessa et Abby sont des adeptes du wrestling, ce combat au sol qui peut être un jeu sexuel avec une dominante et une dominée. Elles ont fixé des règles simples. Le combat commence en maillot de bain et se termine par abandon de l'une des deux, peu importe la forme, mais en évitant de se blesser. Ce peut être par de redoutables armblocs, des immobilisation au sol, dés clés diverses. Les étranglements sont interdits, de même que tirer les cheveux mais pas la saisie de poils de chatte. Tessa et Abby se sont vite épilées pour éviter cela, car la saisie d'une chatte poilue fait très mal. Tessa et Abby se sont aménagées une pièce avec de bons tapis de sol pour jouer. C'est souvent Tessa qui gagne. Le prix c'est la soumission inconditionnelle de la vaincue jusqu'au combat suivant, en tout et pour tout, et bien sûr sexuellement. Abby vient encore de perdre. Tessa a réussi à lui faire une clé de jambe et elle a du abandonner à cause de la douleur. C'est le moment que Tessa préfère, celui où elle prend possession de sa soumise. Elle enserre son visage entre ses cuisses musclées et l'oblige d'abord à bien lui lécher le minou. C'est délicieux et elle jouit dans la bouche d'Abby qui doit ne pas perdre une goutte de cyprine. La fessée est un autre moment de plaisir. Abby doit couiner de douleur ! Un bon martinet en cuir fait très bien l’affaire, surtout que Tessa ne fait pas semblant quand elle frappe. Elle empoigne les cheveux de sa soumise, cette fois c'est permis et aime la corriger comme une jument rétive. Tessa adore son god sans harnais, avec une partie qu'elle introduit dans son vagin bien serré et le reste à l'extérieur, dressé comme une belle bite de mâle en rut. Un bon 30 cm et 6 cm de diamètre, de quoi bien dilater Abby. Cette dernière hurle chaque fois qu'elle se fait enculer et sans préliminaires, à la cosaque. Elle pleure, se débat, supplie, mais en vain, Tessa lui démonte chaque fois le cul, en bonne sauvage. C'est une façon de briser psychologiquement Abby et de lui faire comprendre par la sodomie qui est la Maîtresse. De toute façon Abby est rentrée dans son rôlr de soumise et de vaincue. Tessa est de loin la plus forte. Elle domine en tout. Ce soir Abby devra encore faire le service cul nu, les fessées bien zébrées au martinet. Toutes les corvées c'est pour elle. La morale de cette histoire c'est qu 'une soumise doit se la fermer, filer droit et bien obéir.
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Par : le 18/07/20
Sarah s'amusait. Elle jouait avec Patricia, elle montait et démontait de petits mécanismes et elle se promettait d'avance les satisfactions les plus vives à les voir fonctionner. Mais ce qu'il y avait surtout, c'était que les liens avec elle rentraient ainsi défintivement dans le rang des êtres et des événements dont on parle avec les autres. Ce qu'est l'amour d'abord, c'est une complicité. Une complicité et un secret. Parler d'un amour, c'est peut-être déjà le trahir. L'amour ne se passe qu'entre deux êtres; tout ce qu'on y introduit d'étranger lui fait perdre sa force et de sa pureté, le menace de mort. Sarah était plutôt de ces femmes qui n'ont pas besoin d'aimer pour vouloir enchaîner, ni d'être amoureuse pour pouvoir être jalouse. Elle entendait sans doute la voir rester fidèle, non à la passion ni à la tendresse, mais au plaisir et au jeu. Et peut-être se disait-elle en outre que Patricia était fait pour ces agréments-là plutôt que pour les flammes qui consument dans une violence et une pureté irréversible. Mais lorsque l'amour arrive, lorsque l'irréparable est là, ce qui avait été vaguement envisagé dans un hypothétique avenir frappe alors avec la brutalité incomparable de l'évidence immédiate. Le temps s'arrête. Il se roule en une boule de feu autour de trois ou quatre mots où se concentrent toute la douleur et toute la réalité du monde. La machine infernale est prête à fonctionner. Ces mots si simples qui annoncent la naissance ou la fin d'un amour se chargent d'une signification que le chagrin et le désespoir poussent indéfiniment à creuser. Ce qui surgit dans ce temps immobile, tout chargé de souffrance et de larmes encore retenues, c'est un amas énorme, un afflux de questions. Elles brûlent de crever cette membrane étroite et fragile que la stupeur du moment et peut-être une ultime et déjà désespérée prudence opposent encore à leur poussée. Car la victime de ces conjurations sait que les réponses feront souffrir. Mais si on ne choisit de ne pas céder, de survivre à ces mots qui font encore plus mal que tout, le besoin de savoir l'emporte sur toutes les sagesses. Le coup une fois porté, qui arrête le temps en une espèce d'extase de douleur qui anéantit l'univers pour ne rien laisser subsister que l'horreur et le mal, le déroulement du temps ne reprend enfin son sens que pour savoir pourquoi et comment, pour interroger sans fin, pour apprendre et pour souffrir encore. Si l'amour se persuade qu'il durera toujours, le chagrin aussi s'imagine qu'il ne s'émoussera jamais. Patricia vit parce que le temps passe et parce qu'elle n'y croit pas. Heureux, l'amour déteint sur un monde qu'il colore inlassablemement. Le temps et l'espace ne sont pas neutres dans l'amour. Ils se chargent de nos espoirs et de nos attentes, et le monde entier se couvre ainsi peu à peu d'un réseau de signes qui lui donnent parfois un sens absurde. La douleur ne se lasse pas. Elle eut encore mal. Ce que Patricia souhaitait de toutes ses forces, c'est que Sarah fût cruelle, qu'elle eût envie de la faire souffrir et de se venger d'elle. Alors elle aurait pu espérer. Car on entend des gens d'allure normale, et même sensée, volontiers parler de l'amour comme un sentiment léger, et qui ne tire pas à conséquence. On dit qu'il offre bien des plaisirs, et ce contact de deux épidermes ne va pas sans charme. On ajoute que le charme ou le plaisir donnent leur plein à qui sait conserver à l'amour sa fantaisie, son caprice et précisément sa liberté naturelle. Il faut bien penser à ce qu'il y a, dans le désir de Sarah, d'insoutenable. On voit de ces pierres, où soufflent les vents, qui bougent tout d'un coup ou bien se mettent à pousser des soupirs. Il est une décence, irréductible et prompte à châtier, qui humilie la chair assez vivement pour la rendre à sa première intégrité et la renvoie par la force aux beaux jours où le désir ne s'était pas déclaré encore et le rocher n'avait pas chanté. Une décence entre les mains de laquelle il est dangereux de tomber. Car il ne faut rien de moins pour la satisfaire que les mains liées derrière le dos, les corps écartelés, les balafres, la sueur et les larmes. À la moindre caresse, sa peau frémit. Elle ferma les yeux. Sarah contempla impunément le pur ovale du visage de Patricia. Des épaules fines et le cou gracieux. Sur la peau mate des joues et du front, sur les paupières bistrées passaient, comme, comme des risées sur la mer, de brefs frissons qui gagnaient le ventre, les bras et les doigts entrêmelés. Une émotion inconnue s'empara d'elle. Serrer une femme dans ses bras, c'est se priver de la voir, se condamner à n'en connaître que des fragments qu'ensuite la mémoire rassemble à la manière d'un puzzle pour reconstituer un être entièrement fabriqué de souvenirs épars. Les seins, la bouche, la chute des reins, la tiédeur des aisselles, la paume dans laquelle on a imprimé ses lèvres. Or, parce qu'elle se présentait ansi allongée, pétrifiée comme une gisante dans un linceul de drap blanc, Sarah découvrait Patricia comme elle ne croyait jamais l'avoir vue. Des cheveux courts d'une blondeur de blé, les jambes brunies par le soleil. Elle ne reconnaissait pas la fragile silhouette vacillante sous le fouet. Bouleversée, elle regarda longtemps le corps mince où d'épaisses balafres faisaient comme des cordes en travers du dos, des épaules, du ventre et des seins, parfois en s'entrecroisant. Patricia étendue sans défense, était infiniment désirable. Comme le suaire que les sculpteurs jettent sur une statue d'argile ocreuse encore fraîche, le drap mollement tendu épousait les formes secrètes de la jeune femme; le ventre lisse et bombé, le creux des cuisses, les seins aux larges aréoles et aux pointes au repos. L'onde tiède surprit son ventre. La blondeur accepta l'étreinte. Le ballet érotique devint un chef-d'œuvre de sensualité, un miracle de volupté. Sarah fut la corde sous l'archet, le clavier sous les doigts du pianiste, le fouet sur la chair, l'astre solaire dans les les mains d'une déesse. Ne plus s'appartenir est déjà l'extase. Les traces encore fraîches témoignaient de l'ardeur de ce duel passionnel, des courbes s'inclinant sous la force du fouet comme les arbres sous la bourrasque. La muraille d'air, de chair et de silence qui les abritait où Patricia était soumise, le plaisir que Sarah prenait à la voir haleter sous ses caresses de cuir, les yeux fermés, les pointes des seins dressées, le ventre fouillé. Ce désir était aigu car il lui rendait constamment présent sans trêve. Les êtres sont doubles. Le tempérament de feu de Patricia la conduisait à l'abnégation. Elle avait gardé les yeux fermés. Elle croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'elle contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. L'esthétique du lien. Tout à l'heure, à son arrivée, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Elle lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle lui avait dit plus fort et Sarah avait noué des liens plus étroits. Elle voulait la rendre rapidement à merci pour leur plaisir. D'elle-même alors, elle s'était laissée tombée sur le lit. Ça l'avait beaucoup excitée de la sentir aussi vulnérable en dessous d'elle. Elle s'était dévêtue rapidement. Elle lui avait relevé son shorty d'un geste sec. Elle l'avait écarté pour dégager les reins et l'avait fouettée sans échauffement. Elle reçut sans se débattre des coups de cravache qui cinglèrent ses fesses de longues estafilades. À chaque coup, Patricia remercia Sarah. Elle devint son sang. La vague accélèra son mouvement. L'ivresse les emporta et les corps ne surent plus dire non, alors, ils vibrèrent, se plaignirent, s'immobilisèrent bientôt. Sarah la coucha sur le dos, écarta ses jambes juste au-dessus de son visage et exigea d'elle avec humeur qu'elle la lèche aussitôt comme une chienne. Elle lapa son intimité avec une docilité absolue. Elle était très douce et ce contact nacré la chavira. Les cuisses musclées de Sarah s'écartèrent sous la pression de la langue et des dents. Elle s'ouvrit bientôt davantage et se libéra violemment dans sa bouche. Surprise par ce torrent fougeux, Patricia connut un nouvel orgasme qui la tétanisa, lorsqu'elle prit conscience qu'elle jouissait sans l'autorisation de sa Maîtresse, avec la nonchalance que procure le plaisir poussé à son paroxysme. Pour son plus grand bonheur, elle l'en punirait certainement sauvagement. Mais elle puise ses désirs dans ceux que sa Maîtresse soutire d'elle et qu'elle lui vole. Elle lui a donné tout son amour. Pour elle, il n'y avait pas de plus grande passion que dans l'abnégation. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 17/07/20
Anja, est une jeune fille chétive, une qui n'attire pas les garçons, avec ses cheveux raides et ses boutons. Elle n'a ni copains, ni copines et on se moque d'elle dans ce monde des réseaux sociaux où ce n'est que l'apparence qui compte. Anja a une qualité, c'est sa grande intelligence. -S'ils veulent de l'apparence, ils vont en avoir, ces petits cons et ces poulettes au culs levés. Elle s'inscrit dans un club de fitness tenu par Akim, un gay qui a la passion des beaux corps bien musclés, de l'idéal grec antique. Il aime bien Anja et ses complexes. Il a l'habitude et son histoire l'amuse. -allez Anja, on va les faire bander tous ces mecs qui se sont moqués de toi. Au travail. Pauvre Anja, au début ce sont les poids qui ont le dessus. Ce sont eux qui la font bouger, et pas l'inverse. Un cas désespérant. Heureusement Akim est là pour lui remonter le moral. Il décide de la booster un peu....protéines, testostérone, ...à l'insu de son plein grès. Elle prend du muscle, arrive enfin à bouger les poids. Elle se redresse, prend confiance. Les garçons commencent à la regarder. Avec les hormones d'Akim, son clito, Anja ignorait qu'elle en avait un, commence à gonfler. Elle jouit quand elle se caresse. Se donner du plaisir la rend belle.C'est ainsi, jouir c'est aimer la vie, peut importe la manière dont on jouit. C'est d'ailleurs le sens de l'expression « Carpe Diem » que l'on peut traduire de façon grivoise, prend ton pied tous les jours, ce n'est pas quand tu seras mort que tu pourras le faire. Akim qui est gay, se garde bien de donner des conseils à Anja, mais il sait qu'elle se caresse de plus en plus et qu'elle est devenue hyper sensible du clito.Il est temps qu'elle fasse l'amour. Est elle lesbienne, hétéro ou bi. Impossible de savoir . Anja reste secrète et semble s'autosuffire. Elle rencontre le beau Toinou, un grand brun basané et bien baraqué. Ce dernier en pince vite pour Anja et son look athlétique. Il l'invite à sortir et Anja accepte à condition que Toinou reste sage. -Pour garder un homme, il faut le faire attendre, lui conseille sa mère. Si tu veux qu'il t'aime, ne soit pas une conquête facile, il doit te mériter. Anja sourit. Cela change du temps où personne ne la regardait et où on se moquait de son corps malingre. Elle se laisse embrasser, puis caresser, et enfin dépuceler par son beau Toinou qui visiblement sait y faire. Ils se mettent en ménage. Anja découvre vite le point faible de son homme. C'est un beau macho bagarreur à l'extérieur, mais à la maison, il aime être soumis à sa femme. Cette dernière commence à jouer. Elle s’aperçoit vite qu'elle adore dominer. Elle commence par attacher Toinou et à le monter. C'est elle qui conduit les rapports sexuels. Son sexe est très musclé. Suffisamment pour retarder les éjaculation de son homme. Elle aime contrôler ses orgasmes. Elle constate qu'il adore subir. Elle passe donc à la cravache en cuir. Elle attache Toinou à la table de la cuisine avec un solide ruban adhésif . Il a beau se débattre, solidement fixé aux quatre pieds, il est totalement à sa merci. La première fois elle frappe si fort et fait si mal que Toinou hurle et bave. Elle ne joue pas sa timide. Elle le chope par la tignasse et le force à lui brouter le minou. -Ta gueule, mon homme. Tu es à ta place et tu dois souffrir en silence. Hurler c'est pour les mauviettes. Allez mange moi bien le clito et fais moi jouir. Mieux que cela ! Voilà, cela vient. Et pour te remercier tu vas en prendre une nouvelle série mais bâillonné cette fois. Et il faut pas hurler, il faut dire merci. Toinou a finit par s'habituer à la cravache et il aime de plus en plus ; Cela le fait presque jouir avec les contractions du fessier sous les coups. Cela donne des idées à Anja. Elle enfonce son index dans le cul de son homme et commence à lui masser la prostate. Il explose un orgasme et inonde les carreaux sous la table de la cuisine où il est solidemnt attaché, tout nu et le cul bien cravaché. -Mais tu aimes cela, mon Toinou, tu jouis comme une femme, ma parole. Elle continue son massage et il enchaîne les orgasmes, toujours plus saccadés et violents. Il se vide complètement de son sperme. Une vraie bonne purge. Anja découvre une nouvelle forme de torture, celle qui consiste à multiplier les orgasmes de son sujet. Il se contracte de plus en plus, il hurle de plaisir et de douleur à la fois. -Allez, une bonne séance de cravache pour te détendre à présent. ! Toinou remercie vivement. -Ben voilà, dit Anja, cette fois tu sais dire merci à ta Maîtresse. La morale de cette histoire c'est que l'art de la domination c'est parfois pousser le plaisir à l'extrême.
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Par : le 17/07/20
Sarah observa la métamorphose de ce fabuleux objet de désir, en quête de pénétration. Quelle chance pour les hommes d'avoir, greffé entre les jambes, un aussi beau jouet. Il semblait doué d'une vie propre. Voilà qu'il s'allongeait encore, comme tendant le cou pour mieux la regarder. Tout son corps cylindrique vibrait. Sa veine sombre et saillante palpitait et sous leur mince enveloppe, les testicules s'animaient comme d'un paisible mouvement de respiration. Sarah s'approcha de la bête. Elle posa le bout de la langue sur le sommet de sa tête et entama un délicieux mouvement de balayage. Le sang se mit à battre plus vite dans la veine. L'homme et son sexe se raidirent encore. Lorsque, léchant toujours, Sarah glissa vers la base du gland, Xavier étouffa un soupir. Il plongea la main dans les cheveux de la jeune femme. Ses doigts se refermèrent sur sa nuque. Sa langue continuait de frétiller le long de sa verge. Il se releva sur un coude et contempla le spectacle hallucinant de cette fille couchée à côté de lui, de ses mains lièes dans le dos, de son échine courbée par les cordes, de ses fesses pointées vers le plafond, de sa jupe troussée jusqu'aux reins. Sarah changea de méthode. Elle plaqua la langue tout entière au creux des testicules et remonta la verge jusquà la commissure du gland, là où celui-ci semble se fondre en deux comme un abricot. Elle remarqua que l'étreinte de Xavier sur sa nuque se faisait plus pressante lorsque sa langue atteignait ce triangle rose pâle. C'était là qu'il fallait donc porter l'estocade. Ravie d'avoir découvert l'endroit sensible, elle continua de le torturer ainsi. Sous ses coups de langue, il perdait peu à peu le contrôle. Il tendait le ventre, ondulait des hanches. Brusquement, il accentua sa pression sur la nuque de Sarah jusquà lui écraser la bouche contre son pénis. Ce n'était pas une prière, c'était un ordre. Elle n'eut qu'à entrouvrir les lèvres pour que, propulsé d'un coup de reins, le sexe de Xavier s'engouffre tout entier dans sa bouche. La charge portée dans sa gorge fut telle qu'elle suffoqua. Pourtant, lorsque Xavier relâcha son étreinte, elle n'eut qu'un bref mouvement de recul, juste le temps de reprendre son souffle avant de le reprendre dans sa bouche et il éjacula. Quand aux liens, moi qui ne nourrissais jusqu'ici aucun fantasme particulier à leur sujet, je leur découvre une vertu que je ne connaissais pas. Au début de notre relation, je me contentais d'entraver les poignets de Sarah pour satisfaire à ce que je croyais n'être qu'un caprice de sa part. Mais peu à peu, nous nous sommes amusés à inventer des liens de plus en plus sophistiqués, des positions de plus en plus complexes auxquelles elle se soumet toujours sans protester. Je la pense, à dire vrai, incapable de s'en passer. C'est pour cela que je n'ai pas le sentiment de l'asservir. Comment expliquer cela ? Lorsque j'entrave Sarah, c'est comme si, à la manière d'un peintre ou d'un sculpteur, j'avais soudain le pouvoir de figer sa beauté dans l'espace et dans le temps. Nos rendez-vous prennent désormais des allures de séances d'atelier. J'arrive avec une nouvelle idée de pose et des tas de cordes, de sangles, de lanières. Le ficelage prend du temps. Ce sont de longues et excitantes prémisses. Les images de Sarah ainsi ligotée m'obsèdent. La voilà nue, assise sur une chaise, les bras légèrement fléchis. Je lui ai joint les poignets à mi-dos. Les cordes s'évasent jusqu'aux épaules, comme les nervures d'une feuille dont la colonne vertébrale serait la tige. Elles s'enroulent autour des cuisses, pressées contre la poitrine, remontent jusqu'à la nuque où je les ai nouées. J'ai entravé les chevilles l'une contre l'autre, tiré la ficelle entre les fesses. Je l'ai tendue au maximum pour la fixer aux poignets. Sarah est enroulée dans un cordon de cordes. Elle n'est plus qu'un souffle impatient du plaisir à venir. Souvent, elle-même m'encourage à plus d'excentricité encore. Elle veut ne plus rien pouvoir entendre, ne plus pouvoir rien dire, ne plus rien pourvoir voir, ne plus rien pouvoir faire que d'attendre le moment où je m'enfoncerai au fond de son ventre ou de ses reins. Alors, je comble sa bouche avec un morceau de tissu, je la bâillonne d'un large sparadrap, je l'aveugle d'un bandeau sur les yeux et je lui bouche les oreilles avec des boules de cire. Je l'attache avec un soin maniaque, centimètre par centimètre, jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus remuer du tout. Je la modèle sous mes doigts comme un sculpteur manipule la glaise. Et quand enfin j'ai terminé, je prends du recul, je l'admire, immobile comme une toile, aussi lisse qu'un marbre, statue de chair, chaude et tendre, inerte et pourtant vibrante de vie. Quiconque entrant dans la pièce à ce moment-là trouverait la scène choquante. Sans doute ne verrait-il pas que l'indécence extrême d'un corps emprisonné, la mâchoire distendue par sous le bâillon, l'obscénité des cuisses maintenues ouvertes, l'insupportable étirement des muscles, la brûlure des cordes serrées contre la peau. Il ne verrait que le sordide d'une femme soumise à un plaisir de mâle. Il ne verrait que l'humiliation. Pourtant, Sarah ne s'humilie pas en se livrant ainsi. Elle met en moi une telle confiance que je ne la respecte jamais autant que lorsqu'elle est ainsi asservie. Même tordue dans ses liens, elle conserve cette grâce qui fait souvent défaut aux amants, que je ne me lasse pas de contempler. Alors, au-delà de l'excitation physique que cette vision éveille en moi, je me surprends parfois à ressentir comme une fugace émotion d'artiste. Plus tard, je caresserai le satin de cette peau. Sous mes doigts, le tressaillement d'un sein frôlé. Plus tard, je la soulèverai. Il faudra bien alors que monte le désir. Je l'empoignerai, je la pétrirai de mes doigts avides. Elle criera. Plus tard. Seulement plus tard. D'abord, je succombe à cet étrange plaisir esthétique. L'esthétique de l'entrave. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/07/20
Il se tourna tout à fait vers Juliette, toujours allongée sur le ventre. La nuit était tombée depuis un petit moment, une nuit claire de pleine lune qui tapissait la chambre d'ombres bleues. Elle avait gardé les yeux fermés. Il croyait qu'elle s'était endormie tandis qu'il contemplait son corps inerte, ses poignets croisés juste à la cambrure de ses reins, avec le nœud épais de la ceinture du peignoir tout autour. Tout à l'heure, losqu'il était arrivé, elle n'avait pas dit un mot. Elle l'avait précédé jusqu'à la chambre. Sur le lit, il y avait la ceinture d'éponge de son peignoir. À son regard surpris, elle n'avait répondu qu'en se croisant les mains dans le dos. Il lui avait entravé les poignets sans trop serrer mais elle avait dit plus fort et il avait noué des liens plus étroits. D'elle-même alors, elle s'était laissée tomber sur le lit. Cela l'avait beaucoup excité de la sentir aussi vulnérable en dessous de lui. Il s'était dévêtu rapidement. Il lui avait retroussé la jupe d'un geste sec. Il avait écarté le string pour dégager les fesses et l'avait pénétrée ainsi, tout habillée. Jamais Juliette n'avait senti plonger en elle un membre aussi raide. Le plaisir du viol, peut-être, ou le frottement de l'élastique du string contre son pénis avaient aiguisé l'ardeur de Xavier. Longtemps, il l'avait pénétrée ainsi, les mains posées à plat sur ses épaules. Longtemps et méthodiquement, dilatant du gland seulement l'entrée de l'orifice le plus étroit, pour l'élargir encore plus, s'enfonçant ensuite lentement, puissamment entre ses reins. Longtemps et à son rythme. Il allait et venait, d'avant en arrière, de haut en bas, ou imprimant à son sexe un mouvement de rotation comme s'il voulait explorer le moindre recoin de ses entrailles, non pour lui faire mal ou pour l'humilier, mais seulement pour la satisfaire car Juliette lui avait avoué qu'elle préférait être prise ainsi. Alors c'était lui, et lui seul qui menait la danse. Si elle s'avisait de remuer un peu trop le bassin, au risque de précipiter le dénouement, une claque sur les fesses la ramenait vite à plus raisonnable docilité. Elle feignait la douleur, faisant semblant de chercher à se détacher de l'étreinte en se tordant les poignets pour le seul plaisir de se sentir vulnérable et prisonnière. C'était cela, un homme était entré de force chez elle. Il l'avait bousculée, insultée, ligotée et maintenant elle gisait là, en dessous de lui, sous son contrôle, subissant ses coups de boutoir. Pour l'instant, il la violait en la sodomisant mais le pire restait à venir. Bientôt, il la contraindrait aux pires humiliations que son imagination esquissait parfois. Il lui ferait dégringoler les échelons, il la rendrait plus femelle que femme, plus chienne que femelle, plus chienne que chienne. Elle devrait le sucer sans doute, être fouettée, ou se masturber devant lui avec toutes sortes d'objets, à quatre pattes sur le sol. Oui, c'est cela ... À quatre pattes sur le sol et au milieu du séjour. Elle n'aurait pour tout vêtement que le bandeau qu'il lui aurait mis sur les yeux. Il serait assis en face d'elle et la regarderait exécuter ses ordres. " Prends ceci et enfonce-le ... C'est ça ... Bien au fond ... Plus loin encore ... Ressors-le maintenant ... Renfonce-le .... Il lui passerait tout ce qui lui tomberait sous la main, des objets de tous les jours qu'elle ne reconnaîtrait qu'au toucher, parfois horrifiée par leur taille. Qu'importe ? Tout devrait entrer profond. Tout devrait sortir. Tout devrait entrer à nouveau. De temps à autre, il changerait de poste d'observation. Il la regarderait se contorsionner sous tous les angles, écarter les cuisses, creuser davantage le dos pour mieux s'ouvrir, pour que l'introduction de l'objet soit moins difficile à supporter. Il ouvrirait grands les rideaux. Il la pousserait jusqu'à la fenêtre et elle devrait finir de se consumer là, à pleines mains, avec tous ces gens qui passent en bas, dans la rue, et qui pourraient la voir. Malgré la terreur et la honte, elle ne résisterait pas au plaisir de ses doigts mécaniques. Elle finirait par se tordre de volupté à ses pieds. Elle avait joui la première, juste quand elle avait senti les lèvres de Xavier s'approcher de sa nuque, lorsqu'il y avait posé les dents et qu'il lui avait mordu la peau. Il s'était effondré sur elle de tout son poids. - Tu veux que je détache ? - Non, pas encore, j'aime bien être comme ça tout près de toi. Elle ne mentait pas. Ainsi immobilisée, elle ne craignait rien du ciel. Grâce à ses liens, elle était libre de s'abandonner à la langueur qui suit l'amour. Il lui semblait que Dieu n'attendait que l'instant où Xavier la détacherait pour la foudroyer sur place. Mais on ne s'attaque pas à qui est sans défense. Les victimes ne redoutent pas les divins courroux. La ceinture d'éponge qui lui entravait les poignets, c'était un sursis avant l'enfer. Pour l'instant, elle était au paradis. Le miroir, encore et encore le miroir, comme un confesseur auquel Juliette, grave et nue, se serait soumise chaque soir. Elle regardait ses poignets. Elle observait le fin sillon rougeâtre qui cerclait chacun d'eux comme de minces bracelets gravés à sa peau. Elle portait les mêmes traces aux chevilles, et d'autres encore, ailleurs, moins visibles: là, à la base du cou, ici, autour des épaules, là encore au sommet des cuisses. Se coucher nue sur le lit à barreaux ? Parfait. Quoi d'autre ? Ouvrir la boîte, en sortir les sangles de cuir, les plus larges, les boucler autour des cuisses, juste au dessus du genou ? Si tu veux. J'aime cette odeur puissante du cuir et sa souplesse sur ma peau. À chaque sangle est fixée une chaînette dont le dernier maillon est un cadenas ouvert. Tu veux que que je verrouille ces cadenas aux barreaux ? Et me bâillonner moi-même ? Les chaînes sont courtes, pour y arriver, je dois me tenir sur les omoplates, les jambes très écartées, mais j'y arrive. Je le regarde avec attention, bien en face. Il me donne tous les détails, le protocole de nos relations. La manière dont, je devrais toujours me mettre à genoux. La lingerie que je devrais porter dorénavant, et ne pas porter, surtout. Deux jours plus tard, nouveau rendez-vous. Je me suis déshabillée, et au milieu du salon, devant une sorte de lourd guéridon bas où reposait une fine cravache. Xavier m'a fait attendre un temps infini. Il était là bien sûr, à scruter mon obéissance. Ce jour-là, il s'est contenté de me frapper, sur les fesses, les cuisses et les reins, en stries parallèles bien nettes. "-Compte les coups." Et ce fut tout ce qu'il dit. À dix, j'ai pensé qu'il allait s'arrêter, qu'il faisait juste cela pour dessiner des lignes, et que je n'allais plus pouvoir me retenir longtemps de hurler. Il s'est arrêté à trente, et je n'étais plus que douleur, non j'avais dépassé la douleur. J'avais crié bien sûr, supplié, pleuré, et toujours le cuir s'abattait. Je ne sais pas à quel moment j'ai pensé, très fort, que je méritais ce qui m'arrivait. Il m'a caressée avec le pommeau métallique de la cravache, qu'il a insinué en moi, par une voie, puis par l'autre. J'ai compris qu'il voulait entendre les mots, et je l'ai supplié de me sodomiser, au plus profond, de me déchirer. Cela lui a plus, mais il est d'abord venu dans ma bouche. J'avais le visage brouillé de larmes, et je m'étouffais à moitié en le suçant, jusqu'au fond, jusqu'à la glotte. Voilà que cela fait deux ans que cela dure. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/07/20
L'ombre peu à peu avait envahi la chambre. Sarah n'arrivait plus à distinguer la fissure dans le plafond à laquelle elle avait fixé son regard. La position dans laquelle elle s'était elle-même figée depuis plus d'une heure commençait à la faire souffrir. Passent encore les fourmillements dans les jambes et les bras. Elle en avait l'habitude maintenant. En remuant les doigts, en bougeant les pieds, elle parvenait à relancer la circulation sanguine. Le plus insupportable, c'était cette douleur à l'articulation des cuisses. Elle avait fait preuve de trop de zèle, tendant les chaînes au maximum de ce que lui permettait l'écartement de ses jambes. De part et d'autres de son visage, ses genoux touchaient presque les barreaux. Elle avait aussi trop serré le bas. Il lui distendait les lèvres comme le mors d'un cheval. De temps à autre enfin, il lui fallait empoigner les barreaux pour soulager ses bras de la tension à laquelle ils étaient soumis. Que faisait Xavier ? Dans la rue, les lampadaires s'allumèrent les uns après les autres. Leur lueur orangée inonda la chambre. Le cœur de Sarah s'emballa: toute à son excitation. Et s'il avait décidé de ne pas venir en lui jouant un tour cruel, celui de charger le hasard de choisir celle ou celui qui la découvrirait ainsi harnachée, nue et enchaînée. Mais non, c'était impossible, il l'aimait. Sarah se sentait en danger constant, tant la curiosité des visages la dévorerait, et qu'elle serait fouettée par l'un ou par l'autre, non pas à la vérité qu'ils s'en aperçurent mais sans doute chaque fois qu'ils auraient eu envie de l'humilier ou de la posséder. Et si, il avait encore eu l'envie de l'offrir à des inconnus. Elle avait beau tenter de rejeter de toutes ses forces cette idée, celle-ci la tenaillait et ne la lâchait plus. C'était cela, Xavier voulait l'offrir. Il leur avait dit qu'ils trouveraient là une jeune femme, esclave sexuelle, qui n'atteignait le plaisir qu'en donnant vie à ses fantasmes. Elle mimait la résistance, mais c'était pour mieux en jouir. N'avait-elle pas elle-même avoué qu'elle affectionnait particulièrement l'idée du viol ? Des pas retentirent dans le couloir. Elle cessa de respirer. Une clé tourna dans la serrure. La porte s'ouvrit. Sarah distingua une silhouette dans l'embrasure, mais la lumière l'aveuglait. C'était Xavier mais il n'était pas seul. Celle qui l'accompagnait, la considéra d'un œil narquois et cruel. C'était une jolie fille élancée à la peau bronzée. Son bustier en lamé noir, son short ultracourt sur des bas résilles et des cuissardes à hauts talons ne laissaient planer aucun doute: une pute. Xavier avait amené une putain. Hébétée, Sarah portait alternativement son regard de l'un à l'autre. Il l'évitait avec soin. Lui tournant le dos, il alla jusqu'à la fenêtre de la cave et, les mains dans les poches, observa la jeune femme en attendant qu'elle se soit déshabillée. Toisant Sarah, à sa merci, nue et attachée, elle fit glisser son string le long de ses cuisses. Elle avait des jambes longues et musclées; en bas de son ventre, son pubis lisse se distinguait à peine, velours nacré sur la chair hâlée. Lorsqu'elle dégrafa son étroit bustier, ses seins comprimés en jaillirent comme des fauves. Tout en elle dégageait une étrange impression de sauvage énergie, d'animalité indomptée, jusqu'à sa mâchoire figée en un rictus menaçant contre laquelle dansaient des boucles d'oreilles en longs losanges effilés et cette queue-de-cheval haut placée sur la tête à la manière des Amazones d'autrefois. Elle se coucha en travers du lit, les mains derrière la nuque. - Tu viens, mon chéri ? minauda-t-elle. Xavier se débarrassa de ses vêtements. Lorsqu'il s'approcha du lit, Sarah remarqua qu'il ne bandait presque pas. - Fais ton job, dit-il à la putain. Elle empoigna le pénis d'une main, passa l'autre sous les testicules, comme pour évaluer leur poids. - Allez, je suis sûre que t'as là-dedans de quoi m'en foutre partout. Abasourdie de surprise, Sarah regardait sans réagir la main de la jeune femme solliciter avec adresse le sexe de Xavier dont l'érection se faisait de plus en plus puissante. Ses lèvres gobèrent le pénis tendu. Xavier, les yeux clos, serrait les dents. Pendant quelques instants, il n'y eut plus dans la cave que les bruits de succion de la fille et le cliquetis des chaînes dans lesquelles Sarah commençait à s'agiter. La prostituée prit la pose pendant que Xavier enfilait un préservatif. Lorsqu'il la pénétra, elle poussa alors un gémissement de plaisir. Même en se tordant le cou, Sarah ne pouvait pas les voir mais elle les imaginait aisément. Ondulations élastiques, mouvements synchrones, halètements convenus. Tout cela l'écœurait. Elle renversa la tête sur l'oreiller. Pourquoi Xavier lui avait-il seulement demandé de s'attacher et de se bâillonner ? Pourquoi ne lui avait-il pas également permis de se bander les yeux ? Quelle perversité était la sienne pour vouloir lui imposer un tel spectacle ? Elle tressaillit. Des doigts venaient de se poser sur son sexe. On voulait aussi qu'elle participe à la fête des sens avec une putain. Relevant la tête, elle distingua une main, qui commença à la fouiller entre ses cuisses. Déjà des doigts hargneux s'engageaient en elle. D'autres cherchèrent à écarter le passage de ses reins pour forcer son anus. Elle se débattit autant que lui permettaient ses liens, voulut crier mais ses cris s'étouffèrent dans sa gorge. Xavier ne voyait rien. Il n'entendait rien. Il continuait de défoncer la putain qui, gémissant fort pour couvrir les plaintes assourdies de sa prisonnière, répercutait chaque coup reçu au fond du ventre de Sarah. Elle était là, attachée sur un lit, à entendre l'homme qu'elle aimait s'acharner sur une inconnue qui lui faisait payer le prix de sa fureur. Xavier enfin donna les ultimes coups de reins. La putain abandonna aussitôt Sarah et feignit un orgasme démesuré. Il se releva et jeta sur le lit une pelote de ficelle et alla prendre une chaise qu'il disposa près du lit. "- Tu sais ce qu'il te reste à faire, tiens voilà les clés des menottes et des cadenas. Termine ton job et casse-toi." Le ton de la voix n'admettait aucune réplique. La prostituée se contenta de hausser les épaules tout en tassant ses seins dans son bustier. Sarah cherchait en vain à capter le regard de Xavier. Elle essayait de comprendre. Quel job la fille devait-elle donc terminer ? Pourquoi ne la détachait-il pas lui-même ? Mais il gardait les yeux fixes. Son visage marmoréen n'exprimait qu'une grave détermination. Elle le vit s'asseoir sur la chaise, de lui-même se passer les mains derrière le dos et, d'un léger mouvement de la tête, donner à la pute l'ordre de commencer. En soupirant, celle-ci déroula une longueur de ficelle et lui attacha les poignets qu'elle fixa ensuite solidement au dossier. De la même façon, elle lui entrava les bras, les chevilles, les jambes, le torse et la taille jusqu'à ce qu'il soit totalement immobilisé, le sexe lourd pendait entre les cuisses légèrement ouvertes. Sarah vit alors la fille s'approcher à nouveau, s'asseoir près d'elle et se pencher tout contre son visage. Bientôt, elle alla s'installer entre ses jambes en les maintenant écartées en hauteur. La façon dont elle se tenait lui donnait l'air d'un étrange gynécologue. Elle la vit poser les mains bien tendues de part et d'autres de sa vulve avec une douceur inattendue. Elle sollicita les grandes lèvres pour les écarter peu à peu du bout des doigts. Leur contact, même s'il demeurait ferme, n'avait plus du tout la sauvagerie d'auparavant. Elle ouvrit le sexe offert avec grand soin. Sarah ferma les yeux. Elle cherchait à se concentrer sur le plaisir que cette fille exigeait d'elle. Il devait venir. Elle devait à tout prix réussir à jouir. La putain passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres et, tout en le maintenant ouvert, les approcha du sexe humide de Sarah. De l'entrée du vagin jusqu'au clitoris, elle procéda à de longues succions. Étape par étape, elle aspira la chair tendre des petites lèvres, les caressant avec la langue, les frôlant parfois des dents, puis les abandonnant pour recommencer ailleurs, un peu plus haut ou un peu plus bas. Sarah survolait la cave. Une fille, attachée et nue, était écartelée sur un lit. Une putain, également nue, la suçait. Un homme, bronzé et nu, liè à sa chaise les observait toutes les deux. De sa langue, large et souple, la pute enroba le clitoris de Sarah, l'excita pour l'éveiller, pour l'obliger, à se redresser et à prendre de l'ampleur sous sa caresse. La chair se gonfla alors. Simultanément, des pouces elle redessinait l'entrée du vagin, en soulignant les contours humides. Un doigt s'insinua dans son anus en le dilatant peu à peu. Le viol de ce territoire interdit fit naître dans le ventre de la captive d'irrésistibles ondes électriques. Sarah creusa alors les reins. La fille comprit l'invitation. Abandonnant la vulve, elle concentra ses caresses sur la voie étroite. Elle élargit des doigts l'anneau anal à travers lequel elle poussa profondément la langue. Lorsqu'elle eut suffisamment préparé le passage, la fille posa le pouce contre l'anus de Sarah et l'enfonça lentement, de toute sa longueur, jusqu'à la paume. Quand il fut bien planté au fond, s'en servant comme d'un axe, elle fit pivoter sa main de gauche à droite, les doigts repliés sur l'entrée du vagin. Sans cesser son mouvement de balancier, la putain plongea sa main plus profondément dans le sexe de Sarah, éprouvant entre pouce et doigts l'élasticité de la fragile cloison. De l'autre, elle écarta les petites lèvres pour dégager le clitoris. Puis elle se reconcentra à nouveau sur l'anus. Elle avait décidé de la pénétrer avec le poing. À l'instant même où le poignet atteignit le fond de ses entailles, Sarah se convulsa longuement dans ses chaînes et tremblait encore lorsque la fille, s'étant rhabillée, lui détacha les mains. Malgré elle, des ondes de plaisir la parcouraient encore, comme un orage qui ne s'éloigne que peu à peu, abandonnant ça et là d'ultimes grondements. Libérée de ses liens, elle se sentait plus impuissante encore que lorsque les chaînes l'entravaient. Les larmes lui montèrent aux yeux comme un torrent. Elle se mit à pleurer frénétiquement, sans bruit mais les épaules secouées de spasme, et cela dura longtemps. Elle dut dormir un peu. Xavier dormait-il lui aussi ? Elle n'osait se tourner vers lui. Son souffle était inaudible. Pourquoi l'avait-il contraint à une telle séance ? Avait-il voulu la faire souffrir ? Rien dans son attitude n'avait pourtant trahi un quelconque plaisir à une situation si humiliante. Cela n'était donc pas un jeu, plutôt un passage obligé, un rituel auquel lui-même n'aurait pu échapper. Qu'avait-il donc voulu lui prouver ? Elle tendit l'oreille, à l'affût d'un signe de Xavier. Elle se rappela à ce moment-là qu'il avait un bâillon. Elle se leva et se précipita vers lui. Il gardait les yeux clos mais il ne dormait pas. L'enjambant, elle s'assit sur lui, les bras autour de ses épaules, les lèvres contre les siennes. Il posa le front contre sa poitrine. Elle sentait au bout de ses seins la caresse de son menton mal rasé. Sarah sentit son pénis se dresser sous ses fesses. Elle le laissa la pénétrer là où elle avait déjà joui. Bonne lecture à toutes et à tous. Méridienne d'un soir.
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Par : le 16/07/20
Jonas ne sait pas d'où il vient. Il est né dans la rue, près du port, là ou arrivent tous les migrants. Sa mère qui a accouché entre des piles de caisses est morte à sa naissance. A t-il été élevé par une louve comme Rémus et Romulus, il n'en sait fichtre rien. Orphelin de mère, le père n'a jamais existé. Un coup peut être dans un port en échange d'une pièce pour manger. C'est sans importance, il est et cela n' a pas de prix. Il a su survivre sur ce bout de quai, caché entre les caisses, les ballots et les bateaux en partance. A présent, c'est un beau jeune homme, séduisant. Il gagne sa vie comme docker. C'est très bien payé. Jonas est intelligent, il a su intégrer le syndicat qui contrôle ce port et monter les échelons. Pourtant il ignore qu'il a un don rarissime. Il sait lire les codes cachés. Il ne sait pas d'où lui vient cela, mais s'il écoute les infos où lit la presse, il est capable de décoder et de livrer des analyses fort justes. il s’aperçoit qu'il peut gagner beaucoup d'argent et commence à jouer sa paye sur le marché des actions. Une réussite fulgurante. La grande vie ? Non, il aime bien son petit logement entre les caisses et les ballots, là où il est né de mère et père inconnus. Il rencontre Janis, une orpheline comme lui et c'est le coup de foudre immédiat. Il ne peuvent plus se quitter et ont besoin de s'accoupler le plus souvent possible. Emboîtés, il se sentent bien. Ils font un. Jonas et Janis, les deux j, toujours ensembles, toujours follement amoureux. Jonas gagne encore plus et décide d'acheter un ranch pour vivre à la campagne et faire des gamins. Et là, coup du sort, ils sont stériles tous les deux. Le destin semble se moquer d'eux. Ils sont pourtant beaux, jeunes , riches et voilà, ils peuvent former un couple, mais pas une famille issue de leur sang. L' adoption...ce n'est pas les orphelins qui manquent, mais l’administration refuse car, orphelins eux même, ils n'ont pas de références. Et l'enquête montre vite leur hypersexualité. Janis a besoin d'être pénétrée par Jonas. C'est une addiction totale. Il font l'amour plus de dix fois par jour. Ils ont consulté un sexologue qui leur a recommandé de pratiquer le bdsm pour mieux canaliser cet élan vital. Janis a joué à la soumise, mais à part écarter un peu plus, cela n'a pas marché. être et jouer ce n'est pas du tout la même chose. Le sexologue a voulu vérifier. Un bon scénario bdsm, ne fait pas plus mouiller Janis ou bander Jonas. Il sont à des années lumières de cela. Le sexologue les a virés. -Tout va bien et donc je ne peux rien pour vous. Jonas a coincé Janis contre la barrière du ranch et il a pénétré sa femme, d'un coup. Elle est toujours humide et prête pour se faire démonter la chatte et jouir très fort. Mais qu"avec son homme. Et Jonas de même, qu'avec sa femme. Les autres n'existent pas quand ils font l'amour. et c'est très bien ainsi. La morale de cette histoire c'est qu'il ne faut pas tricher sur soi même et sa nature véritable, cela ne rend pas heureux et c'est aller vers des problèmes bien inutiles.
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Par : le 16/07/20
Olga bosse pour le FSB, c'est même une amie du camarade Vladimir. Elle adore son job. Le renseinement. Dans tous les domaines, le militaire bien sûr, mais aussi la diplomatie, les affaires, l'industrie, la finance. Quand le FSB veut savoir, il envoie Olga, l'experte en sexe sur commande. Là, elle doit se renseigner sur un milliardaire américain qui commence a bien casser les couilles à Vladimir avec ses fusées qui concurrencent celles de Roscosmos, reviennent seules sur Terre et coûtent moins cher que toutes les autres alors que ce sont les plus perfectionnées. Des technologies aliens? Et si ce milliardaire était aussi un alien? Il en a la tronche avec ses projets futuristes. Voilà qu'il veut coloniser la Lune et Mars. Olga est chargée de le coincer entre ses cuisses. La sublime russe se pointe partout où notre milliardaire peut être. Elle est bien renseignée, ses entreprises ont été infiltrées par des savants bi-nationaux qui ont réussi à se faire embaucher. Mais pas facile, notre milliardaire est comme une ombre insaisissable. Pourtant, la rencontre se produit un jour, au moment où Olga s'y a attend le moins, près d'un distributeur de coca. En fait c'est Olga qui s'est faite alpaguer. Elle s'en rend compte de suite. Le milliardaire est un personnage très énigmatique. -je pars dans 15mn pour ma base en Californie. Voulez vous m'accompagner dans mon jet privé? Olga comprend que c'est elle le poisson et qu'elle est à nue, sans filet de protection, dans les griffes d'un gros matou rusé. Dans l'avion le milliardaire ne perd pas de temps. Il la saute sur d'épais fauteuil de cuir.. Non, ce n'est pas un alien et il la baise très bien, avec une grosse envie. Se faire troncher c'est la base du métier d'Olga et c'est en plus un plaisir. Elle adore cela, baiser n'importe où, à l'improviste. Le milliardaire qui rêve de conquérir Mars n' a aucun mal à conquérir sa bouche, sa chatte et son cul de rêve. Un pineur expert, au moins c'est déjà plus agréable qu'un bande mou ventripotent. -Je veux discuter directement avec Vladimir. Tu vas arranger cela. Il sait que je suis en train de couler Roscosmos. Ce n'est pas mon but. J'ai envie de faire des affaires avec lui. Je te prend à mon service et je lui offre Rose, une splendide blonde américaine platine qui adore faire l'amour comme soumise. Ce sera plus facile pour communiquer. Olga sourit. Rose se pointe. Elle est sublime. Vladimir va être content. C'est un roublard lui aussi. Olga est ravie, elle sait qu'elle va bien s'entendre avec son nouvel employeur , le milliardaire aux fusées si performantes. Olga dévoile ses belles dents de tigresse de Sibérie. -J'accepte le marché dit elle. Tu m'as bien baisée et j'adore cela. Vladimir va adorer Rose, c'est son style. Il est fou des blondes platine avec de beaux seins. Je lui envoie une photo à l'instant. Tiens il répond....coucou Vladi, bisous, je te passe mon ami. - Vladimir ! -Da ! - Olga est un bon coup, merci. Tu vas aimer Rose. On peut se voir bientôt? -Da ! dans ma résidence du Caucase ce sera plus relax. Tu veux me parler de la Lune et Mars. -Oui, mais pas que. -Fait gaffe avec Olga, C'est une experte en arts martiaux et elle adore pratiquer la domination. -Super, cela me reposera un peu. Rose est comme tu aimes d'après mes fiches. Soumise à souhait avec un cul de rêve. A bientôt sur les bords de la Mer Noire. -Da. tu es le bienvenu. -Olga, va m'attendre dans la chambre bleue. Il parait que tu adores jouer à la dominatrice. Alors prépare moi un truc sympa. Là faut que je bosse. J'en ai pour une heure encore. -Mon cher, sachez que je ne joue pas à la dominatrice, je suis dominatrice et vous n'allez pas être déçu. Le FSB est bien renseigné, je connais tous vos fantasmes. -C'est bien , comme cela nous ne perdrons pas de temps. Tu trouveras tous les accessoires dans un placard. Allez laisse moi maintenant. Le milliaidaire reçoit une bonne baffe, une de celles qui font très très mal. -On ne parles pas ainsi à "SA" dominatrice surtout si elle a été formée au FSB. Le milliardaire sent son sexe gonfler et durcir, le signe qu'il est bien un soumis sexuellement. Il baisse les yeux face à Olga. Vouloir conquérir Mars et obéir à Olga....tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. La morale de cette histoire c'est qu'avec le cul on peut conquérir la Terre, la Lune et même Mars.
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Par : le 15/07/20
Nichdali est une passionnée d'ésotérisme, de méditation, de yoga, bref, elle ne peut plus baiser que suivant les préceptes du tantrisme. Faut pas être pressé. Faire l'amour avec Nichdali peut durer des heures et même des nuits entières. Il n'est pas rare qu'elle commence la pénétration le soir et que l’orgasme et la libération de sperme ne soit que pour le matin. Elle a un Yoni très musclé et une fois un pénis inséré, c'est elle qui décide de le relâcher ou pas. Elle en fait sa propriété tout le temps de la pénétration. Cela peut être très jouissif pour un homme, mais aussi très douloureux parfois. Comme Nichdali adore faire l'amour, c'est devenue une experte. Le problème c'est qu'elle a voulu se faire sauter par un beau noir avec une pine énorme. Ce dernier en a vite eu mare des préliminaires et il a défoncé Nichdali par tous les trous comme un sauvage. Et Nichdali a explosé les orgasmes en lâchant complètement prise sous les coups de ce pal monstrueux. Fini son approche tantrique du sexe. Elle est devenue l'esclave de la bite d'Amir, le lion indomptable du Cameroun. Et Amir ne se contente pas d'une seule femme, il faut qu'il en bourre plusieurs différentes chaque jours. Et toutes jouissent très fort et toutes sont accros. Nichdali la fière féministe, féru d'amour tantrique n'est plus qu'un garage pour la bite d'Amir et elle doit obéir, être disponible quand son maître veut et comme il veut. Et Amir est un pressé, il a de belles chattes à visiter. Elle doit être la huitième sur sa liste, peut être plus loin encore. Elle pense être tombée bien bas. Elle qui était contre la polygamie, le patriarcat, la toute puissance du mâle dominant. Et maintenant Amir en veut plus, il lui donne de copieuses fessées, il l'attache et parle même de la fouetter bientôt. Elle tremble, elle est prise au piège. Elle ne peut plus s'échapper. Elle jouit trop et trop fort ! A peine Amir la touche, elle brame. Son maître a du lui jeter un sort, il doit être marabout ou sorcier ! C'est incroyable, dès qu'il est là, elle n'est plus rien, sauf une chatte, un cul et une bouche ouverte. Et Amir a fait ce qu'il a dit. Il a attaché Nichdali et il a sorti un fouet terrifiant. Nichdali a hurlé, supplié, pleuré. Rien à faire, Amir lui a labouré le dos. Puis il l' a détachée et il est parti sans un mot. Nichdali sent la douleur brûler. Elle sanglote. Puis elle se calme. Elle se souvient de ses séances de méditation....la paix revient. Sa douleur devient plaisir. La morale de cette histoire, c'est qu'avec les soumises le fouet est le meilleur des préliminaires.
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